stence — tombent dans un état léthargique qui constitue de véritables
attaques
de sommeil. Nous étudierons d'abord le sommeil
— mère et sœur nerveuses. — Convulsions dans l'enfance ; — colères; —
attaques
syncopales ; — secousses. — Chagrins. — Apparitio
— Chagrins. — Apparition des règles. — Modifications successives des
attaques
. Hémianesthésie et hyperesthésie ovarienne droi
nalgésie du bras gauche. — Caractère, allures, etc. Description des
attaques
en 1877. — Difficulté de la compression ovarienne
ion des attaques en 1877. — Difficulté de la compression ovarienne. —
Attaques
ne comprenant que la période de délire. — Contrac
ode de délire. — Contracture partielle du sterno-mas-toïdien droit. —
Attaques
sans période apparente de délire. — Refus de mang
fus de manger. — Modifications de la température sous l'influence des
attaques
. Variétés des attaques : A. de dyspnée, A. sync
tions de la température sous l'influence des attaques. Variétés des
attaques
: A. de dyspnée, A. syncopales, A. de contracture
avec prédominance du clonisme (clow-nisme), A. de délire. Arrêt des
attaques
: compression ovarienne, compresseur, nitrite d'a
citabilité musculaire, catalepsie. Relation entre les règles et les
attaques
. — Marche des attaques. État de la malade et desc
catalepsie. Relation entre les règles et les attaques. — Marche des
attaques
. État de la malade et description de ses attaques
aques. — Marche des attaques. État de la malade et description de ses
attaques
en i 879 : Troubles vaso-moteur» ; ¦« effets de l
n i 879 : Troubles vaso-moteur» ; ¦« effets de la compression sur les
attaques
sérielles. W... Marie, lingère, née à Paris, es
d'une affection chronique de la poitrine (toux, hémoptysies) ; sobre,
attaques
de nerfs seulement après contrariétés ; — elle av
re en qualité de fille de service. 1 Le plus souvent elle avait des
attaques
après le coït ; une fois, elle en aurait eu penda
après le coït ; une fois, elle en aurait eu pendant l'acte même. Les
attaques
auraient été plus rares. Planche I. HYSTÉRO-É
) qui lui comprimait la région ovarienne droite lorsqu'elle avait ses
attaques
. Revenue à Paris, elle demanda asile dans un co
à Paris, elle demanda asile dans un couvent rue du Cherche-Midi. Les
attaques
étaient presque constamment nocturnes. Après un s
vel amoureux, Louis, deuxième du nom, qu'elle revoit souvent dans ses
attaques
. Elle n'était, d'ordinaire, malade que la nuit; m
ade que la nuit; mais, deux mois après son entrée, elle aurait eu une
attaque
le jour et aurait déchiré du linge. On la congédi
t, W... avait craché un peu de sang durant trois ou quatre jours. Les
attaques
seraient devenues plus fréquentes et les séries p
auche. — Hyperesthésie ovarienne droite, s'exagérant à l'approche des
attaques
. — W... est grande (Ira, 6i), d'une forte corpule
s religieuses, etc. Elle porte un scapulaire. 14 mai. — W... est en
attaques
. — Décubitus dorsal. — Face rouge, dirigée à gauc
prolonge durant plusieurs heures, que se greffent pour ainsi dire les
attaques
elles-mêmes. Période épilepto'ide. —La rigidité
tre ' et de la tension des muscles. Aujourd'hui, la malade étant en 1
attaques
depuis plusieurs heures, M. Charcot parvient à va
rend connaissance. L'arrêt n'a duré que cinq minutes. Aujourd'hui les
attaques
présentent quelques modifications. Période épil
sa « boule » qui montait et descendait sans cesse. Elle a été prise d'
attaques
vers neuf heures. A dix heures, état de 2 rig
etombe dans sa rigidité sans paraître avoir de délire. En un mot, les
attaques
se composeraient uniquement des deux premières pé
) Juillet. — Uanesthésie est devenue générale. 23 août. — Série d'
attaques
, arrêtée par le nitrile d'amyle. 25 août. — W..
secousses, qui souvent précèdent de quelques secondes l'arrivée d'une
attaque
; celles-ci ne sont annoncées par aucun cri. Parfo
dilatent quand la rigidité s'exaspère. De 11 heures à midi, treize
attaques
. Après la treizième : T. V. 38°,2. La sécrétion v
étion vaginale a paru un peu plus abondante. — La série (vingt et une
attaques
) a fini à une heure et demie. — Soir : T. R. 37°,
a fini à une heure et demie. — Soir : T. R. 37°,8. 28 août. — Pas d'
attaques
. T. R. 37°,3.—Soir : T. R. 37°,6. 29 août. — Pa
— Pas d'attaques. T. R. 37°,3.—Soir : T. R. 37°,6. 29 août. — Pas d'
attaques
. T. R. 37°,5 le soir. 6 septembre. —La vision e
ence entre les yeux à l'ophtalmoscope. (Landoit.) Outre ses grandes
attaques
, W... a quelquefois des attaques syncopales : ell
cope. (Landoit.) Outre ses grandes attaques, W... a quelquefois des
attaques
syncopales : elle pâlit, s'affaisse et perd conna
aisse et perd connaissance. 9 décembre. — Série de cinquante-quatre
attaques
en six heures. 1878. 11 mai. — La malade a été
e M. Delasiauve) , où nous avons continué son observation. 13 mai.—
Attaques
: inhalation à'iodure d'èthyle. L'attaque est arr
on observation. 13 mai.— Attaques : inhalation à'iodure d'èthyle. L'
attaque
est arrêtée à la période tonique ; l'inhalation é
ons à la malade qui lui sert de messagère. A diverses reprises, des
attaques
survenant, l'inhalation est recommencée : « Dis à
mélancolique, a pleuré, et, le soir, a été prise à'étouf-fements sans
attaque
, sans perte de connaissance. Comme elle accusait
appelé, lui a projeté de l'eau à la figure : aussitôt, ont éclaté des
attaques
arrêtées par le chloroforme. La nuit a été bonne,
elle est inconsciente et offre l'état de rigidité habituelle dans les
attaques
, avec ces différences : 1° la tête est dans l'ext
est dans l'extension forcée, le cou tendu, gonflé ; 2° il n'y a pas d'
attaques
complètes, tout se borne à la rigidité : c'est un
attaques complètes, tout se borne à la rigidité : c'est une véritable
attaque
de contracture. Parfois, il se produit des secous
est revenue à elle vers onze heures. 26 novembre. — Le 24, au soir,
attaques
. Hier, 25, agitation, déclamations contre les int
r terre dans la cour; elle refuse de parler et de manger. — A minuit,
attaques
qui ont continué sans interruption jusqu'à la vis
ns le courant des deux derniers mois, le compresseur a pu arrêter les
attaques
. Le 31 décembre, W... est replacée dans le servic
Apparition des règles, qui finissent le lendemain. Du/23 au 31, pas d'
attaques
. 30 janvier. — La sensibilité persiste à droite
gauche. 22 février. — Les règles ont paru cette nuit. Ce matin, dix
attaques
. Éther et chloroforme. L'écoulement menstruel fin
ques. Éther et chloroforme. L'écoulement menstruel finit le 23; pas d'
attaques
jusqu'à la fin du mois. 19 mars. — Attaques le
ruel finit le 23; pas d'attaques jusqu'à la fin du mois. 19 mars. —
Attaques
le 16 : éther et chloroforme. Rien le 17 et le 18
17 et le 18. Les règles, parues ce matin, cessent le 20. Ce jour-là,
attaques
de contracture : éther et chloroforme. — Quelques
acture : éther et chloroforme. — Quelques heures plus tard, nouvelles
attaques
arrêtées par les mêmes agents. Les 22, 26, 27, et
uvelles attaques arrêtées par les mêmes agents. Les 22, 26, 27, etc.,
attaques
. Avril. — Pas de règles. 5 mai. — Agitation c
. — Le 7, apparition des règles, qui finissent le 8. Le 7, rien; le8,
attaques
, agitation; les 9 et 10, attaques. 15 mai. — H
ui finissent le 8. Le 7, rien; le8, attaques, agitation; les 9 et 10,
attaques
. 15 mai. — H y a deux jours, à la suite d'attaq
on; les 9 et 10, attaques. 15 mai. — H y a deux jours, à la suite d'
attaques
, W... a eu du délire. Elle a été calme le 13, a b
calme le 13, a bien dormi dans la nuit du 13 au 14 : au réveil, sans
attaques
, retour du délire. Elle prend diverses attitudes,
ression échoue. — T. R. 37°,6. Dans l'après-midi, on a provoqué une
attaque
, on lui a donné de l'éther et du chloroforme, et
sur le boulevard et est mise en cellule. —Le 23 et le 24, agitation,
attaques
: éther et chloroforme. 26 juin. — Attaques épi
23 et le 24, agitation, attaques : éther et chloroforme. 26 juin. —
Attaques
épileptiformes. —Apparition des règles qui finiss
iformes. —Apparition des règles qui finissent le 27. Ce jour-là, deux
attaques
épileptiformes. 15 juillet. — Dispute avec une
flettent. 21 juillet. — Rien le 19 et le 20. Apparition des règles;
attaques
. Fin des règles, le 22 ; sept attaques. Rien le 2
le 20. Apparition des règles; attaques. Fin des règles, le 22 ; sept
attaques
. Rien le 23 et le 24. 22 août. — Attaques épile
des règles, le 22 ; sept attaques. Rien le 23 et le 24. 22 août. —
Attaques
épileptiformes. — Règles qui s'arrêtent le 24. Pa
août. — Attaques épileptiformes. — Règles qui s'arrêtent le 24. Pas d'
attaques
le 23. — Le 24, attaques ; contractures. W... don
formes. — Règles qui s'arrêtent le 24. Pas d'attaques le 23. — Le 24,
attaques
; contractures. W... donne un coup de pied à l'in
— Hier, étant au gymnase, et éprouvant les prodromes habituels de ses
attaques
, elle se comprima elle-même, et se hâta de rentre
à angle droit, croise le dos. L'appareil est retiré; il survient une
attaque
qu'on arrête par la compression: avec le retour d
ille. Ce matin, elle déclare qu'elle est toujours sous le coup de ses
attaques
et demande qu'on la calme. P. 76 ; T. Y. 38° à pe
peu humides. Le compresseur étant retiré, nous observons une série d'
attaques
. ire attaque. —A. Période épileptoïde. — a) Pet
compresseur étant retiré, nous observons une série d'attaques. ire
attaque
. —A. Période épileptoïde. — a) Petits bruits phar
t, ouvre les paupières jusqu'alors fermées, regarde à Planche II.
ATTAQUE
HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE tétanisme Planche III.
lanche II. ATTAQUE HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE tétanisme Planche III.
ATTAQUE
HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE ARC DE CERCLE Planche IV
che III. ATTAQUE HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE ARC DE CERCLE Planche IV
ATTAQUE
HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE DÉLIRE Planche V. ATTAQ
LE Planche IV ATTAQUE HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE DÉLIRE Planche V.
ATTAQUE
HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE délire erotique gauche ;l
e dans ce moment, elle dit qu'elle voit un lion rouge. (Pl. IV.) ne
attaque
. — a) Période épileptoïde. — Mêmes caractères. —
tude est conservée pendant une vingtaine de secondes. (Pl. III.) m"
attaque
. — a) Période épileptoïde. — Mêmes caractères.
oue qu'elle s'imagine être dans les bras de son amant. (Pl. V.) ive
attaque
(11 h. 25). — a) Période tonique. — Caractères or
). — a) Période tonique. — Caractères ordinaires ; dans aucune de ces
attaques
, il n'y a eu de mouvement de moulinet. b) Pério
it sur les cuisses, bras gauche tourné. Durée quarante secondes. ve
attaque
. — a) Période épileptoïde. — Quarante-cinq second
» Elle regarde à gauche ; les pupilles sont normales. (Pl. IV.) vi°
attaque
.— a) Période épileptoïde. — b) Période clo-nique.
etc. Regard effrayé; pupilles très dilatées. Durée une minute. vne
attaque
. — a) Période épileptoïde. — Durée cinquante seco
ante-quatre secondes. W... est en arc, à convexité antérieure. vin"
attaque
. — a, b) Périodes épileptoïde et clonique. — Les
-moi partir ! Oh ! maman ! oh ! non ! » Elle pleure de nouveau. ix°
attaque
.—a, b)Périodes épileptoïde et clonique. —Mêmes ca
dit qu'elle causait avec... La compression étant suspendue, nouvelle
attaque
. xe attaque. ¦— a, b) Périodes épileptoïde et c
ausait avec... La compression étant suspendue, nouvelle attaque. xe
attaque
. ¦— a, b) Périodes épileptoïde et clonique. — Mêm
Maman ! » compression : elle déclare voir un lion rouge. — Entre les
attaques
, il y a généralement un repos. (Pl. VI.) Planch
les attaques, il y a généralement un repos. (Pl. VI.) Planche VI.
ATTAQUE
HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE repos P. 116 ; T. V 38°,1
inale assez abondante. — On cesse la compression. Survient la onzième
attaque
l. Le chloroforme est administré durant assez l
t tout à fait endormie (11 h. 55) : P. 80 ; T. V. 37°,9. Durant les
attaques
, nous avons tracé sur la poitrine, avec la pointe
moteurs). 28 août. — W... s'est réveillée à midi. Elle n'a pas eu d'
attaques
depuis ce moment. — Ce matin, les lettres sont ré
réduites à un trait semblable à une égratignure. 31 août. — Prise d'
attaques
hier soir, dans la cour ; on l'a comprimée, remon
trouvons W... avec le compresseur. Elle demande qu'on mette fin à ses
attaques
, afin qu'elle puisse se rendre à la gymnastique.
'elle puisse se rendre à la gymnastique. — Le compresseur enlevé, des
attaques
éclatent, offrant quelques modifications en ce qu
lée, n'a jamais voulu raconter ce qu'elle voyait. Après la douzième
attaque
, nous administrons Yéther. Au bout d'une vingtain
depuis hier soir. Elle assure qu'elle est encore sous le coup de ses
attaques
. 5 h. 25. Inhalation à'étker. Elle dit qu'elle
mpresseur est retiré; bien que l'inhalation continue, il survient une
attaque
que l'on arrête par la compression ovarienne, exé
te des inhalations d'éther. 11 septembre. — W... éprouve, avant ses
attaques
, les phénomènes ordinaires de Y aura. Voici en qu
ernatives de pâleur et de rougeur du visage. Durant les séries, les
attaques
sont en général annoncées par des secousses, des
caressante : « J'ai faim, mais pas de pain... d'autre chose. » Une
attaque
devenant imminente, ce qui est fréquent lorsque l
des réminiscences des événements comme dans la période de délire des
attaques
ou le sommeil lui-même. Etat actuel {septembre)
er, à 72. Sécrétions. — La sécrétion salivaire est normale. — Les
attaques
, clans les premiers temps provoquaient des sueurs
st dû à l'usage fréquent de l'éther. —¦ W... urine beaucoup après ses
attaques
durant lesquelles elle n'a plus d'incontinence co
cédées de douleur. Elle surviennent d'habitude la nuit ou pendant les
attaques
. Tant qu'elles durent, W... est portée à la trist
x côtés ; la pression sur une seule de ces régions ne détermine pas d'
attaques
, mais la « fait avaler. » La pression simultanée,
tre ; il n'y a pas de troubles céphaliques et jamais il ne survient d'
attaque
. W... déclare que la sensation pro- 4 duite e
on même un peu forte est, aujourd'hui, impuissante à faire naître une
attaque
. Au niveau de ces diverses régions, l'anesthési
'écume. Si l'on compare les descriptions que nous avons données des
attaques
à diverses époques de la maladie, on s'aperçoit d
ours de l'observation, le lecteur a certainement noté ces singulières
attaques
caractérisées en quelque sorte par l'un des sympt
ues caractérisées en quelque sorte par l'un des symptômes des grandes
attaques
: telles sont les attaques syncopales — sur lesqu
e sorte par l'un des symptômes des grandes attaques : telles sont les
attaques
syncopales — sur lesquelles nous avons souvent ap
s — sur lesquelles nous avons souvent appelé l'attention ('); — les
attaques
de dyspnée; — les attaques de contracture, consti
ns souvent appelé l'attention ('); — les attaques de dyspnée; — les
attaques
de contracture, constituées presque uniquement pa
contracture, constituées presque uniquement par la rigidité; — les
attaques
épileptiformes, qui se bornent à la première péri
es attaques épileptiformes, qui se bornent à la première période de l'
attaque
complète : c'est là une 1 Iconographie photogra
car un observateur non prévenu, qui se contenterait de la vue de ces
attaques
pour poser son diagnostic, serait exposé à croire
e. Enfin, et c'est là un point très curieux, W... nous a offert une
attaque
de délire, à l'état isolé, indépendamment des pér
de et clonique. Nous n'insisterons pas de nouveau sur cette variété d'
attaque
, dont nous nous sommes précédemment occupés avec
us croyons plus utile de résumer brièvement les traits principaux des
attaques
complètes et relever un fait déjà consigné dans l
nce chez W... dans ces derniers temps, de ce que nous appellerons des
attaques
composées. Dans toutes les attaques qui forment
de ce que nous appellerons des attaques composées. Dans toutes les
attaques
qui forment Y attaque composée, la période épilep
rons des attaques composées. Dans toutes les attaques qui forment Y
attaque
composée, la période épileptoïde est la même ; se
sent des modifications. Après la période épileptoïde de la première
attaque
, il y a un court repos; puis W... pousse un grand
échire avec ses dents. La compression étant suspendue, une nouvelle
attaque
survient. La période épilepîoïde a les caractères
e idée très imparfaite de l'arc qui n'a pu être photographié dans les
attaques
où il est le mieux caractérisé. la lête se port
se porte à gauche — ce qui est à peu près la règle — et une troisième
attaque
éclate : période épi-leptoïde habituelle ; — péri
puis elle dit : « Oh! non! c'est bête... » Elle rit. Une quatrième
attaque
se produit : période épilep-toïde; — période clon
recourbé (arc antéro-latéral). Au bout de 40 à 50 secondes, nouvelle
attaque
reproduisant cette fois très exactement la premiè
nouvelle attaque reproduisant cette fois très exactement la première
attaque
. A différentes reprises, nous avons constaté la
e. A différentes reprises, nous avons constaté la régularité de ces
attaques
; nous avons essayé d'avoir des renseignements pré
elque période que ce soit, la compression de l'ovaire gauche arrête l'
attaque
et détermine le retour de la connaissance qui per
que dure la compression ; si on la suspend, ce n'est pas la fin de l'
attaque
qu'on observe, c'est une nouvelle attaque qui s
ce n'est pas la fin de l'attaque qu'on observe, c'est une nouvelle
attaque
qui se déroule. Et, comme chez W..., les attaques
c'est une nouvelle attaque qui se déroule. Et, comme chez W..., les
attaques
qui constituent ce que nous appelons les attaques
omme chez W..., les attaques qui constituent ce que nous appelons les
attaques
composées , se succèdent dans un ordre régulier,
uit qu'on peut produire en quelque sorte à volonté telle ou telle des
attaques
, en s'appuyant sur ce fait, fourni par l'observat
t, fourni par l'observation, que la compression opérée au début d'une
attaque
en supprime toutes les autres périodes. Supposo
ons, par exemple, que W... soit à la période de délire de la première
attaque
de l'attaque composée, c'est-à-dire au moment où
ple, que W... soit à la période de délire de la première attaque de l'
attaque
composée, c'est-à-dire au moment où elle voit le
e gauche ; la conscience revenue, on suspend la compression; nouvelle
attaque
. On comprime cle nouveau, ce qui a pour résultat
rc de cercle antérieur. — On retire la main qui comprimait, troisième
attaque
; si, alors, on comprime encore, on empêche la pér
compression, laisse apparaître la période épileptoïde de la quatrième
attaque
; la compression supprime l'arc de cercle antéro-l
cercle antéro-la-téral. Si, après ces diverses manœuvres, on laisse l'
attaque
suivante évoluer librement, on assiste à une atta
res, on laisse l'attaque suivante évoluer librement, on assiste à une
attaque
qui présente tous les caractères de la première a
assiste à une attaque qui présente tous les caractères de la première
attaque
de Y attaque composée. Il est donc possible, ch
attaque qui présente tous les caractères de la première attaque de Y
attaque
composée. Il est donc possible, chez W..., ains
omènes, de supprimer ou de faire apparaître telle ou telle des quatre
attaques
qui forment Y attaque composée. Telle est la ma
de faire apparaître telle ou telle des quatre attaques qui forment Y
attaque
composée. Telle est la marche générale des atta
es qui forment Y attaque composée. Telle est la marche générale des
attaques
chez W... Parfois, nous avons relevé des modifica
rant quelque temps, nous avons vu s'ajouter à la série ancienne, deux
attaques
nouvelles : la période de délire, dans l'une, éta
ête ! » Nous ignorons ce qui se passe dans le délire de la première
attaque
surajoutée; en ce qui concerne la seconde, voici
de là une violente impression que son imagination reproduit dans les
attaques
. Nous ne nous arrêterons pas davantage sur ce p
res observations 1 et nous terminerons l'exposé de ce qui a trait aux
attaques
par quelques mots sur les moyens dont on dispose
e. Depuis lors, la compression ovarienne a toujours réussi à couper l'
attaque
en cours ; mais, dès qu'elle était suspendue, on
mais, dès qu'elle était suspendue, on voyait apparaître une nouvelle
attaque
. Ce n'est donc que par une compression prolongée
e compression prolongée qu'il était possible d'empêcher le retour des
attaques
: le compresseur remplissait ce but et tant qu'il
, peu à peu, son action s'est atténuée au point que, pour juguler les
attaques
, il fallait une dose énorme, ce qui entraînait un
inaire arrêtée d'une façon définitive, tandis qu'avec les autres, les
attaques
, suspendues momentanément, reparaissent après un
minutes, d'une ou deux heures au plus. L'une des complications des
attaques
de W..., la contracture, doit être relevée en que
ariable, en partie ou en totalité, les phénomènes qui caractérisent l'
attaque
hystérique et qui jouent souvent et spontanément
stérique comprend toutes les sensations qui annoncent l'approche de l'
attaque
. membres, arrachait des cris de douleur1 . — Pa
iqué leur siège (p. 25). Lorsque cette malade est sous le coup de son
attaque
, qu'elle a ressenti les phénomènes lointains (aur
dit la malade, j'avale ma boule; ça fait un bruit dans ma gorge et l'
attaque
n'aboutit pas; tantôt au contraire, l'attaque écl
ruit dans ma gorge et l'attaque n'aboutit pas; tantôt au contraire, l'
attaque
éclate. » Dans ce dernier cas, durant le temps où
eur au niveau de la région hystérogène latéro-mammaire gauche quand l'
attaque
avorte et que, si cette région est prise, l'attaq
re gauche quand l'attaque avorte et que, si cette région est prise, l'
attaque
est fatale. Les régions hystérogènes sont plus
onvulsions. — Une autre mise en correction jusqu'à vingt et un ans.
Attaques
syncopales consécutives à une peur à quatorze ans
— Nouvelle émotion morale en août 1878 (seize ans) ; augmentation des
attaques
syncopales. — Première attaque hystéro-épileptiqu
t 1878 (seize ans) ; augmentation des attaques syncopales. — Première
attaque
hystéro-épileptique en décembre 1 878. Hémianes
ie droite (avril 1879). — AnesthéSie générale (août 1879).— Arrêt des
attaques
par la compression ovarienne gauche, par l'éther,
des attaques par la compression ovarienne gauche, par l'éther, etc.
Attaques
de contracture. — Régions hystérogènes. — Sommeil
me en appuyant. Ces exacerbations se montrent de préférence après les
attaques
; avant, il n'y a rien de semblable. — La pressio
iqûre d'épingle, au pincement. Pas de douleur spontanée en dehors des
attaques
. La pression développe très promptement une grand
ehors des attaques. La pression développe très promptement une grande
attaque
. 3° Région ovarienne gauche, où l'anesthésie es
esthésie est complète. Il n'y a pas de douleurs dans l'intervalle des
attaques
. Avant les crises convulsives, cette région, est
nce au bout de cinq minutes. — Il n'y a pas d'hallucinations. 1 Les
attaques
comprennent les périodes classiques : p. épi-lept
p. de délire, avec hallucinations (P... voit des rats, etc.) Parfois,
attaques
de contracture : après avoir ressenti les prodr
e sans avoir eu de convulsions ni de délire. On voit que ces sortes d'
attaques
sont limitées à la phase tétanique de la période
anique de la période épileptoïde. Sommeil. — Avant l'apparition des
attaques
syncopales2, le sommeil était bon ; à partir de c
olongées ; l'une d'elles aurait duré deux semaines. Elle n'a pas eu d'
attaques
de sommeil. P... se couche à 9 heures, s'endort
lancinante, sans aucun des phénomènes de l'aura. 2 Symptôme de ces
attaques
: nausées, vision colorée (elle voit tout en roug
sion, elle est dans un jardin, entend de la musique, etc. — Avant les
attaques
, le sommeil est encore plus troublé ; après, il e
pproche de mon lit, je me réveille. » Dans la période de délire des
attaques
hystéro-épileptiques, elle assiste à ces mêmes sc
on amant. - Reproduction d'une scène réelle qui a causé la première
attaque
syncopale. muscles fléchisseurs des doigts et d
) s'accélère, arrive à 44 par minute ; P... semble être menacée d'une
attaque
. Pour la calmer, il suffit de prendre ses bras (p
r-le-champ à la plus légère excitation; — les autres ne déterminent d'
attaques
que si la pression a été énergique, et après un t
ique. — Pas de consanguinité. Cauchemars dans l'enfance. — Première
attaque
à douze ans, avant les règles. — Cho-rée. — Premi
oration. Hemiancsthésie et hyperesthésie ovarienne gauches (1878). —
Attaques
épileptiformes, puis attaques complètes, suivies
yperesthésie ovarienne gauches (1878). —Attaques épileptiformes, puis
attaques
complètes, suivies de catalepsie. — Régions hysté
re 1878. — Rien du côté du père. — La mère a eu pendant longtemps des
attaques
d'hystérie. — M... a eu sa première attaque à 12
eu pendant longtemps des attaques d'hystérie. — M... a eu sa première
attaque
à 12 ans. Elle offre une anesthésie complète de t
s correspondantes. Une friction même modérée détermine aussitôt une
attaque
. (Fig. 2). 2° Région sous-mammaire. Elle siège
hésie est complète. Une pression d'intensité moyenne fait éclater une
attaque
complète. i° Hyperesthésie ovarienne gauche, av
élancements très pénibles « qui se promènent tout autour du sein. » L'
attaque
, à ce moment, est inévitable et, au bout de quelq
brales correspon- dantes doit être assez vigoureuse pour amener une
attaque
; elle n'est pas, d'ailleurs, immédiate; M... a d
guinale : là, une pression modérée détermine en quelques secondes une
attaque
parfaitement caractérisée. 7 La compression o
parfaitement caractérisée. 7 La compression ovarienne arrête les
attaques
à la condition d'être très énergique et prolongée
aire donne les mêmes résultats. Sommeil. — Avant d'être sujette aux
attaques
d'hystéro-épilepsie, M... était très impressionna
ence (somnambulisme). Elle aurait eu, aussi, à la suite d'une série d'
attaques
, un sommeil cataleptique qui aurait duré deux jou
lée ; — elle est au bal, en partie de plaisir, etc. A la veille des
attaques
, le sommeil est plus agité, compliqué de sursauts
ité, compliqué de sursauts, de rires nerveux sans motifs. — Après les
attaques
, il est plus tranquille et si, comme cela a eu li
chez M... trouve peut-être son explication dans ce fait que, dans les
attaques
, elle a fréquemment des phénomènes cataleptiques,
des phénomènes cataleptiques, ainsi que nous l'avons dit plus haut.
Attaques
. — Les attaques ont subi diverses modifications.
ataleptiques, ainsi que nous l'avons dit plus haut. Attaques. — Les
attaques
ont subi diverses modifications. Pendant les deux
assez abondante et quelquefois sanguinolente. Dans Yintervalle des
attaques
, ainsi que dans la phase de stertor 2, la rigidit
sses soulèvent les membres, principalement ceux du côté gauche. Ces
attaques
— les seules pendant quelque temps — étaient cons
ment multiples, au nombre de 100, 150 en 24 heures; * Dans quelques
attaques
, le bras gauche est seul le siège de ces convulsi
Vers le milieu de février, survient une première modification : Les
attaques
se composent de la période épileptoïde, avec tous
» auxquels succèdent un cri douloureux et des ah! ah! : une nouvelle
attaque
éclate. Enfin une nouvelle modification s'est p
clate. Enfin une nouvelle modification s'est produite et M... a des
attaques
complètes avec les trois périodes : p. épileptoïd
p. épileptoïde, p. clonique et p. de délire. Catalepsie.—Après les
attaques
complètes, M... reste souvent dans un état catale
ouvent dans un état cataleptique ; ainsi, le 19 août 1879, elle a une
attaque
épileptiforme vers 9 heures et demie, et jusqu'à
lus ou moins intense, détermine en un temps plus ou moins long, une
attaque
hystéro-épileptique ; en un mot, que ces régions
(six ans) et suivie de cécité presque absolue.—Idées mélancoliques.—
Attaques
syncopales (treize-quatorze ans). — Début des gra
ques.— Attaques syncopales (treize-quatorze ans). — Début des grandes
attaques
à vingt-trois ans après une contrariété. Etat d
— Hémianesthésie et hyperesthésie ovarienne gauches. — Suspension des
attaques
pendant 5 mois après une inhalation de nitrite d'
gions hystérogènes ; leur rôle dans l'aura. — Sommeil ; influence des
attaques
. — Délire de l'éthcr. Dr... Aug..., était âgée
cœur. » Si on appuyait fortement, la malade croit qu'elle aurait une
attaque
. — Il existe, à cet endroit, une douleur spontané
hialgie. C'est là où la pression détermine surtout et promptement une
attaque
hystéro-épileptique. Il n'y a pas de douleur spon
le, de 1 centimètre de diamètre. Anesthésie. Ni douleur spontanée, ni
attaque
provoquée. (Fig. 2.) 4° Point douloureux au cen
c gauche. La pression donne lieu à une sensation d'étouffement. Pas d'
attaque
(?). 5° Hyperesthésie ovarienne gauche, avec in
gauche, avec insensibilité de la peau. La pression ne détermine pas d'
attaque
. La compression ovarienne réussit très aisément à
Quand je suis prise au cou et entre les épaules, déclare la malade, l'
attaque
n'est pas 5 minutes à venir. » En effet, les trou
, veut crier, n'y parvient pas et se réveille en sursaut. Avant les
attaques
, le sommeil est encore plus agité et c'est après
nsomnies complètes n'ont point dépassé deux nuits ; elle n'a pas eu d'
attaques
de sommeil. Action de Téther. — Lorsqu'elle a f
faite avec cet homme ; cependant il n'était pas mal... Quand j'ai mes
attaques
, je le revois, il me fait peur..., je crois avoir
arrestations par la police des mœurs. — Rapports sexuels. — Début des
attaques
. Etat de la malade en janvier 1879 : hémianesth
ansfert. — Retour et persistance de la sensibilité. Description des
attaques
. — Influence de Ve'ther, du chloroforme, du bromu
Rôle des régions hystérogènes dans Y aura. Du sommeil en dehors des
attaques
, avant et après les attaques : cauchemars, rêves
dans Y aura. Du sommeil en dehors des attaques, avant et après les
attaques
: cauchemars, rêves agréables. P... Adeline éta
ès impressionnable; elle a quelquefois des migraines, n'a jamais eu d'
attaque
de nerfs, elle est médiocrement intelligente et p
etenir, elle se bat avec lui, lui échappe et est prise de sa première
attaque
en descendant l'escalier, (Souvent dans son délir
s'empare d'elle; on la met à Saint-Michel. Un mois après sa première
attaque
, elle en a une nouvelle. Les sœurs la'rendent à s
el d'où elle a été dirigée sur la Salpêtrière parce qu'elle avait des
attaques
tous les jours. Vers 15 ans et demi, elle a eu
tes blanches fréquentes. Aura. — 5 à 10 minutes seulement avant les
attaques
. P... a une douleur au niveau de la région ovarie
ie persiste à gauche. 19 janvier. — Etant à l'église, P... a eu une
attaque
syncopale, suivie d'une amaurose complète 1 .• el
la conduire comme une aveugle. Au bout d'une heure et demie, seconde
attaque
syncopale qui a duré 10 minutes et après laquelle
gue qu'une ombre. 24 janvier. — La malade a été prise d'une série d'
attaques
ce matin à 8 heures et demie. Dans l'intervalle d
rque des secousses qui soulèvent les épaules, les bras, ou la tête.
Attaque
. — a) Phase tonique. — La tête se déplace, la fac
précipite, et la bouche laisse sortir un peu d'écume. A la fin des
attaques
, Adeline voit son ancien amant, l'embrasse, le po
in, 9 heures et demie; alors, elle a été prise d'une nouvelle série d'
attaques
. Une heure après le début : T. V. 37°,7. — Les in
le début : T. V. 37°,7. — Les inhalations de chloroforme arrêtent les
attaques
. Dans la soirée, nouvelle série qui finit à minui
de l'épine de l'omoplate aux fausses côtes en arrière. P... est en
attaques
. Après la huitième, nous lui administrons en inha
. La malade reprend promptement connaissance, mais retombe bientôt en
attaques
. Nouvelle inhalation. — Le bromure d'éthyle, qui
urgatif. 12 fév. — De 9 heures à 10 heures un quart, on a compté 30
attaques
qui, de même que les précédentes, sont absolument
entes, sont absolument limitées à la période épileptoïde de la grande
attaque
hystéro-épileptique : ce sont de véritables attaq
oïde de la grande attaque hystéro-épileptique : ce sont de véritables
attaques
épilepti-formes. —Dans l'intervalle, P... demeure
nale assez abondante. T. V. 37°,7. 13 fév. — De 3 h. 1/2 à 5 h., 40
attaques
. 13 fév. — 25 attaques pendant la nuit et 18 ce
V. 37°,7. 13 fév. — De 3 h. 1/2 à 5 h., 40 attaques. 13 fév. — 25
attaques
pendant la nuit et 18 ce matin. Chloroforme. 19
moniaque : P... revient vite à elle; au bout de quelques minutes, les
attaques
reparaissent : chloroforme. 26 fév. — P... a ét
l, elle a dansé beaucoup hier soir. Ce matin, à 8 heures, série de 33
attaques
en moins de 3 heures. 6 et 7 mars. — Séries d'a
série de 33 attaques en moins de 3 heures. 6 et 7 mars. — Séries d'
attaques
. — 10 mars. — En 3 heures, 38 attaques. Inhalatio
res. 6 et 7 mars. — Séries d'attaques. — 10 mars. — En 3 heures, 38
attaques
. Inhalation de 60 grammes à'éther. Le retour de l
efois, si l'inhalation n'est pas continuée pendant quelque temps, les
attaques
reviennent. P... ne bavarde pas. 22 mars. — De
nt. P... ne bavarde pas. 22 mars. — De 9 heures 1/2 à 11 heures, 35
attaques
: T. Y. 37°,6. Application de 12 éléments de la p
la région ovarienne ne donne pas de résultats aussi avantageux. — Une
attaque
a été arrêtée net par une alternative du courant
uit éléments seulement.—Il n'y a pas d'arrêt définitif. 23 avril. —
Attaques
épileptoïdes dans lesquelles le corps se met en a
niveau des 16e, 17e, 18e vertèbres dorsales, la pression provoque une
attaque
que ne suspend pas une surpression. 11 mai. — H
attaque que ne suspend pas une surpression. 11 mai. — Hier soir, 20
attaques
en une heure. — Réapparition des attaques ce mati
. 11 mai. — Hier soir, 20 attaques en une heure. — Réapparition des
attaques
ce matin. Dans l'intervalle des crises con-vulsiv
roite, — au niveau des 6, 7 et. 8e vertèbres dorsales). détermine des
attaques
. — Chloroforme. 16 mai. — Après la 20e attaque,
les). détermine des attaques. — Chloroforme. 16 mai. — Après la 20e
attaque
, T. V. 37°,4. 20 mai. — De 7 heures et demie à
7 heures et demie à 8 heures, secousses ; de 8 heures à 11 heures, 25
attaques
. Inhalation prolongée à'éther; pas de délire de p
aie en vain de faire causer ou chanter la malade. 22 mai. — Série d'
attaques
. Après la 10e, inhalation de valérate d'amyle. Du
inhalation de valérate d'amyle. Durant l'inhalation, P... a plusieurs
attaques
, il faut une plus grande quantité de ce médicamen
droit : extraction par pulsion sans incision. Presque immédiatement,
attaques
arrêtées par le chloroforme. 7 juin. —Attaques
esque immédiatement, attaques arrêtées par le chloroforme. 7 juin. —
Attaques
: inhalations à'éther, sans délire particulier. P
édicament a été employé deux ou trois fois chez elle ; il met fin aux
attaques
qui ne reparaissent pas dans la journée. % juil
e est envoyée à la Salpêtrière le 21 août. Novembre-décembre. — Les
attaques
ne sont pas modifiées ; Y hémianesthésie est comp
alade éprouve des douleurs lancinantes deux ou trois heures avant les
attaques
, et cela seulement depuis quelques mois car nous
même modérée, sur la région ovarienne gauche, détermine aussitôt une
attaque
et ce n'est que par exception qu'une compression
vertèbres dorsales où une pression même légère suffit à provoquer une
attaque
sur-le-champ. Les compagnes de la malade connaiss
, pour la taquiner, ou par méchanceté, lui ont maintes fois donné des
attaques
en appuyant à l'improviste sur cette région. Dans
ns à ne pas exercer une pression trop forte, nous avons déterminé une
attaque
. La sensibilité est conservée au niveau de la r
le milieu du bord externe du sein. Une pression légère a provoqué une
attaque
que nous avons pu arrêter en pressant énergiqueme
e la zone rachidienne ni de la zone latéro-mammaire ; mais, avant les
attaques
, elle a, dans ces deux régions, des tiraillements
o-mammaire et réciproquement. Aura. — Quatre ou cinq heures avant l'
attaque
, le ventre se ballonne (tympanite) et est le sièg
enfin se produit une sensation de vertige : P... perd connaissance, l'
attaque
éclate. La zone latéro-mammaire droite ne parti
exception aux phénomènes de l'aura. La production artificielle de l'
attaque
est la plus rapide par la pression de la région h
e zone latéro-mammaire gauche. — Depuis quelques mois, P..., dans ses
attaques
, a une contracture de la langue qui devient toute
s : l'une et l'autre disparaissent en provoquant artificiellement une
attaque
(janvier 1880). a Elle a pu assister à ces scèn
se rendort difficilement ; elle n'est pas dormeuse. Elle n'a pas eu d'
attaques
de sommeil; mais elle a eu des insomnies, passant
quefois cinq ou six nuits sans dormir1.- Elle assure que, avant les
attaques
, le sommeil n'est pas modifié ; tandis que, après
nt les attaques, le sommeil n'est pas modifié ; tandis que, après les
attaques
, le sommeil est encore plus long à venir : c'est
réveiller en appuyant sur la région ovarienne gauche, il survient une
attaque
qu'on arrête avec quelques inhalations de chlorof
paraissait avoir aucune notion de ce qu'on avait fait. En 1879, les
attaques
ont eu approximativement la marche suivante : J
.. 44 Décembre......410 Les caractères tout à fait particuliers des
attaques
de P... nous obligent à interrompre la descriptio
, pour signaler au lecteur, comme ils le méritent, les caractères des
attaques
. Nous avons vu qu'elles étaient constituées exclu
ient constituées exclusivement par la période épileptdide des grandes
attaques
hystéro-épileptiques, de telle sorte que, au prem
au service de M. Delasiauve. Toutefois, certains signes tirés de l'
attaque
elle-même montraient que l'épilepsie était hors d
la température centrale se maintenait au-dessous de 38° après 20, 30
attaques
ou davantage; or, si l'on avait eu à faire à une
imait la région ovarienne gauche, on provoquait aussitôt une nouvelle
attaque
, et on sait que, chez les épileptiques, une parei
ontraire (Obs. III), à l'époque où, elle aussi, ne présentait que des
attaques
épileptiformes1 la compression ovarienne arrêtait
vait, se remettait au travail, ne con- 1 Nous avons déjà décrit les
attaques
épileptiformes bien des fois dans les deux premie
s antécédents et surtout de l'état de la malade dans l'intervalle des
attaques
, ne laissait aucun doute sur la réalité de l'hyst
ue nous n'avons jamais vu dans les accès d'épilepsie, et les séries d'
attaques
ayant été suivies d'hallucinations, le diagnostic
ade en 4876 : hémianesthésie droite. —Hyperesthésie ovarienne gauche.
Attaques
complètes, classiques. —A. syncopales. — A. de co
; des membres supérieurs et inférieurs ; des doigts, etc. Arrêt des
attaques
: Compression ovarienne ; — Nitrite d'amyle ; — E
e (côté anesthésié). — Il n'y a pas de douleur spontanée et, dans les
attaques
ordinaires, d'origine ovarienne, cette zone ne pa
tte zone ne participe pas aux phénomènes de l'aura. Provoque-t-on une
attaque
par la pression des apophyses épineuses, aussitôt
elle , » il survient des élancements vers l'ovaire gauche ; mais l'
attaque
n'éclate pas sur-le-champ, à moins qu'on ait appu
est plus vif à gauche. La pression d'une seule zone ne détermine d'
attaque
qu'à la condition d'être très forte. La pression,
forte. La pression, même modérée, des deux zones à la fois amène une
attaque
: un jour, en serrant les cordons de ses jupes, e
rant les cordons de ses jupes, elle s'est donnée involontairement une
attaque
. Cette manœuvre retentit immédiatement, sur l'ova
aque. Cette manœuvre retentit immédiatement, sur l'ovaire gauche et l'
attaque
est pour ainsi dire subite. 3° Hyperesthésie ov
peau a une sensibilité plus délicate, sans être maladive. — Avant les
attaques
, et quelquefois pendant deux jours, B... a la sen
modification. La pression sur la région ovarienne ne provoque pas d'
attaque
. — La compression ovarienne échoue très souvent p
fond du bassin. — Uovaire droit ne semble jamais intervenir dans les
attaques
. Avant les attaques, B... n'a pas d'autres trou
aire droit ne semble jamais intervenir dans les attaques. Avant les
attaques
, B... n'a pas d'autres troubles de la vision que
es troubles de la vision que ceux qui ont été mentionnés. — Après les
attaques
, qui se sont terminées spontanément, elle revoit
e communément, suivant la remarque de notre maître. Chez Ev..., les
attaques
offrent plusieurs variétés; d'ordinaire elles son
nt à son esprit durant son sommeil que dans la période^ de délire des
attaques
. Le sommeil est interrompu : « C'est rare que j
s nuits et surviennent de préférence dans les nuits qui précèdent les
attaques
. — Elle n'aurait jamais eu d'attaques de sommeil.
ans les nuits qui précèdent les attaques. — Elle n'aurait jamais eu d'
attaques
de sommeil. Quelque temps avant son entrée à la
ême : tandis que la pression sur la région rachidienne n'est suivie d'
attaques
qu'après un malaise qui se prolonge une trentaine
vre sur les régions hystérogènes des flancs produit immédiatement une
attaque
. État de la sensibilité cutanée au niveau des r
ent empêcher la pression sur les régions hystêrogènes de produire une
attaque
et c'est à l'aide de cet artifice que des malades
t coïncide avec une diminution spontanée des attaques3. Lorsque les
attaques
se suspendent spontanément, on voit les symptômes
des périodes de 2, 3, 4 mois durant lesquelles il ne se produit pas d'
attaques
. OBSERVATION VII Sommaire. — Père sujet à des
Convulsions jusqu'à cinq ans. — Emotions vives à onze ans : première
attaque
(1870). Etat de la malade (1876) : hémiaiicsthési
malade (1876) : hémiaiicsthésie et hyperesthésie ovarienne gauches. —
Attaques
classiques, mais légères : arrêt par la compressi
5° Hyperesthésie ovarienne gauche. Une forte pression n'amène pas d'
attaques
; il n'y a pas de douleurs spontanées, au niveau
nsibilité est à peu près tout à fait normale ; la malade n'a pas eu d'
attaques
hystériques depuis plusieurs mois i. Geneviève
ous fournit un exemple analogue. Depuis quelque temps, elle n'a pas d'
attaques
, la sensi- 1 Cette jeune fille offre un trouble
n est de nul effet. — Chez cette même malade, alors qu'elle avait des
attaques
très répétées, nous avons vu1 la rachialgie et l'
d'une émotion morale vive'2. Rôle des régions hystérogènes dans les
attaques
. — L'existence des régions hystérogènes chez les
pileptiques et chez les hystériques permet de provoquer à volonté les
attaques
. Il va de soi que l'on doit être très réservé dan
i que l'on doit être très réservé dans la production artificielle des
attaques
, une fois que l'on a constaté le siège et l'inten
voir recourir à l'une de leurs compagnes afin de se faire donner une
attaque
. D'autres fois, les hystéro-épileptiques sorten
e attaque. D'autres fois, les hystéro-épileptiques sortent de leurs
attaques
avec une contracture des mâchoires, de la langue,
e fait connu que ces symptômes disparaissent fréquemment à la suite d'
attaques
, le médecin, ayant à traiter de tels accidents, e
tive, joue un rôle dans Yaura. Tant qu'elle est restée silencieuse, l'
attaque
est en suspens ; il est même possible qu'elle avo
l'aura, plus ou moins lents jusqu'alors, précipitent leur marche et l'
attaque
est fatale. La région ovarienne, la plus commun
à l'aide d'une pression modérée, il est possible de faire éclater une
attaque
, que l'on peut arrêter par une compression plus o
é que très fréquemment, sinon toujours, il était facile d'arrêter les
attaques
en cours, en exerçant une forte pression sur la p
e la zone hystérogène la plus active ne parvient plus à provoquer une
attaque
. Disons enfin que les attaques déterminées par l'
active ne parvient plus à provoquer une attaque. Disons enfin que les
attaques
déterminées par l'excitation des régions hystérog
am.., que nous observons dans notre service à Bicêtre, on produit les
attaques
hystéro-épileptiques classiques, en rebroussant l
ebroussant légèrement les cheveux au niveau de son clou hystérique. L'
attaque
en cours est facilement arrêtée par une pression
alades durant leur enfance ou leur jeunesse et avant l'apparition des
attaques
, ils vous racontent souvent que le sommeil était
dans le premier sommeil. Les nuits qui précèdent immédiatement les
attaques
sont, en général, les plus mauvaises ; c'est surt
s nerveux, des cauchemars plus répétés, des secousses, etc. Après les
attaques
, le sommeil est relativement meilleur. 4 De nos
compare les rêves des hystériques au délire qu'elles ont après leurs
attaques
, on constate de suite une grande analogie : les r
— Retour à l'abus. — Marche des règles. — Relation entre elles et les
attaques
. — Mort subite. — Résultats négatifs de l'autopsi
ite. — Résultats négatifs de l'autopsie. 1879. 8 janvier. — Série d'
attaques
pendant deux heures.— 15 janvier. La sensibilité
ées par Yéther.—Pas de règles pendant les trois premiers mois. — Onze
attaques
en janvier, dix en février et en mars. Avril. —
ier, dix en février et en mars. Avril. — Règles le 8 et le 9 ; cinq
attaques
le 25, quatre le 29. Mai. — Ni règles, ni attaq
8 et le 9 ; cinq attaques le 25, quatre le 29. Mai. — Ni règles, ni
attaques
. M... a fréquemment des spasmes, des contractures
oforme. Malheureusement, on cède trop souvent. Juin. — Ni règles ni
attaques
. Juillet. — Pas de règles ; treize attaques.
Juin. — Ni règles ni attaques. Juillet. — Pas de règles ; treize
attaques
. 27 août. — Ni règles ni attaques. Depuis le mo
Juillet. — Pas de règles ; treize attaques. 27 août. — Ni règles ni
attaques
. Depuis le mois d'avril, elle a eu quotidiennemen
devons dire que chaque fois que M... a eu des maladies autres que ses
attaques
, telle qu'une bronchite, l'hémianesthésie qui exi
est assez fort ce matin. T. R. 37°. 20 octobre. — M... a eu quatre
attaques
d'hystérie le 17 septembre. Sa situation est allé
tembre et ont fini cette nuit. 23-26 octobre. — Règles. Le 26, neuf
attaques
. La malade a réclamé de nouveau ses injections ;
n peu plus de modération. 6-10 novembre. — Règles. M... a eu treize
attaques
le 5 ; trois le 11, quatre le 13 et le 18, trois
sommeil relevant des agents pharmaceutiques employés pour arrêter les
attaques
. Après le nitrite d'amyle, le sommeil est agité
upart d'entre eux avaient un sommeil naturel. DEUXIÈME PARTIE DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL CHEZ LES HYSTÉRIQUES DES ATTAQUES DE
DEUXIÈME PARTIE DES ATTAQUES DE SOMMEIL CHEZ LES HYSTÉRIQUES DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL Les attaques de sommeil se présenten
AQUES DE SOMMEIL CHEZ LES HYSTÉRIQUES DES ATTAQUES DE SOMMEIL Les
attaques
de sommeil se présentent tantôt comme une complic
ontrent à l'état d'isolement, remplaçant en quelque sorte les grandes
attaques
. M. Briquet leur a consacré un article intéressan
un article intéressant de son Traité de l'hystérie. Il distingue les
attaques
de sommeil, de coma et de léthargie et rapporte,
s qu'il a recueillis. Nous n'avons observé à la Salpêtrière que des
attaques
de sommeil. Plusieurs des malades dont nous avons
s, l'histoire des malades dont nous avons observé personnellement les
attaques
de sommeil. OBSERVATION IX Sommaire. — Zones
ire. — Zones hystérogènes. — Caractères du sommeil. — Description des
attaques
de sommeil. — Idées de possession diabolique. V
ne est alors douloureux. Cette douleur se manifeste surtout avant les
attaques
. 2° Hyperesthésie des flancs. — La pression sim
stre , amène de ia dyspnée. Si la pression est forte, il survient une
attaque
. Le frôlement est perçu « comme un léger picottem
contact. — Pendant, que V... était à la Riboisière, on a produit des
attaques
en pressant involontairement sur cette zone. (On
symptômes de ce côté ont notablement diminué (la malade n'a pas eu d'
attaques
depuis le mois de novembre 1878). Parfois, douleu
ours de mauvaises aventures », dit-elle. Gomme elle n'a pas éprouvé d'
attaques
depuis plus de six mois, les rêves ont un peu dim
sière et durant son séjour dans cet hôpital, V... assure avoir eu des
attaques
de sommeil. La première serait survenue alors qu'
l'aurait fait boire à la sonde sans qu'elle en eût conscience. Les
attaques
de sommeil succédaient d'ordinaire à des crises c
t courbaturée. A la Riboisière, l'aumônier venait la voir après ses
attaques
; il lui disait que c'était le diable qui la renda
es signes sur elle. Parfois, V... voyait le diable en dehors de ses
attaques
. Si elle était couchée, elle cachait sa tète sous
quand même. Plus on lui parlait du diable, plus elle le voyait et ses
attaques
devenaient plus violentes et répétées. Dans les
diable ». Outre que cette observation nous donne déjà une idée des
attaques
de sommeil et qu'elle confirme ce que nous avons
ur ce cas imparfait, en ce sens que nous n'avons pas vu nous-même les
attaques
, et nous passons de suite à l'histoire de l'une d
de caractère. — Troubles digestifs. — Sommeil à l'état ordinaire. —
Attaques
de sommeil. — Amaurose hystérique. — Zones hystér
s hystérogènes. — Effets de la pression. — Prodromes et symptômes des
attaques
de sommeil : pouls, température, etc. — Attaque
s et symptômes des attaques de sommeil : pouls, température, etc. —
Attaques
hystériques. — Troubles vaso-moteurs. — Délire. —
était tout étonnée de se voir sur son lit. Le 10 mai, elle a eu une
attaque
de sommeil qui a duré 22 heures. On l'a trouvée,
aignait de souffrir du ventre. 22 juin. — D... s'est endormie, sans
attaques
, le 20, à 10 heures du soir. Elle dort encore ce
du sein gauche (zone hystérogène), M. Charcot provoque quatre petites
attaques
; après la dernière, D... est réveillée. 8 juill
e, D... est réveillée. 8 juillet. — Sommeil pendant 12 heures, sans
attaques
au début ni à la fin : le réveil s'est opéré sans
gère raideur des membres, pas de catalepsie. Elle est réveillée, sans
attaques
, par la pression de la région sous-mammaire; elle
u'elle n'eût pas de contracture. Une de ses compagnes a provoqué deux
attaques
par la pression de la zone hystérogène : la parol
a malade se lève, va uriner aux cabinets et, en revenant, est prise d'
attaques
. Elle en a quatre successivement. A midi et à G
é. Elle se lève et va uriner aux cabinets. En revenant, elle tombe en
attaques
. Comprimée_de suite par une de ses compagnes, D..
ion ovarienne droite, elle refuse de divulguer ce qu'elle voit. — Une
attaque
est provoquée par la pression sur la partie àw. s
plupart des hystériques, quand elles se sentent sous le coup de leurs
attaques
, cousent leur chemise. 4 sept. — Les lettres so
mmaire droite. La pression sur ces différents points donne lieu à des
attaques
incomplètes. Puis, D... se rendort. Réveillée par
ienne. 16 octobre. — D... se couche à 7 heures du soir; elle a deux
attaques
, s'endort et ne se réveille que le 17 à 6 heures
du soir. 20 oct, — Apparition des règles qui finissent le 23 ; deux
attaques
convulsives le 22, une le 24. 25 oct. — 25 atta
nt le 23 ; deux attaques convulsives le 22, une le 24. 25 oct. — 25
attaques
et tortillements de 9 à 11 heures du matin. 28
. a eu, pendant la nuit des vomissements, bien qu'elle n'ait pas eu d'
attaques
ni pris de médicaments. Elle est sujette à ces ac
cidents. — Règles du 17 au 22 nov. 17-22 décembre. — Règles ; pas d'
attaques
durant le mois. * Le lecteur a certainement rem
les. 14-16 février. —Règles. 14-16 mars. —Règles. D... n'a pas eu d'
attaques
de sommeil depuisle mois de novembre. Parfois, tr
blanc. — Elle n'a pas uriné sous elle depuis le commencement de cette
attaque
de sommeil ; les membres sont souples ; la peau,
atin à 9 heures et demie. Juin-août. — D... n'a pas eu de nouvelles
attaques
de sommeil ni de crises convulsives. De temps en
elle a eu, après une exacer-bation de la névralgie intercostale, une
attaque
syncopale qui a duré environ 15 minutes : elle ét
ctuellement, si on l'en croit, aussi souvent que quand elle avait des
attaques
convulsives. Elle n'aurait pas de cauchemars, mai
heures sans être précédés ni suivis de convulsions. Enfin, elle a une
attaque
de sommeil qui persiste pendant vingt-deux heures
, hyperesthésie ovarienne du côté gauche, zones hystérogènes, grandes
attaques
. Chez elle, de même que chez la malade de I'Obs
es. Chez elle, de même que chez la malade de I'Obser-vation XI, les
attaques
de sommeil offrent souvent des prodromes : triste
laquelle les malades essaient de résister. — Parfois, D... avait des
attaques
convulsives avantl1 attaque de sommeil, qui n'éta
t de résister. — Parfois, D... avait des attaques convulsives avantl1
attaque
de sommeil, qui n'était alors qu'une sorte de ter
Nous devrions maintenant résumer les symptômes qui caractérisent les
attaques
de sommeil, indiquer leur durée, leur marche, etc
ERVATION XI Sommaire, — Antécédents : mère épileptique. — Début des
attaques
à dix-hnit ans, — Gastralgie.*—Grossesse.-j Perte
ertes utérines.— Influence des rapports sexuels et des règles sur les
attaques
. — Paralysie consécutive .aux attaques. — Lactori
sexuels et des règles sur les attaques. — Paralysie consécutive .aux
attaques
. — Lactorihée. Etat de la malade en 1866 : Doul
Déformation des pieds. — Secousses, -r— Ançsdiésie. — Caractères des
attaques
. — Hallucinations, extases. — Effets de la compre
Atrophie relative des membres du côté gauche. Sommeil ordinaire. —
Attaques
de sommeil : Prodromes. — Symptômes. — Pouls, res
mènes cataleptiques. — Contracture. — Signes qui annoncent la fin des
attaques
de sommeil : mouvements cloniques, délire. Desc
ique de sommeil de 1876 : abaissement de la température centrale. —
Attaques
hystériques ébauchées. État de la malade en 187
art des renseignements, est nerveuse, impressionnable, mais n'a pas d'
attaques
. Pas de consanguinité. H... ne sait rien de s
ont été régulières dès l'origine, sauf parfois un léger retard. Les
attaques
auraient débuté à 18 ans, nous ne savons dans que
sionné de fréquents vomissements ; mais elle n'aurait pas modifié les
attaques
. En ce qui concerne l'influence des rapports sexu
urait dit qu'elles devenaient plus fortes. A la suite d'une série d'
attaques
, survenues à vingt-deux ans, s'est montrée une pa
ventre et la région lombaire, principalement à gauche, et rendent les
attaques
plus violentes. Les mouvements des bras sont li
out le corps et aussi bien pour les muqueuses que pour la peau. Les
attaques
commencent ordinairement le matin à 7 heures, et
mouvements cloniques très violents ; la respiration est saccadée. Les
attaques
se terminent par des hallucinations et de Y extas
8 mai. — La compression épigastrique calme presque instantanément les
attaques
et les suspend pendant quelque temps. — Les attaq
stantanément les attaques et les suspend pendant quelque temps. — Les
attaques
se montrent le matin à 7 heures et de nouveau ver
assez commun aussi d'observer des vomissements à la fin des séries d'
attaques
. 1875. — 6 avril. —H... a engraissé considérabl
ntes. (Elles étaient venues le 21 mai.) 1876. 23 mars. — Depuis son
attaque
de sommeil, H... prétend qu'elle a mal dormi, qu'
0 minutes. Sa situation générale est la même que dans la précédente
attaque
. La face est rouge, un peu chaude; les paupières
i durent quelquefois 10 minutes. Planche XII. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE
ATTAQUE
DE SO M M E IL 5 avril. — La respiration semble
t ballonné. Les accès de rire ont cessé ; en revanche, on observe des
attaques
hystériques ébauchées : soulèvement léger de la t
abitude, nous assure la sous-surveillante, la malade n'a ces sortes d'
attaques
que quand elle est pour reprendre connaissance.
mots. Elle a chanté jusqu'à 2 heures du matin, moment où a commencé Y
attaque
de sommeil. 17 3-6 mars. — L'attaque offre le
atin, moment où a commencé Y attaque de sommeil. 17 3-6 mars. — L'
attaque
offre les caractères habituels. Les battements de
moque de ses idées, elle rit bruyamment. T. R. 37°. 12-16 avril. —
Attaque
de sommeil incomplète. 25 mai. — Un nouvel exam
1878. 15 avril. — Depuis le mois de juillet 1877, H... n'a pas eu d'
attaque
de sommeil. Sa situation ne s'est pas modifiée. E
boule qui remonte ; parfois elle s'exagère et la malade croit qu'une
attaque
va éclater. Les membres supérieurs offrent les
in de fer l'injurie, l'appelle « saloperie », qu'elle va être prise d'
attaques
, qu'une chienne est couchée auprès d'elle. Pas d'
ant cette longue période, Vintelligence n'a pas changé; en dehors des
attaques
de sommeil, des crises de rire nerveux, du délire
grave respecte d'ordinaire les facultés intellectuelles et, quand les
attaques
disparaissent, les hystéro-épileptiques peuvent r
s en passant : les hallucinations de la vue, les extases, l'arrêt des
attaques
par la compression épigastrique, etc. Les attaq
ses, l'arrêt des attaques par la compression épigastrique, etc. Les
attaques
de sommeil sont peu communes. Sur le nombre, déjà
es que nous avons observés, trois seulement ont présenté ces sortes d'
attaques
. Sur 430 malades, M. Briquet a relevé « trois cas
Sur 430 malades, M. Briquet a relevé « trois cas d'hystérie avec des
attaques
consistant en un véritable sommeil » ; cinq cas a
rie avec des attaques consistant en un véritable sommeil » ; cinq cas
attaques
comateuses et huit de véritable léthargie1. 1 L
uit de véritable léthargie1. 1 Les hommes seraient aussi sujets aux
attaques
de sommeil. Il paraîtrait que Derk Klaasz, paysan
n., grossière, avec dix couplets en deux colonnes. Quelquefois, les
attaques
viennent sans prodromes ; le plus souvent, on not
fois à 38",2 chez H... (Obs. XI), dont la température, en dehors des
attaques
, oscillait entre 36°,9 et 37°,4. A des interval
ntent qu'elles ont des rêves agréables et des cauchemars. Tantôt, l'
attaque
de sommeil se termine par une attaque convulsive,
et des cauchemars. Tantôt, l'attaque de sommeil se termine par une
attaque
convulsive, ou bien par des rires, des pleurs,
nguibles, de plus en plus rapprochés, annoncent chez H... la fin de l'
attaque
de sommeil. Dans ce cas aussi, il se produit un v
s aussi, il se produit un véritable délire de parole^. La durée des
attaques
de sommeil est très diverse : 12, 24,36 heures, p
ion XI. Différents moyens peuvent être employés pour mettre fin aux
attaques
de sommeil. Telles sont la pression sur une régio
ression sur une région hystérogène (alors le sommeil survient ou sans
attaques
, ou après attaques), la compression ovarienne, l'
ion hystérogène (alors le sommeil survient ou sans attaques, ou après
attaques
), la compression ovarienne, l'électrisation. Le
nostic ne jious paraît pas offrir de difficultés sérieuses. Entre les
attaques
de sommeil proprement dites et les attaques de co
ltés sérieuses. Entre les attaques de sommeil proprement dites et les
attaques
de coma, il n'y a que des différences bien légère
s premières, la respiration serait stertoreuse dans les secondes. Les
attaques
de léthargie s'accompagnent d'un phénomène très f
résolution dans l'état d'immobilité. Quelle qu'ait été la durée de l'
attaque
, il n'y avait eu ni sueurs appréciables, ni sécré
oit de la pesanteur de tête. Une de ces malades, celle qui avait eu l'
attaque
la plus forte, a déclaré que, pendant son sommeil
ésumé suffira à nos lecteurs pour compléter ce que nous avons dit des
attaques
de sommeil. Le pronostic ne nous semble pas grave
our éviter toute erreur. Dans les trois cas que nous avons cités, les
attaques
de sommeil ont disparu depuis un temps plus ou mo
aient rapidement suivies d'hallucinations, d'apparitions et même de l'
attaque
d'extase telle qu'elle est décrite à la fois en t
té musculaire. — Catalepsie; suggestion; hallucinations provoquées. —
Attaque
artificielle de sommeil : ses caractères. — Aphas
trouve durant une partie de la phase gaie de la période de délire des
attaques
. Effets consécutifs aux inhalations denitrite d
ôté droit : par la pression simultanée, on détermine sur-le-champ une
attaque
; — 4° clou hystérique, siégeant sur la ligne médi
début de cette seconde phase, si la malade peut « avaler sa boule » l'
attaque
est retardée. — Enfin, arrivent les troubles céph
Planche XIII. LÉTHARGIE contracture artificielle Manifeste, l'
attaque
est fatale, la malade ne sait plus ce qui se pass
ait pas de gravité. La compression des zones hystérogènes amena des
attaques
à la suite desquelles X... reprit connaissance :
elle dût garder le lit. Nous avons eu, de la sorte et par hasard, une
attaque
de sommeil artificiell. 9 avril. — On endort X.
mmeil. » (On sait que durant l'aura, les malades déclarent retarder l'
attaque
si elles avalent la boule : il y a, dans l'expéri
e, etc. —Le 29 décembre, X..., chez laquelle on pouvait provoquer des
attaques
, depuis quelque temps, a deux grandes attaques et
pouvait provoquer des attaques, depuis quelque temps, a deux grandes
attaques
et trois attaques épileptiformes. 1880. 6 avril
des attaques, depuis quelque temps, a deux grandes attaques et trois
attaques
épileptiformes. 1880. 6 avril.—X... est retombé
elle estreplacée dansle service, comme malade. On emploie contre les
attaques
le compresseur, l'élher, le chloroforme On note,
cot essaie vainement d'endormir X... 11 juillet. —X... n'a pas eu d'
attaques
depuis le mois de mai. Elle profite d'un concert
au se fracture la rotule et ne peut plus marcher. lb juillet, —Deux
attaques
syncopales. Hier, période d'agitation. 23 juill
attaques syncopales. Hier, période d'agitation. 23 juillet. — Deux
attaques
épileptij"ormes. 25 juillet. — Agitation. Elle
et. — Agitation. Elle se foule le pouce gauche. 26 et 27 juillet. —
Attaques
syncopales. Elle n'a pas dormi la nuit dernière.
Salpêtrière., déguisée en homme1. Relation entre les règles et les
attaques
.— Règles le 12 janvier ; pas d'attaques; — le 21
ation entre les règles et les attaques.— Règles le 12 janvier ; pas d'
attaques
; — le 21 mars; pas d'attaques; — du 12 au 13 avri
attaques.— Règles le 12 janvier ; pas d'attaques; — le 21 mars; pas d'
attaques
; — du 12 au 13 avril; attaques le 14; — du2 au 4
; pas d'attaques; — le 21 mars; pas d'attaques; — du 12 au 13 avril;
attaques
le 14; — du2 au 4 mai; elle n'a d'attaques que le
ques; — du 12 au 13 avril; attaques le 14; — du2 au 4 mai; elle n'a d'
attaques
que le 7; — du 31 mai au 4 juin ; pas d'attaques
au 4 mai; elle n'a d'attaques que le 7; — du 31 mai au 4 juin ; pas d'
attaques
; — du 24 au 26 juin ; — du 20 au 22 juillet; deu
n ; pas d'attaques ; — du 24 au 26 juin ; — du 20 au 22 juillet; deux
attaques
le 23 ;— du 10 au 12 1 Nous avons appris que de
ue nous avons donnés qu'il n'y a pas de relation bien nette entre les
attaques
et les règles. Celles-ci durent un ou deux jours
s règles. Celles-ci durent un ou deux jours et sont peu abondantes.
Attaques
. — X... n'a pas eu d'attaques en 1879, ni dans le
ou deux jours et sont peu abondantes. Attaques. — X... n'a pas eu d'
attaques
en 1879, ni dans le premier trimestre de 1880. El
dans le premier trimestre de 1880. Elle en a eu deux grandes et cinq
attaques
épileptiformes en avril ; douze grandes et deux a
ndes et cinq attaques épileptiformes en avril ; douze grandes et deux
attaques
épileptiformes en mai; rien en juin; quelques att
randes et deux attaques épileptiformes en mai; rien en juin; quelques
attaques
syncopales et épileptiformes en juillet ; rien en
B... déchire sa camisole. 3 mars. — Hier, à 5 heures, B... a eu une
attaque
dans la cour; à partir de ce moment, jusqu'à une
té, à plusieurs reprises, des péroides d'agitation, souvent suivies d'
attaques
. 4 septembre. — Phénomènes vaso-moteurs.—iVctue
violente colère et a brisé divers objets. Ensuite, elle a été prise d'
attaques
, suivies d'agitation jusqu'à onze heures du soir.
esthésie cutanée complète; la pression de l'ovaire ne détermine pas d'
attaques
. — 2° Zones la-téro-mammaires droite et gauche ,
centimètre et demi; la pression simultanée des deux zones produit une
attaque
. — 3° Clou hystérique] la peau correspondante est
ique] la peau correspondante est sensible; la pression ne donne pas d'
attaques
, mais occasionne un malaise général. —^Rachialgie
plus active ; une pression, même modérée, détermine immédiatement une
attaque
qu'il est possible d'arrêter par une surpression.
n'aurait pas d'hallucinations (?) Traitement. — Pour combattre les
attaques
, on a eu recours au chloroforme, à Véther, au com
rement rétablie. 3 avril. — Biier, dans l'après-midi, B... a eu une
attaque
sgncopale. 4 avril — B... est endormie par le r
e jeune fille. Depuis trois moisB... est plus calme et n'a pas eu d'
attaques
. Elle réclame instamment sa sortie. Mai. — Trai
nquent souvent ; aussi n'y a-t-il pas de relation entres elles et les
attaques
. La sensibilité a reparu par tout le corps (pea
lle s'emporte toujours très vite: « Je suis répondeuse », dit-elle.
Attaques
. — B... a eu deux cent soixante-trois grandes att
», dit-elle. Attaques. — B... a eu deux cent soixante-trois grandes
attaques
et cent quatre-vingt-trois attaques épileptiforme
deux cent soixante-trois grandes attaques et cent quatre-vingt-trois
attaques
épileptiformes en 1879. En 1880, on a noté sept g
rois attaques épileptiformes en 1879. En 1880, on a noté sept grandes
attaques
en avril, treize attaques épileptiformes et synco
es en 1879. En 1880, on a noté sept grandes attaques en avril, treize
attaques
épileptiformes et syncopales. A partir du mois de
ncopales. A partir du mois de mai jusqu'au 15 juin, B... n'a pas eu d'
attaques
. B.., estsortie de la Salpètrière le 15 juin.—N
ue le 2 septembre. Elle nous a assuré qu'elle n'avait eu qu'une seule
attaque
(?), depuis sa sortie. Nous avons constaté le reto
ERVATION XIV Sommaire. — Antécédents. — Métrorrhagie, hématemese. —
Attaques
syncopales. — Délire de paroles. — Caractère, hab
ie gauche. — Sommeil. — Zones hystérogènes. — Aura. — Description des
attaques
. — Modes d'arrêt : compression, éther, chloroform
e. Tentative d'empoisonnement. — Périodes d'excitation. — Règles et
attaques
. — Fuite de la Salpètrière. Ma..., diteN..., Su
des excès de boisson dans sa jeunesse. — Mère, morte à 75 ans, d'une
attaque
d'apoplexie ; auparavant 1 Cette sorte de tremb
loyée aux magasins de la Ville de Saint-Denis, elle a eu sa. première
attaque
. Sa mère en ignore la cause; elle ne croit pas qu
t restée jusqu'au 18 février dernier. Pendant ce temps, S... a eu des
attaques
à peu près tous les 15 jours. On aurait noté une
son arrivée à la Salpètrière (24 mars), S... a eu quotidiennement des
attaques
à deux ou trois reprises et constamment durant le
t le jour. Un quart d'heure, une demi-heure et même davantage avant l'
attaque
, elle est immobile, se plaint d'une sensation de
emeure immobile et le corps se raidit progressivement. Elle crie et l'
attaque
est complète. Elle se débat beaucoup; « elle fait
es souris, des rats, des hannetons. Au dire de la mère de S..., les
attaques
présenteraient chaque fois « quelque chose de nou
fréquents éclats de rires. — Le délire de parole persistait après les
attaques
pendant 2 ou 3 heures. A la campagne, S... avai
A la campagne, S... avait un danseur préféré; jamais elle n'avait d'
attaques
quand elle devait aller à une fête et danser1.
gisme, des troubles cépbaliques, et, en quelques secondes, elle a une
attaque
: « Il n'y a pas moyen, dit-elle, d'avaler la, bo
sensibilité dans la moitié droite du corps, ce qui arrive lorsque les
attaques
s'éloignent, la sensibilité cutanée au niveau de
sensible. — Pas de douleur spontanée , en dehors ni à l'approche des
attaques
qui n'ont d'autre effet que de rendre plus vifs l
es effets de la pression. Si celle-ci est énergique, elle produit une
attaque
, mais moins promptement que la pression exercée s
ognée au niveau de la zone intercostale gauche, et elle est tombée en
attaques
. d) Hyperesthésie de la région ovarienne gauche
tomber. C'est à cet instant qu'arrive la perte de la connaissance.
Attaques
(31 mars 1879).—Pendant l'examen, S...estprise d'
et de secousses. Tout d'un coup , sans pousser de cri, elle tombe en
attaques
. 1° Période tonique. — Tout le corps est rigide
s les autres... Non, je ne veux pas qu'il me touche... » Arrêt de l'
attaque
. — Nous comprimons la région ovarienne gauche, et
couvre la connaissance. Dix minutes plus tard, S... est reprise d'une
attaque
: Jo Période épileptoïde. — Elle est plus complèt
ras, la tête, aussi parle-t-elle d'une façon entrecoupée. Après les
attaques
, S... se plaint de fatigue, de douleurs-dans la t
as paru exagérée (l'hymen est absent) ; T. V. 37°, 6, prise pendant l'
attaque
. En avril, S... a eu 309 grandes attaques et 80
V. 37°, 6, prise pendant l'attaque. En avril, S... a eu 309 grandes
attaques
et 80 attaques épi-leptiformes; — en mai, 133 et
e pendant l'attaque. En avril, S... a eu 309 grandes attaques et 80
attaques
épi-leptiformes; — en mai, 133 et 83 ; — en juin,
t 83 ; — en juin, 53 et 83 ; — en juillet, 109 et 42. Août. — Trois
attaques
syncopales. 30 août. — On écrit le nom de la ma
ion ovarienne. 9 septembre. — Nous assistons à une nouvelle série d'
attaques
dans lesquelles les trois périodes se succèdent r
aractère orgueilleux et la haute opinion qu'elle a d'elle-même. Les
attaques
continuant, nous lui administrons du nitrite d'am
z vite ; mais, au bout de cinq ou six minutes, elle est reprise d'une
attaque
dans laquelle elle se mord l'avant-bras droit. No
elle se mord l'avant-bras droit. Nouvelle inhalation ; cessation des
attaques
. Revenue à elle, S... a raconté qu'elle s'imagi
on lui en donne chaque fois qu'elle est malade. 10 septembre. — Les
attaques
ne se sont pas reproduites. La série a été jugulé
es à partir du 20 août jusqu'au milieu d'octobre. En août, 33 grandes
attaques
et 27 attaques épileptiformes ; — en septembre ,
20 août jusqu'au milieu d'octobre. En août, 33 grandes attaques et 27
attaques
épileptiformes ; — en septembre , 53 et'61 ; — en
arqués à gauche, ou existent à peu près exclusivement à gauche. Les
attaques
se présentent par séries, durant 2, 3, 4 heures e
ies, durant 2, 3, 4 heures et même davantage, se composant de grandes
attaques
et d'attaques épileptiformes en nombre variable (
3, 4 heures et même davantage, se composant de grandes attaques et d'
attaques
épileptiformes en nombre variable (26 grandes att
attaques et d'attaques épileptiformes en nombre variable (26 grandes
attaques
et 3 attaques épileptoïdes, le 29 septembre, 17 e
'attaques épileptiformes en nombre variable (26 grandes attaques et 3
attaques
épileptoïdes, le 29 septembre, 17 et 21 le 26 oct
tation, colère violente. S... mord une de ses camarades. 27 mars. —
Attaques
épileptiformes suivies d'agitation, calmée par de
epsie. 18 avril. — S... N... a eu, en trois heures, une série de 22
attaques
épileptiformes : elles se sont présentées sous la
tat de mal hystéro-épileptique. 12 juin. — Agitation non précédée d'
attaques
. S... excite les autres malades, imagine sans ces
bâtiment que l'on est en train de construire pour la consultation2.
Attaques
et règles. — En 1879 , du mois de mars à la fin d
1879 , du mois de mars à la fin de décembre, on a compté 907 grandes
attaques
et 479 attaques épileptoïdes. En 1880, S... n'aur
de mars à la fin de décembre, on a compté 907 grandes attaques et 479
attaques
épileptoïdes. En 1880, S... n'aurait eu que 6 gra
et 479 attaques épileptoïdes. En 1880, S... n'aurait eu que 6 grandes
attaques
et 33 attaques épileptoïdes. A partir du mois de
épileptoïdes. En 1880, S... n'aurait eu que 6 grandes attaques et 33
attaques
épileptoïdes. A partir du mois de mai, jusqu'au j
'hystérique. Ici, comme chez beaucoup d'autres malades, les grandes
attaques
ont été précédées par des manifestations plus lég
s manifestations plus légères de l'hystérie, et, entre autres par des
attaques
syncopales. Sur l'origine des accidents convul- ,
ène, arc de cercle, etc.) et la longueur de la période de délire. Les
attaques
se montraient en général par séries durant souven
ogènes, de leur rôle dans la succession des signes avant-coureurs des
attaques
. Elles confirment également le tableau que nous a
omparable, dans une certaine mesure, aux phénomènes qui succèdent aux
attaques
convulsives ou aux inhalations d'éther \ On sait,
la plupart en réclamaient souvent quand elles se sentaient menacées d'
attaque
. C'est évidemment des effets analogues qui condui
de belladone. Et, de même que nos hystériques dans le délire de leurs
attaques
ou le délire occasionné par l'éther, revoient les
n VII.................... 84 Rôle des régions hystérogènes dans les
attaques
. ... 85 Du sommeil chez les hystériques........
Sommeil des épileptiques............... 99 DEUXIÈME PARTIE Des
attaques
de sommeil. ................ 4 01 Variétés.....
.......... 408 Observation XI..................... 418 Rareté des
attaques
de sommeil............ 4 36 Prodromes, symptôme
ercle, 30, 31, 32, 53, 68, 73, 77, 210. Arthralgie hystérique, 136.
Attaques
(description des), 8, 10, 16, 44, 64, 67, 75, 210
u hystérique, 40, 54, 87, 96, 203, 212. Coït (influence du) sur les
attaques
, 6,11 9. Compresseur, 34, passim. Compression
0, 50, 56, 72, 81, 88, 93, 103, 105,4 09, 416, 122, 433, 206, 214 ; —
attaques
de—, 4, 4 03, 4 06, 109, 4 24; — chez l'homme, 13
444. Suggestion, 27, 44, 74, 4 94, 205. T Température dans les
attaques
, 44, 49, 53, 65, 67, 68, 69, 76, 4 4 0, 4 24, 1
4 0, 4 24, 125, 130, 4 38, 247. Traumatisme (influence du) sur les
attaques
, 69. Trépidation spontanée, 431, 4 32. Tympanite,
toire tout entière. Quoi qu'il en soit, dans vos études relatives à l'
attaque
hystérique, il vous a été permis de montrer que l
sous sa direction, M. Charcot arrivait à cette conception delà grande
attaque
hys-térique divisée en quatre périodes, conceptio
tenté de mettre en œuvre dans ces Etudes sur Vhystéro-épilepsie ou
attaque
hystérique et de ses principales variétés, 1879)
La première partie est uniquement consacrée à l'étude de la grande
attaque
hystérique ou attaque hystéro-épileptique, dans s
est uniquement consacrée à l'étude de la grande attaque hystérique ou
attaque
hystéro-épileptique, dans son état d'entière régu
re régularité et de complet développement. Les diverses périodes de l'
attaque
y sont décrites, en autant de cha-pitres, suivant
ce qu'à l'étranger. Un parallèle entre notre description de la grande
attaque
hystérique et la description que donnent les aute
nde attaque hystérique et la description que donnent les auteurs de l'
attaque
d'hystérie vulgaire termine cette première partie
ie. La deuxième partie traite des principales variétés de la grande
attaque
hystérique, dérivant toutes du type décrit : a.)
nt de modifications survenues dans les symptômes déjà existants; d'où
attaque
épilepto'ide, attaque de contorsion ou dé-moniaqu
rvenues dans les symptômes déjà existants; d'où attaque épilepto'ide,
attaque
de contorsion ou dé-moniaque, attaque d'extase, a
nts; d'où attaque épilepto'ide, attaque de contorsion ou dé-moniaque,
attaque
d'extase, attaque de délire; — b.) variétés ré-su
épilepto'ide, attaque de contorsion ou dé-moniaque, attaque d'extase,
attaque
de délire; — b.) variétés ré-sultant de l'immixti
é-sultant de l'immixtion de phénomènes habituellement étrangers à l'
attaque
, d'où attaque de léthargie, attaque de catalepsie
'immixtion de phénomènes habituellement étrangers à l'attaque, d'où
attaque
de léthargie, attaque de catalepsie, at-taque de
es habituellement étrangers à l'attaque, d'où attaque de léthargie,
attaque
de catalepsie, at-taque de somnambulisme. Cette d
les hystériques. J'ai fait suivre l'étude des va-riétés de la grande
attaque
hystériqued'un court exposé des ana-logies remarq
E HYSTÉRIQUE COMPLÈTE ET RÉGULIÈRE CHAPITRE PREMIER PRODROMES L'
attaque
d'hystéro-épilepsie, ou grande attaque d'hystérie
APITRE PREMIER PRODROMES L'attaque d'hystéro-épilepsie, ou grande
attaque
d'hystérie, ne surprend pas ; elle est toujours p
s permettant aux malades de prévoir le moment où elles vont tomber en
attaque
. Ces signes précurseurs sont nombreux et variés
cident, au point qu'on pouvait la croire complètement guérie, vit ses
attaques
reparaître, sans qu'il nous ait été permis de sai
B..., hystéro-épileptique, traitée par la métallothérapie, n'a plus d'
attaques
depuis huit mois. Tous les autres symptômes de l'
garder aucune nourriture. Elle est triste, abattue, elle sent que ses
attaques
vont la repren-dre et en conçoit le plus profond
ement aucun résultat. Le soir à sept heures et demie elle avait ses
attaques
. Dans la description qui va suivre, j'étudierai
es sont les premiers qui apparaissent. Quelquefois huit jours avant l'
attaque
, la malade, ainsi qu'elle le dit elle-même, se tr
onnes qui ont l'habitude de la fré-quenter de prévoir l'imminence des
attaques
. Tout dans son exté-rieur trahit le trouble de so
re inextinguible. Souvent Marc... *, trois ou quatre heures avant ses
attaques
, commence le long répertoire de ses chansons et n
r aux mêmes lois que les mouvements désordonnés qui constituent leurs
attaques
.» (Traité pratique de la folie névropathique, par
vation dans Ylconog. phot. de la Salp., t. I, page 49.. Ses grandes
attaques
ne surviennent d'ordinaire que tous les mois, au
règle, ni frein. 1. Quand Gen... n'est pas sous l'influence de ses
attaques
, elle s'occupe assez assidûment à des travaux de
été tourmentée toute la journée par les pro-dromes ordinaires de ses
attaques
... Elle est demeurée au lit;elle est abattue, l'i
excitation est apaisée, et que Gen... sent l'imminence de ses grandes
attaques
, elle demande elle-même la camisole, qu'elle cons
rre, et crachant au visage des gens. A huit heures moins un quart son
attaque
commençait. Dans ce dernier exemple nous voyons
importante qu'elles occupent souvent parmi les prodromes de la grande
attaque
hystérique nous engage à nous y arrêter un instan
illantes et de diverses cou-leurs. G1...2, quelques jours avant ses
attaques
,pendant qu'elle travaille à l'atelier, voit par i
s hallucinations parlent aussi. Quelques instants avant d'avoir ses
attaques
il n'est pas rare de voir Gen... se lever tout d'
à la tête et se sent horriblement fatiguée. Vers le soir elle a des
attaques
qui durent environ une heure. La nuit est relativ
hemars et des visions. 21 juin 1878. A huit heures quelques petites
attaques
. Elle raconte qu'elle est toujours obsédée par de
s un rayon de lune, etc. Ang... reçoit, les nuits qui précèdent ses
attaques
, la visite de son père qui est mort. Le fantôme a
remarquable par l'ancien-neté dé sa maladie, par le, violence de ses
attaques
et chez laquelle les hallucinations Baillarger
tence, Camille est demeuré l'idéal qu'elle a toujours appelé dans ses
attaques
. Mais voilà qu'un jour en arrivant à la Salpêtriè
istent parfois, comme chez les autres malades, en dehors du temps des
attaques
; mais elles se produisent toujours avec plus d'in
de la fenêtre, fixe au dehors un point éloigné. On soupçonne que son
attaque
n'est pas loin. L'infirmière s'empresse de la dés
t ses bras diversement fléchis (fig. 5). Au bout de peu d'instants, l'
attaque
commence subitement. Chez Alphonsine B... l'hal
ubitement. Chez Alphonsine B... l'hallucination inaugure toujours l'
attaque
et se joint aux phénomènes ordinaires de l'aura
mal, celui-là! » Puis la respiration pressée s'arrête subitement et l'
attaque
commence. Le 24 juin, les attaques Fig. 5. — Ha
on pressée s'arrête subitement et l'attaque commence. Le 24 juin, les
attaques
Fig. 5. — Hallucination et contracture. ont c
s digestifs sont des pre-miers à apparaître, parmi les prodromes de l'
attaque
. Avec les troubles cérébraux dont nous venons de
, si commun chez les hystériques, et qui peut se rencontrer pendant l'
attaque
, comme dans l'intervalle des attaques d'hystérie
qui peut se rencontrer pendant l'attaque, comme dans l'intervalle des
attaques
d'hystérie (Briquet), s'observe aussi parmi les p
'hystérie (Briquet), s'observe aussi parmi les prodromes de la grande
attaque
hystéro-épileptique, et fait ordinairement partie
borygmes, et la tympanite sou-vent si considérable. Gen..., avant ses
attaques
, sent son ventre qui gonfle. Gl..., par instants,
us retrouverons la tympanite et les borborygmes parmi les signes de l'
attaque
elle-même. 1. Briquet, Traité de l'hystérie.
Le ptyalisme, à un degré varié, se retrouve dans le début môme de l'
attaque
, et entre pour quelque chose dans la production d
ce Une de mes clientes, dit Mathieu, est avertie de l'approche d'une
attaque
par l'abondance de la salive1. » Marthe Lesp...
is goût dans la bouche pendant les quelques minutes qui précèdent ses
attaques
: ce J'ai la bouche empoisonnée, » dit-elle. Le
n-vulsifs qui se montrent souvent par accès les jours qui précèdent l'
attaque
. Le hoquet, le rire rentrent dans la même catégor
t à l'état épidémique, se ren-contrent plus fréquemment en dehors des
attaques
et alternent avec elles. C'est ici le lieu de c
itations cardiaques tiennent une grande place dans les prodromes de l'
attaque
hystéro-épileptique. Toutes les malades s'en pl
es. Les troubles vaso-moteurs ne sont pas rares : Gen..., avant ses
attaques
, a souvent ce qu'elle appelle ses rougeurs Rose
nthal rapporte un fait intéressant à plus d'un titre et dans lequel l'
attaque
avait pour signe précurseur une sensation de froi
fille de vingt-trois ans, que j'avais soignée antérieurement pour des
attaques
d'hystérie et de catalepsie, fut prise d'une réci
t opiniâtre avec pa-roxysmes, qui à certains jours alternait avec des
attaques
épileptiformes. Celles-ci avaient pour signes pré
it à 30°,6 C. ; le pouls baissait de 72 à 65 ou 66. Après la fin de l'
attaque
hystéro-épileptique, la température des mains rem
le pouls se relevait à 84-88. Pendant les heures qui précédaient l'
attaque
, plus rarement pendant les jours qui se passaient
ient l'attaque, plus rarement pendant les jours qui se passaient sans
attaques
, il se manifestait un symptôme curieux : c'était
s midi, Gen... est au lit, contracturéedes membres, elle sent que ses
attaques
vont la prendre. Depuis une heure elle a le front
parce que son ventre gonfle. Quelques instants après elle avait ses
attaques
. gauche et la jambe droite; les muscles présent
ait légèrement abaissée. Les jours où l'hyperesthésie précédait les
attaques
, elle durait jusqu'à l'ap-parition des symptômes
eils. Ces signes indiquaient toujours infailliblement l'approche de l'
attaque
. Vers la fin de l'attaque, si l'on touchait les m
nt toujours infailliblement l'approche de l'attaque. Vers la fin de l'
attaque
, si l'on touchait les mains ou les doigts, ils s'
s ou les orteils restaient insensibles, on pouvait être certain que l'
attaque
durerait encore longtemps. Cet état ayant persist
epuis plusieurs mois, reparu-rent, le hoquet, les vomissements et les
attaques
cessèrent subitement, et ma convalescente retourn
sort, apparaissant ou disparaissant avec elle. Mais à l'approche des
attaques
, la faiblesse musculaire augmente; sou-vent la ma
e effectivement quelquefois. Gl... (1er novembre 1878) va avoir ses
attaques
.Elle est au lit, et est prise de secousses généra
Ces secousses ou commotions épileptoïdes s'observent en dehors des
attaques
, et nous aurons occasion plus loin de démontrer q
me des ébauches de la période épi-leptoïde. Dans les prodromes de l'
attaque
, les secousses sont comme le prélude de la convul
s en plus, jusqu'au moment où le tétanisme épileptoïde qui inaugure l'
attaque
semble résulter de leur fusion. L'observation s
rs troubles du mou-vement réunis chez une même malade. Ang... a des
attaques
environ tous les mois, au moment de ses règles.
s idées de suicide, et par des hallucinations. Quatre jours avant l'
attaque
commencent des douleurs de ventre très vives, dan
intervalles de plus en plus rapprochés. Deux ou trois jours avant l'
attaque
elle ne mange plus, quelquefois elle vomit. Elle
mille. Gen... est depuis quelques jours sous le coup de ses grandes
attaques
. Son imagination bat la campagne. Elle s'est affu
t l'imminence des accès. On se hâte de la transporter à son lit, où l'
attaque
convulsive ne tarde pas à éclater. J'ai déjà in
peuvent survenir pendant les grandes gesticulations qui prôcèden 1 es
attaques
et dont il a été question précédemment. Lesp...
lus souvent des envies de pleurer. Le rire termine habituellement ses
attaques
. Elle se sent envahie par des idées tristes, et l
tempe droite. L'obnubilation de l'intelligence devient complète et l'
attaque
éclate. Gl..., peu d'instants avant l'attaque,
devient complète et l'attaque éclate. Gl..., peu d'instants avant l'
attaque
, sent la pointe de sa langue qui se retourne en h
parler. Parmi les troubles de la motilité qui précèdent les grandes
attaques
, il convient peut-être de ranger à côté des contr
ts accès épileptoïdes, qui sont comme un lambeau détaché de la grande
attaque
, et plusieurs jours à l'avance se mêlent parfois
prodromiques. 3 juillet 1878. — Gen... est sous le coup des grandes
attaques
. Elle a été assez calme dans la matinée, elle a t
nt de petits accès épileptoïdes. Le 5 au matin éclatent les grandes
attaques
. § 4. — TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ L'anesthés
csie), est un symptôme de l'hystéro-épilepsie et existe en dehors des
attaques
. Elle peut n'être pas complète, la piqûre est sen
pas douloureuse; c'est l'analgésie. Pendant les jours qui précèdent l'
attaque
, l'anesthésie survient si elle n'existe pas et re
ui la font disparaître mo-mentanément toutefois dans l'intervalle des
attaques
*. 1. C'est ce que nous avons pu facilement obs
e chez les hystériques et peut se rencontrer parmi les prodromes de l'
attaque
. L'observation dellosenthal rapportée plus haut
mais il est à remarquer queles jours où l'hyperesthésie précédait les
attaques
, elle était remplacée par de l'anesthésie quand c
sthésie revient précédant de huit jours une rechute. La veille de ses
attaques
on essaye de répéter, mais sans succès, une expér
les malades n'ont plus la faculté de décrire ce qu'elles éprouvent. L'
attaque
convulsive éclate d'ailleurs bientôt, pour peu qu
d'ailleurs bientôt, pour peu qu'on insiste d. » Aux approches de l'
attaque
la douleur ovarienne s'exaspère et toute la suite
petits accès, d'abord éloignés, et qui se rapprochent à mesure que l'
attaque
devient plus imminente. Pour en donner un exemp
ion, L. Gl... Gl... est tourmentée par les signes prùdromiques de l'
attaque
pendant environ cinq jours. Et d'abord c'est un
ers sens. Les douleurs n'apparaissent que deux ou trois jours avant l'
attaque
et se montrent sous forme de petits accès d'autan
se montrent sous forme de petits accès d'autant plus rapprochés que l'
attaque
est plus imminente. Puis l'ovarie droite augmente
ccidents sont absolument comparables à ceux qui forment le début de l'
attaque
; c'est en quelque sorte une attaque incom-plète
à ceux qui forment le début de l'attaque ; c'est en quelque sorte une
attaque
incom-plète qui s'en tient aux préludes et s'arrê
ui s'en tient aux préludes et s'arrête à peine commencée. Lorsque l'
attaque
doit suivre, en même temps que les signes de l'au
extrême, et bientôt la con-science se perd. La première période de l'
attaque
ou période épilep- oïde est commencée. En out
nt pas d'expressions assez fortes pour les exprimer. Ler..., dont les
attaques
sont si violentes, présente parmi les prodromes d
t les attaques sont si violentes, présente parmi les prodromes de son
attaque
une exa-gération de tous les symptômes douloureux
ont bien moins fréquentes. Dans la journée Ler... avait ses grandes
attaques
. ZONES HïSTÉROGÈNES Nous avons vu que l'attaq
vait ses grandes attaques. ZONES HïSTÉROGÈNES Nous avons vu que l'
attaque
pouvait être provoquée par la pression sur l'ovai
Les animaux ainsi rendus épileptiques sont pris de temps en temps d'
attaques
spontanées ; mais ce qui est plus particulière-me
ticulière-ment intéressant, c'est qu'il est possible de provoquer ces
attaques
en excitant une certaine région de la peau que M.
es apophyses épi-neuses pouvait provoquer des convulsions et même des
attaques
. Dans d'autres cas, c'est une pression profonde s
it par hasard ou volon-tairement le col de l'utérus, il survenait une
attaque
. Dans sa thèse sur le Sommeil magnétique clans
s-bourg, 1868), Baillif rapporte que chez un sujet, il produisait une
attaque
par une légère friction au-dessus de l'appendice
ennent le point de déparf de douleurs ré-flexes pouvant occasionner l'
attaque
. » Sans chercher par quel mécanisme l'excitatio
e, et cela d'autant plus facilement qu'elle se trouve plus près d'une
attaque
spontanée. Après les grandes attaques il semble q
u'elle se trouve plus près d'une attaque spontanée. Après les grandes
attaques
il semble que l'excitabilité soit épuisée, et la
peresthésiques capables, par leur excitation, de donner naissance aux
attaques
. L'une est située en arrière, sur la ligne médian
en tout temps également excitables. Elles le sont d'autant plus que l'
attaque
convulsive est plus imminente. Il semble que la m
s imminente. Il semble que la malade qui est sur le point d'avoir les
attaques
, soit comparable à un vase trop plein que le moin
paraissent complètement. En dehors de cette influence bien connue des
attaques
convulsives sur l'excitabilité des zones hysté-ro
nt. L'action des zones hystérogènes ne se borne pas à provoquer les
attaques
. Ce qu'elles ont fait, elles peuvent le défaire.
ux auteurs qui ont prétendu que la compression ovarienne arrêtait les
attaques
convulsives, on a voulu opposer ceux qui par le m
t l'apparition des phénomènes de l'aura, et qu'en insistant un peu, l'
attaque
con-vulsive ne tardait pas à suivre. A peine les
a pression. Quand la malade possède plusieurs zones hystérogènes, l'
attaque
occasionnée par l'excitation de l'une peut être a
ée par l'excita-tion portée sur une autre. Par exemple chez Dub..., l'
attaque
donnée par le frottement sur les apophyses épineu
a pression sur les côtés du sternum et réciproquement. Chez Bar..., l'
attaque
donnée par le frottement sur les apophyses épi-ne
hanger. CHAPITRE II PREMIÈRE PÉRIODE. — PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Une
attaque
complète d'épilepsie vraie se compose d'une suc-c
nérale et stertor. Nous retrouvons dans la période épileptoïde de l'
attaque
hys-téro-épileptique le même cortège de symptômes
le fond des choses : 1° la compression ovarienne arrête brusquement l'
attaque
à quelque moment de la période épileptoïde qu'on
ouve que nos tracés représentent assez fidèlement la physionomie de l'
attaque
épileptoïde dans son ensemble, et que ses différe
à donné, et nous divisons en trois phases la période épileptoïde de l'
attaque
hystéro-épileptique : 1° Phase tonique; 2° Ph
onique ; 3° Phase de résolution. § 1. — MODE DE DEBUT Lorsque l'
attaque
d'hystéro-épilepsie survient spontanément, Fig.
la respiration et la tétanisation musculaire. Quand au contraire l'
attaque
hystéro-épileptique n'est pas aban-donnée à elle-
ou-venir de la cause qui Ta provoqué n'existe pas f. Le début d'une
attaque
provoquée est tellement subit que si la cause occ
ez une malade endormie, on vient à toucher les points hystérogènes. L'
attaque
se développe instantanément, et lorsque, par la c
passé. Le 28 juin 1870, Suzanne N..., hystéro-épileptique, tombe en
attaque
aux premiers coups de tonnerre d'un violent orage
e tonnerre d'un violent orage qui se déclare à six heures du matin. L'
attaque
l'a surprise au milieu de son sommeil, et lorsqu'
ement hystéro-épileptiques, couchées dans la même salle, tombaient en
attaque
en même temps qu'elle et sous la même influence.
connaissance. — « Dans la majorité des cas, dit Briquet, au sujet des
attaques
d'hystérie vulgaire, la perte de con-naissance su
qu'un jour on présenta à la malade une. lettre : aussitôt vio-lentes
attaques
d'hystérie avec catalepsie ; trois fois on lui pr
ce est complète pendant toute la durée de cette première période de l'
attaque
, et nous avons entre les mains un moyen sûr et fa
de faire cesser tout d'un coup les convulsions, à quelque moment de l'
attaque
qu'on la pratique, et de rendre en même temps à l
ssance. Si donc on vient à l'exercer pendant les autres périodes de l'
attaque
, la malade qui reprend ses sens, raconte parfaite
qualifié de cri. Ce n'est pas à dire que le cri n'existe pas dans l'
attaque
hystéro-épileptique, mais il ne se produit pas au
xtension explique l'aspect ef-frayant que revêt une des variétés de l'
attaque
hystéro-épileptique que nous étudierons plus loin
hystéro-épileptique que nous étudierons plus loin, je veux parler des
attaques
démo-niaques. b). — Phase tonique avec immobili
nt se trouve entre la période épileptoïde et la deuxième période de l'
attaque
, et par-fois elle manque complètement. En moyenne
sur diverses malades et pendant plusieurs états de mal, alors que les
attaques
se répètent un grand nombre de fois, ont toujours
diverses modifications dont est susceptible la première période de l'
attaque
, je crois qu'il ne sera pas superflu, pour servir
du menton. Après un repos de courte durée, la deuxième période de l'
attaque
com-mence : les contorsions, les grands mouvement
Marc... (3 avril 1878). Description de la période épileptoïde. L'
attaque
débute par un mouvement rapide des paupières et u
nts cloniques suivent immé-diatement. Marc... 26 février 1878.— Les
attaques
se succèdent avec leurs trois périodes diversemen
ement, et commentent les grands mouvements de la seconde période de l'
attaque
. Ici, la période épileptoïde est uniquement repré
nvulsions toniques contribuent à donner à la, variété démoniaque de l'
attaque
l'aspect effrayant qu'on lui connaît. c) Je n'i
et môme représenter à elle seule toute, la période épilep-toïde de l'
attaque
. d) Les petits mouvements cloniques sont consta
ue, se répètent plusieurs fois de façon à prolonger cette partie de l'
attaque
et à y jeter un peu de confusion. Nous l'avons ob
rvé très nettement chez Marc... 9 avril 1878. Marc... a ses grandes
attaques
. La période épileptoïde se com-pose des diverses
n point du corps seulement. Je me réserve d'étudier au chapitre des
attaques
anormales quelques variétés de l'attaque épilepto
e d'étudier au chapitre des attaques anormales quelques variétés de l'
attaque
épileptoïde, qui parfois constituent à elles seul
l'attaque épileptoïde, qui parfois constituent à elles seules toute l'
attaque
d'hystéro-épilepsie. 2? PERIODE___PERIODE DE CL
Enfin, la situation que peut prendre le corps dans cette phase de l'
attaque
, ne semble soumise à aucune loi, si ce n'est la l
e. Il suffira d'en citer quelques-uns : Gl... (25 mars 1878) est en
attaque
depuis 9 heures du matin. Les diverses périodes s
iode et les attitudes passionnelles dont il sera parlé plus loin. L'
attaque
se répète ainsi un grand nombre de fois, toujours
nd nombre de fois, toujours semblable à elle-même. Gl... (3 avril).
Attaques
. Début par des secousses d'abord éloignées qui se
et les secousses multipliées. Quelquefois le repos se prolonge et l'
attaque
s'en tient là, pour recom-mencer par la première
vec les mêmes caractères et toujours dans le même ordre à chacune des
attaques
qui composaient la série. Suzanne N..., dans un
s attaques qui composaient la série. Suzanne N..., dans une série d'
attaques
que nous avons occasion d'obser-ver le 28 juin 18
illogiques qui à chaque Fig. il. —¦ Contorsion. —¦ Arc de cercle.
attaque
se reproduisent dans le même ordre et de la même
par laquelle elle passe avant d'arriver à la troisième période de son
attaque
. En effet il se produit encore quelquefois plusie
rien n'arrête la rapidité de ses mouvements. Gen..., 18 avril 1878.
Attaques
remarquables par une prolongation de la deuxième
s Gen... appelle Camille..., etc. La troisième pé-riode dure peu. L'
attaque
se reproduit avec les mêmes caractères. Enfin l
j'ai eu l'occasion d'observer récemment. A la deuxième période de son
attaque
, elle imite le bruit d'une locomo-tive qui se met
corps et des bras particulièrement. 5 juillet 1879. Math... est en
attaques
au moment de la visite. Ses attaques sont presque
5 juillet 1879. Math... est en attaques au moment de la visite. Ses
attaques
sont presque exclusivement composées de la deuxiè
s haut, survenant tout d'un coup, indiquaient le débul d'une nouvelle
attaque
où se reproduisaient les mêmes mouvements. 10 j
taque où se reproduisaient les mêmes mouvements. 10 juillet. Grande
attaque
. La deuxième période est marquée par l'arc de c
roit du corps, où ils ont beaucoup plus d'étendue. 13 juillet 1879.
Attaques
plus complètes que celles du 5 juillet. La pre-mi
é le sujet de ses hallucinations. 17 juillet 1879. Dans une série d'
attaques
présentant les caractères décrits précédemment, l
te pas, en terminant, sur les variétés de cette deuxième période de l'
attaque
. Les contorsions et les mouvements peuvent se prê
plus loin comment l'exagération de cette phase peut donner lieu à des
attaques
d'un caractère particulièrement effrayant et qui
n caractère particulièrement effrayant et qui mé-ritent bien le nom d'
attaques
démoniaques. § 3. — ÉTAT MENTAL PENDANT LA DEUX
phases se succèdent ou s'entremêlent sans interruption. Dans une même
attaque
, le tableau gai fait place au tableau triste, ou
lles s'en plaignent souvent amèrement, disant « que le côté gai d'une
attaque
est toujours troublé par les visions terribles, e
tance d'une obsession, revient sans cesse imprimer à cette phase de l'
attaque
son caractère si pénible. Les grands mouvements
par la malade en dehors de son Fig. 64. — Attitude passionnelle.
attaque
. Dans les différentes scènes qui composent l'hall
on de la musique militaire marque toujours l'ap-proche de la fin de l'
attaque
. Bientôt elle voit des rats, elle a des mouvement
x qui la composent reviennent invariable-ment. Toutefois, suivant les
attaques
, ils peuvent être écourtés et même ne pas être to
diquerai la durée de chacun d'eux, notée pendant l'une quelconque des
attaques
. Secondes.1° Période épileptoïde...............
ou triste, que se développe invariablement la troisième période de l'
attaque
de Marc... Pour l'interpréter, notre malade se li
mi-sole de force dont on a soin de revêtir la malade au moment de ses
attaques
. Mais il n'y a aucun danger à l'en délivrer, s'il
son esprit. A voir le calme de son attitude, on pourrait croire que l'
attaque
est ter- Fig. 70. — Attitude passionnelle. mi
t, il y a un instant, dans ses attitudes d'effroi. Cette phase de l'
attaque
se prolonge souvent fort longtemps, nous l'avons
ionnelles. parles visions d'animaux, Mais la troisième période de l'
attaque
est finie; elle afait place à la quatrième périod
l'abdomen indique le retour de la période épileptoïde d'une nouvelle
attaque
, comme cela a lieu le plus souvent. Gen..., lor
lle attaque, comme cela a lieu le plus souvent. Gen..., lors de ses
attaques
régulières, n'a pas la variété d'atti-tudes que n
uatrième période, dont nous parlerons plus loin. . En dehors de ses
attaques
, Gen... a des extases que l'on doit considérer co
ses attaques, Gen... a des extases que l'on doit considérer comme des
attaques
modifiées et réduites à une seule phase, celle de
Il en sera question quand nous traiterons des diverses variétés de l'
attaque
. Ang..., a des hallucinations fort variées. D
la mémoire de son amant. Alphonse joue un grand rôle dans toutes ses
attaques
. 2. En 1871, Ang... a été faite prisonnière par
Elle a eu une grande frayeur. Depuis elle le revoit toujours dans ses
attaques
, elle se débat, elle résiste, etc.. Elle voit d
ges des notes recueillies au lit de Ler... pendant une de ses grandes
attaques
. Mais auparavant, afin de bien faire saisir la
les causes occasionnelles de l'hystérie, et la nature du dé-lire des
attaques
, je rappellerai, d'après Y Iconographie de la Sal
cadavre et de l'assassin arrêté par les gendarmes déterminèrent une «
attaque
de nerfs ». L... eut une troisième peur dans le
s des « éronces » et tomba sans connaissance, en proie à une violente
attaque
convulsive. Voici maintenant comment se présent
attaque convulsive. Voici maintenant comment se présente une grande
attaque
chez Ler... 11 février 1878. L'attaque a débuté
mment se présente une grande attaque chez Ler... 11 février 1878. L'
attaque
a débuté à 7 heures et demie. Il est 0 heures 20,
l elle n'a rien perdu de sa violence. Elle est composée d'une série d'
attaques
qui se succèdent et dans chacune desquelles on pe
alme se fait peu à peu. Cet instant de calme marque la fin de cette
attaque
, qui a duré treize mi-nutes, immédiatement suivie
tement suivie, avant que Ler... ait repris connaissance, par un autre
attaque
qui débute par la période épileptoïde, et se repr
ment impressionné l'enfance de la malade, se reproduisent pendant ses
attaques
, comme au premier jour, avec une vivacité que le
èse dcDunant J'ai dit précédemment que cette troisième période de l'
attaque
hystéro-épileptique, ou période des attitudes pas
fait complètement défaut, c'estTimagination. Aussi nous voyons les
attaques
de Ler... garder en quelque sorte le caractère br
a malade se souvient de tout cela avec une grande précision, à chaque
attaque
où l'hystérie a une part elle répète automatiquem
o-épileptiques, tout nouvellement entréeà la Salpêtrière, et dont les
attaques
présentent les quatre périodes que nous décrivons
nimaux qu'elle voit sont des singes. Suz. N... 28 juin 1879. Est en
attaque
depuis le matin. Après les contorsions et grand
e étrange, et l'on peut se de-mander si l'on a bien affaire ici à une
attaque
d'hystérie, ou si l'on n'est pas l'objet d'une my
Sans parler delà régularité de succes-sion des diverses périodes de l'
attaque
qu'une malade ne saurait in-venter, je rappellera
Suz. N... dont nous venons de parler est sujette, en dehors de ses
attaques
, à des accidents bizarres qui sont sous la dépend
fait que pour montrer jusqu'où va l'anesthésie sensorielle pendant l'
attaque
. Pendant tout le temps de son attaque, Suz. N...,
nesthésie sensorielle pendant l'attaque. Pendant tout le temps de son
attaque
, Suz. N..., suivant la règle, est insensible à to
et ni sa mimique, ni son récit, ne'sont troublés. Mais aussitôt que l'
attaque
touche à sa fin, à peine le premier indice de con
la nature des hallucinations qui composent la troisième période de l'
attaque
, et montré comment, dès le début, l'attaque revêt
la troisième période de l'attaque, et montré comment, dès le début, l'
attaque
revêt un caractère spécial, une physionomie toute
déterminé l'apparition, j'ajouterai cependant que, dans la suite, les
attaques
peuvent se trouver plus ou moins modifiées par de
l'occasion d'observer chez nos malades quel- ques modifications des
attaques
survenues sous l'action de cer-taines émotions, d
II était intéressant de rechercher la cause de ces modifica-tions des
attaques
(expressions de colère, de dédain, de dégoût). No
ici un autre exemple : Alph. B... avait le plus souvent pendant ses
attaques
des hallu-cinations terribles "rappelant les circ
qui jette son enfant dans le feu... Le 24 juin nous sommes témoin d'
attaques
dans lesquelles se manifeste un délire tout diffé
u'elle est bien heureuse. C'est la première fois que le délire de ses
attaques
revêt ce caractère. Plus de feu, d'incendies, de
Quand la vision lui dit adieu, elle reprend bientôt connaissance; l'
attaque
est terminée pour recommencer ensuite avec les mê
olentes sous l'influence desquelles se sont développées les premières
attaques
, des émotions qui ont pu survenir depuis, et de l
ue toujours la raison des hallucinations de la troisième période de l'
attaque
. Pour terminer, je résumerai en quelques propos
t état nerveux particulier qui carac-térise la troisième période de l'
attaque
hystéro-épileptique, et que nous avons désignée s
elles ou poses plas-tiques, on .peut dire, à proprement parler, que l'
attaque
est ter-minée. La connaissance est revenue, mais
de avant de retrouver son équilibre normal. C'est comme un reste de l'
attaque
qui s'épuise, et les accidents qui se présentent
ement comparables et, parfois même, identiques à ceux qui précèdent l'
attaque
et lui servent en quelque sorte de prélude. § 1
de vérité vraiment sai-sissant. Gen... termine presque toujours ses
attaques
par quelque dis-cours de ce cerne : « Ah! pauvr
revêt un caractère effrayant. Je l'ai vue un soir, après une série d'
attaques
, alors que la camisole avait été enlevée, entrer
gnes du service, Thérèse L..., morte depuis un an. Elle est prise d'
attaques
dont les différentes phases se dévelop-pent comme
ve portée sur l'esprit de la malade, avaient occasionné les premières
attaques
, ou en avaient favorisé le développement. Ces scè
lquefois gaies, mais le plus souvent terribles, reparaissent à chaque
attaque
sans jamais rien perdre de leur vivacité, et sont
epsic. 9 jamais d'appeler du nom de Camille celui qui, arrêtant son
attaque
par la pression ovarienne, amène ce délire de la
ublier, comme nous le verrons plus loin en traitant des variétés de l'
attaque
, que l'une de ces deux périodes peut faire défaut
e que nous avons dit du délire de Marc... à la quatrième période de l'
attaque
, montre assez combien il est différent du ta-blea
ient des scènes si émouvantes qui composent la troisième période de l'
attaque
de Gl... Nous les avons décrites tout au long. La
cette phase de délire comme appar-tenant à la quatrième période de l'
attaque
. Peu à peu les larmes cessent et la malade revien
mes cessent et la malade revient complètement à elle. Dans toutes ses
attaques
, même dans celles qui se répètent pour composer l
grandes séries qui durent plusieurs heures, la quatrième période de l'
attaque
est représentée pour le moins par le délire trist
oins par le délire triste que nous venons d'indiquer. Mais il est des
attaques
qui offrent une quatrième période beaucoup plus é
quatrième période sur lesquels nous avons insisté. Gl..., dans ses
attaques
du 14 mars 1878, présente une qua-trième période
elle, elle déplore son sort : « Non ; je vou-drais que vous ayez des
attaques
comme nous. C'est affreux ! Ça me fait penser à t
tes de choses : Ah ! si on savait, etc. » A la suite d'une nouvelle
attaque
, la quatrième période est marquée par un délire a
rois scènes, et ce que je lui ai répondu... Ah! je pourrais avoir des
attaques
de nerfs à moins... Je ne l'ai dit qu'à une perso
extension bien plus considérable aux dépens des autres périodes de l'
attaque
. Et il constitue si bien quelque chose de distinc
udes passionnelles, et môme formera lui seul une variété de la grande
attaque
, sur laquelle nous aurons à insister plus loin.
, sur laquelle nous aurons à insister plus loin. 31 janv. 1878. — L'
attaque
de Gen... a commencé à 1 heure de l'après-midi et
peut se défendre; c'est ainsi que Lesp... termine habituellement ses
attaques
. Enfin, ce qui est plus rare, la malade demeure
ment imaginaires. Nous avons déjà dit qu'au moment où finissent ses
attaques
, Gl..., écoute la musique, elle fait signe du doi
survientledéliremélancolique: « Malheureuxparents,etc...» Après ses
attaques
, Gl... a des « visions », se fait des peurs. Elle
me période. Zoopsie. Gen... 26 février 1878.— Après une série de 14
attaques
, survient le délire de la 4e période. — « Chameau
La compression ovarienne interrompt le délire et amène une nouvelle
attaque
, à la suite de laquelle reviennent les visions de
bêtes imaginaires une lutte acharnée (fig. 76). Ler... termine son
attaque
par une phase qui présente à un haut Fig. 82. Q
rtiellement. Voici quelques exemples de cette quatrième période des
attaques
de notre malade Ler... 11 février 1878. — La gr
de des attaques de notre malade Ler... 11 février 1878. — La grande
attaque
dont nous avons rapporté quelques fragments plus
nous avons rapporté quelques fragments plus haut se termine ainsi. L'
attaque
a commencé à sept heures et demie. Il est dix heu
ses dents seulement, elle ne veut jamais boire au-trement durant ses
attaques
.) Ah! les chameaux. Il y a des bêtes... » Elle s'
lle présente ce fait singulier de voir se re-produire à la fin de ses
attaques
toujours les mêmes actes et les mêmes hallucinati
Les personnes du service qui assistent sou-vent la malade pendant ses
attaques
ne s'y trompent pas. Elle se frotte les mains et
e des bêtes. Il est 7 heures 20, Ler... est toujours agitée, mais l'
attaque
paraît bien terminée. Ces phénomènes de la fin
, mais l'attaque paraît bien terminée. Ces phénomènes de la fin des
attaques
de Ler... dont nous faisons une classe à part en
dernière sensation s'explique par la contracture qui existe durant l'
attaque
. Elle détire ses membres, se plaint de souffrir d
seul trait et tout paraît finid. » C'est pendant cette période de l'
attaque
que se produisent les affirmations les plus audac
omper les plus incrédules. Un certain soir Wit..., au sortir de ses
attaques
, accuse Gl... de lui avoir dérobé ses fleurs 2. E
tant. Et nous sommes demeurés près d'elle tout le temps qu'a duré son
attaque
. Gl... n'a pas même paru dans la salle. Tous nos
a réalité des halluci-nations persiste parfois en dehors du temps des
attaques
. Nous en avons un exemple frappant dans Gen..., q
ètement revenue à elle, des cris déchirants. Gen... à la fin de ses
attaques
voit souvent ses quatre membres contractures dans
ration n'est habi-tuellement pas troublée. Marc... voit souvent ses
attaques
se terminer comme celles de Gen... par ces contra
la prédominance de ces crampes généralisées donne à certaines de ces
attaques
, que les malades appellent du nom de tortillement
racture partielle. La contracture partielle, qui par-fois succède aux
attaques
et se montre dans la quatrième période, n'est hab
sphincter de l'urètre nécessiter le sondage. Parfois au contraire l'
attaque
laisse derrière elle une parésie ou une paralysie
ou partielles peuvent se rencontrer ici comme dans les prodromes de l'
attaque
. Il en est de même des spasmes viscéraux : hoquet
les musculaires ont été observés: Ler..., 14 février 1878. — Grande
attaque
, qui commence à trois heures i demie, présente le
t quelque temps. Gl... 18 juillet 1878. — Hier soir, Gl... a eu des
attaques
jusqu'à onze heures. Puis elle s'est sauvée dans
nt les phénomènes douloureux de l'aura qui précède habituellement ses
attaques
; elle a des hallucinations, elle voit des hommes
sent son bras droit qui tourne, elle croit que c'est le début de son
attaque
, mais elle ne perd pas connaissance. La convulsio
s convulsifs dans les bras. « 20 octobre 1872. —Observation Ler... —
Attaque
hystérique, avec con-torsions violentes, suivie,
ure à peu près absolument l'isthme du voile palatin. » 27 octobre. —
Attaques
violentes à la suite desquelles disparaissent la
parfois depuis plusieurs années, cesser brusquement à la suite d'une
attaque
convulsive. Des faits de ce genre ont pu passer p
Je ne ferai qu'indiquer ici les sécrétions qui parfois terminent l'
attaque
. Les urines abondantes et claires ont été signa
on d'une sorte de mucus vaginal, si fréquemment observée à la fin des
attaques
d'hystérie, que des auteurs ont considéré comme u
jeune dame, rapporte Cerise, avait plusieurs fois pai jour de légères
attaques
d'hystérie, lesquelles se terminaient par une abo
rise, An. mécl.'psyc, sept. 1843. CHAPITRE VI MARCHE. — DURÉE DES
ATTAQUES
. — ÉTAT DE MAL HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUU A. Marche de
DURÉE DES ATTAQUES. — ÉTAT DE MAL HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUU A. Marche des
attaques
. Durée. — Les périodes dont on vient de lire la d
n se succèdent dans l'ordre que nous avons suivi, pour constituer une
attaque
d'hystéro-épilepsie régulière et complète. La pér
d'heure. Ces trois périodes, qui constituent à proprement parler l'
attaque
, ont ensemble une durée moyenne d'un quart d'heur
La quatrième période, qui est plutôt une sorte de prolonga-tion de l'
attaque
que l'attaque elle-même, a une durée fort diffici
période, qui est plutôt une sorte de prolonga-tion de l'attaque que l'
attaque
elle-même, a une durée fort difficile à préciser.
er beaucoup plus longtemps. B. Etat de mal hystéro-épileptique. — L'
attaque
d'hystéro-épilepsie se montre très rarement isolé
te plusieurs fois de suite, pour former ce qu'on appelle des séries d'
attaques
, parfois fort longues. C'est l'état de mal hystér
gues. C'est l'état de mal hystéro-épileptique. Dans les séries, les
attaques
se succèdent de deux façons : 1° Elles s'imbrique
succèdent de deux façons : 1° Elles s'imbriquent, c'est-à-dire qu'une
attaque
n'est pas finie qu'une autre commence aussitôt. L
nt brusquement interrompues par la période épileptoïde d'une nouvelle
attaque
. La quatrième période ne se montre qu'à la fin de
. La quatrième période ne se montre qu'à la fin de la série. 2° Les
attaques
sont séparées par un intervalle de lucidité plus
ns long, comme il arrive toujours chez Gl..., qui, entre cha-cune des
attaques
composant ses séries, jouit d'un repos de dix min
es, jouit d'un repos de dix minutes à un quart d'heure. Dans ce cas l'
attaque
est complète et la quatrième période est représen
est complète et la quatrième période est représentée. Le nombre des
attaques
qui composent une série peut être con-sidérable,
inze jours, un mois, et même davantage. Georget parle d'un cas où l'
attaque
avait duré quarante-cinq jours, et les attaques p
et parle d'un cas où l'attaque avait duré quarante-cinq jours, et les
attaques
partielles qui la composaient avaient des interva
nt n'est pas de nature à inspirer de l'inquiétude. » (Charcot). Les
attaques
qui composent une même série ne sont pas toutes d
d'égale durée, ni parfaitement semblables. Dans le commence-ment les
attaques
se montrent violentes et précipitées ; vers la fi
oici comment, dans la généralité des faits, se comporte une série d'
attaques
dont la durée est de plusieurs heures. Dès le d
ie d'attaques dont la durée est de plusieurs heures. Dès le début l'
attaque
est souvent incomplète; une des périodes fait ent
-connaissance, et quelques instants de lucidité complète séparent les
attaques
. Les grands mouvements ont souvent cessé; les con
ent des cris à la patiente. Il ne reste plus des autres périodes de l'
attaque
que quelques phénomènes épileptiformes qui se mon
n ; on y trouvera quelques exemples de la façon dont se modifient les
attaques
vers la fin de la série. 14 mars. — Gl... I.
3° Attitudes passionnelles................................ 150" Les
attaques
suivantes, observées chez Marc..., ne présentent
................. 35" La période épileptoïde se répète comme dans l'
attaque
précé-dente............................. ........
................................. Ler..., 11 février 1878. —Grandes
attaques
. Les attaques ontdébuté àsept heures et demie, il
................... Ler..., 11 février 1878. —Grandes attaques. Les
attaques
ontdébuté àsept heures et demie, il est neuf heur
ne à onze heures. Voici la durée et la composition des cinq dernières
attaques
dont nous sommes témoin : lre Attaque. Durée de
mposition des cinq dernières attaques dont nous sommes témoin : lre
Attaque
. Durée de quinze minutes. Elle est ainsi composée
période. c) Hallucinations terribles de la troisième période. 2e
Attaque
. Durée de quinze minutes. a) Période épileptoïd
isième période. d) Le délire de la quatrième période apparaît. 3e
Attaque
. Durée de six minutes. Bien que plus courte, cett
raît. 3e Attaque. Durée de six minutes. Bien que plus courte, cette
attaque
pré-sente les mêmes caractères que le numéro 1. O
le numéro 1. On n'observe pas le délire de la quatrième période. 4e
Attaque
. Durée de quatorze minutes et plus. a) Période
ème période n'existent pas. d) Délire de la quatrième période. 5e
Attaque
. Durée de trente et une minutes. a) Période épi
élire de la quatrième période. 18 mars 1878. —Marc... a ses grandes
attaques
depuis neuf heures du matin. Elles se succèdent s
10 heures 20, moment où nous l'ob-servons, on a déjà compté dix-neuf
attaques
. Les attaques sont composées des trois première
oment où nous l'ob-servons, on a déjà compté dix-neuf attaques. Les
attaques
sont composées des trois premières périodes. Voic
nt composées des trois premières périodes. Voici comment se déroule l'
attaque
dont nous sommes témoin à notre arrivée : 20e a
se déroule l'attaque dont nous sommes témoin à notre arrivée : 20e
attaque
. — l10 période. Grands mouvements toniques décrit
re contre eux à une lutte acharnée. Nous prenons note de la durée des
attaques
qui suivent : 21° attaque. — lre et 2e période.
arnée. Nous prenons note de la durée des attaques qui suivent : 21°
attaque
. — lre et 2e période.............................
..... 35" 3e période.................................. 4' 40" 22e
attaque
. — lrc et 2e période.............................
...... 1' 10" 3e période.................................. 5' 23e
attaque
. — lre période................................. 5
t les frais, ainsi que nous l'avons raconté plus haut (p. 103). 24e
attaque
. — lre période..................................
e cette 4e période est de................................... 2f 25e
attaque
. — lre période..................................
remplissent tout entière-, mais c'est pour la dernière fois. Dans les
attaques
qui suivent, la 3e période n'existe plus et est r
remplacée par les phénomènes de la 4e période. Cette modification des
attaques
présage la fin de la série. 26° attaque. — lrc
de. Cette modification des attaques présage la fin de la série. 26°
attaque
. — lrc période, consistant surtout en grands mou-
tures généra-lisées; la connaissance revient en partie...... 6' 27e
attaque
. — lro période..................................
riode manquent 4° période comme précédemment.............. 3' 28e
attaque
. — lrc période................................. 8
La contracture per-s;ste néanmoins......................... 4' 29e
attaque
. — lre période................................. 5
s et contracture gé-néralisée.........¦..................... 3' 30e
attaque
. — lrc période................................. 5
end peu à peu, et les douleurs sont moins vives. Dans cette série d'
attaques
nous avons vu, vers la fin, les grands mouvements
tombe tout d'un coup en attaqué ; il est trois heures et demie. Les
attaques
se succèdent rapidement, nous notons leur durée a
succèdent rapidement, nous notons leur durée ainsi qu'il suit : 4e
attaque
. — 1° Période épileptoïde écourtée, réduite à une
30" 3° Attitudes passionnelles. Lubricité............. 1' 20" 5e
attaque
. — 1° Période épileptoïde écourtée...............
5" 3° Attitudes passionnelles. Lubricité et dégoût..... 1' 15" 6e
attaque
. — 1° Période épileptoïde........................
.... 30" 3° Attitudes passionnelles..................... 3'45" 7e
attaque
. — 1° Période épileptoïde........................
. l'45" 3° Attitudes passionnelles...................... l'30" 8e
attaque
. — 1° Période épileptoïde........................
... 20" 3° Attitudes passionnelles...................... l'30" 9e
attaque
. —1° Période épileptoïde plus accusée............
.. 45" 3° Attitudes passionnelles..................... 3' 15" 10e
attaque
. — 1° Période épileptoïde écourtée...............
.. 20" 3° Attitudes passionnelles...................... l'25" 41e
attaque
. — 1° Période épileptoïde........................
5" 3° Attitudes passionnelles, dégoût, lubricité, fureur. 12' 12°
attaque
. — 1° Période épileptoïde........................
.. 40' 3° Attitudes passionnelles...................... 6'35" 13e
attaque
. — 1° Période épileptoïde----....................
...... 2' 3° Altitudes passionnelles..................... 13' 15e
attaque
. — 1° Période épileptoïde très accusée : phase to
.... 45" 3° Attitudes passionnelles...................... 13' 18e
attaque
. — 1° Période épileptoïde........................
..... 40" 3° Attitudes passionnelles...................... 2' 19e
Attaque
. — 1° Période épileptoïde bien marquée...........
....... 3' 3° Attitudes passionnelles..................... 2' 20e
Attaque
. — 1° Période épileptoïde........................
..... 10" 3° Attitudes passionnelles..................... 15" 21e
Attaque
. — 1° Période épileptoïde, avec phase tonique et
s. 4° Plaintes.................................. 1' A ce moment l'
attaque
change de physionomie. On ne retrouve plus les gr
ontractures généralisées, et le délire triste de la 4e période. 22e
attaque
. — 1° Période épileptoïde........................
intes et retour de la connaissance........................ 3' 23e
attaque
.—4° Période épileptoïde courte..................
........ j 4° Contracture généralisée, plaintes............ | 24e
attaque
. — 1° Période épileptoïde bien marquée, avec phas
............ V Délire triste, demande pardon............... / 25e
attaque
. — 1° Période épileptoïde.......................
....... j ^ 4° Plaintes et contractures.................... j 26e
attaque
. — 1° Période épileptoïde............. •.........
•......... ) 4° Délire triste............................. ) 27°
attaque
. —1° La période épileptoïde est réduite aux grand
intes. Retour de la connaissance............................ 3' 28e
attaque
. —¦ 1° Période épileptoïde marquée, au milieu de
es. Contracture généralisée............................ 2'15" 29e
attaque
. — 1° Période épileptoïde comme précédemment.....
..... 30 4° Contracture généralisée, plaintes............. 5' 30e
attaque
. — 1° Période épileptoïde incomplète. 2° Plaint
omplète. 2° Plaintes et contracture généralisée. Délire. Enfin, l'
attaque
se trouve réduite à un état de contracture généra
lui donnons du chloroforme. Il est cinq heures et demie. — La série d'
attaques
a duré deux heures et à été composée de 30 attaqu
mie. — La série d'attaques a duré deux heures et à été composée de 30
attaques
. La durée moyenne de chaque attaque a donc été de
x heures et à été composée de 30 attaques. La durée moyenne de chaque
attaque
a donc été de quatre minutes. A la suite des sé
haque attaque a donc été de quatre minutes. A la suite des séries d'
attaques
, la malade est courbaturée, mais elle est loin d'
vons signalée dans le mode de succes-sion des diverses périodes d'une
attaque
, peut se retrouver dans le mode de succession des
iodes d'une attaque, peut se retrouver dans le mode de succession des
attaques
qui composent une série. Un exemple bien curieu
bien curieux nous en est donné depuis quelque temps par Wit... Les
attaques
composant la série ne se ressemblent pas. La séri
ques composant la série ne se ressemblent pas. La série compte quatre
attaques
qui se succèdent ainsi qu'il suit : N° I. — lr0
, exactement semblable à la première, et ainsi de suite. En résumé, l'
attaque
entière est composée d'une série de séries. Cet
tellement invariable que si par 1a pression ova-rienne on supprime l'
attaque
n° I à son début, c'est l'attaque n° II qui comme
a pression ova-rienne on supprime l'attaque n° I à son début, c'est l'
attaque
n° II qui commence. Si l'on veut me permettre une
ns un ordre invariable. Arrêtons-nous successivement une, deux, trois
attaques
, il semble que nous ayons sauté un, deux, trois c
eux, trois crans de la boîte à musique, et si nous laissons ensuite l'
attaque
suivre son cours, c'est le motif suivant, le n° I
de nous pouvons à volonté laisser se dérouler l'une ou l'autre de ses
attaques
. CHAPITRE VIT FAITS NOUVEAUX A L'APPUI DE LA
es de la science. Dans l'étude descriptive qui précède de la grande
attaque
hys-térique, nous sommes loin d'avoir mis à contr
endant notre internat de 1878. Mais il ne faudrait pas croire que l'
attaque
convulsive de la grande hystérie avec les caractè
e peut avoir l'imitation sur la forme que revêtent les accidents de l'
attaque
hystérique, nous pouvons affirmer qu'elle est ici
rt qui lui revient dans les modifications dont certaines parties de l'
attaque
sont plus particulièrement susceptibles. Toujours
dont il n'a été que peu parlé précédemment; nous verrons comment les
attaques
de ces nouveaux sujets se rapprochent ou s'éloign
ts hyperesthésiques dont l'excitation même légère peut déterminer les
attaques
. (Voy. p. 36.) Un bruit violent et inopiné occa
p. 36.) Un bruit violent et inopiné occasionne à l'instant même une
attaque
de catalepsie. Elle est fort sensible aux pratiqu
s de l'hypnotisation. Nous re-viendrons plus loin sur ce sujet. Les
attaques
hystéro-épileptiques sont remarquables par leur r
mples que j'ai re-cueillis au mois de septembre 1879. Prodromes des
attaques
.— Suzanne est avertie, plusieurs jours à l'avance
Suzanne est avertie, plusieurs jours à l'avance, de l'invasion de ses
attaques
: « elle les sent venir. » Cependant une vive émo
e les sent venir. » Cependant une vive émotion peut faire éclater les
attaques
tout d'un coup. Lorsqu'elles sont pré-cédées de p
veloppent spontanément, au point de lui faire croire à l'invasion des
attaques
; mais la crise s'en tient aux prodromes et avorte
s oreilles, obscurcissement de la vue et perte de connaisance, si les
attaques
doivent avoir lieu. Tous ces phénomènes existent
gauche. 18 sept. 1879. — Suzanne N... est au milieu de ses grandes
attaques
à la visite du matin. Selon l'habitude, les attaq
u de ses grandes attaques à la visite du matin. Selon l'habitude, les
attaques
se succèdent pour former une série. Nous en noton
sente la figure 46, qui a été dessinée d'après elle, lors d'une autre
attaque
.— Elle pousse de nouveau de grands cris. c). Pu
ce qu'on dit, et voilà tout. » Tout d'un coup survient une nouvelle
attaque
. II. —10 h. 10 min. a). La. période épileptoïde
: « Oh! oh !... que c'est drôle, ah! ah !..» 10 h. 17. Une nouvelle
attaque
survient. III. — a). La période épileptoïde pré
e, contrairement à ce qui se passe habituellement, ne reprend pas son
attaque
par le commencement; elle continue. Une nouvelle
en ! Sont-elles légères et gracieuses ! On dirait des nymphes!... » L'
attaque
est suspendue de nouveau par la compression ova-r
ce quelques instants. Mais bientôt survient spontanément une nouvelle
attaque
. IV.— a). Période épileptoïde (phase tonique, p
s actrice. » À peine avait-elle terminé cette phrase qu'une nou-velle
attaque
survient. V. — 10 h. 33. a). Période épileptoïd
er de quelque chose qui la gène; ce sont les préludes d'une nou-velle
attaque
qui ne tarde pas à éclater. VI. — 10 heures 38.
eux, la sommation1. Mais bientôt recommence spontanément une nouvelle
attaque
. VIL — 10 heures 48. a).Période épileptoïde com
! oh! ! ça me fait un drôle d'effet. » Survient aussitôt une nouvelle
attaque
. VIII. —10 heures 54. a), b). La première et la
a gorge.)Allons, je ne regarde plus rien... » 11 heures 4. Nouvelle
attaque
arrêtée par la compression. Pour sus-pendre compl
rrêtée par la compression. Pour sus-pendre complètement cette série d'
attaques
qui se prolonge, nous soumettons notre malade aux
nhalations de chloroforme. 29 septembre 1879. — Suzanne N... est en
attaque
depuis 11 heures jusqu'à 3 heures 20. La série s'
res jusqu'à 3 heures 20. La série s'est composée de vingt-six grandes
attaques
complètes et de cinq attaques bornées à la périod
rie s'est composée de vingt-six grandes attaques complètes et de cinq
attaques
bornées à la période épileptoïde. Les grandes att
tes et de cinq attaques bornées à la période épileptoïde. Les grandes
attaques
n'ont pas changé de caractère, elles se ressemble
. c'est gênant!.. Je suis tout étour-die. » Subitement une nouvelle
attaque
recommence. Il est midi. L'attaque que nous venon
r-die. » Subitement une nouvelle attaque recommence. Il est midi. L'
attaque
que nous venons de décrire a duré 10 minutes. I
otre malade et sur lesquelles nous avons déjà insisté ailleurs. Les
attaques
de Suzanne N... n'ont pas toujours eu ce déve-lop
tation. En effet, au commencement de son séjour à la Salpêtrière, ses
attaques
, quoique plus fréquentes, n'offraient pas un cara
hystérique. Voici les notes que j'ai prises alors, relativement à une
attaque
dont je fus témoin en ville le 14 mars 1879. La m
crises se succèdeut ainsi pour former une série. Au réveil, quand l'
attaque
est terminée, Suzanne dit ne se souvenir de rien.
'attaque est terminée, Suzanne dit ne se souvenir de rien. En tout, l'
attaque
a duré environ une heure. Si dans cette attaque
de rien. En tout, l'attaque a duré environ une heure. Si dans cette
attaque
nous trouvons sans difficulté une période épilep-
ependant la mère de la jeune malade nous raconte qu'à la suite de ses
attaques
, alors qu'elle a repris connaissance et qu'elle e
des attitudes passionnelles. Par les progrès seuls de la maladie, les
attaques
, en augmentant de gravité, devaient naturellement
catalepsie. Elle est très sen-sible aux pratiques hypnotiques. Les
attaques
sont précédées des prodromes habituels. L'aura hy
phénomènes se produisent presque exclusivement du coté gauche. Les
attaques
que nous avons l'occasion d'observer chez cette m
suivantes : l°La première période n'est qu'esquissée. Au début de l'
attaque
, la ma-lade porte la main au creux de l'estomac,
r. Voici quelques notes prises à son lit, lors d'une de ses grandes
attaques
, le 25 octobre 1879 : Léonore a eu des attaques
'une de ses grandes attaques, le 25 octobre 1879 : Léonore a eu des
attaques
hier soir. Ce matin les attaques ont recom-mencé.
25 octobre 1879 : Léonore a eu des attaques hier soir. Ce matin les
attaques
ont recom-mencé. Lorsque nous l'observons, elles
à l'estomac et se frotte la poitrine. C'est l'indice précurseur d'une
attaque
. a). En effet, elle se renverse bientôt, et tou
grands mouvements se terminent par l'attitude bizarre, décrite dans l'
attaque
précédente. Puis commencent les attitudes passion
veut lui couper la langue, lui arracher les dents, la tuer. Dans les
attaques
qui suivent nous trou-verons d'autres attitudes e
ttitude analogue à celle que nous avons indiquée daus les précédentes
attaques
. Attitudes passionnelles. Elle fait des pieds d
» Mais cet instant de rai-son est fort court. V.—11 h. 15. Nouvelle
attaque
; la malade se frotte la poitrine et exécute aussi
sitôt connaissance. Au bout de peu d'instants recommence une nouvelle
attaque
. VI. — 11 h. 19. Cette nouvelle attaque commenc
nts recommence une nouvelle attaque. VI. — 11 h. 19. Cette nouvelle
attaque
commence par une phase où les signes épileptoïdes
a connaissance, et fses bras sont contractures. 11. h. 22. Nouvelle
attaque
. Nous quittons la malade. Mais il est facile de p
uent suffisamment et le retour momentané de la connaissance entre les
attaques
, et l'apparition de la contracture partielle. T
rtée jusqu'à quinze ans. Vers l'âge de quinze ans, elle aurait eu des
attaques
d'épilepsie qui ont persisté jusqu'à son entrée à
semaines environ après son arrivée ici, on aurait observé les grandes
attaques
hystériques. Il est possible que cette malade soi
firmer, n'ayant jamais eu l'occasion d'observer ce qu'on appelait ses
attaques
d'épilepsie. Tout ce que nous pou-vons dire, c'es
s attaques d'épilepsie. Tout ce que nous pou-vons dire, c'est que les
attaques
dont nous avons été témoin et dont nous rapporton
Le bruit du gong ne la rend point cataleptique, mais occasionne une
attaque
épileptiforme. Elle est fort sensible aux pratiqu
me. Elle est fort sensible aux pratiques hypnotiques. Prodromes des
attaques
. — Dub... présente les.signes précurseurs habi-tu
ues. — Dub... présente les.signes précurseurs habi-tuels de la grande
attaque
hystérique : agitation, perversion des idées et d
s, elle voit tout en rouge. 26 septembre 79. —Juliette Dub... a ses
attaques
depuis quelques ins-tants; à notre arrivée, elle
suivent, présentant des caractères sembla-bles aux mômes périodes des
attaques
précédentes. 1. Ce mouvement, qu'on pourrait me
alade menaça son amant de se faire mourir en s'étranglant. D'autres
attaques
se succèdent, qui ressemblent beaucoup à celles q
ent beaucoup à celles que nous venons de noter. 10 h. 56. —Nouvelle
attaque
beaucoup plus courte. 10 h. 57. — Nouvelle atta
h. 56. —Nouvelle attaque beaucoup plus courte. 10 h. 57. — Nouvelle
attaque
. 11 h. — Nouvelle attaque. 11 b. 4. — id. 11
ucoup plus courte. 10 h. 57. — Nouvelle attaque. 11 h. — Nouvelle
attaque
. 11 b. 4. — id. 11 h. 8. — id. Ace moment on
— id. Ace moment on met à la malade le compresseur de l'ovaire. Les
attaques
sont suspendues par le fait de la compression ova
suspendues par le fait de la compression ovarienne. Dans la série d'
attaques
qui vient d'être rapportée, on observe une périod
e compresseur toute la nuit, parce qu'elle sentait l'imminence de ses
attaques
. Ce matin, au moment où nous retirons l'appareil,
de ses attaques. Ce matin, au moment où nous retirons l'appareil, les
attaques
commencent aussitôt. I. — 10 h. 27. a). Tout le
e mouvements de crainte et de terreur. II. — 10 h. 30. Une nouvelle
attaque
débute subitement. à). Période épileptoïde sembla
oite; la malade veut fuir. Par la pression thoracique nous arrêtons l'
attaque
et la malade reprend aussitôt connaissance; mais
al-lucination reparaît à l'instant même, et la troisième période de l'
attaque
continue comme si de rien n'était. — Elle regarde
léger sourire effleure ses lèvres. Mais soudain survient une nouvelle
attaque
. IV. — 10 h. 36, a). La tète tourne à droite, q
elle regarde à côté d'elle sur son lit, semble fureter... Arrêt de l'
attaque
par la compression ovarienne. V. — 10 h. 43. No
de l'attaque par la compression ovarienne. V. — 10 h. 43. Nouvelle
attaque
aussitôt qu'on cesse la compression. a). Première
stes ne perdent rien de leur précision. VI — 10 heures 54. Nouvelle
attaque
qui survient aussitôt après le baiser. a). La t
— 10 heures 57. Puis elle porte ses mains à sa gorge et une nouvelle
attaque
survient, qu'on arrête par la compression ovarien
place de nouveau à la malade l'appareil compresseur des ovaires, et l'
attaque
est suspendue. On voit en somme que pendant une
e période fort développée, cette malade cause fort peu. Dans d'aulres
attaques
nous avons pu saisir des lambeaux de phrase com
dans le service de M. Charcot à la Salpêtrière. Elle a eu sa première
attaque
à douze ans. Elle est hémianesthésique à gauche,
illes énormes et dont les yeux sont « de toutes les couleurs ». Les
attaques
se rapportent parfaitement au type décrit, mais c
elques-uns des caractères de l'état cataleptique. Dans les séries d'
attaques
que nous avons pu observer chez cette malade, nou
ns vu la période épileptoïde ne pas se répéter régulièrement à chaque
attaque
et faire défaut quelquefois. Voici quelques not
t faire défaut quelquefois. Voici quelques notes prises pendant les
attaques
. 25 septembre. Math... a déjà eu, de 8 à 9 heur
soulèvent les épaules et les bras indiquent l'immi-nence de nouvelles
attaques
. En effet, tout d'un coup elle s'agite, elle saut
se débat comme pour se soustraire à un danger. 10 h. 14 m. Nouvelle
attaque
qui débute par la seconde période. La période épi
ait à Marc... Sa physionomie devient terrible. 10 h. 16 m. Nouvelle
attaque
qui débute également par le « chemin de fer » com
30 s. Troisième période. Attitude cataleptique semblable à celle de l'
attaque
précédente, suivie également d'une attitude de fr
vie également d'une attitude de frayeur. 10 h. 17 m. 30 s. Nouvelle
attaque
qui présente les trois périodes. Première pério
t à droite et demeurent convulsés dans cette direction. Une nou-velle
attaque
commence qui débute par le « chemin de fer». Cett
le visage radieux, les deux bras levés. 10 h. 27 m. 30 s. Nouvelle
attaque
qui débute comme la précédente par le « chemin de
passionnelles tour à tour terribles ou gaies. 10 h. 36 m. Nouvelle
attaque
analogue à la précédente. Période des grands mo
la pupille sous la paupière supérieure. C'est le début d'une nouvelle
attaque
qui présente les trois périodes. Période épilep
sions cloniques qui suivent sont plus fortement accentuées que dans l'
attaque
précédente qui a présenté également une période é
usses dans les bras et les épaules indiquent le retour d'une nouvelle
attaque
. 10 h. 55 m. Attaque sans période épileptoïde.
les épaules indiquent le retour d'une nouvelle attaque. 10 h. 55 m.
Attaque
sans période épileptoïde. La période des contorsi
oyennement dilatées, plutôt un peu resserrées. 11 h. 14 m. Nouvelle
attaque
composée seulement de deux périodes comme la préc
eulement de deux périodes comme la précédente. 11 h. 20 m. Nouvelle
attaque
, id. H h. 25m. On endort la malade par le chlor
que. Nous reviendrons sur ce dernier point au sujet des variétés de l'
attaque
. CINQUIÈME OBSERVATION. ErnesLine Pil..., dix
mammaire gauche (voy. p. 37). Elle ne ressent les prodromes de son
attaque
que dans les quelques heures qui précèdent. La do
oit pendant quelques instants tous les objets colorés en rouge. Les
attaques
d'Ernestine se rapprochent de l'hystérie vulgaire
fort longtemps. Elle peut durer une heure. Réveillée à ce moment de l'
attaque
, la malade déclare n'avoir aucune conscience de c
clare n'avoir aucune conscience de ce qui s'est passé. Si on laisse l'
attaque
se dérouler, le stertor est suivi parfois d une p
ts noirs avec de longues queues et des yeux rouges. Voici une série d'
attaques
prise dans tous ses détails : 26 septembre 1879
dans tous ses détails : 26 septembre 1879. Ernestine Pil... est en
attaques
depuis 20 minutes. 1 Oh. 2 m. L'attaque commenc
9. Ernestine Pil... est en attaques depuis 20 minutes. 1 Oh. 2 m. L'
attaque
commence par des ondulations précipitées de l'abd
titude qu'accompagne un ron-flement stertoreux. 10 h. 3 m. Nouvelle
attaque
qui débute comme la précédente par l'ondula-tion
ominales sont animées du même mouvement qui marque le début de chaque
attaque
. Suivent les grands sauts avec les cris, puis l
, pendant lesquels elle pousse des cris aigus. 10 h. 20 m. Nouvelle
attaque
exactement semblable à la précédente; mais plus c
n précipitée. Sauts et cris. Stertor dans la même attitude qu'aux
attaques
précédentes. Ensuite elle se lève : « Oh ! les
se une minute. 11 h m. La respiration se précipite, et une nouvelle
attaque
survient spontanément, semblable à celles que nou
on de l'ovaire gauche ramène aussitôt la connaissance et sus-pend les
attaques
. On maintient la compression pendant une demi-h
. On maintient la compression pendant une demi-heure environ et les
attaques
ne reparaissent point. La malade est restée au
psie de la quatrième période. Nous avons eu occasion d'observer une
attaque
chez cette malade avant son entrée à la Salpêtriè
dans le même dortoir que Suz... Dub..., Léonore R... et Math..., aux
attaques
desquelles elle assiste souvent, prêtant parfois
rniers détails, cette dernière partie de la crise se rapprochent de l'
attaque
de somnambulisme. Après avoir repris ses sens,
hystérogène au niveau du sein gauche. Quelque temps avant d'avoir ses
attaques
, elle se plaint du ventre, surtout du côté droit,
ie. Elle souffre aussi beaucoup de la tête et a l'humeur noire. Ses
attaques
s'écartent du type décrit et seront étudiées avec
partenant à la deuxième période. En voici un exemple : 1er octobre.
Attaques
. — On la comprime lorsque nous arrivons. Les at
1er octobre. Attaques. — On la comprime lorsque nous arrivons. Les
attaques
commencent aussitôt qu'on enlève la compression e
temps à autre quelques contractions dans les membres; puis bientôt l'
attaque
recommence de la façon que nous avons dite. La
n que nous avons dite. La compression ovarienne arrête subitement l'
attaque
. Elle a en outre des attaques de sommeil qui se
pression ovarienne arrête subitement l'attaque. Elle a en outre des
attaques
de sommeil qui se prolongent parfois pendant 36 h
de cette région. Nous n'avons eu que peu d'occasions d'observer les
attaques
de cette ma-lade qui a quitté le service le 19 no
e crises dont nous avons été témoin : 1er octobre. Rose L... est en
attaque
depuis 11 h. moins un quart, nous l'observons à 1
ttaque depuis 11 h. moins un quart, nous l'observons à 11 h. 1/4. Les
attaques
se succèdent pour former une série, et présentent
peut y distinguer trois phases; nous en notons quelques-unes : Une
attaque
est terminée, la malade a repris connaissance, el
!... non !... qu'il s'en aille... Il faut qu'il parte... » Sur trois
attaques
successives dont nous avons pris la durée, cette
nstants, 20 secondes deux fois, et 30 secondes une fois sur les trois
attaques
que nous avons notées. Si, pendant cette phase, o
à la malade un répit de durée variable avant le retour d'une nouvelle
attaque
. 11 est facile de rattacher au type que nous av
e de rattacher au type que nous avons décrit les diverses phases de l'
attaque
que nous venons de rapporter. La période épilepto
penser de l'influence de l'imitation sur la forme extérieure de leurs
attaques
? Suffit-elle à expliquer les ressemblances que no
ite. » Lorsqu'il y a dans mes salles plusieurs hystériques avec des
attaques
, c'est toujours celle qui a l'attaque la plus for
plusieurs hystériques avec des attaques, c'est toujours celle qui a l'
attaque
la plus forte qui donne le ton aux autres. Si ell
ui jusque-là avait eu des atta-ques non bruyantes, se mit pendant ses
attaques
à hurler et à aboyer exactement comme sa voisine
au mode d'arrangement des manifestations multiples qui composent une
attaque
de grande hystérie, à Tordre dans lequel se succè
le même dortoir que d'autres hystéro-épileptiques qui, pendant leurs
attaques
, n'ont jamais rien présenté de semblable. Enfin
à la Salpêtrière, il est des hystéro-épileptiques qui présentent des
attaques
qui s'écartent du type décrit et ne s'y rattach
it et ne s'y rattachent qu'à titre de variétés. Lesp... a surtout des
attaques
épileptoïdes, Ernestine PU... des attaques de gra
tés. Lesp... a surtout des attaques épileptoïdes, Ernestine PU... des
attaques
de grands mouvements et de contracture, Del... de
PU... des attaques de grands mouvements et de contracture, Del... des
attaques
de sommeil. La conception de la grande attaque
racture, Del... des attaques de sommeil. La conception de la grande
attaque
hystérique, telle que nous l'avons décrite, est a
essortir son action sur la forme extérieure de certaines parties de l'
attaque
, et principalement des deux dernières périodes. N
rsque nous aurons passé en revue les nombreuses variétés de la grande
attaque
hystérique. il Observations inédites recueill
n même établissement, dans une même salle, témoins souvent forcés des
attaques
les uns des autres; les sujets de ces observation
aractères sur lesquels nous avons basé notre description de la grande
attaque
hystérique. PREMIÈRE OBSERVATION1. Contractur
ie des muscles. Anémie. Anorexie. Aménorrhée. Hallucinations. Délire.
Attaques
convulsives. Mademoiselle X..., âgée de seize a
elé en consultation et la vit pour la première fois. Cette phase de l'
attaque
s'est atténuée dans la suite et fini par disparaî
he, jointes au délire avec halluci-nations et à la forme spéciale des
attaques
, font de ce cas un des plus beaux exemples qu'o
ici facilement reconnaissables. La raideur des membres du début de l'
attaque
appartient évidem-ment à la période épileptoïde.
es de calme, puis quelques mouvements des bras commençaient la grande
attaque
; ces mouvements étaient suivis bientôt de « l'arc
ici que par les grands mouvements des bras qui commençaient la grande
attaque
; suivaient les phénomènes que nous avons décrits
imées. Dès la suppression des règles étaient survenues de violentes
attaques
d'hystéro-épilepsie. Effrayés de la première cris
illa le traitement hydrothérapique. Chez cette malade le début de l'
attaque
était marqué par la sensation de boule, une doule
avaient cessé. Nous retrouvons là l'écume à la bouche au début de l'
attaque
comme signe épileptoïde, puis, comme dans l'obser
n l'air), parmi lesquelles on distingue Yarc de cercle. Le début de l'
attaque
est marqué par quelques phénomènes épi-leptoïdes
térisé par une nosomanie et une nécrophobie que rien ne peut vaincre,
attaques
convulsives, etc. La malade, âgée de vingt-cinq a
tin, nous sommes appelé en toute hâte, madame X...-est en proie à une
attaque
d'hystérie des plus violentes. Après s'être couch
onne de sa famille qu'elle n'aimait point. » Nous notons dans cette
attaque
dont le début n'a pu être observé, les grands mou
ge qui nécessita pendant sept mois l'usage de la sonde œsophagienne ;
attaques
convulsives violentes; surdité absolue, ou bien h
ation dans la Gazette des hôpitaux de 1878 et de 1879. Au sujet des
attaques
qui se montrèrent très violentes pendant trois mo
a maladie s'est développée isolément dans un coin de la province, les
attaques
offraient de grandes ressemblances avec celles de
le de la con-vulsion (arc de cercle) qui s'est rencontrée pendant les
attaques
. NEUVIÈME OBSERVATION. Mlle Marie X..., âgée
des passionnelles qui caractérisent la troisième période de la grande
attaque
. DIXIÈME OBSERVATION. Hystéro-êpilepsie. Cont
agné de détails nouveaux que nous a donnés M. Pascal sur la forme des
attaques
convulsives. » Les forces de la malade n'ont pa
ssaye de lutter, disant : « Non, je ne veux pas être malade. » Puis l'
attaque
débute brusquement par la perte de connaissance e
be dans l'immobilité tétanique qui inaugure une nouvelle crise. — Les
attaques
se succèdent ainsi pendant sept à huit heures. Ta
s les symptômes s'amender. La santé générale était bonne. Les grandes
attaques
avaient disparu. Il ne restait plus, comme au déb
ents qui marquent sa maladie appartiennent à l'hystérie grave, et les
attaques
con-vulsives ont présenté les caractères que nous
ons (arc de cercle); — en troisième lieu, attitudes de frayeur. — Les
attaques
ainsi composées se reproduisaient par séries d'un
produisaient par séries d'une durée fort longue. Enfin à la suite des
attaques
on a observé quelques-uns des troubles qui rentre
dix-neuf ans, à la suite de vives émotions, est survenue la première
attaque
d'hystérie. — Ceci eut lieu dans le Midi —. Les a
e la première attaque d'hystérie. — Ceci eut lieu dans le Midi —. Les
attaques
, qui se succédaient d'abord à de longs intervalle
n ; tout, jusqu'à la présence de son enfant, lui est à charge. Puis l'
attaque
éclate brusquement. La tête se tourne à droite
. La durée en est à peine d'une minute. A cette première phase de l'
attaque
succède, sans transition aucune, une nouvelle pér
aluent sa présence. C'est là que le cycle est complet. Une nouvelle
attaque
recommence, sem-blable à la première. Les trois é
qui ne cessent qu'au mo-ment où la compression cesse elle-même. Les
attaques
se succèdent ainsi pendant un temps qui varie d'u
pendant un temps qui varie d'une heure et demie à deux heures. Les
attaques
sont suivies ordinairement d'un délire non incohé
un haut degré la plupart des signes de la grande hystérie et dont les
attaques
ont offert, à un moment donné, tous les caractère
ère, dont on eût dit cependant qu'elle eût pris à tâche de copier les
attaques
. Voici quelques notes que nous devons à l'oblig
us en plus des grandes crises. Vers la fin de janvier 1879, la grande
attaque
est complète : position en cerceau, visions, exta
est partie pour le Brésil le 20 septembre, sans avoir eu de nouvelle
attaque
. J'ai reçu de ses nouvelles de Rio le 15 octobre;
epère, dans laquelle se trouvent consignés les caractères des grandes
attaques
que la malade a présentées, je joindrai le récit
ures, la malade semble s'assoupir, elle est prise d'étouffements et l'
attaque
éclate. Le bras droit quitte l'aimant, se contr
eure que la crise est commencée, lorsque semble surve-nir une seconde
attaque
: la physionomie perd toute expression, le bras d
si accusés et si sem-blables à notre description qu'ont présentés les
attaques
de cette jeune Brésilienne. Bien n'y manque et l'
dans la ville même où il exerce, un exemple de grande hystérie, avec
attaques
convulsives bien remarquables au point de vue de
eurement tous les symptômes d'une santé florissante. En dehors de ses
attaques
, elle ne se plaint que de quelques crampes d'esto
'ai pu savoir si la tête a été rendue. Dès la guérison survinrent des
attaques
dont la durée et la fréquence allèrent toujours c
jours croissant jus-qu'en février 1879. Quelques calmants pendant les
attaques
et immédiate-ment après constituèrent tout le tra
données, il me fut facile de conclure à l'existence de deux sortes d'
attaques
: 1" incomplètes; 2° complètes. Les premières r
. Les premières ressemblent aux symptômes prodromiques de la grande
attaque
à'hysteria major. Il n'y a pas perte de connaissa
ours mettent fin à cet état. Est-elle dans l'imminence d'une grande
attaque
, les symptômes précédents acquièrent une plus gra
Ce spasme viscéral diminue toutefois les chances que j'ai d'enrayer l'
attaque
. Les borborygmes ne sont pas rares. La compress
e qui commence. Un second effet de la compression dans les séries d'
attaques
, c'est le pas-sage subit à la période des contors
ois elle a poussé des éclats de rire. Dans toutes les autres séries d'
attaques
la figure de la malade revêt le masque de la tris
tête entre les épaules et se pelotonne d'effroi. Après une série d'
attaques
, lorsque l'accès touche à sa fin, j'en suis avert
èvres, et les mouches ne lui inspirent plus de crainte. La fin de ces
attaques
est marquée par un senti-ment de fatigue; elle se
euxième période que j'ai déjà dépeinte. Les trois der-nières séries d'
attaques
surtout ont été effrayantes comme cris, comme fur
cris, comme fureur; c'était une vraie rage. Voici le tableau de ses
attaques
accès depuis le mois de février 1870 : 20 févri
eposer les rares moments qui séparaient chaque fraction de la série d'
attaques
. Avant de devenir ma cliente, mademoiselle R...
enir ma cliente, mademoiselle R... avait, presque tous les jours, une
attaque
incomplète de plus ou moins longue durée, et, tro
moins longue durée, et, trois fois par mois en moyenne, des séries d'
attaque
qui se prolongeaient pendant cinq, six et dix heu
a famille et ne se voit refuser aucune satisfaction. En dehors de ses
attaques
, elle a un caractère très jovial et se trouve tou
use en ce moment, car depuis le 29 juillet dernier] elle n'a pas eu d'
attaque
complète ni incomplète. Quant aux faits recueil
nutes, la patiente demanda à être débarrassée, sous peine d'avoir une
attaque
. J'ai songé immédiatement au chlorure d'or que
us avons constaté : Une demi-heure et parfois immédiatement avant l'
attaque
, apparaît Y aura hystérique : ovarie gauche, doul
lus. Après un temps variant entre trois et cinq minutes, commence l'
attaque
. 1° L'inspiration devient légèrement sifflante,
n'y a ni pleurs ni rires; il existe une certaine mélancolie. Cette
attaque
durait un quart d'heure à vingt-cinq minutes, sel
ille forte, bien développée, bonne santé habituelle. Prodromes de l'
attaque
: malaise, anorexie, quelquefois vomissements.
de l'attaque : malaise, anorexie, quelquefois vomissements. Avant l'
attaque
, aura hystérique : douleur partant du côté gauche
la jeune fdle pâlit, incline la tête à gauche et perd connaissance. L'
attaque
est commencée : 1° Il existe une raideur semi-t
ré-solument un ennemi; tantôt, au contraire, elle s'élance sur lui, l'
attaque
, le frappe et cherche à le terrasser ; puis elle
i-tuel. DIX-SEPTIÈME OBSERVATION. Hystérie. Légère ovarie droite.
Attaque
convulsive. ' Mademoiselle X..., âgée de 16 ans
s phénomènes prodromiques (malaise, vertige, mélancolie) an-noncent l'
attaque
. Un peu avant l'attaque apparaît Y aura; pas de
(malaise, vertige, mélancolie) an-noncent l'attaque. Un peu avant l'
attaque
apparaît Y aura; pas de douleur ovarienne propre-
thmique. Hémianesthésie gauche. Dyschromatopsie chez un jeune garçon.
Attaque
convulsive. M. X..., âgé de onze ans, né à New-
à New-York (États-Unis), présente les sym-ptômes suivants : Avant l'
attaque
se montre l'aura .hystérique, consistant en : dou
lité nerveuse ne fit qu'augmenter; puis, un jour, il y eut syncope et
attaque
convulsive. Il s'agissait donc d'une hystérie a
-motrice. A ces différents troubles prodromiques s'ajoutent avant l'
attaque
les phénomènes de Yaura hysterica. La malade épro
diations constituant les différents nœuds de Yaura. Puis commence l'
attaque
spontanée hystéro-épileptique : A. Période épilep
l'emportent en enfer. Alors elle pousse un cri, gémit et pleure. Et l'
attaque
est terminée, après une durée moyenne de vingt-ci
tement après cette période de délire; c'est l'annonce, le début d'une
attaque
semblable à la première et bientôt suivie d'une a
ique. VINGTIÈME OBSERVATION. Hystéro-épilepsie. Prédominance de l'
attaque
épileptoïde. Madame X..., âgée de quarante et u
les seuls progrès de ce flot montant, la malade perd connaissance. L'
attaque
commence (dé-cembre 1878) : Première période. —
iode. — La malade reste dans la position où elle a été-surprise par l'
attaque
; elle est en général clans l'extension, la tête r
et des hallucinations de la vue que la malade fait connaître après l'
attaque
. La malade, durant cette phase, reste insensibl
ements rappelant ceux de la pre-mière période (phase clonique) et son
attaque
semble troublée dans ses phases. Quatrième péri
VINGT ET UNIÈME OBSERVATION. Hystéro-épilepsie. Prédominance de l'
attaque
démoniaque. Mademoiselle X..., âgée de vingt an
ssante la tourmente et la fatigue. C'est là souvent le prélude de l'
attaque
(janvier 1878). Première période. — Celle-ci s'
ère scène. Deuxième période. —C'est celle-là qui prédomine, c'est l'
attaque
démo-niaque ou celle des contorsions. Tout d'un c
INGT-DEUXIÈME OBSERVATION. Hystéro-épilepsie avec prédominance de l'
attaque
de délire. Mademoiselle X..., âgée de quinze an
e la Salpêtrière, nous trouvons sept observations dans lesquelles les
attaques
n'ont présenté qu'un certain nombre des traits (p
s contorsions et grands mouvements) de notre description de la grande
attaque
. Dans les quinze autres rien ne manque au tableau
t à Garmaux (Tarn) que l'hystérie a pris naissance et que les grandes
attaques
ont été observées. D'autres sont d'origine étrang
ord (New-York) (obs. xvm). Il nous semble donc acquis que la grande
attaque
hystérique, telle que nous l'avons décrite, n'a r
cessèrent plutôt qu'à l'or-dinaire. Quelques jours après, première
attaque
d'une sorte de syncope, avec pâ-leur du visage, p
ou, sans spasme ni convulsions : elle dura^environ dix minutes; mêmes
attaques
pendant les huit jours suivants, toutes les fois
te observation re-cueillie au commencement du siècle, nous voyons les
attaques
convulsives se composer d'un certain nombre de ph
u'aucune cause apparente en eût dérangé la nlarche. A cette époque,
attaque
inopinée d'un violent accès d'hystérie, anxiété e
lle suppression, à la suite d'une émotion vive, produisit une seconde
attaque
, etc. Les accès ont constamment pris plus d'inten
ai également l'influence de la pression caro-tidienne sur l'arrêt des
attaques
et celle de la musique sur la vio-lence des convu
ant quinze mois, et durant tout ce 1. Nous étudierons plus loin les
attaques
hystériques compliquées de catalepsie. 2. J.-G.
et le visage qui devient hideux. QUATRIÈME OBSERVATION 1. Sur une
attaque
d'hystérie portée au plus haut degré, recueillie
es bains. La jeune malade en avait pris neuf, lorsqu'elle éprouva une
attaque
de convulsion très forte, qui revint tous les hui
nger; le reste du jour fut assez tranquille. Le lendemain, nouvelle
attaque
; elle fut moins forte que celle de la veille: ent
s grimaces et les contorsions ridicules sont également signalées. L'
attaque
du 15 germinal présenta des phénomènes qu'on n'a-
ents opposés que la malade témoigne à sa mère immédiatement après ses
attaques
, tantôt l'accablant de caresses, tantôt cherchant
peu de précision dans les détails, il est facile de reconnaître que l'
attaque
dont il est question ne saurait être autre que ce
es qui résultent des phénomènes de délire ou d'extase par les-quels l'
attaque
se terminait. DIXIÈME OBSERVATION 1. R... (Ma
ndant a longtemps souffert de l'esto-mac, et le père a eu en 1861 une
attaque
de paralysie. La malade a eu du rachitisme et n'a
irrégulières avec des suspensions de cinq à huit mois. La première
attaque
est survenue à l'âge de dix-sept ans; sa seule ca
e est que la malade avait reçu des coups sur la tête. Depuis lors les
attaques
se sont répétées sans régularité, le plus souvent
is elle tombe si elle est debout. Pendant cette première période de l'
attaque
qui s'accompagne de boule hystérique, de constric
plancher; avec la perte de connaissance du monde exté-rieur arrive l'
attaque
convulsive à convulsions larges, étendues, égales
e dit ou fait autour de son lit n'est perçu par elle à ce moment de l'
attaque
. U y a un, deux ou trois paroxysmes de ce genre,
de l'attaque. U y a un, deux ou trois paroxysmes de ce genre, puis l'
attaque
cesse au bout d'une demi-heure ou une heure, lais
t des points douloureux. Dans quelques-uns des paroxysmes de quelques
attaques
, il y a de la raideur tétanique du tronc et des m
écume à la bouche, c'est la période épileptiforme. Juin 1861. — Les
attaques
se sont rapprochées de plus en plus; elles ar-riv
,a perdu la mémoire et a des idées singulières. Dans l'intervalle des
attaques
reviennent des accidents hystériques très variés,
des accidents hystériques très variés, formant quelquefois de légères
attaques
sans mélange d'épilepsie ou bien s'y mélangeant.
la contorsion si commune de Farc de cercle. H est dit de plus que les
attaques
étaient quelquefois suivies d'une phase déliran
onvulsions dans la première enfance. A seize ans, n'ayant jamais eu d'
attaques
de nerfs auparavant, elle assista à la mort de sa
ent ses règles, qui coulaient, s'arrêtèrent, et elle eut une première
attaque
qui dura vingt-quatre heures, avec perte de conna
qui dura vingt-quatre heures, avec perte de connaissance. La seconde
attaque
parut un mois après. Les suivantes se rapprochère
palpitations, à des nausées, à des douleurs vagues, surtout avant ses
attaques
. Tous les mois environ, elle est malade pendant
nt, mais l'hystérie domine presque toujours. La plupart du temps, les
attaques
se présentent comme suit : après quelques prodrom
s, tels que ma-laise général, tristesse, douleurs, nausées, vient une
attaque
hystérique, avec perte apparente de connaissance
uis les épileptiques, plusieurs fois de suite. Quelquefois elle a des
attaques
hystériques isolées ou des accès épileptiques iso
aques hystériques isolées ou des accès épileptiques isolés. Entre les
attaques
elle a une anesthésié permanente complète de tout
e y mettre fin... 17 avril. — La chorée a disparu peu à peu et sans
attaque
sous l'influence des douches froides. Souvent ell
.. 24 octobre. — Hier soir plusieurs malades voisines avaient leurs
attaques
, chacune avec son cachet propre : l'une, de l'épi
une seconde, un état de mal épileptique (obs. L); une troisième, une
attaque
d'hystérie; notre malade, qui avait été indisposé
rie; notre malade, qui avait été indisposée toute la journée, eut une
attaque
avec grandes convulsions hystériques du tronc et
de sa mère. Et c'est cette pensée qui, pendant le délire des grandes
attaques
, revient sans cesse à son esprit. La période ép
t, loc. cit., obs. IV. 6 décembre. — Ce matin il y a une épidémie d'
attaques
hystériques et hystéro-épileptiques; cinq malades
ileptiques; cinq malades en ont à la fois. Notre malade a d'abord une
attaque
hystérique : spasmes, convulsions étendues, les b
nny-Dôsirée), âgée de vingt-cinq ans. Père épileptique, mort dans une
attaque
; grand-père paternel somnambule; un oncle paterne
pure (chutes, morsures de la langue) ; à cet âge ont paru de longues
attaques
avec cris et grandes convulsions. La malade a été
. cit., obs. V. tante au sortir de Saint-Yon ; mais depuis lors les
attaques
sont revenues comme auparavant. 12 avril 1861.
61. — Peu de jours après son entrée dans le service, elle a une forte
attaque
convulsive qui dure plusieurs heures et qui laiss
onnent des grimaces continuelles. 26 avril. —Hier soir ily a eu une
attaque
convulsive complexe, pendant laquelle la malade,
Les hallucinations variées et passagères de la vue et de l'ouïe, les
attaques
hystériformes, les accès d'épilepsie, la contract
nant, qu'elle ait continué à avoir de temps à autre, en dehors de ses
attaques
où l'hystérie prédominait, des attaques de vérita
mps à autre, en dehors de ses attaques où l'hystérie prédominait, des
attaques
de véritable épi-lepsie, c'est fort possible, et
n donnent bien le droit. Mais il n'en est pas moins vrai que dans les
attaques
où les symptômes des deux névroses parais-saient
s-saient se mêler, on retrouve facilement les caractères de la grande
attaque
hystérique, telle que nous l'avons décrite avec s
tte malade comme de celles que nous avons observées; et que, dans les
attaques
mixtes, l'épilepsie n'était quedans laforme, la n
ie. J'ai rapporté tout au long cette observation, car, en outre des
attaques
, il est, entre les phénomènes morbides variés qu'
t affaiblie beaucoup; elle paraît avoir été intelligente. La première
attaque
convulsive survint vers vingt-deux-ans, un mois a
e son entrée dans l'asile, nous ne voyons mentionnées que les grandes
attaques
hystériques. Elle a cependant, d'après le rapport
bout de une'ou deux minutes, l'intelligence renaît rapidement. Les
attaques
que nous avons vues plusieurs fois appartiennent
ais non exclusivement, au moment des règles. La malade sent venir ses
attaques
et demande à être camisolée. Pendant les jours qu
d connaissance ; il lui semble qu'elle a fait un mau-vais rêve. Les
attaques
rapportées clans cette observation présentent de
us le démon-trerons plus loin quand nous traiterons des variétés de l'
attaque
, appartient aussi à la grande hystérie. Il n'est
OBSERVATION1. La jeune Marie B. est le plus souvent avertie de son
attaque
. Tantôt, dit-elle, un fard lui monte de l'estomac
avagants, sa physionomie respire le bonheur et la volupté. Alors ou l'
attaque
cesse, ou bien elle continue en changeant de form
e connaissait même pas la fable de nom... Dans cette observation, l'
attaque
débute par des phénomènes épileptiformes non dout
de chloroforme occasionnent chez nos malades une variété de la grande
attaque
qui se trouve alors réduite aux attitudes passi
souvenir des hallucinations de la troisième période persiste après l'
attaque
, tandis que la malade de M. Baillif ne garde la m
en a. Ce coma, variable dans sa durée, constitue quelquefois toute l'
attaque
. Elle semble alors dormir d'un sommeil profond, s
ements du cœur tumultueux. Puis, la malade se rapproche de la franche
attaque
a" hystérie, s'arrache les cheveux, fait des bond
plus à la gène de la respiration ? Pendant cette seconde phase de l'
attaque
, la face est moins rouge, la res-piration est tou
rencontre d'une façon intermittente pendant toutes les périodes de l'
attaque
. Inutile d'ajouter que toutes les sensibilités so
lentement. Ni les pleurs, ni les rires, si fréquents à la suite de l'
attaque
d'hystérie. Une chose digne de remarque, c'est qu
s avons souvent eu l'occasion devoir M. Schiitzenberger provoquer des
attaques
en pratiquant une pression sur la région ovarique
Ici, tout au contraire, une pression sur la région ovarique arrête l'
attaque
. Si, au début de l'attaque, on exerce une région
e pression sur la région ovarique arrête l'attaque. Si, au début de l'
attaque
, on exerce une région énergique, on fait avorter
début de l'attaque, on exerce une région énergique, on fait avorter l'
attaque
; si déjà elle dure depuis un certain temps, on ob
us a toujours réussi chez cette malade, et elle n'a jamais repris son
attaque
. Voici ce qui se passe : la malade, tout d'abor
nd soupir. Alors tout est fini; elle ouvre aussitôt les yeux... Les
attaques
ne se composent ici que des deux premières pé-rio
cédant comme il convient. De plus, la pression ovarienne arrêtait les
attaques
; il existait même d'autres points hystérogènes.
ession première fut,je dois V avouer, que j'avais devant les yeux une
attaque
d'épilepsie; mais bientôt le tableau changea; les
ait déjà une demi-heure que j'assistais à ces différentes phases de l'
attaque
, quand ma-demoiselle S... se mit à pleurer, sans
our satisfaire à un pres-sant besoin d'uriner. Jamais, depuis que ses
attaques
existaient, il n'était ar rivé à la malade d'urin
s ni tintements d'oreilles. On ne saurait trouver une description d'
attaques
pins conforme à celle que nous avons donnée. Dans
intéressante observa-tion, au sujet des variétés somnambuliques de l'
attaque
d'hys-téro-épilepsie. QUELQUES AUTEURS ÉTRANGER
M. Charcot concernant le même sujet. La description qu'il donne des
attaques
est incomplète. Il est possible cependant d'y ret
ependant d'y retrouver bien des traits de notre descrip-tion. « Une
attaque
d'hystéro-épilepsie, dit-il, est caractérisée par
gent diabolique intérieur ou extérieur. « Pendant cette partie de l'
attaque
, le malade déchire avec ses mains et avec ses den
pte de ce qui se passe autour de lui. « Pendant toute la durée de l'
attaque
le visage est rouge, les pupilles modérément cont
t irrégulière... » L'auteur signale ensuite quelques modalités de l'
attaque
sur les-quelles nous reviendrons plus loin. Il y
rent avec les nôtres de nombreux points de rapprochement : «... Les
attaques
, souvent au nombre de 40 à 70 dans un jour, comme
Edizionne originale italiana 1878, p. 495. toreuse et profonde. Les
attaques
ne sont pas toujours aussi complètes ni aussi rég
ère et que les membres font des mouvements in-coordonnés. Pendant ces
attaques
on observe une sorte de délire de paroles et d'ac
nscience. L'étal comateux n'a été observé qu'une fois, en général les
attaques
étaient suivies d'une légère dépression et d'apat
tion, et dont nous traiterons plus loin au chapitre des variétés de l'
attaque
, il est facile de constater que les attaques de c
hapitre des variétés de l'attaque, il est facile de constater que les
attaques
de ces malades ont présenté la plupart des carac-
le avait été chloro-tique et était très nerveuse. C'était sa première
attaque
. Deux jours après son entrée, on la vit s'endormi
n lui plaçant de l'ammoniaque sous le nez ou en la piquant. Outre ces
attaques
, il lui arrivait souvent de marcher dans cet état
ractère timide et sensible. Elle désirait vivement être guérie de ses
attaques
. Elle ne présentait à aucun degré ce besoin morbi
agissaient pas à la lumière, pouls 120; température 99° Fahrenheit. L'
attaque
, par conséquent, ne différait en rien d'une vérit
heit. L'attaque, par conséquent, ne différait en rien d'une véritable
attaque
d'épilepsie. La cyanose n'était pas aussi prononc
epsie. La cyanose n'était pas aussi prononcée que dans une très forte
attaque
d'épilepsie, mais était nettement caractérisée, e
e de sang. Un léger trouble des idées et du vertige succédait à ces
attaques
, mais il n'y avait pas de stupeur, et si elles ét
e. Souvent, pas toujours, la malade était avertie de l'approche d'une
attaque
, et cela constitue un des éléments de diagnostic
l'aura dans la première étant généra-lement de plus brève durée. Ces
attaques
augmentèrent graduellement d'in-tensité et s'acom
ni la face n'étaient déviées... Enfin, la malade présente de fortes
attaques
hystériques convulsives, qui succèdent aux attaqu
résente de fortes attaques hystériques convulsives, qui succèdent aux
attaques
épileptiformes et dans lesquelles la conscience n
ent de contorsions violentes et de contractures hystériques. Dans ces
attaques
, il y avait fréquemment des cris qui manquaient t
courir, les yeux ouverts, évitant les obstacles, et, au sortir de ces
attaques
, elle était absolument inconsciente de ce qui s'é
ystériques... Pendant le sommeil, et plus rarement à la suite d'une
attaque
, les bras s'étendaient en croix, le corps devenai
r l'attention par une niaise tentative de symbolisme. Après une forte
attaque
, il n'y avait pas de stupeur, mais du vertige tou
brale et que la malade a éprouvé une frayeur à l'âge de quinze ans. L'
attaque
fut provoquée par l'annonce brusque de la mort su
ement défaut et son état empira; elle avait quotidiennement plusieurs
attaques
d'hystérie. Une se-maine après, elle fut effrayée
cerea et gardaient la position qu'on leur donnait. Elle eut plusieurs
attaques
épileptiformes presque semblables à celles deM.M.
ifs. Des nausées et des vomissements se montraient par-fois pendant l'
attaque
. Les phénomènes somnambuliques n'étaient pas si m
dait sa langue, écumait, et l'opisthotonos était très prononcé. Les
attaques
hystériques avaient un caractère très tranché et
asme ou une paralysie temporaire des cordes vocales suivait souvent l'
attaque
et causait une aphonie hystérique de quelques min
et dans une occasion, il y en eut de 20 à 25 dans un jour. Après ces
attaques
, il y avait pendant quelque temps de la confusion
s-ci reparaissaient dès que l'administration en était suspendue, et l'
attaque
était en définitive prolongée1. Les observation
s aurons appris à connaître. CHAPITRE VIII PARALLÈLE DE LA GRANDE
ATTAQUE
HYSTÉRIQUE OU ATTAQUE HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE ET DE L
aître. CHAPITRE VIII PARALLÈLE DE LA GRANDE ATTAQUE HYSTÉRIQUE OU
ATTAQUE
HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE ET DE L'ATTAQUE D'HYSTÉRIE VU
TÉRIE VULGAIRE. Après avoir bien défini les caractères de la grande
attaque
d'hystérie, il est nécessaire de rechercher quell
nécessaire de rechercher quelles relations exis-tent entre la grande
attaque
et l'attaque d'hystérie vulgaire, de l'hystérie q
e rechercher quelles relations exis-tent entre la grande attaque et l'
attaque
d'hystérie vulgaire, de l'hystérie que le pratici
donne, Louyer-Villermay n'insiste que sur l'apparence épileptique des
attaques
, et, pour la séparer de l'épi-lepsie véritable, n
nt peine à le contenir quand une seule suffirait hors le temps de ses
attaques
. L'abdomen est souvent rétracté etla compression
s malades qui vomissaient fort souvent des flots de sang durant leurs
attaques
. » La durée des attaques est ordinairement de p
ort souvent des flots de sang durant leurs attaques. » La durée des
attaques
est ordinairement de plusieurs heures; mais les a
int ordinairement la parole. Quelquefois cependant on voit de longues
attaques
, des attaques qui durent un ou plusieurs jours, q
ent la parole. Quelquefois cependant on voit de longues attaques, des
attaques
qui durent un ou plusieurs jours, qui présentent
et même prennent des aliments... » Quelquefois, à la suite de leurs
attaques
ou dans l'intervalle des pa-roxysmes, les malades
on à faire et qui soit bien tranchée, est relative à l'in-tensité des
attaques
et se tire de l'état des fonctions de l'entendeme
use, vive et instantanée. Ce qu'il y a de certain, c'est que dans ces
attaques
ce ne sont, en général, que les muscles employés
ns sont ordinairement plus intenses, et se rapprochent davantage de l'
attaque
épileptique. Quelques-uns ont un côté du corps pl
te classe que s'observent le plus souvent les malades qui, dans leurs
attaques
, ont de l'écume à la bouche, la face violette et
lownisme) ne saurait être mieux faite. Et leur invasion dans une même
attaque
est parfaitement indiquée plus loin : ce... Et qu
e est parfaitement indiquée plus loin : ce... Et quelquefois une même
attaque
présente des pa-roxysmes hystériques et des parox
igne épileptique. « Je ne crois pas, avec beaucoup d'auteurs, que l'
attaque
hystérique puisse exister encore lorsque, à une p
cita-tions extérieures, la malade offre pendant les rémissions de ses
attaques
, un état singulier d'extase ou de somnambulisme.
vulgaire, et comme faisant corps avec les autres manifestations de l'
attaque
, les paroxysmes d'extase ou de manie. 1. Compen
est une erreur de rattacher à l'hystérie comme phénomène constant les
attaques
de spasme suffocant avec sentiment d'ascension de
iment d'ascension de boule hystérique. Il est deux autres formes de l'
attaque
qui sont très fréquentes et qui coïnci-dent souve
exaltation, les hallucinations... qui peuvent se rencontrer pendant l'
attaque
d'hystérie. «Le délire n'est pas rare... pendan
2. » A propos des phénomènes épileptoïdes qui se rencontrent dans l'
attaque
d'hystérie vulgaire, l'opinion du même auteur est
ent éprouver les différents phéno-mènes qu'il vient de décrire dans l'
attaque
d'hystérie ordinaire, sans qu'au fond leur nature
ntrer isolés dans des accès bien distincts, ou combinés dans une même
attaque
. Cependant il a soin d'ajouter que, dans d'au-tre
'auteur qui les a déjà indiqués sommairement dans la description de l'
attaque
d'hys-térie ordinaire, y revient en ces termes :
antôt des sens. » Axenfeld1 après avoir décrit comme symptômes de l'
attaque
hystérique les convulsions qui se rattachent plus
ellement la malade ou qui l'ont vivement frappée peu de temps avant l'
attaque
. Quelquefois ses facultés sont dans un état d'exa
odorat, l'ouïe) présentent une prodigieuse finesse. Enfin pendant l'
attaque
, on observe quelquefois des syncopes, des halluci
803, loin. IV, pages G12. Nous terminerons cet exposé critique de l'
attaque
d'hystérie vulgaire par quelques citations emprun
la description que M. Briquet donne des convul-sions qui composent l'
attaque
d'hystérie vulgaire, le passage sui-vant a manife
ième période semble constituer à elle seule la plusgrande partie de l'
attaque
d'hystérie vulgaire. Aussi les auteurs la décrive
certain nombre d'hystériques dont les cris durent tout le temps de l'
attaque
, et ces cris sont analogues à ceux que pousserait
s les divers mouve-ments auxquels se livre la malade à ce moment de l'
attaque
: « Au moment, dit-il, où, après un certain tem
e une sorte de rêve. » Enfin on voit quelquefois survenir pendant l'
attaque
... des hallucina-tions... des extases... » Cell
ions de choses effrayantes. Une jeune fille, qui avait eu sa première
attaque
immédiatement après avoir été violée, voyait touj
Dans toutes les descriptions que les auteurs nous ont laissées des
attaques
de la petite hystérie, nous retrouvons soit épars
rdonnés, tous les traits du tableau que nous avons tracé de la grande
attaque
hystérique. Nous les y trouvons tantôt atténués
lire, étaient contenus au moins en germe dans les manifestations de l'
attaque
d'hystérie vulgaire. La présence d'hallucinatio
sence d'hallucinations variées et de délire parmi les symp-tômes de l'
attaque
d'hystérie n'entraîne pas nécessairement la compl
es troubles intellectuels ou senso-riaux qui font partie de la grande
attaque
n'appartiennent en au-cune façon à l'aliénation m
e. »..... Oiss. Madame C... est depuis plusieurs années sujetleàdes
attaques
d'hys- quer, au sujet des hallucinations des hy
née d'un pareil acte de brutalité, qu'elle fut surde-champ atteinte d'
attaques
de nerfs qui se répétèrent les jours suivants, tr
rustes et atténuées, car il est incontestable que la description de l'
attaque
d'hystérie vulgaire s'éclaire singulièrement lors
stant : il est près de moi il veut me saisir. Les jours suivants, les
attaques
se renouvelèrent jusqu'à dix-sept fois par jour.
s d'hystérie. Cette jeune fille présente ceci de remarquable, que ses
attaques
sont d'abord précédées de frisson, sa figure est
uissement se prolonge encore une demi-heure ou une heure. » Après l'
attaque
elle reste quelque temps sans pouvoir parler, et
rai-tement. DEUXIÈME PARTIE DES PRINCIPALES VARIÉTÉS DE LA GRANDE
ATTAQUE
HYSTÉRIQUE Lorsque, par l'élude attentive d'un
et obscurs, jusque-là négligés à dessein. L'étude des variétés de l'
attaque
hystéro-épileptique nous paraît être la partie la
et celle qui pré-sente peut-être le plus haut intérêt pratique. Si l'
attaque
complète se rencontre rarement, le praticien se t
gaire. En montrant de quelles modifications est susceptible la grande
attaque
d'hystéro-épilepsie, nous espérons donner la clef
avait déjà parfaitement indiqué les transformations que peut subir l'
attaque
d'hystérie, dans un passage que je cilerai tout a
certain nombre des formes anormales de l'hystérie, dans lesquelles l'
attaque
est on peut dire, uniquement constituée par un ac
ent où survient la perte de connaissance1 ». M. Charcot admet que l'
attaque
d'hystéro-épilepsie peut se modifier suivant deux
même s'effacent; ainsi se produisent : a, Xattaque épilep-toïde; b, Y
attaque
démoniaque ; c, Y attaque d'extase; d, Y attaque
produisent : a, Xattaque épilep-toïde; b, Y attaque démoniaque ; c, Y
attaque
d'extase; d, Y attaque de délire1; 2° par immixti
e épilep-toïde; b, Y attaque démoniaque ; c, Y attaque d'extase; d, Y
attaque
de délire1; 2° par immixtion d'éléments étrangers
r immixtion d'éléments étrangers à la constitution fon-damentale de l'
attaque
, tels que le somnambulisme,la léthargie et la cat
ous étudierons successivement chacune de ces variétés. 1. La grande
attaque
se compose de quatre périodes qui peuvent se comb
ètement impossible de remplir, dans la des-cription des variétés de l'
attaque
, le cadre immense ainsi tracé. Nous nous bornons
CHAPITRE PREMÎEll VARIÉTÉ PAR MODIFICATION DE LA PREMIÈRE PÉRIODE.
ATTAQUES
ÉPILEPTOÏDES Les auteurs qui ont décrit l'attaq
REMIÈRE PÉRIODE. ATTAQUES ÉPILEPTOÏDES Les auteurs qui ont décrit l'
attaque
d'hystéro-épilepsie se sont contentés d'exposer l
tre première période. Témoin la description qu'en donne Briquet. ((
Attaques
tantôt soudaines, tantôt précédées de malaises te
ne description qui ne saurait convenir qu'à une partie seulement de l'
attaque
hystéro-épileptique, à la période épilep-toïde, e
nt est susceptible la période épileptoïde, dans le cours d'une grande
attaque
dont les diverses périodes évoluent régulièrement
Elle peut être réduite à un de ses éléments de façon h constituer des
attaques
épilep-toïdes incomplètes ; ou bien la prédominan
gers à la période épileptoïde et appartenant aux autres périodes de l'
attaque
. En outre des modifications qui portent sur les
épileptoïde, la façon dont cette période se répète pour produire les
attaques
épileptoïdes est encore susceptible de variété. —
core susceptible de variété. — Elle apparaît isolément à la façon des
attaques
d'épilepsie vraie; ou bien elle se reproduit un g
cela a lieu dans Vétat de mal épileptiqiie. Par analogie la variété d'
attaque
hystéro-épileptique, ainsi produite, mérite le no
téro-épileptigve. Celle dernière dénomination s'applique aux séries d'
attaques
composées de leurs quatre périodes. Entre ces deu
taques composées de leurs quatre périodes. Entre ces deux extrêmes, l'
attaque
épileptoïde isolée et Tétat de mal épileptoïde, i
pileptoïde, il existe des degrés intermé-diaires. Ainsi l'on voit les
attaques
, au lieu de se suivre sans inter-ruption, ne se s
heure..., ou bien ce sont de petites séries de deux, trois ou quatre
attaques
, qui se répètent à des intervalles éloignés, etc.
oit d'après ce qui précède que les variétés épileptoïdes de la grande
attaque
hystéro-épileptique puissent se multiplier h l'in
. État de mal épileptoïde ; b. Accès épileptoïdes incomplets ; c.
Attaque
de spasme viscéral ; d. Attaque épileptoïde ave
ccès épileptoïdes incomplets ; c. Attaque de spasme viscéral ; d.
Attaque
épileptoïde avec contracture généralisée et perma
nente. § 1. — ÉTAT DE MAL ÉPILEPTOÏnE Il n'est pas rare de voir l'
attaque
hystéro-épileptiquc se borner à sa première pério
u soir : de huit à neuf heures, il y a eu un temps de repos, puis les
attaques
ont repris comme de plus belle sans le moindre re
d'une manière approximative, évaluer sans exagération le chiffre des
attaques
épileptiformes qu'elle a éprouvées à cette époque
ptoïde se prolonger 4 ou 5 heures, et les séries composées de 50 à 60
attaques
épileptiformes ne sont pas rares. Gen... surtout
s d'urines ou de matières fécales. ) Dans les courts répits que ses
attaques
lui laissaient, la ma-lade se levait pour satisfa
te gravité des phénomènes épileptiformes qui dominent la scène. Les
attaques
dont la réunion constitue l'état de mal épileptoï
at de mal épileptoïde, I. Au contraire, dans d'aulres variétés de l'
attaque
Iiystéro-cpileptique, la pliase épileptoïde est r
deuxième période et nous la retrouverons lors de la description de l'
attaque
démoniaque. Les observations suivantes que nous
nance du tétanisme. « Quelquefois, dit Hammond après avoir décrit l'
attaque
épileptoïde régu-lière, le spasme tétanique fait
ant une demi-heure. » ... Une malade que je soigne maintenant a des
attaques
quotidiennes, tou-jours à peu près à la même heur
après le commencement de la raideur, le spasme cesse subitement et l'
attaque
se termine par une inspira-tion longue, pour reco
toujours accompagnée (lu cri épileptique, mais moins prolongé qu'aux
attaques
..... » ... Nous avons observé quatre patients q
donc, ou peut olfrir les trois ordres essentiels de symp-tômes d'une
attaque
d'épilepsie : les convulsions externes, les spasm
er le tableau et transformer ces menaces d'épilepsie en une véritable
attaque
épileptiformc composée des trois phases ordinaire
, répétée un certain nombre de fois, ne tarde pas à taire éclater une
attaque
épileptoïde complète avec écume et stertor prolon
établir ici entre les vertiges, les secousses, les commo-tions, et l'
attaque
épileptoïde. Chez une même malade on observe souv
apporterons un peu plus loin un exemple recueilli sur Gen... § 3. —
ATTAQUE
DE SPASME VISCÉRAL La prédominance du spasme vi
erver chez Bar... Le 26 juin 1878, B... a eu toute l'après-midi des
attaques
liystéro-épilep-tiques avec les caractères qu'ell
ns démenties et laisser au hasard les règles de sa conduite. § k. —
ATTAQUE
ÉPILEPTOÏDE AVEC CONTRACTURE GÉNÉRALISÉE ET PERMA
Ierpin, sous le nom de commotions épileptoïdes, ou bien de véritables
attaques
épileptiformes avec leurs diverses phases complèt
le appelle : « Bot! Bot !'» comme dans le délire qui suit ses grandes
attaques
. d. Enfin les accès se reproduisent avec ce même
a une heure et demie que Besch..., est contracturée et qu'elle a des
attaques
épileptiformes, lorsqu'on vient me chercher. Be
jambe droite par-dessus la jambe gauche. Par instants, survient une
attaque
épileptoïde qui présente les caractères suivants
on peut également se demander si l'on n'est pas ici en présence d'une
attaque
léthargique accompagnée de contracture générale,
symptômes épi-leptoïdes. Nous traiterons plus loin de cette variété d'
attaque
hys-téro-épileptique. ATTAQUE DEMONIAQUE A.De
aiterons plus loin de cette variété d'attaque hys-téro-épileptique.
ATTAQUE
DEMONIAQUE A.Delahaje et E, Lccrosnipr. GHA'P
AR MODIFICATION DE LA DEUXIÈME PÉRIODE. — 1°AT-TAQUE DE CONTORSION OU
ATTAQUE
DÉMONIAQUE; — 2° AT-TAQUE DE GRANDS MOUVEMENTS OU
E; — 2° AT-TAQUE DE GRANDS MOUVEMENTS OU ATTAQUE DE CLOWNISME. 1. —
ATTAQUE
DE CONTORSION OU ATTAQUE DÉMONIAQUE. De la desc
S MOUVEMENTS OU ATTAQUE DE CLOWNISME. 1. — ATTAQUE DE CONTORSION OU
ATTAQUE
DÉMONIAQUE. De la description des phénomènes mu
r arriver aux peintures afFreuses des convulsions des pos-sédés. Or l'
attaque
hystéro-épiîeptique peut, dans certains cas, se t
e période. Prenez en outre tout ce qui, dans les autres périodes de l'
attaque
, pré-sente un dehors plus ou moins extraordinaire
la troisième période. Et vous aurez ainsi constitué une variété de l'
attaque
bien faite pour inspirer, suivant les temps, la c
ration. Eh bien, ce n'est point là un type de fantaisie. Ces sortes d'
attaques
se rencontrent dans la réalité. Nous avons pu nou
a qualifiées de démoniaques. Première Période. — Dans ces sortes d'
attaques
, la période épilep toïde est toujours facilement
modifiée par la prédominance de la contrac- FlG. 91. — Contorsion.
Attaque
démoniaque. ture, ou amoindrie par la suppressi
ou généralisé. La respiration reprend pé- iùG. 'J'J. — Coutursion.
Attaque
démoniaque. uiblement, elle est silllante et en
u de la colère : les yeux dé- lUClIKR. • 20 ViG. 93 — Contorsion.
Attaque
démoniaque. mesurément ouverts, la boui^he tira
s de bête féroce. Elle se démène comme une forcenée; Ler..., dans ces
attaques
, ne peut conserver aucun vêtement, et a bientôt m
p. oii) de représenter l'aspect du lit de Ler.... lors de ses grandes
attaques
el le nombre des aides nécessaires pour la mainte
tre imaginaire ou lui l'aire la grimace, lui Fig. 9i. — Contorsion.
Attaque
démoniaque. FiG. 95. — Contorsion. Attaque démo
Fig. 9i. — Contorsion. Attaque démoniaque. FiG. 95. — Contorsion.
Attaque
démoniaque. (^"acherau visage, pendant que ses
les as-sistants de la soulager. En résumé, on voit que ces sortes d'
attaques
sont particulière-ment caractérisées par la prédo
nce et, en arrachant des cris affreux à la malade, im-prime à toute l'
attaque
un cachet de souffrance tellement horrible que le
ble émotion. Marc... etLer... distinguent fort bien elles-mêmes les
attaques
qu'elles nommentleurs tortillements des autres, q
s qu'elles nommentleurs tortillements des autres, qui sont \Q?grandes
attaques
. Elles peuvent prévoir même, d'après l'intensité
évoir même, d'après l'intensité des phé-noinènesde l'aura, le genre d'
attaque
qu'elles vont avoir. Elles pré-fèrent de beaucoup
attaque qu'elles vont avoir. Elles pré-fèrent de beaucoup les grandes
attaques
aux tortillements : dans les premières,elles perd
idérée comme l'expression la plus complète de la variété de la grande
attaque
que nous étudions ici. 1. L'observation du D'"
apportée plus haut (p. 226, 21'= obs.), est un exemple fort complet d'
attaque
démoniaque et se rapproche absolument des tor-til
mar-quée par les contractures généralisées et douloureuses. Mais l'
attaque
de contorsion n'existe pas toujours avec ce degré
iste pas toujours avec ce degré de violence qui lui a mérité le nom d'
attaque
démoniaque. Les traits en peuvent être atténués.
e d'hystérie dans lequel les manifestations variées qui composent les
attaques
se rapportent à notre deuxième période. La prédom
chaque fois quatre, cinq ou six jours. Des contrariétés ont rendu ces
attaques
très fréquentes et presque journalières. A dater
R A N D S MO L' \ E M K N T S OU AT T A Q U E DE CLOWN ISME. Dans l'
attaque
démoniaque, que je viens d'essayer de dé-crire, l
qu'un rang secondaire. Par contre, il existe une auti^e variété de l'
attaque
hysléro-épileplique également créée aux dépens de
e et à déchirer, et parfois l'accès devient furieux. D'autres fois, l'
attaque
de gi^ands mouve-ments n'a tien d'effrayant et se
on peut leur donner. Plusieurs fois nous avons obsei^é ces sortes d'
attaques
chez Gen... La péiiode é[iileptoïde était réduite
face indiquaient le retour de l'agitation. Pendant cette variété d'
attaque
, la perte de connaissance n'est pas complète. Que
une crise plus violenie. Les exemples de celte variété de la grande
attaque
ne sont pas . rares, puisqu'on peut y rr.ttacher
e écrivait à M. Charcot au sujet d'unejeune malade dont les violentes
attaques
convulsives lui faisaient redouter l'existence si
eint (jue nous attribuons ici à cette dénomination) dans laquelle les
attaques
se sont principalement bornées aux phénomènes de
i; je vais essayer de les dépeindre. La malade sent l'approclie des
attaques
; elle en est prévenue par une sensation de constr
dant tout le temps de l'at-taque le pouls est très calme. Lorsque l'
attaque
est terminée la malade ne se souvient de rien. La
la langue française, et elle est devenue assez forte en musique. Les
attaques
ne semblent pas coïncider avec l'apparition ou la
ande hystérie, et les manifestations diverses dont se composaient les
attaques
deviennent un exemple foii J. « Chez une femme
efois désappointé et comme dans le désespoir. Trois fois, pendant une
attaque
, elle tourna rapidement sur ses genoux ; puis ell
fini, la malade n'avait plus conscience de ce qui s'était passé. Les
attaques
étaient au nombre de quatorze à quinze; elles com
antes, qui rappellent ce qui se passe parfois chez les somnambules. L'
attaque
débutait par une phase d'as-soupissoînentaveci^ai
bientôt pour faire place à la parfaite trauquil-lité de ses sens. Ses
attaques
sont irrégulières : tantôt deux fois par jour, ta
Mais, ce qui m'a le plus surpris, c'est de pouvoir lui faire venir l'
attaque
et de la faire disparaître à volonté. De légères
s paraît devoir être classée parmi les faits de grande hystérie, avec
attaques
se rapportant à la variété dont il s'agit ici. Vo
état de stupeur, le deuxième dimanche de mai 1839 voit reparaître les
attaques
avec les mêmes caractères que l'année précédente,
période. En tenant coinpte, en ouire, des synq:)tôines étrangers aux
attaques
, des circonstances qui otit pré-sidé à l'éciosion
me névrose, la gi^ande hystérie. Je ne ferai que signaler ici les «
attaques
de cris », hurlements, aboienienis, raiaidetnents
x)chcnt de ce que nous observons dans la seconde période de la grande
attaque
. On pourrait rapprocher de ces cris d'anituaux, l
]ues femmes ne les ont que de loin en loin, comme elles atiraient une
attaque
de nerfs; enfin dans quelques cas, ils sont pério
» GILVPITRE m variété pau modification de LA troisième période. —
attaque
d'attitude passionnelle. — attaque d'eXTASE. Le
ication de LA troisième période. — attaque d'attitude passionnelle. —
attaque
d'eXTASE. Le type de cette variété de l'attaque
ude passionnelle. — attaque d'eXTASE. Le type de cette variété de l'
attaque
hystéro-épilepfique est re-produit artificielleme
lkicinations qui composent habituellement la troisième période de son
attaque
. Sans passer par la période épi-leploïde et par c
nation; ce qui montre bien que nous avons afTaire ici à un fragment d'
attaque
, provoqué seulement par l'éther, c'est que la com
es! » (Maury, Revue des Deux Mondes, 1860, t. XXV, p. 696.) Quand l'
attaque
se produit spontanément, les attitudes passion-ne
tpeu accusés. Marc... nous offre souvent des exemples de ce genre d'
attaque
. Les poses plastiques les plus variées durent par
uvements toniques à peine esquissés, marquent le début d'une nouvelle
attaque
, et les poses plastiques récommencent aussitôL La
ti tude dure beaucoup plus longtemps ainsi qu'on le remarque dans les
attaques
complètes qui sur-viennent quelquefois à la suite
es, et que cette attitude passionnelle, fragment détaché de la grande
attaque
hystérique, est comme le fond commun sur lequel v
es visions, des hallucinations à la manière des extatiques ^ (( Les
attaques
d'extase, dit Briquet, peuvent se produire de deu
es; quelquefois elles sont précédées par les préludes ordi-naires des
attaques
de spasme ou de convulsions hystériques, de sorte
ons hystériques, de sorte que l'extase n'est qu'un des incidents de l'
attaque
; d'autres l'ois les malades tombent brusquement e
e les hystériques sont susceptibles d'arriver, par l'excitation des
attaques
, à un maximum de puissance intellectuelle, comme
ttitudes passionnelles. Le plus souvent, lorsque chez nos malades l'
attaque
hystéro-épileptique se trouve réduite à sa troisi
rappants sous lesquels Oii a coutume de figurer les extatiques. Une
attaque
des plus remarquables de ce genre a été recueilli
cation de ses paroles \ Je rapprochei^ai des extases de Gen..., les
attaques
de crucifie-ment de Ler... rapportées par le même
ie-ment de Ler... rapportées par le même auteur. Crucifiement. —Les
attaques
dont nous avons parlé jusqu'ici consütuent de vér
t un caractère tout à fait opposé. Nous les désignerons sous le nom d'
attaques
de crucifiement. Elles sont précédées d'ordinaire
rait soulever le corps tout d'une pièce comme une barre de fer. Ces
attaques
durent quelquefois six ou sept heures, ha descent
ha descente de croix s'effectue peu à peu. Les membres qui, pendant l'
attaque
, étaient pâles, presque froids, deviennent bleuât
s que nous étudions en ce moment. Elle peut être considérée comme une
attaque
d'hystérie dans laquelle les deux dernières pério
it par la fenêtre. Ch..., (jui depuis longtemps était sujette à des
attaques
de nerfs, et que son état de grossesse rendait en
es crises hys-tériques nettement caractérisées. Au bout d'un mois les
attaques
convulsives se modifièrent. Il survint des accès
suite desquels elle affirmait avoir vu le paradis, puis de véritables
attaques
d'attitudes passionnelles ainsi qu'on le peut voi
stion de cetie maladie, lorsqu'au commencement de juin survinrent des
attaques
de nerfs, des accidents hystériformes, crises qui
r, à Alexandrine Lanois. Six semaines après, au mois d'octobre, les
attaques
avaient reparu, mais l'ordre des phénomènes élait
efusai donc d'inter-venir, promettant mon concours pour le cas où les
attaques
se continueraient au delà du terme fixé. Le dim
xtases étaient finies; Alexandrine était éveillée-Elle me dit que ses
attaques
ne reviendraient point de quelque temps, sans me
a volonté. A l'aide des notions que nous avons acquises sur la grande
attaque
hystérique, je pense rendre à ce fait extraordina
ce fait extraordinaire sa véritable signification, en rapprochant les
attaques
d'extase de cette variété spéciale de la grande a
prochant les attaques d'extase de cette variété spéciale de la grande
attaque
d'hystérie, composée d'une série d'attitudes pass
re les attitudes passionnelles de la ti'oi-sième période de la grande
attaque
hystérique. Je me réserve de revenir plus loin su
naires d'extase. Je renvoie également au chapitre des Yariétés de l'
attaque
par immixtion de symptômes cataleptiques, l'étude
. CHAPITRE IV VARIÉTÉ PAR MODIFICATION DE LA QUATRIÈME TÉRiODE.
ATTAQUE
DE DÉLIRE. Le délire de la quatrième période, a
isoler même complètement et constituer ainsi une variété de la grande
attaque
dont nous allons nous occuper maintenant. Gries
allant quelquefois jusqu'à la manie; elle se développe à la suite des
attaques
convulsivcs ordinaires de riiystérie; mais dans c
ques convulsivcs ordinaires de riiystérie; mais dans certains cas ces
attaques
sont très légères, quelquefois même l'accès de fo
nt très légères, quelquefois même l'accès de folie semble remplacer l'
attaque
con-vulsive, qui manque complètement; la même cho
n de mieux faire ressortir la nature vraiment hystérique de certaines
attaques
de délire qui, par l'absence de tout phénomène
les observations recueillies à ce sujet : a. Duns la première, les
attaques
de délire s'accompngnent de phénomènes hystérique
ce est comme le sceau de la grande névrose. h. Dans la seconde, les
attaques
de délire se montrent indépen-dmument de tout aut
montrent indépen-dmument de tout autre phénomène hystérique. § 1. —
ATTAQUES
DE D É E 115 E S ' A C E 0 Al P A G N A N T DE QU
nes épileptoïdes de la première période, soit que ceux-ci précèdent l'
attaque
délirante, ou l'interrompent de temps à autre.
us haut (page ^28) l'histoire d'unejeune lîile de quinze ans dont les
attaques
d'hystérie consistaient prin-cipalement en accès
entes au miheu desquelles vit la malade. Très souvent Marc... a des
attaques
pendant lesquelles elle ré-pète toutes les chanso
e, elle se dirige vers la porte ; on l'arrête ; c'est le début de son
attaque
. On s'em|resse de lacouchcr. Elle délire : «Mid
decins, etc. De temps à autre le délire est interrompu par une petite
attaque
épileploïde marquée par l'arrêt de la respiration
int : « Oh! là là.,, mademoiselle Bot,., Syd... soulagez-moi,,, » L'
attaque
continue ainsi offrant un mélange de contracture,
t la malade aux inhalations de chloroforme. Gl... à la suite de ses
attaques
entre dans un délire de paroles qui se prolonge q
longe quelquefois. M. Bouimeville.a conservé la relation d'une longue
attaque
de ce geiu-e, qui n'a pas dui^é moins de deux jou
nquille liier et cette nuit; la contracture n'a pas reparu ; mais les
attaques
ont commencé à 9 heures 1/2. Nous voyons L..., à
Elle reprend sa position primitive : (c Et tu continues? » Nouvelle
attaque
; puis le délire reparaît, L..., croise les bras,
clonique, elle retombe dans la période du délire; il s'agit donc là d'
attaques
constituées uniquement par la troisième période e
s, les changements de la face qui surviennent d'habitude au début des
attaques
complètes. « Compte sur moi, j'ai ton amitié...
. » 10 juillet. —L... a bavardé sans cesse depuis hier sans avoir d'
attaques
, et son bavardage continue encore : c'est un véri
e pour que je te confie des secrets. » (Écoute) Durant celte longue
attaque
de délire, la température a suivi les oscilla-tio
re s'accompagnait de phé-nomènes appartenant aux autres périodes de l'
attaque
(grands mouvements, agitation,arc de cercle). M
ait, car jusque-là son intelligence était demeurée entière; entre les
attaques
, il allait, venait, vivait de la vie commune. L
t, nous avons entendu plusieurs fois le malade se plaindre, après les
attaques
, d'une sensation de constriction à la gorge; il p
rs un but imaginaire. Il fallut l'attacher sur son lit. Pendant ces
attaques
, nous essayâmes de nouveau la compression des tes
maison de ses parents en raison des dangers qu'il courait pendant ses
attaques
(car deux ou trois personnes ne suffisaient pas p
une vé-ritable folie ou plutôt un délire hystérique. Il a été pris d'
attaques
hystériques violentes, à forme paroxystique et d'
soirée, on faisait de la musique (piano), il a eu coup sur coup trois
attaques
, et est rentré chez lui plus sombre que jamais. L
en riant ce qu'il a fait depuis une demi-heure. Les observations d'
attaque
d'hystérie accompagnées de délire ne sont pas rar
rsonne pieuse et pudique, âgée de dix-huit ans, avait fréquemment des
attaques
d'hystérie. Les accès étaient très violents; son
. Sa mère vit encore et, depuis plusieurs années, est sujette à des
attaques
de nerfs caractérisées par une constriction de la
dans les quarante-huit heures qui suivirent, elle eut trois nouvelles
attaques
peu caractérisées et sur lesquelles nous ne pouvo
ne pouvons obtenir que des renseignements vagues. Dans Tune de ces
attaques
, la malade était assise, la tête renversée en arr
figure grimaçante, un peu d'écume sur les lèvres. A la suite de ces
attaques
, G... présente des troubles de l'intelligence inf
et elle dit elle-même que tout se passe dans son ventre. Pendant ces
attaques
, les figures des assistants se transforment; elle
bout de quelques heures, elle revient à son état habituel ^ Obs. V.
Attaques
convulsives, avec idées de possession et de multi
pieux, fut prise, le 19 janvier 1829, sans avoir eu aucun malaise, d'
attaques
convul-sives qui se répétèrent, pendant deux jour
cérébraux ne saurait être mise en doute. Si l'on se rappelle que l'
attaque
d'épilepsie véritable est parfois L W. Griesing
ra, entre ces accès d'épilepsie avec délire et quelques variétés de l'
attaque
de délire hystérique dont nous venons de parler,
enne, exci-tation de zones hyperesthésiques) dont l'influence sur les
attaques
hystériques a été déjà indiquée, et qui le plus s
nrayent aussi bien le délire que les mouvements convulsifs. ji 2. —
ATTAQUES
DE DÉLIRE n'AYANT AVEC LES ATTAQUES CONVULSIVES A
mouvements convulsifs. ji 2. — ATTAQUES DE DÉLIRE n'AYANT AVEC LES
ATTAQUES
CONVULSIVES AUCUN RAPPORT IMMÉDIAT L'attaque de
LIRE n'AYANT AVEC LES ATTAQUES CONVULSIVES AUCUN RAPPORT IMMÉDIAT L'
attaque
de délire n'est pas nécessairement accompagnée de
ut se montrer isolément chez une malade qui présente d'autre part des
attaques
convulsives, ou qui en a présenté à une époque pl
é la forme convulsive, nous ont fourni peu d'occasions d'observer les
attaques
délirantes complètement dégagées de toute convuls
complètement. La jeune Marie B... dont nous avons déjà raconté les
attaques
(page 232) présentait, en outre de celles-ci, des
tement connaissance. Enfin, à la suite d'un traitement approprié, les
attaques
diminuèrent en nombre et en intensité, et, depuis
apports plus ou moios éloignés qu'offrent les accès déli-rants avec l'
attaque
convulsive et les autres symptômes de l'hys-térie
s phéno-mènes convulsifs. Dans la seconde, c'est cinq ans après les
attaques
de convul-sions que survient un accès d'un délire
ans à la Salpêtrière comme fille de service. Elle a été sujette à des
attaques
d'hystérie, qui paraissent avoir coïncidé avec la
La mère est morte « de la poitrine » ; elle avait été sujette à des «
attaques
de nerfs. ». Pas de maladies graves pendant la
t abandonnée par son m.ari, et peu de temps après, elle est prise « d'
attaques
de nerfs » qu'elle attribue au chagrin de se voir
'elle attribue au chagrin de se voir seule avec ses deux enfants. Ces
attaques
, au dire des personnes qui la con-naissent, ne se
romique et plus particulièrement de la quatrième période de la grande
attaque
. Mais afin de préciser davantage et pour servir d
STÉRIQUES PROVOQUÉS Avant d'entrer dans l'étude des variétés de l'
attaque
liystéro-épileptique résultant de l'immixtion des
ciation plus juste des variétés cataleptiques et somnam-buliques de l'
attaque
d'hystérie et en facilitera singulièrement la des
ute en arrière rappellent, jusqu'à un cer-tain point, les débuts de f
attaque
hystéro-épileptique; mais la res-semblance s'arrê
nant ainsi de la connexité qui existe entre ces différents états et l'
attaque
convulsive vraie. Dans aucun cas nous ne l'avons
nent, suivant l'intensité de l'excitalion, l'éclosion ou l'arrêt de l'
attaque
, sans que la malade sorte, pour ainsi dire, de l'
conscience de rien ; la pression de la zone hystérogène, qui arrête l'
attaque
, ne détermine point en même temps le réveil, et l
état de sommeil que celui dans lequel elle se trouvait au moment où l'
attaque
a été provoquée. Le point ovarien fait excep-tion
rd. Le son, la lumière la cataleptisent; alors on peut lui donner une
attaque
convulsive ou la plonger dans le sommeil léthargi
at mental jusqu'au 3 décembre. Le 1" et le 2 décenribre, elle a des
attaques
composées d'accès épileptoïdes et de délire avec
a région ovarienne, elle recouvre la raison avec le calme ; mais, les
attaques
terminées, elle se trouve dans le même état menta
. — Elle a complètement recouvré la raison. On ne peut lui donner une
attaque
en la pressant entre les deux épaules, comme cela
s l'influence du bruit du gong, mais était immédiatement prise de son
attaque
hystéro-épi-leptique ; ce qui lui arriva même un
és. Habituellement, on ne peut, par ce procédé, provoquer les grandes
attaques
convulsives qui sur-viennent si facilement à la s
une pression sur le sommet de la tête, on voit survenir une ébauche d'
attaque
épileptoïde; la malade se ren-verse et se raidit,
sur le sommet de la tête. (Voy. la note de la page 4J9.) Pendantune
attaque
convulsive nous avons plusieurs fois ar-rêté subi
s qui me paraissent de nature à aider à la compréhension de la grande
attaque
hysté-rique et de quelques-unes de ses variétés.
