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1 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
stence — tombent dans un état léthargique qui constitue de véritables attaques de sommeil. Nous étudierons d'abord le sommeil
— mère et sœur nerveuses. — Convulsions dans l'enfance ; — colères; — attaques syncopales ; — secousses. — Chagrins. — Apparitio
— Chagrins. — Apparition des règles. — Modifications successives des attaques . Hémianesthésie et hyperesthésie ovarienne droi
nalgésie du bras gauche. — Caractère, allures, etc. Description des attaques en 1877. — Difficulté de la compression ovarienne
ion des attaques en 1877. — Difficulté de la compression ovarienne. — Attaques ne comprenant que la période de délire. — Contrac
ode de délire. — Contracture partielle du sterno-mas-toïdien droit. — Attaques sans période apparente de délire. — Refus de mang
fus de manger. — Modifications de la température sous l'influence des attaques . Variétés des attaques : A. de dyspnée, A. sync
tions de la température sous l'influence des attaques. Variétés des attaques : A. de dyspnée, A. syncopales, A. de contracture
avec prédominance du clonisme (clow-nisme), A. de délire. Arrêt des attaques : compression ovarienne, compresseur, nitrite d'a
citabilité musculaire, catalepsie. Relation entre les règles et les attaques . — Marche des attaques. État de la malade et desc
catalepsie. Relation entre les règles et les attaques. — Marche des attaques . État de la malade et description de ses attaques
aques. — Marche des attaques. État de la malade et description de ses attaques en i 879 : Troubles vaso-moteur» ; ¦« effets de l
n i 879 : Troubles vaso-moteur» ; ¦« effets de la compression sur les attaques sérielles. W... Marie, lingère, née à Paris, es
d'une affection chronique de la poitrine (toux, hémoptysies) ; sobre, attaques de nerfs seulement après contrariétés ; — elle av
re en qualité de fille de service. 1 Le plus souvent elle avait des attaques après le coït ; une fois, elle en aurait eu penda
après le coït ; une fois, elle en aurait eu pendant l'acte même. Les attaques auraient été plus rares. Planche I. HYSTÉRO-É
) qui lui comprimait la région ovarienne droite lorsqu'elle avait ses attaques . Revenue à Paris, elle demanda asile dans un co
à Paris, elle demanda asile dans un couvent rue du Cherche-Midi. Les attaques étaient presque constamment nocturnes. Après un s
vel amoureux, Louis, deuxième du nom, qu'elle revoit souvent dans ses attaques . Elle n'était, d'ordinaire, malade que la nuit; m
ade que la nuit; mais, deux mois après son entrée, elle aurait eu une attaque le jour et aurait déchiré du linge. On la congédi
t, W... avait craché un peu de sang durant trois ou quatre jours. Les attaques seraient devenues plus fréquentes et les séries p
auche. — Hyperesthésie ovarienne droite, s'exagérant à l'approche des attaques . — W... est grande (Ira, 6i), d'une forte corpule
s religieuses, etc. Elle porte un scapulaire. 14 mai. — W... est en attaques . — Décubitus dorsal. — Face rouge, dirigée à gauc
prolonge durant plusieurs heures, que se greffent pour ainsi dire les attaques elles-mêmes. Période épilepto'ide. —La rigidité
tre ' et de la tension des muscles. Aujourd'hui, la malade étant en 1 attaques depuis plusieurs heures, M. Charcot parvient à va
rend connaissance. L'arrêt n'a duré que cinq minutes. Aujourd'hui les attaques présentent quelques modifications. Période épil
sa « boule » qui montait et descendait sans cesse. Elle a été prise d' attaques vers neuf heures. A dix heures, état de 2 rig
etombe dans sa rigidité sans paraître avoir de délire. En un mot, les attaques se composeraient uniquement des deux premières pé
) Juillet. — Uanesthésie est devenue générale. 23 août. — Série d' attaques , arrêtée par le nitrile d'amyle. 25 août. — W..
secousses, qui souvent précèdent de quelques secondes l'arrivée d'une attaque ; celles-ci ne sont annoncées par aucun cri. Parfo
dilatent quand la rigidité s'exaspère. De 11 heures à midi, treize attaques . Après la treizième : T. V. 38°,2. La sécrétion v
étion vaginale a paru un peu plus abondante. — La série (vingt et une attaques ) a fini à une heure et demie. — Soir : T. R. 37°,
a fini à une heure et demie. — Soir : T. R. 37°,8. 28 août. — Pas d' attaques . T. R. 37°,3.—Soir : T. R. 37°,6. 29 août. — Pa
— Pas d'attaques. T. R. 37°,3.—Soir : T. R. 37°,6. 29 août. — Pas d' attaques . T. R. 37°,5 le soir. 6 septembre. —La vision e
ence entre les yeux à l'ophtalmoscope. (Landoit.) Outre ses grandes attaques , W... a quelquefois des attaques syncopales : ell
cope. (Landoit.) Outre ses grandes attaques, W... a quelquefois des attaques syncopales : elle pâlit, s'affaisse et perd conna
aisse et perd connaissance. 9 décembre. — Série de cinquante-quatre attaques en six heures. 1878. 11 mai. — La malade a été
e M. Delasiauve) , où nous avons continué son observation. 13 mai.— Attaques : inhalation à'iodure d'èthyle. L'attaque est arr
on observation. 13 mai.— Attaques : inhalation à'iodure d'èthyle. L' attaque est arrêtée à la période tonique ; l'inhalation é
ons à la malade qui lui sert de messagère. A diverses reprises, des attaques survenant, l'inhalation est recommencée : « Dis à
mélancolique, a pleuré, et, le soir, a été prise à'étouf-fements sans attaque , sans perte de connaissance. Comme elle accusait
appelé, lui a projeté de l'eau à la figure : aussitôt, ont éclaté des attaques arrêtées par le chloroforme. La nuit a été bonne,
elle est inconsciente et offre l'état de rigidité habituelle dans les attaques , avec ces différences : 1° la tête est dans l'ext
est dans l'extension forcée, le cou tendu, gonflé ; 2° il n'y a pas d' attaques complètes, tout se borne à la rigidité : c'est un
attaques complètes, tout se borne à la rigidité : c'est une véritable attaque de contracture. Parfois, il se produit des secous
est revenue à elle vers onze heures. 26 novembre. — Le 24, au soir, attaques . Hier, 25, agitation, déclamations contre les int
r terre dans la cour; elle refuse de parler et de manger. — A minuit, attaques qui ont continué sans interruption jusqu'à la vis
ns le courant des deux derniers mois, le compresseur a pu arrêter les attaques . Le 31 décembre, W... est replacée dans le servic
Apparition des règles, qui finissent le lendemain. Du/23 au 31, pas d' attaques . 30 janvier. — La sensibilité persiste à droite
gauche. 22 février. — Les règles ont paru cette nuit. Ce matin, dix attaques . Éther et chloroforme. L'écoulement menstruel fin
ques. Éther et chloroforme. L'écoulement menstruel finit le 23; pas d' attaques jusqu'à la fin du mois. 19 mars. — Attaques le
ruel finit le 23; pas d'attaques jusqu'à la fin du mois. 19 mars. — Attaques le 16 : éther et chloroforme. Rien le 17 et le 18
17 et le 18. Les règles, parues ce matin, cessent le 20. Ce jour-là, attaques de contracture : éther et chloroforme. — Quelques
acture : éther et chloroforme. — Quelques heures plus tard, nouvelles attaques arrêtées par les mêmes agents. Les 22, 26, 27, et
uvelles attaques arrêtées par les mêmes agents. Les 22, 26, 27, etc., attaques . Avril. — Pas de règles. 5 mai. — Agitation c
. — Le 7, apparition des règles, qui finissent le 8. Le 7, rien; le8, attaques , agitation; les 9 et 10, attaques. 15 mai. — H
ui finissent le 8. Le 7, rien; le8, attaques, agitation; les 9 et 10, attaques . 15 mai. — H y a deux jours, à la suite d'attaq
on; les 9 et 10, attaques. 15 mai. — H y a deux jours, à la suite d' attaques , W... a eu du délire. Elle a été calme le 13, a b
calme le 13, a bien dormi dans la nuit du 13 au 14 : au réveil, sans attaques , retour du délire. Elle prend diverses attitudes,
ression échoue. — T. R. 37°,6. Dans l'après-midi, on a provoqué une attaque , on lui a donné de l'éther et du chloroforme, et
sur le boulevard et est mise en cellule. —Le 23 et le 24, agitation, attaques : éther et chloroforme. 26 juin. — Attaques épi
23 et le 24, agitation, attaques : éther et chloroforme. 26 juin. — Attaques épileptiformes. —Apparition des règles qui finiss
iformes. —Apparition des règles qui finissent le 27. Ce jour-là, deux attaques épileptiformes. 15 juillet. — Dispute avec une
flettent. 21 juillet. — Rien le 19 et le 20. Apparition des règles; attaques . Fin des règles, le 22 ; sept attaques. Rien le 2
le 20. Apparition des règles; attaques. Fin des règles, le 22 ; sept attaques . Rien le 23 et le 24. 22 août. — Attaques épile
des règles, le 22 ; sept attaques. Rien le 23 et le 24. 22 août. — Attaques épileptiformes. — Règles qui s'arrêtent le 24. Pa
août. — Attaques épileptiformes. — Règles qui s'arrêtent le 24. Pas d' attaques le 23. — Le 24, attaques ; contractures. W... don
formes. — Règles qui s'arrêtent le 24. Pas d'attaques le 23. — Le 24, attaques ; contractures. W... donne un coup de pied à l'in
— Hier, étant au gymnase, et éprouvant les prodromes habituels de ses attaques , elle se comprima elle-même, et se hâta de rentre
à angle droit, croise le dos. L'appareil est retiré; il survient une attaque qu'on arrête par la compression: avec le retour d
ille. Ce matin, elle déclare qu'elle est toujours sous le coup de ses attaques et demande qu'on la calme. P. 76 ; T. Y. 38° à pe
peu humides. Le compresseur étant retiré, nous observons une série d' attaques . ire attaque. —A. Période épileptoïde. — a) Pet
compresseur étant retiré, nous observons une série d'attaques. ire attaque . —A. Période épileptoïde. — a) Petits bruits phar
t, ouvre les paupières jusqu'alors fermées, regarde à Planche II. ATTAQUE HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE tétanisme Planche III.
lanche II. ATTAQUE HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE tétanisme Planche III. ATTAQUE HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE ARC DE CERCLE Planche IV
che III. ATTAQUE HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE ARC DE CERCLE Planche IV ATTAQUE HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE DÉLIRE Planche V. ATTAQ
LE Planche IV ATTAQUE HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE DÉLIRE Planche V. ATTAQUE HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE délire erotique gauche ;l
e dans ce moment, elle dit qu'elle voit un lion rouge. (Pl. IV.) ne attaque . — a) Période épileptoïde. — Mêmes caractères. —
tude est conservée pendant une vingtaine de secondes. (Pl. III.) m" attaque . — a) Période épileptoïde. — Mêmes caractères.
oue qu'elle s'imagine être dans les bras de son amant. (Pl. V.) ive attaque (11 h. 25). — a) Période tonique. — Caractères or
). — a) Période tonique. — Caractères ordinaires ; dans aucune de ces attaques , il n'y a eu de mouvement de moulinet. b) Pério
it sur les cuisses, bras gauche tourné. Durée quarante secondes. ve attaque . — a) Période épileptoïde. — Quarante-cinq second
» Elle regarde à gauche ; les pupilles sont normales. (Pl. IV.) vi° attaque .— a) Période épileptoïde. — b) Période clo-nique.
etc. Regard effrayé; pupilles très dilatées. Durée une minute. vne attaque . — a) Période épileptoïde. — Durée cinquante seco
ante-quatre secondes. W... est en arc, à convexité antérieure. vin" attaque . — a, b) Périodes épileptoïde et clonique. — Les
-moi partir ! Oh ! maman ! oh ! non ! » Elle pleure de nouveau. ix° attaque .—a, b)Périodes épileptoïde et clonique. —Mêmes ca
dit qu'elle causait avec... La compression étant suspendue, nouvelle attaque . xe attaque. ¦— a, b) Périodes épileptoïde et c
ausait avec... La compression étant suspendue, nouvelle attaque. xe attaque . ¦— a, b) Périodes épileptoïde et clonique. — Mêm
Maman ! » compression : elle déclare voir un lion rouge. — Entre les attaques , il y a généralement un repos. (Pl. VI.) Planch
les attaques, il y a généralement un repos. (Pl. VI.) Planche VI. ATTAQUE HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE repos P. 116 ; T. V 38°,1
inale assez abondante. — On cesse la compression. Survient la onzième attaque l. Le chloroforme est administré durant assez l
t tout à fait endormie (11 h. 55) : P. 80 ; T. V. 37°,9. Durant les attaques , nous avons tracé sur la poitrine, avec la pointe
moteurs). 28 août. — W... s'est réveillée à midi. Elle n'a pas eu d' attaques depuis ce moment. — Ce matin, les lettres sont ré
réduites à un trait semblable à une égratignure. 31 août. — Prise d' attaques hier soir, dans la cour ; on l'a comprimée, remon
trouvons W... avec le compresseur. Elle demande qu'on mette fin à ses attaques , afin qu'elle puisse se rendre à la gymnastique.
'elle puisse se rendre à la gymnastique. — Le compresseur enlevé, des attaques éclatent, offrant quelques modifications en ce qu
lée, n'a jamais voulu raconter ce qu'elle voyait. Après la douzième attaque , nous administrons Yéther. Au bout d'une vingtain
depuis hier soir. Elle assure qu'elle est encore sous le coup de ses attaques . 5 h. 25. Inhalation à'étker. Elle dit qu'elle
mpresseur est retiré; bien que l'inhalation continue, il survient une attaque que l'on arrête par la compression ovarienne, exé
te des inhalations d'éther. 11 septembre. — W... éprouve, avant ses attaques , les phénomènes ordinaires de Y aura. Voici en qu
ernatives de pâleur et de rougeur du visage. Durant les séries, les attaques sont en général annoncées par des secousses, des
caressante : « J'ai faim, mais pas de pain... d'autre chose. » Une attaque devenant imminente, ce qui est fréquent lorsque l
des réminiscences des événements comme dans la période de délire des attaques ou le sommeil lui-même. Etat actuel {septembre)
er, à 72. Sécrétions. — La sécrétion salivaire est normale. — Les attaques , clans les premiers temps provoquaient des sueurs
st dû à l'usage fréquent de l'éther. —¦ W... urine beaucoup après ses attaques durant lesquelles elle n'a plus d'incontinence co
cédées de douleur. Elle surviennent d'habitude la nuit ou pendant les attaques . Tant qu'elles durent, W... est portée à la trist
x côtés ; la pression sur une seule de ces régions ne détermine pas d' attaques , mais la « fait avaler. » La pression simultanée,
tre ; il n'y a pas de troubles céphaliques et jamais il ne survient d' attaque . W... déclare que la sensation pro- 4 duite e
on même un peu forte est, aujourd'hui, impuissante à faire naître une attaque . Au niveau de ces diverses régions, l'anesthési
'écume. Si l'on compare les descriptions que nous avons données des attaques à diverses époques de la maladie, on s'aperçoit d
ours de l'observation, le lecteur a certainement noté ces singulières attaques caractérisées en quelque sorte par l'un des sympt
ues caractérisées en quelque sorte par l'un des symptômes des grandes attaques : telles sont les attaques syncopales — sur lesqu
e sorte par l'un des symptômes des grandes attaques : telles sont les attaques syncopales — sur lesquelles nous avons souvent ap
s — sur lesquelles nous avons souvent appelé l'attention ('); — les attaques de dyspnée; — les attaques de contracture, consti
ns souvent appelé l'attention ('); — les attaques de dyspnée; — les attaques de contracture, constituées presque uniquement pa
contracture, constituées presque uniquement par la rigidité; — les attaques épileptiformes, qui se bornent à la première péri
es attaques épileptiformes, qui se bornent à la première période de l' attaque complète : c'est là une 1 Iconographie photogra
car un observateur non prévenu, qui se contenterait de la vue de ces attaques pour poser son diagnostic, serait exposé à croire
e. Enfin, et c'est là un point très curieux, W... nous a offert une attaque de délire, à l'état isolé, indépendamment des pér
de et clonique. Nous n'insisterons pas de nouveau sur cette variété d' attaque , dont nous nous sommes précédemment occupés avec
us croyons plus utile de résumer brièvement les traits principaux des attaques complètes et relever un fait déjà consigné dans l
nce chez W... dans ces derniers temps, de ce que nous appellerons des attaques composées. Dans toutes les attaques qui forment
de ce que nous appellerons des attaques composées. Dans toutes les attaques qui forment Y attaque composée, la période épilep
rons des attaques composées. Dans toutes les attaques qui forment Y attaque composée, la période épileptoïde est la même ; se
sent des modifications. Après la période épileptoïde de la première attaque , il y a un court repos; puis W... pousse un grand
échire avec ses dents. La compression étant suspendue, une nouvelle attaque survient. La période épilepîoïde a les caractères
e idée très imparfaite de l'arc qui n'a pu être photographié dans les attaques où il est le mieux caractérisé. la lête se port
se porte à gauche — ce qui est à peu près la règle — et une troisième attaque éclate : période épi-leptoïde habituelle ; — péri
puis elle dit : « Oh! non! c'est bête... » Elle rit. Une quatrième attaque se produit : période épilep-toïde; — période clon
recourbé (arc antéro-latéral). Au bout de 40 à 50 secondes, nouvelle attaque reproduisant cette fois très exactement la premiè
nouvelle attaque reproduisant cette fois très exactement la première attaque . A différentes reprises, nous avons constaté la
e. A différentes reprises, nous avons constaté la régularité de ces attaques ; nous avons essayé d'avoir des renseignements pré
elque période que ce soit, la compression de l'ovaire gauche arrête l' attaque et détermine le retour de la connaissance qui per
que dure la compression ; si on la suspend, ce n'est pas la fin de l' attaque qu'on observe, c'est une nouvelle attaque qui s
ce n'est pas la fin de l'attaque qu'on observe, c'est une nouvelle attaque qui se déroule. Et, comme chez W..., les attaques
c'est une nouvelle attaque qui se déroule. Et, comme chez W..., les attaques qui constituent ce que nous appelons les attaques
omme chez W..., les attaques qui constituent ce que nous appelons les attaques composées , se succèdent dans un ordre régulier,
uit qu'on peut produire en quelque sorte à volonté telle ou telle des attaques , en s'appuyant sur ce fait, fourni par l'observat
t, fourni par l'observation, que la compression opérée au début d'une attaque en supprime toutes les autres périodes. Supposo
ons, par exemple, que W... soit à la période de délire de la première attaque de l'attaque composée, c'est-à-dire au moment où
ple, que W... soit à la période de délire de la première attaque de l' attaque composée, c'est-à-dire au moment où elle voit le
e gauche ; la conscience revenue, on suspend la compression; nouvelle attaque . On comprime cle nouveau, ce qui a pour résultat
rc de cercle antérieur. — On retire la main qui comprimait, troisième attaque ; si, alors, on comprime encore, on empêche la pér
compression, laisse apparaître la période épileptoïde de la quatrième attaque ; la compression supprime l'arc de cercle antéro-l
cercle antéro-la-téral. Si, après ces diverses manœuvres, on laisse l' attaque suivante évoluer librement, on assiste à une atta
res, on laisse l'attaque suivante évoluer librement, on assiste à une attaque qui présente tous les caractères de la première a
assiste à une attaque qui présente tous les caractères de la première attaque de Y attaque composée. Il est donc possible, ch
attaque qui présente tous les caractères de la première attaque de Y attaque composée. Il est donc possible, chez W..., ains
omènes, de supprimer ou de faire apparaître telle ou telle des quatre attaques qui forment Y attaque composée. Telle est la ma
de faire apparaître telle ou telle des quatre attaques qui forment Y attaque composée. Telle est la marche générale des atta
es qui forment Y attaque composée. Telle est la marche générale des attaques chez W... Parfois, nous avons relevé des modifica
rant quelque temps, nous avons vu s'ajouter à la série ancienne, deux attaques nouvelles : la période de délire, dans l'une, éta
ête ! » Nous ignorons ce qui se passe dans le délire de la première attaque surajoutée; en ce qui concerne la seconde, voici
de là une violente impression que son imagination reproduit dans les attaques . Nous ne nous arrêterons pas davantage sur ce p
res observations 1 et nous terminerons l'exposé de ce qui a trait aux attaques par quelques mots sur les moyens dont on dispose
e. Depuis lors, la compression ovarienne a toujours réussi à couper l' attaque en cours ; mais, dès qu'elle était suspendue, on
mais, dès qu'elle était suspendue, on voyait apparaître une nouvelle attaque . Ce n'est donc que par une compression prolongée
e compression prolongée qu'il était possible d'empêcher le retour des attaques : le compresseur remplissait ce but et tant qu'il
, peu à peu, son action s'est atténuée au point que, pour juguler les attaques , il fallait une dose énorme, ce qui entraînait un
inaire arrêtée d'une façon définitive, tandis qu'avec les autres, les attaques , suspendues momentanément, reparaissent après un
minutes, d'une ou deux heures au plus. L'une des complications des attaques de W..., la contracture, doit être relevée en que
ariable, en partie ou en totalité, les phénomènes qui caractérisent l' attaque hystérique et qui jouent souvent et spontanément
stérique comprend toutes les sensations qui annoncent l'approche de l' attaque . membres, arrachait des cris de douleur1 . — Pa
iqué leur siège (p. 25). Lorsque cette malade est sous le coup de son attaque , qu'elle a ressenti les phénomènes lointains (aur
dit la malade, j'avale ma boule; ça fait un bruit dans ma gorge et l' attaque n'aboutit pas; tantôt au contraire, l'attaque écl
ruit dans ma gorge et l'attaque n'aboutit pas; tantôt au contraire, l' attaque éclate. » Dans ce dernier cas, durant le temps où
eur au niveau de la région hystérogène latéro-mammaire gauche quand l' attaque avorte et que, si cette région est prise, l'attaq
re gauche quand l'attaque avorte et que, si cette région est prise, l' attaque est fatale. Les régions hystérogènes sont plus
onvulsions. — Une autre mise en correction jusqu'à vingt et un ans. Attaques syncopales consécutives à une peur à quatorze ans
— Nouvelle émotion morale en août 1878 (seize ans) ; augmentation des attaques syncopales. — Première attaque hystéro-épileptiqu
t 1878 (seize ans) ; augmentation des attaques syncopales. — Première attaque hystéro-épileptique en décembre 1 878. Hémianes
ie droite (avril 1879). — AnesthéSie générale (août 1879).— Arrêt des attaques par la compression ovarienne gauche, par l'éther,
des attaques par la compression ovarienne gauche, par l'éther, etc. Attaques de contracture. — Régions hystérogènes. — Sommeil
me en appuyant. Ces exacerbations se montrent de préférence après les attaques ; avant, il n'y a rien de semblable. — La pressio
iqûre d'épingle, au pincement. Pas de douleur spontanée en dehors des attaques . La pression développe très promptement une grand
ehors des attaques. La pression développe très promptement une grande attaque . 3° Région ovarienne gauche, où l'anesthésie es
esthésie est complète. Il n'y a pas de douleurs dans l'intervalle des attaques . Avant les crises convulsives, cette région, est
nce au bout de cinq minutes. — Il n'y a pas d'hallucinations. 1 Les attaques comprennent les périodes classiques : p. épi-lept
p. de délire, avec hallucinations (P... voit des rats, etc.) Parfois, attaques de contracture : après avoir ressenti les prodr
e sans avoir eu de convulsions ni de délire. On voit que ces sortes d' attaques sont limitées à la phase tétanique de la période
anique de la période épileptoïde. Sommeil. — Avant l'apparition des attaques syncopales2, le sommeil était bon ; à partir de c
olongées ; l'une d'elles aurait duré deux semaines. Elle n'a pas eu d' attaques de sommeil. P... se couche à 9 heures, s'endort
lancinante, sans aucun des phénomènes de l'aura. 2 Symptôme de ces attaques : nausées, vision colorée (elle voit tout en roug
sion, elle est dans un jardin, entend de la musique, etc. — Avant les attaques , le sommeil est encore plus troublé ; après, il e
pproche de mon lit, je me réveille. » Dans la période de délire des attaques hystéro-épileptiques, elle assiste à ces mêmes sc
on amant. - Reproduction d'une scène réelle qui a causé la première attaque syncopale. muscles fléchisseurs des doigts et d
) s'accélère, arrive à 44 par minute ; P... semble être menacée d'une attaque . Pour la calmer, il suffit de prendre ses bras (p
r-le-champ à la plus légère excitation; — les autres ne déterminent d' attaques que si la pression a été énergique, et après un t
ique. — Pas de consanguinité. Cauchemars dans l'enfance. — Première attaque à douze ans, avant les règles. — Cho-rée. — Premi
oration. Hemiancsthésie et hyperesthésie ovarienne gauches (1878). — Attaques épileptiformes, puis attaques complètes, suivies
yperesthésie ovarienne gauches (1878). —Attaques épileptiformes, puis attaques complètes, suivies de catalepsie. — Régions hysté
re 1878. — Rien du côté du père. — La mère a eu pendant longtemps des attaques d'hystérie. — M... a eu sa première attaque à 12
eu pendant longtemps des attaques d'hystérie. — M... a eu sa première attaque à 12 ans. Elle offre une anesthésie complète de t
s correspondantes. Une friction même modérée détermine aussitôt une attaque . (Fig. 2). 2° Région sous-mammaire. Elle siège
hésie est complète. Une pression d'intensité moyenne fait éclater une attaque complète. i° Hyperesthésie ovarienne gauche, av
élancements très pénibles « qui se promènent tout autour du sein. » L' attaque , à ce moment, est inévitable et, au bout de quelq
brales correspon- dantes doit être assez vigoureuse pour amener une attaque ; elle n'est pas, d'ailleurs, immédiate; M... a d
guinale : là, une pression modérée détermine en quelques secondes une attaque parfaitement caractérisée. 7 La compression o
parfaitement caractérisée. 7 La compression ovarienne arrête les attaques à la condition d'être très énergique et prolongée
aire donne les mêmes résultats. Sommeil. — Avant d'être sujette aux attaques d'hystéro-épilepsie, M... était très impressionna
ence (somnambulisme). Elle aurait eu, aussi, à la suite d'une série d' attaques , un sommeil cataleptique qui aurait duré deux jou
lée ; — elle est au bal, en partie de plaisir, etc. A la veille des attaques , le sommeil est plus agité, compliqué de sursauts
ité, compliqué de sursauts, de rires nerveux sans motifs. — Après les attaques , il est plus tranquille et si, comme cela a eu li
chez M... trouve peut-être son explication dans ce fait que, dans les attaques , elle a fréquemment des phénomènes cataleptiques,
des phénomènes cataleptiques, ainsi que nous l'avons dit plus haut. Attaques . — Les attaques ont subi diverses modifications.
ataleptiques, ainsi que nous l'avons dit plus haut. Attaques. — Les attaques ont subi diverses modifications. Pendant les deux
assez abondante et quelquefois sanguinolente. Dans Yintervalle des attaques , ainsi que dans la phase de stertor 2, la rigidit
sses soulèvent les membres, principalement ceux du côté gauche. Ces attaques — les seules pendant quelque temps — étaient cons
ment multiples, au nombre de 100, 150 en 24 heures; * Dans quelques attaques , le bras gauche est seul le siège de ces convulsi
Vers le milieu de février, survient une première modification : Les attaques se composent de la période épileptoïde, avec tous
» auxquels succèdent un cri douloureux et des ah! ah! : une nouvelle attaque éclate. Enfin une nouvelle modification s'est p
clate. Enfin une nouvelle modification s'est produite et M... a des attaques complètes avec les trois périodes : p. épileptoïd
p. épileptoïde, p. clonique et p. de délire. Catalepsie.—Après les attaques complètes, M... reste souvent dans un état catale
ouvent dans un état cataleptique ; ainsi, le 19 août 1879, elle a une attaque épileptiforme vers 9 heures et demie, et jusqu'à
lus ou moins intense, détermine en un temps plus ou moins long, une attaque hystéro-épileptique ; en un mot, que ces régions
(six ans) et suivie de cécité presque absolue.—Idées mélancoliques.— Attaques syncopales (treize-quatorze ans). — Début des gra
ques.— Attaques syncopales (treize-quatorze ans). — Début des grandes attaques à vingt-trois ans après une contrariété. Etat d
— Hémianesthésie et hyperesthésie ovarienne gauches. — Suspension des attaques pendant 5 mois après une inhalation de nitrite d'
gions hystérogènes ; leur rôle dans l'aura. — Sommeil ; influence des attaques . — Délire de l'éthcr. Dr... Aug..., était âgée
cœur. » Si on appuyait fortement, la malade croit qu'elle aurait une attaque . — Il existe, à cet endroit, une douleur spontané
hialgie. C'est là où la pression détermine surtout et promptement une attaque hystéro-épileptique. Il n'y a pas de douleur spon
le, de 1 centimètre de diamètre. Anesthésie. Ni douleur spontanée, ni attaque provoquée. (Fig. 2.) 4° Point douloureux au cen
c gauche. La pression donne lieu à une sensation d'étouffement. Pas d' attaque (?). 5° Hyperesthésie ovarienne gauche, avec in
gauche, avec insensibilité de la peau. La pression ne détermine pas d' attaque . La compression ovarienne réussit très aisément à
Quand je suis prise au cou et entre les épaules, déclare la malade, l' attaque n'est pas 5 minutes à venir. » En effet, les trou
, veut crier, n'y parvient pas et se réveille en sursaut. Avant les attaques , le sommeil est encore plus agité et c'est après
nsomnies complètes n'ont point dépassé deux nuits ; elle n'a pas eu d' attaques de sommeil. Action de Téther. — Lorsqu'elle a f
faite avec cet homme ; cependant il n'était pas mal... Quand j'ai mes attaques , je le revois, il me fait peur..., je crois avoir
arrestations par la police des mœurs. — Rapports sexuels. — Début des attaques . Etat de la malade en janvier 1879 : hémianesth
ansfert. — Retour et persistance de la sensibilité. Description des attaques . — Influence de Ve'ther, du chloroforme, du bromu
Rôle des régions hystérogènes dans Y aura. Du sommeil en dehors des attaques , avant et après les attaques : cauchemars, rêves
dans Y aura. Du sommeil en dehors des attaques, avant et après les attaques : cauchemars, rêves agréables. P... Adeline éta
ès impressionnable; elle a quelquefois des migraines, n'a jamais eu d' attaque de nerfs, elle est médiocrement intelligente et p
etenir, elle se bat avec lui, lui échappe et est prise de sa première attaque en descendant l'escalier, (Souvent dans son délir
s'empare d'elle; on la met à Saint-Michel. Un mois après sa première attaque , elle en a une nouvelle. Les sœurs la'rendent à s
el d'où elle a été dirigée sur la Salpêtrière parce qu'elle avait des attaques tous les jours. Vers 15 ans et demi, elle a eu
tes blanches fréquentes. Aura. — 5 à 10 minutes seulement avant les attaques . P... a une douleur au niveau de la région ovarie
ie persiste à gauche. 19 janvier. — Etant à l'église, P... a eu une attaque syncopale, suivie d'une amaurose complète 1 .• el
la conduire comme une aveugle. Au bout d'une heure et demie, seconde attaque syncopale qui a duré 10 minutes et après laquelle
gue qu'une ombre. 24 janvier. — La malade a été prise d'une série d' attaques ce matin à 8 heures et demie. Dans l'intervalle d
rque des secousses qui soulèvent les épaules, les bras, ou la tête. Attaque . — a) Phase tonique. — La tête se déplace, la fac
précipite, et la bouche laisse sortir un peu d'écume. A la fin des attaques , Adeline voit son ancien amant, l'embrasse, le po
in, 9 heures et demie; alors, elle a été prise d'une nouvelle série d' attaques . Une heure après le début : T. V. 37°,7. — Les in
le début : T. V. 37°,7. — Les inhalations de chloroforme arrêtent les attaques . Dans la soirée, nouvelle série qui finit à minui
de l'épine de l'omoplate aux fausses côtes en arrière. P... est en attaques . Après la huitième, nous lui administrons en inha
. La malade reprend promptement connaissance, mais retombe bientôt en attaques . Nouvelle inhalation. — Le bromure d'éthyle, qui
urgatif. 12 fév. — De 9 heures à 10 heures un quart, on a compté 30 attaques qui, de même que les précédentes, sont absolument
entes, sont absolument limitées à la période épileptoïde de la grande attaque hystéro-épileptique : ce sont de véritables attaq
oïde de la grande attaque hystéro-épileptique : ce sont de véritables attaques épilepti-formes. —Dans l'intervalle, P... demeure
nale assez abondante. T. V. 37°,7. 13 fév. — De 3 h. 1/2 à 5 h., 40 attaques . 13 fév. — 25 attaques pendant la nuit et 18 ce
V. 37°,7. 13 fév. — De 3 h. 1/2 à 5 h., 40 attaques. 13 fév. — 25 attaques pendant la nuit et 18 ce matin. Chloroforme. 19
moniaque : P... revient vite à elle; au bout de quelques minutes, les attaques reparaissent : chloroforme. 26 fév. — P... a ét
l, elle a dansé beaucoup hier soir. Ce matin, à 8 heures, série de 33 attaques en moins de 3 heures. 6 et 7 mars. — Séries d'a
série de 33 attaques en moins de 3 heures. 6 et 7 mars. — Séries d' attaques . — 10 mars. — En 3 heures, 38 attaques. Inhalatio
res. 6 et 7 mars. — Séries d'attaques. — 10 mars. — En 3 heures, 38 attaques . Inhalation de 60 grammes à'éther. Le retour de l
efois, si l'inhalation n'est pas continuée pendant quelque temps, les attaques reviennent. P... ne bavarde pas. 22 mars. — De
nt. P... ne bavarde pas. 22 mars. — De 9 heures 1/2 à 11 heures, 35 attaques : T. Y. 37°,6. Application de 12 éléments de la p
la région ovarienne ne donne pas de résultats aussi avantageux. — Une attaque a été arrêtée net par une alternative du courant
uit éléments seulement.—Il n'y a pas d'arrêt définitif. 23 avril. — Attaques épileptoïdes dans lesquelles le corps se met en a
niveau des 16e, 17e, 18e vertèbres dorsales, la pression provoque une attaque que ne suspend pas une surpression. 11 mai. — H
attaque que ne suspend pas une surpression. 11 mai. — Hier soir, 20 attaques en une heure. — Réapparition des attaques ce mati
. 11 mai. — Hier soir, 20 attaques en une heure. — Réapparition des attaques ce matin. Dans l'intervalle des crises con-vulsiv
roite, — au niveau des 6, 7 et. 8e vertèbres dorsales). détermine des attaques . — Chloroforme. 16 mai. — Après la 20e attaque,
les). détermine des attaques. — Chloroforme. 16 mai. — Après la 20e attaque , T. V. 37°,4. 20 mai. — De 7 heures et demie à
7 heures et demie à 8 heures, secousses ; de 8 heures à 11 heures, 25 attaques . Inhalation prolongée à'éther; pas de délire de p
aie en vain de faire causer ou chanter la malade. 22 mai. — Série d' attaques . Après la 10e, inhalation de valérate d'amyle. Du
inhalation de valérate d'amyle. Durant l'inhalation, P... a plusieurs attaques , il faut une plus grande quantité de ce médicamen
droit : extraction par pulsion sans incision. Presque immédiatement, attaques arrêtées par le chloroforme. 7 juin. —Attaques
esque immédiatement, attaques arrêtées par le chloroforme. 7 juin. — Attaques : inhalations à'éther, sans délire particulier. P
édicament a été employé deux ou trois fois chez elle ; il met fin aux attaques qui ne reparaissent pas dans la journée. % juil
e est envoyée à la Salpêtrière le 21 août. Novembre-décembre. — Les attaques ne sont pas modifiées ; Y hémianesthésie est comp
alade éprouve des douleurs lancinantes deux ou trois heures avant les attaques , et cela seulement depuis quelques mois car nous
même modérée, sur la région ovarienne gauche, détermine aussitôt une attaque et ce n'est que par exception qu'une compression
vertèbres dorsales où une pression même légère suffit à provoquer une attaque sur-le-champ. Les compagnes de la malade connaiss
, pour la taquiner, ou par méchanceté, lui ont maintes fois donné des attaques en appuyant à l'improviste sur cette région. Dans
ns à ne pas exercer une pression trop forte, nous avons déterminé une attaque . La sensibilité est conservée au niveau de la r
le milieu du bord externe du sein. Une pression légère a provoqué une attaque que nous avons pu arrêter en pressant énergiqueme
e la zone rachidienne ni de la zone latéro-mammaire ; mais, avant les attaques , elle a, dans ces deux régions, des tiraillements
o-mammaire et réciproquement. Aura. — Quatre ou cinq heures avant l' attaque , le ventre se ballonne (tympanite) et est le sièg
enfin se produit une sensation de vertige : P... perd connaissance, l' attaque éclate. La zone latéro-mammaire droite ne parti
exception aux phénomènes de l'aura. La production artificielle de l' attaque est la plus rapide par la pression de la région h
e zone latéro-mammaire gauche. — Depuis quelques mois, P..., dans ses attaques , a une contracture de la langue qui devient toute
s : l'une et l'autre disparaissent en provoquant artificiellement une attaque (janvier 1880). a Elle a pu assister à ces scèn
se rendort difficilement ; elle n'est pas dormeuse. Elle n'a pas eu d' attaques de sommeil; mais elle a eu des insomnies, passant
quefois cinq ou six nuits sans dormir1.- Elle assure que, avant les attaques , le sommeil n'est pas modifié ; tandis que, après
nt les attaques, le sommeil n'est pas modifié ; tandis que, après les attaques , le sommeil est encore plus long à venir : c'est
réveiller en appuyant sur la région ovarienne gauche, il survient une attaque qu'on arrête avec quelques inhalations de chlorof
paraissait avoir aucune notion de ce qu'on avait fait. En 1879, les attaques ont eu approximativement la marche suivante : J
.. 44 Décembre......410 Les caractères tout à fait particuliers des attaques de P... nous obligent à interrompre la descriptio
, pour signaler au lecteur, comme ils le méritent, les caractères des attaques . Nous avons vu qu'elles étaient constituées exclu
ient constituées exclusivement par la période épileptdide des grandes attaques hystéro-épileptiques, de telle sorte que, au prem
au service de M. Delasiauve. Toutefois, certains signes tirés de l' attaque elle-même montraient que l'épilepsie était hors d
la température centrale se maintenait au-dessous de 38° après 20, 30 attaques ou davantage; or, si l'on avait eu à faire à une
imait la région ovarienne gauche, on provoquait aussitôt une nouvelle attaque , et on sait que, chez les épileptiques, une parei
ontraire (Obs. III), à l'époque où, elle aussi, ne présentait que des attaques épileptiformes1 la compression ovarienne arrêtait
vait, se remettait au travail, ne con- 1 Nous avons déjà décrit les attaques épileptiformes bien des fois dans les deux premie
s antécédents et surtout de l'état de la malade dans l'intervalle des attaques , ne laissait aucun doute sur la réalité de l'hyst
ue nous n'avons jamais vu dans les accès d'épilepsie, et les séries d' attaques ayant été suivies d'hallucinations, le diagnostic
ade en 4876 : hémianesthésie droite. —Hyperesthésie ovarienne gauche. Attaques complètes, classiques. —A. syncopales. — A. de co
; des membres supérieurs et inférieurs ; des doigts, etc. Arrêt des attaques : Compression ovarienne ; — Nitrite d'amyle ; — E
e (côté anesthésié). — Il n'y a pas de douleur spontanée et, dans les attaques ordinaires, d'origine ovarienne, cette zone ne pa
tte zone ne participe pas aux phénomènes de l'aura. Provoque-t-on une attaque par la pression des apophyses épineuses, aussitôt
elle , » il survient des élancements vers l'ovaire gauche ; mais l' attaque n'éclate pas sur-le-champ, à moins qu'on ait appu
est plus vif à gauche. La pression d'une seule zone ne détermine d' attaque qu'à la condition d'être très forte. La pression,
forte. La pression, même modérée, des deux zones à la fois amène une attaque : un jour, en serrant les cordons de ses jupes, e
rant les cordons de ses jupes, elle s'est donnée involontairement une attaque . Cette manœuvre retentit immédiatement, sur l'ova
aque. Cette manœuvre retentit immédiatement, sur l'ovaire gauche et l' attaque est pour ainsi dire subite. 3° Hyperesthésie ov
peau a une sensibilité plus délicate, sans être maladive. — Avant les attaques , et quelquefois pendant deux jours, B... a la sen
modification. La pression sur la région ovarienne ne provoque pas d' attaque . — La compression ovarienne échoue très souvent p
fond du bassin. — Uovaire droit ne semble jamais intervenir dans les attaques . Avant les attaques, B... n'a pas d'autres trou
aire droit ne semble jamais intervenir dans les attaques. Avant les attaques , B... n'a pas d'autres troubles de la vision que
es troubles de la vision que ceux qui ont été mentionnés. — Après les attaques , qui se sont terminées spontanément, elle revoit
e communément, suivant la remarque de notre maître. Chez Ev..., les attaques offrent plusieurs variétés; d'ordinaire elles son
nt à son esprit durant son sommeil que dans la période^ de délire des attaques . Le sommeil est interrompu : « C'est rare que j
s nuits et surviennent de préférence dans les nuits qui précèdent les attaques . — Elle n'aurait jamais eu d'attaques de sommeil.
ans les nuits qui précèdent les attaques. — Elle n'aurait jamais eu d' attaques de sommeil. Quelque temps avant son entrée à la
ême : tandis que la pression sur la région rachidienne n'est suivie d' attaques qu'après un malaise qui se prolonge une trentaine
vre sur les régions hystérogènes des flancs produit immédiatement une attaque . État de la sensibilité cutanée au niveau des r
ent empêcher la pression sur les régions hystêrogènes de produire une attaque et c'est à l'aide de cet artifice que des malades
t coïncide avec une diminution spontanée des attaques3. Lorsque les attaques se suspendent spontanément, on voit les symptômes
des périodes de 2, 3, 4 mois durant lesquelles il ne se produit pas d' attaques . OBSERVATION VII Sommaire. — Père sujet à des
Convulsions jusqu'à cinq ans. — Emotions vives à onze ans : première attaque (1870). Etat de la malade (1876) : hémiaiicsthési
malade (1876) : hémiaiicsthésie et hyperesthésie ovarienne gauches. — Attaques classiques, mais légères : arrêt par la compressi
5° Hyperesthésie ovarienne gauche. Une forte pression n'amène pas d' attaques ; il n'y a pas de douleurs spontanées, au niveau
nsibilité est à peu près tout à fait normale ; la malade n'a pas eu d' attaques hystériques depuis plusieurs mois i. Geneviève
ous fournit un exemple analogue. Depuis quelque temps, elle n'a pas d' attaques , la sensi- 1 Cette jeune fille offre un trouble
n est de nul effet. — Chez cette même malade, alors qu'elle avait des attaques très répétées, nous avons vu1 la rachialgie et l'
d'une émotion morale vive'2. Rôle des régions hystérogènes dans les attaques . — L'existence des régions hystérogènes chez les
pileptiques et chez les hystériques permet de provoquer à volonté les attaques . Il va de soi que l'on doit être très réservé dan
i que l'on doit être très réservé dans la production artificielle des attaques , une fois que l'on a constaté le siège et l'inten
voir recourir à l'une de leurs compagnes afin de se faire donner une attaque . D'autres fois, les hystéro-épileptiques sorten
e attaque. D'autres fois, les hystéro-épileptiques sortent de leurs attaques avec une contracture des mâchoires, de la langue,
e fait connu que ces symptômes disparaissent fréquemment à la suite d' attaques , le médecin, ayant à traiter de tels accidents, e
tive, joue un rôle dans Yaura. Tant qu'elle est restée silencieuse, l' attaque est en suspens ; il est même possible qu'elle avo
l'aura, plus ou moins lents jusqu'alors, précipitent leur marche et l' attaque est fatale. La région ovarienne, la plus commun
à l'aide d'une pression modérée, il est possible de faire éclater une attaque , que l'on peut arrêter par une compression plus o
é que très fréquemment, sinon toujours, il était facile d'arrêter les attaques en cours, en exerçant une forte pression sur la p
e la zone hystérogène la plus active ne parvient plus à provoquer une attaque . Disons enfin que les attaques déterminées par l'
active ne parvient plus à provoquer une attaque. Disons enfin que les attaques déterminées par l'excitation des régions hystérog
am.., que nous observons dans notre service à Bicêtre, on produit les attaques hystéro-épileptiques classiques, en rebroussant l
ebroussant légèrement les cheveux au niveau de son clou hystérique. L' attaque en cours est facilement arrêtée par une pression
alades durant leur enfance ou leur jeunesse et avant l'apparition des attaques , ils vous racontent souvent que le sommeil était
dans le premier sommeil. Les nuits qui précèdent immédiatement les attaques sont, en général, les plus mauvaises ; c'est surt
s nerveux, des cauchemars plus répétés, des secousses, etc. Après les attaques , le sommeil est relativement meilleur. 4 De nos
compare les rêves des hystériques au délire qu'elles ont après leurs attaques , on constate de suite une grande analogie : les r
— Retour à l'abus. — Marche des règles. — Relation entre elles et les attaques . — Mort subite. — Résultats négatifs de l'autopsi
ite. — Résultats négatifs de l'autopsie. 1879. 8 janvier. — Série d' attaques pendant deux heures.— 15 janvier. La sensibilité
ées par Yéther.—Pas de règles pendant les trois premiers mois. — Onze attaques en janvier, dix en février et en mars. Avril. —
ier, dix en février et en mars. Avril. — Règles le 8 et le 9 ; cinq attaques le 25, quatre le 29. Mai. — Ni règles, ni attaq
8 et le 9 ; cinq attaques le 25, quatre le 29. Mai. — Ni règles, ni attaques . M... a fréquemment des spasmes, des contractures
oforme. Malheureusement, on cède trop souvent. Juin. — Ni règles ni attaques . Juillet. — Pas de règles ; treize attaques.
Juin. — Ni règles ni attaques. Juillet. — Pas de règles ; treize attaques . 27 août. — Ni règles ni attaques. Depuis le mo
Juillet. — Pas de règles ; treize attaques. 27 août. — Ni règles ni attaques . Depuis le mois d'avril, elle a eu quotidiennemen
devons dire que chaque fois que M... a eu des maladies autres que ses attaques , telle qu'une bronchite, l'hémianesthésie qui exi
est assez fort ce matin. T. R. 37°. 20 octobre. — M... a eu quatre attaques d'hystérie le 17 septembre. Sa situation est allé
tembre et ont fini cette nuit. 23-26 octobre. — Règles. Le 26, neuf attaques . La malade a réclamé de nouveau ses injections ;
n peu plus de modération. 6-10 novembre. — Règles. M... a eu treize attaques le 5 ; trois le 11, quatre le 13 et le 18, trois
sommeil relevant des agents pharmaceutiques employés pour arrêter les attaques . Après le nitrite d'amyle, le sommeil est agité
upart d'entre eux avaient un sommeil naturel. DEUXIÈME PARTIE DES ATTAQUES DE SOMMEIL CHEZ LES HYSTÉRIQUES DES ATTAQUES DE
DEUXIÈME PARTIE DES ATTAQUES DE SOMMEIL CHEZ LES HYSTÉRIQUES DES ATTAQUES DE SOMMEIL Les attaques de sommeil se présenten
AQUES DE SOMMEIL CHEZ LES HYSTÉRIQUES DES ATTAQUES DE SOMMEIL Les attaques de sommeil se présentent tantôt comme une complic
ontrent à l'état d'isolement, remplaçant en quelque sorte les grandes attaques . M. Briquet leur a consacré un article intéressan
un article intéressant de son Traité de l'hystérie. Il distingue les attaques de sommeil, de coma et de léthargie et rapporte,
s qu'il a recueillis. Nous n'avons observé à la Salpêtrière que des attaques de sommeil. Plusieurs des malades dont nous avons
s, l'histoire des malades dont nous avons observé personnellement les attaques de sommeil. OBSERVATION IX Sommaire. — Zones
ire. — Zones hystérogènes. — Caractères du sommeil. — Description des attaques de sommeil. — Idées de possession diabolique. V
ne est alors douloureux. Cette douleur se manifeste surtout avant les attaques . 2° Hyperesthésie des flancs. — La pression sim
stre , amène de ia dyspnée. Si la pression est forte, il survient une attaque . Le frôlement est perçu « comme un léger picottem
contact. — Pendant, que V... était à la Riboisière, on a produit des attaques en pressant involontairement sur cette zone. (On
symptômes de ce côté ont notablement diminué (la malade n'a pas eu d' attaques depuis le mois de novembre 1878). Parfois, douleu
ours de mauvaises aventures », dit-elle. Gomme elle n'a pas éprouvé d' attaques depuis plus de six mois, les rêves ont un peu dim
sière et durant son séjour dans cet hôpital, V... assure avoir eu des attaques de sommeil. La première serait survenue alors qu'
l'aurait fait boire à la sonde sans qu'elle en eût conscience. Les attaques de sommeil succédaient d'ordinaire à des crises c
t courbaturée. A la Riboisière, l'aumônier venait la voir après ses attaques ; il lui disait que c'était le diable qui la renda
es signes sur elle. Parfois, V... voyait le diable en dehors de ses attaques . Si elle était couchée, elle cachait sa tète sous
quand même. Plus on lui parlait du diable, plus elle le voyait et ses attaques devenaient plus violentes et répétées. Dans les
diable ». Outre que cette observation nous donne déjà une idée des attaques de sommeil et qu'elle confirme ce que nous avons
ur ce cas imparfait, en ce sens que nous n'avons pas vu nous-même les attaques , et nous passons de suite à l'histoire de l'une d
de caractère. — Troubles digestifs. — Sommeil à l'état ordinaire. — Attaques de sommeil. — Amaurose hystérique. — Zones hystér
s hystérogènes. — Effets de la pression. — Prodromes et symptômes des attaques de sommeil : pouls, température, etc. — Attaque
s et symptômes des attaques de sommeil : pouls, température, etc. — Attaques hystériques. — Troubles vaso-moteurs. — Délire. —
était tout étonnée de se voir sur son lit. Le 10 mai, elle a eu une attaque de sommeil qui a duré 22 heures. On l'a trouvée,
aignait de souffrir du ventre. 22 juin. — D... s'est endormie, sans attaques , le 20, à 10 heures du soir. Elle dort encore ce
du sein gauche (zone hystérogène), M. Charcot provoque quatre petites attaques ; après la dernière, D... est réveillée. 8 juill
e, D... est réveillée. 8 juillet. — Sommeil pendant 12 heures, sans attaques au début ni à la fin : le réveil s'est opéré sans
gère raideur des membres, pas de catalepsie. Elle est réveillée, sans attaques , par la pression de la région sous-mammaire; elle
u'elle n'eût pas de contracture. Une de ses compagnes a provoqué deux attaques par la pression de la zone hystérogène : la parol
a malade se lève, va uriner aux cabinets et, en revenant, est prise d' attaques . Elle en a quatre successivement. A midi et à G
é. Elle se lève et va uriner aux cabinets. En revenant, elle tombe en attaques . Comprimée_de suite par une de ses compagnes, D..
ion ovarienne droite, elle refuse de divulguer ce qu'elle voit. — Une attaque est provoquée par la pression sur la partie àw. s
plupart des hystériques, quand elles se sentent sous le coup de leurs attaques , cousent leur chemise. 4 sept. — Les lettres so
mmaire droite. La pression sur ces différents points donne lieu à des attaques incomplètes. Puis, D... se rendort. Réveillée par
ienne. 16 octobre. — D... se couche à 7 heures du soir; elle a deux attaques , s'endort et ne se réveille que le 17 à 6 heures
du soir. 20 oct, — Apparition des règles qui finissent le 23 ; deux attaques convulsives le 22, une le 24. 25 oct. — 25 atta
nt le 23 ; deux attaques convulsives le 22, une le 24. 25 oct. — 25 attaques et tortillements de 9 à 11 heures du matin. 28
. a eu, pendant la nuit des vomissements, bien qu'elle n'ait pas eu d' attaques ni pris de médicaments. Elle est sujette à ces ac
cidents. — Règles du 17 au 22 nov. 17-22 décembre. — Règles ; pas d' attaques durant le mois. * Le lecteur a certainement rem
les. 14-16 février. —Règles. 14-16 mars. —Règles. D... n'a pas eu d' attaques de sommeil depuisle mois de novembre. Parfois, tr
blanc. — Elle n'a pas uriné sous elle depuis le commencement de cette attaque de sommeil ; les membres sont souples ; la peau,
atin à 9 heures et demie. Juin-août. — D... n'a pas eu de nouvelles attaques de sommeil ni de crises convulsives. De temps en
elle a eu, après une exacer-bation de la névralgie intercostale, une attaque syncopale qui a duré environ 15 minutes : elle ét
ctuellement, si on l'en croit, aussi souvent que quand elle avait des attaques convulsives. Elle n'aurait pas de cauchemars, mai
heures sans être précédés ni suivis de convulsions. Enfin, elle a une attaque de sommeil qui persiste pendant vingt-deux heures
, hyperesthésie ovarienne du côté gauche, zones hystérogènes, grandes attaques . Chez elle, de même que chez la malade de I'Obs
es. Chez elle, de même que chez la malade de I'Obser-vation XI, les attaques de sommeil offrent souvent des prodromes : triste
laquelle les malades essaient de résister. — Parfois, D... avait des attaques convulsives avantl1 attaque de sommeil, qui n'éta
t de résister. — Parfois, D... avait des attaques convulsives avantl1 attaque de sommeil, qui n'était alors qu'une sorte de ter
Nous devrions maintenant résumer les symptômes qui caractérisent les attaques de sommeil, indiquer leur durée, leur marche, etc
ERVATION XI Sommaire, — Antécédents : mère épileptique. — Début des attaques à dix-hnit ans, — Gastralgie.*—Grossesse.-j Perte
ertes utérines.— Influence des rapports sexuels et des règles sur les attaques . — Paralysie consécutive .aux attaques. — Lactori
sexuels et des règles sur les attaques. — Paralysie consécutive .aux attaques . — Lactorihée. Etat de la malade en 1866 : Doul
Déformation des pieds. — Secousses, -r— Ançsdiésie. — Caractères des attaques . — Hallucinations, extases. — Effets de la compre
Atrophie relative des membres du côté gauche. Sommeil ordinaire. — Attaques de sommeil : Prodromes. — Symptômes. — Pouls, res
mènes cataleptiques. — Contracture. — Signes qui annoncent la fin des attaques de sommeil : mouvements cloniques, délire. Desc
ique de sommeil de 1876 : abaissement de la température centrale. — Attaques hystériques ébauchées. État de la malade en 187
art des renseignements, est nerveuse, impressionnable, mais n'a pas d' attaques . Pas de consanguinité. H... ne sait rien de s
ont été régulières dès l'origine, sauf parfois un léger retard. Les attaques auraient débuté à 18 ans, nous ne savons dans que
sionné de fréquents vomissements ; mais elle n'aurait pas modifié les attaques . En ce qui concerne l'influence des rapports sexu
urait dit qu'elles devenaient plus fortes. A la suite d'une série d' attaques , survenues à vingt-deux ans, s'est montrée une pa
ventre et la région lombaire, principalement à gauche, et rendent les attaques plus violentes. Les mouvements des bras sont li
out le corps et aussi bien pour les muqueuses que pour la peau. Les attaques commencent ordinairement le matin à 7 heures, et
mouvements cloniques très violents ; la respiration est saccadée. Les attaques se terminent par des hallucinations et de Y extas
8 mai. — La compression épigastrique calme presque instantanément les attaques et les suspend pendant quelque temps. — Les attaq
stantanément les attaques et les suspend pendant quelque temps. — Les attaques se montrent le matin à 7 heures et de nouveau ver
assez commun aussi d'observer des vomissements à la fin des séries d' attaques . 1875. — 6 avril. —H... a engraissé considérabl
ntes. (Elles étaient venues le 21 mai.) 1876. 23 mars. — Depuis son attaque de sommeil, H... prétend qu'elle a mal dormi, qu'
0 minutes. Sa situation générale est la même que dans la précédente attaque . La face est rouge, un peu chaude; les paupières
i durent quelquefois 10 minutes. Planche XII. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE ATTAQUE DE SO M M E IL 5 avril. — La respiration semble
t ballonné. Les accès de rire ont cessé ; en revanche, on observe des attaques hystériques ébauchées : soulèvement léger de la t
abitude, nous assure la sous-surveillante, la malade n'a ces sortes d' attaques que quand elle est pour reprendre connaissance.
mots. Elle a chanté jusqu'à 2 heures du matin, moment où a commencé Y attaque de sommeil. 17 3-6 mars. — L'attaque offre le
atin, moment où a commencé Y attaque de sommeil. 17 3-6 mars. — L' attaque offre les caractères habituels. Les battements de
moque de ses idées, elle rit bruyamment. T. R. 37°. 12-16 avril. — Attaque de sommeil incomplète. 25 mai. — Un nouvel exam
1878. 15 avril. — Depuis le mois de juillet 1877, H... n'a pas eu d' attaque de sommeil. Sa situation ne s'est pas modifiée. E
boule qui remonte ; parfois elle s'exagère et la malade croit qu'une attaque va éclater. Les membres supérieurs offrent les
in de fer l'injurie, l'appelle « saloperie », qu'elle va être prise d' attaques , qu'une chienne est couchée auprès d'elle. Pas d'
ant cette longue période, Vintelligence n'a pas changé; en dehors des attaques de sommeil, des crises de rire nerveux, du délire
grave respecte d'ordinaire les facultés intellectuelles et, quand les attaques disparaissent, les hystéro-épileptiques peuvent r
s en passant : les hallucinations de la vue, les extases, l'arrêt des attaques par la compression épigastrique, etc. Les attaq
ses, l'arrêt des attaques par la compression épigastrique, etc. Les attaques de sommeil sont peu communes. Sur le nombre, déjà
es que nous avons observés, trois seulement ont présenté ces sortes d' attaques . Sur 430 malades, M. Briquet a relevé « trois cas
Sur 430 malades, M. Briquet a relevé « trois cas d'hystérie avec des attaques consistant en un véritable sommeil » ; cinq cas a
rie avec des attaques consistant en un véritable sommeil » ; cinq cas attaques comateuses et huit de véritable léthargie1. 1 L
uit de véritable léthargie1. 1 Les hommes seraient aussi sujets aux attaques de sommeil. Il paraîtrait que Derk Klaasz, paysan
n., grossière, avec dix couplets en deux colonnes. Quelquefois, les attaques viennent sans prodromes ; le plus souvent, on not
fois à 38",2 chez H... (Obs. XI), dont la température, en dehors des attaques , oscillait entre 36°,9 et 37°,4. A des interval
ntent qu'elles ont des rêves agréables et des cauchemars. Tantôt, l' attaque de sommeil se termine par une attaque convulsive,
et des cauchemars. Tantôt, l'attaque de sommeil se termine par une attaque convulsive, ou bien par des rires, des pleurs,
nguibles, de plus en plus rapprochés, annoncent chez H... la fin de l' attaque de sommeil. Dans ce cas aussi, il se produit un v
s aussi, il se produit un véritable délire de parole^. La durée des attaques de sommeil est très diverse : 12, 24,36 heures, p
ion XI. Différents moyens peuvent être employés pour mettre fin aux attaques de sommeil. Telles sont la pression sur une régio
ression sur une région hystérogène (alors le sommeil survient ou sans attaques , ou après attaques), la compression ovarienne, l'
ion hystérogène (alors le sommeil survient ou sans attaques, ou après attaques ), la compression ovarienne, l'électrisation. Le
nostic ne jious paraît pas offrir de difficultés sérieuses. Entre les attaques de sommeil proprement dites et les attaques de co
ltés sérieuses. Entre les attaques de sommeil proprement dites et les attaques de coma, il n'y a que des différences bien légère
s premières, la respiration serait stertoreuse dans les secondes. Les attaques de léthargie s'accompagnent d'un phénomène très f
résolution dans l'état d'immobilité. Quelle qu'ait été la durée de l' attaque , il n'y avait eu ni sueurs appréciables, ni sécré
oit de la pesanteur de tête. Une de ces malades, celle qui avait eu l' attaque la plus forte, a déclaré que, pendant son sommeil
ésumé suffira à nos lecteurs pour compléter ce que nous avons dit des attaques de sommeil. Le pronostic ne nous semble pas grave
our éviter toute erreur. Dans les trois cas que nous avons cités, les attaques de sommeil ont disparu depuis un temps plus ou mo
aient rapidement suivies d'hallucinations, d'apparitions et même de l' attaque d'extase telle qu'elle est décrite à la fois en t
té musculaire. — Catalepsie; suggestion; hallucinations provoquées. — Attaque artificielle de sommeil : ses caractères. — Aphas
trouve durant une partie de la phase gaie de la période de délire des attaques . Effets consécutifs aux inhalations denitrite d
ôté droit : par la pression simultanée, on détermine sur-le-champ une attaque ; — 4° clou hystérique, siégeant sur la ligne médi
début de cette seconde phase, si la malade peut « avaler sa boule » l' attaque est retardée. — Enfin, arrivent les troubles céph
Planche XIII. LÉTHARGIE contracture artificielle Manifeste, l' attaque est fatale, la malade ne sait plus ce qui se pass
ait pas de gravité. La compression des zones hystérogènes amena des attaques à la suite desquelles X... reprit connaissance :
elle dût garder le lit. Nous avons eu, de la sorte et par hasard, une attaque de sommeil artificiell. 9 avril. — On endort X.
mmeil. » (On sait que durant l'aura, les malades déclarent retarder l' attaque si elles avalent la boule : il y a, dans l'expéri
e, etc. —Le 29 décembre, X..., chez laquelle on pouvait provoquer des attaques , depuis quelque temps, a deux grandes attaques et
pouvait provoquer des attaques, depuis quelque temps, a deux grandes attaques et trois attaques épileptiformes. 1880. 6 avril
des attaques, depuis quelque temps, a deux grandes attaques et trois attaques épileptiformes. 1880. 6 avril.—X... est retombé
elle estreplacée dansle service, comme malade. On emploie contre les attaques le compresseur, l'élher, le chloroforme On note,
cot essaie vainement d'endormir X... 11 juillet. —X... n'a pas eu d' attaques depuis le mois de mai. Elle profite d'un concert
au se fracture la rotule et ne peut plus marcher. lb juillet, —Deux attaques syncopales. Hier, période d'agitation. 23 juill
attaques syncopales. Hier, période d'agitation. 23 juillet. — Deux attaques épileptij"ormes. 25 juillet. — Agitation. Elle
et. — Agitation. Elle se foule le pouce gauche. 26 et 27 juillet. — Attaques syncopales. Elle n'a pas dormi la nuit dernière.
Salpêtrière., déguisée en homme1. Relation entre les règles et les attaques .— Règles le 12 janvier ; pas d'attaques; — le 21
ation entre les règles et les attaques.— Règles le 12 janvier ; pas d' attaques ; — le 21 mars; pas d'attaques; — du 12 au 13 avri
attaques.— Règles le 12 janvier ; pas d'attaques; — le 21 mars; pas d' attaques ; — du 12 au 13 avril; attaques le 14; — du2 au 4
; pas d'attaques; — le 21 mars; pas d'attaques; — du 12 au 13 avril; attaques le 14; — du2 au 4 mai; elle n'a d'attaques que le
ques; — du 12 au 13 avril; attaques le 14; — du2 au 4 mai; elle n'a d' attaques que le 7; — du 31 mai au 4 juin ; pas d'attaques
au 4 mai; elle n'a d'attaques que le 7; — du 31 mai au 4 juin ; pas d' attaques ; — du 24 au 26 juin ; — du 20 au 22 juillet; deu
n ; pas d'attaques ; — du 24 au 26 juin ; — du 20 au 22 juillet; deux attaques le 23 ;— du 10 au 12 1 Nous avons appris que de
ue nous avons donnés qu'il n'y a pas de relation bien nette entre les attaques et les règles. Celles-ci durent un ou deux jours
s règles. Celles-ci durent un ou deux jours et sont peu abondantes. Attaques . — X... n'a pas eu d'attaques en 1879, ni dans le
ou deux jours et sont peu abondantes. Attaques. — X... n'a pas eu d' attaques en 1879, ni dans le premier trimestre de 1880. El
dans le premier trimestre de 1880. Elle en a eu deux grandes et cinq attaques épileptiformes en avril ; douze grandes et deux a
ndes et cinq attaques épileptiformes en avril ; douze grandes et deux attaques épileptiformes en mai; rien en juin; quelques att
randes et deux attaques épileptiformes en mai; rien en juin; quelques attaques syncopales et épileptiformes en juillet ; rien en
B... déchire sa camisole. 3 mars. — Hier, à 5 heures, B... a eu une attaque dans la cour; à partir de ce moment, jusqu'à une
té, à plusieurs reprises, des péroides d'agitation, souvent suivies d' attaques . 4 septembre. — Phénomènes vaso-moteurs.—iVctue
violente colère et a brisé divers objets. Ensuite, elle a été prise d' attaques , suivies d'agitation jusqu'à onze heures du soir.
esthésie cutanée complète; la pression de l'ovaire ne détermine pas d' attaques . — 2° Zones la-téro-mammaires droite et gauche ,
centimètre et demi; la pression simultanée des deux zones produit une attaque . — 3° Clou hystérique] la peau correspondante est
ique] la peau correspondante est sensible; la pression ne donne pas d' attaques , mais occasionne un malaise général. —^Rachialgie
plus active ; une pression, même modérée, détermine immédiatement une attaque qu'il est possible d'arrêter par une surpression.
n'aurait pas d'hallucinations (?) Traitement. — Pour combattre les attaques , on a eu recours au chloroforme, à Véther, au com
rement rétablie. 3 avril. — Biier, dans l'après-midi, B... a eu une attaque sgncopale. 4 avril — B... est endormie par le r
e jeune fille. Depuis trois moisB... est plus calme et n'a pas eu d' attaques . Elle réclame instamment sa sortie. Mai. — Trai
nquent souvent ; aussi n'y a-t-il pas de relation entres elles et les attaques . La sensibilité a reparu par tout le corps (pea
lle s'emporte toujours très vite: « Je suis répondeuse », dit-elle. Attaques . — B... a eu deux cent soixante-trois grandes att
», dit-elle. Attaques. — B... a eu deux cent soixante-trois grandes attaques et cent quatre-vingt-trois attaques épileptiforme
deux cent soixante-trois grandes attaques et cent quatre-vingt-trois attaques épileptiformes en 1879. En 1880, on a noté sept g
rois attaques épileptiformes en 1879. En 1880, on a noté sept grandes attaques en avril, treize attaques épileptiformes et synco
es en 1879. En 1880, on a noté sept grandes attaques en avril, treize attaques épileptiformes et syncopales. A partir du mois de
ncopales. A partir du mois de mai jusqu'au 15 juin, B... n'a pas eu d' attaques . B.., estsortie de la Salpètrière le 15 juin.—N
ue le 2 septembre. Elle nous a assuré qu'elle n'avait eu qu'une seule attaque (?), depuis sa sortie. Nous avons constaté le reto
ERVATION XIV Sommaire. — Antécédents. — Métrorrhagie, hématemese. — Attaques syncopales. — Délire de paroles. — Caractère, hab
ie gauche. — Sommeil. — Zones hystérogènes. — Aura. — Description des attaques . — Modes d'arrêt : compression, éther, chloroform
e. Tentative d'empoisonnement. — Périodes d'excitation. — Règles et attaques . — Fuite de la Salpètrière. Ma..., diteN..., Su
des excès de boisson dans sa jeunesse. — Mère, morte à 75 ans, d'une attaque d'apoplexie ; auparavant 1 Cette sorte de tremb
loyée aux magasins de la Ville de Saint-Denis, elle a eu sa. première attaque . Sa mère en ignore la cause; elle ne croit pas qu
t restée jusqu'au 18 février dernier. Pendant ce temps, S... a eu des attaques à peu près tous les 15 jours. On aurait noté une
son arrivée à la Salpètrière (24 mars), S... a eu quotidiennement des attaques à deux ou trois reprises et constamment durant le
t le jour. Un quart d'heure, une demi-heure et même davantage avant l' attaque , elle est immobile, se plaint d'une sensation de
emeure immobile et le corps se raidit progressivement. Elle crie et l' attaque est complète. Elle se débat beaucoup; « elle fait
es souris, des rats, des hannetons. Au dire de la mère de S..., les attaques présenteraient chaque fois « quelque chose de nou
fréquents éclats de rires. — Le délire de parole persistait après les attaques pendant 2 ou 3 heures. A la campagne, S... avai
A la campagne, S... avait un danseur préféré; jamais elle n'avait d' attaques quand elle devait aller à une fête et danser1.
gisme, des troubles cépbaliques, et, en quelques secondes, elle a une attaque : « Il n'y a pas moyen, dit-elle, d'avaler la, bo
sensibilité dans la moitié droite du corps, ce qui arrive lorsque les attaques s'éloignent, la sensibilité cutanée au niveau de
sensible. — Pas de douleur spontanée , en dehors ni à l'approche des attaques qui n'ont d'autre effet que de rendre plus vifs l
es effets de la pression. Si celle-ci est énergique, elle produit une attaque , mais moins promptement que la pression exercée s
ognée au niveau de la zone intercostale gauche, et elle est tombée en attaques . d) Hyperesthésie de la région ovarienne gauche
tomber. C'est à cet instant qu'arrive la perte de la connaissance. Attaques (31 mars 1879).—Pendant l'examen, S...estprise d'
et de secousses. Tout d'un coup , sans pousser de cri, elle tombe en attaques . 1° Période tonique. — Tout le corps est rigide
s les autres... Non, je ne veux pas qu'il me touche... » Arrêt de l' attaque . — Nous comprimons la région ovarienne gauche, et
couvre la connaissance. Dix minutes plus tard, S... est reprise d'une attaque : Jo Période épileptoïde. — Elle est plus complèt
ras, la tête, aussi parle-t-elle d'une façon entrecoupée. Après les attaques , S... se plaint de fatigue, de douleurs-dans la t
as paru exagérée (l'hymen est absent) ; T. V. 37°, 6, prise pendant l' attaque . En avril, S... a eu 309 grandes attaques et 80
V. 37°, 6, prise pendant l'attaque. En avril, S... a eu 309 grandes attaques et 80 attaques épi-leptiformes; — en mai, 133 et
e pendant l'attaque. En avril, S... a eu 309 grandes attaques et 80 attaques épi-leptiformes; — en mai, 133 et 83 ; — en juin,
t 83 ; — en juin, 53 et 83 ; — en juillet, 109 et 42. Août. — Trois attaques syncopales. 30 août. — On écrit le nom de la ma
ion ovarienne. 9 septembre. — Nous assistons à une nouvelle série d' attaques dans lesquelles les trois périodes se succèdent r
aractère orgueilleux et la haute opinion qu'elle a d'elle-même. Les attaques continuant, nous lui administrons du nitrite d'am
z vite ; mais, au bout de cinq ou six minutes, elle est reprise d'une attaque dans laquelle elle se mord l'avant-bras droit. No
elle se mord l'avant-bras droit. Nouvelle inhalation ; cessation des attaques . Revenue à elle, S... a raconté qu'elle s'imagi
on lui en donne chaque fois qu'elle est malade. 10 septembre. — Les attaques ne se sont pas reproduites. La série a été jugulé
es à partir du 20 août jusqu'au milieu d'octobre. En août, 33 grandes attaques et 27 attaques épileptiformes ; — en septembre ,
20 août jusqu'au milieu d'octobre. En août, 33 grandes attaques et 27 attaques épileptiformes ; — en septembre , 53 et'61 ; — en
arqués à gauche, ou existent à peu près exclusivement à gauche. Les attaques se présentent par séries, durant 2, 3, 4 heures e
ies, durant 2, 3, 4 heures et même davantage, se composant de grandes attaques et d'attaques épileptiformes en nombre variable (
3, 4 heures et même davantage, se composant de grandes attaques et d' attaques épileptiformes en nombre variable (26 grandes att
attaques et d'attaques épileptiformes en nombre variable (26 grandes attaques et 3 attaques épileptoïdes, le 29 septembre, 17 e
'attaques épileptiformes en nombre variable (26 grandes attaques et 3 attaques épileptoïdes, le 29 septembre, 17 et 21 le 26 oct
tation, colère violente. S... mord une de ses camarades. 27 mars. — Attaques épileptiformes suivies d'agitation, calmée par de
epsie. 18 avril. — S... N... a eu, en trois heures, une série de 22 attaques épileptiformes : elles se sont présentées sous la
tat de mal hystéro-épileptique. 12 juin. — Agitation non précédée d' attaques . S... excite les autres malades, imagine sans ces
bâtiment que l'on est en train de construire pour la consultation2. Attaques et règles. — En 1879 , du mois de mars à la fin d
1879 , du mois de mars à la fin de décembre, on a compté 907 grandes attaques et 479 attaques épileptoïdes. En 1880, S... n'aur
de mars à la fin de décembre, on a compté 907 grandes attaques et 479 attaques épileptoïdes. En 1880, S... n'aurait eu que 6 gra
et 479 attaques épileptoïdes. En 1880, S... n'aurait eu que 6 grandes attaques et 33 attaques épileptoïdes. A partir du mois de
épileptoïdes. En 1880, S... n'aurait eu que 6 grandes attaques et 33 attaques épileptoïdes. A partir du mois de mai, jusqu'au j
'hystérique. Ici, comme chez beaucoup d'autres malades, les grandes attaques ont été précédées par des manifestations plus lég
s manifestations plus légères de l'hystérie, et, entre autres par des attaques syncopales. Sur l'origine des accidents convul- ,
ène, arc de cercle, etc.) et la longueur de la période de délire. Les attaques se montraient en général par séries durant souven
ogènes, de leur rôle dans la succession des signes avant-coureurs des attaques . Elles confirment également le tableau que nous a
omparable, dans une certaine mesure, aux phénomènes qui succèdent aux attaques convulsives ou aux inhalations d'éther \ On sait,
la plupart en réclamaient souvent quand elles se sentaient menacées d' attaque . C'est évidemment des effets analogues qui condui
de belladone. Et, de même que nos hystériques dans le délire de leurs attaques ou le délire occasionné par l'éther, revoient les
n VII.................... 84 Rôle des régions hystérogènes dans les attaques . ... 85 Du sommeil chez les hystériques........
Sommeil des épileptiques............... 99 DEUXIÈME PARTIE Des attaques de sommeil. ................ 4 01 Variétés.....
.......... 408 Observation XI..................... 418 Rareté des attaques de sommeil............ 4 36 Prodromes, symptôme
ercle, 30, 31, 32, 53, 68, 73, 77, 210. Arthralgie hystérique, 136. Attaques (description des), 8, 10, 16, 44, 64, 67, 75, 210
u hystérique, 40, 54, 87, 96, 203, 212. Coït (influence du) sur les attaques , 6,11 9. Compresseur, 34, passim. Compression
0, 50, 56, 72, 81, 88, 93, 103, 105,4 09, 416, 122, 433, 206, 214 ; — attaques de—, 4, 4 03, 4 06, 109, 4 24; — chez l'homme, 13
444. Suggestion, 27, 44, 74, 4 94, 205. T Température dans les attaques , 44, 49, 53, 65, 67, 68, 69, 76, 4 4 0, 4 24, 1
4 0, 4 24, 125, 130, 4 38, 247. Traumatisme (influence du) sur les attaques , 69. Trépidation spontanée, 431, 4 32. Tympanite,
2 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
toire tout entière. Quoi qu'il en soit, dans vos études relatives à l' attaque hystérique, il vous a été permis de montrer que l
sous sa direction, M. Charcot arrivait à cette conception delà grande attaque hys-térique divisée en quatre périodes, conceptio
tenté de mettre en œuvre dans ces Etudes sur Vhystéro-épilepsie ou attaque hystérique et de ses principales variétés, 1879)
La première partie est uniquement consacrée à l'étude de la grande attaque hystérique ou attaque hystéro-épileptique, dans s
est uniquement consacrée à l'étude de la grande attaque hystérique ou attaque hystéro-épileptique, dans son état d'entière régu
re régularité et de complet développement. Les diverses périodes de l' attaque y sont décrites, en autant de cha-pitres, suivant
ce qu'à l'étranger. Un parallèle entre notre description de la grande attaque hystérique et la description que donnent les aute
nde attaque hystérique et la description que donnent les auteurs de l' attaque d'hystérie vulgaire termine cette première partie
ie. La deuxième partie traite des principales variétés de la grande attaque hystérique, dérivant toutes du type décrit : a.)
nt de modifications survenues dans les symptômes déjà existants; d'où attaque épilepto'ide, attaque de contorsion ou dé-moniaqu
rvenues dans les symptômes déjà existants; d'où attaque épilepto'ide, attaque de contorsion ou dé-moniaque, attaque d'extase, a
nts; d'où attaque épilepto'ide, attaque de contorsion ou dé-moniaque, attaque d'extase, attaque de délire; — b.) variétés ré-su
épilepto'ide, attaque de contorsion ou dé-moniaque, attaque d'extase, attaque de délire; — b.) variétés ré-sultant de l'immixti
é-sultant de l'immixtion de phénomènes habituellement étrangers à l' attaque , d'où attaque de léthargie, attaque de catalepsie
'immixtion de phénomènes habituellement étrangers à l'attaque, d'où attaque de léthargie, attaque de catalepsie, at-taque de
es habituellement étrangers à l'attaque, d'où attaque de léthargie, attaque de catalepsie, at-taque de somnambulisme. Cette d
les hystériques. J'ai fait suivre l'étude des va-riétés de la grande attaque hystériqued'un court exposé des ana-logies remarq
E HYSTÉRIQUE COMPLÈTE ET RÉGULIÈRE CHAPITRE PREMIER PRODROMES L' attaque d'hystéro-épilepsie, ou grande attaque d'hystérie
APITRE PREMIER PRODROMES L'attaque d'hystéro-épilepsie, ou grande attaque d'hystérie, ne surprend pas ; elle est toujours p
s permettant aux malades de prévoir le moment où elles vont tomber en attaque . Ces signes précurseurs sont nombreux et variés
cident, au point qu'on pouvait la croire complètement guérie, vit ses attaques reparaître, sans qu'il nous ait été permis de sai
B..., hystéro-épileptique, traitée par la métallothérapie, n'a plus d' attaques depuis huit mois. Tous les autres symptômes de l'
garder aucune nourriture. Elle est triste, abattue, elle sent que ses attaques vont la repren-dre et en conçoit le plus profond
ement aucun résultat. Le soir à sept heures et demie elle avait ses attaques . Dans la description qui va suivre, j'étudierai
es sont les premiers qui apparaissent. Quelquefois huit jours avant l' attaque , la malade, ainsi qu'elle le dit elle-même, se tr
onnes qui ont l'habitude de la fré-quenter de prévoir l'imminence des attaques . Tout dans son exté-rieur trahit le trouble de so
re inextinguible. Souvent Marc... *, trois ou quatre heures avant ses attaques , commence le long répertoire de ses chansons et n
r aux mêmes lois que les mouvements désordonnés qui constituent leurs attaques .» (Traité pratique de la folie névropathique, par
vation dans Ylconog. phot. de la Salp., t. I, page 49.. Ses grandes attaques ne surviennent d'ordinaire que tous les mois, au
règle, ni frein. 1. Quand Gen... n'est pas sous l'influence de ses attaques , elle s'occupe assez assidûment à des travaux de
été tourmentée toute la journée par les pro-dromes ordinaires de ses attaques ... Elle est demeurée au lit;elle est abattue, l'i
excitation est apaisée, et que Gen... sent l'imminence de ses grandes attaques , elle demande elle-même la camisole, qu'elle cons
rre, et crachant au visage des gens. A huit heures moins un quart son attaque commençait. Dans ce dernier exemple nous voyons
importante qu'elles occupent souvent parmi les prodromes de la grande attaque hystérique nous engage à nous y arrêter un instan
illantes et de diverses cou-leurs. G1...2, quelques jours avant ses attaques ,pendant qu'elle travaille à l'atelier, voit par i
s hallucinations parlent aussi. Quelques instants avant d'avoir ses attaques il n'est pas rare de voir Gen... se lever tout d'
à la tête et se sent horriblement fatiguée. Vers le soir elle a des attaques qui durent environ une heure. La nuit est relativ
hemars et des visions. 21 juin 1878. A huit heures quelques petites attaques . Elle raconte qu'elle est toujours obsédée par de
s un rayon de lune, etc. Ang... reçoit, les nuits qui précèdent ses attaques , la visite de son père qui est mort. Le fantôme a
remarquable par l'ancien-neté dé sa maladie, par le, violence de ses attaques et chez laquelle les hallucinations Baillarger
tence, Camille est demeuré l'idéal qu'elle a toujours appelé dans ses attaques . Mais voilà qu'un jour en arrivant à la Salpêtriè
istent parfois, comme chez les autres malades, en dehors du temps des attaques ; mais elles se produisent toujours avec plus d'in
de la fenêtre, fixe au dehors un point éloigné. On soupçonne que son attaque n'est pas loin. L'infirmière s'empresse de la dés
t ses bras diversement fléchis (fig. 5). Au bout de peu d'instants, l' attaque commence subitement. Chez Alphonsine B... l'hal
ubitement. Chez Alphonsine B... l'hallucination inaugure toujours l' attaque et se joint aux phénomènes ordinaires de l'aura
mal, celui-là! » Puis la respiration pressée s'arrête subitement et l' attaque commence. Le 24 juin, les attaques Fig. 5. — Ha
on pressée s'arrête subitement et l'attaque commence. Le 24 juin, les attaques Fig. 5. — Hallucination et contracture. ont c
s digestifs sont des pre-miers à apparaître, parmi les prodromes de l' attaque . Avec les troubles cérébraux dont nous venons de
, si commun chez les hystériques, et qui peut se rencontrer pendant l' attaque , comme dans l'intervalle des attaques d'hystérie
qui peut se rencontrer pendant l'attaque, comme dans l'intervalle des attaques d'hystérie (Briquet), s'observe aussi parmi les p
'hystérie (Briquet), s'observe aussi parmi les prodromes de la grande attaque hystéro-épileptique, et fait ordinairement partie
borygmes, et la tympanite sou-vent si considérable. Gen..., avant ses attaques , sent son ventre qui gonfle. Gl..., par instants,
us retrouverons la tympanite et les borborygmes parmi les signes de l' attaque elle-même. 1. Briquet, Traité de l'hystérie.
Le ptyalisme, à un degré varié, se retrouve dans le début môme de l' attaque , et entre pour quelque chose dans la production d
ce Une de mes clientes, dit Mathieu, est avertie de l'approche d'une attaque par l'abondance de la salive1. » Marthe Lesp...
is goût dans la bouche pendant les quelques minutes qui précèdent ses attaques : ce J'ai la bouche empoisonnée, » dit-elle. Le
n-vulsifs qui se montrent souvent par accès les jours qui précèdent l' attaque . Le hoquet, le rire rentrent dans la même catégor
t à l'état épidémique, se ren-contrent plus fréquemment en dehors des attaques et alternent avec elles. C'est ici le lieu de c
itations cardiaques tiennent une grande place dans les prodromes de l' attaque hystéro-épileptique. Toutes les malades s'en pl
es. Les troubles vaso-moteurs ne sont pas rares : Gen..., avant ses attaques , a souvent ce qu'elle appelle ses rougeurs Rose
nthal rapporte un fait intéressant à plus d'un titre et dans lequel l' attaque avait pour signe précurseur une sensation de froi
fille de vingt-trois ans, que j'avais soignée antérieurement pour des attaques d'hystérie et de catalepsie, fut prise d'une réci
t opiniâtre avec pa-roxysmes, qui à certains jours alternait avec des attaques épileptiformes. Celles-ci avaient pour signes pré
it à 30°,6 C. ; le pouls baissait de 72 à 65 ou 66. Après la fin de l' attaque hystéro-épileptique, la température des mains rem
le pouls se relevait à 84-88. Pendant les heures qui précédaient l' attaque , plus rarement pendant les jours qui se passaient
ient l'attaque, plus rarement pendant les jours qui se passaient sans attaques , il se manifestait un symptôme curieux : c'était
s midi, Gen... est au lit, contracturéedes membres, elle sent que ses attaques vont la prendre. Depuis une heure elle a le front
parce que son ventre gonfle. Quelques instants après elle avait ses attaques . gauche et la jambe droite; les muscles présent
ait légèrement abaissée. Les jours où l'hyperesthésie précédait les attaques , elle durait jusqu'à l'ap-parition des symptômes
eils. Ces signes indiquaient toujours infailliblement l'approche de l' attaque . Vers la fin de l'attaque, si l'on touchait les m
nt toujours infailliblement l'approche de l'attaque. Vers la fin de l' attaque , si l'on touchait les mains ou les doigts, ils s'
s ou les orteils restaient insensibles, on pouvait être certain que l' attaque durerait encore longtemps. Cet état ayant persist
epuis plusieurs mois, reparu-rent, le hoquet, les vomissements et les attaques cessèrent subitement, et ma convalescente retourn
sort, apparaissant ou disparaissant avec elle. Mais à l'approche des attaques , la faiblesse musculaire augmente; sou-vent la ma
e effectivement quelquefois. Gl... (1er novembre 1878) va avoir ses attaques .Elle est au lit, et est prise de secousses généra
Ces secousses ou commotions épileptoïdes s'observent en dehors des attaques , et nous aurons occasion plus loin de démontrer q
me des ébauches de la période épi-leptoïde. Dans les prodromes de l' attaque , les secousses sont comme le prélude de la convul
s en plus, jusqu'au moment où le tétanisme épileptoïde qui inaugure l' attaque semble résulter de leur fusion. L'observation s
rs troubles du mou-vement réunis chez une même malade. Ang... a des attaques environ tous les mois, au moment de ses règles.
s idées de suicide, et par des hallucinations. Quatre jours avant l' attaque commencent des douleurs de ventre très vives, dan
intervalles de plus en plus rapprochés. Deux ou trois jours avant l' attaque elle ne mange plus, quelquefois elle vomit. Elle
mille. Gen... est depuis quelques jours sous le coup de ses grandes attaques . Son imagination bat la campagne. Elle s'est affu
t l'imminence des accès. On se hâte de la transporter à son lit, où l' attaque convulsive ne tarde pas à éclater. J'ai déjà in
peuvent survenir pendant les grandes gesticulations qui prôcèden 1 es attaques et dont il a été question précédemment. Lesp...
lus souvent des envies de pleurer. Le rire termine habituellement ses attaques . Elle se sent envahie par des idées tristes, et l
tempe droite. L'obnubilation de l'intelligence devient complète et l' attaque éclate. Gl..., peu d'instants avant l'attaque,
devient complète et l'attaque éclate. Gl..., peu d'instants avant l' attaque , sent la pointe de sa langue qui se retourne en h
parler. Parmi les troubles de la motilité qui précèdent les grandes attaques , il convient peut-être de ranger à côté des contr
ts accès épileptoïdes, qui sont comme un lambeau détaché de la grande attaque , et plusieurs jours à l'avance se mêlent parfois
prodromiques. 3 juillet 1878. — Gen... est sous le coup des grandes attaques . Elle a été assez calme dans la matinée, elle a t
nt de petits accès épileptoïdes. Le 5 au matin éclatent les grandes attaques . § 4. — TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ L'anesthés
csie), est un symptôme de l'hystéro-épilepsie et existe en dehors des attaques . Elle peut n'être pas complète, la piqûre est sen
pas douloureuse; c'est l'analgésie. Pendant les jours qui précèdent l' attaque , l'anesthésie survient si elle n'existe pas et re
ui la font disparaître mo-mentanément toutefois dans l'intervalle des attaques *. 1. C'est ce que nous avons pu facilement obs
e chez les hystériques et peut se rencontrer parmi les prodromes de l' attaque . L'observation dellosenthal rapportée plus haut
mais il est à remarquer queles jours où l'hyperesthésie précédait les attaques , elle était remplacée par de l'anesthésie quand c
sthésie revient précédant de huit jours une rechute. La veille de ses attaques on essaye de répéter, mais sans succès, une expér
les malades n'ont plus la faculté de décrire ce qu'elles éprouvent. L' attaque convulsive éclate d'ailleurs bientôt, pour peu qu
d'ailleurs bientôt, pour peu qu'on insiste d. » Aux approches de l' attaque la douleur ovarienne s'exaspère et toute la suite
petits accès, d'abord éloignés, et qui se rapprochent à mesure que l' attaque devient plus imminente. Pour en donner un exemp
ion, L. Gl... Gl... est tourmentée par les signes prùdromiques de l' attaque pendant environ cinq jours. Et d'abord c'est un
ers sens. Les douleurs n'apparaissent que deux ou trois jours avant l' attaque et se montrent sous forme de petits accès d'autan
se montrent sous forme de petits accès d'autant plus rapprochés que l' attaque est plus imminente. Puis l'ovarie droite augmente
ccidents sont absolument comparables à ceux qui forment le début de l' attaque ; c'est en quelque sorte une attaque incom-plète
à ceux qui forment le début de l'attaque ; c'est en quelque sorte une attaque incom-plète qui s'en tient aux préludes et s'arrê
ui s'en tient aux préludes et s'arrête à peine commencée. Lorsque l' attaque doit suivre, en même temps que les signes de l'au
extrême, et bientôt la con-science se perd. La première période de l' attaque ou période épilep- oïde est commencée. En out
nt pas d'expressions assez fortes pour les exprimer. Ler..., dont les attaques sont si violentes, présente parmi les prodromes d
t les attaques sont si violentes, présente parmi les prodromes de son attaque une exa-gération de tous les symptômes douloureux
ont bien moins fréquentes. Dans la journée Ler... avait ses grandes attaques . ZONES HïSTÉROGÈNES Nous avons vu que l'attaq
vait ses grandes attaques. ZONES HïSTÉROGÈNES Nous avons vu que l' attaque pouvait être provoquée par la pression sur l'ovai
Les animaux ainsi rendus épileptiques sont pris de temps en temps d' attaques spontanées ; mais ce qui est plus particulière-me
ticulière-ment intéressant, c'est qu'il est possible de provoquer ces attaques en excitant une certaine région de la peau que M.
es apophyses épi-neuses pouvait provoquer des convulsions et même des attaques . Dans d'autres cas, c'est une pression profonde s
it par hasard ou volon-tairement le col de l'utérus, il survenait une attaque . Dans sa thèse sur le Sommeil magnétique clans
s-bourg, 1868), Baillif rapporte que chez un sujet, il produisait une attaque par une légère friction au-dessus de l'appendice
ennent le point de déparf de douleurs ré-flexes pouvant occasionner l' attaque . » Sans chercher par quel mécanisme l'excitatio
e, et cela d'autant plus facilement qu'elle se trouve plus près d'une attaque spontanée. Après les grandes attaques il semble q
u'elle se trouve plus près d'une attaque spontanée. Après les grandes attaques il semble que l'excitabilité soit épuisée, et la
peresthésiques capables, par leur excitation, de donner naissance aux attaques . L'une est située en arrière, sur la ligne médian
en tout temps également excitables. Elles le sont d'autant plus que l' attaque convulsive est plus imminente. Il semble que la m
s imminente. Il semble que la malade qui est sur le point d'avoir les attaques , soit comparable à un vase trop plein que le moin
paraissent complètement. En dehors de cette influence bien connue des attaques convulsives sur l'excitabilité des zones hysté-ro
nt. L'action des zones hystérogènes ne se borne pas à provoquer les attaques . Ce qu'elles ont fait, elles peuvent le défaire.
ux auteurs qui ont prétendu que la compression ovarienne arrêtait les attaques convulsives, on a voulu opposer ceux qui par le m
t l'apparition des phénomènes de l'aura, et qu'en insistant un peu, l' attaque con-vulsive ne tardait pas à suivre. A peine les
a pression. Quand la malade possède plusieurs zones hystérogènes, l' attaque occasionnée par l'excitation de l'une peut être a
ée par l'excita-tion portée sur une autre. Par exemple chez Dub..., l' attaque donnée par le frottement sur les apophyses épineu
a pression sur les côtés du sternum et réciproquement. Chez Bar..., l' attaque donnée par le frottement sur les apophyses épi-ne
hanger. CHAPITRE II PREMIÈRE PÉRIODE. — PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Une attaque complète d'épilepsie vraie se compose d'une suc-c
nérale et stertor. Nous retrouvons dans la période épileptoïde de l' attaque hys-téro-épileptique le même cortège de symptômes
le fond des choses : 1° la compression ovarienne arrête brusquement l' attaque à quelque moment de la période épileptoïde qu'on
ouve que nos tracés représentent assez fidèlement la physionomie de l' attaque épileptoïde dans son ensemble, et que ses différe
à donné, et nous divisons en trois phases la période épileptoïde de l' attaque hystéro-épileptique : 1° Phase tonique; 2° Ph
onique ; 3° Phase de résolution. § 1. — MODE DE DEBUT Lorsque l' attaque d'hystéro-épilepsie survient spontanément, Fig.
la respiration et la tétanisation musculaire. Quand au contraire l' attaque hystéro-épileptique n'est pas aban-donnée à elle-
ou-venir de la cause qui Ta provoqué n'existe pas f. Le début d'une attaque provoquée est tellement subit que si la cause occ
ez une malade endormie, on vient à toucher les points hystérogènes. L' attaque se développe instantanément, et lorsque, par la c
passé. Le 28 juin 1870, Suzanne N..., hystéro-épileptique, tombe en attaque aux premiers coups de tonnerre d'un violent orage
e tonnerre d'un violent orage qui se déclare à six heures du matin. L' attaque l'a surprise au milieu de son sommeil, et lorsqu'
ement hystéro-épileptiques, couchées dans la même salle, tombaient en attaque en même temps qu'elle et sous la même influence.
connaissance. — « Dans la majorité des cas, dit Briquet, au sujet des attaques d'hystérie vulgaire, la perte de con-naissance su
qu'un jour on présenta à la malade une. lettre : aussitôt vio-lentes attaques d'hystérie avec catalepsie ; trois fois on lui pr
ce est complète pendant toute la durée de cette première période de l' attaque , et nous avons entre les mains un moyen sûr et fa
de faire cesser tout d'un coup les convulsions, à quelque moment de l' attaque qu'on la pratique, et de rendre en même temps à l
ssance. Si donc on vient à l'exercer pendant les autres périodes de l' attaque , la malade qui reprend ses sens, raconte parfaite
qualifié de cri. Ce n'est pas à dire que le cri n'existe pas dans l' attaque hystéro-épileptique, mais il ne se produit pas au
xtension explique l'aspect ef-frayant que revêt une des variétés de l' attaque hystéro-épileptique que nous étudierons plus loin
hystéro-épileptique que nous étudierons plus loin, je veux parler des attaques démo-niaques. b). — Phase tonique avec immobili
nt se trouve entre la période épileptoïde et la deuxième période de l' attaque , et par-fois elle manque complètement. En moyenne
sur diverses malades et pendant plusieurs états de mal, alors que les attaques se répètent un grand nombre de fois, ont toujours
diverses modifications dont est susceptible la première période de l' attaque , je crois qu'il ne sera pas superflu, pour servir
du menton. Après un repos de courte durée, la deuxième période de l' attaque com-mence : les contorsions, les grands mouvement
Marc... (3 avril 1878). Description de la période épileptoïde. L' attaque débute par un mouvement rapide des paupières et u
nts cloniques suivent immé-diatement. Marc... 26 février 1878.— Les attaques se succèdent avec leurs trois périodes diversemen
ement, et commentent les grands mouvements de la seconde période de l' attaque . Ici, la période épileptoïde est uniquement repré
nvulsions toniques contribuent à donner à la, variété démoniaque de l' attaque l'aspect effrayant qu'on lui connaît. c) Je n'i
et môme représenter à elle seule toute, la période épilep-toïde de l' attaque . d) Les petits mouvements cloniques sont consta
ue, se répètent plusieurs fois de façon à prolonger cette partie de l' attaque et à y jeter un peu de confusion. Nous l'avons ob
rvé très nettement chez Marc... 9 avril 1878. Marc... a ses grandes attaques . La période épileptoïde se com-pose des diverses
n point du corps seulement. Je me réserve d'étudier au chapitre des attaques anormales quelques variétés de l'attaque épilepto
e d'étudier au chapitre des attaques anormales quelques variétés de l' attaque épileptoïde, qui parfois constituent à elles seul
l'attaque épileptoïde, qui parfois constituent à elles seules toute l' attaque d'hystéro-épilepsie. 2? PERIODE___PERIODE DE CL
Enfin, la situation que peut prendre le corps dans cette phase de l' attaque , ne semble soumise à aucune loi, si ce n'est la l
e. Il suffira d'en citer quelques-uns : Gl... (25 mars 1878) est en attaque depuis 9 heures du matin. Les diverses périodes s
iode et les attitudes passionnelles dont il sera parlé plus loin. L' attaque se répète ainsi un grand nombre de fois, toujours
nd nombre de fois, toujours semblable à elle-même. Gl... (3 avril). Attaques . Début par des secousses d'abord éloignées qui se
et les secousses multipliées. Quelquefois le repos se prolonge et l' attaque s'en tient là, pour recom-mencer par la première
vec les mêmes caractères et toujours dans le même ordre à chacune des attaques qui composaient la série. Suzanne N..., dans un
s attaques qui composaient la série. Suzanne N..., dans une série d' attaques que nous avons occasion d'obser-ver le 28 juin 18
illogiques qui à chaque Fig. il. —¦ Contorsion. —¦ Arc de cercle. attaque se reproduisent dans le même ordre et de la même
par laquelle elle passe avant d'arriver à la troisième période de son attaque . En effet il se produit encore quelquefois plusie
rien n'arrête la rapidité de ses mouvements. Gen..., 18 avril 1878. Attaques remarquables par une prolongation de la deuxième
s Gen... appelle Camille..., etc. La troisième pé-riode dure peu. L' attaque se reproduit avec les mêmes caractères. Enfin l
j'ai eu l'occasion d'observer récemment. A la deuxième période de son attaque , elle imite le bruit d'une locomo-tive qui se met
corps et des bras particulièrement. 5 juillet 1879. Math... est en attaques au moment de la visite. Ses attaques sont presque
5 juillet 1879. Math... est en attaques au moment de la visite. Ses attaques sont presque exclusivement composées de la deuxiè
s haut, survenant tout d'un coup, indiquaient le débul d'une nouvelle attaque où se reproduisaient les mêmes mouvements. 10 j
taque où se reproduisaient les mêmes mouvements. 10 juillet. Grande attaque . La deuxième période est marquée par l'arc de c
roit du corps, où ils ont beaucoup plus d'étendue. 13 juillet 1879. Attaques plus complètes que celles du 5 juillet. La pre-mi
é le sujet de ses hallucinations. 17 juillet 1879. Dans une série d' attaques présentant les caractères décrits précédemment, l
te pas, en terminant, sur les variétés de cette deuxième période de l' attaque . Les contorsions et les mouvements peuvent se prê
plus loin comment l'exagération de cette phase peut donner lieu à des attaques d'un caractère particulièrement effrayant et qui
n caractère particulièrement effrayant et qui mé-ritent bien le nom d' attaques démoniaques. § 3. — ÉTAT MENTAL PENDANT LA DEUX
phases se succèdent ou s'entremêlent sans interruption. Dans une même attaque , le tableau gai fait place au tableau triste, ou
lles s'en plaignent souvent amèrement, disant « que le côté gai d'une attaque est toujours troublé par les visions terribles, e
tance d'une obsession, revient sans cesse imprimer à cette phase de l' attaque son caractère si pénible. Les grands mouvements
par la malade en dehors de son Fig. 64. — Attitude passionnelle. attaque . Dans les différentes scènes qui composent l'hall
on de la musique militaire marque toujours l'ap-proche de la fin de l' attaque . Bientôt elle voit des rats, elle a des mouvement
x qui la composent reviennent invariable-ment. Toutefois, suivant les attaques , ils peuvent être écourtés et même ne pas être to
diquerai la durée de chacun d'eux, notée pendant l'une quelconque des attaques . Secondes.1° Période épileptoïde...............
ou triste, que se développe invariablement la troisième période de l' attaque de Marc... Pour l'interpréter, notre malade se li
mi-sole de force dont on a soin de revêtir la malade au moment de ses attaques . Mais il n'y a aucun danger à l'en délivrer, s'il
son esprit. A voir le calme de son attitude, on pourrait croire que l' attaque est ter- Fig. 70. — Attitude passionnelle. mi
t, il y a un instant, dans ses attitudes d'effroi. Cette phase de l' attaque se prolonge souvent fort longtemps, nous l'avons
ionnelles. parles visions d'animaux, Mais la troisième période de l' attaque est finie; elle afait place à la quatrième périod
l'abdomen indique le retour de la période épileptoïde d'une nouvelle attaque , comme cela a lieu le plus souvent. Gen..., lor
lle attaque, comme cela a lieu le plus souvent. Gen..., lors de ses attaques régulières, n'a pas la variété d'atti-tudes que n
uatrième période, dont nous parlerons plus loin. . En dehors de ses attaques , Gen... a des extases que l'on doit considérer co
ses attaques, Gen... a des extases que l'on doit considérer comme des attaques modifiées et réduites à une seule phase, celle de
Il en sera question quand nous traiterons des diverses variétés de l' attaque . Ang..., a des hallucinations fort variées. D
la mémoire de son amant. Alphonse joue un grand rôle dans toutes ses attaques . 2. En 1871, Ang... a été faite prisonnière par
Elle a eu une grande frayeur. Depuis elle le revoit toujours dans ses attaques , elle se débat, elle résiste, etc.. Elle voit d
ges des notes recueillies au lit de Ler... pendant une de ses grandes attaques . Mais auparavant, afin de bien faire saisir la
les causes occasionnelles de l'hystérie, et la nature du dé-lire des attaques , je rappellerai, d'après Y Iconographie de la Sal
cadavre et de l'assassin arrêté par les gendarmes déterminèrent une « attaque de nerfs ». L... eut une troisième peur dans le
s des « éronces » et tomba sans connaissance, en proie à une violente attaque convulsive. Voici maintenant comment se présent
attaque convulsive. Voici maintenant comment se présente une grande attaque chez Ler... 11 février 1878. L'attaque a débuté
mment se présente une grande attaque chez Ler... 11 février 1878. L' attaque a débuté à 7 heures et demie. Il est 0 heures 20,
l elle n'a rien perdu de sa violence. Elle est composée d'une série d' attaques qui se succèdent et dans chacune desquelles on pe
alme se fait peu à peu. Cet instant de calme marque la fin de cette attaque , qui a duré treize mi-nutes, immédiatement suivie
tement suivie, avant que Ler... ait repris connaissance, par un autre attaque qui débute par la période épileptoïde, et se repr
ment impressionné l'enfance de la malade, se reproduisent pendant ses attaques , comme au premier jour, avec une vivacité que le
èse dcDunant J'ai dit précédemment que cette troisième période de l' attaque hystéro-épileptique, ou période des attitudes pas
fait complètement défaut, c'estTimagination. Aussi nous voyons les attaques de Ler... garder en quelque sorte le caractère br
a malade se souvient de tout cela avec une grande précision, à chaque attaque où l'hystérie a une part elle répète automatiquem
o-épileptiques, tout nouvellement entréeà la Salpêtrière, et dont les attaques présentent les quatre périodes que nous décrivons
nimaux qu'elle voit sont des singes. Suz. N... 28 juin 1879. Est en attaque depuis le matin. Après les contorsions et grand
e étrange, et l'on peut se de-mander si l'on a bien affaire ici à une attaque d'hystérie, ou si l'on n'est pas l'objet d'une my
Sans parler delà régularité de succes-sion des diverses périodes de l' attaque qu'une malade ne saurait in-venter, je rappellera
Suz. N... dont nous venons de parler est sujette, en dehors de ses attaques , à des accidents bizarres qui sont sous la dépend
fait que pour montrer jusqu'où va l'anesthésie sensorielle pendant l' attaque . Pendant tout le temps de son attaque, Suz. N...,
nesthésie sensorielle pendant l'attaque. Pendant tout le temps de son attaque , Suz. N..., suivant la règle, est insensible à to
et ni sa mimique, ni son récit, ne'sont troublés. Mais aussitôt que l' attaque touche à sa fin, à peine le premier indice de con
la nature des hallucinations qui composent la troisième période de l' attaque , et montré comment, dès le début, l'attaque revêt
la troisième période de l'attaque, et montré comment, dès le début, l' attaque revêt un caractère spécial, une physionomie toute
déterminé l'apparition, j'ajouterai cependant que, dans la suite, les attaques peuvent se trouver plus ou moins modifiées par de
l'occasion d'observer chez nos malades quel- ques modifications des attaques survenues sous l'action de cer-taines émotions, d
II était intéressant de rechercher la cause de ces modifica-tions des attaques (expressions de colère, de dédain, de dégoût). No
ici un autre exemple : Alph. B... avait le plus souvent pendant ses attaques des hallu-cinations terribles "rappelant les circ
qui jette son enfant dans le feu... Le 24 juin nous sommes témoin d' attaques dans lesquelles se manifeste un délire tout diffé
u'elle est bien heureuse. C'est la première fois que le délire de ses attaques revêt ce caractère. Plus de feu, d'incendies, de
Quand la vision lui dit adieu, elle reprend bientôt connaissance; l' attaque est terminée pour recommencer ensuite avec les mê
olentes sous l'influence desquelles se sont développées les premières attaques , des émotions qui ont pu survenir depuis, et de l
ue toujours la raison des hallucinations de la troisième période de l' attaque . Pour terminer, je résumerai en quelques propos
t état nerveux particulier qui carac-térise la troisième période de l' attaque hystéro-épileptique, et que nous avons désignée s
elles ou poses plas-tiques, on .peut dire, à proprement parler, que l' attaque est ter-minée. La connaissance est revenue, mais
de avant de retrouver son équilibre normal. C'est comme un reste de l' attaque qui s'épuise, et les accidents qui se présentent
ement comparables et, parfois même, identiques à ceux qui précèdent l' attaque et lui servent en quelque sorte de prélude. § 1
de vérité vraiment sai-sissant. Gen... termine presque toujours ses attaques par quelque dis-cours de ce cerne : « Ah! pauvr
revêt un caractère effrayant. Je l'ai vue un soir, après une série d' attaques , alors que la camisole avait été enlevée, entrer
gnes du service, Thérèse L..., morte depuis un an. Elle est prise d' attaques dont les différentes phases se dévelop-pent comme
ve portée sur l'esprit de la malade, avaient occasionné les premières attaques , ou en avaient favorisé le développement. Ces scè
lquefois gaies, mais le plus souvent terribles, reparaissent à chaque attaque sans jamais rien perdre de leur vivacité, et sont
epsic. 9 jamais d'appeler du nom de Camille celui qui, arrêtant son attaque par la pression ovarienne, amène ce délire de la
ublier, comme nous le verrons plus loin en traitant des variétés de l' attaque , que l'une de ces deux périodes peut faire défaut
e que nous avons dit du délire de Marc... à la quatrième période de l' attaque , montre assez combien il est différent du ta-blea
ient des scènes si émouvantes qui composent la troisième période de l' attaque de Gl... Nous les avons décrites tout au long. La
cette phase de délire comme appar-tenant à la quatrième période de l' attaque . Peu à peu les larmes cessent et la malade revien
mes cessent et la malade revient complètement à elle. Dans toutes ses attaques , même dans celles qui se répètent pour composer l
grandes séries qui durent plusieurs heures, la quatrième période de l' attaque est représentée pour le moins par le délire trist
oins par le délire triste que nous venons d'indiquer. Mais il est des attaques qui offrent une quatrième période beaucoup plus é
quatrième période sur lesquels nous avons insisté. Gl..., dans ses attaques du 14 mars 1878, présente une qua-trième période
elle, elle déplore son sort : « Non ; je vou-drais que vous ayez des attaques comme nous. C'est affreux ! Ça me fait penser à t
tes de choses : Ah ! si on savait, etc. » A la suite d'une nouvelle attaque , la quatrième période est marquée par un délire a
rois scènes, et ce que je lui ai répondu... Ah! je pourrais avoir des attaques de nerfs à moins... Je ne l'ai dit qu'à une perso
extension bien plus considérable aux dépens des autres périodes de l' attaque . Et il constitue si bien quelque chose de distinc
udes passionnelles, et môme formera lui seul une variété de la grande attaque , sur laquelle nous aurons à insister plus loin.
, sur laquelle nous aurons à insister plus loin. 31 janv. 1878. — L' attaque de Gen... a commencé à 1 heure de l'après-midi et
peut se défendre; c'est ainsi que Lesp... termine habituellement ses attaques . Enfin, ce qui est plus rare, la malade demeure
ment imaginaires. Nous avons déjà dit qu'au moment où finissent ses attaques , Gl..., écoute la musique, elle fait signe du doi
survientledéliremélancolique: « Malheureuxparents,etc...» Après ses attaques , Gl... a des « visions », se fait des peurs. Elle
me période. Zoopsie. Gen... 26 février 1878.— Après une série de 14 attaques , survient le délire de la 4e période. — « Chameau
La compression ovarienne interrompt le délire et amène une nouvelle attaque , à la suite de laquelle reviennent les visions de
bêtes imaginaires une lutte acharnée (fig. 76). Ler... termine son attaque par une phase qui présente à un haut Fig. 82. Q
rtiellement. Voici quelques exemples de cette quatrième période des attaques de notre malade Ler... 11 février 1878. — La gr
de des attaques de notre malade Ler... 11 février 1878. — La grande attaque dont nous avons rapporté quelques fragments plus
nous avons rapporté quelques fragments plus haut se termine ainsi. L' attaque a commencé à sept heures et demie. Il est dix heu
ses dents seulement, elle ne veut jamais boire au-trement durant ses attaques .) Ah! les chameaux. Il y a des bêtes... » Elle s'
lle présente ce fait singulier de voir se re-produire à la fin de ses attaques toujours les mêmes actes et les mêmes hallucinati
Les personnes du service qui assistent sou-vent la malade pendant ses attaques ne s'y trompent pas. Elle se frotte les mains et
e des bêtes. Il est 7 heures 20, Ler... est toujours agitée, mais l' attaque paraît bien terminée. Ces phénomènes de la fin
, mais l'attaque paraît bien terminée. Ces phénomènes de la fin des attaques de Ler... dont nous faisons une classe à part en
dernière sensation s'explique par la contracture qui existe durant l' attaque . Elle détire ses membres, se plaint de souffrir d
seul trait et tout paraît finid. » C'est pendant cette période de l' attaque que se produisent les affirmations les plus audac
omper les plus incrédules. Un certain soir Wit..., au sortir de ses attaques , accuse Gl... de lui avoir dérobé ses fleurs 2. E
tant. Et nous sommes demeurés près d'elle tout le temps qu'a duré son attaque . Gl... n'a pas même paru dans la salle. Tous nos
a réalité des halluci-nations persiste parfois en dehors du temps des attaques . Nous en avons un exemple frappant dans Gen..., q
ètement revenue à elle, des cris déchirants. Gen... à la fin de ses attaques voit souvent ses quatre membres contractures dans
ration n'est habi-tuellement pas troublée. Marc... voit souvent ses attaques se terminer comme celles de Gen... par ces contra
la prédominance de ces crampes généralisées donne à certaines de ces attaques , que les malades appellent du nom de tortillement
racture partielle. La contracture partielle, qui par-fois succède aux attaques et se montre dans la quatrième période, n'est hab
sphincter de l'urètre nécessiter le sondage. Parfois au contraire l' attaque laisse derrière elle une parésie ou une paralysie
ou partielles peuvent se rencontrer ici comme dans les prodromes de l' attaque . Il en est de même des spasmes viscéraux : hoquet
les musculaires ont été observés: Ler..., 14 février 1878. — Grande attaque , qui commence à trois heures i demie, présente le
t quelque temps. Gl... 18 juillet 1878. — Hier soir, Gl... a eu des attaques jusqu'à onze heures. Puis elle s'est sauvée dans
nt les phénomènes douloureux de l'aura qui précède habituellement ses attaques ; elle a des hallucinations, elle voit des hommes
sent son bras droit qui tourne, elle croit que c'est le début de son attaque , mais elle ne perd pas connaissance. La convulsio
s convulsifs dans les bras. « 20 octobre 1872. —Observation Ler... — Attaque hystérique, avec con-torsions violentes, suivie,
ure à peu près absolument l'isthme du voile palatin. » 27 octobre. — Attaques violentes à la suite desquelles disparaissent la
parfois depuis plusieurs années, cesser brusquement à la suite d'une attaque convulsive. Des faits de ce genre ont pu passer p
Je ne ferai qu'indiquer ici les sécrétions qui parfois terminent l' attaque . Les urines abondantes et claires ont été signa
on d'une sorte de mucus vaginal, si fréquemment observée à la fin des attaques d'hystérie, que des auteurs ont considéré comme u
jeune dame, rapporte Cerise, avait plusieurs fois pai jour de légères attaques d'hystérie, lesquelles se terminaient par une abo
rise, An. mécl.'psyc, sept. 1843. CHAPITRE VI MARCHE. — DURÉE DES ATTAQUES . — ÉTAT DE MAL HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUU A. Marche de
DURÉE DES ATTAQUES. — ÉTAT DE MAL HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUU A. Marche des attaques . Durée. — Les périodes dont on vient de lire la d
n se succèdent dans l'ordre que nous avons suivi, pour constituer une attaque d'hystéro-épilepsie régulière et complète. La pér
d'heure. Ces trois périodes, qui constituent à proprement parler l' attaque , ont ensemble une durée moyenne d'un quart d'heur
La quatrième période, qui est plutôt une sorte de prolonga-tion de l' attaque que l'attaque elle-même, a une durée fort diffici
période, qui est plutôt une sorte de prolonga-tion de l'attaque que l' attaque elle-même, a une durée fort difficile à préciser.
er beaucoup plus longtemps. B. Etat de mal hystéro-épileptique. — L' attaque d'hystéro-épilepsie se montre très rarement isolé
te plusieurs fois de suite, pour former ce qu'on appelle des séries d' attaques , parfois fort longues. C'est l'état de mal hystér
gues. C'est l'état de mal hystéro-épileptique. Dans les séries, les attaques se succèdent de deux façons : 1° Elles s'imbrique
succèdent de deux façons : 1° Elles s'imbriquent, c'est-à-dire qu'une attaque n'est pas finie qu'une autre commence aussitôt. L
nt brusquement interrompues par la période épileptoïde d'une nouvelle attaque . La quatrième période ne se montre qu'à la fin de
. La quatrième période ne se montre qu'à la fin de la série. 2° Les attaques sont séparées par un intervalle de lucidité plus
ns long, comme il arrive toujours chez Gl..., qui, entre cha-cune des attaques composant ses séries, jouit d'un repos de dix min
es, jouit d'un repos de dix minutes à un quart d'heure. Dans ce cas l' attaque est complète et la quatrième période est représen
est complète et la quatrième période est représentée. Le nombre des attaques qui composent une série peut être con-sidérable,
inze jours, un mois, et même davantage. Georget parle d'un cas où l' attaque avait duré quarante-cinq jours, et les attaques p
et parle d'un cas où l'attaque avait duré quarante-cinq jours, et les attaques partielles qui la composaient avaient des interva
nt n'est pas de nature à inspirer de l'inquiétude. » (Charcot). Les attaques qui composent une même série ne sont pas toutes d
d'égale durée, ni parfaitement semblables. Dans le commence-ment les attaques se montrent violentes et précipitées ; vers la fi
oici comment, dans la généralité des faits, se comporte une série d' attaques dont la durée est de plusieurs heures. Dès le d
ie d'attaques dont la durée est de plusieurs heures. Dès le début l' attaque est souvent incomplète; une des périodes fait ent
-connaissance, et quelques instants de lucidité complète séparent les attaques . Les grands mouvements ont souvent cessé; les con
ent des cris à la patiente. Il ne reste plus des autres périodes de l' attaque que quelques phénomènes épileptiformes qui se mon
n ; on y trouvera quelques exemples de la façon dont se modifient les attaques vers la fin de la série. 14 mars. — Gl... I.
3° Attitudes passionnelles................................ 150" Les attaques suivantes, observées chez Marc..., ne présentent
................. 35" La période épileptoïde se répète comme dans l' attaque précé-dente............................. ........
................................. Ler..., 11 février 1878. —Grandes attaques . Les attaques ontdébuté àsept heures et demie, il
................... Ler..., 11 février 1878. —Grandes attaques. Les attaques ontdébuté àsept heures et demie, il est neuf heur
ne à onze heures. Voici la durée et la composition des cinq dernières attaques dont nous sommes témoin : lre Attaque. Durée de
mposition des cinq dernières attaques dont nous sommes témoin : lre Attaque . Durée de quinze minutes. Elle est ainsi composée
période. c) Hallucinations terribles de la troisième période. 2e Attaque . Durée de quinze minutes. a) Période épileptoïd
isième période. d) Le délire de la quatrième période apparaît. 3e Attaque . Durée de six minutes. Bien que plus courte, cett
raît. 3e Attaque. Durée de six minutes. Bien que plus courte, cette attaque pré-sente les mêmes caractères que le numéro 1. O
le numéro 1. On n'observe pas le délire de la quatrième période. 4e Attaque . Durée de quatorze minutes et plus. a) Période
ème période n'existent pas. d) Délire de la quatrième période. 5e Attaque . Durée de trente et une minutes. a) Période épi
élire de la quatrième période. 18 mars 1878. —Marc... a ses grandes attaques depuis neuf heures du matin. Elles se succèdent s
10 heures 20, moment où nous l'ob-servons, on a déjà compté dix-neuf attaques . Les attaques sont composées des trois première
oment où nous l'ob-servons, on a déjà compté dix-neuf attaques. Les attaques sont composées des trois premières périodes. Voic
nt composées des trois premières périodes. Voici comment se déroule l' attaque dont nous sommes témoin à notre arrivée : 20e a
se déroule l'attaque dont nous sommes témoin à notre arrivée : 20e attaque . — l10 période. Grands mouvements toniques décrit
re contre eux à une lutte acharnée. Nous prenons note de la durée des attaques qui suivent : 21° attaque. — lre et 2e période.
arnée. Nous prenons note de la durée des attaques qui suivent : 21° attaque . — lre et 2e période.............................
..... 35" 3e période.................................. 4' 40" 22e attaque . — lrc et 2e période.............................
...... 1' 10" 3e période.................................. 5' 23e attaque . — lre période................................. 5
t les frais, ainsi que nous l'avons raconté plus haut (p. 103). 24e attaque . — lre période..................................
e cette 4e période est de................................... 2f 25e attaque . — lre période..................................
remplissent tout entière-, mais c'est pour la dernière fois. Dans les attaques qui suivent, la 3e période n'existe plus et est r
remplacée par les phénomènes de la 4e période. Cette modification des attaques présage la fin de la série. 26° attaque. — lrc
de. Cette modification des attaques présage la fin de la série. 26° attaque . — lrc période, consistant surtout en grands mou-
tures généra-lisées; la connaissance revient en partie...... 6' 27e attaque . — lro période..................................
riode manquent 4° période comme précédemment.............. 3' 28e attaque . — lrc période................................. 8
La contracture per-s;ste néanmoins......................... 4' 29e attaque . — lre période................................. 5
s et contracture gé-néralisée.........¦..................... 3' 30e attaque . — lrc période................................. 5
end peu à peu, et les douleurs sont moins vives. Dans cette série d' attaques nous avons vu, vers la fin, les grands mouvements
tombe tout d'un coup en attaqué ; il est trois heures et demie. Les attaques se succèdent rapidement, nous notons leur durée a
succèdent rapidement, nous notons leur durée ainsi qu'il suit : 4e attaque . — 1° Période épileptoïde écourtée, réduite à une
30" 3° Attitudes passionnelles. Lubricité............. 1' 20" 5e attaque . — 1° Période épileptoïde écourtée...............
5" 3° Attitudes passionnelles. Lubricité et dégoût..... 1' 15" 6e attaque . — 1° Période épileptoïde........................
.... 30" 3° Attitudes passionnelles..................... 3'45" 7e attaque . — 1° Période épileptoïde........................
. l'45" 3° Attitudes passionnelles...................... l'30" 8e attaque . — 1° Période épileptoïde........................
... 20" 3° Attitudes passionnelles...................... l'30" 9e attaque . —1° Période épileptoïde plus accusée............
.. 45" 3° Attitudes passionnelles..................... 3' 15" 10e attaque . — 1° Période épileptoïde écourtée...............
.. 20" 3° Attitudes passionnelles...................... l'25" 41e attaque . — 1° Période épileptoïde........................
5" 3° Attitudes passionnelles, dégoût, lubricité, fureur. 12' 12° attaque . — 1° Période épileptoïde........................
.. 40' 3° Attitudes passionnelles...................... 6'35" 13e attaque . — 1° Période épileptoïde----....................
...... 2' 3° Altitudes passionnelles..................... 13' 15e attaque . — 1° Période épileptoïde très accusée : phase to
.... 45" 3° Attitudes passionnelles...................... 13' 18e attaque . — 1° Période épileptoïde........................
..... 40" 3° Attitudes passionnelles...................... 2' 19e Attaque . — 1° Période épileptoïde bien marquée...........
....... 3' 3° Attitudes passionnelles..................... 2' 20e Attaque . — 1° Période épileptoïde........................
..... 10" 3° Attitudes passionnelles..................... 15" 21e Attaque . — 1° Période épileptoïde, avec phase tonique et
s. 4° Plaintes.................................. 1' A ce moment l' attaque change de physionomie. On ne retrouve plus les gr
ontractures généralisées, et le délire triste de la 4e période. 22e attaque . — 1° Période épileptoïde........................
intes et retour de la connaissance........................ 3' 23e attaque .—4° Période épileptoïde courte..................
........ j 4° Contracture généralisée, plaintes............ | 24e attaque . — 1° Période épileptoïde bien marquée, avec phas
............ V Délire triste, demande pardon............... / 25e attaque . — 1° Période épileptoïde.......................
....... j ^ 4° Plaintes et contractures.................... j 26e attaque . — 1° Période épileptoïde............. •.........
•......... ) 4° Délire triste............................. ) 27° attaque . —1° La période épileptoïde est réduite aux grand
intes. Retour de la connaissance............................ 3' 28e attaque . —¦ 1° Période épileptoïde marquée, au milieu de
es. Contracture généralisée............................ 2'15" 29e attaque . — 1° Période épileptoïde comme précédemment.....
..... 30 4° Contracture généralisée, plaintes............. 5' 30e attaque . — 1° Période épileptoïde incomplète. 2° Plaint
omplète. 2° Plaintes et contracture généralisée. Délire. Enfin, l' attaque se trouve réduite à un état de contracture généra
lui donnons du chloroforme. Il est cinq heures et demie. — La série d' attaques a duré deux heures et à été composée de 30 attaqu
mie. — La série d'attaques a duré deux heures et à été composée de 30 attaques . La durée moyenne de chaque attaque a donc été de
x heures et à été composée de 30 attaques. La durée moyenne de chaque attaque a donc été de quatre minutes. A la suite des sé
haque attaque a donc été de quatre minutes. A la suite des séries d' attaques , la malade est courbaturée, mais elle est loin d'
vons signalée dans le mode de succes-sion des diverses périodes d'une attaque , peut se retrouver dans le mode de succession des
iodes d'une attaque, peut se retrouver dans le mode de succession des attaques qui composent une série. Un exemple bien curieu
bien curieux nous en est donné depuis quelque temps par Wit... Les attaques composant la série ne se ressemblent pas. La séri
ques composant la série ne se ressemblent pas. La série compte quatre attaques qui se succèdent ainsi qu'il suit : N° I. — lr0
, exactement semblable à la première, et ainsi de suite. En résumé, l' attaque entière est composée d'une série de séries. Cet
tellement invariable que si par 1a pression ova-rienne on supprime l' attaque n° I à son début, c'est l'attaque n° II qui comme
a pression ova-rienne on supprime l'attaque n° I à son début, c'est l' attaque n° II qui commence. Si l'on veut me permettre une
ns un ordre invariable. Arrêtons-nous successivement une, deux, trois attaques , il semble que nous ayons sauté un, deux, trois c
eux, trois crans de la boîte à musique, et si nous laissons ensuite l' attaque suivre son cours, c'est le motif suivant, le n° I
de nous pouvons à volonté laisser se dérouler l'une ou l'autre de ses attaques . CHAPITRE VIT FAITS NOUVEAUX A L'APPUI DE LA
es de la science. Dans l'étude descriptive qui précède de la grande attaque hys-térique, nous sommes loin d'avoir mis à contr
endant notre internat de 1878. Mais il ne faudrait pas croire que l' attaque convulsive de la grande hystérie avec les caractè
e peut avoir l'imitation sur la forme que revêtent les accidents de l' attaque hystérique, nous pouvons affirmer qu'elle est ici
rt qui lui revient dans les modifications dont certaines parties de l' attaque sont plus particulièrement susceptibles. Toujours
dont il n'a été que peu parlé précédemment; nous verrons comment les attaques de ces nouveaux sujets se rapprochent ou s'éloign
ts hyperesthésiques dont l'excitation même légère peut déterminer les attaques . (Voy. p. 36.) Un bruit violent et inopiné occa
p. 36.) Un bruit violent et inopiné occasionne à l'instant même une attaque de catalepsie. Elle est fort sensible aux pratiqu
s de l'hypnotisation. Nous re-viendrons plus loin sur ce sujet. Les attaques hystéro-épileptiques sont remarquables par leur r
mples que j'ai re-cueillis au mois de septembre 1879. Prodromes des attaques .— Suzanne est avertie, plusieurs jours à l'avance
Suzanne est avertie, plusieurs jours à l'avance, de l'invasion de ses attaques : « elle les sent venir. » Cependant une vive émo
e les sent venir. » Cependant une vive émotion peut faire éclater les attaques tout d'un coup. Lorsqu'elles sont pré-cédées de p
veloppent spontanément, au point de lui faire croire à l'invasion des attaques ; mais la crise s'en tient aux prodromes et avorte
s oreilles, obscurcissement de la vue et perte de connaisance, si les attaques doivent avoir lieu. Tous ces phénomènes existent
gauche. 18 sept. 1879. — Suzanne N... est au milieu de ses grandes attaques à la visite du matin. Selon l'habitude, les attaq
u de ses grandes attaques à la visite du matin. Selon l'habitude, les attaques se succèdent pour former une série. Nous en noton
sente la figure 46, qui a été dessinée d'après elle, lors d'une autre attaque .— Elle pousse de nouveau de grands cris. c). Pu
ce qu'on dit, et voilà tout. » Tout d'un coup survient une nouvelle attaque . II. —10 h. 10 min. a). La. période épileptoïde
: « Oh! oh !... que c'est drôle, ah! ah !..» 10 h. 17. Une nouvelle attaque survient. III. — a). La période épileptoïde pré
e, contrairement à ce qui se passe habituellement, ne reprend pas son attaque par le commencement; elle continue. Une nouvelle
en ! Sont-elles légères et gracieuses ! On dirait des nymphes!... » L' attaque est suspendue de nouveau par la compression ova-r
ce quelques instants. Mais bientôt survient spontanément une nouvelle attaque . IV.— a). Période épileptoïde (phase tonique, p
s actrice. » À peine avait-elle terminé cette phrase qu'une nou-velle attaque survient. V. — 10 h. 33. a). Période épileptoïd
er de quelque chose qui la gène; ce sont les préludes d'une nou-velle attaque qui ne tarde pas à éclater. VI. — 10 heures 38.
eux, la sommation1. Mais bientôt recommence spontanément une nouvelle attaque . VIL — 10 heures 48. a).Période épileptoïde com
! oh! ! ça me fait un drôle d'effet. » Survient aussitôt une nouvelle attaque . VIII. —10 heures 54. a), b). La première et la
a gorge.)Allons, je ne regarde plus rien... » 11 heures 4. Nouvelle attaque arrêtée par la compression. Pour sus-pendre compl
rrêtée par la compression. Pour sus-pendre complètement cette série d' attaques qui se prolonge, nous soumettons notre malade aux
nhalations de chloroforme. 29 septembre 1879. — Suzanne N... est en attaque depuis 11 heures jusqu'à 3 heures 20. La série s'
res jusqu'à 3 heures 20. La série s'est composée de vingt-six grandes attaques complètes et de cinq attaques bornées à la périod
rie s'est composée de vingt-six grandes attaques complètes et de cinq attaques bornées à la période épileptoïde. Les grandes att
tes et de cinq attaques bornées à la période épileptoïde. Les grandes attaques n'ont pas changé de caractère, elles se ressemble
. c'est gênant!.. Je suis tout étour-die. » Subitement une nouvelle attaque recommence. Il est midi. L'attaque que nous venon
r-die. » Subitement une nouvelle attaque recommence. Il est midi. L' attaque que nous venons de décrire a duré 10 minutes. I
otre malade et sur lesquelles nous avons déjà insisté ailleurs. Les attaques de Suzanne N... n'ont pas toujours eu ce déve-lop
tation. En effet, au commencement de son séjour à la Salpêtrière, ses attaques , quoique plus fréquentes, n'offraient pas un cara
hystérique. Voici les notes que j'ai prises alors, relativement à une attaque dont je fus témoin en ville le 14 mars 1879. La m
crises se succèdeut ainsi pour former une série. Au réveil, quand l' attaque est terminée, Suzanne dit ne se souvenir de rien.
'attaque est terminée, Suzanne dit ne se souvenir de rien. En tout, l' attaque a duré environ une heure. Si dans cette attaque
de rien. En tout, l'attaque a duré environ une heure. Si dans cette attaque nous trouvons sans difficulté une période épilep-
ependant la mère de la jeune malade nous raconte qu'à la suite de ses attaques , alors qu'elle a repris connaissance et qu'elle e
des attitudes passionnelles. Par les progrès seuls de la maladie, les attaques , en augmentant de gravité, devaient naturellement
catalepsie. Elle est très sen-sible aux pratiques hypnotiques. Les attaques sont précédées des prodromes habituels. L'aura hy
phénomènes se produisent presque exclusivement du coté gauche. Les attaques que nous avons l'occasion d'observer chez cette m
suivantes : l°La première période n'est qu'esquissée. Au début de l' attaque , la ma-lade porte la main au creux de l'estomac,
r. Voici quelques notes prises à son lit, lors d'une de ses grandes attaques , le 25 octobre 1879 : Léonore a eu des attaques
'une de ses grandes attaques, le 25 octobre 1879 : Léonore a eu des attaques hier soir. Ce matin les attaques ont recom-mencé.
25 octobre 1879 : Léonore a eu des attaques hier soir. Ce matin les attaques ont recom-mencé. Lorsque nous l'observons, elles
à l'estomac et se frotte la poitrine. C'est l'indice précurseur d'une attaque . a). En effet, elle se renverse bientôt, et tou
grands mouvements se terminent par l'attitude bizarre, décrite dans l' attaque précédente. Puis commencent les attitudes passion
veut lui couper la langue, lui arracher les dents, la tuer. Dans les attaques qui suivent nous trou-verons d'autres attitudes e
ttitude analogue à celle que nous avons indiquée daus les précédentes attaques . Attitudes passionnelles. Elle fait des pieds d
» Mais cet instant de rai-son est fort court. V.—11 h. 15. Nouvelle attaque ; la malade se frotte la poitrine et exécute aussi
sitôt connaissance. Au bout de peu d'instants recommence une nouvelle attaque . VI. — 11 h. 19. Cette nouvelle attaque commenc
nts recommence une nouvelle attaque. VI. — 11 h. 19. Cette nouvelle attaque commence par une phase où les signes épileptoïdes
a connaissance, et fses bras sont contractures. 11. h. 22. Nouvelle attaque . Nous quittons la malade. Mais il est facile de p
uent suffisamment et le retour momentané de la connaissance entre les attaques , et l'apparition de la contracture partielle. T
rtée jusqu'à quinze ans. Vers l'âge de quinze ans, elle aurait eu des attaques d'épilepsie qui ont persisté jusqu'à son entrée à
semaines environ après son arrivée ici, on aurait observé les grandes attaques hystériques. Il est possible que cette malade soi
firmer, n'ayant jamais eu l'occasion d'observer ce qu'on appelait ses attaques d'épilepsie. Tout ce que nous pou-vons dire, c'es
s attaques d'épilepsie. Tout ce que nous pou-vons dire, c'est que les attaques dont nous avons été témoin et dont nous rapporton
Le bruit du gong ne la rend point cataleptique, mais occasionne une attaque épileptiforme. Elle est fort sensible aux pratiqu
me. Elle est fort sensible aux pratiques hypnotiques. Prodromes des attaques . — Dub... présente les.signes précurseurs habi-tu
ues. — Dub... présente les.signes précurseurs habi-tuels de la grande attaque hystérique : agitation, perversion des idées et d
s, elle voit tout en rouge. 26 septembre 79. —Juliette Dub... a ses attaques depuis quelques ins-tants; à notre arrivée, elle
suivent, présentant des caractères sembla-bles aux mômes périodes des attaques précédentes. 1. Ce mouvement, qu'on pourrait me
alade menaça son amant de se faire mourir en s'étranglant. D'autres attaques se succèdent, qui ressemblent beaucoup à celles q
ent beaucoup à celles que nous venons de noter. 10 h. 56. —Nouvelle attaque beaucoup plus courte. 10 h. 57. — Nouvelle atta
h. 56. —Nouvelle attaque beaucoup plus courte. 10 h. 57. — Nouvelle attaque . 11 h. — Nouvelle attaque. 11 b. 4. — id. 11
ucoup plus courte. 10 h. 57. — Nouvelle attaque. 11 h. — Nouvelle attaque . 11 b. 4. — id. 11 h. 8. — id. Ace moment on
— id. Ace moment on met à la malade le compresseur de l'ovaire. Les attaques sont suspendues par le fait de la compression ova
suspendues par le fait de la compression ovarienne. Dans la série d' attaques qui vient d'être rapportée, on observe une périod
e compresseur toute la nuit, parce qu'elle sentait l'imminence de ses attaques . Ce matin, au moment où nous retirons l'appareil,
de ses attaques. Ce matin, au moment où nous retirons l'appareil, les attaques commencent aussitôt. I. — 10 h. 27. a). Tout le
e mouvements de crainte et de terreur. II. — 10 h. 30. Une nouvelle attaque débute subitement. à). Période épileptoïde sembla
oite; la malade veut fuir. Par la pression thoracique nous arrêtons l' attaque et la malade reprend aussitôt connaissance; mais
al-lucination reparaît à l'instant même, et la troisième période de l' attaque continue comme si de rien n'était. — Elle regarde
léger sourire effleure ses lèvres. Mais soudain survient une nouvelle attaque . IV. — 10 h. 36, a). La tète tourne à droite, q
elle regarde à côté d'elle sur son lit, semble fureter... Arrêt de l' attaque par la compression ovarienne. V. — 10 h. 43. No
de l'attaque par la compression ovarienne. V. — 10 h. 43. Nouvelle attaque aussitôt qu'on cesse la compression. a). Première
stes ne perdent rien de leur précision. VI — 10 heures 54. Nouvelle attaque qui survient aussitôt après le baiser. a). La t
— 10 heures 57. Puis elle porte ses mains à sa gorge et une nouvelle attaque survient, qu'on arrête par la compression ovarien
place de nouveau à la malade l'appareil compresseur des ovaires, et l' attaque est suspendue. On voit en somme que pendant une
e période fort développée, cette malade cause fort peu. Dans d'aulres attaques nous avons pu saisir des lambeaux de phrase com
dans le service de M. Charcot à la Salpêtrière. Elle a eu sa première attaque à douze ans. Elle est hémianesthésique à gauche,
illes énormes et dont les yeux sont « de toutes les couleurs ». Les attaques se rapportent parfaitement au type décrit, mais c
elques-uns des caractères de l'état cataleptique. Dans les séries d' attaques que nous avons pu observer chez cette malade, nou
ns vu la période épileptoïde ne pas se répéter régulièrement à chaque attaque et faire défaut quelquefois. Voici quelques not
t faire défaut quelquefois. Voici quelques notes prises pendant les attaques . 25 septembre. Math... a déjà eu, de 8 à 9 heur
soulèvent les épaules et les bras indiquent l'immi-nence de nouvelles attaques . En effet, tout d'un coup elle s'agite, elle saut
se débat comme pour se soustraire à un danger. 10 h. 14 m. Nouvelle attaque qui débute par la seconde période. La période épi
ait à Marc... Sa physionomie devient terrible. 10 h. 16 m. Nouvelle attaque qui débute également par le « chemin de fer » com
30 s. Troisième période. Attitude cataleptique semblable à celle de l' attaque précédente, suivie également d'une attitude de fr
vie également d'une attitude de frayeur. 10 h. 17 m. 30 s. Nouvelle attaque qui présente les trois périodes. Première pério
t à droite et demeurent convulsés dans cette direction. Une nou-velle attaque commence qui débute par le « chemin de fer». Cett
le visage radieux, les deux bras levés. 10 h. 27 m. 30 s. Nouvelle attaque qui débute comme la précédente par le « chemin de
passionnelles tour à tour terribles ou gaies. 10 h. 36 m. Nouvelle attaque analogue à la précédente. Période des grands mo
la pupille sous la paupière supérieure. C'est le début d'une nouvelle attaque qui présente les trois périodes. Période épilep
sions cloniques qui suivent sont plus fortement accentuées que dans l' attaque précédente qui a présenté également une période é
usses dans les bras et les épaules indiquent le retour d'une nouvelle attaque . 10 h. 55 m. Attaque sans période épileptoïde.
les épaules indiquent le retour d'une nouvelle attaque. 10 h. 55 m. Attaque sans période épileptoïde. La période des contorsi
oyennement dilatées, plutôt un peu resserrées. 11 h. 14 m. Nouvelle attaque composée seulement de deux périodes comme la préc
eulement de deux périodes comme la précédente. 11 h. 20 m. Nouvelle attaque , id. H h. 25m. On endort la malade par le chlor
que. Nous reviendrons sur ce dernier point au sujet des variétés de l' attaque . CINQUIÈME OBSERVATION. ErnesLine Pil..., dix
mammaire gauche (voy. p. 37). Elle ne ressent les prodromes de son attaque que dans les quelques heures qui précèdent. La do
oit pendant quelques instants tous les objets colorés en rouge. Les attaques d'Ernestine se rapprochent de l'hystérie vulgaire
fort longtemps. Elle peut durer une heure. Réveillée à ce moment de l' attaque , la malade déclare n'avoir aucune conscience de c
clare n'avoir aucune conscience de ce qui s'est passé. Si on laisse l' attaque se dérouler, le stertor est suivi parfois d une p
ts noirs avec de longues queues et des yeux rouges. Voici une série d' attaques prise dans tous ses détails : 26 septembre 1879
dans tous ses détails : 26 septembre 1879. Ernestine Pil... est en attaques depuis 20 minutes. 1 Oh. 2 m. L'attaque commenc
9. Ernestine Pil... est en attaques depuis 20 minutes. 1 Oh. 2 m. L' attaque commence par des ondulations précipitées de l'abd
titude qu'accompagne un ron-flement stertoreux. 10 h. 3 m. Nouvelle attaque qui débute comme la précédente par l'ondula-tion
ominales sont animées du même mouvement qui marque le début de chaque attaque . Suivent les grands sauts avec les cris, puis l
, pendant lesquels elle pousse des cris aigus. 10 h. 20 m. Nouvelle attaque exactement semblable à la précédente; mais plus c
n précipitée. Sauts et cris. Stertor dans la même attitude qu'aux attaques précédentes. Ensuite elle se lève : « Oh ! les
se une minute. 11 h m. La respiration se précipite, et une nouvelle attaque survient spontanément, semblable à celles que nou
on de l'ovaire gauche ramène aussitôt la connaissance et sus-pend les attaques . On maintient la compression pendant une demi-h
. On maintient la compression pendant une demi-heure environ et les attaques ne reparaissent point. La malade est restée au
psie de la quatrième période. Nous avons eu occasion d'observer une attaque chez cette malade avant son entrée à la Salpêtriè
dans le même dortoir que Suz... Dub..., Léonore R... et Math..., aux attaques desquelles elle assiste souvent, prêtant parfois
rniers détails, cette dernière partie de la crise se rapprochent de l' attaque de somnambulisme. Après avoir repris ses sens,
hystérogène au niveau du sein gauche. Quelque temps avant d'avoir ses attaques , elle se plaint du ventre, surtout du côté droit,
ie. Elle souffre aussi beaucoup de la tête et a l'humeur noire. Ses attaques s'écartent du type décrit et seront étudiées avec
partenant à la deuxième période. En voici un exemple : 1er octobre. Attaques . — On la comprime lorsque nous arrivons. Les at
1er octobre. Attaques. — On la comprime lorsque nous arrivons. Les attaques commencent aussitôt qu'on enlève la compression e
temps à autre quelques contractions dans les membres; puis bientôt l' attaque recommence de la façon que nous avons dite. La
n que nous avons dite. La compression ovarienne arrête subitement l' attaque . Elle a en outre des attaques de sommeil qui se
pression ovarienne arrête subitement l'attaque. Elle a en outre des attaques de sommeil qui se prolongent parfois pendant 36 h
de cette région. Nous n'avons eu que peu d'occasions d'observer les attaques de cette ma-lade qui a quitté le service le 19 no
e crises dont nous avons été témoin : 1er octobre. Rose L... est en attaque depuis 11 h. moins un quart, nous l'observons à 1
ttaque depuis 11 h. moins un quart, nous l'observons à 11 h. 1/4. Les attaques se succèdent pour former une série, et présentent
peut y distinguer trois phases; nous en notons quelques-unes : Une attaque est terminée, la malade a repris connaissance, el
!... non !... qu'il s'en aille... Il faut qu'il parte... » Sur trois attaques successives dont nous avons pris la durée, cette
nstants, 20 secondes deux fois, et 30 secondes une fois sur les trois attaques que nous avons notées. Si, pendant cette phase, o
à la malade un répit de durée variable avant le retour d'une nouvelle attaque . 11 est facile de rattacher au type que nous av
e de rattacher au type que nous avons décrit les diverses phases de l' attaque que nous venons de rapporter. La période épilepto
penser de l'influence de l'imitation sur la forme extérieure de leurs attaques ? Suffit-elle à expliquer les ressemblances que no
ite. » Lorsqu'il y a dans mes salles plusieurs hystériques avec des attaques , c'est toujours celle qui a l'attaque la plus for
plusieurs hystériques avec des attaques, c'est toujours celle qui a l' attaque la plus forte qui donne le ton aux autres. Si ell
ui jusque-là avait eu des atta-ques non bruyantes, se mit pendant ses attaques à hurler et à aboyer exactement comme sa voisine
au mode d'arrangement des manifestations multiples qui composent une attaque de grande hystérie, à Tordre dans lequel se succè
le même dortoir que d'autres hystéro-épileptiques qui, pendant leurs attaques , n'ont jamais rien présenté de semblable. Enfin
à la Salpêtrière, il est des hystéro-épileptiques qui présentent des attaques qui s'écartent du type décrit et ne s'y rattach
it et ne s'y rattachent qu'à titre de variétés. Lesp... a surtout des attaques épileptoïdes, Ernestine PU... des attaques de gra
tés. Lesp... a surtout des attaques épileptoïdes, Ernestine PU... des attaques de grands mouvements et de contracture, Del... de
PU... des attaques de grands mouvements et de contracture, Del... des attaques de sommeil. La conception de la grande attaque
racture, Del... des attaques de sommeil. La conception de la grande attaque hystérique, telle que nous l'avons décrite, est a
essortir son action sur la forme extérieure de certaines parties de l' attaque , et principalement des deux dernières périodes. N
rsque nous aurons passé en revue les nombreuses variétés de la grande attaque hystérique. il Observations inédites recueill
n même établissement, dans une même salle, témoins souvent forcés des attaques les uns des autres; les sujets de ces observation
aractères sur lesquels nous avons basé notre description de la grande attaque hystérique. PREMIÈRE OBSERVATION1. Contractur
ie des muscles. Anémie. Anorexie. Aménorrhée. Hallucinations. Délire. Attaques convulsives. Mademoiselle X..., âgée de seize a
elé en consultation et la vit pour la première fois. Cette phase de l' attaque s'est atténuée dans la suite et fini par disparaî
he, jointes au délire avec halluci-nations et à la forme spéciale des attaques , font de ce cas un des plus beaux exemples qu'o
ici facilement reconnaissables. La raideur des membres du début de l' attaque appartient évidem-ment à la période épileptoïde.
es de calme, puis quelques mouvements des bras commençaient la grande attaque ; ces mouvements étaient suivis bientôt de « l'arc
ici que par les grands mouvements des bras qui commençaient la grande attaque ; suivaient les phénomènes que nous avons décrits
imées. Dès la suppression des règles étaient survenues de violentes attaques d'hystéro-épilepsie. Effrayés de la première cris
illa le traitement hydrothérapique. Chez cette malade le début de l' attaque était marqué par la sensation de boule, une doule
avaient cessé. Nous retrouvons là l'écume à la bouche au début de l' attaque comme signe épileptoïde, puis, comme dans l'obser
n l'air), parmi lesquelles on distingue Yarc de cercle. Le début de l' attaque est marqué par quelques phénomènes épi-leptoïdes
térisé par une nosomanie et une nécrophobie que rien ne peut vaincre, attaques convulsives, etc. La malade, âgée de vingt-cinq a
tin, nous sommes appelé en toute hâte, madame X...-est en proie à une attaque d'hystérie des plus violentes. Après s'être couch
onne de sa famille qu'elle n'aimait point. » Nous notons dans cette attaque dont le début n'a pu être observé, les grands mou
ge qui nécessita pendant sept mois l'usage de la sonde œsophagienne ; attaques convulsives violentes; surdité absolue, ou bien h
ation dans la Gazette des hôpitaux de 1878 et de 1879. Au sujet des attaques qui se montrèrent très violentes pendant trois mo
a maladie s'est développée isolément dans un coin de la province, les attaques offraient de grandes ressemblances avec celles de
le de la con-vulsion (arc de cercle) qui s'est rencontrée pendant les attaques . NEUVIÈME OBSERVATION. Mlle Marie X..., âgée
des passionnelles qui caractérisent la troisième période de la grande attaque . DIXIÈME OBSERVATION. Hystéro-êpilepsie. Cont
agné de détails nouveaux que nous a donnés M. Pascal sur la forme des attaques convulsives. » Les forces de la malade n'ont pa
ssaye de lutter, disant : « Non, je ne veux pas être malade. » Puis l' attaque débute brusquement par la perte de connaissance e
be dans l'immobilité tétanique qui inaugure une nouvelle crise. — Les attaques se succèdent ainsi pendant sept à huit heures. Ta
s les symptômes s'amender. La santé générale était bonne. Les grandes attaques avaient disparu. Il ne restait plus, comme au déb
ents qui marquent sa maladie appartiennent à l'hystérie grave, et les attaques con-vulsives ont présenté les caractères que nous
ons (arc de cercle); — en troisième lieu, attitudes de frayeur. — Les attaques ainsi composées se reproduisaient par séries d'un
produisaient par séries d'une durée fort longue. Enfin à la suite des attaques on a observé quelques-uns des troubles qui rentre
dix-neuf ans, à la suite de vives émotions, est survenue la première attaque d'hystérie. — Ceci eut lieu dans le Midi —. Les a
e la première attaque d'hystérie. — Ceci eut lieu dans le Midi —. Les attaques , qui se succédaient d'abord à de longs intervalle
n ; tout, jusqu'à la présence de son enfant, lui est à charge. Puis l' attaque éclate brusquement. La tête se tourne à droite
. La durée en est à peine d'une minute. A cette première phase de l' attaque succède, sans transition aucune, une nouvelle pér
aluent sa présence. C'est là que le cycle est complet. Une nouvelle attaque recommence, sem-blable à la première. Les trois é
qui ne cessent qu'au mo-ment où la compression cesse elle-même. Les attaques se succèdent ainsi pendant un temps qui varie d'u
pendant un temps qui varie d'une heure et demie à deux heures. Les attaques sont suivies ordinairement d'un délire non incohé
un haut degré la plupart des signes de la grande hystérie et dont les attaques ont offert, à un moment donné, tous les caractère
ère, dont on eût dit cependant qu'elle eût pris à tâche de copier les attaques . Voici quelques notes que nous devons à l'oblig
us en plus des grandes crises. Vers la fin de janvier 1879, la grande attaque est complète : position en cerceau, visions, exta
est partie pour le Brésil le 20 septembre, sans avoir eu de nouvelle attaque . J'ai reçu de ses nouvelles de Rio le 15 octobre;
epère, dans laquelle se trouvent consignés les caractères des grandes attaques que la malade a présentées, je joindrai le récit
ures, la malade semble s'assoupir, elle est prise d'étouffements et l' attaque éclate. Le bras droit quitte l'aimant, se contr
eure que la crise est commencée, lorsque semble surve-nir une seconde attaque : la physionomie perd toute expression, le bras d
si accusés et si sem-blables à notre description qu'ont présentés les attaques de cette jeune Brésilienne. Bien n'y manque et l'
dans la ville même où il exerce, un exemple de grande hystérie, avec attaques convulsives bien remarquables au point de vue de
eurement tous les symptômes d'une santé florissante. En dehors de ses attaques , elle ne se plaint que de quelques crampes d'esto
'ai pu savoir si la tête a été rendue. Dès la guérison survinrent des attaques dont la durée et la fréquence allèrent toujours c
jours croissant jus-qu'en février 1879. Quelques calmants pendant les attaques et immédiate-ment après constituèrent tout le tra
données, il me fut facile de conclure à l'existence de deux sortes d' attaques : 1" incomplètes; 2° complètes. Les premières r
. Les premières ressemblent aux symptômes prodromiques de la grande attaque à'hysteria major. Il n'y a pas perte de connaissa
ours mettent fin à cet état. Est-elle dans l'imminence d'une grande attaque , les symptômes précédents acquièrent une plus gra
Ce spasme viscéral diminue toutefois les chances que j'ai d'enrayer l' attaque . Les borborygmes ne sont pas rares. La compress
e qui commence. Un second effet de la compression dans les séries d' attaques , c'est le pas-sage subit à la période des contors
ois elle a poussé des éclats de rire. Dans toutes les autres séries d' attaques la figure de la malade revêt le masque de la tris
tête entre les épaules et se pelotonne d'effroi. Après une série d' attaques , lorsque l'accès touche à sa fin, j'en suis avert
èvres, et les mouches ne lui inspirent plus de crainte. La fin de ces attaques est marquée par un senti-ment de fatigue; elle se
euxième période que j'ai déjà dépeinte. Les trois der-nières séries d' attaques surtout ont été effrayantes comme cris, comme fur
cris, comme fureur; c'était une vraie rage. Voici le tableau de ses attaques accès depuis le mois de février 1870 : 20 févri
eposer les rares moments qui séparaient chaque fraction de la série d' attaques . Avant de devenir ma cliente, mademoiselle R...
enir ma cliente, mademoiselle R... avait, presque tous les jours, une attaque incomplète de plus ou moins longue durée, et, tro
moins longue durée, et, trois fois par mois en moyenne, des séries d' attaque qui se prolongeaient pendant cinq, six et dix heu
a famille et ne se voit refuser aucune satisfaction. En dehors de ses attaques , elle a un caractère très jovial et se trouve tou
use en ce moment, car depuis le 29 juillet dernier] elle n'a pas eu d' attaque complète ni incomplète. Quant aux faits recueil
nutes, la patiente demanda à être débarrassée, sous peine d'avoir une attaque . J'ai songé immédiatement au chlorure d'or que
us avons constaté : Une demi-heure et parfois immédiatement avant l' attaque , apparaît Y aura hystérique : ovarie gauche, doul
lus. Après un temps variant entre trois et cinq minutes, commence l' attaque . 1° L'inspiration devient légèrement sifflante,
n'y a ni pleurs ni rires; il existe une certaine mélancolie. Cette attaque durait un quart d'heure à vingt-cinq minutes, sel
ille forte, bien développée, bonne santé habituelle. Prodromes de l' attaque : malaise, anorexie, quelquefois vomissements.
de l'attaque : malaise, anorexie, quelquefois vomissements. Avant l' attaque , aura hystérique : douleur partant du côté gauche
la jeune fdle pâlit, incline la tête à gauche et perd connaissance. L' attaque est commencée : 1° Il existe une raideur semi-t
ré-solument un ennemi; tantôt, au contraire, elle s'élance sur lui, l' attaque , le frappe et cherche à le terrasser ; puis elle
i-tuel. DIX-SEPTIÈME OBSERVATION. Hystérie. Légère ovarie droite. Attaque convulsive. ' Mademoiselle X..., âgée de 16 ans
s phénomènes prodromiques (malaise, vertige, mélancolie) an-noncent l' attaque . Un peu avant l'attaque apparaît Y aura; pas de
(malaise, vertige, mélancolie) an-noncent l'attaque. Un peu avant l' attaque apparaît Y aura; pas de douleur ovarienne propre-
thmique. Hémianesthésie gauche. Dyschromatopsie chez un jeune garçon. Attaque convulsive. M. X..., âgé de onze ans, né à New-
à New-York (États-Unis), présente les sym-ptômes suivants : Avant l' attaque se montre l'aura .hystérique, consistant en : dou
lité nerveuse ne fit qu'augmenter; puis, un jour, il y eut syncope et attaque convulsive. Il s'agissait donc d'une hystérie a
-motrice. A ces différents troubles prodromiques s'ajoutent avant l' attaque les phénomènes de Yaura hysterica. La malade épro
diations constituant les différents nœuds de Yaura. Puis commence l' attaque spontanée hystéro-épileptique : A. Période épilep
l'emportent en enfer. Alors elle pousse un cri, gémit et pleure. Et l' attaque est terminée, après une durée moyenne de vingt-ci
tement après cette période de délire; c'est l'annonce, le début d'une attaque semblable à la première et bientôt suivie d'une a
ique. VINGTIÈME OBSERVATION. Hystéro-épilepsie. Prédominance de l' attaque épileptoïde. Madame X..., âgée de quarante et u
les seuls progrès de ce flot montant, la malade perd connaissance. L' attaque commence (dé-cembre 1878) : Première période. —
iode. — La malade reste dans la position où elle a été-surprise par l' attaque ; elle est en général clans l'extension, la tête r
et des hallucinations de la vue que la malade fait connaître après l' attaque . La malade, durant cette phase, reste insensibl
ements rappelant ceux de la pre-mière période (phase clonique) et son attaque semble troublée dans ses phases. Quatrième péri
VINGT ET UNIÈME OBSERVATION. Hystéro-épilepsie. Prédominance de l' attaque démoniaque. Mademoiselle X..., âgée de vingt an
ssante la tourmente et la fatigue. C'est là souvent le prélude de l' attaque (janvier 1878). Première période. — Celle-ci s'
ère scène. Deuxième période. —C'est celle-là qui prédomine, c'est l' attaque démo-niaque ou celle des contorsions. Tout d'un c
INGT-DEUXIÈME OBSERVATION. Hystéro-épilepsie avec prédominance de l' attaque de délire. Mademoiselle X..., âgée de quinze an
e la Salpêtrière, nous trouvons sept observations dans lesquelles les attaques n'ont présenté qu'un certain nombre des traits (p
s contorsions et grands mouvements) de notre description de la grande attaque . Dans les quinze autres rien ne manque au tableau
t à Garmaux (Tarn) que l'hystérie a pris naissance et que les grandes attaques ont été observées. D'autres sont d'origine étrang
ord (New-York) (obs. xvm). Il nous semble donc acquis que la grande attaque hystérique, telle que nous l'avons décrite, n'a r
cessèrent plutôt qu'à l'or-dinaire. Quelques jours après, première attaque d'une sorte de syncope, avec pâ-leur du visage, p
ou, sans spasme ni convulsions : elle dura^environ dix minutes; mêmes attaques pendant les huit jours suivants, toutes les fois
te observation re-cueillie au commencement du siècle, nous voyons les attaques convulsives se composer d'un certain nombre de ph
u'aucune cause apparente en eût dérangé la nlarche. A cette époque, attaque inopinée d'un violent accès d'hystérie, anxiété e
lle suppression, à la suite d'une émotion vive, produisit une seconde attaque , etc. Les accès ont constamment pris plus d'inten
ai également l'influence de la pression caro-tidienne sur l'arrêt des attaques et celle de la musique sur la vio-lence des convu
ant quinze mois, et durant tout ce 1. Nous étudierons plus loin les attaques hystériques compliquées de catalepsie. 2. J.-G.
et le visage qui devient hideux. QUATRIÈME OBSERVATION 1. Sur une attaque d'hystérie portée au plus haut degré, recueillie
es bains. La jeune malade en avait pris neuf, lorsqu'elle éprouva une attaque de convulsion très forte, qui revint tous les hui
nger; le reste du jour fut assez tranquille. Le lendemain, nouvelle attaque ; elle fut moins forte que celle de la veille: ent
s grimaces et les contorsions ridicules sont également signalées. L' attaque du 15 germinal présenta des phénomènes qu'on n'a-
ents opposés que la malade témoigne à sa mère immédiatement après ses attaques , tantôt l'accablant de caresses, tantôt cherchant
peu de précision dans les détails, il est facile de reconnaître que l' attaque dont il est question ne saurait être autre que ce
es qui résultent des phénomènes de délire ou d'extase par les-quels l' attaque se terminait. DIXIÈME OBSERVATION 1. R... (Ma
ndant a longtemps souffert de l'esto-mac, et le père a eu en 1861 une attaque de paralysie. La malade a eu du rachitisme et n'a
irrégulières avec des suspensions de cinq à huit mois. La première attaque est survenue à l'âge de dix-sept ans; sa seule ca
e est que la malade avait reçu des coups sur la tête. Depuis lors les attaques se sont répétées sans régularité, le plus souvent
is elle tombe si elle est debout. Pendant cette première période de l' attaque qui s'accompagne de boule hystérique, de constric
plancher; avec la perte de connaissance du monde exté-rieur arrive l' attaque convulsive à convulsions larges, étendues, égales
e dit ou fait autour de son lit n'est perçu par elle à ce moment de l' attaque . U y a un, deux ou trois paroxysmes de ce genre,
de l'attaque. U y a un, deux ou trois paroxysmes de ce genre, puis l' attaque cesse au bout d'une demi-heure ou une heure, lais
t des points douloureux. Dans quelques-uns des paroxysmes de quelques attaques , il y a de la raideur tétanique du tronc et des m
écume à la bouche, c'est la période épileptiforme. Juin 1861. — Les attaques se sont rapprochées de plus en plus; elles ar-riv
,a perdu la mémoire et a des idées singulières. Dans l'intervalle des attaques reviennent des accidents hystériques très variés,
des accidents hystériques très variés, formant quelquefois de légères attaques sans mélange d'épilepsie ou bien s'y mélangeant.
la contorsion si commune de Farc de cercle. H est dit de plus que les attaques étaient quelquefois suivies d'une phase déliran
onvulsions dans la première enfance. A seize ans, n'ayant jamais eu d' attaques de nerfs auparavant, elle assista à la mort de sa
ent ses règles, qui coulaient, s'arrêtèrent, et elle eut une première attaque qui dura vingt-quatre heures, avec perte de conna
qui dura vingt-quatre heures, avec perte de connaissance. La seconde attaque parut un mois après. Les suivantes se rapprochère
palpitations, à des nausées, à des douleurs vagues, surtout avant ses attaques . Tous les mois environ, elle est malade pendant
nt, mais l'hystérie domine presque toujours. La plupart du temps, les attaques se présentent comme suit : après quelques prodrom
s, tels que ma-laise général, tristesse, douleurs, nausées, vient une attaque hystérique, avec perte apparente de connaissance
uis les épileptiques, plusieurs fois de suite. Quelquefois elle a des attaques hystériques isolées ou des accès épileptiques iso
aques hystériques isolées ou des accès épileptiques isolés. Entre les attaques elle a une anesthésié permanente complète de tout
e y mettre fin... 17 avril. — La chorée a disparu peu à peu et sans attaque sous l'influence des douches froides. Souvent ell
.. 24 octobre. — Hier soir plusieurs malades voisines avaient leurs attaques , chacune avec son cachet propre : l'une, de l'épi
une seconde, un état de mal épileptique (obs. L); une troisième, une attaque d'hystérie; notre malade, qui avait été indisposé
rie; notre malade, qui avait été indisposée toute la journée, eut une attaque avec grandes convulsions hystériques du tronc et
de sa mère. Et c'est cette pensée qui, pendant le délire des grandes attaques , revient sans cesse à son esprit. La période ép
t, loc. cit., obs. IV. 6 décembre. — Ce matin il y a une épidémie d' attaques hystériques et hystéro-épileptiques; cinq malades
ileptiques; cinq malades en ont à la fois. Notre malade a d'abord une attaque hystérique : spasmes, convulsions étendues, les b
nny-Dôsirée), âgée de vingt-cinq ans. Père épileptique, mort dans une attaque ; grand-père paternel somnambule; un oncle paterne
pure (chutes, morsures de la langue) ; à cet âge ont paru de longues attaques avec cris et grandes convulsions. La malade a été
. cit., obs. V. tante au sortir de Saint-Yon ; mais depuis lors les attaques sont revenues comme auparavant. 12 avril 1861.