Si l'on place les membres de la malade dans l'attitude du dé-but de l'
attaque
, c'est-à-dire, les bras rapprochés du tronc, les
peu de côté, la respiration précipitée s'arrêter tout d'un coup, et l'
attaque
hystéro-épileptique commence par la période épile
beaucoup à ce qui se passe pendant la troisième période de la grande
attaque
, avec cette différence toutefois que, pendant l'a
de la grande attaque, avec cette différence toutefois que, pendant l'
attaque
, la malade est complètement insensible à toute ex
Nous avons déjà vu, d'ailleurs, que dans la troisième période de l'
attaque
hystéro-épileptique de cette malade les sujets de
rt peu. La ressemblance avec les attitudes passionnelles de la grande
attaque
est frappante. Devant les anges, elle joint les m
suffit de placer les bras de la malade dans l'attitude du début de l'
attaque
pour que celle-ci suive aussitôt. Mainte-nant nou
ainte-nant nous entreprenons de lui affirmer simplement qu'elle a son
attaque
. Il y a un moment de stupeur et d'hésitation, mai
ur et d'hésitation, mais, au bout de quelques secondes, une véritable
attaque
hystéro-épileptique se déclare, que nous arrêtons
pendant l'état de veille ne peut par sa seule volonté provo-quer une
attaque
, mais l'expérience que nous venons de raconter n'
en langue étrangère n'ont, en aucune façon, la vertu de déterminer l'
attaque
. Il faut que les mots aient un sens et que ce sen
ion psychique existe et si les mots signifient qu'elle doit avoir son
attaque
, immédiatement l'attaque a lieu. troisieme obse
i les mots signifient qu'elle doit avoir son attaque, immédiatement l'
attaque
a lieu. troisieme observation. — des differents
oche beaucoup de ce qui a lieu dans la quatrième période de la grande
attaque
. Il existe là comme une période de transition pen
sider dans une hyperes-thésie du tact. Ce fait signalé dans plusieurs
attaques
de somnam-bulisme hystérique spontané, s'est mont
faits expérimentaux que nous avons provoqués et cer-tains détails des
attaques
de somnambulisme naturel. Dans les deux cas les s
vec les at-titudes passionnelles de la troisième période de la grande
attaque
hystérique, avec cette différence toutefois que,
t question ici, se reproduire spontanément dans le cours d'une grande
attaque
au milieu de la troisième période. Un nouveau poi
de catalepsie. Dans ces derniers cas rangés par les auteurs parmi les
attaques
catalepti-ques, l'état du muscle ne peut-il être
éjà 20 minutes, elle était dans cet état si souvent pré-curseur d'une
attaque
. Nous la considérions comme inévitable; cependant
nt dans le but de faciliter l'étude de quelques variétés de la grande
attaque
hystérique. Nous chercherons dans les chapitres s
chez les hystériques, sans montrer aucune rela-tion apparente avec l'
attaque
convulsive. Mais il peut se faire que ces phénomè
Mais il peut se faire que ces phénomènes habituellement étrangers à l'
attaque
, viennent s'y surajouter et constituer ainsi des
ttaque, viennent s'y surajouter et constituer ainsi des variétés de l'
attaque
hystéro-épileptique que nous allons étudier maint
bleus et son petit chien noir, la même hallucination que pendant les
attaques
. » Mais le phénomène le plus singulier présenté
d'hallucination de l'ouïe. Parfois cette absence était précédée d'une
attaque
. D'autres fois, elle s'arrête court; tout est fin
) CHAPITRE VII YAUIÉTÉS PAR IMMIXTION DE PHÉNOMÈNES LÉTHARGIQUES.
ATTAQUE
DE LÉTHARGIE. Briquet décrit dans un môme parag
. ATTAQUE DE LÉTHARGIE. Briquet décrit dans un môme paragraphe, les
attaques
de som-meil, de coma et de léthargie, parce qu'el
léthargie hystérique provoquée nous con-duit à comprendre sous le nom
attaques
de léthargie les variétés suivantes : 1° Attaqu
endre sous le nom attaques de léthargie les variétés suivantes : 1°
Attaque
de léthargie simple (attaque de sommeil, attaque
léthargie les variétés suivantes : 1° Attaque de léthargie simple (
attaque
de sommeil, attaque de léthargie des auteurs). 2°
tés suivantes : 1° Attaque de léthargie simple (attaque de sommeil,
attaque
de léthargie des auteurs). 2° Attaque de léthargi
gie simple (attaque de sommeil, attaque de léthargie des auteurs). 2°
Attaque
de léthargie avec mort apparente. 3" Attaque de l
thargie des auteurs). 2° Attaque de léthargie avec mort apparente. 3"
Attaque
de léthargie compliquée : a. De contractures pa
rgie compliquée : a. De contractures partielles ou générahsées. — L'
attaque
de coma, décrite par Briquet, nous paraît rentrer
paraît rentrer dans ce cadre. h. De l'état cataleptiforme. Î5 I. —
ATTAQUE
DE LÉTHARGIE SIMPLE. Sur le nombre considérable
'observer, cet auteur n'a rencontré que trois cas d'hystérie avec des
attaques
consistant eu un véritable sommeil. « Dans ces
ns ces trois cas, dont les causes ne présentaient rien de spé-cial, l'
attaque
débutait constamment par une vive rougeur qui pa-
mbres, troubles qui ces- saient aussitôt. Chez une de ces femmes, l'
attaque
commençait toujours par de la constriction à l'ép
ent en résolution. Nous avons eu occasion d'observer sur Gl.... une
attaque
de som-meil léthargique qui a duré vingt-quatre h
vropathique, rapporte f observation d'une hystérique qui, pendant les
attaques
de sommeil, était tourmentée par un délire dont e
. Paris, 1869, p. 37. Del... dont j'ai déjà rapporté, page 184, les
attaques
convul-sives se rapprochant de celles de l'hystér
lles de l'hystérie vulgaire, est prise, en outre, de temps à autre, d'
attaques
de sommeil dont voici quelques exemples : 20 ju
lques exemples : 20 juin. — A cinq heures et demie du soir, série d'
attaques
convulsives ordinaires qui se succèdent au nombre
vulsives ordinaires qui se succèdent au nombre de cinq. A dix heures,
attaque
de sommeil qui dure jusqu'au 22 juin à dix heures
qui dure jusqu'au 22 juin à dix heures du matin. Pendant cette longue
attaque
de sommeil, Del... a uriné au lit. On l'a changée
l'a changée de linge sans qu'elle se réveillât. 7 juillet. — Quatre
attaques
convulsives. 8 juillet. — Attaque de sommeil de
réveillât. 7 juillet. — Quatre attaques convulsives. 8 juillet. —
Attaque
de sommeil de six heures du soir jusqu'au lendema
x heures du soir jusqu'au lendemain matin dix heures. il juillet. —
Attaque
de sommeil de six heures du matin jusqu'à quatre
eil de six heures du matin jusqu'à quatre heures du soir. 3 août, —
Attaque
de sommeil qui a duré de dix heures du soir jusqu
. La malade n'a pas uriné au lit. 30 août, — Del... est prise d'une
attaque
de sommeil depuis trente-huit heures environ. Ell
ses compagnes, puis elle serait tombée dans le sommeil. Ce matin l'
attaque
de sommeil dure encore. C'est un sommeil que les
au niveau de la première pièce et sur la ligne médiane provoque une
attaque
. La malade possède, en outre, deux autres points
hystérogènes symétriques situés sous les seins et un peu en dehors. L'
attaque
provoquée offre le caractères suivants : Tétani
met à prendre la nourriture qu'on lui propose. Je rapprocherai des
attaques
de sommeil spontané, l'intéres-sante relation d'u
fort remarquable parce qu'il montre la production artificielle d'une
attaque
de sommeil semblable à celles qui sur-viennent sp
les malades sur lesquelles nous avons expéri-menté. En résumé, les
attaques
de sommeil hystérique sont souvent précédées de p
sifs, pouvant être rapportés aux deux premières périodes de la grande
attaque
. Elles ont, avec la léthargie hystérique provoq
s membres. Des phénomènes semblables inaugurent, d'après Briquet, les
attaques
de sommeil. §2. — ATTAQUES DE LÉTHARGIE AVEC MO
blables inaugurent, d'après Briquet, les attaques de sommeil. §2. —
ATTAQUES
DE LÉTHARGIE AVEC MORT APPARENTE Je ne m'étendr
THARGIE AVEC MORT APPARENTE Je ne m'étendrai pas longuement sur les
attaques
de léthargie avec état de mort apparente. Ces fai
et à un peu de raideur des membres. — Chez d'autres il y avait eu une
attaque
convulsive complète, et chez une d'entre elles, c
eu une attaque convulsive complète, et chez une d'entre elles, cette
attaque
avait dtiré cinq heures, d La dui^ée de la léth
hez ces malades, de deux à huit jours. Il ré.suUerait de ceci que l'
attaque
de véritable léthargie, comme l'attaque de sommei
Il ré.suUerait de ceci que l'attaque de véritable léthargie, comme l'
attaque
de sommeil, est habituellement précédée de phénom
endus. Ce sei\ait donc à la suite de la première période de la grande
attaque
ou apt^ès la seconde que l'attaque de léthai^gie
e la première période de la grande attaque ou apt^ès la seconde que l'
attaque
de léthai^gie surviendrait. 1. George-Fr. Pfe
pour servir Vhistoire do la léthargie. — Paris, 1833, p. H. I 3. —
ATTAQUES
DE LÉTHARGIE COMPLIQUÉE DE CONTRACTURES GÉNÉRALES
les persistantes ^ et des phénomènes épileptoïdes plus accusés. Les
attaques
de coma décrites par Briquet rentreraient dans ce
s de coma décrites par Briquet rentreraient dans cette catégorie. « L'
attaque
de coma, dit-il, s'accompagne toujours de phénomè
nstitut hydrothérapique de Passy, une jeune femme hystérique dont les
attaques
, au point de vue qui nous occupe, présentent le p
e l'anorexie et de fréquents vomissements. Elle eut même une fois une
attaque
analogue à celles qu'elle présente aujourd'hui.
l'intervalle, elle est faible, triste et morose. A quelle variété d'
attaque
hystéro-épileptique avons-nous affaire ici? Devon
absolue est la règle. Ne devons-nous pas plutôt voir là une variété d'
attaque
léthar-gique avec contractui'e généralisée et per
e de M. Pascal, un second cas d'hystérie bien singulier dans lequel l'
attaque
composée de convulsions et de délire était arrêté
nne, est atteinte de-puis deux ans environ d'hystérie convulsive. Les
attaques
,qui se renouvellent presque chaque jour et durent
le sommeil hystérique qui chez ceHe jeune fille mettait ainsi fin aux
attaques
convulsives, n'avait rien de simulé. On pouvait d
reize ans, et régulièrement jusqu'à dix-huit ans. En 1838, première
attaque
d'hystérie. Huit mois après, deuxième attaque,
. En 1838, première attaque d'hystérie. Huit mois après, deuxième
attaque
, dans l'intervalle céphalalgie, vomisse-ments, mé
et peu abondantes. Quatorze mois entre la deuxième et la troisième
attaque
. Règles très-irrégulières. Au mois d'avril et d
Règles très-irrégulières. Au mois d'avril et de mai, celles-ci (les
attaques
) reparurent beaucoup plus fréquemment ; la malade
ptômes sont des vomissements et du météorisme fréquents, mais point d'
attaques
d'hystérie. Au bout de six semaines, elle sort
térie. Au bout de six semaines, elle sort de fHôtel-Dieu; nouvelles
attaques
. Quand elle rentre à l'Hôtel-Dieu, service de M
prendre les premiers jours. Quinze jours après son entrée, première
attaque
; elle fut convulsive, se répéta assez fréquemment
ésicatoires à partie inférieure des jambes) et sont remplacés par des
attaques
qui, généralement, se renouvelaient plusieurs foi
tion par des questions pressantes, on peut retarder l'invasion de l'
attaque
, mais non sans qu'elle éprouve un malaise très co
t, eUe perd connaissance aussitôt que l'on s'éloigne d'elle. Dans ses
attaques
, il y a constamment perte complète de la sensibi-
e l'un ou de l'autre côté de la face. Toutefois, il est rare qu'une
attaque
se termine sans qu'il y ait eu quel-ques mouvemen
eurs personnes aient peine à contenir la malade, qui, dans beaucoup d'
attaques
moins violentes, peut être impunément abandonnée
décrire se combinent de différentes manières, et composent ainsi des
attaques
plus ou moins variées. » (P. 44,45 et 46.) Ni f
44,45 et 46.) Ni fatigue, ni propension au sommeil, ni souvenirs.
Attaques
de plus en plus fréquentes, 5 ou 6 en vingt-quatr
s phénomènes de ca-talepsie partielle sont complètement disparus; les
attaques
d'hystérie même sont moins fréquentes, présentant
e l'hôpital, dans une salle de couture. Nous voyons que pendant son
attaque
la malade présentait Fap-pai^ence du sommeil, ell
tait soutenu quelques secondes avant d'être abandonné à lui-même. L'
attaque
était précédée d'aura céphalique et s'accompagnai
oncles, parle simple contact de la main, arrêtait instantanément une
attaque
clonique d'hystérie avec mouvements désordonnés d
. CHAPITRE VI variétés par immixtion de phénomènes cataleptiques.
attaque
de catalepsie. L'hystérie et la catalepsie sont
des conditions très diverses; on le voit fréquemment accompagner les
attaques
d'hystérie et figurer dans cette maladie à titre
e ferai la même remarque au sujet du somnambulisme hys-térique. Les
attaques
de catalepsie hystérique sont le plus souvent pré
sont le plus souvent pré-cédées de prodromes semblables- à ceux de l'
attaque
d'hystérie : épigastralgie, globe montant à la go
e combinent avec les accès cataleptiques de deux manières : ou bien l'
attaque
générale débute par des mouvements convulsifs qui
sté-riques. » Espanet ajoute un troisième mode de combinaison : les
attaques
convulsives et de rigidité alternent et se confon
e complique les attitudes passionnelles de la troi-sième période de l'
attaque
hystéro-épileptique ; b) Les accès de catalepsi
ité de la catalepsie, p. 71. appartenant aux diverses périodes de l'
attaque
hystéro-épileptique ; c) La catalepsie apparaît
sous forme d'accès distincts chez une malade qui, d'autre part, a des
attaques
convulsives ou simple-ment d'autres signes d'hyst
s s'équivaloir en quel-que sorte et se remplacer mutuellement. Dans l'
attaque
d'hystéro-épilepsie nous avons eu l'occasion d'ob
jà parlé offre ce singulier mélange. Math. (10 juillet 1879). A des
attaques
convulsives depuis le matin. Au moment de la visi
cette situation. Rientôt ses membres se raidissent, et il éclate une
attaque
bien curieuse à observer à cause de la physionomi
cause de la physionomie spéciale de la 3° période. Description de l'
attaque
. Première période. — Début par les grands mouve
mmes en habit de soie et de toutes sortes de couleurs. Dans une autre
attaque
de la môme série, elle voyait le ciel! les anges,
que sans hallucination. L'on voit combien la troisième période de l'
attaque
offre ici de ressem-blances avec les expériences
t du gong demeure sans effet pendant les deux premières périodes de l'
attaque
, pendant la troisième, il modifie l'attitude cata
ransformation possible en léthargie. 17 juillet. — Math... a eu des
attaques
cette nuit. Depuis ce matin, elle est prise de
dant que nous sommes près d'elle, les secousses se précipitent et les
attaques
surviennent : 1° Période épileptoide. Les grand
modifiait plus l'attitude cataleptique. 16 octobre 79.— Les grandes
attaques
que nous observons, ce matin, chez Math... présen
cularités suivantes : La période épileploïde n'est pas constante. L'
attaque
débute parfois par les phénomènes de la,2" périod
éré comme une hystérie dans laquelle les attitudes passionnelles de l'
attaque
se compliquaient de cata-lepsie. Hélène Renault
ui faire avaler; elle n'a eu, depuis le mois d'août, que deux légères
attaques
de cette apoplexie cataleptique ^ 1. Œuvres de
irconstances plus rares, dit Jaccoud au sujet de la des-cription de l'
attaque
hystérique, la convulsion fait place à un état d'
nt un séjour de plusieurs mois à l'hôpital n'a pas présenté une seule
attaque
convulsive: mais deux ou trois fois la semaine, e
ondément. » Nous voyons, dans d'autres cas, les signes de la grande
attaque
acquérir une plus grande importance. Et il semble
rir une plus grande importance. Et il semble que, dans le cours d'une
attaque
régulière la catalepsie puisse se substituer à un
rvé plusieurs fois un état cataleptique manifeste inaugurer la grande
attaque
hystéro-épilep-tique. Les yeux grands ouverts fix
nait le tétanisme de la période épileptoïde. Dans la relation d'une
attaque
d'hystérie compliquée de cata-lepsie, rapportée p
remplacer en quelque sorte les attitudes de la troisième période. L'
attaque
se termine par quelques convulsions. Le 15. On
ations et le délire caractéristiques des deux dernières périodes de l'
attaque
. Une jeune fille nerveuse de 19 ans, ayant épro
ent toutes les deux nuits presque à la même heure. Les prodromes de l'
attaque
consistaient en palpitations car-diaques, oppress
durait plusieurs heures ; une demi-heure environ avant le début de l'
attaque
sur-venait de l'engourdissement des doigts et des
s doigts et des orteils. En examinant la ma-lade peu de temps après l'
attaque
, on constatait une anesthésie et une anal-gésie c
r un état cataleptique ( avec flexi-bilité cireuse très marquée). Ces
attaques
aboutissaient (mais pas chaque fois) à un délire
incendie, ou bien elle se voyait entourée d'ennemis. Vers la fin de l'
attaque
survenaient du hoquet et de légères secousses, pu
l'analgésie persistaient pendant une demi-journée ou un jour après l'
attaque
; quand elle ne suivait pas ses mouvements du rega
it en état de diriger ses yeux vers ses membres. A la suite de fortes
attaques
, la flexibilité cireuse persistait encore après l
sprit. Et, au milieu de l'exubérance de son discours, chaque menace d'
attaque
vient rompre la suite de ses idées. Nous avons fr
fréquemment observé ce dernier fait chez notre malade Gen... dont les
attaques
sont pai^fois suivies d'une longue période délira
elle n'a aucun souvenir de ce qui s'est passé depuis le début de son
attaque
. Le 24. La malade est presque revenue à l'état
ns une mêmeattaqucde lacatalepsieet des phénomènes diversde la grande
attaque
hystérique. Ces derniers symptômes, pour secondai
RAIT SOUS FORME d'aGCÈS ISOLÉS CHEZ DES MALADES QUI ONT ÉGALEMENT DES
ATTAQUES
CONVULSIVES ou PRÉSENTENT SEULEMENT d'AUTRES SYMP
VULSIVES ou PRÉSENTENT SEULEMENT d'AUTRES SYMPTOMES HYSTÉ-RIQUES. L'
attaque
de catalepsie peut se montrer sans mélange d'autr
ns mélange d'autres phénomènes appartenant aux diverses périodes de l'
attaque
, et alter-ner chez une même malade, soit avec des
riodes de l'attaque, et alter-ner chez une même malade, soit avec des
attaques
convulsives com-plètes, soit avec des attaques in
malade, soit avec des attaques convulsives com-plètes, soit avec des
attaques
incomplètes, des attaques épilep-toïdes, des atta
aques convulsives com-plètes, soit avec des attaques incomplètes, des
attaques
épilep-toïdes, des attaques de grands mouvements,
, soit avec des attaques incomplètes, des attaques épilep-toïdes, des
attaques
de grands mouvements, des attaques d'extase, des
s, des attaques épilep-toïdes, des attaques de grands mouvements, des
attaques
d'extase, des attaques de délire, de somnambulism
toïdes, des attaques de grands mouvements, des attaques d'extase, des
attaques
de délire, de somnambulisme, etc. Dans ces cas, l
ouré de plus grandes difficultés. La malade n'a pas d'autres sortes d'
attaques
que les attaques de catalepsie; mais la nature mê
des difficultés. La malade n'a pas d'autres sortes d'attaques que les
attaques
de catalepsie; mais la nature même de ces attaque
d'attaques que les attaques de catalepsie; mais la nature même de ces
attaques
, les symptômes qu'on observe dans l'inter-valle p
rs des accès de catalepsie, la malade n'avait jamais pré-senté aucune
attaque
convulsive, et l'auteur, au chapitre du dia-gnost
venir spontanément chez les hystériques et se mêler plus ou moins aux
attaques
convulsives. § 1. — ATTAQUE DE SOMNAMBULISME.
tériques et se mêler plus ou moins aux attaques convulsives. § 1. —
ATTAQUE
DE SOMNAMBULISME. Quel est le mode de combinais
somnambulisme hystérique avec les convulsions, et à quel moment de l'
attaque
survient-il? Nous étudierons successivement les
ues-uns des phénomènes appartenant aux diverses périodes de la grande
attaque
hystérique; c) Le somnambulisme apparaît sous f
sous forme d'accès distincts chez une malade qui, d'autre part, a des
attaques
convulsives ou sim-plement d'autres signes d'hyst
somnambulisme apparait mêlé aux attitudes passion-nelles de la grande
attaque
hystérique, ou les remplace complètement M. Mes
omnambulisme aux attitudes passionnelles de la troisième période de l'
attaque
. Les accès d'hystérie étaient compliqués d'exta
s de somnambulisme. J'ai déjà rapporté, page 256, les détails d'une
attaque
d'hystérie observée par leD' Billet, et composée
des trois premières périodes. La même malade vit, dans la suite, ses
attaques
se modifier un peu. La période des hallucinations
les phases par lesquelles passait la malade. La première partie de l'
attaque
différa peu sensiblement de ce que j'avais observ
ut da-20 minutes, elle se rendort. 2 h. 1/2. — Début d'une nouvelle
attaque
qui est exactement la même' ^ïue la précédente, s
it cette même vision quand, pour la première fois, j'ai assisté à son
attaque
; elle criait alors : « Retirez cette fosse, retir
uivante empruntée à la thèse du D' Dunant, nous timvons également des
attaques
composées de deux phases distinctes. Dans la pr
atement dans un état d'hystéricisme, et le lendemain dans sa première
attaque
de nerfs. Elle avait pleuré toute la journée, et
t le soir qu'elle tomba subi-tement sans connaissance. Cette première
attaque
paraît avoir duré plusieurs jours; les suivantes
26 janvier 1861.—Les règles reparaissent et font éclater une violente
attaque
d'hystérie qui dure douze heures : la malade affi
te au réveil. La malade ne ^ peut dire ce qui s'est passé pendant son
attaque
, mais elle a conscience d'avoir été malade.....
cience d'avoir été malade..... 19 février. — A cinq heures du soir,
attaque
d'hystérie qui dure une heure et qui est suivie d
e passer et n'a rêvé à rien. Après cinq minutes de lucidité vient une
attaque
que suspendent les inhalations d'éther, et la mal
conserve aucun souvenir de ce qui lui est arrivé depuis le début de l'
attaque
. 28 février. — La malade a passé ces sept derni
urs dans un état de délire léger entrecoupé de temps en temps par des
attaques
. Hier elle en est sortie conservant seulement de
dans une indifférence et dans une inertie désespérantes. Le soir une
attaque
met fin à cet état, et au réveil il ne reste aucu
s n'avions observé ces phénomènes. Us ont duré une minute/, puis, une
attaque
hystériforme, sans écume à la bouche, est sur-ven
isée et de-meure plongée dans un état extatique. Le soir survient une
attaque
d'hys-térie semblable à toutes les autres, mais a
octobre. — Pendant un mois la santé a été assez bonne. Hier soir une
attaque
hystérique, survenue sans cause appréciable, a ét
nambulisme hystérique présente avec la troisième période de la grande
attaque
, des affinités qu'on ne saurait méconnaître, et q
nelles de la troisième période, ou les remplaçant dans le cours d'une
attaque
. b) le somnambulisme n'EST accompagné que de qu
e de quelques-uns des phénomènes appartenant aux quatre périodes de l'
attaque
. Deux observations recueilhes dans la clientèle
le ne conserve aucun souvenir de ce qui s'est passé. La plupart des
attaques
de somnambulisme débutent d'emblée ; d'autres foi
La malade était une jeune fille américaine de l'âge de neuf ans. Les
attaques
changèrent de caractère à la suite de l'apparitio
brusquement, comme si elle sortait d'un rêve. Alors survJpQnent les
attaques
de somniation (avril) : « Quatre, cinq ou six f
elles, des pleurs et des sanglots. » A la date du 27 mai une de ces
attaques
est décrite tout au long. Véritable scène de so
lue. Au 15 juillet. Amélioration par un traitement ferrugineux, les
attaques
cessent pour faire place à une toux convulsive qu
des règles à l'âge de 10 ans. La maladie change de caractère, et les
attaques
deviennent plus franchement hystéro-épileptiques.
ssoupissement profond. Enfin un quart d'heure après le début de cette
attaque
, une troisième inhalation d'ammo-niaque avait dét
facile de trouver là les principaux traits de notre description de l'
attaque
hystéro-épileptique : mutisme et agitation des pr
tétanisme; arc de cercle; des inhalations ammoniacales arrêtent ici l'
attaque
. Mais à son réveil la malade se plaint d'étourdis
trouve si souvent chez les hystériques. Pendant plusieurs jours les
attaques
se reproduisent de la même façon. M. Moissenet en
eut débuter par une série de phénomènes qui rappellent le début d'une
attaque
d'hys-térie : spasmes toniques et contorsions des
, face vultueuse, respiration profonde et précipitée. Cette ébauche d'
attaque
hystérique précède surtout les accès somnambuliqu
orte le cas d'une jeune fdle hystérique qui avait tous les jours deux
attaques
d'hystérie : l'une à midi, qui était une attaque
tous les jours deux attaques d'hystérie : l'une à midi, qui était une
attaque
hystérique convulsive ordinaire, de moyenne inten
lieu régulièrement tous les soirs entre six et sept heures, était une
attaque
de som-nambulisme. Elle se levait, allait regarde
it raide à bas de sa chaise, jetait un grand cri, et avait une petite
attaque
convulsive. Au dé-but de son premier sommeil, il
r,se manifestantsubitement à la suite d'une violente émotion, par des
attaques
convulsives. Puis les attaques changent de form
uite d'une violente émotion, par des attaques convulsives. Puis les
attaques
changent de forme, et surviennent des atta-ques d
ent venant d'expirer dans son lit. — La jeune fille est prise d'une
attaque
d'hystérie violente et pro-longée. » A partir d
a malade qui fait le sujet de l'observation suivante n'a ja-mais eu d'
attaques
convulsives, mais l'hystérie est décelée par les
décelée par les accidents les plus variés. 11 existait, en outre, des
attaques
de catalepsie, et des accès de sommeil artificiel
anite, hématémèse, hypéresthésie de la région ova-rienne, etc.; pas d'
attaques
convulsives. Depuis sa seconde entrée à la Piti
e catalepsie qui la surprennent de temps en temps dans son lit. Ces
attaques
varient d'intensité et de durée, et se montrent à
le présente d'autres fois, mais qui ne va ja-mais chez elle jusqu'à l'
attaque
hystérique. » On l'a endormie déjà bien des foi
juillet 1875, Emilie J. est toujours à peu près dans le même état. L'
attaque
cataleptique n'a reparu qu'une fois depuis le 19
ossible, chez une malade dont l'hystérie ne se traduirait que par les
attaques
de somnambulisme, de reconnaître la véritable nat
mbulisme, de reconnaître la véritable nature des acci-dents. § 2. —
attaque
compliquée de somnambulisme et de catalepsie. L
nre différent. Mais ils peuvent aussi se montrer réunis dans une même
attaque
, se succédant l'un à l'autre sans que la malade r
rbide, se modifie et se transforme en catalepsie. Briquet dit que les
attaques
de catalepsie se transforment parfois en léthargi
s se, 1742, p. 409). Mademoiselle V***,âgée de vingt ans. Plusieurs
attaques
de catalepsie pure. « Mais dans le mois d'avril e
s d'avril et de mai de la même année 1737, elle eut plus de cinquante
attaques
d'une autre maladie, dans lesquelles on distingua
v.) malade au lit; la faiblesse et le mal de tête l'y retenaient; l'
attaque
de cata-lepsie venait de la prendre, et la quitta
u'elle di-sait avait quelque suite avec ce qu'elle avait dit dans son
attaque
du jour pré-cédent, où, ayant rapporté mot pour m
ie; cepen-dant elle ne l'est point : elle a chaque hiver de nouvelles
attaques
de cet acci-dent vif, avec cette différence que l
la privation de sentiment n'est pas si parfaite; car un jour dans son
attaque
on la trouva qui parlait à son image qu'elle voya
u'elle voyait dans l'eau ; et aux dernières fêtes de Noël, durant une
attaque
, elle distinguait confusément une personne à ses
rises on plaça sous ses narines un flacon d'o-deurs suaves, pendant l'
attaque
de catalepsie et l'on obtint sur-le-champ la cess
aire. Elle ne prévoyait assez justement que le retour des pro-chaines
attaques
. Aucun souvenir au réveil. Plus tard après l'ét
l. Plus tard après l'établissement de la première menstruation, les
attaques
se compliquèrent d'hystérie. On observa également
lique offre de grandes analogies avec le délire qui termine la grande
attaque
d'hystérie. En voici les prin-cipaux caractères t
aitement décrits in-téressaient tous les sens. variées de la grande
attaque
hystérique sont nombreux et faciles à établir. Au
ents convulsifs généralisés, qui présentent tous les caractères d'une
attaque
depi-lepsie. Voici le récit de quelques expérie
epsie. Voici le récit de quelques expériences : Hallucinations et
attaques
épileptiques chez un chien sous Vinfluence de Ves
d'absinthe à neuf heures un quart du matin, nous voyons une première
attaque
d'épilepsieà neuf heures trois quarts; dix minute
'épilepsieà neuf heures trois quarts; dix minutes après, une deuxième
attaque
se pro-duit suivie d'une légère hébétude; revenu
même direction, puis il se rassure complètement. Hallucinations et
attaques
épileptiques chez un chien sous l'influence de l'
elle est très violente et suivie à très court intervalle, d'une autre
attaque
également très intense. Les deux crises sont tout
ait semblable^ à la première, elles sont suivies d'une série d'autres
attaques
qui sont tellement rapprochées qu'elles deviennen
ission û'une petite quantité d'urine T. R. 39°8. Depuis la première
attaque
, il s'est écoulé environ une demi-heure. Peu à qe
igrés et fortement épicés. Il paraît avoir été frappé, en 1870, d'une
attaque
convulsive pendant qu'il était de garde aux rempa
rant occasionné par le hachisch avec la variété spéciale de la grande
attaque
hystérique décrite sous le nom d'attaque de délir
ariété spéciale de la grande attaque hystérique décrite sous le nom d'
attaque
de délire. Il semble que dans les accès déliran
rants du hachisch lesphénomè-nes de la troisième période de la grande
attaque
et ceux de la qua-trième soient mélangés. Contrai
PERMANENTS DE L'HYSTÉRO-EPILEPSIE OU GRANDE HYSTÉRIE. En outre des
attaques
et de leurs nombreuses variétés, la grande hystér
spontanément certaines variations d'intensité. Avant comme après les
attaques
, elle s'accuse davan-tage. Sa disparition est un
, sous certaines influences, dont la mieux connue est l'imminence des
attaques
. VI. — La durée des oscillations est fort varia
a paralysie hystérique. La paralysie hystérique succède parfois aux
attaques
convul-sives, et fait en quelque sorte partie de
ontre également, à titre de symptôme permanent, dans l'intervalle des
attaques
. La paralysie peut intéresser les différents mu
te aux membres inférieurs qu'aux membres supérieurs; d) qu'enfin elle
attaque
très rarement les muscles de la face. La paraly
nous-même en plusieurs circonstances, mais surtout avant ou après les
attaques
convulsivos au moment où il se produit une aggrav
ns tous les détails de sa Symptomatologie. Dans ses rapports avec l'
attaque
hystéro-épileptique régulière, la contracture se
que estalorsgé-nérale et transitoire. Parmi les variétés de la grande
attaque
, nous avons vu qu'il en est dans lesquelles la co
elles la contracture géné-ralisée joue un rôle prédominant. Après l'
attaque
convulsive ordinaire la contracture partielle qui
térique permanente, dont il s'agit spéciale-ment ici, présente avec l'
attaque
convulsive des relations étroites, puisqu'elle y
ance. Elle peut cependant survenir spontanément dans l'intervalle des
attaques
, et sans affecter avec elles aucun rapport immédi
,Q,''Qsi-'à-à\Ye, qui ne présente pas au nom-bre de ses symptômes les
attaques
de convulsion même atténuées. On la rencontre sou
tômes perma-nents, comptera au nombre de ses manifestations la grande
attaque
hystérique elle-même ou ses diverses variétés.
phique de la Salpêtrière, tom. II, pag. 93. Wand..., à la suite d'une
attaque
convulsive d'hystéro-épilepsie qui a duré trois j
s ont avec les mouvements rhythmés de la seconde période de la grande
attaque
des analogies tellement frappantes, qu'il semble
accompagne ordinairement, ne permettent pas de les classer parmi les
attaques
convulsives proprement dites, dont la nature est
es) qui se rencontrent fréquemment chez les hystériques en dehors des
attaques
. Lachorée rhythmique peut même se montrer dans
l'épilcpsie. En réalité la difficulté n'existe pas là. En dehors des
attaques
, les autres symptômes de la maladie forment un en
d'une façon complètement indépendante les uns des autres et dans des
attaques
parfaitement distinctes; l'autre, hystéro-épileps
ptômes hystériques et épileptiques se montrent mélangés dans une même
attaque
. La première indique, chez un même sujet, l'exist
s et de l'épilepsie véritable. J'ai déjà eu l'occasion, au sujet de l'
attaque
épileptoïde d'en indiquer quelques-uns. a) Acti
érie, la santé générale des malades ne paraît pas souffrir. La grande
attaque
, les longues séries elles-mêmes ne laissent le pl
conserva-tion intégrale de l'intelligence et des sentiments avec des
attaques
fréquentes d'é-pilcpsie est chose des plus rares.
époque de la menstruation. J'ai parlé plus haut de la violence de ses
attaques
convulsives qui revêtent le caractère démoniaque.
ée de cinquante ans, est entrée à la Salpêtrière en 1869. La première
attaque
convulsive a eu lieu à l'âge de vingt-cinq ans. D
ations de l'hystéro-épilepsie ont revêtu les formes les plus variées (
attaques
convulsives, ischurie, contracture permanente, dy
uel n'a pas varié. CHAPITRE II traitement § 1. — TRAITEMENT DES
ATTAQUES
A. — INHALATIONS MÉDICAMENTEUSES Je ne m'arrête
i pas longuement sur les divers médicaments employés pour arrêter les
attaques
. ^ Les inhalations de chloroforme, les inhalati
ce sur la région ovarienne,.sont impra-ticables pendant la durée de l'
attaque
, mais employées pendant les 1. Nous avons vu co
raux (hoquets, secousses du ventre, etc..) qui, dans l'intervalle des
attaques
, tourmentent les hystériques. G. — COURANTS CON
us avons toujours procédé de la manière suivante : la malade étant en
attaque
, nous appliquions, au moyen de bandes, l'un des r
dans n'importe quel sens, le courant de 10 à 15 éléments, on voyait l'
attaque
s'arrêter; le délire loquace, qui caractérise que
jusqu'à ce qu'une crise incomplète revînt : puis assez rapidement les
attaques
cessaient complètement. Geneviève B... nous a f
btenue par le courant continu. Cette malade peut avoir jusqu'à trente
attaques
en une heure. Sous le courant elle en a deux ou t
e c'est bien au passage de l'é-lectricité qu'est due la cessation des
attaques
. 1. De la valeur thérapeiUique des courants con
e Ba...,nousa donné des résultats identiques. Dans plusieurs séries d'
attaques
, nous avons vu les accès s'arrêter sous l'influen
tant disposés comme nous l'avons dit plus haut, nous attendons qu'une
attaque
se produise, puis, d'un coup, nous intervertisson
d'un coup, nous intervertissons le courant au moyen du commutateur. L'
attaque
s'arrête tout net. La malade se réveille comme ét
ont très souvent donné ces résultats. Dans des cas moins heureux, l'
attaque
avorte, mais la connais-sance ne revient pas, et
mpte de la manière dont agit le courant constant quand il diminue les
attaques
et quaiui il les arrête. Pour ce qui est des in
courant faible (5 à 10 éléments de l'appareil Trouvé) n'arrête pas l'
attaque
, mais elle en atténue la violence, et pendant un
montrer l'efl'et de la compression de l'ovaire. — N° 1 T. Début de l'
attaque
. ïétanisation brusque. C. Détente amenée par la c
nce, la nommée Gen.... )) Tant que dure la compression ovarienne, l'
attaque
est éloignée, pour paraître aussitôt que cesse la
n trouve le résultat auquel nous sommes arrivés sur lafig. 103. Une
attaque
commence en T, la période tonique se développe. O
: ) Observation I. — Gl..., hystéro-épileptique, 23 août, 1878. En
attaque
depuis le malin; on établit la compression à 3 h.
e lemps la malade a mangé et dormi. A 10 h. on enlève l'appareil, les
attaques
reprennent ; légère inhalation de chlo-roforme et
12, 24 el même 48 heures, pour interrompre un état de mal. Jamais les
attaques
ne se sont présentées pendant la durée de la comp
ée de la compression; Toujours, quand on cessait la compres-sion, les
attaques
reparaissaient, mais il suflisail toujours aussi
aut revenir plusieurs fois à ces inhalations avant de voir cesser les
attaques
, quand on n'a pas recours au compresseur. )) Ob
a-reil a été appliqué très souvent, soit pour interrompre une série d'
attaques
, soit pour prévenir les attaques. La malade, prév
t, soit pour interrompre une série d'attaques, soit pour prévenir les
attaques
. La malade, prévenue par les prodromes qui annonc
ion réussit également bien contre le délire qui succède chez elle à l'
attaque
et on peut graduer le retour à l'état de raison e
ne échoue complète-ment. La compression de l'ovaire, qui arrête les
attaques
, peut, en de-hors des crises, déterminer la produ
i les zones hyperesthésiées. e. — influence de la musique sur les
attaques
Les expériences dont nous avons parlé plus haut
es-unes de nos malades, nous avons vu survenir sous cette influence l'
attaque
de catalepsie, voire même la grande attaque. Chez
ir sous cette influence l'attaque de catalepsie, voire même la grande
attaque
. Chez toutes, un bruit violent -détermine un trou
arçon apothicaire, se trouvant à côté d'une demoiselle en proie à une
attaque
de passion hystérique, tira un coup de pistolet q
s sonores du tam-tam a toujours été sans résultat pendant les grandes
attaques
, même chez celles que le tam-tam impressionnait l
troublent pas plus que les coups de tam-tam l'évolution d'une grande
attaque
d'hystéro-épilepsie, à quelque période que se fas
aux accès convulsifs sans perte de connaissance, et aux variétés de l'
attaque
dans lesquelles la sensibilité spéciale persiste
cas elle disparaît peu à peu ou cesse brusquement à l'approche d'une
attaque
. Nous avons fait c onnaître, il y a deux ans, u
les jours précédents se faisait rapidement. C'est un indice certain d'
attaque
très prochaine et souvent, c'est le seul, les sig
sure que la sensibilité et les fonctions organiques s'améliorent, les
attaques
ou les autres manifestations de l'hystérie s'atté
ot, l'influence du maintien de la sensibilité sur l'éloignement des
attaques
et cela dans des séries d'expériences répétées à
tif. Paralysies. Contractures. —Si ces accidents coexistent avecdes
attaques
ils rentrent dans les catégories précédentes. S'i
ciie de trouver là le même cortège de symptômes principaux. La grande
attaque
s'y retrouve avec la succession de ses différente
ucinations qui rappellent celles de la troisième période de la grande
attaque
; les contorsions qui se trouvaient mêlées à la da
timent de bien-être qu'il n'est pas rare d'observer après les grandes
attaques
hystériques. La musique saisissait fortement le
moins éloignés qui se rapprochent beaucoup des prodromes de la grande
attaque
d'hystérie. Vers la fin de l'épidémie, du temps
s de la motilité (soubresauts, se-cousses, contracture de l'œsophage,
attaques
convulsives) et de la sensibilité (anesthésie, hy
e dans un lit voisin de celui de Gertrude tomba la pre-mière dans des
attaques
de convulsions : à la suite des paroxysmes, sa ra
la bouche, sans que pour l'heure il lui en advint autre maP. » Les
attaques
convulsives débutaient parfois par une phase d'im
ations erotiques qui font partie de la troisième période de la grande
attaque
hys-térique. La description suivante nous rappell
t de rapprochement : le souvenir des halluci-nations persiste après l'
attaque
. « Les nonnains du couvent de Nazareth à Cologn
facile de retrouver les symptômes de la deuxième période de la grande
attaque
hystérique, avec les contorsions étranges et les
ontorsions étranges et les «grands mouvements». Dans l'intervalle des
attaques
, on peut relever la contracture de l'œsophage, de
mangeant point la viande, et rotant incessam-ment'.....» A côté des
attaques
de « grands mouvements » nous trouvons signalées
ôté des attaques de « grands mouvements » nous trouvons signalées des
attaques
de léthargie avec contracture généralisée. « Le
rière et que tous les signes que nous avions constatés chez elle, les
attaques
, l'anesthésie, les contractures et le reste, n'ét
Il est bien difficile de n'y pas reconnaître les grands traits de l'
attaque
convulsive de la grande hystérie avec quelques-un
e de la grande hystérie avec quelques-unes de ses variétés, comme les
attaques
de délire, de léthargie, de catalepsie même et de
ois de suite, à la façon de ce qui se passe dans les grandes séries d'
attaques
hys-tériques. « Pendant que le frère lit la for
ette déposition M. le commissaire dresse des procès-verbaux ^ » Les
attaques
de convulsion des religieuses n'attendaient pas t
que dans cette période d'excitation délirante qui suit ou précède les
attaques
. laquelle ledit Barré a repoussée avec les doig
n » telle que nous l'avons décrite à la deuxième période de la grande
attaque
hystérique (voy. p. 73 et p. 303 jouait un grand
n parlait à Monsieur, et qu'il allait finir l'exorcisme, d sentit les
attaques
d'Isaacarum, qui le renversa deux fois et lui rem
ent décrite dans les extraits qui sui-vent. Nous avons vu comment les
attaques
de catalepsie étaient facilement provoquées chez
paraissent d'abord absoluutent saines d'esprit et de corps tombent en
attaque
pentlant l'examen médical. Il semble que l'on pui
ue pentlant l'examen médical. Il semble que l'on puisse attribuer les
attaques
de la troisième à l'attouchement d'un point hys-t
ous les caractères du délire hystérique, l'une offre un bel exemple d'
attaque
de contorsion avec attitude de Varc de cercle, et
mun, et l'imitation jouait alors un grand rôle dans la production des
attaques
convulsives. D'ailleurs les diables s'excitaient
pravations et actions déréglées*. » Nous avons décrit sous le nom d'
attaque
démoniaque une variété de la grande attaque hysté
vons décrit sous le nom d'attaque démoniaque une variété de la grande
attaque
hystérique qui prend sa source dans un développem
i haut et aussi égal, que si rien ne leur fut arrivé K » A côté des
attaques
de convulsion on observe des attaques de délire,
eur fut arrivé K » A côté des attaques de convulsion on observe des
attaques
de délire, soit que celles-ci succèdent à celles-
ernard tout ce que tu dois faire pour cette maison ^ » En outre des
attaques
de délire, nous trouvons signalés en divers passa
divers passages les accès de léthargie, de catalepsie et d'extase. L'
attaque
de léthargie est ainsi décrite par Le Breton :
ette impression K » Le passage suivant a bien trait à une véritable
attaque
de contracture géné-ralisée : «... Cependant ce
. A Morzines il y avait prédominance des convulsions, à Verzegnis les
attaques
étaient plus particulièrement délirantes; mais, d
nes qui caractérisent la première et la deuxième période de la grande
attaque
(période épilepto'ide et période des contorsions
cumeux. » IjC même état se prolonge. "En 1731, apparaissent « des
attaques
d'apoplexie qui revenaient réguhèrement tous les
ssez de force pour se lever et pour sortir. » Vers le mois de mai «
attaque
d'apoplexie dont les symptômes sont si terribles
cession de ce saint diacre, elle sera guérie. » Elle tombe ensuite en
attaque
, on est obligé de la rapporter chez sa mère. Le
on est obligé de la rapporter chez sa mère. Le 15 juillet nouvelle
attaque
à la suite d'un « prodigieux » vomissement de san
s dont elle souffrait a cédé successivement à la suite de chacune des
attaques
convulsivos qui ont eu lieu sur le tombeau. Les
de préciser les prin-cipaux caractères des accès léthargiques et des
attaques
de convulsion. Il est facile d'y reconnaître le
on. Il est facile d'y reconnaître les traits de diverses variétés d'
attaques
hystériques. Les attaques de léthargie étaient
nnaître les traits de diverses variétés d'attaques hystériques. Les
attaques
de léthargie étaient précédées d'une phase épilep
de leur durée. « La mère de la malade nous décrit plusieurs de ses
attaques
. 11 y avait déjà plus de six niois, dit-elle, que
s, dit-elle, que tous les quinze ou vingt jours elle tombait dans des
attaques
d'apoplexie... Dans le mois de juin, elle en eut
ieurs fois dans ce mois pour Pensevelir; mais les deux plus violentes
attaques
qu'elle essuya furent le 8 et le 15 juillet, veil
suya furent le 8 et le 15 juillet, veille de sa guérison. Lors de ces
attaques
, son visage devenait violet, sa gorge s'enflait,
t pour le tombeau du Bienheureux, Marguerite Duchesne est prise d'une
attaque
qui se termine par des vomissements de sang et qu
rmine par des vomissements de sang et qui offre plusieurs traits de l'
attaque
épileptoïde. « Le 16 juiUet, jour du départ, il
tombeau on peut retrouver les signes des deux premières périodes de l'
attaque
de grande hystérie. « Sur le champ, la tombe se
vomissements de sang, et de retour chez elle put manger. Une autre
attaque
semblable aux précédentes a lieu dans les mêmes c
ivement sous Tin-fluence d'une vive impression morale et à la suite d'
attaques
convulsives net-tement caractérisées. Le cas de
de la demoiselle Hardouini n'est pas moins probant. Il montre que les
attaques
se succédaient quelquefois par séries. (S Je fu
à la suite de mes convulsions. » La nature hystérique de semblables
attaques
convulsives ne saurait échapper. Les grands mouve
sser plusieurs fois. » La contracture guérit subitement pendant une
attaque
. Le 14 avril, vers les sept heures du soir (ajo
tant plus grand que les secousses avaient été plus marquées^. » Les
attaques
pendant lesquelles la connaissance étaient conser
s que nous avons rapportés jusqu'ici, nous avons pu constater que les
attaques
convulsives empruntaient toutes leurs manifestati
première période et principalement à la deuxième période de la grande
attaque
hystérique telle que nous l'avons décrite. 1. C
II, p. 320). Avec l'extension de l'épidémie on vit s'adjoindre aux
attaques
de convul-sion les phénomènes hallucinatoires et
et délirants de la troisième et de la qua-trième période de la grande
attaque
. J'emprunte à Calmeil^ le récit abrégé de l'obs
renom parmi les convulsionnaires de Saint-Médard, et tooibe dans ues
attaques
convulsives qui font croire à ses familiers qu'el
c'étaient là des mystères de Satan, la veuve Thévenet tomba dans les
attaques
convulsives les plus terribles. On vit aussitôt u
llucinations tristes, caractérisent la troisième période de la grande
attaque
? Mais les attitudes passionnelles, ainsi que le
insi que le délire qui caractérise la qua-trième période de la grande
attaque
, se montraient de préférence sous forme d'accès i
Montgeron,/oc. cit.; \). 88. Plusieurs convulsionnaires avaient des
attaques
de léthargie avec contrac-ture, ainsi qu'il resso
es variétés delà première période ou période épileptoïde de la grande
attaque
. Au sortir de là, les convulsionnaires entraient
qui se rapproche en tous points de la troisième période de la grande
attaque
ou période des attitudes passionnelles. Les visio
ns un troisième tout un côté. Une jeune fdle qu'il connut avait eu 70
attaques
et jusqu'à 7 en un jour; elle avait perdu la paro
rrions rapporter fort exactement à la troi-sième période de la grande
attaque
, avec les attitudes expressives qui la ca-ractéri
même personne, et le danger qu'elles font courir augmente avec chaque
attaque
nouvelle. Nous avons dit que les secousses se mon
de curiosité poussait à assister aux réunions où se produisaient les
attaques
de secousses, se trouvaient souvent saisies du mê
ômes saillants et remarquables : l'un phy-sique, et consistant en une
attaque
spasmodique, des contractions involon- 1. Johu
levé, dit Sonden, serait l'état oii se trouvent les malades après une
attaque
de convulsion, lorsqu'ils tombent soudain sans co
mps dans un état d'assoupissement ou d'absence des sens; et pendant l'
attaque
ils sont tantôt parfaitement tranquilles et comme
de relever les analogies qu'elle présente avec une des va-riétés de l'
attaque
de grande hystérie, formée surtout aux dépens de
ent les plus grandes analogies avec la troisième période de la grande
attaque
hystérique. vie DE DOUCELINE (1274). En nom d
cènes variées de l'extase et les attitudes passionnelles de la grande
attaque
hys-térique sont si saisissantes, que celles-là p
avec les attitudes passionnelles de la troisième période de la grande
attaque
d'hys-térie. Je me contenterai d'extraire du li
squels il a été traité plus haut de la troisième période de la grande
attaque
hystérique (p. 94-), de la variété qui résulte de
e la prédominance marquée de la période des attitudes passion-nelles (
attaque
d'extase) (p. 319), enfin de la variété ([ui résu
a facilité de son emploi, qui permet à la malade « qui sent venir ses
attaques
» de se l'appliquer elle-même, et par la possibil
............................... 141 Chap. VI. — Marche. — Durée des
attaques
. — État de mal hys^éro- épileptique............
.......................... 257 Ghap. VIII. — Parallèle de la grande
attaque
hystérique ou attaque hys- téro-épileptique et
.... 257 Ghap. VIII. — Parallèle de la grande attaque hystérique ou
attaque
hys- téro-épileptique et de l'attaque d'hystéri
grande attaque hystérique ou attaque hys- téro-épileptique et de l'
attaque
d'hystérie vulgaire................. 204 DEUXIÈ
4 DEUXIÈME PARTIE des principa/.es V a li i e t é s i)e la grande
attaque
hystérique. Chai'Itue premier. — Variété par mo
ai'Itue premier. — Variété par modification de la première période.
Attaques
épileptoïdes... ". ..............................
ue de spasme viscéral.................................. 296 5^ 4. —
Attaque
épileptoïde avec contracture généralisée et perma
— Variété par modification de la deuxième période.......... § 1. —
Attaque
de contorsion ou attaque démoniaque..............
on de la deuxième période.......... § 1. — Attaque de contorsion ou
attaque
démoniaque.................. 303 § 2. — Attaque
ue de contorsion ou attaque démoniaque.................. 303 § 2. —
Attaque
de grands mouvements ou attaque de clownisme.....
niaque.................. 303 § 2. — Attaque de grands mouvements ou
attaque
de clownisme......... 310 Ghap. III. — Variété
10 Ghap. III. — Variété par modification de la troisième période. —
Attaque
d'attitude passionnelle. — Attaque d'extase......
ication de la troisième période. — Attaque d'attitude passionnelle. —
Attaque
d'extase........................ 319 Ghai'. IV.
--------- - -.......................................... 333 ^ \ . —
Attaque
de délire s'accompagnant de quelques phénomènes a
de quelques phénomènes appar-tenant aux autres périodes de la grande
attaque
..................... 334 § 2. — Attaque de déli
utres périodes de la grande attaque..................... 334 § 2. —
Attaque
de délire n'ayant avec les attaques convulsives a
..................... 334 § 2. — Attaque de délire n'ayant avec les
attaques
convulsives aucun rap-port immédiat..............
éthargie................................................ 429 § 1. —
Attaque
de léthargie simple................•.............
ue de léthargie simple................•................. 429 § 2. —
Attaque
de léthargie avec mort apparente.................
e de léthargie avec mort apparente.....................' 436 § 3. —
Attaque
de léthargie compliquée de contractures générales
CiiAP. VII. — Variétés par immixtion de phénomènes cataleptiques. —
Attaque
de catalepsie....................................
ont accompagnés de phénomènes appar-tenant aux diverses périodes de l'
attaque
hystéro-épileptique........ 465 c). — La catale
t sous formes d'accès isolés chez des raiilades qui ont également des
attaques
convulsives ou présentent seulement d'autres sy
Chap. Vni. — Variétés par immixtion de phénomènes somnambuliques.
Attaque
de somnambulisme.................................
de somnambulisme...................................... 479 ,^ ï. —
Attaque
de somnambulisme.................................
omnambulisme apparaît mêlé aux attitudes passionnelles de la grande
attaque
hystérique ou les remplace complètement........ 4
e de quelques-uns des phénomènes appartenant aux quatre périodes de l'
attaque
.......... 494 c) . — Le somnambulisme apparaît
ît sous forme d'accès distincts chez une malade qui d'autre parta des
attaques
convulsives ou simplement d'autres signes d'hysté
signes d'hystérie...................................... 502 § 2. —
Attaques
compliquées de somnambulisme et de catalepsie....
nt .......................................... § 1. — Traitement des
attaques
.......... ...................... A. — Inhalatio
.......................... 593 E. — Influence de la musique sur les
attaques
..................... 599 ^ ''I. — Traitement de
334, dernière ligne du titre. — Au lieu de : aux autres périodes de l'
attaque
; lisez : aux autres périodes de la grande attaque
utres périodes de l'attaque; lisez : aux autres périodes de la grande
attaque
. Page 343, ligne 4. — Au lieu de : les observat
rande attaque. Page 343, ligne 4. — Au lieu de : les observations d'
attaque
d'hystérie accom-pagnées de : lisez : les observa
ns d'attaque d'hystérie accom-pagnées de : lisez : les observations d'
attaque
Jiystérique accompagnée de : Page 429, — Au lie
y Page 494, ligne 14 et 15. — Au lieu de : aux quatre périodes de l'
attaque
; lisez : aux quatre périodes de la grande attaque
uatre périodes de l'attaque; lisez : aux quatre périodes de la grande
attaque
. PAUIS. — 1.«P,IIMER1Ë EMILE MARTINET, UUE MIGN
rière nous 'permettait de voir fréquemment tandis qu'elles étaient en
attaques
. Obligé de recourir à un photographe du dehors, n
poursuivie. 30 Novembre 1877. BOURNEVILLE. HYSTÉR0-ÉP1LEPSIE
ATTAQUES
OBSERVATION I. Hystérie. Th. L..., dont nou
est une hystérique ordinaire. Mais, en raison de la simplicité de ses
attaques
, dans lesquelles les phénomènes épileptoïdes étai
auses. — Hémianesthésie. — Hyperesthésie ovarienne. — Description des
attaques
: périodes. — Urines. — Température. — Traitement
aques : périodes. — Urines. — Température. — Traitement et marche des
attaques
. — Relation entre les règles et les attaques. — T
Traitement et marche des attaques. — Relation entre les règles et les
attaques
. — Tuberculose pulmonaire ; son influence sur les
les et les attaques. — Tuberculose pulmonaire ; son influence sur les
attaques
et sur les symptômes permanents de l'hystérie. —
, sujette à des bronchites; aucun accident nerveux. [Père, mort d'une
attaque
d'apoplexie à 60 ans. — Mère, morte de la poitrin
t une fièvre muqueuse dont la convalescence fut longue. La première
attaque
d'hystérie est survenue en juillet 1871 dans les
ente et la menaça de la pri son : huit jours plus tard, Th. eut une
attaque
qui fut subite et dans laquelle elle se blessa au
Tb. à Necker où elle resta deux mois. D'abord, elle eut des séries d'
attaques
presque tous les jours : l'une d'elles se prolong
res. Une amélioration s'é-tant produite, Th. revint chez sa mère. Les
attaques
ne reparurent pas pendant deux ou trois mois, mai
olérique, méchante et se plaignait souvent de douleurs au cœur. Les
attaques
recommencèrent en mai 1872. Un soir, en dinant, e
pleine de crapauds (1). Elle fut envoyée de nouveau à Necker et, les
attaques
persistant, elle fut dirigée sur la Salpétrière.
— Elle est très-impressionnable et fréquemment on a remarqué que ses
attaques
se montraient après des disputes. Peut-être aussi
es de son champ visuel (1). » Hyperesthésie ovarienne ; aura. — Les
attaques
sont précédées d'une aura, offrant tous les carac
it, et existant d'ailleurs, à titre .de symptôme permanent, entre les
attaques
; 6) constriction épigas-trique, suivie de palpita
, l'aura précipite sa marche et lorsqu'elle est parvenue à la tête, l'
attaque
éclate. Description des attaques. — Les attaque
rsqu'elle est parvenue à la tête, l'attaque éclate. Description des
attaques
. — Les attaques se montrent par séries qui durent
rvenue à la tête, l'attaque éclate. Description des attaques. — Les
attaques
se montrent par séries qui durent plusieurs (l)
ves de physiologie, 1875, p. 632. heures. Dans l'intervalle de deux
attaques
on observe l'état suivant : la tète est un peu in
ux, ballonné [iympanite). C'est sur ce terrain que se développent les
attaques
proprement dites. Première période, a) La tète
de la langue) ; le corps se couvre souvent de sueurs. Planche 11.
ATTAQUE
D'HYSTÉRIE : lre PHASE Planche III. ATTAQUE D
eurs. Planche 11. ATTAQUE D'HYSTÉRIE : lre PHASE Planche III.
ATTAQUE
D'HYSTÉRIE : 2e PHASE Planche IV. ATTAQUE D'HYS
re PHASE Planche III. ATTAQUE D'HYSTÉRIE : 2e PHASE Planche IV.
ATTAQUE
D'HYSTÉRIE : 3e PHASE Bientôt la malade se réve
t la malade se réveille et pleure. Les urines recueillies après les
attaques
, loin d'être claires, sont en général assez color
nous avons émise ailleurs (1). 1S octobre]872:Th. est prise à 8 h. d'
attaques
hystériques épileptiformes qui continuent encore
V. 37°, 8. — 28 oct. La température est prise quand la malade est en
attaques
depuis une heure; elle est de 38°,2 ; — un quar
oût : T. V. 38°,2 une heure après la première crise. Traitement des
attaques
. --Divers moyens, mécaniques ou médicamenteux, ar
attaques. --Divers moyens, mécaniques ou médicamenteux, arrêtent les
attaques
. — En premier lieu, vient la compression de la
néral, lorsque la manœuvre est continuée durant quelques minutes, les
attaques
ne reparaissent pas. Pratiquée à gauche, la compr
e et l'hystérie, Obs. xxiv, p. 99. I thyle arrêtent également les
attaques
. Sous l'influence de ce dernier médicament, Th. r
nt été amendés et sur le sommeil qui est devenu meilleur Marche des
attaques
. —Août-décembre 1872, 30. — En 1873, 26 ; — en 18
en 1874, 55 ; — en 1875, 34. Relation entre la menstruation et les
attaques
d'hystérie. — Dans ce cas, cette relation (l)
où les règles ont paru pendant l'année 1875. 15, 25 et 20 janvier,
attaque
; — règles, le 11. — 1,2, 10, 14 et 24 février, at
et 20 janvier, attaque; — règles, le 11. — 1,2, 10, 14 et 24 février,
attaques
: — règles, le 9.— 9, 12, 16 et 26 mars, attaques
, 14 et 24 février, attaques : — règles, le 9.— 9, 12, 16 et 26 mars,
attaques
; — règles, le 7. — 12 et 23 avril, attaques; — rè
9.— 9, 12, 16 et 26 mars, attaques; — règles, le 7. — 12 et 23 avril,
attaques
; — règles, le 5. — 3, 11 et 30 mai, attaques; — l
le 7. — 12 et 23 avril, attaques; — règles, le 5. — 3, 11 et 30 mai,
attaques
; — les règles font défaut. — 3, 4, 16 et 24 juin,
et 30 mai, attaques; — les règles font défaut. — 3, 4, 16 et 24 juin,
attaques
; — règles, le 22. — En juillet, ni règles, ni at
6 et 24 juin, attaques ; — règles, le 22. — En juillet, ni règles, ni
attaques
. — 5 et 10 août, attaques ; — règles, le 9. — En
règles, le 22. — En juillet, ni règles, ni attaques. — 5 et 10 août,
attaques
; — règles, le 9. — En septembre, attaques le 1er
attaques. — 5 et 10 août, attaques ; — règles, le 9. — En septembre,
attaques
le 1er; — pas de règles. ¦— En octobre, les règle
r; — pas de règles. ¦— En octobre, les règles viennent le 3 ; — pas d'
attaques
.— 5 et 22 novembre, attaques; — règles, le 23, —
obre, les règles viennent le 3 ; — pas d'attaques.— 5 et 22 novembre,
attaques
; — règles, le 23, — En décembre, pas d'attaques,
s.— 5 et 22 novembre, attaques; — règles, le 23, — En décembre, pas d'
attaques
, — règles, le 23. Tuberculose pulmonaire. — Th.
t Th. a succombé le 21 juillet. Influence de la tuberculose sur les
attaques
et les symptômes permanents de Vhystérie. — Th. n
ttaques et les symptômes permanents de Vhystérie. — Th. n'a eu aucune
attaque
en 1876. —Dans les premiers jours de mai — c'est-
pût y ressembler. C'était donc un pseudo-ovaire surnuméraire. » Les
attaques
, chez Th. L..., ont toujours offert une régularit
nce de la tuberculose (dont l'évolution a été rapide) non pas sur les
attaques
, fait connu, mais sur les symptômes permanents de
us, ici, à rappeler les causes présumées de sa maladie, à décrire ses
attaques
et, enfin, à mentionner les modifications survenu
adavre et de l'assassin arrêté par les gendarmes, déterminèrent une «
attaque
de nerfs. » L... eut une troisième peur dans le
s des « éronces» et tomba sans connaissances, en proie à une violente
attaque
convulsive. Ces détails sommaires nous ont paru
mieux interpréter les manifestations délirantes qui accompagnent les
attaques
d'hys téro-épilepsie. Enfin, si dans le récit q
s annoncent à l'avance, quelquefois de plusieurs jours, rapproche des
attaques
. Leur intensité s'accroît progressivement et, à u
précautions habituelles en pareille circonstance . Description des
attaques
. — Les attaques, dans ce cas, offrent des formes
ituelles en pareille circonstance . Description des attaques. — Les
attaques
, dans ce cas, offrent des formes assez nombreuses
s différentes phases des Fig. 1. savoir la représentation fidè- |
attaques
convulsives. 3 Formes communes. — L...., épro
t à souffler, comme si elle allumait du feu. Durant la plupart de ses
attaques
, le ventre se ballonne démesurément (1). Périod
des cloches qui sonnent à toute volée, etc. Variétés. Dans quelques
attaques
, le membre supé- (l) Ce gonflement est un trait
apilles sont plus saillantes et la muqueuse devient bleuâtre. A ces
attaques
, si diverses par l'ensemble des symptômes qui les
l'isthme du pharynx, le col de la vessie, etc. Crucifiement. — Les
attaques
dont nous avons parlé jusqu'ici constituent de vé
es attaques dont nous avons parlé jusqu'ici constituent de véritables
attaques
démoniaques. Celles que nous allons décrire et qu
t un caractère tout à fait opposé. Nous les désignerons sous le nom d'
attaques
de crucifiement. Elles sont précédées d'ordinaire
ver le corps tout d'une pièce comme une barre de fer. Planche VI.
ATTAQUE
: CRUCIFIEMENT Planche VIII. CONTRACTURE DE L
CRUCIFIEMENT Planche VIII. CONTRACTURE DE LA FACE Planche IX.
ATTAQUE
: CRUCIFIEMENT (1875) Ces attaques durent quelq
ACTURE DE LA FACE Planche IX. ATTAQUE : CRUCIFIEMENT (1875) Ces
attaques
durent quelquefois six ou sept heures. La descent
La descente de croix s'effectue peu à peu. Les membres qui, pendant l'
attaque
, étaient pâles, presque froids, deviennent bleuât
yez aussi Bourneville. — Louise Lateau ou la Stigmatisée belge. Les
attaques
de L... se présentent, en définitive, sous deux f
siècle, c'est parmi elles qu'on aurait rangé L... pour ces dernières
attaques
. Rien n'est plus facile que de justifier cette as
reuses malades. Relever toutes les analogies qui existent entre leurs
attaques
et celles de L... serait trop long et sans grande
uelques-uns des symptômes. Nous avons raconté que souvent, dans ses
attaques
, L.. essaie de se déchirer les membres, la poitri
philosophique, historique et judiciaire, etc., t. II. p.; 23. ses
attaques
, L... sortait la langue hors de la bouche à un de
quin.. \. » Les médecins qui sont témoins pour la première fois des
attaques
de L... sont fortement impressionnés. Qu'ils juge
es, et même davantage, en proie à la possession, — c'est-à-dire à des
attaques
semblables à celles de notre malade, — excitées p
es. L'observation suivante, en nous offrant chez la même malade des
attaques
relevant incontestablement de l'hystéro-épilepsie
o-épilepsie et épilepsie. — Hémianes-thésie gauche. — Description des
attaques
d'hystéro-épilepsie et d'épilepsie. Attitude du c
voyée à Paris. — Quelques jours après son arrivée, Madeleine a eu des
attaques
pour lesquelles elle a fait plusieurs séjours dan
che X). — Toutes les Planche X. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE Planche XI.
ATTAQUE
: CRUCIFIEMENT fonctions organiques s'accomplis
enir. Interrogée relativement à ce qu'elle éprouverait soit avant les
attaques
, soit avant les accès (car elle est à la fois hys
aucune différence entre ses différentes crises. A. Description des
attaques
d'hystéro-épilepsie. — La malade a été prise ce m
pilepsie. — La malade a été prise ce matin, 13 octobre, à 8 heures, d'
attaques
hystéro-épileptiques qui ont continué jusqu'à 10
pileptiques qui ont continué jusqu'à 10 heures 3/4. A onze heures les
attaques
recommencent. a) Période tonique. — Pas de cri.
t précipitée, haletante. Après un court répit survient une nouvelle
attaque
(11 heures 6\ a) Période tonique. — La tète pre
6\ a) Période tonique. — La tète prend la même position que dans l'
attaque
précédente. Tout le corps devient rigide. Les bra
entre-ouverte, le cou tendu. A onze heures douze minutes, troisième
attaque
. a) Période tonique {crucifiement). — L'attitud
ude delà tète, l'aspect de la face sont les mêmes que dans les autres
attaques
. Les paupières sont animées de battements rapides
nitrite d'a-mi/le, employé un futre jour, à sur le champ mis fin à l'
attaque
. levée, n'accusant que de la fatigue et n'ayant
ur. 14 octobre. — La nuit a été tranquille. Ce matin, M... a eu une
attaque
de crucifiement qui a duré dix minutes. Presque
crucifiement qui a duré dix minutes. Presque toujours, en 1875, les
attaques
d'hystérie avec crucifiement, se terminaient par
de septembre à la fin de décembre 1873, Madeleine a eu 18 accès et 22
attaques
. En 1876, elle a eu 54 accès et 15 attaques. Ja
leine a eu 18 accès et 22 attaques. En 1876, elle a eu 54 accès et 15
attaques
. Janvier\S11. —L'intelligence de la malade nous
deux maladies. Durant les quatre derniers mois de 1875, elle a eu 22
attaques
d'hystérie et 18 accès d'épilepsie, c'est-à-dire
accès (34) l'ont emporté, et dans une proportion considérable sur les
attaques
(15) et cette prédominance de l'épilepsie sur l
sée davantage dans le dernier semés tre. 1er Semestre, 22 accès, 11
attaques
. 2° — 32 — k — La physionomie de Madeleine, s
u flux menstruel ; en juin, sur six crises, on relève un accès et une
attaque
durant les cinq jours des règles. Nous voyons r
Madeleine par un seul symptôme permanent, Yhémianesihésie et par des
attaques
. Nous n'avons rien à ajouter à la description que
stérie épileptiforme. Mais nous devons établir un parallèle entre les
attaques
d'hystéro-êpilepsie et les accès d'épilepsie. A
le entre les attaques d'hystéro-êpilepsie et les accès d'épilepsie.
Attaque
» d'hystéro-êpilepsie. Pas d'aura. Souvent cri
ortillements, etc. Tympanisine. La compression ovarienne arrête l'
attaque
. Retour rapide de la connaissance. Délire, ch
te l'attaque. Retour rapide de la connaissance. Délire, chants.
Attaques
par séries durant k à 5 heures. Accès d'cpileps
ccès isolés. Quoiqu'il s'agisse, dans ce cas, d'une malade dont les
attaques
hystéro-épileptiques ne sont pas aussi diverses e
hez l'autre Pl. XI et XII), durant la période tonique d'une variété d'
attaques
, nous observons Y attitude du crucifiement. Ue
ourni par Léontine V.. (1). Voici comment se comportent chez elle les
attaques
de crucifiement. « Tout d'un coup (il heures 34
que chez les autres malades et surtout chez Rosalie L... Outre ces
attaques
hystériformes, Léontine a des accès d'épilepsie d
. » On voit par ce qui précède que Léontine, comme Madeleine, a des
attaques
hystériques et des accès épilep-tiques. Toutefois
V..., chez lesquelles le principal symptôme de la période tonique des
attaques
, est une contracture générale qui revêt la forme
— Enfance. — Accès de colère; — léthargie.— Apparition de la première
attaque
d'hystéro-épilepsie. — Irrégularités de la mens
d'aliénés- — Première et seconde grossesses; — leur influence sur les
attaques
; — allaitement. Hémianesthésie et hyperesthésie
hyperesthésie ovarienne du côté gauche. — Caractères et périodes des
attaques
: température. — Délire hystérique. — Action de l
du ¦membre inférieur droit ; — prodromes, symptômes ; — influence des
attaques
.—Etat de mal hystéro-épileptique.— Situation de l
ion d'esprit qu'elle aurait eu un soir, dans sa chambre, une première
attaque
. Comme elle criait, on accourut et on la trouva s
sans, connaissance. Elle ignore quels ont été les caractères de cette
attaque
; ce qu'elle sait, c'est que la perte de connaissa
fatiguée et meurtrie. Un médecin , appelé , déclara qu'elle avait des
attaques
de nerfs etla fit conduire à l'Hôtel-Dieu de Poit
la fit conduire à l'Hôtel-Dieu de Poitiers. Durant 5 ou 6 mois, les
attaques
revinrent chaque jour. Son ventre était très-gros
grer dans l'établissement. A cette date, elle aurait eu, à la suite d'
attaques
, une contracture du côté gauche du cou, si pronon
mier séjour de trois mois. Elle avait deux ou trois fois par mois des
attaques
moins violentes, prétend-elle, qu'avant qu'elle n
-légale sur les Skoptzy). son amant, elle fut prise, un jour, d'une
attaque
dans la rue. La police la conduisit au quartier d
e place comme femme de chambre. Au bout de peu de temps, ayant eu une
attaque
très-intense et prolongée, on la conduisit à l'Hô
risme. Etant à Necker, elle se serait foulé le poignet droit dans une
attaque
. Commeles crises persistaient, on la dirigea sur
n la surveilla et on arriva à temps pour la retenir. Elle fut prise d'
attaques
, menée à Necker, d'où elle fut dirigée pour la se
iauve signa la sortie de Geneviève le 11 juin 1866. Le 25 juin, ses
attaques
la firent admettre à la Pitié (service de M. Marr
e son mal, elle lacéra les affiches apposées dans la gare et tomba en
attaques
: elle fut arrêtée et conduite à l'asile des alié
me à l'Hôtel-Dieu. Dans les jours qui précédèrent l'accouchement, les
attaques
auraient été quotidiennes et on lui aurait donné
ha -rite, elle refusa de s'y rendre. A peine dehors, elle fut prise d'
attaques
et on lui accorda l'hospitalité à la caserne de l
t les six semaines de Vallailement, elle n'a eu qu'une seule fois des
attaques
. — Pendant la première grossesse, les attaques au
qu'une seule fois des attaques. — Pendant la première grossesse, les
attaques
auraient été très-fréquentes et, durant les trois
ILEPSIE qu'elle nourrit son enfant, elle n'aurait pas eu non plus d'
attaques
. Le 15 décembre 1871, elle revient à la Salpétr
ux cheveux blonds et bien conformée. (Planche XIII). 21 mars. — Les
attaques
se présentent sous forme de séries et leurs carac
eviendrons, continue tant que G. n'est pas dans son lit. Bientôt, les
attaques
se reproduisent, et, à maintes reprises, on const
eprises, on constate que \ compression de l'ovaire gauche met fin aux
attaques
isolées. En déprimant la paroi abdo minale, au
d'une douleur au sommet de la tète et dans la fosse iliaque droite. —
Attaques
épilepli-for mes. 30 mars. — G., assez calme ce
disparu dans les premiers jours d'avril; puis, consé-cutivementà des
attaques
survenues au commencement du moi de mai, Genevièv
as droit : le sang a coulé en jet. 18 octobre. — Durant une série d'
attaques
T.V. 38°,2. 21 octobre. — G .. est tranquille d
on état normal : T. V. 37°,3. — On voit donc que, sous Vinfluence des
attaques
d'hystéro-épilepne, la température s'élève de prè
la température s'élève de près d'un degré. 26 octobre. — Elle a des
attaques
quotidiennes et le délire est presque continuel.
aru; mais, après un court intervalle de repos, a éclaté une véritable
attaque
hystéro- épileptique avec ses caractères ordinair
s fois: le sang a coulé en assez grande quantité. 23-28 novembre. —
Attaques
tous les jours. — Rien le 29 et le 30 novembre, n
'éther mais non jusqu'à résolution. Quelques instants après, G. a une
attaque
: la contracture disparaît complé*-iement. — Le l
mal hystéro-épilep-tique. 1873. 15 janvier. — Délire consécutif aux
attaques
. Geneviève casse tous les objets qui sont à sa po
. — Les règles ont paru hier dans l'après-midi. Ce matin, G... est en
attaques
. On les arrête par la compression. Elle revient à
surveillante, relative à de petits incidents du service. Février. —
Attaques
fréquentes. Le 10, elle refuse de parler, est eng
25 fév. — Contorsions. Mars. — Le pied droit, contracture après des
attaques
survenues le 4, redevient libre le 6, également a
es attaques survenues le 4, redevient libre le 6, également après des
attaques
. 8mars. — G... a eu une faiblesse lipotbymique.
r la région ovarienne gauche. Sous l'influence de ce traitement , les
attaques
ont momentanément diminué (1). — Dans le courant
le courant de ce mois, nous la trouvons un matin, sous le coup d'une
attaque
: elle a un besoin incessant de mouvement, saute
éritablement très-intenses ; ces phénomènes sont bientôt suivis d'une
attaque
qui se termine par une période de délire où l'éro
phénomènes erotiques sont toujours plus accentués avant ou après les
attaques
qui se produisent durant les périodes menstruelle
'éprouver une fatigue générale. « Je préférerais, dit-elle, avoir mes
attaques
que de rester comme je suis. » Tympanite énorme.
de Y analgésie. 1874. 5 janvier. — Délire consécutif à une série d'
attaques
: G... casse quatorze carreaux. — Les règles ont
itant avec beaucoup de difficulté. Geneviève a eu un grand nombre d'
attaques
en janvier. Le 30 et le 31, rien, malgré l'appari
'apparition des règles (31 janvier). Le 1er février, les 2 et3, pas d'
attaques
.Aujourd'hui, 4 février, on remarque que la contra
erve la même attitude et reste rigide. 13 février.—Secousses; pas d'
attaques
. 17 février. — Attaques presque quotidiennes. G
este rigide. 13 février.—Secousses; pas d'attaques. 17 février. —
Attaques
presque quotidiennes. G... est abattue, prostrée,
e suffit pour la réveiller. 26 février. — Les règles ont paru hier.
Attaques
suspendues parla compression alternative des deux
de la contracture a coïncidé avec l'apparition des règles et avec des
attaques
. 27 février. — La sensibilité au contact, au pi
ression à gauche qu'à droite. 1or mars. — Hier, elle a eu plusieurs
attaques
après lesquelles elle a été très-excitée; profita
, de faire du feu. 2, 3 mars. — G. est calme. 4 mars. — Plusieurs
attaques
. Tout d'un coup, elle saute de son lit et se préc
ute de son lit et se précipite en chemise jusqu'au parloir. S mars. —
Attaques
répétées. 6 mars. — Attaques nombreuses. Dans u
en chemise jusqu'au parloir. S mars. — Attaques répétées. 6 mars. —
Attaques
nombreuses. Dans un intervalle de repos, elle s'e
es. 11-13 mars. — Refuse de manger et de parler. De" temps à autre,
attaques
. 16 mars. — Geneviève est dans un état de prost
ns. Notre maitre recommande d'exercer Planche XIV. APPROCHES DE L'
ATTAQUE
rnie surveillance minutieuse afin de s'assurer
s.—La malade mange bien, est plus tranquille. — Elle a eu plusieurs
attaques
et a uriné sous elle : elle attribue cet accident
sive cet état d'affaissement qu'elle éprouve souvent à l'approche des
attaques
. (Planche XIV). Dans l'après-midi, elle a eu, en
attaques. (Planche XIV). Dans l'après-midi, elle a eu, en effet, une
attaque
épileptiforme. 7 1 avril. — A la suite d'une
n effet, une attaque épileptiforme. 7 1 avril. — A la suite d'une
attaque
épileptiforme, G... est prise du délire saltatoir
oir l'aspect de sa physionomie quelques instants avant le début d'une
attaque
épileptiforme (Planche XV'). A peine le temps néc
cations de la physionomie qui surviennent au moment de l'approche des
attaques
. Ce matin, G... a eu une crise épileptiforme, ter
reau d'un coup de poing et se blesse au poignet gauche. 13 avril. —
Attaque
, a) Période du début. G... se plaignait des doule
.. se plaignait des douleurs qui annoncent l'arrivée prochaine de ses
attaques
, quand elle cesse brusquement de parler. On remar
illes se dilatent, les paupières sont ani- Planche XV. DÉBUT DE L'
ATTAQUE
Planche XVI. ATTAQUE : PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE
upières sont ani- Planche XV. DÉBUT DE L'ATTAQUE Planche XVI.
ATTAQUE
: PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Planche XVII. ATTAQUE :
AQUE Planche XVI. ATTAQUE : PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Planche XVII.
ATTAQUE
: PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Planche XVIII. ATTAQUE
DE Planche XVII. ATTAQUE : PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Planche XVIII.
ATTAQUE
; PÉRIODE TERMINALE mées de mouvements rapides,
sinueuses et dilatées à gauche (1). 25 Mai. — Nous assistons à une
attaque
précédée des modifications de la physionomie déjà
e la signification de ses paroles. A différentes reprises, dans ses
attaques
, G-... s'est donné des entorses des pieds ou des
oulées sans que nous ayons eu la véritable corvée de mettre fin à ses
attaques
, quand M. Charcot nous communiqua la lettre suiva
ptique, Geneviève L... En passant par Quesnoy, elle a été prise d'une
attaque
d'hystéro-épi-lepsie qui a duré depuis 6 heures d
e du matin et n'a cessé que par la compression ovarienne. Avant son
attaque
, elle s'était arrêtée dans un cabaret où elle ava
moindre pitié. Quand je l'ai vue, elle était en proie à une de ses
attaques
, avec ballonnement du ventre, contractures interm
ant, hallucinations, etc. J'écartai bientôt l'idée de gi'ossesse avec
attaques
éclamptiques ou l'idée d'accès d'é-pilepsie. C'es
lle fut malade et qu'on la fit descendre à Ques-noy où, étant prise d'
attaques
, elle fut soignée par M. D... Ainsi que la lettre
15. Elles ont débuté par les jam- (l) Dans le délire consécutif aux
attaques
, elle fait parfois allusion à cette abolition du
raconte que les secousses sont précédées des mêmes phénomènes que les
attaques
proprement dites. Elle est énervée, a envie de cr
ient; enfin, il lui semble que sa figure est froide, glacée. 6 mai.
Attaque
(Yhystéro-épi-lepsie. 1° Période épileptoïde (Pl.
las des murs, etc. Quand elle est sous l'influence de ces « menaces d'
attaques
», elle est facile à contrarier, beaucoup plus su
moineau {%) une discus- (1) G. ., dans l'intervalle de ses séries d'
attaques
, est très-laborieuse^ travaille à la coulure avec
xactitude de notre assertion. 1 juillet, soir. — G... a été prise d'
attaques
à une heure et demie. Lorsque nous l'observons, à
i mérite d'être relevé, de son caractère orgueilleux. 14 juillet. —
Attaques
de 7 heures et demie du soir à 11 heures. Revenue
de se blesser dans sa chute; c'était le début d'une nouvelle série d'
attaques
. La tète est dans l'extension ; la face; les pa
Nous ne faisions pas autre chose, » Suspension de la compression :
attaques
avec leurs périodes ordinaires. Compression ; G..
emps en cellule que je ne dirais rien. » La compression estarrètée:
attaques
. — Voyant que la série continuait nous administro
dedans de la tête » ce qu'elle attribue au nitrite d'amyle. Après ses
attaques
, terminées naturellement, elle a aussi mal à la t
rête; la connaissance est perdue, durant 10 à 15 secondes : c'est une
attaque
avortée. Ensuite, G... recommence à causer: « O
à fait à elle. 16 juillet. —A 7 heures du soir, G... a été prise d'
attaques
qui ont continué jusqu'à onze heures du matin, le
rétention persistaient encore à 7 heures du soir, quand G... a eu des
attaques
d'un genre particulier, que nous connaissons peu.
rétention n'existaient plus. Du 19 au 22 juillet, G... n'a pas eu d'
attaques
. Le 23, nous assistons à une nouvelle série, dans
malades, je n'ai rien vu de semblable. (Allusion à la violence de ses
attaques
). Je ne plaignais pas les hystériques, celle-là j
Durant toute la journée ses actes ont été incohérents. Elle a eu des
attaques
avortées,avec écume; tantôt elle était assise sur
e faire manger Genev... Elle a des secousses fréquentes suivies d'une
attaque
incomplète et à laquelle succède une extase : les
rcher et de balancer sa tète jusqu'à midi. A ce moment, elle a eu une
attaque
épileptiforme et, en recouvrant connaissance, ell
trances, elle persistait dans son idée. Bientôt, elle fut prise d'une
attaque
qui cessa promptement grâce au nitrite d'ample. D
s, des douleurs névralgiques ; le plus souvent elle n'a pas, alors, d'
attaques
proprement dites. Celles-ci surviennent d'ordinai
Ainsi, en août et septembre 1875, les règles paraissent le 15 et les
attaques
le 17; en novembre, règles le 7, attaques le 7 et
les paraissent le 15 et les attaques le 17; en novembre, règles le 7,
attaques
le 7 et le 10 ; en décembre, règles le 8, attaque
mbre, règles le 7, attaques le 7 et le 10 ; en décembre, règles le 8,
attaques
le 10 et le 12. — En 1874, règles le 26 janvier,
ègles le 8, attaques le 10 et le 12. — En 1874, règles le 26 janvier,
attaques
le 27 ; — règles le 22 février, attaques les 23,
1874, règles le 26 janvier, attaques le 27 ; — règles le 22 février,
attaques
les 23, 24 et 25 ; R. le 8 juin, A. le 9 ; — R. l
ons suffisent pour montrer l'action qu'exerce la menstruation sur les
attaques
. Celles-ci, il importe de ne pas l'oublier, se mo
et ne sont pas suivies de pertes blanches. Durée des séries. — Les
attaques
, chez G-..., de même que chez beaucoup d'hystériq
se prolongent pendant des heures et se composent de 10, 20... 50, 100
attaques
ou même davantage (1). Rackiatgie. — G... n'a p
utent les suivants :G... pousse un cri, perd connaissance et tombe en
attaques
. Si, par inadvertance, la malade appuie la région
té de grossesses (pages 53, 55). Aujourd'hui encore, à l'approche des
attaques
, on observe un ballonnement considérable du ventr
ilité générale qui, peut-être, était pervertie avant l'apparition des
attaques
, était alors abolie sur la moitié gauche du corps
uels effets de la vengeance du cardinal de Richelieu, etc., p. 231.
attaques
(1). —Celles-ci, on s'en souvient, sont annoncées
y revenir de nouveau. (Voy. p. 57, 64, 72, etc.). Maintes fois, les
attaques
ont laissé après elles des contractures d'une dur
t en général disparu comme elles étaient venues, c'est-à-dire par des
attaques
convulsives. Les secousses tétaniques que nous
nsisté plus haut sur la relation qui existait entre les règles et les
attaques
(p. 88). Nous devons ajouter encore, que les rapp
de déplacement qu'elle éprouve de temps en temps, surtout lorsque les
attaques
sont imminentes, en fournissent un témoignage irr
montré que la compression ovarienne guérissait le mutisme. mes des
attaques
hystéro-épileptiques de Geneviève ; nous avons fa
de Geneviève ; nous avons fait le tableau d'un certain nombre de ses
attaques
, décrit leurs périodes et leurs variétés qui perm
ntion sur le délire hystérique. Survenant, en général, à la fin des
attaques
, le délire chez Geneviève, de même que chez beauc
peut-être, des événements qui ont été la cause occasionnelle de leurs
attaques
. N'est-ce pas un rappel des sensations physiques
t chacune un certain nombre de sujets qui reviennent à chaque série d'
attaques
. Cependant cette fixité n'est pas absolue. En eff
ar M. Briquet : « Les impressions ressenties pendant l'intervalle des
attaques
, écrit-il, constituent la cause la plus puissante
ause la plus puissante des différents phénomènes qui accompagnent les
attaques
d'hystérie ; ce sont elles, en effet, qui ont le
que nous avons observée en 1866 (service de M. Delasiauve), avait des
attaques
hystéro-épileptiques que la compression épi gastr
paud et qu'elle venait d'accoucher de deux petits crapauds. En plus d'
attaques
très-violentes, cette jeune fille avait des spasm
Sortie de la Salpétrière, elle s'est mariée, a eu des enfants et les
attaques
ont, assure-t-on, complètement disparu. lesquel
urs, d'invraisemblable. — Durant le siège de Paris, G..., après des
attaques
, eut la fantaisie de s en aller. Parvenue aux ava
es hystériques ont encore ce qu'elles appellent à la Salpétrière, des
attaques
de contracture. Voici en quoi elles consistent :
Hystéro-épilepsie. — Action de l'éther. — Métallothérapie. Si les
attaques
d'hystérie grave possèdent des caractères princip
e, vagabondage, instabilité, onanisme, vaginisme. — Description d'une
attaque
en 4871. — Symptômes perma-' nents de l'hystérie
comparative entre les mains et les aisselles. — Ischémie à gauche. —
Attaques
avortées. — Tympanisme. — Anesthésie incomplète e
du membre inférieur gauche.— Torticolis hystérique. Description des
attaques
en 1874 et en 4876. — Usage de l'éther, de la gla
— Traitement par le chlorure d'or et de sodium. — Relation entre les
attaques
et les règles. Marc..., Célina, est entrée à la
re arracher sa dent cariée. Après l'opération, elle fut prise d'une «
attaque
de nerfs. » Si on l'en croit, c'était la première
fut transférée, le 9 juin 1867, a la Sal-pétrière. Depuis sa première
attaque
, elle en avait eu d'autres. Dans les.intervalles
que son père nous l'a déjà dit. 1871 (1). Description d'Une série d'
attaques
. — La malade est camisolée, maintenue de tous côt
e d'attaques. — La malade est camisolée, maintenue de tous côtés. Les
attaques
se succèdent assez régulièrement et suivant un ty
r, à 130 ; T. R. 38°. 1872 (1). 21 février.—La malade a été prise d'
attaques
à 8 heures et demie ; M. Charcot les arrête à 9 h
e que, dit-elle, .elle éprouve de la gène dans le genou gauche. Les
attaques
sont annoncées par une aura complète : douleur au
re une analgésie légère du-bras droit. 29mars. — Hier M... a eu des
attaques
. Malgré cela, elle éprouve encore une partie des
digestions sont pénibles ; elle a, principalement avant ou après les
attaques
, des vomissements bilieux ou alimentaires. Soir
. — Hier, M... a éprouvé des douleurs dans le flanc droit et a eu des
attaques
de 10 heures du soir à minuit. Ce matin, elle est
ble alors déprimée. Le ventre est extra-ordinairement ballonné. Une
attaque
épileptiforme survient après laquelle M... retomb
laquelle M... retombe dans son état dys-pnéique. Ensuite, elle a une
attaque
complète,suivie pres-qu'aussitôt d'une autre atta
uite, elle a une attaque complète,suivie pres-qu'aussitôt d'une autre
attaque
que la compression de l'ovaire droit a fait cesse
ocateur, lascif. On lui met la camisole, croyant qu'elle va avoir ses
attaques
. A peine était-elle fixée, que ses yeux se diri
sté que 15 à 20 minutes et s'est dissipée lentement (1). 4 février.—
Attaques
: 1°Première période, a) Torsion de la tète, face
fois de suite. Une heure après le début de cette série, composée d'
attaques
dans lesquelles la période de délire a fait défau
cautérisation du col. Depuis'la dernière, M... n'a pas eu de grandes
attaques
, et elle n'a eu que deux accès-d'oppression. Le v
ion. — Les 18, 20, 22, 23,24 et 25, étouffe-ments et contorsions sans
attaques
; les règles ont paru le 19 et fini le 21. 31 n
ndant une heure, une heure et demie, deux heures et trois heures. Les
attaques
ont été moins nombreuses, mais les étouffe-ments
se parfois tous les objets qui lui tombent sous la main. 8 avril. —
Attaques
. Première période. Souvent la première attaque d'
la main. 8 avril. — Attaques. Première période. Souvent la première
attaque
d'une série débute sans cri ; les attaques conséc
ériode. Souvent la première attaque d'une série débute sans cri ; les
attaques
consécutives s'annoncent par un cri aigu, modulé.
aient conservé la liberté de leurs mouvements. M... n'aurait pas eu d'
attaques
(?). A part quelques secousses, la nuit a été rel
re bruit exagère sa frayeur. — Elle a eu, il y a quelques heures, une
attaque
épileptiforme très - violente après laquelle les
est normale. 3 octobre. — Nous assistons aujourd'hui à une série d'
attaques
qui, tout en étant composées des mêmes périodes e
ques, déjà décrits). Dans les intervalles de repos qui séparent les
attaques
, la physionomie sur laquelle se reflétait autrefo
roduisons, d'après une esquisse de Rnbens (Pl. XL). Après une autre
attaque
, c'est un sentiment de surprise désagréable qui s
sagréable qui se peint sur le visage (Pl. XXX). — Après une troisième
attaque
, les yeux brillent de colère, la physionomie expr
Il était intéressant de rechercher la cause de ces modifications des
attaques
. Notre curiosité était d'autant plus vivement exc
udes » dans toute la moitié gauche du corps, y compris la face. Des
attaques
survenant, nous constatons que, par moments, la c
ieur gauche. — Nous administrons du nitrite d'amyle. Pour juguler les
attaques
, on doit lui donner maintenant des doses considér
arche en boitant. Au bout de quelques minutes, elle est reprise d'une
attaque
, contrairement à ce qui arrive d'habitude après l
inférieur gauche; dans le membre supérieur droit elle a disparu, sans
attaques
, il est vrai, mais après des crampes. 5 déc. —
tangente à la base du thorax, la sensibilité est obtuse. 11 mars. —
Attaques
: ni-trite d'amyle. A la fin de l'inhalation, Cel
tion notable. M... est levée, se promène, est gaie. Elle n'a pas eu d'
attaques
hys-léro-épileptiques durant toute la période dou
e sommeil est meilleur. M... travaille à l'atelier. Elle n'a pas eu d'
attaques
hystéro-épilepti-ques depuis le mois de mars. Il
pas eu de suite. 1877. 9 février.—A. la fin de l'année (1876), les
attaques
,qui avaient repris leur ancien type (Pl. XXVI et
nt subi de nouvelles modifications. Nous assistons à une série de ces
attaques
: 10 La période tonique ou épileptoïde n'a pas ch
at. Bientôt se produi-. (l) Lorsque les malades sentent venir leurs
attaques
, elles se couchent et demandent la camisole. Cell
onnaît les assistants, dit, d'un ton brusque : « C'est fini ! » Les
attaques
ont commencé à 8 h. 45 et cessé à 11 h. 15. Dan
Les attaques ont commencé à 8 h. 45 et cessé à 11 h. 15. Dans ces
attaques
, les scènes qui se succèdent se rapportent à des
ue ses caresses;'de là, les expressions voluptueuses. Dans d'autres
attaques
, du même genre, les scènes diffèrent : M... s'ima
quitte pour aller avec d'autres femmes... Elle prétend que, après ces
attaques
, elle est fatiguée comme si eile avait eu des rap
des rapprochements réels. Règle générale, quelque soit la forme des
attaques
, dont elle sort sans aucun des phénomènes qui com
ttaques, dont elle sort sans aucun des phénomènes qui compliquent les
attaques
d'épilepsie, M.... est incertaine, égarée; pendan
lement. La Planche XXXIX représente la malade à l'issue d'une série d'
attaques
. Cette photographie a été prise dans le courant d
ne de ne pas la déranger. Invitée à se le- Planche XXXIX. APRÈS L'
ATTAQUE
ver, elle répond, d'un ton sec, qu'elle est inc
moi, je n'ai pas eu d'enfants ____ On ne peut pas... » 21 mars.—
Attaques
de 8 h. a 10 heures et demie. Nous l'observons à
heures. La nuit a été bonne. Ce matin,à 11 heures, elle a été prise d'
attaques
qui ont duré jusqu'à plus de 2 heures : elles ont
re, la malade a eu, plusieurs fois, des vomissements. 10 octobre. —
Attaques
. 15 ocl. — Attaques. Apparition des règles qui
usieurs fois, des vomissements. 10 octobre. — Attaques. 15 ocl. —
Attaques
. Apparition des règles qui cessent le 16 dans la
irée. 19 oct.— Contractions passagères dans les membres. 21 oct.—
Attaques
de 8 à 10 h. Arrêt par la compression ovarienne g
nt et, souvent, en injuriant la personne qui la comprime. 25 oct. —
Attaque
de tortillements pendant une heure. 26 oct.—Eto
heure à 4 heures. Apparition des règles qui cessent le 13. 14 nov.—
Attaques
; nitrite d'amyle.Ce médicament, sauf une fois (p
médicament, sauf une fois (page 126), a toujours mis fin à la série d'
attaques
. 22 nov.— Contractures passagères dans les main
omine, en général, du côté droit. Dans la journée, M... a été prise d'
attaques
, auxquelles ont succédé des crampes dans les doig
6 30 20 30 25 gouttes (1 centig.) Id. Id. Id. Id. Id. Id.
Attaques
.. 30 gouttes (l) L'anesthésie générale a repa
es.. 30 gouttes (l) L'anesthésie générale a reparu à la suite des
attaques
hystéro-épilep-tiques survenues la veille. Rela
épilep-tiques survenues la veille. Relation entre les règles et les
attaques
. — Malgré les recommandations les plus pressantes
es indications imparfaites. 1er janvier 1875 : Règles du 3 au 0 ; —
Attaques
les 4, 5, 6, 10, 14, 17, 19 et du 27 au 31. Fév
6, 10, 14, 17, 19 et du 27 au 31. Février : Règles du 15 au 16 ; —
Attaques
les 1er, 9, 17, 20, 26. Mars : Règles du 28 au
; — Attaques les 1er, 9, 17, 20, 26. Mars : Règles du 28 au 30 ; —
Attaques
les 1er, 2, 3, 4, 5, 8. Avril : Règles du 28 au
; — Attaques les 1er, 2, 3, 4, 5, 8. Avril : Règles du 28 au 29 ; —
Attaques
les 5, 8, 12, 19. Mai : Règles du 14 au 20 ; —
8 au 29 ; — Attaques les 5, 8, 12, 19. Mai : Règles du 14 au 20 ; —
Attaques
le 24. Juin : Règles le 13 (l ) ; — Attaques le
Règles du 14 au 20 ; — Attaques le 24. Juin : Règles le 13 (l ) ; —
Attaques
les 2, l\ 12, 23, 24, 25. Juillet, août : Absen
août : Absence de renseignements. Septembre: Règles du 17 au 19; —
Attaques
les 13, 26, 29. Octobre : Règles du 23 au 24 ;
au 19; — Attaques les 13, 26, 29. Octobre : Règles du 23 au 24 ; —
Attaques
les 1, 5, 6, 7, 8, 9, 19 et 24. Novembre et déc
. Novembre : Règles du 12 au 13; — Etou/pemenls le 1er et le 12 ; —
Attaques
les 13, 16, 18, 26 et 29. A la fin de novembre,
es crampes, des contorsions, des tremblements, des étoufemeuts et des
attaques
hystéro-épilep-tiques. — M... n'a jamais présenté
clou hystérique. — La tympanite se développe assez souvent avant les
attaques
, mais elle n'est ni aussi fréquente, ni surtout a
le nombre des séries, avec leur durée et,d'autre part, le nombre des
attaques
qui composent chacune des séries. années 1867
1873 1874 1875 1876 1877 NATURE DES CRISES HYSTÉRIQUES.
Attaques
et attaques épileptif ormes Attaques et attaque
4 1875 1876 1877 NATURE DES CRISES HYSTÉRIQUES. Attaques et
attaques
épileptif ormes Attaques et attaques épileptifo
TURE DES CRISES HYSTÉRIQUES. Attaques et attaques épileptif ormes
Attaques
et attaques épileptiformes Attaques et attaques
SES HYSTÉRIQUES. Attaques et attaques épileptif ormes Attaques et
attaques
épileptiformes Attaques et attaques épileptifor
s et attaques épileptif ormes Attaques et attaques épileptiformes
Attaques
et attaques épileptiformes Attaques épileptifor
s épileptif ormes Attaques et attaques épileptiformes Attaques et
attaques
épileptiformes Attaques épileptiformes j Atta
es et attaques épileptiformes Attaques et attaques épileptiformes
Attaques
épileptiformes j Attaques Attaques épileptifo
s Attaques et attaques épileptiformes Attaques épileptiformes j
Attaques
Attaques épileptiformes Attaques Attaques é
s et attaques épileptiformes Attaques épileptiformes j Attaques
Attaques
épileptiformes Attaques Attaques épileptiform
es Attaques épileptiformes j Attaques Attaques épileptiformes
Attaques
Attaques épileptiformes Attaques Attaques é
es épileptiformes j Attaques Attaques épileptiformes Attaques
Attaques
épileptiformes Attaques Attaques épileptiform
ques Attaques épileptiformes Attaques Attaques épileptiformes
Attaques
Attaques épileptiformes Attaques Etouffeuie
ques épileptiformes Attaques Attaques épileptiformes Attaques
Attaques
épileptiformes Attaques Etouffeuients Attaq
ques Attaques épileptiformes Attaques Attaques épileptiformes
Attaques
Etouffeuients Attaques épileptiformes Attaq
mes Attaques Attaques épileptiformes Attaques Etouffeuients
Attaques
épileptiformes Attaques Btouf£emeut3 Attaqu
épileptiformes Attaques Etouffeuients Attaques épileptiformes
Attaques
Btouf£emeut3 Attaques épileptiformes Attaqu
Etouffeuients Attaques épileptiformes Attaques Btouf£emeut3
Attaques
épileptiformes Attaques Etouffiements Attaq
épileptiformes Attaques Btouf£emeut3 Attaques épileptiformes
Attaques
Etouffiements Attaques épileptiformes Attaq
Btouf£emeut3 Attaques épileptiformes Attaques Etouffiements
Attaques
épileptiformes Attaques Etouffiements Contrac
épileptiformes Attaques Etouffiements Attaques épileptiformes
Attaques
Etouffiements Contractions Attaques épileptif
s Attaques épileptiformes Attaques Etouffiements Contractions
Attaques
épileptiformes Attaques Etouffiements Contrac
s Attaques Etouffiements Contractions Attaques épileptiformes
Attaques
Etouffiements Contractions Janvier........
tisme, l'avulsion d'une dent, paraît avoir eue sur la première grande
attaque
. Nous n'insisterons pas non plus sur le caractère
sthésie ovarienne gauche; 2° d'une hémianesthésie du même côté ; 3° d'
attaques
convulsives, ayant un type régulier, presque inva
tres jointures. Elle a disparu après cinq jours, non pas à la suite d'
attaques
, selon la règle, mais consécutivement à des cramp
genre spécial, ou, au contraire, s'ajoutent aux autres prodromes de l'
attaque
convulsive. Dans le premier cas, il n'est pas rar
s se plaignent vivement, déclarant préférer de beaucoup leurs grandes
attaques
qu'elles appellent de tous leurs vœux, qu'elles s
— qu'une autre hystéro-épileptique, Hert... (3), a présenté, dans une
attaque
, un pointillé ecchymotique de la région antérieur
ale de Yamaurose hystérique. Elle survient, tantôt à la suite d'une
attaque
, tantôt en dehors de toute crise convulsive. Rosa
ur les deux yeux, ou, sur l'un d'eux, apparut indépendamment de toute
attaque
et dura, chaque fois, l) Voir p. 19 et Recherch
blissements similaires. V. — Les règles sont parfois accompagnées d'
attaques
, mais non d'une façon absolue. Souvent, les attaq
s accompagnées d'attaques, mais non d'une façon absolue. Souvent, les
attaques
éclatent durant les intervalles qui les séparent.
tion. Enfin, une très-longue aménorrhée (19 mois) n'a pas empêché les
attaques
de revenir pendant 10 mois ; tandis que pendant l
pendant les 9 autres mois de sa durée, la malade n'a pas eu une seule
attaque
convulsive. Rappelons, à ce propos, que si la mén
cidents convulsifs (1), il est d'autres cas dans lesquels on voit les
attaques
persister après la cessation régulière des menstr
s du col de l'utérus (nov. 1873 —mai 1875) semblent avoir agi sur les
attaques
épileptiques et avoir rendu moins fréquentes les
agi sur les attaques épileptiques et avoir rendu moins fréquentes les
attaques
hystéro-épileptiques ; quant aux étouffements, s'
s, n'a pas procuré d'amélioration plus sérieuse. (Voir le Tableau des
attaques
.) D'ailleurs, la glace, la cautérisation, l'éli
qui ont été donnés un grand nombre de fois pour arrêter les séries d'
attaques
. Quoi qu'il en soit de la part qui revienne à c
enne à chacun de ces agents part qu'il est difficile d'apprécier, les
attaques
épileptiformes ont disparu, et les étouffements s
étouffements sont devenus plus rares, en 1876 et en 1877; enfin, les
attaques
hystéro-épileptiques ont fait défaut durant six m
d'or et de sodium, il est intervenu, alors que M... n'avait pas eu d'
attaques
depuis trois mois, et si les crises convulsives o
si un délire qui offre beaucoup d'analogie avec celui qui succède aux
attaques
: la volonté paraît absente ; la malade s'abandon
» et percevoir génitale-ment son contact. VIII. — Les prodromes des
attaques
et la période épileptoïde ne soulèvent aucune rem
un des symptômes qui frappent le plus vivement ceux qui assistent aux
attaques
de M.., c'est le changement d'attitude. A l'origi
aux attaques de M.., c'est le changement d'attitude. A l'origine; les
attaques
avaient un type uniforme : qui avait vu une attaq
A l'origine; les attaques avaient un type uniforme : qui avait vu une
attaque
, les avait vues toutes. Tout d'un coup, M.... s'a
le a fréquentés. Tels sont les caractères du délire qui termine les
attaques
(2) ; ce qui domine, ce sont les idées voluptueus
etc., p. 229. (2) Nous reviendrons, dans le second volume, sur les
attaques
de délire, rares d'ailleurs, qui se montrent indé
aques de délire, rares d'ailleurs, qui se montrent indépendamment des
attaques
convulsives. Les différentes descriptions que n
onvulsives. Les différentes descriptions que nous avons tracées des
attaques
hystéro-épileptiques, dans les observations qui c
des symptômes communs, il en est un grand nombre qui spécialisent les
attaques
de chaque malade. Et si l'on se souvient que ces
puissante. On a répété que les hystériques s'ingéniaient à imiter les
attaques
de leurs compagnes ; les faits qui précèdent mont
grave. Avons-nous décrit toutes les formes que peuvent revêtir les
attaques
? Certes non, et il nous reste encore à exposer bi
précise des diverses formes que revêtent les accès oVépilepsie et les
attaques
oVhystérie. TABLES DES MATIÈRES TABLE DES MAT
lcoolisme, 33. 110, 125, 146. Allaitement (Influence de 1') sur les
attaques
, 55, 56. Amaurose hystérique, 129, 151. Amblyopie
, 9, 37, 61, 62,80, 88, 121, 125, 128, 140, 153. Arthralgie, 123.
Attaques
(Description des), 7, 16, 35, 57, 67, 77, 114, 12
lgie, 6. Glace, 60, 61, 120, 153. Grossesse (Influence de la) sur les
attaques
, 55, 36. H Hallucinations de l'ouïe, 19, 23,
R Rachialgie, 89, 143. Rapports sexuels (Influence des) sur les
attaques
, 53, 94, (V. Va- ginisme.) Refus de manger, 53,
es, 4, 31. — Irrégularités des —, 5, 6,131.— Relations des — avec les
attaques
, 10 39, 88, 142, 152. Rétention d'urine, 83,89.
62, 65, 72, 81, 85, 93, 108, 147, 149. Sécrétion vaginale dans les
attaques
, 137. Sensations génitales, 85, 140, 154 et pas
ves de), 52, 54, 38, 59, 98, 126. T Température centrale dans les
attaques
d'hystérie, 9, 38,59, 115, 137. — Température d
es aisselles du côté sain et du côté anesthésié, 116, 117. — dans les
attaques
épileptilbrmes (attaques de contractures), 127.—
et du côté anesthésié, 116, 117. — dans les attaques épileptilbrmes (
attaques
de contractures), 127.— dans la contracture hysté
ite commencée dans le premier volume, c'est-à-dire la description des
attaques
d'hystéro-épilepsie. Nos lecteurs retrouveront da
ue les précédentes, des renseignements de plus en plus précis sur les
attaques
. Un mot maintenant sur le mode d'illustration.
tion à laquelle on a attribué la paralysie de R... Elle n'avait pas d'
attaques
de nerfs, mais était sujette à des palpitations c
on ne sait de quoi ; elle était très-nerveuse, sans avoir jamais eu d'
attaques
. — Aucun parent n'aurait offert d'affections nerv
oncle paternel tombe d'épilepsie depuis longtemps ; à la suite d'une
attaque
, il a eu une paralysie du côté droit, suivie d'ap
cherches que nous avons entreprises sur les accès d épi-îepsie et les
attaques
d'hystéro-épilepsie, nous avo is constaté que, ta
dis que les diverses phases qui composent la période épileptuïde de l'
attaque
hysté-ro-épileptique étaient séparées par un repo
ondres il y a sept ans; elle était bien portante, mais nerveuse, sans
attaques
toutefois ; on n'a plus de ses nouvelles; pas de
cellente. — Mère, 68 ans, bien portante, très-nerveuse, aurait eu des
attaques
de nerfs, qui se montraient à la suite de contrar
riétés.—Une tante maternelle de la malade aurait de temp en temps des
attaques
de nerfs qui surviendraient principalement après
de cette petite malade. A 4 ans et demi, Merl... a eu une première
attaque
de convulsions, annoncée par les prodromes suivan
t en avant, puis à Planche IX. EPILEPSIE PARTIELLE DÉBUT DE L'
ATTAQUE
Planche X. EPILEPSIE PARTIELLE PÉRIODE TO
membre supérieur gauche devient rigide, s'allonge, la main Années.
Attaques
. Accès, 1803........... 81 34 1864..........
Emotions vives. —Jaunisse.—Impreïsionna-bilité très-vive. — Début des
attaques
. — Affaiblissement paralytique des membres inféri
ieurs.— Chorée. — Symptômes permanents de l'hystérie.— Caractères des
attaques
. — Rétention d'urine et surdité consécutives. —¦
consécutives. —¦ Incontinence d'urine. — Mélallothérapie. —Marche des
attaques
.— Influence des règles. — Situation actuelle. V
qu'au bout de 8 ou 10 mois. De 16 ans et demi, date do la première
attaque
, à 17 ans et demi, V... aurait eu 7 ou 8 fois des
re attaque, à 17 ans et demi, V... aurait eu 7 ou 8 fois des séries d'
attaques
, dont la durée ne dépassait pas une heure. Vers
. s'enfuit, courant comme une folle dans les rues. Elle aurait eu une
attaque
et, quand elle reprit connaissance, elle s'aperçu
ayant rencontré sa mère par hasard, elle se sauva et eut de nouvelles
attaques
(19 ans 1/2). (l) Sou beau-père aurait essayé d
réfugia dans un hôtel meublé, et le quatrième jour, elle fut prise d'
attaques
. Un médecin, appelé, la fit conduire à Lari-boisi
journa dans l'hôpital 15 mois, et eut, pendant 11 mois, de fréquentes
attaques
, presque tous les jours, assu-re-t-elle. C'est ap
tes attaques, presque tous les jours, assu-re-t-elle. C'est après les
attaques
qui motivèrent son admission à l'hôpital, que la
derniers mois de son séjour à Lariboi-sière , V... n'aurait pas eu d'
attaques
; mais elle avait de la faiblesse des membres infé
e maison de convalescence rue Notre-Da-me-des-Champs. Là, une série d'
attaques
étant survenue, on conduisit V... à la Pitié, qu'
a conserva six semaines dans cet asile où elle eut une seule fois des
attaques
; elle cessa alors de se servir de béquilles. Ell
ces accidents, à l'hôpital Cochin où on la conserva deux mois (pas d'
attaques
) et d'où elle fut envoyée, pour la seconde fois,
e rue Notre-Dame-des-Champs, et, au bout d'un mois, ayant été prise d'
attaques
, elle fut portée ;à Lari-boisière (décembre 1876-
double, plus accusée à gauche. 1877, 1er juin. — V... a été prise d'
attaques
ce matin, à 6 heures, pendant qu'elle se promenai
. La nuit n'avait rien présenté d'extraordinaire. De 6 à 9 heures les
attaques
ont continué. Nous trouvons la malade dans la sit
ous trouvons la malade dans la situation suivante : Description des
attaques
. — Décubitus dorsal; tête rejetée en arrière ; ch
nite légère. Telle est la situation permanente de la malade entre les
attaques
. Celles-ci débutent sans cri, parfois, il y a u
nément la face se congestionne. (Période clonique.) Quelquefois les
attaques
ne se composent que de ces deux périodes et la ma
eures 1/2, la situation n'a pas changé : T. V. 38°,6. A 3 heures, les
attaques
continuant, on administre le nitrite d'ample avec
n administre le nitrite d'ample avec précaution et à petite dose. Les
attaques
cessent. V... mange et paraît revenue à sa condit
plaint de malaise et, un quart d'heure après, elle est reprise de ses
attaques
. Une nouvelle inhalation de nitrite d'amyle les s
e nouvelle inhalation de nitrite d'amyle les suspend. 2 juin. — Les
attaques
ont recommencé hier soir à 9 heures et n'ont pas
res). Rigidité générale. T. V. 38°,1. Nitrite d'amyle. Suspension des
attaques
; à 3 heures, une crise, puis rien. — Soir : T. R.
3 heures, une crise, puis rien. — Soir : T. R. 38°. Zjuin. — Pas d'
attaques
depuis hier, à 3 heures. — Surdité des deux côtés
, a été reprise hier, à 4 heures. Le soir, T. V. 38°,6. Ce matin, les
attaques
continuent. T. V. 38°,2. Dans l'intervalle des
matin, les attaques continuent. T. V. 38°,2. Dans l'intervalle des
attaques
, tétanisme permanent, avec contracture desmâchoir
ois de suite, avec violence. — Constipation; rétention d'urine. — Les
attaques
ont fini à 4 heures du soir. A 6 heures, T. V. 38
ures du soir. A 6 heures, T. V. 38°. 26 juillet. — Pas de nouvelles
attaques
. — V... n'a pas dormi; dès qu'elle s'assoupissait
. 1er septembre. — La malade a été prise, pour la troisième fois, d'
attaques
, ce matin à 4 heures. Hier, dans l'après-midi, el
était agacée, taquinait les autres malades, chan- Planche XII.
ATTAQUE
PÉRIODE TONIQUE geoitde place, s'asseyait,
4 à 11 heures, elle n'a pas recouvré la connaissance ; on a compté 22
attaques
. Tétanisme permanent. A la fin d'une attaque, o
ance ; on a compté 22 attaques. Tétanisme permanent. A la fin d'une
attaque
, on note quelques nouvelles particulari tés : tym
. C'est-il ennuyeux, ça !... Ce n'est pas loyal... » Alors éclate une
attaque
: période tonique qui dure 1 5 secondes ; — p
» Elle se plaint, parle bas, d'une manière inintelligible. Nouvelle
attaque
: incomplète, composée d'une période tonique et d
omposée d'une période tonique et d'une période clo-nique; puis, autre
attaque
complète. A la fin de celle-ci : T. V. 38°,1. L
is, autre attaque complète. A la fin de celle-ci : T. V. 38°,1. Les
attaques
, avec délire consécutif, ont persisté pendant l'a
usqu'à deux heures de l'après-midi. Soir : T. R. 38°. 2 sept. — Les
attaques
ont fini ce matin à 10 heures ; on en a compté 18
olue. T. R. 37°,8. 3 sept.—T. R. 37°,9. La sur- Planche XIII.
ATTAQUE
; PÉRIODE ËPILEPTOÏDE STERTOH dite et la rét
de même des contractures passagères, qui constituent, en réalité, des
attaques
ébauchées : La face se colore, les lèvres se pl
. R. 37°,9. — Contracture passagère des mâchoires. — A 10 heures, les
attaques
reparaissent. Nous n'avons à relever que les modi
albumine (1). 5 sept.—De 8 heures du soir à 8 heures du matin, 145
attaques
.—De 8 heures à 11 heures,28 attaques.Alors, dans
du soir à 8 heures du matin, 145 attaques.—De 8 heures à 11 heures,28
attaques
.Alors, dans un intervalle de repos, le premier de
ent des paupières et des lèvres qu'on ne voit pas d'habitude dans ses
attaques
; coloration bleuâtre de la langue, de la muqueuse
ts choréiques sont plus intenses qu'ils n'étaient avant ces dernières
attaques
. La parole, en particulier, est plus embarrassée.
né de plaintes.— Ouïe normale.— V... ne mange que de la salade. — Une
attaque
avortée hier, dans l'après-midi. 8 sept. — L'ap
é une incontinence d'urine depuis le 10 septembre. Elle a été prise d'
attaques
hier soir, à 8 heures. A 9 heures 3/4, elle avait
se d'attaques hier soir, à 8 heures. A 9 heures 3/4, elle avait eu 20
attaques
; on lui a administré du chloroforme ; elle a été
ce matin, 8 heures et demie. De là, à 8 heures du soir, elle a eu 72
attaques
. En revenant à elle, elle a demandé à boire. 1o
pas dormir parce qu'elle a des cauchemars terribles. 2 nov. — Pas d'
attaques
. — Sentiment de vertige. — V... ne prend que des
ls soût même plus forts, au moins momentanément, après chaque série d'
attaques
. Mouvements brusques, assez rares, de la tête ; —
« Je le brise !... » (C'est du verre qu'il s'agit.) Dans une autre
attaque
: « Maman ! maman ! (C'est toujours l'appel qu'el
me pas cette liqueur là et je n'en prendrai pas____» Dans une autre
attaque
: « Je me rappelle de l'histoire sous le chêne...
sceau du déshonneur... Si vous approchez!... » (Menace.) Après une
attaque
avortée, c'est-à-dire ne comprenant que la périod
à demi, regarde par terre, « Passe-moi la bouteille. » 2 déc. — Les
attaques
continuant, on lui administre le chloroforme à 2
on lui administre le chloroforme à 2 heures. Elle a eu, en tout 1 36
attaques
. — Soir : T. R. 38°. 3 déc. — Courbature généra
— Soir : T. R. 38°. 3 déc. — Courbature générale. Pas de nouvelles
attaques
. Il n'y a, cette fois, ni surdité, ni rétention d
t 8 ou 10 jours en décembre. 14 janvier. — V.... a été prise de ses
attaques
ce matin, à 7 heures. — A 10 heures, arrêt moment
ovarienne. — A 2 h. 1/2, chloroforme ; fin de la série ; en tout, 39
attaques
. 15janvier. — Injection de 10 gouttes de la sol
érale est passable; toutefois, il y a une anémie assez prononcée. Les
attaques
sont plus rares ; V... n'a pas eu de séries depui
V... n'a pas eu de séries depuis le mois de février, mais elle a eu 1
attaque
épileptiforme en juillet, 2 en août, et une dans
rrégularités, et, depuis seize mois, aménorrhée, d'où il suit que les
attaques
n'ont pas de rapport direct avec les règles. Sont
s événements qui semblent avoir déterminé l'apparition de la première
attaque
, afin de savoir au juste s'ils se reproduisaient
de nouveau le 19 octobre; elle s'excite peu à peu et elle est prise d'
attaques
ayant les caractères habituels. Nous relèverons s
onne ici?... Où suis-je?... Où est donc la porte?... » Elle a eu cinq
attaques
; trois d'entre elles n'étaient composées que
de délire, la période clonique faisait défaut. A la fin d'une de ses
attaques
, elle a essayé de se mordre l'avant-bras. 29 oc
ttaques, elle a essayé de se mordre l'avant-bras. 29 octobre. — Les
attaques
ont recommencé peu après mon départ. A 2 heures,
s ont recommencé peu après mon départ. A 2 heures, on avait compté 49
attaques
complètes et 3 attaques épilepti-formes, c'est-à-
ès mon départ. A 2 heures, on avait compté 49 attaques complètes et 3
attaques
épilepti-formes, c'est-à-dire composées seulement
t de la série. La nuit a été tranquille. Ce matin, à la suite d'une
attaque
, V... est restée dans un état de contracture modé
ominant aux bras et surtout au bras gauche. Le cou n'est pas roide.
Attaque
. 1° Période tonique. La face et les yeux se porte
ute la période de délire, disparait tout à coup. 30 oct. — Dans ses
attaques
d'hier, ainsi que cela arrive d'ordinaire, V... s
C'est comme un coup de marteau et des élancements. » A l'approche des
attaques
, elle s'exaspère; ainsi, elle a été très forte de
, elle a été très forte depuis le 25 octobre jusqu'au 28, jour où les
attaques
ont commencé. Rachialgie. — Douleur vive à la p
à gauche. V... pense que si l'on appuyait davantage, elle aurait une
attaque
, car elle a une sensation particulière du côté de
, en un mot les phénomènes habituels de l'aura. Toutefois, pour que l'
attaque
fut complète, elle assure qu'il faudrait appuyer
— Le rire spasmodi-que a cessé vers midi. On ignore si V... a eu une
attaque
pendant la nuit ; mais, ce matin, on l'a trouvée
membres dans l'extension, laquelle a disparu à 8 heures et demie sans
attaques
(l).V... a pleuré, (l) On voit que, à côté des
côté des gué— risons de contractures hystériques sous l'influence des
attaques
ou des émotions morales vives (colère, excitation
le ne boit que de l'eau de seltz et de la tisane parce que, après les
attaques
, il lui semble que le vin a le goût de l'encre (?
n effet. Les mouvements choréiques, qui augmentent à l'approche des
attaques
et dans les jours qui les suivent, ont diminué. I
hangé. — Ce matin on ne parvient pas à provoquer la trépidation Les
attaques
se montrent généralement par séries, constituant
t, septembre, octobre, décembre 1877. Le 14 janvier 1878, série de 39
attaques
. En mars, on note trois faiblesses ou mieux trois
érie de 39 attaques. En mars, on note trois faiblesses ou mieux trois
attaques
syncopales, ainsi caractérisées: pâleur extrê
ien éprouver de particulier. En avril, aucun accident ; — en mai, 6
attaques
épilep-tiformes ; — en juin, rien; — en juillet,
en mai, 6 attaques épilep-tiformes ; — en juin, rien; — en juillet, 1
attaque
épilepti-forme; — en août, 2; — en septembre, une
juillet, 1 attaque épilepti-forme; — en août, 2; — en septembre, une
attaque
epilrp-tiforme, suivie de trois attaques complète
août, 2; — en septembre, une attaque epilrp-tiforme, suivie de trois
attaques
complètes ; — le 28 octobre, 3 attaques épileptif
ilrp-tiforme, suivie de trois attaques complètes ; — le 28 octobre, 3
attaques
épileptiformes et 49 attaques hystéro-épilepti-qu
attaques complètes ; — le 28 octobre, 3 attaques épileptiformes et 49
attaques
hystéro-épilepti-ques. I. — Les événements qui
vénements qui ont déterminé, chez cette jeune fille, l'apparition des
attaques
hystéro- épilepti-ques, restent dans un certain v
e, agréable, avec Max, le fils même du vieillard amoureux. II. —Les
attaques
offrent dans leur ensemble les caractères habitue
onique ou des grands mouvements ; 3° p. de délire. D'autres fois, les
attaques
sont uniquement constituées par la première pério
e nom d'accès (1); nous préférerions les désignations suivantes :
attaques
incomplètes, a. avortées, ou mieux attaques épile
désignations suivantes : attaques incomplètes, a. avortées, ou mieux
attaques
épileptiformes (2). Elles se résument ainsi : '
inolente ou non (3). Ces trois phases qui composent, disons-nous, l'
attaque
épileptiforme, répondent absolument à la période
aque épileptiforme, répondent absolument à la période épileptoïde des
attaques
complètes. Les attaques complètes se montrent p
ent absolument à la période épileptoïde des attaques complètes. Les
attaques
complètes se montrent par séries de 15, 20, ...18
es. Les attaques complètes se montrent par séries de 15, 20, ...185
attaques
, qui s'étendent sur un ou deux jours, rarement da
bservations. (2) Voir le tome I. passim, et p. 124. (3) Après ces
attaques
épileptiformes, durant la période de stertor, les
avec incontinence d'urine. Divers moyens suspendent ou arrêtent les
attaques
: compression ovarienne, inhalations de chloroform
ns de chloroforme, d'éther et surtout de nitrite d'amyle. Outre les
attaques
épileptiformes (attaques incomplètes ou avortées)
r et surtout de nitrite d'amyle. Outre les attaques épileptiformes (
attaques
incomplètes ou avortées), et les attaques hystéro
es attaques épileptiformes (attaques incomplètes ou avortées), et les
attaques
hystéro-épileptiques complètes, V... a quelquefoi
es complètes, V... a quelquefois des « faiblesses », c'est-à-dire des
attaques
syncopales. On les retrouve chez beaucoup d'hysté
mariée à Loys Pierret. Trois mois plus tard, frayeur, hallucinations,
attaques
. Nicole est déclarée possédée... Conjurations, ex
e sont contraints de laisser Nicole tranquille. Alors., les grandes
attaques
cessent, mais la guéri-son n'est pas encore compl
mais la guéri-son n'est pas encore complète, Nicole est sujette à des
attaques
sincópales : « Le lundi donc 11 février (1566), »
s avec celle que nous avons tracée, on voit que les caractères de ces
attaques
synco-pales sont les mêmes et qu'elles sont plus
du goût à droite, ainsi qu'une hémianesthésie. Sous l'infl'ience des
attaques
, nous avons vu survenir une amaurose et une surd
de nombreuses variations. Elle augmente quelquefois à l'approche des
attaques
et surtout après un état de mal hystéro-épileptiq
ns la moitié du corps envahie la dernière et, à la suite de nouvelles
attaques
, dans la moitié primitivement affectée. Le retour
de deux hystériques , Ler... et Etchev..., qui ont encore éprouvé des
attaques
hys-téro épileptiques après la disparition des rè
avant la fonction menstruelle. Sommaire. — Antécédents. — Début des
attaques
à 15 ans et demi. — Anes-thésie et paralysie du c
: Hémianesthésie et hyperesthésie ovarienne droites. — Caractères des
attaques
en 1873. — Arrêt des convuhions par la compressio
ion des règles. — Retour de la sensililité à gauche. — Caractères des
attaques
en juillet 1873. — Secousse?. — Tremblements, sau
contracture récente. — Contracture du bras droit. — Modifications des
attaques
: crucifiement. Piai de la malade (avril 4877
tc. — Traitement par l'or. — Morphine et urticaire. Description des
attaques
(juillet 4877) : prodromes lointains; — aura; — d
uillet 4877) : prodromes lointains; — aura; — d"bul ; — périodes. —
Attaques
composées seulement de la période de délire : leu
rique rhythmique : guérison par le nitrite d'amyle. Description des
attaques
en 4878 ; crucifiement; — attitudes passionnelles
, des pleurs et sans miction involontaire, ni écume. Plus tard, les
attaques
, qui étaient diurnes etnocturnes,ont augmenté d'i
t de miction involontaire.Enfin ,au mois d'avril dernier, une série d'
attaques
aurait laissé après elle une paralysie du côté ga
e fléchissait et se pliait. Au bout de huit jours, L... aurait eu des
attaques
répétées et la paralysie, abandonnant le côté gau
ite ; les douleurs du ventre auraient également changé de côté. Les
attaques
auraient, dit-on, coïncidé avec le développement
en musclée, mais non encore réglée. En raison delà multiplicité des
attaques
, L... fut conduite à l'hôpital des Enfants malade
été admise pour une paralysie de la sensibilité du bras droit et des
attaques
d'hystérie grave, précédées de douleurs dans le b
int et la trouva toute effrayée, saignant du nez. Puis ont éclaté les
attaques
qui ont duré plusieurs heures et se sont terminée
terminées par des rires. Pendant un mois et demi, L... aurait eu des
attaques
presque tous les jours.On lui appliqua des ventou
it par les cheveux ; elle parvint à lui échapper : le soir, nouvelles
attaques
plus violentes. Ses parents la placèrent comme
u fils.peut-être parce qu'il pense que ce n'est pas son enfant. Les
attaques
, après s'ètro éloignées, se rapprochèrent. L... f
oreille droite). L'aura n'apparaîtrait que quelques minutes avant l'
attaque
; la malade a toujours le temps de se coucher. Qu
le temps de se coucher. Quelquefois, cependant, elle se figure que l'
attaque
va s'arrêter, que les phénomènes qu'elle éprouve
n'a aucun souvenir de ce qui se dit ou se fait autour d'elle durant l'
attaque
. La terminaison serait annoncée soit par des pleu
rien éprouvé ; elle ne conserve qu'un peu de contracture. Après ses
attaques
, elle a des visions, se fait des peurs. Elle revo
Enfin, elle a des mouvements du ventre, etc. Dans l'intervalle, des
attaques
, la rigidité persiste. — Après une attaque, L...
Dans l'intervalle, des attaques, la rigidité persiste. — Après une
attaque
, L... est revenue à elle ; sa physionomie était s
rotte le côté droit du ventre. Bientôt, elle est prise d'une nouvelle
attaque
... 1876. — Janvier-février. — La compression de
er-février. — La compression de la région ovarienne droite arrête les
attaques
; mais, d'habitude, elles reprennent au bout d'un
ieur à la dose de 15 à 43 gouttes n'a nullement modifié la marche des
attaques
. — Le 20 mars, nous observons une modification de
érap. sur Vépilepsie et ïhystérie, p. 100-101. gauche suspend les
attaques
. Quand elle a recouvré connaissance, L... déclare
in, elle a été prise à 7 heures, et, à 10 heures, on a déjà compté 21
attaques
. La compression ovarienne les fait cesser pour un
eux, comme avec le nitrite d'amyle. Bientôt, L... ayant été reprise d'
attaques
, nous recommençons les inhalations de valerate d'
us lourde que le nitrite d'amyle. — Peu après notre départ, nouvelles
attaques
. En tout, jusqu'à 3 heures, 39 attaques. 1 juin
après notre départ, nouvelles attaques. En tout, jusqu'à 3 heures, 39
attaques
. 1 juin. — Les attaques ont reparu ce matin à 4
les attaques. En tout, jusqu'à 3 heures, 39 attaques. 1 juin. — Les
attaques
ont reparu ce matin à 4 heures. A 11 heures, elle
ammes, de corbeaux et orné d'un drapeau tricolore (1). Une nouvelle
attaque
, survenue après un repos de 20 minutes, est arrêt
parla compression ovarienne gauche. — T. R. 38°,5. \kjuin.— Série d'
attaques
. L... a revu le charriot des morts. Quand les hom
ts, avec de longues queues. 23 juin. — De 7 à 11 heures du soir, 18
attaques
. 24 juin. — De 7 heures du matin à midi, 52 att
es du soir, 18 attaques. 24 juin. — De 7 heures du matin à midi, 52
attaques
. 4 juillet. — Pas d'attaques du 24 juin à ce jo
uin. — De 7 heures du matin à midi, 52 attaques. 4 juillet. — Pas d'
attaques
du 24 juin à ce jour. Depuis (l) L... a celte v
éveillant, elle avait ses règles pour la première fois. A 9 heures,
attaques
. A 11 heures et demie, on en avait compté 35. — T
— T. R. 37°,5. — De 7 heures du matin à une heure de l'après-midi, 18
attaques
. U anesthésie est toujours générale. 9 juillet.
toujours générale. 9 juillet. — De 10 heures à 3 heures du soir, 39
attaques
. Les règles sont à leur fin. 15 juillet. — La s
ain, l'anes-thésie était complète. 28 juillet. — G... a été prise d'
attaques
, au moment de l'apparition des règles. De 1 heure
. De 1 heure à 9 heures du soir, elle en a eu 26. 29 juillet. — Les
attaques
ont recommencé à 9 heures. A midi, on en avait co
sques;les yeux deviennent hagards, fixes; les pupilles se dilatent, l'
attaque
éclate sans cri. Période épileptoïde. a) La tèt
air. 3 septembre. — Les règles ont paru le 10r; le 2, elle a eu des
attaques
, et aujourd'hui 60. L'écoulement sanguin est peu
est peu abondant, s'arrête et reprend; il cesse le 5. 6 septembre.—
Attaques
coupées par les inhalations de nitrite d'ample.
ions de nitrite d'ample. 27 novembre. — De 8 h. 1/2 à 11 h. 1/2, 34
attaques
. T. R. 38°. 3 décembre. — Hier, dans l'après-
sait par terre. De 6 heures du soir à 4 heures et demie ce matin, 130
attaques
. 4 décembre. — Dans l'après-midi, X... a éprouv
compression ovarienne les a momentanément arrêtés. De 5 à 9 heures,
attaques
incomplètes. Dans la troisième, le bras droit s'e
étant placé eu travers du dos. La contracture a disparu à la septième
attaque
. La compression, pratiquée à 9 heures, a mis fin
nuit à 7 heures, sommeil tranquille. A partir de 7 heures, nombreuses
attaques
complètes et incomplètes, offrant des particulari
Ah ! mon cou ! » Puis elle crie et perd connaissance. Dans d'autres
attaques
, l'avant-bras droit se place en travers du dos et
ou si l'on préfère les vagues abdominales, qui précèdent souvent les
attaques
, sontaujourd'hui très-accusés. Deux fois, à la
ne plus apercevoir celui dont la vue lui faisait tant plaisir. Les
attaques
ont continué (13 complètes et 6 incomplètes) jusq
T. 11. 37°, 8. 1 décembre. — De minuit à trois heures du matin, 35
attaques
. Le reste de la nuit, sommeil assez tranquille, i
quin. Toutes les jointures sont rigides. La fesse est creuse. — Trois
attaques
à 11 heures. Dans l'une d'elles, les convulsions
remblement, qui a duré jusqu'à 8 heures. De ce moment à 10 heures, 22
attaques
: compression ovarienne, disparition de la contrac
bre. — Règles ; écoulement d'abord assez abondant, puis arrêt ; pas d'
attaques
ce jour-là ni le 11. Examen des yeux fait avec
urant la nuit, crampes dans la jambe paralysée. — De 8 à 10 heures 11
attaques
. Revenue à elle, X... raconte qu'elle a éprouvé d
ait sauter au plancher, » Dans l'intervalle qui a séparé la cinquième
attaque
de la sixième, on s'est aperçu que la paralysie d
(1). 1 0-12 janvier. — Règles assez abondantes. 24 janvier. — 54
attaques
; X... n'en avait pas eu depuis le 6. 7 février
rre, à nu, les pieds également découverts. De 8 heures à minuit, 49
attaques
: arrêt définitif par le nitrite d'ample. Le 17
le nitrite d'ample. Le 17 février, de 7 heures du soir à minuit, 53
attaques
. — Le 18, de 9 heures du matin à 2 heures de l'ap
ttaques. — Le 18, de 9 heures du matin à 2 heures de l'après-midi, 51
attaques
. L... s'est levée et s'est promenée dans la cour.
a cour. De 9 heures du soir jusqu'à 2 heures du matin, 19 février, 31
attaques
. Elle a senti des douleurs au niveau du bas-ventr
ment à droite, lentement à gauche. — Nous il avons ensuite noté 3
attaques
avortées. L'anesthésie est totale et affecte la
sans la moindre difficulté. 20 février. — De minuit à 2 heures, dix
attaques
durant lesquelles la contracture de la jambe gauc
langue dont la pointe venait loucher le menton. De 6 à 9 heures, 21
attaques
. Dans les premières attaques, le bras droit s'est
loucher le menton. De 6 à 9 heures, 21 attaques. Dans les premières
attaques
, le bras droit s'est placé en travers du dos et l
llée contre la partie postérieure du palais. Dans les intervalles des
attaques
, la langue restait contracturée et la malade ne p
t contracturée et la malade ne pouvait pas parler. A la suite de cinq
attaques
qui se sont succédé sans interruption, la contrac
24 fév. — Depuis le 22 jusqu'à 8 heures ce matin, même état ; pas d'
attaques
. Les règles ont paru hier. — De 8 à onze heures,
; pas d'attaques. Les règles ont paru hier. — De 8 à onze heures, 30
attaques
. Disparition de la contracture du bras après
ttaques. Disparition de la contracture du bras après la quatrième
attaque
et de la jambe après la cinquième. Période de d
temps, elle a quelques petits mouvements du bassin. Dans une autre
attaque
, elle s'asseoit, regarde de côté, sourit, donne d
de de délire, sans qu'il y ait eu de 'période épileptoïde, L... a une
attaque
composée : a) de \pé-riode clonique, avec les gra
grands mouvements ; — b) de la période de délire (1). Dans quelques
attaques
, mais non dans toutes, le bras droit exécute des
toutes, le bras droit exécute des moure (l) Nous avons observé des
attaques
du même genre, c'est-à-dire composées seulement d
droit, sans cela, elle ne saurait s'il est par terre. 4 mars. — 35
attaques
; arrêt par le nitrite d'amyle. 9 mars. — De 8
es ; arrêt par le nitrite d'amyle. 9 mars. — De 8 heures à midi, 36
attaques
. M mars. — 43 attaques. 18 mars. — 60 attaque
d'amyle. 9 mars. — De 8 heures à midi, 36 attaques. M mars. — 43
attaques
. 18 mars. — 60 attaques. Insuccès des inhalatio
heures à midi, 36 attaques. M mars. — 43 attaques. 18 mars. — 60
attaques
. Insuccès des inhalations d'éther; arrêt définiti
tête des gens tout ce qui était à sa portée. (l) Au début d'autres
attaques
nous avons vu les deux bras se retourner plusieur
s deux bras se retourner plusieurs fois en devenant rigides. — 39
attaques
. Les règles marchent convenablement. 9 avril. —
— 39 attaques. Les règles marchent convenablement. 9 avril. — 4
attaques
avortées ; 25 complètes. Arrêt par le nitrite d'a
avortées ; 25 complètes. Arrêt par le nitrite d'amyle. 4 0 avril. —
Attaques
. — Période de délire : physionomie effrayée : « O
e tortille comme pour échapper aux étreintes de quelqu'un. Dans une
attaque
, après la période des grands mouvements, elle est
par des rêves pénibles, cela plus particulièrement avant ou après les
attaques
.— Les règles sont irrégulières ; parfois elles ne
ne I provoque pas les phénomènes habituels de l'aura et partant d'
attaque
. On a pratiqué, dans ces derniers temps, un cer
s ont à peine coulé. X... passe la nuit dans le jardin. 6 mai. — 27
attaques
. 22 mai. — Dans la journée, 13 attaques plus
le jardin. 6 mai. — 27 attaques. 22 mai. — Dans la journée, 13
attaques
plus fortes que d'habitude; puis, attaques succes
i. — Dans la journée, 13 attaques plus fortes que d'habitude; puis,
attaques
successives, sans retour de la connaissance, de 9
définitif par le nitrite d'ample. 29 mai. — De 8 à 11 heures, 14
attaques
. — A 8 heures du soir, secousses très-fortes ; l'
une d'elles l'a jetée à bas de son lit. 1er juin. — Secousses, puis
attaques
de 8 heures du soir à 1 heure du matin. %juin.
puis attaques de 8 heures du soir à 1 heure du matin. %juin. — Les
attaques
ont recommencé à 8 heures et continuent à 10 heur
é une demi - heure plus lard par une contracture. A la suite de trois
attaques
épïlepti formes, on note, en outre, une contractu
n'y a ni morsure, ni gonflement). T. R. 38°, 2. Soir : T. R. 38°, 4.
Attaques
dans l'après-midi ; elles ont cessé à 4 heures.
aques dans l'après-midi ; elles ont cessé à 4 heures. 4 juin. — Les
attaques
ont commencé à 8 heures. Nous voyons la malade à
Après un repos relativement assez long, comme on le voit, L... a une
attaque
qui laisse une nouvelle contracture de la mâchoir
huit centigrammes, dose actuelle. — Aujourd'hui, de 9 à 11 heures, 15
attaques
. % juillet. — X... a été prise d'attaques à 9 h
hui, de 9 à 11 heures, 15 attaques. % juillet. — X... a été prise d'
attaques
à 9 heures et, contrairement à sa coutume, elle n
de prodromes. Nous allons décrire aussi complètement que possible ses
attaques
. Souvent, dès la veille des attaques, ou au moi
complètement que possible ses attaques. Souvent, dès la veille des
attaques
, ou au moins quelques heures auparavant, on obser
avons déjà appelé l'attention : ce sont les prodromes lointains de l'
attaque
. Interrogée, la malade déclare que les douleurs
ans l'oreille droite, obscurcissement de la vision, etc. Début de l'
attaque
. — La respiration est irrégulière, l'oppression é
gulière, l'oppression évidente, la parole est entrecoupée ; sentant l'
attaque
imminente, L... essaie de se comprimer : « J'ai..
ière pliase, parfois, il y a déjà de l'écume, sortant, dans certaines
attaques
, sous forme de grosses bulles. (Pl. XVII.) (2).
nt des palpitations si rapides que nous avons signalées au début de l'
attaque
; les membres sont animés de secousses tétaniform
Elle offre deux variétés qui, quelquefois, se succèdent dans la même
attaque
. a) Mouvements cloniques des membres, pour ains
ire qu'elle suit du regard, etc. (Pl. XXIII). Dans Y intervalle des
attaques
, le corps est rigide, les membres sont dans l'ext
e nous avons indiqués comme caractérisant les repos. La reprise des
attaques
est annoncée par les phénomènes décrits plus haut
ranquille hier et cette nuit; la contracture n'a pas reparu; mais les
attaques
ont recommencé à 9 heures et demie. Nous voyons L
Chameau ! Pignouf! Vaurien ! Elle reprend Planche XV DÉBUT DE L'
ATTAQUE
CRI Planche XVI. TÉTANISME sa positio
ÉTANISME sa position primitive : « Et tu continues " » Nouvelle
attaque
; puis le délire réparait. L .. croise les bras,
lonique, elle retombe dans la période du délire ; il s'agit donc là d'
attaques
constituées uniquement par la troisième période e
s, les changements de la face qui surviennent d'habitude au début des
attaques
complètes. « Compte sur moi ; j'ai ton amitié..
.. » 10 juillet. L... a bavardé sans cesse depuis hier sans avoir d'
attaques
et son bavardage continue encore : c'est un vérit
nner. .. (Ecoute.) Achève... Dépêehts-toi donc ! Est-ce que tu as des
attaques
?. . . Tu as des secousses. . . Tu veux encore un
aordinaire en toi, c'est que tu ris toujours. » Durant cette longue
attaque
de délire, la température a suivi les oscillation
squels elles sont restées plusieurs heures. Aujourd'hui, à la suite d'
attaques
, elle est prise de son délire de paroles dans leq
e qu'Emile l'appelait. A trois heures, étant au jardin, elle a eu une
attaque
incomplète. Revenue à elle, X... est raisonnable.
termine un délire semblable à celui qu'on observe durant les séries d'
attaques
: loquacité, confidences involontaires, hallucina
choréiques étaient alors suspendus. T. V. 38°. Puis, X... a eu trois
attaques
qui ont laissé après elles une contracture des me
l'après-midi. Depuis lors, jusqu'à trois heures, X... a trois petites
attaques
après lesquelles la chorée rhythmique est revenue
onze heures et demie. De deux heures à trois heures, trois petites
attaques
. Après la dernière, les mouvements choréiques ont
le 16 novembre. 19 nov. — Hier, de huit heures du soir à minuit, 24
attaques
. De minuit à huit heures, ce matin, rien. Depuis
es, ce matin, rien. Depuis lors jusqu'à une heure de l'après-midi, 25
attaques
: les mouvements qui caractérisent la chorée vulg
i, X... a été calme. Aujourd'hui de huit à dix heures, elle a eu cinq
attaques
épileptiformes, c'est-à-diri ne comprenant que la
hes. La sensibilité est revenue à gauche. 1er décembre. — Nouvelles
attaques
.Laj9^rio^?^? grands mouvements est annoncée par l
. .. C'est maman qui est la plus coupable. . . • 2 déc. — Hier, 154
attaques
de six heures du matin à sept heures du soir, X..
heures du soir, X... a été conduite au cours de M. Gharcot, ayant ses
attaques
. A deux heures, arrêt par le chloroforme; elle av
aques. A deux heures, arrêt par le chloroforme; elle avait eu déjà 45
attaques
. — Soir : T. R. 37°,5. 6 déc. — X... avoue que
plus raisonnable. Hier, de cinq à huit heures du soir, on a compté 32
attaques
. 1878. % janvier. — De six à huit heures du soi
té 32 attaques. 1878. % janvier. — De six à huit heures du soir, 18
attaques
, chloroforme. Ce médicament n'arrête pas les atta
res du soir, 18 attaques, chloroforme. Ce médicament n'arrête pas les
attaques
aussi bien que le ni tri te d'a-myle; souvent, il
Névralgie faciale, injection sous-cutanée de morphine. %0janv. — 38
attaques
de cinq à dix heures du soir; chloroforme. 21 j
8 attaques de cinq à dix heures du soir; chloroforme. 21 janv. — 36
attaques
de neuf heures et demie à onze heures du matin.
ures et demie à onze heures du matin. En février, X... n'a pas eu d'
attaques
. — Le 3 mars, elle a respiré 125 gr. d'éther. Dep
ôles dans la tête, nausées, etc. Hier soir, de sept à neuf heures, 17
attaques
épilepti formes, suivies de 8 attaques hystéro-ép
oir, de sept à neuf heures, 17 attaques épilepti formes, suivies de 8
attaques
hystéro-épilep-tiques. En se réveillant, ce matin
ce matin, elle était, dit-elle, comme une femme ivre. 13 mars. — 15
attaques
épilepti formes et 15 grandes attaques. 14 mars
ne femme ivre. 13 mars. — 15 attaques épilepti formes et 15 grandes
attaques
. 14 mars. — En une heure, 12 attaques épileptif
épilepti formes et 15 grandes attaques. 14 mars. — En une heure, 12
attaques
épileptiformes et 6 attaques hystéro-épilepti-que
attaques. 14 mars. — En une heure, 12 attaques épileptiformes et 6
attaques
hystéro-épilepti-ques. 25 mars. — En huit, he
6 attaques hystéro-épilepti-ques. 25 mars. — En huit, heures, 45
attaques
; chloroforme. 26 mars. — Insomnie. X... a été
e. Lorsqu'on presse simultanément sur les deux zones, on provoque une
attaque
. \Q juillet. — Séries d'attaques durant lesquel
sur les deux zones, on provoque une attaque. \Q juillet. — Séries d'
attaques
durant lesquelles ont été prises la plupart des P
uelles ont été prises la plupart des Planches. Début. — Souvent les
attaques
éclatent sans que la malade pousse un cri ; d'aut
la menace ; les Pl. XVII et XVIII représentent cette phase dans deux
attaques
différentes. L'attitude change brusquement. X..
d'un ton plaintif : « Tu ne veux plus ? Encore...! » Dans certaines
attaques
, sa supplication est écoutée et elle reprend l'at
r le lit et quelques instants après, reprend connaissance. Nouvelle
attaque
. Période épileploïde.a) Phase tétanique : 15 seco
t au bout de quelques instants reprend connaissance. Dans une autre
attaque
, après la période épileptoïde et la période cloni
est terminée. En juillet, août, septetnbreet octobre, X... a eu des
attaques
à maintes reprises, arrêtées soit par le courant
ndrons dans le volume suivant sur tous ces phénomènes. 2 nov. — Des
attaques
ont (l) Voir le Progrès médical, 1878, p. 993.
t ; — des jambes dans l'extension; les pieds sont en varus équin. Une
attaque
, provoquée par la compression des zones hys-tér
e demeure appliqué pendant trente-six heures sans plus de succès. Une
attaque
provoquée ne modifie en rien la situation (Fig. 8
a situation (Fig. 8). 1er décembre. — X... a, ce matin, une série d'
attaques
qui ne changent pas l'aphonie. Inhalation de nitr
tement. 31 déc. — X... a conservé sa sensibilité. Elle n'a pas eu d'
attaques
dans le courant du mois. Depuis quelques jours, e
est ce que nous saurons plus tard. Relation entre les règles et les
attaques
. — Nous avons noté plusieurs fois, en passant, l'
sant, l'apparition des règles et on a pu voir que, assez souvent, des
attaques
surviennent durant la période menstruelle, en gén
ails complémentaires sur l'année 1878. En janvier et février, pas d'
attaques
ni de règles. — En mars, 52 attaques épileptifor-
. En janvier et février, pas d'attaques ni de règles. — En mars, 52
attaques
épileptifor-mes et 81 grandes attaques; les règle
es ni de règles. — En mars, 52 attaques épileptifor-mes et 81 grandes
attaques
; les règles ont coulé le 7 et le 8 ; le 7 mars, e
attaques; les règles ont coulé le 7 et le 8 ; le 7 mars, elle a eu 17
attaques
épileptoïdes et 8 attaques complètes; pas d'attaq
ulé le 7 et le 8 ; le 7 mars, elle a eu 17 attaques épileptoïdes et 8
attaques
complètes; pas d'attaques du 1er au 7, ni du 8 au
rs, elle a eu 17 attaques épileptoïdes et 8 attaques complètes; pas d'
attaques
du 1er au 7, ni du 8 au 19 mars. — En avril, 78 a
lètes; pas d'attaques du 1er au 7, ni du 8 au 19 mars. — En avril, 78
attaques
avortées et 47 grandes attaques ; pas de règles.—
7, ni du 8 au 19 mars. — En avril, 78 attaques avortées et 47 grandes
attaques
; pas de règles.— En mai, 51 attaques incomplètes
attaques avortées et 47 grandes attaques ; pas de règles.— En mai, 51
attaques
incomplètes et 66 complètes ; pas de règles. — En
1 attaques incomplètes et 66 complètes ; pas de règles. — En juin, 10
attaques
épileptoïdes et 67 grandes attaques ; règles le 7
es ; pas de règles. — En juin, 10 attaques épileptoïdes et 67 grandes
attaques
; règles le 7 juin ; pas d'attaques du 1er au 18.
taques épileptoïdes et 67 grandes attaques ; règles le 7 juin ; pas d'
attaques
du 1er au 18. —En juillet, 30 attaques en deux fo
ues ; règles le 7 juin ; pas d'attaques du 1er au 18. —En juillet, 30
attaques
en deux fois, le 9 et le 17 ; règles du 23 au 27
u 27 ; elles ont duré, chose rare, près de quatre jours. — En août, 9
attaques
qui se sont montrées les 1er, 3, 22, 24 du mo
es 1er, 3, 22, 24 du mois ; règles le 19 et le 20. — En septembre, 69
attaques
complètes; pas de règles. — En octobre, 23 : pas
s; pas de règles. — En octobre, 23 : pas de règles. — En novembre, 40
attaques
; pas de règles. — En décembre, pas d'attaques sp
les. — En novembre, 40 attaques ; pas de règles. — En décembre, pas d'
attaques
spontanées ni de règles. Nous terminerons par q
terminerons par quelques indications approximatives sur le nombre des
attaques
: En 1876, 1,097; — en 1877, on a compté 1293 g
des attaques : En 1876, 1,097; — en 1877, on a compté 1293 grandes
attaques
et 3 attaques épi-leptiformes;en 1878, on a noté
: En 1876, 1,097; — en 1877, on a compté 1293 grandes attaques et 3
attaques
épi-leptiformes;en 1878, on a noté 605 attaques c
grandes attaques et 3 attaques épi-leptiformes;en 1878, on a noté 605
attaques
complètes et 191 attaques épileptilbrmes. Rappelo
ques épi-leptiformes;en 1878, on a noté 605 attaques complètes et 191
attaques
épileptilbrmes. Rappelons que les attaques se mon
attaques complètes et 191 attaques épileptilbrmes. Rappelons que les
attaques
se montrent par séries, constituant des états de
e la vie réelle et les différentes phases de la période de délire des
attaques
. Les antécédents de X... nous font voir combien
ime à se parer. Ce besoin d'ornement est si vif que quand elle est en
attaques
, s'il se produit une rémission, elle en profite p
et la compression de la région hyperesthésiée suffisait à arrêter les
attaques
. Les notes qui nous ont été remises sur son séjou
me avons eu L'occasion d'en observer un certain nombre. III. —Les
attaques
de X... sont tout-à-fait comparables, dans leurs
t tout-à-fait comparables, dans leurs traits les plus importants, aux
attaques
des malades dont nous avons précédemment parlé. N
ment parlé. Nous y retrouvons toutes les périodes qui constituent les
attaques
complètes. Il nous paraît inutile de revenir sur
n de pouvoir appeler, de préférence, l'attention sur les variétés des
attaques
et sur quelques-uns de leurs caractères. a) Nou
actères. a) Nous avons insisté de nouveau, à propos de X... sur les
attaques
épileptif ormes, ou attaques avortées car elles n
sté de nouveau, à propos de X... sur les attaques épileptif ormes, ou
attaques
avortées car elles ne comprennent que la période
rtées car elles ne comprennent que la période épileptoïde des grandes
attaques
hystéro-épileptiques. Bien des signes indiquent q
ous nous bornerons à dire ici que la compression ovarienne arrête ces
attaques
épilepti-formes, si semblables, en apparence, aux
psie. Et il en est ainsi chez toutes les hystériques. Geneviève a des
attaques
épilepti-formes le 25 octobre 1877 : nous les arr
rêtons par la compression aussi bien que chez X..., etc. Tantôt les
attaques
épileptif ormes sont isolées, tantôt elles appara
tantôt elles apparaissent par petites séries de même que les grandes
attaques
. Chez quelques malades, Parm..., Math..., l'hysté
Math..., l'hystérie convulsive se borne même à cette seule variété d'
attaques
, constituant des états de mal hystéro-épùeptiques
us contenterons de citer ici la température. Malgré la répétition des
attaques
, elle reste à 38° ou 38°,5, tandis que si l'on av
at de mal épileptique elle atteindrait 40°, 41° et môme 49°. b) Les
attaques
se répétant, il arrive parfois que, la période ép
tant, il arrive parfois que, la période épileptoïde faisant défaut, l'
attaque
comprend seulement la période clonique et la péri
nt la période clonique et la période de délire (p. 139). c) Enfin l'
attaque
peut n'être constituée que par la période de déli
rent d'une manière péremp-toire. Les analogies qui existent entre ces
attaques
de délire et la période de délire des attaques co
qui existent entre ces attaques de délire et la période de délire des
attaques
complètes sont de toute évidence. Nous avons ég
complètes sont de toute évidence. Nous avons également observé des
attaques
de délire, mais moins prolongées, chez Geneviève
es, chez Geneviève : le 17 décembre 1877, entre autres, elle a eu une
attaque
de ce genre, non précédée des périodes épileptoïd
e de délire, sans période épileptoï'de et sans période clonique : ces
attaques
duraient une ou deux heures, se terminaient par d
mal. On se rappelle que celui ci se compose, à son plus haut degré, d'
attaques
hystéro-epilepliques complètes, qui se succèdent
s, qui se succèdent pendant des heures ; — à un degré moins accusé, d'
attaques
épi-lepti formes, survenant coup sur coup, égalem
s. — Le délire que nous avons décrit était lui-même constitué par des
attaques
se suivant pour ainsi dire sans intervalle, attaq
onstitué par des attaques se suivant pour ainsi dire sans intervalle,
attaques
dans lesquelles on voyait se reproduire les mêmes
ont (0 Quand Yéther est administré aux hystériques, en dehors des
attaques
, il ne paraît déterminer que l'hystérie gaie. (
s. III), de Marc... (t. I, Obs. V). d) Soit avant, soit après leurs
attaques
, les hystériques se livrent à des actes extravaga
ssement à cause de sa chute. » IV. — Pour calmer les hystériques en
attaques
, les prêtres employaient autrefois, et préconisen
ur, du courant électrique, etc. V. —Quelques-uns des caractères des
attaques
deX... méritent d'être comparés aux phénomènes of
gidité tétanique du corps, que l'on observe à la première période des
attaques
. On disait que les religieuses de Loudun, « lorsq
ulaire dans les membres du côté droit (parésie) lorsque, à la suite d'
attaques
, elle a été affectée d'une véritable paralysie de
l'apparition des règles. Dès l'âge de 9 ans, elle était sujette à des
attaques
syncopaïes auxquelles se sont substituées, à 10 a
s, à 10 ans, sous l'influence d'émotions morales vives, de véritables
attaques
convulsives qui, chose curieuse, au lieu de prend
. Sommaire. — Antécédents. — Cauchemars. — Torticolis. — Frayeur. —
Attaques
syncopaïes. — Début des grandes attaques (16 ans)
. — Torticolis. — Frayeur. — Attaques syncopaïes. — Début des grandes
attaques
(16 ans). — Alastody-nie. — Etat de mal hystéro-é
ro-mam-maire droites. — Hematémèse. — Contractures. Description des
attaques
.-périodes, variétés, attitude du crucifiement, e
mai 1878, comme fille de service. Prise, quelques jours plus tard, d'
attaques
hystériques, elle est placée dans la section des
lle. ./!/?/-?, brunisseuse, vivante, bonne santé habituelle ; pas d'
attaques
de nerfs, ni de migraine, mais colérique. Après l
our la rassurer. Souvent,elle se trouvait mal pendant 3 ou 4 minutes (
attaques
syncopa-les). Enfin,elle a eu fréquemment des tor
alles, en se couchant par terre, pour éviter le danger. La première
attaque
convulsive a éclaté le jour de l'incendie; elle a
sive a éclaté le jour de l'incendie; elle a été suivie de deux autres
attaques
. A dater de là (11 ans), jusqu'à 13 ans environ,
ns), jusqu'à 13 ans environ, X... a eu de temps en temps de nouvelles
attaques
. A partir de l'époque de la mort de son père (1
crampes d'estomac, de petites suffocations, jamais de syncopes, ni d'
attaques
. D'un caractère doux et assez affectueuse, A... n
ée ; elle fut prise d'un fou rire, et au bout de quelques minutes, (l'
attaques
hystéro-epilep tiques (1). Peu après, survint, sa
n de l'hôpital Cochin. L'émotion produite par l'examen, détermine des
attaques
, que la tante considère comme les premières. Les
termine des attaques, que la tante considère comme les premières. Les
attaques
reviennent les jours suivants et, vers le 5° ou l
ut se dissipa en huit jours. Ces accidents n'ont jamais reparu. Les
attaques
, en général très-courtes, continuant tous les jou
tc., en un mot, le terrain était préparé pour le retour des anciennes
attaques
. I l'asile Sainte-Anne (18 juin 1875). Là, elle
e Sainte-Anne (18 juin 1875). Là, elle aurait eu de temps à autre des
attaques
, séparées par des rémissions de 2, 3 mois ou même
i procurât une place ; mais, quand on sut qu'elle était sujette à des
attaques
, on lui conseilla d'entrer, en qualité de fille d
exerce une pression sur les régions hyperesthésiées, on provoque une
attaque
. Si la pression est prolongée et très-forte, on a
Si la pression est prolongée et très-forte, on arrête d'ordinaire les
attaques
; cela est vrai, surtout pour la compression de l'
uleur spontanée est intermittente; elle est surtout accusée avant les
attaques
. Les cheveux sont rares dans la région hyperesthé
z bien. A... n'est sujette à des palpitations cardiaques qu'avant ses
attaques
. Les fonctions digestives sont irrégulières : app
i sont rouges; il la fixe, et s'il parle, c'est pour la contrarier.
Attaques
(1). — Aura. A... éprouve des douleurs plus vives
eillies par nous. (2) La compression laryngo-tra-cliéale arrête les
attaques
. phénomènes sont beaucoup plus intenses à droit
début, il sort de la bouche une salive mousseuse (1). Dans quelques
attaques
, les paupières sont ouvertes, et la convulsion de
) Voir la note de la page 144. Flanche XXXII. HYSTÉR0-ÉPILEPS1E :
ATTAQUE
TÉTANISME Planche XXXIII. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE
ILEPS1E : ATTAQUE TÉTANISME Planche XXXIII. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE :
ATTAQUE
PERIODK ÉPILEPTOÏDE Planche XXXIV. HYSTÉRO-
ATTAQUE PERIODK ÉPILEPTOÏDE Planche XXXIV. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE :
ATTAQUE
stkrtok Planche XXXV. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : A
O-ÉPILEPSIE : ATTAQUE stkrtok Planche XXXV. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE :
ATTAQUE
DÉLIRE mie espèce de rictus. (Pl. XXXIII).
é complète et que la malade est encore sous le coup de son mal. Les
attaques
se présentent par séries, durant plusieurs heures
les membres, tantôt des membres du côté droit seulement ; enfin, les
attaques
peuvent être séparées par des rémissions complète
alors, elle se plaint, se lamente, etc. Modifications, variétés des
attaques
. — Dans quelques attaques, rares d'ailleurs, nous
lamente, etc. Modifications, variétés des attaques. — Dans quelques
attaques
, rares d'ailleurs, nous avons observé Y attitude
omènes lubriques ; ils sont légers, à Pétat d'ébauche. La variété d'
attaques
la plus commune chez A..., c'est celle que nous a
commune chez A..., c'est celle que nous avons désignée sous le nom d'
attaques
épileptiformes [attaques avortées ou incomplètes)
celle que nous avons désignée sous le nom d'attaques épileptiformes [
attaques
avortées ou incomplètes) et qui se composent uniq
i se composent uniquement de la période épileptoïde. Quelquefois, les
attaques
se bornent aux deux premières périodes, une nouve
avant l'apparition de la période de délire. Nous avons vu aussi des
attaques
dans lesquelles la période clonique faisait défau
oi, agitation, lutte, etc. — Enfin, un jour, nous avons assisté à des
attaques
constituées exclusivement par le délire; ces atta
s assisté à des attaques constituées exclusivement par le délire; ces
attaques
de délire ne se sont pas produites primitivement,
s de délire ne se sont pas produites primitivement, mais à la suite d'
attaques
ordinaires. Signalons encore diverses particula
e concentration de la malade en elle-même. (Pl. XXXVIII). Arrêt des
attaques
. — Les attaques ont pu être suspendues ou arrêtée
de la malade en elle-même. (Pl. XXXVIII). Arrêt des attaques. — Les
attaques
ont pu être suspendues ou arrêtées à toutes les p
par l'application des pôles de la pi le Trouvé sur Planche XXXVI.
ATTAQUE
: CRUCIFIEMENT Planche XXXVII. ATTITUDES PASSI
e, Yéther; 5° par le compresseur. (Fig. 8). Vi juin. — A la suite d'
attaques
, A... conserve, pendant une demi-heure, une contr
aint d'avoir sans cesse des envies de vomir. Elle a plusieurs petites
attaques
qui ne changent pas le hoquet. Inhalation de chlo
r les apophyses épineuses des vertèbres hyperesthésiées, provoque une
attaque
. A... dit que cette pression détermine une sensat
nq ou six jours. Il s'agissait là d'une folie à part et non pas d'uue
attaque
de délire semblable à celle que nous avons décrit
malade et n'était nullement comparable à la période de délire de ses
attaques
. Pendant les quatre derniers mois de l'année 18
s fois, aussi, elle a essayé de s'étrangler. (Maniehystérique). Les
attaques
ont affecté la marche suivante : du 15 au 30 juin
une façon particulière par les menstrues. Relevons,toutefois, que les
attaques
ont été plus fréquentes dans les mois de juin ou
des cauchemars (1) ; puis, à ces phénomènes, sont venus s'ajouter des
attaques
syncopdles (2) ; enfin, sous l'action d'émotions
à peu et finalement disparaissent au bout de huit jours. IV. — Les
attaques
d'A... ressemblent, quant à la succession des pér
attaques d'A... ressemblent, quant à la succession des périodes, aux
attaques
des malades dont (l) Leçons de novembre et dé
arition de Vanesthésie, de la rachialgie, et de l'ovarie à la suite d'
attaques
et d'émotions vives. Les visites nocturnes de s
flige et c'est pour cela qu'elle a été malade hier : De 4 à 9 heures,
attaques
épileptiformes, attaques de contracture, attaque
qu'elle a été malade hier : De 4 à 9 heures, attaques épileptiformes,
attaques
de contracture, attaque de crucifiement. Ce matin
: De 4 à 9 heures, attaques épileptiformes, attaques de contracture,
attaque
de crucifiement. Ce matin, elle est allée se roul
, la rachialgie a complètement disparu et on ne peut plus provoquer d'
attaques
(2). — En temps ordinaire, quand la malade al (
dit en tendant le tronc, elle rend plus difficile la production d'une
attaque
; quelquefois même, lorsqu'elle prend cette positi
dont elle se couvre. (Pl. XXXIX). 30 novembre. — En revenant de ses
attaques
d'hier, G... s'est aperçue qu'elle sentait. Nous
sommeil est très-court (2 ou 3 heures). 13 décembre. — G... a eu 25
attaques
épileptiformes. — A 2 heures du matin, elle a ret
oit. L'expérience ne peut être poursuivie, parce que G... est prise d'
attaques
. On les arrête par la compression ; G... revient
n effet, une morsure profonde, qu'elle s'est faite elle-même dans ses
attaques
d'hier.) Us ont eu trois fois des rapports. Elle
la rachialgie n'existe plus, et qu'il est impossible de provoquer des
attaques
. 19 décembre. — G... a pleuré pendant toute la
ie, 30. Ataxie hystérique, 136. Athétose, 29, 32, 37. Atrophie, 30.
Attaques
(Description des) d'hystérie, 96. 103, 162 etc.—
vessie, 102, 111. — Traitement de la — : par Vaimant, 113; — par les
attaques
, 138; — par le chloroforme, 137; — par la compres
ginaire, 217. Guérison spontanée, 111. H Hallucinations après les
attaques
, 75, 81, 102, 129, etc.; — pendant les attaques,
lucinations après les attaques, 75, 81, 102, 129, etc.; — pendant les
attaques
, 131, etc. Hémichorée, 30, 32, 41. Hémiplégie
Névralgie faciale, 160. Nicole Obry, 110. Nitrite d'amyle,78 (V.
Attaques
, Contractures, etc.). Notion de pos'tion (Perte
1'), 224. P Paralysie hystérique, 113, 135; — guérison par les
attaques
, 136. Parésie hystérique, 128. Peur, 197, etc. Ph
. Règles (Influence des) surlesaccês, 44, 47, 55, 73, 89. — Sur les
attaques
, 107, 132, 137, 166. Rétention d'urine, 98, 138
re dans les accès d'épi-lepsie (V. Epilepsie partielle). — dans les
attaques
, 97, 105, 132, etc ; — dans la chorée rhythmi-que
s il y a, à la fois, paralysie permanente avec ou sans contracture et
attaques
d'épilepsie Bravais-Jacksonienne. Ici, tandis qu'
puis une troisième huit jours plus tard. Et, depuis cette époque, les
attaques
convulsives se sont répétées une ou. deux fois pa
ensitives et sensorielles dans le délire de la troisième période de l'
attaque
hystérique (voir plus loin, n°XXVI), nous avons e
ot, depuis plus de dix ans. C'est une grande hystérique, avec grandes
attaques
à trois périodes, attaques de contracture, et por
C'est une grande hystérique, avec grandes attaques à trois périodes,
attaques
de contracture, et portant tous les stigmates de
iserie de l'éther qu'on leur administre quelquefois pour calmer leurs
attaques
). Nous tentons alors d'impressionner le sens de
ement sur un tam-tam. Immédiatement la malade tombe dans une violente
attaque
de contracture. Nous lui faisons reprendre ses se
élire post-hystéro-épileptique, et se voit quelquefois à la suite des
attaques
d'hystérie. Bien qu'elle refuse énergiquement de
onservant toujours les diverses contractures qui lui restaient de son
attaque
, la malade, ceci est important à noter, ne nous
à l'hospice une multitude d'accidents hystériques : chorée rhythmée,
attaques
de délire durant jusqu'à dix jours, paralysies, c
service on a l'habitude de donner de l'éther pour calmer les grandes
attaques
d'hystérie, pour lesquelles on fait aussi usage d
organes des sens sur les hallucinations de la phase passionnelle de l'
attaque
hystérique (1). On sait que les attitudes passi
dans la nomenclature établie par M. Charcot, la troisième phase de l'
attaque
hystéro-épileptique, sont commandées en général p
lus souvent visuelles. On sait aussi que cette troisième période de l'
attaque
peut, dans certains cas, prendre un développement
s entreprises à ce sujet dans le délire de la phase passionnelle de l'
attaque
hystérique. Depuis les travaux de M. Mesnet, M. P
possibilité de donner des suggestions dans la phase passionnelle de l'
attaque
d'hystérie, mais sans insister sur les caractères
Enfin M. le Pr Charcot, (1) Pitres. — Des zones hyslèrogènes ; des
attaques
de sommeil. Bordeaux, 1885. faisant allusion au
it n'est pas très rare dans la phase des attitudes passionnelles de l'
attaque
(1). Mais toutes les recherches faites jusqu'au
tête. Le 8 avril, en examinant le réflexe rotulien, on provoque une
attaque
de nerfs qui commence par des mouvements épilep-t
s, arc de cercle caractéristique, etc. Depuis cette époque, les mêmes
attaques
se reproduisent presque tous les jours. Le malade
ure qui s'étend aux membres supérieurs persiste quelque temps après l'
attaque
et résiste aux frictions et au massage. Les doule
on est obligé de recourir au cathétérisme pour vider la vessie. Les
attaques
peuvent se produire à l'aide d'un aimant, par l'e
s arrêter par une suggestion énergique, mais seulement au moment où l'
attaque
commençait. Chaque attaque est précédée d'une aur
n énergique, mais seulement au moment où l'attaque commençait. Chaque
attaque
est précédée d'une aura gastrique (boule qui remo
gastrique (boule qui remonte de l'estomac à la gorge). Au début, l'
attaque
ne s'accompagnait pas d'attitudes passionnelles.
scènes de knout. Il voit aussi son père, mort aujourd'hui. Après son
attaque
, il no conserve aucun souvenir do ses hallucinati
ences instituées en novembre 1889, pendant la phase passionnelle de l'
attaque
.—En plaçant un verre vert devant les yeux du mala
objet. Verre rouge. — Il se lève effrayé et cherche à s'enfuir... L'
attaque
survient qui clôt la scène. Deuxième expérience
vers verres devant lesyeux du malade à l'état normal ne produit pas l'
attaque
et ne provoque aucune hallucination. Le verre rou
lucination. Le verre rouge, au contraire, provoque instantanément une
attaque
du genre de celles que nous avons décrites plus h
nces, on suggère au malade, pendant la période hallucinatoire 'de l'
attaque
, de raconter les tableaux qui se sont déroulés de
allucinations qu'il n'avait manifestées extérieurement pendant chaque
attaque
que par une mimique assez animée. Dans son prem
e qu'a provoquée chez lui l'audition de l'orgue de Barbarie pendant l'
attaque
répond la partie correspondante de son récit. A
e le malade voyait sponta nément pendant la phase passionnelle de l'
attaque
. Il est certain que toutes ces hallucinations nou
o-frénateur dans les deux régions ovariennes. Elle a eu autrefois des
attaques
de chorée rhythmée hystérique et à plusieurs repr
es attaques de chorée rhythmée hystérique et à plusieurs reprises des
attaques
de délire dont l'une en particulier a duré dix jo
délire dont l'une en particulier a duré dix jours. Elle a de plus des
attaques
d'hystérie classique avec période épileptoïde, ph
domine notablement sur les deux autres phases. Elle durerait à chaque
attaque
jusqu'à une et deux heures, ainsi que nous l'avon
t hypnotisable, nous profitons de cette circonstance pour provoquer l'
attaque
hystérique, en lui suggérant dans la période somn
ste maladie! je la plains de tout mon cœur... Je n'en ai plus, moi, d'
attaques
(à pari) et puis je ne te le dirais pas, pour sûr
e l'on se sert généralement d'éther à la Salpêtrière pour arrêter les
attaques
d'hystérie.) Ici, nous arrêtons le délire en ap
les rats..., etc. Chloroforme. — (De môme que l'éther sert pour les
attaques
, le chloroforme est employé généralement ici soit
ur tenir la jambe droite... » Ether. — De nouveau, hallucinations d'
attaques
de nerfs, comme dans la première expérience. Si
el, la piqûre au ventre l'idée de laparotomie, l'éther le tableau d'
attaques
de nerfs, le chloroforme celui de contractures, e
sie souvent les mêmes suggestions que dans la phase passionnelle de l'
attaque
. Il en est ainsi pour l'éther, le chloroforme, le
ne d'années, hystéro-traumatique typique avec stigmates permanents et
attaques
classiques, mais dans lesquelles la phase passion
uelles la phase passionnelle prend un développement exagéré. Dans une
attaque
provoquée, après avoir laissé passer les périodes
antes. Une femme est là, dans la rue, sur le trottoir, en proie à une
attaque
de nerfs. Il écarte la foule pour qu'on lui laiss
pnotisme. Nous retrouvons aujourd'hui quelque chose d'analogue dans l'
attaque
délirante hystérique. C'est un point de con* tact
avons rapportés : 1° Que dans le délire de la phase passionnelle de l'
attaque
hystérique on peut modifier la marche des halluci
ur des signes plutôt négatifs — absence de stigmates hystériques et d'
attaques
— et sur les analogies présentées par ces impulsi
us ordinairement, sont procédés et suivis des phénomènes moteurs de l'
attaque
hystérique, et plus rarement se manifestent primi
mes hystériques comme des transformations d'une certaine période de l'
attaque
hystéro-épileptique, celle qui dans la nomenclatu
résentent comme limites extrêmes d'un côté la phase passionnelle de l'
attaque
elle-même, de l'autre le somnambulisme hypnotique
tte série qu'il établissait. On sait que cette troisième phase de l'
attaque
hystéro-épileptique est caractérisée par un délir
que la première phase (épilep-toïde) et la deuxième (convulsive) de l'
attaque
peuvent exister à l'état d'isolement, il arrive a
aussi que la troisième période se manifeste d'emblée. Cette manière d'
attaque
est surtout fréquente chez les enfants. Sous le t
mple, à l'occasion duquel j'avais pu dire (1) : « Si l'on admet que l'
attaque
hystérique offre une sorte de synthèse des symptô
lon cette conception, représenterait l'une des phases dissociées de l'
attaque
, la période (1) Paul Blocq. — Revue générale de
ulisme hystérique. Dans un premier groupe de faits, il s'agit d'une
attaque
d'hystérie dont la période convulsive est raccour
lle, exagérée par sa durée, offre l'apparencesomnambulique. Lorsque l'
attaque
survient, elle débute par quelques mouvements épi
nfluence créatrice (1). Enfin, il est souvent possible de provoquer l'
attaque
, par la mise en œuvre des procédés d'hypnotisatio
ordre de faits, ce n'est pas à une phase anormalement prolongée de l'
attaque
qu'on assiste, mais à une phase complètement isol
mains, qui représentent, en raccourci, les périodes convulsives de l'
attaque
. Il se livre d'emblée aux divers actes qui sont e
orsqu'elle passe de l'un à l'autre état, elle présente une esquisse d'
attaque
convulsive. Une autre malade de la Salpêtrière,
que cette conception des somnambulismes hystériques comme des modes d'
attaques
passionnelles est en quelque sorte la clef qui pe
'il existe une sorte de gradation de ces états, gradation qui va de l'
attaque
passionnelle normale, dans laquelle l'activité pr
lques types — mais qui toutes représentent une phase transformée de l'
attaque
hystérique. Leur comparaison montre enfin qu'elle
les tendent à réaliser des modes de transition entre cette phase de l'
attaque
et le somnambulisme hypnotique. (1) Voir plus l
s (1). Du somnambulisme hystérique (phase passionnelle de Vattaque,
attaque
délirante, attaque de somnambulisme). La grande
ulisme hystérique (phase passionnelle de Vattaque, attaque délirante,
attaque
de somnambulisme). La grande attaque d'hystérie
e Vattaque, attaque délirante, attaque de somnambulisme). La grande
attaque
d'hystérie est bien connue depuis les travaux de
ou hystéro-épilepsie. Quelquefois une des périodes peut manquer et l'
attaque
se borner par exemple aux grands mouvements et au
ence d'une prédominance de la phase épileptoïde pouvant aller, si les
attaques
deviennent subintrantes, jusqu'à simuler l'état d
onsidéré une période de délire comme inhérente à la constitution de l'
attaque
d'hystérie complète. Nous reviendrons d'ailleurs
dépens des autres phénomènes et prendre une prédominance telle que l'
attaque
devient véritablement une attaque délirante, l'él
rendre une prédominance telle que l'attaque devient véritablement une
attaque
délirante, l'élément convulsif se trouvant rejeté
heures et même plusieurs jours. Ces diverses modalités de la grande
attaque
d'hystérie se trouvent déjà signalées dans le liv
ques-unes d'entre elles et en particulier sur la forme délirante de l'
attaque
(1). Dans ses leçons cliniques, M. Charcot avait
cliniques, M. Charcot avait fait remarquer maintes fois combien cette
attaque
de délire se rencontre souvent dans l'hystérie. O
il, rentrer dans la catégorie du délire de la phase passionnelle de l'
attaque
auquel M. Charcot propose d'attribuer la dénomina
pour des accidents hystériques graves, consistant surtout en grandes
attaques
qui revenaient avec une violence et une fréquence
en dix jours, c'est-à-dire en moyenne 92 par vingt-quatre heures. Ces
attaques
, qui étaient tout d'abord vulgaires, commencèrent
nsistons pas ici sur cette immixtion de phénomènes hypnotiques dans l'
attaque
d'hystérie, nous réservant d'y revenir plus loin
a malade de M. Mesnet, lorsqu'une nuit, immédiatement au sortir d'une
attaque
convulsive d'une grande violence, elle se lève, s
t le somnambulisme hystérique ou délire de la phase passionnelle de l'
attaque
. L'interprétation est facile ici, et P. Richer (1
us la rubrique de somnambulisme remplaçant la phase passionnelle de l'
attaque
. Elle l'est peut-être moins chez le second malade
dédaigner pour l'interprétation des faits et leur identification, une
attaque
convulsive ouvrant et fermant la scène. On pour
uait aux dames, faisait des calculs pendant la phase délirante de son
attaque
, dont la phase convulsive était réduite au minimu
pporte, que le délire peut être accompagné des autres phénomènes de l'
attaque
à l'état d'intégrité ou de simple ébauche, ou, da
par le procédé ordinaire de la fixation d'un objet brillant ; 3° des
attaques
de sommeil; 4° des accès de condition seconde dan
is longtemps, M. Oharcot avait fait remarquer combien fréquemment les
attaques
délirantes se rencontrent chez les enfants des de
lire actif, quelquefois furieux, tenir une place prépondérante dans l'
attaque
d'hystérie. Dans une leçon publiée en 1884 (1), i
L'un d'eux (2) a trait à un jeune collégien de 14 ans qui, dans ses
attaques
que M. Oharcot qualifiait de somnam-bulo-délirant
(1). Dans ce cas le délire dura plusieurs jours et fut suivi par deux
attaques
successives qui se produisirent pendant la même j
pêtrière. L'un d'eux, le jeune It..., âgé de 13 ans, commençait son
attaque
par une aura gutturale fortement accentuée, crian
s de nerfs qu'il nous a décrites, et qui sont, à n'en pas douter, des
attaques
hystériques, durant quelquefois pendant quatre he
Plus tard l'aura classique laryngée et céphalique précéda toujours l'
attaque
. Mais pendant les premières elle manquait, phénom
mène d'autant plus important qu'il pouvait induire en erreur, une des
attaques
s'étant accompagnée de perte involontaire de l'ur
èse ne pouvait se soutenir longtemps. En effet bientôt apparurent des
attaques
dans lesquelles, l'élément convulsif se bornant à
ques. Dans la suite, après quelque temps de séjour à l'hôpital, les
attaques
de ce petit malade se modifièrent notablement.
s quelques cas qui précèdent, le délire de la phase passionnelle de l'
attaque
hystérique chez les enfants est éminemment variab
ous avons eu dans nos salles, à la Salpêtrière, deux enfants dont les
attaques
délirantes ont causé grand émoi dans les pays qu'
Bourgogne, dans un petit hameau de quelques habitants. Elle avait des
attaques
dans lesquelles la période délirante prenait un d
dmission àla Salpêtrière. Nous reconnûmes chez elle dès son arrivée l'
attaque
typique d'hystérie avec prédominance de la phase
ésentait dès son arrivée tous les signes de l'hystérie infantile avec
attaques
dans lesquelles la phase passionnelle prédominait
des règles et sous l'influence d'une émotion qu'elle eut sa première
attaque
d'hystérie. Elle était rentrée un peu tard de s
in, tout était rentré dans l'ordre. Par la suite elle eut plusieurs
attaques
semblables, tous les trois ou quatre mois environ
t et pendant les quinze jours qui suivirent la malade eut une série d'
attaques
convulsives, précédées d'une aura classique, avec
ands mouvements, arc de cercle, etc., mais sans délire accompagnant l'
attaque
. Le seizième jour elle fut prise, dans la rue, en
evenant de l'établissement hydrothérapique qu'elle fréquentait, d'une
attaque
convulsive ; une personne la releva, la conduisit
haises, à miauler, etc. A partir de ce jour elle eut deux espèces d'
attaques
: 1° Des attaques vulgaires suivies ou accompagné
etc. A partir de ce jour elle eut deux espèces d'attaques : 1° Des
attaques
vulgaires suivies ou accompagnées d'une phase dél
nées d'une phase délirante dans laquelle elle imitait le chat. 2° Des
attaques
de délire, non précédées de convulsions, constitu
ment par la phase de délire galéanthropique qui terminait les grandes
attaques
. Elle fut admise à la Salpêtrière le 2 juillet.
juillet. Le 3 au matin, dans le cabinet d'ophtalmologie, elle eut une
attaque
de délire primitif dont voici la description :
le se relève, l'air étonné, ne sachant ce qui vient de lui arriver. L'
attaque
avait duré cinq ou six minutes environ. La cris
t qui avait eu lieu la veille, dans le cabinet de M. Charcot. Après l'
attaque
, rien de particulier à noter. Ce même jour, 3 j
battaient et qui roulait ses yeux dans les orbites. Le lendemain une
attaque
se produisit, suivie d'une phase de délire pendan
us deux formes bien distinctes. Tout d'abord l'élément convulsif de l'
attaque
, s'il ne prédomine pas d'une façon absolue, exist
zôanthropique seul éclate par crises en apparence indépendantes de l'
attaque
d'hystérie, mais qui doivent cependant en être co
it seul, soit associé aux autres phases plus ou moins accentuées de l'
attaque
d'hystérie, se développer spontanément, comme l'a
centuées de l'attaque d'hystérie, se développer spontanément, comme l'
attaque
elle-même. Eh bien, nous allons faire reconnaître
e présentera l'esprit, lorsque le délire fait partie intégrante d'une
attaque
classique représentée par tous ses éléments plus
dessinés. Des zones hystérogènes diverses devaient, en développant l'
attaque
, faire éclore aussi le délire qui en fait partie.
nt sur les zones hystérogènes, lorsqu'elles existent, on provoque des
attaques
en tout semblables à celles qui se produisent spo
n quelque peu prolongée d'un objet quelconque suffit pour provoquer l'
attaque
chez les malades qui en sont porteurs. L'existe
u centre du périmètre provoquant chez lui instantanément une violente
attaque
de nerfs (1). Chez un individu de cette catégorie
les sujets susceptibles d'être hypnotisés. Il va entrer soit dans son
attaque
convulsive, soit dans son somnambulisme. Supposon
ez ce malade produit l'état hypnotique, mais simplement développé une
attaque
, comme on eût pu le faire en pressant sur le test
me on eût pu le faire en pressant sur le testicule ou l'ovaire. Cette
attaque
est convulsive, ou somnambulo-délirante, peut-êtr
élirante, peut-être les deux a la fois, peu importe. C'est toujours l'
attaque
, et d'ailleurs, comme on le verra dans la suite d
vaient cru à « l'hypnotisme » alors qu'il s'agissait tout bonnement d'
attaques
délirantes. On verra, en outre, en lisant ces fai
ont bien portantes et la quatrième, âgée de 20 ans, est sujette à des
attaques
de sommeil. Elle en a eu deux à la suite desquell
la suite desquelles elle est restée paralysée des jambes. La seconde
attaque
s'est produite pendant la messe que l'on célébrai
ucoup à cette règle, à savoir que chez les enfants en particulier les
attaques
se produisent habituellement le soir, avec plus o
a zone hystérogène oculaire, ainsi qu'on le verra plus loin. Jamais d'
attaques
de nerfs simples avec convulsions, jamais de pert
vec les manifestations hypnotiques, mais provoqua tout simplement une
attaque
de délire. Au bout de 45 secondes environ de fi
en qu'il les ait tenus constamment fermés pendant toute la durée de l'
attaque
, il disait de temps à autre : « Pourquoi cette la
viron un mois après l'entrée on provoqua par la fixation du doigt une
attaque
qui dura trois quarts d'heure, et le lendemain un
emain une autre qui dura une heure et vingt minutes. Dans ces longues
attaques
, le fond du délire restait toujours le même, mais
sait dans ses hallucinations. De plus, dans une de ces deux longues
attaques
provoquées on imagina de frapper, à côté de lui,
les en rapport avec la nature du bruit produit. Etant donc tombé en
attaque
par fixation du bout du doigt, il fait les quelqu
alisée. Car un an après le malade est encore dans le service avec des
attaques
qui ont perdu, il est vrai, le caractère somnambu
du, il est vrai, le caractère somnambuli-quo, mais sont de véritables
attaques
de grande hystérie. (G. G.) carafon, à midi. »
e tu faisais hier à trois heures quand on t'a attaché? » ^11 était en
attaque
.) R. « Je jouais aux dames..., je causais..., j
et je l'ai culbuté (il avait, en effet, fait cela la veille dans son
attaque
délirante)..., et puis M. Guinon est venu nous vo
est encore à l'hôpital plus d'un an après son entrée. Il n'a plus ses
attaques
délirantes, mais de grandes attaques convulsives
près son entrée. Il n'a plus ses attaques délirantes, mais de grandes
attaques
convulsives revenant à intervalles de plus en plu
donnée, il nous paraît inutile de revenir sur les caractères de cette
attaque
délirante qui sont bien nettement tranchés. On pe
rs, et qui semble être le vestige des phases convulsives de la grande
attaque
hystérique, avortée chez lui et presque réduite à
ce qu'on voit dans la phase des attitudes passionnelles de la grande
attaque
hystérique. Insistons en passant sur cette zoop
xiste une sorte d'ébauche de la période de contorsions qui commence l'
attaque
. Le malade ne semble pas à ce moment capable de c
possibilité de donner des suggestions dans la phase passionnelle de l'
attaque
d'hystérie, mais sans insister sur les caractères
n'est point très rare dans la phase des attitudes passionnelles de l'
attaque
(3). Mais toutes les recherches faites jusqu'au
organes des sens sur les hallucinations de la phase passionnelle de l'
attaque
hystérique. (Arch, de Neurol., 1891, t. XXI, p. 3
ut n° XXVI. (2) Pitres. —Des zones hystérogènes et hypnogènes ; des
attaques
de sommeil. Bordeaux 1885. |3) Charcot. — Leçon
tes permanents les plus nets : anesthésie, etc. En outre il avait des
attaques
et une sorte de paraplégie par contracture. Les
avait des attaques et une sorte de paraplégie par contracture. Les
attaques
, qui, au début du séjour à l'hôpital,n'étaient ca
hypnotisme, on lui ordonna de raconter ultérieurement dans une autre
attaque
les tableaux qui s'étaient déroulés devant ses ye
organes des sens sur les hallucinations de la phase passionnelle de l'
attaque
hystérique. Dans la suite M. le Pr Charcot, metta
t courte, bien que prédominant notablement sur les autres phases de l'
attaque
. Nous Talions voir maintenant prendre un développ
eut-être eu, d'après les renseignements qui nous ont été fournis, des
attaques
d'hystérie. Un frère du père est mort à 51 ans, e
(Le père de la mère est mort jeune. La mère est morte à 71 ans, d'une
attaque
d'apoplexie. Une sœur de la mère, âgée de 40 ans,
rer à l'hôpital. En novembre 1886, Sch...er eut une première grande
attaque
hystéro-épileptique (perte de connaissance, chute
environ 1/4 d'heure. Dans les premiers jours de janvier 1887, seconde
attaque
semblable à la précédente. Puis, quelques jours a
Environ une heure après (vers 10 heures du soir) elle fut prise d'une
attaque
de délire qui dura toute la nuit. Elle avait des
bientôt de nouveaux accès d'hémichorée rhythmée, entremêlés parfois d'
attaques
hystéro-épileptiques. En janvier 1888, ses accès
continué à avoir assez fréquemment, et à intervalles irréguliers, des
attaques
hystéro-épileptiques et plus fréquemment encore d
ers, des attaques hystéro-épileptiques et plus fréquemment encore des
attaques
d'hémichorée rhythmée. Celles-ci reviennent spont
s différentes : en juin, en août 1888 et en janvier 1889 elle eut des
attaques
de délire qui se prolongèrent plusieurs jours.
èrent plusieurs jours. Le mercredi matin, 13 juin, à la suite d'une
attaque
de chorée, Sch...er a été prise d'un délire qui s
jeudi de la semaine suivante (21 juin) et a cessé après une nouvelle
attaque
de chorée rhythmée. Pendant tout ce temps la mala
ne présentent pas l'intensité ni l'étendue de ceux qu'elle a dans ses
attaques
ordinaires de choree rhythmée. Les régions spas-m
la pression du sommet de la tête, qui, à l'état normal, provoque une
attaque
de chorée rhythmée, ne produit rien pendant son d
de la région ovarienne droite, qui, dans l'état ordinaire, arrête ses
attaques
d'hystéro-épilepsie, ou ses attaques de chorée.
ans l'état ordinaire, arrête ses attaques d'hystéro-épilepsie, ou ses
attaques
de chorée. Pendant tout le temps qu'a duré son
n aperçu de ce que disait la malade pendant les 8 jours qu'a duré son
attaque
délirante, et des principales scènes auxquelles e
te..... » Le jeudi 21 juin, dans l'après-midi, elle est prise d'une
attaque
de chorée qui dure une heure, après quoi elle rep
a très bien dormi, et, Je lendemain, il ne restait d'autre trace de l'
attaque
, par laquelle elle venait de passer, qu'un peu de
sie sensitivo-sensorielle droite complète, est toujours sujette à des
attaques
d'hystérie. La phase passionnelle de ces attaques
jours sujette à des attaques d'hystérie. La phase passionnelle de ces
attaques
, dans laquelle elle est en proie à un délire hall
nent à l'élément convulsif l'aspect bien caractéristique de la grande
attaque
hystéro-épileptique. La période des attitudes pas
aussi caractéristiques que possible. Nous provoquions généralement l'
attaque
en suggérant à la malade, pendant la période somn
'éther (qui nous sert habituellement à la Salpêtrière pour calmer les
attaques
hystériques lorsqu'elles sont trop violentes ou n
uvre fille ! je la plains de tout mon cœur... Je n'en ai plus, moi, d'
attaques
(à part) et puis je ne te le dirais pas, pour sûr
assionnée, mais c'est pas ça du tout... Je t'assure que je n'ai pas d'
attaques
... M. X..., je l'aimais bien ; M. Y..., oh ! pas
résultats de ceux que nous constatons pendant la phase délirante de l'
attaque
. Le processus est évidemment le même, et, plus en
l'eau de Cologne, celle de jardin rempli de fleurs, l'éther, celle d'
attaque
de nerfs, le chloroforme, celle de contracture hy
e jeter en bas des escaliers. En outre, tous les jours, il avait deux
attaques
de nerfs, l'une le matin à neuf heures, l'autre l
our de onze jours qu'il y fit, il fut parfaitement calme, n'eut pas d'
attaques
, de sorte qu'on le renvoya. Rentré chez lui, il
commença à travailler. Mais dans les premiers jours d'août il eut une
attaque
de nerfs, puis, après huit jours de tranquillité,
parler d'une troisième sur laquelle nous reviendrons plus loin. Les
attaques
dont souffre le malade sont des attaques d'hystér
reviendrons plus loin. Les attaques dont souffre le malade sont des
attaques
d'hystérie le mieux caractérisées du monde. Elle
ne période d'attitudes passionnelles. Mais cette troisième phase de l'
attaque
prend un développement hors de proportion avec le
lire actif, bruyant. On lira plus loin la description de ce délire. L'
attaque
est souvent spontanée et on peut la provoquer à
Au bout d'un certain temps on s'aperçut que l'on pouvait provoquer l'
attaque
d'une autre manière. Il suffisait pour cela de fa
a face grimaçait et immédiatement survenait la phase épileptoïde de l'
attaque
, suivie à bref délai des autres périodes, grands
5). Le délire de la phase passionnelle, qui se prolongeait dans les
attaques
provoquées comme dans les autres, mérite d'être s
Avec de l'éiher, il est dans la rue auprès d'une femme prise d'une
attaque
de nerfs et entourée par une foule de badauds. 11
ttachent bien nettement ce somnambulisme à la phase passionnelle de l'
attaque
ordinaire. Cependant, en insistant, on lui fait c
est réellement, c'est-à-dire à une pure et simple manifestation de l'
attaque
hystérique. * * * Nous avons vu chez nos de
malades la crise somnámbulo-delirante précédée des autres phases de l'
attaque
hystérique nettement caractérisée. Mais il existe
dont il était atteint et de le rattacher à la phase passionnelle de l'
attaque
, mais du moins plaide quelque peu par lui-même da
possible de comparer, sans trop s'aventurer, à l'aura céphalique de l'
attaque
normale, décrite par M. Charcot ? Joignons à cela
somnambulisme apparaît mêlé aux attitudes passionnelles de la grande
attaque
hystérique (1) P. Richer. — Etudes cliniques su
: le somnambulisme a sa place dans la troisième période de la grande
attaque
. Passons maintenant à la troisième division de
sous forme d'accès distincts chez une malade qui, d'autre part, a des
attaques
convul-sives ou simplement d'autres signes d'hyst
ues-uns des phénomènes appartenant aux diverses périodes de la grande
attaque
hystérique. » Conclusion : que le somnambulisme a
me apparaisse isolé ou encadré des phénomènes classiques de la grande
attaque
, il ne fait pas moins partie de celle-ci, dont il
eul l'unique représentant. On objectera : mais comment imaginer une
attaque
d'hystérie, quelle qu'elle soit, qui dure, nous n
la réponse est facile. On ne fait pas difficulté de considérer comme
attaques
de sommeil les cas bien connus de ces dormeuses d
té des exemples fort probants (1). Considérant une autre période de l'
attaque
classique, la phase épileptoïde, on peut voir cel
des passionnelles ce qu'on observe (1) Gilles de la Tourette. — Des
attaques
de sommeil hystérique. (Arch, de Neurol., 1888, t
Progr. méd., 20 octobre 1884). à l'égard des autres phénomènes de l'
attaque
? Celle-ci n'en conserve pas moins ses caractères
lité propre. En effet, la description autrefois donnée de la grande
attaque
hystéro-épileptique par M. Charcot ne constitue p
toute crise de nerfs non conforme à cette description n'était pas une
attaque
hystérique. Bien plus, avec l'auteur même de cett
ésultat non douteux de l'observation journalière, que la majorité des
attaques
d'hystérie ne présente pas les quatre périodes cl
nt contraire à la réalité des faits. Notre description de la grande
attaque
à quatre périodes, notre étalon, nous sert précis
précisément à interpréter sainement les cas incomplets ou anormaux. L'
attaque
la plus fréquente est celle ou la deuxième phase
alies rares, telles que l'état de mal hystérique épileptiforme ou les
attaques
de somnambulisme. Encore une fois, est-ce là une
l, la période délirante comme un élément caractéristique du type de l'
attaque
hystérique (1). Mais revenons à nos cas de somn
délirantes étaient encadrées par les phénomènes typiques de la grande
attaque
. Au contraire, le cas de M. Mesnet représente l'a
t son séjour à Marseille, il se surmena beaucoup et faillit avoir une
attaque
de nerfs, dont il ressentit tous les prodromes. A
eilles). De plus, ainsi qu'on le verra plus loin, elle arrête aussi l'
attaque
. Il en existe un autre au niveau du condyle inter
ndant un temps plus ou moins long. Il se débat peu et on a qualifié d'
attaques
de sommeil les crises qu'il a eues. Nous n'avons
hypnotisé de B..., nous avions tout simplement provoqué chez lui une
attaque
somnambulo-délirante, dans laquelle les phénomène
-à-dire celle de véritables représentants de la phase convulsive de l'
attaque
. Mais les eût-on même négligés, il était encore f
ferme avec la main les yeux du malade, qui retombe aussitôt dans son
attaque
. On observe les mêmes mouvements de régurgitation
ant s'adresser à (1) En ce qui concerne le mode de provocation de l'
attaque
, l'analogie avec ce qui se passe pour l'hypnose n
plus tard, au cours de nos observations, que l'on pouvait provoquer l'
attaque
chez de B... par simple suggestion verbale. 11 su
lle pas qu'hier il s'est endormi. On plonge de nouveau le malade en
attaque
à l'aide de la pression sur les globules oculaire
expressifs, mais il est sobre de gestes. Pendant toute la durée d'une
attaque
provoquée il ne se lève pas de la chaise où on l'
B... avait eu, pendant la matinée, dans le dortoir des malades, une
attaque
spontanée qui avait été suivie de la période déli
mots imaginaires sur une page blanche. (G. G.) Charcot, t. il 10
attaque
convulsive. L'expérience avait doublement réussi.
etc.). Ce côté professionnel se retrouve au plus haut degré dans ses
attaques
de somnambulisme, pendant lesquelles il écrit bea
e écriture tremblée et avec ces fautes évidentes, nous provoquons une
attaque
et, le malade étant dans la phase délirante, nous
avons maintes et maintes fois fait écrire ainsi le malade pendant ses
attaques
de somnambulisme hystérique, soit spontanées, soi
sait que reproduire de mémoire. Il a du reste peu composé pendant ses
attaques
délirantes. Sauf quelques courtes pièces, pour le
'il s'agit bien dans ces manifestations délirantes d'un fragment de l'
attaque
hystérique classique et, pour l'appeler par son n
ple réminiscence des pensées qui ont occupé les malades hors l'état d'
attaque
(1). » Une pareille affirmation, sous cette forme
occasionnée par le récit d'un incendie, eut pendant de longs mois des
attaques
de délire, pendant lesquelles elle se voyait ento
ts de théâtre en carton), eut des hallucinations de ce genre dans ses
attaques
. Enfin, plus tard encore, à la suite du violent c
ommée Schey..., qui était en même temps hypnotisable et sujette à des
attaques
de somnambulisme hystérique. Nous avons donc pu c
ns vu très nettement la personne délirante se maintenir la même d'une
attaque
sur l'autre, et cela à plusieurs jours de distanc
ère crise il écrit douze pages ; trois jours après, dans une nouvelle
attaque
, il continue, sans qu'on lui donne aucune indicat
travail dans toute son étendue — ne serait qu'une manifestation de l'
attaque
hystérique classique avec allongement et prédomin
veille, au milieu de quelques convulsions représentant un rudiment d'
attaque
. Il en était de même chez une autre malade, grand
plusieurs nuits de suite. Chez elle aussi il s'agissait simplement d'
attaques
d'hystérie avec prédominance de la période somnám
pendant son noctambulisme. La présence de l'élément convulsif de l'
attaque
, l'influence de la pression sur les points hystér
noctambulisme et on a pu constater qu'il s'agissait en réalité d'une
attaque
d'hystérie avec allongement de la phase passionne
récemment un homme de notre service, atteint d'hystérie avec grandes
attaques
habituellement diurnes, se lève pendant la nuit,
criture qu'il a l'habitude d'exécuter pendant la veille en dehors des
attaques
, et pour ce faire traverse une cour de l'hospice,
ue, etc., etc. A peine rentré dans sa salle, il est pris d'une grande
attaque
convulsive qui montre bien la nature véritable de
mble d'une importance capitale à plusieurs points de vue. Comme toute
attaque
d'hystérie, on peut provoquer l'attaque de somnam
rs points de vue. Comme toute attaque d'hystérie, on peut provoquer l'
attaque
de somnambulisme à l'aide de manoeuvres diverses,
bien souvent en tentant d'hypnotiser un sujet, c'est de provoquer une
attaque
de nerfs. Le doute sur l'effet obtenu n'est pas p
e sur l'effet obtenu n'est pas possible, quand il s'agit d'une grande
attaque
convul-sive violente ou d'une attaque de contract
e, quand il s'agit d'une grande attaque convul-sive violente ou d'une
attaque
de contracture, par exemple. Mais supposons qu'il
acture, par exemple. Mais supposons qu'il s'agisse au contraire d'une
attaque
de somnambulisme hystérique. L'erreur sera fort p
signalé (4). Il s'agit d'une femme qui, après avoir eu autrefois des
attaques
d'hystérie, tombait dans des crises de a somnam-
né habituel ». Dans son rapport, l'auteur va jusqu'à affirmer que les
attaques
spontanées sont dues à ce que le sujet s'auto-hyp
e observation, mais il nous suffira de signaler le mode de début de l'
attaque
, les caractères du délire qui rapprochent ce cas
occlusion des paupières, les phénomènes convulsifs qui accompagnent l'
attaque
. Tous ces caractères ne sauraient s'appliquer au
s paraît ressortir de cette étude. La phase passionnelle de la grande
attaque
classique d'hystérie peut prendre, aux dépens des
ées d'a-nesthésie généralisée, complète, permanente, et chez elle les
attaques
répondent de tous points au type classique. Vous
le entre, comme infirmière, à l'hôpital Necker ; là, elle est prise d'
attaques
convulsives et doit quitter son service. Elle est
e vertex, et des zones hystéro-fréna-trices dans les deux flancs. Ses
attaques
convulsives sont relativement rares. Elles sont r
s que les membres s'étendent violemment..., etc. C'est une esquisse d'
attaque
, et tout paraît rentrer dans l'ordre, mais désorm
nq à quinze minutes. Ce sont les mêmes phénomènes de commencement d'
attaque
, moins accentués cependant, qui président à la tr
Au point de vue nosographique, mon opinion est qu'il s'agit là d'une
attaque
d'hystérie transformée. Ces états de vigilambulis
ontestablement des modifications de la troisième période de la grande
attaque
d'hystérie (Voir plus haut, n0S XXVII et XXVIII).
mbulisme, ont cependant pour trait commun de se développer entre deux
attaques
hystériques. La scène dans les deux cas est inaug
ttaques hystériques. La scène dans les deux cas est inaugurée par une
attaque
et terminée par une attaque. J'aurai, du reste,
e dans les deux cas est inaugurée par une attaque et terminée par une
attaque
. J'aurai, du reste, un jour l'occasion de vous'
ément aux vues de M. le Pr Charcot, la troisième période de la grande
attaque
d'hystérie. Dans la description classique de l'at
e de la grande attaque d'hystérie. Dans la description classique de l'
attaque
, donnée par lui, cette période, dite phase des at
peuvent ou bien s'isoler complètement, comme il arrive dans la petite
attaque
d'hystérie consistant principalement en grands mo
ins cas, prendre la place principale parmi les autres phénomènes de l'
attaque
. On se trouve alors en présence soit de l'attaque
res phénomènes de l'attaque. On se trouve alors en présence soit de l'
attaque
délirante, soit de l'attaque de somnambulisme.