61. — Peu de jours après son entrée dans le service, elle a une forte attaque convulsive qui dure plusieurs heures et qui laiss
onnent des grimaces continuelles. 26 avril. —Hier soir ily a eu une attaque convulsive complexe, pendant laquelle la malade,
Les hallucinations variées et passagères de la vue et de l'ouïe, les attaques hystériformes, les accès d'épilepsie, la contract
nant, qu'elle ait continué à avoir de temps à autre, en dehors de ses attaques où l'hystérie prédominait, des attaques de vérita
mps à autre, en dehors de ses attaques où l'hystérie prédominait, des attaques de véritable épi-lepsie, c'est fort possible, et
n donnent bien le droit. Mais il n'en est pas moins vrai que dans les attaques où les symptômes des deux névroses parais-saient
s-saient se mêler, on retrouve facilement les caractères de la grande attaque hystérique, telle que nous l'avons décrite avec s
tte malade comme de celles que nous avons observées; et que, dans les attaques mixtes, l'épilepsie n'était quedans laforme, la n
ie. J'ai rapporté tout au long cette observation, car, en outre des attaques , il est, entre les phénomènes morbides variés qu'
t affaiblie beaucoup; elle paraît avoir été intelligente. La première attaque convulsive survint vers vingt-deux-ans, un mois a
e son entrée dans l'asile, nous ne voyons mentionnées que les grandes attaques hystériques. Elle a cependant, d'après le rapport
bout de une'ou deux minutes, l'intelligence renaît rapidement. Les attaques que nous avons vues plusieurs fois appartiennent
ais non exclusivement, au moment des règles. La malade sent venir ses attaques et demande à être camisolée. Pendant les jours qu
d connaissance ; il lui semble qu'elle a fait un mau-vais rêve. Les attaques rapportées clans cette observation présentent de
us le démon-trerons plus loin quand nous traiterons des variétés de l' attaque , appartient aussi à la grande hystérie. Il n'est
OBSERVATION1. La jeune Marie B. est le plus souvent avertie de son attaque . Tantôt, dit-elle, un fard lui monte de l'estomac
avagants, sa physionomie respire le bonheur et la volupté. Alors ou l' attaque cesse, ou bien elle continue en changeant de form
e connaissait même pas la fable de nom... Dans cette observation, l' attaque débute par des phénomènes épileptiformes non dout
de chloroforme occasionnent chez nos malades une variété de la grande attaque qui se trouve alors réduite aux attitudes passi
souvenir des hallucinations de la troisième période persiste après l' attaque , tandis que la malade de M. Baillif ne garde la m
en a. Ce coma, variable dans sa durée, constitue quelquefois toute l' attaque . Elle semble alors dormir d'un sommeil profond, s
ements du cœur tumultueux. Puis, la malade se rapproche de la franche attaque a" hystérie, s'arrache les cheveux, fait des bond
plus à la gène de la respiration ? Pendant cette seconde phase de l' attaque , la face est moins rouge, la res-piration est tou
rencontre d'une façon intermittente pendant toutes les périodes de l' attaque . Inutile d'ajouter que toutes les sensibilités so
lentement. Ni les pleurs, ni les rires, si fréquents à la suite de l' attaque d'hystérie. Une chose digne de remarque, c'est qu
s avons souvent eu l'occasion devoir M. Schiitzenberger provoquer des attaques en pratiquant une pression sur la région ovarique
Ici, tout au contraire, une pression sur la région ovarique arrête l' attaque . Si, au début de l'attaque, on exerce une région
e pression sur la région ovarique arrête l'attaque. Si, au début de l' attaque , on exerce une région énergique, on fait avorter
début de l'attaque, on exerce une région énergique, on fait avorter l' attaque ; si déjà elle dure depuis un certain temps, on ob
us a toujours réussi chez cette malade, et elle n'a jamais repris son attaque . Voici ce qui se passe : la malade, tout d'abor
nd soupir. Alors tout est fini; elle ouvre aussitôt les yeux... Les attaques ne se composent ici que des deux premières pé-rio
cédant comme il convient. De plus, la pression ovarienne arrêtait les attaques ; il existait même d'autres points hystérogènes.
ession première fut,je dois V avouer, que j'avais devant les yeux une attaque d'épilepsie; mais bientôt le tableau changea; les
ait déjà une demi-heure que j'assistais à ces différentes phases de l' attaque , quand ma-demoiselle S... se mit à pleurer, sans
our satisfaire à un pres-sant besoin d'uriner. Jamais, depuis que ses attaques existaient, il n'était ar rivé à la malade d'urin
s ni tintements d'oreilles. On ne saurait trouver une description d' attaques pins conforme à celle que nous avons donnée. Dans
intéressante observa-tion, au sujet des variétés somnambuliques de l' attaque d'hys-téro-épilepsie. QUELQUES AUTEURS ÉTRANGER
M. Charcot concernant le même sujet. La description qu'il donne des attaques est incomplète. Il est possible cependant d'y ret
ependant d'y retrouver bien des traits de notre descrip-tion. « Une attaque d'hystéro-épilepsie, dit-il, est caractérisée par
gent diabolique intérieur ou extérieur. « Pendant cette partie de l' attaque , le malade déchire avec ses mains et avec ses den
pte de ce qui se passe autour de lui. « Pendant toute la durée de l' attaque le visage est rouge, les pupilles modérément cont
t irrégulière... » L'auteur signale ensuite quelques modalités de l' attaque sur les-quelles nous reviendrons plus loin. Il y
rent avec les nôtres de nombreux points de rapprochement : «... Les attaques , souvent au nombre de 40 à 70 dans un jour, comme
Edizionne originale italiana 1878, p. 495. toreuse et profonde. Les attaques ne sont pas toujours aussi complètes ni aussi rég
ère et que les membres font des mouvements in-coordonnés. Pendant ces attaques on observe une sorte de délire de paroles et d'ac
nscience. L'étal comateux n'a été observé qu'une fois, en général les attaques étaient suivies d'une légère dépression et d'apat
tion, et dont nous traiterons plus loin au chapitre des variétés de l' attaque , il est facile de constater que les attaques de c
hapitre des variétés de l'attaque, il est facile de constater que les attaques de ces malades ont présenté la plupart des carac-
le avait été chloro-tique et était très nerveuse. C'était sa première attaque . Deux jours après son entrée, on la vit s'endormi
n lui plaçant de l'ammoniaque sous le nez ou en la piquant. Outre ces attaques , il lui arrivait souvent de marcher dans cet état
ractère timide et sensible. Elle désirait vivement être guérie de ses attaques . Elle ne présentait à aucun degré ce besoin morbi
agissaient pas à la lumière, pouls 120; température 99° Fahrenheit. L' attaque , par conséquent, ne différait en rien d'une vérit
heit. L'attaque, par conséquent, ne différait en rien d'une véritable attaque d'épilepsie. La cyanose n'était pas aussi prononc
epsie. La cyanose n'était pas aussi prononcée que dans une très forte attaque d'épilepsie, mais était nettement caractérisée, e
e de sang. Un léger trouble des idées et du vertige succédait à ces attaques , mais il n'y avait pas de stupeur, et si elles ét
e. Souvent, pas toujours, la malade était avertie de l'approche d'une attaque , et cela constitue un des éléments de diagnostic
l'aura dans la première étant généra-lement de plus brève durée. Ces attaques augmentèrent graduellement d'in-tensité et s'acom
ni la face n'étaient déviées... Enfin, la malade présente de fortes attaques hystériques convulsives, qui succèdent aux attaqu
résente de fortes attaques hystériques convulsives, qui succèdent aux attaques épileptiformes et dans lesquelles la conscience n
ent de contorsions violentes et de contractures hystériques. Dans ces attaques , il y avait fréquemment des cris qui manquaient t
courir, les yeux ouverts, évitant les obstacles, et, au sortir de ces attaques , elle était absolument inconsciente de ce qui s'é
ystériques... Pendant le sommeil, et plus rarement à la suite d'une attaque , les bras s'étendaient en croix, le corps devenai
r l'attention par une niaise tentative de symbolisme. Après une forte attaque , il n'y avait pas de stupeur, mais du vertige tou
brale et que la malade a éprouvé une frayeur à l'âge de quinze ans. L' attaque fut provoquée par l'annonce brusque de la mort su
ement défaut et son état empira; elle avait quotidiennement plusieurs attaques d'hystérie. Une se-maine après, elle fut effrayée
cerea et gardaient la position qu'on leur donnait. Elle eut plusieurs attaques épileptiformes presque semblables à celles deM.M.
ifs. Des nausées et des vomissements se montraient par-fois pendant l' attaque . Les phénomènes somnambuliques n'étaient pas si m
dait sa langue, écumait, et l'opisthotonos était très prononcé. Les attaques hystériques avaient un caractère très tranché et
asme ou une paralysie temporaire des cordes vocales suivait souvent l' attaque et causait une aphonie hystérique de quelques min
et dans une occasion, il y en eut de 20 à 25 dans un jour. Après ces attaques , il y avait pendant quelque temps de la confusion
s-ci reparaissaient dès que l'administration en était suspendue, et l' attaque était en définitive prolongée1. Les observation
s aurons appris à connaître. CHAPITRE VIII PARALLÈLE DE LA GRANDE ATTAQUE HYSTÉRIQUE OU ATTAQUE HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE ET DE L
aître. CHAPITRE VIII PARALLÈLE DE LA GRANDE ATTAQUE HYSTÉRIQUE OU ATTAQUE HYSTÉRO-ÉPILEPTIQUE ET DE L'ATTAQUE D'HYSTÉRIE VU
TÉRIE VULGAIRE. Après avoir bien défini les caractères de la grande attaque d'hystérie, il est nécessaire de rechercher quell
nécessaire de rechercher quelles relations exis-tent entre la grande attaque et l'attaque d'hystérie vulgaire, de l'hystérie q
e rechercher quelles relations exis-tent entre la grande attaque et l' attaque d'hystérie vulgaire, de l'hystérie que le pratici
donne, Louyer-Villermay n'insiste que sur l'apparence épileptique des attaques , et, pour la séparer de l'épi-lepsie véritable, n
nt peine à le contenir quand une seule suffirait hors le temps de ses attaques . L'abdomen est souvent rétracté etla compression
s malades qui vomissaient fort souvent des flots de sang durant leurs attaques . » La durée des attaques est ordinairement de p
ort souvent des flots de sang durant leurs attaques. » La durée des attaques est ordinairement de plusieurs heures; mais les a
int ordinairement la parole. Quelquefois cependant on voit de longues attaques , des attaques qui durent un ou plusieurs jours, q
ent la parole. Quelquefois cependant on voit de longues attaques, des attaques qui durent un ou plusieurs jours, qui présentent
et même prennent des aliments... » Quelquefois, à la suite de leurs attaques ou dans l'intervalle des pa-roxysmes, les malades
on à faire et qui soit bien tranchée, est relative à l'in-tensité des attaques et se tire de l'état des fonctions de l'entendeme
use, vive et instantanée. Ce qu'il y a de certain, c'est que dans ces attaques ce ne sont, en général, que les muscles employés
ns sont ordinairement plus intenses, et se rapprochent davantage de l' attaque épileptique. Quelques-uns ont un côté du corps pl
te classe que s'observent le plus souvent les malades qui, dans leurs attaques , ont de l'écume à la bouche, la face violette et
lownisme) ne saurait être mieux faite. Et leur invasion dans une même attaque est parfaitement indiquée plus loin : ce... Et qu
e est parfaitement indiquée plus loin : ce... Et quelquefois une même attaque présente des pa-roxysmes hystériques et des parox
igne épileptique. « Je ne crois pas, avec beaucoup d'auteurs, que l' attaque hystérique puisse exister encore lorsque, à une p
cita-tions extérieures, la malade offre pendant les rémissions de ses attaques , un état singulier d'extase ou de somnambulisme.
vulgaire, et comme faisant corps avec les autres manifestations de l' attaque , les paroxysmes d'extase ou de manie. 1. Compen
est une erreur de rattacher à l'hystérie comme phénomène constant les attaques de spasme suffocant avec sentiment d'ascension de
iment d'ascension de boule hystérique. Il est deux autres formes de l' attaque qui sont très fréquentes et qui coïnci-dent souve
exaltation, les hallucinations... qui peuvent se rencontrer pendant l' attaque d'hystérie. «Le délire n'est pas rare... pendan
2. » A propos des phénomènes épileptoïdes qui se rencontrent dans l' attaque d'hystérie vulgaire, l'opinion du même auteur est
ent éprouver les différents phéno-mènes qu'il vient de décrire dans l' attaque d'hystérie ordinaire, sans qu'au fond leur nature
ntrer isolés dans des accès bien distincts, ou combinés dans une même attaque . Cependant il a soin d'ajouter que, dans d'au-tre
'auteur qui les a déjà indiqués sommairement dans la description de l' attaque d'hys-térie ordinaire, y revient en ces termes :
antôt des sens. » Axenfeld1 après avoir décrit comme symptômes de l' attaque hystérique les convulsions qui se rattachent plus
ellement la malade ou qui l'ont vivement frappée peu de temps avant l' attaque . Quelquefois ses facultés sont dans un état d'exa
odorat, l'ouïe) présentent une prodigieuse finesse. Enfin pendant l' attaque , on observe quelquefois des syncopes, des halluci
803, loin. IV, pages G12. Nous terminerons cet exposé critique de l' attaque d'hystérie vulgaire par quelques citations emprun
la description que M. Briquet donne des convul-sions qui composent l' attaque d'hystérie vulgaire, le passage sui-vant a manife
ième période semble constituer à elle seule la plusgrande partie de l' attaque d'hystérie vulgaire. Aussi les auteurs la décrive
certain nombre d'hystériques dont les cris durent tout le temps de l' attaque , et ces cris sont analogues à ceux que pousserait
s les divers mouve-ments auxquels se livre la malade à ce moment de l' attaque : « Au moment, dit-il, où, après un certain tem
e une sorte de rêve. » Enfin on voit quelquefois survenir pendant l' attaque ... des hallucina-tions... des extases... » Cell
ions de choses effrayantes. Une jeune fille, qui avait eu sa première attaque immédiatement après avoir été violée, voyait touj
Dans toutes les descriptions que les auteurs nous ont laissées des attaques de la petite hystérie, nous retrouvons soit épars
rdonnés, tous les traits du tableau que nous avons tracé de la grande attaque hystérique. Nous les y trouvons tantôt atténués
lire, étaient contenus au moins en germe dans les manifestations de l' attaque d'hystérie vulgaire. La présence d'hallucinatio
sence d'hallucinations variées et de délire parmi les symp-tômes de l' attaque d'hystérie n'entraîne pas nécessairement la compl
es troubles intellectuels ou senso-riaux qui font partie de la grande attaque n'appartiennent en au-cune façon à l'aliénation m
e. »..... Oiss. Madame C... est depuis plusieurs années sujetleàdes attaques d'hys- quer, au sujet des hallucinations des hy
née d'un pareil acte de brutalité, qu'elle fut surde-champ atteinte d' attaques de nerfs qui se répétèrent les jours suivants, tr
rustes et atténuées, car il est incontestable que la description de l' attaque d'hystérie vulgaire s'éclaire singulièrement lors
stant : il est près de moi il veut me saisir. Les jours suivants, les attaques se renouvelèrent jusqu'à dix-sept fois par jour.
s d'hystérie. Cette jeune fille présente ceci de remarquable, que ses attaques sont d'abord précédées de frisson, sa figure est
uissement se prolonge encore une demi-heure ou une heure. » Après l' attaque elle reste quelque temps sans pouvoir parler, et
rai-tement. DEUXIÈME PARTIE DES PRINCIPALES VARIÉTÉS DE LA GRANDE ATTAQUE HYSTÉRIQUE Lorsque, par l'élude attentive d'un
et obscurs, jusque-là négligés à dessein. L'étude des variétés de l' attaque hystéro-épileptique nous paraît être la partie la
et celle qui pré-sente peut-être le plus haut intérêt pratique. Si l' attaque complète se rencontre rarement, le praticien se t
gaire. En montrant de quelles modifications est susceptible la grande attaque d'hystéro-épilepsie, nous espérons donner la clef
avait déjà parfaitement indiqué les transformations que peut subir l' attaque d'hystérie, dans un passage que je cilerai tout a
certain nombre des formes anormales de l'hystérie, dans lesquelles l' attaque est on peut dire, uniquement constituée par un ac
ent où survient la perte de connaissance1 ». M. Charcot admet que l' attaque d'hystéro-épilepsie peut se modifier suivant deux
même s'effacent; ainsi se produisent : a, Xattaque épilep-toïde; b, Y attaque démoniaque ; c, Y attaque d'extase; d, Y attaque
produisent : a, Xattaque épilep-toïde; b, Y attaque démoniaque ; c, Y attaque d'extase; d, Y attaque de délire1; 2° par immixti
e épilep-toïde; b, Y attaque démoniaque ; c, Y attaque d'extase; d, Y attaque de délire1; 2° par immixtion d'éléments étrangers
r immixtion d'éléments étrangers à la constitution fon-damentale de l' attaque , tels que le somnambulisme,la léthargie et la cat
ous étudierons successivement chacune de ces variétés. 1. La grande attaque se compose de quatre périodes qui peuvent se comb
ètement impossible de remplir, dans la des-cription des variétés de l' attaque , le cadre immense ainsi tracé. Nous nous bornons
CHAPITRE PREMÎEll VARIÉTÉ PAR MODIFICATION DE LA PREMIÈRE PÉRIODE. ATTAQUES ÉPILEPTOÏDES Les auteurs qui ont décrit l'attaq
REMIÈRE PÉRIODE. ATTAQUES ÉPILEPTOÏDES Les auteurs qui ont décrit l' attaque d'hystéro-épilepsie se sont contentés d'exposer l
tre première période. Témoin la description qu'en donne Briquet. (( Attaques tantôt soudaines, tantôt précédées de malaises te
ne description qui ne saurait convenir qu'à une partie seulement de l' attaque hystéro-épileptique, à la période épilep-toïde, e
nt est susceptible la période épileptoïde, dans le cours d'une grande attaque dont les diverses périodes évoluent régulièrement
Elle peut être réduite à un de ses éléments de façon h constituer des attaques épilep-toïdes incomplètes ; ou bien la prédominan
gers à la période épileptoïde et appartenant aux autres périodes de l' attaque . En outre des modifications qui portent sur les
épileptoïde, la façon dont cette période se répète pour produire les attaques épileptoïdes est encore susceptible de variété. —
core susceptible de variété. — Elle apparaît isolément à la façon des attaques d'épilepsie vraie; ou bien elle se reproduit un g
cela a lieu dans Vétat de mal épileptiqiie. Par analogie la variété d' attaque hystéro-épileptique, ainsi produite, mérite le no
téro-épileptigve. Celle dernière dénomination s'applique aux séries d' attaques composées de leurs quatre périodes. Entre ces deu
taques composées de leurs quatre périodes. Entre ces deux extrêmes, l' attaque épileptoïde isolée et Tétat de mal épileptoïde, i
pileptoïde, il existe des degrés intermé-diaires. Ainsi l'on voit les attaques , au lieu de se suivre sans inter-ruption, ne se s
heure..., ou bien ce sont de petites séries de deux, trois ou quatre attaques , qui se répètent à des intervalles éloignés, etc.
oit d'après ce qui précède que les variétés épileptoïdes de la grande attaque hystéro-épileptique puissent se multiplier h l'in
. État de mal épileptoïde ; b. Accès épileptoïdes incomplets ; c. Attaque de spasme viscéral ; d. Attaque épileptoïde ave
ccès épileptoïdes incomplets ; c. Attaque de spasme viscéral ; d. Attaque épileptoïde avec contracture généralisée et perma
nente. § 1. — ÉTAT DE MAL ÉPILEPTOÏnE Il n'est pas rare de voir l' attaque hystéro-épileptiquc se borner à sa première pério
u soir : de huit à neuf heures, il y a eu un temps de repos, puis les attaques ont repris comme de plus belle sans le moindre re
d'une manière approximative, évaluer sans exagération le chiffre des attaques épileptiformes qu'elle a éprouvées à cette époque
ptoïde se prolonger 4 ou 5 heures, et les séries composées de 50 à 60 attaques épileptiformes ne sont pas rares. Gen... surtout
s d'urines ou de matières fécales. ) Dans les courts répits que ses attaques lui laissaient, la ma-lade se levait pour satisfa
te gravité des phénomènes épileptiformes qui dominent la scène. Les attaques dont la réunion constitue l'état de mal épileptoï
at de mal épileptoïde, I. Au contraire, dans d'aulres variétés de l' attaque Iiystéro-cpileptique, la pliase épileptoïde est r
deuxième période et nous la retrouverons lors de la description de l' attaque démoniaque. Les observations suivantes que nous
nance du tétanisme. « Quelquefois, dit Hammond après avoir décrit l' attaque épileptoïde régu-lière, le spasme tétanique fait
ant une demi-heure. » ... Une malade que je soigne maintenant a des attaques quotidiennes, tou-jours à peu près à la même heur
après le commencement de la raideur, le spasme cesse subitement et l' attaque se termine par une inspira-tion longue, pour reco
toujours accompagnée (lu cri épileptique, mais moins prolongé qu'aux attaques ..... » ... Nous avons observé quatre patients q
donc, ou peut olfrir les trois ordres essentiels de symp-tômes d'une attaque d'épilepsie : les convulsions externes, les spasm
er le tableau et transformer ces menaces d'épilepsie en une véritable attaque épileptiformc composée des trois phases ordinaire
, répétée un certain nombre de fois, ne tarde pas à taire éclater une attaque épileptoïde complète avec écume et stertor prolon
établir ici entre les vertiges, les secousses, les commo-tions, et l' attaque épileptoïde. Chez une même malade on observe souv
apporterons un peu plus loin un exemple recueilli sur Gen... § 3. — ATTAQUE DE SPASME VISCÉRAL La prédominance du spasme vi
erver chez Bar... Le 26 juin 1878, B... a eu toute l'après-midi des attaques liystéro-épilep-tiques avec les caractères qu'ell
ns démenties et laisser au hasard les règles de sa conduite. § k. — ATTAQUE ÉPILEPTOÏDE AVEC CONTRACTURE GÉNÉRALISÉE ET PERMA
Ierpin, sous le nom de commotions épileptoïdes, ou bien de véritables attaques épileptiformes avec leurs diverses phases complèt
le appelle : « Bot! Bot !'» comme dans le délire qui suit ses grandes attaques . d. Enfin les accès se reproduisent avec ce même
a une heure et demie que Besch..., est contracturée et qu'elle a des attaques épileptiformes, lorsqu'on vient me chercher. Be
jambe droite par-dessus la jambe gauche. Par instants, survient une attaque épileptoïde qui présente les caractères suivants
on peut également se demander si l'on n'est pas ici en présence d'une attaque léthargique accompagnée de contracture générale,
symptômes épi-leptoïdes. Nous traiterons plus loin de cette variété d' attaque hys-téro-épileptique. ATTAQUE DEMONIAQUE A.De
aiterons plus loin de cette variété d'attaque hys-téro-épileptique. ATTAQUE DEMONIAQUE A.Delahaje et E, Lccrosnipr. GHA'P
AR MODIFICATION DE LA DEUXIÈME PÉRIODE. — 1°AT-TAQUE DE CONTORSION OU ATTAQUE DÉMONIAQUE; — 2° AT-TAQUE DE GRANDS MOUVEMENTS OU
E; — 2° AT-TAQUE DE GRANDS MOUVEMENTS OU ATTAQUE DE CLOWNISME. 1. — ATTAQUE DE CONTORSION OU ATTAQUE DÉMONIAQUE. De la desc
S MOUVEMENTS OU ATTAQUE DE CLOWNISME. 1. — ATTAQUE DE CONTORSION OU ATTAQUE DÉMONIAQUE. De la description des phénomènes mu
r arriver aux peintures afFreuses des convulsions des pos-sédés. Or l' attaque hystéro-épiîeptique peut, dans certains cas, se t
e période. Prenez en outre tout ce qui, dans les autres périodes de l' attaque , pré-sente un dehors plus ou moins extraordinaire
la troisième période. Et vous aurez ainsi constitué une variété de l' attaque bien faite pour inspirer, suivant les temps, la c
ration. Eh bien, ce n'est point là un type de fantaisie. Ces sortes d' attaques se rencontrent dans la réalité. Nous avons pu nou
a qualifiées de démoniaques. Première Période. — Dans ces sortes d' attaques , la période épilep toïde est toujours facilement
modifiée par la prédominance de la contrac- FlG. 91. — Contorsion. Attaque démoniaque. ture, ou amoindrie par la suppressi
ou généralisé. La respiration reprend pé- iùG. 'J'J. — Coutursion. Attaque démoniaque. uiblement, elle est silllante et en
u de la colère : les yeux dé- lUClIKR. • 20 ViG. 93 — Contorsion. Attaque démoniaque. mesurément ouverts, la boui^he tira
s de bête féroce. Elle se démène comme une forcenée; Ler..., dans ces attaques , ne peut conserver aucun vêtement, et a bientôt m
p. oii) de représenter l'aspect du lit de Ler.... lors de ses grandes attaques el le nombre des aides nécessaires pour la mainte
tre imaginaire ou lui l'aire la grimace, lui Fig. 9i. — Contorsion. Attaque démoniaque. FiG. 95. — Contorsion. Attaque démo
Fig. 9i. — Contorsion. Attaque démoniaque. FiG. 95. — Contorsion. Attaque démoniaque. (^"acherau visage, pendant que ses
les as-sistants de la soulager. En résumé, on voit que ces sortes d' attaques sont particulière-ment caractérisées par la prédo
nce et, en arrachant des cris affreux à la malade, im-prime à toute l' attaque un cachet de souffrance tellement horrible que le
ble émotion. Marc... etLer... distinguent fort bien elles-mêmes les attaques qu'elles nommentleurs tortillements des autres, q
s qu'elles nommentleurs tortillements des autres, qui sont \Q?grandes attaques . Elles peuvent prévoir même, d'après l'intensité
évoir même, d'après l'intensité des phé-noinènesde l'aura, le genre d' attaque qu'elles vont avoir. Elles pré-fèrent de beaucoup
attaque qu'elles vont avoir. Elles pré-fèrent de beaucoup les grandes attaques aux tortillements : dans les premières,elles perd
idérée comme l'expression la plus complète de la variété de la grande attaque que nous étudions ici. 1. L'observation du D'"
apportée plus haut (p. 226, 21'= obs.), est un exemple fort complet d' attaque démoniaque et se rapproche absolument des tor-til
mar-quée par les contractures généralisées et douloureuses. Mais l' attaque de contorsion n'existe pas toujours avec ce degré
iste pas toujours avec ce degré de violence qui lui a mérité le nom d' attaque démoniaque. Les traits en peuvent être atténués.
e d'hystérie dans lequel les manifestations variées qui composent les attaques se rapportent à notre deuxième période. La prédom
chaque fois quatre, cinq ou six jours. Des contrariétés ont rendu ces attaques très fréquentes et presque journalières. A dater
R A N D S MO L' \ E M K N T S OU AT T A Q U E DE CLOWN ISME. Dans l' attaque démoniaque, que je viens d'essayer de dé-crire, l
qu'un rang secondaire. Par contre, il existe une auti^e variété de l' attaque hysléro-épileplique également créée aux dépens de
e et à déchirer, et parfois l'accès devient furieux. D'autres fois, l' attaque de gi^ands mouve-ments n'a tien d'effrayant et se
on peut leur donner. Plusieurs fois nous avons obsei^é ces sortes d' attaques chez Gen... La péiiode é[iileptoïde était réduite
face indiquaient le retour de l'agitation. Pendant cette variété d' attaque , la perte de connaissance n'est pas complète. Que
une crise plus violenie. Les exemples de celte variété de la grande attaque ne sont pas . rares, puisqu'on peut y rr.ttacher
e écrivait à M. Charcot au sujet d'unejeune malade dont les violentes attaques convulsives lui faisaient redouter l'existence si
eint (jue nous attribuons ici à cette dénomination) dans laquelle les attaques se sont principalement bornées aux phénomènes de
i; je vais essayer de les dépeindre. La malade sent l'approclie des attaques ; elle en est prévenue par une sensation de constr
dant tout le temps de l'at-taque le pouls est très calme. Lorsque l' attaque est terminée la malade ne se souvient de rien. La
la langue française, et elle est devenue assez forte en musique. Les attaques ne semblent pas coïncider avec l'apparition ou la
ande hystérie, et les manifestations diverses dont se composaient les attaques deviennent un exemple foii J. « Chez une femme
efois désappointé et comme dans le désespoir. Trois fois, pendant une attaque , elle tourna rapidement sur ses genoux ; puis ell
fini, la malade n'avait plus conscience de ce qui s'était passé. Les attaques étaient au nombre de quatorze à quinze; elles com
antes, qui rappellent ce qui se passe parfois chez les somnambules. L' attaque débutait par une phase d'as-soupissoînentaveci^ai
bientôt pour faire place à la parfaite trauquil-lité de ses sens. Ses attaques sont irrégulières : tantôt deux fois par jour, ta
Mais, ce qui m'a le plus surpris, c'est de pouvoir lui faire venir l' attaque et de la faire disparaître à volonté. De légères
s paraît devoir être classée parmi les faits de grande hystérie, avec attaques se rapportant à la variété dont il s'agit ici. Vo
état de stupeur, le deuxième dimanche de mai 1839 voit reparaître les attaques avec les mêmes caractères que l'année précédente,
période. En tenant coinpte, en ouire, des synq:)tôines étrangers aux attaques , des circonstances qui otit pré-sidé à l'éciosion
me névrose, la gi^ande hystérie. Je ne ferai que signaler ici les « attaques de cris », hurlements, aboienienis, raiaidetnents
x)chcnt de ce que nous observons dans la seconde période de la grande attaque . On pourrait rapprocher de ces cris d'anituaux, l
]ues femmes ne les ont que de loin en loin, comme elles atiraient une attaque de nerfs; enfin dans quelques cas, ils sont pério
» GILVPITRE m variété pau modification de LA troisième période. — attaque d'attitude passionnelle. — attaque d'eXTASE. Le
ication de LA troisième période. — attaque d'attitude passionnelle. — attaque d'eXTASE. Le type de cette variété de l'attaque
ude passionnelle. — attaque d'eXTASE. Le type de cette variété de l' attaque hystéro-épilepfique est re-produit artificielleme
lkicinations qui composent habituellement la troisième période de son attaque . Sans passer par la période épi-leploïde et par c
nation; ce qui montre bien que nous avons afTaire ici à un fragment d' attaque , provoqué seulement par l'éther, c'est que la com
es! » (Maury, Revue des Deux Mondes, 1860, t. XXV, p. 696.) Quand l' attaque se produit spontanément, les attitudes passion-ne
tpeu accusés. Marc... nous offre souvent des exemples de ce genre d' attaque . Les poses plastiques les plus variées durent par
uvements toniques à peine esquissés, marquent le début d'une nouvelle attaque , et les poses plastiques récommencent aussitôL La
ti tude dure beaucoup plus longtemps ainsi qu'on le remarque dans les attaques complètes qui sur-viennent quelquefois à la suite
es, et que cette attitude passionnelle, fragment détaché de la grande attaque hystérique, est comme le fond commun sur lequel v
es visions, des hallucinations à la manière des extatiques ^ (( Les attaques d'extase, dit Briquet, peuvent se produire de deu
es; quelquefois elles sont précédées par les préludes ordi-naires des attaques de spasme ou de convulsions hystériques, de sorte
ons hystériques, de sorte que l'extase n'est qu'un des incidents de l' attaque ; d'autres l'ois les malades tombent brusquement e
e les hystériques sont susceptibles d'arriver, par l'excitation des attaques , à un maximum de puissance intellectuelle, comme
ttitudes passionnelles. Le plus souvent, lorsque chez nos malades l' attaque hystéro-épileptique se trouve réduite à sa troisi
rappants sous lesquels Oii a coutume de figurer les extatiques. Une attaque des plus remarquables de ce genre a été recueilli
cation de ses paroles \ Je rapprochei^ai des extases de Gen..., les attaques de crucifie-ment de Ler... rapportées par le même
ie-ment de Ler... rapportées par le même auteur. Crucifiement. —Les attaques dont nous avons parlé jusqu'ici consütuent de vér
t un caractère tout à fait opposé. Nous les désignerons sous le nom d' attaques de crucifiement. Elles sont précédées d'ordinaire
rait soulever le corps tout d'une pièce comme une barre de fer. Ces attaques durent quelquefois six ou sept heures, ha descent
ha descente de croix s'effectue peu à peu. Les membres qui, pendant l' attaque , étaient pâles, presque froids, deviennent bleuât
s que nous étudions en ce moment. Elle peut être considérée comme une attaque d'hystérie dans laquelle les deux dernières pério
it par la fenêtre. Ch..., (jui depuis longtemps était sujette à des attaques de nerfs, et que son état de grossesse rendait en
es crises hys-tériques nettement caractérisées. Au bout d'un mois les attaques convulsives se modifièrent. Il survint des accès
suite desquels elle affirmait avoir vu le paradis, puis de véritables attaques d'attitudes passionnelles ainsi qu'on le peut voi
stion de cetie maladie, lorsqu'au commencement de juin survinrent des attaques de nerfs, des accidents hystériformes, crises qui
r, à Alexandrine Lanois. Six semaines après, au mois d'octobre, les attaques avaient reparu, mais l'ordre des phénomènes élait
efusai donc d'inter-venir, promettant mon concours pour le cas où les attaques se continueraient au delà du terme fixé. Le dim
xtases étaient finies; Alexandrine était éveillée-Elle me dit que ses attaques ne reviendraient point de quelque temps, sans me
a volonté. A l'aide des notions que nous avons acquises sur la grande attaque hystérique, je pense rendre à ce fait extraordina
ce fait extraordinaire sa véritable signification, en rapprochant les attaques d'extase de cette variété spéciale de la grande a
prochant les attaques d'extase de cette variété spéciale de la grande attaque d'hystérie, composée d'une série d'attitudes pass
re les attitudes passionnelles de la ti'oi-sième période de la grande attaque hystérique. Je me réserve de revenir plus loin su
naires d'extase. Je renvoie également au chapitre des Yariétés de l' attaque par immixtion de symptômes cataleptiques, l'étude
. CHAPITRE IV VARIÉTÉ PAR MODIFICATION DE LA QUATRIÈME TÉRiODE. ATTAQUE DE DÉLIRE. Le délire de la quatrième période, a
isoler même complètement et constituer ainsi une variété de la grande attaque dont nous allons nous occuper maintenant. Gries
allant quelquefois jusqu'à la manie; elle se développe à la suite des attaques convulsivcs ordinaires de riiystérie; mais dans c
ques convulsivcs ordinaires de riiystérie; mais dans certains cas ces attaques sont très légères, quelquefois même l'accès de fo
nt très légères, quelquefois même l'accès de folie semble remplacer l' attaque con-vulsive, qui manque complètement; la même cho
n de mieux faire ressortir la nature vraiment hystérique de certaines attaques de délire qui, par l'absence de tout phénomène
les observations recueillies à ce sujet : a. Duns la première, les attaques de délire s'accompngnent de phénomènes hystérique
ce est comme le sceau de la grande névrose. h. Dans la seconde, les attaques de délire se montrent indépen-dmument de tout aut
montrent indépen-dmument de tout autre phénomène hystérique. § 1. — ATTAQUES DE D É E 115 E S ' A C E 0 Al P A G N A N T DE QU
nes épileptoïdes de la première période, soit que ceux-ci précèdent l' attaque délirante, ou l'interrompent de temps à autre.
us haut (page ^28) l'histoire d'unejeune lîile de quinze ans dont les attaques d'hystérie consistaient prin-cipalement en accès
entes au miheu desquelles vit la malade. Très souvent Marc... a des attaques pendant lesquelles elle ré-pète toutes les chanso
e, elle se dirige vers la porte ; on l'arrête ; c'est le début de son attaque . On s'em|resse de lacouchcr. Elle délire : «Mid
decins, etc. De temps à autre le délire est interrompu par une petite attaque épileploïde marquée par l'arrêt de la respiration
int : « Oh! là là.,, mademoiselle Bot,., Syd... soulagez-moi,,, » L' attaque continue ainsi offrant un mélange de contracture,
t la malade aux inhalations de chloroforme. Gl... à la suite de ses attaques entre dans un délire de paroles qui se prolonge q
longe quelquefois. M. Bouimeville.a conservé la relation d'une longue attaque de ce geiu-e, qui n'a pas dui^é moins de deux jou
nquille liier et cette nuit; la contracture n'a pas reparu ; mais les attaques ont commencé à 9 heures 1/2. Nous voyons L..., à
Elle reprend sa position primitive : (c Et tu continues? » Nouvelle attaque ; puis le délire reparaît, L..., croise les bras,
clonique, elle retombe dans la période du délire; il s'agit donc là d' attaques constituées uniquement par la troisième période e
s, les changements de la face qui surviennent d'habitude au début des attaques complètes. « Compte sur moi, j'ai ton amitié...
. » 10 juillet. —L... a bavardé sans cesse depuis hier sans avoir d' attaques , et son bavardage continue encore : c'est un véri
e pour que je te confie des secrets. » (Écoute) Durant celte longue attaque de délire, la température a suivi les oscilla-tio
re s'accompagnait de phé-nomènes appartenant aux autres périodes de l' attaque (grands mouvements, agitation,arc de cercle). M
ait, car jusque-là son intelligence était demeurée entière; entre les attaques , il allait, venait, vivait de la vie commune. L
t, nous avons entendu plusieurs fois le malade se plaindre, après les attaques , d'une sensation de constriction à la gorge; il p
rs un but imaginaire. Il fallut l'attacher sur son lit. Pendant ces attaques , nous essayâmes de nouveau la compression des tes
maison de ses parents en raison des dangers qu'il courait pendant ses attaques (car deux ou trois personnes ne suffisaient pas p
une vé-ritable folie ou plutôt un délire hystérique. Il a été pris d' attaques hystériques violentes, à forme paroxystique et d'
soirée, on faisait de la musique (piano), il a eu coup sur coup trois attaques , et est rentré chez lui plus sombre que jamais. L
en riant ce qu'il a fait depuis une demi-heure. Les observations d' attaque d'hystérie accompagnées de délire ne sont pas rar
rsonne pieuse et pudique, âgée de dix-huit ans, avait fréquemment des attaques d'hystérie. Les accès étaient très violents; son
. Sa mère vit encore et, depuis plusieurs années, est sujette à des attaques de nerfs caractérisées par une constriction de la
dans les quarante-huit heures qui suivirent, elle eut trois nouvelles attaques peu caractérisées et sur lesquelles nous ne pouvo
ne pouvons obtenir que des renseignements vagues. Dans Tune de ces attaques , la malade était assise, la tête renversée en arr
figure grimaçante, un peu d'écume sur les lèvres. A la suite de ces attaques , G... présente des troubles de l'intelligence inf
et elle dit elle-même que tout se passe dans son ventre. Pendant ces attaques , les figures des assistants se transforment; elle
bout de quelques heures, elle revient à son état habituel ^ Obs. V. Attaques convulsives, avec idées de possession et de multi
pieux, fut prise, le 19 janvier 1829, sans avoir eu aucun malaise, d' attaques convul-sives qui se répétèrent, pendant deux jour
cérébraux ne saurait être mise en doute. Si l'on se rappelle que l' attaque d'épilepsie véritable est parfois L W. Griesing
ra, entre ces accès d'épilepsie avec délire et quelques variétés de l' attaque de délire hystérique dont nous venons de parler,
enne, exci-tation de zones hyperesthésiques) dont l'influence sur les attaques hystériques a été déjà indiquée, et qui le plus s
nrayent aussi bien le délire que les mouvements convulsifs. ji 2. — ATTAQUES DE DÉLIRE n'AYANT AVEC LES ATTAQUES CONVULSIVES A
mouvements convulsifs. ji 2. — ATTAQUES DE DÉLIRE n'AYANT AVEC LES ATTAQUES CONVULSIVES AUCUN RAPPORT IMMÉDIAT L'attaque de
LIRE n'AYANT AVEC LES ATTAQUES CONVULSIVES AUCUN RAPPORT IMMÉDIAT L' attaque de délire n'est pas nécessairement accompagnée de
ut se montrer isolément chez une malade qui présente d'autre part des attaques convulsives, ou qui en a présenté à une époque pl
é la forme convulsive, nous ont fourni peu d'occasions d'observer les attaques délirantes complètement dégagées de toute convuls
complètement. La jeune Marie B... dont nous avons déjà raconté les attaques (page 232) présentait, en outre de celles-ci, des
tement connaissance. Enfin, à la suite d'un traitement approprié, les attaques diminuèrent en nombre et en intensité, et, depuis
apports plus ou moios éloignés qu'offrent les accès déli-rants avec l' attaque convulsive et les autres symptômes de l'hys-térie
s phéno-mènes convulsifs. Dans la seconde, c'est cinq ans après les attaques de convul-sions que survient un accès d'un délire
ans à la Salpêtrière comme fille de service. Elle a été sujette à des attaques d'hystérie, qui paraissent avoir coïncidé avec la
La mère est morte « de la poitrine » ; elle avait été sujette à des « attaques de nerfs. ». Pas de maladies graves pendant la
t abandonnée par son m.ari, et peu de temps après, elle est prise « d' attaques de nerfs » qu'elle attribue au chagrin de se voir
'elle attribue au chagrin de se voir seule avec ses deux enfants. Ces attaques , au dire des personnes qui la con-naissent, ne se
romique et plus particulièrement de la quatrième période de la grande attaque . Mais afin de préciser davantage et pour servir d
STÉRIQUES PROVOQUÉS Avant d'entrer dans l'étude des variétés de l' attaque liystéro-épileptique résultant de l'immixtion des
ciation plus juste des variétés cataleptiques et somnam-buliques de l' attaque d'hystérie et en facilitera singulièrement la des
ute en arrière rappellent, jusqu'à un cer-tain point, les débuts de f attaque hystéro-épileptique; mais la res-semblance s'arrê
nant ainsi de la connexité qui existe entre ces différents états et l' attaque convulsive vraie. Dans aucun cas nous ne l'avons
nent, suivant l'intensité de l'excitalion, l'éclosion ou l'arrêt de l' attaque , sans que la malade sorte, pour ainsi dire, de l'
conscience de rien ; la pression de la zone hystérogène, qui arrête l' attaque , ne détermine point en même temps le réveil, et l
état de sommeil que celui dans lequel elle se trouvait au moment où l' attaque a été provoquée. Le point ovarien fait excep-tion
rd. Le son, la lumière la cataleptisent; alors on peut lui donner une attaque convulsive ou la plonger dans le sommeil léthargi
at mental jusqu'au 3 décembre. Le 1" et le 2 décenribre, elle a des attaques composées d'accès épileptoïdes et de délire avec
a région ovarienne, elle recouvre la raison avec le calme ; mais, les attaques terminées, elle se trouve dans le même état menta
. — Elle a complètement recouvré la raison. On ne peut lui donner une attaque en la pressant entre les deux épaules, comme cela
s l'influence du bruit du gong, mais était immédiatement prise de son attaque hystéro-épi-leptique ; ce qui lui arriva même un
és. Habituellement, on ne peut, par ce procédé, provoquer les grandes attaques convulsives qui sur-viennent si facilement à la s
une pression sur le sommet de la tête, on voit survenir une ébauche d' attaque épileptoïde; la malade se ren-verse et se raidit,
sur le sommet de la tête. (Voy. la note de la page 4J9.) Pendantune attaque convulsive nous avons plusieurs fois ar-rêté subi
s qui me paraissent de nature à aider à la compréhension de la grande attaque hysté-rique et de quelques-unes de ses variétés.
Si l'on place les membres de la malade dans l'attitude du dé-but de l' attaque , c'est-à-dire, les bras rapprochés du tronc, les
peu de côté, la respiration précipitée s'arrêter tout d'un coup, et l' attaque hystéro-épileptique commence par la période épile
beaucoup à ce qui se passe pendant la troisième période de la grande attaque , avec cette différence toutefois que, pendant l'a
de la grande attaque, avec cette différence toutefois que, pendant l' attaque , la malade est complètement insensible à toute ex
Nous avons déjà vu, d'ailleurs, que dans la troisième période de l' attaque hystéro-épileptique de cette malade les sujets de
rt peu. La ressemblance avec les attitudes passionnelles de la grande attaque est frappante. Devant les anges, elle joint les m
suffit de placer les bras de la malade dans l'attitude du début de l' attaque pour que celle-ci suive aussitôt. Mainte-nant nou
ainte-nant nous entreprenons de lui affirmer simplement qu'elle a son attaque . Il y a un moment de stupeur et d'hésitation, mai
ur et d'hésitation, mais, au bout de quelques secondes, une véritable attaque hystéro-épileptique se déclare, que nous arrêtons
pendant l'état de veille ne peut par sa seule volonté provo-quer une attaque , mais l'expérience que nous venons de raconter n'
en langue étrangère n'ont, en aucune façon, la vertu de déterminer l' attaque . Il faut que les mots aient un sens et que ce sen
ion psychique existe et si les mots signifient qu'elle doit avoir son attaque , immédiatement l'attaque a lieu. troisieme obse
i les mots signifient qu'elle doit avoir son attaque, immédiatement l' attaque a lieu. troisieme observation. — des differents
oche beaucoup de ce qui a lieu dans la quatrième période de la grande attaque . Il existe là comme une période de transition pen
sider dans une hyperes-thésie du tact. Ce fait signalé dans plusieurs attaques de somnam-bulisme hystérique spontané, s'est mont
faits expérimentaux que nous avons provoqués et cer-tains détails des attaques de somnambulisme naturel. Dans les deux cas les s
vec les at-titudes passionnelles de la troisième période de la grande attaque hystérique, avec cette différence toutefois que,
t question ici, se reproduire spontanément dans le cours d'une grande attaque au milieu de la troisième période. Un nouveau poi
de catalepsie. Dans ces derniers cas rangés par les auteurs parmi les attaques catalepti-ques, l'état du muscle ne peut-il être
éjà 20 minutes, elle était dans cet état si souvent pré-curseur d'une attaque . Nous la considérions comme inévitable; cependant
nt dans le but de faciliter l'étude de quelques variétés de la grande attaque hystérique. Nous chercherons dans les chapitres s
chez les hystériques, sans montrer aucune rela-tion apparente avec l' attaque convulsive. Mais il peut se faire que ces phénomè
Mais il peut se faire que ces phénomènes habituellement étrangers à l' attaque , viennent s'y surajouter et constituer ainsi des
ttaque, viennent s'y surajouter et constituer ainsi des variétés de l' attaque hystéro-épileptique que nous allons étudier maint
bleus et son petit chien noir, la même hallucination que pendant les attaques . » Mais le phénomène le plus singulier présenté
d'hallucination de l'ouïe. Parfois cette absence était précédée d'une attaque . D'autres fois, elle s'arrête court; tout est fin
) CHAPITRE VII YAUIÉTÉS PAR IMMIXTION DE PHÉNOMÈNES LÉTHARGIQUES. ATTAQUE DE LÉTHARGIE. Briquet décrit dans un môme parag
. ATTAQUE DE LÉTHARGIE. Briquet décrit dans un môme paragraphe, les attaques de som-meil, de coma et de léthargie, parce qu'el
léthargie hystérique provoquée nous con-duit à comprendre sous le nom attaques de léthargie les variétés suivantes : 1° Attaqu
endre sous le nom attaques de léthargie les variétés suivantes : 1° Attaque de léthargie simple (attaque de sommeil, attaque
léthargie les variétés suivantes : 1° Attaque de léthargie simple ( attaque de sommeil, attaque de léthargie des auteurs). 2°
tés suivantes : 1° Attaque de léthargie simple (attaque de sommeil, attaque de léthargie des auteurs). 2° Attaque de léthargi
gie simple (attaque de sommeil, attaque de léthargie des auteurs). 2° Attaque de léthargie avec mort apparente. 3" Attaque de l
thargie des auteurs). 2° Attaque de léthargie avec mort apparente. 3" Attaque de léthargie compliquée : a. De contractures pa
rgie compliquée : a. De contractures partielles ou générahsées. — L' attaque de coma, décrite par Briquet, nous paraît rentrer
paraît rentrer dans ce cadre. h. De l'état cataleptiforme. Î5 I. — ATTAQUE DE LÉTHARGIE SIMPLE. Sur le nombre considérable
'observer, cet auteur n'a rencontré que trois cas d'hystérie avec des attaques consistant eu un véritable sommeil. « Dans ces
ns ces trois cas, dont les causes ne présentaient rien de spé-cial, l' attaque débutait constamment par une vive rougeur qui pa-
mbres, troubles qui ces- saient aussitôt. Chez une de ces femmes, l' attaque commençait toujours par de la constriction à l'ép
ent en résolution. Nous avons eu occasion d'observer sur Gl.... une attaque de som-meil léthargique qui a duré vingt-quatre h
vropathique, rapporte f observation d'une hystérique qui, pendant les attaques de sommeil, était tourmentée par un délire dont e
. Paris, 1869, p. 37. Del... dont j'ai déjà rapporté, page 184, les attaques convul-sives se rapprochant de celles de l'hystér
lles de l'hystérie vulgaire, est prise, en outre, de temps à autre, d' attaques de sommeil dont voici quelques exemples : 20 ju
lques exemples : 20 juin. — A cinq heures et demie du soir, série d' attaques convulsives ordinaires qui se succèdent au nombre
vulsives ordinaires qui se succèdent au nombre de cinq. A dix heures, attaque de sommeil qui dure jusqu'au 22 juin à dix heures
qui dure jusqu'au 22 juin à dix heures du matin. Pendant cette longue attaque de sommeil, Del... a uriné au lit. On l'a changée
l'a changée de linge sans qu'elle se réveillât. 7 juillet. — Quatre attaques convulsives. 8 juillet. — Attaque de sommeil de
réveillât. 7 juillet. — Quatre attaques convulsives. 8 juillet. — Attaque de sommeil de six heures du soir jusqu'au lendema
x heures du soir jusqu'au lendemain matin dix heures. il juillet. — Attaque de sommeil de six heures du matin jusqu'à quatre
eil de six heures du matin jusqu'à quatre heures du soir. 3 août, — Attaque de sommeil qui a duré de dix heures du soir jusqu
. La malade n'a pas uriné au lit. 30 août, — Del... est prise d'une attaque de sommeil depuis trente-huit heures environ. Ell
ses compagnes, puis elle serait tombée dans le sommeil. Ce matin l' attaque de sommeil dure encore. C'est un sommeil que les
au niveau de la première pièce et sur la ligne médiane provoque une attaque . La malade possède, en outre, deux autres points
hystérogènes symétriques situés sous les seins et un peu en dehors. L' attaque provoquée offre le caractères suivants : Tétani
met à prendre la nourriture qu'on lui propose. Je rapprocherai des attaques de sommeil spontané, l'intéres-sante relation d'u
fort remarquable parce qu'il montre la production artificielle d'une attaque de sommeil semblable à celles qui sur-viennent sp
les malades sur lesquelles nous avons expéri-menté. En résumé, les attaques de sommeil hystérique sont souvent précédées de p
sifs, pouvant être rapportés aux deux premières périodes de la grande attaque . Elles ont, avec la léthargie hystérique provoq
s membres. Des phénomènes semblables inaugurent, d'après Briquet, les attaques de sommeil. §2. — ATTAQUES DE LÉTHARGIE AVEC MO
blables inaugurent, d'après Briquet, les attaques de sommeil. §2. — ATTAQUES DE LÉTHARGIE AVEC MORT APPARENTE Je ne m'étendr
THARGIE AVEC MORT APPARENTE Je ne m'étendrai pas longuement sur les attaques de léthargie avec état de mort apparente. Ces fai
et à un peu de raideur des membres. — Chez d'autres il y avait eu une attaque convulsive complète, et chez une d'entre elles, c
eu une attaque convulsive complète, et chez une d'entre elles, cette attaque avait dtiré cinq heures, d La dui^ée de la léth
hez ces malades, de deux à huit jours. Il ré.suUerait de ceci que l' attaque de véritable léthargie, comme l'attaque de sommei
Il ré.suUerait de ceci que l'attaque de véritable léthargie, comme l' attaque de sommeil, est habituellement précédée de phénom
endus. Ce sei\ait donc à la suite de la première période de la grande attaque ou apt^ès la seconde que l'attaque de léthai^gie
e la première période de la grande attaque ou apt^ès la seconde que l' attaque de léthai^gie surviendrait. 1. George-Fr. Pfe
pour servir Vhistoire do la léthargie. — Paris, 1833, p. H. I 3. — ATTAQUES DE LÉTHARGIE COMPLIQUÉE DE CONTRACTURES GÉNÉRALES
les persistantes ^ et des phénomènes épileptoïdes plus accusés. Les attaques de coma décrites par Briquet rentreraient dans ce
s de coma décrites par Briquet rentreraient dans cette catégorie. « L' attaque de coma, dit-il, s'accompagne toujours de phénomè
nstitut hydrothérapique de Passy, une jeune femme hystérique dont les attaques , au point de vue qui nous occupe, présentent le p
e l'anorexie et de fréquents vomissements. Elle eut même une fois une attaque analogue à celles qu'elle présente aujourd'hui.
l'intervalle, elle est faible, triste et morose. A quelle variété d' attaque hystéro-épileptique avons-nous affaire ici? Devon
absolue est la règle. Ne devons-nous pas plutôt voir là une variété d' attaque léthar-gique avec contractui'e généralisée et per
e de M. Pascal, un second cas d'hystérie bien singulier dans lequel l' attaque composée de convulsions et de délire était arrêté
nne, est atteinte de-puis deux ans environ d'hystérie convulsive. Les attaques ,qui se renouvellent presque chaque jour et durent
le sommeil hystérique qui chez ceHe jeune fille mettait ainsi fin aux attaques convulsives, n'avait rien de simulé. On pouvait d
reize ans, et régulièrement jusqu'à dix-huit ans. En 1838, première attaque d'hystérie. Huit mois après, deuxième attaque,
. En 1838, première attaque d'hystérie. Huit mois après, deuxième attaque , dans l'intervalle céphalalgie, vomisse-ments, mé
et peu abondantes. Quatorze mois entre la deuxième et la troisième attaque . Règles très-irrégulières. Au mois d'avril et d
Règles très-irrégulières. Au mois d'avril et de mai, celles-ci (les attaques ) reparurent beaucoup plus fréquemment ; la malade
ptômes sont des vomissements et du météorisme fréquents, mais point d' attaques d'hystérie. Au bout de six semaines, elle sort
térie. Au bout de six semaines, elle sort de fHôtel-Dieu; nouvelles attaques . Quand elle rentre à l'Hôtel-Dieu, service de M
prendre les premiers jours. Quinze jours après son entrée, première attaque ; elle fut convulsive, se répéta assez fréquemment
ésicatoires à partie inférieure des jambes) et sont remplacés par des attaques qui, généralement, se renouvelaient plusieurs foi
tion par des questions pressantes, on peut retarder l'invasion de l' attaque , mais non sans qu'elle éprouve un malaise très co
t, eUe perd connaissance aussitôt que l'on s'éloigne d'elle. Dans ses attaques , il y a constamment perte complète de la sensibi-
e l'un ou de l'autre côté de la face. Toutefois, il est rare qu'une attaque se termine sans qu'il y ait eu quel-ques mouvemen
eurs personnes aient peine à contenir la malade, qui, dans beaucoup d' attaques moins violentes, peut être impunément abandonnée
décrire se combinent de différentes manières, et composent ainsi des attaques plus ou moins variées. » (P. 44,45 et 46.) Ni f
44,45 et 46.) Ni fatigue, ni propension au sommeil, ni souvenirs. Attaques de plus en plus fréquentes, 5 ou 6 en vingt-quatr
s phénomènes de ca-talepsie partielle sont complètement disparus; les attaques d'hystérie même sont moins fréquentes, présentant
e l'hôpital, dans une salle de couture. Nous voyons que pendant son attaque la malade présentait Fap-pai^ence du sommeil, ell
tait soutenu quelques secondes avant d'être abandonné à lui-même. L' attaque était précédée d'aura céphalique et s'accompagnai
oncles, parle simple contact de la main, arrêtait instantanément une attaque clonique d'hystérie avec mouvements désordonnés d
. CHAPITRE VI variétés par immixtion de phénomènes cataleptiques. attaque de catalepsie. L'hystérie et la catalepsie sont
des conditions très diverses; on le voit fréquemment accompagner les attaques d'hystérie et figurer dans cette maladie à titre
e ferai la même remarque au sujet du somnambulisme hys-térique. Les attaques de catalepsie hystérique sont le plus souvent pré
sont le plus souvent pré-cédées de prodromes semblables- à ceux de l' attaque d'hystérie : épigastralgie, globe montant à la go
e combinent avec les accès cataleptiques de deux manières : ou bien l' attaque générale débute par des mouvements convulsifs qui
sté-riques. » Espanet ajoute un troisième mode de combinaison : les attaques convulsives et de rigidité alternent et se confon
e complique les attitudes passionnelles de la troi-sième période de l' attaque hystéro-épileptique ; b) Les accès de catalepsi
ité de la catalepsie, p. 71. appartenant aux diverses périodes de l' attaque hystéro-épileptique ; c) La catalepsie apparaît
sous forme d'accès distincts chez une malade qui, d'autre part, a des attaques convulsives ou simple-ment d'autres signes d'hyst
s s'équivaloir en quel-que sorte et se remplacer mutuellement. Dans l' attaque d'hystéro-épilepsie nous avons eu l'occasion d'ob
jà parlé offre ce singulier mélange. Math. (10 juillet 1879). A des attaques convulsives depuis le matin. Au moment de la visi
cette situation. Rientôt ses membres se raidissent, et il éclate une attaque bien curieuse à observer à cause de la physionomi
cause de la physionomie spéciale de la 3° période. Description de l' attaque . Première période. — Début par les grands mouve
mmes en habit de soie et de toutes sortes de couleurs. Dans une autre attaque de la môme série, elle voyait le ciel! les anges,
que sans hallucination. L'on voit combien la troisième période de l' attaque offre ici de ressem-blances avec les expériences
t du gong demeure sans effet pendant les deux premières périodes de l' attaque , pendant la troisième, il modifie l'attitude cata
ransformation possible en léthargie. 17 juillet. — Math... a eu des attaques cette nuit. Depuis ce matin, elle est prise de
dant que nous sommes près d'elle, les secousses se précipitent et les attaques surviennent : 1° Période épileptoide. Les grand
modifiait plus l'attitude cataleptique. 16 octobre 79.— Les grandes attaques que nous observons, ce matin, chez Math... présen
cularités suivantes : La période épileploïde n'est pas constante. L' attaque débute parfois par les phénomènes de la,2" périod
éré comme une hystérie dans laquelle les attitudes passionnelles de l' attaque se compliquaient de cata-lepsie. Hélène Renault
ui faire avaler; elle n'a eu, depuis le mois d'août, que deux légères attaques de cette apoplexie cataleptique ^ 1. Œuvres de
irconstances plus rares, dit Jaccoud au sujet de la des-cription de l' attaque hystérique, la convulsion fait place à un état d'
nt un séjour de plusieurs mois à l'hôpital n'a pas présenté une seule attaque convulsive: mais deux ou trois fois la semaine, e
ondément. » Nous voyons, dans d'autres cas, les signes de la grande attaque acquérir une plus grande importance. Et il semble
rir une plus grande importance. Et il semble que, dans le cours d'une attaque régulière la catalepsie puisse se substituer à un
rvé plusieurs fois un état cataleptique manifeste inaugurer la grande attaque hystéro-épilep-tique. Les yeux grands ouverts fix
nait le tétanisme de la période épileptoïde. Dans la relation d'une attaque d'hystérie compliquée de cata-lepsie, rapportée p
remplacer en quelque sorte les attitudes de la troisième période. L' attaque se termine par quelques convulsions. Le 15. On
ations et le délire caractéristiques des deux dernières périodes de l' attaque . Une jeune fille nerveuse de 19 ans, ayant épro
ent toutes les deux nuits presque à la même heure. Les prodromes de l' attaque consistaient en palpitations car-diaques, oppress
durait plusieurs heures ; une demi-heure environ avant le début de l' attaque sur-venait de l'engourdissement des doigts et des
s doigts et des orteils. En examinant la ma-lade peu de temps après l' attaque , on constatait une anesthésie et une anal-gésie c
r un état cataleptique ( avec flexi-bilité cireuse très marquée). Ces attaques aboutissaient (mais pas chaque fois) à un délire
incendie, ou bien elle se voyait entourée d'ennemis. Vers la fin de l' attaque survenaient du hoquet et de légères secousses, pu
l'analgésie persistaient pendant une demi-journée ou un jour après l' attaque ; quand elle ne suivait pas ses mouvements du rega
it en état de diriger ses yeux vers ses membres. A la suite de fortes attaques , la flexibilité cireuse persistait encore après l
sprit. Et, au milieu de l'exubérance de son discours, chaque menace d' attaque vient rompre la suite de ses idées. Nous avons fr
fréquemment observé ce dernier fait chez notre malade Gen... dont les attaques sont pai^fois suivies d'une longue période délira
elle n'a aucun souvenir de ce qui s'est passé depuis le début de son attaque . Le 24. La malade est presque revenue à l'état
ns une mêmeattaqucde lacatalepsieet des phénomènes diversde la grande attaque hystérique. Ces derniers symptômes, pour secondai
RAIT SOUS FORME d'aGCÈS ISOLÉS CHEZ DES MALADES QUI ONT ÉGALEMENT DES ATTAQUES CONVULSIVES ou PRÉSENTENT SEULEMENT d'AUTRES SYMP
VULSIVES ou PRÉSENTENT SEULEMENT d'AUTRES SYMPTOMES HYSTÉ-RIQUES. L' attaque de catalepsie peut se montrer sans mélange d'autr
ns mélange d'autres phénomènes appartenant aux diverses périodes de l' attaque , et alter-ner chez une même malade, soit avec des
riodes de l'attaque, et alter-ner chez une même malade, soit avec des attaques convulsives com-plètes, soit avec des attaques in
malade, soit avec des attaques convulsives com-plètes, soit avec des attaques incomplètes, des attaques épilep-toïdes, des atta
aques convulsives com-plètes, soit avec des attaques incomplètes, des attaques épilep-toïdes, des attaques de grands mouvements,
, soit avec des attaques incomplètes, des attaques épilep-toïdes, des attaques de grands mouvements, des attaques d'extase, des
s, des attaques épilep-toïdes, des attaques de grands mouvements, des attaques d'extase, des attaques de délire, de somnambulism
toïdes, des attaques de grands mouvements, des attaques d'extase, des attaques de délire, de somnambulisme, etc. Dans ces cas, l
ouré de plus grandes difficultés. La malade n'a pas d'autres sortes d' attaques que les attaques de catalepsie; mais la nature mê
des difficultés. La malade n'a pas d'autres sortes d'attaques que les attaques de catalepsie; mais la nature même de ces attaque
d'attaques que les attaques de catalepsie; mais la nature même de ces attaques , les symptômes qu'on observe dans l'inter-valle p
rs des accès de catalepsie, la malade n'avait jamais pré-senté aucune attaque convulsive, et l'auteur, au chapitre du dia-gnost
venir spontanément chez les hystériques et se mêler plus ou moins aux attaques convulsives. § 1. — ATTAQUE DE SOMNAMBULISME.
tériques et se mêler plus ou moins aux attaques convulsives. § 1. — ATTAQUE DE SOMNAMBULISME. Quel est le mode de combinais
somnambulisme hystérique avec les convulsions, et à quel moment de l' attaque survient-il? Nous étudierons successivement les
ues-uns des phénomènes appartenant aux diverses périodes de la grande attaque hystérique; c) Le somnambulisme apparaît sous f
sous forme d'accès distincts chez une malade qui, d'autre part, a des attaques convulsives ou sim-plement d'autres signes d'hyst
somnambulisme apparait mêlé aux attitudes passion-nelles de la grande attaque hystérique, ou les remplace complètement M. Mes
omnambulisme aux attitudes passionnelles de la troisième période de l' attaque . Les accès d'hystérie étaient compliqués d'exta
s de somnambulisme. J'ai déjà rapporté, page 256, les détails d'une attaque d'hystérie observée par leD' Billet, et composée
des trois premières périodes. La même malade vit, dans la suite, ses attaques se modifier un peu. La période des hallucinations
les phases par lesquelles passait la malade. La première partie de l' attaque différa peu sensiblement de ce que j'avais observ
ut da-20 minutes, elle se rendort. 2 h. 1/2. — Début d'une nouvelle attaque qui est exactement la même' ^ïue la précédente, s
it cette même vision quand, pour la première fois, j'ai assisté à son attaque ; elle criait alors : « Retirez cette fosse, retir
uivante empruntée à la thèse du D' Dunant, nous timvons également des attaques composées de deux phases distinctes. Dans la pr
atement dans un état d'hystéricisme, et le lendemain dans sa première attaque de nerfs. Elle avait pleuré toute la journée, et
t le soir qu'elle tomba subi-tement sans connaissance. Cette première attaque paraît avoir duré plusieurs jours; les suivantes
26 janvier 1861.—Les règles reparaissent et font éclater une violente attaque d'hystérie qui dure douze heures : la malade affi
te au réveil. La malade ne ^ peut dire ce qui s'est passé pendant son attaque , mais elle a conscience d'avoir été malade.....
cience d'avoir été malade..... 19 février. — A cinq heures du soir, attaque d'hystérie qui dure une heure et qui est suivie d
e passer et n'a rêvé à rien. Après cinq minutes de lucidité vient une attaque que suspendent les inhalations d'éther, et la mal
conserve aucun souvenir de ce qui lui est arrivé depuis le début de l' attaque . 28 février. — La malade a passé ces sept derni
urs dans un état de délire léger entrecoupé de temps en temps par des attaques . Hier elle en est sortie conservant seulement de
dans une indifférence et dans une inertie désespérantes. Le soir une attaque met fin à cet état, et au réveil il ne reste aucu
s n'avions observé ces phénomènes. Us ont duré une minute/, puis, une attaque hystériforme, sans écume à la bouche, est sur-ven
isée et de-meure plongée dans un état extatique. Le soir survient une attaque d'hys-térie semblable à toutes les autres, mais a
octobre. — Pendant un mois la santé a été assez bonne. Hier soir une attaque hystérique, survenue sans cause appréciable, a ét
nambulisme hystérique présente avec la troisième période de la grande attaque , des affinités qu'on ne saurait méconnaître, et q
nelles de la troisième période, ou les remplaçant dans le cours d'une attaque . b) le somnambulisme n'EST accompagné que de qu
e de quelques-uns des phénomènes appartenant aux quatre périodes de l' attaque . Deux observations recueilhes dans la clientèle
le ne conserve aucun souvenir de ce qui s'est passé. La plupart des attaques de somnambulisme débutent d'emblée ; d'autres foi
La malade était une jeune fille américaine de l'âge de neuf ans. Les attaques changèrent de caractère à la suite de l'apparitio
brusquement, comme si elle sortait d'un rêve. Alors survJpQnent les attaques de somniation (avril) : « Quatre, cinq ou six f
elles, des pleurs et des sanglots. » A la date du 27 mai une de ces attaques est décrite tout au long. Véritable scène de so
lue. Au 15 juillet. Amélioration par un traitement ferrugineux, les attaques cessent pour faire place à une toux convulsive qu
des règles à l'âge de 10 ans. La maladie change de caractère, et les attaques deviennent plus franchement hystéro-épileptiques.
ssoupissement profond. Enfin un quart d'heure après le début de cette attaque , une troisième inhalation d'ammo-niaque avait dét
facile de trouver là les principaux traits de notre description de l' attaque hystéro-épileptique : mutisme et agitation des pr
tétanisme; arc de cercle; des inhalations ammoniacales arrêtent ici l' attaque . Mais à son réveil la malade se plaint d'étourdis
trouve si souvent chez les hystériques. Pendant plusieurs jours les attaques se reproduisent de la même façon. M. Moissenet en
eut débuter par une série de phénomènes qui rappellent le début d'une attaque d'hys-térie : spasmes toniques et contorsions des
, face vultueuse, respiration profonde et précipitée. Cette ébauche d' attaque hystérique précède surtout les accès somnambuliqu
orte le cas d'une jeune fdle hystérique qui avait tous les jours deux attaques d'hystérie : l'une à midi, qui était une attaque
tous les jours deux attaques d'hystérie : l'une à midi, qui était une attaque hystérique convulsive ordinaire, de moyenne inten
lieu régulièrement tous les soirs entre six et sept heures, était une attaque de som-nambulisme. Elle se levait, allait regarde
it raide à bas de sa chaise, jetait un grand cri, et avait une petite attaque convulsive. Au dé-but de son premier sommeil, il
r,se manifestantsubitement à la suite d'une violente émotion, par des attaques convulsives. Puis les attaques changent de form
uite d'une violente émotion, par des attaques convulsives. Puis les attaques changent de forme, et surviennent des atta-ques d
ent venant d'expirer dans son lit. — La jeune fille est prise d'une attaque d'hystérie violente et pro-longée. » A partir d
a malade qui fait le sujet de l'observation suivante n'a ja-mais eu d' attaques convulsives, mais l'hystérie est décelée par les
décelée par les accidents les plus variés. 11 existait, en outre, des attaques de catalepsie, et des accès de sommeil artificiel
anite, hématémèse, hypéresthésie de la région ova-rienne, etc.; pas d' attaques convulsives. Depuis sa seconde entrée à la Piti
e catalepsie qui la surprennent de temps en temps dans son lit. Ces attaques varient d'intensité et de durée, et se montrent à
le présente d'autres fois, mais qui ne va ja-mais chez elle jusqu'à l' attaque hystérique. » On l'a endormie déjà bien des foi
juillet 1875, Emilie J. est toujours à peu près dans le même état. L' attaque cataleptique n'a reparu qu'une fois depuis le 19
ossible, chez une malade dont l'hystérie ne se traduirait que par les attaques de somnambulisme, de reconnaître la véritable nat
mbulisme, de reconnaître la véritable nature des acci-dents. § 2. — attaque compliquée de somnambulisme et de catalepsie. L
nre différent. Mais ils peuvent aussi se montrer réunis dans une même attaque , se succédant l'un à l'autre sans que la malade r
rbide, se modifie et se transforme en catalepsie. Briquet dit que les attaques de catalepsie se transforment parfois en léthargi
s se, 1742, p. 409). Mademoiselle V***,âgée de vingt ans. Plusieurs attaques de catalepsie pure. « Mais dans le mois d'avril e
s d'avril et de mai de la même année 1737, elle eut plus de cinquante attaques d'une autre maladie, dans lesquelles on distingua
v.) malade au lit; la faiblesse et le mal de tête l'y retenaient; l' attaque de cata-lepsie venait de la prendre, et la quitta
u'elle di-sait avait quelque suite avec ce qu'elle avait dit dans son attaque du jour pré-cédent, où, ayant rapporté mot pour m
ie; cepen-dant elle ne l'est point : elle a chaque hiver de nouvelles attaques de cet acci-dent vif, avec cette différence que l
la privation de sentiment n'est pas si parfaite; car un jour dans son attaque on la trouva qui parlait à son image qu'elle voya
u'elle voyait dans l'eau ; et aux dernières fêtes de Noël, durant une attaque , elle distinguait confusément une personne à ses
rises on plaça sous ses narines un flacon d'o-deurs suaves, pendant l' attaque de catalepsie et l'on obtint sur-le-champ la cess
aire. Elle ne prévoyait assez justement que le retour des pro-chaines attaques . Aucun souvenir au réveil. Plus tard après l'ét
l. Plus tard après l'établissement de la première menstruation, les attaques se compliquèrent d'hystérie. On observa également
lique offre de grandes analogies avec le délire qui termine la grande attaque d'hystérie. En voici les prin-cipaux caractères t
aitement décrits in-téressaient tous les sens. variées de la grande attaque hystérique sont nombreux et faciles à établir. Au
ents convulsifs généralisés, qui présentent tous les caractères d'une attaque depi-lepsie. Voici le récit de quelques expérie
epsie. Voici le récit de quelques expériences : Hallucinations et attaques épileptiques chez un chien sous Vinfluence de Ves
d'absinthe à neuf heures un quart du matin, nous voyons une première attaque d'épilepsieà neuf heures trois quarts; dix minute
'épilepsieà neuf heures trois quarts; dix minutes après, une deuxième attaque se pro-duit suivie d'une légère hébétude; revenu
même direction, puis il se rassure complètement. Hallucinations et attaques épileptiques chez un chien sous l'influence de l'
elle est très violente et suivie à très court intervalle, d'une autre attaque également très intense. Les deux crises sont tout
ait semblable^ à la première, elles sont suivies d'une série d'autres attaques qui sont tellement rapprochées qu'elles deviennen
ission û'une petite quantité d'urine T. R. 39°8. Depuis la première attaque , il s'est écoulé environ une demi-heure. Peu à qe
igrés et fortement épicés. Il paraît avoir été frappé, en 1870, d'une attaque convulsive pendant qu'il était de garde aux rempa
rant occasionné par le hachisch avec la variété spéciale de la grande attaque hystérique décrite sous le nom d'attaque de délir
ariété spéciale de la grande attaque hystérique décrite sous le nom d' attaque de délire. Il semble que dans les accès déliran
rants du hachisch lesphénomè-nes de la troisième période de la grande attaque et ceux de la qua-trième soient mélangés. Contrai
PERMANENTS DE L'HYSTÉRO-EPILEPSIE OU GRANDE HYSTÉRIE. En outre des attaques et de leurs nombreuses variétés, la grande hystér
spontanément certaines variations d'intensité. Avant comme après les attaques , elle s'accuse davan-tage. Sa disparition est un
, sous certaines influences, dont la mieux connue est l'imminence des attaques . VI. — La durée des oscillations est fort varia
a paralysie hystérique. La paralysie hystérique succède parfois aux attaques convul-sives, et fait en quelque sorte partie de
ontre également, à titre de symptôme permanent, dans l'intervalle des attaques . La paralysie peut intéresser les différents mu
te aux membres inférieurs qu'aux membres supérieurs; d) qu'enfin elle attaque très rarement les muscles de la face. La paraly
nous-même en plusieurs circonstances, mais surtout avant ou après les attaques convulsivos au moment où il se produit une aggrav
ns tous les détails de sa Symptomatologie. Dans ses rapports avec l' attaque hystéro-épileptique régulière, la contracture se
que estalorsgé-nérale et transitoire. Parmi les variétés de la grande attaque , nous avons vu qu'il en est dans lesquelles la co
elles la contracture géné-ralisée joue un rôle prédominant. Après l' attaque convulsive ordinaire la contracture partielle qui
térique permanente, dont il s'agit spéciale-ment ici, présente avec l' attaque convulsive des relations étroites, puisqu'elle y
ance. Elle peut cependant survenir spontanément dans l'intervalle des attaques , et sans affecter avec elles aucun rapport immédi
,Q,''Qsi-'à-à\Ye, qui ne présente pas au nom-bre de ses symptômes les attaques de convulsion même atténuées. On la rencontre sou
tômes perma-nents, comptera au nombre de ses manifestations la grande attaque hystérique elle-même ou ses diverses variétés.
phique de la Salpêtrière, tom. II, pag. 93. Wand..., à la suite d'une attaque convulsive d'hystéro-épilepsie qui a duré trois j
s ont avec les mouvements rhythmés de la seconde période de la grande attaque des analogies tellement frappantes, qu'il semble
accompagne ordinairement, ne permettent pas de les classer parmi les attaques convulsives proprement dites, dont la nature est
es) qui se rencontrent fréquemment chez les hystériques en dehors des attaques . Lachorée rhythmique peut même se montrer dans
l'épilcpsie. En réalité la difficulté n'existe pas là. En dehors des attaques , les autres symptômes de la maladie forment un en
d'une façon complètement indépendante les uns des autres et dans des attaques parfaitement distinctes; l'autre, hystéro-épileps
ptômes hystériques et épileptiques se montrent mélangés dans une même attaque . La première indique, chez un même sujet, l'exist
s et de l'épilepsie véritable. J'ai déjà eu l'occasion, au sujet de l' attaque épileptoïde d'en indiquer quelques-uns. a) Acti
érie, la santé générale des malades ne paraît pas souffrir. La grande attaque , les longues séries elles-mêmes ne laissent le pl
conserva-tion intégrale de l'intelligence et des sentiments avec des attaques fréquentes d'é-pilcpsie est chose des plus rares.
époque de la menstruation. J'ai parlé plus haut de la violence de ses attaques convulsives qui revêtent le caractère démoniaque.
ée de cinquante ans, est entrée à la Salpêtrière en 1869. La première attaque convulsive a eu lieu à l'âge de vingt-cinq ans. D
ations de l'hystéro-épilepsie ont revêtu les formes les plus variées ( attaques convulsives, ischurie, contracture permanente, dy
uel n'a pas varié. CHAPITRE II traitement § 1. — TRAITEMENT DES ATTAQUES A. — INHALATIONS MÉDICAMENTEUSES Je ne m'arrête
i pas longuement sur les divers médicaments employés pour arrêter les attaques . ^ Les inhalations de chloroforme, les inhalati
ce sur la région ovarienne,.sont impra-ticables pendant la durée de l' attaque , mais employées pendant les 1. Nous avons vu co
raux (hoquets, secousses du ventre, etc..) qui, dans l'intervalle des attaques , tourmentent les hystériques. G. — COURANTS CON
us avons toujours procédé de la manière suivante : la malade étant en attaque , nous appliquions, au moyen de bandes, l'un des r
dans n'importe quel sens, le courant de 10 à 15 éléments, on voyait l' attaque s'arrêter; le délire loquace, qui caractérise que
jusqu'à ce qu'une crise incomplète revînt : puis assez rapidement les attaques cessaient complètement. Geneviève B... nous a f
btenue par le courant continu. Cette malade peut avoir jusqu'à trente attaques en une heure. Sous le courant elle en a deux ou t
e c'est bien au passage de l'é-lectricité qu'est due la cessation des attaques . 1. De la valeur thérapeiUique des courants con
e Ba...,nousa donné des résultats identiques. Dans plusieurs séries d' attaques , nous avons vu les accès s'arrêter sous l'influen
tant disposés comme nous l'avons dit plus haut, nous attendons qu'une attaque se produise, puis, d'un coup, nous intervertisson
d'un coup, nous intervertissons le courant au moyen du commutateur. L' attaque s'arrête tout net. La malade se réveille comme ét
ont très souvent donné ces résultats. Dans des cas moins heureux, l' attaque avorte, mais la connais-sance ne revient pas, et
mpte de la manière dont agit le courant constant quand il diminue les attaques et quaiui il les arrête. Pour ce qui est des in
courant faible (5 à 10 éléments de l'appareil Trouvé) n'arrête pas l' attaque , mais elle en atténue la violence, et pendant un
montrer l'efl'et de la compression de l'ovaire. — N° 1 T. Début de l' attaque . ïétanisation brusque. C. Détente amenée par la c
nce, la nommée Gen.... )) Tant que dure la compression ovarienne, l' attaque est éloignée, pour paraître aussitôt que cesse la
n trouve le résultat auquel nous sommes arrivés sur lafig. 103. Une attaque commence en T, la période tonique se développe. O
: ) Observation I. — Gl..., hystéro-épileptique, 23 août, 1878. En attaque depuis le malin; on établit la compression à 3 h.
e lemps la malade a mangé et dormi. A 10 h. on enlève l'appareil, les attaques reprennent ; légère inhalation de chlo-roforme et
12, 24 el même 48 heures, pour interrompre un état de mal. Jamais les attaques ne se sont présentées pendant la durée de la comp
ée de la compression; Toujours, quand on cessait la compres-sion, les attaques reparaissaient, mais il suflisail toujours aussi
aut revenir plusieurs fois à ces inhalations avant de voir cesser les attaques , quand on n'a pas recours au compresseur. )) Ob
a-reil a été appliqué très souvent, soit pour interrompre une série d' attaques , soit pour prévenir les attaques. La malade, prév
t, soit pour interrompre une série d'attaques, soit pour prévenir les attaques . La malade, prévenue par les prodromes qui annonc
ion réussit également bien contre le délire qui succède chez elle à l' attaque et on peut graduer le retour à l'état de raison e
ne échoue complète-ment. La compression de l'ovaire, qui arrête les attaques , peut, en de-hors des crises, déterminer la produ
i les zones hyperesthésiées. e. — influence de la musique sur les attaques Les expériences dont nous avons parlé plus haut
es-unes de nos malades, nous avons vu survenir sous cette influence l' attaque de catalepsie, voire même la grande attaque. Chez
ir sous cette influence l'attaque de catalepsie, voire même la grande attaque . Chez toutes, un bruit violent -détermine un trou
arçon apothicaire, se trouvant à côté d'une demoiselle en proie à une attaque de passion hystérique, tira un coup de pistolet q
s sonores du tam-tam a toujours été sans résultat pendant les grandes attaques , même chez celles que le tam-tam impressionnait l
troublent pas plus que les coups de tam-tam l'évolution d'une grande attaque d'hystéro-épilepsie, à quelque période que se fas
aux accès convulsifs sans perte de connaissance, et aux variétés de l' attaque dans lesquelles la sensibilité spéciale persiste
cas elle disparaît peu à peu ou cesse brusquement à l'approche d'une attaque . Nous avons fait c onnaître, il y a deux ans, u
les jours précédents se faisait rapidement. C'est un indice certain d' attaque très prochaine et souvent, c'est le seul, les sig
sure que la sensibilité et les fonctions organiques s'améliorent, les attaques ou les autres manifestations de l'hystérie s'atté
ot, l'influence du maintien de la sensibilité sur l'éloignement des attaques et cela dans des séries d'expériences répétées à
tif. Paralysies. Contractures. —Si ces accidents coexistent avecdes attaques ils rentrent dans les catégories précédentes. S'i
ciie de trouver là le même cortège de symptômes principaux. La grande attaque s'y retrouve avec la succession de ses différente
ucinations qui rappellent celles de la troisième période de la grande attaque ; les contorsions qui se trouvaient mêlées à la da
timent de bien-être qu'il n'est pas rare d'observer après les grandes attaques hystériques. La musique saisissait fortement le
moins éloignés qui se rapprochent beaucoup des prodromes de la grande attaque d'hystérie. Vers la fin de l'épidémie, du temps
s de la motilité (soubresauts, se-cousses, contracture de l'œsophage, attaques convulsives) et de la sensibilité (anesthésie, hy
e dans un lit voisin de celui de Gertrude tomba la pre-mière dans des attaques de convulsions : à la suite des paroxysmes, sa ra
la bouche, sans que pour l'heure il lui en advint autre maP. » Les attaques convulsives débutaient parfois par une phase d'im
ations erotiques qui font partie de la troisième période de la grande attaque hys-térique. La description suivante nous rappell
t de rapprochement : le souvenir des halluci-nations persiste après l' attaque . « Les nonnains du couvent de Nazareth à Cologn
facile de retrouver les symptômes de la deuxième période de la grande attaque hystérique, avec les contorsions étranges et les
ontorsions étranges et les «grands mouvements». Dans l'intervalle des attaques , on peut relever la contracture de l'œsophage, de
mangeant point la viande, et rotant incessam-ment'.....» A côté des attaques de « grands mouvements » nous trouvons signalées
ôté des attaques de « grands mouvements » nous trouvons signalées des attaques de léthargie avec contracture généralisée. « Le
rière et que tous les signes que nous avions constatés chez elle, les attaques , l'anesthésie, les contractures et le reste, n'ét
Il est bien difficile de n'y pas reconnaître les grands traits de l' attaque convulsive de la grande hystérie avec quelques-un
e de la grande hystérie avec quelques-unes de ses variétés, comme les attaques de délire, de léthargie, de catalepsie même et de
ois de suite, à la façon de ce qui se passe dans les grandes séries d' attaques hys-tériques. « Pendant que le frère lit la for
ette déposition M. le commissaire dresse des procès-verbaux ^ » Les attaques de convulsion des religieuses n'attendaient pas t
que dans cette période d'excitation délirante qui suit ou précède les attaques . laquelle ledit Barré a repoussée avec les doig
n » telle que nous l'avons décrite à la deuxième période de la grande attaque hystérique (voy. p. 73 et p. 303 jouait un grand
n parlait à Monsieur, et qu'il allait finir l'exorcisme, d sentit les attaques d'Isaacarum, qui le renversa deux fois et lui rem
ent décrite dans les extraits qui sui-vent. Nous avons vu comment les attaques de catalepsie étaient facilement provoquées chez
paraissent d'abord absoluutent saines d'esprit et de corps tombent en attaque pentlant l'examen médical. Il semble que l'on pui
ue pentlant l'examen médical. Il semble que l'on puisse attribuer les attaques de la troisième à l'attouchement d'un point hys-t
ous les caractères du délire hystérique, l'une offre un bel exemple d' attaque de contorsion avec attitude de Varc de cercle, et
mun, et l'imitation jouait alors un grand rôle dans la production des attaques convulsives. D'ailleurs les diables s'excitaient
pravations et actions déréglées*. » Nous avons décrit sous le nom d' attaque démoniaque une variété de la grande attaque hysté
vons décrit sous le nom d'attaque démoniaque une variété de la grande attaque hystérique qui prend sa source dans un développem
i haut et aussi égal, que si rien ne leur fut arrivé K » A côté des attaques de convulsion on observe des attaques de délire,
eur fut arrivé K » A côté des attaques de convulsion on observe des attaques de délire, soit que celles-ci succèdent à celles-
ernard tout ce que tu dois faire pour cette maison ^ » En outre des attaques de délire, nous trouvons signalés en divers passa
divers passages les accès de léthargie, de catalepsie et d'extase. L' attaque de léthargie est ainsi décrite par Le Breton :
ette impression K » Le passage suivant a bien trait à une véritable attaque de contracture géné-ralisée : «... Cependant ce
. A Morzines il y avait prédominance des convulsions, à Verzegnis les attaques étaient plus particulièrement délirantes; mais, d
nes qui caractérisent la première et la deuxième période de la grande attaque (période épilepto'ide et période des contorsions
cumeux. » IjC même état se prolonge. "En 1731, apparaissent « des attaques d'apoplexie qui revenaient réguhèrement tous les
ssez de force pour se lever et pour sortir. » Vers le mois de mai « attaque d'apoplexie dont les symptômes sont si terribles
cession de ce saint diacre, elle sera guérie. » Elle tombe ensuite en attaque , on est obligé de la rapporter chez sa mère. Le
on est obligé de la rapporter chez sa mère. Le 15 juillet nouvelle attaque à la suite d'un « prodigieux » vomissement de san
s dont elle souffrait a cédé successivement à la suite de chacune des attaques convulsivos qui ont eu lieu sur le tombeau. Les
de préciser les prin-cipaux caractères des accès léthargiques et des attaques de convulsion. Il est facile d'y reconnaître le
on. Il est facile d'y reconnaître les traits de diverses variétés d' attaques hystériques. Les attaques de léthargie étaient
nnaître les traits de diverses variétés d'attaques hystériques. Les attaques de léthargie étaient précédées d'une phase épilep
de leur durée. « La mère de la malade nous décrit plusieurs de ses attaques . 11 y avait déjà plus de six niois, dit-elle, que
s, dit-elle, que tous les quinze ou vingt jours elle tombait dans des attaques d'apoplexie... Dans le mois de juin, elle en eut
ieurs fois dans ce mois pour Pensevelir; mais les deux plus violentes attaques qu'elle essuya furent le 8 et le 15 juillet, veil
suya furent le 8 et le 15 juillet, veille de sa guérison. Lors de ces attaques , son visage devenait violet, sa gorge s'enflait,
t pour le tombeau du Bienheureux, Marguerite Duchesne est prise d'une attaque qui se termine par des vomissements de sang et qu
rmine par des vomissements de sang et qui offre plusieurs traits de l' attaque épileptoïde. « Le 16 juiUet, jour du départ, il
tombeau on peut retrouver les signes des deux premières périodes de l' attaque de grande hystérie. « Sur le champ, la tombe se
vomissements de sang, et de retour chez elle put manger. Une autre attaque semblable aux précédentes a lieu dans les mêmes c
ivement sous Tin-fluence d'une vive impression morale et à la suite d' attaques convulsives net-tement caractérisées. Le cas de
de la demoiselle Hardouini n'est pas moins probant. Il montre que les attaques se succédaient quelquefois par séries. (S Je fu
à la suite de mes convulsions. » La nature hystérique de semblables attaques convulsives ne saurait échapper. Les grands mouve
sser plusieurs fois. » La contracture guérit subitement pendant une attaque . Le 14 avril, vers les sept heures du soir (ajo
tant plus grand que les secousses avaient été plus marquées^. » Les attaques pendant lesquelles la connaissance étaient conser
s que nous avons rapportés jusqu'ici, nous avons pu constater que les attaques convulsives empruntaient toutes leurs manifestati
première période et principalement à la deuxième période de la grande attaque hystérique telle que nous l'avons décrite. 1. C
II, p. 320). Avec l'extension de l'épidémie on vit s'adjoindre aux attaques de convul-sion les phénomènes hallucinatoires et
et délirants de la troisième et de la qua-trième période de la grande attaque . J'emprunte à Calmeil^ le récit abrégé de l'obs
renom parmi les convulsionnaires de Saint-Médard, et tooibe dans ues attaques convulsives qui font croire à ses familiers qu'el
c'étaient là des mystères de Satan, la veuve Thévenet tomba dans les attaques convulsives les plus terribles. On vit aussitôt u
llucinations tristes, caractérisent la troisième période de la grande attaque ? Mais les attitudes passionnelles, ainsi que le
insi que le délire qui caractérise la qua-trième période de la grande attaque , se montraient de préférence sous forme d'accès i
Montgeron,/oc. cit.; \). 88. Plusieurs convulsionnaires avaient des attaques de léthargie avec contrac-ture, ainsi qu'il resso
es variétés delà première période ou période épileptoïde de la grande attaque . Au sortir de là, les convulsionnaires entraient
qui se rapproche en tous points de la troisième période de la grande attaque ou période des attitudes passionnelles. Les visio
ns un troisième tout un côté. Une jeune fdle qu'il connut avait eu 70 attaques et jusqu'à 7 en un jour; elle avait perdu la paro
rrions rapporter fort exactement à la troi-sième période de la grande attaque , avec les attitudes expressives qui la ca-ractéri
même personne, et le danger qu'elles font courir augmente avec chaque attaque nouvelle. Nous avons dit que les secousses se mon
de curiosité poussait à assister aux réunions où se produisaient les attaques de secousses, se trouvaient souvent saisies du mê
ômes saillants et remarquables : l'un phy-sique, et consistant en une attaque spasmodique, des contractions involon- 1. Johu
levé, dit Sonden, serait l'état oii se trouvent les malades après une attaque de convulsion, lorsqu'ils tombent soudain sans co
mps dans un état d'assoupissement ou d'absence des sens; et pendant l' attaque ils sont tantôt parfaitement tranquilles et comme
de relever les analogies qu'elle présente avec une des va-riétés de l' attaque de grande hystérie, formée surtout aux dépens de
ent les plus grandes analogies avec la troisième période de la grande attaque hystérique. vie DE DOUCELINE (1274). En nom d
cènes variées de l'extase et les attitudes passionnelles de la grande attaque hys-térique sont si saisissantes, que celles-là p
avec les attitudes passionnelles de la troisième période de la grande attaque d'hys-térie. Je me contenterai d'extraire du li
squels il a été traité plus haut de la troisième période de la grande attaque hystérique (p. 94-), de la variété qui résulte de
e la prédominance marquée de la période des attitudes passion-nelles ( attaque d'extase) (p. 319), enfin de la variété ([ui résu
a facilité de son emploi, qui permet à la malade « qui sent venir ses attaques » de se l'appliquer elle-même, et par la possibil
............................... 141 Chap. VI. — Marche. — Durée des attaques . — État de mal hys^éro- épileptique............
.......................... 257 Ghap. VIII. — Parallèle de la grande attaque hystérique ou attaque hys- téro-épileptique et
.... 257 Ghap. VIII. — Parallèle de la grande attaque hystérique ou attaque hys- téro-épileptique et de l'attaque d'hystéri
grande attaque hystérique ou attaque hys- téro-épileptique et de l' attaque d'hystérie vulgaire................. 204 DEUXIÈ
4 DEUXIÈME PARTIE des principa/.es V a li i e t é s i)e la grande attaque hystérique. Chai'Itue premier. — Variété par mo
ai'Itue premier. — Variété par modification de la première période. Attaques épileptoïdes... ". ..............................
ue de spasme viscéral.................................. 296 5^ 4. — Attaque épileptoïde avec contracture généralisée et perma
— Variété par modification de la deuxième période.......... § 1. — Attaque de contorsion ou attaque démoniaque..............
on de la deuxième période.......... § 1. — Attaque de contorsion ou attaque démoniaque.................. 303 § 2. — Attaque
ue de contorsion ou attaque démoniaque.................. 303 § 2. — Attaque de grands mouvements ou attaque de clownisme.....
niaque.................. 303 § 2. — Attaque de grands mouvements ou attaque de clownisme......... 310 Ghap. III. — Variété
10 Ghap. III. — Variété par modification de la troisième période. — Attaque d'attitude passionnelle. — Attaque d'extase......
ication de la troisième période. — Attaque d'attitude passionnelle. — Attaque d'extase........................ 319 Ghai'. IV.
--------- - -.......................................... 333 ^ \ . — Attaque de délire s'accompagnant de quelques phénomènes a
de quelques phénomènes appar-tenant aux autres périodes de la grande attaque ..................... 334 § 2. — Attaque de déli
utres périodes de la grande attaque..................... 334 § 2. — Attaque de délire n'ayant avec les attaques convulsives a
..................... 334 § 2. — Attaque de délire n'ayant avec les attaques convulsives aucun rap-port immédiat..............
éthargie................................................ 429 § 1. — Attaque de léthargie simple................•.............
ue de léthargie simple................•................. 429 § 2. — Attaque de léthargie avec mort apparente.................
e de léthargie avec mort apparente.....................' 436 § 3. — Attaque de léthargie compliquée de contractures générales
CiiAP. VII. — Variétés par immixtion de phénomènes cataleptiques. — Attaque de catalepsie....................................
ont accompagnés de phénomènes appar-tenant aux diverses périodes de l' attaque hystéro-épileptique........ 465 c). — La catale
t sous formes d'accès isolés chez des raiilades qui ont également des attaques convulsives ou présentent seulement d'autres sy
Chap. Vni. — Variétés par immixtion de phénomènes somnambuliques. Attaque de somnambulisme.................................
de somnambulisme...................................... 479 ,^ ï. — Attaque de somnambulisme.................................
omnambulisme apparaît mêlé aux attitudes passionnelles de la grande attaque hystérique ou les remplace complètement........ 4
e de quelques-uns des phénomènes appartenant aux quatre périodes de l' attaque .......... 494 c) . — Le somnambulisme apparaît
ît sous forme d'accès distincts chez une malade qui d'autre parta des attaques convulsives ou simplement d'autres signes d'hysté
signes d'hystérie...................................... 502 § 2. — Attaques compliquées de somnambulisme et de catalepsie....
nt .......................................... § 1. — Traitement des attaques .......... ...................... A. — Inhalatio
.......................... 593 E. — Influence de la musique sur les attaques ..................... 599 ^ ''I. — Traitement de
334, dernière ligne du titre. — Au lieu de : aux autres périodes de l' attaque ; lisez : aux autres périodes de la grande attaque
utres périodes de l'attaque; lisez : aux autres périodes de la grande attaque . Page 343, ligne 4. — Au lieu de : les observat
rande attaque. Page 343, ligne 4. — Au lieu de : les observations d' attaque d'hystérie accom-pagnées de : lisez : les observa
ns d'attaque d'hystérie accom-pagnées de : lisez : les observations d' attaque Jiystérique accompagnée de : Page 429, — Au lie
y Page 494, ligne 14 et 15. — Au lieu de : aux quatre périodes de l' attaque ; lisez : aux quatre périodes de la grande attaque
uatre périodes de l'attaque; lisez : aux quatre périodes de la grande attaque . PAUIS. — 1.«P,IIMER1Ë EMILE MARTINET, UUE MIGN
3 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
rière nous 'permettait de voir fréquemment tandis qu'elles étaient en attaques . Obligé de recourir à un photographe du dehors, n
poursuivie. 30 Novembre 1877. BOURNEVILLE. HYSTÉR0-ÉP1LEPSIE ATTAQUES OBSERVATION I. Hystérie. Th. L..., dont nou
est une hystérique ordinaire. Mais, en raison de la simplicité de ses attaques , dans lesquelles les phénomènes épileptoïdes étai
auses. — Hémianesthésie. — Hyperesthésie ovarienne. — Description des attaques : périodes. — Urines. — Température. — Traitement
aques : périodes. — Urines. — Température. — Traitement et marche des attaques . — Relation entre les règles et les attaques. — T
Traitement et marche des attaques. — Relation entre les règles et les attaques . — Tuberculose pulmonaire ; son influence sur les
les et les attaques. — Tuberculose pulmonaire ; son influence sur les attaques et sur les symptômes permanents de l'hystérie. —
, sujette à des bronchites; aucun accident nerveux. [Père, mort d'une attaque d'apoplexie à 60 ans. — Mère, morte de la poitrin
t une fièvre muqueuse dont la convalescence fut longue. La première attaque d'hystérie est survenue en juillet 1871 dans les
ente et la menaça de la pri son : huit jours plus tard, Th. eut une attaque qui fut subite et dans laquelle elle se blessa au
Tb. à Necker où elle resta deux mois. D'abord, elle eut des séries d' attaques presque tous les jours : l'une d'elles se prolong
res. Une amélioration s'é-tant produite, Th. revint chez sa mère. Les attaques ne reparurent pas pendant deux ou trois mois, mai
olérique, méchante et se plaignait souvent de douleurs au cœur. Les attaques recommencèrent en mai 1872. Un soir, en dinant, e
pleine de crapauds (1). Elle fut envoyée de nouveau à Necker et, les attaques persistant, elle fut dirigée sur la Salpétrière.
— Elle est très-impressionnable et fréquemment on a remarqué que ses attaques se montraient après des disputes. Peut-être aussi
es de son champ visuel (1). » Hyperesthésie ovarienne ; aura. — Les attaques sont précédées d'une aura, offrant tous les carac
it, et existant d'ailleurs, à titre .de symptôme permanent, entre les attaques ; 6) constriction épigas-trique, suivie de palpita
, l'aura précipite sa marche et lorsqu'elle est parvenue à la tête, l' attaque éclate. Description des attaques. — Les attaque
rsqu'elle est parvenue à la tête, l'attaque éclate. Description des attaques . — Les attaques se montrent par séries qui durent
rvenue à la tête, l'attaque éclate. Description des attaques. — Les attaques se montrent par séries qui durent plusieurs (l)
ves de physiologie, 1875, p. 632. heures. Dans l'intervalle de deux attaques on observe l'état suivant : la tète est un peu in
ux, ballonné [iympanite). C'est sur ce terrain que se développent les attaques proprement dites. Première période, a) La tète
de la langue) ; le corps se couvre souvent de sueurs. Planche 11. ATTAQUE D'HYSTÉRIE : lre PHASE Planche III. ATTAQUE D
eurs. Planche 11. ATTAQUE D'HYSTÉRIE : lre PHASE Planche III. ATTAQUE D'HYSTÉRIE : 2e PHASE Planche IV. ATTAQUE D'HYS
re PHASE Planche III. ATTAQUE D'HYSTÉRIE : 2e PHASE Planche IV. ATTAQUE D'HYSTÉRIE : 3e PHASE Bientôt la malade se réve
t la malade se réveille et pleure. Les urines recueillies après les attaques , loin d'être claires, sont en général assez color
nous avons émise ailleurs (1). 1S octobre]872:Th. est prise à 8 h. d' attaques hystériques épileptiformes qui continuent encore
V. 37°, 8. — 28 oct. La température est prise quand la malade est en attaques depuis une heure; elle est de 38°,2 ; — un quar
oût : T. V. 38°,2 une heure après la première crise. Traitement des attaques . --Divers moyens, mécaniques ou médicamenteux, ar
attaques. --Divers moyens, mécaniques ou médicamenteux, arrêtent les attaques . — En premier lieu, vient la compression de la
néral, lorsque la manœuvre est continuée durant quelques minutes, les attaques ne reparaissent pas. Pratiquée à gauche, la compr
e et l'hystérie, Obs. xxiv, p. 99. I thyle arrêtent également les attaques . Sous l'influence de ce dernier médicament, Th. r
nt été amendés et sur le sommeil qui est devenu meilleur Marche des attaques . —Août-décembre 1872, 30. — En 1873, 26 ; — en 18
en 1874, 55 ; — en 1875, 34. Relation entre la menstruation et les attaques d'hystérie. — Dans ce cas, cette relation (l)
où les règles ont paru pendant l'année 1875. 15, 25 et 20 janvier, attaque ; — règles, le 11. — 1,2, 10, 14 et 24 février, at
et 20 janvier, attaque; — règles, le 11. — 1,2, 10, 14 et 24 février, attaques : — règles, le 9.— 9, 12, 16 et 26 mars, attaques
, 14 et 24 février, attaques : — règles, le 9.— 9, 12, 16 et 26 mars, attaques ; — règles, le 7. — 12 et 23 avril, attaques; — rè
9.— 9, 12, 16 et 26 mars, attaques; — règles, le 7. — 12 et 23 avril, attaques ; — règles, le 5. — 3, 11 et 30 mai, attaques; — l
le 7. — 12 et 23 avril, attaques; — règles, le 5. — 3, 11 et 30 mai, attaques ; — les règles font défaut. — 3, 4, 16 et 24 juin,
et 30 mai, attaques; — les règles font défaut. — 3, 4, 16 et 24 juin, attaques ; — règles, le 22. — En juillet, ni règles, ni at
6 et 24 juin, attaques ; — règles, le 22. — En juillet, ni règles, ni attaques . — 5 et 10 août, attaques ; — règles, le 9. — En
règles, le 22. — En juillet, ni règles, ni attaques. — 5 et 10 août, attaques ; — règles, le 9. — En septembre, attaques le 1er
attaques. — 5 et 10 août, attaques ; — règles, le 9. — En septembre, attaques le 1er; — pas de règles. ¦— En octobre, les règle
r; — pas de règles. ¦— En octobre, les règles viennent le 3 ; — pas d' attaques .— 5 et 22 novembre, attaques; — règles, le 23, —
obre, les règles viennent le 3 ; — pas d'attaques.— 5 et 22 novembre, attaques ; — règles, le 23, — En décembre, pas d'attaques,
s.— 5 et 22 novembre, attaques; — règles, le 23, — En décembre, pas d' attaques , — règles, le 23. Tuberculose pulmonaire. — Th.
t Th. a succombé le 21 juillet. Influence de la tuberculose sur les attaques et les symptômes permanents de Vhystérie. — Th. n
ttaques et les symptômes permanents de Vhystérie. — Th. n'a eu aucune attaque en 1876. —Dans les premiers jours de mai — c'est-
pût y ressembler. C'était donc un pseudo-ovaire surnuméraire. » Les attaques , chez Th. L..., ont toujours offert une régularit
nce de la tuberculose (dont l'évolution a été rapide) non pas sur les attaques , fait connu, mais sur les symptômes permanents de
us, ici, à rappeler les causes présumées de sa maladie, à décrire ses attaques et, enfin, à mentionner les modifications survenu
adavre et de l'assassin arrêté par les gendarmes, déterminèrent une « attaque de nerfs. » L... eut une troisième peur dans le
s des « éronces» et tomba sans connaissances, en proie à une violente attaque convulsive. Ces détails sommaires nous ont paru
mieux interpréter les manifestations délirantes qui accompagnent les attaques d'hys téro-épilepsie. Enfin, si dans le récit q
s annoncent à l'avance, quelquefois de plusieurs jours, rapproche des attaques . Leur intensité s'accroît progressivement et, à u
précautions habituelles en pareille circonstance . Description des attaques . — Les attaques, dans ce cas, offrent des formes
ituelles en pareille circonstance . Description des attaques. — Les attaques , dans ce cas, offrent des formes assez nombreuses
s différentes phases des Fig. 1. savoir la représentation fidè- | attaques convulsives. 3 Formes communes. — L...., épro
t à souffler, comme si elle allumait du feu. Durant la plupart de ses attaques , le ventre se ballonne démesurément (1). Périod
des cloches qui sonnent à toute volée, etc. Variétés. Dans quelques attaques , le membre supé- (l) Ce gonflement est un trait
apilles sont plus saillantes et la muqueuse devient bleuâtre. A ces attaques , si diverses par l'ensemble des symptômes qui les
l'isthme du pharynx, le col de la vessie, etc. Crucifiement. — Les attaques dont nous avons parlé jusqu'ici constituent de vé
es attaques dont nous avons parlé jusqu'ici constituent de véritables attaques démoniaques. Celles que nous allons décrire et qu
t un caractère tout à fait opposé. Nous les désignerons sous le nom d' attaques de crucifiement. Elles sont précédées d'ordinaire
ver le corps tout d'une pièce comme une barre de fer. Planche VI. ATTAQUE : CRUCIFIEMENT Planche VIII. CONTRACTURE DE L
CRUCIFIEMENT Planche VIII. CONTRACTURE DE LA FACE Planche IX. ATTAQUE : CRUCIFIEMENT (1875) Ces attaques durent quelq
ACTURE DE LA FACE Planche IX. ATTAQUE : CRUCIFIEMENT (1875) Ces attaques durent quelquefois six ou sept heures. La descent
La descente de croix s'effectue peu à peu. Les membres qui, pendant l' attaque , étaient pâles, presque froids, deviennent bleuât
yez aussi Bourneville. — Louise Lateau ou la Stigmatisée belge. Les attaques de L... se présentent, en définitive, sous deux f
siècle, c'est parmi elles qu'on aurait rangé L... pour ces dernières attaques . Rien n'est plus facile que de justifier cette as
reuses malades. Relever toutes les analogies qui existent entre leurs attaques et celles de L... serait trop long et sans grande
uelques-uns des symptômes. Nous avons raconté que souvent, dans ses attaques , L.. essaie de se déchirer les membres, la poitri
philosophique, historique et judiciaire, etc., t. II. p.; 23. ses attaques , L... sortait la langue hors de la bouche à un de
quin.. \. » Les médecins qui sont témoins pour la première fois des attaques de L... sont fortement impressionnés. Qu'ils juge
es, et même davantage, en proie à la possession, — c'est-à-dire à des attaques semblables à celles de notre malade, — excitées p
es. L'observation suivante, en nous offrant chez la même malade des attaques relevant incontestablement de l'hystéro-épilepsie
o-épilepsie et épilepsie. — Hémianes-thésie gauche. — Description des attaques d'hystéro-épilepsie et d'épilepsie. Attitude du c
voyée à Paris. — Quelques jours après son arrivée, Madeleine a eu des attaques pour lesquelles elle a fait plusieurs séjours dan
che X). — Toutes les Planche X. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE Planche XI. ATTAQUE : CRUCIFIEMENT fonctions organiques s'accomplis
enir. Interrogée relativement à ce qu'elle éprouverait soit avant les attaques , soit avant les accès (car elle est à la fois hys
aucune différence entre ses différentes crises. A. Description des attaques d'hystéro-épilepsie. — La malade a été prise ce m
pilepsie. — La malade a été prise ce matin, 13 octobre, à 8 heures, d' attaques hystéro-épileptiques qui ont continué jusqu'à 10
pileptiques qui ont continué jusqu'à 10 heures 3/4. A onze heures les attaques recommencent. a) Période tonique. — Pas de cri.
t précipitée, haletante. Après un court répit survient une nouvelle attaque (11 heures 6\ a) Période tonique. — La tète pre
6\ a) Période tonique. — La tète prend la même position que dans l' attaque précédente. Tout le corps devient rigide. Les bra
entre-ouverte, le cou tendu. A onze heures douze minutes, troisième attaque . a) Période tonique {crucifiement). — L'attitud
ude delà tète, l'aspect de la face sont les mêmes que dans les autres attaques . Les paupières sont animées de battements rapides
nitrite d'a-mi/le, employé un futre jour, à sur le champ mis fin à l' attaque . levée, n'accusant que de la fatigue et n'ayant
ur. 14 octobre. — La nuit a été tranquille. Ce matin, M... a eu une attaque de crucifiement qui a duré dix minutes. Presque
crucifiement qui a duré dix minutes. Presque toujours, en 1875, les attaques d'hystérie avec crucifiement, se terminaient par
de septembre à la fin de décembre 1873, Madeleine a eu 18 accès et 22 attaques . En 1876, elle a eu 54 accès et 15 attaques. Ja
leine a eu 18 accès et 22 attaques. En 1876, elle a eu 54 accès et 15 attaques . Janvier\S11. —L'intelligence de la malade nous
deux maladies. Durant les quatre derniers mois de 1875, elle a eu 22 attaques d'hystérie et 18 accès d'épilepsie, c'est-à-dire
accès (34) l'ont emporté, et dans une proportion considérable sur les attaques (15) et cette prédominance de l'épilepsie sur l
sée davantage dans le dernier semés tre. 1er Semestre, 22 accès, 11 attaques . 2° — 32 — k — La physionomie de Madeleine, s
u flux menstruel ; en juin, sur six crises, on relève un accès et une attaque durant les cinq jours des règles. Nous voyons r
Madeleine par un seul symptôme permanent, Yhémianesihésie et par des attaques . Nous n'avons rien à ajouter à la description que
stérie épileptiforme. Mais nous devons établir un parallèle entre les attaques d'hystéro-êpilepsie et les accès d'épilepsie. A
le entre les attaques d'hystéro-êpilepsie et les accès d'épilepsie. Attaque » d'hystéro-êpilepsie. Pas d'aura. Souvent cri
ortillements, etc. Tympanisine. La compression ovarienne arrête l' attaque . Retour rapide de la connaissance. Délire, ch
te l'attaque. Retour rapide de la connaissance. Délire, chants. Attaques par séries durant k à 5 heures. Accès d'cpileps
ccès isolés. Quoiqu'il s'agisse, dans ce cas, d'une malade dont les attaques hystéro-épileptiques ne sont pas aussi diverses e
hez l'autre Pl. XI et XII), durant la période tonique d'une variété d' attaques , nous observons Y attitude du crucifiement. Ue
ourni par Léontine V.. (1). Voici comment se comportent chez elle les attaques de crucifiement. « Tout d'un coup (il heures 34
que chez les autres malades et surtout chez Rosalie L... Outre ces attaques hystériformes, Léontine a des accès d'épilepsie d
. » On voit par ce qui précède que Léontine, comme Madeleine, a des attaques hystériques et des accès épilep-tiques. Toutefois
V..., chez lesquelles le principal symptôme de la période tonique des attaques , est une contracture générale qui revêt la forme
— Enfance. — Accès de colère; — léthargie.— Apparition de la première attaque d'hystéro-épilepsie. — Irrégularités de la mens
d'aliénés- — Première et seconde grossesses; — leur influence sur les attaques ; — allaitement. Hémianesthésie et hyperesthésie
hyperesthésie ovarienne du côté gauche. — Caractères et périodes des attaques : température. — Délire hystérique. — Action de l
du ¦membre inférieur droit ; — prodromes, symptômes ; — influence des attaques .—Etat de mal hystéro-épileptique.— Situation de l
ion d'esprit qu'elle aurait eu un soir, dans sa chambre, une première attaque . Comme elle criait, on accourut et on la trouva s
sans, connaissance. Elle ignore quels ont été les caractères de cette attaque ; ce qu'elle sait, c'est que la perte de connaissa
fatiguée et meurtrie. Un médecin , appelé , déclara qu'elle avait des attaques de nerfs etla fit conduire à l'Hôtel-Dieu de Poit
la fit conduire à l'Hôtel-Dieu de Poitiers. Durant 5 ou 6 mois, les attaques revinrent chaque jour. Son ventre était très-gros
grer dans l'établissement. A cette date, elle aurait eu, à la suite d' attaques , une contracture du côté gauche du cou, si pronon
mier séjour de trois mois. Elle avait deux ou trois fois par mois des attaques moins violentes, prétend-elle, qu'avant qu'elle n
-légale sur les Skoptzy). son amant, elle fut prise, un jour, d'une attaque dans la rue. La police la conduisit au quartier d
e place comme femme de chambre. Au bout de peu de temps, ayant eu une attaque très-intense et prolongée, on la conduisit à l'Hô
risme. Etant à Necker, elle se serait foulé le poignet droit dans une attaque . Commeles crises persistaient, on la dirigea sur
n la surveilla et on arriva à temps pour la retenir. Elle fut prise d' attaques , menée à Necker, d'où elle fut dirigée pour la se
iauve signa la sortie de Geneviève le 11 juin 1866. Le 25 juin, ses attaques la firent admettre à la Pitié (service de M. Marr
e son mal, elle lacéra les affiches apposées dans la gare et tomba en attaques : elle fut arrêtée et conduite à l'asile des alié
me à l'Hôtel-Dieu. Dans les jours qui précédèrent l'accouchement, les attaques auraient été quotidiennes et on lui aurait donné
ha -rite, elle refusa de s'y rendre. A peine dehors, elle fut prise d' attaques et on lui accorda l'hospitalité à la caserne de l
t les six semaines de Vallailement, elle n'a eu qu'une seule fois des attaques . — Pendant la première grossesse, les attaques au
qu'une seule fois des attaques. — Pendant la première grossesse, les attaques auraient été très-fréquentes et, durant les trois
ILEPSIE qu'elle nourrit son enfant, elle n'aurait pas eu non plus d' attaques . Le 15 décembre 1871, elle revient à la Salpétr
ux cheveux blonds et bien conformée. (Planche XIII). 21 mars. — Les attaques se présentent sous forme de séries et leurs carac
eviendrons, continue tant que G. n'est pas dans son lit. Bientôt, les attaques se reproduisent, et, à maintes reprises, on const
eprises, on constate que \ compression de l'ovaire gauche met fin aux attaques isolées. En déprimant la paroi abdo minale, au
d'une douleur au sommet de la tète et dans la fosse iliaque droite. — Attaques épilepli-for mes. 30 mars. — G., assez calme ce
disparu dans les premiers jours d'avril; puis, consé-cutivementà des attaques survenues au commencement du moi de mai, Genevièv
as droit : le sang a coulé en jet. 18 octobre. — Durant une série d' attaques T.V. 38°,2. 21 octobre. — G .. est tranquille d
on état normal : T. V. 37°,3. — On voit donc que, sous Vinfluence des attaques d'hystéro-épilepne, la température s'élève de prè
la température s'élève de près d'un degré. 26 octobre. — Elle a des attaques quotidiennes et le délire est presque continuel.
aru; mais, après un court intervalle de repos, a éclaté une véritable attaque hystéro- épileptique avec ses caractères ordinair
s fois: le sang a coulé en assez grande quantité. 23-28 novembre. — Attaques tous les jours. — Rien le 29 et le 30 novembre, n
'éther mais non jusqu'à résolution. Quelques instants après, G. a une attaque : la contracture disparaît complé*-iement. — Le l
mal hystéro-épilep-tique. 1873. 15 janvier. — Délire consécutif aux attaques . Geneviève casse tous les objets qui sont à sa po
. — Les règles ont paru hier dans l'après-midi. Ce matin, G... est en attaques . On les arrête par la compression. Elle revient à
surveillante, relative à de petits incidents du service. Février. — Attaques fréquentes. Le 10, elle refuse de parler, est eng
25 fév. — Contorsions. Mars. — Le pied droit, contracture après des attaques survenues le 4, redevient libre le 6, également a
es attaques survenues le 4, redevient libre le 6, également après des attaques . 8mars. — G... a eu une faiblesse lipotbymique.
r la région ovarienne gauche. Sous l'influence de ce traitement , les attaques ont momentanément diminué (1). — Dans le courant
le courant de ce mois, nous la trouvons un matin, sous le coup d'une attaque : elle a un besoin incessant de mouvement, saute
éritablement très-intenses ; ces phénomènes sont bientôt suivis d'une attaque qui se termine par une période de délire où l'éro
phénomènes erotiques sont toujours plus accentués avant ou après les attaques qui se produisent durant les périodes menstruelle
'éprouver une fatigue générale. « Je préférerais, dit-elle, avoir mes attaques que de rester comme je suis. » Tympanite énorme.
de Y analgésie. 1874. 5 janvier. — Délire consécutif à une série d' attaques : G... casse quatorze carreaux. — Les règles ont
itant avec beaucoup de difficulté. Geneviève a eu un grand nombre d' attaques en janvier. Le 30 et le 31, rien, malgré l'appari
'apparition des règles (31 janvier). Le 1er février, les 2 et3, pas d' attaques .Aujourd'hui, 4 février, on remarque que la contra
erve la même attitude et reste rigide. 13 février.—Secousses; pas d' attaques . 17 février. — Attaques presque quotidiennes. G
este rigide. 13 février.—Secousses; pas d'attaques. 17 février. — Attaques presque quotidiennes. G... est abattue, prostrée,
e suffit pour la réveiller. 26 février. — Les règles ont paru hier. Attaques suspendues parla compression alternative des deux
de la contracture a coïncidé avec l'apparition des règles et avec des attaques . 27 février. — La sensibilité au contact, au pi
ression à gauche qu'à droite. 1or mars. — Hier, elle a eu plusieurs attaques après lesquelles elle a été très-excitée; profita
, de faire du feu. 2, 3 mars. — G. est calme. 4 mars. — Plusieurs attaques . Tout d'un coup, elle saute de son lit et se préc
ute de son lit et se précipite en chemise jusqu'au parloir. S mars. — Attaques répétées. 6 mars. — Attaques nombreuses. Dans u
en chemise jusqu'au parloir. S mars. — Attaques répétées. 6 mars. — Attaques nombreuses. Dans un intervalle de repos, elle s'e
es. 11-13 mars. — Refuse de manger et de parler. De" temps à autre, attaques . 16 mars. — Geneviève est dans un état de prost
ns. Notre maitre recommande d'exercer Planche XIV. APPROCHES DE L' ATTAQUE rnie surveillance minutieuse afin de s'assurer
s.—La malade mange bien, est plus tranquille. — Elle a eu plusieurs attaques et a uriné sous elle : elle attribue cet accident
sive cet état d'affaissement qu'elle éprouve souvent à l'approche des attaques . (Planche XIV). Dans l'après-midi, elle a eu, en
attaques. (Planche XIV). Dans l'après-midi, elle a eu, en effet, une attaque épileptiforme. 7 1 avril. — A la suite d'une
n effet, une attaque épileptiforme. 7 1 avril. — A la suite d'une attaque épileptiforme, G... est prise du délire saltatoir
oir l'aspect de sa physionomie quelques instants avant le début d'une attaque épileptiforme (Planche XV'). A peine le temps néc
cations de la physionomie qui surviennent au moment de l'approche des attaques . Ce matin, G... a eu une crise épileptiforme, ter
reau d'un coup de poing et se blesse au poignet gauche. 13 avril. — Attaque , a) Période du début. G... se plaignait des doule
.. se plaignait des douleurs qui annoncent l'arrivée prochaine de ses attaques , quand elle cesse brusquement de parler. On remar
illes se dilatent, les paupières sont ani- Planche XV. DÉBUT DE L' ATTAQUE Planche XVI. ATTAQUE : PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE
upières sont ani- Planche XV. DÉBUT DE L'ATTAQUE Planche XVI. ATTAQUE : PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Planche XVII. ATTAQUE :
AQUE Planche XVI. ATTAQUE : PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Planche XVII. ATTAQUE : PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Planche XVIII. ATTAQUE
DE Planche XVII. ATTAQUE : PÉRIODE ÉPILEPTOÏDE Planche XVIII. ATTAQUE ; PÉRIODE TERMINALE mées de mouvements rapides,
sinueuses et dilatées à gauche (1). 25 Mai. — Nous assistons à une attaque précédée des modifications de la physionomie déjà
e la signification de ses paroles. A différentes reprises, dans ses attaques , G-... s'est donné des entorses des pieds ou des
oulées sans que nous ayons eu la véritable corvée de mettre fin à ses attaques , quand M. Charcot nous communiqua la lettre suiva
ptique, Geneviève L... En passant par Quesnoy, elle a été prise d'une attaque d'hystéro-épi-lepsie qui a duré depuis 6 heures d
e du matin et n'a cessé que par la compression ovarienne. Avant son attaque , elle s'était arrêtée dans un cabaret où elle ava
moindre pitié. Quand je l'ai vue, elle était en proie à une de ses attaques , avec ballonnement du ventre, contractures interm
ant, hallucinations, etc. J'écartai bientôt l'idée de gi'ossesse avec attaques éclamptiques ou l'idée d'accès d'é-pilepsie. C'es
lle fut malade et qu'on la fit descendre à Ques-noy où, étant prise d' attaques , elle fut soignée par M. D... Ainsi que la lettre
15. Elles ont débuté par les jam- (l) Dans le délire consécutif aux attaques , elle fait parfois allusion à cette abolition du
raconte que les secousses sont précédées des mêmes phénomènes que les attaques proprement dites. Elle est énervée, a envie de cr
ient; enfin, il lui semble que sa figure est froide, glacée. 6 mai. Attaque (Yhystéro-épi-lepsie. 1° Période épileptoïde (Pl.
las des murs, etc. Quand elle est sous l'influence de ces « menaces d' attaques », elle est facile à contrarier, beaucoup plus su
moineau {%) une discus- (1) G. ., dans l'intervalle de ses séries d' attaques , est très-laborieuse^ travaille à la coulure avec
xactitude de notre assertion. 1 juillet, soir. — G... a été prise d' attaques à une heure et demie. Lorsque nous l'observons, à
i mérite d'être relevé, de son caractère orgueilleux. 14 juillet. — Attaques de 7 heures et demie du soir à 11 heures. Revenue
de se blesser dans sa chute; c'était le début d'une nouvelle série d' attaques . La tète est dans l'extension ; la face; les pa
Nous ne faisions pas autre chose, » Suspension de la compression : attaques avec leurs périodes ordinaires. Compression ; G..
emps en cellule que je ne dirais rien. » La compression estarrètée: attaques . — Voyant que la série continuait nous administro
dedans de la tête » ce qu'elle attribue au nitrite d'amyle. Après ses attaques , terminées naturellement, elle a aussi mal à la t
rête; la connaissance est perdue, durant 10 à 15 secondes : c'est une attaque avortée. Ensuite, G... recommence à causer: « O
à fait à elle. 16 juillet. —A 7 heures du soir, G... a été prise d' attaques qui ont continué jusqu'à onze heures du matin, le
rétention persistaient encore à 7 heures du soir, quand G... a eu des attaques d'un genre particulier, que nous connaissons peu.
rétention n'existaient plus. Du 19 au 22 juillet, G... n'a pas eu d' attaques . Le 23, nous assistons à une nouvelle série, dans
malades, je n'ai rien vu de semblable. (Allusion à la violence de ses attaques ). Je ne plaignais pas les hystériques, celle-là j
Durant toute la journée ses actes ont été incohérents. Elle a eu des attaques avortées,avec écume; tantôt elle était assise sur
e faire manger Genev... Elle a des secousses fréquentes suivies d'une attaque incomplète et à laquelle succède une extase : les
rcher et de balancer sa tète jusqu'à midi. A ce moment, elle a eu une attaque épileptiforme et, en recouvrant connaissance, ell
trances, elle persistait dans son idée. Bientôt, elle fut prise d'une attaque qui cessa promptement grâce au nitrite d'ample. D
s, des douleurs névralgiques ; le plus souvent elle n'a pas, alors, d' attaques proprement dites. Celles-ci surviennent d'ordinai
Ainsi, en août et septembre 1875, les règles paraissent le 15 et les attaques le 17; en novembre, règles le 7, attaques le 7 et
les paraissent le 15 et les attaques le 17; en novembre, règles le 7, attaques le 7 et le 10 ; en décembre, règles le 8, attaque
mbre, règles le 7, attaques le 7 et le 10 ; en décembre, règles le 8, attaques le 10 et le 12. — En 1874, règles le 26 janvier,
ègles le 8, attaques le 10 et le 12. — En 1874, règles le 26 janvier, attaques le 27 ; — règles le 22 février, attaques les 23,
1874, règles le 26 janvier, attaques le 27 ; — règles le 22 février, attaques les 23, 24 et 25 ; R. le 8 juin, A. le 9 ; — R. l
ons suffisent pour montrer l'action qu'exerce la menstruation sur les attaques . Celles-ci, il importe de ne pas l'oublier, se mo
et ne sont pas suivies de pertes blanches. Durée des séries. — Les attaques , chez G-..., de même que chez beaucoup d'hystériq
se prolongent pendant des heures et se composent de 10, 20... 50, 100 attaques ou même davantage (1). Rackiatgie. — G... n'a p
utent les suivants :G... pousse un cri, perd connaissance et tombe en attaques . Si, par inadvertance, la malade appuie la région
té de grossesses (pages 53, 55). Aujourd'hui encore, à l'approche des attaques , on observe un ballonnement considérable du ventr
ilité générale qui, peut-être, était pervertie avant l'apparition des attaques , était alors abolie sur la moitié gauche du corps
uels effets de la vengeance du cardinal de Richelieu, etc., p. 231. attaques (1). —Celles-ci, on s'en souvient, sont annoncées
y revenir de nouveau. (Voy. p. 57, 64, 72, etc.). Maintes fois, les attaques ont laissé après elles des contractures d'une dur
t en général disparu comme elles étaient venues, c'est-à-dire par des attaques convulsives. Les secousses tétaniques que nous
nsisté plus haut sur la relation qui existait entre les règles et les attaques (p. 88). Nous devons ajouter encore, que les rapp
de déplacement qu'elle éprouve de temps en temps, surtout lorsque les attaques sont imminentes, en fournissent un témoignage irr
montré que la compression ovarienne guérissait le mutisme. mes des attaques hystéro-épileptiques de Geneviève ; nous avons fa
de Geneviève ; nous avons fait le tableau d'un certain nombre de ses attaques , décrit leurs périodes et leurs variétés qui perm
ntion sur le délire hystérique. Survenant, en général, à la fin des attaques , le délire chez Geneviève, de même que chez beauc
peut-être, des événements qui ont été la cause occasionnelle de leurs attaques . N'est-ce pas un rappel des sensations physiques
t chacune un certain nombre de sujets qui reviennent à chaque série d' attaques . Cependant cette fixité n'est pas absolue. En eff
ar M. Briquet : « Les impressions ressenties pendant l'intervalle des attaques , écrit-il, constituent la cause la plus puissante
ause la plus puissante des différents phénomènes qui accompagnent les attaques d'hystérie ; ce sont elles, en effet, qui ont le
que nous avons observée en 1866 (service de M. Delasiauve), avait des attaques hystéro-épileptiques que la compression épi gastr
paud et qu'elle venait d'accoucher de deux petits crapauds. En plus d' attaques très-violentes, cette jeune fille avait des spasm
Sortie de la Salpétrière, elle s'est mariée, a eu des enfants et les attaques ont, assure-t-on, complètement disparu. lesquel
urs, d'invraisemblable. — Durant le siège de Paris, G..., après des attaques , eut la fantaisie de s en aller. Parvenue aux ava
es hystériques ont encore ce qu'elles appellent à la Salpétrière, des attaques de contracture. Voici en quoi elles consistent :
Hystéro-épilepsie. — Action de l'éther. — Métallothérapie. Si les attaques d'hystérie grave possèdent des caractères princip
e, vagabondage, instabilité, onanisme, vaginisme. — Description d'une attaque en 4871. — Symptômes perma-' nents de l'hystérie
comparative entre les mains et les aisselles. — Ischémie à gauche. — Attaques avortées. — Tympanisme. — Anesthésie incomplète e
du membre inférieur gauche.— Torticolis hystérique. Description des attaques en 1874 et en 4876. — Usage de l'éther, de la gla
— Traitement par le chlorure d'or et de sodium. — Relation entre les attaques et les règles. Marc..., Célina, est entrée à la
re arracher sa dent cariée. Après l'opération, elle fut prise d'une « attaque de nerfs. » Si on l'en croit, c'était la première
fut transférée, le 9 juin 1867, a la Sal-pétrière. Depuis sa première attaque , elle en avait eu d'autres. Dans les.intervalles
que son père nous l'a déjà dit. 1871 (1). Description d'Une série d' attaques . — La malade est camisolée, maintenue de tous côt
e d'attaques. — La malade est camisolée, maintenue de tous côtés. Les attaques se succèdent assez régulièrement et suivant un ty
r, à 130 ; T. R. 38°. 1872 (1). 21 février.—La malade a été prise d' attaques à 8 heures et demie ; M. Charcot les arrête à 9 h
e que, dit-elle, .elle éprouve de la gène dans le genou gauche. Les attaques sont annoncées par une aura complète : douleur au
re une analgésie légère du-bras droit. 29mars. — Hier M... a eu des attaques . Malgré cela, elle éprouve encore une partie des
digestions sont pénibles ; elle a, principalement avant ou après les attaques , des vomissements bilieux ou alimentaires. Soir
. — Hier, M... a éprouvé des douleurs dans le flanc droit et a eu des attaques de 10 heures du soir à minuit. Ce matin, elle est
ble alors déprimée. Le ventre est extra-ordinairement ballonné. Une attaque épileptiforme survient après laquelle M... retomb
laquelle M... retombe dans son état dys-pnéique. Ensuite, elle a une attaque complète,suivie pres-qu'aussitôt d'une autre atta
uite, elle a une attaque complète,suivie pres-qu'aussitôt d'une autre attaque que la compression de l'ovaire droit a fait cesse
ocateur, lascif. On lui met la camisole, croyant qu'elle va avoir ses attaques . A peine était-elle fixée, que ses yeux se diri
sté que 15 à 20 minutes et s'est dissipée lentement (1). 4 février.— Attaques : 1°Première période, a) Torsion de la tète, face
fois de suite. Une heure après le début de cette série, composée d' attaques dans lesquelles la période de délire a fait défau
cautérisation du col. Depuis'la dernière, M... n'a pas eu de grandes attaques , et elle n'a eu que deux accès-d'oppression. Le v
ion. — Les 18, 20, 22, 23,24 et 25, étouffe-ments et contorsions sans attaques ; les règles ont paru le 19 et fini le 21. 31 n
ndant une heure, une heure et demie, deux heures et trois heures. Les attaques ont été moins nombreuses, mais les étouffe-ments
se parfois tous les objets qui lui tombent sous la main. 8 avril. — Attaques . Première période. Souvent la première attaque d'
la main. 8 avril. — Attaques. Première période. Souvent la première attaque d'une série débute sans cri ; les attaques conséc
ériode. Souvent la première attaque d'une série débute sans cri ; les attaques consécutives s'annoncent par un cri aigu, modulé.
aient conservé la liberté de leurs mouvements. M... n'aurait pas eu d' attaques (?). A part quelques secousses, la nuit a été rel
re bruit exagère sa frayeur. — Elle a eu, il y a quelques heures, une attaque épileptiforme très - violente après laquelle les
est normale. 3 octobre. — Nous assistons aujourd'hui à une série d' attaques qui, tout en étant composées des mêmes périodes e
ques, déjà décrits). Dans les intervalles de repos qui séparent les attaques , la physionomie sur laquelle se reflétait autrefo
roduisons, d'après une esquisse de Rnbens (Pl. XL). Après une autre attaque , c'est un sentiment de surprise désagréable qui s
sagréable qui se peint sur le visage (Pl. XXX). — Après une troisième attaque , les yeux brillent de colère, la physionomie expr
Il était intéressant de rechercher la cause de ces modifications des attaques . Notre curiosité était d'autant plus vivement exc
udes » dans toute la moitié gauche du corps, y compris la face. Des attaques survenant, nous constatons que, par moments, la c
ieur gauche. — Nous administrons du nitrite d'amyle. Pour juguler les attaques , on doit lui donner maintenant des doses considér
arche en boitant. Au bout de quelques minutes, elle est reprise d'une attaque , contrairement à ce qui arrive d'habitude après l
inférieur gauche; dans le membre supérieur droit elle a disparu, sans attaques , il est vrai, mais après des crampes. 5 déc. —
tangente à la base du thorax, la sensibilité est obtuse. 11 mars. — Attaques : ni-trite d'amyle. A la fin de l'inhalation, Cel
tion notable. M... est levée, se promène, est gaie. Elle n'a pas eu d' attaques hys-léro-épileptiques durant toute la période dou
e sommeil est meilleur. M... travaille à l'atelier. Elle n'a pas eu d' attaques hystéro-épilepti-ques depuis le mois de mars. Il
pas eu de suite. 1877. 9 février.—A. la fin de l'année (1876), les attaques ,qui avaient repris leur ancien type (Pl. XXVI et
nt subi de nouvelles modifications. Nous assistons à une série de ces attaques : 10 La période tonique ou épileptoïde n'a pas ch
at. Bientôt se produi-. (l) Lorsque les malades sentent venir leurs attaques , elles se couchent et demandent la camisole. Cell
onnaît les assistants, dit, d'un ton brusque : « C'est fini ! » Les attaques ont commencé à 8 h. 45 et cessé à 11 h. 15. Dan
Les attaques ont commencé à 8 h. 45 et cessé à 11 h. 15. Dans ces attaques , les scènes qui se succèdent se rapportent à des
ue ses caresses;'de là, les expressions voluptueuses. Dans d'autres attaques , du même genre, les scènes diffèrent : M... s'ima
quitte pour aller avec d'autres femmes... Elle prétend que, après ces attaques , elle est fatiguée comme si eile avait eu des rap
des rapprochements réels. Règle générale, quelque soit la forme des attaques , dont elle sort sans aucun des phénomènes qui com
ttaques, dont elle sort sans aucun des phénomènes qui compliquent les attaques d'épilepsie, M.... est incertaine, égarée; pendan
lement. La Planche XXXIX représente la malade à l'issue d'une série d' attaques . Cette photographie a été prise dans le courant d
ne de ne pas la déranger. Invitée à se le- Planche XXXIX. APRÈS L' ATTAQUE ver, elle répond, d'un ton sec, qu'elle est inc
moi, je n'ai pas eu d'enfants ____ On ne peut pas... » 21 mars.— Attaques de 8 h. a 10 heures et demie. Nous l'observons à
heures. La nuit a été bonne. Ce matin,à 11 heures, elle a été prise d' attaques qui ont duré jusqu'à plus de 2 heures : elles ont
re, la malade a eu, plusieurs fois, des vomissements. 10 octobre. — Attaques . 15 ocl. — Attaques. Apparition des règles qui
usieurs fois, des vomissements. 10 octobre. — Attaques. 15 ocl. — Attaques . Apparition des règles qui cessent le 16 dans la
irée. 19 oct.— Contractions passagères dans les membres. 21 oct.— Attaques de 8 à 10 h. Arrêt par la compression ovarienne g
nt et, souvent, en injuriant la personne qui la comprime. 25 oct. — Attaque de tortillements pendant une heure. 26 oct.—Eto
heure à 4 heures. Apparition des règles qui cessent le 13. 14 nov.— Attaques ; nitrite d'amyle.Ce médicament, sauf une fois (p
médicament, sauf une fois (page 126), a toujours mis fin à la série d' attaques . 22 nov.— Contractures passagères dans les main
omine, en général, du côté droit. Dans la journée, M... a été prise d' attaques , auxquelles ont succédé des crampes dans les doig
6 30 20 30 25 gouttes (1 centig.) Id. Id. Id. Id. Id. Id. Attaques .. 30 gouttes (l) L'anesthésie générale a repa
es.. 30 gouttes (l) L'anesthésie générale a reparu à la suite des attaques hystéro-épilep-tiques survenues la veille. Rela
épilep-tiques survenues la veille. Relation entre les règles et les attaques . — Malgré les recommandations les plus pressantes
es indications imparfaites. 1er janvier 1875 : Règles du 3 au 0 ; — Attaques les 4, 5, 6, 10, 14, 17, 19 et du 27 au 31. Fév
6, 10, 14, 17, 19 et du 27 au 31. Février : Règles du 15 au 16 ; — Attaques les 1er, 9, 17, 20, 26. Mars : Règles du 28 au
; — Attaques les 1er, 9, 17, 20, 26. Mars : Règles du 28 au 30 ; — Attaques les 1er, 2, 3, 4, 5, 8. Avril : Règles du 28 au
; — Attaques les 1er, 2, 3, 4, 5, 8. Avril : Règles du 28 au 29 ; — Attaques les 5, 8, 12, 19. Mai : Règles du 14 au 20 ; —
8 au 29 ; — Attaques les 5, 8, 12, 19. Mai : Règles du 14 au 20 ; — Attaques le 24. Juin : Règles le 13 (l ) ; — Attaques le
Règles du 14 au 20 ; — Attaques le 24. Juin : Règles le 13 (l ) ; — Attaques les 2, l\ 12, 23, 24, 25. Juillet, août : Absen
août : Absence de renseignements. Septembre: Règles du 17 au 19; — Attaques les 13, 26, 29. Octobre : Règles du 23 au 24 ;
au 19; — Attaques les 13, 26, 29. Octobre : Règles du 23 au 24 ; — Attaques les 1, 5, 6, 7, 8, 9, 19 et 24. Novembre et déc
. Novembre : Règles du 12 au 13; — Etou/pemenls le 1er et le 12 ; — Attaques les 13, 16, 18, 26 et 29. A la fin de novembre,
es crampes, des contorsions, des tremblements, des étoufemeuts et des attaques hystéro-épilep-tiques. — M... n'a jamais présenté
clou hystérique. — La tympanite se développe assez souvent avant les attaques , mais elle n'est ni aussi fréquente, ni surtout a
le nombre des séries, avec leur durée et,d'autre part, le nombre des attaques qui composent chacune des séries. années 1867
1873 1874 1875 1876 1877 NATURE DES CRISES HYSTÉRIQUES. Attaques et attaques épileptif ormes Attaques et attaque
4 1875 1876 1877 NATURE DES CRISES HYSTÉRIQUES. Attaques et attaques épileptif ormes Attaques et attaques épileptifo
TURE DES CRISES HYSTÉRIQUES. Attaques et attaques épileptif ormes Attaques et attaques épileptiformes Attaques et attaques
SES HYSTÉRIQUES. Attaques et attaques épileptif ormes Attaques et attaques épileptiformes Attaques et attaques épileptifor
s et attaques épileptif ormes Attaques et attaques épileptiformes Attaques et attaques épileptiformes Attaques épileptifor
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s et attaques épileptiformes Attaques épileptiformes j Attaques Attaques épileptiformes Attaques Attaques épileptiform
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es épileptiformes j Attaques Attaques épileptiformes Attaques Attaques épileptiformes Attaques Attaques épileptiform
ques Attaques épileptiformes Attaques Attaques épileptiformes Attaques Attaques épileptiformes Attaques Etouffeuie
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s Attaques Etouffiements Contractions Attaques épileptiformes Attaques Etouffiements Contractions Janvier........
tisme, l'avulsion d'une dent, paraît avoir eue sur la première grande attaque . Nous n'insisterons pas non plus sur le caractère
sthésie ovarienne gauche; 2° d'une hémianesthésie du même côté ; 3° d' attaques convulsives, ayant un type régulier, presque inva
tres jointures. Elle a disparu après cinq jours, non pas à la suite d' attaques , selon la règle, mais consécutivement à des cramp
genre spécial, ou, au contraire, s'ajoutent aux autres prodromes de l' attaque convulsive. Dans le premier cas, il n'est pas rar
s se plaignent vivement, déclarant préférer de beaucoup leurs grandes attaques qu'elles appellent de tous leurs vœux, qu'elles s
— qu'une autre hystéro-épileptique, Hert... (3), a présenté, dans une attaque , un pointillé ecchymotique de la région antérieur
ale de Yamaurose hystérique. Elle survient, tantôt à la suite d'une attaque , tantôt en dehors de toute crise convulsive. Rosa
ur les deux yeux, ou, sur l'un d'eux, apparut indépendamment de toute attaque et dura, chaque fois, l) Voir p. 19 et Recherch
blissements similaires. V. — Les règles sont parfois accompagnées d' attaques , mais non d'une façon absolue. Souvent, les attaq
s accompagnées d'attaques, mais non d'une façon absolue. Souvent, les attaques éclatent durant les intervalles qui les séparent.
tion. Enfin, une très-longue aménorrhée (19 mois) n'a pas empêché les attaques de revenir pendant 10 mois ; tandis que pendant l
pendant les 9 autres mois de sa durée, la malade n'a pas eu une seule attaque convulsive. Rappelons, à ce propos, que si la mén
cidents convulsifs (1), il est d'autres cas dans lesquels on voit les attaques persister après la cessation régulière des menstr
s du col de l'utérus (nov. 1873 —mai 1875) semblent avoir agi sur les attaques épileptiques et avoir rendu moins fréquentes les
agi sur les attaques épileptiques et avoir rendu moins fréquentes les attaques hystéro-épileptiques ; quant aux étouffements, s'
s, n'a pas procuré d'amélioration plus sérieuse. (Voir le Tableau des attaques .) D'ailleurs, la glace, la cautérisation, l'éli
qui ont été donnés un grand nombre de fois pour arrêter les séries d' attaques . Quoi qu'il en soit de la part qui revienne à c
enne à chacun de ces agents part qu'il est difficile d'apprécier, les attaques épileptiformes ont disparu, et les étouffements s
étouffements sont devenus plus rares, en 1876 et en 1877; enfin, les attaques hystéro-épileptiques ont fait défaut durant six m
d'or et de sodium, il est intervenu, alors que M... n'avait pas eu d' attaques depuis trois mois, et si les crises convulsives o
si un délire qui offre beaucoup d'analogie avec celui qui succède aux attaques : la volonté paraît absente ; la malade s'abandon
» et percevoir génitale-ment son contact. VIII. — Les prodromes des attaques et la période épileptoïde ne soulèvent aucune rem
un des symptômes qui frappent le plus vivement ceux qui assistent aux attaques de M.., c'est le changement d'attitude. A l'origi
aux attaques de M.., c'est le changement d'attitude. A l'origine; les attaques avaient un type uniforme : qui avait vu une attaq
A l'origine; les attaques avaient un type uniforme : qui avait vu une attaque , les avait vues toutes. Tout d'un coup, M.... s'a
le a fréquentés. Tels sont les caractères du délire qui termine les attaques (2) ; ce qui domine, ce sont les idées voluptueus
etc., p. 229. (2) Nous reviendrons, dans le second volume, sur les attaques de délire, rares d'ailleurs, qui se montrent indé
aques de délire, rares d'ailleurs, qui se montrent indépendamment des attaques convulsives. Les différentes descriptions que n
onvulsives. Les différentes descriptions que nous avons tracées des attaques hystéro-épileptiques, dans les observations qui c
des symptômes communs, il en est un grand nombre qui spécialisent les attaques de chaque malade. Et si l'on se souvient que ces
puissante. On a répété que les hystériques s'ingéniaient à imiter les attaques de leurs compagnes ; les faits qui précèdent mont
grave. Avons-nous décrit toutes les formes que peuvent revêtir les attaques ? Certes non, et il nous reste encore à exposer bi
précise des diverses formes que revêtent les accès oVépilepsie et les attaques oVhystérie. TABLES DES MATIÈRES TABLE DES MAT
lcoolisme, 33. 110, 125, 146. Allaitement (Influence de 1') sur les attaques , 55, 56. Amaurose hystérique, 129, 151. Amblyopie
, 9, 37, 61, 62,80, 88, 121, 125, 128, 140, 153. Arthralgie, 123. Attaques (Description des), 7, 16, 35, 57, 67, 77, 114, 12
lgie, 6. Glace, 60, 61, 120, 153. Grossesse (Influence de la) sur les attaques , 55, 36. H Hallucinations de l'ouïe, 19, 23,
R Rachialgie, 89, 143. Rapports sexuels (Influence des) sur les attaques , 53, 94, (V. Va- ginisme.) Refus de manger, 53,
es, 4, 31. — Irrégularités des —, 5, 6,131.— Relations des — avec les attaques , 10 39, 88, 142, 152. Rétention d'urine, 83,89.
62, 65, 72, 81, 85, 93, 108, 147, 149. Sécrétion vaginale dans les attaques , 137. Sensations génitales, 85, 140, 154 et pas
ves de), 52, 54, 38, 59, 98, 126. T Température centrale dans les attaques d'hystérie, 9, 38,59, 115, 137. — Température d
es aisselles du côté sain et du côté anesthésié, 116, 117. — dans les attaques épileptilbrmes (attaques de contractures), 127.—
et du côté anesthésié, 116, 117. — dans les attaques épileptilbrmes ( attaques de contractures), 127.— dans la contracture hysté
4 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
ite commencée dans le premier volume, c'est-à-dire la description des attaques d'hystéro-épilepsie. Nos lecteurs retrouveront da
ue les précédentes, des renseignements de plus en plus précis sur les attaques . Un mot maintenant sur le mode d'illustration.
tion à laquelle on a attribué la paralysie de R... Elle n'avait pas d' attaques de nerfs, mais était sujette à des palpitations c
on ne sait de quoi ; elle était très-nerveuse, sans avoir jamais eu d' attaques . — Aucun parent n'aurait offert d'affections nerv
oncle paternel tombe d'épilepsie depuis longtemps ; à la suite d'une attaque , il a eu une paralysie du côté droit, suivie d'ap
cherches que nous avons entreprises sur les accès d épi-îepsie et les attaques d'hystéro-épilepsie, nous avo is constaté que, ta
dis que les diverses phases qui composent la période épileptuïde de l' attaque hysté-ro-épileptique étaient séparées par un repo
ondres il y a sept ans; elle était bien portante, mais nerveuse, sans attaques toutefois ; on n'a plus de ses nouvelles; pas de
cellente. — Mère, 68 ans, bien portante, très-nerveuse, aurait eu des attaques de nerfs, qui se montraient à la suite de contrar
riétés.—Une tante maternelle de la malade aurait de temp en temps des attaques de nerfs qui surviendraient principalement après
de cette petite malade. A 4 ans et demi, Merl... a eu une première attaque de convulsions, annoncée par les prodromes suivan
t en avant, puis à Planche IX. EPILEPSIE PARTIELLE DÉBUT DE L' ATTAQUE Planche X. EPILEPSIE PARTIELLE PÉRIODE TO
membre supérieur gauche devient rigide, s'allonge, la main Années. Attaques . Accès, 1803........... 81 34 1864..........
Emotions vives. —Jaunisse.—Impreïsionna-bilité très-vive. — Début des attaques . — Affaiblissement paralytique des membres inféri
ieurs.— Chorée. — Symptômes permanents de l'hystérie.— Caractères des attaques . — Rétention d'urine et surdité consécutives. —¦
consécutives. —¦ Incontinence d'urine. — Mélallothérapie. —Marche des attaques .— Influence des règles. — Situation actuelle. V
qu'au bout de 8 ou 10 mois. De 16 ans et demi, date do la première attaque , à 17 ans et demi, V... aurait eu 7 ou 8 fois des
re attaque, à 17 ans et demi, V... aurait eu 7 ou 8 fois des séries d' attaques , dont la durée ne dépassait pas une heure. Vers
. s'enfuit, courant comme une folle dans les rues. Elle aurait eu une attaque et, quand elle reprit connaissance, elle s'aperçu
ayant rencontré sa mère par hasard, elle se sauva et eut de nouvelles attaques (19 ans 1/2). (l) Sou beau-père aurait essayé d
réfugia dans un hôtel meublé, et le quatrième jour, elle fut prise d' attaques . Un médecin, appelé, la fit conduire à Lari-boisi
journa dans l'hôpital 15 mois, et eut, pendant 11 mois, de fréquentes attaques , presque tous les jours, assu-re-t-elle. C'est ap
tes attaques, presque tous les jours, assu-re-t-elle. C'est après les attaques qui motivèrent son admission à l'hôpital, que la
derniers mois de son séjour à Lariboi-sière , V... n'aurait pas eu d' attaques ; mais elle avait de la faiblesse des membres infé
e maison de convalescence rue Notre-Da-me-des-Champs. Là, une série d' attaques étant survenue, on conduisit V... à la Pitié, qu'
a conserva six semaines dans cet asile où elle eut une seule fois des attaques ; elle cessa alors de se servir de béquilles. Ell
ces accidents, à l'hôpital Cochin où on la conserva deux mois (pas d' attaques ) et d'où elle fut envoyée, pour la seconde fois,
e rue Notre-Dame-des-Champs, et, au bout d'un mois, ayant été prise d' attaques , elle fut portée ;à Lari-boisière (décembre 1876-
double, plus accusée à gauche. 1877, 1er juin. — V... a été prise d' attaques ce matin, à 6 heures, pendant qu'elle se promenai
. La nuit n'avait rien présenté d'extraordinaire. De 6 à 9 heures les attaques ont continué. Nous trouvons la malade dans la sit
ous trouvons la malade dans la situation suivante : Description des attaques . — Décubitus dorsal; tête rejetée en arrière ; ch
nite légère. Telle est la situation permanente de la malade entre les attaques . Celles-ci débutent sans cri, parfois, il y a u
nément la face se congestionne. (Période clonique.) Quelquefois les attaques ne se composent que de ces deux périodes et la ma
eures 1/2, la situation n'a pas changé : T. V. 38°,6. A 3 heures, les attaques continuant, on administre le nitrite d'ample avec
n administre le nitrite d'ample avec précaution et à petite dose. Les attaques cessent. V... mange et paraît revenue à sa condit
plaint de malaise et, un quart d'heure après, elle est reprise de ses attaques . Une nouvelle inhalation de nitrite d'amyle les s
e nouvelle inhalation de nitrite d'amyle les suspend. 2 juin. — Les attaques ont recommencé hier soir à 9 heures et n'ont pas
res). Rigidité générale. T. V. 38°,1. Nitrite d'amyle. Suspension des attaques ; à 3 heures, une crise, puis rien. — Soir : T. R.
3 heures, une crise, puis rien. — Soir : T. R. 38°. Zjuin. — Pas d' attaques depuis hier, à 3 heures. — Surdité des deux côtés
, a été reprise hier, à 4 heures. Le soir, T. V. 38°,6. Ce matin, les attaques continuent. T. V. 38°,2. Dans l'intervalle des
matin, les attaques continuent. T. V. 38°,2. Dans l'intervalle des attaques , tétanisme permanent, avec contracture desmâchoir
ois de suite, avec violence. — Constipation; rétention d'urine. — Les attaques ont fini à 4 heures du soir. A 6 heures, T. V. 38
ures du soir. A 6 heures, T. V. 38°. 26 juillet. — Pas de nouvelles attaques . — V... n'a pas dormi; dès qu'elle s'assoupissait
. 1er septembre. — La malade a été prise, pour la troisième fois, d' attaques , ce matin à 4 heures. Hier, dans l'après-midi, el
était agacée, taquinait les autres malades, chan- Planche XII. ATTAQUE PÉRIODE TONIQUE geoitde place, s'asseyait,
4 à 11 heures, elle n'a pas recouvré la connaissance ; on a compté 22 attaques . Tétanisme permanent. A la fin d'une attaque, o
ance ; on a compté 22 attaques. Tétanisme permanent. A la fin d'une attaque , on note quelques nouvelles particulari tés : tym
. C'est-il ennuyeux, ça !... Ce n'est pas loyal... » Alors éclate une attaque : période tonique qui dure 1 5 secondes ; — p
» Elle se plaint, parle bas, d'une manière inintelligible. Nouvelle attaque : incomplète, composée d'une période tonique et d
omposée d'une période tonique et d'une période clo-nique; puis, autre attaque complète. A la fin de celle-ci : T. V. 38°,1. L
is, autre attaque complète. A la fin de celle-ci : T. V. 38°,1. Les attaques , avec délire consécutif, ont persisté pendant l'a
usqu'à deux heures de l'après-midi. Soir : T. R. 38°. 2 sept. — Les attaques ont fini ce matin à 10 heures ; on en a compté 18
olue. T. R. 37°,8. 3 sept.—T. R. 37°,9. La sur- Planche XIII. ATTAQUE ; PÉRIODE ËPILEPTOÏDE STERTOH dite et la rét
de même des contractures passagères, qui constituent, en réalité, des attaques ébauchées : La face se colore, les lèvres se pl
. R. 37°,9. — Contracture passagère des mâchoires. — A 10 heures, les attaques reparaissent. Nous n'avons à relever que les modi
albumine (1). 5 sept.—De 8 heures du soir à 8 heures du matin, 145 attaques .—De 8 heures à 11 heures,28 attaques.Alors, dans
du soir à 8 heures du matin, 145 attaques.—De 8 heures à 11 heures,28 attaques .Alors, dans un intervalle de repos, le premier de
ent des paupières et des lèvres qu'on ne voit pas d'habitude dans ses attaques ; coloration bleuâtre de la langue, de la muqueuse
ts choréiques sont plus intenses qu'ils n'étaient avant ces dernières attaques . La parole, en particulier, est plus embarrassée.
né de plaintes.— Ouïe normale.— V... ne mange que de la salade. — Une attaque avortée hier, dans l'après-midi. 8 sept. — L'ap
é une incontinence d'urine depuis le 10 septembre. Elle a été prise d' attaques hier soir, à 8 heures. A 9 heures 3/4, elle avait
se d'attaques hier soir, à 8 heures. A 9 heures 3/4, elle avait eu 20 attaques ; on lui a administré du chloroforme ; elle a été
ce matin, 8 heures et demie. De là, à 8 heures du soir, elle a eu 72 attaques . En revenant à elle, elle a demandé à boire. 1o
pas dormir parce qu'elle a des cauchemars terribles. 2 nov. — Pas d' attaques . — Sentiment de vertige. — V... ne prend que des
ls soût même plus forts, au moins momentanément, après chaque série d' attaques . Mouvements brusques, assez rares, de la tête ; —
« Je le brise !... » (C'est du verre qu'il s'agit.) Dans une autre attaque : « Maman ! maman ! (C'est toujours l'appel qu'el
me pas cette liqueur là et je n'en prendrai pas____» Dans une autre attaque : « Je me rappelle de l'histoire sous le chêne...
sceau du déshonneur... Si vous approchez!... » (Menace.) Après une attaque avortée, c'est-à-dire ne comprenant que la périod
à demi, regarde par terre, « Passe-moi la bouteille. » 2 déc. — Les attaques continuant, on lui administre le chloroforme à 2
on lui administre le chloroforme à 2 heures. Elle a eu, en tout 1 36 attaques . — Soir : T. R. 38°. 3 déc. — Courbature généra
— Soir : T. R. 38°. 3 déc. — Courbature générale. Pas de nouvelles attaques . Il n'y a, cette fois, ni surdité, ni rétention d
t 8 ou 10 jours en décembre. 14 janvier. — V.... a été prise de ses attaques ce matin, à 7 heures. — A 10 heures, arrêt moment
ovarienne. — A 2 h. 1/2, chloroforme ; fin de la série ; en tout, 39 attaques . 15janvier. — Injection de 10 gouttes de la sol
érale est passable; toutefois, il y a une anémie assez prononcée. Les attaques sont plus rares ; V... n'a pas eu de séries depui
V... n'a pas eu de séries depuis le mois de février, mais elle a eu 1 attaque épileptiforme en juillet, 2 en août, et une dans
rrégularités, et, depuis seize mois, aménorrhée, d'où il suit que les attaques n'ont pas de rapport direct avec les règles. Sont
s événements qui semblent avoir déterminé l'apparition de la première attaque , afin de savoir au juste s'ils se reproduisaient
de nouveau le 19 octobre; elle s'excite peu à peu et elle est prise d' attaques ayant les caractères habituels. Nous relèverons s
onne ici?... Où suis-je?... Où est donc la porte?... » Elle a eu cinq attaques ; trois d'entre elles n'étaient composées que
de délire, la période clonique faisait défaut. A la fin d'une de ses attaques , elle a essayé de se mordre l'avant-bras. 29 oc
ttaques, elle a essayé de se mordre l'avant-bras. 29 octobre. — Les attaques ont recommencé peu après mon départ. A 2 heures,
s ont recommencé peu après mon départ. A 2 heures, on avait compté 49 attaques complètes et 3 attaques épilepti-formes, c'est-à-
ès mon départ. A 2 heures, on avait compté 49 attaques complètes et 3 attaques épilepti-formes, c'est-à-dire composées seulement
t de la série. La nuit a été tranquille. Ce matin, à la suite d'une attaque , V... est restée dans un état de contracture modé
ominant aux bras et surtout au bras gauche. Le cou n'est pas roide. Attaque . 1° Période tonique. La face et les yeux se porte
ute la période de délire, disparait tout à coup. 30 oct. — Dans ses attaques d'hier, ainsi que cela arrive d'ordinaire, V... s
C'est comme un coup de marteau et des élancements. » A l'approche des attaques , elle s'exaspère; ainsi, elle a été très forte de
, elle a été très forte depuis le 25 octobre jusqu'au 28, jour où les attaques ont commencé. Rachialgie. — Douleur vive à la p
à gauche. V... pense que si l'on appuyait davantage, elle aurait une attaque , car elle a une sensation particulière du côté de
, en un mot les phénomènes habituels de l'aura. Toutefois, pour que l' attaque fut complète, elle assure qu'il faudrait appuyer
— Le rire spasmodi-que a cessé vers midi. On ignore si V... a eu une attaque pendant la nuit ; mais, ce matin, on l'a trouvée
membres dans l'extension, laquelle a disparu à 8 heures et demie sans attaques (l).V... a pleuré, (l) On voit que, à côté des
côté des gué— risons de contractures hystériques sous l'influence des attaques ou des émotions morales vives (colère, excitation
le ne boit que de l'eau de seltz et de la tisane parce que, après les attaques , il lui semble que le vin a le goût de l'encre (?
n effet. Les mouvements choréiques, qui augmentent à l'approche des attaques et dans les jours qui les suivent, ont diminué. I
hangé. — Ce matin on ne parvient pas à provoquer la trépidation Les attaques se montrent généralement par séries, constituant
t, septembre, octobre, décembre 1877. Le 14 janvier 1878, série de 39 attaques . En mars, on note trois faiblesses ou mieux trois
érie de 39 attaques. En mars, on note trois faiblesses ou mieux trois attaques syncopales, ainsi caractérisées: pâleur extrê
ien éprouver de particulier. En avril, aucun accident ; — en mai, 6 attaques épilep-tiformes ; — en juin, rien; — en juillet,
en mai, 6 attaques épilep-tiformes ; — en juin, rien; — en juillet, 1 attaque épilepti-forme; — en août, 2; — en septembre, une
juillet, 1 attaque épilepti-forme; — en août, 2; — en septembre, une attaque epilrp-tiforme, suivie de trois attaques complète
août, 2; — en septembre, une attaque epilrp-tiforme, suivie de trois attaques complètes ; — le 28 octobre, 3 attaques épileptif
ilrp-tiforme, suivie de trois attaques complètes ; — le 28 octobre, 3 attaques épileptiformes et 49 attaques hystéro-épilepti-qu
attaques complètes ; — le 28 octobre, 3 attaques épileptiformes et 49 attaques hystéro-épilepti-ques. I. — Les événements qui
vénements qui ont déterminé, chez cette jeune fille, l'apparition des attaques hystéro- épilepti-ques, restent dans un certain v
e, agréable, avec Max, le fils même du vieillard amoureux. II. —Les attaques offrent dans leur ensemble les caractères habitue
onique ou des grands mouvements ; 3° p. de délire. D'autres fois, les attaques sont uniquement constituées par la première pério
e nom d'accès (1); nous préférerions les désignations suivantes : attaques incomplètes, a. avortées, ou mieux attaques épile
désignations suivantes : attaques incomplètes, a. avortées, ou mieux attaques épileptiformes (2). Elles se résument ainsi : '
inolente ou non (3). Ces trois phases qui composent, disons-nous, l' attaque épileptiforme, répondent absolument à la période
aque épileptiforme, répondent absolument à la période épileptoïde des attaques complètes. Les attaques complètes se montrent p
ent absolument à la période épileptoïde des attaques complètes. Les attaques complètes se montrent par séries de 15, 20, ...18
es. Les attaques complètes se montrent par séries de 15, 20, ...185 attaques , qui s'étendent sur un ou deux jours, rarement da
bservations. (2) Voir le tome I. passim, et p. 124. (3) Après ces attaques épileptiformes, durant la période de stertor, les
avec incontinence d'urine. Divers moyens suspendent ou arrêtent les attaques : compression ovarienne, inhalations de chloroform
ns de chloroforme, d'éther et surtout de nitrite d'amyle. Outre les attaques épileptiformes (attaques incomplètes ou avortées)
r et surtout de nitrite d'amyle. Outre les attaques épileptiformes ( attaques incomplètes ou avortées), et les attaques hystéro
es attaques épileptiformes (attaques incomplètes ou avortées), et les attaques hystéro-épileptiques complètes, V... a quelquefoi
es complètes, V... a quelquefois des « faiblesses », c'est-à-dire des attaques syncopales. On les retrouve chez beaucoup d'hysté
mariée à Loys Pierret. Trois mois plus tard, frayeur, hallucinations, attaques . Nicole est déclarée possédée... Conjurations, ex
e sont contraints de laisser Nicole tranquille. Alors., les grandes attaques cessent, mais la guéri-son n'est pas encore compl
mais la guéri-son n'est pas encore complète, Nicole est sujette à des attaques sincópales : « Le lundi donc 11 février (1566), »
s avec celle que nous avons tracée, on voit que les caractères de ces attaques synco-pales sont les mêmes et qu'elles sont plus
du goût à droite, ainsi qu'une hémianesthésie. Sous l'infl'ience des attaques , nous avons vu survenir une amaurose et une surd
de nombreuses variations. Elle augmente quelquefois à l'approche des attaques et surtout après un état de mal hystéro-épileptiq
ns la moitié du corps envahie la dernière et, à la suite de nouvelles attaques , dans la moitié primitivement affectée. Le retour
de deux hystériques , Ler... et Etchev..., qui ont encore éprouvé des attaques hys-téro épileptiques après la disparition des rè
avant la fonction menstruelle. Sommaire. — Antécédents. — Début des attaques à 15 ans et demi. — Anes-thésie et paralysie du c
: Hémianesthésie et hyperesthésie ovarienne droites. — Caractères des attaques en 1873. — Arrêt des convuhions par la compressio
ion des règles. — Retour de la sensililité à gauche. — Caractères des attaques en juillet 1873. — Secousse?. — Tremblements, sau
contracture récente. — Contracture du bras droit. — Modifications des attaques : crucifiement. Piai de la malade (avril 4877
tc. — Traitement par l'or. — Morphine et urticaire. Description des attaques (juillet 4877) : prodromes lointains; — aura; — d
uillet 4877) : prodromes lointains; — aura; — d"bul ; — périodes. — Attaques composées seulement de la période de délire : leu
rique rhythmique : guérison par le nitrite d'amyle. Description des attaques en 4878 ; crucifiement; — attitudes passionnelles
, des pleurs et sans miction involontaire, ni écume. Plus tard, les attaques , qui étaient diurnes etnocturnes,ont augmenté d'i
t de miction involontaire.Enfin ,au mois d'avril dernier, une série d' attaques aurait laissé après elle une paralysie du côté ga
e fléchissait et se pliait. Au bout de huit jours, L... aurait eu des attaques répétées et la paralysie, abandonnant le côté gau
ite ; les douleurs du ventre auraient également changé de côté. Les attaques auraient, dit-on, coïncidé avec le développement
en musclée, mais non encore réglée. En raison delà multiplicité des attaques , L... fut conduite à l'hôpital des Enfants malade
été admise pour une paralysie de la sensibilité du bras droit et des attaques d'hystérie grave, précédées de douleurs dans le b
int et la trouva toute effrayée, saignant du nez. Puis ont éclaté les attaques qui ont duré plusieurs heures et se sont terminée
terminées par des rires. Pendant un mois et demi, L... aurait eu des attaques presque tous les jours.On lui appliqua des ventou
it par les cheveux ; elle parvint à lui échapper : le soir, nouvelles attaques plus violentes. Ses parents la placèrent comme
u fils.peut-être parce qu'il pense que ce n'est pas son enfant. Les attaques , après s'ètro éloignées, se rapprochèrent. L... f
oreille droite). L'aura n'apparaîtrait que quelques minutes avant l' attaque ; la malade a toujours le temps de se coucher. Qu
le temps de se coucher. Quelquefois, cependant, elle se figure que l' attaque va s'arrêter, que les phénomènes qu'elle éprouve
n'a aucun souvenir de ce qui se dit ou se fait autour d'elle durant l' attaque . La terminaison serait annoncée soit par des pleu
rien éprouvé ; elle ne conserve qu'un peu de contracture. Après ses attaques , elle a des visions, se fait des peurs. Elle revo
Enfin, elle a des mouvements du ventre, etc. Dans l'intervalle, des attaques , la rigidité persiste. — Après une attaque, L...