On se trouve alors en présence soit de l'attaque délirante, soit de l'
attaque
de somnambulisme. J'ai montré, dans le travail
différents aspects peut se présenter cette modalité particulière de l'
attaque
hystérique. On la rencontre fréquemment dans l'hy
ntiques quant au fond, ne se ressemblent pas tous quant à la forme. L'
attaque
à forme de délire se voit de préférence chez l'en
on prévenue risquerait de passer sans se douter qu'ils sont en pleine
attaque
d'hystérie, et les premiers, les délirants, dont
pas le seul aspect clinique que peut revêtir la troisième phase de l'
attaque
d'hystérie. Il en existe encore un autre, vraisem
nte vit une vie à part dont les morceaux, constitués par les diverses
attaques
de somnambulisme, se relient les uns aux autres.
s erreur dans le numérotage des pages, un manuscrit commencé dans une
attaque
somnambulique survenue trois semaines auparavant.
organes des sens sur les hallucinations de la phase passionnelle de l'
attaque
hystérique. (Arch. de Neurol., 1891, n° 63, et pl
blement par tous ses membres, » autrement dit elle venait d'avoir une
attaque
d'hystérie, lorsqu'après« cette victoire tant div
la fin de Vétat nouveau et de Yétat ancien, n'est autre chose qu'une
attaque
de sommeil hystérique. Bien que les auteurs n'a
e Féry, qui était aussi entrée dans son état second à la faveur d'une
attaque
hystérique non plus léthargique, mais convulsive.
contredit d'assimiler véritablement les périodes d'état second à des
attaques
vulgaires d'hystérie. M. Dufay s'est aperçu que l
éritables zones hysté-ro-frénatrices, dont l'excitation fait cesser l'
attaque
à forme spéciale dont la malade est affectée, en
ndons ici. Mais c'est tout. En tous cas, reste démontrée l'allure d'
attaque
hystérique que revêt bien nettement chez la malad
hystérique et atteint d'une perversion complète du sens génital. Les
attaques
que M. Vizioli décrit comme accès d'hypnotisme sp
tané (accessi di ipnotismo spontaneo) sont purement et simplement des
attaques
d'hystérie de (1) Nous ne savons point si l'aut
nes hypnotiques. Cette immixtion de manifestations hypnotiques dans l'
attaque
hystérique n'est point très rare et MM. Charcot,
urée est de dix à quinze minutes, peut manquer dans quelques-unes des
attaques
. Le troisième stade est caractérisé par des phé
y-perexcitabilité neuro-musculaire dans la phase léthargique de cette
attaque
, n'ait pas recherché de même la contracture somna
se spontanée. Mais, pour moi, je ne puis voir là-dedans qu'une simple
attaque
d'hystérie avec immixtion de phénomènes hypnotiqu
la fin de cette phase convulsive. Voilà qui est bien du domaine de l'
attaque
d'hystérie et non de l'hypnotisme. Mais je revien
dédoublement de la personnalité survenant par crises, à la fin d'une
attaque
d'hystérie dûment caractérisée. Dans le cas de
ie dûment caractérisée. Dans le cas de M. Ladame (de Genève) (1), l'
attaque
hystérique d'où dérivaient les phénomènes de dédo
onnalité affectait une modalité spéciale. Il ne s'agissait plus d'une
attaque
convulsive, comme ci-dessus, mais d'une attaque d
s'agissait plus d'une attaque convulsive, comme ci-dessus, mais d'une
attaque
de sommeil. (1) Ladame. — Observation de somnam
ez chargée. Sa mère était, comme elle, atteinte de somnambulisme et d'
attaques
de sommeil. Sa sœur a souffert pendant quelques m
ssez fréquentes depuis. Au mois de janvier 1887 survint la première
attaque
de sommeil caractérisée, à la suite de l'émotion
ment d'incendie qu'elle avait allumé par accident. Dans la suite, les
attaques
se répétèrent et, peu à peu, on s'aperçut que lor
paraître les crises de dédoublement de la personnalité, ainsi que les
attaques
de somnambulisme nocturne. L'élément hystérique
e nocturne. L'élément hystérique est, dans ce cas, représenté par l'
attaque
de sommeil qui précède chaque crise de dédoubleme
r dans l'autre, comme certaines passent de la période convulsive de l'
attaque
ordinaire dans la phase des attitudes passionnell
ériques caractérisés font leur apparition. Ce sont tout d'abord des
attaques
convulsives, puis, sept mois plus tard, des attaq
tout d'abord des attaques convulsives, puis, sept mois plus tard, des
attaques
de sommeil. Trois mois après le début de ces dern
de somnambulisme spontané, et que nous appellerons, avec M. Charcot,
attaque
de vigilambulisme ou dédoublement hystérique de l
r à l'état normal, interrompue, comme l'état normal lui-même, par des
attaques
convulsives ou de sommeil. Au bout de ce temps,
érique qui survenaient de temps h autres par accident, tels que : des
attaques
de catalepsie, ou plutôt de rigidité avec conserv
our pouvoir dormir. L'état second peut se produire à la suite d'une
attaque
con-vulsive, laquelle se présente toujours sous l
ive, laquelle se présente toujours sous la forme typique de la grande
attaque
décrite par M. Charcot, ou bien succéder à une at
e de la grande attaque décrite par M. Charcot, ou bien succéder à une
attaque
de catalepsie. Dans d'autres cas, elle est simple
e produit tous les soirs entre six et sept heures. Après une de ses
attaques
ou au sortir de la courte phase cataleptoïde qui
plus le premier mot, une fois revenue à l'état normal. « Pendant l'
attaque
de somnambulisme, la malade a gardé le souvenir d
é le souvenir de tout ce qui s'est passé pendant l'état normal et les
attaques
de somnambulisme précédentes. « Quelquefois cep
ent oublié tout ce qui s'est passé et tout ce qu'elle a dit pendant l'
attaque
de somnambulisme ; mais il arrive bien souvent qu
le début des crises d'état second sont trop franchement hystériques (
attaques
convulsives, attaques de sommeil ou plutôt de con
'état second sont trop franchement hystériques (attaques convulsives,
attaques
de sommeil ou plutôt de contracture, d'après la d
ambulisme et qui s'observe fréquemment chez d'autres à la suite d'une
attaque
vulgaire d'hystérie. Remarquons déjà que, dans
'hystérie. Remarquons déjà que, dans ce cas, l'état second né d'une
attaque
de sommeil se prolonge au delà des limites où n
ement une hystérique, qui, vers l'âge de quinze ans, à la suite d'une
attaque
convulsive, perdit complètement le souvenir de so
on-vulsives qui ont bouleversé tout son être. A la suite d'une grande
attaque
, elle a perdu le souvenir de sa vie antérieure. »
— Op. cit., p. 140 et suivantes. ans, qui, à la suite d'une série d'
attaques
hystériques accompagnées des stigmates bien carac
paralysies et de contractures diverses. Le 17 avril, à la suite d'une
attaque
, la contracture a disparu et il se croit dans l'é
arbres. Quelque temps après (juin 1884), à la suite d'une nouvelle
attaque
, il se croit au 17 avril pendant vingt-quatre heu
ile de Lafond où, confié aux soins de M. Mabille (1), il présenta des
attaques
de déroulement des états successifs de personnali
de personnalité ou en sortait, c'est-à-dire par l'intermédiaire d'une
attaque
hystérique, si le passage était spontané, et, s'i
nvulsifs d'intensité variable, représentant l'élément convulsif d'une
attaque
plus ou moins complète ou avortée. Dans cette r
e fois, Félida est âgée de 15 ans. C'est une franche hystérique, avec
attaques
convulsives, hémoptysies nerveuses, etc... Elle e
ux faire que de comparer, en l'y assimilant, à l'aura céphalique de l'
attaque
d'hystérie) elle s'endort d'un sommeil profond, d
hériser, mais cette tentative exaspère les phénomènes nerveux, et des
attaques
convulsives suivies de paralysies apparaissent.
mort poitrinaire à trente-trois ans, était alcoolique et souffrait d'
attaques
nerveuses, qu'en l'absence de renseignements suff
ibue le développement des premiers accidents. Ce furent d'abord des
attaques
de nerfs avec perte de connaissance, convulsions,
t en arrière en faisant l'arc de cercle. Peu à peu, à la suite de ces
attaques
, on s'aperçut qu'elle était bizarre. Elle restait
mme d'habitude; puis cette espèce de somnambulisme se jugeait par une
attaque
et tout rentrait dans l'ordre. Cet état bizarre f
ectures interminables. Quand cet état cessait, interrompu par quelque
attaque
convulsive, on s'aperçut que la malade ne pouvait
lle a tout d'abord des crises de nerfs. Celles-ci sont simplement des
attaques
vulgaires d'hystérie, pas très violentes, mais su
enir accidentellement de temps en temps, soit spontanément, après une
attaque
par exemple, soit provoqué par certaines manœuvre
eure. Une seule fois, on a vu une période spontanée consécutive à une
attaque
, dans la journée, durer environ une heure. En moy
s l'état B, on constate un changement complet. En ce qui concerne les
attaques
de nerfs, nous \l) « Je sais toute drôle — je m
, où elle est, même éveillée, dans l'état A, on n'a jamais constaté d'
attaques
. Quant aux autres stigmates de l'hystérie, ils
lconque, Marguerite avait eu, dans le jardin de l'hospice, une petite
attaque
de nerfs. Celle-ci terminée, son amie s'aperçoit
t goutte. Au bout de ce temps, Marguerite, à la faveur d'une nouvelle
attaque
, rentre dans son état habituel (état B), peut de
age d'un état dans l'autre se fait toujours par l'intermédiaire d'une
attaque
convulsive hystérique d'intensité variable, tantô
et que l'état B ne s'est pas installé définitivement en une fois. Les
attaques
, fréquentes à cette époque, ramenaient tantôt l'é
ivant qu'elles avaient lieu dans l'un ou dans l'autre. Peu à peu, ces
attaques
diminuant de fréquence, l'état second a empiété d
des oscillations irrégulières entre les deux états, marquées par des
attaques
convulsives successives. Cette façon de comprendr
très bien remarqué que dans le courant d'une journée, coupée par des
attaques
de nerfs fréquentes, leur nièce était après elles
uotidiens matinaux et vespéraux se faisaient à la faveur d'une petite
attaque
convulsive hystérique avortée, tout comme les tra
'une émotion par exemple, étant en état B, Marguerite est prise d'une
attaque
hystérique parfaitement typique avec cris, grands
naissant plus ses compagnes. Au bout de quelque temps, une nouvelle
attaque
survient, beaucoup moins violente, les poings se
. Le passage à l'état B se fait de lui-même, à la faveur d'une petite
attaque
identique. Pour le provoquer, il suffît d'employe
lle. Mais en 1884 et 1885 elle est à diverses reprises en proie à des
attaques
d'hystérie à allure épileptiforme qui se reprodui
et d'un travail de MM. Marie et Souza-Leite (2). Il s'agissait là d'
attaques
hystériques subintrantes se reproduisant par séri
t, quinze, vingt jours et même plus, à raison de trois cent cinquante
attaques
par jour environ. Dans une période de treize jour
treize jours, on en a compté quatre mille cinq cent six. Ce sont des
attaques
presque exclusivement constituées par la phase ép
aques presque exclusivement constituées par la phase épileptoïde de l'
attaque
ordinaire, qui tient toute la place à l'exclusion
oint d'élévation de la température, malgré le nombre considérable des
attaques
et leur caractère subintrant, c'est-à-dire sans r
es d'anesthésie généralisée, complète, permanente, et, chez elle, les
attaques
(1) Charcot. — Etat de mal hystérique épileptif
ec Marie H... dans le cabinet du médecin, lorsqu'elle est prise d'une
attaque
présentant le type classique à trois périodes. Qu
e surprise à ce sujet. Dans cet état second, elle est sujette à des
attaques
d'hystérie vulgaires, classiques, avec phase épil
etour à cet état, ou lorsqu'il reparaît spontanément à la suite d'une
attaque
, elle éprouve tout d'abord un trouble assez viole
tal Lariboisière, où elle entre dans le service de M. Proust pour des
attaques
de nerfs et la chorée. Je place ici le récit d'
és ou provoqués, que la transition se fait toujours à la faveur d'une
attaque
convulsive hystérique plus ou moins complète ou f
ux cas, le passage de l'état B à l'état A est toujours marqué par une
attaque
convulsive hystérique d'une violence assez notabl
but, nous ne connaissions que le passage accidentel, à la suite d'une
attaque
survenue dans l'état B, pour une contrariété ou t
sez grande et caractérisée par les trois phases caractéristiques de l'
attaque
classique. Plus tard, on s'aperçut que l'on pouva
A. Mais, entre la suggestion et le retour se place régulièrement une
attaque
convulsive. Chose remarquable : au début, cette
èrement une attaque convulsive. Chose remarquable : au début, cette
attaque
, marquant le passage provoqué, était assez longue
fois l'arc de cercle manque, mais on est en présence d'une véritable
attaque
épileptoïde avec cri initial, phase tonique, phas
ujours de même avec une parfaite régularité, à la faveur d'une petite
attaque
consistant en un cri, quelques secousses des bras
bulique chez des sujets hystériques n'est autre chose qu'un morceau d'
attaque
dans laquelle les phénomènes convulsifs sont relé
ître, à savoir que l'état second n'est qu'une forme particulière de l'
attaque
avec prédominance de la phase des attitudes passi
ieurs fois on avait constaté dans la journée, à la suite d'une grande
attaque
convulsive parfaitement caractérisée, le retour i
estement hystériques. En d'autres termes : on est en présence d'une
attaque
marquée à son début et à sa terminaison par des c
lle pour la première fois le retour de l'état normal à la suite d'une
attaque
convulsive violente qu'elle avait eue en ma prése
ne fut point difficile de constater régulièrement que toujours grande
attaque
convulsive, arcs de cercle ou attaques à forme ép
gulièrement que toujours grande attaque convulsive, arcs de cercle ou
attaques
à forme épileptoïde marquent la fin et le commenc
la dame Américaine de Mac Nish nous sommes au début en présence d'une
attaque
de sommeil. Le malade de Bonamaison entre dans l'
ade de Bonamaison entre dans l'état B par une crise convulsive ou une
attaque
de sommeil ; son retour à l'état normal est marqu
M. Vizioli tombe dans l'état vigilambulique à la faveur d'une grande
attaque
caractéristique d'hystérie, mêlée de phénomènes h
u cours de l'observation. Chez la jeune fille de M. Ladame, c'est une
attaque
de sommeil qui marque le début de l'état second.
t pas moins caractéristique dans le cas de M. Ver-riest. Au début une
attaque
franche marquait le passage à l'état B et le reto
e qui nous occupe ici. Le premier entre dans ses divers états par des
attaques
plus ou moins franches et on en provoque le retou
ique, tandis qu'à sa terminaison il constate la présence d'une petite
attaque
de nerfs qu'il compare, dans une certaine mesure,
rfs qu'il compare, dans une certaine mesure, au petit mal comitial. L'
attaque
marque également le début des phénomènes de dédou
nt, avec une périodicité bien hystérique, ne sont autre chose que des
attaques
d'hystérie avec modification particulière de la p
ilambulisme n'est qu'une modification de la période passionnelle de l'
attaque
. On connaît des cas de délire hystérique ayant
de modification de cette même phase des attitudes passionnelles de l'
attaque
(1). On peut constater pour le somnambulisme, com
ublement complet et presque permanent de la personnalité et la courte
attaque
d'état second. Les observations que j'ai relatées
urait donc deux modifications spéciales de la phase passionnelle de l'
attaque
hystérique : le somnambulisme et le vigilambulism
ya!6iciç[u e ( 1 ) Sommaire. — Présentation du cas : shock nerveux,
attaque
, amnésie rétrograde ; amnésie antérograde (imposs
e jour depuis le shock nerveux. Nature de cette amnésie : morceau d'
attaque
hystérique transformée. Messieurs, L'étude cl
t-28 août)........ 28 août 1891 (événement causal,. C J_ début de l'
attaque
d'hystérie). Période de la crise d'hystérie. Am
a crise (18 août-31 août)------............. Y) J_3l août (fin de l'
attaque
d'hystérie) I Période d'o.mnèsie antérograde (3
cherai à faire prévaloir— la crise, origine de tout le mal, a été une
attaque
de grande hystérie. Nous avons, en effet, quelq
17. Sa mère, qui était très émotionnable, n'avait point de véritables
attaques
de nerfs, mais il lui arrivait parfois de tomber
limites, dans les amnésies consécutives à un accès d'épilepsie, à une
attaque
d'éclampsie puerpérale (2). On retrouve encore la
hallucination spontanée ? Une hallucination marquant le début d'une
attaque
d'hystérie n'est pas dans les habitudes de la gra
ntervalles de raison de plus en plus longs. Enfin, au sortir de cette
attaque
d'hystérie délirante, MmeD... se trouva dans l'ét
e trouva dans l'état où vous la voyez aujourd'hui. Je viens de dire
attaque
d'hystérie, car c'est bien d'hystérie qu'il s'agi
rte que maintenant rien ne manque au tableau et que l'existence d'une
attaque
cl'hystéro-épilepsie, de grande hystérie, devient
éro-épilepsie, de grande hystérie, devient incontestable (1). Cette
attaque
a donc duré trois jours entiers. Nous voici, Mess
. Les choses vues ou en- (1) La malade a eu aujourd'hui une série d'
attaques
de nerfs occasionnées par une frayeur et caractér
st l'hystérie, Messieurs, qui est en ijeu, et l'hystérie seule. Or, l'
attaque
convulsive et délirante a duré trois longs jours.
e ne le pense pas. A mon avis, il s'agit simplement d'un équivalent d'
attaque
d'hystérie, d'une attaque d'hystéro-épilepsie pro
vis, il s'agit simplement d'un équivalent d'attaque d'hystérie, d'une
attaque
d'hystéro-épilepsie prolongée sous forme d'amnési
longée sous forme d'amnésie. Vous savez que la période délirante de l'
attaque
se transforme souvent et que cette transformation
n'est autre chose qu'une transformation de cette phase délirante de l'
attaque
, et que l'automatisme ambulatoire, le sommeil hys
ade, il s'agit encore d'une transformation de la phase délirante de l'
attaque
classique, mais d'une transformation sous le mode
voulez bien réfléchir à la durée souvent très prolongée de certaines
attaques
de sommeil ou de vigilambulisme hystérique. Mai
er ici à provoquer une crise d'hystérie, dans l'espérance de voir l'
attaque
défaire ce qu'elle a fait ? La chose pourrait êtr
de chance de succès que ces modifications de la phase délirante de l'
attaque
hystérique sont d'ordinaire incluses entre deux c
s accidents nerveux. Il a vu chez les descendants des diabétiques des
attaques
de nerfs, des frayeurs maniaques, etc.. Niepce si
la nuit pour uriner. Il y a deux ans (8 février 1889), elle eut une
attaque
qu'on qualifia dit-elle, de congestion cérébrale,
ète s'améliora (153 grammes par jour). Un mois plus tard, début des
attaques
d'hystérie précédées de prodromes céphaliques, ca
sans grands inconvénients, le tout durant de trois à six minutes. Ces
attaques
étaient quotidiennes. PJus tard, elles se sont ac
e débat beaucoup, fait l'arc de cercle, déchire ses vêtements, etc. L'
attaque
dure un quart d'heure environ et se termine par u
rente-neuf à quarante-neuf ans, il a eu tous les ans au printemps une
attaque
de rhumatisme articulaire aigu. Presque toutes le
laire aigu. Presque toutes les articulations étaient prises et chaque
attaque
durait de deux à quatre mois. 11 a été soigné soi
. d'Aix) GRAND-PÈRE GRAND'mÈRE Mort à 74 ans Morte à 79 ans d'une
attaque
. d'une affection de l'estomac (?) I_1 I Pèr
atine, sans suites fâcheuses. Depuis l'année 1886, il est sujet à des
attaques
de coliques néphrétiques qui se sont renouvelées
turne d'urine jusqu'à douze ans et de plus a, depuis son enfance, des
attaques
de nerfs tous les mois. A d'autres points de vue,
pour distinguer un épileptique d'un hystérique, en ce qui concerne l'
attaque
, abstraction faite des autres signes différentiel
e, les phénomènes ressemblent, à s'y méprendre, à ceux de l'aura de l'
attaque
hystérique, soit aura céphalique, soit aura ovari
'elle reproduit, en tout ou en partie, les principaux phénomènes de l'
attaque
d'épilepsie partielle, bien que, dans l'espèce, c
ilepsie que vous devez songer. Bien rarement l'hystérique fait là son
attaque
. Il est averti à temps par l'aura, s'il s'y trouv
entend une voix d'homme qui rit. Se produit constamment avant chaque
attaque
. De plus la malade présente depuis deux mois, d
qu'il s'agissait simplement de migraine ophthalmique accompagnée, les
attaques
épileptiformes faisant partie de la symptomologie
s l'âge de 14 ans (apparition des règles) la malade est sujette à des
attaques
d'hystérie, précédées de l'aura hystérique et par
Grand'mère maternelle sujette à des « faiblesses de cœur » (syncopes,
attaques
de nerfs??). Convulsions dans l'enfance. Strabi
ractériser suffisamment. Elle ressemble à s'y méprendre à l'aura de l'
attaque
hystérique. Mais tandis que celle-ci est assez
y retrouve rarement au complet tous les phénomènes prodromiques de l'
attaque
d'hystérie. Le plus souvent on constate l'existen
es d'erreur dans le diagnostic. C'est surtout sur les caractères de l'
attaque
elle-même, sur l'absence ou la présence des stigm
articulier du traitement bromure qui est sans action efficace sur les
attaques
hystériques. Observation XXIV. El... Amélie, 15
outre les phénomènes habituels, la défécation involontaire pendant l'
attaque
. Ils se produisent, avec des intervalles d'un an
cette époque il vivait avec une jeune femme hystérique, sujette à des
attaques
de somnambulisme. Début des accès à 24 ans. Le
rnent à rappeler une partie, mais une partie seulement de l'aura de l'
attaque
hystérique. En un mot c'est la, boule. Il est à p
re aucun des autres phénomènes qui constituent l'aura céphalique de l'
attaque
hystérique et qui se combinent ordinairement avec
s plus de développement et l'aura ressemble de bien près à celle de l'
attaque
hystérique. Mais les manifestations de l'aura hys
rièveté, absence des éléments complets de l'aura hystérique) que de l'
attaque
qui la suit et de l'examen du malade au point de
odes menstruelles. Aura variable, pas toujours la même à toutes les
attaques
. Le plus souvent, c'est une sensation de vide dan
alement ce fait que l'aura n'est pas toujours la même pour toutes les
attaques
et que plus celle-ci est violente et par suite da
, elle reste presque toujours au second plan ; le malade parle de son
attaque
et spontanément beaucoup moins des phénomènes qui
érale, leur durée, en font dans certains cas une caractéristique de l'
attaque
hystérique. Dans certains autres cas, au contrair
Début à l'âge de 20 ans. Premier accès développé à l'occasion d'une
attaque
à main armée, suivie de vol, de la part de son ma
sur elle. Depuis un an, l'aura n'est plus constante avant toutes les
attaques
. Elle manque quelquefois et souvent l'élément hal
coolique. Mère nerveuse. Grand-père alcoolique. » Père alcool.,
attaques
dé nerfs. Convulsions chez un frère. Père alcoo
lcool., attaques dé nerfs. Convulsions chez un frère. Père alcool.,
attaques
de nerfs. Père nerveux. Convulsions chez un frère
de la Tourette.—Notes sur quelques paroxysmes hystériques peu connus;
attaques
à forme de névralgie faciale, etc.. (Prog. mèd.,
nte en quelque sorte une forme anormale, un groupe à part ; ainsi les
attaques
convulsives en pareil cas sont vraiment rares ; r
de même brusquement, soit spontanément, soit à fa suite encore d'une
attaque
hystérique qui aura pu, peut-être, être provoquée
gorge. Ici le fonds hystérique est représenté non seulement par les
attaques
convulsives et délirantes aujourd'hui disparues,
; aucun malaise ; bon sommeil, bon appétit. Rien qui ressemble à des
attaques
, pas d'aura. Il s'agitdonc bien là, si hystérie i
pières supérieures se ferment un instant. La malade n'a jamais eu d'
attaques
convulsives; mais la présence des stigmates perma
aujourd'hui. D'ailleurs pas de stigmates sensitivo-senso-riels, pas d'
attaques
. C'est de la maladie des tics qu'il s'agit chez c
, actuellement âgée de 38 ans, aurait eu, depuis l'âge de 18 ans, des
attaques
convulsives vraisemblablement hystériques, pendan
parésiée. A partir de cette époque et pendant un mois environ, les
attaques
revinrent à peu près tous les jours, constituées
itude dite en arc de cercle. Mais il lui arrivait aussi d'avoir des
attaques
incomplètes, ressemblant à de l'épilepsie partiel
cousses convul-sives, et c'était tout. Généralement, en pareil cas, l'
attaque
complète survenait quelques heures après. Un tr
au bout de peu de temps une diminution considérable du nombre de ces
attaques
; elles ne surviennent plus guère que tous les qu
urines. Les réflexes sont normaux. En entendant cette description d'
attaques
avec chute et perte de connaissance, la première
vulsive, ou épilepsie saturnine, est la plus fréquente de toutes. Les
attaques
de K... ne rentrent-elles pas dans cette catégori
répondre négativement, pour les raisons que voici. Les caractères des
attaques
de K... ne sont pas ceux de l'épilepsie saturnine
la face et un côté du corps, et chez K..., il y a aussi, parfois, des
attaques
à forme d'épilepsie partielle; mais, dans l'épile
d'aura ni de conservation initiale de la connaissance, comme dans les
attaques
de K... Contrairement à ce qu'on observe généra
depuis longtemps ses occupations habituelles, il est encore sujet aux
attaques
convulsives. Si on voulait à toute force mettre c
ujet aux attaques convulsives. Si on voulait à toute force mettre ces
attaques
sur le compte du saturnisme, il faudrait créer un
ce, ne paraîtra certes pas motivé. Quelle est donc la nature de ces
attaques
? Sont-elles sous la dépendance d'une lésion céréb
t dans le membre inférieur, qui est même un peu parésié en dehors des
attaques
. Mais avant de discuter cette question, occupon
t déjà établi dans leur esprit; c'est de l'hystérie qu'il s'agit. Ces
attaques
-là sont hystériques. Ce sont des attaques anomale
'hystérie qu'il s'agit. Ces attaques-là sont hystériques. Ce sont des
attaques
anomales, sans doute, simulant l'épilepsie partie
classée, décrite par MM. Ballet et Crespin, dans leur travail sur les
attaques
d'hystérie à forme d'épilepsie partielle. L'an
l'on retrouve dans les hémiplégies hystériques) ; je vois encore des
attaques
convulsives ou comateuses, parfois accompagnées d
ait alors beaucoup préoccupé. Il s'agit d'un saturnin qui avait des
attaques
convul-sives et de l'hémianesthésie. J'avoue qu'à
a un an environ, mais il en a été complètement guéri. Cette première
attaque
ne s'est d'ailleurs accompagnée d'aucun autre phé
rattage des maisons de Paris. Pendant un mois, à partir du début de l'
attaque
, il n'a pas discontinué son travail ; il combatta
miplégie du côté droit ; on fut obligé de le porter dans son lit. L'
attaque
a été subite, cependant le malade assure qu'il n'
st borné à un sentiment de vague assez léger qui a précédé et suivi l'
attaque
hémiplégique. Il y a deux jours, de nouveaux acci
festes surtout du côté droit du corps, c'est-à-dire du côté paralysé (
attaque
hystérique à forme d'épilepsie partielle). Le mal
é droit du corps était principalement le siège des convulsions. Cette
attaque
convulsive ne s'est pas reproduite depuis, et, lo
cédents héréditaires. — Père violent, joueur; la mère aurait eu des
attaques
convulsives avec crises de suffocation. « Elle ca
convulsives avec crises de suffocation. « Elle cassait tout dans ses
attaques
. » Un oncle paternel vraisemblablement ataxique
jours après un incendie dont il avait été témoin, il eut une première
attaque
convulsive pendant laquelle il tomba de son lit,
n lit, et qui fut suivie d'hémiplégie droite. Bientôt après, nouvelle
attaque
: l'hémiplégie disparaît, mais il survient du mut
t du mutisme. Le malade dit ne pas avoir de souvenir de ces premières
attaques
, mais depuis il a eu fréquemment des attaques rég
uvenir de ces premières attaques, mais depuis il a eu fréquemment des
attaques
régulières, avec aura partant de l'aine droite, c
ucinations (toujours relatives à divers épisodes de la guerre). Ces
attaques
durent à peu près une heure et demie. Le malade e
organes des sens sur les hallucinations de la phase passionnelle de l'
attaque
hystérique. (Travail de M. Georges Guinon et MU
somnambulismes. Du somnambulisme hystérique (phase passionnelle de l'
attaque
, attaque délirante, attaque de somnambulisme).
lismes. Du somnambulisme hystérique (phase passionnelle de l'attaque,
attaque
délirante, attaque de somnambulisme). (Travail
lisme hystérique (phase passionnelle de l'attaque, attaque délirante,
attaque
de somnambulisme). (Travail de M. Georges Guino
. (Leçon). Sommaire. — Présentation de la malade : shock nerveux,
attaque
, amnésie rétrograde ; amnésie antérograde (imposs
e jour depuis le shock nerveux. Nature de cette amnésie ; morceau d'
attaque
hystérique transformée................266 xxxii
ésie rétro-antérograde, 266; Caractère hystérique de 1' -, 271 ; — et
attaque
hystérique, 277; — et hypnotisme, 285. Arthriti
tagion : dans l'hystérie, 449 ; — dans l'hypnose, 457. Contracture (
attaque
de —), 24. Coprolalie, 455. Crane : déformation
somnambulisme hystérique, 158, 179, 182. Délire : — provoqué dans l'
attaque
d'hystérie, 50 ; — post-hys-téro-épileptique, 25.
'—, 390. Epilepsie partielle, 1 ; — crurale, 8; — hystérique, 8, 9;
Attaque
d'hystérie à forme d'—, 70, 132. F Facial : n
llucinations : provoquées dans la catalepsie, 23; — provoquées dans l'
attaque
d'hystérie, 36 ; (Voir Somnambulisme hystéri- :
85 ; Contagion dans Y —, 457. Hystérie : excitation des sens dans l'
attaque
d' —, 36; Délire provoqué dans l'attaque d' —, 51
: excitation des sens dans l'attaque d' —, 36; Délire provoqué dans l'
attaque
d' —, 51) ; Phase des attitudes passionnelles dan
é dans l'attaque d' —, 51) ; Phase des attitudes passionnelles dans l'
attaque
d' —, 64, 71 ; Forme délirante de l'attaque d' —,
udes passionnelles dans l'attaque d' —, 64, 71 ; Forme délirante de l'
attaque
d' —, 71 ; — infantile, 76, 77 ; Formes frustes d
nte de l'attaque d' —, 71 ; — infantile, 76, 77 ; Formes frustes de l'
attaque
d'-, 133; Suicide dansl'—, 103; Attaque d'— à for
76, 77 ; Formes frustes de l'attaque d'-, 133; Suicide dansl'—, 103;
Attaque
d'— à forme d'épilepsie partielle, 70, 132; — et
elle, 70, 132; — et amnésie rétro-antérograde, 271, 277 ; Aura dans l'
attaque
d' —, 390, 410, 415, 420; — à la policlinique de
— du type Mesnet, 130; — avec effacement de l'élément convulsif de l'
attaque
, 130; Durée de l'attaque de —, 132; Mémoire dans
avec effacement de l'élément convulsif de l'attaque, 130; Durée de l'
attaque
de —, 132; Mémoire dans le —, 151. Somnambulism
52, 257 ; Cénesthésie dans le —, 185 ; Ecriture dans le —, 189 ; — et
attaque
hystérique, 189,191,194, 197, 204, 209, 259 ; — e
âgée de 55 ans, bien portante, est un peu nerveu- se, sans avoir d'
attaques
. [Son père est mort, elle ne sait de quoi, à 78
pour cela, mais elle serait rendue plus pénible, car d'une part, l'
attaque
par les acides des sels charbonneux fondus est
e de porcelaine au bain-ma- rie, à la température de 8o190. Quand l'
attaque
sera termi- née, que les vapeurs nitreuses auro
tante. [Père mort à 75 ans, coléreux ; - mère morte à 70 ans d'une
attaque
d'apoplexie foudroyante.]Un cousin-germain, qui
ne première fois pendant deux mois, et, durant cette période, les
attaques
furent notablement moins fréquentes. A di- vers
ns observé d'une manière bien évidente l'action de la glace sur les
attaques
elles-mêmes. Souvent, une heure ou deux avant s
sur les attaques elles-mêmes. Souvent, une heure ou deux avant ses
attaques
, G... a des secousses, est excitée, ne peut dem
En pareil cas, c'est-à-dire lorsque l'aura est pro- longée, que « l'
attaque
a de la peine à venir », la malade déclare souf
ine à venir », la malade déclare souffrir beaucoup plus que quand l'
attaque
suit de près, de quelques minutes par exemple,
ace a été employée, nous avons observé également une diminution des
attaques
. Mais, par DE LA GLACE. 53 malheur, ce mode d
s'est montrée plus do- cile. Il s'agit de Th. L... En dehors de ses
attaques
, pure- ment hystériques d'ailleurs, elle a des
arités de son histoire nous relèverons les suivantes : 4° après une
attaque
, elle serait restée pendant deux jours sans pou
ZINC. 67 Du le, mai au 31 décembre 1873, Ko... a eu 9 accès et 7
attaques
; du 1r mai au 31 décembre 1874 (période de tra
au 31 décembre 1874 (période de traitement), elle a eu 15 accès, 14
attaques
et un étourdis- sement. Il s'ensuit que l'oxyde
s, Geneviève L... et Hert..., à la fin de l'inhalation, lorsque l'
attaque
doit être définitivement arrêtée, ont eu, chaque
lable, ou du moins les sueurs qui surviennent d'habitude durant les
attaques
, ne nous ont point paru aug- mentées. La sécr
chez Geneviève et chez Marc..., deux hystéro-épileptiques dont les
attaques
exigent, pour être jugulées, une inha- lation p
en quelques minutes plaça les doigts dans l'extension forcée. Celle
attaque
qui surprit le malade, sans lui causer aucun ef
tait lourde, mais, le spasme disparaissant, pour la première fois l'
attaque
qui menaçait cessa tout-à-coup. Quatre jours pl
tre jours plus tard, le malade empêcha de la même façon une autre
attaque
de se produire. Il obtint le même succès dans onz
. Les accès furent immédiatement et brusquement interrompus. Aucune
attaque
n'arriva du 27 mars au 15 avril. Les inhalation
ent encore administrées, et il n'y eut NITRITE D'AMYLE. 89 aucune
attaque
. A six heures et à huit heures, on recom- mença
lla strictement. A six heures précises de l'après- midi survint une
attaque
grave, caractérisée par des convul- sions génér
874, on emploie le nitrite d'amyle qui prévient un certain nombre d'
attaques
et produit par con- séquent une amélioration. L
te d'amyle en septembre 1874 et, depuis cette époque, n'a plus eu d'
attaque
. Il porte une petite fiole de nitrite d'amyle d
onie pendant laquelle les accès avaient été suspendus, elle eut une
attaque
d'un caractère très-grave. Le 6, deux accès; le
P. 100; T. 7°,7. A partir de ce moment, il ne survint plus au- cune
attaque
. Observation XVIII. Epilepsie; accès de furie.
le. Peu après, il perdit encore la connais- sance mais n'eut plus d'
attaque
. Pendant la nuit et le lende- main, on fit une
eursmoyenssontmisà contribution, à la Salpétrière, pour arrêter les
attaques
d'hystérie et d'hystéro-épilepsie. Nous avons s
mps que la compression ovarienne peut em- pêcher la production de l'
attaque
lorsqu'elle est pratiquée-' durant la phase de
ase de l'aura. Elles nous ont appris aussi que, pratiquée pendant l'
attaque
, la compression ovarienne, si son action est su
avec aura pouvaient déjà faire deviner son efficacité contre les
attaques
d'hystérie et d'hystéro-épilepsie qui s'annon-
bles de la vue. Laug..., Th., 24 ans (service de M. CHARCOT). Les
attaques
sont franchement hystériques. 21 décemb. 1874
chement hystériques. 21 décemb. 1874. Alors qu'elle était en pleine
attaque
, inhala- tion de dix gouttes de nitrite d'amyle
n pleine attaque, inhala- tion de dix gouttes de nitrite d'amyle. L'
attaque
, suspendue, reprend bientôt. Une deuxième inhal
ls est à 150. Troi- sième inhalation de dix gouttes qui met fin à l'
attaque
. Le nouls est à 96. Nous avons noté une rouge
ents d'oreilles pendant un temps plus long que d'habitude après ses
attaques
. - r 0< ? 1 ? 1"1. r'H ? .~ T' £ \,...r1'1 £
queur de Barreswill, ne contenaient pas de sucre. 2 février 1875.
Attaque
, inhalation de 20 gouttes de nitrite d'amyle, r
ie ovarienne et llémianesthésie à S7<cA<'. - ('a1'actères des
attaques
. - - Nitrite d'amyle ; difficultés de son emplo
..., 23 ans (service de M. Delasiauve), est sujette à de fréquentes
attaques
d'hystérie, souvent suivies de délire avec prop
'ovaire et hé- mianesthésie à gauche. Lorsque L... sent approcher l'
attaque
, elle demande qu'on lui mette la camisole. Voic
ents de son existence qui a été très-accidentée. Souvent, après ses
attaques
, elle accuse une sensation de froid dans la jam
g. Hyperesthésie ovarienne et Hémianesthésie à droite. - Arrêt des
attaques
par la compression ovarienne. Nitrite d'amyle.
stré à la dose d'une dizaine de gouttes, suffit pour mettre fiu aux
attaques
. La NITRITE D'AMYLE. 101 malade revient à ell
, nous avons observé le même arrêt rapide des crises. Une fois, les
attaques
ont re- commencé environ une heure après l'inha
e : Hyperesthésie oza- rienne et hémianesthésie gauches . Arrêt des
attaques
par la compression c ca/y'c. Nitrite d'amyle.
yle, administré deux fois à cette malade, a mis fin chaque fois aux
attaques
. Les phénomènes produits par le médica- ment n'
res. Elle n'a signalé aucune particularité visuelle. Le 26 avril, l'
attaque
commença à Q hniirne A r7 · 1 fan,,\n,¿;T ? Ifn
acticre 2assa,ère du fJaf «`7 - membre intérieur droit. - Arrêt des
attaques
par la compres- sion ovarienne et le nitrite d'
; 27 ans (service de 11, CHARCOT), - Cette malade est sujette à des
attaques
dans lesquelles prédo- minent tantôt les symptô
ômes de l'hystérie, tantôt ceux de (1; Chez celte jeune 11 lie, les
attaques
sont souvent suivies d'une réten- tion d : urin
. CHARCOT), a été prise, le 10 février 1875, à 8 heures du matin, d'
attaques
hystériques. Les mouvements cloniques sont viol
secours de quatre personnes. De 10 heures un quart à 11 heures, les
attaques
se sont suspendues, mais D..., quoique dans une
- ments de lappement et de déglutition. - A 11 heures, retour des
attaques
. A 11 heures trois quarts, les convulsions conti-
la même jusqu'à midi trois quarts, moment oùD... a eu quel- ques
attaques
légères. Vers une heure et demie, les accidents
ur e e. - Cette nuit son sommeil a été mauvais. Bien que, hier, les
attaques
aient duré cinq heures, D... n'a pas uriné sous
s de sucre (Liqueur de Barreswill et réactif de Mulder). 17 août.
Attaque
arrêtée par l'inhalation de 20 gouttes de nitri
tée par l'inhalation de 20 gouttes de nitrite d'amyle. - 19 août.
Attaque
qui a commencé il y a 3/4 d'heure : T. V. 38°,3
cé il y a 3/4 d'heure : T. V. 38°,3. - Nitrite d'amyle : arrêt de l'
attaque
. Observation XXXI. Ilystéro-épilepsie avec hype
ellement « paralysée du cerveau ». On croit qu'elle n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs. II... a été élevée et assistée par le
d'alla-. ques qui aurait continué deux jours. De 12 à 15 ans, les
attaques
ont été très éloignées. Mais du 0 août 1872 (el
t 16 ans), jusqu'à son entrée à la Salpé- trière (9 nov. 1872), les
attaques
sont devenues si fréquentes qu'on a été obligé
à être irrégulières, avançant ou retar- dant. La recrudescence des
attaques
semble avoir coïncidé avec l'irrégularité de la
ciaux sont tous affaiblis à gauche (ouïe, vue. odorat, goût). Les
attaques
sont précédées par des phénomènes qui peu- vent
-serrée. Elles de- viennent de plus en plus intenses à mesure que L'
attaque
se rapproche et se compliquent de « tapements d
igus, et perd connaissance. 1875. 22 mais H... a eu, hier soir, des
attaques
qui ont duré de 4 heures 1/2 à 8 heures. Elle a
res 1/2 à 8 heures. Elle a été reprise ce matin à 4 heures 1/2. Les
attaques
ne sont séparées les unes des autres que par de
.. est camisolée et ses jambes sont main- tenues par des liens. Les
attaques
ont les caractères suivants : a) Mouvements de
ce et regarde autour d'elle. La compression ovarienne suspend les
attaques
; mais, en rai- son de la résistance considérab
ne peut la prolonger assez longtemps et la ma- lade a de nouvelles
attaques
. A midi 10 minutes, inhalation de nitrite d'amy
noirs. -- -- . '- 0 heures* soir). TL..7TTa. pas été reprise de ses
attaques
. , Elle a eu des nausées, sans effet, jusqu'à u
s aouleurst1Ccupant le sommet de la tète, tandis que, " ? après ses
attaques
, elles siègent principalement au front. / / ? i
ui lui donne des « rêves agréables. » ' \. \ 27 décembre. Série d'
attaques
; T. R. 37°, 8. Nitrite d'amyle : les convulsio
vulsions cessent. - 1876. 4 jatvie : Nitrite d'amyle. - 5 janvier :
attaques
de courte durée. Chez cette malade, de même, d'
, d'ailleurs, que chez un *grand nombre d'hystéro-épileptiques, les
attaques
se mon- trent par série durant plusieurs heures
res, ou même toute une journée. En 1873, elle aurait eu 5G fois des
attaques
sérielles ; en 1874, 28 ; en ]8T, 42. Du 5 janv
. Du 5 janvier 1816 au 12 mai, jour de sa sortie, elle n'a pas eu d'
attaques
. Dans ce cas encore, nous voyons le nitrite d'a
téro-épilepsie, Hyperesthésie et hémianesthésie à gauche. Arrêt des
attaques
par la C01n- pression ovarienne. - Nitrite d'am
Mar... C., 26 ans (service de M. Charcot). - '¡Si],. 15 dé- cembre.
Attaque
hystéro-épileptique. Inhalation de 12 gouttes d
ce se colore vivement .en rouge vermillon; durant l'inhalation deux
attaques
avortées; les accidents cessent ; la face devie
près ses crises. z 1875. 6, 94,jatoier : Nitrite d'amyle. ^janvier.
Attaque
Inhalation de 20 gouttes de nitrite d'amyle. La
e, mais bientôt un accès commeu- çant, l'inhalation est reprise : l'
attaque
avorte. - Nouveau 1 / retour de la connaissance
attaque avorte. - Nouveau 1 / retour de la connaissance, - nouvelle
attaque
. - Inhalation : La cyanose qui s'était dissipée
jaune et bleu. Ces cercles se sont évanouis quand survint une autre
attaque
. - Apres la seconde inha- lation, elle avait de
er a ses mouvements. 1er février. - Nitrite d'amyle. 9 février. -
Attaque
: T. V. 38°, 1. - Nitrite d'amyle; inha- lation
amyle. Avril, Mai : Quatre inhalations. 2, 7, 12, 23 et 24 juin :
Attaques
, nitrite d'amyle. A la suite d'une inhalation,
remplacés par des milliers d'étincelles. 20,21 et 26 novembre, -
Attaque
. Nitrite d'amyle. La face* les oreilles, le cou
tion en exer- 7ailrousliIse pression avec les doigts. Pour couper l'
attaque
, il a fallu près d'une cuillerée à café de nitr
u encore à la suite de l'in- halation de nitrite d'amyle, une autre
attaque
a commencé. - Une dose moindre que la première
é. - Une dose moindre que la première fois suffit pour terminer l'
attaque
. A la fin de l'inhalation, la iiialadeà vomi de l
un degré véritablement effrayant : ' 1 fi'6. - ! 0 et 14 4 mars.
Attaque
. Nitrite d'amyle. Cyanose très- marquée ; grima
sie. Hyperesthésie ovarienne et hémianesthésie gauches. - Arrêt des
attaques
par la compression ovarienne. Nilrite d'amyle ;
Genev.... B..., 3-1 ans (service de M. Charcot). 1874. - 14 avril.
Attaque
. Première inhalation de nitrite- d'amyle : 12 g
tion de nitrite- d'amyle : 12 gouttes suffisent pour mettre fin à l'
attaque
. Nausées. 12 mai. Attaque : nitrite d'amyle.
2 gouttes suffisent pour mettre fin à l'attaque. Nausées. 12 mai.
Attaque
: nitrite d'amyle. Durant l'inhalation, il se p
ttaque : nitrite d'amyle. Durant l'inhalation, il se produit quatre
attaques
qui avortent. G... revient à elle au bout de qu
apeurs d'une vingtaine de gouttes de nitrite d'a- myle. , 9 juin.
Attaque
; nitrite d'amyle; disparition des convul- sions
isparition des convul- sions. nitrite d'amyle. 100 15 décembre.
Attaque
. Dix gouttes de nitrite. d'amyle; les convulsio
nouveau se montrent les signes annonçant l'éclosion prochaine d'une
attaque
. Troisième in- halation (6 gouttes) : mêmes phé
u'elle, ne l'est d'habitude quaud elle a été malade. 16 décembre.
Attaque
. Nitrite d'aÍnyle.1Y1'es effets, à savoir : sus
Attaque. Nitrite d'aÍnyle.1Y1'es effets, à savoir : suspension de l'
attaque
dont la phase clonique est supprimée, rougeur,
u'après la quatrième inhalation (en tout 35 gouttes) que la série d'
attaques
se termine. Pendant plus de cinq mi- nutes la f
d G... a eu des nausées - avec efforts assez violents. 7 janvier.
Attaque
; compression ovarienne, suspension pas- sagère
l'inférieure surtout; efforts de vomissement. Arrêt définitif de l'
attaque
. 13 janvier. Attaque. Nitrite d'amyle. Mêmes ph
efforts de vomissement. Arrêt définitif de l'attaque. 13 janvier.
Attaque
. Nitrite d'amyle. Mêmes phénomènes.- Une heure
9 février, 2, 22 avril, etc. Nitrite d'amyle. 1 , juin. G... est en
attaque
depuis quelque temps lorsque nous commençons à
nt jaune d'or. , NITRITE D'AMYLE. H1 ments, indiquent la fin de l'
attaque
. C'est ainsi qu'il est possible d'annoncer pres
le qu'éprouvent les malades après la terminaison naturelle de leurs
attaques
; b) une sensation de vertige, compliquée d'un p
malades, une fois revenues à elle, n'étaient plus reprises de leurs
attaques
dans la même journée. 6° Quelques-unes de nos
urt. 7° Le nitrite d'amyle a sur les accès d'épilepsie ou sur les
attaques
d'hystérie et d'hystéro-épilepsie une action inco
sans avoir de crises; - une autre, lier..., n'a pas eu de nouvelles
attaques
bien qu'il se soit écoulé ? 4 mois depuis que nou
e la contracture hystérique passagère et perma- nente. - Formes des
attaques
convulsives. - Ischurie hystérique. » - Bourn
iculiers à chacune d'elles. Tandis que la première nous offrira des
attaques
d'une violence extrême, des contractures passag
forme rare - celle du crucifiement, - la seconde nous montrera des
attaques
, violentes il est vrai, mais très-éloi- gnées,
l'assassin arrêté par les gendarmes, déterminèrent chez elle une «
attaque
de nerfs » et on fut obligé de la porter dans une
des « éronces » et tomba sans connaissance, en proie à une violente
attaque
convulsive. Les ouvriers d'une verrerie voi - s
u couchée sur un matelas placé dans le jardin. Alors survinrent des
attaques
nerveuses avec convulsions si intenses qu'elle
t occupés nuit et jour à la maintenir. Une semaine plus tard les
attaques
, cessèrent, la paralysie et la contracture dispar
vailla dans une fabrique autant que le lui permit sa maladie. Les
attaques
revenaient toutes les semaines. Pensant que ].1
igine de son séjour dans cet établissement, L... avait des séries d'
attaques
d'une violence extrême, qu'aucun avertisse- men
int-Germain, interne du service, a donné la relation suivante d'une
attaque
dont il fut témoin le 8 janvier 1859 : « Quelqu
nce. Cet état dure souvent plusieurs jours. On a remarqué que les
attaques
sont moins longues, moins fortes, quand on l'a ch
elques jours.DansrintervaDc HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. 121 de ces grandes
attaques
, Ler... a des crises isolées plus ou moins viol
la veille s'arrêtent défi- nitivement. ' . III. Description des
attaques
. , 98riz. 7 février. L..., qui n'avait pas été
érieusement ma- lade depuis près de trois ans, a eu aujourd'hui une
attaque
qui a duré une heure et demie. La région ovarie
ée.'A dix heures, elle est revenue en toute hâte, annonçant que son
attaque
allait commencer. En effet, à peine déshabillée
s'endormir. Elle se réveille en quelque sorte brusquement et a une
attaque
à grands mouvements, avec prédominance de la pr
n d'urine qui oblige à pratiquer le ca- thétérisme. ' 21 février.
Attaque
d'une intensité modérée. 25 février. La rétenti
est rauque; l'incontinence d'urine persiste. A 7 heures du soir,
attaque
convulsive avec perte de con- naissance. L.....
La physionomie a une expression 1 il' Pendant l'une des phases des
attaques
de Louis[) Lateau, I. Imbert- Gourbeyre a remar
appelle la sous-surveillante, disant qu'elle est sous le coup d'une
attaque
: bientôt, en effet, sur- vientla perte de conn
au mo- ment du stertor, était de 37°,4. fer tct·s. ? L... eu deux
attaques
à forme tonique. La pre- mière avait laissé une
s la flexion forcée, la main, fermée, touchant l'épaule. La seconde
attaque
a .rendu au bras gauche la liberté de ses mouve
et son vin aussitôt après leur ingestion par la sonde. 2 mars. -
Attaque
à type tonique. L'aspect de la face est le même
on s'explique sans doute par l'existence de l'anesthésie. Plusieurs
attaques
, semblables à celles que nous venons de décrire
ns l'acte de boire. 5 mars. - Hier, de 3 à 4 heures, L... a eu cinq
attaques
dans lesquelles le bras gauche s'est encore por
ses sont moins fréquentes. 7 mars, - Hier, de ü à 9 heures, série d'
attaques
qui ont laissé le bras gauche fléchi et placé d
issé le bras gauche fléchi et placé dans le dos. 9 mars. Soir. Deux
attaques
de 2 à 3 heures. A 5 heures, les jambes sont co
hies et croisées l'une sur l'autre. 10 mars (7 heures du soir). -
Attaque
tonique. La face est tournée à droite, les yeux
ives dans les bras, les jambes et la tète. A 9 heures 1/2, nouvelle
attaque
très-courte, à la suite de laquelle les jambes
s la flexion exagérée, la main reposant sur l'épaule. 1 1 mars. Une
attaque
a laissé le bras gauche appuyé sur la colonne v
e siège de fourmillements. t2 2 mars, - De midi à 4 heures, série d'
attaques
pendant lesquelles on a. remarqué que la langue
êmes convulsions dans l'une ou l'autre des crises qui constituent l'
attaque
dans son ensemble ; mais c'est plus particulièr
e déchire quand on la lui laisse. A peine avait-on ter- miné, que l'
attaque
recommence : 1° on note de nouveau les phénomèn
ernière sensation s'explique par la contracture qui existe durant l'
attaque
. Elle détire ses mem- bres ; se plaint de souff
rait et tout parait fini. F' 1876. Il ? juin. - Ler... n'a pas eu d'
attaque
depuis le mois d'août 1875. - Le clou hystériqu
ici un tableau qui indique d'une manière assez exacte la marche des
attaques
durant les 16 dernières années. 148 UYSTL ? 0-l
(Voir Planche II, Figure 1). Des complications qui succèdent aux
attaques
, les plus importantes consistent en des contrac
s de ce groupe. IiYSTÉRO-ÉPILPSIE. 149' qui survient à la fin des
attaques
. Chez elle, de même que chez la plupart des mal
Loudun. Quelques-uns suffiront. Nous avons raconté que, dans ses
attaques
, Ler... es- sayait de se mordre ou même se mord
leurs confesseurs, aux exorcistes; en d'autres termes, durant leurs
attaques
, le délire portait sur les principaux sujets de l
punie, le 4 novembre, par le Di- recteur, le délire qui suivit une
attaque
, le lendemain, porta presque exclu- sivement su
e pansait un malade auprès d'une cheminée, elle eut sa pre- mière
attaque
convulsive. Elle perdit connaissance et tomba d
e deux ans ; ,pendant ce laps de temps, elle n'a pas eu de nouvelle
attaque
. C'est un an plus tard, c'est-à-dire trois ans
ue. C'est un an plus tard, c'est-à-dire trois ans après la première
attaque
, qu'elle en eut une deuxième ('18 : 58). Cette
mois ; cependant, elle n'avait pas de para- lysie. - La troisième
attaque
(18GO) et la quatrième (1863) auraient offert l
ses convulsives antérieures ne pouvait faire prévoir : elle eut des
attaques
qui se succédèrent pendant deux jours. Consécut
ter. On la saigna ; les vomissements et l'oedème disparurent. Une
attaque
éclata le 15 août; puis une autre, très-forte, à
PILF.PSm, ' la malade. Le troisième jour, elle aurait eu, après une
attaque
, une « congestion cérébrale et du délire, » pou
elle voudrait le faire croire ( ? ). . 1§ juin. Description d'une
attaque
. La malade est dans le décubitus dorsal, les ye
bruyante et profonde. La malade a moussé peu après le début de son
attaque
. P. 96 ; T. A. 38°. 7 août. La malade a eu une
son attaque. P. 96 ; T. A. 38°. 7 août. La malade a eu une nouvelle
attaque
. Son état est, aujourd'hui, le suivant : La dou
e. » 2 septembre. Le malade a eu, le 1 cr septembre, une nouvelle
attaque
, avec perte complète de connaissance pendant plu-
parfaitement conservée à droite. 21 mars. La malade a eu hier une
attaque
très-intense. De- puis lors, le membre supérieu
de douleurs dans le membre supérieur droit. Pendant cette série d'
attaques
qui a duré trois jours, on a noté une paralysie a
sont contractures et dans l'extension. - Urines rares. 25 avril.
Attaque
qui ne modifie en rien l'état des membres. C'es
a comprend pas. Ce sommeil est exceptionnel, sans relation avec ses
attaques
qui sont, au contraire, annoncées par de l'exci
les deux oreilles. - Elle a eu hier soir, à huitheures, une grande
attaque
qui a duré envi- ron un quart d'heure et a été
étude et de l'embarras de la parole, phénomènes habituels après ses
attaques
. - In- continence d'urine ; pourtant, par la ca
r la sonde, on n'extrait qu'une petite quantité d'urine. - Le soir,
attaque
convulsive qui a débuté par une grande agitatio
agnée de convulsions et môme de mouvements du bassin. A la fin de l'
attaque
, écume -et ron- flement, puis sommeil stertoreu
e -et ron- flement, puis sommeil stertoreux. 9 décembre. Depuis l'
attaque
d'hier, la malade se sert de la main droite et.
anvier : 80 centilitres. - 25 janvier : 60 centilitres. 19 février.
Attaque
de dix heures du soir à minuit. Ce ma- tin, on
totalité ou de flexion. Après un court repos, survient une seconde
attaque
. Elle se décompose, pour ainsi dire, en une sér
calme, etc. - Pas d'écume. P. 120; T. R. 38",7. A neuf heures, l'
attaque
continuant encore, on administre le chloroforme
. Les membres du côté gauche sont daus la même situation qu'avant l'
attaque
(contracture). Le bras droit est rigide, accolé
t rigide dans l'ex- tension. 21 mars. Il n'y a pas eu de nouvelle
attaque
. Le bras et la jambe du côté droit sont redeven
col, tout-à-fait en arrière, est difficile à atteindre. 16 mai. Une
attaque
, survenue cette nuit, a laissé après elle du tr
uffées de chaleur et la céphal- algie : il s'agit là, sans doute, d'
attaques
hystéro-épileptiques avortées. 28 janvier. Le
oir. Etch... a encore rendu par la sonde 800 gr. d'urine. La crise (
attaque
avortée) a laissé un grand abattement et un cer
: ceux du côté droit sont libres. '18 mai. La malade a eu hier une
attaque
: douleurs ova- riennes des deux côtés, douleur
e- CONSTIPATION OPINIATRE; ISCHURIE. 1 i : 3 "3 cousses. Durant l'
attaque
, qui a duré trente minutes, l'avant- bras droit
au de la région ovarienne gauche. - Etch... n'a pas eu de nouvelles
attaques
. Elle travaille et, à l'occasion, remplit les f
hez cette femme, une allure anormale. C'est ainsi que la première
attaque
, au lieu d'éclater aussitôt après l'émotion vive
urée, cette particularité fort cu- rieuse que, malgré la rareté des
attaques
convulsives pro- prement dites, l'on a vu surve
e. Avant de les passer en revue, arrêtons-nous un instant sur les
attaques
elles-mêmes. 1, a. Les attaques se sont montr
rrêtons-nous un instant sur les attaques elles-mêmes. 1, a. Les
attaques
se sont montrées d'abord sans avertisse- ment ;
com- plet de la connaissance (2). - Dans les derniers temps, les
attaques
avortaient quelquefois et se traduisaient par des
des douleurs névralgiques et des symptômes de suffocation. b. Aux
attaques
sont bientôt venues s'ajouter des hé- (1) Charc
- tion, p. 320. (21 La température centrale, sous l'influence des
attaques
ne dépassait pas suivant la règle, le chiffre d
second accident. Elle a succédé à l'anurie qui avait accompagné une
attaque
de choléra (1866). Pendant plusieurs années, le
s ne saurions nous prononcer à cet égard. , d. En 1868, après une
attaque
, on remarqua l'existence d'une hémianesthésie d
la disparition d'un symptôme permanent de l'hystérie succède à une
attaque
convulsive. Il y a là une relation très-intéres
u même 4 litres 1/2 d'urine, contenant 20, 25, 28 grammes d'urée. L'
attaque
était alors terminée et la sécrétion retombait
ration est, notre avis, la relation qui a toujours existé entre les
attaques
convulsives, complètes ou incom- plètes, et l'a
ous ces accidents ont été influencés d'une manière évidente par les
attaques
hystéro-épileptiques ou par les accès de suffoc
ent de nouveaux accidents. Cette sorte de lien qui existe entre les
attaques
convulsives et les manifestations de l'hystérie
ne citer qu'un exemple, de vous rappeler la description de la grande
attaque
hystérique, aujourd'hui réduite à une formule trè
éduite à une formule très simple. Quatre périodes se succèdent dans l'
attaque
complète avec la régularité d'un mécanisme : 1° é
s); 3° attitudes passionnelles (logiques); 4° délire terminal. Mais l'
attaque
peut être incomplète; chacune des périodes peut s
ce inextricable. Mais ce que je tiens à relever ici, c'est que dans l'
attaque
, et je pourrais en dire autant de bien d'autres é
rément; tantôt ce sont les crises hystériques qui se manifestent (les
attaques
, comme on dit ici), tantôt ce sont les crises d'é
xiste, mais dans lesquels aussi la maladie est caractérisée, dans le?
attaques
régulières, par 4 périodes, dont l'une, la premiè
atteinte de grande hystérie et d'épilepsie proprement dite, dont les
attaques
surviennent la nuit, avec morsure de la langue, é
mporlait sur l'épilepsie : ainsi, en 1874, on comptait en un mois 244
attaques
(hystérie) et 62 accès (épi lepsie) ; mais depuis
s tiennent décidément la première place. Une des particularités des
attaques
d'hystérie chez B., à l'époque où elles se manife
à droite aussi que se manifestaient les phénomènes prodromiques de l'
attaque
(bourdonnements d'oreille, battements dans la tem
as toujours chez elles de la grande hystérie, de l'hystérie à grandes
attaques
, mais de l'hystérie vulgaire. Je vous présente
e ovarie gauche; elle a des contractures spontanées à la suite de ses
attaques
; l'autre esthémianesthésique gauche, son côté dr
ore hystérique, bien qu'elle ait plus de 50 ans, et chez laquelle les
attaques
hystéro-épilepliques ont depuis longtemps disparu
elle paraît haletante, son corps se couvre d'une sueur froide et une
attaque
de nerfs plus Charcot. Œuvres complètes, t. m,
ne s'était rien passé de particulier ; mais ce jour-là, elle a eu une
attaque
avec cris aigus et quelques contorsions, prédomin
es contorsions, prédominant toujours à droite, du côté du spasme. Ces
attaques
se sont renouvelées plusieurs fois depuis. Pendan
harospasme. Le lendemain, à la suite d'une contrariété, elle a eu une
attaque
assez violente, l'œil est resté normalement ouver
assez violente, l'œil est resté normalement ouvert depuis ; mais les
attaques
se sont reproduites encore plusieurs fois. Ch. F.
4° Variété congestive ; dans cette forme on observe des sé ries d'
attaques
dites congestives, séparées par des intervalles à
alysie générale ne s'établissent décidément à l'état permanent. Ces
attaques
dites congestives sont variées dans leur forme ;
es congestives sont variées dans leur forme ; ainsi, tantôt c'est une
attaque
apoplectiforme suivie d'une hémiplégie temporaire
e apoplectiforme suivie d'une hémiplégie temporaire; tantôt c'est une
attaque
épileptiforme ; enfin, un cas assez fréquent est
s'est produite chez notre malade, et chez lui, les diverses formes d'
attaques
se sont succédées en quelque sorte. Mais le poi
e la langue, une aphasie, ou un embarras de la parole temporaire, des
attaques
épileptiformes, etc.3. Or, même dans ces formes
ntion remontent au mois de septembre 1881. 11 a eu alors une première
attaque
, accès de migraine ophthalmi-que, avec scotome sc
est rentré dans l'ordre. — Huit jours plus tard, il a eu une deuxième
attaque
, sans perte de connaissance, avec embarras de la
au travail, cependant. — Au mois de février 1882, il a une troisième
attaque
avec les mêmes symptômes de migraine ; mais, en o
a a duré deux heures, ce qui semble indiquer qu'il y a eu une série d'
attaques
qui ont présenté cette particularité que les seco
ularité que les secousses prédominaient à droite. A la suite de cette
attaque
, l'embarras de la parole a persisté. — Huit jours
e la parole a persisté. — Huit jours plus tard, il a eu une quatrième
attaque
du même genre, avec recrudescence de l'embarras d
ole et faiblesse du bras droit. — Enfin, le 5 mai, il a une cinquième
attaque
, avec pa résie du bras droit, suivie, le lendem
ontracture hystérique. — Amblyopie. — Zones hystérogènes. Phases de l'
attaque
d'hystéro-épilepsie. — Hystérie chez les jeunes g
e l'attaque d'hystéro-épilepsie. — Hystérie chez les jeunes garçons :
attaque
, phénomènes permanents. — Importance de l'isoleme
e phénomène de l'aura, auquel succède quelquefois, si l'on insiste, l'
attaque
hystérique. Ces points, ou mieux ces plaques, ont
a propriété d'être le siège d'une sensibilité permanante, et, avant l'
attaque
, d'une exacerbation douloureuse spontanée qui, pa
ra. Ce sont tantôt des battements, tantôt une sensation de brûlure. L'
attaque
une fois développée, peut être souvent arrêtée au
il me resterait à vous rappeler les caractères généraux de la grande
attaque
hystéro-épileptique ; mais je crois devoir me bor
mation des organes génitaux. Depuis quelques mois, il est sujet à des
attaques
qui reviennent presque tous les jours, à 5 heures
-gène sterno-costal ; un brusque frottement sur ce point provoque une
attaque
. Les attaques spontanées sont précédées de triste
costal ; un brusque frottement sur ce point provoque une attaque. Les
attaques
spontanées sont précédées de tristesse, de battem
précordiale au larynx, Qu'elles soient spontanées ou provoquées, les
attaques
sont constituées par une période épileptoïde, plu
ts, poussant un cri de frayeur (il voit sa mère morte). A la tin de l'
attaque
, rires, pleurs, bâillements ; il demande à boire,
émianalgésie, l'existence d'un point hystérogène, les caractères de l'
attaque
qui viennent d'être signalés suffisent amplement
néral, et de l'hystérie chez l'enfant en particulier. En présence des
attaques
épileptiformes, il s'était demandé s'il n'y avait
affection encéphalique grave, une tumeur cérébrale, par exemple. Les
attaques
épileptiformes existaient, en effet, mais elles f
rent, bien que la connaissance ne revînt pas. Dans l'intervalle des
attaques
existait une hémihyperesthé-sie gauche ; ce garço
uestion, au contraire, est doux etintelligent ; dans l'intervalle des
attaques
, on peut reconnaître qu'il est hémianesthésique g
indre choc, le moindre frottement exercés sur ce point provoquent une
attaque
, et même les camarades du malade, ayant surpris l
mple les accidents convulsifs ; un forte pression arrête d'ailleurs l'
attaque
avec la même facilité. L'attaque est régulière; p
n forte pression arrête d'ailleurs l'attaque avec la même facilité. L'
attaque
est régulière; période épileptoïde, période de gr
lents. Il n'y eut, de novembre 1879 à décembre 1880, pas moins de 582
attaques
, sans qu'il s'y ajoutât de l'épilepsie, et sans q
, revenant tous les soirs, vers les cinq heures, suivie, peu après, d'
attaques
convul-sives. Le diagnostic, parait-il, fut hés
a sensation, de boule, mais une sorte de constriction thoracique. L'
attaque
est ordinairement coupée parla chloroformisation.
ntéressant d'examiner l'attitude du père, quand approche l'heure de l'
attaque
; il prend sa montre qu'il a mise à l'heure de so
ils, et tous les jours, à la même heure, il était dans l'attente de l'
attaque
qui ne manqua pas, en effet, de se reproduire, to
nt réel, dans ces sortes de cas: au bout de quatre ou cinq jours, les
attaques
étaient déjà modifiées, moins régulières et moins
ères et moins fortes ; quinze jours après, il n'était plus question d'
attaques
, puis la zone hystérogène bregmatique disparut, e
térie larvée et privée de la marque, en quelque sorte classique, de l'
attaque
convulsive ; 2° Contracture spasmodique permanent
énérale progressive, si on en juge par ce fait qu'il a subi plusieurs
attaques
convul-sives, à la suite desquelles il est resté
ablissent de plus en plus nettement la nature du substralum. Si les
attaques
font défaut chez notre malade, elle présente cepe
du calé de l'œil chez lei fv/sléro-épileptiques, soit en dehors de l'
attaque
soit, pendant, l'attaque (Soc. de biologie, 18S1,
i fv/sléro-épileptiques, soit en dehors de l'attaque soit, pendant, l'
attaque
(Soc. de biologie, 18S1, et Arch. de Neurologie,
surtout le flanc gauche. 4° Enfin la série des phases de la grande
attaque
hystéro-épileptique se retrouve également chez l'
éjà qu'il s'agit d'une forme fruste de la névrose ; il n'y a pas eu d'
attaques
, il n'y a ni antécédent, ni aucune modification p
dispute, survenue pendant la période menstruelle, et après une de ces
attaques
vulgaires qu'elle avait habituellement à la suite
t en général après le repas ; c'est en quelque sorte un souvenir de l'
attaque
hystérique vulgaire antérieure. Alors la malade r
des Tsiganes ou des Zingari d'Andalousie. Pendant toute la durée de l'
attaque
la malade est complètement consciente, et, fait r
e chez notre première malade. Mais avant de faire naître une de ces
attaques
, je veux vous rappeler sommairement l'histoire de
connaissance qui dura trois heures, puis une crise convulsive, grande
attaque
hystérique, suivie de contracture des membres du
ant l'épilepsie partielle. C'est vraisemblablement là un vestige de l'
attaque
d'hystérn Ciiarcot. Œuvres complètes, t. m, Sys
ligeant à s'éloigner du monde, en raison de l'effroi qu'inspirent les
attaques
et du sentiment de répulsion dont ces malheureuse
tte troisième malade la forme malléatoire, est un accompagnement de l'
attaque
hystérique, elle ne s'en détache pas pour s'indiv
n grand chagrin causé par la mort d'un parent, elle eut de véritables
attaques
d'hystérie dans lesquelles se manifestaient déjà
quelquefois, l'ovarie et l'hémianesthésie sont croisées. Quand les
attaques
surviennent spontanément, elles débutent par un s
la malade esquisse un arc de cercle qui interrompt la monotonie de l'
attaque
. La pression sur la région ovarienne droite fait
ulgaires, appartenant plutôt à la petite hystérie qu'à la grande, les
attaques
se produisant rarement, et à l'occasion d'une émo
spiritisme. Antécédents nerveux et rhumatismaux. — Description des
attaques
; hallucinations de la vue ; stigmates permanents
e est impatiente, vive, très émotive : jamais cependant elle n'a eu d'
attaques
convulsives. 11 n'en était pas ainsi de sa mère,
bro-spinale, et qui, tous les ans, avait à deux ou trois reprises des
attaques
d'hystérie nettement caractérisées. Notons encore
és : bientôt après, elle se roulait par terre, présentant une série d'
attaques
hystériques caractérisées surtout par du clownism
ées surtout par du clownisme. Le lendemain et les jours suivants, les
attaques
reparurent très nombreuses, au nombre de 20 à 30
enait de plus en plus nécessaire, car, lorsque l'un d'eux prenait une
attaque
, les deux autres s'empressaient de suivre son exe
s de son arrivée, de même que les jours suivants, elle a eu plusieurs
attaques
qui, d'une façon générale, se sont caractérisées
en l'air et gigottent, la têle restant appuyée sur le lit. Pendant l'
attaque
, Julie pousse quelques grognements, rit, mais ne
onze ans, présente également des stigmates permanents, en dehors des
attaques
que je vais décrire. C'est ainsi que le lendemain
pas de transposition des couleurs. François a tous les jours de 1 à 5
attaques
: certaines d'entre elles durent jusqu'à deux heu
ts sont suivis par une série d'accès caractéristiques constituant une
attaque
. L'enfant raidit alors ses membres supérieurs et
tre des êtres imaginaires. La phase tonique se montre à nouveau, et l'
attaque
se trouve ainsi constituée par une série d'accès
lorsqu'on lui comprime la main gauche les doigts étendus, on arrête l'
attaque
instantanément : on ne peut du reste pas la provo
rois, bien qu'il ait néanmoins une, deux, quelquefois trois ou quatre
attaques
par jour. Outre qu'il ne présente pas de stigmate
es trois enfants sans qu'immédiatement tous les trois ne prennent une
attaque
. La relation complète de cette petite épidémie de
e hystérique délirante, alors qu'il était encore cloué au lit par une
attaque
de rhumatisme. Deux jours plus tard, le 17, l'aîn
s enfants ne peuvent plus se rencontrer dans la maison sans avoir des
attaques
. La fillette commençait, ses frères suivaient son
iscuité avec les grandes hystériques dont elle voit journellement les
attaques
. Mais, nous n'avons pu faire mieux, n'ayant pas d
e l'emportait de beaucoup sur le grand mal; néanmoins, il avait eu 15
attaques
en 7 jours. Depuis 15 jours, il n'a présenté que
érie,rappelez-vous qu'elle avait en moyenne tous les jours, de 4 ou 5
attaques
ou séries d'attaques qui duraient de une demi heu
'elle avait en moyenne tous les jours, de 4 ou 5 attaques ou séries d'
attaques
qui duraient de une demi heure à une heure et dem
duraient de une demi heure à une heure et demie. Depuis 1S jours, les
attaques
ne se montrent plus que deux ou trois fois par se
dit qu'elle pouvait impunément rencontrer ses frères, sans prendre d'
attaque
. Telle est la situation, et il y a tout lieu d'
lètement guéri; depuis plus de 15 jours, la jeune fille n'a eu qu'une
attaque
très légère, et pendant une visite des parents à
-épi- lepsie, qui délivrées depuis quelques années de leurs grandes
attaques
, et sorties depuis ce temps du service spécial, e
e Aurel..., actuellement âgée de 62 ans, et chez laquelle les grandes
attaques
, remplacées parfois par des symptômes d'angine de
44 ans, par suite de chagrins et de pertes d'argent, il a souffert d'
attaques
de nerfs sur la nature desquelles le malade ne pe
ille de 15 ans a des crises de nerfs; une autre,âgée de 10 ans, a des
attaques
d'hystéro-épilepsie que M. Marie a constatées ici
int de rhumatisme articulaire aigu, sans lésions du cœur. La dernière
attaque
a duré 6 mois et c'est peut-être au rhumatisme qu
e 10 jours après l'accident, au milieu de la nuit, il eut sa première
attaque
d'hystêro-épilepsie. Depuis celte époque, les att
eut sa première attaque d'hystêro-épilepsie. Depuis celte époque, les
attaques
revinrent à peu près régulièrement tous les deux
u sortir de ses crises, il se rappelait ce qu'il avait rêvé pendant l'
attaque
, phénomène qui n'existe plus aujourd'hui. Il étai
lui et menaçaient de l'écraser. Jamais, il l'affirme, ni pendant les
attaques
, ni dans l'intervalle, il n'a eu de rêves ou d'ha
cation, remarquez-le bien, n'a jamais eu la moindre influence sur les
attaques
, bien que le médicament ait été absorbé d'une faç
ez, l'aura céphalique. Ces points, dont l'excitation peut provoquer l'
attaque
avec une singulière facilité, ne sont, par contre
eur excitation même intense et prolongée n'arrête qu'imparfaitement l'
attaque
en voie d'évolution. Dans Y étal ment ai do, Ri
s d'un caractère doux et totalement dénué de mauvais instincts. Les
attaques
sont spontanées ou provoquées. Quelle qtie soit l
nts dans les- tempes. A ce moment, le malade perd connaissance et Y
attaque
proprement dite commence. Elle est divisée en qua
rsures d'animaux, qu'il croit avoir senties. Puis il revient à lui, l'
attaque
est terminée, mais pour reprendre, le plus souven
t, quelques instants plus tard, jusqu'à ce que, après trois ou quatre
attaques
successives, le malade ait retrouvé enfin complèt
t, les phénomènes que nous venons de décrire, stigmates permanents et
attaques
persistent tels quels, sans changements appréciab
violent, est mort à 60 ans, à la suite d'une paralysie survenue sans
attaques
. Sa mère, morte tuberculeuse, était nerveuse, mai
Sa mère, morte tuberculeuse, était nerveuse, mais n'avait jamais eu d'
attaques
. Les antécédents personnels sont beaucoup plus
curielle. Pas de signes d'alcoolisme. Pas de syphilis. Une première
attaque
s'est produite à l'âge de 20 ans, sans cause conn
sentit les premiers avertissements. Il eut le temps de descendre et l'
attaque
convulsive eut lieu dans la rue. Les attaques se
temps de descendre et l'attaque convulsive eut lieu dans la rue. Les
attaques
se reproduisirent ensuite assez fréquemment. Il e
elque suite. Aussi bientôt lomba-t-il dans la misère. D'ailleurs, les
attaques
qui un instant avaient fait trêve, reparurent ens
nous retrouvons aujourd'hui fut pour la première fois constatée. Les
attaques
alors fréquentes et considérées, paraît-il, dans
ous l'avons dit, s'exagère notablement un peu avant et à la suite des
attaques
. Elle s'exagère surtout lorsque le malade se livr
pation, lorsqu'il veut lire, par exemple, ou écrire une lettre. Les
attaques
dont nous avons été bien des fois témoin dans le
ent dans les oreilles, vertiges, etc. Mais, pour peu qu'on insiste, l'
attaque
survient à coup sûr très rapidement. Quelques spa
cris sauvages Un rire convulsif, des pleurs, des sanglots terminent l'
attaque
. Au réveil, G. ne conserve aucun souvenir de ce q
rès incomplètement spasmo-frénatcurs; quand on les comprime pendant l'
attaque
, celle-ci se suspend pendant un instant, mais ell
rend bientôi le cours de son évolution. Provoquées ou spontanées, les
attaques
se répètent, en général, successivement un certai
as, mêmes stigmates hystériques, mêmes tendances mélancoliques; mêmes
attaques
caractéristiques avec cette seule particularité r
propos du second cas. Nous avons dit que dans quelques unes de ses
attaques
, G. se mord la langue et urine sous lui. Le fait
vraie d'un côté, grande hystérie de l'autre, se montrant sous forme d'
attaques
séparées. Un examen plus attentif nous a fait rec
plus attentif nous a fait reconnaître qu'il n'en est rien. Toutes les
attaques
, chez G., ont le caractère de la grande hystérie,
le caractère de la grande hystérie, et c'est pendant le cours de ces
attaques
-là que quelquefois il se mord la langue et que qu
e, et peu après, commencèrent à se produire pour la première fois les
attaques
spasmodi-ques. Celles-ci ne furent pas tout d'abo
c'est-à-dire soit le développement, soit, au contraire, l'arrêt de l'
attaque
, suivant le cas. Ces attaques, qu'elles soient
ment, soit, au contraire, l'arrêt de l'attaque, suivant le cas. Ces
attaques
, qu'elles soient spontanées ou provoquées par l'e
j'ai proposée pour désigner cette partie de la deuxième période de l'
attaque
. De temps en temps, les contorsions ci-dessus déc
t sur le côté droit, soit sur le côté gauche. Toute cette partie de l'
attaque
est, chez G..., parfaitement belle, si je puis m'
ue des diverses altitudes, les Fig. 51. — Arc de cercle en avant.
attaques
, chez G. ..,ne le cèdent en rien à celles que uou
mais G... n'a pénétré dans îe dortoir où sont placées les femmes « en
attaques
», de telle sorte qu'on ne saurait invoquer chez l
dans le vide comme à la recherche d'un être imaginaire. La fin de l'
attaque
est chez notre malade souvent marquée par une sor
'hystérie chez l'homme (Suite. l) Sommaire. — Formes anormales de l'
attaque
hystérique chez l'homme. — Relation d'un cas dans
'attaque hystérique chez l'homme. — Relation d'un cas dans lequel les
attaques
avaient pris l'aspect de l'épi-lepsie partielle.
le. — Diagnostic de ce cas: importance des stigmates hystériques. L'
attaque
convulsive peut faire défaut dans l'hystérie de l
à l'âge de 14 ans à la campagne. Sa mère aurait eu, en 1872, quelques
attaques
d'hystérie. Son grand-père paternel était alcooli
e réveillait en poussant dos cris. Enfin, au bout de quinze jours les
attaques
d'hystérie commencèrent. Elles eurent lieu d'abor
jourd'hui encore, bien que la maladie ait débuté il y a deux ans, les
attaques
surviennent spontanément, à intervalles assez cou
ogène. Une pression plus énergique exercée sur ce même point arrête l'
attaque
. Celle-ci, qu'elle soit spontanée ou provoquée,
gorge, bourdonnements d'oreilles, battements dans les tempes. Puis l'
attaque
commence : les yeux se renversent en haut dans le
accentuée chez lui et diffère un peu suivant les cas. Ainsi, quand l'
attaque
a été spontanée, il peut arriver que les hallucin
es : « Canailles, chameaux, carabins ! etc. » En général, plusieurs
attaques
se succèdent, de façon à constituer une série plu
jeta dans une grande frayeur et presque aussitôt survint la première
attaque
. Une autre frayeur, survenue peu après, en conséq
ue, F... ne cessa d'être sous A part une anomalie dans la forme des
attaques
, sur laquelle je reviendrai dans un instant, le c
de charretier, est alcoolique. Sa mère, morte tuberculeuse, a eu des
attaques
d'hystérie. Enfin, l'on trouve dans sa famille un
omoplates, les fesses, le creux poplité, la plante des pieds, etc. L'
attaque
peut être facilement provoquée lorsque ces plaque
11 y a trois ans, il a eu un érysipèle à la face suivi bientôt d'une
attaque
de rhumatisme articulaire aigu, d'ailleurs assez
is quinze jours, lorsqu'un soir, vers six heures, survint la première
attaque
convulsive. Déjà, depuis le matin, il souffrait d
, d'étouffement et de bourdonnement dans les oreilles. Au moment où l'
attaque
commença, nous dit-il, il sentit que sa langue ét
faiblesse où il se trouvait. Ces crises furent considérées comme des
attaques
épileptiformes d'origine alcoolique et pendant pr
trée à la Salpêtrière, il se produisit spontanément une série de cinq
attaques
successives auxquelles il ne nous fut pas donné d
ce dernier point, détermina immédiatement lors du premier examen, une
attaque
que nous pûmes étudier dans tous ses détails. Ell
épileptoïde se reproduit spontanément, inaugurant ainsi une nouvelle
attaque
qui ne se distingue en rien de la première et qui
il assure ne se souvenir en rien de ce qui s'est passé. Toutes les
attaques
, en assez grand nombre, tant spontanées que provo
uis les scènes variées de la phase délirante. Voilà, Messieurs, une
attaque
d'hysléro-épilepsie, qui, par un côté, s'éloigne
ment défaut. Mais nous connaissons, chez la femme, cette variété de l'
attaque
hysléro-épileptique 1 ; 1. Voir l'observation d
ement de Briquet, un quart environ des hystériques femmes n'ont pas d'
attaques
. La maladie, en pareille occurrence, sans rien pe
s, des hémorrhagies s'opérant par diverses voies, etc., etc.; or, les
attaques
peuvent également faire défaut dans l'hystérie de
ladie s'est, en quelque sorte, complétée depuis, car actuellement les
attaques
existent. Mais pendant une longue période de lt m
, disait-il, datait de 10 mois et était 1. Ballet et Crespin, — Des
attaques
d'hystérie à forme d'épilepsie par-tielletArch. d
oolique. Une de ses sœurs, âgée de 16 ans est sujette à de fréquentes
attaques
de nerfs. C'est un jeune homme d'apparence solide
endant un an. Il y a deux ans, à l'âge de 16 ans, il fut pris d'une
attaque
de rhumatisme articulaire aigu généralisé, précéd
re, en raidissant ses membres, et nous assistions ainsi à la première
attaque
d hystéro-épilepsie que le malade eût jamais épro
attaque d hystéro-épilepsie que le malade eût jamais éprouvée. Cette
attaque
était d'ailleurs absolument classique : à la phas
sser. Il est à remarquer que pendant toute la durée de celte première
attaque
, le membre supérieur gauche ri a pas p?*is part a
ions ; il est resté flasque, complètement inerte. A partir de là, les
attaques
se reproduisent les jours suivants, spontanément,
ndant la nuit du 17 mars, le malade a uriné dans son lit. Deux autres
attaques
se produisent le 19. Le 21 survient une nouvelle
lque temps. C'est pourquoi, le lendemain, trouvant P. au sortir d'une
attaque
qui n'avait en rien modifié l'état des choses, je
nt elle ne persista pas plus de 24 heures. Le lendemain, une nouvelle
attaque
survint, à la suite de laquelle les mouvements vo
erne le mouvement volontaire, se sont produites, en conséquence d'une
attaque
dans le membre autrefois complètement paralysé.
out le côté gauche du corps, y compris les appareils sensoriels ; les
attaques
, d'un autre côté, restent fréquentes. Certes, vou
'avoir vue plusieurs fois, à la suite d'une contrariété, être prise d'
attaques
dans lesquelles elle s'affaissait sur elle-même e
n'a jamais présenté d'accidents nerveux. Sa sœur est souvent prise d'
attaques
de nerfs, probablement de nature hystérique. Il n
ie monoculaire, anesthésie de l'arrière-gorge, plaques hysté-rogènes,
attaques
d'hystérie suivies d'une amélioration de la paral
et ce quelque chose, vous l'avez tous compris, c'est la présence de?
attaques
ainsi que l'existence des points hystérogènes. Ev
stérogènes. Evidemment cette circonstance ne saurait nous arrêter : l'
attaque
convulsive, vous le savez, n'est pas, tant s'en f
n un peu prolongée de la zone sous-mammaire, survint chez Pin..., une
attaque
hystéro-épi-leptique parfaitement classique. C'ét
ivie de plusieurs autres en tout semblables. Actuellement encore, les
attaques
se produisent fréquemment, d'ordinaire spontanéme
fréquemment, d'ordinaire spontanément. C'est à la suite d'une de ces
attaques
que s'est manifesté tout à coup, le 21 mars, dans
e à l'hystérie. Or, entre ce cas et celui de Porcz... la présence des
attaques
et des points hystérogènes dans le premier fait s
ées d'anesthésie généralisée, complète, permanente, et chez elle, les
attaques
répondent de tout point au type classique. Vous v
ins durable de la sensibilité, les autres phénomènes hystériques, les
attaques
, par exemple, se modifient, en général, favorable
'anesthésie, qui persiste encore aujourd'hui (20 février 1886). les
attaques
hystéro-épileptiques persistent à peu près au mêm
t, à la suite d'une impression morale ; ou bien encore le sujet a des
attaques
con-vulsives, et c'est peut-être -à la suite d'un
ouvement imprimé à la hanche. Vous voyez par là, Messieurs, que, si l'
attaque
hystérique n'existe pas chez notre malade, on peu
le professeur Lannelongue). Garçon de 11 ans; la mère a de nombreuses
attaques
d'hystérie. Le membre du côté malade est contract
ne peut toucher ce membre sans que l'enfant soit pris d'une véritable
attaque
de nerfs. Dans le sommeil chloroformique, on cons
lle ce 13 ans. Père atteint de paralysie infantile; mère ayant eu des
attaques
hystériques, jusqu'à l'âge de 30 ans. A l'âge de
plongée dans l'hypnotisme, de lui affirmer qu'elle venait d'avoir une
attaque
, pendant laquelle elle avait fait une chute sur l
yaient fermement l'une et l'autre s'être heurté la hanche pendant une
attaque
. Vous n'avez pas oublié, Messieurs, ces deux ho
temps qu'un rétrécissement très manifeste du champ visuel. Enfin, les
attaques
sont elles-mêmes représentées ainsi qu'il suit :
harynx et y produit un sentiment d'étouffement. Plusieurs fois, cette
attaque
esquissée a été suivie d'une aphonie qui a persis
l'amélioration est donc manifeste et j'ajouterai que les rudiments d'
attaques
ne se sont plus reproduits. Il n'en est pas tou
e nature quelconque ; on le voit se produire parfois, au sortir d'une
attaque
hystérique ; ou bien encore, sans cause provocatr
traité comme tel. De plus, on ajoutait que souvent, à la suite de ses
attaques
, il restait aphasique pendant plusieurs jours. Lo
nds hystérique nettement formulé. J'ajouterai que la description de l'
attaque
qui nous fut alors donnée était vraiment caractér
que, pour plus de brièveté, nous appelons stigmates, sans compter les
attaques
, qui, elles aussi, existent habituellement: rétré
fait que, pendant une période de six ans, de 24 à 30 ans, il a eu des
attaques
qu'il fait connaître à l'aide d'une description e
entanément l'usage de ses sens. Il se marie, il y a trois ans, et les
attaques
cessent. Sans cause connue, autre qu'une laryngit
une de ses sœurs, morte dernièrement de fièvre typhoïde, avait eu des
attaques
de nerfs. Lui a été atteint d'une fièvre typhoï
chez lui pour aller voir des amis, il fut pris chez eux d'une grande
attaque
, précédée d'une sensation de boule remontant au c
des battements dans les tempes et des bruits dans les oreilles. Les
attaques
sont représentées de la façon suivante : douleur
esthésié (fig. 86 et 87). La présence des stigmates classiques et d'
attaques
, à la vérité, rudimentaires, mais suffisamment ca
e la durée des mois de mai et juin, aucun changement appréciable. Les
attaques
avec saignement de nez ont été fréquentes et inte
al; il vomit souvent. Sueurs profuses. Vers le milieu de juillet, les
attaques
prennent un caractère spasmodique plus accentué.
ns tendent à prédominer. Le 15 août 1886, le malade a eu le matin une
attaque
convulsive très bien dessinée; il n'y a pas eu d'
onvulsive très bien dessinée; il n'y a pas eu d'épis-taxis. Pendant l'
attaque
, à un moment donné, on a vu les membres inférieur
de force contre les barreaux du lit que celui-ci en a été déplacé. L'
attaque
terminée, le malade est descendu de son lit et s'
'ont pas subi de modification appréciable. Depuis cette époque, les
attaques
sont devenues plus rares et moins intenses. L'amé
). La disparition subite de la paraplégie motrice, à la suite d'une
attaque
qui présente tous les caractères de l'attaque hys
trice, à la suite d'une attaque qui présente tous les caractères de l'
attaque
hystérique, vient confirmer d'une manière éclatan
ci; il ne parait nullement nerveux et ne sait pas ce que c'est qu'une
attaque
de nerfs. Il est plutôt lent, apathique, mou, tor
sation. Le malade n'a pas et n'a jamais eu rien qui ressemble à des
attaques
hystériques, mais les troubles sensitifs et senso
rappé, il y a quelque temps, d'une hémiplégie gauche à la suite d'une
attaque
d'apoplexie, et est sujet à de fréquents étourdis
16 ans une scarlatine, et, dans la convalescence, elle a été prise d'
attaques
de nerfs ayant, d'après ce qu'elle nous dit, prés
nications, 1790) rapporte l'histoire d'une femme qui, au sortir d'une
attaque
hystérique, s'aperçut qu'elle ne pouvait ni parle
ût en pleine possession de ses facultés intellectuelles. Une nouve'le
attaque
lui rendit la parole. En 1355, Sédillot présent
et 26 ans. L'une d'elles était sujette à des crises de nerfs et à des
attaques
de sommeil cataleptiques. « Au réveil, elle était
mps chez son beau-frère en Prusse. C'est là que survient une deuxième
attaque
de catalepsie qui disparut sous l'influence d'une
a encore une saignée, Deux fois, il tenta de se suicider. La dernière
attaque
de mutisme et de paralysie remonte à quatre mois,
bruit, qui ne répond en réalité à aucun son vocal. Ch. a eu quatre
attaques
d'hémiplégie accompagnée d'aphasie, toujours avec
ion et le malade est très affirmatif sur ce point, qu'à aucune de ses
attaques
d'hémiplégie, il n'a eu de déviation de la bouche
nserva pendant quelques jours du bégaiement. A la suite de ses autres
attaques
, la parole n'était pas revenue tout à coup ; il a
rise convulsive. Depuis cette époque (3 ans), il a eu de fréquentes «
attaques
» avec perte de connaissance, que, le plus souven
ngues, plus violentes et plus rapprochées ; depuis quelque temps, ces
attaques
sont suivies de perte de la parole. L'aphasie dur
sente à la consultation de M. Charcot. Il est muet depuis sa dernière
attaque
. Ces attaques sont assez subites, mais il ne se m
nsultation de M. Charcot. Il est muet depuis sa dernière attaque. Ces
attaques
sont assez subites, mais il ne se mord jamais la
du hoquet avec spasmes respiratoires, mais elle n'a pas eu de grandes
attaques
d'hystérie. Le bégaiement ni le mutisme ne s'étai
lpètrière, service de M. Charcot. Homme, âgé de 30 ans. La première
attaque
nerveuse eut lieu en septembre 1882. Depuis le mo
veuse eut lieu en septembre 1882. Depuis le mois de janvier 1883, les
attaques
ont été, ce qui ne se produisait pas auparavant,
produisait pas auparavant, toujours suivies d'aphasie passagère. Ces
attaques
, très violentes, sont classiques (aura, perte de
temps plus ou moins long, qui paraît en rapport avec la violence de l'
attaque
; la durée moyenne est de 4 à 5 minutes. Cet ét
cès de suffocation ; l'aphasie a duré six jours. A diverses reprises,
attaques
, laissant du mutisme, qui se dissipe parfois aprè
habituels. .....Sous l'influence de l'émotion causée par une chute,
attaque
convulsive, au sortir de laquelle la voix était
stérique, d'une santé habituellement excellente. Sa mère a de grandes
attaques
. Une sœur, âgée de 13 ans, a des attaques fréquen
lente. Sa mère a de grandes attaques. Une sœur, âgée de 13 ans, a des
attaques
fréquentes et depuis deux mois, elle est prise d'
'à ces dernières années, l'hystérie ne s'était manifestée que par des
attaques
incomplètes. Il y a 18 mois, la malade fut pénibl
che survenue brusquement la veille. Il a déjà eu en 1870 et 1874 deux
attaques
subites de perle de connaissance, en 1877 des tro
ugitives qui se répétèrent en 1880. II y a deux ans, après une de ces
attaques
de cécité, il devint aphasique pendant huit jours
raît, et ainsi à plusieurs reprises. Le 12 avril, il est pris d'une
attaque
d'aphasie; il est ainsi jusqu'au lendemain, puis
u'on peut arrêter en comprimant le testicule. A la suite d'une de ces
attaques
, le malade fut pris de contracture occupant tou
iminuant avant de se suspendre tout à fait. C'est souvent après une
attaque
franche d'hystérie qu'au réveil, au retour du sen
dents héréditaires, qui, en 1868, à l'âge de 44 ans, eut une première
attaque
d'hémiplégie; cette hémiplégie siégeait à droite
de sa maladie. On sait de plus d'une façon formelle que, depuis cette
attaque
d'hémiplégie, la malade lisait son journal tous l
journal tous les jours et parlait distinctement. En 1879, nouvelle
attaque
; cette femme tombe subitement dans la rue, frapp
t revenue au bout de deux ans, lorsque, en 1885, survint une nouvelle
attaque
suivie d'un simple embarras de la parole, caracté
'articulation. Enfin, dans le courant de la même année, une quatrième
attaque
amena une perte complète et permanente de la paro
acture hystérique. — Amblyopie. — Zones hystérogènes. — Phases de l'
attaque
d'hystéro-épilepsie. — Hystérie chez les jeunes g
e l'attaque d'hystéro-épilepsie. — Hystérie chez les jeunes garçons :
attaque
, phénomènes permanents. — Importance de l'isoleme
piri. tisme. Antécédents nerveux et rhumatismaux. — Description des
attaques
; hallucinations de la vue; stigmates permanents e
d'hystérie chez [/'homme (Suite). Sommaire. — Formes anormales de l'
attaque
hystérique chez l'homme. — Relation d'un cas dans
'attaque hystérique chez l'homme. — Relation d'un cas dans lequel les
attaques
avaient pris l'aspect de l'épilepsie partielle. —
e. — Diagnostic de ce cas : importance des stigmates hystériques. L'
attaque
convulsive peut faire défaut dans l'hystérie de l
ie d'hystérie, 229. Epilepsie partielle (Hystérie chez l'homme avec
attaque
à forme d'), 283. f Face, Tic non douloureu
les deux sexes, 253-255; — Influence du traumatisme, 252; — Grande
attaque
hystéro-épileptique, 261, 266, 273; — Hystérie et
273; — Hystérie et neurasthénie, 268; — Absence de lésions, 268; —
Attaque
à forme d'épilepsie partielle, 285; — Absence des
ons, 268; — Attaque à forme d'épilepsie partielle, 285; — Absence des
attaques
convulsives, 287; — caractérisée par les stigmate
phénomènes hystériques vulgaires, tels que : hémianesthésie, ovarie,
attaques
convulsives, etc. En pareil cas, il peut y avoi
e a donc été fort précoce sous ce rapport, — elle a été sujette à des
attaques
de nerfs accompagnées de perte de connaissance. C
te à des attaques de nerfs accompagnées de perte de connaissance. Ces
attaques
se reproduisaient quelquefois presque sans cesse
ériode de vingt-quatre heures. Evidemment, il s'agissait là non pas d'
attaques
comitiales, mais bel et bien d'attaques hystériqu
t, il s'agissait là non pas d'attaques comitiales, mais bel et bien d'
attaques
hystériques de la grande forme hystéro-épilepsie.
elé votre attention. Il n'y a pas longtemps que les phénomènes de l'
attaque
convulsive vulgaire sont venus se surajouter aux
je dois vous prévenir que je ne considère pas cette intervention de l'
attaque
convulsive comme marquant un empirement dans la s
le bâillement hystériques ne sauraient, en général, co3xister avec l'
attaque
; l'un exclut l'autre jusqu'à un certain point. E
que l'a bien montré M. le Pr Pitres, à favoriser le développement des
attaques
, dans l'espoir de changer le cours des choses et
ssible à l'influence des moyens thérapeutiques. Pour le moment, les
attaques
, chez notre sujet,sont,en quelpue sorte, àl'état
aissent, les bâillements cessent momentanément (antagonisme entre les
attaques
et les bâillements). Souventles choses ne sont pa
ui peut durer un quart d'heure et plus. Souvent, la malade, après les
attaques
, tombe dans un profond sommeil. Voilà certes un
peu après se montre l'accélération des mouvements respiratoires. — L'
attaque
se termine souvent par des pleurs, comme se termi
es. — L'attaque se termine souvent par des pleurs, comme se termine l'
attaque
d'hystérie vulgaire, et en somme il n'est guère d
uère douteux que l'accès dyspnéique représente, en quelque sorte, une
attaque
hystérique transformée. Dans ce cas, point de s
us sommes, pour caractériser, l'hystérie. Mais il y a plus encore : l'
attaque
, que quelques-uns considèrent bien à tort, encore
'hui, comme un syndrome nécessaire à la constitution de l'hystérie, l'
attaque
, dis-je, est ici représentée. Sans doute il ne s'
ici représentée. Sans doute il ne s'agit pas cette fois de la grande
attaque
, à phases distinctes et ordonnées : 1. Voir sur
malade. Mais nous en voyons assezcependantpour pouvoir affirmer que l'
attaque
existeà l'état rudimentaire, engerme,ou si vous l
pression unpeuvive,le malade ressent quelques-uns des phénomènes de l'
attaque
: «Il lui semble,— c'est d'après son naïf récit qu
tige épileptique, sans accompagnement de mouvements spasmodiques. Ces
attaques
, ou mieux ces rudiments d'attaque que nous venons
nt de mouvements spasmodiques. Ces attaques, ou mieux ces rudiments d'
attaque
que nous venons de décrire, ne se montrent pas un
que nous décrivions tout à l'heure. Donc, il s'agit évidemment ici d'
attaques
hystériques se produisant sous une forme rudiment
germaine du côté maternel (fille du frère de la mère) tombe dans des
attaques
de nerfs, désignées épileptiques. — La mère de no
la poitrine. Un de ses frères était épileptique ; il tombait dans les
attaques
, environ tous les quinze jours ; il perdait absol
ge avez-vous eu votre rhumatisme articulaire? La mère. — J'ai eu deux
attaques
: la première à 19 ans, l'autre à 36 ans. M. Char
fance. Mon fils aîné est aujourd'hui âgé de 23 ans. Il a eu plusieurs
attaques
de rhumatisme ; son cœur a été pris — c'est pourq
e. Mon quatrième enfant qui est une fille a eu, vers 7 ans, aussi une
attaque
de rhumatisme. Le cœur n'a pas été pris, les autr
s. Eh bien, messieurs, cette hémiplégie survenue rapidement après une
attaque
apoplectiforme a été la première révélation de l'
es affections, en effet, comme dans l'épilepsie par exemple : après l'
attaque
le même rétrécissement concentrique peut se prése
ic hystérie, de chercher ailleurs. Sans doute notre homme n'a pas d'
attaques
convulsives ; on ne rencontre pas chez lui de pla
'asile de Ville-Evrard ; sa grand'mère maternelle a été sujette à des
attaques
d'hystérie. Je ne me refuserai donc pas à admet
aris. Policlinique du Mardi 13 Novembre 1888 QUATRIÈME LEÇON 1°
Attaque
de sommeil hystérique ; 2° Amyotrophie par lési
crises semblables, on assiste sans anxiété, sans émotion à ce 1. L'
attaque
de sommeil s'est terminée le 29 novembre. — La ma
st généralement parmi ces hystériques-là du reste que s'observent les
attaques
de sommeil. Elle est rentrée à la Salpêtrière e
ileptique (?) et d'un père alcoolique, qu'elle a commencé à avoir des
attaques
vulgaires de grande hystérie à l'âge de 18 ans ;
ns cet hospice même, en 1875, c'est-à-dire il y a treize ans, que les
attaques
hystéro-épileptiques jusque-là classiques, ont su
'insiste sur les termes que j'emploie, — se sont changées, dis-je, en
attaques
de sommeil. La première fois que la malade a « do
attaques de sommeil. La première fois que la malade a « dormi », son
attaque
de sommeil a duré quarante jours, et depuis cette
87. J'engage ceux d'entre vous qui s'intéresseraient spécialement aux
attaques
de sommeil à consulter les documents que je viens
Tourette (nos 43 et 44) ; mais les petits cas, ceux dans lesquels les
attaques
de prétendu sommeil durent seulement trois, quatr
sommeilnaturel. Ainsi sont les choses en réalité clans tous les cas d'
attaques
de sommeil que j'ai observés jusqu'ici. Mais il y
enre. C'est à savoir que le prétendu sommeil n'est autre chose qu'une
attaque
hystérique modifiée ou transformée, conme vous vo
n peut invoquer à l'appui de cette manière de voir. En premier lieu l'
attaque
de sommeil est, dans bon nombre de cas,précédée e
s bon nombre de cas,précédée et suivie des phénomènes ordinaires de l'
attaque
convulsive ou de ses prodromes. C'est ce qui a li
les qu'elle présentait autrefois lorsqu'elle était sous le régime des
attaques
convulsives hystéro-épileptiques normales ; les m
t en quelque sorte l'équivalent d'une série plus ou moins prolongée d'
attaques
régulières. J'indiquais tout à l'heure les phénom
phénomènes convulsifs ou psychiques qui souvent sont le prodrome de l'
attaque
de sommeil et marquent sa terminaison. Eh bien, l
entent fréquemment, en manière d'épisodes, pendant la durée même de l'
attaque
de sommeil à plusieurs reprises. C'est ainsi qu
core ou deux, ce • même mouvement, de façon à rappeler ce que, dans l'
attaque
hystéro-épilep-tique normale nous désignons sous
i l'on peut dire que pendant Vattaque de sommeil, les phénomènes de l'
attaque
convulsive se manifestent souvent comme par lambe
: ainsi que cela se voit fort bien par l'histoire d'Eudoxie H...,les
attaques
de sommeil sont souvent pendant des années précéd
attaques de sommeil sont souvent pendant des années précédées par des
attaques
d'hystérie convulsive auxquelles elles tendent à
-être, comment expliquer, s'il est vrai comme vous le prétendez que l'
attaque
de sommeil soit l'équivalent d'une série d'attaqu
le prétendez que l'attaque de sommeil soit l'équivalent d'une série d'
attaques
convulsives hystériques, d'un état de mal hystéri
iques, d'un état de mal hystérique en un mot, comment expliquer que l'
attaque
de sommeil puisse se prolonger pendant des jours
dans le temps à propos de la très longue durée de certaines séries d'
attaques
hystéro-épileptiques, vous reconnaîtrez que l'éta
cas d'état de mal hystérique, à la vérité exceptionnels, et les cas d'
attaques
de sommeil, l'écart, du moins en ce qui concerne
épilettico, p. 159). Vous trouverez là l'histoire très authentique d'
attaques
hystériques en série, qui ont duré quinze jours (
e centrale ne s'élève pas notablement dans ces séries interminables d'
attaques
convulsives qui presque sans cesse et sans trêve
s trouve sa vérification alors même que l'on considérera la durée des
attaques
et il est rendu ainsi au moins fort vraisemblable
rendu ainsi au moins fort vraisemblable, pour ne pas dire plus,que l'
attaque
de sommeil représente une attaque ou plus exactem
blable, pour ne pas dire plus,que l'attaque de sommeil représente une
attaque
ou plus exactement une série d'attaques hystériqu
aque de sommeil représente une attaque ou plus exactement une série d'
attaques
hystériques « transformées ». Il y a cependant,
le. Il ne me reste plus grand'chose à vous dire concernant le cas d'
attaque
de « sommeil » que vous avez sous les yeux et les
le cas d'attaque de « sommeil » que vous avez sous les yeux et les «
attaques
» de sommeil considérées en général. Voici cepend
, c'est un chiffre imposant dans l'espèce — que pendant la durée de l'
attaque
le poids du corps diminue rapidement en même temp
ins au sommeil physiologique. Je me bornerai à vous montrer en quoi l'
attaque
du sommeil hystérique, diffère « des sommeils » p
il profond avec résolution des membres pourrait être confondue avec l'
attaque
de sommeil hystérique ; laquelle attaque d'ailleu
urrait être confondue avec l'attaque de sommeil hystérique ; laquelle
attaque
d'ailleurs peut être provoquée parfois chez quelq
ux, ne détermine pas la contracture des muscles correspondants dans l'
attaque
de sommeil hystérique, tandis que, dans la léthar
re ces cas restés jusqu'à eux méconnus ou mal connus, dans lesquels l'
attaque
d'hémiplégie hystérique se développe brusquement,
eprendrai pas de séparer cliniquement cette apoplexie hystérique de l'
attaque
de sommeil, par la simple raison qu'à mon avis il
e semble, serait que dans les cas signalés par MM. Debove et Achard l'
attaque
de sommeil à début brusque est suivie d'hémiplégi
ondres [1], que j'ai eu longtemps dans mon service et chez lequel les
attaques
de sommeil marquées par tous les caractères décri
service de M. Bourneville. C'était un enfant arriéré et il avait des
attaques
convulsives. M. Charcot (aux auditeurs) : Eh bi
— Cas complexe : paralysie spinale infantile, paraplégie alcoolique,
attaques
hystéro-épileptiques. 2°, 3e, et 4e Malades. — Pa
'il fut pris à cette époque d'un accès de delirium tremens ; mais les
attaques
con-vulsives qui se sont, comme nous l'avons dit,
que lui. Ce n'est donc pas de cela qu'il s'agit dans notre cas où les
attaques
persistent telles quelles, se reproduisant comme
er d'absinthe. D'ailleurs maintes fois nous avons été témoin de ces
attaques
et nous pouvons affirmer qu'elles portent avec el
é dans les observations ad hoc : le malade prévoit qu'il va avoir son
attaque
; le premier signe précurseur est une douleur viv
ompris, sans qu'il soit nécessaire d'y insister qu'il s'agit là d'une
attaque
de grande hystérie (Hysteria major : hystéro-épil
mmes ne sont pas de trop pour maintenir B... quand il est pris de ses
attaques
et le lit de fer sur lequel on est obligé de l'at
ons pas encore une solution définitive quelque peu prochaine (1). Les
attaques
chez lui, bien qu'un peu moins fréquentes que par
ndrai ultérieurement. Je me bornerai à relever en ce moment que cette
attaque
de rhumatisme a laissé, après elle, une lésion de
e élève. Depuis le mois de février 1888, il a souffert de plusieurs
attaques
de rhumatisme articulaire aigu de moyenne intensi
ère Grand-père Grand'mère Il s'est pendu cinq S'est suicidé en se 0
Attaques
de nerfs à ans après le suicide jetant par la f
mne de tares nerveuses. La grand'mère du malade a en effet souffert d'
attaques
de nerfs et sa mère a été affectée d'hémop-tisie,
est remarquable aussi qu'elles se sont manifestées dès les premières
attaques
et que jamais celles-ci ne paraissent sans en avo
accès. On a fait remarquer dans ces derniers temps qu'à la suite des
attaques
d'épilepsie proprement dite, il n'est pas très ra
grande majorité des cas, le rétrécissement, dans l'épilepsie,suit les
attaques
, mais il peut arriver, comme l'a montré M. Heinem
schémas que je vous présente (fig. 25 et 26). Si bien que lorsque les
attaques
se reproduisent à de courtes distances, tous les
rmanents, monoplégied'un caractère spécial ; et, pour ce qui est de l'
attaque
, si elle ne s'accuse pas sous une forme très acce
uite de ses cre est « un peu folle » et a dernières grossesses, les
attaques
de nerfs. 8 enfants dont 3 morts en bas âge.
bas âge. Une des sœurs de la malade, âgée de 10 ans, a eu plusieurs
attaques
de rhumatisme articulaire. Notre malade, âgée d
(fig.30), plus marqué au contraire à la suite de ce qu'il appelle ses
attaques
(fig. 31), ses étourdissements, sa syncope. D'ail
nt pas, dis-je, à la neurasthénie non compliquée. Mais il y a plus, l'
attaque
hystérique est ici représentée nettement sinon so
ent dans la rue, un cri, un coup de fouet, me font, dit-il, venir mes
attaques
; alors j'éprouve des étouffements au cou, je res
permet pas, en tout cas, de confondre les crises en question avec les
attaques
épileptiformes qui se montrent parfois dans le ta
e en mars 1888, dans le service de la Clinique. Il s'agit chez elle d'
attaques
de grande hystérie avec les phases classiques et
Radies graves, elle n'était point nerveuse, elle n'avait jamais eu d'
attaques
de nerhV » e^e se Peignait seulement de temps en
le change et faire errer le diagnostic ; mais bientôt survinrent des
attaques
qui devaient dévoiler immédiatement la véritable
qui devaient dévoiler immédiatement la véritable nature du mal. Ces
attaques
, pendant le séjour à Saint-Antoine, se sont montr
veil, qu'elles éclatent. Il y a bien aussi chez notre jeune homme des
attaques
qui surviennent dans la journée le plus souvent v
quence d'une pression exercée sur les parties douloureuses. Lorsque l'
attaque
doit se développer spontanément, le malade en est
usieurs personnes pour le contenir et il pousse des cris affreux. Les
attaques
ayant cessé depuis l'admission à la Salpétrière,
cas, sans grand déplacement du corps. En voilà assez concernant les
attaques
qui sont, vous le voyez, suffisamment caractérist
c'est aussi, remarquez-le bien, l'heure à laquelle se manifestent les
attaques
. Il y a un double rétrécissement du champ visue
anifeste chez notre homme une certaine tendance à l'amélioration; les
attaques
, ainsi que je vous l'ai dit, sont devenues plus
poumons : phtisie, emphysème ; ceux qui ont éprouvé une ou plusieurs
attaques
congestives ou apoplectiques, ceux enfin qui sont
le a été somnambule dans l'enfance et, vers quinze ans, elle a eu des
attaques
de nerfs qui, pendant un an, se sont reproduites
d'intéressant à relever à ce propos dans le cas actuel, c'est que les
attaques
hystériques qu'on a vu il y a deux ans s'effacer,
ie est représentée aujourd'hui chez Mon...rier, non seulement par les
attaques
qui sont fréquentes, mais encore par un certain n
u des « idées noires » ; la grand'mère maternelle était sujette à des
attaques
de nerfs. Le père était vif, emporté, chagrin. 11
reste, peu de temps après, à peu près en même temps que survenait une
attaque
de rhumatisme articulaire aigu d'une certaine gra
rthographe : « Depuis jeudi, à la suite d'une crise de nerfs et d'une
attaque
. Je voudrais parler, mais on dirait qu'il y a que
tue même qu'un épisode récent survenu à la suite d'une des nombreuses
attaques
convulsives dont elle n'a pas cessé d'être tourme
ssus ; chaque fois quon à voulu l'hynoptiser, elle a été prise de ses
attaques
de raideur; jamais elle n'a dormi. Plusieurs fo
ine de jours. Elle en sortit non guérie; depuis lors, en effet, les
attaques
continuent à paraître fréquemment et l'état menta
mutisme est survenu il y a cinq ou six jours, à la suite d'une forte
attaque
. C'est à cette occasion que le mari de la malade
sa femme dans notre service. Vous avez compris, Messieurs, que les
attaques
dont il a été si souvent question dans le cours d
souvent question dans le cours de notre récit ne sont autres que des
attaques
hystériques: elles répondent à un type particulie
ul Richer, auxquelles je vous renvoie pour les détails, sous le nom d'
attaques
de contracture (1) ; je me bornerai à vous eu don
ileptique, les contorsions ou les attitudes passionnelles des grandes
attaques
vulgaires. Les choses restent telles quelles pend
quer, d'un petit cas. Nous avons vu en-effet chez d'autres sujets les
attaques
présentant ces mêmes caractères persister quelque
pression ovarienne ou de divers points hystéro-gènes — qui, dans les
attaques
classiques, se montrent si fréquemment efficaces.
ttaques classiques, se montrent si fréquemment efficaces. Le type d'
attaque
dont il est ici question et que nous avons pris l
uestion et que nous avons pris l'habitude de désigner sous le nom « d'
attaque
de contracture », se rencontre assez rarement dan
c l'attitude dite « en arc de cercle » partie intégrante de la grande
attaque
hystéro-épileptique, non: 1. Richer. Éludes cli
et que l'on emploie si souvent à tort et à travers (1). Fig. 52. —
Attaque
de contracture. Fig. 53. — Arc de cercle. J'a
aque de contracture. Fig. 53. — Arc de cercle. J'ai vu ce genre d'
attaque
se produire plus souvent que le type classique da
, soit du champ visuel ayant abouti constamment à la production d'une
attaque
. En résumé nous avons sous les yeux un exemple,
car l'histoire des antécédents de MmeP... signale dans son passé deux
attaques
d'hystérie, l'une à l'âge de 19 ans, l'autre à l'
jeune Blan... sans antécédents nerveux remarqués, n'avait jamais eu d'
attaques
jusqu'au moment où les premières tentatives d'hyp
tés pendant quelque temps tous les deux ou trois jours. C'étaient des
attaques
hystériques assez bien formulées, précédées d'une
meux Hansen, un enfant hypnotisé par un de ses camarades a été pris d'
attaques
de contracture qui durèrent plusieurs heures et q
, aucune association de symptômes hystériques ; rien qui rappelle les
attaques
ou leurs équivalents ; pas de troubles permanents
e en se jetant par la fenêtre. Le frère du malade est sujet à des
attaques
qualifiées d'hystériques ; il avait, jusqu'à l'âg
ormal. Dyschromatopsie complète à gauche etpolyopie monoculaire. Ni
attaques
ni équivalents d'attaques. 11 n'existe pas de poi
plète à gauche etpolyopie monoculaire. Ni attaques ni équivalents d'
attaques
. 11 n'existe pas de points hystérogènes. Les rê
os de la précédente observation. Il n'y a pas à proprement parler d'
attaques
, mais bien des équivalents d'attaques : la nuit,
n'y a pas à proprement parler d'attaques, mais bien des équivalents d'
attaques
: la nuit, dans son sommeil, souvent il étouffe,
ffrait, justement au moment où je vous l'ai montrée, un bel exemple d'
attaque
de sommeil hystérique. Je viens de faire placer s
manqué d'être atteinte au moins une fois chaque 37 année, de son
attaque
de sommeil. A part ces circonstances, les deux ca
ec un certain appétit, mais par contre on voit apparaître une série d'
attaques
hystéro-épileptiques parfaitement caractérisées q
arie à gauche, Le 23 janvier, dans la matinée, survient la première
attaque
de sommeil ; le réveil a eu lieu le 25 au soir, c
presque trois jours après. Il a été marqué par le développement d'une
attaque
classique de grande hystérie. Une pesée faite le
a explique le chiflre 37,700 observé le 23 janvier jour où commença l'
attaque
de sommeil. Les jours qui suivent l'attaque, la
vier jour où commença l'attaque de sommeil. Les jours qui suivent l'
attaque
, la malade ne vomit presque plus et elle continue
es, c'est-à-dire il y a juste cinq jours que s'estdéclarée la seconde
attaque
, celle dont j'ai tenu à vous rendre témoins aujou
r l'étude de six cas de sommeil hystérique que, pendant la durée de l'
attaque
, le poids du corps diminue rapidement, en même te
s un des épisodes les plus vulgaires de la seconde phase de la grande
attaque
hystéro-épileptique ; tandis que, d'un autre côté
térique, à savoir : qu'il n'y faut pas voir autre chose qu'une grande
attaque
, ou mieux qu'une série de grandes attaques modifi
r autre chose qu'une grande attaque, ou mieux qu'une série de grandes
attaques
modifiées dans leur forme extérieure. Les intér
diminution du volume de l'urine et l'abaissement du taux de l'urée, l'
attaque
de sommeil reproduit en tous points ce qui a lieu
e de sommeil reproduit en tous points ce qui a lieu dans les séries d'
attaques
hystéro-épilepti-ques (1). Mais c'en est assez
s que chez les hystériques dites ovariennes, pendant l'évolution de l'
attaque
convulsive, une compression un peu forte agissant
un haut degré d'intensité et quelle que soit d'ailleurs la phase de l'
attaque
qui est en jeu. Si, par l'application de ce procé
à produire le réveil, ce sera une analogie de plus à relever entre l'
attaque
de sommeil et l'attaque convulsive. D'ailleurs je
e sera une analogie de plus à relever entre l'attaque de sommeil et l'
attaque
convulsive. D'ailleurs je ne suis pas fâché de sa
alade pousse un cri perçant, ouvre les yeux, et aussitôt commence une
attaque
convulsive : ce sont d'abord plusieurs grands mou
pas que, si une compression ovarienne énergique détermine l'arrêt des
attaques
, une pression moins forte peut avoir pour effet a
cas qui s'est produit ici. Si nous voulons maintenant mettre fin à l'
attaque
convulsive que nous avons ainsi provoquée, il nou
lesquels elle ne perdait connaissance qu'incomplètement: L'une de ces
attaques
s'étant un jour prolongée beaucoup plus que d'hab
rd'hui les traces. Dans ce temps-là, il y a eu des hémoptysies. Les
attaques
de raideur continuent à apparaître de temps à aut
raideur continuent à apparaître de temps à autre, alternant avec des
attaques
de sommeil. A l'âge de 37ans,apparaissent|les p
ses égales d'ailleurs, moins persistantes chez les sujets qui ont des
attaques
convulsives que chez ceux qui n'en ont pas. Il y
hystérie locale), tels que bruits laryngés, contractures etc., et les
attaques
convulsives. - Celles-ci d'ailleurs peuvent déter
aissance des points hystérogènes. — Notre malade est une hystérique à
attaque
, et la contracture d'origine traumatique qu'elle
r d'hiver pour sauver une femme qui se noyait ; il s'en est suivi une
attaque
de rhumatisme articulaire aigu qui l'a tenu au li
'indiquer en passant, devant y revenir par la suite. Il n'y a pas d'
attaques
convulsives ; mais il y a des représentants ou éq
attaques convulsives ; mais il y a des représentants ou équivalents d'
attaque
; il les appelle « ses étourdissements » ou encor
ouvons la plupart des phénomènes classiques de l'aura qui précède les
attaques
hystéro-épileptiques. Il y a, vous ne l'avez pas
rfois ressentent les phénomènes de l'aura pendant un temps sans que l'
attaque
proprement dite s'ensuive (1). Il y a d'autres ca
lle qu'elle vient d'être décrite plus haut, sans jamais êtes suivie d'
attaques
con-vulsives. Enfin, sans sortir de l'hystérie, R
ccès épilepti-ques incomplets, a donné la description d'une variété d'
attaque
qui ressemble beaucoup au vertige comitial quand
sais tout à l'heure d'adopter, que des équivalents ou représentants d'
attaques
hystéro-épileptiques ou si vous l'aimez mieux des
ntants d'attaques hystéro-épileptiques ou si vous l'aimez mieux des «
attaques
avortées ». Les rêves et les « étourdissements
on fait étendre la main et écarter les doigts. 1, Paul Richer. De l'
attaque
hystéro-épileptique, 2e édition, p. 22. Ainsi q
vers lui venant du côté gauche. Il est vraisemblable que la grande
attaque
qui a inauguré le début des phénomènes hystériq
ttaque qui a inauguré le début des phénomènes hystériques a été une
attaque
de sommeil, ou apoplectiforme comme vous voudrez
me comme vous voudrez l'appeler ; aujourd'hui il n'y a pas de grandes
attaques
convulsives mais celles-ci sont suffisamment repr
du côté gauche, c'est-à-dire du côté où les membres sont paralysés, (
attaque
hystéro-épileptique à forme d'épilepsie partielle
TERNEL Mère Oncle maternel Très emportée, mais Très colère. pas d'
attaques
de nerfs. Mort par cancer de l'utérus. Un Frère
ls, mêmes hémiplégies motrices avec spasmes glosso-labiés etc, etc. L'
attaque
est représentée trois fois sur quatre. Sous tou
stigmates hystériques «tifs et sensoriels paralysies hystériques
attaques
ou équivalentes d'attaques rêves époque du
et sensoriels paralysies hystériques attaques ou équivalentes d'
attaques
rêves époque du début des accidents nerveux
à droite, bouche tirée à gauche et en haut, spasme de l'œil gauche.
Attaques
apoplec-tiformes (de sommeil), aura et vertiges.
ccusés ; certes il ne les produit pas, je m'en porte garant, dans les
attaques
délirantes ou convulsives de l'hystérie. La mor
ne cause provocatrice et non pas créatrice, déterminer l'apparition d'
attaques
d'hystéro-épilepsie qui, jusque-là, n'avaient poi
mbulants sont en général, dans ces cas là, précédés et suivis par une
attaque
d'hystérie convulsive. Cela n'est point nécessair
voit une femme de trente ans, après avoir éprouvé pendant la nuit une
attaque
hystérique convulsive, se lever, s'habiller, fair
monte tranquillement se coucher: à peine au lit survient une nouvelle
attaque
d'hystérie. Au réveil aucun souvenir de ce qui s'
res. Une autre fois cette même malade, après avoir éprouvé encore une
attaque
d'hystérie cette fois suivie d'extase, se lève, s
la plus grande analogie avec ce que, dans la description delà grande
attaque
hystero-épileptique, nous avons appelé « la pério
pelé « la période des attitudes passionnelles » (troisième phase de l'
attaque
régulière). Et même, la ressemblance sur les poin
rquable également, c'est que, dans la série classique des phases de l'
attaque
, le somnambulisme hystérique, quand il ne se mont
ne vois vraiment rien d'essentiel à y ajouter (1). 2° Les crises ou
attaques
typiques, — nous ne nous occupons que de celles-l
tic, destinée à être placée sous les yeux des médecins au moment de l'
attaque
afin de leur épargner les tâtonnements. Je ne sai
éant, d'un précieux secours, dans une circonstance difficile. Pas d'
attaques
, pas de représentants d'attaques,pas de poinlshys
une circonstance difficile. Pas d'attaques, pas de représentants d'
attaques
,pas de poinlshystérogènes. Pour ce qui est de l
rsqu'il reprit ses sens, il pleura abondamment et la crise cessa. Ces
attaques
avec perte de connaissance n'ont pas reparu depui
fréquemment, il éclate en sanglots. Une fois se produit une véritable
attaque
de nerfs précédée d'aura et accompagnée de perte
par une sorte d'analyse ou de dissection, comme vous voudrez dire, n'
attaque
et ne compromet que ceux des mouvements de ces me
s allez le voir, l'un comme l'autre les marques non méconnaissables :
attaques
et stigmates permanents. Où l'hystérie va-t-elle
mes pas encore tout à fait renseignés sur la forme que présentent les
attaques
convulsives qui se reproduisent chez lui de temps
té à quelques-unes d'entre elles ce qu'on a observé généralement. Ces
attaques
se sont régulièrement produites toutes vers quatr
être considérés comme représentant une anomalie prévue et classée des
attaques
hystéro-épileptiques, consistant en ce que la pér
en elles-mêmes et indépendamment des circonstances concomitantes, ces
attaques
ainsi réduites à la phase épileptoïde, ne sauraie
res accès qui rappellent exactement cette fois l'image classique de l'
attaque
épileptique, à savoir : apparition plutôt la nuit
ce puissante de cet agent provocateur, l'hystérie apparaît avec les
attaques
et les stigmates qui lui sont propres, puis aussi
à s'affaiblir considérablement et, en même temps, sont survenues des
attaques
qui n'ont pas cessé depuis de se reproduire de te
moment où se produit spontanément la sensation d'aura qui précède les
attaques
convulsives. La première de ces attaques s'est
ion d'aura qui précède les attaques convulsives. La première de ces
attaques
s'est produite en juin 1888, sans cause occasionn
re depuis, de temps à autre,assez fréquemment. Ce sont, en somme, des
attaques
classiques précédées d'une aura qui part tantôt d
plus de huit à dix minutes en tout. Une fois, à la suite d'une de ses
attaques
, le malade a été frappé d'une hémiplégie gauche i
rement parler, de récidives à craindre; c'est une maladie qui ne nous
attaque
qu'une fois dans la vie. On comprend d'ailleurs q
re personnelle. Il avait 7 ans à peine lorsqu'il commença à avoir des
attaques
qui déjà présentaient les caractères très signifi
uit qu'elles survenaient vers deux ou trois heures du matin. Dans ces
attaques
, qui ne laissaient d'ailleurs dans l'esprit du ma
de l'urée. Un homme urine, par exemple, 25 grammes d'urée; après une
attaque
on en trouve 30 ou 35 grammes : il y a donc une é
l, fournit 35 grammes d'urée et 2 grammes de phosphate, le jour d'une
attaque
. Il est donc épileptique et voilà dûment consta
pilepsie, et nous le savons bien, comme phénomène transitoire après l'
attaque
. 11 peut même se rencontrer à l'état permanent da
me temps nous avons trouvé chez ceux-là des points hys-térogènes, des
attaques
d'hystéro-épilepsie ou des équivalents de ces att
térogènes, des attaques d'hystéro-épilepsie ou des équivalents de ces
attaques
; par conséquent, il s'agissait là d'une combinais
ns pas seulement les stigmates de l'hystérie, nous en avons aussi les
attaques
. Je vous ai montré qu'il était insensible partout
t; j'ai des bruits d'oreilles. » Si on insistait on lui donnerait une
attaque
. Mais quelle attaque lui donnerait-t-on? Assuréme
oreilles. » Si on insistait on lui donnerait une attaque. Mais quelle
attaque
lui donnerait-t-on? Assurément pas une attaque d'
e attaque. Mais quelle attaque lui donnerait-t-on? Assurément pas une
attaque
d'épilepsie. En résumé, nous avons ici des stigma
ression détermine la production de l'aura. Ce malade n'aurait point d'
attaques
convulsives que cela nous suffirait, remarquez-le
s que son épilepsie; il a de l'hystérie. Mais il a, je le répète, des
attaques
d'hystérie qui surviennent spontanément et de ces
épète, des attaques d'hystérie qui surviennent spontanément et de ces
attaques
voici la description : C'est au sortir de sa fi
fait dans ses crises de nuit. Ce sont bien là, si je ne m'abuse, des
attaques
d'hystérie. Il y a encore un autre caractère qui
te suivant moi, dans la forme, comme d'ailleurs dans le fond, entre l'
attaque
d'épilepsie et l'attaque d'hystéro-épilepsie. M
orme, comme d'ailleurs dans le fond, entre l'attaque d'épilepsie et l'
attaque
d'hystéro-épilepsie. Mon respect pour la tradit
ion du terme au pied de la lettre. A ses crises de jour, qui sont des
attaques
de grande hystérie, l'épilepsie, le mal comitial,
emps et c'est fini. Voilà l'accès d'épilepsie dans sa simplicité. L'
attaque
d'hystéro-épilepsie n'est pas faite comme cela. J
on de photographies instantanées représentant un homme en proie à une
attaque
d'hystéro-épilepsie. (1). L'auteur est un chiru
fut là, pense-t-on, la cause occasionnelle de sa maladie. Il tombe en
attaque
; on le transporte au lazaret; les médecins étudi
Dans la première phase le sujet a les yeux fixes, c'est l'aura ; l'
attaque
va commencer. Que se passe-t-il? Il a malà la têt
ent violemment par des cris, ou bien en comprimant certaines zones, l'
attaque
s'arrête, tandis qu'on n'arrête jamais l'accès
il menace du poing, prend l'attitude du crucifiement, etc. Bientôt, l'
attaque
se termine, et, après un moment de calme, il s'en
tueraient une véritable découverte. La phase épileptoïde de la grande
attaque
d'hystérie est si bien une simple appa- i ren
u l'occasion de faire l'analyse des urines de notre homme lors de ses
attaques
hystéro-épileptiques, mais nous avons ici depuis
pas agi ici, tout simplement, d'une syncope émotive, ou encore d'une
attaque
hystérique de même origine, cela est rendu fort v
érogène ; aura suivie de perte de connaissance, de crises de larmes ;
attaques
incomplètes mais très suffisamment formulées cepe
, que se seront manifestés les stigmates sensitifs et sensoriels, les
attaques
précédées à'aura spéciale, et autres marques révé
ves, débutant par la main droite et suivies de perte de connaissance (
attaques
hystériques à forme d'épilepsie partielle). La
8 jours, il a du rester à la chambre. A partir de cette époque, des
attaques
analogues se sont reproduites, une fois tous les
tion isolée, sans concomitance de stigmates sensitivo-sensoriels ou d'
attaques
(1). Il n'en est pas ainsi chez notre homme; chez
s (1). Il n'en est pas ainsi chez notre homme; chez lui, d'abord, les
attaques
avec aura caractéristiques sont chose vulgaire et
se, tandis que la coexistence des stigmates sensitivo-sensoriels ou d'
attaques
caractéristiques contribuerait à démasquer l'orig
et il n'y a rien dans l'histoire classique du cas qui ressemble à des
attaques
. — Pas d'anesthésie pharyngée, le goût, l'odorat,
rétrécissement du champ visuel, de parésie, rien enfin qui rappelle l'
attaque
hystérique sous une forme quelconque. Il faut dir
ées par des rêves pénibles et il était devenu fréquemment sujet à des
attaques
de vertiges. Cette fois la sensibilité des part
trouvé sa main droite de nouveau paralysée, comme lors de la première
attaque
, mais cette fois, dès l'origine elle était gonflé
r dans notre nouveau diagnostic. Sans doute, notre malade n'a point d'
attaques
, point d'attaques régulières, au moins, car ses «
au diagnostic. Sans doute, notre malade n'a point d'attaques, point d'
attaques
régulières, au moins, car ses « accès de vertiges
, pourraient être considérés à la rigueur comme des « représentants d'
attaques
». Mais, par contre, dans la catégorie des stigma
firmé de la façon la plus éclatante. Le 23 juillet,est survenue une
attaque
classique,précédée par l'aura vulgaire et dans la
s mouvements, et enfin une phase de délire avec hallucinations. — Les
attaques
de même caractère se sont reproduites depuis lors
est déterminée sous l'influence des moindres émotions. Quelquefois,l'
attaque
reste à l'état rudimentaire et l'on peut reconnaî
re chose que des crises convulsives avortées. En même temps que les
attaques
ont paru, il s'est manifesté dans les deux flancs
e pression exercés sur ces plaques font apparaître les prodromes de l'
attaque
et parfois l'attaque elle-même. Il existe un ré
r ces plaques font apparaître les prodromes de l'attaque et parfois l'
attaque
elle-même. Il existe un rétrécissement double d
ît de temps à autre rapidement, le plus généralement à la suite d'une
attaque
. Il en est de même de laparalysie des mouvements.
les premiers jours de novembre, il eut ce qu'il appelle sa première «
attaque
de nerfs ». Un jour, vers 6 heures du soir, éta
ris, la voisine est une hystérique qui a de temps en temps de grandes
attaques
, et qui « lorsqu'elle sent qu'elle va avoir sa cr
pelle auprès d'elle la femme du malade. Au sortir de cette première
attaque
, Glaw... remarqua que sa jambe et son bras droit?
Deux jours après, il eut encore vers 7 heures du soir, une seconde
attaque
semblable à la première et précédée commeelle des
s lors tous les troubles que présentait le malade lors de sa première
attaque
ont persisté sans se modifier le moins du monde,
des émotions, des efforts; cependant deux ou trois jours après chaque
attaque
, il acquiert une intensité telle que le malade es
es choses s'arrêtent là, et l'aura ainsi provoquée n'est pas suivie d'
attaque
. État mental. — Depuis l'accident dont il a été
pendant son séjour dans le service de la Clinique. Il a toujours des
attaques
, une ou deux par semaine en moyenne. Mais il exis
elles que la parésie, le tremblement des membres du côté droit et les
attaques
. Le sujet a donc été pendant un certain temps seu
able de l'ouïe et de l'odorat du même côté, une zone hystérogène, des
attaques
caractérisques, que faut-il de plus? Je ne vois v
oduire aux membres supérieurs la contracture artificielle; enfin, les
attaques
avaient complètement cessé. On pouvait donc espér
fférenee toutefois que le shock nerveux a déterminé immédiatement une
attaque
d'hystérie suivie de mutisme, a été publiée par M
— Tremblement de la maladie de Basedow(Tracés) . . . 233 Fig. 52. —
Attaque
hystérique. Attaque de contrature..... 253 Fig.
maladie de Basedow(Tracés) . . . 233 Fig. 52. — Attaque hystérique.
Attaque
de contrature..... 253 Fig. 53 — — Arc de cercl
..... . . . 267 Fig. 60 — — (Champ visuel)........ 268 Fig. 61. —
Attaque
de sommeil (Champ visuel)......... 272 Fig. 62,
4 — — (Champ visuel) . 423 Fig. 85, 86, —Hystérie mâle. Phases de l'
attaque
........ 426 Fig. 87 — — — ........ 427 Fig. 8
s sa moitié latérale............. 53 QUATRIÈME LEÇON Pages. 1°.
Attaque
de sommeil hystérique.............. 63 2°. Amyo
. —Cas complexe : paralysie spinale infantile, paraplégie alcoolique,
attaques
hystéro-épileptiques ... 84 2e, 3e et 4e malades.
419. — Protopathiques, 412, 415. — Sans lésions médullaires, 413.
Attaques
de sommeil. (Voy. aussi Hystérie, Hystérique (som
ion ovarienne,275. — 2 Effet des excitations extérieures, 275. — et
attaques
, 66, 67. — et catalepsie. 70. — (Grands mouvement
— Réveil, 276. — Urines, 273. — Vibration des paupières, 273, 274.
Attaques
hystériques, 7. — (Antagonisme entre les) et les
sie, H8. Conception (Etat mental pendant la), 93. Contracture. — (
Attaques
de), 251, 252. — Hystérique, 349, 540 sq. — Hys
, 32. Dissociation de la sensibilité, 495, 496, Dormeuses. —(Voy.
attaques
de sommeil), 63. Double personnalité. 327. Do
de mal, 113, 239. — Etat mental, 321. —Composition de l'urine après l'
attaque
, 421. — et Amnésie trau-matique, 322. — et Alcool
sement du champ visuel, 31. Epilepsie et Hystérie. — Différence des
attaques
, 424. — (Indépendance de F). 424. Epilepsie. —
lusion, dans F), 10. . Hysteria Major, 32. Hystérie. (Voy. aussi,
Attaques
de sommeil, hystérie mâle, hystéro-neurasthénie.
de l'),48,121,197. —Amau-rose,amblyopie, 164.— (Antagonisme entre les
attaques
et les accidents locaux), 7. — Atrophie musculair
attaques et les accidents locaux), 7. — Atrophie musculaire, 403. — (
Attaques
), 7, 195. {Voy. aussi Attaques). — Attaques de co
ux), 7. — Atrophie musculaire, 403. — (Attaques), 7, 195. {Voy. aussi
Attaques
). — Attaques de contractures, 252. (Voy. Contract
ophie musculaire, 403. — (Attaques), 7, 195. {Voy. aussi Attaques). —
Attaques
de contractures, 252. (Voy. Contracture).— Attaqu
ussi Attaques). — Attaques de contractures, 252. (Voy. Contracture).—
Attaques
de sommeil. (Voy.Attaques). —Attaques transformée
ures, 252. (Voy. Contracture).— Attaques de sommeil. (Voy.Attaques). —
Attaques
transformées, 13. — Automatisme ambulatoire,325.—
générescence, 392, 393, 395, 399, 400. — et Epilepsie (différence des
attaques
), 424. — et épi lepsie (Influence du bromure de
par fulguration 453, sq. 456, 457, 459, 460. Hystérie.— phases de l'
attaque
,166. — Phénomènes laryngés, 7. — Po-lyopie mono
272, 273. Hystérie male, 36, 48,100, 419 sq. 458, 459, 522, 533. —
Attaques
, 425. — Blépharospasme, 262. — dans la classe ouv
, 247, 248. — (Mutisme) et aphasie, 247, 249, 250. — Nutrition dans l'
attaque
de sommeil, 69. — Paralysie, 521. — Paraplégie (d
— Paraplégie (diagnostic avec Fabasie), 366. — (Périodes de la grande
attaque
), 33. — (Signe de Todd dans l'hémiplégie). 268. —
taque), 33. — (Signe de Todd dans l'hémiplégie). 268. — Sommeil (Voy.
Attaques
de sommeil). (Sommeil) et catalepsie, 70.— (Somme
hystérie mâle, hystérique, neu rasthénie), 31, 33, 51, 269, 283. —
Attaques
, 294, 295, 530. — Caractères, 36. — Casque, 291,
ises gastriques, 336. Laryngés (Phénomènes), hystériques, 7. — et
attaques
, 7. Lasègue, 24, 25. Lear (le roi), 93. Legrand
8, 475. Nu (de l'étude du) en pathologie, 20. Nutrition pendant l'
attaque
du sommeil, 69. Nystagmus, 164, 170. 0 Ocul
thénie. Simon, 370. Simonin, 334. Skey, 194, Skoda, 101. Sommeil (
Attaques
de). — Voy. Attaques. Sommeil. — dans le tic co
Simonin, 334. Skey, 194, Skoda, 101. Sommeil (Attaques de). — Voy.
Attaques
. Sommeil. — dans le tic convulsif, 14. — (Influ
wyck, 449. Trousseau, 313, 321. u Urines (Examen des). — dans l'
attaque
de sommeil hystérique, 273. — dans la mal. de Bas
ique. Début. L'affection actuelle aurait commencé il la suite d'une
attaque
de rhumatisme polyarticulaire aigu, il y a quat
rmation en vinrent à empêcher le travail il la suite d'une nouvelle
attaque
qui dura deux mois. Cette fois, il remarqua qu'
qui paraît exister entre le début de l'affection paralytique el une
attaque
de rhu- matisme ; il semble de même que la succ
QUE Le gonflement du cou est un phénomène vulgaire dans la grande
attaque
hystérique. Par contre, il est rarement donné,
auparavant de rappeler le rôle du gonflement du cou dans la grande
attaque
. Il se produit au début, pendant la phase toniq
, sur des tracés que j'ai pris lors de mes recherches sur la grande
attaque
hystérique et dont l'un se trouve publié dans mon
le importance qu'ils impriment à eux seuls un caractère spécial à l'
attaque
hystérique. Une malade dont j'ai publié ailleur
e gonfle- ment du cou. Mais alors, comme les autres phénomènes de l'
attaque
, il est' transitoire, il ne dure que quelques i
er abord rien ne ressemblait plus au gonflement du cou de la grande
attaque
que celui que nous présentait notre malade. Mais,
DES FORCES ET SUR LE TREMBLEMENT CHEZ LES ÉPILEPTIQUES APRÈS LES
ATTAQUES
Dans une note antérieure' j'ai montré par les c
modifications de la force musculaire et le tremblement consécutif aux
attaques
déterminent chez les épilepliques des modificat
uvements anormaux comparativement à l'état normal et à la suite des
attaques
, àl'aided'un tambour myographique appliqué sur
s du même muscle chez le même malade deux et trois heures après une
attaque
d'épilepsie; on voit qu'il reste encore après t
dans son côté gauche hémiplégique, tremblement bientôt suivi d'une
attaque
épileptique avec perte de connaissance si l'effor
flement douloureux des deux genoux, il semble bien s'être agi d'une
attaque
de rhumatisme. - Celte femme attribue son état ac
de quarante-huit ans. - De quarante à quarante-huit ans fréquentes
attaques
de migraine. Avec l'apparition de la ménopause
» Quelle meilleure description pourrait-on donner aujourd'hui de l'
attaque
d'hystérie ? Aussi les commissaires rejetèrent-
des deux côtés, surtout à gauche. La malade dit n'avoir jamais eu d'
attaques
de nerfs autrefois. En juin, même état : tantôt
y a souvent des mouvements spasmodiques, convulsifs, arrivant par
attaques
. Puis vient un stade d'excitation, qui peut cep
les rires explosifs, le mu- tisme, la résistance systématique, une
attaque
de raideurs, l'état cata- leptoïde, et du côté
ulsions au moment de la première dentition. A 7 ans il a une grande
attaque
convulsive géné- ralisée avec perle de connaiss
vingt-quatre ou quarante-huit heures. Le 1er mars 188G, il a eu une
attaque
très violente qui l'a laissé trois ou quatre jo
fois ces paroxysmes convulsifs débutent par un cri. Quelquefois les
attaques
ou les vertiges sont annoncés par une violente
vé plu- sieurs fois de se déshabiller dans la rue à la suite de ses
attaques
ou de ses vertiges. Ce malade est sujet à se
bien portant, qui a eu des douleurs rhumatismales. Une soeur a des
attaques
d'hystérie. Antécédents personnels. Rougeole da
tats que la suggestion dans le petit hypnotisme. A la suite d'une
attaque
survenue dans le mois de novembre 1887, l'oeil
urs, celui-ci reste ainsi fixé en extension. - Elle a une ou deux
attaques
d'hystérie par semaine : elle a eu la première à
le a eu la première à l'hôpital Beaujon, au mois de juillet 1887. L'
attaque
dure en moyenne quinze à vingt minutes; elle es
ibilité. Ce jour-là, à six heures et quarl du soir, la malade a une
attaque
d'hystérie qui dure environ une demi-heure. Après
emaine en moyenne, vers cinq ou six heures du soir, la malade a une
attaque
convulsive : alors, immédiatement après l'attaque
, la malade a une attaque convulsive : alors, immédiatement après l'
attaque
, l'aphonie el le blépharospasme reparaissent, a
s deux yeux réagissent normalement. , Ce même jour, la malade a une
attaque
à cinq heures du soir : après l'attaque, l'apho
même jour, la malade a une attaque à cinq heures du soir : après l'
attaque
, l'aphonie elle blépharospasme ont reparu. Le 2
lle blépharospasme ont reparu. Le 27 décembre 1887, la malade a une
attaque
convulsive à six heures du soir avec grands mou
du soir avec grands mouvements et très vive agitation. Après cette
attaque
, elle se plaint de ressentir des douleurs dans
e se reproduisent pas le môme jour (à moins que la malade n'ait une
attaque
), et ne reparaissent que le lendemain matin au ré
s que l'état de la sensibilité. La malade a toujours en moyenne une
attaque
convulsive par semaine. Le 10 mars, à quatre he
n 1888. Ils dispa- raissaient subitement et revenaient sous forme d'
attaques
. On peut dire néanmoins que la malade n'en a ja
gauche a été animé de mouvements involon- taires, en l'absence des
attaques
de chorée rlythmée. Celle-ci existait, pour ain
e 23 novembre '1 888, M. Charcot la présente à ses auditeurs pour une
attaque
de sommeil hystérique avec raideur qui dure dep
ne qu'elle porte dans le flanc gauche, elle \ oit revenir après une
attaque
convulsive le blépharospasme qui l'avait quittée
ur, le blépharospasme a disparu comme il était né, à la-suite d'une
attaque
, et avec lui s'en est allée l'anesthé- sie qui
uatrième enfant est une fille, qui a eu dans son enfance quel- ques
attaques
convulsives; elle a toujours été nerveuse. Mariée
bligé d'inciser les gencives, et c'est à ce moment qu'il eut quelques
attaques
convulsives. Le malade était alors âgé de 16 mo
tendant qu'il inonderait Ivry. Le 2 septembre, il a eu une nouvelle
attaque
apoplectiforme qui l'a laissé hémiplégique du c
lui. La parole est revenue encore plus altérée qu'après la première
attaque
. Depuis, ces at- taques apoplectiformcs se sont
l est à peu près complètement para- lysé de la main droite depuis l'
attaque
du 6 janvier 1888. État actuel (28 février). -
lus minutieux, mais on a appris qu'il avait succombé à une nouvelle
attaque
apoplectiforme quelques jours après sa visite.
l lui reste une fille' âgée de seize ans et demi qui a eu plusieurs
attaques
d'hystérie entre 8 et. 12 ans. Et c'est tout.
service de M. Charcot, le 27 mai 1882. Jusqu'au 18 juin, elle a des
attaques
caractérisées par des cris très aigus et quelqu
il droite (côlé du spasme). A plusieurs reprises, elle a les mêmes
attaques
. Dans le mois de juillet, le 22, les attaques c
ses, elle a les mêmes attaques. Dans le mois de juillet, le 22, les
attaques
coïncident avec les règles. Le 1` avril, la mal
sparaît au bout d'une dizaine de jours. Aujourd'hui 29 juillet, les
attaques
sont plus fortes. La malade fait de grands mouv
s mouvcmenls pendant une minute à une minute et demie. Entre chaque
attaque
, la malade reprend connaissance. La compression d
e reprend connaissance. La compression de l'ovaire droit arrête les
attaques
mais non les cris. Le spasme n'a pas reparu.
avons déjà parlé, avait été spontanément atteinte, à la suite d'une
attaque
, d'un spasme de la face analogue à celui d'Alex
roite, est prise à huit heures et demie du soir des prodrômes d'une
attaque
: battements dans les tempes, boule, bourdonnemen
mpes, boule, bourdonnements d'oreilles, etc. A dix heures et demie,
attaque
de grande hystérie qui dure deux heures. SUPE
ever par suggestion le spasme qui s'est développé à la suite de son
attaque
. A son réveil, nous pouvons con- stater que le
pendant son enfance; fièvre typhoïde a 14 ans. A 12 ans, début des
attaques
d'hystérie, à 13ans début des accès d'épilepsie n
gauche; goût complètement aboli des deux côtés depuis le début des
attaques
d'hystérie. Dans la nuit du 10 au 17 juin 1888
un état de mal hystérique pré- sentant ceci de particulier que les
attaques
sont uniquement représentées par une phase d'ép
impossible, dans le but de la tirer de cet état, de déterminer une
attaque
complète (ordinai- rement présentée par la mala
es du soir, la malade semblant moins absorbée, nous déterminons une
attaque
complète avec un arc de cercle, altitudes passi
située au niveau de l'angle de l'omoplate. Puis nous arrêtons celle
attaque
par la pression de l'ovaire gauche et l'inhalat
gauche et l'inhalation de 60 grammes d'éther. Elle sort de cette
attaque
avec une hémiplégie droite, flasque, accompagnée
permanente très marquée. Nous explorons la sensibilité aussitôt l'
attaque
arrêtée et l'hémiplégie constatée : tout le cor
gual persiste avec anesthésie tolale de la langue. Le 31 juillet,
attaque
hystéro-épileptique qui dure de 8 heures à 9 heur
i dure de 8 heures à 9 heures et demie du matin; au sortir de celle
attaque
nous l'examinons et constatons chez elle un spa
e disparaître. Jusqu'au mois de décembre, Bl... est sujette à des
attaques
hystéro-épilep- tiques; il plusieurs reprises i
0 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Le 20 décembre, nouvelle
attaque
: au sortir de celle-ci, la malade est toute ét
a toujours présenté ces derniers phénomènes depuis le début de ses
attaques
d'hystérie. L'observation VII est intéressante
plongée dans cet état d'excita- tion assez souvent prémonitoire des
attaques
. Pendant la période somnam- bulique, tant par s
zone anesthésique. Le 18 avril, mêmes phénomènes survenus après une
attaque
; outre la zone d'anesthésie gauche, il s'est fa
eu de crises, et mal- heureusement, pour beaucoup de médecins, les
attaques
sont encore le critérium de l'hystérie. Pour
ieu du repos se lève, sort vivement dans la cour et ne prévient son
attaque
que s'il urine; En 1888, nous trouvons 38 accès
exécuter des mouvements d'oscillation d'avant en arrière comme dans l'
attaque
d'hystérie. On peut arrêter l'attaque en pressa
avant en arrière comme dans l'attaque d'hystérie. On peut arrêter l'
attaque
en pressant le nerf sous-orbitaire. Pas de pert
térieurement d'autres de même nature. « Le 1" novembre '1730, une
attaque
d'apoplexie, lui ôtant en un moment l'usage de
jours après, revenant de l'Hôtel-Dieu où elle avait eu sa première
attaque
, et passant sous le petit Châtelet, elle est sais
t à marcher ne fût encore beaucoup plus grande qu'après la première
attaque
... En effet, après quelque temps la maladie emp
donc que plus inté- ressants. Le 'lor novembre 1730 survient une
attaque
d'apoplexie non suivie de paralysie, qui laisse
ie, qui laisse la parole embarrassée; huit jours plus tard nouvelle
attaque
cette fois accompagnée de « mouvements convulsifs
faisoient grande pitié à ceux qui la re- gardoient ». En résumé,
attaque
convulsive violente, suivie d'une hémiplégie ga
pt soeurs : 1 morte de méningite en bas âge; 1 hystérique à grandes
attaques
et hypnotisable, a séjourné dans le service de la
rvice de la Clinique pendant 2 ans, en 1879 et 1880; 1 hystérique à
attaques
. Antécédents personnels. ' Santé bonne avant le
profondément (tristesse, crises de larmes, etc.) il eut sa première
attaque
d'hystéro- épilepsie. Depuis lors, il a eu un
hystéro- épilepsie. Depuis lors, il a eu un grand nombre d'autres
attaques
revenant à inter- valles variables, tantôt spon
spontanément, tantôt à la suite de contrariétés'. En 1887, deuxième
attaque
de contracture généralisée semblable à la premi
blement de la jambe et du bras droits. Ce tremblement succédait aux
attaques
et durait un jour, quelquefois plus; il était i
endant un peu sur la région atte- nante de la paroi abdominale. Des
attaques
d'hystéro-épilepsie bien carac- térisées. Ces a
ominale. Des attaques d'hystéro-épilepsie bien carac- térisées. Ces
attaques
qu'elles surviennent spontanément ou qu'elles soi
connaissance. L'aura est souvent de durée très courte, très rapide.
Attaque
. - Elle est constituée parles périodes suivantes
te, cause avec une de ses maîtresses, l'appelle, etc., après quoi l'
attaque
recom- mence soit par la phase épileptoïde, soi
nt la convalescence de la fièvre typhoïde : sensation de boule sans
attaques
. Depuis, jusqu'en 1887, même sensation avant le
e est tirée en haut et en dehors; pas de perte de connaissance. Ces
attaques
frustes d'hystérie à forme d'épilepsie partielle
'en prend pas seulement à presque toutes les parties internes; elle
attaque
aussi quelquefois les parties externes et les m
e malade se couche et tout à coup il tombe pour la première fois en
attaque
. Il en a une série de dix ou douze consécutives
LA SALPÊTRIÈRE. durant lanuit. Lesoir àseptheurcs, nouvelle série d'
attaques
comme la veille. Nuit très calme; bon sommeil.
ir,P... tombe en a ! laques. Nous arrivons il la fin de la première
attaque
. Le malade qui est dans le décubitus dorsal en es
u'est-ce que c'est que ça ? Enfin il ne m'a rien fait. » Deuxième
attaque
. Phase épileptoïde; grands mouvements, arc de c
.. ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L'11YST$IiIE. 273 Troisième
attaque
. - ...« Alors je suis resté quatre mois bien tran
dans c'te cambuse. (Ici, mouvements répétés de déglution, ébauche d'
attaque
, efforts respiratoires, les membres se raidissent
d'attaque, efforts respiratoires, les membres se raidissent, mais l'
attaque
s'arrête là, et le délire reprend.) « Ouvre la
e choix ici. Il y en a quelques-uns qui sont enragés... » Quatrième
attaque
. « ...Ah oui ! mais je ne sais pas ce que je vais
lilz... voir si la Seine n'a pas changé de courant... » Ebauche d'
attaque
. - Le délire change d'objet, ce qui suit a été dé
isait allusion dans la circonstance à Cah... (Obs. 1) qui, pris d'une
attaque
d'hystérie, sur la place de la Bastille, avait
ais élé lv ! ... on aurait dû lui brûler la paillasse ! » Cinquième
attaque
. - Le délire recommençait, nous avons réveillé le
i puis il s'est endormi paisiblement. 4 août. - Depuis P... a des
attaques
à peu près tout les deux ou trois jours, le soi
nette, pseudo-ovarienne. La pression de ces zones n'airétc pas les
attaques
, mais elle les provoque toujours. Cette obser
frère très nerveux, qui a eu les fièvres au Sénégal, et aurait des
attaques
d'épilcpsic depuis la mort de la mère survenue
insi qu'il suit : Cas I. Femme de quarante-trois ans, hystérique il
attaques
, hémiplégie gauche avec hémianesthésie, conserv
s de degré Fahrenheit. Cas III. Femme vingt-six ans, hystérique à
attaques
, hémiparésie et hémi- anesthésie gauche. OEdème
prolongée; il siégeait quelquefois au bras gauche et à la main. Les
attaques
le ramenaient plus considérable. La pression pro-
etc. Il pcut apparaître ou disparaître brusquement à lasuite d'une
attaque
; en deux heures le membre qui en était indemne
des hôpitaux. CONSIDÉRATIONS SUR LA COURBE DES EXCRÉTIONS DANS L
ATTAQUE
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE - 1 Dans un travail pub
blié en 1888 nous nous efforcions de tracer l'histoire clinique des
attaques
de sommeil hystérique. Les faits que nous avons
prises par M. Charcot à ses auditeurs des-Leçons du Mardi et dont l'
attaque
offrait cer- taines particularités. La plus imp
cularités. La plus importante consistait en ce que, bien souvent, l'
attaque
de sommeil avait lieu sans aura : la malade tomba
onnait ses soins, était alors plongée 1. Gilles de la Tourette. Des
attaques
de sommeil hystérique. Archives de neurologie,
NOGRAPHIE T. II PL. XLIV. CLICHÉ A. LONDK PHOTOTYPIE HiRTHAUD
ATTAQUE
DE SOMMEIL HYSTERIQUE (état normal) LIi.CROSN
ROSNI8 ET ¡¡¡ADÉ, ÉDITIiIUJI NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. II PL. XLV.
ATTAQUE
DE SOMMEIL HYSTERIQUE . / CONSIDÉRATIONS SU
DE LA SALPêTRIèRE. excrétions, de la nutrition en un mot, pendant l'
attaque
de sommeil hystérique. Quelques analyses entr
te communication, nous en tenant exclusivement à ce qui regarde l'
attaque
et les états de mal. Nos malades, hommes et fem
es stigmates permanents, présentent la série des accidents variés :
attaques
, états de mal, vomissements, etc., constituant
ous avons plus particulière- ment étudiés sont, en ce qui regarde l'
attaque
: 1° l'attaque convulsive aux quatre périodes;
particulière- ment étudiés sont, en ce qui regarde l'attaque : 1° l'
attaque
convulsive aux quatre périodes; 2° l'attaque bo
garde l'attaque : 1° l'attaque convulsive aux quatre périodes; 2° l'
attaque
bornée à l'une de ces périodes ou avec prédomin
nance de cette période : forme épileptoïde, léthargique, etc.; 3° l'
attaque
à forme d'épilepsie partielle; 4° les attaques de
thargique, etc.; 3° l'attaque à forme d'épilepsie partielle; 4° les
attaques
de chorée rhythmée, toux, bâillements, etc. D
comprenant la période des vingt-quatre heures à dater du début de l'
attaque
nous ont permis de conclure : CONSIDÉRATIONS
ure : CONSIDÉRATIONS SUR LA COURBE DES EXCRÉTIONS. 293 Que dans l'
attaque
d'hystérie convulsive et dans toutes les variétés
dans l'attaque d'hystérie convulsive et dans toutes les variétés d'
attaques
que nous venons d'énumérer il y avait : 1° diminu
hates terreux et alcalins étant normalement comme 1 est à 3, dans l'
attaque
d'hystérie ce rapport devient toujours comme 1 es
t le plus souvent diminué; toutefois la première miction qui suit l'
attaque
est généralement plus considérable qu'une miction
e vue chimique, l'état de mal hystérique n'était autre chose qu'une
attaque
d'hystérie prolongée avec accen- tuation des ph
I Nos expériences, en ce qui regarde l'état de mal léthargique ou
attaque
de sommeil, ont porté sur G malades donnant un to
ntéressant de donner tout d'abord l'analyse d'un état de mal, d'une
attaque
de sommeil n'ayant pas dépassé la période de 24
TIONS. 29 Si l'on veut bien considérer le tableau A, on verra que l'
attaque
de sommeil bornée à la période de 24 heures se
eures se comporte exactement, au point de vue biologique, comme une
attaque
convulsive ordinaire. Elle se juge par l'abaiss
n 1 gr. 74, donnant la proportion normale de 48 à 100. Le jour de l'
attaque
de sommeil elle excrète 550 centimètres cubes d
sant au suprême degré l'inversion de la formule des phosphates. L'
attaque
de sommeil hystérique, comprenant la période de
es, est donc entièrement assimilable, au point de vue chimique, à l'
attaque
convulsive ordinaire. TABLEAU B. - ÉTAT DE MAL
t-Den., âgée de 15 ans 9 ? pesant 37 kil. 760 le jour du début de l'
attaque
de sommeil, les analyses donnent : urine 750 ce
rieur. La malade, qui sort le 25 au soir de son état de mal par une
attaque
convulsive, a maigri de 810 grammes, car elle n
RATIONS SUR LA COURBE DES EXCRÉTIONS. 297 « Les jours qui suivent l'
attaque
(précédente) la malade ne vomit presque plus et
s, c'est-à-dire il y a juste 5 jours, que s'est déclarée la seconde
attaque
, celle dont j'ai tenu à vous rendre témoins auj
l'élude de six cas de sommeil hystérique que, pendant la durée de l'
attaque
, le poids du corps diminue rapidement en même t
un des épisodes les plus vulgaires de la seconde phase de la grande
attaque
hystéro-épileptique; tandis que, d'un autre côt
ue : c'est savoir qu'il n'y faut pas voir autre chose qu'une grande
attaque
ou mieux qu'une série de grandes attaques modif
autre chose qu'une grande attaque ou mieux qu'une série de grandes
attaques
modifiées dans leur forme extérieure. « Les int
rps, la diminution de l'urine et l'abaissement du taux de l'urée, l'
attaque
de sommeil reproduit en tous points ce qui a lieu
de sommeil reproduit en tous points ce qui a lieu dans les séries d'
attaques
hystéro-épileptiques. » M. Charcot réveille alo
e située au niveau de l'ovaire gauche, pression qui déter- mine une
attaque
convulsive. Le soir, la malade est pesée et donne
par jour, car elle pesait 39 kil. le 31 janvier, jour du début de l'
attaque
. Pendant cette période, elle a excrété en moyenne
ont également intéressants à noter. Le jour du réveil, 5 février, l'
attaque
convulsive est très nette- ment indiquée par le
°8. L'alimentation toujours artifi- cielle fut variable suivant les
attaques
; dans un même état de mal il existait des série
s traits pointillés indiquent les période> d'état normal avant l'
attaque
. Les traits supérieurs sont relatifs au volume, l
qui a 'duré treize jours ; et le 37 mars, au début d'une nouvelle
attaque
elle pèse 5 kilogrammes. Outre ces considératio
ts pointillés indiquent les périodes d'état normal avant et après l'
attaque
). , 302 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
mple, on peut voir quelquefois, la veille ou le jour du réveil, les
attaques
diminuer de nombre et les intervalles de calme
état de mal hystérique, quelle que forme qu'il revête, n'est qu'une
attaque
d'hystérie prolongée dont il présente tous les ca
édecine, 1886, il* vi, p. 517. - Coustan. Un cas d'hystérie mâle sans
attaques
. Arch. de méd. et de pharm. militaires, novembr
commentaires du cas suivant, nous ferons uniquement remarquer que l'
attaque
convulsive chez le grenadier observé par les Dr
3"U NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE.. phases à la grande
attaque
hystérique décrite par M. Charcot chez ses pens
térie chez l'homme étant généralement assez rare, surtout la grande
attaque
hystérique, nous croyons devoir publier le cas su
l'in- térêt de cette observation c'est qu'on put tirer pendant une
attaque
qui dura 13 minutes une série d'épreuves instan
e d'épreuves instantanées qui donnent l'image parfaite de la grande
attaque
hystérique classique. Ces épreuves seront publi
un soldat consciencieux et faisant bien son devoir. Le 4 mars 1888,
attaque
brusque et violente, sans que rien l'eût fait pré
a à la caserne, et ce fut immédiatement après qu'il eut sa première
attaque
. Yoici quelétaitsonétatle 4 mars-1888,jour où o
res à lalangue.Apeinele malade est-il dans son lit que survient une
attaque
violente durant 4 minutes; plusieurs autres att
ue survient une attaque violente durant 4 minutes; plusieurs autres
attaques
se succédèrent dans le courantde la journée. Du
le courantde la journée. Du 5 au 7 mars, il eut en moyenne de 6 à 9
attaques
par jour, de durée et d'intensité variables, puis
ù il n'en eut pas). A mesure qu'elles diminuaient de fréquence, les
attaques
augmentaient d'intensité et de durée et présent
té et de durée et présentaient plus nettement la forme de la grande
attaque
typique si admirablement décrite par Charcot et
mirablement décrite par Charcot et P. Richer. Le caractère de ces
attaques
rappelait, au commencement, assez fidè- lement,
uvait les provoquer et même les interrompre (du moins au début de l'
attaque
) en apostrophant le malade à haute voix. Il se me
sans toutetois se rappeler rien de ce qui s'était passé pendant son
attaque
. Les attaques présentèrent le caractère typique d
s se rappeler rien de ce qui s'était passé pendant son attaque. Les
attaques
présentèrent le caractère typique de la grande
dans le cou, du côté droit. La première phase, la plus courte, de l'
attaque
proprement dite débute par une période de contr
également ouverts d'ordinaire et la pupille réagit bien. Toutes les
attaques
, spontanées ou provoquées, présentent cet aspec
ttaques, spontanées ou provoquées, présentent cet aspect typique; l'
attaque
entière se subdivise en une série d'attaques (3
t cet aspect typique; l'attaque entière se subdivise en une série d'
attaques
(3-6) séparées par un intervalledeunedemieàplusie
l'on ne fait que cha- touiller ; en appuyant plus fortement on a l'
attaque
. En appuyant sur les testicules on ne provoquai
a l'attaque. En appuyant sur les testicules on ne provoquait pas l'
attaque
maib on l'arrêtait, de même que par la compress
el testicule). L'interruption de l'accès n'était que passagère et l'
attaque
reprenait aussitôt de plus belle. Dans l'interv
t l'attaque reprenait aussitôt de plus belle. Dans l'intervalle des
attaques
les réflexes tendi- neux n'étaient pas exagérés
n du malade se base sur les, faits suivants : 1. Aspect typique des
attaques
. 2. Présence de zones hystérogènes. ' 3. Poss
sence de zones hystérogènes. ' 3. Possibilité d'arrêter à volonté l'
attaque
. 4. Diminution de la sensibilité des deux côtés
ait fai- blesse intellectuelle persistante, malgré la fréquence des
attaques
. La maladie eut un cours très favorable. A date
favorable. A dater du 5° jour après son admission à l'hôpital, les
attaques
devinrent moins nombreuses; et si le malade en
tives d'examen dont il fut l'objet. A partir de cette époque, les
attaques
perdirent peu à peu leur ca- ractère de netteté
itta l'hôpital le 13 juillet il 888, six semaines après sa dernière
attaque
, bien por- tant, robuste, ne présentant plus au
quelques injections de morphine pour agir sur le moral; dès que les
attaques
furent devenues moins nombreuses il fit de l'hydr
un étourdissement; s'étant mis au lit dans l'après-midi, il eut une
attaque
d'un quart d'heure le soir, à dix heures, penda
apte au travail et sans souvenir de son accès. Il eut une dernière
attaque
cinq semaines après, le 3 septembre, au matin;
Epileptiques (état des forces et tremblements chez les - après les
attaques
), 5, 6, 7, 8. 9, 10, 11, 12, 13, il. Femme ma
Hystérique (atrophie musculaire - de 1, main), 72, 73, 74, 75. 76;
attaque
- 8 ? 86, 87, 88, 89, 90, 91 ; contracture - 59
sur l'état des forces et sur les tremblements chez les- après les
attaques
), par Féré, 38 ; (note'sur une ano- malie muscu
8. Hystérique (considérations sur la courbe des excrétions dans l'
attaque
de sommeil -), ), par Gilles de la Tourette et
c perte de la sensibilité du même côté. Quelques semaines avant cette
attaque
, il avait éprouvé dans le globe de 1. Bock. — U
ntes ; ces douleurs s'exagèrent rapidement et à un haut degré après l'
attaque
apoplectique. Dans le môme temps, la conjonctive
racture, commencèrent à diminuer de volume, deux mois à peine après l'
attaque
L'atrophie musculaire était uniformément répandue
ans le cas, enfin, où des tumeurs intra-crâniennes donnent lieu à des
attaques
apoplecfiformes. Les derniers événements m'ont fo
e, se manifeste habi-tuellement du deuxième au quatrième jour après l'
attaque
, ra-rement plus tôt, quelquefois plus tard. Il af
érature centrale au-des • sous du taux normal, constaté au début de l'
attaque
, à l'aide de l'exploration thermométrique, est, à
Elles se développent habituellement quinze jours ou un mois après l'
attaque
apoplectique, c'est-à-dire au moment de l'appari-
s de la Soc. de Biologie, 18G6 et t. IX des Œuvres compl., p. 95. l'
attaque
épileptique; les autres, dynamiques, ou avec préd
moelle épinière où ils peu-vent se manifester. HUITIÈME LEÇON Des
attaques
appoplectiformes dans la sclérose enpla-ques. — D
— Physiologie pathologique. — Etiologie. — Traitement. Sommaire. —
Attaques
apoplectiformes. — Leur fréquence dans la scléros
la sclérose en plaques disséminées. —Considérations générales sur les
attaques
apoplecti-formes dans la paralysie générale et da
ancienne hémorrhagie et ramollissement du cerveau . — Pa-thogénie des
attaques
apoplectiformes : insuffisance de la théorie de l
tômes : État du pouls : élévation de la température centrale. — Cas d'
attaques
apoplectiformes chez d'anciens hémiplégiques; — I
dans le cours de la maladie et qui, parfois, terminent la scène. Ces
attaques
ne se sont pas produites, jusqu'ici, chez Mlle V,
oins dans trois cas (\). L'ensemble symptomafique qui constitue les
attaques
en question n'appartient pas eu propre à la sclér
générale progressive. C'est même dans cette dernière maladie que les
attaques
congestives— ce nom sert à la dési-gner assez com
s assez variées qu'elles peuvent revêtir. Aussi la description de ces
attaques
dans la paralysie générale progres-sive a-t-elle
ation clinique a fait reconnaître, — je ne veux envisager ici que les
attaques
de quelque intensité, —peuvent être ramenées, si
ées, si je ne me trompe, à deux types fondamentaux, à savoir : 1° les
attaques
apoplectiformes (pseudo-apoplexy des méde-cins an
aques apoplectiformes (pseudo-apoplexy des méde-cins anglais); 2° les
attaques
eonvulsiees oxxépilepti formes. Les caractères de
niques des centres nerveux dans lesquelles on observe fréquemment les
attaques
épilepti-formcs ou apoploctiform?s, je me bornera
affections en appa-rence si disparates auxquelles se surajoutent les
attaques
dites congeslives. Je signalerai surtout à votre
semblable-ment, est un élément prédominant, dans la production de ces
attaques
. Quoi qu'il en soit. Messieurs, il s'agit là d'
des. Maintes fois, j'ai eu l'occasion de \roir succomber à la suite d'
attaques
, soit épilept iformes, soit apoplectilbrmes, des
e lésions propres est, anatomi-quement parlant, un trait commun à ces
attaques
, quelle que soit d'ailleurs la forme qu'elles aff
elle elles se rattachent, En ce qui concerne la symptomatologie des
attaques
apoplec-tiformes et épileptiformes, pour ne point
re, mais qui se localisent toutefois, en général, à un côté du corps (
attaques
épileptiformes). D'au-tres fois,les convulsions f
attaques épileptiformes). D'au-tres fois,les convulsions font défaut [
attaques
apoplectiformes). Dans les deux cas, il est fréqu
elle se dissipe elle-même, lot ou tard, sans laisser de traces. Les
attaques
se produisent habituellement plusieurs fois, en g
lorification qui, en règle générale, se manifestent dans le cours des
attaques
. Le pouls se montre toujours plus ou moins accélé
de la température centrale ont été étudiées par M. Wesfphal dans les
attaques
épileptiformes et apoplecfi-formes de la paralysi
de la paralysie générale progressive; je les ai retrou-vées dans les
attaques
qui surviennent chez les sujets atteints ^hémiplé
a se voit généralement en pareil cas. Cette femme était sujette à des
attaques
épileptiformes. Elle fut amenée à l'infirmerie qu
. Elle fut amenée à l'infirmerie quelques heures après le début d'une
attaque
plus intense que d'habitude. Le soir même de son
érébrale datant de deux ans. Cette femme avait éprouvé déjà plusieurs
attaques
épileptiformes, ou apoplectiformes, en général d'
es de la journée, l'évolution delà tempéra-ture centraledans un cas d'
attaque
apoplectiforme survenant, chez un sujet atteint d
a été rapportée par M. Zenker, fut prise vers la fin de sa vie d'une
attaque
apoplectiibrmeavechémiplégïedu côté droit. Or, le
aque apoplectiibrmeavechémiplégïedu côté droit. Or, le même jour de l'
attaque
, le pouls étant à 136, la température atteignait
u chiffre physiologique. Chez le nommé Nolle, observé par M. Léo, une
attaque
apoplecfiforme se déclara dans la soirée. Le lend
service par M. Joffroy, cinq heures seulement après l'invasion d'une
attaque
apoplecfi-forme, avec perte incomplète de la conn
ce sur les modifi-cations que subit la température du corps, dans les
attaques
apoplectiformes et épileptiformes de la paralysie
t d'hémorragie, soif de ramollis-sement, ou au contraire d'une simple
attaque
congestive. Eh bien, l'examen de la température c
onvulsifs, intenses et répétés. Or, nous venons de voir que, dans les
attaques
dites congestives, la tem-pérature s'élève au con
hez une de mes malades dont M. Vulpian a rapporté l'histoire (1), une
attaque
apoplectiformc précédée pen-dant quelques jours o
a un certain degré de faiblesse dans les membres inférieurs après une
attaque
de choléra. Un peu plus tard, elle eut une fièvre
psie. — Ilyperesthésie ovarienne. - Rétention d'urine. — Tympanisme.—
Attaques
convulsives, trismus. — Apparition de l'ischurie
, s'est développé subitement le 20 mars 1870, à la suite d'une grande
attaque
. Disons toutefois que, antérieu-rement, le membre
e cas des phénomènes permanents. Enfin, cette femme est sujette à des
attaques
spéciales, tantôt tétaniformes, tantôt épileptifo
e. Ainsi, ce matin, vous pouvez reconnaître un accident datant dune
attaque
survenue ii y a deux jours: c'est le trismus, con
soin, néanmoins, d'indiquer la filiation des accidents. La première
attaque
convulsive a éclaté en 1855. Dans quelles circons
est difficile de se débrouiller. Ce qui est plus sûr, c'est que cette
attaque
paraît avoir été d'une violence extrême: la malad
ébiles qui sont résultés de cet accident. A partir de cette date, les
attaques
ont continué à se reproduire de temps à autre, av
rise d'une hémiplégie avec flaccidité du côté gauche à la suite d'une
attaque
, et entre dans le service de M. Lasèguc. Admise
ses restent à peu près dans le même état, si ce n'est qu'une nouvelle
attaque
est suivie d'une contracture du membre supérieu
ue de la contracture hystérique (1). Dans le mois de mars 1871, une
attaque
donne lieu à une hémiplégie flasque du côté droit
ention d'urine, c'était en janvier. Le mois suivant, à la suite d'une
attaque
, nous notons des alternatives de polyurie (2 litr
térie. En janvier 1871, Marie L... eut une frayeur qui occasionna une
attaque
d'hystérie. En mai, faiblesse extrême, malaise, d
ermine, soit seulement les prodromes de l'atta-que hystérique, soit l'
attaque
complète dansun certain nombre de cas. Il en ress
lorsqu'il s'agit de lésions à développement brusque, déterminant une
attaque
apoplectique et portant sur l'un quelconque des p
gauche, rares dans le cordon antérieur. Cas II. — S. Jean, 55 ans.
Attaque
suivie d'hémiplégie, le 25 octobre 1851. Deux moi
eur et démarcher sans appui, mais en boitant.— Octobre 1855. Depuis l'
attaque
, anes-thésie des membres du côté gauche (face, tr
daire de la moelle. Cas III. — Fr. Hasvelka, 22 ans. Ier nov. 1852.
Attaque
apoplectique, hémiplé-gie à droite avec anesthési
stérie locale. De la compression ovarienne. — Son influence sur les
attaques
. — Manière de la pratiquer. — La compression ovar
rsistent d'une manière plus ou moins permanente dans l'intervalle des
attaques
convulsives chez les hystériques, et qui permette
lesmalades n"ont plus la faculté de décrire ce qu'elles éprouvent. L'
attaque
convulsive éclate d'ailleurs bientôt, pour peu qu
vme siècle, insiste de nouveau sur la compression de l'abdomen dans l'
attaque
hystérique ; elle doit être produite, suivant lui
Négrier, dans plusieurs cas pour enrayer et supprimer complètement l'
attaque
con-vulsive. » Mais laissons pour un instant de
ésultat était de pro-duire un amendement réel dans les tourments de l'
attaque
hystérique. Charcot. Œuvres complètes, r. i. 22
hémianesthé-sie, etc. ; mais elle a une action souvent décisive sur l'
attaque
convulsive dont elle peut diminuer l'intensité et
ents fréquents et a présenté deYachro-matopsie de l'œil gauche. Les
attaques
sont précédées par une aura caractéristique ; les
aire gauche et les symptômes céphaliques sont très accusés. Quant aux
attaques
elles-mêmes, elles se composent de trois périodes
ne contracture permanente, avec trépida-tion du membre inférieur. L'
attaque
s'annonce par une aura bien nette, partant de l'o
ériode des contorsions vient ensuite et est très accentuée. Souvent l'
attaque
se termine par des mouvements de bassin, avec con
tions cardiaques et les symptômes céphaliques. En ce qui concerne les
attaques
elles-mêmes, elles se divisent en trois périodes:
pression de l'ovaire détermine un arrêt, pour ainsi dire soudain de l'
attaque
. Elle se rend nette-ment compte de cette influenc
velle frayeur déterminée par Fig. 19. —Attitude de Ler... pendant l'
attaque
: période des contorsions. (Fac-similé d'un croqu
ôté gauche, et, alors, con- Fig. 20. — Attitude de Lér... pendant l'
attaque
: période des contorsions. (Fac-similé d'un croqu
ion, se présente uneovarie double, avec anesthésie double, etc. Les
attaques
, qui s'annoncent par une aura ovarique bien carac
,20 et 21.)] A ce moment de l'allaque, elle est en proie Fig. 21. —
Attaque
hystéro-épileptique. —Période des contorsions. (D
hésie, de Yachromatopsiefde la contacture et de Yovarie à gauche. Les
attaques
sont surtout tétaniformes, to-niques. Nous n'avon
lui-ci : Hémiplé-gie, chez Etch..., a débuté tout à coup, pendant une
attaque
. La malade, à la suite de cette attaque, est rest
buté tout à coup, pendant une attaque. La malade, à la suite de cette
attaque
, est restée sans connais-sance durant plusieurs j
aladie a débuté à 34 ans, après une violente secousse morale, par une
attaque
avec perte de connaissance. Cette attaque, selon
te secousse morale, par une attaque avec perte de connaissance. Cette
attaque
, selon toute vraisemblance^ a pris la forme épi-l
la brûlure qu'elle s'est faite dans cette circonstance. De nouvelles
attaques
, tantôt franchement hystériques, tantôt prenant q
que et que la malade reconnais-sait comme précédant la plupart de ses
attaques
. Ces douleurs, comme d'ailleurs le ballonnement e
e) Les choses en étaient là lorsque, en octobre 1868, survient une
attaque
très intense, accompagnée de convulsions et suivi
elle s'est déve-loppée tout à coup, sans transition, à la suite d'une
attaque
. Ce n'est pas de la sorte, vous le savez, que pro
t décisives qui permettent d'établir le diagnostic. a) Alb... a des
attaques
hystériques depuis l'âge de 16 ans ; — b) elle es
istant un peu dans l'exploration, on ne tarderait pas à provoquer une
attaque
hys-térique ; — é) la contracture des membres inf
— aphonie qui durait depuis dix mois. Le 22 mai, à 7 h. 1/4 du soir,
attaque
marquée surtout par de l'oppression, une contract
es troubles nerveux bizarres, niait l'existence passée des véritables
attaques
hystériques. Il faut bien connaître, Messieurs,
de toute influence héré-ditaire appréciable, elle eut tout à coup une
attaque
convulsive, avec perte de connaissance. Rares pen
ontanément^pz'/ejos/e spinale tonique), 8 octobre. A la suite d'une
attaque
accompagnée de délire pendant 12 heures environ,
au 25 octobre, la situation reste la même, malgré l'apparition d'une
attaque
hystéro-épileptique. octobre. Grises convulsive
soin de mettre en relief les principaux caractères que présentent les
attaques
convul-sives dont elles sont atteintes. Vous av
ous avez pu reconnaître aisément qu'il ne s'agissait pas chez elles d'
attaques
vulgaires, rentrant du premier coup, sans discuss
'ils revêtent, et, ce qui frappe le plus l'observateur, témoin de ces
attaques
, c'est de retrouver parmi les convulsions cloniqu
urface, il semble en être ainsi, puisque nous avons re-connu dans les
attaques
quelques-uns des traits de l'épilepsie. C'est de
bride. Quelle est donc, dans cette opinion, la signification de ces
attaques
dont l'existence est si nettement établie par les
par Louyer-Villermay, l'un des premiers, conviendrait à désigner ces
attaques
mixtes. La convulsion à forme épileptique y appar
au coin de la plus saine observation, dit que cette espèce hystérie à
attaques
mixtes n'est qu'une forme parliculière de l'hysté
du affecté, seraient la source de ces modifications dans la forme des
attaques
. La nature même de l'hystérie n'en est pas fon-ci
'admettre les catégories suivantes : A. Dans un premier groupe, les
attaques
hystériques et les accès d'épilepsie restent dist
révèle. De là, des contrariétés vives qui engendrent l'hystérie. Les
attaques
propres aux deux né-vroses étaient disjointes et
ont jamais été. Dès l'origine, le mélange s'est effectué et, dans les
attaques
ultérieures,les deux formes convulsives se montre
ec les résultats démon observation personnelle. a) Dès l'origine, l'
attaque
mixte revêt son caractère propre ; dès cet instan
développement d'un accès, se garantir, trou-ver un abri. c) Dans l'
attaque
convulsive, \s(0iase dite épileptique ou-vre en g
tc. (1 ) ;en même temps éclate le délire de l'accès. e) La fin de l'
attaque
est marquée par des sanglots, des pleurs,, des ri
Ceriainement non. Il n'est pas vrai-ment exceptionnel de voir dans l'
attaque
d'hystérie commune,— alors quepersonnenesongeàfai
ns toniques à carac-tère épileptiforme, particulièrementau début de l'
attaque
; tous lesauteurssont d'accord sur cepoint.Ces con
ntuées, que M. Briquet, a été, parla, con-duit à établir, à côté de l'
attaque
cloniqueou classique, une sorte d'attaque dans la
duit à établir, à côté de l'attaque cloniqueou classique, une sorte d'
attaque
dans laquelle prédomine uneraideur semi-tétanique
t le vertige épileptiqueàam les descriptions de l'hystéro-épilepsie à
attaques
mixtes. Nous pourrions ajouter encore, car il y a
mportante distinction, que dans cette forme de l'hystéro-épilepsie, l'
attaque
épileptiforme, même la plus in-tense, est, d'aprè
sommes assurés maintes fois — dans l'épilepsie vraie (1). Dans les
attaque
mixtes, alors même que leur retour est très fréqu
nubilation de l'intelligence et la clémence ne sont l'aboutissant des
attaques
, contrairement à ce qui aurait lieu, d'une manièr
es des hystériques diffèrent en quoi que ce soit des convulsions de l'
attaque
épileptique. L'attaque hystérique toni-nique, pou
èrent en quoi que ce soit des convulsions de l'attaque épileptique. L'
attaque
hystérique toni-nique, pour peu qu'elle ait quelq
l'état de mal épileptique, on l'observe encore, par exemple, dans les
attaques
dites c(mgestive$,apoplectiformes ouépilep-tiform
rprétation peu conforme à la réalité (i). On l'observe aussi dans les
attaques
fort analogues aux précédentes qui peu-vent surve
enir dans le cours de la sclérose en plaques (2), et,en-fin, dans les
attaques
, avec ou sans convulsions,qui s'observent dans le
oc, cit. 2. Voyez la LeçoN VIII, p. 249. Lemps de repos, puis les
attaques
ontrepris comme de plus belle, sans le moindre re
d'une manière approximative, évaluer sans exagération le chiffre des
attaques
épileptiformes qu'elle a éprouvées à cette époque
taires d'urine ou de matières fécales; dans les courts répits que ses
attaques
lui laissaient, la malade se levait pour satisfai
sive, terminée par la mort. A la vérité, ce sont presque toujours des
attaques
d'un genre particulier, des attaques dyspnéiques,
té, ce sont presque toujours des attaques d'un genre particulier, des
attaques
dyspnéiques, qui amènent ce triste résultat (1) ;
néiques, qui amènent ce triste résultat (1) ; mais, je le répète, les
attaques
convulsives 1 Briquet, lac. cit., [. 283 et 538
er-manente dans l'hémianesthésie de cause organique. — Caractères des
attaques
convulsives. — Action de la compression ovarienne
née sous l'influence de la compression ovarienne. — Relation avec les
attaques
. — Cas de Trousseau, Briquet, Murchisson, etc. —
iveau de ce point douloureux que la sensation d'aura prémonitoire des
attaques
semble prendre origine pour remonter vers l'épiga
G... la contracture des membres lorsqu'elle se produit à la suite des
attaques
, et vous avez pu remarquer que ce sont aussi les
. Telle est la série des phénomènes qui, constamment, dans toutes les
attaques
, et dans les attaques subintrantes dont l'enchaîn
es phénomènes qui, constamment, dans toutes les attaques, et dans les
attaques
subintrantes dont l'enchaînement constitue un éta
règles (1),fait cesser chez elle, immédia-tement, lesphénomènes de l'
attaque
quels qu'ils soientet qu'elle que soit la période
ncé àse manifester il y a dix jours, aussitôt après lacessalion d'une
attaque
, c'est-à-dire dans les circonstances où se dévelo
comme la continuation, la prolongation, sous une forme nouvelle, de l'
attaque
hysté-rique avortée. Mais voici un argument plus
proposais tout à l'heure de reconnaître dans la chorée rythmique une
attaque
en quelque sorte prolongée et trans-formée. Ne po
envisager actuellement le côté pratique. Déve-loppés à la suite d'une
attaque
, c'est-à dire dans les conditions où se manifeste
r les accidents susnommés, per-sister tels quels, jusqu'à la première
attaque
, peut-être fort éloignée, qui pourra survenir? N'
r jour durant plusieurs jours, a souvent pour résultat d'éloigner les
attaques
et d'en atténuer l'intensité. Mais l'effet deces
déterminer, très fréquemment, tantôt l'une, tantôtl'autre phase de l'
attaque
et quelquefois la série touten-tière. Or,uneattaq
cre aux convulsions sur-venant chez les hystériques hors le temps des
attaques
, relate, lui aussi, quelques observations intéres
res de l'hystérie ne sont pas moins prononcés que chez G... Outre les
attaques
qui se présen-tent ici avec les trois grandes pha
momen-tanément les mouvements choréiques, tout comme elle arrêle les
attaques
(1). J'ai trop longtemps peut-ête retenu votre
détermine un délire semblable àcelui qu'onobserve durant les sériés d'
attaques
; loquacité, confidences involon-taires, hallucin
s, les mouvements choréiques, étaient suspendus. Puis G... a eu trois
attaques
qui ont laissé après elle une contracture des mem
es de l'après-midi. Depuis lors jusqu'à3 heures, G... a trois petites
attaques
après lesquels la chorée ryhmique est revenue. Un
s accusés qu'il y a trois jours. 19 novembre. — Hier, G... a eu des
attaques
de 8 heures à minuit. Tranquille ensuite jusqu'à
lle ensuite jusqu'à 8 heures, ce matin, elle a été reprise et a eu 25
attaques
jus-qu'à une heure de l'après-midi. — A partir de
; — le 4" enfant est une fille, âgée de 28 ans, qui est sujette à des
attaques
ner-veuses, d'ailleurs assez éloignées ; — le oe
itre de professeur de gym-nastique. Elle a subi, il y a 20 ans, une
attaque
de rhumatisme articulaire aigu ; un peu plus tard
phalalgie fréquente. — Mémoire très affaiblie. — Pas de vertiges ni d'
attaques
apoplectiformes. —La parole est scandée et la lan
placée sous le coup de (l'aura prémonitoire, elle est mena-cée d'une
attaque
convulsive etdisparaîtra après l'attaque aussi vi
ire, elle est mena-cée d'une attaque convulsive etdisparaîtra après l'
attaque
aussi vite qu'elle s'était produite. Une amaurose
ur les deux yeux pourra aussi s'établir momentanément à la suite de l'
attaque
(Observ. de Lero... (1) enmême temps que l'anes-th
de l'œil gauche, ovarie double prédominant à gauche. Au sortir de ses
attaques
, elle est souvent tourmentée par la vision de lio
'elle les regarde en face. 3° Vend... voit dans l'intervalle de ses
attaques
, mais sur-tout lorsque celles-ci sont sur le poin
ne maladie des milieux de l'œil. — Quand elle est menacée d'avoir des
attaques
, il lui arrive fréquemment de s'imaginer voir des
r. photogr. de la Salpêtrière (1876-1880). Description de la grande
attaque
hystérique 1. (Voir Leçon XIIIy. I. Les auteu
nt dans des crises qui ne se confondent jamais et qui sont tantôt des
attaques
d'hystérie, tantôt des accès d'épilepsie ; Y hyst
s choses. C qsïY hystérie épi lept if orme de Louyer-Villermay. Les
attaques
convulsives qui se voient dansl'hystéro-épilepsie
par P. Richer. 2. Les crises convulsives de l'hystérie s'appellent
attaques
. Le mot accès est réservé pour les crises épilept
us ces phénomènes, en apparence, si désordon-nés et si variables de l'
attaque
d'hystéro-épilepsie, se déve-loppent suivant une
on auquel peuvent être attachées, dans leurs variétés nombreuses, les
attaques
frustes, incomplètes ou anormales. Description
s, les attaques frustes, incomplètes ou anormales. Description de l'
attaque
complète. — L'attaque complète se compose de quat
s, incomplètes ou anormales. Description de l'attaque complète. — L'
attaque
complète se compose de quatre périodes; elle est
ent les phénomènes de l'aura hystérique qui précèdent immédiatement l'
attaque
et qui apparaissent en géné-ral dans l'ordre suiv
ilation de la vue. Puis laperte de connais-sance marque le début de l'
attaque
qui se déroule ainsi qu'il suit : 1 Les malades
lle peut ressembler et ressem-ble le plus souvent à s'y méprendre à l'
attaque
d'épilepsie vraie : convulsions toniques, cloniqu
face et quelquefois la protrusion de la langue. Le cri du début de l'
attaque
signalé par les auteurs se réduit le plus souvent
l'aide dumyographe de Marey, le tracé de cette première période de l'
attaque
(1). 1. Études graphiques sur l'attaque hystéro
cette première période de l'attaque (1). 1. Études graphiques sur l'
attaque
hystéro-épileptique, par Regnard ctlli-ehei\ [Rev
t aucune douleur, mais peuvent persister beaucoup plus longtemps. L'
attaque
régulière, l'attaque type, ainsi composée de ces
s peuvent persister beaucoup plus longtemps. L'attaque régulière, l'
attaque
type, ainsi composée de ces quatre périodes, offr
uart d'heure ; mais elle peut se répéter pour constituer des séries d'
attaques
dont le nombre varie de vingt à deux cents et plu
s, et celle de l'intervention des courants galvani-ques, etc. II. L'
attaque
convulsive de la grande hystérie, avec les ca-rac
une certaine influence, sur la forme que revê-tent les accidents de l'
attaque
hystérique. Mais ce n'est pas ici le cas en ce qu
emagne), et aussi chez les convulsionnaires de Saint-Médard..., Les
attaques
passionnelles se retrouvent isolées sous forme d'
e qui se rattachent clairement au délire de la période terminale de l'
attaque
. Un point d'étude, d'un intérêt plus immédiat,
approchement que l'onpeut faire entre la description précé-dente de l'
attaque
d'hystéro-épilepsie et la description qu'ont donn
épilepsie et la description qu'ont donnée les auteurs classiques de l'
attaque
d'hystérie vulgaire. Il résulte clairement de ce
la description que M, Briquet donne des con-vulsions qui composent l'
attaque
d'hystérie vulgaire, le passage suivant a manifes
2e période semble constituer à elle seule la plus grande partie de l'
attaque
d'hystérie vulgaire. Aussi les auteurs la décrive
certain nombre d'hystériques dont les cris durent tout le temps de l'
attaque
et ces cris sont analogues à ceux que pousseraitu
s les divers mou-vements auxquels se livre la malade à ce moment de l'
attaque
: ( Au moment, dit-il, où, après un certain tem
comme une sorte de rêve. Enfin, on voitqueiquefois survenir pendant l'
attaque
... des hallucinations.., des extases... » Enfin
auteurs auxquels nous empruntons nos citations n'ont eu en vue que l'
attaque
d'hystérie vulgaire ou petite hystérie, on trouve
rustes et atténuées, car il est incontestable que la description de l'
attaque
d'hystérie vulgaire s'éclaire singulièrement lors
tout naturel-lement à l'étude des formes frustes ou des variétés de l'
attaque
d'hystéro-épilepsie. M. Charcot admet que J'att
s variétés de l'attaque d'hystéro-épilepsie. M. Charcot admet que J'
attaque
d'hystéro-épilepsie peut se modifier suivant deux
produisent : a) Vatta-que épileptoïde; b) l'attaquedémoniaque ; c) l'
attaque
d'ex-tase; d) Vattaque de délire; 2°par immixtion
r immixtion d'éléments étran-gers à la constitution fondamentale de l'
attaque
, tels que le somnambulisme et la catalepsie par e
rédominance d'une des périodes. — lre Variété. —Forme ép ileptoïde. L'
attaque
hystéro-épileptique se trouve,dans cette variété,
ce de graviLé. Mais l'emploi des divers moyens usités pour modifier l'
attaque
d'hystérie fait disparaître ces convulsions si ef
s autres périodes font d'habitude complètement défaut. 3e Variété. —
Attaque
d'extase. Les attaques d'extase ont été décrites
d'habitude complètement défaut. 3e Variété. —Attaque d'extase. Les
attaques
d'extase ont été décrites par les auteurs classiq
énéral au type fondamental. Cependant Briquet s'exprime ainsi : « Les
attaques
d'extase peuvent se produire de deuxmanières ; qu
es ; quelquefois elles sont précédées par les préludes ordinaires des
attaques
de spasmes ou de convulsions hysté-riques, de sor
la Salpêlrïere, notamment le t. III, p. 75-76. (B.) Cette variété d'
attaque
peut être reproduite expérimentale-ment par les i
plus ou moins; ainsi se produit l'attitudeextatique. 4e Variété. —
Attaque
de délire. C'est le délire de la 4e pé-riode qui
élire. C'est le délire de la 4e pé-riode qui représente alors toute l'
attaque
; il s'y joint cependant souvent quelques phénomè
édard peuvent être considérées comme un exemple de cette variété de l'
attaque
hystéro-épiieptique. B. Variétés de Vattaque hy
t chez les hystériques, sans montrer aucune relation apparente avec l'
attaque
convulsive. M. Briquet con-sidère la catalepsie c
lepsie et de somnambulisme viennent se surajouter aux phénomènes de l'
attaque
convulsive. Les ob-servations de catalepsie et de
ont traité de l'hystérie ont parlé des atta-ques de catalepsie et des
attaques
de somnambulisme. On lira entre autres avec intér
) 1. Voir le n° 52 du Progrès médical de 1878. On y verra que les
attaques
de catalepsie ou de somnam-bulisme débutaient hab
s phénomènes de cata-lepsie ou de somnambulisme viennent compliquer l'
attaque
, ils succèdent à la l'e ou la 2e période, remplaç
e ne participe pas à fa contracture. Mlle X... n'a jamais éprouvé d'
attaque
de nerfs. Elle est calme, d'un caractère égal,plu
pêche pas de conserver un certain embon-point. 11 n'a jamais existé d'
attaque
hystéro-épileptique régulière. 11 est très impo
sie avec anesthésie gé-néralisée, est souvent prise à la suite de ses
attaques
et dans les intervalles qui les séparent de contr
pendant plusieurs jours. Plusieurs fois, en tombant à terre dans une
attaque
, elle s'est cassé les os d'un avant-bras, d'une j
rou-blé ; plusieurs des pèlerines, en effet, en proie aux tourments d'
attaques
dont le caractère ne peut être méconnu, gesticule
spinale.................................. 221 HUITIÈME LEÇON des
attaques
apoplectiformes dans la sclérose en plaques. — de
— physiologie pathologique. — étiologie. — traite-ment. Sommaire. —
Attaques
apoplectiformes. — Leur fréquence dans la scléros
a sclérose en plaques disséminées. — Considérations générales sur les
attaques
apoplecti-formes dans la paralysie générale et da
ncienne (hémorrhagïe et ramollissement du cerveau). — Pa-thogénie des
attaques
apoplectiformes : insuffisance de la théorie de l
mes : État du pouls : élévation de la température centrale. — Cas d'
attaques
apoplectiformes chez d'anciens hémiplégiques. — I
topsie.— Hyperesthésie ovarienne. - Rétention d'urine. — Tympanisme.—
Attaques
convulsives, trismus. — Apparition de l'ischurie
stérie locale. De la compression ovarienne. — Son influence sur les
attaques
. — Manière de la pratiquer. — La compression ovar
ée sous l'influence de la compression ova-rienne. — Relation avec les
attaques
. — Cas de Trousseau, Briquet, Mur-chisson, etc. —
es hystériques.................... 427 VI. Description de la grande
attaque
hystérique...................... 435 VII. I. De
tendance à la gé-néralisation, 70. Attaques-Accès, 372, 373, 375.
Attaques
apoplectiformes dans la sclérose en plaques, 249
L . — Variétés, 250. — Symptômes, 253. — Pouls et température, 254.
Attaque
hystérique : Description, 435. — Période épilep
, 105. — Altérations des urines dans 1' —, 129. Hémiplégie dans les
attaques
apo-plectiformes, 253 ; — hystérique, 349. Hist
aractères qui la rapprochent de la sclérose en plaques, 223, 236. (V.
Attaques
apoplectiformes. ) — générale spinale de l'ad
61. (V. Trépida-tion, Pied bot hystérique, 360, 365. Pouls dans les
attaques
apoplecti-ques, 254, 256. Préambule, 1. Propuls
sympathique cervical 139; —dans la paralysie agitante, 178 ;—dans les
attaques
apoplecti-formes, 254 ; — dans les attaques d'hys
agitante, 178 ;—dans les attaques apoplecti-formes, 254 ; — dans les
attaques
d'hystéro-épilepsie, 376 ; — dans Y état de mal é
nt revenues. Persistance de l'aphasie. Le 17 mai, mort après deux
attaques
d'épilepsie. Autopsie. Au niveau de la troisièm
ence la prédisposition névropathique des sujets qui sont atteints d'
attaques
éclamptiques et de montrer les liens peu connus
ntes chez les enfants issus de névro- pathes, de mères ayant eu des
attaques
d'éclamp- sie' ; on les voit souvent chez les e
duré trois mois ; et, pendant ces trois mois, se sont produites des
attaques
dites éclamptiques. Depuis, l'albuminurie a dis
aques dites éclamptiques. Depuis, l'albuminurie a disparu, mais les
attaques
ont continué. Les attaquesont été scrupuleuseme
ces vertiges. Il n'urine pas, ne se mord pas la langue. 2° Grandes
attaques
convulsives qui viennent plus souvent le jour,
i viennent plus souvent le jour, maisaussi quelquefois la nuit. Ces
attaques
sont pro- voquées par les émotions, les chagrin
agrins, les fatigues corporelles, les voyages en chemin de fer. Ces
attaques
offrent les grands caractères de l'épilepsie :
tète, surtout autour de l'oeil gauche, qui serait injecté pendant l'
attaque
. Pas d'asymétrie faciale, pas d'atrophie des me
ntre toutefois nettement l'origine de l'épilepsie qui succède à des
attaques
dites éclampti- ques, développées dans le cours
a grossesse. Observation III. Hérédité névropathique. Scarlatine,
attaque
convulsive. Vertiges. Grossesse; attaques épi-
névropathique. Scarlatine, attaque convulsive. Vertiges. Grossesse;
attaques
épi- leptiforines. M°° M. de L..., vingt-quat
un bois, eut une grande frayeur, à la suite de laquelle il eut des
attaques
nerveuses, et il mourut quelque temps après d'u
E NERVEUSE. maternelle estné chétif, presque idiot et est sujet aux
attaques
d'épilepsie. Un grand-oncle paternel, ayant cru
t en- ceinte. Une quinzaine de jours après, elle eut une première
attaque
épileptique, et elle en eut deux autres le mois s
re 188 ? . - hausse couche de deux mois; le cin- quième jour, trois
attaques
d'épilepsie dans l'espace de quinze heures. 1
ues minutes. ÉCLAMPSIE ET ÉPILEPSIE. 43 Dans ce fait, la première
attaque
convulsive a bien apparu dans la convalescence
estèrent des accidents vertigineux; à propos d'une grossesse, les
attaques
prennent un caractère nettement épileptique. To
ent n'ont pas non plus d'influence bien mar- quée sur le nombre des
attaques
. La grossesse semble plutôt avoir une influence
30. ÉCLAMPSIE ET ÉPtLEPSOE. 115 minée est nécessaire pour que les
attaques
épileptiques et éclamptiques se produisent chez
ion périphérique ou émotionnelle, cause provocatrice immédiate de l'
attaque
. Si cependant il existe une pré- disposition né
ut d'un mois, céphalalgie violente dans la matinée; à trois heures,
attaque
d'éclampsie, qui se renouvelé deux fois. Les ph
ici le lieu de faire remarquer qu'au point de vue symptomatique, l'
attaque
éclamptique ne saurait être distinguée de l'att
ymptomatique, l'attaque éclamptique ne saurait être distinguée de l'
attaque
épileptique; et la marche de la température rap
rd'hui quatre-vingt-sept ans et est très alerte, a eu autrefois des
attaques
de nerfs « effrayantes » , probablement hystéri
ue elle accoucha de son cinquième enfant. Le travail s'accompagne d'
attaques
éclamptiques très intenses. Elle n'avait rien e
continué à avoir des vertiges, auxquels se sont ajoutées de grandes
attaques
convulsives, qui étaient souvent séparées par u
qui étaient souvent séparées par un espace de plu- sieurs mois. Ces
attaques
étaient caractérisées par un cri initial, la pe
qui survinrent coup sur coup avec une très grande intensité. Ces
attaques
cessèrent et, sous l'influence du bromure pres-
I EPSIP. 19 de cas, peut déterminer à elle seule l'apparition des
attaques
épileptiques ', s'est accompagnée d'une recru-
ie de lilas, dont l'odeur l'avait très incommodée, elle fut prise d'
attaques
d'éclampsie qui se répétèrent toute la nuit. A
nt recherchée dans les urines. Une fois l'accouchement terminé, les
attaques
d'éclampsie ne se reproduisirent pas. Un mois a
ÉPILEPSIE. 51 Au bout de ce temps, elle fut prise, une nuit, d'une
attaque
qui, dit le mari, ressemble aux crises éclampti
rière de toute sa hauteur et offre tous les phénomènes de la grande
attaque
d'épilepsie; convulsions toniques et clo- nique
re complètement ce qui lui est arrivé; il en est de même pour les
attaques
successives qui, pendant toute l'année 1881, se s
ure institué à la ÉCLAMPSIE ET ÉPILEPSIE. 53 fin de décembre, les
attaques
ne se reproduisirent pas pendant trois mois. De
-dessus de trois gram- mes par jour, fut pris irrégulièrement : les
attaques
revinrent; elle en eut pendant le mois d'avril
nter- rompre le médicament, sous aucun prétexte. Depuis lors, les
attaques
ont diminué, mais n'ont pas disparu; du 12 mars a
d'une scarlatine, d'une grossesse, etc., on voit se développer des
attaques
éclamptiques, puis cette épilepsie aiguë passe
ainsi dire à l'état chronique et ne se manifeste plus que par des
attaques
isolées d'épilepsie vulgaire. La succession des
es troubles sérieux du côté de l'intelligence. Mère : nerveuse sans
attaques
, caractère emporté. Antécédents yersonnels. Rie
es, action des francs- maçons... Mais, ils résistent toujours à ces
attaques
, semblent renaître au contraire plus vivaces, e
, pas de syphilis, pas d'affection cardiaque. En quelques semaines,
attaques
répétées, passagères, caractérisées par une per
n plaques, ni de la sypliilis. Leur évolution les classe à côté des
attaques
qui se montrent si fréquentes dans la paralysie g
vent d'un trouble céré- bral en rapport immédiat avec le tabès. Des
attaques
epilepti- formes, justiciables des mêmes appréc
'il a été suspendu par le fait d'une maladie aiguë, parce que les
attaques
reparaissent avec une fréquence et une intensité
il faut joindre des vomissements, de l'intermittence du pouls, des
attaques
épileptiformes : mort dans le coma. L'autopsie ne
n qu'on prenne d'un aliéné paralysé, gâteux-, agile, en proie à des
attaques
apoptecti- formes ou épilepliformes, sous l'inf
iège de l'aura épileptique, il s'en faut que dans tous les cas, les
attaques
d'épilepsie se soient trouvées supprimées, mais
-épi)cpsie. périodes épileptoide, clonique et délirante pendant les
attaques
, hémianesthésie, zones hystérogènes, etc. Plusi
ayant pour titre : Etude clinique sur le pouls lent permanent avec
attaques
syncopales et épileptiformes (1879). M. Sémer
embre 1884. N" 23. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DES
ATTAQUES
D'HYSTÉRIE A FORME D'ÉPILEPSIE PARTIELLE (étude
d'épilepsie. Mais, le plus souvent les deux dernières périodes de l'
attaque
hystérique séparent de telle façon les unes des
rent de telle façon les unes des autres les phases épileptoïdes des
attaques
consécutives qu'on ne peut, même à première vue
ières. Dans d'autres cas, au contraire, plus rares à la vérité, les
attaques
d'hys- térie se succèdent en très grand nombre,
it, eouronné par l'Académie de médecine (Prix Civriew 1882).. DES
ATTAQUES
U11YJ'l'lsfilli. 131 - -'observateurs, notammen
point nouveau sur lequel nous voulons insister dans ce mémoire), l'
attaque
hys- térique, dans quelques cas, reproduit avec
côté. Les malades soumises à notre observation ont pré- senté des
attaques
caractérisées tantôt par des con- vulsions exac
diagnostic épilep- sie et d'affirmer que nous étions en présence d'
attaques
d'hystérie franche.. Nous nous proposons donc
osons donc d'établir dans ce travail : 1° Que, dans certains cas, l'
attaque
d'hystérie simule l'accès d'épilepsie partielle
le naturelle, aurait présenté vers l'âge de douze à treize ans, des
attaques
convulsives, sur la nature desquelles il est im
méilico-iisychologiiiuc, dans la séance du 29 oc- tobre 1883. DES
attaques
d'hystérie. 133 vier 1883, c'est-à-dire pendant
er 1883, c'est-à-dire pendant dix-huit mois environ, elle n'a pas d'
attaques
. Nous constatons seulement que R... est vive, c
té administré pendant trois jours, à la dose de quinze grammes, les
attaques
dispa- rurent après trois jours de médication,
e, tandis que le pouls était à 120 ou à 130. Cette série de 8,000
attaques
terminée, la malade ne pré- senta plus qu'un no
e mars à septembre 1883; elle eut, en moyenne tous les mois, cent
attaques
qui se montraient toujours par séries de dix à do
tembre 1883 (il y avait quinze jours que la malade n'avait pas eu d'
attaques
), elle fut prise d'accès nombreux, se succédant
s'arrêtent; mais pour recommencer presque aussitôt. Et une nouvelle
attaque
se produit, identique à celle que nous venons d
ccès se multiplient en conservant t Fig. 2. - Phase clonique. DES
ATTAQUES
D HYSTÉRIE. 135 les caractères que nous venons
13. La température reste normale, malgré le nombre considérable des
attaques
. | Trois ou quatre jours après le début des acc
entes reprises d'une façon très manifeste. , Le 1 le octobre, les
attaques
deviennent plus complètes; les convulsions se g
qu'on presse R ? de questions, elle répond : Fig. 3. - Courbes fies
attaques
et de la température chez Rosa z , uf\ ? ) ? =
de la température chez Rosa z , uf\ ? ) ? = ? <... ? - . 1 DES
ATTAQUES
D'HYSTÉRIE. i : )7 «Vous la voyez bien, c'est u
ne l'ont qu'augmenter, -puisqu'on en compte : le 18 octobre, 1,139
attaques
;'le 19 ? 1,109 - lq 25, 1,463; le 26, 1,513. '
28 octobre, c'est-à-dire le vingt-sixième 0 ti r de a maladie, les
attaques
, qui s'étaient élevées,. a"l,351 la veille, tom
uelle on ait signalé jusqu'à présent un nombre aussi considérable d'
attaques
successives. Au moment ou nous étions occupés a
connue, Hab.... qui, du 16 au 30 avril, n'a, pas eu moins de 4,598
attaques
. Quelque imposant que soit ce chiffre, il n'app
dix heures et demie à trois heures, on compta, durant ce temps, 340
attaques
. Cependant nous devons dire que si la compressi
ssion ovarienne a semblé n'avoir aucune influence sur le nombre des
attaques
, elle a paru diminuer l'intensité de ces derniè
stations sur lesquelles nous insisterons dans un instant; la' des
attaques
d'hystérie. 139 constatation d'une hémianesthés
pas à l'époque -où Rosa G ? r·'fut examinée; d'une malade dont les
attaques
étaient, quant. la physiono- mie des convulsion
ion de la tempé- rature, en dépit du nombre déjà considérable des
attaques
. La question'se posait dès lors de la façon sui
u bien il s'agissait d'une modalité anomale et jusque-là inconnue d'
attaques
d'hystérie, d'attaques à forme d'épilepsie part
une modalité anomale et jusque-là inconnue d'attaques d'hystérie, d'
attaques
à forme d'épilepsie partielle ; ou bien d'une é
d et Bourneville ont, depuis longtemps, bien établi ce fuit que les
attaques
d'hys- térie, quels que soient leur intensité e
ille et Voulet. - De la contrachere 5 ? tshrqrte perznaneufe. DES
ATTAQUES
DHI'STER1E. lit « Chez Co..., dont les crises o
soir. De huit à neuf heures, il y a eu un temps de repos, puis les
attaques
ont repris comme de plus belle sans le moindre
s exagération, évaluer d'une manière approxi- mative le chiffre des
attaques
épileptiformes qu'elle a éprouvées à cette époq
érence radicale dans l'influence qu'ont sur la calorification les
attaques
d'hystérie et les accès de mal comitial est un
vulsifs partiels, lorsque ces accidents se manifestent sous forme d'
attaques
successives et souvent répétées, si la colonne
de paralysie des membres convulsés, quelqu'ait été le nombre des
attaques
successives de fausse épilepsie jacksonnienne.
s droits, même après avoir eu, dans une même journée, plus de 1,500
attaques
; tandis que Foisn..., dont le cas est publié pl
ance céré- brale profonde et même la mort; tandis que la vie, DES
ATTAQUES
DHI'STEItIE. 1 î-3 chez les hystériques, est co
est compatible, on l'a vu, avec un nombre véritablement étonnant d'
attaques
. Voilà, en somme, trois éléments de diagnostic
de paralysie; 3° la survie compa- tible avec un très grand nombre d'
attaques
. Nous ne saurions d'ailleurs mettre mieux en re
rait été l'objet d'une ten- tative de viol. Peu de temps après, une
attaque
survint subite- ment, et sans avoir été annoncé
annoncée par aucun phénomène pré- monitoire. Le lendemain de cette
attaque
, Foisn... en eut cin- quante nouvelles, qui se
eures. De l'âge de six à l'âge de dix ans, disparition complète des
attaques
, qui se manifestent ensuite de nou- veau. A onz
sposition les notes qu'il avait recueillies sur elle en 1881. DES
ATTAQUES
DHYSTÉRIE. 1 45 ! séries. Nous indiquerons succ
l'extrémité des doigts. L'aura dure quelques secondes, et bientôt l'
attaque
débute. La pupille se dilate d'une façon très n
dilate d'une façon très nette immédiatement avant le début de cette
attaque
qui est constituée en quelque sorte par trois p
b UB rist B tuoi nonis ,aéa3p'b ''nsa tfiirjtalo zautr . rat ', DES
ATTAQUES
D'tIYSTEItIE. 147 qulemment déviée en dehors. A
rnosnotéslespârticularitéssuivantes, qui se rapportent à la série d'
attaques
: qui, en novembre 1882, a précédé la mort. Dan
ntervallestcourtsou nuls, chaque série comprenant un grand nombre d
attaques
, comme on peut en juger par le tableau ci-desso
4S CLINIQUE NERVEUSE. Il est une autre particularité à relever. Les
attaques
ont eu constamment pour,résultat, lorsqu'elles
telle qu'elle figure dans nos notes relatives à L'une des séries d'
attaques
: la malade vient .d'avoir. plusieurs accès/ No
«IUucO ' t ? teidfnon ju'nMCKB9)wKt)t)\ ? i.. us. i... / f4l DES
ATTAQUES
D'HYSTÉRI4.a «, J( , ? 149 e. Phénomènes observ
e la Société anatomique, novembre 1882. .150 CLINIQUE NERVEUSE. DES
ATTAQUES
D'HYSTÉRIE. cas'.dijuesrde, fixer,l'attention.
sdans ? a9 journée ? ; jchez,Foisn ? au,,r,ontraire, après quelques
attaques
, apparaît une paralysie très mahifestedè iafacë
idable,série DES IRRADIATIONS CAPSULAIRES. 1 ' k t ,151 de 21,708
attaques
, Foisn... succombé ! t lasuit6.d'un nombre d'ac
de la bouche et la propnlsion`de la Iânuesâu4dehoT's pendant les
attaques
; 2° les battemëntsdesnpaupières; 3'les mouvemen
ants .cette,.façon de le comprendre. HOl'lIf , - Observation X.
Attaques
épileptiformes. Tubercule dans la , , troisième
insula droit, ne dépasse pas l'avant-mur ; athérome artériel. Trois
attaques
d'hémiplégie gauche ; paralysie com- plète du m
; "Wn, , 1 18(1 RECUEIL DE FAITS. DU DELIRE CHRONIQUE. ayoirjes
attaques
du mal comitial qu'à partir de dix-huit ans, to
rs l'âge de vingt- deux, ans, il devint plus sombre, taciturne, ses
attaques
le préoccupaient. Bientôt il raconta qu'il voya
as do l'ouvrage donné par les Israélites. A la suite de plu- sieurs
attaques
d'épilepsie, il devenait furieux, se livrait à de
e bien du* monde, le bonheur de l'univers entier ». Surviennent'une
attaque
, un vertige, V... reprend ses mêmes idées, mais
r laquelle on n'a que peu - de renseignements ;'parait avoir eu des
attaques
peu'fréquentes ''depuis lrois*anç.*A>')plusi
int comme si elle souffrait dès qu'on la remue. Elle a eu plusieurs
attaques
à l'asile; ces attaques sont très violentes et
ait dès qu'on la remue. Elle a eu plusieurs attaques à l'asile; ces
attaques
sont très violentes et s'accompagnent de mouvem
que ; aurait eu depuis trois ans, lors de son entrée à l'asile, des
attaques
avant et après lesquelles il se montre très viole
ble. 11 a pendant plusieurs jours de, suite jusqu'à vingt et trente
attaques
par jour ; puis il redescend jusqu'à une seule
t et trente attaques par jour ; puis il redescend jusqu'à une seule
attaque
quotidienne mais, s'accompagnant de mouvements
fréquentes dans le groupe où manque le réflexe ; en ? revanche, les
attaques
,quasi- s3,neopales - ailalogue au petit mal de
, il a promptement'des^eschares^tendues-.puis survient -une série d'
attaques
epileptuormes^fL^malade^meurt.^ pqarl0| enrAwio
),ff),)oh ? f ? J ? ? 'XIX. STVPTÛ\IGS 1fE\ C.1US précurseurs d une
attaque
D apoplexie; ai, S.\ : 'aaE.'(JôIfrItnl bf ment
me temps il iilairit;rs'afl'aihlit;`etfinalément il est pris d'une -
attaque
d'apoplexie 9afïectantîlcDcôlé'i"gauche ! C Les.
némoirerpaesque entièrement perdue ? Deurrimois plusrtard;série : d'
attaques
.iJIort.r.aZ7ErIq Mb noitBmm6llni9Jri9toiv - A2t
sement intel- lectuel, à l'époque où Us ne sont plus sous le coup d'
attaques
convulsives ou d'hallucinations graves. En bien
e connaissance sans autre inconvénient; trois jours après, nouvelle
attaque
semblable, mais cette fois, aphasie sensorielle
la peau de l'oreille gauche, qui seraient apparues à la suite d'une
attaque
accompagnée de vomissements : affaiblissement d
formant transition entre l'une et l'autre migraines, l'apparition d'
attaques
de l'une ou l'autre forme chez le même individu
Le Dr C,11)1.01, de Bourbonne-les-Bains, vient d'être victime d'une
attaque
inattendue. Un cultivateur de Martinville (Vosg
ladies. Nous avons interrogé son père qui est arthritique, sa DES
ATTAQUES
D HYSTÉRIE. 277 mère qui a été nerveuse, son fr
s qui, pourtant, n'a pas été si- gnalée dans cette affection. DES
ATTAQUES
D'HYSTÉRIE A FORME D'ÉPILEPSIE PARTIELLE (ÉTUDE
qui précèdent, d'une part, la réalité d'une variété particulière d'
attaques
d'hystérie, l'attaque à forme d'épilepsie parti
art, la réalité d'une variété particulière d'attaques d'hystérie, l'
attaque
à forme d'épilepsie partielle, constituée uniqu
nous suivions, dans le service de M. Charcot, une malade atteinte d'
attaques
convulsives, sur la nature desquelles notre maî
ayeur occasionnée par une tentative de viol, Ang... fut prise d'une
attaque
de nerfs et cracha du sang. Les crachements de
Société médico-psychologique dans la séance du 29 octobre 1883. DES
ATTAQUES
D'HYSTERIE. 279 à plusieurs reprises. La malade
épitaxis, et depuis un an et demi, plusieurs pertes utérines. Les
attaques
de nerfs se sont renouvelées assez souvent depu
ournit que des renseignements fort vagues sur les caractères de ses
attaques
. Ce que nous appre- nons de plus précis, c'est
permanent, paraissant s'accentuer un peu à la su'te des périodes d'
attaques
dont nous allons parler; s'atténuer au contrair
points douloureux sont les points ovariens, surtout à gauche. b)
Attaques
. Depuis son entrée à la Salpêtrière, la malade
taques. Depuis son entrée à la Salpêtrière, la malade a été prise d'
attaques
, à plusieurs reprises. Ces attaques revien- nen
trière, la malade a été prise d'attaques, à plusieurs reprises. Ces
attaques
revien- nent par séries, et se reproduisent en
- nent par séries, et se reproduisent en grand nombre pendant DES
ATTAQUES
D HYSTERIE. 281 plusieurs jours. La première
DES ATTAQUES D HYSTERIE. 281 plusieurs jours. La première série d'
attaques
s'est montrée en mai 1882, une deuxième à la fi
octobre 1883, trois nouvelles séries d'accès. I. Description des
attaques
. a) Aura. Les attaques se suc- cédant d'ordinai
nouvelles séries d'accès. I. Description des attaques. a) Aura. Les
attaques
se suc- cédant d'ordinaire à intervalles très r
rangulation assez vif, tel qu'on l'observe communément au début des
attaques
hysté- riques. b) Puis les phénomènes apparai
é, il y a simplement tétanisation ; pas de convulsion clo Fig. 9. -
Attaque
de Rosa G...(Oss.I.) 282 CLINIQUE NERVEUSE.
tituent comme l'ébauche d'une période de convulsions cloniques. L'
attaque
est alors terminée, la tête reste un peu inclinée
alors que ceux du droit sont déjà convulsés depuis un instant. DES
ATTAQUES
D'HYSTÉRIE. 283 questionne Ang..., ou ses répon
estionne vivement, Ang... répond : « J'ai mal à la tête ». Dans l'
attaque
, telle que nous venons de la décrire, on ne con
la période des grands mouvements, ou la période hallucinatoire de l'
attaque
de grande hystérie. Les accès se succèdent à
débutant aussitôt que le précèdent est terminé. II. Variétés de l'
attaque
. Dans la plupart de ces périodes de crises, les
riétés de l'attaque. Dans la plupart de ces périodes de crises, les
attaques
ont revêtu les caractères que nous venons d'ind
e- ments convulsifs. Plusieurs fois même nous avons assisté à des
attaques
plus incomplètes encore, en ce sens que tous le
relevé l'apparition de symp- tômes qui font d'habitude partie de l'
attaque
de grande hys- térie : c'est ainsi qu'à deux ou
«Tiens, la voilà qui s'est envolée». Plusieurs fois aussi après les
attaques
, Ang... a éprouvé une sensation de vertige. « J
la compression ovarienne et des inhalations chloroformiques sur les
attaques
. La compression ovarienne unilatérale ou bilaté
sive, a toujours été impuissante soit à em- pêcher l'apparition des
attaques
, soit à les arrêter au cours de leur évolution.
de chloroforme, dont l'effet est d'habitude infaillible contre les
attaques
de grande hystérie. Or, voici ce que nous avons
ure. Quel qu'ait été durant les différentes crises la fréquence des
attaques
, dont le nombre a atteint plus de cent par jour
sie vraie, telle que celle qu'on observe communément à la suite des
attaques
d'épilepsie partielle due à une lésion cérébral
vulsifs, les uns localisés aux muscles moteurs de la tête et de DES
ATTAQUES
D'HYSTÉRIE. 285 la face gauche, d'autres étendu
inations inconstantes, cons- tatées à la suite de quelques-unes des
attaques
seulement. Pas d'élévation de la température ;
e simultanément atteinte d'une lésion du cer- veau, et de fait, ses
attaques
, comme on vient de le voir, rappelaient de fort
hermie et de paralysie nette des membres convulsés à la suite des
attaques
, si l'existence d'un double rétrécissement conc
lui d'Ang... La seconde comme la première malade était atteinte d'
attaques
hystériques à forme d'épilepsie partielle. Da
ns. A cette époque, à la suite d'une vive contrariété, F... eut une
attaque
avec perte de connaissance. Cette attaque se se
contrariété, F... eut une attaque avec perte de connaissance. Cette
attaque
se serait accompa- gnée de paralysie du bras ga
te attaque se serait accompa- gnée de paralysie du bras gauche. Les
attaques
se sont re- produites à plusieurs reprises. De
ment de fatigue. Le système vaso-moteur est un peu affecté. DES.
ATTAQUES
DIII'S1'RIG. 287 Il suffit, en effet, d'exercer
n'est pas douteux que cette malade soit affectée de la névrose. Les
attaques
, qu'à différentes reprises, elle a eu depuis so
le démontrent suffisamment. Nous n'avions jamais été témoins de ces
attaques
, mais nous pouvons néanmoins en tracer la descr
surveillante du service et par les voisines de lit de Fore... Ces
attaques
ne se ressemblent par toutes. Il en existe deux
ises, Fore... a eu des syncopes soit isolées, soit consécutives aux
attaques
précédemment décrites. Mais, en dehors des phén
te de connaissance. Mais, dans quelques cas, elles sont suivies des
attaques
que nous avons décrites plus haut, avec délire
st suffisamment démontrée par l'existence chez elle de la toux, des
attaques
de tremblement, des hallucinations qui se sont
à peine a-t-elle répondu à deux ou trois questions, qu'elle est DES
ATTAQUES
D'liYSTÉRIE. 289 brusquement interrompue, au mi
liYSTÉRIE. 289 brusquement interrompue, au milieu d'un mot, par une
attaque
convulsive. Les globes oculaires se dirigent en
Dans sa jeunesse elle était rêveuse, elle avait parfois de petites
attaques
de nerfs, mais qui ne ressemblaient en rien à c
tensité ; ils conservent cependant leurs premiers caractères, à DES
ATTAQUES
D'HYSTÉRIE. 291 i part l'absence du stertor ter
e l'épilepsie partielle. Mais il n'y a là qu'une apparence, car les
attaques
éprouvées par Marie C... sont sans conteste des
e, car les attaques éprouvées par Marie C... sont sans conteste des
attaques
d'hystérie. On les voit, en effet, se transform
en effet, ce passage de l'Observation : « La malade est prise d'une
attaque
qui commence par cinq ou six secousses, du hoqu
ent surabondam- ment, croyons-nous , la réalité du type nouveau d'
attaques
hystériques sur lequel nous venons d'appeler l'
étaient d'ordinaire suivies, comme celui-ci, des autres phases de l'
attaque
, la phase des grands mouvements et des hallucin
si nous en jugeons par nos observations, elles constituent toute l'
attaque
. De là la nécessité d'en bien connaître la poss
ropositions les enseignements qui nous semblent s'en dégager. DES
ATTAQUES
D HYSTÉRIE. 293 RÉSUMÉ ET CONCLUSIONS : 1° Le
er. DES ATTAQUES D HYSTÉRIE. 293 RÉSUMÉ ET CONCLUSIONS : 1° Les
attaques
d'hystérie, du moins à-leur pre- mière période,
nt très fréquemment, comme on sait, aux accès d'épilepsie vulgaire (
attaques
de mal comitial); 2° Quelques cas nous autori
ie peut, d'une façon exceptionnelle, emprunter aussi le masque de l'
attaque
de petit mal (absences et ver- tiges) ; 3° Il
es) que, chez un certain nombre de malades, la symptomatologie de l'
attaque
hystérique reproduit avec une remarquable exact
s convulsions partielles épileptoïdes consti- tuent souvent toute l'
attaque
d'hystérie, et ne sont suivies ni de phase des
es unes sur les autres, de façon que les 29t CLINIQUE NERVEUSE. DES
ATTAQUES
D'HYSTÉRIE. diverses périodes constitutives de
EUSE. DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. diverses périodes constitutives de l'
attaque
n'ont pas le temps de se produire; 6° Les acc
ose utilisés pour distinguer l'accès de mal comitial de la grande
attaque
d'hystérie (effet de la compression ova- rienne
NNR. 295 tations des symptômes permanents de l'hystérie après les
attaques
) conserveront ici toute leur valeur. ERRATA. -
n'aurait jamais fait d'excès de boisson; il est très nerevux (pas d'
attaques
); très doux de caractère; il fume peu ; marié à v
des faiblesses avec perte de connaissance et sueurs froides; pas d'
attaques
de nerfs, pas de migraines, pas de convul- sion
e à droite. [Père, charpentier, mort à quatre-vingt-deux ans, d'une
attaque
de paralysie gauche qui l'a enlevé en trois jou
iutelli- gente, très nerveuse, pleure et rit sans motif, n'a eu ni
attaques
ni faiblesses; elle est mariée et a un enfant d
voque ou les arrête. Elle a de véritables syncopes après certaines
attaques
subies sans aucune conscience. Celles-ci ne se
e hors de son lit. La température n'a pas été prise au moment des
attaques
. En dehors d'elles, on l'a trouvée normale. A
gnostic,lacontracture des membres supérieurs survenue après une.
attaque
des plus grave est bien propre à le corroborer.