Dans l'intervalle, des attaques, la rigidité persiste. — Après une attaque , L... est revenue à elle ; sa physionomie était s
rotte le côté droit du ventre. Bientôt, elle est prise d'une nouvelle attaque ... 1876. — Janvier-février. — La compression de
er-février. — La compression de la région ovarienne droite arrête les attaques ; mais, d'habitude, elles reprennent au bout d'un
ieur à la dose de 15 à 43 gouttes n'a nullement modifié la marche des attaques . — Le 20 mars, nous observons une modification de
érap. sur Vépilepsie et ïhystérie, p. 100-101. gauche suspend les attaques . Quand elle a recouvré connaissance, L... déclare
in, elle a été prise à 7 heures, et, à 10 heures, on a déjà compté 21 attaques . La compression ovarienne les fait cesser pour un
eux, comme avec le nitrite d'amyle. Bientôt, L... ayant été reprise d' attaques , nous recommençons les inhalations de valerate d'
us lourde que le nitrite d'amyle. — Peu après notre départ, nouvelles attaques . En tout, jusqu'à 3 heures, 39 attaques. 1 juin
après notre départ, nouvelles attaques. En tout, jusqu'à 3 heures, 39 attaques . 1 juin. — Les attaques ont reparu ce matin à 4
les attaques. En tout, jusqu'à 3 heures, 39 attaques. 1 juin. — Les attaques ont reparu ce matin à 4 heures. A 11 heures, elle
ammes, de corbeaux et orné d'un drapeau tricolore (1). Une nouvelle attaque , survenue après un repos de 20 minutes, est arrêt
parla compression ovarienne gauche. — T. R. 38°,5. \kjuin.— Série d' attaques . L... a revu le charriot des morts. Quand les hom
ts, avec de longues queues. 23 juin. — De 7 à 11 heures du soir, 18 attaques . 24 juin. — De 7 heures du matin à midi, 52 att
es du soir, 18 attaques. 24 juin. — De 7 heures du matin à midi, 52 attaques . 4 juillet. — Pas d'attaques du 24 juin à ce jo
uin. — De 7 heures du matin à midi, 52 attaques. 4 juillet. — Pas d' attaques du 24 juin à ce jour. Depuis (l) L... a celte v
éveillant, elle avait ses règles pour la première fois. A 9 heures, attaques . A 11 heures et demie, on en avait compté 35. — T
— T. R. 37°,5. — De 7 heures du matin à une heure de l'après-midi, 18 attaques . U anesthésie est toujours générale. 9 juillet.
toujours générale. 9 juillet. — De 10 heures à 3 heures du soir, 39 attaques . Les règles sont à leur fin. 15 juillet. — La s
ain, l'anes-thésie était complète. 28 juillet. — G... a été prise d' attaques , au moment de l'apparition des règles. De 1 heure
. De 1 heure à 9 heures du soir, elle en a eu 26. 29 juillet. — Les attaques ont recommencé à 9 heures. A midi, on en avait co
sques;les yeux deviennent hagards, fixes; les pupilles se dilatent, l' attaque éclate sans cri. Période épileptoïde. a) La tèt
air. 3 septembre. — Les règles ont paru le 10r; le 2, elle a eu des attaques , et aujourd'hui 60. L'écoulement sanguin est peu
est peu abondant, s'arrête et reprend; il cesse le 5. 6 septembre.— Attaques coupées par les inhalations de nitrite d'ample.
ions de nitrite d'ample. 27 novembre. — De 8 h. 1/2 à 11 h. 1/2, 34 attaques . T. R. 38°. 3 décembre. — Hier, dans l'après-
sait par terre. De 6 heures du soir à 4 heures et demie ce matin, 130 attaques . 4 décembre. — Dans l'après-midi, X... a éprouv
compression ovarienne les a momentanément arrêtés. De 5 à 9 heures, attaques incomplètes. Dans la troisième, le bras droit s'e
étant placé eu travers du dos. La contracture a disparu à la septième attaque . La compression, pratiquée à 9 heures, a mis fin
nuit à 7 heures, sommeil tranquille. A partir de 7 heures, nombreuses attaques complètes et incomplètes, offrant des particulari
Ah ! mon cou ! » Puis elle crie et perd connaissance. Dans d'autres attaques , l'avant-bras droit se place en travers du dos et
ou si l'on préfère les vagues abdominales, qui précèdent souvent les attaques , sontaujourd'hui très-accusés. Deux fois, à la
ne plus apercevoir celui dont la vue lui faisait tant plaisir. Les attaques ont continué (13 complètes et 6 incomplètes) jusq
T. 11. 37°, 8. 1 décembre. — De minuit à trois heures du matin, 35 attaques . Le reste de la nuit, sommeil assez tranquille, i
quin. Toutes les jointures sont rigides. La fesse est creuse. — Trois attaques à 11 heures. Dans l'une d'elles, les convulsions
remblement, qui a duré jusqu'à 8 heures. De ce moment à 10 heures, 22 attaques : compression ovarienne, disparition de la contrac
bre. — Règles ; écoulement d'abord assez abondant, puis arrêt ; pas d' attaques ce jour-là ni le 11. Examen des yeux fait avec
urant la nuit, crampes dans la jambe paralysée. — De 8 à 10 heures 11 attaques . Revenue à elle, X... raconte qu'elle a éprouvé d
ait sauter au plancher, » Dans l'intervalle qui a séparé la cinquième attaque de la sixième, on s'est aperçu que la paralysie d
(1). 1 0-12 janvier. — Règles assez abondantes. 24 janvier. — 54 attaques ; X... n'en avait pas eu depuis le 6. 7 février
rre, à nu, les pieds également découverts. De 8 heures à minuit, 49 attaques : arrêt définitif par le nitrite d'ample. Le 17
le nitrite d'ample. Le 17 février, de 7 heures du soir à minuit, 53 attaques . — Le 18, de 9 heures du matin à 2 heures de l'ap
ttaques. — Le 18, de 9 heures du matin à 2 heures de l'après-midi, 51 attaques . L... s'est levée et s'est promenée dans la cour.
a cour. De 9 heures du soir jusqu'à 2 heures du matin, 19 février, 31 attaques . Elle a senti des douleurs au niveau du bas-ventr
ment à droite, lentement à gauche. — Nous il avons ensuite noté 3 attaques avortées. L'anesthésie est totale et affecte la
sans la moindre difficulté. 20 février. — De minuit à 2 heures, dix attaques durant lesquelles la contracture de la jambe gauc
langue dont la pointe venait loucher le menton. De 6 à 9 heures, 21 attaques . Dans les premières attaques, le bras droit s'est
loucher le menton. De 6 à 9 heures, 21 attaques. Dans les premières attaques , le bras droit s'est placé en travers du dos et l
llée contre la partie postérieure du palais. Dans les intervalles des attaques , la langue restait contracturée et la malade ne p
t contracturée et la malade ne pouvait pas parler. A la suite de cinq attaques qui se sont succédé sans interruption, la contrac
24 fév. — Depuis le 22 jusqu'à 8 heures ce matin, même état ; pas d' attaques . Les règles ont paru hier. — De 8 à onze heures,
; pas d'attaques. Les règles ont paru hier. — De 8 à onze heures, 30 attaques . Disparition de la contracture du bras après
ttaques. Disparition de la contracture du bras après la quatrième attaque et de la jambe après la cinquième. Période de d
temps, elle a quelques petits mouvements du bassin. Dans une autre attaque , elle s'asseoit, regarde de côté, sourit, donne d
de de délire, sans qu'il y ait eu de 'période épileptoïde, L... a une attaque composée : a) de \pé-riode clonique, avec les gra
grands mouvements ; — b) de la période de délire (1). Dans quelques attaques , mais non dans toutes, le bras droit exécute des
toutes, le bras droit exécute des moure (l) Nous avons observé des attaques du même genre, c'est-à-dire composées seulement d
droit, sans cela, elle ne saurait s'il est par terre. 4 mars. — 35 attaques ; arrêt par le nitrite d'amyle. 9 mars. — De 8
es ; arrêt par le nitrite d'amyle. 9 mars. — De 8 heures à midi, 36 attaques . M mars. — 43 attaques. 18 mars. — 60 attaque
d'amyle. 9 mars. — De 8 heures à midi, 36 attaques. M mars. — 43 attaques . 18 mars. — 60 attaques. Insuccès des inhalatio
heures à midi, 36 attaques. M mars. — 43 attaques. 18 mars. — 60 attaques . Insuccès des inhalations d'éther; arrêt définiti
tête des gens tout ce qui était à sa portée. (l) Au début d'autres attaques nous avons vu les deux bras se retourner plusieur
s deux bras se retourner plusieurs fois en devenant rigides. — 39 attaques . Les règles marchent convenablement. 9 avril. —
— 39 attaques. Les règles marchent convenablement. 9 avril. — 4 attaques avortées ; 25 complètes. Arrêt par le nitrite d'a
avortées ; 25 complètes. Arrêt par le nitrite d'amyle. 4 0 avril. — Attaques . — Période de délire : physionomie effrayée : « O
e tortille comme pour échapper aux étreintes de quelqu'un. Dans une attaque , après la période des grands mouvements, elle est
par des rêves pénibles, cela plus particulièrement avant ou après les attaques .— Les règles sont irrégulières ; parfois elles ne
ne I provoque pas les phénomènes habituels de l'aura et partant d' attaque . On a pratiqué, dans ces derniers temps, un cer
s ont à peine coulé. X... passe la nuit dans le jardin. 6 mai. — 27 attaques . 22 mai. — Dans la journée, 13 attaques plus
le jardin. 6 mai. — 27 attaques. 22 mai. — Dans la journée, 13 attaques plus fortes que d'habitude; puis, attaques succes
i. — Dans la journée, 13 attaques plus fortes que d'habitude; puis, attaques successives, sans retour de la connaissance, de 9
définitif par le nitrite d'ample. 29 mai. — De 8 à 11 heures, 14 attaques . — A 8 heures du soir, secousses très-fortes ; l'
une d'elles l'a jetée à bas de son lit. 1er juin. — Secousses, puis attaques de 8 heures du soir à 1 heure du matin. %juin.
puis attaques de 8 heures du soir à 1 heure du matin. %juin. — Les attaques ont recommencé à 8 heures et continuent à 10 heur
é une demi - heure plus lard par une contracture. A la suite de trois attaques épïlepti formes, on note, en outre, une contractu
n'y a ni morsure, ni gonflement). T. R. 38°, 2. Soir : T. R. 38°, 4. Attaques dans l'après-midi ; elles ont cessé à 4 heures.
aques dans l'après-midi ; elles ont cessé à 4 heures. 4 juin. — Les attaques ont commencé à 8 heures. Nous voyons la malade à
Après un repos relativement assez long, comme on le voit, L... a une attaque qui laisse une nouvelle contracture de la mâchoir
huit centigrammes, dose actuelle. — Aujourd'hui, de 9 à 11 heures, 15 attaques . % juillet. — X... a été prise d'attaques à 9 h
hui, de 9 à 11 heures, 15 attaques. % juillet. — X... a été prise d' attaques à 9 heures et, contrairement à sa coutume, elle n
de prodromes. Nous allons décrire aussi complètement que possible ses attaques . Souvent, dès la veille des attaques, ou au moi
complètement que possible ses attaques. Souvent, dès la veille des attaques , ou au moins quelques heures auparavant, on obser
avons déjà appelé l'attention : ce sont les prodromes lointains de l' attaque . Interrogée, la malade déclare que les douleurs
ans l'oreille droite, obscurcissement de la vision, etc. Début de l' attaque . — La respiration est irrégulière, l'oppression é
gulière, l'oppression évidente, la parole est entrecoupée ; sentant l' attaque imminente, L... essaie de se comprimer : « J'ai..
ière pliase, parfois, il y a déjà de l'écume, sortant, dans certaines attaques , sous forme de grosses bulles. (Pl. XVII.) (2).
nt des palpitations si rapides que nous avons signalées au début de l' attaque ; les membres sont animés de secousses tétaniform
Elle offre deux variétés qui, quelquefois, se succèdent dans la même attaque . a) Mouvements cloniques des membres, pour ains
ire qu'elle suit du regard, etc. (Pl. XXIII). Dans Y intervalle des attaques , le corps est rigide, les membres sont dans l'ext
e nous avons indiqués comme caractérisant les repos. La reprise des attaques est annoncée par les phénomènes décrits plus haut
ranquille hier et cette nuit; la contracture n'a pas reparu; mais les attaques ont recommencé à 9 heures et demie. Nous voyons L
Chameau ! Pignouf! Vaurien ! Elle reprend Planche XV DÉBUT DE L' ATTAQUE CRI Planche XVI. TÉTANISME sa positio
ÉTANISME sa position primitive : « Et tu continues " » Nouvelle attaque ; puis le délire réparait. L .. croise les bras,
lonique, elle retombe dans la période du délire ; il s'agit donc là d' attaques constituées uniquement par la troisième période e
s, les changements de la face qui surviennent d'habitude au début des attaques complètes. « Compte sur moi ; j'ai ton amitié..
.. » 10 juillet. L... a bavardé sans cesse depuis hier sans avoir d' attaques et son bavardage continue encore : c'est un vérit
nner. .. (Ecoute.) Achève... Dépêehts-toi donc ! Est-ce que tu as des attaques ?. . . Tu as des secousses. . . Tu veux encore un
aordinaire en toi, c'est que tu ris toujours. » Durant cette longue attaque de délire, la température a suivi les oscillation
squels elles sont restées plusieurs heures. Aujourd'hui, à la suite d' attaques , elle est prise de son délire de paroles dans leq
e qu'Emile l'appelait. A trois heures, étant au jardin, elle a eu une attaque incomplète. Revenue à elle, X... est raisonnable.
termine un délire semblable à celui qu'on observe durant les séries d' attaques : loquacité, confidences involontaires, hallucina
choréiques étaient alors suspendus. T. V. 38°. Puis, X... a eu trois attaques qui ont laissé après elles une contracture des me
l'après-midi. Depuis lors, jusqu'à trois heures, X... a trois petites attaques après lesquelles la chorée rhythmique est revenue
onze heures et demie. De deux heures à trois heures, trois petites attaques . Après la dernière, les mouvements choréiques ont
le 16 novembre. 19 nov. — Hier, de huit heures du soir à minuit, 24 attaques . De minuit à huit heures, ce matin, rien. Depuis
es, ce matin, rien. Depuis lors jusqu'à une heure de l'après-midi, 25 attaques : les mouvements qui caractérisent la chorée vulg
i, X... a été calme. Aujourd'hui de huit à dix heures, elle a eu cinq attaques épileptiformes, c'est-à-diri ne comprenant que la
hes. La sensibilité est revenue à gauche. 1er décembre. — Nouvelles attaques .Laj9^rio^?^? grands mouvements est annoncée par l
. .. C'est maman qui est la plus coupable. . . • 2 déc. — Hier, 154 attaques de six heures du matin à sept heures du soir, X..
heures du soir, X... a été conduite au cours de M. Gharcot, ayant ses attaques . A deux heures, arrêt par le chloroforme; elle av
aques. A deux heures, arrêt par le chloroforme; elle avait eu déjà 45 attaques . — Soir : T. R. 37°,5. 6 déc. — X... avoue que
plus raisonnable. Hier, de cinq à huit heures du soir, on a compté 32 attaques . 1878. % janvier. — De six à huit heures du soi
té 32 attaques. 1878. % janvier. — De six à huit heures du soir, 18 attaques , chloroforme. Ce médicament n'arrête pas les atta
res du soir, 18 attaques, chloroforme. Ce médicament n'arrête pas les attaques aussi bien que le ni tri te d'a-myle; souvent, il
Névralgie faciale, injection sous-cutanée de morphine. %0janv. — 38 attaques de cinq à dix heures du soir; chloroforme. 21 j
8 attaques de cinq à dix heures du soir; chloroforme. 21 janv. — 36 attaques de neuf heures et demie à onze heures du matin.
ures et demie à onze heures du matin. En février, X... n'a pas eu d' attaques . — Le 3 mars, elle a respiré 125 gr. d'éther. Dep
ôles dans la tête, nausées, etc. Hier soir, de sept à neuf heures, 17 attaques épilepti formes, suivies de 8 attaques hystéro-ép
oir, de sept à neuf heures, 17 attaques épilepti formes, suivies de 8 attaques hystéro-épilep-tiques. En se réveillant, ce matin
ce matin, elle était, dit-elle, comme une femme ivre. 13 mars. — 15 attaques épilepti formes et 15 grandes attaques. 14 mars
ne femme ivre. 13 mars. — 15 attaques épilepti formes et 15 grandes attaques . 14 mars. — En une heure, 12 attaques épileptif
épilepti formes et 15 grandes attaques. 14 mars. — En une heure, 12 attaques épileptiformes et 6 attaques hystéro-épilepti-que
attaques. 14 mars. — En une heure, 12 attaques épileptiformes et 6 attaques hystéro-épilepti-ques. 25 mars. — En huit, he
6 attaques hystéro-épilepti-ques. 25 mars. — En huit, heures, 45 attaques ; chloroforme. 26 mars. — Insomnie. X... a été
e. Lorsqu'on presse simultanément sur les deux zones, on provoque une attaque . \Q juillet. — Séries d'attaques durant lesquel
sur les deux zones, on provoque une attaque. \Q juillet. — Séries d' attaques durant lesquelles ont été prises la plupart des P
uelles ont été prises la plupart des Planches. Début. — Souvent les attaques éclatent sans que la malade pousse un cri ; d'aut
la menace ; les Pl. XVII et XVIII représentent cette phase dans deux attaques différentes. L'attitude change brusquement. X..
d'un ton plaintif : « Tu ne veux plus ? Encore...! » Dans certaines attaques , sa supplication est écoutée et elle reprend l'at
r le lit et quelques instants après, reprend connaissance. Nouvelle attaque . Période épileploïde.a) Phase tétanique : 15 seco
t au bout de quelques instants reprend connaissance. Dans une autre attaque , après la période épileptoïde et la période cloni
est terminée. En juillet, août, septetnbreet octobre, X... a eu des attaques à maintes reprises, arrêtées soit par le courant
ndrons dans le volume suivant sur tous ces phénomènes. 2 nov. — Des attaques ont (l) Voir le Progrès médical, 1878, p. 993.
t ; — des jambes dans l'extension; les pieds sont en varus équin. Une attaque , provoquée par la compression des zones hys-tér
e demeure appliqué pendant trente-six heures sans plus de succès. Une attaque provoquée ne modifie en rien la situation (Fig. 8
a situation (Fig. 8). 1er décembre. — X... a, ce matin, une série d' attaques qui ne changent pas l'aphonie. Inhalation de nitr
tement. 31 déc. — X... a conservé sa sensibilité. Elle n'a pas eu d' attaques dans le courant du mois. Depuis quelques jours, e
est ce que nous saurons plus tard. Relation entre les règles et les attaques . — Nous avons noté plusieurs fois, en passant, l'
sant, l'apparition des règles et on a pu voir que, assez souvent, des attaques surviennent durant la période menstruelle, en gén
ails complémentaires sur l'année 1878. En janvier et février, pas d' attaques ni de règles. — En mars, 52 attaques épileptifor-
. En janvier et février, pas d'attaques ni de règles. — En mars, 52 attaques épileptifor-mes et 81 grandes attaques; les règle
es ni de règles. — En mars, 52 attaques épileptifor-mes et 81 grandes attaques ; les règles ont coulé le 7 et le 8 ; le 7 mars, e
attaques; les règles ont coulé le 7 et le 8 ; le 7 mars, elle a eu 17 attaques épileptoïdes et 8 attaques complètes; pas d'attaq
ulé le 7 et le 8 ; le 7 mars, elle a eu 17 attaques épileptoïdes et 8 attaques complètes; pas d'attaques du 1er au 7, ni du 8 au
rs, elle a eu 17 attaques épileptoïdes et 8 attaques complètes; pas d' attaques du 1er au 7, ni du 8 au 19 mars. — En avril, 78 a
lètes; pas d'attaques du 1er au 7, ni du 8 au 19 mars. — En avril, 78 attaques avortées et 47 grandes attaques ; pas de règles.—
7, ni du 8 au 19 mars. — En avril, 78 attaques avortées et 47 grandes attaques ; pas de règles.— En mai, 51 attaques incomplètes
attaques avortées et 47 grandes attaques ; pas de règles.— En mai, 51 attaques incomplètes et 66 complètes ; pas de règles. — En
1 attaques incomplètes et 66 complètes ; pas de règles. — En juin, 10 attaques épileptoïdes et 67 grandes attaques ; règles le 7
es ; pas de règles. — En juin, 10 attaques épileptoïdes et 67 grandes attaques ; règles le 7 juin ; pas d'attaques du 1er au 18.
taques épileptoïdes et 67 grandes attaques ; règles le 7 juin ; pas d' attaques du 1er au 18. —En juillet, 30 attaques en deux fo
ues ; règles le 7 juin ; pas d'attaques du 1er au 18. —En juillet, 30 attaques en deux fois, le 9 et le 17 ; règles du 23 au 27
u 27 ; elles ont duré, chose rare, près de quatre jours. — En août, 9 attaques qui se sont montrées les 1er, 3, 22, 24 du mo
es 1er, 3, 22, 24 du mois ; règles le 19 et le 20. — En septembre, 69 attaques complètes; pas de règles. — En octobre, 23 : pas
s; pas de règles. — En octobre, 23 : pas de règles. — En novembre, 40 attaques ; pas de règles. — En décembre, pas d'attaques sp
les. — En novembre, 40 attaques ; pas de règles. — En décembre, pas d' attaques spontanées ni de règles. Nous terminerons par q
terminerons par quelques indications approximatives sur le nombre des attaques : En 1876, 1,097; — en 1877, on a compté 1293 g
des attaques : En 1876, 1,097; — en 1877, on a compté 1293 grandes attaques et 3 attaques épi-leptiformes;en 1878, on a noté
: En 1876, 1,097; — en 1877, on a compté 1293 grandes attaques et 3 attaques épi-leptiformes;en 1878, on a noté 605 attaques c
grandes attaques et 3 attaques épi-leptiformes;en 1878, on a noté 605 attaques complètes et 191 attaques épileptilbrmes. Rappelo
ques épi-leptiformes;en 1878, on a noté 605 attaques complètes et 191 attaques épileptilbrmes. Rappelons que les attaques se mon
attaques complètes et 191 attaques épileptilbrmes. Rappelons que les attaques se montrent par séries, constituant des états de
e la vie réelle et les différentes phases de la période de délire des attaques . Les antécédents de X... nous font voir combien
ime à se parer. Ce besoin d'ornement est si vif que quand elle est en attaques , s'il se produit une rémission, elle en profite p
et la compression de la région hyperesthésiée suffisait à arrêter les attaques . Les notes qui nous ont été remises sur son séjou
me avons eu L'occasion d'en observer un certain nombre. III. —Les attaques de X... sont tout-à-fait comparables, dans leurs
t tout-à-fait comparables, dans leurs traits les plus importants, aux attaques des malades dont nous avons précédemment parlé. N
ment parlé. Nous y retrouvons toutes les périodes qui constituent les attaques complètes. Il nous paraît inutile de revenir sur
n de pouvoir appeler, de préférence, l'attention sur les variétés des attaques et sur quelques-uns de leurs caractères. a) Nou
actères. a) Nous avons insisté de nouveau, à propos de X... sur les attaques épileptif ormes, ou attaques avortées car elles n
sté de nouveau, à propos de X... sur les attaques épileptif ormes, ou attaques avortées car elles ne comprennent que la période
rtées car elles ne comprennent que la période épileptoïde des grandes attaques hystéro-épileptiques. Bien des signes indiquent q
ous nous bornerons à dire ici que la compression ovarienne arrête ces attaques épilepti-formes, si semblables, en apparence, aux
psie. Et il en est ainsi chez toutes les hystériques. Geneviève a des attaques épilepti-formes le 25 octobre 1877 : nous les arr
rêtons par la compression aussi bien que chez X..., etc. Tantôt les attaques épileptif ormes sont isolées, tantôt elles appara
tantôt elles apparaissent par petites séries de même que les grandes attaques . Chez quelques malades, Parm..., Math..., l'hysté
Math..., l'hystérie convulsive se borne même à cette seule variété d' attaques , constituant des états de mal hystéro-épùeptiques
us contenterons de citer ici la température. Malgré la répétition des attaques , elle reste à 38° ou 38°,5, tandis que si l'on av
at de mal épileptique elle atteindrait 40°, 41° et môme 49°. b) Les attaques se répétant, il arrive parfois que, la période ép
tant, il arrive parfois que, la période épileptoïde faisant défaut, l' attaque comprend seulement la période clonique et la péri
nt la période clonique et la période de délire (p. 139). c) Enfin l' attaque peut n'être constituée que par la période de déli
rent d'une manière péremp-toire. Les analogies qui existent entre ces attaques de délire et la période de délire des attaques co
qui existent entre ces attaques de délire et la période de délire des attaques complètes sont de toute évidence. Nous avons ég
complètes sont de toute évidence. Nous avons également observé des attaques de délire, mais moins prolongées, chez Geneviève
es, chez Geneviève : le 17 décembre 1877, entre autres, elle a eu une attaque de ce genre, non précédée des périodes épileptoïd
e de délire, sans période épileptoï'de et sans période clonique : ces attaques duraient une ou deux heures, se terminaient par d
mal. On se rappelle que celui ci se compose, à son plus haut degré, d' attaques hystéro-epilepliques complètes, qui se succèdent
s, qui se succèdent pendant des heures ; — à un degré moins accusé, d' attaques épi-lepti formes, survenant coup sur coup, égalem
s. — Le délire que nous avons décrit était lui-même constitué par des attaques se suivant pour ainsi dire sans intervalle, attaq
onstitué par des attaques se suivant pour ainsi dire sans intervalle, attaques dans lesquelles on voyait se reproduire les mêmes
ont (0 Quand Yéther est administré aux hystériques, en dehors des attaques , il ne paraît déterminer que l'hystérie gaie. (
s. III), de Marc... (t. I, Obs. V). d) Soit avant, soit après leurs attaques , les hystériques se livrent à des actes extravaga
ssement à cause de sa chute. » IV. — Pour calmer les hystériques en attaques , les prêtres employaient autrefois, et préconisen
ur, du courant électrique, etc. V. —Quelques-uns des caractères des attaques deX... méritent d'être comparés aux phénomènes of
gidité tétanique du corps, que l'on observe à la première période des attaques . On disait que les religieuses de Loudun, « lorsq
ulaire dans les membres du côté droit (parésie) lorsque, à la suite d' attaques , elle a été affectée d'une véritable paralysie de
l'apparition des règles. Dès l'âge de 9 ans, elle était sujette à des attaques syncopaïes auxquelles se sont substituées, à 10 a
s, à 10 ans, sous l'influence d'émotions morales vives, de véritables attaques convulsives qui, chose curieuse, au lieu de prend
. Sommaire. — Antécédents. — Cauchemars. — Torticolis. — Frayeur. — Attaques syncopaïes. — Début des grandes attaques (16 ans)
. — Torticolis. — Frayeur. — Attaques syncopaïes. — Début des grandes attaques (16 ans). — Alastody-nie. — Etat de mal hystéro-é
ro-mam-maire droites. — Hematémèse. — Contractures. Description des attaques .-périodes, variétés, attitude du crucifiement, e
mai 1878, comme fille de service. Prise, quelques jours plus tard, d' attaques hystériques, elle est placée dans la section des
lle. ./!/?/-?, brunisseuse, vivante, bonne santé habituelle ; pas d' attaques de nerfs, ni de migraine, mais colérique. Après l
our la rassurer. Souvent,elle se trouvait mal pendant 3 ou 4 minutes ( attaques syncopa-les). Enfin,elle a eu fréquemment des tor
alles, en se couchant par terre, pour éviter le danger. La première attaque convulsive a éclaté le jour de l'incendie; elle a
sive a éclaté le jour de l'incendie; elle a été suivie de deux autres attaques . A dater de là (11 ans), jusqu'à 13 ans environ,
ns), jusqu'à 13 ans environ, X... a eu de temps en temps de nouvelles attaques . A partir de l'époque de la mort de son père (1
crampes d'estomac, de petites suffocations, jamais de syncopes, ni d' attaques . D'un caractère doux et assez affectueuse, A... n
ée ; elle fut prise d'un fou rire, et au bout de quelques minutes, (l' attaques hystéro-epilep tiques (1). Peu après, survint, sa
n de l'hôpital Cochin. L'émotion produite par l'examen, détermine des attaques , que la tante considère comme les premières. Les
termine des attaques, que la tante considère comme les premières. Les attaques reviennent les jours suivants et, vers le 5° ou l
ut se dissipa en huit jours. Ces accidents n'ont jamais reparu. Les attaques , en général très-courtes, continuant tous les jou
tc., en un mot, le terrain était préparé pour le retour des anciennes attaques . I l'asile Sainte-Anne (18 juin 1875). Là, elle
e Sainte-Anne (18 juin 1875). Là, elle aurait eu de temps à autre des attaques , séparées par des rémissions de 2, 3 mois ou même
i procurât une place ; mais, quand on sut qu'elle était sujette à des attaques , on lui conseilla d'entrer, en qualité de fille d
exerce une pression sur les régions hyperesthésiées, on provoque une attaque . Si la pression est prolongée et très-forte, on a
Si la pression est prolongée et très-forte, on arrête d'ordinaire les attaques ; cela est vrai, surtout pour la compression de l'
uleur spontanée est intermittente; elle est surtout accusée avant les attaques . Les cheveux sont rares dans la région hyperesthé
z bien. A... n'est sujette à des palpitations cardiaques qu'avant ses attaques . Les fonctions digestives sont irrégulières : app
i sont rouges; il la fixe, et s'il parle, c'est pour la contrarier. Attaques (1). — Aura. A... éprouve des douleurs plus vives
eillies par nous. (2) La compression laryngo-tra-cliéale arrête les attaques . phénomènes sont beaucoup plus intenses à droit
début, il sort de la bouche une salive mousseuse (1). Dans quelques attaques , les paupières sont ouvertes, et la convulsion de
) Voir la note de la page 144. Flanche XXXII. HYSTÉR0-ÉPILEPS1E : ATTAQUE TÉTANISME Planche XXXIII. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE
ILEPS1E : ATTAQUE TÉTANISME Planche XXXIII. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : ATTAQUE PERIODK ÉPILEPTOÏDE Planche XXXIV. HYSTÉRO-
ATTAQUE PERIODK ÉPILEPTOÏDE Planche XXXIV. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : ATTAQUE stkrtok Planche XXXV. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : A
O-ÉPILEPSIE : ATTAQUE stkrtok Planche XXXV. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : ATTAQUE DÉLIRE mie espèce de rictus. (Pl. XXXIII).
é complète et que la malade est encore sous le coup de son mal. Les attaques se présentent par séries, durant plusieurs heures
les membres, tantôt des membres du côté droit seulement ; enfin, les attaques peuvent être séparées par des rémissions complète
alors, elle se plaint, se lamente, etc. Modifications, variétés des attaques . — Dans quelques attaques, rares d'ailleurs, nous
lamente, etc. Modifications, variétés des attaques. — Dans quelques attaques , rares d'ailleurs, nous avons observé Y attitude
omènes lubriques ; ils sont légers, à Pétat d'ébauche. La variété d' attaques la plus commune chez A..., c'est celle que nous a
commune chez A..., c'est celle que nous avons désignée sous le nom d' attaques épileptiformes [attaques avortées ou incomplètes)
celle que nous avons désignée sous le nom d'attaques épileptiformes [ attaques avortées ou incomplètes) et qui se composent uniq
i se composent uniquement de la période épileptoïde. Quelquefois, les attaques se bornent aux deux premières périodes, une nouve
avant l'apparition de la période de délire. Nous avons vu aussi des attaques dans lesquelles la période clonique faisait défau
oi, agitation, lutte, etc. — Enfin, un jour, nous avons assisté à des attaques constituées exclusivement par le délire; ces atta
s assisté à des attaques constituées exclusivement par le délire; ces attaques de délire ne se sont pas produites primitivement,
s de délire ne se sont pas produites primitivement, mais à la suite d' attaques ordinaires. Signalons encore diverses particula
e concentration de la malade en elle-même. (Pl. XXXVIII). Arrêt des attaques . — Les attaques ont pu être suspendues ou arrêtée
de la malade en elle-même. (Pl. XXXVIII). Arrêt des attaques. — Les attaques ont pu être suspendues ou arrêtées à toutes les p
par l'application des pôles de la pi le Trouvé sur Planche XXXVI. ATTAQUE : CRUCIFIEMENT Planche XXXVII. ATTITUDES PASSI
e, Yéther; 5° par le compresseur. (Fig. 8). Vi juin. — A la suite d' attaques , A... conserve, pendant une demi-heure, une contr
aint d'avoir sans cesse des envies de vomir. Elle a plusieurs petites attaques qui ne changent pas le hoquet. Inhalation de chlo
r les apophyses épineuses des vertèbres hyperesthésiées, provoque une attaque . A... dit que cette pression détermine une sensat
nq ou six jours. Il s'agissait là d'une folie à part et non pas d'uue attaque de délire semblable à celle que nous avons décrit
malade et n'était nullement comparable à la période de délire de ses attaques . Pendant les quatre derniers mois de l'année 18
s fois, aussi, elle a essayé de s'étrangler. (Maniehystérique). Les attaques ont affecté la marche suivante : du 15 au 30 juin
une façon particulière par les menstrues. Relevons,toutefois, que les attaques ont été plus fréquentes dans les mois de juin ou
des cauchemars (1) ; puis, à ces phénomènes, sont venus s'ajouter des attaques syncopdles (2) ; enfin, sous l'action d'émotions
à peu et finalement disparaissent au bout de huit jours. IV. — Les attaques d'A... ressemblent, quant à la succession des pér
attaques d'A... ressemblent, quant à la succession des périodes, aux attaques des malades dont (l) Leçons de novembre et dé
arition de Vanesthésie, de la rachialgie, et de l'ovarie à la suite d' attaques et d'émotions vives. Les visites nocturnes de s
flige et c'est pour cela qu'elle a été malade hier : De 4 à 9 heures, attaques épileptiformes, attaques de contracture, attaque
qu'elle a été malade hier : De 4 à 9 heures, attaques épileptiformes, attaques de contracture, attaque de crucifiement. Ce matin
: De 4 à 9 heures, attaques épileptiformes, attaques de contracture, attaque de crucifiement. Ce matin, elle est allée se roul
, la rachialgie a complètement disparu et on ne peut plus provoquer d' attaques (2). — En temps ordinaire, quand la malade al (
dit en tendant le tronc, elle rend plus difficile la production d'une attaque ; quelquefois même, lorsqu'elle prend cette positi
dont elle se couvre. (Pl. XXXIX). 30 novembre. — En revenant de ses attaques d'hier, G... s'est aperçue qu'elle sentait. Nous
sommeil est très-court (2 ou 3 heures). 13 décembre. — G... a eu 25 attaques épileptiformes. — A 2 heures du matin, elle a ret
oit. L'expérience ne peut être poursuivie, parce que G... est prise d' attaques . On les arrête par la compression ; G... revient
n effet, une morsure profonde, qu'elle s'est faite elle-même dans ses attaques d'hier.) Us ont eu trois fois des rapports. Elle
la rachialgie n'existe plus, et qu'il est impossible de provoquer des attaques . 19 décembre. — G... a pleuré pendant toute la
ie, 30. Ataxie hystérique, 136. Athétose, 29, 32, 37. Atrophie, 30. Attaques (Description des) d'hystérie, 96. 103, 162 etc.—
vessie, 102, 111. — Traitement de la — : par Vaimant, 113; — par les attaques , 138; — par le chloroforme, 137; — par la compres
ginaire, 217. Guérison spontanée, 111. H Hallucinations après les attaques , 75, 81, 102, 129, etc.; — pendant les attaques,
lucinations après les attaques, 75, 81, 102, 129, etc.; — pendant les attaques , 131, etc. Hémichorée, 30, 32, 41. Hémiplégie
Névralgie faciale, 160. Nicole Obry, 110. Nitrite d'amyle,78 (V. Attaques , Contractures, etc.). Notion de pos'tion (Perte
1'), 224. P Paralysie hystérique, 113, 135; — guérison par les attaques , 136. Parésie hystérique, 128. Peur, 197, etc. Ph
. Règles (Influence des) surlesaccês, 44, 47, 55, 73, 89. — Sur les attaques , 107, 132, 137, 166. Rétention d'urine, 98, 138
re dans les accès d'épi-lepsie (V. Epilepsie partielle). — dans les attaques , 97, 105, 132, etc ; — dans la chorée rhythmi-que
5 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
s il y a, à la fois, paralysie permanente avec ou sans contracture et attaques d'épilepsie Bravais-Jacksonienne. Ici, tandis qu'
puis une troisième huit jours plus tard. Et, depuis cette époque, les attaques convulsives se sont répétées une ou. deux fois pa
ensitives et sensorielles dans le délire de la troisième période de l' attaque hystérique (voir plus loin, n°XXVI), nous avons e
ot, depuis plus de dix ans. C'est une grande hystérique, avec grandes attaques à trois périodes, attaques de contracture, et por
C'est une grande hystérique, avec grandes attaques à trois périodes, attaques de contracture, et portant tous les stigmates de
iserie de l'éther qu'on leur administre quelquefois pour calmer leurs attaques ). Nous tentons alors d'impressionner le sens de
ement sur un tam-tam. Immédiatement la malade tombe dans une violente attaque de contracture. Nous lui faisons reprendre ses se
élire post-hystéro-épileptique, et se voit quelquefois à la suite des attaques d'hystérie. Bien qu'elle refuse énergiquement de
onservant toujours les diverses contractures qui lui restaient de son attaque , la malade, ceci est important à noter, ne nous
à l'hospice une multitude d'accidents hystériques : chorée rhythmée, attaques de délire durant jusqu'à dix jours, paralysies, c
service on a l'habitude de donner de l'éther pour calmer les grandes attaques d'hystérie, pour lesquelles on fait aussi usage d
organes des sens sur les hallucinations de la phase passionnelle de l' attaque hystérique (1). On sait que les attitudes passi
dans la nomenclature établie par M. Charcot, la troisième phase de l' attaque hystéro-épileptique, sont commandées en général p
lus souvent visuelles. On sait aussi que cette troisième période de l' attaque peut, dans certains cas, prendre un développement
s entreprises à ce sujet dans le délire de la phase passionnelle de l' attaque hystérique. Depuis les travaux de M. Mesnet, M. P
possibilité de donner des suggestions dans la phase passionnelle de l' attaque d'hystérie, mais sans insister sur les caractères
Enfin M. le Pr Charcot, (1) Pitres. — Des zones hyslèrogènes ; des attaques de sommeil. Bordeaux, 1885. faisant allusion au
it n'est pas très rare dans la phase des attitudes passionnelles de l' attaque (1). Mais toutes les recherches faites jusqu'au
tête. Le 8 avril, en examinant le réflexe rotulien, on provoque une attaque de nerfs qui commence par des mouvements épilep-t
s, arc de cercle caractéristique, etc. Depuis cette époque, les mêmes attaques se reproduisent presque tous les jours. Le malade
ure qui s'étend aux membres supérieurs persiste quelque temps après l' attaque et résiste aux frictions et au massage. Les doule
on est obligé de recourir au cathétérisme pour vider la vessie. Les attaques peuvent se produire à l'aide d'un aimant, par l'e
s arrêter par une suggestion énergique, mais seulement au moment où l' attaque commençait. Chaque attaque est précédée d'une aur
n énergique, mais seulement au moment où l'attaque commençait. Chaque attaque est précédée d'une aura gastrique (boule qui remo
gastrique (boule qui remonte de l'estomac à la gorge). Au début, l' attaque ne s'accompagnait pas d'attitudes passionnelles.
scènes de knout. Il voit aussi son père, mort aujourd'hui. Après son attaque , il no conserve aucun souvenir do ses hallucinati
ences instituées en novembre 1889, pendant la phase passionnelle de l' attaque .—En plaçant un verre vert devant les yeux du mala
objet. Verre rouge. — Il se lève effrayé et cherche à s'enfuir... L' attaque survient qui clôt la scène. Deuxième expérience
vers verres devant lesyeux du malade à l'état normal ne produit pas l' attaque et ne provoque aucune hallucination. Le verre rou
lucination. Le verre rouge, au contraire, provoque instantanément une attaque du genre de celles que nous avons décrites plus h
nces, on suggère au malade, pendant la période hallucinatoire 'de l' attaque , de raconter les tableaux qui se sont déroulés de
allucinations qu'il n'avait manifestées extérieurement pendant chaque attaque que par une mimique assez animée. Dans son prem
e qu'a provoquée chez lui l'audition de l'orgue de Barbarie pendant l' attaque répond la partie correspondante de son récit. A
e le malade voyait sponta nément pendant la phase passionnelle de l' attaque . Il est certain que toutes ces hallucinations nou
o-frénateur dans les deux régions ovariennes. Elle a eu autrefois des attaques de chorée rhythmée hystérique et à plusieurs repr
es attaques de chorée rhythmée hystérique et à plusieurs reprises des attaques de délire dont l'une en particulier a duré dix jo
délire dont l'une en particulier a duré dix jours. Elle a de plus des attaques d'hystérie classique avec période épileptoïde, ph
domine notablement sur les deux autres phases. Elle durerait à chaque attaque jusqu'à une et deux heures, ainsi que nous l'avon
t hypnotisable, nous profitons de cette circonstance pour provoquer l' attaque hystérique, en lui suggérant dans la période somn
ste maladie! je la plains de tout mon cœur... Je n'en ai plus, moi, d' attaques (à pari) et puis je ne te le dirais pas, pour sûr
e l'on se sert généralement d'éther à la Salpêtrière pour arrêter les attaques d'hystérie.) Ici, nous arrêtons le délire en ap
les rats..., etc. Chloroforme. — (De môme que l'éther sert pour les attaques , le chloroforme est employé généralement ici soit
ur tenir la jambe droite... » Ether. — De nouveau, hallucinations d' attaques de nerfs, comme dans la première expérience. Si
el, la piqûre au ventre l'idée de laparotomie, l'éther le tableau d' attaques de nerfs, le chloroforme celui de contractures, e
sie souvent les mêmes suggestions que dans la phase passionnelle de l' attaque . Il en est ainsi pour l'éther, le chloroforme, le
ne d'années, hystéro-traumatique typique avec stigmates permanents et attaques classiques, mais dans lesquelles la phase passion
uelles la phase passionnelle prend un développement exagéré. Dans une attaque provoquée, après avoir laissé passer les périodes
antes. Une femme est là, dans la rue, sur le trottoir, en proie à une attaque de nerfs. Il écarte la foule pour qu'on lui laiss
pnotisme. Nous retrouvons aujourd'hui quelque chose d'analogue dans l' attaque délirante hystérique. C'est un point de con* tact
avons rapportés : 1° Que dans le délire de la phase passionnelle de l' attaque hystérique on peut modifier la marche des halluci
ur des signes plutôt négatifs — absence de stigmates hystériques et d' attaques — et sur les analogies présentées par ces impulsi
us ordinairement, sont procédés et suivis des phénomènes moteurs de l' attaque hystérique, et plus rarement se manifestent primi
mes hystériques comme des transformations d'une certaine période de l' attaque hystéro-épileptique, celle qui dans la nomenclatu
résentent comme limites extrêmes d'un côté la phase passionnelle de l' attaque elle-même, de l'autre le somnambulisme hypnotique
tte série qu'il établissait. On sait que cette troisième phase de l' attaque hystéro-épileptique est caractérisée par un délir
que la première phase (épilep-toïde) et la deuxième (convulsive) de l' attaque peuvent exister à l'état d'isolement, il arrive a
aussi que la troisième période se manifeste d'emblée. Cette manière d' attaque est surtout fréquente chez les enfants. Sous le t
mple, à l'occasion duquel j'avais pu dire (1) : « Si l'on admet que l' attaque hystérique offre une sorte de synthèse des symptô
lon cette conception, représenterait l'une des phases dissociées de l' attaque , la période (1) Paul Blocq. — Revue générale de
ulisme hystérique. Dans un premier groupe de faits, il s'agit d'une attaque d'hystérie dont la période convulsive est raccour
lle, exagérée par sa durée, offre l'apparencesomnambulique. Lorsque l' attaque survient, elle débute par quelques mouvements épi
nfluence créatrice (1). Enfin, il est souvent possible de provoquer l' attaque , par la mise en œuvre des procédés d'hypnotisatio
ordre de faits, ce n'est pas à une phase anormalement prolongée de l' attaque qu'on assiste, mais à une phase complètement isol
mains, qui représentent, en raccourci, les périodes convulsives de l' attaque . Il se livre d'emblée aux divers actes qui sont e
orsqu'elle passe de l'un à l'autre état, elle présente une esquisse d' attaque convulsive. Une autre malade de la Salpêtrière,
que cette conception des somnambulismes hystériques comme des modes d' attaques passionnelles est en quelque sorte la clef qui pe
'il existe une sorte de gradation de ces états, gradation qui va de l' attaque passionnelle normale, dans laquelle l'activité pr
lques types — mais qui toutes représentent une phase transformée de l' attaque hystérique. Leur comparaison montre enfin qu'elle
les tendent à réaliser des modes de transition entre cette phase de l' attaque et le somnambulisme hypnotique. (1) Voir plus l
s (1). Du somnambulisme hystérique (phase passionnelle de Vattaque, attaque délirante, attaque de somnambulisme). La grande
ulisme hystérique (phase passionnelle de Vattaque, attaque délirante, attaque de somnambulisme). La grande attaque d'hystérie
e Vattaque, attaque délirante, attaque de somnambulisme). La grande attaque d'hystérie est bien connue depuis les travaux de
ou hystéro-épilepsie. Quelquefois une des périodes peut manquer et l' attaque se borner par exemple aux grands mouvements et au
ence d'une prédominance de la phase épileptoïde pouvant aller, si les attaques deviennent subintrantes, jusqu'à simuler l'état d
onsidéré une période de délire comme inhérente à la constitution de l' attaque d'hystérie complète. Nous reviendrons d'ailleurs
dépens des autres phénomènes et prendre une prédominance telle que l' attaque devient véritablement une attaque délirante, l'él
rendre une prédominance telle que l'attaque devient véritablement une attaque délirante, l'élément convulsif se trouvant rejeté
heures et même plusieurs jours. Ces diverses modalités de la grande attaque d'hystérie se trouvent déjà signalées dans le liv
ques-unes d'entre elles et en particulier sur la forme délirante de l' attaque (1). Dans ses leçons cliniques, M. Charcot avait
cliniques, M. Charcot avait fait remarquer maintes fois combien cette attaque de délire se rencontre souvent dans l'hystérie. O
il, rentrer dans la catégorie du délire de la phase passionnelle de l' attaque auquel M. Charcot propose d'attribuer la dénomina
pour des accidents hystériques graves, consistant surtout en grandes attaques qui revenaient avec une violence et une fréquence
en dix jours, c'est-à-dire en moyenne 92 par vingt-quatre heures. Ces attaques , qui étaient tout d'abord vulgaires, commencèrent
nsistons pas ici sur cette immixtion de phénomènes hypnotiques dans l' attaque d'hystérie, nous réservant d'y revenir plus loin
a malade de M. Mesnet, lorsqu'une nuit, immédiatement au sortir d'une attaque convulsive d'une grande violence, elle se lève, s
t le somnambulisme hystérique ou délire de la phase passionnelle de l' attaque . L'interprétation est facile ici, et P. Richer (1
us la rubrique de somnambulisme remplaçant la phase passionnelle de l' attaque . Elle l'est peut-être moins chez le second malade
dédaigner pour l'interprétation des faits et leur identification, une attaque convulsive ouvrant et fermant la scène. On pour
uait aux dames, faisait des calculs pendant la phase délirante de son attaque , dont la phase convulsive était réduite au minimu
pporte, que le délire peut être accompagné des autres phénomènes de l' attaque à l'état d'intégrité ou de simple ébauche, ou, da
par le procédé ordinaire de la fixation d'un objet brillant ; 3° des attaques de sommeil; 4° des accès de condition seconde dan
is longtemps, M. Oharcot avait fait remarquer combien fréquemment les attaques délirantes se rencontrent chez les enfants des de
lire actif, quelquefois furieux, tenir une place prépondérante dans l' attaque d'hystérie. Dans une leçon publiée en 1884 (1), i
L'un d'eux (2) a trait à un jeune collégien de 14 ans qui, dans ses attaques que M. Oharcot qualifiait de somnam-bulo-délirant
(1). Dans ce cas le délire dura plusieurs jours et fut suivi par deux attaques successives qui se produisirent pendant la même j
pêtrière. L'un d'eux, le jeune It..., âgé de 13 ans, commençait son attaque par une aura gutturale fortement accentuée, crian
s de nerfs qu'il nous a décrites, et qui sont, à n'en pas douter, des attaques hystériques, durant quelquefois pendant quatre he
Plus tard l'aura classique laryngée et céphalique précéda toujours l' attaque . Mais pendant les premières elle manquait, phénom
mène d'autant plus important qu'il pouvait induire en erreur, une des attaques s'étant accompagnée de perte involontaire de l'ur
èse ne pouvait se soutenir longtemps. En effet bientôt apparurent des attaques dans lesquelles, l'élément convulsif se bornant à
ques. Dans la suite, après quelque temps de séjour à l'hôpital, les attaques de ce petit malade se modifièrent notablement.
s quelques cas qui précèdent, le délire de la phase passionnelle de l' attaque hystérique chez les enfants est éminemment variab
ous avons eu dans nos salles, à la Salpêtrière, deux enfants dont les attaques délirantes ont causé grand émoi dans les pays qu'
Bourgogne, dans un petit hameau de quelques habitants. Elle avait des attaques dans lesquelles la période délirante prenait un d
dmission àla Salpêtrière. Nous reconnûmes chez elle dès son arrivée l' attaque typique d'hystérie avec prédominance de la phase
ésentait dès son arrivée tous les signes de l'hystérie infantile avec attaques dans lesquelles la phase passionnelle prédominait
des règles et sous l'influence d'une émotion qu'elle eut sa première attaque d'hystérie. Elle était rentrée un peu tard de s
in, tout était rentré dans l'ordre. Par la suite elle eut plusieurs attaques semblables, tous les trois ou quatre mois environ
t et pendant les quinze jours qui suivirent la malade eut une série d' attaques convulsives, précédées d'une aura classique, avec
ands mouvements, arc de cercle, etc., mais sans délire accompagnant l' attaque . Le seizième jour elle fut prise, dans la rue, en
evenant de l'établissement hydrothérapique qu'elle fréquentait, d'une attaque convulsive ; une personne la releva, la conduisit
haises, à miauler, etc. A partir de ce jour elle eut deux espèces d' attaques : 1° Des attaques vulgaires suivies ou accompagné
etc. A partir de ce jour elle eut deux espèces d'attaques : 1° Des attaques vulgaires suivies ou accompagnées d'une phase dél
nées d'une phase délirante dans laquelle elle imitait le chat. 2° Des attaques de délire, non précédées de convulsions, constitu
ment par la phase de délire galéanthropique qui terminait les grandes attaques . Elle fut admise à la Salpêtrière le 2 juillet.
juillet. Le 3 au matin, dans le cabinet d'ophtalmologie, elle eut une attaque de délire primitif dont voici la description :
le se relève, l'air étonné, ne sachant ce qui vient de lui arriver. L' attaque avait duré cinq ou six minutes environ. La cris
t qui avait eu lieu la veille, dans le cabinet de M. Charcot. Après l' attaque , rien de particulier à noter. Ce même jour, 3 j
battaient et qui roulait ses yeux dans les orbites. Le lendemain une attaque se produisit, suivie d'une phase de délire pendan
us deux formes bien distinctes. Tout d'abord l'élément convulsif de l' attaque , s'il ne prédomine pas d'une façon absolue, exist
zôanthropique seul éclate par crises en apparence indépendantes de l' attaque d'hystérie, mais qui doivent cependant en être co
it seul, soit associé aux autres phases plus ou moins accentuées de l' attaque d'hystérie, se développer spontanément, comme l'a
centuées de l'attaque d'hystérie, se développer spontanément, comme l' attaque elle-même. Eh bien, nous allons faire reconnaître
e présentera l'esprit, lorsque le délire fait partie intégrante d'une attaque classique représentée par tous ses éléments plus
dessinés. Des zones hystérogènes diverses devaient, en développant l' attaque , faire éclore aussi le délire qui en fait partie.
nt sur les zones hystérogènes, lorsqu'elles existent, on provoque des attaques en tout semblables à celles qui se produisent spo
n quelque peu prolongée d'un objet quelconque suffit pour provoquer l' attaque chez les malades qui en sont porteurs. L'existe
u centre du périmètre provoquant chez lui instantanément une violente attaque de nerfs (1). Chez un individu de cette catégorie
les sujets susceptibles d'être hypnotisés. Il va entrer soit dans son attaque convulsive, soit dans son somnambulisme. Supposon
ez ce malade produit l'état hypnotique, mais simplement développé une attaque , comme on eût pu le faire en pressant sur le test
me on eût pu le faire en pressant sur le testicule ou l'ovaire. Cette attaque est convulsive, ou somnambulo-délirante, peut-êtr
élirante, peut-être les deux a la fois, peu importe. C'est toujours l' attaque , et d'ailleurs, comme on le verra dans la suite d
vaient cru à « l'hypnotisme » alors qu'il s'agissait tout bonnement d' attaques délirantes. On verra, en outre, en lisant ces fai
ont bien portantes et la quatrième, âgée de 20 ans, est sujette à des attaques de sommeil. Elle en a eu deux à la suite desquell
la suite desquelles elle est restée paralysée des jambes. La seconde attaque s'est produite pendant la messe que l'on célébrai
ucoup à cette règle, à savoir que chez les enfants en particulier les attaques se produisent habituellement le soir, avec plus o
a zone hystérogène oculaire, ainsi qu'on le verra plus loin. Jamais d' attaques de nerfs simples avec convulsions, jamais de pert
vec les manifestations hypnotiques, mais provoqua tout simplement une attaque de délire. Au bout de 45 secondes environ de fi
en qu'il les ait tenus constamment fermés pendant toute la durée de l' attaque , il disait de temps à autre : « Pourquoi cette la
viron un mois après l'entrée on provoqua par la fixation du doigt une attaque qui dura trois quarts d'heure, et le lendemain un
emain une autre qui dura une heure et vingt minutes. Dans ces longues attaques , le fond du délire restait toujours le même, mais
sait dans ses hallucinations. De plus, dans une de ces deux longues attaques provoquées on imagina de frapper, à côté de lui,
les en rapport avec la nature du bruit produit. Etant donc tombé en attaque par fixation du bout du doigt, il fait les quelqu
alisée. Car un an après le malade est encore dans le service avec des attaques qui ont perdu, il est vrai, le caractère somnambu
du, il est vrai, le caractère somnambuli-quo, mais sont de véritables attaques de grande hystérie. (G. G.) carafon, à midi. »
e tu faisais hier à trois heures quand on t'a attaché? » ^11 était en attaque .) R. « Je jouais aux dames..., je causais..., j
et je l'ai culbuté (il avait, en effet, fait cela la veille dans son attaque délirante)..., et puis M. Guinon est venu nous vo
est encore à l'hôpital plus d'un an après son entrée. Il n'a plus ses attaques délirantes, mais de grandes attaques convulsives
près son entrée. Il n'a plus ses attaques délirantes, mais de grandes attaques convulsives revenant à intervalles de plus en plu
donnée, il nous paraît inutile de revenir sur les caractères de cette attaque délirante qui sont bien nettement tranchés. On pe
rs, et qui semble être le vestige des phases convulsives de la grande attaque hystérique, avortée chez lui et presque réduite à
ce qu'on voit dans la phase des attitudes passionnelles de la grande attaque hystérique. Insistons en passant sur cette zoop
xiste une sorte d'ébauche de la période de contorsions qui commence l' attaque . Le malade ne semble pas à ce moment capable de c
possibilité de donner des suggestions dans la phase passionnelle de l' attaque d'hystérie, mais sans insister sur les caractères
n'est point très rare dans la phase des attitudes passionnelles de l' attaque (3). Mais toutes les recherches faites jusqu'au
organes des sens sur les hallucinations de la phase passionnelle de l' attaque hystérique. (Arch, de Neurol., 1891, t. XXI, p. 3
ut n° XXVI. (2) Pitres. —Des zones hystérogènes et hypnogènes ; des attaques de sommeil. Bordeaux 1885. |3) Charcot. — Leçon
tes permanents les plus nets : anesthésie, etc. En outre il avait des attaques et une sorte de paraplégie par contracture. Les
avait des attaques et une sorte de paraplégie par contracture. Les attaques , qui, au début du séjour à l'hôpital,n'étaient ca
hypnotisme, on lui ordonna de raconter ultérieurement dans une autre attaque les tableaux qui s'étaient déroulés devant ses ye
organes des sens sur les hallucinations de la phase passionnelle de l' attaque hystérique. Dans la suite M. le Pr Charcot, metta
t courte, bien que prédominant notablement sur les autres phases de l' attaque . Nous Talions voir maintenant prendre un développ
eut-être eu, d'après les renseignements qui nous ont été fournis, des attaques d'hystérie. Un frère du père est mort à 51 ans, e
(Le père de la mère est mort jeune. La mère est morte à 71 ans, d'une attaque d'apoplexie. Une sœur de la mère, âgée de 40 ans,
rer à l'hôpital. En novembre 1886, Sch...er eut une première grande attaque hystéro-épileptique (perte de connaissance, chute
environ 1/4 d'heure. Dans les premiers jours de janvier 1887, seconde attaque semblable à la précédente. Puis, quelques jours a
Environ une heure après (vers 10 heures du soir) elle fut prise d'une attaque de délire qui dura toute la nuit. Elle avait des
bientôt de nouveaux accès d'hémichorée rhythmée, entremêlés parfois d' attaques hystéro-épileptiques. En janvier 1888, ses accès
continué à avoir assez fréquemment, et à intervalles irréguliers, des attaques hystéro-épileptiques et plus fréquemment encore d
ers, des attaques hystéro-épileptiques et plus fréquemment encore des attaques d'hémichorée rhythmée. Celles-ci reviennent spont
s différentes : en juin, en août 1888 et en janvier 1889 elle eut des attaques de délire qui se prolongèrent plusieurs jours.
èrent plusieurs jours. Le mercredi matin, 13 juin, à la suite d'une attaque de chorée, Sch...er a été prise d'un délire qui s
jeudi de la semaine suivante (21 juin) et a cessé après une nouvelle attaque de chorée rhythmée. Pendant tout ce temps la mala
ne présentent pas l'intensité ni l'étendue de ceux qu'elle a dans ses attaques ordinaires de choree rhythmée. Les régions spas-m
la pression du sommet de la tête, qui, à l'état normal, provoque une attaque de chorée rhythmée, ne produit rien pendant son d
de la région ovarienne droite, qui, dans l'état ordinaire, arrête ses attaques d'hystéro-épilepsie, ou ses attaques de chorée.
ans l'état ordinaire, arrête ses attaques d'hystéro-épilepsie, ou ses attaques de chorée. Pendant tout le temps qu'a duré son
n aperçu de ce que disait la malade pendant les 8 jours qu'a duré son attaque délirante, et des principales scènes auxquelles e
te..... » Le jeudi 21 juin, dans l'après-midi, elle est prise d'une attaque de chorée qui dure une heure, après quoi elle rep
a très bien dormi, et, Je lendemain, il ne restait d'autre trace de l' attaque , par laquelle elle venait de passer, qu'un peu de
sie sensitivo-sensorielle droite complète, est toujours sujette à des attaques d'hystérie. La phase passionnelle de ces attaques
jours sujette à des attaques d'hystérie. La phase passionnelle de ces attaques , dans laquelle elle est en proie à un délire hall
nent à l'élément convulsif l'aspect bien caractéristique de la grande attaque hystéro-épileptique. La période des attitudes pas
aussi caractéristiques que possible. Nous provoquions généralement l' attaque en suggérant à la malade, pendant la période somn
'éther (qui nous sert habituellement à la Salpêtrière pour calmer les attaques hystériques lorsqu'elles sont trop violentes ou n
uvre fille ! je la plains de tout mon cœur... Je n'en ai plus, moi, d' attaques (à part) et puis je ne te le dirais pas, pour sûr
assionnée, mais c'est pas ça du tout... Je t'assure que je n'ai pas d' attaques ... M. X..., je l'aimais bien ; M. Y..., oh ! pas
résultats de ceux que nous constatons pendant la phase délirante de l' attaque . Le processus est évidemment le même, et, plus en
l'eau de Cologne, celle de jardin rempli de fleurs, l'éther, celle d' attaque de nerfs, le chloroforme, celle de contracture hy
e jeter en bas des escaliers. En outre, tous les jours, il avait deux attaques de nerfs, l'une le matin à neuf heures, l'autre l
our de onze jours qu'il y fit, il fut parfaitement calme, n'eut pas d' attaques , de sorte qu'on le renvoya. Rentré chez lui, il
commença à travailler. Mais dans les premiers jours d'août il eut une attaque de nerfs, puis, après huit jours de tranquillité,
parler d'une troisième sur laquelle nous reviendrons plus loin. Les attaques dont souffre le malade sont des attaques d'hystér
reviendrons plus loin. Les attaques dont souffre le malade sont des attaques d'hystérie le mieux caractérisées du monde. Elle
ne période d'attitudes passionnelles. Mais cette troisième phase de l' attaque prend un développement hors de proportion avec le
lire actif, bruyant. On lira plus loin la description de ce délire. L' attaque est souvent spontanée et on peut la provoquer à
Au bout d'un certain temps on s'aperçut que l'on pouvait provoquer l' attaque d'une autre manière. Il suffisait pour cela de fa
a face grimaçait et immédiatement survenait la phase épileptoïde de l' attaque , suivie à bref délai des autres périodes, grands
5). Le délire de la phase passionnelle, qui se prolongeait dans les attaques provoquées comme dans les autres, mérite d'être s
Avec de l'éiher, il est dans la rue auprès d'une femme prise d'une attaque de nerfs et entourée par une foule de badauds. 11
ttachent bien nettement ce somnambulisme à la phase passionnelle de l' attaque ordinaire. Cependant, en insistant, on lui fait c
est réellement, c'est-à-dire à une pure et simple manifestation de l' attaque hystérique. * * * Nous avons vu chez nos de
malades la crise somnámbulo-delirante précédée des autres phases de l' attaque hystérique nettement caractérisée. Mais il existe
dont il était atteint et de le rattacher à la phase passionnelle de l' attaque , mais du moins plaide quelque peu par lui-même da
possible de comparer, sans trop s'aventurer, à l'aura céphalique de l' attaque normale, décrite par M. Charcot ? Joignons à cela
somnambulisme apparaît mêlé aux attitudes passionnelles de la grande attaque hystérique (1) P. Richer. — Etudes cliniques su
: le somnambulisme a sa place dans la troisième période de la grande attaque . Passons maintenant à la troisième division de
sous forme d'accès distincts chez une malade qui, d'autre part, a des attaques convul-sives ou simplement d'autres signes d'hyst
ues-uns des phénomènes appartenant aux diverses périodes de la grande attaque hystérique. » Conclusion : que le somnambulisme a
me apparaisse isolé ou encadré des phénomènes classiques de la grande attaque , il ne fait pas moins partie de celle-ci, dont il
eul l'unique représentant. On objectera : mais comment imaginer une attaque d'hystérie, quelle qu'elle soit, qui dure, nous n
la réponse est facile. On ne fait pas difficulté de considérer comme attaques de sommeil les cas bien connus de ces dormeuses d
té des exemples fort probants (1). Considérant une autre période de l' attaque classique, la phase épileptoïde, on peut voir cel
des passionnelles ce qu'on observe (1) Gilles de la Tourette. — Des attaques de sommeil hystérique. (Arch, de Neurol., 1888, t
Progr. méd., 20 octobre 1884). à l'égard des autres phénomènes de l' attaque ? Celle-ci n'en conserve pas moins ses caractères
lité propre. En effet, la description autrefois donnée de la grande attaque hystéro-épileptique par M. Charcot ne constitue p
toute crise de nerfs non conforme à cette description n'était pas une attaque hystérique. Bien plus, avec l'auteur même de cett
ésultat non douteux de l'observation journalière, que la majorité des attaques d'hystérie ne présente pas les quatre périodes cl
nt contraire à la réalité des faits. Notre description de la grande attaque à quatre périodes, notre étalon, nous sert précis
précisément à interpréter sainement les cas incomplets ou anormaux. L' attaque la plus fréquente est celle ou la deuxième phase
alies rares, telles que l'état de mal hystérique épileptiforme ou les attaques de somnambulisme. Encore une fois, est-ce là une
l, la période délirante comme un élément caractéristique du type de l' attaque hystérique (1). Mais revenons à nos cas de somn
délirantes étaient encadrées par les phénomènes typiques de la grande attaque . Au contraire, le cas de M. Mesnet représente l'a
t son séjour à Marseille, il se surmena beaucoup et faillit avoir une attaque de nerfs, dont il ressentit tous les prodromes. A
eilles). De plus, ainsi qu'on le verra plus loin, elle arrête aussi l' attaque . Il en existe un autre au niveau du condyle inter
ndant un temps plus ou moins long. Il se débat peu et on a qualifié d' attaques de sommeil les crises qu'il a eues. Nous n'avons
hypnotisé de B..., nous avions tout simplement provoqué chez lui une attaque somnambulo-délirante, dans laquelle les phénomène
-à-dire celle de véritables représentants de la phase convulsive de l' attaque . Mais les eût-on même négligés, il était encore f
ferme avec la main les yeux du malade, qui retombe aussitôt dans son attaque . On observe les mêmes mouvements de régurgitation
ant s'adresser à (1) En ce qui concerne le mode de provocation de l' attaque , l'analogie avec ce qui se passe pour l'hypnose n
plus tard, au cours de nos observations, que l'on pouvait provoquer l' attaque chez de B... par simple suggestion verbale. 11 su
lle pas qu'hier il s'est endormi. On plonge de nouveau le malade en attaque à l'aide de la pression sur les globules oculaire
expressifs, mais il est sobre de gestes. Pendant toute la durée d'une attaque provoquée il ne se lève pas de la chaise où on l'
B... avait eu, pendant la matinée, dans le dortoir des malades, une attaque spontanée qui avait été suivie de la période déli
mots imaginaires sur une page blanche. (G. G.) Charcot, t. il 10 attaque convulsive. L'expérience avait doublement réussi.
etc.). Ce côté professionnel se retrouve au plus haut degré dans ses attaques de somnambulisme, pendant lesquelles il écrit bea
e écriture tremblée et avec ces fautes évidentes, nous provoquons une attaque et, le malade étant dans la phase délirante, nous
avons maintes et maintes fois fait écrire ainsi le malade pendant ses attaques de somnambulisme hystérique, soit spontanées, soi
sait que reproduire de mémoire. Il a du reste peu composé pendant ses attaques délirantes. Sauf quelques courtes pièces, pour le
'il s'agit bien dans ces manifestations délirantes d'un fragment de l' attaque hystérique classique et, pour l'appeler par son n
ple réminiscence des pensées qui ont occupé les malades hors l'état d' attaque (1). » Une pareille affirmation, sous cette forme
occasionnée par le récit d'un incendie, eut pendant de longs mois des attaques de délire, pendant lesquelles elle se voyait ento
ts de théâtre en carton), eut des hallucinations de ce genre dans ses attaques . Enfin, plus tard encore, à la suite du violent c
ommée Schey..., qui était en même temps hypnotisable et sujette à des attaques de somnambulisme hystérique. Nous avons donc pu c
ns vu très nettement la personne délirante se maintenir la même d'une attaque sur l'autre, et cela à plusieurs jours de distanc
ère crise il écrit douze pages ; trois jours après, dans une nouvelle attaque , il continue, sans qu'on lui donne aucune indicat
travail dans toute son étendue — ne serait qu'une manifestation de l' attaque hystérique classique avec allongement et prédomin
veille, au milieu de quelques convulsions représentant un rudiment d' attaque . Il en était de même chez une autre malade, grand
plusieurs nuits de suite. Chez elle aussi il s'agissait simplement d' attaques d'hystérie avec prédominance de la période somnám
pendant son noctambulisme. La présence de l'élément convulsif de l' attaque , l'influence de la pression sur les points hystér
noctambulisme et on a pu constater qu'il s'agissait en réalité d'une attaque d'hystérie avec allongement de la phase passionne
récemment un homme de notre service, atteint d'hystérie avec grandes attaques habituellement diurnes, se lève pendant la nuit,
criture qu'il a l'habitude d'exécuter pendant la veille en dehors des attaques , et pour ce faire traverse une cour de l'hospice,
ue, etc., etc. A peine rentré dans sa salle, il est pris d'une grande attaque convulsive qui montre bien la nature véritable de
mble d'une importance capitale à plusieurs points de vue. Comme toute attaque d'hystérie, on peut provoquer l'attaque de somnam
rs points de vue. Comme toute attaque d'hystérie, on peut provoquer l' attaque de somnambulisme à l'aide de manoeuvres diverses,
bien souvent en tentant d'hypnotiser un sujet, c'est de provoquer une attaque de nerfs. Le doute sur l'effet obtenu n'est pas p
e sur l'effet obtenu n'est pas possible, quand il s'agit d'une grande attaque convul-sive violente ou d'une attaque de contract
e, quand il s'agit d'une grande attaque convul-sive violente ou d'une attaque de contracture, par exemple. Mais supposons qu'il
acture, par exemple. Mais supposons qu'il s'agisse au contraire d'une attaque de somnambulisme hystérique. L'erreur sera fort p
signalé (4). Il s'agit d'une femme qui, après avoir eu autrefois des attaques d'hystérie, tombait dans des crises de a somnam-
né habituel ». Dans son rapport, l'auteur va jusqu'à affirmer que les attaques spontanées sont dues à ce que le sujet s'auto-hyp
e observation, mais il nous suffira de signaler le mode de début de l' attaque , les caractères du délire qui rapprochent ce cas
occlusion des paupières, les phénomènes convulsifs qui accompagnent l' attaque . Tous ces caractères ne sauraient s'appliquer au
s paraît ressortir de cette étude. La phase passionnelle de la grande attaque classique d'hystérie peut prendre, aux dépens des
ées d'a-nesthésie généralisée, complète, permanente, et chez elle les attaques répondent de tous points au type classique. Vous
le entre, comme infirmière, à l'hôpital Necker ; là, elle est prise d' attaques convulsives et doit quitter son service. Elle est
e vertex, et des zones hystéro-fréna-trices dans les deux flancs. Ses attaques convulsives sont relativement rares. Elles sont r
s que les membres s'étendent violemment..., etc. C'est une esquisse d' attaque , et tout paraît rentrer dans l'ordre, mais désorm
nq à quinze minutes. Ce sont les mêmes phénomènes de commencement d' attaque , moins accentués cependant, qui président à la tr
Au point de vue nosographique, mon opinion est qu'il s'agit là d'une attaque d'hystérie transformée. Ces états de vigilambulis
ontestablement des modifications de la troisième période de la grande attaque d'hystérie (Voir plus haut, n0S XXVII et XXVIII).
mbulisme, ont cependant pour trait commun de se développer entre deux attaques hystériques. La scène dans les deux cas est inaug
ttaques hystériques. La scène dans les deux cas est inaugurée par une attaque et terminée par une attaque. J'aurai, du reste,
e dans les deux cas est inaugurée par une attaque et terminée par une attaque . J'aurai, du reste, un jour l'occasion de vous'
ément aux vues de M. le Pr Charcot, la troisième période de la grande attaque d'hystérie. Dans la description classique de l'at
e de la grande attaque d'hystérie. Dans la description classique de l' attaque , donnée par lui, cette période, dite phase des at
peuvent ou bien s'isoler complètement, comme il arrive dans la petite attaque d'hystérie consistant principalement en grands mo
ins cas, prendre la place principale parmi les autres phénomènes de l' attaque . On se trouve alors en présence soit de l'attaque
res phénomènes de l'attaque. On se trouve alors en présence soit de l' attaque délirante, soit de l'attaque de somnambulisme.
On se trouve alors en présence soit de l'attaque délirante, soit de l' attaque de somnambulisme. J'ai montré, dans le travail
différents aspects peut se présenter cette modalité particulière de l' attaque hystérique. On la rencontre fréquemment dans l'hy
ntiques quant au fond, ne se ressemblent pas tous quant à la forme. L' attaque à forme de délire se voit de préférence chez l'en
on prévenue risquerait de passer sans se douter qu'ils sont en pleine attaque d'hystérie, et les premiers, les délirants, dont
pas le seul aspect clinique que peut revêtir la troisième phase de l' attaque d'hystérie. Il en existe encore un autre, vraisem
nte vit une vie à part dont les morceaux, constitués par les diverses attaques de somnambulisme, se relient les uns aux autres.
s erreur dans le numérotage des pages, un manuscrit commencé dans une attaque somnambulique survenue trois semaines auparavant.
organes des sens sur les hallucinations de la phase passionnelle de l' attaque hystérique. (Arch. de Neurol., 1891, n° 63, et pl
blement par tous ses membres, » autrement dit elle venait d'avoir une attaque d'hystérie, lorsqu'après« cette victoire tant div
la fin de Vétat nouveau et de Yétat ancien, n'est autre chose qu'une attaque de sommeil hystérique. Bien que les auteurs n'a
e Féry, qui était aussi entrée dans son état second à la faveur d'une attaque hystérique non plus léthargique, mais convulsive.
contredit d'assimiler véritablement les périodes d'état second à des attaques vulgaires d'hystérie. M. Dufay s'est aperçu que l
éritables zones hysté-ro-frénatrices, dont l'excitation fait cesser l' attaque à forme spéciale dont la malade est affectée, en
ndons ici. Mais c'est tout. En tous cas, reste démontrée l'allure d' attaque hystérique que revêt bien nettement chez la malad
hystérique et atteint d'une perversion complète du sens génital. Les attaques que M. Vizioli décrit comme accès d'hypnotisme sp
tané (accessi di ipnotismo spontaneo) sont purement et simplement des attaques d'hystérie de (1) Nous ne savons point si l'aut
nes hypnotiques. Cette immixtion de manifestations hypnotiques dans l' attaque hystérique n'est point très rare et MM. Charcot,
urée est de dix à quinze minutes, peut manquer dans quelques-unes des attaques . Le troisième stade est caractérisé par des phé
y-perexcitabilité neuro-musculaire dans la phase léthargique de cette attaque , n'ait pas recherché de même la contracture somna
se spontanée. Mais, pour moi, je ne puis voir là-dedans qu'une simple attaque d'hystérie avec immixtion de phénomènes hypnotiqu
la fin de cette phase convulsive. Voilà qui est bien du domaine de l' attaque d'hystérie et non de l'hypnotisme. Mais je revien
dédoublement de la personnalité survenant par crises, à la fin d'une attaque d'hystérie dûment caractérisée. Dans le cas de
ie dûment caractérisée. Dans le cas de M. Ladame (de Genève) (1), l' attaque hystérique d'où dérivaient les phénomènes de dédo
onnalité affectait une modalité spéciale. Il ne s'agissait plus d'une attaque convulsive, comme ci-dessus, mais d'une attaque d
s'agissait plus d'une attaque convulsive, comme ci-dessus, mais d'une attaque de sommeil. (1) Ladame. — Observation de somnam
ez chargée. Sa mère était, comme elle, atteinte de somnambulisme et d' attaques de sommeil. Sa sœur a souffert pendant quelques m
ssez fréquentes depuis. Au mois de janvier 1887 survint la première attaque de sommeil caractérisée, à la suite de l'émotion
ment d'incendie qu'elle avait allumé par accident. Dans la suite, les attaques se répétèrent et, peu à peu, on s'aperçut que lor
paraître les crises de dédoublement de la personnalité, ainsi que les attaques de somnambulisme nocturne. L'élément hystérique
e nocturne. L'élément hystérique est, dans ce cas, représenté par l' attaque de sommeil qui précède chaque crise de dédoubleme
r dans l'autre, comme certaines passent de la période convulsive de l' attaque ordinaire dans la phase des attitudes passionnell
ériques caractérisés font leur apparition. Ce sont tout d'abord des attaques convulsives, puis, sept mois plus tard, des attaq
tout d'abord des attaques convulsives, puis, sept mois plus tard, des attaques de sommeil. Trois mois après le début de ces dern
de somnambulisme spontané, et que nous appellerons, avec M. Charcot, attaque de vigilambulisme ou dédoublement hystérique de l
r à l'état normal, interrompue, comme l'état normal lui-même, par des attaques convulsives ou de sommeil. Au bout de ce temps,
érique qui survenaient de temps h autres par accident, tels que : des attaques de catalepsie, ou plutôt de rigidité avec conserv
our pouvoir dormir. L'état second peut se produire à la suite d'une attaque con-vulsive, laquelle se présente toujours sous l
ive, laquelle se présente toujours sous la forme typique de la grande attaque décrite par M. Charcot, ou bien succéder à une at
e de la grande attaque décrite par M. Charcot, ou bien succéder à une attaque de catalepsie. Dans d'autres cas, elle est simple
e produit tous les soirs entre six et sept heures. Après une de ses attaques ou au sortir de la courte phase cataleptoïde qui
plus le premier mot, une fois revenue à l'état normal. « Pendant l' attaque de somnambulisme, la malade a gardé le souvenir d
é le souvenir de tout ce qui s'est passé pendant l'état normal et les attaques de somnambulisme précédentes. « Quelquefois cep
ent oublié tout ce qui s'est passé et tout ce qu'elle a dit pendant l' attaque de somnambulisme ; mais il arrive bien souvent qu
le début des crises d'état second sont trop franchement hystériques ( attaques convulsives, attaques de sommeil ou plutôt de con
'état second sont trop franchement hystériques (attaques convulsives, attaques de sommeil ou plutôt de contracture, d'après la d
ambulisme et qui s'observe fréquemment chez d'autres à la suite d'une attaque vulgaire d'hystérie. Remarquons déjà que, dans
'hystérie. Remarquons déjà que, dans ce cas, l'état second né d'une attaque de sommeil se prolonge au delà des limites où n
ement une hystérique, qui, vers l'âge de quinze ans, à la suite d'une attaque convulsive, perdit complètement le souvenir de so
on-vulsives qui ont bouleversé tout son être. A la suite d'une grande attaque , elle a perdu le souvenir de sa vie antérieure. »
— Op. cit., p. 140 et suivantes. ans, qui, à la suite d'une série d' attaques hystériques accompagnées des stigmates bien carac
paralysies et de contractures diverses. Le 17 avril, à la suite d'une attaque , la contracture a disparu et il se croit dans l'é
arbres. Quelque temps après (juin 1884), à la suite d'une nouvelle attaque , il se croit au 17 avril pendant vingt-quatre heu
ile de Lafond où, confié aux soins de M. Mabille (1), il présenta des attaques de déroulement des états successifs de personnali
de personnalité ou en sortait, c'est-à-dire par l'intermédiaire d'une attaque hystérique, si le passage était spontané, et, s'i
nvulsifs d'intensité variable, représentant l'élément convulsif d'une attaque plus ou moins complète ou avortée. Dans cette r
e fois, Félida est âgée de 15 ans. C'est une franche hystérique, avec attaques convulsives, hémoptysies nerveuses, etc... Elle e
ux faire que de comparer, en l'y assimilant, à l'aura céphalique de l' attaque d'hystérie) elle s'endort d'un sommeil profond, d
hériser, mais cette tentative exaspère les phénomènes nerveux, et des attaques convulsives suivies de paralysies apparaissent.
mort poitrinaire à trente-trois ans, était alcoolique et souffrait d' attaques nerveuses, qu'en l'absence de renseignements suff
ibue le développement des premiers accidents. Ce furent d'abord des attaques de nerfs avec perte de connaissance, convulsions,
t en arrière en faisant l'arc de cercle. Peu à peu, à la suite de ces attaques , on s'aperçut qu'elle était bizarre. Elle restait
mme d'habitude; puis cette espèce de somnambulisme se jugeait par une attaque et tout rentrait dans l'ordre. Cet état bizarre f
ectures interminables. Quand cet état cessait, interrompu par quelque attaque convulsive, on s'aperçut que la malade ne pouvait
lle a tout d'abord des crises de nerfs. Celles-ci sont simplement des attaques vulgaires d'hystérie, pas très violentes, mais su
enir accidentellement de temps en temps, soit spontanément, après une attaque par exemple, soit provoqué par certaines manœuvre
eure. Une seule fois, on a vu une période spontanée consécutive à une attaque , dans la journée, durer environ une heure. En moy
s l'état B, on constate un changement complet. En ce qui concerne les attaques de nerfs, nous \l) « Je sais toute drôle — je m
, où elle est, même éveillée, dans l'état A, on n'a jamais constaté d' attaques . Quant aux autres stigmates de l'hystérie, ils
lconque, Marguerite avait eu, dans le jardin de l'hospice, une petite attaque de nerfs. Celle-ci terminée, son amie s'aperçoit
t goutte. Au bout de ce temps, Marguerite, à la faveur d'une nouvelle attaque , rentre dans son état habituel (état B), peut de
age d'un état dans l'autre se fait toujours par l'intermédiaire d'une attaque convulsive hystérique d'intensité variable, tantô
et que l'état B ne s'est pas installé définitivement en une fois. Les attaques , fréquentes à cette époque, ramenaient tantôt l'é
ivant qu'elles avaient lieu dans l'un ou dans l'autre. Peu à peu, ces attaques diminuant de fréquence, l'état second a empiété d
des oscillations irrégulières entre les deux états, marquées par des attaques convulsives successives. Cette façon de comprendr
très bien remarqué que dans le courant d'une journée, coupée par des attaques de nerfs fréquentes, leur nièce était après elles
uotidiens matinaux et vespéraux se faisaient à la faveur d'une petite attaque convulsive hystérique avortée, tout comme les tra
'une émotion par exemple, étant en état B, Marguerite est prise d'une attaque hystérique parfaitement typique avec cris, grands
naissant plus ses compagnes. Au bout de quelque temps, une nouvelle attaque survient, beaucoup moins violente, les poings se
. Le passage à l'état B se fait de lui-même, à la faveur d'une petite attaque identique. Pour le provoquer, il suffît d'employe
lle. Mais en 1884 et 1885 elle est à diverses reprises en proie à des attaques d'hystérie à allure épileptiforme qui se reprodui
et d'un travail de MM. Marie et Souza-Leite (2). Il s'agissait là d' attaques hystériques subintrantes se reproduisant par séri
t, quinze, vingt jours et même plus, à raison de trois cent cinquante attaques par jour environ. Dans une période de treize jour
treize jours, on en a compté quatre mille cinq cent six. Ce sont des attaques presque exclusivement constituées par la phase ép
aques presque exclusivement constituées par la phase épileptoïde de l' attaque ordinaire, qui tient toute la place à l'exclusion
oint d'élévation de la température, malgré le nombre considérable des attaques et leur caractère subintrant, c'est-à-dire sans r
es d'anesthésie généralisée, complète, permanente, et, chez elle, les attaques (1) Charcot. — Etat de mal hystérique épileptif
ec Marie H... dans le cabinet du médecin, lorsqu'elle est prise d'une attaque présentant le type classique à trois périodes. Qu
e surprise à ce sujet. Dans cet état second, elle est sujette à des attaques d'hystérie vulgaires, classiques, avec phase épil
etour à cet état, ou lorsqu'il reparaît spontanément à la suite d'une attaque , elle éprouve tout d'abord un trouble assez viole
tal Lariboisière, où elle entre dans le service de M. Proust pour des attaques de nerfs et la chorée. Je place ici le récit d'
és ou provoqués, que la transition se fait toujours à la faveur d'une attaque convulsive hystérique plus ou moins complète ou f
ux cas, le passage de l'état B à l'état A est toujours marqué par une attaque convulsive hystérique d'une violence assez notabl
but, nous ne connaissions que le passage accidentel, à la suite d'une attaque survenue dans l'état B, pour une contrariété ou t
sez grande et caractérisée par les trois phases caractéristiques de l' attaque classique. Plus tard, on s'aperçut que l'on pouva
A. Mais, entre la suggestion et le retour se place régulièrement une attaque convulsive. Chose remarquable : au début, cette
èrement une attaque convulsive. Chose remarquable : au début, cette attaque , marquant le passage provoqué, était assez longue
fois l'arc de cercle manque, mais on est en présence d'une véritable attaque épileptoïde avec cri initial, phase tonique, phas
ujours de même avec une parfaite régularité, à la faveur d'une petite attaque consistant en un cri, quelques secousses des bras
bulique chez des sujets hystériques n'est autre chose qu'un morceau d' attaque dans laquelle les phénomènes convulsifs sont relé
ître, à savoir que l'état second n'est qu'une forme particulière de l' attaque avec prédominance de la phase des attitudes passi
ieurs fois on avait constaté dans la journée, à la suite d'une grande attaque convulsive parfaitement caractérisée, le retour i
estement hystériques. En d'autres termes : on est en présence d'une attaque marquée à son début et à sa terminaison par des c
lle pour la première fois le retour de l'état normal à la suite d'une attaque convulsive violente qu'elle avait eue en ma prése
ne fut point difficile de constater régulièrement que toujours grande attaque convulsive, arcs de cercle ou attaques à forme ép
gulièrement que toujours grande attaque convulsive, arcs de cercle ou attaques à forme épileptoïde marquent la fin et le commenc
la dame Américaine de Mac Nish nous sommes au début en présence d'une attaque de sommeil. Le malade de Bonamaison entre dans l'
ade de Bonamaison entre dans l'état B par une crise convulsive ou une attaque de sommeil ; son retour à l'état normal est marqu
M. Vizioli tombe dans l'état vigilambulique à la faveur d'une grande attaque caractéristique d'hystérie, mêlée de phénomènes h
u cours de l'observation. Chez la jeune fille de M. Ladame, c'est une attaque de sommeil qui marque le début de l'état second.
t pas moins caractéristique dans le cas de M. Ver-riest. Au début une attaque franche marquait le passage à l'état B et le reto
e qui nous occupe ici. Le premier entre dans ses divers états par des attaques plus ou moins franches et on en provoque le retou
ique, tandis qu'à sa terminaison il constate la présence d'une petite attaque de nerfs qu'il compare, dans une certaine mesure,
rfs qu'il compare, dans une certaine mesure, au petit mal comitial. L' attaque marque également le début des phénomènes de dédou
nt, avec une périodicité bien hystérique, ne sont autre chose que des attaques d'hystérie avec modification particulière de la p
ilambulisme n'est qu'une modification de la période passionnelle de l' attaque . On connaît des cas de délire hystérique ayant
de modification de cette même phase des attitudes passionnelles de l' attaque (1). On peut constater pour le somnambulisme, com
ublement complet et presque permanent de la personnalité et la courte attaque d'état second. Les observations que j'ai relatées
urait donc deux modifications spéciales de la phase passionnelle de l' attaque hystérique : le somnambulisme et le vigilambulism
ya!6iciç[u e ( 1 ) Sommaire. — Présentation du cas : shock nerveux, attaque , amnésie rétrograde ; amnésie antérograde (imposs
e jour depuis le shock nerveux. Nature de cette amnésie : morceau d' attaque hystérique transformée. Messieurs, L'étude cl
t-28 août)........ 28 août 1891 (événement causal,. C J_ début de l' attaque d'hystérie). Période de la crise d'hystérie. Am
a crise (18 août-31 août)------............. Y) J_3l août (fin de l' attaque d'hystérie) I Période d'o.mnèsie antérograde (3
cherai à faire prévaloir— la crise, origine de tout le mal, a été une attaque de grande hystérie. Nous avons, en effet, quelq
17. Sa mère, qui était très émotionnable, n'avait point de véritables attaques de nerfs, mais il lui arrivait parfois de tomber
limites, dans les amnésies consécutives à un accès d'épilepsie, à une attaque d'éclampsie puerpérale (2). On retrouve encore la
hallucination spontanée ? Une hallucination marquant le début d'une attaque d'hystérie n'est pas dans les habitudes de la gra
ntervalles de raison de plus en plus longs. Enfin, au sortir de cette attaque d'hystérie délirante, MmeD... se trouva dans l'ét
e trouva dans l'état où vous la voyez aujourd'hui. Je viens de dire attaque d'hystérie, car c'est bien d'hystérie qu'il s'agi
rte que maintenant rien ne manque au tableau et que l'existence d'une attaque cl'hystéro-épilepsie, de grande hystérie, devient
éro-épilepsie, de grande hystérie, devient incontestable (1). Cette attaque a donc duré trois jours entiers. Nous voici, Mess
. Les choses vues ou en- (1) La malade a eu aujourd'hui une série d' attaques de nerfs occasionnées par une frayeur et caractér
st l'hystérie, Messieurs, qui est en ijeu, et l'hystérie seule. Or, l' attaque convulsive et délirante a duré trois longs jours.
e ne le pense pas. A mon avis, il s'agit simplement d'un équivalent d' attaque d'hystérie, d'une attaque d'hystéro-épilepsie pro
vis, il s'agit simplement d'un équivalent d'attaque d'hystérie, d'une attaque d'hystéro-épilepsie prolongée sous forme d'amnési
longée sous forme d'amnésie. Vous savez que la période délirante de l' attaque se transforme souvent et que cette transformation
n'est autre chose qu'une transformation de cette phase délirante de l' attaque , et que l'automatisme ambulatoire, le sommeil hys
ade, il s'agit encore d'une transformation de la phase délirante de l' attaque classique, mais d'une transformation sous le mode
voulez bien réfléchir à la durée souvent très prolongée de certaines attaques de sommeil ou de vigilambulisme hystérique. Mai
er ici à provoquer une crise d'hystérie, dans l'espérance de voir l' attaque défaire ce qu'elle a fait ? La chose pourrait êtr
de chance de succès que ces modifications de la phase délirante de l' attaque hystérique sont d'ordinaire incluses entre deux c
s accidents nerveux. Il a vu chez les descendants des diabétiques des attaques de nerfs, des frayeurs maniaques, etc.. Niepce si
la nuit pour uriner. Il y a deux ans (8 février 1889), elle eut une attaque qu'on qualifia dit-elle, de congestion cérébrale,
ète s'améliora (153 grammes par jour). Un mois plus tard, début des attaques d'hystérie précédées de prodromes céphaliques, ca
sans grands inconvénients, le tout durant de trois à six minutes. Ces attaques étaient quotidiennes. PJus tard, elles se sont ac
e débat beaucoup, fait l'arc de cercle, déchire ses vêtements, etc. L' attaque dure un quart d'heure environ et se termine par u
rente-neuf à quarante-neuf ans, il a eu tous les ans au printemps une attaque de rhumatisme articulaire aigu. Presque toutes le
laire aigu. Presque toutes les articulations étaient prises et chaque attaque durait de deux à quatre mois. 11 a été soigné soi
. d'Aix) GRAND-PÈRE GRAND'mÈRE Mort à 74 ans Morte à 79 ans d'une attaque . d'une affection de l'estomac (?) I_1 I Pèr
atine, sans suites fâcheuses. Depuis l'année 1886, il est sujet à des attaques de coliques néphrétiques qui se sont renouvelées
turne d'urine jusqu'à douze ans et de plus a, depuis son enfance, des attaques de nerfs tous les mois. A d'autres points de vue,
pour distinguer un épileptique d'un hystérique, en ce qui concerne l' attaque , abstraction faite des autres signes différentiel
e, les phénomènes ressemblent, à s'y méprendre, à ceux de l'aura de l' attaque hystérique, soit aura céphalique, soit aura ovari
'elle reproduit, en tout ou en partie, les principaux phénomènes de l' attaque d'épilepsie partielle, bien que, dans l'espèce, c
ilepsie que vous devez songer. Bien rarement l'hystérique fait là son attaque . Il est averti à temps par l'aura, s'il s'y trouv
entend une voix d'homme qui rit. Se produit constamment avant chaque attaque . De plus la malade présente depuis deux mois, d
qu'il s'agissait simplement de migraine ophthalmique accompagnée, les attaques épileptiformes faisant partie de la symptomologie
s l'âge de 14 ans (apparition des règles) la malade est sujette à des attaques d'hystérie, précédées de l'aura hystérique et par
Grand'mère maternelle sujette à des « faiblesses de cœur » (syncopes, attaques de nerfs??). Convulsions dans l'enfance. Strabi
ractériser suffisamment. Elle ressemble à s'y méprendre à l'aura de l' attaque hystérique. Mais tandis que celle-ci est assez
y retrouve rarement au complet tous les phénomènes prodromiques de l' attaque d'hystérie. Le plus souvent on constate l'existen
es d'erreur dans le diagnostic. C'est surtout sur les caractères de l' attaque elle-même, sur l'absence ou la présence des stigm
articulier du traitement bromure qui est sans action efficace sur les attaques hystériques. Observation XXIV. El... Amélie, 15
outre les phénomènes habituels, la défécation involontaire pendant l' attaque . Ils se produisent, avec des intervalles d'un an
cette époque il vivait avec une jeune femme hystérique, sujette à des attaques de somnambulisme. Début des accès à 24 ans. Le
rnent à rappeler une partie, mais une partie seulement de l'aura de l' attaque hystérique. En un mot c'est la, boule. Il est à p
re aucun des autres phénomènes qui constituent l'aura céphalique de l' attaque hystérique et qui se combinent ordinairement avec
s plus de développement et l'aura ressemble de bien près à celle de l' attaque hystérique. Mais les manifestations de l'aura hys
rièveté, absence des éléments complets de l'aura hystérique) que de l' attaque qui la suit et de l'examen du malade au point de
odes menstruelles. Aura variable, pas toujours la même à toutes les attaques . Le plus souvent, c'est une sensation de vide dan
alement ce fait que l'aura n'est pas toujours la même pour toutes les attaques et que plus celle-ci est violente et par suite da
, elle reste presque toujours au second plan ; le malade parle de son attaque et spontanément beaucoup moins des phénomènes qui
érale, leur durée, en font dans certains cas une caractéristique de l' attaque hystérique. Dans certains autres cas, au contrair
Début à l'âge de 20 ans. Premier accès développé à l'occasion d'une attaque à main armée, suivie de vol, de la part de son ma
sur elle. Depuis un an, l'aura n'est plus constante avant toutes les attaques . Elle manque quelquefois et souvent l'élément hal
coolique. Mère nerveuse. Grand-père alcoolique. » Père alcool., attaques dé nerfs. Convulsions chez un frère. Père alcoo
lcool., attaques dé nerfs. Convulsions chez un frère. Père alcool., attaques de nerfs. Père nerveux. Convulsions chez un frère
de la Tourette.—Notes sur quelques paroxysmes hystériques peu connus; attaques à forme de névralgie faciale, etc.. (Prog. mèd.,
nte en quelque sorte une forme anormale, un groupe à part ; ainsi les attaques convulsives en pareil cas sont vraiment rares ; r
de même brusquement, soit spontanément, soit à fa suite encore d'une attaque hystérique qui aura pu, peut-être, être provoquée
gorge. Ici le fonds hystérique est représenté non seulement par les attaques convulsives et délirantes aujourd'hui disparues,
; aucun malaise ; bon sommeil, bon appétit. Rien qui ressemble à des attaques , pas d'aura. Il s'agitdonc bien là, si hystérie i
pières supérieures se ferment un instant. La malade n'a jamais eu d' attaques convulsives; mais la présence des stigmates perma
aujourd'hui. D'ailleurs pas de stigmates sensitivo-senso-riels, pas d' attaques . C'est de la maladie des tics qu'il s'agit chez c
, actuellement âgée de 38 ans, aurait eu, depuis l'âge de 18 ans, des attaques convulsives vraisemblablement hystériques, pendan
parésiée. A partir de cette époque et pendant un mois environ, les attaques revinrent à peu près tous les jours, constituées
itude dite en arc de cercle. Mais il lui arrivait aussi d'avoir des attaques incomplètes, ressemblant à de l'épilepsie partiel
cousses convul-sives, et c'était tout. Généralement, en pareil cas, l' attaque complète survenait quelques heures après. Un tr
au bout de peu de temps une diminution considérable du nombre de ces attaques ; elles ne surviennent plus guère que tous les qu
urines. Les réflexes sont normaux. En entendant cette description d' attaques avec chute et perte de connaissance, la première
vulsive, ou épilepsie saturnine, est la plus fréquente de toutes. Les attaques de K... ne rentrent-elles pas dans cette catégori
répondre négativement, pour les raisons que voici. Les caractères des attaques de K... ne sont pas ceux de l'épilepsie saturnine
la face et un côté du corps, et chez K..., il y a aussi, parfois, des attaques à forme d'épilepsie partielle; mais, dans l'épile
d'aura ni de conservation initiale de la connaissance, comme dans les attaques de K... Contrairement à ce qu'on observe généra
depuis longtemps ses occupations habituelles, il est encore sujet aux attaques convulsives. Si on voulait à toute force mettre c
ujet aux attaques convulsives. Si on voulait à toute force mettre ces attaques sur le compte du saturnisme, il faudrait créer un
ce, ne paraîtra certes pas motivé. Quelle est donc la nature de ces attaques ? Sont-elles sous la dépendance d'une lésion céréb
t dans le membre inférieur, qui est même un peu parésié en dehors des attaques . Mais avant de discuter cette question, occupon
t déjà établi dans leur esprit; c'est de l'hystérie qu'il s'agit. Ces attaques -là sont hystériques. Ce sont des attaques anomale
'hystérie qu'il s'agit. Ces attaques-là sont hystériques. Ce sont des attaques anomales, sans doute, simulant l'épilepsie partie
classée, décrite par MM. Ballet et Crespin, dans leur travail sur les attaques d'hystérie à forme d'épilepsie partielle. L'an
l'on retrouve dans les hémiplégies hystériques) ; je vois encore des attaques convulsives ou comateuses, parfois accompagnées d
ait alors beaucoup préoccupé. Il s'agit d'un saturnin qui avait des attaques convul-sives et de l'hémianesthésie. J'avoue qu'à
a un an environ, mais il en a été complètement guéri. Cette première attaque ne s'est d'ailleurs accompagnée d'aucun autre phé
rattage des maisons de Paris. Pendant un mois, à partir du début de l' attaque , il n'a pas discontinué son travail ; il combatta
miplégie du côté droit ; on fut obligé de le porter dans son lit. L' attaque a été subite, cependant le malade assure qu'il n'
st borné à un sentiment de vague assez léger qui a précédé et suivi l' attaque hémiplégique. Il y a deux jours, de nouveaux acci
festes surtout du côté droit du corps, c'est-à-dire du côté paralysé ( attaque hystérique à forme d'épilepsie partielle). Le mal
é droit du corps était principalement le siège des convulsions. Cette attaque convulsive ne s'est pas reproduite depuis, et, lo
cédents héréditaires. — Père violent, joueur; la mère aurait eu des attaques convulsives avec crises de suffocation. « Elle ca
convulsives avec crises de suffocation. « Elle cassait tout dans ses attaques . » Un oncle paternel vraisemblablement ataxique
jours après un incendie dont il avait été témoin, il eut une première attaque convulsive pendant laquelle il tomba de son lit,
n lit, et qui fut suivie d'hémiplégie droite. Bientôt après, nouvelle attaque : l'hémiplégie disparaît, mais il survient du mut
t du mutisme. Le malade dit ne pas avoir de souvenir de ces premières attaques , mais depuis il a eu fréquemment des attaques rég
uvenir de ces premières attaques, mais depuis il a eu fréquemment des attaques régulières, avec aura partant de l'aine droite, c
ucinations (toujours relatives à divers épisodes de la guerre). Ces attaques durent à peu près une heure et demie. Le malade e
organes des sens sur les hallucinations de la phase passionnelle de l' attaque hystérique. (Travail de M. Georges Guinon et MU
somnambulismes. Du somnambulisme hystérique (phase passionnelle de l' attaque , attaque délirante, attaque de somnambulisme).
lismes. Du somnambulisme hystérique (phase passionnelle de l'attaque, attaque délirante, attaque de somnambulisme). (Travail
lisme hystérique (phase passionnelle de l'attaque, attaque délirante, attaque de somnambulisme). (Travail de M. Georges Guino
. (Leçon). Sommaire. — Présentation de la malade : shock nerveux, attaque , amnésie rétrograde ; amnésie antérograde (imposs
e jour depuis le shock nerveux. Nature de cette amnésie ; morceau d' attaque hystérique transformée................266 xxxii
ésie rétro-antérograde, 266; Caractère hystérique de 1' -, 271 ; — et attaque hystérique, 277; — et hypnotisme, 285. Arthriti
tagion : dans l'hystérie, 449 ; — dans l'hypnose, 457. Contracture ( attaque de —), 24. Coprolalie, 455. Crane : déformation
somnambulisme hystérique, 158, 179, 182. Délire : — provoqué dans l' attaque d'hystérie, 50 ; — post-hys-téro-épileptique, 25.
'—, 390. Epilepsie partielle, 1 ; — crurale, 8; — hystérique, 8, 9; Attaque d'hystérie à forme d'—, 70, 132. F Facial : n
llucinations : provoquées dans la catalepsie, 23; — provoquées dans l' attaque d'hystérie, 36 ; (Voir Somnambulisme hystéri- :
85 ; Contagion dans Y —, 457. Hystérie : excitation des sens dans l' attaque d' —, 36; Délire provoqué dans l'attaque d' —, 51
: excitation des sens dans l'attaque d' —, 36; Délire provoqué dans l' attaque d' —, 51) ; Phase des attitudes passionnelles dan
é dans l'attaque d' —, 51) ; Phase des attitudes passionnelles dans l' attaque d' —, 64, 71 ; Forme délirante de l'attaque d' —,
udes passionnelles dans l'attaque d' —, 64, 71 ; Forme délirante de l' attaque d' —, 71 ; — infantile, 76, 77 ; Formes frustes d
nte de l'attaque d' —, 71 ; — infantile, 76, 77 ; Formes frustes de l' attaque d'-, 133; Suicide dansl'—, 103; Attaque d'— à for
76, 77 ; Formes frustes de l'attaque d'-, 133; Suicide dansl'—, 103; Attaque d'— à forme d'épilepsie partielle, 70, 132; — et
elle, 70, 132; — et amnésie rétro-antérograde, 271, 277 ; Aura dans l' attaque d' —, 390, 410, 415, 420; — à la policlinique de
— du type Mesnet, 130; — avec effacement de l'élément convulsif de l' attaque , 130; Durée de l'attaque de —, 132; Mémoire dans
avec effacement de l'élément convulsif de l'attaque, 130; Durée de l' attaque de —, 132; Mémoire dans le —, 151. Somnambulism
52, 257 ; Cénesthésie dans le —, 185 ; Ecriture dans le —, 189 ; — et attaque hystérique, 189,191,194, 197, 204, 209, 259 ; — e
6 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
âgée de 55 ans, bien portante, est un peu nerveu- se, sans avoir d' attaques . [Son père est mort, elle ne sait de quoi, à 78
pour cela, mais elle serait rendue plus pénible, car d'une part, l' attaque par les acides des sels charbonneux fondus est
e de porcelaine au bain-ma- rie, à la température de 8o190. Quand l' attaque sera termi- née, que les vapeurs nitreuses auro
tante. [Père mort à 75 ans, coléreux ; - mère morte à 70 ans d'une attaque d'apoplexie foudroyante.]Un cousin-germain, qui
ne première fois pendant deux mois, et, durant cette période, les attaques furent notablement moins fréquentes. A di- vers
ns observé d'une manière bien évidente l'action de la glace sur les attaques elles-mêmes. Souvent, une heure ou deux avant s
sur les attaques elles-mêmes. Souvent, une heure ou deux avant ses attaques , G... a des secousses, est excitée, ne peut dem
En pareil cas, c'est-à-dire lorsque l'aura est pro- longée, que « l' attaque a de la peine à venir », la malade déclare souf
ine à venir », la malade déclare souffrir beaucoup plus que quand l' attaque suit de près, de quelques minutes par exemple,
ace a été employée, nous avons observé également une diminution des attaques . Mais, par DE LA GLACE. 53 malheur, ce mode d
s'est montrée plus do- cile. Il s'agit de Th. L... En dehors de ses attaques , pure- ment hystériques d'ailleurs, elle a des
arités de son histoire nous relèverons les suivantes : 4° après une attaque , elle serait restée pendant deux jours sans pou
ZINC. 67 Du le, mai au 31 décembre 1873, Ko... a eu 9 accès et 7 attaques ; du 1r mai au 31 décembre 1874 (période de tra
au 31 décembre 1874 (période de traitement), elle a eu 15 accès, 14 attaques et un étourdis- sement. Il s'ensuit que l'oxyde
s, Geneviève L... et Hert..., à la fin de l'inhalation, lorsque l' attaque doit être définitivement arrêtée, ont eu, chaque
lable, ou du moins les sueurs qui surviennent d'habitude durant les attaques , ne nous ont point paru aug- mentées. La sécr
chez Geneviève et chez Marc..., deux hystéro-épileptiques dont les attaques exigent, pour être jugulées, une inha- lation p
en quelques minutes plaça les doigts dans l'extension forcée. Celle attaque qui surprit le malade, sans lui causer aucun ef
tait lourde, mais, le spasme disparaissant, pour la première fois l' attaque qui menaçait cessa tout-à-coup. Quatre jours pl
tre jours plus tard, le malade empêcha de la même façon une autre attaque de se produire. Il obtint le même succès dans onz
. Les accès furent immédiatement et brusquement interrompus. Aucune attaque n'arriva du 27 mars au 15 avril. Les inhalation
ent encore administrées, et il n'y eut NITRITE D'AMYLE. 89 aucune attaque . A six heures et à huit heures, on recom- mença
lla strictement. A six heures précises de l'après- midi survint une attaque grave, caractérisée par des convul- sions génér
874, on emploie le nitrite d'amyle qui prévient un certain nombre d' attaques et produit par con- séquent une amélioration. L
te d'amyle en septembre 1874 et, depuis cette époque, n'a plus eu d' attaque . Il porte une petite fiole de nitrite d'amyle d
onie pendant laquelle les accès avaient été suspendus, elle eut une attaque d'un caractère très-grave. Le 6, deux accès; le
P. 100; T. 7°,7. A partir de ce moment, il ne survint plus au- cune attaque . Observation XVIII. Epilepsie; accès de furie.
le. Peu après, il perdit encore la connais- sance mais n'eut plus d' attaque . Pendant la nuit et le lende- main, on fit une
eursmoyenssontmisà contribution, à la Salpétrière, pour arrêter les attaques d'hystérie et d'hystéro-épilepsie. Nous avons s
mps que la compression ovarienne peut em- pêcher la production de l' attaque lorsqu'elle est pratiquée-' durant la phase de
ase de l'aura. Elles nous ont appris aussi que, pratiquée pendant l' attaque , la compression ovarienne, si son action est su
avec aura pouvaient déjà faire deviner son efficacité contre les attaques d'hystérie et d'hystéro-épilepsie qui s'annon-
bles de la vue. Laug..., Th., 24 ans (service de M. CHARCOT). Les attaques sont franchement hystériques. 21 décemb. 1874
chement hystériques. 21 décemb. 1874. Alors qu'elle était en pleine attaque , inhala- tion de dix gouttes de nitrite d'amyle
n pleine attaque, inhala- tion de dix gouttes de nitrite d'amyle. L' attaque , suspendue, reprend bientôt. Une deuxième inhal
ls est à 150. Troi- sième inhalation de dix gouttes qui met fin à l' attaque . Le nouls est à 96. Nous avons noté une rouge
ents d'oreilles pendant un temps plus long que d'habitude après ses attaques . - r 0< ? 1 ? 1"1. r'H ? .~ T' £ \,...r1'1 £
queur de Barreswill, ne contenaient pas de sucre. 2 février 1875. Attaque , inhalation de 20 gouttes de nitrite d'amyle, r
ie ovarienne et llémianesthésie à S7<cA<'. - ('a1'actères des attaques . - - Nitrite d'amyle ; difficultés de son emplo
..., 23 ans (service de M. Delasiauve), est sujette à de fréquentes attaques d'hystérie, souvent suivies de délire avec prop
'ovaire et hé- mianesthésie à gauche. Lorsque L... sent approcher l' attaque , elle demande qu'on lui mette la camisole. Voic
ents de son existence qui a été très-accidentée. Souvent, après ses attaques , elle accuse une sensation de froid dans la jam
g. Hyperesthésie ovarienne et Hémianesthésie à droite. - Arrêt des attaques par la compression ovarienne. Nitrite d'amyle.
stré à la dose d'une dizaine de gouttes, suffit pour mettre fiu aux attaques . La NITRITE D'AMYLE. 101 malade revient à ell
, nous avons observé le même arrêt rapide des crises. Une fois, les attaques ont re- commencé environ une heure après l'inha
e : Hyperesthésie oza- rienne et hémianesthésie gauches . Arrêt des attaques par la compression c ca/y'c. Nitrite d'amyle.
yle, administré deux fois à cette malade, a mis fin chaque fois aux attaques . Les phénomènes produits par le médica- ment n'
res. Elle n'a signalé aucune particularité visuelle. Le 26 avril, l' attaque commença à Q hniirne A r7 · 1 fan,,\n,¿;T ? Ifn
acticre 2assa,ère du fJaf «`7 - membre intérieur droit. - Arrêt des attaques par la compres- sion ovarienne et le nitrite d'
; 27 ans (service de 11, CHARCOT), - Cette malade est sujette à des attaques dans lesquelles prédo- minent tantôt les symptô
ômes de l'hystérie, tantôt ceux de (1; Chez celte jeune 11 lie, les attaques sont souvent suivies d'une réten- tion d : urin
. CHARCOT), a été prise, le 10 février 1875, à 8 heures du matin, d' attaques hystériques. Les mouvements cloniques sont viol
secours de quatre personnes. De 10 heures un quart à 11 heures, les attaques se sont suspendues, mais D..., quoique dans une
- ments de lappement et de déglutition. - A 11 heures, retour des attaques . A 11 heures trois quarts, les convulsions conti-
la même jusqu'à midi trois quarts, moment oùD... a eu quel- ques attaques légères. Vers une heure et demie, les accidents
ur e e. - Cette nuit son sommeil a été mauvais. Bien que, hier, les attaques aient duré cinq heures, D... n'a pas uriné sous
s de sucre (Liqueur de Barreswill et réactif de Mulder). 17 août. Attaque arrêtée par l'inhalation de 20 gouttes de nitri
tée par l'inhalation de 20 gouttes de nitrite d'amyle. - 19 août. Attaque qui a commencé il y a 3/4 d'heure : T. V. 38°,3
cé il y a 3/4 d'heure : T. V. 38°,3. - Nitrite d'amyle : arrêt de l' attaque . Observation XXXI. Ilystéro-épilepsie avec hype
ellement « paralysée du cerveau ». On croit qu'elle n'a jamais eu d' attaques de nerfs. II... a été élevée et assistée par le
d'alla-. ques qui aurait continué deux jours. De 12 à 15 ans, les attaques ont été très éloignées. Mais du 0 août 1872 (el
t 16 ans), jusqu'à son entrée à la Salpé- trière (9 nov. 1872), les attaques sont devenues si fréquentes qu'on a été obligé
à être irrégulières, avançant ou retar- dant. La recrudescence des attaques semble avoir coïncidé avec l'irrégularité de la
ciaux sont tous affaiblis à gauche (ouïe, vue. odorat, goût). Les attaques sont précédées par des phénomènes qui peu- vent
-serrée. Elles de- viennent de plus en plus intenses à mesure que L' attaque se rapproche et se compliquent de « tapements d
igus, et perd connaissance. 1875. 22 mais H... a eu, hier soir, des attaques qui ont duré de 4 heures 1/2 à 8 heures. Elle a
res 1/2 à 8 heures. Elle a été reprise ce matin à 4 heures 1/2. Les attaques ne sont séparées les unes des autres que par de
.. est camisolée et ses jambes sont main- tenues par des liens. Les attaques ont les caractères suivants : a) Mouvements de
ce et regarde autour d'elle. La compression ovarienne suspend les attaques ; mais, en rai- son de la résistance considérab
ne peut la prolonger assez longtemps et la ma- lade a de nouvelles attaques . A midi 10 minutes, inhalation de nitrite d'amy
noirs. -- -- . '- 0 heures* soir). TL..7TTa. pas été reprise de ses attaques . , Elle a eu des nausées, sans effet, jusqu'à u
s aouleurst1Ccupant le sommet de la tète, tandis que, " ? après ses attaques , elles siègent principalement au front. / / ? i
ui lui donne des « rêves agréables. » ' \. \ 27 décembre. Série d' attaques ; T. R. 37°, 8. Nitrite d'amyle : les convulsio
vulsions cessent. - 1876. 4 jatvie : Nitrite d'amyle. - 5 janvier : attaques de courte durée. Chez cette malade, de même, d'
, d'ailleurs, que chez un *grand nombre d'hystéro-épileptiques, les attaques se mon- trent par série durant plusieurs heures
res, ou même toute une journée. En 1873, elle aurait eu 5G fois des attaques sérielles ; en 1874, 28 ; en ]8T, 42. Du 5 janv
. Du 5 janvier 1816 au 12 mai, jour de sa sortie, elle n'a pas eu d' attaques . Dans ce cas encore, nous voyons le nitrite d'a
téro-épilepsie, Hyperesthésie et hémianesthésie à gauche. Arrêt des attaques par la C01n- pression ovarienne. - Nitrite d'am
Mar... C., 26 ans (service de M. Charcot). - '¡Si],. 15 dé- cembre. Attaque hystéro-épileptique. Inhalation de 12 gouttes d
ce se colore vivement .en rouge vermillon; durant l'inhalation deux attaques avortées; les accidents cessent ; la face devie
près ses crises. z 1875. 6, 94,jatoier : Nitrite d'amyle. ^janvier. Attaque Inhalation de 20 gouttes de nitrite d'amyle. La
e, mais bientôt un accès commeu- çant, l'inhalation est reprise : l' attaque avorte. - Nouveau 1 / retour de la connaissance
attaque avorte. - Nouveau 1 / retour de la connaissance, - nouvelle attaque . - Inhalation : La cyanose qui s'était dissipée
jaune et bleu. Ces cercles se sont évanouis quand survint une autre attaque . - Apres la seconde inha- lation, elle avait de
er a ses mouvements. 1er février. - Nitrite d'amyle. 9 février. - Attaque : T. V. 38°, 1. - Nitrite d'amyle; inha- lation
amyle. Avril, Mai : Quatre inhalations. 2, 7, 12, 23 et 24 juin : Attaques , nitrite d'amyle. A la suite d'une inhalation,
remplacés par des milliers d'étincelles. 20,21 et 26 novembre, - Attaque . Nitrite d'amyle. La face* les oreilles, le cou
tion en exer- 7ailrousliIse pression avec les doigts. Pour couper l' attaque , il a fallu près d'une cuillerée à café de nitr
u encore à la suite de l'in- halation de nitrite d'amyle, une autre attaque a commencé. - Une dose moindre que la première
é. - Une dose moindre que la première fois suffit pour terminer l' attaque . A la fin de l'inhalation, la iiialadeà vomi de l
un degré véritablement effrayant : ' 1 fi'6. - ! 0 et 14 4 mars. Attaque . Nitrite d'amyle. Cyanose très- marquée ; grima
sie. Hyperesthésie ovarienne et hémianesthésie gauches. - Arrêt des attaques par la compression ovarienne. Nilrite d'amyle ;
Genev.... B..., 3-1 ans (service de M. Charcot). 1874. - 14 avril. Attaque . Première inhalation de nitrite- d'amyle : 12 g
tion de nitrite- d'amyle : 12 gouttes suffisent pour mettre fin à l' attaque . Nausées. 12 mai. Attaque : nitrite d'amyle.
2 gouttes suffisent pour mettre fin à l'attaque. Nausées. 12 mai. Attaque : nitrite d'amyle. Durant l'inhalation, il se p
ttaque : nitrite d'amyle. Durant l'inhalation, il se produit quatre attaques qui avortent. G... revient à elle au bout de qu
apeurs d'une vingtaine de gouttes de nitrite d'a- myle. , 9 juin. Attaque ; nitrite d'amyle; disparition des convul- sions
isparition des convul- sions. nitrite d'amyle. 100 15 décembre. Attaque . Dix gouttes de nitrite. d'amyle; les convulsio
nouveau se montrent les signes annonçant l'éclosion prochaine d'une attaque . Troisième in- halation (6 gouttes) : mêmes phé
u'elle, ne l'est d'habitude quaud elle a été malade. 16 décembre. Attaque . Nitrite d'aÍnyle.1Y1'es effets, à savoir : sus
Attaque. Nitrite d'aÍnyle.1Y1'es effets, à savoir : suspension de l' attaque dont la phase clonique est supprimée, rougeur,
u'après la quatrième inhalation (en tout 35 gouttes) que la série d' attaques se termine. Pendant plus de cinq mi- nutes la f
d G... a eu des nausées - avec efforts assez violents. 7 janvier. Attaque ; compression ovarienne, suspension pas- sagère
l'inférieure surtout; efforts de vomissement. Arrêt définitif de l' attaque . 13 janvier. Attaque. Nitrite d'amyle. Mêmes ph
efforts de vomissement. Arrêt définitif de l'attaque. 13 janvier. Attaque . Nitrite d'amyle. Mêmes phénomènes.- Une heure
9 février, 2, 22 avril, etc. Nitrite d'amyle. 1 , juin. G... est en attaque depuis quelque temps lorsque nous commençons à
nt jaune d'or. , NITRITE D'AMYLE. H1 ments, indiquent la fin de l' attaque . C'est ainsi qu'il est possible d'annoncer pres
le qu'éprouvent les malades après la terminaison naturelle de leurs attaques ; b) une sensation de vertige, compliquée d'un p
malades, une fois revenues à elle, n'étaient plus reprises de leurs attaques dans la même journée. 6° Quelques-unes de nos
urt. 7° Le nitrite d'amyle a sur les accès d'épilepsie ou sur les attaques d'hystérie et d'hystéro-épilepsie une action inco
sans avoir de crises; - une autre, lier..., n'a pas eu de nouvelles attaques bien qu'il se soit écoulé ? 4 mois depuis que nou
e la contracture hystérique passagère et perma- nente. - Formes des attaques convulsives. - Ischurie hystérique. » - Bourn
iculiers à chacune d'elles. Tandis que la première nous offrira des attaques d'une violence extrême, des contractures passag
forme rare - celle du crucifiement, - la seconde nous montrera des attaques , violentes il est vrai, mais très-éloi- gnées,
l'assassin arrêté par les gendarmes, déterminèrent chez elle une « attaque de nerfs » et on fut obligé de la porter dans une
des « éronces » et tomba sans connaissance, en proie à une violente attaque convulsive. Les ouvriers d'une verrerie voi - s
u couchée sur un matelas placé dans le jardin. Alors survinrent des attaques nerveuses avec convulsions si intenses qu'elle
t occupés nuit et jour à la maintenir. Une semaine plus tard les attaques , cessèrent, la paralysie et la contracture dispar
vailla dans une fabrique autant que le lui permit sa maladie. Les attaques revenaient toutes les semaines. Pensant que ].1
igine de son séjour dans cet établissement, L... avait des séries d' attaques d'une violence extrême, qu'aucun avertisse- men
int-Germain, interne du service, a donné la relation suivante d'une attaque dont il fut témoin le 8 janvier 1859 : « Quelqu
nce. Cet état dure souvent plusieurs jours. On a remarqué que les attaques sont moins longues, moins fortes, quand on l'a ch
elques jours.DansrintervaDc HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. 121 de ces grandes attaques , Ler... a des crises isolées plus ou moins viol
la veille s'arrêtent défi- nitivement. ' . III. Description des attaques . , 98riz. 7 février. L..., qui n'avait pas été
érieusement ma- lade depuis près de trois ans, a eu aujourd'hui une attaque qui a duré une heure et demie. La région ovarie
ée.'A dix heures, elle est revenue en toute hâte, annonçant que son attaque allait commencer. En effet, à peine déshabillée
s'endormir. Elle se réveille en quelque sorte brusquement et a une attaque à grands mouvements, avec prédominance de la pr
n d'urine qui oblige à pratiquer le ca- thétérisme. ' 21 février. Attaque d'une intensité modérée. 25 février. La rétenti
est rauque; l'incontinence d'urine persiste. A 7 heures du soir, attaque convulsive avec perte de con- naissance. L.....
La physionomie a une expression 1 il' Pendant l'une des phases des attaques de Louis[) Lateau, I. Imbert- Gourbeyre a remar
appelle la sous-surveillante, disant qu'elle est sous le coup d'une attaque : bientôt, en effet, sur- vientla perte de conn
au mo- ment du stertor, était de 37°,4. fer tct·s. ? L... eu deux attaques à forme tonique. La pre- mière avait laissé une
s la flexion forcée, la main, fermée, touchant l'épaule. La seconde attaque a .rendu au bras gauche la liberté de ses mouve
et son vin aussitôt après leur ingestion par la sonde. 2 mars. - Attaque à type tonique. L'aspect de la face est le même
on s'explique sans doute par l'existence de l'anesthésie. Plusieurs attaques , semblables à celles que nous venons de décrire
ns l'acte de boire. 5 mars. - Hier, de 3 à 4 heures, L... a eu cinq attaques dans lesquelles le bras gauche s'est encore por
ses sont moins fréquentes. 7 mars, - Hier, de ü à 9 heures, série d' attaques qui ont laissé le bras gauche fléchi et placé d
issé le bras gauche fléchi et placé dans le dos. 9 mars. Soir. Deux attaques de 2 à 3 heures. A 5 heures, les jambes sont co
hies et croisées l'une sur l'autre. 10 mars (7 heures du soir). - Attaque tonique. La face est tournée à droite, les yeux
ives dans les bras, les jambes et la tète. A 9 heures 1/2, nouvelle attaque très-courte, à la suite de laquelle les jambes
s la flexion exagérée, la main reposant sur l'épaule. 1 1 mars. Une attaque a laissé le bras gauche appuyé sur la colonne v
e siège de fourmillements. t2 2 mars, - De midi à 4 heures, série d' attaques pendant lesquelles on a. remarqué que la langue
êmes convulsions dans l'une ou l'autre des crises qui constituent l' attaque dans son ensemble ; mais c'est plus particulièr
e déchire quand on la lui laisse. A peine avait-on ter- miné, que l' attaque recommence : 1° on note de nouveau les phénomèn
ernière sensation s'explique par la contracture qui existe durant l' attaque . Elle détire ses mem- bres ; se plaint de souff
rait et tout parait fini. F' 1876. Il ? juin. - Ler... n'a pas eu d' attaque depuis le mois d'août 1875. - Le clou hystériqu
ici un tableau qui indique d'une manière assez exacte la marche des attaques durant les 16 dernières années. 148 UYSTL ? 0-l
(Voir Planche II, Figure 1). Des complications qui succèdent aux attaques , les plus importantes consistent en des contrac
s de ce groupe. IiYSTÉRO-ÉPILPSIE. 149' qui survient à la fin des attaques . Chez elle, de même que chez la plupart des mal
Loudun. Quelques-uns suffiront. Nous avons raconté que, dans ses attaques , Ler... es- sayait de se mordre ou même se mord
leurs confesseurs, aux exorcistes; en d'autres termes, durant leurs attaques , le délire portait sur les principaux sujets de l
punie, le 4 novembre, par le Di- recteur, le délire qui suivit une attaque , le lendemain, porta presque exclu- sivement su
e pansait un malade auprès d'une cheminée, elle eut sa pre- mière attaque convulsive. Elle perdit connaissance et tomba d
e deux ans ; ,pendant ce laps de temps, elle n'a pas eu de nouvelle attaque . C'est un an plus tard, c'est-à-dire trois ans
ue. C'est un an plus tard, c'est-à-dire trois ans après la première attaque , qu'elle en eut une deuxième ('18 : 58). Cette
mois ; cependant, elle n'avait pas de para- lysie. - La troisième attaque (18GO) et la quatrième (1863) auraient offert l
ses convulsives antérieures ne pouvait faire prévoir : elle eut des attaques qui se succédèrent pendant deux jours. Consécut
ter. On la saigna ; les vomissements et l'oedème disparurent. Une attaque éclata le 15 août; puis une autre, très-forte, à
PILF.PSm, ' la malade. Le troisième jour, elle aurait eu, après une attaque , une « congestion cérébrale et du délire, » pou
elle voudrait le faire croire ( ? ). . 1§ juin. Description d'une attaque . La malade est dans le décubitus dorsal, les ye
bruyante et profonde. La malade a moussé peu après le début de son attaque . P. 96 ; T. A. 38°. 7 août. La malade a eu une
son attaque. P. 96 ; T. A. 38°. 7 août. La malade a eu une nouvelle attaque . Son état est, aujourd'hui, le suivant : La dou
e. » 2 septembre. Le malade a eu, le 1 cr septembre, une nouvelle attaque , avec perte complète de connaissance pendant plu-
parfaitement conservée à droite. 21 mars. La malade a eu hier une attaque très-intense. De- puis lors, le membre supérieu
de douleurs dans le membre supérieur droit. Pendant cette série d' attaques qui a duré trois jours, on a noté une paralysie a
sont contractures et dans l'extension. - Urines rares. 25 avril. Attaque qui ne modifie en rien l'état des membres. C'es
a comprend pas. Ce sommeil est exceptionnel, sans relation avec ses attaques qui sont, au contraire, annoncées par de l'exci
les deux oreilles. - Elle a eu hier soir, à huitheures, une grande attaque qui a duré envi- ron un quart d'heure et a été
étude et de l'embarras de la parole, phénomènes habituels après ses attaques . - In- continence d'urine ; pourtant, par la ca
r la sonde, on n'extrait qu'une petite quantité d'urine. - Le soir, attaque convulsive qui a débuté par une grande agitatio
agnée de convulsions et môme de mouvements du bassin. A la fin de l' attaque , écume -et ron- flement, puis sommeil stertoreu
e -et ron- flement, puis sommeil stertoreux. 9 décembre. Depuis l' attaque d'hier, la malade se sert de la main droite et.
anvier : 80 centilitres. - 25 janvier : 60 centilitres. 19 février. Attaque de dix heures du soir à minuit. Ce ma- tin, on
totalité ou de flexion. Après un court repos, survient une seconde attaque . Elle se décompose, pour ainsi dire, en une sér
calme, etc. - Pas d'écume. P. 120; T. R. 38",7. A neuf heures, l' attaque continuant encore, on administre le chloroforme
. Les membres du côté gauche sont daus la même situation qu'avant l' attaque (contracture). Le bras droit est rigide, accolé
t rigide dans l'ex- tension. 21 mars. Il n'y a pas eu de nouvelle attaque . Le bras et la jambe du côté droit sont redeven
col, tout-à-fait en arrière, est difficile à atteindre. 16 mai. Une attaque , survenue cette nuit, a laissé après elle du tr
uffées de chaleur et la céphal- algie : il s'agit là, sans doute, d' attaques hystéro-épileptiques avortées. 28 janvier. Le
oir. Etch... a encore rendu par la sonde 800 gr. d'urine. La crise ( attaque avortée) a laissé un grand abattement et un cer
: ceux du côté droit sont libres. '18 mai. La malade a eu hier une attaque : douleurs ova- riennes des deux côtés, douleur
e- CONSTIPATION OPINIATRE; ISCHURIE. 1 i : 3 "3 cousses. Durant l' attaque , qui a duré trente minutes, l'avant- bras droit
au de la région ovarienne gauche. - Etch... n'a pas eu de nouvelles attaques . Elle travaille et, à l'occasion, remplit les f
hez cette femme, une allure anormale. C'est ainsi que la première attaque , au lieu d'éclater aussitôt après l'émotion vive
urée, cette particularité fort cu- rieuse que, malgré la rareté des attaques convulsives pro- prement dites, l'on a vu surve
e. Avant de les passer en revue, arrêtons-nous un instant sur les attaques elles-mêmes. 1, a. Les attaques se sont montr
rrêtons-nous un instant sur les attaques elles-mêmes. 1, a. Les attaques se sont montrées d'abord sans avertisse- ment ;
com- plet de la connaissance (2). - Dans les derniers temps, les attaques avortaient quelquefois et se traduisaient par des
des douleurs névralgiques et des symptômes de suffocation. b. Aux attaques sont bientôt venues s'ajouter des hé- (1) Charc
- tion, p. 320. (21 La température centrale, sous l'influence des attaques ne dépassait pas suivant la règle, le chiffre d
second accident. Elle a succédé à l'anurie qui avait accompagné une attaque de choléra (1866). Pendant plusieurs années, le
s ne saurions nous prononcer à cet égard. , d. En 1868, après une attaque , on remarqua l'existence d'une hémianesthésie d
la disparition d'un symptôme permanent de l'hystérie succède à une attaque convulsive. Il y a là une relation très-intéres
u même 4 litres 1/2 d'urine, contenant 20, 25, 28 grammes d'urée. L' attaque était alors terminée et la sécrétion retombait
ration est, notre avis, la relation qui a toujours existé entre les attaques convulsives, complètes ou incom- plètes, et l'a
ous ces accidents ont été influencés d'une manière évidente par les attaques hystéro-épileptiques ou par les accès de suffoc
ent de nouveaux accidents. Cette sorte de lien qui existe entre les attaques convulsives et les manifestations de l'hystérie
7 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
ne citer qu'un exemple, de vous rappeler la description de la grande attaque hystérique, aujourd'hui réduite à une formule trè
éduite à une formule très simple. Quatre périodes se succèdent dans l' attaque complète avec la régularité d'un mécanisme : 1° é
s); 3° attitudes passionnelles (logiques); 4° délire terminal. Mais l' attaque peut être incomplète; chacune des périodes peut s
ce inextricable. Mais ce que je tiens à relever ici, c'est que dans l' attaque , et je pourrais en dire autant de bien d'autres é
rément; tantôt ce sont les crises hystériques qui se manifestent (les attaques , comme on dit ici), tantôt ce sont les crises d'é
xiste, mais dans lesquels aussi la maladie est caractérisée, dans le? attaques régulières, par 4 périodes, dont l'une, la premiè
atteinte de grande hystérie et d'épilepsie proprement dite, dont les attaques surviennent la nuit, avec morsure de la langue, é
mporlait sur l'épilepsie : ainsi, en 1874, on comptait en un mois 244 attaques (hystérie) et 62 accès (épi lepsie) ; mais depuis
s tiennent décidément la première place. Une des particularités des attaques d'hystérie chez B., à l'époque où elles se manife
à droite aussi que se manifestaient les phénomènes prodromiques de l' attaque (bourdonnements d'oreille, battements dans la tem
as toujours chez elles de la grande hystérie, de l'hystérie à grandes attaques , mais de l'hystérie vulgaire. Je vous présente
e ovarie gauche; elle a des contractures spontanées à la suite de ses attaques ; l'autre esthémianesthésique gauche, son côté dr
ore hystérique, bien qu'elle ait plus de 50 ans, et chez laquelle les attaques hystéro-épilepliques ont depuis longtemps disparu
elle paraît haletante, son corps se couvre d'une sueur froide et une attaque de nerfs plus Charcot. Œuvres complètes, t. m,
ne s'était rien passé de particulier ; mais ce jour-là, elle a eu une attaque avec cris aigus et quelques contorsions, prédomin
es contorsions, prédominant toujours à droite, du côté du spasme. Ces attaques se sont renouvelées plusieurs fois depuis. Pendan
harospasme. Le lendemain, à la suite d'une contrariété, elle a eu une attaque assez violente, l'œil est resté normalement ouver
assez violente, l'œil est resté normalement ouvert depuis ; mais les attaques se sont reproduites encore plusieurs fois. Ch. F.
4° Variété congestive ; dans cette forme on observe des sé ries d' attaques dites congestives, séparées par des intervalles à
alysie générale ne s'établissent décidément à l'état permanent. Ces attaques dites congestives sont variées dans leur forme ;
es congestives sont variées dans leur forme ; ainsi, tantôt c'est une attaque apoplectiforme suivie d'une hémiplégie temporaire
e apoplectiforme suivie d'une hémiplégie temporaire; tantôt c'est une attaque épileptiforme ; enfin, un cas assez fréquent est
s'est produite chez notre malade, et chez lui, les diverses formes d' attaques se sont succédées en quelque sorte. Mais le poi
e la langue, une aphasie, ou un embarras de la parole temporaire, des attaques épileptiformes, etc.3. Or, même dans ces formes
ntion remontent au mois de septembre 1881. 11 a eu alors une première attaque , accès de migraine ophthalmi-que, avec scotome sc
est rentré dans l'ordre. — Huit jours plus tard, il a eu une deuxième attaque , sans perte de connaissance, avec embarras de la
au travail, cependant. — Au mois de février 1882, il a une troisième attaque avec les mêmes symptômes de migraine ; mais, en o
a a duré deux heures, ce qui semble indiquer qu'il y a eu une série d' attaques qui ont présenté cette particularité que les seco
ularité que les secousses prédominaient à droite. A la suite de cette attaque , l'embarras de la parole a persisté. — Huit jours
e la parole a persisté. — Huit jours plus tard, il a eu une quatrième attaque du même genre, avec recrudescence de l'embarras d
ole et faiblesse du bras droit. — Enfin, le 5 mai, il a une cinquième attaque , avec pa résie du bras droit, suivie, le lendem
ontracture hystérique. — Amblyopie. — Zones hystérogènes. Phases de l' attaque d'hystéro-épilepsie. — Hystérie chez les jeunes g
e l'attaque d'hystéro-épilepsie. — Hystérie chez les jeunes garçons : attaque , phénomènes permanents. — Importance de l'isoleme
e phénomène de l'aura, auquel succède quelquefois, si l'on insiste, l' attaque hystérique. Ces points, ou mieux ces plaques, ont
a propriété d'être le siège d'une sensibilité permanante, et, avant l' attaque , d'une exacerbation douloureuse spontanée qui, pa
ra. Ce sont tantôt des battements, tantôt une sensation de brûlure. L' attaque une fois développée, peut être souvent arrêtée au
il me resterait à vous rappeler les caractères généraux de la grande attaque hystéro-épileptique ; mais je crois devoir me bor
mation des organes génitaux. Depuis quelques mois, il est sujet à des attaques qui reviennent presque tous les jours, à 5 heures
-gène sterno-costal ; un brusque frottement sur ce point provoque une attaque . Les attaques spontanées sont précédées de triste
costal ; un brusque frottement sur ce point provoque une attaque. Les attaques spontanées sont précédées de tristesse, de battem
précordiale au larynx, Qu'elles soient spontanées ou provoquées, les attaques sont constituées par une période épileptoïde, plu
ts, poussant un cri de frayeur (il voit sa mère morte). A la tin de l' attaque , rires, pleurs, bâillements ; il demande à boire,
émianalgésie, l'existence d'un point hystérogène, les caractères de l' attaque qui viennent d'être signalés suffisent amplement
néral, et de l'hystérie chez l'enfant en particulier. En présence des attaques épileptiformes, il s'était demandé s'il n'y avait
affection encéphalique grave, une tumeur cérébrale, par exemple. Les attaques épileptiformes existaient, en effet, mais elles f
rent, bien que la connaissance ne revînt pas. Dans l'intervalle des attaques existait une hémihyperesthé-sie gauche ; ce garço
uestion, au contraire, est doux etintelligent ; dans l'intervalle des attaques , on peut reconnaître qu'il est hémianesthésique g
indre choc, le moindre frottement exercés sur ce point provoquent une attaque , et même les camarades du malade, ayant surpris l
mple les accidents convulsifs ; un forte pression arrête d'ailleurs l' attaque avec la même facilité. L'attaque est régulière; p
n forte pression arrête d'ailleurs l'attaque avec la même facilité. L' attaque est régulière; période épileptoïde, période de gr
lents. Il n'y eut, de novembre 1879 à décembre 1880, pas moins de 582 attaques , sans qu'il s'y ajoutât de l'épilepsie, et sans q
, revenant tous les soirs, vers les cinq heures, suivie, peu après, d' attaques convul-sives. Le diagnostic, parait-il, fut hés
a sensation, de boule, mais une sorte de constriction thoracique. L' attaque est ordinairement coupée parla chloroformisation.
ntéressant d'examiner l'attitude du père, quand approche l'heure de l' attaque ; il prend sa montre qu'il a mise à l'heure de so
ils, et tous les jours, à la même heure, il était dans l'attente de l' attaque qui ne manqua pas, en effet, de se reproduire, to
nt réel, dans ces sortes de cas: au bout de quatre ou cinq jours, les attaques étaient déjà modifiées, moins régulières et moins
ères et moins fortes ; quinze jours après, il n'était plus question d' attaques , puis la zone hystérogène bregmatique disparut, e
térie larvée et privée de la marque, en quelque sorte classique, de l' attaque convulsive ; 2° Contracture spasmodique permanent
énérale progressive, si on en juge par ce fait qu'il a subi plusieurs attaques convul-sives, à la suite desquelles il est resté
ablissent de plus en plus nettement la nature du substralum. Si les attaques font défaut chez notre malade, elle présente cepe
du calé de l'œil chez lei fv/sléro-épileptiques, soit en dehors de l' attaque soit, pendant, l'attaque (Soc. de biologie, 18S1,
i fv/sléro-épileptiques, soit en dehors de l'attaque soit, pendant, l' attaque (Soc. de biologie, 18S1, et Arch. de Neurologie,
surtout le flanc gauche. 4° Enfin la série des phases de la grande attaque hystéro-épileptique se retrouve également chez l'
éjà qu'il s'agit d'une forme fruste de la névrose ; il n'y a pas eu d' attaques , il n'y a ni antécédent, ni aucune modification p
dispute, survenue pendant la période menstruelle, et après une de ces attaques vulgaires qu'elle avait habituellement à la suite
t en général après le repas ; c'est en quelque sorte un souvenir de l' attaque hystérique vulgaire antérieure. Alors la malade r
des Tsiganes ou des Zingari d'Andalousie. Pendant toute la durée de l' attaque la malade est complètement consciente, et, fait r
e chez notre première malade. Mais avant de faire naître une de ces attaques , je veux vous rappeler sommairement l'histoire de
connaissance qui dura trois heures, puis une crise convulsive, grande attaque hystérique, suivie de contracture des membres du
ant l'épilepsie partielle. C'est vraisemblablement là un vestige de l' attaque d'hystérn Ciiarcot. Œuvres complètes, t. m, Sys
ligeant à s'éloigner du monde, en raison de l'effroi qu'inspirent les attaques et du sentiment de répulsion dont ces malheureuse
tte troisième malade la forme malléatoire, est un accompagnement de l' attaque hystérique, elle ne s'en détache pas pour s'indiv
n grand chagrin causé par la mort d'un parent, elle eut de véritables attaques d'hystérie dans lesquelles se manifestaient déjà
quelquefois, l'ovarie et l'hémianesthésie sont croisées. Quand les attaques surviennent spontanément, elles débutent par un s
la malade esquisse un arc de cercle qui interrompt la monotonie de l' attaque . La pression sur la région ovarienne droite fait
ulgaires, appartenant plutôt à la petite hystérie qu'à la grande, les attaques se produisant rarement, et à l'occasion d'une émo
spiritisme. Antécédents nerveux et rhumatismaux. — Description des attaques ; hallucinations de la vue ; stigmates permanents
e est impatiente, vive, très émotive : jamais cependant elle n'a eu d' attaques convulsives. 11 n'en était pas ainsi de sa mère,
bro-spinale, et qui, tous les ans, avait à deux ou trois reprises des attaques d'hystérie nettement caractérisées. Notons encore
és : bientôt après, elle se roulait par terre, présentant une série d' attaques hystériques caractérisées surtout par du clownism
ées surtout par du clownisme. Le lendemain et les jours suivants, les attaques reparurent très nombreuses, au nombre de 20 à 30
enait de plus en plus nécessaire, car, lorsque l'un d'eux prenait une attaque , les deux autres s'empressaient de suivre son exe
s de son arrivée, de même que les jours suivants, elle a eu plusieurs attaques qui, d'une façon générale, se sont caractérisées
en l'air et gigottent, la têle restant appuyée sur le lit. Pendant l' attaque , Julie pousse quelques grognements, rit, mais ne
onze ans, présente également des stigmates permanents, en dehors des attaques que je vais décrire. C'est ainsi que le lendemain
pas de transposition des couleurs. François a tous les jours de 1 à 5 attaques : certaines d'entre elles durent jusqu'à deux heu
ts sont suivis par une série d'accès caractéristiques constituant une attaque . L'enfant raidit alors ses membres supérieurs et
tre des êtres imaginaires. La phase tonique se montre à nouveau, et l' attaque se trouve ainsi constituée par une série d'accès
lorsqu'on lui comprime la main gauche les doigts étendus, on arrête l' attaque instantanément : on ne peut du reste pas la provo
rois, bien qu'il ait néanmoins une, deux, quelquefois trois ou quatre attaques par jour. Outre qu'il ne présente pas de stigmate
es trois enfants sans qu'immédiatement tous les trois ne prennent une attaque . La relation complète de cette petite épidémie de
e hystérique délirante, alors qu'il était encore cloué au lit par une attaque de rhumatisme. Deux jours plus tard, le 17, l'aîn
s enfants ne peuvent plus se rencontrer dans la maison sans avoir des attaques . La fillette commençait, ses frères suivaient son
iscuité avec les grandes hystériques dont elle voit journellement les attaques . Mais, nous n'avons pu faire mieux, n'ayant pas d
e l'emportait de beaucoup sur le grand mal; néanmoins, il avait eu 15 attaques en 7 jours. Depuis 15 jours, il n'a présenté que
érie,rappelez-vous qu'elle avait en moyenne tous les jours, de 4 ou 5 attaques ou séries d'attaques qui duraient de une demi heu
'elle avait en moyenne tous les jours, de 4 ou 5 attaques ou séries d' attaques qui duraient de une demi heure à une heure et dem
duraient de une demi heure à une heure et demie. Depuis 1S jours, les attaques ne se montrent plus que deux ou trois fois par se
dit qu'elle pouvait impunément rencontrer ses frères, sans prendre d' attaque . Telle est la situation, et il y a tout lieu d'
lètement guéri; depuis plus de 15 jours, la jeune fille n'a eu qu'une attaque très légère, et pendant une visite des parents à
-épi- lepsie, qui délivrées depuis quelques années de leurs grandes attaques , et sorties depuis ce temps du service spécial, e
e Aurel..., actuellement âgée de 62 ans, et chez laquelle les grandes attaques , remplacées parfois par des symptômes d'angine de
44 ans, par suite de chagrins et de pertes d'argent, il a souffert d' attaques de nerfs sur la nature desquelles le malade ne pe
ille de 15 ans a des crises de nerfs; une autre,âgée de 10 ans, a des attaques d'hystéro-épilepsie que M. Marie a constatées ici
int de rhumatisme articulaire aigu, sans lésions du cœur. La dernière attaque a duré 6 mois et c'est peut-être au rhumatisme qu
e 10 jours après l'accident, au milieu de la nuit, il eut sa première attaque d'hystêro-épilepsie. Depuis celte époque, les att
eut sa première attaque d'hystêro-épilepsie. Depuis celte époque, les attaques revinrent à peu près régulièrement tous les deux
u sortir de ses crises, il se rappelait ce qu'il avait rêvé pendant l' attaque , phénomène qui n'existe plus aujourd'hui. Il étai
lui et menaçaient de l'écraser. Jamais, il l'affirme, ni pendant les attaques , ni dans l'intervalle, il n'a eu de rêves ou d'ha
cation, remarquez-le bien, n'a jamais eu la moindre influence sur les attaques , bien que le médicament ait été absorbé d'une faç
ez, l'aura céphalique. Ces points, dont l'excitation peut provoquer l' attaque avec une singulière facilité, ne sont, par contre
eur excitation même intense et prolongée n'arrête qu'imparfaitement l' attaque en voie d'évolution. Dans Y étal ment ai do, Ri
s d'un caractère doux et totalement dénué de mauvais instincts. Les attaques sont spontanées ou provoquées. Quelle qtie soit l
nts dans les- tempes. A ce moment, le malade perd connaissance et Y attaque proprement dite commence. Elle est divisée en qua
rsures d'animaux, qu'il croit avoir senties. Puis il revient à lui, l' attaque est terminée, mais pour reprendre, le plus souven
t, quelques instants plus tard, jusqu'à ce que, après trois ou quatre attaques successives, le malade ait retrouvé enfin complèt
t, les phénomènes que nous venons de décrire, stigmates permanents et attaques persistent tels quels, sans changements appréciab
violent, est mort à 60 ans, à la suite d'une paralysie survenue sans attaques . Sa mère, morte tuberculeuse, était nerveuse, mai
Sa mère, morte tuberculeuse, était nerveuse, mais n'avait jamais eu d' attaques . Les antécédents personnels sont beaucoup plus
curielle. Pas de signes d'alcoolisme. Pas de syphilis. Une première attaque s'est produite à l'âge de 20 ans, sans cause conn
sentit les premiers avertissements. Il eut le temps de descendre et l' attaque convulsive eut lieu dans la rue. Les attaques se
temps de descendre et l'attaque convulsive eut lieu dans la rue. Les attaques se reproduisirent ensuite assez fréquemment. Il e
elque suite. Aussi bientôt lomba-t-il dans la misère. D'ailleurs, les attaques qui un instant avaient fait trêve, reparurent ens
nous retrouvons aujourd'hui fut pour la première fois constatée. Les attaques alors fréquentes et considérées, paraît-il, dans
ous l'avons dit, s'exagère notablement un peu avant et à la suite des attaques . Elle s'exagère surtout lorsque le malade se livr
pation, lorsqu'il veut lire, par exemple, ou écrire une lettre. Les attaques dont nous avons été bien des fois témoin dans le
ent dans les oreilles, vertiges, etc. Mais, pour peu qu'on insiste, l' attaque survient à coup sûr très rapidement. Quelques spa
cris sauvages Un rire convulsif, des pleurs, des sanglots terminent l' attaque . Au réveil, G. ne conserve aucun souvenir de ce q
rès incomplètement spasmo-frénatcurs; quand on les comprime pendant l' attaque , celle-ci se suspend pendant un instant, mais ell
rend bientôi le cours de son évolution. Provoquées ou spontanées, les attaques se répètent, en général, successivement un certai
as, mêmes stigmates hystériques, mêmes tendances mélancoliques; mêmes attaques caractéristiques avec cette seule particularité r
propos du second cas. Nous avons dit que dans quelques unes de ses attaques , G. se mord la langue et urine sous lui. Le fait
vraie d'un côté, grande hystérie de l'autre, se montrant sous forme d' attaques séparées. Un examen plus attentif nous a fait rec
plus attentif nous a fait reconnaître qu'il n'en est rien. Toutes les attaques , chez G., ont le caractère de la grande hystérie,
le caractère de la grande hystérie, et c'est pendant le cours de ces attaques -là que quelquefois il se mord la langue et que qu
e, et peu après, commencèrent à se produire pour la première fois les attaques spasmodi-ques. Celles-ci ne furent pas tout d'abo
c'est-à-dire soit le développement, soit, au contraire, l'arrêt de l' attaque , suivant le cas. Ces attaques, qu'elles soient
ment, soit, au contraire, l'arrêt de l'attaque, suivant le cas. Ces attaques , qu'elles soient spontanées ou provoquées par l'e
j'ai proposée pour désigner cette partie de la deuxième période de l' attaque . De temps en temps, les contorsions ci-dessus déc
t sur le côté droit, soit sur le côté gauche. Toute cette partie de l' attaque est, chez G..., parfaitement belle, si je puis m'
ue des diverses altitudes, les Fig. 51. — Arc de cercle en avant. attaques , chez G. ..,ne le cèdent en rien à celles que uou
mais G... n'a pénétré dans îe dortoir où sont placées les femmes « en attaques », de telle sorte qu'on ne saurait invoquer chez l
dans le vide comme à la recherche d'un être imaginaire. La fin de l' attaque est chez notre malade souvent marquée par une sor
'hystérie chez l'homme (Suite. l) Sommaire. — Formes anormales de l' attaque hystérique chez l'homme. — Relation d'un cas dans
'attaque hystérique chez l'homme. — Relation d'un cas dans lequel les attaques avaient pris l'aspect de l'épi-lepsie partielle.
le. — Diagnostic de ce cas: importance des stigmates hystériques. L' attaque convulsive peut faire défaut dans l'hystérie de l
à l'âge de 14 ans à la campagne. Sa mère aurait eu, en 1872, quelques attaques d'hystérie. Son grand-père paternel était alcooli
e réveillait en poussant dos cris. Enfin, au bout de quinze jours les attaques d'hystérie commencèrent. Elles eurent lieu d'abor
jourd'hui encore, bien que la maladie ait débuté il y a deux ans, les attaques surviennent spontanément, à intervalles assez cou
ogène. Une pression plus énergique exercée sur ce même point arrête l' attaque . Celle-ci, qu'elle soit spontanée ou provoquée,
gorge, bourdonnements d'oreilles, battements dans les tempes. Puis l' attaque commence : les yeux se renversent en haut dans le
accentuée chez lui et diffère un peu suivant les cas. Ainsi, quand l' attaque a été spontanée, il peut arriver que les hallucin
es : « Canailles, chameaux, carabins ! etc. » En général, plusieurs attaques se succèdent, de façon à constituer une série plu
jeta dans une grande frayeur et presque aussitôt survint la première attaque . Une autre frayeur, survenue peu après, en conséq
ue, F... ne cessa d'être sous A part une anomalie dans la forme des attaques , sur laquelle je reviendrai dans un instant, le c
de charretier, est alcoolique. Sa mère, morte tuberculeuse, a eu des attaques d'hystérie. Enfin, l'on trouve dans sa famille un
omoplates, les fesses, le creux poplité, la plante des pieds, etc. L' attaque peut être facilement provoquée lorsque ces plaque
11 y a trois ans, il a eu un érysipèle à la face suivi bientôt d'une attaque de rhumatisme articulaire aigu, d'ailleurs assez
is quinze jours, lorsqu'un soir, vers six heures, survint la première attaque convulsive. Déjà, depuis le matin, il souffrait d
, d'étouffement et de bourdonnement dans les oreilles. Au moment où l' attaque commença, nous dit-il, il sentit que sa langue ét
faiblesse où il se trouvait. Ces crises furent considérées comme des attaques épileptiformes d'origine alcoolique et pendant pr
trée à la Salpêtrière, il se produisit spontanément une série de cinq attaques successives auxquelles il ne nous fut pas donné d
ce dernier point, détermina immédiatement lors du premier examen, une attaque que nous pûmes étudier dans tous ses détails. Ell
épileptoïde se reproduit spontanément, inaugurant ainsi une nouvelle attaque qui ne se distingue en rien de la première et qui
il assure ne se souvenir en rien de ce qui s'est passé. Toutes les attaques , en assez grand nombre, tant spontanées que provo
uis les scènes variées de la phase délirante. Voilà, Messieurs, une attaque d'hysléro-épilepsie, qui, par un côté, s'éloigne
ment défaut. Mais nous connaissons, chez la femme, cette variété de l' attaque hysléro-épileptique 1 ; 1. Voir l'observation d
ement de Briquet, un quart environ des hystériques femmes n'ont pas d' attaques . La maladie, en pareille occurrence, sans rien pe
s, des hémorrhagies s'opérant par diverses voies, etc., etc.; or, les attaques peuvent également faire défaut dans l'hystérie de
ladie s'est, en quelque sorte, complétée depuis, car actuellement les attaques existent. Mais pendant une longue période de lt m
, disait-il, datait de 10 mois et était 1. Ballet et Crespin, — Des attaques d'hystérie à forme d'épilepsie par-tielletArch. d
oolique. Une de ses sœurs, âgée de 16 ans est sujette à de fréquentes attaques de nerfs. C'est un jeune homme d'apparence solide
endant un an. Il y a deux ans, à l'âge de 16 ans, il fut pris d'une attaque de rhumatisme articulaire aigu généralisé, précéd
re, en raidissant ses membres, et nous assistions ainsi à la première attaque d hystéro-épilepsie que le malade eût jamais épro
attaque d hystéro-épilepsie que le malade eût jamais éprouvée. Cette attaque était d'ailleurs absolument classique : à la phas
sser. Il est à remarquer que pendant toute la durée de celte première attaque , le membre supérieur gauche ri a pas p?*is part a
ions ; il est resté flasque, complètement inerte. A partir de là, les attaques se reproduisent les jours suivants, spontanément,
ndant la nuit du 17 mars, le malade a uriné dans son lit. Deux autres attaques se produisent le 19. Le 21 survient une nouvelle
lque temps. C'est pourquoi, le lendemain, trouvant P. au sortir d'une attaque qui n'avait en rien modifié l'état des choses, je
nt elle ne persista pas plus de 24 heures. Le lendemain, une nouvelle attaque survint, à la suite de laquelle les mouvements vo
erne le mouvement volontaire, se sont produites, en conséquence d'une attaque dans le membre autrefois complètement paralysé.
out le côté gauche du corps, y compris les appareils sensoriels ; les attaques , d'un autre côté, restent fréquentes. Certes, vou
'avoir vue plusieurs fois, à la suite d'une contrariété, être prise d' attaques dans lesquelles elle s'affaissait sur elle-même e
n'a jamais présenté d'accidents nerveux. Sa sœur est souvent prise d' attaques de nerfs, probablement de nature hystérique. Il n
ie monoculaire, anesthésie de l'arrière-gorge, plaques hysté-rogènes, attaques d'hystérie suivies d'une amélioration de la paral
et ce quelque chose, vous l'avez tous compris, c'est la présence de? attaques ainsi que l'existence des points hystérogènes. Ev
stérogènes. Evidemment cette circonstance ne saurait nous arrêter : l' attaque convulsive, vous le savez, n'est pas, tant s'en f
n un peu prolongée de la zone sous-mammaire, survint chez Pin..., une attaque hystéro-épi-leptique parfaitement classique. C'ét
ivie de plusieurs autres en tout semblables. Actuellement encore, les attaques se produisent fréquemment, d'ordinaire spontanéme
fréquemment, d'ordinaire spontanément. C'est à la suite d'une de ces attaques que s'est manifesté tout à coup, le 21 mars, dans
e à l'hystérie. Or, entre ce cas et celui de Porcz... la présence des attaques et des points hystérogènes dans le premier fait s
ées d'anesthésie généralisée, complète, permanente, et chez elle, les attaques répondent de tout point au type classique. Vous v
ins durable de la sensibilité, les autres phénomènes hystériques, les attaques , par exemple, se modifient, en général, favorable
'anesthésie, qui persiste encore aujourd'hui (20 février 1886). les attaques hystéro-épileptiques persistent à peu près au mêm
t, à la suite d'une impression morale ; ou bien encore le sujet a des attaques con-vulsives, et c'est peut-être -à la suite d'un
ouvement imprimé à la hanche. Vous voyez par là, Messieurs, que, si l' attaque hystérique n'existe pas chez notre malade, on peu
le professeur Lannelongue). Garçon de 11 ans; la mère a de nombreuses attaques d'hystérie. Le membre du côté malade est contract
ne peut toucher ce membre sans que l'enfant soit pris d'une véritable attaque de nerfs. Dans le sommeil chloroformique, on cons
lle ce 13 ans. Père atteint de paralysie infantile; mère ayant eu des attaques hystériques, jusqu'à l'âge de 30 ans. A l'âge de
plongée dans l'hypnotisme, de lui affirmer qu'elle venait d'avoir une attaque , pendant laquelle elle avait fait une chute sur l
yaient fermement l'une et l'autre s'être heurté la hanche pendant une attaque . Vous n'avez pas oublié, Messieurs, ces deux ho
temps qu'un rétrécissement très manifeste du champ visuel. Enfin, les attaques sont elles-mêmes représentées ainsi qu'il suit :
harynx et y produit un sentiment d'étouffement. Plusieurs fois, cette attaque esquissée a été suivie d'une aphonie qui a persis
l'amélioration est donc manifeste et j'ajouterai que les rudiments d' attaques ne se sont plus reproduits. Il n'en est pas tou
e nature quelconque ; on le voit se produire parfois, au sortir d'une attaque hystérique ; ou bien encore, sans cause provocatr
traité comme tel. De plus, on ajoutait que souvent, à la suite de ses attaques , il restait aphasique pendant plusieurs jours. Lo
nds hystérique nettement formulé. J'ajouterai que la description de l' attaque qui nous fut alors donnée était vraiment caractér
que, pour plus de brièveté, nous appelons stigmates, sans compter les attaques , qui, elles aussi, existent habituellement: rétré
fait que, pendant une période de six ans, de 24 à 30 ans, il a eu des attaques qu'il fait connaître à l'aide d'une description e
entanément l'usage de ses sens. Il se marie, il y a trois ans, et les attaques cessent. Sans cause connue, autre qu'une laryngit
une de ses sœurs, morte dernièrement de fièvre typhoïde, avait eu des attaques de nerfs. Lui a été atteint d'une fièvre typhoï
chez lui pour aller voir des amis, il fut pris chez eux d'une grande attaque , précédée d'une sensation de boule remontant au c
des battements dans les tempes et des bruits dans les oreilles. Les attaques sont représentées de la façon suivante : douleur
esthésié (fig. 86 et 87). La présence des stigmates classiques et d' attaques , à la vérité, rudimentaires, mais suffisamment ca
e la durée des mois de mai et juin, aucun changement appréciable. Les attaques avec saignement de nez ont été fréquentes et inte
al; il vomit souvent. Sueurs profuses. Vers le milieu de juillet, les attaques prennent un caractère spasmodique plus accentué.
ns tendent à prédominer. Le 15 août 1886, le malade a eu le matin une attaque convulsive très bien dessinée; il n'y a pas eu d'
onvulsive très bien dessinée; il n'y a pas eu d'épis-taxis. Pendant l' attaque , à un moment donné, on a vu les membres inférieur
de force contre les barreaux du lit que celui-ci en a été déplacé. L' attaque terminée, le malade est descendu de son lit et s'
'ont pas subi de modification appréciable. Depuis cette époque, les attaques sont devenues plus rares et moins intenses. L'amé
). La disparition subite de la paraplégie motrice, à la suite d'une attaque qui présente tous les caractères de l'attaque hys
trice, à la suite d'une attaque qui présente tous les caractères de l' attaque hystérique, vient confirmer d'une manière éclatan
ci; il ne parait nullement nerveux et ne sait pas ce que c'est qu'une attaque de nerfs. Il est plutôt lent, apathique, mou, tor
sation. Le malade n'a pas et n'a jamais eu rien qui ressemble à des attaques hystériques, mais les troubles sensitifs et senso
rappé, il y a quelque temps, d'une hémiplégie gauche à la suite d'une attaque d'apoplexie, et est sujet à de fréquents étourdis
16 ans une scarlatine, et, dans la convalescence, elle a été prise d' attaques de nerfs ayant, d'après ce qu'elle nous dit, prés
nications, 1790) rapporte l'histoire d'une femme qui, au sortir d'une attaque hystérique, s'aperçut qu'elle ne pouvait ni parle
ût en pleine possession de ses facultés intellectuelles. Une nouve'le attaque lui rendit la parole. En 1355, Sédillot présent
et 26 ans. L'une d'elles était sujette à des crises de nerfs et à des attaques de sommeil cataleptiques. « Au réveil, elle était
mps chez son beau-frère en Prusse. C'est là que survient une deuxième attaque de catalepsie qui disparut sous l'influence d'une
a encore une saignée, Deux fois, il tenta de se suicider. La dernière attaque de mutisme et de paralysie remonte à quatre mois,
bruit, qui ne répond en réalité à aucun son vocal. Ch. a eu quatre attaques d'hémiplégie accompagnée d'aphasie, toujours avec
ion et le malade est très affirmatif sur ce point, qu'à aucune de ses attaques d'hémiplégie, il n'a eu de déviation de la bouche
nserva pendant quelques jours du bégaiement. A la suite de ses autres attaques , la parole n'était pas revenue tout à coup ; il a
rise convulsive. Depuis cette époque (3 ans), il a eu de fréquentes « attaques » avec perte de connaissance, que, le plus souven
ngues, plus violentes et plus rapprochées ; depuis quelque temps, ces attaques sont suivies de perte de la parole. L'aphasie dur
sente à la consultation de M. Charcot. Il est muet depuis sa dernière attaque . Ces attaques sont assez subites, mais il ne se m
nsultation de M. Charcot. Il est muet depuis sa dernière attaque. Ces attaques sont assez subites, mais il ne se mord jamais la
du hoquet avec spasmes respiratoires, mais elle n'a pas eu de grandes attaques d'hystérie. Le bégaiement ni le mutisme ne s'étai
lpètrière, service de M. Charcot. Homme, âgé de 30 ans. La première attaque nerveuse eut lieu en septembre 1882. Depuis le mo
veuse eut lieu en septembre 1882. Depuis le mois de janvier 1883, les attaques ont été, ce qui ne se produisait pas auparavant,
produisait pas auparavant, toujours suivies d'aphasie passagère. Ces attaques , très violentes, sont classiques (aura, perte de
temps plus ou moins long, qui paraît en rapport avec la violence de l' attaque ; la durée moyenne est de 4 à 5 minutes. Cet ét
cès de suffocation ; l'aphasie a duré six jours. A diverses reprises, attaques , laissant du mutisme, qui se dissipe parfois aprè
habituels. .....Sous l'influence de l'émotion causée par une chute, attaque convulsive, au sortir de laquelle la voix était
stérique, d'une santé habituellement excellente. Sa mère a de grandes attaques . Une sœur, âgée de 13 ans, a des attaques fréquen
lente. Sa mère a de grandes attaques. Une sœur, âgée de 13 ans, a des attaques fréquentes et depuis deux mois, elle est prise d'
'à ces dernières années, l'hystérie ne s'était manifestée que par des attaques incomplètes. Il y a 18 mois, la malade fut pénibl
che survenue brusquement la veille. Il a déjà eu en 1870 et 1874 deux attaques subites de perle de connaissance, en 1877 des tro
ugitives qui se répétèrent en 1880. II y a deux ans, après une de ces attaques de cécité, il devint aphasique pendant huit jours
raît, et ainsi à plusieurs reprises. Le 12 avril, il est pris d'une attaque d'aphasie; il est ainsi jusqu'au lendemain, puis
u'on peut arrêter en comprimant le testicule. A la suite d'une de ces attaques , le malade fut pris de contracture occupant tou
iminuant avant de se suspendre tout à fait. C'est souvent après une attaque franche d'hystérie qu'au réveil, au retour du sen
dents héréditaires, qui, en 1868, à l'âge de 44 ans, eut une première attaque d'hémiplégie; cette hémiplégie siégeait à droite
de sa maladie. On sait de plus d'une façon formelle que, depuis cette attaque d'hémiplégie, la malade lisait son journal tous l
journal tous les jours et parlait distinctement. En 1879, nouvelle attaque ; cette femme tombe subitement dans la rue, frapp
t revenue au bout de deux ans, lorsque, en 1885, survint une nouvelle attaque suivie d'un simple embarras de la parole, caracté
'articulation. Enfin, dans le courant de la même année, une quatrième attaque amena une perte complète et permanente de la paro
acture hystérique. — Amblyopie. — Zones hystérogènes. — Phases de l' attaque d'hystéro-épilepsie. — Hystérie chez les jeunes g
e l'attaque d'hystéro-épilepsie. — Hystérie chez les jeunes garçons : attaque , phénomènes permanents. — Importance de l'isoleme
piri. tisme. Antécédents nerveux et rhumatismaux. — Description des attaques ; hallucinations de la vue; stigmates permanents e
d'hystérie chez [/'homme (Suite). Sommaire. — Formes anormales de l' attaque hystérique chez l'homme. — Relation d'un cas dans
'attaque hystérique chez l'homme. — Relation d'un cas dans lequel les attaques avaient pris l'aspect de l'épilepsie partielle. —
e. — Diagnostic de ce cas : importance des stigmates hystériques. L' attaque convulsive peut faire défaut dans l'hystérie de l
ie d'hystérie, 229. Epilepsie partielle (Hystérie chez l'homme avec attaque à forme d'), 283. f Face, Tic non douloureu
les deux sexes, 253-255; — Influence du traumatisme, 252; — Grande attaque hystéro-épileptique, 261, 266, 273; — Hystérie et
273; — Hystérie et neurasthénie, 268; — Absence de lésions, 268; — Attaque à forme d'épilepsie partielle, 285; — Absence des
ons, 268; — Attaque à forme d'épilepsie partielle, 285; — Absence des attaques convulsives, 287; — caractérisée par les stigmate
8 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
phénomènes hystériques vulgaires, tels que : hémianesthésie, ovarie, attaques convulsives, etc. En pareil cas, il peut y avoi
e a donc été fort précoce sous ce rapport, — elle a été sujette à des attaques de nerfs accompagnées de perte de connaissance. C
te à des attaques de nerfs accompagnées de perte de connaissance. Ces attaques se reproduisaient quelquefois presque sans cesse
ériode de vingt-quatre heures. Evidemment, il s'agissait là non pas d' attaques comitiales, mais bel et bien d'attaques hystériqu
t, il s'agissait là non pas d'attaques comitiales, mais bel et bien d' attaques hystériques de la grande forme hystéro-épilepsie.
elé votre attention. Il n'y a pas longtemps que les phénomènes de l' attaque convulsive vulgaire sont venus se surajouter aux
je dois vous prévenir que je ne considère pas cette intervention de l' attaque convulsive comme marquant un empirement dans la s
le bâillement hystériques ne sauraient, en général, co3xister avec l' attaque ; l'un exclut l'autre jusqu'à un certain point. E
que l'a bien montré M. le Pr Pitres, à favoriser le développement des attaques , dans l'espoir de changer le cours des choses et
ssible à l'influence des moyens thérapeutiques. Pour le moment, les attaques , chez notre sujet,sont,en quelpue sorte, àl'état
aissent, les bâillements cessent momentanément (antagonisme entre les attaques et les bâillements). Souventles choses ne sont pa
ui peut durer un quart d'heure et plus. Souvent, la malade, après les attaques , tombe dans un profond sommeil. Voilà certes un
peu après se montre l'accélération des mouvements respiratoires. — L' attaque se termine souvent par des pleurs, comme se termi
es. — L'attaque se termine souvent par des pleurs, comme se termine l' attaque d'hystérie vulgaire, et en somme il n'est guère d
uère douteux que l'accès dyspnéique représente, en quelque sorte, une attaque hystérique transformée. Dans ce cas, point de s
us sommes, pour caractériser, l'hystérie. Mais il y a plus encore : l' attaque , que quelques-uns considèrent bien à tort, encore
'hui, comme un syndrome nécessaire à la constitution de l'hystérie, l' attaque , dis-je, est ici représentée. Sans doute il ne s'
ici représentée. Sans doute il ne s'agit pas cette fois de la grande attaque , à phases distinctes et ordonnées : 1. Voir sur
malade. Mais nous en voyons assezcependantpour pouvoir affirmer que l' attaque existeà l'état rudimentaire, engerme,ou si vous l
pression unpeuvive,le malade ressent quelques-uns des phénomènes de l' attaque : «Il lui semble,— c'est d'après son naïf récit qu
tige épileptique, sans accompagnement de mouvements spasmodiques. Ces attaques , ou mieux ces rudiments d'attaque que nous venons
nt de mouvements spasmodiques. Ces attaques, ou mieux ces rudiments d' attaque que nous venons de décrire, ne se montrent pas un
que nous décrivions tout à l'heure. Donc, il s'agit évidemment ici d' attaques hystériques se produisant sous une forme rudiment
germaine du côté maternel (fille du frère de la mère) tombe dans des attaques de nerfs, désignées épileptiques. — La mère de no
la poitrine. Un de ses frères était épileptique ; il tombait dans les attaques , environ tous les quinze jours ; il perdait absol
ge avez-vous eu votre rhumatisme articulaire? La mère. — J'ai eu deux attaques : la première à 19 ans, l'autre à 36 ans. M. Char
fance. Mon fils aîné est aujourd'hui âgé de 23 ans. Il a eu plusieurs attaques de rhumatisme ; son cœur a été pris — c'est pourq
e. Mon quatrième enfant qui est une fille a eu, vers 7 ans, aussi une attaque de rhumatisme. Le cœur n'a pas été pris, les autr
s. Eh bien, messieurs, cette hémiplégie survenue rapidement après une attaque apoplectiforme a été la première révélation de l'
es affections, en effet, comme dans l'épilepsie par exemple : après l' attaque le même rétrécissement concentrique peut se prése
ic hystérie, de chercher ailleurs. Sans doute notre homme n'a pas d' attaques convulsives ; on ne rencontre pas chez lui de pla
'asile de Ville-Evrard ; sa grand'mère maternelle a été sujette à des attaques d'hystérie. Je ne me refuserai donc pas à admet
aris. Policlinique du Mardi 13 Novembre 1888 QUATRIÈME LEÇON 1° Attaque de sommeil hystérique ; 2° Amyotrophie par lési
crises semblables, on assiste sans anxiété, sans émotion à ce 1. L' attaque de sommeil s'est terminée le 29 novembre. — La ma
st généralement parmi ces hystériques-là du reste que s'observent les attaques de sommeil. Elle est rentrée à la Salpêtrière e
ileptique (?) et d'un père alcoolique, qu'elle a commencé à avoir des attaques vulgaires de grande hystérie à l'âge de 18 ans ;
ns cet hospice même, en 1875, c'est-à-dire il y a treize ans, que les attaques hystéro-épileptiques jusque-là classiques, ont su
'insiste sur les termes que j'emploie, — se sont changées, dis-je, en attaques de sommeil. La première fois que la malade a « do
attaques de sommeil. La première fois que la malade a « dormi », son attaque de sommeil a duré quarante jours, et depuis cette
87. J'engage ceux d'entre vous qui s'intéresseraient spécialement aux attaques de sommeil à consulter les documents que je viens
Tourette (nos 43 et 44) ; mais les petits cas, ceux dans lesquels les attaques de prétendu sommeil durent seulement trois, quatr
sommeilnaturel. Ainsi sont les choses en réalité clans tous les cas d' attaques de sommeil que j'ai observés jusqu'ici. Mais il y
enre. C'est à savoir que le prétendu sommeil n'est autre chose qu'une attaque hystérique modifiée ou transformée, conme vous vo
n peut invoquer à l'appui de cette manière de voir. En premier lieu l' attaque de sommeil est, dans bon nombre de cas,précédée e
s bon nombre de cas,précédée et suivie des phénomènes ordinaires de l' attaque convulsive ou de ses prodromes. C'est ce qui a li
les qu'elle présentait autrefois lorsqu'elle était sous le régime des attaques convulsives hystéro-épileptiques normales ; les m
t en quelque sorte l'équivalent d'une série plus ou moins prolongée d' attaques régulières. J'indiquais tout à l'heure les phénom
phénomènes convulsifs ou psychiques qui souvent sont le prodrome de l' attaque de sommeil et marquent sa terminaison. Eh bien, l
entent fréquemment, en manière d'épisodes, pendant la durée même de l' attaque de sommeil à plusieurs reprises. C'est ainsi qu
core ou deux, ce • même mouvement, de façon à rappeler ce que, dans l' attaque hystéro-épilep-tique normale nous désignons sous
i l'on peut dire que pendant Vattaque de sommeil, les phénomènes de l' attaque convulsive se manifestent souvent comme par lambe
: ainsi que cela se voit fort bien par l'histoire d'Eudoxie H...,les attaques de sommeil sont souvent pendant des années précéd
attaques de sommeil sont souvent pendant des années précédées par des attaques d'hystérie convulsive auxquelles elles tendent à
-être, comment expliquer, s'il est vrai comme vous le prétendez que l' attaque de sommeil soit l'équivalent d'une série d'attaqu
le prétendez que l'attaque de sommeil soit l'équivalent d'une série d' attaques convulsives hystériques, d'un état de mal hystéri
iques, d'un état de mal hystérique en un mot, comment expliquer que l' attaque de sommeil puisse se prolonger pendant des jours
dans le temps à propos de la très longue durée de certaines séries d' attaques hystéro-épileptiques, vous reconnaîtrez que l'éta
cas d'état de mal hystérique, à la vérité exceptionnels, et les cas d' attaques de sommeil, l'écart, du moins en ce qui concerne
épilettico, p. 159). Vous trouverez là l'histoire très authentique d' attaques hystériques en série, qui ont duré quinze jours (
e centrale ne s'élève pas notablement dans ces séries interminables d' attaques convulsives qui presque sans cesse et sans trêve
s trouve sa vérification alors même que l'on considérera la durée des attaques et il est rendu ainsi au moins fort vraisemblable
rendu ainsi au moins fort vraisemblable, pour ne pas dire plus,que l' attaque de sommeil représente une attaque ou plus exactem
blable, pour ne pas dire plus,que l'attaque de sommeil représente une attaque ou plus exactement une série d'attaques hystériqu
aque de sommeil représente une attaque ou plus exactement une série d' attaques hystériques « transformées ». Il y a cependant,
le. Il ne me reste plus grand'chose à vous dire concernant le cas d' attaque de « sommeil » que vous avez sous les yeux et les
le cas d'attaque de « sommeil » que vous avez sous les yeux et les « attaques » de sommeil considérées en général. Voici cepend
, c'est un chiffre imposant dans l'espèce — que pendant la durée de l' attaque le poids du corps diminue rapidement en même temp
ins au sommeil physiologique. Je me bornerai à vous montrer en quoi l' attaque du sommeil hystérique, diffère « des sommeils » p
il profond avec résolution des membres pourrait être confondue avec l' attaque de sommeil hystérique ; laquelle attaque d'ailleu
urrait être confondue avec l'attaque de sommeil hystérique ; laquelle attaque d'ailleurs peut être provoquée parfois chez quelq
ux, ne détermine pas la contracture des muscles correspondants dans l' attaque de sommeil hystérique, tandis que, dans la léthar
re ces cas restés jusqu'à eux méconnus ou mal connus, dans lesquels l' attaque d'hémiplégie hystérique se développe brusquement,
eprendrai pas de séparer cliniquement cette apoplexie hystérique de l' attaque de sommeil, par la simple raison qu'à mon avis il
e semble, serait que dans les cas signalés par MM. Debove et Achard l' attaque de sommeil à début brusque est suivie d'hémiplégi
ondres [1], que j'ai eu longtemps dans mon service et chez lequel les attaques de sommeil marquées par tous les caractères décri
service de M. Bourneville. C'était un enfant arriéré et il avait des attaques convulsives. M. Charcot (aux auditeurs) : Eh bi
— Cas complexe : paralysie spinale infantile, paraplégie alcoolique, attaques hystéro-épileptiques. 2°, 3e, et 4e Malades. — Pa
'il fut pris à cette époque d'un accès de delirium tremens ; mais les attaques con-vulsives qui se sont, comme nous l'avons dit,
que lui. Ce n'est donc pas de cela qu'il s'agit dans notre cas où les attaques persistent telles quelles, se reproduisant comme
er d'absinthe. D'ailleurs maintes fois nous avons été témoin de ces attaques et nous pouvons affirmer qu'elles portent avec el
é dans les observations ad hoc : le malade prévoit qu'il va avoir son attaque ; le premier signe précurseur est une douleur viv
ompris, sans qu'il soit nécessaire d'y insister qu'il s'agit là d'une attaque de grande hystérie (Hysteria major : hystéro-épil
mmes ne sont pas de trop pour maintenir B... quand il est pris de ses attaques et le lit de fer sur lequel on est obligé de l'at
ons pas encore une solution définitive quelque peu prochaine (1). Les attaques chez lui, bien qu'un peu moins fréquentes que par
ndrai ultérieurement. Je me bornerai à relever en ce moment que cette attaque de rhumatisme a laissé, après elle, une lésion de
e élève. Depuis le mois de février 1888, il a souffert de plusieurs attaques de rhumatisme articulaire aigu de moyenne intensi
ère Grand-père Grand'mère Il s'est pendu cinq S'est suicidé en se 0 Attaques de nerfs à ans après le suicide jetant par la f
mne de tares nerveuses. La grand'mère du malade a en effet souffert d' attaques de nerfs et sa mère a été affectée d'hémop-tisie,
est remarquable aussi qu'elles se sont manifestées dès les premières attaques et que jamais celles-ci ne paraissent sans en avo
accès. On a fait remarquer dans ces derniers temps qu'à la suite des attaques d'épilepsie proprement dite, il n'est pas très ra
grande majorité des cas, le rétrécissement, dans l'épilepsie,suit les attaques , mais il peut arriver, comme l'a montré M. Heinem
schémas que je vous présente (fig. 25 et 26). Si bien que lorsque les attaques se reproduisent à de courtes distances, tous les
rmanents, monoplégied'un caractère spécial ; et, pour ce qui est de l' attaque , si elle ne s'accuse pas sous une forme très acce
uite de ses cre est « un peu folle » et a dernières grossesses, les attaques de nerfs. 8 enfants dont 3 morts en bas âge.
bas âge. Une des sœurs de la malade, âgée de 10 ans, a eu plusieurs attaques de rhumatisme articulaire. Notre malade, âgée d
(fig.30), plus marqué au contraire à la suite de ce qu'il appelle ses attaques (fig. 31), ses étourdissements, sa syncope. D'ail
nt pas, dis-je, à la neurasthénie non compliquée. Mais il y a plus, l' attaque hystérique est ici représentée nettement sinon so
ent dans la rue, un cri, un coup de fouet, me font, dit-il, venir mes attaques ; alors j'éprouve des étouffements au cou, je res
permet pas, en tout cas, de confondre les crises en question avec les attaques épileptiformes qui se montrent parfois dans le ta
e en mars 1888, dans le service de la Clinique. Il s'agit chez elle d' attaques de grande hystérie avec les phases classiques et
Radies graves, elle n'était point nerveuse, elle n'avait jamais eu d' attaques de nerhV » e^e se Peignait seulement de temps en
le change et faire errer le diagnostic ; mais bientôt survinrent des attaques qui devaient dévoiler immédiatement la véritable
qui devaient dévoiler immédiatement la véritable nature du mal. Ces attaques , pendant le séjour à Saint-Antoine, se sont montr
veil, qu'elles éclatent. Il y a bien aussi chez notre jeune homme des attaques qui surviennent dans la journée le plus souvent v
quence d'une pression exercée sur les parties douloureuses. Lorsque l' attaque doit se développer spontanément, le malade en est
usieurs personnes pour le contenir et il pousse des cris affreux. Les attaques ayant cessé depuis l'admission à la Salpétrière,
cas, sans grand déplacement du corps. En voilà assez concernant les attaques qui sont, vous le voyez, suffisamment caractérist
c'est aussi, remarquez-le bien, l'heure à laquelle se manifestent les attaques . Il y a un double rétrécissement du champ visue
anifeste chez notre homme une certaine tendance à l'amélioration; les attaques , ainsi que je vous l'ai dit, sont devenues plus
poumons : phtisie, emphysème ; ceux qui ont éprouvé une ou plusieurs attaques congestives ou apoplectiques, ceux enfin qui sont
le a été somnambule dans l'enfance et, vers quinze ans, elle a eu des attaques de nerfs qui, pendant un an, se sont reproduites
d'intéressant à relever à ce propos dans le cas actuel, c'est que les attaques hystériques qu'on a vu il y a deux ans s'effacer,
ie est représentée aujourd'hui chez Mon...rier, non seulement par les attaques qui sont fréquentes, mais encore par un certain n
u des « idées noires » ; la grand'mère maternelle était sujette à des attaques de nerfs. Le père était vif, emporté, chagrin. 11
reste, peu de temps après, à peu près en même temps que survenait une attaque de rhumatisme articulaire aigu d'une certaine gra
rthographe : « Depuis jeudi, à la suite d'une crise de nerfs et d'une attaque . Je voudrais parler, mais on dirait qu'il y a que
tue même qu'un épisode récent survenu à la suite d'une des nombreuses attaques convulsives dont elle n'a pas cessé d'être tourme
ssus ; chaque fois quon à voulu l'hynoptiser, elle a été prise de ses attaques de raideur; jamais elle n'a dormi. Plusieurs fo
ine de jours. Elle en sortit non guérie; depuis lors, en effet, les attaques continuent à paraître fréquemment et l'état menta
mutisme est survenu il y a cinq ou six jours, à la suite d'une forte attaque . C'est à cette occasion que le mari de la malade
sa femme dans notre service. Vous avez compris, Messieurs, que les attaques dont il a été si souvent question dans le cours d
souvent question dans le cours de notre récit ne sont autres que des attaques hystériques: elles répondent à un type particulie
ul Richer, auxquelles je vous renvoie pour les détails, sous le nom d' attaques de contracture (1) ; je me bornerai à vous eu don
ileptique, les contorsions ou les attitudes passionnelles des grandes attaques vulgaires. Les choses restent telles quelles pend
quer, d'un petit cas. Nous avons vu en-effet chez d'autres sujets les attaques présentant ces mêmes caractères persister quelque
pression ovarienne ou de divers points hystéro-gènes — qui, dans les attaques classiques, se montrent si fréquemment efficaces.
ttaques classiques, se montrent si fréquemment efficaces. Le type d' attaque dont il est ici question et que nous avons pris l
uestion et que nous avons pris l'habitude de désigner sous le nom « d' attaque de contracture », se rencontre assez rarement dan
c l'attitude dite « en arc de cercle » partie intégrante de la grande attaque hystéro-épileptique, non: 1. Richer. Éludes cli
et que l'on emploie si souvent à tort et à travers (1). Fig. 52. — Attaque de contracture. Fig. 53. — Arc de cercle. J'a
aque de contracture. Fig. 53. — Arc de cercle. J'ai vu ce genre d' attaque se produire plus souvent que le type classique da
, soit du champ visuel ayant abouti constamment à la production d'une attaque . En résumé nous avons sous les yeux un exemple,
car l'histoire des antécédents de MmeP... signale dans son passé deux attaques d'hystérie, l'une à l'âge de 19 ans, l'autre à l'
jeune Blan... sans antécédents nerveux remarqués, n'avait jamais eu d' attaques jusqu'au moment où les premières tentatives d'hyp
tés pendant quelque temps tous les deux ou trois jours. C'étaient des attaques hystériques assez bien formulées, précédées d'une
meux Hansen, un enfant hypnotisé par un de ses camarades a été pris d' attaques de contracture qui durèrent plusieurs heures et q
, aucune association de symptômes hystériques ; rien qui rappelle les attaques ou leurs équivalents ; pas de troubles permanents
e en se jetant par la fenêtre. Le frère du malade est sujet à des attaques qualifiées d'hystériques ; il avait, jusqu'à l'âg
ormal. Dyschromatopsie complète à gauche etpolyopie monoculaire. Ni attaques ni équivalents d'attaques. 11 n'existe pas de poi
plète à gauche etpolyopie monoculaire. Ni attaques ni équivalents d' attaques . 11 n'existe pas de points hystérogènes. Les rê
os de la précédente observation. Il n'y a pas à proprement parler d' attaques , mais bien des équivalents d'attaques : la nuit,
n'y a pas à proprement parler d'attaques, mais bien des équivalents d' attaques : la nuit, dans son sommeil, souvent il étouffe,
ffrait, justement au moment où je vous l'ai montrée, un bel exemple d' attaque de sommeil hystérique. Je viens de faire placer s
manqué d'être atteinte au moins une fois chaque 37 année, de son attaque de sommeil. A part ces circonstances, les deux ca
ec un certain appétit, mais par contre on voit apparaître une série d' attaques hystéro-épileptiques parfaitement caractérisées q
arie à gauche, Le 23 janvier, dans la matinée, survient la première attaque de sommeil ; le réveil a eu lieu le 25 au soir, c
presque trois jours après. Il a été marqué par le développement d'une attaque classique de grande hystérie. Une pesée faite le
a explique le chiflre 37,700 observé le 23 janvier jour où commença l' attaque de sommeil. Les jours qui suivent l'attaque, la
vier jour où commença l'attaque de sommeil. Les jours qui suivent l' attaque , la malade ne vomit presque plus et elle continue
es, c'est-à-dire il y a juste cinq jours que s'estdéclarée la seconde attaque , celle dont j'ai tenu à vous rendre témoins aujou
r l'étude de six cas de sommeil hystérique que, pendant la durée de l' attaque , le poids du corps diminue rapidement, en même te
s un des épisodes les plus vulgaires de la seconde phase de la grande attaque hystéro-épileptique ; tandis que, d'un autre côté
térique, à savoir : qu'il n'y faut pas voir autre chose qu'une grande attaque , ou mieux qu'une série de grandes attaques modifi
r autre chose qu'une grande attaque, ou mieux qu'une série de grandes attaques modifiées dans leur forme extérieure. Les intér
diminution du volume de l'urine et l'abaissement du taux de l'urée, l' attaque de sommeil reproduit en tous points ce qui a lieu
e de sommeil reproduit en tous points ce qui a lieu dans les séries d' attaques hystéro-épilepti-ques (1). Mais c'en est assez
s que chez les hystériques dites ovariennes, pendant l'évolution de l' attaque convulsive, une compression un peu forte agissant
un haut degré d'intensité et quelle que soit d'ailleurs la phase de l' attaque qui est en jeu. Si, par l'application de ce procé
à produire le réveil, ce sera une analogie de plus à relever entre l' attaque de sommeil et l'attaque convulsive. D'ailleurs je
e sera une analogie de plus à relever entre l'attaque de sommeil et l' attaque convulsive. D'ailleurs je ne suis pas fâché de sa
alade pousse un cri perçant, ouvre les yeux, et aussitôt commence une attaque convulsive : ce sont d'abord plusieurs grands mou
pas que, si une compression ovarienne énergique détermine l'arrêt des attaques , une pression moins forte peut avoir pour effet a
cas qui s'est produit ici. Si nous voulons maintenant mettre fin à l' attaque convulsive que nous avons ainsi provoquée, il nou
lesquels elle ne perdait connaissance qu'incomplètement: L'une de ces attaques s'étant un jour prolongée beaucoup plus que d'hab
rd'hui les traces. Dans ce temps-là, il y a eu des hémoptysies. Les attaques de raideur continuent à apparaître de temps à aut
raideur continuent à apparaître de temps à autre, alternant avec des attaques de sommeil. A l'âge de 37ans,apparaissent|les p
ses égales d'ailleurs, moins persistantes chez les sujets qui ont des attaques convulsives que chez ceux qui n'en ont pas. Il y
hystérie locale), tels que bruits laryngés, contractures etc., et les attaques convulsives. - Celles-ci d'ailleurs peuvent déter
aissance des points hystérogènes. — Notre malade est une hystérique à attaque , et la contracture d'origine traumatique qu'elle
r d'hiver pour sauver une femme qui se noyait ; il s'en est suivi une attaque de rhumatisme articulaire aigu qui l'a tenu au li
'indiquer en passant, devant y revenir par la suite. Il n'y a pas d' attaques convulsives ; mais il y a des représentants ou éq
attaques convulsives ; mais il y a des représentants ou équivalents d' attaque ; il les appelle « ses étourdissements » ou encor
ouvons la plupart des phénomènes classiques de l'aura qui précède les attaques hystéro-épileptiques. Il y a, vous ne l'avez pas
rfois ressentent les phénomènes de l'aura pendant un temps sans que l' attaque proprement dite s'ensuive (1). Il y a d'autres ca
lle qu'elle vient d'être décrite plus haut, sans jamais êtes suivie d' attaques con-vulsives. Enfin, sans sortir de l'hystérie, R
ccès épilepti-ques incomplets, a donné la description d'une variété d' attaque qui ressemble beaucoup au vertige comitial quand
sais tout à l'heure d'adopter, que des équivalents ou représentants d' attaques hystéro-épileptiques ou si vous l'aimez mieux des
ntants d'attaques hystéro-épileptiques ou si vous l'aimez mieux des « attaques avortées ». Les rêves et les « étourdissements
on fait étendre la main et écarter les doigts. 1, Paul Richer. De l' attaque hystéro-épileptique, 2e édition, p. 22. Ainsi q
vers lui venant du côté gauche. Il est vraisemblable que la grande attaque qui a inauguré le début des phénomènes hystériq
ttaque qui a inauguré le début des phénomènes hystériques a été une attaque de sommeil, ou apoplectiforme comme vous voudrez
me comme vous voudrez l'appeler ; aujourd'hui il n'y a pas de grandes attaques convulsives mais celles-ci sont suffisamment repr
du côté gauche, c'est-à-dire du côté où les membres sont paralysés, ( attaque hystéro-épileptique à forme d'épilepsie partielle
TERNEL Mère Oncle maternel Très emportée, mais Très colère. pas d' attaques de nerfs. Mort par cancer de l'utérus. Un Frère
ls, mêmes hémiplégies motrices avec spasmes glosso-labiés etc, etc. L' attaque est représentée trois fois sur quatre. Sous tou
stigmates hystériques «tifs et sensoriels paralysies hystériques attaques ou équivalentes d'attaques rêves époque du
et sensoriels paralysies hystériques attaques ou équivalentes d' attaques rêves époque du début des accidents nerveux
à droite, bouche tirée à gauche et en haut, spasme de l'œil gauche. Attaques apoplec-tiformes (de sommeil), aura et vertiges.
ccusés ; certes il ne les produit pas, je m'en porte garant, dans les attaques délirantes ou convulsives de l'hystérie. La mor
ne cause provocatrice et non pas créatrice, déterminer l'apparition d' attaques d'hystéro-épilepsie qui, jusque-là, n'avaient poi
mbulants sont en général, dans ces cas là, précédés et suivis par une attaque d'hystérie convulsive. Cela n'est point nécessair
voit une femme de trente ans, après avoir éprouvé pendant la nuit une attaque hystérique convulsive, se lever, s'habiller, fair
monte tranquillement se coucher: à peine au lit survient une nouvelle attaque d'hystérie. Au réveil aucun souvenir de ce qui s'
res. Une autre fois cette même malade, après avoir éprouvé encore une attaque d'hystérie cette fois suivie d'extase, se lève, s
la plus grande analogie avec ce que, dans la description delà grande attaque hystero-épileptique, nous avons appelé « la pério
pelé « la période des attitudes passionnelles » (troisième phase de l' attaque régulière). Et même, la ressemblance sur les poin
rquable également, c'est que, dans la série classique des phases de l' attaque , le somnambulisme hystérique, quand il ne se mont
ne vois vraiment rien d'essentiel à y ajouter (1). 2° Les crises ou attaques typiques, — nous ne nous occupons que de celles-l
tic, destinée à être placée sous les yeux des médecins au moment de l' attaque afin de leur épargner les tâtonnements. Je ne sai
éant, d'un précieux secours, dans une circonstance difficile. Pas d' attaques , pas de représentants d'attaques,pas de poinlshys
une circonstance difficile. Pas d'attaques, pas de représentants d' attaques ,pas de poinlshystérogènes. Pour ce qui est de l
rsqu'il reprit ses sens, il pleura abondamment et la crise cessa. Ces attaques avec perte de connaissance n'ont pas reparu depui
fréquemment, il éclate en sanglots. Une fois se produit une véritable attaque de nerfs précédée d'aura et accompagnée de perte
par une sorte d'analyse ou de dissection, comme vous voudrez dire, n' attaque et ne compromet que ceux des mouvements de ces me
s allez le voir, l'un comme l'autre les marques non méconnaissables : attaques et stigmates permanents. Où l'hystérie va-t-elle
mes pas encore tout à fait renseignés sur la forme que présentent les attaques convulsives qui se reproduisent chez lui de temps
té à quelques-unes d'entre elles ce qu'on a observé généralement. Ces attaques se sont régulièrement produites toutes vers quatr
être considérés comme représentant une anomalie prévue et classée des attaques hystéro-épileptiques, consistant en ce que la pér
en elles-mêmes et indépendamment des circonstances concomitantes, ces attaques ainsi réduites à la phase épileptoïde, ne sauraie
res accès qui rappellent exactement cette fois l'image classique de l' attaque épileptique, à savoir : apparition plutôt la nuit
ce puissante de cet agent provocateur, l'hystérie apparaît avec les attaques et les stigmates qui lui sont propres, puis aussi
à s'affaiblir considérablement et, en même temps, sont survenues des attaques qui n'ont pas cessé depuis de se reproduire de te
moment où se produit spontanément la sensation d'aura qui précède les attaques convulsives. La première de ces attaques s'est
ion d'aura qui précède les attaques convulsives. La première de ces attaques s'est produite en juin 1888, sans cause occasionn
re depuis, de temps à autre,assez fréquemment. Ce sont, en somme, des attaques classiques précédées d'une aura qui part tantôt d
plus de huit à dix minutes en tout. Une fois, à la suite d'une de ses attaques , le malade a été frappé d'une hémiplégie gauche i
rement parler, de récidives à craindre; c'est une maladie qui ne nous attaque qu'une fois dans la vie. On comprend d'ailleurs q
re personnelle. Il avait 7 ans à peine lorsqu'il commença à avoir des attaques qui déjà présentaient les caractères très signifi
uit qu'elles survenaient vers deux ou trois heures du matin. Dans ces attaques , qui ne laissaient d'ailleurs dans l'esprit du ma
de l'urée. Un homme urine, par exemple, 25 grammes d'urée; après une attaque on en trouve 30 ou 35 grammes : il y a donc une é
l, fournit 35 grammes d'urée et 2 grammes de phosphate, le jour d'une attaque . Il est donc épileptique et voilà dûment consta
pilepsie, et nous le savons bien, comme phénomène transitoire après l' attaque . 11 peut même se rencontrer à l'état permanent da
me temps nous avons trouvé chez ceux-là des points hys-térogènes, des attaques d'hystéro-épilepsie ou des équivalents de ces att
térogènes, des attaques d'hystéro-épilepsie ou des équivalents de ces attaques ; par conséquent, il s'agissait là d'une combinais
ns pas seulement les stigmates de l'hystérie, nous en avons aussi les attaques . Je vous ai montré qu'il était insensible partout
t; j'ai des bruits d'oreilles. » Si on insistait on lui donnerait une attaque . Mais quelle attaque lui donnerait-t-on? Assuréme
oreilles. » Si on insistait on lui donnerait une attaque. Mais quelle attaque lui donnerait-t-on? Assurément pas une attaque d'
e attaque. Mais quelle attaque lui donnerait-t-on? Assurément pas une attaque d'épilepsie. En résumé, nous avons ici des stigma
ression détermine la production de l'aura. Ce malade n'aurait point d' attaques convulsives que cela nous suffirait, remarquez-le
s que son épilepsie; il a de l'hystérie. Mais il a, je le répète, des attaques d'hystérie qui surviennent spontanément et de ces
épète, des attaques d'hystérie qui surviennent spontanément et de ces attaques voici la description : C'est au sortir de sa fi
fait dans ses crises de nuit. Ce sont bien là, si je ne m'abuse, des attaques d'hystérie. Il y a encore un autre caractère qui
te suivant moi, dans la forme, comme d'ailleurs dans le fond, entre l' attaque d'épilepsie et l'attaque d'hystéro-épilepsie. M
orme, comme d'ailleurs dans le fond, entre l'attaque d'épilepsie et l' attaque d'hystéro-épilepsie. Mon respect pour la tradit
ion du terme au pied de la lettre. A ses crises de jour, qui sont des attaques de grande hystérie, l'épilepsie, le mal comitial,
emps et c'est fini. Voilà l'accès d'épilepsie dans sa simplicité. L' attaque d'hystéro-épilepsie n'est pas faite comme cela. J
on de photographies instantanées représentant un homme en proie à une attaque d'hystéro-épilepsie. (1). L'auteur est un chiru
fut là, pense-t-on, la cause occasionnelle de sa maladie. Il tombe en attaque ; on le transporte au lazaret; les médecins étudi
Dans la première phase le sujet a les yeux fixes, c'est l'aura ; l' attaque va commencer. Que se passe-t-il? Il a malà la têt
ent violemment par des cris, ou bien en comprimant certaines zones, l' attaque s'arrête, tandis qu'on n'arrête jamais l'accès
il menace du poing, prend l'attitude du crucifiement, etc. Bientôt, l' attaque se termine, et, après un moment de calme, il s'en
tueraient une véritable découverte. La phase épileptoïde de la grande attaque d'hystérie est si bien une simple appa- i ren
u l'occasion de faire l'analyse des urines de notre homme lors de ses attaques hystéro-épileptiques, mais nous avons ici depuis
pas agi ici, tout simplement, d'une syncope émotive, ou encore d'une attaque hystérique de même origine, cela est rendu fort v
érogène ; aura suivie de perte de connaissance, de crises de larmes ; attaques incomplètes mais très suffisamment formulées cepe
, que se seront manifestés les stigmates sensitifs et sensoriels, les attaques précédées à'aura spéciale, et autres marques révé
ves, débutant par la main droite et suivies de perte de connaissance ( attaques hystériques à forme d'épilepsie partielle). La
8 jours, il a du rester à la chambre. A partir de cette époque, des attaques analogues se sont reproduites, une fois tous les
tion isolée, sans concomitance de stigmates sensitivo-sensoriels ou d' attaques (1). Il n'en est pas ainsi chez notre homme; chez
s (1). Il n'en est pas ainsi chez notre homme; chez lui, d'abord, les attaques avec aura caractéristiques sont chose vulgaire et
se, tandis que la coexistence des stigmates sensitivo-sensoriels ou d' attaques caractéristiques contribuerait à démasquer l'orig
et il n'y a rien dans l'histoire classique du cas qui ressemble à des attaques . — Pas d'anesthésie pharyngée, le goût, l'odorat,
rétrécissement du champ visuel, de parésie, rien enfin qui rappelle l' attaque hystérique sous une forme quelconque. Il faut dir
ées par des rêves pénibles et il était devenu fréquemment sujet à des attaques de vertiges. Cette fois la sensibilité des part
trouvé sa main droite de nouveau paralysée, comme lors de la première attaque , mais cette fois, dès l'origine elle était gonflé
r dans notre nouveau diagnostic. Sans doute, notre malade n'a point d' attaques , point d'attaques régulières, au moins, car ses «
au diagnostic. Sans doute, notre malade n'a point d'attaques, point d' attaques régulières, au moins, car ses « accès de vertiges
, pourraient être considérés à la rigueur comme des « représentants d' attaques ». Mais, par contre, dans la catégorie des stigma
firmé de la façon la plus éclatante. Le 23 juillet,est survenue une attaque classique,précédée par l'aura vulgaire et dans la
s mouvements, et enfin une phase de délire avec hallucinations. — Les attaques de même caractère se sont reproduites depuis lors
est déterminée sous l'influence des moindres émotions. Quelquefois,l' attaque reste à l'état rudimentaire et l'on peut reconnaî
re chose que des crises convulsives avortées. En même temps que les attaques ont paru, il s'est manifesté dans les deux flancs
e pression exercés sur ces plaques font apparaître les prodromes de l' attaque et parfois l'attaque elle-même. Il existe un ré
r ces plaques font apparaître les prodromes de l'attaque et parfois l' attaque elle-même. Il existe un rétrécissement double d
ît de temps à autre rapidement, le plus généralement à la suite d'une attaque . Il en est de même de laparalysie des mouvements.
les premiers jours de novembre, il eut ce qu'il appelle sa première « attaque de nerfs ». Un jour, vers 6 heures du soir, éta
ris, la voisine est une hystérique qui a de temps en temps de grandes attaques , et qui « lorsqu'elle sent qu'elle va avoir sa cr
pelle auprès d'elle la femme du malade. Au sortir de cette première attaque , Glaw... remarqua que sa jambe et son bras droit?
Deux jours après, il eut encore vers 7 heures du soir, une seconde attaque semblable à la première et précédée commeelle des
s lors tous les troubles que présentait le malade lors de sa première attaque ont persisté sans se modifier le moins du monde,
des émotions, des efforts; cependant deux ou trois jours après chaque attaque , il acquiert une intensité telle que le malade es
es choses s'arrêtent là, et l'aura ainsi provoquée n'est pas suivie d' attaque . État mental. — Depuis l'accident dont il a été
pendant son séjour dans le service de la Clinique. Il a toujours des attaques , une ou deux par semaine en moyenne. Mais il exis
elles que la parésie, le tremblement des membres du côté droit et les attaques . Le sujet a donc été pendant un certain temps seu
able de l'ouïe et de l'odorat du même côté, une zone hystérogène, des attaques caractérisques, que faut-il de plus? Je ne vois v
oduire aux membres supérieurs la contracture artificielle; enfin, les attaques avaient complètement cessé. On pouvait donc espér
fférenee toutefois que le shock nerveux a déterminé immédiatement une attaque d'hystérie suivie de mutisme, a été publiée par M
— Tremblement de la maladie de Basedow(Tracés) . . . 233 Fig. 52. — Attaque hystérique. Attaque de contrature..... 253 Fig.
maladie de Basedow(Tracés) . . . 233 Fig. 52. — Attaque hystérique. Attaque de contrature..... 253 Fig. 53 — — Arc de cercl
..... . . . 267 Fig. 60 — — (Champ visuel)........ 268 Fig. 61. — Attaque de sommeil (Champ visuel)......... 272 Fig. 62,
4 — — (Champ visuel) . 423 Fig. 85, 86, —Hystérie mâle. Phases de l' attaque ........ 426 Fig. 87 — — — ........ 427 Fig. 8
s sa moitié latérale............. 53 QUATRIÈME LEÇON Pages. 1°. Attaque de sommeil hystérique.............. 63 2°. Amyo
. —Cas complexe : paralysie spinale infantile, paraplégie alcoolique, attaques hystéro-épileptiques ... 84 2e, 3e et 4e malades.
419. — Protopathiques, 412, 415. — Sans lésions médullaires, 413. Attaques de sommeil. (Voy. aussi Hystérie, Hystérique (som
ion ovarienne,275. — 2 Effet des excitations extérieures, 275. — et attaques , 66, 67. — et catalepsie. 70. — (Grands mouvement
— Réveil, 276. — Urines, 273. — Vibration des paupières, 273, 274. Attaques hystériques, 7. — (Antagonisme entre les) et les
sie, H8. Conception (Etat mental pendant la), 93. Contracture. — ( Attaques de), 251, 252. — Hystérique, 349, 540 sq. — Hys
, 32. Dissociation de la sensibilité, 495, 496, Dormeuses. —(Voy. attaques de sommeil), 63. Double personnalité. 327. Do
de mal, 113, 239. — Etat mental, 321. —Composition de l'urine après l' attaque , 421. — et Amnésie trau-matique, 322. — et Alcool
sement du champ visuel, 31. Epilepsie et Hystérie. — Différence des attaques , 424. — (Indépendance de F). 424. Epilepsie. —
lusion, dans F), 10. . Hysteria Major, 32. Hystérie. (Voy. aussi, Attaques de sommeil, hystérie mâle, hystéro-neurasthénie.
de l'),48,121,197. —Amau-rose,amblyopie, 164.— (Antagonisme entre les attaques et les accidents locaux), 7. — Atrophie musculair
attaques et les accidents locaux), 7. — Atrophie musculaire, 403. — ( Attaques ), 7, 195. {Voy. aussi Attaques). — Attaques de co
ux), 7. — Atrophie musculaire, 403. — (Attaques), 7, 195. {Voy. aussi Attaques ). — Attaques de contractures, 252. (Voy. Contract
ophie musculaire, 403. — (Attaques), 7, 195. {Voy. aussi Attaques). — Attaques de contractures, 252. (Voy. Contracture).— Attaqu
ussi Attaques). — Attaques de contractures, 252. (Voy. Contracture).— Attaques de sommeil. (Voy.Attaques). —Attaques transformée
ures, 252. (Voy. Contracture).— Attaques de sommeil. (Voy.Attaques). — Attaques transformées, 13. — Automatisme ambulatoire,325.—
générescence, 392, 393, 395, 399, 400. — et Epilepsie (différence des attaques ), 424. — et épi lepsie (Influence du bromure de
par fulguration 453, sq. 456, 457, 459, 460. Hystérie.— phases de l' attaque ,166. — Phénomènes laryngés, 7. — Po-lyopie mono
272, 273. Hystérie male, 36, 48,100, 419 sq. 458, 459, 522, 533. — Attaques , 425. — Blépharospasme, 262. — dans la classe ouv
, 247, 248. — (Mutisme) et aphasie, 247, 249, 250. — Nutrition dans l' attaque de sommeil, 69. — Paralysie, 521. — Paraplégie (d
— Paraplégie (diagnostic avec Fabasie), 366. — (Périodes de la grande attaque ), 33. — (Signe de Todd dans l'hémiplégie). 268. —
taque), 33. — (Signe de Todd dans l'hémiplégie). 268. — Sommeil (Voy. Attaques de sommeil). (Sommeil) et catalepsie, 70.— (Somme
hystérie mâle, hystérique, neu rasthénie), 31, 33, 51, 269, 283. — Attaques , 294, 295, 530. — Caractères, 36. — Casque, 291,
ises gastriques, 336. Laryngés (Phénomènes), hystériques, 7. — et attaques , 7. Lasègue, 24, 25. Lear (le roi), 93. Legrand
8, 475. Nu (de l'étude du) en pathologie, 20. Nutrition pendant l' attaque du sommeil, 69. Nystagmus, 164, 170. 0 Ocul
thénie. Simon, 370. Simonin, 334. Skey, 194, Skoda, 101. Sommeil ( Attaques de). — Voy. Attaques. Sommeil. — dans le tic co
Simonin, 334. Skey, 194, Skoda, 101. Sommeil (Attaques de). — Voy. Attaques . Sommeil. — dans le tic convulsif, 14. — (Influ
wyck, 449. Trousseau, 313, 321. u Urines (Examen des). — dans l' attaque de sommeil hystérique, 273. — dans la mal. de Bas
9 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
ique. Début. L'affection actuelle aurait commencé il la suite d'une attaque de rhumatisme polyarticulaire aigu, il y a quat
rmation en vinrent à empêcher le travail il la suite d'une nouvelle attaque qui dura deux mois. Cette fois, il remarqua qu'
qui paraît exister entre le début de l'affection paralytique el une attaque de rhu- matisme ; il semble de même que la succ
QUE Le gonflement du cou est un phénomène vulgaire dans la grande attaque hystérique. Par contre, il est rarement donné,
auparavant de rappeler le rôle du gonflement du cou dans la grande attaque . Il se produit au début, pendant la phase toniq
, sur des tracés que j'ai pris lors de mes recherches sur la grande attaque hystérique et dont l'un se trouve publié dans mon
le importance qu'ils impriment à eux seuls un caractère spécial à l' attaque hystérique. Une malade dont j'ai publié ailleur
e gonfle- ment du cou. Mais alors, comme les autres phénomènes de l' attaque , il est' transitoire, il ne dure que quelques i
er abord rien ne ressemblait plus au gonflement du cou de la grande attaque que celui que nous présentait notre malade. Mais,
DES FORCES ET SUR LE TREMBLEMENT CHEZ LES ÉPILEPTIQUES APRÈS LES ATTAQUES Dans une note antérieure' j'ai montré par les c
modifications de la force musculaire et le tremblement consécutif aux attaques déterminent chez les épilepliques des modificat
uvements anormaux comparativement à l'état normal et à la suite des attaques , àl'aided'un tambour myographique appliqué sur
s du même muscle chez le même malade deux et trois heures après une attaque d'épilepsie; on voit qu'il reste encore après t
dans son côté gauche hémiplégique, tremblement bientôt suivi d'une attaque épileptique avec perte de connaissance si l'effor
flement douloureux des deux genoux, il semble bien s'être agi d'une attaque de rhumatisme. - Celte femme attribue son état ac
de quarante-huit ans. - De quarante à quarante-huit ans fréquentes attaques de migraine. Avec l'apparition de la ménopause
» Quelle meilleure description pourrait-on donner aujourd'hui de l' attaque d'hystérie ? Aussi les commissaires rejetèrent-
des deux côtés, surtout à gauche. La malade dit n'avoir jamais eu d' attaques de nerfs autrefois. En juin, même état : tantôt
y a souvent des mouvements spasmodiques, convulsifs, arrivant par attaques . Puis vient un stade d'excitation, qui peut cep
les rires explosifs, le mu- tisme, la résistance systématique, une attaque de raideurs, l'état cata- leptoïde, et du côté
ulsions au moment de la première dentition. A 7 ans il a une grande attaque convulsive géné- ralisée avec perle de connaiss
vingt-quatre ou quarante-huit heures. Le 1er mars 188G, il a eu une attaque très violente qui l'a laissé trois ou quatre jo
fois ces paroxysmes convulsifs débutent par un cri. Quelquefois les attaques ou les vertiges sont annoncés par une violente
vé plu- sieurs fois de se déshabiller dans la rue à la suite de ses attaques ou de ses vertiges. Ce malade est sujet à se
bien portant, qui a eu des douleurs rhumatismales. Une soeur a des attaques d'hystérie. Antécédents personnels. Rougeole da
tats que la suggestion dans le petit hypnotisme. A la suite d'une attaque survenue dans le mois de novembre 1887, l'oeil
urs, celui-ci reste ainsi fixé en extension. - Elle a une ou deux attaques d'hystérie par semaine : elle a eu la première à
le a eu la première à l'hôpital Beaujon, au mois de juillet 1887. L' attaque dure en moyenne quinze à vingt minutes; elle es
ibilité. Ce jour-là, à six heures et quarl du soir, la malade a une attaque d'hystérie qui dure environ une demi-heure. Après
emaine en moyenne, vers cinq ou six heures du soir, la malade a une attaque convulsive : alors, immédiatement après l'attaque
, la malade a une attaque convulsive : alors, immédiatement après l' attaque , l'aphonie el le blépharospasme reparaissent, a
s deux yeux réagissent normalement. , Ce même jour, la malade a une attaque à cinq heures du soir : après l'attaque, l'apho
même jour, la malade a une attaque à cinq heures du soir : après l' attaque , l'aphonie elle blépharospasme ont reparu. Le 2
lle blépharospasme ont reparu. Le 27 décembre 1887, la malade a une attaque convulsive à six heures du soir avec grands mou
du soir avec grands mouvements et très vive agitation. Après cette attaque , elle se plaint de ressentir des douleurs dans
e se reproduisent pas le môme jour (à moins que la malade n'ait une attaque ), et ne reparaissent que le lendemain matin au ré
s que l'état de la sensibilité. La malade a toujours en moyenne une attaque convulsive par semaine. Le 10 mars, à quatre he
n 1888. Ils dispa- raissaient subitement et revenaient sous forme d' attaques . On peut dire néanmoins que la malade n'en a ja
gauche a été animé de mouvements involon- taires, en l'absence des attaques de chorée rlythmée. Celle-ci existait, pour ain
e 23 novembre '1 888, M. Charcot la présente à ses auditeurs pour une attaque de sommeil hystérique avec raideur qui dure dep
ne qu'elle porte dans le flanc gauche, elle \ oit revenir après une attaque convulsive le blépharospasme qui l'avait quittée
ur, le blépharospasme a disparu comme il était né, à la-suite d'une attaque , et avec lui s'en est allée l'anesthé- sie qui
uatrième enfant est une fille, qui a eu dans son enfance quel- ques attaques convulsives; elle a toujours été nerveuse. Mariée
bligé d'inciser les gencives, et c'est à ce moment qu'il eut quelques attaques convulsives. Le malade était alors âgé de 16 mo
tendant qu'il inonderait Ivry. Le 2 septembre, il a eu une nouvelle attaque apoplectiforme qui l'a laissé hémiplégique du c
lui. La parole est revenue encore plus altérée qu'après la première attaque . Depuis, ces at- taques apoplectiformcs se sont
l est à peu près complètement para- lysé de la main droite depuis l' attaque du 6 janvier 1888. État actuel (28 février). -
lus minutieux, mais on a appris qu'il avait succombé à une nouvelle attaque apoplectiforme quelques jours après sa visite.
l lui reste une fille' âgée de seize ans et demi qui a eu plusieurs attaques d'hystérie entre 8 et. 12 ans. Et c'est tout.
service de M. Charcot, le 27 mai 1882. Jusqu'au 18 juin, elle a des attaques caractérisées par des cris très aigus et quelqu
il droite (côlé du spasme). A plusieurs reprises, elle a les mêmes attaques . Dans le mois de juillet, le 22, les attaques c
ses, elle a les mêmes attaques. Dans le mois de juillet, le 22, les attaques coïncident avec les règles. Le 1` avril, la mal
sparaît au bout d'une dizaine de jours. Aujourd'hui 29 juillet, les attaques sont plus fortes. La malade fait de grands mouv
s mouvcmenls pendant une minute à une minute et demie. Entre chaque attaque , la malade reprend connaissance. La compression d
e reprend connaissance. La compression de l'ovaire droit arrête les attaques mais non les cris. Le spasme n'a pas reparu.
avons déjà parlé, avait été spontanément atteinte, à la suite d'une attaque , d'un spasme de la face analogue à celui d'Alex
roite, est prise à huit heures et demie du soir des prodrômes d'une attaque : battements dans les tempes, boule, bourdonnemen
mpes, boule, bourdonnements d'oreilles, etc. A dix heures et demie, attaque de grande hystérie qui dure deux heures. SUPE
ever par suggestion le spasme qui s'est développé à la suite de son attaque . A son réveil, nous pouvons con- stater que le
pendant son enfance; fièvre typhoïde a 14 ans. A 12 ans, début des attaques d'hystérie, à 13ans début des accès d'épilepsie n
gauche; goût complètement aboli des deux côtés depuis le début des attaques d'hystérie. Dans la nuit du 10 au 17 juin 1888
un état de mal hystérique pré- sentant ceci de particulier que les attaques sont uniquement représentées par une phase d'ép
impossible, dans le but de la tirer de cet état, de déterminer une attaque complète (ordinai- rement présentée par la mala
es du soir, la malade semblant moins absorbée, nous déterminons une attaque complète avec un arc de cercle, altitudes passi
située au niveau de l'angle de l'omoplate. Puis nous arrêtons celle attaque par la pression de l'ovaire gauche et l'inhalat
gauche et l'inhalation de 60 grammes d'éther. Elle sort de cette attaque avec une hémiplégie droite, flasque, accompagnée
permanente très marquée. Nous explorons la sensibilité aussitôt l' attaque arrêtée et l'hémiplégie constatée : tout le cor
gual persiste avec anesthésie tolale de la langue. Le 31 juillet, attaque hystéro-épileptique qui dure de 8 heures à 9 heur
i dure de 8 heures à 9 heures et demie du matin; au sortir de celle attaque nous l'examinons et constatons chez elle un spa
e disparaître. Jusqu'au mois de décembre, Bl... est sujette à des attaques hystéro-épilep- tiques; il plusieurs reprises i
0 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Le 20 décembre, nouvelle attaque : au sortir de celle-ci, la malade est toute ét
a toujours présenté ces derniers phénomènes depuis le début de ses attaques d'hystérie. L'observation VII est intéressante
plongée dans cet état d'excita- tion assez souvent prémonitoire des attaques . Pendant la période somnam- bulique, tant par s
zone anesthésique. Le 18 avril, mêmes phénomènes survenus après une attaque ; outre la zone d'anesthésie gauche, il s'est fa
eu de crises, et mal- heureusement, pour beaucoup de médecins, les attaques sont encore le critérium de l'hystérie. Pour
ieu du repos se lève, sort vivement dans la cour et ne prévient son attaque que s'il urine; En 1888, nous trouvons 38 accès
exécuter des mouvements d'oscillation d'avant en arrière comme dans l' attaque d'hystérie. On peut arrêter l'attaque en pressa
avant en arrière comme dans l'attaque d'hystérie. On peut arrêter l' attaque en pressant le nerf sous-orbitaire. Pas de pert
térieurement d'autres de même nature. « Le 1" novembre '1730, une attaque d'apoplexie, lui ôtant en un moment l'usage de
jours après, revenant de l'Hôtel-Dieu où elle avait eu sa première attaque , et passant sous le petit Châtelet, elle est sais
t à marcher ne fût encore beaucoup plus grande qu'après la première attaque ... En effet, après quelque temps la maladie emp
donc que plus inté- ressants. Le 'lor novembre 1730 survient une attaque d'apoplexie non suivie de paralysie, qui laisse
ie, qui laisse la parole embarrassée; huit jours plus tard nouvelle attaque cette fois accompagnée de « mouvements convulsifs
faisoient grande pitié à ceux qui la re- gardoient ». En résumé, attaque convulsive violente, suivie d'une hémiplégie ga
pt soeurs : 1 morte de méningite en bas âge; 1 hystérique à grandes attaques et hypnotisable, a séjourné dans le service de la
rvice de la Clinique pendant 2 ans, en 1879 et 1880; 1 hystérique à attaques . Antécédents personnels. ' Santé bonne avant le
profondément (tristesse, crises de larmes, etc.) il eut sa première attaque d'hystéro- épilepsie. Depuis lors, il a eu un
hystéro- épilepsie. Depuis lors, il a eu un grand nombre d'autres attaques revenant à inter- valles variables, tantôt spon
spontanément, tantôt à la suite de contrariétés'. En 1887, deuxième attaque de contracture généralisée semblable à la premi
blement de la jambe et du bras droits. Ce tremblement succédait aux attaques et durait un jour, quelquefois plus; il était i
endant un peu sur la région atte- nante de la paroi abdominale. Des attaques d'hystéro-épilepsie bien carac- térisées. Ces a
ominale. Des attaques d'hystéro-épilepsie bien carac- térisées. Ces attaques qu'elles surviennent spontanément ou qu'elles soi
connaissance. L'aura est souvent de durée très courte, très rapide. Attaque . - Elle est constituée parles périodes suivantes
te, cause avec une de ses maîtresses, l'appelle, etc., après quoi l' attaque recom- mence soit par la phase épileptoïde, soi
nt la convalescence de la fièvre typhoïde : sensation de boule sans attaques . Depuis, jusqu'en 1887, même sensation avant le
e est tirée en haut et en dehors; pas de perte de connaissance. Ces attaques frustes d'hystérie à forme d'épilepsie partielle
'en prend pas seulement à presque toutes les parties internes; elle attaque aussi quelquefois les parties externes et les m
e malade se couche et tout à coup il tombe pour la première fois en attaque . Il en a une série de dix ou douze consécutives
LA SALPÊTRIÈRE. durant lanuit. Lesoir àseptheurcs, nouvelle série d' attaques comme la veille. Nuit très calme; bon sommeil.
ir,P... tombe en a ! laques. Nous arrivons il la fin de la première attaque . Le malade qui est dans le décubitus dorsal en es
u'est-ce que c'est que ça ? Enfin il ne m'a rien fait. » Deuxième attaque . Phase épileptoïde; grands mouvements, arc de c
.. ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L'11YST$IiIE. 273 Troisième attaque . - ...« Alors je suis resté quatre mois bien tran
dans c'te cambuse. (Ici, mouvements répétés de déglution, ébauche d' attaque , efforts respiratoires, les membres se raidissent
d'attaque, efforts respiratoires, les membres se raidissent, mais l' attaque s'arrête là, et le délire reprend.) « Ouvre la
e choix ici. Il y en a quelques-uns qui sont enragés... » Quatrième attaque . « ...Ah oui ! mais je ne sais pas ce que je vais
lilz... voir si la Seine n'a pas changé de courant... » Ebauche d' attaque . - Le délire change d'objet, ce qui suit a été dé
isait allusion dans la circonstance à Cah... (Obs. 1) qui, pris d'une attaque d'hystérie, sur la place de la Bastille, avait
ais élé lv ! ... on aurait dû lui brûler la paillasse ! » Cinquième attaque . - Le délire recommençait, nous avons réveillé le
i puis il s'est endormi paisiblement. 4 août. - Depuis P... a des attaques à peu près tout les deux ou trois jours, le soi
nette, pseudo-ovarienne. La pression de ces zones n'airétc pas les attaques , mais elle les provoque toujours. Cette obser
frère très nerveux, qui a eu les fièvres au Sénégal, et aurait des attaques d'épilcpsic depuis la mort de la mère survenue
insi qu'il suit : Cas I. Femme de quarante-trois ans, hystérique il attaques , hémiplégie gauche avec hémianesthésie, conserv
s de degré Fahrenheit. Cas III. Femme vingt-six ans, hystérique à attaques , hémiparésie et hémi- anesthésie gauche. OEdème
prolongée; il siégeait quelquefois au bras gauche et à la main. Les attaques le ramenaient plus considérable. La pression pro-
etc. Il pcut apparaître ou disparaître brusquement à lasuite d'une attaque ; en deux heures le membre qui en était indemne
des hôpitaux. CONSIDÉRATIONS SUR LA COURBE DES EXCRÉTIONS DANS L ATTAQUE DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE - 1 Dans un travail pub
blié en 1888 nous nous efforcions de tracer l'histoire clinique des attaques de sommeil hystérique. Les faits que nous avons
prises par M. Charcot à ses auditeurs des-Leçons du Mardi et dont l' attaque offrait cer- taines particularités. La plus imp
cularités. La plus importante consistait en ce que, bien souvent, l' attaque de sommeil avait lieu sans aura : la malade tomba
onnait ses soins, était alors plongée 1. Gilles de la Tourette. Des attaques de sommeil hystérique. Archives de neurologie,
NOGRAPHIE T. II PL. XLIV. CLICHÉ A. LONDK PHOTOTYPIE HiRTHAUD ATTAQUE DE SOMMEIL HYSTERIQUE (état normal) LIi.CROSN
ROSNI8 ET ¡¡¡ADÉ, ÉDITIiIUJI NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. II PL. XLV. ATTAQUE DE SOMMEIL HYSTERIQUE . / CONSIDÉRATIONS SU
DE LA SALPêTRIèRE. excrétions, de la nutrition en un mot, pendant l' attaque de sommeil hystérique. Quelques analyses entr
te communication, nous en tenant exclusivement à ce qui regarde l' attaque et les états de mal. Nos malades, hommes et fem
es stigmates permanents, présentent la série des accidents variés : attaques , états de mal, vomissements, etc., constituant
ous avons plus particulière- ment étudiés sont, en ce qui regarde l' attaque : 1° l'attaque convulsive aux quatre périodes;
particulière- ment étudiés sont, en ce qui regarde l'attaque : 1° l' attaque convulsive aux quatre périodes; 2° l'attaque bo
garde l'attaque : 1° l'attaque convulsive aux quatre périodes; 2° l' attaque bornée à l'une de ces périodes ou avec prédomin
nance de cette période : forme épileptoïde, léthargique, etc.; 3° l' attaque à forme d'épilepsie partielle; 4° les attaques de
thargique, etc.; 3° l'attaque à forme d'épilepsie partielle; 4° les attaques de chorée rhythmée, toux, bâillements, etc. D
comprenant la période des vingt-quatre heures à dater du début de l' attaque nous ont permis de conclure : CONSIDÉRATIONS
ure : CONSIDÉRATIONS SUR LA COURBE DES EXCRÉTIONS. 293 Que dans l' attaque d'hystérie convulsive et dans toutes les variétés
dans l'attaque d'hystérie convulsive et dans toutes les variétés d' attaques que nous venons d'énumérer il y avait : 1° diminu
hates terreux et alcalins étant normalement comme 1 est à 3, dans l' attaque d'hystérie ce rapport devient toujours comme 1 es
t le plus souvent diminué; toutefois la première miction qui suit l' attaque est généralement plus considérable qu'une miction
e vue chimique, l'état de mal hystérique n'était autre chose qu'une attaque d'hystérie prolongée avec accen- tuation des ph
I Nos expériences, en ce qui regarde l'état de mal léthargique ou attaque de sommeil, ont porté sur G malades donnant un to
ntéressant de donner tout d'abord l'analyse d'un état de mal, d'une attaque de sommeil n'ayant pas dépassé la période de 24
TIONS. 29 Si l'on veut bien considérer le tableau A, on verra que l' attaque de sommeil bornée à la période de 24 heures se
eures se comporte exactement, au point de vue biologique, comme une attaque convulsive ordinaire. Elle se juge par l'abaiss
n 1 gr. 74, donnant la proportion normale de 48 à 100. Le jour de l' attaque de sommeil elle excrète 550 centimètres cubes d
sant au suprême degré l'inversion de la formule des phosphates. L' attaque de sommeil hystérique, comprenant la période de
es, est donc entièrement assimilable, au point de vue chimique, à l' attaque convulsive ordinaire. TABLEAU B. - ÉTAT DE MAL
t-Den., âgée de 15 ans 9 ? pesant 37 kil. 760 le jour du début de l' attaque de sommeil, les analyses donnent : urine 750 ce
rieur. La malade, qui sort le 25 au soir de son état de mal par une attaque convulsive, a maigri de 810 grammes, car elle n
RATIONS SUR LA COURBE DES EXCRÉTIONS. 297 « Les jours qui suivent l' attaque (précédente) la malade ne vomit presque plus et
s, c'est-à-dire il y a juste 5 jours, que s'est déclarée la seconde attaque , celle dont j'ai tenu à vous rendre témoins auj
l'élude de six cas de sommeil hystérique que, pendant la durée de l' attaque , le poids du corps diminue rapidement en même t
un des épisodes les plus vulgaires de la seconde phase de la grande attaque hystéro-épileptique; tandis que, d'un autre côt
ue : c'est savoir qu'il n'y faut pas voir autre chose qu'une grande attaque ou mieux qu'une série de grandes attaques modif
autre chose qu'une grande attaque ou mieux qu'une série de grandes attaques modifiées dans leur forme extérieure. « Les int
rps, la diminution de l'urine et l'abaissement du taux de l'urée, l' attaque de sommeil reproduit en tous points ce qui a lieu
de sommeil reproduit en tous points ce qui a lieu dans les séries d' attaques hystéro-épileptiques. » M. Charcot réveille alo
e située au niveau de l'ovaire gauche, pression qui déter- mine une attaque convulsive. Le soir, la malade est pesée et donne
par jour, car elle pesait 39 kil. le 31 janvier, jour du début de l' attaque . Pendant cette période, elle a excrété en moyenne
ont également intéressants à noter. Le jour du réveil, 5 février, l' attaque convulsive est très nette- ment indiquée par le
°8. L'alimentation toujours artifi- cielle fut variable suivant les attaques ; dans un même état de mal il existait des série
s traits pointillés indiquent les période> d'état normal avant l' attaque . Les traits supérieurs sont relatifs au volume, l
qui a 'duré treize jours ; et le 37 mars, au début d'une nouvelle attaque elle pèse 5 kilogrammes. Outre ces considératio
ts pointillés indiquent les périodes d'état normal avant et après l' attaque ). , 302 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
mple, on peut voir quelquefois, la veille ou le jour du réveil, les attaques diminuer de nombre et les intervalles de calme
état de mal hystérique, quelle que forme qu'il revête, n'est qu'une attaque d'hystérie prolongée dont il présente tous les ca
édecine, 1886, il* vi, p. 517. - Coustan. Un cas d'hystérie mâle sans attaques . Arch. de méd. et de pharm. militaires, novembr
commentaires du cas suivant, nous ferons uniquement remarquer que l' attaque convulsive chez le grenadier observé par les Dr
3"U NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE.. phases à la grande attaque hystérique décrite par M. Charcot chez ses pens
térie chez l'homme étant généralement assez rare, surtout la grande attaque hystérique, nous croyons devoir publier le cas su
l'in- térêt de cette observation c'est qu'on put tirer pendant une attaque qui dura 13 minutes une série d'épreuves instan
e d'épreuves instantanées qui donnent l'image parfaite de la grande attaque hystérique classique. Ces épreuves seront publi
un soldat consciencieux et faisant bien son devoir. Le 4 mars 1888, attaque brusque et violente, sans que rien l'eût fait pré
a à la caserne, et ce fut immédiatement après qu'il eut sa première attaque . Yoici quelétaitsonétatle 4 mars-1888,jour où o
res à lalangue.Apeinele malade est-il dans son lit que survient une attaque violente durant 4 minutes; plusieurs autres att
ue survient une attaque violente durant 4 minutes; plusieurs autres attaques se succédèrent dans le courantde la journée. Du
le courantde la journée. Du 5 au 7 mars, il eut en moyenne de 6 à 9 attaques par jour, de durée et d'intensité variables, puis
ù il n'en eut pas). A mesure qu'elles diminuaient de fréquence, les attaques augmentaient d'intensité et de durée et présent
té et de durée et présentaient plus nettement la forme de la grande attaque typique si admirablement décrite par Charcot et
mirablement décrite par Charcot et P. Richer. Le caractère de ces attaques rappelait, au commencement, assez fidè- lement,
uvait les provoquer et même les interrompre (du moins au début de l' attaque ) en apostrophant le malade à haute voix. Il se me
sans toutetois se rappeler rien de ce qui s'était passé pendant son attaque . Les attaques présentèrent le caractère typique d
s se rappeler rien de ce qui s'était passé pendant son attaque. Les attaques présentèrent le caractère typique de la grande
dans le cou, du côté droit. La première phase, la plus courte, de l' attaque proprement dite débute par une période de contr
également ouverts d'ordinaire et la pupille réagit bien. Toutes les attaques , spontanées ou provoquées, présentent cet aspec
ttaques, spontanées ou provoquées, présentent cet aspect typique; l' attaque entière se subdivise en une série d'attaques (3
t cet aspect typique; l'attaque entière se subdivise en une série d' attaques (3-6) séparées par un intervalledeunedemieàplusie
l'on ne fait que cha- touiller ; en appuyant plus fortement on a l' attaque . En appuyant sur les testicules on ne provoquai
a l'attaque. En appuyant sur les testicules on ne provoquait pas l' attaque maib on l'arrêtait, de même que par la compress
el testicule). L'interruption de l'accès n'était que passagère et l' attaque reprenait aussitôt de plus belle. Dans l'interv
t l'attaque reprenait aussitôt de plus belle. Dans l'intervalle des attaques les réflexes tendi- neux n'étaient pas exagérés
n du malade se base sur les, faits suivants : 1. Aspect typique des attaques . 2. Présence de zones hystérogènes. ' 3. Poss
sence de zones hystérogènes. ' 3. Possibilité d'arrêter à volonté l' attaque . 4. Diminution de la sensibilité des deux côtés
ait fai- blesse intellectuelle persistante, malgré la fréquence des attaques . La maladie eut un cours très favorable. A date
favorable. A dater du 5° jour après son admission à l'hôpital, les attaques devinrent moins nombreuses; et si le malade en
tives d'examen dont il fut l'objet. A partir de cette époque, les attaques perdirent peu à peu leur ca- ractère de netteté
itta l'hôpital le 13 juillet il 888, six semaines après sa dernière attaque , bien por- tant, robuste, ne présentant plus au
quelques injections de morphine pour agir sur le moral; dès que les attaques furent devenues moins nombreuses il fit de l'hydr
un étourdissement; s'étant mis au lit dans l'après-midi, il eut une attaque d'un quart d'heure le soir, à dix heures, penda
apte au travail et sans souvenir de son accès. Il eut une dernière attaque cinq semaines après, le 3 septembre, au matin;
Epileptiques (état des forces et tremblements chez les - après les attaques ), 5, 6, 7, 8. 9, 10, 11, 12, 13, il. Femme ma
Hystérique (atrophie musculaire - de 1, main), 72, 73, 74, 75. 76; attaque - 8 ? 86, 87, 88, 89, 90, 91 ; contracture - 59
sur l'état des forces et sur les tremblements chez les- après les attaques ), par Féré, 38 ; (note'sur une ano- malie muscu
8. Hystérique (considérations sur la courbe des excrétions dans l' attaque de sommeil -), ), par Gilles de la Tourette et
10 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
c perte de la sensibilité du même côté. Quelques semaines avant cette attaque , il avait éprouvé dans le globe de 1. Bock. — U
ntes ; ces douleurs s'exagèrent rapidement et à un haut degré après l' attaque apoplectique. Dans le môme temps, la conjonctive
racture, commencèrent à diminuer de volume, deux mois à peine après l' attaque L'atrophie musculaire était uniformément répandue
ans le cas, enfin, où des tumeurs intra-crâniennes donnent lieu à des attaques apoplecfiformes. Les derniers événements m'ont fo
e, se manifeste habi-tuellement du deuxième au quatrième jour après l' attaque , ra-rement plus tôt, quelquefois plus tard. Il af
érature centrale au-des • sous du taux normal, constaté au début de l' attaque , à l'aide de l'exploration thermométrique, est, à
Elles se développent habituellement quinze jours ou un mois après l' attaque apoplectique, c'est-à-dire au moment de l'appari-
s de la Soc. de Biologie, 18G6 et t. IX des Œuvres compl., p. 95. l' attaque épileptique; les autres, dynamiques, ou avec préd
moelle épinière où ils peu-vent se manifester. HUITIÈME LEÇON Des attaques appoplectiformes dans la sclérose enpla-ques. — D
— Physiologie pathologique. — Etiologie. — Traitement. Sommaire. — Attaques apoplectiformes. — Leur fréquence dans la scléros
la sclérose en plaques disséminées. —Considérations générales sur les attaques apoplecti-formes dans la paralysie générale et da
ancienne hémorrhagie et ramollissement du cerveau . — Pa-thogénie des attaques apoplectiformes : insuffisance de la théorie de l
tômes : État du pouls : élévation de la température centrale. — Cas d' attaques apoplectiformes chez d'anciens hémiplégiques; — I
dans le cours de la maladie et qui, parfois, terminent la scène. Ces attaques ne se sont pas produites, jusqu'ici, chez Mlle V,
oins dans trois cas (\). L'ensemble symptomafique qui constitue les attaques en question n'appartient pas eu propre à la sclér
générale progressive. C'est même dans cette dernière maladie que les attaques congestives— ce nom sert à la dési-gner assez com
s assez variées qu'elles peuvent revêtir. Aussi la description de ces attaques dans la paralysie générale progres-sive a-t-elle
ation clinique a fait reconnaître, — je ne veux envisager ici que les attaques de quelque intensité, —peuvent être ramenées, si
ées, si je ne me trompe, à deux types fondamentaux, à savoir : 1° les attaques apoplectiformes (pseudo-apoplexy des méde-cins an
aques apoplectiformes (pseudo-apoplexy des méde-cins anglais); 2° les attaques eonvulsiees oxxépilepti formes. Les caractères de
niques des centres nerveux dans lesquelles on observe fréquemment les attaques épilepti-formcs ou apoploctiform?s, je me bornera
affections en appa-rence si disparates auxquelles se surajoutent les attaques dites congeslives. Je signalerai surtout à votre
semblable-ment, est un élément prédominant, dans la production de ces attaques . Quoi qu'il en soit. Messieurs, il s'agit là d'
des. Maintes fois, j'ai eu l'occasion de \roir succomber à la suite d' attaques , soit épilept iformes, soit apoplectilbrmes, des
e lésions propres est, anatomi-quement parlant, un trait commun à ces attaques , quelle que soit d'ailleurs la forme qu'elles aff
elle elles se rattachent, En ce qui concerne la symptomatologie des attaques apoplec-tiformes et épileptiformes, pour ne point
re, mais qui se localisent toutefois, en général, à un côté du corps ( attaques épileptiformes). D'au-tres fois,les convulsions f
attaques épileptiformes). D'au-tres fois,les convulsions font défaut [ attaques apoplectiformes). Dans les deux cas, il est fréqu
elle se dissipe elle-même, lot ou tard, sans laisser de traces. Les attaques se produisent habituellement plusieurs fois, en g
lorification qui, en règle générale, se manifestent dans le cours des attaques . Le pouls se montre toujours plus ou moins accélé
de la température centrale ont été étudiées par M. Wesfphal dans les attaques épileptiformes et apoplecfi-formes de la paralysi
de la paralysie générale progressive; je les ai retrou-vées dans les attaques qui surviennent chez les sujets atteints ^hémiplé
a se voit généralement en pareil cas. Cette femme était sujette à des attaques épileptiformes. Elle fut amenée à l'infirmerie qu
. Elle fut amenée à l'infirmerie quelques heures après le début d'une attaque plus intense que d'habitude. Le soir même de son
érébrale datant de deux ans. Cette femme avait éprouvé déjà plusieurs attaques épileptiformes, ou apoplectiformes, en général d'
es de la journée, l'évolution delà tempéra-ture centraledans un cas d' attaque apoplectiforme survenant, chez un sujet atteint d
a été rapportée par M. Zenker, fut prise vers la fin de sa vie d'une attaque apoplectiibrmeavechémiplégïedu côté droit. Or, le
aque apoplectiibrmeavechémiplégïedu côté droit. Or, le même jour de l' attaque , le pouls étant à 136, la température atteignait
u chiffre physiologique. Chez le nommé Nolle, observé par M. Léo, une attaque apoplecfiforme se déclara dans la soirée. Le lend
service par M. Joffroy, cinq heures seulement après l'invasion d'une attaque apoplecfi-forme, avec perte incomplète de la conn
ce sur les modifi-cations que subit la température du corps, dans les attaques apoplectiformes et épileptiformes de la paralysie
t d'hémorragie, soif de ramollis-sement, ou au contraire d'une simple attaque congestive. Eh bien, l'examen de la température c
onvulsifs, intenses et répétés. Or, nous venons de voir que, dans les attaques dites congestives, la tem-pérature s'élève au con
hez une de mes malades dont M. Vulpian a rapporté l'histoire (1), une attaque apoplectiformc précédée pen-dant quelques jours o
a un certain degré de faiblesse dans les membres inférieurs après une attaque de choléra. Un peu plus tard, elle eut une fièvre
psie. — Ilyperesthésie ovarienne. - Rétention d'urine. — Tympanisme.— Attaques convulsives, trismus. — Apparition de l'ischurie
, s'est développé subitement le 20 mars 1870, à la suite d'une grande attaque . Disons toutefois que, antérieu-rement, le membre
e cas des phénomènes permanents. Enfin, cette femme est sujette à des attaques spéciales, tantôt tétaniformes, tantôt épileptifo
e. Ainsi, ce matin, vous pouvez reconnaître un accident datant dune attaque survenue ii y a deux jours: c'est le trismus, con
soin, néanmoins, d'indiquer la filiation des accidents. La première attaque convulsive a éclaté en 1855. Dans quelles circons
est difficile de se débrouiller. Ce qui est plus sûr, c'est que cette attaque paraît avoir été d'une violence extrême: la malad
ébiles qui sont résultés de cet accident. A partir de cette date, les attaques ont continué à se reproduire de temps à autre, av
rise d'une hémiplégie avec flaccidité du côté gauche à la suite d'une attaque , et entre dans le service de M. Lasèguc. Admise
ses restent à peu près dans le même état, si ce n'est qu'une nouvelle attaque est suivie d'une contracture du membre supérieu
ue de la contracture hystérique (1). Dans le mois de mars 1871, une attaque donne lieu à une hémiplégie flasque du côté droit
ention d'urine, c'était en janvier. Le mois suivant, à la suite d'une attaque , nous notons des alternatives de polyurie (2 litr
térie. En janvier 1871, Marie L... eut une frayeur qui occasionna une attaque d'hystérie. En mai, faiblesse extrême, malaise, d
ermine, soit seulement les prodromes de l'atta-que hystérique, soit l' attaque complète dansun certain nombre de cas. Il en ress
lorsqu'il s'agit de lésions à développement brusque, déterminant une attaque apoplectique et portant sur l'un quelconque des p
gauche, rares dans le cordon antérieur. Cas II. — S. Jean, 55 ans. Attaque suivie d'hémiplégie, le 25 octobre 1851. Deux moi
eur et démarcher sans appui, mais en boitant.— Octobre 1855. Depuis l' attaque , anes-thésie des membres du côté gauche (face, tr
daire de la moelle. Cas III. — Fr. Hasvelka, 22 ans. Ier nov. 1852. Attaque apoplectique, hémiplé-gie à droite avec anesthési
stérie locale. De la compression ovarienne. — Son influence sur les attaques . — Manière de la pratiquer. — La compression ovar
rsistent d'une manière plus ou moins permanente dans l'intervalle des attaques convulsives chez les hystériques, et qui permette
lesmalades n"ont plus la faculté de décrire ce qu'elles éprouvent. L' attaque convulsive éclate d'ailleurs bientôt, pour peu qu
vme siècle, insiste de nouveau sur la compression de l'abdomen dans l' attaque hystérique ; elle doit être produite, suivant lui
Négrier, dans plusieurs cas pour enrayer et supprimer complètement l' attaque con-vulsive. » Mais laissons pour un instant de
ésultat était de pro-duire un amendement réel dans les tourments de l' attaque hystérique. Charcot. Œuvres complètes, r. i. 22
hémianesthé-sie, etc. ; mais elle a une action souvent décisive sur l' attaque convulsive dont elle peut diminuer l'intensité et
ents fréquents et a présenté deYachro-matopsie de l'œil gauche. Les attaques sont précédées par une aura caractéristique ; les
aire gauche et les symptômes céphaliques sont très accusés. Quant aux attaques elles-mêmes, elles se composent de trois périodes
ne contracture permanente, avec trépida-tion du membre inférieur. L' attaque s'annonce par une aura bien nette, partant de l'o
ériode des contorsions vient ensuite et est très accentuée. Souvent l' attaque se termine par des mouvements de bassin, avec con
tions cardiaques et les symptômes céphaliques. En ce qui concerne les attaques elles-mêmes, elles se divisent en trois périodes:
pression de l'ovaire détermine un arrêt, pour ainsi dire soudain de l' attaque . Elle se rend nette-ment compte de cette influenc
velle frayeur déterminée par Fig. 19. —Attitude de Ler... pendant l' attaque : période des contorsions. (Fac-similé d'un croqu
ôté gauche, et, alors, con- Fig. 20. — Attitude de Lér... pendant l' attaque : période des contorsions. (Fac-similé d'un croqu
ion, se présente uneovarie double, avec anesthésie double, etc. Les attaques , qui s'annoncent par une aura ovarique bien carac
,20 et 21.)] A ce moment de l'allaque, elle est en proie Fig. 21. — Attaque hystéro-épileptique. —Période des contorsions. (D
hésie, de Yachromatopsiefde la contacture et de Yovarie à gauche. Les attaques sont surtout tétaniformes, to-niques. Nous n'avon
lui-ci : Hémiplé-gie, chez Etch..., a débuté tout à coup, pendant une attaque . La malade, à la suite de cette attaque, est rest
buté tout à coup, pendant une attaque. La malade, à la suite de cette attaque , est restée sans connais-sance durant plusieurs j
aladie a débuté à 34 ans, après une violente secousse morale, par une attaque avec perte de connaissance. Cette attaque, selon
te secousse morale, par une attaque avec perte de connaissance. Cette attaque , selon toute vraisemblance^ a pris la forme épi-l
la brûlure qu'elle s'est faite dans cette circonstance. De nouvelles attaques , tantôt franchement hystériques, tantôt prenant q
que et que la malade reconnais-sait comme précédant la plupart de ses attaques . Ces douleurs, comme d'ailleurs le ballonnement e
e) Les choses en étaient là lorsque, en octobre 1868, survient une attaque très intense, accompagnée de convulsions et suivi
elle s'est déve-loppée tout à coup, sans transition, à la suite d'une attaque . Ce n'est pas de la sorte, vous le savez, que pro
t décisives qui permettent d'établir le diagnostic. a) Alb... a des attaques hystériques depuis l'âge de 16 ans ; — b) elle es
istant un peu dans l'exploration, on ne tarderait pas à provoquer une attaque hys-térique ; — é) la contracture des membres inf
— aphonie qui durait depuis dix mois. Le 22 mai, à 7 h. 1/4 du soir, attaque marquée surtout par de l'oppression, une contract
es troubles nerveux bizarres, niait l'existence passée des véritables attaques hystériques. Il faut bien connaître, Messieurs,
de toute influence héré-ditaire appréciable, elle eut tout à coup une attaque convulsive, avec perte de connaissance. Rares pen
ontanément^pz'/ejos/e spinale tonique), 8 octobre. A la suite d'une attaque accompagnée de délire pendant 12 heures environ,
au 25 octobre, la situation reste la même, malgré l'apparition d'une attaque hystéro-épileptique. octobre. Grises convulsive
soin de mettre en relief les principaux caractères que présentent les attaques convul-sives dont elles sont atteintes. Vous av
ous avez pu reconnaître aisément qu'il ne s'agissait pas chez elles d' attaques vulgaires, rentrant du premier coup, sans discuss
'ils revêtent, et, ce qui frappe le plus l'observateur, témoin de ces attaques , c'est de retrouver parmi les convulsions cloniqu
urface, il semble en être ainsi, puisque nous avons re-connu dans les attaques quelques-uns des traits de l'épilepsie. C'est de
bride. Quelle est donc, dans cette opinion, la signification de ces attaques dont l'existence est si nettement établie par les
par Louyer-Villermay, l'un des premiers, conviendrait à désigner ces attaques mixtes. La convulsion à forme épileptique y appar
au coin de la plus saine observation, dit que cette espèce hystérie à attaques mixtes n'est qu'une forme parliculière de l'hysté
du affecté, seraient la source de ces modifications dans la forme des attaques . La nature même de l'hystérie n'en est pas fon-ci
'admettre les catégories suivantes : A. Dans un premier groupe, les attaques hystériques et les accès d'épilepsie restent dist
révèle. De là, des contrariétés vives qui engendrent l'hystérie. Les attaques propres aux deux né-vroses étaient disjointes et
ont jamais été. Dès l'origine, le mélange s'est effectué et, dans les attaques ultérieures,les deux formes convulsives se montre
ec les résultats démon observation personnelle. a) Dès l'origine, l' attaque mixte revêt son caractère propre ; dès cet instan
développement d'un accès, se garantir, trou-ver un abri. c) Dans l' attaque convulsive, \s(0iase dite épileptique ou-vre en g
tc. (1 ) ;en même temps éclate le délire de l'accès. e) La fin de l' attaque est marquée par des sanglots, des pleurs,, des ri
Ceriainement non. Il n'est pas vrai-ment exceptionnel de voir dans l' attaque d'hystérie commune,— alors quepersonnenesongeàfai
ns toniques à carac-tère épileptiforme, particulièrementau début de l' attaque ; tous lesauteurssont d'accord sur cepoint.Ces con
ntuées, que M. Briquet, a été, parla, con-duit à établir, à côté de l' attaque cloniqueou classique, une sorte d'attaque dans la
duit à établir, à côté de l'attaque cloniqueou classique, une sorte d' attaque dans laquelle prédomine uneraideur semi-tétanique
t le vertige épileptiqueàam les descriptions de l'hystéro-épilepsie à attaques mixtes. Nous pourrions ajouter encore, car il y a
mportante distinction, que dans cette forme de l'hystéro-épilepsie, l' attaque épileptiforme, même la plus in-tense, est, d'aprè
sommes assurés maintes fois — dans l'épilepsie vraie (1). Dans les attaque mixtes, alors même que leur retour est très fréqu
nubilation de l'intelligence et la clémence ne sont l'aboutissant des attaques , contrairement à ce qui aurait lieu, d'une manièr
es des hystériques diffèrent en quoi que ce soit des convulsions de l' attaque épileptique. L'attaque hystérique toni-nique, pou
èrent en quoi que ce soit des convulsions de l'attaque épileptique. L' attaque hystérique toni-nique, pour peu qu'elle ait quelq
l'état de mal épileptique, on l'observe encore, par exemple, dans les attaques dites c(mgestive$,apoplectiformes ouépilep-tiform
rprétation peu conforme à la réalité (i). On l'observe aussi dans les attaques fort analogues aux précédentes qui peu-vent surve
enir dans le cours de la sclérose en plaques (2), et,en-fin, dans les attaques , avec ou sans convulsions,qui s'observent dans le
oc, cit. 2. Voyez la LeçoN VIII, p. 249. Lemps de repos, puis les attaques ontrepris comme de plus belle, sans le moindre re
d'une manière approximative, évaluer sans exagération le chiffre des attaques épileptiformes qu'elle a éprouvées à cette époque
taires d'urine ou de matières fécales; dans les courts répits que ses attaques lui laissaient, la malade se levait pour satisfai
sive, terminée par la mort. A la vérité, ce sont presque toujours des attaques d'un genre particulier, des attaques dyspnéiques,
té, ce sont presque toujours des attaques d'un genre particulier, des attaques dyspnéiques, qui amènent ce triste résultat (1) ;
néiques, qui amènent ce triste résultat (1) ; mais, je le répète, les attaques convulsives 1 Briquet, lac. cit., [. 283 et 538
er-manente dans l'hémianesthésie de cause organique. — Caractères des attaques convulsives. — Action de la compression ovarienne
née sous l'influence de la compression ovarienne. — Relation avec les attaques . — Cas de Trousseau, Briquet, Murchisson, etc. —
iveau de ce point douloureux que la sensation d'aura prémonitoire des attaques semble prendre origine pour remonter vers l'épiga
G... la contracture des membres lorsqu'elle se produit à la suite des attaques , et vous avez pu remarquer que ce sont aussi les
. Telle est la série des phénomènes qui, constamment, dans toutes les attaques , et dans les attaques subintrantes dont l'enchaîn
es phénomènes qui, constamment, dans toutes les attaques, et dans les attaques subintrantes dont l'enchaînement constitue un éta
règles (1),fait cesser chez elle, immédia-tement, lesphénomènes de l' attaque quels qu'ils soientet qu'elle que soit la période
ncé àse manifester il y a dix jours, aussitôt après lacessalion d'une attaque , c'est-à-dire dans les circonstances où se dévelo
comme la continuation, la prolongation, sous une forme nouvelle, de l' attaque hysté-rique avortée. Mais voici un argument plus
proposais tout à l'heure de reconnaître dans la chorée rythmique une attaque en quelque sorte prolongée et trans-formée. Ne po
envisager actuellement le côté pratique. Déve-loppés à la suite d'une attaque , c'est-à dire dans les conditions où se manifeste
r les accidents susnommés, per-sister tels quels, jusqu'à la première attaque , peut-être fort éloignée, qui pourra survenir? N'
r jour durant plusieurs jours, a souvent pour résultat d'éloigner les attaques et d'en atténuer l'intensité. Mais l'effet deces
déterminer, très fréquemment, tantôt l'une, tantôtl'autre phase de l' attaque et quelquefois la série touten-tière. Or,uneattaq
cre aux convulsions sur-venant chez les hystériques hors le temps des attaques , relate, lui aussi, quelques observations intéres
res de l'hystérie ne sont pas moins prononcés que chez G... Outre les attaques qui se présen-tent ici avec les trois grandes pha
momen-tanément les mouvements choréiques, tout comme elle arrêle les attaques (1). J'ai trop longtemps peut-ête retenu votre
détermine un délire semblable àcelui qu'onobserve durant les sériés d' attaques ; loquacité, confidences involon-taires, hallucin
s, les mouvements choréiques, étaient suspendus. Puis G... a eu trois attaques qui ont laissé après elle une contracture des mem
es de l'après-midi. Depuis lors jusqu'à3 heures, G... a trois petites attaques après lesquels la chorée ryhmique est revenue. Un
s accusés qu'il y a trois jours. 19 novembre. — Hier, G... a eu des attaques de 8 heures à minuit. Tranquille ensuite jusqu'à
lle ensuite jusqu'à 8 heures, ce matin, elle a été reprise et a eu 25 attaques jus-qu'à une heure de l'après-midi. — A partir de
; — le 4" enfant est une fille, âgée de 28 ans, qui est sujette à des attaques ner-veuses, d'ailleurs assez éloignées ; — le oe
itre de professeur de gym-nastique. Elle a subi, il y a 20 ans, une attaque de rhumatisme articulaire aigu ; un peu plus tard
phalalgie fréquente. — Mémoire très affaiblie. — Pas de vertiges ni d' attaques apoplectiformes. —La parole est scandée et la lan
placée sous le coup de (l'aura prémonitoire, elle est mena-cée d'une attaque convulsive etdisparaîtra après l'attaque aussi vi
ire, elle est mena-cée d'une attaque convulsive etdisparaîtra après l' attaque aussi vite qu'elle s'était produite. Une amaurose
ur les deux yeux pourra aussi s'établir momentanément à la suite de l' attaque (Observ. de Lero... (1) enmême temps que l'anes-th
de l'œil gauche, ovarie double prédominant à gauche. Au sortir de ses attaques , elle est souvent tourmentée par la vision de lio
'elle les regarde en face. 3° Vend... voit dans l'intervalle de ses attaques , mais sur-tout lorsque celles-ci sont sur le poin
ne maladie des milieux de l'œil. — Quand elle est menacée d'avoir des attaques , il lui arrive fréquemment de s'imaginer voir des
r. photogr. de la Salpêtrière (1876-1880). Description de la grande attaque hystérique 1. (Voir Leçon XIIIy. I. Les auteu
nt dans des crises qui ne se confondent jamais et qui sont tantôt des attaques d'hystérie, tantôt des accès d'épilepsie ; Y hyst
s choses. C qsïY hystérie épi lept if orme de Louyer-Villermay. Les attaques convulsives qui se voient dansl'hystéro-épilepsie
par P. Richer. 2. Les crises convulsives de l'hystérie s'appellent attaques . Le mot accès est réservé pour les crises épilept
us ces phénomènes, en apparence, si désordon-nés et si variables de l' attaque d'hystéro-épilepsie, se déve-loppent suivant une
on auquel peuvent être attachées, dans leurs variétés nombreuses, les attaques frustes, incomplètes ou anormales. Description
s, les attaques frustes, incomplètes ou anormales. Description de l' attaque complète. — L'attaque complète se compose de quat
s, incomplètes ou anormales. Description de l'attaque complète. — L' attaque complète se compose de quatre périodes; elle est
ent les phénomènes de l'aura hystérique qui précèdent immédiatement l' attaque et qui apparaissent en géné-ral dans l'ordre suiv
ilation de la vue. Puis laperte de connais-sance marque le début de l' attaque qui se déroule ainsi qu'il suit : 1 Les malades
lle peut ressembler et ressem-ble le plus souvent à s'y méprendre à l' attaque d'épilepsie vraie : convulsions toniques, cloniqu
face et quelquefois la protrusion de la langue. Le cri du début de l' attaque signalé par les auteurs se réduit le plus souvent
l'aide dumyographe de Marey, le tracé de cette première période de l' attaque (1). 1. Études graphiques sur l'attaque hystéro
cette première période de l'attaque (1). 1. Études graphiques sur l' attaque hystéro-épileptique, par Regnard ctlli-ehei\ [Rev
t aucune douleur, mais peuvent persister beaucoup plus longtemps. L' attaque régulière, l'attaque type, ainsi composée de ces
s peuvent persister beaucoup plus longtemps. L'attaque régulière, l' attaque type, ainsi composée de ces quatre périodes, offr
uart d'heure ; mais elle peut se répéter pour constituer des séries d' attaques dont le nombre varie de vingt à deux cents et plu
s, et celle de l'intervention des courants galvani-ques, etc. II. L' attaque convulsive de la grande hystérie, avec les ca-rac
une certaine influence, sur la forme que revê-tent les accidents de l' attaque hystérique. Mais ce n'est pas ici le cas en ce qu
emagne), et aussi chez les convulsionnaires de Saint-Médard..., Les attaques passionnelles se retrouvent isolées sous forme d'
e qui se rattachent clairement au délire de la période terminale de l' attaque . Un point d'étude, d'un intérêt plus immédiat,
approchement que l'onpeut faire entre la description précé-dente de l' attaque d'hystéro-épilepsie et la description qu'ont donn
épilepsie et la description qu'ont donnée les auteurs classiques de l' attaque d'hystérie vulgaire. Il résulte clairement de ce
la description que M, Briquet donne des con-vulsions qui composent l' attaque d'hystérie vulgaire, le passage suivant a manifes
2e période semble constituer à elle seule la plus grande partie de l' attaque d'hystérie vulgaire. Aussi les auteurs la décrive
certain nombre d'hystériques dont les cris durent tout le temps de l' attaque et ces cris sont analogues à ceux que pousseraitu
s les divers mou-vements auxquels se livre la malade à ce moment de l' attaque : ( Au moment, dit-il, où, après un certain tem
comme une sorte de rêve. Enfin, on voitqueiquefois survenir pendant l' attaque ... des hallucinations.., des extases... » Enfin
auteurs auxquels nous empruntons nos citations n'ont eu en vue que l' attaque d'hystérie vulgaire ou petite hystérie, on trouve
rustes et atténuées, car il est incontestable que la description de l' attaque d'hystérie vulgaire s'éclaire singulièrement lors
tout naturel-lement à l'étude des formes frustes ou des variétés de l' attaque d'hystéro-épilepsie. M. Charcot admet que J'att
s variétés de l'attaque d'hystéro-épilepsie. M. Charcot admet que J' attaque d'hystéro-épilepsie peut se modifier suivant deux
produisent : a) Vatta-que épileptoïde; b) l'attaquedémoniaque ; c) l' attaque d'ex-tase; d) Vattaque de délire; 2°par immixtion
r immixtion d'éléments étran-gers à la constitution fondamentale de l' attaque , tels que le somnambulisme et la catalepsie par e
rédominance d'une des périodes. — lre Variété. —Forme ép ileptoïde. L' attaque hystéro-épileptique se trouve,dans cette variété,
ce de graviLé. Mais l'emploi des divers moyens usités pour modifier l' attaque d'hystérie fait disparaître ces convulsions si ef
s autres périodes font d'habitude complètement défaut. 3e Variété. — Attaque d'extase. Les attaques d'extase ont été décrites
d'habitude complètement défaut. 3e Variété. —Attaque d'extase. Les attaques d'extase ont été décrites par les auteurs classiq
énéral au type fondamental. Cependant Briquet s'exprime ainsi : « Les attaques d'extase peuvent se produire de deuxmanières ; qu
es ; quelquefois elles sont précédées par les préludes ordinaires des attaques de spasmes ou de convulsions hysté-riques, de sor
la Salpêlrïere, notamment le t. III, p. 75-76. (B.) Cette variété d' attaque peut être reproduite expérimentale-ment par les i
plus ou moins; ainsi se produit l'attitudeextatique. 4e Variété. — Attaque de délire. C'est le délire de la 4e pé-riode qui
élire. C'est le délire de la 4e pé-riode qui représente alors toute l' attaque ; il s'y joint cependant souvent quelques phénomè
édard peuvent être considérées comme un exemple de cette variété de l' attaque hystéro-épiieptique. B. Variétés de Vattaque hy
t chez les hystériques, sans montrer aucune relation apparente avec l' attaque convulsive. M. Briquet con-sidère la catalepsie c
lepsie et de somnambulisme viennent se surajouter aux phénomènes de l' attaque convulsive. Les ob-servations de catalepsie et de
ont traité de l'hystérie ont parlé des atta-ques de catalepsie et des attaques de somnambulisme. On lira entre autres avec intér
) 1. Voir le n° 52 du Progrès médical de 1878. On y verra que les attaques de catalepsie ou de somnam-bulisme débutaient hab
s phénomènes de cata-lepsie ou de somnambulisme viennent compliquer l' attaque , ils succèdent à la l'e ou la 2e période, remplaç
e ne participe pas à fa contracture. Mlle X... n'a jamais éprouvé d' attaque de nerfs. Elle est calme, d'un caractère égal,plu
pêche pas de conserver un certain embon-point. 11 n'a jamais existé d' attaque hystéro-épileptique régulière. 11 est très impo
sie avec anesthésie gé-néralisée, est souvent prise à la suite de ses attaques et dans les intervalles qui les séparent de contr
pendant plusieurs jours. Plusieurs fois, en tombant à terre dans une attaque , elle s'est cassé les os d'un avant-bras, d'une j
rou-blé ; plusieurs des pèlerines, en effet, en proie aux tourments d' attaques dont le caractère ne peut être méconnu, gesticule
spinale.................................. 221 HUITIÈME LEÇON des attaques apoplectiformes dans la sclérose en plaques. — de
— physiologie pathologique. — étiologie. — traite-ment. Sommaire. — Attaques apoplectiformes. — Leur fréquence dans la scléros
a sclérose en plaques disséminées. — Considérations générales sur les attaques apoplecti-formes dans la paralysie générale et da
ncienne (hémorrhagïe et ramollissement du cerveau). — Pa-thogénie des attaques apoplectiformes : insuffisance de la théorie de l
mes : État du pouls : élévation de la température centrale. — Cas d' attaques apoplectiformes chez d'anciens hémiplégiques. — I
topsie.— Hyperesthésie ovarienne. - Rétention d'urine. — Tympanisme.— Attaques convulsives, trismus. — Apparition de l'ischurie
stérie locale. De la compression ovarienne. — Son influence sur les attaques . — Manière de la pratiquer. — La compression ovar
ée sous l'influence de la compression ova-rienne. — Relation avec les attaques . — Cas de Trousseau, Briquet, Mur-chisson, etc. —
es hystériques.................... 427 VI. Description de la grande attaque hystérique...................... 435 VII. I. De
tendance à la gé-néralisation, 70. Attaques-Accès, 372, 373, 375. Attaques apoplectiformes dans la sclérose en plaques, 249
L . — Variétés, 250. — Symptômes, 253. — Pouls et température, 254. Attaque hystérique : Description, 435. — Période épilep
, 105. — Altérations des urines dans 1' —, 129. Hémiplégie dans les attaques apo-plectiformes, 253 ; — hystérique, 349. Hist
aractères qui la rapprochent de la sclérose en plaques, 223, 236. (V. Attaques apoplectiformes. ) — générale spinale de l'ad
61. (V. Trépida-tion, Pied bot hystérique, 360, 365. Pouls dans les attaques apoplecti-ques, 254, 256. Préambule, 1. Propuls
sympathique cervical 139; —dans la paralysie agitante, 178 ;—dans les attaques apoplecti-formes, 254 ; — dans les attaques d'hys
agitante, 178 ;—dans les attaques apoplecti-formes, 254 ; — dans les attaques d'hystéro-épilepsie, 376 ; — dans Y état de mal é
11 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
nt revenues. Persistance de l'aphasie. Le 17 mai, mort après deux attaques d'épilepsie. Autopsie. Au niveau de la troisièm
ence la prédisposition névropathique des sujets qui sont atteints d' attaques éclamptiques et de montrer les liens peu connus
ntes chez les enfants issus de névro- pathes, de mères ayant eu des attaques d'éclamp- sie' ; on les voit souvent chez les e
duré trois mois ; et, pendant ces trois mois, se sont produites des attaques dites éclamptiques. Depuis, l'albuminurie a dis
aques dites éclamptiques. Depuis, l'albuminurie a disparu, mais les attaques ont continué. Les attaquesont été scrupuleuseme
ces vertiges. Il n'urine pas, ne se mord pas la langue. 2° Grandes attaques convulsives qui viennent plus souvent le jour,
i viennent plus souvent le jour, maisaussi quelquefois la nuit. Ces attaques sont pro- voquées par les émotions, les chagrin
agrins, les fatigues corporelles, les voyages en chemin de fer. Ces attaques offrent les grands caractères de l'épilepsie :
tète, surtout autour de l'oeil gauche, qui serait injecté pendant l' attaque . Pas d'asymétrie faciale, pas d'atrophie des me
ntre toutefois nettement l'origine de l'épilepsie qui succède à des attaques dites éclampti- ques, développées dans le cours
a grossesse. Observation III. Hérédité névropathique. Scarlatine, attaque convulsive. Vertiges. Grossesse; attaques épi-
névropathique. Scarlatine, attaque convulsive. Vertiges. Grossesse; attaques épi- leptiforines. M°° M. de L..., vingt-quat
un bois, eut une grande frayeur, à la suite de laquelle il eut des attaques nerveuses, et il mourut quelque temps après d'u
E NERVEUSE. maternelle estné chétif, presque idiot et est sujet aux attaques d'épilepsie. Un grand-oncle paternel, ayant cru
t en- ceinte. Une quinzaine de jours après, elle eut une première attaque épileptique, et elle en eut deux autres le mois s
re 188 ? . - hausse couche de deux mois; le cin- quième jour, trois attaques d'épilepsie dans l'espace de quinze heures. 1
ues minutes. ÉCLAMPSIE ET ÉPILEPSIE. 43 Dans ce fait, la première attaque convulsive a bien apparu dans la convalescence
estèrent des accidents vertigineux; à propos d'une grossesse, les attaques prennent un caractère nettement épileptique. To
ent n'ont pas non plus d'influence bien mar- quée sur le nombre des attaques . La grossesse semble plutôt avoir une influence
30. ÉCLAMPSIE ET ÉPtLEPSOE. 115 minée est nécessaire pour que les attaques épileptiques et éclamptiques se produisent chez
ion périphérique ou émotionnelle, cause provocatrice immédiate de l' attaque . Si cependant il existe une pré- disposition né
ut d'un mois, céphalalgie violente dans la matinée; à trois heures, attaque d'éclampsie, qui se renouvelé deux fois. Les ph
ici le lieu de faire remarquer qu'au point de vue symptomatique, l' attaque éclamptique ne saurait être distinguée de l'att
ymptomatique, l'attaque éclamptique ne saurait être distinguée de l' attaque épileptique; et la marche de la température rap
rd'hui quatre-vingt-sept ans et est très alerte, a eu autrefois des attaques de nerfs « effrayantes » , probablement hystéri
ue elle accoucha de son cinquième enfant. Le travail s'accompagne d' attaques éclamptiques très intenses. Elle n'avait rien e
continué à avoir des vertiges, auxquels se sont ajoutées de grandes attaques convulsives, qui étaient souvent séparées par u
qui étaient souvent séparées par un espace de plu- sieurs mois. Ces attaques étaient caractérisées par un cri initial, la pe
qui survinrent coup sur coup avec une très grande intensité. Ces attaques cessèrent et, sous l'influence du bromure pres-
I EPSIP. 19 de cas, peut déterminer à elle seule l'apparition des attaques épileptiques ', s'est accompagnée d'une recru-
ie de lilas, dont l'odeur l'avait très incommodée, elle fut prise d' attaques d'éclampsie qui se répétèrent toute la nuit. A
nt recherchée dans les urines. Une fois l'accouchement terminé, les attaques d'éclampsie ne se reproduisirent pas. Un mois a
ÉPILEPSIE. 51 Au bout de ce temps, elle fut prise, une nuit, d'une attaque qui, dit le mari, ressemble aux crises éclampti
rière de toute sa hauteur et offre tous les phénomènes de la grande attaque d'épilepsie; convulsions toniques et clo- nique
re complètement ce qui lui est arrivé; il en est de même pour les attaques successives qui, pendant toute l'année 1881, se s
ure institué à la ÉCLAMPSIE ET ÉPILEPSIE. 53 fin de décembre, les attaques ne se reproduisirent pas pendant trois mois. De
-dessus de trois gram- mes par jour, fut pris irrégulièrement : les attaques revinrent; elle en eut pendant le mois d'avril
nter- rompre le médicament, sous aucun prétexte. Depuis lors, les attaques ont diminué, mais n'ont pas disparu; du 12 mars a
d'une scarlatine, d'une grossesse, etc., on voit se développer des attaques éclamptiques, puis cette épilepsie aiguë passe
ainsi dire à l'état chronique et ne se manifeste plus que par des attaques isolées d'épilepsie vulgaire. La succession des
es troubles sérieux du côté de l'intelligence. Mère : nerveuse sans attaques , caractère emporté. Antécédents yersonnels. Rie
es, action des francs- maçons... Mais, ils résistent toujours à ces attaques , semblent renaître au contraire plus vivaces, e
, pas de syphilis, pas d'affection cardiaque. En quelques semaines, attaques répétées, passagères, caractérisées par une per
n plaques, ni de la sypliilis. Leur évolution les classe à côté des attaques qui se montrent si fréquentes dans la paralysie g
vent d'un trouble céré- bral en rapport immédiat avec le tabès. Des attaques epilepti- formes, justiciables des mêmes appréc
'il a été suspendu par le fait d'une maladie aiguë, parce que les attaques reparaissent avec une fréquence et une intensité
il faut joindre des vomissements, de l'intermittence du pouls, des attaques épileptiformes : mort dans le coma. L'autopsie ne
n qu'on prenne d'un aliéné paralysé, gâteux-, agile, en proie à des attaques apoptecti- formes ou épilepliformes, sous l'inf
iège de l'aura épileptique, il s'en faut que dans tous les cas, les attaques d'épilepsie se soient trouvées supprimées, mais
-épi)cpsie. périodes épileptoide, clonique et délirante pendant les attaques , hémianesthésie, zones hystérogènes, etc. Plusi
ayant pour titre : Etude clinique sur le pouls lent permanent avec attaques syncopales et épileptiformes (1879). M. Sémer
embre 1884. N" 23. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE A FORME D'ÉPILEPSIE PARTIELLE (étude
d'épilepsie. Mais, le plus souvent les deux dernières périodes de l' attaque hystérique séparent de telle façon les unes des
rent de telle façon les unes des autres les phases épileptoïdes des attaques consécutives qu'on ne peut, même à première vue
ières. Dans d'autres cas, au contraire, plus rares à la vérité, les attaques d'hys- térie se succèdent en très grand nombre,
it, eouronné par l'Académie de médecine (Prix Civriew 1882).. DES ATTAQUES U11YJ'l'lsfilli. 131 - -'observateurs, notammen
point nouveau sur lequel nous voulons insister dans ce mémoire), l' attaque hys- térique, dans quelques cas, reproduit avec
côté. Les malades soumises à notre observation ont pré- senté des attaques caractérisées tantôt par des con- vulsions exac
diagnostic épilep- sie et d'affirmer que nous étions en présence d' attaques d'hystérie franche.. Nous nous proposons donc
osons donc d'établir dans ce travail : 1° Que, dans certains cas, l' attaque d'hystérie simule l'accès d'épilepsie partielle
le naturelle, aurait présenté vers l'âge de douze à treize ans, des attaques convulsives, sur la nature desquelles il est im
méilico-iisychologiiiuc, dans la séance du 29 oc- tobre 1883. DES attaques d'hystérie. 133 vier 1883, c'est-à-dire pendant
er 1883, c'est-à-dire pendant dix-huit mois environ, elle n'a pas d' attaques . Nous constatons seulement que R... est vive, c
té administré pendant trois jours, à la dose de quinze grammes, les attaques dispa- rurent après trois jours de médication,
e, tandis que le pouls était à 120 ou à 130. Cette série de 8,000 attaques terminée, la malade ne pré- senta plus qu'un no
e mars à septembre 1883; elle eut, en moyenne tous les mois, cent attaques qui se montraient toujours par séries de dix à do
tembre 1883 (il y avait quinze jours que la malade n'avait pas eu d' attaques ), elle fut prise d'accès nombreux, se succédant
s'arrêtent; mais pour recommencer presque aussitôt. Et une nouvelle attaque se produit, identique à celle que nous venons d
ccès se multiplient en conservant t Fig. 2. - Phase clonique. DES ATTAQUES D HYSTÉRIE. 135 les caractères que nous venons
13. La température reste normale, malgré le nombre considérable des attaques . | Trois ou quatre jours après le début des acc
entes reprises d'une façon très manifeste. , Le 1 le octobre, les attaques deviennent plus complètes; les convulsions se g
qu'on presse R ? de questions, elle répond : Fig. 3. - Courbes fies attaques et de la température chez Rosa z , uf\ ? ) ? =
de la température chez Rosa z , uf\ ? ) ? = ? <... ? - . 1 DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. i : )7 «Vous la voyez bien, c'est u
ne l'ont qu'augmenter, -puisqu'on en compte : le 18 octobre, 1,139 attaques ;'le 19 ? 1,109 - lq 25, 1,463; le 26, 1,513. '
28 octobre, c'est-à-dire le vingt-sixième 0 ti r de a maladie, les attaques , qui s'étaient élevées,. a"l,351 la veille, tom
uelle on ait signalé jusqu'à présent un nombre aussi considérable d' attaques successives. Au moment ou nous étions occupés a
connue, Hab.... qui, du 16 au 30 avril, n'a, pas eu moins de 4,598 attaques . Quelque imposant que soit ce chiffre, il n'app
dix heures et demie à trois heures, on compta, durant ce temps, 340 attaques . Cependant nous devons dire que si la compressi
ssion ovarienne a semblé n'avoir aucune influence sur le nombre des attaques , elle a paru diminuer l'intensité de ces derniè
stations sur lesquelles nous insisterons dans un instant; la' des attaques d'hystérie. 139 constatation d'une hémianesthés
pas à l'époque -où Rosa G ? r·'fut examinée; d'une malade dont les attaques étaient, quant. la physiono- mie des convulsion
ion de la tempé- rature, en dépit du nombre déjà considérable des attaques . La question'se posait dès lors de la façon sui
u bien il s'agissait d'une modalité anomale et jusque-là inconnue d' attaques d'hystérie, d'attaques à forme d'épilepsie part
une modalité anomale et jusque-là inconnue d'attaques d'hystérie, d' attaques à forme d'épilepsie partielle ; ou bien d'une é
d et Bourneville ont, depuis longtemps, bien établi ce fuit que les attaques d'hys- térie, quels que soient leur intensité e
ille et Voulet. - De la contrachere 5 ? tshrqrte perznaneufe. DES ATTAQUES DHI'STER1E. lit « Chez Co..., dont les crises o
soir. De huit à neuf heures, il y a eu un temps de repos, puis les attaques ont repris comme de plus belle sans le moindre
s exagération, évaluer d'une manière approxi- mative le chiffre des attaques épileptiformes qu'elle a éprouvées à cette époq
érence radicale dans l'influence qu'ont sur la calorification les attaques d'hystérie et les accès de mal comitial est un
vulsifs partiels, lorsque ces accidents se manifestent sous forme d' attaques successives et souvent répétées, si la colonne
de paralysie des membres convulsés, quelqu'ait été le nombre des attaques successives de fausse épilepsie jacksonnienne.
s droits, même après avoir eu, dans une même journée, plus de 1,500 attaques ; tandis que Foisn..., dont le cas est publié pl
ance céré- brale profonde et même la mort; tandis que la vie, DES ATTAQUES DHI'STEItIE. 1 î-3 chez les hystériques, est co
est compatible, on l'a vu, avec un nombre véritablement étonnant d' attaques . Voilà, en somme, trois éléments de diagnostic
de paralysie; 3° la survie compa- tible avec un très grand nombre d' attaques . Nous ne saurions d'ailleurs mettre mieux en re
rait été l'objet d'une ten- tative de viol. Peu de temps après, une attaque survint subite- ment, et sans avoir été annoncé
annoncée par aucun phénomène pré- monitoire. Le lendemain de cette attaque , Foisn... en eut cin- quante nouvelles, qui se
eures. De l'âge de six à l'âge de dix ans, disparition complète des attaques , qui se manifestent ensuite de nou- veau. A onz
sposition les notes qu'il avait recueillies sur elle en 1881. DES ATTAQUES DHYSTÉRIE. 1 45 ! séries. Nous indiquerons succ
l'extrémité des doigts. L'aura dure quelques secondes, et bientôt l' attaque débute. La pupille se dilate d'une façon très n
dilate d'une façon très nette immédiatement avant le début de cette attaque qui est constituée en quelque sorte par trois p
b UB rist B tuoi nonis ,aéa3p'b ''nsa tfiirjtalo zautr . rat ', DES ATTAQUES D'tIYSTEItIE. 147 qulemment déviée en dehors. A
rnosnotéslespârticularitéssuivantes, qui se rapportent à la série d' attaques : qui, en novembre 1882, a précédé la mort. Dan
ntervallestcourtsou nuls, chaque série comprenant un grand nombre d attaques , comme on peut en juger par le tableau ci-desso
4S CLINIQUE NERVEUSE. Il est une autre particularité à relever. Les attaques ont eu constamment pour,résultat, lorsqu'elles
telle qu'elle figure dans nos notes relatives à L'une des séries d' attaques : la malade vient .d'avoir. plusieurs accès/ No
«IUucO ' t ? teidfnon ju'nMCKB9)wKt)t)\ ? i.. us. i... / f4l DES ATTAQUES D'HYSTÉRI4.a «, J( , ? 149 e. Phénomènes observ
e la Société anatomique, novembre 1882. .150 CLINIQUE NERVEUSE. DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. cas'.dijuesrde, fixer,l'attention.
sdans ? a9 journée ? ; jchez,Foisn ? au,,r,ontraire, après quelques attaques , apparaît une paralysie très mahifestedè iafacë
idable,série DES IRRADIATIONS CAPSULAIRES. 1 ' k t ,151 de 21,708 attaques , Foisn... succombé ! t lasuit6.d'un nombre d'ac
de la bouche et la propnlsion`de la Iânuesâu4dehoT's pendant les attaques ; 2° les battemëntsdesnpaupières; 3'les mouvemen
ants .cette,.façon de le comprendre. HOl'lIf , - Observation X. Attaques épileptiformes. Tubercule dans la , , troisième
insula droit, ne dépasse pas l'avant-mur ; athérome artériel. Trois attaques d'hémiplégie gauche ; paralysie com- plète du m
; "Wn, , 1 18(1 RECUEIL DE FAITS. DU DELIRE CHRONIQUE. ayoirjes attaques du mal comitial qu'à partir de dix-huit ans, to
rs l'âge de vingt- deux, ans, il devint plus sombre, taciturne, ses attaques le préoccupaient. Bientôt il raconta qu'il voya
as do l'ouvrage donné par les Israélites. A la suite de plu- sieurs attaques d'épilepsie, il devenait furieux, se livrait à de
e bien du* monde, le bonheur de l'univers entier ». Surviennent'une attaque , un vertige, V... reprend ses mêmes idées, mais
r laquelle on n'a que peu - de renseignements ;'parait avoir eu des attaques peu'fréquentes ''depuis lrois*anç.*A>')plusi
int comme si elle souffrait dès qu'on la remue. Elle a eu plusieurs attaques à l'asile; ces attaques sont très violentes et
ait dès qu'on la remue. Elle a eu plusieurs attaques à l'asile; ces attaques sont très violentes et s'accompagnent de mouvem
que ; aurait eu depuis trois ans, lors de son entrée à l'asile, des attaques avant et après lesquelles il se montre très viole
ble. 11 a pendant plusieurs jours de, suite jusqu'à vingt et trente attaques par jour ; puis il redescend jusqu'à une seule
t et trente attaques par jour ; puis il redescend jusqu'à une seule attaque quotidienne mais, s'accompagnant de mouvements
fréquentes dans le groupe où manque le réflexe ; en ? revanche, les attaques ,quasi- s3,neopales - ailalogue au petit mal de
, il a promptement'des^eschares^tendues-.puis survient -une série d' attaques epileptuormes^fL^malade^meurt.^ pqarl0| enrAwio
),ff),)oh ? f ? J ? ? 'XIX. STVPTÛ\IGS 1fE\ C.1US précurseurs d une attaque D apoplexie; ai, S.\ : 'aaE.'(JôIfrItnl bf ment
me temps il iilairit;rs'afl'aihlit;`etfinalément il est pris d'une - attaque d'apoplexie 9afïectantîlcDcôlé'i"gauche ! C Les.
némoirerpaesque entièrement perdue ? Deurrimois plusrtard;série : d' attaques .iJIort.r.aZ7ErIq Mb noitBmm6llni9Jri9toiv - A2t
sement intel- lectuel, à l'époque où Us ne sont plus sous le coup d' attaques convulsives ou d'hallucinations graves. En bien
e connaissance sans autre inconvénient; trois jours après, nouvelle attaque semblable, mais cette fois, aphasie sensorielle
la peau de l'oreille gauche, qui seraient apparues à la suite d'une attaque accompagnée de vomissements : affaiblissement d
formant transition entre l'une et l'autre migraines, l'apparition d' attaques de l'une ou l'autre forme chez le même individu
Le Dr C,11)1.01, de Bourbonne-les-Bains, vient d'être victime d'une attaque inattendue. Un cultivateur de Martinville (Vosg
ladies. Nous avons interrogé son père qui est arthritique, sa DES ATTAQUES D HYSTÉRIE. 277 mère qui a été nerveuse, son fr
s qui, pourtant, n'a pas été si- gnalée dans cette affection. DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE A FORME D'ÉPILEPSIE PARTIELLE (ÉTUDE
qui précèdent, d'une part, la réalité d'une variété particulière d' attaques d'hystérie, l'attaque à forme d'épilepsie parti
art, la réalité d'une variété particulière d'attaques d'hystérie, l' attaque à forme d'épilepsie partielle, constituée uniqu
nous suivions, dans le service de M. Charcot, une malade atteinte d' attaques convulsives, sur la nature desquelles notre maî
ayeur occasionnée par une tentative de viol, Ang... fut prise d'une attaque de nerfs et cracha du sang. Les crachements de
Société médico-psychologique dans la séance du 29 octobre 1883. DES ATTAQUES D'HYSTERIE. 279 à plusieurs reprises. La malade
épitaxis, et depuis un an et demi, plusieurs pertes utérines. Les attaques de nerfs se sont renouvelées assez souvent depu
ournit que des renseignements fort vagues sur les caractères de ses attaques . Ce que nous appre- nons de plus précis, c'est
permanent, paraissant s'accentuer un peu à la su'te des périodes d' attaques dont nous allons parler; s'atténuer au contrair
points douloureux sont les points ovariens, surtout à gauche. b) Attaques . Depuis son entrée à la Salpêtrière, la malade
taques. Depuis son entrée à la Salpêtrière, la malade a été prise d' attaques , à plusieurs reprises. Ces attaques revien- nen
trière, la malade a été prise d'attaques, à plusieurs reprises. Ces attaques revien- nent par séries, et se reproduisent en
- nent par séries, et se reproduisent en grand nombre pendant DES ATTAQUES D HYSTERIE. 281 plusieurs jours. La première
DES ATTAQUES D HYSTERIE. 281 plusieurs jours. La première série d' attaques s'est montrée en mai 1882, une deuxième à la fi
octobre 1883, trois nouvelles séries d'accès. I. Description des attaques . a) Aura. Les attaques se suc- cédant d'ordinai
nouvelles séries d'accès. I. Description des attaques. a) Aura. Les attaques se suc- cédant d'ordinaire à intervalles très r
rangulation assez vif, tel qu'on l'observe communément au début des attaques hysté- riques. b) Puis les phénomènes apparai
é, il y a simplement tétanisation ; pas de convulsion clo Fig. 9. - Attaque de Rosa G...(Oss.I.) 282 CLINIQUE NERVEUSE.
tituent comme l'ébauche d'une période de convulsions cloniques. L' attaque est alors terminée, la tête reste un peu inclinée
alors que ceux du droit sont déjà convulsés depuis un instant. DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. 283 questionne Ang..., ou ses répon
estionne vivement, Ang... répond : « J'ai mal à la tête ». Dans l' attaque , telle que nous venons de la décrire, on ne con
la période des grands mouvements, ou la période hallucinatoire de l' attaque de grande hystérie. Les accès se succèdent à
débutant aussitôt que le précèdent est terminé. II. Variétés de l' attaque . Dans la plupart de ces périodes de crises, les
riétés de l'attaque. Dans la plupart de ces périodes de crises, les attaques ont revêtu les caractères que nous venons d'ind
e- ments convulsifs. Plusieurs fois même nous avons assisté à des attaques plus incomplètes encore, en ce sens que tous le
relevé l'apparition de symp- tômes qui font d'habitude partie de l' attaque de grande hys- térie : c'est ainsi qu'à deux ou
«Tiens, la voilà qui s'est envolée». Plusieurs fois aussi après les attaques , Ang... a éprouvé une sensation de vertige. « J
la compression ovarienne et des inhalations chloroformiques sur les attaques . La compression ovarienne unilatérale ou bilaté
sive, a toujours été impuissante soit à em- pêcher l'apparition des attaques , soit à les arrêter au cours de leur évolution.
de chloroforme, dont l'effet est d'habitude infaillible contre les attaques de grande hystérie. Or, voici ce que nous avons
ure. Quel qu'ait été durant les différentes crises la fréquence des attaques , dont le nombre a atteint plus de cent par jour
sie vraie, telle que celle qu'on observe communément à la suite des attaques d'épilepsie partielle due à une lésion cérébral
vulsifs, les uns localisés aux muscles moteurs de la tête et de DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. 285 la face gauche, d'autres étendu
inations inconstantes, cons- tatées à la suite de quelques-unes des attaques seulement. Pas d'élévation de la température ;
e simultanément atteinte d'une lésion du cer- veau, et de fait, ses attaques , comme on vient de le voir, rappelaient de fort
hermie et de paralysie nette des membres convulsés à la suite des attaques , si l'existence d'un double rétrécissement conc
lui d'Ang... La seconde comme la première malade était atteinte d' attaques hystériques à forme d'épilepsie partielle. Da
ns. A cette époque, à la suite d'une vive contrariété, F... eut une attaque avec perte de connaissance. Cette attaque se se
contrariété, F... eut une attaque avec perte de connaissance. Cette attaque se serait accompa- gnée de paralysie du bras ga
te attaque se serait accompa- gnée de paralysie du bras gauche. Les attaques se sont re- produites à plusieurs reprises. De
ment de fatigue. Le système vaso-moteur est un peu affecté. DES. ATTAQUES DIII'S1'RIG. 287 Il suffit, en effet, d'exercer
n'est pas douteux que cette malade soit affectée de la névrose. Les attaques , qu'à différentes reprises, elle a eu depuis so
le démontrent suffisamment. Nous n'avions jamais été témoins de ces attaques , mais nous pouvons néanmoins en tracer la descr
surveillante du service et par les voisines de lit de Fore... Ces attaques ne se ressemblent par toutes. Il en existe deux
ises, Fore... a eu des syncopes soit isolées, soit consécutives aux attaques précédemment décrites. Mais, en dehors des phén
te de connaissance. Mais, dans quelques cas, elles sont suivies des attaques que nous avons décrites plus haut, avec délire
st suffisamment démontrée par l'existence chez elle de la toux, des attaques de tremblement, des hallucinations qui se sont
à peine a-t-elle répondu à deux ou trois questions, qu'elle est DES ATTAQUES D'liYSTÉRIE. 289 brusquement interrompue, au mi
liYSTÉRIE. 289 brusquement interrompue, au milieu d'un mot, par une attaque convulsive. Les globes oculaires se dirigent en
Dans sa jeunesse elle était rêveuse, elle avait parfois de petites attaques de nerfs, mais qui ne ressemblaient en rien à c
tensité ; ils conservent cependant leurs premiers caractères, à DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. 291 i part l'absence du stertor ter
e l'épilepsie partielle. Mais il n'y a là qu'une apparence, car les attaques éprouvées par Marie C... sont sans conteste des
e, car les attaques éprouvées par Marie C... sont sans conteste des attaques d'hystérie. On les voit, en effet, se transform
en effet, ce passage de l'Observation : « La malade est prise d'une attaque qui commence par cinq ou six secousses, du hoqu
ent surabondam- ment, croyons-nous , la réalité du type nouveau d' attaques hystériques sur lequel nous venons d'appeler l'
étaient d'ordinaire suivies, comme celui-ci, des autres phases de l' attaque , la phase des grands mouvements et des hallucin
si nous en jugeons par nos observations, elles constituent toute l' attaque . De là la nécessité d'en bien connaître la poss
ropositions les enseignements qui nous semblent s'en dégager. DES ATTAQUES D HYSTÉRIE. 293 RÉSUMÉ ET CONCLUSIONS : 1° Le
er. DES ATTAQUES D HYSTÉRIE. 293 RÉSUMÉ ET CONCLUSIONS : 1° Les attaques d'hystérie, du moins à-leur pre- mière période,
nt très fréquemment, comme on sait, aux accès d'épilepsie vulgaire ( attaques de mal comitial); 2° Quelques cas nous autori
ie peut, d'une façon exceptionnelle, emprunter aussi le masque de l' attaque de petit mal (absences et ver- tiges) ; 3° Il
es) que, chez un certain nombre de malades, la symptomatologie de l' attaque hystérique reproduit avec une remarquable exact
s convulsions partielles épileptoïdes consti- tuent souvent toute l' attaque d'hystérie, et ne sont suivies ni de phase des
es unes sur les autres, de façon que les 29t CLINIQUE NERVEUSE. DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. diverses périodes constitutives de
EUSE. DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. diverses périodes constitutives de l' attaque n'ont pas le temps de se produire; 6° Les acc
ose utilisés pour distinguer l'accès de mal comitial de la grande attaque d'hystérie (effet de la compression ova- rienne
NNR. 295 tations des symptômes permanents de l'hystérie après les attaques ) conserveront ici toute leur valeur. ERRATA. -
n'aurait jamais fait d'excès de boisson; il est très nerevux (pas d' attaques ); très doux de caractère; il fume peu ; marié à v
des faiblesses avec perte de connaissance et sueurs froides; pas d' attaques de nerfs, pas de migraines, pas de convul- sion
e à droite. [Père, charpentier, mort à quatre-vingt-deux ans, d'une attaque de paralysie gauche qui l'a enlevé en trois jou
iutelli- gente, très nerveuse, pleure et rit sans motif, n'a eu ni attaques ni faiblesses; elle est mariée et a un enfant d
voque ou les arrête. Elle a de véritables syncopes après certaines attaques subies sans aucune conscience. Celles-ci ne se
e hors de son lit. La température n'a pas été prise au moment des attaques . En dehors d'elles, on l'a trouvée normale. A
gnostic,lacontracture des membres supérieurs survenue après une. attaque des plus grave est bien propre à le corroborer.
également des élancements dans les deux jambes. Les deux premières attaques durent un mois, la troisième huit jours, la qua
les couleurs. Elle devient bientôt phthisique, a fréquemment des attaques de petit mal, et meurt sept mois après son entrée
. Intégrité apparente des sens spéciaux. Menstruationréguliere. Les attaques , fréquentes et graves, présentent les caractère
n sans but, vio- lences, gâtisme ; à la suite d'une série de fortes attaques , elle tombe dans un état de stupeur, et ne tard
des traces de perturba- tion mentale. Tout à coup, on constate des attaques épileptiformes sans perte de connaissance, puis
a constaté de troubles ocu- laires, ni de paralysie, tandis que les attaques , devenues très fré- quentes dans les dernières
té de l'albuminurie, qui coïncidait littéralement avec le début des attaques , était presque totalement parallèle à la violen
hives, t. VIII. 25 386 SOCIÉTÉS SAVANTES. soit altéré. Or, ici, l' attaque apoplectique soudaine, rapidement améliorée, dé
plus tard les muscles des extrémités et du tronc participèrent à l' attaque . L'aura est constituée par de l'agitation, de l'a
ie térébrante, parfois encore par des hallucinations de la vue. Les attaques laissent l'individu terrifié, pleurard, errant,
rencontrent également chez l'épileptique, qu'elles affectent avec l' attaque un rapport traduisant bien réelle- ment une loi
itions déterminées. Le champ visuel demeure tel qu'il était avant l' attaque , quand celle-ci est purement motrice, c'est-à-d
leptique, etc.); 3° A la suite de presque tous les équivalents de l' attaque accom- pagnés ou non de trouble de la connaissa
de l'écorce du cerveau qu'il convient d'attribuer la cause de toute attaque d'épilepsie qui coïn- cide avec un rétrécisseme
s et privés), 219. Apoplexie (symptômes mentaux précurseurs d'une attaque d'), par Savane,214. Asiles d'aliénés dans la
Blizzard (An. P. Marie), 118. 1'abesdorsal,parltumpf,8l, 370;- attaques apoplectiformes et épi leptiformes dans les pre
12 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
est rhumatisante elle-même et de tempérament nerveux; elle a eu des attaques d'hystérie. Il y a aussi des alcooliques dans l
nsi que les oncles paternels. La mère est rhumatisante, et a eu une attaque de rhumatisme polyarticulaire aigu. Le grand- p
hysique appréciable en novembre 1882 : à cette époque survinrentdes attaques hystéro- épileptiques qui paraissent avoir eu l
à dix-sept ans. Depuis l'âge de dix-huit ans elle est sujette à des attaques de céphalalgie qui durent trois à quatre jours
tères qu'aujourd'hui. Pendant son séjour à l'hôpital elle a eu deux attaques semblables à celles qu'elle a maintenant. Elle
, très améliorée mais non guérie. Il y a deux mois, elle a eu une attaque , et c'est à partir de ce moment que son état a
ncé à s'aggraver; dès lors, elle n'a pas cessé d'avoir deux à trois attaques par semaine environ. Etat actuel. -Au repos dan
t deux zones hystérogènes déterminant des sensations d'aura, et des attaques . Celles-ci sont ainsi consti- tuées. G... a d
sa face est grimaçante. La compression du point ovarien arrête l' attaque . La malade conserve sa connaissance pendant toute
que. La malade conserve sa connaissance pendant toute la durée de l' attaque . D'habitude la marche»devient plus facile après
ée de l'attaque. D'habitude la marche»devient plus facile après les attaques . Il y aurait, au dire de la malade, une sorte d
y aurait, au dire de la malade, une sorte de balancement entre les attaques et la difficulté de la marche. Observation X.
devint de plus en plus pénible et fré- quente. Des vertiges et des attaques comateuses apparurent. La malade entre à l'hôpi
malade s'affaiblit de plus en plus. Le 16 mai, il est pris d'une attaque épileptiforme; les mou- vements convulsifs ont
faitement conscience de son état, et il aurait été prévenu de cette attaque par de l'obtusion des idées. Dans la nuit, de
iéné de tomber sous la protection d'ignorants. REVUE CRITIQUE DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE Par GILLES DE LA TOUHËTTE
devoyeut excuser, c'estoyent ceux qui luy couroyent sus : et DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTERIQUE. 93 optant exilé, tost ap
ortune de se trouver en présence d'un cas de coma hystérique, d'une attaque de sommeil, comme nous dirions aujourd'hui. A
mes employés tour à tour par les auteurs modernes pour désigner les attaques que nous allons décrire. Les auteurs qui, jus
, liv. Il, chap. v. 4 De l'apparition des esprits, chap. xiv. DÈS ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. : noncer aux inquisiteur
r nettement la notion étiologique, si importante dans l'espèce. Une attaque de sommeil prolongé, en effet, ne permet pas ip
insuffisante et très peu scientifique. Louyer-Yillermay 2 place les attaques d'apoplexie hysté- rique dans sa troisième clas
douzy qui, dans son Traité complet de l'hystérie (18/f6) décrit les attaques de sommeil sous la rubrique de « Perte de conna
ait pu écrire (p. 413) : « Malgré ce qu'en ont dit les auteurs, les attaques hystériques avec sommeil sont peu communes et o
, 36. * Traite clinique et thérapeutique de l'hystéiie, 1859. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 97 fixé l'attention ; on
nimie assez large puis- qu'il décrit dans son même chapitre vu les « attaques de som- meil, de coma et de léthargie » simples
a publi- cation des travaux de notre éminent maitre sur la grande attaque hystéro-épileptique, travaux présentés avec un ta
phé- nomènes en apparence si variables constitutifs de la grande attaque étaient le plus souvent décrits sans ordre, bien
er eût été déjà poussée très loin. M. Charcot en montrant que cette attaque présentait presque constamment quatre périodes
l'hystérie comateuse. Paris, 1875. * Etude descriptive de la grande attaque hystérique ou hystéro-épilep- tique et de ses p
partant incomplète d'un phénomène le . sommeil- succéda celle de l' attaque ordinaire avec immixtion de phénomènes léthargi
'1877-'1880 dont le troisième volume renferme une description des attaques de sommeil qui forme la monographie la plus compl
tionner comme fondamentaux plusieurs leçons de M. Char- cot sur les attaques de sommeil, recueillies par llillioti'; un mémo
ma nervoso. Milan, 1885. Des zones hystérogénes et lzpnogézzes; des attaques de sommeil. Bor- deaux, 1885. 3 De l'apoplexi
p. 370; et Gaz. hebd. de 11led et de chi ? 20 août 1886, p. 15t DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTERIQUE. 90 Dr Charlier (d'Origny
avons fait pressentir, nous confondrons sous la même dénomination d' attaque de sommeil, à laquelle nous adjoindrons l'épith
'elle sera une bonne introduction à l'étude sympto- matologique des attaques de sommeil'. 1\1[10 M. B..., vingt-cinq ans, ha
e frayeur et, une heure environ après leur départ, elle fut prise d' attaques d'hystérie très violentes et très nettement car
rès violentes et très nettement caractérisées. Cette suc- cession d' attaques dura environ vingt-quatre heures, et la malade
variables, tous les mois, tous les mois et demi environ, par des attaques convulsives survenant brusquement pendant lesquel
la maintenir cou- chée ; l'arc de cercle fut nettement observé. Ces attaques d'hys- térie se terminaient par une salivation
éi-ogdize très limitée, dont le moindre attouchement provoquait une attaque convulsive.-Les mouvements limités d'abord au t
ps qui était agité par des secousses cloniques très énergiques. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 101 Un jour, la malade p
tion spinale. Cette trépidation ne tarde pas à se généraliser à DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 103 l'autre membre inf
ns- nous dit, considérablement dans l'étude symptomatologique des attaques de sommeil, mais, avant d'entreprendre de les d
rement relatives à l'étiologie toute spéciale de cette variété de l' attaque hystérique. Nous ne nous arrêterons que fort pe
famille neuro-pathologique ' et, en ce qui regarde spécialement les attaques de sommeil, la lecture des nombreuses observati
ersonnels du sujet nous devons préciser la date de l'apparition des attaques de sommeil par rapport aux autres accidents hys
eloppés chez le même individu. En un mot, quelle place occupent les attaques de sommeil au milieu de l'apparition et du déve
ne autre qui lui confine de bien près : quelle est la fréquence des attaques de sommeil relativement aux autres variétés de
uence des attaques de sommeil relativement aux autres variétés de l' attaque hystéro-épileptique ou aux phénomènes nerveux d
st importante à préciser surtout t lorsque l'on envisage la forme d' attaque de sommeil plus par- ticulièrement désignée sou
ans les maladies du système nerveux. Th. agrég., Paris, 1886. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 105 pelé, ainsi quelefai
et celles-ci lui apprennent que le sujet souffre ordinaire- ment d' attaques convulsives dont la description le met immé- di
s par les divers auteurs qui se sont occupés de la question que les attaques de sommeil sont très rarement les premières en
utres; nous voulons parler des phé- nomènes convulsifs de la grande attaque qui si souvent pré- cèdent, lorsqu'ils ne s'y m
taque qui si souvent pré- cèdent, lorsqu'ils ne s'y mêlent pas, les attaques de sommeil. « Le plus ordinairement, dit Brique
it Briquet (p. 416), le sommeil hystérique n'arrive qu'à la fin des attaques de convulsions. » « Le sommeil hystérique, dit
e convulsions. » « Le sommeil hystérique, dit M. Charcot ', est une attaque hystéro-épileptique modifiée. » Aussi M. P. Ric
me nous l'avons noté ces accidents sous la rubrique : «Variété de l' attaque par immixti- tion de phénomènes léthargiques »,
mènes léthargiques », ajoutant plus loin (p. 260) : «En résumé, les attaques de sommeil hystérique sont souvent ' Lezioni cl
ifs pouvant être rapportés aux deux premières périodes de la grande attaque . » Néanmoins, comme on le sait, les phénomènes
oniques ne constituent que les deux premières périodes de la grande attaque . Or il est assez souvent donné d'observer chez
primitif d'emblée, survient souvent, non pas consécutivement à une attaque isolée, mais bien plutôt à une série d'attaques
onsécutivement à une attaque isolée, mais bien plutôt à une série d' attaques dont les symptômes fréquemment frustes empièten
nvulsifs, signalés par P. Richer, et nous pourrons conclure que les attaques de sommeil ne sont que très rarement le symptôm
l'étude de la seconde question. Quelle est la fréquence absolue des attaques de sommeil, comme symp- tôme dominant, par rapp
sté- riques ou mieux par rapport aux autres variétés de la grande attaque . « Les attaques de sommeil sontpeu communes »,
mieux par rapport aux autres variétés de la grande attaque. « Les attaques de sommeil sontpeu communes », dit Briquet DES
ue. « Les attaques de sommeil sontpeu communes », dit Briquet DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. '107 (p. 148), qui, sur
sur 420 malades, a seulement relevé « trois cas d'hystérie avec des attaques consistant en un véritable som- merl cinq cas d
e avec des attaques consistant en un véritable som- merl cinq cas d' attaques comateuses et huit de véritable léthargie. L'
us ne voulons pas assimiler les syncopes du petitmal hystérique aux attaques de sommeil, mais enfin, lorsque Lan- douzy écri
ons-nous avec lui, en ne considérant que la forme particulière de l' attaque de sommeil qu'il a étudiée : z L'apoplexie hyst
Tare héréditaire. A la suite d'excès de boissons, vertiges, puis attaques épileptiformes, agoraphobie, accès de delirium
ion de lettrés. Désordre dans les idées, agitation, excitation. Une attaque épileptiforme débutant par la rotation de la tète
ilep- tique alternant avec des accès épileptiformes ou de grandes attaques épileptoïdes. Gangrène spontanée de tous les orte
son observation : c'est la suppression momentanée (six mois) des attaques d'hystérie et des vomissements, par la suggestion
seconde série deconvulsionssui- vies d'hémiplégie gauche. D'autres attaques portèrent surtout sur' la moi- tié droite du co
s, rétrécis- sement du champ visuel , troubles sensoriels divers, attaques , qui devront, par suite, toujours être recher-
urs ; tisserand, sobre. - Mère, morte à soixante-douze ans, d'une attaque d'apoplexie. Pas de détails sur les grands-parent
e. ' Observation XXXVII. Mère, nerveuse. - Grand'mère maternelle, attaques de nerfs, somnambulisme, migraines. Conception
ernelle. - Oncle paternel, mort de convulsions. - Tante paternelle, attaques de nerfs tt insuffisance intellectuelle. Grand'
verre d'eau qu'on lui présente, se raidit de tous les membres, et l' attaque se complète. - Le fils d'un médecin, pris à tab
couvrira, d'après Kahlbaum, très souvent au début de la maladie des attaques épileptiformes ou d'autres manifestations de cr
s épileptiformes ou d'autres manifestations de crampes arrivant par attaques . Puis ces états devenus durables atteignent leu
nt du terrain sur lequel elle peut se développer. (A suivre.) DES ATTAQUES DU SOMMEIL HYSTÉRIQUE3; Par GILLES DE LA TOURET
ier% eux. III. Il nous faut désormais aborder la description de l' attaque de sommeil hystérique, et nous englobons sous c
. Ne/'v. Bd. XIII, H. 2. 1882.) 3 Voir t. XV, 11 - S3, p. 92. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSrÉRIOUE. ? 6ï tion les cas où la
ces phénomènes priment tous les autres symptômes ordinaires de l' attaque . Mais, par ce fait même que le cadre est large-
enir ultérieurement sur diverses variétés, par- ticulièrement sur l' attaque dite apoplectique, surtout lorsque celle-ci s'a
tir, assez variables. Souvent, l'individu s'endort à la suite d'une attaque ou d'une série d'attaques convulsives; quelquef
vent, l'individu s'endort à la suite d'une attaque ou d'une série d' attaques convulsives; quelquefois, il est frappé soudain
important à considérer, surtout, lorsqu'on cherche à rapprocher ces attaques du sommeil phy- siologique. On sait que pendant
68 REVUE CRITIQUE. contracture, et les sujets qui sont en proie aux attaques de sommeil ne diffèrent pas des malades en butt
r le globe oculaire par l'air ambiant soit suffisant pour faire DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 269 entrer en contractur
équemment comme on le sait, dans les autres va- riétés de la grande attaque hystéro-épileptique. La respiration participe g
dans certains cas de mort ap- parente qui n'étaient autres que des attaques de sommeil hys- térique. Le pouls est égaleme
M. Charcot et M. Bourneville ont assigné à la température pendant l' attaque ou les séries d'attaques hystériques. « L'attaq
ille ont assigné à la température pendant l'attaque ou les séries d' attaques hystériques. « L'attaque hystérique tonique. di
érature pendant l'attaque ou les séries d'attaques hystériques. « L' attaque hystérique tonique. dit M. Charcot2, pour peu q
ntracture que nous avons notée, il ne faut donc pas s'étonner que l' attaque de sommeil se comporte, quoiqu'un pen plus faib
n plus faiblement peut-être, vis-à- vis de la température comme une attaque tonique d'hystérie. Connaissant l'état'de la re
nous supposons que l'individu ne reprend pas connaissance, queson attaque est continue et que partant, il ne peut s'aliment
s six semaines de sommeil, conservait encoreun certain embon- DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. : 2; i point, alors que
nutrition dépend encore des épiphénomènes qui peuvent entrecouper l' attaque : on comprend qu'a priori le malade qui dort sa
les documents nous manquent, car, aujourd'hui que le diagnostic des attaques de sommeil s'établit le plus souvent dès leur d
urtout plus concluant, d'examiner l'état des sécrétions pendant les attaques de som- meil même lorsque le sujet est alimenté
sulats positifs. Or il n'est pas donné d'obser- ver fréquemment des attaques de sommeil. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE.
t pas donné d'obser- ver fréquemment des attaques de sommeil. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 273 Ces recherches ont é
une malade du service de M. Charcot en proie depuis 28 heures à une attaque de sommeil accompagnée de contractures générali
l science », juillet 1887, p. 267, À case of prolonged sleep. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 575 j' mes d'urine, ce q
peu si l'on songe que la malade n'avait uriné, depuis le début de l' attaque , ni volontairement ni invo- lontairement. L'ana
heures. Elle se réveilla du reste dans lajournée ne gardant de son attaque qu'un fort sentiment de lassitude. Nous l'avons
est très difficile d'être fixésurles diverses sécrétions pendant l' attaque de sommeil; toutefois elles nous paraissent ral
st du reste l'opinion admise par M. Charcot dans ses Leçons sur les attaques de sommeil'. Nous venons de voir, par la lectur
'Albertine dans Pitres, Des zones hystérogènes et hypno- gènes; des attaques de sommeil. Bordeaux 1885, p. 58. 276 REVUE CRI
générale, rappelons- nous que, très fréquemment, longtemps avant l' attaque , les hystériques présentent presque toujours de
e médico-légal, in-8°, 1887, chap. vu, Les états hystériques. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 277 -i entre le genou et
les malades sortant le plus souvent de leur sommeil, à l'aide d'une attaque convulsive, comme ils y sont entrés du reste, o
y sont entrés du reste, on aura donc tout'intérêt à provoquer cette attaque et la connaissance d'une de ces zones deviendra
endra capitale. Ces zones pouvaient exister avant l'apparition de l' attaque de sommeil, mais elles peuvent aussi se dévelop
ciable. Ces zones hystérogènes ont été expressément notées dans l' attaque de sommeil par M. Charcot, ainsi qu'on en pourra
s citons textuellement : « 23 juin 1879. - D... s'est endormie sans attaques , le-20, à 10 heures du soir. Elle dort encore c
in gauche (zone hystérogène) M. Char- cot provoque qua ! re petites attaques ; après la dernièreD... est réveilée. « ... 3
raideur des membres, pas de cata- lepsie. Elle est réveillée, sans attaques , par la pression sous- mammaire. D Nous avons
que les zones hystérogènes pouvaient exister avantl'apparition de l' attaque ; nous répéterons qu'elles peuvent disparaître p
pigastrique une zonehypé- résique, dont la pression déterminait des attaques convulsives. Au bout de trois ans et demi cette
decette zone ou d'aucune autre de même nature. Du reste, pendant l' attaque de sommeil, l'hystérie ne perd nullement ses dr
es nous aurons à revenir en traitant du diagnostic différentiel des attaques de sommeil, M. Achard nous dit (p. 92) : « Il e
de la pilocarpine. (Journal de thérapeutique, 1880, p. 241.) DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE, 279 est totale; la malad
enant l'étude de l'élai men lai et de ses modifi- cations pendant l' attaque : ici les malades doivent être groupés sous plu
tain nombre - et ce sont peut-être les plus nombreux qui, lorsque l' attaque a duré longtemps sans interruption, disent ne s
début de l'accès. Il en est d'autres qui font pour ainsi dire leurs attaques de sommeil comme ils feraient une attaque ordin
nt pour ainsi dire leurs attaques de sommeil comme ils feraient une attaque ordinaire d'hystéro- épilepsie aux quatre pério
. 280 REVUE CRITIQUE. l'appui des rapports qui existent entre les attaques de léthargie hystérique et celles de léthargie
l'ouïe. « Une de ces malades, dit-il (p. 423), celle qui avait eu l' attaque la plus forte, a déclaré que pendant son sommei
lico, ipnotismo spontaneo, aulononzo. Na- ples, 188fi, p. 42. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 281 pour m'embrasser et
sujet particulier en faisant ressortir l'intérêt que présentent les attaques de sommeil au point de vue médico-légal. 28 ? .
ement abolie pendant un certain temps tout au moins. La durée des attaques de sommeil est éminemment variable; elle s'éten
ée relative et la durée absolue. Il est rare, avons-nous dit, que l' attaque , lorsqu'elle se pro- longe, ne s'entremêle pas
hénomène, il se rendort. La durée relative comprend l'ensemble de l' attaque , épiphénomènes inclus ; la durée absolue compre
urvient une crise, on peut dire rationnellement que c'est une autre attaque de sommeil qui va commencer. Les auteurs, avec
e 31 mai 1883. C'est du reste, à notre connaissance, la plus longue attaque de sommeil qui ait été observée, et dans la cir
nterrompue de la connaissance. , En dehors de ce cas, on a noté des attaques de 2, 3, i, 5, 6, 8 jours (Briquet); cent heure
se in centralblatt sur klinische mettent.; 1885, n" 15, p. 775. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 283 trois semaines (Gair
uentes et nous considérons ici les cas où les rémissions entre deux attaques sont assez longues pour qu'on ne se trouve plus
ique. On sait en effet que l'hysté- rique fait presque toujours ses attaques dans le même moule et une première attaque de s
it presque toujours ses attaques dans le même moule et une première attaque de sommeil reste bien rarement isolée. « Chez
ment isolée. « Chez une malade cependant, dit Briquet (p. 422), l' attaque léthargique a paru avoir épuisé la source des a
l'amélioration d'une manière notable, et il n'est plus sur- venu d' attaques d'aucune espèce.» Il est vrai qu'il écrit immédia
ai qu'il écrit immédia- tement au-dessus : « Il n'y avait eu qu'une attaque chez trois ma- lades ; il y en avait eu deux à
alade, depuis 1870, n'a pas passé d'années sans avoir au moins deux attaques , dont quelques-unes ont duré de quarante à cinq
s-unes ont duré de quarante à cinquante jours. Comment se termine l' attaque de sommeil ? comment le malade sort-il du somme
emment du sommeil hystérique comme ils y sont entrés, par une autre attaque , / le plus souvent d'ordre convulsif. Y Nous
d'une zone hystérogène faisait cesser le sommeil en provoquant une attaque . Assez souvent, en outre, ce fait est fréquemme
aque. Assez souvent, en outre, ce fait est fréquemment noté - cette attaque prend le caractère 284 -il REVUE CRITIQUÉ. 'd
ent avoir donné la note exacte : « Tantôt, disent-ils (p. 139), l' attaque de sommeil se termine par une attaque convulsiv
antôt, disent-ils (p. 139), l'attaque de sommeil se termine par une attaque convulsive ou bien par des lèves, des pleurs, de
e plus en plus rapprochés annoncent chez H... (Cas. XI) la fin de l' attaque de sommeil. Dans ce cas aussi il se produit un
es phénomènes convulsifs ne laissant aucun doute sur la nature de l' attaque . L'attaque de sommeil peut laisser après elle o
convulsifs ne laissant aucun doute sur la nature de l'attaque. L' attaque de sommeil peut laisser après elle ou favoriser
- tériques ; en cela elle ne diffère pas des autres variétés de l' attaque et nous venons de dire que c'était souvent les co
oute une série de faits étudiés par M. Achard, le sujet sort de son attaque hémiplégique et hémianesthésique sensi- tivo-se
es. Nous insistons 1 Progrès médical, 25 janvier 1879, p. 61. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTERIQUE. 283 cependant, sur la co
ur la face et sur les membres. Quel est maintenant le pronostic des attaques de sommeil ? Il est facile à formuler : ainsi q
Il est facile à formuler : ainsi que toutes les autres variétés, l' attaque de sommeil peut laisser après elle nombre d'accid
i. Louyer-Villermay (1816) place, ainsi que nous l'avons dit, les attaques de sommeil hystérique dans sa troisième classe,
voir parlé de la mort apparente, dit nettement : « Tantôt, enfin, l' attaque est réellement suivie de mort. » Briquet, plus
ubliés, cela ne l'empêche pas de dire (p. 427) : « Le pronostic des attaques soporeuses n'est pas aussi grave que les appare
n'est pas aussi grave que les apparences le feraient craindre. Ces attaques se termi- nent toujours spontanément, et. tant
oute (p. 538) dans le chapitre où il traite des terminai- sons de l' attaque hystérique en général : « Les fortes syncopes e
ependant un cas récent dans lequel la mort survint à la suite d'une attaque syncopale, aussi, vu sa rareté, ce fait mérite-
ion de l'amblyopie, J... présente un matin tous les symptômes d'une attaque d'apoplexie céré- orale, à savoir : hémiplégie
ique avec autopsie : Annales méd. 1,3ych., mars 1887, p. 25t. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 128-1 i lade mourut de p
a mort survint par suite d'une tuberculose pul monaire à laquelle l' attaque par la dénutrition qu'elle avait amenée n'avait
ent le réveil sont les seuls points sombres dans le pro- nostic des attaques de sommeil. IV. I. Si le pronostic des attaqu
pro- nostic des attaques de sommeil. IV. I. Si le pronostic des attaques de sommeil hystérique est facile à établir, il
s vu combien l'Ecole de la Salpêtrière avait fait pour l'étude de l' attaque hystéro-épileptiqueen général etpour celle de l
'étude de l'attaque hystéro-épileptiqueen général etpour celle de l' attaque de sommeil en particulier. Il est en effet un g
and nombre d'affections dont les mani- festations peuvent simuler l' attaque de sommeil, de léthargie, de coma hystérique, c
ue, nous distinguerons deux groupes de faits : ceux dans lesquels l' attaque de sommeil se présente sous la forme apoplectiq
à dire quelques mots complémentaires sur la forme apoplectique de l' attaque de sommeil récemment bien étudiée par MM. Debov
la description générale, elle se confond, nous l'avons dit, avec l' attaque de sommeil- type, celle que nous avons eue surt
n. Le début semble soudain et, dans les cas accentués, le ma- DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 289 lade paraît plongé d
ie. Or, si nous nous reportons au pronostic relativement bénin de l' attaque de sommeil et si nous songeons à la gravité ext
e d'une lésion cérébrale : hémorrhagie, ramollissement, tu- meur, attaques apoplectiformes de la paralysie générale, etc.