également des élancements dans les deux jambes. Les deux premières
attaques
durent un mois, la troisième huit jours, la qua
les couleurs. Elle devient bientôt phthisique, a fréquemment des
attaques
de petit mal, et meurt sept mois après son entrée
. Intégrité apparente des sens spéciaux. Menstruationréguliere. Les
attaques
, fréquentes et graves, présentent les caractère
n sans but, vio- lences, gâtisme ; à la suite d'une série de fortes
attaques
, elle tombe dans un état de stupeur, et ne tard
des traces de perturba- tion mentale. Tout à coup, on constate des
attaques
épileptiformes sans perte de connaissance, puis
a constaté de troubles ocu- laires, ni de paralysie, tandis que les
attaques
, devenues très fré- quentes dans les dernières
té de l'albuminurie, qui coïncidait littéralement avec le début des
attaques
, était presque totalement parallèle à la violen
hives, t. VIII. 25 386 SOCIÉTÉS SAVANTES. soit altéré. Or, ici, l'
attaque
apoplectique soudaine, rapidement améliorée, dé
plus tard les muscles des extrémités et du tronc participèrent à l'
attaque
. L'aura est constituée par de l'agitation, de l'a
ie térébrante, parfois encore par des hallucinations de la vue. Les
attaques
laissent l'individu terrifié, pleurard, errant,
rencontrent également chez l'épileptique, qu'elles affectent avec l'
attaque
un rapport traduisant bien réelle- ment une loi
itions déterminées. Le champ visuel demeure tel qu'il était avant l'
attaque
, quand celle-ci est purement motrice, c'est-à-d
leptique, etc.); 3° A la suite de presque tous les équivalents de l'
attaque
accom- pagnés ou non de trouble de la connaissa
de l'écorce du cerveau qu'il convient d'attribuer la cause de toute
attaque
d'épilepsie qui coïn- cide avec un rétrécisseme
s et privés), 219. Apoplexie (symptômes mentaux précurseurs d'une
attaque
d'), par Savane,214. Asiles d'aliénés dans la
Blizzard (An. P. Marie), 118. 1'abesdorsal,parltumpf,8l, 370;-
attaques
apoplectiformes et épi leptiformes dans les pre
est rhumatisante elle-même et de tempérament nerveux; elle a eu des
attaques
d'hystérie. Il y a aussi des alcooliques dans l
nsi que les oncles paternels. La mère est rhumatisante, et a eu une
attaque
de rhumatisme polyarticulaire aigu. Le grand- p
hysique appréciable en novembre 1882 : à cette époque survinrentdes
attaques
hystéro- épileptiques qui paraissent avoir eu l
à dix-sept ans. Depuis l'âge de dix-huit ans elle est sujette à des
attaques
de céphalalgie qui durent trois à quatre jours
tères qu'aujourd'hui. Pendant son séjour à l'hôpital elle a eu deux
attaques
semblables à celles qu'elle a maintenant. Elle
, très améliorée mais non guérie. Il y a deux mois, elle a eu une
attaque
, et c'est à partir de ce moment que son état a
ncé à s'aggraver; dès lors, elle n'a pas cessé d'avoir deux à trois
attaques
par semaine environ. Etat actuel. -Au repos dan
t deux zones hystérogènes déterminant des sensations d'aura, et des
attaques
. Celles-ci sont ainsi consti- tuées. G... a d
sa face est grimaçante. La compression du point ovarien arrête l'
attaque
. La malade conserve sa connaissance pendant toute
que. La malade conserve sa connaissance pendant toute la durée de l'
attaque
. D'habitude la marche»devient plus facile après
ée de l'attaque. D'habitude la marche»devient plus facile après les
attaques
. Il y aurait, au dire de la malade, une sorte d
y aurait, au dire de la malade, une sorte de balancement entre les
attaques
et la difficulté de la marche. Observation X.
devint de plus en plus pénible et fré- quente. Des vertiges et des
attaques
comateuses apparurent. La malade entre à l'hôpi
malade s'affaiblit de plus en plus. Le 16 mai, il est pris d'une
attaque
épileptiforme; les mou- vements convulsifs ont
faitement conscience de son état, et il aurait été prévenu de cette
attaque
par de l'obtusion des idées. Dans la nuit, de
iéné de tomber sous la protection d'ignorants. REVUE CRITIQUE DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE Par GILLES DE LA TOUHËTTE
devoyeut excuser, c'estoyent ceux qui luy couroyent sus : et DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTERIQUE. 93 optant exilé, tost ap
ortune de se trouver en présence d'un cas de coma hystérique, d'une
attaque
de sommeil, comme nous dirions aujourd'hui. A
mes employés tour à tour par les auteurs modernes pour désigner les
attaques
que nous allons décrire. Les auteurs qui, jus
, liv. Il, chap. v. 4 De l'apparition des esprits, chap. xiv. DÈS
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. : noncer aux inquisiteur
r nettement la notion étiologique, si importante dans l'espèce. Une
attaque
de sommeil prolongé, en effet, ne permet pas ip
insuffisante et très peu scientifique. Louyer-Yillermay 2 place les
attaques
d'apoplexie hysté- rique dans sa troisième clas
douzy qui, dans son Traité complet de l'hystérie (18/f6) décrit les
attaques
de sommeil sous la rubrique de « Perte de conna
ait pu écrire (p. 413) : « Malgré ce qu'en ont dit les auteurs, les
attaques
hystériques avec sommeil sont peu communes et o
, 36. * Traite clinique et thérapeutique de l'hystéiie, 1859. DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 97 fixé l'attention ; on
nimie assez large puis- qu'il décrit dans son même chapitre vu les «
attaques
de som- meil, de coma et de léthargie » simples
a publi- cation des travaux de notre éminent maitre sur la grande
attaque
hystéro-épileptique, travaux présentés avec un ta
phé- nomènes en apparence si variables constitutifs de la grande
attaque
étaient le plus souvent décrits sans ordre, bien
er eût été déjà poussée très loin. M. Charcot en montrant que cette
attaque
présentait presque constamment quatre périodes
l'hystérie comateuse. Paris, 1875. * Etude descriptive de la grande
attaque
hystérique ou hystéro-épilep- tique et de ses p
partant incomplète d'un phénomène le . sommeil- succéda celle de l'
attaque
ordinaire avec immixtion de phénomènes léthargi
'1877-'1880 dont le troisième volume renferme une description des
attaques
de sommeil qui forme la monographie la plus compl
tionner comme fondamentaux plusieurs leçons de M. Char- cot sur les
attaques
de sommeil, recueillies par llillioti'; un mémo
ma nervoso. Milan, 1885. Des zones hystérogénes et lzpnogézzes; des
attaques
de sommeil. Bor- deaux, 1885. 3 De l'apoplexi
p. 370; et Gaz. hebd. de 11led et de chi ? 20 août 1886, p. 15t DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTERIQUE. 90 Dr Charlier (d'Origny
avons fait pressentir, nous confondrons sous la même dénomination d'
attaque
de sommeil, à laquelle nous adjoindrons l'épith
'elle sera une bonne introduction à l'étude sympto- matologique des
attaques
de sommeil'. 1\1[10 M. B..., vingt-cinq ans, ha
e frayeur et, une heure environ après leur départ, elle fut prise d'
attaques
d'hystérie très violentes et très nettement car
rès violentes et très nettement caractérisées. Cette suc- cession d'
attaques
dura environ vingt-quatre heures, et la malade
variables, tous les mois, tous les mois et demi environ, par des
attaques
convulsives survenant brusquement pendant lesquel
la maintenir cou- chée ; l'arc de cercle fut nettement observé. Ces
attaques
d'hys- térie se terminaient par une salivation
éi-ogdize très limitée, dont le moindre attouchement provoquait une
attaque
convulsive.-Les mouvements limités d'abord au t
ps qui était agité par des secousses cloniques très énergiques. DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 101 Un jour, la malade p
tion spinale. Cette trépidation ne tarde pas à se généraliser à DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 103 l'autre membre inf
ns- nous dit, considérablement dans l'étude symptomatologique des
attaques
de sommeil, mais, avant d'entreprendre de les d
rement relatives à l'étiologie toute spéciale de cette variété de l'
attaque
hystérique. Nous ne nous arrêterons que fort pe
famille neuro-pathologique ' et, en ce qui regarde spécialement les
attaques
de sommeil, la lecture des nombreuses observati
ersonnels du sujet nous devons préciser la date de l'apparition des
attaques
de sommeil par rapport aux autres accidents hys
eloppés chez le même individu. En un mot, quelle place occupent les
attaques
de sommeil au milieu de l'apparition et du déve
ne autre qui lui confine de bien près : quelle est la fréquence des
attaques
de sommeil relativement aux autres variétés de
uence des attaques de sommeil relativement aux autres variétés de l'
attaque
hystéro-épileptique ou aux phénomènes nerveux d
st importante à préciser surtout t lorsque l'on envisage la forme d'
attaque
de sommeil plus par- ticulièrement désignée sou
ans les maladies du système nerveux. Th. agrég., Paris, 1886. DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 105 pelé, ainsi quelefai
et celles-ci lui apprennent que le sujet souffre ordinaire- ment d'
attaques
convulsives dont la description le met immé- di
s par les divers auteurs qui se sont occupés de la question que les
attaques
de sommeil sont très rarement les premières en
utres; nous voulons parler des phé- nomènes convulsifs de la grande
attaque
qui si souvent pré- cèdent, lorsqu'ils ne s'y m
taque qui si souvent pré- cèdent, lorsqu'ils ne s'y mêlent pas, les
attaques
de sommeil. « Le plus ordinairement, dit Brique
it Briquet (p. 416), le sommeil hystérique n'arrive qu'à la fin des
attaques
de convulsions. » « Le sommeil hystérique, dit
e convulsions. » « Le sommeil hystérique, dit M. Charcot ', est une
attaque
hystéro-épileptique modifiée. » Aussi M. P. Ric
me nous l'avons noté ces accidents sous la rubrique : «Variété de l'
attaque
par immixti- tion de phénomènes léthargiques »,
mènes léthargiques », ajoutant plus loin (p. 260) : «En résumé, les
attaques
de sommeil hystérique sont souvent ' Lezioni cl
ifs pouvant être rapportés aux deux premières périodes de la grande
attaque
. » Néanmoins, comme on le sait, les phénomènes
oniques ne constituent que les deux premières périodes de la grande
attaque
. Or il est assez souvent donné d'observer chez
primitif d'emblée, survient souvent, non pas consécutivement à une
attaque
isolée, mais bien plutôt à une série d'attaques
onsécutivement à une attaque isolée, mais bien plutôt à une série d'
attaques
dont les symptômes fréquemment frustes empièten
nvulsifs, signalés par P. Richer, et nous pourrons conclure que les
attaques
de sommeil ne sont que très rarement le symptôm
l'étude de la seconde question. Quelle est la fréquence absolue des
attaques
de sommeil, comme symp- tôme dominant, par rapp
sté- riques ou mieux par rapport aux autres variétés de la grande
attaque
. « Les attaques de sommeil sontpeu communes »,
mieux par rapport aux autres variétés de la grande attaque. « Les
attaques
de sommeil sontpeu communes », dit Briquet DES
ue. « Les attaques de sommeil sontpeu communes », dit Briquet DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. '107 (p. 148), qui, sur
sur 420 malades, a seulement relevé « trois cas d'hystérie avec des
attaques
consistant en un véritable som- merl cinq cas d
e avec des attaques consistant en un véritable som- merl cinq cas d'
attaques
comateuses et huit de véritable léthargie. L'
us ne voulons pas assimiler les syncopes du petitmal hystérique aux
attaques
de sommeil, mais enfin, lorsque Lan- douzy écri
ons-nous avec lui, en ne considérant que la forme particulière de l'
attaque
de sommeil qu'il a étudiée : z L'apoplexie hyst
Tare héréditaire. A la suite d'excès de boissons, vertiges, puis
attaques
épileptiformes, agoraphobie, accès de delirium
ion de lettrés. Désordre dans les idées, agitation, excitation. Une
attaque
épileptiforme débutant par la rotation de la tète
ilep- tique alternant avec des accès épileptiformes ou de grandes
attaques
épileptoïdes. Gangrène spontanée de tous les orte
son observation : c'est la suppression momentanée (six mois) des
attaques
d'hystérie et des vomissements, par la suggestion
seconde série deconvulsionssui- vies d'hémiplégie gauche. D'autres
attaques
portèrent surtout sur' la moi- tié droite du co
s, rétrécis- sement du champ visuel , troubles sensoriels divers,
attaques
, qui devront, par suite, toujours être recher-
urs ; tisserand, sobre. - Mère, morte à soixante-douze ans, d'une
attaque
d'apoplexie. Pas de détails sur les grands-parent
e. ' Observation XXXVII. Mère, nerveuse. - Grand'mère maternelle,
attaques
de nerfs, somnambulisme, migraines. Conception
ernelle. - Oncle paternel, mort de convulsions. - Tante paternelle,
attaques
de nerfs tt insuffisance intellectuelle. Grand'
verre d'eau qu'on lui présente, se raidit de tous les membres, et l'
attaque
se complète. - Le fils d'un médecin, pris à tab
couvrira, d'après Kahlbaum, très souvent au début de la maladie des
attaques
épileptiformes ou d'autres manifestations de cr
s épileptiformes ou d'autres manifestations de crampes arrivant par
attaques
. Puis ces états devenus durables atteignent leu
nt du terrain sur lequel elle peut se développer. (A suivre.) DES
ATTAQUES
DU SOMMEIL HYSTÉRIQUE3; Par GILLES DE LA TOURET
ier% eux. III. Il nous faut désormais aborder la description de l'
attaque
de sommeil hystérique, et nous englobons sous c
. Ne/'v. Bd. XIII, H. 2. 1882.) 3 Voir t. XV, 11 - S3, p. 92. DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSrÉRIOUE. ? 6ï tion les cas où la
ces phénomènes priment tous les autres symptômes ordinaires de l'
attaque
. Mais, par ce fait même que le cadre est large-
enir ultérieurement sur diverses variétés, par- ticulièrement sur l'
attaque
dite apoplectique, surtout lorsque celle-ci s'a
tir, assez variables. Souvent, l'individu s'endort à la suite d'une
attaque
ou d'une série d'attaques convulsives; quelquef
vent, l'individu s'endort à la suite d'une attaque ou d'une série d'
attaques
convulsives; quelquefois, il est frappé soudain
important à considérer, surtout, lorsqu'on cherche à rapprocher ces
attaques
du sommeil phy- siologique. On sait que pendant
68 REVUE CRITIQUE. contracture, et les sujets qui sont en proie aux
attaques
de sommeil ne diffèrent pas des malades en butt
r le globe oculaire par l'air ambiant soit suffisant pour faire DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 269 entrer en contractur
équemment comme on le sait, dans les autres va- riétés de la grande
attaque
hystéro-épileptique. La respiration participe g
dans certains cas de mort ap- parente qui n'étaient autres que des
attaques
de sommeil hys- térique. Le pouls est égaleme
M. Charcot et M. Bourneville ont assigné à la température pendant l'
attaque
ou les séries d'attaques hystériques. « L'attaq
ille ont assigné à la température pendant l'attaque ou les séries d'
attaques
hystériques. « L'attaque hystérique tonique. di
érature pendant l'attaque ou les séries d'attaques hystériques. « L'
attaque
hystérique tonique. dit M. Charcot2, pour peu q
ntracture que nous avons notée, il ne faut donc pas s'étonner que l'
attaque
de sommeil se comporte, quoiqu'un pen plus faib
n plus faiblement peut-être, vis-à- vis de la température comme une
attaque
tonique d'hystérie. Connaissant l'état'de la re
nous supposons que l'individu ne reprend pas connaissance, queson
attaque
est continue et que partant, il ne peut s'aliment
s six semaines de sommeil, conservait encoreun certain embon- DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. : 2; i point, alors que
nutrition dépend encore des épiphénomènes qui peuvent entrecouper l'
attaque
: on comprend qu'a priori le malade qui dort sa
les documents nous manquent, car, aujourd'hui que le diagnostic des
attaques
de sommeil s'établit le plus souvent dès leur d
urtout plus concluant, d'examiner l'état des sécrétions pendant les
attaques
de som- meil même lorsque le sujet est alimenté
sulats positifs. Or il n'est pas donné d'obser- ver fréquemment des
attaques
de sommeil. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE.
t pas donné d'obser- ver fréquemment des attaques de sommeil. DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 273 Ces recherches ont é
une malade du service de M. Charcot en proie depuis 28 heures à une
attaque
de sommeil accompagnée de contractures générali
l science », juillet 1887, p. 267, À case of prolonged sleep. DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 575 j' mes d'urine, ce q
peu si l'on songe que la malade n'avait uriné, depuis le début de l'
attaque
, ni volontairement ni invo- lontairement. L'ana
heures. Elle se réveilla du reste dans lajournée ne gardant de son
attaque
qu'un fort sentiment de lassitude. Nous l'avons
est très difficile d'être fixésurles diverses sécrétions pendant l'
attaque
de sommeil; toutefois elles nous paraissent ral
st du reste l'opinion admise par M. Charcot dans ses Leçons sur les
attaques
de sommeil'. Nous venons de voir, par la lectur
'Albertine dans Pitres, Des zones hystérogènes et hypno- gènes; des
attaques
de sommeil. Bordeaux 1885, p. 58. 276 REVUE CRI
générale, rappelons- nous que, très fréquemment, longtemps avant l'
attaque
, les hystériques présentent presque toujours de
e médico-légal, in-8°, 1887, chap. vu, Les états hystériques. DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 277 -i entre le genou et
les malades sortant le plus souvent de leur sommeil, à l'aide d'une
attaque
convulsive, comme ils y sont entrés du reste, o
y sont entrés du reste, on aura donc tout'intérêt à provoquer cette
attaque
et la connaissance d'une de ces zones deviendra
endra capitale. Ces zones pouvaient exister avant l'apparition de l'
attaque
de sommeil, mais elles peuvent aussi se dévelop
ciable. Ces zones hystérogènes ont été expressément notées dans l'
attaque
de sommeil par M. Charcot, ainsi qu'on en pourra
s citons textuellement : « 23 juin 1879. - D... s'est endormie sans
attaques
, le-20, à 10 heures du soir. Elle dort encore c
in gauche (zone hystérogène) M. Char- cot provoque qua ! re petites
attaques
; après la dernièreD... est réveilée. « ... 3
raideur des membres, pas de cata- lepsie. Elle est réveillée, sans
attaques
, par la pression sous- mammaire. D Nous avons
que les zones hystérogènes pouvaient exister avantl'apparition de l'
attaque
; nous répéterons qu'elles peuvent disparaître p
pigastrique une zonehypé- résique, dont la pression déterminait des
attaques
convulsives. Au bout de trois ans et demi cette
decette zone ou d'aucune autre de même nature. Du reste, pendant l'
attaque
de sommeil, l'hystérie ne perd nullement ses dr
es nous aurons à revenir en traitant du diagnostic différentiel des
attaques
de sommeil, M. Achard nous dit (p. 92) : « Il e
de la pilocarpine. (Journal de thérapeutique, 1880, p. 241.) DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE, 279 est totale; la malad
enant l'étude de l'élai men lai et de ses modifi- cations pendant l'
attaque
: ici les malades doivent être groupés sous plu
tain nombre - et ce sont peut-être les plus nombreux qui, lorsque l'
attaque
a duré longtemps sans interruption, disent ne s
début de l'accès. Il en est d'autres qui font pour ainsi dire leurs
attaques
de sommeil comme ils feraient une attaque ordin
nt pour ainsi dire leurs attaques de sommeil comme ils feraient une
attaque
ordinaire d'hystéro- épilepsie aux quatre pério
. 280 REVUE CRITIQUE. l'appui des rapports qui existent entre les
attaques
de léthargie hystérique et celles de léthargie
l'ouïe. « Une de ces malades, dit-il (p. 423), celle qui avait eu l'
attaque
la plus forte, a déclaré que pendant son sommei
lico, ipnotismo spontaneo, aulononzo. Na- ples, 188fi, p. 42. DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 281 pour m'embrasser et
sujet particulier en faisant ressortir l'intérêt que présentent les
attaques
de sommeil au point de vue médico-légal. 28 ? .
ement abolie pendant un certain temps tout au moins. La durée des
attaques
de sommeil est éminemment variable; elle s'éten
ée relative et la durée absolue. Il est rare, avons-nous dit, que l'
attaque
, lorsqu'elle se pro- longe, ne s'entremêle pas
hénomène, il se rendort. La durée relative comprend l'ensemble de l'
attaque
, épiphénomènes inclus ; la durée absolue compre
urvient une crise, on peut dire rationnellement que c'est une autre
attaque
de sommeil qui va commencer. Les auteurs, avec
e 31 mai 1883. C'est du reste, à notre connaissance, la plus longue
attaque
de sommeil qui ait été observée, et dans la cir
nterrompue de la connaissance. , En dehors de ce cas, on a noté des
attaques
de 2, 3, i, 5, 6, 8 jours (Briquet); cent heure
se in centralblatt sur klinische mettent.; 1885, n" 15, p. 775. DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 283 trois semaines (Gair
uentes et nous considérons ici les cas où les rémissions entre deux
attaques
sont assez longues pour qu'on ne se trouve plus
ique. On sait en effet que l'hysté- rique fait presque toujours ses
attaques
dans le même moule et une première attaque de s
it presque toujours ses attaques dans le même moule et une première
attaque
de sommeil reste bien rarement isolée. « Chez
ment isolée. « Chez une malade cependant, dit Briquet (p. 422), l'
attaque
léthargique a paru avoir épuisé la source des a
l'amélioration d'une manière notable, et il n'est plus sur- venu d'
attaques
d'aucune espèce.» Il est vrai qu'il écrit immédia
ai qu'il écrit immédia- tement au-dessus : « Il n'y avait eu qu'une
attaque
chez trois ma- lades ; il y en avait eu deux à
alade, depuis 1870, n'a pas passé d'années sans avoir au moins deux
attaques
, dont quelques-unes ont duré de quarante à cinq
s-unes ont duré de quarante à cinquante jours. Comment se termine l'
attaque
de sommeil ? comment le malade sort-il du somme
emment du sommeil hystérique comme ils y sont entrés, par une autre
attaque
, / le plus souvent d'ordre convulsif. Y Nous
d'une zone hystérogène faisait cesser le sommeil en provoquant une
attaque
. Assez souvent, en outre, ce fait est fréquemme
aque. Assez souvent, en outre, ce fait est fréquemment noté - cette
attaque
prend le caractère 284 -il REVUE CRITIQUÉ. 'd
ent avoir donné la note exacte : « Tantôt, disent-ils (p. 139), l'
attaque
de sommeil se termine par une attaque convulsiv
antôt, disent-ils (p. 139), l'attaque de sommeil se termine par une
attaque
convulsive ou bien par des lèves, des pleurs, de
e plus en plus rapprochés annoncent chez H... (Cas. XI) la fin de l'
attaque
de sommeil. Dans ce cas aussi il se produit un
es phénomènes convulsifs ne laissant aucun doute sur la nature de l'
attaque
. L'attaque de sommeil peut laisser après elle o
convulsifs ne laissant aucun doute sur la nature de l'attaque. L'
attaque
de sommeil peut laisser après elle ou favoriser
- tériques ; en cela elle ne diffère pas des autres variétés de l'
attaque
et nous venons de dire que c'était souvent les co
oute une série de faits étudiés par M. Achard, le sujet sort de son
attaque
hémiplégique et hémianesthésique sensi- tivo-se
es. Nous insistons 1 Progrès médical, 25 janvier 1879, p. 61. DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTERIQUE. 283 cependant, sur la co
ur la face et sur les membres. Quel est maintenant le pronostic des
attaques
de sommeil ? Il est facile à formuler : ainsi q
Il est facile à formuler : ainsi que toutes les autres variétés, l'
attaque
de sommeil peut laisser après elle nombre d'accid
i. Louyer-Villermay (1816) place, ainsi que nous l'avons dit, les
attaques
de sommeil hystérique dans sa troisième classe,
voir parlé de la mort apparente, dit nettement : « Tantôt, enfin, l'
attaque
est réellement suivie de mort. » Briquet, plus
ubliés, cela ne l'empêche pas de dire (p. 427) : « Le pronostic des
attaques
soporeuses n'est pas aussi grave que les appare
n'est pas aussi grave que les apparences le feraient craindre. Ces
attaques
se termi- nent toujours spontanément, et. tant
oute (p. 538) dans le chapitre où il traite des terminai- sons de l'
attaque
hystérique en général : « Les fortes syncopes e
ependant un cas récent dans lequel la mort survint à la suite d'une
attaque
syncopale, aussi, vu sa rareté, ce fait mérite-
ion de l'amblyopie, J... présente un matin tous les symptômes d'une
attaque
d'apoplexie céré- orale, à savoir : hémiplégie
ique avec autopsie : Annales méd. 1,3ych., mars 1887, p. 25t. DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 128-1 i lade mourut de p
a mort survint par suite d'une tuberculose pul monaire à laquelle l'
attaque
par la dénutrition qu'elle avait amenée n'avait
ent le réveil sont les seuls points sombres dans le pro- nostic des
attaques
de sommeil. IV. I. Si le pronostic des attaqu
pro- nostic des attaques de sommeil. IV. I. Si le pronostic des
attaques
de sommeil hystérique est facile à établir, il
s vu combien l'Ecole de la Salpêtrière avait fait pour l'étude de l'
attaque
hystéro-épileptiqueen général etpour celle de l
'étude de l'attaque hystéro-épileptiqueen général etpour celle de l'
attaque
de sommeil en particulier. Il est en effet un g
and nombre d'affections dont les mani- festations peuvent simuler l'
attaque
de sommeil, de léthargie, de coma hystérique, c
ue, nous distinguerons deux groupes de faits : ceux dans lesquels l'
attaque
de sommeil se présente sous la forme apoplectiq
à dire quelques mots complémentaires sur la forme apoplectique de l'
attaque
de sommeil récemment bien étudiée par MM. Debov
la description générale, elle se confond, nous l'avons dit, avec l'
attaque
de sommeil- type, celle que nous avons eue surt
n. Le début semble soudain et, dans les cas accentués, le ma- DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 289 lade paraît plongé d
ie. Or, si nous nous reportons au pronostic relativement bénin de l'
attaque
de sommeil et si nous songeons à la gravité ext
e d'une lésion cérébrale : hémorrhagie, ramollissement, tu- meur,
attaques
apoplectiformes de la paralysie générale, etc.
écédents sera toujours d'un précieux secours et nous sa- vons que l'
attaque
de sommeil n'est que très rarement la pre- mièr
xclusive de Sydenham, qu'il cite en ces termes : « Quand l'hystérie
attaque
le cerveau, elle produit quelquefois une apople
e contestation. On peut en effet poser la règle suivante : dans l'
attaque
de sommeil, la température reste normale ou s'é
ions du cerveau : hémor- rhagie, ramollissement, tumeurs ; dans les
attaques
apoplec- tiformes de la paralysie générale ou d
. A rapprocher de cette hypothermie celle que l'on observe dans les
attaques
d'urémie comateuse (Bourneville). , On peut d
affirmer presque à coup sûr que l'on se trouve en présence d'une
attaque
de sommeil. De même, pendant cette période, les
objecter que, lorsque le malade est ré- veillé, le diagnostic de l'
attaque
de sommeil est parfaitement t inutile, mais il
insi, car ne nous faudra-t-il pas établir encore si, dans ce cas, l'
attaque
apoplectiforme de la veille qui a laissé l'hémipl
exister de la contrac- ture ; ce phénomène n'est pas rare dans les
attaques
de som- DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. et
ture ; ce phénomène n'est pas rare dans les attaques de som- DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. et 1 meil et dans l'hémi
cérébrale. (A¡'cltives de physiologie, t. VIII, 1876, p. 764.) DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 293 des cas dans lesquel
d'une lésion centrale. Pour terminer, nous ne confondrons pas les
attaques
de thargie hystérique avec les attaques provoqu
nous ne confondrons pas les attaques de thargie hystérique avec les
attaques
provoquées de la léthargie hypnotique. Si la no
r en revue, sont de beau- coup ceux qui pourront en imposer par une
attaque
de sommeil. Ces faits sont du reste fort intére
, ipnotismo sponlaneo, aufonomo. - Naples, 1886, p. 2 Î.- ' - DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 295 Ea premier lieu, nou
comme toujours, mais le sommeil n'est plus accompagné ou suivi d'
attaques
convulsives ou d'autres accidents hystériques. Il
élirants hysté- riques (cas de Martinenq) peuvent être sujets à des
attaques
de sommeil. En 1869, M. Legrand du Saulle pub
livetti. Il letargo ela mania possono coesisteoe. -Turin, 1869. DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 297 1 en dehors même des
ant exclusivement à la question du diagnostic différentiel avec les
attaques
de sommeil hystérique, nous n'avons pas à nous
s observations2. Ne pourrait-on pas alors observer la coexistence d'
attaques
de sommeil hystérique ? A cela, et sans vouloir
quarante-huit à soixante- huit heures, mais dans une des dernières
attaques
, elle fut prise pour morte; déjà enterrée le fo
ans la suite, et on l'appela la belle Juive ressuscitée. Enfin, une
attaque
de léthargie hystérique peut-elle être si- mulé
pâle, mais la respiration et le pouls étaient normaux. On lui DES
ATTAQUES
DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 299 donna des oeufs avec
terait à présenter quelques considérations métlico- légales sur les
attaques
de sommeil. C'est un sujet que nous avons déjà
éminent maître, M. le professeur Brouardel', qu'une hysté- rique à
attaques
de sommeil put accuser faussement un indi- vidu
ment qu'ils compor- taient. Quel traitement doit-on appliquer aux
attaques
de sommeil ? « La léthargie, dit Briquet (p. 70
p faiblement. » Nous ne serons pas aussi exclusif que Briquet ; l'
attaque
de sommeil, pour peu qu'elle se prolonge, est p
entraine. Or, sachant que la pression d'une zone hystérogène, par l'
attaque
convul- sive qu'elle amène, suffit parfois pour
diagnostic de tumeur avait contre lui : l'absence de vertiges et d'
attaques
épilep- tiformes ; il avait, au contraire, pour
re, jusque-là bien portant. Le 18 juillet 1884, à la suite de deux,
attaques
apoplectiformes, n'ayant pas laissé de paralysie
es de l'asile et lit volontiers. Dans la nuit du 15 au 16 novembre,
attaque
épileptiforme suivie d'aphasie qui, d'abord, co
uche; c'est la pachyméningite qui doit être tenue pour la cause des
attaques
et de j'aphasie. Impossible, comme en d'autres
Contribution à l'étude clinique des caractères somatiques fixes des
attaques
de sommeil spontané et provoquées chez les hystér
nstruation ; tendance facile au rire et aux larmes; n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs, ni de perte de connaissance; ? ni- 35
ents héréditaires : Père mort à cinquante-neuf ans à la suite d'une
attaque
d'apoplexie; mère très nerveuse, âgée aujour- d
, des poussées d'eczéma à la face; elle affirme n'avoir jamais eu d'
attaques
couvulsives, mais elle avoue qu'elle est très n
is. Il y a quelques années la malade a eu, à diverses reprises, des
attaques
convulsives avec perle de connaissance. Ces crise
a malade est restée très impressionnable, mais elle n'a jamais eu d'
attaques
convulsives. L'hémiplégie de la face qui siège à
rtant. 31èi,e âgée aujour- d'hui de quarante ans; a fréquemment des
attaques
de nerfs; il y a trois uns elle présenta des tr
rs qui toutes sont très nerveuses; l'une d'elles (t fréquemment des
attaques
convulsives. Antécédents personnels : Rougeole
- plètement guérie. Depuis deux ans, le malade est en proie à des
attaques
hysléro- épileptiques qui reviennent environ to
nviron toutes les six semaines et se montrent toujours le soir. Ces
attaques
présentent les phases classiques de l'hystéro-é
tiques sont aussi très fréquents chez les hystériques en dehors des
attaques
de catalepsie et de l'état hypnotique. En effet
tion I. - L..., vingt-ans; a été élevé dans le service des enfants,
attaques
fréquentes d'épilepsie diurne et nocturne qui o
Morel2, Guislain, Griesinger3, Dagonet4). Si bien que «pour la même
attaque
de maladie il y a -quatre phases constitu- tive
colique, etc.), l'affaiblissement des facultés intellectuelles, les
attaques
apoplecliformes qui sont assez fréquentes dans la
x. J. CO1BY. XVI. DE QUELQUES PHÉNOMÈNES SURVENANT A LA SUITE DES
ATTAQUES
épileptiques ET APOPLECTIFOfIlLES; par J. Thoms
itation moteurs (corticaux) soit dans le stade postparoxystique des
attaques
con- gestives, soit dans les psychoses postépil
uite des accès épileptiques constitutionnels, mais encore après les
attaques
congestives apoplectiformes des paralyti- ques
aroles sans suite ; 5- obnubila- tions partielles, consécutives aux
attaques
congestives apoplecti- formes et aux accès d'ép
t ans et non à dix-huit ou vingt ans ; elle n'était pas sujette aux
attaques
de nerfs, comme on le prétend ; elle s'est trou
ans, qui depuis plusieurs années présente très irrégulièrement des
attaques
épileptiques. Les accès se montrent habituellem
a eu recours à une médication bro- murée, il n'aurait eu que trois
attaques
seulement. Il est d'un caractère très égal, bie
lement, en sus, parésie faciale à droite, et, à plusieurs reprises,
attaques
épilepti- formes avec trouble de la connaissanc
oi muscu- laire de l'abdomen du même côté. Elle succombe dans une
attaque
épileptiforme. Athéromasie des vaisseaux de la ba
olonie d' de Bel- f<JId), 327; - (phénomènes consé- cutifs aux
attaques
épileptiques et apoploctilbimes), par Thomsen,
e Ber- lin, 307, 471; (prix de la - de biologie), 335. Sommeil (
attaques
de- hystérique), par Gilles de la Tourette, 93,
ue (Sainte-Anne), le 23 février 1891. Sa mère, névropathe, a eu des
attaques
convulsives jusqu'à l'âge de dix-huit ans; il a
abli et cette singu- lière amnésie systématisée, survenue après une
attaque
, avait disparu. Permettez-moi de vous rappeler
a présenté des somnambulismes spontanés la nuit, puis de grandes
attaques
d'hystérie. Ce qui nous intéresse aujourd'hui, c'
érique, qui semblait jusque-là se porter assez bien, a une violente
attaque
. Quand la crise est finie, la ma- lade semble r
re une femme qui avait eu un accident de ce genre. A la suite d'une
attaque
survenue au mois de novembre, quelques jours av
pagnent la crise, certains états anormaux qui suivent quelquefois l'
attaque
semblent ne 1 Voir dans \' Automatisme psycholo
enue vers la fin du mois d'août dernier, Mme D... a eu une violente
attaque
que M. Charcot considère et à juste titre comme
iolente attaque que M. Charcot considère et à juste titre comme une
attaque
d'hystérie. Elle sortit de son attaque dans un
et à juste titre comme une attaque d'hystérie. Elle sortit de son
attaque
dans un état mental tout particulier : 1° elle
nnelle. Voici un autre cas plus complexe, Marguerite a de grandes
attaques
d'hystérie depuis deux ans et, à la suite de ces
e grandes attaques d'hystérie depuis deux ans et, à la suite de ces
attaques
, elle entre dans une sorte de somnambulisme ass
semble qu'il y ait là un oubli complet produit naturellement par l'
attaque
. Eh bien, il n'en est rien, on peut reproduire
ficiellement ce même état qui semblait faire partie intégrante de l'
attaque
et elle nous répétera minutieusement alors ce q
ne fille, Marguerite, avait des sortes de délires consécutifs à ses
attaques
d'hystérie. Avec plus de précision, elle a, à la
attaques d'hystérie. Avec plus de précision, elle a, à la fin de l'
attaque
, deux périodes de somnambulisme différentes. Dans
raconte ce qui s'est passé pendant le deuxième somnambulisme de son
attaque
et réciproquement dans cette période de l'attaq
nambulisme de son attaque et réciproquement dans cette période de l'
attaque
elle se souvient de ses som- nambulismes artifi
mer ce fait généralement admis aujourd'hui, que l'ancienneté des
attaques
épileptiques et l'apparition de la démen ce doive
ose n'est pas certaine, qu'u n grand-oncle paternel ait eu quelques
attaques
convulsives. ' Antécédents personnels. La gross
t très rapide- ment, mais trois mois après Ser... avait sa première
attaque
d'épilepsie. Voici son histoire à partir de c
e peut plus trouver à se placer, il tombe trop sou- vent. Enfin les
attaques
deviennent de plus en plus fréquentes et en mêm
ceptions lentes et diffuses. Parole lente mais bien articulée. Les
attaques
d'épilepsie sont violentes et surviennent irrégu-
ouze ou quinze jours envi- ron, une série de cinq, six et même sept
attaques
dans une journée. Le reste du temps, il tombait
lui arrivait même de rester quinze jours consécutifs sans une seule
attaque
. En somme, on pouvait estimer à une quinzaine e
En somme, on pouvait estimer à une quinzaine environ le nombre des
attaques
tous les mois. Sans être réellement ivrogne, Se
en trouvait l'occasion. A la suite de ces accès d'intempérance, les
attaques
devenaient plus fréquentes. ' Le malade étant
embre et ayant été trépané le 16 octobre, nous avons pu compter les
attaques
qu'il a eues pendant trente jours. Il en a eu d
journée, et avec un intervalle de neuf jours consécutifs exempts d'
attaque
. Ce résultat confirme assez bien l'exactitude d
ments fournis par la famille : pen- dant le mois, une série de cinq
attaques
dans un jour, un inter- valle de neuf jours san
nq attaques dans un jour, un inter- valle de neuf jours sans aucune
attaque
, et un nombre total de dix-huit attaques. On
e de neuf jours sans aucune attaque, et un nombre total de dix-huit
attaques
. On n'a jamais observé que des grandes attaques
total de dix-huit attaques. On n'a jamais observé que des grandes
attaques
convulsives, jamais de vertige. 11 n'y a pas d'
nance des mouvements convulsifs à droite ou à gauche. Au début de l'
attaque
, la tête s'incline légèrement à droite. Nous av
e sujet est en démence épileptique et il a une quinzaine de grandes
attaques
convulsives tous les mois. 1 Il nous paraît c
oisième à 38°,2, le quatrième à 38°,7. Ce jour-là, à la suite d'une
attaque
, il y eut un accès d'agitation maniaque intense q
t pendant les premiers jours qui la suivirent, il y eut une série d'
attaques
d'épilepsie : neuf le jour de l'opération, cinq
urbations produites dans la circulation cérébrale par cette série d'
attaques
. 60 RECUEIL DE FAITS. . Il y a maintenant tro
s mois que la trépanation a été pratiquée, voici la statistique des
attaques
pendant ce laps de temps : AUTOMATISME AMBULATO
rticale non homonyme, est le caractère de l'épilepsie en dehors des
attaques
, et de la criminalité congéniale. Il faut le ratt
iques et convulsions sont des complications défavorables. Plusieurs
attaques
de manie mettent l'intelligence en danger. P. K
chroniques, attribuées à l'influenza, elles existaient déjà avant l'
attaque
de grippe, bien qu'on ne les eût pas diagnostiqué
. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 77 baie, paraphasie, paragraphie.
Attaques
apoplectiformes suivies d'hémiplégie droite ou
n chancre mou dans la jeunesse (sans accidents syphilitiques), puis
attaques
d'épilepsie grave en 1889 (décembre) ; au début
e de faibles troubles de la parole sponta- née. 11 y a eu aussi une
attaque
d'aphasie transcorticale caracté- REVUE DE PATH
- tisme, et, après un sommeil léthargique, elle a été prise d'une
attaque
hystérique. Elle a de l'ovarie droite et la sensi
rte une série d'expériences faites sur un seul malade, à la suite d'
attaques
nocturnes sans mictions involontaires. On con
uand les malades avaient l'habitude d'uriner sous elles dans chaque
attaque
, nous avions soin, quand nous voulions expérime
ons une perte d'urine qui serait arrivée brusquement au moment de l'
attaque
. - Quand, d'autre part, les malades avaient un
part, les malades avaient un trouble mental prolongé à la suite des
attaques
nous avions soin de faire sonder nos malades to
de clonique d'un accès, l'urine de Sep..., dont voici le relevé des
attaques
dans les mois de septembre et d'octobre : 186
e 1650 grammes. IV). Le 2 octobre on injecte l'urine de Sep... sans
attaques
depuis quatre jours. Urines de une heure de l
té de 960 grammes. Coefficient : 0,189. N. B. - Sep... n'a pas eu d'
attaques
nouvelles dans la journée. VI). Le 14 octobre,
ques nouvelles dans la journée. VI). Le 14 octobre, Sep... est sans
attaques
depuis deux jours. Hier, dans la journée, elle
de l'accès, l'urine de Mon... Or, Mor..., le 11 septembre, a eu 2
attaques
de jour; le 12 sep- tembre, une attaque de nuit
., le 11 septembre, a eu 2 attaques de jour; le 12 sep- tembre, une
attaque
de nuit. Elle n'a rien présenté les 13, 14, 15,
ier accès. Le 30, un accès de jour. Du 1er au 10 octobre, pas d'
attaques
ni de vertiges. L'urine prise pour comparer l'é
lie le 2 octobre. (Voir Mor..., 2e injection.) Le 10 octobre, une
attaque
de jour. Le 11 2 de nuit. Première injection.
ient urotoxique du 2 octobre, 0.45. URINES DE DEM... Relevé des
attaques
en septembre et octobre. 3 septembre. Une attaq
... Relevé des attaques en septembre et octobre. 3 septembre. Une
attaque
de nuit. . 4 - Deux de jour, un vertige de jour
- Deux de jour, un vertige de jour. 6 Un vertige de jour. 14 Une
attaque
de jour. 15 - Une 16 Une attaque de nuit. 2
6 Un vertige de jour. 14 Une attaque de jour. 15 - Une 16 Une
attaque
de nuit. 21 . Six accès de jour. 4 ? octobre.
16 Une attaque de nuit. 21 . Six accès de jour. 4 ? octobre. Une
attaque
de nuit. 2 Deux attaques de jour. 18 - Trois
21 . Six accès de jour. 4 ? octobre. Une attaque de nuit. 2 Deux
attaques
de jour. 18 - Trois de nuit. Voici d'autre pa
Voici d'autre part la totalité des urines du 3 au 13 octobre (pas d'
attaques
). (Le 8 octobre manque, jour de sortie.) DE LA
mencé hier soir (se reporter au tableau). Dem... n'a pas eu d'autre
attaque
dans la journée, la série était terminée. L'u
ien remarqué d'anormal. Mais ce matin, vers 7 heures, elle a eu une
attaque
convulsive. A la visite, nous la trouvons toute t
artout; la langue est légèrement saburrale. Elle n'a eu que cette
attaque
dans la journée du 14 octobre. Le lendemain 15,
13 194 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Le cahier ne fait pas mention d'
attaques
, mais en interrogeant la surveillante on appren
och... a eu un grand accès. - 8 avril. Broch... a eu une dernière
attaque
dans la nuit du 4 au- 5 avril, vers 10 heures d
stiques. 4 ? avril. Gauth..., poids 46 kil. 500, a, le 30 mars, une
attaque
de jour, deux accès dans la nuit du 30 au 31.
tiformes. Respiration précipitée et superficielle; à 50, première
attaque
de secousses. Ce sont des convulsions toniques de
secousses isolées, agitation; A 196 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. 72,
attaque
de convulsions toniques. Exophtalmie intense etbr
ation n'est nettement accélérée qu'à ce moment. Mort à 77, dans une
attaque
de convulsions toxiques avec exor- bitisme brus
a été recueillie du 30 avril, 9 heures du matin, après la première
attaque
au leur (même heure). La surveillante m'affirme
ines d'accès. 29 mars. Eud..., 51 kil. 500. Le 27 mars Eud... a une
attaque
de jour le matin, on recueille.l'urine à partir
toxique : 0,294. , : Relevé des accès de Hug... · 4 avril. Une
attaque
complète de jour. ' ' 4 de nuit. 5 Trois atta
· 4 avril. Une attaque complète de jour. ' ' 4 de nuit. 5 Trois
attaques
complètes de jour. - 5 Une attaque complète de
our. ' ' 4 de nuit. 5 Trois attaques complètes de jour. - 5 Une
attaque
complète de nuit. Du 6 avril au 28. Délire. 3
attaque complète de nuit. Du 6 avril au 28. Délire. 30 avril. Une
attaque
complète de jour. le' mai. Deux attaques complè
28. Délire. 30 avril. Une attaque complète de jour. le' mai. Deux
attaques
complètes de jour. 2 - Une attaque complète de
mplète de jour. le' mai. Deux attaques complètes de jour. 2 - Une
attaque
complète de jour. 3 Deux attaques complètes de
aques complètes de jour. 2 - Une attaque complète de jour. 3 Deux
attaques
complètes de jour. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUS
prolongée, tra- vail après les repas) ou n'importe quel excès. L'
attaque
est essentiellement constituée par un scotôme, le
t dans le champ visuel ; quel- quefois encore le sujet croit déjà l'
attaque
passée, lorsqu'elle n'est simplement qu'atténué
s, ensuite d'arcs lumineux et vibrants ; une fois (dans la première
attaque
), ces phénomènes dépassè- rent la ligne médiane
el que les a observés sur lui-même Dianoux, après avoir éprouvé des
attaques
com- plètes) consistent dans la sensation d'éti
ez ceux où la migraine fait défaut, ou elle a été remplacée par les
attaques
d'amblyopie transitoire, ces dernières présente
d nombre de sujets atteints de migraines périodiques n'ont jamais d'
attaques
d'amblyopie temporaire. Enfin, chez un même suj
éral, parfois encore la forme hémiopique. De quinze à vingt ans les
attaques
de migraine vulgaire avaient continué sans aucu
migraine à l'époque des règles, que quelques-unes seulement, de ces
attaques
périodiques soient accompagnées d'amblyopie tem
ransitoire. 209 Dans d'autres cas on a une seule, ou deux, ou trois
attaques
irrégulièrement espacées. La durée des accès es
igne de démarcation passait par le point de fixation. La · première
attaque
dura 10 à 12 minutes, et la seconde, surve-' '
par de l'am- blyopie transitoire, revêtant des formes diverses. Les
attaques
sont caractérisées par de l'obscurcissement de
des objets qui l'entouraient, de telle sorte que pendant une de ses
attaques
les plus fortes, elle nous racontait avoir salé
lques observations de Raullet (30 et 31). Les cas dans lesquels les
attaques
d'amblyopie transitoire sont accompagnés de ces
elle seule peut déjà présenter d'une façon transitoire, pendant les
attaques
convulsives, les troubles de la dysphasie et de
aigu agissant pour son propre compte, ou à la façon de l'aura d'une
attaque
convulsive (Babinski). Outre les prodrômes ordi
scotôme, comme en d'autres circonstances elle eut pu déterminer une
attaque
convulsive. Il est rare que, chez le même malad
er une attaque convulsive. Il est rare que, chez le même malade les
attaques
convulsives de l'hystérie et les attaques d'amb
chez le même malade les attaques convulsives de l'hystérie et les
attaques
d'amblyopie transitoire soient séparées, alternée
ture hystérique ? - Lorsque ces phénomènes constituent l'aura d'une
attaque
convulsive, le diagnostic s'impose. Lorsque l'a
mais dans trois de ces quatre observations, l'oeil, examiné après l'
attaque
ne présentait plus- qu'un rétrécissement con- c
est très fréquente chez les épileptiques. Très souvent, en effet, l'
attaque
épileptique laisse après elle un certain degré
nstituer une des formes du petit mal, c'est-à-dire en remplacer les
attaques
. Mais, ces rapports ont été mis en évidence, pl
ls troubles nerveux du malade, et c'est plus tard seulement que les
attaques
épi- leptiques se substituent ou alternent avec
a de très intéressantes, qui démontrent soit la substitution des
attaques
de migraine ophtalmique et d'épilepsie partielle
parer le syndrôme de l'amblyopie transitoire, de la migraine et des
attaques
épileptiques. Enfin, la nature épileptique du t
abétiques se déclarèrent à l'âge de trente-six ans après de longues
attaques
de migraine ophtalmique et d'épilepsie 222. CLI
ns recueillies dans le service de M. Charcot, dans les- quelles les
attaques
d'amblyopie transitoire figurent parmi les acci
psychiques, ce sont les mêmes que ceux qui accompagnent souvent les
attaques
mieux caractérisées d'amblyopie transi- toire,
nous dit le malade, je savais que c'était le prélude de la fin de l'
attaque
. En 1871, première attaque d'épilepsie complète
que c'était le prélude de la fin de l'attaque. En 1871, première
attaque
d'épilepsie complète (chute avec perte de conna
l y a à peu près quatre ans de cela) pendant une année sans avoir d'
attaques
; puis, les attaques sont t revenues, et elles a
tre ans de cela) pendant une année sans avoir d'attaques; puis, les
attaques
sont t revenues, et elles apparaissent maintena
isation des mouvements convulsifs, la morsure de la langue. ' Les
attaques
avec perte de connaissance sont plus fréquentes q
erte de connaissance sont plus fréquentes que les autres. Après les
attaques
, mélancolie, plears, idées de suicide. Le malad
urait pas préciser, en ce qui concerne le scotôme dans le début des
attaques
d'épilepsie partielle; il se rappelle bien des
le bien des crises d'amblyopie transitoire dans l'intervalle de ses
attaques
, et il ajoute que parfois le scotôme a été pour
et il ajoute que parfois le scotôme a été pour lui l'annonce d'une
attaque
. Le malade nous dit, le 6 mai 1880, que depuis
s de février, à la suite du traitement subi, il n'a eu qu'une seule
attaque
épilep- tique avec perte de connaissance et pas
e temps en temps à la consultation. En résumé, on peut dire que les
attaques
épileptiques complètes ont été très rares, les
i Observation Il. Scotôme scintillant rudimentaire et migraines :
attaques
d'épilepsie partielle et d'épilepsie sensorielle.
externe de la Salpê- trière, 6 avril 1886). ' En 1878, premières
attaques
d'épilepsie partielle, qui se renouve- laient t
Il y a peu de temps la maladie a reparu subitement. Deux . sortes d'
attaques
: dans les plus légères il n'y a pas de perte de
AMBLYOPIE TRANSITOIRE. 225 dant la nuit, il perd connaissance ; les
attaques
ne sont pas précé- dées de céphalée et commence
recouvre immé- diatement sa motilité normale. , - A la suite des
attaques
il ressent pendant plusieurs heures encore une
matin). Peu de temps après (vers le mois de juillet 1878), première
attaque
d'épilepsie partielle au bras, droit, qui fut s
a Salpêtrière; 4 janvier 1881.) Rien durant son enfance. Première
attaque
d'épilepsie partielle à la seconde époque de se
perte de connaissance, pas de chute. - Dans ces derniers temps, les
attaques
sont devenues plus fréquentes (parfois tous les
s au creux épigastrique, comme chez les gens à petit mal. Après les
attaques
, lorsqu'elle se levait, embarras de la parole.
cès sont revenus depuis deux mois avec leur intensité première. Les
attaques
sur- viennent à peu près deux fois par semaine
ès, et ont eu une durée de deux à trois minutes, rarement plus. Les
attaques
d'am- blyopie temporaire, au début très rudimen
un mois, en sortant un matin dans la campagne «ouverte de neige, l'
attaque
d'amblyopie le saisit en même temps que l'engou
e quelques minules tout trouble disparut, et jusqu'à présent aucune
attaque
ne s'est repré- sentée. Examen ophtalmoscopique
x observations, le sujet avait été migraineux dans sa jeunesse, les
attaques
d'épilepsie partielle étaient accompa- gnées d'
ois mois avant qu'il ne vint à la consultation), il eut sa première
attaque
d'épilepsie partielle. Il se trouvait un jour d
ssentielle ne commence habituellement pas chez les adultes), ni les
attaques
d'une épilepsie bien complète (avec laquelle l'
psie par- tielle peut se combiner), ne nous rendraient compte des
attaques
d'épilepsie sensitivo-sensorielle accompagnée de
eur morte de la poitrine. . Depuis l'âge de dix ans, il a eu quatre
attaques
de rhumatisme aigu : la première à dix ans, dur
à vingt et un ans, à Valparaiso, pendant qu'il était marin ; cette
attaque
très intense, dura deux mois; les accidents car
tions à l'occasion des grands efforts et des fatigues. La quatrième
attaque
, à trente-quatre ans, en 1884, pendant la conva
eut deux mois de durée. - Depuis cette époque, nombre de petites
attaques
moins fortes que les précédentes, mais entraîna
proces- sus moteurs. Il enseignait aussi que les phénomènes d'une
attaque
épilepti- forme partielle et unilatérale, se mo
l'ouïe, de la vision, dénotent bien aussi l'origine corticale de l'
attaque
, et donnent de bonnes indications diagnostiques
vies d'une légère parésie et de la faiblesse de ces membres. Ces
attaques
commençaient et se terminaient par des convulsion
un module tuberculeux dont l'excision amena l'entière cessation des
attaques
. Dans bien d'autres circonstances, des résultat
e 15 décembre 1887, époque depuis laquelle le malade n'a eu que six
attaques
d'épilep- sie. Dans le second cas, opéré égalem
clut que la léthargie pure avec avec flaccidité des membres, et les
attaques
de sommeil qui com- prennent tous les éléments
e de variantes dans lesquelles on trouve les symptômes de la grande
attaque
à tous les degrés pos- sibles, depuis l'esquiss
ure sont les manifestations du même substratum pathologique que les
attaques
de sommeil complexes, exactement comme les form
sont les modes de manifestation de la même névrose qui préside aux
attaques
d'épilepsie-type. P. K. XXXI. Des paralysies
n sur un cas d'hystérie avec automatisme dans la période d'aura des
attaques
; variations spon- tanées de la sensibilité et s
atisme. Il s'agit d'un jeune homme de dix-neuf ans, hystérique avec
attaques
. Ces attaques présentent cette parti - cularité
git d'un jeune homme de dix-neuf ans, hystérique avec attaques. Ces
attaques
présentent cette parti - cularité assez intéres
plusieurs jours, allant en s'augmentant jusqu'à la production de l'
attaque
dont elles cons- tituent en quelque sorte la pé
triste, craint de devenir fou, de mourir, a des idées de suicide. L'
attaque
survient presque classique, phase épilep- toïde
se rétrécir de 30 ou 40 pour revenir ensuite à la nor- male après l'
attaque
. M. Séglas présente, à ce propos, quelques con-
um; 5 de ces malades ont béné- ficié du traitement, 2 ont eu plus d'
attaques
. Les doses ont été de 4 à 10 grammes. La toléra
sonde et chez laquelle le passage de cet instrument provoquait des
attaques
convulsives. Le prochain Congrès annuel des Méd
était mort, jusqu'à 1 heure de l'après-midi. A la suite de cette
attaque
, les pieds se rentrèrent en dedans (lalipes equ
. Vers trois semaines, six semaines, trois mois, il eut plu- sieurs
attaques
de convulsions. A l'âge de douze mois, il était t
pro- venant de la mauvaise circulation du sang. L'enfant a eu des
attaques
provenant de ce mauvais état de circulation, mais
précipitée pendant un moment et qu'il eut en même temps une légère
attaque
visible de convulsions. On constata un tremblem
les employer à propos. A treize mois, rougeole. A quinze mois, deux
attaques
distinctes de convulsions, sans paralysie. D'au
, deux attaques distinctes de convulsions, sans paralysie. D'autres
attaques
se déclarèrent à vingt-deux et vingt-neuf mois;
clarèrent à vingt-deux et vingt-neuf mois; aucune depuis. Après ces
attaques
elle devint plus idiote ; elle oublia son petit
e pousse la malade et semblable au cri encéphalique qui précède une
attaque
d'épilepsie. La tête est petite et en forme de
soeurs, émotive, a présenté au huitième mois d'une grossesse, une
attaque
d'éclampsie. Dans son enfance, Marie est intellig
s gauche. En septembre de la même année, se mani- festa la première
attaque
épileptiforme constituée comme il suit : lme Gi
mouvement; les doigts de la main étaient contractés en extension. L'
attaque
ne s'accom- pagna pas de la perte de la sensibi
perte de la sensibilité; elle dura une dizaine de minutes; après l'
attaque
Ai ? Gi... se sentit un peu faible, mais elle r
ouvoir parler parce que, dit-elle, sa langue était enflée. D'autres
attaques
semblables à celle-ci se répétèrent deux ou trois
qu'elle voulait dire, mais elle ne pouvait pas les prononcer; ces
attaques
d'aphasie motrice se répétèrent jusqu'en 1891. El
travail quelconque, fut obligée d'entrer à la Salpêtrière. Ici les
attaques
qui ont été décrites se continuèrent. Après que
rites se continuèrent. Après quelques jours s'y ajoutèrent d'autres
attaques
à type h3·stéro-épileptiqire. Celles-ci survena
e en oubliant tout ce qui s'était passé. En mai 1890, les grandes
attaques
disparurent, la santé de l'hystérie ET LES mala
n'ont jamais été accompagnés ni suivis d'aphasie motrice. Outre ces
attaques
elle en présente d'autres à type hystéro- épile
se réveiller pur la comptes- sion. ' Pour ce qui est des grandes
attaques
, elles sont devenues très rares (une fois tous
rique, démontrée chez Gill.... par ses stigmates et par ses grandes
attaques
, ne s'opposait pas à cette manière de voir, car
ttaques, ne s'opposait pas à cette manière de voir, car les grandes
attaques
hystériques et les crises épileptiformes se man
uin 1880. Rizu. Surdimutité hystérique chez l'homme succédant à des
attaques
de périodicité annuelle. {Bulletin de la Sociét
able, que deux de ses nièces, filles de la soeur obèse, soutirent d'
attaques
hystériques Antécédents PERSONNELS.- Cha..., da
ua comme cela jus- qu'en 1886. Ce fut en mai de cette année que les
attaques
consti- tuées jusqu'à ce moment par la diplopie
rend parfaitement la conscience en se sentant beaucoup fatigué. Des
attaques
sem- blables à celles-ci se sont reproduites ju
tères. Cependant il est intéressant de noter que de temps à autre l'
attaque
est précédée soit d'un léger trem- blement du b
sante; il parait qu'une telle idée occupe son esprit même pendant l'
attaque
, en effet depuis quelque temps (et c'est là le
là le phénomène auquel nous faisions allusion plus haut), pendant l'
attaque
il sort brusquement du lit en se diri- geantver
la morsure de la langue, qui arrivait constamment dans toutes les
attaques
. Or, on sait que c'est là un phénomène presque
caractéristique de l'épilepsie, mais il peut arriver aussi dans l'
attaque
hystérique ; M. Charcot l'a observé quelquefois.
céphaliques d'une sclérose en plaques au commencement ? Ebauchess d'
attaque
hystérique ? La dernière hypothèse nous paraît
logique de les inter- préter comme une forme pas encore complète d'
attaques
hys- tériques. d). En 1886, enfin, des attaqu
encore complète d'attaques hys- tériques. d). En 1886, enfin, des
attaques
convulsives éclatent et persistent jusqu'à prés
re aux phénomènes antécédents de façon à dessiner graduellement une
attaque
toujours plus complète. 3° Les attaques actue
dessiner graduellement une attaque toujours plus complète. 3° Les
attaques
actuelles sont donc pour ainsi dire le résumé d
illance a été poussée jusqu'à la perte de la conscience, et voilà l'
attaque
constituée. Or, pourrions-nous logiquement reni
mor- sure de la langue. Ceci du reste peut se rencontrer dans les
attaques
hystériques ; notre éminent maître en a observé d
nterprété comme un délire d'ac- tion, et sa manifestation pendant l'
attaque
et dans l'état d'in- conscience parfaite tient
ue et dans l'état d'in- conscience parfaite tient plus de la grande
attaque
hystérique que de l'épileptique. Il faut noter
l'épileptique. Il faut noter encore que jamais le malade pendant l'
attaque
n'a uriné sous lui, comme il arrive d'ordi- nai
uze jours), et pen- dant cette période le malade n'a pas présenté d'
attaques
. En outre, la forme du rétrécissement est très
elques minutes la crise prit fin, enlaissant B... très fatigué. Des
attaques
semblables à celle-ci se répétèrent pendant trois
une intensité plus grande; dans une journée il présente vingt-huit
attaques
convulsives; il entre alors à la Salpêtrière, i
nd son métier; après huit mois de bonne santé, une nouvelle série d'
attaques
se représente; il rentre alors pour la deuxième
onne santé le 11 février. Au commencement d'avril, nouvelle série d'
attaques
, il rentre à la Charité où on le traite par l'h
ien jus- qu'au 29 mai ; ce jour-là, à 5 heures du matin, une de ses
attaques
ordinaires le prit. A la fin de l'attaque le br
res du matin, une de ses attaques ordinaires le prit. A la fin de l'
attaque
le bras et la jambe gauche étaient complètement
; le sens musculaire est aboli, B... ne sent pas ses membres. A ces
attaques
s'en ajoutèrent seize à de brefs intervalles, d
e à de brefs intervalles, dans la même journée. Après la der- nière
attaque
, qui survint le soir à huit heures, il ressentit
de son lit. 412 PATHOLOGIE NERVEUSE. Le jour suivant, il eut deux
attaques
, une le matin à 8 heures et l'autre le soir. El
es ne furent pas suivies de paralysie. Le troisième jour il eut une
attaque
le matin à 5 heures, qui fut suivie de perte de
t suivie de perte de la connaissance, qui dura vingt minutes. Cette
attaque
ne fut pas suivie non plus de paralysie des membr
aux premiers jours de juillet. Dans cette période il a présenté des
attaques
en tout semblables aux dernières. Il est à rema
taques en tout semblables aux dernières. Il est à remarquer que ces
attaques
lui survinrent dans deux nuits successives à de
ssives à des journées passées par B... dans sa famille'. Dans ces
attaques
, pendant la phase comateuse, ses voisins de lit
as exagérés, mais le réflexe olécranien est absent à gauche. 2° L'
attaque
est toujours précédée par un aura psychique; le
toujours à l'éclat de foudre, à la suite duquel il eut la première
attaque
. Or, cette modalité de l'aura nous paraît bien
ec l'épilepsie. En outre de cela, pendant la période comateuse de l'
attaque
, Bar... crie : « Maman ! maman ! » comme s'il a
eviendrons sur ce point. 3° La paralysie survenue après la première
attaque
, dans la série qui s'est présentée à la fin de
résentée à la fin de mai, disparut complète- ment après la seizième
attaque
survenue le même jour. Or il est caractéristiqu
paralysies hystériques de se manifester et de disparaître après les
attaques
; tandis qu'après les accès épileptiques, peuven
te, comme il est arrivé dans notre cas. 4° Dans la dernière série d'
attaques
, il est encore à remar- quer la particularité s
mani- feste pas de perte de la connaissance, et après la première
attaque
une paralysie suivit; le deuxième jour, après la
t déposer en faveur de l'hystérie. fin Il est à remarquer que les
attaques
ont toujours disparu après l'entrée de Bar... d
débutant par la main droite et suivies de perte de la connaissance (
attaques
hystériques à forme d'épi- lepsie partielle). D
fit de se rappeler que le rêve de la foudre précède constamment les
attaques
et qu'il s'accompagne tou- jours d'une profonde
qui la suivent, l'on serait même tenté d'interpréter ceci comme une
attaque
émotion- nelle ; en effet l'angoisse précordial
l nous suffit d'avoir fait remarquer le rapport qu'il y a entre les
attaques
de Bar... et l'accident de la foudre. Ce rappor
utal jusqu'à frapper sa femme. Il y a deux ans, il eut une première
attaque
d'influenza qui se passa sans laisser de conséq
ictus apo- plectiforme suivi de troubles du langage écrit et parlé,
attaques
convulsives avec paralysie consécutive de la ja
a dans la même occasion nous parait avoir plutôt le caractère d'une
attaque
hystérique à forme syncopale que d'un ictus apo
ue la céphalée domina long- temps la scène; ce fut par elle que les
attaques
commencèrent. Maintenant, y a-t-il dans la cris
us rappelons, en effet, l'attitude des membres supérieurs pendant l'
attaque
; le bras en forte adduction, l'avant-bras, les
rsistait depuis plusieurs mois. C'était lui qui donnait origine à l'
attaque
, son image devait occuper l'état psychique de F
isparu; bien souvent, chez les épileptiques et les hystériques, les
attaques
sont précédées par des visions colorées, des sc
n'importe quelle forme d'amblyopie, constituent à eux seuls toute l'
attaque
. Ce fait nous indique la raison du nom de migra
mple frappant chez les épileptiques, où l'amblyopie qui succède aux
attaques
et s'efface d'ordinaire assez rapidement, peut
(hémi- anopsie fugace du côté hémiplégie dans presque toutes les
attaques
d'apoplexie) et avec les expériences de Hitzig, M
re (soit simple, soit accompagnée) s'alterne ou se confond avec les
attaques
migraineuses ou autres trou- bles nerveux. -
sensation de tension dans l'oeil, qui pourraient faire songer à une
attaque
de glaucome (Dia- noux). Les troubles visuels
raine est souvent suivi de nausées et vomisse- ments. La durée de l'
attaque
varie le plus souvent entre un quart d'heure et
des vieillards, où le plus souvent le trouble visuel a remplacé les
attaques
migraineuses. L'affection est ainsi plus fréque
si chez le même sujet aux différentes époques de sa vie. Tantôt les
attaques
reviennent périodiquement toutes les semaines,
de l'épilepsie partielle survienne encore, que quelque symptôme des
attaques
reste permanent, que ces attaques peuvent marqu
encore, que quelque symptôme des attaques reste permanent, que ces
attaques
peuvent marquer le début de la paralysie généra
érie, neurasthénie, épi- lepsie, dyspepsie, anémie etc...) dont ces
attaques
tirent leur origine. Il faudra, en outre, en
dose de 2 à 6 grammes (pris en une ou deux fois) pourra éviter l'
attaque
de migraine ophtalmique, lorsque le malade en pré
On constate très souvent des phénomènes de ce genre pen- dant les
attaques
d'hystérie. C'est là un fait d'observation dans
es se ressemblent, car, presque toujours, toutes les péripéties des
attaques
de ce genre reproduisent ainsi un incident de l
e, par cet animal, et qu'elle parait repro- duire son cri pendant l'
attaque
; elle ne fait pas un geste qui n'ait une raison
ublié les divers accidents hystériques, con- tracture, oedème bleu,
attaques
qui l'ont amenée à l'hôpital et vous pouvez vér
lles. Chez elles, en effet, ces idées, dont je vous ai parlé, ces
attaques
, ces rêves, ces mouvements sont involontaires et
peut plus s'arrêter. C'est un délire, c'est une anorexie, c'est une
attaque
. « Quand j'ai commencé quelque chose, disaitune
adies; d'un côté l'hystérie avec ses anesthésies, ses amnésies, ses
attaques
et sa suggestibilité; de l'autre le délire des
la distraction et de l'anesthésie, du doute et de l'amnésie, des
attaques
, des idées fixes et de l'aboulie soit en proie à
éristique de cette maladie mentale aussi bien que l'anesthésie ou l'
attaque
. Retenons donc cette notion importante : le sym
oint, Un peu grâce àmoije le dis toutbas, elle se calme, n'a plus d'
attaques
, mange et dort, elle se renforcit, reprend ses
plus d'un point de vue et digne d'être rapporté en détail. Trois
attaques
d'apoplexie hystérique chez un homme de quarante-
poplexie. Grand'mère maternelle morte à soixante-dix-neuf ans d'une
attaque
de paralysie; mère morte à soixante-six ans de la
is. L'accident actuel est le troisième du même genre. La première
attaque
a eu lieu à Mustapha le 2 février 1890. Jus- qu
s leur intervalle. Pas de maux de tête, pas de ver- tiges, jamais d'
attaque
de nerfs. A cette date, comme il entraînait un
asse bien, mais les vertiges appa- raissent fréquemment. Deuxième
attaque
. - Le 11 mai, à Tonnerre, occupé à entraîner un
gérie qui sont des courses plates et de petit parcours. Troisième
attaque
. Il arrive à Blidah pour faires les courses de
malade pouvaient faire songer à la sclérose en plaques : vertiges,
attaques
apoplecti- formes, troubles oculaires, troubles
érique : battements dans les tempes, bourdonnements d'oreilles; les
attaques
apoplectiformes rentraient dans la descriptton de
Au point de vue étiologique, faisons remarquer que la pre- mière
attaque
est survenue à l'occasion d'un traumatisme. Ell
uleur de la nuque et des reins, troubles digestifs. Les deux autres
attaques
apoplectiques ne reconnaissent pas un traumatis
émis- phère droit, tout près de la pariétale ascendante. Une légère
attaque
d'hémiplégie, consécutive à l'opération, dispar
endroit un foyer de lepto-méningite. Calme consécutif, mais bientôt
attaques
syncopales et cortico-convul- sives. Administra
Des symptômes de lésions en foyer dans la paralysie géné- rale. Les
attaques
congestives tiennent souvent à des lésions en f
neuse d'Aïn-Fezza.- M. Hihig a montré comment dans bien des cas les
attaques
naturelles de sommeil peuvent être modi- fiées
Bassens. M. le Dr ONANOFF, vient de suc- comber, à Varsovie, d'une
attaque
de choléra. M. Onanoff, qui a longtemps travail
idiotes et imbéciles, propres et n'a- yant ni accès d'épilepsie, ni
attaques
d'hystérie. Or, dès l'ouverture de la maison, c
ent humiliés; dès lors, ils n'épargnaient à leurs compagnons ni les
attaques
ni les sarcasmes, et, lorsqu'ils étaient arrivé
ent point payé, pendant le trajet, par de largos représsailles, les
attaques
insen- sées dont ils avaient pu être l'objet !
mentale. Colère, gourmand, menteur. Stigmates hystériques. Première
attaque
à dix-sept ans. Attaques limitées à la phase ép
menteur. Stigmates hystériques. Première attaque à dix-sept ans.
Attaques
limitées à la phase épileptoïde. Aura. -- Elévati
ines depuis trois ans. Elle est encore parfai- tement réglée. Pas d'
attaques
de nerfs ; peu nerveuse; pas d'alcoo- lisme. Fa
n père ne le battait pas. Jusqu'au mois d'avril 1884 il n'eut pas d'
attaques
. Il quitta alors ses parents parce qu'il ne vou
it à Sainte-Anne depuis le 10 novembre, sa mère ne sait rien de ses
attaques
. L'affaiblissement qu'il présente dans la main
end ne pas se masturber, ou très rarement. 25 février. A la suite d'
attaques
répétées dans ces derniers jours, il présente u
érés de ce doigt. Depuis son entrée le malade a eu, en décembre, 39
attaques
et 2 vertiges; eu janvier, 122 attaques et 3,08
alade a eu, en décembre, 39 attaques et 2 vertiges; eu janvier, 122
attaques
et 3,087 vertiges; en février, 126 attaques et
rtiges; eu janvier, 122 attaques et 3,087 vertiges; en février, 126
attaques
et 968 vertiges; en mars, 111 attaques et 245 v
87 vertiges; en février, 126 attaques et 968 vertiges; en mars, 111
attaques
et 245 vertiges; en avril, 181 attaques et 440
968 vertiges; en mars, 111 attaques et 245 vertiges; en avril, 181
attaques
et 440 vertiges; en mai, 249 attaques et 224 vert
t 245 vertiges; en avril, 181 attaques et 440 vertiges; en mai, 249
attaques
et 224 vertiges; en juin, 93 attaques et 76 ver
et 440 vertiges; en mai, 249 attaques et 224 vertiges; en juin, 93
attaques
et 76 vertiges. Depuis un mois il n'a plus d'at
en juin, 93 attaques et 76 vertiges. Depuis un mois il n'a plus d'
attaques
. Il n'est plus grossier, ne déchire plus ses habi
u, il donne à droite 12 et à gauche 32. 29 août. Le malade a eu une
attaque
vers 8 heures et demie, qui a duré un quart d'h
se l'expérience. 31. Le malade a été pris à 8 heures et demie d'une
attaque
qui a duré jusqu'à 10 h. 20. Il est repris à 10
ngé dans lequel le malade demande à boire. Il est 11 heures quand l'
attaque
prend d fin. La température rectale prise alors
prend d fin. La température rectale prise alors est de 38°, 8. L'
attaque
est classique. L'arc de cercle est très beau, sou
he sur le côté droit. Il est 11 h. 30. 12 octobre. A eu hier neuf
attaques
de 7 heures et demie à 10 heures et quart du so
r pour qu'il assiste à son mariage le lendemain. Elle a été prise d'
attaques
de nerfs à l'âge de quatorze ans, à la suite d'
douleurs dans le côté gauche de la face. Un mois après elle eut une
attaque
. Les attaques étaient quotidiennes et se produisa
le côté gauche de la face. Un mois après elle eut une attaque. Les
attaques
étaient quotidiennes et se produisaient cinq ou
ot, pendant deux ans. Après sa sortie elle eut encore deux ou trois
attaques
, et elle n'en a plus du tout depuis trois ans.
18 avril pour trois jours. Il refusait de rentrer. Il n'a pas eu d'
attaques
pendant son congé et a aidé sa mère dans son co
gé et a aidé sa mère dans son commerce. 4 mai. Le malade tombe en
attaque
à 7 heures et demie. Quand on arrive, il est pr
dans l'intérieur de la main, les doigts repliés sur les pouces. Ces
attaques
durent une quinzaine de secondes environ. Pas d
ent une quinzaine de secondes environ. Pas de cri initial. Durant l'
attaque
la tête est dans l'extension; le malade est pri
ieu. Le globe de l'oeil n'est certainement pas dévié en haut. Les
attaques
se succèdent presque sans intermittence. Au momen
uatre ou cinq minutes d'intervalle à peine. Après la dix-septième
attaque
le malade se réveille un peu et demande à boire
nouvelle crise. Le corps est fléchi en demi-cercle. La durée de ces
attaques
est d'une minute environ. La respiration est st
a respiration est stertoreuse et irrégulière. A 8 h. 20, nouvelle
attaque
d'une durée de trente secondes. A 8 h. 24, une
ière depuis le commencement de la série. A 8 h. 26, vingt et unième
attaque
. Arc de cercle et convulsions cloniques des membr
spiration est un peu haletante, le pouls est calme. 6. A eu trois
attaques
le matin. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRI
éthargique, avec insen- sibilité complète. Mis au lit il eut quatre
attaques
consécutives semblables aux premières décrites
elle rien de ce qui s'est passé hier.- A 10 h. 8, il est pris d'une
attaque
. Il devient raide, pousse un cri aigu, et est a
c rapidité de la respiration et gonflement des joues. Deux autres
attaques
épileptoïdes se succèdent bientôt. La pé- riode
oïdes se succèdent bientôt. La pé- riode de stertor de la troisième
attaque
est suivie tout d'un coup d'une attitude passio
versée en arrière, les yeux regardant au ciel et à droite. Nouvelle
attaque
.-La face grimace violemment, la bouche se tord
la bouche. Respiration précipitée, ronflante. A 10 h. 20 nouvelle
attaque
avec : 1° rigidité; 2° phase tétani- forme ; 3°
s; 4° stertor. A 10 h. et demie placé dans son lit il a une série d'
attaques
très violentes, toujours semblables aux précéde
précédentes. S'étant endormi il ne se réveille qu'à 3 heures et ses
attaques
le reprennent.-A 8 heures du soir il a de nouve
du soir il a de nouvelles secousses pen- dant 15 minutes, puis deux
attaques
d'une durée d'une minute, et revient à lui pres
rois jours et faisait les courses. Il croit n'avoir eu qu'une seule
attaque
depuis sa sortie, sur le boulevard Voltaire. Il
ile clinique sur le certificat du Dr Garnier portant : c Epilepsie,
attaques
graves et fréquentes, affaiblissement intellect
iron trente secondes. Il assure que les vertiges viennent avant les
attaques
et l'avertissent. 11. - Les attaques ont commen
vertiges viennent avant les attaques et l'avertissent. 11. - Les
attaques
ont commencé à 9 heures, épileptiformes seu- le
es couleurs, la dis- parition des points douloureux, de l'aura de l'
attaque
et par suite de l'attaque. On le réveille en lu
ion des points douloureux, de l'aura de l'attaque et par suite de l'
attaque
. On le réveille en lui soufflant sur les yeux. Un
aire et il empêche les autres de travailler. 4 ? octobre. Série d'
attaques
depuis hier. Il est assez fatigué ce matin, et
stions. Il a eu deux accès ce matin. T. R. 37°,8. 4. Il a eu onze
attaques
depuis hier. Il est abruti; répond mal aux ques
en a plus après 9 heures et demie. Aura. Quelques minutes avant l'
attaque
le malade dit avoir des étourdissements, voir n
tait et qu'il allait se masturber dans les cabinets où il avait des
attaques
. Dans ces derniers temps il a fait deux tentati
viendrons sur ces chiffres approximatifs. IV. Sous le rapport des
attaques
elles-mêmes, nous n'avons rien à mentionner spé
spécialement ; elles rentraient dans le type classique. Lorsque les
attaques
se succédaient durant un assez long temps, la t
rois ans. Peurs à treize ans. Cauchemars, somnam- bulisme. Première
attaque
à treize ans et demi. Pas d'aura, oubli de l'at
isme. Première attaque à treize ans et demi. Pas d'aura, oubli de l'
attaque
. Attaques de sommeil. Tremblement. Stigmates hy
mière attaque à treize ans et demi. Pas d'aura, oubli de l'attaque.
Attaques
de sommeil. Tremblement. Stigmates hystériques
ttaques de sommeil. Tremblement. Stigmates hystériques peu marqués.
Attaques
limitées à la phase épileptoïde. Elévation de l
imitées à la phase épileptoïde. Elévation de la température après l'
attaque
. Secousses. Hallucinations. Attraction. Hir..
lgies assez fréquentes, sans vomissements. Pas de rhumatisme. Pas d'
attaques
de nerfs, mais très ner- veux, très irritable.
intelligente; pas de convulsions dans l'enfance; non mariée; pas d'
attaques
de nerfs; pas nerveuse. 2° Notre malade. - Au m
a seconde peur, à treize ans et quatre mois, qu'il a eu sa première
attaque
(novembre 1882). Il fut pris en mangeant glouto
Alors il s'assoupit sans dire un mot depuis le commencement de son
attaque
. Il n'évacua pas sous lui. Pas d'aura. Il ne se
e lendemain il était très fatigué, et n'est pas sorti. La seconde
attaque
eut lieu dix mois plus tard. Dans l'intervalle
vait été bonne, mais les cauchemars avaient persisté. Cette seconde
attaque
l'a pris alors qu'il était en classe, sans cause
es bains sédatifs, et pen- dant cette période, il eut deux ou trois
attaques
. Il eut huit atta- ques seulement cette année-l
-là (1883). En 1884 on continua le même traitement et il eut quinze
attaques
. C'est alors qu'on le conduisit à la consultati
on lui a donné des douches (été 1885; -hiver 1885-86). Il eut neuf
attaques
en 1885. Il suspendit le bromure en 1886, au mo
bains de mer (juin-décembre 1886). Il aurait été trois mois sans
attaques
. Vers la fin de son séjour il eut une attaque dan
été trois mois sans attaques. Vers la fin de son séjour il eut une
attaque
dans les champs en conduisant un cheval qui lui
ture pour laquelle il fut traité à l'hôpital. En 1886 il eut treize
attaques
. -Dans l'une d'elles, il s'est cassé deux DEUX
TÉRIE MALE. En 1887, après une rémission d'un mois, il fut repris d'
attaques
tous les quinze jours, A la fin de février il f
lui il fut repris d'une crise analogue aux anciennes (probablement
attaque
épileptoïde); pas de pleurs, pas de miction inv
de pleurs, pas de miction involontaire. Il n'a pas dormi après son
attaque
, s'est levé et a aussitôt diné. Puis il raconta
Il assurait que lui n'avait pas eu peur. Huit jours après, nouvelle
attaque
qui a débuté de la même façon : sommeil de deux
s sans qu'on y touche; il s'est levé et est tombé en pirouettant. L'
attaque
dura trente minutes. Il avait dans sa poche un
aucoup. » Il tombe presque toujours en penchant du côté gauche. Les
attaques
deviennent plus fréquentes, revenant tous les h
us le titre : Un épileptique volé. Au mois de juillet, après deux
attaques
survenues dans la rue, il est pris d'idées tris
eux mame- lonnaire, où le malade porte toujours sa main pendant ses
attaques
, et qui est alors très douloureux. Céphalalgies
'il avait le ver solitaire ». Quand il est sur le point d'avoir une
attaque
. il ne mange pas ou très peu. Après ses atta- q
ne. Ne tousse pas, mais a souvent craché du sang, surtout après ses
attaques
. Circulation : coeur normal, régulier; pas de p
régulier; pas de palpitations. Il ne sent pas quand il va avoir ses
attaques
, mais souvent en dehors d'elles il a la sensati
NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. ... f'. 't . pendant son
attaque
il lui semble rêver et qu'à la suite « cela lui
4 heures de l'après-midi, il prévient qu'il va peut-être avoir une
attaque
et qu'il faut-se méfier, car il cherche à mordr
t,à égratiguer. , A 6 heures, il causait avec ses camarades quand l'
attaque
commença. Il tomba sur le dos, puis rebondit su
te : Mais tout à coup, il se rejette en arrière comme au début de l'
attaque
en s'arc-boutant sur les épaules et sur les pie
Il arrange le désordre de ses vêtements, se rappelant avoir eu une
attaque
, mais ne se souvenant pas comment cela lui a pris
enant pas comment cela lui a pris. Il n'a pas l'air ahuri après son
attaque
, ni fatigué. Il titube un peu en marchant et on
en marchant et on a de la peine à tirer de lui quelques réponses. L'
attaque
a duré en tout vingt-six minutes. 8 juillet. -
leur pré- sence, mais aussitôt après leur départ il fut pris d'une
attaque
de peu de durée, à la suite de laquelle il rouv
dix minutes, puis il est allé se rasseoir dans le fauteuil. 96. -
Attaque
à 5 heures du soir, de dix minutes de durée, à
les pupilles sont contractées. A 3 heures de l'après-midi, il a une
attaque
qui dure quatre minutes à la suite de laquelle
ris d'une atta- que qui a duré sept minutes. Sa température après l'
attaque
était de 38°,2, un quart d'heure après 38°. Som
du matin, il s'est endormi et cinq à sept minutes après il a eu une
attaque
qui a duré quatre minutes et DEUX NOUVELLES OBS
es, et se ferment enfin, et le malade semble assoupi. La durée de l'
attaque
a été de dix-huit minutes. Il se relève, répare
nt. Il est pâle et respire difficilement. Température à la fin de l'
attaque
, 38°,2. Une demi-heure après l'attaque, tempéra
t. Température à la fin de l'attaque, 38°,2. Une demi-heure après l'
attaque
, température 37°,9. Deux heures après, températ
ature 37°,9. Deux heures après, température 36°,9. 23. - Nouvelle
attaque
en présence de l'un de nous. Tombé à terre, il
ut de quelques minutes aux paroles qu'on lui adresse. La durée de l'
attaque
a été de trente- sept minutes. 24.- Attaque d
dresse. La durée de l'attaque a été de trente- sept minutes. 24.-
Attaque
de quatre minutes à 8 h. et demie du matin; une
de son nom, sans même qu'on le touche, il tombe en arrière et a une
attaque
qui dure quinze minutes. 27. Au moment de la vi
nutes. 27. Au moment de la visite, il est pris dans la cour d'une
attaque
. Il était assis sur un banc, quand il s'est levé,
fermées, les pouces en dehors, la tête dans l'extension. Nouvelle
attaque
. Rigidité très forte, face rouge, yeux en haut.
minutes. T. R. 38°,1. Un quart d'heure après, T. R. 37°,8. Nouvelle
attaque
à 10 heures. T. R. après l'attaque, 38°, 3 ; un
ure après, T. R. 37°,8. Nouvelle attaque à 10 heures. T. R. après l'
attaque
, 38°, 3 ; un quart d'heure après 37°,9 ; deux h
e dix- huit minutes. A 5 heures et demie, après son diner, nouvelle
attaque
. Il bat l'air de ses bras, et reste vingt secon
es qu'il répond. Durée de l'at- taque : 3Li minutes. T. R., après l'
attaque
38°,4; un quart d'heure 37°,9; deux heures aprè
jours seule- ment. Elles n'auraient d'après lui aucun lien avec les
attaques
. Traitement. Deux douches par jour, gymnastique
nt sujet à des cauchemàrs, et au bout d'un mois, éclate la première
attaque
, suivie d'une seconde, seulement dix mois plus
ulement dix mois plus tard. A partir de là, jusqu'en 1887, il a des
attaques
mensuelles ou bi-mensuelles qui toutes présen-
accompagnent de traumatismes sérieux. III. Nous retrouvons dans les
attaques
ultérieures précédées d'un sommeil plus ou moin
aux deux observations, c'est la forme épileptoïde qu'ont revêtu les
attaques
, soit au début, soit dans le cours de la maladi
connaît pas les antécédents et qu'on n'a pu assister qu'à une seule
attaque
, on peut hésiter. Ces crises isolées s'accompag
tion de la température, comme dans l'accès d'épilepsie. Mais si les
attaques
se succèdent pendant une ou plusieurs heures, l
plus que le 8, au moment de son départ. Et cependant, le nombre des
attaques
a toujours été très considérable; le premier jo
,e de la région parotidienne droite, elle paraît intelligente; ni
attaques
de nerfs, ni convulsions, etc... ; elle n'a jamai
convulsions, ni aucune maladie dans l'enfance. Pas nerveuse ; pas d'
attaques
de nerfs; pas de fièvres graves. Grande, forte,
ue les parents ont cherché à le placer. Il jamais eu de crises ou d'
attaques
quelconques, n'est jamais tombé. Il est arriéré
e ou deux fois par mois. l'as de convulsions dans l'enfance, ni d'
attaques
de nerfs. Mariée à 33 ans, un peu malgré elle.
z devant les yeux est âgée de 42 ans. A l'âge de 25 ans, elle eut une
attaque
de rhumatisme articulaire aigu. Mais déjà, deux a
hystériques. Mais c'est une hystérie sans zones hystérogènes, sans
attaques
, jusqu'à présent. Cela ne veut pas dire qu'il n'e
ettement hystériques de la paralysie.— Stigmates hystériques, petites
attaques
. — Rôles respectifs du traumatisme, de l'appareil
te; elle est bien portante, n'a jamais eu de maladies nerveuses, ni d'
attaques
de nerfs. Tous ses frères et sœurs sont, à son di
u exagérée dans les membres inférieurs. « Le malade n'a jamais eu d'
attaques
ni de troubles psychiques. Migraines fréquentes.
correspond plus à l'axe de l'avant-bras. Le malade n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs, mais il est sujet à de fréquents étourd
ères et de son évolution même, mise sur le compte de cette soi-disant
attaque
d'apoplexie. Peut-on penser à un vertige de Men
es vertiges dont souffre notre malade sont donc en réalité de petites
attaques
d'hystérie, manifestées seulement par une aura su
Dans ce cas, les stigmates n'existaient point, mais, par contre, une
attaque
convulsive, précédée par la sensation caractérist
l est clair que ce mode d'apparition du tremblement, à la suite d'une
attaque
hystérique, quelle qu'en soit d'ailleurs la forme
mblement persistant toujours, on l'amène à Lariboisière. De nouvelles
attaques
se produisent là, ainsi qu'à l'hôpital Bichatoù l
gressivement envahi les membres supérieurs. A la suite d'une de ses
attaques
, il resta pendant trois mois et demi incapable d'
se manifeste à l'occasion des mouvements intentionnels ; il a eu des
attaques
apoplectiformes et vertigineuses. Or, nous connai
e, même fort peu prolongée, menace de le faire tomber dans une de ses
attaques
: il semble y avoir là, par conséquent, sur la ré
elle-ci étant représentée dans l'association par les stigmates et les
attaques
, tandis qu'à celle-là appartiendrait le trembleme
s vu comment chez B... le tremblement s'est développé au sortir d'une
attaque
qui depuis s'est souvent reproduite et qui présen
uis s'est souvent reproduite et qui présente tous les caractères de l'
attaque
de grande hystérie. Ajoutons que si pour un temps
oints hystérogènes, en même temps que s'esquissent les prodromes de l'
attaque
convulsive. Après tout cela, il paraît inutile
chez notre malade, aussi bien le tremblement que les stigmates et les
attaques
. Toute idée d'une lésion matérielle appréciable d
t pris d'une violente crise de nerfs qui dura toute une après-midi. L'
attaque
finie, il s'endormit vers le soir et le lendemain
le tremblement a persisté presque sans aucune modification ; d'autres
attaques
sont survenues, que nous avons pu observer et qui
nature hystérique de ce tremblement. Ayant débuté après une première
attaque
hystérique, il ne peut être attribué ni à la mala
donne lieu à la production de l'aura et peut amener très facilement l'
attaque
. Voilà donc bien établie la nature hystérique d
17 ans, alors qu'il travaillait à la campagne, qu'il eut sa première
attaque
de nerfs. Elle se produisit sans aucune cause pro
à l'apparition de la maladie actuelle, il n'en eut point du tout. Ses
attaques
se ressemblent toutes, elles sont souvent provoqu
voit trouble et perd connaissance. Il se débat très fort, il crie. L'
attaque
dure une demi-heure environ, puis tout est fini.
aladie. — Il y a deux ans (février \88$), sans motif, sans avoir eu d'
attaque
de nerfs, il se mit à bégayer. Son maître, les en
des douches froides. Pendant son séjour, qui dura un mois,il eut deux
attaques
de nerfs pendant la nuit. Il fit ensuite plusieur
ions, par la pression sur une zone hystérogène rachidienne, après les
attaques
de nerfs. Le malade a à peu près une attaque to
achidienne, après les attaques de nerfs. Le malade a à peu près une
attaque
tous les mois. Elles sont précédées d'une aura cl
ris, etc., et s'accompagnent de perte de la connaissance. Ce sont des
attaques
d'hystérie tout à fait typiques. Il a, en outre
ttaques d'hystérie tout à fait typiques. Il a, en outre, de petites
attaques
dans lesquelles l'aura aboutit seulement à une cr
Pas de morsure de la langue, pas de miction involontaire pendant l'
attaque
. Ainsi que le faisait remarquer M. Charcot, dan
nt près d'une année. Au bout de ce temps, en février, a eu lieu la 2e
attaque
qui commence par des douleurs de même localisatio
l'intensité première. Pendant les trois années qui suivirent cette
attaque
, il n'y a pas eu de nouveaux grands accès ; mais,
vouloir s'établir en permanence. Les maux de tète dans ces petites
attaques
, comme dans les grandes, se sont généralement acc
isées à droite dans les régions indiquées à propos des deux premières
attaques
. Vomissements ; exaspération de la douleur vers l
s'en prend pas seulement à presque toutes les parties internes ; elle
attaque
aussi quelquefois les parties externes et les mus
nes durèrent environ un mois, puis cessèrent spontanément lorsque des
attaques
convulsives apparurent. Un peu plus tard ils repa
rent, mais d'une façon assez légère et disparurent enfin à la suite d'
attaques
convulsives classiques. M. Wallet, entre les ma
rd. Déjà la malade était une vraie hystérique, ayant eu autrefois une
attaque
de mutisme. Plus tard elle présenta encore des ac
la vue du fer rouge provoquaient, à chaque nouvelle application, une
attaque
de nerfs. Deux mois après on enlève l'appareil
isuel, ni de troubles oculaires d'aucune sorte. Enfin la malade a des
attaques
de nerfs et l'on trouve sur la surface du corps q
ue l'on voit apparaître et disparaître de temps en temps à la suite d'
attaques
. C'est sur ce malade que j'ai pour la première fo
is tout à l'heure et que je considérais comme représentant de petites
attaques
d'hystérie et dans l'abolition du goût sur un des
prévu dans la première période de sa maladie, est sujet à des grandes
attaques
d'hystérie classiques avec phase épileptoïde, gra
ble très considérable du champ visuel, dyschromatopsie, etc., grandes
attaques
, points hystérogènes. Elle a eu de plus quelques
ccidents d'ordre moins banal, si je puis ainsi dire, tels que grandes
attaques
de chorée rhythmée, attaques de délire durant plu
si je puis ainsi dire, tels que grandes attaques de chorée rhythmée,
attaques
de délire durant plusieurs jours. Je vous l'ai d'
atin, à moins qu'il ne soit survenu, pour une cause quelconque, une
attaque
d'hystérie dans la journée, auquel cas, au sortir
e, une attaque d'hystérie dans la journée, auquel cas, au sortir de l'
attaque
, la main est de nouveau raide et impotente, gonfl
des articulations de la main. Pendant cette période de temps, pas d'
attaques
de nerfs, pas de perte de connaissance, pas de do
vement bizarre quand on l'examine, aboutissant à une espèce de petite
attaque
avec larmes, dyspnée, air hébété. Pas d'ovarie,
yspnée, air hébété. Pas d'ovarie, pas de points hystérogènes, pas d'
attaques
. Le dimanche 10 décembre, au matin, on pratique
: Nul des deux côtés. — Goût : A peu près nul des deux côtés. Pas d'
attaques
de nerfs. Il y a deux ans elle aurait eu, par sui
ien portant. Dans la ligne paternelle : son grand-père est mort d'une
attaque
d'apoplexie, sa grand'mère est morte très vieille
an en moyenne. Jamais le malade n'a constaté avant l'apparition de l'
attaque
aucune cause qui ait pu lui donner naissance. Il
la dernière fois elles commencèrent en novembre 1888. A la deuxième
attaque
, les douleurs, qui étaient restées la première fo
ut une des plus violentes, la jambe entière fut prise. A la quatrième
attaque
elles furent moins vives, bien qu'empêchant encor
près à son aise qu'étendu horizontalement dans un lit. La dernière
attaque
disparut le 25 décembre 1888. Aussitôt les douleu
quante-neuf ans, courtier en vins ; aurait eu à quarante ans quelques
attaques
d'épilepsie (mouvements convulsifs, écume à la bo
dents héréditaires.— Mère violente, colère, nerveuse, n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs. Le frère de son grand-père (côté patern
non réduite. Le malade est émotif, pleure facilement, n'a jamais eu d'
attaques
. Début. — Vers le milieu de décembre 1885, il r
nous voyons dans ses antécédents personnels qu'elle a eu plusieurs
attaques
d'hystérie avec sensation de boule , sanglots, et
ravelle et c'est pendant la convalescence de la cinquième et dernière
attaque
de colique néphrétique qu'il commença à ressentir
cien peintre en voitures, âgé de quarante et un ans, qui, à part deux
attaques
de coliques de plomb et des crises d'automatisme
dant on arrive à savoir qu'elles étaient précédées d'une toute petite
attaque
convulsive très courte, et que souvent pendant le
pendant la nuit ni à aucun autre moment. A dix-huit ans il eut une
attaque
de coliques de plomb. Il avait commencé son métie
métier de peintre en voitures et quelque temps après eut une seconde
attaque
de coliques de plomb. Depuis cette époque (1876)
ntractilité fara-dique était diminuée, mais non abolie. Cette seconde
attaque
de paralysie dura plus d'un an et guérit complète
la paralysie faciale à la suite d'un autre traumatisme subi dans une
attaque
. — Symptômes d'alcoolisme. — Rôle de ces deux age
à bon droit, car ce n'est pas l'alcool qui a fait éclater la première
attaque
et a révélé Thystérie, mais un traumatisme, ou mi
t nous n'avons pas été longs à reconnaître tout d'abord l'existence d'
attaques
convulsives typiques, ayant le caractère de la gr
la grande hystérie, avec arcs de cercle, grands mouvements, etc. Ces
attaques
ne s'accompagnent jamais de morsure de la langue
peut-être, elle n'occupe la face. » Ainsi l'hémiplégie hystérique n'
attaque
pas la face en général, elle ne l'attaque peut-êt
i l'hémiplégie hystérique n'attaque pas la face en général, elle ne l'
attaque
peut-être même jamais : telle est l'opinion de ïo
». Les accidents nerveux que nous avons décrits plus haut à savoir :
attaques
convulsives épileptiformes avec projection du tro
tes, deux mois environ après l'accident, que se manifeste la première
attaque
hys-téro-épileptique. Il était à l'Entrepôt occup
scotodinie, il tombe sans connaissance. Il paraît que cette première
attaque
a duré environ une heure. Il s'était heurté le me
nerveux permanent, qui aboutit au bout de quelques mois à la première
attaque
. Dans celle-ci, la chute sur le menton, suivant l
manifestent clairement dans les circonstances que voici. La première
attaque
avait eu lieu, comme on l'a dit, quelques mois av
nt forcément de boire faute d'argent. Dès lors il n'a plus de grandes
attaques
, mais seulement de petits vertiges Terminons pa
ier et en même temps ses habitudes de boire et alors reparaissent les
attaques
convulsives avec écume à la bouche, arc de cercle
a boisson. Sa mère irascible, nerveuse à l'excès, était sujette à des
attaques
de nerfs. Dans les dernières années de sa vie, el
ouvait boire, le malade n'avait eu que des vertiges et non de grandes
attaques
. La première chose à faire sera, par conséquent,
st-il besoin de vous dire que ces arthralgies furent attribuées à une
attaque
de rhumatisme et que, durant cette longue période
ément nous n'avons trouvé ici, ni dans le passé ni dans le présent, d'
attaques
convulsives d'hystérie mais la malade nous a fait
syncopes » qui, envisagées de très près, ne sont autre chose que des
attaques
avortées. Ce n'est pas tout : elle présente encor
iveau de ces zones réveille les phénomènes de l'aura sans provoquer d'
attaque
convulsive. En ce qui concerne les sens spéciau
café. Il a cependant des antécédents pathologiques : à cinq ans une
attaque
de fièvres intermittentes, à 18 ans une fièvre pe
in germain est mort aliéné. Du côté maternel, sa grand'mère avait des
attaques
convulsives, ainsi que son oncle et ses deux cous
Xxw, traîner.) de couteau. Quelques heures après, il fut pris d'une
attaque
avec perte de connaissance. A-t-il eu des convuls
ouffe. » Il s'agit, en somme,d'un point hystérogène et une esquisse d'
attaque
. Arrivons à l'hémiplégie. Todd dit, à propos du
e ans, il a de l'incontinence d'urine, de sept à treize ans plusieurs
attaques
probablement hystériques. Il vient alors à Paris
une malade qui, quelques jours auparavant, avait éprouvé une série d'
attaques
convulsives débutant par l'index de la main droit
ise convulsive du type brachial. En six jours, elle a présenté quatre
attaques
épileptoïdes ou épilepti-formes, comme vous voudr
mission, c'est-à-dire depuis dix jours, elle n'a éprouvé qu'une seule
attaque
avortée, uniquement caractérisée par de l'engourd
appris — remarquez bien cet épisode — que six mois avant le début des
attaques
épilep-tiformes, il avait existé une céphalée d'u
malade est restée deux mois dans le service sans présenter une seule
attaque
d'épilepsie partielle. Elle est sortie guérie, si
er qu'il y a des hémiplégies transitoires corticales accompagnant l'
attaque
d'épilepsie partielle, qu'il y a encore des hémip
ilepsie partielle, qu'il y a encore des hémiplégies transitoires sans
attaque
résultant d'une altération pachyméningitique qui
atoire. C'est ce même homme qui, ici-même, vous a rendu témoins d'une
attaque
typique d'épilepsie partielle. Vous avez vu les s
membre inférieur. Dans ce laps de temps, il a présenté en outre deux
attaques
avortées, où tout s'est borné à quelques secousse
sie brachiale s'amenda. Quelques jours après survenait la troisième
attaque
d'épilepsie partielle, qui amenait cet homme à no
stic avec la papille tabétique. Autres symptômes oculaires. Vertiges,
attaques
apoplectiformes. Mobilité des symptômes. Formes
la parole, le nystagmus, un regard vague et fuyant, des vertiges, des
attaques
apoplectiformes ou épileptiformes, etc. Tel est
e : nystag-mus, diplopie, embarras particulier de la parole, vertiges,
attaques
apoplecliformes, troubles spéciaux de l'intellige
uelques points intéressants. 1° La mobilité des symptômes. 2° Les
attaques
apoplectiformes et les grands vertiges. Ce sont l
plus souvent dans l'interrogatoire l'existence passée de vertiges, d'
attaques
apoplectiformes ; vous trouverez dans votre exame
cérébral et à juste titre, je crois. Il se pourrait cependant que les
attaques
apoplectiformes de la sclérose en plaques se fuss
ale droite. Un matin, en se réveillant, la malade s'en aperçut. Pas d'
attaque
pendant la nuit précédente. A ce moment la paraly
égulièrement. Pertes blanches dans l'intervalle des époques. Jamais d'
attaques
de nerfs. Elle a eu, il y a deux ans, un fort r
ans, domestique, est nerveuse, vive et emportée, mais n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs. Les grands-parents maternels ne paraiss
par un hoquet persistant qui a duré trois mois; elle n'a jamais eu d'
attaques
convul-sives. Une autre tante (trente et un ans)
trois ans. Depuis cet âge jusqu'à huit ans, elle a eu fréquemment des
attaques
convulsives revenant par moments presque tous les
ngue, pas de mictions involontaires. A huit ans, elle eut une série d'
attaques
plus longues, ayant duré plus de vingt-quatre heu
s, mais ces manœuvres n'eurent d'autre résultat que de déterminer des
attaques
convulsives avec perte de connaissance. Un an apr
le même temps environ. De neuf à dix-sept ans, Ler... n'a pas eu d'
attaques
et est restée indemne de manifestations morbides.
de son lit, mais elle ne saurait dire si, à ce moment, elle avait des
attaques
convulsives. Comme ces troubles persistaient, ell
jours les crises sont plus complètes et se rapprochent davantage de l'
attaque
d'hystérie ordinaire. Elles sont annoncées actuel
Des convulsions cloniques assez étendues apparaissent alors, puis l'
attaque
se termine habituellement par un sommeil analogue
que toujours un mélange de quelques autres phénomènes appartenant à l'
attaque
ordinaire : raideur des bras avec contracture, se
il lui semblait qu'elle allait défaillir. Parfois alors survenait une
attaque
véritable avec cris, contorsions, etc. Quelque
entes colères. Son grand-père est mort fou et sa grand'mère avait des
attaques
de nerfs. 2° Côté maternel. — La mère est empor
ôté maternel. — La mère est emportée, coléreuse, elle n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs. La grand'mère est peu connue. Le grand-
dées d'é-tourdissements et accompagnées de perte de connaissance. Ces
attaques
ne duraient que peu de temps. La malade poussait
oercibles tels qu'on les remarque aujourd'hui. Pendant cette première
attaque
, il y eut une courte période de convulsions avec
ts succédèrent et durèrent environ une demi-heure. Depuis lors, les
attaques
se sont succédé très fréquentes et très violentes
nts de salutation rythmée, assez lents, d'une violence modérée. Les
attaques
n° 2, au contraire des précédentes, qui ne se rep
, mais moins violents, quoique tout aussi incessants qu'au début de l'
attaque
. Ils permettent cependant à la malade de marcher
maire du côté gauche. Les points ovariens arrêtent assez facilement l'
attaque
. Ils la produisent aussi quelquefois, mais non to
entée par M. le Pr Charcot à ses auditeurs, suffit pour provoquer une
attaque
. Il est bon de dire que les attaques ne sont pa
eurs, suffit pour provoquer une attaque. Il est bon de dire que les
attaques
ne sont pas toujours aussi nettement séparées que
s deux se mélangent souvent. Cela est même arrivé pour la plupart des
attaques
que nous avons observées. L'attaque simple se man
même arrivé pour la plupart des attaques que nous avons observées. L'
attaque
simple se manifeste seule quelquefois ; mais, le
plus souvent, actuellement du moins, elle est suivie ou précédée de l'
attaque
de bâillements. Ce ne sont point des bâillement
ans, rhumatisant. Mère quarante-huit ans, rhumatisante, aurait eu des
attaques
étant jeune. Sœur morte à dix-neuf ans de la fièv
jeune. Sœur morte à dix-neuf ans de la fièvre typhoïde. Elle a eu des
attaques
. Une autre sœur nerveuse, rit et pleure sans moti
égularité et sont matinales. A la suite du bâillement (survient une
attaque
convulsive caractéristique ; elle étend ses bras,
mac dans la gorge et l'é-touffe. Il ne s'agit pas ici d'une véritable
attaque
d'hystérie caractérisée par un phénomène inusité,
esque continuel, dû à une sensation identique à l'aura ordinaire de l'
attaque
hystérique. Il est impossible d'obtenir de rensei
d cependant qu'elles sont précédées d'une aura analogue à l'aura de l'
attaque
vulgaire : contraction de la gorge, battements da
reilles. Il est donc certain qu'il s'agit là véritablement de petites
attaques
d'hystérie. La malade se plaint en outre de phé
le sein gauche. La pression en ces points, si elle ne provoque pas d'
attaque
proprement dite, donne lieu néanmoins à la produc
sives limitées ou généralisées de l'hystérie se groupant sous forme d'
attaques
. Il existe dans tous ces cas un fonds commun qui
tout mélange des phénomènes ordinairement observés lors de la grande
attaque
. On sait en effet, — M. Charcot l'a montré, — qu'
de l'aura qui sont communs, il est fréquent d'observer au début de l'
attaque
des contractures des membres supérieurs ou inféri
u de délire. La prédominance des bâillements fixe seule la forme de l'
attaque
. Parfois l'attaque de bâillements peut se termi
minance des bâillements fixe seule la forme de l'attaque. Parfois l'
attaque
de bâillements peut se terminer par une véritable
Parfois l'attaque de bâillements peut se terminer par une véritable
attaque
convulsive ordinaire, les bâillements représentan
quefois, cependant, on voit alterner sans se confondre (obs. III) les
attaques
convulsives proprement dites et les attaques de b
confondre (obs. III) les attaques convulsives proprement dites et les
attaques
de bâillements. Le diagnostic différentiel des
ut se poser. Lorsque les bâillements ne sont pas groupés sous forme d'
attaques
, le rythme et la cadence sont des éléments différ
analyse des urines de la période des vingt-quatre heures comprenant l'
attaque
donne des résultats qui permettent d'établir que
mprenant l'attaque donne des résultats qui permettent d'établir que l'
attaque
a eu lieu. Dans ces cas, l'attaque se juge par
s qui permettent d'établir que l'attaque a eu lieu. Dans ces cas, l'
attaque
se juge par l'abaissement du résidu fixe, du taux
viennent comme 1 esta 2, 1 est à 1, et même quelquefois plus. Or, l'
attaque
de bâillements hystériques ne fait pas exception
t, pour s'en convaincre, de considérer le tableau suivant relatif aux
attaques
de la malade dont l'histoire est rapportée dans n
servations Ler... 17 ans . . . (salle Duchenne). P = 59 k'.l.
Attaque
. État normal. ce. 615 1350 gr. 20.6
, disent MM. Gilles de la Tourette et Cathelineau (1) en parlant de l'
attaque
convulsive, sont également applicables aux bâille
nt également applicables aux bâillements hystériques, forme rare de l'
attaque
. Dans un cas que nous avons observé et qui nous a
bservé et qui nous a fourni huit analyses dont quatre de la période d'
attaque
, l'état normal hystérique caractérisé par les sti
période d'accès se caractérisant par quelques-uns des prodromes de l'
attaque
ordinaire suivis d'une série de bâillements préci
série de bâillements précipités, convulsifs, se groupant sous forme d'
attaque
. Or, nous notons encore dans cette période d'accè
'observe dans la période des vingt-quatre heures correspondantes de l'
attaque
convulsive proprement dite. » Il est à noter qu
illements qui surviennent à l'état isolé sans se grouper sous forme d'
attaques
n'influencent pas les phénomènes nutritifs. Il fa
sur ces données chimiques, car si le doute pouvait exister entre les
attaques
de bâillements hystériques et les accès de bâille
, et en même temps qu'elle. C'était une hystérique vulgaire à grandes
attaques
à forme de somnambulisme nocturne, qui se mit, so
ttement hystériques de la paralysie. — Stigmates hystériques, petites
attaques
. — Rôles respectifs du traumatisme, de l'appareil
paralysie faciale à la suite d'un autre trauma tisme subi dans une
attaque
. — Symptômes d'alcoolisme. — Rôle de ces deux age
stic avec la papille tabétique. Autres symptômes oculaires. Vertiges,
attaques
apoplectiformes. Mobilité des symptômes. Formes
ause la plus fréquente de l'hémorrhagie cérébrale (1). térieure à l'
attaque
apoplectique ; c'est ce que démontrent les détail
e sanguine, qui se développent lentement, successivement, précèdent l'
attaque
d'un temps variable, souvent fort long, et enfin,
isseur de la circonvolution. Lorsque les malades ont succombé à une
attaque
récente, on trouve souvent quelques-uns de ces gr
s, ceux ou l'hémorrhagie avait déterminé la mort peu de temps après l'
attaque
et où l'encéphale ne montraitque des foyers récen
le lit, est frappée d'apoplexie le 11 mars 18GG. A la suite de cette
attaque
, on constate une hémiplégie droite. — Elle meurt
, on constate une hémiplégie droite. — Elle meurt trois jours après l'
attaque
le 14 mars 1866, A Y autopsie, on trouve dans l
ère, Saint-Jacques, 15. —Charcot. Barbillon (Marie-Rose), 75 ans. —
Attaque
d'apoplexie avec hémiplégie droite. Perte absolue
membre inférieur droit. Mort le 29 septembre 1866, cinq jours après l'
attaque
. A Yautopsie, on trouve un vaste foyer hémorhag
ayeur d'être frappée d'apoplexie. Lo 13 janvier 1807, elle a eu une
attaque
, non précédée de prodromes; elle chancelle, mais
tants, le bras droit refuse son service. Observée dix minutes après l'
attaque
, la malade n'avait ni déviation à la face, ni gèn
ce obscurcie. — Cette femme meurt le 14 janvier 1867, un jour après l'
attaque
. A Yautopsie, on trouve un foyer anfractueux da
hôpital, il est pris d'érysipèle et meurt dix ou quinze jours après l'
attaque
, le 19 lévrier 1867. kVautopsic, on trouve un f
n. ques énergiques; il meurt sans convulsions vingt minutes après l'
attaque
, le 4 Avril 1867. A Vaufopsie, on trouve une hé
Obs. XIII. Salpêtrière. — Charcot. Baudois (Marguerite), 91 ans. —
Attaque
d'apoplexie, hémiplégie gauche avec contracture,
e avec contracture, retour de l'intelligence. Mort neuf jours après l'
attaque
, le 24 Avril 1867. A Yautopsie, on trouve un fo
Obs. XV. Salpctrière. — Charcot. Thomas (Marie-Thérèse), 70 ans. —
Attaque
d'apoplexie, déviation de la face à gauche, résol
gauche, résolution des quatres membres, coma. Mort cinq jours après l'
attaque
, le 20 mai 1807. Hérnorrhagie du lobe gauche du
e. La température monte à 39°,8 ; la mort survient deux jours après l'
attaque
le 2 juin 1807. A l'autopsie, on trouve une vas
érature très élevée. Plusieurs fois, pendant l'année 1865, il eut des
attaques
caractérisées par une perte de connaissance, avec
ne laissaient après eux aucune paralysie. A la suite de la troisième
attaque
, on insista pour que cet homme quittât le travail
mployé comme jardinier. Le 10 août 1867, il est pris d'une nouvelle
attaque
et transporté à la Pitié. Il est à son entrée dan
qué par la chaleur et par l'acide nitrique. Mort dans la journée de l'
attaque
, le 10 août 1867. A Y autopsie, hémorrhagie du
XVIII. Pitié. — Béhier supléé par Proust. Til (Nicolas), -40 ans. —
Attaque
d'apoplexie, paralysie des quatre membres, coma p
hémorrhagie cérébrale clu lobe postérieur droit, quatre jours après l'
attaque
. — Anévrysmes des petites artères clans le foyer
tion complète, a un vomissement et meurt dix ou douze minutes après l'
attaque
. On trouve à Y autopsie une vaste hémorrhagïe d
Hubert (Joséphine-Charlotte), 51 ans. — Hémiplégie droite ancienne.
Attaque
apoplectique le 9 août 1888 ; elle devient paraly
Saint-Alexandre, 18. ?— Charcot, Quantin (Marie-Marguerite), 74 ans. —
Attaque
d'apoplexie, hémiplégie gauche. La chute amène un
ysé et élévation terminale de la température. Mort neuf jours après l'
attaque
, le 31 juillet 1866. A Y autopsie, vaste foyer
Saint-Alexandre, 18. — Charcot. Fossé (Marie-Euphrasic), 79 ans. —
Attaque
d'apoplexie le 12 septembre 1860; la malade jusqu
eu paralysé. La malade meurt le 18 septembre 1800, sept jours après t'
attaque
. A Yautopsie, on trouve un caillot sanguin du v
une certaine peine à parler. Le 26 février 1867, elle est prise d'une
attaque
apoplectique avec hémiplégie gauche de la face et
lents, eut il y a trois ans, sans perte de-connaissance, une première
attaque
de paralysie affectant seulement fe membre supéri
eulement fe membre supérieur droit, fl y a deux ans et demi, deuxième
attaque
avec perte de connaissance, hémiplégie droite, ap
Obs. XXXIV. Salpêtrière. — Charcot. Ilenon (Catherine), 58 ans. —
Attaque
d'apoplexie avec hémiplégie gauche, contracture e
la température, qui monte jusqu'à 40°. Mort le troisième jour après l'
attaque
, le 20 juillet 1857. A Vautopsie, on trouve une
e Saint-Luc, 2. — Charcot. Bertin (Marie-Adèle), 55 ans. — Première
attaque
d'apoplexie avec hémiplégie gauche, il y a trois
ttaque d'apoplexie avec hémiplégie gauche, il y a trois ans. Deuxième
attaque
il y a un an, la paralysie augmente et la malade
et la malade ne peut plus marcher. Enfin, à la suite d'une troisième
attaque
, la malade meurt clans le coma, sept jours après
pêtrière, Saint-Alexandre, 22. — Charcot. Renaud (Julie), 85 ans. —
Attaque
subite sans perte totale de connaissance, face pâ
é du corps à l'autre; dyspnée intense. Mort dans la journée même de l'
attaque
, le 13 novembre 1867. A Yautopsie, surcharge gr
gnot (Pierrette), 50 ans. — Cette malade, qui avait déjà eu plusieurs
attaques
et qui avait fréquemment des accès violents de co
d'hémiplégie gauche ancienne. — Le 21 mars 1808, elle est prise d'une
attaque
d'apoplexie avec hémiplégie droite. Elle tombe da
ngtemps d'une hémiplégie gauche, ce malade, à la suite d'une nouvelle
attaque
est frappé d'hémiplégie droite, le 20 mars 1808.
8. — CnARCOT. Drouat (Caroline), 60 ans. — Cette femme avait eu une
attaque
apoplectique avec hémiplégie droite en janvier 18
arole, une gêne de la marche, précédèrent, pendant un an environ, une
attaque
d'apoplexie avec hémiplégie droite qui survint tr
a sur cette femme que des renseignements presque nuls, on parle d'une
attaque
antérieure d'apoplexie ; elle était inhabile du b
Charcot. Peugnet (Emmerentine), 60 ans. — Cette femme avait eu une
attaque
d'apoplexie il y a six mois. Elle avait conservé
— Cette femme était devenue presque impotente à la suite d'anciennes
attaques
d"apoplexie dont la date ne peut pas être précisé
ait une hémiplégie gauche. Dans les derniers temps, elle eut quelques
attaques
épileptiformes, et mourut sans lésions nouvelles
14. —Charcot. Lecomte (Rose-Geneviève), 09 ans. — H y a quatre ans,
attaque
d'apoplexie avec hémiplégie droite. Dans les dern
'apoplexie avec hémiplégie droite. Dans les derniers temps de la vie,
attaques
épileptiformes alternant avec de l'agitation. La
trière, Sainte-Rosalie, 4. — Charcot. Buisson (Françoise), 50 ans. —
Attaque
d'apoplexie avec hé-miphégie gauche, datant de de
demi. Albuminurie. Crises épileptiformes ayant débuté un an après l'
attaque
et augmentant graduellement. Mort le 23 novembre
nt graduellement. Mort le 23 novembre 1867, à la suite d'une nouvelle
attaque
. L'autopsie montre un ramollissement récent du
iron. Obs LX. Salpêtrière. — Charcot. Lasnier (Jeanne), 82 ans. —
Attaque
d'apoplexie avec hémiplégie gauche incomplète de
er (1). Femme cle 63 ans. — Prodromes : vomissements la veille de l'
attaque
; hémiplégie gauche, avec rigidité très prononcée
érieurs du cou; la face est tournée à droite. Mort deux jours après l'
attaque
. Autopsie : Inflammation de la presque totalité
passent le plus habituellement: du deuxième au quatrième jour après l'
attaque
, rarement plus tôt, quelquefois plus tard, une pl
bs. IV. Henry, 89 ans. — Ramollissement blanc. Début d'une deuxième
attaque
avec hémiplégie gauche, sans perte de connaissanc
roite, récente complète à gauche. Début apoplectique de la deuxième
attaque
. — Mort le cinquième jour. TR. 41°, 8. Obs. XXI
uefois deux jours, l'eschare quatre ou cinq jours après le début de l'
attaque
; elles siègent, comme on l'a vu, soit exclusiveme
aso-motrice.Elles ne sont pas un phénomène précoce, contemporain de l'
attaque
, mais leur époque d'apparition est tardive; elles
l'exploration du rectum a pu être pratiquée soit au moment même de l'
attaque
apoplectique, soit encore quelques heures après,
première période, qui comprend les premières heures qui succèdent à l'
attaque
, le chiffre thermométrique s'abaisse en général a
e plus de 40), survient constamment dans les instants qui suivent une
attaque
d'apoplexie causée par une hémorragie cérébrale o
é, lorsque, le 5 septembre au soir, elle fut prise soudainement d'une
attaque
avec perte de connaissance et tomba lourdement da
erminés et de courte durée, est prise, le S septembre, d'une nouvelle
attaque
, après avoir été, paraît-il, maltraitée assez gra
près avoir été, paraît-il, maltraitée assez gravement. Cette nouvelle
attaque
est caractérisée surtout par une perte complète d
stances très importantes de notre observation. Le malade avait eu une
attaque
d'une nature indéterminée trois mois et demi avan
is et demi avant sa dernière entrée à l'hôpital ; à la suite de cette
attaque
, quia été très courte, il ne paraît être resté au
rte aux seuls renseignements qu'on ait pu obtenir; enfin, la dernière
attaque
, brusque comme la précédente, s'est déclarée trei
it de date récente et qu'elle s'était opérée au moment de la dernière
attaque
, c'est-à-dire treize jours avant la mort. Ceci
ragie cérébrale. 8 mois avant les derniers accidents, il y a eu une
attaque
dont les caractères ne peuvent pas être déterminé
plupart des médecins français sur les cas de ce genre. Cette première
attaque
, dirait-on, a été occasionnée par une hémorrhagie
ût existé une hémorrhagie initiale. En a-t-il été ainsi ? La première
attaque
a-t-elle réellement coïncidé avec la forma- Lio
cours de la péri-encéphalite chronique diffuse a été traversé par des
attaques
, soit comateuses, soil convulsives, et où l'on a
ctement dans le sujet de cette étude. Le plus souvent au contraire, l'
attaque
apoplectiforme est précédée par des phénomènes mo
uvent avec une grande rapidité ; enfin se déclare, en dernier lieu, l'
attaque
apoplectique dont les symptômes ont été surtout,
circulation cérébrale, telles sont ensuite les causes organiques des
attaques
de pertes de connaissance observées dans un certa
er au-delà de deux années. Il aurait eu, il y a environ deux ans, une
attaque
de perte de connaissance. Il ne sait pas, et on n
on ne lui a pas dit, quels phénomènes ont caractérisé cette première
attaque
, mais il affirme qu'elle n'a pas été suivie d'hém
'hémiplégie. Peu de temps avant ou immédiatement après cette première
attaque
(le malade ne peut point établir ce point importa
ense et continue. Dans l'intervalle de temps qui sépare sa première
attaque
de son entrée à l'hôpital, il a eu deux ou trois
nt dans l'état du malade jusqu'au II juin. Ce jour là, le malade aune
attaque
. Les personnes qui se trouvaient auprès de lui à
nnes qui se trouvaient auprès de lui à ce moment rapportent que cette
attaque
a été caractérisée par une perte complète do conn
15 sangsues à la région anale). Dans la nuit du 14 au 15, nouvelle
attaque
présentant absolument les mêmes phénomènes, mais
ais point aussi complètement. La pupille de l'œil droit, qui, après l'
attaque
du 11, s'était resserrée et était revenue à peu p
favorable dans l'état du malade. Dans la nuit du 17 au 18, nouvelle
attaque
semblable aux autres. Le 18, à la visite, à sep
, à la visite, à sept heures du matin, nous trouvons le malade pris d'
attaques
qui ont commencé quelques instants avant notre
très intense. Le malade tousse beaucoup et no peut point cracher. Les
attaques
qu i nous venons de décrire ne cessent point, et
mettre le matin dix sangsues derrière les oreilles. Depuis sa seconde
attaque
, cetle du 11, le malade n'a plus parlé. Autopsi
depuis son accès, et dans cette période, il a eu deux ou trois autres
attaques
dont il ne sait pas le caractère. Quelques semain
re. Quelques semaines avant son entrée à l'hôpital, après sa dernière
attaque
, il a vu paraître une diminution de la sensibilit
du côté droit. Dix jours après son entrée, le malade a une nouvelle
attaque
, à la suite de laquelle il est pris de fièvre : t
firmerie le 8 mai. Cette femme a été frappée, en novembre 1866, d'une
attaque
d'apoplexie avec perte de connaissance, qui a dur
articulation des mots. Le "mai 1867, survint tout à coup une nouvelle
attaque
d'hémiplégie, occupant cette fois encore, les mem
fait l'objet de cette observation a été frappée le 7 mai 1867, d'une
attaque
d'hémiplégie à droite, sans qu'il y ait eu perte
ant bien que mal, la porter à sa fête, etc. Un mois environ après l'
attaque
, sans cause extérieure appréciable, des douleurs
ectés et en particulier dans les jointures. Le 2 août, une nouvelle
attaque
, plus intense que la première, mais déterminée co
de salive écumeusc. Il parait certain cependant qu'il n'y a pas eu d'
attaques
convulsives. La l'ace est injectée. — Le membre s
certain degré de paralysie qui n'a pas persisté. Le lo août, nouvelle
attaque
apoplectique plus intense, que la première et plu
le-ci a été nettement accusé, de trois à six semaines environ après l'
attaque
. Elle peut sans doute se montrer plus tôt; jamais
ue l'arthrite peut s'établir de bonne heure, 16 jours à peine après l'
attaque
, dans les cas où la paralysie étant restée incomp
ente, au moins pendant les quatre ou cinq premiers mois qui suivent l'
attaque
, un certain degré de tuméfaction, une coloration
de l'éther, qui se traduit par des phénomènes semblables à ceux de l'
attaque
hystérique. Lorsque le sujet est, en effet, sous
médecins. Voici d'abord M..., c'est celle qui, pendant ses grandes
attaques
, prenait des attitudes passionnelles si remarquab
venues, elle a grossi considérablement et a pris de l'embonpoint. Ses
attaques
n'ont pas disparu complètement, mais paraissent a
. Sans doute elle se produit encore à un certain degré à la suite des
attaques
. Mais, tandis qu'autrefois elle était permanente,
l'hystôro-épilepsie. Elle est hémianesthésique et sujette aux grandes
attaques
depuis trois ans. C'est toujours de l'hystérie gr
oite, ainsi que l'ovarie suivant la règle, les phases classiques de l'
attaque
, période épileptoïde, contorsions, attitudes pass
mps et de la même façon que la première. Aujourd'hui, elle n'a plus d'
attaques
que très rarement; l'hémianes-thésie ne se manife
feste jamais que temporairement, pour quelques heures, à la suite des
attaques
. L'application de l'or sur le côté gauche du corp
ui, depuis onze ans, n'avait jamais cessé d'exister, a disparu et les
attaques
d'hystéro-épilepsie, très fréquentes, et très c
ait tout le côté droit du corps, ne s'est montrée à la suite de cette
attaque
qu'au membre inférieur droit où la contracture s'
catalepsie et somnambulisme, permettra une conception plus juste de l'
attaque
hystéro-épileptique et facilitera la description
ue hystéro-épileptique et facilitera la description des variétés de l'
attaque
résultant de l'immixtion, parmi les symptômes hab
ue, chez la malade somnambule ou cataleptique, le développement d'une
attaque
convulsivc. 2. Voir à ce propos l'excellent art
hute en arrière rappellent, jusqu'à un certain point, les débuts de l'
attaque
hystéro-épileptique, mais la ressemblance s'arrêt
nant ainsi de la connexité qui existe entre ces différents états et l'
attaque
convulsivc vraie. Dans aucun cas, nous ne l'avons
vait jamais été accompagnée de convulsions; la malade n'a jamais eu d'
attaques
; Un jour, son membre inférieur tomba paralysé, in
'est elle qui, une fois par an, à peine, nous donne le spectacle de l'
attaque
dite démoniaque. Elle n'en a pas eu depuis huit m
t des épiloptiques), des phénomènes précurseurs, prémonitoires de ces
attaques
, environ quinze jours à l'avance. Cette malade
hésie. Foyers d'hyper es thésie. — Lorsqu'une hystérique n'a pas eu d'
attaque
depuis un certain temps, il existe sur la surface
corps, des points d'hyperesthésie dont l'excitation peut produire une
attaque
; ce sont des points hys térogènes analogues au
z une hystérique, on détermine une émotion très-vive ou une véritable
attaque
. Ce n'est pas toujours le dos qui présente cette
faut produire cette excitation, en pressant un peu, pour déterminer l'
attaque
. Si l'on insiste et si l'on frotte plus fort, on
r l'attaque. Si l'on insiste et si l'on frotte plus fort, on arrête l'
attaque
. Chez cette jeune hystérique, B..., qui est une v
e toucher le dos en y passant légèrement une plume, pour produire une
attaque
. Aussi, vous remarquez qu'elle ne s'approche de m
u'il est possible. Il ne faut pas, d'ailleurs, trop s'effrayer de l'
attaque
hystérique : c'est beaucoup de bruit, mais ce n'e
s ai entretenus dans la précédente leçon (page 271). A la suite d'une
attaque
plus ou moins violente, un membre est paralysé, p
s stigmates de l'hystérie; bien qu'il n'y ait pas eu antérieurement d'
attaques
ni de crises nerveuses, ce qui n'est pas indispen
us remarquons ici une antre phase de l'hystérie : c'est une véritable
attaque
d'hystérie ; la démoniaque déchire ses vêtements,
r Rubens. C'est la pho-tographie la plus fidèle des contorsions d'une
attaque
d'hystérie» IX. Études physiologiques sur l'h
naugurale de l'un de nous (P. Richer.— Étude descriptive de la grande
attaque
hystérique et de ses principales variétés, 1879),
immobilise dans une attitude qui rappelle celle du début de la grande
attaque
hystérique. Dans le cas qui précède, la contrac
é des muscles de la nuque. En résumé, il s'est produit là une sorte d'
attaque
de contracture généralisée. Cette contracture d
faire entrer les émotions vives, la fatigue physique, l'imminence des
attaques
, etc., telle malade présente une exaltation ou un
ation dans ce qui venait de se passer, nous essayons de provoquer une
attaque
. Une excitation vive portée sur les zones hystéro
u développés : L. D.., seize ans, hystéro-épileptique, a de grandes
attaques
convulsives avec arc de cercle et attitudes passi
est prise de secousses des bras, analogues à celles du début de son
attaque
. La crise paraît imminente. Nous nous empressons
ique totale et achroma-topsique excepté pour le violet, a des grandes
attaques
convul-sives dans lesquelles le spasme laryngé se
n spasme laryngien analogue à celui qui se montre pendant ses grandes
attaques
convulsives, avec cette différence toutefois, qu'
uccèdent alternativement à la façon de ce qui a lieu dans ses grandes
attaques
convulsives. La phase délirante présente ceci de
: le délire survient bien spontanément comme il arrive dans la grande
attaque
, il est parfois incohérent, d'autres fois il roul
istons en somme, à une ébauche de la période épileptoïde de la grande
attaque
hystérique. Cette phase convulsive est suivie d'u
ssive se déclare, c'est la période des grands mouvements de la grande
attaque
. Nous avons peine à maintenir la malade et il fau
te duquel la malade recouvre spontanément connaissance. Pendant cette
attaque
, nous nous sommes bornés à maintenir la malade et
co mc yg / g , celles qui viennent à notre insu : a) à la suite d'une
attaque
de nerfs ; b) à la suite d'un traumatisme léger ;
bandonne la partie, et elle a lieu soit spontanément à la suite d'une
attaque
, soit sans attaque àia suite d'une émotion vive,
et elle a lieu soit spontanément à la suite d'une attaque, soit sans
attaque
àia suite d'une émotion vive, d'une circonstance
avons que, sur les zones hystérogènes, une action légère provoque des
attaques
qui sont arrêtées par une action plus forte. 11 s
une parésie des muscles intercostaux. Peu après, elle présente des
attaques
intenses, pendant lesquelles elle se mord les lèv
Bla..., âgé de 12 ans, sans antécédents nerveux, n'avait jamais eu d'
attaques
jusqu'au moment où les premières tentatives d'hyp
st à l'hôpital, se répètent tous les deux ou trois jours. Ce sont des
attaques
hystériques assez bien formulées, précédées d'une
ux Hansen, un enfant, hypnotisé par un de ses camarades, a été pris d'
attaques
de contracture qui durèrent plusieurs heures et q
ur plus égale, fonctions digestives plus régulières, et surtout pas d'
attaques
. Et, ce qui montre bien que la dialhôs© est réell
lques semaines à l'électrisation statique, ont été délivrées de leurs
attaques
, et leur guérison ne s'est pas encore démentie, a
rielle, rétrécissement du champ visuel, points hystéro-gênes, grandes
attaques
). On cherche à l'hypnotiser par la pression sur l
ose artificielle, qu'on peut à beaucoup de points de vue comparer à l'
attaque
hystérique. De même que diverses formes convulsiv
onvulsives ou psychiques peuvent être rattachées au type de la grande
attaque
d'hystéro-épilepsie, de même les diverses variété
és de l'hypnotisme peuvent être reliées au grand hypnotisme. Dans l'
attaque
d'hysteria major, il existe plusieurs périodes di
e plusieurs périodes distinctes comme dans le grand hypnotisme. — Les
attaques
d'hystérie peuvent dévier du type normal par l'ab
vons vu à propos de l'hypnotisme? Tous les caractères somatiques de l'
attaque
hystérique, contractures, mouvements convulsifs,
uvements convulsifs, grands mouvements, etc., peuvent faire défaut. L'
attaque
est constituée exclusivement par des troubles psy
de larmes, qui peuvent être considérés comme des formes effacées de l'
attaque
hystérique. Ces cas correspondent aux variétés le
rappellerons de nouveau qu'un malade peut n'avoir jamais eu une seule
attaque
et être pourtant bel et bien hystérique. 11 faut
aré au point de vue de ses périodes, des variétés qu'il présente, à l'
attaque
hystérique et qu'il y avait une véritable analogi
ccidents qui relèvent de l'hystérie. Nous avons vu plusieurs fois des
attaques
hystériques diminuer de nombre et d'intensité qua
'occasion du développement de quelque manifestation hystérique, d'une
attaque
de sommeil, de la chorée rythmée, par exemple. C'
a paralysie faciale à la suite d'un autre traumatisme subi dans une
attaque
. Symptômes d'alcoolisme. Rôle de ces deux agents
n droit, car ce n'est pas l'al- cool qui a fait éclater la première
attaque
et a révélé l'hystérie, mais un traumatisme, ou
'a- vons pas été longs à reconnaître tout d'abord l'èxis- tence d'
attaques
convulsives typiques, ayant le carac- tère de l
a grande hystérie, avec arcs de cercle, grands mouvements, etc. Ces
attaques
ne s'accompagnent ja- mais de morsure de la lan
ut-être, elle n'occupe la face. » Ainsi l'hémiplégie hystérique n'
attaque
pas la face en général, elle ne l'attaque peut-
l'hémiplégie hystérique n'attaque pas la face en général, elle ne l'
attaque
peut-être même jamais : telle est l'opinion de
s accidents ner- veux que nous avons décrits plus haut à savoir :
attaques
convulsives épileptiformes avec projection du t
s, deux mois environ après l'accident, que se manifeste la première
attaque
hys- téro-épileptique. Il était à l'Entrepôt oc
cotodinie, il tombe sans connaissance. Il paraît que cette première
attaque
a duré environ une heure. Il s'était heurté le
erveux permanent qui aboutit au bout de quelques mois à la première
attaque
. Dans celle-ci, la chute sur le menton, suivant
ifestent clairement dans les circons- tances que voici. La première
attaque
avait eu lieu, comme on l'a dit, quelques mois
forcément de boire faute d'argent. Dès lors il n'a plus de grandes
attaques
, mais seulement de petits vertiges 22 CLINIQUE
r et en même tomps ses habitudes de boire et alors reparaissent les
attaques
convulsives avec écume à la bouche, arc de cerc
boisson. Sa mère irascible, nerveuse à l'excès, était sujette à des
attaques
de nerfs. Dans les dernières an- nées de sa vie
vait boire, le malade n'avait eu que des vertiges et non de grandes
attaques
. La première chose à faire sera, par conséquent
grâce à l'appui des esprits de défense qui s'opposent aux esprits d'
attaque
. C'est comme la lutte de saint Michel et du dia
de la moitié des cas, la paralysie s'est montrée .à la suite d'une
attaque
convulsive, quelquefois sans attaque après une
'est montrée .à la suite d'une attaque convulsive, quelquefois sans
attaque
après une vive émotion morale. Landouzyen cit
ne vive émotion morale. Landouzyen citeun cas survenu àlasuited'une
attaque
con- sécutive elle-même à des chagrins et à une
dans le ventre, une sensation d'étouffement, et aussitôt éclate une
attaque
convulsive violente; quatre personnes ont peine à
, elle rêve, voit un soldat écrasé. Le lendemain 27, de nouvelles
attaques
se produisent, suivies d'une période de délire ;
t de tout ce qui s'est passé dans la ma- tinée. A 8 heures du soir,
attaque
convulsive avec arc de cercle, grands mouvement
c arc de cercle, grands mouvements. ' Le 28, à 7 heures, nouvelle
attaque
, suivie jusqu'à 11 heures d'une dizaine d'autre
suivie jusqu'à 11 heures d'une dizaine d'autres. La plupart de ces
attaques
, dans lesquels manquent les phénomènes convulsi
: « Le soldat ! ... Ce n'est pas moi ! ... Les gendarmes ! » Pas d'
attaques
convulsives, pas de paralysie. CAS DE PARALYS
exes rotuliens ; dimi- nués. tG. - Nous essayons de provoquer une
attaque
par la pression sur l'ovaire gauche ; seule l'a
l'anesthésie de la jambe droite. En février 1889, à la suite d'une
attaque
provoquée par une émo- tion, la paraplégie disp
sives, ce n'était autre chose qu'une phase isolée et prolongée de l'
attaque
d'hystéro-épilep- sie, la troisième période, di
s, il n'y eut plus ni manifestation délirante ou hallucinatoire, ni
attaque
convulsive. Seuls, persistèrent pour quelque te
raisemblablement infec- tieuse, caractérisée par des secousses, des
attaques
convul- sives, des paralysies, du coma, et une
psychique ? Avons-nous eu affaire à une paralysie consécutive à une
attaque
convulsive sans l'intervention d'au- cune autre
erveux primitif aété très énergique ; il a suffi pour provoquer les
attaques
convulsives ; en outre, ce choc nerveux s'est r
ue c'est à l'immobilisation des quatre membres durant une série d'
attaques
convulsives et délirantes que doivent être surtou
art de chacune des causes, nous rattacherions : à la ter- reur, les
attaques
, le délire, une prédisposition à la paraplégie;
ent psychique. Nous avons cependant d'abord cherché à provoquer une
attaque
, espérant la voir suivie d'une disparition de l
oir suivie d'une disparition de la paralysie' : malheureusement l'
attaque
n'a pu être obtenue. - Les tentatives d'hypnose
s exemples de disparition subite de pa- raplég-ie ¡\ la suite d'une
attaque
. 52 ' ANATOMIÉ. ' tion à l'état de veille, ne
Rappelons que la guérison définitive se produisit à la suite d'une
attaque
convulsive. ANATOMIE RECHERCHE EXPÉRIMENTALE
es qualifiées de rhumatisme par les parents. C'est à la suite d'une
attaque
de rhumalisme que se seraient produits les trou
uchée ou assise sur son lit ou sur une chaise longue. Eu dehors des
attaques
convulsives, elle n'éprouve aucun malaise et se
toujours l'occasion d'une recrudescence des phénomènes nerveux. Les
attaques
d'hystérie que présente cette malade, se rattache
présente cette malade, se rattachent au type classique de la grande
attaque
hystérique, avec prédomi- nance de la période d
iode de clownisme. Nous n'insistons pas sur la des- cription de ces
attaques
, qui n'offrent qu'un intérêt secondaire, pour n
tribue à la fatigue et la marche devient de nouveau impossible. Les
attaques
d'hystérie se sont espacées et ont fini par dis
. L'inexcitabilité passagère des régions motrices après plusieurs
attaques
provoquées expliquait très bien ces faits. , De
du crâne. Le goût et l'odorat sont très émoussés, surtout après les
attaques
, tandis que la sensibilité thermique, la sensib
troubles vaso-moteurs de l'écorce qui déterminent ou accompagnent l'
attaque
. Dix à vingt secondes avant chaque accès, en ef
celle d'une tumeur du lobe occipital droit (Wollenberg); vertiges,
attaques
épileptiformes, vomissements, excitation maniaq
e de la pression intra-crânienne (hy- drocéphalie papille étranglée
attaques
épileptiformes), mais de meilleure heure que da
SIOLOGIE DES ganglions infra- corticaux ET A LEURS relations avec l'
attaque
D'ÉPI- LEPSIE ; par 'l'H. ZIEHEN. (Arch. f. Psy
Chez une femme de soixante-dix ans, se sont développées, après une
attaque
d'apoplexie, une parésie du nerf facial et une ap
portent difficilement les chan- gements de saison. A ce propos, des
attaques
congestives, qui chez les paralytiques généraux
d accès d'épilepsie bien' marqué. Tous les symptômes accompagnent l'
attaque
. Ecume à la bouche, perte de connaissance, cri
lus souvent du côté gauche ; elles se produisaient même en dehors d'
attaques
complètes, et persistaient pendant des heures e
al. L'auteur voit dans les cas aigus quelque chose d'ana- logue aux
attaques
de paralysie générale spinale. M. Magnan félici
réquentes ; la marche, par suite, en est plus lente, sauf les cas d'
attaques
épileptiformes qui sont assez fréquentes et peuve
alé il y a déjà longtemps par M. Bourneville.11. Mairet distingue l'
attaque
épileptique de l'attaque épileptiforme, les att
par M. Bourneville.11. Mairet distingue l'attaque épileptique de l'
attaque
épileptiforme, les attaques en séries et les at
ret distingue l'attaque épileptique de l'attaque épileptiforme, les
attaques
en séries et les attaques subintrantes. Il se l
ileptique de l'attaque épileptiforme, les attaques en séries et les
attaques
subintrantes. Il se limite à l'étude des premiè
es attaques subintrantes. Il se limite à l'étude des premières, Jes
attaques
simples. Les pre- mières recherches importantes
ctale tous les quarts d'heure, sans s'occuper tout d'abord s'il y a
attaque
ou non ; on peut ainsi comparer les jours à att
'abord s'il y a attaque ou non ; on peut ainsi comparer les jours à
attaques
à ceux sans attaques, où la température n'est gén
ue ou non ; on peut ainsi comparer les jours à attaques à ceux sans
attaques
, où la température n'est générale- ment pas mod
trouvé des oscillations thermométriques inattendues, en dehors des
attaques
, sans qu'on puisse les rattacher à une cause nett
er à une cause nettement définie. Quoi qu'il en soit, peu avant l'
attaque
, s'est souvent manifestée une dilatation pupill
ouvent manifestée une dilatation pupillaire prodromique ; pendant l'
attaque
, quatre fois, il y a eu abaissement de la tempé
que d'hypérémie encépha- lique. Sur des animaux en expériences avec
attaques
convulsives SOCIÉTÉS SAVANTES. 251 provoquées
pérature comme M. Mairet. Il signale en terminant le cas possible d'
attaques
bulbo-spinales sans participa- tion du cerveau
vésaniques à la suite de fièvre typhoïde. 2° observation. - A. P.,
attaques
d'hystérie antérieures, accidents délirants à l
casion d'une fièvre typhoïde, depuis, répétition du délire dans les
attaques
d'hystérie. 3° observation. Syphilis antérieure
ièvre typhoïde antérieure, stigmates avérés d'hystérie avec grandes
attaques
depuis cette époque. Ce n'est pas la fièvre typho
ès avancé. A l'âge de cinquante-six ans, cet homme eut une première
attaque
de neu- rasthénie ; deux ans après, ictus apopl
mes neuf malades deux étaient des hys- tériques qui avaient eu des
attaques
convulsives, et les autres pré- sentaient de la
u service d'une hystéro-épileptique atteinte de manie en dehors des
attaques
convulsives. A la suite d'une attaque sérieuse su
einte de manie en dehors des attaques convulsives. A la suite d'une
attaque
sérieuse survenue en voiture à sa malade, elle
apacité de travailler, mélancolie simple. La nuit, elle est prise d'
attaques
convulsives exactement semblables à celles de l
accidents nerveux. Il a vu chez les descendants des diabétiques des
attaques
de nerfs, des frayeurs maniaques, etc... Niepce
la nuit pour uriner. Il y a deux ans (8 février 1889), elle eut une
attaque
qu'on qua- lifia, dit-elle, de congestion céréb
ète s'améliora (153 grammes par jour). Un mois plus tard, début des
attaques
d'hystérie précédées de prodromes céphaliques,
ns grands inconvénients, le tout durant de trois à six minutes. Ces
attaques
étaient quotidiennes. Plus tard, elles se sont ac
débat beaucoup, fait l'arc de cercle, déchire ses vêtements, etc. L'
attaque
dure un quart d'heure environ et se termine par
reur, a été prise de maux de tète, de vertige, et il s'ensuivit une
attaque
' Deux cas avec autopsies apportés par Pissling
sans importance. 382 CLINIQUE NERVEUSE. épileptique; de pareilles
attaques
renouvelaient assez souvent dans la suite. Une
e. - Colère, gourmand, menteur. - Stigmates hystériques. - Première
attaque
à dix-sept ans. - Attaques limitées à la phase
ur. - Stigmates hystériques. - Première attaque à dix-sept ans. -
Attaques
limitées à la phase épileptoïde. - Aura. - Elévat
ines depuis trois ans. Elle est encore parfai- tement réglée. Pas d'
attaques
de nerfs ; peu nerveuse ; pas d'alcoo- lisme. F
n père ne le battait pas. Jusqu'au mois d'avril 1884 il n'eut pas d'
attaques
. Il quitta alors ses parents parce qu'il ne vou
it à Sainte-Anne depuis le 10 novembre, sa mère ne sait rien de ses
attaques
. L'affaiblissement qu'il présente dans la main
d ne pas se masturber, ou très rarement. 25 février. - A la suile d'
attaques
répétées dans ces derniers jours, il présente u
és de ce doigt. - Depuis son entrée le malade a eu, en décembre, 39
attaques
et 2 vertiges; eu janvier, 122 attaques et 3,08
alade a eu, en décembre, 39 attaques et 2 vertiges; eu janvier, 122
attaques
et 3,087 vertiges; en février, 126 attaques et
rtiges; eu janvier, 122 attaques et 3,087 vertiges; en février, 126
attaques
et 968 vertiges; en mars, 111 attaques et 215 v
87 vertiges; en février, 126 attaques et 968 vertiges; en mars, 111
attaques
et 215 vertiges; en avril, 181 attaques et 440
968 vertiges; en mars, 111 attaques et 215 vertiges; en avril, 181
attaques
et 440 verliges; en mai, 249 attaques et 224 vert
t 215 vertiges; en avril, 181 attaques et 440 verliges; en mai, 249
attaques
et 224 vertiges; en juin, 93 attaques et 76 ver
et 440 verliges; en mai, 249 attaques et 224 vertiges; en juin, 93
attaques
et 76 vertiges. - Depuis un mois il n'a plus d'
en juin, 93 attaques et 76 vertiges. - Depuis un mois il n'a plus d'
attaques
. Il n'est plus grossier, ne déchire plus ses habi
il donne à droite 12 et à gauche 32. 29 août. - Le malade a eu une
attaque
vers 8 heures et demie, qui a duré un quart d'h
se l'expérience. 31. Le malade a été pris à 8 heures et demie d'une
attaque
qui a.duré jusqu'à 10 h. 20. Il est repris à 10
ngé dans lequel le malade demande à boire. Il est 11 heures quand l'
attaque
prend fin. La température rectale prise alors e
ue prend fin. La température rectale prise alors est de 38°, 8. L'
attaque
est classique. L'arc de cercle est très beau, sou
sur le côté droit. Il est 11 h. 30. 12 octobre. - A eu hier neuf
attaques
de 7 heures et demie à 10 heures et quart du so
r pour qu'il assiste à son mariage le lendemain. Elle a été prise d'
attaques
de nerfs à l'âge de quatorze ans, à la suite d'
douleurs dans le côté gauche de la face. Un mois après elle eut une
attaque
. Les attaques étaient quotidiennes et se produisa
le côté gauche de la face. Un mois après elle eut une attaque. Les
attaques
étaient quotidiennes et se produisaient cinq ou
ot, pendant deux ans. Après sa sortie elle eut encore deux ou trois
attaques
, et elle n'en a plus du tout depuis trois ans.
18 avril pour trois jours. Il refusait de rentrer. Il n'a pas eu d'
attaques
pendant son congé et a aidé sa mère dans son co
et a aidé sa mère dans son commerce. 4 mai. - Le malade tombe en
attaque
à 7 heures et demie. Quand on arrive, il est pr
dans l'intérieur de la main, les doigts repliés sur les pouces. Ces
attaques
durent une quinzaine de secondes environ. Pas d
ent une quinzaine de secondes environ. Pas de cri initial. Durant l'
attaque
la tête est dans l'extension; le malade est pri
ieu. Le globe de l'oeil n'est certainement pas dévié en haut. Les
attaques
se succèdentpresque sans intermittence. Au moment
uatre ou cinq minutes d'intervalle à peine. Après la dix-septième
attaque
le malade se réveille un peu et demande à boire
nouvelle crise. Le corps est fléchi en demi-cercle. La durée de ces
attaques
est d'une minute environ. La respiration est st
a respiration est stertoreuse et irrégulière. A 8 h. 20, nouvelle
attaque
d'une durée de trente secondes. A 8 h. 24, une
re depuis le commencement de la série. - A 8 h. 26, vingt et unième
attaque
. Arc de cercle et convulsions cloniquesdesmembres
iration est un peu haletante, le pouls est calme. 6. - A eu trois
attaques
le matin. AnrHlvEs, t. XXII 21 370 O RECUEIL
éthargique, avec insen- sibilité complète. Mis au lit il eut quatre
attaques
consécutives semblables aux premières décrites
elle rien de ce qui s'est passé hier.- A 10 h. 8, il est pris d'une
attaque
. Il devient raide, pousse un'cri aigu, et est a
rapidité de -la respiration et gonflement des joues. Deux autres
attaques
épileptoïdes se succèdent bientôt. La pé- riode
oïdes se succèdent bientôt. La pé- riode de stertor de la troisième
attaque
est suivie tout d'un coup d'une attitude passio
versée en arrière, les yeux regardant au ciel et à droite. Nouvelle
attaque
.- La face grimace violemment, la bouche se tord
la bouche. Respiration précipitée, ronflante. A 10 h. 20 nouvelle
attaque
avec : 1° rigidité; 2° phase tétani- forme ; 3°
s; 4° stertor. A 10 h. et demie placé dans son lit il a une série d'
attaques
très violentes, toujours semblables aux précéde
précédentes. S'étant endormi il ne se réveille qu'a 3 heures et ses
attaques
le reprennent.-A 8 heures du soir il a de nouve
du soir il a de nouvelles secousses pen- dant 15 minutes, puis deux
attaques
d'une durée d'une minute, et revient à lui pres
rois jours et faisait les courses. Il croit n'avoir eu qu'une seule
attaque
depuis sa sortie, sur le boulevard Voltaire. 11
le clinique sur le certificat du D1' Garnier portant : c Epilepsie,
attaques
graves et fréquentes, affaiblissement intellect
on trenle secondes. - Il assure que les vertiges viennent avant les
attaques
et l'avertissent. 11.- Les attaques ont commenc
s vertiges viennent avant les attaques et l'avertissent. 11.- Les
attaques
ont commencé à 0 heures, épileptiformes seu- le
es couleurs, la dis- parition des poiats douloureux, de l'aura de l'
attaque
et par suite de l'allaque. On le réveille en lu
re et il empêche les autres de travailler. 1 cr octobre ? Série d'
attaques
depuis hier. Il est assez fatigué ce matin, et
. - Il a eu deux accès ce malin. T. R. 3 riz,8. 4. - Il a eu onze
attaques
depuis hier. Il est abruti; répond mal aux ques
en a plus après 9 heures et demie. Aura. Quelques minutes avant l'
attaque
le malade dit avoir des étourdissements, voir n
tait et qu'il allait se masturber dans les cabinets où il avait des
attaques
. Dans ces derniers temps il a fait deux tentati
viendrons sur ces chiffres approximatifs. IV. Sous le rapport des
attaques
elles-mêmes, nous n'avons rien à mentionner spé
spécialement; elles rentraient dans le type classique. Lorsque les
attaques
se succédaient durant un assez long temps, la t
ns. - Peurs à treize ans. - Cauchemars, somnam- bulisme. - Première
attaque
ci treize ans et demi. - Pas d'aura, , oubli de
Première attaque ci treize ans et demi. - Pas d'aura, , oubli de l'
attaque
. - Attaques de sommeil. - Tremblement. - Stigma
ttaque ci treize ans et demi. - Pas d'aura, , oubli de l'attaque. -
Attaques
de sommeil. - Tremblement. - Stigmates hystériq
s de sommeil. - Tremblement. - Stigmates hystériques peu marqués. -
Attaques
limitées à la phase épileptoïde. - Elévation de
itées à la phase épileptoïde. - Elévation de la température après l'
attaque
. Secousses. - Hallucinations. - Attraction. H
ies assez fréquentes, sans vomissements. - Pas de rhumatisme. Pas d'
attaques
de nerfs, mais très ner- veux, très irritable.
intelligente; pas de convulsions dans l'enfance; non mariée; pas d'
attaques
de nerfs; pas nerveuse. 2° Noire malade. - Au m
a seconde peur, à treize ans et quatre mois, qu'il a eu sa première
attaque
(novembre 1882). Il fut pris en mangeant glouto
Alors il s'assoupit sans dire un mot depuis le commencement de son
attaque
. Il n'évacua pas sous lui. Pas d'aura. Il ne se
e lendemain il était très fatigué. et n'est pas sorti. La seconde
attaque
eut lieu dix mois plus tard. Dans l'intervalle
vait élé bonne, mais les cauchemars avaient persisté. Cette seconde
attaque
l'a pris alors qu'il était en classe, sans cause
es bains sédatifs, et pen- dant celte période, il eut deux ou trois
attaques
. Il eut huit atta- ques seulement cette année l
nnée là (1883). En 1884 on continua le même traitement et il eut 15
attaques
. C'est alors qu'on le conduisit à la consultati
et on lui a donné des douches (été 1885; - hiver 1885-86). Il eut 9
attaques
en 1885. Il suspendit le hromure en 1886, au mo
bains de mer (juin-décembre 1886). Il aurait été trois mois sans
attaques
. Vers la fin de son séjour il eut une attaque dan
été trois mois sans attaques. Vers la fin de son séjour il eut une
attaque
dans les champs en conduisant un cheval qui lui
fracture pour laquelle il fut traité à l'hôpital. En 1886 il eut 13
attaques
. - Dans l'une d'elles il s'est cassé deux 378 R
E MALE. 379 En 1887, après une rémission d'un mois, il fut repris d'
attaques
tous les quinzejour3. A la fin de février il fu
lui il fut repris d'une crise analogue aux anciennes (probablement
attaque
épileptoïde); pas de pleurs, pas de miction inv
de pleurs, pas de miction involontaire. Il n'a pas dormi après son
attaque
, s'est levé et a aussitôt diné. Puis il raconta
11 assurait que lui n'avait pas eu peur. Huit jours après, nouvelle
attaque
qui a débuté de la même façon : sommeil de deux
s sans qu'on y touche; il s'est levé et est tombé en pirouettant. L'
attaque
dura 30 minutes. Il avait dans sa poche un cout
aucoup. » Il tombe presque toujours en penchant du côté gauche. Les
attaques
deviennent plus fréquentes, revenant tous les h
us le titre : Un épileptique volé. Au mois de juillet, après deux
attaques
survenues dans la rue, il est pris d'idées tris
eux mame- lonnaire, où le malade porte loujours sa main pendant ses
attaques
, et qui est alors très douloureux. Céphalalgies
'il avait le ver solitaire ». Quand il est sur le point d'avoir une
attaque
, il ne mange pas ou très peu. Après ses alla- q
ne. Ne tousse pas, mais a souvent craché du sang, surtout après ses
attaques
. - Circulation : coeur normal, régulier; pas de
régulier; pas de palpitations. Il ne sent pas quand il va avoir ses
attaques
, mais souvent en dehors d'elles il a la sensati
que DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. 383 pendant son
attaque
il lui semble rêver et qu'à la suite « cela lui
4 heures de l'après-midi, il prévient qu'il va peut-être avoir une
attaque
et qu'il faut se méfier, car il cherche à mordr
et à égratigner. A 6 heures, il causait avec ses camarades quand l'
attaque
commença. Il tomba sur le dos, puis rebondit su
nute. Mais tout à coup il se rejette en arrière comme au début de l'
attaque
en s'arc-boulant sur les épaules et sur les pie
Il arrange le désordre de ses vêtements, se rappelant avoir eu une
attaque
, mais ne se souvenant pas comment cela lui a pris
enant pas comment cela lui a pris. Il n'a pas l'air ahuri après son
attaque
, ni fatigué. Il titube un peu en marchant et on
en marchant et on a de la peine à tirer de lui quelques réponses. L'
attaque
a duré en tout vingt-six minutes. 8 juillet. Et
leur pré- sence, mais aussitôt après leur départ il fut pris d'une
attaque
de peu de durée, à la suite de laquelle il rouv
t dix minutes, puis il est allé se rasseoir dans le fauteuil. 16.
Attaque
à 5 heures du soir, de dix minutes de durée, à
les pupilles sont contractées. A 3 heures de l'après-midi, il a une
attaque
qui dure quatre minutes à la suite de laquelle
ris d'une atta- que qui a duré sept minutes. Sa température après l'
attaque
était de 38°2, un quart d'heure après 38°. Somm
du matin, il s'est endormi et cinq à sept minutes après il a eu une
attaque
qui a duré quatre minutes et 388 RECUEIL DE FAI
es, et se ferment enfin, et le malade semble assoupi. La durée de l'
attaque
a été de dix-huit minutes. Il se relève, répare
nt. Il est pâle et respire difficilement. Température à la fin de l'
attaque
, 38°2. Une demi-heure après l'attaque, températ
nt. Température à la fin de l'attaque, 38°2. Une demi-heure après l'
attaque
, température 3709. Deux heures après, températu
pérature 3709. Deux heures après, température 3G°9. 23.- Nouvelle
attaque
en présence de l'un de nous. Tombé à terre, il
ut de quelques minutes aux paroles qu'on lui adresse. La durée de l'
attaque
a été de trente- sept minutes. 24.- Attaque d
dresse. La durée de l'attaque a été de trente- sept minutes. 24.-
Attaque
de quatre minutes à 8 h. et demie du matin; une
de son nom, sans même qu'on le touche, il tombe en arrière et a une
attaque
qui dure quinze minutes. 27. - Au moment de la
tes. 27. - Au moment de la visite, il est pris dans la cour d'une
attaque
. Il était assis sur un banc, quand il s'est levé,
fermées, les pouces en dehors, la têle dans l'extension. Nouvelle
attaque
. Rigidité très forte, face rouge, yeux en haut.
nutes. T. R. 38°,1. - Un quart d'heure après, T. R. 37°,8. Nouvelle
attaque
à 10 heures. - T. R. après l'attaque, 38°, 3 ; un
e après, T. R. 37°,8. Nouvelle attaque à 10 heures. - T. R. après l'
attaque
, 38°, 3 ; un quart d'heure après 37°,9 ; deux h
1. Durée 18 minutes. A 5 heures et demie, après son dîner, nouvelle
attaque
. Il bat l'air de ses bras, el reste 20 secondes
nutes qu'il répond. Durée de l'at- taque 35 minutes. T. R., après l'
attaque
38°,4; un quart d'heure 37°,0; deux heures aprè
jours seule- ment. Elles n'auraient d'après lui aucun lien avec les
attaques
. Traitement. - Deux douches par jour, gymnastiq
nt sujet à des cauchemars, et au bout d'un mois, éclate la première
attaque
, suivie d'une seconde, seulement dix mois plus
ulement dix mois plus tard. A partir de là, jusqu'en 1887, il a des
attaques
mensuelles ou bi-mensuelles qui toutes présen-
accompagnent de traumatismes sérieux. III. Nous retrouvons dans les
attaques
ultérieures précédées d'un sommeil plus ou moin
aux deux observations, c'est la forme épileptoïde qu'ont revêtu les
attaques
, soit au début, soit dans le cours de la maladi
connaît pas les antécédents et qu'on n'a pu assister qu'à une seule
attaque
, on peut hésiter. Ces crises isolées s'accompag
tion de la température, comme dans l'accès d'épilepsie. Mais si les
attaques
se succèdent pendant une ou plusieurs heures, l
complet, puis succomba presque brusquement' sous l'influence d'une
attaque
comateuse. 408 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ,
ccès. Il entre en décembre 1888 ; on constate de l'imbécillité, des
attaques
d'épilepsie, des symptômes spasmodiques, tels q
tte façon il était facile de se rendre compte du nombre mensuel des
attaques
. Leurs attaques les prenaient surtout la nuit,
it facile de se rendre compte du nombre mensuel des attaques. Leurs
attaques
les prenaient surtout la nuit, enfin, dans le n
raître l'épilepsie qu'en un seul cas; chez 5 p. 100 des sujets, les
attaques
diminuèrent, mais sans qu'il y eût amélioration
ar le Dr Palmer chez son malade, ils ressemblent assez à ceux d'une
attaque
de catalepsie. Peut-être cet homme était-il hys
ut-être le coup de foudre a-t-il été la cause de l'apparition d'une
attaque
d'hystérie ? C'est là une simple hypo- thèse qu
ne hémianesthésie sensitivo-sensorielle, sans zones hystérogènes ni
attaques
. Quel que soit d'ailleurs le diagnostic ferme a
l'Encéphale, l'observation d'une jeune femme qui, à la suite d'une
attaque
, avait été prise à la fois de mouvements choréi
ériques non douteux et d'un tremblement des mains survenu après une
attaque
et rappelant tout à fait le trem- blement de la
d'un choc moral quelconque et plus souvent encore à la suite d'une
attaque
convulsive (Obs. I, II et III). En pareil cas,
d'une attaque convulsive (Obs. I, II et III). En pareil cas, que l'
attaque
ait été complète ou seulement ébauchée, qu'elle
e de beaucoup plus fréquent. Au lieu de se montrer à la suite d'une
attaque
vulgaire, le tremble- ment débute quelquefois d
se développe en quelque sorte au lieu et place des convulsions de l'
attaque
vulgaire et l'on a affaire en pareil cas à une
l'attaque vulgaire et l'on a affaire en pareil cas à une véritable
attaque
de tremblement (Obs. II et V). Chez une de nos
sans cause provocatrice immédiate, sans avoir été précédé, ni d'une
attaque
quelconque, ni des phénomènes de l'aura. Il appar
c les diffé- rents stigmates de la névrose, lorsqu'il succède à une
attaque
classique, il n'en est pas de même dans ces cas
n méconnaît la véritable nature du tremblement jusqu'au jour où une
attaque
, l'apparition d'une hémia- nesthésie ou tel aut
ption. Parfois ils se montrent par accès; apparaissant après chaque
attaque
convulsive, on les voit alors, après quelques ins
à peu et s'effacer au bout d'un temps variable pour reparaître à l'
attaque
suivante. Les tremblements sont quelquefois s
are d'observer ce tremblement chez les hysté- riques à la suite des
attaques
convulsives. Qu'il soit généralisé ou partiel,
ent est à son maximum d'intensité, comme cela arrive à la suite des
attaques
(V. Obs. I), ou lorsque le sujet est sous le co
nt. Voici ce que nous avons observé à cet égard. Si le malade a une
attaque
, au sortir de la crise, le tremblement atteint
usqu'à un certain degré; c'est la phase de calme qui dure jusqu'à l'
attaque
suivante à moins qu'un mouvement de colère, une c
intes fois observé chez le nommé Hacq... (Obs. I), à la suite d'une
attaque
spontanée, lorsque le trem- blement vibratoire
Obs. I, le tremblement s'est développé brusquement à la suite d'une
attaque
. Chez le nommé Chérub... (Obs. II) l'apparition
(Obs. II) l'apparition du tremblement a été précédée, non pas d'une
attaque
convulsive complète, mais seulement des symptômes
que quelques jours, et c'est après avoir ainsi présenté une série d'
attaques
de tremblement, que ce symptôme s'établit, à la
manent. Il est vraisemblable que ce mode de début (à la suite d'une
attaque
convulsive ou sous forme d'attaque de trem- ble
mode de début (à la suite d'une attaque convulsive ou sous forme d'
attaque
de trem- blement) n'est pas le seul. Chez une h
Éléonore L... âgée de dix-huit ans, sujette depuis trois ans à des
attaques
convulsives tout à fait caractéristiques, et ma
l'état moyen du tremblement. Nous avons déjà dit qu'à la suite des
attaques
, ou bien sous l'influence des émotions, ou bien
il était non moins certain qu'il n'y avait pas eu pendant la nuit d'
attaques
convul- sives. Nous n'hésitâmes pas un instan
décrit d'une façon extrêmement remarquable ces hémorrhagies et les
attaques
qui les entrecoupent ou les accompagnent, mais en
, nous croyons qu'en réalité il n'en est pas ainsi, et que, comme l'
attaque
d'hystérie, l'état mental hystérique a son déterm
de la mise en oeuvre de cette suggestibilité. Sous ce rapport, les
attaques
jouent un rôle prépondérant. L'attaque en effet
ilité. Sous ce rapport, les attaques jouent un rôle prépondérant. L'
attaque
en effet, ainsi que l'ont bien fait voir MM. Pa
qu'on leur adresse qu'après maintes objurga- tions. Puis survient l'
attaque
, ou celle-ci avorte, comme chez les enfants par
e, comme chez les enfants par exemple, où M. Charcot a montré que l'
attaque
revêtait souvent la forme maniaque et se passai
ent parler, de l'état mental des hystériques, ils appartiennent à l'
attaque
et doivent être considérés comme des phénomènes
odromes s'accompagnentdans la majorité des cas du rêve de la grande
attaque
, rêve d'une importance capitale dans l'espèce.
magistralement étudiée par M. Charcot qui, chez les hystériques à
attaques
, va singulièrement influencer l'état mental dans
influencer l'état mental dans les intervalles des accès. Lorsque l'
attaque
est terminée, le cerveau de l'hystérique a gard
ns à l'état de veille. Nous avons vu un de nos malades, un homme, l'
attaque
terminée, se lever brusquement, ouvrir les fenêtr
TKIEnn. et qui le narguait encore sur son lit. C'est le rêve qui, l'
attaque
finie, pousse soeur Jeanne des Anges à accuser
l'on verra l'accusation se formuler encore plus nette après chaque
attaque
infailliblement déterminée par un nouvel exorci
aire trop célèbre voit encore son violateur, trois heures après son
attaque
, se promener sous ses fenêtres, alors que, bien
r la malheureuse victime de son hallucination. C'est le rêve de l'
attaque
qui peut produire directement les troubles phys
. » A une époque moins reculée, une hystérique montrait après ses
attaques
, notamment sur les cuisses, des taches noires pro
Si l'aulo-suggestion s'effectuait uniquement sous l'influence de l'
attaque
, les phénomènes qu'elle entraîne avec elle, et qu
re ainsi par ce fait qu'il est des -hystériques chez lesquelles les
attaques
sont très espacées et d'autres chez lesquelles
elles les attaques sont très espacées et d'autres chez lesquelles l'
attaque
fait complètement défaut. ' , Aussi nous faut-i
Le mécanisme est du reste absolument le même que pour le rêve de l'
attaque
: comme lui, il est susceptible de déterminer d
une cire molle à la merci delà suggestion. Dans l'inter- valle des
attaques
elle est gaie, bonne pour ses camarades, surtout,
orsqu'elle a bien dormi; par contre, trois ou quatre ours avant son
attaque
elle devient méchante, querel- leuse, son somme
Charcot; ils peuvent être hystériques, comme J'ataxiqllc qui a des
attaques
, mais ils n'en sont pas moins des dégénérés. L'hy
bles... C'est du reste un [hysté- rique à stigmates, présentant des
attaques
de sommeil, facilement hypnotisable, et l'exper
parquet accusant le sieur T... d'avoir violé son enfant pendant une
attaque
d'hystérie. Le sieur T... est cité en cour d'as
irrécu- sables en font foi, et il n'avait pas besoin d'attendre les
attaques
d'hys- térie pour posséder sa maîtresse. La mèr
res de leur espèce; ces sujets, disons-nous, peuvent bien avoir des
attaques
de nerfs, mais ce qui domine, le fond immuable,
êves qui peuplent le sommeil, comme les attitudes passionnelles des
attaques
, car ce sont ces malades qui ont des convulsion
us et alors elle se révèle avec son luxe habituel de stigmates, ses
attaques
, ses paralysies ou ses contractures. L'état men
à les reconnaître, errent de service en service, tourmentés par des
attaques
, par des hémiplégies qu'on sait diagnostiquer,
it été soigné à la Pitié, trois années auparavant, pour la première
attaque
de l'hémiplégie hystérique qui l'amenait encore
dont les principaux facteurs sont les rêves nocturnes et ceux de l'
attaque
. Chez l'enfant hystérique, l'impressionnabilité
caractère qui a toujours été assez doux n'a pas été altéré par les
attaques
. Jusqu'au moment de son entrée il avait presque q
usqu'au moment de son entrée il avait presque quotidienne- ment des
attaques
ou des vertiges. Pendant les premiers temps de
') en tête ». Tel était l'état du malade lorsqu'il eut sa première
attaque
dans les cir- constances que voici : Le 26 fé
vulsions continuèrent jusqu'à sept heures du soir. A ce moment, les
attaques
cessèrent, le malade reprit 1. Voy. le n° 1, t.
le. Dans les premiers jours du mois d'avril, il a eu deux nouvelles
attaques
, l'une s'est produite à deux heures, l'autre il
acq... d'une façon permanente. Ils ne se montrent qu'à la suite des
attaques
, ou bien sous l'influence de' la compression des
Le tremblement est apparu chez cet homme à la suite de sa première
attaque
, c'est-à-dire le 26 février 1889. Il a toujours p
'exagère d'une façon remarquable sous l'influence des émotions, des
attaques
spontanées ou provoquées et lorsqu'on excite légè
e se con- gestionne, sa vue se trouble, le regard devient fixe et l'
attaque
commence.. Les attaques se présentent toujours
vue se trouble, le regard devient fixe et l'attaque commence.. Les
attaques
se présentent toujours avec les mêmes caractères,
sont assez fréquentes, elles se succèdent en série de trois, quatre
attaques
subintrantes, quelquefois plus; elle apparaissent
ois fois par mois, comme l'indique le tableau suivant : . 9 juin,
attaque
à 8 heures du soir. Le 21 juin, attaque à 7 heu
eau suivant : . 9 juin, attaque à 8 heures du soir. Le 21 juin,
attaque
à 7 heures 30. 4 juillet, attaque à 5 heures.
à 8 heures du soir. Le 21 juin, attaque à 7 heures 30. 4 juillet,
attaque
à 5 heures. Le 13 juillet, attaque à 5 heures.
aque à 7 heures 30. 4 juillet, attaque à 5 heures. Le 13 juillet,
attaque
à 5 heures. Le 24 juillet, attaque à G heures.
que à 5 heures. Le 13 juillet, attaque à 5 heures. Le 24 juillet,
attaque
à G heures. 11 août, allaque à midi et demi.
attaque à G heures. 11 août, allaque à midi et demi. Le 17 août,
attaque
à 9 heures 30. Le 27 août, attaque à 8 heures.
ue à midi et demi. Le 17 août, attaque à 9 heures 30. Le 27 août,
attaque
à 8 heures. Depuis son entrée dans le service d
édication tonique) ne s'est guère modifié; et même, à la suite de l'
attaque
qui se produisit le 24 juillet, l'hémiauesthésic
e et la station debout sont toujours un peu troublées. Après chaque
attaque
, la faiblesse des jambes et le tremblement s'accr
jamais complète- ment s'atténue et les choses vont ainsi jusqu'à l'
attaque
suivante. Chez ce malade il n'y a ni goitre ni
là, il dut garder la chambre. A partir de cette époque il eut des
attaques
semblables, tous les six ou huit mois, toujours
ar un hoquet persistant qui a duré trois mois; elle n'a jamais eu d'
attaques
convulsives. Une autre tante (trente et un ans) e
ans. Depuis cet âge jusqu'à huit ans, elle a eu fréquem- .ment des
attaques
convulsives revenant par moments presque tous les
ue, pas de mictions involontaires. A huit ans, elle eut une série d'
attaques
plus longues, ayant duré plus de vingt-quatre h
mais ces manoeuvres n'eurent d'autre résultat que de déterminer des
attaques
convulsives avec perte de connaissance. Un an a
le même temps environ. De neuf à dix-sept ans, Ler... n'a pas eu d'
attaques
et est restée indemne de manifestations morbide
son lit, mais elle ne saurait dire si, à ce moment, elle avait des
attaques
convulsives. Comme ces troubles persistaient, ell
s les crises sont plus complètes et se rapt prochent davantage de l'
attaque
d'hystérie ordinaire. Elles sont annon- cées ac
Des convulsions cloniques assez étendues apparaissent alors, puis l'
attaque
se termine habituellement par un sommeil analogue
e toujours un mélange de quelques autres phénomènes appartenant à l'
attaque
ordi- CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES BAILLEMENTS HY
lui semblait qu'elle allait défaillir. Parfois alors survenait une
attaque
véritable avec cris, contorsions, etc. Quelqu
colères. Son grand- I père est mort fou et sa grand'mère avait des
attaques
de nerfs. 1 2° Côté maternel. - Là mère est emp
é maternel. - Là mère est emportée, coléreuse, elle n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs. La grand'mère est peu connue. Le grand-
ées d'étourdissements et accompagnées de perle de connaissance. Ces
attaques
ne duraient que peu de temps. La malade poussai
DE LA SAL1'1 : 1'Itll : r.l;. ' aujourd'hui. Pendant cette première
attaque
, il y eut une courte période de convulsions ave
ts succédèrent et durèrent environ une demi-heure. Depuis lors, les
attaques
se sont succédé très fréquentes et très vio- le
de salutation rhythmés, assez lents, d'une violence modérée. Les
attaques
n° 2 au contraire des précédentes, qui ne se repr
mais moins violents, quoique tout aussi incessants qu'au début de l'
attaque
. Ils permettent cependant à la malade de marche
ements qui surviennent à l'état isolé sans se. grouper sous forme d'
attaques
n'influencent pas les phénomènes nutritifs. Il
ur ces données chimiques, car si le doute pouvait exister entre les
attaques
de bâillements hystériques et les accès de bâil
tré MM. Lépine et Mairet, que l'accès d'épilepsie, à l'inverse de l'
attaque
d'hystérie augmente considérablement le taux du
ire du côté gauche. Les points ovariens arrêtent assez facilement l'
attaque
Ils la produisent aussi quelquefois, mais non t
M. le professeur Charcot à ses auditeurs, suffit pour provoquer une
attaque
. - " Il est bon de dire que les attaques ne son
suffit pour provoquer une attaque. - " Il est bon de dire que les
attaques
ne sont pas-toujours aussi nette- ment séparées
deux se mélangent souvent. Cela est même arrivé pour la plupart des
attaques
que nous avons observées. L'attaque simple se m
ême arrivé pour la plupart des attaques que nous avons observées. L'
attaque
simple se manifeste seule quelquefois ; mais, le
us souvent, actuellement du moins, elle est suivie ou précédée de l'
attaque
de bâillements. ' . , ? , Ce ne sontpoint des
s, rhumatisant. Mère quarante-huit ans, rhumatisante, aurait eu des
attaques
étant jeune. Soeur morte il dix-neuf ans de la
e. Soeur morte il dix-neuf ans de la fièvre typhoïde. Elle a eu des
attaques
. Une autre soeur nerveuse, rit et pleure sans mot
- larité et sont matinales. A la suite du bâillement survient une
attaque
, convulsive caractéris- tique ; elle étend ses
ac dans la gorge et l'étouffe. Il ne s'agit pas ici d'une véritable
attaque
d'hystérie caractérisée par un phénomène inusité,
que continuel, dû à une sensation identique à l'aura ordinaire de l'
attaque
hystérique. Il est impossible d'obtenir de rens
pen- dant qu'elles sont précédées d'une aura analogue à l'aura de l'
attaque
vulgaire : contraction de la gorge, battements
illes. 11 est donc certain qu'il s'agit là véritablement de petites
attaques
d'hystérie. La malade se plaint en outre de phé
e sein gauche. La pression en ces points, si elle ne provoque pas d'
attaque
proprement dite, donne lieu néanmoins à la prod
ves limitées ou généralisées de l'hystérie se groupant sous forme d'
attaques
. Il existe dans tous ces cas un fond commun qui
tout mélange des phénomènes ordinairement observés lors delà grande
attaque
. On sait en effet, M. Charcot l'a montré, -qu'un
e l'aura qui sont communs, il est fréquent d'observer au début de l'
attaque
des contractures des membres supérieurs ou infé
de délire. La prédominance des bâillements fixe seule la forme de l'
attaque
. Parfois l'attaque de bâillements peut se termi
minance des bâillements fixe seule la forme de l'attaque. Parfois l'
attaque
de bâillements peut se terminer par une véritable
Parfois l'attaque de bâillements peut se terminer par une véritable
attaque
convulsive ordinaire, les bâillements représentan
fois, cependant, on voit alterner sans se confondre (obs. III), les
attaques
convulsives proprement dites et les attaques de
fondre (obs. III), les attaques convulsives proprement dites et les
attaques
de bâillements. Le diagnostic différentiel des
se poser. Lorsque les bâillements ne sont pas groupés sous forme d'
attaques
, le rhythme et la cadence sont des éléments dif
alyse des urines de la période des vingt-quatre heures comprenant l'
attaque
, donne des résultats qui permettent d'établir q
enant l'attaque, donne des résultats qui permettent d'établir que l'
attaque
a eu lieu. , 118 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SA
, 118 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ! Dans ces cas, l'
attaque
se juge par l'abaissement du résidu fixe, du ta
nnent comme 1 est à 2, 1 est à 1, et même quelquefois plus. Or, l'
attaque
de bâillements hystériques ne fait pas exception
pour s'en convaincre, de considérer le tableau suivant relatif aux
attaques
de la malade dont l'histoire est rapportée dans n
de dont l'histoire est rapportée dans notre première observation.
ATTAQUE
DE BAILLEMENTS HYSTÉRIQUES, UN CAS DE MÉLANCOLI
e a éL'6 -foi-lieheit-"âtièin-le. Depuis près'd'un an, iln'a-plus d'
attaques
: L'attention n'avait pas été appelée sur'ses y
s lesquels le goitre exophthalmique est apparu après la cessation d'
attaques
épilep- tiques*. L'avenir montrera s'il s'agit
ien parfaitement caractéris- tiques. Enfin la malade a de petites
attaques
de nerfs de nature nettement hystérique. Elle n
l des forces et sur le tremblement chez- les épileptiques après les
attaques
(Nouv. Icon. de la Salp., L889, t. Il, p. ;38).-
de la parole et, en particulier, de l'articulation. A la suite des
attaques
, les épileptiques présentent souvent des troubl
le droite. Un matin en se réveillant la malade s'en aperçut. Pas. d'
attaque
pendant la nuit précédente. A ce moment la para
2 : 3 ODS. IV. - C..., vingt-quatre ans. Entré à l'âge de neuf ans.
Attaques
très fréquentes et vertiges. Au commencement de
ce jusqu'à sept ans. Depuis l'âge de quatorze ans a fréquemment des
attaques
et des vertiges; léger embarras de la parole.
nsister, du peu de ressemblance qu'affecte, de même, cette deuxième
attaque
avec la poliomyélite. L'étude ultérieure de l
onique. Son père était obèse; il est mort à quarante-neuf ans d'une
attaque
d'apoplexie cérébrale. - Elle a eu douze frèr
ieure, que nous suivrons tout d'abord dans sa marche progressive, s'
attaque
successivement à chacun des noyaux; elle descend
stérieure de la tête quatre ans auparavant. Deux ans et demi après,
attaques
de vertiges, puis chute pro- gressive des paupi
même que trois jours après la malade ne pouvait plus boire. Cette
attaque
subaiguë continua sans vertige, sans céphalalgie,
ux étages dans la moitié supérieure du 4e ventricule, l'affection s'
attaque
surtout aux cellules ganglionnaires inférieures
her convenablement et accom pagnait sa mère dehors; aucune nouvelle
attaque
de con- vulsions n'était survenue; néanmoins la
à des éruptions eczémateuses. Elle est nerveuse, mais n'a pas eu d'
attaques
de nerfs. [Père et mère morts du choléra en 184
s, un certain nombre de malades, enfants et adultes, présentant des
attaques
d'hystérie nettement caractérisée, nous avons l
squels on peut suivre, période par période, l'évolution des grandes
attaques
, depuis longtemps décrites à la Salpêtrière, ch
iaque, dont la compression a plus d'une fois suffi pour arrêter des
attaques
. On sait que la compression du testicule a été
uivante, détachée de notre travail, montre nettement l'identité des
attaques
et des troubles de la sensibilité. Observatio
atopsie. Zones hystérogènes multiples. - Description générale des
attaques
: Prodromes et aura; Convulsions présen7 tant l
odes : épileptoïde, clonique et déli- rante de l'hystéro-épilepsie;
attaques
spontanées et provoquées : arrêt possible des a
o-épilepsie; attaques spontanées et provoquées : arrêt possible des
attaques
par la conzpres- sion des zones hystérogènes. A
bréviation de croduemitaine, et ses enfants en avaient peur). Pas d'
attaques
de nerfs ni de migraines, mais douleurs de tête
[Père mort d'une hernie étranglée; pas d'excès. - Mère morte d'une
attaque
d'apoplexie en 7 ou 8 heures. Pas de frères.-Tr
isième est presque aveugle par suite d'ophthalmics ; elle n'a pas d'
attaques
de nerfs, mais elle est violente. Un oncle (Gui
o- les qu'il prononce pendant la phase de délire, à la fin de[ses
attaques
. Ophthalmies chroniques : il aurait été aveugle p
1879, il a eu BOURN. S 34 HTSTRO-PILPPSIl's. quotidiennement 3
attaques
survenant ordinairement de 11 heures à 5 heures
sensibilité s'est modifié à plusieurs reprises sous l'influence des
attaques
et des divers agents thérapeutiques employés.
une hémianesthésie droite. Le surlendemain 29, après de nombreuses
attaques
, on constata que la fosse iliaque gauche présen
heveux, à ce niveau, détermine les phénomènes de l'aura, puis une
attaque
présentant tous les caractères de l'attaque spon-
nes de l'aura, puis une attaque présentant tous les caractères de l'
attaque
spon- tanée telle qu'elle sera décrite ci-desso
femmes hys- tériques. Comme on va le voir, par la description des
attaques
, l'analogie ne se borne pas à ces symptômes. De
taques, l'analogie ne se borne pas à ces symptômes. Description des
attaques
. - Nous avons pu observer (1) Les troubles dn s
ière, t. III, p. 36-88 ; nov. 1879 - avril 1880). DESCRIPTION DES
ATTAQUES
. 37 nous-mêmes un assez grand nombre d'attaques
. DESCRIPTION DES ATTAQUES. 37 nous-mêmes un assez grand nombre d'
attaques
spontanées, et quelques attaques provoquées, un
nous-mêmes un assez grand nombre d'attaques spontanées, et quelques
attaques
provoquées, une note plus ou moins complète a é
idieux de relater à la suite les unes des autres les descriptions d'
attaques
qui, toutes, peuvent être rapportées pour la ma
descriptions partielles, la description de ce que pourrait être une
attaque
complète. Nous pourrons ensuite rétablir l'ordr
blir l'ordre naturel des faits en donnant la relation de quelques
attaques
spontanées ou provoquées. Prodromes et titra.-
ant ne peut jamais dire plusieurs heures d'avance s'il va avoir une
attaque
, mais il lui est arrivé plusieurs fois d'être o
s pendant la nuit et d'être réveillé à cinq heures du matin par une
attaque
.- Le plus souvent, il est prévenu quelques seco
de l'aura, il ne peut parler et n'a jamais le temps de prévenir.
Attaque
. - 1° Elle débute invariablement par un état de
ion désordonnée. C'est à ce moment que l'on observe dans toutes les
attaques
un certain nombre d'arcs de cercle plus ou moin
e hauteur est pro- portionnellement considérable. DESCRIPTION DES
ATTAQUES
. 39 pas l'équilibre dans cette situation et tom
e est vul- tueuse. Terminaison. Lorsqu'il s'agit de la del'l11ère
attaque
d'une série, le délire est suivi de quelques in
ement de ses rêves et les raconte. Tel est le tableau général des
attaques
présentées par notre malade. Il n'est pas besoi
les trois périodes épileptoide, clonique et délirante de la grande
attaque
hystérique chez la femme (1). Il nous faut (1)
'STl'sIio-I : PILEPSII· : . maintenant montrer en quoi les diverses
attaques
observées se rapprochent ou diffèrent de la des
description précédente. A. Attaques spontanées.-26 janvier. Série d'
attaques
se succédant à environ une demi-minute d'interv
précède immédiatement la position en arc de cercle. Dans certaines
attaques
, le tronc est fléchi latérale- ment.La compress
sayée à plusieurs reprises, n'a pas eu d'action immédiate sur les
attaques
; néanmoins, elles ont cessé quelques instants
la série a été de 35 minutes. 3° Pas de délire. 27 janv. Début des
attaques
à une heure de l'après-midi. 1 le période. Chut
latées ; pouls fréquent et dur. C'est ainsi qu'a débuté la première
attaque
de la série et le même état se représente dans
ce qu'on lui dit, mais il ne répond pas. Au moment où une nouvelle
attaque
commence, on voit les mouvements des globes ocu
ces exprimant la joie ou la terreur. Bientôt, commence une nouvelle
attaque
: de nouveau, et l'Iconographie photographique
tn (1876-1879); Richer, thèse inaugurale, 1879. ' DESCRIPTION DES
ATTAQUES
. 41 l les yeux sont agités, les lèvres et les a
clo- nique ne tarde pas à se produire. L'intervalle entre chaque
attaque
est ordinairement de 3 à 4 minutes. Cette série
rie s'est terminée de la manière suivante : à la fin de la dernière
attaque
, l'enfant a ouvert les yeux, s'est plaint du ma
uelques siffle- ments d'oreilles.,Soir : T. R. 37°,2. 29 janvier.
Attaques
au moment de la visite. Rigidité générale. Memb
epos. La figure de l'enfant devient souriante. ' - Dans une autre
attaque
avec période épileptoide éga- lement suivie d'u
t et reste quelques secondes dans cette position. - Dans d'autres
attaques
, la période de délire est très net- 42 2 HI STÉ
, tirées textuellement des notes re- recueillies au moment même des
attaques
, suffiraient à en montrer le caractère ; toutef
ons encore, pour compléter cette description, la relation de deux
attaques
provoquées. 21 février. Une attaque est détermi
ription, la relation de deux attaques provoquées. 21 février. Une
attaque
est déterminée involontairement en portant la m
ntrent ensuite, puis le calme reparaît et tout se borne à une seule
attaque
. Il n'y a pas eu de période de délire. Une autr
une seule attaque. Il n'y a pas eu de période de délire. Une autre
attaque
produite dans les mômes conditions a pu être ar
ion énergique de la zone bregmatique (clou hystérique). Après ses
attaques
, lorsque l'enfant est revenu à lui, il rend par
ns insisté dans notre description générale. Comme on le voit, les
attaques
provoquées ne diffèrent en rien d'essentiel des
voit, les attaques provoquées ne diffèrent en rien d'essentiel des
attaques
spontanées. Il nous reste à parler de la marche
spontanées. Il nous reste à parler de la marche qu'ont suivie ces
attaques
et de 1'-épilepsie dont le malade était, croyait-
e qui concerne l'homme. Cette coïncidence a déjà été si- MARCHE DES
ATTAQUES
. 43 le nombre des attaques qui peut aller jusqu
coïncidence a déjà été si- MARCHE DES ATTAQUES. 43 le nombre des
attaques
qui peut aller jusqu'à 20 et plus. Elles ont ét
à cette époque, l'enfant ne passait guère deux ou trois jours sans
attaque
. Peu à peu, elles ont diminué de fréquence, vra
Depuis que celle-ci a disparu définitivement (2 sep- tembre) aucune
attaque
ne s'est produite. Quant aux attaques, voici la
ement (2 sep- tembre) aucune attaque ne s'est produite. Quant aux
attaques
, voici la marche qu'elles auraient suivie depui
lfi : TALLOSCOPIE. prises le nitrite d'amyle pour faire cesser les
attaques
et ce moyen a quelquefois réussi. C'est seuleme
tableau que nous avons rapporté plus haut, il n'y a pas eu trace d'
attaque
depuis le début de ce traitement. Toutes les zo
ont exactement perçues des deux côtés. - L'enfant n'ayant eu aucune
attaque
en août, septembre, ni octobre, quitte Bicêtre
des phénomènes cliniques observés chez cet enfant. On voit que ses
attaques
, exactement analysées, reproduisent tout à fait
nt analysées, reproduisent tout à fait les diverses périodes de l'
attaque
hystérique connue. Chez lui comme chez la femme
s de l'attaque hystérique connue. Chez lui comme chez la femme, l'
attaque
peut revêtir des modalités diverses : tantôt co
esthésie. Au reste, notre malade n'avait jamais vu d'hystériques en
attaque
et n'avait aucun ca- marade atteint de cette ma
nt du bregma {clou hystérique). Unepres- sion légère provoquait une
attaque
que l'on arrêtait, comme chez la femme, par une
icaments, on parvient le plus souvent à faire cesser ou avorter les
attaques
et quel- quefois à enrayer des états de mal, le
dica- ment a été administré à plusieurs reprises au moment même d'
attaques
d'hystérie ou d'accès d'épilepsie. Ainsi ont ét
° propriétés physiologiques du bromure d'éthyle ; 2° action sur les
attaques
d'hystérie ; 3° action sur les accès d'épilepsi
les deux malades dans toutes les expériences. II. Action sur les
attaques
d'hijstérie. Le bromure d'éthyle, administré à
eurs fois ce fait à Bicêtre, chez des sujets en proie à une série d'
attaques
hystériques (vagues abdo- minales, strangulatio
ntôt au contraire, après un répit de quelques minutes, une nouvelle
attaque
se produisait avec phase épileptoïde, grandes c
l'inhalation, mais ne per- sistant pas en dehors d'elle ; 7° Les
attaques
hystériques sont en général facilement arrêtées
nosé. Dix mois plus tard, l'enfant aurait présenté ses pre- mières
attaques
do convulsions, elles auraient été très lé- gèr
t re- muait moins bien le bras droit que le gauche. Une se- conde
attaque
survint quatre mois plus tard. A 2 ans, l'enfan
que. In-8" de 92 pages. SADRAIN (G.). - Étude sur le traitement des
attaques
d'hystérie et des accès d'épilepsie. In-8" de 5
fr. BLONDEAU (A.) Etude clinique sur le pouls lent permanent avec
attaques
syncopales et épileptiformes. - Un vol. in-8 de 7
observation d'hystéro-épilepsie. 2e et 3e livraisons : Variété des
attaques
hystériques. - 4. livroilon : Des régions hystéro
e septicémie puerpérale; elle avait eu durant de longues années des
attaques
de nerfs : à la moindre émotion, elle tombait par
t tous coléreux, emportés, violents. Une de ses tantes présente des
attaques
convulsives. Ses cousins maternels sont tous vi
maternels sont tous violents, « insupportables » ; ils n'ont pas d'
attaques
de nerfs. Antécédents personnels. - Dans son en
malade se plaint de céphalalgie et de vertige. Il n'a jamais eu d'
attaques
convulsives. Lorsque le tremblement est très fo
t se dissipe, il se relève et reprend son chemin. Ces vertiges, ces
attaques
sur- viennent de préférence quand il est ému ou
iturne, se plaignant de céphalalgie cl de vertiges. Il n'a pas eu d'
attaques
convulsives, mais à diverses reprises il a épro
tement réalisée : début par de la céphalalgie et des vertiges, puis
attaque
apoplectiforme suivie d'hémiplégie droite et d'
rose ne relève d'aucune lésion ophtlialmoscopique, qu'il a enfin des
attaques
précédées d'une aura et suivies de perte de con
éblouissements, les vertiges, ne sont autre chose qu'une ébauche d'
attaque
. L'hémiplégie droite avec aphasie, qui a suivi
; il est entré l'an dernier dans le service de la clinique pour des
attaques
d'hystérie. L'autre qui est née en juillet 1890 a
ouchard. où il resta trois mois et demi. Durant ce séjour, il eut des
attaques
convulsives presque quotidiennes, toujours préc
ncore faire une livraison lorsqu'il a eu, dans la rue, une deuxième
attaque
précédée des mêmes prodromes que la première. O
sa tentative. Durant son séjour il l'hôpital, il eut de nombreuses
attaques
convulsives. Son mutisme disparut un jour brusq
à tout le corps. Il reprit son travail, ayant de temps à autre des
attaques
de nerfs et de mutisme transitoires. Au commencem
étiniennes qui l'empêchent de fixer un objet sous peine d'avoir une
attaque
. Les sens musculaire et arti- culaire sont tota
lus. Ces points sont très sensibles à la pression et provoquent des
attaques
/si la pression persiste. En outre, il existe une
ique à la zone spasmogène du côté gauche. Sa compression arrête les
attaques
. Bl... en effet présente des attaques hystériques
he. Sa compression arrête les attaques. Bl... en effet présente des
attaques
hystériques classiques avec aura et grands mouv
z ce malade que du mode de début de la maladie actuelle : vertiges,
attaque
épileptiforme suivie d'hémiplégie, tremblement
émotion est survenu un vertige épileptiforme, nous voulons dire une
attaque
qui a affecté dès le début le type hystérique :
isque tous les vêtements de Bl... ont été dé- chirés. Du reste, les
attaques
consécutives et actuelles permettent d'af- firm
art. L'une est morte dans un accès d'épilepsie; une autre avait des
attaques
convulsives. Un oncle paternel s'est suicidé ; un
oolisme, pas de syphilis. Depuis t'age de vingt-neuf ans, M.. a des
attaques
convulsives qui ressemblent à de l'épilepsie. Ell
e ni les lèvres ; il reste ensuite courbaturé. La pre- mière de ces
attaques
serait, dit-il, survenue dans les conditions suiv
enfants : deux meurent en bas âge, deux sont vivants : l'une a des
attaques
convulsives. En 1882, il perd sa femme et éprou
ccès, tous les jours. En 1887. il eut dans le bois de Vincennes une
attaque
d'hémiplégie droite suivie de tremblement; il e
parlé de sclérose en plaques. Il y a treize jours, il aurait eu une
attaque
du même genre. Vers trois heures du matin, il s
e la profession du malade fait qualifier de mercuriel. Une deuxième
attaque
se produit t accompagnée cette fois de dysarthr
éclamptiques avec anasarque et albuminurie. C'est à la suite de ces
attaques
d'éclampsie, trois semaines après l'avortement,
y est restée deux ans puis est entrée à la Salpètrière. Depuis ses
attaques
d'éclampsie, elle a constamment gardé le lit, ses
ni les objets qu'on lui met dans les mains, sur la tète, etc. Pas d'
attaques
con- vulsives. De temps à autre, elle a des mom
me mis en « silo ». En 1873, sans cause connue, il a été pris d'une
attaque
convulsive épileptiforme, avec perte de connais
parfaite, et il apprécie mal le violet. Il a eu en outre de petites
attaques
avec perte de la connaissance et de la parole. Il
ations hysté- riques ; elle eut au cours de sa paraplégie plusieurs
attaques
d'aphonie, 30 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊ
rielle, élévation persistante de la température, hémiplégie droite,
attaques
épilepti- formes ; mort par bronchite. A l'auto
t de ses descriptions; son père était goutteux et il est mort d'une
attaque
d'apoplexie. Lui-même, de haute taille, très pu
issement de la vue, de la diplopie. Un peu plus tard survinrent des
attaques
qui présentaient les caractères suivants : chut
les mots qui se présen- taient bien, d'ailleurs, à sa mémoire. Ces
attaques
épileptiformes, parfois spontanées, souvent pro
cidents. Vives douleurs au niveau des jointures. Amélioration. Puis
attaque
avec perte de connaissance suivie d'hémiplégie dr
malade sort. Le même jour, il revient à l'hôpital, il avait eu une
attaque
apoplectiforme et il présentait une hémiplégie dr
en peintre en voitures, âgé de quarante et un ans, qui, à part deux
attaques
de coliques de plomb et des crises d'automatism
peut arriver à savoir qu'elles étaient précédées d'une toute petite
attaque
convulsive très courte, et que souvent pendant
pendant la nuit ni à aucun autre moment. A dix-huit ans il eut une
attaque
de coliques de plomb. Il avait commencé son mét
étier de peintre en voitures et quelque temps après eut une seconde
attaque
de coliques de plomb. Depuis cette époque (1870
n cor- riger. Vers la lin de son service militaire, il a une grande
attaque
de rhuma- tisme articulaire aigu qui le tient t
qui le tient trois mois à l'hôpital. Depuis, il a eu deux nouvelles
attaques
de rhumatisme assez violentes, et deux érysipèles
l a souvent soif devant ses fourneaux. l'as de syphilis. Première
attaque
d'oedème. En août 1888, L... a éprouvé dans la ma
sse- ment des tendons fléchisseurs, dû sans doute à ses précédentes
attaques
de rhumatisme. Le D' Raymond interprétait le ca
re heures; il a recouvré entièrement l'usage de sa main. Deuxième
attaque
d'ccdèac. Le 1"' janvier 1890, L... retourne à Sa
ion a été progressive, plus lente que la première fois. Troisième
attaque
d'oedème. Le malade nous a soigneusement caché
uéri. C'est probable si L... ne nous a pas trompé sur le début dc l'
attaque
suivante qui l'a amené à l'Ilôlel-Dieu. Quatriè
ébut dc l'attaque suivante qui l'a amené à l'Ilôlel-Dieu. Quatrième
attaque
d'oedème. Vers le 10 novembre 1890, L... est .r
s de crampes dans la main droite identiques à celles de la première
attaque
. Mêmes phases de refroidissement, de pâleur et d'
, eh bien, il en aura. » Et effectivement le malade a eu de grandes
attaques
. Une fois de plus ceci montre qu'on peut entrer d
ement, l'hystérie pouvant se manifester tout d'abord par de grandes
attaques
. 1 Notre malade étant donc constaté hystérique,
sitives et sensorielles dans le délire de la troisième période de l'
attaque
hysté- rique, recherches qui seront publiées pr
t depuis plus de dix ans. C'est une grande hystérique, avec grandes
attaques
à trois périodes, atta- ques de contracture, et
ie de l'éther qu'on leur admi- nistre quelquefois pour calmer leurs
attaques
.) Nous tentons alors d'impressionner le sens de
nt sur un tam-tam. Immédiatement, la malade tombe dans une violente
attaque
de contracture. Nous lui faisons reprendre ses se
ire post-hystéro-épileptique, et se voit quelquefois à la suite des
attaques
d'hystérie. Bien qu'elle refuse énergiquement de
servant toujours les diverses contractures qui lui restaient de son
attaque
, la malade, ceci est im- portant à noter, ne no
l'hospice une multitude d'accidents hystériques : chorée rhythmée,
attaques
de délire durant jusqu'à dix jours, paralysies,
ervice on a l'habitude de donner de l'éther pour calmer les grandes
attaques
d'hystérie, pour lesquelles on fait aussi usage
la moindre ébauche. Il n'a jamais présenté rien qui ressemble à une
attaque
de nerfs. Nous avons pris quelques tracés pneum
ggravation qui succèdent à l'excitation des zones hystérogènes, aux
attaques
, aux émo- tions, etc., de contractions fibrilla
les membres inférieurs, etc., qu'il s'exagère sous l'influence des
attaques
, d'une émotion même légère, de l'excitation des
possibles de la névrose, les stigmates, les zones hystérogènes, les
attaques
convulsives anté- rieures, etc., à ne considére
el, nous avons trouvé chez le malade des stigmates hystériques, des
attaques
ou des ictus apoplectiques. Nous avons été frap
es modes de début, tantôt insidieux, tantôt brusque et sous forme d'
attaques
. Et quand on interroge attentivement ces malade
à, dans la salle d'at- tente de la consultation, il eut une seconde
attaque
. Il se rendit mieux compte cette fois des sensa
rvice de M. le professeur Bouchard, on lui donna plusieurs fois son
attaque
en lui faisant fixer un crayon. Le tremblement
plusieurs reprises, mais il ne disparut jamais entièrement. Chaque
attaque
était suivie d'une recrudescence nouvelle. Huit
elle. Huit jours après sa sortie de l'hôpital il eut, chez lui, une
attaque
très longue (trois heures) à la suite de laquelle
uet et aphone pendant trois mois et demi. Il eut alors une nouvelle
attaque
au sortir de laquelle il recouvra la parole. ,
E DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 11J pital, il eut, encore après une
attaque
, « un gonflement du ventre qui dispa- rut presq
aines. Le tremblement persistait toujours. Bref, depuis sa première
attaque
le malade n'a jamais cessé de trembler; il n'a
pu reprendre ses occupa- tions ; il a toujours de temps à autre des
attaques
convulsives précédées des mêmes prodromes que n
e examiné, parce que la fixation du regard déter- mine rapidement l'
attaque
convulsive. Zone hystérogène. On peut aussi pro
t l'attaque convulsive. Zone hystérogène. On peut aussi provoquer l'
attaque
en exerçant une pression assez forte, soit sur la
dans les tempes; peu après il voit trouble, il chancelle, tombe et l'
attaque
commence. L'attaque commence par une phase ép
rès il voit trouble, il chancelle, tombe et l'attaque commence. L'
attaque
commence par une phase épileptoïde très courte; p
l'interpelle vivement, il répond aux questions qu'on lui pose et l'
attaque
est finie. (Les attaques spontanées que le mala
répond aux questions qu'on lui pose et l'attaque est finie. (Les
attaques
spontanées que le malade a eues ultérieurement pe
ieurement pendant son séjour, à l'hôpital ne diffèrent en rien de l'
attaque
provoquée.) Motilité. Les troubles permanents d
n'a jamais cessé d'exister depuis qu'il est apparu à la pre- mière
attaque
, c'est-à-dire depuis deux ans. Nous l'avons atten
gènes qu'il présente au niveau des flancs, et il subit après chaque
attaque
une recrudescence qui dure deux ou trois jours.
malade chancelle, demande à s'asseoir. Mais il ne se produit pas d'
attaque
, quelque insistance qu'on mette à comprimer le po
érose multiple. Il se manifeste d'ordinaire consé- cutivement à une
attaque
apoplectiforme; il est variable suivant les jou
odromes de l 'aura céphalique. Et en réalité, ces vertiges sont des
attaques
d'hystérie avortées, arrêtées à l'état naissant
tées à l'état naissant. Parfois, en effet, ils se terminent par une
attaque
; le ma- lade tombe privé de connaissance, avec
e privé de connaissance, avec ou sans phénomènes convulsifs. 4° Les
attaques
apoplectiformes et épileptiformes s'accompagnent
paralysie vésicale ait disparu, puis sur- tout que surviennent des
attaques
convulsives. On l'examine de nouveau, on songe
effleurement amène des phénomènes d'aura. On déterminerait même une
attaque
. C'est une zone hystérogène. D'autre part, il n
bout de quelques heures il revint à lui. Trois mois après, nouvelle
attaque
;î la suite d'une lecture; plus tard enfin il eut
que ;î la suite d'une lecture; plus tard enfin il eut une troisième
attaque
. Aucune d'elles ne laissa de paralysie à la suite
d'- mère vit encore en bonne santé, le grand-père serait mort d'une
attaque
d'apoplexie. En somme, ni son père ni sa mère
rdiaque (quarante-neuf ans), rhumatisante, migrai- neuse ; a eu une
attaque
d'apoplexie avec hémiplégie gauche. Frères et s
ons. 4 sont vivants; une soeur atteinte d'eczéma chronique a eu des
attaques
hystériques qui ont disparu après son mariage; un
es. Rien à noter. ' Antécédents personnels. -De dix à quatorze ans,
attaques
ayant la plus grande analogie avec les attaques
dix à quatorze ans, attaques ayant la plus grande analogie avec les
attaques
comitiales; indifféremment nocturnes ou diurnes
ne, elle a des bruils dans les oreilles. Mais tout se borne la et l'
attaque
ne se produit pas, quelque insistance que l'on
le tremblement restait un peu plus intense qu'avant cette ébauche d'
attaque
. De plus, ses jambes étaient plus faibles, se d
les premiers jours de novembre il eut ce qu'il appelle sa première
attaque
de nerfs. » Un jour, vers G heures du soir, étant
oisine est une hystérique avérée qui a de temps en temps de grandes
attaques
, et qui appelle auprès d'elle la femme du malad
'elle sent qu'elle va avoir sa crise ». Au sortir de cette première
attaque
, Claw... remarque que sa jambe et son bras droi
Deux jours après, il eut, encore vers 7 heures du soir, une seconde
attaque
semblable à la première et précédée comme elle de
s lors tous les troubles que présentait le malade lors de sa première
attaque
ont persisté sans se modifier le moins du monde
choses s'arrêtent là, et l'aura ainsi provoquée n'est pas suivie d'
attaque
. État mental. -Depuis l'accident dont il a été
pendant son séjour dans le service de la clinique. Il a toujours des
attaques
, une ou deux par semaine en moyenne. Mais il ex
INIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 1S7 Au sortir de cette seconde
attaque
elle remarqua que son bras et sa jambe du IL cô
puis. État actuel. Depuis qu'elle est entrée il la Salpêtrière, ses
attaques
s sont fréquentes. Elles se produisent tous les
s dans les tempes; ses yeux se ferment; elle perd connaissance et l'
attaque
com- mence. Après quelques convulsions épilepti
rte, et elle se met à pleurer abondamment, elle sanglote. Parfois l'
attaque
recommence. La compression des zones hystéro- g
des dans lesquelles la malade, ayant eu peu de temps auparavant une
attaque
convulsive, se trouve comme elle dit « très agi
rve la malade, le jour même ou le lendemain d'une de ces ébauches d'
attaques
qu'elle a de temps en temps, alors le tremblement
n. A peine avait-elle commencé à travailler qu'elle eut une seconde
attaque
précédée des mêmes prodromes qui avaient marqué
(il devint triste, pleurait souvent sans motif), il eut sa première
attaque
d'hystéro-épilepsie. Cette attaque, comme celle
sans motif), il eut sa première attaque d'hystéro-épilepsie. Cette
attaque
, comme celles très nombreuses qu'il a eues ultéri
senté plusieurs accidents intéressants : Eu 1887 il eut une seconde
attaque
de contracture généralisée qui dura huit jours
ralisée qui dura huit jours et prit fin subitement à la suite d'une
attaque
convulsive. En juin 1888, chorée malléatoire qu
ndant une dizaine de jours. En novembre de la même année, troisième
attaque
de contracture qui dura quinze jours. En févrie
ontracture qui dura quinze jours. En février 1889, à la suite d'une
attaque
qui fut, paraît-il, par- ticulièrement violente
s caractères suivants : ce tremblement n'apparaît qu'à la suite des
attaques
; il dure deux, trois jours, parfois quelques heu
est très sensible; la plus légère pression provoque immédiatement l'
attaque
. A côté de ce tremblement, le malade en présent
nférieur droit. Comme le précédent, il n'apparaît qu'à la suite des
attaques
; sa durée est plus éphémère encore; il ne persi
st plus éphémère encore; il ne persiste que quelques heures après l'
attaque
qui l'a fait naître. Il a tous les caractères d
é. Il n'existe aucune zone hystérogène. La malade n'a jamais eu d'
attaques
. Depuis le 29 juin, nous avons réexaminé cette
lade à plusieurs reprises. A cette époque, elle n'avait jamais eu d'
attaque
; mais le 3 août dernier, après avoir assisté à
dis que sa tête et ses pieds touchaient seuls le plan du lit. Cette
attaque
qui avait duré un quart d'heure, se termina par d
pathes : l'un est mégalomane. L'autre, sans jamais avoir présenté d'
attaques
, a eu une fois une contracture (forme hémiplégi
ci a été traitée à la Salpêtrière pendant deux ans (1879-1880) pour
attaques
hystéro- épileptiques. Antécédents personnels
e nouveau, pour -disparaître encore. Et ce n'est qu'après la première
attaque
d'hystérie qu'il s'installa définitivement. I
la main droite, s'atténuant parfois, et subissant à chaque nouvelle
attaque
qu'avait le sujet une recrudescence bien marquée.
re fois d'uriner dans son lit la nuit, mais sans qu'elle ait eu une
attaque
cette fois, au moins à ce qu'elle croit. rendant
ortie de la clinique le 26 mai. Elle avait eu le jour précédent une
attaque
apoplectique avec hémi-parésie consécutive encore
tractilité faradique était diminuée, mais non abolie. Cette seconde
attaque
de paralysie dura plus d'un an et guérit complète
ubitement, trois mois après son entrée l'hôpital, em- porté par une
attaque
apoplectique, L'autopsie ne donne pas l'explicati
mme de quarante-quatre ans a eu, en mars 1881, pendant la nuit, une
attaque
qui entraîna une perte de connaissance pendant tr
de connaissance pendant trois jours. Cinq mois plus tard, nouvelle
attaque
; perte de connaissance partielle pendant deux j
ielle pendant deux jours avec la paralysie du bras droit. Troisième
attaque
, onze mois plus tard, avec perte de connaissanc
hiée et décolorée, goût diminué. Démence sénile. Après une nouvelle
attaque
de perte de connaissance avec déviation conjuguée
ellement; il était alcoolique. Sa mère est nerveuse, mais n'a pas d'
attaques
. Du côté de ses collatéraux, on trouve un cousi
sente une ébauche d'hémispasme glosso-labié du côté droit. Jamais d'
attaques
convulsives, ni de vertiges. Enfin, au point de v
cérébrales de nature indéterminée. Elle a deux saurs : l'une a des
attaques
d'lads- térie, l'autre est migraineuse, et deux
l'un est mort de tuberculose pulmonaire, l'autre est nerveux, sans
attaques
. Antécédents personnels. Pas de maladies dans l
deux côtés dès son entrée à 50°. Pas de points hystérogènes. Pas d'
attaques
. A la sortie, la paraplégie motrice est améliorée
même la possibilité d'une terminaison fatale ( ? ) au milieu d'une
attaque
. , Malgré cette longue durée, le mode de début
droite. Le tremblement s'était déjà produit pendant l'hiver avanl l'
attaque
. A gauche, on détermine facilement la trépi- da
lement à droite. La sensibilité, qui était, dit-on, normale avant l'
attaque
, est diminuée dans tous ses modes. Aux membres
s d'asthme; ces accès ne se sont montrés ni pendant les précédentes
attaques
de parésie ni depuis le début de la présente af
, très régulièrement à l'époque de ses règles, elle est prise d'une
attaque
semblable, qui ne dure jamais moins de deux jou
qui ne dure jamais moins de deux jours et jamais plus de trois. Ces
attaques
sont précédées des prodromes que nous décrirons
dromes que nous décrirons plus loin. Quinze jours après la première
attaque
, elle ne pouvait plus marcher du tout; ses jamb
au soir dans le service de la clinique, elle avait le lendemain une
attaque
que l'on peut caractériser en un mot d'accès la
niveau des articula- tions du genou. Depuis trois ans, pendant ses
attaques
laryngées, on est obligé de la sonder. 20 Tro
'hui, elle présente une chorée rhythmée des membres supérieurs. Les
attaques
sont devenues plus rares. 316 NOUVELLE ICONOGRA
tuberculose pulmonaire. Mère morte de ( ? ). Une soeur hystérique (
attaques
convul- sives). Antécédents personnels. Dans
ments qui durent de dix à quinze minutes et quelquefois plus. Pas d'
attaques
de nerfs. La recherche des stigmates sensoriels n
blements et une émotivité manifeste, qu'une de ses soeurs avait des
attaques
d'hystérie, qu'on n'a trouvé à l'autopsie aucun
us les trois ou quatre mois, à la suite de contrariétés, elle a des
attaques
de nerfs, dans lesquelles elle se mord la langu
i l'avait vivement impressionnée), la malade a commencé à avoir des
attaques
de nerfs. Bientôt après, elle a eu la danse de Sa
âge de quinze ans, elle n'a jamais passé une quinzaine sans avoir d'
attaque
; après son mariage, les crises sont devenues p
ogues aux précédentes et revenant environ toutes les semaines : ces
attaques
sont précédées d'une sensation de boule remonta
n,'la menaçant. Elle eut peur et tomba à la renverse en proie à une
attaque
qui dura trois quarts d'heure. Lorsqu'elle revint
tations habituelles de la névrose : stigmates sensitivo-sensoriels,
attaques
convulsives, etc., font complètement défaut.
ît encore augmenter, toutes choses égales d'ailleurs à la suite des
attaques
. Rarement l'élat asphyxique est plus étendu et
use connue que dans sa quarante et unième année il a eu sa première
attaque
d'épilepsie, qui a été caractérisée par une chute
chement avant terme. Ni syphilis ni alcoolisme). A vingt-trois ans,
attaque
de rhuma- tisme articulaire aigu qui dure six m
nt normales; la résistance électrique augmentée = 7300 ohmes. Pas d'
attaques
convulsives; la malade n'en a jamais eues. Etat p
essayait de se redresser. Vers la fin du mois de mars, il a eu une
attaque
convulsive. Il venait de prendre un bain, lorsq
nau- sées suivies de toux quinteuse; il a perdu connaissance. Cette
attaque
aurait été caractérisée par des secousses dans
ir sur sa table de nuit un animal fantastique), il a été pris d'une
attaque
suivie de phéno- mènes apoplectiformes qui ont
application de glace sur la tête. Il aurait eu à la suite de cette
attaque
une déviation de la bouche qui aurait disparu ave
la bouche qui aurait disparu avec une nou- velle crise. Le 4 avril,
attaque
suivie de rétention d'urine. Depuis ce mo- men
sion est plus forte, on déter- mine les phénomènes de l'aura et une
attaque
même si on continuait. Rien n'est plus redouté
emps fixer un objet sans éprouver de la céphalalgie et une menace d'
attaque
comme s'il avait des zones hystérogènes sur la
affaiblie. Outre ces troubles sensoriels, le malade est sujet à des
attaques
spéciales. Il en a eu trois depuis son arrivée
u trois depuis son arrivée dans la salle (en un mois de temps). Ces
attaques
sont précédées d'une sensation bizarre dans le fl
e niveau détermine souvent les phénomènes de l'aura, voire même une
attaque
convulsive. (b) Les crises viscérales, gastriqu
mois et des années; elle peut débuter brusquement il la suite d'une
attaque
par exemple, faire suite à la guérison d'une para
est alcoolique. Du côté maternel, sa grand'mère avail de fréquentes
attaques
convulsives (hystérie ou épilepsie); sa mère es
règles qui sont depuis venues toujours régulièrement. A seize ans,
attaques
d'hystérie convulsive, survenant il la suite d'un
en poussant des cris, et cela pendant un quart d'heure environ. Ces
attaques
ont duré trois ans; elles revenaient trois ou q
des douches qu'elle a été obligée de cesser, sous peine d'avoir des
attaques
de nerfs. La contracture était accompagnée de q
es circonstances mêmes. Une nuit, cette jeune femme est prise d'une
attaque
d'hystérie qui se termine par une con- tracture
ri; cette atrophie évolue avec rapidité, puisque trois mois après l'
attaque
, au moment où nous l'avons examinée, elle était e
mère est asthmatique. Elle aurait eu, vers l'âge de vingt ans, des
attaques
convulsives vraisemblablement hysté- riques. Ac
dans le service de Vulpian. C'est la que s'est produite la première
attaque
convulsive. Dans la nuit du 1 i. au 15 juillet
rée de tout le corps, avec alternatives de rire et de pleurs. Celte
attaque
dura vingt minutes ; elle ne se mordit point la l
n à la Charité, dans le service de M. Luys. Là éclatent de franches
attaques
d'hystérie nécessitant la camisole de force. A
aques d'hystérie nécessitant la camisole de force. A la suite d'une
attaque
, apparurent un strabisme divergent et une ambly
un peu amélioré. Elle resta trois mois à l'hôpital, où elle eut des
attaques
classiques presque tous les jours. Une fois, ra
le service de M. Gouraud. Elle avait, à cette époque, deux ou trois
attaques
(par semaine) de grande hystérie : elle était hyp
ble. Elle eut encore là quelques accès de spasme laryngé. Outre ces
attaques
d'hystérie, la malade présente toujours, de temps
où nous l'avons vue durant quelques mois. C'était une hystérique à
attaques
typiques qui présentait les phases du grand hyp
une nouvelle poussée de bronchite suspecte. Elle avait toujours des
attaques
. Un jour, dans une expérience de transfert selon
la deuxième fois dans le service de M. Charcot. Une fois, dans une
attaque
, elle se fractura le péroné. Au mois de novembr
ont nous avions l'honneur d'être l'interne. Elle avait toujours ses
attaques
convulsives; elle présentait toujours celte atrop
ôt et de là dirigée sur la Charité. Là, pour calmer son délire, ses
attaques
et ses spasmes laryngés, elle s'habitua à la mo
réiques, véritable chorée de Sydenham. Enfin la malade présente des
attaques
d'hystérie classiques, et dernièrement elle a e
la névrose. Brus- quement, dans la nuit, peut-être à la suite d'une
attaque
, elle a été prise d'une contracture des deux ma
e bourdonnements d'oreilles, de palpitations et dc nausées. z Ces
attaques
de contracture précédées d'aura et généralisées n
te de connaissance. La malade les distingue très explicitement. Ces
attaques
et ces accès se sont toujours produits depuis l
quatre ans; d'autre part, MM. Ballet et Crespin ont bien étudié les
attaques
d'hystérie à forme d'épilepsie partielle. Néanmoi
de cris elle ? omna111- bulismé, dans tous les cas l'amaurosc, les
attaques
survenues à la suite des émotions de l'examen,
névrose. L'hémispasme en dépend aussi à n'en pas douter. Quant aux
attaques
convulsives, les unes, nous l'avons déjà démont
et on ne trouve pas chez lui trace de syphilis. Il n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs avant 1888. Il ne paraît pas avoir un ca
de table, il tombe subitement sans connaissance dans la rue. Cette
attaque
n'avait été précédée d'aucun prodrome. La perte
droit tournait en dedans. Le 15 avril 1889, le malade aune seconde
attaque
identique à la première, le matin, dans sa cham
t à l'Hôtel- Dieu. Cette fois le malade a eu chez lui une troisième
attaque
semblable aux deux premières, qui a duré deux h
néralisée n'est com- plète que pendant les périodes qui suivent les
attaques
. Entre temps, la sen- sibilité revient, mais re
: ' 1. Charcot, Paralysie spinale infantile; paraplégie alcoolique.
Attaques
? s<cro-61- leptiques (Leçons du mardi, 20 n
a pas toujours élé ainsi. Au début, lorsque cet homme n'avait pas d'
attaques
, pas de zones hystérogènes, pas dc troubles des s
'existence dans l'hystérie n'est plus à démontrer. Et l'absence des
attaques
convulsives à laquelle M. Roth attribue une grand
h attribue une grande voleur ne saurait avoir cette importance. Les
attaques
manquent, souvent dans la névrose hystérique. D
i lui brûla le pied gauche. Immédiatement après, il eut sa première
attaque
convulsive ou plutôt sa première série d'attaques
il eut sa première attaque convulsive ou plutôt sa première série d'
attaques
, car les convulsions auraient duré quatre heure
qu'il apprenait. A vingt-quatre ans, il a eu de nouveau une grande
attaque
convulsive avec chute. D'autres se succédèrent, m
constatant qu'il est atteint d'épilepsie avec délire consécutif aux
attaques
; un autre. porte le diagnostic d'hystéro-épileps
éfavorables des médecins et même des sociétés médicales, malgré des
attaques
et des critiques plus ou moins vives dirigées c
tement : vomissements, crises convulsives, prostration qui suit les
attaques
d'hystérie. Au fond trois femmes enlacées, dans l
rthographe : « Depuis jeudi, à la suite d'une crise de nerfs et d'une
attaque
. Je voudrais parler, mais on dirait qu'il y a que
tue même qu'un épisode récent survenu à la suite d'une des nombreuses
attaques
convulsives dont elle n'a pas cessé d'être tourme
ssus; chaque fois qu on a voulu l'hypnotiser, elle a été prise de ses
attaques
de raideur: jamais elle n'a dormi. Plusieurs fo
ine de jours. Elle en sortit non guérie; depuis lors, en effet. les
attaques
continuent à paraître fréquemment et l'état menta
mutisme est survenu il y a cinq ou six jours, à la suite d'une forte
attaque
. C'est à cette occasion que le mari de la malade
sa femme dans notre service. Vous avez compris, Messieurs, que les
attaques
dont il a été si souvent question dans le cours d
souvent question dans le cours de notre récit ne sont autres que des
attaques
hystériques : elles répondent à un type particuli
ul Richer, auxquelles je vous renvoie pour les détails, sous le nom d'
attaques
de contracture (1) ; je me bornerai à vous en don
ileptique, les contorsions ou les attitudes passionnelles des grandes
attaques
vulgaires. Les choses restent telles quelles pend
quer, d'un petit cas. Nous avons vu en effet chez d'autres sujets les
attaques
présentant ces mêmes caractères persister quelque
pression ovarienne ou de divers points hystérogènes, — qui, dans les
attaques
classiques, se montrent si fréquemment efficaces.
ttaques classiques, se montrent si fréquemment efficaces. Le type d'
attaque
dont il est ici question, et que nous avons pris
estion, et que nous avons pris l'habitude de désigner sous le nom d' «
attaque
de contracture », se rencontre assez rarement dan
l'attitude dite a en arc de cercle », partie intégrante de la grande
attaque
hystéro-épileptique, non plus qu'avec la cataleps
l'on emploie si souvent à ton et à travers (1). J'ai vu ce genre d'
attaque
se produire plus souvent que le type classique da
, soit du champ visuel ayant abouti constamment à la production d'une
attaque
. En résumé, nous avons sous les yeux un exemple
ar l'histoire des antécédents de Mme P... signale dans son passé deux
attaques
d'hystérie, l'une à l'âge de 19 ans, l'autre à l'
jeune Blan.., sans antécédents nerveux remarqués, n'avait jamais eu d'
attaques
jusqu'au moment où les premières fentatives d'hyp
tés pendant quelque temps tous les deux ou trois jours. C'étaient des
attaques
hystériques assez bien formulées, précédées d'une
meux Hansen, un enfant hypnotisé par un de ses camarades a été pris d'
attaques
de contracture qui durèrent plusieurs heures et q
térie, ou hystéro-épilepsie. est essentiellement caractérisée par des
attaques
convulsives, magistralement décrites par MM. Char
pnotisme a pu rendre d'indiscutables services, non seulement contre l'
attaque
convulsive elle-même, mais aussi contre les troub
nt pas qu'on puisse en retirer d'autre avantage que la diminution des
attaques
, qu'il est fort probable que les stigmates de l'h
ental, ont vu peu à peu disparaître complètement, non seulement leurs
attaques
convulsives. mais aussi les autres symptômes qu'e
s, mères de famille, jouissent d'une excellente santé et n'ont plus d'
attaques
. Une troisième occupe de délicates fonctions admi
er les symptômes de grande hystérie dès le retour de leur apparition (
attaques
convulsives, contractures, anesthésies, aphonie,
out en étant d'origine essentiellement hystérique, n'est ni précédé d'
attaques
convulsives, ni accompagné d'aucun des stigmates
r les yeux constitue, selon nous. le plus sûr moyen de déterminer une
attaque
. Nous procédons d'une façon toute différente et n
ères et d'élèves, peuvent certifier qu'ils n'ont jamais vu survenir d'
attaques
convulsives à la suite d'hypnotisations. A tel po
u'à Nancy, où des malades ont été hypnotisés par centaines, la grande
attaque
d'hystérie est beaucoup plus rare que partout ail
pel au traitement par la suggestion sont justement sous l'imminence d'
attaques
convulsives, d'accès d'agitation maniaque, de mél
roses, les paralysies, et estiment qu'une hystérique qui n'a pas eu d'
attaques
con-vulsives est à peine une malade, il en est d'
ué au moins huit cents hypnotisations sans avoir assisté à la moindre
attaque
convulsive. Est-ce à dire que nous nous abstien
t les perversions du caractère. Alors même qu'ils ne présentent pas d'
attaques
convulsives et que les autres manifestations de l
ue l'emploi de la sugges-tion est nettement indiqué : 1° Contre les
attaques
convuisives de la grande hystérie et contre les s
térie et contre les symptômes qui peuvent persister à la suite de ces
attaques
(paralysies, contractures, spasmes. anesthésies,a
qué, excentrique et bizarre, sujet depuis l'âge de dix-sept ans a des
attaques
d'hystérie s accompagnant toujours de crachements
en faire brièvement la description. Généralement L...sent venir ses
attaques
; plusieurs heures avant le début, il éprouve un
s phénomènes se produisent environ une demi-heure avant le début de l'
attaque
. Comme autres auras, il accuse une sensation de
on lui dit et tous les sons lui paraissent confondus. Au début de l'
attaque
, il se couche sur le côté gauche, la face tournée
qui a quatre mètres de hauteur, a été atteint; tout le temps de cette
attaque
, le malade est absolument sans connaissance. Au b
. Très souvent, pour ne pas dire toujours, il demande à boire après l'
attaque
. avale un verre de tisane en entre-choquant ses d
st pas mordu la langue et n'urine pas pendant la crise. Telle est l'
attaque
à laquelle L... est sujet. Ajoutons, pour complét
tc.. mais l'hallucination qui le tourmente à la fin de chacune de ses
attaques
, revient identique pendant l'état de somnambulism
à cet égard. Du 10 au 28 novembre 1888. L... eut régulièrement une
attaque
tous les jours. Le 28, quelques heures après son
ièrement une attaque tous les jours. Le 28, quelques heures après son
attaque
, je l'endors et je lui ordonne de rester deux jou
aque, je l'endors et je lui ordonne de rester deux jours sans avoir d'
attaque
, et celle-ci ne revient que le troisième jour, c'
e jour, c'est-à-dire le 1er décembre. Les 2, 3 et 4 dé- cembre, les
attaques
reviennent. Le 4, nouvelle séance d'hypnotisme: j
éance d'hypnotisme: je lui ordonne de rester trois jours sans avoir d'
attaque
: il n'en a pas avant le 8 décembre. Le 9 et le 1
nouvelles attaqeus. Le 10. je lui suggère de rester une semaine sans
attaque
, et, en effet, il n'en a plus avant le 17. Le 18
ans l'après-midi, je lui suggère de rester deux semaines sans avoir d'
attaque
, et il n'en a plus jusqu'au 3 janvier 1889. Ce jo
ue, et il n'en a plus jusqu'au 3 janvier 1889. Ce jour-là il eut deux
attaques
. Les jours précédents, il s'était plaint d'avoir
'étouffe, disait-il, j'ai besoin d'en rendre. » Le 4 janvier, pas d'
attaque
; les 5, 6, 7 et 8 janvier, une attaque chaque jou
endre. » Le 4 janvier, pas d'attaque; les 5, 6, 7 et 8 janvier, une
attaque
chaque jour. Le 8, je l'hypnotise et je lui ordon
l'hypnotise et je lui ordonnance de rester quinze jours sans avoir d'
attaques
. « Seulement, lui dis-je. si vous avez des étouff
itaque. Vous vous contenterez de cracher. Je vous défends d'avoir une
attaque
.» L... n'eut plus d'attaques avant le 24 janvier;
z de cracher. Je vous défends d'avoir une attaque.» L... n'eut plus d'
attaques
avant le 24 janvier; seulement, le 16, dans la ma
erveuse. A partir du 24 janvier, je cessai de le suggestionner et les
attaques
revinrent a peu près régulièrement tous les jours
Anne dans le service du Dr Magnan, où il est toujours sujet aux mêmes
attaques
. Il est incontestable que la volonté de cet hom
ujet jus-qu à 1 âge de dix ans à des troubles nerveux bizarres, k des
attaques
mal caractérisées avec perte totale ou partielle
uelques-unes de nos observations, l'hémianesthésie apparaît après une
attaque
apoplectique. Mais ce qui lève tous les doutes, c
re qui cadre bien avec celui des hystériques ; enfin, et surtout, les
attaques
convulsives, qui ne sont pas celles de l'épilepsi
our. Dans quelques cas. la description rappelle tout à fait celle des
attaques
hystériques avec les mouvements de bassin, le clo
e clow-nisme des hystéro-épileptiqucs. Dans un cas, en particulier, l'
attaque
convulsive cessa sous l'action du chloroforme. »
1881, nous avons vu à Lausanne des jeunes gens tomber spontanément en
attaque
de sommeil hypnotique pendant une conférence que
portant que l'anthropologie pour nous aider à classer les auteurs des
attaques
à la propriété, les escrocs, les voleurs, les fau
chez lesquelles l'emploi de la suggestion avait fait disparaître les
attaques
convulsives et un certain nombre dautres symptôme
amour de la liberté, les forces nécessaires pour repousser toutes les
attaques
des ennemis les plus puissants. » M. le profess
ront, l'exciteront pour amener du désordre et provoquer le retour des
attaques
dont ils rient, mais encore ils s'en serviront po
indicatif lui persuade qu'un infirmier détesté l'a frappé pendant son
attaque
, chose absolument fausse. Il entre aussitôt dans
e de cinquante-cinq ans environ, a été atteinte il y a six ans, d'une
attaque
apoplectique, qui lut a causé de l'aphasie tempor
té. Lorsqu'elle vient me trouver en mai 188,eIle ne conserve de cette
attaque
, qui ne s'est pas renouvelée, qu'une difficulté d
ins. La malade avait, en effet, quelques (Ours auparavant une sorte d'
attaque
apoplectiforme accompagnée d'un hémispasme glosso
compagnée d'un hémispasme glosso-labié. Le surlendemain, une deuxième
attaque
la laissait paralysée du bras droit et enfin, peu
die ne pouvait pas durer plus de six mois, qu'un jour elle aurait une
attaque
qui la débarrasserait et qu'enfin nous pouvions p
rait et qu'enfin nous pouvions prédire la veille, l'heure exacte de l'
attaque
. Peu après, l'un des internes lui annonça que l'a
e exacte de l'attaque. Peu après, l'un des internes lui annonça que l'
attaque
surviendrait avant vingt-quatre heures. Le lendem
ns-nous le dos tourné, que notre petite malade roulait à nos pieds. L'
attaque
dura vingt minutes et Marie se releva ayant recou
i observé, en particulier une hystérique qui présentait à la fois des
attaques
convulsives et des accès de somnambulisme naturel
s et des accès de somnambulisme naturel. Je réussis à la guenr de ses
attaques
par suggestion ; mais j'échouai contre les accès
tre ici en cause une suggestion antérieure : il s'agit d'une première
attaque
du sommeil provoqué. Et cette hystérique qui s'
pratiques de l'hypnose. Ces sujets n'avaient eu antérieurement ni une
attaque
d'hystérie, ni une attaque d'épilepsie. Par un pr
sujets n'avaient eu antérieurement ni une attaque d'hystérie, ni une
attaque
d'épilepsie. Par un procédé ou par un autre, on a
, on arrive au sommeil provoqué. Et brusquement survient une première
attaque
d'épilepsie ou d'hystérie, brusquement, au grand
t rencontre qui ait voulu, de propos délibéré, commencer la série des
attaques
du haut mal ou de la grande hystérie ! Mettrez-
ctuosités natives ou acquises de la mémoire et de l'intelligence, aux
attaques
convulsives, aux troubles des sens et de la sensi
ssi a produire le travail et à supprimer les tendances vicieuses. Les
attaques
submaniaques n'ont pas reparu depuis près de troi
e rythmique ; L'onanisme irrésistible ; Le blèpharospasme ; Les
attaques
convulsives d'hystérie ; Us troubles purement f
» ordinaires de la vie, calme mais inquiet. La finit, en général, l'
attaque
par le retour a la santé.si elle est convenableme
est également atteint d'inversion sexuelle. Sa sœur est sujette à des
attaques
de convulsions A part les maladies deson enfanc
é. Pas de maladies dans l'enfance. Pas d'habitudes alcooliques. Pas d'
attaques
de nerfs. Elle a souvent répété depuis quatre a
ent aisément repoussés; et par suite de In poursuite des Chinois. des
attaques
des montagnards, de la famine et de la saison plu
soixante ans, du village de Vimenet, canton de Laissac, ayant eu une
attaque
de paralysie, tomba en léthargie. Après vingt-qua
eux, déjà fortement ébranlé et le s avril 1885 se produit la première
attaque
hystérique. Les attaques se succèdent pendant tro
nlé et le s avril 1885 se produit la première attaque hystérique. Les
attaques
se succèdent pendant trois jours après lesquels s
sa place dans le courant de l'observation. Avril 1885.. —Début des
attaques
convulsives qui se produisent par séries; ovaralg
ues de sommeil. La première a duré 48 heures, elle a été suivie d'une
attaque
convulsive au réveil. Les attaques de sommeil se
48 heures, elle a été suivie d'une attaque convulsive au réveil. Les
attaques
de sommeil se sont ensuite reproduites régulièrem
8 h. du matin à 1 ou 2 h. de l'après-midi. Le réveil se produit sans
attaque
convulsive. Janvier 1886. — Première attaque de
réveil se produit sans attaque convulsive. Janvier 1886. — Première
attaque
de somnambulisme spontané. A la suite d'une att
886. — Première attaque de somnambulisme spontané. A la suite d'une
attaque
convulsive, la malade entre en somnanm-bulisme. P
vec des retours très-courts à l'état normal, (1 à 2 h. par jour). Les
attaques
de sommeil et les attaques convulsives se produ
l'état normal, (1 à 2 h. par jour). Les attaques de sommeil et les
attaques
convulsives se produisent dans cet état, comme à
n plus longues et le somnambulisme ne se montre plus que sous forme d'
attaques
qui prennent rang, à partir de ce moment, parmi l
s si nombreuses de la nevrose chez notre malade. Etats quotidiens
Attaques
de sommeil. — C'est par l'attaque de sommeil que
notre malade. Etats quotidiens Attaques de sommeil. — C'est par l'
attaque
de sommeil que commence la journée pathologique d
livre aux occupations habituelles de la matinée. Vers neuf heures, l'
attaque
débute sans autre prodrome qu'un besoin invincibl
aspect naturel bien qu'un peu plus pâle. Pendant toute la durée de l'
attaque
on ne consulte pas le moindre mouvement ; pas de
réveil rendre compte de ce qui s'est passé dans sa chambre pendant l'
attaque
. Elle est souvent incommodée, dans cet état, par
tat normal. Du mois de Novembre 1885 jusqu'au mois de Mai 1887, les
attaques
de sommeil se sont invariablement produites chaqu
ermettant le déplacement des membres. Dans cette seconde variété de l'
attaque
, la malade parait sensible aux excitations extéri
xcitation, aucun effort de la malade ne peut provoquer le réveil. L'
attaque
dure environ de 4 à 5 heures ; le réveil se produ
prises de lutter contre le sommeil, elle n'a pu éviter un seul jour l'
attaque
. Avant de terminer la description des attaques
éviter un seul jour l'attaque. Avant de terminer la description des
attaques
de sommeil qu'offre cette malade, nous tenons à s
naler un fait curieux qu'il nous a été donné d'observer dans quelques
attaques
appartenant au premier type (avec contracture) :
te par suite de la contracture des muscles du cou. Catalepsie.— Les
attaques
de catalepsie ne se présentent pas. chez notre ma
e sens que, presque toujours, une courte phase cataleptoïde précède l'
attaque
de somnambulisme qui se produit elle-même chaque
trariété, la vue d'un chat, suffisent pour provoquer la catalepsie. L'
attaque
est soudaine, la malade reste figée dans la posit
e, debout devant sa glace, les bras en l'air soutenant ses cheveux, l'
attaque
l'ayant surprise au moment où elle se coiffait. S
sse un profond soupir et entre en somnambulisme. Somnambulisme. — L'
attaque
de somnambulisme peut se produire à la suite d'un
lisme. — L'attaque de somnambulisme peut se produire à la suite d'une
attaque
convulsive : elle peut aussi succéder à une attaq
à la suite d'une attaque convulsive : elle peut aussi succéder à une
attaque
de catalepsie. Mais en dehors de ces deux circons
ait plus le premier mot une fois revenue â l'état normal. Pendant l'
attaque
de somnambulisme, la malade a gardé le sou- (1)
rmal. venir de tout ce qui s'est passé pendant l'état normal et les
attaques
de somnambulisme précédentes. Quelquefois cepen
ent oublié tout ce qui s'est passé et tout ce qu'elle a dit pendant l'
attaque
de somnambulisme, mais il arrive bien souvent que
lendemain en état normal pour recommencer au bout d'un moment, par l'
attaque
de sommeil, le cycle à peine interrompu de ses ma
is non moins pénibles de sa terrible maladie. Etats intermittents
Attaques
convulsives. — Les attaques convulsives se produi
terrible maladie. Etats intermittents Attaques convulsives. — Les
attaques
convulsives se produisent, chez notre malade, iso
ée, pendant l'état normal ou l'état second. Presque toujours, quand l'
attaque
convulsive se produit pendant l'état normal, la m
ce dernier se prolonge parfois fort longtemps après la cessation de l'
attaque
convulsive proprement dite. Celle-ci revet la f
ive proprement dite. Celle-ci revet la forme classique de la grande
attaque
hystérique si magistralement décrite par le Dr Ch
e tonique). Vient ensuite la période des grands mouvements, véritable
attaque
de clownisme. pendant laquelle la malade se liv
cinations. Nous n'insisterons pas davantage sur la description de ces
attaques
qui offrent, comme on peut le voir par ce court e
n peut le voir par ce court exposé, le tableau classique de la grande
attaque
hystérique. Nous signalerons seulement, parmi les
taque hystérique. Nous signalerons seulement, parmi les épisodes de l'
attaque
, et à titre de phénomènes plus rares : les saltat
rsée vers l'isthme du gosier, de façon à produire la suffocation. L'
attaque
convulsive se termine, le plus souvent, par un sp
et sa tendance à se substituer parfois aux autres manifestations de l'
attaque
convulsive, constitue une sorte d'attaque spécial
autres manifestations de l'attaque convulsive, constitue une sorte d'
attaque
spéciale que nous allons décrire. Allaques spas
d'attaque spéciale que nous allons décrire. Allaques spasmes. — Ces
attaques
que la malade appelle ses « crises d'étouffement
s'affaiblit, les battements du cœur sont précipités : l'angoisse de l'
attaque
précédente a frit place à une immobilité plus inq
ent, pendant une, deux et quelquefois trois heures, durée maxima de l'
attaque
spasmodique. Peu à peu le spasme cède, les insp
cède, les inspirations deviennent plus fréquentes et plus faciles. L'
attaque
se termine par des éructations et une abondante é
tion. Nous n'avons rien dit ni des contractures variées succédant aux
attaques
convulsives, ni de l'aphonie survenant brusquemen
méritent surtout de nous arrêter un instant, nous voulons parier des
attaques
de sommeil et du somnambulisme spontané. Notre
et du somnambulisme spontané. Notre malade est une dormeuse et ses
attaques
de sommeil offrent, de prime abord, tous les cara
durer des semaines et même des mois entiers ; chez notre malade, les
attaques
ont pris l'allure quotidienne et périodique qui c
ens spéciaux. On a vu, dans la description que nous avons donnée de l'
attaque
de sommeil chez notre malade, que les excitations
état des sens spéciaux, nous avons vu aussi, dans la description de l'
attaque
, que, non seulement il n'étaient pas abolis, mais
s que l'ouïs cl l'odorat étaient même hypéresthésiés. En somme, les
attaques
de sommeil de noire malade, nous semblent devoir
'hyperexcitabilité neuro-musculaire. Nous n'insisterons par sur les
attaques
de catalepsie. Nous n'avons du reste rien à ajout
s étaient très fréquentes chez notre malade et précédaient toujours l'
attaque
de somnambulisme. Cette dernière manifestation es
de vue, l'hypnotisme nous a rendu chez elle de réels services. Les
attaques
de sommeil ont été progressivement enrayées par l
ions essayé, au début, de supprimer totalement, par une suggestion, l'
attaque
de sommeil ; mais nous avons acquis la conviction
nes, il était nécessaire de procéder graduellement. En effet, quand l'
attaque
de sommeil était totalement empêchée par la sugge
sabl e; son sommeil lui manquait. Nous avons procédé de même pour les
attaques
de somnambulisme, les crises d'aboiement, en un m
festations périodiques de la névrose. Mais c'est surtout contre les
attaques
de spasme que la suggestion hypnotique nous a été
ser la fonction menstruelle, restreindre la durée et la fréquence des
attaques
convulsives, pendant que le traitement hydtothéra
uvions rien, la ligne maternelle montre une merc morte au cours d'une
attaque
de paralysie et un cousin fou-épileptique, âgé de
Herzog Wilhelms) rasse, 39. Le somnambulisme devant l'Eglise. Les
attaques
dirigées contre l'hypnotisme avec autant d'incomp
ants étrangers. » Le Monde qui publie avec tant de complaisance des
attaques
excessives contre l'hypnotisme, devrait bien pub
p porté A la tète, prit la montre et tomba lui-même dans une violente
attaque
de nerfs. M Tooth protestait avec raison contre
olentes crises d'hystérie et à lui faire une suggestion pour calmer l'
attaque
et en empêcher le retour, il doit assister impass
la ligature de l'artère, qu'il n'a celui de le laisser en proie à une
attaque
convulsive ou à une douleur violente,lorsqu'il pe
...,a présenté les signes les plus manifestes de la grande hystérie, (
attaques
, troubles de sensibilité, de motilité, etc., etc.
cteur X.....dis-je, me mena voir une jeune fille qui présentait des
attaques
d'hystérie extrêmement remarquables. Agée de di
n avait pu l'endormir à plusieurs reprises. J'assistai à une grande
attaque
et n'eus aucune peine à diagnostiquer une bystéri
ait bien malheureuse : malgré son air de santé, elle avait de grandes
attaques
durant lesquelles elle perdait connaissance. Le c
ait d'un viol commis sur une femme adulte et forte, à la faveur d'une
attaque
d'hystérie provoquée. Comme la malade était hyp
ir qu'il s'était rendu chez la jeune fille, sachant qu'elle avait des
attaques
ii la moindre émotion et que sa mère n'y serait p
village des environs de Rochefort, a été atteinte spontanément d'une
attaque
de léthargie d'où j'ai pu la faire sortir. Cett
de nouveau au mois d'octobre 1889. Elle a présenté en accouchant une
attaque
d'éclampsie. Vers la fin de Novembre, un mois a
e jeune fille de ¿2 ans est malade depuis un an. Elle a de fréquentes
attaques
a"kr$tirif, surtout au moment des règles. Le cham
our. Continuant mon examen, j'apprends que cette jeune fille a eu une
attaque
d'hystérie, il y a deux ans, pour la première foi
seule, c'est pénible pour une jeune fille de votre âge. Vous avez des
attaques
de nerfs. Eh bien, si vous voulez vous laisser en
r ses gardes. Il suffit d'une émotion morale vive pour déterminer une
attaque
de nerfs, et, après l'attaque, on voit souvent ré
émotion morale vive pour déterminer une attaque de nerfs, et, après l'
attaque
, on voit souvent réapparaître les accidents qui a
rrez marcher (ce qu'elle fit les jours suivants); vous n'aurez plus d'
attaques
de nerfs et toutes vos fonctions s'accompliront r
la somnambule s:ule en elle fut coupable. Elle guérit toutefois : ses
attaques
disparurent. Elle ne ravit que quelques années pl
Delbœuf renvoie à la page 99! O moralité scientifique! 30 Enfin, il
attaque
M. Strohl d'une manière inqualifiable. Ne pouvant
novembre 1880. par le professeur de magnétisme humain, en réponse aux
attaques
de l'avocat Lambelet (2). On y retrouve le même p
ntre eux, par les manifestations plus ou moins fréquentes des grandes
attaques
de l'hystérie convulsive. Etant donné le terrai
e à cinquante deux ans. ayant eu depuis sa jeunesse un grand nombre d'
attaques
de nerfs. Blé a eu quatre frères et sœurs, tous
bonne, bien que très nerveuse, très impressionnable, et sujette à des
attaques
d'hystérie de moyenne intensité chaque fois qu'on
déprouva de violentes douleurs dans la poitrine, dans le ventre: ses
attaques
d'hystérie devinrent fréquentes, plus violentes ;
rticaire chez les gens prédisposes. L'effet se produisit sous lente
attaque
de nerfs, la ramène dans mon service ; quelques h
mobile dans ses idées, portée en toutes choses à l'exagération, sans
attaques
de nerfs jusqu'à l'époque de son mariage. Dés s
nces d'autographisme, nous aurions assurément provoqué quelque grande
attaque
d'hystérie comme elle en avait souvent. Elle no
t avec une extrême facilité en regardant un objet ; qu'elle avait des
attaques
de nerfs chaque fois qu'on la contrariait dans so
de trois enfants bien portants, a été atteint, il y a sept ans, d'une
attaque
de rhumatisme articulaire aigu généralisé. Il s'é
e ces stigmates permanents, présentent la série des accidents variés:
attaques
, état de mal, etc. constituant la pathologie de l
ue nous avons plus particulièrement étudiés sont, en ce qui regarde l'
attaque
: 1° l'attaque convulsive aux quatre périodes; 2°
plus particulièrement étudiés sont, en ce qui regarde l'attaque: 1° l'
attaque
convulsive aux quatre périodes; 2° l'attaque born
regarde l'attaque: 1° l'attaque convulsive aux quatre périodes; 2° l'
attaque
bornée à l'une de ses périodes ou avec prédominan
inance de cette période : forme épileptoïde, léthargique, etc. ; 3° l'
attaque
a forme d'épi-lepsie partielle; 4° les attaques d
thargique, etc. ; 3° l'attaque a forme d'épi-lepsie partielle; 4° les
attaques
de chorée rythmée, toux, etc. Dans tous les cas
comprenant la période des vingt-quatre heures à partir du début de l'
attaque
, nous permettent de conclure : 1° qu'il y a dimin
ures, celui-ci est en réalité diminué. La première miction qui suit l'
attaque
est généralement plus considérable qu'une miction
tité qui varie entre 200 gr. et 300. par jour. III. Chimiquement, l'
attaque
d'hystérie est l'inverse de l'accès d'épilepsie.
r une élévation considérable des principes constitutifs de l'urine. L'
attaque
d'hystérie et les états de mal, quelque forme qu'
deux sujets, établir chimiquement la cœxistence, à l'état isolé, de l'
attaque
d'hystérie et de l'accès d'épilepsie, con-firmant
approchent jusqu'à se confondre avec ceux que nous avons notés dans l'
attaque
et l'état de mal hystériques, de même d'ailleurs
Une jeune fille de 17 ans, nommée Hostelandt, prise d'une violente
attaque
d'èpilepsie, est tombée aujourd'hui dans le canal
février 1890. Macar K.. âgé de 16 ans, peintre en bâtiment, atteint d'
attaques
de grande hystéric avec anesthésic de tout le cor
pétit, même des hallucinations post-hypnotiques, mais du moment qu'on
attaque
sa conception délirante, clic secoue In tête — da
ducation (l'), 191. Ataxie locomotrice, traitée par suggestion 137.
Attaques
de sommeil,241. Audition colorée (de l'). par G
nt-Denis; c'est là que, à la suite d'une sortie, il eut sa première
attaque
de rhu- matisme articulaire aigu. Exilé après
es de 1871, Bricon se ré- fugia en Belgique où il subit une seconde
attaque
de rhuma- tisme articulaire aigu à laquelle il
à la Faculté de Wurtzbourg. Il eut dans cette ville une troisième
attaque
de rhumatisme non moins grave que les précédentes
oncée, symptomatiques. - Père peu intelligent, alcoolique, violent;
attaques
de folie ? Oncle paternel paralysé du bras. - G
le de l'enfant a eu plusieurs crises nerveuses ; une autre a eu des
attaques
nerveuses très fréquentes durant sa jeunesse, q
it d'un carac- tère doux. Il était très nerveux sans jamais avoir d'
attaques
et avait la tête exaltée. Il n'a pas fait d'aut
isme, ni de maladie de peau. - [Père, 73 ans, a eu dernièrement une
attaque
de paralysie. Mère bien portante. Pas d'aliénés
ysie consécutive à des convulsions ; cousine germaine sujette à des
attaques
. - Grand-père maternel apoplectique, - Grand'mè
, excepté une fille d'une quarantaine d'années « qui tombe dans des
attaques
». Celles-ci se sont montrées il y a environ dix
blonds un peu roux, nez aquilin. [Père, couvreur, sobre, mort d'une
attaque
d'apoplexie à 65 ans. - Mère, femme de ménage,
une querelle à propos de billes. Le dernier est mort à 40 ans d'une
attaque
subite dans l'exercice de sa profession, il la
érique. - Arrière grand-père maternel, excès de boisson, mort d'une
attaque
de paralysie. - Grand'oncle maternel, excès de
rrhagique. - Mère, 50 ans, bro- canteuse, sobre, a eu de fréquentes
attaques
de nerfs jusqu'à 47 ans. - Grands parents pater
s. Ni traumatisme, ni émotions, ni envies de boire, ni syncopes, ni
attaques
de nerfs, ni oedème des pieds. Le dernier mois,
ariage jusque dans ces dernières années. - [Père, sobre, mort d'une
attaque
d'apoplexie, en 8 jours ; il a été sujet à des
ans. Elles étaient limitées au côté gauche. A douze ans, premières
attaques
d'épilepsie, elles avaient ce caractère d'être
Grand'mère maternelle phthisique, nerveuse, migraineuse. Soeurs,
attaques
de nerfs. - Frère, accès de somnambulisme. - Frèr
rdissement et accom- paginée d'hallucinations de la vue. - Première
attaque
à quatorze ans et demi. - Etoiii-dissements, ve
ière attaque à quatorze ans et demi. - Etoiii-dissements, vertiges,
attaques
fréquentes, limitées à la phase épileptoide. -
pileptoide. - Stigmates hystériques. Hypnotisme : - Description des
attaques
: Aura; attitude du - Crucifcement; - arc de ce
t naturel. Pas de maladie de peau, pas de trace de syphilis ; pas d'
attaques
de nerfs. On ne sait s'il a eu des convulsions
e, comme nous le verrons plus loin. Elle assure n'avoir jamais eu d'
attaques
. Mariée à dix-huit ans. Aucune mala- die, sauf
te de phthisje galopante à cinquante-sept ans ; nerveuse, mais sans
attaques
de nerfs, sujette à des migraines avec vomissem
onvulsions ; à dix-huit ans, peur, suspen- sion des règles, petites
attaques
de nerfs; blanchisseuse, pas d'en- fants; - 3"
de convulsions ; - 6° Fille, vingt ans ; pas de convulsions, pas d'
attaques
de nerfs ni de migraines; intelligente; - il' F
omposé, rompu de fatigue. ' Elle a eu depuis ces renseignements des
attaques
d'hystérie. Nous y reviendrons plus loin. 152
et l'avait battu, il fut pris un quart d'heure après d'une première
attaque
. C'était vers le 15 décembre 1884. La seconde a
'une première attaque. C'était vers le 15 décembre 1884. La seconde
attaque
eut lieu quinze jours plus tard. Le médecin de
l fut renvoyé le 4 jan- vier 1885. Depuis cette époque, il a eu une
attaque
le 9 janvier, puis de quinze en quinze jours, l
-Anne le 14 avril, et le 16, le 17, le 18 et le 19 avril il eut une
attaque
chaque jour ; le 20 il en eut deux. 23 avril. -
he, une canaille, etc., etc. Puis il tomba immédiatement et eut une
attaque
qui dura trente secondes. Après cette attaque,
édiatement et eut une attaque qui dura trente secondes. Après cette
attaque
, il apostropha de nouveau le garçon et essaya d
e de la troisième dorsale ; parfois douleurs spontanées après les
attaques
: par la pression picotements sans irradiations.
onzième dorsale point douloureux. Sensibilité conservée. Après les
attaques
il dit avoir une douleur tout le long de la col
lluci- nations des divers sens. A : o'<f. Une minute avant les
attaques
, il se sent mal à l'aise. Il me prend un vertig
temps d'avertir. 5 mai. - Le malade a été pris à 10 heures d'une
attaque
, sans avoir prévenu, sans pousser de cri. Il es
s dans les reins, La température rectale prise cinq minutes après l'
attaque
est de 380,5. (Fig. 17 et 18.) 11 mai.- (10 h
près l'attaque est de 380,5. (Fig. 17 et 18.) 11 mai.- (10 h. 5).
Attaque
commencée depuis deux ou trois minutes, précédé
très court de deux à trois secondes (impression recueillie après l'
attaque
). Il a poussé une courte exclamation « Ah ! » e
e. Il prétend qu'il se mord quelquefois la langue. T. Il. après l'
attaque
, 37°,Ir. 15 mai. - Pris d'une attaque à 9 h. 38
s la langue. T. Il. après l'attaque, 37°,Ir. 15 mai. - Pris d'une
attaque
à 9 h. 38. A 9 h. 40, on le trouve couché sur l
x reins. 'l'. H. 38»,2. 20 août. - La veille, il a eu une série d'
attaques
de 8 à 9 heures du soir. Dans le délire termina
s. Une fois endormi, il rêve beaucoup. Ainsi, avant-hier, après son
attaque
, il voyait le veilleur se promenant sur les toi
se pencher sur le côté droit et devenir tout raide. Il était pris d'
attaque
. Il n'a pas poussé de cris. Tout le corps est r
. Il se réveille sponta- nément, sans mouvements spasmodiques, sans
attaque
à 10 h. 50 et parait étonné. 27 août. - A 9 h
à 9 h. 36. La durée a été d'un quart d'heure. Ecume pendant toute l'
attaque
. A 10 h. 13, il s'endort au bout de trois minut
éveille en lui soufflant sur les yeux. 28 août. - Hier il a eu deux
attaques
. Après ces attaques, puis ce matin encore, il s
lant sur les yeux. 28 août. - Hier il a eu deux attaques. Après ces
attaques
, puis ce matin encore, il se serait plaint de r
prise. Il dit n'avoir rien ressenti à gauche. Il a eu ce matin une
attaque
depuis 8 h. 25 jusqu'à 9 h. 20. A 9 heures ni p
4 septembre, douches deux fois par jour. 8 décembre. - A eu deux
attaques
à la Sûreté où il avait été envoyé pour sa mauv
8 janvia. - Etant en congé depuis le 27 décembre, il aurait eu deux
attaques
très courtes. 11 février. Il a eu trois attaque
l aurait eu deux attaques très courtes. 11 février. Il a eu trois
attaques
depuis le 28 janvier : le 1er, le 2 et le 10 fé
ouleur, à la température, moins vive à gauche qu'à droite. A eu une
attaque
le 24 février. Ne travaille plus à l'ate- lier
donnerie, parce qu'on manque de cuir. 5 mars. - Il n'avait pas eu d'
attaques
depuis le 24 février et n'avait ou que très peu
disparu. Mais au bout d'une demi-heure il a été pris d'une grande
attaque
qui a duré environ cinq minutes. Traitement : dou
Depuis la semaine dernière, trois où quatre vertiges au plus. Pas d'
attaques
. Il se sent bien. Même traitement. 15 avril. A
as d'attaques. Il se sent bien. Même traitement. 15 avril. A eu une
attaque
hier, qui a duré dix minutes. Il est en ce mome
qui le conduisirent à Sainte-Anne. Pendant son voyage il eut trois
attaques
. 1887. 3 janvier. - A repris son travail ici et
onné de violents coups de poing sur la figure. 8 août. - A eu une
attaque
ce matin. Il se plaint d'avoir les mains fermée
er à s'évader. 4888. 2 janvier. - Il prétend qu'à la suite de ses
attaques
, ses testicules diminuent un peu. 13 janvier.
nzaine de ce mois, il a eu un jour un vertige et le lende- main une
attaque
. Il est resté jusqu'en septembreavecses parents,
Alors il a travaillé chez un fabri- cant de boutons. 11 a eu trois
attaques
en trois jours, et, dans la crainte d'être renv
lades comme lui ont de la peine à se fixer. Voici le tableau des
attaques
durant son séjour à Bicêtre : 'J6 : ! UNE FAMIL
t au niveau des tempes. Pas de convulsions. Nerveuse, mais jamais d'
attaques
. Appétit médiocre. Tympanite passagère. Pas de
6 ao2ît.- Depuis quelques jours, elle se débat violemment dans ses
attaques
qui sont devenues plus fréquentes. Elle en a deux
t du dos sur le ventre. Elle a perdu connaissance dans toutes les
attaques
. - Points hystérogènes : douleur au niveau de l'a
omplètement à elle qu'à deux heures et demie du matin. Depuis cette
attaque
, l'enfant a de la tendanceà dormir après ses at
Depuis cette attaque, l'enfant a de la tendanceà dormir après ses
attaques
ordinaires. ' HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. 167 Elle ne
est pas débattue. Elles ont été très courtes. Pas de pleurs après l'
attaque
, ni de délire. 11 juillet. - Légère attaque le
Pas de pleurs après l'attaque, ni de délire. 11 juillet. - Légère
attaque
le 2 juillet, une autre le 13. Ces deux crises
s de protochorure de fer (Rabu- teau), le houblon. 26 août. - Une
attaque
le 30 juillet chez sa patronne, blanchis- seuse
ille, âgée de cinq ans, n'en eût peur 1. - Le 9 août, trois petites
attaques
sans cause appréciable. - Pas de règles en août
A la fin de la séance la main droite seule donne 29. Elle a eu des
attaques
le 20 août, les 1er, 28 et 30 septembre et le 6
oût, les 1er, 28 et 30 septembre et le 6 octobre. 14 octobre. - Une
attaque
de cinq minutes. Pas de sommeil à la suite. 2
de cinq minutes. Pas de sommeil à la suite. 2. novembre. - Pas d'
attaques
nouvelles. Elle est retournée à l'école, ne pre
s douches depuis un mois. - Règles régulières. 20 décembre. - Une
attaque
sans cause. 1887. 10 janvier. - Une attaque le
s. 20 décembre. - Une attaque sans cause. 1887. 10 janvier. - Une
attaque
le 25 décembre et le 3 janvier; deux, le 4 janv
ère. Sensibilité conservée, normale. Pas de zone hystéro- gène. Les
attaques
surviennent toujours brusquement, sans cause. E
Elles durent au maximum vingt, au minimum dix minutes. A la fin des
attaques
, elle reste le regard fixe et sans voir, dit-on,
s ont été très peu abondantes et ont duré quatre jours. 27. - Une
attaque
les 10, il et 18 janvier. Rien depuis le 19. La
22. Sommeil prolongé et lourd, sans cauchemars. 3 mars. - Nouvelles
attaques
le 3, le 4, le 5 et le 10 février. 5 août. -Mar
ques le 3, le 4, le 5 et le 10 février. 5 août. -Marie n'a pas eu d'
attaques
depuis le 10 février. Réglée périodiquement. Ap
er assez fréquentes. Exigeante. Continue les douches. 22. - Pas d'
attaques
. Le 17 août, engourdissement de la main gauche
t arrivé deux ou trois fois de se trouver mal sans avoir de grandes
attaques
. En 1888, elle n'a eu ni crises, ni ver- tiges,
e d'une fille vers le milieu du mois de décembre. Elle n'a pas eu d'
attaques
. Durant cette période elle a travaillé d'abord
as depeurs,pas de cauchemars, pas de céphalalgies, pas de nouvelles
attaques
. Sujet à se mettre en colère. -Traitement : bro
PILEPSIE. 1 -Il 1 suite d'une colère vive, se manifesta la première
attaque
d'hys- téro-épilepsie. III. Ce malade présent
mènes de l'aura se manifestaient du même côté; il était sujet à des
attaques
et à des vertiges. Ceux-ci, quelquefois très no
elquefois très nombreux, se mon- traient surtout avant et après les
attaques
. Nous en avons donné la description. Contrairem
rçaient aucune influence sur les facultés intellectuelles. Dans les
attaques
, nous relevons seulement le cercle, l'attitude
tristes, croyait toujours qu'il allait mourir, il était sujet à des
attaques
de nerfs avec chute, dans lesquelles il se raid
renseignements et j'appris qu'il avait deux soeurs qui avaient des
attaques
d'hysté- rie; sa mère avait également des attaq
qui avaient des attaques d'hysté- rie; sa mère avait également des
attaques
d'hystérie et une grande bizarrerie de caractèr
pêchait de ce côté une observation nette. Elle disait n'avoir pas d'
attaques
de nerfs, mais des membres de la famille m'ont
l conservait seulement un souvenir con- fus des- circonstances de l'
attaque
. Après quelque temps les attaques revenaient pr
con- fus des- circonstances de l'attaque. Après quelque temps les
attaques
revenaient presque chaque jour. Des toniques, l
rès complets sur les parents, on croyait que la mère avait eu des
attaques
de nerfs dans sa jeunesse. Cet individu était,
pour qu'on pût pronostiquer une fin prochaine. Il n'avait plus d'
attaques
convulsives; mais son caractère était devenu tr
ience est un peu mieux conservée chez eux que chez les individus en
attaque
d'hystérie vraie. Mais cette conservation de la
chez un adulte, et chez un jeune garçon de quinze ou seize ans. Ces
attaques
con- vulsives furent de courte durée. Chose trè
mportant, se terminent par des cris, des convulsions, de véritables
attaques
d'hystérie. Ces pra- 46 PATHOLOGIE NERVEUSE. -
s, embarras de la parole. Mort le sixième jour après deux nouvelles
attaques
convulsives. M. de la F., âgé de soixante ans
E. 67 barrassa; le sixième, le malade succomba après deux courtes
attaques
de convulsions. Le cadavre ne fut point ouvert.
ommes observés l'un en 1822, l'autre en 1825, qui, « au moment de l'
attaque
ressentirent une douleur des plus vives, poussè
une certaine intensité; avant qu'elle fût réglée, elle n'avait ses
attaques
qu'une fois par mois; elles se renouvelaient pe
deux ou trois jours ; mais depuis que ses règles sont établies, les
attaques
sont plus fréquentes ; d'abord tous les huit jo
La malade dit qu'elle est prévenue de la prochaine arrivée d'une
attaque
par un sentiment irrésistible qui la pousse à cou
des membres. Une de ses tantes, du côté de sa mère, a eu aussi des
attaques
d'épilepsie. Quant aux causes de la chorée, M.
ce au milieu de la rue, éprouva au mois de juillet 1836 unenouvelle
attaque
de paralysie du côté gauche de laface avecperte
ut saisi et maintenu jusqu'à ce qu'il reprit sa connaissance. Cette
attaque
dura en- viron quatre minutes. . Outre cet ac
que l'accès était passé, elle retournait à sa place. La durée de l'
attaque
n'excédait pas une minute et il n'y avait ni ex
travail estfondésur l'observation d'une maladequi, à la suite d'une
attaque
d'apoplexie, resta bémianestbésirrne du côté droi
TÉS SAVANTES. 117 Paralysie générale avec délire hypochondriaque et
attaques
hysté- riformes. M. CHAMBARD lit ensuite un tra
l sur un cas de pa- ralysie générale avec délire hypochondriaque et
attaques
hystéri- formes chez un homme. L'individu était
ent de la motilité et présentait pendant son séjour de nom- breuses
attaques
hystériformes. Ce n'est que peu de temps avant sa
aractère du délire, l'histoire de l'affection et la coexistence des
attaques
hystériformes ; l'apparition tardive de l'escha
les prétendues con- vulsions des démoniaques n'é- taient que des
attaques
hystéro- épileptiques et qu'à ce point de vue
gènes, susceptibles de déterminer par com- pression, soit de vraies
attaques
de nerfs, soit des auras incomplètes,' vient en
st quand la paralysie partielle est manifestement consécutive à une
attaque
d'hystérie bien caractérisée. Dans ces conditio
ni morsure de la langue, ni coma consécutif. Immédiatement après l'
attaque
, elle remarqua qu'elle éprouvait une certaine d
ig. 12.) L'interprétation de ce fait ne laisse ici aucun doute. L'
attaque
d'hystérie ouvre la scène, entraîne à sa Fig. 1
a fin de décem- bre, le malade se mord le dos de la main dans une
attaque
et se fait une ecchy- mose légère. Il survient
nt cette main se paralyse. Evi- demment, il faut faire la part de l'
attaque
qui a mis le système nerveux dans un état de vi
fluence de la provoca- tion du traumatisme. Tantôt, c'est la grande
attaque
qui commence avec son cortège classique d'accid
un si grand nombre d'alcooliques, qui, après 10, 15 (et davantage)
attaques
de delirium tremens, n'étaient pas devenus para
éjà V... donnait des signes non douteux de paralysie générale : des
attaques
épileptiformes l'emportèrent deux mois environ
auparavant ; elle était vive, impressionnable, mais n'a jamais eu d'
attaques
nerveuses. On n'a aucuns rensei- gements sur le
grand'mère paternels, tante paternelle, cousine, morts à la suite d'
attaques
d'apoplexie. - Grand-père maternel, alcoo- liqu
t, n'a eu aucune maladie ner- veuse, ni cutanée, il a perdu par des
attaques
d'apoplexie son père à soixante-quatre ans, sa
bien portant; une soeur est morte paralysée consécutivement aune
attaque
d'apoplexie. Il n'y a dans sa famille ni aliénés,
l'observation suivante : Observation XXII. Fièvres intermittentes.
Attaques
éclamptiques à l'âge de six mois. Petit mal con
olentes. [Père, laboureur, sobre, mort à cinquante- neuf ans, d'une
attaque
d'apoplexie foudroyante en dix-neuf heures. - M
, n'est pas en enfance, travaille encore un peu aux champs, pas d'
attaques
de nerfs, a souvent le sang à la tête. Quatre f
cès convulsif épilepliforme de courte durée; le 6 juin suivant. Une
attaque
bien caractérisée d'épilepsie se produit et, de
Il est vrai que ces équivalents psychi- ques peuvent' remplacer des
attaques
épileptiformes symptoma- tiques. M. Holloender
semblables erreurs en l'absence même de la constatation directe des
attaques
par le médecin, ce qui est le cas le plus habit
rchait pas. Affaire du baron Seillère. M. BnIAND. En présence des
attaques
dont deux de nos collègues qui sont des maîtres e
et Motet « l'expression de sa plus vive sympathie à l'occasion des
attaques
« aussi inqualifiables qu'imméritées dont ils o
e cruellement atteinte, que si, sans pitié, on a pu se livrer à des
attaques
sans mesure, je pouvais venir devant vous, non
en le débarrassant du ma- lade, qui peut succomber dans une de ses
attaques
congestives. M. Garnier a vu deux fois le baron
a suite de spéculations de bourse. En prison, il est en proie à des
attaques
épileptoides commençant par un cri, puis les poin
Les jours suivants sorte d'assoupissement; P., 90 à 100; plusieurs
attaques
de longueurs diverses ; démarche incertaine et
292 SOCIÉTÉS SAVANTES. thyroïde diminue de volume. En avril, les
attaques
syncopales diminuent de nombre et de longueur.
C'est une tumeur cérébrale car on a constaté des céphalalgies, des
attaques
épi- leptoïdes, des troubles d'épilepsie larvée
père de trois enfants, adonné à la boisson; à la suite de courtes
attaques
de perturbation psychique, il demeurait sous le c
ou de chloroforme avant l'inclusion dans le baume. L'alcool absolu
attaque
aussi la celloïdine; on emploiera donc l'alcool
le début est parfois subit, peut dans certains cas succéder à une
attaque
franchement apoplectique. Cette dernière entraine
par l'hystérie, depuis le simple étourdisse- ment jusqu'à la grande
attaque
comateuse. L'hémi-anesthésie est la règle ; l'h
ce par M. Achard. Sans parler de l'existence et des caractères de J'
attaque
apoplectique ni des accidents qu'elle entraîne
contribution A l'étude clinique DES caractères SOI1TIQUES fixes DES
attaques
DE sommeil spontanées ET provoquées CHEZ LES hy
et un ans. Son père, rhumatisant et asthmatique, a succombé à une
attaque
d'apoplexie à soixante-quatre ans. Elle a deux fr
ble que ce soit sous cette influence que s'est produite la première
attaque
de sommeil, le 22 novembre 1883. F... se trouvait
contractures de tout le corps et d'anes- thésie généralisée, cette
attaque
de sommeil ne put être inter- rompue et se prol
i en avaient caractérisé le début. Mais, à partir de ce moment, des
attaques
de même genre s'étant HISTOIRE D UNE HYSTÉRIQUE
ire que nous allons emprunter les principaux faits qui suivent. L'
attaque
de sommeil quelquefois précédée de prodromes, d
ent rien de ce qui s'est passé pendant le sommeil précédent, dans l'
attaque
de sommeil elle se rappelle non seulement ce qu
sommeil elle se rappelle non seulement ce qui s'est passé dans les
attaques
précédentes, mais même les événements de la vei
écédentes, mais même les événements de la veille. La durée de ces
attaques
est variable : elles se prolongent sou- vent pl
ême la simple approche de la main, donne lieu aux mêmes effets. L'
attaque
de sommeil se produit spontanément, mais elle peu
Ce dernier procédé a une grande action sur la malade, il produit l'
attaque
presque instantanément. L'attaque peut aussi êt
ction sur la malade, il produit l'attaque presque instantanément. L'
attaque
peut aussi être déterminée par l'im- pression d
elbcr, la valériane et surtout le musc. Par quelque influence que l'
attaque
Lie sommeil soit provoquée, elle se présente to
rovoquée, elle se présente toujours avec les mêmes caractères que l'
attaque
spontanée. En dehors des attaques de sommeil, M
rs avec les mêmes caractères que l'attaque spontanée. En dehors des
attaques
de sommeil, M. Bringuier a observé, mais plus r
de sommeil, M. Bringuier a observé, mais plus rarement, de grandes
attaques
d'hystéro-épilepsie. Enfin, pendant l'état de s
mnambulisme. Mais, l'acte accompli, F... tombe immédiatement dans l'
attaque
de sommeil. Parmi les traitements mis en usag
é l'âge de la malade, à l'approche de la ménopause. En dehors des
attaques
de sommeil, sa sensibilité, tant géné- rale que
rogènes; mais il n'existe aucune trace de parésie dans ce côté. Les
attaques
de sommeil ne tardent pas à se reproduire etpré
droites), que l'on pourrait appeler pour cela zones hypnogènes. L'
attaque
provoquée peut être analysée avec plus de précisi
L'attaque provoquée peut être analysée avec plus de précision que l'
attaque
spontanée ; voici ce qu'on observe : d'abord, si
nt et les mains se fixent au-devant de l'abdomen (tandis que dans l'
attaque
spontanée elles se fixent derrière le dos). Les j
à mises en pratique par M. Bringuier. Nous avons vu que pendant l'
attaque
de sommeil, elle entend très bien : c'est alors q
précision. Mais dès que l'ordre est exécuté, elle retombe dans son
attaque
de sommeil; ce qui semble indiquer que l'état d
elle s'arrache les cheveux, déchire son bonnet, enfin elle tombe en
attaque
. On la réveille alors et, au sortir de cette sc
s qui l'affaiblissent beaucoup, qu'elle est sujette à de fréquentes
attaques
de sommeil se prolongeant quelquefois une dizai
elle entre alors dans l'hôpital, mais à peine entrée elle tombe en
attaque
de sommeil. Appelé pour la réveiller, nous lui
ous profitons de son sommeil pour lui défendre d'avoir de nouvelles
attaques
spontanées et pour lui ordonner de revenir le 1
aire la route. A peine arrivée dans le laboratoire, elle tombe en
attaque
. Interrogée sur ce qui s'est passé depuis huit
tie, incapable de rien faire et beaucoup plus fatiguée qu'après ses
attaques
spontanées, Pendant son sommeil, prenant une fe
l est ressemblant. » Comme d'habitude elle retombe ensuite dans son
attaque
spontanée. Nous lui ordonnons alors de revenir
HISTOIRE D'UNE HYSTERIQUE HYPNOTISABLB. 331 et de n'avoir plus ni
attaques
de sommeil, ni accès de tremble-' ment. Le 18
26, elle revient suivant l'ordre donné. Elles nous apprend que ses
attaques
habituelles de sommeil l'ont reprise et qu'elle
qui est devant moi ne me parle pas. » Cela dit, elle retombe dans l'
attaque
de sommeil, comme après l'accomplisse- ment de
voisine jusqu'à M. Dupré, auquel elle dit bonjour, et puis tombe en
attaque
. Il lui ordonne de revenir le 20. Le 15, elle n
e s'obscurcit et elle est sujette depuis quelque temps à de grandes
attaques
d'hystéro-épilepsie en dehors des attaques de s
elque temps à de grandes attaques d'hystéro-épilepsie en dehors des
attaques
de sommeil qu'elle présente toujours. Nous l'en
itement. L'exécution de l'ordre suggéré se termine toujours par une
attaque
spontanée. Nous lui donnons rendez-vous pour le
et et nous les rapporte; quand elle nous les a remis, elle tombe en
attaque
. Nous lui suggérons ensuite qu'à son réveil ell
ur aller la réveiller dans son domicile. Nous la trouvons en grande
attaque
d'hystéro-épi- lepsie, avec phénomènes tantôt d
YPNOTISABLE 335 puis quelque temps elle est sujette à de fréquentes
attaques
de ce genre, bien que les crises hypnotiques n'
licat comme celui de la couture. Observée attentivement'pendant son
attaque
de sommeil, on voit qu'elle présente absolument
plus long à se produire qu'à l'ordinaire. En outre, ce n'est pas l'
attaque
habituelle de sommeil qui se produit, mais une
n'est pas l'attaque habituelle de sommeil qui se produit, mais une
attaque
spéciale qui a lieu chaque fois que l'ordre don
onné n'est pas exécuté ou que la malade est contrariée : dans cette
attaque
il y a bien perle de connaissance et contrac- t
à son réveil. Mais dès que celui-ci est pro- duit, elle retombe en
attaque
, les bras en croix. 31. M. Grasset découvre un
jour après. Au réveil, elle n'exécute pas l'ordre et tombe dans une
attaque
avec les bras en croix. 8. On découvre une no
ue son arc à concavité droite, et finalement passe au second type d'
attaque
, les bras en croix. Si alors on comprime le poi
comprime le poignet ou tout autre point hypnogène, on la ramène à l'
attaque
primitive de sommeil. 14. On l'endort par la
se déve- loppe graduellement et éclate bruyamment en 1883 par des
attaques
à caractères spéciaux. Ces attaques ne représen
te bruyamment en 1883 par des attaques à caractères spéciaux. Ces
attaques
ne représentent pas le tableau de la crise hyst
dit, répond et soutient une conversation suivie... Ce sont là des
attaques
de sommeil. Les crises de sommeil, bien étudiée
nte. Richer appelle tout cela de la léthargie et distingue : 1° l'
attaque
de léthargie simple (c'est l'attaque de som- me
léthargie et distingue : 1° l'attaque de léthargie simple (c'est l'
attaque
de som- meil de Briquet); 2° l'attaque de létha
de léthargie simple (c'est l'attaque de som- meil de Briquet); 2° l'
attaque
de léthargie avec mort apparente (c'est l'attaq
de Briquet); 2° l'attaque de léthargie avec mort apparente (c'est l'
attaque
de léthargie de Briquet); 3° l'attaque de létha
ec mort apparente (c'est l'attaque de léthargie de Briquet); 3° l'
attaque
de léthargie compliquée : a, de contrac- tures
mpliquée : a, de contrac- tures partielles ou généralisées (c'est l'
attaque
de coma de Briquet); b, de l'état cataleptiform
est l'attaque de coma de Briquet); b, de l'état cataleptiforme. L'
attaque
de notre malade, qui est un type très fixe touj
il n'y a pas mort apparente. Le mieux est d'appeler tout cela des
attaques
de sommeil en ajoutant ensuite à ce mot l'énumé
e. Bourneville et Regnard parlent peu des contrac- tures dans les
attaques
de sommeil : « Le corps et les membres, disent-
au contraire, consacre un para- graphe spécial à ce qu'il appelle l'
attaque
de léthar- gie compliquée de contractures parti
pas un caractère qui lui soit propre : elle appartient à toutes les
attaques
de sommeil. Pour l'intelligence, elle est en gé
meil. Pour l'intelligence, elle est en général conservée dans les
attaques
de sommeil. Seulement, beaucoup de malades (cel
vaut mieux énoncer dans chaque cas la caractéristique clinique de l'
attaque
de sommeil. Ainsi chez F... il y a des attaques
stique clinique de l'attaque de sommeil. Ainsi chez F... il y a des
attaques
de sommeil avec contrac- 342 CLINIQUE NERVEUSE.
intelligence et perte de la conscience musculaire. En dehors de ces
attaques
, que nous appellerons « attaques du premier typ
nce musculaire. En dehors de ces attaques, que nous appellerons «
attaques
du premier type », F... en présente d'autres un
ans l'at- taque du premier type, elle n'entend ni ne parle dans l'
attaque
du second. On pense immédiatement à rapprocher
ns l'attaque du second. On pense immédiatement à rapprocher cette
attaque
des grandes attaques hystéro-épileptiques. Elle
nd. On pense immédiatement à rapprocher cette attaque des grandes
attaques
hystéro-épileptiques. Elle repro- duit évidemme
s hystéro-épileptiques. Elle repro- duit évidemment une partie de l'
attaque
de la Salpê- trière. Mais quelle partie de cett
artie de l'attaque de la Salpê- trière. Mais quelle partie de cette
attaque
classique reproduit-elle ? Richer, qui étudie
e cette attaque classique reproduit-elle ? Richer, qui étudie les
attaques
de contractures parmi les variétés de la grande
étudie les attaques de contractures parmi les variétés de la grande
attaque
, les rattache à la quatrième période, comme les
e la grande attaque, les rattache à la quatrième période, comme les
attaques
de délire. Et en effet, dans cette quatrième pé
attaques de délire. Et en effet, dans cette quatrième période de l'
attaque
complète, il y a quelquefois aussi des contract
vec crucifiement et arc de cercle. Cela parait donc plutôt être une
attaque
réduite à sa première période, à la phase toniq
E HYPNOTISABLE. 343 Du reste, un caractère capital montre que les
attaques
de contractures décrites par Richer ne cor- res
t compte de toutes ses impressions pendant tout le temps que dure l'
attaque
. » Or, ici, chez F... c'est absolument le contr
de l'intelligence chez ses malades qui fait classer par Richer les
attaques
de contractures dans les variétés de la quatriè
ntractures dans les variétés de la quatrième période de la grande
attaque
et c'est cette disparition de l'intelligence chez
e l'intelligence chez notre malade qui nous fait plutôt classer son
attaque
dans les variétés de la première période. Cec
riode. Ceci a donc une certaine portée nosologique. En dehors des
attaques
de contractures se rattachant à la quatrième pé
ractures se rattachant à la quatrième période, il faut admettre des
attaques
de contractures se rattachant à la première. C'
ient F... Quoi qu'il en soit, l'important est de rappeler que les
attaques
spontanées de F... se ramènent à deux types. Da
sthésie sur tout le corps. A côté de ces caractères communs, dans l'
attaque
du premier type, l'ouïe et la parole sont conse
mier type, l'ouïe et la parole sont conservées, tandis que dans l'
attaque
du second type, l'ouïe et la parole sont abolie
d type, l'ouïe et la parole sont abolies. Au fond, ces deux types d'
attaque
peuvent être considérés comme deux degrés. En
être considérés comme deux degrés. En dehors de ces deux types d'
attaques
, qui sont 344 CLINIQUE NERVEUSE. de beaucoup
s fréquentes, nous avons vu quel- quefois cheznotremaladede grandes
attaques
hystéro- épileptiques complètes, dont on trouve
c'est qu'elle a les mains croisées sur le ventre, tandis que dans l'
attaque
spontanée elles sont croisées derrière le dos.
les trois états de la Salpêtrière, mais elle n'en présente aucun. L'
attaque
de sommeil provoqué, telle qu'elle la présente,
UE HYPNOTISABLE. 349 la faire passer du premier au second type de l'
attaque
spontanée, du premier au second degré de son so
cinquième et sixième degrés de Bernheim, qu'on pourrait classer l'
attaque
de F... Mais deux choses la différencient ab- s
t pas hystériques antérieurement (j'entends la grande hystérie, à
attaques
franches, et non l'hystéricisme ou le nervosism
e Charcot, les autres repro- duisent simplement et fidèlement leurs
attaques
spontanées d'hystérie antérieure (ces attaques
et fidèlement leurs attaques spontanées d'hystérie antérieure (ces
attaques
ayant des caractères divers suivant les malades
eproduisent, simplement et fidèlement dans tous leurs traits, leurs
attaques
antérieures de sommeil spontané. L'hypnotisme d
, faisait des ménages; asthma- tique, pas de maladies de peau, ni d'
attaques
; n'est pas nerveuse, aucun excès. [Père, mort o
'une affection osseuse, consécutive à sa fracture. Il n'avait pas d'
attaque
, mais était très nerveux. Il disait que son enf
uis'sept à huit ans à des douleurs de tête; pas de migraines; pas d'
attaques
; n'est pas nerveuse. [Père, culti- tivateur; ex
ions répétées. - Une soeur, morte à son retour d'âge, n'avait pas d'
attaques
. Point d'épileptiques, d'aliénés, de criminels, e
che. Tous les deux ou trois mois depuis un an, il était sujet à des
attaques
apo- plectiformes, sans perte de connaissance.
es, sans perte de connaissance. Au mois de février 1886, il eut une
attaque
d'hémiplégie droite et quelque temps après mour
méd., 1886, t. LU.) Observation d'une malade qui, à la suite d'une
attaque
d'apo- plexie, présenta une hémiplégie droite a
oger-Marvaise et par moi, que cette loi de 1838 ne méritait pas les
attaques
dont elle avait été l'objet. Je sais bien que,
tout si elle se traduit, non par des articles fantaisistes, semés d'
attaques
personnelles, mais en articles utiles aux malad
ar Bonnet, 79; par Meynert, 270, - avec délire hypochondriaque et
attaques
hys- tériformes) , par Chambard,117 ; - reche
t levé, s'empresse de se recoucher pour éviter d'être surpris par l'
attaque
hors de chez lui. Ces phénomènes précurseurs du
s'arrête là et un som- meil profond vient enrayer l'accès. Quand l'
attaque
arrive, c'est le fait le plus habituel, elle se
le dire d'une parente qui demeure auprès du malade, au moment de l'
attaque
, celui-ci pousse un cri, perd connais- sance, s
'écume se montre aux lèvres et la face s'inonde de sueurs. 'Après l'
attaque
survient un sommeil profond. Une seconde attaqu
sueurs. 'Après l'attaque survient un sommeil profond. Une seconde
attaque
se produit trois heures environ après la première
iron après la seconde, quelque fois enfin une quatrième. Ces quatre
attaques
se répartissent sur un jour et demi ; le lendem
ulement. Une disposition d'esprit qui s'exagère parfois après les
attaques
, c'est le désir de compter et de recompter plusie
sous aucun rapport des enfants de son âge. Depuis, sans nouvelle
attaque
de convulsions, il se produit un arrêt de déve-
avait été atteinte de manie puerpérale et la mère était morte d'une
attaque
d'apoplexie. Le début de la maladie s'est fait
aladie s'est fait il y a 72 PATHOLOGIE NERVEUSE. cinq ans par une
attaque
de mélancolie avec perver- sion des divers sens
ole. Nécrose du maxillaire. Mort par épuisement, douze mois après l'
attaque
primitive. Destruction presque totale de l'insu
ed ; la névralgie avait ré- sisté à tous les moyens ordinaires. Les
attaques
d'abord rares, avaient peu à peu augmenté de fr
106 SOCIÉTÉS SAVANTES.- , M.1 Voisin a vu des épiloptiques dont les
attaques
étaient suspen- dues pendant la durée. d'une af
ns son service, il a observé une petite fille épileptique, dont les
attaques
étaient, ordinairement quotidiennes et qui n'a
ire entrer les émotions vives, la fatigue physique, l'imminence des
attaques
, etc., telle malade présente une exaltation ou
ion dans ce qui venait de se passer, nous essayons de provoquer une
attaque
. Une excitation vive portée sur les zones hysté
développés : L. D ? seize ans, hystéro-épileptique, a de grandes
attaques
convulsives avec arc de cercle et attitudes pas
est prise de secousses des bras, analogues à celles du début de son
attaque
. La crise parait imminente. Nous nous empresson
te-cinq ans. Sa mère est morte à soixante-sept ans des suites d'une
attaque
. Elle n'a qu'un frère, âge de quarante-quatre a
sur la description classique désormais, donnée par M. Charcot, de l'
attaque
d'hys- téro-épilepsie avec ses trois phases épi
? ) pendant sa grossesse ; elle était rhumatisante et sujette à des
attaques
coii- vulsives et à des elourdissemenls ; elle
onnus de la malade. Une tante maternelle se porte bien et n'a pas d'
attaques
. Antécédents personnels. - Dès les premiers jou
s crises nerveuses. Pendant quatre ans, elle eut tous les jours dos
attaques
nerveuses qui ne se produisaient pas à des heur
à des heures fixes , mais en toute circonstance nuit et jour. Ces
attaques
, avec porto de connaissance dès le début, commen-
t au lit à toutes les fois. Vers dix ans, un an après les premières
attaques
, elle aurait eu une fièvre cérébrale. Elle a ét
réglée à treize ans. A partir de ce moment, elle cessa d'avoir des
attaques
tous les jours ; ses crises changèrent de carac
, 'de dégrafer ses \ éléments, de choisir sa place pour tomber. Ses
attaques
, d'abord rares, devinrentbieutôt extrêmement fr
treize ans jusqu'à vingt- trois. Depuis que cette nouvelle espèce d'
attaques
se produit, elle éprouve une douleur continue d
ne douleur continue dans le bas-ventre des deux côtés; mais quand l'
attaque
va venir, la douleur augmente, principalement d
'influence de l'éther, de la morphine, du bromure de potassium, ses
attaques
ont diminué considérablement de fréquence depui
n qu'elle n'eût jamais eu qu'un délire inoffensif à la suite de ses
attaques
. Au bout de cinq ou six mois, elle quitta l'hos
en temps, elle a des métrorrhagies intercalaires. Depuis que ses
attaques
sont moins fréquentes, elle souffre davantage d
ée déchargée du coup, s'est trouvée mieux ensuite et n'a pas eu d'
attaque
spontanée : le 8 mars, à la fin de ses règles, el
la fin de ses règles, elle était agitée ; j'ai provoqué une série d'
attaques
par la pression sur son point vertébral, elle n
généralement, il s'agit de sa famille. Depuis un au environ, ses
attaques
ne se produisent que presque toutes les trois s
rès ses règles ou sesmétrorrhagies ; ainsi elle a une série de cinq
attaques
le 3 janvier, ses règles viennent le 3 et ce jo
anvier, ses règles viennent le 3 et ce jour là encore elle a quatre
attaques
; elle a une métrorrhagie le 30 du même mois, e
lle a une métrorrhagie le 30 du même mois, elle avait eu quatorze
attaques
la veille et quatre ce jour là, mais elle avait e
- Iluence sur ses convulsions ; pendant sa dernière aventure, les
attaques
n'étaient pas plus fréquentes que maintenant; les
e, les attaques n'étaient pas plus fréquentes que maintenant; les
attaques
se produisent toujours le jour, elle n'en a jamai
a jamais eu la nuit. Sensibilité générale. Dans l'intervalle des
attaques
, elle est hémi-anesthésique gauche, elle ne sen
lité du voile du palais. (Examen avec.la coloquinte.) Pendant les
attaques
l'insensibilité, est totale et complète. A tout
1° lombaire. La pression sur la région ovarienne gauche arrête les
attaques
qui sont prévenues par la pression du bandage à
onséquent provoquer de catalepsie dans cet état. Description de l'
attaque
. Que l'attaque soit spontanée ou provoquée, ell
quer de catalepsie dans cet état. Description de l'attaque. Que l'
attaque
soit spontanée ou provoquée, elle se présente t
s oreillers, se couche sur le côté droit et s'endort bientôt. Les
attaques
se sont présentées par séries de le à 1 depuis
ise à notre observation et toutes se ressemblent. Dans les séries d'
attaques
, c'est-à-dire lorsqu'on est prévenu qu'uneautre
ette observation présente plusieurs faits intéressants à noter. Les
attaques
dontV... a été atteinte de neuf à treize ans se
... a été atteinte de neuf à treize ans semblent bien avoir été des
attaques
d'épilepsie auxquelles la malade était d'ailleu
l'hérédité; au moment de l'établissement de la mens- truation, ces
attaques
se sont transformées et ont pris les caractères
n, ces attaques se sont transformées et ont pris les caractères des
attaques
d'hystéro-épilepsie. Jamais, depuis qu'elle est
hystéro-épilepsie. Jamais, depuis qu'elle est réglée, elle n'a eu d'
attaque
ressem- blant à celles qu'elle avait étant enfa
atten- tion sur les caractères spéciaux de la deuxième phase de l'
attaque
, de la phase des grands mouvements. On remarque
la malade roule autour de son axe longitudinal. Ces variétés de l'
attaque
sont intéressantes à noter, parce qu'elles peuv
rougeurs qui constituent quelquefois de véritables prodromes de l'
attaque
'. Mais nous voulons seulement appeler l'attent
endant le mois où le zona s'est dé- veloppé, la malade n'a pas eu d'
attaque
. La zone hys- térogène semble avoir déterminé l
ent deux observations danslesquelles ils ont vu l'anesthésie et les
attaques
disparaitre à la dernière période de la phthisi
nt antiphlo- gistique qu'il nécessitait '. Nous avons observé une
attaque
de rhumatisme articulaire aigu qui nous paraît
nt qu'il était au service militaire, il a des grandes et fréquentes
attaques
. La mère, morte poitrinaire à vingt-neuf ans, n
parait pas avoir été nerveuse, mais elle semble avoir eu plusieurs
attaques
de rhumatisme. Il est né onze enfants de ce mar
f., DE 171 Réglée à onze ans. A douze ans, elle a eu une première
attaque
de rhumatisme généralisé qui l'a tenue deux moi
ment après ses premières règles, à onze ans, elle a eu une première
attaque
qu'elle ne peut pas bien définir : elle aurait
voir uriné dans ses vêtements. A partir de ce moment, elle a eu des
attaques
analogues tous les quinze jours ou tous les hui
s. C'est seulement à partir de quatorze ans qu'elle se souvient d'
attaques
analogues à celle qu'elle a aujourd'hui, précédée
amant. Quelques jours après son arrivée, elle fut prise des grandes
attaques
dont nous sommes témoins depuis son entrée à la
très difficile à mener et cherche continuellement à tromper. Ses
attaques
ont toujours lieu pendant le jour, elles varient
e, 79 pendant le mois de décembre, 17 pendant le mois de janvier.
Attaques
. L'attaque est annoncée par une recrudescence d
t le mois de décembre, 17 pendant le mois de janvier. Attaques. L'
attaque
est annoncée par une recrudescence de la douleu
xement pendant quelques minutes, puis tout rentre dans l'ordre,ou l'
attaque
recommence pour former une série plus ou moins
d'un côté ou de l'autre, comme du reste pendant toute la durée de l'
attaque
. Les attaques ne sont jamais isolées, elles se
l'autre, comme du reste pendant toute la durée de l'attaque. Les
attaques
ne sont jamais isolées, elles se reproduisent tou
es se reproduisent tou- jours parsériesde nombre variable; mais les
attaques
qui les constituent sont toujours identiques. L
in, 39°, 2 le soir. Epistaxis, douleur ova- rienne gauche, menace d'
attaque
, application de la ceinture ; les douleurs sont
éther avec précaution jus- qu'à résolution complète pour éviter les
attaques
; la malade revient bien sans accident. Les doul
empérature ne monta plus au dessus de 38°, et la période aiguë de l'
attaque
de rhumatisme put être considérée comme terminé
ouvements. Nous n'avons pas insisté sur tous les détails de cette
attaque
de rhumatisme articulaire qui n'a rien pré- sen
D'autre part, nous voyons pendant la période fébrile des menaces d'
attaque
, qui ont eu un commen- cement d'exécution, et l
ue les douleurs per- sistaient encore, le 24. mars, C... a eu trois
attaques
. L'élément spasmodique n'est donc pas non plus
- ment toutes les digitations du lobule de l'insula. OBSERVATION.
Attaque
apoplectique. - Hémiplégie gauche; Contracture
e. Les accès d'épilepsie se sont déclarés environ six ans après l'
attaque
paralytique. Durant cet intervalle, notre malade
ntellectuels ou de simples aberrations de carac- tère sans avoir ni
attaques
, ni autres manifestations de la névrose ; d'aut
breuses blessures , et cette singulière comédie a précédéde peu une
attaque
d'hystérie des mieux caractérisées . 'Bail. L
est femme d'un coiffeur, et unjourM. Lasègue la voit en proie à une
attaque
d'hysléro-épi- lepsie suivie d'aphasie '. Lor
s, ' On sait qu'autrefois Cruveilhier parvenait a faire avorter une
attaque
convulsive en faisant boire à la malade, de gré
, surtout s'il s'y ajoute, comme il arrive parfois, de véri- tables
attaques
convulsives. Il faut insister sur les dispositi
s douces et régulières, était depuis plus de quatre ans sujet à des
attaques
d'épilepsie, qui avaient été presque quotidienn
tie de l'intervalle qui sépare les crises ; 2° on peut observer des
attaques
épileptiformes avortées, sans convulsions, sans
E L'OEIL CHEZ LES IIISTÈI10-$l'ILI : PTIQUES, SOIT EN DEHORS DE L'
ATTAQUE
, SOIT PENDANT L'ATTAQUE. A. Phénomènes observés
TÈI10-$l'ILI : PTIQUES, SOIT EN DEHORS DE L'ATTAQUE, SOIT PENDANT L'
ATTAQUE
. A. Phénomènes observés en dehors de l'attaque.
AQUE, SOIT PENDANT L'ATTAQUE. A. Phénomènes observés en dehors de l'
attaque
. Dans l'hémianesthésie des hystériques, l'insen
et (le la dernière observation (p. 170) a suc- combé à une nouvelle
attaque
de rhumatisme compliqué de pleurésie 2812 CLINI
DE il111YSTPI',O-ÉPILEPSIE. 287 B. Phénomènes observés pendant l'
attaque
. Pas- sons maintenant à l'étude de quelques phé
l'étude de quelques phénomènes observés du côté de l'oeil pendant l'
attaque
d'hystéro- épilepsie. L'exploration de l'oeil p
t l'attaque d'hystéro- épilepsie. L'exploration de l'oeil pendant l'
attaque
présente une grande difficulté, en raison des b
s. Les membranes externes de l'oeil sont donc insensibles pendant l'
attaque
. L'état de la pupille pendant l'attaque a été p
donc insensibles pendant l'attaque. L'état de la pupille pendant l'
attaque
a été peu observé : on trouve la dilatation not
taillée et qui nous semble cependant digne d'attention. Pendant l'
attaque
, la pupille n'est que peu influencée par l'acti
avec la même facilité chez toutes les malades et pendant toutes les
attaques
; cependant, cette étude est grandement favoris
dant, cette étude est grandement favorisée par la répétition de ces
attaques
, dont les différentes phases se succèdent avec
igurent dans l'hallucination. Certaines malades sont sujettes à des
attaques
incomplètes, qui augmentent les difficultés de
r. Ainsi, chez une de nos malades qui, dans ses états de mal, a des
attaques
incomplètes constituées seulement par une pério
c arc do cercle, j'ai observé plusieurs fois, avant le début de l'
attaque
, sans aucune trace de contraction tonique, une
ue, constituant une sorte d'épileptoïde larvée ; de sorte que ses
attaques
sont plus incomplètes en apparence qu'en réalit
pupille à la dilatation normale, en même temps que l'on arrête l'
attaque
. Il serait très important de pouvoir comparer l
t très important de pouvoir comparer l'état de la pupille pendant l'
attaque
dans l'épilepsie et dans l'hystéro-épilepsie. C
es tentatives nombreuses, nous n'avons jamais pu arriver dans les
attaques
isolées à constater la contraction du début que
, on semblerait se trouver dans de meilleures conditions : mais les
attaques
subintrantes rendent encore l'observation très
ériques. Les modifications pupillaires, aux différentes phases de l'
attaque
d'hys- téro-épilepsie, viennent d'être étudiées
ot, au mois de juin 1880. Elle n'avait plus alors ni anesthésie, ni
attaques
convulsives, ni points hystérogenes, et résista
grossesse, elle resta hémianesthésique et hypnotisabte, mais les
attaques
ne se reproduisirent pas, et on ne pouvait pas le
Icoîzogi,ariltz»e photographique de la Salpêtrière1, n'avait plus d'
attaques
quand elle est sortie de l'hospice il y a un an
mbre ; elle était alors au neuvième mois de sa gros- sesse. ' Les
attaques
ne se sont pas renouvelées depuis qu'elle est e
cinquante-cinq, au moment d'une douleur, la malade est prise d'une
attaque
de contracture avec perte de connaissance et ro
té gauche, à huit heures deux minutes. Deux minutes après, deuxième
attaque
de con- tracture, le bras droit étendu, et le g
cessé encore par le côté gauche d'abord. Une minute après, nouvelle
attaque
analogue à la seconde. Depuis le commencement d
ue analogue à la seconde. Depuis le commencement de la pre- mière
attaque
jusqu'à la fin de la troisième, la malade n'a pas
nt nous venons de parler, est suivie d'une 30t clinique nerveuse.
attaque
de contracture analogue aux précédentes et qui du
ouleurs ; mais, vers onze heures un, quart, il survint une nouvelle
attaque
de contracture, le chloroforme fut suspendu. No
harcot a remis en honneur la com- pression ovarienne pour arrêter l'
attaque
d'hystérie, on a tenté, à différentes reprises,
rogrès médical, 1878, p. 993. 20 306 CLINIQUE NERVEUSE. rèter l'
attaque
aussi longtemps que la malade pouvait le suppor
jour au lit, préférait enlever le compresseur et laisser partir son
attaque
. L'appareil de M. Ballet, constitué par une cei
) 308 clinique nerveuse. considérable pour se rendre maître d'une
attaque
com- mencée, les malades peuvent ordinairement,
la pression. de L'HISTI : .RO-FI'ILRPS1E. 309 sous le coup d'une
attaque
. Nous avons pu constater, depuis six mois que n
rtés sans aucune gêne, et nous avons vu des malades suspendre leurs
attaques
pendant des périodes inouïes auparavant; l'une
voulons pas dire que la compression puisse arriver à supprimer les
attaques
. Cependant, nous devons enregistrer un fait imp
de nos ma- lades, après avoir, sous les menaces permanentes de l'
attaque
, gardé le compresseur pendant plus de vingt jou
compresseur pendant plus de vingt jours, put l'enlever sans avoir d'
attaque
; mais, au lieu de rester deux semaines ou plus
es, comme cela lui arrivait lorsqu'elle avait été déchargée par une
attaque
, il lui fallut re- prendre le bandage au bout d
out sus- pensive ; toutefois, la possibilité de la suspension des
attaques
chez les hystériques qui vivent de la vie com-
e totale et achroma- topsique excepté pour le violet; a des grandes
attaques
con- vulsives dans lesquelles le spasme laryngé
asme laryngien analogue à celui qui se mon- tre pendant ses grandes
attaques
convulsives, avec cette différence toutefois, q
cèdent alternativement à la façon de ce qui a lieu dans ses grandes
attaques
convulsives. La phase délirante présente ceci d
u'elle court, qu'elle cherche son enfant, etc. Elle n'a jamais eu d'
attaque
de nerfs, ni de syncope ; elle est fortement ma
ux spasmodique, analogue à celle de la coqueluche, apparaissant par
attaques
et s'ac- compagnant parfois de spasmes de la gl
u moins forts, d'asphyxie et quelquefois même de con- vulsions. Ces
attaques
présentent une intensité variable qui a permis
qu'en une ligne verticale brisée et irisée qui disparaît. Durant l'
attaque
, on a constaté avec la dilatation ou le rétréci
ntier parfois. En outre, la migraine ophthalmique coïncide avec des
attaques
épileptiformes, peut se substituer à de véritab
vec des attaques épileptiformes, peut se substituer à de véritables
attaques
d'épilepsie. Serait-elle alors de l'épi- lepsie
confondre ces cas avec les trou- bles oculaires prémonitoires de l'
attaque
d'épilepsie qui ne ressemblent aucunement à ceu
au suicide. Dans les derniers mois de sa vie il eut, en outre, des
attaques
épileptiformes auxquelles il finit par succombe
ro-épilepsie. La première partie de cet ouvrage traite de la grande
attaque
372 BIBLIOGRAPHIE. hystérique complète et rég
ême, répond à cette objection .souvent faite par des observations d'
attaque
hystéro-épileptique prises, la première sur une
ts attribués à l'épilepsie. 11 faut d'ailleurs rapprocher la grande
attaque
de l'at- taque d'hystérie vulgaire. Elle n'est
ième partie, la description des princi- pales variétés de la grande
attaque
hystérique, variétés dépendant soit de l'extens
voir les symptômes propres à l'affection parah tique succéder à des
attaques
épileptiformes répétées, ou encore à un accès d
ion rouge de la face, troubles gastriques divers, troubles visuels,
attaques
épileptiformes ou apoplecti- formes, troubles i
stions longuement. Elles se mon- trent à l'état passager, après les
attaques
(petit et grand mal intellectuel), ou quelquefo
on VI. 1\ple B..., épileptique. - Mère gout- teuse. Soeur, a eu une
attaque
de chorée et a.un tic facial. Observation VII.
bien distincts. Les unes, qui ne sont qu'un épisode, une phase de l'
attaque
d'hys- téro-épilepsie, telle que l'a décrite M.
s identique, en ce sens qu'il a une place chronologique fixe dans l'
attaque
, dont il ne peut être séparé. Ce délire, qui fa
taque, dont il ne peut être séparé. Ce délire, qui fait partie de l'
attaque
, est le seul auquel appartienne légitimement la
le peuvent être l'épilepsie et l'hystérie se manifestant par des
attaques
distinctes. L'état mental des hysté- riques en
attaques distinctes. L'état mental des hysté- riques en dehors des
attaques
n'a non plus aucun lien nécessaire avec la névr
idées de persécutions. - Trois soeurs nerveuses; une seule a eu des
attaques
. LA FAMILLE NÉVROPATHIQUE. 1 : 1 Chez les hys
la douleur a considérablement diminué depuis qu'est survenue une
attaque
convulsive nocturne. Les tics non douloureux pe
u, 2e édit., 1873, t. II, p. 171. LA FAMILLE NEVROPATHIQUE, ·11 1
attaques
éclamptiques à l'occasion de toutes les ma- lad
PATHOLOGIE GÉNÉRALE. M. Gauliez', la mère de l'enfant avait eu des
attaques
éclamptiques. L'asphyxie locale des extrémité
à l'époque de son mariage ; à sa troisième grossesse, elle eut des
attaques
d'éclampsie et elle est restée épileptique depu
es nerveux : un malade cité- par Mahot" avait eu plusieurs fois des
attaques
éclamptiques ; la mère d'un malade observé par
es espaces intercostaux. Durant l'année 1882, la malade a eu cinq
attaques
de syncope. A partir du mois de juin, on a été
téro- épilepsie ci douze ans; cause. - Description de l'aura et des
attaques
. - Vertiges hystériques et attaques syncopales.
- Description de l'aura et des attaques. - Vertiges hystériques et
attaques
syncopales. Variétés, attitude du crucifiement.
, et, pendant l'année qui vient de s'écouler, elle a eu dix ou onze
attaques
; rémis- sion depuis quatre ou cinq mois. Les cr
L DE FAITS. ordinaire dans l'intervalle, il fut pris de sa première
attaque
pendant son travail habituel, dans une verrerie
is jours dans son nouvel atelier et en fut renvoyé à la suite d'une
attaque
. Du mois de mai au mois d'août, les crises fure
s des crises observées par elle avant l'admission il l'hospice. Les
attaques
étaient toujours diur- nes, survenaient sans au
t bonne; on note parfois un léger de- gré de diplopie au moment des
attaques
. Pour ce qui est de ]'('tat intellectuel, il es
ire et écrire couramment, etc. (Voir p. 9G, etc.) Description des
attaques
. La grande variété que nous avons observée dans
on des attaques. La grande variété que nous avons observée dans les
attaques
de notre malade, dépendant de la durée et de la
tant à la classe assis et occupé à écrire est pris subitement d'une
attaque
: il rejette brusquement son cahier et agite le
alement rétablie, il ignore ce qui s'est passé : il s'agit là d'une
attaque
avortée, comparable à un vertige. 14 janvier. -
tige. 14 janvier. - Nous sommes témoins, à la classe, d'une aulre
attaque
: le malade pousse un cri, on l'enlève de son ban
eine à maintenir l'enfant qui se débat pendant quelques instants. L'
attaque
enfin cesse subi- tement : le malade annonce qu
c'est à ce moment qu'il a perdu connais- sance. 23 janvier. Autre
attaque
. L'enfant tombe sans pousser de cri.Lesbrasse m
n au cours desquels l'enfant se glisse sous un lit. 1 cr féerier. -
Attaque
épileptoide. Pendant qu'on pratique l'exa- men
phénomènes constitue un type de la période épileptoide de la grande
attaque
. Pendant ce temps, on a pratiqué une compressio
ué une compression modérée des testicules, comme moyen abortif de l'
attaque
, mais on n'a pas constaté de résultats apprécia
e lombaire. Cet état, qui constitue la seconde période de la grande
attaque
, dure une minute, puis l'enfant s'assied, regar
stants après, reparaissent quelques convul- sions épileptoldes et l'
attaque
se termine. - La troisième pé- riode de la gran
ldes et l'attaque se termine. - La troisième pé- riode de la grande
attaque
, celle de délire, a donc fait défaut. Le malade
oule qui l'étreint à la gorge. 9 février. L'enfant est pris d'une
attaque
dans laquelle on note, comme particularités : l
du vaccin qu'on lui a inoculé récemment, il est aussitôt pris d'une
attaque
; celle-ci est analogue à quelques-unes des précéd
nsignifiante, le refus de lui donner des douches, l'enfant tombe en
attaque
. On observe la période épiieptoide avec rigidit
edemande à prendre des douches et, sur un nouveau refus, retombe en
attaque
: la période épileptoïde se déroule dans toutes
mence les mouvements de ci2-(;ziiiidtictioîz et de translation de l'
attaque
précédente. Examen de la sensibilité. - A aucun
de la sensibilité. - A aucune période de la maladie, en dehors des
attaques
et de l'état d'hypnotisme, nous n'avons observé
toujours été impossible en comprimant de provoquer ou d'arrêter les
attaques
. Ces points hyperesthésiques ont été rencontrés
uffement qui serait susceptible, au dire du malade, d'aboutir à une
attaque
, si on la prolongeait. Aura. Interrogé de nouve
ésumer ainsi : dans certains cas, les phénomènes prémonitoires de l'
attaque
consistent en une sensation douloureuse, dirigé
à la région tempolale, le tout avec prédominance du côté gauche. L'
attaque
suit immédiatement l'apparition de cet ensemble
ir totalement à lui, et, au bout de deux minutes, il est pris d'une
attaque
à forme épileptoïde. 18$. 1 juin. - On fait une
veux fermes, comme dans les expériences précédentes. Le nombre des
attaques
, très considérable dans les premiers temps du s
isoiis ci-contre, sous forme de tableau synoptique,' l'ensemble des
attaques
qu'on a observées pendant le séjour à l'hospice
t pensée sauvage ; bains d'amidon). 1883. 2 mai. B... n'a paseu d'
attaques
jusqu'au 6 de ce mois. Ce jour-là, un ouvrier d
vailler. Depuis lors jusqu'à ce matin, il n'a pas eu de nou- velles
attaques
. Son sommeil est tranquille. Deux ou trois fois p
e frayeur; c'est la cause occasionnelle la plus ordinaire. III. Les
attaques
, annoncées en général par une aura, revê- taien
i redoutable sur les facultés intellectuelles. c) Quant aux grandes
attaques
, elles ont été souvent incom- plètes ; mais, si
ont été souvent incom- plètes ; mais, si l'on fait la synthèse des
attaques
observées à di- verses époques, on y retrouve l
ait très accusé, constituent encore de nouvelles analogies avec les
attaques
hystériques de la femme; 4° la période de délir
u de la compression des testicules sur la production ou l'arrêt des
attaques
; l'absence de troubles de la sensibilité. V. Le
trefois, c'est à l'hydrothérapie que nous devons la disparition des
attaques
de notre malade. 11 est sorti alors qu'il n'avait
morte à soixante ans d'une fièvre typhoïde; impressionnable, pas d'
attaques
de nerfs. - Un frère est mort jeune, de convuls
s, de difformes]. Mère, quarante ans, petite, très nerveuse ; pas d'
attaques
de nerfs, de migraines, de névralgies; pas de s
nerveuse et impressionnable, pleurant souvent sans motifs; jamais d'
attaques
de nerfs ni de syncopes. [Père et mère : n'ont
ues mois et disparut sans traitement. -- A trente-deux ans, seconde
attaque
d'épilepsie il la suite de laquelle le mérycism
ittée un seul instant, ni jour ni nuit, avait enregistré huit mille
attaques
, qu'elle s'était tout à coup rétablie après l'a
puis ma communication à la Société à une nouvelle série de z1,700
attaques
convulsives, dans l'espace de vingt-six jours, et
lle naturelle, aurait présenté vers rage de douze à treize ans, des
attaques
convulsives sur la nature des- quelles il est i
1883, c'est-à-dire depuis dix-huit mois environ, elle n'a eu aucune
attaque
. Nous constatons seulement que Rosa G .. est vi
ande coquetterie. Le 2'2 j janvier 1883, commença la série de 8,0U0
attaques
dont j'ai parlé dans ma première communication.
tandis que le pouls était à 120 et 130. Cette grande série de 8,000
attaques
terminée, la malade ne présenta qu'un nombre li
mars à septembre 1883. Elle eut en moyenne de quatre-vingts à cent
attaques
par mois, se montrant toujours par séries de hu
jour, et nous avons remarqué que, lorsqu'on bais- sait la dose, les
attaques
reparaissaient. Nous avons examiné à plusieurs
ctobre J883 (il y avait quinze jours que la malade n'avait pas eu d'
attaques
), elle est prise d'accès nombreux et répétés, se
e le temps de tomber dans la résolution musculaire, qu'une nouvelle
attaque
se produit. Cette convulsion, on le voit, resse
se prononce. Les crises sont donc seulement épileptoïdes. Après les
attaques
, le membre droit est contracté et les poings so
es ne renferment pas d'albumine. Du 4 au 14 octobre, on observe des
attaques
analogues à celles qui viennent d'être décrites
50 à 15 gr. sans résultat appréciable. A partir du 14 octobre, les
attaques
sont plus complètes et le côté gauche est envahi
eures de l'après-midi, les crises changent subitement de forme. A l'
attaque
épileptoide, qui a été décrite et qui avait fin
ons terrifiantes. Elles se produisent soit à la suite d'une série d'
attaques
convulsives, soit d'emblée, après une période d
ené l'hémispasme de tout le côté droit. Mais le nombre excessif des
attaques
, le calme de la malade dans les inter- valles d
on premier diagnostic, et le portèrent il penser qu'il s'agissait d'
attaques
d'hystéro-épi- lepsie. Les phénomènes qui se so
des crises épileptoides qui est tout à fait ana- logue à celle des
attaques
d'épilepsie jacksonienne; 2" Par le nombre cons
'on en a compté 11,700 en vingt-six jours '. Rosa G... n'a plus d'
attaques
depuis hier; la grande série d'accès à laquelle
sse 30,000. , SOCIÉTÉS savantes. 131 La première série de 8,000
attaques
offrait un élément de diagnostic de la plus gra
heureusement soumise à des règles plus fixes : on ne voit guère les
attaques
d'épilepsie se répéter plus de z100 fois par jour
cousses des membres qui se produisaient quelquefois en dehors des
attaques
; mais les secousses, pas plus que les attaques s
efois en dehors des attaques ; mais les secousses, pas plus que les
attaques
syncopales, les absences, les vertiges, ne sont
nt à l'affaissement intellectuel qui existait dans l'intervalle des
attaques
, il pouvait facilemeut s'expliquer par les dose
elle, disait-on, l'absence des phénomènes permanents en dehors des
attaques
: le caractère dit hystérique de la malade n'av
aux et la vision en particulier n'avaient point été examinés. Les
attaques
étaient, il est vrai, épileptiformes et exclusive
aient des séries purement épileptoïdes : quelquefois cette forme d'
attaques
existe seule pendant des mois 3. Cette anomalie d
existe seule pendant des mois 3. Cette anomalie dans les formes des
attaques
étonnera moins si on veut bien considérer que p
que toutes les hystéro-épileptiques offrent, à un moment donné, des
attaques
incomplètes, tantôt c'est la phase des contorsion
ouvement de la pupille'. Et d'ailleurs, à tout bien considérer, ces
attaques
épileptiformes 1 Charcot. - Leçons sur les mala
a langue était quelquefois fortement portée en dehors, comme dans l'
attaque
démoniaque, mais jamais mordue; il n'y a jamais
utefois que ce cas est peut- être sans précédent pour le nombre des
attaques
dans une même journée. Georget cite une malade
es attaques dans une même journée. Georget cite une malade dont les
attaques
furent si fréquentes et si fortes pendant six m
nt à la nialade de M. Charcot, elle n'avait guère qu'une centaine d'
attaques
par jour. M. Ballet. Si je demande la parole, c
bien il s'agissait d'une modalité anormale et jusque- là inconnue d'
attaques
d'hystérie, d'attaques à forme d'épilepsie part
e modalité anormale et jusque- là inconnue d'attaques d'hystérie, d'
attaques
à forme d'épilepsie partielle, ou bien d'une ép
ceux qui inclinaient vers l'hystérie : le nombre considérable des
attaques
, compatible avec la vie, l'absence de paralysie l
le avec la vie, l'absence de paralysie localisée, à la suite de ces
attaques
, l'apparition de plusieurs des phénomènes 1 Geo
on l'a dit, aucun doute à cet égard. Mais qu'on suppose un nombre d'
attaques
restreint, qu'on ad- mette,-et le fait n'est pa
n'était point douteux. Un jour, sous nos yeux, cette femme tomba en
attaque
: attaque assez particulière, quant à ses trait
int douteux. Un jour, sous nos yeux, cette femme tomba en attaque :
attaque
assez particulière, quant à ses traits symptoma
traits symptomatiques, et qui ne ressemblait, *en aucune façon, aux
attaques
d'hystérie connues. Voici, en effet, comment la
n, aux attaques d'hystérie connues. Voici, en effet, comment ladite
attaque
se caractérisait : sans aura sans cri initial,
côté droit. On retrouve là les principaux traits constitutifs d'une
attaque
d'épilepsie par- tielle. Jamais la malade n'a
d'une attaque d'épilepsie par- tielle. Jamais la malade n'a eu d'
attaques
d'hystérie franche; jamais notamment, au cours
ds mouvements. Nous avons cependant été témoins d'un grand nombre d'
attaques
, qui plusieurs fois se sont succédées par série
t resté hésitant. S'agissait-il réellement d'une forme anoriiiale d'
attaques
hystériques ou d'accès d'épilepsie partielle (s
ques de l'épilepsie. Elle emprunte souvent le masque de la grande
attaque
de mal; c'est là un fait vulgaire et très connu;
e pulmonaire et d'hypertrophie du coeur; il est frappé, après une
attaque
, de paralysie de la langue. La langue avait con
oup de peine. Chacun de ses repas dure plusieurs heures. En mars,
attaques
épileptiformes. En juin 1877, nouvelles attaque
heures. En mars, attaques épileptiformes. En juin 1877, nouvelles
attaques
suivies de coma et de mort. Autopsie. Méninges
nts, ne se reproduisait que quand il était ému. Le len- demain de l'
attaque
, la parole et la déglutition étaient libres, et
ience, perté de la'(lnie"m'oitr'é.,lfletc.) ou des convulsions, des
attaques
épile¡jiijor'n'es : ' I\1ÿPa, la' 't ? T;)t.' l
mporté soit par 1 .. ,1 1) 1 f'(.. t Il 1 \ \\ \ \ ' une nouvelle
attaque
d'hémon'haa'ie ou de ramollis- Hi, i|l>ll«'-
4° Cas de Ross (Mémoire cité du Brain.) Henri H..., qua- rante ans.
Attaque
avec perte de connaissance incomplète, à laquel
la para- 17 pathologie NERVEUSE. plégie. Le 25 décembre, nouvelle
attaque
avec perte de con- naissance suivie de troubles
i quelquefois elles simulent l'épilepsie, il n'y a pas d'aura ; les
attaques
seraient seulement pré- cédées pendant plus ou
. Observation L ? IIII. -NI.114..., agé de vingt ans, ade grandes
attaques
nocturnes depuis l'âge de neuf ans. On ne trouve
e sans crises. Elle a eu une chorée très forte vers douze ans, deux
attaques
de rhumatisme articulaire aigu à quinze et à tr
tisme articulaire aigu à quinze et à trente ans. Depuis quatre ans,
attaques
comitiales nocturnes revenant toutes les cinq o
c morsure de la langue. M. Charcot la traita par le bromure, et les
attaques
ont disparu bien que, depuis un an, elle n'ait
nts hypochondriaques ou hystériques, sont quelquefois jugés par des
attaques
de goutte articulaire$. M. Fouqué, dans sa thès
t de dix ans et demi, d'origine goutteuse et qui pré- sentait des
attaques
hystériformes. D'après Laycock, les phénomènes
deux faits de grincement de dents parmi les signes précurseurs de l'
attaque
d'épilepsie. Nous avons observé une fois la c
cependant d'in- téressantes : Darnay5 raconte qu'il fut pris d'une
attaque
apoplectiforme quelques jours avant l'apparitio
a réap- parition des douleurs. Plusieurs auteurs font men- tion d'
attaques
de goutte alternant avec des accès d'aliénation
névralgies, il faut signaler les crampes qui précèdent ou suivent l'
attaque
4 et les picotements dans les jambes, picotemen
s fulgurantes du tabes. Ces crampes qui, quelquefois, précèdent ces
attaques
pendant plusieurs nuits, jouent un rôle importa
ions nerveuses, on les a vues souvent cesser à l'ap- parition d'une
attaque
de goutte articulaire. Parmi les troubles senso
ternelle du malade tombait du haut mal et est morte dans une de ses
attaques
. - Plusieurs des membres de la famille de Gross
qu'il il faisait et l'on a dû le recoucher de force. C'est la seule
attaque
épi- leptoïde observée dans le cours de l'affec
r, leur témoigne gratitude et affection. Aucune paralysie. Au- cune
attaque
épileptiforme ? 1 j. " , 29 juillet. - Fauv...
d'accès de névralgies ; mais elle s'observe surtout à la suite dos
attaques
d'hystérie et principalement dans la petite hys
fois d'un litre ou même plus, et plus ou moins impérieuse. Dans les
attaques
convulsives de la grande hystérie, on observe t
e tétanos. Les recherches de M. Ollivier' ont montré qu'après une
attaque
à'hémorrhagie cérébrale, la quantité d'urée dimin
ncipalement dans le mésocéphale. On l'observe encore au moment de l'
attaque
d'épilepsie, au début de la con- vulsion toniqu
rité et impressionnable; le moindre bruit ou contact pro- voque une
attaque
qui se manifeste avec des convulsions toniques,
e versa, seulement du côté gauche, et devenant ensuite cloniques. L'
attaque
est régulière et suivie souvent de délire et de
vertèbres dorsales, dont la compression peut arrêter la soi-disant
attaque
en faisant fixer les yeux, ce qui le place dans
e de son camarade tué et marche funèbre qui provoque de sa part une
attaque
hysté- rique). En ouvrant l'oeil gauche, on fai
qui présenta des contractures passagères des autres membres, des
attaques
convulsives au cours desquelles on put observer u
ctuelles; cet état dure quel- ques mois, puis disparait. En 1880,
attaque
avec perte de connaissance, embarras de la paro
ment de caractère. Il y a trois mois, en novembre 1882, nouvelle
attaque
avec perte de connaissance et accentuation de l
était parfait quand les deux derniers mois furent marqués par trois
attaques
apoplectiformes légères ne laissant pas de traces
ènes fébriles, douleurs, on relève dans les deux premiers accès des
attaques
parétiques de toutes formes, des élancements da
ns la protubérance; le quatrième, sous l'apparence d'une nouvelle
attaque
hémiplégique accompagnée de tremblements inten-
e novembre 1878, l'état est demeure stalionnaire, à part une légère
attaque
d'hémiparesie gauche bientôt disparue, et des t
l'aurais intitulée : IlysLéro-épilepsie à crises COI1\ ul- sives ;
attaques
de contracture; sommeil, hallucinations persistan
i chaque matin, à heure fixe, tombait en somnambulisme à la suite d'
attaques
et continuait aussitôt les actes commencés à la
actuellement a été l'objet, depuis plusieurs années, de nombreuses
attaques
, à la suite desquelles le gouvernement a cru devo
ent avec raison aux médecins. L'orateur proteste ensuite contre les
attaques
dont a été l'objet la loi de 1838, qui a rendu
at médical d'admission. L'orateur fait remarquer que la plupart des
attaques
qui se sont fait jour contre l'ensemble de la l
a raison humaine... » M. Billod fait observerqu'à l'époque où ces
attaques
ont commencé à se produire, elles avaient jusqu
a été engendrée l'oeuvre de la commission extra-parlementaire : des
attaques
aussi injustes que passionnées, dit M. Luys, de
t;S3S; il reconnaît que cette loi est une des meilleures et que les
attaques
souverainement injustes dont elle a été l'objet
fille est atteinte d'une maladie terrible : elle a de fré- quentes
attaques
d'épilepsie. En rentrant hier soir chez elle, ell
qui sont : un léger affaiblissement du membre inférieur gauche; des
attaques
à formes variées, de nature hystérique, et qui
le malade, de vaso-motrices. - Le malade a eu depuis de fréquentes
attaques
; celles-ci n'ont .as toujours DE ¡,'ATROPHIE MU
tères; les médecins ont distingué chez lui, dit-il, cinq variétés d'
attaques
; quelques-unes d'entre elles res- semblaient, d
force, commençait à saitaiblir. - Le 6 janvier, à la suite d'une
attaque
, le malade est resté aphone pendant trois jours;
Rien du côté des yeux ; pas de rétrécissement du champ visuel. '
Attaques
. - Elles surviennent spontanément ou à la suite
ulaires; il suffit de mettre la main sur les, yeux pour provoquer l'
attaque
. Dans la première attaque que nous avons observ
re la main sur les, yeux pour provoquer l'attaque. Dans la première
attaque
que nous avons observée le malade est tombé bru
l'occlusion des yeux; son corps fait aussitôt un arc de cercle ; l'
attaque
a, du reste, immédiatement' été enrayée par la
es sus-orbitaires : le malade est aussitôt revenu à lui. Les autres
attaques
ont eu des caractères différents; voici sous qu
revient complètement à lui, sans gar- der le moindre souvenir de l'
attaque
et sans éprouver la moindre fatigue. Ajoutons q
ans éprouver la moindre fatigue. Ajoutons que quoique le début de l'
attaque
paraisse absolument brusque et que quoique le m
boule qui de la région épigastrique remonterait à la gorge ; mais l'
attaque
suit de si près cette sensation que le malade n
mbe aussitôt. - Après le 19 février, le malade a eu encore quelques
attaques
différentes de celles-là; pour ne plus avoir à
es différentes de celles-là; pour ne plus avoir à revenir sur les
attaques
, nous indiquerons ici leurs caractères ; quelques
ct suivant : il y a d'abord une phase épileptiforme calquée sur les
attaques
épilepti- formes décrites plus haut; puis dans
ux pour les personnes qui l'entourent. 24 février. A la suite d'une
attaque
, le malade est pris de m,utisme ayant tous les
té opposé ; on continue le massage, mais le malade est pris d'une
attaque
qui oblige de suspendre l'opération; la sensibili
dant quatre heures environ, puis disparait. Le 28, à la suite d'une
attaque
, le malade est pris de nou- veau de mutisme. Le
ier. La sensibilité revient dans la même région, et le malade a une
attaque
. Lorsque le malade revient à lui, il s'assied a
e ..ma- DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 13 3 lade a dans la soirée, une
attaque
épileptiforme suivie de délire et, lorsqu'il re
paralysie persiste. On recommence la flagellation ; il survient une
attaque
; mais à la suite de l'attaque, la paralysie et
ce la flagellation ; il survient une attaque ; mais à la suite de l'
attaque
, la paralysie et l'anesthésie dispa- raissent p
Bris- saud) ; - le début de l'affection aurait été marqué par une
attaque
apoplectique et les crises que le ma- lade a eu
nt bien de nature hystérique quoiqu'il ne s'agisse pas de grandes
attaques
hystériques; c'est ainsi qu'il nous suffira de
ues; c'est ainsi qu'il nous suffira de rappeler que le début de ces
attaques
, quoique sou- dain en apparence, est précédé pa
parence, est précédé par une sensation de boule à la gorge, que ces
attaques
peuvent être infailliblement provoquées par la
zones, telles que les globes oculaires et la nu- que, que dans ces
attaques
le malade exécute parfois un arc de cercle, qu'
taques le malade exécute parfois un arc de cercle, qu'à la fin de l'
attaque
il pousse des sanglots, et qu'enfin, il revient
t le malade a été atteint à plusieurs reprises, à la suite de ses
attaques
, et qui présentait tous les caractères du mutis
dure six mois et demi pendant les- quels le malade a de fréquentes
attaques
d'hystérie ; guérison complète ; - à l'âge de v
es.-Père goutteux, obèse, alcoolique, a eu à plusieurs reprises des
attaques
apoplectiformes. En 1863 à la suite d'une attaq
urs reprises des attaques apoplectiformes. En 1863 à la suite d'une
attaque
, il aurait eu une paralysie du côté DE L'ATROPH
plégie des atta- ques précédées d'une céphalalgie intense; dans ces
attaques
, il se débattait et perdait connaissance ; ces
e; dans ces attaques, il se débattait et perdait connaissance ; ces
attaques
se sont re- produites parfois jusqu'à huit fois
1877, à la suite d'une grande frayeur, le malade eut de nouveau des
attaques
, dans lesquelles il fallait plusieurs hommes po
ue vers le creux épigastrique ? Depuis 1877, le malade n'a pas eu d'
attaques
. - On prescrit au malade de faire dans la journ
ion organique du cerveau. Remarquons d'abord que le malade, avant l'
attaque
de paralysie pour laquelle il est entré à l'hôp
e onze ans dont un frère était devenu monoplégique à la suite d'une
attaque
et qui présenta les premiers symptômes de ménin
hloroforme. Quatre jours après le malade pouvait se lever, mais les
attaques
continuèrent comme devant. L'intervention était
et à des idées de persécution. Gâtisme. Il y a six ans, première
attaque
d'épilepsie; depuis lors, attaques fréquentes sou
Gâtisme. Il y a six ans, première attaque d'épilepsie; depuis lors,
attaques
fréquentes souvent accompagnées de vomissements
che. Deux mois après son entrée, il com- mence à avoir des séries d'
attaques
épileptiformes, et meurt vers le sixième mois.
manie. Trois jours après, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 85 grande
attaque
épileptiforme. A partir de ce moment, convul- s
mbre d'épileptiques où l'on rencontre la plupart des criminels. Les
attaques
convulsives peuvent être remplacées, sur- tout
rès difficile, et produit une anémie cérébrale qui est la cause des
attaques
épileptoïdes que l'on observe chez tous les ani
chez tous les animaux à la suite d'expériences pro- longées. Ces
attaques
sont plus fortes chez les animaux qui n'ont pas
rte une anse conductrice. P. K. IV. Contribution au traitement DE l'
attaque
d'hystérie; par Albert RuAULT (Franee médicale,
médicale, 4885, n° 86). M. Ruault a réussi très souvent à arrêter l'
attaque
hystérique par la compression d'un nerf à son p
mêmes circonstances. L'auteur a pu arrêter ainsi non seulement des
attaques
légitimes d'hystérie convulsive, mais aussi d'a
a suite d'une vive émo- tion ; pendant ce temps, il est sujet à des
attaques
convulsives. A quarante-trois ans, il est pris
. A quarante-trois ans, il est pris brusquement dans la rue d'une
attaque
convulsive qui est suivie d'laémorrlaagies mul-
e sa deuxième hémiplégie, le malade a eu, à plusieurs reprises, des
attaques
hystériques. R... (Albert), botaniste, âgé de
vrier 1883. Le 8 de ce mois, le malade fut pris, dans la rue, d'une
attaque
convulsive très violente à la suite de laquelle
ariétale gauche. Pendant son séjour à Ivry, le malade eut plusieurs
attaques
se présentant à peu près sous le même aspect et
eproduit et il en est ainsi plusieurs fois de suite ; à la fin de l'
attaque
sur- viennent des hématémèses et des hématuries
ématémèses et des hématuries qui persistent plusieurs jours après l'
attaque
; le malade reste aussi contrac- ture de ses mem
. Depuis le mois de février le malade a eu à plusieurs reprises des
attaques
semblables à celles qu'il avait eues autrefois.
p visuel, les plaques d'hyperesthésie, l'anesthésie du pharynx, les
attaques
convulsives. En ce qui concerne ces dernières,
axis constituent, en effet, des épisodes très remar- quables de ces
attaques
; d'autre part, nous ferons re- marquer que l'ap
térie; du reste, cette hémiplégie s'est développée à la suite d'une
attaque
hystérique. Nous ferons encore remarquer que l'
héréditaires. - D'après ce que dit le malade, sa mère aurait eu des
attaques
de nerfs, mais il est impossible de déterminer
p visuel. Le malade DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 171 est sujet à des
attaques
de dyspnée, de nature hystérique. Il existe une
N'a jamais entendu dire qu'il y ait eu aucun cas de paralysie, ni d'
attaques
d'aucune sorte, ni d'aliénation dans la famille.
ie sa sensibilité. Le malade nous dit qu'il a eu, le 16 juin, une
attaque
de dyspnée. Le 21, le malade demande à sortir.
hésie seusitivo-sensorielle, le rétrécissement du champ visuel, les
attaques
de dyspnée, sont des arguments tout à fait suff
s yeux paraissent normaux des deux côtés. Le malade n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs. Le pression au niveau des fosses ilia
culaire ; pas de dyschromatopsie. -Pas de pointsbystérogènes. Pas d'
attaques
. - Différents moyens ont été employés pour cher
symptômes manifestement hystériques. C'est à la suite d'une de ces
attaques
survenue il y avait six mois qu'elle était rest
t restée paralysée du bras droit; quelques jours après une nouvelle
attaque
avaitproduit de la contracture de la main droite
Iravailler et son caractère sont absolument intacts, comme avant l'
attaque
. Il dit pourtant qu'il a eu encore quelque- 08
absence de paralysie : intégrité de la vue et de l'ouie; absence d'
attaques
épileptiformes; pas de vomissements, de fièvre,
nclusion. Névrite multiloculaire à début subaigu sous forme de deux
attaques
séparées, puis devenue stationnaire. Cette névr
enti- tion. A six ans, il entra dans les chemins de fer. Première
attaque
à sept ans trois mois, sans cause appréciable. Le
variés, mais présentaient toujours de l'automatisme, soit après une
attaque
, soit sans attaque apparente. Aussi le patient,
taient toujours de l'automatisme, soit après une attaque, soit sans
attaque
apparente. Aussi le patient, après s'être couch
x gens, tomber ensuite à terre et rester insensible. Il a aussi des
attaques
où la conscience persiste; il trébuche comme un
is écume; une fois, il a uriné involontairement. Il avait aussi des
attaques
avec demi-conscience et paralysie de la langue.
vraiment favorable, l'acné s'est guéri, et le malade est resté sans
attaques
pendant ses trois mois de séjour à l'hôpital.
accès dans lequel le meurtre, le vol, le suicide, sont possibles. L'
attaque
épileptique, dans ces cas, affecte surtout les
par mois, donne des résultats moins nets. Le bromure diminuait les
attaques
, mais le petit mal redoublait. Le borax a paru
térieurement remplacée par des accidents catatoniques entrecoupés d'
attaques
congestives répétées; ici la marche est extraor
ymptômes de paralysie générale, et plus lard calatouie typique avec
attaques
congestives intercurrentes. Symp- tômes connus
t, par une paraplégie spinale aiguë; chez le second, par une légère
attaque
congestive. Le premier fait se fait remarquer p
er les caractères suivants : 1° la diversité et l'hétérogénéité des
attaques
ner- veuses ; ce sont tantôt des convulsions, t
psie ; le globe hystérique et la facilité d'évoquer, à volonté, les
attaques
en pressant sur la région de l'épigastre (point
y a moins de tiraillements. Le 1 cr août, le patient est pris d'une
attaque
de vives douleurs dans le dos et de fortes conv
les jambes en état d'extension, perte de la connaissance. Les mêmes
attaques
recommencent le 16, le 18 et le 23 no- vembre.
que vers la fin de l'accès et reve- nait dans les intervalles. Les
attaques
se répétaient toutes les cinq minutes; dans les
inq minutes; dans les intervalles, on observait l'opisthotonus. Les
attaques
durèrent jusqu'à la fin de décembre, par séries
six, ainsi que la troisième et la,quatrième dedeux. Après quelques
attaques
, on remarquait une aphonie de peu de durée, etu
contre l'autre; il pâlissait et perdait à moitié connaissance. Les
attaques
avaient une durée de deux minutes, en laissant
ours en- tiers ; la mutité s'était alors développée aussi après une
attaque
de convulsions. L'automne précédent, il avait e
onnaissance, dans la salle de réception, il était pris de plusieurs
attaques
d'hystéro- épilepsie, à ce que suppose le médec
si violente que quatre serviteurs ont de la peine à le contenir. L'
attaque
de convulsions dura une couple de minutes, aprè
indre tentative de redresser un des membres provoquait une nouvelle
attaque
. Dans l'espace d'une demi-heure, il y eut trois
ire. Interrogé, le malade répond qu'auparavant il n'a jamais eu d'
attaques
; que, de toute sa famille, il n'a qu'une soeur de
e 22 décembre, à huit heures du soir, l'accès du matin se répète. L'
attaque
est précédée d'un violent mal de tête, de tremb
r jusqu'au 8/20 janvier. Ce jour-là, à six heures du soir, nouvelle
attaque
de convulsions. Le lende- main matin, je lui tr
et de la conjonctive; le soir de ce même jour, il lui survient une
attaque
. Le lendemain, 17 janvier, anesthésie complète
qui disparait le lendemain. Le 23, à six heures du soir, encore uue
attaque
. De nouveau, après anes- thésie sur tout le cor
nvier 1886, à trois heures de relevée, on amène F... en proie à une
attaque
de convulsions, qui durèrent tout le reste du j
nce ne revient que vers les huit heures du matin du 10 janvier. Les
attaques
se répètent quotidiennement; parfois, à deux re
eux soit bien difficile. Le 18, les accès changent de caractère : l'
attaque
commence maintenant par un tiraillement des mus
le malade n'est pas encore revenu à lui que survient une nouvelle
attaque
de grands mouvements, tout à fait semblable à.l
ennent leurs occupa- tions habituelles, contraste frappant avec les
attaques
d'épilepsie, après lesquelles ils tombent dans
grandes doses n'ont influencé ni la fréquence, ni l'in- tensité des
attaques
. Le traitement des paralysies a eu plus de succ
e cinquante-deux ans, des suites d'une hémiplégie consécutive à une
attaque
d'apoplexie survenue dix-huit mois auparavant.
x-huit mois auparavant. [Père, mort vers soixante-treize, ans d'une
attaque
d'apoplexie. Mère, morte jeune du choléra. Un f
Elle restait souvent t sans repos la nuit et elle avait souvent des
attaques
de cris. La force du langage diminua, au point,
ropageant dans l'aisselle, endocardite valvulaire consécutive à une
attaque
de rhumatisme articulaire dont elle fut atteint
vée à cinquante et un ans sans accidents. Pas de convulsions, pas d'
attaques
de nerfs, pas de névralgies, pas de migraines (
x ans, par M. P. Sick (de Sluttgard), décédé le 13 août 1884, d'une
attaque
apoplectifornle à la clinique de Tubingue à l'â
e le 14 novembre 1881. - En mars 1883, commencement de la cachexie,
attaques
éliileptiques nombreuses. IDIOTIE AVEC CACHEXIE
, quelquefois très tenaces. Mère. Très nerveuse, a eu de nombreuses
attaques
qui persistent encore à l'heure actuelle, mais
n gauche ne servait que peu à la respiration par suite de plusieurs
attaques
de pleurésie; mais je n'ai pas considéré cet ét
ralysie disparut. Vers quinze ans, le malade a commencé à avoir des
attaques
, qui étaient très inter- mittentes. Il fut admi
à l'hôpital en 1885, ayant à cette époque un nombre considérable d'
attaques
et se trouvant pendant quelques jours dans le s
lepticus. Après sa sortie de l'hôpital, il resta sept semaines sans
attaque
; à la fin de cette période, elle revinrent, et
douleur augmentait lorsque le malade était dans le paroxysme de ses
attaques
. Attaques : ces attaques qui arri- vaient par s
gmentait lorsque le malade était dans le paroxysme de ses attaques.
Attaques
: ces attaques qui arri- vaient par séries (à c
e le malade était dans le paroxysme de ses attaques. Attaques : ces
attaques
qui arri- vaient par séries (à cette époque le
lade était nettement hémiplégique, même dix jours après la dernière
attaque
, mais il pouvait accomplir tous les mouvements
fin des deux mois suivants. Jusqu'à présent, le malade n'a pas eu d'
attaques
. Cas IL - Thomas W..., vingt-deux ans, fut admi
ernelle morte phthisique. Antécédents personnels. Il a eu plusieurs
attaques
de pleu- résies après quinze ans. Etat actuel
PATHOLOGIE NERVEUSE. fois par jour pendant trois mois. La première
attaque
grave eut lieu en mars 1884. Le spasme s'étenda
e spasme s'étendait au bras et le malade tombait. Il eut la seconde
attaque
en janvier 1885. Après survint une série de rém
Après survint une série de rémissions; en août18S5, une autre grave
attaque
commença une nouvelle série d'attaques qui arri
en août18S5, une autre grave attaque commença une nouvelle série d'
attaques
qui arrivaient une ou trois fois par semaine ju
par semaine jusqu'à son entrée le 4 décembre 1885. La nature de ces
attaques
était toujours la même. Elles commen- çaient pa
it. La paralysie du membre supérieur gauche succédait sou- vent à l'
attaque
. A de fréquents intervalles tous les jours, le
les jours, le pouce du malade commençait à se contracturer, mais l'
attaque
pouvait souvent être arrêtée en étendant le pou
le pouce rede- vint le siège le plus fréquent du commencement de l'
attaque
. Etal actuel (très abrégé). - Mouvement. La for
dans trois doigts droits, aucune dans le pouce ni l'index ; aucune
attaque
depuis 396 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'op
ut un coup de pied de cheval au même endroit. Trois mois après, les
attaques
commençaient. Les attaques arrivaient par série
l au même endroit. Trois mois après, les attaques commençaient. Les
attaques
arrivaient par séries de trois ou quatre toutes
reu- ses cicatrices sur la tête, dues à des chutes, etc., quand les
attaques
arrivèrent (il avait aussi la plupart de ses de
e tête, qui augmentaient (et aussi la sensibilité) à l'approche des
attaques
. Il y avait aussi une hémi- anesthésie droite p
complètement disparaitre l'hémianesthésie, mais laisse intactes les
attaques
. Caractères de l'attaque. L'aura était abdomina
émianesthésie, mais laisse intactes les attaques. Caractères de l'
attaque
. L'aura était abdominale. Le malade ressentait
membres inférieurs, cependant, sont quelquefois fléchis. Après l'
attaque
, le malade disait que son bras droit était faible
s des opérations pratiquées sur les centres moteurs; 3° L'arrêt des
attaques
épileptiformes commençantes, par 398 SOCIÉTÉS S
ique des mieux caractérisées, chez laquelle on retrouve les grandes
attaques
convulsives, le délire, les hallucinations multi-
iagnostic de la fièvre typhoïde. Diagnostie de la hernie inguinale.
Attaque
d'épilepsie, fracture de la clavicule. Symptôme
d'une malade de la Salpêtrière, nommée Eudoxie Hé.... Or les cas d'
attaques
de sommeil sont assez fré- quents chez les hyst
ifficulté de la parole et de la déglutition. Quatre mois plus tard,
attaque
apopledlforme suivie d'augmentation des trouble
manie, et même en dehors de toute manifestation psychique, dans les
attaques
d'épilepsie par exemple, on ne conserve plus de
92 p. 100 de brome. Ils ont, àla dose de 10 grammes parjour surles
attaques
convulsives de l'épilepsie et diverses autresné
le eut aussi plusieurs pertes subites de connaissance, avec ou sans
attaques
convulsives. Mais depuis l'âge de vingt ans la
phal insiste sur l'hypochondrie datant de plusieurs années, sur les
attaques
d'aphasie avec hémianopsie sans altéra- tion du
culier, d'un ivrogne épileptique qui met le feu ; puis survient une
attaque
d'épilepsie, après quoi, le malade vaque correc
P. K. BIBLIOGRAPHIE 1. Des zones hystérogènes et hypnogènes, des
attaques
de sommeil; par le Dr Pitres. (Bordeaux, 1885,
ouloureuses ou non, d'où partent souvent, pendant les prodromes des
attaques
spontanées, des sen- sations spéciales qui joue
hystérique, et dont la pression a pour effet, soit de déterminer l'
attaque
convulsive ou une partie des phénomènes spasmod
l'attaque convulsive ou une partie des phénomènes spasmodiques de J'
attaque
, soit d'arrêter brusquement les convul- sions.
part est dans les troncs nerveux, car ou peut également provoquer l'
attaque
par la compression énergique des troncs nerveux
sein ne produit rien et que la compression de la glande provoque l'
attaque
. Pour l'ovaire, la démonstration a été faite par
l arrive chez certains malades qui possèdent ces zones, à arrêter l'
attaque
en pinçant un pli de la peau qui recouvre le se
itle sommeil hypnotique, et une excitation plus énergique produit l'
attaque
. Cependant les deux espèces de zones conservent
ur étudie ensuite une malade de son service, qui est sujette il des
attaques
de sommeil. Cette hystérique, qui a eu autrefoi
l des attaques de sommeil. Cette hystérique, qui a eu autrefois des
attaques
convulsives très violentes, les a remplacées au
es convulsives très violentes, les a remplacées aujourd'hui par ses
attaques
de sommeil. L'auru présente trois stades : le s
plongé dans l'hypnotisme la malade, au moment où l'aura annonçait l'
attaque
de sommeil; il a constaté que l'attaque n'en su
oment où l'aura annonçait l'attaque de sommeil; il a constaté que l'
attaque
n'en survient pas moins, mais qu'elle met la ma
la malade étant placée dans l'état cataleptoïde,les yeux fermés, l'
attaque
la met en léthar gie : la malade étant placée e
taque la met en léthar gie : la malade étant placée en léthargie, l'
attaque
produit une léthargie plus profonde, dans laque
s licenciées ou asiles privées se sont très amé- liorées depuis les
attaques
passionnées dont elles ont été l'objet, M. Fovi
s'exagérèrent notablement. Quelle était au juste la nature de cette
attaque
apo- plectiforme2 Nous l'ignorons; peut-être fa
oup, souvent de l'eau-de-vié et de l'absinthe; elle s'enivre. Pas d'
attaques
de nerfs. - Deux frères bien portants, l'un cél
E CHEZ L'HOADIE, AVEC DÉDOUBLEMENT DE LA PERSONNALITÉ. ARRET DE L'
ATTAQUE
PAR LA PRESSION DES TENDONS ; Par le Dr Jules V
z un jeune homme de vingt et un ans. Phases classiques de la grande
attaque
; zone hysté- rogène. Arrêt de la crise par la p
paraplégie. Il s'y met très bien, et reste deux mois sans avoir d'
attaque
. 1 Voir les Observations publiées dans les Arch
ur. Il continue à pré- senter quelques manifestations névrosiquess,
attaques
convul- sives, anesthésies, contractures passag
t reprend son métier de tailleur. D'août 1883 à jan- vier 1884, ses
attaques
sont assez rares, et observées seulement par le
s surveillants. D'après leur dire, elles ne ressembleraient pas aux
attaques
habituelles de haut mal. Le 17 janvier 1884, à
te détermine la crise d'hysléro-épi- lepsie. Pas de prodromes à l'
attaque
. Stade épileptoïde, puis grands mouvements, con
e cercle. Cl'ucificmcnt, Point de délire à la fin de cette première
attaque
. Sommeil. Hyperexcila- bilité neuro-musculaire.
son point de côté. La douleur causée par l'aiguille, détermine une
attaque
semblable à celle du matin. Au réveil, il ne
t sa crise complète avant de se réveiller. On peut lui morceler son
attaque
, en l'hypnotisant plusieurs fois pendant son co
on cours. Mais on ne peut pas l'arrêter définitivement. La fin de l'
attaque
est toujours marquée par des cris de douleur, et
, dont le contact lui avait occasionné à Saint-Urbain sa première
attaque
. Il pousse des cris aigus; il déchire ses vêtemen
malaire gauche ; elle résulte de ce que le malade, au sortir de ses
attaques
, se gratte avec fureur ce côté de la face. En m
é- ralisée. Jusqu'ici, on avait inutilement cherché à arrêter les
attaques
, soit par la pression du testicule, soit par la p
s crises sont toujours assez fréquentes. A présent, à la fin de ses
attaques
, il présente souvent de longues phases d'excita
cution est normale. f er mni. - V ? a eu, ces jours-ci, une ou deux
attaques
par jour, sans phénomènes particuliers. Il est
tion rythmée si particulière que nous avons décrite. L'arrêt de l'
attaque
par la pression d'un tendon, tous les autres pr
aperçus que la pression du tendon rotulien provoquait l'arrêt de l'
attaque
. Nous essayâmes alors la pres- sion du tendon d
état de veille ou en somniation, amenait la phase épileptoïde de l'
attaque
. On arrêtait cette phase épilep- toïde en compr
e nouveau dans la période de somniation ou dans l'état de veille. L'
attaque
était donc quelquefois morcelée comme cela arri
sion du tendon est le seul moyen qui ait amené l'arrêt complet de l'
attaque
. Résumons maintenant ce qui a trait à l'amnésie
avant le moment où il tomba malade, et où il prit cette première
attaque
d'hystérie épileptoïde qui marqua le début de sa
n de l'oeil droit; immédiatement après son réveil, elle fut prise d'
attaques
d'hystérie subintrantes qui durèrent trois ou q
té anté- rieurement d'accidents hystériques, si ce n'est une légère
attaque
de convulsions survenue deux jours avant son op
ndiqué; il estdit seule- ment qu'elle avait eu, deux ans avant, une
attaque
de rhumatisme à la suite de laquelle s'établit
e genre d'accès épileptique ; localisation bien cantonnée lorsque l'
attaque
se borne à quelques phénomènes en rapport avec
'origine et de rayonnement des modifications physiologiques quand l'
attaque
se généralise. En ce qui concerne les équivalen
e l'épilepsie, ils tirent leurs caractères non pas de la forme de l'
attaque
psychopathique, pas davantage de la forme spéci
progressive DES aliénés dans LEURS rapports avec la PRODUCTION DES
attaques
APOPLECTIFORNES ET Épi- L1;PTIrORDIES; par W. B
BECHTEREW. (Arch. f. Psr.la., XIV, 3). Les symptômes cliniques des
attaques
congestives correspon- dent selon l'auteur, tou
serve quand on augmente brusquement la pression encéphalique. Les
attaques
apoplectiformes témoignent d'une augmentation g
liquides et leurs modifications fonction- nelles qui engendrent les
attaques
et leurs formes différentes. Ainsi, les lésions
' 1, ? f' ! t,,ff ? n ? H"MU.< ? )< itn) ? T ? f, vingt-sept
attaques
, epileptitormes . toniques; précédant la ' Il
cès de fureur épileptique qui s'est manifesté chez lui à la suite d'
attaques
répétées, n'a été que le résultat de l'état cér
d'accès, ils deviennent violents et même criminels, sansprésenler d'
attaques
convulsives : oubiéri on les exclut eri princip
'existence des équivalents purement psychiques. Les caractères de l'
attaque
rési- dent, ! non pas seulement dans la 'folie
accompagne pas de symp- tômes intervallaires continus spéciaux. Les
attaques
, avec leurs phénomènes concomitants et consécut
i trouvé absolument aucun exemple d'identité parfaite de toutes les
attaques
. ' -' Je n'ai pas retrouvé le rétrécissement pu
oemy(Jl'iatique signalé par Siemens, Rbmberg, Gowers au début d'une
attaque
d'épilepsie; la dilatation est toujours initial
intervallaires, maints autres présentent, dans' l'intervalle ' des
attaques
, des modifications psychiques qui constituent le
de l'épilepsie. Le second jour de son arrivée il avait sa première
attaque
. ' M. RIEGER a observé chez un épileptique des
gnassent de son insanité et qu'il eût été et fût encore sujet à des
attaques
pour lesquelles il avait été traité pendant des
une quin- zaine de fois par an. Elle est très vive, mais n'a pas d'
attaques
de nerfs; elle n'a jamais fait d'excès de boiss
face et les quatres membres. Un moi» plus tard, il a eu une seconde
attaque
de convulsions pendant dix minutes. Il a encore
uelquefois un mois de suite sans dormir la nuit. Pas de vertiges, d'
attaques
, ni de chutes. A son entrée dans le service,
tison D'un autre côté, chez les sujets ayant antérieurement des
attaques
convulsives, c'est quelquefois à propos d'une de
des attaques convulsives, c'est quelquefois à propos d'une de ces
attaques
que surviendront les troubles intellectuels. Dès
surviendront les troubles intellectuels. Dès lors, chaque nouvelle
attaque
sera comme un coup de fouet donné au délire et
té nombre de faits dans lesquels on voit l'hypnotisme suspendre lès
attaques
, faire disparaître des contractures, des névral
tta- ques de léthargie très fréquentes, parfois avec contracture,
attaques
convulsives avec délire loquace; puis, à l'occasi
s de signes de dégénérescence ; adhérence du lobule de l'oreille.
Attaques
de grande hystérie presque journalières et se pré
uatre. L'aura vient de l'ovaire gauche et, plusieurs heures avant l'
attaque
, lama- lade su plaint de son ventre, puis d'une
ions se rapprochent, la boule remonte graduellement à la gorge et l'
attaque
se déclare. La période épileptoïde n'est re- pr
titude du crucifiement. Ce qu'il y a de plus particulier dans les
attaques
, c'est la période des hallucinations et du délire
eure, à l'accès délirant et qui ont dû le provoquer : le délire des
attaques
, en somme, par la couleur des idées ressemble b
ection mentale, lequel d'ail- leurs s'exaspère à la suite de chaque
attaque
. Celles-ci sont arrêtées par la compression de
ire habituel reste ce qu'il était avant l'at- taque. ' 29. - Deux
attaques
convulsives le matin : le soir. une attaque de
taque. ' 29. - Deux attaques convulsives le matin : le soir. une
attaque
de catalepsie spontanée. 30. - Une attaque co
e matin : le soir. une attaque de catalepsie spontanée. 30. - Une
attaque
convulsive, mêmes idées délirantes, très agitée
taque convulsive, mêmes idées délirantes, très agitée. 2 juillet.
Attaque
à midi. 3. Attaque, mêmes idées d'empoisonnemen
es idées délirantes, très agitée. 2 juillet. Attaque à midi. 3.
Attaque
, mêmes idées d'empoisonnement : veut laver ses
ts pour chasser cepoison qui lui fait si mal à la tête (clou). 4. -
Attaque
: dans la période de délire, on veut lui faire
s (les curés et les agents politiques) lui ont fait prendre. 7. -
Attaque
convulsive. 8. Applications d'aimant sur les zo
on fort nette de l'hyperesthésie dans les zones citées. 9. = Deux
attaques
avec période de délire très longue et hallu- ci
demande un instrument pour se tuer plutôt que de souffrir ainsi.
Attaque
à midi : hallucinations (serpents) : délire, se v
tre et voudrait mourir, mais pas avant d'avoir vu son mari. - Trois
attaques
convulsives à midi. 17. Deux attaques très viol
d'avoir vu son mari. - Trois attaques convulsives à midi. 17. Deux
attaques
très violentes avec hallucinations zoopsi- ques
s avec hallucinations zoopsi- ques et terrifiantes, délire. Après l'
attaque
, le soir elle crie, chante, jure est hallucinée
; les agents politiques la poursuivent toujours. 21. - Plusieurs
attaques
convulsives suivies d'une période très longue d
poi- sonnés ; état maniaque, cris, jurons, violences, 2 août. Une
attaque
convulsive : toujours agitée. 3. Une attaque co
olences, 2 août. Une attaque convulsive : toujours agitée. 3. Une
attaque
convulsive. 9. Une attaque convulsive. 18. -
e convulsive : toujours agitée. 3. Une attaque convulsive. 9. Une
attaque
convulsive. 18. - La malade est toujours en pro
autres. Le délire est toujours le même : les symptômes physiques (
attaques
, dysesthésies) très accentués. Les traitements
, les voix étant d'habitude continuelles. A midi, série de quatre
attaques
convulsives dontles prodromes (boule, spasme de
cles de la face) existaient avant la séance d'hypnotisme. Après l'
attaque
, le mal de tête est toujours moins violent qu'a
et les hallucinations ne s'étendent qu'à gauche. - A trois heures,
attaque
spontanée de léthargie : contractures presque g
oir. Elle est très calme toute la journée. - Le soir à sept heures,
attaque
de lathargie; en l'examinant, notre main touche
tions de la vue, symptômes que nos suggestions ont respectés. 22.
Attaque
de léthargie durant depuis trois heures avec co
elles idées déli- rantes, me souvenant aussi du fait produit dans l'
attaque
précé- dente, je frictionne légèrement le verte
ggestions persistent ; reçoit bien son mari. 24. - Série de trois
attaques
convulsives à la suite desquelles tous les poin
, qu'elle dit être un des agents à sa poursuite : pro- drômes d'une
attaque
. Ayant remarqué déjà l'influence des attaques,
: pro- drômes d'une attaque. Ayant remarqué déjà l'influence des
attaques
, de leur période de délire, sur le retour des idé
e, elle se porte bien, ne grimace plus, ne se plaint pas, n'a pas d'
attaque
, reste calme. 26. - Le matin, elle est très exc
sme que dans les cas absolument nécessaires, soit pour prévenir une
attaque
imminente, soit dans des paroxys- mes du délire
sant toujours de lui-même sur ce dernier symptôme. 4 septembre. -
Attaque
de léthargie avec contracture des quatre membre
çoit la visite de ses parents qu'elle accueille fort bien. Le soir,
attaque
de léthargie avec contractures. Au réveil, para
raplégie surtout acceu- tuée dans la jambe gauche. 17. - Nouvelle
attaque
de léthargie avec contracture. Au réveil. dispa
plus d'excita- tion, plus d'hallucinations. 21. - Prodromes d'une
attaque
disparaissant sous l'influence des suggestions
est très calme. Les anciennes suggestions persistent toujours. 3.
Attaque
convulsive après laquelle, se souvenant seulement
vêtements sont empoisonnés. Cependant elle ne s'excite pas. Avant l'
attaque
, sentant sa boule remonter, elle disait : « Je
e mange proprement au réveil, est calme, cause raisonnablement. 8. -
Attaque
convulsive avec une période de délire où elle voi
savoir pourquoi; cependant l'idée du poison n'existe plus. 1° ? . -
Attaque
de léthargie sans contracture : même état, très
es; elle délire alors sur les enterrements, les catacombes. A 8. -
Attaques
de léthargie avec contracture. Même état mental
t mental que le 15 durant jusqu'au 24. 21. - Ce jour-la, nouvelle
attaque
de léthargie avec contracture. 388 RECUEIL DE F
resthésie du vertex ont dis- paru. Ne parle plus de mourir. 27. -
Attaque
de léthargie suivie de contractures. 28. Toute
nt ; fait toujours des erreurs de personnalité. , der novembre. -
Attaque
de léthargie avec contractures. 3. Accès de mig
il ne reste que la parésie de la jambe gauche avec anesthésie. 8.
Attaque
de léthargie de trois heures à onze heures du soi
i disantque tout est fini et elle se réveille. C'est, en somme, une
attaque
avortée, grâce aux suggestions antérieures. 2
diques dans le côté gauche de la face, autrefois précur- seurs de l'
attaque
convulsive. Elle n'étoulfe pas, ne sent pas sa
s. En se réveillant, elle dit : « N'est-ce pas que je n'ai pas eu d'
attaque
. D'ailleurs, je me sens bien guérie, et n'en aura
ité et de mémoire. Hier soir, une malade ayant eu à côté d'elle une
attaque
d'épilep- sie, elle est prise de peur, se sauve
ère qui l'emportera, si elle dure toujours. Au contraire, si l'on s'
attaque
à la cause, l'idée qui en résulte disparaîtra p
aussi bien au physique qu'au moral. On nous objectera peut-être les
attaques
de léthargie de notre malade; mais il suffit de
symptômes éclatent subitement sous forme d'ictus apoplectique ou d'
attaque
convulsive, suivis de paralysie intéressant le
tard une terminaison fatale. Parfois la mort survient à la première
attaque
, en quatre ou cinq heures. Il n'est pas douteux
distingué, continua à produire avec autant de succès qu'avant son
attaque
. Elle succomba aux atteintes d'un érysipèle qui
ques jours. Chez notre deuxième malade (OBS. LXIII), une première
attaque
fut suivie d'une hémiplégie qui s'amenda et guéri
soixante-quatorze ans, extrêmement athéromateuse, ayant eu quelques
attaques
apoplectiques : démence consécutive avec parési
ues : démence consécutive avec parésie gauche. Sans qu'une nouvelle
attaque
se soit produite, on constate, un matin, des mo
s extrémités gauches, et surtout dans le bras. L'auteur croit que l'
attaque
d'apoplexie a passé inaperçue, ou qu'il s'est e
ie droite pas- sagère, parésie faciale légère. Deux mois plus tard,
attaque
épileptiforme avec hémiparésie gauche passagère
iforme avec hémiparésie gauche passagère, ultérieure- ment suivie d'
attaques
semblables avec trouble dans .l'articu- lation
, a perdu la vue du côté sain jusque là et estmortaprès une « forte
attaque
. » Enfin le septième, qui avait atteint l'âge d
Tare héréditaire. Jadis petit mal, et plus tard hystéro-épilepsie (
attaques
et troubles psychiques). Puis insomnie, qui cèd
tte dernière, ni déprécier le rôle de la première. II. Genèse des
attaques
congestives. Quel en est le point de départ ? C
? Comment se forment-elles ? C'est l'écorce grise qui engendre les
attaques
épileptiformes ; celles-ci sont le résultat d'u
ents , hémorragies sous-ménin- gées, hématome de la dure-mère). Les
attaques
apoplectiformes dérivent d'oscillations fréquen
ormation de kystes se rattache à ces modifica- tions. Peut-être les
attaques
congestives émanent-elles de thromboses hyaline
te une zone hystérogène. La compression du testicule droit arrête l'
attaque
de convulsion. V... est bavard, violent, arroga
gauche. La zone hystérogène, le testicule dont la pression arrête l'
attaque
convulsive, ont éga- lement changé de côté. Le
accident de la vipère qui a causé sa maladie, tout ce qui a suivi l'
attaque
et le changement spontané d'état survenus à Bon
nt de la vipère dont l'évocation amène infailliblement une grande
attaque
d'hystéro-épilepsie. Sixième ÉTAT. - Absence de
ses sujets; de plus, il a vu un de ces sujets être pris plus lard d'
attaques
épilep- toïdes. En ce qui concerne, les aliénés
x ! 'bom ! ne,avecdedoubie- ment de la personnalité et arrêt de l'
attaque
par la pression des tendons), par J. Voisin, 21
me, par Bucb, 87. Zones (des) hystérogènes et hypno- gènes, des
attaques
de sommeil, par Pitres, 125. TABLE DES AUTE
cultés intellectuelles à un niveau constant, elles varient avec les
attaques
; or ils ont le plus souvent la perception de ce
serva- tion attentive permettra de surprendre des vertiges ou des
attaques
nocturnes qui avaient passé inaperçus. En résum
verses, par lesquelles passe l'activité de l'intellect, après les
attaques
ou dans leur intervalle, viennent se refléter d
e nystagmus, diplopie. embarras particulier de la parole, vertiges,
attaques
apoplectiformes, troubles spéciaux de l'intelli-
e. 11 est bon de dire toutefois qu'on n'a jamais relevé chez elle d'
attaques
convul- sives quelconques. Les quelques renseig
ÉRIE. [Identité de la nature des phénomènes qui composent la grande
attaque
hystérique et de leur mode de succession chez d
ymp- DE L'IIYSTÙRO-PILr,,PSIE. 67 tomes, qui composent une grande
attaque
d'llystéro-épilopsie ou hysteria major, de nomb
e. l'opinion du professeur de la Salpêtrière : que dans la grande
attaque
d'hystérie, « rien n'est livré au hasard ; que to
un changement n'était survenu dans les symptômes de la maladie. Les
attaques
ont toujours été semblables à celles que j'ai p
des règles) qu'elle est atteinte de ce qu'elle appelle " ses fortes
attaques
. » « L'attaque est toujours précédée d'une péri
e est atteinte de ce qu'elle appelle " ses fortes attaques. » « L'
attaque
est toujours précédée d'une période prodromique,
région ovarienne gauche, très peu sensible dans l'inter- valle des
attaques
, devient alors très sensible à la pression. Parfo
ne heure, est toujours le moment le plus pénible. Elle désire que l'
attaque
commence. « Le début de l'attaque est marqué pa
e plus pénible. Elle désire que l'attaque commence. « Le début de l'
attaque
est marqué par la perte de connaissance et par
ouve un poêle qu'elle ne voit pas, ainsi qu'elle le raconte après l'
attaque
. Mais c'est toujours à cette phase qu'elle voit'l
e plie et replie. Cette scène ne manque jamais, et cette phase de l'
attaque
est désignée par les malades de la salle sous l
eures, triste et mélancolique. « Telle est la marche habituelle des
attaques
chez notre malade. Elles se succèdent ainsi pen
rès sensible à la pression, la compression ovarienne n'arrête pas l'
attaque
. Mais elle est très douloureuse, et provoque de
use, et provoque des cris, au moment même de 70 REVUE CRITIQUE. l'
attaque
. Les vertèbres cervicales, la partie frontale du
es règles la malade est toujours plus irritable, plus sujette à ses
attaques
qui sont'alois plus violentes. « Les autres f
maladies. Le plus souvent l'hystérie se présente ici sous forme d'
attaques
épileptoïdes et choréïques. L'hystérie porte le
est entièrement développée. » « Voici du reste la description de l'
attaque
. « Avant l'attaque, les malades se sentent mal,
loppée. » « Voici du reste la description de l'attaque. « Avant l'
attaque
, les malades se sentent mal, sont très irri- ta
es heures, et même jusqu'à vingt-quatre heures, puis fait place à l'
attaque
qui commence ainsi : la malade se couche ou s'a
paraisse. A ce moment la ma- lade demande toujours à boire. Après l'
attaque
, elle urine sou- vent très abondamment, parfois
ois elle a de la diarrhée. Après une durée de une à quatre heures l'
attaque
cesse complètement. La malade se plaint alors p
elle retourne le jour même à ses occu- pations habituelles. Mais l'
attaque
ne cesse pas toujours aussi promptement. Le plu
Il arrive quelquefois que la malade se sente beaucoup mieux après l'
attaque
qu'avant. « Parfois l'attaque est incomplète, e
ade se sente beaucoup mieux après l'attaque qu'avant. « Parfois l'
attaque
est incomplète, et la malade ne perd pas connai
alepsie et de léthargie qui appartiennent aux variétés de la grande
attaque
hystérique, il est facile de retrouver, dans la
wiecki, tous les signes des quatre périodes classiques de la grande
attaque
régulière. DE L'HYSTËRO-ËPILEPSIE. 73 II. L'h
e put se reposer alors plusieurs heures et n'eut plus qu'une légère
attaque
le même soir. Dans la descriptiomqui précède
iptiomqui précède il est facile de reconnaître les caractères d'une
attaque
de grande hystérie dans laquelle prédo- minerai
égion iliaque et immédiatement tous les symptômes précurseurs d'une
attaque
s'en suivirent, spasme et distension de l'abdom
ent à elle et jeta de tous côtés des regards confus et égarés. Si l'
attaque
avait été complètement établie, j'aurais simple
s, sont plus remarquables au point de vue des variétés de la grande
attaque
hystérique, qu'au point de vue de la régu- lari
une série de crises dont il fut témoin, et qui débuta par plusieurs
attaques
épileptiformes, avec écume à la bouche, morsure
t hallucinations terrifiantes , menaces et langage obcène. Puis une
attaque
de contracture généralisée pendant laquelle le
. Dans l'observation n° II, les signes manquentpour rattacher les
attaques
épilcptiques, à la diathèse hystérique. Ce pour
hôpital allemand le 13 novembre 1879. De neuf à douze ans plusieurs
attaques
de chorée. Enfance fréquemment trou- par des ca
tard elle fut admise à l'hôpital allemand, où elle eut de violentes
attaques
convulsives, et où l'on diagnostiqua l'hystérie
it, elle avait perdu connaissance et avait été prise d'une violente
attaque
de nerfs. Pendant les deux heures qui sui- vire
t une série de convulsions; depuis elle a toujours eu de semblables
attaques
deux ou trois fois par semaine ou même plus sou
ou la manipulation de ces régions amenait en quelques instants une
attaque
de spasme. Les attaques se produisaient cependant
ces régions amenait en quelques instants une attaque de spasme. Les
attaques
se produisaient cependant sans cause d'excitati
Pendant une période variant de six ci douze heures environ avant l'
attaque
, elle se sentait ordinairement triste, mélancoliq
a faiblesse et de la fatigue dans les membres. Au commencement de l'
attaque
ses yeux devenaient lourds et son regard vague,
eu plusieurs fois l'occasion d'assister aux différentes phases de l'
attaque
ou des séries d'attaques qui se prolongeaient que
sion d'assister aux différentes phases de l'attaque ou des séries d'
attaques
qui se prolongeaient quelque- fois pendant une
et cependant on pouvait constater dans les différentes phases de l'
attaque
des res- semblances générales. Je vais essayer
r son séant et regarda autout d'elle, avec une 1 La description des
attaques
de crucifiement a été donnée pour la pre- mière
ron un quart d'heure après, elle s'endormit. Tel est le récit d'une
attaque
. Quelquefois elle en avait plusieurs de suite,
! Oui ! Souvent on l'entendit murmurer pendant des heures après l'
attaque
. Quelquefois ses lèvres s'agitaient sans que l'on
ls fait remarquer que les rapprochements entre les symptômes de ses
attaques
et ceux qui composent l'attaque type d'hystéro-
hements entre les symptômes de ses attaques et ceux qui composent l'
attaque
type d'hystéro-épilepsie sont faciles à constat
s diverses phases peuvent être retrouvées sans grande difficulté. L'
attaque
était précédée d'une période prodromique caract
second cas rapporté par le même auteur et qu'il considère comme une
attaque
aiguë (acule attack) survenue chez une femme hy
e l'hystéro-épilepsie, mais les différentes périodes et phases de l'
attaque
ne paraissent pas pouvoir être aussi-nette- men
emblait surtout composée des phénomènes de la deuxième période de l'
attaque
type, convulsions étranges, contorsions violent
liquer exactement la description que nous avons donnée de la grande
attaque
hystérique, à la suite de M. le professeur Char
s atteintes d'une maladie fébrile indo- lente, caractérisée par des
attaques
de convulsions cloniques, persistant pendant ci
'idiotie, M. Pollak se basant sur l'état congestif prodromique, les
attaques
apoplectiformes, les tremblements de cause affec-
sé chez son patron, vol d'un changeur, vol d'un garçon de recettes,
attaque
nocturne, vol d'un concierge le jour du terme,
la main et le bras ne le sont plus ; et le patient n'a eu que deux
attaques
d'épilepsie depuis l'opération. M. Hammond pens
s'accomplit. Hémorrhagie de la protubérance. Mort onze mois après l'
attaque
, par M. Miles. La malade, âgée de quarante ans,
t racontent qu'elle est épileptique et que, depuis 1873, elle a une
attaque
environ chaque mois. Elles racontent en outre q
ÉRIE. [Identité de lu nature des phénomènes qui composent la grande
attaque
hystérique et de leur mode de succession chez,
u Dr Calmels, qui avait eu l'obligeance de me la com- muniquer. Les
attaques
, que la prédominance des phénomènes de la deuxi
gé l'histoire avec tout le soin désirable. Dans ce cas, les grandes
attaques
offraient une pré- dominance marquée de la troi
ements, a toujours fait dé- faut. La malade présentait en outre des
attaques
de catalepsie sur lesquelles je n'insisterai pa
ons plus loin cet enfant blond et les fleurs jouer un rôle dans ses
attaques
. Dès l'âge de trois ans ses parents l'ont laiss
l'eau, beaucoup d'eau. Une demi-heure plus tard éclate la première
attaque
d'hystéro- épilepsie, attaque encore mal dessin
mi-heure plus tard éclate la première attaque d'hystéro- épilepsie,
attaque
encore mal dessinée, et caractérisée surtout par
quinze mi- nutes. La malade revient à l'état cataleptique d'avant l'
attaque
: réapparition des hallucinations de la vue, vi
u dormir. Elle a prononcé quelques paroles incohérentes, a eu une
attaque
dans le genre de celle de la journée. Les halluci
nt de l'aura. Je vais décrire avec quelques détails cette troisième
attaque
d'hystéro-épilepsie. C'est une des plus complèt
ois j'ai constaté le retour de la période épileptoide du début de l'
attaque
. Dans toutes les autres attaques, cette période n
a période épileptoide du début de l'attaque. Dans toutes les autres
attaques
, cette période ne s'est produite qu'au début, t
u de la physionomie. Période terminale. Pendant toute la durée de l'
attaque
la ma- lade n'a pas prononcé un seul mot. Il ex
moins dans l'état semi-cataleptique qui avait précédé la crise. Les
attaques
d'hystéro-épilepsie se sont donc développées au
taques d'hystéro-épilepsie se sont donc développées au milieu d'une
attaque
de catalepsie, qui ne s'est ter- minée que quel
La raison des attitudes passionnelles qui se sont montrées dans les
attaques
précédentes se trouve dans la présence d'hallucin
intéressants détails de l'examen de la malade dans l'intervalle des
attaques
, et qui ont traita cet état cataleptique singul
re heures du soir à sept heures, la malade entre en crise. Première
attaque
. Phase de l'aura, d'une durée d'environ une heu
s mêmes faits, les mêmes paroles reviennent à plusieurs reprises. L'
attaque
se termine, l'intelligence redevient nette, mai
énomènes de l'aura réapparaissent. Je note que pendant celle longue
attaque
il n'y a pas eu trace de catalepsie. Les mouvem
à-dire que l'état cataleptique persiste non seu- lement pendant les
attaques
, mais dans leur intervalle. Celles-ci survienne
s du matin. Pendant cette période, la malade a eu quatre séries d'
attaques
absolument analogues à l'attaque du 16 août, pr
e, la malade a eu quatre séries d'attaques absolument analogues à l'
attaque
du 16 août, précédemment décrite, avec des diff
a- raitre et que nous n'avions jamais observée dans les premières
attaques
. Cette phase de délire a tantôt suivi les gesticu
'est montrée immédiatement après la période épilep- tolde. Dans l'
attaque
qui s'est produite le 5 octobre, à onze heures du
placé les tableaux tristes. Avant d'entrer dans la description de l'
attaque
, il est utile de rap- DE L'IIYSTÉRO-ÙPILr,,PSIE
ous cette impression qu'est survenue la crise. Comme d'ordinaire, l'
attaque
commence par la période épilep- toide, période
mais elle l'imite, comme elle imitait le langage des muets dans une
attaque
précédente.) Cette scène se continue quelques i
reprises les mêmes gestes, répète les mêmes paroles. Deux autres
attaques
du même genre se succèdent sans inter- ruption,
ont leur apparition toujours dans le coin à droite. Dans les deux
attaques
du lendemain les hommes noirs reviennent prendr
ent piller et saccager le sanctuaire. Dans son délire, à la fin des
attaques
, ils apparaissent aussi et à leur vue, elle pro
Tou- jours là ! Quelle épouvantable rencontre ! » Dans laseconde
attaque
du 6, l'enfant blond est aussi venu jouer son p
appelle, puis passe aux scènes religieuses. Dans l'in- tervalle des
attaques
les hallucinations ont persisté. . 7 octobre. D
ttaques les hallucinations ont persisté. . 7 octobre. Deux séries d'
attaques
: une de neuf heures à onze heures, l'autre de
f heures à onze heures, l'autre de huit heures à minuit. Dans ces
attaques
les attitudes passionnelles ont varié, les hallu-
font une nouvelle irruption, etc. En reliant entre elles toutes les
attaques
de ces derniers jours, on peutsuivre, au traver
son voyage imaginaire, par une visite à Fourvières avec la première
attaque
; elle le termine avec la der- nière par une so
terminé par le retour complet à l'état normal. Pendant toutes les
attaques
la 'compression ovarienne a toujours amené la c
esquels il s'est produit. Il montre bien que dans l'évolution d'une
attaque
de grande hystérie, la part de l'imagination du
e point le mode d'évolution des diverses périodes qui composent une
attaque
. Elle n'invente point la façon dont s'enchevêtr
hallu- cinations d'un caractère gai ou agréable. Une période de l'
attaque
peut faire défaut, mais l'ordre général n'est poi
leptiques persistant même dans l'intervalle des crises. Mais chaque
attaque
débute par une période épileptoïde nettement ca
ntensité ou d'intégrité plus ou moins grandes, le type de la grande
attaque
d'hystéro-épilepsie est donc toujours le même.
s malades déterminé l'aura, tandis que la môme manoeuvre arrêtait l'
attaque
développée spontanément. En deux cas, où il exi
, exacerbée la nuit, sans vomissements ni perte de connaissance, ni
attaques
épileptiformes. Depuis un mois, sans acte dérai
que du cerveau. D. B. XIX. Hydrocéphale chronique consécutive A une
attaque
de ménin- GITE aiguë. - 1 : \IPLOf des courants
ectriques de l'hé- miplégie cérébrale. Aucun de ces malades n'eut d'
attaque
apoplec- tique et tous succombèrent rapidement
et de la sclérose en plaques, l'ataxie locomotrice peut offrir des
attaques
apoplectiformes consistant en vertiges, étourdi
divers, fugaces plutôt que perma- nents. Des crises laryngées, des
attaques
épileptiformes peuvent simultanément survenir.
ptembre l'a retrouvé à la maison Dubois, où il était entré pour des
attaques
épileptiformes; enfin il mourait tout d'un coup
ie générale que dans toute autre forme de psychose. M. Hundoegger
attaque
la question de la latence de la syphilis. Il ra
un mou- vement spasmodiquc à droite. A la suite do cette première
attaque
les choses sont restées dans le même état où elle
ytique du membre supérieur de ce côté. 1 Huit jours après, deuxième
attaque
ayant les mêmes carac- tères que la première. Q
s mêmes carac- tères que la première. Quatre jours après, troisième
attaque
identique aux précédentes, mais à la suite de l
ve et trois ans ' 1 ? ? 'iut ? 4"" 41' t Oit ? )) ? plus tard une
attaque
de rhumatisme polyarticulaue ayu. 'Réglée 'depu
ons, en somme, aune ébauche de la,période épileptoïde.de la. grande
attaque
hystérique. Cette phase convulsive est suivie.
duquel la malade, réouvre spontanément connaissance. Pendant, cette
attaque
,, nous nous sommes bornés a'maintenir la malade
trois mois environ après, le début 'des .accidents,, .elle qiit une
attaque
aiiticiguelà la,à ? rqi'n 1 , avq p,Qite de.eoniy
,lla prémièrel fois, la'-malade aurait eu à.plusieurs reprises des-
attaques
apoplectiques avec crises épilelpisoi Fn Inisse
-I ? tf ? f ? 7 ? 0f ? ) ? ï ? t ' ! 'La face ? lors de la première
attaque
, était, avons-nous dit, tirée a gauche ? actuel
-, t r e ? 4 's éjJileptiformes localisées. s'urtoué dans Le 19, "
attaques
épiteptiformosfi'équente's;']oca]isécs.surt,outda
duire 'fréquemment le lendemain ! "1'' f ' "M^' lit,. I ,J'Lé'2l,
attaque
épileptiforme très viblenteù la' visite',1 et' qu
ndeur, étciréônsérit'toulëlâlésiônl ? 1 u ? 1 ? I1"" ^ 1er février,
attaque
épileptiforme peu intense et qui dure peu de 'C
35 si REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. larmes, après deux nouvelles
attaques
, cessent d'être sanglantes. Le blépliarospasnie
réflezclroltülien (faiscea.ylpyramilla,ux). Il en est de, même. des
attaques
apo- plectiformes.-épileptiformes ou mixtes don
si sage, si consciencieusement élaborée, a été l'objet de bien des
attaques
. La commission, dont j'ai du l'honneur SOCIÉTÉS
i- même sa propre observation, il attend aujourd'hui sa trentième
attaque
. On doit attribuer ces accidents à une ischémie c
dre connaissance. La cessation des iavagesafaitdispaiaitrotoutautre
attaque
. Cefaita a de particulier qu'il n'excitait ni l
e; ici sont consignées les observations toujours si intéressantes d'
attaques
de sommeil, de somnambulisme provoqué, d'anomalie
résentent de l'em- barras de la parole, l'inégalité pupillaire, des
attaques
épilepti- formes. Dans les accès à courte pério
arrive, c'est du fait d'un accident ou d'une congestion céphalique,
attaque
épileptiforme, etc. On n'a guère tenté qu'un tr
La première leçon est consacrée aux phénomènes avant-coureurs de l'
attaque
, aux modifications du caractère et principalement
omène est des plus importantes; elle permet de prévoir à coup sûr l'
attaque
, puisqu'il se manifeste toujours d'une façon id
n les hallucinations (h. sensorielle), ou le délire précurseur de l'
attaque
(A. intellectuelle), peuvent être le point de d
e consécutive à une blessure du talon. Le malade est prévenu de ses
attaques
par une aura sensi- tive et motrice. La deuxi
iption très complète des différentes formes de l'épilepsie : grande
attaque
, vertige, absence, épilepsie larvée. On y trouv
galement la physiologie pathologique des principaux phénomènes de l'
attaque
: cri initial, pâleur du visage, déviation de l
aux démontrent l'existence d'une congestion cérébrale au début de l'
attaque
. Des tracés placés à la fin de l'ouvrage établis-
es mêmes phénomènes; de là deux mécanismes de mort subite pendant l'
attaque
. La troisième et la quatrième leçon sont consac
par sa durée (io à 20 jours), consécutive en général à une série d'
attaques
, elle ressemble beaucoup à un accès de manie. Les
1'), par Koch, 362. Hydrocéphale chronique consécu- tive à une
attaque
de méningite aiguë, par lliathelin, 245. 0 ll
on d'accès, car les accès nocturnes évités furent compensés par des
attaques
diurnes plus fréquentes. Deux fois sur vingt ba
taques diurnes plus fréquentes. Deux fois sur vingt bains, il y eut
attaques
dans le bain, malgré la température du malade à
température atteint 41°, à à neuf heures du matin : le malade à une
attaque
d'épilepsie franche, la première avec une phase
'ig. 1. Indique la température prise toutes les trois heures ; X, une
attaque
; XXXX, attaque en série ; 0, injection de sérum
la température prise toutes les trois heures ; X, une attaque; XXXX,
attaque
en série ; 0, injection de sérum artificiel 500
re dès l'invasion de la fièvre. Tous deux ont résisté à la première
attaque
. Chez le' Fig. 2. La température rectale après
La température rectale après le bain d'un quart d'heure a 24°, X, une
attaque
; XXXX, attaque en série; 1 P. C. C., potion cor
rectale après le bain d'un quart d'heure a 24°, X, une attaque; XXXX,
attaque
en série; 1 P. C. C., potion cordiale avec 0,50
c vomissements. Vers le mois d'août 1896, perte de connaissance, et
attaque
con- .vulsive, suivie dans la nuit de deux autr
sance, et attaque con- .vulsive, suivie dans la nuit de deux autres
attaques
semblables, débutant par les bras, avec déviati
I. Femme de cinquante-six ans, sujette depuis son adolescence à des
attaques
récidivantes de manie : la maladie se présente
tion initiale, telle que grande crise de diarrhée, fièvre septique,
attaque
de fièvre mal caractérisée et attribuée au palu-
ne échelle : à la suite de sa chute, il a eu dans une nuit quatorze
attaques
de nature épileptique. Pas de fracture du crâne
sont ceux qui aident à élucider la pathogénie de l'épilepsie : les
attaques
ont été très violentes, et l'hémiplégie qui les
hique, et de tempérament hysté- rique : ils ont eu précédemment des
attaques
hystériques, ou pré- sentent des stigmates perm
e quelque perturbation nerveuse, telle qu'un choc émotionnel ou une
attaque
épiteptiforme ou apoplecti- forme (apoplexie hy
l'apoplexie hystérique n'est probablement qu'une phase de la grande
attaque
hystérique, et diffère de l'apoplexie vraie entre
contracturée, tandis que dans l'hémiplégie organique la contracture
attaque
isolément les différents muscles et même différ
he du corps avec sensation de fourmillements. Dix-huit mois après l'
attaque
, le ptosis a disparu; les troubles de la sensibil
S. , 189 formule les deux conclusions suivantes : 4° les prétendues
attaques
épileptiques de ces grands hommes peuvent tout
eptiques de ces grands hommes peuvent tout aussi bien avoir été des
attaques
hystériques; les observations rapportées par les
autre; en outre; elle serait moins solide. .11 n'ya eu qu'une seule
attaque
semblable. . 111 : y,a trois ans, à la suite d'
ent disparu après cette période de repos, était la conséquence de l'
attaque
de paralysie qu'il nous décrit. A l'âge de dix-
que le malade était penché pour faucher son blé lors de la première
attaque
. Les douleurs siégeaient sur le trajet du sciat
e fausses couches.- MALADIE NERVEUSE s FAMILULE. 199. La première
attaque
de paralysie remonte en z. Le malade' sarclait
ns l'intervalle de temps compris entre la deuxième et; la troisième
attaque
une certaine faiblesse de la jambe gauche. avec
he. avec une douleur vague- dans les mollets jusqu'à'la'troisième
attaque
. 1 - Cette dernière s'est produite, comme les d
sième attaque. 1 - Cette dernière s'est produite, comme les deux,
attaques
précé-. dentes, au mois de juin (1898). Elle se
ion. Il raconte encore que dans les premiers temps de sa dernière
attaque
, lorsqu'il se tenait debout, ses jambes fléchissa
inverse : . Son intensité est très variable.suivant les cas et les.
attaques
les nerfs cérébraux sont d'ordinaire intacts. I
troubles de la parole et avec conservation de la conscience. Deux
attaques
semblables se répétèrent pendant les cinq jours
ement parfois des douleurs dans la tête et. dans les-jambes. Chaque
attaque
durait une demi-heure- à huit jours. Les attaqu
les-jambes. Chaque attaque durait une demi-heure- à huit jours. Les
attaques
abortives se caractérisaient uniquement par des
disme a longtemps passé pour exercer une influence heureuse sur les
attaques
épileptiques, l'auteur ne l'a jamais observé ;
bserver certains épilep- tiques devenus paludéens au cours de leurs
attaques
et chez qui l'impaludisme a semblé jouer le rôl
l'infection paludéenne. Après l'infection il se déclara de franches
attaques
d'épilepsie et ces attaques s'accen- tuaient à
s l'infection il se déclara de franches attaques d'épilepsie et ces
attaques
s'accen- tuaient à chaque nouvelle infection ma
la lésion n'est pas douteuse ; le mode de début, le caractère de l'
attaque
, mieux encore le succès du trai- tement spécifi
ce. R. de lIIUSGIiA\'E-CL.1Y. Un cas de crétinisme consécutif à une
attaque
de thyroï- dite aiguë; par Edmund SIIIELDS. (Tl
gestions, même perte graduelle de l'intelligence, gâtisme, spasmes,
attaques
épileptiformes et haute température à la fin. E
été tourmentée par des embarras d'argent. Ni peur, ni syncope, ni
attaques
de nerfs, etc. Accouchement à terme en vingt ou
de diverses maladies infec- tieuses : coqueluche à cinq ans, trois
attaques
d'influenza dont la dernière il y a trois ans,
dernière maladie infectieuse de notre maladé était jus- tement une
attaque
de grippe, deux ans et demi avant les ABCÈS DU
et le malade ne reprend nettement connaissance que-lelcndemain. L'
attaque
convulsive était très nettement épileptique, mais
sociée à la diathése tuberculeuse. 14° Les causes provocatrices des
attaques
de folie paraissent être en somme à peu près de
la vie un peu plus précoce que la folie non héréditaire. 18° Les
attaques
de folie héréditaire peuvent survenir à n'im- p
itaire que dans les cas de folie non héréditaire. 2on La durée de l'
attaque
de folie dans les cas héréditaires qui guérisse
r le cas actuel dont le sujet syphilitique était en outre atteint d'
attaques
épileptiformes et présentait un complexus patho
ntelligence, escarres, tremblement et spasmes musculaires, parésie,
attaques
épileptiformes, amaigrissement extrême malgré l
sme com- plet, douleurs, contractures, tremblement, escarres, enfin
attaques
épileptiformes très fréquentes. A la fin, fièvr
sont différentes dans l'une et .dans l'autre classe. , 1° Homme,
attaques
épileptiformes depuis l'enfance, hémiplégie dro
roupes latéral et postéro-externe. 2° Homme, hémiplégie droite avec
attaques
^épileptiformes et réflexes exagérés (de naissa
de la corne antérieure. 3° Femme, hémiplégie droite (de naissance),
attaques
épilepti- formes depuis l'âge de douze ans, dém
vol. XXIV, p. 1286). Un homme de trente-neuf ans était sujet à des
attaques
convul- sives depuis l'âge de vingt-deux ans; e
e l'épaule. On a extirpé la portion correspondante de l'écorce. Les
attaques
convulsives ont été supprimées pour quelque temps
ne chute sur l'occi- put. Un an plus tard, il avait eu une première
attaque
de convul- sions, limitée au bras et à la jambe
ttaque de convul- sions, limitée au bras et à la jambe gauches. Les
attaques
se sont répétées, dans la suite, jusqu'au nombr
maxima déterminait des contractions du membre supérieur droit. Les
attaques
convulsives se sont reproduites après l'une et
sujet à des L'ÉPILEPSIE PARTIELLE. PATHOGÉNIE ET TRAITEMENT. 373
attaques
convulsives; leur fréquence était allée en augmen
t médicamenteux avait été suivi d'une amélioration pas- sagère. Les
attaques
débutaient par le pouce, par la commissure labi
alable, à l'aide de l'excitateur électrique. Après l'opération, les
attaques
se sont d'abord reproduites avec une très grand
plus. Au moment où le malade quitta l'hôpital, il n'avait plus eu d'
attaques
depuis quelque temps, mais il lui restait une p
de manie aiguë (méningite au dire de l'auteur) ; à ce moment, les
attaques
convulsives réapparurent avec une grande fréquenc
âge de trois ans et demi. Un an plus tard, il avait eu une première
attaque
de petit mal. Peu de temps après survint une at
u une première attaque de petit mal. Peu de temps après survint une
attaque
d'épilepsie, partielle d'abord, et qui se génér
généralisèrent, après que l'enfant eut perdu connaissance. D'autres
attaques
semblables ont suivi; leur fréquence est allée
uze heures après la fin de l'opération, le malade a eu une nouvelle
attaque
; l'administra- tion de fortes doses de bromure
e perte de connaissance de trois heu- res de durée, il avait eu des
attaques
convulsives; leur fréquence était allée en augm
né. Immédiatement après cette pre- mière opération, il avait eu une
attaque
convulsive; toutefois, pendant les quatre mois
uivants, il n'en eut pas d'autres. l'uis il tomba dans de nouvelles
attaques
; il n'en eut pas moins de vingt- cinq, en l'esp
e l'excitateur électrique. L'excitation de ce centre a provoqué une
attaque
semblable à celles qui survenaient spontanément.
e a quitté l'hôpital le vingt-quatrième jour ; il n'avait plus eu d'
attaques
depuis son opération. On apprit, par la suite, qu
té gauche du crâne. Deux ans plus tard, il était devenu sujet à des
attaques
d'épilepsie; à certaines époques, elles se produi
La paralysie a mis trois semaines à se dissiper. Le malade a eu une
attaque
d'épilep- sie partielle, deux jours après l'opé
nt pendant près de trois années. Finalement, il a eu de nou- velles
attaques
, à des intervalles assez éloignés. z 3° PAMER R
à participer aux secousses. Le malade devint sujet à de véritables
attaques
d'épilepsie par- tielle. Elles commençaient par
e terminait par de nouvelles secousses de la main. La durée d'une
attaque
était de dix secondes environ. Dans les derniers
ait de dix secondes environ. Dans les derniers temps, le nombre des
attaques
s'était élevé jusqu'à vingt et trente dans les
mêmes parties. ' Pendant les cinq mois qui ont suivi, le nombre des
attaques
s'est abaissé progressivement, jusqu'à n'être p
séjour à l'hôpital, on a pu faire les constatations suivantes : les
attaques
débutaient par une sensation de raideur dans le
à la région pariétale droite. Dix-huit mois plus tard, il a eu une
attaque
subite de perte de connaissance. On le fit entr
hystérie. Enfin, vingt mois après son accident, il a eu sa première
attaque
épileptoïde généralisée ; elle dura plusieurs h
pré- senté une paralysie passagère du membre supérieur droit. Les
attaques
d'épilepsie se sont reproduites. c) Dans cinq c
issance un jour durant. Six années plus tard, il devint sujet à des
attaques
convulsives, d'abord pendant son sommeil, et pl
ves, d'abord pendant son sommeil, et plus tard pendant le jour. Ces
attaques
débutaient par une aura dans l'index et le médi
aient. La connaissance était conservée partiellement. Le nombre des
attaques
s'élevaient jusqu'à vingt-huit dans les vingt-qua
s les trois mois qui ont suivi l'opération, il n'a pas eu une seule
attaque
, à part les quelques légers accès de secousses
quarante-un ans était sujet, depuis l'âge de vingt-cinq ans, à des
attaques
de convulsions généralisées qui débutaient - par
Au mois de juillet suivant le malade n'avait pas eu de nouvelles
attaques
. 3° IENN (Five cases of cérébral surgery, etc.
tié gauche du crâne. Peu de temps après, elle avait eu une première
attaque
d'épilepsie. Dans les onze années qui ont suivi,
es onze années qui ont suivi, cette femme n'a eu que deux nouvelles
attaques
, puis leur fré- quence est allée en augmentant.
de supination de la main et des secousses dans le bras. Pendant ces
attaques
, la malade perdait connaissance, puis elle épro
après l'opération. Dans l'intervalle, elle n'avait pas eu une seule
attaque
convulsive ; l'état général et l'état intellect
involontaires, auxquelles fit suite une 380 CLINIQUE NERVEUSE. -
attaque
d'épilepsie. Ce même jour, il a eu deux autres at
NERVEUSE. - attaque d'épilepsie. Ce même jour, il a eu deux autres
attaques
; elles se sont réduites à des secousses convuls
es secousses convulsives du pouce droit. Le lendemain, de nouvelles
attaques
ont suivi, auxquelles parti- cipa toute la main
interrompre l'opération. Le 16 mai, le malade a eu trois nouvelles
attaques
convulsives; les spasmes sont restés limités au
toméningite de vieille date. Le 25 mai, le malade a eu une légère
attaque
; elle a consisté en secousses de l'oeil droit,
à-dire en l'espace de quatorze mois, le malade n'a pas eu une seule
attaque
convul- sive. La dysarthrie avait complètement
années après l'accident, le malade a eu pour la pre- mière fois une
attaque
d'épilepsie partielle ; depuis trois mois envir
droite, une sensa- tion de bouillonnement et de battement. D'autres
attaques
sont survenues, dans la suite ; elles étaient p
be gauche et de la moitié gauche de la nuque. Jamais, pendant ces
attaques
, le malade n'a perdu connaissance ; par moments
de tomber, en raison du vertige qu'il éprouvait. Tout d'abord, les
attaques
se suivaient à des intervalles de quatre jours
oire sur la région pariétale droite, le malade n'a pas eu une seule
attaque
, du 10 mai au 22 septembre. A partir de là, les a
u une seule attaque, du 10 mai au 22 septembre. A partir de là, les
attaques
se sont renouvelées avec une fréquence croissan
défaut ; drainage consécutif. A la suite de cette opération, lés
attaques
d'épilepsie se repro- duisirent comme par le pa
upérieur du côté opposé. A la suite de cette seconde opération, les
attaques
convul- sives ne firent que gagner en fréquence
vi cette troisième opération, on a encore constaté quelques légères
attaques
convulsives ; à partir de là, elles ont cessé d
t subi une opération, soit pendant quelque temps, débarrassé de ses
attaques
con- vulsives, pour qu'on ait le droit de concl
ont suivi l'opération et que, dans l'intervalle, il n'y a pas eu d'
attaque
convulsive. N'y aurait-il eu que ce cas unique,
des mé- comptes. Il arrivera, par exemple, que dans un cas où les
attaques
convulsives débutent par des spasmes du pouce, on
Enfin dans six cas l'opération a été suivie de la sup- pression des
attaques
convulsives ; ces cas ont été publiés par : .
landique empêche l'excitation électrique du cerveau d'aboutir à une
attaque
convulsive. Sera-t-on plus heureux dans l'ave
tte catégorie : chez B..., l'accident qui a entraîné à sa suite les
attaques
d'épilepsie est survenu le 11 juillet '1897 ; l
attaques d'épilepsie est survenu le 11 juillet '1897 ; la première
attaque
un peu sérieuse a éclaté le 15 février suivant;
le, plus ou moins long, compris entre le traumatisme et la première
attaque
convulsive ait une influence bien nette sur les
irpation du centre moteur qu'on suppose être le point de départ des
attaques
d'épilepsie partielle. On a prétendu que le ret
des attaques d'épilepsie partielle. On a prétendu que le retour des
attaques
, à la suite d'une extirpation du centre cortica
ninges ou de la paroi crânienne, susceptible de rendre compte des
attaques
, en conséquence d'une irritation exercée par la z
ritoire qui correspond au groupe de muscles par lequel débutent les
attaques
. Sup- primer ce territoire ne saurait dès lors
er ce territoire ne saurait dès lors aboutir à la suppres- sion des
attaques
. Voilà les réflexions dont j'ai cru devoir vous
épendaient, en l'espèce, de la lésion du troisième ventricule : les
attaques
épileptoïdes provenaient des nodus de nouvelle
he se développa par degrés dans les jours qui suivirent la première
attaque
convulsive. Cette paralysie s'ex- plique par la
eux ans et demi après l'apparition des premiers symptômes, deuxième
attaque
d'apoplexie, coma et mort. A l'autopsie, anévry
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. connue ; à la suite de surmenage physique,
attaque
avec perte de connaissance suivie d'affaiblisse
es d'origine ovarienne ou utérine. Il faut signa- ler que certaines
attaques
d'hystérie sont précédées d'une sen- sation dou
de faire énormément souffrir le malade, et souvent de provoquer une
attaque
de delirium tremens; il faut le suppri- mer gra
res avec articulation imparfaite du langage; enfin de véritables
attaques
congestives. Les symptômes sensoriels sont remarq
la mamelle. Quand ce petit malade avait un mois, il souffrit d'une
attaque
convulsive dont la jambe et le membre supérieur
nous avons dédiée à l'examen de cet enfant, nous avons compté six
attaques
, produites en cette forme : la tête penchée en av
uelques secondes, puis il rouvrait les yeux et tout était fini. Ces
attaques
sont celles que sa mère appelle « les petites att
it fini. Ces attaques sont celles que sa mère appelle « les petites
attaques
»; ce sont celles dont il souffre constamment. I
sont celles dont il souffre constamment. Il souffre aussi d'autres
attaques
où ses membres sont agités convulsivement, inclus
enfant en me disant que depuis trois mois il n'avait eu aucune des
attaques
dont il souffrait constamment auparavant « ni p
t enfant était âgé d'un mois, on se rappellera qu'il souffrit d'une
attaque
convulsive, dont le bras et la . jambe droits r
oduit et je le consigne comme un fait notable. La disparition des
attaques
épileptiques est digne d'attirer l'attention. E
En général, l'on observe qu'après une inter- vention crânienne, les
attaques
épileptiques, soient-elles produites par des tr
cas d'épilepsie, il se passe des mois et des années sans qu'aucune
attaque
ait lieu. Et il est utile de rappeler que lorsq
la ajouterait alors une nouvelle cause à la production de nouvelles
attaques
'. Boissier a fait connaître dernièrement la ca
s trois premiers mois qui suivirent l'opération, il n'y eut pas d'
attaques
. Dans '18 cas de fracture compliquée du crâne,
ète et paralysie. Après l'opération, la paralysie, la cécité et les
attaques
disparurent définitivement. La matière dont Koc
u'être soupçonné '. L'espace de temps qui s'est écoulé sans que les
attaques
se soient reproduites chez ce garçon, n'est pas
qu'elles ne reviendront plus. Cepen- dant, comme la disparition des
attaques
n'a pas été le seul résultat de la petite crani
ent il devenait « comme s'il était mort ». H y a déjà un an que ses
attaques
ont disparu complètement, et quoique je pense,
a observé après des interventions opératoires, car généralement les
attaques
reparaissent entre trois ou cinq mois, quoique
équent d'observer que lorsqu'un épi- leptique a passé un temps sans
attaques
, lorsque celles-ci se repro- duisent par une ca
t ans, était un garçon très turbulent, souffrant de très fréquentes
attaques
épileptiques, qui se répétaient journellement;
rnellement; il est maintenant plus tranquille, il ne souffre qu'une
attaque
parjour de 4 à 5 heures après-midi. J'opérai ce
s-midi. J'opérai ce garçon le mois d'octobre de l'année passée; les
attaques
ont diminué peu à peu jusqu'au nombre indiqué.
'on peut abriter sur le succès de cette intervention, c'est que les
attaques
ne disparaissent pas brusquement après l'opératio
entiel dans les cas d'hébétude soit qu'ils soient consécutifs à des
attaques
d'épi- lepsie pendant la nuit, et jamais consta
ion de ces accidents a nettement coiincidé avec l'entrée en scène d'
attaques
épileptiformes et apoplecliformes, d'origine co
\ ? l3oaowmow (0&o ? eH : e psi- chictt ? -ii, IV, 1899). Les
attaques
présentaient, dans l'observation en question, les
en avant sans objet; 5° le malade n'urina jamais sous lui pendant l'
attaque
, ne se mordit pas la langue, n'écuma point, n'e
viron. Déjà, à la suite de la première secousse émotive, il eut des
attaques
rappelant l'automatisme ambulatoire, dont il gu
tomatisme ambulatoire, dont il guérit. Après la seconde, il eut des
attaques
de petite épilepsie, ayant bien des traits comm
t aussi îles mélancolies alternant avec les périodes d'agitation de
attaques
épileptiformes et de l'aphasie passagère. A l'â
vingt-trois ans, l'embarras de la parole s'accentua; plus tard les
attaques
apoplec- tiformes, laissèrent à leur suite des
e malade, aurait pu passer pour delà manie ou de la mélancolie, les
attaques
épilepti- formes pour des attaques d'épilepsie.
à manie ou de la mélancolie, les attaques épilepti- formes pour des
attaques
d'épilepsie. - , SOCIÉTÉS SAVANTES. 501 S'agi
parition rapide des paralysies ainsi que l'aphasie consécutives aux
attaques
apoplectiformes. La lésion labétiforme coexista
abétiforme coexistant avec l'exagéra- tion des réflexes pendant les
attaques
semble donner un gage à l'hypothèse de Scherrin
mble qu'il est préférable d'administrer le bromure aussitôt après l'
attaque
. ' 'Marcel l3er.wn. SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE. Sé
en injec- tion inlracérébrale, il produit chez le cobaye, après une
attaque
isolée des phénomènes variables et généralement
nt, stupeur, parfois quelques secousses généralisées ; 3° après des
attaques
en série, ce liquide produit très généralement à
ociée itléo motrice. Prêtre, âgé de cinquante-quatre ans. Plusieurs
attaques
apo- plectiformes avec foyers corticaux ou dans
'y avait pas chez lui de corrélation absolue entre le délire et les
attaques
. Le tableau clinique aurait dû être complété de c
iglt, 253. TABLE DES' MATIÈRES. ` 533 Crétinisme consécutif à une
attaque
de thvroidite aiguë, par Shields.258. Crime e
rsonnelle, dont le trait le plus saillant est la suspension par une
attaque
[de goutte des phénomènes de mérvcisme. En 18
, qui se renouvelle le 2 novembre. Alors, on cherche à conjurer ces
attaques
par la belladone (0,02 d'extrait environ par jo
de quoi; ne buvait pas.- Mère, bien portante, pas de migraine, ni d'
attaques
de nerfs. Elle était enceinte du père de notre
la forçant à garder le lit pendant deux jours. Elle n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs, ni de maladies graves. [Père, mort pa
eu une ving- taine de fois environ, à la suite de contrariétés, des
attaques
de nerfs durant de cinq minutes aune heure; pas
ssez forte, asthmatique, facilement irritable; elle n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs.-Pas de névralgies, de migraines ; var
morte à soixante ans d'une fièvre typhoïde ; impressionnable, pas d'
attaques
de nerfs. Un frère est mort jeune, de convulsio
s, de difformes]. Mère, quarante ans, petite, très nerveuse ; pas d'
attaques
de nerfs, de migraines, de névralgies; pas de s
erveuse et impressionnable, pleurant souvent sans motifs ; jamais d'
attaques
de nerfs ni de syncopes. [Père et mère : ils n'
ques mois et disparut sans traitement. - A trente-deux ans, seconde
attaque
d'épilepsie à la suite de laquelle le mérycisme
h,ystéro-épilepsie à douze ans; cause. Description de l'aura et des
attaques
. Vertiges hystériques et attaques syncopales. -
use. Description de l'aura et des attaques. Vertiges hystériques et
attaques
syncopales. - Variétés, attitude du crucifiemen
, et, pendant l'année qui vient de s'écouler, elle a eu dix ou onze
attaques
; rémis- sion depuis quatre ou cinq mois. Les cr
is jours dans son nouvel atelier et en fut renvoyé à la suite d'une
attaque
. Du mois de mai au mois d'août, les crises fure
es des crises observées par elle avant l'admission à l'hospice. Les
attaques
étaient toujours diur- nes, survenaient sans au
t bonne; on note parfois un léger de- gré de diplopie au moment des
attaques
. Pour ce qui est de l'état intellectuel, il est
e et écrire couramment, etc. (Voir p. 97, etc.) , Description des
attaques
. - La grande variété que nous avons observée da
des attaques. - La grande variété que nous avons observée dans les
attaques
de notre malade, dépendant de la durée et de la
t continuait son travail, comme si rien d'anormal n'était survenu. (
Attaque
syncopale.) 1881. 11 janvier. - L'enfant étant
tant à la classe assis et occupé à écrire est pris subitement d'une
attaque
: il rejette brusquement son cahier et agite le
alement rétablie, il ignore ce qui s'est passé : il s'agit là d'une
attaque
avortée, comparable à un vertige. 14 janvier. -
tige. 14 janvier. - Nous sommes témoins, à la classe, d'une autre
attaque
: le malade pousse un cri, on l'enlève de son ban
l'inflexion de la tôle sur l'épaule droite. Période de délire. - L'
attaque
dure depuis une minute environ, lorsque se prod
eine à maintenir l'enfant qui se débat pendant quelques instants. L'
attaque
enfin cesse subi- tement ; le malade annonce qu
c'est à ce moment qu'il a perdu connais- sance. 25 janvier. Autre
attaque
. L'enfant tombe sans pousser de cri. Lesbrasse
on au cours desquels l'enfant se glisse sous un lit. 9°r février. -
Attaque
épileptoide. Pendant qu'on pratique l'exa- men
phénomènes constitue un type de la période épileptoide de la grande
attaque
. Pendant ce temps, on a pratiqué une compressio
ué une compression modérée des testicules, comme moyen abortif de l'
attaque
, mais on n'a pas constaté de résultats apprécia
e lombaire. Cet état, qui constitue la seconde période de la grande
attaque
, dure une minute, puis l'enfant s'assied, regar
stants après, reparaissent quelques convul- sions épileptoïdes et l'
attaque
se termine. - La troisième pé- riode de la gran
ïdes et l'attaque se termine. - La troisième pé- riode de la grande
attaque
, celle de délire, a donc fait défaut. Le malade
e qui l'ét.reint à la gorge. 9 février. - L'enfant est pris d'une
attaque
dans laquelle on note, comme particularités : l
du vaccin qu'on lui a inoculé récemment, il est aussitôt pris d'une
attaque
; celle-ci est analogue à quelques-unes des précéd
nsignifiante, le refus de lui donner des douches, l'enfant tombe en
attaque
. On observe la période épileptoïde avec rigidit
edemande à prendre des douches et, sur un nouveau refus, retombe en
attaque
: la période épileptoïde se déroule dans toutes
recommence les mouvements de circumduetion .et de translation de l'
attaque
précédente. Examen de la sensibilité. A aucune
en de la sensibilité. A aucune période de la maladie, en dehors des
attaques
et de l'état d'hypnotisme, nous n'avons observé
toujours été impossible en comprimant de provoquer ou d'arrêter les
attaques
. Ces points hyperesthésiques ont été rencontrés
uffement qui serait susceptible, au dire du malade, d'aboutir à une
attaque
, si on la prolongeait. Aura. - Interrogé de nou
ésumer ainsi : dans certains cas, les phénomènes prémonitoires de l'
attaque
consistent DE L·HYS'l'ERO-EY1LI;PSIE. 95 en u
à la région temporale, le tout avec prédominance du côté gauche. L'
attaque
suit immédiatement l'apparition de cet ensemble
ir totalement à lui, et, au bout de deux minutes, il est pris d'une
attaque
à forme épileptoïde. 1882. il juin. - On fait u
yeux fermés, comme dans les expériences précédentes. Le nombre des
attaques
, très considérable dans les premiers temps du s
duisons ci-contre, sous forme de tableau synoptique, l'ensemble des
attaques
qu'on a observées durant le séjour à l'hospice
ofession de chaudronnier jusqu'à la fin d'août. Il a été pris d'une
attaque
en juillet et de deux dans le courant du mois d
ensée sauvage ; bains d'amidon). 1883. 22 mai. - B... n'a paseu d'
attaques
jusqu'au 6 de ce mois. Ce jour-là, un ouvrier d
vailler. Depuis lors jusqu'à ce matin, il n'a pas eu de nou- velles
attaques
. Son sommeil est tranquille. Deux ou trois fois p
e de la Société des clairons dé Pantin. 29 octobre. - B... a eu une
attaque
le 21. La veille, il a eu une peur occasionnée
e frayeur; c'est la cause occasionnelle la plus ordinaire. III. Les
attaques
, annoncées en général par une aura, revê- taien
i redoutable sur les facultés intellectuelles. c) Quant aux grandes
attaques
, elles ont été souvent incom- 1 Voir Boumcvine
'IIYSTRO-ÉPIIFP'31E. 101 plètes; mais, si l'on fait la synthèse des
attaques
observéesà di- verses époques, on y retrouve le
ait très accusé, constituent encore de nouvelles analogies avec les
attaques
hystériques de la femme; - 4° la période de dél
u de la compression des testicules sur la production ou l'arrêt des
attaques
; l'absence de troubles de la sensibilité. V. Le
trefois, c'est à l'hydrothérapie que nous devons la disparition des
attaques
de notre malade. 11 est sorti alors qu'il n'avait
de l'eau froide. Au moment de l'immersion, il fut pris d'une petite
attaque
qui ne dura que quelques instants. Le traumatis
traumatisme a exigé un repos de onze jours. - Le 17 décembre, trois
attaques
très fortes. - Depuis lors, jusqu'à ce jour, aucu
sexuels et ne pas y penser. 23 avril. B... n'a pas eu de nouvelles
attaques
. Renvoyé de son atelier à la fin de mars, parce
avait vu chez son pré- cédent patron, ayant raconté qu'il avait des
attaques
, on l'a remercié. Il vient demander un certific
saillante. Son intelligence parait au-dessous de la moyenne. - Ses
attaques
ont été occasionnées par la peur d'un chien sur
auver. C'est une demi-heure après l'émotion qu'a éclaté la première
attaque
. Elle n'en aurait eu que cinq ou six. Mariée à
ix. Mariée à dix-sept ans, elle a eu un enfant au bout d'un an. Les
attaques
, qui avaient cessé vers quatorze ans et demi, n
levée, a passé la nuit debout. Le lende- main matin, elle a eu une
attaque
qui a duré une demi-heure. Depuis cette époque,
u une attaque qui a duré une demi-heure. Depuis cette époque, pas d'
attaques
. III. Idiotie et épilepsie partielle consécut
de la langue».- Mère, quatre-vingt-deux ans, bien portante, pas d'
attaques
de nerfs. - Grand'mère maternelle, morte paralysé
, actuellement convalescente d'une fièvre typhoïde ; elle n'a pas d'
attaques
, mais est très nerveuse et se trouve quel- quef
etc.] Mère, 35 ans, couturière, intelligente, nerveuse, mais sans
attaques
, sujette à des migraines. [Père alcoolique, mor
uvelle observation d'hystéro-épilepsie ; 2* livraison, variétés des
attaques
hystériques ; 3' et 4* livraisons, des régions
et 7'livraisons, du sommeil des hystériques; 71-12, livraisons, des
attaques
de sommeil; hypnotisme, somnambulisme, cataleps
ixante-quatre ans, hémiplégique; ni migrai- neuse, ni sujette à des
attaques
de nerfs. Du côté des oncles et des tantes, rie
ées localisées en ce point. Au traumatisme se rattachent encore des
attaques
de nerfs que la malade rapporte à peu près en c
de nouveau, tombe étendue raide. Jusqu'à l'âge de dix-sept ans, les
attaques
ne se renouvellent pas, mais, à cette période d
ve. Le grand-père, fils unique, est mort à qua- rante-six ans d'une
attaque
d'apoplexie. La grand'mère, âgée de soixante-qu
s douleurs rhumatismales ; caractère emporté, non migraineuse, sans
attaques
convulsives dans son passé. Elle a eu neuf enfa
cils), coeur et poumons sains,- ni migraineuse ni coléreuse; pas d'
attaques
de nerfs, pas de stigmates hystériques. Au poin
s. Du côté de la mère, le bisaïeul paternel est mort jeune, d'une
attaque
d'apoplexie, laissant trois enfants : deux sont m
une, est âgée de vingt-cinq ans, anémique, très nerveuse, mais sans
attaques
convulsives; une autre a trente-six ans, bien p
gée de cinquante-sept ans, très ner- veuse, sujette autrefois à des
attaques
convulsives qui ont disparu depuis le retour d'
se. Dans les antécédents, on ne note aucune maladie sérieuse; pas d'
attaques
de nerfs, pas de stigmates hystériques, mais on
nts de la grand'mère maternelle qui, jusqu'à la ménopause, a eu des
attaques
convulsives fréquentes. Mais, de ce que la mala
'absence de fièvre malgré le chiffre élevé (plusieurs milliers) des
attaques
se répétant pendant plusieurs jours presque san
sque sans intervalles, l'apparition après une ou plusieurs séries d'
attaques
du délire, la présence des zones hystérogènes,
que. Il n'en était pas ainsi dans nos observations. En effet, les
attaques
se sont présentées isolément, à l'exception du ca
es isolément, à l'exception du cas de Bar..., lequel eut vingt-huit
attaques
dans un jour et pas en notre présence. Une ébau
oso, redatte dal D' Millioti, Millano. 1883. Ballet et Crespin. Des
attaques
d'hystérie ii forme d'épilepsie partielle. (Archi
sistance pendant deux ans des crises hystéro- épileptiques avec les
attaques
épileptiformes, qui se présen- taient tout à fa
er la nature de la maladie en se basant sur la considération de l'
attaque
en elle-même. Elle représentait bien comme expres
idents nous a permis de nous expliquer le mécanisme avec lequel l'
attaque
a été constituée dans les deux premiers cas, et n
roisième cas, la manifestation brusque d'une para- lysie, après une
attaque
et sa guérison soudaine à la fin d'une attaque
- lysie, après une attaque et sa guérison soudaine à la fin d'une
attaque
successive, nous a fourni un argument très solide
urni un argument très solide en faveur de la nature hystérique de l'
attaque
. Dans le quatrième cas, le caractère hystérique
cas). b) Symptômes transitoires qui se sont manifestés pendant l'
attaque
et dans les intervalles. Ils comprennent les pare
ômes transitoires qui se sont manifestés seulement à l'occasion des
attaques
. Ils comprennent l'aura hystérique (deuxième ca
troisième nous ont démontré la relation qui existe entre eux et les
attaques
épileptiformes dans le cas de Cha... 3° L'absen
vante nous parait digne d'être remarquée. C'est que dans toutes les
attaques
se montre la reproduction des troubles sensitif
Mais nous ne voulons pas ici aborder l'étude de la pathogénie de l'
attaque
hystéri- que, question extrêmement complexe et
ique de la grande névrose. Il équipare l'apoplexie hystérique à l'
attaque
de sommeil hystérique; elle doit donc être consid
que de sommeil hystérique; elle doit donc être considérée comme une
attaque
hystéro-épileptique modifiée ou trans- formée.
rles mêmesarguments que le Maître nous a indiqués pour distinguer l'
attaque
de sommeil, à savoir sur l'existence de phénomè
nt il faut se rappeler que tous ces phénomènes se retrouvent dans l'
attaque
de sommeil à peine ébauchés et d'une façon tran
sûr, que sur l'évolution et sur les phénomènes concomitants. Si l'
attaque
comateuse est suivie une hémiplégie, les carac-
pital. - La guérison s'est ensuite achevée brusquement, après une
attaque
de rachialgie. Pour ce qui est du membre supérieu
vision, pas de zones hystérogènes, pas de sensation de boule, pas d'
attaques
. Et cependant, nous avons vu comment, à un mome
dépit du traitement. Il ne se passait guère de jour où elle n'eût d'
attaques
. Presque toujours assise sur un fau- teuil, inc
r dernier, un changement considérable s'est fait dans son état. Ses
attaques
journalières sont devenues des attaques eu séri
est fait dans son état. Ses attaques journalières sont devenues des
attaques
eu série; en même temps l'intelligence commença
hez les éclamptiques, le sérum du sang est plus toxique pendant les
attaques
et que les urines * Février 1892. Société de Bi
es, paralysie typique des extenseurs, avec réaction dégénéra- tive,
attaques
épileptiformes, tremblement); psychose aiguë appa
ns. (Annales médico-psycholo- giques, 1892.) E. B. XVI. PLUSIEURS
attaques
DE SOMMEIL paradoxal CHEZ UN aliéné; par le Dr
on se faisait avec participa- tion du malade. Il y eut en tout cinq
attaques
de sommeil : la première dura quatre jours ; do
i dure huit jours; vingt-quatre heures après, débute une nou- velle
attaque
, qui se prolonge pendant sept semaines et qui est
nq jours; dix jours de veille la sépare de la cinquième et dernière
attaque
qui, le lendemain de son apparition fut avortée
escendit à 36°, l'appétit revint et le malade se sentit bien. Des
attaques
plus ou moins semblables revinrent une ou plu-
ation, détaille l'his- toire d'une hystérique qui, à la suite d'une
attaque
, est restée plongée pendant trois jours dans un
quelquefois et conservation des réflexes, puis en résolution, coma,
attaques
épileptiformes ; il se produit des mictions abond
ine normale. Cet état est poussé si loin que, dans l'intervalle des
attaques
convulsives, alors que la résolution est complè
érie par un traitement gynécologique. Femme de trente-deux ans; une
attaque
de mélancolie avec symptômes d'ar- rêt psychiqu
la QUESTION DE la circulation DU sang dans l'encéphale pendant LES
attaques
d'épilepsie d'après les RE- cherches expériment
e cercle artériel deWillis et l'aorte. On voit ainsi que, pendant l'
attaque
d'épilepsie, la pression monte dans les artères
ansactions.) 11 s'agit d'un enfant de -sept ans, qui fut pris d'une
attaque
de paralysie atrophique aiguë, présentant les s
grandeur, se croit très intelligent, grand lettré. Une tante a des
attaques
nerveuses « on la tient pendant ses crises et e
es crises et elle pousse des cris ». Une soell1' du malade a eu des
attaques
d'hystérie pendant deux ans. Côté maternel. Mèr
deux cousins germains tiqueux et une cousine germaine hystérique à
attaques
. Antécédents personnels. Dans son enfance et ju
la lumière éteinte, si elle est jetée en dehors de son lit par une
attaque
, elle ne peut se déplacer et se relever qu'au j
tous ses degrés, subite ou tardive, antécédente ou consécutive aux
attaques
, aux malaises; un état de dépression mentale, d
1891. Aime IIéraud, trente-neuf ans, est toujours malade depuis son
attaque
d'influenza dans laquelle ses deux oreilles ont
Les épileptiques ont souvent l'audition altérée à la suite de leurs
attaques
. Féré a récemment repris ce sujet. Le n° 275 qu
on CCCLIII. (Résumé.) F. Mo... trente-cinq ans, il y a quinze mois,
attaque
subite, hémiplégie droite et paralysie faciale
guérison eut lieu. Récidive huit ou neuf mois plus tard, nouvelles
attaques
de convulsions cloniques monoplégiques, augment
malade était un garçon âgé de trois ans, qui, dit-on, avait eu une
attaque
à qua- torze jours, mais plus rien ensuite. Cet
ctures permanentes, et laisse de côté celles qui se montrent dans l'
attaque
d'hystérie. Son ouvrage est divisé en deux partie
particulier. Au point de vue étiologique, il relève l'influence des
attaques
con- vulsives et de leurs diverses variétés, l'
Ayres, elle a déclaré qu'elle était depuis huit ans, en butte aux
attaques
de Lady Abdy, attaques auxquelles elle n'avait ja
qu'elle était depuis huit ans, en butte aux attaques de Lady Abdy,
attaques
auxquelles elle n'avait jamais rien faits DIVER
la forêt de la Ferrière, un char- bonnier nommé Louvel, pris d'une
attaque
d'épilepsie est tombé dans le feu et a été horr
tif ses enfants. Mère encore vivante, soixante-quatre ans, a eu des
attaques
de nerfs dans sa jeunesse; actuellement elle a
du bras) est encore plus improbable 'parce que cet homme n'a eu ni
attaque
apoplectiforme, ni étourdissements, ni vertiges
-huit ans, il fait des enduits à la céruse). En 1888, puis en 1889,
attaques
des coliques saturnines. Pas alcoolique; caractèr
à celle du scotome scintillant de la migraine ophthal- mique. 21.
Attaque
de migraine ophthalmique avec injection con- jo
de lignes brisées et entouré de taches rouges qui voltigent. Cette
attaque
de migraine se répète quatre ou cinq fois par j
fois par jour. Traitement : bromure de potassium. 3 avril. - Les
attaques
de migraine ophthalmique vont s'atté- nuant peu
ent encore. La dyschromatopsie de l'oeil gauche est atténuée. Pas d'
attaque
de migraine ophthalmique. Les mouvements du mem
bilité de pharynx; 9 des points douloureux et hystérogènes; 7 des
attaques
d'hystérie; 4 l'ovarie. Résultat du traitemen
ableau clinique de la maladie apparaissait périodiquement comme des
attaques
. Nous avions eu l'occasion d'observer un pareil
dès son enfance et que sa maladie s'est déclarée comme une série d'
attaques
d'un caractère assez uniforme : sans une cause év
tigue habituellement durant quelques jours et immédiatement après l'
attaque
, le ma- lade ne peut s'occuper de ses travaux a
tionne que le tremblement hystérique peut quelquefois présenter des
attaques
, mais il a observé que de telles attaques étaie
quelquefois présenter des attaques, mais il a observé que de telles
attaques
étaient toujours amenées par une émotion et pré
s tout à fait jusqu'à une nouvelle éclosion. Après une ou plusieurs
attaques
, ajoute l'auteur, le tremblement peut de- venir
retzkowsky, c'est seulement dans nOS 8S et 56 que sont décrites les
attaques
du tremblement, lesquelles du reste n'étaient p
ent ne s'observait pas' des années entières, quelquefois aussi, les
attaques
se suivaient rapidement, de temps en temps s'ét
ns les inter- valles des accès du tremblement étaient observées des
attaques
, typiques de la grande hystérie. Ainsi chez l
e périodicité régulière dans son apparition et' était entre- mêlé d'
attaques
hystériques d'une autre forme ; en un mot, il é
s sur l'état mental des aliénés atteints. 1° Etats maniaques. - L'
attaque
cholérique a toujours fait dis- paraître l'état
la mort sans angoisse. 2° Etats mélancoliques. - L'influence de l'
attaque
de choléra sur les états mélancoliques, n'a été
ntercurrentes, mais elle présente des particula- rités spéciales. L'
attaque
cholérique fait disparaître temporaire- ment to
s. Ses causes déterminantes sont nombreuses : frayeur, émotion, -
attaques
d'hystérie, expériences d'hypnotisme; ses causes
aleptiques ont versé des larmes sous l'influence d'une émotion. L'
attaque
survient presque toujours brusquement ; le malade
de bons antécédents hérédi- taires, a présenté dans son enfance des
attaques
d'épilepsie et s'est toujours fait remarquer pa
oint de vue mental et, comme antécédents personnels, on note deux
attaques
de rhumatisme et la syphilis. Cette affection vas
eu et est toujours suivi d'une amnésie complète : il se produit une
attaque
ou un ver- tige qui sont suivis d'un accès déli
, que l'on consi- dérait aussi comme un fait uniquement physique, l'
attaque
, devint prédominant et l'hystérie fut essentiel
éhensives que les précédentes, les phénomènes qui se rattachent à l'
attaque
étant certainement plus nombreux que ceux qui d
phénomène beau- coup plus fréquent et beaucoup plus connu, c'est l'
attaque
. Or cette attaque n'est pas un acte simple comm
oup plus fréquent et beaucoup plus connu, c'est l'attaque. Or cette
attaque
n'est pas un acte simple comme une contrac- tio
ille de l'at- taque sans bien savoir ce qui vient de se passer. Ces
attaques
, qui se reproduisent avec une régularité monoto
bulisme nocturne, tantôt il se développe en plein jour sous forme d'
attaque
précédée ou non de convulsions. Quelquefois, il
que hystérique proprement dite. M. Charcot a montré que d'un côté l'
attaque
renfermait très souvent des phénomènes de natur
même accompagnés d'un grand nombre de symptômes appar- tenant à l'
attaque
. Le sujet continuait dans une attaque sui- vant
e symptômes appar- tenant à l'attaque. Le sujet continuait dans une
attaque
sui- vante les actes ou les rêves commencés dan
s dans l'hystérie qu'on ne le croit généralement, elles forment des
attaques
spéciales qui seront étudiées avec plus de détail
bulisme les mêmes strangulations, les mêmes contractures que dans l'
attaque
, enfin les procédés qui terminaient ou modifiai
un caractère essentiel, elle est réciproque : le malade pendant l'
attaque
se souvient bien du somnambulisme, et ce n'est qu
res généraux sont tout à fait comparables. Cette comparaison de l'
attaque
et du somnambulisme peut se poursuivre jusque d
uivre jusque dans les détails. Considérons, en effet, le début de l'
attaque
ou les procédés qui réussissent à la provo- que
ut de l'attaque ou les procédés qui réussissent à la provo- quer. L'
attaque
est quelquefois spontanée au moins en appa- ren
a a lieu également pour les somnambulismes. Mais le plus souvent, l'
attaque
est provoquée par un phénomène psychologique qu
ve constitutif de la seconde existence. Une hystérique qui dans ses
attaques
est en proie au désespoir causé par la mort de
rder une petite flamme ou simplement du papier rouge pour avoir une
attaque
. Ces sensations provocatrices qui jouent le rôl
entre. Depuis, il suffit de le toucher au ventre pour qu'il ait une
attaque
de terreur dans laquelle il voit l'ivrogne se j
es et cette sensation bien spéciale sera dorénavant associée avec l'
attaque
et en deviendra le signal. « Il suffit, disions
t au groupe des phénomènes psychologiques de la crise pour amener l'
attaque
de convulsions, de même qu'il suffit d'appeler
es mêmes remarques sur les phénomènes qui caractérisent la fin de l'
attaque
ou la fin du somnambulisme. Passons à l'étude d
fin du somnambulisme. Passons à l'étude du développement même de l'
attaque
: ce qui a frappé tous les observateurs c'est l
ateurs c'est la régularité absolue pour ainsi dire mathématique des
attaques
chez le même malade. Ce sont toujours les mêmes
r. On a beaucoup discuté pour savoir s'il y avait un type général d'
attaque
hystérique, il est du moins incontestable qu'il
développent avec plus de régularité. Enfin examinons le contenu des
attaques
, les actes et les paroles qui les remplissent.
s attaques, les actes et les paroles qui les remplissent. Certaines
attaques
sont à ce point de vue très simples, elles sont
du sujet, mais nous pouvons supposer d'après bien des signes que l'
attaque
d'hystérie vulgaire est la reproduction automat
- timents qui envahissent régulièrement l'esprit du sujet avant l'
attaque
et qui le remplissent pendant la crise. Et mettan
moment et seulement à ce moment des émotions éprou- vées pendant l'
attaque
, on constate qu'une émotion ini- tiale, terreur
p. 9.) DÉFINITIONS RÉCENTES DE L'HYSTÉRIE. 433 Ces études sur les
attaques
et les somnambulismes sem- blaient rapprocher e
seconde personnalité dans l'in- tervalle des somnambulismes et des
attaques
. Cette recherche a été commencée par l'étude de
ystériques se rattachent à ce type de l'hémisomnambulisme comme les
attaques
se rattachent au type du somnambulisme. Nous av
s ordinaires de l'hystérie, même l'hypéresthésie, les douleurs, les
attaques
banales doivent être interprétés de la même man
s brusquement à l'occasion d'une cause bien déter- minée, comme une
attaque
convulsive, une frayeur, un trau- matisme, etc.
parents, le mettait en pleurs. Dans les antécédents, on relève une
attaque
convulsive à vingt ans et une fièvre typhoïde à
e convulsive à vingt ans et une fièvre typhoïde à vingt-deux ans. L'
attaque
convulsive se serait produite dans les circonst
ise, il n'a pas uriné sous lui ni ne s'est mordu la langue. Après l'
attaque
, il s'endormit facilement ; le lendemain, au le
e ceux où cette amélioration a été particulièrement longue, car les
attaques
sont res- tées sans se produire pendant près de
ementinlellectuel du ma- lade ; malheureusement la réapparition des
attaques
a renversé l'é- difice mental et intellectuel s
ase, caractérisée par un délire violent, parfois accompagné par des
attaques
épileptiformes, les patients devien- nent somno
il n'y a pas de sensa- tions sonores subjectives, non plus que des
attaques
de labyrintliisme. Le malade ne souffre de sens
es le trouble moteur est impulsif comme clans l'ivresse et dans les
attaques
de syndrome de Pléniere qui apparaissent soit par
ux de tête, des nausées, des vertiges, des troubles psychiques, des
attaques
épileptiques, etc. Von rranlcl-Ilocllwartll trouv
les du sens olfactif et gustalif peuventse rencontrer rarement. Les
attaques
épileptiques sont les plus fréquentes et d'après
et Bealdes ont trouvé 6 fois des tumeurs de l'hypophyse. Quant aux
attaques
épileptiques dont notre malade est atteinte, qu
on n'ob- tient aucun résultai : chez quelques malades le nombre des
attaques
diminue quelque peu, chez la plupart au contrai
entation modérément salée, cela n'eut aucune influence tant sur les
attaques
que sur n'importe quel phénomène morbide. Grâce
uppo- sitions erronées : Kraïnsky pensait notamment qu'avant chaque
attaque
épileptique, l'excrétion d'acide urique subissa
que que Kraïnsky croyait pouvoir en pronos- tiquer l'approche d'une
attaque
. Il pensait aussi que l'acide urique ou plutôt
ion constante de l'excrétion d'acide urique immédiate- ment avant l'
attaque
n'est rien moins que constante, de sorte que, en
longtemps déjà, la plu- part depuis plusieurs années, souffraient d'
attaques
, et chez lesquels je supprimai immédiatement et
érer comme bénins (accès existant respectivement depuis 5 et 7 ans,
attaques
fréquentes et graves, mais toujours sans démence)
ns, parmi lesquels un ou deux semblaient appartenir aux cas bénins (
attaques
n'existant pas encore depuis deux ans et dans d'a
core depuis deux ans et dans d'au- trescas consistant uniquement en
attaques
de « petit mal »), cela dura même de 7 à 10 moi
faire qu'une. Il sembla, en même temps, que non seulement pour l'
attaque
, qui est le symptôme le plus important sans êtr
ites les plus fâcheuses : il se produit alors souvent de nombreuses
attaques
dans un très court espace de temps et souvent a
séquence l'aug- mentation immédiate du nombre et de l'intensité des
attaques
. Cependant, lorsque nous commençâmes notre trai
ioré, souffraient de maladies cérébrales primitives, accompagnées d'
attaques
présentant bien le caractère épileptique, mais
une affection cérébrale primitive quelconque, accompagnée parfois d'
attaques
épileptiformes (hydrocéphalie interne, tumeur d
e série d'affections, qui sont bien caractérisées par le symptôme n
attaques
épi- leptiformes », mais qui, quelquefois après
i, comme on le sait, peuvent présenter pendant plusieurs années des
attaques
épileptiques comme symptôme unique. Pour toutes
unique. Pour toutes ces maladies, dans lesquelles interviennent des
attaques
, il est, fût-ce même souvent après un temps trè
», bien que les accès présentassent même la physionomie exacte des
attaques
épi- leptiques. Après avoir écarté toutes ces m
gularités anamnesliques particulières, leur mode d'origine et leurs
attaques
symptomatiques restent cachés, ils seront alors
aut manifeste de l'intelli- gence avant l'apparition de la première
attaque
, ou que la démence se- condaire se présentât se
tres, ont établi que 50 à GO 0/0 de tous les épileptiques pendant l'
attaque
et immédiatement après présentent le phénomène
nit un bel exemple : L..., 36 ans, garçon brasseur. Il présente des
attaques
depuis 8 ans et pouvait néanmoins faire réguliè
ans connaissance et, immédiate- ment après, a été pris d'une longue
attaque
. Admis à l'hôpital, il montre une grande sensib
la pression de la région temporale droite atteinte et de nombreuses
attaques
qui commençaient toujours par le côté gauche :
a moitié droite du corps se contractent aussi. Après une douzaine d'
attaques
, le facial et les membres gauches sont complète
cial et les membres gauches sont complètement paralysés ; entre les
attaques
le malade est assez lucide, toutefois il ne peut
du pied gauche montre à l'état continu, tant après que pendant les
attaques
, le phénomène de l'extension (phénomène de Babins
s se sont manifestés ces symptômes d'épuisement déjà après quelques
attaques
seulement. Il nous reste encore maintenant quel
ques ; ensuite le phénomène de la déviation conjuguée au début de l'
attaque
; de plus, dans quelques cas, les résultats de
êt de la présence constante, pendant et immé- i diatement après les
attaques
, de symptômes de foyer plus légers. Ils man- qu
sait, ces symptômes de foyer, pen- dant el immédiatement après les
attaques
, se présentent souvent sous la PATHOGÉNIE DE QU
re, elc. Si ces symptômes se présentent toujours et dans toutes les
attaques
du même côté, ils indiquent alors, même s'ils s
uent alors, même s'ils sont toujours absents dans les périodes sans
attaques
, une inflammation du cerveau (écorce) qui a att
tifs et ne se montrent alors seule- ment que pendant la décharge (l'
attaque
), tantôt l'un, tantôt l'autre des hémisphères e
t dans les premières années de 'la puberté), ils donnent lieu à des
attaques
épileptiques. Oppenheim dit . : ce sujet : « De
encontrons donc également dans la paralysie cérébrale infantile des
attaques
épileptiques, celte épilepsie doit être d'origine
ale) et, par suite, il admet que, dans les cas où se produisent des
attaques
, il existe une prédisposition à l'épilepsie. Cela
s produits de métabolisme et se déchargera pério- diquement par une
attaque
(à ce sujet, voir plus loin). Cela semble donc
: « La plus grande importance de la pré- sence ou de l'absence des
attaques
épileptiques dans la paralysie cérébrale infant
s, ainsi la circulation dans l'écorce et, par suile, provoquant des
attaques
épilep- tiques. Il n'y a aucune raison pour sép
e grands foyers. La porencéphalie produit aussi le plus souvent des
attaques
qui revêtent ou non le caractère jacksonnien. Tou
aractère jacksonnien. Toutefois, dans les cas de porencéphalie, les
attaques
sont la suite du processus cérébral primitif et
l'écorce cérébrale, des troubles de circulation qui provoquent des
attaques
. Il en est de même en cas d'acromégalie; de PAT
ieux au transport du sang veineux et causer ainsi indirectement des
attaques
; nous en trouvons la preuve dans le fait que,
ait que, dans les cas d'acromégalie « associée à l'épilepsie », les
attaques
disparaissent aussitôt qu'on a enlevé, par opér
quement, elle peut être laissée de côté. Il en est de même pour les
attaques
qui se montrent après des maladies infectieuses
ications présentent un degré assez étendu, elles peuvent causer des
attaques
. Cette méningite, ou mieux cette encéphalite, est
. Cette méningite, ou mieux cette encéphalite, est alors, quant aux
attaques
, l'affection primitive et les attaques appartienn
halite, est alors, quant aux attaques, l'affection primitive et les
attaques
appartiennent donc à la forme cérébrale de l'ép
ition de la pneumonie, du typhus ou de la méningite, et la première
attaque
; on peut compter quelquefois un intervalle de
ut. En voici quelques exemples : 1. - X..., homme, 27 ans, peintre.