écédents sera toujours d'un précieux secours et nous sa- vons que l' attaque de sommeil n'est que très rarement la pre- mièr
xclusive de Sydenham, qu'il cite en ces termes : « Quand l'hystérie attaque le cerveau, elle produit quelquefois une apople
e contestation. On peut en effet poser la règle suivante : dans l' attaque de sommeil, la température reste normale ou s'é
ions du cerveau : hémor- rhagie, ramollissement, tumeurs ; dans les attaques apoplec- tiformes de la paralysie générale ou d
. A rapprocher de cette hypothermie celle que l'on observe dans les attaques d'urémie comateuse (Bourneville). , On peut d
affirmer presque à coup sûr que l'on se trouve en présence d'une attaque de sommeil. De même, pendant cette période, les
objecter que, lorsque le malade est ré- veillé, le diagnostic de l' attaque de sommeil est parfaitement t inutile, mais il
insi, car ne nous faudra-t-il pas établir encore si, dans ce cas, l' attaque apoplectiforme de la veille qui a laissé l'hémipl
exister de la contrac- ture ; ce phénomène n'est pas rare dans les attaques de som- DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. et
ture ; ce phénomène n'est pas rare dans les attaques de som- DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. et 1 meil et dans l'hémi
cérébrale. (A¡'cltives de physiologie, t. VIII, 1876, p. 764.) DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 293 des cas dans lesquel
d'une lésion centrale. Pour terminer, nous ne confondrons pas les attaques de thargie hystérique avec les attaques provoqu
nous ne confondrons pas les attaques de thargie hystérique avec les attaques provoquées de la léthargie hypnotique. Si la no
r en revue, sont de beau- coup ceux qui pourront en imposer par une attaque de sommeil. Ces faits sont du reste fort intére
, ipnotismo sponlaneo, aufonomo. - Naples, 1886, p. 2 Î.- ' - DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 295 Ea premier lieu, nou
comme toujours, mais le sommeil n'est plus accompagné ou suivi d' attaques convulsives ou d'autres accidents hystériques. Il
élirants hysté- riques (cas de Martinenq) peuvent être sujets à des attaques de sommeil. En 1869, M. Legrand du Saulle pub
livetti. Il letargo ela mania possono coesisteoe. -Turin, 1869. DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 297 1 en dehors même des
ant exclusivement à la question du diagnostic différentiel avec les attaques de sommeil hystérique, nous n'avons pas à nous
s observations2. Ne pourrait-on pas alors observer la coexistence d' attaques de sommeil hystérique ? A cela, et sans vouloir
quarante-huit à soixante- huit heures, mais dans une des dernières attaques , elle fut prise pour morte; déjà enterrée le fo
ans la suite, et on l'appela la belle Juive ressuscitée. Enfin, une attaque de léthargie hystérique peut-elle être si- mulé
pâle, mais la respiration et le pouls étaient normaux. On lui DES ATTAQUES DE SOMMEIL HYSTÉRIQUE. 299 donna des oeufs avec
terait à présenter quelques considérations métlico- légales sur les attaques de sommeil. C'est un sujet que nous avons déjà
éminent maître, M. le professeur Brouardel', qu'une hysté- rique à attaques de sommeil put accuser faussement un indi- vidu
ment qu'ils compor- taient. Quel traitement doit-on appliquer aux attaques de sommeil ? « La léthargie, dit Briquet (p. 70
p faiblement. » Nous ne serons pas aussi exclusif que Briquet ; l' attaque de sommeil, pour peu qu'elle se prolonge, est p
entraine. Or, sachant que la pression d'une zone hystérogène, par l' attaque convul- sive qu'elle amène, suffit parfois pour
diagnostic de tumeur avait contre lui : l'absence de vertiges et d' attaques épilep- tiformes ; il avait, au contraire, pour
re, jusque-là bien portant. Le 18 juillet 1884, à la suite de deux, attaques apoplectiformes, n'ayant pas laissé de paralysie
es de l'asile et lit volontiers. Dans la nuit du 15 au 16 novembre, attaque épileptiforme suivie d'aphasie qui, d'abord, co
uche; c'est la pachyméningite qui doit être tenue pour la cause des attaques et de j'aphasie. Impossible, comme en d'autres
Contribution à l'étude clinique des caractères somatiques fixes des attaques de sommeil spontané et provoquées chez les hystér
nstruation ; tendance facile au rire et aux larmes; n'a jamais eu d' attaques de nerfs, ni de perte de connaissance; ? ni- 35
ents héréditaires : Père mort à cinquante-neuf ans à la suite d'une attaque d'apoplexie; mère très nerveuse, âgée aujour- d
, des poussées d'eczéma à la face; elle affirme n'avoir jamais eu d' attaques couvulsives, mais elle avoue qu'elle est très n
is. Il y a quelques années la malade a eu, à diverses reprises, des attaques convulsives avec perle de connaissance. Ces crise
a malade est restée très impressionnable, mais elle n'a jamais eu d' attaques convulsives. L'hémiplégie de la face qui siège à
rtant. 31èi,e âgée aujour- d'hui de quarante ans; a fréquemment des attaques de nerfs; il y a trois uns elle présenta des tr
rs qui toutes sont très nerveuses; l'une d'elles (t fréquemment des attaques convulsives. Antécédents personnels : Rougeole
- plètement guérie. Depuis deux ans, le malade est en proie à des attaques hysléro- épileptiques qui reviennent environ to
nviron toutes les six semaines et se montrent toujours le soir. Ces attaques présentent les phases classiques de l'hystéro-é
tiques sont aussi très fréquents chez les hystériques en dehors des attaques de catalepsie et de l'état hypnotique. En effet
tion I. - L..., vingt-ans; a été élevé dans le service des enfants, attaques fréquentes d'épilepsie diurne et nocturne qui o
Morel2, Guislain, Griesinger3, Dagonet4). Si bien que «pour la même attaque de maladie il y a -quatre phases constitu- tive
colique, etc.), l'affaiblissement des facultés intellectuelles, les attaques apoplecliformes qui sont assez fréquentes dans la
x. J. CO1BY. XVI. DE QUELQUES PHÉNOMÈNES SURVENANT A LA SUITE DES ATTAQUES épileptiques ET APOPLECTIFOfIlLES; par J. Thoms
itation moteurs (corticaux) soit dans le stade postparoxystique des attaques con- gestives, soit dans les psychoses postépil
uite des accès épileptiques constitutionnels, mais encore après les attaques congestives apoplectiformes des paralyti- ques
aroles sans suite ; 5- obnubila- tions partielles, consécutives aux attaques congestives apoplecti- formes et aux accès d'ép
t ans et non à dix-huit ou vingt ans ; elle n'était pas sujette aux attaques de nerfs, comme on le prétend ; elle s'est trou
ans, qui depuis plusieurs années présente très irrégulièrement des attaques épileptiques. Les accès se montrent habituellem
a eu recours à une médication bro- murée, il n'aurait eu que trois attaques seulement. Il est d'un caractère très égal, bie
lement, en sus, parésie faciale à droite, et, à plusieurs reprises, attaques épilepti- formes avec trouble de la connaissanc
oi muscu- laire de l'abdomen du même côté. Elle succombe dans une attaque épileptiforme. Athéromasie des vaisseaux de la ba
olonie d' de Bel- f<JId), 327; - (phénomènes consé- cutifs aux attaques épileptiques et apoploctilbimes), par Thomsen,
e Ber- lin, 307, 471; (prix de la - de biologie), 335. Sommeil ( attaques de- hystérique), par Gilles de la Tourette, 93,
13 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ue (Sainte-Anne), le 23 février 1891. Sa mère, névropathe, a eu des attaques convulsives jusqu'à l'âge de dix-huit ans; il a
abli et cette singu- lière amnésie systématisée, survenue après une attaque , avait disparu. Permettez-moi de vous rappeler
a présenté des somnambulismes spontanés la nuit, puis de grandes attaques d'hystérie. Ce qui nous intéresse aujourd'hui, c'
érique, qui semblait jusque-là se porter assez bien, a une violente attaque . Quand la crise est finie, la ma- lade semble r
re une femme qui avait eu un accident de ce genre. A la suite d'une attaque survenue au mois de novembre, quelques jours av
pagnent la crise, certains états anormaux qui suivent quelquefois l' attaque semblent ne 1 Voir dans \' Automatisme psycholo
enue vers la fin du mois d'août dernier, Mme D... a eu une violente attaque que M. Charcot considère et à juste titre comme
iolente attaque que M. Charcot considère et à juste titre comme une attaque d'hystérie. Elle sortit de son attaque dans un
et à juste titre comme une attaque d'hystérie. Elle sortit de son attaque dans un état mental tout particulier : 1° elle
nnelle. Voici un autre cas plus complexe, Marguerite a de grandes attaques d'hystérie depuis deux ans et, à la suite de ces
e grandes attaques d'hystérie depuis deux ans et, à la suite de ces attaques , elle entre dans une sorte de somnambulisme ass
semble qu'il y ait là un oubli complet produit naturellement par l' attaque . Eh bien, il n'en est rien, on peut reproduire
ficiellement ce même état qui semblait faire partie intégrante de l' attaque et elle nous répétera minutieusement alors ce q
ne fille, Marguerite, avait des sortes de délires consécutifs à ses attaques d'hystérie. Avec plus de précision, elle a, à la
attaques d'hystérie. Avec plus de précision, elle a, à la fin de l' attaque , deux périodes de somnambulisme différentes. Dans
raconte ce qui s'est passé pendant le deuxième somnambulisme de son attaque et réciproquement dans cette période de l'attaq
nambulisme de son attaque et réciproquement dans cette période de l' attaque elle se souvient de ses som- nambulismes artifi
mer ce fait généralement admis aujourd'hui, que l'ancienneté des attaques épileptiques et l'apparition de la démen ce doive
ose n'est pas certaine, qu'u n grand-oncle paternel ait eu quelques attaques convulsives. ' Antécédents personnels. La gross
t très rapide- ment, mais trois mois après Ser... avait sa première attaque d'épilepsie. Voici son histoire à partir de c
e peut plus trouver à se placer, il tombe trop sou- vent. Enfin les attaques deviennent de plus en plus fréquentes et en mêm
ceptions lentes et diffuses. Parole lente mais bien articulée. Les attaques d'épilepsie sont violentes et surviennent irrégu-
ouze ou quinze jours envi- ron, une série de cinq, six et même sept attaques dans une journée. Le reste du temps, il tombait
lui arrivait même de rester quinze jours consécutifs sans une seule attaque . En somme, on pouvait estimer à une quinzaine e
En somme, on pouvait estimer à une quinzaine environ le nombre des attaques tous les mois. Sans être réellement ivrogne, Se
en trouvait l'occasion. A la suite de ces accès d'intempérance, les attaques devenaient plus fréquentes. ' Le malade étant
embre et ayant été trépané le 16 octobre, nous avons pu compter les attaques qu'il a eues pendant trente jours. Il en a eu d
journée, et avec un intervalle de neuf jours consécutifs exempts d' attaque . Ce résultat confirme assez bien l'exactitude d
ments fournis par la famille : pen- dant le mois, une série de cinq attaques dans un jour, un inter- valle de neuf jours san
nq attaques dans un jour, un inter- valle de neuf jours sans aucune attaque , et un nombre total de dix-huit attaques. On
e de neuf jours sans aucune attaque, et un nombre total de dix-huit attaques . On n'a jamais observé que des grandes attaques
total de dix-huit attaques. On n'a jamais observé que des grandes attaques convulsives, jamais de vertige. 11 n'y a pas d'
nance des mouvements convulsifs à droite ou à gauche. Au début de l' attaque , la tête s'incline légèrement à droite. Nous av
e sujet est en démence épileptique et il a une quinzaine de grandes attaques convulsives tous les mois. 1 Il nous paraît c
oisième à 38°,2, le quatrième à 38°,7. Ce jour-là, à la suite d'une attaque , il y eut un accès d'agitation maniaque intense q
t pendant les premiers jours qui la suivirent, il y eut une série d' attaques d'épilepsie : neuf le jour de l'opération, cinq
urbations produites dans la circulation cérébrale par cette série d' attaques . 60 RECUEIL DE FAITS. . Il y a maintenant tro
s mois que la trépanation a été pratiquée, voici la statistique des attaques pendant ce laps de temps : AUTOMATISME AMBULATO
rticale non homonyme, est le caractère de l'épilepsie en dehors des attaques , et de la criminalité congéniale. Il faut le ratt
iques et convulsions sont des complications défavorables. Plusieurs attaques de manie mettent l'intelligence en danger. P. K
chroniques, attribuées à l'influenza, elles existaient déjà avant l' attaque de grippe, bien qu'on ne les eût pas diagnostiqué
. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 77 baie, paraphasie, paragraphie. Attaques apoplectiformes suivies d'hémiplégie droite ou
n chancre mou dans la jeunesse (sans accidents syphilitiques), puis attaques d'épilepsie grave en 1889 (décembre) ; au début
e de faibles troubles de la parole sponta- née. 11 y a eu aussi une attaque d'aphasie transcorticale caracté- REVUE DE PATH
- tisme, et, après un sommeil léthargique, elle a été prise d'une attaque hystérique. Elle a de l'ovarie droite et la sensi
rte une série d'expériences faites sur un seul malade, à la suite d' attaques nocturnes sans mictions involontaires. On con
uand les malades avaient l'habitude d'uriner sous elles dans chaque attaque , nous avions soin, quand nous voulions expérime
ons une perte d'urine qui serait arrivée brusquement au moment de l' attaque . - Quand, d'autre part, les malades avaient un
part, les malades avaient un trouble mental prolongé à la suite des attaques nous avions soin de faire sonder nos malades to
de clonique d'un accès, l'urine de Sep..., dont voici le relevé des attaques dans les mois de septembre et d'octobre : 186
e 1650 grammes. IV). Le 2 octobre on injecte l'urine de Sep... sans attaques depuis quatre jours. Urines de une heure de l
té de 960 grammes. Coefficient : 0,189. N. B. - Sep... n'a pas eu d' attaques nouvelles dans la journée. VI). Le 14 octobre,
ques nouvelles dans la journée. VI). Le 14 octobre, Sep... est sans attaques depuis deux jours. Hier, dans la journée, elle
de l'accès, l'urine de Mon... Or, Mor..., le 11 septembre, a eu 2 attaques de jour; le 12 sep- tembre, une attaque de nuit
., le 11 septembre, a eu 2 attaques de jour; le 12 sep- tembre, une attaque de nuit. Elle n'a rien présenté les 13, 14, 15,
ier accès. Le 30, un accès de jour. Du 1er au 10 octobre, pas d' attaques ni de vertiges. L'urine prise pour comparer l'é
lie le 2 octobre. (Voir Mor..., 2e injection.) Le 10 octobre, une attaque de jour. Le 11 2 de nuit. Première injection.
ient urotoxique du 2 octobre, 0.45. URINES DE DEM... Relevé des attaques en septembre et octobre. 3 septembre. Une attaq
... Relevé des attaques en septembre et octobre. 3 septembre. Une attaque de nuit. . 4 - Deux de jour, un vertige de jour
- Deux de jour, un vertige de jour. 6 Un vertige de jour. 14 Une attaque de jour. 15 - Une 16 Une attaque de nuit. 2
6 Un vertige de jour. 14 Une attaque de jour. 15 - Une 16 Une attaque de nuit. 21 . Six accès de jour. 4 ? octobre.
16 Une attaque de nuit. 21 . Six accès de jour. 4 ? octobre. Une attaque de nuit. 2 Deux attaques de jour. 18 - Trois
21 . Six accès de jour. 4 ? octobre. Une attaque de nuit. 2 Deux attaques de jour. 18 - Trois de nuit. Voici d'autre pa
Voici d'autre part la totalité des urines du 3 au 13 octobre (pas d' attaques ). (Le 8 octobre manque, jour de sortie.) DE LA
mencé hier soir (se reporter au tableau). Dem... n'a pas eu d'autre attaque dans la journée, la série était terminée. L'u
ien remarqué d'anormal. Mais ce matin, vers 7 heures, elle a eu une attaque convulsive. A la visite, nous la trouvons toute t
artout; la langue est légèrement saburrale. Elle n'a eu que cette attaque dans la journée du 14 octobre. Le lendemain 15,
13 194 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Le cahier ne fait pas mention d' attaques , mais en interrogeant la surveillante on appren
och... a eu un grand accès. - 8 avril. Broch... a eu une dernière attaque dans la nuit du 4 au- 5 avril, vers 10 heures d
stiques. 4 ? avril. Gauth..., poids 46 kil. 500, a, le 30 mars, une attaque de jour, deux accès dans la nuit du 30 au 31.
tiformes. Respiration précipitée et superficielle; à 50, première attaque de secousses. Ce sont des convulsions toniques de
secousses isolées, agitation; A 196 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. 72, attaque de convulsions toniques. Exophtalmie intense etbr
ation n'est nettement accélérée qu'à ce moment. Mort à 77, dans une attaque de convulsions toxiques avec exor- bitisme brus
a été recueillie du 30 avril, 9 heures du matin, après la première attaque au leur (même heure). La surveillante m'affirme
ines d'accès. 29 mars. Eud..., 51 kil. 500. Le 27 mars Eud... a une attaque de jour le matin, on recueille.l'urine à partir
toxique : 0,294. , : Relevé des accès de Hug... · 4 avril. Une attaque complète de jour. ' ' 4 de nuit. 5 Trois atta
· 4 avril. Une attaque complète de jour. ' ' 4 de nuit. 5 Trois attaques complètes de jour. - 5 Une attaque complète de
our. ' ' 4 de nuit. 5 Trois attaques complètes de jour. - 5 Une attaque complète de nuit. Du 6 avril au 28. Délire. 3
attaque complète de nuit. Du 6 avril au 28. Délire. 30 avril. Une attaque complète de jour. le' mai. Deux attaques complè
28. Délire. 30 avril. Une attaque complète de jour. le' mai. Deux attaques complètes de jour. 2 - Une attaque complète de
mplète de jour. le' mai. Deux attaques complètes de jour. 2 - Une attaque complète de jour. 3 Deux attaques complètes de
aques complètes de jour. 2 - Une attaque complète de jour. 3 Deux attaques complètes de jour. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUS
prolongée, tra- vail après les repas) ou n'importe quel excès. L' attaque est essentiellement constituée par un scotôme, le
t dans le champ visuel ; quel- quefois encore le sujet croit déjà l' attaque passée, lorsqu'elle n'est simplement qu'atténué
s, ensuite d'arcs lumineux et vibrants ; une fois (dans la première attaque ), ces phénomènes dépassè- rent la ligne médiane
el que les a observés sur lui-même Dianoux, après avoir éprouvé des attaques com- plètes) consistent dans la sensation d'éti
ez ceux où la migraine fait défaut, ou elle a été remplacée par les attaques d'amblyopie transitoire, ces dernières présente
d nombre de sujets atteints de migraines périodiques n'ont jamais d' attaques d'amblyopie temporaire. Enfin, chez un même suj
éral, parfois encore la forme hémiopique. De quinze à vingt ans les attaques de migraine vulgaire avaient continué sans aucu
migraine à l'époque des règles, que quelques-unes seulement, de ces attaques périodiques soient accompagnées d'amblyopie tem
ransitoire. 209 Dans d'autres cas on a une seule, ou deux, ou trois attaques irrégulièrement espacées. La durée des accès es
igne de démarcation passait par le point de fixation. La · première attaque dura 10 à 12 minutes, et la seconde, surve-' '
par de l'am- blyopie transitoire, revêtant des formes diverses. Les attaques sont caractérisées par de l'obscurcissement de
des objets qui l'entouraient, de telle sorte que pendant une de ses attaques les plus fortes, elle nous racontait avoir salé
lques observations de Raullet (30 et 31). Les cas dans lesquels les attaques d'amblyopie transitoire sont accompagnés de ces
elle seule peut déjà présenter d'une façon transitoire, pendant les attaques convulsives, les troubles de la dysphasie et de
aigu agissant pour son propre compte, ou à la façon de l'aura d'une attaque convulsive (Babinski). Outre les prodrômes ordi
scotôme, comme en d'autres circonstances elle eut pu déterminer une attaque convulsive. Il est rare que, chez le même malad
er une attaque convulsive. Il est rare que, chez le même malade les attaques convulsives de l'hystérie et les attaques d'amb
chez le même malade les attaques convulsives de l'hystérie et les attaques d'amblyopie transitoire soient séparées, alternée
ture hystérique ? - Lorsque ces phénomènes constituent l'aura d'une attaque convulsive, le diagnostic s'impose. Lorsque l'a
mais dans trois de ces quatre observations, l'oeil, examiné après l' attaque ne présentait plus- qu'un rétrécissement con- c
est très fréquente chez les épileptiques. Très souvent, en effet, l' attaque épileptique laisse après elle un certain degré
nstituer une des formes du petit mal, c'est-à-dire en remplacer les attaques . Mais, ces rapports ont été mis en évidence, pl
ls troubles nerveux du malade, et c'est plus tard seulement que les attaques épi- leptiques se substituent ou alternent avec
a de très intéressantes, qui démontrent soit la substitution des attaques de migraine ophtalmique et d'épilepsie partielle
parer le syndrôme de l'amblyopie transitoire, de la migraine et des attaques épileptiques. Enfin, la nature épileptique du t
abétiques se déclarèrent à l'âge de trente-six ans après de longues attaques de migraine ophtalmique et d'épilepsie 222. CLI
ns recueillies dans le service de M. Charcot, dans les- quelles les attaques d'amblyopie transitoire figurent parmi les acci
psychiques, ce sont les mêmes que ceux qui accompagnent souvent les attaques mieux caractérisées d'amblyopie transi- toire,
nous dit le malade, je savais que c'était le prélude de la fin de l' attaque . En 1871, première attaque d'épilepsie complète
que c'était le prélude de la fin de l'attaque. En 1871, première attaque d'épilepsie complète (chute avec perte de conna
l y a à peu près quatre ans de cela) pendant une année sans avoir d' attaques ; puis, les attaques sont t revenues, et elles a
tre ans de cela) pendant une année sans avoir d'attaques; puis, les attaques sont t revenues, et elles apparaissent maintena
isation des mouvements convulsifs, la morsure de la langue. ' Les attaques avec perte de connaissance sont plus fréquentes q
erte de connaissance sont plus fréquentes que les autres. Après les attaques , mélancolie, plears, idées de suicide. Le malad
urait pas préciser, en ce qui concerne le scotôme dans le début des attaques d'épilepsie partielle; il se rappelle bien des
le bien des crises d'amblyopie transitoire dans l'intervalle de ses attaques , et il ajoute que parfois le scotôme a été pour
et il ajoute que parfois le scotôme a été pour lui l'annonce d'une attaque . Le malade nous dit, le 6 mai 1880, que depuis
s de février, à la suite du traitement subi, il n'a eu qu'une seule attaque épilep- tique avec perte de connaissance et pas
e temps en temps à la consultation. En résumé, on peut dire que les attaques épileptiques complètes ont été très rares, les
i Observation Il. Scotôme scintillant rudimentaire et migraines : attaques d'épilepsie partielle et d'épilepsie sensorielle.
externe de la Salpê- trière, 6 avril 1886). ' En 1878, premières attaques d'épilepsie partielle, qui se renouve- laient t
Il y a peu de temps la maladie a reparu subitement. Deux . sortes d' attaques : dans les plus légères il n'y a pas de perte de
AMBLYOPIE TRANSITOIRE. 225 dant la nuit, il perd connaissance ; les attaques ne sont pas précé- dées de céphalée et commence
recouvre immé- diatement sa motilité normale. , - A la suite des attaques il ressent pendant plusieurs heures encore une
matin). Peu de temps après (vers le mois de juillet 1878), première attaque d'épilepsie partielle au bras, droit, qui fut s
a Salpêtrière; 4 janvier 1881.) Rien durant son enfance. Première attaque d'épilepsie partielle à la seconde époque de se
perte de connaissance, pas de chute. - Dans ces derniers temps, les attaques sont devenues plus fréquentes (parfois tous les
s au creux épigastrique, comme chez les gens à petit mal. Après les attaques , lorsqu'elle se levait, embarras de la parole.
cès sont revenus depuis deux mois avec leur intensité première. Les attaques sur- viennent à peu près deux fois par semaine
ès, et ont eu une durée de deux à trois minutes, rarement plus. Les attaques d'am- blyopie temporaire, au début très rudimen
un mois, en sortant un matin dans la campagne «ouverte de neige, l' attaque d'amblyopie le saisit en même temps que l'engou
e quelques minules tout trouble disparut, et jusqu'à présent aucune attaque ne s'est repré- sentée. Examen ophtalmoscopique
x observations, le sujet avait été migraineux dans sa jeunesse, les attaques d'épilepsie partielle étaient accompa- gnées d'
ois mois avant qu'il ne vint à la consultation), il eut sa première attaque d'épilepsie partielle. Il se trouvait un jour d
ssentielle ne commence habituellement pas chez les adultes), ni les attaques d'une épilepsie bien complète (avec laquelle l'
psie par- tielle peut se combiner), ne nous rendraient compte des attaques d'épilepsie sensitivo-sensorielle accompagnée de
eur morte de la poitrine. . Depuis l'âge de dix ans, il a eu quatre attaques de rhumatisme aigu : la première à dix ans, dur
à vingt et un ans, à Valparaiso, pendant qu'il était marin ; cette attaque très intense, dura deux mois; les accidents car
tions à l'occasion des grands efforts et des fatigues. La quatrième attaque , à trente-quatre ans, en 1884, pendant la conva
eut deux mois de durée. - Depuis cette époque, nombre de petites attaques moins fortes que les précédentes, mais entraîna
proces- sus moteurs. Il enseignait aussi que les phénomènes d'une attaque épilepti- forme partielle et unilatérale, se mo
l'ouïe, de la vision, dénotent bien aussi l'origine corticale de l' attaque , et donnent de bonnes indications diagnostiques
vies d'une légère parésie et de la faiblesse de ces membres. Ces attaques commençaient et se terminaient par des convulsion
un module tuberculeux dont l'excision amena l'entière cessation des attaques . Dans bien d'autres circonstances, des résultat
e 15 décembre 1887, époque depuis laquelle le malade n'a eu que six attaques d'épilep- sie. Dans le second cas, opéré égalem
clut que la léthargie pure avec avec flaccidité des membres, et les attaques de sommeil qui com- prennent tous les éléments
e de variantes dans lesquelles on trouve les symptômes de la grande attaque à tous les degrés pos- sibles, depuis l'esquiss
ure sont les manifestations du même substratum pathologique que les attaques de sommeil complexes, exactement comme les form
sont les modes de manifestation de la même névrose qui préside aux attaques d'épilepsie-type. P. K. XXXI. Des paralysies
n sur un cas d'hystérie avec automatisme dans la période d'aura des attaques ; variations spon- tanées de la sensibilité et s
atisme. Il s'agit d'un jeune homme de dix-neuf ans, hystérique avec attaques . Ces attaques présentent cette parti - cularité
git d'un jeune homme de dix-neuf ans, hystérique avec attaques. Ces attaques présentent cette parti - cularité assez intéres
plusieurs jours, allant en s'augmentant jusqu'à la production de l' attaque dont elles cons- tituent en quelque sorte la pé
triste, craint de devenir fou, de mourir, a des idées de suicide. L' attaque survient presque classique, phase épilep- toïde
se rétrécir de 30 ou 40 pour revenir ensuite à la nor- male après l' attaque . M. Séglas présente, à ce propos, quelques con-
um; 5 de ces malades ont béné- ficié du traitement, 2 ont eu plus d' attaques . Les doses ont été de 4 à 10 grammes. La toléra
sonde et chez laquelle le passage de cet instrument provoquait des attaques convulsives. Le prochain Congrès annuel des Méd
était mort, jusqu'à 1 heure de l'après-midi. A la suite de cette attaque , les pieds se rentrèrent en dedans (lalipes equ
. Vers trois semaines, six semaines, trois mois, il eut plu- sieurs attaques de convulsions. A l'âge de douze mois, il était t
pro- venant de la mauvaise circulation du sang. L'enfant a eu des attaques provenant de ce mauvais état de circulation, mais
précipitée pendant un moment et qu'il eut en même temps une légère attaque visible de convulsions. On constata un tremblem
les employer à propos. A treize mois, rougeole. A quinze mois, deux attaques distinctes de convulsions, sans paralysie. D'au
, deux attaques distinctes de convulsions, sans paralysie. D'autres attaques se déclarèrent à vingt-deux et vingt-neuf mois;
clarèrent à vingt-deux et vingt-neuf mois; aucune depuis. Après ces attaques elle devint plus idiote ; elle oublia son petit
e pousse la malade et semblable au cri encéphalique qui précède une attaque d'épilepsie. La tête est petite et en forme de
soeurs, émotive, a présenté au huitième mois d'une grossesse, une attaque d'éclampsie. Dans son enfance, Marie est intellig
s gauche. En septembre de la même année, se mani- festa la première attaque épileptiforme constituée comme il suit : lme Gi
mouvement; les doigts de la main étaient contractés en extension. L' attaque ne s'accom- pagna pas de la perte de la sensibi
perte de la sensibilité; elle dura une dizaine de minutes; après l' attaque Ai ? Gi... se sentit un peu faible, mais elle r
ouvoir parler parce que, dit-elle, sa langue était enflée. D'autres attaques semblables à celle-ci se répétèrent deux ou trois
qu'elle voulait dire, mais elle ne pouvait pas les prononcer; ces attaques d'aphasie motrice se répétèrent jusqu'en 1891. El
travail quelconque, fut obligée d'entrer à la Salpêtrière. Ici les attaques qui ont été décrites se continuèrent. Après que
rites se continuèrent. Après quelques jours s'y ajoutèrent d'autres attaques à type h3·stéro-épileptiqire. Celles-ci survena
e en oubliant tout ce qui s'était passé. En mai 1890, les grandes attaques disparurent, la santé de l'hystérie ET LES mala
n'ont jamais été accompagnés ni suivis d'aphasie motrice. Outre ces attaques elle en présente d'autres à type hystéro- épile
se réveiller pur la comptes- sion. ' Pour ce qui est des grandes attaques , elles sont devenues très rares (une fois tous
rique, démontrée chez Gill.... par ses stigmates et par ses grandes attaques , ne s'opposait pas à cette manière de voir, car
ttaques, ne s'opposait pas à cette manière de voir, car les grandes attaques hystériques et les crises épileptiformes se man
uin 1880. Rizu. Surdimutité hystérique chez l'homme succédant à des attaques de périodicité annuelle. {Bulletin de la Sociét
able, que deux de ses nièces, filles de la soeur obèse, soutirent d' attaques hystériques Antécédents PERSONNELS.- Cha..., da
ua comme cela jus- qu'en 1886. Ce fut en mai de cette année que les attaques consti- tuées jusqu'à ce moment par la diplopie
rend parfaitement la conscience en se sentant beaucoup fatigué. Des attaques sem- blables à celles-ci se sont reproduites ju
tères. Cependant il est intéressant de noter que de temps à autre l' attaque est précédée soit d'un léger trem- blement du b
sante; il parait qu'une telle idée occupe son esprit même pendant l' attaque , en effet depuis quelque temps (et c'est là le
là le phénomène auquel nous faisions allusion plus haut), pendant l' attaque il sort brusquement du lit en se diri- geantver
la morsure de la langue, qui arrivait constamment dans toutes les attaques . Or, on sait que c'est là un phénomène presque
caractéristique de l'épilepsie, mais il peut arriver aussi dans l' attaque hystérique ; M. Charcot l'a observé quelquefois.
céphaliques d'une sclérose en plaques au commencement ? Ebauchess d' attaque hystérique ? La dernière hypothèse nous paraît
logique de les inter- préter comme une forme pas encore complète d' attaques hys- tériques. d). En 1886, enfin, des attaqu
encore complète d'attaques hys- tériques. d). En 1886, enfin, des attaques convulsives éclatent et persistent jusqu'à prés
re aux phénomènes antécédents de façon à dessiner graduellement une attaque toujours plus complète. 3° Les attaques actue
dessiner graduellement une attaque toujours plus complète. 3° Les attaques actuelles sont donc pour ainsi dire le résumé d
illance a été poussée jusqu'à la perte de la conscience, et voilà l' attaque constituée. Or, pourrions-nous logiquement reni
mor- sure de la langue. Ceci du reste peut se rencontrer dans les attaques hystériques ; notre éminent maître en a observé d
nterprété comme un délire d'ac- tion, et sa manifestation pendant l' attaque et dans l'état d'in- conscience parfaite tient
ue et dans l'état d'in- conscience parfaite tient plus de la grande attaque hystérique que de l'épileptique. Il faut noter
l'épileptique. Il faut noter encore que jamais le malade pendant l' attaque n'a uriné sous lui, comme il arrive d'ordi- nai
uze jours), et pen- dant cette période le malade n'a pas présenté d' attaques . En outre, la forme du rétrécissement est très
elques minutes la crise prit fin, enlaissant B... très fatigué. Des attaques semblables à celle-ci se répétèrent pendant trois
une intensité plus grande; dans une journée il présente vingt-huit attaques convulsives; il entre alors à la Salpêtrière, i
nd son métier; après huit mois de bonne santé, une nouvelle série d' attaques se représente; il rentre alors pour la deuxième
onne santé le 11 février. Au commencement d'avril, nouvelle série d' attaques , il rentre à la Charité où on le traite par l'h
ien jus- qu'au 29 mai ; ce jour-là, à 5 heures du matin, une de ses attaques ordinaires le prit. A la fin de l'attaque le br
res du matin, une de ses attaques ordinaires le prit. A la fin de l' attaque le bras et la jambe gauche étaient complètement
; le sens musculaire est aboli, B... ne sent pas ses membres. A ces attaques s'en ajoutèrent seize à de brefs intervalles, d
e à de brefs intervalles, dans la même journée. Après la der- nière attaque , qui survint le soir à huit heures, il ressentit
de son lit. 412 PATHOLOGIE NERVEUSE. Le jour suivant, il eut deux attaques , une le matin à 8 heures et l'autre le soir. El
es ne furent pas suivies de paralysie. Le troisième jour il eut une attaque le matin à 5 heures, qui fut suivie de perte de
t suivie de perte de la connaissance, qui dura vingt minutes. Cette attaque ne fut pas suivie non plus de paralysie des membr
aux premiers jours de juillet. Dans cette période il a présenté des attaques en tout semblables aux dernières. Il est à rema
taques en tout semblables aux dernières. Il est à remarquer que ces attaques lui survinrent dans deux nuits successives à de
ssives à des journées passées par B... dans sa famille'. Dans ces attaques , pendant la phase comateuse, ses voisins de lit
as exagérés, mais le réflexe olécranien est absent à gauche. 2° L' attaque est toujours précédée par un aura psychique; le
toujours à l'éclat de foudre, à la suite duquel il eut la première attaque . Or, cette modalité de l'aura nous paraît bien
ec l'épilepsie. En outre de cela, pendant la période comateuse de l' attaque , Bar... crie : « Maman ! maman ! » comme s'il a
eviendrons sur ce point. 3° La paralysie survenue après la première attaque , dans la série qui s'est présentée à la fin de
résentée à la fin de mai, disparut complète- ment après la seizième attaque survenue le même jour. Or il est caractéristiqu
paralysies hystériques de se manifester et de disparaître après les attaques ; tandis qu'après les accès épileptiques, peuven
te, comme il est arrivé dans notre cas. 4° Dans la dernière série d' attaques , il est encore à remar- quer la particularité s
mani- feste pas de perte de la connaissance, et après la première attaque une paralysie suivit; le deuxième jour, après la
t déposer en faveur de l'hystérie. fin Il est à remarquer que les attaques ont toujours disparu après l'entrée de Bar... d
débutant par la main droite et suivies de perte de la connaissance ( attaques hystériques à forme d'épi- lepsie partielle). D
fit de se rappeler que le rêve de la foudre précède constamment les attaques et qu'il s'accompagne tou- jours d'une profonde
qui la suivent, l'on serait même tenté d'interpréter ceci comme une attaque émotion- nelle ; en effet l'angoisse précordial
l nous suffit d'avoir fait remarquer le rapport qu'il y a entre les attaques de Bar... et l'accident de la foudre. Ce rappor
utal jusqu'à frapper sa femme. Il y a deux ans, il eut une première attaque d'influenza qui se passa sans laisser de conséq
ictus apo- plectiforme suivi de troubles du langage écrit et parlé, attaques convulsives avec paralysie consécutive de la ja
a dans la même occasion nous parait avoir plutôt le caractère d'une attaque hystérique à forme syncopale que d'un ictus apo
ue la céphalée domina long- temps la scène; ce fut par elle que les attaques commencèrent. Maintenant, y a-t-il dans la cris
us rappelons, en effet, l'attitude des membres supérieurs pendant l' attaque ; le bras en forte adduction, l'avant-bras, les
rsistait depuis plusieurs mois. C'était lui qui donnait origine à l' attaque , son image devait occuper l'état psychique de F
isparu; bien souvent, chez les épileptiques et les hystériques, les attaques sont précédées par des visions colorées, des sc
n'importe quelle forme d'amblyopie, constituent à eux seuls toute l' attaque . Ce fait nous indique la raison du nom de migra
mple frappant chez les épileptiques, où l'amblyopie qui succède aux attaques et s'efface d'ordinaire assez rapidement, peut
(hémi- anopsie fugace du côté hémiplégie dans presque toutes les attaques d'apoplexie) et avec les expériences de Hitzig, M
re (soit simple, soit accompagnée) s'alterne ou se confond avec les attaques migraineuses ou autres trou- bles nerveux. -
sensation de tension dans l'oeil, qui pourraient faire songer à une attaque de glaucome (Dia- noux). Les troubles visuels
raine est souvent suivi de nausées et vomisse- ments. La durée de l' attaque varie le plus souvent entre un quart d'heure et
des vieillards, où le plus souvent le trouble visuel a remplacé les attaques migraineuses. L'affection est ainsi plus fréque
si chez le même sujet aux différentes époques de sa vie. Tantôt les attaques reviennent périodiquement toutes les semaines,
de l'épilepsie partielle survienne encore, que quelque symptôme des attaques reste permanent, que ces attaques peuvent marqu
encore, que quelque symptôme des attaques reste permanent, que ces attaques peuvent marquer le début de la paralysie généra
érie, neurasthénie, épi- lepsie, dyspepsie, anémie etc...) dont ces attaques tirent leur origine. Il faudra, en outre, en
dose de 2 à 6 grammes (pris en une ou deux fois) pourra éviter l' attaque de migraine ophtalmique, lorsque le malade en pré
On constate très souvent des phénomènes de ce genre pen- dant les attaques d'hystérie. C'est là un fait d'observation dans
es se ressemblent, car, presque toujours, toutes les péripéties des attaques de ce genre reproduisent ainsi un incident de l
e, par cet animal, et qu'elle parait repro- duire son cri pendant l' attaque ; elle ne fait pas un geste qui n'ait une raison
ublié les divers accidents hystériques, con- tracture, oedème bleu, attaques qui l'ont amenée à l'hôpital et vous pouvez vér
lles. Chez elles, en effet, ces idées, dont je vous ai parlé, ces attaques , ces rêves, ces mouvements sont involontaires et
peut plus s'arrêter. C'est un délire, c'est une anorexie, c'est une attaque . « Quand j'ai commencé quelque chose, disaitune
adies; d'un côté l'hystérie avec ses anesthésies, ses amnésies, ses attaques et sa suggestibilité; de l'autre le délire des
la distraction et de l'anesthésie, du doute et de l'amnésie, des attaques , des idées fixes et de l'aboulie soit en proie à
éristique de cette maladie mentale aussi bien que l'anesthésie ou l' attaque . Retenons donc cette notion importante : le sym
oint, Un peu grâce àmoije le dis toutbas, elle se calme, n'a plus d' attaques , mange et dort, elle se renforcit, reprend ses
plus d'un point de vue et digne d'être rapporté en détail. Trois attaques d'apoplexie hystérique chez un homme de quarante-
poplexie. Grand'mère maternelle morte à soixante-dix-neuf ans d'une attaque de paralysie; mère morte à soixante-six ans de la
is. L'accident actuel est le troisième du même genre. La première attaque a eu lieu à Mustapha le 2 février 1890. Jus- qu
s leur intervalle. Pas de maux de tête, pas de ver- tiges, jamais d' attaque de nerfs. A cette date, comme il entraînait un
asse bien, mais les vertiges appa- raissent fréquemment. Deuxième attaque . - Le 11 mai, à Tonnerre, occupé à entraîner un
gérie qui sont des courses plates et de petit parcours. Troisième attaque . Il arrive à Blidah pour faires les courses de
malade pouvaient faire songer à la sclérose en plaques : vertiges, attaques apoplecti- formes, troubles oculaires, troubles
érique : battements dans les tempes, bourdonnements d'oreilles; les attaques apoplectiformes rentraient dans la descriptton de
Au point de vue étiologique, faisons remarquer que la pre- mière attaque est survenue à l'occasion d'un traumatisme. Ell
uleur de la nuque et des reins, troubles digestifs. Les deux autres attaques apoplectiques ne reconnaissent pas un traumatis
émis- phère droit, tout près de la pariétale ascendante. Une légère attaque d'hémiplégie, consécutive à l'opération, dispar
endroit un foyer de lepto-méningite. Calme consécutif, mais bientôt attaques syncopales et cortico-convul- sives. Administra
Des symptômes de lésions en foyer dans la paralysie géné- rale. Les attaques congestives tiennent souvent à des lésions en f
neuse d'Aïn-Fezza.- M. Hihig a montré comment dans bien des cas les attaques naturelles de sommeil peuvent être modi- fiées
Bassens. M. le Dr ONANOFF, vient de suc- comber, à Varsovie, d'une attaque de choléra. M. Onanoff, qui a longtemps travail
14 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
idiotes et imbéciles, propres et n'a- yant ni accès d'épilepsie, ni attaques d'hystérie. Or, dès l'ouverture de la maison, c
ent humiliés; dès lors, ils n'épargnaient à leurs compagnons ni les attaques ni les sarcasmes, et, lorsqu'ils étaient arrivé
ent point payé, pendant le trajet, par de largos représsailles, les attaques insen- sées dont ils avaient pu être l'objet !
mentale. Colère, gourmand, menteur. Stigmates hystériques. Première attaque à dix-sept ans. Attaques limitées à la phase ép
menteur. Stigmates hystériques. Première attaque à dix-sept ans. Attaques limitées à la phase épileptoïde. Aura. -- Elévati
ines depuis trois ans. Elle est encore parfai- tement réglée. Pas d' attaques de nerfs ; peu nerveuse; pas d'alcoo- lisme. Fa
n père ne le battait pas. Jusqu'au mois d'avril 1884 il n'eut pas d' attaques . Il quitta alors ses parents parce qu'il ne vou
it à Sainte-Anne depuis le 10 novembre, sa mère ne sait rien de ses attaques . L'affaiblissement qu'il présente dans la main
end ne pas se masturber, ou très rarement. 25 février. A la suite d' attaques répétées dans ces derniers jours, il présente u
érés de ce doigt. Depuis son entrée le malade a eu, en décembre, 39 attaques et 2 vertiges; eu janvier, 122 attaques et 3,08
alade a eu, en décembre, 39 attaques et 2 vertiges; eu janvier, 122 attaques et 3,087 vertiges; en février, 126 attaques et
rtiges; eu janvier, 122 attaques et 3,087 vertiges; en février, 126 attaques et 968 vertiges; en mars, 111 attaques et 245 v
87 vertiges; en février, 126 attaques et 968 vertiges; en mars, 111 attaques et 245 vertiges; en avril, 181 attaques et 440
968 vertiges; en mars, 111 attaques et 245 vertiges; en avril, 181 attaques et 440 vertiges; en mai, 249 attaques et 224 vert
t 245 vertiges; en avril, 181 attaques et 440 vertiges; en mai, 249 attaques et 224 vertiges; en juin, 93 attaques et 76 ver
et 440 vertiges; en mai, 249 attaques et 224 vertiges; en juin, 93 attaques et 76 vertiges. Depuis un mois il n'a plus d'at
en juin, 93 attaques et 76 vertiges. Depuis un mois il n'a plus d' attaques . Il n'est plus grossier, ne déchire plus ses habi
u, il donne à droite 12 et à gauche 32. 29 août. Le malade a eu une attaque vers 8 heures et demie, qui a duré un quart d'h
se l'expérience. 31. Le malade a été pris à 8 heures et demie d'une attaque qui a duré jusqu'à 10 h. 20. Il est repris à 10
ngé dans lequel le malade demande à boire. Il est 11 heures quand l' attaque prend d fin. La température rectale prise alors
prend d fin. La température rectale prise alors est de 38°, 8. L' attaque est classique. L'arc de cercle est très beau, sou
he sur le côté droit. Il est 11 h. 30. 12 octobre. A eu hier neuf attaques de 7 heures et demie à 10 heures et quart du so
r pour qu'il assiste à son mariage le lendemain. Elle a été prise d' attaques de nerfs à l'âge de quatorze ans, à la suite d'
douleurs dans le côté gauche de la face. Un mois après elle eut une attaque . Les attaques étaient quotidiennes et se produisa
le côté gauche de la face. Un mois après elle eut une attaque. Les attaques étaient quotidiennes et se produisaient cinq ou
ot, pendant deux ans. Après sa sortie elle eut encore deux ou trois attaques , et elle n'en a plus du tout depuis trois ans.
18 avril pour trois jours. Il refusait de rentrer. Il n'a pas eu d' attaques pendant son congé et a aidé sa mère dans son co
gé et a aidé sa mère dans son commerce. 4 mai. Le malade tombe en attaque à 7 heures et demie. Quand on arrive, il est pr
dans l'intérieur de la main, les doigts repliés sur les pouces. Ces attaques durent une quinzaine de secondes environ. Pas d
ent une quinzaine de secondes environ. Pas de cri initial. Durant l' attaque la tête est dans l'extension; le malade est pri
ieu. Le globe de l'oeil n'est certainement pas dévié en haut. Les attaques se succèdent presque sans intermittence. Au momen
uatre ou cinq minutes d'intervalle à peine. Après la dix-septième attaque le malade se réveille un peu et demande à boire
nouvelle crise. Le corps est fléchi en demi-cercle. La durée de ces attaques est d'une minute environ. La respiration est st
a respiration est stertoreuse et irrégulière. A 8 h. 20, nouvelle attaque d'une durée de trente secondes. A 8 h. 24, une
ière depuis le commencement de la série. A 8 h. 26, vingt et unième attaque . Arc de cercle et convulsions cloniques des membr
spiration est un peu haletante, le pouls est calme. 6. A eu trois attaques le matin. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRI
éthargique, avec insen- sibilité complète. Mis au lit il eut quatre attaques consécutives semblables aux premières décrites
elle rien de ce qui s'est passé hier.- A 10 h. 8, il est pris d'une attaque . Il devient raide, pousse un cri aigu, et est a
c rapidité de la respiration et gonflement des joues. Deux autres attaques épileptoïdes se succèdent bientôt. La pé- riode
oïdes se succèdent bientôt. La pé- riode de stertor de la troisième attaque est suivie tout d'un coup d'une attitude passio
versée en arrière, les yeux regardant au ciel et à droite. Nouvelle attaque .-La face grimace violemment, la bouche se tord
la bouche. Respiration précipitée, ronflante. A 10 h. 20 nouvelle attaque avec : 1° rigidité; 2° phase tétani- forme ; 3°
s; 4° stertor. A 10 h. et demie placé dans son lit il a une série d' attaques très violentes, toujours semblables aux précéde
précédentes. S'étant endormi il ne se réveille qu'à 3 heures et ses attaques le reprennent.-A 8 heures du soir il a de nouve
du soir il a de nouvelles secousses pen- dant 15 minutes, puis deux attaques d'une durée d'une minute, et revient à lui pres
rois jours et faisait les courses. Il croit n'avoir eu qu'une seule attaque depuis sa sortie, sur le boulevard Voltaire. Il
ile clinique sur le certificat du Dr Garnier portant : c Epilepsie, attaques graves et fréquentes, affaiblissement intellect
iron trente secondes. Il assure que les vertiges viennent avant les attaques et l'avertissent. 11. - Les attaques ont commen
vertiges viennent avant les attaques et l'avertissent. 11. - Les attaques ont commencé à 9 heures, épileptiformes seu- le
es couleurs, la dis- parition des points douloureux, de l'aura de l' attaque et par suite de l'attaque. On le réveille en lu
ion des points douloureux, de l'aura de l'attaque et par suite de l' attaque . On le réveille en lui soufflant sur les yeux. Un
aire et il empêche les autres de travailler. 4 ? octobre. Série d' attaques depuis hier. Il est assez fatigué ce matin, et
stions. Il a eu deux accès ce matin. T. R. 37°,8. 4. Il a eu onze attaques depuis hier. Il est abruti; répond mal aux ques
en a plus après 9 heures et demie. Aura. Quelques minutes avant l' attaque le malade dit avoir des étourdissements, voir n
tait et qu'il allait se masturber dans les cabinets où il avait des attaques . Dans ces derniers temps il a fait deux tentati
viendrons sur ces chiffres approximatifs. IV. Sous le rapport des attaques elles-mêmes, nous n'avons rien à mentionner spé
spécialement ; elles rentraient dans le type classique. Lorsque les attaques se succédaient durant un assez long temps, la t
rois ans. Peurs à treize ans. Cauchemars, somnam- bulisme. Première attaque à treize ans et demi. Pas d'aura, oubli de l'at
isme. Première attaque à treize ans et demi. Pas d'aura, oubli de l' attaque . Attaques de sommeil. Tremblement. Stigmates hy
mière attaque à treize ans et demi. Pas d'aura, oubli de l'attaque. Attaques de sommeil. Tremblement. Stigmates hystériques
ttaques de sommeil. Tremblement. Stigmates hystériques peu marqués. Attaques limitées à la phase épileptoïde. Elévation de l
imitées à la phase épileptoïde. Elévation de la température après l' attaque . Secousses. Hallucinations. Attraction. Hir..
lgies assez fréquentes, sans vomissements. Pas de rhumatisme. Pas d' attaques de nerfs, mais très ner- veux, très irritable.
intelligente; pas de convulsions dans l'enfance; non mariée; pas d' attaques de nerfs; pas nerveuse. 2° Notre malade. - Au m
a seconde peur, à treize ans et quatre mois, qu'il a eu sa première attaque (novembre 1882). Il fut pris en mangeant glouto
Alors il s'assoupit sans dire un mot depuis le commencement de son attaque . Il n'évacua pas sous lui. Pas d'aura. Il ne se
e lendemain il était très fatigué, et n'est pas sorti. La seconde attaque eut lieu dix mois plus tard. Dans l'intervalle
vait été bonne, mais les cauchemars avaient persisté. Cette seconde attaque l'a pris alors qu'il était en classe, sans cause
es bains sédatifs, et pen- dant cette période, il eut deux ou trois attaques . Il eut huit atta- ques seulement cette année-l
-là (1883). En 1884 on continua le même traitement et il eut quinze attaques . C'est alors qu'on le conduisit à la consultati
on lui a donné des douches (été 1885; -hiver 1885-86). Il eut neuf attaques en 1885. Il suspendit le bromure en 1886, au mo
bains de mer (juin-décembre 1886). Il aurait été trois mois sans attaques . Vers la fin de son séjour il eut une attaque dan
été trois mois sans attaques. Vers la fin de son séjour il eut une attaque dans les champs en conduisant un cheval qui lui
ture pour laquelle il fut traité à l'hôpital. En 1886 il eut treize attaques . -Dans l'une d'elles, il s'est cassé deux DEUX
TÉRIE MALE. En 1887, après une rémission d'un mois, il fut repris d' attaques tous les quinze jours, A la fin de février il f
lui il fut repris d'une crise analogue aux anciennes (probablement attaque épileptoïde); pas de pleurs, pas de miction inv
de pleurs, pas de miction involontaire. Il n'a pas dormi après son attaque , s'est levé et a aussitôt diné. Puis il raconta
Il assurait que lui n'avait pas eu peur. Huit jours après, nouvelle attaque qui a débuté de la même façon : sommeil de deux
s sans qu'on y touche; il s'est levé et est tombé en pirouettant. L' attaque dura trente minutes. Il avait dans sa poche un
aucoup. » Il tombe presque toujours en penchant du côté gauche. Les attaques deviennent plus fréquentes, revenant tous les h
us le titre : Un épileptique volé. Au mois de juillet, après deux attaques survenues dans la rue, il est pris d'idées tris
eux mame- lonnaire, où le malade porte toujours sa main pendant ses attaques , et qui est alors très douloureux. Céphalalgies
'il avait le ver solitaire ». Quand il est sur le point d'avoir une attaque . il ne mange pas ou très peu. Après ses atta- q
ne. Ne tousse pas, mais a souvent craché du sang, surtout après ses attaques . Circulation : coeur normal, régulier; pas de p
régulier; pas de palpitations. Il ne sent pas quand il va avoir ses attaques , mais souvent en dehors d'elles il a la sensati
NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. ... f'. 't . pendant son attaque il lui semble rêver et qu'à la suite « cela lui
4 heures de l'après-midi, il prévient qu'il va peut-être avoir une attaque et qu'il faut-se méfier, car il cherche à mordr
t,à égratiguer. , A 6 heures, il causait avec ses camarades quand l' attaque commença. Il tomba sur le dos, puis rebondit su
te : Mais tout à coup, il se rejette en arrière comme au début de l' attaque en s'arc-boutant sur les épaules et sur les pie
Il arrange le désordre de ses vêtements, se rappelant avoir eu une attaque , mais ne se souvenant pas comment cela lui a pris
enant pas comment cela lui a pris. Il n'a pas l'air ahuri après son attaque , ni fatigué. Il titube un peu en marchant et on
en marchant et on a de la peine à tirer de lui quelques réponses. L' attaque a duré en tout vingt-six minutes. 8 juillet. -
leur pré- sence, mais aussitôt après leur départ il fut pris d'une attaque de peu de durée, à la suite de laquelle il rouv
dix minutes, puis il est allé se rasseoir dans le fauteuil. 96. - Attaque à 5 heures du soir, de dix minutes de durée, à
les pupilles sont contractées. A 3 heures de l'après-midi, il a une attaque qui dure quatre minutes à la suite de laquelle
ris d'une atta- que qui a duré sept minutes. Sa température après l' attaque était de 38°,2, un quart d'heure après 38°. Som
du matin, il s'est endormi et cinq à sept minutes après il a eu une attaque qui a duré quatre minutes et DEUX NOUVELLES OBS
es, et se ferment enfin, et le malade semble assoupi. La durée de l' attaque a été de dix-huit minutes. Il se relève, répare
nt. Il est pâle et respire difficilement. Température à la fin de l' attaque , 38°,2. Une demi-heure après l'attaque, tempéra
t. Température à la fin de l'attaque, 38°,2. Une demi-heure après l' attaque , température 37°,9. Deux heures après, températ
ature 37°,9. Deux heures après, température 36°,9. 23. - Nouvelle attaque en présence de l'un de nous. Tombé à terre, il
ut de quelques minutes aux paroles qu'on lui adresse. La durée de l' attaque a été de trente- sept minutes. 24.- Attaque d
dresse. La durée de l'attaque a été de trente- sept minutes. 24.- Attaque de quatre minutes à 8 h. et demie du matin; une
de son nom, sans même qu'on le touche, il tombe en arrière et a une attaque qui dure quinze minutes. 27. Au moment de la vi
nutes. 27. Au moment de la visite, il est pris dans la cour d'une attaque . Il était assis sur un banc, quand il s'est levé,
fermées, les pouces en dehors, la tête dans l'extension. Nouvelle attaque . Rigidité très forte, face rouge, yeux en haut.
minutes. T. R. 38°,1. Un quart d'heure après, T. R. 37°,8. Nouvelle attaque à 10 heures. T. R. après l'attaque, 38°, 3 ; un
ure après, T. R. 37°,8. Nouvelle attaque à 10 heures. T. R. après l' attaque , 38°, 3 ; un quart d'heure après 37°,9 ; deux h
e dix- huit minutes. A 5 heures et demie, après son diner, nouvelle attaque . Il bat l'air de ses bras, et reste vingt secon
es qu'il répond. Durée de l'at- taque : 3Li minutes. T. R., après l' attaque 38°,4; un quart d'heure 37°,9; deux heures aprè
jours seule- ment. Elles n'auraient d'après lui aucun lien avec les attaques . Traitement. Deux douches par jour, gymnastique
nt sujet à des cauchemàrs, et au bout d'un mois, éclate la première attaque , suivie d'une seconde, seulement dix mois plus
ulement dix mois plus tard. A partir de là, jusqu'en 1887, il a des attaques mensuelles ou bi-mensuelles qui toutes présen-
accompagnent de traumatismes sérieux. III. Nous retrouvons dans les attaques ultérieures précédées d'un sommeil plus ou moin
aux deux observations, c'est la forme épileptoïde qu'ont revêtu les attaques , soit au début, soit dans le cours de la maladi
connaît pas les antécédents et qu'on n'a pu assister qu'à une seule attaque , on peut hésiter. Ces crises isolées s'accompag
tion de la température, comme dans l'accès d'épilepsie. Mais si les attaques se succèdent pendant une ou plusieurs heures, l
plus que le 8, au moment de son départ. Et cependant, le nombre des attaques a toujours été très considérable; le premier jo
,e de la région parotidienne droite, elle paraît intelligente; ni attaques de nerfs, ni convulsions, etc... ; elle n'a jamai
convulsions, ni aucune maladie dans l'enfance. Pas nerveuse ; pas d' attaques de nerfs; pas de fièvres graves. Grande, forte,
ue les parents ont cherché à le placer. Il jamais eu de crises ou d' attaques quelconques, n'est jamais tombé. Il est arriéré
e ou deux fois par mois. l'as de convulsions dans l'enfance, ni d' attaques de nerfs. Mariée à 33 ans, un peu malgré elle.
15 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
z devant les yeux est âgée de 42 ans. A l'âge de 25 ans, elle eut une attaque de rhumatisme articulaire aigu. Mais déjà, deux a
hystériques. Mais c'est une hystérie sans zones hystérogènes, sans attaques , jusqu'à présent. Cela ne veut pas dire qu'il n'e
ettement hystériques de la paralysie.— Stigmates hystériques, petites attaques . — Rôles respectifs du traumatisme, de l'appareil
te; elle est bien portante, n'a jamais eu de maladies nerveuses, ni d' attaques de nerfs. Tous ses frères et sœurs sont, à son di
u exagérée dans les membres inférieurs. « Le malade n'a jamais eu d' attaques ni de troubles psychiques. Migraines fréquentes.
correspond plus à l'axe de l'avant-bras. Le malade n'a jamais eu d' attaques de nerfs, mais il est sujet à de fréquents étourd
ères et de son évolution même, mise sur le compte de cette soi-disant attaque d'apoplexie. Peut-on penser à un vertige de Men
es vertiges dont souffre notre malade sont donc en réalité de petites attaques d'hystérie, manifestées seulement par une aura su
Dans ce cas, les stigmates n'existaient point, mais, par contre, une attaque convulsive, précédée par la sensation caractérist
l est clair que ce mode d'apparition du tremblement, à la suite d'une attaque hystérique, quelle qu'en soit d'ailleurs la forme
mblement persistant toujours, on l'amène à Lariboisière. De nouvelles attaques se produisent là, ainsi qu'à l'hôpital Bichatoù l
gressivement envahi les membres supérieurs. A la suite d'une de ses attaques , il resta pendant trois mois et demi incapable d'
se manifeste à l'occasion des mouvements intentionnels ; il a eu des attaques apoplectiformes et vertigineuses. Or, nous connai
e, même fort peu prolongée, menace de le faire tomber dans une de ses attaques : il semble y avoir là, par conséquent, sur la ré
elle-ci étant représentée dans l'association par les stigmates et les attaques , tandis qu'à celle-là appartiendrait le trembleme
s vu comment chez B... le tremblement s'est développé au sortir d'une attaque qui depuis s'est souvent reproduite et qui présen
uis s'est souvent reproduite et qui présente tous les caractères de l' attaque de grande hystérie. Ajoutons que si pour un temps
oints hystérogènes, en même temps que s'esquissent les prodromes de l' attaque convulsive. Après tout cela, il paraît inutile
chez notre malade, aussi bien le tremblement que les stigmates et les attaques . Toute idée d'une lésion matérielle appréciable d
t pris d'une violente crise de nerfs qui dura toute une après-midi. L' attaque finie, il s'endormit vers le soir et le lendemain
le tremblement a persisté presque sans aucune modification ; d'autres attaques sont survenues, que nous avons pu observer et qui
nature hystérique de ce tremblement. Ayant débuté après une première attaque hystérique, il ne peut être attribué ni à la mala
donne lieu à la production de l'aura et peut amener très facilement l' attaque . Voilà donc bien établie la nature hystérique d
17 ans, alors qu'il travaillait à la campagne, qu'il eut sa première attaque de nerfs. Elle se produisit sans aucune cause pro
à l'apparition de la maladie actuelle, il n'en eut point du tout. Ses attaques se ressemblent toutes, elles sont souvent provoqu
voit trouble et perd connaissance. Il se débat très fort, il crie. L' attaque dure une demi-heure environ, puis tout est fini.
aladie. — Il y a deux ans (février \88$), sans motif, sans avoir eu d' attaque de nerfs, il se mit à bégayer. Son maître, les en
des douches froides. Pendant son séjour, qui dura un mois,il eut deux attaques de nerfs pendant la nuit. Il fit ensuite plusieur
ions, par la pression sur une zone hystérogène rachidienne, après les attaques de nerfs. Le malade a à peu près une attaque to
achidienne, après les attaques de nerfs. Le malade a à peu près une attaque tous les mois. Elles sont précédées d'une aura cl
ris, etc., et s'accompagnent de perte de la connaissance. Ce sont des attaques d'hystérie tout à fait typiques. Il a, en outre
ttaques d'hystérie tout à fait typiques. Il a, en outre, de petites attaques dans lesquelles l'aura aboutit seulement à une cr
Pas de morsure de la langue, pas de miction involontaire pendant l' attaque . Ainsi que le faisait remarquer M. Charcot, dan
nt près d'une année. Au bout de ce temps, en février, a eu lieu la 2e attaque qui commence par des douleurs de même localisatio
l'intensité première. Pendant les trois années qui suivirent cette attaque , il n'y a pas eu de nouveaux grands accès ; mais,
vouloir s'établir en permanence. Les maux de tète dans ces petites attaques , comme dans les grandes, se sont généralement acc
isées à droite dans les régions indiquées à propos des deux premières attaques . Vomissements ; exaspération de la douleur vers l
s'en prend pas seulement à presque toutes les parties internes ; elle attaque aussi quelquefois les parties externes et les mus
nes durèrent environ un mois, puis cessèrent spontanément lorsque des attaques convulsives apparurent. Un peu plus tard ils repa
rent, mais d'une façon assez légère et disparurent enfin à la suite d' attaques convulsives classiques. M. Wallet, entre les ma
rd. Déjà la malade était une vraie hystérique, ayant eu autrefois une attaque de mutisme. Plus tard elle présenta encore des ac
la vue du fer rouge provoquaient, à chaque nouvelle application, une attaque de nerfs. Deux mois après on enlève l'appareil
isuel, ni de troubles oculaires d'aucune sorte. Enfin la malade a des attaques de nerfs et l'on trouve sur la surface du corps q
ue l'on voit apparaître et disparaître de temps en temps à la suite d' attaques . C'est sur ce malade que j'ai pour la première fo
is tout à l'heure et que je considérais comme représentant de petites attaques d'hystérie et dans l'abolition du goût sur un des
prévu dans la première période de sa maladie, est sujet à des grandes attaques d'hystérie classiques avec phase épileptoïde, gra
ble très considérable du champ visuel, dyschromatopsie, etc., grandes attaques , points hystérogènes. Elle a eu de plus quelques
ccidents d'ordre moins banal, si je puis ainsi dire, tels que grandes attaques de chorée rhythmée, attaques de délire durant plu
si je puis ainsi dire, tels que grandes attaques de chorée rhythmée, attaques de délire durant plusieurs jours. Je vous l'ai d'
atin, à moins qu'il ne soit survenu, pour une cause quelconque, une attaque d'hystérie dans la journée, auquel cas, au sortir
e, une attaque d'hystérie dans la journée, auquel cas, au sortir de l' attaque , la main est de nouveau raide et impotente, gonfl
des articulations de la main. Pendant cette période de temps, pas d' attaques de nerfs, pas de perte de connaissance, pas de do
vement bizarre quand on l'examine, aboutissant à une espèce de petite attaque avec larmes, dyspnée, air hébété. Pas d'ovarie,
yspnée, air hébété. Pas d'ovarie, pas de points hystérogènes, pas d' attaques . Le dimanche 10 décembre, au matin, on pratique
: Nul des deux côtés. — Goût : A peu près nul des deux côtés. Pas d' attaques de nerfs. Il y a deux ans elle aurait eu, par sui
ien portant. Dans la ligne paternelle : son grand-père est mort d'une attaque d'apoplexie, sa grand'mère est morte très vieille
an en moyenne. Jamais le malade n'a constaté avant l'apparition de l' attaque aucune cause qui ait pu lui donner naissance. Il
la dernière fois elles commencèrent en novembre 1888. A la deuxième attaque , les douleurs, qui étaient restées la première fo
ut une des plus violentes, la jambe entière fut prise. A la quatrième attaque elles furent moins vives, bien qu'empêchant encor
près à son aise qu'étendu horizontalement dans un lit. La dernière attaque disparut le 25 décembre 1888. Aussitôt les douleu
quante-neuf ans, courtier en vins ; aurait eu à quarante ans quelques attaques d'épilepsie (mouvements convulsifs, écume à la bo
dents héréditaires.— Mère violente, colère, nerveuse, n'a jamais eu d' attaques de nerfs. Le frère de son grand-père (côté patern
non réduite. Le malade est émotif, pleure facilement, n'a jamais eu d' attaques . Début. — Vers le milieu de décembre 1885, il r
nous voyons dans ses antécédents personnels qu'elle a eu plusieurs attaques d'hystérie avec sensation de boule , sanglots, et
ravelle et c'est pendant la convalescence de la cinquième et dernière attaque de colique néphrétique qu'il commença à ressentir
cien peintre en voitures, âgé de quarante et un ans, qui, à part deux attaques de coliques de plomb et des crises d'automatisme
dant on arrive à savoir qu'elles étaient précédées d'une toute petite attaque convulsive très courte, et que souvent pendant le
pendant la nuit ni à aucun autre moment. A dix-huit ans il eut une attaque de coliques de plomb. Il avait commencé son métie
métier de peintre en voitures et quelque temps après eut une seconde attaque de coliques de plomb. Depuis cette époque (1876)
ntractilité fara-dique était diminuée, mais non abolie. Cette seconde attaque de paralysie dura plus d'un an et guérit complète
la paralysie faciale à la suite d'un autre traumatisme subi dans une attaque . — Symptômes d'alcoolisme. — Rôle de ces deux age
à bon droit, car ce n'est pas l'alcool qui a fait éclater la première attaque et a révélé Thystérie, mais un traumatisme, ou mi
t nous n'avons pas été longs à reconnaître tout d'abord l'existence d' attaques convulsives typiques, ayant le caractère de la gr
la grande hystérie, avec arcs de cercle, grands mouvements, etc. Ces attaques ne s'accompagnent jamais de morsure de la langue
peut-être, elle n'occupe la face. » Ainsi l'hémiplégie hystérique n' attaque pas la face en général, elle ne l'attaque peut-êt
i l'hémiplégie hystérique n'attaque pas la face en général, elle ne l' attaque peut-être même jamais : telle est l'opinion de ïo
». Les accidents nerveux que nous avons décrits plus haut à savoir : attaques convulsives épileptiformes avec projection du tro
tes, deux mois environ après l'accident, que se manifeste la première attaque hys-téro-épileptique. Il était à l'Entrepôt occup
scotodinie, il tombe sans connaissance. Il paraît que cette première attaque a duré environ une heure. Il s'était heurté le me
nerveux permanent, qui aboutit au bout de quelques mois à la première attaque . Dans celle-ci, la chute sur le menton, suivant l
manifestent clairement dans les circonstances que voici. La première attaque avait eu lieu, comme on l'a dit, quelques mois av
nt forcément de boire faute d'argent. Dès lors il n'a plus de grandes attaques , mais seulement de petits vertiges Terminons pa
ier et en même temps ses habitudes de boire et alors reparaissent les attaques convulsives avec écume à la bouche, arc de cercle
a boisson. Sa mère irascible, nerveuse à l'excès, était sujette à des attaques de nerfs. Dans les dernières années de sa vie, el
ouvait boire, le malade n'avait eu que des vertiges et non de grandes attaques . La première chose à faire sera, par conséquent,
st-il besoin de vous dire que ces arthralgies furent attribuées à une attaque de rhumatisme et que, durant cette longue période
ément nous n'avons trouvé ici, ni dans le passé ni dans le présent, d' attaques convulsives d'hystérie mais la malade nous a fait
syncopes » qui, envisagées de très près, ne sont autre chose que des attaques avortées. Ce n'est pas tout : elle présente encor
iveau de ces zones réveille les phénomènes de l'aura sans provoquer d' attaque convulsive. En ce qui concerne les sens spéciau
café. Il a cependant des antécédents pathologiques : à cinq ans une attaque de fièvres intermittentes, à 18 ans une fièvre pe
in germain est mort aliéné. Du côté maternel, sa grand'mère avait des attaques convulsives, ainsi que son oncle et ses deux cous
Xxw, traîner.) de couteau. Quelques heures après, il fut pris d'une attaque avec perte de connaissance. A-t-il eu des convuls
ouffe. » Il s'agit, en somme,d'un point hystérogène et une esquisse d' attaque . Arrivons à l'hémiplégie. Todd dit, à propos du
e ans, il a de l'incontinence d'urine, de sept à treize ans plusieurs attaques probablement hystériques. Il vient alors à Paris
une malade qui, quelques jours auparavant, avait éprouvé une série d' attaques convulsives débutant par l'index de la main droit
ise convulsive du type brachial. En six jours, elle a présenté quatre attaques épileptoïdes ou épilepti-formes, comme vous voudr
mission, c'est-à-dire depuis dix jours, elle n'a éprouvé qu'une seule attaque avortée, uniquement caractérisée par de l'engourd
appris — remarquez bien cet épisode — que six mois avant le début des attaques épilep-tiformes, il avait existé une céphalée d'u
malade est restée deux mois dans le service sans présenter une seule attaque d'épilepsie partielle. Elle est sortie guérie, si
er qu'il y a des hémiplégies transitoires corticales accompagnant l' attaque d'épilepsie partielle, qu'il y a encore des hémip
ilepsie partielle, qu'il y a encore des hémiplégies transitoires sans attaque résultant d'une altération pachyméningitique qui
atoire. C'est ce même homme qui, ici-même, vous a rendu témoins d'une attaque typique d'épilepsie partielle. Vous avez vu les s
membre inférieur. Dans ce laps de temps, il a présenté en outre deux attaques avortées, où tout s'est borné à quelques secousse
sie brachiale s'amenda. Quelques jours après survenait la troisième attaque d'épilepsie partielle, qui amenait cet homme à no
stic avec la papille tabétique. Autres symptômes oculaires. Vertiges, attaques apoplectiformes. Mobilité des symptômes. Formes
la parole, le nystagmus, un regard vague et fuyant, des vertiges, des attaques apoplectiformes ou épileptiformes, etc. Tel est
e : nystag-mus, diplopie, embarras particulier de la parole, vertiges, attaques apoplecliformes, troubles spéciaux de l'intellige
uelques points intéressants. 1° La mobilité des symptômes. 2° Les attaques apoplectiformes et les grands vertiges. Ce sont l
plus souvent dans l'interrogatoire l'existence passée de vertiges, d' attaques apoplectiformes ; vous trouverez dans votre exame
cérébral et à juste titre, je crois. Il se pourrait cependant que les attaques apoplectiformes de la sclérose en plaques se fuss
ale droite. Un matin, en se réveillant, la malade s'en aperçut. Pas d' attaque pendant la nuit précédente. A ce moment la paraly
égulièrement. Pertes blanches dans l'intervalle des époques. Jamais d' attaques de nerfs. Elle a eu, il y a deux ans, un fort r
ans, domestique, est nerveuse, vive et emportée, mais n'a jamais eu d' attaques de nerfs. Les grands-parents maternels ne paraiss
par un hoquet persistant qui a duré trois mois; elle n'a jamais eu d' attaques convul-sives. Une autre tante (trente et un ans)
trois ans. Depuis cet âge jusqu'à huit ans, elle a eu fréquemment des attaques convulsives revenant par moments presque tous les
ngue, pas de mictions involontaires. A huit ans, elle eut une série d' attaques plus longues, ayant duré plus de vingt-quatre heu
s, mais ces manœuvres n'eurent d'autre résultat que de déterminer des attaques convulsives avec perte de connaissance. Un an apr
le même temps environ. De neuf à dix-sept ans, Ler... n'a pas eu d' attaques et est restée indemne de manifestations morbides.
de son lit, mais elle ne saurait dire si, à ce moment, elle avait des attaques convulsives. Comme ces troubles persistaient, ell
jours les crises sont plus complètes et se rapprochent davantage de l' attaque d'hystérie ordinaire. Elles sont annoncées actuel
Des convulsions cloniques assez étendues apparaissent alors, puis l' attaque se termine habituellement par un sommeil analogue
que toujours un mélange de quelques autres phénomènes appartenant à l' attaque ordinaire : raideur des bras avec contracture, se
il lui semblait qu'elle allait défaillir. Parfois alors survenait une attaque véritable avec cris, contorsions, etc. Quelque
entes colères. Son grand-père est mort fou et sa grand'mère avait des attaques de nerfs. 2° Côté maternel. — La mère est empor
ôté maternel. — La mère est emportée, coléreuse, elle n'a jamais eu d' attaques de nerfs. La grand'mère est peu connue. Le grand-
dées d'é-tourdissements et accompagnées de perte de connaissance. Ces attaques ne duraient que peu de temps. La malade poussait
oercibles tels qu'on les remarque aujourd'hui. Pendant cette première attaque , il y eut une courte période de convulsions avec
ts succédèrent et durèrent environ une demi-heure. Depuis lors, les attaques se sont succédé très fréquentes et très violentes
nts de salutation rythmée, assez lents, d'une violence modérée. Les attaques n° 2, au contraire des précédentes, qui ne se rep
, mais moins violents, quoique tout aussi incessants qu'au début de l' attaque . Ils permettent cependant à la malade de marcher
maire du côté gauche. Les points ovariens arrêtent assez facilement l' attaque . Ils la produisent aussi quelquefois, mais non to
entée par M. le Pr Charcot à ses auditeurs, suffit pour provoquer une attaque . Il est bon de dire que les attaques ne sont pa
eurs, suffit pour provoquer une attaque. Il est bon de dire que les attaques ne sont pas toujours aussi nettement séparées que
s deux se mélangent souvent. Cela est même arrivé pour la plupart des attaques que nous avons observées. L'attaque simple se man
même arrivé pour la plupart des attaques que nous avons observées. L' attaque simple se manifeste seule quelquefois ; mais, le
plus souvent, actuellement du moins, elle est suivie ou précédée de l' attaque de bâillements. Ce ne sont point des bâillement
ans, rhumatisant. Mère quarante-huit ans, rhumatisante, aurait eu des attaques étant jeune. Sœur morte à dix-neuf ans de la fièv
jeune. Sœur morte à dix-neuf ans de la fièvre typhoïde. Elle a eu des attaques . Une autre sœur nerveuse, rit et pleure sans moti
égularité et sont matinales. A la suite du bâillement (survient une attaque convulsive caractéristique ; elle étend ses bras,
mac dans la gorge et l'é-touffe. Il ne s'agit pas ici d'une véritable attaque d'hystérie caractérisée par un phénomène inusité,
esque continuel, dû à une sensation identique à l'aura ordinaire de l' attaque hystérique. Il est impossible d'obtenir de rensei
d cependant qu'elles sont précédées d'une aura analogue à l'aura de l' attaque vulgaire : contraction de la gorge, battements da
reilles. Il est donc certain qu'il s'agit là véritablement de petites attaques d'hystérie. La malade se plaint en outre de phé
le sein gauche. La pression en ces points, si elle ne provoque pas d' attaque proprement dite, donne lieu néanmoins à la produc
sives limitées ou généralisées de l'hystérie se groupant sous forme d' attaques . Il existe dans tous ces cas un fonds commun qui
tout mélange des phénomènes ordinairement observés lors de la grande attaque . On sait en effet, — M. Charcot l'a montré, — qu'
de l'aura qui sont communs, il est fréquent d'observer au début de l' attaque des contractures des membres supérieurs ou inféri
u de délire. La prédominance des bâillements fixe seule la forme de l' attaque . Parfois l'attaque de bâillements peut se termi
minance des bâillements fixe seule la forme de l'attaque. Parfois l' attaque de bâillements peut se terminer par une véritable
Parfois l'attaque de bâillements peut se terminer par une véritable attaque convulsive ordinaire, les bâillements représentan
quefois, cependant, on voit alterner sans se confondre (obs. III) les attaques convulsives proprement dites et les attaques de b
confondre (obs. III) les attaques convulsives proprement dites et les attaques de bâillements. Le diagnostic différentiel des
ut se poser. Lorsque les bâillements ne sont pas groupés sous forme d' attaques , le rythme et la cadence sont des éléments différ
analyse des urines de la période des vingt-quatre heures comprenant l' attaque donne des résultats qui permettent d'établir que
mprenant l'attaque donne des résultats qui permettent d'établir que l' attaque a eu lieu. Dans ces cas, l'attaque se juge par
s qui permettent d'établir que l'attaque a eu lieu. Dans ces cas, l' attaque se juge par l'abaissement du résidu fixe, du taux
viennent comme 1 esta 2, 1 est à 1, et même quelquefois plus. Or, l' attaque de bâillements hystériques ne fait pas exception
t, pour s'en convaincre, de considérer le tableau suivant relatif aux attaques de la malade dont l'histoire est rapportée dans n
servations Ler... 17 ans . . . (salle Duchenne). P = 59 k'.l. Attaque . État normal. ce. 615 1350 gr. 20.6
, disent MM. Gilles de la Tourette et Cathelineau (1) en parlant de l' attaque convulsive, sont également applicables aux bâille
nt également applicables aux bâillements hystériques, forme rare de l' attaque . Dans un cas que nous avons observé et qui nous a
bservé et qui nous a fourni huit analyses dont quatre de la période d' attaque , l'état normal hystérique caractérisé par les sti
période d'accès se caractérisant par quelques-uns des prodromes de l' attaque ordinaire suivis d'une série de bâillements préci
série de bâillements précipités, convulsifs, se groupant sous forme d' attaque . Or, nous notons encore dans cette période d'accè
'observe dans la période des vingt-quatre heures correspondantes de l' attaque convulsive proprement dite. » Il est à noter qu
illements qui surviennent à l'état isolé sans se grouper sous forme d' attaques n'influencent pas les phénomènes nutritifs. Il fa
sur ces données chimiques, car si le doute pouvait exister entre les attaques de bâillements hystériques et les accès de bâille
, et en même temps qu'elle. C'était une hystérique vulgaire à grandes attaques à forme de somnambulisme nocturne, qui se mit, so
ttement hystériques de la paralysie. — Stigmates hystériques, petites attaques . — Rôles respectifs du traumatisme, de l'appareil
paralysie faciale à la suite d'un autre trauma tisme subi dans une attaque . — Symptômes d'alcoolisme. — Rôle de ces deux age
stic avec la papille tabétique. Autres symptômes oculaires. Vertiges, attaques apoplectiformes. Mobilité des symptômes. Formes
16 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
ause la plus fréquente de l'hémorrhagie cérébrale (1). térieure à l' attaque apoplectique ; c'est ce que démontrent les détail
e sanguine, qui se développent lentement, successivement, précèdent l' attaque d'un temps variable, souvent fort long, et enfin,
isseur de la circonvolution. Lorsque les malades ont succombé à une attaque récente, on trouve souvent quelques-uns de ces gr
s, ceux ou l'hémorrhagie avait déterminé la mort peu de temps après l' attaque et où l'encéphale ne montraitque des foyers récen
le lit, est frappée d'apoplexie le 11 mars 18GG. A la suite de cette attaque , on constate une hémiplégie droite. — Elle meurt
, on constate une hémiplégie droite. — Elle meurt trois jours après l' attaque le 14 mars 1866, A Y autopsie, on trouve dans l
ère, Saint-Jacques, 15. —Charcot. Barbillon (Marie-Rose), 75 ans. — Attaque d'apoplexie avec hémiplégie droite. Perte absolue
membre inférieur droit. Mort le 29 septembre 1866, cinq jours après l' attaque . A Yautopsie, on trouve un vaste foyer hémorhag
ayeur d'être frappée d'apoplexie. Lo 13 janvier 1807, elle a eu une attaque , non précédée de prodromes; elle chancelle, mais
tants, le bras droit refuse son service. Observée dix minutes après l' attaque , la malade n'avait ni déviation à la face, ni gèn
ce obscurcie. — Cette femme meurt le 14 janvier 1867, un jour après l' attaque . A Yautopsie, on trouve un foyer anfractueux da
hôpital, il est pris d'érysipèle et meurt dix ou quinze jours après l' attaque , le 19 lévrier 1867. kVautopsic, on trouve un f
n. ques énergiques; il meurt sans convulsions vingt minutes après l' attaque , le 4 Avril 1867. A Vaufopsie, on trouve une hé
Obs. XIII. Salpêtrière. — Charcot. Baudois (Marguerite), 91 ans. — Attaque d'apoplexie, hémiplégie gauche avec contracture,
e avec contracture, retour de l'intelligence. Mort neuf jours après l' attaque , le 24 Avril 1867. A Yautopsie, on trouve un fo
Obs. XV. Salpctrière. — Charcot. Thomas (Marie-Thérèse), 70 ans. — Attaque d'apoplexie, déviation de la face à gauche, résol
gauche, résolution des quatres membres, coma. Mort cinq jours après l' attaque , le 20 mai 1807. Hérnorrhagie du lobe gauche du
e. La température monte à 39°,8 ; la mort survient deux jours après l' attaque le 2 juin 1807. A l'autopsie, on trouve une vas
érature très élevée. Plusieurs fois, pendant l'année 1865, il eut des attaques caractérisées par une perte de connaissance, avec
ne laissaient après eux aucune paralysie. A la suite de la troisième attaque , on insista pour que cet homme quittât le travail
mployé comme jardinier. Le 10 août 1867, il est pris d'une nouvelle attaque et transporté à la Pitié. Il est à son entrée dan
qué par la chaleur et par l'acide nitrique. Mort dans la journée de l' attaque , le 10 août 1867. A Y autopsie, hémorrhagie du
XVIII. Pitié. — Béhier supléé par Proust. Til (Nicolas), -40 ans. — Attaque d'apoplexie, paralysie des quatre membres, coma p
hémorrhagie cérébrale clu lobe postérieur droit, quatre jours après l' attaque . — Anévrysmes des petites artères clans le foyer
tion complète, a un vomissement et meurt dix ou douze minutes après l' attaque . On trouve à Y autopsie une vaste hémorrhagïe d
Hubert (Joséphine-Charlotte), 51 ans. — Hémiplégie droite ancienne. Attaque apoplectique le 9 août 1888 ; elle devient paraly
Saint-Alexandre, 18. ?— Charcot, Quantin (Marie-Marguerite), 74 ans. — Attaque d'apoplexie, hémiplégie gauche. La chute amène un
ysé et élévation terminale de la température. Mort neuf jours après l' attaque , le 31 juillet 1866. A Y autopsie, vaste foyer
Saint-Alexandre, 18. — Charcot. Fossé (Marie-Euphrasic), 79 ans. — Attaque d'apoplexie le 12 septembre 1860; la malade jusqu
eu paralysé. La malade meurt le 18 septembre 1800, sept jours après t' attaque . A Yautopsie, on trouve un caillot sanguin du v
une certaine peine à parler. Le 26 février 1867, elle est prise d'une attaque apoplectique avec hémiplégie gauche de la face et
lents, eut il y a trois ans, sans perte de-connaissance, une première attaque de paralysie affectant seulement fe membre supéri
eulement fe membre supérieur droit, fl y a deux ans et demi, deuxième attaque avec perte de connaissance, hémiplégie droite, ap
Obs. XXXIV. Salpêtrière. — Charcot. Ilenon (Catherine), 58 ans. — Attaque d'apoplexie avec hémiplégie gauche, contracture e
la température, qui monte jusqu'à 40°. Mort le troisième jour après l' attaque , le 20 juillet 1857. A Vautopsie, on trouve une
e Saint-Luc, 2. — Charcot. Bertin (Marie-Adèle), 55 ans. — Première attaque d'apoplexie avec hémiplégie gauche, il y a trois
ttaque d'apoplexie avec hémiplégie gauche, il y a trois ans. Deuxième attaque il y a un an, la paralysie augmente et la malade
et la malade ne peut plus marcher. Enfin, à la suite d'une troisième attaque , la malade meurt clans le coma, sept jours après
pêtrière, Saint-Alexandre, 22. — Charcot. Renaud (Julie), 85 ans. — Attaque subite sans perte totale de connaissance, face pâ
é du corps à l'autre; dyspnée intense. Mort dans la journée même de l' attaque , le 13 novembre 1867. A Yautopsie, surcharge gr
gnot (Pierrette), 50 ans. — Cette malade, qui avait déjà eu plusieurs attaques et qui avait fréquemment des accès violents de co
d'hémiplégie gauche ancienne. — Le 21 mars 1808, elle est prise d'une attaque d'apoplexie avec hémiplégie droite. Elle tombe da
ngtemps d'une hémiplégie gauche, ce malade, à la suite d'une nouvelle attaque est frappé d'hémiplégie droite, le 20 mars 1808.
8. — CnARCOT. Drouat (Caroline), 60 ans. — Cette femme avait eu une attaque apoplectique avec hémiplégie droite en janvier 18
arole, une gêne de la marche, précédèrent, pendant un an environ, une attaque d'apoplexie avec hémiplégie droite qui survint tr
a sur cette femme que des renseignements presque nuls, on parle d'une attaque antérieure d'apoplexie ; elle était inhabile du b
Charcot. Peugnet (Emmerentine), 60 ans. — Cette femme avait eu une attaque d'apoplexie il y a six mois. Elle avait conservé
— Cette femme était devenue presque impotente à la suite d'anciennes attaques d"apoplexie dont la date ne peut pas être précisé
ait une hémiplégie gauche. Dans les derniers temps, elle eut quelques attaques épileptiformes, et mourut sans lésions nouvelles
14. —Charcot. Lecomte (Rose-Geneviève), 09 ans. — H y a quatre ans, attaque d'apoplexie avec hémiplégie droite. Dans les dern
'apoplexie avec hémiplégie droite. Dans les derniers temps de la vie, attaques épileptiformes alternant avec de l'agitation. La
trière, Sainte-Rosalie, 4. — Charcot. Buisson (Françoise), 50 ans. — Attaque d'apoplexie avec hé-miphégie gauche, datant de de
demi. Albuminurie. Crises épileptiformes ayant débuté un an après l' attaque et augmentant graduellement. Mort le 23 novembre
nt graduellement. Mort le 23 novembre 1867, à la suite d'une nouvelle attaque . L'autopsie montre un ramollissement récent du
iron. Obs LX. Salpêtrière. — Charcot. Lasnier (Jeanne), 82 ans. — Attaque d'apoplexie avec hémiplégie gauche incomplète de
er (1). Femme cle 63 ans. — Prodromes : vomissements la veille de l' attaque ; hémiplégie gauche, avec rigidité très prononcée
érieurs du cou; la face est tournée à droite. Mort deux jours après l' attaque . Autopsie : Inflammation de la presque totalité
passent le plus habituellement: du deuxième au quatrième jour après l' attaque , rarement plus tôt, quelquefois plus tard, une pl
bs. IV. Henry, 89 ans. — Ramollissement blanc. Début d'une deuxième attaque avec hémiplégie gauche, sans perte de connaissanc
roite, récente complète à gauche. Début apoplectique de la deuxième attaque . — Mort le cinquième jour. TR. 41°, 8. Obs. XXI
uefois deux jours, l'eschare quatre ou cinq jours après le début de l' attaque ; elles siègent, comme on l'a vu, soit exclusiveme
aso-motrice.Elles ne sont pas un phénomène précoce, contemporain de l' attaque , mais leur époque d'apparition est tardive; elles
l'exploration du rectum a pu être pratiquée soit au moment même de l' attaque apoplectique, soit encore quelques heures après,
première période, qui comprend les premières heures qui succèdent à l' attaque , le chiffre thermométrique s'abaisse en général a
e plus de 40), survient constamment dans les instants qui suivent une attaque d'apoplexie causée par une hémorragie cérébrale o
é, lorsque, le 5 septembre au soir, elle fut prise soudainement d'une attaque avec perte de connaissance et tomba lourdement da
erminés et de courte durée, est prise, le S septembre, d'une nouvelle attaque , après avoir été, paraît-il, maltraitée assez gra
près avoir été, paraît-il, maltraitée assez gravement. Cette nouvelle attaque est caractérisée surtout par une perte complète d
stances très importantes de notre observation. Le malade avait eu une attaque d'une nature indéterminée trois mois et demi avan
is et demi avant sa dernière entrée à l'hôpital ; à la suite de cette attaque , quia été très courte, il ne paraît être resté au
rte aux seuls renseignements qu'on ait pu obtenir; enfin, la dernière attaque , brusque comme la précédente, s'est déclarée trei
it de date récente et qu'elle s'était opérée au moment de la dernière attaque , c'est-à-dire treize jours avant la mort. Ceci
ragie cérébrale. 8 mois avant les derniers accidents, il y a eu une attaque dont les caractères ne peuvent pas être déterminé
plupart des médecins français sur les cas de ce genre. Cette première attaque , dirait-on, a été occasionnée par une hémorrhagie
ût existé une hémorrhagie initiale. En a-t-il été ainsi ? La première attaque a-t-elle réellement coïncidé avec la forma- Lio
cours de la péri-encéphalite chronique diffuse a été traversé par des attaques , soit comateuses, soil convulsives, et où l'on a
ctement dans le sujet de cette étude. Le plus souvent au contraire, l' attaque apoplectiforme est précédée par des phénomènes mo
uvent avec une grande rapidité ; enfin se déclare, en dernier lieu, l' attaque apoplectique dont les symptômes ont été surtout,
circulation cérébrale, telles sont ensuite les causes organiques des attaques de pertes de connaissance observées dans un certa
er au-delà de deux années. Il aurait eu, il y a environ deux ans, une attaque de perte de connaissance. Il ne sait pas, et on n
on ne lui a pas dit, quels phénomènes ont caractérisé cette première attaque , mais il affirme qu'elle n'a pas été suivie d'hém
'hémiplégie. Peu de temps avant ou immédiatement après cette première attaque (le malade ne peut point établir ce point importa
ense et continue. Dans l'intervalle de temps qui sépare sa première attaque de son entrée à l'hôpital, il a eu deux ou trois
nt dans l'état du malade jusqu'au II juin. Ce jour là, le malade aune attaque . Les personnes qui se trouvaient auprès de lui à
nnes qui se trouvaient auprès de lui à ce moment rapportent que cette attaque a été caractérisée par une perte complète do conn
15 sangsues à la région anale). Dans la nuit du 14 au 15, nouvelle attaque présentant absolument les mêmes phénomènes, mais
ais point aussi complètement. La pupille de l'œil droit, qui, après l' attaque du 11, s'était resserrée et était revenue à peu p
favorable dans l'état du malade. Dans la nuit du 17 au 18, nouvelle attaque semblable aux autres. Le 18, à la visite, à sep
, à la visite, à sept heures du matin, nous trouvons le malade pris d' attaques qui ont commencé quelques instants avant notre
très intense. Le malade tousse beaucoup et no peut point cracher. Les attaques qu i nous venons de décrire ne cessent point, et
mettre le matin dix sangsues derrière les oreilles. Depuis sa seconde attaque , cetle du 11, le malade n'a plus parlé. Autopsi
depuis son accès, et dans cette période, il a eu deux ou trois autres attaques dont il ne sait pas le caractère. Quelques semain
re. Quelques semaines avant son entrée à l'hôpital, après sa dernière attaque , il a vu paraître une diminution de la sensibilit
du côté droit. Dix jours après son entrée, le malade a une nouvelle attaque , à la suite de laquelle il est pris de fièvre : t
firmerie le 8 mai. Cette femme a été frappée, en novembre 1866, d'une attaque d'apoplexie avec perte de connaissance, qui a dur
articulation des mots. Le "mai 1867, survint tout à coup une nouvelle attaque d'hémiplégie, occupant cette fois encore, les mem
fait l'objet de cette observation a été frappée le 7 mai 1867, d'une attaque d'hémiplégie à droite, sans qu'il y ait eu perte
ant bien que mal, la porter à sa fête, etc. Un mois environ après l' attaque , sans cause extérieure appréciable, des douleurs
ectés et en particulier dans les jointures. Le 2 août, une nouvelle attaque , plus intense que la première, mais déterminée co
de salive écumeusc. Il parait certain cependant qu'il n'y a pas eu d' attaques convulsives. La l'ace est injectée. — Le membre s
certain degré de paralysie qui n'a pas persisté. Le lo août, nouvelle attaque apoplectique plus intense, que la première et plu
le-ci a été nettement accusé, de trois à six semaines environ après l' attaque . Elle peut sans doute se montrer plus tôt; jamais
ue l'arthrite peut s'établir de bonne heure, 16 jours à peine après l' attaque , dans les cas où la paralysie étant restée incomp
ente, au moins pendant les quatre ou cinq premiers mois qui suivent l' attaque , un certain degré de tuméfaction, une coloration
de l'éther, qui se traduit par des phénomènes semblables à ceux de l' attaque hystérique. Lorsque le sujet est, en effet, sous
médecins. Voici d'abord M..., c'est celle qui, pendant ses grandes attaques , prenait des attitudes passionnelles si remarquab
venues, elle a grossi considérablement et a pris de l'embonpoint. Ses attaques n'ont pas disparu complètement, mais paraissent a
. Sans doute elle se produit encore à un certain degré à la suite des attaques . Mais, tandis qu'autrefois elle était permanente,
l'hystôro-épilepsie. Elle est hémianesthésique et sujette aux grandes attaques depuis trois ans. C'est toujours de l'hystérie gr
oite, ainsi que l'ovarie suivant la règle, les phases classiques de l' attaque , période épileptoïde, contorsions, attitudes pass
mps et de la même façon que la première. Aujourd'hui, elle n'a plus d' attaques que très rarement; l'hémianes-thésie ne se manife
feste jamais que temporairement, pour quelques heures, à la suite des attaques . L'application de l'or sur le côté gauche du corp
ui, depuis onze ans, n'avait jamais cessé d'exister, a disparu et les attaques d'hystéro-épilepsie, très fréquentes, et très c
ait tout le côté droit du corps, ne s'est montrée à la suite de cette attaque qu'au membre inférieur droit où la contracture s'
catalepsie et somnambulisme, permettra une conception plus juste de l' attaque hystéro-épileptique et facilitera la description
ue hystéro-épileptique et facilitera la description des variétés de l' attaque résultant de l'immixtion, parmi les symptômes hab
ue, chez la malade somnambule ou cataleptique, le développement d'une attaque convulsivc. 2. Voir à ce propos l'excellent art
hute en arrière rappellent, jusqu'à un certain point, les débuts de l' attaque hystéro-épileptique, mais la ressemblance s'arrêt
nant ainsi de la connexité qui existe entre ces différents états et l' attaque convulsivc vraie. Dans aucun cas, nous ne l'avons
vait jamais été accompagnée de convulsions; la malade n'a jamais eu d' attaques ; Un jour, son membre inférieur tomba paralysé, in
'est elle qui, une fois par an, à peine, nous donne le spectacle de l' attaque dite démoniaque. Elle n'en a pas eu depuis huit m
t des épiloptiques), des phénomènes précurseurs, prémonitoires de ces attaques , environ quinze jours à l'avance. Cette malade
hésie. Foyers d'hyper es thésie. — Lorsqu'une hystérique n'a pas eu d' attaque depuis un certain temps, il existe sur la surface
corps, des points d'hyperesthésie dont l'excitation peut produire une attaque ; ce sont des points hys térogènes analogues au
z une hystérique, on détermine une émotion très-vive ou une véritable attaque . Ce n'est pas toujours le dos qui présente cette
faut produire cette excitation, en pressant un peu, pour déterminer l' attaque . Si l'on insiste et si l'on frotte plus fort, on
r l'attaque. Si l'on insiste et si l'on frotte plus fort, on arrête l' attaque . Chez cette jeune hystérique, B..., qui est une v
e toucher le dos en y passant légèrement une plume, pour produire une attaque . Aussi, vous remarquez qu'elle ne s'approche de m
u'il est possible. Il ne faut pas, d'ailleurs, trop s'effrayer de l' attaque hystérique : c'est beaucoup de bruit, mais ce n'e
s ai entretenus dans la précédente leçon (page 271). A la suite d'une attaque plus ou moins violente, un membre est paralysé, p
s stigmates de l'hystérie; bien qu'il n'y ait pas eu antérieurement d' attaques ni de crises nerveuses, ce qui n'est pas indispen
us remarquons ici une antre phase de l'hystérie : c'est une véritable attaque d'hystérie ; la démoniaque déchire ses vêtements,
r Rubens. C'est la pho-tographie la plus fidèle des contorsions d'une attaque d'hystérie» IX. Études physiologiques sur l'h
naugurale de l'un de nous (P. Richer.— Étude descriptive de la grande attaque hystérique et de ses principales variétés, 1879),
immobilise dans une attitude qui rappelle celle du début de la grande attaque hystérique. Dans le cas qui précède, la contrac
é des muscles de la nuque. En résumé, il s'est produit là une sorte d' attaque de contracture généralisée. Cette contracture d
faire entrer les émotions vives, la fatigue physique, l'imminence des attaques , etc., telle malade présente une exaltation ou un
ation dans ce qui venait de se passer, nous essayons de provoquer une attaque . Une excitation vive portée sur les zones hystéro
u développés : L. D.., seize ans, hystéro-épileptique, a de grandes attaques convulsives avec arc de cercle et attitudes passi
est prise de secousses des bras, analogues à celles du début de son attaque . La crise paraît imminente. Nous nous empressons
ique totale et achroma-topsique excepté pour le violet, a des grandes attaques convul-sives dans lesquelles le spasme laryngé se
n spasme laryngien analogue à celui qui se montre pendant ses grandes attaques convulsives, avec cette différence toutefois, qu'
uccèdent alternativement à la façon de ce qui a lieu dans ses grandes attaques convulsives. La phase délirante présente ceci de
: le délire survient bien spontanément comme il arrive dans la grande attaque , il est parfois incohérent, d'autres fois il roul
istons en somme, à une ébauche de la période épileptoïde de la grande attaque hystérique. Cette phase convulsive est suivie d'u
ssive se déclare, c'est la période des grands mouvements de la grande attaque . Nous avons peine à maintenir la malade et il fau
te duquel la malade recouvre spontanément connaissance. Pendant cette attaque , nous nous sommes bornés à maintenir la malade et
co mc yg / g , celles qui viennent à notre insu : a) à la suite d'une attaque de nerfs ; b) à la suite d'un traumatisme léger ;
bandonne la partie, et elle a lieu soit spontanément à la suite d'une attaque , soit sans attaque àia suite d'une émotion vive,
et elle a lieu soit spontanément à la suite d'une attaque, soit sans attaque àia suite d'une émotion vive, d'une circonstance
avons que, sur les zones hystérogènes, une action légère provoque des attaques qui sont arrêtées par une action plus forte. 11 s
une parésie des muscles intercostaux. Peu après, elle présente des attaques intenses, pendant lesquelles elle se mord les lèv
Bla..., âgé de 12 ans, sans antécédents nerveux, n'avait jamais eu d' attaques jusqu'au moment où les premières tentatives d'hyp
st à l'hôpital, se répètent tous les deux ou trois jours. Ce sont des attaques hystériques assez bien formulées, précédées d'une
ux Hansen, un enfant, hypnotisé par un de ses camarades, a été pris d' attaques de contracture qui durèrent plusieurs heures et q
ur plus égale, fonctions digestives plus régulières, et surtout pas d' attaques . Et, ce qui montre bien que la dialhôs© est réell
lques semaines à l'électrisation statique, ont été délivrées de leurs attaques , et leur guérison ne s'est pas encore démentie, a
rielle, rétrécissement du champ visuel, points hystéro-gênes, grandes attaques ). On cherche à l'hypnotiser par la pression sur l
ose artificielle, qu'on peut à beaucoup de points de vue comparer à l' attaque hystérique. De même que diverses formes convulsiv
onvulsives ou psychiques peuvent être rattachées au type de la grande attaque d'hystéro-épilepsie, de même les diverses variété
és de l'hypnotisme peuvent être reliées au grand hypnotisme. Dans l' attaque d'hysteria major, il existe plusieurs périodes di
e plusieurs périodes distinctes comme dans le grand hypnotisme. — Les attaques d'hystérie peuvent dévier du type normal par l'ab
vons vu à propos de l'hypnotisme? Tous les caractères somatiques de l' attaque hystérique, contractures, mouvements convulsifs,
uvements convulsifs, grands mouvements, etc., peuvent faire défaut. L' attaque est constituée exclusivement par des troubles psy
de larmes, qui peuvent être considérés comme des formes effacées de l' attaque hystérique. Ces cas correspondent aux variétés le
rappellerons de nouveau qu'un malade peut n'avoir jamais eu une seule attaque et être pourtant bel et bien hystérique. 11 faut
aré au point de vue de ses périodes, des variétés qu'il présente, à l' attaque hystérique et qu'il y avait une véritable analogi
ccidents qui relèvent de l'hystérie. Nous avons vu plusieurs fois des attaques hystériques diminuer de nombre et d'intensité qua
'occasion du développement de quelque manifestation hystérique, d'une attaque de sommeil, de la chorée rythmée, par exemple. C'
17 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a paralysie faciale à la suite d'un autre traumatisme subi dans une attaque . Symptômes d'alcoolisme. Rôle de ces deux agents
n droit, car ce n'est pas l'al- cool qui a fait éclater la première attaque et a révélé l'hystérie, mais un traumatisme, ou
'a- vons pas été longs à reconnaître tout d'abord l'èxis- tence d' attaques convulsives typiques, ayant le carac- tère de l
a grande hystérie, avec arcs de cercle, grands mouvements, etc. Ces attaques ne s'accompagnent ja- mais de morsure de la lan
ut-être, elle n'occupe la face. » Ainsi l'hémiplégie hystérique n' attaque pas la face en général, elle ne l'attaque peut-
l'hémiplégie hystérique n'attaque pas la face en général, elle ne l' attaque peut-être même jamais : telle est l'opinion de
s accidents ner- veux que nous avons décrits plus haut à savoir : attaques convulsives épileptiformes avec projection du t
s, deux mois environ après l'accident, que se manifeste la première attaque hys- téro-épileptique. Il était à l'Entrepôt oc
cotodinie, il tombe sans connaissance. Il paraît que cette première attaque a duré environ une heure. Il s'était heurté le
erveux permanent qui aboutit au bout de quelques mois à la première attaque . Dans celle-ci, la chute sur le menton, suivant
ifestent clairement dans les circons- tances que voici. La première attaque avait eu lieu, comme on l'a dit, quelques mois
forcément de boire faute d'argent. Dès lors il n'a plus de grandes attaques , mais seulement de petits vertiges 22 CLINIQUE
r et en même tomps ses habitudes de boire et alors reparaissent les attaques convulsives avec écume à la bouche, arc de cerc
boisson. Sa mère irascible, nerveuse à l'excès, était sujette à des attaques de nerfs. Dans les dernières an- nées de sa vie
vait boire, le malade n'avait eu que des vertiges et non de grandes attaques . La première chose à faire sera, par conséquent
grâce à l'appui des esprits de défense qui s'opposent aux esprits d' attaque . C'est comme la lutte de saint Michel et du dia
de la moitié des cas, la paralysie s'est montrée .à la suite d'une attaque convulsive, quelquefois sans attaque après une
'est montrée .à la suite d'une attaque convulsive, quelquefois sans attaque après une vive émotion morale. Landouzyen cit
ne vive émotion morale. Landouzyen citeun cas survenu àlasuited'une attaque con- sécutive elle-même à des chagrins et à une
dans le ventre, une sensation d'étouffement, et aussitôt éclate une attaque convulsive violente; quatre personnes ont peine à
, elle rêve, voit un soldat écrasé. Le lendemain 27, de nouvelles attaques se produisent, suivies d'une période de délire ;
t de tout ce qui s'est passé dans la ma- tinée. A 8 heures du soir, attaque convulsive avec arc de cercle, grands mouvement
c arc de cercle, grands mouvements. ' Le 28, à 7 heures, nouvelle attaque , suivie jusqu'à 11 heures d'une dizaine d'autre
suivie jusqu'à 11 heures d'une dizaine d'autres. La plupart de ces attaques , dans lesquels manquent les phénomènes convulsi
: « Le soldat ! ... Ce n'est pas moi ! ... Les gendarmes ! » Pas d' attaques convulsives, pas de paralysie. CAS DE PARALYS
exes rotuliens ; dimi- nués. tG. - Nous essayons de provoquer une attaque par la pression sur l'ovaire gauche ; seule l'a
l'anesthésie de la jambe droite. En février 1889, à la suite d'une attaque provoquée par une émo- tion, la paraplégie disp
sives, ce n'était autre chose qu'une phase isolée et prolongée de l' attaque d'hystéro-épilep- sie, la troisième période, di
s, il n'y eut plus ni manifestation délirante ou hallucinatoire, ni attaque convulsive. Seuls, persistèrent pour quelque te
raisemblablement infec- tieuse, caractérisée par des secousses, des attaques convul- sives, des paralysies, du coma, et une
psychique ? Avons-nous eu affaire à une paralysie consécutive à une attaque convulsive sans l'intervention d'au- cune autre
erveux primitif aété très énergique ; il a suffi pour provoquer les attaques convulsives ; en outre, ce choc nerveux s'est r
ue c'est à l'immobilisation des quatre membres durant une série d' attaques convulsives et délirantes que doivent être surtou
art de chacune des causes, nous rattacherions : à la ter- reur, les attaques , le délire, une prédisposition à la paraplégie;
ent psychique. Nous avons cependant d'abord cherché à provoquer une attaque , espérant la voir suivie d'une disparition de l
oir suivie d'une disparition de la paralysie' : malheureusement l' attaque n'a pu être obtenue. - Les tentatives d'hypnose
s exemples de disparition subite de pa- raplég-ie ¡\ la suite d'une attaque . 52 ' ANATOMIÉ. ' tion à l'état de veille, ne
Rappelons que la guérison définitive se produisit à la suite d'une attaque convulsive. ANATOMIE RECHERCHE EXPÉRIMENTALE
es qualifiées de rhumatisme par les parents. C'est à la suite d'une attaque de rhumalisme que se seraient produits les trou
uchée ou assise sur son lit ou sur une chaise longue. Eu dehors des attaques convulsives, elle n'éprouve aucun malaise et se
toujours l'occasion d'une recrudescence des phénomènes nerveux. Les attaques d'hystérie que présente cette malade, se rattache
présente cette malade, se rattachent au type classique de la grande attaque hystérique, avec prédomi- nance de la période d
iode de clownisme. Nous n'insistons pas sur la des- cription de ces attaques , qui n'offrent qu'un intérêt secondaire, pour n
tribue à la fatigue et la marche devient de nouveau impossible. Les attaques d'hystérie se sont espacées et ont fini par dis
. L'inexcitabilité passagère des régions motrices après plusieurs attaques provoquées expliquait très bien ces faits. , De
du crâne. Le goût et l'odorat sont très émoussés, surtout après les attaques , tandis que la sensibilité thermique, la sensib
troubles vaso-moteurs de l'écorce qui déterminent ou accompagnent l' attaque . Dix à vingt secondes avant chaque accès, en ef
celle d'une tumeur du lobe occipital droit (Wollenberg); vertiges, attaques épileptiformes, vomissements, excitation maniaq
e de la pression intra-crânienne (hy- drocéphalie papille étranglée attaques épileptiformes), mais de meilleure heure que da
SIOLOGIE DES ganglions infra- corticaux ET A LEURS relations avec l' attaque D'ÉPI- LEPSIE ; par 'l'H. ZIEHEN. (Arch. f. Psy
Chez une femme de soixante-dix ans, se sont développées, après une attaque d'apoplexie, une parésie du nerf facial et une ap
portent difficilement les chan- gements de saison. A ce propos, des attaques congestives, qui chez les paralytiques généraux
d accès d'épilepsie bien' marqué. Tous les symptômes accompagnent l' attaque . Ecume à la bouche, perte de connaissance, cri
lus souvent du côté gauche ; elles se produisaient même en dehors d' attaques complètes, et persistaient pendant des heures e
al. L'auteur voit dans les cas aigus quelque chose d'ana- logue aux attaques de paralysie générale spinale. M. Magnan félici
réquentes ; la marche, par suite, en est plus lente, sauf les cas d' attaques épileptiformes qui sont assez fréquentes et peuve
alé il y a déjà longtemps par M. Bourneville.11. Mairet distingue l' attaque épileptique de l'attaque épileptiforme, les att
par M. Bourneville.11. Mairet distingue l'attaque épileptique de l' attaque épileptiforme, les attaques en séries et les at
ret distingue l'attaque épileptique de l'attaque épileptiforme, les attaques en séries et les attaques subintrantes. Il se l
ileptique de l'attaque épileptiforme, les attaques en séries et les attaques subintrantes. Il se limite à l'étude des premiè
es attaques subintrantes. Il se limite à l'étude des premières, Jes attaques simples. Les pre- mières recherches importantes
ctale tous les quarts d'heure, sans s'occuper tout d'abord s'il y a attaque ou non ; on peut ainsi comparer les jours à att
'abord s'il y a attaque ou non ; on peut ainsi comparer les jours à attaques à ceux sans attaques, où la température n'est gén
ue ou non ; on peut ainsi comparer les jours à attaques à ceux sans attaques , où la température n'est générale- ment pas mod
trouvé des oscillations thermométriques inattendues, en dehors des attaques , sans qu'on puisse les rattacher à une cause nett
er à une cause nettement définie. Quoi qu'il en soit, peu avant l' attaque , s'est souvent manifestée une dilatation pupill
ouvent manifestée une dilatation pupillaire prodromique ; pendant l' attaque , quatre fois, il y a eu abaissement de la tempé
que d'hypérémie encépha- lique. Sur des animaux en expériences avec attaques convulsives SOCIÉTÉS SAVANTES. 251 provoquées
pérature comme M. Mairet. Il signale en terminant le cas possible d' attaques bulbo-spinales sans participa- tion du cerveau
vésaniques à la suite de fièvre typhoïde. 2° observation. - A. P., attaques d'hystérie antérieures, accidents délirants à l
casion d'une fièvre typhoïde, depuis, répétition du délire dans les attaques d'hystérie. 3° observation. Syphilis antérieure
ièvre typhoïde antérieure, stigmates avérés d'hystérie avec grandes attaques depuis cette époque. Ce n'est pas la fièvre typho
ès avancé. A l'âge de cinquante-six ans, cet homme eut une première attaque de neu- rasthénie ; deux ans après, ictus apopl
mes neuf malades deux étaient des hys- tériques qui avaient eu des attaques convulsives, et les autres pré- sentaient de la
u service d'une hystéro-épileptique atteinte de manie en dehors des attaques convulsives. A la suite d'une attaque sérieuse su
einte de manie en dehors des attaques convulsives. A la suite d'une attaque sérieuse survenue en voiture à sa malade, elle
apacité de travailler, mélancolie simple. La nuit, elle est prise d' attaques convulsives exactement semblables à celles de l
accidents nerveux. Il a vu chez les descendants des diabétiques des attaques de nerfs, des frayeurs maniaques, etc... Niepce
la nuit pour uriner. Il y a deux ans (8 février 1889), elle eut une attaque qu'on qua- lifia, dit-elle, de congestion céréb
ète s'améliora (153 grammes par jour). Un mois plus tard, début des attaques d'hystérie précédées de prodromes céphaliques,
ns grands inconvénients, le tout durant de trois à six minutes. Ces attaques étaient quotidiennes. Plus tard, elles se sont ac
débat beaucoup, fait l'arc de cercle, déchire ses vêtements, etc. L' attaque dure un quart d'heure environ et se termine par
reur, a été prise de maux de tète, de vertige, et il s'ensuivit une attaque ' Deux cas avec autopsies apportés par Pissling
sans importance. 382 CLINIQUE NERVEUSE. épileptique; de pareilles attaques renouvelaient assez souvent dans la suite. Une
e. - Colère, gourmand, menteur. - Stigmates hystériques. - Première attaque à dix-sept ans. - Attaques limitées à la phase
ur. - Stigmates hystériques. - Première attaque à dix-sept ans. - Attaques limitées à la phase épileptoïde. - Aura. - Elévat
ines depuis trois ans. Elle est encore parfai- tement réglée. Pas d' attaques de nerfs ; peu nerveuse ; pas d'alcoo- lisme. F
n père ne le battait pas. Jusqu'au mois d'avril 1884 il n'eut pas d' attaques . Il quitta alors ses parents parce qu'il ne vou
it à Sainte-Anne depuis le 10 novembre, sa mère ne sait rien de ses attaques . L'affaiblissement qu'il présente dans la main
d ne pas se masturber, ou très rarement. 25 février. - A la suile d' attaques répétées dans ces derniers jours, il présente u
és de ce doigt. - Depuis son entrée le malade a eu, en décembre, 39 attaques et 2 vertiges; eu janvier, 122 attaques et 3,08
alade a eu, en décembre, 39 attaques et 2 vertiges; eu janvier, 122 attaques et 3,087 vertiges; en février, 126 attaques et
rtiges; eu janvier, 122 attaques et 3,087 vertiges; en février, 126 attaques et 968 vertiges; en mars, 111 attaques et 215 v
87 vertiges; en février, 126 attaques et 968 vertiges; en mars, 111 attaques et 215 vertiges; en avril, 181 attaques et 440
968 vertiges; en mars, 111 attaques et 215 vertiges; en avril, 181 attaques et 440 verliges; en mai, 249 attaques et 224 vert
t 215 vertiges; en avril, 181 attaques et 440 verliges; en mai, 249 attaques et 224 vertiges; en juin, 93 attaques et 76 ver
et 440 verliges; en mai, 249 attaques et 224 vertiges; en juin, 93 attaques et 76 vertiges. - Depuis un mois il n'a plus d'
en juin, 93 attaques et 76 vertiges. - Depuis un mois il n'a plus d' attaques . Il n'est plus grossier, ne déchire plus ses habi
il donne à droite 12 et à gauche 32. 29 août. - Le malade a eu une attaque vers 8 heures et demie, qui a duré un quart d'h
se l'expérience. 31. Le malade a été pris à 8 heures et demie d'une attaque qui a.duré jusqu'à 10 h. 20. Il est repris à 10
ngé dans lequel le malade demande à boire. Il est 11 heures quand l' attaque prend fin. La température rectale prise alors e
ue prend fin. La température rectale prise alors est de 38°, 8. L' attaque est classique. L'arc de cercle est très beau, sou
sur le côté droit. Il est 11 h. 30. 12 octobre. - A eu hier neuf attaques de 7 heures et demie à 10 heures et quart du so
r pour qu'il assiste à son mariage le lendemain. Elle a été prise d' attaques de nerfs à l'âge de quatorze ans, à la suite d'
douleurs dans le côté gauche de la face. Un mois après elle eut une attaque . Les attaques étaient quotidiennes et se produisa
le côté gauche de la face. Un mois après elle eut une attaque. Les attaques étaient quotidiennes et se produisaient cinq ou
ot, pendant deux ans. Après sa sortie elle eut encore deux ou trois attaques , et elle n'en a plus du tout depuis trois ans.
18 avril pour trois jours. Il refusait de rentrer. Il n'a pas eu d' attaques pendant son congé et a aidé sa mère dans son co
et a aidé sa mère dans son commerce. 4 mai. - Le malade tombe en attaque à 7 heures et demie. Quand on arrive, il est pr
dans l'intérieur de la main, les doigts repliés sur les pouces. Ces attaques durent une quinzaine de secondes environ. Pas d
ent une quinzaine de secondes environ. Pas de cri initial. Durant l' attaque la tête est dans l'extension; le malade est pri
ieu. Le globe de l'oeil n'est certainement pas dévié en haut. Les attaques se succèdentpresque sans intermittence. Au moment
uatre ou cinq minutes d'intervalle à peine. Après la dix-septième attaque le malade se réveille un peu et demande à boire
nouvelle crise. Le corps est fléchi en demi-cercle. La durée de ces attaques est d'une minute environ. La respiration est st
a respiration est stertoreuse et irrégulière. A 8 h. 20, nouvelle attaque d'une durée de trente secondes. A 8 h. 24, une
re depuis le commencement de la série. - A 8 h. 26, vingt et unième attaque . Arc de cercle et convulsions cloniquesdesmembres
iration est un peu haletante, le pouls est calme. 6. - A eu trois attaques le matin. AnrHlvEs, t. XXII 21 370 O RECUEIL
éthargique, avec insen- sibilité complète. Mis au lit il eut quatre attaques consécutives semblables aux premières décrites
elle rien de ce qui s'est passé hier.- A 10 h. 8, il est pris d'une attaque . Il devient raide, pousse un'cri aigu, et est a
rapidité de -la respiration et gonflement des joues. Deux autres attaques épileptoïdes se succèdent bientôt. La pé- riode
oïdes se succèdent bientôt. La pé- riode de stertor de la troisième attaque est suivie tout d'un coup d'une attitude passio
versée en arrière, les yeux regardant au ciel et à droite. Nouvelle attaque .- La face grimace violemment, la bouche se tord
la bouche. Respiration précipitée, ronflante. A 10 h. 20 nouvelle attaque avec : 1° rigidité; 2° phase tétani- forme ; 3°
s; 4° stertor. A 10 h. et demie placé dans son lit il a une série d' attaques très violentes, toujours semblables aux précéde
précédentes. S'étant endormi il ne se réveille qu'a 3 heures et ses attaques le reprennent.-A 8 heures du soir il a de nouve
du soir il a de nouvelles secousses pen- dant 15 minutes, puis deux attaques d'une durée d'une minute, et revient à lui pres
rois jours et faisait les courses. Il croit n'avoir eu qu'une seule attaque depuis sa sortie, sur le boulevard Voltaire. 11
le clinique sur le certificat du D1' Garnier portant : c Epilepsie, attaques graves et fréquentes, affaiblissement intellect
on trenle secondes. - Il assure que les vertiges viennent avant les attaques et l'avertissent. 11.- Les attaques ont commenc
s vertiges viennent avant les attaques et l'avertissent. 11.- Les attaques ont commencé à 0 heures, épileptiformes seu- le
es couleurs, la dis- parition des poiats douloureux, de l'aura de l' attaque et par suite de l'allaque. On le réveille en lu
re et il empêche les autres de travailler. 1 cr octobre ? Série d' attaques depuis hier. Il est assez fatigué ce matin, et
. - Il a eu deux accès ce malin. T. R. 3 riz,8. 4. - Il a eu onze attaques depuis hier. Il est abruti; répond mal aux ques
en a plus après 9 heures et demie. Aura. Quelques minutes avant l' attaque le malade dit avoir des étourdissements, voir n
tait et qu'il allait se masturber dans les cabinets où il avait des attaques . Dans ces derniers temps il a fait deux tentati
viendrons sur ces chiffres approximatifs. IV. Sous le rapport des attaques elles-mêmes, nous n'avons rien à mentionner spé
spécialement; elles rentraient dans le type classique. Lorsque les attaques se succédaient durant un assez long temps, la t
ns. - Peurs à treize ans. - Cauchemars, somnam- bulisme. - Première attaque ci treize ans et demi. - Pas d'aura, , oubli de
Première attaque ci treize ans et demi. - Pas d'aura, , oubli de l' attaque . - Attaques de sommeil. - Tremblement. - Stigma
ttaque ci treize ans et demi. - Pas d'aura, , oubli de l'attaque. - Attaques de sommeil. - Tremblement. - Stigmates hystériq
s de sommeil. - Tremblement. - Stigmates hystériques peu marqués. - Attaques limitées à la phase épileptoïde. - Elévation de
itées à la phase épileptoïde. - Elévation de la température après l' attaque . Secousses. - Hallucinations. - Attraction. H
ies assez fréquentes, sans vomissements. - Pas de rhumatisme. Pas d' attaques de nerfs, mais très ner- veux, très irritable.
intelligente; pas de convulsions dans l'enfance; non mariée; pas d' attaques de nerfs; pas nerveuse. 2° Noire malade. - Au m
a seconde peur, à treize ans et quatre mois, qu'il a eu sa première attaque (novembre 1882). Il fut pris en mangeant glouto
Alors il s'assoupit sans dire un mot depuis le commencement de son attaque . Il n'évacua pas sous lui. Pas d'aura. Il ne se
e lendemain il était très fatigué. et n'est pas sorti. La seconde attaque eut lieu dix mois plus tard. Dans l'intervalle
vait élé bonne, mais les cauchemars avaient persisté. Cette seconde attaque l'a pris alors qu'il était en classe, sans cause
es bains sédatifs, et pen- dant celte période, il eut deux ou trois attaques . Il eut huit atta- ques seulement cette année l
nnée là (1883). En 1884 on continua le même traitement et il eut 15 attaques . C'est alors qu'on le conduisit à la consultati
et on lui a donné des douches (été 1885; - hiver 1885-86). Il eut 9 attaques en 1885. Il suspendit le hromure en 1886, au mo
bains de mer (juin-décembre 1886). Il aurait été trois mois sans attaques . Vers la fin de son séjour il eut une attaque dan
été trois mois sans attaques. Vers la fin de son séjour il eut une attaque dans les champs en conduisant un cheval qui lui
fracture pour laquelle il fut traité à l'hôpital. En 1886 il eut 13 attaques . - Dans l'une d'elles il s'est cassé deux 378 R
E MALE. 379 En 1887, après une rémission d'un mois, il fut repris d' attaques tous les quinzejour3. A la fin de février il fu
lui il fut repris d'une crise analogue aux anciennes (probablement attaque épileptoïde); pas de pleurs, pas de miction inv
de pleurs, pas de miction involontaire. Il n'a pas dormi après son attaque , s'est levé et a aussitôt diné. Puis il raconta
11 assurait que lui n'avait pas eu peur. Huit jours après, nouvelle attaque qui a débuté de la même façon : sommeil de deux
s sans qu'on y touche; il s'est levé et est tombé en pirouettant. L' attaque dura 30 minutes. Il avait dans sa poche un cout
aucoup. » Il tombe presque toujours en penchant du côté gauche. Les attaques deviennent plus fréquentes, revenant tous les h
us le titre : Un épileptique volé. Au mois de juillet, après deux attaques survenues dans la rue, il est pris d'idées tris
eux mame- lonnaire, où le malade porte loujours sa main pendant ses attaques , et qui est alors très douloureux. Céphalalgies
'il avait le ver solitaire ». Quand il est sur le point d'avoir une attaque , il ne mange pas ou très peu. Après ses alla- q
ne. Ne tousse pas, mais a souvent craché du sang, surtout après ses attaques . - Circulation : coeur normal, régulier; pas de
régulier; pas de palpitations. Il ne sent pas quand il va avoir ses attaques , mais souvent en dehors d'elles il a la sensati
que DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. 383 pendant son attaque il lui semble rêver et qu'à la suite « cela lui
4 heures de l'après-midi, il prévient qu'il va peut-être avoir une attaque et qu'il faut se méfier, car il cherche à mordr
et à égratigner. A 6 heures, il causait avec ses camarades quand l' attaque commença. Il tomba sur le dos, puis rebondit su
nute. Mais tout à coup il se rejette en arrière comme au début de l' attaque en s'arc-boulant sur les épaules et sur les pie
Il arrange le désordre de ses vêtements, se rappelant avoir eu une attaque , mais ne se souvenant pas comment cela lui a pris
enant pas comment cela lui a pris. Il n'a pas l'air ahuri après son attaque , ni fatigué. Il titube un peu en marchant et on
en marchant et on a de la peine à tirer de lui quelques réponses. L' attaque a duré en tout vingt-six minutes. 8 juillet. Et
leur pré- sence, mais aussitôt après leur départ il fut pris d'une attaque de peu de durée, à la suite de laquelle il rouv
t dix minutes, puis il est allé se rasseoir dans le fauteuil. 16. Attaque à 5 heures du soir, de dix minutes de durée, à
les pupilles sont contractées. A 3 heures de l'après-midi, il a une attaque qui dure quatre minutes à la suite de laquelle
ris d'une atta- que qui a duré sept minutes. Sa température après l' attaque était de 38°2, un quart d'heure après 38°. Somm
du matin, il s'est endormi et cinq à sept minutes après il a eu une attaque qui a duré quatre minutes et 388 RECUEIL DE FAI
es, et se ferment enfin, et le malade semble assoupi. La durée de l' attaque a été de dix-huit minutes. Il se relève, répare
nt. Il est pâle et respire difficilement. Température à la fin de l' attaque , 38°2. Une demi-heure après l'attaque, températ
nt. Température à la fin de l'attaque, 38°2. Une demi-heure après l' attaque , température 3709. Deux heures après, températu
pérature 3709. Deux heures après, température 3G°9. 23.- Nouvelle attaque en présence de l'un de nous. Tombé à terre, il
ut de quelques minutes aux paroles qu'on lui adresse. La durée de l' attaque a été de trente- sept minutes. 24.- Attaque d
dresse. La durée de l'attaque a été de trente- sept minutes. 24.- Attaque de quatre minutes à 8 h. et demie du matin; une
de son nom, sans même qu'on le touche, il tombe en arrière et a une attaque qui dure quinze minutes. 27. - Au moment de la
tes. 27. - Au moment de la visite, il est pris dans la cour d'une attaque . Il était assis sur un banc, quand il s'est levé,
fermées, les pouces en dehors, la têle dans l'extension. Nouvelle attaque . Rigidité très forte, face rouge, yeux en haut.
nutes. T. R. 38°,1. - Un quart d'heure après, T. R. 37°,8. Nouvelle attaque à 10 heures. - T. R. après l'attaque, 38°, 3 ; un
e après, T. R. 37°,8. Nouvelle attaque à 10 heures. - T. R. après l' attaque , 38°, 3 ; un quart d'heure après 37°,9 ; deux h
1. Durée 18 minutes. A 5 heures et demie, après son dîner, nouvelle attaque . Il bat l'air de ses bras, el reste 20 secondes
nutes qu'il répond. Durée de l'at- taque 35 minutes. T. R., après l' attaque 38°,4; un quart d'heure 37°,0; deux heures aprè
jours seule- ment. Elles n'auraient d'après lui aucun lien avec les attaques . Traitement. - Deux douches par jour, gymnastiq
nt sujet à des cauchemars, et au bout d'un mois, éclate la première attaque , suivie d'une seconde, seulement dix mois plus
ulement dix mois plus tard. A partir de là, jusqu'en 1887, il a des attaques mensuelles ou bi-mensuelles qui toutes présen-
accompagnent de traumatismes sérieux. III. Nous retrouvons dans les attaques ultérieures précédées d'un sommeil plus ou moin
aux deux observations, c'est la forme épileptoïde qu'ont revêtu les attaques , soit au début, soit dans le cours de la maladi
connaît pas les antécédents et qu'on n'a pu assister qu'à une seule attaque , on peut hésiter. Ces crises isolées s'accompag
tion de la température, comme dans l'accès d'épilepsie. Mais si les attaques se succèdent pendant une ou plusieurs heures, l
complet, puis succomba presque brusquement' sous l'influence d'une attaque comateuse. 408 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ,
ccès. Il entre en décembre 1888 ; on constate de l'imbécillité, des attaques d'épilepsie, des symptômes spasmodiques, tels q
tte façon il était facile de se rendre compte du nombre mensuel des attaques . Leurs attaques les prenaient surtout la nuit,
it facile de se rendre compte du nombre mensuel des attaques. Leurs attaques les prenaient surtout la nuit, enfin, dans le n
raître l'épilepsie qu'en un seul cas; chez 5 p. 100 des sujets, les attaques diminuèrent, mais sans qu'il y eût amélioration
ar le Dr Palmer chez son malade, ils ressemblent assez à ceux d'une attaque de catalepsie. Peut-être cet homme était-il hys
ut-être le coup de foudre a-t-il été la cause de l'apparition d'une attaque d'hystérie ? C'est là une simple hypo- thèse qu
18 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
ne hémianesthésie sensitivo-sensorielle, sans zones hystérogènes ni attaques . Quel que soit d'ailleurs le diagnostic ferme a
l'Encéphale, l'observation d'une jeune femme qui, à la suite d'une attaque , avait été prise à la fois de mouvements choréi
ériques non douteux et d'un tremblement des mains survenu après une attaque et rappelant tout à fait le trem- blement de la
d'un choc moral quelconque et plus souvent encore à la suite d'une attaque convulsive (Obs. I, II et III). En pareil cas,
d'une attaque convulsive (Obs. I, II et III). En pareil cas, que l' attaque ait été complète ou seulement ébauchée, qu'elle
e de beaucoup plus fréquent. Au lieu de se montrer à la suite d'une attaque vulgaire, le tremble- ment débute quelquefois d
se développe en quelque sorte au lieu et place des convulsions de l' attaque vulgaire et l'on a affaire en pareil cas à une
l'attaque vulgaire et l'on a affaire en pareil cas à une véritable attaque de tremblement (Obs. II et V). Chez une de nos
sans cause provocatrice immédiate, sans avoir été précédé, ni d'une attaque quelconque, ni des phénomènes de l'aura. Il appar
c les diffé- rents stigmates de la névrose, lorsqu'il succède à une attaque classique, il n'en est pas de même dans ces cas
n méconnaît la véritable nature du tremblement jusqu'au jour où une attaque , l'apparition d'une hémia- nesthésie ou tel aut
ption. Parfois ils se montrent par accès; apparaissant après chaque attaque convulsive, on les voit alors, après quelques ins
à peu et s'effacer au bout d'un temps variable pour reparaître à l' attaque suivante. Les tremblements sont quelquefois s
are d'observer ce tremblement chez les hysté- riques à la suite des attaques convulsives. Qu'il soit généralisé ou partiel,
ent est à son maximum d'intensité, comme cela arrive à la suite des attaques (V. Obs. I), ou lorsque le sujet est sous le co
nt. Voici ce que nous avons observé à cet égard. Si le malade a une attaque , au sortir de la crise, le tremblement atteint
usqu'à un certain degré; c'est la phase de calme qui dure jusqu'à l' attaque suivante à moins qu'un mouvement de colère, une c
intes fois observé chez le nommé Hacq... (Obs. I), à la suite d'une attaque spontanée, lorsque le trem- blement vibratoire
Obs. I, le tremblement s'est développé brusquement à la suite d'une attaque . Chez le nommé Chérub... (Obs. II) l'apparition
(Obs. II) l'apparition du tremblement a été précédée, non pas d'une attaque convulsive complète, mais seulement des symptômes
que quelques jours, et c'est après avoir ainsi présenté une série d' attaques de tremblement, que ce symptôme s'établit, à la
manent. Il est vraisemblable que ce mode de début (à la suite d'une attaque convulsive ou sous forme d'attaque de trem- ble
mode de début (à la suite d'une attaque convulsive ou sous forme d' attaque de trem- blement) n'est pas le seul. Chez une h
Éléonore L... âgée de dix-huit ans, sujette depuis trois ans à des attaques convulsives tout à fait caractéristiques, et ma
l'état moyen du tremblement. Nous avons déjà dit qu'à la suite des attaques , ou bien sous l'influence des émotions, ou bien
il était non moins certain qu'il n'y avait pas eu pendant la nuit d' attaques convul- sives. Nous n'hésitâmes pas un instan
décrit d'une façon extrêmement remarquable ces hémorrhagies et les attaques qui les entrecoupent ou les accompagnent, mais en
, nous croyons qu'en réalité il n'en est pas ainsi, et que, comme l' attaque d'hystérie, l'état mental hystérique a son déterm
de la mise en oeuvre de cette suggestibilité. Sous ce rapport, les attaques jouent un rôle prépondérant. L'attaque en effet
ilité. Sous ce rapport, les attaques jouent un rôle prépondérant. L' attaque en effet, ainsi que l'ont bien fait voir MM. Pa
qu'on leur adresse qu'après maintes objurga- tions. Puis survient l' attaque , ou celle-ci avorte, comme chez les enfants par
e, comme chez les enfants par exemple, où M. Charcot a montré que l' attaque revêtait souvent la forme maniaque et se passai
ent parler, de l'état mental des hystériques, ils appartiennent à l' attaque et doivent être considérés comme des phénomènes
odromes s'accompagnentdans la majorité des cas du rêve de la grande attaque , rêve d'une importance capitale dans l'espèce.
magistralement étudiée par M. Charcot qui, chez les hystériques à attaques , va singulièrement influencer l'état mental dans
influencer l'état mental dans les intervalles des accès. Lorsque l' attaque est terminée, le cerveau de l'hystérique a gard
ns à l'état de veille. Nous avons vu un de nos malades, un homme, l' attaque terminée, se lever brusquement, ouvrir les fenêtr
TKIEnn. et qui le narguait encore sur son lit. C'est le rêve qui, l' attaque finie, pousse soeur Jeanne des Anges à accuser
l'on verra l'accusation se formuler encore plus nette après chaque attaque infailliblement déterminée par un nouvel exorci
aire trop célèbre voit encore son violateur, trois heures après son attaque , se promener sous ses fenêtres, alors que, bien
r la malheureuse victime de son hallucination. C'est le rêve de l' attaque qui peut produire directement les troubles phys
. » A une époque moins reculée, une hystérique montrait après ses attaques , notamment sur les cuisses, des taches noires pro
Si l'aulo-suggestion s'effectuait uniquement sous l'influence de l' attaque , les phénomènes qu'elle entraîne avec elle, et qu
re ainsi par ce fait qu'il est des -hystériques chez lesquelles les attaques sont très espacées et d'autres chez lesquelles
elles les attaques sont très espacées et d'autres chez lesquelles l' attaque fait complètement défaut. ' , Aussi nous faut-i
Le mécanisme est du reste absolument le même que pour le rêve de l' attaque : comme lui, il est susceptible de déterminer d
une cire molle à la merci delà suggestion. Dans l'inter- valle des attaques elle est gaie, bonne pour ses camarades, surtout,
orsqu'elle a bien dormi; par contre, trois ou quatre ours avant son attaque elle devient méchante, querel- leuse, son somme
Charcot; ils peuvent être hystériques, comme J'ataxiqllc qui a des attaques , mais ils n'en sont pas moins des dégénérés. L'hy
bles... C'est du reste un [hysté- rique à stigmates, présentant des attaques de sommeil, facilement hypnotisable, et l'exper
parquet accusant le sieur T... d'avoir violé son enfant pendant une attaque d'hystérie. Le sieur T... est cité en cour d'as
irrécu- sables en font foi, et il n'avait pas besoin d'attendre les attaques d'hys- térie pour posséder sa maîtresse. La mèr
res de leur espèce; ces sujets, disons-nous, peuvent bien avoir des attaques de nerfs, mais ce qui domine, le fond immuable,
êves qui peuplent le sommeil, comme les attitudes passionnelles des attaques , car ce sont ces malades qui ont des convulsion
us et alors elle se révèle avec son luxe habituel de stigmates, ses attaques , ses paralysies ou ses contractures. L'état men
à les reconnaître, errent de service en service, tourmentés par des attaques , par des hémiplégies qu'on sait diagnostiquer,
it été soigné à la Pitié, trois années auparavant, pour la première attaque de l'hémiplégie hystérique qui l'amenait encore
dont les principaux facteurs sont les rêves nocturnes et ceux de l' attaque . Chez l'enfant hystérique, l'impressionnabilité
caractère qui a toujours été assez doux n'a pas été altéré par les attaques . Jusqu'au moment de son entrée il avait presque q
usqu'au moment de son entrée il avait presque quotidienne- ment des attaques ou des vertiges. Pendant les premiers temps de
') en tête ». Tel était l'état du malade lorsqu'il eut sa première attaque dans les cir- constances que voici : Le 26 fé
vulsions continuèrent jusqu'à sept heures du soir. A ce moment, les attaques cessèrent, le malade reprit 1. Voy. le n° 1, t.
le. Dans les premiers jours du mois d'avril, il a eu deux nouvelles attaques , l'une s'est produite à deux heures, l'autre il
acq... d'une façon permanente. Ils ne se montrent qu'à la suite des attaques , ou bien sous l'influence de' la compression des
Le tremblement est apparu chez cet homme à la suite de sa première attaque , c'est-à-dire le 26 février 1889. Il a toujours p
'exagère d'une façon remarquable sous l'influence des émotions, des attaques spontanées ou provoquées et lorsqu'on excite légè
e se con- gestionne, sa vue se trouble, le regard devient fixe et l' attaque commence.. Les attaques se présentent toujours
vue se trouble, le regard devient fixe et l'attaque commence.. Les attaques se présentent toujours avec les mêmes caractères,
sont assez fréquentes, elles se succèdent en série de trois, quatre attaques subintrantes, quelquefois plus; elle apparaissent
ois fois par mois, comme l'indique le tableau suivant : . 9 juin, attaque à 8 heures du soir. Le 21 juin, attaque à 7 heu
eau suivant : . 9 juin, attaque à 8 heures du soir. Le 21 juin, attaque à 7 heures 30. 4 juillet, attaque à 5 heures.
à 8 heures du soir. Le 21 juin, attaque à 7 heures 30. 4 juillet, attaque à 5 heures. Le 13 juillet, attaque à 5 heures.
aque à 7 heures 30. 4 juillet, attaque à 5 heures. Le 13 juillet, attaque à 5 heures. Le 24 juillet, attaque à G heures.
que à 5 heures. Le 13 juillet, attaque à 5 heures. Le 24 juillet, attaque à G heures. 11 août, allaque à midi et demi.
attaque à G heures. 11 août, allaque à midi et demi. Le 17 août, attaque à 9 heures 30. Le 27 août, attaque à 8 heures.
ue à midi et demi. Le 17 août, attaque à 9 heures 30. Le 27 août, attaque à 8 heures. Depuis son entrée dans le service d
édication tonique) ne s'est guère modifié; et même, à la suite de l' attaque qui se produisit le 24 juillet, l'hémiauesthésic
e et la station debout sont toujours un peu troublées. Après chaque attaque , la faiblesse des jambes et le tremblement s'accr
jamais complète- ment s'atténue et les choses vont ainsi jusqu'à l' attaque suivante. Chez ce malade il n'y a ni goitre ni
là, il dut garder la chambre. A partir de cette époque il eut des attaques semblables, tous les six ou huit mois, toujours
ar un hoquet persistant qui a duré trois mois; elle n'a jamais eu d' attaques convulsives. Une autre tante (trente et un ans) e
ans. Depuis cet âge jusqu'à huit ans, elle a eu fréquem- .ment des attaques convulsives revenant par moments presque tous les
ue, pas de mictions involontaires. A huit ans, elle eut une série d' attaques plus longues, ayant duré plus de vingt-quatre h
mais ces manoeuvres n'eurent d'autre résultat que de déterminer des attaques convulsives avec perte de connaissance. Un an a
le même temps environ. De neuf à dix-sept ans, Ler... n'a pas eu d' attaques et est restée indemne de manifestations morbide
son lit, mais elle ne saurait dire si, à ce moment, elle avait des attaques convulsives. Comme ces troubles persistaient, ell
s les crises sont plus complètes et se rapt prochent davantage de l' attaque d'hystérie ordinaire. Elles sont annon- cées ac
Des convulsions cloniques assez étendues apparaissent alors, puis l' attaque se termine habituellement par un sommeil analogue
e toujours un mélange de quelques autres phénomènes appartenant à l' attaque ordi- CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES BAILLEMENTS HY
lui semblait qu'elle allait défaillir. Parfois alors survenait une attaque véritable avec cris, contorsions, etc. Quelqu
colères. Son grand- I père est mort fou et sa grand'mère avait des attaques de nerfs. 1 2° Côté maternel. - Là mère est emp
é maternel. - Là mère est emportée, coléreuse, elle n'a jamais eu d' attaques de nerfs. La grand'mère est peu connue. Le grand-
ées d'étourdissements et accompagnées de perle de connaissance. Ces attaques ne duraient que peu de temps. La malade poussai
DE LA SAL1'1 : 1'Itll : r.l;. ' aujourd'hui. Pendant cette première attaque , il y eut une courte période de convulsions ave
ts succédèrent et durèrent environ une demi-heure. Depuis lors, les attaques se sont succédé très fréquentes et très vio- le
de salutation rhythmés, assez lents, d'une violence modérée. Les attaques n° 2 au contraire des précédentes, qui ne se repr
mais moins violents, quoique tout aussi incessants qu'au début de l' attaque . Ils permettent cependant à la malade de marche
ements qui surviennent à l'état isolé sans se. grouper sous forme d' attaques n'influencent pas les phénomènes nutritifs. Il
ur ces données chimiques, car si le doute pouvait exister entre les attaques de bâillements hystériques et les accès de bâil
tré MM. Lépine et Mairet, que l'accès d'épilepsie, à l'inverse de l' attaque d'hystérie augmente considérablement le taux du
ire du côté gauche. Les points ovariens arrêtent assez facilement l' attaque Ils la produisent aussi quelquefois, mais non t
M. le professeur Charcot à ses auditeurs, suffit pour provoquer une attaque . - " Il est bon de dire que les attaques ne son
suffit pour provoquer une attaque. - " Il est bon de dire que les attaques ne sont pas-toujours aussi nette- ment séparées
deux se mélangent souvent. Cela est même arrivé pour la plupart des attaques que nous avons observées. L'attaque simple se m
ême arrivé pour la plupart des attaques que nous avons observées. L' attaque simple se manifeste seule quelquefois ; mais, le
us souvent, actuellement du moins, elle est suivie ou précédée de l' attaque de bâillements. ' . , ? , Ce ne sontpoint des
s, rhumatisant. Mère quarante-huit ans, rhumatisante, aurait eu des attaques étant jeune. Soeur morte il dix-neuf ans de la
e. Soeur morte il dix-neuf ans de la fièvre typhoïde. Elle a eu des attaques . Une autre soeur nerveuse, rit et pleure sans mot
- larité et sont matinales. A la suite du bâillement survient une attaque , convulsive caractéris- tique ; elle étend ses
ac dans la gorge et l'étouffe. Il ne s'agit pas ici d'une véritable attaque d'hystérie caractérisée par un phénomène inusité,
que continuel, dû à une sensation identique à l'aura ordinaire de l' attaque hystérique. Il est impossible d'obtenir de rens
pen- dant qu'elles sont précédées d'une aura analogue à l'aura de l' attaque vulgaire : contraction de la gorge, battements
illes. 11 est donc certain qu'il s'agit là véritablement de petites attaques d'hystérie. La malade se plaint en outre de phé
e sein gauche. La pression en ces points, si elle ne provoque pas d' attaque proprement dite, donne lieu néanmoins à la prod
ves limitées ou généralisées de l'hystérie se groupant sous forme d' attaques . Il existe dans tous ces cas un fond commun qui
tout mélange des phénomènes ordinairement observés lors delà grande attaque . On sait en effet, M. Charcot l'a montré, -qu'un
e l'aura qui sont communs, il est fréquent d'observer au début de l' attaque des contractures des membres supérieurs ou infé
de délire. La prédominance des bâillements fixe seule la forme de l' attaque . Parfois l'attaque de bâillements peut se termi
minance des bâillements fixe seule la forme de l'attaque. Parfois l' attaque de bâillements peut se terminer par une véritable
Parfois l'attaque de bâillements peut se terminer par une véritable attaque convulsive ordinaire, les bâillements représentan
fois, cependant, on voit alterner sans se confondre (obs. III), les attaques convulsives proprement dites et les attaques de
fondre (obs. III), les attaques convulsives proprement dites et les attaques de bâillements. Le diagnostic différentiel des
se poser. Lorsque les bâillements ne sont pas groupés sous forme d' attaques , le rhythme et la cadence sont des éléments dif
alyse des urines de la période des vingt-quatre heures comprenant l' attaque , donne des résultats qui permettent d'établir q
enant l'attaque, donne des résultats qui permettent d'établir que l' attaque a eu lieu. , 118 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SA
, 118 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ! Dans ces cas, l' attaque se juge par l'abaissement du résidu fixe, du ta
nnent comme 1 est à 2, 1 est à 1, et même quelquefois plus. Or, l' attaque de bâillements hystériques ne fait pas exception
pour s'en convaincre, de considérer le tableau suivant relatif aux attaques de la malade dont l'histoire est rapportée dans n
de dont l'histoire est rapportée dans notre première observation. ATTAQUE DE BAILLEMENTS HYSTÉRIQUES, UN CAS DE MÉLANCOLI
e a éL'6 -foi-lieheit-"âtièin-le. Depuis près'd'un an, iln'a-plus d' attaques : L'attention n'avait pas été appelée sur'ses y
s lesquels le goitre exophthalmique est apparu après la cessation d' attaques épilep- tiques*. L'avenir montrera s'il s'agit
ien parfaitement caractéris- tiques. Enfin la malade a de petites attaques de nerfs de nature nettement hystérique. Elle n
l des forces et sur le tremblement chez- les épileptiques après les attaques (Nouv. Icon. de la Salp., L889, t. Il, p. ;38).-
de la parole et, en particulier, de l'articulation. A la suite des attaques , les épileptiques présentent souvent des troubl
le droite. Un matin en se réveillant la malade s'en aperçut. Pas. d' attaque pendant la nuit précédente. A ce moment la para
2 : 3 ODS. IV. - C..., vingt-quatre ans. Entré à l'âge de neuf ans. Attaques très fréquentes et vertiges. Au commencement de
ce jusqu'à sept ans. Depuis l'âge de quatorze ans a fréquemment des attaques et des vertiges; léger embarras de la parole.
nsister, du peu de ressemblance qu'affecte, de même, cette deuxième attaque avec la poliomyélite. L'étude ultérieure de l
onique. Son père était obèse; il est mort à quarante-neuf ans d'une attaque d'apoplexie cérébrale. - Elle a eu douze frèr
ieure, que nous suivrons tout d'abord dans sa marche progressive, s' attaque successivement à chacun des noyaux; elle descend
stérieure de la tête quatre ans auparavant. Deux ans et demi après, attaques de vertiges, puis chute pro- gressive des paupi
même que trois jours après la malade ne pouvait plus boire. Cette attaque subaiguë continua sans vertige, sans céphalalgie,
ux étages dans la moitié supérieure du 4e ventricule, l'affection s' attaque surtout aux cellules ganglionnaires inférieures
19 (1881) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1880
her convenablement et accom pagnait sa mère dehors; aucune nouvelle attaque de con- vulsions n'était survenue; néanmoins la
à des éruptions eczémateuses. Elle est nerveuse, mais n'a pas eu d' attaques de nerfs. [Père et mère morts du choléra en 184
s, un certain nombre de malades, enfants et adultes, présentant des attaques d'hystérie nettement caractérisée, nous avons l
squels on peut suivre, période par période, l'évolution des grandes attaques , depuis longtemps décrites à la Salpêtrière, ch
iaque, dont la compression a plus d'une fois suffi pour arrêter des attaques . On sait que la compression du testicule a été
uivante, détachée de notre travail, montre nettement l'identité des attaques et des troubles de la sensibilité. Observatio
atopsie. Zones hystérogènes multiples. - Description générale des attaques : Prodromes et aura; Convulsions présen7 tant l
odes : épileptoïde, clonique et déli- rante de l'hystéro-épilepsie; attaques spontanées et provoquées : arrêt possible des a
o-épilepsie; attaques spontanées et provoquées : arrêt possible des attaques par la conzpres- sion des zones hystérogènes. A
bréviation de croduemitaine, et ses enfants en avaient peur). Pas d' attaques de nerfs ni de migraines, mais douleurs de tête
[Père mort d'une hernie étranglée; pas d'excès. - Mère morte d'une attaque d'apoplexie en 7 ou 8 heures. Pas de frères.-Tr
isième est presque aveugle par suite d'ophthalmics ; elle n'a pas d' attaques de nerfs, mais elle est violente. Un oncle (Gui
o- les qu'il prononce pendant la phase de délire, à la fin de[ses attaques . Ophthalmies chroniques : il aurait été aveugle p
1879, il a eu BOURN. S 34 HTSTRO-PILPPSIl's. quotidiennement 3 attaques survenant ordinairement de 11 heures à 5 heures
sensibilité s'est modifié à plusieurs reprises sous l'influence des attaques et des divers agents thérapeutiques employés.
une hémianesthésie droite. Le surlendemain 29, après de nombreuses attaques , on constata que la fosse iliaque gauche présen
heveux, à ce niveau, détermine les phénomènes de l'aura, puis une attaque présentant tous les caractères de l'attaque spon-
nes de l'aura, puis une attaque présentant tous les caractères de l' attaque spon- tanée telle qu'elle sera décrite ci-desso
femmes hys- tériques. Comme on va le voir, par la description des attaques , l'analogie ne se borne pas à ces symptômes. De
taques, l'analogie ne se borne pas à ces symptômes. Description des attaques . - Nous avons pu observer (1) Les troubles dn s
ière, t. III, p. 36-88 ; nov. 1879 - avril 1880). DESCRIPTION DES ATTAQUES . 37 nous-mêmes un assez grand nombre d'attaques
. DESCRIPTION DES ATTAQUES. 37 nous-mêmes un assez grand nombre d' attaques spontanées, et quelques attaques provoquées, un
nous-mêmes un assez grand nombre d'attaques spontanées, et quelques attaques provoquées, une note plus ou moins complète a é
idieux de relater à la suite les unes des autres les descriptions d' attaques qui, toutes, peuvent être rapportées pour la ma
descriptions partielles, la description de ce que pourrait être une attaque complète. Nous pourrons ensuite rétablir l'ordr
blir l'ordre naturel des faits en donnant la relation de quelques attaques spontanées ou provoquées. Prodromes et titra.-
ant ne peut jamais dire plusieurs heures d'avance s'il va avoir une attaque , mais il lui est arrivé plusieurs fois d'être o
s pendant la nuit et d'être réveillé à cinq heures du matin par une attaque .- Le plus souvent, il est prévenu quelques seco
de l'aura, il ne peut parler et n'a jamais le temps de prévenir. Attaque . - 1° Elle débute invariablement par un état de
ion désordonnée. C'est à ce moment que l'on observe dans toutes les attaques un certain nombre d'arcs de cercle plus ou moin
e hauteur est pro- portionnellement considérable. DESCRIPTION DES ATTAQUES . 39 pas l'équilibre dans cette situation et tom
e est vul- tueuse. Terminaison. Lorsqu'il s'agit de la del'l11ère attaque d'une série, le délire est suivi de quelques in
ement de ses rêves et les raconte. Tel est le tableau général des attaques présentées par notre malade. Il n'est pas besoi
les trois périodes épileptoide, clonique et délirante de la grande attaque hystérique chez la femme (1). Il nous faut (1)
'STl'sIio-I : PILEPSII· : . maintenant montrer en quoi les diverses attaques observées se rapprochent ou diffèrent de la des
description précédente. A. Attaques spontanées.-26 janvier. Série d' attaques se succédant à environ une demi-minute d'interv
précède immédiatement la position en arc de cercle. Dans certaines attaques , le tronc est fléchi latérale- ment.La compress
sayée à plusieurs reprises, n'a pas eu d'action immédiate sur les attaques ; néanmoins, elles ont cessé quelques instants
la série a été de 35 minutes. 3° Pas de délire. 27 janv. Début des attaques à une heure de l'après-midi. 1 le période. Chut
latées ; pouls fréquent et dur. C'est ainsi qu'a débuté la première attaque de la série et le même état se représente dans
ce qu'on lui dit, mais il ne répond pas. Au moment où une nouvelle attaque commence, on voit les mouvements des globes ocu
ces exprimant la joie ou la terreur. Bientôt, commence une nouvelle attaque : de nouveau, et l'Iconographie photographique
tn (1876-1879); Richer, thèse inaugurale, 1879. ' DESCRIPTION DES ATTAQUES . 41 l les yeux sont agités, les lèvres et les a
clo- nique ne tarde pas à se produire. L'intervalle entre chaque attaque est ordinairement de 3 à 4 minutes. Cette série
rie s'est terminée de la manière suivante : à la fin de la dernière attaque , l'enfant a ouvert les yeux, s'est plaint du ma
uelques siffle- ments d'oreilles.,Soir : T. R. 37°,2. 29 janvier. Attaques au moment de la visite. Rigidité générale. Memb
epos. La figure de l'enfant devient souriante. ' - Dans une autre attaque avec période épileptoide éga- lement suivie d'u
t et reste quelques secondes dans cette position. - Dans d'autres attaques , la période de délire est très net- 42 2 HI STÉ
, tirées textuellement des notes re- recueillies au moment même des attaques , suffiraient à en montrer le caractère ; toutef
ons encore, pour compléter cette description, la relation de deux attaques provoquées. 21 février. Une attaque est détermi
ription, la relation de deux attaques provoquées. 21 février. Une attaque est déterminée involontairement en portant la m
ntrent ensuite, puis le calme reparaît et tout se borne à une seule attaque . Il n'y a pas eu de période de délire. Une autr
une seule attaque. Il n'y a pas eu de période de délire. Une autre attaque produite dans les mômes conditions a pu être ar
ion énergique de la zone bregmatique (clou hystérique). Après ses attaques , lorsque l'enfant est revenu à lui, il rend par
ns insisté dans notre description générale. Comme on le voit, les attaques provoquées ne diffèrent en rien d'essentiel des
voit, les attaques provoquées ne diffèrent en rien d'essentiel des attaques spontanées. Il nous reste à parler de la marche
spontanées. Il nous reste à parler de la marche qu'ont suivie ces attaques et de 1'-épilepsie dont le malade était, croyait-
e qui concerne l'homme. Cette coïncidence a déjà été si- MARCHE DES ATTAQUES . 43 le nombre des attaques qui peut aller jusqu
coïncidence a déjà été si- MARCHE DES ATTAQUES. 43 le nombre des attaques qui peut aller jusqu'à 20 et plus. Elles ont ét
à cette époque, l'enfant ne passait guère deux ou trois jours sans attaque . Peu à peu, elles ont diminué de fréquence, vra
Depuis que celle-ci a disparu définitivement (2 sep- tembre) aucune attaque ne s'est produite. Quant aux attaques, voici la
ement (2 sep- tembre) aucune attaque ne s'est produite. Quant aux attaques , voici la marche qu'elles auraient suivie depui
lfi : TALLOSCOPIE. prises le nitrite d'amyle pour faire cesser les attaques et ce moyen a quelquefois réussi. C'est seuleme
tableau que nous avons rapporté plus haut, il n'y a pas eu trace d' attaque depuis le début de ce traitement. Toutes les zo
ont exactement perçues des deux côtés. - L'enfant n'ayant eu aucune attaque en août, septembre, ni octobre, quitte Bicêtre
des phénomènes cliniques observés chez cet enfant. On voit que ses attaques , exactement analysées, reproduisent tout à fait
nt analysées, reproduisent tout à fait les diverses périodes de l' attaque hystérique connue. Chez lui comme chez la femme
s de l'attaque hystérique connue. Chez lui comme chez la femme, l' attaque peut revêtir des modalités diverses : tantôt co
esthésie. Au reste, notre malade n'avait jamais vu d'hystériques en attaque et n'avait aucun ca- marade atteint de cette ma
nt du bregma {clou hystérique). Unepres- sion légère provoquait une attaque que l'on arrêtait, comme chez la femme, par une
icaments, on parvient le plus souvent à faire cesser ou avorter les attaques et quel- quefois à enrayer des états de mal, le
dica- ment a été administré à plusieurs reprises au moment même d' attaques d'hystérie ou d'accès d'épilepsie. Ainsi ont ét
° propriétés physiologiques du bromure d'éthyle ; 2° action sur les attaques d'hystérie ; 3° action sur les accès d'épilepsi
les deux malades dans toutes les expériences. II. Action sur les attaques d'hijstérie. Le bromure d'éthyle, administré à
eurs fois ce fait à Bicêtre, chez des sujets en proie à une série d' attaques hystériques (vagues abdo- minales, strangulatio
ntôt au contraire, après un répit de quelques minutes, une nouvelle attaque se produisait avec phase épileptoïde, grandes c
l'inhalation, mais ne per- sistant pas en dehors d'elle ; 7° Les attaques hystériques sont en général facilement arrêtées
nosé. Dix mois plus tard, l'enfant aurait présenté ses pre- mières attaques do convulsions, elles auraient été très lé- gèr
t re- muait moins bien le bras droit que le gauche. Une se- conde attaque survint quatre mois plus tard. A 2 ans, l'enfan
que. In-8" de 92 pages. SADRAIN (G.). - Étude sur le traitement des attaques d'hystérie et des accès d'épilepsie. In-8" de 5
fr. BLONDEAU (A.) Etude clinique sur le pouls lent permanent avec attaques syncopales et épileptiformes. - Un vol. in-8 de 7
observation d'hystéro-épilepsie. 2e et 3e livraisons : Variété des attaques hystériques. - 4. livroilon : Des régions hystéro
20 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
e septicémie puerpérale; elle avait eu durant de longues années des attaques de nerfs : à la moindre émotion, elle tombait par
t tous coléreux, emportés, violents. Une de ses tantes présente des attaques convulsives. Ses cousins maternels sont tous vi
maternels sont tous violents, « insupportables » ; ils n'ont pas d' attaques de nerfs. Antécédents personnels. - Dans son en
malade se plaint de céphalalgie et de vertige. Il n'a jamais eu d' attaques convulsives. Lorsque le tremblement est très fo
t se dissipe, il se relève et reprend son chemin. Ces vertiges, ces attaques sur- viennent de préférence quand il est ému ou
iturne, se plaignant de céphalalgie cl de vertiges. Il n'a pas eu d' attaques convulsives, mais à diverses reprises il a épro
tement réalisée : début par de la céphalalgie et des vertiges, puis attaque apoplectiforme suivie d'hémiplégie droite et d'
rose ne relève d'aucune lésion ophtlialmoscopique, qu'il a enfin des attaques précédées d'une aura et suivies de perte de con
éblouissements, les vertiges, ne sont autre chose qu'une ébauche d' attaque . L'hémiplégie droite avec aphasie, qui a suivi
; il est entré l'an dernier dans le service de la clinique pour des attaques d'hystérie. L'autre qui est née en juillet 1890 a
ouchard. où il resta trois mois et demi. Durant ce séjour, il eut des attaques convulsives presque quotidiennes, toujours préc
ncore faire une livraison lorsqu'il a eu, dans la rue, une deuxième attaque précédée des mêmes prodromes que la première. O
sa tentative. Durant son séjour il l'hôpital, il eut de nombreuses attaques convulsives. Son mutisme disparut un jour brusq
à tout le corps. Il reprit son travail, ayant de temps à autre des attaques de nerfs et de mutisme transitoires. Au commencem
étiniennes qui l'empêchent de fixer un objet sous peine d'avoir une attaque . Les sens musculaire et arti- culaire sont tota
lus. Ces points sont très sensibles à la pression et provoquent des attaques /si la pression persiste. En outre, il existe une
ique à la zone spasmogène du côté gauche. Sa compression arrête les attaques . Bl... en effet présente des attaques hystériques
he. Sa compression arrête les attaques. Bl... en effet présente des attaques hystériques classiques avec aura et grands mouv
z ce malade que du mode de début de la maladie actuelle : vertiges, attaque épileptiforme suivie d'hémiplégie, tremblement
émotion est survenu un vertige épileptiforme, nous voulons dire une attaque qui a affecté dès le début le type hystérique :
isque tous les vêtements de Bl... ont été dé- chirés. Du reste, les attaques consécutives et actuelles permettent d'af- firm
art. L'une est morte dans un accès d'épilepsie; une autre avait des attaques convulsives. Un oncle paternel s'est suicidé ; un
oolisme, pas de syphilis. Depuis t'age de vingt-neuf ans, M.. a des attaques convulsives qui ressemblent à de l'épilepsie. Ell
e ni les lèvres ; il reste ensuite courbaturé. La pre- mière de ces attaques serait, dit-il, survenue dans les conditions suiv
enfants : deux meurent en bas âge, deux sont vivants : l'une a des attaques convulsives. En 1882, il perd sa femme et éprou
ccès, tous les jours. En 1887. il eut dans le bois de Vincennes une attaque d'hémiplégie droite suivie de tremblement; il e
parlé de sclérose en plaques. Il y a treize jours, il aurait eu une attaque du même genre. Vers trois heures du matin, il s
e la profession du malade fait qualifier de mercuriel. Une deuxième attaque se produit t accompagnée cette fois de dysarthr
éclamptiques avec anasarque et albuminurie. C'est à la suite de ces attaques d'éclampsie, trois semaines après l'avortement,
y est restée deux ans puis est entrée à la Salpètrière. Depuis ses attaques d'éclampsie, elle a constamment gardé le lit, ses
ni les objets qu'on lui met dans les mains, sur la tète, etc. Pas d' attaques con- vulsives. De temps à autre, elle a des mom
me mis en « silo ». En 1873, sans cause connue, il a été pris d'une attaque convulsive épileptiforme, avec perte de connais
parfaite, et il apprécie mal le violet. Il a eu en outre de petites attaques avec perte de la connaissance et de la parole. Il
ations hysté- riques ; elle eut au cours de sa paraplégie plusieurs attaques d'aphonie, 30 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊ
rielle, élévation persistante de la température, hémiplégie droite, attaques épilepti- formes ; mort par bronchite. A l'auto
t de ses descriptions; son père était goutteux et il est mort d'une attaque d'apoplexie. Lui-même, de haute taille, très pu
issement de la vue, de la diplopie. Un peu plus tard survinrent des attaques qui présentaient les caractères suivants : chut
les mots qui se présen- taient bien, d'ailleurs, à sa mémoire. Ces attaques épileptiformes, parfois spontanées, souvent pro
cidents. Vives douleurs au niveau des jointures. Amélioration. Puis attaque avec perte de connaissance suivie d'hémiplégie dr
malade sort. Le même jour, il revient à l'hôpital, il avait eu une attaque apoplectiforme et il présentait une hémiplégie dr
en peintre en voitures, âgé de quarante et un ans, qui, à part deux attaques de coliques de plomb et des crises d'automatism
peut arriver à savoir qu'elles étaient précédées d'une toute petite attaque convulsive très courte, et que souvent pendant
pendant la nuit ni à aucun autre moment. A dix-huit ans il eut une attaque de coliques de plomb. Il avait commencé son mét
étier de peintre en voitures et quelque temps après eut une seconde attaque de coliques de plomb. Depuis cette époque (1870
n cor- riger. Vers la lin de son service militaire, il a une grande attaque de rhuma- tisme articulaire aigu qui le tient t
qui le tient trois mois à l'hôpital. Depuis, il a eu deux nouvelles attaques de rhumatisme assez violentes, et deux érysipèles
l a souvent soif devant ses fourneaux. l'as de syphilis. Première attaque d'oedème. En août 1888, L... a éprouvé dans la ma
sse- ment des tendons fléchisseurs, dû sans doute à ses précédentes attaques de rhumatisme. Le D' Raymond interprétait le ca
re heures; il a recouvré entièrement l'usage de sa main. Deuxième attaque d'ccdèac. Le 1"' janvier 1890, L... retourne à Sa
ion a été progressive, plus lente que la première fois. Troisième attaque d'oedème. Le malade nous a soigneusement caché
uéri. C'est probable si L... ne nous a pas trompé sur le début dc l' attaque suivante qui l'a amené à l'Ilôlel-Dieu. Quatriè
ébut dc l'attaque suivante qui l'a amené à l'Ilôlel-Dieu. Quatrième attaque d'oedème. Vers le 10 novembre 1890, L... est .r
s de crampes dans la main droite identiques à celles de la première attaque . Mêmes phases de refroidissement, de pâleur et d'
, eh bien, il en aura. » Et effectivement le malade a eu de grandes attaques . Une fois de plus ceci montre qu'on peut entrer d
ement, l'hystérie pouvant se manifester tout d'abord par de grandes attaques . 1 Notre malade étant donc constaté hystérique,
sitives et sensorielles dans le délire de la troisième période de l' attaque hysté- rique, recherches qui seront publiées pr
t depuis plus de dix ans. C'est une grande hystérique, avec grandes attaques à trois périodes, atta- ques de contracture, et
ie de l'éther qu'on leur admi- nistre quelquefois pour calmer leurs attaques .) Nous tentons alors d'impressionner le sens de
nt sur un tam-tam. Immédiatement, la malade tombe dans une violente attaque de contracture. Nous lui faisons reprendre ses se
ire post-hystéro-épileptique, et se voit quelquefois à la suite des attaques d'hystérie. Bien qu'elle refuse énergiquement de
servant toujours les diverses contractures qui lui restaient de son attaque , la malade, ceci est im- portant à noter, ne no
l'hospice une multitude d'accidents hystériques : chorée rhythmée, attaques de délire durant jusqu'à dix jours, paralysies,
ervice on a l'habitude de donner de l'éther pour calmer les grandes attaques d'hystérie, pour lesquelles on fait aussi usage
la moindre ébauche. Il n'a jamais présenté rien qui ressemble à une attaque de nerfs. Nous avons pris quelques tracés pneum
ggravation qui succèdent à l'excitation des zones hystérogènes, aux attaques , aux émo- tions, etc., de contractions fibrilla
les membres inférieurs, etc., qu'il s'exagère sous l'influence des attaques , d'une émotion même légère, de l'excitation des
possibles de la névrose, les stigmates, les zones hystérogènes, les attaques convulsives anté- rieures, etc., à ne considére
el, nous avons trouvé chez le malade des stigmates hystériques, des attaques ou des ictus apoplectiques. Nous avons été frap
es modes de début, tantôt insidieux, tantôt brusque et sous forme d' attaques . Et quand on interroge attentivement ces malade
à, dans la salle d'at- tente de la consultation, il eut une seconde attaque . Il se rendit mieux compte cette fois des sensa
rvice de M. le professeur Bouchard, on lui donna plusieurs fois son attaque en lui faisant fixer un crayon. Le tremblement
plusieurs reprises, mais il ne disparut jamais entièrement. Chaque attaque était suivie d'une recrudescence nouvelle. Huit
elle. Huit jours après sa sortie de l'hôpital il eut, chez lui, une attaque très longue (trois heures) à la suite de laquelle
uet et aphone pendant trois mois et demi. Il eut alors une nouvelle attaque au sortir de laquelle il recouvra la parole. ,
E DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 11J pital, il eut, encore après une attaque , « un gonflement du ventre qui dispa- rut presq
aines. Le tremblement persistait toujours. Bref, depuis sa première attaque le malade n'a jamais cessé de trembler; il n'a
pu reprendre ses occupa- tions ; il a toujours de temps à autre des attaques convulsives précédées des mêmes prodromes que n
e examiné, parce que la fixation du regard déter- mine rapidement l' attaque convulsive. Zone hystérogène. On peut aussi pro
t l'attaque convulsive. Zone hystérogène. On peut aussi provoquer l' attaque en exerçant une pression assez forte, soit sur la
dans les tempes; peu après il voit trouble, il chancelle, tombe et l' attaque commence. L'attaque commence par une phase ép
rès il voit trouble, il chancelle, tombe et l'attaque commence. L' attaque commence par une phase épileptoïde très courte; p
l'interpelle vivement, il répond aux questions qu'on lui pose et l' attaque est finie. (Les attaques spontanées que le mala
répond aux questions qu'on lui pose et l'attaque est finie. (Les attaques spontanées que le malade a eues ultérieurement pe
ieurement pendant son séjour, à l'hôpital ne diffèrent en rien de l' attaque provoquée.) Motilité. Les troubles permanents d
n'a jamais cessé d'exister depuis qu'il est apparu à la pre- mière attaque , c'est-à-dire depuis deux ans. Nous l'avons atten
gènes qu'il présente au niveau des flancs, et il subit après chaque attaque une recrudescence qui dure deux ou trois jours.
malade chancelle, demande à s'asseoir. Mais il ne se produit pas d' attaque , quelque insistance qu'on mette à comprimer le po
érose multiple. Il se manifeste d'ordinaire consé- cutivement à une attaque apoplectiforme; il est variable suivant les jou
odromes de l 'aura céphalique. Et en réalité, ces vertiges sont des attaques d'hystérie avortées, arrêtées à l'état naissant
tées à l'état naissant. Parfois, en effet, ils se terminent par une attaque ; le ma- lade tombe privé de connaissance, avec
e privé de connaissance, avec ou sans phénomènes convulsifs. 4° Les attaques apoplectiformes et épileptiformes s'accompagnent
paralysie vésicale ait disparu, puis sur- tout que surviennent des attaques convulsives. On l'examine de nouveau, on songe
effleurement amène des phénomènes d'aura. On déterminerait même une attaque . C'est une zone hystérogène. D'autre part, il n
bout de quelques heures il revint à lui. Trois mois après, nouvelle attaque ;î la suite d'une lecture; plus tard enfin il eut
que ;î la suite d'une lecture; plus tard enfin il eut une troisième attaque . Aucune d'elles ne laissa de paralysie à la suite
d'- mère vit encore en bonne santé, le grand-père serait mort d'une attaque d'apoplexie. En somme, ni son père ni sa mère
rdiaque (quarante-neuf ans), rhumatisante, migrai- neuse ; a eu une attaque d'apoplexie avec hémiplégie gauche. Frères et s
ons. 4 sont vivants; une soeur atteinte d'eczéma chronique a eu des attaques hystériques qui ont disparu après son mariage; un
es. Rien à noter. ' Antécédents personnels. -De dix à quatorze ans, attaques ayant la plus grande analogie avec les attaques
dix à quatorze ans, attaques ayant la plus grande analogie avec les attaques comitiales; indifféremment nocturnes ou diurnes
ne, elle a des bruils dans les oreilles. Mais tout se borne la et l' attaque ne se produit pas, quelque insistance que l'on
le tremblement restait un peu plus intense qu'avant cette ébauche d' attaque . De plus, ses jambes étaient plus faibles, se d
les premiers jours de novembre il eut ce qu'il appelle sa première attaque de nerfs. » Un jour, vers G heures du soir, étant
oisine est une hystérique avérée qui a de temps en temps de grandes attaques , et qui appelle auprès d'elle la femme du malad
'elle sent qu'elle va avoir sa crise ». Au sortir de cette première attaque , Claw... remarque que sa jambe et son bras droi
Deux jours après, il eut, encore vers 7 heures du soir, une seconde attaque semblable à la première et précédée comme elle de
s lors tous les troubles que présentait le malade lors de sa première attaque ont persisté sans se modifier le moins du monde
choses s'arrêtent là, et l'aura ainsi provoquée n'est pas suivie d' attaque . État mental. -Depuis l'accident dont il a été
pendant son séjour dans le service de la clinique. Il a toujours des attaques , une ou deux par semaine en moyenne. Mais il ex
INIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 1S7 Au sortir de cette seconde attaque elle remarqua que son bras et sa jambe du IL cô
puis. État actuel. Depuis qu'elle est entrée il la Salpêtrière, ses attaques s sont fréquentes. Elles se produisent tous les
s dans les tempes; ses yeux se ferment; elle perd connaissance et l' attaque com- mence. Après quelques convulsions épilepti
rte, et elle se met à pleurer abondamment, elle sanglote. Parfois l' attaque recommence. La compression des zones hystéro- g
des dans lesquelles la malade, ayant eu peu de temps auparavant une attaque convulsive, se trouve comme elle dit « très agi
rve la malade, le jour même ou le lendemain d'une de ces ébauches d' attaques qu'elle a de temps en temps, alors le tremblement
n. A peine avait-elle commencé à travailler qu'elle eut une seconde attaque précédée des mêmes prodromes qui avaient marqué
(il devint triste, pleurait souvent sans motif), il eut sa première attaque d'hystéro-épilepsie. Cette attaque, comme celle
sans motif), il eut sa première attaque d'hystéro-épilepsie. Cette attaque , comme celles très nombreuses qu'il a eues ultéri
senté plusieurs accidents intéressants : Eu 1887 il eut une seconde attaque de contracture généralisée qui dura huit jours
ralisée qui dura huit jours et prit fin subitement à la suite d'une attaque convulsive. En juin 1888, chorée malléatoire qu
ndant une dizaine de jours. En novembre de la même année, troisième attaque de contracture qui dura quinze jours. En févrie
ontracture qui dura quinze jours. En février 1889, à la suite d'une attaque qui fut, paraît-il, par- ticulièrement violente
s caractères suivants : ce tremblement n'apparaît qu'à la suite des attaques ; il dure deux, trois jours, parfois quelques heu
est très sensible; la plus légère pression provoque immédiatement l' attaque . A côté de ce tremblement, le malade en présent
nférieur droit. Comme le précédent, il n'apparaît qu'à la suite des attaques ; sa durée est plus éphémère encore; il ne persi
st plus éphémère encore; il ne persiste que quelques heures après l' attaque qui l'a fait naître. Il a tous les caractères d
é. Il n'existe aucune zone hystérogène. La malade n'a jamais eu d' attaques . Depuis le 29 juin, nous avons réexaminé cette
lade à plusieurs reprises. A cette époque, elle n'avait jamais eu d' attaque ; mais le 3 août dernier, après avoir assisté à
dis que sa tête et ses pieds touchaient seuls le plan du lit. Cette attaque qui avait duré un quart d'heure, se termina par d
pathes : l'un est mégalomane. L'autre, sans jamais avoir présenté d' attaques , a eu une fois une contracture (forme hémiplégi
ci a été traitée à la Salpêtrière pendant deux ans (1879-1880) pour attaques hystéro- épileptiques. Antécédents personnels
e nouveau, pour -disparaître encore. Et ce n'est qu'après la première attaque d'hystérie qu'il s'installa définitivement. I
la main droite, s'atténuant parfois, et subissant à chaque nouvelle attaque qu'avait le sujet une recrudescence bien marquée.
re fois d'uriner dans son lit la nuit, mais sans qu'elle ait eu une attaque cette fois, au moins à ce qu'elle croit. rendant
ortie de la clinique le 26 mai. Elle avait eu le jour précédent une attaque apoplectique avec hémi-parésie consécutive encore
tractilité faradique était diminuée, mais non abolie. Cette seconde attaque de paralysie dura plus d'un an et guérit complète
ubitement, trois mois après son entrée l'hôpital, em- porté par une attaque apoplectique, L'autopsie ne donne pas l'explicati
mme de quarante-quatre ans a eu, en mars 1881, pendant la nuit, une attaque qui entraîna une perte de connaissance pendant tr
de connaissance pendant trois jours. Cinq mois plus tard, nouvelle attaque ; perte de connaissance partielle pendant deux j
ielle pendant deux jours avec la paralysie du bras droit. Troisième attaque , onze mois plus tard, avec perte de connaissanc
hiée et décolorée, goût diminué. Démence sénile. Après une nouvelle attaque de perte de connaissance avec déviation conjuguée
ellement; il était alcoolique. Sa mère est nerveuse, mais n'a pas d' attaques . Du côté de ses collatéraux, on trouve un cousi
sente une ébauche d'hémispasme glosso-labié du côté droit. Jamais d' attaques convulsives, ni de vertiges. Enfin, au point de v
cérébrales de nature indéterminée. Elle a deux saurs : l'une a des attaques d'lads- térie, l'autre est migraineuse, et deux
l'un est mort de tuberculose pulmonaire, l'autre est nerveux, sans attaques . Antécédents personnels. Pas de maladies dans l
deux côtés dès son entrée à 50°. Pas de points hystérogènes. Pas d' attaques . A la sortie, la paraplégie motrice est améliorée
même la possibilité d'une terminaison fatale ( ? ) au milieu d'une attaque . , Malgré cette longue durée, le mode de début
droite. Le tremblement s'était déjà produit pendant l'hiver avanl l' attaque . A gauche, on détermine facilement la trépi- da
lement à droite. La sensibilité, qui était, dit-on, normale avant l' attaque , est diminuée dans tous ses modes. Aux membres
s d'asthme; ces accès ne se sont montrés ni pendant les précédentes attaques de parésie ni depuis le début de la présente af
, très régulièrement à l'époque de ses règles, elle est prise d'une attaque semblable, qui ne dure jamais moins de deux jou
qui ne dure jamais moins de deux jours et jamais plus de trois. Ces attaques sont précédées des prodromes que nous décrirons
dromes que nous décrirons plus loin. Quinze jours après la première attaque , elle ne pouvait plus marcher du tout; ses jamb
au soir dans le service de la clinique, elle avait le lendemain une attaque que l'on peut caractériser en un mot d'accès la
niveau des articula- tions du genou. Depuis trois ans, pendant ses attaques laryngées, on est obligé de la sonder. 20 Tro
'hui, elle présente une chorée rhythmée des membres supérieurs. Les attaques sont devenues plus rares. 316 NOUVELLE ICONOGRA
tuberculose pulmonaire. Mère morte de ( ? ). Une soeur hystérique ( attaques convul- sives). Antécédents personnels. Dans
ments qui durent de dix à quinze minutes et quelquefois plus. Pas d' attaques de nerfs. La recherche des stigmates sensoriels n
blements et une émotivité manifeste, qu'une de ses soeurs avait des attaques d'hystérie, qu'on n'a trouvé à l'autopsie aucun
us les trois ou quatre mois, à la suite de contrariétés, elle a des attaques de nerfs, dans lesquelles elle se mord la langu
i l'avait vivement impressionnée), la malade a commencé à avoir des attaques de nerfs. Bientôt après, elle a eu la danse de Sa
âge de quinze ans, elle n'a jamais passé une quinzaine sans avoir d' attaque ; après son mariage, les crises sont devenues p
ogues aux précédentes et revenant environ toutes les semaines : ces attaques sont précédées d'une sensation de boule remonta
n,'la menaçant. Elle eut peur et tomba à la renverse en proie à une attaque qui dura trois quarts d'heure. Lorsqu'elle revint
tations habituelles de la névrose : stigmates sensitivo-sensoriels, attaques convulsives, etc., font complètement défaut.
ît encore augmenter, toutes choses égales d'ailleurs à la suite des attaques . Rarement l'élat asphyxique est plus étendu et
use connue que dans sa quarante et unième année il a eu sa première attaque d'épilepsie, qui a été caractérisée par une chute
chement avant terme. Ni syphilis ni alcoolisme). A vingt-trois ans, attaque de rhuma- tisme articulaire aigu qui dure six m
nt normales; la résistance électrique augmentée = 7300 ohmes. Pas d' attaques convulsives; la malade n'en a jamais eues. Etat p
essayait de se redresser. Vers la fin du mois de mars, il a eu une attaque convulsive. Il venait de prendre un bain, lorsq
nau- sées suivies de toux quinteuse; il a perdu connaissance. Cette attaque aurait été caractérisée par des secousses dans
ir sur sa table de nuit un animal fantastique), il a été pris d'une attaque suivie de phéno- mènes apoplectiformes qui ont
application de glace sur la tête. Il aurait eu à la suite de cette attaque une déviation de la bouche qui aurait disparu ave
la bouche qui aurait disparu avec une nou- velle crise. Le 4 avril, attaque suivie de rétention d'urine. Depuis ce mo- men
sion est plus forte, on déter- mine les phénomènes de l'aura et une attaque même si on continuait. Rien n'est plus redouté
emps fixer un objet sans éprouver de la céphalalgie et une menace d' attaque comme s'il avait des zones hystérogènes sur la
affaiblie. Outre ces troubles sensoriels, le malade est sujet à des attaques spéciales. Il en a eu trois depuis son arrivée
u trois depuis son arrivée dans la salle (en un mois de temps). Ces attaques sont précédées d'une sensation bizarre dans le fl
e niveau détermine souvent les phénomènes de l'aura, voire même une attaque convulsive. (b) Les crises viscérales, gastriqu
mois et des années; elle peut débuter brusquement il la suite d'une attaque par exemple, faire suite à la guérison d'une para
est alcoolique. Du côté maternel, sa grand'mère avail de fréquentes attaques convulsives (hystérie ou épilepsie); sa mère es
règles qui sont depuis venues toujours régulièrement. A seize ans, attaques d'hystérie convulsive, survenant il la suite d'un
en poussant des cris, et cela pendant un quart d'heure environ. Ces attaques ont duré trois ans; elles revenaient trois ou q
des douches qu'elle a été obligée de cesser, sous peine d'avoir des attaques de nerfs. La contracture était accompagnée de q
es circonstances mêmes. Une nuit, cette jeune femme est prise d'une attaque d'hystérie qui se termine par une con- tracture
ri; cette atrophie évolue avec rapidité, puisque trois mois après l' attaque , au moment où nous l'avons examinée, elle était e
mère est asthmatique. Elle aurait eu, vers l'âge de vingt ans, des attaques convulsives vraisemblablement hysté- riques. Ac
dans le service de Vulpian. C'est la que s'est produite la première attaque convulsive. Dans la nuit du 1 i. au 15 juillet
rée de tout le corps, avec alternatives de rire et de pleurs. Celte attaque dura vingt minutes ; elle ne se mordit point la l
n à la Charité, dans le service de M. Luys. Là éclatent de franches attaques d'hystérie nécessitant la camisole de force. A
aques d'hystérie nécessitant la camisole de force. A la suite d'une attaque , apparurent un strabisme divergent et une ambly
un peu amélioré. Elle resta trois mois à l'hôpital, où elle eut des attaques classiques presque tous les jours. Une fois, ra
le service de M. Gouraud. Elle avait, à cette époque, deux ou trois attaques (par semaine) de grande hystérie : elle était hyp
ble. Elle eut encore là quelques accès de spasme laryngé. Outre ces attaques d'hystérie, la malade présente toujours, de temps
où nous l'avons vue durant quelques mois. C'était une hystérique à attaques typiques qui présentait les phases du grand hyp
une nouvelle poussée de bronchite suspecte. Elle avait toujours des attaques . Un jour, dans une expérience de transfert selon
la deuxième fois dans le service de M. Charcot. Une fois, dans une attaque , elle se fractura le péroné. Au mois de novembr
ont nous avions l'honneur d'être l'interne. Elle avait toujours ses attaques convulsives; elle présentait toujours celte atrop
ôt et de là dirigée sur la Charité. Là, pour calmer son délire, ses attaques et ses spasmes laryngés, elle s'habitua à la mo
réiques, véritable chorée de Sydenham. Enfin la malade présente des attaques d'hystérie classiques, et dernièrement elle a e
la névrose. Brus- quement, dans la nuit, peut-être à la suite d'une attaque , elle a été prise d'une contracture des deux ma
e bourdonnements d'oreilles, de palpitations et dc nausées. z Ces attaques de contracture précédées d'aura et généralisées n
te de connaissance. La malade les distingue très explicitement. Ces attaques et ces accès se sont toujours produits depuis l
quatre ans; d'autre part, MM. Ballet et Crespin ont bien étudié les attaques d'hystérie à forme d'épilepsie partielle. Néanmoi
de cris elle ? omna111- bulismé, dans tous les cas l'amaurosc, les attaques survenues à la suite des émotions de l'examen,
névrose. L'hémispasme en dépend aussi à n'en pas douter. Quant aux attaques convulsives, les unes, nous l'avons déjà démont
et on ne trouve pas chez lui trace de syphilis. Il n'a jamais eu d' attaques de nerfs avant 1888. Il ne paraît pas avoir un ca
de table, il tombe subitement sans connaissance dans la rue. Cette attaque n'avait été précédée d'aucun prodrome. La perte
droit tournait en dedans. Le 15 avril 1889, le malade aune seconde attaque identique à la première, le matin, dans sa cham
t à l'Hôtel- Dieu. Cette fois le malade a eu chez lui une troisième attaque semblable aux deux premières, qui a duré deux h
néralisée n'est com- plète que pendant les périodes qui suivent les attaques . Entre temps, la sen- sibilité revient, mais re
: ' 1. Charcot, Paralysie spinale infantile; paraplégie alcoolique. Attaques ? s<cro-61- leptiques (Leçons du mardi, 20 n
a pas toujours élé ainsi. Au début, lorsque cet homme n'avait pas d' attaques , pas de zones hystérogènes, pas dc troubles des s
'existence dans l'hystérie n'est plus à démontrer. Et l'absence des attaques convulsives à laquelle M. Roth attribue une grand
h attribue une grande voleur ne saurait avoir cette importance. Les attaques manquent, souvent dans la névrose hystérique. D
i lui brûla le pied gauche. Immédiatement après, il eut sa première attaque convulsive ou plutôt sa première série d'attaques
il eut sa première attaque convulsive ou plutôt sa première série d' attaques , car les convulsions auraient duré quatre heure
qu'il apprenait. A vingt-quatre ans, il a eu de nouveau une grande attaque convulsive avec chute. D'autres se succédèrent, m
constatant qu'il est atteint d'épilepsie avec délire consécutif aux attaques ; un autre. porte le diagnostic d'hystéro-épileps
éfavorables des médecins et même des sociétés médicales, malgré des attaques et des critiques plus ou moins vives dirigées c
tement : vomissements, crises convulsives, prostration qui suit les attaques d'hystérie. Au fond trois femmes enlacées, dans l
21 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
rthographe : « Depuis jeudi, à la suite d'une crise de nerfs et d'une attaque . Je voudrais parler, mais on dirait qu'il y a que
tue même qu'un épisode récent survenu à la suite d'une des nombreuses attaques convulsives dont elle n'a pas cessé d'être tourme
ssus; chaque fois qu on a voulu l'hypnotiser, elle a été prise de ses attaques de raideur: jamais elle n'a dormi. Plusieurs fo
ine de jours. Elle en sortit non guérie; depuis lors, en effet. les attaques continuent à paraître fréquemment et l'état menta
mutisme est survenu il y a cinq ou six jours, à la suite d'une forte attaque . C'est à cette occasion que le mari de la malade
sa femme dans notre service. Vous avez compris, Messieurs, que les attaques dont il a été si souvent question dans le cours d
souvent question dans le cours de notre récit ne sont autres que des attaques hystériques : elles répondent à un type particuli
ul Richer, auxquelles je vous renvoie pour les détails, sous le nom d' attaques de contracture (1) ; je me bornerai à vous en don
ileptique, les contorsions ou les attitudes passionnelles des grandes attaques vulgaires. Les choses restent telles quelles pend
quer, d'un petit cas. Nous avons vu en effet chez d'autres sujets les attaques présentant ces mêmes caractères persister quelque
pression ovarienne ou de divers points hystérogènes, — qui, dans les attaques classiques, se montrent si fréquemment efficaces.
ttaques classiques, se montrent si fréquemment efficaces. Le type d' attaque dont il est ici question, et que nous avons pris
estion, et que nous avons pris l'habitude de désigner sous le nom d' « attaque de contracture », se rencontre assez rarement dan
l'attitude dite a en arc de cercle », partie intégrante de la grande attaque hystéro-épileptique, non plus qu'avec la cataleps
l'on emploie si souvent à ton et à travers (1). J'ai vu ce genre d' attaque se produire plus souvent que le type classique da
, soit du champ visuel ayant abouti constamment à la production d'une attaque . En résumé, nous avons sous les yeux un exemple
ar l'histoire des antécédents de Mme P... signale dans son passé deux attaques d'hystérie, l'une à l'âge de 19 ans, l'autre à l'
jeune Blan.., sans antécédents nerveux remarqués, n'avait jamais eu d' attaques jusqu'au moment où les premières fentatives d'hyp
tés pendant quelque temps tous les deux ou trois jours. C'étaient des attaques hystériques assez bien formulées, précédées d'une
meux Hansen, un enfant hypnotisé par un de ses camarades a été pris d' attaques de contracture qui durèrent plusieurs heures et q
térie, ou hystéro-épilepsie. est essentiellement caractérisée par des attaques convulsives, magistralement décrites par MM. Char
pnotisme a pu rendre d'indiscutables services, non seulement contre l' attaque convulsive elle-même, mais aussi contre les troub
nt pas qu'on puisse en retirer d'autre avantage que la diminution des attaques , qu'il est fort probable que les stigmates de l'h
ental, ont vu peu à peu disparaître complètement, non seulement leurs attaques convulsives. mais aussi les autres symptômes qu'e
s, mères de famille, jouissent d'une excellente santé et n'ont plus d' attaques . Une troisième occupe de délicates fonctions admi
er les symptômes de grande hystérie dès le retour de leur apparition ( attaques convulsives, contractures, anesthésies, aphonie,
out en étant d'origine essentiellement hystérique, n'est ni précédé d' attaques convulsives, ni accompagné d'aucun des stigmates
r les yeux constitue, selon nous. le plus sûr moyen de déterminer une attaque . Nous procédons d'une façon toute différente et n
ères et d'élèves, peuvent certifier qu'ils n'ont jamais vu survenir d' attaques convulsives à la suite d'hypnotisations. A tel po
u'à Nancy, où des malades ont été hypnotisés par centaines, la grande attaque d'hystérie est beaucoup plus rare que partout ail
pel au traitement par la suggestion sont justement sous l'imminence d' attaques convulsives, d'accès d'agitation maniaque, de mél
roses, les paralysies, et estiment qu'une hystérique qui n'a pas eu d' attaques con-vulsives est à peine une malade, il en est d'
ué au moins huit cents hypnotisations sans avoir assisté à la moindre attaque convulsive. Est-ce à dire que nous nous abstien
t les perversions du caractère. Alors même qu'ils ne présentent pas d' attaques convulsives et que les autres manifestations de l
ue l'emploi de la sugges-tion est nettement indiqué : 1° Contre les attaques convuisives de la grande hystérie et contre les s
térie et contre les symptômes qui peuvent persister à la suite de ces attaques (paralysies, contractures, spasmes. anesthésies,a
qué, excentrique et bizarre, sujet depuis l'âge de dix-sept ans a des attaques d'hystérie s accompagnant toujours de crachements
en faire brièvement la description. Généralement L...sent venir ses attaques ; plusieurs heures avant le début, il éprouve un
s phénomènes se produisent environ une demi-heure avant le début de l' attaque . Comme autres auras, il accuse une sensation de
on lui dit et tous les sons lui paraissent confondus. Au début de l' attaque , il se couche sur le côté gauche, la face tournée
qui a quatre mètres de hauteur, a été atteint; tout le temps de cette attaque , le malade est absolument sans connaissance. Au b
. Très souvent, pour ne pas dire toujours, il demande à boire après l' attaque . avale un verre de tisane en entre-choquant ses d
st pas mordu la langue et n'urine pas pendant la crise. Telle est l' attaque à laquelle L... est sujet. Ajoutons, pour complét
tc.. mais l'hallucination qui le tourmente à la fin de chacune de ses attaques , revient identique pendant l'état de somnambulism
à cet égard. Du 10 au 28 novembre 1888. L... eut régulièrement une attaque tous les jours. Le 28, quelques heures après son
ièrement une attaque tous les jours. Le 28, quelques heures après son attaque , je l'endors et je lui ordonne de rester deux jou
aque, je l'endors et je lui ordonne de rester deux jours sans avoir d' attaque , et celle-ci ne revient que le troisième jour, c'
e jour, c'est-à-dire le 1er décembre. Les 2, 3 et 4 dé- cembre, les attaques reviennent. Le 4, nouvelle séance d'hypnotisme: j
éance d'hypnotisme: je lui ordonne de rester trois jours sans avoir d' attaque : il n'en a pas avant le 8 décembre. Le 9 et le 1
nouvelles attaqeus. Le 10. je lui suggère de rester une semaine sans attaque , et, en effet, il n'en a plus avant le 17. Le 18
ans l'après-midi, je lui suggère de rester deux semaines sans avoir d' attaque , et il n'en a plus jusqu'au 3 janvier 1889. Ce jo
ue, et il n'en a plus jusqu'au 3 janvier 1889. Ce jour-là il eut deux attaques . Les jours précédents, il s'était plaint d'avoir
'étouffe, disait-il, j'ai besoin d'en rendre. » Le 4 janvier, pas d' attaque ; les 5, 6, 7 et 8 janvier, une attaque chaque jou
endre. » Le 4 janvier, pas d'attaque; les 5, 6, 7 et 8 janvier, une attaque chaque jour. Le 8, je l'hypnotise et je lui ordon
l'hypnotise et je lui ordonnance de rester quinze jours sans avoir d' attaques . « Seulement, lui dis-je. si vous avez des étouff
itaque. Vous vous contenterez de cracher. Je vous défends d'avoir une attaque .» L... n'eut plus d'attaques avant le 24 janvier;
z de cracher. Je vous défends d'avoir une attaque.» L... n'eut plus d' attaques avant le 24 janvier; seulement, le 16, dans la ma
erveuse. A partir du 24 janvier, je cessai de le suggestionner et les attaques revinrent a peu près régulièrement tous les jours
Anne dans le service du Dr Magnan, où il est toujours sujet aux mêmes attaques . Il est incontestable que la volonté de cet hom
ujet jus-qu à 1 âge de dix ans à des troubles nerveux bizarres, k des attaques mal caractérisées avec perte totale ou partielle
uelques-unes de nos observations, l'hémianesthésie apparaît après une attaque apoplectique. Mais ce qui lève tous les doutes, c
re qui cadre bien avec celui des hystériques ; enfin, et surtout, les attaques convulsives, qui ne sont pas celles de l'épilepsi
our. Dans quelques cas. la description rappelle tout à fait celle des attaques hystériques avec les mouvements de bassin, le clo
e clow-nisme des hystéro-épileptiqucs. Dans un cas, en particulier, l' attaque convulsive cessa sous l'action du chloroforme. »
1881, nous avons vu à Lausanne des jeunes gens tomber spontanément en attaque de sommeil hypnotique pendant une conférence que
portant que l'anthropologie pour nous aider à classer les auteurs des attaques à la propriété, les escrocs, les voleurs, les fau
chez lesquelles l'emploi de la suggestion avait fait disparaître les attaques convulsives et un certain nombre dautres symptôme
amour de la liberté, les forces nécessaires pour repousser toutes les attaques des ennemis les plus puissants. » M. le profess
ront, l'exciteront pour amener du désordre et provoquer le retour des attaques dont ils rient, mais encore ils s'en serviront po
indicatif lui persuade qu'un infirmier détesté l'a frappé pendant son attaque , chose absolument fausse. Il entre aussitôt dans
e de cinquante-cinq ans environ, a été atteinte il y a six ans, d'une attaque apoplectique, qui lut a causé de l'aphasie tempor
té. Lorsqu'elle vient me trouver en mai 188,eIle ne conserve de cette attaque , qui ne s'est pas renouvelée, qu'une difficulté d
ins. La malade avait, en effet, quelques (Ours auparavant une sorte d' attaque apoplectiforme accompagnée d'un hémispasme glosso
compagnée d'un hémispasme glosso-labié. Le surlendemain, une deuxième attaque la laissait paralysée du bras droit et enfin, peu
die ne pouvait pas durer plus de six mois, qu'un jour elle aurait une attaque qui la débarrasserait et qu'enfin nous pouvions p
rait et qu'enfin nous pouvions prédire la veille, l'heure exacte de l' attaque . Peu après, l'un des internes lui annonça que l'a
e exacte de l'attaque. Peu après, l'un des internes lui annonça que l' attaque surviendrait avant vingt-quatre heures. Le lendem
ns-nous le dos tourné, que notre petite malade roulait à nos pieds. L' attaque dura vingt minutes et Marie se releva ayant recou
i observé, en particulier une hystérique qui présentait à la fois des attaques convulsives et des accès de somnambulisme naturel
s et des accès de somnambulisme naturel. Je réussis à la guenr de ses attaques par suggestion ; mais j'échouai contre les accès
tre ici en cause une suggestion antérieure : il s'agit d'une première attaque du sommeil provoqué. Et cette hystérique qui s'
pratiques de l'hypnose. Ces sujets n'avaient eu antérieurement ni une attaque d'hystérie, ni une attaque d'épilepsie. Par un pr
sujets n'avaient eu antérieurement ni une attaque d'hystérie, ni une attaque d'épilepsie. Par un procédé ou par un autre, on a
, on arrive au sommeil provoqué. Et brusquement survient une première attaque d'épilepsie ou d'hystérie, brusquement, au grand
t rencontre qui ait voulu, de propos délibéré, commencer la série des attaques du haut mal ou de la grande hystérie ! Mettrez-
ctuosités natives ou acquises de la mémoire et de l'intelligence, aux attaques convulsives, aux troubles des sens et de la sensi
ssi a produire le travail et à supprimer les tendances vicieuses. Les attaques submaniaques n'ont pas reparu depuis près de troi
e rythmique ; L'onanisme irrésistible ; Le blèpharospasme ; Les attaques convulsives d'hystérie ; Us troubles purement f
» ordinaires de la vie, calme mais inquiet. La finit, en général, l' attaque par le retour a la santé.si elle est convenableme
est également atteint d'inversion sexuelle. Sa sœur est sujette à des attaques de convulsions A part les maladies deson enfanc
é. Pas de maladies dans l'enfance. Pas d'habitudes alcooliques. Pas d' attaques de nerfs. Elle a souvent répété depuis quatre a
ent aisément repoussés; et par suite de In poursuite des Chinois. des attaques des montagnards, de la famine et de la saison plu
soixante ans, du village de Vimenet, canton de Laissac, ayant eu une attaque de paralysie, tomba en léthargie. Après vingt-qua
eux, déjà fortement ébranlé et le s avril 1885 se produit la première attaque hystérique. Les attaques se succèdent pendant tro
nlé et le s avril 1885 se produit la première attaque hystérique. Les attaques se succèdent pendant trois jours après lesquels s
sa place dans le courant de l'observation. Avril 1885.. —Début des attaques convulsives qui se produisent par séries; ovaralg
ues de sommeil. La première a duré 48 heures, elle a été suivie d'une attaque convulsive au réveil. Les attaques de sommeil se
48 heures, elle a été suivie d'une attaque convulsive au réveil. Les attaques de sommeil se sont ensuite reproduites régulièrem
8 h. du matin à 1 ou 2 h. de l'après-midi. Le réveil se produit sans attaque convulsive. Janvier 1886. — Première attaque de
réveil se produit sans attaque convulsive. Janvier 1886. — Première attaque de somnambulisme spontané. A la suite d'une att
886. — Première attaque de somnambulisme spontané. A la suite d'une attaque convulsive, la malade entre en somnanm-bulisme. P
vec des retours très-courts à l'état normal, (1 à 2 h. par jour). Les attaques de sommeil et les attaques convulsives se produ
l'état normal, (1 à 2 h. par jour). Les attaques de sommeil et les attaques convulsives se produisent dans cet état, comme à
n plus longues et le somnambulisme ne se montre plus que sous forme d' attaques qui prennent rang, à partir de ce moment, parmi l
s si nombreuses de la nevrose chez notre malade. Etats quotidiens Attaques de sommeil. — C'est par l'attaque de sommeil que
notre malade. Etats quotidiens Attaques de sommeil. — C'est par l' attaque de sommeil que commence la journée pathologique d
livre aux occupations habituelles de la matinée. Vers neuf heures, l' attaque débute sans autre prodrome qu'un besoin invincibl
aspect naturel bien qu'un peu plus pâle. Pendant toute la durée de l' attaque on ne consulte pas le moindre mouvement ; pas de
réveil rendre compte de ce qui s'est passé dans sa chambre pendant l' attaque . Elle est souvent incommodée, dans cet état, par
tat normal. Du mois de Novembre 1885 jusqu'au mois de Mai 1887, les attaques de sommeil se sont invariablement produites chaqu
ermettant le déplacement des membres. Dans cette seconde variété de l' attaque , la malade parait sensible aux excitations extéri
xcitation, aucun effort de la malade ne peut provoquer le réveil. L' attaque dure environ de 4 à 5 heures ; le réveil se produ
prises de lutter contre le sommeil, elle n'a pu éviter un seul jour l' attaque . Avant de terminer la description des attaques
éviter un seul jour l'attaque. Avant de terminer la description des attaques de sommeil qu'offre cette malade, nous tenons à s
naler un fait curieux qu'il nous a été donné d'observer dans quelques attaques appartenant au premier type (avec contracture) :
te par suite de la contracture des muscles du cou. Catalepsie.— Les attaques de catalepsie ne se présentent pas. chez notre ma
e sens que, presque toujours, une courte phase cataleptoïde précède l' attaque de somnambulisme qui se produit elle-même chaque
trariété, la vue d'un chat, suffisent pour provoquer la catalepsie. L' attaque est soudaine, la malade reste figée dans la posit
e, debout devant sa glace, les bras en l'air soutenant ses cheveux, l' attaque l'ayant surprise au moment où elle se coiffait. S
sse un profond soupir et entre en somnambulisme. Somnambulisme. — L' attaque de somnambulisme peut se produire à la suite d'un
lisme. — L'attaque de somnambulisme peut se produire à la suite d'une attaque convulsive : elle peut aussi succéder à une attaq
à la suite d'une attaque convulsive : elle peut aussi succéder à une attaque de catalepsie. Mais en dehors de ces deux circons
ait plus le premier mot une fois revenue â l'état normal. Pendant l' attaque de somnambulisme, la malade a gardé le sou- (1)
rmal. venir de tout ce qui s'est passé pendant l'état normal et les attaques de somnambulisme précédentes. Quelquefois cepen
ent oublié tout ce qui s'est passé et tout ce qu'elle a dit pendant l' attaque de somnambulisme, mais il arrive bien souvent que
lendemain en état normal pour recommencer au bout d'un moment, par l' attaque de sommeil, le cycle à peine interrompu de ses ma
is non moins pénibles de sa terrible maladie. Etats intermittents Attaques convulsives. — Les attaques convulsives se produi
terrible maladie. Etats intermittents Attaques convulsives. — Les attaques convulsives se produisent, chez notre malade, iso
ée, pendant l'état normal ou l'état second. Presque toujours, quand l' attaque convulsive se produit pendant l'état normal, la m
ce dernier se prolonge parfois fort longtemps après la cessation de l' attaque convulsive proprement dite. Celle-ci revet la f
ive proprement dite. Celle-ci revet la forme classique de la grande attaque hystérique si magistralement décrite par le Dr Ch
e tonique). Vient ensuite la période des grands mouvements, véritable attaque de clownisme. pendant laquelle la malade se liv
cinations. Nous n'insisterons pas davantage sur la description de ces attaques qui offrent, comme on peut le voir par ce court e
n peut le voir par ce court exposé, le tableau classique de la grande attaque hystérique. Nous signalerons seulement, parmi les
taque hystérique. Nous signalerons seulement, parmi les épisodes de l' attaque , et à titre de phénomènes plus rares : les saltat
rsée vers l'isthme du gosier, de façon à produire la suffocation. L' attaque convulsive se termine, le plus souvent, par un sp
et sa tendance à se substituer parfois aux autres manifestations de l' attaque convulsive, constitue une sorte d'attaque spécial
autres manifestations de l'attaque convulsive, constitue une sorte d' attaque spéciale que nous allons décrire. Allaques spas
d'attaque spéciale que nous allons décrire. Allaques spasmes. — Ces attaques que la malade appelle ses « crises d'étouffement
s'affaiblit, les battements du cœur sont précipités : l'angoisse de l' attaque précédente a frit place à une immobilité plus inq
ent, pendant une, deux et quelquefois trois heures, durée maxima de l' attaque spasmodique. Peu à peu le spasme cède, les insp
cède, les inspirations deviennent plus fréquentes et plus faciles. L' attaque se termine par des éructations et une abondante é
tion. Nous n'avons rien dit ni des contractures variées succédant aux attaques convulsives, ni de l'aphonie survenant brusquemen
méritent surtout de nous arrêter un instant, nous voulons parier des attaques de sommeil et du somnambulisme spontané. Notre
et du somnambulisme spontané. Notre malade est une dormeuse et ses attaques de sommeil offrent, de prime abord, tous les cara
durer des semaines et même des mois entiers ; chez notre malade, les attaques ont pris l'allure quotidienne et périodique qui c
ens spéciaux. On a vu, dans la description que nous avons donnée de l' attaque de sommeil chez notre malade, que les excitations
état des sens spéciaux, nous avons vu aussi, dans la description de l' attaque , que, non seulement il n'étaient pas abolis, mais
s que l'ouïs cl l'odorat étaient même hypéresthésiés. En somme, les attaques de sommeil de noire malade, nous semblent devoir
'hyperexcitabilité neuro-musculaire. Nous n'insisterons par sur les attaques de catalepsie. Nous n'avons du reste rien à ajout
s étaient très fréquentes chez notre malade et précédaient toujours l' attaque de somnambulisme. Cette dernière manifestation es
de vue, l'hypnotisme nous a rendu chez elle de réels services. Les attaques de sommeil ont été progressivement enrayées par l
ions essayé, au début, de supprimer totalement, par une suggestion, l' attaque de sommeil ; mais nous avons acquis la conviction
nes, il était nécessaire de procéder graduellement. En effet, quand l' attaque de sommeil était totalement empêchée par la sugge
sabl e; son sommeil lui manquait. Nous avons procédé de même pour les attaques de somnambulisme, les crises d'aboiement, en un m
festations périodiques de la névrose. Mais c'est surtout contre les attaques de spasme que la suggestion hypnotique nous a été
ser la fonction menstruelle, restreindre la durée et la fréquence des attaques convulsives, pendant que le traitement hydtothéra
uvions rien, la ligne maternelle montre une merc morte au cours d'une attaque de paralysie et un cousin fou-épileptique, âgé de
Herzog Wilhelms) rasse, 39. Le somnambulisme devant l'Eglise. Les attaques dirigées contre l'hypnotisme avec autant d'incomp
ants étrangers. » Le Monde qui publie avec tant de complaisance des attaques excessives contre l'hypnotisme, devrait bien pub
p porté A la tète, prit la montre et tomba lui-même dans une violente attaque de nerfs. M Tooth protestait avec raison contre
olentes crises d'hystérie et à lui faire une suggestion pour calmer l' attaque et en empêcher le retour, il doit assister impass
la ligature de l'artère, qu'il n'a celui de le laisser en proie à une attaque convulsive ou à une douleur violente,lorsqu'il pe
...,a présenté les signes les plus manifestes de la grande hystérie, ( attaques , troubles de sensibilité, de motilité, etc., etc.
cteur X.....dis-je, me mena voir une jeune fille qui présentait des attaques d'hystérie extrêmement remarquables. Agée de di
n avait pu l'endormir à plusieurs reprises. J'assistai à une grande attaque et n'eus aucune peine à diagnostiquer une bystéri
ait bien malheureuse : malgré son air de santé, elle avait de grandes attaques durant lesquelles elle perdait connaissance. Le c
ait d'un viol commis sur une femme adulte et forte, à la faveur d'une attaque d'hystérie provoquée. Comme la malade était hyp
ir qu'il s'était rendu chez la jeune fille, sachant qu'elle avait des attaques ii la moindre émotion et que sa mère n'y serait p
village des environs de Rochefort, a été atteinte spontanément d'une attaque de léthargie d'où j'ai pu la faire sortir. Cett
de nouveau au mois d'octobre 1889. Elle a présenté en accouchant une attaque d'éclampsie. Vers la fin de Novembre, un mois a
e jeune fille de ¿2 ans est malade depuis un an. Elle a de fréquentes attaques a"kr$tirif, surtout au moment des règles. Le cham
our. Continuant mon examen, j'apprends que cette jeune fille a eu une attaque d'hystérie, il y a deux ans, pour la première foi
seule, c'est pénible pour une jeune fille de votre âge. Vous avez des attaques de nerfs. Eh bien, si vous voulez vous laisser en
r ses gardes. Il suffit d'une émotion morale vive pour déterminer une attaque de nerfs, et, après l'attaque, on voit souvent ré
émotion morale vive pour déterminer une attaque de nerfs, et, après l' attaque , on voit souvent réapparaître les accidents qui a
rrez marcher (ce qu'elle fit les jours suivants); vous n'aurez plus d' attaques de nerfs et toutes vos fonctions s'accompliront r
la somnambule s:ule en elle fut coupable. Elle guérit toutefois : ses attaques disparurent. Elle ne ravit que quelques années pl
Delbœuf renvoie à la page 99! O moralité scientifique! 30 Enfin, il attaque M. Strohl d'une manière inqualifiable. Ne pouvant
novembre 1880. par le professeur de magnétisme humain, en réponse aux attaques de l'avocat Lambelet (2). On y retrouve le même p
ntre eux, par les manifestations plus ou moins fréquentes des grandes attaques de l'hystérie convulsive. Etant donné le terrai
e à cinquante deux ans. ayant eu depuis sa jeunesse un grand nombre d' attaques de nerfs. Blé a eu quatre frères et sœurs, tous
bonne, bien que très nerveuse, très impressionnable, et sujette à des attaques d'hystérie de moyenne intensité chaque fois qu'on
déprouva de violentes douleurs dans la poitrine, dans le ventre: ses attaques d'hystérie devinrent fréquentes, plus violentes ;
rticaire chez les gens prédisposes. L'effet se produisit sous lente attaque de nerfs, la ramène dans mon service ; quelques h
mobile dans ses idées, portée en toutes choses à l'exagération, sans attaques de nerfs jusqu'à l'époque de son mariage. Dés s
nces d'autographisme, nous aurions assurément provoqué quelque grande attaque d'hystérie comme elle en avait souvent. Elle no
t avec une extrême facilité en regardant un objet ; qu'elle avait des attaques de nerfs chaque fois qu'on la contrariait dans so
de trois enfants bien portants, a été atteint, il y a sept ans, d'une attaque de rhumatisme articulaire aigu généralisé. Il s'é
e ces stigmates permanents, présentent la série des accidents variés: attaques , état de mal, etc. constituant la pathologie de l
ue nous avons plus particulièrement étudiés sont, en ce qui regarde l' attaque : 1° l'attaque convulsive aux quatre périodes; 2°
plus particulièrement étudiés sont, en ce qui regarde l'attaque: 1° l' attaque convulsive aux quatre périodes; 2° l'attaque born
regarde l'attaque: 1° l'attaque convulsive aux quatre périodes; 2° l' attaque bornée à l'une de ses périodes ou avec prédominan
inance de cette période : forme épileptoïde, léthargique, etc. ; 3° l' attaque a forme d'épi-lepsie partielle; 4° les attaques d
thargique, etc. ; 3° l'attaque a forme d'épi-lepsie partielle; 4° les attaques de chorée rythmée, toux, etc. Dans tous les cas
comprenant la période des vingt-quatre heures à partir du début de l' attaque , nous permettent de conclure : 1° qu'il y a dimin
ures, celui-ci est en réalité diminué. La première miction qui suit l' attaque est généralement plus considérable qu'une miction
tité qui varie entre 200 gr. et 300. par jour. III. Chimiquement, l' attaque d'hystérie est l'inverse de l'accès d'épilepsie.
r une élévation considérable des principes constitutifs de l'urine. L' attaque d'hystérie et les états de mal, quelque forme qu'
deux sujets, établir chimiquement la cœxistence, à l'état isolé, de l' attaque d'hystérie et de l'accès d'épilepsie, con-firmant
approchent jusqu'à se confondre avec ceux que nous avons notés dans l' attaque et l'état de mal hystériques, de même d'ailleurs
Une jeune fille de 17 ans, nommée Hostelandt, prise d'une violente attaque d'èpilepsie, est tombée aujourd'hui dans le canal
février 1890. Macar K.. âgé de 16 ans, peintre en bâtiment, atteint d' attaques de grande hystéric avec anesthésic de tout le cor
pétit, même des hallucinations post-hypnotiques, mais du moment qu'on attaque sa conception délirante, clic secoue In tête — da
ducation (l'), 191. Ataxie locomotrice, traitée par suggestion 137. Attaques de sommeil,241. Audition colorée (de l'). par G
22 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
nt-Denis; c'est là que, à la suite d'une sortie, il eut sa première attaque de rhu- matisme articulaire aigu. Exilé après
es de 1871, Bricon se ré- fugia en Belgique où il subit une seconde attaque de rhuma- tisme articulaire aigu à laquelle il
à la Faculté de Wurtzbourg. Il eut dans cette ville une troisième attaque de rhumatisme non moins grave que les précédentes
oncée, symptomatiques. - Père peu intelligent, alcoolique, violent; attaques de folie ? Oncle paternel paralysé du bras. - G
le de l'enfant a eu plusieurs crises nerveuses ; une autre a eu des attaques nerveuses très fréquentes durant sa jeunesse, q
it d'un carac- tère doux. Il était très nerveux sans jamais avoir d' attaques et avait la tête exaltée. Il n'a pas fait d'aut
isme, ni de maladie de peau. - [Père, 73 ans, a eu dernièrement une attaque de paralysie. Mère bien portante. Pas d'aliénés
ysie consécutive à des convulsions ; cousine germaine sujette à des attaques . - Grand-père maternel apoplectique, - Grand'mè
, excepté une fille d'une quarantaine d'années « qui tombe dans des attaques ». Celles-ci se sont montrées il y a environ dix
blonds un peu roux, nez aquilin. [Père, couvreur, sobre, mort d'une attaque d'apoplexie à 65 ans. - Mère, femme de ménage,
une querelle à propos de billes. Le dernier est mort à 40 ans d'une attaque subite dans l'exercice de sa profession, il la
érique. - Arrière grand-père maternel, excès de boisson, mort d'une attaque de paralysie. - Grand'oncle maternel, excès de
rrhagique. - Mère, 50 ans, bro- canteuse, sobre, a eu de fréquentes attaques de nerfs jusqu'à 47 ans. - Grands parents pater
s. Ni traumatisme, ni émotions, ni envies de boire, ni syncopes, ni attaques de nerfs, ni oedème des pieds. Le dernier mois,
ariage jusque dans ces dernières années. - [Père, sobre, mort d'une attaque d'apoplexie, en 8 jours ; il a été sujet à des
ans. Elles étaient limitées au côté gauche. A douze ans, premières attaques d'épilepsie, elles avaient ce caractère d'être
Grand'mère maternelle phthisique, nerveuse, migraineuse. Soeurs, attaques de nerfs. - Frère, accès de somnambulisme. - Frèr
rdissement et accom- paginée d'hallucinations de la vue. - Première attaque à quatorze ans et demi. - Etoiii-dissements, ve
ière attaque à quatorze ans et demi. - Etoiii-dissements, vertiges, attaques fréquentes, limitées à la phase épileptoide. -
pileptoide. - Stigmates hystériques. Hypnotisme : - Description des attaques : Aura; attitude du - Crucifcement; - arc de ce
t naturel. Pas de maladie de peau, pas de trace de syphilis ; pas d' attaques de nerfs. On ne sait s'il a eu des convulsions
e, comme nous le verrons plus loin. Elle assure n'avoir jamais eu d' attaques . Mariée à dix-huit ans. Aucune mala- die, sauf
te de phthisje galopante à cinquante-sept ans ; nerveuse, mais sans attaques de nerfs, sujette à des migraines avec vomissem
onvulsions ; à dix-huit ans, peur, suspen- sion des règles, petites attaques de nerfs; blanchisseuse, pas d'en- fants; - 3"
de convulsions ; - 6° Fille, vingt ans ; pas de convulsions, pas d' attaques de nerfs ni de migraines; intelligente; - il' F
omposé, rompu de fatigue. ' Elle a eu depuis ces renseignements des attaques d'hystérie. Nous y reviendrons plus loin. 152
et l'avait battu, il fut pris un quart d'heure après d'une première attaque . C'était vers le 15 décembre 1884. La seconde a
'une première attaque. C'était vers le 15 décembre 1884. La seconde attaque eut lieu quinze jours plus tard. Le médecin de
l fut renvoyé le 4 jan- vier 1885. Depuis cette époque, il a eu une attaque le 9 janvier, puis de quinze en quinze jours, l
-Anne le 14 avril, et le 16, le 17, le 18 et le 19 avril il eut une attaque chaque jour ; le 20 il en eut deux. 23 avril. -
he, une canaille, etc., etc. Puis il tomba immédiatement et eut une attaque qui dura trente secondes. Après cette attaque,
édiatement et eut une attaque qui dura trente secondes. Après cette attaque , il apostropha de nouveau le garçon et essaya d
e de la troisième dorsale ; parfois douleurs spontanées après les attaques : par la pression picotements sans irradiations.
onzième dorsale point douloureux. Sensibilité conservée. Après les attaques il dit avoir une douleur tout le long de la col
lluci- nations des divers sens. A : o'<f. Une minute avant les attaques , il se sent mal à l'aise. Il me prend un vertig
temps d'avertir. 5 mai. - Le malade a été pris à 10 heures d'une attaque , sans avoir prévenu, sans pousser de cri. Il es
s dans les reins, La température rectale prise cinq minutes après l' attaque est de 380,5. (Fig. 17 et 18.) 11 mai.- (10 h
près l'attaque est de 380,5. (Fig. 17 et 18.) 11 mai.- (10 h. 5). Attaque commencée depuis deux ou trois minutes, précédé
très court de deux à trois secondes (impression recueillie après l' attaque ). Il a poussé une courte exclamation « Ah ! » e
e. Il prétend qu'il se mord quelquefois la langue. T. Il. après l' attaque , 37°,Ir. 15 mai. - Pris d'une attaque à 9 h. 38
s la langue. T. Il. après l'attaque, 37°,Ir. 15 mai. - Pris d'une attaque à 9 h. 38. A 9 h. 40, on le trouve couché sur l
x reins. 'l'. H. 38»,2. 20 août. - La veille, il a eu une série d' attaques de 8 à 9 heures du soir. Dans le délire termina
s. Une fois endormi, il rêve beaucoup. Ainsi, avant-hier, après son attaque , il voyait le veilleur se promenant sur les toi
se pencher sur le côté droit et devenir tout raide. Il était pris d' attaque . Il n'a pas poussé de cris. Tout le corps est r
. Il se réveille sponta- nément, sans mouvements spasmodiques, sans attaque à 10 h. 50 et parait étonné. 27 août. - A 9 h
à 9 h. 36. La durée a été d'un quart d'heure. Ecume pendant toute l' attaque . A 10 h. 13, il s'endort au bout de trois minut
éveille en lui soufflant sur les yeux. 28 août. - Hier il a eu deux attaques . Après ces attaques, puis ce matin encore, il s
lant sur les yeux. 28 août. - Hier il a eu deux attaques. Après ces attaques , puis ce matin encore, il se serait plaint de r
prise. Il dit n'avoir rien ressenti à gauche. Il a eu ce matin une attaque depuis 8 h. 25 jusqu'à 9 h. 20. A 9 heures ni p
4 septembre, douches deux fois par jour. 8 décembre. - A eu deux attaques à la Sûreté où il avait été envoyé pour sa mauv
8 janvia. - Etant en congé depuis le 27 décembre, il aurait eu deux attaques très courtes. 11 février. Il a eu trois attaque
l aurait eu deux attaques très courtes. 11 février. Il a eu trois attaques depuis le 28 janvier : le 1er, le 2 et le 10 fé
ouleur, à la température, moins vive à gauche qu'à droite. A eu une attaque le 24 février. Ne travaille plus à l'ate- lier
donnerie, parce qu'on manque de cuir. 5 mars. - Il n'avait pas eu d' attaques depuis le 24 février et n'avait ou que très peu
disparu. Mais au bout d'une demi-heure il a été pris d'une grande attaque qui a duré environ cinq minutes. Traitement : dou
Depuis la semaine dernière, trois où quatre vertiges au plus. Pas d' attaques . Il se sent bien. Même traitement. 15 avril. A
as d'attaques. Il se sent bien. Même traitement. 15 avril. A eu une attaque hier, qui a duré dix minutes. Il est en ce mome
qui le conduisirent à Sainte-Anne. Pendant son voyage il eut trois attaques . 1887. 3 janvier. - A repris son travail ici et
onné de violents coups de poing sur la figure. 8 août. - A eu une attaque ce matin. Il se plaint d'avoir les mains fermée
er à s'évader. 4888. 2 janvier. - Il prétend qu'à la suite de ses attaques , ses testicules diminuent un peu. 13 janvier.
nzaine de ce mois, il a eu un jour un vertige et le lende- main une attaque . Il est resté jusqu'en septembreavecses parents,
Alors il a travaillé chez un fabri- cant de boutons. 11 a eu trois attaques en trois jours, et, dans la crainte d'être renv
lades comme lui ont de la peine à se fixer. Voici le tableau des attaques durant son séjour à Bicêtre : 'J6 : ! UNE FAMIL
t au niveau des tempes. Pas de convulsions. Nerveuse, mais jamais d' attaques . Appétit médiocre. Tympanite passagère. Pas de
6 ao2ît.- Depuis quelques jours, elle se débat violemment dans ses attaques qui sont devenues plus fréquentes. Elle en a deux
t du dos sur le ventre. Elle a perdu connaissance dans toutes les attaques . - Points hystérogènes : douleur au niveau de l'a
omplètement à elle qu'à deux heures et demie du matin. Depuis cette attaque , l'enfant a de la tendanceà dormir après ses at
Depuis cette attaque, l'enfant a de la tendanceà dormir après ses attaques ordinaires. ' HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. 167 Elle ne
est pas débattue. Elles ont été très courtes. Pas de pleurs après l' attaque , ni de délire. 11 juillet. - Légère attaque le
Pas de pleurs après l'attaque, ni de délire. 11 juillet. - Légère attaque le 2 juillet, une autre le 13. Ces deux crises
s de protochorure de fer (Rabu- teau), le houblon. 26 août. - Une attaque le 30 juillet chez sa patronne, blanchis- seuse
ille, âgée de cinq ans, n'en eût peur 1. - Le 9 août, trois petites attaques sans cause appréciable. - Pas de règles en août
A la fin de la séance la main droite seule donne 29. Elle a eu des attaques le 20 août, les 1er, 28 et 30 septembre et le 6
oût, les 1er, 28 et 30 septembre et le 6 octobre. 14 octobre. - Une attaque de cinq minutes. Pas de sommeil à la suite. 2
de cinq minutes. Pas de sommeil à la suite. 2. novembre. - Pas d' attaques nouvelles. Elle est retournée à l'école, ne pre
s douches depuis un mois. - Règles régulières. 20 décembre. - Une attaque sans cause. 1887. 10 janvier. - Une attaque le
s. 20 décembre. - Une attaque sans cause. 1887. 10 janvier. - Une attaque le 25 décembre et le 3 janvier; deux, le 4 janv
ère. Sensibilité conservée, normale. Pas de zone hystéro- gène. Les attaques surviennent toujours brusquement, sans cause. E
Elles durent au maximum vingt, au minimum dix minutes. A la fin des attaques , elle reste le regard fixe et sans voir, dit-on,
s ont été très peu abondantes et ont duré quatre jours. 27. - Une attaque les 10, il et 18 janvier. Rien depuis le 19. La
22. Sommeil prolongé et lourd, sans cauchemars. 3 mars. - Nouvelles attaques le 3, le 4, le 5 et le 10 février. 5 août. -Mar
ques le 3, le 4, le 5 et le 10 février. 5 août. -Marie n'a pas eu d' attaques depuis le 10 février. Réglée périodiquement. Ap
er assez fréquentes. Exigeante. Continue les douches. 22. - Pas d' attaques . Le 17 août, engourdissement de la main gauche
t arrivé deux ou trois fois de se trouver mal sans avoir de grandes attaques . En 1888, elle n'a eu ni crises, ni ver- tiges,
e d'une fille vers le milieu du mois de décembre. Elle n'a pas eu d' attaques . Durant cette période elle a travaillé d'abord
as depeurs,pas de cauchemars, pas de céphalalgies, pas de nouvelles attaques . Sujet à se mettre en colère. -Traitement : bro
PILEPSIE. 1 -Il 1 suite d'une colère vive, se manifesta la première attaque d'hys- téro-épilepsie. III. Ce malade présent
mènes de l'aura se manifestaient du même côté; il était sujet à des attaques et à des vertiges. Ceux-ci, quelquefois très no
elquefois très nombreux, se mon- traient surtout avant et après les attaques . Nous en avons donné la description. Contrairem
rçaient aucune influence sur les facultés intellectuelles. Dans les attaques , nous relevons seulement le cercle, l'attitude
tristes, croyait toujours qu'il allait mourir, il était sujet à des attaques de nerfs avec chute, dans lesquelles il se raid
23 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
renseignements et j'appris qu'il avait deux soeurs qui avaient des attaques d'hysté- rie; sa mère avait également des attaq
qui avaient des attaques d'hysté- rie; sa mère avait également des attaques d'hystérie et une grande bizarrerie de caractèr
pêchait de ce côté une observation nette. Elle disait n'avoir pas d' attaques de nerfs, mais des membres de la famille m'ont
l conservait seulement un souvenir con- fus des- circonstances de l' attaque . Après quelque temps les attaques revenaient pr
con- fus des- circonstances de l'attaque. Après quelque temps les attaques revenaient presque chaque jour. Des toniques, l
rès complets sur les parents, on croyait que la mère avait eu des attaques de nerfs dans sa jeunesse. Cet individu était,
pour qu'on pût pronostiquer une fin prochaine. Il n'avait plus d' attaques convulsives; mais son caractère était devenu tr
ience est un peu mieux conservée chez eux que chez les individus en attaque d'hystérie vraie. Mais cette conservation de la
chez un adulte, et chez un jeune garçon de quinze ou seize ans. Ces attaques con- vulsives furent de courte durée. Chose trè
mportant, se terminent par des cris, des convulsions, de véritables attaques d'hystérie. Ces pra- 46 PATHOLOGIE NERVEUSE. -
s, embarras de la parole. Mort le sixième jour après deux nouvelles attaques convulsives. M. de la F., âgé de soixante ans
E. 67 barrassa; le sixième, le malade succomba après deux courtes attaques de convulsions. Le cadavre ne fut point ouvert.
ommes observés l'un en 1822, l'autre en 1825, qui, « au moment de l' attaque ressentirent une douleur des plus vives, poussè
une certaine intensité; avant qu'elle fût réglée, elle n'avait ses attaques qu'une fois par mois; elles se renouvelaient pe
deux ou trois jours ; mais depuis que ses règles sont établies, les attaques sont plus fréquentes ; d'abord tous les huit jo
La malade dit qu'elle est prévenue de la prochaine arrivée d'une attaque par un sentiment irrésistible qui la pousse à cou
des membres. Une de ses tantes, du côté de sa mère, a eu aussi des attaques d'épilepsie. Quant aux causes de la chorée, M.
ce au milieu de la rue, éprouva au mois de juillet 1836 unenouvelle attaque de paralysie du côté gauche de laface avecperte
ut saisi et maintenu jusqu'à ce qu'il reprit sa connaissance. Cette attaque dura en- viron quatre minutes. . Outre cet ac
que l'accès était passé, elle retournait à sa place. La durée de l' attaque n'excédait pas une minute et il n'y avait ni ex
travail estfondésur l'observation d'une maladequi, à la suite d'une attaque d'apoplexie, resta bémianestbésirrne du côté droi
TÉS SAVANTES. 117 Paralysie générale avec délire hypochondriaque et attaques hysté- riformes. M. CHAMBARD lit ensuite un tra
l sur un cas de pa- ralysie générale avec délire hypochondriaque et attaques hystéri- formes chez un homme. L'individu était
ent de la motilité et présentait pendant son séjour de nom- breuses attaques hystériformes. Ce n'est que peu de temps avant sa
aractère du délire, l'histoire de l'affection et la coexistence des attaques hystériformes ; l'apparition tardive de l'escha
les prétendues con- vulsions des démoniaques n'é- taient que des attaques hystéro- épileptiques et qu'à ce point de vue
gènes, susceptibles de déterminer par com- pression, soit de vraies attaques de nerfs, soit des auras incomplètes,' vient en
st quand la paralysie partielle est manifestement consécutive à une attaque d'hystérie bien caractérisée. Dans ces conditio
ni morsure de la langue, ni coma consécutif. Immédiatement après l' attaque , elle remarqua qu'elle éprouvait une certaine d
ig. 12.) L'interprétation de ce fait ne laisse ici aucun doute. L' attaque d'hystérie ouvre la scène, entraîne à sa Fig. 1
a fin de décem- bre, le malade se mord le dos de la main dans une attaque et se fait une ecchy- mose légère. Il survient
nt cette main se paralyse. Evi- demment, il faut faire la part de l' attaque qui a mis le système nerveux dans un état de vi
fluence de la provoca- tion du traumatisme. Tantôt, c'est la grande attaque qui commence avec son cortège classique d'accid
un si grand nombre d'alcooliques, qui, après 10, 15 (et davantage) attaques de delirium tremens, n'étaient pas devenus para
éjà V... donnait des signes non douteux de paralysie générale : des attaques épileptiformes l'emportèrent deux mois environ
auparavant ; elle était vive, impressionnable, mais n'a jamais eu d' attaques nerveuses. On n'a aucuns rensei- gements sur le
grand'mère paternels, tante paternelle, cousine, morts à la suite d' attaques d'apoplexie. - Grand-père maternel, alcoo- liqu
t, n'a eu aucune maladie ner- veuse, ni cutanée, il a perdu par des attaques d'apoplexie son père à soixante-quatre ans, sa
bien portant; une soeur est morte paralysée consécutivement aune attaque d'apoplexie. Il n'y a dans sa famille ni aliénés,
l'observation suivante : Observation XXII. Fièvres intermittentes. Attaques éclamptiques à l'âge de six mois. Petit mal con
olentes. [Père, laboureur, sobre, mort à cinquante- neuf ans, d'une attaque d'apoplexie foudroyante en dix-neuf heures. - M
, n'est pas en enfance, travaille encore un peu aux champs, pas d' attaques de nerfs, a souvent le sang à la tête. Quatre f
cès convulsif épilepliforme de courte durée; le 6 juin suivant. Une attaque bien caractérisée d'épilepsie se produit et, de
Il est vrai que ces équivalents psychi- ques peuvent' remplacer des attaques épileptiformes symptoma- tiques. M. Holloender
semblables erreurs en l'absence même de la constatation directe des attaques par le médecin, ce qui est le cas le plus habit
rchait pas. Affaire du baron Seillère. M. BnIAND. En présence des attaques dont deux de nos collègues qui sont des maîtres e
et Motet « l'expression de sa plus vive sympathie à l'occasion des attaques « aussi inqualifiables qu'imméritées dont ils o
e cruellement atteinte, que si, sans pitié, on a pu se livrer à des attaques sans mesure, je pouvais venir devant vous, non
en le débarrassant du ma- lade, qui peut succomber dans une de ses attaques congestives. M. Garnier a vu deux fois le baron
a suite de spéculations de bourse. En prison, il est en proie à des attaques épileptoides commençant par un cri, puis les poin
Les jours suivants sorte d'assoupissement; P., 90 à 100; plusieurs attaques de longueurs diverses ; démarche incertaine et
292 SOCIÉTÉS SAVANTES. thyroïde diminue de volume. En avril, les attaques syncopales diminuent de nombre et de longueur.
C'est une tumeur cérébrale car on a constaté des céphalalgies, des attaques épi- leptoïdes, des troubles d'épilepsie larvée
père de trois enfants, adonné à la boisson; à la suite de courtes attaques de perturbation psychique, il demeurait sous le c
ou de chloroforme avant l'inclusion dans le baume. L'alcool absolu attaque aussi la celloïdine; on emploiera donc l'alcool
le début est parfois subit, peut dans certains cas succéder à une attaque franchement apoplectique. Cette dernière entraine
par l'hystérie, depuis le simple étourdisse- ment jusqu'à la grande attaque comateuse. L'hémi-anesthésie est la règle ; l'h
ce par M. Achard. Sans parler de l'existence et des caractères de J' attaque apoplectique ni des accidents qu'elle entraîne
contribution A l'étude clinique DES caractères SOI1TIQUES fixes DES attaques DE sommeil spontanées ET provoquées CHEZ LES hy
et un ans. Son père, rhumatisant et asthmatique, a succombé à une attaque d'apoplexie à soixante-quatre ans. Elle a deux fr
ble que ce soit sous cette influence que s'est produite la première attaque de sommeil, le 22 novembre 1883. F... se trouvait
contractures de tout le corps et d'anes- thésie généralisée, cette attaque de sommeil ne put être inter- rompue et se prol
i en avaient caractérisé le début. Mais, à partir de ce moment, des attaques de même genre s'étant HISTOIRE D UNE HYSTÉRIQUE
ire que nous allons emprunter les principaux faits qui suivent. L' attaque de sommeil quelquefois précédée de prodromes, d
ent rien de ce qui s'est passé pendant le sommeil précédent, dans l' attaque de sommeil elle se rappelle non seulement ce qu
sommeil elle se rappelle non seulement ce qui s'est passé dans les attaques précédentes, mais même les événements de la vei
écédentes, mais même les événements de la veille. La durée de ces attaques est variable : elles se prolongent sou- vent pl
ême la simple approche de la main, donne lieu aux mêmes effets. L' attaque de sommeil se produit spontanément, mais elle peu
Ce dernier procédé a une grande action sur la malade, il produit l' attaque presque instantanément. L'attaque peut aussi êt
ction sur la malade, il produit l'attaque presque instantanément. L' attaque peut aussi être déterminée par l'im- pression d
elbcr, la valériane et surtout le musc. Par quelque influence que l' attaque Lie sommeil soit provoquée, elle se présente to
rovoquée, elle se présente toujours avec les mêmes caractères que l' attaque spontanée. En dehors des attaques de sommeil, M
rs avec les mêmes caractères que l'attaque spontanée. En dehors des attaques de sommeil, M. Bringuier a observé, mais plus r
de sommeil, M. Bringuier a observé, mais plus rarement, de grandes attaques d'hystéro-épilepsie. Enfin, pendant l'état de s
mnambulisme. Mais, l'acte accompli, F... tombe immédiatement dans l' attaque de sommeil. Parmi les traitements mis en usag
é l'âge de la malade, à l'approche de la ménopause. En dehors des attaques de sommeil, sa sensibilité, tant géné- rale que
rogènes; mais il n'existe aucune trace de parésie dans ce côté. Les attaques de sommeil ne tardent pas à se reproduire etpré
droites), que l'on pourrait appeler pour cela zones hypnogènes. L' attaque provoquée peut être analysée avec plus de précisi
L'attaque provoquée peut être analysée avec plus de précision que l' attaque spontanée ; voici ce qu'on observe : d'abord, si
nt et les mains se fixent au-devant de l'abdomen (tandis que dans l' attaque spontanée elles se fixent derrière le dos). Les j
à mises en pratique par M. Bringuier. Nous avons vu que pendant l' attaque de sommeil, elle entend très bien : c'est alors q
précision. Mais dès que l'ordre est exécuté, elle retombe dans son attaque de sommeil; ce qui semble indiquer que l'état d
elle s'arrache les cheveux, déchire son bonnet, enfin elle tombe en attaque . On la réveille alors et, au sortir de cette sc
s qui l'affaiblissent beaucoup, qu'elle est sujette à de fréquentes attaques de sommeil se prolongeant quelquefois une dizai
elle entre alors dans l'hôpital, mais à peine entrée elle tombe en attaque de sommeil. Appelé pour la réveiller, nous lui
ous profitons de son sommeil pour lui défendre d'avoir de nouvelles attaques spontanées et pour lui ordonner de revenir le 1
aire la route. A peine arrivée dans le laboratoire, elle tombe en attaque . Interrogée sur ce qui s'est passé depuis huit
tie, incapable de rien faire et beaucoup plus fatiguée qu'après ses attaques spontanées, Pendant son sommeil, prenant une fe
l est ressemblant. » Comme d'habitude elle retombe ensuite dans son attaque spontanée. Nous lui ordonnons alors de revenir
HISTOIRE D'UNE HYSTERIQUE HYPNOTISABLB. 331 et de n'avoir plus ni attaques de sommeil, ni accès de tremble-' ment. Le 18
26, elle revient suivant l'ordre donné. Elles nous apprend que ses attaques habituelles de sommeil l'ont reprise et qu'elle
qui est devant moi ne me parle pas. » Cela dit, elle retombe dans l' attaque de sommeil, comme après l'accomplisse- ment de
voisine jusqu'à M. Dupré, auquel elle dit bonjour, et puis tombe en attaque . Il lui ordonne de revenir le 20. Le 15, elle n
e s'obscurcit et elle est sujette depuis quelque temps à de grandes attaques d'hystéro-épilepsie en dehors des attaques de s
elque temps à de grandes attaques d'hystéro-épilepsie en dehors des attaques de sommeil qu'elle présente toujours. Nous l'en
itement. L'exécution de l'ordre suggéré se termine toujours par une attaque spontanée. Nous lui donnons rendez-vous pour le
et et nous les rapporte; quand elle nous les a remis, elle tombe en attaque . Nous lui suggérons ensuite qu'à son réveil ell
ur aller la réveiller dans son domicile. Nous la trouvons en grande attaque d'hystéro-épi- lepsie, avec phénomènes tantôt d
YPNOTISABLE 335 puis quelque temps elle est sujette à de fréquentes attaques de ce genre, bien que les crises hypnotiques n'
licat comme celui de la couture. Observée attentivement'pendant son attaque de sommeil, on voit qu'elle présente absolument
plus long à se produire qu'à l'ordinaire. En outre, ce n'est pas l' attaque habituelle de sommeil qui se produit, mais une
n'est pas l'attaque habituelle de sommeil qui se produit, mais une attaque spéciale qui a lieu chaque fois que l'ordre don
onné n'est pas exécuté ou que la malade est contrariée : dans cette attaque il y a bien perle de connaissance et contrac- t
à son réveil. Mais dès que celui-ci est pro- duit, elle retombe en attaque , les bras en croix. 31. M. Grasset découvre un
jour après. Au réveil, elle n'exécute pas l'ordre et tombe dans une attaque avec les bras en croix. 8. On découvre une no
ue son arc à concavité droite, et finalement passe au second type d' attaque , les bras en croix. Si alors on comprime le poi
comprime le poignet ou tout autre point hypnogène, on la ramène à l' attaque primitive de sommeil. 14. On l'endort par la
se déve- loppe graduellement et éclate bruyamment en 1883 par des attaques à caractères spéciaux. Ces attaques ne représen
te bruyamment en 1883 par des attaques à caractères spéciaux. Ces attaques ne représentent pas le tableau de la crise hyst
dit, répond et soutient une conversation suivie... Ce sont là des attaques de sommeil. Les crises de sommeil, bien étudiée
nte. Richer appelle tout cela de la léthargie et distingue : 1° l' attaque de léthargie simple (c'est l'attaque de som- me
léthargie et distingue : 1° l'attaque de léthargie simple (c'est l' attaque de som- meil de Briquet); 2° l'attaque de létha
de léthargie simple (c'est l'attaque de som- meil de Briquet); 2° l' attaque de léthargie avec mort apparente (c'est l'attaq
de Briquet); 2° l'attaque de léthargie avec mort apparente (c'est l' attaque de léthargie de Briquet); 3° l'attaque de létha
ec mort apparente (c'est l'attaque de léthargie de Briquet); 3° l' attaque de léthargie compliquée : a, de contrac- tures
mpliquée : a, de contrac- tures partielles ou généralisées (c'est l' attaque de coma de Briquet); b, de l'état cataleptiform
est l'attaque de coma de Briquet); b, de l'état cataleptiforme. L' attaque de notre malade, qui est un type très fixe touj
il n'y a pas mort apparente. Le mieux est d'appeler tout cela des attaques de sommeil en ajoutant ensuite à ce mot l'énumé
e. Bourneville et Regnard parlent peu des contrac- tures dans les attaques de sommeil : « Le corps et les membres, disent-
au contraire, consacre un para- graphe spécial à ce qu'il appelle l' attaque de léthar- gie compliquée de contractures parti
pas un caractère qui lui soit propre : elle appartient à toutes les attaques de sommeil. Pour l'intelligence, elle est en gé
meil. Pour l'intelligence, elle est en général conservée dans les attaques de sommeil. Seulement, beaucoup de malades (cel
vaut mieux énoncer dans chaque cas la caractéristique clinique de l' attaque de sommeil. Ainsi chez F... il y a des attaques
stique clinique de l'attaque de sommeil. Ainsi chez F... il y a des attaques de sommeil avec contrac- 342 CLINIQUE NERVEUSE.
intelligence et perte de la conscience musculaire. En dehors de ces attaques , que nous appellerons « attaques du premier typ
nce musculaire. En dehors de ces attaques, que nous appellerons « attaques du premier type », F... en présente d'autres un
ans l'at- taque du premier type, elle n'entend ni ne parle dans l' attaque du second. On pense immédiatement à rapprocher
ns l'attaque du second. On pense immédiatement à rapprocher cette attaque des grandes attaques hystéro-épileptiques. Elle
nd. On pense immédiatement à rapprocher cette attaque des grandes attaques hystéro-épileptiques. Elle repro- duit évidemme
s hystéro-épileptiques. Elle repro- duit évidemment une partie de l' attaque de la Salpê- trière. Mais quelle partie de cett
artie de l'attaque de la Salpê- trière. Mais quelle partie de cette attaque classique reproduit-elle ? Richer, qui étudie
e cette attaque classique reproduit-elle ? Richer, qui étudie les attaques de contractures parmi les variétés de la grande
étudie les attaques de contractures parmi les variétés de la grande attaque , les rattache à la quatrième période, comme les
e la grande attaque, les rattache à la quatrième période, comme les attaques de délire. Et en effet, dans cette quatrième pé
attaques de délire. Et en effet, dans cette quatrième période de l' attaque complète, il y a quelquefois aussi des contract
vec crucifiement et arc de cercle. Cela parait donc plutôt être une attaque réduite à sa première période, à la phase toniq
E HYPNOTISABLE. 343 Du reste, un caractère capital montre que les attaques de contractures décrites par Richer ne cor- res
t compte de toutes ses impressions pendant tout le temps que dure l' attaque . » Or, ici, chez F... c'est absolument le contr
de l'intelligence chez ses malades qui fait classer par Richer les attaques de contractures dans les variétés de la quatriè
ntractures dans les variétés de la quatrième période de la grande attaque et c'est cette disparition de l'intelligence chez
e l'intelligence chez notre malade qui nous fait plutôt classer son attaque dans les variétés de la première période. Cec
riode. Ceci a donc une certaine portée nosologique. En dehors des attaques de contractures se rattachant à la quatrième pé
ractures se rattachant à la quatrième période, il faut admettre des attaques de contractures se rattachant à la première. C'
ient F... Quoi qu'il en soit, l'important est de rappeler que les attaques spontanées de F... se ramènent à deux types. Da
sthésie sur tout le corps. A côté de ces caractères communs, dans l' attaque du premier type, l'ouïe et la parole sont conse
mier type, l'ouïe et la parole sont conservées, tandis que dans l' attaque du second type, l'ouïe et la parole sont abolie
d type, l'ouïe et la parole sont abolies. Au fond, ces deux types d' attaque peuvent être considérés comme deux degrés. En
être considérés comme deux degrés. En dehors de ces deux types d' attaques , qui sont 344 CLINIQUE NERVEUSE. de beaucoup
s fréquentes, nous avons vu quel- quefois cheznotremaladede grandes attaques hystéro- épileptiques complètes, dont on trouve
c'est qu'elle a les mains croisées sur le ventre, tandis que dans l' attaque spontanée elles sont croisées derrière le dos.
les trois états de la Salpêtrière, mais elle n'en présente aucun. L' attaque de sommeil provoqué, telle qu'elle la présente,
UE HYPNOTISABLE. 349 la faire passer du premier au second type de l' attaque spontanée, du premier au second degré de son so
cinquième et sixième degrés de Bernheim, qu'on pourrait classer l' attaque de F... Mais deux choses la différencient ab- s
t pas hystériques antérieurement (j'entends la grande hystérie, à attaques franches, et non l'hystéricisme ou le nervosism
e Charcot, les autres repro- duisent simplement et fidèlement leurs attaques spontanées d'hystérie antérieure (ces attaques
et fidèlement leurs attaques spontanées d'hystérie antérieure (ces attaques ayant des caractères divers suivant les malades
eproduisent, simplement et fidèlement dans tous leurs traits, leurs attaques antérieures de sommeil spontané. L'hypnotisme d
, faisait des ménages; asthma- tique, pas de maladies de peau, ni d' attaques ; n'est pas nerveuse, aucun excès. [Père, mort o
'une affection osseuse, consécutive à sa fracture. Il n'avait pas d' attaque , mais était très nerveux. Il disait que son enf
uis'sept à huit ans à des douleurs de tête; pas de migraines; pas d' attaques ; n'est pas nerveuse. [Père, culti- tivateur; ex
ions répétées. - Une soeur, morte à son retour d'âge, n'avait pas d' attaques . Point d'épileptiques, d'aliénés, de criminels, e
che. Tous les deux ou trois mois depuis un an, il était sujet à des attaques apo- plectiformes, sans perte de connaissance.
es, sans perte de connaissance. Au mois de février 1886, il eut une attaque d'hémiplégie droite et quelque temps après mour
méd., 1886, t. LU.) Observation d'une malade qui, à la suite d'une attaque d'apo- plexie, présenta une hémiplégie droite a
oger-Marvaise et par moi, que cette loi de 1838 ne méritait pas les attaques dont elle avait été l'objet. Je sais bien que,
tout si elle se traduit, non par des articles fantaisistes, semés d' attaques personnelles, mais en articles utiles aux malad
ar Bonnet, 79; par Meynert, 270, - avec délire hypochondriaque et attaques hys- tériformes) , par Chambard,117 ; - reche
24 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t levé, s'empresse de se recoucher pour éviter d'être surpris par l' attaque hors de chez lui. Ces phénomènes précurseurs du
s'arrête là et un som- meil profond vient enrayer l'accès. Quand l' attaque arrive, c'est le fait le plus habituel, elle se
le dire d'une parente qui demeure auprès du malade, au moment de l' attaque , celui-ci pousse un cri, perd connais- sance, s
'écume se montre aux lèvres et la face s'inonde de sueurs. 'Après l' attaque survient un sommeil profond. Une seconde attaqu
sueurs. 'Après l'attaque survient un sommeil profond. Une seconde attaque se produit trois heures environ après la première
iron après la seconde, quelque fois enfin une quatrième. Ces quatre attaques se répartissent sur un jour et demi ; le lendem
ulement. Une disposition d'esprit qui s'exagère parfois après les attaques , c'est le désir de compter et de recompter plusie
sous aucun rapport des enfants de son âge. Depuis, sans nouvelle attaque de convulsions, il se produit un arrêt de déve-
avait été atteinte de manie puerpérale et la mère était morte d'une attaque d'apoplexie. Le début de la maladie s'est fait
aladie s'est fait il y a 72 PATHOLOGIE NERVEUSE. cinq ans par une attaque de mélancolie avec perver- sion des divers sens
ole. Nécrose du maxillaire. Mort par épuisement, douze mois après l' attaque primitive. Destruction presque totale de l'insu
ed ; la névralgie avait ré- sisté à tous les moyens ordinaires. Les attaques d'abord rares, avaient peu à peu augmenté de fr
106 SOCIÉTÉS SAVANTES.- , M.1 Voisin a vu des épiloptiques dont les attaques étaient suspen- dues pendant la durée. d'une af
ns son service, il a observé une petite fille épileptique, dont les attaques étaient, ordinairement quotidiennes et qui n'a
ire entrer les émotions vives, la fatigue physique, l'imminence des attaques , etc., telle malade présente une exaltation ou
ion dans ce qui venait de se passer, nous essayons de provoquer une attaque . Une excitation vive portée sur les zones hysté
développés : L. D ? seize ans, hystéro-épileptique, a de grandes attaques convulsives avec arc de cercle et attitudes pas
est prise de secousses des bras, analogues à celles du début de son attaque . La crise parait imminente. Nous nous empresson
te-cinq ans. Sa mère est morte à soixante-sept ans des suites d'une attaque . Elle n'a qu'un frère, âge de quarante-quatre a
sur la description classique désormais, donnée par M. Charcot, de l' attaque d'hys- téro-épilepsie avec ses trois phases épi
? ) pendant sa grossesse ; elle était rhumatisante et sujette à des attaques coii- vulsives et à des elourdissemenls ; elle
onnus de la malade. Une tante maternelle se porte bien et n'a pas d' attaques . Antécédents personnels. - Dès les premiers jou
s crises nerveuses. Pendant quatre ans, elle eut tous les jours dos attaques nerveuses qui ne se produisaient pas à des heur
à des heures fixes , mais en toute circonstance nuit et jour. Ces attaques , avec porto de connaissance dès le début, commen-
t au lit à toutes les fois. Vers dix ans, un an après les premières attaques , elle aurait eu une fièvre cérébrale. Elle a ét
réglée à treize ans. A partir de ce moment, elle cessa d'avoir des attaques tous les jours ; ses crises changèrent de carac
, 'de dégrafer ses \ éléments, de choisir sa place pour tomber. Ses attaques , d'abord rares, devinrentbieutôt extrêmement fr
treize ans jusqu'à vingt- trois. Depuis que cette nouvelle espèce d' attaques se produit, elle éprouve une douleur continue d
ne douleur continue dans le bas-ventre des deux côtés; mais quand l' attaque va venir, la douleur augmente, principalement d
'influence de l'éther, de la morphine, du bromure de potassium, ses attaques ont diminué considérablement de fréquence depui
n qu'elle n'eût jamais eu qu'un délire inoffensif à la suite de ses attaques . Au bout de cinq ou six mois, elle quitta l'hos
en temps, elle a des métrorrhagies intercalaires. Depuis que ses attaques sont moins fréquentes, elle souffre davantage d
ée déchargée du coup, s'est trouvée mieux ensuite et n'a pas eu d' attaque spontanée : le 8 mars, à la fin de ses règles, el
la fin de ses règles, elle était agitée ; j'ai provoqué une série d' attaques par la pression sur son point vertébral, elle n
généralement, il s'agit de sa famille. Depuis un au environ, ses attaques ne se produisent que presque toutes les trois s
rès ses règles ou sesmétrorrhagies ; ainsi elle a une série de cinq attaques le 3 janvier, ses règles viennent le 3 et ce jo
anvier, ses règles viennent le 3 et ce jour là encore elle a quatre attaques ; elle a une métrorrhagie le 30 du même mois, e
lle a une métrorrhagie le 30 du même mois, elle avait eu quatorze attaques la veille et quatre ce jour là, mais elle avait e
- Iluence sur ses convulsions ; pendant sa dernière aventure, les attaques n'étaient pas plus fréquentes que maintenant; les
e, les attaques n'étaient pas plus fréquentes que maintenant; les attaques se produisent toujours le jour, elle n'en a jamai
a jamais eu la nuit. Sensibilité générale. Dans l'intervalle des attaques , elle est hémi-anesthésique gauche, elle ne sen
lité du voile du palais. (Examen avec.la coloquinte.) Pendant les attaques l'insensibilité, est totale et complète. A tout
1° lombaire. La pression sur la région ovarienne gauche arrête les attaques qui sont prévenues par la pression du bandage à
onséquent provoquer de catalepsie dans cet état. Description de l' attaque . Que l'attaque soit spontanée ou provoquée, ell
quer de catalepsie dans cet état. Description de l'attaque. Que l' attaque soit spontanée ou provoquée, elle se présente t
s oreillers, se couche sur le côté droit et s'endort bientôt. Les attaques se sont présentées par séries de le à 1 depuis
ise à notre observation et toutes se ressemblent. Dans les séries d' attaques , c'est-à-dire lorsqu'on est prévenu qu'uneautre
ette observation présente plusieurs faits intéressants à noter. Les attaques dontV... a été atteinte de neuf à treize ans se
... a été atteinte de neuf à treize ans semblent bien avoir été des attaques d'épilepsie auxquelles la malade était d'ailleu
l'hérédité; au moment de l'établissement de la mens- truation, ces attaques se sont transformées et ont pris les caractères
n, ces attaques se sont transformées et ont pris les caractères des attaques d'hystéro-épilepsie. Jamais, depuis qu'elle est
hystéro-épilepsie. Jamais, depuis qu'elle est réglée, elle n'a eu d' attaque ressem- blant à celles qu'elle avait étant enfa
atten- tion sur les caractères spéciaux de la deuxième phase de l' attaque , de la phase des grands mouvements. On remarque
la malade roule autour de son axe longitudinal. Ces variétés de l' attaque sont intéressantes à noter, parce qu'elles peuv
rougeurs qui constituent quelquefois de véritables prodromes de l' attaque '. Mais nous voulons seulement appeler l'attent
endant le mois où le zona s'est dé- veloppé, la malade n'a pas eu d' attaque . La zone hys- térogène semble avoir déterminé l
ent deux observations danslesquelles ils ont vu l'anesthésie et les attaques disparaitre à la dernière période de la phthisi
nt antiphlo- gistique qu'il nécessitait '. Nous avons observé une attaque de rhumatisme articulaire aigu qui nous paraît
nt qu'il était au service militaire, il a des grandes et fréquentes attaques . La mère, morte poitrinaire à vingt-neuf ans, n
parait pas avoir été nerveuse, mais elle semble avoir eu plusieurs attaques de rhumatisme. Il est né onze enfants de ce mar
f., DE 171 Réglée à onze ans. A douze ans, elle a eu une première attaque de rhumatisme généralisé qui l'a tenue deux moi
ment après ses premières règles, à onze ans, elle a eu une première attaque qu'elle ne peut pas bien définir : elle aurait
voir uriné dans ses vêtements. A partir de ce moment, elle a eu des attaques analogues tous les quinze jours ou tous les hui
s. C'est seulement à partir de quatorze ans qu'elle se souvient d' attaques analogues à celle qu'elle a aujourd'hui, précédée
amant. Quelques jours après son arrivée, elle fut prise des grandes attaques dont nous sommes témoins depuis son entrée à la
très difficile à mener et cherche continuellement à tromper. Ses attaques ont toujours lieu pendant le jour, elles varient
e, 79 pendant le mois de décembre, 17 pendant le mois de janvier. Attaques . L'attaque est annoncée par une recrudescence d
t le mois de décembre, 17 pendant le mois de janvier. Attaques. L' attaque est annoncée par une recrudescence de la douleu
xement pendant quelques minutes, puis tout rentre dans l'ordre,ou l' attaque recommence pour former une série plus ou moins
d'un côté ou de l'autre, comme du reste pendant toute la durée de l' attaque . Les attaques ne sont jamais isolées, elles se
l'autre, comme du reste pendant toute la durée de l'attaque. Les attaques ne sont jamais isolées, elles se reproduisent tou
es se reproduisent tou- jours parsériesde nombre variable; mais les attaques qui les constituent sont toujours identiques. L
in, 39°, 2 le soir. Epistaxis, douleur ova- rienne gauche, menace d' attaque , application de la ceinture ; les douleurs sont
éther avec précaution jus- qu'à résolution complète pour éviter les attaques ; la malade revient bien sans accident. Les doul
empérature ne monta plus au dessus de 38°, et la période aiguë de l' attaque de rhumatisme put être considérée comme terminé
ouvements. Nous n'avons pas insisté sur tous les détails de cette attaque de rhumatisme articulaire qui n'a rien pré- sen
D'autre part, nous voyons pendant la période fébrile des menaces d' attaque , qui ont eu un commen- cement d'exécution, et l
ue les douleurs per- sistaient encore, le 24. mars, C... a eu trois attaques . L'élément spasmodique n'est donc pas non plus
- ment toutes les digitations du lobule de l'insula. OBSERVATION. Attaque apoplectique. - Hémiplégie gauche; Contracture
e. Les accès d'épilepsie se sont déclarés environ six ans après l' attaque paralytique. Durant cet intervalle, notre malade
ntellectuels ou de simples aberrations de carac- tère sans avoir ni attaques , ni autres manifestations de la névrose ; d'aut
breuses blessures , et cette singulière comédie a précédéde peu une attaque d'hystérie des mieux caractérisées . 'Bail. L
est femme d'un coiffeur, et unjourM. Lasègue la voit en proie à une attaque d'hysléro-épi- lepsie suivie d'aphasie '. Lor
s, ' On sait qu'autrefois Cruveilhier parvenait a faire avorter une attaque convulsive en faisant boire à la malade, de gré
, surtout s'il s'y ajoute, comme il arrive parfois, de véri- tables attaques convulsives. Il faut insister sur les dispositi
s douces et régulières, était depuis plus de quatre ans sujet à des attaques d'épilepsie, qui avaient été presque quotidienn
tie de l'intervalle qui sépare les crises ; 2° on peut observer des attaques épileptiformes avortées, sans convulsions, sans
E L'OEIL CHEZ LES IIISTÈI10-$l'ILI : PTIQUES, SOIT EN DEHORS DE L' ATTAQUE , SOIT PENDANT L'ATTAQUE. A. Phénomènes observés
TÈI10-$l'ILI : PTIQUES, SOIT EN DEHORS DE L'ATTAQUE, SOIT PENDANT L' ATTAQUE . A. Phénomènes observés en dehors de l'attaque.
AQUE, SOIT PENDANT L'ATTAQUE. A. Phénomènes observés en dehors de l' attaque . Dans l'hémianesthésie des hystériques, l'insen
et (le la dernière observation (p. 170) a suc- combé à une nouvelle attaque de rhumatisme compliqué de pleurésie 2812 CLINI
DE il111YSTPI',O-ÉPILEPSIE. 287 B. Phénomènes observés pendant l' attaque . Pas- sons maintenant à l'étude de quelques phé
l'étude de quelques phénomènes observés du côté de l'oeil pendant l' attaque d'hystéro- épilepsie. L'exploration de l'oeil p
t l'attaque d'hystéro- épilepsie. L'exploration de l'oeil pendant l' attaque présente une grande difficulté, en raison des b
s. Les membranes externes de l'oeil sont donc insensibles pendant l' attaque . L'état de la pupille pendant l'attaque a été p
donc insensibles pendant l'attaque. L'état de la pupille pendant l' attaque a été peu observé : on trouve la dilatation not
taillée et qui nous semble cependant digne d'attention. Pendant l' attaque , la pupille n'est que peu influencée par l'acti
avec la même facilité chez toutes les malades et pendant toutes les attaques ; cependant, cette étude est grandement favoris
dant, cette étude est grandement favorisée par la répétition de ces attaques , dont les différentes phases se succèdent avec
igurent dans l'hallucination. Certaines malades sont sujettes à des attaques incomplètes, qui augmentent les difficultés de
r. Ainsi, chez une de nos malades qui, dans ses états de mal, a des attaques incomplètes constituées seulement par une pério
c arc do cercle, j'ai observé plusieurs fois, avant le début de l' attaque , sans aucune trace de contraction tonique, une
ue, constituant une sorte d'épileptoïde larvée ; de sorte que ses attaques sont plus incomplètes en apparence qu'en réalit
pupille à la dilatation normale, en même temps que l'on arrête l' attaque . Il serait très important de pouvoir comparer l
t très important de pouvoir comparer l'état de la pupille pendant l' attaque dans l'épilepsie et dans l'hystéro-épilepsie. C
es tentatives nombreuses, nous n'avons jamais pu arriver dans les attaques isolées à constater la contraction du début que
, on semblerait se trouver dans de meilleures conditions : mais les attaques subintrantes rendent encore l'observation très
ériques. Les modifications pupillaires, aux différentes phases de l' attaque d'hys- téro-épilepsie, viennent d'être étudiées
ot, au mois de juin 1880. Elle n'avait plus alors ni anesthésie, ni attaques convulsives, ni points hystérogenes, et résista
grossesse, elle resta hémianesthésique et hypnotisabte, mais les attaques ne se reproduisirent pas, et on ne pouvait pas le
Icoîzogi,ariltz»e photographique de la Salpêtrière1, n'avait plus d' attaques quand elle est sortie de l'hospice il y a un an
mbre ; elle était alors au neuvième mois de sa gros- sesse. ' Les attaques ne se sont pas renouvelées depuis qu'elle est e
cinquante-cinq, au moment d'une douleur, la malade est prise d'une attaque de contracture avec perte de connaissance et ro
té gauche, à huit heures deux minutes. Deux minutes après, deuxième attaque de con- tracture, le bras droit étendu, et le g
cessé encore par le côté gauche d'abord. Une minute après, nouvelle attaque analogue à la seconde. Depuis le commencement d
ue analogue à la seconde. Depuis le commencement de la pre- mière attaque jusqu'à la fin de la troisième, la malade n'a pas
nt nous venons de parler, est suivie d'une 30t clinique nerveuse. attaque de contracture analogue aux précédentes et qui du
ouleurs ; mais, vers onze heures un, quart, il survint une nouvelle attaque de contracture, le chloroforme fut suspendu. No
harcot a remis en honneur la com- pression ovarienne pour arrêter l' attaque d'hystérie, on a tenté, à différentes reprises,
rogrès médical, 1878, p. 993. 20 306 CLINIQUE NERVEUSE. rèter l' attaque aussi longtemps que la malade pouvait le suppor
jour au lit, préférait enlever le compresseur et laisser partir son attaque . L'appareil de M. Ballet, constitué par une cei
) 308 clinique nerveuse. considérable pour se rendre maître d'une attaque com- mencée, les malades peuvent ordinairement,
la pression. de L'HISTI : .RO-FI'ILRPS1E. 309 sous le coup d'une attaque . Nous avons pu constater, depuis six mois que n
rtés sans aucune gêne, et nous avons vu des malades suspendre leurs attaques pendant des périodes inouïes auparavant; l'une
voulons pas dire que la compression puisse arriver à supprimer les attaques . Cependant, nous devons enregistrer un fait imp
de nos ma- lades, après avoir, sous les menaces permanentes de l' attaque , gardé le compresseur pendant plus de vingt jou
compresseur pendant plus de vingt jours, put l'enlever sans avoir d' attaque ; mais, au lieu de rester deux semaines ou plus
es, comme cela lui arrivait lorsqu'elle avait été déchargée par une attaque , il lui fallut re- prendre le bandage au bout d
out sus- pensive ; toutefois, la possibilité de la suspension des attaques chez les hystériques qui vivent de la vie com-
e totale et achroma- topsique excepté pour le violet; a des grandes attaques con- vulsives dans lesquelles le spasme laryngé
asme laryngien analogue à celui qui se mon- tre pendant ses grandes attaques convulsives, avec cette différence toutefois, q
cèdent alternativement à la façon de ce qui a lieu dans ses grandes attaques convulsives. La phase délirante présente ceci d
u'elle court, qu'elle cherche son enfant, etc. Elle n'a jamais eu d' attaque de nerfs, ni de syncope ; elle est fortement ma
ux spasmodique, analogue à celle de la coqueluche, apparaissant par attaques et s'ac- compagnant parfois de spasmes de la gl
u moins forts, d'asphyxie et quelquefois même de con- vulsions. Ces attaques présentent une intensité variable qui a permis
qu'en une ligne verticale brisée et irisée qui disparaît. Durant l' attaque , on a constaté avec la dilatation ou le rétréci
ntier parfois. En outre, la migraine ophthalmique coïncide avec des attaques épileptiformes, peut se substituer à de véritab
vec des attaques épileptiformes, peut se substituer à de véritables attaques d'épilepsie. Serait-elle alors de l'épi- lepsie
confondre ces cas avec les trou- bles oculaires prémonitoires de l' attaque d'épilepsie qui ne ressemblent aucunement à ceu
au suicide. Dans les derniers mois de sa vie il eut, en outre, des attaques épileptiformes auxquelles il finit par succombe
ro-épilepsie. La première partie de cet ouvrage traite de la grande attaque 372 BIBLIOGRAPHIE. hystérique complète et rég
ême, répond à cette objection .souvent faite par des observations d' attaque hystéro-épileptique prises, la première sur une
ts attribués à l'épilepsie. 11 faut d'ailleurs rapprocher la grande attaque de l'at- taque d'hystérie vulgaire. Elle n'est
ième partie, la description des princi- pales variétés de la grande attaque hystérique, variétés dépendant soit de l'extens
voir les symptômes propres à l'affection parah tique succéder à des attaques épileptiformes répétées, ou encore à un accès d
ion rouge de la face, troubles gastriques divers, troubles visuels, attaques épileptiformes ou apoplecti- formes, troubles i
25 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
stions longuement. Elles se mon- trent à l'état passager, après les attaques (petit et grand mal intellectuel), ou quelquefo
on VI. 1\ple B..., épileptique. - Mère gout- teuse. Soeur, a eu une attaque de chorée et a.un tic facial. Observation VII.
bien distincts. Les unes, qui ne sont qu'un épisode, une phase de l' attaque d'hys- téro-épilepsie, telle que l'a décrite M.
s identique, en ce sens qu'il a une place chronologique fixe dans l' attaque , dont il ne peut être séparé. Ce délire, qui fa
taque, dont il ne peut être séparé. Ce délire, qui fait partie de l' attaque , est le seul auquel appartienne légitimement la
le peuvent être l'épilepsie et l'hystérie se manifestant par des attaques distinctes. L'état mental des hysté- riques en
attaques distinctes. L'état mental des hysté- riques en dehors des attaques n'a non plus aucun lien nécessaire avec la névr
idées de persécutions. - Trois soeurs nerveuses; une seule a eu des attaques . LA FAMILLE NÉVROPATHIQUE. 1 : 1 Chez les hys
la douleur a considérablement diminué depuis qu'est survenue une attaque convulsive nocturne. Les tics non douloureux pe
u, 2e édit., 1873, t. II, p. 171. LA FAMILLE NEVROPATHIQUE, ·11 1 attaques éclamptiques à l'occasion de toutes les ma- lad
PATHOLOGIE GÉNÉRALE. M. Gauliez', la mère de l'enfant avait eu des attaques éclamptiques. L'asphyxie locale des extrémité
à l'époque de son mariage ; à sa troisième grossesse, elle eut des attaques d'éclampsie et elle est restée épileptique depu
es nerveux : un malade cité- par Mahot" avait eu plusieurs fois des attaques éclamptiques ; la mère d'un malade observé par
es espaces intercostaux. Durant l'année 1882, la malade a eu cinq attaques de syncope. A partir du mois de juin, on a été
téro- épilepsie ci douze ans; cause. - Description de l'aura et des attaques . - Vertiges hystériques et attaques syncopales.
- Description de l'aura et des attaques. - Vertiges hystériques et attaques syncopales. Variétés, attitude du crucifiement.
, et, pendant l'année qui vient de s'écouler, elle a eu dix ou onze attaques ; rémis- sion depuis quatre ou cinq mois. Les cr
L DE FAITS. ordinaire dans l'intervalle, il fut pris de sa première attaque pendant son travail habituel, dans une verrerie
is jours dans son nouvel atelier et en fut renvoyé à la suite d'une attaque . Du mois de mai au mois d'août, les crises fure
s des crises observées par elle avant l'admission il l'hospice. Les attaques étaient toujours diur- nes, survenaient sans au
t bonne; on note parfois un léger de- gré de diplopie au moment des attaques . Pour ce qui est de ]'('tat intellectuel, il es
ire et écrire couramment, etc. (Voir p. 9G, etc.) Description des attaques . La grande variété que nous avons observée dans
on des attaques. La grande variété que nous avons observée dans les attaques de notre malade, dépendant de la durée et de la
tant à la classe assis et occupé à écrire est pris subitement d'une attaque : il rejette brusquement son cahier et agite le
alement rétablie, il ignore ce qui s'est passé : il s'agit là d'une attaque avortée, comparable à un vertige. 14 janvier. -
tige. 14 janvier. - Nous sommes témoins, à la classe, d'une aulre attaque : le malade pousse un cri, on l'enlève de son ban
eine à maintenir l'enfant qui se débat pendant quelques instants. L' attaque enfin cesse subi- tement : le malade annonce qu
c'est à ce moment qu'il a perdu connais- sance. 23 janvier. Autre attaque . L'enfant tombe sans pousser de cri.Lesbrasse m
n au cours desquels l'enfant se glisse sous un lit. 1 cr féerier. - Attaque épileptoide. Pendant qu'on pratique l'exa- men
phénomènes constitue un type de la période épileptoide de la grande attaque . Pendant ce temps, on a pratiqué une compressio
ué une compression modérée des testicules, comme moyen abortif de l' attaque , mais on n'a pas constaté de résultats apprécia
e lombaire. Cet état, qui constitue la seconde période de la grande attaque , dure une minute, puis l'enfant s'assied, regar
stants après, reparaissent quelques convul- sions épileptoldes et l' attaque se termine. - La troisième pé- riode de la gran
ldes et l'attaque se termine. - La troisième pé- riode de la grande attaque , celle de délire, a donc fait défaut. Le malade
oule qui l'étreint à la gorge. 9 février. L'enfant est pris d'une attaque dans laquelle on note, comme particularités : l
du vaccin qu'on lui a inoculé récemment, il est aussitôt pris d'une attaque ; celle-ci est analogue à quelques-unes des précéd
nsignifiante, le refus de lui donner des douches, l'enfant tombe en attaque . On observe la période épiieptoide avec rigidit
edemande à prendre des douches et, sur un nouveau refus, retombe en attaque : la période épileptoïde se déroule dans toutes
mence les mouvements de ci2-(;ziiiidtictioîz et de translation de l' attaque précédente. Examen de la sensibilité. - A aucun
de la sensibilité. - A aucune période de la maladie, en dehors des attaques et de l'état d'hypnotisme, nous n'avons observé
toujours été impossible en comprimant de provoquer ou d'arrêter les attaques . Ces points hyperesthésiques ont été rencontrés
uffement qui serait susceptible, au dire du malade, d'aboutir à une attaque , si on la prolongeait. Aura. Interrogé de nouve
ésumer ainsi : dans certains cas, les phénomènes prémonitoires de l' attaque consistent en une sensation douloureuse, dirigé
à la région tempolale, le tout avec prédominance du côté gauche. L' attaque suit immédiatement l'apparition de cet ensemble
ir totalement à lui, et, au bout de deux minutes, il est pris d'une attaque à forme épileptoïde. 18$. 1 juin. - On fait une
veux fermes, comme dans les expériences précédentes. Le nombre des attaques , très considérable dans les premiers temps du s
isoiis ci-contre, sous forme de tableau synoptique,' l'ensemble des attaques qu'on a observées pendant le séjour à l'hospice
t pensée sauvage ; bains d'amidon). 1883. 2 mai. B... n'a paseu d' attaques jusqu'au 6 de ce mois. Ce jour-là, un ouvrier d
vailler. Depuis lors jusqu'à ce matin, il n'a pas eu de nou- velles attaques . Son sommeil est tranquille. Deux ou trois fois p
e frayeur; c'est la cause occasionnelle la plus ordinaire. III. Les attaques , annoncées en général par une aura, revê- taien
i redoutable sur les facultés intellectuelles. c) Quant aux grandes attaques , elles ont été souvent incom- plètes ; mais, si
ont été souvent incom- plètes ; mais, si l'on fait la synthèse des attaques observées à di- verses époques, on y retrouve l
ait très accusé, constituent encore de nouvelles analogies avec les attaques hystériques de la femme; 4° la période de délir
u de la compression des testicules sur la production ou l'arrêt des attaques ; l'absence de troubles de la sensibilité. V. Le
trefois, c'est à l'hydrothérapie que nous devons la disparition des attaques de notre malade. 11 est sorti alors qu'il n'avait
morte à soixante ans d'une fièvre typhoïde; impressionnable, pas d' attaques de nerfs. - Un frère est mort jeune, de convuls
s, de difformes]. Mère, quarante ans, petite, très nerveuse ; pas d' attaques de nerfs, de migraines, de névralgies; pas de s
nerveuse et impressionnable, pleurant souvent sans motifs; jamais d' attaques de nerfs ni de syncopes. [Père et mère : n'ont
ues mois et disparut sans traitement. -- A trente-deux ans, seconde attaque d'épilepsie il la suite de laquelle le mérycism
ittée un seul instant, ni jour ni nuit, avait enregistré huit mille attaques , qu'elle s'était tout à coup rétablie après l'a
puis ma communication à la Société à une nouvelle série de z1,700 attaques convulsives, dans l'espace de vingt-six jours, et
lle naturelle, aurait présenté vers rage de douze à treize ans, des attaques convulsives sur la nature des- quelles il est i
1883, c'est-à-dire depuis dix-huit mois environ, elle n'a eu aucune attaque . Nous constatons seulement que Rosa G .. est vi
ande coquetterie. Le 2'2 j janvier 1883, commença la série de 8,0U0 attaques dont j'ai parlé dans ma première communication.
tandis que le pouls était à 120 et 130. Cette grande série de 8,000 attaques terminée, la malade ne présenta qu'un nombre li
mars à septembre 1883. Elle eut en moyenne de quatre-vingts à cent attaques par mois, se montrant toujours par séries de hu
jour, et nous avons remarqué que, lorsqu'on bais- sait la dose, les attaques reparaissaient. Nous avons examiné à plusieurs
ctobre J883 (il y avait quinze jours que la malade n'avait pas eu d' attaques ), elle est prise d'accès nombreux et répétés, se
e le temps de tomber dans la résolution musculaire, qu'une nouvelle attaque se produit. Cette convulsion, on le voit, resse
se prononce. Les crises sont donc seulement épileptoïdes. Après les attaques , le membre droit est contracté et les poings so
es ne renferment pas d'albumine. Du 4 au 14 octobre, on observe des attaques analogues à celles qui viennent d'être décrites
50 à 15 gr. sans résultat appréciable. A partir du 14 octobre, les attaques sont plus complètes et le côté gauche est envahi
eures de l'après-midi, les crises changent subitement de forme. A l' attaque épileptoide, qui a été décrite et qui avait fin
ons terrifiantes. Elles se produisent soit à la suite d'une série d' attaques convulsives, soit d'emblée, après une période d
ené l'hémispasme de tout le côté droit. Mais le nombre excessif des attaques , le calme de la malade dans les inter- valles d
on premier diagnostic, et le portèrent il penser qu'il s'agissait d' attaques d'hystéro-épi- lepsie. Les phénomènes qui se so
des crises épileptoides qui est tout à fait ana- logue à celle des attaques d'épilepsie jacksonienne; 2" Par le nombre cons
'on en a compté 11,700 en vingt-six jours '. Rosa G... n'a plus d' attaques depuis hier; la grande série d'accès à laquelle
sse 30,000. , SOCIÉTÉS savantes. 131 La première série de 8,000 attaques offrait un élément de diagnostic de la plus gra
heureusement soumise à des règles plus fixes : on ne voit guère les attaques d'épilepsie se répéter plus de z100 fois par jour
cousses des membres qui se produisaient quelquefois en dehors des attaques ; mais les secousses, pas plus que les attaques s
efois en dehors des attaques ; mais les secousses, pas plus que les attaques syncopales, les absences, les vertiges, ne sont
nt à l'affaissement intellectuel qui existait dans l'intervalle des attaques , il pouvait facilemeut s'expliquer par les dose
elle, disait-on, l'absence des phénomènes permanents en dehors des attaques : le caractère dit hystérique de la malade n'av
aux et la vision en particulier n'avaient point été examinés. Les attaques étaient, il est vrai, épileptiformes et exclusive
aient des séries purement épileptoïdes : quelquefois cette forme d' attaques existe seule pendant des mois 3. Cette anomalie d
existe seule pendant des mois 3. Cette anomalie dans les formes des attaques étonnera moins si on veut bien considérer que p
que toutes les hystéro-épileptiques offrent, à un moment donné, des attaques incomplètes, tantôt c'est la phase des contorsion
ouvement de la pupille'. Et d'ailleurs, à tout bien considérer, ces attaques épileptiformes 1 Charcot. - Leçons sur les mala
a langue était quelquefois fortement portée en dehors, comme dans l' attaque démoniaque, mais jamais mordue; il n'y a jamais
utefois que ce cas est peut- être sans précédent pour le nombre des attaques dans une même journée. Georget cite une malade
es attaques dans une même journée. Georget cite une malade dont les attaques furent si fréquentes et si fortes pendant six m
nt à la nialade de M. Charcot, elle n'avait guère qu'une centaine d' attaques par jour. M. Ballet. Si je demande la parole, c
bien il s'agissait d'une modalité anormale et jusque- là inconnue d' attaques d'hystérie, d'attaques à forme d'épilepsie part
e modalité anormale et jusque- là inconnue d'attaques d'hystérie, d' attaques à forme d'épilepsie partielle, ou bien d'une ép
ceux qui inclinaient vers l'hystérie : le nombre considérable des attaques , compatible avec la vie, l'absence de paralysie l
le avec la vie, l'absence de paralysie localisée, à la suite de ces attaques , l'apparition de plusieurs des phénomènes 1 Geo
on l'a dit, aucun doute à cet égard. Mais qu'on suppose un nombre d' attaques restreint, qu'on ad- mette,-et le fait n'est pa
n'était point douteux. Un jour, sous nos yeux, cette femme tomba en attaque : attaque assez particulière, quant à ses trait
int douteux. Un jour, sous nos yeux, cette femme tomba en attaque : attaque assez particulière, quant à ses traits symptoma
traits symptomatiques, et qui ne ressemblait, *en aucune façon, aux attaques d'hystérie connues. Voici, en effet, comment la
n, aux attaques d'hystérie connues. Voici, en effet, comment ladite attaque se caractérisait : sans aura sans cri initial,
côté droit. On retrouve là les principaux traits constitutifs d'une attaque d'épilepsie par- tielle. Jamais la malade n'a
d'une attaque d'épilepsie par- tielle. Jamais la malade n'a eu d' attaques d'hystérie franche; jamais notamment, au cours
ds mouvements. Nous avons cependant été témoins d'un grand nombre d' attaques , qui plusieurs fois se sont succédées par série
t resté hésitant. S'agissait-il réellement d'une forme anoriiiale d' attaques hystériques ou d'accès d'épilepsie partielle (s
ques de l'épilepsie. Elle emprunte souvent le masque de la grande attaque de mal; c'est là un fait vulgaire et très connu;
e pulmonaire et d'hypertrophie du coeur; il est frappé, après une attaque , de paralysie de la langue. La langue avait con
oup de peine. Chacun de ses repas dure plusieurs heures. En mars, attaques épileptiformes. En juin 1877, nouvelles attaque
heures. En mars, attaques épileptiformes. En juin 1877, nouvelles attaques suivies de coma et de mort. Autopsie. Méninges
nts, ne se reproduisait que quand il était ému. Le len- demain de l' attaque , la parole et la déglutition étaient libres, et
ience, perté de la'(lnie"m'oitr'é.,lfletc.) ou des convulsions, des attaques épile¡jiijor'n'es : ' I\1ÿPa, la' 't ? T;)t.' l
mporté soit par 1 .. ,1 1) 1 f'(.. t Il 1 \ \\ \ \ ' une nouvelle attaque d'hémon'haa'ie ou de ramollis- Hi, i|l>ll«'-
4° Cas de Ross (Mémoire cité du Brain.) Henri H..., qua- rante ans. Attaque avec perte de connaissance incomplète, à laquel
la para- 17 pathologie NERVEUSE. plégie. Le 25 décembre, nouvelle attaque avec perte de con- naissance suivie de troubles
i quelquefois elles simulent l'épilepsie, il n'y a pas d'aura ; les attaques seraient seulement pré- cédées pendant plus ou
. Observation L ? IIII. -NI.114..., agé de vingt ans, ade grandes attaques nocturnes depuis l'âge de neuf ans. On ne trouve
e sans crises. Elle a eu une chorée très forte vers douze ans, deux attaques de rhumatisme articulaire aigu à quinze et à tr
tisme articulaire aigu à quinze et à trente ans. Depuis quatre ans, attaques comitiales nocturnes revenant toutes les cinq o
c morsure de la langue. M. Charcot la traita par le bromure, et les attaques ont disparu bien que, depuis un an, elle n'ait
nts hypochondriaques ou hystériques, sont quelquefois jugés par des attaques de goutte articulaire$. M. Fouqué, dans sa thès
t de dix ans et demi, d'origine goutteuse et qui pré- sentait des attaques hystériformes. D'après Laycock, les phénomènes
deux faits de grincement de dents parmi les signes précurseurs de l' attaque d'épilepsie. Nous avons observé une fois la c
cependant d'in- téressantes : Darnay5 raconte qu'il fut pris d'une attaque apoplectiforme quelques jours avant l'apparitio
a réap- parition des douleurs. Plusieurs auteurs font men- tion d' attaques de goutte alternant avec des accès d'aliénation
névralgies, il faut signaler les crampes qui précèdent ou suivent l' attaque 4 et les picotements dans les jambes, picotemen
s fulgurantes du tabes. Ces crampes qui, quelquefois, précèdent ces attaques pendant plusieurs nuits, jouent un rôle importa
ions nerveuses, on les a vues souvent cesser à l'ap- parition d'une attaque de goutte articulaire. Parmi les troubles senso
ternelle du malade tombait du haut mal et est morte dans une de ses attaques . - Plusieurs des membres de la famille de Gross
qu'il il faisait et l'on a dû le recoucher de force. C'est la seule attaque épi- leptoïde observée dans le cours de l'affec
r, leur témoigne gratitude et affection. Aucune paralysie. Au- cune attaque épileptiforme ? 1 j. " , 29 juillet. - Fauv...
d'accès de névralgies ; mais elle s'observe surtout à la suite dos attaques d'hystérie et principalement dans la petite hys
fois d'un litre ou même plus, et plus ou moins impérieuse. Dans les attaques convulsives de la grande hystérie, on observe t
e tétanos. Les recherches de M. Ollivier' ont montré qu'après une attaque à'hémorrhagie cérébrale, la quantité d'urée dimin
ncipalement dans le mésocéphale. On l'observe encore au moment de l' attaque d'épilepsie, au début de la con- vulsion toniqu
rité et impressionnable; le moindre bruit ou contact pro- voque une attaque qui se manifeste avec des convulsions toniques,
e versa, seulement du côté gauche, et devenant ensuite cloniques. L' attaque est régulière et suivie souvent de délire et de
vertèbres dorsales, dont la compression peut arrêter la soi-disant attaque en faisant fixer les yeux, ce qui le place dans
e de son camarade tué et marche funèbre qui provoque de sa part une attaque hysté- rique). En ouvrant l'oeil gauche, on fai
qui présenta des contractures passagères des autres membres, des attaques convulsives au cours desquelles on put observer u
ctuelles; cet état dure quel- ques mois, puis disparait. En 1880, attaque avec perte de connaissance, embarras de la paro
ment de caractère. Il y a trois mois, en novembre 1882, nouvelle attaque avec perte de connaissance et accentuation de l
était parfait quand les deux derniers mois furent marqués par trois attaques apoplectiformes légères ne laissant pas de traces
ènes fébriles, douleurs, on relève dans les deux premiers accès des attaques parétiques de toutes formes, des élancements da
ns la protubérance; le quatrième, sous l'apparence d'une nouvelle attaque hémiplégique accompagnée de tremblements inten-
e novembre 1878, l'état est demeure stalionnaire, à part une légère attaque d'hémiparesie gauche bientôt disparue, et des t
l'aurais intitulée : IlysLéro-épilepsie à crises COI1\ ul- sives ; attaques de contracture; sommeil, hallucinations persistan
i chaque matin, à heure fixe, tombait en somnambulisme à la suite d' attaques et continuait aussitôt les actes commencés à la
actuellement a été l'objet, depuis plusieurs années, de nombreuses attaques , à la suite desquelles le gouvernement a cru devo
ent avec raison aux médecins. L'orateur proteste ensuite contre les attaques dont a été l'objet la loi de 1838, qui a rendu
at médical d'admission. L'orateur fait remarquer que la plupart des attaques qui se sont fait jour contre l'ensemble de la l
a raison humaine... » M. Billod fait observerqu'à l'époque où ces attaques ont commencé à se produire, elles avaient jusqu
a été engendrée l'oeuvre de la commission extra-parlementaire : des attaques aussi injustes que passionnées, dit M. Luys, de
t;S3S; il reconnaît que cette loi est une des meilleures et que les attaques souverainement injustes dont elle a été l'objet
fille est atteinte d'une maladie terrible : elle a de fré- quentes attaques d'épilepsie. En rentrant hier soir chez elle, ell
26 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
qui sont : un léger affaiblissement du membre inférieur gauche; des attaques à formes variées, de nature hystérique, et qui
le malade, de vaso-motrices. - Le malade a eu depuis de fréquentes attaques ; celles-ci n'ont .as toujours DE ¡,'ATROPHIE MU
tères; les médecins ont distingué chez lui, dit-il, cinq variétés d' attaques ; quelques-unes d'entre elles res- semblaient, d
force, commençait à saitaiblir. - Le 6 janvier, à la suite d'une attaque , le malade est resté aphone pendant trois jours;
Rien du côté des yeux ; pas de rétrécissement du champ visuel. ' Attaques . - Elles surviennent spontanément ou à la suite
ulaires; il suffit de mettre la main sur les, yeux pour provoquer l' attaque . Dans la première attaque que nous avons observ
re la main sur les, yeux pour provoquer l'attaque. Dans la première attaque que nous avons observée le malade est tombé bru
l'occlusion des yeux; son corps fait aussitôt un arc de cercle ; l' attaque a, du reste, immédiatement' été enrayée par la
es sus-orbitaires : le malade est aussitôt revenu à lui. Les autres attaques ont eu des caractères différents; voici sous qu
revient complètement à lui, sans gar- der le moindre souvenir de l' attaque et sans éprouver la moindre fatigue. Ajoutons q
ans éprouver la moindre fatigue. Ajoutons que quoique le début de l' attaque paraisse absolument brusque et que quoique le m
boule qui de la région épigastrique remonterait à la gorge ; mais l' attaque suit de si près cette sensation que le malade n
mbe aussitôt. - Après le 19 février, le malade a eu encore quelques attaques différentes de celles-là; pour ne plus avoir à
es différentes de celles-là; pour ne plus avoir à revenir sur les attaques , nous indiquerons ici leurs caractères ; quelques
ct suivant : il y a d'abord une phase épileptiforme calquée sur les attaques épilepti- formes décrites plus haut; puis dans
ux pour les personnes qui l'entourent. 24 février. A la suite d'une attaque , le malade est pris de m,utisme ayant tous les
té opposé ; on continue le massage, mais le malade est pris d'une attaque qui oblige de suspendre l'opération; la sensibili
dant quatre heures environ, puis disparait. Le 28, à la suite d'une attaque , le malade est pris de nou- veau de mutisme. Le
ier. La sensibilité revient dans la même région, et le malade a une attaque . Lorsque le malade revient à lui, il s'assied a
e ..ma- DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 13 3 lade a dans la soirée, une attaque épileptiforme suivie de délire et, lorsqu'il re
paralysie persiste. On recommence la flagellation ; il survient une attaque ; mais à la suite de l'attaque, la paralysie et
ce la flagellation ; il survient une attaque ; mais à la suite de l' attaque , la paralysie et l'anesthésie dispa- raissent p
Bris- saud) ; - le début de l'affection aurait été marqué par une attaque apoplectique et les crises que le ma- lade a eu
nt bien de nature hystérique quoiqu'il ne s'agisse pas de grandes attaques hystériques; c'est ainsi qu'il nous suffira de
ues; c'est ainsi qu'il nous suffira de rappeler que le début de ces attaques , quoique sou- dain en apparence, est précédé pa
parence, est précédé par une sensation de boule à la gorge, que ces attaques peuvent être infailliblement provoquées par la
zones, telles que les globes oculaires et la nu- que, que dans ces attaques le malade exécute parfois un arc de cercle, qu'
taques le malade exécute parfois un arc de cercle, qu'à la fin de l' attaque il pousse des sanglots, et qu'enfin, il revient
t le malade a été atteint à plusieurs reprises, à la suite de ses attaques , et qui présentait tous les caractères du mutis
dure six mois et demi pendant les- quels le malade a de fréquentes attaques d'hystérie ; guérison complète ; - à l'âge de v
es.-Père goutteux, obèse, alcoolique, a eu à plusieurs reprises des attaques apoplectiformes. En 1863 à la suite d'une attaq
urs reprises des attaques apoplectiformes. En 1863 à la suite d'une attaque , il aurait eu une paralysie du côté DE L'ATROPH
plégie des atta- ques précédées d'une céphalalgie intense; dans ces attaques , il se débattait et perdait connaissance ; ces
e; dans ces attaques, il se débattait et perdait connaissance ; ces attaques se sont re- produites parfois jusqu'à huit fois
1877, à la suite d'une grande frayeur, le malade eut de nouveau des attaques , dans lesquelles il fallait plusieurs hommes po
ue vers le creux épigastrique ? Depuis 1877, le malade n'a pas eu d' attaques . - On prescrit au malade de faire dans la journ
ion organique du cerveau. Remarquons d'abord que le malade, avant l' attaque de paralysie pour laquelle il est entré à l'hôp
e onze ans dont un frère était devenu monoplégique à la suite d'une attaque et qui présenta les premiers symptômes de ménin
hloroforme. Quatre jours après le malade pouvait se lever, mais les attaques continuèrent comme devant. L'intervention était
et à des idées de persécution. Gâtisme. Il y a six ans, première attaque d'épilepsie; depuis lors, attaques fréquentes sou
Gâtisme. Il y a six ans, première attaque d'épilepsie; depuis lors, attaques fréquentes souvent accompagnées de vomissements
che. Deux mois après son entrée, il com- mence à avoir des séries d' attaques épileptiformes, et meurt vers le sixième mois.
manie. Trois jours après, REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 85 grande attaque épileptiforme. A partir de ce moment, convul- s
mbre d'épileptiques où l'on rencontre la plupart des criminels. Les attaques convulsives peuvent être remplacées, sur- tout
rès difficile, et produit une anémie cérébrale qui est la cause des attaques épileptoïdes que l'on observe chez tous les ani
chez tous les animaux à la suite d'expériences pro- longées. Ces attaques sont plus fortes chez les animaux qui n'ont pas
rte une anse conductrice. P. K. IV. Contribution au traitement DE l' attaque d'hystérie; par Albert RuAULT (Franee médicale,
médicale, 4885, n° 86). M. Ruault a réussi très souvent à arrêter l' attaque hystérique par la compression d'un nerf à son p
mêmes circonstances. L'auteur a pu arrêter ainsi non seulement des attaques légitimes d'hystérie convulsive, mais aussi d'a
a suite d'une vive émo- tion ; pendant ce temps, il est sujet à des attaques convulsives. A quarante-trois ans, il est pris
. A quarante-trois ans, il est pris brusquement dans la rue d'une attaque convulsive qui est suivie d'laémorrlaagies mul-
e sa deuxième hémiplégie, le malade a eu, à plusieurs reprises, des attaques hystériques. R... (Albert), botaniste, âgé de
vrier 1883. Le 8 de ce mois, le malade fut pris, dans la rue, d'une attaque convulsive très violente à la suite de laquelle
ariétale gauche. Pendant son séjour à Ivry, le malade eut plusieurs attaques se présentant à peu près sous le même aspect et
eproduit et il en est ainsi plusieurs fois de suite ; à la fin de l' attaque sur- viennent des hématémèses et des hématuries
ématémèses et des hématuries qui persistent plusieurs jours après l' attaque ; le malade reste aussi contrac- ture de ses mem
. Depuis le mois de février le malade a eu à plusieurs reprises des attaques semblables à celles qu'il avait eues autrefois.
p visuel, les plaques d'hyperesthésie, l'anesthésie du pharynx, les attaques convulsives. En ce qui concerne ces dernières,
axis constituent, en effet, des épisodes très remar- quables de ces attaques ; d'autre part, nous ferons re- marquer que l'ap
térie; du reste, cette hémiplégie s'est développée à la suite d'une attaque hystérique. Nous ferons encore remarquer que l'
héréditaires. - D'après ce que dit le malade, sa mère aurait eu des attaques de nerfs, mais il est impossible de déterminer
p visuel. Le malade DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 171 est sujet à des attaques de dyspnée, de nature hystérique. Il existe une
N'a jamais entendu dire qu'il y ait eu aucun cas de paralysie, ni d' attaques d'aucune sorte, ni d'aliénation dans la famille.
ie sa sensibilité. Le malade nous dit qu'il a eu, le 16 juin, une attaque de dyspnée. Le 21, le malade demande à sortir.
hésie seusitivo-sensorielle, le rétrécissement du champ visuel, les attaques de dyspnée, sont des arguments tout à fait suff
s yeux paraissent normaux des deux côtés. Le malade n'a jamais eu d' attaques de nerfs. Le pression au niveau des fosses ilia
culaire ; pas de dyschromatopsie. -Pas de pointsbystérogènes. Pas d' attaques . - Différents moyens ont été employés pour cher
symptômes manifestement hystériques. C'est à la suite d'une de ces attaques survenue il y avait six mois qu'elle était rest
t restée paralysée du bras droit; quelques jours après une nouvelle attaque avaitproduit de la contracture de la main droite
Iravailler et son caractère sont absolument intacts, comme avant l' attaque . Il dit pourtant qu'il a eu encore quelque- 08
absence de paralysie : intégrité de la vue et de l'ouie; absence d' attaques épileptiformes; pas de vomissements, de fièvre,
nclusion. Névrite multiloculaire à début subaigu sous forme de deux attaques séparées, puis devenue stationnaire. Cette névr
enti- tion. A six ans, il entra dans les chemins de fer. Première attaque à sept ans trois mois, sans cause appréciable. Le
variés, mais présentaient toujours de l'automatisme, soit après une attaque , soit sans attaque apparente. Aussi le patient,
taient toujours de l'automatisme, soit après une attaque, soit sans attaque apparente. Aussi le patient, après s'être couch
x gens, tomber ensuite à terre et rester insensible. Il a aussi des attaques où la conscience persiste; il trébuche comme un
is écume; une fois, il a uriné involontairement. Il avait aussi des attaques avec demi-conscience et paralysie de la langue.
vraiment favorable, l'acné s'est guéri, et le malade est resté sans attaques pendant ses trois mois de séjour à l'hôpital.
accès dans lequel le meurtre, le vol, le suicide, sont possibles. L' attaque épileptique, dans ces cas, affecte surtout les
par mois, donne des résultats moins nets. Le bromure diminuait les attaques , mais le petit mal redoublait. Le borax a paru
térieurement remplacée par des accidents catatoniques entrecoupés d' attaques congestives répétées; ici la marche est extraor
ymptômes de paralysie générale, et plus lard calatouie typique avec attaques congestives intercurrentes. Symp- tômes connus
t, par une paraplégie spinale aiguë; chez le second, par une légère attaque congestive. Le premier fait se fait remarquer p
er les caractères suivants : 1° la diversité et l'hétérogénéité des attaques ner- veuses ; ce sont tantôt des convulsions, t
psie ; le globe hystérique et la facilité d'évoquer, à volonté, les attaques en pressant sur la région de l'épigastre (point
y a moins de tiraillements. Le 1 cr août, le patient est pris d'une attaque de vives douleurs dans le dos et de fortes conv
les jambes en état d'extension, perte de la connaissance. Les mêmes attaques recommencent le 16, le 18 et le 23 no- vembre.
que vers la fin de l'accès et reve- nait dans les intervalles. Les attaques se répétaient toutes les cinq minutes; dans les
inq minutes; dans les intervalles, on observait l'opisthotonus. Les attaques durèrent jusqu'à la fin de décembre, par séries
six, ainsi que la troisième et la,quatrième dedeux. Après quelques attaques , on remarquait une aphonie de peu de durée, etu
contre l'autre; il pâlissait et perdait à moitié connaissance. Les attaques avaient une durée de deux minutes, en laissant
ours en- tiers ; la mutité s'était alors développée aussi après une attaque de convulsions. L'automne précédent, il avait e
onnaissance, dans la salle de réception, il était pris de plusieurs attaques d'hystéro- épilepsie, à ce que suppose le médec
si violente que quatre serviteurs ont de la peine à le contenir. L' attaque de convulsions dura une couple de minutes, aprè
indre tentative de redresser un des membres provoquait une nouvelle attaque . Dans l'espace d'une demi-heure, il y eut trois
ire. Interrogé, le malade répond qu'auparavant il n'a jamais eu d' attaques ; que, de toute sa famille, il n'a qu'une soeur de
e 22 décembre, à huit heures du soir, l'accès du matin se répète. L' attaque est précédée d'un violent mal de tête, de tremb
r jusqu'au 8/20 janvier. Ce jour-là, à six heures du soir, nouvelle attaque de convulsions. Le lende- main matin, je lui tr
et de la conjonctive; le soir de ce même jour, il lui survient une attaque . Le lendemain, 17 janvier, anesthésie complète
qui disparait le lendemain. Le 23, à six heures du soir, encore uue attaque . De nouveau, après anes- thésie sur tout le cor
nvier 1886, à trois heures de relevée, on amène F... en proie à une attaque de convulsions, qui durèrent tout le reste du j
nce ne revient que vers les huit heures du matin du 10 janvier. Les attaques se répètent quotidiennement; parfois, à deux re
eux soit bien difficile. Le 18, les accès changent de caractère : l' attaque commence maintenant par un tiraillement des mus
le malade n'est pas encore revenu à lui que survient une nouvelle attaque de grands mouvements, tout à fait semblable à.l
ennent leurs occupa- tions habituelles, contraste frappant avec les attaques d'épilepsie, après lesquelles ils tombent dans
grandes doses n'ont influencé ni la fréquence, ni l'in- tensité des attaques . Le traitement des paralysies a eu plus de succ
e cinquante-deux ans, des suites d'une hémiplégie consécutive à une attaque d'apoplexie survenue dix-huit mois auparavant.
x-huit mois auparavant. [Père, mort vers soixante-treize, ans d'une attaque d'apoplexie. Mère, morte jeune du choléra. Un f
Elle restait souvent t sans repos la nuit et elle avait souvent des attaques de cris. La force du langage diminua, au point,
ropageant dans l'aisselle, endocardite valvulaire consécutive à une attaque de rhumatisme articulaire dont elle fut atteint
vée à cinquante et un ans sans accidents. Pas de convulsions, pas d' attaques de nerfs, pas de névralgies, pas de migraines (
x ans, par M. P. Sick (de Sluttgard), décédé le 13 août 1884, d'une attaque apoplectifornle à la clinique de Tubingue à l'â
e le 14 novembre 1881. - En mars 1883, commencement de la cachexie, attaques éliileptiques nombreuses. IDIOTIE AVEC CACHEXIE
, quelquefois très tenaces. Mère. Très nerveuse, a eu de nombreuses attaques qui persistent encore à l'heure actuelle, mais
n gauche ne servait que peu à la respiration par suite de plusieurs attaques de pleurésie; mais je n'ai pas considéré cet ét
ralysie disparut. Vers quinze ans, le malade a commencé à avoir des attaques , qui étaient très inter- mittentes. Il fut admi
à l'hôpital en 1885, ayant à cette époque un nombre considérable d' attaques et se trouvant pendant quelques jours dans le s
lepticus. Après sa sortie de l'hôpital, il resta sept semaines sans attaque ; à la fin de cette période, elle revinrent, et
douleur augmentait lorsque le malade était dans le paroxysme de ses attaques . Attaques : ces attaques qui arri- vaient par s
gmentait lorsque le malade était dans le paroxysme de ses attaques. Attaques : ces attaques qui arri- vaient par séries (à c
e le malade était dans le paroxysme de ses attaques. Attaques : ces attaques qui arri- vaient par séries (à cette époque le
lade était nettement hémiplégique, même dix jours après la dernière attaque , mais il pouvait accomplir tous les mouvements
fin des deux mois suivants. Jusqu'à présent, le malade n'a pas eu d' attaques . Cas IL - Thomas W..., vingt-deux ans, fut admi
ernelle morte phthisique. Antécédents personnels. Il a eu plusieurs attaques de pleu- résies après quinze ans. Etat actuel
PATHOLOGIE NERVEUSE. fois par jour pendant trois mois. La première attaque grave eut lieu en mars 1884. Le spasme s'étenda
e spasme s'étendait au bras et le malade tombait. Il eut la seconde attaque en janvier 1885. Après survint une série de rém
Après survint une série de rémissions; en août18S5, une autre grave attaque commença une nouvelle série d'attaques qui arri
en août18S5, une autre grave attaque commença une nouvelle série d' attaques qui arrivaient une ou trois fois par semaine ju
par semaine jusqu'à son entrée le 4 décembre 1885. La nature de ces attaques était toujours la même. Elles commen- çaient pa
it. La paralysie du membre supérieur gauche succédait sou- vent à l' attaque . A de fréquents intervalles tous les jours, le
les jours, le pouce du malade commençait à se contracturer, mais l' attaque pouvait souvent être arrêtée en étendant le pou
le pouce rede- vint le siège le plus fréquent du commencement de l' attaque . Etal actuel (très abrégé). - Mouvement. La for
dans trois doigts droits, aucune dans le pouce ni l'index ; aucune attaque depuis 396 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'op
ut un coup de pied de cheval au même endroit. Trois mois après, les attaques commençaient. Les attaques arrivaient par série
l au même endroit. Trois mois après, les attaques commençaient. Les attaques arrivaient par séries de trois ou quatre toutes
reu- ses cicatrices sur la tête, dues à des chutes, etc., quand les attaques arrivèrent (il avait aussi la plupart de ses de
e tête, qui augmentaient (et aussi la sensibilité) à l'approche des attaques . Il y avait aussi une hémi- anesthésie droite p
complètement disparaitre l'hémianesthésie, mais laisse intactes les attaques . Caractères de l'attaque. L'aura était abdomina
émianesthésie, mais laisse intactes les attaques. Caractères de l' attaque . L'aura était abdominale. Le malade ressentait
membres inférieurs, cependant, sont quelquefois fléchis. Après l' attaque , le malade disait que son bras droit était faible
s des opérations pratiquées sur les centres moteurs; 3° L'arrêt des attaques épileptiformes commençantes, par 398 SOCIÉTÉS S
ique des mieux caractérisées, chez laquelle on retrouve les grandes attaques convulsives, le délire, les hallucinations multi-
iagnostic de la fièvre typhoïde. Diagnostie de la hernie inguinale. Attaque d'épilepsie, fracture de la clavicule. Symptôme
d'une malade de la Salpêtrière, nommée Eudoxie Hé.... Or les cas d' attaques de sommeil sont assez fré- quents chez les hyst
27 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ifficulté de la parole et de la déglutition. Quatre mois plus tard, attaque apopledlforme suivie d'augmentation des trouble
manie, et même en dehors de toute manifestation psychique, dans les attaques d'épilepsie par exemple, on ne conserve plus de
92 p. 100 de brome. Ils ont, àla dose de 10 grammes parjour surles attaques convulsives de l'épilepsie et diverses autresné
le eut aussi plusieurs pertes subites de connaissance, avec ou sans attaques convulsives. Mais depuis l'âge de vingt ans la
phal insiste sur l'hypochondrie datant de plusieurs années, sur les attaques d'aphasie avec hémianopsie sans altéra- tion du
culier, d'un ivrogne épileptique qui met le feu ; puis survient une attaque d'épilepsie, après quoi, le malade vaque correc
P. K. BIBLIOGRAPHIE 1. Des zones hystérogènes et hypnogènes, des attaques de sommeil; par le Dr Pitres. (Bordeaux, 1885,
ouloureuses ou non, d'où partent souvent, pendant les prodromes des attaques spontanées, des sen- sations spéciales qui joue
hystérique, et dont la pression a pour effet, soit de déterminer l' attaque convulsive ou une partie des phénomènes spasmod
l'attaque convulsive ou une partie des phénomènes spasmodiques de J' attaque , soit d'arrêter brusquement les convul- sions.
part est dans les troncs nerveux, car ou peut également provoquer l' attaque par la compression énergique des troncs nerveux
sein ne produit rien et que la compression de la glande provoque l' attaque . Pour l'ovaire, la démonstration a été faite par
l arrive chez certains malades qui possèdent ces zones, à arrêter l' attaque en pinçant un pli de la peau qui recouvre le se
itle sommeil hypnotique, et une excitation plus énergique produit l' attaque . Cependant les deux espèces de zones conservent
ur étudie ensuite une malade de son service, qui est sujette il des attaques de sommeil. Cette hystérique, qui a eu autrefoi
l des attaques de sommeil. Cette hystérique, qui a eu autrefois des attaques convulsives très violentes, les a remplacées au
es convulsives très violentes, les a remplacées aujourd'hui par ses attaques de sommeil. L'auru présente trois stades : le s
plongé dans l'hypnotisme la malade, au moment où l'aura annonçait l' attaque de sommeil; il a constaté que l'attaque n'en su
oment où l'aura annonçait l'attaque de sommeil; il a constaté que l' attaque n'en survient pas moins, mais qu'elle met la ma
la malade étant placée dans l'état cataleptoïde,les yeux fermés, l' attaque la met en léthar gie : la malade étant placée e
taque la met en léthar gie : la malade étant placée en léthargie, l' attaque produit une léthargie plus profonde, dans laque
s licenciées ou asiles privées se sont très amé- liorées depuis les attaques passionnées dont elles ont été l'objet, M. Fovi
s'exagérèrent notablement. Quelle était au juste la nature de cette attaque apo- plectiforme2 Nous l'ignorons; peut-être fa
oup, souvent de l'eau-de-vié et de l'absinthe; elle s'enivre. Pas d' attaques de nerfs. - Deux frères bien portants, l'un cél
E CHEZ L'HOADIE, AVEC DÉDOUBLEMENT DE LA PERSONNALITÉ. ARRET DE L' ATTAQUE PAR LA PRESSION DES TENDONS ; Par le Dr Jules V
z un jeune homme de vingt et un ans. Phases classiques de la grande attaque ; zone hysté- rogène. Arrêt de la crise par la p
paraplégie. Il s'y met très bien, et reste deux mois sans avoir d' attaque . 1 Voir les Observations publiées dans les Arch
ur. Il continue à pré- senter quelques manifestations névrosiquess, attaques convul- sives, anesthésies, contractures passag
t reprend son métier de tailleur. D'août 1883 à jan- vier 1884, ses attaques sont assez rares, et observées seulement par le
s surveillants. D'après leur dire, elles ne ressembleraient pas aux attaques habituelles de haut mal. Le 17 janvier 1884, à
te détermine la crise d'hysléro-épi- lepsie. Pas de prodromes à l' attaque . Stade épileptoïde, puis grands mouvements, con
e cercle. Cl'ucificmcnt, Point de délire à la fin de cette première attaque . Sommeil. Hyperexcila- bilité neuro-musculaire.