Attaques
depuis sa 18° année, au début très rares, peu à
presque journalières ; il n'est jamais indemne plus de trois jours;
attaques
le plus souvent pendant la nuit, pourtant aussi
plus souvent pendant la nuit, pourtant aussi beaucoup le jour. Les
attaques
présentent tous les caractères de l'épilepsie e
ni le visage ne se tournent vers un seul et même côté; pendant les
attaques
on ne constate même ni aug- mentation unilatéra
é jusqu'à l'âge de 18 ans. II. -- Mlle li..., 31 ans, célibataire ;
attaques
depuis sa dixième année, assez régulièrement to
; évolution lente- ment progressive, intelligence assez bonne; les
attaques
présentent tous les caractères de l'épilepsie,
t elles sont aussi souvent immédia- tement généralisées). Pendant l'
attaque
pas de phénomène de Babinski PATHOGÉNIE DE QUEL
is- sance pendant huit heures. Immédiatement après la chute, longue
attaque
convulsive, sans début unilatéral. Le lendemain
ner lieu à une maladie, dont les apparences, en ce qui concerne les
attaques
, sont par- faitement identiques à celles de l'é
les de l'intelligence précéderont presque toujours l'apparition des
attaques
et dans tous ces cas il sera facile d'en reconn
e (tumeur de l'hypophyse) ; même dans cette dernière affection, des
attaques
sans caractère unilatéral ne sont pas du tout r
épilepsie cérébrale : si l'on extrait la tumeur de l'hypophyse, les
attaques
épileptiformes cessent immédiatement. Il va san
vec l'épilepsie essentielle. Quant à ce qu'on appelle les « petites
attaques
se répétant en série » (kleine Gehaufte Anfalle
composaient de : 380 BOLTEN · Paralysie cérébrale infantile (avec
attaques
épileptiformes), trois cas classiques, absolume
érie. Méningite séreuse, un cas (papillite évidente, etc.), petites
attaques
se répétant en série. Petites attaques multip
e évidente, etc.), petites attaques se répétant en série. Petites
attaques
multiples d'Heilbronner, deux cas de palliogéniej
« essentielle », puis les cas d'hystérie, les deux cas de « petites
attaques
multiples d'lleilbronner », le cas de porencéphal
terminées de l'écorce, et le résultat de celle augmentation esl une
attaque
jacksonnienne typique ; en cas de lésions diffu
; en cas de lésions diffuses dans les deux hémisphères intervient l'
attaque
épileptique classi- que. En effet, là où se mon
trent des modifications diffuses provenant d'un foyer déterminé les
attaques
, autrefois purement unilatérales, revêtiront au
général. De cette manière disparaissent les limites absolues entre
attaques
partielles et générales, entre épilepsie organiqu
re moins de sa pathologie. - Les difféi entes particularités de l'
attaque
et des prodromes (aura, etc.) pas plus que les
immédiatement avant l'at- taque et pour diminuer rapidement après l'
attaque
. Mais, malheureusement, la description de ces m
uels, au cours de la maladie ou simultanément, se sontproduites des
attaques
épileptiques, ou plutôt de l'épilepsie. Toutes le
s qui plaident en faveur de ce rapport réel entre la tétanie et les
attaques
épileptiques sont : 1° l'apparition des attaques
la tétanie et les attaques épileptiques sont : 1° l'apparition des
attaques
épi- leptiques simultanément avec la tétanie ou
c la tétanie ou au cours de la crise tétanique; 2° la fréquence des
attaques
de tétanie en concordance parfaite avec la fréq
s attaques de tétanie en concordance parfaite avec la fréquence des
attaques
épileptiques et 3° la disparition fréquente des
quence des attaques épileptiques et 3° la disparition fréquente des
attaques
épileptiques en cas de guérison de la tétanie. Re
mie se présentent, non seulement la tétanie, mais aussi souvent des
attaques
épileptiques plus ou moins complètes. Westphal
, des altérations anatomiques qui sont en relation directe avec les
attaques
épileptiques. Curschmann admet un rapport étroi
ent, à leur tour, des troubles du métabolisme qui sont la cause des
attaques
épilepliques ». D'après ma modeste opinion, cette
ez l'homme, qu'après la thyroïdectomie partielle se manifestent des
attaques
épileptiques, et quand, en outre, la majeure part
ues, dans lesquels, à la suite de thyroïdeclomie, se présentent des
attaques
épileptiques, combinées ou non avec la tétanie
nt (par conséquent avant l'opération) avaient été sujets déjà à des
attaques
épileptiques. Pour lous les autres cas, tout au
s. Pour lous les autres cas, tout autre facteur éoolo51que pour les
attaques
épileptiques faisait défaut, et il ne 2-este se
hénomène morbide. Cette série se compose de : 2 malades exempts d'
attaques
depuis trois ans et demi, 4 depuis une année, 6
IE 39fi r) personnes sans la moindre prédisposition héréditaire des
attaques
épi- leptiques t la suite de thyroïdectomie. Ce
taire des attaques épi- leptiques t la suite de thyroïdectomie. Ces
attaques
peuvent être encore groupées différemment : une
Ces attaques peuvent être encore groupées différemment : une seule
attaque
, relativement peu de temps après l'opération, d
relativement peu de temps après l'opération, des séries complètes d'
attaques
, aboutissant à un état de mal épileptique avec
éveloppement de phéno- mènes chroniques avec, de temps à autre, une
attaque
et ensuite tous les autres phénomènes secondair
nées, de trouver une explica- tion des phénomènes, spécialement des
attaques
, tant dans l'épilepsie es- sentiellè que dans l
ait atteint son maximum, alors vient la « décharge » c'est-à-dire l'
attaque
. Par l'attaque, l'organisme essaie, ne fût-ce mêm
maximum, alors vient la « décharge » c'est-à-dire l'attaque. Par l'
attaque
, l'organisme essaie, ne fût-ce même que temporai-
de toxines : l'urine qui s'écoule pendant ou immédiatement après l'
attaque
est très toxique et produit chez des animaux (l
'urine aussi bien que la sueur excrétées dans les périodes libres d'
attaques
ou interparoxysmales paraissent être pour les P
urine et la sueur excrétées immédiatement avant, pendant et après l'
attaque
. Cela prouve que ce n'est que pendant l'attaque
pendant et après l'attaque. Cela prouve que ce n'est que pendant l'
attaque
que sont expulsées, par les reins et la peau, d
débarrasser d'une quanti lé aussi grande que possible de toxines. L'
attaque
épileptique est donc vraiment une décharge, une
et comme réaction utile. En effet, les malades regardent aussi les
attaques
comme des déblayeuses de substances nuisibles :
ls ne se sentent pas bien, ils sont excitables, etc. « Pour eux une
attaque
est en route » ; l'attaque une fois passée, ils s
ils sont excitables, etc. « Pour eux une attaque est en route » ; l'
attaque
une fois passée, ils se sentent vifs, améliorés
ifs, améliorés et dispos et pensent aussi pour la plupart que celle
attaque
sera la dernière jusqu'à ce que, lentement^ l'a
atoires importants, c'est seulement en ce cas que se présentent les
attaques
après un temps plus ou moins long. Cela permet
pourquoi, à la suite de méningo-encéphalile dans le jeune âge, les
attaques
ne se produisent qu'après de nombreuses années
lation dans l'écorce céré- brale et de diminuer ainsi le nombre des
attaques
. Ilorsley dit aussi avec juslesse que l'opérati
ux cas, l'organisme réagit alors de la même manière, a savoir par l'
attaque
épileptique qui fait éva- cuer de l'organisme,
usieurs malades qui ont dé- passé la quarantaine, chez lesquels les
attaques
se manifestent déjà depuis de longues années et
ement non seulement sous le rapport des différents phéno- mènes des
attaques
, mais encore par tous les autres phénomènes acces
distinguées cliniquement l'une de l'autre ; les particularités de l'
attaque
aussi bien que les modifications du caractère e
atteinte. 5° Dans toutes les formes d'épilepsie, il faut regarder l'
attaque
comme une réaction de l'organisme pour se débar
reu- sement, cette névrose s'est modifiée dernièrement. Les grandes
attaques
et les grands accidents deviennent de plus en p
de malades nerveux racontent, en leur anamnèse, qu'ils ont eu des «
attaques
», dont la description désigne l'épilepsie, et il
sont habituelles, soit chez la femme, soit chez l'homme. Quand ces
attaques
surviennent à l'époque de la ménopause masculin
était en 1862; à celte époque, il paraît avoir éprouvé une première
attaque
de coliques. Vers le même temps, il fut pris de
roubles de la parole qui s'étaient déjà montrés lors de la première
attaque
soin actuellement beaucoup plus accusés. La par
des troubles intellectuels passagers. Oncle paternel présentant des
attaques
convulsives fréquentes avec perte de connaissan
vulsives fréquentes avec perte de connaissance, paraissant être des
attaques
épilep- tiques. Pas d'autres antécédents. - A
t se met facilement en colère. 11 frappe alors son adversaire, et s'
attaque
à tous les objets à sa portée. Il n'ajamais eu
que à tous les objets à sa portée. Il n'ajamais eu antérieurement d'
attaques
convulsives. Il y a huit jours, se trouvant à l
période de tristesse, causée par des chagrins particuliers eut une
attaque
, sans mouvements convulsifs et sans perte de co
s- DU BEGAIEMENT HYSTERIQUE.. · 17 sance. Consécutivement à cette
attaque
, apparaît une hémiplégie droite avec déviation
mp visuel). En 1887, hémiparésie droite survenue à la suite d'une
attaque
, avec perte de connaissance; on note alors : 1°
.. les troubles de la parole sont survenus brusquement à la suite d'
attaques
en 1885 et en 1887, en môme temps que d'autres
à peu sa langue s'embarrassait) et ne succéda cette fois ni à une
attaque
convulsive, ni à une émotion vive. Chez Dr...
et vraisemblablement, quoique nous ne l'ayons pas observé, d'une
attaque
convulsive. Peut-être existe- t-il dans ces cas
ez des hommes. Il[. - Ce trouble est d'ordinaire consécutif à une
attaque
d'aphasie de durée très courte. IV. - Il persis
ler cette donnée aussi vraie qu'elle est vulgaire, à savoir que les
attaques
épi- 58 RECUEIL DE FAITS. leptiques disparais
atteint d'épilepsie avec accès de folie fréquents à la suite des
attaques
. On n'a que très peu de renseignements sur ses
tir de cet âge. A vingt-huit ans, on a constaté une première grande
attaque
convulsive survenue pendant la nuit. Depuis, le
ère grande attaque convulsive survenue pendant la nuit. Depuis, les
attaques
se sont reproduites assez fréquemment, tantôt l
es assez fréquemment, tantôt le jour et tantôt la nuit. Ce sont des
attaques
typiques. A la fin, elles se sont compliquées d
leptiques qui ont passé iuaperçues. Actuellement, outre ses grandes
attaques
convulsives, il a des absences et des vertiges;
le service : homme robuste. Tous les organes sont sains, - grandes
attaques
épilep- tiques apparaissant à des intervalles i
peu près, à la CAS DE TETANOS CHEZ UN EPILEPTIQUE. 5U suite d'une
attaque
, accès de folie avec hallucinations et violence.
malade en cellule pendant quelques heures. Dans les intervalles des
attaques
, L... est assez tranquille, mais il conserve to
courir ce bruit. Ce délire n'est pas très absorbant, mais avant les
attaques
il devient plus intense, le malade récrimine, s
la conséquence d'une chute dans le foyer de sa chambre pendant une
attaque
. ' 2 février. Huit jours après son arrivée, le
aire avaler aliments et médicaments, à cause de la dysphagie. Pas d'
attaques
d'épilepsie. 12. - Amélioration. La raideur des
te plus, le dos repose sur le lit. La température est à 38°, â. L'
attaque
ne diffère en rien des attaques habituelles du ma
lit. La température est à 38°, â. L'attaque ne diffère en rien des
attaques
habituelles du malade : cri initial, pâleur de
rentrent en la rigi- dite tétanique en laquelle ils étaient avant l'
attaque
. Donc, sous l'influence de l'ictus épileptique,
ion avait commencé à se manifester. Le malade eut encore d'autres
attaques
épileptiques alors que le tétanos n'avait pas c
croit pas à leur existence et ne se sait pas dange- reux. Il a des
attaques
, mais il en a eu pendant de longues années chez
rielles produites à la longue dans le cerveau par la répétition des
attaques
, et'que son délire est un délire greffé sur la
de la perversion morbide nous est inconnu. Quant au mécanisme des
attaques
épileptiques, en s'en tenant seulement à ce qui
la découverte des centres corticaux psycho-moteurs. L'existence des
attaques
avec con- vulsion, absences, vertiges, somnambu
ppropriés, soit afin de les guérir, soit pour réduire le nombre des
attaques
à un minimum inférieur, soit pour les préserver
boissons alcooliques, les excès sexuels, les accidents pendant les
attaques
, les plaisirs fougueux, les excitations de tout
verbale); tel estl'état du malade jusqu'à sa mort produite par une
attaque
épileptifurllle. L'autopsie révèle : une encéph
rvation II. - G. M..., trente-huit ans, sujet depuis neuf ans à des
attaques
périodiques de paralysie dont la durée varie de
durée varie de quelques jours à deux ou trois semaines. Pendant ces
attaques
il est sombre, morose, ne parle pas et refuse d
vient d'observer que la malade n'était pas démente, et qu'entre ses
attaques
, qui n'étaient pas très fréquentes, elle était
chez eux. Dans l'état de mal et dans la période d'inconscience de l'
attaque
d'épilepsie, le tracé du pouls perd ses caractè
y quatre ans, au cours d'une colique de plomb, il a été pris d'une
attaque
d'épilepsie, suivie bientôt de plusieurs autres
sensibilité douloureuse de la tête à la percussion; pouls rapide :
attaques
épileptiformes ; idéation lente ; mémoire mauva
coït a chez certains individus une ressem- ';lance marquée avec une
attaque
d'épilepsie. Les excès sexuels déterminent asse
aine dernière, de l'usine Vanoutryve, parce qu'il élait sujet à des
attaques
d'épilepsie, a tiré deux coups de revolver sur le
portant. Dans la ligne paternelle : son grand- père est mort d'une
attaque
d'apoplexie, sa grand'mère est morte , très vie
n en moyenne. Jamais le malade n'a constaté avant l'apparition de l'
attaque
aucune cause qui ait pu lui donner naissance. I
la dernière fois elles commencèrent en novembre 1888. A la deuxième
attaque
, les douleurs, qui étaient restées la pre- mièr
une des plus violentes, la jambe entière fut prise. A la quatrième
attaque
elles furent moins vives; bien qu'empêchant AI1
près à son aise qu'étendu horizontalement dans un lit. Le dernière
attaque
disparut le 25 décembre 1888. Aussitôt les doul
ante-neuf ans, courtier en vins; aurait eu à quarante ans, quelques
attaques
d'é- pilepsie (mouvements convulsifs, écume à l
ts héréditaires. - Mère violente, colère, nerveuse, n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs. Le frère de son grand-père (côté pate
iodes où les troubles hystériques se manifestent soit par la grande
attaque
convulsivc avec ses quatre périodes, soit par l
r la grande attaque convulsivc avec ses quatre périodes, soit par l'
attaque
simplement bornée à l'une de ces quatre période
e suivant : les premiers sont aux autres comme, ! est à 3. Durant l'
attaque
d'hystérie, la relation change, les phosphates
heilk., 1888.) Observation particulièrement originale en ce que les
attaques
convulsives débutèrent à la suite de lavages de
de l'estomac, et les essais d'hypnotisme provoquèrent toujours des
attaques
. Elle fut en tout semblable pour le reste à l'h
hez un individu bien portant jusque-là à tous égards se produit une
attaque
d'apoplexie qui laisse après elle de la surdité
IL ET du PIED ouvrant la scène, et ALTER- NANT, PLUS TARD, AVEC DES
ATTAQUES
ÉPILEPTIQUES ET ÉPILEPTOÏDES généralisées ; par
mes abaisse profon- dément le niveau de la courbe ; - 5° de courtes
attaques
et de petits in- tervalles n'influencent guère
té, érotisme, insomnie, fureur même, mais pendant cinq années pas d'
attaques
convul- sives. Le 4er novembre, cinq attaques i
ant cinq années pas d'attaques convul- sives. Le 4er novembre, cinq
attaques
isolées. En 1867, démence avec agitation. En 18
ien pour la vue. S'est plainte autrefois de la boule, aurait eu des
attaques
de nerfs. Du Archives, t. XX. 18 274 sociétés
rédisposé et entaché d'hystérie (troubles de la sensibilité, boule,
attaques
convulsives avant et depuis la maladie). La coule
poque jusqu'à l'âge de vingt-sept ans,ce malade ne présent jamais d'
attaques
d'épilepsie. Dans les derniers mois de sa vie, il
trente-un ans, entré en 1889 à l'hospice général de Rouen pour des
attaques
d'épilepsie partielle, remontant à 15 ans et su
ères et belles- soeurs des parents, enfin lorsqu'on a noté soit des
attaques
d'apo- plexie, soit des affections convulsives
des plus caractéristiques.. Antécédents héréditaires chargés, une
attaque
de nerfs antérieurs : début de la maladie pendant
ombiné aux crises épileptiformes et au ralentissement du pouls avec
attaques
syncopales ou épileptiformes sont rangés par M.
ndance des lois les plus rigou- reuses. C'est ainsi que la grande
attaque
d'hystérie, qui paraissait autrefois caractéris
es relations avec l'hystérie. Voici un malade qui, à la suite d'une
attaque
d'hystérie, se trouve dans l'impossibilité abso
nce des stigmates hystériques, les relations chronologiques entre l'
attaque
hystérique et le mu- tisme, la disparition brus
ui des sujets précédents; mais l'accident n'a pas été précédé d'une
attaque
d'hystérie, on ne sait encore quel sera son mod
ecté d'une hémianesthésie sensitivo-senso- rielle consécutive à une
attaque
. La nature hystérique de l'hémianesthésie ne se
s sont les argu- ments qui peuvent permettre de démontrer que les
attaques
sont liées à l'hystérie. Mais si ces divers ren
ne valeur capitale. S'il survient dans le cours ou à la suite d'une
attaque
d'hystérie, s'il est susceptible de succéder, e
I. Malade âgé de vingt-un ans. - Accès de migraine ophthalmique. -
Attaques
convulsives. Ces attaques sont par- fois précéd
ans. - Accès de migraine ophthalmique. - Attaques convulsives. Ces
attaques
sont par- fois précédées par une aura qui consi
lopie monoculaire, rétrécissement bilatéral du champ visuel. -' Les
attaques
convulsives et les accès de migraine se sont dé
st très impres- sionnable ; elle a eu, il y a de cela deux ans, des
attaques
sur les caractères desquelles nous manquons de
ur avec une grande anxiété, et à la date fixée, il eut une première
attaque
convulsive. Le lendemain à trois heures de l'
convulsive. Le lendemain à trois heures de l'après-midi, deuxième
attaque
semblable àla précédente, et pendant quinze jou
ar quelque signe précurseur. A partir du quinzième jour environ les
attaques
se modifient en ce qu'elles sont précédées par
et localisés seulement à la partie supérieure de l'orbite gauche. L'
attaque
survient alors : le malade tombe à terre, privé
gauche. Il se mord parfois la langue, mais ne pousse pas de cris. L'
attaque
dure habituellement dix minutes, et dès qu'elle
solument lucide. Le malade, prévenu par son aura de J'approche de l'
attaque
peut, par un effort de volonté, retarder le mom
ans être suivie de la vision lumineuse. D'autre part, l'aura de l'
attaque
convulsive, au lieu d'être cons- titué par la m
e consulter M. Charcot le 3 mars 1886. La veille encore il a eu une
attaque
, et comme on le voit, il présente les troubles
nsultation unmois après. Son état s'est no- tablement amélioré; les
attaques
-convulsives ont complètement disparu ; quant a
récissement du champ visuel à droite. - La malade est sujette à des
attaques
constituées comme il suit : battements dans les
, des vers, et l'administration d'un vermifuge la débarrassa de ces
attaques
. Quelque temps après elle contracta la scarlati
latéral du champ visuel, dys- chromatopsie, polyopie monoculaire. -
Attaques
hystériques qui se sont développées ainsi que l
e ophthttli ? 21giie.-Depziis que la migraine s'est développée, les
attaques
hystériques, qui étaient fréquentes jusqu'alors
sées, sans donner naissance à un mouvement réflexe quelconque ; des
attaques
hystériques caracté- risées par des contracture
n peut aussi en comprimant la région ovarienne droite suspendre les
attaques
(voir fig. 26 et 27) ; un rétrécissement double
es que par quelques particularités d'une importance secondaire. Ces
attaques
sont plus ou moins longues, elles durent parfoi
'heure. La pre- DE LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE HYSTÉRIQUE. 329 mière
attaque
était constituée, comme on l'a vu plus haut par
onstituée, comme on l'a vu plus haut par deux phases, qui, dans les
attaques
suivantes, se sont toujours succédés dans le mê
ules lumineuses reparaissent de nouveau et il survient une deuxième
attaque
sem- blable à la première. Ces attaques survien
et il survient une deuxième attaque sem- blable à la première. Ces
attaques
surviennent sans aucune régula- rité, à n'impor
'époque où ces accidents se sont développés, la malade n'a pas eu d'
attaques
hystériques, qui étaient fréquentes jusqu'alors
nément. Je crois utile d'insister à ce sujet sur ce que la première
attaque
s'est déve- loppée sans que la suggestion puiss
mi M. Parinaud a bien voulu examiner la malade pen- dant une de ces
attaques
provoquées par suggestion, au moment où la mala
ution de la migraine a été dans ce cas contemporaine de celle des
attaques
hystériques et ces deux états morbides ont prés
ux états morbides ont présenté les relations les plus étroites; les
attaques
convulsives et les accès de migraine se sont dé
y a plus ; la migraine, tout en apparaissant parfois en dehors des
attaques
convulsives, les pré- - cède souvent et en cons
de leur nature. Enfin, et ceci est tout à fait probant, l'aura des
attaques
con- vulsives, qui est constitué parfois, comme
s venons de le voir par la migraine, est représenté dans d'autres
attaques
par du mutisme; le mutisme et la migraine sont
riction dans la gorge, constituent, par leur union, des symptômes d'
attaques
hystériques frustes. Or il nous semble absolume
s précédents. En effet les accès de migraine ne sont pas liés à des
attaques
hystériques, et d'autre part on pourrait faire
les arguments 332 CLINIQUE NERVEUSE. qu'on peut invoquer : 1° Les
attaques
hystériques n'ont pas reparu à partir de l'époq
er que l'accès de migraine joue ici exac- tement le même rôle que l'
attaque
d'hystérie et en constitue un véritable équival
eux tentatives de suicide. - La mère est morte à l'Hôtel-Dieu d'une
attaque
de paralysie. ' Communication faite au Congrès
par des mouvements partiels des membres opposés, mais aussi par une
attaque
épileptique latérale. C'est la démonstration ex
ur toutes les fibres indistinctement, et de l'atrophie simple qui n'
attaque
que les fibres enlre-croisées, sans ordre, épargn
XLV. RECHERCHES CRITIQUES ET expérimentales SUR la pathogénie DE l'
attaque
d'épilepsie , par 0 . 1;IN5\'.1NGER. ( ! t1'Clt.
out un monde de muscles. Mais jamais il ne se produit de véritables
attaques
d'épilepsie. P. K. XLVI. L.1 fréquence croissan
lateurs de la chaleur somatique. Toutes les fois que se produit une
attaque
congestive, la température monte pendant plusie
La température de l'épileptique ne présente aucun carac- tère, les
attaques
élèvent la température. P. K. LXVIII. Deux cas
s vifs et plus d'un millier privés d'abri, rappelle les vigoureuses
attaques
VARIA. 455 dirigées contre celte. institution
dans un cas d' Jacksonnienne, par Boucher, 579; pathogénie de l'
attaque
d' -. parBuiswanger, 37 ; psychique, par Gersta
et l'allaitement ; femme intelligente, nerveuse, maisn'ajamais eu d'
attaques
. -[Père, 66 ans, sourd, a une cataracte; pas d'
ts sur lui. -J11èl'e mOt'te à 51 ans d'une gastrite; elle avait des
attaques
de nerfs qui survenaient pres- que tous les moi
contrariété : elle s'agitait pendant les 3 ou 4 heures que durait l'
attaque
et à lasuite fondait en larmes (attaques hysté-
3 ou 4 heures que durait l'attaque et à lasuite fondait en larmes (
attaques
hysté- Tiques). - Grands parents maternels mort
chute, d'alcoolisme, L'accouchement s'est fait à terme. Elle a eu 6
attaques
de nerfs pendant le travail; ces attaques n'ava
it à terme. Elle a eu 6 attaques de nerfs pendant le travail; ces
attaques
n'avaient pas été précédées d'oedème, de céphalée
es synco- pes durant la grossesse et pendant l'accouchement t des
attaques
probablement de nature hystérique. Tou- tefois
récis et il est possible de se demander s'il ne s'agissait pas là d'
attaques
éclamptiques. Puisque l'occasion s'en présente
- neuse, débauchée, alcoolique. Grand'mère paternelle morte d'une
attaque
d'apoplexie. Grand'mère mater- nelle buueuse. I
açon, mort d'une bronchite à 67 ans, sobre. Mère sobre, morte d'une
attaque
apoplectiforme ; 4 ans aupara- vant hémiplégie
me ; 4 ans aupara- vant hémiplégie gauche à la suite d'une première
attaque
. Grand père paternel mort à 88 ans de vieilless
strabisme léger; excès de boissons. Tante paternelle sujette à des
attaques
de nerfs. -- Arriére grand-père maternel, excès
âgée de 45 ans, ne s'est pas mariée parce qu'elle est sujette à des
attaques
de nerfs sur la nature desquelles il est imposs
ystème musculaire de convergence, c'est ce qui à lieu au début de l'
attaque
d'épilopsie ou d'hystérie (pendant la phase des
co)nptëtcducôtë<7auche. ZoMS hystérogènes. Aura. Description des
attaques
; arc de cercle; délire de paroles. Marche de la
trouver]. Mère : 56 ans, intelligente, un peu nerveuse, mais sans
attaques
. (Père, mort d'éléphantiasis (Il avait été à Jéru
comme contrôleur aux omnibus, mais il fut renvoyé à la suite d'une
attaque
, sur la voie publique. C'est à ce mo- ment (187
s, surtout la -droite. Cette douleur s'exaspère seulement après les
attaques
. Il existe une autre zone au niveau des flancs
ule ne donne lieu à aucun phénomène. Aura ie médiate la veille de l'
attaque
, le malade est triste, mo- rose ; il a la tête
.Le goût paraît plus délicat à droite qu'à. gauche. DESCRIPTION DES
attaques
. 93 30 avril : Hydrothérapie. - 5 octobre : Sup
Le malade dit se sent bien moins nerveux. 16 mai. Description des
attaques
. Ses camarades et les sur- veillants ont remarq
sans divaguer. Cependant cette re- marque est générale à toutes les
attaques
et les faitprévoir envi- ron 7 à 8 heures d'ava
eoir pres- que sur son lit : les pupilles qui dans l'intervalle des
attaques
sont contractées se dilatent légèrement : la fa
par un nouveau grincement de dents qui pourrait faire croire à une
attaque
subintrante : mais il n'en est rien et au bout
d'un certain vice de prononciation. Il ne reprend jamais après une
attaque
le sujet de conversation qu'il avait avant, mai
t, mais il change à chaque fois : déplus, dans l'intervalle de deux
attaques
, il lui arrive souvent de s'arrêter au milieu d
corps au dessus du lit, comme s'il était poussé par un ressort. Ces
attaques
se présentent assez souvent par séries. 17 ma
ant ses crises. 16 juin - Le malade a depuis 3 jours des séries d'
attaques
. Le soir on le trouve étendu sur son lit, les t
tre d'une 11y17crcsthèsie notable au toucher qui détermine même une
attaque
du type décrit' plus haut. La compression de la
ne nouvelle atta- que. Hydrothérapie du 1'='' avril au 15 octobre :
attaques
plus nombreuses. 1883. Hydrothérapie du lor a
i : parfois il est un peu excité, mais l'est généralement avant ses
attaques
. 1884. 18 juillet. - Série d'attaques, comme ce
l'est généralement avant ses attaques. 1884. 18 juillet. - Série d'
attaques
, comme celles décrites ci-dessus. Bien des chos
s paraissent exagérées dans ces ac- cidents : témoin ce fait qu'une
attaque
cesse quelques secon- des après qu'on a parlé h
ien à la gorge. Cette aura commencerait 40 minutes au moins avant l'
attaque
et permettrait au malade de prévenir. Les phéno
dans tous les membres survenant soit au début, soit à la fin de 1'
attaque
, jamais à l'état isolé Ce serait une des phases
de 1' attaque, jamais à l'état isolé Ce serait une des phases de l'
attaque
. -Sensibilité spéciale, rien à noter sauf que l
do rêves érotiques avec pollutions sans rapport avec la période des
attaques
. Le tableau suivant permet d'apprécier la march
uper la corde. C'est la cinquième tentative depuis cinq mois. Ses
attaques
offrent les mêmes caractères et dans son délire
tre, 1891. 7 98 IIYSTÍmo-ÉPILEPSIE. ture de la clavicule dans une
attaque
. Actes atatontati- ques. Pollution et rêves ero
rée à l'entrée du malade. La description que donne son frère de ses
attaques
correspond ce que nous avons. pu observer. Il s
nt un grand danger. Puis arrive la perte de connaissance. Après l'
attaque
, il est assez longtemps à revenir : il peut mar-
le est plus exquise à gauche. - L'acuité visuelle Description d'une
attaque
. 101 gérait plus faible à droite; les couleurs
rairement à notre en fait d'hystérie. 2 février. Le malade a eu une
attaques
dont le surveillant fait le récit suivant : D'a
les bras et en répétant : oh ! Il n'urine jamais sous lui ; après l'
attaque
il a la migraine et est très abattu : dures env
lsions cloniques) et se relevant, s'est'mis à marcher en arrière. L'
attaque
totale a duré environ 1/4 d'heure : puis il s'e
n il est revenu à son lit et s'est couché. 11 juin. Hett.. a eu une
attaque
cette nuit. Voici le récit qu'en fait le survei
novembre : Température au moment de la période de; ronflement d'une
attaque
, 37°; un quart d'heure après l'atta- que 37°, 8
37°; un quart d'heure après l'atta- que 37°, 8; deux heures après l'
attaque
, 37°, 7. ' - Guérison. 103 15 décembre. Aura
on. 103 15 décembre. Aura : le malade prétend ne sentir venir ses
attaques
qu'un moment avant de perdre connaissance : il
sexuels et n'avoir jamais eu de maladies vénériennes. Il n'a plus d'
attaques
depuis le mois de mars 188 ! ), et s'il est res
RO-tPrLEPSIr, 105 Comme onle voit par ce tableau le malade a eu des
attaques
de deux espèces : l°de grandes attaques, 2° des
tableau le malade a eu des attaques de deux espèces : l°de grandes
attaques
, 2° des attaques incom- plètes qualifiés de ver
e a eu des attaques de deux espèces : l°de grandes attaques, 2° des
attaques
incom- plètes qualifiés de vertiges sur lesquel
morle aliénée. Accès de colère. Quelques excès de boisson. Première
attaque
en 1881, suivie de bégaiement, d'hémiplégie, de
bégaiement, d'hémiplégie, de contracture hystérique du côté gauche.
Attaque
apoplectiforme : Contracture des bras gauche. D
Déformation du pouce gau- che consécutive à un traumatisme dans une
attaque
. État du malade en 1885. From ? Louis-Marie,
sens auraient été négatifs, au dire du malade. D'un autre côté, les
attaques
s'étaient multipliées. Un mois après la premièr
con- trariétés, d'émotions ou même de la vue d'autres malades en
attaques
. Fr ? ne garde pas souvenir de ces crises; elles
que crise, il passait deux ou trois nuits agité et sans dormir. Les
attaques
ont persisté ainsi pendant 15 mois : au bout de
ès de bois- Antécédents. 107 son. Il continuai t avoir encore des
attaques
, mais très espacées. Puis il s'aperçut que les
tit au mois de février 1885. Pendant ce laps de temps, il eût des
attaques
tous les quinze jours en moyenne, on lui appliqua
homme de peine. 2° Il est noté que les accidents ont débuté par une
attaque
apoplecti- forme à la suite de laquelle il aura
près sa sortie de la Salpètrière il fut, en effet, à la suite d'une
attaque
transporté à la Chanté dans le service du profe
un étourdissement comme il en a d'habitu- de 5 ou 10 min. avant ses
attaques
: puis il a eu son attaque et est tombé sur le
n a d'habitu- de 5 ou 10 min. avant ses attaques : puis il a eu son
attaque
et est tombé sur le bord du trottoir : dans cet
e, brachycéphale; bosses occipitales développées. DESCRIPTION d'une
attaque
. 109 Description d'une attaque. Deux ou trois j
les développées. DESCRIPTION d'une attaque. 109 Description d'une
attaque
. Deux ou trois jours avant 1 attaque il a des d
taque. 109 Description d'une attaque. Deux ou trois jours avant 1
attaque
il a des douleurs de tête intermittentes, la moin
t pas abondantes. Pas de mictions ni de selles involontaires. Cette
attaque
dure à peine quelques minutes, il reprend très
quelques minutes, il reprend très vite connaissance; mais après ces
attaques
le bras gauche et surtout la main sont contract
de prétend cepen- dant que sa mémoire a baissé depuis ses premières
attaques
. Il n'est pas méchant, ni querelleur, et s'occu
e avec déviation de la langue à gauche. Le malade a par jour 2 ou 3
attaques
: elles sont plus fortes et plus nombreuses lor
ROCi ? PH : 1LIE. 117 7 causée par la vue d'une folle qui avait des
attaques
mal définies et que la mère de notre malade a s
père suicidé ; grand-père paternel mort fou. Pour mère nerveuse (
attaques
); grand- père maternel alcoolique ; grand'tante
ue, intelligente. Elle est un peu nerveuse, mais n'a ni migraine ni
attaques
de nerfs, etc. [Père, bien portant, excès de bo
ons dans l'enfance. Assez impressionnable, pleure facilement. Pas d'
attaques
ni de syncopes. Formée à dix-huit ans. 'Mariée
te âgée, de cause inconnue. - 3 sa urs, très bien portantes, sans
attaques
de nerfs, ont des enfants en bonne santé. Cou-
[Père, mort du choléra. Mère, sujette jusqu'à la ménopause à des
attaques
de nerfs, qui ontlaissé l'intelligence absolument
té aucun grand signe de nervosisme; elle n'eut ni somnambulisme, ni
attaque
convulsive. Elle ne se rappelle pas avoir uriné
malade n'urina pas sous elle, ne se mordit pas la langue pendant l'
attaque
. On provoqua une vive douleur par la pression sur
entuée, en même temps qu'elles se refroidissent. Nous craignons une
attaque
de : nerfs, et disons à la malade que nous nous
départ, qui n'eut lieu qu'au bout de onze mois. Il eutune nouvelle
attaque
de rhumatisme articulaire aigu en 1892 qui dura
notre malade qui, sous l'influence d'émotions, a vu apparaître une
attaque
convulsive, une émotion plus vive amenée par l'
autour de l'oeil droit chez un homme de vingt- deux ans sujet à des
attaques
de nerfs et paraplégique; dans le second chez u
- tion aurait l'avantage de faire- cesser presque brusquement les
attaques
comitiales et dans tous les cas de les rendre bea
ations d'ordre pathogénique. Partant de cette idée qu'à la base des
attaques
d'épilepsie se trouvent des troubles vaso-moteurs
n veut rapidement provoquer le sommeil, par exemple pour couper une
attaque
d'hystérie, mieux vaut la paraldéhyde et l'hydr
sur l'existence des stigmates de l'hystérie, sur la périodicité des
attaques
et la constatation de la cachexie palustre. Le pr
2) à l'étude d'un cas de maladie de Raynaud.Il décrit sous le nom d'
attaques
épi- leptiformes un tableau, facile à reconnaît
à reconnaître, de l'hystérie. Le malade, un soldat, était atteint d'
attaques
. « Quand on essaie de le soulever, dit-il, le t
e graisse. A la suite d'une séance d'électricité, il fut pris d'une
attaque
hystérique : larmes, cris, désespoir sans perte
vec l'autre main. Plus tard encore, elle eut dans la journée quatre
attaques
pendant lesquelles les doigts devenaient bleus
vinrent dou- loureuses et d'un froid glacial. Elle eut une violente
attaque
de nerfs à la suite de la mort de son père. Ell
thèse qui concerne une jeune fille de vingt-quatre ans, atteinte d'
attaques
de nerfs, avec perte de connaissance, sensation
. Marie. IV. RETOUR DU réflexe PATELLAIRE dans LE tabès après UNE
attaque
D'HÉMIPLÉGIE ; par H. JAcEsoN et J. TAYLOR. (Brit
s. P. S. XIX. UN cas D'HYSTÉRIE CHEZ UN enfant, caractérisé par DES
attaques
RÉGULIÈRES DE léthargie, traitement par l'hypno
t. IV, 1893, p. 556.) Blessures de la tête; quelques semaines après
attaque
de mu- tisme, précédée de vertiges pendant plus
cédée de vertiges pendant plusieurs jours; retour régu- lier de ces
attaques
tous les mois, avec apathie complète ; durée de
u, de la conjonctive; ulcérations générales; oedème des extrémités;
attaques
syncopales, mort; hématome de la dure-mère. P.
ehors de l'éclampsie. J'ai supposé que les paraly- tiques à grandes
attaques
. avaient quelque chose de plus que les paralyti
s attaques. avaient quelque chose de plus que les paralytiques sans
attaques
. En dehors de la lésion et du trouble congestif
onstater que le sang des paralytiques généraux, recueilli après les
attaques
épileptiformes, prenait fréquemment des caractè
ificiel à la dose de 1.000 à 1.500 grammes amélioraient parfois te5
attaques
des, paralytiques généraux, comme elles amélior
ne croit pas à l'efficacité de la saignée, comme moyen curatif des
attaques
épileptiformes. M. Charpentier. Nous sommes tou
icité du sang ne résulte pas du travail musculaire qui accompagne l'
attaque
épileptiforme. M. Brrnd n'a aucune opinion à ce
toujours fait mes saignées à un moment très rapproché du début de l'
attaque
. Cette méthode m'a souvent donné de bons résult
ammes seulement). M. Vallon pense qu'il peut y avoir des cas où les
attaques
épi- leptiformes des paralytiques généraux ont
n, ans, ayant depuis l'âge de sept ans, présenté un nombre infini d'
attaques
s'élevant souvent au chiffre de 120 par mois. L
infini d'attaques s'élevant souvent au chiffre de 120 par mois. Les
attaques
devenaient presque subintrantes au moment des r
inistra opium et bromure et, depuis le 8 août 1893, elle n'a plus d'
attaques
. Son état mental s'est modifié; elle a récupéré
ten nous avons recours à la méthode de Flecnsig dans les cas où les
attaques
d'épilepsie se compliquent d'angoisse. Dès qu
s qui, tout à coup, à la fin du mois d'août 1893, fut atteint d'une
attaque
d'épilepsie complète. Perte de connaissance per
persistant pendant vingt-quatre heures et entrecoupée de plusieurs
attaques
semblables. Depuis lors, rareté des grandes att
e de plusieurs attaques semblables. Depuis lors, rareté des grandes
attaques
, très grande fréquence des petites attaques. Le
ors, rareté des grandes attaques, très grande fréquence des petites
attaques
. Les unes, c'est le cas le plus fréquent, sont
e malade perd connaissance. Permanence presque constante, entre les
attaques
, de légères con- vulsions des muscles, des cuis
Formications dans les mêmes endroits avec excerbations avant les
attaques
. Parésie actuelle et raideur de la jambe droite q
r de légers accès d'exci- tation maniaque. En 18-j et 72, plusieurs
attaques
épileptiformes n'ayant pas reparu depuis. A la
s intestin avec évacuations muco-sauguinolentes; dans l'après-midi,
attaques
épi- leptoïdes répétées avec perte de connaissa
hiviste : D1' Cruet ; trésorier : M. Jules Robyns. Traitement des
attaques
d'épilepsie (Lemoine.) Lavement. 160 ERRATA.
II mort sitiophobe. Louis Xt dégénéré, mort consécutive à plusieurs
attaques
d'apoplexie. Cause déterminante : fièvre typhoï
l'hypnose dans le service du Dr Guyot. En mars 1887, elle eut une
attaque
de rhumatisme articulaire aigu. Un matin en se
alcooliques de la malade devaient nécessairement faire songer à une
attaque
de delirium tremens, mais il manquait la fièvre
stème nerveux ; comme d'autres poisons de la même classe, elle ne s'
attaque
que sur un système nerveux affaibli et ces caus
t revêtu de cet attirail étrange qui pèse trente kilogrammes. LES
attaques
épileptiformes dans LE COURS DE la paralysie gé
paralysie générale. M. CIIRISTIAN fait une communication sur les
attaques
épilepti- formes dans la paralysie générale.
théorie qui attribue aux aulo-ititoxi- cations la production de ces
attaques
; il considère celles-ci comme faisant partie i
ons sanguines est contre- indiqué. M. G. Ballet. Le mécanisme des
attaques
épileptiformes dans la paralysie générale, est
annonçant l'arrivée des accidents épilep- tiques ; puis la première
attaque
éclate; mais la langue au lieu de revenir ensui
est pas terminée ; en effet, après ce moment de répit, de nouvelles
attaques
surviennent. C'est seulement lorsque la langue
accident épileptique, que ce soit un vertige, un accès, une série d'
attaques
ou une période d'agitation ; ensuite ils dispar
d il y a série. Eux aussi, facilitent la détermination en série des
attaques
comitiales, quand il y a vingt-quatre ou quaran
présence de l'al- bumine en grande abondance dans l'urine après les
attaques
, mais il ajoute que cette albumine n'est pas co
IOLOGIE PATHOLOGIQUE. DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE. 273 c d'
attaque
et cependant il y a inversion des phosphates. (An
e, pas très longue, de ce symptôme, elle n'essaya pas d'écrire. Les
attaques
convulsives furent assez fréquentes pendant les h
adie; après ce temps elle semble avoir passé plus de deux mois sans
attaques
. Toutefois, au commen- cement d'avril, elle sub
ques. Toutefois, au commen- cement d'avril, elle subit une nouvelle
attaque
qui se répéta, en augmentant d'intenité..1 14 e
elle-même et ceux de son père, elle était avertie de l'arrivée de l'
attaque
par une sensation de tremble- ment du bras droi
bles psychiques post-épilep- tiques. La céphalalgie consécutive des
attaques
siégeaitdans la ré- gion frontale, parfois auss
sium. Sous l'influence d'une médication bromurée assez intense, les
attaques
diminuèrent de fréquence, mais elles ne cessère
ent l'antisepsie intestinale pratiquée d'après M. Féré. Outre les
attaques
complètes, elle en avait aussi d'incomplètes. D
seignements fournis par la malade elle-même et par ses parents, les
attaques
complètes ne différaient entre elles qu'en degr
entre elles qu'en degré, et je peux regarder comme typique la seule
attaque
que j'ai eu l'occasion d'observer moi-même. Le
je lui adressais, lorsque subitement elle dit : Il va me venir une
attaque
. Son expression était alors anxieuse, et dans l'a
mmédiatement après, elle tomba sans connaissance sous le coup d'une
attaque
épileptique bien caracté- risée par des convuls
nvulsions généralisées d'emblée, d'abord toniques puis cloniques. L'
attaque
était d'intensité modérée. Après un état comate
lle put quitter mon cabinet appuyée sur le bras de son frère. Les
attaques
incomplètes étaient identiques au commencement
. Les attaques incomplètes étaient identiques au commencement des
attaques
complètes. La malade sentait des spasmes du bras
t portée jusqu'à 8 grammes par RECUEIL DE FAITS. 295 jour, et les
attaques
rudimentaires étaient toujours fréquentes. Elle
statait une aug- mentation manifeste de l'affaiblissement après les
attaques
. Au mois de janvier 1891 elle n'eut pas de gran
rès les attaques. Au mois de janvier 1891 elle n'eut pas de grandes
attaques
, mais en février elle en eut plusieurs après la
, le fond de l'oeil fut trouvé normal. La malade souffrait donc d'
attaques
épileptiques classiques, tou- jours prédédées d
t. Souvent il se produisait des convulsions localisées, sans qu'une
attaque
épileptique suivit; mais jamais il ne se produisi
qu'une attaque épileptique suivit; mais jamais il ne se produisit d'
attaque
épileptique non précédée de ces convulsions local
gique ou peut-être tumeur caséeuse, comme lé- sion provocatrice des
attaques
. Mais toute la maladie s'explique le mieux en a
part à une embolie les symptômes de début, y compris les premières
attaques
, et d'autre part au foyer ou kyste consécutif l
s, et d'autre part au foyer ou kyste consécutif la continuation des
attaques
. Quant au siège de cette lésion, il était hors
t la cause non seulement des convulsions localisées, mais aussi des
attaques
classiques d'épilepsie, ne me .paraissait pas d
epsie, ne me .paraissait pas douteux, la malade n'ayant jamais eu d'
attaques
qui ne débutassent pas par les convulsions loca
parfaitement bien jusqu'au 19 mai, époque à laquelle elle eut deux
attaques
du même type que les antérieures. Elle commença
bromures, à la date de 4 grammes par jour, et jusqu'à présent les
attaques
ne se sont pas répétées. Je l'ai vue le 7 août.
à cette question il faut d'abord attendre un an ou deux.- Les deux
attaques
qu'elle a eues ne prouvent pas le contraire. On
u'elle a eues ne prouvent pas le contraire. On voit quelquefois les
attaques
se répéter dans les premiers temps qui suivent
de déclarer un malade guéri, parce qu'il a passé quelques mois sans
attaques
. On a vu les attaques faire une pause de plusie
guéri, parce qu'il a passé quelques mois sans attaques. On a vu les
attaques
faire une pause de plusieurs mois, d'un an même
qui me fait espérer une guérison dans ce cas, c'est que toutes les
attaques
de la malade ont commencé par les convul- sions
relation exis- tant dans ce cas entre les convulsions localisées, l'
attaque
d'e7eeyac/i'soMtetM ? e, et l'attaque d'épileps
les convulsions localisées, l'attaque d'e7eeyac/i'soMtetM ? e, et l'
attaque
d'épilepsie classique. Les observations ne nont
ue d'épilepsie classique. Les observations ne nont pas rares où les
attaques
d'un malade commencent par des convulsions loca
s du corps. Après une courte période de convulsions localisées, une
attaque
classique d'épilepsie se produisit : la malade
rtoreuse et irrégulière, irrégularité avec accélération du pouls. L'
attaque
dure à peu près deux heures ; à ce ' moment le*-
onnes qui l'entourent, pouls fréquent(102) et irrégulier, nouvelles
attaques
convulsives suivant la même marche et descendan
e connaissance, gâtisme.' Puis, le pouls devient ' lent (60); cette
attaque
dure trois quarts d'heure, le patient revient''
es- tations extérieures. Elles se manifestent complètement dans l'
attaque
d'hystérie, dans le somnambulisme, en un mot pen-
que je vous décris se présen- taient de cette' manière sous forme d'
attaques
extrêmement curieuses, ! de somnambulisme, de c
disparaissent'et réapparaissent sous'différentes influences, les
attaques
, les sôinnâmbulismes; les suggestions, etc. Ce pr
e' vérifié encore dans le cas présenta d'abord la'malade n'a plus d'
attaques
et je n'ai pas l'intèntion`'dé` chercher à les'
été déterminés de la même manière. Je ne parle pas seulement de ses
attaques
hystériques et, de ses impulsions, mais même de
is pas intégralement. Un an après^en 1886, à la suite de nombreuses
attaques
, elle a pré- senté une première fois de l'aphas
février elle est aphasique et hémiplégique du côté droit; dans ses
attaques
le côté gauche se contracte en flexion, le côté d
n homme ivre. A la suite de cet accès elle fit unefugue; depuis les
attaques
n'ont fait qu'augmenter en nombre et en inten-
n père arthritique et d'une mère nerveuse, qui a elle-même eu une
attaque
de chorée pendant son enfance, cette attaque a du
qui a elle-même eu une attaque de chorée pendant son enfance, cette
attaque
a duré 382 RECUEIL DE FAITS. six mois. Une ta
t légèrement obèse. L'enfant en dehors de sa chorée n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs. Elle ne présente ni anesthésies, ni h
bien sou- tenue par G. Sée, H. Roger, Archambault qu'une première
attaque
de rhumatisme n'a été accompagnée chez cette mala
cheveux. Deux ans après cette guérison, en septembre 1885, nouvelle
attaque
pendant onze mois. Mort dans l'été de 1886. L
ninges ou des autres nervures; enfin quelques auteurs pensent que l'
attaque
épileptiforme est liée à des hydro- pisies vent
e c'est l'inverse qui se produit dans les SOCIÉTÉS SAVANTES. 399 ,
attaques
d'éclampsie liées à l'urémie et qui s'accompagnen
subs- tance rénale qui ont considérablement diminué le nombre des
attaques
. Les quantités injectées sont de deux grammes du
cinq parties de la glycérine. M. CHRISTIAN. On ne peut comparer les
attaques
épileptiques franches avec les attaques épiiept
AN. On ne peut comparer les attaques épileptiques franches avec les
attaques
épiieptiformes des paralytiques géné- raux. M
fille éprouve pendant plusieurs jours, au cours de ses règles, des
attaques
con- vulsives persistantes. Celles-ci passées,
ade a eu des convulsions ; réglée à seize ans, elle eut sa première
attaque
à la suite d'une frayeur, à dix-sept ans. Gross
s suivons dans son évolution l'état saburral, prenons le cas où les
attaques
se présentent en série et sont suivies de troub
, et qui con- siste à médicamenter les épileptiques dès la première
attaque
, sans prendre soin de rechercher les causes pos
oublier que lorsque par un traite- ment quelconque on libère de ses
attaques
un épileptique chro- nique au même degré que pa
e; que si, par surcroit, on a obtenu une diminution appréciable des
attaques
, on a rendu au malade un double service; et enf
taques, on a rendu au malade un double service; et enfin que si les
attaques
sont 468 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. complètement
I;EC11TERE\V. N821Y0101 ? Cen- li,albl., XIII, 1894.) Puisque les
attaques
d'épilepsie ont pour substratum physiolo- gique
sont affectés, y ont recours dès qu'ils sen- tent venir ce genre d'
attaques
. Mais bientôt les accès augmentent d'intensité
nts. P. S. XXIII. Du rôle de l'aulo-intoxication dans la genèse des
attaques
apo- plectiformes et épileptiformes de la paral
vantes : Il y a lieu d'admettre que dans un grand nombre de cas les
attaques
apoplectiformes et épileptiformes de la paralys
peu dans un travail uniquement expé- rimental sur la pathogénie des
attaques
épileptiformes dans 1(i pa ? ,@ily- sie général
nérale et en particulier chez les paraly- tiques généraux à grandes
attaques
, la toxicité du sang peut être augmentée. Dans
ables à ceux de l'urémie con- vulsive ou comateuse et qu'on dénomme
attaques
apoplectiformes ou épileptiformes. 3° Le séru
viscères tels que le foie. 5° Les paralytiques généraux indemnes d'
attaques
seraient ceux qui conserveraient in extremis le
, 210; la est-elle une maladie infectieuse, par Bannis- ter, 211;
attaques
épileptiformes dans la -, par Christian, 225 ;
e dans la -, par Hoche, 325; étiologie de la-, par Hoogberg, 390;
attaques
épi- leptirorrnes de la -, par A. \'or- siii,
par A. \'or- siii, 398; du rôle de l'auto-intoxi- cation dans les
attaques
apoplec- tiformes et épileptiformes de la - ,
, par Marris, 38 ; retour du - patellaire dans le tabes après une
attaque
d'hémiplégie, par Jackson et Taylor, 120 ; dans
ues. Nous n'affirmons pas, parce que, dans les cas de ce genre, les
attaques
ne se montrent ordinairement, au début et quelq
oir. Mais quand l'épilepsie commence, quand on en est aux premières
attaques
, je pense qu'on peut espérer du succès. » Bec
s (frictions, demi- bains, affusions dorsales) font disparaître les
attaques
; je sais que ce résultat est possible dans beau
ausées ; elle est nerveuse, im- pressionnable, mais n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs ni de svncones. \Père. marchand de vin
est nerveuse, colérique, pleure facilement, mais n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs, de syncopes ou de migraines. [Père, m
acilement; mais elle était autrefois très gaie; elle aurait eu deux
attaques
de nerfs, une 1 ) De tous ceux qui s'y trouvaie
e aurait commencé en 1868 ; elle était nerveuse, mais n'avait pas d'
attaques
de nerfs; sujette aux migraines, elle n'a eu ni
e fille qui a maintenant 18 ans ; celle-ci se porte bien, n'a pas d'
attaques
de nerfs (deux autres enfants sont morts de con
d'épilepsie.- Mère nerveuse. - Viol (1869). - Grossesse accidentée (
attaques
d'hystérie). - Amélioration. Cabo..., Léon, 1
ès de boisson très rares (vin). Fume très peu. Assez nerveux; pas d'
attaques
. Marié à vingt-trois ans. [Père, soixante-quatr
en 1857 un ictère consécutif à une peur; assez nerveuse, maislpas d'
attaques
; cependant,à l'époque de la puberté, elle a eu
Cauchemars, épistaxis, incontinence nocturne d'u- rine. Première
attaque
Ù 8 ans. Paralysie (lén6- ralisée consécutive a
Première attaque Ù 8 ans. Paralysie (lén6- ralisée consécutive aux
attaques
(13 ans) et compliquée d'oedème des membres inf
es supérieurs ; guérison graduelle de la paraplégie. - Retour des
attaques
. - Excès alcooliques. Premiers rapports sexuels
0 : Anesthésie générale ; zones hystérogènes; aura. Description des
attaques
.- Attaque épileploide. - Action des aimants sur
e générale ; zones hystérogènes; aura. Description des attaques.-
Attaque
épileploide. - Action des aimants sur la sen- s
ants, mais elle était très impressionnable, quoi- que n'ayant pas d'
attaques
de nerfs ; pas d'excès de boisson. [Père, pas d
des enfants mort en bas-âge; 2° garçon, 23 ans, bien portant, pas d'
attaque
, mais est très emporté; il passe pour avoir « l
; 2° Fille, ans ; 3° Fille. 7 ans ; tous trois bien portants, sans
attaques
. Notre malade. - Il ne sait rien sur ses premiè
r du perchlorure de fer ; c'est à cela qu'il attribue ses premières
attaques
. Mais, déjà, il était nerveux ; il rê- vait bea
pour me punir. » Depuis cette époque, il aurait eu environ 2 ou 3
attaques
par semaine jusqu'à l'âge de 13 ans; à la suite
les membres inférieurs n'ont guéri que bien plus lente- ment. Les
attaques
, qui avaient cessé pendant la paralysie, ont re
mença à faire des excès de boisson (absinthe, eau-de-vie); mais ses
attaques
l'ayant repris, il fut interné à l'asile de Blo
re de la montre vo- lée sur laquelle il revient souvent pendant ses
attaques
et que nous raconterons plus loin, telle qu'il
de sang rendue à la fois dépassait souvent un verre. Peu après les
attaques
le reprirent; ramassé sur la voie publique, il
s de point sous-mammaire. Pression des testi- cules négative. Les
attaques
sont annoncées par des phénomènes pré- curseurs
mant peu à peu en tristesse et en besoin de solitude à mesure que l'
attaque
approche. 2° Aura immédiate. Le sang remonte à
puisse prévenir et quelquefois môme se faire attacher. Toutes ses
attaques
, ici, sauf une, sont venues la nuit ; elles dur
i-heure. Il parait y avoir une phase d'extrême agitation : dans une
attaque
, il a tordu les barreaux de fer de son lit; une
-même. D'une manière générale, tout ce qu'il a dit dans sa dernière
attaque
était triste; à certains moments, il avait l'ai
ne imaginaire dont il écoutait ensuite la réponse.- DESCRIPTION DES
ATTAQUES
. 127 Il ne se rappelle absolument rien de tou
l'addition. Peu de con- naissances en gymnastique. 10 décembre. -
Attaque
. A 2 h. 1/2, il rentrait en classe quand, tout
lors je vais aux cabinets pour les cacher. ») Mais, sentant venir l'
attaque
, il veut retourner au gymnase et appeler l'infi
r l'attaque, il veut retourner au gymnase et appeler l'infirmier.
Attaque
, - Période épileptoïde. En descendant l'esca- l
En descendant l'esca- lier de cinq marches qui mène aux latrines, l'
attaque
éclate ; il saisit la rampe en fer, la descelle
it de camp, il lâche les barreaux et se relève ; pas de délire. L'
attaque
a duré environ 10 minutes et parait avoir été t
x. des deux côtés, 37°. 7 h. 25 du soir. - Le malade est pris d'une
attaque
d'hystérie : Pas de cri initial, pas de période
sionné par une simple piqûre. Cinquante minutes après le début de l'
attaque
, F... est courbaturé ; il accuse une violente c
s notes de M. Doutrebente. 132 HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. traitement, les
attaques
se sont espacées d'abord, puis ont disparu défi
de publier cette observation, nous répond que Freit.. n'a pas eu d'
attaques
dans le courant de cette année; qu'il n'a pas e
sont bientôt aggravées par des excès alcooliques et vénériens. Les
attaques
se com- pliquent d'une paralysie généralisée.
m- ble bien être de nature hystérique. En effet, elle a suivi des
attaques
hystériques et, en ce qui concerne les membres
, elle a guéri subitement. HYSTÉRIQUES ET POSSÉDÉES. 133 III. Les
attaques
ont été accompagnées d'hématé- T/1.èses : c'est
l'ai- mant sur l'anesthésie; - 2° l'existence, à l'état isolé, d'
attaques
épiteptoïdes, qui ont induit bien des obser- va
servation de Geneviève B... (l)et de Adeline Parm... (2). V. Les
attaques
de Freit... se sont montrées surtout la nuit et
i qui est relatif à la vigueur ex- traordinaire déployée durant les
attaques
- on disait miraculeuse dans les récits relatif
urs reprises. Pendant les deux mois suivants, rien; puis, troisième
attaque
de convulsions qui a coïncidé avec l'apparition
igente ; peut- être un peu faible, mais elle a été malheureuse ; ni
attaques
de nerfs, ni convulsions, etc.; n'a jamais été
on maniaque. - Rougeole. v Tableau des accès, des vertiges et des
attaques
. EOSINATE de SODIUM. 29 Cards croûteux du côt
gles normaux. En juin, juillet, août 1897, 3 accès, un vertige, 3
attaques
; en 1898, 13 accès, 12 vertiges et pas d'atta-
2 vertiges et pas d'atta- quels ; en 1899, 11 accès, ni vertiges ni
attaques
. Oss. XIII. - Épilepsie héréditaire. - SOMMAI
n/stque. Pas de convulsions. - Intelligence nor- malle. - Début des
attaques
en octobre lob97. - Affaiblis- sement simultané
e à treize ans. - Traitement médico- pédagogique. - Disparition des
attaques
. - Amélioration z progressive de l'état .intell
Mère, « névropathe des plus accentuées», sans cependant avoir des
attaques
de nerfs. Caractère peu commode. Morte onze jou
ontrariété, au moindre ennui (leçon non suc, devoir non fait) a des
attaques
de durée variable. Il en a eu jusqu'à neuf par
à bégayer et le bé- gaiement ne disparut qu'il la réapparition des
attaques
. Dans l'impossibilité de garder plus longtemps
ise, la marche, tendance à se voûter. Lorque Gabriel a eu plusieurs
attaques
consécu- tives, il marche les cuisses serrées l
- Volonté plutôt active mais facile il entraîner. Description d'une
attaque
. - Gabriel est debout adossé au chambranle d'un
térie .mâle de l'enfance. et les fesses de l'enfant. A mesure que l'
attaque
se continue, la face tout en restant congestion
tent immobiles même si on fait passer un objet devant les yeux. L'
attaque
proprement dite a duré dix-huit minutes. Puis G
e tétaniforme en même temps que la face reprend la physionomie do l'
attaque
. Les bras restent quelques secondes raides mais
scolaires et manuels, traite- ment moral. Février. - Le 10, trois
attaques
. - Le 43, une (décrite ci-dessus). - Le I trois
Le I trois. - Le 15, deux. - Le 17, deux. Le 18, doux. - Toutes ces
attaques
ont présenté les mêmes caractères que celle du
e qui lui donne l'angoisse de l'étouffcmcnt. Quelques heures après,
attaque
. Description des attaques. 89 Le 27, deux att
de l'étouffcmcnt. Quelques heures après, attaque. Description des
attaques
. 89 Le 27, deux attaques; elles se sont succédé
s heures après, attaque. Description des attaques. 89 Le 27, deux
attaques
; elles se sont succédé à une demi- heure d'inte
, etc. Il fait les mouvements d'une personne qui se défend et qui
attaque
, les poings sont fermés, l'avant-bras replié sur
tanlôt la frayeur, tantôt la colère ; il ne bave plus. La deuxième
attaque
a présenté les mêmes caractères en raccourci ;
mêmes caractères en raccourci ; durée, dix minutes. - Le 28, une
attaque
; dans la période de résolution, Gabriel tout en
un obstacle s'oppose à leur contact. - Toutes les fois qu'il y a eu
attaque
dans la journée, la nuit l'enfant est très agit
ulièrement que le; permet son état. Mars, - Même traitement. - Onze
attaques
en tout. Durée moyenne quatre minutes. La rigid
ge caractérisé par la fixité du regard, durée dix secondes. - Le 5,
attaque
complète, durée vingt minutes. - Le 21, sommeil
rès caractérisée : clou hystérique, rachialgie, zones hystérogenes,
attaques
bien définies. IV. La maladie débute à douze an
nous montre le bégaiement venant, pour ainsi dire, remplacer les
attaques
, et leur céder la place dès qu'elles se repro-
ence du traitement méclico-péclago- gique, l'activité se règle, les
attaques
diminuent et disparaissent, la mémoire se raffe
lège, et, tout nous permet de croire qu'il y a eu guérison, car les
attaques
n'ont pas reparu depuis mai 1898. ' OBS.- II.
crânienne, etc.) Traitement nédico-pédagogir2ce. - Disparition des
attaques
. - Som- zxambulisnze. - Amélioration progressiv
oir même de son entrée a l'Institut-Médioo- pédagogique, R... a une
attaque
. A 9 heures du soir, il venait de quitter la sa
res de géographie et d'histoire de France. Dans le moi.s de Juin,
attaques
semblables iL celles de Mai. Juillet. - Le 7 ju
es les membre se relâchent, la respiration se fait plus aisément, l'
attaque
; parait terminée. Doux minutes et demie environ
x minutes et demie environ après, nouveau cri strident eu; nouvelle
attaque
en tout semblable iL la première, moins prolong
dant. En une demi-heure, nous comptons onze cris stridents suivis d'
attaque
, séparées par de courtes rémissions. A la fin d
trangulation et d'obnubilation de la vue immédiatement avant chaque
attaque
. Il dit cependant avoir le temps de s'écarter d
perçoit vague- ment le cri qu'il pousse et à certains instants de l'
attaque
il se rend confusément compte qu'on l'entoure e
e qu'on l'entoure et qu'on parle a côté de lui. Il verrait dans ses
attaques
des animaux fantastiques, terrifiants, tels que
es, terrifiants, tels que des dragons, puis ce sont Description des
attaques
. 99 des rats, clos souris qui courent autour de
sont sous les doigts de 'véritables ondulations de serpent. Cette
attaque
prolongée a durée une heure et demie, avec quelqu
rée, en raison directe de la force du cri. Tout le temps que dure l'
attaque
, le pouls est irrégulier, tantôt lent, tantôt p
Les mains sont plutôt fraîches, le front n'est pas chaud. Durant l'
attaque
l'abdomen s'aplatit. A chaque rémission de rigi
commissure interne des paupières. Xi avant, ni pendant, ni après l'
attaque
nous ne constatons de miction, de défécation, (
nom. La nuit a été tranquille, le sommeil très profond. Le; ? Il.
attaque
isolée, élans le genre de celle du 1er mai. Le
té exactement de deux heures et demie. Le 31 juillet Il ... a une
attaque
d'une durée de 15 minutes, présentant les mêmes
devient capable d'un effort personnel. - lt... n'a eu qu'une seule
attaque
de la durée de dix minutes environ. En revanche
a durée de dix minutes environ. En revanche, il s'est produit trois
attaques
de somnambulisme dans la nuit du 7, du 17 et du
arriération intellectuelle de l'enfant est antérieure à la première
attaque
; l'apparition de l'hystérie n'a exercé d'influ
r assisté à aucune crise, nous n'avons pas hésité dès les premières
attaques
Ù reconnaître l'hystérie m;1/e. V. La maladie
ès une rémission de deux mois, coïncide avec une réapparition des
attaques
. 104 Hystérie mâle de l'enfance ; guérison. V
2. Il. était accompagné des certificats ci-après : il juin 1882 :
Attaques
d'épilepsie, accidents paralytiques passagers a
. 18 juin 1882 : Est atteint de débilité mentale avec épilepsie ;
attaques
suivies de trouble mental. - Signé : Magnan. An
1888. - Traitement médico-pédagogique à Bicêtre : Des- cription des
attaques
. - Torticolis, etc. - Disparition des attaques,
Des- cription des attaques. - Torticolis, etc. - Disparition des
attaques
, sortie (novembre 1893). 1894-1900. - Maintien
crispées », il a pleuré et a demandé à boire. Pas de Caractères DES
attaques
. 143 perte de connaissance, pas d'écume ni d'év
normales. 1889. Février. - Broncho-pneumonie, durant laquelle les
attaques
ont été suspendues. 6 mars. - Une attaque, à la
e, durant laquelle les attaques ont été suspendues. 6 mars. - Une
attaque
, à laquelle assiste M. Sorel, interne du servic
la sensibilité générale ni des sens. 144 Description ET marche DES
attaques
. Juin. - Description d'une nouvelle attaque (1)
cription ET marche DES attaques. Juin. - Description d'une nouvelle
attaque
(1) : chute accompagnée d'un cri léger ; mouvem
- Durée totale de l'at- taque 15 minutes. Les caractères de cette
attaque
ne laissent aucun doute sur la nature de la mal
il au 30 novembre des douches. De plus, école et gymnastique. Ses
attaques
ont eu la marche suivante : Décembre 1888, 8 ;
en août 6 ; - en novembre et en décembre 2. Au total 110. - 1890, 4
attaques
(1) Nous réservons le mot accès, aux accidents
t ; au total 10. - Rien de septembre 1890 àj uillet 1891. - 1891, 8
attaques
en août, 15 en septembre. - A partir de là jusq
- A partir de là jusqu'à ce jour, c'est-à-dire en deux ans, ((ucune
attaque
. De l'entrée au mois de septembre 1891 on aurai
is sa sortie jusqu'au 4 septembre U898, il n'avait pas eu une seule
attaque
. Ce jour là il but une absinthe suivie d'un ver
qui a eu lieu alors que depuis 2'i mois, il n'avait plus eu aucune
attaque
. Après avoir été docile, obéissant, laborieux,
ement des céphalalgies. Grand-père paternel mort probablement d'une
attaque
d'apo- plexie à 46 ans; pas d'excès. -Grand'mèr
s après, elle a été effrayée par les cris d'une femme qui avait une
attaque
: « Je n'ai pas perdu con- naissance, mais je m
sférée, formulait ainsi son opinion : « Même état; à la suite d'une
attaque
hystérique, surdité. » En octobre, elle était s
eaucoup de coliques de plomb, des paralysies saturnines,m ais pas d'
attaques
d'éclampsie. Sa mère est morte de la poitrine à
ments fréquents pendant les trois premiers mois ; elle n'a pas eu d'
attaques
d'hystérie durant sa gros- sesse. L'accouchemen
, se met vite en colère, pleure aisément ; n'a pas de syncopes ou d'
attaques
de nerfs, mais des migraines fré- quentes, avan
du Progrès Médical). SA.DRAIN (G.). Étude sur le traitement cles
attaques
d'hystérie et des accès d'épilepsie. In-8° de 5
e Romande, 1900, n° 12.) Il s'agit d'un malade qui à la suite d'une
attaque
d'apoplexie fut atteint d'une hémiplégie du côt
, anorexie, cessation de l'accès après sommeil, face pâle pendant l'
attaque
, sont ses principaux symptômes; accessoirement
9 observations sont alors données par K. Ebing, dans lesquelles les
attaques
d'épilepsie arrivent en même temps que les attaqu
lesquelles les attaques d'épilepsie arrivent en même temps que les
attaques
d'hémicranie, jamais indépendamment d'elles, et
très vague. - ... 6° L'aura visuelle peut survenir sporadiquement (
attaque
avor- tée)... Une névrose ne peut être regardée
raît sous les formes suivantes : phénomènes sensoriels jacksoniens,
attaques
psychi- ques post-épileptiques, attaques classi
es sensoriels jacksoniens, attaques psychi- ques post-épileptiques,
attaques
classiques, équivalent psychique. 9° La migrain
GIE NERVEUSE. 59 La migraine ophtalmique pourrait être l'aura d'une
attaque
hys- térique ou l'équivalent de telles attaques
it être l'aura d'une attaque hys- térique ou l'équivalent de telles
attaques
. Il est curieux cependant que, jusqu'en 1891, 1
et mécaniques peuvent exceptionnellement produire une migraine; une
attaque
de migraine peut, d'autre part, provoquer une c
res névralgies peuvent le faire. Mais de là à pouvoir interpréter l'
attaque
de migraine comme un syndrome ou l'équi- valent
psychialrii, V. 1900.) Observation d'un homme éprouvant depuis une
attaque
de con- gestion cérébrale, des accès passagers
n'est plus l'obnubi- lation ou la perte de la conscience propre à l'
attaque
d'épilepsie ; le sujet, tout à fait lucide pour
ous forme d'accès en présentant la même physionomie stéréotypée. Ni
attaques
convulsives, ni ver- tiges, accès épileptoïdes
at métallique terne du regard suit, toujours, d'après M. Tschije, l'
attaque
ou l'équivalent de l'attaque d'épilepsie essen-
suit, toujours, d'après M. Tschije, l'attaque ou l'équivalent de l'
attaque
d'épilepsie essen- tielle. ' Il est dû à l'em
des membres SOCIÉTÉS SAVANTES. 83 avec intégrité de la face, des
attaques
épileptiformes, des contrac- tures avec aboliti
des accidents morbides suivants : céphalée constante, vomissements,
attaques
epilepti- formes, hémiplégie droite, nystagmus,
... jouit habituellement d'une excellente santé. Il n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs ni de para- lysies d'aucune sorte. Il
arçon âgé de dix-huit ans, atteint de tic de la face et sujet à des
attaques
d'hystérie, et deux filles en bonne santé. PA
eints de lésions cardio-vasculaires ; b) Chez ceux qui ont eu des
attaques
apoplectiformes et épileptiformes ; c) Chez l
ons tuberculeuses et emphysème ; 3° chez tous ceux qui ont-eu des
attaques
apoplectiformes ou épileptiformes; 4° chez ceux
les enfants et chez les cardiaques, même chez celles qui ont eu des
attaques
apoplectiformes. Nous faisons en ce moment l'ex
mais un plus fort pourcentage de gros lymphocites au' moment d'une
attaque
, ce qui pourrait par conséquent en faire soupço
sait seulement de lui qu'il est depuis quelques années sujet à des
attaques
convulsives suivies de coma, attaques attri- bu
s quelques années sujet à des attaques convulsives suivies de coma,
attaques
attri- buées à l'alcoolisme. A l'autopsie on tr
ches sur nos épileptiques qu'aux époques où ils n'avaient pas leurs
attaques
. Les quatre autres formes mentales se suivent d
s névroses, ou joue le rôle d'une zone spasmogèneprovocatrice d'une
attaque
d'hystérie grave limi- tée à la phase du délire
phase du délire. Cette interprétation est surtout à émettre quand l'
attaque
est accompagnée d'un état de conscience halluci-
stales) est le point de départ du réflexe, qui détermine plutôt des
attaques
de petit mal que de grandes crises et comme phé
e et la neuras- thénie. On observe dans les jours qui précèdent les
attaques
d'épi- lepsie, et pendant les états de dépressi
souvent, selon lui, que des rémissions, et, après des suspensions d'
attaques
même prolon- gées, on observerait des retours d
t. Au bout de quelques semaines, à l'occasion, de préférence, d'une
attaque
, et en ayant soin de constater si le malade com
40 grammes, en s'arrêtant à la dose suffisante pour sup- primer les
attaques
convulsives et les équivalents psychiques. Cette
diagnostic différentiel avec les accidents hys- tériques. Dans les
attaques
d'hystérie et d'li3'stéro-épilepsie l'orifice.
ielle avec paraphrase, survenue en pleine santé à la suite de trois
attaques
convulsives. Ce dernier malade recopiait les mo
ectique assez accusé, au cours duquel il mourut, à la suite de deux
attaques
congestives accompagnées d'arythémie cardiaque.
u déterminer nettement la cause de la mort. A quoi étaient dues ces
attaques
congestives ? S'agit-il d'un phénomène d'asphyx
néral méconnu avec idées hypochondriaques qui aurait succombé à une
attaque
apoplectiforme. M. SOLLIER pense que 1 idée de
ents héréditaires. Depuis l'âge de huit ans, elle est sujette à des
attaques
convulsives qui se répètent généralement toutes
réquentes, la miction involontaire est, par contre, assez rare. Les
attaques
exceptées, la malade a toujours joui d'une bonn
r, pesanteur dans les membres) faisaient craindre l'imminence d'une
attaque
; chaque fois, cette dernière se trouva évitée,
dernière se trouva évitée, ou du moins retardée. , . La dernière
attaque
dut avoir lieu hier, mais elle fut coupée dès s
teinte d'une crise hystérique, Rosalie a été prise elle- même d'une
attaque
; elle a eu le temps de se coucher, puis elle a
ertiges et bouffées de chaleur à la tête. 24. Hier soir, violente
attaque
convulsive de près d'un quart HYSTÉRO-ËPILEPSIE
Cessation des poudres de seigle ergoté. ' 5. Ce matin à 7 heures,
attaque
convulsive que la soeur du service décrit de la
2. La malade, qui s'est sentie relativement bien depuis sa dernière
attaque
, se plaint, ces deux derniers jours, de vertiges
un peu de palpitations. Poids = 57 kg. 1/2. 26. Aujourd'hui, deux
attaques
convulsives de dix à quinze minutes chacune. 29
boire deux grands verres de vin ; le jour même, il se produisit une
attaque
. Depuis, elle en a plusieurs, à des in- tervall
égères morsures de la langue et de la lèvre inférieure (suites de l'
attaque
d'hier). Le poids est de 62 kg. 24. Ce matin, d
très fré- - quent (424). - Peu après la visite, elle a une seconde
attaque
, très faible aussi (secousses dans les bras pen
e ce matin. Elle dit qu'elle a été avertie hier de l'imminence de l'
attaque
par des étourdissements, puis par une sensation
n manger. A 2 h. 1/2 de l'après-midi, elle est prise d'une violente
attaque
de convulsions, sans perdre toutefois entièreme
s de lièvre aujourd'hui. Grand découragement à cause des nombreuses
attaques
de ces dernières semaines. A partir d'au- jourd
n, mais se sent fatiguée. Peu après la visite, elle est prise-d'une
attaque
épi- leptique typique, que j'ai l'occasion d'ob
sent très abattue, ce matin. Elle dit qu'elle n'a pas senti venir l'
attaque
d'hier et qu'elle a été tout étonnée, en se rév
e la malade, découragée, avait refusé de prendre depuis sa dernière
attaque
. L'état général est bon en ce moment; le poids
e, remonta vers le coeur et vers la gorge, puis elle eut une faible
attaque
convulsive. 17. - Vertiges, bouffées de chaleur
ard derrière 360 CLINIQUE NERVEUSE. ... 5 elle (comme lors de l'
attaque
du 5 janvier), puis tout de son long. Toujours
e connaissance n'est apparemment pas aussi complète que lors de l'
attaque
du 8 février, bien que la malade ne réponde pas a
la gorge qu'elle a ressentie quelquefois au début de ses dernières
attaques
convulsives. - 3. Ce matin, température de 37
qui frappe' tout d'abord chez notre malade, c'est la coexsistence d'
attaques
épileptiques et de crises manifeste- ment hysté
doute ce qui aura eu lieu aussi chez notremalade. Probablement, les
attaques
observées dès l'en- fanceaurontété uniquementde
mière, elles ne constituent toutefois qu'un symptôme consécutif des
attaques
, causé par la brusque élévation de la pression
cte de l'auto-suggestion mise en oeuvre localement par le rêve de l'
attaque
. » (Gilles de la Tourette2.) Dans d'autres cas,
trées de préférence aux environs des époques où se produisaient les
attaques
, elles ne furent pas manifestement dépendantes
ent aussi bien dans l'état de mal que, à un moindre degré, dans les
attaques
isolées (Bourneville 2); mais pas, comme dans l
e hystérique ne serait rien d'autre que l'équivalent thermique de l'
attaque
con- vulsive'. Nous n'hésitons donc pas à att
ièvre. Les deux phénomènes ne sont évidemment pas subordonnés aux
attaques
convulsives, bien que plusieurs fois ils aient ét
e probable, qui présenta il y a vingt- cinq ans, à la suite de deux
attaques
successives, une paralysie du type Millard-Gubl
mener à lire et à écrire. Pas du tout, jamais de paralysie, point d'
attaques
d'apo- plexie. On trouve, à l'autopsie, une a
dix ans, sur 40 qui subirent l'opération, G seu- lement eurent des
attaques
complètes à l'excitation de la zone épileptogèt
(grattage, incurvation latérale, fermeture des yeux, etc.), mais, l'
attaque
parfaite, qui jadis était la règle, qui se prod
produisait encore, il y a quinze ans chez 15 p. 100 des animaux, l'
attaque
parfaite ne vint pas. Et cela, de quelque façon
peut grouper les accidents épileptiques de la manière suivante : 1°
Attaques
épilep- tiques avec santé morale intacte; 2" at
suivante : 1° Attaques épilep- tiques avec santé morale intacte; 2"
attaques
épileptiques avec folie; 3° folie dite épilepti
2" attaques épileptiques avec folie; 3° folie dite épileptique sans
attaques
caractéristiques. On n'a pas à s'occuper ici du
n'est pas REVUE DE MÉDECINE LEGALE 409 en rapport immédiat avec l'
attaque
, ils peuvent être séparés par des intervalles p
chez un para- lytique général, et même que si un homme sujet à des
attaques
fréquentes d'épilepsie commet un homicide d'une
epsie psychique pure, entière- ment et absolument indépendante de l'
attaque
caractéristique, existe en tant que maladie per
E LÉGALE. Les troubles mentaux peuvent se manifester : 1° avant les
attaques
, 2° après les attaques; 3° dans l'intervalle de
mentaux peuvent se manifester : 1° avant les attaques, 2° après les
attaques
; 3° dans l'intervalle des attaques; 4° en rempl
avant les attaques, 2° après les attaques; 3° dans l'intervalle des
attaques
; 4° en remplacement des attaques, celles-ci aya
attaques; 3° dans l'intervalle des attaques; 4° en remplacement des
attaques
, celles-ci ayant cessé. 1° Avant les attaques,
en remplacement des attaques, celles-ci ayant cessé. 1° Avant les
attaques
, ils prennent la forme de perversions sen- sori
uteur relate ici plusieurs observations de ce genre; ' 2" Après l'
attaque
, les troubles mentaux varient dans l'époque de
es. 3° Les troubles mentaux qui surviennent dans l'intervalle des
attaques
se montrent ordinairement sous la forme de crises
extrême soudaineté; . 4° Les troubles mentaux qui remplacent les
attaques
et se manifestent après leur cessation ont géné
on, la proportion qu'il convient de maintenir entre la gravité de l'
attaque
et la sévérité des représailles : ce sentiment
naturelle et n'est autre chose, que la connexité nécessaire entre l'
attaque
et la défense, née de la nécessité fondamentale
dans la moitié tem- porale ; à gauche, dans la moitié nasale; Des
attaques
de grand et de petit mal; De l'affaiblissement
nommée d'A..., âgée de quarante-trois ans. Son père avait "eu trois
attaques
d'hémiplégie; il a succombé à la dernière. Elle
, dans la suite, à partir de l'année z1597, d'A... a eu une série d'
attaques
d'épilepsie, avec cri initial, morsure de la la
ssai de traitement mercuriel inten- sif n'empêcha pas le retour des
attaques
du grand mal, au nombre de trois, en l'espace d
s ce qu'on lui dit. D'autre part, d'A... est toujours sujette à des
attaques
d'épilepsie ordinaire; elles éclatent sans aura
lle ne présente pas de paralysie post-paroxystique. D'ailleurs, les
attaques
sont rares ; leur nombre est d'environ trois pa
eux ou trois par jour. Apparemment l'hémianopsie temporale et les
attaques
de petit mal datent de la même époque, car, Charc
1897, les hallucinations de la vue ont disparu. La malade a eu une
attaque
d'épilepsie, avec morsure de la langue, chute,
e, avec morsure de la langue, chute, incontinence d'urine. D'autres
attaques
sem- blables ont suivi, à des intervalles éloig
ment dans l'état de la malade. Celle-ci continue de tomber dans des
attaques
qui débutent par un cri, sans aura sensitive ou
a jamais présenté de paralysie post- paroxystique. Somme toute, ces
attaques
sont très rares; elles se suivent à des interva
ivent à des intervalles de plusieurs mois. Plus fréquentes sont les
attaques
de petit mal ; au cours d'une conversa- tion, l
. SUR TROIS cas d'hémianopsie. 441 ( 'Diagnostic - Messieurs, des
attaques
d'épilepsie, chez : une femme qui paraît avoir co
en tant que manifestations de la syphilis des centres nerveux, des
attaques
de grand mal, caractérisées par des convulsions
rébrale. Il est reconnu aussi qu'en pareilles circonstances , des
attaques
de petit mal alternent volontiers avec les grande
, des attaques de petit mal alternent volontiers avec les grandes
attaques
convulsives qui sont le propre de l'épilepsie ess
, les autres manifestations pathologiques présentées par d'A... -
attaques
de grand et de petit mal, diminution de l'intel-
les du langage; sans compter qu'elle a eu, à un moment donné, une
attaque
transitoire d'hémiplégie droite. C'est une nomm
s ner- veux. Elle a été réglée à onze ans. Elle a eu une première
attaque
de rhumatisme articulaire aigu, à l'âge de huit a
rendre son travail. En septembre dernier, elle a eu une troisième
attaque
, semblable aux deux premières, mais qui n'a pas
un ans, dont les anté- cédents pathologiques se réduisaient à trois
attaques
de rhu- matisme articulaire aigu, de véritables
la faculté de comprendre et de parler. Au sortir de la troisième
attaque
, beaucoup plus longue que les deux précédentes,
de malade, comme chez la première, l'hémianopsie, de même que les
attaques
de vertige, de même que l'amnésie verbale, de m
s attaques de vertige, de même que l'amnésie verbale, de même que l'
attaque
transitoire d'hémiparésie droite et d'aphasie m
e, qu'une hémiparésie droite, survenue subitement, à la suite d'une
attaque
qui s'est accompagnée de la perte de la connais
tres symptômes, présentés par la malade : de l'amnésie verbale, des
attaques
de vertige, de l'attaque d'hé- miplégie transit
par la malade : de l'amnésie verbale, des attaques de vertige, de l'
attaque
d'hé- miplégie transitoire et d'aphasie motrice
uvent déjà se montrer chez les sujets prédisposés. Malgré ses trois
attaques
antécédentes de rhumatisme articulaire aigu, el
e la parole, qui a duré, chaque fois, environ deux heures. Ces deux
attaques
se sont suivies à quelques jours d'intervalle.
cultivateur âgé de cinquante-cinq ans, bien portant jusque-là, deux
attaques
successives d'aphasie, de deux heures de durée
car, ne SUR TROIS cas d'hémianopsie. 465 l'oubliez pas, avant son
attaque
proprement dite d'apoplexie, il avait eu deux p
t son attaque proprement dite d'apoplexie, il avait eu deux petites
attaques
d'aphasie. L'hypothèse d'une hémorrhagie cérébr
riode de la vie, où des hémorrhagies cérébrales, révélées par des
attaques
d'apoplexie, sont relativement fréquentes. Je me
naires. Evolution progressive de l'affection, poussées congestives.
attaques
épileptiformes. Mort le 10 mars 1807. Sa femm
lui paraissent sourds. L'idée lui vient qu'il est en proie à une
attaque
d'épilepsie. Puis, le voilà, sans trop savoir com
dit alors avec indifférence et résignation qu'il vient d'avoir une
attaque
d'épilepsie et il en rapproche l'opinion d'un c
la personnalité; en revanche les commémoratifs font mention de deux
attaques
congestives indéniables datant de sept ans : la
nnages). Cette malade présentait une amaurose complète et avait des
attaques
épileptiformes. On trouva une volumi- neuse tum
écessité d'un traitement précoce, car, d'après GoweiS, une première
attaque
serait la cause de nombreux cas d'épilepsie. Il
t doit être continué longtemps, deux ou trois ans après la dernière
attaque
. Pour faire justice de l'opinion qui met en dou
ns après, deuxième atteinte qui dure six mois : forme chronique qui
attaque
les petites articulations, sans provoquer de fi
s (·1570), pendant la guerre, étant à la fron- tière, il essuie une
attaque
de rhumatisme articulaire aigu. Après la guerre
fection mentale depuis septembre 1895, mourut en février 1897 d'une
attaque
épileptiforme. 'M. L... contracta, il'y a quinz
ire, enfin douleur de tête atroces, gémissements et cris insolites,
attaques
épilepti- formes fréquentes suivies de coma, ja
point déprimé. Le reste du cerveau sain. 4° Jeune homme. Quelques
attaques
convulsives puis crises de sommeil profond et d
yaux, tout le reste de l'encéphale indemne. 5° Homme, dix-sept ans,
attaques
épileptiformes depuis cinq ans avec aura du bra
is satisfaction (12 p. 100) plus rarement violence (10 p. 100). Les
attaques
de coma surtout à la fin sont la règle. Si le d
rtant sur des régions périphériques éloignées, sources réflexes des
attaques
. Le discrédit actuel de ce dé- partement de la
'elle. Bile devra être faite le plus tôt possible après la première
attaque
de spasme localisé. Pour l'épilepsie idiopathiq
but de la maladie un spasme localisé constituait à lui seul toute l'
attaque
et si dans la suite la crise a toujours com- me
aissance et morsure de la langue. Répétition fréquente de ces mêmes
attaques
dans la suite, toujours suivies de somnolence et
ur 1 centimètre et demi d'écorce. Deux mois après, apparition d'une
attaque
de petit mal non suivie d'autres crises. Quator
ises. Quatorze mois après l'opération et un an après cette dernière
attaque
état très satisfaisant et pas d'autres troubles
rveau de 4 centimètres sur 2. Suites opératoires habituelles, pas d'
attaques
depuis plusieurs mois sans que le temps écoulé
lysie du bras droit qui est devenue définitive, ensuite il a eu des
attaques
, et son caractère s'est modifié (alternatives b
souvent par des accidents portant sur le système nerveux que par l'
attaque
de goutte. Ces accidents sont très variés, étan
, l'observation personnelle d'un garçon de trois ans présentant des
attaques
convulsives et une monoplégie très rapidement g
clou hystérique; garçon, onze ans, contracture; gar- çon, onze ans,
attaques
épileptoïdes cessant brusquement par compressio
. Il rapporte notamment l'histoire d'un garçon de dix ans ayant des
attaques
hystériformes et une hérédité goutteuse très ch
'à Nancy, où les malades ont été hypnotisés par milliers, la grande
attaque
d'hystérie n'existe pas. Les neurologistes les
stice du 13 août, un nommé Joseph Ducinelier, pris subitement d'une
attaque
d'épilepsie, en face le numéro 15 du faubourg Poi
n et d'y substituer la leur. De là une source de difficultés et les
attaques
contre lesquels les médecins sont souvent oblig
le situation; il y a là un vice d'organisation et l'on comprend les
attaques
que les uns sont disposés à porter contre les a
oquer des troubles cardiaques : on peut regarder comme prouvé que l'
attaque
épileptique provoquée par l'irritation de l'éco
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 323 La part que prend le coeur dans l'
attaque
d'épilepsie est capable de rendre compte des ca
raire, il reste con- vaincu qu'un cardiaque a plus à redouter d'une
attaque
d'épilep- sie que du médicament qui court le pl
té- rique n'est pas seulement caractérisée par une tendance à des
attaques
de sommeil hystérique, qu'elle est bien plutôt l'
exactement comme il lit. Cet état s'est manifesté il la suite d'une
attaque
apoplectiforme par syphilis artérielle du cerve
ule sous forme de délire, de démence, et les vaisseaux sous forme d'
attaques
et de congestions liées naturellement à une inf
tinue et le sujet lui imprime son cachet personnel. Il semble que l'
attaque
de paludisme doive être particulièrement grave
e céphalée atroce dans le côté gauche de la tête depuis trois ans ;
attaques
convulsives avec chute à terre, déviation de la
'est jamais resté vingt-quatre heures sans présenter de crises. Ces
attaques
violentes, journalières, duraient environ une d
rs toute sa lucidité d'esprit et faisait savoir qu'à la suite d'une
attaque
antérieure, il était resté trois mois sans pouv
ements ou les régimes ordinaires n'avaient pas réussi à modérer les
attaques
; 6° il pense avoir démontré qu'il ne craint pas
cas, il n'existait aucune raison plausible à cette appréhension.
Attaque
anxieuse. Quelle que soit la circonstance provoca
irradiant dans tout le système cérébro-spinal ». (Morel.) Quant à l'
attaque
en elle-même, elle est essentiellement t consti
'obsession de la folie, de la gale, de la syphilis, du cancer, de l'
attaque
d'apoplexie, de la mort subite, etc. D'une fa
tismes, aux hémorrhagies, aux anémies (Ilénocque, Féré), et que les
attaques
épileptiques sont plus fréquentes chez la femme
énique, des observations très intéressantes tendent à établir que l'
attaque
épileptique est due à une auto-intoxication (Gr
rentes saisons, des statistiques décadaires indiquant le nombre des
attaques
, heure par heure, dans le service des épileptiq
résultats de Feré au point de vue de la prédominance du nombre des
attaques
nocturnes sur les attaques diurnes; mais ils in
de vue de la prédominance du nombre des attaques nocturnes sur les
attaques
diurnes; mais ils indiquent surtout que, en lai
qui correspond à un qtat physiologique tout spécial, le nombre des
attaques
augmente progressive- ment d'un repas à l'autre
ant immé- diatement les repas et pendant lesquelles le nombre des
attaques
n'atteint que 5,6 p. 100, 4,2 p. 100, 9,4 p. 100,
le, pour une durée de neuf heures, 1,9.2 p. 100 du nombre total des
attaques
quotidiennes; d'autre part, trois périodes maxi
es maxima de trois heures chacune, pendant lesquelles le nombre des
attaques
atteint successivement 18 p. 100, y cl Y
e, pour une période de neuf heures, 52.9 p. 100 du nombre total des
attaques
. La plupart des épileptiques qui tombent pendan
que, pendant les heures qui sui- vent immédiatement les repas, les
attaques
convulsives sont t relativement très rares. E
n. Nous avions d'autre part constaté (v. tabl. I) que le nombre des
attaques
atteint son maximum de neuf heures à minuit et
es à minuit et que de minuit à six heures du matin le mouvement des
attaques
, heure par heure, reste à peu près uniforme. Po
'alcalescence du sang et le mouvement des variations numériques des
attaques
sont >" te n > r m en n m
de l'alcalescence sanguine, c'est-à-dire aux périodes maxima des
attaques
, ont presque constamment donné un degré d'aci-
taux de l'alcalescence sanguine et les variations nu- mériques des
attaques
n'était pas l'indice d'une relation de cause à
retombée à son chiffre habituel, 36,5. Fonctions régulières. Pas d'
attaques
depuis le commencement des expériences. Le 18
isfaisant. T. 37° à 37,5. Pas de modification de l'état mental. Les
attaques
reparaissent isolées. Le 30, injection de 30 ce
onstaté 30 minules après l'injection = VI. Degré minimum entre deux
attaques
à 11 heures de matin = IV. Les urines restent a
- pétit sont réguliers. Pas de modification de l'état mental. Les
attaques
ont repris leur fréquence habituelle. Degré maxim
é maximum de l'alcalescence du sang, après les injections = VI. Les
attaques
se produisent généralement aux heures des minim
ections de 30 cent. cubes les 1, 2, 5, 8, 9,;i l, 12 septembre; les
attaques
reparaissent en séries très nombreuses (voir tabl
ès passager d'excitation maniaque. , Une augmentation du nombre des
attaques
(série très nom- breuse à la fin dès expérience
a été atteinte d'un accès d'agitation très violente, avec série d'
attaques
très nombreuses, troubles sensoriels, hallucina-
L'état physique s'est restauré. L'état mental est satisfaisant. Les
attaques
sont devenues très rares. Six mois après la ces
maintient dans un état satisfaisant. Elle continue à mar- cher. Les
attaques
restent isolées et peu fréquentes. 474 CLINIQUE
après l'injection = V. La malade n'a pas été réglée et n'a pas eu d'
attaques
depuis le début des injections. Les 1er, 3, ti,
t. cubes. Pas de réactions. Etat de subexcilation persistant. Pas d'
attaques
. Le 14, série de sept attaques violentes (de 10
t de subexcilation persistant. Pas d'attaques. Le 14, série de sept
attaques
violentes (de 10 heures à midi). Cha- cune d'el
actère nouveau d'être précédée de plu- . sieurs auras, « comme si l'
attaque
ne pouvait pas sortir ». Parésie transitoire du
s de30 cent. cubes.* Dépression. Fonc- tions normales. Le 20, une
attaque
isolée. Les injections sont continuées jusqu'au
septembre. Menstrua- tion suivie d'excitation plus violente. Pas d'
attaques
. Fonctions régulières. l'alcalescence DU sang
point de vue physique et mental, ce qu'elle était auparavant. Les
attaques
n'ont reparu que pendant la première quinzaine
ns. Début des convulsions à quatorze ans, à la suite d'une frayeur (
attaques
hystériques probables). Menstruation à dix-sept
tate : signes de dégénérescence physique, stigmates hystériques,
attaques
hystériques en séries de 25 à 80 par vingt-quatre
ractère irritable, sournois, trodinll1 vitoe. En 1894, les séries d'
attaques
augmentent progressivement, alternativement hysté
. <111'aiLlissernetit physique progressif. A partir de 1895, les
attaques
du type hystérique ont complètement disparu. Le
Il se produit en moyenne deux séries par mois, variant de 100 à 200
attaques
. Chaque série débute le plus souvent de 10 heur
/10. Air. = IV. Six heures après l'injection (10 b. s.), seiie de 9
attaques
. Ale.= 111. Urines et sueurs abondantes. Les
ent, cubes (5 h. s.), immédiatement suivie d'une série brusque de 7
attaques
sans aura. Aie. = 111 pendant les attaques. -
d'une série brusque de 7 attaques sans aura. Aie. = 111 pendant les
attaques
. - Les 30 juillet, 1, 3, 5, 7 aoùl, injections
injection de 30 cent, cubes, sans troubles consécutifs. Série de 41
attaques
, de 10 heures il midi. Au moment de l'injec- ti
Pas de troubles consécutifs. Le 23, sans prodromes, série de 261.
attaques
débutant à 5 Il. m. Une deuxième série de 105 a
érie de 261. attaques débutant à 5 Il. m. Une deuxième série de 105
attaques
commence à Il. s. Ale. = IV. Les jours suivants
aques commence à Il. s. Ale. = IV. Les jours suivants, les séries d'
attaques
continuent. Aie. = II1, immédiatement avant une
e série. Les 26, 27, 29, injections de 30 cent. cubes. Série de 177
attaques
le 28. , Le 30, 6 attaques. Les 2, 5, 8, 9,
ctions de 30 cent. cubes. Série de 177 attaques le 28. , Le 30, 6
attaques
. Les 2, 5, 8, 9, 11, 12 septembre, injections d
12 septembre, injections de 30 cent. cubes. Rien à signaler. Pas d'
attaques
. L'ALCALKSCHXCH du sang chez les épileptiques.
s d'attaques. L'ALCALKSCHXCH du sang chez les épileptiques. 477 1
attaque
vers l'âge de dix ans. Attaques d'abord très espa
du sang chez les épileptiques. 477 1 attaque vers l'âge de dix ans.
Attaques
d'abord très espacées. Aup- ' mentation progres
llet, donne les résultats suivants : 478 CLINIQUE NERVEUSE. des
attaques
. Élévation transitoire du taux de l'alcales- ce
dents héréditaires. Fièvre cérébrale ( ? ) iL douze ans. Pre- mière
attaque
à seize ans à l'occasion des premières règles. Si
paroxytique. Caractère difficile. S'occupe. État physique bon. Les
attaques
sont complètes, toujours précédées d'aura (crampe
otable dans l'état physique et men- tal. Augmentation du nombre des
attaques
. Elévation , transitoire. du taux de l'alcalesc
nts héréditaires. Convulsions dès les premiers jours de la vie. Les
attaques
nettement caractérisées v partir de de trois ans
13 à 20 par mois. Depuis l'époque de la puberté (quatorze ans), les
attaques
sont plus violentes. Signes de dégénérescence.
nes de dégénérescence. Débilité mentale avec fond mélancolique. Les
attaques
sont précédées d'une courte période de subexcit
cation dans l'état physique. Très légère augmentation du nombre des
attaques
. Augmentation fugace du taux de l'alcalescence
dans les antécédents héréditaires, antécédents personnels obscurs.
Attaques
épileptiques remontant à la première enfance. M
uation régulière. État physique bon. Débilité mentale na- tive. Les
attaques
se produisent en séries peu nombreuses, tous les
modification de l'état phy- sique. Augmentation du nombre total des
attaques
. Pendant la dernière quinzaine, pas d'altaques.
ingt ans (épilepsie). Enfant natu- relle. Mère alcoolique. Première
attaque
à l'âge de douze ans. Attaques quotidiennes dep
u- relle. Mère alcoolique. Première attaque à l'âge de douze ans.
Attaques
quotidiennes depuis plusieurs années. Imbécillité
1 1 S C 00 484 CLINIQUE NERVEUSE. immédiatement après une
attaque
=111. Après l'injection, à 5 h. s. = V. Les 1
n importante de l'état physique et mental. Diminution du nombre des
attaques
qui se montrent plus violentes. Elé- vation fug
chiques post-paroxystiques. D'une façon générale : diminution des
attaques
isolées, aggravation des séries. Augmentation d
isolées, aggravation des séries. Augmentation du nombre total des
attaques
dans tous les cas, sauf deux (obs. II et VIII).
njections ont toutes été pratiquées au cours de périodes maxima des
attaques
, et cependant, dans aucun cas, il n'a été const
a des attaques, et cependant, dans aucun cas, il n'a été constaté d'
attaques
pendant la première heure qui a suivi l'alcales
t maxima en rapport avec les conditions du travail digestif. 2° Les
attaques
convulsives présentent des variations nu- mériq
heure après l'injection et pendant laquelle il ne se produit pas d'
attaques
. - , ,4° Les injections ont pour résultat de di
, ,4° Les injections ont pour résultat de diminuer le nombre des
attaques
isolèes et de provoquer leur rassemblement en s
rassemblement en séries. Elles ne diminuent pas le nombre total des
attaques
, et si elles ont une action sur les manifestati
par des besoins irrésis- tibles de casser des vitres, sous forme d'
attaques
stéréotypées, ou, quand l'occasion manque d'y p
nt pris ainsi que le diaphragme. Puis apparaît l'épilepsie avec ses
attaques
caractéristiques, sans que la myoclo- nie cesse
s que la myoclo- nie cesse; celle-ci continue dans l'intervalle des
attaques
. L'auteur en donne une observation qu'il rappro
ions spasmodiques de certains groupes musculaires, et bien- tôt des
attaques
complètes d'épilepsie (Brown-Sequard, Schiff, N
crâne sans lésion du parenchyme cérébral. Dans ces cas il y eut des
attaques
d'épilepsie jacksonienne. Dans deux de ces cas
eut des attaques d'épilepsie jacksonienne. Dans deux de ces cas les
attaques
sont restées limitées aux membres supé- rieurs
garçon de dix-sept ans. Il est atteint depuis l'âge de quatre ans d'
attaques
convulsives du côté gauche qui débutent par une
r quitter son lit, tellement le nombre des SOCIÉTÉS SAVANTES. 521
attaques
était grand; il était, de plus, tombé dans un éta
re supérieur gauche a totalement cessé, le jeune homme n'a eu que 3
attaques
; il n'a conservé que quelques tressaillements,
e. - La théorie de l'anémie cérébrale comme cause déterminante de l'
attaque
épileptique, perte de connaissance et convulsio
s, lunatiques, erradiques, fanatiques, schismatiques, et toutes les
attaques
qu'on saurait dire, auxquelles on ne trouve rem
ssion première est confirmée par l'examen de la malade. Elle a eu des
attaques
de nerfs, elle est sujette à des contractures dan
ainsi qu'en témoigne le retour régulier de la fonction menstruelle.
Attaques
convulsives hystéro-épileptiques. Vertiges suivis
. Mlle X..., âgée de 20 ans m'est amenée à ma consultation pour des
attaques
convulsives, très fréquentes survenues il y a un
n effet, à cette époque cette jeune fille a commencé à être frappée d'
attaques
convulsives caractérisées par : frissons, tremble
des fenêtres et enfin chute à terre avec perte de connaissance. Ces
attaques
sont toujours diurnes, elles durent de 4 à 5 heur
ent plusieurs fois par jour ; depuis un mois il est survenu outre les
attaques
, des vertiges constitués par la perte de la conna
uver le lendemain avec sa mère, que jusqu'à son retour elle n'aura ni
attaques
de nerfs, ni éblouis-sements. Je ne la laisse dor
er mot. Le lendemain cette jeune fille me fut ramenée sans avoir eu d'
attaques
ni de vertiges. Le même procédé a été employé ave
1 heures. A la 5me séance le sommeil était obtenu en 10 secondes, les
attaques
et les vertiges ne se sont pas reproduits et la j
incontinence nocturne et diurne d'urine, la dyspepsie nerveuse, les
attaques
d'hystérie, etc., qui rentrent dans la catégorie
rafft-Ebing, elles dépendraient de circonstances accidentelles. Les
attaques
qui, on le sait, constituent une manifestation pa
bles délirants : ceux de la phase prodromique, qui peuvent précéder l'
attaque
de plusieurs jours, consistent en modifications d
inique la place exclusive ou au moins, prépondérante. Le délire des
attaques
où les hallucinations visuelles et zooptiques t
qu'ils soient, par leur nature, étrangers à l'hystérie. Ce délire des
attaques
, au moins dans les formes typiques, supprime ce q
ur lequel il est le plus intéressant de fixer l'attention. Dans les
attaques
, le sujet se borne à rêver et à exprimer son rêve
tous les troubles mentaux que nous avons passés en revue, délire de l'
attaque
, idées fixes pénétrant dans le champ de la consci
e les phénomènes conscients et les subconscients-Ces derniers, dans l'
attaque
comme dans le somnambulisme, se substituent compl
ulisme, se substituent complètement aux premiers, mais, au cours de l'
attaque
, les idées tournent dans un cercle étroit et s'or
nsitoires se reliant étroitement soit aux conceptions délirantes de l'
attaque
, soit à des idées fixes ou à des rêves ; quelquef
délires hystériques envisagés comme manifestations ou équivalents des
attaques
; 5° Les idées fixes et les idées subconsciente
ystérique ? Caractères cliniques, formes diverses. Relations avec les
attaques
et les idées subconscientes; 7° La mélancolie,
erveuse, facilement irritable, très émotive, elle n'avait jamais eu d'
attaques
de nerfs avant 1887. C'est à cette époque (elle a
clama son enfant ; elle reprit conscience. A partir de ce moment, les
attaques
convulsives devinrent de plus en plus rares ; ell
e assez bien celles qui doivent être réalisées après le réveil. Les
attaques
convulsives sont très fréquentes et très violente
ire cessant, elle revient à son état normal, ne se souvient ni de son
attaque
, ni de son délire, et a parfaitement conscience q
e, je cherchai à modifier, par suggestion, le délire consécutif à ses
attaques
. « Vous savez, bien, lui dis-je un jour, après l'
e résultat de ce mode d'intervention dépassa mes espérances. Dans les
attaques
suivantes, le délire post-convulsif changea compl
ouvenir de l'accident ne se présentait même plus du tout à la fin des
attaques
et le délire post-convulsif roulait sur les petit
la journée, avaient frappé l'esprit de la malade. En même temps, les
attaques
devenaient moins fréquentes, les convulsions moin
outes les races qui habitent notre globe. On retrouve la triade des
attaques
hystériques, convulsions, catalepsie et léthargie
Convulsions et catalepsie. — Plus universel est le rôle joué par les
attaques
convulsives et la catalepsie. Pour parvenir à cet
d nombre. Dans la religion musulmane, les derviches recherchent les
attaques
hystériques. Théophile Gautier, dans son livre
catalepsie, accident tenu pour très heureux. C'est surtout après ces
attaques
que les chamans peuvent sûrement rendre des oracl
bat du tambour et agite sa crécelle jusqu'à ce qu'il soit saisi d'une
attaque
d'épilepsie. Chez les Veddhas de Ceylan, il dan
fait est exact, car la crainte de l'idole doit, chez eux, favoriser l'
attaque
hystérique. Les négresses cherchent dans certai
e moyen âge de terreur. D'autres fois, l'hystérique, réveillé après l'
attaque
, prend pour réels les tableaux qui se son produit
s sur la production de certains accidents hystériques. Le délire de l'
attaque
roulant sur un événement antérieur et amenant la
entique, à celle que nous avons constatée dans le cours du délire des
attaques
de notre malade. M. Pierre Janet a d'ailleurs é
is, quatre victimes sont successivement immolées, et ils commencent l'
attaque
seulement quand les Dieux les y invitent. De mê
diatement un coup que l'enfant avait reçu en jouant à la balle. Cette
attaque
d'eczéma fut complètement guérie par quelques sug
s pieds, qu'il se frottait l'un contre l'autre pendant la nuit. Cette
attaque
aussi céda au traitement suggestif au bout de peu
t le cou, étaient les parties dont le malade souffrait le plus. Ses
attaques
consistaient en décharges soudaines de grandes qu
IX jours de sommeil Par mois. — Suppression a peu prés complète des
attaques
. — Guérison des troubles moraux. La nommée M.,
s recueillis sur cette malade apprennent que sa mère a été atteinte d'
attaques
de nerfs, que son père se livrait à la boisson.
il en reste quelque chose. A-dix ans, elle a été prise de nouvelles
attaques
qui ont continué jusqu'à ces jours-ci au nombre d
ant à cause de son indiscipline qu'à cause de ses violences et de ses
attaques
. Ces dans ces conditions qu'elle est amenée à n
r dans mon service, elle a été prise une quinzaine de fois par mois d'
attaques
ayant le caractère suivant : Perte de connaissanc
Pas de morsure de la langue. Laideur de la face. Durée ordinaire de l'
attaque
: dix à vingt minutes. Au sortir de l'attaque,
Durée ordinaire de l'attaque : dix à vingt minutes. Au sortir de l'
attaque
, elle ne reconnaît pas le plus souvent les person
ement par la suggestion hypnotique et à l'époque de ses règles où les
attaques
survenaient toujours infailliblement. Nous l'av
ommencé les suggestions consistant à lui dire qu'elle n'aurait plus d'
attaques
. Le résultat a été rapidement obtenu par des sé
ent obtenu par des séances distantes de deux à trois jours pour les
attaques
qui survenaient en dehors des époques menstruelle
lles. (La durée de chaque sommeil était d'une demi-heure). Mais les
attaques
persistant pendant les périodes menstruelles au n
st jusqu'à ce moment très satisfaisant. Elle n'a plus que une ou deux
attaques
maximum pendant les périodes de règles, et même i
II en résulte une propagation rapide du mal, une véritable épidémie d'
attaques
hystériques qui se changent alors en crises mania
ntinue à être tout à fait satisfaisant. Diagnostic différentiel des
attaques
d'épilepsie et d'hystérie. Par M. le D' Aug. Vo
t à soulevé la question si importante du diagnostic différentiel de l'
attaque
d'épilepsie avec l'accès convulsif d'hystérie.
Je n'insisterai que sur les signes essentiels et pathognomiques. L'
attaque
d'épilepsie débute quelquefois par une aura; lors
es auras des hystériques ne présentent aucun caractère dangereux. L'
attaque
d'épilepsie s'annonce souvent par un cri tout par
n cri de frayeur qui n'a d'impressionnant que son intensité. Dans l'
attaque
d'épilepsie il y a toujours perte de connaissance
lable chez l'hystérique. Au moment où l'épileptique est pris de son
attaque
, sa face devient d'une pâleur tout à fait caracté
à ces morsures. Rien de pareil chez l'hystérique. Dès le début de l'
attaque
d'épilepsie la face devient laide, repoussante, s
Les convulsions présentent en outre des caractères différentiels. L'
attaque
d'épilepsie débute par des convulsions toniques q
ermettent de découvrir la simulation. Deux à trois secondes avant une
attaque
, le pouls augmente de rapidité, son impulsion est
sion est moindre, les courbes sont moins hautes et plus nombreuses; l'
attaque
survenue, on voit cinq ou six petites ondulations
très accusée à une hauteur trois à quatre fois plus grande qu'avant l'
attaque
et redescendent en présentant les caractères les
nt. Ces signes n'existent pas non plus chez l'hystérique. Après l'
attaque
d'épilepsie, le malade reste dans l'obtusion ou b
ensorielle (1), tandis que les hallucinations sont fréquentes après l'
attaque
d'hystérie, et les maisons d'aliénées renferment
s malades qui sont devenues aliénées quelquefois même après une seule
attaque
et qui sont restées aliénées. (1) Je ne parle p
ui sont restées aliénées. (1) Je ne parle pas des cas où, plusieurs
attaques
se succédant, il se produit de la manie aiguë et
es hystériques peuvent avoir, somnambulismes spontanés, contractures,
attaques
, délires prolongés pendant plusieurs mois avec am
mois de février, qui a précédé son entrée à l'hôpital, elle avait des
attaques
de sommeil de durée variable, à peu près tous les
it en gémissant et sans aucun souvenir de ce qui avait pu provoquer l'
attaque
. Si on tient compte des circonstances qui ont dét
e curieux qu'elle appelait ses fixités et qui semblait analogue à une
attaque
extatique. Très souvent, au milieu de l'état le p
verses manifestations des phénomènes inconscients dans les rêves, les
attaques
, les somnambulismes, les écritures automatiques,
naturels autrefois si importants. Dans cet état elle se souvient des
attaques
, des somnambulismes précédents, des délires et en
a arrive fréquemment, elle voyait de nouveau sa couleuvre pendant les
attaques
d'hystérie. Les attaques ont disparu, mais l'hall
e voyait de nouveau sa couleuvre pendant les attaques d'hystérie. Les
attaques
ont disparu, mais l'hallucination du serpent se r
as que la malade a des crises de sommeil, disons plutôt qu'elle a des
attaques
de réve, d'idées obsédantes avec hallucinations t
s, à La suite d'une colère violente de son père, elle eut sa première
attaque
convulsive. C'était une attaque d'hystérie indisc
nte de son père, elle eut sa première attaque convulsive. C'était une
attaque
d'hystérie indiscutable, qui se reproduisit ensui
eproduisit ensuite très fréquemment. Pendant quatre ans au moins, ces
attaques
conservèrent leur caractère purement hystérique:
e, convulsions, cris, arc de cercle et sommeil assez prolongé après l'
attaque
, tout était fort simple et régulier. Quand la mal
eut l'âge de dix-neuf ans, on s'aperçut d'un détail singulier de ses
attaques
: elle interrompait ses convulsions pour jouer av
stait bien surprise quand on lui montrait le verre. Cependant, dans l'
attaque
suivante, elle recommençait et entrait en fureur
ulait lui retirer son verre. Un peu plus tard, à la même période de l'
attaque
, on la vit jouer avec une bouteille de cassis qu'
is qu'elle avait prise et se mettre à boire. Puis, cette période de l'
attaque
pendant laquelle la malade buvait se développa au
détriment des périodes convulsives, et à l'âge de vingt-quatre ans, l'
attaque
dipsomaniaque se présentait de la manière suivant
retrouve, comme la plupart des hystériques, tous les souvenirs de son
attaque
, elle se souvient des rues où elle a passé, de la
mots de la guéri-son de Maria. Cette femme, qui a eu de si terribles
attaques
de dipsomanie, tous les mois pendant plus de dix
e dipsomanie, tous les mois pendant plus de dix ans, a vu d'abord ses
attaques
diminuer en durée et en nombre et, depuis deux an
ransference, par Franck Podmore, 185. Arrêt (le pouvoir d'), 308.
Attaques
d'épilepsie et d'hystérie (diagnostic différentie
ie et d'hystérie (diagnostic différentiel des), par A. Voisin, 339.
Attaques
convulsives hystéro-épilep -tiques, vertiges suiv
ette infirmité, il se fit garçon ici brasseur : un jour, durant une
attaque
, il tomba dans la chaudière en ébullition, et f
dut prendre sa retraite en 1872, et se retirer chez son frère. Les
attaques
convulsives étaient rares, mais l'intelligence
es paralytiques \ Au cours de la paralysie pro- gressive, après une
attaque
épileptiforme ou apoplecti- 1 Uebu eine eigenlh
pas. En électrisant le centre de l'audition, ils déterminaient une
attaque
d'épilepsie générale : les convulsions débutaie
es douleurs rhumatismales; elle est ner- veuse mais n'a jamais eu d'
attaques
. - Grand-père, mort d'un IMBÉCILLITÉ ET INSTABI
tte de temps en temps à des céphal- algies. Pas de migraines, pas d'
attaques
nerveuses. [Père, soixante- six ans, cultivateu
boire, et, en 1879, il dut être conduit à Charenton, en proie à une
attaque
de delirium tremens. Il succomba le jour même d
ismes crâniens, c'est incontestablement l'épi- lepsie ou du moins l'
attaque
épileptiforme. Dans les observations qui précèd
des cris que l'ennemi approche : il devient épilep- tique, mais les
attaques
sont rares. A cinquante-deux ans, délire ambiti
isse sur le front une profonde cicatrice; trois ans après, première
attaque
d'épilepsie. L'intelligence s'af- faiblît gradu
gravement malade pendant six semaines. Peu de temps après, première
attaque
d'épilepsie, puis démence. VI. Dans les obser
es accès sont devenus de plus en plus nombreux, parfois plu- sieurs
attaques
éclatent en quelques heures. Le malade présente
pourrons-nous aussi, par la compression des testicules, arrêter les
attaques
d'épilepsie de certains su- 2 if) REVUE CRITIQU
e, et quelquefois d'une ébauche de la phase convulsive de la grande
attaque
. Elles se terminent quelquefois par des convuls
se terminent quelquefois par des convulsions, d'autres fois par une
attaque
de sommeil. Le souvenir complètement aboli au r
iale sont typiques ; de plus, celle-ci se ter- mine souvent par une
attaque
épileptique vraie. Enfin pendant la fugue, les
hystérie : au point de vue de ses périodes il peut être comparé à l'
attaque
hystérique; il existe quelquefois un certain ba
octurnes, la chorée rythmique, l'onanisme, le blépharo- spasme, les
attaques
hystériques et les troubles sine materia du sys
appui de cette négation, le cas d'une hystérique qui vit cesser ces
attaques
à la suite de l'émotion que lui causa l'écroule
nctions motrices ou sensorielles. Ces lacunes, occasionnées par des
attaques
d'apoplexie répétées (hémorrhagies cérébrales),
, remontent au mois de - septembre 1881; il a eu alors une première
attaque
, accès de mi- .graine ophtalmique avec scolome
t rentré dans l'ordre. illuit jours plus lard, il a eu une deuxième
attaque
sans perte de connaissance, avec embarras de la
au travail, cependant. Au mois de février 1882, il a une troisième
attaque
avec les mêmes symptômes de migraine; mais en -
a duré deux heures, ce qui semble indiquer qu'il y a eu une série d'
attaques
qui ont pré- senté cette particularité que les
arité que les secousses prédominaient à droite. A la suite de cette
attaque
, l'embarras de la parole a persisté. Huit jours
e la parole a persisté. Huit jours plus tard, il a eu une quatrième
attaque
du même genre, avec recrudescence de l'embarras
et faiblesse du bras droit. Enfin, le Li mai, il a eu une cinquième
attaque
, avec parésie du bras droit, suivie le lendemai
iques. - Il y a six mois (en juillet), elle fut prise d'une sorte d'
attaque
. Elle était dans sa boutique à travailler, quan
aire ci-dessus justifiée. Il s'est aussi produit dans ce cas, une
attaque
d'é- pilepsie sensitive bien caractérisée, atta
dans ce cas, une attaque d'é- pilepsie sensitive bien caractérisée,
attaque
dont la parenté avec la migraine ophtalmique es
permanent : tels l'engourdissement de la face et de la main, les
attaques
épileptoïdes, l'hémiopie, l'embarras de la paro
ans. Elles étaient limitées au côté gauche. A douze ans, premières
attaques
d'épilepsie, elles avaient ce caractère d'être
Grand'mè1'e maternelle phthisique, nerveuse, migraineuses Soeurs,
attaques
de nerfs. Frère, accès de somnambulisme. - Frère,
tourdissement et accom- pagnée d'hallucinations de la vue. Première
attaque
à quatorze ' ans et demi. Etourdissements, vert
emière attaque à quatorze ' ans et demi. Etourdissements, vertiges,
attaques
fréquentes, limitées à la phase épileptoide. St
ase épileptoide. Stigmates hystériques. Hypnotisme. Description des
attaques
: Aura; - altitude du crucifiement; arc de cerc
t naturel. Pas de maladie de peau, pas de trace de syphilis ; pas d'
attaques
de nerfs. On ne sait s'il a en des convulsions
e, comme nous le verrons plus loin. Elle assure n'avoir jamais eu d'
attaques
. Mariée à dix-huit ans. Aucune mala- die, sauf
te de phthisie galopante à ciuquante-sept ans ; nerveuse, mais sans
attaques
de nerfs, sujette 412 recueil DE faits. à des
convulsions; à dix-huit ans, peur, suspen- sion des règles, peines
attaques
de nerfs; blanchisseuse, pas d'en- fants ; - 3°
as de convulsions ; 6° Fille, vingt ans ; pas de convulsions, pas d'
attaques
de nerfs ni de migraines ; intelligente; - - 10
ntellectuels consécutifs. 1 Elle a eu depuis ces renseignements des
attaques
d'hystérie. Nou y reviendrons plus loin. DE l
et l'avait battu, il fut pris un quart d'heure après d'une première
attaque
. C'était veis le 15 décembre 1884. La seconde a
'une première attaque. C'était veis le 15 décembre 1884. La seconde
attaque
eut lieu quinze jours plus lard. Le médecin de
l fut renvoyé le 4 jan- vier 1885. Depuis cette époque, il a eu une
attaque
le 9 janvier, puis de quinze en quinze jours, l
-Anne le 14 avril, et le 16, le 17, le 18 et le 19 avril il eut une
attaque
chaque jour; le 20 il en eut deux. 23 avril. -
, une canaille, etc., etc. D Puis il tomba immédiatement et eut une
attaque
qui dura trente secondes. Après cette attaque,
édiatement et eut une attaque qui dura trente secondes. Après cette
attaque
, il apostropha de nouveau le garçon et essaya d
un peu à gauche de la ligne médiane. Douleurs spontanées après les
attaques
. La pression donne des picotements sans irradia
irradiations ; 2° au niveau du vertex : douleurs spontanées api les
attaques
: par la pression, ii radiations douloureuses v
e de la troisième dorsale ; parfois douleurs spontanées après les
attaques
: par la pression picotements sans irradiations.
onzième dorsale point douloureux. Sensibilité conservée. Après les
attaques
il dit avoir une douleur tout le long de la col
d'halluci- nations des divers sens. Aum. - Une' minute avant les
attaques
, il se sent mal à l'aise. Il Il me prend un ver
temps d'avertir. - 5 mai. Le malade a été pris à 10 heures d'une
attaque
, sans avoir prévenu, sans pousser de cri. Il es
s dans les reins. La température rectale prise cinq minutes après l'
attaque
est de 38° 5. (Fig. 5 et 6.) 11 mai. (10 h. 5
s après l'attaque est de 38° 5. (Fig. 5 et 6.) 11 mai. (10 h. 5).
Attaque
commencée depuis deux ou trois minutes, précédé
très court de deux à trois secondes (impression recueillie après l'
attaque
). Il a poussé une courte exclamation « Ah ! » e
re. 11 prétend qu'il se mord quelquefois la langue. T. R. après l'
attaque
, 3742. 15 mai. - Pris d'une attaque à 9 h. 38.
fois la langue. T. R. après l'attaque, 3742. 15 mai. - Pris d'une
attaque
à 9 h. 38. A 9 h. 40, on le trouve couché sur l
x reins. T. R., 38,2. - 20 aoÛt, - La veille, il a eu une série d'
attaques
de 8 à heures du soir. Dans le délire terminal,
s. Une fois endormi, il rêve beaucoup. Ainsi, avant-hier, après son
attaque
, il voyait le veilleur se promenant sur les toi
se pencher sur le côté droit et devenir tout raide. Il était pris d'
attaque
. 11 n'a pas poussé de cris. Tout le corps est r
. 11 se réveille sponta- nément, sans mouvements spasmodiques, sans
attaque
à 10 h. 50 et parait étonné. 27 août. - A 9 h
à 9 h. 36. La durée a été d'un quart d'heure. Ecume pendant toute l'
attaque
. A 10 h. 13, il s'endort au bout de trois minut
éveille en lui soufflant sur les yeux. 28 août. - Hier il a eu deux
attaques
. Après ces attaques, puis ce matin encore, il s
lant sur les yeux. 28 août. - Hier il a eu deux attaques. Après ces
attaques
, puis ce matin encore, il se serait plaint de r
prise. 11 dit n'avoir rien ressenti à gauche. Il a eu ce matin une
attaque
depuis 8 h. 25 jusqu'à 9 h. 20. A 9 heures ni p
4 septembre, douches deux fois par jour. 8 décembre. - A eu deux
attaques
à la Sûreté où il avait été envoyé pour sa mauv
janvier. - Etant en congé depuis le 27 décembre, il aurait eu deux
attaques
très courtes. 11 février. - Il a eu trois attaq
aurait eu deux attaques très courtes. 11 février. - Il a eu trois
attaques
depuis le 28 janvier : le 1 cr, le 2 et le 10 f
ouleur, à la température, moins vive à gauche qu'à droite. A eu une
attaque
le 24 février. Ne travaille plus a l'ate- lier
ordonnerie, parce qu'on manque de cuir. 5 mars. Il n'avait pas eu d'
attaques
depuis le 24 février et n'avait eu que très peu
disparu. Mais au bout d'une demi-heure il a été pris d'une grande
attaque
qui a duré environ cinq minutes. Traitement : Dou
Depuis la semaine dernière, trois ou quatre vertiges au plus. Pas d'
attaques
. Il se sent bien. Même traitement. 15 avril. A
qui le conduisirent à Sainte-Anne. Pendant son voyage il eut trois
attaques
. 1887. 3 janvier. - A repris son travail ici et
onné de violents coups de poing sur la ligure. 8 août. - A eu une
attaque
ce matin. Il se plaint d'avoir les mains fermée
cher à s'évader. 1888. 2 janvier. Il prétend qu'à la suite de ses
attaques
, ses testicules diminuent un peu. = 422 RECUE
n altérée et de l'ataxie (Hammond) ainsi que des convulsions et des
attaques
épilepti- formes. Dans presque tous les cas d
t la maltraitait souvent. A cette époque, elle commença à avoir des
attaques
d'épilepsie (petit mal). Les attaques étaient r
ue, elle commença à avoir des attaques d'épilepsie (petit mal). Les
attaques
étaient rares, deux ou trois fois par an, et n'av
pas de suites particulièrement fâcheuses. A vingt-quatre ans, une
attaque
de petit mal fut suivie d'actes automatiques. Ell
de trente à quarante minutes, rarement de une à deux heure'. Les
attaques
de ce genre arrivaient une ou deux fois par an. A
ou deux fois par an. Après ses trente-deux ans, on remarqua que ces
attaques
d'automatisme psychique devinrent de plus longu
de huit à dix-huit heures. Outre cela, la malade devint, durant les
attaques
, irri- table, querelleuse et furieuse; elle ava
é, la malade ne gardait ancun souvenir de ce qui s'était passé. Ces
attaques
étaient toujours précédées d'une période d'irri
it, tantôt il empi- rait. Mais la nouvelle maladie n'arrêta pas les
attaques
de fureur épileptique. Ces attaques apparaissai
uvelle maladie n'arrêta pas les attaques de fureur épileptique. Ces
attaques
apparaissaient de la même manière et aussi viol
bservai quelques-uns personnellement et je remarquai que du- rant l'
attaque
de fureur, les phénomènes de la maladie de Basedo
qu'il faut chercher la cause de ce fait dans l'existence réitérée d'
attaques
de bronchite aiguë; ce qui est surtout remarquabl
t accident hystérique durant une période de cinq années, il vit ses
attaques
reparaître et une hémiplégie avec hémianesthési
sie sensilivo-sen- sorielle, du rétrécissement du champ visuel, des
attaques
convul- sives, etc. Se fondant d'une part sur c
ileptoïdes, l'excitation cérébrale (céphalalgie), les vertiges avec
attaques
syncopales, les vomissements, le.' névrites (névr
ngt ans, qui au printemps de 1887 fut coup sur coup affecté de deux
attaques
d'apoplexie. La seconde fut suivie de troubles
ents d'hémiplégie à la suite du second ictus tandis que la première
attaque
apoplectique se tra- duisait par une hémiplégie
des réflexes. L'hémiplégie dans la sclérose en plaques présente des
attaques
répétées, transitoires, l'exagération des réfle
e (troubles de la vision, zones hystérogènes, plaques d'anesthésie,
attaques
hystériques, crises de sommeil). L'auteur not
s hystériques, crises de sommeil). L'auteur note la fréquence des
attaques
apoplectiformes dans l'hystéro-alcoolisme, l'hy
s pulmonaires. , A. P. Sujette depuis l'adolescence a de fréquentes
attaques
d'hystérie. Bron- cho-pneumonie à 29 ans. Marié
core et surtout penser à une paralysie hystérique étant données les
attaques
convulsives antérieures, cet état mental parlicul
ine, sans suites fâcheuses. Depuis l'année 1886. il est sujet à des
attaques
de coliques néphrétiques, qui se sont renouvelées
rne d'urine jusqu'à douze ans et de plus a, depuis son enfance, des
attaques
de nerfs tous les mois. A d'autres points de vu
y consultent un médecin distingué des hôpitaux qui, en présence des
attaques
, du caractère violent et emporté de l'en- fant
eurs soigneusement entretenu par sa mère, pense avoir affaire à des
attaques
comitiales et ordonne du bromure de potassium, bi
passé 3 ans ; le début des accidents coïncidait assez bien avec les
attaques
convulsives qui allaient jusqu'à déterminer un vé
itatives auraient succédé des lésions destructives, et de fait, les
attaques
avaient disparu à mesure que l'hémiplégie complèt
quer comme la période des hallucinations et la période de délire. L'
attaque
se réduit alors à la période épileptoïde : c'es
à cet égard. Dans le pre- mier, la période épileptoïde de la grande
attaque
d'hystérie avait seule frappé le médecin traita
à forme convulsive dans lequel une céphalée persistante, jointe aux
attaques
périodiques, avait pu en imposer également pour
Observation VI. Cas de petite hystérie avec céphalée persistante et
attaques
convulsives faisant pen- ser à une lésion organ
ait être abandonné pour les motifs sui- vants : nombre excessif des
attaques
, calme dans les intervalles des accès, absence
mi-anesthésie droite. On avait eu affaire vraisem- blablement à une
attaque
d'hystéro-épilepsie incomplète et bornée à la p
s convulsions partielles épileptiformes constituent souvent toute l'
attaque
d'hystérie. Les accès de cette fausse épilepsie
ans tous ces cas et en l'absence des autres phénomènes de la grande
attaque
d'hystérie (grands mouvements, poses plastiques
ation VII permet d'affirmer que l'hystérie était la seule cause des
attaques
d'épilepsie partielle, les observations VIII et
xacte de la névrose et de la lésion organique. Observation VII.
Attaques
hémiplégiques arec aura, sans perte de connaissan
stigmates permanents. Pas de rétrécissement du champ visuel. Pas d'
attaques
. Pas de points douloureux. Monoplégie brachiale
s soient absents. Au reste, quand on veut s'expliquer l'origine des
attaques
épileptiformes, on ne saurait la trouver dans la
rigine hystérique que viennent encore confirmer les caractères de l'
attaque
, l'absence de paralysies consécutives et enfin,
nt il la fin de l'observa- tion d'une façon très régulière avec les
attaques
franches d'hystérie et la malade ne se trouve p
et la malade ne se trouve pas plus incommodée de ces accès que des
attaques
d'hystérie. En faveur de leur commune origine,
i. On peut voir en effet des contractures accompagner ou suivre des
attaques
convulsives qui sont en rapport avec une irrita
es contractures précoces à début brusque, suivant ordinairement des
attaques
convulsives et pouvant précéder la paralysie comp
, il n'est pas rare de les voir s'installer en permanence après une
attaque
d'hystérie. Lorsque ces contractures sont (1) C
plusieurs jours pour ne dispa- raître qu'à la suite d'une nouvelle
attaque
, ou même persister d'une façon indéfinie pendan
e toujours au début des contractures de cause organique et dans les
attaques
convulsives qui les ont précédées : apoplexie, ép
de la sen- sibilité ; pas de pleurs faciles, de rires nerveux ni d'
attaques
convulsives... (1) P. RICHER, op. cil., p. 9.
cela en relation immédiate avec un ictus, si on n'a pas assisté à l'
attaque
. Quand au contraire les monoplé- gies hystériqu
dans les- quelles l'apparition brusque du syndrome a suivi soit les
attaques
d'hys- térie, soit une vive émotion ou un traum
chez un sujet bien portant la veille, ou bien qu'elle succède à une
attaque
apoplectiforme, il y aura bien des hypothèses à é
rvation XI. Aphasie motrice hystérique citez une enfant de 11 rois.
Attaques
convulsives (In thèse Peugniez, Paris 1885).
t régulière, a toujours joui d'une santé robuste et n'a jamais eu d'
attaques
ni de convulsions. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENC
8, n° 18). Observation XV (personnelle). Mutisme à début brusque.
Attaques
convulsives. Perte continuelle de salive. Emi
ts qui purent constater la continuation des crises convulsives. Les
attaques
se répétaient quelquefois au nombre de 10 il 12
e convulsions ; elle ne se mordait pas la langue, mais après chaque
attaque
, elle bavait beaucoup. ' Etat actuel. Il y a
a- live par la bouche. Cette sécrétion est encore augmentée par les
attaques
. Les attaques convulsives ne se produisent qu'a
bouche. Cette sécrétion est encore augmentée par les attaques. Les
attaques
convulsives ne se produisent qu'assez rarement; e
es caractères, les troubles de la sensibilité et peut-être même les
attaques
convulsives. Mais comment faire rentrer dans le
nfirmité ? Pourtant, cette hypersécrétion augmente encore après les
attaques
et elle ne s'accompagne pas de paraly- sie des
nous est même impossible d'être très catégorique sur la nature des
attaques
convulsives auxquelles nous n'avons pas assisté.
iminuée dans le domaine du trijumeau gauche. Cinq jours après cette
attaque
, le malade peut déjà faire quelques mouve- ment
incapable, même soutenu, de se tenir debout. Sept semaines après l'
attaque
, il peut se lever, s'habiller seul, marcher, so
ans les espaces libres de la coupe. L'action prolongée de l'éther n'
attaque
nullement cette matière homo- gène : d'ailleurs
cité temporaire alter- ner avec l'aphasie et suivre ou précéder les
attaques
hystériques (4) ; il y a des cas plus embarrass
rassants où la cécité, survenue progressivement, en dehors de toute
attaque
, s'est accompagnée de maux de tête et a présenté
emaines. Le 26 novembre 1891, le ptosis a reparu en dehors de toute
attaque
. Il siège toujours à gauche : le sourcil gauche
erche des stigmates de l'hystérie n'ait pas été faite ; l'absence d'
attaques
convulsives n'autoriserait pas à elle seule à r
névropatlcique. Pseudo-méningite tuberculeuse vers l'âge de 8 ans.
Attaques
convulsives à 9 ans et succession bizarre de dive
acture des deux membres inférieurs el du membre su- périeur gauche;
attaques
syncopales et convulsives ; délire : agraphie et
a suite d'une frayeur à t'age de' ans. Pendant deux ans et demi les
attaques
se reproduisent environ tous les deux mois, puis
a seule particularité intéressante est que le malade a eu une forte
attaque
de rhumatisme tout à fait généralisée. On lui m
es aient été prises. Il faut donc retenir non seu- lement que cette
attaque
de rhumatisme a été intense et prolongée, mais
uscles s'affaiblissent simultanément; cependant cet affaiblissement
attaque
tout d'abord les muscles qui se dirigent vers la
les membres, etc., etc. Plusieurs, franchement hystériques, ont des
attaques
classiques suivies parfois d'hémiplégies et d'h
ur, de noire vénéré maître le professeur Jean-Martin Charcot qu'une
attaque
soudaine d'angine de poi- trine vient d'enlever
Mais il observait, notant les attitudes, dessinant les phases de l'
attaque
, et un jour la lumière se fit, le voile se déchir
procédait par la méthode des types, et. sa description de la grande
attaque
hystérique ou « attaque de la Salpêtrière » est
des types, et. sa description de la grande attaque hystérique ou «
attaque
de la Salpêtrière » est encore celle qui doit ser
ppui de sa démonstra- tion clinique. De même, décrivant les grandes
attaques
hystériques et les phénomènes de l'hypnose, pla
; notre malade (obs. XIII) tombe lourdement frappé d'une véritable
attaque
de paraplégie. Le début peut avoir lieu toutefo
, sauf la perte du goût sur une moitié droite de la langue. Pas d'
attaques
ni de points hystérogènes. Rêves pénibles : des
timent spécial. C'est pendant ce voyage qu'apparurent les premières
attaques
, sur lesquels il ne peut d'ailleurs donner aucu
ITEURS LE JUIF-ERRANT A LA SALPÊTRIÈRE 289 Pendant ce séjour, les
attaques
se renouvelaient fréquemment, mais d'une façon
s dans une journée ; d'autres fois quelques jours se passaient sans
attaques
. Elles survenaient sans que le malade puisse af
étaient précédées ou non d'aura. Leur caractère rappelle celui de l'
attaque
d'hystéro-épilepsie type : arc de cercle, grand
lui étaient pas habituels. A la suite de ces colères, il tombait en
attaque
, et celle-ci terminée, il pleurait abondamment.
par les douches, la galvanisa- tion et la gymnastique suédoise. Ses
attaques
en furent diminuées. C'est depuis cette époque
SALPÊTRIÈRE. L'ouïe très affaiblie depuis 1882, redevint bonne. Les
attaques
cessèrent tout à fait. Seuls, les maux de têt
» dans sa maison, S... voit l'incendie, pousse un cri, et tombe en
attaque
. Au bout d'un quart d'heure il se réveille : il
était surtout atteint. Il y avait une raideur assez prononcée. Les
attaques
se reproduisent alors, mais moins fréquentes et m
e 6 à 12 minutes. Elles sont toujours précédées d'aura. La dernière
attaque
, il y a 12 jours, a duré 6 minutes. Mais la mém
Beck qui lui donna un certi- ficat constatant qu'il était atteint d'
attaques
d'épilepsie, et lui permettant de suivre un tra
le Dr Viemont qui lui délivra un nouveau certificat : paralysie et
attaques
d'épilepsie survenues à la suite d'un coup de f
ouvements. L'amblyopie est survenue chez la malade après une grande
attaque
pendant l'année 1892. Cette cécité hystérique p
élioré après son séjour à Paris, continua à de- venir meilleur. Les
attaques
s'espaçaient, devenaient de plus en plus frustes,
r S..., l'effet accoutumé des violentes émotions. Il eut une grande
attaque
d'hystérie et à son réveil, un nouveau phé- nom
LE JUIF-ERRANT A LA SALPÊTRIÈRE 835 Pendant toute cette période les
attaques
se reproduisirent a intervalles de plus en plus
s orages surtout exagèrent son mal. Il n'est pas rare qu'il ait une
attaque
quand le temps est orageux. Le nouveau phénomèn
udicieusement avec la dernière période de l'aura, ou le début d'une
attaque
qui avorte. L'appétit est faible. Après les rep
rasthéniques classi- ques avec quelques symptômes d'hystérie et des
attaques
frustes. Nous retrouvons chez elle les mêmes la
. C'est pendant son séjour en celle ville, qu'elle eut une première
attaque
. Se promenant avec une amie, elle se sentit tou
mais sans se débattre. Quelques jours après, elle eut une seconde
attaque
, puis une troisième et de- puis lors celles-ci
rescrivit lui parurent absolument inef- ficaces, car elle eut trois
attaques
rapprochées, semblables aux précédentes. Elle p
d cinq gouttes sur un morceau de sucre et cela prévient souvent les
attaques
. L'interrogatoire n'est pas toujours pisé à fai
ncendie, la mort de sa fille, etc.) C'est l'étiologie même de leurs
attaques
, car ceux-ci sont des hystériques. N'est-ce pas
n bruyant appareil. A la suite d'une émotion, d'un traumatisme, une
attaque
se déclare sui- vie bientôt de plusieurs autres
il distribuait encore des secours aux malheureux. Il mourut d'une
attaque
d'apoplexie le 25 octobre 1653. Guy Patin, son
1653. Guy Patin, son ennemi mortel qui avait dirigé contre lui les
attaques
incessantes de la Faculté, écrivit à ce sujet :
s premières convulsions. Leur durée fut de 15 minutes à la première
attaque
; le même jour, elles se produisirent une secon
u'elle court, qu'elle cherche son enfant, etc. Elle n'a jamais eu d'
attaque
de nerfs, ni de syncope ; elle est fortement ma
e mettre en colère, elle n'avait cependant jamais été sujette à des
attaques
de nerfs ; morte percluse de douleurs,aveugle e
n meuble, imprimant au canon des directions diverses, ripostant aux
attaques
, et trahissant sa satisfaction quand, feignant
certains égards, notamment en ce qui con- cerne la description des
attaques
et les modifications successives de la sensibil
ènes (clou hystérique, etc.), prédominant à gauche. Description des
attaques
; marche. Traitement par l'hydrothérapie. - Guér
evu en mai dernier cet enfant, Lam... : i'. n'a pas eu de nouvelles
attaques
; sa santé est excellente, 56 II1 STPO-T;PILPPS
bien portant. Il n'a jamais eu d'accès d'aucune sorte ; il a eu des
attaques
de migraine entre 30 et 40 ans; de plus, il est
ier dernier. L'hystérie a commencé à se manifester sous forme d'
attaques
en février 1880. La première a eu lieu le 6 fé-
cette crise qui a duré une heure et quart. Le 17 février, troisième
attaque
pendant une heure et demie; même mode de début
iffé- rents points hystérogènes, on n'a pas essayé de provoquer d'
attaques
par une pression prolongée (1). Aura.- L'enfant
que devient très douloureux et aussitôt il perd connaissance. Les
attaques
revenant à des heures presque régulières et dur
st ce qui fut fait, et, le 2 mars, d'Olier fut témoin d'une série d'
attaques
que nous allons décrire d'après ses notes, cons
ès ses notes, consignées sur l'ob- servation. ' Description d'une
attaque
complète (2 mars). L'attaque débute à 7 h. 35 d
l'ob- servation. ' Description d'une attaque complète (2 mars). L'
attaque
débute à 7 h. 35 du soir après un dîner où l'en
appe son père comme les autres personnes. Il se mord lui- même.
Attaque
: 1° légère contracture du bras ; 2° grands mou
nes se montrent beaucoup plus sen- sibles que dans l'intervalle des
attaques
: La douleur est particulièrement vive à la pre
sa barbe et l'embrasse. Il veut se lever et s'en aller. Nouvelle
attaque
: Grand arc de cercle ; à ce moment, pouls : 92
jusqu'au 2 mars, date de la crise, qui est rapportée plus haut, les
attaques
reviennent alter- nativement à midi et à sept h
ade ima- ginaire, lui dit qu'il est allé en ballon, etc. 10 mars-
Attaque
à 4 heures du soir. Au début on note un changem
e. Il existe un point très douloureux sous l'hypochon- dre droit. L'
attaque
cesse instantanément quand on souffle sur le vi
eprendre quelques mo- ments plus tard, par les grands mouvements. L'
attaque
aujourd'hui dure deux heures. Survient une séri
dans les autres at- taques, était tout à fait fugace. 13 mars. L'
attaque
d'hier a eu lieu à 9 heures du soir, différente
de quelques instants puis a recouvré connaissance. 15 mars. Pas d'
attaque
. Le sommeil est agité; le malade se tourne cont
mais il n'y a ni délire, ni secousses convulsives. 16 mars. Pas d'
attaque
. L'état général de l'enfant est excellent. 22
nfant est excellent. 22 mars. La semaine précédente il y a eu une
attaque
deux jours de suite, avec une durée d'une heure
rement pris des douches, d'abord une seule, puis deux par jour. Les
attaques
sont devenues beaucoup plus rares ; c'est ainsi
bre 1880. Il reprend les douches depuis deux jours. 13 octobre. Les
attaques
ont complètement cessé. Le ca- ractère s'amélio
égers minoratifs. Il y a deux semai- nes, on a craint le retour des
attaques
, à la suite de deux nuits agitées, avec rêves e
enfanta pris ses douches jusqu'en décembre dernier. Il n'a pas eu d'
attaques
. Sa santé générale est très bonne.-Les attaques
er. Il n'a pas eu d'attaques. Sa santé générale est très bonne.-Les
attaques
ont eu la marche suivante : 64 HYSTÉRO-ÉP ILEPS
vive, des cauchemars, la diathèse nerveuse s'est manifestée par des
attaques
d'hystéro- épilepsie. Bien qu'elles n'aient pu
e délire était, elle aussi, parfaitement caractérisée. Enfin, les
attaques
étant finies, la connaissance sem- blant revenu
ptômes permanents, BOURN. 5 66 HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. l'aura ou les
attaques
, et qu'on les compare aux obser- vations recuei
la fin de cette année. A dater du mois d'août 1880, les séries d'
attaques
ont été plus rares et surtout plus courtes et e
venu ce qu'il était autrefois, enfin il n'a pas eu de nou- velles
attaques
. (1) L'enfant venait à la gymnastique du servic
e. Les accès d'épilepsie se sont déclarés environ six ans après l'
attaque
paralytique. Durant cet intervalle, notre malad
à la suite de couches, la cadette était très nerveuse et avait des
attaques
de nerfs après des contrariétés. Un cousin germ
en eût une, était de courte durée. Pas de vision colorée. Après l'
attaque
, L... se plaignait d'une douleur dans l'es- tom
ans, couturière, très impressionnable; elle aurait eu de nombreuses
attaques
de nerfs de 10 à 17 ans. Consanguinité. (Cous
turière, intelligente, sans accidents névropathiques. Elle a ou une
attaque
de rhumatisme arti- culaire aigu. [Père rhumati
enfant, repris par ses parents, à l'âge de 8 ans, a eu une nouvelle
attaque
de convulsions, d'une durée de 10 minutes, le 1
t intelli- gente. Elle est un peu nerveuse et aurait même eu deux
attaques
de nerfs : l'une pendant la grossesse, l'autre, i
été gai, n'a jamais aimé à jouer. A sept mois, il eut une première
attaque
de convulsions qui durèrent 4 heures : celles-c
« A l'âge de 18 mois, à la suite d'une coqueluche, il a été pris d'
attaques
convulsives, qui lui ont laissé le bras gauche
ès nerveuse, alcoolique.- Premières convulsions n un an. - Deuxième
attaque
A 3 ans. Icliotie complète. Rumination nu Méry-
enta rien d'anormal jusqu'à l'âge de 17 mois. A ce moment, première
attaque
de ('on... idiotie complète. 141 nuisions qui
rlait pas ; il avait l'appétit bien développé. A trois ans deuxième
attaque
cle convulsions quidurèrent environ une semaine
d'une intelligencerestreinte, très nerveuse, sans avoir cependant d'
attaques
de nerfs; pleure facilement, est colérique. Dan
uvelle observation d'hystéro-épilepsie ; 2° livraison, variétés des
attaques
hystériques ; - 3' et 4'livraisons, des régions
7" livraisons, du sommeil des hystériques; '7'-)2° livraisons, des
attaques
de sommeil : hypnotisme, somnambulisme, catalep
valeur individuelle subit, par le fait des manœuvres hypnotiques, une
attaque
si profonde, que tout homme qui a le moindre souc
l à une doctrine religieuse, dite infaillible, que les plus violentes
attaques
de ses adversaires. L'Eglise le sent, et le P. de
ises. Quelques jours après le départ de Donato, il devint sujet à des
attaques
de sommeil spontané dans lesquelles il mimait les
inaire de leur disparition, qui s'effectue soit sous 'influence d'une
attaque
hystéro-épilcptique, soit, ce qui est plus notabl
ce, de s'exercer a satiété. De l'accès fruste d'épilcpsie jusqu'à l'
attaque
la plus complète, il n'est pas de nuance qui n'ai
à diverses reprises, il a vu sa mère qui est très nerveuse « dans ses
attaques
de nerfs » et que l'idée lui est venue de faire c
ondi démontre ! que, réellement atteinte d'épilepsie, elle simule des
attaques
dans l'in- ; tervalle des accès réels, o Nous ne
ême quartier de Paris. Au dire de Motet, chez les jeunes détenus, l'
attaque
épileptiforme est le mode de simulation le plus h
s à type choréique n'est pas moins fréquente que celle des névroses à
attaques
convulsives. Feindre les mouvements désordonnés d
hez les hystériques sont avant tout des phénomènes analogues a ceux d'
attaques
ou d'accès hystériques. Mais ce sont pourtant des
t le phénomène de la catalepsie ; tel autre encore aura de véritables
attaques
d'hystérie provoquées artificiellement par des ma
t à la constatation négative de toute manifestation caractéristique —
attaques
convulsives ou stigmates — de la ne*vro*e: de m
e, le 3i août 1S88. Antécédents héréditaires. — Mère: nerveuse sans
attaques
, sourirait souvent de ses nerfs, a qui se nouaien
qui siivii sa rentrée et toute la matinée du lendemain, elle eut des
attaques
. Son mari la rît alors entrer k l'hôpital de Sain
fusa d'obéir. Elle assure n'avoir jamais dormi : d'un autre côté, les
attaques
de raideurs, qui se présentaient trois ou quatre
s peur de l'action du magnétiseur, fut plus calme, moins triste ; les
attaques
aussi, pendant huit fours, diminuèrent de fréquen
ue dans l'état mental se maintint, mais au bout de ces huit jours les
attaque
* se reproduisirent comme devant, constituant déso
, constituant désormais le point saillant de la maladie. Toutes les
attaques
sont précédées d'une aura: battements de cœur, do
aveugle, gardant la position imprimée u ses bras. D'autres fois, l'
attaque
se présente sous la forme suivante : La malade, d
er aux membres une nouvelle position qu'ils conservent comme dans les
attaques
du premier genre. Toutes ces attaques peuvent c
ils conservent comme dans les attaques du premier genre. Toutes ces
attaques
peuvent cesser par le soufrîe sur les yeux et aus
e ne se rappelle que très confu>cmcnt ce qui s'est passé pendant l'
attaque
. Ces attaques sont spontanées ou provoquées. Au
e que très confu>cmcnt ce qui s'est passé pendant l'attaque. Ces
attaques
sont spontanées ou provoquées. Au début, un attou
n 'e certaines zones. Celle don: l'cx.nation amène le plus sûrement l'
attaque
est la zone sous-mammaire gauche, puis une zone i
încn même temps de faire a la malade des safl gestions appropriées, l'
attaque
ne se produit pas. Souvent aussi elle peut éviter
taque ne se produit pas. Souvent aussi elle peut éviter ou retarder l'
attaque
en résistant à l'aura, depuis que nous' lui avons
plus que la zone sous-mammaire gauche. Mais, pour cela comme pour les
attaques
, l'ctTct des suggestions fut passager et les svmp
conservée: le champ visuel n'a pu ôtre examiné, la malade tombant en
attaque
sitôt qu'elle tixe un objet. Cette observation
re malade, qui est tombée dans un éiat mental particulier et dont les
attaques
ont débuté a la suite des tentatives d'hypnotisme
is dormi et que ce pseudo-hypnotisme ne consiste en réalité qu'en des
attaques
hystériques d'une allure un peu particulière, duc
ni d'hyperesthésie testiculaire, pas de zones hystérogénes. Jamais d'
attaque
» nerveuses, ni de maux de tête, ni d'irrégularité
xistait que lanesthésie pharyngée, sans antécédents familiaux, et une
attaque
convulsive dans la jeunesse. D'autre par:. i ra
nous est apportée à l'hôpital, en état complet d'ivresse et en pleine
attaque
d'hystérie que nous essayons vainement d'arrêter
nt deux filles et un garçon. L'aînée des tilles est sujette & des
attaques
semblables * celles de la mère. Malgré cela, elle
n mari. Le 5 avril, sentant, dit-elle elle-même, venir une nouvelle
attaque
, elle abandonne le refuge où clic s'était retirée
ice nous l'amène à l'hôpital. La malade sent toujours approcher son
attaque
. La première phase de celle-ci est caractérisée p
e sent brisie; elle se plaint de la tete, des reins et da ventre. Ces
attaque
* reviennent d'une façon assez irrégulière, mais n
compagnes et envers la sœur de la salle. Samedi i. — Anna a eu une
attaque
hier a ~ heures, et une autre ce matin au point d
ns irréprochables. Nous l'endormons et nous lui défendons d'avoir une
attaque
avant la visite du lendemain. Dimanche 10. — L'
d'avoir une attaque avant la visite du lendemain. Dimanche 10. — L'
attaque
a eu lieu ce matin au moment où nous entrions dan
gedV.weilent appétit. Le soir, vers huit heure, elle a eu plusieurs
attaques
que nous avons eu beaucoup Je peine à arrêter. A
'en vouloir, je te demande pardon. » Nous lui interdisons d'avoir une
attaque
avant trois jours, et de passer convenablement la
ion avec un demi-verre d'eau pure. Vendredi 5. — La malade a eu une
attaque
. Plusieurs selles diar-rbéiques dans ia journée d
selles diar-rbéiques dans ia journée d'hier. Nous lui interdisons une
attaque
avant huit jours. Lundi iS. — La malade se port
ui ordonnons de ne pas s'ennuyer. Vendredi 22. — La malade a eu une
attaque
. Nous l'endormons en Joi interdisar: d'avoir une
pour affaires, et cette fois ne rentre plus. cours et conférences /
attaque
de sommeil Leçon clinique de M. Ic professeur C
'il n'y a rien de grave dans son état. Cette femme, en effet, a des
attaques
d: sommeil depuis :87s : une fois elle a dormi de
attention, car elle représente un type particulier : la malade a des
attaques
de sommeil, c'est là un phénomène propre a l'hyst
On retrouve l'histoire d'Eudoxic dans le travail de M. Gilles sur les
attaques
de sommeil. Ccue femme est entrée à la Salpêt
somane); Sœur nerveuse. A dix-huit ans. elle a commencé a avoir des
attaques
; vous voyez quelle ténacité a cette hystérie enco
re considérée par bien des médecins comme une affection légère. Les
attaques
ont duré jusqu'en i8j5, et ont été remplacées par
ré jusqu'en i8j5, et ont été remplacées parles crises de sommeil. Les
attaques
antérieures étaient bel et bien des attaques d'hy
s crises de sommeil. Les attaques antérieures étaient bel et bien des
attaques
d'hystéro-êpilepsie dans le sens où nous l'employ
sculaire, qui me fait considérer le. sommeil de cette femme comme une
attaque
fruste, une attaque manquée au lieu du tapage de
t considérer le. sommeil de cette femme comme une attaque fruste, une
attaque
manquée au lieu du tapage de la grande hystérie ;
uisse des grands mouvements qu'exécute habituellement l'hystérique en
attaques
régulières. Cette raideur des membres, cette mo
i- tiantc qui marque ordinairement avec Tare de cercle la An de l'
attaque
classique. Mais, nous dira-t-on, pourquoi ne
tu quo d'animal hibernant. Une seule fois une hystérique en série d'
attaques
eut une température de 3p degrés : très inquiet,
ion, ou mieux l'intime parenté de ces états connexes, l'hystérie, les
attaques
de sommeil et le sommeil hypnotique. Comment vi
ion. M. Debove a appelé apoplexie hystérique la première phase de l'
attaque
de sommeil. Cette apoplexie, c'est le début brusq
de l'attaque de sommeil. Cette apoplexie, c'est le début brusque de l'
attaque
. On ne. doit pas voir là autre chose et il faut é
nes hystériques. L'état de raideur de notre malade rappelle aussi l'
attaque
Je raideur qu'obtiennent parfois, à leur grand ef
de foire et de salon. Il s'agit donc bien là d'une des modalités de l'
attaque
J hystérie: il est indispensable de le savoir pou
e irritation périphérique, et qu'il en est ainsi quelquefois dans les
attaques
de petit-mal chez l'homme. Je rappellerai aussi q
des chez lesquelles la suggestion hypnotique a amené la disparition d'
attaques
convulsives, de troubles graves du caractère, de
ystérie provoquée par le traumatisme, car cette malade a présenté des
attaques
dés l'âge de 14 ans; mais l'anesthcsie est un phé
sme peuvent subir des transformations récipioques au cours d'une même
attaque
, par la seule mutation des phénomènes symp-tomati
me. Ces trois états, qui peuvent se succéder dans le cours d'une même
attaque
et qui sont artificiellement provoqués, ne doiven
nait un chatouillement et de la toux. En 1886. elle fut prise d'une
attaque
congestive au cerveau; les yeux devinrent proémin
ans. L'anesthcsie totale disparut en même temps. A 15 ans, nouvelle
attaque
, cene fois, d'hémichorée gauche avec hémi-anesthé
hystérique est un fait fréquent que l'on remarque également djns les
attaques
et contractures. A 20 ans, l'anesthésie totale
un rien la faisait sortir hors des gonds, et elle avait de fréquentes
attaques
hystériformes, qui commençaient toujours par une
e jeter dans le canal, il y a 15 jours. En 1888. elle a été prise d'
attaques
hystériques caractérisées par de la douleur de tê
aintient depuis i885. G..., 25 ans, manie aiguë, hystéro-comitialc.
attaques
convulsives. hallucinations. — La guerison se mai
. Dav..., 21 ans. épllepsie. hallucinations. — Rechute ù la suite d'
attaques
. Ainsi, sur 22 cas. 19 sont restés guéris et 3
faut noter que, parmi ces 3. la cause des rechutes a été. 1 fois, des
attaques
d'épilepsie auxquelles la malade était sujette de
ne peuvent arriver à s'endormir, mais réalisent tout simplement leur
attaque
d'hystérie, avec ses caractères habituels et anté
it hypnotisme serait comparable au rapport qui existe entre la grande
attaque
d'hystérie de la Salpôtrière et toutes les autres
e la grande attaque d'hystérie de la Salpôtrière et toutes les autres
attaques
: celles-ci. d'après la même école, ne seraient qu
formes atténuées de la première, qui resterait le prototype de toute
attaque
complète. Ici, je dois le dire, je me trouve en
e dernière sur l'hystéro-trauma-tisme (2). Pour rattacher certaines
attaques
d'hystérie à la grande attaque, on est obligé de
tisme (2). Pour rattacher certaines attaques d'hystérie à la grande
attaque
, on est obligé de se livrer à une opération intel
une opération intellectuelle très complexe ; il faut : i° ajouter à l'
attaque
de la Salpêtrière des caractères qui ne lui appar
des caractères qui ne lui appartiennent pas (ceci se réalise dans les
attaques
dites avec immixtion d'éléments nouveaux! : 2° re
taques dites avec immixtion d'éléments nouveaux! : 2° retrancher de l'
attaque
de la Salpêtrière tout ce qu'elle a de caractéris
ailleurs, je crois pouvoir affirmer 3ue les différentes variétés d'
attaques
ne sont pas des dérivés, des iminutifs de la gran
riétés d'attaques ne sont pas des dérivés, des iminutifs de la grande
attaque
. 11 en est de môme pour l'hypnotisme : Pour admet
ait calmée. Un malade dont l'agitation se termine d'ordinaire par une
attaque
convul-sive a eu son agitation momentanément susp
es dans le cours d'accès sériels convulsifs ont eu une suspension des
attaques
, l'un par l'application de la ventouse le Junod,
son enfance des troubles nerveux : terreurs nocturnes, migraines, une
attaque
de chorée à douze ans. Le t2 mars dernier, aprè
elle souffrait depuis onze semaines. Six malades qui présentaient des
attaques
hystériques furent aussi favorablement influencée
ne, 285. Astuce chez l'enfant (l'), par Collineau. 25. 60, 89. 142.
Attaque
de sommeil, par Charcot. 216. Auteur d'une sugges
devant les). 193. Soldat somnambule (la légende du), 97. Sommeil (
attaque
de), par Charcot, 216. Sommeil hypnotique, résult
ésenté antérieurement des accidents cérébraux graves (convulsions',
attaques
épileptiformes, etc.). Mais il s'en faut heur
matin il allait mieux mais le soir même il présentait une nouvelle
attaque
comateuse. Deux jours plus tard, amélioration s
abituelle d'un caractère un peu emporté. Mère un peu nerveuse, sans
attaques
. Grand'mère mater- nelle morte après deux attaq
u nerveuse, sans attaques. Grand'mère mater- nelle morte après deux
attaques
d'apoplexie. Père alcoolique violent, pas d'att
rte après deux attaques d'apoplexie. Père alcoolique violent, pas d'
attaques
. Pas de syphilis appréciable; l'impaludisme n'e
es fois, apparaissant généralement au mois d'août; par exception, l'
attaque
actuelle était sur- venue au printemps,, débuta
reize ans, à la suite d'un traumatisme céphalique, le malade, a des
attaques
d'épilepsie. L'auteur fait remarquer. : 1° que
que dans l'intervalle. L'auteur fait encore remarquer l'existence d'
attaques
épi- leptiques, sans d'ailleurs vouloir établir
: l'un de Suell chez une fille de huit ans qui avait eu sa première
attaque
à l'âge de dix-huit mois. L'autre de E. Clark,
ompagnée o, mais encore « suivie » . Enfin, le peu de fréquence des
attaques
, leur périodicité, sont encore des caractères q
nerf, inflammation dont chaque poussée se serait traduite par une
attaque
de paralysie. Certes les dernières attaques, ce
erait traduite par une attaque de paralysie. Certes les dernières
attaques
, celles qu'a observées l'auteur, ont pu recon-
ec M. Donner, médecin-major.) B... a eu, le 34 février dernier, une
attaque
d'apoplexie : il est tombé subitement, perdant
isent dans l'hémorrhagie; or l'observation décrit, pour la première
attaque
, un ictus apo- plectique. Ce fait pouvait primi
et à marche chronique. Trois mois plus tard, survient une deuxième
attaque
: cet épisode aigu, qui tranche surles allures
: pour Bouchard, elle se développerait dès le sixième jour après l'
attaque
: les symptômes n'apparaissent jamais à cette é
els ». Le malade présente en effet depuis l'âge de dix-sept ans des
attaques
fréquentes d'épilepsie, suivies la plupart du t
l'asile de Bétel, et ce n'est qu'un an après qu'il eut sa première
attaque
d'épilepsie. Jusque-là, d'après les renseigneme
de moments d'absence. Le malade n'urinait pas au lit. La première
attaque
d'épilepsie fut suivie de troubles psychiques.
s elles étaient suivies des mêmes troubles intellectuels. Puis, les
attaques
survinrent seules, sans troubles consécutifs, s
s crises n'ont été marqués par des impulsions d'aucune sorte, Les
attaques
sont classiques; elles sont survenues de jour c
voir eu le temps de choisir l'endroit de sa chute. D'ail- leurs les
attaques
complètes sont constituées par les phéno- mènes
t exposé, tout comme un autre athéromateux ou scléreux, à faire une
attaque
d'apoplexie ou une hémiplégie, qui n'ont rien d
x ou trois reprises, le dernier jour, il se produisit de véritables
attaques
de convulsions généralisées. Eu même temps que
uccession plus ou moins fréquente, plus ou moins prolongée de ces
attaques
passagères et avortées, une dernière crise finit
symptômes cédèrent au traitement alcalin. S'agis- sait-il là d'une
attaque
passagère d'acétonémie ? Les convul- sions sont
ns. Elle s'y rencontre a, sous la forme passagère : à la suite de l'
attaque
, quand l'attaque se com- plique d'un état de dé
ontre a, sous la forme passagère : à la suite de l'attaque, quand l'
attaque
se com- plique d'un état de dépression ou d'exc
a sphère affec- tive, la connaissance demeurant intacte, ou quand l'
attaque
laisse après elle un trouble de la connaissance
aissance; àla suite des équivalents psychiques de la névrose et des
attaques
abortives; onne la trouve pas à la suite des at
évrose et des attaques abortives; onne la trouve pas à la suite des
attaques
purement convulsives; - h, sous la forme statio
nt l'intelligence est un peu affaiblie, cela, indépendam- ment de l'
attaque
et de son mode. Il s'agit, dans tous ces cas, d'u
par R. Lépine. [Lyon méd., 1884, t. XLV.) L'auteur croit que les
attaques
syucopales qui ont'été signalées dans les cas d
signalées dans les cas de pouls lent seraient souvent de véritables
attaques
d'épilepsie,' et qu'il s'agirait alors d'une ép
nt (trente-quatre pulsations par minute) chez lequel les prétendues
attaques
syncopales étaient bien de nature épileptique,
ène est passager. Elle est gâteuse. Le 1"' janvier elle est prise d'
attaques
qui paraissent avoir été de nature tétanique, et
on psychique quelconque pour arrêter ou tout au moins affaiblir ces
attaques
convulsives, et aug- menter, de ce fait, les in
s distinctes. 11 s'agit d'une hystérique dont les premières grandes
attaques
remontent a l'âge de quinze ans. Plus tard, cet
septembre 1885, M. G..., âgé de quarante-neuf ans. Mère morte d'une
attaque
d'apoplexie; père rhumatisant, est mort subitem
sion qui existe du côté droit. - Il ne s'est produit qu'une seule
attaque
épileptiforme, il y a environ six ans, pendant
ation 41. (P'éré). - Femme de cinquante-deux ans. En novembre 1883,
attaque
apoplectique soudaine suivie d'hémiplégie droit
rs après, le 5 décembre, on vint me chercher en toute hâte pour une
attaque
nerveuse. Je trouvai M. D... très ef- frayé, ma
être résu- més ainsi qu'il suit : En décembre il eut une violente
attaque
de manie aiguë avec hallucinations de l'ouie et
vait croire qu'il ne s'était fait aucune embolie cérébrale depuis l'
attaque
de novembre. On répéta à plu- sieurs reprises l
. a un oncle maternel goutteux; un autre eut, dans son enfance, des
attaques
de som- nambulisme ; un grand-oncle eut des tum
est sujette à des bronchites fréquentes et tenaces; elle a eu trois
attaques
de somnambulisme et deux crises nerveuses avec pe
uivant. A la fin de ce der- nier mois (âge, dix-sept ans), première
attaque
de rhumatisme ( ? ) survenant deux ans après le
. En avril 1881, dix ans et deux mois après la première, nouvelle
attaque
de rhumatisme articulaire se prolongeant pendant
lante qui a disparu lorsqu'elle était convalescente de sa troisième
attaque
rhumatismale; cette insomnie serait-elle déjà u
la récidive rhumatismale ? Deux mois après, fin d'avril, troisième
attaque
de rhumatisme, moins intense et plus courte que
trois mois après, quand la récidive était passée. Tant qu'a duré l'
attaque
elle n'a pas présenté de phénomènes évidents d'
s autres que les convulsions. Nous nous rappelons que la première
attaque
de rhumatisme articulaire aigu, pour laquelle l
l comitial était constitué déjà depuis deux ans. Or, cette première
attaque
, de même que les deux sui- vantes, la malade le
la malade est prise de deux de ses grandes 232 RECUEIL DE FAITS.
attaques
, la première desquelles est suivie de contracture
er parles inspirations d'éther. Cette con- tracture consécutive aux
attaques
est un fait presque habituel. Aux derniers jour
hystériques mâles ; que le rhumatisme peut précéder l'éclosion des
attaques
hystériques en jouant, alors, le rôle de cause
c'est qu'à la suite d'hémiplégie, deux ou trois semaines après l'
attaque
, le malade tient l'avant-bras et la main dans la
e remarquable aux contractures. Tous les quinze jours, il avait des
attaques
pendant lesquelles il perdait la conscience et
qu'il faisait. La seule chose intéressante pour nous, c'est que ces
attaques
sont accompagnées de crampes dans le côté gauch
de crampes dans le côté gauche du corps. Quelques jours avant son
attaque
il se plaignait de tiraillements douloureux dans
lté- ration. Ce phénomène s'observait deux ou trois jours avant l'
attaque
. Dans de telles circonstances, ma méthode est a
très nerveux et d'un tempérament lymphatique. Il a eu une première
attaque
de chorée en 4884. Elle a commencé dans les pre
de syphilis il y a quatre ans, se plaint en 1878, à la suite d'une
attaque
d'hémianopsie accompagnée d'aphasie, d'une séri
à une épileptique, auquel il a suggéré l'idée de s'arrêter dans son
attaque
, dès qu'il est pré- venu par l'aura. M. BLANC
accès. M. Christian demande à M. Voisin comment il se fait que l'
attaque
d'épilepsie, dont la manifestation échappe si com
volonté, si le sujet a été hypnotisé, au point de faire avorter son
attaque
. z M. Foville se montre surtout surpris des rés
t plus. Depuis fort long- temps, mon épileptique n'a pas de grandes
attaques
; cependant, dans un accès de délire post-épilep
le père des renseigne- ments ? Réponse. Cet individu a eu plusieurs
attaques
de delirium tremens. 1 M. 10,NAKOw. Les pyram
psychiques ou somatiques (convulsions) et a présenté plus tard des
attaques
d'épilepsie, de l'aphasie, un ensemble morbide
s d'épilepsie ou de lipothymies convulsives épileptiques, voire des
attaques
nocturnes. Les observations de Tuczek se rapporte
ns les étals d'obnubilation épileptique et, pour une part, dans les
attaques
congestives de la paralysie générale (où le com
es causes (blessures, accidents gangreneux du décubitus, diarrhées,
attaques
d'épilepsie, ménin- 320 SOCIÉTÉS SAVANTES. gî
ent. La cause vint en cet état devant la cour. Annette G... eut une
attaque
d'hystérie à l'au- dience, et son défenseur pri
les accidents nerveux dont elle souffre, Annette G... dit que « son
attaque
» est précédée de violents battements HYSTÉRIE
der fixement un de ses doigts. Cette tentative ne détermine, qu'une
attaque
d'hystérie à forme cataleptoïde : les membres s
il a vus déjà chez Annette G... Ils appar- tiennent exclusivement l'
attaque
d'hystérie avec raideur générali- sée desmembre
l'attaque d'hystérie avec raideur générali- sée desmembres. Cette
attaque
n'est ni très violente, ni de très longue durée;
nt de l'hypnotiser, n'a- vait rien provoqué de plus chez elle que l'
attaque
d'hystérie cataleptoïde dont nous venions d'êtr
entricule latéral droit. Antécédents héréditaires : père mort d'une
attaque
d'apoplexie. Pas d'affection nerveuse du côté d
naissance dont il guérit complètement. Un an plus tard, survint une
attaque
apoplectiforme avec chute et perte de connaissanc
ubérantielles des points dont l'excitation répétée peut provoquer l'
attaque
épileptique. Dans nos observations, ces points,
sique proprement dite. Sa démarche est incertaine.\Un an plus tard,
attaque
à début brusque, avec perte de connaissance et
els étaient beaucoup plus marqués du côté opposé à la lésion dans J'
attaque
terminale; mais cela était évidemment dû à la p
sements indiquaient le siège de la lésion; enfin, après la première
attaque
on a constaté (malheureusement sans pratiquer l
AS ATTRIBUÉ A LA MANIE AIGUË, TERMINÉ PAR LA MORT APRÈS une série d'
attaques
PILEI'TIFORfES par W. E. R : 1'JiSDEN VVOOD. (T
sté 21 heures sans connaissance, et pendant ce temps a eu trois «
attaques
a, a mordu sa langue et.a présenté des phénomènes
e; un camarade, qu'on n'a pu retrouver, aurait observé chez lui une
attaque
con- vulsive. Ivre, il était tellement violent
'attention vers l'épilepsie; et, s'il s'agis- sait réellement d'une
attaque
épileplique, ajoute l'auteur en terminant, il s
e controversé de l'action du coeur durant la période d'invasion des
attaques
épilep- tiques ou épileptiformes. En effet, le
l le partie sont étudiées toutes les grandes variétés de la grande
attaque
, dont un grand tableau d'ensemble représen- tan
dans la sclérose en plaques n'est pas toujours consé- cutive à une
attaque
apoplecliforme; elle peut se développer progres
La névrose convulsive peut chez cet individu se tra- duire par des
attaques
, des vertiges et par son délire spécial; d'autr
- nique reste muet quant aux troubles intellectuels rattachés aux
attaques
. Chez lui encore, si l'épilepsie vient à s'amél
ndiquer que c'est là un alcoolique épileptique ; mais que plusieurs
attaques
se produisent, le délire toxique disparaît et c
els le délire alcoolique se trouvait brutalement interrompu par une
attaque
épileptique suivie bientôt d'un accès délirant
Un homme de 36 ans, épileptique, al- coolisé, s'imagine, après une
attaque
convulsive, être poursuivi par un individu qui
ancien militaire, âgé de 40 ans, épileptique, alcoolisé, après une
attaque
survenue dans la rue, s'est cru un grand person
ire de l'Asile, il ignore complètement ce qui s'est passé après son
attaque
, lors de son arrestation dans la rue, et témoig
ation suivante, c'est un accès de fureur qui se développe après l'
attaque
. Observation III. - Un garçon liquoriste de 27
'aliénés, présente dès l'âge de 14 ans, sous forme de vertiges et d'
attaques
, les premières atteintes du mal comitial. Les cri
rs, et le patient en a pleine conscience. A 26 ans, après plusieurs
attaques
épilep- 56 CLINIQUE MENTALE. tiques, se dével
s de délire alcoolique, notre liquoriste subit en une journée trois
attaques
d'épilepsie; aussitôt après la der- nière, il e
t, ni ce qu'elle avait fait. De temps à autre elle avait de grandes
attaques
la nuit. Depuis 1870, elle est triste, inquiète
1877, le délire chronique continuant, elle est frappée de plusieurs
attaques
épileptiques suivies d'un violent accès mé- lan
persécution, l'autre de nature mystique, passager et consécutif aux
attaques
. - {Gaz. hebd., Nu 9, 27 février 1880.) DELIR
lui, depuis l'âge de trois ans, il a, à de longs inter- valles, des
attaques
convulsives avec perte de connaissance et chute
res atteintes du mal caduc ; DÉLIRES MULTIPLES. 67 elle avait des
attaques
la nuit, elle se mordait la langue et urinait a
emment suivis d'actes inconscients; un jour entre autres, après une
attaque
dans la cuisine, elle a continué à préparer le'
ir de cette époque, elle n'est plus la même ; dans l'intervalle des
attaques
ou des vertiges, son caractère change, elle dev
nge qu'à mourir, dit-elle, et si elle le peut, elle se tuera. Les
attaques
et les vertiges continuent à se montrer, s'ac-
logiques : l'épilepsie d'ori- gine paternelle se traduisant par des
attaques
et des vertiges, par du délire et des actes inc
portante. Une de ses soeurs a eu des troubles intellectuels et des
attaques
d'hys- térie au moment de la puberté. - Pas de
Pas d'onanisme. A 5 ou 6 reprises différentes, elle aurait eu des «
attaques
de nerfs. » Une fois dans le service de M. More
dans sa famille. Mère, 40 ans, fleuriste, nerveuse : elle a eu des
attaques
de nerfs pendant qu'elle était enceinte de la m
ussions fréquentes avec sa belle-mère, auxquelles elle attribue les
attaques
de nerfs, dont il a été question plus haut. L'a
é de 45 ans, est subitement frappé, au milieu de son travail, d'une
attaque
d'apoplexie. -La perte de connaissance est comp
de saturnisme, d'épi- lepsie, de maux de tête , ni de vertiges ; l'
attaque
d'apo- plexie a été subite et inattendue. En
s objets. 22 mars , 6 heures du soir. - Six jours et demi après l'
attaque
d'apoplexie, nous constatons de nouveau la persis
ns cette variété d'apoplexie, dans les premiers jours qui suivent l'
attaque
. L'aimant n'est certes pas le seul agent esthés
fois, jusqu'à la mort qui survint le 8 avril, il se pro- duisit une
attaque
de quelques secondes, durant laquelle les yeux
on est intéressante en ce que la malade était en traitement avant l'
attaque
que l'on n'a pu conjurer malgré l'emploi des pu
s et quatre des épileptiques. Dans toutes on voit, à la suite d'une
attaque
congestive ou épileptiforme, survenir aussitôt
qui fait le sujet de cette observation a été atteint en 1878 d'une
attaque
de paralysie générale très nette ; sorti en éta
e émotion mo- rale ; par M. A. RITTI. - Il s'agit, au fond, d'une
attaque
hystérique se terminant par une agitation mania
zan celle des articulations et de la peau, et M. Landouzy décrire l'
attaque
de choléra ou celle de fièvre pernicieuse : il
velle observation d'hystéro-épilepsie ; 2e livraison : Variétés des
attaques
hystériques; 3e livraison : Des régions hystéro
e- ment tuberculeuse. Pas d'excès de boisson,, de migraines, ni d'
attaques
,de nerfs. [Père, mort à 85 ans, sans paralysie. -
au moment de l'apparition des premières dents, survint une première
attaque
de convulsions. Deux ou .trois mois plus tard,
de cette époque, est peu affaiblie, malgré la grande fréquence des
attaques
. » Dans l'année, on a compté 409 accès, et 533
ordon latéral gauche, chez un enfant de vingt mois qui avait eu des
attaques
de tétanie (avec spasme de la glotte), est auss
J. ! ).u z fréquence chez les épilepr(irlues ,qui = avaient eu, des
attaques
: 1L b '"j< J cmnl., m . J . '>j ? ^iij ju.
, ... ? t, ,0. ' . I j. troubles circulatoires, déterminés, par les
attaques
convulsives Ï 11J1' 1M -' f rj.t ? m' 1,I1 ", t
4 ? ! lleurs ,p.octI'llesrdepuis ,1866. LEn 'ld 870 ? -1 prè mières
attaques
de névralgie faciale à la suite d'un refroidisse-
"f'JIJrn(, 92 'II-iq ^Depuis lors, il eut plusieurs fois de petites
attaques
? chaque fois il reprenaitide l'iodurelde' pota
ur, les bras, lut frappé'd'une hémiplégie droite. 1 Un,an apres , l'
attaque
d'hémi- - 9.'Iw; ' ru·l. .1... ? ...,L p. u . d
s phénomènes convulsifs au membre supérieur droit pendant plusieurs
attaques
fit supposer une' lésion' cérébrale gauche; l'a
'\ " 1 ! ! L. Un homme de 3o ans, n'ayant eu d'autre maladie qu'une
attaque
de rhumatisme, commença à ressentir en janvier
; il ne pouvait marcher, sans(aide. Il avait de temps en temps des
attaques
qui semblaient des attaques de rigi- dité tétan
ns(aide. Il avait de temps en temps des attaques qui semblaient des
attaques
de rigi- dité tétanique ; sa tête était tirée e
PATHOLOGIE NERVEUSE. 313 XXXI. Diminution' du POIDS A la' suite DES
attaques
D'UPI- LEPS1E; parKovnLEwsüi. (Saint-Petersbccr
," - ' fJ '" z Cette diminution, d'autant plus considérable que les
attaques
sont plus intenses et.plus''durables,) serait a
plus intenses et.plus''durables,) serait appréciable' même dans les
attaques
de petit mal. ? b'. , ' im, ' , ! t1 4't «4 " .
ar ce fait qu'il-s'agit d'unisujet incontesta- blement épileptique (
attaques
surtout, nocturnes),;1 ayant'pré-' senté à,plus
milieu dans lequel elle évolue, les premiers sujets auxquels elle s'
attaque
( fille de 26 ans, hystérique de- puis huit ans
ficulté à déglutir les ali- ments liquides. Le 34, pendant la nuit,
attaque
semblable à une attaque épileptique, dans laque
- ments liquides. Le 34, pendant la nuit, attaque semblable à une
attaque
épileptique, dans laquelle l'enfant s'est mordu l
lirium tremens. L'auteur a vu deux fois des aliénés pré- senter des
attaques
épileptiques au début de leur affection, l'alco
e n'était alors qu'un symptôme; lorsqu'il est cause, on ne voit les
attaques
d'épilepsie se montrer que dans les dernières p
chez lui; puis à l'âge de 50'ans il attrape une insolation et a une
attaque
de démence ; d'après M ? Hack Tuke, on comptera
omplètement sains; après l'opération, la manie disparut ; quant aux
attaques
d'épilepsie, elles devinrent moins nombreuses,
inrent moins nombreuses, seulement 3 par mois, au lieu de 15. Ces
attaques
étaient aussi moins violentes; M. Lawson Tait esp
nombreux cas d'affections mentales. A 8 mois, X... eut sa première
attaque
de convulsions. Jusqu'à l'âge de 3 ans, elle ne
une valeur minime ; elle affirme à plusieurs reprises avoir eu deux
attaques
de rhu- matisme articulaire, dont uneassez réce
ons-nous de préférence à tout autre. Observation II. ' Première
attaque
de rhumatisme articulaire, chez un homme de 54
convulsions dans l'enfance. Elle est assez nerveuse, mais n'a pas d'
attaques
. [ Ses père et mère sont morts il y a longtemps
e. Mère, 27 ans, domestique, très impressionnable, ni migraines, ni
attaques
. [ Une grand'tante maternelle et son fils ont é
lytique sur le membre inférieur peut être de courte durée, et, si l'
attaque
survient pendant la nuit, il peut en rester à p
entrer ici et dont nous donnons ci-dessous le sommaire : 1° Deux
attaques
successives de paraplégie spasmodique chez un m
quels il est pris un jour, sans aucun phénomène précurseur, de deux
attaques
de convulsions violentes, durant à peu près dix
che, démarche chancelante. Début subit. Trois jours après, nouvelle
attaque
; vomissements fréquents, paralysie de la main g
s par jour. Quelquefois vomissements et céphalalgie consécutifs à l'
attaque
; un seul cas de chute hors du lit pendant une d
yperémie pulmonaire aiguë accompagnant ou suivant immédiatement les
attaques
et nécessitant l'emploi de saignées et de vento
(Edinburgh Médical Journal, février 1880.) L'épilepsie vraie ou des
attaques
épileptiformes peuvent quelquefois être produit
tion abondante et en- traîné, outre la surdité, des vertiges et des
attaques
de petit mal épileptique. Ces accidents cessère
troubles épilep- tiques variant depuis la simple absence jusqu'à l'
attaque
convulsive complète, l'insomnie, les terreurs i
lytique. 3° Observation de M. A. Foville : habitudes alcooliques,
attaque
apoplextique à 35 ans, hémiplégie, guérison, sauf
larger. Femme hémiplégique à gauche depuis quinze ans; ayant eu des
attaques
caractérisées, par un extrême embarras de la pa
e l'hysteria major, des accès de délire maniaque se substituant aux
attaques
. Le bromure de potassium fut employé d'abord sa
sans grand succès ; l'hydrothérapie ne réussit qu'à provoquer une
attaque
à chaque tentative. M. Cullerre essaya de la méta
gramme et demi, fit d'abord disparaître le délire et les grandes
attaques
, puis les convulsions, ensuite l'insensibilité gé
ongestion cérébrale inter- currente. La mort eut lieu un an après l'
attaque
congestive, et l'autopsie montra des adhérence
le bromure de potassium et divers autres médicaments. En 1876, les
attaques
, tantôt diurses, tantôt nocturnes, se reproduis
deux ou trois jours près. Le 6 janvier 1877, le malade ayant eu des
attaques
mensuelles, le docteur Couyba prescrivit la pic
emi par jour. Il n'y eut pas de crise en février. En mars, menace d'
attaque
, mais sans accès épileptique. En avril, attaque
. En mars, menace d'attaque, mais sans accès épileptique. En avril,
attaque
compléte. On porta la dose à 2 milligrammes, 2
ompléte. On porta la dose à 2 milligrammes, 2 milligrammes 1/2. Les
attaques
allèrent diminuant, puis furent remplacés pap d
n'y a eu qu'un vertige. En 1880, au mois d'avril, il n'y avait euni
attaque
ni vertige. C. T. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 493
'auteur, le début de l'atrophie s'est manifesté quatre mois après l'
attaque
d'hémiplégie. M. Brissaud passe ensuite à l'é
() ttfic . ecj IOP <jti*,uli jj préludàldfatUq4) épileptfi"es;Ce
attaques
se sont beau- eoupo rapprochée^ déduis- Heux mo
et formant uneaaqe de 8 à 10 heures. Souvent, le lendemain de ces
attaques
, le malade aperçoit sur 0 ? CM ! MM,jSM<OM&l
l'action des xsthésiogènes cesse de se manifester. Proximité d'une
attaque
. Il arrive par- ' Voir le N- 2, p. 257, et le ?
. Alors on peut être certain que la malade est sous le coup d'une
attaque
récente ou imminente. Dans ce dernier cas, l'at
e coup d'une attaque récente ou imminente. Dans ce dernier cas, l'
attaque
a lieu dans la journée et d'autant plus tôt que l
tance pratique. Elle permet de prévoir, avec presque certitude, une
attaque
, bien avant que la malade soit avertie par les
le résultat peut être complètement négatif. Dans ce cas, si aucune
attaque
ne vient donner l'explication de cette diffé- r
r de l'amblyopie. Le somnambulisme n'est qu'une forme atténuée de l'
attaque
; celle-ci même peut être le résultat ultime de
par conséquent, une maladie de système, car la dégénération ne s'
attaque
pas spécialement aux deux systèmes que nous conna
de conscience, l'inconscience, comme le phé- nomène essentiel de l'
attaque
épileptique. Jackson définit l'épilepsie « une
Il décrit sous le nom d'épilepsie optique une forme spéciale où l'
attaque
est précédée d'une hallucination ordinairement
nscience. Voici, pour fixer les idées, comment il décrit une de ces
attaques
dans sa première observation. Il s'agit d'une j
entes, Erb a vu les pupilles rester immobiles, rétrécies, pendant l'
attaque
, sans présenter le moindre changement. Dans le
u (l3reslauer, Aertzl. Zeitsch., 1879, nos 7 et 8), dans lesquels l'
attaque
paroxystique de paresthésie (fourmillements, pi
ence musculaire incompatible avec le mouve- ment volontaire. Chaque
attaque
dure quelques instants seulement, mais les cris
n terrifiante; jamais la malade ne perdait connaissance pendant ces
attaques
. Le 11 janvier 1880, le docteur Sims pratiqua l
la faradisation générale. Au bout de deux mois, il n'y avait plus d'
attaques
le jour; mais la malade a encore maintenant sep
d'attaques le jour; mais la malade a encore maintenant sept à huit
attaques
la nuit. C. T. XXIX. Cas DE TROUBLES nerveux am
istoire de l'hystéro-épilep- sie. On y remarque la description de l'
attaque
avec sa phase tonique ou épileptoïde, revêtant
hys- téro-épilepsie et de l'épilepsie, qui se manifestent par des
attaques
et des accès separés et tout à fait caractéristiq
cès. L'extase fait le sujet d'une description spéciale. Outre les
attaques
convulsives, l'hyperesthésie ovarienne, l'hémia
ne phthisie avancée, on peut voir disparaître l'anes- thésie et les
attaques
qui ont pu être aussi diminuées par l'usage com
tains,, comme des pi5tax¡s. En tout cas, ils sont 'prévenus de leur
attaque
et peuvent se protéger,; il est'rare qu'ils se bl
de nouvelles observations sur l'hystéro-épilepsie ayant trait aux
attaques
syncopales, à la coexistence de la chorée, à la t
à de nombreuses^ variations; quelque- fois elle augmente avant les
attaques
ou elle disparaît après une série. L'hystérie
érie. Une observation remarquable montre certaines anomalies de l'
attaque
dont les phases peuvent se dissocier pour ainsi d
e l'attaque dont les phases peuvent se dissocier pour ainsi dire en
attaques
épileptiques, attaques de contractures, attaques
ases peuvent se dissocier pour ainsi dire en attaques épileptiques,
attaques
de contractures, attaques de délire. Vient ensu
pour ainsi dire en attaques épileptiques, attaques de contractures,
attaques
de délire. Vient ensuite une étude des régions
ble, en partie ou en totalité, les phénomènes qui caracté- risent l'
attaque
hystérique, et qui jouent souvent et sponta- né
ons sont quelquefois le siège de douleurs particulières précédant l'
attaque
. C'est surtout la région ovarienne qui est le s
liographie. J pression sur les régions hystérogènes de produire une
attaque
. -.L'emploi'du' bromure de)potassium diminuer q
n du médicament coïncide;.avec ! mne. diminution.r spontanée, des
attaques
: ILorsque leslattaquesl et les autres symptômes
a principalenzone hystérôgène dans l'aura. Avant l'apparition des
attaques
, le sommeil des hystériques est généralement tr
: rhla at,4tYI".H't IIF -»1 t....mu : mrim ... ? ....t ? cèdent les
attaques
sont plus mauvaises, celles qui les suivent cèd
les attaques sont plus mauvaises, celles qui les suivent cèdent les
attaques
sont plus mauvaises, celles qui les suivent mei
) -m tltt Il' 11 y - .tendues et le délire qu elles ont après leurs
attaques
. Il n est pas rare que. les hystériques \eHt"d'
ns l'), Plleger, 290. Epilepsie ( diminution de poids après les
attaques
d'), par Ka- walewski, 313. Epilepsie (formes
nte-neuf à quarante-neuf ans, il a eu tous les ans au printemps une
attaque
de rhumatisme articulaire aigu. Presque toutes
ire aigu. Presque toutes les articulations étaient prises et chaque
attaque
durait de Ancmves, t. XXIII. 4 80 PATHOLOGIE
e en quelque sorte une forme anormale, un groupe à part ; ainsi les
attaques
convulsives en pareil cas sont vraiment rares ;
ême brusquement, soit spontané- ment,' soit à la suite encore d'une
attaque
hystérique qui aura pu, peut-être, être provoqu
rge. Ici le fonds hystérique est représenté non seulement par les
attaques
convulsives et délirantes aujourd'hui disparues
pières supérieures se ferment un instant. La malade n'a jamais eu d'
attaques
convulsives; ' mais la présence des stigmates p
ujourd'hui. D'ailleurs pas de stigmates sensitivo-sensoriels, pas d'
attaques
. C'est de la maladie des tics qu'il s'agit chez
ités, l'idée d'une origine commune. P. Keraval. XXV. DE certaines
attaques
DE paralysies prodromiques dans LE RAMOLLISSEME
. (Centralbl. f. Nervenheilk., 1890, N. F. I.) . Il s'agit de ces
attaques
de paralysie successives et passagères (quelque
ial; contracture secondaire). L'hémiplégie permanente procéda d'une
attaque
d'hémiparésie qui n'aboutit à l'hémiplégie grav
iplégie grave qu'au bout de plusieurs heures, tandis que les autres
attaques
de paralysie transitoires antérieures n'eurent
rmale des mois, voire des années; puis, tout à coup, comme dans une
attaque
apoplectique, arrivent ces troubles qui, quelle
3ROSSET. (Lyon méd., 1891, t. LXVI.) Dix jours après le début d'une
attaque
d'influenza, la malade qui fait le sujet de cet
e d'un coup de boule de croquet sur la nuque fut atteint de grandes
attaques
convulsives et d'attaques de catalepsie avec pl
oquet sur la nuque fut atteint de grandes attaques convulsives et d'
attaques
de catalepsie avec plaque d'hyperesthésie au ni
erminés, souvent sous l'influence de la bière et de l'eau- de-vie ;
attaque
d'épilepsie. Second cas. - Emotivité exagérée,
nces à la campagne, chez une de ses tantes. Là il eut, un jour, une
attaque
à laquelle sa tante a assisté et qu'elle nous a
ains, cuisses, etc.), mais qui, parfois, se produisent sous forme d'
attaque
d'épilepsie sensitive. En pareil cas, la sensat
sibilité de parler qui a duré quelques instants encore après que l'
attaque
était passée. Jamais de scotome; 6° Depuis deux
ermanent mais à évolution progressive des ictus congestifs et des
attaques
d'épilepsie sensitive. Tous les symptômes essen
" accès maniaques ^transitoires , ,etuaxqJufu soient ou non des :
attaques
d'épilepsie, non plus motrices,' mais, purement
en compta quatre en six mois. Enfin, un jour L... eut une violente
attaque
convulsive d'épilepsie. Depuis, les attaques co
r L... eut une violente attaque convulsive d'épilepsie. Depuis, les
attaques
convulsives se renouvelèrent de temps en temps
se modifie, petit à petit, progressivement, sous l'influence des
attaques
convulsives et des vertiges qui se répètent san
- Aujourd'hui, il présente des ver- tiges fréquents et des grandes
attaques
convulsives, ces dernières moins souvent qu'aut
Deux' ou' trois fois par an, à la suite ordinairement d'une série d'
attaques
convulsives, il est pris brusquement d'un accès d
décrits, comme des crises de delirium tremens fébrile, comme des
attaques
convulsives épileptiformes et même épileptiques
e des attaques convulsives épileptiformes et même épileptiques, des
attaques
d'apoplexie, etc. Il résulte, de ces secousses
que sa famille appelle une crise nerveuse, car elle n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs. C'est après cette crise que sa faible
ir soigné un ami. Elle était très nerveuse sans jamais avoir eu d'
attaques
. Elle se mettait en colère pour peu de chose ;
il s'agit, l'asphyxie locale des extrémités a été consécutive à une
attaque
grave de manie aiguë; le froid en avait élé la
suite d'une scène de famille, et aux approches de la menstruation,
attaque
de sommeil. Les yeux sont her- métiquemant feim
, les mouvements clioréiques disparurent, il ne se produisit plus d'
attaques
de sommeil. Observation II. Femme de quarante e
, elle éprouve dès les premiers mois de cette grossesse sa première
attaque
de sommeil qui depuis s'est renouvelée plus ou
ait cesser la rétention d'urine. Appelé sur notre désir pendant une
attaque
de sommeil, nous constatons les mêmes phénomène
es carac- tères sont ceux du premier cas. La malade raconte que l'
attaque
de sommeil s'annonce quelquefois par une bouffé
lle pas, elle voulait appeler et ne le pouvait. Ultérieurement, les
attaques
de sommeil s'accompagnèrent de perte totale de
almer. On avait constaté longtemps SOCIÉTÉS SAVANTES. 2S1 après l'
attaque
une légère athétose du bras et de la jambe affect
uisit de l'hémianopsie, absente dans la première année qui suivit l'
attaque
. Autopsie : Examen attentif du cerveau par des
avoir exposé les analo- gies que le tremblement, les vertiges, les
attaques
apoplectiformes offrent dans l'hystérie et dans
c- tile et du sens du goût sont la règle générale dans toutes les
attaques
de somnambulisme superficiel. - Dans ses grande
outes les attaques de somnambulisme superficiel. - Dans ses grandes
attaques
, au contraire, dans les- quelles l'obtusion des
ait de s'affaisser. La première nuit de ses noces, il aurait eu une
attaque
avec perte de connaissance et secousses dans le
de cinq heures. Per- mettez-moi de vous décrire en deux mots cette
attaque
inté- ressante à plusieurs points de vue. Après
rreur qu'ils prenaient pendant la crise pour provoquer aussitôt une
attaque
. Rien de plus simple et de plus connu, me direz
eillez par la notion de la position des bras l'idée principale de l'
attaque
et le. reste se déroule. C'est vrai, mais il y
tobre dernier, un jeune homme de seize ans qui avait eu sa première
attaque
d'hystérie à la suite d'une forte frayeur qu'il
Comme vous le devinez, il reproduisait cet épisode à chacune de ses
attaques
, criait 0[ au feu 1 », appelait les pompiers, s
ui montrer une petite flamme pour provoquer aussitôt le retour de l'
attaque
. Un jour, je le plaçais en face du périmètre, c
lisme nocturne dans l'enfance, contractures passagères aux membres,
attaques
de diverses espèces, qui sont quelquefois suivi
dit qu'elle existe en très grande quantité immédiatement après les
attaques
, mais non d'une manière constante, ni chez tous
TIQUE ET épileptique. 311t) compte de la miction survenue pendant l'
attaque
. Outre ce fait bien connu de savoir que la mict
essous de la réalité. L'albuminurie doit être' étudiée : 1° Après l'
attaque
convul- sive isolée; 2° Après le petit mal; 3°
l. ' ALBUMINURIE POST-PAROXYSTIQUE CHEZ LES EPILEPTIQUES. Après l'
attaque
convulsive. L'albuminurie est fré- quente à la
- gnements fournis par la fille de service, immédiatement après l'
attaque
, quinze minutes au plus après le début des conv
on fait exception de certaines malades démentes chez lesquelles les
attaques
se répètent tous les jours et plusieurs fois pa
on voit que chez les autres, et c'est la très grande majorité, les
attaques
s'échelonnent de la façon suivante dans le cour
ent des périodes d'accidents, ils s'entremêlent plus ou moins aux
attaques
, de sorte qu'il devient très difficile de faire l
er comme consécutive à un vertige une albumi- nurie résultant d'une
attaque
antérieure. Il faut avouer en outre, que presqu
. On est obligé de la camisoler et de la passer aux cellules. Pas d'
attaques
constatées. Une urine, pas d'albumine. , Gon.
ne. , ' ' Le 12 août, Vill... est excitée toute la journée. Pas d'
attaques
, pas d'albumine. ' ? 3. Vill... ert encore exci
que, dans la plupart de ses observations, le délire a été précédé d'
attaques
plus ou moins nombreuses; ce délire était un dé
Dans la nuit du 29 au 30 août, vers 5 heures du matin, KI... a eu 3
attaques
coup sur coup. De 5 heures du matin à midi, ell
Lem... Pas d'albumine. Le 1er septembre, Lei..., quatorze ans, a 5
attaques
presque coup sur coup dans l'après-midi. Uue 6e
Uue 6e vers 8 heures du soir, l'autre dans la nuit : Après la ire
attaque
, on recueille de l'urine : pendant qu'on prend
5 septembre. La série de Lei... continuant, on recueille, après une
attaque
de jour, une seule urine qui renferme des traces
une seule urine qui renferme des traces d'al- bumine. Lei... a eu 2
attaques
dans la nuit précédente. L'examen de l'urine de
nstater d'albuminurie. Le 3 septembre, Albruz..., quatorze ans, a 4
attaques
presque coup sur coup à deux heures d'intervall
ntiennent pas d'albumine. Le 5 septembre, Pet..., quatorze ans, a 3
attaques
coup sur coup. Une heure après la dernière de c
ans, a 3 attaques coup sur coup. Une heure après la dernière de ces
attaques
, on recueille l'urine. Elle présente un nuage l
, nous voyons la malade pour la seconde fois. Depuis une heure, les
attaques
sont devenues subintrantes; il est presque impo
ilement à l'air. Dans les dix minutes qui suivent le pansement, les
attaques
rede- viennent distinctes les unes des autres :
rien ne la démontre d'une façon certaine. On n'a jamais observé ni
attaque
d'apoplexie, ni symptômes paralytiques, et c'es
ment cérébrale, rebelles à tout traitement; quatre jours plus tard,
attaque
convul- sive de quelques minutes, avec prédomin
t sur tout le corps. Grincement de dents. A la suite d'une nouvelle
attaque
con- vulsive, la malade meurt dans le coma. A
e persécution ou de grandeur. A l'asile, on ne peut constater leurs
attaques
, les délires sont simulés pour échapper à la cu
identiques ? Nous savons d'autre part que tel épileptique, dont les
attaques
sont fré- quentes quand il boit, n'en aura que
ts elles disparaissent. De ce que certains épileptiques n'ont pas d'
attaques
à Bicêtre, il ne faut pas conclure qu'ils n'en
nt pu s'y faire placer et qu'on les renvoie dès qu'ils n'ont plus d'
attaques
. M. Voisin confirme l'opinion émise par M. Garn
et qui était resté pendant sept ans à la campagne sans avoir aucune
attaque
. Un jour, à l'occasion d'une élection, il but u
e Sainte-Anne. Il reconnaît aussi que certains épileptiques n'ont d'
attaques
qu'après avoir bu; mais à côté de ceux-ci, on doi
e maladie fébrile à la suite de laquelle se seraient installées les
attaques
épileptoides; le médecin qui les soignait prono
du cerveau revêtent une allure aiguë et soient en rapport avec les
attaques
congestives apoplectiformes ou épilepti- formes
désignerons : l'hémiopie, qui se montre si fréquente à la suite des
attaques
; la monoplégie brachiale, caracté- risée non pa
Friedmann, et les altérations de la couche optique consécutives aux
attaques
congestives (Lissauer). Enfin, il peut arriver
raffinées dans sa caisse ; au mois de décembre il était pris d'une
attaque
d'épilepsie et présentait, consécutivement, des
isparurent après la suppression de la séquestration cellulaire. Les
attaques
convulsives, précédemment notées, ne paraissent
qui trancha presque une de ses aiguillettes. En présence de cette
attaque
, les gendarmes se jetèrent sur le fou, qu'ils dés
rs par M. Weyl. Comme les deux premières fois, il a eu une terrible
attaque
qui a nécessité sou transport en cellule. Ce n'
en omettant syllabes et mots. Pas d'alexie. Puis, de temps à autre,
attaques
constituées par un beuglement traînant, monoton
est une jeune fille de quatorze ans d'une famille de tuberculeux. L'
attaque
de paralysie débuta par de la photophobie avec cé
tré dans l'ordre. Un lavage avait été pratiqué peu d'heures avant l'
attaque
. 2° Un autre jeune homme de dix-huit ans était
it livré très peu de temps avant la crise, il attri- buait même son
attaque
à son dernier lavage. L'auteurse demande avec J
avité. Le trai- tement en pareille situation n'a aucune prise sur l'
attaque
déclarée il doit donc être préventif, antitoxiq
, hébétude, liyperexcitabilité des réflexes tendineux, hypertermie,
attaques
d'épilepsie jackso- nienne de plus en plus préc
quer que la lésion 6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE." des artères s'
attaque
surtout à la tunique interne, la tunique moyenn
ts dans son service depuis dix-huit ans. Parmi eux. 98 sont morts d'
attaques
épileptiformes, 23 de congestion cérébrale, les
ipé, mort d'angine de poi- trine ; un frère, dix-neuf ans, a eu des
attaques
convulsives; une soeur, quatorze ans, a guéri d
lle trop indulgente. En 1894, après une violente frayeur : première
attaque
convulsive' avec cris et perte de connaissance
cendie de sa maison Thérésa est reprise de la même contracture sans
attaque
. Un mois après, émue par une séparation elle es
s d'exagération de la contracture. Quinze jours plus tard, nouvelle
attaque
et contracture du membre supérieur droit en fle
ontracture du membre supérieur droit en flexion forcée. En octobre,
attaque
et contrac- 126 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
embre inférieur gauche se prend aussi. A partir de ce moment grande
attaque
tous les huit jours, suivie de un à trois jours
isons cruelles à son égard, bon accueil aux étrangers. Bientôt deux
attaques
par jour précédées de rires ou de pleurs, avec
effort extérieur pour vaincre la contracture détermine une violente
attaque
. La rigidité permanente dure depuis huit mois,
violente attaque. La rigidité permanente dure depuis huit mois, le=
attaques
depuis deux ans; en dehors des crises de mutism
ôt s'y ajoule un trismus invincible et un nystagmus persistant. Les
attaques
durent toutes sept ou huit heures. L'alimentati
che, et de l'odorat à droite, du goût pour le sucré et l'acide. Les
attaques
ont complètement disparu, la nutri- tion amélio
à deux reprises différentes, de tremblement immédiatement après une
attaque
d'in- fluenza. Ce tremblement, de rythme moyen
. L'épilepsie est une maladie qui est volontiers simulée dans ses
attaques
et qui, en dehors des attaques et de toute simula
qui est volontiers simulée dans ses attaques et qui, en dehors des
attaques
et de toute simulation ne présente pas de signe
et susceptibles, d'une part d'affirmer la nature épileptique d'une
attaque
, et d'autre part de déceler la névrose, n'impor
ée. Leurs recherches leur ont montré : A.Pourl'attaque.-Que cette
attaque
, même isolée : 1° augmente l'excrétion de l'azo
toxicité urinaire. B. Pour la névrose, qu'elle soit larvée, que les
attaques
soient fréquentes ou espacées (depuis des mois,
giste et pour le clinicien. Au premier il permet en dehors de toute
attaque
de dépister la névrose épileptique; au second i
les, insomnie), le sommeil des idiots, < des épileptiques et les
attaques
de sommeil. (B.) · 150 REVUE DES THÈSES DE BORD
ant l'excita tion grave que l'on observe souvent avant et après les
attaques
d'épilepsie. Sauf le cas d'extrême excitation o
d'extrême excitation ou de maladie intercurrente, la fréquence des
attaques
ne paraît pas influencer le poids du corps; ce
ne change pas sensiblement durant les périodes où il n'y a pas eu d'
attaques
. Il ne semble pas non plus être modifié parla m
on des méthodes chirurgicales que la cessation ou la diminution des
attaques
pen- dant des semaines ou quelquefois des mois,
si profondes que, règle générale, l'opération ne sup- prime pas les
attaques
et n'en diminue que rarement la fréquence d'une
observés, 311 sont morts et sur ce nombre, 32 p. 100 sont morts d'
attaque
apoplectique, 19 p. 100 de crises épileptiformes
Brero. Paramok on entend, aux Indes Orientales Néerlandaises, une
attaque
plus ou moins soudaine avec impulsion à l'homicid
n- gliers, des chiens ou des diables et qu'il voulait les tuer. L'
attaque
est précédé ou suivie d'un état de stupeur plus o
atre ans, qui, durant les trente-quatre dernières années a eu vingt
attaques
de manie aiguë, dans l'intervalle desquelles il
ne marche parallèle à celle de la folie confirmée, les accès et les
attaques
épileptiformes étant en relation directe avec les
ou des lèvres, blessures consécutives à des tentatives de suicide,
attaques
convulsives, para- lysies, contractures, incoor
lic, carac- térise la folie. Il était incontestablement sujet à des
attaques
de délire, qui, lorsqu'elles étaient terminées,
oi que ce soit. Son père ne pouvant plus travailler par suite d'une
attaque
de para- lysée, c'était sa mère qui allait en j
tion envisagés dans leur marche pré- sentent les mêmes phénomènes d'
attaques
aiguës que ceux du goût. Au point de vue.de leu
mique viennent puisamment à l'appui de l'opinion suivant laquelle l'
attaque
d'épilepsie ne serait autre chose qu'une intoxi
rtain c'est que l'accroissement de la toxicité urinaire après cette
attaque
d'épi- lepsie (Féré-Voisin-Régis), l'analogie q
nfirmières blessées et devenues invalides. - L'auteur, à propos des
attaques
imméritées auxquelles a été en butte le personn
ont par une malade; des maux de tête s'ensuivent, puis survient une
attaque
hystérique suivie d'une monoplégie du bras gauc
odiques de troubles maladifs de la conscience, c'est-à-dire par des
attaques
de folie passa- gère. En général, on ne trouve
2° modifications de l'humeur de nature différente, avant et après l'
attaque
. Avant : dépression, idées hypocondriaques. Apr
scence psychique épileptique, on tiendra compte de la fréquence des
attaques
, de leur forme, du nombre de jours qui sépare l
mauvaise humeur des épileptiques est peut- être en rapport avec des
attaques
nocturnes, car elle est plus accentuée le matin
de vue médico-légal, il est nécessaire de démon- trer l'existence d'
attaques
, de vertiges pour prouver l'épilepsie; de simpl
à l'immunité des enfants à l'égard de l'hystérie et sur- tout de l'
attaque
hystérique. Il résume ainsi ses observations sur
t de l'attaque hystérique. Il résume ainsi ses observations sur les
attaques
hystériques chez les enfants jusqu'à l'âge de hui
répondérant; les causes déterminantes des accès sont variables. Les
attaques
sont fréquentes : deux et davantage par jour, t
parfois avec élévation de tempéra- ture ; physionomie variable des
attaques
, tantôt hystérique, tantôt épileptoïde. Ineffic
stérique, tantôt épileptoïde. Inefficacité du bromure de potassium;
attaques
de bromisme précoce. Evolution caractéristique
le. Dans la période de la puberté, on observe aussi fréquemment des
attaques
analogues avec grande fréquence, physionomie va
n, les troubles vaso-moteurs consécutifs. Dans la production de ces
attaques
, les influences psychiques ont un rôle prépondéra
et demi, un traumatisme crânien grave avec dépression du crâne; les
attaques
épileptiques ne se montrent chez lui que nombre d
çon préventive par de fortes doses de bromure. Il parle ensuite des
attaques
épileptiformes qui sont les prodromes d'affec-
e psychoses fonctionnelles. Discussion. M. Wildermuth a observé des
attaques
hystériques caractéristiques chez des patients
deux ans, qui, quatre mois avant son admission, pré- senta quelques
attaques
syncopales, suivies d'un état de dépression et
à en bonne santé. Les ictus, tantôt de simples vertiges, tantôt des
attaques
apoplectiformes ou épileptiformes, s'étaient ré
se produisaient des accès d'excitation, surtout en rapport avec les
attaques
. L'autopsie n'a pas toujours montré une artério
tholo- gique, et l'on peut dire que les conditions anatomiques de l'
attaque
épileptique sont variables ou inconnues (la scl
nom d'épilepsies à toutes les '.maladies qui se caractérisent par l'
attaque
épileptique clas- sique. Une analyse raisonnée
eule irritation des vaso-moteurs une anémie capable de produire l'
attaque
épileptique ; on l'a au contraire obtenue aisémen
abilité. Il conclut donc de l'expérimentation en général : 1° que l'
attaque
épileptique est toujours accompagnée de constric-
tade); 2° que cette vaso-constriction s'établit avant le début de l'
attaque
épileptique; 3° que l'attaque ne peut être prod
riction s'établit avant le début de l'attaque épileptique; 3° que l'
attaque
ne peut être produite que par l'irrita- tion de
tions trop faibles pour la pousser au degré capable d'en- gendrer l'
attaque
; 5° qu'une anémie subite du cerveau peut provo-
l'attaque ; 5° qu'une anémie subite du cerveau peut provo- quer une
attaque
épileptique. La clinique de son côté fournit de
ébrale et que cette anémie chez un individu prédisposé entraine une
attaque
épilep- tique, il est difficile de ne pas accor
flexe une irritation périphé- bibliographie. 423 rique produise l'
attaque
par l'intermédiaire d'une anémie cérébrale, du
veur de cette théorie et rien ne peut l'infirmer. Le mécanisme de l'
attaque
complète serait donc le sui- vant : la constric
une valeur réelle, il faut qu'elle puisse aussi expliquer, outre l'
attaque
, les phénomènes postépilep- tiques moteurs, sec
et pour laquelle les cellules nerveuses restent influencées après l'
attaque
, l'auteur la trouve plus rationnelle que celle
ent comme équivalents psychi- ques, c'est-à-dire comme remplaçant l'
attaque
absente ou larvée des phénomènes qui en réalité
ité sont bien nettement post-épilep- tiques et nés à la suite d'une
attaque
passée seulement inaper- çue. Un examen rigoure
brusque de leur nutrition ; l'anémie suivie de stase qui produit l'
attaque
doit avoir pour conséquence une mise hors de fo
elle que soit la variété de l'épilepsie, l'anémie provocatrice de l'
attaque
est toujours le résultat d'une vaso-constriction
au centre vaso-mo- teur. L'anémie passagère simple dans les petites
attaques
, suivie de stase veineuse dans les cas compliqu
ifférents : 1° agitation, fonte paralytique et marasme nerveux ; 2°
attaques
congestives ; 3° asphyxie alimentaire ; 4° enfi
par le fait d'une complication quelconque, soit enfin à la suite d'
attaques
conges- tives (p. 448) ». Pour Magnan et Séri
marasme... ; il n'est pas rare de le voir emporté plus tôt par une
attaque
épileptiforme ou une pneumonie (p. 12). - A la
ennent ensuite, par ordre de fréquence pour les causes de mort, les
attaques
apoplectiformes et épilepti- formes... Citons e
i volontiers pour une opinion précisément inverse. Je considère les
attaques
apoplectiformes ou épilepti- formes non comme u
a plus fréquente. Le para- lytique succombe normalemen à une de ces
attaques
, lorsque le cours de sa maladie n'est pas inter
e faire des mouvements ; la sen- sibilité est intacte. Mort par une
attaque
d'asphyxie quatre semaines après le commencemen
septembre 1896.) E. B. LXXII. DE la PERTE DE connaissance dans LES
attaques
D'HYSTÉRIE ; par le professeur Pitres. Les no
onnaissance est complète dans la période épilep- toide de la grande
attaque
d'hystérie. Il résulte des recherches faites pa
résident à la conservation ou à la perte de con- naissance dans les
attaques
d'hystérie peuvent, pour compliquées qu'elles s
les propositions suivantes : 1° Dans la période proe-convulsive des
attaques
hystériques complètes et régulières, et dans le
lsive des attaques hystériques complètes et régulières, et dans les
attaques
frustes uniquement caractérisées par les phénom
par les phénomènes faisant habituellement partie de cette période (
attaques
de sanglots, de spasmes, etc.) la conscience et
re sont intégralement conservées. 2° Dans la période convulsive des
attaques
régulières, et dans les attaques frustes consti
2° Dans la période convulsive des attaques régulières, et dans les
attaques
frustes constituées par des convulsions toniques
oïde, la conscience et la mémoire sont totalement abolies. Dans les
attaques
frustes ou irréguliores où les 472 REVUE DE PAT
ompte qu'ils ont des con- vulsions et ne se rappellent pas, quand l'
attaque
est terminée, qu'ils ont eu des mouvements déso
désordonnés, involontaires. 4° Dans la période post-convulsive dos
attaques
régulières, et dans les attaques uniquement rep
ans la période post-convulsive dos attaques régulières, et dans les
attaques
uniquement représentées par des syndromes hypno
les attaques uniquement représentées par des syndromes hypnotiques (
attaques
de sommeil, de catalepsie, de léthargie, de dél
ans les cas où ces syndormes ne font pas fonction équi- valente des
attaques
, c'est-à-dire que, sauf dans quelques variétés
l'épilepsie. Le délire hystérique constitue la quatrième phase de l'
attaque
ou se substitue à elle. Là encore, il peut y av
nostic de Il - par Patrick, ego. Perte de con- naissance dans les
attaques
d' -, par Pitres, 471. ICTÈRE, psychoses, aut
cérébrale, par Gallois, 466. Tumeur cérébrale ayant procédé par
attaques
spéciales et troubles de l'ouïe, par Luhrmann,
ci c'est un individu qui, pour échapper à la relégation, simule des
attaques
presque jour- nalières d'épilepsie, là c'est un
émence extl'aordinairement rapide. Alors, en général, il existe des
attaques
apoplectiformes, souvent inaperçues parce qu'el
normal accidentellement affaibli ou considérer avec Kraepelin toute
attaque
maniaque comme constitutionnelle. La question à
n, chez un individu à mentalité normale non entaché d'hérédité, une
attaque
maniaque simple se terminant par la guérison D'
u sujet, tant au physique qu'au moral, avant la période des grandes
attaques
. E. BLIN. XII. Un cas de paranoïa alcoolique; p
'état du malade, diminue dans une mesure importante le nombre des
attaques
, tout en atténuant leur gravité modifie favorable
portant : il n'y avait pas eu de perte de con- naissance ; avant l'
attaque
il avait souffert de fréquents maux de tête ave
; cette céphalalgie était surtout frontale. Un mois après, deuxième
attaque
plus grave, portant sur tout le côté droit. mai
. Après l'opération le malade resta à l'hôpital ; il n'avait plus d'
attaques
épileptique ; il était complètement aveugle. Un
DE THÉRAPEUTIQUE. Pas de troubles de la vessie ni du rectum. l'as d'
attaques
épilep- tiformes, névrite optique double. Ici e
ant eu aucun accident spécifique depuis six ans, est pris soudain d'
attaques
d'épilepsie partielle s'annonçant par des mouve
psie partielle s'annonçant par des mouvements de l'index gauche ; l'
attaque
intéresse tout le côté gauche, mais ne se génér
pas, la perte de connaissance n'est pas complète. A la suite de ces
attaques
, il n'est survenu ni monoplégie brachiale, ni h
adissonnienne. - Un mafade adis- sonien typique se mit à avoir des
attaques
d'épilepsie suivies de délire et de coma. A l'a
'affaiblissement de l'intelligence, de l'achopement syllabique, des
attaques
apoplectiformes avec pertes de connais- sance e
tionnent d'une manière parfaitement régulière dans l'intervalle des
attaques
; 2° que l'attaque-type envahit simultané- ment
vante : l'intoxication primitive aiguë déter- mine une ou plusieurs
attaques
convulsives, qui, à leur tour pro- duisent une
ésence d'un cercle vicieux ; le retour de plus en plus fréquent des
attaques
finit sans doute par déterminer des altérations
t été de la dysarthrie, d'abord intermittente, puis permanente; des
attaques
d'épilepsie localisées à la moitié droite de la
toujours été très vive, très irri- table, elle a même eu de grandes
attaques
convulsives d'hystérie dont le malade a été sou
G. Firl. i. 198 CLINIQUE NERVEUSE. vertiges. Jamais il n'a eu d'
attaques
de nerfs d'aucune nature. Il est d'uu caractère
es, de fréquents accès d'hypnose spontanée; elle a eu de nombreuses
attaques
de contracture ou de paralysie transi- toires.
le 16 mars 1899 : c'est une hystérique qui n'a jamais eu de grandes
attaques
, mais qui présente de l'hémi- anesthésie droite
d'un cas d'épilepsie héréditaire, datant de cinquante ans, par une
attaque
d'hémiplégie ; Par il ! . le D' D.1\IEL BRUNET.
a première crise convulsive a paru à la suite de la scarlatine. Les
attaques
se produisent à peu près tous les mois, le jour o
staté sur le registre légal, que cette malade avait de fré- quentes
attaques
d'épilepsie. En 1857, elle fut prise d'une hémi
épileptiques jus- qu'à sa mort, produite le 12 juillet 1877 par une
attaque
d'apo- plexie, m'a été confirmée parle D''Fauch
cas me paraissait intéressant et je n'ai jamais observé la moindre
attaque
épileptique chez elle. Son intelligence etait à
ision aux questions qu'on lui adressait. Elle se demandait si ses
attaques
épileptiques avaient bien com- plètement cessé,
d'irritation dans un point limité de l'écorce cérébrale. Comment l'
attaque
d'hémiplégie a-t-elle agi chez notre malade ? L
ade rentré au service des épileptiques, ne présente plus de grandes
attaques
pendant cinq mois. Pendant ce temps il avait de
opération, mais aussi longues. Voici d'ailleurs le relevé exact des
attaques
en 1898 et 1899 : . 1898. Janvier : une attaq
relevé exact des attaques en 1898 et 1899 : . 1898. Janvier : une
attaque
le 8, durée, quinze à dix-huit mi- nutes ; une
utes ; une autre le 21, de dix-huit à vingt minutes, -Février : une
attaque
le 14, durée vingt-deux à vingt-cinq minutes ; un
inutes ; une autre le 28, durée de dix à treize minutes. Mars : une
attaque
le 12, du- 232 RECUEIL DE FAITS. rée vingt à
nutes ; une troisième, le 29, de dix à douze minutes.- Avril : une
attaque
le 20, durée, treize à quinze minutes. Alai : une
ril : une attaque le 20, durée, treize à quinze minutes. Alai : une
attaque
le 22, durée, six minutes ; une autre le 30, de
2, durée, six minutes ; une autre le 30, de dix minutes. Juin : une
attaque
le 27, durée, quinze minutes ; une autre le 28,
tous les caractères de l'épilepsie essentielle. En par- ticulier l'
attaque
du 2 janvier 1899, qui s'est produite dans notr
orsure de la langue, écume à la bouche, miction involontaire. Cette
attaque
dura au moins un quart d'heure, après quoi le m
passager. Dans le service on n'a relevé que le nombre des grandes
attaques
. De par le tableau ci-dessus ou voit que pendan
s cinq mois qui ont suivi l'intervention, il n'y eut pas de grandes
attaques
, mais à partir de ce temps elles reviennent, mo
que l'on s'éloigne de l'époque de l'intervention chi- rurgicale les
attaques
semblent devenir plus violentes en même temps q
l'intervention a été passager, et, après une période de repos, les
attaques
sont revenues comme avant. REVUE DE PATHOLOGIE
ès. Elle est probablement inférieure à la normale durant et après l'
attaque
hystérique et dans la dystrophie-thyroïdienne.
us d'une maladie accidentelle. J. S1 : GL.4S. XXV. Les songes d'
attaques
des épileptiques; par Maurice DucosTÉ. (Journal
santes. Ces songes ne se produisent que lorsque les malades ont des
attaques
; ils ne surviennent pas en dehors d'elles et ne
ilement les schématiser en quatre phases parallèles aux phases de l'
attaque
convulsive. Dans le songe l'aura existe, même l
rt termine le songe. Cette constance de la mort dans les « songes d'
attaques
» leur constitue un autre carac- tère bien spéc
ge : les résultats ont semblé satisfaisants. En outre, le « songe d'
attaque
» calque fidèlement les mutations de l'attaque
outre, le « songe d'attaque » calque fidèlement les mutations de l'
attaque
elle-même; de telle sorte qu'on peut, au récit
le sorte qu'on peut, au récit seul des songes, suivre la marche des
attaques
et savoir notamment si elles restent ou non com
jours semblable à lui-même; mais derrière ce rêve se cachait une
attaque
d'épilepsie, de telle sorte que ce qu'on aurait p
u'un trouble post-paroxys- tique. L'auteur rapproche ses « songes d'
attaques
» des « rêves d'accès » de Féré, et pense avec
is cas sur quatre, les chlorures ont été trouvés en excès après une
attaque
d'épilepsie ; il en a été de même après une cri
urnal, 23 avril 1898.) Tout le monde sait combien le diagnostic des
attaques
nocturnes d'épilepsie est quelquefois difficile
rieuse pour qu'on fût amené à le considérer comme une forme nette d'
attaque
épileptique nocturne. L'auteur pense donc avoir
t. L'ap- parition ultérieure dans le cours de la journée suivante d'
attaques
épileptiques bien caractérisées a convaincu l'a
presque jamais progressifs, et sont ordinairement précédés par des
attaques
apoplectoïdes ou épileptoïdes. Le trem- blement
orsque la maladie débute par des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 231
attaques
épileptiformes, il faut faire le diagnostic diffé
é de l'affaiblissement intel- SOCIÉTÉS SAVANTES. 257 tectuel, des
attaques
épileptiformes et de surdité verbale. Durant so
mmaire. - Antécédents héréditaires. Père mort ci soixante ans d'une
attaque
d'apoplexie, après deux ictus qui l'avaient laiss
tent constituant des accès tétanoïdes de l'épi- lepsie. Sur 200.000
attaques
observées par l'auteur, un seul cas peut se rap
de surdité ver- bale, presque complète, qui avait suivi une série d'
attaques
épilep- tiformes et apoplectiformes, persiste d
es nets. Une femme alcoolique employée dans une distillerie eut des
attaques
épileptiformes suivies d'aphasie sensorielle tran
énation; expériences physiologiques « sur le mode de production des
attaques
épileptiques et épi- ce leptiformes. Ces sujets
e malade accomplit à l'heure actuelle, il se produisit une nouvelle
attaque
de delirium lremens. La mise en réforme fut mêm
uelette ; troubles de la sensibilité ; trouble du sens musculaire ;
attaques
d'épilepsie hémilatérales corticales caractéristi
-aux-Bois.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 429 9 LXIV. Note sur des
attaques
frustes d'épilepsie constituées par les dernier
es d'épilepsie constituées par les derniers phénomènes de la grande
attaque
; par M. FÉRÉ. (Journal de Neurologie, 1899, n°
ssements) peuvent aussi se manifester isolément et ronsti- tuer des
attaques
frustes. G. D. XLV. Sur la manière de prendre s
écutés sans que le malade en con- serve le moindre souvenir après l'
attaque
. Il rapporte sommaire- ment dix observations tr
L'observation clinique nous apprend que d'une manière générale les
attaques
légères d'épilepsie sont plus souvent suivies d
ques légères d'épilepsie sont plus souvent suivies de manie que les
attaques
violentes. Dans la manie épileptique comme dans
tête est beaucoup plus intense chez les malades qui n'ont, après l'
attaque
, que peu ou point de sommeil que chez ceux qui
particulièrement violent chez les épileptiques qui ont eu pendant l'
attaque
les plus grands mouve- ments convulsifs, et qu'
e dit qu'il faut toujours engager les épileptiques à dormir après l'
attaque
'. Bien des phénomènes post-convulsifs, tels qu
éservé chez les malades qui n'ont pas de période de sommeil après l'
attaque
et chez ceux qui ont de la céphalalgie frontale
conscience avec état con- vulsif » et il est certain que, dans une
attaque
d'épilepsie vraie, ni l'un ni l'autre de ces de
laires per- « ceptibles ou non. » On peut dire qu'il y a dans les
attaques
épileptiques trois degrés de troubles de la con
l, difficulté et lenteur qui vont en aug- mentant à chaque nouvelle
attaque
, et laissent finalement des traces permanentes
rs par le même processus de réparation incomplète après chacune des
attaques
. Les formes d'aliénation mentale que l'on renco
s de folie trouvent ici leur équivalent ou leur compensation dans l'
attaque
épileptique. R. de IUSUnAI'E CLAY. L. Influence
urnal, 5 novembre 1898.) Il s'agit d'un enfant qui présentait des
attaques
d'épilepsie attei- gnant parfois le chiffre de
masses lymphoïdes dont l'ablation fut suivie de la disparition des
attaques
; elles reparu- rent, mais disparurent de nouve
les assistants appellent l'aura n'est autre chose que le début de l'
attaque
. - Un autre symptôme qui mérite une attention p
a'encore un sujet d'étude très important : c'est l'in- fluence de l'
attaque
isolée sur la mentalité du malade et sur les pr
t pas l'ombre d'un stig- mate d'hystérie. Mais ne sait-on pas que l'
attaque
d'épilepsie est due à une anémie subite du cerv
e de congestion en retour et de coma ; ne voit-on pas aussi que les
attaques
sont sui- vies d'amnésie. Pourquoi la pendaison
Père, marchand de vin, mort d'une maladie de foie. Mère morte d'une
attaque
de paralysie. Un frère et une soeur bien portan
e trente-sept ans. Antécédents héréditaires. Père buveur, avait des
attaques
épi- leptiformes ; est mort dans une attaque. C
ère buveur, avait des attaques épi- leptiformes ; est mort dans une
attaque
. C'était un débile intellec- tuel, d'une suscep
ptibilité irraisonnée, émotif et irritable. - Mère morte, avait des
attaques
très fréquemment, surtout des attaques nocturne
ble. - Mère morte, avait des attaques très fréquemment, surtout des
attaques
nocturnes, avec morsures de langue. Comme son m
est que la liqueur d'absinthe donne aux buveurs, tôt ou tard, des
attaques
épileptiformes. La clinique est là, et les expé-
mnt des céphalalgies. - Grand-père paternel mort probablement d'une
attaque
d'apoplexie à quarante-six ans; pas d'excès. Gr
rès obtuse ; réponses très lentes. 11 aurait eu pendant l'année des
attaques
répétées de convulsions cloni- ques du côté gau
la réfrac- tion du milieu de l'oeil, et de l'hypermétropie dont les
attaques
disparurent au moins pour un temps, grâce à l'u
e, les phosphates, les sulfates et l'indican. On a constaté que les
attaques
épileptiques ne modifient ni dans un sens ni da
u profit des premiers, ce qui s'explique par l'intensité, pendant l'
attaque
, des contractions mus- REVUE DE PATHOLOGIE NERV
s du taux normal. Dans bon nombre de cas, et pour un bon nombre d'
attaques
on a trouvé une quantité d'indican supérieure à
évoir la nature de l'alimentation. Quant à ses variations après les
attaques
, on trouve 17 fois une augmentation, 21 fois un
avec l'urée ne jouent de rôle étiologique dans la pro- duction des
attaques
d'épilepsie. Les résultats obtenus démontrent,
r à une réfraction normale soit capable de causer direc- tement une
attaque
d'épilepsie; mais on peut admettre que la conti
tration de l'arsenic dans un cas d' -, par Clark, 7f. - avec 519
attaques
en 49 heures, par Spret- un, 7'r. Calcification
-, par l3oloni, 165. Gué- rison d'un cas d' - héréditaire par une
attaque
d'hémiplégie, par Brunet. 224. - essentielle
r Crocq, 331. l'roprlé- tés du sang dans Il , par Har- ter, 425.'