son point de côté. La douleur causée par l'aiguille, détermine une attaque semblable à celle du matin. Au réveil, il ne
t sa crise complète avant de se réveiller. On peut lui morceler son attaque , en l'hypnotisant plusieurs fois pendant son co
on cours. Mais on ne peut pas l'arrêter définitivement. La fin de l' attaque est toujours marquée par des cris de douleur, et
, dont le contact lui avait occasionné à Saint-Urbain sa première attaque . Il pousse des cris aigus; il déchire ses vêtemen
malaire gauche ; elle résulte de ce que le malade, au sortir de ses attaques , se gratte avec fureur ce côté de la face. En m
é- ralisée. Jusqu'ici, on avait inutilement cherché à arrêter les attaques , soit par la pression du testicule, soit par la p
s crises sont toujours assez fréquentes. A présent, à la fin de ses attaques , il présente souvent de longues phases d'excita
cution est normale. f er mni. - V ? a eu, ces jours-ci, une ou deux attaques par jour, sans phénomènes particuliers. Il est
tion rythmée si particulière que nous avons décrite. L'arrêt de l' attaque par la pression d'un tendon, tous les autres pr
aperçus que la pression du tendon rotulien provoquait l'arrêt de l' attaque . Nous essayâmes alors la pres- sion du tendon d
état de veille ou en somniation, amenait la phase épileptoïde de l' attaque . On arrêtait cette phase épilep- toïde en compr
e nouveau dans la période de somniation ou dans l'état de veille. L' attaque était donc quelquefois morcelée comme cela arri
sion du tendon est le seul moyen qui ait amené l'arrêt complet de l' attaque . Résumons maintenant ce qui a trait à l'amnésie
avant le moment où il tomba malade, et où il prit cette première attaque d'hystérie épileptoïde qui marqua le début de sa
n de l'oeil droit; immédiatement après son réveil, elle fut prise d' attaques d'hystérie subintrantes qui durèrent trois ou q
té anté- rieurement d'accidents hystériques, si ce n'est une légère attaque de convulsions survenue deux jours avant son op
ndiqué; il estdit seule- ment qu'elle avait eu, deux ans avant, une attaque de rhumatisme à la suite de laquelle s'établit
e genre d'accès épileptique ; localisation bien cantonnée lorsque l' attaque se borne à quelques phénomènes en rapport avec
'origine et de rayonnement des modifications physiologiques quand l' attaque se généralise. En ce qui concerne les équivalen
e l'épilepsie, ils tirent leurs caractères non pas de la forme de l' attaque psychopathique, pas davantage de la forme spéci
progressive DES aliénés dans LEURS rapports avec la PRODUCTION DES attaques APOPLECTIFORNES ET Épi- L1;PTIrORDIES; par W. B
BECHTEREW. (Arch. f. Psr.la., XIV, 3). Les symptômes cliniques des attaques congestives correspon- dent selon l'auteur, tou
serve quand on augmente brusquement la pression encéphalique. Les attaques apoplectiformes témoignent d'une augmentation g
liquides et leurs modifications fonction- nelles qui engendrent les attaques et leurs formes différentes. Ainsi, les lésions
' 1, ? f' ! t,,ff ? n ? H"MU.< ? )< itn) ? T ? f, vingt-sept attaques , epileptitormes . toniques; précédant la ' Il
cès de fureur épileptique qui s'est manifesté chez lui à la suite d' attaques répétées, n'a été que le résultat de l'état cér
d'accès, ils deviennent violents et même criminels, sansprésenler d' attaques convulsives : oubiéri on les exclut eri princip
'existence des équivalents purement psychiques. Les caractères de l' attaque rési- dent, ! non pas seulement dans la 'folie
accompagne pas de symp- tômes intervallaires continus spéciaux. Les attaques , avec leurs phénomènes concomitants et consécut
i trouvé absolument aucun exemple d'identité parfaite de toutes les attaques . ' -' Je n'ai pas retrouvé le rétrécissement pu
oemy(Jl'iatique signalé par Siemens, Rbmberg, Gowers au début d'une attaque d'épilepsie; la dilatation est toujours initial
intervallaires, maints autres présentent, dans' l'intervalle ' des attaques , des modifications psychiques qui constituent le
de l'épilepsie. Le second jour de son arrivée il avait sa première attaque . ' M. RIEGER a observé chez un épileptique des
gnassent de son insanité et qu'il eût été et fût encore sujet à des attaques pour lesquelles il avait été traité pendant des
une quin- zaine de fois par an. Elle est très vive, mais n'a pas d' attaques de nerfs; elle n'a jamais fait d'excès de boiss
face et les quatres membres. Un moi» plus tard, il a eu une seconde attaque de convulsions pendant dix minutes. Il a encore
uelquefois un mois de suite sans dormir la nuit. Pas de vertiges, d' attaques , ni de chutes. A son entrée dans le service,
tison D'un autre côté, chez les sujets ayant antérieurement des attaques convulsives, c'est quelquefois à propos d'une de
des attaques convulsives, c'est quelquefois à propos d'une de ces attaques que surviendront les troubles intellectuels. Dès
surviendront les troubles intellectuels. Dès lors, chaque nouvelle attaque sera comme un coup de fouet donné au délire et
té nombre de faits dans lesquels on voit l'hypnotisme suspendre lès attaques , faire disparaître des contractures, des névral
tta- ques de léthargie très fréquentes, parfois avec contracture, attaques convulsives avec délire loquace; puis, à l'occasi
s de signes de dégénérescence ; adhérence du lobule de l'oreille. Attaques de grande hystérie presque journalières et se pré
uatre. L'aura vient de l'ovaire gauche et, plusieurs heures avant l' attaque , lama- lade su plaint de son ventre, puis d'une
ions se rapprochent, la boule remonte graduellement à la gorge et l' attaque se déclare. La période épileptoïde n'est re- pr
titude du crucifiement. Ce qu'il y a de plus particulier dans les attaques , c'est la période des hallucinations et du délire
eure, à l'accès délirant et qui ont dû le provoquer : le délire des attaques , en somme, par la couleur des idées ressemble b
ection mentale, lequel d'ail- leurs s'exaspère à la suite de chaque attaque . Celles-ci sont arrêtées par la compression de
ire habituel reste ce qu'il était avant l'at- taque. ' 29. - Deux attaques convulsives le matin : le soir. une attaque de
taque. ' 29. - Deux attaques convulsives le matin : le soir. une attaque de catalepsie spontanée. 30. - Une attaque co
e matin : le soir. une attaque de catalepsie spontanée. 30. - Une attaque convulsive, mêmes idées délirantes, très agitée
taque convulsive, mêmes idées délirantes, très agitée. 2 juillet. Attaque à midi. 3. Attaque, mêmes idées d'empoisonnemen
es idées délirantes, très agitée. 2 juillet. Attaque à midi. 3. Attaque , mêmes idées d'empoisonnement : veut laver ses
ts pour chasser cepoison qui lui fait si mal à la tête (clou). 4. - Attaque : dans la période de délire, on veut lui faire
s (les curés et les agents politiques) lui ont fait prendre. 7. - Attaque convulsive. 8. Applications d'aimant sur les zo
on fort nette de l'hyperesthésie dans les zones citées. 9. = Deux attaques avec période de délire très longue et hallu- ci
demande un instrument pour se tuer plutôt que de souffrir ainsi. Attaque à midi : hallucinations (serpents) : délire, se v
tre et voudrait mourir, mais pas avant d'avoir vu son mari. - Trois attaques convulsives à midi. 17. Deux attaques très viol
d'avoir vu son mari. - Trois attaques convulsives à midi. 17. Deux attaques très violentes avec hallucinations zoopsi- ques
s avec hallucinations zoopsi- ques et terrifiantes, délire. Après l' attaque , le soir elle crie, chante, jure est hallucinée
; les agents politiques la poursuivent toujours. 21. - Plusieurs attaques convulsives suivies d'une période très longue d
poi- sonnés ; état maniaque, cris, jurons, violences, 2 août. Une attaque convulsive : toujours agitée. 3. Une attaque co
olences, 2 août. Une attaque convulsive : toujours agitée. 3. Une attaque convulsive. 9. Une attaque convulsive. 18. -
e convulsive : toujours agitée. 3. Une attaque convulsive. 9. Une attaque convulsive. 18. - La malade est toujours en pro
autres. Le délire est toujours le même : les symptômes physiques ( attaques , dysesthésies) très accentués. Les traitements
, les voix étant d'habitude continuelles. A midi, série de quatre attaques convulsives dontles prodromes (boule, spasme de
cles de la face) existaient avant la séance d'hypnotisme. Après l' attaque , le mal de tête est toujours moins violent qu'a
et les hallucinations ne s'étendent qu'à gauche. - A trois heures, attaque spontanée de léthargie : contractures presque g
oir. Elle est très calme toute la journée. - Le soir à sept heures, attaque de lathargie; en l'examinant, notre main touche
tions de la vue, symptômes que nos suggestions ont respectés. 22. Attaque de léthargie durant depuis trois heures avec co
elles idées déli- rantes, me souvenant aussi du fait produit dans l' attaque précé- dente, je frictionne légèrement le verte
ggestions persistent ; reçoit bien son mari. 24. - Série de trois attaques convulsives à la suite desquelles tous les poin
, qu'elle dit être un des agents à sa poursuite : pro- drômes d'une attaque . Ayant remarqué déjà l'influence des attaques,
: pro- drômes d'une attaque. Ayant remarqué déjà l'influence des attaques , de leur période de délire, sur le retour des idé
e, elle se porte bien, ne grimace plus, ne se plaint pas, n'a pas d' attaque , reste calme. 26. - Le matin, elle est très exc
sme que dans les cas absolument nécessaires, soit pour prévenir une attaque imminente, soit dans des paroxys- mes du délire
sant toujours de lui-même sur ce dernier symptôme. 4 septembre. - Attaque de léthargie avec contracture des quatre membre
çoit la visite de ses parents qu'elle accueille fort bien. Le soir, attaque de léthargie avec contractures. Au réveil, para
raplégie surtout acceu- tuée dans la jambe gauche. 17. - Nouvelle attaque de léthargie avec contracture. Au réveil. dispa
plus d'excita- tion, plus d'hallucinations. 21. - Prodromes d'une attaque disparaissant sous l'influence des suggestions
est très calme. Les anciennes suggestions persistent toujours. 3. Attaque convulsive après laquelle, se souvenant seulement
vêtements sont empoisonnés. Cependant elle ne s'excite pas. Avant l' attaque , sentant sa boule remonter, elle disait : « Je
e mange proprement au réveil, est calme, cause raisonnablement. 8. - Attaque convulsive avec une période de délire où elle voi
savoir pourquoi; cependant l'idée du poison n'existe plus. 1° ? . - Attaque de léthargie sans contracture : même état, très
es; elle délire alors sur les enterrements, les catacombes. A 8. - Attaques de léthargie avec contracture. Même état mental
t mental que le 15 durant jusqu'au 24. 21. - Ce jour-la, nouvelle attaque de léthargie avec contracture. 388 RECUEIL DE F
resthésie du vertex ont dis- paru. Ne parle plus de mourir. 27. - Attaque de léthargie suivie de contractures. 28. Toute
nt ; fait toujours des erreurs de personnalité. , der novembre. - Attaque de léthargie avec contractures. 3. Accès de mig
il ne reste que la parésie de la jambe gauche avec anesthésie. 8. Attaque de léthargie de trois heures à onze heures du soi
i disantque tout est fini et elle se réveille. C'est, en somme, une attaque avortée, grâce aux suggestions antérieures. 2
diques dans le côté gauche de la face, autrefois précur- seurs de l' attaque convulsive. Elle n'étoulfe pas, ne sent pas sa
s. En se réveillant, elle dit : « N'est-ce pas que je n'ai pas eu d' attaque . D'ailleurs, je me sens bien guérie, et n'en aura
ité et de mémoire. Hier soir, une malade ayant eu à côté d'elle une attaque d'épilep- sie, elle est prise de peur, se sauve
ère qui l'emportera, si elle dure toujours. Au contraire, si l'on s' attaque à la cause, l'idée qui en résulte disparaîtra p
aussi bien au physique qu'au moral. On nous objectera peut-être les attaques de léthargie de notre malade; mais il suffit de
symptômes éclatent subitement sous forme d'ictus apoplectique ou d' attaque convulsive, suivis de paralysie intéressant le
tard une terminaison fatale. Parfois la mort survient à la première attaque , en quatre ou cinq heures. Il n'est pas douteux
distingué, continua à produire avec autant de succès qu'avant son attaque . Elle succomba aux atteintes d'un érysipèle qui
ques jours. Chez notre deuxième malade (OBS. LXIII), une première attaque fut suivie d'une hémiplégie qui s'amenda et guéri
soixante-quatorze ans, extrêmement athéromateuse, ayant eu quelques attaques apoplectiques : démence consécutive avec parési
ues : démence consécutive avec parésie gauche. Sans qu'une nouvelle attaque se soit produite, on constate, un matin, des mo
s extrémités gauches, et surtout dans le bras. L'auteur croit que l' attaque d'apoplexie a passé inaperçue, ou qu'il s'est e
ie droite pas- sagère, parésie faciale légère. Deux mois plus tard, attaque épileptiforme avec hémiparésie gauche passagère
iforme avec hémiparésie gauche passagère, ultérieure- ment suivie d' attaques semblables avec trouble dans .l'articu- lation
, a perdu la vue du côté sain jusque là et estmortaprès une « forte attaque . » Enfin le septième, qui avait atteint l'âge d
Tare héréditaire. Jadis petit mal, et plus tard hystéro-épilepsie ( attaques et troubles psychiques). Puis insomnie, qui cèd
tte dernière, ni déprécier le rôle de la première. II. Genèse des attaques congestives. Quel en est le point de départ ? C
? Comment se forment-elles ? C'est l'écorce grise qui engendre les attaques épileptiformes ; celles-ci sont le résultat d'u
ents , hémorragies sous-ménin- gées, hématome de la dure-mère). Les attaques apoplectiformes dérivent d'oscillations fréquen
ormation de kystes se rattache à ces modifica- tions. Peut-être les attaques congestives émanent-elles de thromboses hyaline
te une zone hystérogène. La compression du testicule droit arrête l' attaque de convulsion. V... est bavard, violent, arroga
gauche. La zone hystérogène, le testicule dont la pression arrête l' attaque convulsive, ont éga- lement changé de côté. Le
accident de la vipère qui a causé sa maladie, tout ce qui a suivi l' attaque et le changement spontané d'état survenus à Bon
nt de la vipère dont l'évocation amène infailliblement une grande attaque d'hystéro-épilepsie. Sixième ÉTAT. - Absence de
ses sujets; de plus, il a vu un de ces sujets être pris plus lard d' attaques épilep- toïdes. En ce qui concerne, les aliénés
x ! 'bom ! ne,avecdedoubie- ment de la personnalité et arrêt de l' attaque par la pression des tendons), par J. Voisin, 21
me, par Bucb, 87. Zones (des) hystérogènes et hypno- gènes, des attaques de sommeil, par Pitres, 125. TABLE DES AUTE
28 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cultés intellectuelles à un niveau constant, elles varient avec les attaques ; or ils ont le plus souvent la perception de ce
serva- tion attentive permettra de surprendre des vertiges ou des attaques nocturnes qui avaient passé inaperçus. En résum
verses, par lesquelles passe l'activité de l'intellect, après les attaques ou dans leur intervalle, viennent se refléter d
e nystagmus, diplopie. embarras particulier de la parole, vertiges, attaques apoplectiformes, troubles spéciaux de l'intelli-
e. 11 est bon de dire toutefois qu'on n'a jamais relevé chez elle d' attaques convul- sives quelconques. Les quelques renseig
ÉRIE. [Identité de la nature des phénomènes qui composent la grande attaque hystérique et de leur mode de succession chez d
ymp- DE L'IIYSTÙRO-PILr,,PSIE. 67 tomes, qui composent une grande attaque d'llystéro-épilopsie ou hysteria major, de nomb
e. l'opinion du professeur de la Salpêtrière : que dans la grande attaque d'hystérie, « rien n'est livré au hasard ; que to
un changement n'était survenu dans les symptômes de la maladie. Les attaques ont toujours été semblables à celles que j'ai p
des règles) qu'elle est atteinte de ce qu'elle appelle " ses fortes attaques . » « L'attaque est toujours précédée d'une péri
e est atteinte de ce qu'elle appelle " ses fortes attaques. » « L' attaque est toujours précédée d'une période prodromique,
région ovarienne gauche, très peu sensible dans l'inter- valle des attaques , devient alors très sensible à la pression. Parfo
ne heure, est toujours le moment le plus pénible. Elle désire que l' attaque commence. « Le début de l'attaque est marqué pa
e plus pénible. Elle désire que l'attaque commence. « Le début de l' attaque est marqué par la perte de connaissance et par
ouve un poêle qu'elle ne voit pas, ainsi qu'elle le raconte après l' attaque . Mais c'est toujours à cette phase qu'elle voit'l
e plie et replie. Cette scène ne manque jamais, et cette phase de l' attaque est désignée par les malades de la salle sous l
eures, triste et mélancolique. « Telle est la marche habituelle des attaques chez notre malade. Elles se succèdent ainsi pen
rès sensible à la pression, la compression ovarienne n'arrête pas l' attaque . Mais elle est très douloureuse, et provoque de
use, et provoque des cris, au moment même de 70 REVUE CRITIQUE. l' attaque . Les vertèbres cervicales, la partie frontale du
es règles la malade est toujours plus irritable, plus sujette à ses attaques qui sont'alois plus violentes. « Les autres f
maladies. Le plus souvent l'hystérie se présente ici sous forme d' attaques épileptoïdes et choréïques. L'hystérie porte le
est entièrement développée. » « Voici du reste la description de l' attaque . « Avant l'attaque, les malades se sentent mal,
loppée. » « Voici du reste la description de l'attaque. « Avant l' attaque , les malades se sentent mal, sont très irri- ta
es heures, et même jusqu'à vingt-quatre heures, puis fait place à l' attaque qui commence ainsi : la malade se couche ou s'a
paraisse. A ce moment la ma- lade demande toujours à boire. Après l' attaque , elle urine sou- vent très abondamment, parfois
ois elle a de la diarrhée. Après une durée de une à quatre heures l' attaque cesse complètement. La malade se plaint alors p
elle retourne le jour même à ses occu- pations habituelles. Mais l' attaque ne cesse pas toujours aussi promptement. Le plu
Il arrive quelquefois que la malade se sente beaucoup mieux après l' attaque qu'avant. « Parfois l'attaque est incomplète, e
ade se sente beaucoup mieux après l'attaque qu'avant. « Parfois l' attaque est incomplète, et la malade ne perd pas connai
alepsie et de léthargie qui appartiennent aux variétés de la grande attaque hystérique, il est facile de retrouver, dans la
wiecki, tous les signes des quatre périodes classiques de la grande attaque régulière. DE L'HYSTËRO-ËPILEPSIE. 73 II. L'h
e put se reposer alors plusieurs heures et n'eut plus qu'une légère attaque le même soir. Dans la descriptiomqui précède
iptiomqui précède il est facile de reconnaître les caractères d'une attaque de grande hystérie dans laquelle prédo- minerai
égion iliaque et immédiatement tous les symptômes précurseurs d'une attaque s'en suivirent, spasme et distension de l'abdom
ent à elle et jeta de tous côtés des regards confus et égarés. Si l' attaque avait été complètement établie, j'aurais simple
s, sont plus remarquables au point de vue des variétés de la grande attaque hystérique, qu'au point de vue de la régu- lari
une série de crises dont il fut témoin, et qui débuta par plusieurs attaques épileptiformes, avec écume à la bouche, morsure
t hallucinations terrifiantes , menaces et langage obcène. Puis une attaque de contracture généralisée pendant laquelle le
. Dans l'observation n° II, les signes manquentpour rattacher les attaques épilcptiques, à la diathèse hystérique. Ce pour
hôpital allemand le 13 novembre 1879. De neuf à douze ans plusieurs attaques de chorée. Enfance fréquemment trou- par des ca
tard elle fut admise à l'hôpital allemand, où elle eut de violentes attaques convulsives, et où l'on diagnostiqua l'hystérie
it, elle avait perdu connaissance et avait été prise d'une violente attaque de nerfs. Pendant les deux heures qui sui- vire
t une série de convulsions; depuis elle a toujours eu de semblables attaques deux ou trois fois par semaine ou même plus sou
ou la manipulation de ces régions amenait en quelques instants une attaque de spasme. Les attaques se produisaient cependant
ces régions amenait en quelques instants une attaque de spasme. Les attaques se produisaient cependant sans cause d'excitati
Pendant une période variant de six ci douze heures environ avant l' attaque , elle se sentait ordinairement triste, mélancoliq
a faiblesse et de la fatigue dans les membres. Au commencement de l' attaque ses yeux devenaient lourds et son regard vague,
eu plusieurs fois l'occasion d'assister aux différentes phases de l' attaque ou des séries d'attaques qui se prolongeaient que
sion d'assister aux différentes phases de l'attaque ou des séries d' attaques qui se prolongeaient quelque- fois pendant une
et cependant on pouvait constater dans les différentes phases de l' attaque des res- semblances générales. Je vais essayer
r son séant et regarda autout d'elle, avec une 1 La description des attaques de crucifiement a été donnée pour la pre- mière
ron un quart d'heure après, elle s'endormit. Tel est le récit d'une attaque . Quelquefois elle en avait plusieurs de suite,
! Oui ! Souvent on l'entendit murmurer pendant des heures après l' attaque . Quelquefois ses lèvres s'agitaient sans que l'on
ls fait remarquer que les rapprochements entre les symptômes de ses attaques et ceux qui composent l'attaque type d'hystéro-
hements entre les symptômes de ses attaques et ceux qui composent l' attaque type d'hystéro-épilepsie sont faciles à constat
s diverses phases peuvent être retrouvées sans grande difficulté. L' attaque était précédée d'une période prodromique caract
second cas rapporté par le même auteur et qu'il considère comme une attaque aiguë (acule attack) survenue chez une femme hy
e l'hystéro-épilepsie, mais les différentes périodes et phases de l' attaque ne paraissent pas pouvoir être aussi-nette- men
emblait surtout composée des phénomènes de la deuxième période de l' attaque type, convulsions étranges, contorsions violent
liquer exactement la description que nous avons donnée de la grande attaque hystérique, à la suite de M. le professeur Char
s atteintes d'une maladie fébrile indo- lente, caractérisée par des attaques de convulsions cloniques, persistant pendant ci
'idiotie, M. Pollak se basant sur l'état congestif prodromique, les attaques apoplectiformes, les tremblements de cause affec-
sé chez son patron, vol d'un changeur, vol d'un garçon de recettes, attaque nocturne, vol d'un concierge le jour du terme,
la main et le bras ne le sont plus ; et le patient n'a eu que deux attaques d'épilepsie depuis l'opération. M. Hammond pens
s'accomplit. Hémorrhagie de la protubérance. Mort onze mois après l' attaque , par M. Miles. La malade, âgée de quarante ans,
t racontent qu'elle est épileptique et que, depuis 1873, elle a une attaque environ chaque mois. Elles racontent en outre q
ÉRIE. [Identité de lu nature des phénomènes qui composent la grande attaque hystérique et de leur mode de succession chez,
u Dr Calmels, qui avait eu l'obligeance de me la com- muniquer. Les attaques , que la prédominance des phénomènes de la deuxi
gé l'histoire avec tout le soin désirable. Dans ce cas, les grandes attaques offraient une pré- dominance marquée de la troi
ements, a toujours fait dé- faut. La malade présentait en outre des attaques de catalepsie sur lesquelles je n'insisterai pa
ons plus loin cet enfant blond et les fleurs jouer un rôle dans ses attaques . Dès l'âge de trois ans ses parents l'ont laiss
l'eau, beaucoup d'eau. Une demi-heure plus tard éclate la première attaque d'hystéro- épilepsie, attaque encore mal dessin
mi-heure plus tard éclate la première attaque d'hystéro- épilepsie, attaque encore mal dessinée, et caractérisée surtout par
quinze mi- nutes. La malade revient à l'état cataleptique d'avant l' attaque : réapparition des hallucinations de la vue, vi
u dormir. Elle a prononcé quelques paroles incohérentes, a eu une attaque dans le genre de celle de la journée. Les halluci
nt de l'aura. Je vais décrire avec quelques détails cette troisième attaque d'hystéro-épilepsie. C'est une des plus complèt
ois j'ai constaté le retour de la période épileptoide du début de l' attaque . Dans toutes les autres attaques, cette période n
a période épileptoide du début de l'attaque. Dans toutes les autres attaques , cette période ne s'est produite qu'au début, t
u de la physionomie. Période terminale. Pendant toute la durée de l' attaque la ma- lade n'a pas prononcé un seul mot. Il ex
moins dans l'état semi-cataleptique qui avait précédé la crise. Les attaques d'hystéro-épilepsie se sont donc développées au
taques d'hystéro-épilepsie se sont donc développées au milieu d'une attaque de catalepsie, qui ne s'est ter- minée que quel
La raison des attitudes passionnelles qui se sont montrées dans les attaques précédentes se trouve dans la présence d'hallucin
intéressants détails de l'examen de la malade dans l'intervalle des attaques , et qui ont traita cet état cataleptique singul
re heures du soir à sept heures, la malade entre en crise. Première attaque . Phase de l'aura, d'une durée d'environ une heu
s mêmes faits, les mêmes paroles reviennent à plusieurs reprises. L' attaque se termine, l'intelligence redevient nette, mai
énomènes de l'aura réapparaissent. Je note que pendant celle longue attaque il n'y a pas eu trace de catalepsie. Les mouvem
à-dire que l'état cataleptique persiste non seu- lement pendant les attaques , mais dans leur intervalle. Celles-ci survienne
s du matin. Pendant cette période, la malade a eu quatre séries d' attaques absolument analogues à l'attaque du 16 août, pr
e, la malade a eu quatre séries d'attaques absolument analogues à l' attaque du 16 août, précédemment décrite, avec des diff
a- raitre et que nous n'avions jamais observée dans les premières attaques . Cette phase de délire a tantôt suivi les gesticu
'est montrée immédiatement après la période épilep- tolde. Dans l' attaque qui s'est produite le 5 octobre, à onze heures du
placé les tableaux tristes. Avant d'entrer dans la description de l' attaque , il est utile de rap- DE L'IIYSTÉRO-ÙPILr,,PSIE
ous cette impression qu'est survenue la crise. Comme d'ordinaire, l' attaque commence par la période épilep- toide, période
mais elle l'imite, comme elle imitait le langage des muets dans une attaque précédente.) Cette scène se continue quelques i
reprises les mêmes gestes, répète les mêmes paroles. Deux autres attaques du même genre se succèdent sans inter- ruption,
ont leur apparition toujours dans le coin à droite. Dans les deux attaques du lendemain les hommes noirs reviennent prendr
ent piller et saccager le sanctuaire. Dans son délire, à la fin des attaques , ils apparaissent aussi et à leur vue, elle pro
Tou- jours là ! Quelle épouvantable rencontre ! » Dans laseconde attaque du 6, l'enfant blond est aussi venu jouer son p
appelle, puis passe aux scènes religieuses. Dans l'in- tervalle des attaques les hallucinations ont persisté. . 7 octobre. D
ttaques les hallucinations ont persisté. . 7 octobre. Deux séries d' attaques : une de neuf heures à onze heures, l'autre de
f heures à onze heures, l'autre de huit heures à minuit. Dans ces attaques les attitudes passionnelles ont varié, les hallu-
font une nouvelle irruption, etc. En reliant entre elles toutes les attaques de ces derniers jours, on peutsuivre, au traver
son voyage imaginaire, par une visite à Fourvières avec la première attaque ; elle le termine avec la der- nière par une so
terminé par le retour complet à l'état normal. Pendant toutes les attaques la 'compression ovarienne a toujours amené la c
esquels il s'est produit. Il montre bien que dans l'évolution d'une attaque de grande hystérie, la part de l'imagination du
e point le mode d'évolution des diverses périodes qui composent une attaque . Elle n'invente point la façon dont s'enchevêtr
hallu- cinations d'un caractère gai ou agréable. Une période de l' attaque peut faire défaut, mais l'ordre général n'est poi
leptiques persistant même dans l'intervalle des crises. Mais chaque attaque débute par une période épileptoïde nettement ca
ntensité ou d'intégrité plus ou moins grandes, le type de la grande attaque d'hystéro-épilepsie est donc toujours le même.
s malades déterminé l'aura, tandis que la môme manoeuvre arrêtait l' attaque développée spontanément. En deux cas, où il exi
, exacerbée la nuit, sans vomissements ni perte de connaissance, ni attaques épileptiformes. Depuis un mois, sans acte dérai
que du cerveau. D. B. XIX. Hydrocéphale chronique consécutive A une attaque de ménin- GITE aiguë. - 1 : \IPLOf des courants
ectriques de l'hé- miplégie cérébrale. Aucun de ces malades n'eut d' attaque apoplec- tique et tous succombèrent rapidement
et de la sclérose en plaques, l'ataxie locomotrice peut offrir des attaques apoplectiformes consistant en vertiges, étourdi
divers, fugaces plutôt que perma- nents. Des crises laryngées, des attaques épileptiformes peuvent simultanément survenir.
ptembre l'a retrouvé à la maison Dubois, où il était entré pour des attaques épileptiformes; enfin il mourait tout d'un coup
ie générale que dans toute autre forme de psychose. M. Hundoegger attaque la question de la latence de la syphilis. Il ra
un mou- vement spasmodiquc à droite. A la suite do cette première attaque les choses sont restées dans le même état où elle
ytique du membre supérieur de ce côté. 1 Huit jours après, deuxième attaque ayant les mêmes carac- tères que la première. Q
s mêmes carac- tères que la première. Quatre jours après, troisième attaque identique aux précédentes, mais à la suite de l
ve et trois ans ' 1 ? ? 'iut ? 4"" 41' t Oit ? )) ? plus tard une attaque de rhumatisme polyarticulaue ayu. 'Réglée 'depu
ons, en somme, aune ébauche de la,période épileptoïde.de la. grande attaque hystérique. Cette phase convulsive est suivie.
duquel la malade, réouvre spontanément connaissance. Pendant, cette attaque ,, nous nous sommes bornés a'maintenir la malade
trois mois environ après, le début 'des .accidents,, .elle qiit une attaque aiiticiguelà la,à ? rqi'n 1 , avq p,Qite de.eoniy
,lla prémièrel fois, la'-malade aurait eu à.plusieurs reprises des- attaques apoplectiques avec crises épilelpisoi Fn Inisse
-I ? tf ? f ? 7 ? 0f ? ) ? ï ? t ' ! 'La face ? lors de la première attaque , était, avons-nous dit, tirée a gauche ? actuel
-, t r e ? 4 's éjJileptiformes localisées. s'urtoué dans Le 19, " attaques épiteptiformosfi'équente's;']oca]isécs.surt,outda
duire 'fréquemment le lendemain ! "1'' f ' "M^' lit,. I ,J'Lé'2l, attaque épileptiforme très viblenteù la' visite',1 et' qu
ndeur, étciréônsérit'toulëlâlésiônl ? 1 u ? 1 ? I1"" ^ 1er février, attaque épileptiforme peu intense et qui dure peu de 'C
35 si REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. larmes, après deux nouvelles attaques , cessent d'être sanglantes. Le blépliarospasnie
réflezclroltülien (faiscea.ylpyramilla,ux). Il en est de, même. des attaques apo- plectiformes.-épileptiformes ou mixtes don
si sage, si consciencieusement élaborée, a été l'objet de bien des attaques . La commission, dont j'ai du l'honneur SOCIÉTÉS
i- même sa propre observation, il attend aujourd'hui sa trentième attaque . On doit attribuer ces accidents à une ischémie c
dre connaissance. La cessation des iavagesafaitdispaiaitrotoutautre attaque . Cefaita a de particulier qu'il n'excitait ni l
e; ici sont consignées les observations toujours si intéressantes d' attaques de sommeil, de somnambulisme provoqué, d'anomalie
résentent de l'em- barras de la parole, l'inégalité pupillaire, des attaques épilepti- formes. Dans les accès à courte pério
arrive, c'est du fait d'un accident ou d'une congestion céphalique, attaque épileptiforme, etc. On n'a guère tenté qu'un tr
La première leçon est consacrée aux phénomènes avant-coureurs de l' attaque , aux modifications du caractère et principalement
omène est des plus importantes; elle permet de prévoir à coup sûr l' attaque , puisqu'il se manifeste toujours d'une façon id
n les hallucinations (h. sensorielle), ou le délire précurseur de l' attaque (A. intellectuelle), peuvent être le point de d
e consécutive à une blessure du talon. Le malade est prévenu de ses attaques par une aura sensi- tive et motrice. La deuxi
iption très complète des différentes formes de l'épilepsie : grande attaque , vertige, absence, épilepsie larvée. On y trouv
galement la physiologie pathologique des principaux phénomènes de l' attaque : cri initial, pâleur du visage, déviation de l
aux démontrent l'existence d'une congestion cérébrale au début de l' attaque . Des tracés placés à la fin de l'ouvrage établis-
es mêmes phénomènes; de là deux mécanismes de mort subite pendant l' attaque . La troisième et la quatrième leçon sont consac
par sa durée (io à 20 jours), consécutive en général à une série d' attaques , elle ressemble beaucoup à un accès de manie. Les
1'), par Koch, 362. Hydrocéphale chronique consécu- tive à une attaque de méningite aiguë, par lliathelin, 245. 0 ll
29 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
on d'accès, car les accès nocturnes évités furent compensés par des attaques diurnes plus fréquentes. Deux fois sur vingt ba
taques diurnes plus fréquentes. Deux fois sur vingt bains, il y eut attaques dans le bain, malgré la température du malade à
température atteint 41°, à à neuf heures du matin : le malade à une attaque d'épilepsie franche, la première avec une phase
'ig. 1. Indique la température prise toutes les trois heures ; X, une attaque ; XXXX, attaque en série ; 0, injection de sérum
la température prise toutes les trois heures ; X, une attaque; XXXX, attaque en série ; 0, injection de sérum artificiel 500
re dès l'invasion de la fièvre. Tous deux ont résisté à la première attaque . Chez le' Fig. 2. La température rectale après
La température rectale après le bain d'un quart d'heure a 24°, X, une attaque ; XXXX, attaque en série; 1 P. C. C., potion cor
rectale après le bain d'un quart d'heure a 24°, X, une attaque; XXXX, attaque en série; 1 P. C. C., potion cordiale avec 0,50
c vomissements. Vers le mois d'août 1896, perte de connaissance, et attaque con- .vulsive, suivie dans la nuit de deux autr
sance, et attaque con- .vulsive, suivie dans la nuit de deux autres attaques semblables, débutant par les bras, avec déviati
I. Femme de cinquante-six ans, sujette depuis son adolescence à des attaques récidivantes de manie : la maladie se présente
tion initiale, telle que grande crise de diarrhée, fièvre septique, attaque de fièvre mal caractérisée et attribuée au palu-
ne échelle : à la suite de sa chute, il a eu dans une nuit quatorze attaques de nature épileptique. Pas de fracture du crâne
sont ceux qui aident à élucider la pathogénie de l'épilepsie : les attaques ont été très violentes, et l'hémiplégie qui les
hique, et de tempérament hysté- rique : ils ont eu précédemment des attaques hystériques, ou pré- sentent des stigmates perm
e quelque perturbation nerveuse, telle qu'un choc émotionnel ou une attaque épiteptiforme ou apoplecti- forme (apoplexie hy
l'apoplexie hystérique n'est probablement qu'une phase de la grande attaque hystérique, et diffère de l'apoplexie vraie entre
contracturée, tandis que dans l'hémiplégie organique la contracture attaque isolément les différents muscles et même différ
he du corps avec sensation de fourmillements. Dix-huit mois après l' attaque , le ptosis a disparu; les troubles de la sensibil
S. , 189 formule les deux conclusions suivantes : 4° les prétendues attaques épileptiques de ces grands hommes peuvent tout
eptiques de ces grands hommes peuvent tout aussi bien avoir été des attaques hystériques; les observations rapportées par les
autre; en outre; elle serait moins solide. .11 n'ya eu qu'une seule attaque semblable. . 111 : y,a trois ans, à la suite d'
ent disparu après cette période de repos, était la conséquence de l' attaque de paralysie qu'il nous décrit. A l'âge de dix-
que le malade était penché pour faucher son blé lors de la première attaque . Les douleurs siégeaient sur le trajet du sciat
e fausses couches.- MALADIE NERVEUSE s FAMILULE. 199. La première attaque de paralysie remonte en z. Le malade' sarclait
ns l'intervalle de temps compris entre la deuxième et; la troisième attaque une certaine faiblesse de la jambe gauche. avec
he. avec une douleur vague- dans les mollets jusqu'à'la'troisième attaque . 1 - Cette dernière s'est produite, comme les d
sième attaque. 1 - Cette dernière s'est produite, comme les deux, attaques précé-. dentes, au mois de juin (1898). Elle se
ion. Il raconte encore que dans les premiers temps de sa dernière attaque , lorsqu'il se tenait debout, ses jambes fléchissa
inverse : . Son intensité est très variable.suivant les cas et les. attaques les nerfs cérébraux sont d'ordinaire intacts. I
troubles de la parole et avec conservation de la conscience. Deux attaques semblables se répétèrent pendant les cinq jours
ement parfois des douleurs dans la tête et. dans les-jambes. Chaque attaque durait une demi-heure- à huit jours. Les attaqu
les-jambes. Chaque attaque durait une demi-heure- à huit jours. Les attaques abortives se caractérisaient uniquement par des
disme a longtemps passé pour exercer une influence heureuse sur les attaques épileptiques, l'auteur ne l'a jamais observé ;
bserver certains épilep- tiques devenus paludéens au cours de leurs attaques et chez qui l'impaludisme a semblé jouer le rôl
l'infection paludéenne. Après l'infection il se déclara de franches attaques d'épilepsie et ces attaques s'accen- tuaient à
s l'infection il se déclara de franches attaques d'épilepsie et ces attaques s'accen- tuaient à chaque nouvelle infection ma
la lésion n'est pas douteuse ; le mode de début, le caractère de l' attaque , mieux encore le succès du trai- tement spécifi
ce. R. de lIIUSGIiA\'E-CL.1Y. Un cas de crétinisme consécutif à une attaque de thyroï- dite aiguë; par Edmund SIIIELDS. (Tl
gestions, même perte graduelle de l'intelligence, gâtisme, spasmes, attaques épileptiformes et haute température à la fin. E
été tourmentée par des embarras d'argent. Ni peur, ni syncope, ni attaques de nerfs, etc. Accouchement à terme en vingt ou
de diverses maladies infec- tieuses : coqueluche à cinq ans, trois attaques d'influenza dont la dernière il y a trois ans,
dernière maladie infectieuse de notre maladé était jus- tement une attaque de grippe, deux ans et demi avant les ABCÈS DU
et le malade ne reprend nettement connaissance que-lelcndemain. L' attaque convulsive était très nettement épileptique, mais
sociée à la diathése tuberculeuse. 14° Les causes provocatrices des attaques de folie paraissent être en somme à peu près de
la vie un peu plus précoce que la folie non héréditaire. 18° Les attaques de folie héréditaire peuvent survenir à n'im- p
itaire que dans les cas de folie non héréditaire. 2on La durée de l' attaque de folie dans les cas héréditaires qui guérisse
r le cas actuel dont le sujet syphilitique était en outre atteint d' attaques épileptiformes et présentait un complexus patho
ntelligence, escarres, tremblement et spasmes musculaires, parésie, attaques épileptiformes, amaigrissement extrême malgré l
sme com- plet, douleurs, contractures, tremblement, escarres, enfin attaques épileptiformes très fréquentes. A la fin, fièvr
sont différentes dans l'une et .dans l'autre classe. , 1° Homme, attaques épileptiformes depuis l'enfance, hémiplégie dro
roupes latéral et postéro-externe. 2° Homme, hémiplégie droite avec attaques ^épileptiformes et réflexes exagérés (de naissa
de la corne antérieure. 3° Femme, hémiplégie droite (de naissance), attaques épilepti- formes depuis l'âge de douze ans, dém
vol. XXIV, p. 1286). Un homme de trente-neuf ans était sujet à des attaques convul- sives depuis l'âge de vingt-deux ans; e
e l'épaule. On a extirpé la portion correspondante de l'écorce. Les attaques convulsives ont été supprimées pour quelque temps
ne chute sur l'occi- put. Un an plus tard, il avait eu une première attaque de convul- sions, limitée au bras et à la jambe
ttaque de convul- sions, limitée au bras et à la jambe gauches. Les attaques se sont répétées, dans la suite, jusqu'au nombr
maxima déterminait des contractions du membre supérieur droit. Les attaques convulsives se sont reproduites après l'une et
sujet à des L'ÉPILEPSIE PARTIELLE. PATHOGÉNIE ET TRAITEMENT. 373 attaques convulsives; leur fréquence était allée en augmen
t médicamenteux avait été suivi d'une amélioration pas- sagère. Les attaques débutaient par le pouce, par la commissure labi
alable, à l'aide de l'excitateur électrique. Après l'opération, les attaques se sont d'abord reproduites avec une très grand
plus. Au moment où le malade quitta l'hôpital, il n'avait plus eu d' attaques depuis quelque temps, mais il lui restait une p
de manie aiguë (méningite au dire de l'auteur) ; à ce moment, les attaques convulsives réapparurent avec une grande fréquenc
âge de trois ans et demi. Un an plus tard, il avait eu une première attaque de petit mal. Peu de temps après survint une at
u une première attaque de petit mal. Peu de temps après survint une attaque d'épilepsie, partielle d'abord, et qui se génér
généralisèrent, après que l'enfant eut perdu connaissance. D'autres attaques semblables ont suivi; leur fréquence est allée
uze heures après la fin de l'opération, le malade a eu une nouvelle attaque ; l'administra- tion de fortes doses de bromure
e perte de connaissance de trois heu- res de durée, il avait eu des attaques convulsives; leur fréquence était allée en augm
né. Immédiatement après cette pre- mière opération, il avait eu une attaque convulsive; toutefois, pendant les quatre mois
uivants, il n'en eut pas d'autres. l'uis il tomba dans de nouvelles attaques ; il n'en eut pas moins de vingt- cinq, en l'esp
e l'excitateur électrique. L'excitation de ce centre a provoqué une attaque semblable à celles qui survenaient spontanément.
e a quitté l'hôpital le vingt-quatrième jour ; il n'avait plus eu d' attaques depuis son opération. On apprit, par la suite, qu
té gauche du crâne. Deux ans plus tard, il était devenu sujet à des attaques d'épilepsie; à certaines époques, elles se produi
La paralysie a mis trois semaines à se dissiper. Le malade a eu une attaque d'épilep- sie partielle, deux jours après l'opé
nt pendant près de trois années. Finalement, il a eu de nou- velles attaques , à des intervalles assez éloignés. z 3° PAMER R
à participer aux secousses. Le malade devint sujet à de véritables attaques d'épilepsie par- tielle. Elles commençaient par
e terminait par de nouvelles secousses de la main. La durée d'une attaque était de dix secondes environ. Dans les derniers
ait de dix secondes environ. Dans les derniers temps, le nombre des attaques s'était élevé jusqu'à vingt et trente dans les
mêmes parties. ' Pendant les cinq mois qui ont suivi, le nombre des attaques s'est abaissé progressivement, jusqu'à n'être p
séjour à l'hôpital, on a pu faire les constatations suivantes : les attaques débutaient par une sensation de raideur dans le
à la région pariétale droite. Dix-huit mois plus tard, il a eu une attaque subite de perte de connaissance. On le fit entr
hystérie. Enfin, vingt mois après son accident, il a eu sa première attaque épileptoïde généralisée ; elle dura plusieurs h
pré- senté une paralysie passagère du membre supérieur droit. Les attaques d'épilepsie se sont reproduites. c) Dans cinq c
issance un jour durant. Six années plus tard, il devint sujet à des attaques convulsives, d'abord pendant son sommeil, et pl
ves, d'abord pendant son sommeil, et plus tard pendant le jour. Ces attaques débutaient par une aura dans l'index et le médi
aient. La connaissance était conservée partiellement. Le nombre des attaques s'élevaient jusqu'à vingt-huit dans les vingt-qua
s les trois mois qui ont suivi l'opération, il n'a pas eu une seule attaque , à part les quelques légers accès de secousses
quarante-un ans était sujet, depuis l'âge de vingt-cinq ans, à des attaques de convulsions généralisées qui débutaient - par
Au mois de juillet suivant le malade n'avait pas eu de nouvelles attaques . 3° IENN (Five cases of cérébral surgery, etc.
tié gauche du crâne. Peu de temps après, elle avait eu une première attaque d'épilepsie. Dans les onze années qui ont suivi,
es onze années qui ont suivi, cette femme n'a eu que deux nouvelles attaques , puis leur fré- quence est allée en augmentant.
de supination de la main et des secousses dans le bras. Pendant ces attaques , la malade perdait connaissance, puis elle épro
après l'opération. Dans l'intervalle, elle n'avait pas eu une seule attaque convulsive ; l'état général et l'état intellect
involontaires, auxquelles fit suite une 380 CLINIQUE NERVEUSE. - attaque d'épilepsie. Ce même jour, il a eu deux autres at
NERVEUSE. - attaque d'épilepsie. Ce même jour, il a eu deux autres attaques ; elles se sont réduites à des secousses convuls
es secousses convulsives du pouce droit. Le lendemain, de nouvelles attaques ont suivi, auxquelles parti- cipa toute la main
interrompre l'opération. Le 16 mai, le malade a eu trois nouvelles attaques convulsives; les spasmes sont restés limités au
toméningite de vieille date. Le 25 mai, le malade a eu une légère attaque ; elle a consisté en secousses de l'oeil droit,
à-dire en l'espace de quatorze mois, le malade n'a pas eu une seule attaque convul- sive. La dysarthrie avait complètement
années après l'accident, le malade a eu pour la pre- mière fois une attaque d'épilepsie partielle ; depuis trois mois envir
droite, une sensa- tion de bouillonnement et de battement. D'autres attaques sont survenues, dans la suite ; elles étaient p
be gauche et de la moitié gauche de la nuque. Jamais, pendant ces attaques , le malade n'a perdu connaissance ; par moments
de tomber, en raison du vertige qu'il éprouvait. Tout d'abord, les attaques se suivaient à des intervalles de quatre jours
oire sur la région pariétale droite, le malade n'a pas eu une seule attaque , du 10 mai au 22 septembre. A partir de là, les a
u une seule attaque, du 10 mai au 22 septembre. A partir de là, les attaques se sont renouvelées avec une fréquence croissan
défaut ; drainage consécutif. A la suite de cette opération, lés attaques d'épilepsie se repro- duisirent comme par le pa
upérieur du côté opposé. A la suite de cette seconde opération, les attaques convul- sives ne firent que gagner en fréquence
vi cette troisième opération, on a encore constaté quelques légères attaques convulsives ; à partir de là, elles ont cessé d
t subi une opération, soit pendant quelque temps, débarrassé de ses attaques con- vulsives, pour qu'on ait le droit de concl
ont suivi l'opération et que, dans l'intervalle, il n'y a pas eu d' attaque convulsive. N'y aurait-il eu que ce cas unique,
des mé- comptes. Il arrivera, par exemple, que dans un cas où les attaques convulsives débutent par des spasmes du pouce, on
Enfin dans six cas l'opération a été suivie de la sup- pression des attaques convulsives ; ces cas ont été publiés par : .
landique empêche l'excitation électrique du cerveau d'aboutir à une attaque convulsive. Sera-t-on plus heureux dans l'ave
tte catégorie : chez B..., l'accident qui a entraîné à sa suite les attaques d'épilepsie est survenu le 11 juillet '1897 ; l
attaques d'épilepsie est survenu le 11 juillet '1897 ; la première attaque un peu sérieuse a éclaté le 15 février suivant;
le, plus ou moins long, compris entre le traumatisme et la première attaque convulsive ait une influence bien nette sur les
irpation du centre moteur qu'on suppose être le point de départ des attaques d'épilepsie partielle. On a prétendu que le ret
des attaques d'épilepsie partielle. On a prétendu que le retour des attaques , à la suite d'une extirpation du centre cortica
ninges ou de la paroi crânienne, susceptible de rendre compte des attaques , en conséquence d'une irritation exercée par la z
ritoire qui correspond au groupe de muscles par lequel débutent les attaques . Sup- primer ce territoire ne saurait dès lors
er ce territoire ne saurait dès lors aboutir à la suppres- sion des attaques . Voilà les réflexions dont j'ai cru devoir vous
épendaient, en l'espèce, de la lésion du troisième ventricule : les attaques épileptoïdes provenaient des nodus de nouvelle
he se développa par degrés dans les jours qui suivirent la première attaque convulsive. Cette paralysie s'ex- plique par la
eux ans et demi après l'apparition des premiers symptômes, deuxième attaque d'apoplexie, coma et mort. A l'autopsie, anévry
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. connue ; à la suite de surmenage physique, attaque avec perte de connaissance suivie d'affaiblisse
es d'origine ovarienne ou utérine. Il faut signa- ler que certaines attaques d'hystérie sont précédées d'une sen- sation dou
de faire énormément souffrir le malade, et souvent de provoquer une attaque de delirium tremens; il faut le suppri- mer gra
res avec articulation imparfaite du langage; enfin de véritables attaques congestives. Les symptômes sensoriels sont remarq
la mamelle. Quand ce petit malade avait un mois, il souffrit d'une attaque convulsive dont la jambe et le membre supérieur
nous avons dédiée à l'examen de cet enfant, nous avons compté six attaques , produites en cette forme : la tête penchée en av
uelques secondes, puis il rouvrait les yeux et tout était fini. Ces attaques sont celles que sa mère appelle « les petites att
it fini. Ces attaques sont celles que sa mère appelle « les petites attaques »; ce sont celles dont il souffre constamment. I
sont celles dont il souffre constamment. Il souffre aussi d'autres attaques où ses membres sont agités convulsivement, inclus
enfant en me disant que depuis trois mois il n'avait eu aucune des attaques dont il souffrait constamment auparavant « ni p
t enfant était âgé d'un mois, on se rappellera qu'il souffrit d'une attaque convulsive, dont le bras et la . jambe droits r
oduit et je le consigne comme un fait notable. La disparition des attaques épileptiques est digne d'attirer l'attention. E
En général, l'on observe qu'après une inter- vention crânienne, les attaques épileptiques, soient-elles produites par des tr
cas d'épilepsie, il se passe des mois et des années sans qu'aucune attaque ait lieu. Et il est utile de rappeler que lorsq
la ajouterait alors une nouvelle cause à la production de nouvelles attaques '. Boissier a fait connaître dernièrement la ca
s trois premiers mois qui suivirent l'opération, il n'y eut pas d' attaques . Dans '18 cas de fracture compliquée du crâne,
ète et paralysie. Après l'opération, la paralysie, la cécité et les attaques disparurent définitivement. La matière dont Koc
u'être soupçonné '. L'espace de temps qui s'est écoulé sans que les attaques se soient reproduites chez ce garçon, n'est pas
qu'elles ne reviendront plus. Cepen- dant, comme la disparition des attaques n'a pas été le seul résultat de la petite crani
ent il devenait « comme s'il était mort ». H y a déjà un an que ses attaques ont disparu complètement, et quoique je pense,
a observé après des interventions opératoires, car généralement les attaques reparaissent entre trois ou cinq mois, quoique
équent d'observer que lorsqu'un épi- leptique a passé un temps sans attaques , lorsque celles-ci se repro- duisent par une ca
t ans, était un garçon très turbulent, souffrant de très fréquentes attaques épileptiques, qui se répétaient journellement;
rnellement; il est maintenant plus tranquille, il ne souffre qu'une attaque parjour de 4 à 5 heures après-midi. J'opérai ce
s-midi. J'opérai ce garçon le mois d'octobre de l'année passée; les attaques ont diminué peu à peu jusqu'au nombre indiqué.
'on peut abriter sur le succès de cette intervention, c'est que les attaques ne disparaissent pas brusquement après l'opératio
entiel dans les cas d'hébétude soit qu'ils soient consécutifs à des attaques d'épi- lepsie pendant la nuit, et jamais consta
ion de ces accidents a nettement coiincidé avec l'entrée en scène d' attaques épileptiformes et apoplecliformes, d'origine co
\ ? l3oaowmow (0&o ? eH : e psi- chictt ? -ii, IV, 1899). Les attaques présentaient, dans l'observation en question, les
en avant sans objet; 5° le malade n'urina jamais sous lui pendant l' attaque , ne se mordit pas la langue, n'écuma point, n'e
viron. Déjà, à la suite de la première secousse émotive, il eut des attaques rappelant l'automatisme ambulatoire, dont il gu
tomatisme ambulatoire, dont il guérit. Après la seconde, il eut des attaques de petite épilepsie, ayant bien des traits comm
t aussi îles mélancolies alternant avec les périodes d'agitation de attaques épileptiformes et de l'aphasie passagère. A l'â
vingt-trois ans, l'embarras de la parole s'accentua; plus tard les attaques apoplec- tiformes, laissèrent à leur suite des
e malade, aurait pu passer pour delà manie ou de la mélancolie, les attaques épilepti- formes pour des attaques d'épilepsie.
à manie ou de la mélancolie, les attaques épilepti- formes pour des attaques d'épilepsie. - , SOCIÉTÉS SAVANTES. 501 S'agi
parition rapide des paralysies ainsi que l'aphasie consécutives aux attaques apoplectiformes. La lésion labétiforme coexista
abétiforme coexistant avec l'exagéra- tion des réflexes pendant les attaques semble donner un gage à l'hypothèse de Scherrin
mble qu'il est préférable d'administrer le bromure aussitôt après l' attaque . ' 'Marcel l3er.wn. SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE. Sé
en injec- tion inlracérébrale, il produit chez le cobaye, après une attaque isolée des phénomènes variables et généralement
nt, stupeur, parfois quelques secousses généralisées ; 3° après des attaques en série, ce liquide produit très généralement à
ociée itléo motrice. Prêtre, âgé de cinquante-quatre ans. Plusieurs attaques apo- plectiformes avec foyers corticaux ou dans
'y avait pas chez lui de corrélation absolue entre le délire et les attaques . Le tableau clinique aurait dû être complété de c
iglt, 253. TABLE DES' MATIÈRES. ` 533 Crétinisme consécutif à une attaque de thvroidite aiguë, par Shields.258. Crime e
30 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
rsonnelle, dont le trait le plus saillant est la suspension par une attaque [de goutte des phénomènes de mérvcisme. En 18
, qui se renouvelle le 2 novembre. Alors, on cherche à conjurer ces attaques par la belladone (0,02 d'extrait environ par jo
de quoi; ne buvait pas.- Mère, bien portante, pas de migraine, ni d' attaques de nerfs. Elle était enceinte du père de notre
la forçant à garder le lit pendant deux jours. Elle n'a jamais eu d' attaques de nerfs, ni de maladies graves. [Père, mort pa
eu une ving- taine de fois environ, à la suite de contrariétés, des attaques de nerfs durant de cinq minutes aune heure; pas
ssez forte, asthmatique, facilement irritable; elle n'a jamais eu d' attaques de nerfs.-Pas de névralgies, de migraines ; var
morte à soixante ans d'une fièvre typhoïde ; impressionnable, pas d' attaques de nerfs. Un frère est mort jeune, de convulsio
s, de difformes]. Mère, quarante ans, petite, très nerveuse ; pas d' attaques de nerfs, de migraines, de névralgies; pas de s
erveuse et impressionnable, pleurant souvent sans motifs ; jamais d' attaques de nerfs ni de syncopes. [Père et mère : ils n'
ques mois et disparut sans traitement. - A trente-deux ans, seconde attaque d'épilepsie à la suite de laquelle le mérycisme
h,ystéro-épilepsie à douze ans; cause. Description de l'aura et des attaques . Vertiges hystériques et attaques syncopales. -
use. Description de l'aura et des attaques. Vertiges hystériques et attaques syncopales. - Variétés, attitude du crucifiemen
, et, pendant l'année qui vient de s'écouler, elle a eu dix ou onze attaques ; rémis- sion depuis quatre ou cinq mois. Les cr
is jours dans son nouvel atelier et en fut renvoyé à la suite d'une attaque . Du mois de mai au mois d'août, les crises fure
es des crises observées par elle avant l'admission à l'hospice. Les attaques étaient toujours diur- nes, survenaient sans au
t bonne; on note parfois un léger de- gré de diplopie au moment des attaques . Pour ce qui est de l'état intellectuel, il est
e et écrire couramment, etc. (Voir p. 97, etc.) , Description des attaques . - La grande variété que nous avons observée da
des attaques. - La grande variété que nous avons observée dans les attaques de notre malade, dépendant de la durée et de la
t continuait son travail, comme si rien d'anormal n'était survenu. ( Attaque syncopale.) 1881. 11 janvier. - L'enfant étant
tant à la classe assis et occupé à écrire est pris subitement d'une attaque : il rejette brusquement son cahier et agite le
alement rétablie, il ignore ce qui s'est passé : il s'agit là d'une attaque avortée, comparable à un vertige. 14 janvier. -
tige. 14 janvier. - Nous sommes témoins, à la classe, d'une autre attaque : le malade pousse un cri, on l'enlève de son ban
l'inflexion de la tôle sur l'épaule droite. Période de délire. - L' attaque dure depuis une minute environ, lorsque se prod
eine à maintenir l'enfant qui se débat pendant quelques instants. L' attaque enfin cesse subi- tement ; le malade annonce qu
c'est à ce moment qu'il a perdu connais- sance. 25 janvier. Autre attaque . L'enfant tombe sans pousser de cri. Lesbrasse
on au cours desquels l'enfant se glisse sous un lit. 9°r février. - Attaque épileptoide. Pendant qu'on pratique l'exa- men
phénomènes constitue un type de la période épileptoide de la grande attaque . Pendant ce temps, on a pratiqué une compressio
ué une compression modérée des testicules, comme moyen abortif de l' attaque , mais on n'a pas constaté de résultats apprécia
e lombaire. Cet état, qui constitue la seconde période de la grande attaque , dure une minute, puis l'enfant s'assied, regar
stants après, reparaissent quelques convul- sions épileptoïdes et l' attaque se termine. - La troisième pé- riode de la gran
ïdes et l'attaque se termine. - La troisième pé- riode de la grande attaque , celle de délire, a donc fait défaut. Le malade
e qui l'ét.reint à la gorge. 9 février. - L'enfant est pris d'une attaque dans laquelle on note, comme particularités : l
du vaccin qu'on lui a inoculé récemment, il est aussitôt pris d'une attaque ; celle-ci est analogue à quelques-unes des précéd
nsignifiante, le refus de lui donner des douches, l'enfant tombe en attaque . On observe la période épileptoïde avec rigidit
edemande à prendre des douches et, sur un nouveau refus, retombe en attaque : la période épileptoïde se déroule dans toutes
recommence les mouvements de circumduetion .et de translation de l' attaque précédente. Examen de la sensibilité. A aucune
en de la sensibilité. A aucune période de la maladie, en dehors des attaques et de l'état d'hypnotisme, nous n'avons observé
toujours été impossible en comprimant de provoquer ou d'arrêter les attaques . Ces points hyperesthésiques ont été rencontrés
uffement qui serait susceptible, au dire du malade, d'aboutir à une attaque , si on la prolongeait. Aura. - Interrogé de nou
ésumer ainsi : dans certains cas, les phénomènes prémonitoires de l' attaque consistent DE L·HYS'l'ERO-EY1LI;PSIE. 95 en u
à la région temporale, le tout avec prédominance du côté gauche. L' attaque suit immédiatement l'apparition de cet ensemble
ir totalement à lui, et, au bout de deux minutes, il est pris d'une attaque à forme épileptoïde. 1882. il juin. - On fait u
yeux fermés, comme dans les expériences précédentes. Le nombre des attaques , très considérable dans les premiers temps du s
duisons ci-contre, sous forme de tableau synoptique, l'ensemble des attaques qu'on a observées durant le séjour à l'hospice
ofession de chaudronnier jusqu'à la fin d'août. Il a été pris d'une attaque en juillet et de deux dans le courant du mois d
ensée sauvage ; bains d'amidon). 1883. 22 mai. - B... n'a paseu d' attaques jusqu'au 6 de ce mois. Ce jour-là, un ouvrier d
vailler. Depuis lors jusqu'à ce matin, il n'a pas eu de nou- velles attaques . Son sommeil est tranquille. Deux ou trois fois p
e de la Société des clairons dé Pantin. 29 octobre. - B... a eu une attaque le 21. La veille, il a eu une peur occasionnée
e frayeur; c'est la cause occasionnelle la plus ordinaire. III. Les attaques , annoncées en général par une aura, revê- taien
i redoutable sur les facultés intellectuelles. c) Quant aux grandes attaques , elles ont été souvent incom- 1 Voir Boumcvine
'IIYSTRO-ÉPIIFP'31E. 101 plètes; mais, si l'on fait la synthèse des attaques observéesà di- verses époques, on y retrouve le
ait très accusé, constituent encore de nouvelles analogies avec les attaques hystériques de la femme; - 4° la période de dél
u de la compression des testicules sur la production ou l'arrêt des attaques ; l'absence de troubles de la sensibilité. V. Le
trefois, c'est à l'hydrothérapie que nous devons la disparition des attaques de notre malade. 11 est sorti alors qu'il n'avait
de l'eau froide. Au moment de l'immersion, il fut pris d'une petite attaque qui ne dura que quelques instants. Le traumatis
traumatisme a exigé un repos de onze jours. - Le 17 décembre, trois attaques très fortes. - Depuis lors, jusqu'à ce jour, aucu
sexuels et ne pas y penser. 23 avril. B... n'a pas eu de nouvelles attaques . Renvoyé de son atelier à la fin de mars, parce
avait vu chez son pré- cédent patron, ayant raconté qu'il avait des attaques , on l'a remercié. Il vient demander un certific
saillante. Son intelligence parait au-dessous de la moyenne. - Ses attaques ont été occasionnées par la peur d'un chien sur
auver. C'est une demi-heure après l'émotion qu'a éclaté la première attaque . Elle n'en aurait eu que cinq ou six. Mariée à
ix. Mariée à dix-sept ans, elle a eu un enfant au bout d'un an. Les attaques , qui avaient cessé vers quatorze ans et demi, n
levée, a passé la nuit debout. Le lende- main matin, elle a eu une attaque qui a duré une demi-heure. Depuis cette époque,
u une attaque qui a duré une demi-heure. Depuis cette époque, pas d' attaques . III. Idiotie et épilepsie partielle consécut
de la langue».- Mère, quatre-vingt-deux ans, bien portante, pas d' attaques de nerfs. - Grand'mère maternelle, morte paralysé
, actuellement convalescente d'une fièvre typhoïde ; elle n'a pas d' attaques , mais est très nerveuse et se trouve quel- quef
etc.] Mère, 35 ans, couturière, intelligente, nerveuse, mais sans attaques , sujette à des migraines. [Père alcoolique, mor
uvelle observation d'hystéro-épilepsie ; 2* livraison, variétés des attaques hystériques ; 3' et 4* livraisons, des régions
et 7'livraisons, du sommeil des hystériques; 71-12, livraisons, des attaques de sommeil; hypnotisme, somnambulisme, cataleps
31 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ixante-quatre ans, hémiplégique; ni migrai- neuse, ni sujette à des attaques de nerfs. Du côté des oncles et des tantes, rie
ées localisées en ce point. Au traumatisme se rattachent encore des attaques de nerfs que la malade rapporte à peu près en c
de nouveau, tombe étendue raide. Jusqu'à l'âge de dix-sept ans, les attaques ne se renouvellent pas, mais, à cette période d
ve. Le grand-père, fils unique, est mort à qua- rante-six ans d'une attaque d'apoplexie. La grand'mère, âgée de soixante-qu
s douleurs rhumatismales ; caractère emporté, non migraineuse, sans attaques convulsives dans son passé. Elle a eu neuf enfa
cils), coeur et poumons sains,- ni migraineuse ni coléreuse; pas d' attaques de nerfs, pas de stigmates hystériques. Au poin
s. Du côté de la mère, le bisaïeul paternel est mort jeune, d'une attaque d'apoplexie, laissant trois enfants : deux sont m
une, est âgée de vingt-cinq ans, anémique, très nerveuse, mais sans attaques convulsives; une autre a trente-six ans, bien p
gée de cinquante-sept ans, très ner- veuse, sujette autrefois à des attaques convulsives qui ont disparu depuis le retour d'
se. Dans les antécédents, on ne note aucune maladie sérieuse; pas d' attaques de nerfs, pas de stigmates hystériques, mais on
nts de la grand'mère maternelle qui, jusqu'à la ménopause, a eu des attaques convulsives fréquentes. Mais, de ce que la mala
'absence de fièvre malgré le chiffre élevé (plusieurs milliers) des attaques se répétant pendant plusieurs jours presque san
sque sans intervalles, l'apparition après une ou plusieurs séries d' attaques du délire, la présence des zones hystérogènes,
que. Il n'en était pas ainsi dans nos observations. En effet, les attaques se sont présentées isolément, à l'exception du ca
es isolément, à l'exception du cas de Bar..., lequel eut vingt-huit attaques dans un jour et pas en notre présence. Une ébau
oso, redatte dal D' Millioti, Millano. 1883. Ballet et Crespin. Des attaques d'hystérie ii forme d'épilepsie partielle. (Archi
sistance pendant deux ans des crises hystéro- épileptiques avec les attaques épileptiformes, qui se présen- taient tout à fa
er la nature de la maladie en se basant sur la considération de l' attaque en elle-même. Elle représentait bien comme expres
idents nous a permis de nous expliquer le mécanisme avec lequel l' attaque a été constituée dans les deux premiers cas, et n
roisième cas, la manifestation brusque d'une para- lysie, après une attaque et sa guérison soudaine à la fin d'une attaque
- lysie, après une attaque et sa guérison soudaine à la fin d'une attaque successive, nous a fourni un argument très solide
urni un argument très solide en faveur de la nature hystérique de l' attaque . Dans le quatrième cas, le caractère hystérique
cas). b) Symptômes transitoires qui se sont manifestés pendant l' attaque et dans les intervalles. Ils comprennent les pare
ômes transitoires qui se sont manifestés seulement à l'occasion des attaques . Ils comprennent l'aura hystérique (deuxième ca
troisième nous ont démontré la relation qui existe entre eux et les attaques épileptiformes dans le cas de Cha... 3° L'absen
vante nous parait digne d'être remarquée. C'est que dans toutes les attaques se montre la reproduction des troubles sensitif
Mais nous ne voulons pas ici aborder l'étude de la pathogénie de l' attaque hystéri- que, question extrêmement complexe et
ique de la grande névrose. Il équipare l'apoplexie hystérique à l' attaque de sommeil hystérique; elle doit donc être consid
que de sommeil hystérique; elle doit donc être considérée comme une attaque hystéro-épileptique modifiée ou trans- formée.
rles mêmesarguments que le Maître nous a indiqués pour distinguer l' attaque de sommeil, à savoir sur l'existence de phénomè
nt il faut se rappeler que tous ces phénomènes se retrouvent dans l' attaque de sommeil à peine ébauchés et d'une façon tran
sûr, que sur l'évolution et sur les phénomènes concomitants. Si l' attaque comateuse est suivie une hémiplégie, les carac-
pital. - La guérison s'est ensuite achevée brusquement, après une attaque de rachialgie. Pour ce qui est du membre supérieu
vision, pas de zones hystérogènes, pas de sensation de boule, pas d' attaques . Et cependant, nous avons vu comment, à un mome
dépit du traitement. Il ne se passait guère de jour où elle n'eût d' attaques . Presque toujours assise sur un fau- teuil, inc
r dernier, un changement considérable s'est fait dans son état. Ses attaques journalières sont devenues des attaques eu séri
est fait dans son état. Ses attaques journalières sont devenues des attaques eu série; en même temps l'intelligence commença
hez les éclamptiques, le sérum du sang est plus toxique pendant les attaques et que les urines * Février 1892. Société de Bi
es, paralysie typique des extenseurs, avec réaction dégénéra- tive, attaques épileptiformes, tremblement); psychose aiguë appa
ns. (Annales médico-psycholo- giques, 1892.) E. B. XVI. PLUSIEURS attaques DE SOMMEIL paradoxal CHEZ UN aliéné; par le Dr
on se faisait avec participa- tion du malade. Il y eut en tout cinq attaques de sommeil : la première dura quatre jours ; do
i dure huit jours; vingt-quatre heures après, débute une nou- velle attaque , qui se prolonge pendant sept semaines et qui est
nq jours; dix jours de veille la sépare de la cinquième et dernière attaque qui, le lendemain de son apparition fut avortée
escendit à 36°, l'appétit revint et le malade se sentit bien. Des attaques plus ou moins semblables revinrent une ou plu-
ation, détaille l'his- toire d'une hystérique qui, à la suite d'une attaque , est restée plongée pendant trois jours dans un
quelquefois et conservation des réflexes, puis en résolution, coma, attaques épileptiformes ; il se produit des mictions abond
ine normale. Cet état est poussé si loin que, dans l'intervalle des attaques convulsives, alors que la résolution est complè
érie par un traitement gynécologique. Femme de trente-deux ans; une attaque de mélancolie avec symptômes d'ar- rêt psychiqu
la QUESTION DE la circulation DU sang dans l'encéphale pendant LES attaques d'épilepsie d'après les RE- cherches expériment
e cercle artériel deWillis et l'aorte. On voit ainsi que, pendant l' attaque d'épilepsie, la pression monte dans les artères
ansactions.) 11 s'agit d'un enfant de -sept ans, qui fut pris d'une attaque de paralysie atrophique aiguë, présentant les s
grandeur, se croit très intelligent, grand lettré. Une tante a des attaques nerveuses « on la tient pendant ses crises et e
es crises et elle pousse des cris ». Une soell1' du malade a eu des attaques d'hystérie pendant deux ans. Côté maternel. Mèr
deux cousins germains tiqueux et une cousine germaine hystérique à attaques . Antécédents personnels. Dans son enfance et ju
la lumière éteinte, si elle est jetée en dehors de son lit par une attaque , elle ne peut se déplacer et se relever qu'au j
tous ses degrés, subite ou tardive, antécédente ou consécutive aux attaques , aux malaises; un état de dépression mentale, d
1891. Aime IIéraud, trente-neuf ans, est toujours malade depuis son attaque d'influenza dans laquelle ses deux oreilles ont
Les épileptiques ont souvent l'audition altérée à la suite de leurs attaques . Féré a récemment repris ce sujet. Le n° 275 qu
on CCCLIII. (Résumé.) F. Mo... trente-cinq ans, il y a quinze mois, attaque subite, hémiplégie droite et paralysie faciale
guérison eut lieu. Récidive huit ou neuf mois plus tard, nouvelles attaques de convulsions cloniques monoplégiques, augment
malade était un garçon âgé de trois ans, qui, dit-on, avait eu une attaque à qua- torze jours, mais plus rien ensuite. Cet
ctures permanentes, et laisse de côté celles qui se montrent dans l' attaque d'hystérie. Son ouvrage est divisé en deux partie
particulier. Au point de vue étiologique, il relève l'influence des attaques con- vulsives et de leurs diverses variétés, l'
Ayres, elle a déclaré qu'elle était depuis huit ans, en butte aux attaques de Lady Abdy, attaques auxquelles elle n'avait ja
qu'elle était depuis huit ans, en butte aux attaques de Lady Abdy, attaques auxquelles elle n'avait jamais rien faits DIVER
la forêt de la Ferrière, un char- bonnier nommé Louvel, pris d'une attaque d'épilepsie est tombé dans le feu et a été horr
tif ses enfants. Mère encore vivante, soixante-quatre ans, a eu des attaques de nerfs dans sa jeunesse; actuellement elle a
du bras) est encore plus improbable 'parce que cet homme n'a eu ni attaque apoplectiforme, ni étourdissements, ni vertiges
-huit ans, il fait des enduits à la céruse). En 1888, puis en 1889, attaques des coliques saturnines. Pas alcoolique; caractèr
à celle du scotome scintillant de la migraine ophthal- mique. 21. Attaque de migraine ophthalmique avec injection con- jo
de lignes brisées et entouré de taches rouges qui voltigent. Cette attaque de migraine se répète quatre ou cinq fois par j
fois par jour. Traitement : bromure de potassium. 3 avril. - Les attaques de migraine ophthalmique vont s'atté- nuant peu
ent encore. La dyschromatopsie de l'oeil gauche est atténuée. Pas d' attaque de migraine ophthalmique. Les mouvements du mem
bilité de pharynx; 9 des points douloureux et hystérogènes; 7 des attaques d'hystérie; 4 l'ovarie. Résultat du traitemen
ableau clinique de la maladie apparaissait périodiquement comme des attaques . Nous avions eu l'occasion d'observer un pareil
dès son enfance et que sa maladie s'est déclarée comme une série d' attaques d'un caractère assez uniforme : sans une cause év
tigue habituellement durant quelques jours et immédiatement après l' attaque , le ma- lade ne peut s'occuper de ses travaux a
tionne que le tremblement hystérique peut quelquefois présenter des attaques , mais il a observé que de telles attaques étaie
quelquefois présenter des attaques, mais il a observé que de telles attaques étaient toujours amenées par une émotion et pré
s tout à fait jusqu'à une nouvelle éclosion. Après une ou plusieurs attaques , ajoute l'auteur, le tremblement peut de- venir
retzkowsky, c'est seulement dans nOS 8S et 56 que sont décrites les attaques du tremblement, lesquelles du reste n'étaient p
ent ne s'observait pas' des années entières, quelquefois aussi, les attaques se suivaient rapidement, de temps en temps s'ét
ns les inter- valles des accès du tremblement étaient observées des attaques , typiques de la grande hystérie. Ainsi chez l
e périodicité régulière dans son apparition et' était entre- mêlé d' attaques hystériques d'une autre forme ; en un mot, il é
s sur l'état mental des aliénés atteints. 1° Etats maniaques. - L' attaque cholérique a toujours fait dis- paraître l'état
la mort sans angoisse. 2° Etats mélancoliques. - L'influence de l' attaque de choléra sur les états mélancoliques, n'a été
ntercurrentes, mais elle présente des particula- rités spéciales. L' attaque cholérique fait disparaître temporaire- ment to
s. Ses causes déterminantes sont nombreuses : frayeur, émotion, - attaques d'hystérie, expériences d'hypnotisme; ses causes
aleptiques ont versé des larmes sous l'influence d'une émotion. L' attaque survient presque toujours brusquement ; le malade
de bons antécédents hérédi- taires, a présenté dans son enfance des attaques d'épilepsie et s'est toujours fait remarquer pa
oint de vue mental et, comme antécédents personnels, on note deux attaques de rhumatisme et la syphilis. Cette affection vas
eu et est toujours suivi d'une amnésie complète : il se produit une attaque ou un ver- tige qui sont suivis d'un accès déli
, que l'on consi- dérait aussi comme un fait uniquement physique, l' attaque , devint prédominant et l'hystérie fut essentiel
éhensives que les précédentes, les phénomènes qui se rattachent à l' attaque étant certainement plus nombreux que ceux qui d
phénomène beau- coup plus fréquent et beaucoup plus connu, c'est l' attaque . Or cette attaque n'est pas un acte simple comm
oup plus fréquent et beaucoup plus connu, c'est l'attaque. Or cette attaque n'est pas un acte simple comme une contrac- tio
ille de l'at- taque sans bien savoir ce qui vient de se passer. Ces attaques , qui se reproduisent avec une régularité monoto
bulisme nocturne, tantôt il se développe en plein jour sous forme d' attaque précédée ou non de convulsions. Quelquefois, il
que hystérique proprement dite. M. Charcot a montré que d'un côté l' attaque renfermait très souvent des phénomènes de natur
même accompagnés d'un grand nombre de symptômes appar- tenant à l' attaque . Le sujet continuait dans une attaque sui- vant
e symptômes appar- tenant à l'attaque. Le sujet continuait dans une attaque sui- vante les actes ou les rêves commencés dan
s dans l'hystérie qu'on ne le croit généralement, elles forment des attaques spéciales qui seront étudiées avec plus de détail
bulisme les mêmes strangulations, les mêmes contractures que dans l' attaque , enfin les procédés qui terminaient ou modifiai
un caractère essentiel, elle est réciproque : le malade pendant l' attaque se souvient bien du somnambulisme, et ce n'est qu
res généraux sont tout à fait comparables. Cette comparaison de l' attaque et du somnambulisme peut se poursuivre jusque d
uivre jusque dans les détails. Considérons, en effet, le début de l' attaque ou les procédés qui réussissent à la provo- que
ut de l'attaque ou les procédés qui réussissent à la provo- quer. L' attaque est quelquefois spontanée au moins en appa- ren
a a lieu également pour les somnambulismes. Mais le plus souvent, l' attaque est provoquée par un phénomène psychologique qu
ve constitutif de la seconde existence. Une hystérique qui dans ses attaques est en proie au désespoir causé par la mort de
rder une petite flamme ou simplement du papier rouge pour avoir une attaque . Ces sensations provocatrices qui jouent le rôl
entre. Depuis, il suffit de le toucher au ventre pour qu'il ait une attaque de terreur dans laquelle il voit l'ivrogne se j
es et cette sensation bien spéciale sera dorénavant associée avec l' attaque et en deviendra le signal. « Il suffit, disions
t au groupe des phénomènes psychologiques de la crise pour amener l' attaque de convulsions, de même qu'il suffit d'appeler
es mêmes remarques sur les phénomènes qui caractérisent la fin de l' attaque ou la fin du somnambulisme. Passons à l'étude d
fin du somnambulisme. Passons à l'étude du développement même de l' attaque : ce qui a frappé tous les observateurs c'est l
ateurs c'est la régularité absolue pour ainsi dire mathématique des attaques chez le même malade. Ce sont toujours les mêmes
r. On a beaucoup discuté pour savoir s'il y avait un type général d' attaque hystérique, il est du moins incontestable qu'il
développent avec plus de régularité. Enfin examinons le contenu des attaques , les actes et les paroles qui les remplissent.
s attaques, les actes et les paroles qui les remplissent. Certaines attaques sont à ce point de vue très simples, elles sont
du sujet, mais nous pouvons supposer d'après bien des signes que l' attaque d'hystérie vulgaire est la reproduction automat
- timents qui envahissent régulièrement l'esprit du sujet avant l' attaque et qui le remplissent pendant la crise. Et mettan
moment et seulement à ce moment des émotions éprou- vées pendant l' attaque , on constate qu'une émotion ini- tiale, terreur
p. 9.) DÉFINITIONS RÉCENTES DE L'HYSTÉRIE. 433 Ces études sur les attaques et les somnambulismes sem- blaient rapprocher e
seconde personnalité dans l'in- tervalle des somnambulismes et des attaques . Cette recherche a été commencée par l'étude de
ystériques se rattachent à ce type de l'hémisomnambulisme comme les attaques se rattachent au type du somnambulisme. Nous av
s ordinaires de l'hystérie, même l'hypéresthésie, les douleurs, les attaques banales doivent être interprétés de la même man
s brusquement à l'occasion d'une cause bien déter- minée, comme une attaque convulsive, une frayeur, un trau- matisme, etc.
parents, le mettait en pleurs. Dans les antécédents, on relève une attaque convulsive à vingt ans et une fièvre typhoïde à
e convulsive à vingt ans et une fièvre typhoïde à vingt-deux ans. L' attaque convulsive se serait produite dans les circonst
ise, il n'a pas uriné sous lui ni ne s'est mordu la langue. Après l' attaque , il s'endormit facilement ; le lendemain, au le
e ceux où cette amélioration a été particulièrement longue, car les attaques sont res- tées sans se produire pendant près de
ementinlellectuel du ma- lade ; malheureusement la réapparition des attaques a renversé l'é- difice mental et intellectuel s
32 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
ase, caractérisée par un délire violent, parfois accompagné par des attaques épileptiformes, les patients devien- nent somno
il n'y a pas de sensa- tions sonores subjectives, non plus que des attaques de labyrintliisme. Le malade ne souffre de sens
es le trouble moteur est impulsif comme clans l'ivresse et dans les attaques de syndrome de Pléniere qui apparaissent soit par
ux de tête, des nausées, des vertiges, des troubles psychiques, des attaques épileptiques, etc. Von rranlcl-Ilocllwartll trouv
les du sens olfactif et gustalif peuventse rencontrer rarement. Les attaques épileptiques sont les plus fréquentes et d'après
et Bealdes ont trouvé 6 fois des tumeurs de l'hypophyse. Quant aux attaques épileptiques dont notre malade est atteinte, qu
on n'ob- tient aucun résultai : chez quelques malades le nombre des attaques diminue quelque peu, chez la plupart au contrai
entation modérément salée, cela n'eut aucune influence tant sur les attaques que sur n'importe quel phénomène morbide. Grâce
uppo- sitions erronées : Kraïnsky pensait notamment qu'avant chaque attaque épileptique, l'excrétion d'acide urique subissa
que que Kraïnsky croyait pouvoir en pronos- tiquer l'approche d'une attaque . Il pensait aussi que l'acide urique ou plutôt
ion constante de l'excrétion d'acide urique immédiate- ment avant l' attaque n'est rien moins que constante, de sorte que, en
longtemps déjà, la plu- part depuis plusieurs années, souffraient d' attaques , et chez lesquels je supprimai immédiatement et
érer comme bénins (accès existant respectivement depuis 5 et 7 ans, attaques fréquentes et graves, mais toujours sans démence)
ns, parmi lesquels un ou deux semblaient appartenir aux cas bénins ( attaques n'existant pas encore depuis deux ans et dans d'a
core depuis deux ans et dans d'au- trescas consistant uniquement en attaques de « petit mal »), cela dura même de 7 à 10 moi
faire qu'une. Il sembla, en même temps, que non seulement pour l' attaque , qui est le symptôme le plus important sans êtr
ites les plus fâcheuses : il se produit alors souvent de nombreuses attaques dans un très court espace de temps et souvent a
séquence l'aug- mentation immédiate du nombre et de l'intensité des attaques . Cependant, lorsque nous commençâmes notre trai
ioré, souffraient de maladies cérébrales primitives, accompagnées d' attaques présentant bien le caractère épileptique, mais
une affection cérébrale primitive quelconque, accompagnée parfois d' attaques épileptiformes (hydrocéphalie interne, tumeur d
e série d'affections, qui sont bien caractérisées par le symptôme n attaques épi- leptiformes », mais qui, quelquefois après
i, comme on le sait, peuvent présenter pendant plusieurs années des attaques épileptiques comme symptôme unique. Pour toutes
unique. Pour toutes ces maladies, dans lesquelles interviennent des attaques , il est, fût-ce même souvent après un temps trè
», bien que les accès présentassent même la physionomie exacte des attaques épi- leptiques. Après avoir écarté toutes ces m
gularités anamnesliques particulières, leur mode d'origine et leurs attaques symptomatiques restent cachés, ils seront alors
aut manifeste de l'intelli- gence avant l'apparition de la première attaque , ou que la démence se- condaire se présentât se
tres, ont établi que 50 à GO 0/0 de tous les épileptiques pendant l' attaque et immédiatement après présentent le phénomène
nit un bel exemple : L..., 36 ans, garçon brasseur. Il présente des attaques depuis 8 ans et pouvait néanmoins faire réguliè
ans connaissance et, immédiate- ment après, a été pris d'une longue attaque . Admis à l'hôpital, il montre une grande sensib
la pression de la région temporale droite atteinte et de nombreuses attaques qui commençaient toujours par le côté gauche :
a moitié droite du corps se contractent aussi. Après une douzaine d' attaques , le facial et les membres gauches sont complète
cial et les membres gauches sont complètement paralysés ; entre les attaques le malade est assez lucide, toutefois il ne peut
du pied gauche montre à l'état continu, tant après que pendant les attaques , le phénomène de l'extension (phénomène de Babins
s se sont manifestés ces symptômes d'épuisement déjà après quelques attaques seulement. Il nous reste encore maintenant quel
ques ; ensuite le phénomène de la déviation conjuguée au début de l' attaque ; de plus, dans quelques cas, les résultats de
êt de la présence constante, pendant et immé- i diatement après les attaques , de symptômes de foyer plus légers. Ils man- qu
sait, ces symptômes de foyer, pen- dant el immédiatement après les attaques , se présentent souvent sous la PATHOGÉNIE DE QU
re, elc. Si ces symptômes se présentent toujours et dans toutes les attaques du même côté, ils indiquent alors, même s'ils s
uent alors, même s'ils sont toujours absents dans les périodes sans attaques , une inflammation du cerveau (écorce) qui a att
tifs et ne se montrent alors seule- ment que pendant la décharge (l' attaque ), tantôt l'un, tantôt l'autre des hémisphères e
t dans les premières années de 'la puberté), ils donnent lieu à des attaques épileptiques. Oppenheim dit . : ce sujet : « De
encontrons donc également dans la paralysie cérébrale infantile des attaques épileptiques, celte épilepsie doit être d'origine
ale) et, par suite, il admet que, dans les cas où se produisent des attaques , il existe une prédisposition à l'épilepsie. Cela
s produits de métabolisme et se déchargera pério- diquement par une attaque (à ce sujet, voir plus loin). Cela semble donc
: « La plus grande importance de la pré- sence ou de l'absence des attaques épileptiques dans la paralysie cérébrale infant
s, ainsi la circulation dans l'écorce et, par suile, provoquant des attaques épilep- tiques. Il n'y a aucune raison pour sép
e grands foyers. La porencéphalie produit aussi le plus souvent des attaques qui revêtent ou non le caractère jacksonnien. Tou
aractère jacksonnien. Toutefois, dans les cas de porencéphalie, les attaques sont la suite du processus cérébral primitif et
l'écorce cérébrale, des troubles de circulation qui provoquent des attaques . Il en est de même en cas d'acromégalie; de PAT
ieux au transport du sang veineux et causer ainsi indirectement des attaques ; nous en trouvons la preuve dans le fait que,
ait que, dans les cas d'acromégalie « associée à l'épilepsie », les attaques disparaissent aussitôt qu'on a enlevé, par opér
quement, elle peut être laissée de côté. Il en est de même pour les attaques qui se montrent après des maladies infectieuses
ications présentent un degré assez étendu, elles peuvent causer des attaques . Cette méningite, ou mieux cette encéphalite, est
. Cette méningite, ou mieux cette encéphalite, est alors, quant aux attaques , l'affection primitive et les attaques appartienn
halite, est alors, quant aux attaques, l'affection primitive et les attaques appartiennent donc à la forme cérébrale de l'ép
ition de la pneumonie, du typhus ou de la méningite, et la première attaque ; on peut compter quelquefois un intervalle de
ut. En voici quelques exemples : 1. - X..., homme, 27 ans, peintre. Attaques depuis sa 18° année, au début très rares, peu à
presque journalières ; il n'est jamais indemne plus de trois jours; attaques le plus souvent pendant la nuit, pourtant aussi
plus souvent pendant la nuit, pourtant aussi beaucoup le jour. Les attaques présentent tous les caractères de l'épilepsie e
ni le visage ne se tournent vers un seul et même côté; pendant les attaques on ne constate même ni aug- mentation unilatéra
é jusqu'à l'âge de 18 ans. II. -- Mlle li..., 31 ans, célibataire ; attaques depuis sa dixième année, assez régulièrement to
; évolution lente- ment progressive, intelligence assez bonne; les attaques présentent tous les caractères de l'épilepsie,
t elles sont aussi souvent immédia- tement généralisées). Pendant l' attaque pas de phénomène de Babinski PATHOGÉNIE DE QUEL
is- sance pendant huit heures. Immédiatement après la chute, longue attaque convulsive, sans début unilatéral. Le lendemain
ner lieu à une maladie, dont les apparences, en ce qui concerne les attaques , sont par- faitement identiques à celles de l'é
les de l'intelligence précéderont presque toujours l'apparition des attaques et dans tous ces cas il sera facile d'en reconn
e (tumeur de l'hypophyse) ; même dans cette dernière affection, des attaques sans caractère unilatéral ne sont pas du tout r
épilepsie cérébrale : si l'on extrait la tumeur de l'hypophyse, les attaques épileptiformes cessent immédiatement. Il va san
vec l'épilepsie essentielle. Quant à ce qu'on appelle les « petites attaques se répétant en série » (kleine Gehaufte Anfalle
composaient de : 380 BOLTEN · Paralysie cérébrale infantile (avec attaques épileptiformes), trois cas classiques, absolume
érie. Méningite séreuse, un cas (papillite évidente, etc.), petites attaques se répétant en série. Petites attaques multip
e évidente, etc.), petites attaques se répétant en série. Petites attaques multiples d'Heilbronner, deux cas de palliogéniej
« essentielle », puis les cas d'hystérie, les deux cas de « petites attaques multiples d'lleilbronner », le cas de porencéphal
terminées de l'écorce, et le résultat de celle augmentation esl une attaque jacksonnienne typique ; en cas de lésions diffu
; en cas de lésions diffuses dans les deux hémisphères intervient l' attaque épileptique classi- que. En effet, là où se mon
trent des modifications diffuses provenant d'un foyer déterminé les attaques , autrefois purement unilatérales, revêtiront au
général. De cette manière disparaissent les limites absolues entre attaques partielles et générales, entre épilepsie organiqu
re moins de sa pathologie. - Les difféi entes particularités de l' attaque et des prodromes (aura, etc.) pas plus que les
immédiatement avant l'at- taque et pour diminuer rapidement après l' attaque . Mais, malheureusement, la description de ces m
uels, au cours de la maladie ou simultanément, se sontproduites des attaques épileptiques, ou plutôt de l'épilepsie. Toutes le
s qui plaident en faveur de ce rapport réel entre la tétanie et les attaques épileptiques sont : 1° l'apparition des attaques
la tétanie et les attaques épileptiques sont : 1° l'apparition des attaques épi- leptiques simultanément avec la tétanie ou
c la tétanie ou au cours de la crise tétanique; 2° la fréquence des attaques de tétanie en concordance parfaite avec la fréq
s attaques de tétanie en concordance parfaite avec la fréquence des attaques épileptiques et 3° la disparition fréquente des
quence des attaques épileptiques et 3° la disparition fréquente des attaques épileptiques en cas de guérison de la tétanie. Re
mie se présentent, non seulement la tétanie, mais aussi souvent des attaques épileptiques plus ou moins complètes. Westphal
, des altérations anatomiques qui sont en relation directe avec les attaques épileptiques. Curschmann admet un rapport étroi
ent, à leur tour, des troubles du métabolisme qui sont la cause des attaques épilepliques ». D'après ma modeste opinion, cette
ez l'homme, qu'après la thyroïdectomie partielle se manifestent des attaques épileptiques, et quand, en outre, la majeure part
ues, dans lesquels, à la suite de thyroïdeclomie, se présentent des attaques épileptiques, combinées ou non avec la tétanie
nt (par conséquent avant l'opération) avaient été sujets déjà à des attaques épileptiques. Pour lous les autres cas, tout au
s. Pour lous les autres cas, tout autre facteur éoolo51que pour les attaques épileptiques faisait défaut, et il ne 2-este se
hénomène morbide. Cette série se compose de : 2 malades exempts d' attaques depuis trois ans et demi, 4 depuis une année, 6
IE 39fi r) personnes sans la moindre prédisposition héréditaire des attaques épi- leptiques t la suite de thyroïdectomie. Ce
taire des attaques épi- leptiques t la suite de thyroïdectomie. Ces attaques peuvent être encore groupées différemment : une
Ces attaques peuvent être encore groupées différemment : une seule attaque , relativement peu de temps après l'opération, d
relativement peu de temps après l'opération, des séries complètes d' attaques , aboutissant à un état de mal épileptique avec
éveloppement de phéno- mènes chroniques avec, de temps à autre, une attaque et ensuite tous les autres phénomènes secondair
nées, de trouver une explica- tion des phénomènes, spécialement des attaques , tant dans l'épilepsie es- sentiellè que dans l
ait atteint son maximum, alors vient la « décharge » c'est-à-dire l' attaque . Par l'attaque, l'organisme essaie, ne fût-ce mêm
maximum, alors vient la « décharge » c'est-à-dire l'attaque. Par l' attaque , l'organisme essaie, ne fût-ce même que temporai-
de toxines : l'urine qui s'écoule pendant ou immédiatement après l' attaque est très toxique et produit chez des animaux (l
'urine aussi bien que la sueur excrétées dans les périodes libres d' attaques ou interparoxysmales paraissent être pour les P
urine et la sueur excrétées immédiatement avant, pendant et après l' attaque . Cela prouve que ce n'est que pendant l'attaque
pendant et après l'attaque. Cela prouve que ce n'est que pendant l' attaque que sont expulsées, par les reins et la peau, d
débarrasser d'une quanti lé aussi grande que possible de toxines. L' attaque épileptique est donc vraiment une décharge, une
et comme réaction utile. En effet, les malades regardent aussi les attaques comme des déblayeuses de substances nuisibles :
ls ne se sentent pas bien, ils sont excitables, etc. « Pour eux une attaque est en route » ; l'attaque une fois passée, ils s
ils sont excitables, etc. « Pour eux une attaque est en route » ; l' attaque une fois passée, ils se sentent vifs, améliorés
ifs, améliorés et dispos et pensent aussi pour la plupart que celle attaque sera la dernière jusqu'à ce que, lentement^ l'a
atoires importants, c'est seulement en ce cas que se présentent les attaques après un temps plus ou moins long. Cela permet
pourquoi, à la suite de méningo-encéphalile dans le jeune âge, les attaques ne se produisent qu'après de nombreuses années
lation dans l'écorce céré- brale et de diminuer ainsi le nombre des attaques . Ilorsley dit aussi avec juslesse que l'opérati
ux cas, l'organisme réagit alors de la même manière, a savoir par l' attaque épileptique qui fait éva- cuer de l'organisme,
usieurs malades qui ont dé- passé la quarantaine, chez lesquels les attaques se manifestent déjà depuis de longues années et
ement non seulement sous le rapport des différents phéno- mènes des attaques , mais encore par tous les autres phénomènes acces
distinguées cliniquement l'une de l'autre ; les particularités de l' attaque aussi bien que les modifications du caractère e
atteinte. 5° Dans toutes les formes d'épilepsie, il faut regarder l' attaque comme une réaction de l'organisme pour se débar
reu- sement, cette névrose s'est modifiée dernièrement. Les grandes attaques et les grands accidents deviennent de plus en p
de malades nerveux racontent, en leur anamnèse, qu'ils ont eu des « attaques », dont la description désigne l'épilepsie, et il
sont habituelles, soit chez la femme, soit chez l'homme. Quand ces attaques surviennent à l'époque de la ménopause masculin
33 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
était en 1862; à celte époque, il paraît avoir éprouvé une première attaque de coliques. Vers le même temps, il fut pris de
roubles de la parole qui s'étaient déjà montrés lors de la première attaque soin actuellement beaucoup plus accusés. La par
des troubles intellectuels passagers. Oncle paternel présentant des attaques convulsives fréquentes avec perte de connaissan
vulsives fréquentes avec perte de connaissance, paraissant être des attaques épilep- tiques. Pas d'autres antécédents. - A
t se met facilement en colère. 11 frappe alors son adversaire, et s' attaque à tous les objets à sa portée. Il n'ajamais eu
que à tous les objets à sa portée. Il n'ajamais eu antérieurement d' attaques convulsives. Il y a huit jours, se trouvant à l
période de tristesse, causée par des chagrins particuliers eut une attaque , sans mouvements convulsifs et sans perte de co
s- DU BEGAIEMENT HYSTERIQUE.. · 17 sance. Consécutivement à cette attaque , apparaît une hémiplégie droite avec déviation
mp visuel). En 1887, hémiparésie droite survenue à la suite d'une attaque , avec perte de connaissance; on note alors : 1°
.. les troubles de la parole sont survenus brusquement à la suite d' attaques en 1885 et en 1887, en môme temps que d'autres
à peu sa langue s'embarrassait) et ne succéda cette fois ni à une attaque convulsive, ni à une émotion vive. Chez Dr...
et vraisemblablement, quoique nous ne l'ayons pas observé, d'une attaque convulsive. Peut-être existe- t-il dans ces cas
ez des hommes. Il[. - Ce trouble est d'ordinaire consécutif à une attaque d'aphasie de durée très courte. IV. - Il persis
ler cette donnée aussi vraie qu'elle est vulgaire, à savoir que les attaques épi- 58 RECUEIL DE FAITS. leptiques disparais
atteint d'épilepsie avec accès de folie fréquents à la suite des attaques . On n'a que très peu de renseignements sur ses
tir de cet âge. A vingt-huit ans, on a constaté une première grande attaque convulsive survenue pendant la nuit. Depuis, le
ère grande attaque convulsive survenue pendant la nuit. Depuis, les attaques se sont reproduites assez fréquemment, tantôt l
es assez fréquemment, tantôt le jour et tantôt la nuit. Ce sont des attaques typiques. A la fin, elles se sont compliquées d
leptiques qui ont passé iuaperçues. Actuellement, outre ses grandes attaques convulsives, il a des absences et des vertiges;
le service : homme robuste. Tous les organes sont sains, - grandes attaques épilep- tiques apparaissant à des intervalles i
peu près, à la CAS DE TETANOS CHEZ UN EPILEPTIQUE. 5U suite d'une attaque , accès de folie avec hallucinations et violence.
malade en cellule pendant quelques heures. Dans les intervalles des attaques , L... est assez tranquille, mais il conserve to
courir ce bruit. Ce délire n'est pas très absorbant, mais avant les attaques il devient plus intense, le malade récrimine, s
la conséquence d'une chute dans le foyer de sa chambre pendant une attaque . ' 2 février. Huit jours après son arrivée, le
aire avaler aliments et médicaments, à cause de la dysphagie. Pas d' attaques d'épilepsie. 12. - Amélioration. La raideur des
te plus, le dos repose sur le lit. La température est à 38°, â. L' attaque ne diffère en rien des attaques habituelles du ma
lit. La température est à 38°, â. L'attaque ne diffère en rien des attaques habituelles du malade : cri initial, pâleur de
rentrent en la rigi- dite tétanique en laquelle ils étaient avant l' attaque . Donc, sous l'influence de l'ictus épileptique,
ion avait commencé à se manifester. Le malade eut encore d'autres attaques épileptiques alors que le tétanos n'avait pas c
croit pas à leur existence et ne se sait pas dange- reux. Il a des attaques , mais il en a eu pendant de longues années chez
rielles produites à la longue dans le cerveau par la répétition des attaques , et'que son délire est un délire greffé sur la
de la perversion morbide nous est inconnu. Quant au mécanisme des attaques épileptiques, en s'en tenant seulement à ce qui
la découverte des centres corticaux psycho-moteurs. L'existence des attaques avec con- vulsion, absences, vertiges, somnambu
ppropriés, soit afin de les guérir, soit pour réduire le nombre des attaques à un minimum inférieur, soit pour les préserver
boissons alcooliques, les excès sexuels, les accidents pendant les attaques , les plaisirs fougueux, les excitations de tout
verbale); tel estl'état du malade jusqu'à sa mort produite par une attaque épileptifurllle. L'autopsie révèle : une encéph
rvation II. - G. M..., trente-huit ans, sujet depuis neuf ans à des attaques périodiques de paralysie dont la durée varie de
durée varie de quelques jours à deux ou trois semaines. Pendant ces attaques il est sombre, morose, ne parle pas et refuse d
vient d'observer que la malade n'était pas démente, et qu'entre ses attaques , qui n'étaient pas très fréquentes, elle était
chez eux. Dans l'état de mal et dans la période d'inconscience de l' attaque d'épilepsie, le tracé du pouls perd ses caractè
y quatre ans, au cours d'une colique de plomb, il a été pris d'une attaque d'épilepsie, suivie bientôt de plusieurs autres
sensibilité douloureuse de la tête à la percussion; pouls rapide : attaques épileptiformes ; idéation lente ; mémoire mauva
coït a chez certains individus une ressem- ';lance marquée avec une attaque d'épilepsie. Les excès sexuels déterminent asse
aine dernière, de l'usine Vanoutryve, parce qu'il élait sujet à des attaques d'épilepsie, a tiré deux coups de revolver sur le
portant. Dans la ligne paternelle : son grand- père est mort d'une attaque d'apoplexie, sa grand'mère est morte , très vie
n en moyenne. Jamais le malade n'a constaté avant l'apparition de l' attaque aucune cause qui ait pu lui donner naissance. I
la dernière fois elles commencèrent en novembre 1888. A la deuxième attaque , les douleurs, qui étaient restées la pre- mièr
une des plus violentes, la jambe entière fut prise. A la quatrième attaque elles furent moins vives; bien qu'empêchant AI1
près à son aise qu'étendu horizontalement dans un lit. Le dernière attaque disparut le 25 décembre 1888. Aussitôt les doul
ante-neuf ans, courtier en vins; aurait eu à quarante ans, quelques attaques d'é- pilepsie (mouvements convulsifs, écume à l
ts héréditaires. - Mère violente, colère, nerveuse, n'a jamais eu d' attaques de nerfs. Le frère de son grand-père (côté pate
iodes où les troubles hystériques se manifestent soit par la grande attaque convulsivc avec ses quatre périodes, soit par l
r la grande attaque convulsivc avec ses quatre périodes, soit par l' attaque simplement bornée à l'une de ces quatre période
e suivant : les premiers sont aux autres comme, ! est à 3. Durant l' attaque d'hystérie, la relation change, les phosphates
heilk., 1888.) Observation particulièrement originale en ce que les attaques convulsives débutèrent à la suite de lavages de
de l'estomac, et les essais d'hypnotisme provoquèrent toujours des attaques . Elle fut en tout semblable pour le reste à l'h
hez un individu bien portant jusque-là à tous égards se produit une attaque d'apoplexie qui laisse après elle de la surdité
IL ET du PIED ouvrant la scène, et ALTER- NANT, PLUS TARD, AVEC DES ATTAQUES ÉPILEPTIQUES ET ÉPILEPTOÏDES généralisées ; par
mes abaisse profon- dément le niveau de la courbe ; - 5° de courtes attaques et de petits in- tervalles n'influencent guère
té, érotisme, insomnie, fureur même, mais pendant cinq années pas d' attaques convul- sives. Le 4er novembre, cinq attaques i
ant cinq années pas d'attaques convul- sives. Le 4er novembre, cinq attaques isolées. En 1867, démence avec agitation. En 18
ien pour la vue. S'est plainte autrefois de la boule, aurait eu des attaques de nerfs. Du Archives, t. XX. 18 274 sociétés
rédisposé et entaché d'hystérie (troubles de la sensibilité, boule, attaques convulsives avant et depuis la maladie). La coule
poque jusqu'à l'âge de vingt-sept ans,ce malade ne présent jamais d' attaques d'épilepsie. Dans les derniers mois de sa vie, il
trente-un ans, entré en 1889 à l'hospice général de Rouen pour des attaques d'épilepsie partielle, remontant à 15 ans et su
ères et belles- soeurs des parents, enfin lorsqu'on a noté soit des attaques d'apo- plexie, soit des affections convulsives
des plus caractéristiques.. Antécédents héréditaires chargés, une attaque de nerfs antérieurs : début de la maladie pendant
ombiné aux crises épileptiformes et au ralentissement du pouls avec attaques syncopales ou épileptiformes sont rangés par M.
ndance des lois les plus rigou- reuses. C'est ainsi que la grande attaque d'hystérie, qui paraissait autrefois caractéris
es relations avec l'hystérie. Voici un malade qui, à la suite d'une attaque d'hystérie, se trouve dans l'impossibilité abso
nce des stigmates hystériques, les relations chronologiques entre l' attaque hystérique et le mu- tisme, la disparition brus
ui des sujets précédents; mais l'accident n'a pas été précédé d'une attaque d'hystérie, on ne sait encore quel sera son mod
ecté d'une hémianesthésie sensitivo-senso- rielle consécutive à une attaque . La nature hystérique de l'hémianesthésie ne se
s sont les argu- ments qui peuvent permettre de démontrer que les attaques sont liées à l'hystérie. Mais si ces divers ren
ne valeur capitale. S'il survient dans le cours ou à la suite d'une attaque d'hystérie, s'il est susceptible de succéder, e
I. Malade âgé de vingt-un ans. - Accès de migraine ophthalmique. - Attaques convulsives. Ces attaques sont par- fois précéd
ans. - Accès de migraine ophthalmique. - Attaques convulsives. Ces attaques sont par- fois précédées par une aura qui consi
lopie monoculaire, rétrécissement bilatéral du champ visuel. -' Les attaques convulsives et les accès de migraine se sont dé
st très impres- sionnable ; elle a eu, il y a de cela deux ans, des attaques sur les caractères desquelles nous manquons de
ur avec une grande anxiété, et à la date fixée, il eut une première attaque convulsive. Le lendemain à trois heures de l'
convulsive. Le lendemain à trois heures de l'après-midi, deuxième attaque semblable àla précédente, et pendant quinze jou
ar quelque signe précurseur. A partir du quinzième jour environ les attaques se modifient en ce qu'elles sont précédées par
et localisés seulement à la partie supérieure de l'orbite gauche. L' attaque survient alors : le malade tombe à terre, privé
gauche. Il se mord parfois la langue, mais ne pousse pas de cris. L' attaque dure habituellement dix minutes, et dès qu'elle
solument lucide. Le malade, prévenu par son aura de J'approche de l' attaque peut, par un effort de volonté, retarder le mom
ans être suivie de la vision lumineuse. D'autre part, l'aura de l' attaque convulsive, au lieu d'être cons- titué par la m
e consulter M. Charcot le 3 mars 1886. La veille encore il a eu une attaque , et comme on le voit, il présente les troubles
nsultation unmois après. Son état s'est no- tablement amélioré; les attaques -convulsives ont complètement disparu ; quant a
récissement du champ visuel à droite. - La malade est sujette à des attaques constituées comme il suit : battements dans les
, des vers, et l'administration d'un vermifuge la débarrassa de ces attaques . Quelque temps après elle contracta la scarlati
latéral du champ visuel, dys- chromatopsie, polyopie monoculaire. - Attaques hystériques qui se sont développées ainsi que l
e ophthttli ? 21giie.-Depziis que la migraine s'est développée, les attaques hystériques, qui étaient fréquentes jusqu'alors
sées, sans donner naissance à un mouvement réflexe quelconque ; des attaques hystériques caracté- risées par des contracture
n peut aussi en comprimant la région ovarienne droite suspendre les attaques (voir fig. 26 et 27) ; un rétrécissement double
es que par quelques particularités d'une importance secondaire. Ces attaques sont plus ou moins longues, elles durent parfoi
'heure. La pre- DE LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE HYSTÉRIQUE. 329 mière attaque était constituée, comme on l'a vu plus haut par
onstituée, comme on l'a vu plus haut par deux phases, qui, dans les attaques suivantes, se sont toujours succédés dans le mê
ules lumineuses reparaissent de nouveau et il survient une deuxième attaque sem- blable à la première. Ces attaques survien
et il survient une deuxième attaque sem- blable à la première. Ces attaques surviennent sans aucune régula- rité, à n'impor
'époque où ces accidents se sont développés, la malade n'a pas eu d' attaques hystériques, qui étaient fréquentes jusqu'alors
nément. Je crois utile d'insister à ce sujet sur ce que la première attaque s'est déve- loppée sans que la suggestion puiss
mi M. Parinaud a bien voulu examiner la malade pen- dant une de ces attaques provoquées par suggestion, au moment où la mala
ution de la migraine a été dans ce cas contemporaine de celle des attaques hystériques et ces deux états morbides ont prés
ux états morbides ont présenté les relations les plus étroites; les attaques convulsives et les accès de migraine se sont dé
y a plus ; la migraine, tout en apparaissant parfois en dehors des attaques convulsives, les pré- - cède souvent et en cons
de leur nature. Enfin, et ceci est tout à fait probant, l'aura des attaques con- vulsives, qui est constitué parfois, comme
s venons de le voir par la migraine, est représenté dans d'autres attaques par du mutisme; le mutisme et la migraine sont
riction dans la gorge, constituent, par leur union, des symptômes d' attaques hystériques frustes. Or il nous semble absolume
s précédents. En effet les accès de migraine ne sont pas liés à des attaques hystériques, et d'autre part on pourrait faire
les arguments 332 CLINIQUE NERVEUSE. qu'on peut invoquer : 1° Les attaques hystériques n'ont pas reparu à partir de l'époq
er que l'accès de migraine joue ici exac- tement le même rôle que l' attaque d'hystérie et en constitue un véritable équival
eux tentatives de suicide. - La mère est morte à l'Hôtel-Dieu d'une attaque de paralysie. ' Communication faite au Congrès
par des mouvements partiels des membres opposés, mais aussi par une attaque épileptique latérale. C'est la démonstration ex
ur toutes les fibres indistinctement, et de l'atrophie simple qui n' attaque que les fibres enlre-croisées, sans ordre, épargn
XLV. RECHERCHES CRITIQUES ET expérimentales SUR la pathogénie DE l' attaque d'épilepsie , par 0 . 1;IN5\'.1NGER. ( ! t1'Clt.
out un monde de muscles. Mais jamais il ne se produit de véritables attaques d'épilepsie. P. K. XLVI. L.1 fréquence croissan
lateurs de la chaleur somatique. Toutes les fois que se produit une attaque congestive, la température monte pendant plusie
La température de l'épileptique ne présente aucun carac- tère, les attaques élèvent la température. P. K. LXVIII. Deux cas
s vifs et plus d'un millier privés d'abri, rappelle les vigoureuses attaques VARIA. 455 dirigées contre celte. institution
dans un cas d' Jacksonnienne, par Boucher, 579; pathogénie de l' attaque d' -. parBuiswanger, 37 ; psychique, par Gersta
34 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
et l'allaitement ; femme intelligente, nerveuse, maisn'ajamais eu d' attaques . -[Père, 66 ans, sourd, a une cataracte; pas d'
ts sur lui. -J11èl'e mOt'te à 51 ans d'une gastrite; elle avait des attaques de nerfs qui survenaient pres- que tous les moi
contrariété : elle s'agitait pendant les 3 ou 4 heures que durait l' attaque et à lasuite fondait en larmes (attaques hysté-
3 ou 4 heures que durait l'attaque et à lasuite fondait en larmes ( attaques hysté- Tiques). - Grands parents maternels mort
chute, d'alcoolisme, L'accouchement s'est fait à terme. Elle a eu 6 attaques de nerfs pendant le travail; ces attaques n'ava
it à terme. Elle a eu 6 attaques de nerfs pendant le travail; ces attaques n'avaient pas été précédées d'oedème, de céphalée
es synco- pes durant la grossesse et pendant l'accouchement t des attaques probablement de nature hystérique. Tou- tefois
récis et il est possible de se demander s'il ne s'agissait pas là d' attaques éclamptiques. Puisque l'occasion s'en présente
- neuse, débauchée, alcoolique. Grand'mère paternelle morte d'une attaque d'apoplexie. Grand'mère mater- nelle buueuse. I
açon, mort d'une bronchite à 67 ans, sobre. Mère sobre, morte d'une attaque apoplectiforme ; 4 ans aupara- vant hémiplégie
me ; 4 ans aupara- vant hémiplégie gauche à la suite d'une première attaque . Grand père paternel mort à 88 ans de vieilless
strabisme léger; excès de boissons. Tante paternelle sujette à des attaques de nerfs. -- Arriére grand-père maternel, excès
âgée de 45 ans, ne s'est pas mariée parce qu'elle est sujette à des attaques de nerfs sur la nature desquelles il est imposs
ystème musculaire de convergence, c'est ce qui à lieu au début de l' attaque d'épilopsie ou d'hystérie (pendant la phase des
co)nptëtcducôtë<7auche. ZoMS hystérogènes. Aura. Description des attaques ; arc de cercle; délire de paroles. Marche de la
trouver]. Mère : 56 ans, intelligente, un peu nerveuse, mais sans attaques . (Père, mort d'éléphantiasis (Il avait été à Jéru
comme contrôleur aux omnibus, mais il fut renvoyé à la suite d'une attaque , sur la voie publique. C'est à ce mo- ment (187
s, surtout la -droite. Cette douleur s'exaspère seulement après les attaques . Il existe une autre zone au niveau des flancs
ule ne donne lieu à aucun phénomène. Aura ie médiate la veille de l' attaque , le malade est triste, mo- rose ; il a la tête
.Le goût paraît plus délicat à droite qu'à. gauche. DESCRIPTION DES attaques . 93 30 avril : Hydrothérapie. - 5 octobre : Sup
Le malade dit se sent bien moins nerveux. 16 mai. Description des attaques . Ses camarades et les sur- veillants ont remarq
sans divaguer. Cependant cette re- marque est générale à toutes les attaques et les faitprévoir envi- ron 7 à 8 heures d'ava
eoir pres- que sur son lit : les pupilles qui dans l'intervalle des attaques sont contractées se dilatent légèrement : la fa
par un nouveau grincement de dents qui pourrait faire croire à une attaque subintrante : mais il n'en est rien et au bout
d'un certain vice de prononciation. Il ne reprend jamais après une attaque le sujet de conversation qu'il avait avant, mai
t, mais il change à chaque fois : déplus, dans l'intervalle de deux attaques , il lui arrive souvent de s'arrêter au milieu d
corps au dessus du lit, comme s'il était poussé par un ressort. Ces attaques se présentent assez souvent par séries. 17 ma
ant ses crises. 16 juin - Le malade a depuis 3 jours des séries d' attaques . Le soir on le trouve étendu sur son lit, les t
tre d'une 11y17crcsthèsie notable au toucher qui détermine même une attaque du type décrit' plus haut. La compression de la
ne nouvelle atta- que. Hydrothérapie du 1'='' avril au 15 octobre : attaques plus nombreuses. 1883. Hydrothérapie du lor a
i : parfois il est un peu excité, mais l'est généralement avant ses attaques . 1884. 18 juillet. - Série d'attaques, comme ce
l'est généralement avant ses attaques. 1884. 18 juillet. - Série d' attaques , comme celles décrites ci-dessus. Bien des chos
s paraissent exagérées dans ces ac- cidents : témoin ce fait qu'une attaque cesse quelques secon- des après qu'on a parlé h
ien à la gorge. Cette aura commencerait 40 minutes au moins avant l' attaque et permettrait au malade de prévenir. Les phéno
dans tous les membres survenant soit au début, soit à la fin de 1' attaque , jamais à l'état isolé Ce serait une des phases
de 1' attaque, jamais à l'état isolé Ce serait une des phases de l' attaque . -Sensibilité spéciale, rien à noter sauf que l
do rêves érotiques avec pollutions sans rapport avec la période des attaques . Le tableau suivant permet d'apprécier la march
uper la corde. C'est la cinquième tentative depuis cinq mois. Ses attaques offrent les mêmes caractères et dans son délire
tre, 1891. 7 98 IIYSTÍmo-ÉPILEPSIE. ture de la clavicule dans une attaque . Actes atatontati- ques. Pollution et rêves ero
rée à l'entrée du malade. La description que donne son frère de ses attaques correspond ce que nous avons. pu observer. Il s
nt un grand danger. Puis arrive la perte de connaissance. Après l' attaque , il est assez longtemps à revenir : il peut mar-
le est plus exquise à gauche. - L'acuité visuelle Description d'une attaque . 101 gérait plus faible à droite; les couleurs
rairement à notre en fait d'hystérie. 2 février. Le malade a eu une attaques dont le surveillant fait le récit suivant : D'a
les bras et en répétant : oh ! Il n'urine jamais sous lui ; après l' attaque il a la migraine et est très abattu : dures env
lsions cloniques) et se relevant, s'est'mis à marcher en arrière. L' attaque totale a duré environ 1/4 d'heure : puis il s'e
n il est revenu à son lit et s'est couché. 11 juin. Hett.. a eu une attaque cette nuit. Voici le récit qu'en fait le survei
novembre : Température au moment de la période de; ronflement d'une attaque , 37°; un quart d'heure après l'atta- que 37°, 8
37°; un quart d'heure après l'atta- que 37°, 8; deux heures après l' attaque , 37°, 7. ' - Guérison. 103 15 décembre. Aura
on. 103 15 décembre. Aura : le malade prétend ne sentir venir ses attaques qu'un moment avant de perdre connaissance : il
sexuels et n'avoir jamais eu de maladies vénériennes. Il n'a plus d' attaques depuis le mois de mars 188 ! ), et s'il est res
RO-tPrLEPSIr, 105 Comme onle voit par ce tableau le malade a eu des attaques de deux espèces : l°de grandes attaques, 2° des
tableau le malade a eu des attaques de deux espèces : l°de grandes attaques , 2° des attaques incom- plètes qualifiés de ver
e a eu des attaques de deux espèces : l°de grandes attaques, 2° des attaques incom- plètes qualifiés de vertiges sur lesquel
morle aliénée. Accès de colère. Quelques excès de boisson. Première attaque en 1881, suivie de bégaiement, d'hémiplégie, de
bégaiement, d'hémiplégie, de contracture hystérique du côté gauche. Attaque apoplectiforme : Contracture des bras gauche. D
Déformation du pouce gau- che consécutive à un traumatisme dans une attaque . État du malade en 1885. From ? Louis-Marie,
sens auraient été négatifs, au dire du malade. D'un autre côté, les attaques s'étaient multipliées. Un mois après la premièr
con- trariétés, d'émotions ou même de la vue d'autres malades en attaques . Fr ? ne garde pas souvenir de ces crises; elles
que crise, il passait deux ou trois nuits agité et sans dormir. Les attaques ont persisté ainsi pendant 15 mois : au bout de
ès de bois- Antécédents. 107 son. Il continuai t avoir encore des attaques , mais très espacées. Puis il s'aperçut que les
tit au mois de février 1885. Pendant ce laps de temps, il eût des attaques tous les quinze jours en moyenne, on lui appliqua
homme de peine. 2° Il est noté que les accidents ont débuté par une attaque apoplecti- forme à la suite de laquelle il aura
près sa sortie de la Salpètrière il fut, en effet, à la suite d'une attaque transporté à la Chanté dans le service du profe
un étourdissement comme il en a d'habitu- de 5 ou 10 min. avant ses attaques : puis il a eu son attaque et est tombé sur le
n a d'habitu- de 5 ou 10 min. avant ses attaques : puis il a eu son attaque et est tombé sur le bord du trottoir : dans cet
e, brachycéphale; bosses occipitales développées. DESCRIPTION d'une attaque . 109 Description d'une attaque. Deux ou trois j
les développées. DESCRIPTION d'une attaque. 109 Description d'une attaque . Deux ou trois jours avant 1 attaque il a des d
taque. 109 Description d'une attaque. Deux ou trois jours avant 1 attaque il a des douleurs de tête intermittentes, la moin
t pas abondantes. Pas de mictions ni de selles involontaires. Cette attaque dure à peine quelques minutes, il reprend très
quelques minutes, il reprend très vite connaissance; mais après ces attaques le bras gauche et surtout la main sont contract
de prétend cepen- dant que sa mémoire a baissé depuis ses premières attaques . Il n'est pas méchant, ni querelleur, et s'occu
e avec déviation de la langue à gauche. Le malade a par jour 2 ou 3 attaques : elles sont plus fortes et plus nombreuses lor
ROCi ? PH : 1LIE. 117 7 causée par la vue d'une folle qui avait des attaques mal définies et que la mère de notre malade a s
père suicidé ; grand-père paternel mort fou. Pour mère nerveuse ( attaques ); grand- père maternel alcoolique ; grand'tante
ue, intelligente. Elle est un peu nerveuse, mais n'a ni migraine ni attaques de nerfs, etc. [Père, bien portant, excès de bo
ons dans l'enfance. Assez impressionnable, pleure facilement. Pas d' attaques ni de syncopes. Formée à dix-huit ans. 'Mariée
te âgée, de cause inconnue. - 3 sa urs, très bien portantes, sans attaques de nerfs, ont des enfants en bonne santé. Cou-
[Père, mort du choléra. Mère, sujette jusqu'à la ménopause à des attaques de nerfs, qui ontlaissé l'intelligence absolument
35 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
té aucun grand signe de nervosisme; elle n'eut ni somnambulisme, ni attaque convulsive. Elle ne se rappelle pas avoir uriné
malade n'urina pas sous elle, ne se mordit pas la langue pendant l' attaque . On provoqua une vive douleur par la pression sur
entuée, en même temps qu'elles se refroidissent. Nous craignons une attaque de : nerfs, et disons à la malade que nous nous
départ, qui n'eut lieu qu'au bout de onze mois. Il eutune nouvelle attaque de rhumatisme articulaire aigu en 1892 qui dura
notre malade qui, sous l'influence d'émotions, a vu apparaître une attaque convulsive, une émotion plus vive amenée par l'
autour de l'oeil droit chez un homme de vingt- deux ans sujet à des attaques de nerfs et paraplégique; dans le second chez u
- tion aurait l'avantage de faire- cesser presque brusquement les attaques comitiales et dans tous les cas de les rendre bea
ations d'ordre pathogénique. Partant de cette idée qu'à la base des attaques d'épilepsie se trouvent des troubles vaso-moteurs
n veut rapidement provoquer le sommeil, par exemple pour couper une attaque d'hystérie, mieux vaut la paraldéhyde et l'hydr
sur l'existence des stigmates de l'hystérie, sur la périodicité des attaques et la constatation de la cachexie palustre. Le pr
2) à l'étude d'un cas de maladie de Raynaud.Il décrit sous le nom d' attaques épi- leptiformes un tableau, facile à reconnaît
à reconnaître, de l'hystérie. Le malade, un soldat, était atteint d' attaques . « Quand on essaie de le soulever, dit-il, le t
e graisse. A la suite d'une séance d'électricité, il fut pris d'une attaque hystérique : larmes, cris, désespoir sans perte
vec l'autre main. Plus tard encore, elle eut dans la journée quatre attaques pendant lesquelles les doigts devenaient bleus
vinrent dou- loureuses et d'un froid glacial. Elle eut une violente attaque de nerfs à la suite de la mort de son père. Ell
thèse qui concerne une jeune fille de vingt-quatre ans, atteinte d' attaques de nerfs, avec perte de connaissance, sensation
. Marie. IV. RETOUR DU réflexe PATELLAIRE dans LE tabès après UNE attaque D'HÉMIPLÉGIE ; par H. JAcEsoN et J. TAYLOR. (Brit
s. P. S. XIX. UN cas D'HYSTÉRIE CHEZ UN enfant, caractérisé par DES attaques RÉGULIÈRES DE léthargie, traitement par l'hypno
t. IV, 1893, p. 556.) Blessures de la tête; quelques semaines après attaque de mu- tisme, précédée de vertiges pendant plus
cédée de vertiges pendant plusieurs jours; retour régu- lier de ces attaques tous les mois, avec apathie complète ; durée de
u, de la conjonctive; ulcérations générales; oedème des extrémités; attaques syncopales, mort; hématome de la dure-mère. P.
ehors de l'éclampsie. J'ai supposé que les paraly- tiques à grandes attaques . avaient quelque chose de plus que les paralyti
s attaques. avaient quelque chose de plus que les paralytiques sans attaques . En dehors de la lésion et du trouble congestif
onstater que le sang des paralytiques généraux, recueilli après les attaques épileptiformes, prenait fréquemment des caractè
ificiel à la dose de 1.000 à 1.500 grammes amélioraient parfois te5 attaques des, paralytiques généraux, comme elles amélior
ne croit pas à l'efficacité de la saignée, comme moyen curatif des attaques épileptiformes. M. Charpentier. Nous sommes tou
icité du sang ne résulte pas du travail musculaire qui accompagne l' attaque épileptiforme. M. Brrnd n'a aucune opinion à ce
toujours fait mes saignées à un moment très rapproché du début de l' attaque . Cette méthode m'a souvent donné de bons résult
ammes seulement). M. Vallon pense qu'il peut y avoir des cas où les attaques épi- leptiformes des paralytiques généraux ont
n, ans, ayant depuis l'âge de sept ans, présenté un nombre infini d' attaques s'élevant souvent au chiffre de 120 par mois. L
infini d'attaques s'élevant souvent au chiffre de 120 par mois. Les attaques devenaient presque subintrantes au moment des r
inistra opium et bromure et, depuis le 8 août 1893, elle n'a plus d' attaques . Son état mental s'est modifié; elle a récupéré
ten nous avons recours à la méthode de Flecnsig dans les cas où les attaques d'épilepsie se compliquent d'angoisse. Dès qu
s qui, tout à coup, à la fin du mois d'août 1893, fut atteint d'une attaque d'épilepsie complète. Perte de connaissance per
persistant pendant vingt-quatre heures et entrecoupée de plusieurs attaques semblables. Depuis lors, rareté des grandes att
e de plusieurs attaques semblables. Depuis lors, rareté des grandes attaques , très grande fréquence des petites attaques. Le
ors, rareté des grandes attaques, très grande fréquence des petites attaques . Les unes, c'est le cas le plus fréquent, sont
e malade perd connaissance. Permanence presque constante, entre les attaques , de légères con- vulsions des muscles, des cuis
Formications dans les mêmes endroits avec excerbations avant les attaques . Parésie actuelle et raideur de la jambe droite q
r de légers accès d'exci- tation maniaque. En 18-j et 72, plusieurs attaques épileptiformes n'ayant pas reparu depuis. A la
s intestin avec évacuations muco-sauguinolentes; dans l'après-midi, attaques épi- leptoïdes répétées avec perte de connaissa
hiviste : D1' Cruet ; trésorier : M. Jules Robyns. Traitement des attaques d'épilepsie (Lemoine.) Lavement. 160 ERRATA.
II mort sitiophobe. Louis Xt dégénéré, mort consécutive à plusieurs attaques d'apoplexie. Cause déterminante : fièvre typhoï
l'hypnose dans le service du Dr Guyot. En mars 1887, elle eut une attaque de rhumatisme articulaire aigu. Un matin en se
alcooliques de la malade devaient nécessairement faire songer à une attaque de delirium tremens, mais il manquait la fièvre
stème nerveux ; comme d'autres poisons de la même classe, elle ne s' attaque que sur un système nerveux affaibli et ces caus
t revêtu de cet attirail étrange qui pèse trente kilogrammes. LES attaques épileptiformes dans LE COURS DE la paralysie gé
paralysie générale. M. CIIRISTIAN fait une communication sur les attaques épilepti- formes dans la paralysie générale.
théorie qui attribue aux aulo-ititoxi- cations la production de ces attaques ; il considère celles-ci comme faisant partie i
ons sanguines est contre- indiqué. M. G. Ballet. Le mécanisme des attaques épileptiformes dans la paralysie générale, est
annonçant l'arrivée des accidents épilep- tiques ; puis la première attaque éclate; mais la langue au lieu de revenir ensui
est pas terminée ; en effet, après ce moment de répit, de nouvelles attaques surviennent. C'est seulement lorsque la langue
accident épileptique, que ce soit un vertige, un accès, une série d' attaques ou une période d'agitation ; ensuite ils dispar
d il y a série. Eux aussi, facilitent la détermination en série des attaques comitiales, quand il y a vingt-quatre ou quaran
présence de l'al- bumine en grande abondance dans l'urine après les attaques , mais il ajoute que cette albumine n'est pas co
IOLOGIE PATHOLOGIQUE. DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE. 273 c d' attaque et cependant il y a inversion des phosphates. (An
e, pas très longue, de ce symptôme, elle n'essaya pas d'écrire. Les attaques convulsives furent assez fréquentes pendant les h
adie; après ce temps elle semble avoir passé plus de deux mois sans attaques . Toutefois, au commen- cement d'avril, elle sub
ques. Toutefois, au commen- cement d'avril, elle subit une nouvelle attaque qui se répéta, en augmentant d'intenité..1 14 e
elle-même et ceux de son père, elle était avertie de l'arrivée de l' attaque par une sensation de tremble- ment du bras droi
bles psychiques post-épilep- tiques. La céphalalgie consécutive des attaques siégeaitdans la ré- gion frontale, parfois auss
sium. Sous l'influence d'une médication bromurée assez intense, les attaques diminuèrent de fréquence, mais elles ne cessère
ent l'antisepsie intestinale pratiquée d'après M. Féré. Outre les attaques complètes, elle en avait aussi d'incomplètes. D
seignements fournis par la malade elle-même et par ses parents, les attaques complètes ne différaient entre elles qu'en degr
entre elles qu'en degré, et je peux regarder comme typique la seule attaque que j'ai eu l'occasion d'observer moi-même. Le
je lui adressais, lorsque subitement elle dit : Il va me venir une attaque . Son expression était alors anxieuse, et dans l'a
mmédiatement après, elle tomba sans connaissance sous le coup d'une attaque épileptique bien caracté- risée par des convuls
nvulsions généralisées d'emblée, d'abord toniques puis cloniques. L' attaque était d'intensité modérée. Après un état comate
lle put quitter mon cabinet appuyée sur le bras de son frère. Les attaques incomplètes étaient identiques au commencement
. Les attaques incomplètes étaient identiques au commencement des attaques complètes. La malade sentait des spasmes du bras
t portée jusqu'à 8 grammes par RECUEIL DE FAITS. 295 jour, et les attaques rudimentaires étaient toujours fréquentes. Elle
statait une aug- mentation manifeste de l'affaiblissement après les attaques . Au mois de janvier 1891 elle n'eut pas de gran
rès les attaques. Au mois de janvier 1891 elle n'eut pas de grandes attaques , mais en février elle en eut plusieurs après la
, le fond de l'oeil fut trouvé normal. La malade souffrait donc d' attaques épileptiques classiques, tou- jours prédédées d
t. Souvent il se produisait des convulsions localisées, sans qu'une attaque épileptique suivit; mais jamais il ne se produisi
qu'une attaque épileptique suivit; mais jamais il ne se produisit d' attaque épileptique non précédée de ces convulsions local
gique ou peut-être tumeur caséeuse, comme lé- sion provocatrice des attaques . Mais toute la maladie s'explique le mieux en a
part à une embolie les symptômes de début, y compris les premières attaques , et d'autre part au foyer ou kyste consécutif l
s, et d'autre part au foyer ou kyste consécutif la continuation des attaques . Quant au siège de cette lésion, il était hors
t la cause non seulement des convulsions localisées, mais aussi des attaques classiques d'épilepsie, ne me .paraissait pas d
epsie, ne me .paraissait pas douteux, la malade n'ayant jamais eu d' attaques qui ne débutassent pas par les convulsions loca
parfaitement bien jusqu'au 19 mai, époque à laquelle elle eut deux attaques du même type que les antérieures. Elle commença
bromures, à la date de 4 grammes par jour, et jusqu'à présent les attaques ne se sont pas répétées. Je l'ai vue le 7 août.
à cette question il faut d'abord attendre un an ou deux.- Les deux attaques qu'elle a eues ne prouvent pas le contraire. On
u'elle a eues ne prouvent pas le contraire. On voit quelquefois les attaques se répéter dans les premiers temps qui suivent
de déclarer un malade guéri, parce qu'il a passé quelques mois sans attaques . On a vu les attaques faire une pause de plusie
guéri, parce qu'il a passé quelques mois sans attaques. On a vu les attaques faire une pause de plusieurs mois, d'un an même
qui me fait espérer une guérison dans ce cas, c'est que toutes les attaques de la malade ont commencé par les convul- sions
relation exis- tant dans ce cas entre les convulsions localisées, l' attaque d'e7eeyac/i'soMtetM ? e, et l'attaque d'épileps
les convulsions localisées, l'attaque d'e7eeyac/i'soMtetM ? e, et l' attaque d'épilepsie classique. Les observations ne nont
ue d'épilepsie classique. Les observations ne nont pas rares où les attaques d'un malade commencent par des convulsions loca
s du corps. Après une courte période de convulsions localisées, une attaque classique d'épilepsie se produisit : la malade
rtoreuse et irrégulière, irrégularité avec accélération du pouls. L' attaque dure à peu près deux heures ; à ce ' moment le*-
onnes qui l'entourent, pouls fréquent(102) et irrégulier, nouvelles attaques convulsives suivant la même marche et descendan
e connaissance, gâtisme.' Puis, le pouls devient ' lent (60); cette attaque dure trois quarts d'heure, le patient revient''
es- tations extérieures. Elles se manifestent complètement dans l' attaque d'hystérie, dans le somnambulisme, en un mot pen-
que je vous décris se présen- taient de cette' manière sous forme d' attaques extrêmement curieuses, ! de somnambulisme, de c
disparaissent'et réapparaissent sous'différentes influences, les attaques , les sôinnâmbulismes; les suggestions, etc. Ce pr
e' vérifié encore dans le cas présenta d'abord la'malade n'a plus d' attaques et je n'ai pas l'intèntion`'dé` chercher à les'
été déterminés de la même manière. Je ne parle pas seulement de ses attaques hystériques et, de ses impulsions, mais même de
is pas intégralement. Un an après^en 1886, à la suite de nombreuses attaques , elle a pré- senté une première fois de l'aphas
février elle est aphasique et hémiplégique du côté droit; dans ses attaques le côté gauche se contracte en flexion, le côté d
n homme ivre. A la suite de cet accès elle fit unefugue; depuis les attaques n'ont fait qu'augmenter en nombre et en inten-
n père arthritique et d'une mère nerveuse, qui a elle-même eu une attaque de chorée pendant son enfance, cette attaque a du
qui a elle-même eu une attaque de chorée pendant son enfance, cette attaque a duré 382 RECUEIL DE FAITS. six mois. Une ta
t légèrement obèse. L'enfant en dehors de sa chorée n'a jamais eu d' attaques de nerfs. Elle ne présente ni anesthésies, ni h
bien sou- tenue par G. Sée, H. Roger, Archambault qu'une première attaque de rhumatisme n'a été accompagnée chez cette mala
cheveux. Deux ans après cette guérison, en septembre 1885, nouvelle attaque pendant onze mois. Mort dans l'été de 1886. L
ninges ou des autres nervures; enfin quelques auteurs pensent que l' attaque épileptiforme est liée à des hydro- pisies vent
e c'est l'inverse qui se produit dans les SOCIÉTÉS SAVANTES. 399 , attaques d'éclampsie liées à l'urémie et qui s'accompagnen
subs- tance rénale qui ont considérablement diminué le nombre des attaques . Les quantités injectées sont de deux grammes du
cinq parties de la glycérine. M. CHRISTIAN. On ne peut comparer les attaques épileptiques franches avec les attaques épiiept
AN. On ne peut comparer les attaques épileptiques franches avec les attaques épiieptiformes des paralytiques géné- raux. M
fille éprouve pendant plusieurs jours, au cours de ses règles, des attaques con- vulsives persistantes. Celles-ci passées,
ade a eu des convulsions ; réglée à seize ans, elle eut sa première attaque à la suite d'une frayeur, à dix-sept ans. Gross
s suivons dans son évolution l'état saburral, prenons le cas où les attaques se présentent en série et sont suivies de troub
, et qui con- siste à médicamenter les épileptiques dès la première attaque , sans prendre soin de rechercher les causes pos
oublier que lorsque par un traite- ment quelconque on libère de ses attaques un épileptique chro- nique au même degré que pa
e; que si, par surcroit, on a obtenu une diminution appréciable des attaques , on a rendu au malade un double service; et enf
taques, on a rendu au malade un double service; et enfin que si les attaques sont 468 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. complètement
I;EC11TERE\V. N821Y0101 ? Cen- li,albl., XIII, 1894.) Puisque les attaques d'épilepsie ont pour substratum physiolo- gique
sont affectés, y ont recours dès qu'ils sen- tent venir ce genre d' attaques . Mais bientôt les accès augmentent d'intensité
nts. P. S. XXIII. Du rôle de l'aulo-intoxication dans la genèse des attaques apo- plectiformes et épileptiformes de la paral
vantes : Il y a lieu d'admettre que dans un grand nombre de cas les attaques apoplectiformes et épileptiformes de la paralys
peu dans un travail uniquement expé- rimental sur la pathogénie des attaques épileptiformes dans 1(i pa ? ,@ily- sie général
nérale et en particulier chez les paraly- tiques généraux à grandes attaques , la toxicité du sang peut être augmentée. Dans
ables à ceux de l'urémie con- vulsive ou comateuse et qu'on dénomme attaques apoplectiformes ou épileptiformes. 3° Le séru
viscères tels que le foie. 5° Les paralytiques généraux indemnes d' attaques seraient ceux qui conserveraient in extremis le
, 210; la est-elle une maladie infectieuse, par Bannis- ter, 211; attaques épileptiformes dans la -, par Christian, 225 ;
e dans la -, par Hoche, 325; étiologie de la-, par Hoogberg, 390; attaques épi- leptirorrnes de la -, par A. \'or- siii,
par A. \'or- siii, 398; du rôle de l'auto-intoxi- cation dans les attaques apoplec- tiformes et épileptiformes de la - ,
, par Marris, 38 ; retour du - patellaire dans le tabes après une attaque d'hémiplégie, par Jackson et Taylor, 120 ; dans
36 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
ues. Nous n'affirmons pas, parce que, dans les cas de ce genre, les attaques ne se montrent ordinairement, au début et quelq
oir. Mais quand l'épilepsie commence, quand on en est aux premières attaques , je pense qu'on peut espérer du succès. » Bec
s (frictions, demi- bains, affusions dorsales) font disparaître les attaques ; je sais que ce résultat est possible dans beau
ausées ; elle est nerveuse, im- pressionnable, mais n'a jamais eu d' attaques de nerfs ni de svncones. \Père. marchand de vin
est nerveuse, colérique, pleure facilement, mais n'a jamais eu d' attaques de nerfs, de syncopes ou de migraines. [Père, m
acilement; mais elle était autrefois très gaie; elle aurait eu deux attaques de nerfs, une 1 ) De tous ceux qui s'y trouvaie
e aurait commencé en 1868 ; elle était nerveuse, mais n'avait pas d' attaques de nerfs; sujette aux migraines, elle n'a eu ni
e fille qui a maintenant 18 ans ; celle-ci se porte bien, n'a pas d' attaques de nerfs (deux autres enfants sont morts de con
d'épilepsie.- Mère nerveuse. - Viol (1869). - Grossesse accidentée ( attaques d'hystérie). - Amélioration. Cabo..., Léon, 1
ès de boisson très rares (vin). Fume très peu. Assez nerveux; pas d' attaques . Marié à vingt-trois ans. [Père, soixante-quatr
en 1857 un ictère consécutif à une peur; assez nerveuse, maislpas d' attaques ; cependant,à l'époque de la puberté, elle a eu
Cauchemars, épistaxis, incontinence nocturne d'u- rine. Première attaque Ù 8 ans. Paralysie (lén6- ralisée consécutive a
Première attaque Ù 8 ans. Paralysie (lén6- ralisée consécutive aux attaques (13 ans) et compliquée d'oedème des membres inf
es supérieurs ; guérison graduelle de la paraplégie. - Retour des attaques . - Excès alcooliques. Premiers rapports sexuels
0 : Anesthésie générale ; zones hystérogènes; aura. Description des attaques .- Attaque épileploide. - Action des aimants sur
e générale ; zones hystérogènes; aura. Description des attaques.- Attaque épileploide. - Action des aimants sur la sen- s
ants, mais elle était très impressionnable, quoi- que n'ayant pas d' attaques de nerfs ; pas d'excès de boisson. [Père, pas d
des enfants mort en bas-âge; 2° garçon, 23 ans, bien portant, pas d' attaque , mais est très emporté; il passe pour avoir « l
; 2° Fille, ans ; 3° Fille. 7 ans ; tous trois bien portants, sans attaques . Notre malade. - Il ne sait rien sur ses premiè
r du perchlorure de fer ; c'est à cela qu'il attribue ses premières attaques . Mais, déjà, il était nerveux ; il rê- vait bea
pour me punir. » Depuis cette époque, il aurait eu environ 2 ou 3 attaques par semaine jusqu'à l'âge de 13 ans; à la suite
les membres inférieurs n'ont guéri que bien plus lente- ment. Les attaques , qui avaient cessé pendant la paralysie, ont re
mença à faire des excès de boisson (absinthe, eau-de-vie); mais ses attaques l'ayant repris, il fut interné à l'asile de Blo
re de la montre vo- lée sur laquelle il revient souvent pendant ses attaques et que nous raconterons plus loin, telle qu'il
de sang rendue à la fois dépassait souvent un verre. Peu après les attaques le reprirent; ramassé sur la voie publique, il
s de point sous-mammaire. Pression des testi- cules négative. Les attaques sont annoncées par des phénomènes pré- curseurs
mant peu à peu en tristesse et en besoin de solitude à mesure que l' attaque approche. 2° Aura immédiate. Le sang remonte à
puisse prévenir et quelquefois môme se faire attacher. Toutes ses attaques , ici, sauf une, sont venues la nuit ; elles dur
i-heure. Il parait y avoir une phase d'extrême agitation : dans une attaque , il a tordu les barreaux de fer de son lit; une
-même. D'une manière générale, tout ce qu'il a dit dans sa dernière attaque était triste; à certains moments, il avait l'ai
ne imaginaire dont il écoutait ensuite la réponse.- DESCRIPTION DES ATTAQUES . 127 Il ne se rappelle absolument rien de tou
l'addition. Peu de con- naissances en gymnastique. 10 décembre. - Attaque . A 2 h. 1/2, il rentrait en classe quand, tout
lors je vais aux cabinets pour les cacher. ») Mais, sentant venir l' attaque , il veut retourner au gymnase et appeler l'infi
r l'attaque, il veut retourner au gymnase et appeler l'infirmier. Attaque , - Période épileptoïde. En descendant l'esca- l
En descendant l'esca- lier de cinq marches qui mène aux latrines, l' attaque éclate ; il saisit la rampe en fer, la descelle
it de camp, il lâche les barreaux et se relève ; pas de délire. L' attaque a duré environ 10 minutes et parait avoir été t
x. des deux côtés, 37°. 7 h. 25 du soir. - Le malade est pris d'une attaque d'hystérie : Pas de cri initial, pas de période
sionné par une simple piqûre. Cinquante minutes après le début de l' attaque , F... est courbaturé ; il accuse une violente c
s notes de M. Doutrebente. 132 HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. traitement, les attaques se sont espacées d'abord, puis ont disparu défi
de publier cette observation, nous répond que Freit.. n'a pas eu d' attaques dans le courant de cette année; qu'il n'a pas e
sont bientôt aggravées par des excès alcooliques et vénériens. Les attaques se com- pliquent d'une paralysie généralisée.
m- ble bien être de nature hystérique. En effet, elle a suivi des attaques hystériques et, en ce qui concerne les membres
, elle a guéri subitement. HYSTÉRIQUES ET POSSÉDÉES. 133 III. Les attaques ont été accompagnées d'hématé- T/1.èses : c'est
l'ai- mant sur l'anesthésie; - 2° l'existence, à l'état isolé, d' attaques épiteptoïdes, qui ont induit bien des obser- va
servation de Geneviève B... (l)et de Adeline Parm... (2). V. Les attaques de Freit... se sont montrées surtout la nuit et
i qui est relatif à la vigueur ex- traordinaire déployée durant les attaques - on disait miraculeuse dans les récits relatif
urs reprises. Pendant les deux mois suivants, rien; puis, troisième attaque de convulsions qui a coïncidé avec l'apparition
igente ; peut- être un peu faible, mais elle a été malheureuse ; ni attaques de nerfs, ni convulsions, etc.; n'a jamais été
37 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
on maniaque. - Rougeole. v Tableau des accès, des vertiges et des attaques . EOSINATE de SODIUM. 29 Cards croûteux du côt
gles normaux. En juin, juillet, août 1897, 3 accès, un vertige, 3 attaques ; en 1898, 13 accès, 12 vertiges et pas d'atta-
2 vertiges et pas d'atta- quels ; en 1899, 11 accès, ni vertiges ni attaques . Oss. XIII. - Épilepsie héréditaire. - SOMMAI
n/stque. Pas de convulsions. - Intelligence nor- malle. - Début des attaques en octobre lob97. - Affaiblis- sement simultané
e à treize ans. - Traitement médico- pédagogique. - Disparition des attaques . - Amélioration z progressive de l'état .intell
Mère, « névropathe des plus accentuées», sans cependant avoir des attaques de nerfs. Caractère peu commode. Morte onze jou
ontrariété, au moindre ennui (leçon non suc, devoir non fait) a des attaques de durée variable. Il en a eu jusqu'à neuf par
à bégayer et le bé- gaiement ne disparut qu'il la réapparition des attaques . Dans l'impossibilité de garder plus longtemps
ise, la marche, tendance à se voûter. Lorque Gabriel a eu plusieurs attaques consécu- tives, il marche les cuisses serrées l
- Volonté plutôt active mais facile il entraîner. Description d'une attaque . - Gabriel est debout adossé au chambranle d'un
térie .mâle de l'enfance. et les fesses de l'enfant. A mesure que l' attaque se continue, la face tout en restant congestion
tent immobiles même si on fait passer un objet devant les yeux. L' attaque proprement dite a duré dix-huit minutes. Puis G
e tétaniforme en même temps que la face reprend la physionomie do l' attaque . Les bras restent quelques secondes raides mais
scolaires et manuels, traite- ment moral. Février. - Le 10, trois attaques . - Le 43, une (décrite ci-dessus). - Le I trois
Le I trois. - Le 15, deux. - Le 17, deux. Le 18, doux. - Toutes ces attaques ont présenté les mêmes caractères que celle du
e qui lui donne l'angoisse de l'étouffcmcnt. Quelques heures après, attaque . Description des attaques. 89 Le 27, deux att
de l'étouffcmcnt. Quelques heures après, attaque. Description des attaques . 89 Le 27, deux attaques; elles se sont succédé
s heures après, attaque. Description des attaques. 89 Le 27, deux attaques ; elles se sont succédé à une demi- heure d'inte
, etc. Il fait les mouvements d'une personne qui se défend et qui attaque , les poings sont fermés, l'avant-bras replié sur
tanlôt la frayeur, tantôt la colère ; il ne bave plus. La deuxième attaque a présenté les mêmes caractères en raccourci ;
mêmes caractères en raccourci ; durée, dix minutes. - Le 28, une attaque ; dans la période de résolution, Gabriel tout en
un obstacle s'oppose à leur contact. - Toutes les fois qu'il y a eu attaque dans la journée, la nuit l'enfant est très agit
ulièrement que le; permet son état. Mars, - Même traitement. - Onze attaques en tout. Durée moyenne quatre minutes. La rigid
ge caractérisé par la fixité du regard, durée dix secondes. - Le 5, attaque complète, durée vingt minutes. - Le 21, sommeil
rès caractérisée : clou hystérique, rachialgie, zones hystérogenes, attaques bien définies. IV. La maladie débute à douze an
nous montre le bégaiement venant, pour ainsi dire, remplacer les attaques , et leur céder la place dès qu'elles se repro-
ence du traitement méclico-péclago- gique, l'activité se règle, les attaques diminuent et disparaissent, la mémoire se raffe
lège, et, tout nous permet de croire qu'il y a eu guérison, car les attaques n'ont pas reparu depuis mai 1898. ' OBS.- II.
crânienne, etc.) Traitement nédico-pédagogir2ce. - Disparition des attaques . - Som- zxambulisnze. - Amélioration progressiv
oir même de son entrée a l'Institut-Médioo- pédagogique, R... a une attaque . A 9 heures du soir, il venait de quitter la sa
res de géographie et d'histoire de France. Dans le moi.s de Juin, attaques semblables iL celles de Mai. Juillet. - Le 7 ju
es les membre se relâchent, la respiration se fait plus aisément, l' attaque ; parait terminée. Doux minutes et demie environ
x minutes et demie environ après, nouveau cri strident eu; nouvelle attaque en tout semblable iL la première, moins prolong
dant. En une demi-heure, nous comptons onze cris stridents suivis d' attaque , séparées par de courtes rémissions. A la fin d
trangulation et d'obnubilation de la vue immédiatement avant chaque attaque . Il dit cependant avoir le temps de s'écarter d
perçoit vague- ment le cri qu'il pousse et à certains instants de l' attaque il se rend confusément compte qu'on l'entoure e
e qu'on l'entoure et qu'on parle a côté de lui. Il verrait dans ses attaques des animaux fantastiques, terrifiants, tels que
es, terrifiants, tels que des dragons, puis ce sont Description des attaques . 99 des rats, clos souris qui courent autour de
sont sous les doigts de 'véritables ondulations de serpent. Cette attaque prolongée a durée une heure et demie, avec quelqu
rée, en raison directe de la force du cri. Tout le temps que dure l' attaque , le pouls est irrégulier, tantôt lent, tantôt p
Les mains sont plutôt fraîches, le front n'est pas chaud. Durant l' attaque l'abdomen s'aplatit. A chaque rémission de rigi
commissure interne des paupières. Xi avant, ni pendant, ni après l' attaque nous ne constatons de miction, de défécation, (
nom. La nuit a été tranquille, le sommeil très profond. Le; ? Il. attaque isolée, élans le genre de celle du 1er mai. Le
té exactement de deux heures et demie. Le 31 juillet Il ... a une attaque d'une durée de 15 minutes, présentant les mêmes
devient capable d'un effort personnel. - lt... n'a eu qu'une seule attaque de la durée de dix minutes environ. En revanche
a durée de dix minutes environ. En revanche, il s'est produit trois attaques de somnambulisme dans la nuit du 7, du 17 et du
arriération intellectuelle de l'enfant est antérieure à la première attaque ; l'apparition de l'hystérie n'a exercé d'influ
r assisté à aucune crise, nous n'avons pas hésité dès les premières attaques Ù reconnaître l'hystérie m;1/e. V. La maladie
ès une rémission de deux mois, coïncide avec une réapparition des attaques . 104 Hystérie mâle de l'enfance ; guérison. V
2. Il. était accompagné des certificats ci-après : il juin 1882 : Attaques d'épilepsie, accidents paralytiques passagers a
. 18 juin 1882 : Est atteint de débilité mentale avec épilepsie ; attaques suivies de trouble mental. - Signé : Magnan. An
1888. - Traitement médico-pédagogique à Bicêtre : Des- cription des attaques . - Torticolis, etc. - Disparition des attaques,
Des- cription des attaques. - Torticolis, etc. - Disparition des attaques , sortie (novembre 1893). 1894-1900. - Maintien
crispées », il a pleuré et a demandé à boire. Pas de Caractères DES attaques . 143 perte de connaissance, pas d'écume ni d'év
normales. 1889. Février. - Broncho-pneumonie, durant laquelle les attaques ont été suspendues. 6 mars. - Une attaque, à la
e, durant laquelle les attaques ont été suspendues. 6 mars. - Une attaque , à laquelle assiste M. Sorel, interne du servic
la sensibilité générale ni des sens. 144 Description ET marche DES attaques . Juin. - Description d'une nouvelle attaque (1)
cription ET marche DES attaques. Juin. - Description d'une nouvelle attaque (1) : chute accompagnée d'un cri léger ; mouvem
- Durée totale de l'at- taque 15 minutes. Les caractères de cette attaque ne laissent aucun doute sur la nature de la mal
il au 30 novembre des douches. De plus, école et gymnastique. Ses attaques ont eu la marche suivante : Décembre 1888, 8 ;
en août 6 ; - en novembre et en décembre 2. Au total 110. - 1890, 4 attaques (1) Nous réservons le mot accès, aux accidents
t ; au total 10. - Rien de septembre 1890 àj uillet 1891. - 1891, 8 attaques en août, 15 en septembre. - A partir de là jusq
- A partir de là jusqu'à ce jour, c'est-à-dire en deux ans, ((ucune attaque . De l'entrée au mois de septembre 1891 on aurai
is sa sortie jusqu'au 4 septembre U898, il n'avait pas eu une seule attaque . Ce jour là il but une absinthe suivie d'un ver
qui a eu lieu alors que depuis 2'i mois, il n'avait plus eu aucune attaque . Après avoir été docile, obéissant, laborieux,
ement des céphalalgies. Grand-père paternel mort probablement d'une attaque d'apo- plexie à 46 ans; pas d'excès. -Grand'mèr
s après, elle a été effrayée par les cris d'une femme qui avait une attaque : « Je n'ai pas perdu con- naissance, mais je m
sférée, formulait ainsi son opinion : « Même état; à la suite d'une attaque hystérique, surdité. » En octobre, elle était s
eaucoup de coliques de plomb, des paralysies saturnines,m ais pas d' attaques d'éclampsie. Sa mère est morte de la poitrine à
ments fréquents pendant les trois premiers mois ; elle n'a pas eu d' attaques d'hystérie durant sa gros- sesse. L'accouchemen
, se met vite en colère, pleure aisément ; n'a pas de syncopes ou d' attaques de nerfs, mais des migraines fré- quentes, avan
du Progrès Médical). SA.DRAIN (G.). Étude sur le traitement cles attaques d'hystérie et des accès d'épilepsie. In-8° de 5
38 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e Romande, 1900, n° 12.) Il s'agit d'un malade qui à la suite d'une attaque d'apoplexie fut atteint d'une hémiplégie du côt
, anorexie, cessation de l'accès après sommeil, face pâle pendant l' attaque , sont ses principaux symptômes; accessoirement
9 observations sont alors données par K. Ebing, dans lesquelles les attaques d'épilepsie arrivent en même temps que les attaqu
lesquelles les attaques d'épilepsie arrivent en même temps que les attaques d'hémicranie, jamais indépendamment d'elles, et
très vague. - ... 6° L'aura visuelle peut survenir sporadiquement ( attaque avor- tée)... Une névrose ne peut être regardée
raît sous les formes suivantes : phénomènes sensoriels jacksoniens, attaques psychi- ques post-épileptiques, attaques classi
es sensoriels jacksoniens, attaques psychi- ques post-épileptiques, attaques classiques, équivalent psychique. 9° La migrain
GIE NERVEUSE. 59 La migraine ophtalmique pourrait être l'aura d'une attaque hys- térique ou l'équivalent de telles attaques
it être l'aura d'une attaque hys- térique ou l'équivalent de telles attaques . Il est curieux cependant que, jusqu'en 1891, 1
et mécaniques peuvent exceptionnellement produire une migraine; une attaque de migraine peut, d'autre part, provoquer une c
res névralgies peuvent le faire. Mais de là à pouvoir interpréter l' attaque de migraine comme un syndrome ou l'équi- valent
psychialrii, V. 1900.) Observation d'un homme éprouvant depuis une attaque de con- gestion cérébrale, des accès passagers
n'est plus l'obnubi- lation ou la perte de la conscience propre à l' attaque d'épilepsie ; le sujet, tout à fait lucide pour
ous forme d'accès en présentant la même physionomie stéréotypée. Ni attaques convulsives, ni ver- tiges, accès épileptoïdes
at métallique terne du regard suit, toujours, d'après M. Tschije, l' attaque ou l'équivalent de l'attaque d'épilepsie essen-
suit, toujours, d'après M. Tschije, l'attaque ou l'équivalent de l' attaque d'épilepsie essen- tielle. ' Il est dû à l'em
des membres SOCIÉTÉS SAVANTES. 83 avec intégrité de la face, des attaques épileptiformes, des contrac- tures avec aboliti
des accidents morbides suivants : céphalée constante, vomissements, attaques epilepti- formes, hémiplégie droite, nystagmus,
... jouit habituellement d'une excellente santé. Il n'a jamais eu d' attaques de nerfs ni de para- lysies d'aucune sorte. Il
arçon âgé de dix-huit ans, atteint de tic de la face et sujet à des attaques d'hystérie, et deux filles en bonne santé. PA
eints de lésions cardio-vasculaires ; b) Chez ceux qui ont eu des attaques apoplectiformes et épileptiformes ; c) Chez l
ons tuberculeuses et emphysème ; 3° chez tous ceux qui ont-eu des attaques apoplectiformes ou épileptiformes; 4° chez ceux
les enfants et chez les cardiaques, même chez celles qui ont eu des attaques apoplectiformes. Nous faisons en ce moment l'ex
mais un plus fort pourcentage de gros lymphocites au' moment d'une attaque , ce qui pourrait par conséquent en faire soupço
sait seulement de lui qu'il est depuis quelques années sujet à des attaques convulsives suivies de coma, attaques attri- bu
s quelques années sujet à des attaques convulsives suivies de coma, attaques attri- buées à l'alcoolisme. A l'autopsie on tr
ches sur nos épileptiques qu'aux époques où ils n'avaient pas leurs attaques . Les quatre autres formes mentales se suivent d
s névroses, ou joue le rôle d'une zone spasmogèneprovocatrice d'une attaque d'hystérie grave limi- tée à la phase du délire
phase du délire. Cette interprétation est surtout à émettre quand l' attaque est accompagnée d'un état de conscience halluci-
stales) est le point de départ du réflexe, qui détermine plutôt des attaques de petit mal que de grandes crises et comme phé
e et la neuras- thénie. On observe dans les jours qui précèdent les attaques d'épi- lepsie, et pendant les états de dépressi
souvent, selon lui, que des rémissions, et, après des suspensions d' attaques même prolon- gées, on observerait des retours d
t. Au bout de quelques semaines, à l'occasion, de préférence, d'une attaque , et en ayant soin de constater si le malade com
40 grammes, en s'arrêtant à la dose suffisante pour sup- primer les attaques convulsives et les équivalents psychiques. Cette
diagnostic différentiel avec les accidents hys- tériques. Dans les attaques d'hystérie et d'li3'stéro-épilepsie l'orifice.
ielle avec paraphrase, survenue en pleine santé à la suite de trois attaques convulsives. Ce dernier malade recopiait les mo
ectique assez accusé, au cours duquel il mourut, à la suite de deux attaques congestives accompagnées d'arythémie cardiaque.
u déterminer nettement la cause de la mort. A quoi étaient dues ces attaques congestives ? S'agit-il d'un phénomène d'asphyx
néral méconnu avec idées hypochondriaques qui aurait succombé à une attaque apoplectiforme. M. SOLLIER pense que 1 idée de
ents héréditaires. Depuis l'âge de huit ans, elle est sujette à des attaques convulsives qui se répètent généralement toutes
réquentes, la miction involontaire est, par contre, assez rare. Les attaques exceptées, la malade a toujours joui d'une bonn
r, pesanteur dans les membres) faisaient craindre l'imminence d'une attaque ; chaque fois, cette dernière se trouva évitée,
dernière se trouva évitée, ou du moins retardée. , . La dernière attaque dut avoir lieu hier, mais elle fut coupée dès s
teinte d'une crise hystérique, Rosalie a été prise elle- même d'une attaque ; elle a eu le temps de se coucher, puis elle a
ertiges et bouffées de chaleur à la tête. 24. Hier soir, violente attaque convulsive de près d'un quart HYSTÉRO-ËPILEPSIE
Cessation des poudres de seigle ergoté. ' 5. Ce matin à 7 heures, attaque convulsive que la soeur du service décrit de la
2. La malade, qui s'est sentie relativement bien depuis sa dernière attaque , se plaint, ces deux derniers jours, de vertiges
un peu de palpitations. Poids = 57 kg. 1/2. 26. Aujourd'hui, deux attaques convulsives de dix à quinze minutes chacune. 29
boire deux grands verres de vin ; le jour même, il se produisit une attaque . Depuis, elle en a plusieurs, à des in- tervall
égères morsures de la langue et de la lèvre inférieure (suites de l' attaque d'hier). Le poids est de 62 kg. 24. Ce matin, d
très fré- - quent (424). - Peu après la visite, elle a une seconde attaque , très faible aussi (secousses dans les bras pen
e ce matin. Elle dit qu'elle a été avertie hier de l'imminence de l' attaque par des étourdissements, puis par une sensation
n manger. A 2 h. 1/2 de l'après-midi, elle est prise d'une violente attaque de convulsions, sans perdre toutefois entièreme
s de lièvre aujourd'hui. Grand découragement à cause des nombreuses attaques de ces dernières semaines. A partir d'au- jourd
n, mais se sent fatiguée. Peu après la visite, elle est prise-d'une attaque épi- leptique typique, que j'ai l'occasion d'ob
sent très abattue, ce matin. Elle dit qu'elle n'a pas senti venir l' attaque d'hier et qu'elle a été tout étonnée, en se rév
e la malade, découragée, avait refusé de prendre depuis sa dernière attaque . L'état général est bon en ce moment; le poids
e, remonta vers le coeur et vers la gorge, puis elle eut une faible attaque convulsive. 17. - Vertiges, bouffées de chaleur
ard derrière 360 CLINIQUE NERVEUSE. ... 5 elle (comme lors de l' attaque du 5 janvier), puis tout de son long. Toujours
e connaissance n'est apparemment pas aussi complète que lors de l' attaque du 8 février, bien que la malade ne réponde pas a
la gorge qu'elle a ressentie quelquefois au début de ses dernières attaques convulsives. - 3. Ce matin, température de 37
qui frappe' tout d'abord chez notre malade, c'est la coexsistence d' attaques épileptiques et de crises manifeste- ment hysté
doute ce qui aura eu lieu aussi chez notremalade. Probablement, les attaques observées dès l'en- fanceaurontété uniquementde
mière, elles ne constituent toutefois qu'un symptôme consécutif des attaques , causé par la brusque élévation de la pression
cte de l'auto-suggestion mise en oeuvre localement par le rêve de l' attaque . » (Gilles de la Tourette2.) Dans d'autres cas,
trées de préférence aux environs des époques où se produisaient les attaques , elles ne furent pas manifestement dépendantes
ent aussi bien dans l'état de mal que, à un moindre degré, dans les attaques isolées (Bourneville 2); mais pas, comme dans l
e hystérique ne serait rien d'autre que l'équivalent thermique de l' attaque con- vulsive'. Nous n'hésitons donc pas à att
ièvre. Les deux phénomènes ne sont évidemment pas subordonnés aux attaques convulsives, bien que plusieurs fois ils aient ét
e probable, qui présenta il y a vingt- cinq ans, à la suite de deux attaques successives, une paralysie du type Millard-Gubl
mener à lire et à écrire. Pas du tout, jamais de paralysie, point d' attaques d'apo- plexie. On trouve, à l'autopsie, une a
dix ans, sur 40 qui subirent l'opération, G seu- lement eurent des attaques complètes à l'excitation de la zone épileptogèt
(grattage, incurvation latérale, fermeture des yeux, etc.), mais, l' attaque parfaite, qui jadis était la règle, qui se prod
produisait encore, il y a quinze ans chez 15 p. 100 des animaux, l' attaque parfaite ne vint pas. Et cela, de quelque façon
peut grouper les accidents épileptiques de la manière suivante : 1° Attaques épilep- tiques avec santé morale intacte; 2" at
suivante : 1° Attaques épilep- tiques avec santé morale intacte; 2" attaques épileptiques avec folie; 3° folie dite épilepti
2" attaques épileptiques avec folie; 3° folie dite épileptique sans attaques caractéristiques. On n'a pas à s'occuper ici du
n'est pas REVUE DE MÉDECINE LEGALE 409 en rapport immédiat avec l' attaque , ils peuvent être séparés par des intervalles p
chez un para- lytique général, et même que si un homme sujet à des attaques fréquentes d'épilepsie commet un homicide d'une
epsie psychique pure, entière- ment et absolument indépendante de l' attaque caractéristique, existe en tant que maladie per
E LÉGALE. Les troubles mentaux peuvent se manifester : 1° avant les attaques , 2° après les attaques; 3° dans l'intervalle de
mentaux peuvent se manifester : 1° avant les attaques, 2° après les attaques ; 3° dans l'intervalle des attaques; 4° en rempl
avant les attaques, 2° après les attaques; 3° dans l'intervalle des attaques ; 4° en remplacement des attaques, celles-ci aya
attaques; 3° dans l'intervalle des attaques; 4° en remplacement des attaques , celles-ci ayant cessé. 1° Avant les attaques,
en remplacement des attaques, celles-ci ayant cessé. 1° Avant les attaques , ils prennent la forme de perversions sen- sori
uteur relate ici plusieurs observations de ce genre; ' 2" Après l' attaque , les troubles mentaux varient dans l'époque de
es. 3° Les troubles mentaux qui surviennent dans l'intervalle des attaques se montrent ordinairement sous la forme de crises
extrême soudaineté; . 4° Les troubles mentaux qui remplacent les attaques et se manifestent après leur cessation ont géné
on, la proportion qu'il convient de maintenir entre la gravité de l' attaque et la sévérité des représailles : ce sentiment
naturelle et n'est autre chose, que la connexité nécessaire entre l' attaque et la défense, née de la nécessité fondamentale
dans la moitié tem- porale ; à gauche, dans la moitié nasale; Des attaques de grand et de petit mal; De l'affaiblissement
nommée d'A..., âgée de quarante-trois ans. Son père avait "eu trois attaques d'hémiplégie; il a succombé à la dernière. Elle
, dans la suite, à partir de l'année z1597, d'A... a eu une série d' attaques d'épilepsie, avec cri initial, morsure de la la
ssai de traitement mercuriel inten- sif n'empêcha pas le retour des attaques du grand mal, au nombre de trois, en l'espace d
s ce qu'on lui dit. D'autre part, d'A... est toujours sujette à des attaques d'épilepsie ordinaire; elles éclatent sans aura
lle ne présente pas de paralysie post-paroxystique. D'ailleurs, les attaques sont rares ; leur nombre est d'environ trois pa
eux ou trois par jour. Apparemment l'hémianopsie temporale et les attaques de petit mal datent de la même époque, car, Charc
1897, les hallucinations de la vue ont disparu. La malade a eu une attaque d'épilepsie, avec morsure de la langue, chute,
e, avec morsure de la langue, chute, incontinence d'urine. D'autres attaques sem- blables ont suivi, à des intervalles éloig
ment dans l'état de la malade. Celle-ci continue de tomber dans des attaques qui débutent par un cri, sans aura sensitive ou
a jamais présenté de paralysie post- paroxystique. Somme toute, ces attaques sont très rares; elles se suivent à des interva
ivent à des intervalles de plusieurs mois. Plus fréquentes sont les attaques de petit mal ; au cours d'une conversa- tion, l
. SUR TROIS cas d'hémianopsie. 441 ( 'Diagnostic - Messieurs, des attaques d'épilepsie, chez : une femme qui paraît avoir co
en tant que manifestations de la syphilis des centres nerveux, des attaques de grand mal, caractérisées par des convulsions
rébrale. Il est reconnu aussi qu'en pareilles circonstances , des attaques de petit mal alternent volontiers avec les grande
, des attaques de petit mal alternent volontiers avec les grandes attaques convulsives qui sont le propre de l'épilepsie ess
, les autres manifestations pathologiques présentées par d'A... - attaques de grand et de petit mal, diminution de l'intel-
les du langage; sans compter qu'elle a eu, à un moment donné, une attaque transitoire d'hémiplégie droite. C'est une nomm
s ner- veux. Elle a été réglée à onze ans. Elle a eu une première attaque de rhumatisme articulaire aigu, à l'âge de huit a
rendre son travail. En septembre dernier, elle a eu une troisième attaque , semblable aux deux premières, mais qui n'a pas
un ans, dont les anté- cédents pathologiques se réduisaient à trois attaques de rhu- matisme articulaire aigu, de véritables
la faculté de comprendre et de parler. Au sortir de la troisième attaque , beaucoup plus longue que les deux précédentes,
de malade, comme chez la première, l'hémianopsie, de même que les attaques de vertige, de même que l'amnésie verbale, de m
s attaques de vertige, de même que l'amnésie verbale, de même que l' attaque transitoire d'hémiparésie droite et d'aphasie m
e, qu'une hémiparésie droite, survenue subitement, à la suite d'une attaque qui s'est accompagnée de la perte de la connais
tres symptômes, présentés par la malade : de l'amnésie verbale, des attaques de vertige, de l'attaque d'hé- miplégie transit
par la malade : de l'amnésie verbale, des attaques de vertige, de l' attaque d'hé- miplégie transitoire et d'aphasie motrice
uvent déjà se montrer chez les sujets prédisposés. Malgré ses trois attaques antécédentes de rhumatisme articulaire aigu, el
e la parole, qui a duré, chaque fois, environ deux heures. Ces deux attaques se sont suivies à quelques jours d'intervalle.
cultivateur âgé de cinquante-cinq ans, bien portant jusque-là, deux attaques successives d'aphasie, de deux heures de durée
car, ne SUR TROIS cas d'hémianopsie. 465 l'oubliez pas, avant son attaque proprement dite d'apoplexie, il avait eu deux p
t son attaque proprement dite d'apoplexie, il avait eu deux petites attaques d'aphasie. L'hypothèse d'une hémorrhagie cérébr
riode de la vie, où des hémorrhagies cérébrales, révélées par des attaques d'apoplexie, sont relativement fréquentes. Je me
naires. Evolution progressive de l'affection, poussées congestives. attaques épileptiformes. Mort le 10 mars 1807. Sa femm
lui paraissent sourds. L'idée lui vient qu'il est en proie à une attaque d'épilepsie. Puis, le voilà, sans trop savoir com
dit alors avec indifférence et résignation qu'il vient d'avoir une attaque d'épilepsie et il en rapproche l'opinion d'un c
la personnalité; en revanche les commémoratifs font mention de deux attaques congestives indéniables datant de sept ans : la
39 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nnages). Cette malade présentait une amaurose complète et avait des attaques épileptiformes. On trouva une volumi- neuse tum
écessité d'un traitement précoce, car, d'après GoweiS, une première attaque serait la cause de nombreux cas d'épilepsie. Il
t doit être continué longtemps, deux ou trois ans après la dernière attaque . Pour faire justice de l'opinion qui met en dou
ns après, deuxième atteinte qui dure six mois : forme chronique qui attaque les petites articulations, sans provoquer de fi
s (·1570), pendant la guerre, étant à la fron- tière, il essuie une attaque de rhumatisme articulaire aigu. Après la guerre
fection mentale depuis septembre 1895, mourut en février 1897 d'une attaque épileptiforme. 'M. L... contracta, il'y a quinz
ire, enfin douleur de tête atroces, gémissements et cris insolites, attaques épilepti- formes fréquentes suivies de coma, ja
point déprimé. Le reste du cerveau sain. 4° Jeune homme. Quelques attaques convulsives puis crises de sommeil profond et d
yaux, tout le reste de l'encéphale indemne. 5° Homme, dix-sept ans, attaques épileptiformes depuis cinq ans avec aura du bra
is satisfaction (12 p. 100) plus rarement violence (10 p. 100). Les attaques de coma surtout à la fin sont la règle. Si le d
rtant sur des régions périphériques éloignées, sources réflexes des attaques . Le discrédit actuel de ce dé- partement de la
'elle. Bile devra être faite le plus tôt possible après la première attaque de spasme localisé. Pour l'épilepsie idiopathiq
but de la maladie un spasme localisé constituait à lui seul toute l' attaque et si dans la suite la crise a toujours com- me
aissance et morsure de la langue. Répétition fréquente de ces mêmes attaques dans la suite, toujours suivies de somnolence et
ur 1 centimètre et demi d'écorce. Deux mois après, apparition d'une attaque de petit mal non suivie d'autres crises. Quator
ises. Quatorze mois après l'opération et un an après cette dernière attaque état très satisfaisant et pas d'autres troubles
rveau de 4 centimètres sur 2. Suites opératoires habituelles, pas d' attaques depuis plusieurs mois sans que le temps écoulé
lysie du bras droit qui est devenue définitive, ensuite il a eu des attaques , et son caractère s'est modifié (alternatives b
souvent par des accidents portant sur le système nerveux que par l' attaque de goutte. Ces accidents sont très variés, étan
, l'observation personnelle d'un garçon de trois ans présentant des attaques convulsives et une monoplégie très rapidement g
clou hystérique; garçon, onze ans, contracture; gar- çon, onze ans, attaques épileptoïdes cessant brusquement par compressio
. Il rapporte notamment l'histoire d'un garçon de dix ans ayant des attaques hystériformes et une hérédité goutteuse très ch
'à Nancy, où les malades ont été hypnotisés par milliers, la grande attaque d'hystérie n'existe pas. Les neurologistes les
stice du 13 août, un nommé Joseph Ducinelier, pris subitement d'une attaque d'épilepsie, en face le numéro 15 du faubourg Poi
n et d'y substituer la leur. De là une source de difficultés et les attaques contre lesquels les médecins sont souvent oblig
le situation; il y a là un vice d'organisation et l'on comprend les attaques que les uns sont disposés à porter contre les a
oquer des troubles cardiaques : on peut regarder comme prouvé que l' attaque épileptique provoquée par l'irritation de l'éco
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 323 La part que prend le coeur dans l' attaque d'épilepsie est capable de rendre compte des ca
raire, il reste con- vaincu qu'un cardiaque a plus à redouter d'une attaque d'épilep- sie que du médicament qui court le pl
té- rique n'est pas seulement caractérisée par une tendance à des attaques de sommeil hystérique, qu'elle est bien plutôt l'
exactement comme il lit. Cet état s'est manifesté il la suite d'une attaque apoplectiforme par syphilis artérielle du cerve
ule sous forme de délire, de démence, et les vaisseaux sous forme d' attaques et de congestions liées naturellement à une inf
tinue et le sujet lui imprime son cachet personnel. Il semble que l' attaque de paludisme doive être particulièrement grave
e céphalée atroce dans le côté gauche de la tête depuis trois ans ; attaques convulsives avec chute à terre, déviation de la
'est jamais resté vingt-quatre heures sans présenter de crises. Ces attaques violentes, journalières, duraient environ une d
rs toute sa lucidité d'esprit et faisait savoir qu'à la suite d'une attaque antérieure, il était resté trois mois sans pouv
ements ou les régimes ordinaires n'avaient pas réussi à modérer les attaques ; 6° il pense avoir démontré qu'il ne craint pas
cas, il n'existait aucune raison plausible à cette appréhension. Attaque anxieuse. Quelle que soit la circonstance provoca
irradiant dans tout le système cérébro-spinal ». (Morel.) Quant à l' attaque en elle-même, elle est essentiellement t consti
'obsession de la folie, de la gale, de la syphilis, du cancer, de l' attaque d'apoplexie, de la mort subite, etc. D'une fa
tismes, aux hémorrhagies, aux anémies (Ilénocque, Féré), et que les attaques épileptiques sont plus fréquentes chez la femme
énique, des observations très intéressantes tendent à établir que l' attaque épileptique est due à une auto-intoxication (Gr
rentes saisons, des statistiques décadaires indiquant le nombre des attaques , heure par heure, dans le service des épileptiq
résultats de Feré au point de vue de la prédominance du nombre des attaques nocturnes sur les attaques diurnes; mais ils in
de vue de la prédominance du nombre des attaques nocturnes sur les attaques diurnes; mais ils indiquent surtout que, en lai
qui correspond à un qtat physiologique tout spécial, le nombre des attaques augmente progressive- ment d'un repas à l'autre
ant immé- diatement les repas et pendant lesquelles le nombre des attaques n'atteint que 5,6 p. 100, 4,2 p. 100, 9,4 p. 100,
le, pour une durée de neuf heures, 1,9.2 p. 100 du nombre total des attaques quotidiennes; d'autre part, trois périodes maxi
es maxima de trois heures chacune, pendant lesquelles le nombre des attaques atteint successivement 18 p. 100, y cl Y
e, pour une période de neuf heures, 52.9 p. 100 du nombre total des attaques . La plupart des épileptiques qui tombent pendan
que, pendant les heures qui sui- vent immédiatement les repas, les attaques convulsives sont t relativement très rares. E
n. Nous avions d'autre part constaté (v. tabl. I) que le nombre des attaques atteint son maximum de neuf heures à minuit et
es à minuit et que de minuit à six heures du matin le mouvement des attaques , heure par heure, reste à peu près uniforme. Po
'alcalescence du sang et le mouvement des variations numériques des attaques sont >" te n > r m en n m
de l'alcalescence sanguine, c'est-à-dire aux périodes maxima des attaques , ont presque constamment donné un degré d'aci-
taux de l'alcalescence sanguine et les variations nu- mériques des attaques n'était pas l'indice d'une relation de cause à
retombée à son chiffre habituel, 36,5. Fonctions régulières. Pas d' attaques depuis le commencement des expériences. Le 18
isfaisant. T. 37° à 37,5. Pas de modification de l'état mental. Les attaques reparaissent isolées. Le 30, injection de 30 ce
onstaté 30 minules après l'injection = VI. Degré minimum entre deux attaques à 11 heures de matin = IV. Les urines restent a
- pétit sont réguliers. Pas de modification de l'état mental. Les attaques ont repris leur fréquence habituelle. Degré maxim
é maximum de l'alcalescence du sang, après les injections = VI. Les attaques se produisent généralement aux heures des minim
ections de 30 cent. cubes les 1, 2, 5, 8, 9,;i l, 12 septembre; les attaques reparaissent en séries très nombreuses (voir tabl
ès passager d'excitation maniaque. , Une augmentation du nombre des attaques (série très nom- breuse à la fin dès expérience
a été atteinte d'un accès d'agitation très violente, avec série d' attaques très nombreuses, troubles sensoriels, hallucina-
L'état physique s'est restauré. L'état mental est satisfaisant. Les attaques sont devenues très rares. Six mois après la ces
maintient dans un état satisfaisant. Elle continue à mar- cher. Les attaques restent isolées et peu fréquentes. 474 CLINIQUE
après l'injection = V. La malade n'a pas été réglée et n'a pas eu d' attaques depuis le début des injections. Les 1er, 3, ti,
t. cubes. Pas de réactions. Etat de subexcilation persistant. Pas d' attaques . Le 14, série de sept attaques violentes (de 10
t de subexcilation persistant. Pas d'attaques. Le 14, série de sept attaques violentes (de 10 heures à midi). Cha- cune d'el
actère nouveau d'être précédée de plu- . sieurs auras, « comme si l' attaque ne pouvait pas sortir ». Parésie transitoire du
s de30 cent. cubes.* Dépression. Fonc- tions normales. Le 20, une attaque isolée. Les injections sont continuées jusqu'au
septembre. Menstrua- tion suivie d'excitation plus violente. Pas d' attaques . Fonctions régulières. l'alcalescence DU sang
point de vue physique et mental, ce qu'elle était auparavant. Les attaques n'ont reparu que pendant la première quinzaine
ns. Début des convulsions à quatorze ans, à la suite d'une frayeur ( attaques hystériques probables). Menstruation à dix-sept
tate : signes de dégénérescence physique, stigmates hystériques, attaques hystériques en séries de 25 à 80 par vingt-quatre
ractère irritable, sournois, trodinll1 vitoe. En 1894, les séries d' attaques augmentent progressivement, alternativement hysté
. <111'aiLlissernetit physique progressif. A partir de 1895, les attaques du type hystérique ont complètement disparu. Le
Il se produit en moyenne deux séries par mois, variant de 100 à 200 attaques . Chaque série débute le plus souvent de 10 heur
/10. Air. = IV. Six heures après l'injection (10 b. s.), seiie de 9 attaques . Ale.= 111. Urines et sueurs abondantes. Les
ent, cubes (5 h. s.), immédiatement suivie d'une série brusque de 7 attaques sans aura. Aie. = 111 pendant les attaques. -
d'une série brusque de 7 attaques sans aura. Aie. = 111 pendant les attaques . - Les 30 juillet, 1, 3, 5, 7 aoùl, injections
injection de 30 cent, cubes, sans troubles consécutifs. Série de 41 attaques , de 10 heures il midi. Au moment de l'injec- ti
Pas de troubles consécutifs. Le 23, sans prodromes, série de 261. attaques débutant à 5 Il. m. Une deuxième série de 105 a
érie de 261. attaques débutant à 5 Il. m. Une deuxième série de 105 attaques commence à Il. s. Ale. = IV. Les jours suivants
aques commence à Il. s. Ale. = IV. Les jours suivants, les séries d' attaques continuent. Aie. = II1, immédiatement avant une
e série. Les 26, 27, 29, injections de 30 cent. cubes. Série de 177 attaques le 28. , Le 30, 6 attaques. Les 2, 5, 8, 9,
ctions de 30 cent. cubes. Série de 177 attaques le 28. , Le 30, 6 attaques . Les 2, 5, 8, 9, 11, 12 septembre, injections d
12 septembre, injections de 30 cent. cubes. Rien à signaler. Pas d' attaques . L'ALCALKSCHXCH du sang chez les épileptiques.
s d'attaques. L'ALCALKSCHXCH du sang chez les épileptiques. 477 1 attaque vers l'âge de dix ans. Attaques d'abord très espa
du sang chez les épileptiques. 477 1 attaque vers l'âge de dix ans. Attaques d'abord très espacées. Aup- ' mentation progres
llet, donne les résultats suivants : 478 CLINIQUE NERVEUSE. des attaques . Élévation transitoire du taux de l'alcales- ce
dents héréditaires. Fièvre cérébrale ( ? ) iL douze ans. Pre- mière attaque à seize ans à l'occasion des premières règles. Si
paroxytique. Caractère difficile. S'occupe. État physique bon. Les attaques sont complètes, toujours précédées d'aura (crampe
otable dans l'état physique et men- tal. Augmentation du nombre des attaques . Elévation , transitoire. du taux de l'alcalesc
nts héréditaires. Convulsions dès les premiers jours de la vie. Les attaques nettement caractérisées v partir de de trois ans
13 à 20 par mois. Depuis l'époque de la puberté (quatorze ans), les attaques sont plus violentes. Signes de dégénérescence.
nes de dégénérescence. Débilité mentale avec fond mélancolique. Les attaques sont précédées d'une courte période de subexcit
cation dans l'état physique. Très légère augmentation du nombre des attaques . Augmentation fugace du taux de l'alcalescence
dans les antécédents héréditaires, antécédents personnels obscurs. Attaques épileptiques remontant à la première enfance. M
uation régulière. État physique bon. Débilité mentale na- tive. Les attaques se produisent en séries peu nombreuses, tous les
modification de l'état phy- sique. Augmentation du nombre total des attaques . Pendant la dernière quinzaine, pas d'altaques.
ingt ans (épilepsie). Enfant natu- relle. Mère alcoolique. Première attaque à l'âge de douze ans. Attaques quotidiennes dep
u- relle. Mère alcoolique. Première attaque à l'âge de douze ans. Attaques quotidiennes depuis plusieurs années. Imbécillité
1 1 S C 00 484 CLINIQUE NERVEUSE. immédiatement après une attaque =111. Après l'injection, à 5 h. s. = V. Les 1
n importante de l'état physique et mental. Diminution du nombre des attaques qui se montrent plus violentes. Elé- vation fug
chiques post-paroxystiques. D'une façon générale : diminution des attaques isolées, aggravation des séries. Augmentation d
isolées, aggravation des séries. Augmentation du nombre total des attaques dans tous les cas, sauf deux (obs. II et VIII).
njections ont toutes été pratiquées au cours de périodes maxima des attaques , et cependant, dans aucun cas, il n'a été const
a des attaques, et cependant, dans aucun cas, il n'a été constaté d' attaques pendant la première heure qui a suivi l'alcales
t maxima en rapport avec les conditions du travail digestif. 2° Les attaques convulsives présentent des variations nu- mériq
heure après l'injection et pendant laquelle il ne se produit pas d' attaques . - , ,4° Les injections ont pour résultat de di
, ,4° Les injections ont pour résultat de diminuer le nombre des attaques isolèes et de provoquer leur rassemblement en s
rassemblement en séries. Elles ne diminuent pas le nombre total des attaques , et si elles ont une action sur les manifestati
par des besoins irrésis- tibles de casser des vitres, sous forme d' attaques stéréotypées, ou, quand l'occasion manque d'y p
nt pris ainsi que le diaphragme. Puis apparaît l'épilepsie avec ses attaques caractéristiques, sans que la myoclo- nie cesse
s que la myoclo- nie cesse; celle-ci continue dans l'intervalle des attaques . L'auteur en donne une observation qu'il rappro
ions spasmodiques de certains groupes musculaires, et bien- tôt des attaques complètes d'épilepsie (Brown-Sequard, Schiff, N
crâne sans lésion du parenchyme cérébral. Dans ces cas il y eut des attaques d'épilepsie jacksonienne. Dans deux de ces cas
eut des attaques d'épilepsie jacksonienne. Dans deux de ces cas les attaques sont restées limitées aux membres supé- rieurs
garçon de dix-sept ans. Il est atteint depuis l'âge de quatre ans d' attaques convulsives du côté gauche qui débutent par une
r quitter son lit, tellement le nombre des SOCIÉTÉS SAVANTES. 521 attaques était grand; il était, de plus, tombé dans un éta
re supérieur gauche a totalement cessé, le jeune homme n'a eu que 3 attaques ; il n'a conservé que quelques tressaillements,
e. - La théorie de l'anémie cérébrale comme cause déterminante de l' attaque épileptique, perte de connaissance et convulsio
s, lunatiques, erradiques, fanatiques, schismatiques, et toutes les attaques qu'on saurait dire, auxquelles on ne trouve rem
40 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
ssion première est confirmée par l'examen de la malade. Elle a eu des attaques de nerfs, elle est sujette à des contractures dan
ainsi qu'en témoigne le retour régulier de la fonction menstruelle. Attaques convulsives hystéro-épileptiques. Vertiges suivis
. Mlle X..., âgée de 20 ans m'est amenée à ma consultation pour des attaques convulsives, très fréquentes survenues il y a un
n effet, à cette époque cette jeune fille a commencé à être frappée d' attaques convulsives caractérisées par : frissons, tremble
des fenêtres et enfin chute à terre avec perte de connaissance. Ces attaques sont toujours diurnes, elles durent de 4 à 5 heur
ent plusieurs fois par jour ; depuis un mois il est survenu outre les attaques , des vertiges constitués par la perte de la conna
uver le lendemain avec sa mère, que jusqu'à son retour elle n'aura ni attaques de nerfs, ni éblouis-sements. Je ne la laisse dor
er mot. Le lendemain cette jeune fille me fut ramenée sans avoir eu d' attaques ni de vertiges. Le même procédé a été employé ave
1 heures. A la 5me séance le sommeil était obtenu en 10 secondes, les attaques et les vertiges ne se sont pas reproduits et la j
incontinence nocturne et diurne d'urine, la dyspepsie nerveuse, les attaques d'hystérie, etc., qui rentrent dans la catégorie
rafft-Ebing, elles dépendraient de circonstances accidentelles. Les attaques qui, on le sait, constituent une manifestation pa
bles délirants : ceux de la phase prodromique, qui peuvent précéder l' attaque de plusieurs jours, consistent en modifications d
inique la place exclusive ou au moins, prépondérante. Le délire des attaques où les hallucinations visuelles et zooptiques t
qu'ils soient, par leur nature, étrangers à l'hystérie. Ce délire des attaques , au moins dans les formes typiques, supprime ce q
ur lequel il est le plus intéressant de fixer l'attention. Dans les attaques , le sujet se borne à rêver et à exprimer son rêve
tous les troubles mentaux que nous avons passés en revue, délire de l' attaque , idées fixes pénétrant dans le champ de la consci
e les phénomènes conscients et les subconscients-Ces derniers, dans l' attaque comme dans le somnambulisme, se substituent compl
ulisme, se substituent complètement aux premiers, mais, au cours de l' attaque , les idées tournent dans un cercle étroit et s'or
nsitoires se reliant étroitement soit aux conceptions délirantes de l' attaque , soit à des idées fixes ou à des rêves ; quelquef
délires hystériques envisagés comme manifestations ou équivalents des attaques ; 5° Les idées fixes et les idées subconsciente
ystérique ? Caractères cliniques, formes diverses. Relations avec les attaques et les idées subconscientes; 7° La mélancolie,
erveuse, facilement irritable, très émotive, elle n'avait jamais eu d' attaques de nerfs avant 1887. C'est à cette époque (elle a
clama son enfant ; elle reprit conscience. A partir de ce moment, les attaques convulsives devinrent de plus en plus rares ; ell
e assez bien celles qui doivent être réalisées après le réveil. Les attaques convulsives sont très fréquentes et très violente
ire cessant, elle revient à son état normal, ne se souvient ni de son attaque , ni de son délire, et a parfaitement conscience q
e, je cherchai à modifier, par suggestion, le délire consécutif à ses attaques . « Vous savez, bien, lui dis-je un jour, après l'
e résultat de ce mode d'intervention dépassa mes espérances. Dans les attaques suivantes, le délire post-convulsif changea compl
ouvenir de l'accident ne se présentait même plus du tout à la fin des attaques et le délire post-convulsif roulait sur les petit
la journée, avaient frappé l'esprit de la malade. En même temps, les attaques devenaient moins fréquentes, les convulsions moin
outes les races qui habitent notre globe. On retrouve la triade des attaques hystériques, convulsions, catalepsie et léthargie
Convulsions et catalepsie. — Plus universel est le rôle joué par les attaques convulsives et la catalepsie. Pour parvenir à cet
d nombre. Dans la religion musulmane, les derviches recherchent les attaques hystériques. Théophile Gautier, dans son livre
catalepsie, accident tenu pour très heureux. C'est surtout après ces attaques que les chamans peuvent sûrement rendre des oracl
bat du tambour et agite sa crécelle jusqu'à ce qu'il soit saisi d'une attaque d'épilepsie. Chez les Veddhas de Ceylan, il dan
fait est exact, car la crainte de l'idole doit, chez eux, favoriser l' attaque hystérique. Les négresses cherchent dans certai
e moyen âge de terreur. D'autres fois, l'hystérique, réveillé après l' attaque , prend pour réels les tableaux qui se son produit
s sur la production de certains accidents hystériques. Le délire de l' attaque roulant sur un événement antérieur et amenant la
entique, à celle que nous avons constatée dans le cours du délire des attaques de notre malade. M. Pierre Janet a d'ailleurs é
is, quatre victimes sont successivement immolées, et ils commencent l' attaque seulement quand les Dieux les y invitent. De mê
diatement un coup que l'enfant avait reçu en jouant à la balle. Cette attaque d'eczéma fut complètement guérie par quelques sug
s pieds, qu'il se frottait l'un contre l'autre pendant la nuit. Cette attaque aussi céda au traitement suggestif au bout de peu
t le cou, étaient les parties dont le malade souffrait le plus. Ses attaques consistaient en décharges soudaines de grandes qu
IX jours de sommeil Par mois. — Suppression a peu prés complète des attaques . — Guérison des troubles moraux. La nommée M.,
s recueillis sur cette malade apprennent que sa mère a été atteinte d' attaques de nerfs, que son père se livrait à la boisson.
il en reste quelque chose. A-dix ans, elle a été prise de nouvelles attaques qui ont continué jusqu'à ces jours-ci au nombre d
ant à cause de son indiscipline qu'à cause de ses violences et de ses attaques . Ces dans ces conditions qu'elle est amenée à n
r dans mon service, elle a été prise une quinzaine de fois par mois d' attaques ayant le caractère suivant : Perte de connaissanc
Pas de morsure de la langue. Laideur de la face. Durée ordinaire de l' attaque : dix à vingt minutes. Au sortir de l'attaque,
Durée ordinaire de l'attaque : dix à vingt minutes. Au sortir de l' attaque , elle ne reconnaît pas le plus souvent les person
ement par la suggestion hypnotique et à l'époque de ses règles où les attaques survenaient toujours infailliblement. Nous l'av
ommencé les suggestions consistant à lui dire qu'elle n'aurait plus d' attaques . Le résultat a été rapidement obtenu par des sé
ent obtenu par des séances distantes de deux à trois jours pour les attaques qui survenaient en dehors des époques menstruelle
lles. (La durée de chaque sommeil était d'une demi-heure). Mais les attaques persistant pendant les périodes menstruelles au n
st jusqu'à ce moment très satisfaisant. Elle n'a plus que une ou deux attaques maximum pendant les périodes de règles, et même i
II en résulte une propagation rapide du mal, une véritable épidémie d' attaques hystériques qui se changent alors en crises mania
ntinue à être tout à fait satisfaisant. Diagnostic différentiel des attaques d'épilepsie et d'hystérie. Par M. le D' Aug. Vo
t à soulevé la question si importante du diagnostic différentiel de l' attaque d'épilepsie avec l'accès convulsif d'hystérie.