Attaques
frustes d' , par Fé : é, 429. Mal de tête dans
névrôme du cordon. par Chipault, 132. EPIL¡;PTIQU¡;. Les songes d'
attaque
chez les -, par Ducosté, 237. Les - 272. Elim
d,531. Hemilpégie. Guérison d'une épilep- sie héréditaire par une
attaque
d' -, par Brunet, 224. droite avec aphasie, p
courte durée et présente très peu de mouvements aux membres; les
attaques
de celte catégorie ne dépassent guère dix ou quin
s s'accomplissent bien ; l'appétit est conservé même à la suite des
attaques
. Dans le cas que nous venons de rapporter diver
rtantes à être relevées, surtout quant à l'aspect qu'ont revêtu les
attaques
. M"e Greuz..., nous l'avons vu, a une tare héré
orose et les émotions morales ont définitivement déterminées. Ses
attaques
n'ont pas ordinairement de phénomènes pré- moni
mènes de la maladie et qui aujourd'hui encore marquent le début des
attaques
, puisqu'il y a à la suite des convulsions indub
ns-nous établir entre ces phéno- mènes en apparence sans règle et l'
attaque
complète décrite par M. Charcot ? Nous penson
ais intense et il est entendu presque pen- dant toute la durée de l'
attaque
. La malade n'a jamais pro- noncé de phrases, ni
ni rien d'ef- frayant. Donc, le désordre et la confusion dans les
attaques
de notre sujet ne sont que superficielles et n'
Regnard et Richer. c La malade ayant été soumise dans deux de ses
attaques
aux inhalations d'éther, dont les effets sont a
siblement diminué ses ressources : le 8 octobre 1882. elle a eu une
attaque
, qui a été considérée, dit-on, par le médecin,
gauche est alors marquée. Depuis cette époque, même état qu'avant J'
attaque
peut-être avec une très légère amélioration de
e avec une très légère amélioration de la mémoire. La portée de l'
attaque
convulsive est considérable. On est auto- risé
ence progressive ; il est pro- bable en effet qu'elle aura d'autres
attaques
qui affaibliront encore 76 REVUE DE PATHOLOGIE
e n'importe quelle analyse : 1- L'excitation électrique produit des
attaques
d'épilepsie, non pas seul lement quand on fait
olongée engendre du nystaginus du côté opposé, auquel s'adjoint une
attaque
dépitepsie; - 9 Les convulsions ne se propagent
t le corps entier. B. Dans la forme récidivante, après uue première
attaque
convulsive méthodique, normale, une seconde pre
ropine augmente l'excitabilité de l'écorce; elle peut réveiller une
attaque
réduite au silence ; 16° L'écorce du cerveau joue
vulsives d'ordre expérimental, la plus grande ressemblance avec les
attaques
de l'épilep- sie humaine; 22° La nature cortica
par moi présentait un trouble paraphasique avant d'être frappé de l'
attaque
de surdité verbale. Quand les symptômes du prem
ire en ce que, dans la paralysie psendo-bulbaire, il se produit des
attaques
apopluaiformea, tandis qu'on ne constate pas d'
culté du dé- glutir, et plus tard aphonie. Mort dans le coma. Pas d'
attaques
apoplectiques. Parmi les prodromes, il faut not
ion cérébrale) l'âge de vingt- neuf ans, en 18î6. La moyenne de ses
attaques
fut pendant cinq ans de deux par semaine. Puis
re à l'aide de lambeaux de renseignements, on trouve qu'avant cette
attaque
apoplectique, il était pendant sa tournée entré
es; la jambe gauche y participe; deux heures de sommeil terminent l'
attaque
. Jamais d'agitation. A partirdu 2 février, dose
rares. Du 14 février au 28 mars, quatre accès. Puis disparition des
attaques
malgré la dimi- nution graduelle de KBr et sa r
l ne lui fût survenu rien d'anormal, jusqu'au retour d'une nouvelle
attaque
, qui avait lieu au bout de quinze jours. Ces ac
être en relation avec la maladie, nous atten- dîmes le moment, de l'
attaque
pour être à même de mieux asseoir notre diagnos
conservées, d'après ce que nous a dit la patiente elle-même après l'
attaque
. » « Celle-ci terminée, la malade se montra gai
douze années consécutives. L'hémorrhagie menstruelle se fit et les
attaques
d'hystérie disparurent. Un mois se passe; le flux
se passe; le flux cata- ménial se suspend de nouveau, et alors les
attaques
reviennent. Dans ces conditions, nous prescrivo
chauds, et, comme la première fois, les règles reparaissent et les
attaques
d'hystérie cessent. Il n'en est plus survenu d'au
, non nerveuse; 2° une fille qui se porte bien, nerveuse, mais sans
attaques
; 3" un fils marin, V. le 25, janvier 1885. 2
u qu'il vient d'être excité par une émotion plus ou moins vive. L'
attaque
qu'il a eue devant nous s'est passée de la manièr
ossible qu'il s'é- garât. Nous ne dirons rien du cri initial de l'
attaque
d'épilepsie ou d'hystérie; il y a là un tableau
de certains cris, de ces aboie- ments qui surviennent en dehors des
attaques
chez les hystériques, en s'accompagnant même d'
sson. Mûre, morte en 1Spl, écrasée par une voiture; n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs. Pas d'aliénés, ni de paralytiques, ni
ion (ses enfants sont morts les uns de la poi- trine, une avait des
attaques
de nerfs, un autre, qu'on appelait le lutteur,
ne »; elle est bien portante, n'est sujette ni aux migraines ni aux
attaques
nerveuses, elle est peu impressionnable, a eu b
dans son côté droit qui aurait été très douloureux-, elle eut. une
attaque
avec perte de connaissance. Eile est entrée à l
ombre de troubles hystériformes. En novembre 1883, elle éprouva une
attaque
apoplectiforme à la suite de laquelle elle eut
ours éteint, et présente-t-il des formes variées; tantôt (pendant l'
attaque
) l'individu perd la notion du monde extérieur,
lure des réflexes tendineux et cutanés, au moment ou à la suite des
attaques
, est étudiée à l'aide de quatre groupes d'obser-
l'examen de quelques troubles de la motilité qui se rattachent aux
attaques
congestives. 10 Les mouvements automatiques coord
mouvements voulus, intentionnels, et se rattachent d'ordinaire aux
attaques
accompagnées de phénomènes d'excita- tion moteu
trales; 20 la déviation conjuguée de la tète et des yeux qui suit l'
attaque
est un phénomène d'excitation moteur. Après criti
x allégations de Prévost et Landouzy, M. Zacher admet que, dans les
attaques
congestives où l'on constate des phénomènes d'e
consacré aux troubles de la vue ', qui accompagnent et suivent les
attaques
congestives. Les docu- ments que nous possédion
les observations. De ce matériel il conviendrait de déduire que les
attaques
congestives se traduisent certainement par deux
M. Zacher a observé chez deux malades, pendant l'évolution de leurs
attaques
, un singulier trouble vasomoteur ; en effleurant
omènes parétiques ou con- vulsifs, qu'il considère certains types d'
attaques
congestives comme de vrais complexus morbides e
ales qu'il importera d'étudier et de préciser plus tard, qu'enfin l'
attaque
n'émanerait pas, d'après lui, d'une exacerbation
ne psy- chose déjà existante ; c'est ainsi que la chute pendant une
attaque
con- gestive, ou un vertige épileptique, avait
n finir et on lâchait le malade qui ren- trait dans sa famille. Ces
attaques
se répétaient deux fois par an. M. Tarnowsky ra
20. 384 REVUE CRITIQUE. et Mendel' ont trouvé, sous l'influence d'
attaques
épileptiques, épileptiformes et apoplectiques,
e fait principal qui se dégage de ces observa- tions, c'est que les
attaques
d'épilepsie, les vertiges et même les seules me
les attaques d'épilepsie, les vertiges et même les seules menaces d'
attaques
augmentent le chiffre de l'acide phosphorique u
Lépine et Jacquin sont amenés à conclure que, sans l'influence d'
attaques
d'épilepsie, le rapport entre l'acide phosphoriqu
ique et l'azote serait augmenté, tandis que dans l'intervalle des
attaques
, ce rapport serait diminué. Recherches personne
z ces hommes, l'élimination de l'a- cide phosphorique en dehors des
attaques
, l'influence des attaques, et enfin pendant l'é
de l'a- cide phosphorique en dehors des attaques, l'influence des
attaques
, et enfin pendant l'état de mal épileptique. Dans
es pendant les jours où cet individu est à son état ordinaire, ades
attaques
, ou bien est dans sa période épileptique, nous
nution de l'acide phosphorique uni aux alcalis sous l'influence des
attaques
. L'observation de Es... est la seule dans laque
0,53; acide phosphorique uni aux alcalis, 1,07. Sous l'influence d'
attaques
: ' Azote, 19,77; acide phosphorique total, 1,9
0,47; acide phosphorique uni aux alcalis, 1,49. Sous l'influence d'
attaques
: Azote, 22,26; acide phosphorique total, 1,29;
0,42; acide phosphorique uni aux alcalis, 0,90. Sous l'influence d'
attaques
: Azote, 16,89; acide phosphorique total, 1,69;
ez ce dernier malade cet acide était diminué sous l'in- fluence des
attaques
, il est augmenté dans les trois cas que nous ve
eler. Par conséquent, nous pouvons dire : A. Sous l'influence des
attaques
et comparativement à l'état ordinaire : 1° L'
ui précèdent pendant l'état or- dinaire, c'est-à-dire en dehors des
attaques
et de l'état de mal épileptique, avec les résul
st pas modifiée. Interprétation des modifications produites par les
attaques
d'é- Epilepsie et par l'état de mal épileptique
rique par les urines. A. Attaques d'épilepsie. Sous l'influence des
attaques
, l'a- zote, l'acide phosphorique uni aux terres
es vertiges, ou même simplement sous l'influence de l'imminence des
attaques
, alors que les phosphates alcalins et l'azote n
intervention du système nerveux ne peut être mise en doute dans les
attaques
d'épilepsie, et que, d'autre part, nos recherch
rreux éli- minés en plus qu'à l'état ordinaire sous l'influence des
attaques
d'épilepsie. Inversement, l'augmentation de l
phorique uni aux alcalis et de l'azote n'existant pas en dehors des
attaques
, sous l'influence des vertiges et de l'état de
le système nerveux qu'il faut rechercher son explication. Or, les
attaques
d'épilepsie mettent en jeu l'activité du systèm
e et des phosphates alcalins, qu'on retrouve sous l'in- fluence des
attaques
d'épilepsie. Est-ce là la seule origine de cett
pas une démonstration rigou- reuse de ce fait. En résumé : 1° Les
attaques
'd'épilepsie modifient l'élimina- tioîz, par le
ination; 390 REVUE CRITIQUE. NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX. 2° Les
attaques
d'épilepsie suractivent les échanges en acide p
ie comparativement ces modifications avec celles que produisent les
attaques
d'épilepsie et l'agitation ma- niaque, on arriv
ie et l'acide phos- phorique : 1° Dans l'épilepsie, en dehors des
attaques
et de l'état de mal épileptique, l'élimination
de l'acide phosphorique par les urines n'est pas modifiée; 2° Les
attaques
et l'état de mal épileptique augmentent l'éli-
re d'Inisdea toujours violent, toujours menaçant, toujours prêt à l'
attaque
, un impulsif incapable de se maîtriser, obéissa
e d'une malade de la Salpêtrière, quia eu déjà plusieurs milliers d'
attaques
consécutives. Cette femme, dont l'hystérie n'es
pour personne, vient d'avoir en quelques semaines plus de dix mille
attaques
. M. FALHET demande qu'on mette à l'ordre du jou
s qui commandent aux muscles), des vertiges, des lipothymies, des
attaques
apoplectiformes, etc... Dans les deux groupes, ce
stait, lorsque le 3 novembre z1896, subitement, elle eut une grande
attaque
d'apoplexie avec perte de connaissance prolongée
ous verrez par la suite que la lésion qui a donné naissance à cette
attaque
d'apoplexie dépasse de beaucoup les limites de
ration, semble avoir toujours, sauf dans les premiers jours après l'
attaque
, compris ce qu'on lui disait, et qu'elle n'a prés
ques et des épilepsies aiguës. En ce qui concerne la pathogénie des
attaques
le « centre convulsif » a perdu beaucoup de son
n cer- tificat médical constatant qu'il avait, depuis deux ans, des
attaques
épilep- tiques suivies de délire. Le développem
té aucun trouble permanent de la motilité ni de la sensibilité. L'
attaque
était annoncée, parfois quelques heures ou quelqu
nt au-dessus du genou, arrivant parfois de cette façon à conjurer l'
attaque
. Mais on connaissait dans le service un autre m
it dans le service un autre moyen bien plus efficace pour arrêter l'
attaque
: c'était de prendre le malade par les épaules et
de prendre le malade par les épaules et de le secouer. Lorsque l'
attaque
n'était pas enrayée, après avoir poussé un cri, l
nt l'accès et la langue était mordue, ou d'un côté ou de l'autre. L'
attaque
convulsive touchant à sa fin, le malade, tantôt
urs. Je liens à ajouter que cet accès de folie ne fut pas précédé d'
attaque
convulsive ; mais, la nuit du 15 décembre, il e
édé d'attaque convulsive ; mais, la nuit du 15 décembre, il eut une
attaque
convulsive, qui a été immédiatement suivie d'un
le sens musculaire dans cette jambe. Notre malade a eu une série d'
attaques
, et en est mort, dans l'état de mal épileptique
ront la base de notre discussion : l'un, sympto- matique début de l'
attaque
par une aura localisée à la jambe gauche ; l'au
implanté chez notre malade. Nous avions, dans cette hypothèse, des
attaques
d'épilepsie provoquées par l'irritation de la s
zone motrice : et nous serions en règle avec la physiologie, si ces
attaques
revêtaient le masque de l'épilepsie partielle,
on, Leçons sur les maladies nerveuses, p. 545. 26 MAGALHAÈS LEMOS
attaques
de notre malade étaient généralisées d'emblée et
une êp\\e^s\e symptomatique d'une lésion corticale. Mais toutes les
attaques
, autant celles dont j'ai eu connaissance par la f
vement l'épilepsie partielle, ces lésions peuvent produire aussi des
attaques
typiques de grand mal. Notre observation est ab
ressivement de façon à donner lieu, au bout de quelque temps, à des
attaques
de grand mal. La physiologie expérimentale est
partielles au début, elles se gé- néralisent à la longue. Outre l'
attaque
convulsive, notre malade a eu aussi un délire hyp
chasse ou au combat, il se livre aux mouvements plus violents de l'
attaque
ou de la défense, etc.. Et naturellement toutes c
cupe n'est pas une myosite proprement dite, ladiathèse ossifiante s'
attaque
principalement au tissu conjonctif que celui-ci
la tumeur osseuse » (liuemmel). La myosite ossifiante progressive s'
attaque
de préférence au système musculaire, mais on le
que l'eau ; elles sont composées d'une lame externe que le couteau
attaque
aisément, et percées de plusieurs trous qui don
u coude. Dans d'autres cas l'affec- tion continue ses ravages, elle
attaque
les muscles du bassin, principale- ment ceux de
buter sur n'importe quelle région de l'organisme. A la nuque elle s'
attaque
tantôt à droite, tantôt à gauche, quelquefois e
res et l'abdo- men, ayant parfois des crises de vomissements et des
attaques
de nerfs mal définies. A cela se réduit son p
affection fébrile. Comme celle des pauses, la durée des nou- velles
attaques
est très variable ; ordinairement plusieurs petit
, de douleur et de gonflement dans une partie du corps. Parfois l'
attaque
se fait à époque fixe; notre malade pendant cinq
ant cinq années consécutives a présenté, toujours au printemps, une
attaque
qui durait trois mois. Celui qui fait le sujet
s. Celui qui fait le sujet de l'observation de Lexer, a éprouvé une
attaque
tous les étés pendant cinq années consécutives.
, des déformations de la colonne vertébrale. Lorsque la myosite s'
attaque
à un muscle, le tissu interstitiel de ce der- n
nant, ne le prouvent pas péremptoirement. Florschuetz a observé des
attaques
d'épilepsie passagère. On conçoit que l'épileps
les hommes, nous trouvons 19, 22, 20 et 35 ans, lors des premières
attaques
. Nous enregistrons ce fait sans y attacher une
une pause natu- relle, survenue pendant le traitement; une nouvelle
attaque
n'a pas en effet tardé à apparaître deux mois a
ale du pied, du côté gauche, furent simultanément envahis. Cette 6e
attaque
a été la dernière, elle a fini par ossifier la ma
it, les deux dernières, au contraire, le côté gauche. Délivré des
attaques
qui l'ont cloué au lit durant le printemps de 6 a
antécédents personnels, nous ne trouvons à signaler- que plusieurs
attaques
de rhumatisme articulaire aigu. Pas d'éthylisme.
10 ans, à la suite d'une légère contrariété, X... a eu une série d'
attaques
de nerfs, pendant la durée desquelles elle s'est
squelles elle s'est plainte de fortes douleurs à 1'(,pigasti-e. Ces
attaques
, qui étaient pour ainsi dire subintrantes, ont
nait à son comble. En dernier lieu, elle dégé- néra en une violente
attaque
de concision. Le médecin traitant, peu fixé sur
est devenue titubante; des maux.de tête extrêmement violents ; des
attaques
, les unes syncopales, les autres,épileptiformes
, les maux de tète si violents, les accès de délire mania- que, les
attaques
épileptiformes et syncopales.. SUR UN CAS DE TU
communs : une cépha- lalgie plus ou moins violente, du vertige, des
attaques
épileptiformes ou syncopales, des vomissements,
générale exercée par les tumeurs intra-crunieunes. Le vertige, les
attaques
syncopales, la torpeur intellec- tuelle, qui on
inée la loupe, elle est composée d'une lame externe, que le couteau
attaque
aisément ; elle est percée de plusieurs trous q
4, 1874. Jeune fille de 14 ans. Père buveur, succomba pendant une
attaque
d'épilepsie; celle-ci avait débuté un an avant
xtrémités inférieures furent successivement pris. Chaque nouvelle
attaque
s'accompagnait de symptômes fébriles et d'un gon-
marcher continuellement. Etat général mauvais. Depuis quatre ans
attaques
épileptiformes ; elles étaient d'abord espacées;
égulièrement. On les observe seulement pendant la nuit, ce sont des
attaques
rapides violentes et de courte durée. Intellige
lepsie. Grand'mère morte à 61 ans de pneumonie. Un frère a eu des
attaques
épileptiformes pendant un an, à l'âge de 6 ans, à
général ; à 7 ans, atteinte du bras gauche. A 12, le malade eut des
attaques
épileptiformes qui ont duré 8 jours et furent s
la ligne axillaire jusqu'à la crête iliaque. Godlée a assisté aune
attaque
de l'affection dans les muscles rhomboïdes des
es et des parois de l'aisselle. Les traumatismes pro- voquaient des
attaques
espacées par des pauses de plusieurs mois. Les at
voquaient des attaques espacées par des pauses de plusieurs mois. Les
attaques
elles-mêmes étaient indolores. Dans la 12° an
e ténacité et d'une intuition géniale ; c'est ainsi qu'il sauva des
attaques
combinées des uns et des autres la doctrine nai
portée, mais sans état morbide caractérisé, et dont une soeur a des
attaques
hystériques. Elle a eu une soeur qui est morte à
xistait aucun bruit anormal, ni signe de dilatation. Cette nouvelle
attaque
, traitée encore par l'antipyrine, a duré avec l
xemple dépassé la trentaine (Krafft-Ebing). Au cours de la première
attaque
généralisée, il est bon de relever les mouvemen
tsch a décrit une chorée des muscles tu- baires. Dans la deuxième
attaque
généralisée nous.relevons l'arythmie, en de- ho
ominance des mouvements se montre d'un côté différent dans les deux
attaques
successives, tandis qu'ordinairement c'est le m
d'autre maladie que l'influenza; il y a quelques années, à part les
attaques
de nerfs auxquelles elle est sujette. De ces at
s, à part les attaques de nerfs auxquelles elle est sujette. De ces
attaques
elle ne sait d'ailleurs absolu- ment rien, sauf
s, repousse ses pa- rents, ses enfants jusqu'à ce qu'enfin éclate l'
attaque
qui dure des heures, par- fois un ou deux jours
Température 380, pouls plein et régulier avec 100 pulsations. Cette
attaque
dure plusieurs heures et cesse comme par enchante
ant : d'après le rapport de la soeur et de l'interne Pétrone est en
attaque
de convulsions depuis déjà quelques heures. Cette
ne est en attaque de convulsions depuis déjà quelques heures. Cette
attaque
qui se rie- produit devant nous à chaque instan
mble inconsciente. Elle reste sans mouvements quelques minutes et l'
attaque
reprend de nouveau, reproduisant imperturbablemen
es avec les mêmes caractères ; nouveau repos suivi d'une nou- velle
attaque
et ainsi de suite pendant tout le temps de la vis
t tout le temps de la visite. En partant nous la laissons en pleine
attaque
. Au cours d'une de ces attaques nous lui compri
n partant nous la laissons en pleine attaque. Au cours d'une de ces
attaques
nous lui comprimons l'ovaire droit et la négres
e qu'on nous dit dans le service durait depuis le petit jour. Cette
attaque
était très différente de la précédente. Il n'y
mmence de nouveau et ainsi pendant des heures pour terminer par une
attaque
de dyspnée où nous la trouvons encore le lendemai
, abattue, déprimée. L'in- terne du service nous dit qu'elle est en
attaque
permanente depuis la veille. L'attaque a été de
vice nous dit qu'elle est en attaque permanente depuis la veille. L'
attaque
a été des plus complexes et a présenté diverses p
es et s'achève brusquement en la quatrième et der- nière phase de l'
attaque
. Cette phase est constituée par un délire très pa
t exactement les mêmes dans les jours suivants, éclate une violente
attaque
de dyspnée qui force notre intervention. Après
uation, la disparition même des signes physiques, éclatent d'autres
attaques
de dyspnée dont la der- nière après sa seconde
apeutiques mis en oeuvre et les résultats obtenus. Dans'la première
attaque
trois ou quatre ventouses scarifiées font dispa
it la cause de la dyspnée) serait assurément grave. A la deuxième
attaque
nous lui extrayons 600 grammes de liquide et au
à cette miraculeuse amélioration. Il y a plus : à l'avant- dernière
attaque
nous lui avons fait appliquer une unique ventouse
lade est incontestablement hystérique. Qu'est-ce que .c'est que ces
attaques
précédées pendant un ou deux jours d'une période
dées pendant un ou deux jours d'une période de malancolie sinon des
attaques
d'hystérie ? Pourquoi pas d'épilepsie dira-t-on
out avec ce que nous avons .observé dans notre service. La première
attaque
dont nous avons été té- 470 J. SOCA moin, c'é
ère attaque dont nous avons été té- 470 J. SOCA moin, c'était une
attaque
d'hystérie. Le spasme laryngé, les grands mou-
t d'une manière plus ou moins fruste toutes les grandes phases de l'
attaque
d'hystéro-épilepsie conformément à l'admirable
sième crise se compose d'éléments divers. La première phase est une
attaque
d'hystéro-épilepsie absolument classique; la deux
e attaque d'hystéro-épilepsie absolument classique; la deuxième une
attaque
de vomissements dont la filiation hystérique se v
s dont la filiation hystérique se verra par suite, la troisième une
attaque
de dyspnée ; la quatrième une attaque de délire.
a par suite, la troisième une attaque de dyspnée ; la quatrième une
attaque
de délire. Ce délire est entièrement fait d'ill
li- que et se résout en sanglots n'est autre chose qu'un fragment d'
attaque
d'hystérie. C'est la troisième période et une p
ième période et une partie de la quatrième déta- chées de la grande
attaque
et la représentant à eux seuls, ainsi que cela
l'hémi-anesthésie). Les autres atta- ques ont toutes succédé à une
attaque
d'hystérie. Les symptômes physiques et fonction
s et, à la fin, avaient presque disparu. Tout à coup se déclare une
attaque
d'hystérie qui dure des heures et qui se termin
une attaque d'hystérie qui dure des heures et qui se termine en une
attaque
de dyspnée très spéciale, attaque qui apparaît
s heures et qui se termine en une attaque de dyspnée très spéciale,
attaque
qui apparaît ainsi comme la continuation, comme
inuation, comme la floraison d'une crise d'hystérie. A la troisième
attaque
les choses se sont passées d'une manière réelle-
YSTÉRIQUE SECONDAIRE 471 ment suggestive. Sa première phase est une
attaque
d'hystéro-épilepsie ; la seconde une crise de v
la seconde une crise de vomissements hystériques; la troisième une
attaque
de dyspnée, et la quatrième un accès de délire
t que nous considérons ici puisqu'il faut dire que dans la première
attaque
d'hystérie une dyspnée laryngée très intense a
on veut bien se rappeler que cette femme n'a jamais eu auparavant d'
attaque
de dyspnée en dépit des attaques sans nombre. S
te femme n'a jamais eu auparavant d'attaque de dyspnée en dépit des
attaques
sans nombre. SUR UN CAS DE TACHYPNÉE HYSTÉRIQUE
de son ancienne maladie pleuro-pulmonaire. Elle a bien eu quelques
attaques
de nerfs, mais jamais le moindre soup çon de dy
finalement celle-ci s'étendit jusqu'à la ligne axillaire. Dernière
attaque
en 1890. Depuis, formation entre temps, sans fati
t, d'après nature, une des phases les plus dramatiques de la grande
attaque
d'hystérie. Mais ce tableau de nuhens n'est pas s
re crise qui céda aux moyens ordinaires succéda, en février 1886. une
attaque
formidable : hallucinations continuelles, démons,
l'époque où les règles s'établirent, avaient tous les caractères des
attaques
hystériques. A onze ans, elle resta con-tracturée
ériques. A onze ans, elle resta con-tracturée à la suite d'une de ses
attaques
et fut conduite à la Salpetrière, où on put l'hyp
ans. les contractions se renouvelèrent fréquemment, à la suite de ses
attaques
, et l'obligèrent un assez grand nombre de fois à
se gage comme domestique ; mais elle ne peut conserver sa place. Ses
attaques
la prennent à tous moments ; un jour, elle tombe
et, devant l'insistance du chirurgien, elle est prise d'une violente
attaque
d'hystérie. C'est alors qu'elle passa dans mon
é générale satisfaisantes, bien qu'elle ait toujours eu de fréquentes
attaques
de nerfs, mais sans complications. — Devenue en
ue, nous avons pu, lorsque V... était sous l'influence de ses grandes
attaques
, les constater un grand nombre de fois. Nous ne
nerons pas la description des crises hystéro-épileptiques de V... ces
attaques
répondent la plupart du temps aux phases décrites
ses décrites par l'école de la Salpêtrière. Toutefois, chez V..., l'
attaque
épileptique. précédée par l' aura hallucinatoire
e la vipère, se produit souvent isolément, indépendamment des grandes
attaques
hystéro-épileptiques, et nous dirons, sans insist
tique et hystéro-épileptique dans le sens le plus large du mot. Ces
attaques
de grande hystérie durent chez V... pendant un te
t constituée non seulement par les phénomènes ordinaires de la grande
attaque
, mais encore pardes changements successifs de per
s de paralysie ou de contracture des divers membres pendant la grande
attaque
et en n-tant les paroles du malade que nous avons
ions, nous décrirons seulement l'état de V... dans une de ses grandes
attaques
, et cela de la façon la plus sommaire. Un soir,
s la série des convulsions toniques et cloniques commence. l-a grande
attaque
suit son cours ordinaire, mais vers neuf heures d
... à des manifestations que nous résumons, la période du délire de l'
attaque
nous permettant de noter, en même temps que l'end
et le ramène à la Rochelle. Un autre jour, à la suite d'une grande
attaque
, il reste paralysé des deux jambes, se trouve à B
ogène à l'abdomen, à gauche. La compression de cette zone détermine l'
attaque
, avec aura prémonitoire de la vipère. Mais cett
e hystérogène, de déterminer, lorsqu'elle est sensible, une ébauche d'
attaque
qu'on arrête aussitôt par la pression du testicul
des fois, depuis que nous les avons constatés, d'enrayer les grandes
attaques
de notre malade et de mettre fin à ses déroulemen
té se transformer sans crise ou modification nerveuse préalables. L'
attaque
est, chez notre sujet, comme la manifestation d'u
mmaires et iliaque gauches. Il s'est produit il y a quelques mois une
attaque
hystérique convulsive. Son mari a essayé sans rés
Le nomme l..., âge de 32 ans, hémianesthésique gauche, sujet à des
attaques
nerveuses hystériques, est plongé dans le sommeil
forts faits pour passer son baccalauréat, a été frappé d'une première
attaque
d'épilepsie, qui s'est répétée quinze jours après
tuméfaction des pieds, insensibilité du pouls, embarras de la parole,
attaques
syncopales, perte de connaissance, secousses conv
ns la connaissance des habitudes du malade, on aurait pu croire à une
attaque
d'alcoolisme aigu- Ses amis attribuaient tous
ais il n'y a eu de cas d'ivrognerie dans sa famille. Mère morte d'une
attaque
d'apoplexie. Frères et sœurs en bonne santé, une
ion d'avoir une résidence autre que le domicile conjugal. A celle
attaque
le mari répond en produisant, quelque jours après
l'idée que par la suggestion hypno-tique on parvient ù supprimer les
attaques
hystéro-épileptiques et les vomissements. Notre j
o-épileptiques et les vomissements. Notre jeune malade; qui avait des
attaques
et des vomissements quotidiens, est restée six mo
frayeur. L'impression pénible causée par le spectacl einopiné d'une
attaque
suffit à en provoquer les spasmes chez les sujets
alades, dont l'un, âgé de 33 ans, était « manifestement hystérique » (
attaques
convulsives, mouvements désordonnés, perversion d
sthésie cutanée, hémiplégie), et l'autre, âgé de 25 ans, sujet a vies
attaques
d'épilepsie, était atteint, en outre, au dire de
lition presque complète du goût. de l'ouïe et de l'odorat, de petites
attaques
convulsives accompagnées d'une sensation d'étouff
ssement du champ visuel, des plus nettement caractérisés, ainsi que d'
attaques
représentées par une sensation douloureuse dans l
psie douteuse et qui peut être reconnue sans constatation directe des
attaques
convulsives. » De date récente, ces constatatio
ans, de phtisie du larynx, était atteinte déjà de somnambulisme et d'
attaques
de sommeil analogues à celles qu'a présentées not
urs et deux nuits sans qu'on parvînt à l'éveiller. Ce fut sa première
attaque
de sommeil Elle rentra à Genève et, dès lors, l
première attaque de sommeil Elle rentra à Genève et, dès lors, les
attaques
se répétèrent. Bientôt on s'aperçut que la malade
, le plus long intervalle pendant lequel Mlle X... resta sans avoir d'
attaque
fut de quinze jours. En général, les attaques de
X... resta sans avoir d'attaque fut de quinze jours. En général, les
attaques
de sommeil et le réveil dans « l'état second » se
é magnétisée par personne, ni à Vienne, ni à Genève. Cependant, les
attaques
de sommeil étaient toujours plus fréquentes. Elle
oi avec son fiancé. Elle est de nouveau dans l'état second depuis une
attaque
de sommeil qui l'avait surprise la veille, au mom
se sent beaucoup mieux. Dès ce moment, Mlle X... n'eut plus aucune
attaque
de sommeil, et aujourd'hui elle se porte tout à f
niques ou aiguës suscitées par la réverbération des neiges, outre les
attaques
d'aploplexie que favorise la congestion habituell
nces vraiment personnelles. Auguste Nicot. REVUE DE LA PRESSE L'
attaque
de sommeil hystérique. Leçon de M. le professeur
. Or l'apoplexie hystérique n'est, a mon avis, rien autre chose que l'
attaque
de sommeil. Vous savez que les journaux angla
ville et Regnard. Il ne s'agissait, en somme, que d'une variante de l'
attaque
de sommeil. Ce n'est pas d'ailleurs seulement d
Ce n'est pas d'ailleurs seulement de l'autre côté du détroit que ces
attaques
de sommeil attirent l'attention du public; et, ma
du sujet, je vous dirai que le phénomène auquel vous assistez est une
attaque
de sommeil.— C'est le nom qu'il faut lui donner,
attaque de sommeil.— C'est le nom qu'il faut lui donner, — C'est une
attaque
hystéro-épilep-tique qui appartient a la catégori
us décrire. Voilà que cette malade est tombée, et au lieu d'avoir des
attaques
spasmodiques, de faire des salutations, de se ren
Le sommeil hystérique, donc, c'est en quelque sorte l'équivalent de l'
attaque
convulsive. En général, voici comment les chose
, voici comment les choses se passent : tantôt la malade a une petite
attaque
convulsive avant le sommeil ou dans les premiers
et souvent esquisser, pendant la durée du phénomène, qui n'est qu'une
attaque
avortée, quelques-uns des mouvements spasmodiques
qu'une attaque avortée, quelques-uns des mouvements spasmodiques de l'
attaque
véritable, complète. Enfin, dans d'autres circons
oses dont nous avons souvent éic témoins dans la troisième phase de l'
attaque
hystéro-épileptique chez les femmes. C'est donc
se de l'attaque hystéro-épileptique chez les femmes. C'est donc une
attaque
qui, au lieu de se répéter pendant quelques heure
açon. Vous avez vu cette dormeus(1) vous comprenez maintenant que l'
attaque
de sommeil est une forme de l'attaque d'hystérie,
vous comprenez maintenant que l'attaque de sommeil est une forme de l'
attaque
d'hystérie, quoique assez rare. Comment vous comp
pée. Cette femme est, du reste, une hystérique avérée : elle a eu des
attaques
et elle présente du rétrécissement du champ visue
d'après les symptômes accusés par le volé, qu'il a dû tomber dans une
attaque
d'épilepsie. Sesdeux compagnons de voyage étaie
e pour le dévaliser. Les sensations éprouvées par le malade avant l'
attaque
se rattachent très facilement 1 l'aura épileptiqu
s hallucinations de la vue. Plus fréquemment, le point de départ de l'
attaque
est dans le membre supérieur. Beaucoup éprouvent
e pression, de constriction autour du poignet. Après ces prodromes, l'
attaque
elle-même survient, caractérisée par une perte de
un lourd sommeil, sans aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant l'
attaque
. Ce qui est le plus fait pour étonner, c'est le c
ement du spectacle repoussant que présente un individu en proie à une
attaque
d'épilepsie, ont eu assez de sang-froid pour lui
nable. A l'âge de 15 ans, à la suite d'un violent orage, elle eut une
attaque
d'hystérie. Depuis i5 ans jusqu'à 22, les attaque
orage, elle eut une attaque d'hystérie. Depuis i5 ans jusqu'à 22, les
attaques
se renouvelèrent huit eu dix fois, et toujours à
ujours à la suite d'une vive contrariété. Depuis l'âge de 22 ans, les
attaques
ont complètement disparu. L'état puerpéral pour
celui d'une hystérique qui, pendant la période som-nambulique de son
attaque
, m'ayant entendu dire à son entourage que cet éta
sive, beaucoup moins que celle du trouble intellectuel consécuti: A l'
attaque
, conférait à celle-ci son cachet. De notre côté,
d il est ivre. Ces scènes ont provoqué chez elle, depuis six ans, des
attaques
de nerfs. La dernière a eu lieu dans le milieu de
s classes laborieuses on rencontre une femme atteinte d'hystérie avec
attaques
sur cinq; une femme atteinte d'hystérie sans atta
d'hystérie avec attaques sur cinq; une femme atteinte d'hystérie sans
attaques
sur sept; une femme très impressionnable sur quat
très occupés, j'ai trouvé qu'on rencontre au plus une femme ayant des
attaques
hystériques sur sept, au lieu d'une sur cinq. Il
est très probable que le nombre des femmes atteintes d'hystérie sans
attaques
est proportionnel à celui-là ; de sorte que. bien
et la mère sont des personnes très nerveuses ; la mère a même eu une
attaque
d'hystérie franche à la suite d'une contrariété.
tion assistait une jeune fille bien portante, qui n'avait jamais eu d'
attaques
de nerfs. Sous la seule influence du spectacle au
le auquel elle assistait, cette personne a été prise de la plus forte
attaque
d'hystérie que j'aie jamais vue. Si elle n'avait
jamais assisté à cette séance, elle n'aurait probablement jamais eu d'
attaque
hystérique, car, jusque-là, elle n'en avait jamai
que sorte, succombé à la peine: quelques-uns avaient eu leur première
attaque
au moment où ils venaient d'être maltraités plus
es (session de Toulouse), 138, 191. — (session d'Oran )., 338, 364.
Attaque
de sommeil hystérique (l'), par Charcot, 27. Au
re crise qui céda aux moyens ordinaires succéda, en février 1886. une
attaque
formidable : hallucinations continuelles, démons,
l'époque où les règles s'établirent, avaient tous les caractères des
attaques
hystériques. A onze ans, elle resta con-tracturée
ériques. A onze ans, elle resta con-tracturée à la suite d'une de ses
attaques
et fut conduite à la Salpetrière, où on put l'hyp
ans. les contractions se renouvelèrent fréquemment, à la suite de ses
attaques
, et l'obligèrent un assez grand nombre de fois à
se gage comme domestique ; mais elle ne peut conserver sa place. Ses
attaques
la prennent à tous moments ; un jour, elle tombe
et, devant l'insistance du chirurgien, elle est prise d'une violente
attaque
d'hystérie. C'est alors qu'elle passa dans mon
é générale satisfaisantes, bien qu'elle ait toujours eu de fréquentes
attaques
de nerfs, mais sans complications. — Devenue en
ue, nous avons pu, lorsque V... était sous l'influence de ses grandes
attaques
, les constater un grand nombre de fois. Nous ne
nerons pas la description des crises hystéro-épileptiques de V... ces
attaques
répondent la plupart du temps aux phases décrites
ses décrites par l'école de la Salpêtrière. Toutefois, chez V..., l'
attaque
épileptique. précédée par l' aura hallucinatoire
e la vipère, se produit souvent isolément, indépendamment des grandes
attaques
hystéro-épileptiques, et nous dirons, sans insist
tique et hystéro-épileptique dans le sens le plus large du mot. Ces
attaques
de grande hystérie durent chez V... pendant un te
t constituée non seulement par les phénomènes ordinaires de la grande
attaque
, mais encore pardes changements successifs de per
s de paralysie ou de contracture des divers membres pendant la grande
attaque
et en n-tant les paroles du malade que nous avons
ions, nous décrirons seulement l'état de V... dans une de ses grandes
attaques
, et cela de la façon la plus sommaire. Un soir,
s la série des convulsions toniques et cloniques commence. l-a grande
attaque
suit son cours ordinaire, mais vers neuf heures d
... à des manifestations que nous résumons, la période du délire de l'
attaque
nous permettant de noter, en même temps que l'end
et le ramène à la Rochelle. Un autre jour, à la suite d'une grande
attaque
, il reste paralysé des deux jambes, se trouve à B
ogène à l'abdomen, à gauche. La compression de cette zone détermine l'
attaque
, avec aura prémonitoire de la vipère. Mais cett
e hystérogène, de déterminer, lorsqu'elle est sensible, une ébauche d'
attaque
qu'on arrête aussitôt par la pression du testicul
des fois, depuis que nous les avons constatés, d'enrayer les grandes
attaques
de notre malade et de mettre fin à ses déroulemen
té se transformer sans crise ou modification nerveuse préalables. L'
attaque
est, chez notre sujet, comme la manifestation d'u
mmaires et iliaque gauches. Il s'est produit il y a quelques mois une
attaque
hystérique convulsive. Son mari a essayé sans rés
Le nomme l..., âge de 32 ans, hémianesthésique gauche, sujet à des
attaques
nerveuses hystériques, est plongé dans le sommeil
forts faits pour passer son baccalauréat, a été frappé d'une première
attaque
d'épilepsie, qui s'est répétée quinze jours après
tuméfaction des pieds, insensibilité du pouls, embarras de la parole,
attaques
syncopales, perte de connaissance, secousses conv
ns la connaissance des habitudes du malade, on aurait pu croire à une
attaque
d'alcoolisme aigu- Ses amis attribuaient tous
ais il n'y a eu de cas d'ivrognerie dans sa famille. Mère morte d'une
attaque
d'apoplexie. Frères et sœurs en bonne santé, une
ion d'avoir une résidence autre que le domicile conjugal. A celle
attaque
le mari répond en produisant, quelque jours après
l'idée que par la suggestion hypno-tique on parvient ù supprimer les
attaques
hystéro-épileptiques et les vomissements. Notre j
o-épileptiques et les vomissements. Notre jeune malade; qui avait des
attaques
et des vomissements quotidiens, est restée six mo
frayeur. L'impression pénible causée par le spectacl einopiné d'une
attaque
suffit à en provoquer les spasmes chez les sujets
alades, dont l'un, âgé de 33 ans, était « manifestement hystérique » (
attaques
convulsives, mouvements désordonnés, perversion d
sthésie cutanée, hémiplégie), et l'autre, âgé de 25 ans, sujet a vies
attaques
d'épilepsie, était atteint, en outre, au dire de
lition presque complète du goût. de l'ouïe et de l'odorat, de petites
attaques
convulsives accompagnées d'une sensation d'étouff
ssement du champ visuel, des plus nettement caractérisés, ainsi que d'
attaques
représentées par une sensation douloureuse dans l
psie douteuse et qui peut être reconnue sans constatation directe des
attaques
convulsives. » De date récente, ces constatatio
ans, de phtisie du larynx, était atteinte déjà de somnambulisme et d'
attaques
de sommeil analogues à celles qu'a présentées not
urs et deux nuits sans qu'on parvînt à l'éveiller. Ce fut sa première
attaque
de sommeil Elle rentra à Genève et, dès lors, l
première attaque de sommeil Elle rentra à Genève et, dès lors, les
attaques
se répétèrent. Bientôt on s'aperçut que la malade
, le plus long intervalle pendant lequel Mlle X... resta sans avoir d'
attaque
fut de quinze jours. En général, les attaques de
X... resta sans avoir d'attaque fut de quinze jours. En général, les
attaques
de sommeil et le réveil dans « l'état second » se
é magnétisée par personne, ni à Vienne, ni à Genève. Cependant, les
attaques
de sommeil étaient toujours plus fréquentes. Elle
oi avec son fiancé. Elle est de nouveau dans l'état second depuis une
attaque
de sommeil qui l'avait surprise la veille, au mom
se sent beaucoup mieux. Dès ce moment, Mlle X... n'eut plus aucune
attaque
de sommeil, et aujourd'hui elle se porte tout à f
niques ou aiguës suscitées par la réverbération des neiges, outre les
attaques
d'aploplexie que favorise la congestion habituell
nces vraiment personnelles. Auguste Nicot. REVUE DE LA PRESSE L'
attaque
de sommeil hystérique. Leçon de M. le professeur
. Or l'apoplexie hystérique n'est, a mon avis, rien autre chose que l'
attaque
de sommeil. Vous savez que les journaux angla
ville et Regnard. Il ne s'agissait, en somme, que d'une variante de l'
attaque
de sommeil. Ce n'est pas d'ailleurs seulement d
Ce n'est pas d'ailleurs seulement de l'autre côté du détroit que ces
attaques
de sommeil attirent l'attention du public; et, ma
du sujet, je vous dirai que le phénomène auquel vous assistez est une
attaque
de sommeil.— C'est le nom qu'il faut lui donner,
attaque de sommeil.— C'est le nom qu'il faut lui donner, — C'est une
attaque
hystéro-épilep-tique qui appartient a la catégori
us décrire. Voilà que cette malade est tombée, et au lieu d'avoir des
attaques
spasmodiques, de faire des salutations, de se ren
Le sommeil hystérique, donc, c'est en quelque sorte l'équivalent de l'
attaque
convulsive. En général, voici comment les chose
, voici comment les choses se passent : tantôt la malade a une petite
attaque
convulsive avant le sommeil ou dans les premiers
et souvent esquisser, pendant la durée du phénomène, qui n'est qu'une
attaque
avortée, quelques-uns des mouvements spasmodiques
qu'une attaque avortée, quelques-uns des mouvements spasmodiques de l'
attaque
véritable, complète. Enfin, dans d'autres circons
oses dont nous avons souvent éic témoins dans la troisième phase de l'
attaque
hystéro-épileptique chez les femmes. C'est donc
se de l'attaque hystéro-épileptique chez les femmes. C'est donc une
attaque
qui, au lieu de se répéter pendant quelques heure
açon. Vous avez vu cette dormeus(1) vous comprenez maintenant que l'
attaque
de sommeil est une forme de l'attaque d'hystérie,
vous comprenez maintenant que l'attaque de sommeil est une forme de l'
attaque
d'hystérie, quoique assez rare. Comment vous comp
pée. Cette femme est, du reste, une hystérique avérée : elle a eu des
attaques
et elle présente du rétrécissement du champ visue
d'après les symptômes accusés par le volé, qu'il a dû tomber dans une
attaque
d'épilepsie. Sesdeux compagnons de voyage étaie
e pour le dévaliser. Les sensations éprouvées par le malade avant l'
attaque
se rattachent très facilement 1 l'aura épileptiqu
s hallucinations de la vue. Plus fréquemment, le point de départ de l'
attaque
est dans le membre supérieur. Beaucoup éprouvent
e pression, de constriction autour du poignet. Après ces prodromes, l'
attaque
elle-même survient, caractérisée par une perte de
un lourd sommeil, sans aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant l'
attaque
. Ce qui est le plus fait pour étonner, c'est le c
ement du spectacle repoussant que présente un individu en proie à une
attaque
d'épilepsie, ont eu assez de sang-froid pour lui
nable. A l'âge de 15 ans, à la suite d'un violent orage, elle eut une
attaque
d'hystérie. Depuis i5 ans jusqu'à 22, les attaque
orage, elle eut une attaque d'hystérie. Depuis i5 ans jusqu'à 22, les
attaques
se renouvelèrent huit eu dix fois, et toujours à
ujours à la suite d'une vive contrariété. Depuis l'âge de 22 ans, les
attaques
ont complètement disparu. L'état puerpéral pour
celui d'une hystérique qui, pendant la période som-nambulique de son
attaque
, m'ayant entendu dire à son entourage que cet éta
sive, beaucoup moins que celle du trouble intellectuel consécuti: A l'
attaque
, conférait à celle-ci son cachet. De notre côté,
d il est ivre. Ces scènes ont provoqué chez elle, depuis six ans, des
attaques
de nerfs. La dernière a eu lieu dans le milieu de
s classes laborieuses on rencontre une femme atteinte d'hystérie avec
attaques
sur cinq; une femme atteinte d'hystérie sans atta
d'hystérie avec attaques sur cinq; une femme atteinte d'hystérie sans
attaques
sur sept; une femme très impressionnable sur quat
très occupés, j'ai trouvé qu'on rencontre au plus une femme ayant des
attaques
hystériques sur sept, au lieu d'une sur cinq. Il
est très probable que le nombre des femmes atteintes d'hystérie sans
attaques
est proportionnel à celui-là ; de sorte que. bien
et la mère sont des personnes très nerveuses ; la mère a même eu une
attaque
d'hystérie franche à la suite d'une contrariété.
tion assistait une jeune fille bien portante, qui n'avait jamais eu d'
attaques
de nerfs. Sous la seule influence du spectacle au
le auquel elle assistait, cette personne a été prise de la plus forte
attaque
d'hystérie que j'aie jamais vue. Si elle n'avait
jamais assisté à cette séance, elle n'aurait probablement jamais eu d'
attaque
hystérique, car, jusque-là, elle n'en avait jamai
que sorte, succombé à la peine: quelques-uns avaient eu leur première
attaque
au moment où ils venaient d'être maltraités plus
es (session de Toulouse), 138, 191. — (session d'Oran )., 338, 364.
Attaque
de sommeil hystérique (l'), par Charcot, 27. Au
ive. La photo- graphie d'un paralysé agitant ou d'une hystérique en
attaques
n'en dit-elle pas plus long à l'esprit qu'une d
s et enfin déterminerait rapidement, si on insistait, une véritable
attaque
d'hystérie. Aussi le malade ne peut-il rester d
es pour de la rétention d'urine et présentant de temps-en temps des
attaques
convulsives. Vers le milieu d'octobre l'apparei
ue le malade pour son entrée dans la névrose ait été frappé d'une
attaque
d'apoplexie hystérique et en soit 12 NOUVELLE I
le nom de ses amis qu'en l'écrivant. Presque immédiatement après l'
attaque
apparaissent des phénomènes très intéressants d
ement en ce dernier endroit. Pendant la première semaine qui suit l'
attaque
, la contracture reste com- plète ; pendant la d
motilitéen augmentant. Durant les quarante-trois jours qui suivent l'
attaque
les douleurs de la mâchoire et surtout des cuis
r, les piqûres faites de ce côté par le médecin. Trois mois après l'
attaque
il pouvait marcher assez bien en s'appuyant sur u
r ». Le bras et la jambe droits sont raides, comme dans la première
attaque
; la langue déviée à droite au même degré est pr
pied tourné en dedans; la langue aussi déviée à droite que dans les
attaques
précédentes est projetée hors de la bouche. La
se débat au point qu'on est obligé de le lier sur son lit. Après l'
attaque
légère contracture du côté droit pendant une he
ents, des sortes de crises de nerfs. Elle raconte ainsi sa première
attaque
: elle sentait, dit-elle, quelque chose lui par
uire aux membres supérieurs la contracture artificielle : enfin les
attaques
avaient complètement cessé. On pouvait donc e
ois frères et une soeur tous plus âgés qu'elle. Le frère aîné a des
attaques
de goutte, le plus jeune a une coxalgie gauche
l est en même temps très ner- veux sans cependant avoir jamais eu d'
attaques
. Un troisième frère est aussi très nerveux. La
vec les jambes enflées; elle est très nerveuse mais n'a jamais eu d'
attaques
. Antécédents personnels. - Dès l'âge de quatre
nt ; il en reste encore des traces. C'est vers cette époque que les
attaques
, ébauchées pour ainsi dire jusque-là aupara- va
ydenham pendant quatre mois, au bout desquels survient une nouvelle
attaque
, après quoi la danse de Saint- Guy disparaît. L
nouvelle attaque, après quoi la danse de Saint- Guy disparaît. Les
attaques
durent depuis quelque temps et se suspendent pe
ou ayant reparu, elle dut s'aliter pendant plusieurs semaines : les
attaques
ces- sèrent pendant ce nouveau séjour au lit. P
rche est pénible, claudicante, la jambe à demi contrac- turée : les
attaques
reviennent plusieurs fois par jour. Depuis cett
ambe toujours raide, se recouche et ainsi de suite, avec de grandes
attaques
quotidiennes. Dans le courant de l'année derniè
tracturés pendant trois mois. La contracture a disparu lors d'une
attaque
. Depuis le mois de juillet der- nier la contrac
douleurs très vives; il semble qu'en insistant on provoquerait des
attaques
. La rigidité est égale, au pied, au genou, à la
iste un point ovarique gauche douloureux mais non hysté- rique. Les
attaques
ont lieu tous les jours et même assez souvent plu
e la jambe contracturée n'a pu être fait à cause de l'imminence des
attaques
produites par l'exploration ; on a seulement cons
se, impressionnable; elle a eu, vers l'âge de trente ans, plusieurs
attaques
convulsives qui paraissent être de nature hystéri
sez fréquemment, une ou deux fois par semaine. Jamais elle n'a eu d'
attaques
convulsives ressemblant à des accès d'épilepsie
rt de douleurs rhumatoïdes, sans cependant avoir subi une véritable
attaque
de rhumatisme. Mais le fait le plus saillant es
et souvent plusieurs jours, ou même plusieurs semaines après une
attaque
, c'est-à-dire qu'on peut les considérer comme la
'elles s'exagèrent à la Fig. 33. Respiration une demi-heure après l'
attaque
de D..., dont la respiration normale est représ
doux, facile à vivre. A aucune époque il n'a eu de convulsions ni d'
attaques
de nerfs. État actuel (août 1887). Taille au-de
a ville voisine, tomba tout d'un coup à la renverse et mourut d'une
attaque
d'apoplexie. En ouvrant la tête, on trouva, qu'in
e jusqu'à l'âge de quatre ans et demi, elle a eu à celte époque une
attaque
de paralysie du côté gauche; deux ans plus tard,
paralysie du côté gauche; deux ans plus tard, elle eut une seconde
attaque
à la suite de laquelle elle a conservé une gran
e tous spasmodique ( ? ). C'est à treize ans qu'il a eu sa première
attaque
d'épilepsie. Depuis, elles se sont renouvelées
ain. Ces secousses, d'ailleurs, se produisent souvent en dehors des
attaques
, et principalement le matin. Elles pré- dominen
. En résumé, phé- nomènes les plus légitimes d'une série de petites
attaques
d'hystérie qui ne durent pas en moyenne plus d'
ce, peut se lever et reprendre ses occu- pations habituelles. Ces
attaques
qui, il leur début, revenaient tous les trois ou
travaux Cet observateur a remarqué que, quelques secondes avant l'
attaque
, le pouls devient plus rapide, les courbes sphy
ulement plus courtes, mais moins élevées et plus arrondies. Après l'
attaque
, on voit les ondulations prendre une forme curvil
nte-deux ans, a eu ses premiers accidents en 1880. A la suite d'une
attaque
d'hystérie pendant laquelle elle tombe sans con
dant elle souffre d'une migraine depuis près de vingt ans, dont les
attaques
se manifestent une fois par mois. Elle n'a jamais
rme de spasme. Dans l'épilepsie on le voit quelquefois précéder les
attaques
ou les vertiges ; mais il est assez rare de le
corps. A partir de ce moment, il s'est développé difficilement; ses
attaques
se renouvelaient plusieurs fois par mois, mais
il avait toujours des mouvements athétosiques qui ont persisté. Ses
attaques
sont devenues moins fréquentes dans ces dernièr
vingt-trois ans, est fils d'une mère névropathe, ayant eu plusieurs
attaques
d'hystérie convulsive '. Il a plusieurs frères et
bien. Mais un jour, en se promenant, il fut pris d'une défaillance (
attaque
? ) et on dut le ramener chez lui. Le lendema
re; les extrémités osseuses sont indemnes. , Le rhumatisme noueux n'
attaque
que les petites articulations, qui sont doulour
res qu'ils ont conservés jusqu'aujourd'hui, mais, à cette époque, les
attaques
étaient plus fréquentes, survenant cinq à six f
jours à s'employer, bien des gens refusant de l'occuper à cause des
attaques
épileptiques qu'il présentait. En novembre 1887
es diverses cicatrices il des plaies contuses produites pendant ses
attaques
. Enfin, à la fesse droite, existe une cicatrice
is des deux côtés. Enfin l'accident le plus grave consiste dans les
attaques
épileptiformes que nous allons décrire. Ces att
siste dans les attaques épileptiformes que nous allons décrire. Ces
attaques
, nous l'avons vu, se présentèrent pour la premi
t à peine si le malade en présente une par vingt-quatre heures. Ces
attaques
, pendant lesquelles la perte de connaissance es
lui a donné peu de détails sur ce qui se produisait au cour de ces
attaques
; s'il est debout, il tombe toujours en arrière.
eut ensuite aucun souvenir. Il présentait enfin, très souvent, des
attaques
semblables pendant la nuit, ses camarades lui o
ent normalement. Le lendemain de son entrée à l'hôpital, il eut une
attaque
dont les circon- stances nous furent rapportées
Pas de maladie jusqu'à l'âge de quinze ans. A cette époque première
attaque
de rhumatisme ( ? ). Un an après, la malade a eu
, et la malade put de nouveau marcher. A trente-trois ans, deuxième
attaque
de rhumatisme, qui dura environ six mois ; la m
ail particulièrement émotive; mais elle affirme n'avoir jamais eu d'
attaques
de nerfs. Les grands parents maternels sont viv
ssé. Elle est retombée malade, dit-elle, au mois d'août après une
attaque
de grippe et est restée dans un état d'engourdiss
teur apporte deux observations, l'une d'un épileptique chez qui les
attaques
étaient suivies de paialysie transitoire etqui ép
vants : loniques, massage, électro et hydrothérapie. R. C. XXI. L'
attaque
d'oputalmoplégie migraineuse; par M. L. d'Astros
t qui relèvent de lésions organiques diverses. La pathogénie de l'
attaque
d'ophlalmoplégie est, d'après M. d'As- tros, vr
a cérébrale postérieure) qu'il faut chercher le point de départ des
attaques
ophtalmoplégiques; celles-ci seraient dues il l
SE. vérifiées; mais la théorie qui reconnaît aux migraines et aux
attaques
ophtalmoplégiques une origine vasculaire parait à
jusqu'ici; six succès éclatants viennent encore d'être obtenus; les
attaques
ont disparu jusqu'à présent depuis depuis deux
e l'opium, étaient demeurées impuissantes, arrivent à suspendre les
attaques
du fait de l'introduction de l'opium. Il faut e
t pour reparaître à l'occasion de veaux excès. La répétition de ces
attaques
peut amener le sujet à l'épilepsie définitive,
ie générale, les ramollisse- ments cérébraux suivis de démence, les
attaques
d'apoplexie. Cette hérédité ainsi comprise peut
mbreuses encore montrent que la cérébralité, née d'une hérédité par
attaques
, peut être une cause de paralysie générale. L'é
érale sénile et que les paralysies générales nées de l'hérédité par
attaques
ont les allures de la paralysie générale ordina
u la prédominance de certains symptômes, tels que l'agitation,' les
attaques
apoplecti- formes et épileptiformes, les auto-i
Observation I. Femme de quarante-six ans. Céphalalgies opiniâtres.
Attaques
d'épilepsie corticale. Hémiparésie gauche. Ambl
'accidents parétiques du facial, du hras et de la jambe gauche, les
attaques
épileptiformes (épilepsiejacksonienne). Il y a
Suisse romande, 1896, n° 2.) - Des prodromes annoncent souvent l'
attaque
d'épilepsie; ils sont moins fréquents avant la
ais ne dure que quelques secondes; elle est plus rare au début de l'
attaque
d'hystérie et quand elle existe dure plus longt
ue toujours lentement et le malade ne se rappelle rien au réveil; l'
attaque
hystérique se termine brusquement dans la plupa
pé chez un héréditaire névropathique et vésanique, à la suite d'une
attaque
violente d'influenza et causée par l'action tox
rfois entre le myxoedème et le goitre exophtalmique (tremblement et
attaque
de dyspnée), pas plus que l'exophtalmie unilaté
se rétablir, et un cas de Gros et Lancereaux, caractérisé par deux
attaques
succes- sives, aggravation continue, mort. P. K
morrhagique dans le cours de l'in- fluenza. Au cinquième jour d'une
attaque
d'influenza, délire, sopor, convulsions tonique
apeutica, 1\° 3. 1898.) Un homme de cinquante-sept ans présente une
attaque
d'apo- plexie suivie d'hémiplégie droite saus p
n môme temps que sa densité montait, ce qui permettait de prévoir l'
attaque
; les mêmes phénomènes annonçaient aussi les tr
ussi les troubles psychiques, courts du reste, qui remplaçaient les
attaques
. Dans la médication opiobromurée, chez plusieur
dix-huit ans et un fils âgé de vingt ans, qui étaient sujets à des
attaques
d'épilepsie. Hier soir, la mère étant malade da
tent sa vie en danger. Le fils Lu qui était tombé dans une nouvelle
attaque
de son mal pendant que sa mère et sa saur brûla
époques différentes chez la même malade, c'est-à-dire au moment des
attaques
en série, et au moment des espaces intercalaire
mot série, différemment compris par les auteurs. Nous entendons par
attaques
en série, non seulement les accès séparés les u
mme dans nos précédentes recherches chez les malades présentant des
attaques
en série, nous avons constaté que le maximum d'
u même la Il 00, comme chez l'une de nos malades, qui a présenté 25
attaques
ou vertiges pendant le temps de l'élimination.
ons fait, à la vérité, l'injection de bleu pen- dant la période des
attaques
, mais au moment où la série allait prendre fin
nous avons pu nous en rendre compte en consultant le tableau des
attaques
dressé dans le service. ' J. Voisin et Hauser.
t ans, nous avons pratiqué une injection le 27 mai à la suite d'une
attaque
, et il n'existait plus trace de bleu à la 43° h
ure; mais nous constatons d'autre part que la malade qui a eu trois
attaques
le 23, trois le 24 et une le 25, est restée ind
chez la malade un état saburral très prononcé, indice d'une série d'
attaques
qui commen- cèrent vers la 80° heure. Du rest
t ans, moyenne des accès par mois, 7), injection faite à la fin d’une
attaque
sérielle le 25 mai. N° 3. Déc…, dix-sept ans. I
Déc…, dix-sept ans. Injection de 0 gr. 10 le 25 mai à la suite d’une
attaque
. L’élimination tombe à 0° à la 9e et à la 31e h
QUE N°5. Va…, vingt-cinq ans. Injection le 20 juin à la suite d’une
attaque
. ELIMINATION DU BLEU DE METHYLENE 197 N° 5.
5. Va… (vingt-cinq ans, moyenne des accès par mois, 18 ; suite d’une
attaque
isolée). N° 6. Re… Injection le 24 juin, le len
attaque isolée). N° 6. Re… Injection le 24 juin, le lendemain d’une
attaque
. L’élimination tombe à 0 entre la 23 et la 29e
98 CHIMIE PHYSIOLOGIQUE N° 7. Ba… Injection de 0 gr. 10 le 21 juin.
Attaques
en série. ELIMINATION DU BLEU DE METHYLENE 19
HYLENE 199 N° 8. Co…, trente ans. Injection de 0 gr. 10 le 15 juin.
Attaques
en série. 200 CHIMIE PHYSIOLOGIQUE. raître
(trente-deux ans, moyenne des accès par mois, 7) le lendemain d'une
attaque
. L'élimination tombe à 0 à la 32° heure pour re
N" 7. Bar... (quarante-trois ans, moyenne des accès par mois. 8),
attaques
en série. Pas trace de bleu à la 29° heure, tan
bleu est encore très apparent. ' 1\° 8. Go... (30 ans, moyenne des
attaques
par mois, 3), attaques en série. Col. vert fo
pparent. ' 1\° 8. Go... (30 ans, moyenne des attaques par mois, 3),
attaques
en série. Col. vert foncé à la 3° et 4° heure
de Prengrueber,'à la suite d'une ovariotomie, est prise de grandes
attaques
d'hystérie. Dans la remarquable communication d
première a trait à une malade ayant eu avant l'opération plusieurs
attaques
d'hys- térie, que celle qui nous est personnell
règle absolue, et par opposition à celle hé- miplégie progressive à
attaques
successives relevant de foyers de ramollissemen
tomatique de la démence organique et se manifester à la suite d'une
attaque
de ramollissement cérébral. En résumé, dans les
on- fusion mentale, de la sensiblerie, etc. A l'asile, elle eut des
attaques
d'hystérie, et aujourd'hui elle présente tous l
ndon de Montyel, Sérieux, Toulouse, Le Filliâtre conti- nuent leurs
attaques
contre l'organisation actuelle des asiles, dema
son travail, et se jeta sur sa femme. Celle-ci, s'attendant à cette
attaque
, put esquiver le coup. Mais, comme elle se préc
ceux des membres inférieurs et du visage auraient pu échapper à ses
attaques
dans un cas de vraie lèpre anesthésique. En com
1898.) L'auteur signale une observation de courtes et fréquentes
attaques
de parésie et montre l'intérêt que présentait leu
Garçon jeune, robuste, sans aucune tare héréditaire ou personnelle
Attaques
complètes épileptiques, à forme dite essentielle,
brusquement, avec accentuation des mouvements convulsifs à gauche,
attaques
se manifestant peu à peu en séries subsistantes
céphalée générale persistante. Mort au cours d'une de ces séries d'
attaques
. A l'autopsie on découvre une tumeur sarcomateu
non syphilitique, ni hystérique, ni héré- ditaire, ayant ce genre d'
attaques
à toute heure du jour, sans con- vulsions, sans
générale sont les ophtalmoplégies, en particulier le ptosis, et les
attaques
paraly- tiques ou aphasiques. L'importance de
pitations et d'angoisse aiguë, qui ne sont que la reproduction de l'
attaque
initiale, par hypermnésie émotive. L'histoire d
Nous connaissons tous la simili- tude complète qu'il y a entre les
attaques
épileptiformes (si fré- quentes dans la paralys
urs jours seule- ment ; née sans cause appréciable à la suite d'une
attaque
, elle disparait de même, enlevée par l'attaque
ble à la suite d'une attaque, elle disparait de même, enlevée par l'
attaque
suivante ou dans l'inter- valle de deux attaque
même, enlevée par l'attaque suivante ou dans l'inter- valle de deux
attaques
, pour se reproduire aux suivantes, sur les même
confusion d'idées où surnagent celles de grandeurs. Fin septembre,
attaque
d'épilep- sie suivie d'accès d'agitation. Les a
in septembre, attaque d'épilep- sie suivie d'accès d'agitation. Les
attaques
se renouvellent ensuite fréquemment et sont pré
ou six jours. C'est ainsi que nous constatons : 1884, octobre; 5
attaques
; novembre, 8 attaques. 1885. Attaques : janvie
nsi que nous constatons : 1884, octobre; 5 attaques ; novembre, 8
attaques
. 1885. Attaques : janvier, 3 le 15; mai, 3 le 2
statons : 1884, octobre; 5 attaques ; novembre, 8 attaques. 1885.
Attaques
: janvier, 3 le 15; mai, 3 le 22 ; juillet, 3 le
1 le 13 ; novembre, 2 le 15 et 1 le 16; 1 en décembre. 1887 : 12
attaques
; 1888 : 14 attaques; 1889 : 22 attaques; 1890 :
2 le 15 et 1 le 16; 1 en décembre. 1887 : 12 attaques; 1888 : 14
attaques
; 1889 : 22 attaques; 1890 : 25 attaques ; 1891
6; 1 en décembre. 1887 : 12 attaques; 1888 : 14 attaques; 1889 : 22
attaques
; 1890 : 25 attaques ; 1891 : janvier à septembr
87 : 12 attaques; 1888 : 14 attaques; 1889 : 22 attaques; 1890 : 25
attaques
; 1891 : janvier à septembre, 30 attaques. Tout
: 22 attaques; 1890 : 25 attaques ; 1891 : janvier à septembre, 30
attaques
. Toutes sont violentes, avec écume à la bouche
rs fin décembre apparaissent des crises d'épilepsie prises pour des
attaques
épileptiformes : 1887 : 9 attaques d'épilepsie;
es d'épilepsie prises pour des attaques épileptiformes : 1887 : 9
attaques
d'épilepsie; 18S8 : 15 attaques ; 1889 : 29 atta-
attaques épileptiformes : 1887 : 9 attaques d'épilepsie; 18S8 : 15
attaques
; 1889 : 29 atta- ques ; 1890 : 58 attaques; 18
d'épilepsie; 18S8 : 15 attaques ; 1889 : 29 atta- ques ; 1890 : 58
attaques
; 1891 : janvier à septembre, 27 attaques. Elles
29 atta- ques ; 1890 : 58 attaques; 1891 : janvier à septembre, 27
attaques
. Elles sont violentes, reviennent surtout par s
e Dr Renaudin constate une grande irritabilité de caractère due aux
attaques
épileptiques. La santé est satisfaisante depuis
ème observation. - Sommaire : Folie épileptique ; mort à la suite d'
attaques
. Adhérences généralisées des membranes viscérales
crises fréquentes, caractère très irritable, malade malpropre, onze
attaques
. » C... meurt asphyxié dans ses attaques d'épilep
le, malade malpropre, onze attaques. » C... meurt asphyxié dans ses
attaques
d'épilepsie au milieu de juillet 1877. Autops
otilité est affaiblie. Depuis son entrée à l'asile il n'a eu aucune
attaque
convulsive Signé : D'' Brunet. 1er avril, démen
il, démence épileptique. Le 10, il fut- combe le soir à une série d'
attaques
épileptiques qui a débuté le matin. Autopsie
, d'apparence robuste : son père est mort il y a dix-huit ans d'une
attaque
d'apoplexie. Sa mère vit et se porte bien. Ses de
ssions ; dans les périodes avancées elle peut apparaître, après une
attaque
épileptiforme, dans le côté où ont siégé les co
GIE MENTALE. ou être disséminée çà et là, indépendamment de toute
attaque
spéciale. Mickle dit avoir observé des cas très n
tant continuellement les cellules corticales. Conclusions. 1° Les
attaques
congestives apoplectiformes ou épileptiformes d
groupes de muscles. 2° Ces convulsions d'ordinaire s'associent aux
attaques
apoplectiformes, sont unilatérales et typiques,
une dégénérescence diffuse du territoire moteur de l'écorce. 6° Les
attaques
congestives épileptiformes ordinaires de la par
nt accessoire non provo- cateur. 7° Les cas de paralysie générale à
attaques
convulsives corticales prolongées impliquent un
'est avant tout les cellules des cornes antérieures de la moelle qu'
attaque
, et d'une manière très sensible, la toxine diph
ons qu'elle amène dans les cellules, tandis que le streptocoque les
attaque
directement en y provoquant des lésions toutes
spasmo- diques. UN CAS D'ABASIE-ASTASIE SOUS FORME D'ATTAQUES (
attaque
ABASIQUE) Par le D' LADAME (de Genève) '. En
te. Pendant plusieurs années, quatre ans environ, il n'eut plus d'
attaques
, mais en 1869, étant à cheval et faisant de nouve
s accès de ce genre le prenant fréquemment en rue. Au moment de l'
attaque
, il devient très pâle. Nous n'ajouterons que qu
oire qui l'arrête net dans sa marche. C'est une abasie sous forme d'
attaques
. Bien que notre malade ne possède aucun des sti
ganique du système nerveux. A côté de toutes les variétés connues d'
attaques
hystériques, syncopale, épileptoïde, démoniaque
ie, etc., il faudra donc ranger désormais cette forme nouvelle, l'
attaque
abasique, dont nous pensons avoir démontré l'ex
omplète de la cons- cience, de cette amnésie complète qui a suivi l'
attaque
. La nature de l'agent irritatif explique la dur
une hystéro-épileptique qui, durant la période léthar- gique de ses
attaques
, manifesterait au plus haut degré le « phénomèn
nzaine de ce mois, il a en un jour un vertige et le lende- main une
attaque
. Il est resté jusqu'en septembre avec ses parents
Alors il a travaillé chez un fabri- cant de boutons. 11 a eu trois
attaques
en trois jours, et, dans la crainte d'être renv
lades comme lui ont de la peine à se fixer. z Voici le tableau des
attaques
durant son séjour à Bicêtre : 100 RECUEIL DE FA
t au niveau des tempes. Pas de convulsions. Nerveuse, mais jamais d'
attaques
. Appétit médiocre. Tympanite passagère. Pas de
6 aoM<. Depuis quelques jours, elle se débat violemment dans ses
attaques
qui sont devenues plus fréquentes. Elle en a deux
t du dos sur le ventre. Elle a perdu connaissance dans toutes les
attaques
. Points hystérogènes : douleur au niveau de l'apo
dehors des crises. Elle n'a plus d'hallucinations avant ou après l'
attaque
. Sifflements dans les deux oreilles, mais surtout
Du 17 au 25 décembre, elle aurait eu tous les jours trois ou quatre
attaques
. Rien du 25 au 27. Depuis', attaques tous les j
us les jours trois ou quatre attaques. Rien du 25 au 27. Depuis',
attaques
tous les jours, quatre au maximum. Ses attaques s
25 au 27. Depuis', attaques tous les jours, quatre au maximum. Ses
attaques
seraient plus fortes. Dans ses attaques de déce
urs, quatre au maximum. Ses attaques seraient plus fortes. Dans ses
attaques
de décembre, elle a eu un délire de parole très
t cherche à mordre. 28. Pendant le mois de janvier, elle a eu des
attaques
, trois ou quatre en moyenne, tous les jours. Le
mes. Traitement : capsules de bromure de camphre. 18 février. Pas d'
attaques
. Marie à recommencé le 13 les douches suspendue
recommencé le 13 les douches suspendues à cause du froid. 20. Les
attaques
paraissent avoir eu des caractères particu- lie
omplètement à elle qu'à deux heures et demie du matin. Depuis celte
attaque
, l'enfant a de la tendanceà dormir après ses at
Depuis celte attaque, l'enfant a de la tendanceà dormir après ses
attaques
ordinaires. 104 RECUEIL DE FAITS. 25 mars. Ma
attaques ordinaires. 104 RECUEIL DE FAITS. 25 mars. Marche des
attaques
: DE L'HYSTÉRO-ÈPILEPSIE. 105 26 août. Une at
s. Marche des attaques : DE L'HYSTÉRO-ÈPILEPSIE. 105 26 août. Une
attaque
le 30 juillet chez sa patronne, blanchis- seuse
fille, âgée de cinq ans, n'en eût peur. - Le 9 août, trois petites
attaques
sans cause appréciable. - Pas de règles en août
. A la fin de la séance la main droite seule donne 29 Elle a eu des
attaques
le 20 août, le 1 cor, 28 et 30 septembre et le
août, le 1 cor, 28 et 30 septembre et le 6 octobre. 14 octobre. Une
attaque
de cinq minutes. Pas de sommeil à la suite. 1
e cinq minutes. Pas de sommeil à la suite. 1 25 novembre. - Pas d'
attaques
nouvelles. Elle est retournée à l'école, ne pre
douches depuis un mois. - Règles régulières. ' 20 décembre. - Une
attaque
sans cause. 1887. 10 janvier. - Une attaque le
' 20 décembre. - Une attaque sans cause. 1887. 10 janvier. - Une
attaque
le 25 décembre et le 3 janvier; deux, le 4 janv
ère. Sensibilité conservée, normale. Pas de zone hystéro- gène. Les
attaques
surviennent toujours brusquement, sans cause. E
Elles durent au maximum vingt, au minimum dix minutes. A la fin des
attaques
, elle reste le regard fixe et sans voir, dit-on,
les ont été très peu abondantes et ont duré quatre jours. 27. Une
attaque
les 10, 11 et 18 janvier. Rien depuis le 19. La
22. Sommeil prolongé et lourd, sans cauchemars. 3 mars. - Nouvelles
attaques
le 3, le 4, le 5 et le 10 février. ' Comme on l
italisation. ' ' 106 RECUEIL DE faits. 5 août.-Marie n'a pas eu d'
attaques
depuis le 10 février. Réglée périodiquement. Ap
assez fréquentes. Exigeante. Continue les douches. = 22. - Pas d'
attaques
. Le 17 août, engourdissement de la main gauche
t arrivé deux ou trois fois de se trouver mal sans avoir de grandes
attaques
. En 1888, elle n'a eu ni crises, ni ver- tiges,
e d'une fille vers le milieu du mois de décembre. Elle n'a pas eu d'
attaques
. Durant cette période elle a travaillé d'abord
de peurs, pas de cauchemars, pas de céphalalgies, pas de nouvelles
attaques
. Sujet à se mettre en colère. -Traitement : bro
uatorze ans, à la suite d'une colère vive, se manifesta la première
attaque
d'hys- téro-épilepsie. III. - Ce malade prése
mènes de l'aura se manifestaient du même côté; il était sujet à des
attaques
et à des vertiges. Ceux-ci, quelquefois très no
elquefois très nombreux, se mon- traient surtout avant et après les
attaques
. Nous en avons donné la description. Contrairem
rçaient aucune influence sur les facultés intellectuelles. Dans les
attaques
, nous relevons seulement le cercle, l'attitude
éral synchrones au changement de son état physique accompagnant ses
attaques
d'épilepsie; le noir pendant la phase d'excitat
ur croit que l'excès d'alimentation peut augmenter la fréquence des
attaques
. Dans la manie chronique, l'appétit n'est réell
périences qu'il poursuit depuis long- temps en vue de combattre les
attaques
épileptiformes, si fré- quentes chez les paraly
a solution suivante : z8 SOCIÉTÉS SAVANTES. gré ce traitement des
attaques
congestives. 11 a remarqué que les paralytiques
hésitent à donner des certificats, dans la crainte d'être l'objet d'
attaques
injustes, et que, pour les mêmes raisons, les f
lurés, sans prescription de médecin, par un droguiste. Deux cas d'
attaque
DE sommeil hypnotique. - On écrit d'Alain- cour
s'agit là, selon toute probabilité, d'une hystérique un proie à une
attaque
de sommeil. Ce n'est pas là un cas exceptionnel.
pétrière, complétée plus récemment par M. J. Voisin chez laquelle l'
attaque
se prolongeait 3, 4 et 5 semaines. Dans les cas
e est enceinte de cinq mois. - On voit qu'il s'agit là encore d'une
attaque
de sommeil, analogue à la précédente. Un cas
xante ans, du village de Vimenet, can- ton de Laissac, ayant eu une
attaque
de paralysie, tomba en léthargie. Après vingt-q
tristes, croyait toujours qu'il allait mourir, il était sujet à des
attaques
de nerfs avec chute, danslesquelles il se rai-
sie nocturne être remplacée par la folie, et dans plusieurs cas des
attaques
vio- lentes d'épilepsie ont amendé les symptôme
ymptômes mentaux. Contre son attente, il a même vu la disparition d'
attaques
d'épilepsie, légères et espacées, apporter un t
ralysie génémle. - M. RIST lit une note d'où il résulterait que les
attaques
épileptiformes, et surtout l'état du mal. ne se
e sont notamment : une jeune fille de vingt-trois ans guérie de ses
attaques
hystéro-épilepti(III'" un jeune homme de vingt-
out manifestés quand la malade se trouvait sur le point d'avoir ses
attaques
, il semblait qu'alors elle fût char- gée de fl
iblissement très marqué des facultés intel- lectuelles avec ou sans
attaques
apoplectiformes, se produisant en- suite par de
it ivre et émet des sons incohérents, inarticulés. Le 17 septembre,
attaque
épileptiforme; d'autres atta- ques identiques s
ond de l'oeil. L'état mental n'a pas varié. Plus tard, de petites
attaques
^se reproduisent avec troubles de la déglutition
rphinomanie qui s'est, peu après, le second sevrage traduit par des
attaques
convulsives du désordre dans les idées et du déli
nerveuse, impressionnable; elle a eu vers l'âge de 30 ans plusieurs
attaques
convulsives qui paraissent être de nature hysté
fré- quemment, une ou deux fois par semaine. Jamais elle n'a eu d'
attaques
convulsives ressemblant à des ac- cës d'épileps
nt. En résumé, phénomènes les plus légitimes d'une série de petites
attaques
d'hystérie qui ne durent pas en 336 ANATOMIE PA
ce, peut se lever et reprendre ses occu- pations habituelles. Ces
attaques
, qui à leur début revenaient tous les trois ou qu
ANGEn (de léna). Recherches expérimentales sur la patho- génie de l'
attaque
d'épilepsie. Troisième communication. Excitation
eune fille de 17 ans, nommée Marie Hostelandt, prise d'une violente
attaque
d'épilepsie( ? ),esttombéeaujourd'hui dans le can
s médecins faisaient exactement leur devoir et ne craignaient les
attaques
d'une certaine presse plus soucieuse de scandales
nt, BOl'IINEVILLE, TABLE DES MATIÈRES Abasie-astasie sous forme d'
attaques
, par Ladame, 40. Acéto-phénone (effets de 1')
iguë non suppurée, par Friedmann, 270. Epilepsie (pathogénie de l'
attaque
d'), par Binswanger, 416. Epileptiques (hospi
stée jusqu'en 1864. Son père serait mort, il y a dix-huit mois, d'une
attaque
apoplectique. Sa mère aurait succombé, à 45 ans,
e, jouit d'une bonne santé. Aucun membre de la fa-mille n'aurait eu d'
attaques
de nerfs. Le B... n'aurait eu dans l'enfance ni
qu'il se porte bien, ne fait pas d'excès de boisson et n'a jamais d'
attaques
nerveuses. — Du côté des ascendants, il n'y aurai
l'exposé des faits cliniques. Observation I. — Grossesse à terme. —
Attaques
éclamptiques. — Urines albumineuses. — Températur
index. On nous assure que, depuis hier soir, elle aurait eu plusieurs
attaques
con-vulsives. Bientôt en survie:! une durant laqu
e; la respiration est stertoreuse, l'écume s'éch.ippe de la bouche. L'
attaque
a duré une minute et demie; elle n'a été précédée
avons étudié : 1° les modifications de la température p oduites par l'
attaque
d'épilepsie ; 2° la température dans l'état de ma
rs onze heures, après avoir diné comme d'habitude, elle a été prise d'
attaques
convulsives qui n'ont pas discontinué. On nous l'
s les vents. A peine était-elle mise au lit qu'elle a eu une nouvelle
attaque
franchement éclampti-que, après laquelle le pouls
heure 10, moment où nous revoyons cette jeune fille, elle a eu quatre
attaques
. Nous assistons alors à une véri-table série. Les
°,2. Elle est ensuite descendue à 40°, pour remonter , dans une autre
attaque
, à 40°,2. Après celle-ci, la température était dé
d'une pièce de 2 francs. En moins de 40 minutes, nous comptons douze
attaques
. Une heure 50 minutes. —Le col de l'utérus étan
bre, 10 heures. P. 120; R. 28; T. V. 59°,8. B... a eu cette nuit deux
attaques
seulement. Ce matin, elle est assoupie, ne répond
soir). — 12 sangsues derrière les oreilles. Soir. Pas de nouvelles
attaques
. Assoupissement. Ventre souple, ni vomissements,
ration a été faite ici, à une époque déjà assez distante du début des
attaques
éclamptiques, — vingt-quatre heures environ. La t
ures environ. La température vagi-nale à ce moment était à 59°,2. Les
attaques
continuant à des intervalles rapprochés, nous la
euxième ob-servation nous permet encore d'apprécier l'in-fluence de l'
attaque
elle-même sur la tempé-rature. Que voyons-nous, e
t? Dans un instant de répit, la température était à 40°; survient une
attaque
et la température monte à 40°,2. Durant un second
malade. Observation III. — Grossesse de huit mois. — Albuminurie. —
Attaques
éclamptiques. — Marche ascendante de la températu
e (38°,8 à 41°,2).— Saignée; anesthésie; accouchement—Persistance des
attaques
. — Mort. — Néphrite. — Lem..., Élisa, 26 ans, car
De-puis 2 heures de l'après-midi jusqu'à 6 heures, on a compté quatre
attaques
. 6 heures; soir. La malade est dans le coma et
fait quelques efforts pour montrer la langue. De 6 à 10 heures, trois
attaques
. Même aspect général. Pas de modification notable
s, la dilatation du col égale la largeur d'une pièce de 5 francs. Une
attaque
. 3 janvier. 2 heures. P. 140 ; T. V. 59°,6. Lem
. 3 janvier. 2 heures. P. 140 ; T. V. 59°,6. Lem... a encore eu des
attaques
; elles n'ont pas été comptées. Le travail a bien
ts ; sinapismes sur les cuisses. 8 heures. P. 144 ; T. Y. 40°. Huit
attaques
depuis l'accouchement. Coma profond, cyanose, etc
n : huile de ricin, 15 gr. ; huile de croton, 2 gouttes. Midi. Deux
attaques
. P. 140; T. V. 40°,4, — Injection de 2 gr. de chl
nnées, succomba au commencement du mois d'avril 1871 à la suite d'une
attaque
de ramollissement cérébral, dans le service de M.
pt ans, fut très-bien réglée jusqu'à cinquante ans et n'a jamais eu d'
attaques
nerveuses. — Il n'y a pas 1 Wecker, Traité prat
ous allons résumer les traits principaux. Observation I. — Urémie ;
attaques
éclamptiques, coma, mort. — Altération urémique d
e. La nuit se passe dans un état demi-comateux. 19 nov. A 5 heures,
attaque
éclamptique d'une minute de durée environ et suiv
nt une demi-heure au bout de laquelle la lucidité revient à moitié. L'
attaque
se reproduit d'une façon identique à 7 et à 9 heu
. L'attaque se reproduit d'une façon identique à 7 et à 9 heures. Ces
attaques
consistent en une perte complète de connaissance,
de la langue, écume sangui-nolente. Une demi-heure après la dernière
attaque
, le coma complet fait place à un état semi-comate
en plus embarras-sée. Mort à une heure de l'après-midi, sans coma ni
attaques
épi-leptiformes. Autopsie. — Tous les organes d
et la circonférence médullaire était purulente. Que la suppuration
attaque
plus ou moins profondément les par-ties, qu'elle
-mer le précédent. Observation V. — Hébétude. — Œdème des jambes. —
Attaque
apoplectiforme; ses caractères. —Abaissement de p
r la marche de la température. Quelques minutes après le début de l'
attaque
apoplectiforme, symptomatiquede l'urémie, nous co
, durant les cinq heures qui s'écoulèrent depuis le commencement de l'
attaque
jusqu'à sa terminaison, la température continua d
puberté, elle n'a jamais été malade sérieu-sement et n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs. Elle s'est mariée il y a quatre ans, et
elui-ci : l'hémiplégie chez Etch... a débuté tout à coup, pendant une
attaque
, La malade, à la suite de cette attaque, est rest
buté tout à coup, pendant une attaque, La malade, à la suite de cette
attaque
, est restée sans connaissance durant plu-sieurs j
aladie a débuté à 54 ans, après une violente secousse morale, par une
attaque
avec perte de connaissance. Cette attaque, selon
te secousse morale, par une attaque avec perte de connaissance. Cette
attaque
, selon toute vraisemblance, a pris la forme épile
s'est faite dans cette circon-stance (voy. Planche XXV). De nouvelles
attaques
, tantôt franche-ment hystériques, tantôt prenant
ique et que la malade reconnaissait comme précédant la plupart de ses
attaques
. Ces douleurs, comme d'ailleurs le ballon-nement
c. Les choses en étaient là lorsque, en octobre 1868, survient une
attaque
très-intense, accompagnée de convulsions et suivi
et elle s'est développée tout à coup sans transition à la suite d'une
attaque
. Ce n'est pas de la sorte, vous le savez, que pro
décisives qui per-mettent d'établir le diagnostic. 1° Àlb... a des
attaques
hystériques depuis l'âge de 16 ans ; —• 2° elle e
stant un peu dans l'ex-ploration, on ne tarderait pas à provoquer une
attaque
hystérique ; — 5e la contracture des membres infé
des troubles nerveux bizarres, niait l'existence passée de véritables
attaques
hystériques. Il faut bien connaître, Messieurs,
aintenant de 55 ans et qui, il y a 18 ans, fut prise à la suite d'une
attaque
hystérique de la paraplégie avec contracture dont
intéressante, au point de vue clinique : chez cette jeune malade, les
attaques
hystériques se sont manifestées seulement dans le
it songer à rapporter l'observation suivante : Observation. — Trois
attaques
de névralgie sciatique. — Influence de l'humidité
airement atteints ; enfin dans les degrés extrêmes, la dégénérescence
attaque
les trabécules spléniques, la capsule d'enveloppe
moins dans ces cas, sont médiocre-ment tranchées. Observation XI. —
Attaques
apoplectiques répétées. — Hémiplégie droite compl
ne santé jusqu'à 21 ans, époque où elle a eu, dans un même jour, deux
attaques
caractérisées par des étourdissements avec perte
onnaissance et chute. A la fin de la semaine, elle a eu une troisième
attaque
, suivie d'une hémiplégie droite avec résolution d
vie d'une hémiplégie droite avec résolution des membres. Ces diverses
attaques
auraient été précédées de cé-phalalgie. Au dire
-bitablement reconnu la péricardite, et en présence du frisson et des
attaques
convulsives graves, on eût pu conclure à un proce
villod. OBERVATION VII. M... Jean-Pierre, quatre-vingt-trois ans,
attaque
d'apoplexie il y a trois semaines. L'hémiplégie g
B..., femme Q..., soixante-cinq ans. Hémi- plégie droite : première
attaque
il y a dix-neuf ans. Deux ans après, nouvelle a
te : première attaque il y a dix-neuf ans. Deux ans après, nouvelle
attaque
. Amélioration. La commissure buccale droite est
'orbite que du côté gauche. La malade n'a jamais pu, même avant son
attaque
de paralysie, fermer un oeil isolément. Obser
ssement cérébral avec gâtisme, quand il fut frappé subitement d'une
attaque
d'apoplexie, qui le rendit hémiplégique droit e
paternelle, morte asthmatique. Autre tante paternelle, morte d'une
attaque
d'apoplexie en un jour. Autre tante pater- nell
ns la lignée maternelle. Du côté du père,~une tante est morte d'une
attaque
d'apoplexie. Un frère aurait eu. une méningite
gurgitations et sont sans relations fixes avec l'alimentation ; les
attaques
convulsives sont sans caractères fixes, partielle
partielles ou géné- ralisées mais toujours il faut se défier de ces
attaques
convul- sives qui, simulant les attaques de l'é
s il faut se défier de ces attaques convul- sives qui, simulant les
attaques
de l'épilepsie vulgaire, survien- nent sans cau
structure des artères cérébrales, suivi d'un tableau clinique de l'
attaque
d'apoplexie. Le pronostic se fera surtout par l
ion qui sera généralement tranchée par l'examen des urines; enfin l'
attaque
BIBLIOGRAPHIE. 81 hystérique à forme apople
amais défaut et souvent la présence d'une zone hystérogène. Après l'
attaque
d'apoplexie, due à l'hémorrhagie cérébrale, sur-
-quatre heures le taux de tous les élé- ments solides de l'urine, l'
attaque
d'hystérie au contraire ainsi que M. Gilles de
écessités par des' phénomènes hystériques particuliers tels que les
attaques
, les paralysies, les contractures, les troubles t
rêves terrifiant-. Il est propre. Le 10 janvier 1897, survient une
attaque
confestive, avec plusieurs (13) accès épileptif
ion comme il la comprend et relate son cas : homme vingt et un ans,
attaques
depuis une peur survenue à l'âge de dix ans, tr
rait de l'oeil dans 160 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. l'orbite. Pas d'
attaque
immédiatement après, une petite seulement quelq
es quarante-cinq jours écoulés depuis la deuxième opération, cinq
attaques
seulement, la plus longue de vingt-cinq minutes,
s après il ne lui restait plus qn'une légère parésie. Cependant une
attaque
convulsive survenue dans l'intervalle laisse su
avait été pré- cédée par des maux de tête, des vomissements et des
attaques
convulsives. La partie inférieure de la face ét
jets, d'apparence indemnes de toute intoxica- tion externe, ont des
attaques
épileptiques très fréquentes ; et en effet, pas
coolisme chez eux, pas de saturnisme, ni autre cause provocatrice d'
attaques
. Les recherches de ces ' Desilles. N'olice sur
existe, et paraît être la cause quoique secondaire mais réelle de l'
attaque
. Ce sont les subs- tances toxiques, produites j
terne, en excitant l'écorce cérébrale prédisposée et provoquant l'
attaque
. Il y a longtemps déjà qu'on a recherché cette
umine en abondance dans l'urine de quelques épilep- tiques, après l'
attaque
. Bazin 2 trouve qu'elle est fréquente surtout a
il existe un stigmate permanent dans la névrose, en dehors de toute
attaque
: l'hypotoxicité uri- naire, qu'il s'agisse d'é
es pas bornés à chercher la toxicité du sérum dans l'intervalle des
attaques
, mais aussi avant, pen- dant et immédiatement a
II. La toxicité du sang des épileptiques pendant l'intervalle des
attaques
. Expérience IV. Le 21 avril, '1 ce. de sérum sa
, le sang des épileptiques parait peu toxique dans l'intervalle des
attaques
, c'est-à-dire les malades n'ayant pas eu d'atta
'intervalle des attaques, c'est-à-dire les malades n'ayant pas eu d'
attaques
au moins douze heures avant et après l'expérien
té vraie du sérum sanguin de l'épileptique pendant l'intervalle des
attaques
, Nos expé- riences très peu suffisantes ne nous
n kilog. d'animal. III. La toxicité du sang immédiatement avant l'
attaque
ep<7e ? Me. Expérience X. 11 avril, 3 h. 20
11 avril, 3 h. 20 du soir. Sérum recueilli une demi-heure avant une
attaque
épileptique, injecté à souris de 1j gr. L'injec
heures du soir. Sérum sanguin pris quarante-cinq minutes avant une
attaque
de très courte durée. Injection de 3 ce. de ce
ne pouvons dire, en outre, que le sang fût immédiatement d'avant l'
attaque
. Nos deux malades avaient eu des attaques seule
ût immédiatement d'avant l'attaque. Nos deux malades avaient eu des
attaques
seulement une demi-heure et quarante-cinq minut
donc pas considérer nos expériences comme précédant immédiatement l'
attaque
. Pourtant ce sang paraît assez toxique, plus to
ant, plus toxique que chez les épileptiques dans l'intervalle des
attaques
. Il a suffi, en effet, d'un ce. de sérum pour tue
er sa respiration. Quant à la toxicité du sang ait moment même de l'
attaque
, nous ne la connaissons pas. Les attaques épile
sang ait moment même de l'attaque, nous ne la connaissons pas. Les
attaques
épileptiques sont de courte durée et l'on arriv
rd auprès du malade. IV. Toxicité du sang immédiatement après l'
attaque
épileplique. Expérience XII. 29 avril. 1 ce. sé
ce XII. 29 avril. 1 ce. sérum du sang recueilli une heure après une
attaque
épileptique, injecté à souris de 17 gr. Grand m
III. 5 mai. 1 ce. 1/2 du sérum sanguin recueilli 2 heures après une
attaque
épileptique, injecté à souris de 20 gr. Malaise
s dans les membres. Survie. Expérience XIV. La malade E... a eu une
attaque
épileptique le 20 mai. Vingt minutes après la c
l'autopsie pas d'embolie. Expérience XV. La malade le,... a eu une
attaque
le 3 juin, à 4 heures de l'après-midi. Dix minu
attaque le 3 juin, à 4 heures de l'après-midi. Dix minutes après l'
attaque
nous prenons le sang. Le 4 juin, à 5 heures,
t un demi-cercle. Les convulsions durent une minute ; pendant cette
attaque
la température remonte à 39, et la respiration s'
et la respiration s'arrête. Deux à trois minutes après, une seconde
attaque
de convulsions épileptiformes qui n'a pas duré
'a pas duré plus d'une minute. Tempéra- ture : 39°5'. Une troisième
attaque
, plus forte et plus longue est survenue quelque
tre membres, la respiration s'arrête, le coeur bat très vite. Cette
attaque
épileptiforme dure LA TOXICITÉ DU SANG DANS L
NG DANS L'ÉPILEPSIE. 1 8o quelques secondes ; immédiatement après l'
attaque
, la température était à 39°6 ; elle descend len
demain il se portait bien. Expérience XVII. Le malade K... a eu une
attaque
de courte durée à 5 heures moins 20 (24 septemb
, nous injectons le sérum recueilli la veille vingt minutes après l'
attaque
. Quantité du sérum : 3 ce. Poids du lapin : 495
près la crise. Et ce sang a été recueilli une a deux heures après l'
attaque
. Le résultat des autres expériences est plus sa
plus concluant. Le sang recueilli de dix à vingt minutes après l'
attaque
est toxique puisque 5 ce. de sérum, réus- '18
t donc plus toxique en géné- ral, même chez ceux qui n'ont pas eu d'
attaque
depuis plu- sieurs heures, toxique avant l'atta
i n'ont pas eu d'attaque depuis plu- sieurs heures, toxique avant l'
attaque
, mais surtout toxique après l'attaque. Dans l
ieurs heures, toxique avant l'attaque, mais surtout toxique après l'
attaque
. Dans les expériences faites immédiatement aprè
après l'attaque. Dans les expériences faites immédiatement après l'
attaque
, nous trouvons une toxicité bien plus élevée, p
nce des toxines dans l'organisme fait-elle à elle seule éclater l'
attaque
? Evidemment non. Il faut qu'il existe surtout et
apparence de conditions identiques, chez les uns des secousses, des
attaques
, tandis qu'elle ne produit aucun trouble chez l
provoque-t-elle ici quelques convulsions iso- lées, et là de vraies
attaques
épileptiques avec crise initiale ? Pourquoi tou
accommodation, modifications des réflexes, trépidation épileptoïde,
attaques
apo- pleetiformes, crises épileptiformes, migra
le terme de narcolepsie qui semble rappeler l'invasion brutale de l'
attaque
d'épilepsie. D'après M. Lamacq le début brusque
manifeste, rapporte trois observations d'épileptiques chez qui les
attaques
brusques de sommeil accompagnaient ou même remp
aques brusques de sommeil accompagnaient ou même remplaçaient les
attaques
, et s'éloignaient avec elles sous l'influence du
té ; enfin quinze ans après le début de l'affection, survinrent des
attaques
convulsives épilepliformes qui débutèrent dans
dant assez significatif, lui aussi, est constitué par l'existence d'
attaques
, avec ou sans convulsions. Ces attaques peuvent
constitué par l'existence d'attaques, avec ou sans convulsions. Ces
attaques
peuvent présenter tous les degrés et tous les t
ons noté, on l'a vu, dans une de nos observations personnelles, une
attaque
d'aphasie transitoire. De ces attaques, on pe
ervations personnelles, une attaque d'aphasie transitoire. De ces
attaques
, on peut rapprocher certaines raideurs mus- cul
malade était la conservation habituelle de la conscience pendant l'
attaque
épileptique. Il existe enfin une atrophie crois
vulnéraire, d'ab- sinthe ; elle en est, d'ailleurs, à sa troisième
attaque
de délire subaigu : les deux premières n'ont du
ère était un alcoolique franc et est mort, à trente-neuf ans, d'une
attaque
de delirium tremens. Ainsi, nous sommes amené
tation, par un de mes confrères, auprès d'une malade qui, après une
attaque
d'influenza, présentait, disait sa famille, des
ntait, disait sa famille, des symptômes de paralysie. Le début de l'
attaque
d'influenza remon- tait à deux mois environ : 1
t de ressentir les mêmes symptômes dans les membres supérieurs. L'
attaque
d'influenza avait duré un mois et demi environ et
ues années, était absolument affirma- tif sur ce point. Pendant son
attaque
d'influenza, on n'avait pas eu recours aux bois
o- rée chronique héréditaire avec démence et ayant succombé à une
attaque
apoplectiforme. Lamétliode de Nissl a permis de c
éconnu et condamné après expertise médico-légale. Traitement de l'
attaque
d'épilepsie par le trional. M. 111AOnu. : n (as
oupes : 10 celles dans lesquelles le trional agit en sup- primant l'
attaque
, la chute proprement dite ; 2° celles dans les-
3° celles dans lesquelles il agit en suppri- mant, en modifiant les
attaques
et l'excitation consécutive. Le trional est don
voulu. Dans la première obser- vation, type du premier groupe, les
attaques
précédées d'aura motrice sont suspendues. Dans
able qui nécessitait son isolement dans une cellule matelassée. Les
attaques
qui se produisaient jadis au nombre de 240 à 2
ade soumis au traitement par le trional depuis un mois environ, les
attaques
ainsi que l'excitation violente, la fureur ont
a au mois de jan- vier 1898. Au mois de mai 1898, le malade eut une
attaque
avec perte de connaissance, mais ne tarda pas à
bonne santé, a été emportée à l'âge de soixante-quinze ans par une
attaque
d'apoplexie. Les grands- parents de l'un et de
a émis, comme on sait, cette opinion que l'état second n'est qu'une
attaque
délirante prolongée, de nature hystérique, le s
ctères. La perte de la vue n'a pas été, semble-t-il, précédée d'une
attaque
ainsi que cela aurait presque toujours lieu, d'
oter cependant qu'il semble n'y avoir jamais eu ni grande ni petite
attaque
. Une dernière remarque : 'foute sa vie, P... s'
u'à treize ans ; affaiblissement intellectuel depuis cet à ? c avec
attaques
épileptiques et faiblesse du bras droit; essai
grise du cerveau d'une éclamptique qui a succombé après une série d'
attaques
(30 en deux jours) étudiée par les procédés ord
ent cette partie de la crise, on pourrait se croire en présence d'une
attaque
comitiale. Est-ce de l'hystéro-épilepsie ? En p
ix ans, il a contracté la syphilis. Il y a six ans, Il est pris d'une
attaque
soudaine avec perte presque totale des mouvements
n que, vers le mois de janvier de cette mùme année, clic eut quelques
attaques
de catalepsie qui, ayant augmenté, l'obligèrent à
res de rAcadimic des Sciences, année 17*2.) ment do mars. Lu, ces
attaques
la tourmentèrent pendant tout ce mois, revenant a
e entière, je ne manquai pas d'y faire mes visites .aux heures où ses
attaques
la prenoîent le plus souvent. J'observai qu'elle
ur le temps, mais très peu pour la quantité : elle ne pressentoit ses
attaques
que par une chaleur au front et une pesanteur con
le se sentoit soulagée à la fin de son sommeil cataleptique: Dans ces
attaques
: 1* Elle se trouvoit prise tout à coup, tantôt
2* Elle conservoit la même attitude qu'elle avoit à l'instant de l'
attaque
; si elle étoit debout, elle y restoit; si elle m
eurs et des lassitudes. J'ai insisté sur le détail de ces premières
attaques
, parce que les auteurs ne les décrivent pas ordin
s d'avril et de mai de la même année 1737, elle eut plus de cinquante
attaques
d'uno autre maladie, dans lesquelles on distin-gu
ux ont été témoins de ce que je vais rapporter. Ce que je dirai d'une
attaque
doit s'entendre, à quelques circonstances près.de
i la malade au lit, la faiblesse et le ma! de téte l'y retenoient ; l'
attaque
de catalepsie venoit de la prendre et la quitta e
qu'elle disoit avoit quelque suite avec ce qu'elle avoit dit dans son
attaque
du jour précédent, où ayant rapporté mot pour mot
; cependant elle ne l'est point, elle a eu chaque hiver de nouvelles
attaques
de cet accident vif, avec cette différence que la
ivation de sentiment n'est pas si parfaite , car un jour dans son
attaque
ayant été sur un pont, on la trouva qui parloit à
qu'elle voyoit dans I eau, et aux dernières fêtes de Nofil durant son
attaque
elle distinguoit confusément une personne à ses c
parle Adrianus Alemanus, qui traversoit la Seine à la nage durant son
attaque
. Au reste cette fille s'est aujourd'hui aguerri
ns ; effrayée par leurs rugissements, elle perd connaissance et a une
attaque
. On la ramène ù la Salpèlricrc. Sa personnalité e
ion initiale et il continue : « M. B. {* fut prise (31 mai 188-J] d'
attaques
d'hystérie très violentes et très nettement carac
ie très violentes et très nettement caractérisées. Cette succession d'
attaques
dura environ (1) Observation présentée à l'Acad
nces variables, tous les mois, tous les mois et demi environ, par des
attaques
con-vulsives, survenant brusquement, pendant lesq
pour la maintenir couchée; l'arc de cercle fut nettement observé. Ces
attaques
d'hystérie se terminaient par une salivation abon
hystérogène très limitée, dont le moindre attouchement provoquait une
attaque
convutsive. Les mouvements, limités d'abord au tr
es années de sommeil. Elle lui présenta une nièce, nie la veille de l'
attaque
Initiale, comme étant une de ses sœurs. M. B. n
suite de l'ébranlement des neurones cérébraux, dans les deux séries d'
attaques
qui ont marqué le début et la fin de son état mor
se passe chez les épileptiques. absolument inconscients, après leurs
attaques
, des circonstances en ayant entouré le début. Ell
stifie celte opinion de Chnrcot : « Le sommeil hystérique est une
attaque
hystéro-épileptique modifiée. Une particularité
réveil le patois de son enfance et non celui des années précédant son
attaque
. Quelles qu'aient été les modifications psychiq
idents jusqu'à la période finale, est le cas le plus extraordinaire d'
attaque
de sommeil hystérique qui ait été relaté à ce jou
dans l'état de sommeil hystérique et la possibilité de survivre à des
attaques
très prolongées. Le mode de terminaison confirm
heures avant la cérémonie nuptiale cette jeune fille est prise d'une
attaque
hystérique ; on l'interprète comme le premier phé
ées sont faites dans l'ordre suivant : M. Wiazemsky (de Saratowi. —
Attaques
de pseudo-épilepsie guéries par la suggestion hyp
présente à ma consultation le 17 août 1901. à la suite de fréquentes
attaques
avec perte de connaissance. Il y n un an et demi
très grand chagrin. Peu après la mort de sa mère, elle a une première
attaque
d'hystérie avec perte de connaissance, puis d'aut
sance, puis d'autres très fréquentes a partir de janvier 1301. Chaque
attaque
est précédée d'une grande tristesse : tout irrite
sans cesser de crier cl tout son corps est agité de convulsions. Ces
attaques
durent pendant deux heures sans interruption. Ell
brisée avec un violent mai do tête. Certaines fois, le caractère des
attaques
est un peu modifié. Durant une minute la malade s
le en a lo temps, elle se couche; sinon, elle tombe n'importe où. Les
attaques
ont lieu tous les jours et même plusieurs fois pa
es jours de suite, dix jours au maximum. Dans ces derniers temps, les
attaques
reviennent régulièrement trois fois par jour.
sitôt reviennent la tristesse et le mal de tête, bientôt suivis d'une
attaque
qui dure vingt minutes. Après le 1S août, les att
ôt suivis d'une attaque qui dure vingt minutes. Après le 1S août, les
attaques
cessent jusqu'à son retour à la campagne, le 29 a
se sent fatiguée, elle a mal a la téte et elle se couche; une légère
attaque
s'en suit. Elle a eu froid durant cette excursion
. Durant cette maladie, elle a peur d'étouffer et elle a une nouvelle
attaque
, suivie d'une autre deux jours après à l'occasion
ertige me prend et je suis obligée de sortir, sans quoi, j'aurais une
attaque
suivie de perte de connaissance, n Pendant la séa
aisir, vous ne vous agiterez plus ; vous n'aurez plus ni vertiges, ni
attaques
, tout cola est passé et ne peut plus avoir lieu a
w deux semaines, durant lesquelles elle va huit fois au théâtre : les
attaques
ont cessé, elle se sent bien; les moments d'a
n: elle dort bien, ne souffre plus d'angoisses et n'a eu qu'une seule
attaque
, à la suite d'un gros rhume accompagné de fièvre.
la suite d'un gros rhume accompagné de fièvre. Au diro de sn sœur, l'
attaque
s'est passée sans convulsions et n'a duré qu'une
ut ce temps, la malade s'est très bien portée. Point d'angoisse, ni d'
attaques
. Le 25 avril, son père est mort. A l'annonce de c
vril, son père est mort. A l'annonce de ce deuil, elle a eu une forte
attaque
qui a duré à peu près quatre heures. Deux jours a
eux jours après, à l'occasion des funérailles du défunt, une nouvelle
attaque
survient, mais très légère. C'est définitivement
e qu'elle se porte à merveille. Non seulement elle n'a plus une seule
attaque
, mais elle n'a même pas pleuré une seule fois. L'
rétrospectivement le cas en question, nous devons en conclure que ces
attaques
ne sont point comme certains l'avaient cru, des c
d'épilepsic consécutives au traumatisme survenu en bas âge, mais dea
attaques
d'hystérie. Il est possible, il est vrai, que ce
présentée à ma consultation le 6 octobre 1901. Elle a eu sa première
attaque
avec perte de connaissance à l'âge de 7 ans. La s
apport avec la menstruation laquelle est régulière et indolore. Les
attaques
ne sont point précédées d'aura; elles sont suivie
tobre pour une nouvelle suggestion. Deux jours après, la malade a une
attaque
à 4 heures du matin; elle tombe du lit, avec perl
ombe du lit, avec perle de connaissance, et se lord en convulsions; l'
attaque
dure une demi-heurc. Une nouvelle attaques lieu t
t se lord en convulsions; l'attaque dure une demi-heurc. Une nouvelle
attaques
lieu te 18 octobre; c'est le matin, la jeune fill
st en train de se laver et elle tombe subitement sans connaissance; l'
attaque
dure une demi-heure. J'apprends que chaque attaqu
ns connaissance; l'attaque dure une demi-heure. J'apprends que chaque
attaque
est précédée d'une forte douleur dans l'cpaulc dr
aulc droite, ce mal d'épaule est permanent mais à l'approche de l'
attaque
H prend un caractère accentué. La malade a peur d
e de l'attaque H prend un caractère accentué. La malade a peur de ses
attaques
, elle surveille continuellement son mal d'épaule
surveille continuellement son mal d'épaule et ne fait que pensera ses
attaques
. Une fois constatée l'association entre l'exacerb
l'association entre l'exacerbation du mal d'épaule et l'approche de l'
attaque
, une suggestion dirigée contre le mal d'épaule po
contre le mal d'épaule pouvait faciliter la complète disparition des
attaques
elles-mêmes. Ces considérations faites à priori s
lus a sa maladie. Le 5 décembre, à 11 heures du matin, une nouvelle
attaque
a lieu; un léger mal d'épaule l'avait précédée. L
épaule l'avait précédée. La malade a encore mal à la tête, une fois l'
attaque
terminée, mais moins que par le passé. L'attaque
la tête, une fois l'attaque terminée, mais moins que par le passé. L'
attaque
elle-même est de courte durée, la malade n'a poin
ffirmer absolument que la guérlson de la malade est totale et que ses
attaques
ne sont plus revenues. Toutefois cette malade rés
e dans leur terre. Mais quand Nahasch, roi des Bcné-Ammon, a fait son
attaque
contre vous, vous m'avez dit : a Non! qu'un roi r
sant pas, Schaôul, qui voyait le peuple se disperser et craignait une
attaque
des Pélischtim, offrit lui-même l'holocauste. Il
toutefois comporter pour cela aucun des grands accidents que sont les
attaques
convulsives, les délires, le dédoublement de la p
graver ce fâcheux état. Ainsi, en lisant les récits des différentes
attaques
à fond poussées par les Japonais, on est étonné d
ment peut être appliqué à n'importe quel moment, aussi bien pendant l'
attaque
qu'avant l'embarquement du passager. Ayant fait
lles, ces troubles de la sensibilité génitale sont l'équivalent d'une
attaque
. Il n'en est pas de même dans l'observation de M.
Obs. II. — Femme de 36 ans, folle depuis la puberté, à la suite d'une
attaque
de mélancolie ayant dégénéré en démence. La malad
ltés sensilivo-sensorielles, mais avec impossibilité de réagir. Ces
attaques
durent le plus souvent de 3 à 6 heures consécutiv
uvent de 3 à 6 heures consécutives. C'est à la suite d'une de ces
attaques
qu'elle manifeste une perte complète de la vue et
nvulsive, à laquelle j'assiste jusqu'à la fin. C'est, assurément, une
attaque
de petite hystérie avec tout son cortège clinique
M. Ballet, qui avait affirmé qu'un de ses sujets aurait une violente
attaque
de nerfs avant de frapper le chef de clinique ave
ert dans le procès. Cette réponse contenait, a ce qu'il parait, des
attaques
directes et personnelles contre moi. L'assemblée,
elles contre moi. L'assemblée, aprè* un débat animé, a décidé que les
attaques
ne figureraient pu au Bulletin, et que la partie
r les excréta urinaires de vingt-quatre heures de la même façon que l'
attaque
hystérique ; 5° L'influence thérapeutique de l'
vers accidents qui dépendent de l'hystérie ; 7° On voit parfois des
attaques
hypnotiques s'enchevêtrer avec des attaques hysté
7° On voit parfois des attaques hypnotiques s'enchevêtrer avec des
attaques
hystériques. L'hypnotisme, ai-je dit, ne donne
une famille névropathique, me consulta quatre mois après sa première
attaque
d'épilepsie; je ne La traitai que par l'hypnose e
i que par l'hypnose et la suggestion, et il y a un an et demi que ses
attaques
ne sont plus revenues. Dans tous les autres cas
a psychothérapie, elle se montra insuffisante à faire disparaître les
attaques
, et j'étais obligé do prescrire un médicament. Ce
iminuer la dose du médicament, ordinairement au bromure, sans que les
attaques
fussent plus fréquentes. Â une jeune malade tra
e d'ammoniaque, dose que je ne pouvais diminuer, ou immédiatement les
attaques
se manifestaient à nouveau. La suggestion en hy
er successivement la dose de bromure, et il y a déjà deux ans que les
attaques
ne se manifestent plus, tandis qu'elle ne prend q
quis le môme succès. Les résultats dans le traitement psychique des
attaques
hystériques furent différents. Chez un grand no
nt différents. Chez un grand nombre de malades, je vis diminuer les
attaques
, ou même disparaître complètement; rarement je le
ressant : L'une d'elles est épileplique et est sujette à de grandes
attaques
qui, survenant pendant le sommeil hypnotique, l'o
possible et identique à d'autres accès que j'avais déjà observés. Ces
attaques
sont toujours précédées pendant quelques minutes
ra. Je lui ai fait respirer un peu de chloroforme : l'aura a cessé, l'
attaque
ne s'est pas produite et le sommeil hypnotique n'
sommeil hypnotique n'a pas été interrompu. Chez une autre dont les
attaques
hystéro-épileptiques ont fréquemment interrompu l
pnotique (elle avait avant le traitement hypnotique jusqu'à cinquante
attaques
en vingt-quatre heures), j'ai été appelé deux foi
dant ma visite, au moment où elle présentait la première période de l'
attaque
: respiration précipitée (80 resp.), mouvements d
issements alimentaires, ont fait cesser ces phénomènes, ont empêché l'
attaque
convulsive et la malade est redevenue calme, cont
iques en état d'hypnose, arrête les préludes et la première période d'
attaques
qui peuvent survenir pendant ce sommeil provoqué
l'hypnose se manifeste, chez quelque lecteurs des pensées, par une
attaque
de convulsions générales, par la perte do la cons
ent que l'accès hystérique se manifeste sous la forme seulement d'une
attaque
léthargique, caractérisée par un sommeil plus ou
te par Vizioli, l'accès hystérique se manifestait précisément par une
attaque
spontanée d'hypnotisme pendant laquelle on remarq
e sont pas rares dans lesquels les manœuvres hypnotiques provoquent l'
attaque
convulsive au lieu de l'état hypnotique. Dans un
l'état hypnotique. Dans un cas d'accès hystérique caractérisé par une
attaque
de sommeil léthargique profond que nous étudions
ons à présent, les manœuvres hypnotiques ne servent qu'à reproduire l'
attaque
de léthargie. Dans un autre cas que j'ai observé
et dans lequel la manifestation hystérique était caractérisée par des
attaques
de somnambulisme, ces attaques étaient exactement
hystérique était caractérisée par des attaques de somnambulisme, ces
attaques
étaient exactement reproduites, avec tous leurs p
nœuvres hvpno-tiques. Dans deux cas observés par nous dans lesquels l'
attaque
hystérique se manifestait sous laforme de cetétat
é, reproduisent simplement et fidèlement dans tous leurs traits leurs
attaques
spontanées d'hystérie antérieures. Tous ces fai
rtout de la bière en secret et continuellement. Il avait eu plusieurs
attaques
de nature apoplectique, et il était gros et bouff
état d'ivresse stupide. Quand on me l'amena, il semblait menacé d'une
attaque
d'apoplexie, de sorte que je dus le saigner. On l
apparence. II fut sobre pendant trois semaines et ent de nouveau une
attaque
. On l'a envoyé dans une retraite où il reste enco
ut de veille, que j'appelle l'étal normal. En effet, en dehors de ses
attaques
eomitiales et du délire transitoire qui leur succ
e et l'autre hystéro-épileptique, n'ayant pas de délire en dehors des
attaques
qui, plongées dans un sommeil léthargique de quin
git présente la plupart des stigmates hystériques; il est sujet à des
attaques
dans lesquelles la phase délirante joue un rôle p
a tête, eu. La compression des ovaires n'a aucune influence sur ses
attaques
, tandis que celle des globe» oculaires les arrête
s premier» moi» de son séjour à l'asile a diminué la fréquence de ses
attaques
, qui sont restées aussi violentes. A partir du
re complètement sa coxalgie et a rendu très rare» et très faibles ses
attaques
eonvulsives. Elle est sortie très améliorée le
nze jours, non» étions parvenu â suspendre pendant plusieurs mois les
attaques
qui revenaient quand on cessait complètement d'av
ecours à l'hypnose. La nommée I..... née le 18 mars 1853, ayant des
attaques
hystériques très rares mais bien caractérisées,
té 3,110. Nous avons commencé à "hypnotiser en octobre 1888. et ses
attaques
sont alors devenues très rares; elle n'en a eu qu
tisme par l'apologie de la thérapie suggestive faite par lui contre l'
attaque
du D' Normann Kerr, lors de la réunion annuelle d
organes des sens sur les hallucinations de la phase passionnelle de l'
attaque
hystérique »- Archives de neurologie, n*63, mai 1
fœtus, et l'enfant vécut seulement quelques mois, après avoir eu des
attaques
convulsives subites et fréquentes sans aucune cau
d'une boule posl-sternale. Elle était sujette à de 1res fréquentes
attaques
hystéro-épilepliques caractérisées par un cri ini
l'écume buccale et par des convulsions doniques, et, vers la fin de l'
attaque
, par des mouvements passionnels du ventre et du t
ambrure du tronc en avant. Cette femme a été prise plusieurs fois d'
attaques
de catalepsie et de somnambulisme nocturne. Penda
a son internement dans un asile d'aliénées pour y être traitée de ses
attaques
convulsives. B... a été placée dans mon service
sceptibilité morbide qui devait éclater tôt ou tard. La névropathie s'
attaque
à toutes les classes de la société. Après ces c
enfant sans éprouver aucun phénomène nerveux. Son mari attribue celte
attaque
de nerfs à une émotion très vive qu'elle aurait é
econnaître la personne qui lui parlait. L'intensité el la durée des
attaques
avaient fini par troubler l'intelligence de celte
ce fut alors seulement, c esl-à-dire un an environ après le début des
attaques
, que l'on me pria d'essayer la méthode psychique.
ouvait faire songer à l'hystérie. Tout au plus, avait-elle eu quelque
attaque
de nerfs à peine ébauchée et dont le souvenir s'é
de juin dernier, à la suite d'une scène de famille, elle avait eu une
attaque
de nerfs et, deux jours après, elle aurait vomi,
e progressive. Dans le premier cas, elle peut se produire après uno
attaque
convulsive hystérique ou presque aussitôt après c
rès uno attaque convulsive hystérique ou presque aussitôt après celle
attaque
, ou bien elle survient sans attaque convulsive an
e ou presque aussitôt après celle attaque, ou bien elle survient sans
attaque
convulsive antérieure. Le délire se produit alors
n hypnotique peuvent avoir les meilleurs résultats, en suspendant les
attaques
convulsives et en déracinant le délire ainsi que
ie grave. — Crises hystéro-épileptiques ; sensation de boule; grandes
attaques
; hallucinations nocturnes et diurnes de la vue; c
omie se prêtent admirablement. Acluellement, bien que guérie de ses
attaques
, de ses hallucinations et de son hémianesthésic,
légie brachiale. Elle a été traitée par nous en 1889 pour des grandes
attaques
d'hystérie, avec perte complète de connaissance e
perdait complètement connaissance. ¦ Actuellement, elle n'a plus d'
attaques
convulsives. mais ello a de l'hémi-anesthèsie de
mblements. — L'enfant est très impressionnable. Lorsque sa mère a des
attaques
, elle crio et tombe elle-même dans des crises, el
rofonde que le doigt s'y enfonce, et qu'elle resta ensuite atteinte d'
attaques
épilep-tiques, cataleptiques, hystériques, et ces
prendre peur quand il se couchait, à ne pas dormir par crainte d'une
attaque
ou d'une surprise; son irritabilité lu: faisait p
xpliqué déjà ma ligne de conduite, provoqué que j'étais par certaines
attaques
formulées avec toute la violence ordinaire de leu
cadémie royale de Médecine; ce résumé, le voici : • En présence des
attaques
dirigées contre le rapport des experts, contre «
iables répétaient souvent [c'est-à-dire que la malade criait dans ses
attaques
) : « Tu le plaignais que cette espoigne estoit tr
térique (je relève le fait en passant) et qu'elle était sujette à des
attaques
de catalepsie et de somnambulisme nocturne. Déplu
son mari; mais lorsque celui-ci arriva, il se produisit une violente
attaque
de nerfs, suivi d'un délire qui dura quatre heure
es; le délire reprit ensuite pendant trois jours. A la suite de cette
attaque
dont la nature hystérique n'est pas douteuse, l'é
l est à remarquer que les accidents ont débute à la Un d'une violente
attaque
hystérique; or, on sait que les différentes pério
u'on peui se demander s'il ne s'agit pas ici de la prolongation d'une
attaque
à forme particulière. Les phénomènes de ce genre
l. » Cn autre témoin dit que parfois la démoniaque avait de grandes
attaques
pendait le«qaelles elle se jetait à terre. (ij
ux, qu'elle rêve tout haut la nuit, qu'elle n'a cependant jamais eu d'
attaque
nerveuse bien caractérisée [crises hystériques ou
stant assise seule près du feu, il le luy dit et qu'elle tomba morte (
attaque
syocopale hystérique). 'Comment il parla à elle?
euse. Frère atteint d'aflection cardiaque, d' arthritisme, a eu des
attaques
de nerfs. Quatre sœurs migraineuses; l'aînée a
des attaques de nerfs. Quatre sœurs migraineuses; l'aînée a eu des
attaques
de nerfs et est hypochondriaque et mélancolique ;
que la d'une bonne santé. Elle "avait eu, dix jours auparavant, une
attaque
durant laquelle un autre médecin l'avait soignée.
umettait aux exigences actuelles de la guerre. On le disait sujet aux
attaques
de nerfs. A Dumdum il avait été plusieurs fois, p
ney me fit signe de m'approcher et me dit : On prétend que C. a des
attaques
de somnambulisme, je crois qu'il ena une maintena
nir des événements de la nuit. Il me dit qu'il avait quelque fois des
attaques
de somnambulisme, que son vieux domestique savait
ait beaucoup d'affection, mourut subitement. Elle eut à ce moment une
attaque
de nerfs. Dans le courant de la semaine qui suivi
partielle commune, le tic de Salaam, les vertiges, les absences, les
attaques
apoplectiformes les attaques procursives, les fug
Salaam, les vertiges, les absences, les attaques apoplectiformes les
attaques
procursives, les fugues inconscientes, les grands
mise, n'expliquerait pas tout. On se demandera encore pourquoi elle s'
attaque
au même organe chez les deux conjoints, pourquoi
loi de ta suggestion hypnotique est nettement indiqué : 1° Contre les
attaques
convulsives de la grande hystérie et contre les s
térie et contre les symptômes qui peuvent persister â la suite de ces
attaques
(paralysies, contractures, spasmes, tremblements,
Ouen. Les parents sont bien portants. Une sœur ni née a eu de grandes
attaques
d'hystérie. La malade a éprouvé quatre ans aupara
ne vomit qu'une partie des aliments. Elle a eu a divers reprises des
attaques
d'hystérie : l'aura est caractérisée par la sensa
nt de l'ovaire droit. Elle perd complètement connaissance pendant ces
attaques
. L'aphonie a débuté, il y a onze mois, i la sui
. sur une malade atleinte d'atrophie hystérique. OBS VII. — Grandes
attaques
hystériques. Mme H..., âgée de 24 ans, n'a pas
clownîques, avec une tendance a l'arc de cercle. Elle a jusqu'à huit
attaques
consécutives par jour. La nuit se passe en insomn
une première suggestion peut arrêter, dés le lendemain, le retour des
attaques
. Quatre séances, faites à huit jours d'intervalle
ris un assez grand nombre d'observations de malades chez lesquels les
attaques
convulsives ont cédé à la suite d'un nombre très
es ; il lui arrivait fréquemment de tomber dans la rue en proie i des
attaques
violentes, pendant lesquelles il écumait et se mo
s sous l'influence du même traitement. Au bout d'un an, il a eu trois
attaques
successives pour lesquelles il est venu redemande
crises très fréquentes la nuit, pendant le sommeil. Dans le cours des
attaques
elle écume et se mord la langue. Son mari dit qu'
élé mordu par un chien; depuis ce moment, il a. pendant le jour, des
attaques
de petit mal. mais pendant la nuit il a de grande
jour, des attaques de petit mal. mais pendant la nuit il a de grandes
attaques
dans lesquelles il se mord la langue cl dont il n
maine. Une amélioration notable s'est promptement manifestée, les
attaques
diurnes et noclur-nés ont complètement cesse. Le
e auparavant. Etant resté un mois sans recevoir de suggestions, ses
attaques
! nocturnes ont reparu. La reprise du traitement l
s elle perd complètement connaissance. Elle urine sous elle pendant l'
attaque
; après il lui arrive de rester sourde ou complèt
nin et par nous. Quelques séances ont amené dispari-tion complète des
attaques
et le retour à l'état intellectuel antérieur.I
x autres malades, nous avons obtenu soit la disparition passagère des
attaques
, soit celle des tremblements. des. vertiges. Chez
que se montre, dans la grande majorité des cas, impuissant contre les
attaques
du grand mal épileptique. par contre, il pourra t
dents névropathiques variés et. ..depuis l'âge de dix-huit ans. à des
attaques
hvstériques, avale, après une querelle avec son m
venirs elle avala d'un trait le liquide. Elle eut aussitôt une grande
attaque
convulsive, puis elle se mit à errer dans les cha
vingt et un ans est sujette depuis l'âge de onze ans et demi A des
attaques
convulsives. La premier est survenue à la suite
et, arrivée au réfectoire, l'émotion l'étouffa et elle eut une grand;
attaque
de nerfs qui dura quatre heures. Depuis cette épo
a quatre heures. Depuis cette époque, elle a eu très fréquem-ment des
attaques
du même genre. D'un caractère acariâtre, irrita
gham dans le mois de juillet dernier, l'hypnotisme a été le but d'une
attaque
de la part du docteur Norman Kerr. Avec autant d'
faites chez des malades atteints de grande hystérie ont provoqué des
attaques
convulsives. Je ne crois pas que la suggestion ai
de ses principales indications. A mon avis, el'e constitue contre les
attaques
convulsives de l'hystérie un traitement d'une eff
eux ans. Seulement lorsque M. Mierzcjevski prétend qu'il provoque des
attaques
hystériques en faisant des tentatives d'hypnotisa
e qui engendre la crise d'hystérie. On pourrait de même provoquer une
attaque
d'hystérie par l'électrisation, mais il serait in
auront seules déterminé la crise nerveuse. Je n'ai Jamais constaté d'
attaques
chez les hystéro-épilep-tiques que j'si hypnotisé
qui se produisent par des choçfl électriques violents, ainsi que des
attaques
de suffocation pénibles, je ' supprimai de suite
attitudes avec le genre de musique. Un bruit subit peut causer une
attaque
de catalepsie chez certains animaux. Ainsi daprfc
bles à des statues, dans la position qu'ils occupaient au moment de l'
attaque
. Il parait que c'est un Français dont on ignore
paralysie, c'est pour mieux la loger ailleurs ou la remplacer par une
attaque
sérieuse. On fait ainsi sortir du corps le diable
ctueuse d'abord, car il est fils d'une mère hystérique qui a eu des «
attaques
de sommeil » ; en second lieu, à son passé morbid
es. Ils racontent que le sujet a présenté, au début de la séance, une
attaque
d'hystérie avec contractures et hallucinations te
s mains. Alber-tïne M..., était alors dans le service. Elle avait des
attaques
convulsivc* fréquentes qui se terminaient habitue
cette date était complètement effacé de la mémoire. Plus tard, les
attaques
convulsives de notre malade furent remplacées par
d, les attaques convulsives de notre malade furent remplacées par des
attaques
de délire, durant lesquelles le phénomène de l'ec
avec réversion de la personnalité prit une netteté parfaite. Dans ces
attaques
, Albertine se croit revenue à une période antérie
(1); nous aurons occasion d'y revenir quand nous nous occuperons des
attaques
de délire hystéro-hypnotique. Pendant queje pou
ur de son bras. Il fut épouvanté, perdit connaissance, eut de grandes
attaques
de nerfs et devint paraplégique. En mars 18s0,
t de lui. Deux mois après son arrivée a Bonneval, il eut de grandes
attaques
d'hystéro-épilepsie i la suite desquelles il guér
squ'au 16 avril de la même année. Ce jour-la, à la suite d'une légère
attaque
, la contracture disparut. Le lendemain ma:in on s
ns. Les troubles de cette nature observebt courammentt dan* la grande
attaque
hystérique, « Une fois ! attaque calmée, Gabrie
servebt courammentt dan* la grande attaque hystérique, « Une fois !
attaque
calmée, Gabrielle Bompard est restée endormie ; e
atteinte de « petite hystérie» se formulant de temps en temps par des
attaques
légères, • très rares », elle nous l'a dit elle-m
mpard est une c petite hypnotique » qui entre dans le sommeil par une
attaque
d'hystérie; rien n'indique qn'elle ait obéi à une
riminelle ; au moment de l'échéance fatale, le physique cédera et une
attaque
d'hystérie se substituera à la volonté de l'hypno
ystérique, les zones hystérogènes et les quatre périodes de la grande
attaque
(1). Et ce n'est plus par les seuls hystériques
mais elle n'a pu réaliser l'acte criminel— A ce moment elle a eu une
attaque
de nerfs, et alors Evraud s'est Jeté sur Gooffe e
nerfs, et alors Evraud s'est Jeté sur Gooffe et l'a élran-glé. » L'
attaque
d'hystérie terminale, mais c'est là l'enseignemen
ngt et un an, est atteinte de manie intermittente qui a succédé à des
attaques
comitiales. J» l'hypnotise aux époques menstruell
lle avait dirigé dans le Progrès mèdkai, contre l'Ecole de Nancy, des
attaque
* que nous avons reproduites dans notre dernier nu
heure où elle avait été attaquée, elle tombait en somnambulisme et en
attaques
de nerfs. Le général eut voulu étouffer l'affaire
rnelle était contrefaite. — Du coté maternel, la grand'mère avait des
attaques
convulsives, sans doute hystériques. A cinquante-
sifs (méningite1). Jusqu'à sept ans, il avait uriné au lit, et eu des
attaques
. La nuit, rêve» terrifiants. Céphalalgie habita
e, le sujet tombera infailliblement en léthargie, ou bien il aura une
attaque
de nerfs. — « Prenez garde, lorsqu'un autre que m
esser avec insistance de se réveiller; il se fait par une très légère
attaque
hystérique qui passerait très facilement inaperçu
er en quelques mots : son père était alcoolique et sujet à de grandes
attaques
hystériques ou épilepliques ; la mère était émoti
suite d'une impression morale très vive, commença à. avoir de grandes
attaques
hystériques, un jour, sans qu'on puisse bien préc
ie chez la femme, mais assez rare chez l'homme. Elle a, en outre, des
attaques
d'hystérie de temps en temps, mais beaucoup moins
par une sorte d'objurgation, et la transition se fait encore par une
attaque
hystérique ébauchée, mais un peu plus forte que d
t d'heure environ, elle repasse dan» l'état B à la suite d'une petite
attaque
d'une durée de quelques secondes. Alors tous les
ès calquée sur celle de la première et c'est à la suite d'une série d'
attaques
violentes qu'elle est passée dans l'état de condi
aire de mal, mais rien que du bien. Tu ne peux plus lui faire avoir d'
attaques
de nerfs, tu ne peux plus l'endormir. Moi seul pu
utres, au contraire, affirment que le sujet tombera toujours dans une
attaque
de nerfs ou de catalepsie lorsqu'on voudra lui fa
issent étrangers à toute création pyrétique : dans le tétanos, dans l'
attaque
épi-leptique et dans le choléra, surtout au momen
aux primitif. Dans la goutte aiguë, il s'efface dans l'intervalle des
attaques
, au moins à l'origine de la maladie (Garrod) (1);
miqnes constants et vraiment caractéristiques. I. Dès la première
attaque
, des dépôts d'urate de soude se forment dans le c
plus saillant est le soulagement éprouvé par le malade à la fin de l'
attaque
; cette sensation de bien-être relatif corres-pon
ification saillante dans l'ensemble symptomatique qui caractérise les
attaques
. Limitées à une ou deux jointures, les fluxions a
ies, qui s'accroissent à cha-que accès, et même dans l'intervalle des
attaques
. Enfin, à la troisième période la peau s'ulcère e
sion de la moelle épinière cette faiblesse musculaire qui succède aux
attaques
intenses de goutte articulaire, et qui peut presq
i paraît avoir en-trevu toutes les questions de ce genre, signale les
attaques
de goutte et de rhumatisme parmi les causes les p
i par disparaître presque complètement; mais, à la suite d'une légère
attaque
, qui fut promptement réprimée, on vit se manifest
agir dans le même sens; j'ai vu une plaie produire simultanément une
attaque
de trismus et un accès de goutte; 6° Les causes
comme une maladie de gens pléthoriques. Mais ïodd a prouvé qu'elle s'
attaque
volontiers aux sujets débilités. Nous consacrer
elle de la goutte, et il n'est pas douteux, pour lui, que la première
attaque
ne coïncide déjà avec une sécrétion de ce produit
Nous avons vu que diverses circonstances préparent l'ex-plosion d'une
attaque
et la rendent imminente. Les unes ont pour effet
la formation de ces dépôts dans le cartilage pré-céderait la première
attaque
; et la formation de dépôts nou-veaux, soit dans l
plus souvent, il y a eu, chez ces sujets, aune époque antérieure, une
attaque
de rhumatisme articulaire aigu ; mais j'ai recuei
ad. des Vieillards. i5 un logement très humide, paraît avoir eu une
attaque
, de rhu-matisme articulaire aigu ; elle est resté
mbagos et des douleurs articulaires fugaces. A quarante ans, nouvelle
attaque
de rhumatisme articulaire subaigu. Un dernier acc
u-lations métacarpo-phalangieunes furent envahies dans le cours d'une
attaque
de rhumatisme articulaire aigu : il en ré-sulta u
sont là de véritables accès que la maladie regarde souvent comme des
attaques
de goutte. Les lésions anatomiques de cette art
entres nerveux. — Tétanos. — Epilepsie. — Affections hystériformes. —
Attaques
apoplectiformcs de la paralysie générale des alié
s. — Attaques apoplectiformcs de la paralysie générale des aliénés. —
Attaques
épilepti-formes des hémiplégiques. — Ecrasement d
t montré que la tempéra-ture, un quart d'heure ou une heure après ces
attaques
, s'é-lève jusqu'à 39 degrés environ qu'il y ait e
pondants de la paraly-sie des aliénés. La mort peut survenir dans ses
attaques
ou à leur suite comme dans la périencéphalite dif
e cérébrale datant de deux ans. Cette femme avait déjà eu plusieurs
attaques
épilepfiformes, en général assez légères. Un jour
n récente (hémorragie ou ramollisse-ment) peut être distinguée de ces
attaques
apoplectiformes ou épileptiformes qui surviennent
la péritonite ; — dans les commotions du système ner-veux ; — dans l'
attaque
apoplectique, etc. Collapsus : ses caractères e
niciens (Abercrombie, Portai, Watson, Grisolle), marque le début de l'
attaque
apo-plectique par hémorragie ou ramollissement, e
s son origine, la maladie qui les a produits n'a jamais succédé à une
attaque
de rhumatisme articulaire aigu; les antiphlogisti
rte constitution, plutôt sanguine que nerveuse ; elle n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs. Elle avait dix-sept ans, et était dans
laires. Sauvages avait déjà remarqué que le rheuma-tismus arthriticus
attaque
constamment les articulations et ça et là les par
hapitre , en faisant remarquer qu'aucun de nos malades n'a présenté d'
attaques
de rhumatisme articulaire franchement aigu, avant
es auteurs, que la goutte est très sou- vent héréditaire, qu'elle n'
attaque
que rarement les femmes, qu'elle est une maladie
un engourdissement très in-tense. Quelques mois après cette première
attaque
, toutes les articulations des orteils du pied gau
peut même n'être pas appréciable, dans l'intervalle qui sé-pare deux
attaques
de goutte, pour reparaître au prochain accès. Les
anchâtre quelques heures après l'é-mission. Qu'il survienne alors une
attaque
aiguë de goutte ou une irritation bronchique, et
e de l'observation très intéressante d'un goutteux mort à sa huitième
attaque
, peu de temps après le début de l'affection. Dans
arrod rapporte l'exemple d'un gout-teux, qui n'a éprouvé qu'une seule
attaque
, dans une seule jointure, au gros orteil, et où l
é pour un rhumatisme ar-ticulaire aigu, et il attribue cette première
attaque
à l'impres-sion du froid auquel il était journell
éfaction persistante et de la gène dans les mouvements. Ses dernières
attaques
ne duraient pas habituel-lement plus de huit jour
vation relatée précédemment. Ainsi, en résumé, un malade est pris d'
attaques
de goutte, d'hypertrophie du cœur, puis de néphri
les reins, d'une grande quantité d'urates, à la suite de chacune des
attaques
de goutte, ou dans l'intervalle des accès, a été
tteint pour la première fois de la goutte, après avoir subi plusieurs
attaques
de colique de plomb, et éprouver par la suite, un
ureuses et tuméfiées. L'hiver passé, étant couché et en proie à une
attaque
de goutte, S... éprouva tout à coup une sensation
que, se plaint de devenir sujet, depuis un an, à ce qu'il appelle des
attaques
. Cet état est annoncé par un chatouillement qui e
arynx, une petite toux sèche qui est suivie quelquefois d'une sorte d'
attaque
pendant laquelle le malade s'affaise et perd conn
dant laquelle le malade s'affaise et perd connaissance. Pendant cette
attaque
, 1. Comptes rendus de la Société de biologie, 1
et dans le bras. Il ne se mord pas la langue, n'urine pas sous lui. L'
attaque
est courte, et à peine est-elle terminée, que le
e, et se trouve capable d'a-chever une conversation commencée avant l'
attaque
. Ces accès sont devenus très fréquents depuis que
r, et il est arrivé au malade de tomber dans la rue. Chaque fois, les
attaques
ont été précédées d'un chatouillement etd'une pet
lpeutarriver que les accès d'une toux ne soient pas suivis de grandes
attaques
. Dans ce cas, le malade n'éprouve qu'un sentiment
mphysème ; mais c'est depuis un an seulement que se sont montrées les
attaques
. M. Charcot a été amené à penser que, dans ce cas
un engourdis-sement très intense. Quelques mois après cette première
attaque
, toutes les articulations des orteils du pied gau
a fait usage à une certaine époque, se contentait de prendre lors des
attaques
de huit à dix gouttes de teinture de colchique, m
rédilection pour le côté gauche. — Dans ces mêmes 40 cas, la première
attaque
a porté 36 fois sur le gros orteil, 2 fois sur le
mplète, langue sèche, regard fixe, respiration difficile. — Plusieurs
attaques
épileptiformes pendant les deux jours qui ont pré
la première jointure du gros orteil surve-nir à la suite d'une seule
attaque
de goutte. (Pratical remarks on gout, rheumatic f
le professeur Trousseau fait remar-quer, de son côté, qu'une première
attaque
, même une première attaque survenue accidentellem
t remar-quer, de son côté, qu'une première attaque, même une première
attaque
survenue accidentellement, peut, dans certains ca
cessus de l'arthropathie goutteuse. Elle paraît avoir lieu dès la lre
attaque
(p. 240 du Traité), tandis que les dépôts erratiq
atteint pour la première fois de la goutte après avoir subi plusieurs
attaques
de coliques de plomb, et éprouver, par suite, une
inage. » La sécrétion d'tirate de soude a-t-elle lieu dès la première
attaque
de goutte ? Cela ne me paraît pas douteux. La for
cès de goutte : « 1° Dans les intervalles qui séparent les pre-mières
attaques
de goutte, il n'y a pas surabondance de l'acide u
'acide urique du sang chez plusieurs malades observés au sortir d'une
attaque
de goutte aiguë ; 3° dans la goutte chronique, le
s'agit dans ce cas d'un vieillard qui, après avoir éprouvé plusieurs
attaques
épileptiformes, fut pris d'un accès de goutte art
. Deux jours après le début de l'affection hydrargyrique, survint une
attaque
de goutte bien caractérisée, et l'on apprit alors
ticulation du pied. Les symp- « tomes cardiaques disparaissent et l'
attaque
de goutte est peu « intense et peu prolongée. J
vis d'une affection « cardiaque. Mais dans les cas où il y a eu des
attaques
de « goutte répétées, surtout à un âge avancé,
tte faiblesse musculaire déjà signalée par Scudamore, qui succède aux
attaques
intenses de goutte articulaire et peut simuler un
rhumatisme noueux, et qui, douze ans auparavant, avait éprouvé une
attaque
de rhumatisme articulaire aigu. Un fait du même g
s valvules sigmoïdes de l'aorte. Cet homme avait subi autrefois trois
attaques
de rhumatisme arti-culaire aigu. Dans la plupar
centres nerveux. — Tétanos. — Epilepsie. —Affections hystériformes. —
Attaques
apoplectiformes de la paralysie générale des alié
s. — Attaques apoplectiformes de la paralysie générale des aliénés. —
Attaques
épileptiformes des hémiplégiques. — Ecrasement de
s la péritonite ; — dans les commotions du système nerveux ; — dans l'
attaque
apoplectique, etc. Collapsus : ses caractères e
eu vraisemblable- ment des accès de mélancolie qu'elle appelle des
attaques
de pros- tration morale. Elle comptait des nerv
scendants. La dernière de ces crises morales, caractérisée du nom d'
attaque
par la malade, eut lieu il y a vingt-deux ans,
pied droit (mouvement type de l'hémiplégie hystérique). Depuis les
attaques
ont cessé, et la malade s'est soustraite au tra
sions du malade, était exactement celui noté au commencement de ses
attaques
. » Dans un second cas publié par Keen a « en to
l'heure, car ce trouble arriva chez un malade qui a eu une soudaine
attaque
d'hémiplégie avec hémianesthésie et quelque tro
également influencer les psychoses alcooliques en déterminant des
attaques
épileptoïdes et des psychopathies semblables à ce
faut pas suspendre l'administration sous peine de voir revenir les
attaques
. - P. K. VII. Du SULFON.1L; par R. OTTO. (All
eaux si largement traités qui représentent les diverses phases de l'
attaque
hystérique. et dont notre maître se sert souven
récurrente et d'une tension dans la blessure, il y eut une ou deux
attaques
épileptiformes affectant le côté droit. Elles c
t perdu la force dans le bras droit, et bientôt après, avait eu une
attaque
apoplectique, avec perte du langage et surdité.
sensibilité tactile et l'odorat étaient intacts. Elle eut quelques
attaques
et en dernier, mourut de pneumonie une année ap
ourbes seulement ou à la dégénérescence des nerfs optiques ? Mais l'
attaque
soudaine de surdité dans ce cas coïncidant avec
qui avait souflertde surdité et de trouble de la vi- sion, eut une
attaque
le 22 juin 1880 avec hémiplégie droite et apha-
s l'oreille opposée ou dans les deux. Ainsi une femme sujette à des
attaques
épileptiques précédées par un grand bruit comme
che, devenait temporairement sourde de chaque oreille après. chaque
attaque
. Les deux oreilles étaient défectueuses, mais i
e ne pouvait supporter. - A l'époque de mon examen, un mois après l'
attaque
, il avait guéri de sa paralysie de la jambe gau
re extrémités - des céphalalgies- des vertiges des vomissements des
attaques
épileptiformes - une surdité complète. , 268
é arrêtée, Mme Millet se croyait continuellement sous le coup d'une
attaque
semblable et la pauvre femme donnait depuis quel-
-il besoin de vous dire que ces arthralgies furent attribuées à une
attaque
de rhuma- tisme et que, durant cette longue pér
ent nous n'avons trouvé ici, ni dans le passé ni dans le présent, d'
attaques
convulsives d'hystérie mais la malade nous a fa
copes » qui, envisagées de très près, ne sont autre chose que des
attaques
avortées. Ce n'est pas tout : elle pré- sente e
eau de ces zones réveille les phénomènes de l'aura sans provoquer d'
attaque
convulsive. Au point de vue sensoriel, le goût,
NES DES SENS SUR LES HALLUCINATIONS DE LA PHASE PASSIONNELLE DE L'
ATTAQUE
HYSTÉRIQUE; . Par Georges GUINON, chef de clini
ans la nomenclature établie par M. Charcot, la troisième phase de l'
attaque
hystéro-épileptique, sont commandées en général
s souvent visuelles. On sait aussi que cette troisième période de l'
attaque
peut dans certains cas prendre un développement
nt être dans la suite vérifiés par d'autres DES HALLUCINATIONS DE L'
ATTAQUE
HYSTÉRIQUE. 347 observateurs'. Mais un point no
OLOGIE NERVEUSE. sujet dans le délire de la phase passionnelle de l'
attaque
hystérique. Depuis les travaux de M. Mesnet, M.
ibilité de donner des suggestions dans la phase passionnelle de l'
attaque
d'hystérie, mais sans insister sur les carac- t
la Salpêtrière. 1 Pitres. Des zones hystérogènes et hypnogènes; des
attaques
de sommeil. Bordeaux, 1885. ' Charcot,. -Leço
stéro-epileptiques. (met, Obozr. XXXIII.) DES HALLUCINATIONS DE L'
ATTAQUE
HYSTÉRIQUE. 349 Le nommé Constant..., juif de r
te. Le 8 avril, en examinant le réflexe rotulien, on provoque une
attaque
de nerfs qui commence par des mouvements épilepto
e qui s'étend aux membres supérieurs persiste quelque temps après l'
attaque
et résiste aux frictions et au massage. Les dou
n est obligé de recourir aucathétérisme pour vider la vessie. Les
attaques
peuvent se produire avec un aimant, l'examen des
arrêter par une suggestion énergique, mais seulement au moment où l'
attaque
commençait. Chaque attaque est précédée d'une a
énergique, mais seulement au moment où l'attaque commençait. Chaque
attaque
est précédée d'une aura gastrique (boule qui re-
trique (boule qui re- monte de l'estomac à la gorge). Au début, l'
attaque
ne s'accompagnait pas d'attitudes passion- nell
cènes de knout. Il voit aussi son père, mort aujourd'hui. Après son
attaque
il ne conserve aucun souvenir de 380 PATHOLOGIE
ces instituées en novembre 1889, pendant la phase passionnelle de l'
attaque
. En plaçant un verre vert devant les yeux du ma
n objet. Verre rouge. Il se lève effrayé et cherche à s'enfuir... L'
attaque
survient qui clôt la scène. Deuxième expérien
verres devant les yeux du malade à l'état normal ne produit pas l'
attaque
et ne provoque aucune hallucination. Le verre rou
ucination. Le verre rouge au contraire, provoque instantanément une
attaque
du genre de celles que nous avons décrites plus
à s'enfuir. Le verre violet amène une séda- DES HALLUCINATIONS DE L'
ATTAQUE
HYSTÉRIQUE. 381 tion considérable, il fixe un p
iences, on suggère au malade pendant la période hallucinatoire de l'
attaque
, de raconter les tableaux qui se sont déroulés
e, mange souvent du pain frotté d'oignon. DES hallucinations DE l'
attaque
hystérique. 333 Après ces expériences, le malad
cinations qu'il n'avait manifestées exté- rieurement pendant chaque
attaque
que par une mi- mique assez animée. Dans son
ro- voquée chez lui l'audition de l'orgue de Barbarie pen- dant l'
attaque
répond la partie correspondante de son récit.
mment aux gestes de déboucher une bouteille DES HALLUCINATIONS DE L'
ATTAQUE
HYSTÉRIQUE. 333 et de boire qu'il avait faits l
e malade voyait spontanément pendant la phase pas- sionnelle de l'
attaque
. Il est certain que toutes ces hallucinations n
nateurs dans les deux régions ovariennes. Elle a eu autrefois des
attaques
de chorée rhythmée hystérique et à plusieurs repr
attaques de chorée rhythmée hystérique et à plusieurs reprises des
attaques
de délire dont l'une en particulier a duré dix jo
lire dont l'une en particulier a duré dix jours. Elle a de plus des
attaques
d'hystérie classique avec période epi- leploide
omine notablement sur les deux autres phases. Elle dmerait à chaque
attaque
jusqu'à une et deux heures, ainsi que nous l'av
pnotisable, nous profitons de cette circons- tance pour provoquer l'
attaque
hystérique, en lui suggérant dans la période so
livrée à elle-même pour nous rendre compte DES HALLUCINATIONS DE L'
ATTAQUE
HYSTÉRIQUE. 3151 de la nature de son délire. El
maladie ! je la plains de tout mon coeur... Je n'en ai plus, moi, d'
attaques
, (à part) et puis je ne te le dirais pas, pour sû
l'on se sert généralement d'éther a la Salpêtrière pour arrêter les
attaques
d'hystérie.) Ici, nous arrêtons le délire en ap
harles ! ... etc. Chloroforme. - (De même que l'éther sert pour les
attaques
, le chloroforme est employé généralement ici so
s pour tenir la jambe droite... Ether. De nouveau, hallucinations d'
attaques
de nerfs, comme dans la première expérience.
Ah 1 oui j'en ai avalé ! C'est si bon, les DES HALLUCINATIONS DE L'
ATTAQUE
HYSTÉRIQUE. S bains de met. 011 ! j'y pense enc
ncentration se manifeste aussi dans ce fait DES HALLUCINATIONS DE L'
ATTAQUE
HYSTÉRIQUE. 361 que la réaction(de la malade vi
la piqûre au ventre l'idée de laparatomie, l'éther le ta- bleau d'
attaques
de nerfs, le chloroforme celui de contractures,
souvent les mêmes sug- gestions que dans la phase passionnelle de l'
attaque
. Il en est ainsi pour l'éther, le chloroforme,
'années, hys- téro-traumatique typique avec stigmates permanents et
attaques
classiques, mais dans lesquelles la phase passi
es la phase passionnelle prend un dé- veloppement exagéré. Dans une
attaque
provoquée, après avoir laissé passer les périod
arait ennuyé de lui avoir fait de la peine. DES HALLUCINATIONS DE L'
ATTAQUE
HYSTERIQUE. 363 P/tOSpAot'e.fi voit un de ses a
tes, Une femme est là, dans la rue, sur le trottoir, en proie à une
attaque
de nerfs. Il écarte la foule pour qu'on lui lai
dire en essayant de lui rappeler soit 364 PATHOLOGIE NERVEUSE. DE L'
ATTAQUE
HYSTÉRIQUE. par la parole, soit par des bruits
IQUE. 365 retrouvons aujourd'hui quelque chose d'analogue, dans l'
attaque
délirante hystérique. C'est un point de contact
ons rapportés : 1° que dans le délire de la phase passionnelle de l'
attaque
hystérique on peut modifier la marche des hallu
ôté droit. Même état le troisième jour, où l'animal a eu une légère
attaque
à droite indiquant quelque irrita- tion, qu'on
erve avec la sensation d'odo- rat pendant a l'état de rêverie » des
attaques
épileptiques sont probablement des décharges de
umeur de la région pariétale inférieure droite qui occasionnait des
attaques
d'épilepsie débutant par le pouce, donna lieu à
sir de lui nuire, c'est le sentiment d'une injustice commise, d'une
attaque
injustifiable. Il n'y a pas de concentra- tion
l'ébranlement périodique que font subir à leurs centres nerveux les
attaques
convulsives contribue à provoquer une désé- qui
ur Heilkande, vol. XI, 18UO.) Observation d'un malade qui avait des
attaques
d'épilepsie - suivies parfois d'accès de fureur
rve sur le côté où commencent les phénomènes con- vulsifs pendant l'
attaque
. On sait qu'avant on supposait que l'asy- métri
cessaires pour l'action d'écrire doivent se trouver paralysés par une
attaque
do l'hémisphère gauche. Mais nous pouvons écrir
En effet, le Dr Holder cite le cas d'un malade qui, à la suite d'une
attaque
où il avait perdu le langage, l'avait petit a pet
ourgogne. (In-18 de 101 pages. — Alean, Paris, 1892.) Ladame. — L'
attaque
hystérique d'aphasie et la simulation. (Brochure
n emploi thérapeutique utile de l'hypnotisme, soit pour combattre les
attaques
convul-sives de l'hystéro - épilepsie, soit pour
un voyage qu'elle lit à Rogan, quand elle fut un peu remise de celte
attaque
, un accident grave qui lui arriva (elle fut mordu
des épaules larges... Je pense qu'il se défendra bien, si quelqu'un l'
attaque
. [Mouvement de Mathis.) Le songeur. — Qu'avez-v
11 faut parler longtemps pour désorganiser peu à peu l'idée que l'on
attaque
et habituer l'esprit de l'auditeur a l'idée nouve
s pourront consister soit dans l'identité de la cause qui détermine l'
attaque
, soit dans la manière dont elle survient, soit da
e. 11 n'y a aucune régularité, ni pour le temps, ni pour le lieu de l'
attaque
. La crise est réelle. Son débat arrive fataleme
s actions criminelles suicides, homicides), les hallucinations et les
attaques
convulsives. Les exemples de suicide par imitat
ui se trouve, dans le second, imité, d'une manière complète, dans une
attaque
de grande hystérie. Mme E. C..., âgée de vingt-
ntérieurement de grandes crises convulsives qui étaient de véritables
attaques
d'hystérie. Ce jeune homme avait été vivement f
e. M. Gibert vit immédiatement que cette jeune fille avail subi une
attaque
et qu'ello était dans l'attitude de la défense. L
er depuis cette époque peuvent se grouper de la façon suivante : 1°
Attaques
convulsives; 2° Attaques somnambulo-délirantes;
ent se grouper de la façon suivante : 1° Attaques convulsives; 2°
Attaques
somnambulo-délirantes; 3° Accès de vigitambnlis
re très vite en som-n*mi-ali>m* délirant, se transformant aînsi en
attaque
hystériqae. Les attaques convalsives, tantôt ép
li>m* délirant, se transformant aînsi en attaque hystériqae. Les
attaques
convalsives, tantôt épileplodes, tantôt exclusive
mnambulique. accès de condition seconde, qui ne sont en somme que l'
attaque
somnambulo-délirante prolongée, durent de quelque
) minutes le 18 septembre, eu état de condition, seconde, ayant des
attaques
eon-vulsives. les accés de délire hallucinatoire,
uffée dans les bras du fantôme ut qui mettaient sa vie en danger. Ces
attaques
à forme asphyxique n'amenant pas le résultat atte
à forme asphyxique n'amenant pas le résultat attendu, survinrent de*
attaques
syncopales. La vision disait : « Tu vas mourir ».
circulation et do la respiration. Or il arriva qu'à la suite de ce*
attaques
à forme syncopale. Mme X... revenait à elle, mais
es hystérogènes, puis l' application de l'aimant à provoquer toit une
attaque
, soit le réveil des sens; mais, après de nombreux
la malade; car, lorsqu'elle a perdu l'usage de ses sens, elle est en
attaque
délirante, et l'abolition des sens est le résulta
mère, je m'en irais tout de suite, puis... A ce moment survient une
attaque
convnlsive qui interrompt l'entretien. La crise p
fait écrire a la malade ; R. Ce qu'elle écrit spontanément. (2) En
attaque
somnambulique. délirante, Mme X... tutoie tout le
aussi pénibles, alors qu'au contraire les conditions psychiques de l'
attaque
en expliquent si naturellement la production? La
dre conscience de lui-même, cesse de voir, d'entendre et de parler. L'
attaque
terminée, c'est une véritable résurrection qui se
ple. Ce qu'on peut supposer dans l'espèce, c'est que la fréquence des
attaques
convulsives chez notre malade, modifiant incessam
Remarquons que quand elle est aveugle, sourde et muette, elle est en
attaque
délirante et cependant suggestible, ce qui n'a ri
précis chez la première. Chez la seconde, la mère est sujette à des
attaques
d'hystérie : et, il y a un point très intéressant
ualifié diathèse de contracture, terme qui prévaut aujourd'hui. Les
attaques
convulsives, les émotions, les états morbides son
, sont prétes à défaillir, elles aussi. Allons-nous avoir une série d'
attaques
d'hystérie ? Mais-non; l'habile et puissant mette
gt-six ans, grande hystérique, avec, tous les jours, une ou plusieurs
attaques
du type Charcot-Richer : période épileploîde, pér
nose. C'est le 13 août 1883 que, à l'occasion de la première grande
attaque
, le médecin appelé fit la première injection de m
ournie. C'était à qui, dans l'entourage direct, à la moindre menace d'
attaque
, ferait une injection, et la ferait le mieux. Du
haque émolion. Pendant ces derniers quatre ans, elle a eu cinq ou six
attaques
hystériques. Le jour de sa présentation à la cl
e réponse, en dehors de la question scientifique proprement dite, une
attaque
violente contre la probité scientifique de M. Dej
pression violente de ces points hyperesthésiques ne détermine point d'
attaque
, mats provoque des contorsions et des cris de dou
par l'infirmier Pendant son séjour à l'hôpital, E... n'a eu aucune
attaque
hystérique, mais leur existence a été constatée p
rait-il, d'un caractère emporté et violent. Sa mère est sujette à des
attaques
de nerfs, autrefois très fréquentes, réduites mai
s maintenant à deux par semaine, depuis l'époque de la ménopause; ces
attaques
surviennent à la suite d'émotions ou de vives con
les médicaments. Motet (2) cite un enfant de quinze ans simulant des
attaques
d'hystérie qu'il avait vues chez sa mère. Mon col
D-' E. Noguès. a rapporté le fait d'un petit garçon qui simulait des
attaques
d'hystérie pour éviter d'aller au collège Un moti
pondu à ce procédé de traitement chez ces deux malades. Hystérie. —
Attaques
cataleptiques datant de sept ans. — Délire lypema
sa santé ne s'est pas remise et elle a été prise assez fréquemment d'
attaques
convulsives du genre cataleptiforme et hystérifor
ovoquée par la flexion. La malade est sujette depuis deux ans à des
attaques
convolsives semblables à la suivante que nous con
s'endort. A ce moment, elle n'a pas poussé de cris, elle n'a pas eu d'
attaque
convulsive, pat de chute à terre. La malade va
s, puis une demi-heure, puis une heure, puis deux heures. Pendant l'
attaque
, elle perd connaissance. Revenue à elle, se souri
sorte qu'elle a atteint iii kilogrammes. La malade n'a jamais eu d'
attaque
de nerfs; la sensibilité exis:e des deux côtés, m
ite avec tarhycardie et rythme couplé du cœur. Elle n'a jamais eu d'
attaque
de nerfs ; sa sensibilité est normale et ses cham
Un frère et une sœur sont bien portants. Enfin, une autre sœur a des
attaques
de nerfs. Fig . 10. — Champs visuels de Julie
, spécialiste a l'hôpital de Molenbeck.) Julie M... n'a jamais eu d'
attaque
, mais elle est atteinte depuis un an de tuberculo
sérieusement malade; à la suite d'une colère, elle a eu une violente
attaque
de nerfs, puis de la gastralgie. Elle est entrée
e est normal; les réflexes sont sains: l'intelligence est vive. Les
attaques
convulsives que la malade a eues ont été peu nomb
mblement dans la jambe, et pendant la nuit s'est déclarée la première
attaque
de nerfs. Depuis lors, elle a toujours eu des acc
une boule partir de l'estomac et lui monter à la gorge, à ce moment l'
attaque
commença. Ces accès duraient souvent longtemps, e
lexes sont normaux ; l'Intelligence est vive, la mémoire bonne. Les
attaques
convulsives sont spontanées ou provoquées : les a
bonne. Les attaques convulsives sont spontanées ou provoquées : les
attaques
spontanées sont toujours précédées d'un aura qui
n se réveillant, elle n'a aucun souvenir de ce qui s'est passé. Les
attaques
provoquées sont pareilles aux précédentes, elles
et, de dire à la malade endormie : « Faites comme quand vous avez une
attaque
», pour qu'aussitôt se déclare un accès très pr
llette ii... (Pris par m.Coppey fils.) Collette H... est atteinte d'
attaque
hystériques suivies d'un sommeil comateux avec co
sommeil comateux avec contracture durant fort longtemps en dehors des
attaques
, elle est atteinte de mouvements cholériformes av
n rêve dans lequel elle avait vu son père tuer sa mère, elle a eu une
attaque
de nerfs ; les accès ont été nombreux et la malad
ien des réticences, elle finit par me dire qu'elle a peur d'avoir des
attaques
de nerfs après chaque séance, comme une de ces am
bservation de Joséphine, nous avons dit que l'on pouvait produire des
attaques
par suggestion ; pour connaître ce fait, la malad
son récit était un conte. Une autre disait avoir été l'objet d'une
attaque
en wagon et présentait eu effet une toute petite
nce et pouvait encore répondre aux questions qu'on lui adressait. Ces
attaques
augmentèrent de fréquence pendant trois mois et e
ne se produisit jusqu'il y a six mois, époque à laquelle elle eut une
attaque
, et, à la suite, le bras et la jambe du côté droi
e soit, et avec la même lenteur que l'effet se produira. La seconde
attaque
de paralysie, dans le cas actuel, présente moins
tte observation, ajoutons que. la nuit suivante, la malade simula une
attaque
d'hystérie ; elle simula quelques mouvements conv
chez un homme atteint depuis huit ans de cette terrible névrose. Les
attaques
, d'abord rares, étaient devenues plus fréquentes
ations terrifiantes qui surviennent chez quelques malades avant les
attaques
et les poussent au suicide. (Nouv. Diction, de mé
quelques minutes, et qui nous ont donné le spectacle d'une véritable
attaque
d'hystérie. Au premier abord, voyant le nombre de
'aggravèrent; on ob- serva du trisraus, et il survint de fréquentes
attaques
d'opisthotonos. On administra alors l'extrait alc
s'est développée subitement le 20 mars 1870, à la suite d'une grande
attaque
. Disons toutefois que, antérieurement, le membre
cas des phénomènes permanents. Enfin, cette femme est sujette à des
attaques
spéciales, tantôt té-taniformes, tantôt épileptif
e. Ainsi, ce matin, vous pouvez recon-naître un accident datant d'une
attaque
survenue il y a deux jours; c'est le trismus, con
soin, néanmoins, d'indiquer la filiation des accidents. La première
attaque
convulsive a éclaté en 1861. Dans quelles circons
est difficile de se débrouiller. Ce qui est plus sûr, c'est que cette
attaque
paraît avoir été d'une violence extrême: la malad
biles qui sont résultés de cet acci-dent. A partir de cette date, les
attaques
ont continué à se reproduire de temps à autre, av
rise d'une hémiplégie avec flaccidité du côté gauche à la suite d'une
attaque
, et entre dans le service de M. Lasôgue. Admise
ses restent à peu près dans le môme état, si ce n'est qu'une nouvelle
attaque
est suivie d'une contracture du mem-bre supérieur
gique de la contracture hystérique1. Dans le mois de mars 1871, une
attaque
donne lieu à une hémi-plégie flasque du côté droi
ention d'urine; c'était en janvier. Le mois suivant, à la suite d'une
attaque
, nous notons des alternatives de polyurie (2 litr
psie pendant le travail, fut accouchée par le forceps dès la première
attaque
, et les accès s'étant répétés un certain nombre d
iqueur témoin. Fig. 4. -+- Température 19 heures après la pre-mière
attaque
. ± Tem-pérature 5 heures après la dernière attaqu
après la pre-mière attaque. ± Tem-pérature 5 heures après la dernière
attaque
. La liqueur titrante renferme : Bichlorure de
ure spontanée des membranes. Présentation du sommet en O.I.G.A. Une
attaque
d'éclampsie ayant eu lieu à minuit, la sage-femme
u soir. 9" . 6 h. À 7 heures du soir (19 heures après la première
attaque
) tempé-rature vaginale 39°,2. — A 8 heures, saign
oin de mettre en relief les princi-paux caractères que présentent les
attaques
convulsives dont elles sont atteintes. Vous ave
ous avez pu reconnaître aisément qu'il ne s'agissait pas chez elles d'
attaques
vulgaires, rentrant du premier coup, sans discus-
ils revêtent, et, ce qui frappe le plus l'observa-teur, témoin de ces
attaques
, c'est de retrouver parmi les convul-sions cloniq
surface, il semble en être ainsi, puisque nous avons reconnu dans les
attaques
quelques-uns des traits de l'épilepsie. C'est de
par Louyer-Villermay, l'un des premiers, convien-drait à désigner ces
attaques
mixtes. La convulsion à forme épilep- tique y a
coin de la plus saine observation, dit que cette espèce d'hystérie ci
attaques
mixtes n'est qu'une forme particulière de l'hysté
dividu affecté, sont la source de ces modifications dans la forme des
attaques
. La nature même de l'hys-térie n'en est pas fonci
d'admettre les catégories suivantes. A. Dans un premier groupe, les
attaques
hystériques et les accès 1 Maladies des nerfs,
e révèle. De là des contrariétés vives qui engendrent l'hystérie. Les
attaques
étaient disjointes et conservaient, sans s'influe
ont jamais été. Dès l'origine, le mélange s'est effectué et, dans les
attaques
ultérieures, les deux formes convul-sives se mont
les ré-sultats de mon observation personnelle. a) Dès l'origine, l'
attaque
mixte revêt son caractère propre; dès cet instant
u développement d'un accès, se garantir, trouver un abri. c) Dans l'
attaque
convulsive, la phase dite épileptique ouvre en gé
ne, etc.; en même temps éclate le délire de l'accès. é) La fin de l'
attaque
est marquée par des sanglots, des pleurs, des rir
le donc un fait nouveau, insolite, dans la description classique de l'
attaque
hystérique vulgaire ? Certainement non. Il n'est
? Certainement non. Il n'est pas vraiment exceptionnel de voir dans l'
attaque
d'hystérie commune, — alors que personne ne songe
ns toniques à caractère épileptiforme, particulièrement au début de l'
attaque
; tous les au-teurs sont d'accord sur ce point. Ce
entuées, que M. Briquet a été, par là, conduit à éta-blir à côté de l'
attaque
d'hystérie clonique, ou classique, une sorte d'at
ir à côté de l'attaque d'hystérie clonique, ou classique, une sorte d'
attaque
dans laquelle prédomine une roideur semi-tétaniqu
le vertige épileptique dans les descriptions de l'hystéro-épilepsie à
attaques
mixtes. Nous pourrions ajouter encore, car il y a
mportante distinction, que dans cette forme de l'hystéro-épilepsie, l'
attaque
épileptiforme, même la plus intense, est d'après
ée dans son développement par la compression de l'ovaire1. Dans les
attaques
mixtes, alors même que leur retour est très-fréqu
bnubilation de l'intelligence et la démence ne sont l'aboutissant des
attaques
, contrairement à ce qui aurait lieu, d'une manièr
, des hystériques, diffèrent en quoi que ce soit des convulsions de l'
attaque
épileptique. L'attaque hystérique tonique, pour p
èrent en quoi que ce soit des convulsions de l'attaque épileptique. L'
attaque
hystérique tonique, pour peu qu'elle ait quelque
e d'un degré et quelques dixièmes (38° — 38°,5), tout comme le fait l'
attaque
d'épilepsie vraie. C'est là un résultat 1 Yoy.
rapide d'eschares au sacrum; quelquefois enfin, production 1 Dans l'
attaque
hystérique vulgaire clonique, il n'y a pas, quell
tat de mal épileptique ; on l'observe encore, par exemple, dans les
attaques
dites congestives, apoplectiformes, ou épileptifo
nné du fait une interprétation vicieuse1. On l'observe aussi dans les
attaques
fort analogues aux précédentes qui peuvent surven
urvenir dans le cours de la sclérose en plaques2, et, enfin, dans les
attaques
, avec ou sans convulsions, qui s'observent dans l
u soir : de huit à neuf heures, il y a eu un temps de repos, puis les
attaques
ont repris comme de plus belle, sans le moindre r
'une manière approximative, — évaluer sans exagération le chiffre des
attaques
épileptiformes qu'elle a éprouvées à cette époque
ivo, terminée par la mort. A la vérité, ce sont presque tou-jours des
attaques
d'un genre particulier, des attaques dyspnéiques,
é, ce sont presque tou-jours des attaques d'un genre particulier, des
attaques
dyspnéiques, qui amènent ce triste résultat1; mai
dyspnéiques, qui amènent ce triste résultat1; mais, je le répète, les
attaques
con-vulsives elles-mêmes peuvent y conduire. Je p
ir. Pendant plus de huit semai-nes, la malade en question éprouva des
attaques
épileptiformes, en nombre d'ailleurs assez restre
atismes. — Ré-trécissement de l'urèthre. — Malformation du prépuce. —
Attaque
apoplectique. — Hémiplégie droite incomplète. — A
les personnes qui l'ont apporté, il aurait eu, il y a deux jours, une
attaque
apoplectique depuis laquelle il n'a pas recouvré
survenue l'hypertrophie du cœur. A cette lésion doit être rattachée l'
attaque
apoplectique symptomatique du ramollissement céré
de malade, femme âgée de 72 ans, la tempéra-ture, deux heures après l'
attaque
, était à 37°,8, et le soir du pre-mier jour à 37°
ig. 13. —T. Température. — P. Pouls. — Température deux jours après l'
attaque
apoplectique. Fig. 14. — T. Température va-gina
.— La première température a été prise le soir du troisième jour de l'
attaque
. Dans notre troisième cas, concernant une malad
és. Il en ressort que, vers le troisième ou le quatrième jour après l'
attaque
, la température subit une ascension assez rapide,
tendre un ou deux doigts. Chez la seconde, âgée de 32 ans et dont l'
attaque
remonte à deux ans, l'aphasie était complète et c
fait plus de mou-vements. Chez la troisième, âgée de 53 ans, dont l'
attaque
remonte à huit mois, l'usage des membres était re
une de ces malades les règles avaient disparu pendant un an après son
attaque
et ne revenaient depuis cette époque que très-irr
un mois ei. demi, les règles avaient complètement disparu depuis son
attaque
, qui a eu lieu il y a près de deux ans, cinq sema
in-connus, et après une lutte bizarrement accidentée, succombe à une
attaque
dont, dans d'autres circonstances, il se fût déga
exagérée ou l'extension forcée d'un orteil ou d'un doigt arrête une
attaque
comme Bravais l'a montré. Il en est de môme de
de mélisse. Cette simple ingestion pourra amener la suspension de l'
attaque
. Nothnagel et Schultz ont arrêté une attaque en
r la suspension de l'attaque. Nothnagel et Schultz ont arrêté une
attaque
en ingurgitant du sel marin dans la bouche d'un m
e deux cas qui lui paraissent probants, destinés à démontrer qu'une
attaque
épi- leptique peut se derouler dans un état de
ême temps que le poids du corps, quand survient la guérison; 4° les
attaques
congestives épileptiformes ou apoplec- tiformes
ux la prédisposition hystérique latente et voilàqu'apparaissent des
attaques
convulsives (observations) ou des syndromes de fo
térie paroxys- tique et du traitement. Après avoir décrit la grande
attaque
d'hysté- rie avec la régularité de ses phases s
riment des autres constitue justement les formes si nombreuses de l'
attaque
d'hystérie. Ces attaques d'hystérie si souvent
e justement les formes si nombreuses de l'attaque d'hystérie. Ces
attaques
d'hystérie si souvent remarquables par leur vio-
stique et interpa- roxystique ; il les résume ainsi lui-même. « L'
attaque
convulsive d'hystérie comprenant une période d'an
ir, comme 2 est à 3 sinon plus... La longueur et l'intensité de l'
attaque
accentuent les modifica- tions nutritives qui s
parfaitement perceptibles par l'analyse chi- mique pour une simple
attaque
d'un quart d'heure de durée. » Elles débutent a
simple attaque d'un quart d'heure de durée. » Elles débutent avec l'
attaque
. La nutrition reste normale dans l'in- tervalle
heures peut en outre trancher la question souvent si difficile de l'
attaque
de l'hystérie ou de l'accès d'épilepsie. Après
i difficile d'attribuer sa véritable cause (vertiges hysté- riques,
attaques
avec syncopes, absences, pseudo-méningite hys-
. G. de la Tourette s'occupe des cas où la mort a été attribuée à l'
attaque
; il résume le point important en constatant « c
aroxysme hystérique simple ou prolongé sous forme d'état de mal ; l'
attaque
de spasme paraît avoir surtout le privilège. En
ste concours ». L'auteur s'occupe ensuite de quelques variétés de l'
attaque
et de l'état de mal hystérique revêtant plus pa
dence que, comme l'enseigne Charcot, la chorée rythmée n'est qu'une
attaque
hystérique transformée. Dans l'attaque et dans
chorée rythmée n'est qu'une attaque hystérique transformée. Dans l'
attaque
et dans l'état de mal du sommeil hystérique, il n
mal du sommeil hystérique, il ne s'agit en réalité que d'une grande
attaque
modifiée par l'immixtion des phénomènes létharg
emble sans que la malade en ait conscience. S'occupant ensuite de l'
attaque
cataleptique, de l'attaque des délires et des é
ait conscience. S'occupant ensuite de l'attaque cataleptique, de l'
attaque
des délires et des étals délirants, l'auteur ar
lons d'une même chaîne qui commence au délire hallucina- toire de l'
attaque
pour se terminer au vigilambulisme ; il en est de
-deux ans, manouvrière à Saint- Hilaire-les-Andrésis, sujette à des
attaques
d'épilepsie, a été trouvée noyée dans un lavoir
ttoyer, l'haleine devenir meilleure et aux vertiges faire suite les
attaques
convulsives. Celles-ci se renouvellent cinq à s
transforme les accès convulsifs en vertiges, en accès incomplets en
attaques
hysté- riformes et en excitation cérébrale, mai
r le passé. En ce moment l'une et l'autre viennent d'avoir quelques
attaques
et sont dans une période d'agitation légère. Ce
chiv. f. Psychiat., XXVI, 1.) Observation I. Troubles de la parole.
Attaques
congestives; réaction pupillaire défectueuse; n
ymptomatologie. 1° Aura, observée seulement 42 fois. 2° Nature de l'
attaque
, constatée 212 fois, qui se répartissent ainsi
rotatoire, 2 fois, et épilepsie psychique, 6 fois. 3° Fréquence des
attaques
, notée 167 fois : une ou deux attaques par mois
ue, 6 fois. 3° Fréquence des attaques, notée 167 fois : une ou deux
attaques
par mois dans 44 cas; attaques irrégulières ou
taques, notée 167 fois : une ou deux attaques par mois dans 44 cas;
attaques
irrégulières ou groupes irréguliers d'attaques
ar mois dans 44 cas; attaques irrégulières ou groupes irréguliers d'
attaques
dans 41 cas; une ou plusieurs attaques quotidie
res ou groupes irréguliers d'attaques dans 41 cas; une ou plusieurs
attaques
quotidiennes dans 29 cas; une ou deux attaques
as; une ou plusieurs attaques quotidiennes dans 29 cas; une ou deux
attaques
par semaine dans 28 cas; une ou deux attaques p
s 29 cas; une ou deux attaques par semaine dans 28 cas; une ou deux
attaques
par an dans 25 cas. 4a Heures des attaques, not
dans 28 cas; une ou deux attaques par an dans 25 cas. 4a Heures des
attaques
, notées dans 126 cas : dans 59 cas, les attaque
s. 4a Heures des attaques, notées dans 126 cas : dans 59 cas, les
attaques
se montraient indifféremment le jour et la nuit;
raphe de l'étiologie, l'hémiplégie transitoire qui survient après l'
attaque
d'épilepsie, ou en d'autres termes l'hémiplégie
st influencé par des facteurs très divers, tels que l'hérédité, les
attaques
antérieures, la cause déterminante, la précocit
immédiat ou défi- nitif, est d'autant plus grave que le nombre des
attaques
anté- rieures est plus grand. Il est, d'autre p
asile le signalait comme épileptique, mais on n'a jamais constaté d'
attaques
pendant son internement. Cependant, dans l'hy
une affection du coeur sans avoir pour cela des phobies pendant les
attaques
d'asystolie. Il cite une observation à l'appui
sent favorables. M. GLEY tient à faire remarquer de nouveau qu'il n'
attaque
aucune théorie et ne soutient ni l'h3·perthyroï
adie de Basedow typique. Cette femme était une hystérique, dont les
attaques
cessèrent lorsque le syndrome base- dowien appa
hui permettent de la considérer comme une hystérique. Lorsque les
attaques
l'ont quittée, une époque malheureusement t ind
estations habituelles de l'épilepsie convulsive (absence, vertiges,
attaques
complètes ou incomplètes) peuvent avoir des imp
lsifs, voit ces troubles disparaître au moment où il pré- sente des
attaques
d'épilepsie qu'il n'avait point éprouvées jusque-
oint éprouvées jusque- là, et inversement les cas dans lesquels des
attaques
d'épilepsie convulsive diminuent de fréquence o
enfin sortent de leur crise d'une manière identique. L'un a eu des
attaques
d'épilepsie convulsive, l'autre n'en a jamais pré
tiques les uns aux autres chez le même individu. A l'identité des
attaques
entre elles se rattache un autre carac- tère qu
otion fasse défaut, soit qu'on ne puisse par soi-même constater les
attaques
, soit qu'il ne se trouve personne ni rien pour
e, est le vrai critérium médico-légal. La constatation ultérieure d'
attaques
d'é- pilepsie laisse toujours la porte ouverte
urait manquer de signaler aux juges l'étroite connexion qui relie l'
attaque
d'épilepsie aux pertur- bations psychiques les
nouveau d'épilepsie observé sur un jeune homme élève d'un lycée. L'
attaque
provenait d'une idée qui, grossissant peu à peu
à propos de l'observation précédente où le malade a pu refréner ses
attaques
dans certains cas, cite un malade qui, par un e
s, cite un malade qui, par un effort volontaire, a pu supprimer des
attaques
épileptiques diurnes fréquentes. M. GARNIEIi.
fatalité du mal sacré. Il. Laroussime rappelle à son tour les cas d'
attaque
avortant par SOCIÉTÉS SAVANTES. 249 ligature
eux-ci ont conscience des actes qu'ils accom- plissent pendant leur
attaque
d'épilepsie larvée, mais ils n'ont pas le souve
ant l'alcool dans lequel elle est dissoute (elle ne provoque plus d'
attaques
d'épilepsie si elle est injectée en solution da
ec une conduite normale pour le reste. On voit survenir parfois des
attaques
apoplectiques. Au point de vue somatique, il faut
c brutalité. Une pauvre femme atteinte de mélancolie, était prise d'
attaques
au cours des- quelles elle ne savait plus ce qu
G voit son mal évoluer rapidement; depuis mai 1891, il présente des
attaques
caractérisées par une perte de connaissance com
ie chronique, durant depuis trois ans, fut brusquement frappé d'une
attaque
d'apoplexie mortelle : M. Tambourer attribue à
ar l'absence totale d'aphasie : la malade, droitière, a eu quelques
attaques
convulsives et épilep- tiformes ; débile, elle
on dégénérative, pas de tremblement intentionnel. En juil- let 1891
attaque
apoplectiforme sans autre conséquence. Le 7 août,
ion avec 1\lI. Regnier, Laroussinie, Régis. On peut réveil- ler des
attaques
d'hystérie chez les malades nerveux par les opéra
hystérique. LE BECQ. Contribution à l'étude du traumatisme dans les
attaques
d'épilepsie. Fayet. Les aponévroses cervicales.
nce chez une femme de vingt-six ans. La plus grande fréquence des
attaques
et un embarras croissant de la parole déterminère
eu à peu et trois mois après elle n'avait encore eu aucune nouvelle
attaque
. II. Observation d'épilepsie procursive type à
rte de délire musculaire se rapprochant plus ou moins d'une franche
attaque
d'hystérie. Aussi devra-t-on prendre la précaut
ois suivie de récidive. De même que dans les observations d'Erb les
attaques
dyspnéiques apparurent subitement au milieu d'u
i- tation. Il en résulte que chez l'homme, un très petit nombre d'
attaques
épileptiformes tiennent à une intoxication de ce
latation pupillaire surtout il gauche. Le cinquième jour vingt-cinq
attaques
convulsives, qui persislent pendant une semaine
e nouvelles recherches, mais un fait est certain c'est qu'avant les
attaques
l'urée était éliminée en quantité insuffisante.
SOCIÉTÉS SAVANTES. 407 restreignant la durée, et prédisposant à des
attaques
congestives; celles-ci ont été observées dans 5
vé la combinaison des convulsions épileptiques dues à l'alcool et d'
attaques
hystériques. Les premières disparaissent par l'
térie traumatique une dose minime d'alcool parait faire avorter les
attaques
hystériques. Au point de vue du traitement, on
ilepsie. Le médecin-major dans son rapport certifiait l'existence d'
attaques
graves et fréquentes suivies d'une longue pério
illes hystériques qui,à lasuite d'un viol, voient au cours de leurs
attaques
se dérouler la scène du viol. M. Pick rappelle
veurs. Convulsions trois jours après la naissance. Au onzième jour,
attaque
apoplectiforme avec paralysie du côté droit. Le
res a trait soit à des dangers qui menacent l'existence, soit à des
attaques
contre l'honneur du patient, soit à des idées d
au Dieu sauveur tout-puissant, semble préserver la personnalité des
attaques
du démon. Les individualités ne sont plus entam
en clinique n'avait pu les révéler. La maladie avait débuté par des
attaques
épilepti- formes avec convulsions localisées au
avec convulsions localisées au bras et à la jambe gauches ; ,; ces
attaques
, d'abord simples, s'accompagnèrent plus tard d'ap
les muscles. Elles préoccupent beaucoup plus les malades que les
attaques
caractérisées et, comme celles-ci, s'améliorent p
ement. Les asiles de la Seine n'ont naturellement pas échappé à des
attaques
dont la vio- lence exagérée a été heureusement
ature dans les accès épileptiques, les vertiges épileptiques et les
attaques
h ? lsléro-épilepliques. Volume in-So ùe \)6 pa
t mort jeune par accident. Sa mère est très nerveuse, elle a eu des
attaques
de nerfs, elle a une sorte de paralysie du bras
flexe anal.' SOCIÉTÉS SAVANTES. -157 Dans l'hystérie, pendant les
attaques
, ainsi qu'en dehors des attaques le phénomène f
157 Dans l'hystérie, pendant les attaques, ainsi qu'en dehors des
attaques
le phénomène fait constamment défaut. Il en résul
ire est normal en dehors des crises, permet d'écarter l'hypothèse d'
attaque
hystérique et pourrait, dans un cas douteux, se
erte a éclairé cette question et rendu effective la thérapeuthique.
Attaques
de som- meil, fugues, vagabondage ; troubles di
atteinte d'abord'd'hémiplégie droite avec aphasie. Dix mois après,
attaque
convulsive suivie de mono- plégie gauche, de pa
tpellier). L'hémorragie cérébrale ne se marque pas toujours par l'
attaque
d'apoplexie brutale. En dehors des cas où elle pe
description. D'après lui, en dehors de la modalité progressive de l'
attaque
qui en est le caractère distinctif, il semblera
paludisme peu sévères. Le 3 janvier 1892, cette femme présente une
attaque
avec para- lysie du côté droit. Insuffisance ao
de connaissance ; enfin' le seul symptôme de début peut être une
attaque
de paralysie qui disparaît rapidement. L'absenc
r, trois jours pan exemple après la disparition rapide d'une légère
attaque
de paralysie du début, se produire brusquement
riode prodromique très prolongée et progres- sivement aggravée de l'
attaque
d'apoplexie. Il est à remar- quer en effet qu'à
l'attaque d'apoplexie. Il est à remar- quer en effet qu'à côté des
attaques
d'apoplexie ordinaires avec ictus instantané, i
mbre, portant une bougie à la main ; comme elle était sujette à des
attaques
d'épilepsie, on suppose qu'elle est tombée et q
ATHOLOGIE NERVEUSE. 315 Il s'agit en réalité non d'une narcolepsie (
attaques
de sommeil) mais d'une somnolence permanente; d
arante-neuf ans, ayant eu sept semaines avant la mort, à la suite d'
attaques
congestives prédominant à gauche, une hémipa- 3
la malade, atteinte de névrite parenchymatellse subaiguë (troisième
attaque
, à la suite des couches) greffée sur le terrain
persistante (syphilis ? ). Quinze jours après les couches, première
attaque
hystérique Dix-huit mois plus tard, deuxième at
ches, première attaque hystérique Dix-huit mois plus tard, deuxième
attaque
. A partir du printemps 1898, les accès se répèt
l'intelligence est intacte. Jusqu'au 9 décembre, la malade eut six
attaques
. A partir de ce jour survient une série d'accès
ion physique. Pas de convulsions. - Intelligence normale. Début des
attaques
en octobre. 1897. - Affaiblissement simultané
ade ci treize ans. Traitement médico-péda- gogique. Disparition des
attaques
. - Amélioration progressive de l'elat intellect
Mère « névropathe des plus accentuées », sans cependant avoir des
attaques
de nerfs. Caractère peu commode. Morte onze jours
ontrariété, au moindre ennui (leçon non sue, devoir non fait) a des
attaques
de durée variable; en a eu jusqu'à neuf par jou
t à bégayer et le bégaiement ne disparut qu'à la réapparition des
attaques
. Dans l'impossibilité de garder plus longtemps l'
se, la marche, tendance à se voûter. Lorsque Gabriel a eu plusieurs
attaques
consécutives, il marche les cuisses serrées l'u
Volonté plutôt active mais facile à entraîner. Description d'une
attaque
. Gabriel est debout adossé au cham- branle d'un
sser la main entre le sol et les fesses de l'enfant. A mesure que l'
attaque
se continue, la face tout en restant con- gesti
estent immobiles même si on fait passer un objet devant les yeux. L'
attaque
proprement dite a duré dix-huit minutes. Puis G
e tétaniforme en même temps que la face reprend la physionomie de l'
attaque
. Les bras restent quelques secondes raides mais
aux scolaires et manuels, traitement moral. ' Février. Le 10, trois
attaques
. - Le 13, une (décrite ci-dessus). - Le 14, tro
- Le 14, trois Le i 5, deux. Le 17, deux. - Le 18, deux. Toutes ces
attaques
ont présenté les mêmes caractères que celle du
ieu des secousses tétaniformes qui marquaient la seconde phase de l'
attaque
, nous constatons après plusieurs cris de joie a
e qui lui donne l'angoisse de J'étouffemenl. Quelques heures après,
attaque
. Le 2-1, deux attaques ; elles se sont succédée
se de J'étouffemenl. Quelques heures après, attaque. Le 2-1, deux
attaques
; elles se sont succédées à une demi-heure d'in
te, etc. Il fait les mouvements d'une personne qui se défend et qui
attaque
, les poings sont fermés, l'avant-bras replié su
tantôt la frayeur, tantôt la colère ; il ne bave plus. La deuxième
attaque
a présenté les mêmes caractères en raccourci; d
é les mêmes caractères en raccourci; durée, dix minutes. Le 28, une
attaque
; dans la période de résolution, Gabiiel tout e
obstacle s'oppose à leur contact. - Toutes les fois qu'il y a eu
attaque
dans la journée, la nuit l'enfant est très agité,
régulièrement que le permet son état. Mars. Même traitement. - Onze
attaques
en tout. Durée moyenne quatre minutes. La rigid
ge caractérisé par la fixité du regard, durée dix secondes. - Le 5,
attaque
complète durée vingt minutes. -- Le '1, sommeil
ge, et, tout nous permet de croire qu'il y a eu guérison, car les
attaques
n'ont pas reparu depuis mai 1898. REVUE D'ANATO
anément atteintes, quoique dans leur trajet intramédullaire. Cela n'
attaque
pas l'opinion, d'après laquelle la substance gr
ubarbe, ou un peu d'aloès. La codéine est encore indiquée quand les
attaques
sont accompagnées d'une extrême irritabilité so
des troubles intellectuels, tels que du délire, qu'on peut, avant l'
attaque
, rattacher, comme l'étourdissement, à l'is- ché
, démence absolue, avec persistance des troubles hallucinatoires et
attaques
épileptiformes fréquentes. Mort dans le coma vi
a paupière supérieure). En octobre 1893, la malade meurt dans une
attaque
apoplectiforme. L'aulolJsie montre un vaste foy
Dans le premier cas, il s'agit d'un officier chez qui, après des -
attaques
de choléra est survenue une atrophie du membre su
contractions de l'estomac, de l'intestin et de la vessie pendant l'
attaque
d'épilepsie ; par W. Ossipow. (Nell1'olog. Cen-
d'absinthe cultivée. Enregistrement des phéno- mènes : 1° Pendant l'
attaque
, il se produit des contractions sto- macales, i
près. 2° Celles de l'estomac se montrent dans environ 50 p. 100 des
attaques
; elles se limitent principalement au cardia et
le, du gros intestin et de la vessie sont un accident constant de l'
attaque
d'épilepsie : a) celles du jéjunum commencent à
lepsie : a) celles du jéjunum commencent à la période clonique de l'
attaque
, un peu après la cessation des convulsions des
aussi après la cessation de toutes les contractions produites par l'
attaque
d'é- pilepsie, a lieu, dans la majorité des cas
- sécutives à l'ablation de la zone motrice de l'écorce pendant l'
attaque
d'épilepsie; à la section transverse du tronc du
l'estomac, aux intestins, à la vessie, observés dans le cours de l'
attaque
produite par l'influence du REVUE DE PATHOLOGIE
entre cortical de l'estomac, de l'intestin, de la vessie, mais de l'
attaque
elle-même qui apparaît comme résultant d'une ex
t placés ; 7° L'asphyxie, qui se montre continuellement pen- dant l'
attaque
d'épilepsie, est une cause adjuvante des contrac-
abdomen, de même que l'intestin et la vessie se contracte pendant l'
attaque
d'épilepsie : 9° L'émission de l'nrine et des m
émission de l'nrine et des matières fécales, si fréquente pendant l'
attaque
, résulte a la fois de ces contractions et de la
riés et les contractions stomacales, intestinales et vésicales dé l'
attaque
; les unes et les autres dépendent de la zone m
cordes vocales. P. Keraval. LX. Paralysie radiale consécutive à des
attaques
d'épilepsie ; par Adlku. (Neu2'°loy. Centralbl.
, les contractions violentes et soudaines des mus- cles pendant une
attaque
convulsive paraissent aptes à déterminer la com
donc la paralysie du radial est-elle néanmoins rare à la suite des
attaques
d'épilepsie ? C'est que, probablement, pour qu'
ration, quand, pendant la nuit du quatrième jour, il se produit une
attaque
d'épilepsie corticale; brusque rotation de la t
et de la face du côté droit, perte de connaissance; stertor. Trois
attaques
de quelques minutes entre chacune desquelles le
rin- cipales des sciatiques sont-prises. P. KERAVAL. 1.Y\III. Des
attaques
épileptiques et épileptoïdes revètant la forme
e ou à l'état d'accès complèlementautouomes, qui alternent avec les
attaques
d'épilepsie. Il est plus rare de voir l'angoiss
mptôme le plus essentiel de la névrose épileptique ; en ce cag, les
attaques
d'épilepsie proprement dites diminuent nettemen
s antiépileptiques. On les observe parfois encore dans le cours des
attaques
congestives épileptiformes de la démence paraly
enne, hémiplégie, hémianopsie, amaurose, ralen- tissement du pouls,
attaques
apoplectiformes, elc. La lenteur du développeme
générale de la sclérose en plaques. La méningite peut expliquer les
attaques
épileptiformes ou apoplectiformes, assez fréque
n'avait jamais présenté aucun symptôme de dérangement cérébral, son
attaque
l'avait pris si subitement qu'il ne pouvait guè
dans l' -, par Ossipow, 488. Paralysie radiale consécutive il des
attaques
cI ? par Aduler ? 1tJ. Accès teianoiaes dans n -,
Des fractures sponta- nées pendant les accès -, par Charon, 484.
Attaques
- forme d'angoisse, par de liechterew, 500. E
troubles fonctionnels liés aux affections nerveuses : chorées, tics,
attaques
convulsives, anesthésies, contractures et parésie
re. Mlle J..., 16 ans, vient me consulter le 26 avril 1895 pour des
attaques
cataleptiques qui datent de quatre mois et qui on
es dans la première enfance ni au moment de la formation. La première
attaque
, survenue il y a quatre mois, a coïncidé avec la
Trois jours après le début de cette douleur, est survenue la première
attaque
suivie depuis d'un grand nombre d'autres, 4 à 6 p
attaque suivie depuis d'un grand nombre d'autres, 4 à 6 par jour. L'
attaque
est caractérisée par la perte à peu près complète
raideur complète et générale, avec tresmus, pâleur de la face. Les
attaques
durent 5 à 6 minutes et elles sont souvent suivie
sieurs reprises de la demi-perle de connaissance et même une fois une
attaque
, parce que j'avais insisté sur le toucher. Cett
e qu'elle entend ma voix. De plus, elle a la même douleur et autant d'
attaques
. L'idée me vient que son état maladif étant la ca
sa mère m'apprend avec joie que sa fille n'a plus eu de douleurs ni d'
attaques
. Dans la quatrième séance je renouvelle dès le
aucune atteinte de ce terrible mal. » C'est une de ces guérisons d'
attaque
hystérique par l'imposition des mains, comme en s
'Evénement a pris texte de cette communication pour formuler diverses
attaques
contre M. le professeur Bernheim, lui reprochant
° 0. Novembre 1895. ACTION I? HI?I? 01R ? DE LA VOLONTÉ sur les
attaques
d'épllepsie (') Par M. le D' Ph. TIS8IÊ, de Bor
is jusqu'à ce jour que la volonté n'a aucune action inhibitoire sur l'
attaque
épileptique, celle-ci étant, comme on l'a déjà di
plète de ce qu'il avait fait ou dit dans l'intervalle. Cette première
attaque
est suivie de plusieurs autres pendant un mois, c
t l'esprit et que, malgré sa banalité, X... sent devoir provoquer une
attaque
. Cette idée s'impose, elle grossit peu à (1) Tr
sité même de cette seconde idée d'origine volitive ne provoque aucune
attaque
, alors qu'il n'en est pas de même de l'idée patho
crise. Un jour étant en voiture et conduisant, il sentit venir une
attaque
, il était assis auprès du cocher, sa mère était p
les rênes. Huit mois après, il dit avoir été atteint d'une première
attaque
pendant la nuit, entre une heure et deux heures ;
, mais l'état d'accès est si profondément établi qu'il fond les trois
attaques
en une seule. Après être reçu, il se rend à la ca
l de la Robine et tenait le gouvernail ; tout à coup, sentant venir l'
attaque
, il eut le temps de diriger l'embarcation vers la
il y a coïncidence régulière entre toute fatigue et la production des
attaques
. Le traitement polybromuré à haute dose, qui a ag
sans antécédents nerveux notables, la malade est brusquement prise d'
attaques
d'hystérie. Ces attaques apparaissent tous les de
notables, la malade est brusquement prise d'attaques d'hystérie. Ces
attaques
apparaissent tous les deux ou trois jours. Trois
skia Viede-mosti, déclare, sans vouloir se justifier et méprisant les
attaques
, que, s'il a fait une communication de ce cas int
mmeil impératif dans lesquels on voit des malades, pris de véritables
attaques
de sommeil, s'endormir subitement, au milieu de l
i accidents nerveux, qui, pendant plusieurs mois, était sujette à des
attaques
de sommeil qui la prenaient tout d'abord à des in
tique, j'eus la bonne fortune de diminuer d'abord la fréquence de ses
attaques
de sommeil qui s'élevaient à deux et trois par se
pêtrière, atteinte pareillement, dans les derniers temps de sa vie, d'
attaques
de sommeil, et dont j'ai eu l'occasion de faire l
ditaires et personnels névropathiques, est atteinte, à la suite d'une
attaque
apoplectiforme, d'hémiplégie droite ou plutôt d'h
au plus haut degré, pleurait et sanglotait comme un enfant. Puis je m'
attaque
à la jambe inerte, qui se met à fonctionner ; bre
ouvrière. ?. l'âge de vingt ans et trois mois, elle a eu une première
attaque
d'cpilcpsie, qui depuis s'est répétée tous les de
pilcpsie, qui depuis s'est répétée tous les deux à trois mois. Chaque
attaque
est suivie de stupeur, puis d'un délire qui dure
i a laissé un léger degré de surdité. Elle a été témoin de toutes les
attaques
de sa sœur, qui l'ont profondément impressionnée.
895, exactement au même âge de vingt ans et trois mois, elle a eu une
attaque
épileptiforme qui s'est répétée, depuis plusieurs
Le second frère des deux malades, né en 1871, ayant assistéà une des
attaques
épileptiformesde sa troisième sœur, eut à son lou
ne des attaques épileptiformesde sa troisième sœur, eut à son lourdes
attaques
de tout point semblables à ces dernières. Nous
serrées, perte do connaissance, mouvements cloniques, amnésie après l'
attaque
}. Plus tard, il apprit à se masturber et il s'y a
d'une autre cause, la tension neurique dépassera un certain degré, l'
attaque
comitiale éclatera rapide comme l'éclair. Au ré
un exemple de la puissance inhibitoire de la volonté du sujet sur les
attaques
diurnes de cette névrose. X..., en effet, sans
résiste, il ne veut pas tomber et il ne tombe point. Dès sa première
attaque
, à l'âge de cinq ans, alors même qu'il ignore le
s cloniques, et, à son réveij, il est amnésique : c'est donc bien une
attaque
d'épilepsie qu'il a eue. Plus tard, il résiste
éagir, le malade, livré au sommeil, n'est plus maître de l'exercer, l'
attaque
a lieu complète, sans entrave, et encore a-t-il p
individus, ne sont pas autre chose qu'une inhibition matérielle de l'
attaque
. A la dernière réunion de la Société d'hypnolog
lui enjoignit de dormir pendant ces huit jours et de ne plus avoir d'
attaques
;la malade, en état de somnambulisme, mangeait, bu
ne influence cachée l'ayant poussée à ne pas se laisser endormir, les
attaques
anciennes ont reparu. Le mieux était dû évidemm
été trop forte, et la détente se sera-l-elle produite, comme dans ces
attaques
d'épi- lepsie et d'hystérie, où l'on diraitqu
353, à propos de paralysies et de névrites, suites de quatre grandes
attaques
apo-plectiformes : « la suggestion contribue dans
tion hypnotique Par le D' Auguste Voisin. Etat de mal hystérique.
Attaques
coiivulsives. Hallucinations et délire. Troubles
.., âgée de 14 ans, m'est amenée par sa mère le 29 mai 1895, pour des
attaques
convulsives qui lui reviennent très fréquemment,
ment, pour de la céphalée et pour du délire qui surviennent après les
attaques
. Cet état a débuté, il y a trois ans, par des cto
oduisaient d'une façon continue. Deux jours après, elle a été prise d'
attaques
caractérisées par la perte presque complète de sa
ranglement, le tout durant de dix à trente minutes. Elle a cinq à six
attaques
semblables par jour. Ce matin, elle en a déjà eu
attaques semblables par jour. Ce matin, elle en a déjà eu deux. Ces
attaques
se produisent en dehors même des époques. Etat
relatives à son état et en particulier à son hypéres-thésie et à ses
attaques
. Le 31 Mai. Elle a déjà été hypnotisée 3 fois,
aques. Le 31 Mai. Elle a déjà été hypnotisée 3 fois, elle n'a eu ni
attaques
, ni étouffements, et elle ne manisfeste que quelq
e la séparation avec lui, qu'elle tomba dans la rue dans une première
attaque
de nerfs. Je dois ajouter que depuis son mariage,
; elle les entendait proférer des menaces contre elle. La nuit de l'
attaque
de nerfs qui éclata à la Charité, elle fut prise
née qui suivit. 11 fut placé dans un asile et, là, il eut plusieurs
attaques
d'hystérie. J'eus recours à la suggestion et pa
n de la volonté sur la circulation, 316. Action inhibitoire sur les
attaques
d'épilepsie. par Tissié, 129. Affections mental
éricaines, 318. Epilepsie (action inhibitoire de la volonté sur les
attaques
d'), par Ph. Tissié, 129. Etres fantastiques et
de.,Bright, met en premièret;ligne4des,variétés,de ces troubles, l'
attaque
plus ou.'moins soudaine,de,stupeur qui} peutàè,
cinquante-deux ans dans un état de somnambulisme,' terminé par des
attaques
d'hystérie. Le souvenir de la fugue et de la jour
«f» "" 1 · -1 ? ,, .i,tù,n^, nmbo^m^ *»<2"l>. En septembre,
attaque
.de. dysenterie qui,fait.faire à,la paralysie de
VANTES. jours on redescendit aux chiffres qui étaient notés avant l'
attaque
congestive. r Wt > » ! '* ' - ; - 1 1 il z
ttaque congestive. r Wt > » ! '* ' - ; - 1 1 il z A la suite d'
attaques
d'épilepsie grave, il'y a d'ordinaire augmen- t
" prenant depuis onze ans du bromure, a, une demi- heure avant `une
attaque
graver un poids spécifique de 1,067 une proport
Falret a observé aussi plusieurs cas d'aura visuelle précédant une
attaque
d'épilepsie. Un malade, qui avait eu sa première
dant une attaque d'épilepsie. Un malade, qui avait eu sa première
attaque
à la suite de la morsure d'un chien, voyait ce mê
e et n'avait aucun rapport avec la frayeur. M. JORFROY. Pendant l'
attaque
il a parlé à sa fille; on ne peut donc considér
e; on ne peut donc considérer le mutisme comme pathognomonique de l'
attaque
d'épilepsie. Quelques-uns ne peuvent répondre p
coup rata ; mais le len- demain le sous-officier avait une première
attaque
d'épilepsie. Les auras qu'il eut, par la suite,
douleurs dans les reins. Il y a dix-huit mois, il paraît avoir une
attaque
épileptiforme sans perte de connaissance (mouve
nts dans le côté gauche de la face et dans le bras du même côté), l'
attaque
a duré environ dix minutes et presque aussitôt
la parole embarrassée. (Il y a six mois, au mois de mai), nouvelle
attaque
épileptiforme (côté gauche), sur le boulevard H
était très emporté s'adoucit un peu plus tard. En 1889. Première
attaque
caractérisée par des contractions spasmodiques
hasie, parésie du bras gauche ayant duré un quart d'heure. Deuxième
attaque
en 1890; de la même nature. Troisième attaque e
art d'heure. Deuxième attaque en 1890; de la même nature. Troisième
attaque
en 1891 ; commencement. Quatrième attaque en ma
la même nature. Troisième attaque en 1891 ; commencement. Quatrième
attaque
en mai 1892. Jamais de troubles digestifs ni d'
arche de la maladie. 23 octobre 1892. Cette nuit le malade a eu une
attaque
épileptiforme sans morsure de la langue, ni mic-
flexe plantaire. Le malade est arrivé à cet état graduellement sans
attaques
congestives ni épileptiformes dans ces derniers
e dix à vingt minutes. Les excitations fortes engendrent de grandes
attaques
d'hystérie, mais on les suspend en frottant légè-
pend en frottant légè- rement les globes oculaires. A la suite de l'
attaque
, il y a mutisme hystérique de quelques secondes
e primitif revêtant la forme de mélan- colie ou de manie. Snell l'
attaque
et montre qu'il existe une paranoïa primitive,
ni troubles des sens spé- ciaux.Les malades eurent leurs premières
attaques
après la soixante- treizième année. (British Al
ments choréiques, tremblements, certaines amnésies et aboulies, les
attaques
, les crises de somnambulisme, les troubles vasc
de l'hystérie. Qu'on ait affaire à un spasme, à une idée fixe, à l'
attaque
ou au délire, tous ces troubles paraissent résult
a eue à faire de l'hystérie une folie. On trouve d'ailleurs dans l'
attaque
d'hystérie des troubles délirants qui appartienne
lie et de l'hystérie. SOCIÉTÉS SAVANTES. 225 C'est dans la grande
attaque
que les troubles délirants se mani- festent ave
ent dans un monde imaginaire. La quatrième et dernière période de l'
attaque
porte le nom de période de délire. C'est assez
tions déli- rantes sont le phénomène capital. A côté de la grande
attaque
avec toutes ses phases, il existe des formes in
a des délires simulant des délires d'autre nature. Le délire de l'
attaque
d'hystérie est généralement passager; il suppri
supprime ce qui reste de conscience au malade dans l'intervalle des
attaques
. Mais cet anéantissement de la conscience ne s'ob
es formes vraiment accusées de délire. On a expliqué le délire de l'
attaque
en l'envisageant comme un rêve qui se repro- du
oins impressionné la malade. Lorsque ce rêve a lieu (au moment de l'
attaque
) il absorbe à son profit toute l'activité cérébra
amène chez d'autres malades des paralysies, des contractures ou des
attaques
. Pour en finir avec les troubles mentaux qui ress
tions provoquées par le rêve qui représente la phase délirante de l'
attaque
, sont assez accusées pour qu'au premier abord o
tres carac- tères, autorise à considérer comme des équivalents de l'
attaque
hystérique, on en voit d'autres d'une durée de
s qui se relient étroitement soit aux concep- tions délirantes de l'
attaque
, soit à des idées fixes ou à des rêves. Mais in
que qu'aux accidents qui se rattachent ou dérivent directement de l'
attaque
d'hystérie complète ou fruste ou d'une autre mani
lui rapporta bientôt vivant. Trois jours après elle eut une grande
attaque
d'hystérie convul- sive suivie d'une scène de d
'accident et parfois le souvenir de la scène déterminait une grande
attaque
d'hystérie suivie d'un délire tou- jours identi
t sauf, souriant et bien portant. L'effet fut des plus heureux. Les
attaques
convulsives et délirantes disparurent très rapi
tu n'es pas blessé ; tu l'as échappé belle ! 1 » Débarrassée de ses
attaques
, la 'malade conservait un certain nombre d'acci
t sujette à des rechutes. Et l'on voit fréquemment, après plusieurs
attaques
de manie aiguë rémittente, l'affection passer à
ues. C'était la présence d'une anesthésie qui disparaissait après l'
attaque
, j'ai eu l'occasion d'observer des cas semblables
nombre d'accidents ner- veux : crises et hoquets, quintes de toux,
attaques
syncopales, etc.; mais ces accidents n'autorise
orter la conviction. Personne ne conteste aujourd'hui que certaines
attaques
d'hystérie ne puissent être remplacées par des
acées par des crises de manie qui constituent une forme fruste de l'
attaque
. Il s'agit seulement de savoir si les accès de ma
roduit par l'éther ou le chloroforme, dernière période de la grande
attaque
), il faut joindre un certain nombre d'états frust
L'épilepsie, cette grande névrose à paroxysmes, peut accoler à l'
attaque
, en dehors des accès maniaques ou mélancoliques
n organique du coeur, 3; phtisie pulmonaire, 4; fièvre typhoïde, 1;
attaques
subintrantes d'épilepsie, 3; cancer de l'utérus,
plu- sieurs religieuses débutèrent déjà dans la maladie, par des
attaques
plus ou moins complètes, s'accompagnant de vomis-
riaient plus ou moins, , BARBE BUVÉE. 509 suivant les sujets. Les
attaques
avec perte de connaissance, parfois accompagnée
et à com- mettre toutes sortes d'excentricités. D'autres fois les
attaques
prenaient le caractère léthargique, comme chez
on des assistants. - Les contractures diverses qui accompagnent l'
attaque
hys- térique et persistent même parfois, en deh
nt l'attaque hys- térique et persistent même parfois, en dehors des
attaques
, donnent également l'explication scientifique d
nt pendant le voyage : peut-être avait-il eu à ce moment une petite
attaque
apoplectiforme. Amélioré, il retourne à Lama- l
e à déterminer rétrospec- tivement. Jusqu'à il y a six mois, plus d'
attaques
. Depuis cette époque, elle s'est trouvée mal se
us comme atteinte d'anesthésie généralisée. Elle a d'autre part des
attaques
plus ou moins intenses, mais toujours du même t
ac- tères. Cette amnésie s'est montrée le 26 mai à la suite d'une
attaque
survenue dans l'après-midi, au retour de quelques
ograde de quelques heures, comprise entre la venue du gendarme et l'
attaque
. Cette période rétrograde comprend même quelque
salle, sur ses voisines, sur ce qui se passe autour d'elle, sur ses
attaques
et leurs particularités. Elle a une notion et u
s son sommeil natu- rel et le revoir tout le temps à chacune de ses
attaques
. C'est d'ailleurs ce que nous avons pu constate
son père, de son émancipation. Et dans la période délirante de son
attaque
, c'est l'hallucination visuelle du gendarme qui
ure les particularités, lorsqu'un jour, au lendemain d'une violente
attaque
, nous répétons cette expérience de la même faço
égère amélioration dans l'état mental, jusqu'à ce qu'une nou- velle
attaque
, en rappelant le délire, vint tout remettre en
dale d'où les vertiges et tintorius. Le traitement préconisé pour l'
attaque
consista en bromure de lithium, colchique et sa
LOGIE NERVEUSE. 393 avec purgatifs (calomel). Dans l'intervalle des
attaques
paroxys- tiques la quinine et la pilocarpine. A
eux aussi, durée plus longue de la maladie, rareté plus grande des
attaques
congestives, explosion plus précoce de la malad
s'est contenté de se défendre, dès maintenant il se lève, prêt à l'
attaque
. Les modes de réaction varient, en effet, avec
Excédé enfin par ces continuels outrages, le délirant chro- nique
attaque
à son tour : dans la rue il frappe un passant q
'accident, alors qu'il était encore à Saint-Louis, il aurait eu une
attaque
de nerfs, caractérisée par du tremblement et de
e- vomissements, d'étouffements avec tremblement, d'une véritable
attaque
de nerfs. Il urine souvent un litre par miction.
de rapporter l'histoire est in- contestablement un hystérisque. Ses
attaques
, son hémianes- thésie, etc., nous dispenseront
ue. Il fait expressément remarquer que trois de ces malades ont des
attaques
convulsives, hystériques, tout au moins chez l'
de l'affaissement des muscles de la mimique et du squelette, des
attaques
épileptiformes. Or ceci n'existe pas dans leb for
a- niaque des épileptiques et les équivalents psychiques de leurs
attaques
convulsives puissent être tenus pour de la confus
is ans, s'y marie en 1895. Peu de temps après a coup sur coup trois
attaques
épileptiformes. Grand fumeur, il ne fait aucun
génitaux : il présente un tic de la mâchoire inférieure, depuis ses
attaques
. A la suite de sa vie errante où il a dilapidé
nait en courant dans mon cabinet. Je crus que son mari avait eu une
attaque
. Non, mais depuis un instant elle se sentait mo
e en plaques. P. KERAVAL. IV. De l'immobilité des pupilles dans les
attaques
hystériques; par Karplus. Ueber PU}Jillellsta1'
éré et Pausier) ont admis comme démontré qu'il n'y avait pas dans l'
attaque
hystérique d'immobi- lité des pupilles, et que
l'immobilité des pupilles est un symptôme observé dans les grandes
attaques
hystériques, et qu'on ne peut utiliser ce signe
et l'immobilité des pupilles dans les deux premières périodes de l'
attaque
; l'immobilité pupillaire a été noté en outre d
de l'attaque ; l'immobilité pupillaire a été noté en outre dans des
attaques
hystériques non convulsives, z / , REVUE DE PAT
sujets, sans que la conscience fitt profondément troublée (petites
attaques
avec troubles respiratoires, etc.). On peul s'é
ute, on avait l'idée pré- conçue que l'immobilité des pupilles et l'
attaque
hystérique étaient deux manifestations de natur
endant rien qui empêche de considérer les troubles pupillaires de l'
attaque
hystérique comme un phénomène cortical : -. la
chez les malades de 11Z..Ianet : phénomènes d'aboulie, idées fixes,
attaques
de délire, etc. ; il n'y a pas eu chez lui ces
d'un homme atteint de syphilis cérébrale chez qui à la suite d'une
attaque
épileptiforme suivie de délire hallucinatoire p
ques sont niés. Dans toutes les observations, sauf la septième, les
attaques
avaient commencé dès l'enfance : dans celle-ci,
a paralysie progrès sive des aliénés et la démence secondaire, sans
attaques
d'épilep- sie. Dans la dernière, la corne faisa
dance à diminuer plutôt qu'a augmenter. Dans l'un des cas ce fut l'
attaque
convulsive qui permit de faire le diagnostic. L.
sort réservé à sa propo- sition'. R. DE 111oscnavE CLAY. VI. Une
attaque
d'épilepsie (status epilepticus) suivie au bout d
épilepsie (status epilepticus) suivie au bout de six semaines d'une
attaque
de chorée, chez une malade atteinte de folie- p
este diminuée. 11 est parfaitement établi,10 que pendant et après l'
attaque
, l'am- nésie et la dysphasie sont bien accusées
athématiques ; mais sa vie intellec- tuelle est interrompue par une
attaque
d'aliénation mentale, pour laquelle il est enfe
dence d'un grand génie. Suivant l'expression du Dr Dumas, après son
attaque
de manie de 1 826, ilcôtoya la folie ; et si par
'hygiène et par son régime mental, il réussit à éviter une nouvelle
attaque
, il resta sujet à des crises nerveuses intenses
étiologique est souvent difficile. Dans l'automatisme hystérique l'
attaque
est rarement ou même jamais, de courte durée. E
hystérique. Le malade peut se rappelercequi s'est passé durant son
attaque
, ou s'il y a amnésie, il est possible de retrou
y a amnésie, il est possible de retrouver l'histoire complète de l'
attaque
par l'hypnotisme. Ce dernier caraclère a une impo
puberté, la déviation conju- guée des yeux dans l'une au moins des
attaques
; l'inconscience REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.'
asie temporaire, paralysie et paresthésie, peut un jour avoir des
attaques
convulsives jacksonniennes. L'auteur donne, de ce
urvint chez une petite fille de onze ans. Quelques semaines avant l'
attaque
de cécité elle se plaignit de douleurs sus-orbita
us en avons observé un cas chez une vieille femme, à la suite d'une
attaque
apoplectique. La paralysie de la 3e paire était
brale. Le diagnostic de siège fut fait d'une part par l'existence d'
attaques
partielles du côté droit d'autre part, par la p
présente une jeune fille qui, à la vue d'un incendie, a été prise d'
attaque
convulsive hystérique. Depuis lors, chaque nuit
s analogue d'oedème bleu du pied chez une hystérique qui, après ses
attaques
convul- sives, présentait des hémoptysies. M.
enon, elle prit dans l'hospice des crises d'hystérie à la vue d'une
attaque
présentée par une jeune femme de ses compagnes.
s les maladies du faisceau pyramidal; par exemple, au début d'une
attaque
d'hémiplégie avant l'établissement du réflexe rot
généralement sont : au point de vue physique : la céphalalgie, les
attaques
hysté- riformes ou épileptiformes, les états ca
peut voir de même dans la période prémonitoire du délire aigu des
attaques
hystéri formes ou épilp.ptifo1'1nes. Audemard a c
nution de la résistance de la peau et, finalement, au cours de l'
attaque
extatique, l'écoulement sanguin si ardemment dési
même à doses modérées peut conduire à l'alcoolisme. L'alcoolisme
attaque
le buveur non seulement dans sa personne, mais
de cette affection une entité morbide distincte. La périodicité des
attaques
, la paralysie motrice flaccide, la perte des ré
te de troubles sensitifs,et la santé parfaite dans l'intervalle des
attaques
rendent très caractérisque le tableau clinique.
re périodique,, survenant dans premières périodes de la maladie.Ces
attaques
de cécité sont secondaires, et durent de quelqu
obre 1900.) La perte du langage survenait tantôt après une sérieuse
attaque
du grand mal épileptique, d'autres fois après u
sérieuse attaque du grand mal épileptique, d'autres fois après une
attaque
de petit mal, quelquefois indépendamment de tou
après une attaque de petit mal, quelquefois indépendamment de toute
attaque
convulsive. Dans ce dernier cas, une forte sugg
Jeune fille de v ingt-deux ans, faisant remonter sa maladie à une
attaque
de grippe, survenue il y a quatre ans, à laquelle
ns les Archives de neurologie, le malade est mort après une série d'
attaques
épileptiformes et que les lésions macroscopique
des nouveau-nés, maladie bleue, urémie, intoxication alcoolique,
attaques
d'apoplexie, etc., et il insiste sur ce point que
nostic n'était possible que depuis peu de temps. Ce malade ayant eu
attaque
apoplectilorme, on prit alors sa température re
prononcer sur l'existence ou la nou-existence d'une grossesse, je m'
attaque
aux vomissements et - au ptyalisme. Cette fois
époque, il eut un ictus avec symptômes épileptiformes. Une deuxième
attaque
épilepti- forme survint dix-huit mois après, à
il avait continué son état de marinier. Pendant l'année 1857, les
attaques
épileptiformes se renouvelè- rent presque tous
e d'aliénés. Depuis 1861 il n'a plus eu, jusqu'à cette admission, d'
attaques
convulsives. A son entrée à l'asile de Dijon, o
habitude, se tient plus difficilement sur ses jambes. 6 décembre.
Attaque
épileptiforme avec perte de connais- sance, res
tiforme avec perte de connais- sance, ressemblant entièrement à une
attaque
d'épilepsie ordi- naire. 15. Deux attaques épil
emblant entièrement à une attaque d'épilepsie ordi- naire. 15. Deux
attaques
épileptiformes. 16. Il ne peut plus se tenir de
uses. La maladie a débuté à la suite d'une violente émotion par des
attaques
épileptiformes, qui ne se sont compliquées de d
rielle pré- sentait une marche plus ou moins définie. Au début de l'
attaque
, à la période d'agitation et de troubles mentau
dinairement un très mauvais signe; mais il y a des exceptions, et l'
attaque
d'épilepsie peut quelquefois au contraire être
l'absence de tonicité ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 413 dans les
attaques
, la brièveté du stade tonique par rapport au st
e la lune, des époques menstruelles, des saisons, sur le nombre des
attaques
épileptiques, et enfin sur le traitement. R. de
abalistique permettant à cette persé- cutée de se défendre contre l'
attaque
de l'esprit du mail ». Enfin, dans quelque cas
fements, sans ver- tiges, sans cri, sans pertes de connaissance, ni
attaques
de nerfs. Il semblait littéralement asphyxié Al
si typique de Watson, cité par Briquet : une jeune femme, après une
attaque
d'hystérie convulsive, perdit la parole et rest
pendant quatorze mois.' Durant ce temps elle n'eut pas de nouvelles
attaques
convulsives et jouit d'une parfaite santé. Un s
six ans, héréditairement prédisposé à la folie, ayant déjà eu des «
attaques
» sur la nature desquelles il n'a pas été possibl
comprises et bien estimées permettraient aux intéressés de parer l'
attaque
; 6° Des mesures préventives devraient s'occupe
ntage d'un cas de démence épileptique bien que la malade ait eu des
attaques
con- vulsives, car les accès se sont surtout mo
d'une partie du lobe frontal, cette tumeur n'a donné lieu qu'à des
attaques
épileptiformes ne présentant aucun carac- tère
s de la corne d'Ammon dans l ? par Borozdine et Lioubimow, 121.
Attaque
d'- suivie de chorée dans une folie perpuérale
par IIunerford, 414. Hystérique. Immobilité des pupilles dans les
attaques
-, par Iïarples, 39. Sein -, par Lannois, 355.
ue dans les fonctionnelles, par Heil- bronner, 516. Puerpérale.
Attaque
d'épilepsie sui- vie de chorée dans la folie -,
olie -, par Easterbrook, 133. Pupilles. Immobilité des dans les
attaques
hystériques, par Karples, 39. QUEUE DE cheval
maladie de coeur, est morte subitement. t. Un oncle est mort d'une
attaque
d'apoplexie. Boul... a eu 5 soeurs. L'ainée, 33
90. Elle avait été bien por- tante jusque là et n'avait jamais eu d'
attaques
de nerfs. En août 1890, elle commença à souffri
ns l'intervention d'une pareille cause, il apparut dans une au- tre
attaque
semblable à celle que j'ai décrite des taches éry
exceptons l'anorexie complète pendant tout le temps que persista l'
attaque
fébrile et douloureuse. La langue fut toujours
ances devint dans la suite durable et la malade fut guérie. IV. L'
attaque
convulsive qui se produsit dans l'année 1885 et q
a dernière forme. Dans les trois cas, les femmes n'avaient pas eu d'
attaques
convulsi- ves antérieures; les phénomènes de la
ermittente, du type tierce, qui dépassa en général 41°. Pendant les
attaques
, elle fut en proie à des phé- nomènes subjectif
ile, ni souffrance générale, mais en pré- sence d'une malade dont l'
attaque
a commencé avec une fièvre de nature dou- teuse
'affirmer que l'anu- rie est d'origine fonctionnelle. Après celte
attaque
, il n'y eut point de rétablissement aussi franc q
maintint pendant un court intervalle, un mois environ, simulant une
attaque
de rhumatisme articulaire. Au troisième jour de
, elles cédèrent facilement à la suggestion. Vers la fin de cette
attaque
, des taches congestives petites et irrégulières-
ique le fait soit rare, la maladie est quelquefois précédée par des
attaques
convulsives plus ou moins répétées (cas de Bour-
ux dans la famille. Mère âgée de 33 ans, nerveuse, coléreuse; pas d'
attaques
de nerfs. Elle a trois frères et une soeur en b
membres, manger ou même s'as- seoir. A deux ans et demi première
attaque
de convulsions ; durée de neuf heures du matin
du matin à quatre heures du soir ; quinze jours plus tard nouvelle
attaque
. De- puis lors les attaques se sont renouvelées
u soir ; quinze jours plus tard nouvelle attaque. De- puis lors les
attaques
se sont renouvelées tous les mois ou toutes les s
se- maines. Leur durée n'était alors que de quelques minutes. Les
attaques
arrivent toujours de grand matin : la malade devi
s laissait échapper de l'urine. Elle ne se mord jamais la langue. L'
attaque
est pré- cédée d'une aura consistant eu tremble
st bien net à cet égard, vers ]'age de sept ans son malade a eu une
attaque
de paralysie infantile, caractérisée par de viole
du temps il laisse écouler sous lui l'urine et le matières fécales.
Attaques
épileptiques et apoplectiformes. Convulsions. L
thétose double s'installe dès les premières années de la vie. Les
attaques
apoplectiformes s'observent surtout dans l'âge mu
la différence. Chez un de mes malades l'affection a débuté par une
attaque
apoplectiforme au dire de la mère. L'attaque apop
ction a débuté par une attaque apoplectiforme au dire de la mère. L'
attaque
apoplectiforme sur- vient aussi dans la période
u de temps après, en faisant un pont de bateaux, il eut sa première
attaque
, et tomba il l'eau. Il serait resté sans connai
deux jours. Il fut ré- formé, bien qu'il n'eut pas eu de nouvelles
attaques
au régiment; il supportait d'ailleurs mal le ch
enir. Quant il fut rentré dans sa famille, il fut pris de nouvelles
attaques
, qui tantôt revenaient tous les quinze jours, t
idue tout entière ». De plus, le grand- père paternel aurait eu des
attaques
convulsives sur la nature desquelles nous somme
e, âgé de 23 ans, le début des accidents avait été marqué par une «
attaque
» suivie de troubles urinaires ; puis le rachis
s la maladie deDubini, les secousses im olontaires s'accompagnent d'
attaques
convulsives, laissant après elles un certain de
Une seule fois, à la suite d'une contrariété, elle a eu une légère
attaque
de nerfs avec perte de connaissance. Depuis d
olique. Mère hystérique, issue elle- même d'une mère présentant des
attaques
convulsives. La mère du malade est de plus boss
de l'hémianesthésie gauclie sensitivo- sensorielle ; il a eu trois
attaques
revêtant le type classique ; la première il y a
étose double. La grande chorée se présente sous forme de véritables
attaques
, lesquelles sont pro- voquées par certaines inf
'excitation de zones hystéro-frénatrices. , Dans l'intervalle des
attaques
, les malades sont dans l'état normal. Les secou
é des cas il n'existe pas de perte de connaissance au mo- ment de l'
attaque
de chorée rhythmée. Cependant l'attaque d'hystéri
nnaissance au mo- ment de l'attaque de chorée rhythmée. Cependant l'
attaque
d'hystérie avec perte de connaissance peut revê
, loin d'être con- tinues et permanentes, surviennent seulement par
attaques
. L'attaque de tétanie commence d'ordinaire par
con- tinues et permanentes, surviennent seulement par attaques. L'
attaque
de tétanie commence d'ordinaire par certains sign
té de ces convulsions Ioniques est très considérable. La durée de l'
attaque
est tantôt de quelques minutes, tantôt de quelque
rsure de la langue, sans miction in- volontaire. La première de ces
attaques
a eu lieu il y a trois ans, avant la pleurésie,
cessé d'exister un seul ins- tant. N'a pas eu de convulsions, ni d'
attaques
d'épilepsie. Pas de causes occa- sionnelles con
veux. Mariée à 20 ans. Père mort d'une chute d'un arbre. Mère d'une
attaque
d'apoplexie avec paralysie droite en 11 jours.
elle n'a jamais été impres- sionnée), pas d'oedème des pieds, pas d'
attaque
, pas de syncope. Accouche- ment à terme naturel
pètrière, en même temps qu'étaient nettement établies les lois de l'
attaque
hystérique et les formules presque mathématique
. « Pas n'est besoin pour l'affirmer de trouver tous les stigmates;
attaques
, points hystérogènes, (1) Société médicale des
quelles les accès de délire alternaient avec certaines phases de l'
attaque
hystéro-épiteptique. Mais tous les cas ne son
s grande mo- bilité de symptômes, une moins grande prédominance des
attaques
et des stig- mates soma tiques (Burnet, thèse 1
éral moins complète et moins bruyante que l'hystérie juvénile ; les
attaques
convulsives y sont moins fréquentes et moins nett
u longtemps l'idée que c'était de la simulation, que les prétendues
attaques
d'hystérie étaient des farces ». Ainsi, après W
de l'hémiplégie spasmo- dique infantile, il nous reste à signaler l'
attaque
convulsive du début, l'arrêt de développement a
nfantile que le phénomène initial semblait être le plus sou- vent l'
attaque
éclamptique. L'hémiplégie hystérique peut aussi d
e second. Enfin, si on était en face de troubles intellectuels et d'
attaques
comitiales, ce qui se présente seulement dans l
ôpital, Adolphe T... a dû garder le lit et il a été pris chez lui d'
attaques
convulsives généralisées, se ré- pétant cinq ou
racture disparut comme par enchante- ment, à la suite de la seconde
attaque
apoplectique; la paralysie était de nouveau fla
t de vue pathologique, est des plus intéres- sants. Il présente des
attaques
de sommeil d'une forme spéciale et nons ne saur
du système nerveux. (1) Parmentier, De la forme narcoléptique de l'
attaque
du sommeil hystérique, Arche- ves gén. de méd.,
eune homme grand et vigoureux ayant présenté depuis son enfance des
attaques
ressemblant à celles du petit mal. Il fut pris
a raideur de la nuque avec opisthotonos, et, dans quelques cas, des
attaques
épilepti- formes, des ictus cérébelleux, des pa
des macula, perte de l'orientation. Mort dans le coma à la suite d'
attaques
nombreuses. A l'autopsie on constate une scléro
non plus parler de « grand mal » ou de « petit mal » non plus que d'
attaques
légères ou graves. Dans un cas comme dans l'autre
ifs, dits de décharge, dominent la scène en apparence au début de l'
attaque
, ils n'en constituent pas le phénomène initial.
es) et une excitation afférente purement mentale peut provoquer une
attaque
d'épilepsie. L'au- teur estime que les troubles
as, aucune amélioration, ni passagère ni permanente; dans 8 cas les
attaques
ont diminué de fréquence et de gravité, mais l'
YCHOLOGIE Séance du mardi 17 mai 1904. - Présidence DE M. Voisin.
Attaques
de pseudo-épilepsie guéries par la suggestion hyp
Y (de Saratow). - Une femme âgée de vingt et un ans a de fréquentes
attaques
convulsives. Son pariétal droit pre- SOCIÉTÉS.
. grâce à la sugges- tion hypnotique, faire cesser complètement ces
attaques
; celles-ci étaient donc de nature hystérique et
ue, souffrait d'une douleur permanente à l'épaule et chacune de ses
attaques
convulsives était précédée de l'exaspération de
leur. J'ai supprimé cette dernière par suggestion et, dès lors, les
attaques
ont complètement disparu. , M. Voisin. - Je soi
idents ; enfin la toxicité s'élève considérablement aux moments des
attaques
épileptiques et des accès de polypuée.. z BIB
le. REVUE D'ANA1'( 'AT110L0GIQUES. 153 Genèse de l'épilepsie. - L'
attaque
est l'expression directe de l'an- crage de la t
sang sont de faible quantité, on a l'état de mal épileptique et les
attaques
d'épi- lepsie sllbintmntes; l'épuisement des ce
HRISTIAN. - Les fractures spontanées ne sont pas rares au cours des
attaques
épileptiques, non plus que les fractures par ac
et voit jouer Faust. A la suite de cela, elle présente des séries d'
attaques
hystériques avec délire hallucinatoire en rappo
déjà tous les défauts de celui de la dégénérescence mentale, qu'il
attaque
. MM. Colin, Pactet (de Villejuif) sont bien par
d'habitude, les obsessions d'habitude et aussi les insomnies et les
attaques
d'habitude. Les insomnies d'habitude sont très
sent les fonctions nerveuses en rendant l'habitude de dormir. Les
attaques
d'habitude se rencontrent très fréquemment aussi;
ÉTÉS SAVANTES. nerveux prédisposé, du même phénomène (qui est ici l'
attaque
) provoqué une première fois par une cause tangi
une guérison définitive. L'auteur rapporte des cas d'insomnie et d'
attaques
d'habitude. Un moyen épilepto-fréazateur héroïq
eur héroïque. M. CaocQ. - Autant il est unanimement reconnu que les
attaques
d'épilepsie précédées d'aura peuvent être quelq
e laléro-station gauche, paraît capable non seulement d'arrêter les
attaques
. mais encore d'en diminuer la fréquence et l'in
is jusque-là vigoureuse et bien portante, est tout à coup prise d'
attaques
épileptiformes, de vertiges, nausées, vomissement
e paralysies, de sueurs hémilatérales, de fièvre. Le second jour, 3
attaques
. Le troi- sième, 23 attaques, obtusion croissan
atérales, de fièvre. Le second jour, 3 attaques. Le troi- sième, 23
attaques
, obtusion croissante, déviation alternative des
itabilité de la région corticale motrice du cerveau à la suite de l'
attaque
d'épilepsie ; par \ ? P. Ussrovr et E.-S. BORIS
ajorité des cas, il y a hyperexcitabilité. 2° Immédiatement après l'
attaque
, la région en question est un peu plus excitabl
son exagération. Généralement, l'hyperexcitabilité qui succède à l'
attaque
se continue pendant soixante-dix à deux cent cinq
elle s'accroît ' mais alors moins notablement qu'après la première
attaque
et pour peu de temps. 5° Parfois, après la dimi
espond pas rigoureusement à l'hyperémie corticale : à la suite de l'
attaque
, la pression du sang tombe dans le cerveau, cel
er le mouvement d'une extrémité par le centre psychomoteur, après l'
attaque
d'épilepsie, on a besoin de moins rapprocher les
s de nature hys- térique, qui sont parfois même intimement liés aux
attaques
d'hystérie habituelles. Il est des cas où l'o
il la patiente rie aux éclats, pleure; elle a eu aussi une violente
attaque
d'hystérie en dormant. Règles très irrégulières;
ouvent le diagnostic de l'hystérie ne se fait que par l'existence d'
attaques
antérieures, de syndromes convul- sifs antécéde
mples. 4° D'ordinaire inopinés, ils succèdent le plus souvent à une
attaque
d'hystérie, à un choc psychique; ils surviennen
bl., XX, 1901.) Une très belle observation montre qu'à la suite d'
attaques
con- gestives le paralytique général peut perdr
fondeur est indépendante du trouble de la conscience consécutif à l'
attaque
congestive et de l'affaiblissement mental. Elle
te synergie ne se développe que plus tard. P. Keiuval. XXXVIII. L'
attaque
convulsive de toux hystérique; par ADaDIE ET Gr
'il s'agit là d'une toux de nature hystérique. On retrouve dans ces
attaques
de toux les trois pério- des : préconvulsive, c
ion de convulsions myocloniques qui n'étaient associées ni avec des
attaques
congestives épiteptifonnes, ni avec des attaque
ociées ni avec des attaques congestives épiteptifonnes, ni avec des
attaques
congestives apoplectiformes. Le diagnostic de p
ens dans la zone motrice corti- cale. Bechterew a déjà noté que les
attaques
congestives épilepti- formes des paralytiques g
éningo-encéphalique n'est pas tou- jours suffisante pour prévenir l'
attaque
d'épilepsie nous est fournie par l'action même
cette exaltation est bien accusée par la plus grande fréquence des
attaques
au moment des règles chez les épileptiques, et
es règles chez les épileptiques, et l'on sait aussi que la première
attaque
d'épilepsie éclate presque toujours à une époqu
nt de l'écoule- ment des règles et sur la plus grande fréquence des
attaques
au même moment ? Mais on oublie, en faisant cet
ilep- tiques continents, constituent un signe avant-coureur d'une
attaque
d'épilepsie. , Les bains un peu prolongés, l'ex
on de l'at- taque convulsive. On oublie trop qu'il y a, à côté de l'
attaque
convulsive, avant elle, des troubles de l'intel
éjà assez nombreux où il a suffi pour faire disparaître les grandes
attaques
d'épilepsie. Mais il ne donne parfois que des r
de douze en douze heures, et, bientôt, non seule- ment les grandes
attaques
d'épilepsie devenaient plus rares, mais les tro
'une femme de quarante et un ans ayant éprouvé, il y a six mois une
attaque
apoplectique à la suite de laquelle la jambe et l
ulsions de l'enfance, elle était, en outre, sujette à de nombreuses
attaques
d'épilepsie. Ce n'est que cinq ou six ans après
e cette observation, elle pré- sentait certains jours de nombreuses
attaques
d'épilepsie; il nous parait intéressant de dire
parait intéressant de dire ici quelques mots de l'influence de ces
attaques
sur le mérycisme. Au moment même de l'attaque, to
e l'influence de ces attaques sur le mérycisme. Au moment même de l'
attaque
, tout phénomène était naturellement suspendu, m
nnelle où une dépres- sion et une exaltation se réunissent dans une
attaque
d'une cer- taine durée laquelle se répète plusi
r à des revendications passionnées de la part des familles, à des
attaques
de journaux, poursuites contre les médecins, etc.
tante ma- lernels, décédés/de maladie inconnue, n'auraient pas eu d'
attaques
. Deux frères et une scc2cr, bien portants, sobr
sommeil est bon, sans rêves, ni cauchemars, ni accès de cris; pas d'
attaques
de sommeil, pas de somnambulisme. Très peu de m
de Romberg. Depuis lors, affaiblissement intellec- tuel progressif
Attaque
apoplectiforme et embarras de la parole. Mélang
on sanguine. , 1 Chez une femme de 33 ans, frappée subitement d'une
attaque
épileptiforme, nous avons observé une série de
eur de la nuque, signe de Kernis, vomissements, fièvre (38° 6). Les
attaques
épileptiformes se répétèrent avec une grande fr
la méningite tuberculeuse qui débute parfois chez l'adulte par des
attaques
épileptiformes. Or l'autopsie montre un foyer d
ervice le décubitus gauche pendant toutes les crises d'épilepsie. L'
attaque
est toujours plus courte dans cette attitude. F
De l'- de la région corticale motrice du cerveau à la suite de l'
attaque
d'épilepsie. par Ossipow et Borischpolsky,-325
la - chez les nerveux, par Schnyder, 246. Suggestion hypnotique.
Attaques
de pseudo-épilepsie guéries par la , par Viaz
système nerveux, par Gallavardin et Savy, 482. Toux hystérique L'
attaque
convul- sive de -, pat Abadie et Grenier cie
poussait quelquefois l'irritation si loin qu'il avait de véritables
attaques
de nerfs, pendant lesquelles il se roulait par
ment. Mais, au mois de septembre de l'année 1879, il fut pris d'une
attaque
de rhumatisme articulaire aigu généralisé. Il e
tèrent de la matière la plus vive. Il se déclara aussi une nouvelle
attaque
de rhumatisme articulaire, mais elle ne dura qu
meuble ? imprimant au canon des directions diverses, ripostant aux
attaques
, et, trahis- lsànt'sa satisfaction quand, feign
ons; 'dans lesquelles' les malades1 présentèrent °denvéri- ,tables'
attaques
épileptiqùes ' ou' des1 attaqûêV blnleptlformes ;
sonnelle;'dont le trait-le plus saillant est la suspension par. une
attaque
[de (goutte desophénomènes de'mérycismerl9 : )
mme de,1 quarante-huit1 ans ayant.- d'abord pré- sen ? lll1Q légère
attaque
apopleclifoI'lllo passagèro ; cinq ans après, à
manière passagère, puis d'une manière définitive ; il survient des
attaques
convulsives. L'odorat, le goût diminuent et dispa
t d'épui- sement complet, deux ans après l'apparition des premières
attaques
êorivulsi'Í'èsi et' quatre ? ans'après le début
es du côté de l'oeil chez les-hystéro-épilepfiqttes, soit pendant l'
attaque
, soit en dehors de l'attaque. [Société de Biolo
-hystéro-épilepfiqttes, soit pendant l'attaque, soit en dehors de l'
attaque
. [Société de Biologie, 29 octobre 1881, et Archiv
Publié in extenso 2; , ' ' ' ' ? ' ' , 30 Eickholdt. Pathogénie des
attaques
de paralysie dans les mala- dies mentales. Sera
à, une lésion 1 1 , .11 sont-les nausées et les vomissements, les
attaques
hystériques ou les phénomènes sensitifs de l'hyst
e service de M. le professeur CHARCOT le 23 mars 1882, affectée d'
attaques
d'épilepsie partielle gauche. L'attaque commenc
23 mars 1882, affectée d'attaques d'épilepsie partielle gauche. L'
attaque
commence toujours par une aura sensitive (dou-
de trépidations, avec abduction consécutive du pied. A la suite des
attaques
, la face se couvre de sueur; il ne se produit j
se produit jamais de perte de connaissance ni pendant, ni après les
attaques
, qui sont sui- vies d'une paralysie flasque du
as toujours constante, mais qui survient surtout après les crises d'
attaques
multiples. Cette paralysie se mani- feste égale
e produit un intervalle de trente à quarante-cinq minutes entre les
attaques
, la paralysie faciale disparaît ; mais celle des
des membres du côté gauche persiste pendant toute la période des
attaques
pour ne cesser que quelques jours après la fin d'
r ne cesser que quelques jours après la fin d'une de ces périodes d'
attaques
convulsives. La première attaque a eu lieu à l'
la fin d'une de ces périodes d'attaques convulsives. La première
attaque
a eu lieu à l'âge de cinq ans, sans pro- dromes
e période de calme de huit mois. A cette époque, nouvelles séries d'
attaques
, à la suite des- ENCÉPHALITE PARENCHYMATEUSE. 2
rièro où elle est restée deux ans. Pendant ce temps, trois séries d'
attaques
, avec six mois d'intervalle entre chacune d'ell
es. Étant sortie, elle a, pendant quatre mois, une nouvelle série d'
attaques
de même force et de même fréquence. A l'âge de
t oscille de 37° à 37 ? 3 pour s'élever à 38°,5 et 39 ? pendant les
attaques
. : La dernière série d'attaques a commencé à la
'élever à 38°,5 et 39 ? pendant les attaques. : La dernière série d'
attaques
a commencé à la clinique, le 19 octobre 1882, p
ations terrifiantes. Du 29 au 30 octobre, la malade a eu cent seize
attaques
diurnes et cinquante-huit nocturnes. Le 5 novem
de la langue )).- Mère, quatre-vingt-deux ans, bien portante, pas d'
attaques
de nerfs. Grand'mère maternelle, morte paralysée.
, actuellement convalescente d'une fièvre typhoïde ; elle n'a pas d'
attaques
, mais est très nerveuse et se trouve quel- quef
proie dès l'âge de neuf ans à des accès d'épilepsie, ainsi qu'à des
attaques
choréiformes se montrant à des intervalles assez
, XXXVIII, 2 et 3.) La révulsion exercée sur le crâne pendant les
attaques
apoplec- tiformes ou épileptiformes qui menacen
elle utile ? L'auteur prétend avoir obtenu des améliorations dans l'
attaque
même (six observations), avoir réussi à reculer
ée pendant vingt et un jours en état de mal épileptique et dont les
attaques
ont atteint le chiffre énorme de 8,000, malgré
gle. Dans l'épilepsie, la température s'élève ! davantage pendant l'
attaque
. Peut-être s'agit-il là d'acci- dents hystériqu
t d'autant plus urgent que les médecins aliénistes très injustement
attaques
, à ce propos, l'ont été avec une telle apparenc
pas de la tonicité musculaire (Wernicke). Immédiate- ment après les
attaques
d'épilepsie grave, les muscles sont flasques, ,
tés psychiques étaient demeurées absolument intactes à la suite des
attaques
décrites, il faut rejeter l'idée d'at- taques c
stérique, puis nous avons passé en revue les diverses périodes de l'
attaque
, avec les modifications qui s'y introduisent pa
z une autre malade, au contraire, hystérique avant l'opération, les
attaques
disparurent après l'ex- tirpation de la thyroïd
émoigne sa sur- prise de voir ses vêtements mouillés. Plus tard l'
attaque
s'accompagne de violentes con- vulsions et G...
S. 339 pour cause d'épilepsie. Un phénomène singulier pré- cède l'
attaque
, c'est une saveur âcre, un goût de sang; cette
rale sur laquelle frappe d'abord la dé- charge épileptique. Après l'
attaque
, G... reste habi- tuellement hébété, il se bros
ui. Il est bon de noter que, sous l'influence des bro- mures, les
attaques
sont actuellement plus rares. L'é- pilepsie ne
saurait être mieux caractérisée : hérédité directe, aura, vertiges,
attaques
, délire inconscient, action favorable de la méd
mère hystérique qui, à la suite d'une contrariété, eut un jour une
attaque
convulsive suivie de délire avec paroles extrav
mentale, un exemple de mérycisme. Le malade ayant succombé à une
attaque
d'épilepsie, l'on aremarqué, à l'ouverturede son
, qui se renouvelle le 2 novembre. Alors, ou cherche à conjurer ces
attaques
par la belladone (0,02 d'extrait environ par jo
de quoi; ne buvait pas.- Mère, bien portante, pas de migraine, ni d'
attaques
de nerfs. Elle était enceinte du père de notre
la forçant à garder le lit pendant deux jours. Elle n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs, ni de maladies graves. [Père, mort pa
eu une ving- taine de fois environ, à la suite de contrariétés, des
attaques
de nerfs durant de cinq minutes à une heure; pa
ssez forte, asthmatique, facilement irritable; elle n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs.-Pas de névralgies, de migraines'; var
nn,lissance à l'aide des autres sens. Les lésions, consécutives aux
attaques
con- gestives, portaient, soit, comme dans les
. 1), soit sur le lobe temporo- occipital (obs. II). L'ensemble des
attaques
dont chacune était inva- riablement suivie dans
rales comme les autres manifestations, survenues avant ou après les
attaques
congestives tant pendant la cécité psychique qu
e de démence ayant débuté chez une femme de vingt-trois ans par des
attaques
d'hémiplégie consécutive à des troubles vaso-mo
ées de nausées et de vomissements, elle eut, il y a quatre ans, une
attaque
de nerfs avec perte de connaissance, mouve- men
perte de connaissance, mouve- ments impulsifs et écume. Depuis, ces
attaques
se sont renouve- lées avec les mêmes caractères
par mois dans la der- nière année. C'est '), ]il suite d'une de ces
attaques
, qu'elle fut con- duite a la préfecture de poli
as dans SOCIÉTÉS SAVANTES. 415 quelles circonstances. ,Les autres
attaques
étaient toujours accom- pagnées de perte de con
extrordinaire ici, puisque la malade se trouvait sous le coup d'une
attaque
épileptiforme récente lors- qu'elle a été condu
lice. Tout le monde sait que, chez tous les épileptiques simples, l'
attaque
peut être suivie d'un trouble passager de la pa
aînant l'irresponsabilité. L'observation à l'asile ayant révélé des
attaques
de grand et de petit mal, M. Froenkel tend à cr
puyant sur des faits d'un ordre un peu différent. En dehors ne ses
attaques
, les épileptiques se trouvent dans des états ps
pathologique, qu'il soit permanent ou transi- toire et précédant l'
attaque
, cet état psychique détermine la forme du délir
100 ; albumine ; pgp très active ; congestions, agitation soutenue,
attaques
en se-; rie, etc.). Ces variantes de la formule
ïde notamment, j'étais persuadé que ce résultat, la suppression des
attaques
convulsives et des troubles psy- chiques pendan
vont se tarir, à l'âge critique, l'épilep- tique verra souvent ses
attaques
diminuer de fréquence et d'intensité pour dispa
t compter les goitreux, qui 108 CLINIQUE NERVEUSE. ont le moins d'
attaques
convulsives et que ce sont les épi- leptiques e
l, les particularités en rapport avec le sens de la chute (grande
attaque
), et j'ai remarqué, par exemple, que c'est parmi
un même temps, les quatre derniers mois de z90, les moyennes des
attaques
d'épilepsie par groupes de malades classés d'ap
SIE : PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 109 davantage leurs
attaques
, à de rares exceptions près, et ils auront, j'e
désordre des actes, mobilité incons- 'cliente incessante. Quant aux
attaques
d'épilepsie, leur nombre mensuel atteignit pour
itre le plus volumineux avait, en ils889, 1890, ils91, au moins une
attaque
d'épilepsie par jour, quelquefois deux; -en 189
enait pas de bromure et n'en a pas pris ^ depuis 1889 au moins) les
attaques
commencent à s'espacer un peu plus, et, en 1900
de traitement médicamenteux). A côté de cette constatation que les
attaques
d'épilepsie sont, d'une façon générale, moins f
ique spéciale, vu d'épileptiques goitreuses en état de mal, que les
attaques
convulsives diminuent beaucoup de fréquence che
les troubles symptomatiques de l'épilepsie, troubles psychiques ou
attaques
, sont plus accentués, plus graves, chez la femm
1876, alors âgée de trente-neuf ans, atteinte d'épilepsie (grandes
attaques
et vertiges) avec affaiblissement intellectuel,
réquentes préoccupations hypo- chondriaques ; deux ou trois grandes
attaques
, au minimum, par mois et nombreux vertiges. Dim
et nombreux vertiges. Diminution progressive des petites et grandes
attaques
à partir de la ménopause sans le secours d'un t
incendie), atteinte d'épilepsie depuis l'âge de quinze-ans; grandes
attaques
autrefois fréquentes; une trentaine seulement e
tement médica- menteux, a été suivie de la disparition complète des
attaques
convulsives et même des vertiges. A rapprocher
ans malade ; qu'il a, au début, beaucoup engraissé ; qu'il a eu des
attaques
et qu'elle l'a soigné pendant trois ans comme u
i- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 145 dents paralytiques. Nouvelles
attaques
ultérieures suivies d'excita- tion maniaque lég
e prédispose à une psychose asthé- nique. Une deuxième ou troisième
attaque
de fièvre typhoïde s'accompagnent plus souvent
pu, en effet, interroger une hystérique avérée, ayant eu de grandes
attaques
et qui, au cours d'un voyage, fut l'une des vic
peu explosive. Pupilles dila- tées, inégales, immobiles. Nombreuses
attaques
épileptiformes. Gâtisme. A l'ophtbalmoscope les
qu'elles réagissent suffisamment à l'accommodation. La malade a des
attaques
épileptiformes très fréquentes et un affaiblissem
des mains par intervalles. Gâtisme intermittent. La malade a eu une
attaque
congestive suivie d'aphasie motrice qui n'a per
s.. Examen du 9 septembre 1903. Confusion mentale, demi- stupeur,
attaques
épileptiformes fréquentes. Il est difficile d'obt
vations' publiées par M. Ducosté dans un travail sur « Les songes d'
attaque
des épileptiques 1». Comme MM. Vaschide et Piér
MM. Vaschide et Piéron nous pen- sons que ces songes, dits songes d'
attaques
parce qu'ils se produiraient seulement pendant
onges d'attaques parce qu'ils se produiraient seulement pendant les
attaques
, ne constituent que des auras. Nous ne pouvons
pelle, au point de le narrer, un rêvé qu'il aurait fait pendant une
attaque
, au paroxysme de l'at- taque. Trois observation
des auras et que la fin du songe, la mort, est le commencement de l'
attaque
convul- sive, marque le début de la suspension
tte concordance habituellement signalée à l'occasion de la première
attaque
d'épilepsie : une frayeur, à l'époque de la pub
qui, ajoutée à celle résultant déjà d'autres causes, fait que les
attaques
d'épilepsie éclatent plus facilement et sont plus
qui viennent agir sur les cen- tres encéphaliques qui déterminent l'
attaque
d'épilepsie, ont pour premier point de départ l
orale, etc...) de l'activité encéphalique, même indépen- dantes des
attaques
, le terrain épileptogène serait constitué par l
vidus que l'on n'a pas encore vu tomber ou qui n'ont que de rares
attaques
. Ce rôle nous paraît accusé par maintes remarques
cette accumulation possible que l'on s'explique l'éloignement des
attaques
chez certains individus, comme on interprète la
épilep- tiques, lorsqu'on arrive à supprimer ou à éloigner leurs
attaques
. Les décharges nerveuses ont d'autant plus d'acti
ques. D'autre part, l'intelligence des idiots qui sont sujets à des
attaques
d'épilepsie, subit des modifications spontanées
passe autour d'eux et même de parler : c'est qu'ils n'ont pas eu d'
attaques
depuis un certain temps. Survienne une crise, e
troubles qui précèdent ou accompagnent les grandes et les. petites
attaques
d'épilepsie. Il n'y a donc rien là qui puisse ê
isant pour le mettre en jeu comme dans la pathogénie de la grande
attaque
d'épilepsie ? ' De ce qui se produit dans certa
, et de l'observation facile de troubles psychiques avant la grande
attaque
de l'épilepsie complète, on peut conclure que l
fet, et parfois même de beaucoup, les troubles moteurs de la grande
attaque
,,confusion men- tale, ou simple, ou hallucinato
ux, troubles que l'on observe assez fréquemment et avant et après l'
attaque
d'épilepsie complète et qui, dans le premier ca
énomènes d'ordre nerveux qui se succèdent pour constituer la grande
attaque
. Ainsi, de la pathogénie que nous avons attribu
, de folie impulsive, etc..... On n'ignore pas, du reste, que les
attaques
convulsives sont souvent remplacées chez les épi-
iations d'un sujet à un autre de l'intervalle et de l'intensité des
attaques
d'épilepsie en tenant .recompte de toutes les c
ode de calme relatif, si elle ne s'est pas produite à l'apogée de l'
attaque
. Pendant tout ce temps, les battements du coeur
'est pas concluante. L'auteur chercha alors à déterminer le point d'
attaque
de ce poison hypothétique, muscles ou système ner
dies infectieuses. P. Keraval. XLV. Physiologie pathologique de l'
attaque
d'apoplexie; par le Dr BIET-SA1VGL. La physio
s) sont également frappés. D'après l'auteur, on ne peut expliquer l'
attaque
d'apoplexie, ni par la compression, ni par l'an
; presque toujours (85 p. 100) elles présentent le même type que l'
attaque
initiale. Dans un tiers des cas environ, la pre
que l'attaque initiale. Dans un tiers des cas environ, la première
attaque
ne gué- rit pas et le malade aboutit à la folie
commune; elle est souvent violente, et rappelle souvent beaucoup l'
attaque
d'épilepsie. La démence primitive est extrêmeme
dre le caractère et les révélations de sainte Thérèse contre les
attaques
de l'incrédulité. Tel a été également le but pour
s est caractérisé anatomiquement par une lésion inflam- matoire qui
attaque
un nombre quelconque de racines sensitives ou m
on est celle d'un vieillard artério-sclé- reux qui a succombé à une
attaque
d'urémie avec délire. Reste à savoir si ce déli
e coloration permet de montrer l'inanité des récentes et nombreuses
attaques
contre la doctrine du neurone. M. Déjerine in
rriver parfois que ces lésions musculaires se manifestent après des
attaques
apoplectiformes ou épilepti- formes, mais le pl
rne un peintre de quarante et un ans, non éthylique, ayant eu des
attaques
de coliques de plomb antérieures. Dapuis dix an
t pris de scarlatine, au cours de laquelle il eut parfois 100 à 200
attaques
par jour (en tout 1.742 en dix- sept jours). Dé
éveloppement de l'oedème dans les premiers instants qui ont suivi l'
attaque
montre que paralysie et gonflement relèvent de
diminution brusque et prononcée immédia- tement avant le début de l'
attaque
, c) elle subit une nouvelle dimi- nution quand
début de l'attaque, c) elle subit une nouvelle dimi- nution quand l'
attaque
est terminée; cette nouvelle diminution dépend
existe une relation entre le degré de l'alcalinité et le début des
attaques
; plus l'alcalinité est élevée, moins le malade
ues; plus l'alcalinité est élevée, moins le malade est exposé à une
attaque
, f) il est impossible d'élever ou de maintenir
it, dans les automatismes, sou- vent si compliqués, qui suivent les
attaques
de petit mal, et qui accompagnent le somnambuli
e motrice droite, les crises ont toujours gardé l'allure de grandes
attaques
généralisées sans jamais présenter le caractère
éphalo-rachidien dépourvu de germes, témoignent de l'intensité de l'
attaque
du virus syphilitique sur les méninges. Enfin,
s grammes de bromure de potassium. Il faut savoir toutefois que les
attaques
d'habitude, comme les tics qui sont également d
urs. Dès lors, tout reproche provoque, non plus une fugue, mais une
attaque
de sommeil qui dure de 3 à 8 jours. L'attaque d
s une fugue, mais une attaque de sommeil qui dure de 3 à 8 jours. L'
attaque
de sommeil comporte quelques phénomènes prémoni
tre écartée. Il s'agit d'un cas qui ré- pond au type classique de l'
attaque
de sommeil hystérique. Les timidités. Indicatio
e un signe précurseur d'hystérie. Le rire peut précéder ou suivre l'
attaque
banale d'hystérie. Il peut apparaître comme réa
l peut constituer à lui seul un équivalent convulsif de la grande
attaque
: c'est l'attaque convulsive de fou-rire. Le rire
r à lui seul un équivalent convulsif de la grande attaque : c'est l'
attaque
convulsive de fou-rire. Le rire peut être provo
ns du rire, enfin par excitation de zones spasmogènes spéciales à l'
attaque
con- vulsive de fou-rire. Jean ABADIE. 11 ? C
cutanés se constatait etimmédiatemontct assez long- temps après les
attaques
. P. Keraval. XIV. De l'innervation corticale de
urs le même pour le même sujet et qui l'avertit de l'imminence de l'
attaque
de la né rose. VIII. Epilepsie cardiaque et phé
vent longtemps avant le développement complet delà maladie, par des
attaques
d'am- blyopie voire d'amaurose l'assageres qui
vive frayeur, survenue au moment de sa première menstruation, d'une
attaque
convulsive intense dont elle ne peut retracer ave
obligée de la reprendre et l'employa comme bergère. A la première
attaque
succédèrent, avec une périodicité régu- lière,
convulsives, qui se reproduisaient environ tous les quinze jours. L'
attaque
était annoncée par une exagéra- tion très marqu
CHEZ UNE ÉPILEPTIQUE. 173 ou trois jours. Quelques instants avant l'
attaque
, céphalée lé- gère, lassitude profonde ; d'aprè
pas d'émission involontaire d'urine ou de matières fécales. Après l'
attaque
, diminution des mouvements choréifor- mes en in
ement croissante pen- dant toute la nuit ; c'est, le prodrome d'une
attaque
d'épilepsie, qui survient dans la matinée du 10
Notons que cette crise in- tense est restée unique. Auparavant, les
attaques
se re- produisaient par séries de deux il cinq,
urs après l'accouchement. Ce n'est qu'à l'appro- che d'une nouvelle
attaque
d'épilepsie et la veille seule- ment, que l'agi
compte de l'exacerba- tion des troubles moteurs, prodromiques de l'
attaque
d'épilepsie avec une telle netteté, qu'ils perm
e durent que quelques jours ; elles représentent l'équivalent d'une
attaque
d'hystérie L'Ionique et rentrent dans la variét
ou mentaux. Observation V. - Cerf ? quarante-neuf ans, comptable.
Attaques
épileptiques depuis une douzaine d'années. Les pr
310 CLINIQUE MENTALE. , surtout à droite. Puis, peu à peu, les
attaques
deviennent géné- rales, plus fortes et fréquent
es troubles de circulation dus à un processus morbide artériel, qui
attaque
le plus sou- vent l'artère de Sylvius, sur le t
a plusieurs années. Cicatrices adhé- rentes et dépression osseuse.
Attaques
épileptiformes à l'asile; par- le de son accide
tstationnaire en juillet 1902. Mort en janvier 1905, au cours d'une
attaque
épileptiforme. Observation XVII. - welter, CI a
précédentes. 3° Il n'est pas rare de voir les migraineux avoir des
attaques
d'épilepsie, les épileptiques sont encore plus
ques-uns d'entre eux contiennent un excès de paraxanthine pendant l'
attaque
, mais comme ce phénomène n'est pas la règle et
éclara, précédée quelquefois de migraine sous l'orme d'aura avant l'
attaque
; dans le se- cond cas la migraine éclatait ava
x dont la cessa- tion de la migraine coïncidait avec l'apparition d'
attaques
épileptiques ; dans le second cas,des attaques
avec l'apparition d'attaques épileptiques ; dans le second cas,des
attaques
d'épilepsie petit mal sont venues remplacer des
ès de mi- graine qui avaient disparu ; dans le troisième cas, des
attaques
purement convulsives se sont modifiées comme su
anifeste depuis le commencement jusqu'àla fin de la marche de leurs
attaques
. Toutes les deux sont presque toujours précédée
fusion des idées, etc. Tantôt les phéno- mènes désignés précèdent l'
attaque
, tantôt ils lui sont concomitants, tantôt ils s
éclarent tout seuls indépen- damment des phénomènes ultérieurs de l'
attaque
. Tou- tefois ils constituent une partie de l'at
ltérieurs de l'attaque. Tou- tefois ils constituent une partie de l'
attaque
et si celle-ci n'est pas toujours complète, ils
epsie. Dans le domaine moteur, il faut avant tout relever les cas d'
attaques
épileptiques non convulsives, et d'autre part,
a migraine joue le rôle d'aura et si l'on considère ce fait que les
attaques
épileptiques se bornent quelquefois à l'aura se
ux qui sont restés en vie sont tous malades nerveux ou bien ont des
attaques
. A l'épo- que de la dentition, notre malade fut
uvel accèsd'épilepsie accom- pagné de lueur rouge et d'amnésie de l'
attaque
, sauf celle de l'aura. La malade se rend compte
ie. Du reste, depuis 2 ans, elle n'a pas eu de coït, sa frayeur des
attaques
l'empêchant même d'y penser. ' A34 ans, un no
persistait pendant 3 à 4 secondes, et le tout se terminait par une
attaque
convulsive avec perte de conscience et amnésie.
un rôle considérable dans l'accès; la malade fait un grandeffort, l'
attaque
ne se produit pas (toutefois la malade ne saurait
evint plus calme au point de vue mental. Elle n'eut ni migraine, ni
attaques
d'épi- lepsie convulsive, mais l'aura seule se
n motivée. 1° Il serait impossible de considérer l'apparition des
attaques
épileptiques à la fin des accès de migraine com
ur rouge et à chaque approche de vomissements il se déclarait une
attaque
générale d'épilepsie convulsive qui comprenait
t commencé par trouver que le coït lui-même rap- pelle beaucoup une
attaque
d'épilepsie. Les anciens au- teurs, tels que De
il existe ou s'il n'existe pas d'analogie entre une manifestation d'
attaque
épilep- tique et celle des rapports sexuels. Ce
Selon eux, les rapports sexuels contribueraient à faire cesser les
attaques
épileptiques. Quant à Galien, il déclare que la
après son mariage. Zimmerman connut un jeune homme qui avait des
attaques
épileptiques chaque fois qu'il s'adon- nait à l
réditairement prédisposés à l'épilepsie a souvent déter- miné des
attaques
et que chez d'autres sujets, chaque coït ou sa
e chez d'autres sujets, chaque coït ou sa tentative déterminait une
attaque
épileptique qui obligeait à interrompre l'acte
ition de notre monographie, nous avons déjà signalé ce fait que les
attaques
épileptiques d'un seul et même sujet pouvaient
ster en les manifestations initiales, moyennes ou terminales de l'
attaque
. Néanmoins, etbien qu'elles soient partielles, ce
nmoins, etbien qu'elles soient partielles, ce sont tout de même des
attaques
épileptiques. Nous avons vu que les accès de no
que les accès de notre malade comprenaient aussi tantôt l'aura et l'
attaque
, tantôt l'aura seule. L'aura elle- même est trè
père alcoolique, dont les hallucinations prenaient l'aspect d'une
attaque
: croyant voir un homme tout vêtu de fouge qui
- lent courroux de l'épileptique peut déterminer l'appari- tion d'
attaques
épileptiques isolées. Enfin, une colère non mot
colère non motivée peut être encore le signe avant-coureur d'une
attaque
épileptique convulsive qui est proche. Fanier (2)
ntre leur homogénité et leur proche parenté. 3° Dans certains cas l'
attaque
épileptique est en connexité étroite avec l'act
à la fin du coït en remplaçant la sensa- tion voluptueuse. - 4° Les
attaques
épileptiques incom- plètes peuvent se manifeste
et amnésique comme en commettent au cours de ce que l'on appelle l'
attaque
congestive, les vieillards en enfance, les para
t dits. N'est-ce pas dans l'hystérie que l'on observe surtout les
attaques
convulsives à caractère hystéro-épileptique plus
lsives à caractère hystéro-épileptique plus ou moins tranché 2, les
attaques
de catalepsie, de léthargie, de contractures, d
vaguement la recherche de l'anesthésie sensitive. Le caractère des
attaques
est toujours mal déterminé et très vague, ce so
des attaques est toujours mal déterminé et très vague, ce sont des
attaques
hystériformes, épileptiformes, etc., ou bien on
nous trouvons des convulsions toniques en opistothonos au cours d'
attaques
convulsives revenant plusieurs fois par jour (O
ulsives revenant plusieurs fois par jour (Obs. II de Kahlbaum); des
attaques
convulsives indétermi- nées (comme d'ailleurs d
le début de la catatonie qui fut d'ail- leurs suivie d'hébéphrénie;
attaque
convulsive avec opistotho- nos à la suite d'une
lire intense et avant le début de la catatonie (ibid. Obs. II); une
attaque
semblable dont la description ressemble à l'arc
ires. Père, faible d'esprit, et de carac- tère. Mère, nerveuse sans
attaques
, intelligence faible, tremble- ment de la tête.
le fut soignée alors comme anémique. A l'âge de vingt ans, première
attaque
convul- sive de caractère hystérique, puis une
roduites environ tous les mois, jamais la nuit. En plus, elle a des
attaques
moins fortes, incomplètes, et des vertiges. Ell
magnétisme : des pratiques ont eu lieu à l'insu des pa- rents. Les
attaques
cependant continuaient, la dernière eut lieu le
epris de la maladie et en mouraient ; deux succombaient, l'un à une
attaque
d'apoplexie survenue deux ans plus tard, l'autr
à porter un pronostic favorable ; néanmoins, après une assez forte
attaque
de diarrhée avec fièvre (il est à noter qu'il n
relatent que l'épilepsie s'est déclarée après une chute, et comme l'
attaque
elle-même produit souvent une chute brusque, on p
nser qu'ils se rapportent fréquemment à l'amnésie provoquée par une
attaque
épileptique dont la chute a été faussement inte
Contribution à l'étude clinique des caractères somatiques fixes des
attaques
rie sommeil spontané et provoquées chez les hysté
uis douze ans dans l'air comprimé. Deux années se sont passées sans
attaque
. Le 18 octobre 1875, après avoir déjà fait sept
des données positives : 1° si le trouble mental qui accompagne les
attaques
d'épilepsie exclut l'existence de toute animosi
re les impulsions automatiques soudaines qui apparaissent après une
attaque
ordi- naire d'épilepsie et celles qui sont exéc
es épileptiques sont fréquemment comme la manifestation psychique d'
attaques
inaperçues de petit mal, pouvant aisément about
ssaire à l'Etat, et nécessaire aux directeurs, qu'elle préserve des
attaques
et des calomnies. C'est dans son sem que le psy-
reprend sa bonne humeur, tout en restant un peu pleurard. En août,
attaque
congestive apoplectiforme laissant après elle des
on d'étincelles. Chez celui de 1'013SERVATION XVI, la troi- sième
attaque
de perte de connaissance était précédée d'étour
rigi- nales que ce symptôme a présentées. Eu effet, la pre- mière
attaque
de perte de connaissance, après avoir duré une
aite pendant dix minutes, au bout des- quelles survient une seconde
attaque
de perte de connaissance d'une demi-heure. aprè
dépassé vingtminutes, que le malade avait été pris d'une troisième
attaque
qui, cette fois-ci, s'était prolongée jusqu'à v
qui avaient pré- cédé quelques moments l'invasion de la troisième
attaque
de la perte de connaissance du malade de 1'0] !
droite. La même chose se passe à I'Observation XVI, où les trois
attaques
de perte de connaissance et les étourdissements
epsie PROCURSIVE. 431 de chaleur brûlante dans le corps. Fréquentes
attaques
d'hypé- réznie aiguc pulmonaire. Durée de l'épi
urd, incapable d'exécuter un tra- vail soigné. Il eut de nombreuses
attaques
d'hyperhémie pulmo- naire aiguë qui mirent souv
en danger (saignée du bras ou scarification à la lûle); c'est à une
attaque
de ce genre que succomba le malade, 423 PATHO
') On observe souvent chez les hystériques, à la fin des séries d'
attaques
surtout, des accidents procursifs, un besoin de
n de courir, mais ces accidents ne consti- tuent qu'un épisode de l'
attaque
et ne la composent pas tout entière, comme dans
ccès épilepti- formes dans le cervelet lésé; bien au contraire, les
attaques
pro- viennent toujours de la protubérance ou de
ue à l'écorce ou quand on l'excite faiblement, on n'obtient que des
attaques
cloniques ; un fort courant provoque, en sollic
s différences ; souvent la succession des éléments convulsifs d'une
attaque
est telle que, comparée à l'attaque de la moiti
n des éléments convulsifs d'une attaque est telle que, comparée à l'
attaque
de la moitié du corps du côté opposé, elle est
corticale, mais la transmission et la succession des éléments de l'
attaque
ne contredisent nullement à l'idée que l'hémisp
ssivement en 1881, du délire des persécutions hypochondriaques, une
attaque
apoplectiforme avec hémiplégie droite, de l'inc
e-quatre ans. Ictus apoplec- tique ; hémiparésie droite ; aphasie ;
attaques
épileptiformes avec convulsions cloniques de la
IlEss. (Arclt, f. Psych., XIX, 1.) Courte période prodomique : une
attaque
apoplectiforme suivie d'hémiplégie gauche avec
e est bien connue. Son principal carac- tère est la soudaineté de l'
attaque
. Il peut y avoir ou non des symptômes prémonito
cès d'épilepsie ; enfin dans l'alcoolisme. L'existence de plusieurs
attaques
antérieures est très importante et assombrit be
a durée. Qu'y a-t-il pour déterminer le pronostic de la durée d'une
attaque
? La température donne peu d'aide, mais le poul
rapide, même si le malade est calme, il y a des chances pour que l'
attaque
soit longue. Le manque de sommeil est toujours
tion est adoptée. M. B.aSTr;LBEt2G. De l'anatomie pathologique de l'
attaque
congés- tive. D'abord la démence paralytique es
le système nerveux central d'un malade mort au cours d'une première
attaque
congestive brutale, M. Eastelberg ne trouve, co
encéphale ni dans la moelle, qui fournissent l'explication de cette
attaque
. Il n'en était pas de même du bulbe. Ici, altérat
ions ; ce sont ces oscillations géné- ralisées qui produiraient les
attaques
épileptiformes ; localisées, elles déterminerai
les attaques épileptiformes ; localisées, elles détermineraient les
attaques
apoplectiformes.1' M. Tigges. Un grand nombre d
t les attaques apoplectiformes.1' M. Tigges. Un grand nombre de ces
attaques
, de par leur aspect même (elles sont unilatéral
x. M. OEDEKE. Chez un malade observé par lui, à la suite de trois
attaques
héinilatérales caractérisées par une paralysie de
'un escroc de trente ans, qui simulait la démence consécutive à des
attaques
convulsives. Ces attaques, il eut soin de ne pa
qui simulait la démence consécutive à des attaques convulsives. Ces
attaques
, il eut soin de ne pas les avoir devant le monde
ence des .magistrats; ils répondent aussi bien que l'avocat qui les
attaque
... M. DE Gwardie. C'est évident ! M. TESTEUR
sorte que les hypothèses de l'auteur concernant la pa- thogénie des
attaques
n'offrent qu'une valeur discutable. P. B. XV. C
ychologique (discours présidentiel de 1'), par I : ames, 1 i 1.
Attaque
congestivc (anatomio patho- logique de" 1'), pa
vous donc au Conseil et non à ses anciens membres. M. RouzÉ. On n'
attaque
pas les absents ! M. Després. Il existe encore
nous de ne pas accorder. Mais je tiens abso- lument à répondre aux
attaques
portées par lui contre un de nos anciens collèg
radicalement transformée. Nous serions heureux que cette nouvelle
attaque
de M. Des- prés provoquât de nouvelles visites
n'aurait jamais fait d'excès de boisson; il esttrès nerveux (pas d'
attaques
); très doux de caractère; il fume peu ; marié à v
des faiblesses avec perte de connaissance et sueurs froides; pas d'
attaques
de nerfs, pas de migraines, pas de convul- sion
e à droite. [Père, charpentier, mort à quatre-vingt-deux ans, d'une
attaque
de paralysie gauche qui l'a enlevé en trois jou
intelli- gente, très nerveuse, pleure et rit sans motif, n'a eu ni
attaques
ni faiblesses; elle est mariée et a un enfant d
on. - Mère, morte en 1831, écrasée par une voiture; n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs. Pas d'aliénés, ni de paralytiques, ni
ion (ses enfants sont morts les uns de la poi- trine, une avait des
attaques
de nerfs, un autre, qu'on appelait le lutteur,
ne »; elle est bien portante, n'est sujette ni aux migraines ni aux
attaques
nerveuses, elle est peu impressionnable, a eu b
la rougeole, une roséole antécédente ne pré- serve pas de nouvelles
attaques
; et même, dit Borsicri, celui qui en a été aff
1877-1883). -Amélioration progressive. - Dis- parition des accès. -
Attaque
d'apoplexie : Hémorrha- gie cérébrale. - Sm2tôn
empérature, qui était à 37°, une heure et demie après le début de l'
attaque
, était descendue à 36°,2 au bout de 3 heures et
répond à une heure, - température prise une heure et demie après l'
attaque
; +, ;{-> abaissement de la tempe- rature rép
euse, ménagère. Elle serait un peu nerveuse, mais n'aurait pas eu d'
attaques
ni de convulsions dans l'enfance; ni migraines,
ts fournis par sa mère. Père mort on 1878, à l'âge de 78 ans, d'une
attaque
d'apoplexie, en qua- tre jours; très grand « be
is depuis la ménopause (51 ans).-[on père est mort à 73 ans,à sa 3"
attaque
de para- lysie, en quatre heures; il étaitsobre
demain, il ne se rappelait pas ses promenades. En dehors de cette
attaque
et de celle qu'il a eue à 7 ans et demi, la mèr
sure à la lan- gue, ni d'urine dans le lit. Il n'eut pas d'autres
attaques
à Sainte-Anne; mais il se plaignait d'un mal de
caractère est celui d'un épileptique méchant, mais il n'a pas eu d'
attaques
ici;'on n'a reconnu qu'une méchan- ceté sournoi
ns divers hôpitaux. Simulation. De 13 à 16 ans, syncopes. Début des
attaques
en juillet 1880 (17 ans). État de mal hystériqu
mal hystérique. - Contusions. - Admission à la Pitié : nouvelles
attaques
. Envoi à Sainte-Anne. - Etat du malade à l'entr
résente comme ayant eu des coliques de plomb et étant sujet à des
attaques
de nerfs. Il raconte même avoir assisté à plusieu
agita- tion violente ; après un certain temps de calme relatif, l'
attaque
reprenait et ainsi de suite pendant plusieurs j
la Pitié. Comme il troublait le repos des autres malades, par ses
attaques
, M. Dumontpallier le fit conduire à Sainte- Ann
s qui durèrent une heure et un quart. Deux heures après la première
attaque
en survint une seconde, puis une troisième. De
re attaque en survint une seconde, puis une troisième. De nouvelles
attaques
se produisirent ainsi pendant trois jours, ne p
'influence d'inhalations de bromure ou d'iodure d'éthyle(' ? ). Les
attaques
ne tardèrent pas à repa- raitre, et c'est alors
itié, chez M. Dumontpallier. Là, il aurait encore eu de nouvelles
attaques
. C'est à cause des inconvénients résultant, pour
cause des inconvénients résultant, pour les autres malades, de ses
attaques
, que M. Dumontpallier se décida à l'envoyer à l
ur coustric- tivc au niveau du front au moment où il va avoir son
attaque
. Au-dessous des fausses côtes de chaque côté, p
un simulateur. Lui-même écrit à M. Bour- neville qu'il a simulé des
attaques
et de l'hélllianesthésie à Laënnec pour passer
sements. L'un de ses grands pères maternels est mort à sa troisième
attaque
de paralgsie. Un oncle du même côté a eu un acc
des frayeurs nocturnes et, plus tard, à la suite d'une peur, des
attaques
cl'hystdi-o-épilepsie. De même aussi que Sim ?
contractures : la contracture précoce se produisant au moment de l'
attaque
ou bientôt après, et la con- tracture tardive q
mais cet accès s'ac- compagne de cyanose et « il persiste entre les
attaques
un état de torpeur et d'hypothermie locale avec
suture interpariétale. Au mois d'août 1872, le malade a une seconde
attaque
: subitement il s'aper- çoit qu'il ne peut plus
de Gibert dans le service de Maurice Raynand. Aussitôt après cette
attaque
, il s'aperçoit que la vue baissait sensiblement
bles du goût ni de l'odorat. Mais, en 1872, au moment de la seconde
attaque
, la malade affirme qu'il avait perdu xi 8 110
hangement de 1899 à 1904 ; c'est alors que survinrent les premières
attaques
de toute une série; chacune de ces attaques aig
urvinrent les premières attaques de toute une série; chacune de ces
attaques
aiguë et douloureuse laissait après elle une au
Nous nous proposons de donner une relation assez détaillée de ces «
attaques
aiguës » parce qu'on né les retrouve pas ou du mo
réditaire rapportés par Milroy, Meige, Rolleston, etc. Première «
attaque
aiguë ». Elle survint le 19 janvier 1904 ; la ma-
peu à peu ; vers le 26 janvier elle était pratiquement guérie de l'
attaque
aiguë, le pudendum était redevenu nor- mal, la
a seule fois où il n'y eut pas d'élévation de température pendant l'
attaque
aiguë. OEDÈME PERSISTANT HEREDITAIRE 179 Se
nt l'attaque aiguë. OEDÈME PERSISTANT HEREDITAIRE 179 Seconde «
attaque
aiguë ». Celle-ci survint le 10 juin 1904 à 6 h
e 18 ans et qu'elle n'avait encore été menstruée qu'une fois. Une
attaque
courte, mais aiguë, de dérangement mental survint
ah. Ce William était atteint des « jambes enflées » et il eut des «
attaques
». Il mourut en 1870. Hannah aussi eut les « jamb
Il mourut en 1870. Hannah aussi eut les « jambes enflées » et des «
attaques
». Elle mourut en 1864 à l'âge de 70 ans. Elle av
nts, Eliza et Alfred. Eliza avait les « jambes enflées » avec des «
attaques
». Elle se maria, mais elle n'eut pas d'enfant,
fut retenu par des bandages. A l'âge de 20 ans il eut la première «
attaque
aiguë », sem- blable à celles de notre malade,
- blable à celles de notre malade, et depuis il eut de nombreuses «
attaques
aiguës », jusqu'à l'âge de 25 ans, époque où il
et trois autres, l'une (Ellen) eut les « jambes enflées » et les «
attaques
aiguës » (V. ci-dessous). William n'eut pas d'o
nfant. Harriet eut dès sa jeunesse les~ « jambes enflées » et les «
attaques
aiguës ». Elle mourut à sa première couche et l
. A trois reprises, pendant les deux dernières années, il eut des «
attaques
» que nous n'avons pas vues, mais qui nous été
n'avait pas la notion de ce qui était arrivé. Il est possible que l'
attaque
fut de nature épileptique. La dernière fois il
PERSISTANT HÉRÉDITAIRE 187 Nous avons des renseignements sur deux «
attaques
aiguès » dans ses jambes ; elles furent semblab
lendemain, le malade était revenu à son état normal d'oedème, l' «
attaque
aiguë » ayant duré 4 jours, et ayant disparu sp
anément sans laisser après elle un surcroît d'oedème. La deuxième «
attaque
aiguë » qui ait été observée commença le 31 mai
était allée et l'enflure était reve- nue à son état habituel. Ces
attaques
sont toutes de même caractère, elles sont assez p
hes, comme chez notre propre malade. Elle eut également plusieurs «
attaques
aiguës », mais nous n'avons pu avoir de renseigne
étendit en descendant sur le pied et sur les orteils. Sa première «
attaque
aiguë » survint lorsqu'elle avait 36 ans, quinz
uinze ans après le début de l'oedème, apparemment sans cause. Les «
attaques
aiguës », quoiqu'elles aient été bien tardives, s
EDÈME PERSISTANT HÉRÉDITAIRE 189 guérie ; mais d'ordinaire chaque «
attaque
aiguë » a été strictement uni- latérale. La m
on père et sa soeur, a été sujette à ce que nous avons appelé les «
attaques
aiguës » ; l'une d'elles a été observée,elle comm
e 11 juillet, elle était rouge et enflée comme au commencement de l'
attaque
. La température de la peau rougie était de 99°
st à peu près de même importance aux deux jambes. Une semblable «
attaque
aiguë » survint du côté gauche le 18 juillet 19
mal jusqu'ici en ce qui regarde ses jambes, mais il est sujet à des
attaques
d'épilepsie. Les enfants de Bessie. Bessie, f
ANT HÉRÉDITAIRE 193 Relations entre les « jambes enflées » et les «
attaques
aiguës ». Avant de pénétrer plus avant dans la
s sur les rapports exis- tant entre les « jambes enflées » et les «
attaques
aiguës » que tous ou presque tous les malades c
ue tous ou presque tous les malades ci-dessus ont éprouvées. Si « l'
attaque
aiguë » avait été le phénomène primitif, il ser
aiguës » soient survenues. Par conséquent il paraît clair que les «
attaques
aiguës » sont plutôt des accidents concomitants
sentiels de l'eedème. Nous ne savons pas quelle est la nature des «
attaques
aiguës » ; nous discuterons à ce propos lorsqu'
e que, bien qu'étant peut-être un « phénomène vaso-moteur », chaque
attaque
aiguë a quelque point de ressemblance avec quel
nt, font penser une infection microbienne. Mais d'autre part, les «
attaques
» sont remarqua- blement transitoires, et elles
car aucun de nos malades n'est mort de septicémie même lorsque les
attaques
ont été abondamment répé- tées. En somme nous s
ndamment répé- tées. En somme nous sommes enclin à penser que les «
attaques
aiguës » ne sont pas dues à l'infection ou du m
est ainsi nous comprenons que l'oedème puisse exister avant toute «
attaque
aiguë » et même 25 ans avant elle. Par con- séq
rédisposition héréditaire si fortement affirmée, et peut-être les «
attaques
aiguës » auxquelles nombre des malades décrits ci
éritent des appellations propres. Il est noter que, en dehors des «
attaques
aiguës » nos sujets avaient un oedème des jam-
du tout de trouble géné- ral de leur santé, alors que pendant les «
attaques
aiguës » le désordre constitutionnel était cons
ent au cours des exacerbations de l'oedème angioneurotique. Nos «
attaques
aiguës » étaient si semblables aux exacerbations
la gorge, que nous sommes très portés à les appeler définitivement «
attaques
an51oneurotiques ». Mais nous avons évité de le
que nous ne pouvons donner des preuves absolues démontrant que nos
attaques
étaient bien angioneurotiques de nature. La c
le intelligence et la risée du village ; T110111a; son père, a eu 3
attaques
qui ont été très semblables à de l'épilepsie ;
est d'esprit lent ; Bessie fut dipsomane ; Alice elle-même eut une
attaque
aiguë de manie loquace, avec du délire; son frè
jambes pâles et enflées (cela existait dans nos cas en dehors des «
attaques
aiguës »). 5° Absence de tout symptôme constitu
ffèrent des autres. Meige, par exemple, insiste sur l'absence des «
attaques
aiguës » ; elles se produisaient au contraire d
enflure par un appareil de bandes maintenues en permanence. Les «
attaques
aiguës » bien qu'elles paraissent dangereuses dis
sse. Cela n'a pas été le cas, et même dans une observation où les «
attaques
aiguës » avaient été fréquentes au- paravant, l
ursélaient qu'ils présentaient ce que nous avons décrit comme des «
attaques
aiguës » dont nous avons donné les détails en t
que sa taille n'augmentait plus. , Il y a dix-huit mois il eut une
attaque
de polyarthrite rhumatismale aiguë avec tuméfac
cer- tainement elle remontait à une époque antérieure à la première
attaque
de polyarthrite, car déjà depuis deux à trois a
du premier accouchement, crises éclamptiqnes. Eu mai 1901 première
attaque
épilepli- forme. Après avoir ressenti des tourn
es. Morsure de la langue. Durée de la crise : un quart d'heure. Ces
attaques
se renouvelèrent, parfois en rapport avec les r
lligence. Admission à l'hôpital cantonal 1 an 1/2 après la première
attaque
épilepti- forme. Etat corporel. Tête souvent
tiformes, irrégulières, 12 au total jusqu'en mai 1906. A la suite d'
attaques
plus fréquentes et plus intenses, avec morsures
t mercuriel. Toutefois la famille nous affirme que, dès la première
attaque
, la mémoire diminua ; après la seconde se montr
modifier l'étal de tension des muscles et provoquer des attitudes d'
attaque
ou de défense, en un mot conditionner une confi
e dressent sur la tête, jusqu'aux orteils qui se contractent pour l'
attaque
, tous les organes vibrent à l'unis- son et se m
En dehors des symptômes généraux de compression on peut voir des
attaques
convulsives généralisées ou à type jacksonien ; p
Utile, surtout. Toutes ces citations mettent à néant les violentes
attaques
dirigées contre nous par M. A. Després. Ces att
les violentes attaques dirigées contre nous par M. A. Després. Ces
attaques
ont eu un heureux résultat : elles ont hâté la
s de Bicêtre. (1) M. Roux fait allusion au projet qui nous vaut les
attaques
de M. Desprès. (2) Hospice de Bicêtre. - Cont
embarras de la parole. - Mort le sixième, jour après deux nouvelles
attaques
convulsives. M. de la F., âgé de soixante ans
. ,15 barrassa; le sixième, le malade succomba après deux courtes
attaques
de convulsions. Le cadavre ne fut point ouvert.
ommes observés l'un en 1822, l'autre en 1825, qui, « au moment de l'
attaque
ressentirent une douleur des plus vives, poussè
une certaine intensité; avant qu'elle fût réglée, elle n'avait ses
attaques
qu'une fois par mois ; elles se renouvelaient p
deux ou trois jours ; mais depuis que ses règles sont établies, les
attaques
sont plus fréquentes ; d'abord tous les huit jo
LP malade dit qu'elle est prévenue de la prochaine arrivée d'una
attaque
par un sentiment irrésistible qui la pousse à cou
des membres. Une de ses tantes, du côté de sa mère, a eu aussi des
attaques
d'épilepsie. Quant aux causes de la chorée, M.
e au milieu de la rue, éprouva au mois de juillet 1836 une nouvelle
attaque
de paralysie du côté gauche de la face avecpert
ut saisi et maintenu jusqu'à ce qu'il reprit sa connaissance. Cette
attaque
dura en- viron quatre minutes. Outre cet accè
que l'accès était passé, elle retournait à sa place. La durée de l'
attaque
n'excédait pas une minute et il n'y avait ni ex
Mère, morte à l'âge de soixante-dix-neuf ans, en douze jours, d'une
attaque
d'apoplexie avec hémiplégie gauche ; elle aurait
me de peine au che- min defer, sobre, mortà soixante-neuf ans d'une
attaque
d'apo- plexie en quarante-huit heures. - Mère,
. Grand'mère paternelle, sobre, morte à soixante-quinze ans d'une
attaque
d'apoplexie terminale précédée de deux ou trois
auparavant ; elle était vive, impressionnable, mais n'a jamais eu d'
attaques
nerveuses. - On n'a aucuns rensei- gements sur
bservation suivante : Observation XXII. - Fièvres intermittentes. -
Attaques
éclamptiques à l'âge de six mois. - Petit mal c
olentes. [Père, laboureur, sobre, mort à cinquante- neuf ans, d'une
attaque
d'apoplexie foudroyante en dix-neuf heures. - M
, n'est pas en enfance, travaille encore un peu aux champs, pas d'
attaques
de nerfs, a souvent le sang à la tête. - Quatre
urs ; tisserand, sobre. - Mère, morte à soixante-douze ans, d'une
attaque
d'apoplexie. - Pas de détails sur les grands-pare
inale. Observation XXVI. Mère, nerveuse. - Grand'mère maternelle,
attaques
de nerfs, somnambulisme, migraines. Conception
ernelle. - Oncle paternel, mort de convulsions. - Tante paternelle,
attaques
de nerfs et insuffisance intellectuelle. - Gran
verre d'eau qu'on lui présente, se raidit de tous les membres, et l'
attaque
se complète. - Le fils d'un médecin, pris à tab
nsation intercurrente de chaleur brûlante dans le corps. Fréquentes
attaques
d'hypé- rérnie aiguë pulmonaire. - Durée de l'é
urd, incapable d'exécuter un tra- vail soigné. Il eut de nombreuses
attaques
d'hyperhémie pulmo- naire aiguë qui mirent souv
en danger (saignée du bras ou scarification à la tête); c'est à une
attaque
do ce genre que succomba le malade. , M. Mesc
' On observe souvent chez les hystériques, à la fin des séries d'
attaques
surtout, des accidents procursifs, 1 Ces auteur
n de courir, mais ces accidents ne consti- tuent qu'un épisode de l'
attaque
et ne la composent pas tout entière, comme dans
ccès épilepti- formes dans le cervelet lésé; bien au contraire, les
attaques
pro- viennent toujours de la protubérance ou de
, faisait des ménages; asthma- tique, pas de maladies de peau, ni d'
attaques
; n'est pas nerveuse, aucun excès. [Père, mort o
'une affection osseuse, consécutive à sa fracture. Il n'avait pas d'
attaque
, mais était très nerveux. 11 disait que son enf
uis sept à huit ans à des douleurs de tête; pas de migraines; pas d'
attaques
; n'est pas nerveuse. [Père, culti- tivateur ; e
ions répétées. - Une soeur, morte à son retour d'âge, n'avait pas d'
attaques
. - Point d'épileptiques, d'aliénés, de criminels,
colique, etc.), l'affaiblissement des facultés intellectuelles, les
attaques
apoplectiformes qui sont assez fréquentes dans la
, fils d'une de ses soeurs, âgé de 21 ans, a eu l'hiver dernier une
attaque
nerveuse à la suite d'une discus- sion avec son
es passagères. Elle n'a jamais ou ni convulsions dans l'enfance, ni
attaques
de nerfs. Pas d'enfants avant le mariage. Elle
e, t.I,p. 125; t.II, p. 99. 260 MÉLANCOLIE DES ONANISTES. que ses
attaques
ont une tendance à devenir plus rares. IV. - Po
palhiqiie. Cela parait être le cas, dans la paralysie générale avec
attaques
dites congestives. Les attaques congestives d
, dans la paralysie générale avec attaques dites congestives. Les
attaques
congestives dans certaines formes reviennent, on
on le sail, par accès, ainsi que quelques monoplégies transitoires,
attaques
épilepli- l'onnes, accès d'aphasie transitoire,
e ; il est de provenance surtout empirique. Les analogies entre les
attaques
d'épilepsie survenant par accès et la migraine
une paralysie générale. A plusieurs reprises il s'était produit des
attaques
d'aphasie transitoire d'une durée de 5 il 10 mi
es ou quelques jours. C'est ainsi que deux jours après l'une de ces
attaques
d'aphasie il ne pouvait se rap- peler le nom de
paroxysmes), la marche de l'atrophie musculaire consécutive, qui s'
attaque
en masse à tout le membre inférieur ou à tout un
us connaissez la signification. Cette jeune fille est sujette à des
attaques
convulsives. Tout cela joint à l'évolution des ac
s. De plus, il a des antécédents névropathiques : sa mère avait des
attaques
d'hystérie. Lui-même a eu des accès de somnambu
ations de gonflement douloureux des deux seins, coïncidant avec des
attaques
d'hystérie. Nous ferons remarquer que l'une de se
e, un cas de « galactorrhée, datant de sept ans, alternant avec des
attaques
d'hystérie », sur lequel nous aurons à revenir.
pas quelques-uns des phénomènes prémonitoires ou constitutifs de l'
attaque
. Quel est, à cette période, l'aspect du tégumen
s lesein donné à l'enfant; cette douleur devenait le prodrome d'une
attaque
de colvul- sions hystériques ; c'était comme un
phiques dans l'hystérie, ce cas est d'une interpréta Lion facile.
Attaques
syncopales d'hystérie nées sous l'inlluence d'un
à la suite d'une sorte d'ictus qui n'est pas sans analogie avec les
attaques
apoplecli formes. N'est-ce pas ainsi que procèd
de sécrétion, l'innervation des vaisseaux et enfin l'eczéma si elle
attaque
/les centres trophiques. ' On peut accorder aux
sa profession de mécanicien, il la quitte, à la suite d'une légère
attaque
de rhumatisme articulaire aigu, pour prendre ce
archand de nouveautés. Jusqu'à trente-quatre ans, sauf cette légère
attaque
de rhumatisme, il se porte bien, ne ressent auc
hystérie. On dirait plutôt que le Convive indigne ¡cuL de tomber en
attaque
En tout cas, la pâleur du visage, l'abandon de
: il a représenté un possédé du diable, c'est-à-dire une phase de l'
attaque
hystérique. - Il lui a répugné sans doute de re
par une attitude moins désordonnée, mais non moins émouvante, de l'
attaque
d'hystérie. Dans cette interprétation hypothéti
orme de canitie, mais aussi sous forme d'alopécie (1). A la suite d'
attaques
d'hystérie, on peut aussi ren- contrer une séch
Note sur un trouble trophique des cheveux survenant à la suile des
attaques
chez les hystériques (C. Il. Soc. de biol., 1885,
l y a plusieurs années (1) : Ons. I. Un épileptique de 32 ans à des
attaques
convulsives et des vertiges depuis l'âge de 13
es attaques convulsives et des vertiges depuis l'âge de 13 ans. Les
attaques
se reproduisent environ une fois par se- maine,
par jour), les vertiges ont à peu près complètement disparu, et les
attaques
sont devenues moins fréquentes il lui arrive d'
considérable que le malade lui-même ne se l'imagine, parce que. les
attaques
qui autrefois étaient isolées, se montrent main-
3 jours, et incomparablement plus profond que celui qui suivait les
attaques
isolées. Il n'avait eu aucun accès depuis le 26
eu des convulsions dans l'enfance comme ses huit frè- res. Il a des
attaques
et des vertiges. Sous'l'influence de la bromurati
t jamais paru. Cette femme-enfant était hystérique, sujette à des
attaques
assez fré- quentes. Son état mental était res
.., est épileptique, mais on ne connaît pas la date de début de ses
attaques
. Une de ses soeurs est morte aliénée. Les att
e début de ses attaques. Une de ses soeurs est morte aliénée. Les
attaques
d'épilepsie ne sont pas fréquentes, quoique le ma
et qui pour la plupart étaient des hystériques en proie, soit à des
attaques
du type ordinaire, soit à des manifestations ch
irréprochable. Nous ferons remarquer, en outre, qu'en décrivant les
attaques
de la jeune femme qui fait le sujet de sa premi
ns nombre d'observations de la forme grave de la tétanie. Certaines
attaques
de contractures avec spasme de la glotte rentre
reraient donc dans le cadre de cette affection. Or, on sait que ces
attaques
de spasmes ont parfois un pronostic des plus gr
l était alcoolique et avait, au dire de la malade, tous les ans une
attaque
pendant laquelle il était comme fou pen- dant 3
des cris violents ; on ne pou- vait pas l'approcher. Pendant cette
attaque
, il n'avait pas d'écume aux lèvres, ni de sang
est bien portante. Cette fillette n'a jamais en de convulsions ni d'
attaques
de nerfs; mais elle rêve et cause tout haut la
té. Voici comment évolua cette'crise : deux ou trois heures avant l'
attaque
la malade se sentit mal il 'son aise; elle était
es 8, 15 jours et enfin pendant tout le 9° mois de sa grossesse les
attaques
disparaissent pour ne plus reve- nir. La malade
une grande, hystérique; elle a actuellement encore de fré- quentes
attaques
. Il a trois frères et une soeur, tous actuellemen
ssionnels. Il avoue d'ailleurs l'alcoolisme. L... n'a jamais eu d'
attaques
convulsives. Mais il a de fréquents étourdisse- 1
cte copie du faciès qui s'observe a certaines périodes de la grande
attaque
hystérique, tandis que la mimique du malade de
ce de M. le Dl Quenu à l'hôpital Cochin. La il aurait eu de grandes
attaques
avec perte de connaissance et mouvements désord
ques avec perte de connaissance et mouvements désordonnés ; sur ces
attaques
lui-même ne sait donner aucun renseignement, il
es de la sensibilité objective qui, si nous rappelons l'existence d'
attaques
antérieures, nous permettent d'affirmer l'hysté
nt laisser de doute, combien même on n'aurait pas le commémoratif d'
attaques
antérieures. Il en est de même des soubresauts
l a souffert de rachitisme, mais a guéri. A trois ans a eu quelques
attaques
con- vulsives avec perte de connaissance qui ne
es accidents à la suite d'une sorte d'ictus, qui se rappro- che des
attaques
d'apoplexie, semble bien l'indiquer. CAMUSET. I
vrose d'angoisse (irritabilité, état d'at- tente anxieuse, phobies,
attaques
d'angoisse complètes ou rudi- mentaires, de peu
e la colonne vertébrale et au niveau de la ceinture scapulaire; les
attaques
cessent quand on comprime les testicules. Dimin
pérant les douleurs. Pour se mettre au lit, quand il sent venir les
attaques
, il fléchità peinela cuisse, s'appuie à l'aide
nt pu tolérer l'opium, cinq ont vu complète- ment disparaître leurs
attaques
, huit les ont vu diminuer; chez quatre il n'y a
résente cependant l'avantage d'amener un répit favo- rable dans les
attaques
; 3° de plus elle calme les malades irritables
oin invincible de dormir. Comme cette femme a eu antérieurement une
attaque
d'épilepsie et comme on aobservé chez elle l'ap
t de travers et avec un rire niais. Deux jours après se produit une
attaque
apo- plectiforme avec perte complète de connais
amélioration assurée; 4° opérer de préférence les cas accompagnés d'
attaques
épileptiformes, de contractures, rigi- dité ou
ent du corps régulier. A trois mois première crise épi- leptiforme,
attaques
très fréquentes depuis lors, jusqu'à 20 par jou
satisfaction à l'opinion publique. M. ZiNN, après avoir rappelé les
attaques
récentes dont les asiles d'aliénés et les médec
GRAPHIE. fièrement la seconde partie de sa vie. La description de l'
attaque
hystérique, l'étude de l'hystérie interparoxysl
oir, un marchand de chansons esttombé sur la place Gambetta d'une
attaque
d'épilepsie. Quelques passants l'ont secouru et i
el ad hoc. Une jeune épileptique qui, à son entrée, avait plusieurs
attaques
d'épilepsie par jour et élait tombée dans un ab
a été complètement guérie. Depuis plusieurs mois elle n'a pas eu d'
attaques
, malgré la suppression de tout traitement. Ce cas
elle à Brancourt (Aisne), où elle passe trois mois, dit-elle, sans
attaque
. Mais à la suite d'une chute, l'état ner- veux
pen- dant une période d'observation de douze jours. 27 avril. Une
attaque
, à la suite de laquelle la main commence à enfl
nseurs. Dans la journée : T. G. 27°,8; T. D., 28°,7. 1er mai. Une
attaque
, après laquelle la main gauche est très peu enf
enfler de la main gauche (oedème blanc rosé), et de la face. 9. 2
attaques
convulsives de suite, après lesquelles la main
in 1890) avec le diagnostic suivant : Dégéné- rescence mentale avec
attaques
hystéro-épileptiques graves, suivies de trouble
le 25 mars 1894, n'ayant plus dé crises depuis six mois. Ebauche d'
attaque
le 25 mai. Attaque complète le 18 juin, à la su
'ayant plus dé crises depuis six mois. Ebauche d'attaque le 25 mai.
Attaque
complète le 18 juin, à la suite de laquelle, so
e suite sans intervalle, soit une véritable 198 RECUEIL DE FAITS.
attaque
. Elles n'ont en tout cas aucune influence sur l'h
nose, vint nous trouver en février dernier pour être guérie de ses
attaques
de nerfs; elle était âgée de vingt-deux ans et av
ix-neuf ans, comme atteinte depuis longtemps d'hydro- céphalie et d'
attaques
d'épilepsie fréquentes, avec agitation conco- m
a donné l'idée d'une analogie possible de mécanisme avec celui de l'
attaque
d'épilepsie jack- sonienne ; il y a d'ailleurs
'aliénés. Durée des causes ? Le trouble actuel est-il la première
attaque
ou d'autres ont-elles précédé ? 1 Décrire les
u des désirs spéciaux ? A-t-on observé des signes d'apoplexie ? Des
attaques
épileptiques ? Les prodromes sont-ils apparus c
rois ans, trois mois ( ? ) après, gomme au front. Il y a deux mois,
attaque
d'apoplexie et à la suite hémiplégie droite. Dis-
orure de mercure. Le malade ayant suspendu ses injections, nouvelle
attaque
d'apoplexie il y a deux jours. Depuis, perte de
ales. Réflexes patellaires exagérés, les autres réflexes normaux. L'
attaque
convulsive du soir dure une ou deux heures. Tou
qui, six ans après avoir eu la syphilis, est pris subitement d'une
attaque
convulsive ; celle- ci ne laisse pas de traces.
e convulsive ; celle- ci ne laisse pas de traces. Mais une deuxième
attaque
survient, qui est suivie de troubles psychiques
erveuse, mais il est difficile de le démontrer. Pourtant, quand les
attaques
sont rares et que la pelade apparaît peu après l'
s deux, trois ou quatre mois, qui en revanche avait alors plusieurs
attaques
très rapprochées et très violentes, resta une f
ents qui la suivirent. L'autre patientent, après la pendaison, deux
attaques
de plusieurs minutes de durée séparées par un cou
endit à la tentative de suicide et aux incidents consécutifs. Les
attaques
observées chez le premier malade présentaient les
L'hystérie parait être en cause. Le patient a eu antérieurement des
attaques
paraissant de nature hystérique; il présente de
mère était toujours très nerveuse. Il y a quatre ans elle a eu une
attaque
d'apoplexie, et elle est maintenant hémiplégique.
père était goutteux, il est mort à l'âge de soixante-six ans d'une
attaque
apoplectique. La mère du malade est bien portan
l'épilepsie : la folie préépileptique, l'équivalent psychique de l'
attaque
, la folie postépileptique, la folie intermédiaire
l'attaque, la folie postépileptique, la folie intermédiaire à deux
attaques
et la démence épileptique. La folie épileptique
as de folie et il est probable que seul l'équivalent psychique de l'
attaque
est plus fréquent qu'on ne l'indique ordinairem
rement, cela d'autant mieux que souvent l'équivalent psychique de l'
attaque
se manifeste sous forme d'une perversion morale
vec déchéance (trois mois); pendant sept mois, démence progressive,
attaques
épileptiformes, mort rapide de pneumonie. Autop
jaunes du diamètre d'une pièce de cinquante centimes). Pendant les
attaques
conges- tives on constatait un nouveau symptôme
sensibilité; marche et articulation des mots assez bien conservées;
attaques
épileptiformes rares; démence progressive très
sie. D'une sorte DE PHÉNO- MÈNE ÉPILEPTIQUE PARTICULIÈRE; LA PETITE
ATTAQUE
ÉPILEPTIQUE erotique avec éjaculations; par M.
ir qu'il existe, au point de vue clinique, une forme particulière d'
attaque
épileptique, caractérisée par des rêves érotiqu
occupe et déprime le malade; lorsqu'on a pu gagner sa confiance, on
attaque
la destruction dans l'esprit du malade des conc
ccompagner de symptômes thoraciques se manifestant par des sortes d'
attaques
de suffocation avec anxiété précordiale, l'aute
té du pli courbe. Le début de l'aphasie sensorielle peut être une
attaque
d'apo- plexie, ou bien il peut être brusque san
t être une attaque d'apo- plexie, ou bien il peut être brusque sans
attaque
, ou encore l'aphasie s'installe lentement et pr
oliques, en revanche, il n'y a pas, à propre- ment parler, d'idée d'
attaque
et par suite de défense, de résis- tance. C'est
rifiantes ou consolantes; répondant au double courant antagoniste d'
attaque
et de défense ; les premières consistent en app
liquer, par cette hypothèse ingénieuse, l'apparition de la première
attaque
de céphalée, alors que le sujet ne pouvait avoi
téger à son tour. Peu après il tomba en convulsions et présenta une
attaque
typique d'épilepsie convulsive. Revenu à lui il
t est pas difficile de démontrer, en résumé, que le prévenu a des
attaques
d'épilepsie convulsives et psychiques et qu il ét
re de l'épilepsie (11tutles SUl' la physio- logie pathologique de l'
attaque
épileptique). Volume in-8''do 182 pages. - Prix
ant des douleurs et des haines ; celles-ci déterminent un mouvement d'
attaque
, aussitôt réprimé par la mise en action d'autres
résente manifestation est la meilleure réponse qu'on puisse faire aux
attaques
souvent formulées contre les médecins. Pour fai
yngite cause de ce symptôme paraissait avoir pour point de départ une
attaque
de grippe. Au bout de deux jours la toux se tra
age. Elle a eu, quinze jours avant son entrée à la Salpétrière, une
attaque
de nerfs dont nous n'avons pas eu les détails.
si qu'on n'a pas pu la garder dans sa pension parce qu'elle avait des
attaques
: elle en a eu trois. A la suite de ces attaques,
ce qu'elle avait des attaques : elle en a eu trois. A la suite de ces
attaques
, elle resle anéantie et ne peut rien faire. Les a
suite de ces attaques, elle resle anéantie et ne peut rien faire. Les
attaques
débutent par un mal de cœur, des étoufîements. El
e et une certaine sensibilité de l'intestin à la pression. En 1894,
attaque
d'influenza, après laquelle survient une névralgi
naît qu'ils ne se sont nettement dessinés qu'en 18S9 a la suite d'une
attaque
sérieuse d'influenza à forme cardio-pulmonaire. A
l'asile de St-Trond où elle est morte : elle était folle et avait des
attaques
de nerfs. Voilà donc un état d'inconscience, d'
e alléguée par le prévenu. Eventuellement, on aura à tenir compte d'
attaques
antérieures de somnambulisme. On établira soign
ement qu'on allait le toucher, tout attouchement amenait chez lui une
attaque
épileptique, de même que chez une personne fortem
s ; si l'excitation cutanée était plus intense, il y avait une grande
attaque
épileptique complète (sauf l'absence de cri initi
épendent de l'hystérie ont un début brusque et se déclarent après une
attaque
ou une violente émotion. Chez notre malade, au co
contraire, le début a été lent et a précédé de longtemps la première
attaque
d'hystérie. L'évolution est également différente
it qu'il voulait traiter « de l'état mental des maniaques pendant les
attaques
périodiques de folie. » La leçon fut interrompu
e semaine dans un établissement hydrothérapique pour se remettre. Les
attaques
devenaient plus fréquentes, il eut de l'albuminer
evenaient plus fréquentes, il eut de l'albuminerie et quelquefois des
attaques
de nature épileptique. C'était un bon sujet qui d
l'indication de cette méthode de traitement. Telles sont les grandes
attaques
convulsives accompagnées d'accès maniaques et de
petite fille tomber du haut mal ; immédiatement, elle fut prise d'une
attaque
qui se renouvela tous les deux jours ou quotidien
rois mois de soins (douches et bromures) que la sédation s'opéra. Les
attaques
disparurent pour reparaître en 1892. Elles se pré
ue, me contentant de dire que j'eus la bonne fortune d'assister à une
attaque
complète d'hystéro-épi-lepsie que je ne pouvais m
drothérapie et des bromures, il est satisfaisant, quoiqu'elle ait des
attaques
de temps en temps, environ une tous les quinze jo
. Ils se sont produits, et j'y insiste maintenant, en dehors de toute
attaque
. D'autre part, les lésions conjonctivales et corn
erçant la profession de brunisseur, est sujet, depuis cinq ans, à des
attaques
d'épilepsie, diurnes et nocturnes, qui le rendent
phalée à localisation frontale ; deux mois après, survint la première
attaque
convulsive. (1) Observation recueillie par M. R
années, le malade n'a jamais cessé de prendre du bromure). Avant l'
attaque
, L... accuse une sensation de constriction dans l
tète tournée à droite et en arrière. Après deux pas, il tombe, et l'
attaque
commence. Le cri initial fait défaut. Les yeux
raîtrait en même temps. Immédiatement, le nombre et l'intensité des
attaques
diminua, ainsi que les maux de tète, et, à partir
accès, mais bien pour guérir ; que s'il voulait continuer à avoir des
attaques
, il n'avait qu'à retourner chez lui ». Depuis c
'ordre médicamenteux ou opératoire ? Il n'y a pas de cris pendant t'
attaque
, tout au plus quelques gémissements. La durée d
quelques gémissements. La durée de ces phénomènes est variable : l'
attaque
à laquelle nous avons assisté n'a pas dépassé deu
evenait en courant dans mon cabinet. Je crus que M. X... avait eu une
attaque
. Non, mais depuis un instant elle se sentait moui
ons, et sans être ému du calme qu'il conserva au milieu des violentes
attaques
qui s'élevaient de tous côtés autour de lui. Et,
du point qui est le siège de la sensation anormale, peut arrêter une
attaque
. Ce moyen a été recommandé surtout par Odier. La
ée, ou encore la torsion d'un doigt de la main peut faire avorter une
attaque
. II en est de même du redressement forcé ou de la
sentaient l'aura arriver, et ils pouvaient, par ce moyen, éviter une
attaque
. Des flagellations, des applications d'eau froide
même résultat. Une malade de la consultation. Mme Mon..., évitait une
attaque
en mangeant du chocolat ou une bouchée de pain. C
romure d'éthyle, de sels anglais ont été employées pour suspendre les
attaques
d'épilepsie, mais ces moyens sont très aléatoires
c pas à le faire revenir à lui, à le réveiller. Le sommeil, après une
attaque
epileptique, est le meilleur réparateur que le ma
t abdomino-crurales. Sa sœur jumelle, pâle et chétive, a gardé, d'une
attaque
de rhumatisme articulaire aigu, un rétrécissement
Enfin surviennent coup sur coup, dans l'espace de six semaines, deux
attaques
de pseudopéritonite avec faciès grippé, pouls pet
hénomènes tels que : désagréable sensation d'éblouissement, migraine,
attaques
d'évanouissement ou de catalepsie, caractérisées
issait que certains malades pouvait prédire avec succès leurs propres
attaques
hystériques, mais il disait que, dans ce cas, la
non distinctement conçu par son esprit, peut cependant déterminer une
attaque
de rhumatisme. Il est possible que les passes aie
malgré cela, dit-il, me faire juge de ce que pourraient accomplir des
attaques
systématiques et persévérantes destinées à corrom
rouges légèrement saillantes, qui ap- paraissent avant ou après les
attaques
et qui persistent plus ou moins longtemps, beau
, et chez quelques-unes il se développe subitement à la suite d'une
attaque
et d'une émotion. Enfin, les réflexes vaso-mote
ses vêtements et dont les sueurs disparurent subitement, quand des
attaques
délirantes se sont développées à la suite d'une
nt des douleurs, des symptômes relatifs aux organes génitaux et des
attaques
particulières, c'est-à-dire en réalité à un pet
enfants, à des hommes, à des malades sans troubles génitaux et sans
attaques
, en un mot à un bien plus grand nombre de perso
n qu'au sujet ébloui par une fixation continue et à l'hystérique en
attaque
extatique. Nous ne nions aucunement que l'obser
avec des délires du contact, aux contractures des idées fixes, aux
attaques
convulsives certaines attaques d'idées précédées
ux contractures des idées fixes, aux attaques convulsives certaines
attaques
d'idées précédées d'une angoisse comme d'une au
miler entièrement t une hystérique simple avec ses anesthésies, ses
attaques
et ses contractures à un psychasthénique qui ne
activité. Aussi l'anesthésie est nette, l'amnésie est absolue, l'
attaque
et le somnambulisme se distinguent bien de la vei
est folle. Cepen- dant elle est en plein délire, depuis sa dernière
attaque
elle rêve continuellement que sa mère, du haut
s à la suite des autres ou coexistent, ce qui donne naissance aux
attaques
, aux somnambulismes,' aux actes subconscients; en
paralysie cérébrale, au contraire, est toujours une affec- tiôn qui
attaque
une grande partie de la périphérie, une extré-
endue et intensité qu'on ne s'y attend. Si une lésion inflammatoire
attaque
les nerfs spinaux ou les centres de la moelle,
et postérieures. Intégrité des nerfs périphériques. Observation Il.
Attaques
épilep- tiformes avec paralysie des quatre patt
'un homme ayant présenté les symptômes d'un néoplasme cérébral avec
attaques
d'épilepsie partielle, puis hémiplégie gauche,
vêtue de noir tomber de son haut sur le trottoir, des suites d'une
attaque
de catalepsie. Trans- portée dans une pharmacie
' . 't.. jJ' 11' a"' 1 L f Homme de- cinquante-trois ans.1 D'abord
attaque
'apop]ectiforme;1 puis attaques épileptiformes
me de- cinquante-trois ans.1 D'abord attaque 'apop]ectiforme;1 puis
attaques
épileptiformes ? qui' commencent' par';le°bras' e
ec cécité psychique, . paraphasie, hémianopsie bilatérale homonyme,
attaques
d'épilepsie . corticale. A1'autopsie; altératio
'et trouble de la parole) : récidive il y a quatre ans ; troisième"
attaque
il y a trois .mois. Démence, parésiedes'rameaux
i, ,I91 'rfJ()1Tf 9a '111.I ? no- 1 ·a;r ayant succédé des séries d'
attaques
convulsives. 'Pup.lIIe ,gauche dilatéé ? Aüéstb
ter l'origine de ses antécédents à trois ans, époque où il, eut une
attaque
de astro-,r ¡I entérite. Depuis cette époque il
1 , ,i ? "» '<><( ? tnt un . 1 n,tl1 ? .. .- , Ir XXXVI. L'
attaque
hystérique D'APHASIE ET la simulation ; par \ ,
i - . lin 1 j 1 1,1 ., ' 1 , 1 H ! If ! 'i f '< 1 i '+ XXXIX.
Attaques
DE léthargie ET suggestion hypnotique; par HITZIG
u corps qui avait diminué augmente, grâce à, un fort appétit. Cette
attaque
dé sommeil avec les mêmes caractères revient to
" ^ Par la suggestion hypnotiquel'auleur parvint à supprimer les
attaques
de sommeil, mais non'les prodromes. Aussi- conclu
s attaques de sommeil, mais non'les prodromes. Aussi- conclut-il,
attaques
de '1 n ? nl ? P,f.dr. ? m.sj,i ? HssiSg ! J811t
ttache complètement à la doctrine de 1\1.1 Charcot et considère ces(
attaques
de sommeil , comme faisant partie de.l'at-, taq
endant quatre mois. Il' y a un an il commença' à tomber. 'Après les
attaque
spasmodiques il'resta une semaine'sans'se lever
ès les attaque spasmodiques il'resta une semaine'sans'se lever. Ces
attaques
se produisaient à une ou deux semaines d'interv
e année dans un profond sommeil. Suit la description d'une de ses
attaques
de léthargie. Un soir, Jack se, couche après son
TÉS SAVANTES. 163 aussi chez des individus n'ayant cependant qu'une
attaque
de folie passagère. P. K. XV. Contribution A
Au début de cette année, SOCIÉTÉS SAVANTES. 165 à la suite d'une
attaque
congestive grave, alternatives mathématique- me
mélancolie et de manie durant chacune un jour juste Puis, nouvelle
attaque
congestive, troubles trophiques, déchéance psy-
elles qui imposent la trépanation. M. PELMAN. Les toutes récentes
attaques
contre les aliénistes et les asiles d'aliénés.
de succomber soudainement et sans que rien ne le fit prévoir, à une
attaque
d'angine de poitrine. Après quelques minutes de
ès de l'École des infirmières. Nous n'en aurions point parlé si les
attaques
dont il vient d'être l'objet ne nous y contraig
ue) ; Hémianopsie hystérique et hémiazzesticésies toxiques (1887) ;
Attaque
de sommeil hystérique; Des tics et des tiqueurs
été très marquée surtout en ce qui concerne la nutrition, quand une
attaque
de cho- léra enleva le sujet en deux-jours; il
aire et commencement de perte de connaissance, et pour éviter une
attaque
épileptiforme nous le recouchons immédiatement et
ace. Le silence qui semble d'ailleurs se faire autour d'elle et les
attaques
dont elle a été l'objet de différents côtés, co
cuisinière, d'un naturel gai; elle n'avait jamais eu de crises ni d'
attaques
d'aucune sorte. ' Il y a trois mois, étant au
de quarante ans est prise subitement de maux de tête violents et d'
attaques
épileptiformes avec perte de con- naissance, sa
rés et inégaux, dans beaucoup de cas, ils disparaissent pendant les
attaques
de grand mal et parfois restent longtemps sans
et parfois restent longtemps sans revenir. En d'autres cas, après l'
attaque
, les réflexes tendineux sont temporairement ren
la courbe est modifié. Le temps perdu est un peu plus long après l'
attaque
qu'avant; mais, parfois aussi, il est ou trop a
mais, parfois aussi, il est ou trop accusé ou moindre qu'avant l'
attaque
. La modification des réflexes immédiatement après
eptiques, des hystériques, des paranoïaques, des déments, après les
attaques
épileptiformes ou apoplectiformes, le pouvoir i
remonte un peu, mais succombe au bout de trois mois et demi, à une
attaque
assez légère de paralysie, accompagnée d'une co
la jeune fille ressentit une telle impres- sion qu'elle 'tomba' en
attaque
et's'endormit. Depuis, elle- ne s'est jamais ré
de Vaucluse après un long internement. Un frère utérin sujet à des
attaques
convulsives, s'est volontairement noyé. Un autr
prenant l'idée ancienne de Schroeder van der Kolk qui com- parait l'
attaque
épileptique à la décharge d'une bouteille de Leyd
ezançon. De l'antagonisme des idées délirantes chez les aliénés : l'
attaque
et la défense, le bien et le mal; le dédouble-
il elle n'avait aucun sou- venir. A plusieurs reprises elle eut des
attaques
de sommeil variables, comme'durée, de quelques
. Or, on a pu voir combien la suggestion est efficace, quand elle
attaque
l'élément hystérique. Je pourrais citer bien d'
a gorge. Elle aurait eu en bas âge quelques pertes de connaissance,
attaques
de sommeil. " Nous trouvons donc encore là deux
er, 132; de l' - dans la paralysie générale, par Ascher, "142 ; l'
attaque
hysté- rique d' - et la simulation, par Ladam
8. Lésions, microscopiques par Ed. Goodall, 59.. f LÉTII IHGIE,
attaques
de et sug- gestion hypnotique, par Ilitzig, 1
Bechterew, 484. Suicide d'un fou, d'un enfant, 513. Suggestion,
attaque
de léthargie et hypnotiqtie,l'1)ar Hitzig, 148;
xie locomotrice progressive est une maladie chronique primitive qui s'
attaque
simultané-ment à différents points du système ner
de la déglutition. — Hoquet. — Troubles fonctionnels de la vessie. —
Attaques
d'épilepsie. Du pouls lent permanent. — Ralenti
sans intérêt de faire ressortir. e) Je ne ferai que mentionner les
attaques
d'épilepsie qui se manifestent quelquefois d'une
'altération dans un cas très intéressant de poids lent permanent avec
attaques
syncopales et épileptiques, publié par M. A. Rotu
ssocie sans réserve à son opinion 1. 1 Le pouls lent permanent avec
attaques
syncopales, apoplectiformes et épileptiformes, s'
équent, les cellules motrices, mais elle ne s'y limite point, et elle
attaque
aussi bien les cornes grises postérieures et les
s rapidement dans les membres paralysés et, deux mois a peine après l'
attaque
, les muscles, tant du membre in-férieur que du su
eu près permanentes, mais s'exaspèrent de temps à autre, sous forme d'
attaque
. Elles retentissent souvent dans les jointures
u'elle prédomine sur certains muscles ou groupes de muscles, elle s'
attaque
cependant à toute l'étendue ou à toute une partie
, la diplopie, l'embarras particulier de la parole, les verliges, les
attaques
apoplectiformes, les troubles spéciaux de l'intel
et station impossibles. — Évolution de la maladie. — Complica-tion :
attaques
d'hystérie. Historique. — Le vertige de Meniere
termit-tente qui a duré six mois. A 41 ans, R... a été saisie d'une
attaque
apoplectique avec perte de connaissance et accomp
é gauche. Elle n'a pas cessé depuis cette époque d'être sujette à des
attaques
d'épilepsie. Les membres du côté droit sont actue
ans les idées, tels ont été les symptômes qui ont suivi cette seconde
attaque
et ont persisté après elle. A partir de celte épo
n'a pas uriné sous lui. Sans qu'il eut repris connaissance, plusieurs
attaques
se produisirent, sur tous les points semblables à
que la douleur de tête, dit entre autres M. Buzzard, est associée aux
attaques
convulsives de la syphi-lis, elle précède en géné
lle a existé pendant plusieurs mois avant l'apparition de la première
attaque
» Il ne faudrait pas sans doute, tant s'en faut,
tte céphalalgie fixée sur un point et précédant pendant longtemps les
attaques
convulsives comme un signe carac-téristique ; on
j'émis l'opi-nion qu'il fallait procéder ici en quelque sorte par une
attaque
1 « If pain in the head be associated with the
ard, il se considérait comme tout à fait guéri; que, enfin, quant aux
attaques
épileptiformes, elles n'avaient plus reparu et qu
t la nuit qui fut sans sommeil et durant la journée du lendemain, des
attaques
du même genre se reproduisi-rent à trois ou quatr
quelquefois en outre la moitié correspondante delà face. Une nouvelle
attaque
, avor-tée également, comme celle de la veille, av
ium et les frictions mercurielles furent commencées le jour même. Une
attaque
avortée, cette fois limitée au membre in-férieur,
ois. Aucun accident nerveux n'avait reparu. Il peut arriver que les
attaques
d'épilepsie partielle syphili-tique soient précéd
avoir été littéralement soudaine, inopinée, et le malade ne connaît l'
attaque
que d'après ce qui lui en a été dit par les as-si
a main douloureuse avait été l'occasion du développement d'une de ses
attaques
convulsives1. 1 II n'est pas sans exemple, on l
à la fin de 1876 ; depuis près de 14 mois, il n'avait plus éprouvé d'
attaques
; sa santé d'ailleurs s'était tout à fait rafferm
., mais sans succès. Au bout d'un certain temps, il remar-qua que les
attaques
, qui revenaient à des intervalles très irrégu-lie
ieusement son larynx (?) qui est aujourd'hui guéri. En même temps les
attaques
ont disparu, depuis neuf mois il en est complè-te
fut appelé il y a une quinzaine d'années avoir un malade sujet à des
attaques
de goutte articulaire et qui souffrait de temps e
lai-gnait d'être devenu sujet, depuis un an, à ce qu'il appelle des «
attaques
». L'attaque est annoncée par un chatouillement s
re devenu sujet, depuis un an, à ce qu'il appelle des « attaques ». L'
attaque
est annoncée par un chatouillement sié-geant au-d
tout à coup le malade perd connaissance et s'affaisse. Pendant cette
attaque
, au dire des personnes qui sont à même de l'obser
our et il est arrivé au malade de tomber dans la rue. Chaque fois les
attaques
en question ont été précé-dées du chatouillement
il peut arriver que les accès de toux ne soient pas suivis de grandes
attaques
. Dans ce cas, le malade éprouve seulement un sent
un caractère con-stant de ce que l'on pourrait appeler les « grandes
attaques
; » elle a fait défaut seulement dans les cas lég
dans les cas légers, dans les atta-ques incomplètes. Dans les grandes
attaques
, l'existence de quelques phénomènes convulsifs lo
ister, en quelque sorte, au développement des premières phases de l'
attaque
. La perte de connaissance suit de très-près l'app
la face, plus rarement en arrière ou sur un des côtés 2 ; la fin de l'
attaque
est le plus souvent marquée par l'appariton de na
ique doit être réservée : sans doute les symptômes prémonitoires de l'
attaque
semblent désigner le larynx ou les régions supéri
e de la déglutition. — Hoquet. — Troubles fonctionnels de la vessie. —
Attaques
d'épilepsie. Du pouls lent permanent. — Ralenti
et station impossibles. — Évolution de la maladie. — Complica-tion :
attaques
d'hystérie. Historique. — Le vertige de Ménière
été l'objet de notre part, trouvait qu'elle avait puisé, dans ces
attaques
mêmes, un nouveau caractère de certitude. 1 Lu
NOTE SUR L'ÉTAT DE LA PUPILLE CHEZ. LES ÉPILEPTIQUES EN DEHORS DES
ATTAQUES
; Par Pierre MARIE, interne des hôpitaux. Dans
Se.) que chez les épileptiques la pupille présente en dehors des
attaques
des caractères spéciaux. Notre maître, M. le pr
du mémoire de L. C. Gray. Cet auteur a constaté qu'en dehors des
attaques
les pupilles des épileptiques sont toujours plu
ence du mal comitial chez les individus dont on n'a pu observer les
attaques
. Ainsi, dilatation manifeste, variations plus r
mettre en colère, elle n'avait cependant jamais été sujette à des
attaques
de nerfs ; morte percluse de douleurs, aveugle et
aissance, qui, la dernière fois, aurait duré douze heures. Ces deux
attaques
, sur lesquelles le ma- 1 Comptes rendus de l'.1
riel dans une compagnie de chemins de fer ; mais depuis sa première
attaque
cette émotivité a subi quelques alternatives d'
atteignant le membre inférieur gauche resté, sain longtemps après l'
attaque
, il est survenu une rigidité beaucoup plus cons
r des injections sous-cutanées d'ergotine. Elle avait eu déjà des
attaques
épileptiformes, de l'aphasie, de l'hémianesthésie
s 88 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. s'exagérèrent à la suite d'une
attaque
d'épilepsie, puis d'une attaque d'hystérie. Ell
E. s'exagérèrent à la suite d'une attaque d'épilepsie, puis d'une
attaque
d'hystérie. Elles disparurent plus d'un an après,
orte. La mère est morte d'une tumeur abdominale, elle avait eu deux
attaques
de chorée dans son enfance. revue DE patholog
aternel, il existait plusieurs aliénés, et la mère qui avait eu des
attaques
de chorée et avait évidemment une disposition n
elle allongée influence d'abord les vasomoteurs cérébraux, et que l'
attaque
classique est la résultante de l'accumulation d
ique à Paris pour se distraire, fut frappé, étant au théâtre, d'une
attaque
apoplecliforme que rien ne faisait prévoir. A la
lle le 12 octobre 1881. La mère est morte à cinquante-six ans d'une
attaque
d'apoplexie. Réglée à quatorze ans, la malade a
résentant les diverses attitudes prises par les malades pendant les
attaques
. M. Mills fait ensuite l'histoire de l'bystéro-
DE pathologie mentale. la parole et des mouvements volontaires. Une
attaque
apoplec- tiforme avec convulsions de l'épaule e
nce du pouls exagérée. Le patient meurt trois jours et demi après l'
attaque
. L'autopsie décèle simplement deux zones nettem
proie, dans les derniers jours qui précédèrent sa mort, à plusieurs
attaques
apoplectiformes. La partie antérieure des hémis
travaux de l'École de la Salpêtrière sur les grandes et les petites
attaques
convulsives de l'hystérie. S'appuyant sur ses p
les premières ne sont pas mises eu jeu, les secondes donnent lieu à
attaques
. Ni les unes ni les autres ne disparaissent sou
; après comme avant l'action du froid, la compression détermine une
attaque
. La chaleur ne met pas en jeu l'action des zone
Les piqûres et les frictions cutanées ne déterminent pas non plus l'
attaque
; la sensibilité spéciale des zones hystérogenes s
a compression des troncs nerveux qui innervent ces zones provoque l'
attaque
, tout comme la compres- sion de ces zones elles
ins grave et sur- tout d'allure moins terrifiante que la forine par
attaque
, peuvent être des manifestations incontestables
mariée, mère de famille,' eu il y a plusieurs années de vio- lentes
attaques
d'hystérie. Placée une première fois à Vanves,
étranges qu'il éprouve. Sa mère, atteinte d'hystérie, présente des
attaques
et despériodes de vive excitation intellectuell
en indiquer l'origine. . Elles peuvent débuter subitement par une
attaque
d'apo- plexie, comme on le voit dans un cas, ra
; parésie des extenseurs de la cuisse gauche. Puis, après une autre
attaque
, embarras de la pa- role et déviation de la bou
(Themeda'calllecool 11'eao-I'ooh, août 1881.) .) La répétition des
attaques
d'épilepsie crée une condition particulière du
xe; surtout si elles se répètent dans un court espace de temps; une
attaque
isolée doit faire craindre l'épilepsie. Chez le
et des néphrites, les convulsions, surtout si elles constituent une
attaque
isolée, sont presque certaine- ment épileptique
car- diaques). Les phénomènes d'excitation se traduisent par des
attaques
épileptiques, les phénomènes paralytiques, par de
tre pour quelque chose dans le mode de réponse à l'excitation : les
attaques
d'épilepsie se rencontreraient principalement che
vomissements alimentaires qui s'ajoutent aux autres symptômes de l'
attaque
, par l'embarras gastrique qu'elle laisse à sa s
réflexe' correspond à une difficulté marquée de la parole et à des
attaques
hémi-parétiques. Cette connexion est suscep- ti
dans sa famille ; un mois avant son entrée à l'asile, elle a eu une
attaque
de rhumatisme articulaire qui paraît avoir été
tétanie; par DELcnoix. Thèse de Paris, 1882. Considérations sur les
attaques
apoplectifornzes et épileptiformes de la paraly
pileptiques (note sur l'état de la pupille chez les en dehors des
attaques
), par Marie, 42. Epileptique (cerveau d'). ).
ille (note sur l'état de la), chez les épileptiques en dehors des
attaques
), par Marie, 42. Réflexe tendineux dans la para
l'examen est le plus souvent négatif, mais lorsqu'à l'approche'des
attaques
, pen- dant ou immédiatement après les crises in
emencements et cultures. * En prélevant le sang à l'approche i) des
attaques
convulsives, pendant les vertiges, les crises inc
e qui se traduit moins par la démence, a peine marquée, que par des
attaques
congestives, trouve une intégrité relative du lob
se limite ici au territoire des hémisphères qui a été le foyer de l'
attaque
congestive. (Monatsschr. f. Psychiat. u. Neurol
tombaient en lambeaux. Comme cette malheureuse était sujette à des
attaques
d'épilepsie, on suppose qu'elle sera tombée sur
e- ment, presque en face de la maison d'école de Givraines, d'une
attaque
d'épilepsie. Il tomba sur le milieu de la route.
le. Celui-ci tremblait de la tête depuis sa naissance. Il avait des
attaques
épilepliformes avec écume de ' Achard et Soupau
NYSTAGMUS CONGÉNITAUX 403 la bouche et yeux convulsés. Pendant ces
attaques
, le visage était noir et l'enfant semblait ne p
isage était noir et l'enfant semblait ne pas respirer. Le début des
attaques
remontait à l'âge de sept à huit mois : d'abord
Pendant la grossesse elle avait été faible et très ner- veuse (sans
attaques
). Etat actuel. Enfant d'apparence robuste, est
inconscient et transporté sur son lit, il aurait eu une « violente
attaque
de nerfs ». Le 16 mai 1895, à la suite d'un dél
ce. Des voisins viennent à son aide et le trouvent, à la suite de l'
attaque
, en proie à un délire ' maniaque très violent.
atteint de « dé- pression mélancolique paraissant consécutive à une
attaque
comi-" tiale avec inconscience, inertie, mutism
stoire, disant que depuis trois ans il a pendant la nuit de petites
attaques
: il se lève fré- quemment le matin avec la têt
ette position couchée divers symptômes d'hystérie, mais surtout des
attaques
convulsives et des para- lysies diverses; cela
esquelles, nous dit-elle, elle se déchirait la langue : parfois les
attaques
étaient si fortes qu'elles semblaient épileptiq
ente. Il s'agissait d'une jeune femme de la campagne, sujette à des
attaques
convulsives d'hystérie et qui, un jour, à la su
ation : Femme de vingt-cinq ans, déraisonnable, bruyante, violente,
attaques
fréquentes pendant et après lesquelles elle est
ans, chute de trois mètres sur la tète, commotion céré- brale. Les
attaques
ont commencé après la naissance de son second e
s autres accidents du zzicoliczisme. Depuis deux ans il éprouve des
attaques
d'épilepsie de plus en plus fréquentes et viole
tion. Les troubles digestifs sont principalement caractérisés par l'
attaque
de diarrhée. Les troubles secrétoires sont de l
est tarie et la bouche est sèche. Il y a quelquefois de véritables
attaques
sudo- rales localisées aux mains et à la face.
heures du matin, G... assis dans la cour est pris brusquement d'une
attaque
épileptiforme : perte de connaissance, chute pa
me aux lèvres, respiration stertoreuse. Il urine sous lui. Deuxième
attaque
à 4 heures. Pas de paralysie consécu- tive. Mai
les objets entre eux; ne peut continuer son travail. Le 4, nouvelle
attaque
épileptiforme, toujours sans paralysie con- séc
uis dix ans. 308 RECUEIL DE FAITS. ' ' - Le 20 décembre, nouvelle
attaque
épileptiforme avec perte de connaissance : le b
tournés à droite. Obtu- sion intellectuelle consécutive. Une autre
attaque
1e22,;loujours avec secousses du côté droit. Au
La parole est très embarrassée, bredouillante. Le 2 mars une autre
attaque
qui dure trois minutes, avec perte incomplète d
e, loca- lisée au bras droit; aphasie pendant une heure. Depuis son
attaque
du 4 février, G... grince fréquemment des dents
gage persistent quelques jours en s'atténuant. Le 20 mai, nouvelles
attaques
épileptiformes. Le 8 juillet, ictus léger avec
rant persiste avec inconscience absolue ; température 38;°2; les
attaques
reviennent de plus en plus rapprochées et se géné
pprochées et se généralisent. t. Le 11, saignée de 500 grammes; les
attaques
se localisent de nou- veau du côté droit et son
oments de l'embarras de la parole ; puis bientôt apparaissent des
attaques
épileptiformes non suivies de paralysie. Après ci
, la parole s'arrête, le corps s'immobilise et tombe lentement. L'
attaque
a lieu : le malade se convulsé comme dans l'épi-
la perte de connaissance n'est pas brusquement complète ; durant l'
attaque
on observe des mouvements désordonnés de tout l
els le spasme cynique, la folie libidineuse des anciens ; parfois l'
attaque
se passe en silence ; d'autres fois elle est ac
invariable se maintient à 370, 3 8° au plus, malgré l'intensité des
attaques
. Enfin l'hystéro-épileptique conserve tel quel
emontait à plus de dix ans; il s'était mani- festé à la suite d'une
attaque
avortée provoquée par une émotion; la malade l'
e. On distingue dans l'état panophobique, l'attente anxieuse et l'
attaque
anxieuse, cette dernière précédée parfois d'une
illes et s'irradiant dans tout le système cérébro-spinal (Morel). L'
attaque
est constituée par une angoisse avec pho- bie (
ier' variablement avec prédominance des uns sur les autres dans l'
attaque
qui se traduit surtout alors par une crampe cardi
ée, des sueurs profuses, de la boulimie, etc. Prend admet alors des
attaques
rudimentaires d'angoisse qui peuvent affecter :
; 56 Le type à boulimie; 6° Le. type à diarrhée et polyurie ; 7° L'
attaque
vaso-mo- trice ; 8° Le type parcsthésique ; 9°
rie ; 7° L'attaque vaso-mo- trice ; 8° Le type parcsthésique ; 9° L'
attaque
de, frayeurs nocturnes ; 10° L'attaque du verti
Le type parcsthésique ; 9° L'attaque de, frayeurs nocturnes ; 10° L'
attaque
du vertige. A l'état d'angoisse vient se greffe
. La phobie systématisée peut se manifester exclusivement par des
attaques
angoissantes, avec tranquillité complète d'espr
ent ou type rémit- tent), ce dernier plus fréquent ou en dehors des
attaques
, la crainte subsiste sous forme de pensée plus
'obsession de la folie, de la gale, de laj-yphilis, du cancer, de l'
attaque
d'apoplexie, de la mort subite, du ramollisseme
ychique passager survenant chez l'épileptique immédiatement après l'
attaque
, à la place du som- meil qui, le plus souvent,
it après les petites attarlues, mais le plus souvent à la suite des
attaques
longues et intenses. Il. ne faut pas le confondre
mentale longue des épileptiques, qui précède, suit ou remplace les
attaques
, se rattache surtout à l'état de mal, et se ter
ileptiqne; car, au cours de sa durée, les malades dorment après les
attaques
, et le sommeil ne ramène pas la lucidité, contr
ment possible lorsqu'il s'agit d'un individu n'ayant que de petites
attaques
larvées, dont l'intelligence a peu souffert, qu
t, il y a quelques années, après une violente céphalalgie à droite.
Attaque
d'apoplexie avec convulsions très accusées à ga
Dans les deux cas rapportés par l'auteur il y avait eu plusieurs
attaques
de chorée, ce .qui peut, suivant lui, faire pense
fut loué que par Wagner et sa femme ; puis il publia une véhémente
attaque
contre David Strauss, ennemi comme lui-même du
us l'influence du traitement médico-pédagogique, le nombre de ses
attaques
était allé en diminuant progressivement pour to
re, : \1 Il Marie Lisconet, 18 ans, 1 ? prise rue du Commerce d'une
attaque
d'épilepsie. Elle tomba sur la chaussée juste a
le bord d'un chemin à Creully. Le malheureux avait succombé iL une
attaque
(l'épilepsie il laquelle il était sujet. (Bonho
: Coups, chutes, peur, émotions (nature, durée), envies, syncopes,
attaques
de nerfs, albuminurie, alcoolisme opium, café,
t, durée, toniques, cloniques, prédominance d'un côté, nombre des
attaques
de convulsions. Etat de l'intelligence arant et
rem- blements. Sommeil : durée, rêves, cauchemars, accès de cris,
attaques
de sommeil; somnambulisme. Mémoire, raisonnem
ont relatifs aux épileptiques (accès et vertiges), aux hystériques (
attaques
), à la tempéra- ture des accès et des attaques,
s), aux hystériques (attaques), à la tempéra- ture des accès et des
attaques
, aux règles. CLIV ASILE-ÉCOLE DE BICrTRI : .
inution de la résistance de la peau et, finalement, au cours de l'
attaque
extatique, l'écoulement sanguin si ardemment dé
e la rupture d'un anévrysme. Arrière-grand-père maternel mort d'une
attaque
d'apoplexie. - Cousin maternel hydrocéphale.
d'acné. Pas de migraines, ni de rhuma- tismes. Peu nerveuse; pas d'
attaques
de nerfs. Physionomie régulière, intelligente ;
e hydropisie de poitrine » à 12 ans. Grand père maternel mort d'une
attaque
d'apoplexie (en avait eu deux), à 74 ans, sobre
, des migraines et des crises hystériformes chez la grand'mère, des
attaques
apoplectiques chez l'un des arrière-grands père
e et à l'ardeur qu'apportait l'enfant au travail. A 12 ans première
attaque
de folie : excitation pendant deux jours suivie
ale. Envoyée en congé rie 8 jours, elle ne revient pas. - Troisième
attaque
de folie a la fin de décembre 1899 : guérison e
s avec exaltation, divagations, turbulence comme aux deux premières
attaques
. C'est alors que la famille se décide à la plac
e, elle était bien plus agitée qu'elle ne l'avait été à sa première
attaque
de folie, et qu'à son arrivée il la Fondation :
ent a la fin de son congé, ce qu'ils n'ont pas fait. 120 Nouvelle
attaque
DE folie. 1900. 8 janvier. - L'enfant est ramen
e ; elle aurait dû presque réapprendre à parler. 111. La première
attaque
de folie est survenue, avant la puberté, Ù 15 a
. A cette rémission, d'ailleurs incomplète, succéda une troisième
attaque
(octobre 1898), qui obligea la famil- le à l'in
ccidents coïncidaient avec son époque. Sa sceur, qui SUCCESSION DES
attaques
. 131 nous a fourni ce complément de renseigneme
d'amourette et qu'on ignore absolument la cause de ses différentes
attaques
de folie. Quatrième attaque de folie au commenc
solument la cause de ses différentes attaques de folie. Quatrième
attaque
de folie au commencement de janvier 1900. Du 8
et complète : .1\1 argue- rite a recouvré la raison . Les quatre
attaques
cle folie, sauf l'intensité, ont offert les mêm
ulé entre la guérison 132 FOLIE de l'adolescence. de sa quatrième
attaque
de folie jusqu'au début de sa tuberculose intes
uté sans douleurs il 4 ans. Elles ont été irrégulières. La première
attaque
d'aliéna- tionm entale était survenue deux ans
tale était survenue deux ans auparavant. La seconde et la troisième
attaques
auraient coïncidé avec une absence des règles.
es. Entre elles, les règles auraient été régulières. La quatrième
attaque
a débuté au commencement de janvier 1900. Sur l
e particulier, sauf f un oncle paternel suicidé. Mère, migraineuse,
attaques
de nerfs. Arrière grand-père paternel mort d'ap
pen- dues pendant la grossesse de sa première fille, compliquée d'
attaques
de nerfs consécutives à des ennuis de famille. El
nerfs consécutives à des ennuis de famille. Elle aurait même eu une
attaque
de 2 heures avec perte de connais- sance : «J'é
Progrès Médical). - SADR AIN (G.). - Etude sur le traitement des
attaques
d'hystérie et des accès d'épilepsie. In-8° de 5
des accidents cardiaques d'origine rhumatismale, ayant présenté des
attaques
répétées d'asystolie, au régime lacté depuis tr
t par l'intégrité de l'intelligence et delà face et par l'absence d'
attaques
épileptilormes Le cas actuel semblerait dû à un
compte que ces pseudo-men- songes sont dus aux hallucinations de l'
attaque
, ou à des rêves noc- turnes, à des troubles de
mme et confirmés par lui après sa guérison nous apprennent qu'une
attaque
grave de rhumatisme articulaire aigu, subie à l'â
uatorze ans, fut suivie de maladie nnrale. Il a même eu plu- sieurs
attaques
d'aystolie, de la congestion pulmonaire et a pré-
n motrice de plus ou moins longue durée, et précé- dant souvent les
attaques
épileptiformes, il est exceptionnel* d'observer
sont les mouvements congestifs vers la tête ; il en est de même des
attaques
apoplectiformes, qui ne se montrent plus du mom
par mois sans compter les raptus, les impulsions agres- sives, les
attaques
subintrantes, le délire postépileptique exigeant
rêmement pénible. Néanmoins le premier sujet n'avait plus du tout d'
attaques
le 5 juillet; les attaques dis- paraissaient ch
le premier sujet n'avait plus du tout d'attaques le 5 juillet; les
attaques
dis- paraissaient chez le second le 12, et chez
huit, neuf jours après la reprise de l'alimentation habituelle, les
attaques
recom- mencent en reprenant leur intensité acco
ssesses répétées, le pronostic est généralement défavorable. 3° Les
attaques
antérieures : ces attaques sont dans la majorité
tic est généralement défavorable. 3° Les attaques antérieures : ces
attaques
sont dans la majorité des cas, puerpérales : on
que, épileptique, entré à Gicétre le 26 août 1900, pour une série d'
attaques
épileptiformes, raconte tous les événements de
la tête; plusieurs semaines d'état inconscient. Deux ans plus tard,
attaques
d'épi- lepsie, suivies d'accès de manie qui le
epsie, suivies d'accès de manie qui le lont interner à l'asile. Les
attaques
d'épilepsie reviennent à peu près tous les deux m
la crise indique assez exactement la partie du cerveau où débute l'
attaque
, et celle sur laquelle elle va se propa- ger; l
n'est pas rare de voir l'épilepsie psychique pure alterner avec des
attaques
de grand mal, en sorte qu'un crime peut être comm
s jours. Cette méningite tuberculeuse mortelle, encadrée entre deux
attaques
de méningisme, chez deux soeurs, décèle chez el
ermi- que des méningites. Le puérilisme mental, qui a succédé à l'
attaque
de méningisme, est cette singulière altération
ternelle morte avec une hémiplégie. Grand-oncle paternel mort d'une
attaque
d'apoplexie. Mère : céphalalgies, sourde, caféi
ie céré- brute. Grand-père maternel alcoolique, mort à sa troisième
attaque
d'apoplexie. Grand'mère maternelle morte d'un c
mère est morte IL soixante-dix-huit ans, dix-huit mois après une
attaque
de paralysie (hémiplégie gauche). Grand-père pate
lle, morte d'une pneumonie. z Un oncle paternel a succombé dans une
attaque
d'apoplexie fou- droyante. Ses autres oncles et
urs bu énormément de café. Elle a succombé le 8 mai dernier à une
attaque
d'apoplexie. [Son père, alcoolique, est mort à so
père, alcoolique, est mort à soixante-dix- huit ans, à sa troisième
attaque
d'apoplexie. Sa mère est décédée à quarante-cin
et l'infection y a sans doute sa part; la fiè- vre, le délire, les
attaques
épileptiformes, le coma, en sont la con- séquen
rythromélalgie limités à la main gauche. A la suite de deux petites
attaques
sans perte de connaissance, elle est d'abord un
fréquent chez la femme. Le mode d'apparition ou de disparition des
attaques
de cécité, leurs causes provocatrices rappellen
ser une plainte à un Commissaire de police à propos d'une prétendue
attaque
dont il aurait été l'objet. Les jeu- nes gens q
uteuil dans le cabi- net médical prétendant qu'il était sujet à des
attaques
à la suite desquelles il restait paralysé penda
e il commet de nouveaux délits. C'est encore à AI. Toquenne qu'il s'
attaque
par l'envoi de nouvelles cartes encore plus ignob
e Versailles. A peine sorti de prison il recommence ses frasques, s'
attaque
de nouveau à M. Toquenne, en retraite depuis lo
voir un agent sans avoir un accès de fureur. Le 25 juillet, il s'
attaque
au brigadier Peretti qui sort tranquil- 300 MÉD
uvrage. Le 8 et le 21, c'est un autre distillateur, M. Meyer, qu'il
attaque
de la même façon. Le H, nou- velle dénonciation
s dans les rues et si on les envoie à l'école ils peuvent avoir des
attaques
sur leur chemin ou dans la classe. Ces attaques
peuvent avoir des attaques sur leur chemin ou dans la classe. Ces
attaques
dérangent la classe et effrayent les autres enfan
l ne devrait donc pas être permis aux enfants sujets à de violentes
attaques
de fréquenter l'école. Il y a sans doute un gra
nfiance, souvent perdue, en leur propre capacité d'exécution ». Les
attaques
sont moins fréquentes et il y a des exemples qu
ux malades qui ont été traités dans les hôpitaux, mais chez qui les
attaques
se produisent si fréquemment qu'il leur est imp
eurs d'un goitre plus ou moins bien développé, qui ont présenté des
attaques
de grande épilepsie souvent répétées, malgré l'ab
folie maniaque et dépressive et la démence précoce dans la première
attaque
? Et comment ? Mélancolie avec idées de persécu
, âgée de vingt-neuf ans, nièce d'un aliéné, ayant eu elle-même des
attaques
classiques d'hystérie dans sa jeunesse, arrive
ement que le rétablissement de la pression sanguine générale. 17° L'
attaque
épileptoïde entraîne, à la période tonique, la
e longue durée, qui survit encore quelque temps à la cessation de l'
attaque
, qu'on ait ou non lié les artères spléniques. 1
léniques. 18° Quand on a complètement coupé les nerfs spléniques, l'
attaque
épileptoïde détermine encore le gonflement à la
e de leur rareté. 1. - Femme de trente-huit ans, est à sa troisième
attaque
d'alié- nation, ne dort pas, refuse de manger,
lisme. Parole nette. Signe d'Argyll Robertson. Mort après plusieurs
attaques
épileptiformes. - Autopsie : membranes congesti
compression ovarienne, un puissant moyen d'enrayer les terrifiantes
attaques
de l'hystérie convulsive. Il ne s'est pas conte
est pas contenté de nous faire von toute la distance qui sépare ces
attaques
de celles de l'épilepsie vraie et de nous prému
rêve, dans les somnambulismes hystériques, la période délirante des
attaques
hystériques ou des accès épi- leptiques, la con
ou des accès épi- leptiques, la confusion mentale, etc. Dans les
attaques
d'hystérie, plus souvent dans les grands accès,
au cours de l'épilepsie, où elle ne constitue qu'un équivalent des
attaques
; or, les théories mo- dernes tendent de plus en
e le rôle prédominant de l'autn-intoxication dans la production des
attaques
épileptiques. En résumé, dans l'obésité, comme
des pièces de lingerie souillées, les noms des malades qui ont des
attaques
et le nombre de ces atta- ques, les noms de ceu
es malpropres dans chaque salle, le nombre des malades ayant eu des
attaques
, les visites du personnel dans les salles, les
on de la surveillance de nuit : d'abord les risques d'incen- die, d'
attaques
imprévues, n'apollexies et autres maladies soudai
e chez lui. Ce malade qui est en même temps épileptique verrait ses
attaques
diminuer après chaque ponction. Buveurs inter
e aucun des stigmates de l'hystérie ; jamais non plus elle n'a eu d'
attaque
convulsive. Bref, l'hystérie ne peut être incri
le malade s'en plaint et déclare n'avoir pas été selle-cleptiis son
attaque
un lavement pris hier, n'aurait produit aucun e
és précisant le jour, le quantième, l'heure, le lieu. Avant cette
attaque
brutale, il ne présentait comme symptômes médul-
nflammation méningo-vasculaire périphérique. Survient brusquement l'
attaque
apoplectiforme, suivie de paraplégie complète e
té qu'à 5 ans ; elle est considérée comme intelligente. Vers 3 ans,
attaques
qui ressemblent fort à des crises épileptiques.
s oeuvres d'art où il est possible de retrouver les caractères de l'
attaque
convulsive d'hystérie semble s'étendre indéfinime
mble qU'il ait été saisi faisant les mouvements de salutations de l'
attaque
hystérique, les seuls d'ailleurs que lui permet
ent d'une observation fort attentive des phénomènes convulsifs de l'
attaque
d'hystérie, elle possédé de St Rom- baut mérite
celui-ci, hystérique comme ses congénères, n'est pas en proie à une
attaque
con- vulsive : on peut supposer qu'il est en lé
l'artiste connaissait également bien les phénomènes convulsifs de l'
attaque
démonia- que (PI. XVI). Les contorsions illogiq
it eu plus d'une fois l'occasion de voir la variété démoniaque de l'
attaque
d'hystérie. La bouche ouverte, contournée, la l
droite, et l'on sait qu'il est fréquent de voir les hystériques en
attaque
saisir à pleines mains leur chevelure, souvent
pécimens du facies démoniaque, tel qu'on l'observe dans les grandes
attaques
d'hystérie. A ces nouveaux spécimens choisis pa
(musée de Vienne), une des représentations les plus réalistes de l'
attaque
dé- moniaque. Une peinture sur toile du XVIIP
t d'épilepsie tardive, mort à 87 ans. Le père est mort frappé d'une
attaque
d'apoplexie qui l'avait rendu hémiplé- gique dr
que l'âge de 4 ans et marcha au bout de sa première année. A 4 ans,
attaque
apoplectique suivie d'une hémiplégie droite avec
nomènes de compres- sion cérébrale s'accompagnant de strabisme et d'
attaques
épileptiques.Sur- vinrent des douleurs dans les
82. 122 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE A 7 ans, deuxième
attaque
de paralysie spasmodique avec incontinence- d'u
incontinence- d'urine ; guérison en un an. ' A 10 ans, troisième
attaque
et guérison complète en li mois sous l'in- flue
ontinu tandis que/ dans ses observations, l'affection a procédé par
attaques
suivies de guérisons et de récidives. Il s'effo
rsqu'elle était couchée ; elle ne vomissait pas. Dès le jour de son
attaque
, elle présenta de l'incontinence d'urine qui s'am
oration est de plus en plus marquée. # Eu novembre, très violente
attaque
de grippe avec fièvre. Mme X... est for- cée de
icêtre le 7 août 189fi, épileptique depuis (le 2 ans, a surtout des
attaques
sériel- les. Sous l'influence du hromure de pot
ler juin 1893), jusqu'à sa mort (2 octobre 1893) elle a eu dix-neuf
attaques
d'épilepsie (nous ne savons pas si elles différen
t les quatre derniers jours de sa vie, elle a eu tous les jours une
attaque
d'épilepsie. LA TERMINAISON CORTICALE DU FAISCE
ntremêlant toujours les vomissements et les évacuations vésicales d'
attaques
convulsives et de poussées éruptives. Une « enflu
fréquentes chez Geneviève, appartiennent bien au type classique des
attaques
de grande hystérie. Elles alternent avec les vo
az par haut et par bas ». Nous retrouvons là toutes les phases de l'
attaque
de la Salpêtrière : le cri initial, la perte de
tériques peuvent être considérées tantôt comme des équivalents de l'
attaque
convulsive, tantôt comme des phénomènes d'hystéri
r, accusait de vives douleurs dans la vessie et dans l'urèthre. Une
attaque
convulsive mettait généralement fin à cette rét
ment là maladie hystérique cause une douleur très vive quand elle s'
attaque
à la vessie, mais encore, elle supprime l'urine
la cause d'un séjour au lit de 2 mois. * Cinq ans après, nouvelle
attaque
de sciatique double, avec phénomènes douloureux
De quoi s'est-il réellement agi ? Est-ce plutôt qu'une syncope, une
attaque
apoplecti forme de courte durée ; le fait est v
s et personnels, ni elle, ni personne de sa famille n'a jamais eu d'
attaque
de rhumatisme articulaire. Ce détail a son impo
u'il ne lui reste plus aujourd'hui (30 juin) que des résidus de son
attaque
de paralysie. * .. Vous pouvez constater d'
oubles trophiques, et ce sera tout. Cette fillette, au cours de son
attaque
de paralysie, a présenté une petite eschare au si
avec ou sans crampes dans les mollels, le tout pouvant simuler une
attaque
de choléra. Quelquefois les matières vomies et
ux qui firent croire au médecin traitant qu'il avait affaire il une
attaque
de rhumatisme articulaire; c'étaient des dou- l
t arsenical, le malade a eu des accidents convulsifs et jusqu'à des
attaques
épileplij'o1'1nes. D'après Imbert-Courbeyre (1),
phase -de gastro-entérite qui, je vous le répète, peut simuler une
attaque
de choléra, et dont la durée ne dépasse pas quelq
a vu aussi des malades, victimes de l'arsenicisme, tomber dans des
attaques
épileptiformes, alors qu'avant leur empoisonnem
tar de l'empoisonnement alcoolique paraît être apte à provoquer des
attaques
épileptiformes. Caractères différentiels . Vous
ou plusieurs ribottes lui ont valu une crise d'alcoolisme aigu, une
attaque
de delirium tremens. Ce seront donc des manifes
re migraineuse. Grand - père maternel aliéné. Bisaïeule maternelle,
attaques
d'hystérie. Un oncle maternel, crises nerveuses
e. Grand-père paternel rhu- matisant. Mère nerveuse et migraineuse;
attaques
d'hystérie. Grand-père maternel alcoolique. Gra
... Epilcpsie. Parents : cousins germains. Père, convulsions. Mère,
attaques
d'hystérie. Grand'mère mater- nelle aliénée. Dé
s de germains. Père, enfant naturel. Oncle paternel imbécile. Mère,
attaques
d'hystérie. Grand'mère maternelle très nerveuse
Père alcoolique et excentrique Mère, migraines, fièvre ty- phoïde,
attaques
d'hystérie. Grand'père maternel suicidé. Tante
ère paternelle alcoolique. Cousine germaine paralysée; une autre,
attaques
d'hystérie. Mère, intelligence faible. Grand-père
que et absinthique, suicidé. Grand'père pa- ternel alcoolique. Mère
attaques
d'hystérie et migraines. Début de la maladie à
uestrée dans un asile, une autre imbécile. Un cousin suicidé. Mère,
attaques
d'hystérie. Oncle maternel im- bécile. Début co
x. Grand'mère paternelle nerveuse. Oncle paternel, méningite. Mère,
attaques
d'hys- térie. Grand'mère maternelle nerveuse. C
apoplexie; chez la mère, l'impressionnabilité, le nervosisme, les
attaques
d'hystérie, la chorée, la migraine, les acci- 2
Plous..., 41 ans, épilepsie idiopathique. Grand'mère maternelle,
attaques
de nerf ; frère mort à 3 ans de fièvre cérébral
re maternelle hystérique. - Bisaïeul maternel mort des suites d'une
attaque
d'apoplexie. Oncle maternel alcoolique. Soeur m
; réglée à 14 ans, l'est encore; elle est assez nerveuse, n'a pas d'
attaques
de nerfs ni de migraines, mais est sujette à de
bablement de phthisie, après une couche ; elle était sujette à des
attaques
de nerfs consécutives à une peur (20 ans), sur-
peur (20 ans), sur- venant après contrariétés; mariée à 21 ans; les
attaques
au- raient continué après son mariage. - Grand-
it en enfance. - Grand-père maternel mort à 69 ans des suites d'une
attaque
de paralysie. - Grand'mère maternelle, pas de d
fièvre typhoïde, à l'hôpital Beaujon ; pas de convulsions, pas d'
attaques
; intelligente. 7° Garçon mort d'une cholérino à
on cérébrale à laquelle a succombé son grand-père maternel;- 4° les
attaques
de nerfs de sa grand'mère maternelle ; 5° l'apo
es douleurs rhumatismales; elle est ner- veuse mais n'a jamais eu d'
attaques
. Grand-père, mort d'un cancer delà face. Cousin
ette de temps en temps à des céplwl- algies. Pas de migraines,pas d'
attaques
nerveuses. [Père, soixante- six ans, cultivateu
sie consécutive à des convulsions. Cousine germaine su- jette à des
attaques
. Grand-père maternel, apoplectique. Grand'mère
» tous les matins et quelquefois dans la journée, il est mort d'une
attaque
d' apoplexie en une heure. Sa mère est morte «
res inférieurs et du bras droit qui disparut bientôt. En juin 1892,
attaque
d'apoplexie évoluant sans aucun symptôme partic
été REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 53 relevés qu'au début après l'
attaque
; plus tard le malade peut écrire spontanément e
es jusqu'à la mort qui a lieu un an et demi plus tard il la suite d'
attaques
épileptiformes et d'une bronchite grave. Ana- l
GRAVE Clay. XVII. UN cas d'épilepsie HCKSOl\ILiC-OE : cessation DES
attaques
après l'opération du trépan; par CU\\ING11AI. (
e, est modérée et siège principalement au niveau de la cicatrice. L'
attaque
spasmodique a été soigneusement observée : elle
antérieure. Le lendemain de l'opération, il y eut encore une petite
attaque
d'épilepsie jackson- nienne, mais il n'y en a p
rd, douleur vive dans les régions pariétale et occipitale gauches :
attaque
de petit mal ; changement très accentué du carac-
blit notablement. Cet état dura environ quatre jours. eut plusieurs
attaques
de manie plus douce que la moindre excitation s
: retour à la santé normale. Onze.mois avant l'admission à l'asile,
attaque
d'épilepsie : depuis cette époque retour plus o
e d'épilepsie : depuis cette époque retour plus ou moins fréquent d'
attaques
d'épilepsie plus ou moins intenses. Presque sim
ilepsie plus ou moins intenses. Presque simultanément à la première
attaque
, appari- tion de troubles mentaux d'abord léger
oir commis le « péché impardonnable » et être devenue enceinte. Les
attaques
d'épilepsie reparaissent à des intervalles plus
abord un résultat satisfaisant et une semaine entière se passa sans
attaque
épileptique. Les crises reparurent bientôt, mai
amené la guérison espérée, elle avait du moins précisé la cause des
attaques
, à savoir : Ja compression exercée sur l'écorce
Il s'agissait d'un homme de soixante-dix-neuf ans qui, à la suite d'
attaques
épileptiformes, eut des hallucinations de la vu
ck 2. Le malade était un para- lytique général, qui eut un jour une
attaque
épileptiforme suivie d'hémiparésie, hémianesthé
mba dans son état habituel. Deux mois après il survint une nouvelle
attaque
épileptiforme, suivie des mêmes phénomènes qui
tion de l'ouïe était vraisemblablement provoquée, de même que les
attaques
épileptiformes, par la tumeur, c'est-à-dire par l
e traumatisme de la région pariétale droite, ayant donné lieu à des
attaques
épileptiformes. Celles-ci étaient précédées de
énéraux, étudiés SURTOUT AU POINT DE VUE DE LEURS RAPPORTS AVEC LES
ATTAQUES
OBSERVÉES chez ces malades; par John TunNEl\, (
crétion des sulfates combinés est plus considé- rable au moment des
attaques
qu'aux autres époques de la maladie. R. M. C.
lé ou endormi. La courbature et la grande prostration qui suivent l'
attaque
sont rigoureusement semblables à ce que l'on ob
sme et à la verbigération de la catatonie. Un malade a présenté des
attaques
épileptiformes avec perte de connaissance ; l'a
s le chapitre des paroxysmes, ils passent t en revue les auras, les
attaques
, les vertiges, les absences, les délires. Comme
nscient. Au mois de décembre de cette même année, il a eu plusieurs
attaques
épileptiques. Nous ne pûmes savoir au juste le
quelquefois des flammes, un jour ou deux avant mes époques ». Pas d'
attaques
de nerfs. Pertes de connaissance de treize à qu
cation raffinée, de tendances presque religieuses, qui durant une
attaque
d'aliénation mentale a une tendance irrésistible
e durant les neuf années précédentes, elle n'a pas eu moins de cinq
attaques
d'aliénation mentale, ces attaques devenant cha
elle n'a pas eu moins de cinq attaques d'aliénation mentale, ces
attaques
devenant chaque fois plus prolongées tandis que l
pileptiques, sans antécédents héréditaires ; chez l'une d'elles les
attaques
se montrèrent en même temps que la menstruation
x malades. Chez l'une la pression ovarienne provoque et suspend les
attaques
. Celles-ci augmentent de fréquence aux périodes
riodes menstruelles. Les malades en question étaient sujettes à des
attaques
syncopales, à des palpitations, des hallucination
s, dans un cas, donné immédiatement des résultats favorables; les
attaques
augmentèrent même de fréquence, ce qu'il faut att
rminée par les suites de l'opération. Mais depuis octobre 1891, les
attaques
ont complètement disparu, le caractère s'est am
la guérison se maintient depuis trois ans. Dans le second cas, les
attaques
convulsives ont disparu ; les atta- ques syncop
démie aux méde- cins aliénistes, sont une légitime compensation aux
attaques
d'une certaine presse qui les prend souvent à p
us d'une minute, souvent moins. Les vociférations changent à chaque
attaque
, mais l'idée qui y domine est l'idée de peur. Q
, le malade répond raisonnablement à une question posée pendant l'
attaque
. La crise est suivie d'une légère confusion dans
les côcaïniques à 0,05 demeu- raient d'ailleurs impuissantes. Cette
attaque
de polyurie spasmo- dico-urinaire ne dura pas m
e, c'est une compagne fréquente de l'hystérie, surtout avec grandes
attaques
comme ici. Elude com- parative des travaux de M
légère pour que la compression des carotides puisse déterminer des
attaques
épileptiformes. G. D. LX. Deux cas de tumeur du
que groupe a un dortoir, une chambre de réu- nion (avec un lit pour
attaques
), une salle-lavabo (avec une bai- gnoire) et de
ns la forme tabétique de, deux à trois ans. Les crises congestives (
attaques
épileptiformes géné- rales ou partielles, attaq
ses congestives (attaques épileptiformes géné- rales ou partielles,
attaques
apoplectiformes, paralysies passagères) sont pl
e générale ; notamment s'il s'agit d'épilepsie dite psychique, sans
attaques
convulsives nettes. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
/4 (2m,02) et paraissait avoir dix-sept ans. Elle était morte d'une
attaque
de grippe survenue au cours d'une cachexie déjà
en rapport avec la méningite purulente de la base, finalement des
attaques
épileptoïdes (épend3·mite). Observation II. Jeune
cune seize places. A côté des salles d'étude se trouve la chambre d'
attaques
, matelassée, qui con- · duit aux cabinets d'ais
mais on ne sait si c'est pendant sa fièvre ou dans l'enfance. Pas d'
attaques
de nerfs ni de migraines, mais des accès de colèr
se : pas de traumatismes, ni d'envie de boire, ni de syncopes, ni d'
attaques
, mais dans les premiers mois, sa mère urait eu
our de l'axe de son corps, de droite à gauche, puis surviennent des
attaques
convulsives des quatre pattes, la fête est alte
elaient leurs parents dont ils étaient séparés. La phase aiguë de l'
attaque
n'a pas empêché presque tous les épileptiques d
du atteint d'une hémorrhagie sous-arachnoïdienne, qui, frappé d'une
attaque
d'apoplexie, revenait à lui au bout de dix minu
s après, elle a été effrayée par les cris d'une femme qui avait une
attaque
: « Je n'ai pas perdn connaissance, mais je me
it entre l'inconti- nence de l'urine et des matières fécales et les
attaques
, les habi- tudes de la malade devenant plus pro
la malade devenant plus propres pendant les mois où elle avait des
attaques
. Enfin le quatrième point à signaler, c'est la
aient dû se mon- trer les règles. Celles-ci ont été précédées d'une
attaque
convulsive intense. Il. de Muscrivë CLAY. VII
ations fébriles, des eschares et des troubles trophiques. Enfin les
attaques
apoplectiformes de la fin relèvent d'une cause di
ileptique, ou lorsque l'injection a été faite immédiatement après l'
attaque
, elle présente toujours quelque interruption. J
nvalescent de variole se plaint de douleurs frontales et est pris d'
attaques
épileptiques avec une perle- complète de connais-
iorations passagères suivies, au bout de quelques mois, de séries d'
attaques
et d'un retour à l'état antérieur. Il a noté fr
Os ? 60 d'opium, est mort, dans une nuit, à la suite d'une série d'
attaques
, sans avoir présenté auparavant aucun phé- nomè
d'intoxication. Il avait, d'ailleurs, fréquemment, au- paravant des
attaques
en série. Un troisième malade, arrivé à 0,70 d'
t déterminables. Il est opéré deux mois seulement après la première
attaque
. Quatorze mois après l'opération le patient n'a
e des cellules pyramidales, hémorrhagies punctiformes) reste sans
attaques
depuis plusieurs mois. Mais l'auteur prudent a
coolique; mulacle bien l1a1'lante jusqu'à huit ans. 1'rwtlnali,'me,
attaques
épilcl,li/,oJrnes à rrqneue; croissante . depui
e ou cinq semaines. Les choses durèrent ainsi pendant deux ans, les
attaques
cependant avaient augmenté de fréquence et une
r an, en mars et en juillet ordinairement, survenaient des séries d'
attaques
constituant un véritable état de mal. En 1898 c
fant avait cessé de se développer et demeurait lente et obtuse. Ces
attaques
révélaient exactement la forme sui- vante : Léo
nnaissance était rarement complète, souvent nulle, le souvenir de l'
attaque
était conservé, parfois même on pouvait au cour
de la même année un état de mal très grave survient. Le 20 mars 68
attaques
le jour et 80 la nuit, le 23 75 attaques le jou
ve survient. Le 20 mars 68 attaques le jour et 80 la nuit, le 23 75
attaques
le jour et 102 la nuit ; la température s'élève
s'intéresse à tout ce qu'on lui dit et lui montre ; elle n'a plus d'
attaques
depuis le 27 mars ; en mai elle fait des progrès
avait été pendant toute l'année qui avait précédé l'opération. Les
attaques
sont aussi fréquentes qu'en 1890-91, elles ont
me ; crises revenant par petites séries de loin en loin, nombreuses
attaques
isolées ou vertiges dans l'in- tervalle, état d
ique de cette malade aussi bien que la forme et le caractère de ses
attaques
devaient nécessaire- ment faire penser à des ac
férée, formulait ainsi son opinion : a Même état; à la suite d'une
attaque
hystérique, surdité. » En octobre, elle était suf
beaucoup de coliques de plomb, des paralysies «alumines, mais pas d'
attaques
d'éclampsie. Sa mère est morte de la poitrine à
ments fréquents pendant les trois premiers mois ; elle n'a pas eu d'
attaques
d'hystérie durant sa gros- sesse. L'accouchemen
ande ; en faveur de la dernière, on a le début des convulsions sans
attaque
épileptiforme et le retard dans l'ap- parition
reflexes tendineux aux 4 membres. Il parlait. Il était sujet à des
attaques
d'épilepsie qui finirent par le tuer. Taille'l
lange de bro- mure, d'adonis vernalis et de codéine fait cesser les
attaques
, et, en outre, rétablit les facultés intellectu
jambe droits sonttrès affaiblis. Pendant plusieurs jours, séries d'
attaques
convulsives qui finissent par disparaître, mais l
nc de Hitzig et Loehr. Analgésie du cubital des deux côtés. Légères
attaques
apoplecti- l'ormes, ayant pu être produites par
A la suite d'une frayeur, une fillette de douze ans est prise d'une
attaque
de contracture, crises convulsives à caractère ja
a jusqu'ici prétendu expliquer le tremblement, les myoclonies, les
attaques
d'épilepsie et les attaques d'hystérie est loin
r le tremblement, les myoclonies, les attaques d'épilepsie et les
attaques
d'hystérie est loin de satisfaire l'esprit. - P
ues, des se- cousses choréiques et des tics; 50 La soudaineté des
attaques
d'épilepsie et des attaques d'hystérie. Je. p
iques et des tics; 50 La soudaineté des attaques d'épilepsie et des
attaques
d'hystérie. Je. propose de lui substituer une
tremblement, de l'athétose, des chorées et des tics, ainsi que des
attaques
d'épilepsie et des attaques d'hystérie. - Que
des chorées et des tics, ainsi que des attaques d'épilepsie et des
attaques
d'hystérie. - Que se passe-t-il entre les décha
eurs (secousses clioréiques exagérées par les excitations cutanées;
attaques
d'épilepsie ou d'hystérie occasionnées par l'ex
ues des épileptiques l'exception qu'offrent à ce point de vue les
attaques
d'épilepsie. La théorie des neuro-diélectriques l
Individu de trente-huit ans, ayant eu, trois ans auparavant, une
attaque
d'hémiplégie, dont il guérit rapidement. Il y a s
s contractions de l'estomac, des intestins et de la vessie dans les
attaques
d'épilepsie ; par V.-P. Ossipnw. (O/¡o1'Pl11e p
ce travail était con- sidérée comme une épileptique ordinaire : ses
attaques
ne se dis- tinguaient en rien de celles des aut
ileptiques et les alcoolisés. Pour les premiers, en raison de leurs
attaques
, on songe plus volontiers aux colonisa- tions a
ésente deux grands avantages. Le premier, c'est que le traitement s'
attaque
, non à l'idée de la phobie, mais à l'émotion de
fectées de goitre. Lui-même, à l'âge de seize ans, eut une première
attaque
de rhumatisme articulaire aigu, puis quelques a
s, où il avait été soigné jusqu'au 2 mars de la même année pour une
attaque
de rhuma- tisme compliquée d'endocardite, dont
d'un quatrième séjour de B... à l'hôpital Desgenettes causé par une
attaque
de rhumatisme articulaire subaigu (entré le 2 j
co-légale. L'aphasie motrice pure (sans agraphie) se distingue de l'
attaque
d'aphasie de nature hystérique par son étiologi
de faire tourner la pièce sur son axe vertical pour que le rasoir l'
attaque
dans le sens le plus favo- rable, eu égard à la
dans le service de M. Bourneville, a cherché ce signe au cours des
attaques
. Dans une première catégorie de malades, il y a
e catégorie de malades, il y a immobilité abso- lue pendant toute l'
attaque
et retour du réflexe un certain temps après la
de la crise; dans une seconde catégorie : immobilité au début de l'
attaque
et retour du réflexe après un certain temps, ma
e troisième catégorie, il y a extension pendant toute la durée de l'
attaque
. F. 13otssEn. SOCIÉTÉ D'H1PNOLOGI1; ET DE PSY
s. La fameuse dormeuse de Thenelles esquisse parfois des ébauches d'
attaques
d'hystérie; c'est qu'on lui administre des lave
t c'étaient de simples ver- tiges, parfois cependant il y avait des
attaques
complètes avec perte momentanée de connaissance
core attribuer à l'état des centres vaso-moteurs ; tels sont les
attaques
syncopales,les ictus apoplectiformes, les accès
lus tard, le réflexe pa- tellaire droit reparaît, 3 jours après une
attaque
paralytique et persiste, variable, jusqu'à quel
f. 13, p. 594 à 605, 1r juillet 1906.) Femme de 30 ans ; en 1903,
attaques
d'épilepsie jacksonnienne commençant par des co
ance. En 1904,parésie du bras droit. En 1905, cessation des grandes
attaques
avec perte de connaissance, des maux de tête, des
deux segments, surtout l'épaule et les doigts ; beaucoup de petites
attaques
furent de simples monospames du bras droit ; quan
contractions spastiques qu'a- près tous les autres. Dans certaines
attaques
, l'excitation partie de la lésion trouvait, dan
e tendance spéciale à la coa- gulation intra-vasculaire, et que les
attaques
, qu'il s'agisse du grand mal ou du petit mal, o
donné lieu à des spasmes généralisés et à tous les phénomènes d'une
attaque
légère d'épilepsie. Schiff, en compri- Arcuives
s phénomènes qui remplacent quelquefois les crises convulsives, les
attaques
du petit mal et les faits que l'on désigne sous
des de cette caté- gorie, alors même qu'on ne leur a jamais connu d'
attaques
, peu- vent être pris de crises épileptiques à n
tention sont les sui- vants : 1° Surdité complète succédant à une
attaque
de ramollissement cérébral et vraisemblablement
t qu'elle ne mangera pas, barricadant la porte de sa chambre ; ? en
attaques
d'hys- térie le plus souvent limitées à la péri
0 MEDECINE LÉGALE. irritable, se plaint de névralgies, a de petites
attaques
d'hystérie sous forme de spasmes de toux, de tr
ssus violacés, la langue tuméfiée, pendant hors de la bou- che. Ces
attaques
de forme asphyxique n'amenant pas le résul- tat
sphyxique n'amenant pas le résul- tat attendu, sont suivies par des
attaques
syucopales. La \ision disait : tu vas mourir ;
ion et de la respiration. A un moment donné il arma la suite de ces
attaques
à forme syncopale, Mme \... .. revenait à elle
n temps opportun, On est désormais obligé d'explorer pendant chaque
attaque
cette singulière cachette. Les nuits sont toute
d activité, en apparence normale. Le 18 septembre, à la suite d'une
attaque
convulsive, elle revient à l'état prime, très é
nté sont aussi im- possibles que dans les états crépusculaires de l'
attaque
épileptique. On pourrait objecter, à la vérit
mple, pour les pa- ralysies, les contractures, les anesthésies, les
attaques
dites hystériques. Il ne suffit pas, non plus,
e, etc. Pas de paralysie pro- gressive, marche lente, par poussées.
Attaques
apoplectiques avec séquelles. b) S. psychique
ent de la paralysie générale par les carac- tères suivants : 1. Les
attaques
apoplectiques avec résidus. 2. Les symptômes en
que Delasiauve l'a fait pour les autres signes prodro- miqucs de l'
attaque
, on peut diviser les manifestations oculaires q
s visuels, car les troubles prodromiques immédiats font partie de l'
attaque
elle-même. Pour nous, troubles prodromiques, ve
es prodromiques, veut dire toute manifestation oculaire précédant l'
attaque
dans l'intervalle compris (1) DELASIAUVE. Trait
ur la fréquence des manifestations oculaires qui peuvent annoncer l'
attaque
. Le seul signe qui signale parfois Une aura mot
Thèse d'agrégation 1880. (2) DESPAGNET. Cécité temporaire pendant l'
attaque
. (Rcccuil d'ophtalmologie, 1880, p. 51.) , .
bie. D'après Pichon, cette dernière manifestation prémonitoire de l'
attaque
n'est pas fré- quente. Axenfeld et Huchard (2)
e sensibilité rétinienne exagérée pour certaines couleurs avant les
attaques
. D'après lui, c'est le rouge qui est la couleur
ade, la dyschromatopsie se pré- sente de la même façon avant chaque
attaque
. 2° Cette dyschromatopsie est purement temporai
ro- matopsie existant chez certains malades dans l'intervalle des
attaques
. Il peut arriver que l'aura visuelle s'accompag
s lumineuses. Voisin (4) cite le cas d'une jeune fille qui, avant l'
attaque
, voyait des figures grimaçantes et d'une autre
. Leçons sur l'cpilcpsic. 182 CLINIQUE NERVEUSE. au début de ses'
attaques
les'objets- scintiller devant lui. Puis ce mala
ar certains épileptiques est souvent le seul prodrome qui annonce l'
attaque
, et c'est pour eux un trouble de la vue dont il
(1) rapporte aussi l'histoire d'une malade qui, avant d'avoir une
attaque
, voyait « un grand noir » s'approchant d'elle i
ologie, 190 1. (3) Journal de Médecine de Bordeaux : « Les songes d'
attaque
dos épi- leptiques ». ' LES AURAS VISUELLES D
ée le 20 janvier 1905 à l'asile de Montdevergues pour épi- lepsie à
attaques
fréquentes et, après les attaques, accès de vio
Montdevergues pour épi- lepsie à attaques fréquentes et, après les
attaques
, accès de violence. 1 .. Aucune hérédité. Pas
s- mes. Elle était alors âgée de 17 ans. Quelques minutes avant l'
attaque
, elle sent comme un souf- fle lui monter du ven
de ce moment, l'amné- sie est complète. Souvent, au moment de ses
attaques
, il sent sa vue se trou- bler et il survient de
gereux pour son entourage. Il est vrai que, comme le dit Voisin « l'
attaque
convulsive est le plus souvent suivie que précé
tat hallu- cinatoire, se montrer comme symptôme prémonitoire de l'
attaque
et prévenir toute précaution de la part de l'en
ne commence à augmenter au commence- ment de la phase clonique de l'
attaque
; cette pression augmente 230 CONGRÈS INTERNATI
. On expose le cerveau d'un chien par trépanation et l'on produit l'
attaque
épileptique par le courant Leduc, comme cela es
de leur intensité. Comment se comporte la masse cérébrale pendant l'
attaque
d'épi- lepsie électrique ? . 1° La masse cérébr
breux symptômes de la nature hystérique y compris même les grandes
attaques
convulsives. Depuis son enfance la malade est t
es de la maladie gynécologique, la malade a com- mencé à souffrir d'
attaques
hystéro-épileptiques accompagnées d'automatisme
l'intellect sur le subconscient. En- fin Raymond rappelle la grande
attaque
hystérique qui est un phénomène de réévocation
et de Maxwell. Les hystériques perdent aussi le souvenir de leurs
attaques
con- vulsives d'une façon moins radicale que le
la capacité de lutter contre le mobile et d'opposer à ses moyens d'
attaque
des moyens de défense contraires. Il y a lutte
ésentait aucun trouble trophique. Elle eut quelques jours après une
attaque
épileptiforme; nous la faisons coucher le 20 dé
perte de la mémoire, hésitation de la parole. Elle n'a jamais eu d'
attaque
ni de vertige. Hémianesthésie droite. Retard de
testins ne fonctionnent plus. Au mois de janvier 1897, elle a une
attaque
apoplectiforme ; nous la faisons coucher. Deux
, apparition d'eschare, purpura et hématurie, qui coïncide avec une
attaque
apoplectiforme, ainsi que l'a signalé Zacher'.
es d'excitabilité réflexe qui entrent en jeu dans la production des
attaques
. Ces causes provocatrices sont de divers ordres
roduc- tion des accidents nerveux et il est certain qu'une première
attaque
convulsive en prépare une seconde, et que les a
'une première attaque convulsive en prépare une seconde, et que les
attaques
suivantes tendent ainsi à se répéter. Nous comp
citation réflexe qui jouent un si grand rôle dans la production des
attaques
, il convient de soustraire l'enfant à son entoura
les phé- nomènes ischémiques secondaires. A. Troubles moteurs. L'
attaque
épileptiforme, qui appartient à toutes les form
ale grave. L'iclits apoplectique, moins grave immédiatement que l'
attaque
foudroyante due à la thrombose ou à la rupture
rt, en passant par des phénomènes irritatifs de moyenne intensité :
attaques
épileptiformes, hémiplé- gie, etc. Tous ces phé
es d'une même famille. L'activité cardiaque est accélérée pendant l'
attaque
. Les réflexes restent normaux. Assez rare chez
axie. sans aucune des lésions de la paralysie générale. Quant aux
attaques
épileptiformes, il faut probablement les attribue
auteur a tout récemment, chez une hystérique, immédiatement après l'
attaque
, obtenu des hallucinations par ce procédé, mais
e l'abat- tement, du délire, des paralysies des nerfs crâniens, des
attaques
épileptiformes, etc. Le diagnostic avec la méni
que : d'abord les conditions de l'épileptique dans l'intervalle des
attaques
, puis l'attaque elle- même. D'ordinaire, trop p
conditions de l'épileptique dans l'intervalle des attaques, puis l'
attaque
elle- même. D'ordinaire, trop peu d'attention e
egré de contracture qui se développe dans les jambes à la suite des
attaques
convulsives qui surviennent quelquefois. .-On o
altérations de la mémoire, de l'apathie, des idées de suicide, des
attaques
de sommeil et notamment des accès d'automatisme
ieii ? ze, qui au congrès de Bruxelles en 1892, avait été l'objet d'
attaques
dont le résultat pouvait ressem- bler à une exé
ntenant dix-huit ans et ne présente plus, depuis quatre ans, aucune
attaque
convulsive; mais il est resté sujet à des crise
e émotion profonde suivie d'insomnie, et quatre jours après d'une
attaque
de chorée généralisée, avec un état mélancolique
5, c'est-à-dire quatre ans après l'éventualité qui avait provoqué l'
attaque
de cho- rée, l'amie répondit par une acceptatio
e resta en crise de cinq heures du matin à quatre heures du soir. L'
attaque
avait débuté par un vomissement. Depuis l'on n'
Fille de sept ans, idiote, microcéphalie, dystocie de la mère, une
attaque
convulsive à quatre ans. Pas de signe d'Ar-yll
XL1V. UN cas dont l'autopsie démontre la guérison D'UNE première
attaque
DE MÉNINGITE ;par H. White. (Brain, part. LXXVI,
ocalisée dans les muscles. Cas 4 et 5 : une demi-heure avant chaque
attaque
, le malade tombe dans un état de rêve qui le re
ation d'odeur de fumée de bois. Cas 9 : dix ou douze heures avant l'
attaque
, le ma- lade perd toute sensibilité de la moiti
n dehors de tout phénomène de ce genre. Il constitue alors soit une
attaque
hysté- rique réduite à sa dernière période, soi
uite à sa dernière période, soit, ce qui en est l'équiva- lent, une
attaque
de somnambulisme spontané ou provoqué. BIBLIOGR
s phénomènes hysté- riformes qui sont à l'hystérie vraie ce que les
attaques
épilepti- formes sont à l'épilepsie. Enfin, l'h
us le nom de spasmes, vapeurs, pâmoi- sons, etc., jusqu'à la grande
attaque
classique, avec arc de cercle, hallucinations.
tant unjour mon service, a pu observer la malade pendant une de ces
attaques
d' amaurose . Il a pu, de plus, avec sa compéte
placée sous le coup de l'accès prémonitoire, elle est menacée d'une
attaque
convulsive, et disparaîtra après l'attaque auss
elle est menacée d'une attaque convulsive, et disparaîtra après l'
attaque
aussi vite qu'elle s'est produite. « Une amauro
les deux yeux, pourra aussi s'établir momentanément à la suite de l'
attaque
(obs. PERTE DE LA VISION BILATÉRALE. 393 de L
souvenir de ce qui lui arriva lors de son retour au magasin. Deux
attaques
similaires se produisirent peu de temps après.
M. Mouratow présente un malade, âgé de cinquante-sept ans. En 1888,
attaque
d'apoplexie avechémiplégie droite consécutive. Un
ssait alors d'un malade qui, dans l'es- pace de deux ans, a eu deux
attaques
apoplectiques, suivies la première d'une hémipl
trouvée; esquilles, hémiplégie gauche. Guérison en juin 18-il. Mais
attaques
convutsivos de la moitié gauche du corps avec p
nfusion dans les idées, obtusiou. Même état en 1892 avec nombreuses
attaques
. Séquestré le 30 janvier 1894; guérison le 21k
re d'épingle dans la région protubéranlielle du lapin détermine une
attaque
d'épilepsie com- plète classique ; mais, chez l
, et en particulier à l'écorce de la région motrice, comme pour les
attaques
convulsives toxhé- miques. Pour qu'il y ait con
r qu'il y ait convulsions cloniques, il faut agir sur l'écorce. Les
attaques
d'épilepsie, quelle qu'en soit l'origine (ab- s
nution de l'action des artères des autres parties du corps; de là l'
attaque
d'épilepsie. La simple piqûre du même organe ch
cès proprement dit, complet, on comprit l'importance de cette aura,
attaque
légère, décharge faible, trop faible pour voile
i dire l'acmé, que les décharges légères tendent à atteindre. Cette
attaque
faible eût été de plus haute valeur théra- peut
être sûr, il aurait fallu reproduire, avec le courant faradique, l'
attaque
con- vulsive toute entière, avec l'aura paroxys
inférieur un point où le cocu- rant le plus faible fait naître une
attaque
convulsive unilatérale gauche, partant du petit
ivrer à ses excès alcooliques. Pendant sa grossesse, elle a eu deux
attaques
d'éclampsie ( ? ) bien caractéri- sées. - L'acc
E. - Père, alcoolique, emporté. - Grand-père pater- nel, mort d'une
attaque
de paralysie. - Grand-onçle pater-- net tubercu
e fume pas. - [Père, meunier, sobre et calme, serait mort d'une «
attaque
de paralysie » après deux mois de maladie. - Mère
'accuse aucun antécédent nerveux tels que convulsions de l'enfance,
attaques
de nerfs etc. Pas de maladies de peau.- [Père,
n. L'enfant fut alors pris de convulsions fréquentes, survenant par
attaques
portant sur 8 jours environ, puis restant un mo
ieur traversant la suture fronto-pa- riétale. - 25 juin : violentes
attaques
de convulsions épileptiques. - 26 juin : nouvel
olentes attaques de convulsions épileptiques. - 26 juin : nouvelles
attaques
qui ne se sont plus reproduites. - 30 janvier 189
robablement d'une affection de l'esto- mac. -Grawcd'mère a eu trois
attaques
de congestion cërë- brale sans paralysie; cépha
nostic posé. - Mère, GG ans, actuellement bien portante, a eu trois
attaques
à HO ans qualifiées de congestion cérébrale. Il
nce, de divaga- tion et de délire peu violent. Après chacune de ces
attaques
, elle est revenue à son état normal, sans avoir
leurs du côté paternel. La grand'mère paternelle a présenté trois
attaques
sans paralysie, étiquetées attaques de congesti
ère paternelle a présenté trois attaques sans paralysie, étiquetées
attaques
de congestion cérébrale. Quelques céphalalgies
Irrégularité du pouls, hyperesthésie cutanée. Duf... n'a plus eu d'
attaques
convul- sives. T.R. 3 ? 7. -Soir : 39°, 8. 17
méningite. Autre oncle paternel, suicidé. Tante paternelle, morte d'
attaques
d'éclampsie. Mère, soignée comme hysté- rique à
el, mort phthisique. Grand'mère maternelle, très-colère. A eu des
attaques
de nerfs. Pas de consanguinité. - Inégalité d'â
re soeurs, aucune n'est vivante. L'une d'elles est morte à 18 ans d'
attaques
d'éclampsie. - Dans le reste de la famille, pas
ÉCDENTS héréditaires. 175 par M. Charcot. Elle a eu quelquefois des
attaques
de nerfs. Elle est très faible et anémique. Ell
chisseuse parce qu'elle a une « maladie du ventre ». Elle a eu des
attaques
de nerfs. On ne sait si elle fait des excès de
s, est atteint de mal épileptique parfaitement caractérisé, que les
attaques
épileptiques sont au nombre de 8 à 10 par jour, q
ts fort vieux. - Mère, très nerveuse, pourtant elle n'a jamais eu d'
attaques
de nerfs, et n'a jamais fait d'excès de boisson
n accls de folie, déclare d'abord lanière de notre malade, pour une
attaque
de deli, ittm trP.Jllc118, déclare- t-elle une
e maternel, alcoolique, violent. - Grand-oncle maternel, mort d'une
attaque
d'apoplexie. - Pas de consanguinité. - Inégalit
s, morts tous les deux, l'un de maladie indéterminée, l'autre d'une
attaque
d'apoplexie. - Une tante paternelle est encore
- Grand-père paternel, nombreux excès de tout genre ; plu- sieurs
attaques
apoplectiques; hémiplégique. - Demi- oncle pate
de fièvre typhoïde, migrai- neux, assez nerveux, a eu à 36 ans une
attaque
de rhumatisme articulaire aigu qui ne s'est pas
culaire aigu qui ne s'est pas reproduit depuis. Il y a quatre mois,
attaques
de coliques néphrétiques ayant duré 4 jours ; h
é habituelle bonne. - [Père, mort à 57 ans, à la suite de plusieurs
attaques
d'apoplexie ; il était paralysé de tout un côté
stérique. Arrière-grand-père maternel, excès de boisson, mort d'une
attaque
de paralysie. z Grand-oncle maternel, excès de
E. - Père, alcoolique, emporté. - Grand-père pater- nel, mort d'une
attaque
de paralysie. - Grand-oncle pater- nel tubercul
SUTURES DU crâne dans L'IDIOTIE. 321 excès de boisson, mort d'une
attaque
de paralysie.- Grand- oncle maternel, excès de
pendaison, ? ... 328 Idiotie. Grand'mère maternelle, morte d'une
attaque
d'apoplexie. Arrière-grand' tante maternelle, a
vre typhoïde. Il n'a jamais eu ni incontinence nocturne d'urine, ni
attaque
de nerfs, ni accès d'épilepsie, ni agitation chor
droit, exaspération de ces douleurs, de temps à autre, sous forme d'
attaque
, rigidité musculaire du cou. Dans l'après- midi
elle, rétrécissement du champ visuel, points liystérogènes, grandes
attaques
). On cherche à l'hypnotiser par la pression sur
e artificielle, qu'on peut à beaucoup de points de vue comparer à l'
attaque
hystérique. De même que diverses formes convuls
ulsives ou psychiques, peuvent être rattachées au type de la grande
attaque
d'hystéro-épilepsie, de même les diverses varié
de l'hypnotisme, peuvent être reliées au grand hypnotisme. Dans l'
attaque
d'hysteria major, il existe plusieurs périodes
e plusieurs périodes distinctes comme dans le grand hypnotisme. Les
attaques
d'hystérie peuvent dévier du type normal par l'
isme ? - t04' REVUE CRITIQUE. Tous les caractères somatiques de l'
attaque
hystérique, con- tractures, mouvements convulsi
ements convulsifs, grands mouvements, etc., peuvent faire défaut. L'
attaque
est constituée exclusivement par des troubles p
larmes, qui peuvent être considérés comme des formes effacées de l'
attaque
hysté- rique. Ces cas correspondent aux variété
ième, l'asthme chronique cesse chez un imbécile, lorsque éclate une
attaque
aiguë de folie, pour reparaitre quand celle-ci
de qui est tombée alors dans un état mental particulier et dont les
attaques
débutant à ce moment ont revêtu, par suite d'un
is dormi et ce pseudo-hypnotisme ne consiste en réalilé qu'en des
attaques
hystériques d'une allure un peu particulière dans
on est relative à une jeune hystérique de vingt-trois ans, dont les
attaques
augmentaient de fréquence en même temps que s'é
ème jour, tous ces phénomènes disparaissaient. La malade n'a plus d'
attaques
et on peut la considérer comme guérie. Classi
que, par cela seul qu'un individu sera sujet de loin en loin à des
attaques
d'épilepsie, on pourra le prendre au moment d'ê
ompris ceux dont ne parle pas M. Liégeois, tels par exemple que les
attaques
d'hystérie sur- venues à la suite des hypnotisa
dans la région des masséters. La malade craint exces- sivement ces
attaques
. Catarrhe très violent de la vessie avec réten-
ais il ne peut pro- noncer un seul mot. Il se rappelle que dans son
attaque
précé- dente (il y avait déjà deux années) il p
l reprend son travail. Le 7 août 1874, il fait cinq immersions sans
attaque
, il redescend à la même profondeur de 20 à 21 b
ppellerons de nouveau qu'un malade peut n'avoir jamais eu une seule
attaque
et être pourtant bel et bien hys- térique. Il f
au point de vue de ses périodes, des variétés qu'il présente, di l'
attaque
hysté- rique et qu'il y avait une véritable ana
idents qui relèvent de l'hystérie. Nous avons vu plusieurs fois des
attaques
hystériques diminuer de nombre et d'intensité q
asion du développement de quelque manifestation hystérique, d'une
attaque
de sommeil, de la chorée rythmée, par exemple. C'
embolie cérébrale : une hémiplégie droite, sans aphasie, après deux
attaques
apoplecti- formes. A l'autopsie, on trouva une
hyperesthésies, la nature terrifiante des délires qui succèdent aux
attaques
. Toujours héréditaire, elle éclate parfois Si l
sie. Athétose progressive et généralisée aboutissant à une espèce d'
attaque
avec perte de connaissance totale, représentant
. M. l3nt.wo demande si le malade de M. Camuset était sujet à des
attaques
épileptiforme qui pourraient expliquer dans une
'il a commis. M. CW1USLT. - Aton malade a été frappé de sa première
attaque
épileptiforme quelques jours après son entrée à
eule- ment de violents accès de vertige, mais une longue et grave
attaque
convulsive, alors que cette personne n'en avait j
phasique. Cet état a déjà été assez sou- vent observé, à la suite d'
attaques
congestives, d'une façon passa- gère. L'aphasie
ves, d'une façon passa- gère. L'aphasie sensorielle consécutive aux
attaques
congestives est moins rare que la surdité absol
nombreux aujourd'hui où la vio- lence a revêtu certaines formes : l'
attaque
par le vitriol ou par le revolver. L'on voit tr
s acciden- telles, la suppression brusque de la menstruation, une
attaque
d'épilepsie ou d'hystérie. Ce n'est pas le lieu
t les soins ordinaires et le sondèrent : le troisième jour de son
attaque
, il vint à Hydra et il me disait qu'il se trouvai
rome d'apoplexie par hémorrhagie céré- brale, que parfois c'est une
attaque
syncopale qui termine la vie du plongeur. Pro
e exagération persiste pendant un certain temps ; elle explique les
attaques
épileptiformes chez les animaux in- toxiqués pa
; 2° de la motricité (hyperexcitabilité musculaire, convulsions, -
attaques
épileptiformes). Ces derniers accidents rapproche
plus saillants de la cocaïne sont les troubles de la motilité, les
attaques
épileptiformes et les troubles de la sensibilit
a trépanation et l'excision du centre moteur, sans réapparition des
attaques
au bout de deux mois. M. le D'' Fermer (de Lond
ques dans la circonstance. Par cela même qu'un malade est sujet à des
attaques
de léthargie, de catalepsie, de somnambulisme, on
ntique à celle découverte antérieurement par les mêmes auteurs pour l'
attaque
et les états de mal hystérique. a Entre l'hypno
de nature. Hypnotiser un sujet, c'est lui donner artificiellement une
attaque
de sommeil ; le réveiller, c'est faire cesser cet
ement une attaque de sommeil ; le réveiller, c'est faire cesser cette
attaque
par des manœuvres expérimentales. Or, nous avon
des manœuvres expérimentales. Or, nous avons vu précédemment que l'
attaque
de sommeil n'est qu'un fragment détaché ou tout a
fragment détaché ou tout au moins un équivalent clinique de la grande
attaque
complète et régulière de l'hystérie. Nous sommes
er dans les divers accidents qui dépendent de l'hystérie, — Enfin une
attaque
hypnotique peut s'enchevêtrer parfois avec une at
e, — Enfin une attaque hypnotique peut s'enchevêtrer parfois avec une
attaque
hystérique (1). M. Tamburini pense au contraire
que cette femme avait eue avec son mari. Il y avait eu une ébauche d'
attaque
d'hystérie avec strangulation, cris et grands mou
t de sa fillette. Elle avait présenté seulement à l'âge de 18 ans une
attaque
d'hystérie, mais depuis lors elle n'en avait plus
guérie, Iorsqu'en février 1885, c'est-à-dire 8 mois après la première
attaque
, elle est reprise, à la suite d'une dispute avec
taque, elle est reprise, à la suite d'une dispute avec sa sœur, d'une
attaque
d'hystérie convulsive qui la fait retomber dans s
ns que son interdiction ait clé prononcée ou provoquée, pourront être
attaques
pour cause de démence.....» IIy aura dol.au c
a troisième période dite des attitudes passionnelles de la grande
attaque
d'hystérie, ou plus probablement qu'elle se ratta
robablement qu'elle se rattache au syndrome que Briquet a dénommé les
attaques
d'extases, que sainte Thérèse, était, à ce moment
acas, perd connaissance et offre le tableau classique des grandes
attaques
. Mais elle éprouve un symptôme très rare : chaque
uve un symptôme très rare : chaque fois, une ou deux heures après son
attaque
, elle est prise d'hémoptysies, et, sans tousser,
rnières années, elle offrit un nouveau symptôme : brusquement après l'
attaque
ou en dehors de toute attaque, les pieds enflaien
nouveau symptôme : brusquement après l'attaque ou en dehors de toute
attaque
, les pieds enflaient et devenaient bleuâtres. L'œ
sans hésitation et sans défaillance ; elle lui donne la sûreté dans l'
attaque
de chaque note et le sentiment absolu des distanc
dans l'éducation musicale. Suggestion curative dans le cours d'une
attaque
d'éclampsie. * par M. leDr Le Menant des Chesnais
n. Lcdébutcncst toujours brusque, à la suite dune émotion vive, d'une
attaque
, d'une laryngite, d'une angine, d'un traumatisme
ueux et intelligent, qui fut atteint, pour la première fois d'une
attaque
convulsive, sans perte de connaissance, à l'occas
niques et toniques des membres et du tronc, paralysie de la vessie et
attaques
classiques de grande hystérie. Le début de la mal
parfaitement explicables et n'ont rien d'invraisemblable. » « Les
attaques
de nerfs sont certainement une des manifestations
comme au Moyen-Age et même pour beaucoup d'esprils de nos jours, ces
attaques
étaient l'oeuvre de démons, parfois nombreux chez
e laquelle étaient sortis sept démons(Luc VIII, 2). Même guéries, ces
attaques
pouvaient revenir : ¦¦ lorsqu'un esprit immonde e
és de paralysies, de contractures, d'ancsthésies, toutes les formes d'
attaques
peuvent être reproduits par suggestion chez certa
nt la vie d'ermites : tel saint Jean-Baptiste qui paya de sa tête ses
attaques
aux puissants. Il existait donc un milieu propi
sont assez chargés : la mère aurait eu pendant sa grossesse plusieurs
attaques
de nerfs, suivies de perte de connaissance. Les
a dit, mais à la fois hystériques et épileptiques. Ils présentent des
attaques
séparées. Ce sont des hystériques qui ont des cri
; la thérapeutique qu'il commandait ne pouvait avoir pour moyen que l'
attaque
directe de cette lésion par d'illusoires médicati
nt, parésies, atrophies musculaires fonctionnelles, marche titubante,
attaques
convulsives hystéro-épileptiques généralisées, co
u'à la gorge et produit la toux et une sensation d'étouffement. Pas d'
attaques
convulsives. Le sens musculaire est modifié. Au
Raymond, p. 343. Eclampsie (Suggestion curatlve dans le cours d'une
attaque
(d'), par Le Menant des Chesaais, p. 120. Ecole
cile. Mère migraineuse. Arrière grand' mère maternelle, peti- tes
attaques
de ramollissement (de 79 à 82 ans). -Tante mate
ire. Père, alcoolique, emporté. - C¡'and-père pater- nel mort d'une
attaque
de paralysie. G)'a ? td-otc ! epafe ? '- nel tu
érique. Arrière-grand-père maternel, ' excès de boisson, mort d'une
attaque
de paralysie.- "- Grand-oncle maternel, excès d
rt proba- blement d'un cancer de l'intestin. Grand-père paternel,
attaque
de paralysie. Oncle paternel, mort à sa 3e attaqu
d-père paternel, attaque de paralysie. Oncle paternel, mort à sa 3e
attaque
apoplectique (hémiplégie gauche). - Cousine pat
nel, mort phthisique. Grand'mère maternelle, très colère; a eu dès
attaques
de nerfs : Pas de consanguinité ' - Inégalité d
x. Grand-père paternel, nombreux excès de tout genre; plu- sieurs
attaques
apoplectiques; 12é11üpléique. - Demi- oncle pat
blement d'une affection de l'es- tonac. Gra ? td/u)ë)'e, a eu trois
attaques
de congestion ce- - t'ebrate sans paralysie; cé
marché. Il a parlé tard. Il n'aurait jamais eu de convulsions, ni d'
attaques
de nerfs, ni de chorée. On n'a constaté ni cris
céphalalgies depuis son premier allaitement ; très-nerveuse, sans
attaques
de nerfs ; lymphatique, aurait eu une punaisie.
cidents nerveux. Mère morte à 83 ans ; elle avait eu, à 60 ans, une
attaque
d'hémiplégie. Grand' mère maternelle, morte cen
euse, facile à irriter, colères violen- tes, cependant ni accès, ni
attaques
, mais, à 18 ans, elle a eu des fièvres intermit
é DROIT; état DE MAL épileptique; mort. Sommaire. Père rhumatisant,
attaque
d'apoplexie avec hémiplégie gauche; excès alcoo
en octobre 1874, d'une hypertrophie du coeur. Il avait eu plusieurs
attaques
incom- plètes de paralysie, suivies d'une attaq
ait eu plusieurs attaques incom- plètes de paralysie, suivies d'une
attaque
d'apoplexie avec hémiplégie gauche. [ Père, ex-
roit, 121 gr. . Nous devons signaler l'hérédité du côté paternel (
attaques
paralytiques répétées du père, mort hémi- plégi
qu'il paraît avoir été conçu alors que son père avait eu déjà des
attaques
paralytiques. Signalons une impression vive de
e, gastralgique. trri'ère-rand'mère 7naZeî' ? ieZZe, sujette il des
attaques
syncopales. Grande tante mater- nelle, tubercul
rises de nerfs et paraplégie passa- gère. - Autre tante maternelle,
attaques
convulsives auec aura. - In frère, méningite. -
t eu dans les deux ou trois dernières an- nées de sa vie de petites
attaques
syncopales (probablement symptomatiques de thro
ur, qui est vivante, est rhumatisante, un de ses enfants aurait des
attaques
convulsives avec aura ; un médecin témoin de ce
arler et ne chan- terait plus. Lorsque, à 15 mois, après sa seconde
attaque
con- vulsive, Fut repris par ses parents, il ét
portante. Une de ses soeurs a eu des troubles intellectuels et des
attaques
d'hys- térie au moment de la puberté. Pas de co
d'onanisme. A 5 ou (i repri- ses différentes, elle aurait eu des «
attaques
de nerfs. » Une fois dans le service de M. More
ts-Malades pour être traité d'une fistule ( ? ) au bras, il eut des
attaques
convulsives et fut envoyé à l'Asile Clinique.
e maternel, alcoo- lique, violent. Grand-oncle maternel, mort d'une
attaque
d'apoplexie. Pas de consanguinité. - Inégalité
vation I est celle d'une femme qui est morte dans mon service d'une
attaque
épileptiforme causée vraisemblable- ment par un
malade n'avait présenté, en fait de symptômes cérébraux, que trois
attaques
d'aphasie transitoire ; ce n'était pas un paral
ale. Observation I. Syphilis datant de quatorze ans. Céphalalgie.
Attaque
apoplectifoi-ine. Paralysie du nerf moteur oculai
bolition du réflexe patellaire gauche, diminution du réflexe droit.
Attaques
z épileptiformes subintrantes, mort dans le com
ue vers le milieu du mois de septembre. A cette époque elle eut une
attaque
apoplectiforme sur laquelle elle ne peut donner
s du matin, pendant le repas, la malade est prise brusquement d'une
attaque
épileptiforme : elle se renverse sur son oreill
duit. La nialade est en réalité en étal de mal et subit une série d'
attaques
subintrantes qui se prolongent jusque vers une
en état de mal et n'en sort que vers 2 heures de l'après-midi ; les
attaques
recommencent à '5 heures pour durer toute la nu
flasque : c'est l'inverse de ce qui s'est produit après la première
attaque
. La face est pâle, avec des lèvres bleuâtres ; la
point de' vue des mouvements athé- tosiques, ni au point de vue'des
attaques
convulsives qui peuvent même devenir plus fréqu
le stade'prodromique de la paralysie générale,' il" se produit des'
attaques
d'aphasie ataxique passagères, parfois accompag
e ou de sensations''toutes spéciales dans -une moitié du corps. Ces
attaques
peuvent se répéter à des intervalles déterminés,
tation- naire de la paraplégie dépôts 1890 environ. En 1 889, trois
attaques
d'aphasie transitoire; aucun symptôme mental de
érale ; ces malades ont bien quelques .symptômes légers, quelques
attaques
épileptiformes de temps,en(temps, mais Usine font
orbides, la psychopathie maniaque arrive à la période critique de l'
attaque
de grippe, la mélancolie ne se montre que quelq
tion générale des malades de nos asiles et les accidents tels que :
attaques
congestives subintrantes, gangrènes du décubitu
trantes, gangrènes du décubitus, paralysie et spasmes de la vessie,
attaques
apoplectiques laissant après elles des paralysies
maison de santé, et il resta seize mois chez le De F.... « pour une
attaque
de nerfs avec folie », selon sa propre expressi
t, iaiisE4ue"rienne l'aitv.faitprévoir, ? tnotre malade,fut- pris d'
attaques
épileptiformes : ,Lesattaques étaientjtrès violen
bres supérieurs'à. évolution' subaiguë; marchesprogressive ; puis,,
attaque
L4 apoplectiforme ? affaiblissement deulac mémoir
leur au contact. Douleurs spon- tanées de toute espèce. Quelquefois
attaques
f généralisées comme dans l'épilepsie. Tremblem
ébrales soudaines. Sans le brusque^arrêt respiratoire du début de l'
attaque
,sans,la"persistance de l'action cardiaque, très
'atta- ques apoplectiques répétées ? il, .succomba, à. une nouvelle
attaque
. A l'autopsie, on trouve les membranes épaissie
ffai- blissement ou l'arrêt], du développement des 'facultés; les
attaques
épileptiformes ; , les contractures ; la lassitud
ent quant au signe de Westphal, aux facultés intellectuelles, aux
attaques
épileptiformes,' à l'état ,d'épuisementphysique;·
este'en bonne santé jusqu'à quatorze ans; à ce moment il est pris d'
attaques
épileptiques sub- intrântes; démence progressiv
elles que l'épilepsie et l'hystérie. Chez beaucoup d'épileptiques l'
attaque
est annoncée par une hallucination de la vue, t
rs' la même chez le même individu. Celles qui surviennent après l'
attaque
ont un caractère beaucoup plus général; ce sont d
tats sont surtout favorables quand la microcéphatie. s accompagne d
attaques
epileptiformes, de soubresauts muscu- laires,"
tion, spéciale,auxj'nuitipares.q «mol . 1 Dans ;3 p. 100 des cas, l'
attaque
de folie puerpérale n'avait été t précédée d'au
le, mégalomaniaquc ou non (3 ? .,accès) ; il, aura., à sa quatrième
attaque
un ensemble qui devra être caractérisé de folie
; on voit, , eii effet, \ des psychoses., graves, succéder . à une,
attaque
,t\d' nfluenza accompagnée, dune èvi,e.ti,ès leg
'' j Le mot « Amok » est un mot malais qui-exprime l'idée d'une
attaque
furieuse, ayant presque toujours le caractère hom
errées convulsivement ne permettant pas l'ouverture de la bouche. L'
attaque
n'était pas suivie de troubles moteurs, mais de
les centres corticaux inté- resses/c'est'd'une part, là'précocité (
attaque
épileptiforme avec trismus dès le début dé l'af
ation' de M., Boixq (trismus isolé, durant quatre jours, , suivi, d'
attaques
tétanie ' Hirt. Localisation du centre cortical
oupésliôizonyales, de^comparer lacapa-i cité des ventricules, qui n'
attaque
pas la capsule interne et les;gros.. ganglions,
e est également mauvais parce qu'il agit trop sur le muscle. Monell
attaque
le mal à son centre à travers la constitution g
paraissent appartenir aux paralytiques généraux syphilitiques. Les
attaques
congestives se montrent plus fréquentes chez le
ches buccales du facial. De'puis'celte époque, à la suite de chaque
attaque
, il se produit une paralysie passagère du côté
lleurs dans la'conférence en question s'étaient montrés opposés aux
attaques
de MM Bodelsch- winch, Hafner'et autres; ? 2° q
qui dans un'paroxysme, peut-être provoqué par des hallucinations, s'
attaque
à la' personne d'un autre doit être rendu respô
réconciliable entre l'aliéniste et l'as- sistance spirituelle. Les.
attaques
haineuses des conférences sur l'assistance, spi
- dances homicides, par Camuset, -288. ' ? Aliénistes, récentes
attaques
contre les -, par Pelmau. 453. 11, Anlox, l'
; elle n'offre aucun autre trouble de sensibilité et n'a jamais eu d'
attaques
d’hystérie. Pour ramener cette jeune fille à un
personne subit parfois des crises qui 1 appellent singulièrement les
attaques
d’hystérie : la respiration devient alors plus ra
de la moutarde aux jambes; il élait donc convaincu qu’il s'agissait d’
attaque
apoplecliforme. Or, il ne s'est agi ni d’hémorrag
se, elle a eu une perte de connaissance analogue, diagnostiquée aussi
attaque
d'apoplexie et de laquelle elle s'est complètemen
uggestif; il ne faut pas oublier, en effet, que cette femme a eu deux
attaques
de sommeil hystérique. REVUE DE LA PRESSE ÉTRAN
à un dénigrement systématique et aveugle. C'est, pour répondre à ces
attaques
, comme aussi pour asseoir de plus en plus solidem
léger ou de bière pendant ses repas aura moins de chance d'avoir une
attaque
d’ivrognerie que celui auquel on a défendu de jam
. Car l’hystérique imite aussi intensément qu’il se suggestionne. Les
attaques
de nerfs sont contagieuses dans une salle de mala
les a mis en lumière, c’est qu’il s’adressait à d'autres procédés. L’
attaque
de grande hystérie provoque spontanément 1 appari
de sensibilité, etc. Tous les jours depuis six ans, elle est prise d’
attaques
d'hysléro-épiiepsie. J’ai beau la presser de ques
e questions, je ne puis parvenir à me renseigner sur l’origine de ces
attaques
. Un beau jour, une crise se déroule sous mes yeux
projections à la lumière oxy-drique, les diverses phases de la grande
attaque
d’hystérie. M. Magnin a montré que les descriptio
uables dessins qui reproduisent toutes les périodes et attitudes de l’
attaque
sont devenus classiques. Son Anatomie et sa Physi
il provoquent des réactions spéciales qui ne sont autre chose que les
attaques
efc tous les accidents paroxystiques. L’hystérie
crises convulsives. Mahomet se retirait sous sa tente pour cacher ses
attaques
. Mais ces convulsions, ces vertiges, n'étaient-il
psie que l’hystérie. Arrivons aux crises convulsives. La première
attaque
se déclare au début de sa vingt-deuxième année, l
aura (2). Voici la description que nous donne Maxime du Camp de ces
attaques
: « Elles se produisaient de la même façon et é
ofond et une courbature qui durait pendant plusieurs jour?. » Cette
attaque
ressemble plutôt à une crise d’hystérie. Le mal c
contraire la précaution de se coucher tout d’abord dans son lit. L’
attaque
d’hystérie à grandes allures se terminant par des
manquer cl l’at-taque se réduire à des convulsions. Au contraire l'
attaque
d’épilepsic commence par des convulsions toniques
peut faire bien des hypothèses. Or, Flaubert est le génial sur les
attaques
duquel nous possédons le plus de renseignements.
l de ses idées exactement au point où il l’avait laissé au début de l’
attaque
. Il importe dans les observations de bien spéci
miplégie droite qui est survenue sans cause particulière sous forme d’
attaque
apoplectique. Le malade aurait eu des attaques co
rticulière sous forme d’attaque apoplectique. Le malade aurait eu des
attaques
convulsives une fois chez lui ; l’aphasie est ext
ion d’aicool aggravera une anesthésie hystérique, ou fera éclater une
attaque
. Et cela n’a plus lieu de nous surprendre, depuis
la fatigue. Le traumatisme est une cause d’hystérie. Mais aussi une
attaque
d’hystérie éclatera sous l’influence d’un traumat
o-didlectriques (Archives de neurologie, sept. 1900). cle grandes
attaques
. Ces diverses espèces de secousses peuvent d'aill
es augmentent suffisamment de résistance. Les tics organisés et les
attaques
méritent de nous arrêter un instant. Les tics org
malléatoire, salta-toire, rotatoire, grimpante et tournante, etc. Les
attaques
, qui ne sont que de grands tics organisés, s'expl
ganisés, s'expliquent de la même manière. La période épileptoïde de l’
attaque
, qui consiste dans une contraction généralisée, c
ême d’une demi-rétraction des neurones de mouvement aboutissant à une
attaque
; tandis que la rétraction complète des neurones
trices, tremblements, contractions athétosiques, secousse choréiques,
attaques
, qui s’expliquent de la même manière. Au surplus
ant aux trois systèmes se rétractent ensemble, comme il arrive dans l’
attaque
syncopale. Ce qui est vrai, c’est que le processu
▲