Je n'insisterai que sur les signes essentiels et pathognomiques. L' attaque d'épilepsie débute quelquefois par une aura; lors
es auras des hystériques ne présentent aucun caractère dangereux. L' attaque d'épilepsie s'annonce souvent par un cri tout par
n cri de frayeur qui n'a d'impressionnant que son intensité. Dans l' attaque d'épilepsie il y a toujours perte de connaissance
lable chez l'hystérique. Au moment où l'épileptique est pris de son attaque , sa face devient d'une pâleur tout à fait caracté
à ces morsures. Rien de pareil chez l'hystérique. Dès le début de l' attaque d'épilepsie la face devient laide, repoussante, s
Les convulsions présentent en outre des caractères différentiels. L' attaque d'épilepsie débute par des convulsions toniques q
ermettent de découvrir la simulation. Deux à trois secondes avant une attaque , le pouls augmente de rapidité, son impulsion est
sion est moindre, les courbes sont moins hautes et plus nombreuses; l' attaque survenue, on voit cinq ou six petites ondulations
très accusée à une hauteur trois à quatre fois plus grande qu'avant l' attaque et redescendent en présentant les caractères les
nt. Ces signes n'existent pas non plus chez l'hystérique. Après l' attaque d'épilepsie, le malade reste dans l'obtusion ou b
ensorielle (1), tandis que les hallucinations sont fréquentes après l' attaque d'hystérie, et les maisons d'aliénées renferment
s malades qui sont devenues aliénées quelquefois même après une seule attaque et qui sont restées aliénées. (1) Je ne parle p
ui sont restées aliénées. (1) Je ne parle pas des cas où, plusieurs attaques se succédant, il se produit de la manie aiguë et
es hystériques peuvent avoir, somnambulismes spontanés, contractures, attaques , délires prolongés pendant plusieurs mois avec am
mois de février, qui a précédé son entrée à l'hôpital, elle avait des attaques de sommeil de durée variable, à peu près tous les
it en gémissant et sans aucun souvenir de ce qui avait pu provoquer l' attaque . Si on tient compte des circonstances qui ont dét
e curieux qu'elle appelait ses fixités et qui semblait analogue à une attaque extatique. Très souvent, au milieu de l'état le p
verses manifestations des phénomènes inconscients dans les rêves, les attaques , les somnambulismes, les écritures automatiques,
naturels autrefois si importants. Dans cet état elle se souvient des attaques , des somnambulismes précédents, des délires et en
a arrive fréquemment, elle voyait de nouveau sa couleuvre pendant les attaques d'hystérie. Les attaques ont disparu, mais l'hall
e voyait de nouveau sa couleuvre pendant les attaques d'hystérie. Les attaques ont disparu, mais l'hallucination du serpent se r
as que la malade a des crises de sommeil, disons plutôt qu'elle a des attaques de réve, d'idées obsédantes avec hallucinations t
s, à La suite d'une colère violente de son père, elle eut sa première attaque convulsive. C'était une attaque d'hystérie indisc
nte de son père, elle eut sa première attaque convulsive. C'était une attaque d'hystérie indiscutable, qui se reproduisit ensui
eproduisit ensuite très fréquemment. Pendant quatre ans au moins, ces attaques conservèrent leur caractère purement hystérique:
e, convulsions, cris, arc de cercle et sommeil assez prolongé après l' attaque , tout était fort simple et régulier. Quand la mal
eut l'âge de dix-neuf ans, on s'aperçut d'un détail singulier de ses attaques : elle interrompait ses convulsions pour jouer av
stait bien surprise quand on lui montrait le verre. Cependant, dans l' attaque suivante, elle recommençait et entrait en fureur
ulait lui retirer son verre. Un peu plus tard, à la même période de l' attaque , on la vit jouer avec une bouteille de cassis qu'
is qu'elle avait prise et se mettre à boire. Puis, cette période de l' attaque pendant laquelle la malade buvait se développa au
détriment des périodes convulsives, et à l'âge de vingt-quatre ans, l' attaque dipsomaniaque se présentait de la manière suivant
retrouve, comme la plupart des hystériques, tous les souvenirs de son attaque , elle se souvient des rues où elle a passé, de la
mots de la guéri-son de Maria. Cette femme, qui a eu de si terribles attaques de dipsomanie, tous les mois pendant plus de dix
e dipsomanie, tous les mois pendant plus de dix ans, a vu d'abord ses attaques diminuer en durée et en nombre et, depuis deux an
ransference, par Franck Podmore, 185. Arrêt (le pouvoir d'), 308. Attaques d'épilepsie et d'hystérie (diagnostic différentie
ie et d'hystérie (diagnostic différentiel des), par A. Voisin, 339. Attaques convulsives hystéro-épilep -tiques, vertiges suiv
41 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ette infirmité, il se fit garçon ici brasseur : un jour, durant une attaque , il tomba dans la chaudière en ébullition, et f
dut prendre sa retraite en 1872, et se retirer chez son frère. Les attaques convulsives étaient rares, mais l'intelligence
es paralytiques \ Au cours de la paralysie pro- gressive, après une attaque épileptiforme ou apoplecti- 1 Uebu eine eigenlh
pas. En électrisant le centre de l'audition, ils déterminaient une attaque d'épilepsie générale : les convulsions débutaie
es douleurs rhumatismales; elle est ner- veuse mais n'a jamais eu d' attaques . - Grand-père, mort d'un IMBÉCILLITÉ ET INSTABI
tte de temps en temps à des céphal- algies. Pas de migraines, pas d' attaques nerveuses. [Père, soixante- six ans, cultivateu
boire, et, en 1879, il dut être conduit à Charenton, en proie à une attaque de delirium tremens. Il succomba le jour même d
ismes crâniens, c'est incontestablement l'épi- lepsie ou du moins l' attaque épileptiforme. Dans les observations qui précèd
des cris que l'ennemi approche : il devient épilep- tique, mais les attaques sont rares. A cinquante-deux ans, délire ambiti
isse sur le front une profonde cicatrice; trois ans après, première attaque d'épilepsie. L'intelligence s'af- faiblît gradu
gravement malade pendant six semaines. Peu de temps après, première attaque d'épilepsie, puis démence. VI. Dans les obser
es accès sont devenus de plus en plus nombreux, parfois plu- sieurs attaques éclatent en quelques heures. Le malade présente
pourrons-nous aussi, par la compression des testicules, arrêter les attaques d'épilepsie de certains su- 2 if) REVUE CRITIQU
e, et quelquefois d'une ébauche de la phase convulsive de la grande attaque . Elles se terminent quelquefois par des convuls
se terminent quelquefois par des convulsions, d'autres fois par une attaque de sommeil. Le souvenir complètement aboli au r
iale sont typiques ; de plus, celle-ci se ter- mine souvent par une attaque épileptique vraie. Enfin pendant la fugue, les
hystérie : au point de vue de ses périodes il peut être comparé à l' attaque hystérique; il existe quelquefois un certain ba
octurnes, la chorée rythmique, l'onanisme, le blépharo- spasme, les attaques hystériques et les troubles sine materia du sys
appui de cette négation, le cas d'une hystérique qui vit cesser ces attaques à la suite de l'émotion que lui causa l'écroule
nctions motrices ou sensorielles. Ces lacunes, occasionnées par des attaques d'apoplexie répétées (hémorrhagies cérébrales),
, remontent au mois de - septembre 1881; il a eu alors une première attaque , accès de mi- .graine ophtalmique avec scolome
t rentré dans l'ordre. illuit jours plus lard, il a eu une deuxième attaque sans perte de connaissance, avec embarras de la
au travail, cependant. Au mois de février 1882, il a une troisième attaque avec les mêmes symptômes de migraine; mais en -
a duré deux heures, ce qui semble indiquer qu'il y a eu une série d' attaques qui ont pré- senté cette particularité que les
arité que les secousses prédominaient à droite. A la suite de cette attaque , l'embarras de la parole a persisté. Huit jours
e la parole a persisté. Huit jours plus tard, il a eu une quatrième attaque du même genre, avec recrudescence de l'embarras
et faiblesse du bras droit. Enfin, le Li mai, il a eu une cinquième attaque , avec parésie du bras droit, suivie le lendemai
iques. - Il y a six mois (en juillet), elle fut prise d'une sorte d' attaque . Elle était dans sa boutique à travailler, quan
aire ci-dessus justifiée. Il s'est aussi produit dans ce cas, une attaque d'é- pilepsie sensitive bien caractérisée, atta
dans ce cas, une attaque d'é- pilepsie sensitive bien caractérisée, attaque dont la parenté avec la migraine ophtalmique es
permanent : tels l'engourdissement de la face et de la main, les attaques épileptoïdes, l'hémiopie, l'embarras de la paro
ans. Elles étaient limitées au côté gauche. A douze ans, premières attaques d'épilepsie, elles avaient ce caractère d'être
Grand'mè1'e maternelle phthisique, nerveuse, migraineuses Soeurs, attaques de nerfs. Frère, accès de somnambulisme. - Frère,
tourdissement et accom- pagnée d'hallucinations de la vue. Première attaque à quatorze ' ans et demi. Etourdissements, vert
emière attaque à quatorze ' ans et demi. Etourdissements, vertiges, attaques fréquentes, limitées à la phase épileptoide. St
ase épileptoide. Stigmates hystériques. Hypnotisme. Description des attaques : Aura; - altitude du crucifiement; arc de cerc
t naturel. Pas de maladie de peau, pas de trace de syphilis ; pas d' attaques de nerfs. On ne sait s'il a en des convulsions
e, comme nous le verrons plus loin. Elle assure n'avoir jamais eu d' attaques . Mariée à dix-huit ans. Aucune mala- die, sauf
te de phthisie galopante à ciuquante-sept ans ; nerveuse, mais sans attaques de nerfs, sujette 412 recueil DE faits. à des
convulsions; à dix-huit ans, peur, suspen- sion des règles, peines attaques de nerfs; blanchisseuse, pas d'en- fants ; - 3°
as de convulsions ; 6° Fille, vingt ans ; pas de convulsions, pas d' attaques de nerfs ni de migraines ; intelligente; - - 10
ntellectuels consécutifs. 1 Elle a eu depuis ces renseignements des attaques d'hystérie. Nou y reviendrons plus loin. DE l
et l'avait battu, il fut pris un quart d'heure après d'une première attaque . C'était veis le 15 décembre 1884. La seconde a
'une première attaque. C'était veis le 15 décembre 1884. La seconde attaque eut lieu quinze jours plus lard. Le médecin de
l fut renvoyé le 4 jan- vier 1885. Depuis cette époque, il a eu une attaque le 9 janvier, puis de quinze en quinze jours, l
-Anne le 14 avril, et le 16, le 17, le 18 et le 19 avril il eut une attaque chaque jour; le 20 il en eut deux. 23 avril. -
, une canaille, etc., etc. D Puis il tomba immédiatement et eut une attaque qui dura trente secondes. Après cette attaque,
édiatement et eut une attaque qui dura trente secondes. Après cette attaque , il apostropha de nouveau le garçon et essaya d
un peu à gauche de la ligne médiane. Douleurs spontanées après les attaques . La pression donne des picotements sans irradia
irradiations ; 2° au niveau du vertex : douleurs spontanées api les attaques : par la pression, ii radiations douloureuses v
e de la troisième dorsale ; parfois douleurs spontanées après les attaques : par la pression picotements sans irradiations.
onzième dorsale point douloureux. Sensibilité conservée. Après les attaques il dit avoir une douleur tout le long de la col
d'halluci- nations des divers sens. Aum. - Une' minute avant les attaques , il se sent mal à l'aise. Il Il me prend un ver
temps d'avertir. - 5 mai. Le malade a été pris à 10 heures d'une attaque , sans avoir prévenu, sans pousser de cri. Il es
s dans les reins. La température rectale prise cinq minutes après l' attaque est de 38° 5. (Fig. 5 et 6.) 11 mai. (10 h. 5
s après l'attaque est de 38° 5. (Fig. 5 et 6.) 11 mai. (10 h. 5). Attaque commencée depuis deux ou trois minutes, précédé
très court de deux à trois secondes (impression recueillie après l' attaque ). Il a poussé une courte exclamation « Ah ! » e
re. 11 prétend qu'il se mord quelquefois la langue. T. R. après l' attaque , 3742. 15 mai. - Pris d'une attaque à 9 h. 38.
fois la langue. T. R. après l'attaque, 3742. 15 mai. - Pris d'une attaque à 9 h. 38. A 9 h. 40, on le trouve couché sur l
x reins. T. R., 38,2. - 20 aoÛt, - La veille, il a eu une série d' attaques de 8 à heures du soir. Dans le délire terminal,
s. Une fois endormi, il rêve beaucoup. Ainsi, avant-hier, après son attaque , il voyait le veilleur se promenant sur les toi
se pencher sur le côté droit et devenir tout raide. Il était pris d' attaque . 11 n'a pas poussé de cris. Tout le corps est r
. 11 se réveille sponta- nément, sans mouvements spasmodiques, sans attaque à 10 h. 50 et parait étonné. 27 août. - A 9 h
à 9 h. 36. La durée a été d'un quart d'heure. Ecume pendant toute l' attaque . A 10 h. 13, il s'endort au bout de trois minut
éveille en lui soufflant sur les yeux. 28 août. - Hier il a eu deux attaques . Après ces attaques, puis ce matin encore, il s
lant sur les yeux. 28 août. - Hier il a eu deux attaques. Après ces attaques , puis ce matin encore, il se serait plaint de r
prise. 11 dit n'avoir rien ressenti à gauche. Il a eu ce matin une attaque depuis 8 h. 25 jusqu'à 9 h. 20. A 9 heures ni p
4 septembre, douches deux fois par jour. 8 décembre. - A eu deux attaques à la Sûreté où il avait été envoyé pour sa mauv
janvier. - Etant en congé depuis le 27 décembre, il aurait eu deux attaques très courtes. 11 février. - Il a eu trois attaq
aurait eu deux attaques très courtes. 11 février. - Il a eu trois attaques depuis le 28 janvier : le 1 cr, le 2 et le 10 f
ouleur, à la température, moins vive à gauche qu'à droite. A eu une attaque le 24 février. Ne travaille plus a l'ate- lier
ordonnerie, parce qu'on manque de cuir. 5 mars. Il n'avait pas eu d' attaques depuis le 24 février et n'avait eu que très peu
disparu. Mais au bout d'une demi-heure il a été pris d'une grande attaque qui a duré environ cinq minutes. Traitement : Dou
Depuis la semaine dernière, trois ou quatre vertiges au plus. Pas d' attaques . Il se sent bien. Même traitement. 15 avril. A
qui le conduisirent à Sainte-Anne. Pendant son voyage il eut trois attaques . 1887. 3 janvier. - A repris son travail ici et
onné de violents coups de poing sur la ligure. 8 août. - A eu une attaque ce matin. Il se plaint d'avoir les mains fermée
cher à s'évader. 1888. 2 janvier. Il prétend qu'à la suite de ses attaques , ses testicules diminuent un peu. = 422 RECUE
n altérée et de l'ataxie (Hammond) ainsi que des convulsions et des attaques épilepti- formes. Dans presque tous les cas d
t la maltraitait souvent. A cette époque, elle commença à avoir des attaques d'épilepsie (petit mal). Les attaques étaient r
ue, elle commença à avoir des attaques d'épilepsie (petit mal). Les attaques étaient rares, deux ou trois fois par an, et n'av
pas de suites particulièrement fâcheuses. A vingt-quatre ans, une attaque de petit mal fut suivie d'actes automatiques. Ell
de trente à quarante minutes, rarement de une à deux heure'. Les attaques de ce genre arrivaient une ou deux fois par an. A
ou deux fois par an. Après ses trente-deux ans, on remarqua que ces attaques d'automatisme psychique devinrent de plus longu
de huit à dix-huit heures. Outre cela, la malade devint, durant les attaques , irri- table, querelleuse et furieuse; elle ava
é, la malade ne gardait ancun souvenir de ce qui s'était passé. Ces attaques étaient toujours précédées d'une période d'irri
it, tantôt il empi- rait. Mais la nouvelle maladie n'arrêta pas les attaques de fureur épileptique. Ces attaques apparaissai
uvelle maladie n'arrêta pas les attaques de fureur épileptique. Ces attaques apparaissaient de la même manière et aussi viol
bservai quelques-uns personnellement et je remarquai que du- rant l' attaque de fureur, les phénomènes de la maladie de Basedo
qu'il faut chercher la cause de ce fait dans l'existence réitérée d' attaques de bronchite aiguë; ce qui est surtout remarquabl
t accident hystérique durant une période de cinq années, il vit ses attaques reparaître et une hémiplégie avec hémianesthési
sie sensilivo-sen- sorielle, du rétrécissement du champ visuel, des attaques convul- sives, etc. Se fondant d'une part sur c
ileptoïdes, l'excitation cérébrale (céphalalgie), les vertiges avec attaques syncopales, les vomissements, le.' névrites (névr
ngt ans, qui au printemps de 1887 fut coup sur coup affecté de deux attaques d'apoplexie. La seconde fut suivie de troubles
ents d'hémiplégie à la suite du second ictus tandis que la première attaque apoplectique se tra- duisait par une hémiplégie
des réflexes. L'hémiplégie dans la sclérose en plaques présente des attaques répétées, transitoires, l'exagération des réfle
e (troubles de la vision, zones hystérogènes, plaques d'anesthésie, attaques hystériques, crises de sommeil). L'auteur not
s hystériques, crises de sommeil). L'auteur note la fréquence des attaques apoplectiformes dans l'hystéro-alcoolisme, l'hy
42 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
s pulmonaires. , A. P. Sujette depuis l'adolescence a de fréquentes attaques d'hystérie. Bron- cho-pneumonie à 29 ans. Marié
core et surtout penser à une paralysie hystérique étant données les attaques convulsives antérieures, cet état mental parlicul
ine, sans suites fâcheuses. Depuis l'année 1886. il est sujet à des attaques de coliques néphrétiques, qui se sont renouvelées
rne d'urine jusqu'à douze ans et de plus a, depuis son enfance, des attaques de nerfs tous les mois. A d'autres points de vu
y consultent un médecin distingué des hôpitaux qui, en présence des attaques , du caractère violent et emporté de l'en- fant
eurs soigneusement entretenu par sa mère, pense avoir affaire à des attaques comitiales et ordonne du bromure de potassium, bi
passé 3 ans ; le début des accidents coïncidait assez bien avec les attaques convulsives qui allaient jusqu'à déterminer un vé
itatives auraient succédé des lésions destructives, et de fait, les attaques avaient disparu à mesure que l'hémiplégie complèt
quer comme la période des hallucinations et la période de délire. L' attaque se réduit alors à la période épileptoïde : c'es
à cet égard. Dans le pre- mier, la période épileptoïde de la grande attaque d'hystérie avait seule frappé le médecin traita
à forme convulsive dans lequel une céphalée persistante, jointe aux attaques périodiques, avait pu en imposer également pour
Observation VI. Cas de petite hystérie avec céphalée persistante et attaques convulsives faisant pen- ser à une lésion organ
ait être abandonné pour les motifs sui- vants : nombre excessif des attaques , calme dans les intervalles des accès, absence
mi-anesthésie droite. On avait eu affaire vraisem- blablement à une attaque d'hystéro-épilepsie incomplète et bornée à la p
s convulsions partielles épileptiformes constituent souvent toute l' attaque d'hystérie. Les accès de cette fausse épilepsie
ans tous ces cas et en l'absence des autres phénomènes de la grande attaque d'hystérie (grands mouvements, poses plastiques
ation VII permet d'affirmer que l'hystérie était la seule cause des attaques d'épilepsie partielle, les observations VIII et
xacte de la névrose et de la lésion organique. Observation VII. Attaques hémiplégiques arec aura, sans perte de connaissan
stigmates permanents. Pas de rétrécissement du champ visuel. Pas d' attaques . Pas de points douloureux. Monoplégie brachiale
s soient absents. Au reste, quand on veut s'expliquer l'origine des attaques épileptiformes, on ne saurait la trouver dans la
rigine hystérique que viennent encore confirmer les caractères de l' attaque , l'absence de paralysies consécutives et enfin,
nt il la fin de l'observa- tion d'une façon très régulière avec les attaques franches d'hystérie et la malade ne se trouve p
et la malade ne se trouve pas plus incommodée de ces accès que des attaques d'hystérie. En faveur de leur commune origine,
i. On peut voir en effet des contractures accompagner ou suivre des attaques convulsives qui sont en rapport avec une irrita
es contractures précoces à début brusque, suivant ordinairement des attaques convulsives et pouvant précéder la paralysie comp
, il n'est pas rare de les voir s'installer en permanence après une attaque d'hystérie. Lorsque ces contractures sont (1) C
plusieurs jours pour ne dispa- raître qu'à la suite d'une nouvelle attaque , ou même persister d'une façon indéfinie pendan
e toujours au début des contractures de cause organique et dans les attaques convulsives qui les ont précédées : apoplexie, ép
de la sen- sibilité ; pas de pleurs faciles, de rires nerveux ni d' attaques convulsives... (1) P. RICHER, op. cil., p. 9.
cela en relation immédiate avec un ictus, si on n'a pas assisté à l' attaque . Quand au contraire les monoplé- gies hystériqu
dans les- quelles l'apparition brusque du syndrome a suivi soit les attaques d'hys- térie, soit une vive émotion ou un traum
chez un sujet bien portant la veille, ou bien qu'elle succède à une attaque apoplectiforme, il y aura bien des hypothèses à é
rvation XI. Aphasie motrice hystérique citez une enfant de 11 rois. Attaques convulsives (In thèse Peugniez, Paris 1885).
t régulière, a toujours joui d'une santé robuste et n'a jamais eu d' attaques ni de convulsions. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENC
8, n° 18). Observation XV (personnelle). Mutisme à début brusque. Attaques convulsives. Perte continuelle de salive. Emi
ts qui purent constater la continuation des crises convulsives. Les attaques se répétaient quelquefois au nombre de 10 il 12
e convulsions ; elle ne se mordait pas la langue, mais après chaque attaque , elle bavait beaucoup. ' Etat actuel. Il y a
a- live par la bouche. Cette sécrétion est encore augmentée par les attaques . Les attaques convulsives ne se produisent qu'a
bouche. Cette sécrétion est encore augmentée par les attaques. Les attaques convulsives ne se produisent qu'assez rarement; e
es caractères, les troubles de la sensibilité et peut-être même les attaques convulsives. Mais comment faire rentrer dans le
nfirmité ? Pourtant, cette hypersécrétion augmente encore après les attaques et elle ne s'accompagne pas de paraly- sie des
nous est même impossible d'être très catégorique sur la nature des attaques convulsives auxquelles nous n'avons pas assisté.
iminuée dans le domaine du trijumeau gauche. Cinq jours après cette attaque , le malade peut déjà faire quelques mouve- ment
incapable, même soutenu, de se tenir debout. Sept semaines après l' attaque , il peut se lever, s'habiller seul, marcher, so
ans les espaces libres de la coupe. L'action prolongée de l'éther n' attaque nullement cette matière homo- gène : d'ailleurs
cité temporaire alter- ner avec l'aphasie et suivre ou précéder les attaques hystériques (4) ; il y a des cas plus embarrass
rassants où la cécité, survenue progressivement, en dehors de toute attaque , s'est accompagnée de maux de tête et a présenté
emaines. Le 26 novembre 1891, le ptosis a reparu en dehors de toute attaque . Il siège toujours à gauche : le sourcil gauche
erche des stigmates de l'hystérie n'ait pas été faite ; l'absence d' attaques convulsives n'autoriserait pas à elle seule à r
névropatlcique. Pseudo-méningite tuberculeuse vers l'âge de 8 ans. Attaques convulsives à 9 ans et succession bizarre de dive
acture des deux membres inférieurs el du membre su- périeur gauche; attaques syncopales et convulsives ; délire : agraphie et
a suite d'une frayeur à t'age de' ans. Pendant deux ans et demi les attaques se reproduisent environ tous les deux mois, puis
a seule particularité intéressante est que le malade a eu une forte attaque de rhumatisme tout à fait généralisée. On lui m
es aient été prises. Il faut donc retenir non seu- lement que cette attaque de rhumatisme a été intense et prolongée, mais
uscles s'affaiblissent simultanément; cependant cet affaiblissement attaque tout d'abord les muscles qui se dirigent vers la
les membres, etc., etc. Plusieurs, franchement hystériques, ont des attaques classiques suivies parfois d'hémiplégies et d'h
ur, de noire vénéré maître le professeur Jean-Martin Charcot qu'une attaque soudaine d'angine de poi- trine vient d'enlever
Mais il observait, notant les attitudes, dessinant les phases de l' attaque , et un jour la lumière se fit, le voile se déchir
procédait par la méthode des types, et. sa description de la grande attaque hystérique ou « attaque de la Salpêtrière » est
des types, et. sa description de la grande attaque hystérique ou « attaque de la Salpêtrière » est encore celle qui doit ser
ppui de sa démonstra- tion clinique. De même, décrivant les grandes attaques hystériques et les phénomènes de l'hypnose, pla
; notre malade (obs. XIII) tombe lourdement frappé d'une véritable attaque de paraplégie. Le début peut avoir lieu toutefo
, sauf la perte du goût sur une moitié droite de la langue. Pas d' attaques ni de points hystérogènes. Rêves pénibles : des
timent spécial. C'est pendant ce voyage qu'apparurent les premières attaques , sur lesquels il ne peut d'ailleurs donner aucu
ITEURS LE JUIF-ERRANT A LA SALPÊTRIÈRE 289 Pendant ce séjour, les attaques se renouvelaient fréquemment, mais d'une façon
s dans une journée ; d'autres fois quelques jours se passaient sans attaques . Elles survenaient sans que le malade puisse af
étaient précédées ou non d'aura. Leur caractère rappelle celui de l' attaque d'hystéro-épilepsie type : arc de cercle, grand
lui étaient pas habituels. A la suite de ces colères, il tombait en attaque , et celle-ci terminée, il pleurait abondamment.
par les douches, la galvanisa- tion et la gymnastique suédoise. Ses attaques en furent diminuées. C'est depuis cette époque
SALPÊTRIÈRE. L'ouïe très affaiblie depuis 1882, redevint bonne. Les attaques cessèrent tout à fait. Seuls, les maux de têt
» dans sa maison, S... voit l'incendie, pousse un cri, et tombe en attaque . Au bout d'un quart d'heure il se réveille : il
était surtout atteint. Il y avait une raideur assez prononcée. Les attaques se reproduisent alors, mais moins fréquentes et m
e 6 à 12 minutes. Elles sont toujours précédées d'aura. La dernière attaque , il y a 12 jours, a duré 6 minutes. Mais la mém
Beck qui lui donna un certi- ficat constatant qu'il était atteint d' attaques d'épilepsie, et lui permettant de suivre un tra
le Dr Viemont qui lui délivra un nouveau certificat : paralysie et attaques d'épilepsie survenues à la suite d'un coup de f
ouvements. L'amblyopie est survenue chez la malade après une grande attaque pendant l'année 1892. Cette cécité hystérique p
élioré après son séjour à Paris, continua à de- venir meilleur. Les attaques s'espaçaient, devenaient de plus en plus frustes,
r S..., l'effet accoutumé des violentes émotions. Il eut une grande attaque d'hystérie et à son réveil, un nouveau phé- nom
LE JUIF-ERRANT A LA SALPÊTRIÈRE 835 Pendant toute cette période les attaques se reproduisirent a intervalles de plus en plus
s orages surtout exagèrent son mal. Il n'est pas rare qu'il ait une attaque quand le temps est orageux. Le nouveau phénomèn
udicieusement avec la dernière période de l'aura, ou le début d'une attaque qui avorte. L'appétit est faible. Après les rep
rasthéniques classi- ques avec quelques symptômes d'hystérie et des attaques frustes. Nous retrouvons chez elle les mêmes la
. C'est pendant son séjour en celle ville, qu'elle eut une première attaque . Se promenant avec une amie, elle se sentit tou
mais sans se débattre. Quelques jours après, elle eut une seconde attaque , puis une troisième et de- puis lors celles-ci
rescrivit lui parurent absolument inef- ficaces, car elle eut trois attaques rapprochées, semblables aux précédentes. Elle p
d cinq gouttes sur un morceau de sucre et cela prévient souvent les attaques . L'interrogatoire n'est pas toujours pisé à fai
ncendie, la mort de sa fille, etc.) C'est l'étiologie même de leurs attaques , car ceux-ci sont des hystériques. N'est-ce pas
n bruyant appareil. A la suite d'une émotion, d'un traumatisme, une attaque se déclare sui- vie bientôt de plusieurs autres
il distribuait encore des secours aux malheureux. Il mourut d'une attaque d'apoplexie le 25 octobre 1653. Guy Patin, son
1653. Guy Patin, son ennemi mortel qui avait dirigé contre lui les attaques incessantes de la Faculté, écrivit à ce sujet :
43 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
s premières convulsions. Leur durée fut de 15 minutes à la première attaque ; le même jour, elles se produisirent une secon
u'elle court, qu'elle cherche son enfant, etc. Elle n'a jamais eu d' attaque de nerfs, ni de syncope ; elle est fortement ma
e mettre en colère, elle n'avait cependant jamais été sujette à des attaques de nerfs ; morte percluse de douleurs,aveugle e
n meuble, imprimant au canon des directions diverses, ripostant aux attaques , et trahissant sa satisfaction quand, feignant
certains égards, notamment en ce qui con- cerne la description des attaques et les modifications successives de la sensibil
ènes (clou hystérique, etc.), prédominant à gauche. Description des attaques ; marche. Traitement par l'hydrothérapie. - Guér
evu en mai dernier cet enfant, Lam... : i'. n'a pas eu de nouvelles attaques ; sa santé est excellente, 56 II1 STPO-T;PILPPS
bien portant. Il n'a jamais eu d'accès d'aucune sorte ; il a eu des attaques de migraine entre 30 et 40 ans; de plus, il est
ier dernier. L'hystérie a commencé à se manifester sous forme d' attaques en février 1880. La première a eu lieu le 6 fé-
cette crise qui a duré une heure et quart. Le 17 février, troisième attaque pendant une heure et demie; même mode de début
iffé- rents points hystérogènes, on n'a pas essayé de provoquer d' attaques par une pression prolongée (1). Aura.- L'enfant
que devient très douloureux et aussitôt il perd connaissance. Les attaques revenant à des heures presque régulières et dur
st ce qui fut fait, et, le 2 mars, d'Olier fut témoin d'une série d' attaques que nous allons décrire d'après ses notes, cons
ès ses notes, consignées sur l'ob- servation. ' Description d'une attaque complète (2 mars). L'attaque débute à 7 h. 35 d
l'ob- servation. ' Description d'une attaque complète (2 mars). L' attaque débute à 7 h. 35 du soir après un dîner où l'en
appe son père comme les autres personnes. Il se mord lui- même. Attaque : 1° légère contracture du bras ; 2° grands mou
nes se montrent beaucoup plus sen- sibles que dans l'intervalle des attaques : La douleur est particulièrement vive à la pre
sa barbe et l'embrasse. Il veut se lever et s'en aller. Nouvelle attaque : Grand arc de cercle ; à ce moment, pouls : 92
jusqu'au 2 mars, date de la crise, qui est rapportée plus haut, les attaques reviennent alter- nativement à midi et à sept h
ade ima- ginaire, lui dit qu'il est allé en ballon, etc. 10 mars- Attaque à 4 heures du soir. Au début on note un changem
e. Il existe un point très douloureux sous l'hypochon- dre droit. L' attaque cesse instantanément quand on souffle sur le vi
eprendre quelques mo- ments plus tard, par les grands mouvements. L' attaque aujourd'hui dure deux heures. Survient une séri
dans les autres at- taques, était tout à fait fugace. 13 mars. L' attaque d'hier a eu lieu à 9 heures du soir, différente
de quelques instants puis a recouvré connaissance. 15 mars. Pas d' attaque . Le sommeil est agité; le malade se tourne cont
mais il n'y a ni délire, ni secousses convulsives. 16 mars. Pas d' attaque . L'état général de l'enfant est excellent. 22
nfant est excellent. 22 mars. La semaine précédente il y a eu une attaque deux jours de suite, avec une durée d'une heure
rement pris des douches, d'abord une seule, puis deux par jour. Les attaques sont devenues beaucoup plus rares ; c'est ainsi
bre 1880. Il reprend les douches depuis deux jours. 13 octobre. Les attaques ont complètement cessé. Le ca- ractère s'amélio
égers minoratifs. Il y a deux semai- nes, on a craint le retour des attaques , à la suite de deux nuits agitées, avec rêves e
enfanta pris ses douches jusqu'en décembre dernier. Il n'a pas eu d' attaques . Sa santé générale est très bonne.-Les attaques
er. Il n'a pas eu d'attaques. Sa santé générale est très bonne.-Les attaques ont eu la marche suivante : 64 HYSTÉRO-ÉP ILEPS
vive, des cauchemars, la diathèse nerveuse s'est manifestée par des attaques d'hystéro- épilepsie. Bien qu'elles n'aient pu
e délire était, elle aussi, parfaitement caractérisée. Enfin, les attaques étant finies, la connaissance sem- blant revenu
ptômes permanents, BOURN. 5 66 HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. l'aura ou les attaques , et qu'on les compare aux obser- vations recuei
la fin de cette année. A dater du mois d'août 1880, les séries d' attaques ont été plus rares et surtout plus courtes et e
venu ce qu'il était autrefois, enfin il n'a pas eu de nou- velles attaques . (1) L'enfant venait à la gymnastique du servic
e. Les accès d'épilepsie se sont déclarés environ six ans après l' attaque paralytique. Durant cet intervalle, notre malad
à la suite de couches, la cadette était très nerveuse et avait des attaques de nerfs après des contrariétés. Un cousin germ
en eût une, était de courte durée. Pas de vision colorée. Après l' attaque , L... se plaignait d'une douleur dans l'es- tom
ans, couturière, très impressionnable; elle aurait eu de nombreuses attaques de nerfs de 10 à 17 ans. Consanguinité. (Cous
turière, intelligente, sans accidents névropathiques. Elle a ou une attaque de rhumatisme arti- culaire aigu. [Père rhumati
enfant, repris par ses parents, à l'âge de 8 ans, a eu une nouvelle attaque de convulsions, d'une durée de 10 minutes, le 1
t intelli- gente. Elle est un peu nerveuse et aurait même eu deux attaques de nerfs : l'une pendant la grossesse, l'autre, i
été gai, n'a jamais aimé à jouer. A sept mois, il eut une première attaque de convulsions qui durèrent 4 heures : celles-c
« A l'âge de 18 mois, à la suite d'une coqueluche, il a été pris d' attaques convulsives, qui lui ont laissé le bras gauche
ès nerveuse, alcoolique.- Premières convulsions n un an. - Deuxième attaque A 3 ans. Icliotie complète. Rumination nu Méry-
enta rien d'anormal jusqu'à l'âge de 17 mois. A ce moment, première attaque de ('on... idiotie complète. 141 nuisions qui
rlait pas ; il avait l'appétit bien développé. A trois ans deuxième attaque cle convulsions quidurèrent environ une semaine
d'une intelligencerestreinte, très nerveuse, sans avoir cependant d' attaques de nerfs; pleure facilement, est colérique. Dan
uvelle observation d'hystéro-épilepsie ; 2° livraison, variétés des attaques hystériques ; - 3' et 4'livraisons, des régions
7" livraisons, du sommeil des hystériques; '7'-)2° livraisons, des attaques de sommeil : hypnotisme, somnambulisme, catalep
44 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
valeur individuelle subit, par le fait des manœuvres hypnotiques, une attaque si profonde, que tout homme qui a le moindre souc
l à une doctrine religieuse, dite infaillible, que les plus violentes attaques de ses adversaires. L'Eglise le sent, et le P. de
ises. Quelques jours après le départ de Donato, il devint sujet à des attaques de sommeil spontané dans lesquelles il mimait les
inaire de leur disparition, qui s'effectue soit sous 'influence d'une attaque hystéro-épilcptique, soit, ce qui est plus notabl
ce, de s'exercer a satiété. De l'accès fruste d'épilcpsie jusqu'à l' attaque la plus complète, il n'est pas de nuance qui n'ai
à diverses reprises, il a vu sa mère qui est très nerveuse « dans ses attaques de nerfs » et que l'idée lui est venue de faire c
ondi démontre ! que, réellement atteinte d'épilepsie, elle simule des attaques dans l'in- ; tervalle des accès réels, o Nous ne
ême quartier de Paris. Au dire de Motet, chez les jeunes détenus, l' attaque épileptiforme est le mode de simulation le plus h
s à type choréique n'est pas moins fréquente que celle des névroses à attaques convulsives. Feindre les mouvements désordonnés d
hez les hystériques sont avant tout des phénomènes analogues a ceux d' attaques ou d'accès hystériques. Mais ce sont pourtant des
t le phénomène de la catalepsie ; tel autre encore aura de véritables attaques d'hystérie provoquées artificiellement par des ma
t à la constatation négative de toute manifestation caractéristique — attaques convulsives ou stigmates — de la ne*vro*e: de m
e, le 3i août 1S88. Antécédents héréditaires. — Mère: nerveuse sans attaques , sourirait souvent de ses nerfs, a qui se nouaien
qui siivii sa rentrée et toute la matinée du lendemain, elle eut des attaques . Son mari la rît alors entrer k l'hôpital de Sain
fusa d'obéir. Elle assure n'avoir jamais dormi : d'un autre côté, les attaques de raideurs, qui se présentaient trois ou quatre
s peur de l'action du magnétiseur, fut plus calme, moins triste ; les attaques aussi, pendant huit fours, diminuèrent de fréquen
ue dans l'état mental se maintint, mais au bout de ces huit jours les attaque * se reproduisirent comme devant, constituant déso
, constituant désormais le point saillant de la maladie. Toutes les attaques sont précédées d'une aura: battements de cœur, do
aveugle, gardant la position imprimée u ses bras. D'autres fois, l' attaque se présente sous la forme suivante : La malade, d
er aux membres une nouvelle position qu'ils conservent comme dans les attaques du premier genre. Toutes ces attaques peuvent c
ils conservent comme dans les attaques du premier genre. Toutes ces attaques peuvent cesser par le soufrîe sur les yeux et aus
e ne se rappelle que très confu>cmcnt ce qui s'est passé pendant l' attaque . Ces attaques sont spontanées ou provoquées. Au
e que très confu>cmcnt ce qui s'est passé pendant l'attaque. Ces attaques sont spontanées ou provoquées. Au début, un attou
n 'e certaines zones. Celle don: l'cx.nation amène le plus sûrement l' attaque est la zone sous-mammaire gauche, puis une zone i
încn même temps de faire a la malade des safl gestions appropriées, l' attaque ne se produit pas. Souvent aussi elle peut éviter
taque ne se produit pas. Souvent aussi elle peut éviter ou retarder l' attaque en résistant à l'aura, depuis que nous' lui avons
plus que la zone sous-mammaire gauche. Mais, pour cela comme pour les attaques , l'ctTct des suggestions fut passager et les svmp
conservée: le champ visuel n'a pu ôtre examiné, la malade tombant en attaque sitôt qu'elle tixe un objet. Cette observation
re malade, qui est tombée dans un éiat mental particulier et dont les attaques ont débuté a la suite des tentatives d'hypnotisme
is dormi et que ce pseudo-hypnotisme ne consiste en réalité qu'en des attaques hystériques d'une allure un peu particulière, duc
ni d'hyperesthésie testiculaire, pas de zones hystérogénes. Jamais d' attaque » nerveuses, ni de maux de tête, ni d'irrégularité
xistait que lanesthésie pharyngée, sans antécédents familiaux, et une attaque convulsive dans la jeunesse. D'autre par:. i ra
nous est apportée à l'hôpital, en état complet d'ivresse et en pleine attaque d'hystérie que nous essayons vainement d'arrêter
nt deux filles et un garçon. L'aînée des tilles est sujette & des attaques semblables * celles de la mère. Malgré cela, elle
n mari. Le 5 avril, sentant, dit-elle elle-même, venir une nouvelle attaque , elle abandonne le refuge où clic s'était retirée
ice nous l'amène à l'hôpital. La malade sent toujours approcher son attaque . La première phase de celle-ci est caractérisée p
e sent brisie; elle se plaint de la tete, des reins et da ventre. Ces attaque * reviennent d'une façon assez irrégulière, mais n
compagnes et envers la sœur de la salle. Samedi i. — Anna a eu une attaque hier a ~ heures, et une autre ce matin au point d
ns irréprochables. Nous l'endormons et nous lui défendons d'avoir une attaque avant la visite du lendemain. Dimanche 10. — L'
d'avoir une attaque avant la visite du lendemain. Dimanche 10. — L' attaque a eu lieu ce matin au moment où nous entrions dan
gedV.weilent appétit. Le soir, vers huit heure, elle a eu plusieurs attaques que nous avons eu beaucoup Je peine à arrêter. A
'en vouloir, je te demande pardon. » Nous lui interdisons d'avoir une attaque avant trois jours, et de passer convenablement la
ion avec un demi-verre d'eau pure. Vendredi 5. — La malade a eu une attaque . Plusieurs selles diar-rbéiques dans ia journée d
selles diar-rbéiques dans ia journée d'hier. Nous lui interdisons une attaque avant huit jours. Lundi iS. — La malade se port
ui ordonnons de ne pas s'ennuyer. Vendredi 22. — La malade a eu une attaque . Nous l'endormons en Joi interdisar: d'avoir une
pour affaires, et cette fois ne rentre plus. cours et conférences / attaque de sommeil Leçon clinique de M. Ic professeur C
'il n'y a rien de grave dans son état. Cette femme, en effet, a des attaques d: sommeil depuis :87s : une fois elle a dormi de
attention, car elle représente un type particulier : la malade a des attaques de sommeil, c'est là un phénomène propre a l'hyst
On retrouve l'histoire d'Eudoxic dans le travail de M. Gilles sur les attaques de sommeil. Ccue femme est entrée à la Salpêt
somane); Sœur nerveuse. A dix-huit ans. elle a commencé a avoir des attaques ; vous voyez quelle ténacité a cette hystérie enco
re considérée par bien des médecins comme une affection légère. Les attaques ont duré jusqu'en i8j5, et ont été remplacées par
ré jusqu'en i8j5, et ont été remplacées parles crises de sommeil. Les attaques antérieures étaient bel et bien des attaques d'hy
s crises de sommeil. Les attaques antérieures étaient bel et bien des attaques d'hystéro-êpilepsie dans le sens où nous l'employ
sculaire, qui me fait considérer le. sommeil de cette femme comme une attaque fruste, une attaque manquée au lieu du tapage de
t considérer le. sommeil de cette femme comme une attaque fruste, une attaque manquée au lieu du tapage de la grande hystérie ;
uisse des grands mouvements qu'exécute habituellement l'hystérique en attaques régulières. Cette raideur des membres, cette mo
i- tiantc qui marque ordinairement avec Tare de cercle la An de l' attaque classique. Mais, nous dira-t-on, pourquoi ne
tu quo d'animal hibernant. Une seule fois une hystérique en série d' attaques eut une température de 3p degrés : très inquiet,
ion, ou mieux l'intime parenté de ces états connexes, l'hystérie, les attaques de sommeil et le sommeil hypnotique. Comment vi
ion. M. Debove a appelé apoplexie hystérique la première phase de l' attaque de sommeil. Cette apoplexie, c'est le début brusq
de l'attaque de sommeil. Cette apoplexie, c'est le début brusque de l' attaque . On ne. doit pas voir là autre chose et il faut é
nes hystériques. L'état de raideur de notre malade rappelle aussi l' attaque Je raideur qu'obtiennent parfois, à leur grand ef
de foire et de salon. Il s'agit donc bien là d'une des modalités de l' attaque J hystérie: il est indispensable de le savoir pou
e irritation périphérique, et qu'il en est ainsi quelquefois dans les attaques de petit-mal chez l'homme. Je rappellerai aussi q
des chez lesquelles la suggestion hypnotique a amené la disparition d' attaques convulsives, de troubles graves du caractère, de
ystérie provoquée par le traumatisme, car cette malade a présenté des attaques dés l'âge de 14 ans; mais l'anesthcsie est un phé
sme peuvent subir des transformations récipioques au cours d'une même attaque , par la seule mutation des phénomènes symp-tomati
me. Ces trois états, qui peuvent se succéder dans le cours d'une même attaque et qui sont artificiellement provoqués, ne doiven
nait un chatouillement et de la toux. En 1886. elle fut prise d'une attaque congestive au cerveau; les yeux devinrent proémin
ans. L'anesthcsie totale disparut en même temps. A 15 ans, nouvelle attaque , cene fois, d'hémichorée gauche avec hémi-anesthé
hystérique est un fait fréquent que l'on remarque également djns les attaques et contractures. A 20 ans, l'anesthésie totale
un rien la faisait sortir hors des gonds, et elle avait de fréquentes attaques hystériformes, qui commençaient toujours par une
e jeter dans le canal, il y a 15 jours. En 1888. elle a été prise d' attaques hystériques caractérisées par de la douleur de tê
aintient depuis i885. G..., 25 ans, manie aiguë, hystéro-comitialc. attaques convulsives. hallucinations. — La guerison se mai
. Dav..., 21 ans. épllepsie. hallucinations. — Rechute ù la suite d' attaques . Ainsi, sur 22 cas. 19 sont restés guéris et 3
faut noter que, parmi ces 3. la cause des rechutes a été. 1 fois, des attaques d'épilepsie auxquelles la malade était sujette de
ne peuvent arriver à s'endormir, mais réalisent tout simplement leur attaque d'hystérie, avec ses caractères habituels et anté
it hypnotisme serait comparable au rapport qui existe entre la grande attaque d'hystérie de la Salpôtrière et toutes les autres
e la grande attaque d'hystérie de la Salpôtrière et toutes les autres attaques : celles-ci. d'après la même école, ne seraient qu
formes atténuées de la première, qui resterait le prototype de toute attaque complète. Ici, je dois le dire, je me trouve en
e dernière sur l'hystéro-trauma-tisme (2). Pour rattacher certaines attaques d'hystérie à la grande attaque, on est obligé de
tisme (2). Pour rattacher certaines attaques d'hystérie à la grande attaque , on est obligé de se livrer à une opération intel
une opération intellectuelle très complexe ; il faut : i° ajouter à l' attaque de la Salpêtrière des caractères qui ne lui appar
des caractères qui ne lui appartiennent pas (ceci se réalise dans les attaques dites avec immixtion d'éléments nouveaux! : 2° re
taques dites avec immixtion d'éléments nouveaux! : 2° retrancher de l' attaque de la Salpêtrière tout ce qu'elle a de caractéris
ailleurs, je crois pouvoir affirmer 3ue les différentes variétés d' attaques ne sont pas des dérivés, des iminutifs de la gran
riétés d'attaques ne sont pas des dérivés, des iminutifs de la grande attaque . 11 en est de môme pour l'hypnotisme : Pour admet
ait calmée. Un malade dont l'agitation se termine d'ordinaire par une attaque convul-sive a eu son agitation momentanément susp
es dans le cours d'accès sériels convulsifs ont eu une suspension des attaques , l'un par l'application de la ventouse le Junod,
son enfance des troubles nerveux : terreurs nocturnes, migraines, une attaque de chorée à douze ans. Le t2 mars dernier, aprè
elle souffrait depuis onze semaines. Six malades qui présentaient des attaques hystériques furent aussi favorablement influencée
ne, 285. Astuce chez l'enfant (l'), par Collineau. 25. 60, 89. 142. Attaque de sommeil, par Charcot. 216. Auteur d'une sugges
devant les). 193. Soldat somnambule (la légende du), 97. Sommeil ( attaque de), par Charcot, 216. Sommeil hypnotique, résult
45 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ésenté antérieurement des accidents cérébraux graves (convulsions', attaques épileptiformes, etc.). Mais il s'en faut heur
matin il allait mieux mais le soir même il présentait une nouvelle attaque comateuse. Deux jours plus tard, amélioration s
abituelle d'un caractère un peu emporté. Mère un peu nerveuse, sans attaques . Grand'mère mater- nelle morte après deux attaq
u nerveuse, sans attaques. Grand'mère mater- nelle morte après deux attaques d'apoplexie. Père alcoolique violent, pas d'att
rte après deux attaques d'apoplexie. Père alcoolique violent, pas d' attaques . Pas de syphilis appréciable; l'impaludisme n'e
es fois, apparaissant généralement au mois d'août; par exception, l' attaque actuelle était sur- venue au printemps,, débuta
reize ans, à la suite d'un traumatisme céphalique, le malade, a des attaques d'épilepsie. L'auteur fait remarquer. : 1° que
que dans l'intervalle. L'auteur fait encore remarquer l'existence d' attaques épi- leptiques, sans d'ailleurs vouloir établir
: l'un de Suell chez une fille de huit ans qui avait eu sa première attaque à l'âge de dix-huit mois. L'autre de E. Clark,
ompagnée o, mais encore « suivie » . Enfin, le peu de fréquence des attaques , leur périodicité, sont encore des caractères q
nerf, inflammation dont chaque poussée se serait traduite par une attaque de paralysie. Certes les dernières attaques, ce
erait traduite par une attaque de paralysie. Certes les dernières attaques , celles qu'a observées l'auteur, ont pu recon-
ec M. Donner, médecin-major.) B... a eu, le 34 février dernier, une attaque d'apoplexie : il est tombé subitement, perdant
isent dans l'hémorrhagie; or l'observation décrit, pour la première attaque , un ictus apo- plectique. Ce fait pouvait primi
et à marche chronique. Trois mois plus tard, survient une deuxième attaque : cet épisode aigu, qui tranche surles allures
: pour Bouchard, elle se développerait dès le sixième jour après l' attaque : les symptômes n'apparaissent jamais à cette é
els ». Le malade présente en effet depuis l'âge de dix-sept ans des attaques fréquentes d'épilepsie, suivies la plupart du t
l'asile de Bétel, et ce n'est qu'un an après qu'il eut sa première attaque d'épilepsie. Jusque-là, d'après les renseigneme
de moments d'absence. Le malade n'urinait pas au lit. La première attaque d'épilepsie fut suivie de troubles psychiques.
s elles étaient suivies des mêmes troubles intellectuels. Puis, les attaques survinrent seules, sans troubles consécutifs, s
s crises n'ont été marqués par des impulsions d'aucune sorte, Les attaques sont classiques; elles sont survenues de jour c
voir eu le temps de choisir l'endroit de sa chute. D'ail- leurs les attaques complètes sont constituées par les phéno- mènes
t exposé, tout comme un autre athéromateux ou scléreux, à faire une attaque d'apoplexie ou une hémiplégie, qui n'ont rien d
x ou trois reprises, le dernier jour, il se produisit de véritables attaques de convulsions généralisées. Eu même temps que
uccession plus ou moins fréquente, plus ou moins prolongée de ces attaques passagères et avortées, une dernière crise finit
symptômes cédèrent au traitement alcalin. S'agis- sait-il là d'une attaque passagère d'acétonémie ? Les convul- sions sont
ns. Elle s'y rencontre a, sous la forme passagère : à la suite de l' attaque , quand l'attaque se com- plique d'un état de dé
ontre a, sous la forme passagère : à la suite de l'attaque, quand l' attaque se com- plique d'un état de dépression ou d'exc
a sphère affec- tive, la connaissance demeurant intacte, ou quand l' attaque laisse après elle un trouble de la connaissance
aissance; àla suite des équivalents psychiques de la névrose et des attaques abortives; onne la trouve pas à la suite des at
évrose et des attaques abortives; onne la trouve pas à la suite des attaques purement convulsives; - h, sous la forme statio
nt l'intelligence est un peu affaiblie, cela, indépendam- ment de l' attaque et de son mode. Il s'agit, dans tous ces cas, d'u
par R. Lépine. [Lyon méd., 1884, t. XLV.) L'auteur croit que les attaques syucopales qui ont'été signalées dans les cas d
signalées dans les cas de pouls lent seraient souvent de véritables attaques d'épilepsie,' et qu'il s'agirait alors d'une ép
nt (trente-quatre pulsations par minute) chez lequel les prétendues attaques syncopales étaient bien de nature épileptique,
ène est passager. Elle est gâteuse. Le 1"' janvier elle est prise d' attaques qui paraissent avoir été de nature tétanique, et
on psychique quelconque pour arrêter ou tout au moins affaiblir ces attaques convulsives, et aug- menter, de ce fait, les in
s distinctes. 11 s'agit d'une hystérique dont les premières grandes attaques remontent a l'âge de quinze ans. Plus tard, cet
septembre 1885, M. G..., âgé de quarante-neuf ans. Mère morte d'une attaque d'apoplexie; père rhumatisant, est mort subitem
sion qui existe du côté droit. - Il ne s'est produit qu'une seule attaque épileptiforme, il y a environ six ans, pendant
ation 41. (P'éré). - Femme de cinquante-deux ans. En novembre 1883, attaque apoplectique soudaine suivie d'hémiplégie droit
rs après, le 5 décembre, on vint me chercher en toute hâte pour une attaque nerveuse. Je trouvai M. D... très ef- frayé, ma
être résu- més ainsi qu'il suit : En décembre il eut une violente attaque de manie aiguë avec hallucinations de l'ouie et
vait croire qu'il ne s'était fait aucune embolie cérébrale depuis l' attaque de novembre. On répéta à plu- sieurs reprises l
. a un oncle maternel goutteux; un autre eut, dans son enfance, des attaques de som- nambulisme ; un grand-oncle eut des tum
est sujette à des bronchites fréquentes et tenaces; elle a eu trois attaques de somnambulisme et deux crises nerveuses avec pe
uivant. A la fin de ce der- nier mois (âge, dix-sept ans), première attaque de rhumatisme ( ? ) survenant deux ans après le
. En avril 1881, dix ans et deux mois après la première, nouvelle attaque de rhumatisme articulaire se prolongeant pendant
lante qui a disparu lorsqu'elle était convalescente de sa troisième attaque rhumatismale; cette insomnie serait-elle déjà u
la récidive rhumatismale ? Deux mois après, fin d'avril, troisième attaque de rhumatisme, moins intense et plus courte que
trois mois après, quand la récidive était passée. Tant qu'a duré l' attaque elle n'a pas présenté de phénomènes évidents d'
s autres que les convulsions. Nous nous rappelons que la première attaque de rhumatisme articulaire aigu, pour laquelle l
l comitial était constitué déjà depuis deux ans. Or, cette première attaque , de même que les deux sui- vantes, la malade le
la malade est prise de deux de ses grandes 232 RECUEIL DE FAITS. attaques , la première desquelles est suivie de contracture
er parles inspirations d'éther. Cette con- tracture consécutive aux attaques est un fait presque habituel. Aux derniers jour
hystériques mâles ; que le rhumatisme peut précéder l'éclosion des attaques hystériques en jouant, alors, le rôle de cause
c'est qu'à la suite d'hémiplégie, deux ou trois semaines après l' attaque , le malade tient l'avant-bras et la main dans la
e remarquable aux contractures. Tous les quinze jours, il avait des attaques pendant lesquelles il perdait la conscience et
qu'il faisait. La seule chose intéressante pour nous, c'est que ces attaques sont accompagnées de crampes dans le côté gauch
de crampes dans le côté gauche du corps. Quelques jours avant son attaque il se plaignait de tiraillements douloureux dans
lté- ration. Ce phénomène s'observait deux ou trois jours avant l' attaque . Dans de telles circonstances, ma méthode est a
très nerveux et d'un tempérament lymphatique. Il a eu une première attaque de chorée en 4884. Elle a commencé dans les pre
de syphilis il y a quatre ans, se plaint en 1878, à la suite d'une attaque d'hémianopsie accompagnée d'aphasie, d'une séri
à une épileptique, auquel il a suggéré l'idée de s'arrêter dans son attaque , dès qu'il est pré- venu par l'aura. M. BLANC
accès. M. Christian demande à M. Voisin comment il se fait que l' attaque d'épilepsie, dont la manifestation échappe si com
volonté, si le sujet a été hypnotisé, au point de faire avorter son attaque . z M. Foville se montre surtout surpris des rés
t plus. Depuis fort long- temps, mon épileptique n'a pas de grandes attaques ; cependant, dans un accès de délire post-épilep
le père des renseigne- ments ? Réponse. Cet individu a eu plusieurs attaques de delirium tremens. 1 M. 10,NAKOw. Les pyram
psychiques ou somatiques (convulsions) et a présenté plus tard des attaques d'épilepsie, de l'aphasie, un ensemble morbide
s d'épilepsie ou de lipothymies convulsives épileptiques, voire des attaques nocturnes. Les observations de Tuczek se rapporte
ns les étals d'obnubilation épileptique et, pour une part, dans les attaques congestives de la paralysie générale (où le com
es causes (blessures, accidents gangreneux du décubitus, diarrhées, attaques d'épilepsie, ménin- 320 SOCIÉTÉS SAVANTES. gî
ent. La cause vint en cet état devant la cour. Annette G... eut une attaque d'hystérie à l'au- dience, et son défenseur pri
les accidents nerveux dont elle souffre, Annette G... dit que « son attaque » est précédée de violents battements HYSTÉRIE
der fixement un de ses doigts. Cette tentative ne détermine, qu'une attaque d'hystérie à forme cataleptoïde : les membres s
il a vus déjà chez Annette G... Ils appar- tiennent exclusivement l' attaque d'hystérie avec raideur générali- sée desmembre
l'attaque d'hystérie avec raideur générali- sée desmembres. Cette attaque n'est ni très violente, ni de très longue durée;
nt de l'hypnotiser, n'a- vait rien provoqué de plus chez elle que l' attaque d'hystérie cataleptoïde dont nous venions d'êtr
entricule latéral droit. Antécédents héréditaires : père mort d'une attaque d'apoplexie. Pas d'affection nerveuse du côté d
naissance dont il guérit complètement. Un an plus tard, survint une attaque apoplectiforme avec chute et perte de connaissanc
ubérantielles des points dont l'excitation répétée peut provoquer l' attaque épileptique. Dans nos observations, ces points,
sique proprement dite. Sa démarche est incertaine.\Un an plus tard, attaque à début brusque, avec perte de connaissance et
els étaient beaucoup plus marqués du côté opposé à la lésion dans J' attaque terminale; mais cela était évidemment dû à la p
sements indiquaient le siège de la lésion; enfin, après la première attaque on a constaté (malheureusement sans pratiquer l
AS ATTRIBUÉ A LA MANIE AIGUË, TERMINÉ PAR LA MORT APRÈS une série d' attaques PILEI'TIFORfES par W. E. R : 1'JiSDEN VVOOD. (T
sté 21 heures sans connaissance, et pendant ce temps a eu trois « attaques a, a mordu sa langue et.a présenté des phénomènes
e; un camarade, qu'on n'a pu retrouver, aurait observé chez lui une attaque con- vulsive. Ivre, il était tellement violent
'attention vers l'épilepsie; et, s'il s'agis- sait réellement d'une attaque épileplique, ajoute l'auteur en terminant, il s
e controversé de l'action du coeur durant la période d'invasion des attaques épilep- tiques ou épileptiformes. En effet, le
l le partie sont étudiées toutes les grandes variétés de la grande attaque , dont un grand tableau d'ensemble représen- tan
dans la sclérose en plaques n'est pas toujours consé- cutive à une attaque apoplecliforme; elle peut se développer progres
46 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
La névrose convulsive peut chez cet individu se tra- duire par des attaques , des vertiges et par son délire spécial; d'autr
- nique reste muet quant aux troubles intellectuels rattachés aux attaques . Chez lui encore, si l'épilepsie vient à s'amél
ndiquer que c'est là un alcoolique épileptique ; mais que plusieurs attaques se produisent, le délire toxique disparaît et c
els le délire alcoolique se trouvait brutalement interrompu par une attaque épileptique suivie bientôt d'un accès délirant
Un homme de 36 ans, épileptique, al- coolisé, s'imagine, après une attaque convulsive, être poursuivi par un individu qui
ancien militaire, âgé de 40 ans, épileptique, alcoolisé, après une attaque survenue dans la rue, s'est cru un grand person
ire de l'Asile, il ignore complètement ce qui s'est passé après son attaque , lors de son arrestation dans la rue, et témoig
ation suivante, c'est un accès de fureur qui se développe après l' attaque . Observation III. - Un garçon liquoriste de 27
'aliénés, présente dès l'âge de 14 ans, sous forme de vertiges et d' attaques , les premières atteintes du mal comitial. Les cri
rs, et le patient en a pleine conscience. A 26 ans, après plusieurs attaques épilep- 56 CLINIQUE MENTALE. tiques, se dével
s de délire alcoolique, notre liquoriste subit en une journée trois attaques d'épilepsie; aussitôt après la der- nière, il e
t, ni ce qu'elle avait fait. De temps à autre elle avait de grandes attaques la nuit. Depuis 1870, elle est triste, inquiète
1877, le délire chronique continuant, elle est frappée de plusieurs attaques épileptiques suivies d'un violent accès mé- lan
persécution, l'autre de nature mystique, passager et consécutif aux attaques . - {Gaz. hebd., Nu 9, 27 février 1880.) DELIR
lui, depuis l'âge de trois ans, il a, à de longs inter- valles, des attaques convulsives avec perte de connaissance et chute
res atteintes du mal caduc ; DÉLIRES MULTIPLES. 67 elle avait des attaques la nuit, elle se mordait la langue et urinait a
emment suivis d'actes inconscients; un jour entre autres, après une attaque dans la cuisine, elle a continué à préparer le'
ir de cette époque, elle n'est plus la même ; dans l'intervalle des attaques ou des vertiges, son caractère change, elle dev
nge qu'à mourir, dit-elle, et si elle le peut, elle se tuera. Les attaques et les vertiges continuent à se montrer, s'ac-
logiques : l'épilepsie d'ori- gine paternelle se traduisant par des attaques et des vertiges, par du délire et des actes inc
portante. Une de ses soeurs a eu des troubles intellectuels et des attaques d'hys- térie au moment de la puberté. - Pas de
Pas d'onanisme. A 5 ou 6 reprises différentes, elle aurait eu des « attaques de nerfs. » Une fois dans le service de M. More
dans sa famille. Mère, 40 ans, fleuriste, nerveuse : elle a eu des attaques de nerfs pendant qu'elle était enceinte de la m
ussions fréquentes avec sa belle-mère, auxquelles elle attribue les attaques de nerfs, dont il a été question plus haut. L'a
é de 45 ans, est subitement frappé, au milieu de son travail, d'une attaque d'apoplexie. -La perte de connaissance est comp
de saturnisme, d'épi- lepsie, de maux de tête , ni de vertiges ; l' attaque d'apo- plexie a été subite et inattendue. En
s objets. 22 mars , 6 heures du soir. - Six jours et demi après l' attaque d'apoplexie, nous constatons de nouveau la persis
ns cette variété d'apoplexie, dans les premiers jours qui suivent l' attaque . L'aimant n'est certes pas le seul agent esthés
fois, jusqu'à la mort qui survint le 8 avril, il se pro- duisit une attaque de quelques secondes, durant laquelle les yeux
on est intéressante en ce que la malade était en traitement avant l' attaque que l'on n'a pu conjurer malgré l'emploi des pu
s et quatre des épileptiques. Dans toutes on voit, à la suite d'une attaque congestive ou épileptiforme, survenir aussitôt
qui fait le sujet de cette observation a été atteint en 1878 d'une attaque de paralysie générale très nette ; sorti en éta
e émotion mo- rale ; par M. A. RITTI. - Il s'agit, au fond, d'une attaque hystérique se terminant par une agitation mania
zan celle des articulations et de la peau, et M. Landouzy décrire l' attaque de choléra ou celle de fièvre pernicieuse : il
velle observation d'hystéro-épilepsie ; 2e livraison : Variétés des attaques hystériques; 3e livraison : Des régions hystéro
e- ment tuberculeuse. Pas d'excès de boisson,, de migraines, ni d' attaques ,de nerfs. [Père, mort à 85 ans, sans paralysie. -
au moment de l'apparition des premières dents, survint une première attaque de convulsions. Deux ou .trois mois plus tard,
de cette époque, est peu affaiblie, malgré la grande fréquence des attaques . » Dans l'année, on a compté 409 accès, et 533
ordon latéral gauche, chez un enfant de vingt mois qui avait eu des attaques de tétanie (avec spasme de la glotte), est auss
J. ! ).u z fréquence chez les épilepr(irlues ,qui = avaient eu, des attaques : 1L b '"j< J cmnl., m . J . '>j ? ^iij ju.
, ... ? t, ,0. ' . I j. troubles circulatoires, déterminés, par les attaques convulsives Ï 11J1' 1M -' f rj.t ? m' 1,I1 ", t
4 ? ! lleurs ,p.octI'llesrdepuis ,1866. LEn 'ld 870 ? -1 prè mières attaques de névralgie faciale à la suite d'un refroidisse-
"f'JIJrn(, 92 'II-iq ^Depuis lors, il eut plusieurs fois de petites attaques ? chaque fois il reprenaitide l'iodurelde' pota
ur, les bras, lut frappé'd'une hémiplégie droite. 1 Un,an apres , l' attaque d'hémi- - 9.'Iw; ' ru·l. .1... ? ...,L p. u . d
s phénomènes convulsifs au membre supérieur droit pendant plusieurs attaques fit supposer une' lésion' cérébrale gauche; l'a
'\ " 1 ! ! L. Un homme de 3o ans, n'ayant eu d'autre maladie qu'une attaque de rhumatisme, commença à ressentir en janvier
; il ne pouvait marcher, sans(aide. Il avait de temps en temps des attaques qui semblaient des attaques de rigi- dité tétan
ns(aide. Il avait de temps en temps des attaques qui semblaient des attaques de rigi- dité tétanique ; sa tête était tirée e
PATHOLOGIE NERVEUSE. 313 XXXI. Diminution' du POIDS A la' suite DES attaques D'UPI- LEPS1E; parKovnLEwsüi. (Saint-Petersbccr
," - ' fJ '" z Cette diminution, d'autant plus considérable que les attaques sont plus intenses et.plus''durables,) serait a
plus intenses et.plus''durables,) serait appréciable' même dans les attaques de petit mal. ? b'. , ' im, ' , ! t1 4't «4 " .
ar ce fait qu'il-s'agit d'unisujet incontesta- blement épileptique ( attaques surtout, nocturnes),;1 ayant'pré-' senté à,plus
milieu dans lequel elle évolue, les premiers sujets auxquels elle s' attaque ( fille de 26 ans, hystérique de- puis huit ans
ficulté à déglutir les ali- ments liquides. Le 34, pendant la nuit, attaque semblable à une attaque épileptique, dans laque
- ments liquides. Le 34, pendant la nuit, attaque semblable à une attaque épileptique, dans laquelle l'enfant s'est mordu l
lirium tremens. L'auteur a vu deux fois des aliénés pré- senter des attaques épileptiques au début de leur affection, l'alco
e n'était alors qu'un symptôme; lorsqu'il est cause, on ne voit les attaques d'épilepsie se montrer que dans les dernières p
chez lui; puis à l'âge de 50'ans il attrape une insolation et a une attaque de démence ; d'après M ? Hack Tuke, on comptera
omplètement sains; après l'opération, la manie disparut ; quant aux attaques d'épilepsie, elles devinrent moins nombreuses,
inrent moins nombreuses, seulement 3 par mois, au lieu de 15. Ces attaques étaient aussi moins violentes; M. Lawson Tait esp
nombreux cas d'affections mentales. A 8 mois, X... eut sa première attaque de convulsions. Jusqu'à l'âge de 3 ans, elle ne
une valeur minime ; elle affirme à plusieurs reprises avoir eu deux attaques de rhu- matisme articulaire, dont uneassez réce
ons-nous de préférence à tout autre. Observation II. ' Première attaque de rhumatisme articulaire, chez un homme de 54
convulsions dans l'enfance. Elle est assez nerveuse, mais n'a pas d' attaques . [ Ses père et mère sont morts il y a longtemps
e. Mère, 27 ans, domestique, très impressionnable, ni migraines, ni attaques . [ Une grand'tante maternelle et son fils ont é
lytique sur le membre inférieur peut être de courte durée, et, si l' attaque survient pendant la nuit, il peut en rester à p
entrer ici et dont nous donnons ci-dessous le sommaire : 1° Deux attaques successives de paraplégie spasmodique chez un m
quels il est pris un jour, sans aucun phénomène précurseur, de deux attaques de convulsions violentes, durant à peu près dix
che, démarche chancelante. Début subit. Trois jours après, nouvelle attaque ; vomissements fréquents, paralysie de la main g
s par jour. Quelquefois vomissements et céphalalgie consécutifs à l' attaque ; un seul cas de chute hors du lit pendant une d
yperémie pulmonaire aiguë accompagnant ou suivant immédiatement les attaques et nécessitant l'emploi de saignées et de vento
(Edinburgh Médical Journal, février 1880.) L'épilepsie vraie ou des attaques épileptiformes peuvent quelquefois être produit
tion abondante et en- traîné, outre la surdité, des vertiges et des attaques de petit mal épileptique. Ces accidents cessère
troubles épilep- tiques variant depuis la simple absence jusqu'à l' attaque convulsive complète, l'insomnie, les terreurs i
lytique. 3° Observation de M. A. Foville : habitudes alcooliques, attaque apoplextique à 35 ans, hémiplégie, guérison, sauf
larger. Femme hémiplégique à gauche depuis quinze ans; ayant eu des attaques caractérisées, par un extrême embarras de la pa
e l'hysteria major, des accès de délire maniaque se substituant aux attaques . Le bromure de potassium fut employé d'abord sa
sans grand succès ; l'hydrothérapie ne réussit qu'à provoquer une attaque à chaque tentative. M. Cullerre essaya de la méta
gramme et demi, fit d'abord disparaître le délire et les grandes attaques , puis les convulsions, ensuite l'insensibilité gé
ongestion cérébrale inter- currente. La mort eut lieu un an après l' attaque congestive, et l'autopsie montra des adhérence
le bromure de potassium et divers autres médicaments. En 1876, les attaques , tantôt diurses, tantôt nocturnes, se reproduis
deux ou trois jours près. Le 6 janvier 1877, le malade ayant eu des attaques mensuelles, le docteur Couyba prescrivit la pic
emi par jour. Il n'y eut pas de crise en février. En mars, menace d' attaque , mais sans accès épileptique. En avril, attaque
. En mars, menace d'attaque, mais sans accès épileptique. En avril, attaque compléte. On porta la dose à 2 milligrammes, 2
ompléte. On porta la dose à 2 milligrammes, 2 milligrammes 1/2. Les attaques allèrent diminuant, puis furent remplacés pap d
n'y a eu qu'un vertige. En 1880, au mois d'avril, il n'y avait euni attaque ni vertige. C. T. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 493
'auteur, le début de l'atrophie s'est manifesté quatre mois après l' attaque d'hémiplégie. M. Brissaud passe ensuite à l'é
() ttfic . ecj IOP <jti*,uli jj préludàldfatUq4) épileptfi"es;Ce attaques se sont beau- eoupo rapprochée^ déduis- Heux mo
et formant uneaaqe de 8 à 10 heures. Souvent, le lendemain de ces attaques , le malade aperçoit sur 0 ? CM ! MM,jSM<OM&l
l'action des xsthésiogènes cesse de se manifester. Proximité d'une attaque . Il arrive par- ' Voir le N- 2, p. 257, et le ?
. Alors on peut être certain que la malade est sous le coup d'une attaque récente ou imminente. Dans ce dernier cas, l'at
e coup d'une attaque récente ou imminente. Dans ce dernier cas, l' attaque a lieu dans la journée et d'autant plus tôt que l
tance pratique. Elle permet de prévoir, avec presque certitude, une attaque , bien avant que la malade soit avertie par les
le résultat peut être complètement négatif. Dans ce cas, si aucune attaque ne vient donner l'explication de cette diffé- r
r de l'amblyopie. Le somnambulisme n'est qu'une forme atténuée de l' attaque ; celle-ci même peut être le résultat ultime de
par conséquent, une maladie de système, car la dégénération ne s' attaque pas spécialement aux deux systèmes que nous conna
de conscience, l'inconscience, comme le phé- nomène essentiel de l' attaque épileptique. Jackson définit l'épilepsie « une
Il décrit sous le nom d'épilepsie optique une forme spéciale où l' attaque est précédée d'une hallucination ordinairement
nscience. Voici, pour fixer les idées, comment il décrit une de ces attaques dans sa première observation. Il s'agit d'une j
entes, Erb a vu les pupilles rester immobiles, rétrécies, pendant l' attaque , sans présenter le moindre changement. Dans le
u (l3reslauer, Aertzl. Zeitsch., 1879, nos 7 et 8), dans lesquels l' attaque paroxystique de paresthésie (fourmillements, pi
ence musculaire incompatible avec le mouve- ment volontaire. Chaque attaque dure quelques instants seulement, mais les cris
n terrifiante; jamais la malade ne perdait connaissance pendant ces attaques . Le 11 janvier 1880, le docteur Sims pratiqua l
la faradisation générale. Au bout de deux mois, il n'y avait plus d' attaques le jour; mais la malade a encore maintenant sep
d'attaques le jour; mais la malade a encore maintenant sept à huit attaques la nuit. C. T. XXIX. Cas DE TROUBLES nerveux am
istoire de l'hystéro-épilep- sie. On y remarque la description de l' attaque avec sa phase tonique ou épileptoïde, revêtant
hys- téro-épilepsie et de l'épilepsie, qui se manifestent par des attaques et des accès separés et tout à fait caractéristiq
cès. L'extase fait le sujet d'une description spéciale. Outre les attaques convulsives, l'hyperesthésie ovarienne, l'hémia
ne phthisie avancée, on peut voir disparaître l'anes- thésie et les attaques qui ont pu être aussi diminuées par l'usage com
tains,, comme des pi5tax¡s. En tout cas, ils sont 'prévenus de leur attaque et peuvent se protéger,; il est'rare qu'ils se bl
de nouvelles observations sur l'hystéro-épilepsie ayant trait aux attaques syncopales, à la coexistence de la chorée, à la t
à de nombreuses^ variations; quelque- fois elle augmente avant les attaques ou elle disparaît après une série. L'hystérie
érie. Une observation remarquable montre certaines anomalies de l' attaque dont les phases peuvent se dissocier pour ainsi d
e l'attaque dont les phases peuvent se dissocier pour ainsi dire en attaques épileptiques, attaques de contractures, attaques
ases peuvent se dissocier pour ainsi dire en attaques épileptiques, attaques de contractures, attaques de délire. Vient ensu
pour ainsi dire en attaques épileptiques, attaques de contractures, attaques de délire. Vient ensuite une étude des régions
ble, en partie ou en totalité, les phénomènes qui caracté- risent l' attaque hystérique, et qui jouent souvent et sponta- né
ons sont quelquefois le siège de douleurs particulières précédant l' attaque . C'est surtout la région ovarienne qui est le s
liographie. J pression sur les régions hystérogènes de produire une attaque . -.L'emploi'du' bromure de)potassium diminuer q
n du médicament coïncide;.avec ! mne. diminution.r spontanée, des attaques : ILorsque leslattaquesl et les autres symptômes
a principalenzone hystérôgène dans l'aura. Avant l'apparition des attaques , le sommeil des hystériques est généralement tr
: rhla at,4tYI".H't IIF -»1 t....mu : mrim ... ? ....t ? cèdent les attaques sont plus mauvaises, celles qui les suivent cèd
les attaques sont plus mauvaises, celles qui les suivent cèdent les attaques sont plus mauvaises, celles qui les suivent mei
) -m tltt Il' 11 y - .tendues et le délire qu elles ont après leurs attaques . Il n est pas rare que. les hystériques \eHt"d'
ns l'), Plleger, 290. Epilepsie ( diminution de poids après les attaques d'), par Ka- walewski, 313. Epilepsie (formes
47 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nte-neuf à quarante-neuf ans, il a eu tous les ans au printemps une attaque de rhumatisme articulaire aigu. Presque toutes
ire aigu. Presque toutes les articulations étaient prises et chaque attaque durait de Ancmves, t. XXIII. 4 80 PATHOLOGIE
e en quelque sorte une forme anormale, un groupe à part ; ainsi les attaques convulsives en pareil cas sont vraiment rares ;
ême brusquement, soit spontané- ment,' soit à la suite encore d'une attaque hystérique qui aura pu, peut-être, être provoqu
rge. Ici le fonds hystérique est représenté non seulement par les attaques convulsives et délirantes aujourd'hui disparues
pières supérieures se ferment un instant. La malade n'a jamais eu d' attaques convulsives; ' mais la présence des stigmates p
ujourd'hui. D'ailleurs pas de stigmates sensitivo-sensoriels, pas d' attaques . C'est de la maladie des tics qu'il s'agit chez
ités, l'idée d'une origine commune. P. Keraval. XXV. DE certaines attaques DE paralysies prodromiques dans LE RAMOLLISSEME
. (Centralbl. f. Nervenheilk., 1890, N. F. I.) . Il s'agit de ces attaques de paralysie successives et passagères (quelque
ial; contracture secondaire). L'hémiplégie permanente procéda d'une attaque d'hémiparésie qui n'aboutit à l'hémiplégie grav
iplégie grave qu'au bout de plusieurs heures, tandis que les autres attaques de paralysie transitoires antérieures n'eurent
rmale des mois, voire des années; puis, tout à coup, comme dans une attaque apoplectique, arrivent ces troubles qui, quelle
3ROSSET. (Lyon méd., 1891, t. LXVI.) Dix jours après le début d'une attaque d'influenza, la malade qui fait le sujet de cet
e d'un coup de boule de croquet sur la nuque fut atteint de grandes attaques convulsives et d'attaques de catalepsie avec pl
oquet sur la nuque fut atteint de grandes attaques convulsives et d' attaques de catalepsie avec plaque d'hyperesthésie au ni
erminés, souvent sous l'influence de la bière et de l'eau- de-vie ; attaque d'épilepsie. Second cas. - Emotivité exagérée,
nces à la campagne, chez une de ses tantes. Là il eut, un jour, une attaque à laquelle sa tante a assisté et qu'elle nous a
ains, cuisses, etc.), mais qui, parfois, se produisent sous forme d' attaque d'épilepsie sensitive. En pareil cas, la sensat
sibilité de parler qui a duré quelques instants encore après que l' attaque était passée. Jamais de scotome; 6° Depuis deux
ermanent mais à évolution progressive des ictus congestifs et des attaques d'épilepsie sensitive. Tous les symptômes essen
" accès maniaques ^transitoires , ,etuaxqJufu soient ou non des : attaques d'épilepsie, non plus motrices,' mais, purement
en compta quatre en six mois. Enfin, un jour L... eut une violente attaque convulsive d'épilepsie. Depuis, les attaques co
r L... eut une violente attaque convulsive d'épilepsie. Depuis, les attaques convulsives se renouvelèrent de temps en temps
se modifie, petit à petit, progressivement, sous l'influence des attaques convulsives et des vertiges qui se répètent san
- Aujourd'hui, il présente des ver- tiges fréquents et des grandes attaques convulsives, ces dernières moins souvent qu'aut
Deux' ou' trois fois par an, à la suite ordinairement d'une série d' attaques convulsives, il est pris brusquement d'un accès d
décrits, comme des crises de delirium tremens fébrile, comme des attaques convulsives épileptiformes et même épileptiques
e des attaques convulsives épileptiformes et même épileptiques, des attaques d'apoplexie, etc. Il résulte, de ces secousses
que sa famille appelle une crise nerveuse, car elle n'a jamais eu d' attaques de nerfs. C'est après cette crise que sa faible
ir soigné un ami. Elle était très nerveuse sans jamais avoir eu d' attaques . Elle se mettait en colère pour peu de chose ;
il s'agit, l'asphyxie locale des extrémités a été consécutive à une attaque grave de manie aiguë; le froid en avait élé la
suite d'une scène de famille, et aux approches de la menstruation, attaque de sommeil. Les yeux sont her- métiquemant feim
, les mouvements clioréiques disparurent, il ne se produisit plus d' attaques de sommeil. Observation II. Femme de quarante e
, elle éprouve dès les premiers mois de cette grossesse sa première attaque de sommeil qui depuis s'est renouvelée plus ou
ait cesser la rétention d'urine. Appelé sur notre désir pendant une attaque de sommeil, nous constatons les mêmes phénomène
es carac- tères sont ceux du premier cas. La malade raconte que l' attaque de sommeil s'annonce quelquefois par une bouffé
lle pas, elle voulait appeler et ne le pouvait. Ultérieurement, les attaques de sommeil s'accompagnèrent de perte totale de
almer. On avait constaté longtemps SOCIÉTÉS SAVANTES. 2S1 après l' attaque une légère athétose du bras et de la jambe affect
uisit de l'hémianopsie, absente dans la première année qui suivit l' attaque . Autopsie : Examen attentif du cerveau par des
avoir exposé les analo- gies que le tremblement, les vertiges, les attaques apoplectiformes offrent dans l'hystérie et dans
c- tile et du sens du goût sont la règle générale dans toutes les attaques de somnambulisme superficiel. - Dans ses grande
outes les attaques de somnambulisme superficiel. - Dans ses grandes attaques , au contraire, dans les- quelles l'obtusion des
ait de s'affaisser. La première nuit de ses noces, il aurait eu une attaque avec perte de connaissance et secousses dans le
de cinq heures. Per- mettez-moi de vous décrire en deux mots cette attaque inté- ressante à plusieurs points de vue. Après
rreur qu'ils prenaient pendant la crise pour provoquer aussitôt une attaque . Rien de plus simple et de plus connu, me direz
eillez par la notion de la position des bras l'idée principale de l' attaque et le. reste se déroule. C'est vrai, mais il y
tobre dernier, un jeune homme de seize ans qui avait eu sa première attaque d'hystérie à la suite d'une forte frayeur qu'il
Comme vous le devinez, il reproduisait cet épisode à chacune de ses attaques , criait 0[ au feu 1 », appelait les pompiers, s
ui montrer une petite flamme pour provoquer aussitôt le retour de l' attaque . Un jour, je le plaçais en face du périmètre, c
lisme nocturne dans l'enfance, contractures passagères aux membres, attaques de diverses espèces, qui sont quelquefois suivi
dit qu'elle existe en très grande quantité immédiatement après les attaques , mais non d'une manière constante, ni chez tous
TIQUE ET épileptique. 311t) compte de la miction survenue pendant l' attaque . Outre ce fait bien connu de savoir que la mict
essous de la réalité. L'albuminurie doit être' étudiée : 1° Après l' attaque convul- sive isolée; 2° Après le petit mal; 3°
l. ' ALBUMINURIE POST-PAROXYSTIQUE CHEZ LES EPILEPTIQUES. Après l' attaque convulsive. L'albuminurie est fré- quente à la
- gnements fournis par la fille de service, immédiatement après l' attaque , quinze minutes au plus après le début des conv
on fait exception de certaines malades démentes chez lesquelles les attaques se répètent tous les jours et plusieurs fois pa
on voit que chez les autres, et c'est la très grande majorité, les attaques s'échelonnent de la façon suivante dans le cour
ent des périodes d'accidents, ils s'entremêlent plus ou moins aux attaques , de sorte qu'il devient très difficile de faire l
er comme consécutive à un vertige une albumi- nurie résultant d'une attaque antérieure. Il faut avouer en outre, que presqu
. On est obligé de la camisoler et de la passer aux cellules. Pas d' attaques constatées. Une urine, pas d'albumine. , Gon.
ne. , ' ' Le 12 août, Vill... est excitée toute la journée. Pas d' attaques , pas d'albumine. ' ? 3. Vill... ert encore exci
que, dans la plupart de ses observations, le délire a été précédé d' attaques plus ou moins nombreuses; ce délire était un dé
Dans la nuit du 29 au 30 août, vers 5 heures du matin, KI... a eu 3 attaques coup sur coup. De 5 heures du matin à midi, ell
Lem... Pas d'albumine. Le 1er septembre, Lei..., quatorze ans, a 5 attaques presque coup sur coup dans l'après-midi. Uue 6e
Uue 6e vers 8 heures du soir, l'autre dans la nuit : Après la ire attaque , on recueille de l'urine : pendant qu'on prend
5 septembre. La série de Lei... continuant, on recueille, après une attaque de jour, une seule urine qui renferme des traces
une seule urine qui renferme des traces d'al- bumine. Lei... a eu 2 attaques dans la nuit précédente. L'examen de l'urine de
nstater d'albuminurie. Le 3 septembre, Albruz..., quatorze ans, a 4 attaques presque coup sur coup à deux heures d'intervall
ntiennent pas d'albumine. Le 5 septembre, Pet..., quatorze ans, a 3 attaques coup sur coup. Une heure après la dernière de c
ans, a 3 attaques coup sur coup. Une heure après la dernière de ces attaques , on recueille l'urine. Elle présente un nuage l
, nous voyons la malade pour la seconde fois. Depuis une heure, les attaques sont devenues subintrantes; il est presque impo
ilement à l'air. Dans les dix minutes qui suivent le pansement, les attaques rede- viennent distinctes les unes des autres :
rien ne la démontre d'une façon certaine. On n'a jamais observé ni attaque d'apoplexie, ni symptômes paralytiques, et c'es
ment cérébrale, rebelles à tout traitement; quatre jours plus tard, attaque convul- sive de quelques minutes, avec prédomin
t sur tout le corps. Grincement de dents. A la suite d'une nouvelle attaque con- vulsive, la malade meurt dans le coma. A
e persécution ou de grandeur. A l'asile, on ne peut constater leurs attaques , les délires sont simulés pour échapper à la cu
identiques ? Nous savons d'autre part que tel épileptique, dont les attaques sont fré- quentes quand il boit, n'en aura que
ts elles disparaissent. De ce que certains épileptiques n'ont pas d' attaques à Bicêtre, il ne faut pas conclure qu'ils n'en
nt pu s'y faire placer et qu'on les renvoie dès qu'ils n'ont plus d' attaques . M. Voisin confirme l'opinion émise par M. Garn
et qui était resté pendant sept ans à la campagne sans avoir aucune attaque . Un jour, à l'occasion d'une élection, il but u
e Sainte-Anne. Il reconnaît aussi que certains épileptiques n'ont d' attaques qu'après avoir bu; mais à côté de ceux-ci, on doi
e maladie fébrile à la suite de laquelle se seraient installées les attaques épileptoides; le médecin qui les soignait prono
du cerveau revêtent une allure aiguë et soient en rapport avec les attaques congestives apoplectiformes ou épilepti- formes
désignerons : l'hémiopie, qui se montre si fréquente à la suite des attaques ; la monoplégie brachiale, caracté- risée non pa
Friedmann, et les altérations de la couche optique consécutives aux attaques congestives (Lissauer). Enfin, il peut arriver
raffinées dans sa caisse ; au mois de décembre il était pris d'une attaque d'épilepsie et présentait, consécutivement, des
isparurent après la suppression de la séquestration cellulaire. Les attaques convulsives, précédemment notées, ne paraissent
qui trancha presque une de ses aiguillettes. En présence de cette attaque , les gendarmes se jetèrent sur le fou, qu'ils dés
rs par M. Weyl. Comme les deux premières fois, il a eu une terrible attaque qui a nécessité sou transport en cellule. Ce n'
48 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
en omettant syllabes et mots. Pas d'alexie. Puis, de temps à autre, attaques constituées par un beuglement traînant, monoton
est une jeune fille de quatorze ans d'une famille de tuberculeux. L' attaque de paralysie débuta par de la photophobie avec cé
tré dans l'ordre. Un lavage avait été pratiqué peu d'heures avant l' attaque . 2° Un autre jeune homme de dix-huit ans était
it livré très peu de temps avant la crise, il attri- buait même son attaque à son dernier lavage. L'auteurse demande avec J
avité. Le trai- tement en pareille situation n'a aucune prise sur l' attaque déclarée il doit donc être préventif, antitoxiq
, hébétude, liyperexcitabilité des réflexes tendineux, hypertermie, attaques d'épilepsie jackso- nienne de plus en plus préc
quer que la lésion 6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE." des artères s' attaque surtout à la tunique interne, la tunique moyenn
ts dans son service depuis dix-huit ans. Parmi eux. 98 sont morts d' attaques épileptiformes, 23 de congestion cérébrale, les
ipé, mort d'angine de poi- trine ; un frère, dix-neuf ans, a eu des attaques convulsives; une soeur, quatorze ans, a guéri d
lle trop indulgente. En 1894, après une violente frayeur : première attaque convulsive' avec cris et perte de connaissance
cendie de sa maison Thérésa est reprise de la même contracture sans attaque . Un mois après, émue par une séparation elle es
s d'exagération de la contracture. Quinze jours plus tard, nouvelle attaque et contracture du membre supérieur droit en fle
ontracture du membre supérieur droit en flexion forcée. En octobre, attaque et contrac- 126 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
embre inférieur gauche se prend aussi. A partir de ce moment grande attaque tous les huit jours, suivie de un à trois jours
isons cruelles à son égard, bon accueil aux étrangers. Bientôt deux attaques par jour précédées de rires ou de pleurs, avec
effort extérieur pour vaincre la contracture détermine une violente attaque . La rigidité permanente dure depuis huit mois,
violente attaque. La rigidité permanente dure depuis huit mois, le= attaques depuis deux ans; en dehors des crises de mutism
ôt s'y ajoule un trismus invincible et un nystagmus persistant. Les attaques durent toutes sept ou huit heures. L'alimentati
che, et de l'odorat à droite, du goût pour le sucré et l'acide. Les attaques ont complètement disparu, la nutri- tion amélio
à deux reprises différentes, de tremblement immédiatement après une attaque d'in- fluenza. Ce tremblement, de rythme moyen
. L'épilepsie est une maladie qui est volontiers simulée dans ses attaques et qui, en dehors des attaques et de toute simula
qui est volontiers simulée dans ses attaques et qui, en dehors des attaques et de toute simulation ne présente pas de signe
et susceptibles, d'une part d'affirmer la nature épileptique d'une attaque , et d'autre part de déceler la névrose, n'impor
ée. Leurs recherches leur ont montré : A.Pourl'attaque.-Que cette attaque , même isolée : 1° augmente l'excrétion de l'azo
toxicité urinaire. B. Pour la névrose, qu'elle soit larvée, que les attaques soient fréquentes ou espacées (depuis des mois,
giste et pour le clinicien. Au premier il permet en dehors de toute attaque de dépister la névrose épileptique; au second i
les, insomnie), le sommeil des idiots, < des épileptiques et les attaques de sommeil. (B.) · 150 REVUE DES THÈSES DE BORD
ant l'excita tion grave que l'on observe souvent avant et après les attaques d'épilepsie. Sauf le cas d'extrême excitation o
d'extrême excitation ou de maladie intercurrente, la fréquence des attaques ne paraît pas influencer le poids du corps; ce
ne change pas sensiblement durant les périodes où il n'y a pas eu d' attaques . Il ne semble pas non plus être modifié parla m
on des méthodes chirurgicales que la cessation ou la diminution des attaques pen- dant des semaines ou quelquefois des mois,
si profondes que, règle générale, l'opération ne sup- prime pas les attaques et n'en diminue que rarement la fréquence d'une
observés, 311 sont morts et sur ce nombre, 32 p. 100 sont morts d' attaque apoplectique, 19 p. 100 de crises épileptiformes
Brero. Paramok on entend, aux Indes Orientales Néerlandaises, une attaque plus ou moins soudaine avec impulsion à l'homicid
n- gliers, des chiens ou des diables et qu'il voulait les tuer. L' attaque est précédé ou suivie d'un état de stupeur plus o
atre ans, qui, durant les trente-quatre dernières années a eu vingt attaques de manie aiguë, dans l'intervalle desquelles il
ne marche parallèle à celle de la folie confirmée, les accès et les attaques épileptiformes étant en relation directe avec les
ou des lèvres, blessures consécutives à des tentatives de suicide, attaques convulsives, para- lysies, contractures, incoor
lic, carac- térise la folie. Il était incontestablement sujet à des attaques de délire, qui, lorsqu'elles étaient terminées,
oi que ce soit. Son père ne pouvant plus travailler par suite d'une attaque de para- lysée, c'était sa mère qui allait en j
tion envisagés dans leur marche pré- sentent les mêmes phénomènes d' attaques aiguës que ceux du goût. Au point de vue.de leu
mique viennent puisamment à l'appui de l'opinion suivant laquelle l' attaque d'épilepsie ne serait autre chose qu'une intoxi
rtain c'est que l'accroissement de la toxicité urinaire après cette attaque d'épi- lepsie (Féré-Voisin-Régis), l'analogie q
nfirmières blessées et devenues invalides. - L'auteur, à propos des attaques imméritées auxquelles a été en butte le personn
ont par une malade; des maux de tête s'ensuivent, puis survient une attaque hystérique suivie d'une monoplégie du bras gauc
odiques de troubles maladifs de la conscience, c'est-à-dire par des attaques de folie passa- gère. En général, on ne trouve
2° modifications de l'humeur de nature différente, avant et après l' attaque . Avant : dépression, idées hypocondriaques. Apr
scence psychique épileptique, on tiendra compte de la fréquence des attaques , de leur forme, du nombre de jours qui sépare l
mauvaise humeur des épileptiques est peut- être en rapport avec des attaques nocturnes, car elle est plus accentuée le matin
de vue médico-légal, il est nécessaire de démon- trer l'existence d' attaques , de vertiges pour prouver l'épilepsie; de simpl
à l'immunité des enfants à l'égard de l'hystérie et sur- tout de l' attaque hystérique. Il résume ainsi ses observations sur
t de l'attaque hystérique. Il résume ainsi ses observations sur les attaques hystériques chez les enfants jusqu'à l'âge de hui
répondérant; les causes déterminantes des accès sont variables. Les attaques sont fréquentes : deux et davantage par jour, t
parfois avec élévation de tempéra- ture ; physionomie variable des attaques , tantôt hystérique, tantôt épileptoïde. Ineffic
stérique, tantôt épileptoïde. Inefficacité du bromure de potassium; attaques de bromisme précoce. Evolution caractéristique
le. Dans la période de la puberté, on observe aussi fréquemment des attaques analogues avec grande fréquence, physionomie va
n, les troubles vaso-moteurs consécutifs. Dans la production de ces attaques , les influences psychiques ont un rôle prépondéra
et demi, un traumatisme crânien grave avec dépression du crâne; les attaques épileptiques ne se montrent chez lui que nombre d
çon préventive par de fortes doses de bromure. Il parle ensuite des attaques épileptiformes qui sont les prodromes d'affec-
e psychoses fonctionnelles. Discussion. M. Wildermuth a observé des attaques hystériques caractéristiques chez des patients
deux ans, qui, quatre mois avant son admission, pré- senta quelques attaques syncopales, suivies d'un état de dépression et
à en bonne santé. Les ictus, tantôt de simples vertiges, tantôt des attaques apoplectiformes ou épileptiformes, s'étaient ré
se produisaient des accès d'excitation, surtout en rapport avec les attaques . L'autopsie n'a pas toujours montré une artério
tholo- gique, et l'on peut dire que les conditions anatomiques de l' attaque épileptique sont variables ou inconnues (la scl
nom d'épilepsies à toutes les '.maladies qui se caractérisent par l' attaque épileptique clas- sique. Une analyse raisonnée
eule irritation des vaso-moteurs une anémie capable de produire l' attaque épileptique ; on l'a au contraire obtenue aisémen
abilité. Il conclut donc de l'expérimentation en général : 1° que l' attaque épileptique est toujours accompagnée de constric-
tade); 2° que cette vaso-constriction s'établit avant le début de l' attaque épileptique; 3° que l'attaque ne peut être prod
riction s'établit avant le début de l'attaque épileptique; 3° que l' attaque ne peut être produite que par l'irrita- tion de
tions trop faibles pour la pousser au degré capable d'en- gendrer l' attaque ; 5° qu'une anémie subite du cerveau peut provo-
l'attaque ; 5° qu'une anémie subite du cerveau peut provo- quer une attaque épileptique. La clinique de son côté fournit de
ébrale et que cette anémie chez un individu prédisposé entraine une attaque épilep- tique, il est difficile de ne pas accor
flexe une irritation périphé- bibliographie. 423 rique produise l' attaque par l'intermédiaire d'une anémie cérébrale, du
veur de cette théorie et rien ne peut l'infirmer. Le mécanisme de l' attaque complète serait donc le sui- vant : la constric
une valeur réelle, il faut qu'elle puisse aussi expliquer, outre l' attaque , les phénomènes postépilep- tiques moteurs, sec
et pour laquelle les cellules nerveuses restent influencées après l' attaque , l'auteur la trouve plus rationnelle que celle
ent comme équivalents psychi- ques, c'est-à-dire comme remplaçant l' attaque absente ou larvée des phénomènes qui en réalité
ité sont bien nettement post-épilep- tiques et nés à la suite d'une attaque passée seulement inaper- çue. Un examen rigoure
brusque de leur nutrition ; l'anémie suivie de stase qui produit l' attaque doit avoir pour conséquence une mise hors de fo
elle que soit la variété de l'épilepsie, l'anémie provocatrice de l' attaque est toujours le résultat d'une vaso-constriction
au centre vaso-mo- teur. L'anémie passagère simple dans les petites attaques , suivie de stase veineuse dans les cas compliqu
ifférents : 1° agitation, fonte paralytique et marasme nerveux ; 2° attaques congestives ; 3° asphyxie alimentaire ; 4° enfi
par le fait d'une complication quelconque, soit enfin à la suite d' attaques conges- tives (p. 448) ». Pour Magnan et Séri
marasme... ; il n'est pas rare de le voir emporté plus tôt par une attaque épileptiforme ou une pneumonie (p. 12). - A la
ennent ensuite, par ordre de fréquence pour les causes de mort, les attaques apoplectiformes et épilepti- formes... Citons e
i volontiers pour une opinion précisément inverse. Je considère les attaques apoplectiformes ou épilepti- formes non comme u
a plus fréquente. Le para- lytique succombe normalemen à une de ces attaques , lorsque le cours de sa maladie n'est pas inter
e faire des mouvements ; la sen- sibilité est intacte. Mort par une attaque d'asphyxie quatre semaines après le commencemen
septembre 1896.) E. B. LXXII. DE la PERTE DE connaissance dans LES attaques D'HYSTÉRIE ; par le professeur Pitres. Les no
onnaissance est complète dans la période épilep- toide de la grande attaque d'hystérie. Il résulte des recherches faites pa
résident à la conservation ou à la perte de con- naissance dans les attaques d'hystérie peuvent, pour compliquées qu'elles s
les propositions suivantes : 1° Dans la période proe-convulsive des attaques hystériques complètes et régulières, et dans le
lsive des attaques hystériques complètes et régulières, et dans les attaques frustes uniquement caractérisées par les phénom
par les phénomènes faisant habituellement partie de cette période ( attaques de sanglots, de spasmes, etc.) la conscience et
re sont intégralement conservées. 2° Dans la période convulsive des attaques régulières, et dans les attaques frustes consti
2° Dans la période convulsive des attaques régulières, et dans les attaques frustes constituées par des convulsions toniques
oïde, la conscience et la mémoire sont totalement abolies. Dans les attaques frustes ou irréguliores où les 472 REVUE DE PAT
ompte qu'ils ont des con- vulsions et ne se rappellent pas, quand l' attaque est terminée, qu'ils ont eu des mouvements déso
désordonnés, involontaires. 4° Dans la période post-convulsive dos attaques régulières, et dans les attaques uniquement rep
ans la période post-convulsive dos attaques régulières, et dans les attaques uniquement représentées par des syndromes hypno
les attaques uniquement représentées par des syndromes hypnotiques ( attaques de sommeil, de catalepsie, de léthargie, de dél
ans les cas où ces syndormes ne font pas fonction équi- valente des attaques , c'est-à-dire que, sauf dans quelques variétés
l'épilepsie. Le délire hystérique constitue la quatrième phase de l' attaque ou se substitue à elle. Là encore, il peut y av
nostic de Il - par Patrick, ego. Perte de con- naissance dans les attaques d' -, par Pitres, 471. ICTÈRE, psychoses, aut
cérébrale, par Gallois, 466. Tumeur cérébrale ayant procédé par attaques spéciales et troubles de l'ouïe, par Luhrmann,
49 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ci c'est un individu qui, pour échapper à la relégation, simule des attaques presque jour- nalières d'épilepsie, là c'est un
émence extl'aordinairement rapide. Alors, en général, il existe des attaques apoplectiformes, souvent inaperçues parce qu'el
normal accidentellement affaibli ou considérer avec Kraepelin toute attaque maniaque comme constitutionnelle. La question à
n, chez un individu à mentalité normale non entaché d'hérédité, une attaque maniaque simple se terminant par la guérison D'
u sujet, tant au physique qu'au moral, avant la période des grandes attaques . E. BLIN. XII. Un cas de paranoïa alcoolique; p
'état du malade, diminue dans une mesure importante le nombre des attaques , tout en atténuant leur gravité modifie favorable
portant : il n'y avait pas eu de perte de con- naissance ; avant l' attaque il avait souffert de fréquents maux de tête ave
; cette céphalalgie était surtout frontale. Un mois après, deuxième attaque plus grave, portant sur tout le côté droit. mai
. Après l'opération le malade resta à l'hôpital ; il n'avait plus d' attaques épileptique ; il était complètement aveugle. Un
DE THÉRAPEUTIQUE. Pas de troubles de la vessie ni du rectum. l'as d' attaques épilep- tiformes, névrite optique double. Ici e
ant eu aucun accident spécifique depuis six ans, est pris soudain d' attaques d'épilepsie partielle s'annonçant par des mouve
psie partielle s'annonçant par des mouvements de l'index gauche ; l' attaque intéresse tout le côté gauche, mais ne se génér
pas, la perte de connaissance n'est pas complète. A la suite de ces attaques , il n'est survenu ni monoplégie brachiale, ni h
adissonnienne. - Un mafade adis- sonien typique se mit à avoir des attaques d'épilepsie suivies de délire et de coma. A l'a
'affaiblissement de l'intelligence, de l'achopement syllabique, des attaques apoplectiformes avec pertes de connais- sance e
tionnent d'une manière parfaitement régulière dans l'intervalle des attaques ; 2° que l'attaque-type envahit simultané- ment
vante : l'intoxication primitive aiguë déter- mine une ou plusieurs attaques convulsives, qui, à leur tour pro- duisent une
ésence d'un cercle vicieux ; le retour de plus en plus fréquent des attaques finit sans doute par déterminer des altérations
t été de la dysarthrie, d'abord intermittente, puis permanente; des attaques d'épilepsie localisées à la moitié droite de la
toujours été très vive, très irri- table, elle a même eu de grandes attaques convulsives d'hystérie dont le malade a été sou
G. Firl. i. 198 CLINIQUE NERVEUSE. vertiges. Jamais il n'a eu d' attaques de nerfs d'aucune nature. Il est d'uu caractère
es, de fréquents accès d'hypnose spontanée; elle a eu de nombreuses attaques de contracture ou de paralysie transi- toires.
le 16 mars 1899 : c'est une hystérique qui n'a jamais eu de grandes attaques , mais qui présente de l'hémi- anesthésie droite
d'un cas d'épilepsie héréditaire, datant de cinquante ans, par une attaque d'hémiplégie ; Par il ! . le D' D.1\IEL BRUNET.
a première crise convulsive a paru à la suite de la scarlatine. Les attaques se produisent à peu près tous les mois, le jour o
staté sur le registre légal, que cette malade avait de fré- quentes attaques d'épilepsie. En 1857, elle fut prise d'une hémi
épileptiques jus- qu'à sa mort, produite le 12 juillet 1877 par une attaque d'apo- plexie, m'a été confirmée parle D''Fauch
cas me paraissait intéressant et je n'ai jamais observé la moindre attaque épileptique chez elle. Son intelligence etait à
ision aux questions qu'on lui adressait. Elle se demandait si ses attaques épileptiques avaient bien com- plètement cessé,
d'irritation dans un point limité de l'écorce cérébrale. Comment l' attaque d'hémiplégie a-t-elle agi chez notre malade ? L
ade rentré au service des épileptiques, ne présente plus de grandes attaques pendant cinq mois. Pendant ce temps il avait de
opération, mais aussi longues. Voici d'ailleurs le relevé exact des attaques en 1898 et 1899 : . 1898. Janvier : une attaq
relevé exact des attaques en 1898 et 1899 : . 1898. Janvier : une attaque le 8, durée, quinze à dix-huit mi- nutes ; une
utes ; une autre le 21, de dix-huit à vingt minutes, -Février : une attaque le 14, durée vingt-deux à vingt-cinq minutes ; un
inutes ; une autre le 28, durée de dix à treize minutes. Mars : une attaque le 12, du- 232 RECUEIL DE FAITS. rée vingt à
nutes ; une troisième, le 29, de dix à douze minutes.- Avril : une attaque le 20, durée, treize à quinze minutes. Alai : une
ril : une attaque le 20, durée, treize à quinze minutes. Alai : une attaque le 22, durée, six minutes ; une autre le 30, de
2, durée, six minutes ; une autre le 30, de dix minutes. Juin : une attaque le 27, durée, quinze minutes ; une autre le 28,
tous les caractères de l'épilepsie essentielle. En par- ticulier l' attaque du 2 janvier 1899, qui s'est produite dans notr
orsure de la langue, écume à la bouche, miction involontaire. Cette attaque dura au moins un quart d'heure, après quoi le m
passager. Dans le service on n'a relevé que le nombre des grandes attaques . De par le tableau ci-dessus ou voit que pendan
s cinq mois qui ont suivi l'intervention, il n'y eut pas de grandes attaques , mais à partir de ce temps elles reviennent, mo
que l'on s'éloigne de l'époque de l'intervention chi- rurgicale les attaques semblent devenir plus violentes en même temps q
l'intervention a été passager, et, après une période de repos, les attaques sont revenues comme avant. REVUE DE PATHOLOGIE
ès. Elle est probablement inférieure à la normale durant et après l' attaque hystérique et dans la dystrophie-thyroïdienne.
us d'une maladie accidentelle. J. S1 : GL.4S. XXV. Les songes d' attaques des épileptiques; par Maurice DucosTÉ. (Journal
santes. Ces songes ne se produisent que lorsque les malades ont des attaques ; ils ne surviennent pas en dehors d'elles et ne
ilement les schématiser en quatre phases parallèles aux phases de l' attaque convulsive. Dans le songe l'aura existe, même l
rt termine le songe. Cette constance de la mort dans les « songes d' attaques » leur constitue un autre carac- tère bien spéc
ge : les résultats ont semblé satisfaisants. En outre, le « songe d' attaque » calque fidèlement les mutations de l'attaque
outre, le « songe d'attaque » calque fidèlement les mutations de l' attaque elle-même; de telle sorte qu'on peut, au récit
le sorte qu'on peut, au récit seul des songes, suivre la marche des attaques et savoir notamment si elles restent ou non com
jours semblable à lui-même; mais derrière ce rêve se cachait une attaque d'épilepsie, de telle sorte que ce qu'on aurait p
u'un trouble post-paroxys- tique. L'auteur rapproche ses « songes d' attaques » des « rêves d'accès » de Féré, et pense avec
is cas sur quatre, les chlorures ont été trouvés en excès après une attaque d'épilepsie ; il en a été de même après une cri
urnal, 23 avril 1898.) Tout le monde sait combien le diagnostic des attaques nocturnes d'épilepsie est quelquefois difficile
rieuse pour qu'on fût amené à le considérer comme une forme nette d' attaque épileptique nocturne. L'auteur pense donc avoir
t. L'ap- parition ultérieure dans le cours de la journée suivante d' attaques épileptiques bien caractérisées a convaincu l'a
presque jamais progressifs, et sont ordinairement précédés par des attaques apoplectoïdes ou épileptoïdes. Le trem- blement
orsque la maladie débute par des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 231 attaques épileptiformes, il faut faire le diagnostic diffé
é de l'affaiblissement intel- SOCIÉTÉS SAVANTES. 257 tectuel, des attaques épileptiformes et de surdité verbale. Durant so
mmaire. - Antécédents héréditaires. Père mort ci soixante ans d'une attaque d'apoplexie, après deux ictus qui l'avaient laiss
tent constituant des accès tétanoïdes de l'épi- lepsie. Sur 200.000 attaques observées par l'auteur, un seul cas peut se rap
de surdité ver- bale, presque complète, qui avait suivi une série d' attaques épilep- tiformes et apoplectiformes, persiste d
es nets. Une femme alcoolique employée dans une distillerie eut des attaques épileptiformes suivies d'aphasie sensorielle tran
énation; expériences physiologiques « sur le mode de production des attaques épileptiques et épi- ce leptiformes. Ces sujets
e malade accomplit à l'heure actuelle, il se produisit une nouvelle attaque de delirium lremens. La mise en réforme fut mêm
uelette ; troubles de la sensibilité ; trouble du sens musculaire ; attaques d'épilepsie hémilatérales corticales caractéristi
-aux-Bois.) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 429 9 LXIV. Note sur des attaques frustes d'épilepsie constituées par les dernier
es d'épilepsie constituées par les derniers phénomènes de la grande attaque ; par M. FÉRÉ. (Journal de Neurologie, 1899, n°
ssements) peuvent aussi se manifester isolément et ronsti- tuer des attaques frustes. G. D. XLV. Sur la manière de prendre s
écutés sans que le malade en con- serve le moindre souvenir après l' attaque . Il rapporte sommaire- ment dix observations tr
L'observation clinique nous apprend que d'une manière générale les attaques légères d'épilepsie sont plus souvent suivies d
ques légères d'épilepsie sont plus souvent suivies de manie que les attaques violentes. Dans la manie épileptique comme dans
tête est beaucoup plus intense chez les malades qui n'ont, après l' attaque , que peu ou point de sommeil que chez ceux qui
particulièrement violent chez les épileptiques qui ont eu pendant l' attaque les plus grands mouve- ments convulsifs, et qu'
e dit qu'il faut toujours engager les épileptiques à dormir après l' attaque '. Bien des phénomènes post-convulsifs, tels qu
éservé chez les malades qui n'ont pas de période de sommeil après l' attaque et chez ceux qui ont de la céphalalgie frontale
conscience avec état con- vulsif » et il est certain que, dans une attaque d'épilepsie vraie, ni l'un ni l'autre de ces de
laires per- « ceptibles ou non. » On peut dire qu'il y a dans les attaques épileptiques trois degrés de troubles de la con
l, difficulté et lenteur qui vont en aug- mentant à chaque nouvelle attaque , et laissent finalement des traces permanentes
rs par le même processus de réparation incomplète après chacune des attaques . Les formes d'aliénation mentale que l'on renco
s de folie trouvent ici leur équivalent ou leur compensation dans l' attaque épileptique. R. de IUSUnAI'E CLAY. L. Influence
urnal, 5 novembre 1898.) Il s'agit d'un enfant qui présentait des attaques d'épilepsie attei- gnant parfois le chiffre de
masses lymphoïdes dont l'ablation fut suivie de la disparition des attaques ; elles reparu- rent, mais disparurent de nouve
les assistants appellent l'aura n'est autre chose que le début de l' attaque . - Un autre symptôme qui mérite une attention p
a'encore un sujet d'étude très important : c'est l'in- fluence de l' attaque isolée sur la mentalité du malade et sur les pr
t pas l'ombre d'un stig- mate d'hystérie. Mais ne sait-on pas que l' attaque d'épilepsie est due à une anémie subite du cerv
e de congestion en retour et de coma ; ne voit-on pas aussi que les attaques sont sui- vies d'amnésie. Pourquoi la pendaison
Père, marchand de vin, mort d'une maladie de foie. Mère morte d'une attaque de paralysie. Un frère et une soeur bien portan
e trente-sept ans. Antécédents héréditaires. Père buveur, avait des attaques épi- leptiformes ; est mort dans une attaque. C
ère buveur, avait des attaques épi- leptiformes ; est mort dans une attaque . C'était un débile intellec- tuel, d'une suscep
ptibilité irraisonnée, émotif et irritable. - Mère morte, avait des attaques très fréquemment, surtout des attaques nocturne
ble. - Mère morte, avait des attaques très fréquemment, surtout des attaques nocturnes, avec morsures de langue. Comme son m
est que la liqueur d'absinthe donne aux buveurs, tôt ou tard, des attaques épileptiformes. La clinique est là, et les expé-
mnt des céphalalgies. - Grand-père paternel mort probablement d'une attaque d'apoplexie à quarante-six ans; pas d'excès. Gr
rès obtuse ; réponses très lentes. 11 aurait eu pendant l'année des attaques répétées de convulsions cloni- ques du côté gau
la réfrac- tion du milieu de l'oeil, et de l'hypermétropie dont les attaques disparurent au moins pour un temps, grâce à l'u
e, les phosphates, les sulfates et l'indican. On a constaté que les attaques épileptiques ne modifient ni dans un sens ni da
u profit des premiers, ce qui s'explique par l'intensité, pendant l' attaque , des contractions mus- REVUE DE PATHOLOGIE NERV
s du taux normal. Dans bon nombre de cas, et pour un bon nombre d' attaques on a trouvé une quantité d'indican supérieure à
évoir la nature de l'alimentation. Quant à ses variations après les attaques , on trouve 17 fois une augmentation, 21 fois un
avec l'urée ne jouent de rôle étiologique dans la pro- duction des attaques d'épilepsie. Les résultats obtenus démontrent,
r à une réfraction normale soit capable de causer direc- tement une attaque d'épilepsie; mais on peut admettre que la conti
tration de l'arsenic dans un cas d' -, par Clark, 7f. - avec 519 attaques en 49 heures, par Spret- un, 7'r. Calcification
-, par l3oloni, 165. Gué- rison d'un cas d' - héréditaire par une attaque d'hémiplégie, par Brunet. 224. - essentielle
r Crocq, 331. l'roprlé- tés du sang dans Il , par Har- ter, 425.' Attaques frustes d' , par Fé : é, 429. Mal de tête dans
névrôme du cordon. par Chipault, 132. EPIL¡;PTIQU¡;. Les songes d' attaque chez les -, par Ducosté, 237. Les - 272. Elim
d,531. Hemilpégie. Guérison d'une épilep- sie héréditaire par une attaque d' -, par Brunet, 224. droite avec aphasie, p
50 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
courte durée et présente très peu de mouvements aux membres; les attaques de celte catégorie ne dépassent guère dix ou quin
s s'accomplissent bien ; l'appétit est conservé même à la suite des attaques . Dans le cas que nous venons de rapporter diver
rtantes à être relevées, surtout quant à l'aspect qu'ont revêtu les attaques . M"e Greuz..., nous l'avons vu, a une tare héré
orose et les émotions morales ont définitivement déterminées. Ses attaques n'ont pas ordinairement de phénomènes pré- moni
mènes de la maladie et qui aujourd'hui encore marquent le début des attaques , puisqu'il y a à la suite des convulsions indub
ns-nous établir entre ces phéno- mènes en apparence sans règle et l' attaque complète décrite par M. Charcot ? Nous penson
ais intense et il est entendu presque pen- dant toute la durée de l' attaque . La malade n'a jamais pro- noncé de phrases, ni
ni rien d'ef- frayant. Donc, le désordre et la confusion dans les attaques de notre sujet ne sont que superficielles et n'
Regnard et Richer. c La malade ayant été soumise dans deux de ses attaques aux inhalations d'éther, dont les effets sont a
siblement diminué ses ressources : le 8 octobre 1882. elle a eu une attaque , qui a été considérée, dit-on, par le médecin,
gauche est alors marquée. Depuis cette époque, même état qu'avant J' attaque peut-être avec une très légère amélioration de
e avec une très légère amélioration de la mémoire. La portée de l' attaque convulsive est considérable. On est auto- risé
ence progressive ; il est pro- bable en effet qu'elle aura d'autres attaques qui affaibliront encore 76 REVUE DE PATHOLOGIE
e n'importe quelle analyse : 1- L'excitation électrique produit des attaques d'épilepsie, non pas seul lement quand on fait
olongée engendre du nystaginus du côté opposé, auquel s'adjoint une attaque dépitepsie; - 9 Les convulsions ne se propagent
t le corps entier. B. Dans la forme récidivante, après uue première attaque convulsive méthodique, normale, une seconde pre
ropine augmente l'excitabilité de l'écorce; elle peut réveiller une attaque réduite au silence ; 16° L'écorce du cerveau joue
vulsives d'ordre expérimental, la plus grande ressemblance avec les attaques de l'épilep- sie humaine; 22° La nature cortica
par moi présentait un trouble paraphasique avant d'être frappé de l' attaque de surdité verbale. Quand les symptômes du prem
ire en ce que, dans la paralysie psendo-bulbaire, il se produit des attaques apopluaiformea, tandis qu'on ne constate pas d'
culté du dé- glutir, et plus tard aphonie. Mort dans le coma. Pas d' attaques apoplectiques. Parmi les prodromes, il faut not
ion cérébrale) l'âge de vingt- neuf ans, en 18î6. La moyenne de ses attaques fut pendant cinq ans de deux par semaine. Puis
re à l'aide de lambeaux de renseignements, on trouve qu'avant cette attaque apoplectique, il était pendant sa tournée entré
es; la jambe gauche y participe; deux heures de sommeil terminent l' attaque . Jamais d'agitation. A partirdu 2 février, dose
rares. Du 14 février au 28 mars, quatre accès. Puis disparition des attaques malgré la dimi- nution graduelle de KBr et sa r
l ne lui fût survenu rien d'anormal, jusqu'au retour d'une nouvelle attaque , qui avait lieu au bout de quinze jours. Ces ac
être en relation avec la maladie, nous atten- dîmes le moment, de l' attaque pour être à même de mieux asseoir notre diagnos
conservées, d'après ce que nous a dit la patiente elle-même après l' attaque . » « Celle-ci terminée, la malade se montra gai
douze années consécutives. L'hémorrhagie menstruelle se fit et les attaques d'hystérie disparurent. Un mois se passe; le flux
se passe; le flux cata- ménial se suspend de nouveau, et alors les attaques reviennent. Dans ces conditions, nous prescrivo
chauds, et, comme la première fois, les règles reparaissent et les attaques d'hystérie cessent. Il n'en est plus survenu d'au
, non nerveuse; 2° une fille qui se porte bien, nerveuse, mais sans attaques ; 3" un fils marin, V. le 25, janvier 1885. 2
u qu'il vient d'être excité par une émotion plus ou moins vive. L' attaque qu'il a eue devant nous s'est passée de la manièr
ossible qu'il s'é- garât. Nous ne dirons rien du cri initial de l' attaque d'épilepsie ou d'hystérie; il y a là un tableau
de certains cris, de ces aboie- ments qui surviennent en dehors des attaques chez les hystériques, en s'accompagnant même d'
sson. Mûre, morte en 1Spl, écrasée par une voiture; n'a jamais eu d' attaques de nerfs. Pas d'aliénés, ni de paralytiques, ni
ion (ses enfants sont morts les uns de la poi- trine, une avait des attaques de nerfs, un autre, qu'on appelait le lutteur,
ne »; elle est bien portante, n'est sujette ni aux migraines ni aux attaques nerveuses, elle est peu impressionnable, a eu b
dans son côté droit qui aurait été très douloureux-, elle eut. une attaque avec perte de connaissance. Eile est entrée à l
ombre de troubles hystériformes. En novembre 1883, elle éprouva une attaque apoplectiforme à la suite de laquelle elle eut
ours éteint, et présente-t-il des formes variées; tantôt (pendant l' attaque ) l'individu perd la notion du monde extérieur,
lure des réflexes tendineux et cutanés, au moment ou à la suite des attaques , est étudiée à l'aide de quatre groupes d'obser-
l'examen de quelques troubles de la motilité qui se rattachent aux attaques congestives. 10 Les mouvements automatiques coord
mouvements voulus, intentionnels, et se rattachent d'ordinaire aux attaques accompagnées de phénomènes d'excita- tion moteu
trales; 20 la déviation conjuguée de la tète et des yeux qui suit l' attaque est un phénomène d'excitation moteur. Après criti
x allégations de Prévost et Landouzy, M. Zacher admet que, dans les attaques congestives où l'on constate des phénomènes d'e
consacré aux troubles de la vue ', qui accompagnent et suivent les attaques congestives. Les docu- ments que nous possédion
les observations. De ce matériel il conviendrait de déduire que les attaques congestives se traduisent certainement par deux
M. Zacher a observé chez deux malades, pendant l'évolution de leurs attaques , un singulier trouble vasomoteur ; en effleurant
omènes parétiques ou con- vulsifs, qu'il considère certains types d' attaques congestives comme de vrais complexus morbides e
ales qu'il importera d'étudier et de préciser plus tard, qu'enfin l' attaque n'émanerait pas, d'après lui, d'une exacerbation
ne psy- chose déjà existante ; c'est ainsi que la chute pendant une attaque con- gestive, ou un vertige épileptique, avait
n finir et on lâchait le malade qui ren- trait dans sa famille. Ces attaques se répétaient deux fois par an. M. Tarnowsky ra
20. 384 REVUE CRITIQUE. et Mendel' ont trouvé, sous l'influence d' attaques épileptiques, épileptiformes et apoplectiques,
e fait principal qui se dégage de ces observa- tions, c'est que les attaques d'épilepsie, les vertiges et même les seules me
les attaques d'épilepsie, les vertiges et même les seules menaces d' attaques augmentent le chiffre de l'acide phosphorique u
Lépine et Jacquin sont amenés à conclure que, sans l'influence d' attaques d'épilepsie, le rapport entre l'acide phosphoriqu
ique et l'azote serait augmenté, tandis que dans l'intervalle des attaques , ce rapport serait diminué. Recherches personne
z ces hommes, l'élimination de l'a- cide phosphorique en dehors des attaques , l'influence des attaques, et enfin pendant l'é
de l'a- cide phosphorique en dehors des attaques, l'influence des attaques , et enfin pendant l'état de mal épileptique. Dans
es pendant les jours où cet individu est à son état ordinaire, ades attaques , ou bien est dans sa période épileptique, nous
nution de l'acide phosphorique uni aux alcalis sous l'influence des attaques . L'observation de Es... est la seule dans laque
0,53; acide phosphorique uni aux alcalis, 1,07. Sous l'influence d' attaques : ' Azote, 19,77; acide phosphorique total, 1,9
0,47; acide phosphorique uni aux alcalis, 1,49. Sous l'influence d' attaques : Azote, 22,26; acide phosphorique total, 1,29;
0,42; acide phosphorique uni aux alcalis, 0,90. Sous l'influence d' attaques : Azote, 16,89; acide phosphorique total, 1,69;
ez ce dernier malade cet acide était diminué sous l'in- fluence des attaques , il est augmenté dans les trois cas que nous ve
eler. Par conséquent, nous pouvons dire : A. Sous l'influence des attaques et comparativement à l'état ordinaire : 1° L'
ui précèdent pendant l'état or- dinaire, c'est-à-dire en dehors des attaques et de l'état de mal épileptique, avec les résul
st pas modifiée. Interprétation des modifications produites par les attaques d'é- Epilepsie et par l'état de mal épileptique
rique par les urines. A. Attaques d'épilepsie. Sous l'influence des attaques , l'a- zote, l'acide phosphorique uni aux terres
es vertiges, ou même simplement sous l'influence de l'imminence des attaques , alors que les phosphates alcalins et l'azote n
intervention du système nerveux ne peut être mise en doute dans les attaques d'épilepsie, et que, d'autre part, nos recherch
rreux éli- minés en plus qu'à l'état ordinaire sous l'influence des attaques d'épilepsie. Inversement, l'augmentation de l
phorique uni aux alcalis et de l'azote n'existant pas en dehors des attaques , sous l'influence des vertiges et de l'état de
le système nerveux qu'il faut rechercher son explication. Or, les attaques d'épilepsie mettent en jeu l'activité du systèm
e et des phosphates alcalins, qu'on retrouve sous l'in- fluence des attaques d'épilepsie. Est-ce là la seule origine de cett
pas une démonstration rigou- reuse de ce fait. En résumé : 1° Les attaques 'd'épilepsie modifient l'élimina- tioîz, par le
ination; 390 REVUE CRITIQUE. NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX. 2° Les attaques d'épilepsie suractivent les échanges en acide p
ie comparativement ces modifications avec celles que produisent les attaques d'épilepsie et l'agitation ma- niaque, on arriv
ie et l'acide phos- phorique : 1° Dans l'épilepsie, en dehors des attaques et de l'état de mal épileptique, l'élimination
de l'acide phosphorique par les urines n'est pas modifiée; 2° Les attaques et l'état de mal épileptique augmentent l'éli-
re d'Inisdea toujours violent, toujours menaçant, toujours prêt à l' attaque , un impulsif incapable de se maîtriser, obéissa
e d'une malade de la Salpêtrière, quia eu déjà plusieurs milliers d' attaques consécutives. Cette femme, dont l'hystérie n'es
pour personne, vient d'avoir en quelques semaines plus de dix mille attaques . M. FALHET demande qu'on mette à l'ordre du jou
s qui commandent aux muscles), des vertiges, des lipothymies, des attaques apoplectiformes, etc... Dans les deux groupes, ce
51 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
stait, lorsque le 3 novembre z1896, subitement, elle eut une grande attaque d'apoplexie avec perte de connaissance prolongée
ous verrez par la suite que la lésion qui a donné naissance à cette attaque d'apoplexie dépasse de beaucoup les limites de
ration, semble avoir toujours, sauf dans les premiers jours après l' attaque , compris ce qu'on lui disait, et qu'elle n'a prés
ques et des épilepsies aiguës. En ce qui concerne la pathogénie des attaques le « centre convulsif » a perdu beaucoup de son
n cer- tificat médical constatant qu'il avait, depuis deux ans, des attaques épilep- tiques suivies de délire. Le développem
té aucun trouble permanent de la motilité ni de la sensibilité. L' attaque était annoncée, parfois quelques heures ou quelqu
nt au-dessus du genou, arrivant parfois de cette façon à conjurer l' attaque . Mais on connaissait dans le service un autre m
it dans le service un autre moyen bien plus efficace pour arrêter l' attaque : c'était de prendre le malade par les épaules et
de prendre le malade par les épaules et de le secouer. Lorsque l' attaque n'était pas enrayée, après avoir poussé un cri, l
nt l'accès et la langue était mordue, ou d'un côté ou de l'autre. L' attaque convulsive touchant à sa fin, le malade, tantôt
urs. Je liens à ajouter que cet accès de folie ne fut pas précédé d' attaque convulsive ; mais, la nuit du 15 décembre, il e
édé d'attaque convulsive ; mais, la nuit du 15 décembre, il eut une attaque convulsive, qui a été immédiatement suivie d'un
le sens musculaire dans cette jambe. Notre malade a eu une série d' attaques , et en est mort, dans l'état de mal épileptique
ront la base de notre discussion : l'un, sympto- matique début de l' attaque par une aura localisée à la jambe gauche ; l'au
implanté chez notre malade. Nous avions, dans cette hypothèse, des attaques d'épilepsie provoquées par l'irritation de la s
zone motrice : et nous serions en règle avec la physiologie, si ces attaques revêtaient le masque de l'épilepsie partielle,
on, Leçons sur les maladies nerveuses, p. 545. 26 MAGALHAÈS LEMOS attaques de notre malade étaient généralisées d'emblée et
une êp\\e^s\e symptomatique d'une lésion corticale. Mais toutes les attaques , autant celles dont j'ai eu connaissance par la f
vement l'épilepsie partielle, ces lésions peuvent produire aussi des attaques typiques de grand mal. Notre observation est ab
ressivement de façon à donner lieu, au bout de quelque temps, à des attaques de grand mal. La physiologie expérimentale est
partielles au début, elles se gé- néralisent à la longue. Outre l' attaque convulsive, notre malade a eu aussi un délire hyp
chasse ou au combat, il se livre aux mouvements plus violents de l' attaque ou de la défense, etc.. Et naturellement toutes c
cupe n'est pas une myosite proprement dite, ladiathèse ossifiante s' attaque principalement au tissu conjonctif que celui-ci
la tumeur osseuse » (liuemmel). La myosite ossifiante progressive s' attaque de préférence au système musculaire, mais on le
que l'eau ; elles sont composées d'une lame externe que le couteau attaque aisément, et percées de plusieurs trous qui don
u coude. Dans d'autres cas l'affec- tion continue ses ravages, elle attaque les muscles du bassin, principale- ment ceux de
buter sur n'importe quelle région de l'organisme. A la nuque elle s' attaque tantôt à droite, tantôt à gauche, quelquefois e
res et l'abdo- men, ayant parfois des crises de vomissements et des attaques de nerfs mal définies. A cela se réduit son p
affection fébrile. Comme celle des pauses, la durée des nou- velles attaques est très variable ; ordinairement plusieurs petit
, de douleur et de gonflement dans une partie du corps. Parfois l' attaque se fait à époque fixe; notre malade pendant cinq
ant cinq années consécutives a présenté, toujours au printemps, une attaque qui durait trois mois. Celui qui fait le sujet
s. Celui qui fait le sujet de l'observation de Lexer, a éprouvé une attaque tous les étés pendant cinq années consécutives.
, des déformations de la colonne vertébrale. Lorsque la myosite s' attaque à un muscle, le tissu interstitiel de ce der- n
nant, ne le prouvent pas péremptoirement. Florschuetz a observé des attaques d'épilepsie passagère. On conçoit que l'épileps
les hommes, nous trouvons 19, 22, 20 et 35 ans, lors des premières attaques . Nous enregistrons ce fait sans y attacher une
une pause natu- relle, survenue pendant le traitement; une nouvelle attaque n'a pas en effet tardé à apparaître deux mois a
ale du pied, du côté gauche, furent simultanément envahis. Cette 6e attaque a été la dernière, elle a fini par ossifier la ma
it, les deux dernières, au contraire, le côté gauche. Délivré des attaques qui l'ont cloué au lit durant le printemps de 6 a
antécédents personnels, nous ne trouvons à signaler- que plusieurs attaques de rhumatisme articulaire aigu. Pas d'éthylisme.
10 ans, à la suite d'une légère contrariété, X... a eu une série d' attaques de nerfs, pendant la durée desquelles elle s'est
squelles elle s'est plainte de fortes douleurs à 1'(,pigasti-e. Ces attaques , qui étaient pour ainsi dire subintrantes, ont
nait à son comble. En dernier lieu, elle dégé- néra en une violente attaque de concision. Le médecin traitant, peu fixé sur
est devenue titubante; des maux.de tête extrêmement violents ; des attaques , les unes syncopales, les autres,épileptiformes
, les maux de tète si violents, les accès de délire mania- que, les attaques épileptiformes et syncopales.. SUR UN CAS DE TU
communs : une cépha- lalgie plus ou moins violente, du vertige, des attaques épileptiformes ou syncopales, des vomissements,
générale exercée par les tumeurs intra-crunieunes. Le vertige, les attaques syncopales, la torpeur intellec- tuelle, qui on
inée la loupe, elle est composée d'une lame externe, que le couteau attaque aisément ; elle est percée de plusieurs trous q
4, 1874. Jeune fille de 14 ans. Père buveur, succomba pendant une attaque d'épilepsie; celle-ci avait débuté un an avant
xtrémités inférieures furent successivement pris. Chaque nouvelle attaque s'accompagnait de symptômes fébriles et d'un gon-
marcher continuellement. Etat général mauvais. Depuis quatre ans attaques épileptiformes ; elles étaient d'abord espacées;
égulièrement. On les observe seulement pendant la nuit, ce sont des attaques rapides violentes et de courte durée. Intellige
lepsie. Grand'mère morte à 61 ans de pneumonie. Un frère a eu des attaques épileptiformes pendant un an, à l'âge de 6 ans, à
général ; à 7 ans, atteinte du bras gauche. A 12, le malade eut des attaques épileptiformes qui ont duré 8 jours et furent s
la ligne axillaire jusqu'à la crête iliaque. Godlée a assisté aune attaque de l'affection dans les muscles rhomboïdes des
es et des parois de l'aisselle. Les traumatismes pro- voquaient des attaques espacées par des pauses de plusieurs mois. Les at
voquaient des attaques espacées par des pauses de plusieurs mois. Les attaques elles-mêmes étaient indolores. Dans la 12° an
e ténacité et d'une intuition géniale ; c'est ainsi qu'il sauva des attaques combinées des uns et des autres la doctrine nai
portée, mais sans état morbide caractérisé, et dont une soeur a des attaques hystériques. Elle a eu une soeur qui est morte à
xistait aucun bruit anormal, ni signe de dilatation. Cette nouvelle attaque , traitée encore par l'antipyrine, a duré avec l
xemple dépassé la trentaine (Krafft-Ebing). Au cours de la première attaque généralisée, il est bon de relever les mouvemen
tsch a décrit une chorée des muscles tu- baires. Dans la deuxième attaque généralisée nous.relevons l'arythmie, en de- ho
ominance des mouvements se montre d'un côté différent dans les deux attaques successives, tandis qu'ordinairement c'est le m
d'autre maladie que l'influenza; il y a quelques années, à part les attaques de nerfs auxquelles elle est sujette. De ces at
s, à part les attaques de nerfs auxquelles elle est sujette. De ces attaques elle ne sait d'ailleurs absolu- ment rien, sauf
s, repousse ses pa- rents, ses enfants jusqu'à ce qu'enfin éclate l' attaque qui dure des heures, par- fois un ou deux jours
Température 380, pouls plein et régulier avec 100 pulsations. Cette attaque dure plusieurs heures et cesse comme par enchante
ant : d'après le rapport de la soeur et de l'interne Pétrone est en attaque de convulsions depuis déjà quelques heures. Cette
ne est en attaque de convulsions depuis déjà quelques heures. Cette attaque qui se rie- produit devant nous à chaque instan
mble inconsciente. Elle reste sans mouvements quelques minutes et l' attaque reprend de nouveau, reproduisant imperturbablemen
es avec les mêmes caractères ; nouveau repos suivi d'une nou- velle attaque et ainsi de suite pendant tout le temps de la vis
t tout le temps de la visite. En partant nous la laissons en pleine attaque . Au cours d'une de ces attaques nous lui compri
n partant nous la laissons en pleine attaque. Au cours d'une de ces attaques nous lui comprimons l'ovaire droit et la négres
e qu'on nous dit dans le service durait depuis le petit jour. Cette attaque était très différente de la précédente. Il n'y
mmence de nouveau et ainsi pendant des heures pour terminer par une attaque de dyspnée où nous la trouvons encore le lendemai
, abattue, déprimée. L'in- terne du service nous dit qu'elle est en attaque permanente depuis la veille. L'attaque a été de
vice nous dit qu'elle est en attaque permanente depuis la veille. L' attaque a été des plus complexes et a présenté diverses p
es et s'achève brusquement en la quatrième et der- nière phase de l' attaque . Cette phase est constituée par un délire très pa
t exactement les mêmes dans les jours suivants, éclate une violente attaque de dyspnée qui force notre intervention. Après
uation, la disparition même des signes physiques, éclatent d'autres attaques de dyspnée dont la der- nière après sa seconde
apeutiques mis en oeuvre et les résultats obtenus. Dans'la première attaque trois ou quatre ventouses scarifiées font dispa
it la cause de la dyspnée) serait assurément grave. A la deuxième attaque nous lui extrayons 600 grammes de liquide et au
à cette miraculeuse amélioration. Il y a plus : à l'avant- dernière attaque nous lui avons fait appliquer une unique ventouse
lade est incontestablement hystérique. Qu'est-ce que .c'est que ces attaques précédées pendant un ou deux jours d'une période
dées pendant un ou deux jours d'une période de malancolie sinon des attaques d'hystérie ? Pourquoi pas d'épilepsie dira-t-on
out avec ce que nous avons .observé dans notre service. La première attaque dont nous avons été té- 470 J. SOCA moin, c'é
ère attaque dont nous avons été té- 470 J. SOCA moin, c'était une attaque d'hystérie. Le spasme laryngé, les grands mou-
t d'une manière plus ou moins fruste toutes les grandes phases de l' attaque d'hystéro-épilepsie conformément à l'admirable
sième crise se compose d'éléments divers. La première phase est une attaque d'hystéro-épilepsie absolument classique; la deux
e attaque d'hystéro-épilepsie absolument classique; la deuxième une attaque de vomissements dont la filiation hystérique se v
s dont la filiation hystérique se verra par suite, la troisième une attaque de dyspnée ; la quatrième une attaque de délire.
a par suite, la troisième une attaque de dyspnée ; la quatrième une attaque de délire. Ce délire est entièrement fait d'ill
li- que et se résout en sanglots n'est autre chose qu'un fragment d' attaque d'hystérie. C'est la troisième période et une p
ième période et une partie de la quatrième déta- chées de la grande attaque et la représentant à eux seuls, ainsi que cela
l'hémi-anesthésie). Les autres atta- ques ont toutes succédé à une attaque d'hystérie. Les symptômes physiques et fonction
s et, à la fin, avaient presque disparu. Tout à coup se déclare une attaque d'hystérie qui dure des heures et qui se termin
une attaque d'hystérie qui dure des heures et qui se termine en une attaque de dyspnée très spéciale, attaque qui apparaît
s heures et qui se termine en une attaque de dyspnée très spéciale, attaque qui apparaît ainsi comme la continuation, comme
inuation, comme la floraison d'une crise d'hystérie. A la troisième attaque les choses se sont passées d'une manière réelle-
YSTÉRIQUE SECONDAIRE 471 ment suggestive. Sa première phase est une attaque d'hystéro-épilepsie ; la seconde une crise de v
la seconde une crise de vomissements hystériques; la troisième une attaque de dyspnée, et la quatrième un accès de délire
t que nous considérons ici puisqu'il faut dire que dans la première attaque d'hystérie une dyspnée laryngée très intense a
on veut bien se rappeler que cette femme n'a jamais eu auparavant d' attaque de dyspnée en dépit des attaques sans nombre. S
te femme n'a jamais eu auparavant d'attaque de dyspnée en dépit des attaques sans nombre. SUR UN CAS DE TACHYPNÉE HYSTÉRIQUE
de son ancienne maladie pleuro-pulmonaire. Elle a bien eu quelques attaques de nerfs, mais jamais le moindre soup çon de dy
finalement celle-ci s'étendit jusqu'à la ligne axillaire. Dernière attaque en 1890. Depuis, formation entre temps, sans fati
t, d'après nature, une des phases les plus dramatiques de la grande attaque d'hystérie. Mais ce tableau de nuhens n'est pas s
52 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
re crise qui céda aux moyens ordinaires succéda, en février 1886. une attaque formidable : hallucinations continuelles, démons,
l'époque où les règles s'établirent, avaient tous les caractères des attaques hystériques. A onze ans, elle resta con-tracturée
ériques. A onze ans, elle resta con-tracturée à la suite d'une de ses attaques et fut conduite à la Salpetrière, où on put l'hyp
ans. les contractions se renouvelèrent fréquemment, à la suite de ses attaques , et l'obligèrent un assez grand nombre de fois à
se gage comme domestique ; mais elle ne peut conserver sa place. Ses attaques la prennent à tous moments ; un jour, elle tombe
et, devant l'insistance du chirurgien, elle est prise d'une violente attaque d'hystérie. C'est alors qu'elle passa dans mon
é générale satisfaisantes, bien qu'elle ait toujours eu de fréquentes attaques de nerfs, mais sans complications. — Devenue en
ue, nous avons pu, lorsque V... était sous l'influence de ses grandes attaques , les constater un grand nombre de fois. Nous ne
nerons pas la description des crises hystéro-épileptiques de V... ces attaques répondent la plupart du temps aux phases décrites
ses décrites par l'école de la Salpêtrière. Toutefois, chez V..., l' attaque épileptique. précédée par l' aura hallucinatoire
e la vipère, se produit souvent isolément, indépendamment des grandes attaques hystéro-épileptiques, et nous dirons, sans insist
tique et hystéro-épileptique dans le sens le plus large du mot. Ces attaques de grande hystérie durent chez V... pendant un te
t constituée non seulement par les phénomènes ordinaires de la grande attaque , mais encore pardes changements successifs de per
s de paralysie ou de contracture des divers membres pendant la grande attaque et en n-tant les paroles du malade que nous avons
ions, nous décrirons seulement l'état de V... dans une de ses grandes attaques , et cela de la façon la plus sommaire. Un soir,
s la série des convulsions toniques et cloniques commence. l-a grande attaque suit son cours ordinaire, mais vers neuf heures d
... à des manifestations que nous résumons, la période du délire de l' attaque nous permettant de noter, en même temps que l'end
et le ramène à la Rochelle. Un autre jour, à la suite d'une grande attaque , il reste paralysé des deux jambes, se trouve à B
ogène à l'abdomen, à gauche. La compression de cette zone détermine l' attaque , avec aura prémonitoire de la vipère. Mais cett
e hystérogène, de déterminer, lorsqu'elle est sensible, une ébauche d' attaque qu'on arrête aussitôt par la pression du testicul
des fois, depuis que nous les avons constatés, d'enrayer les grandes attaques de notre malade et de mettre fin à ses déroulemen
té se transformer sans crise ou modification nerveuse préalables. L' attaque est, chez notre sujet, comme la manifestation d'u
mmaires et iliaque gauches. Il s'est produit il y a quelques mois une attaque hystérique convulsive. Son mari a essayé sans rés
Le nomme l..., âge de 32 ans, hémianesthésique gauche, sujet à des attaques nerveuses hystériques, est plongé dans le sommeil
forts faits pour passer son baccalauréat, a été frappé d'une première attaque d'épilepsie, qui s'est répétée quinze jours après
tuméfaction des pieds, insensibilité du pouls, embarras de la parole, attaques syncopales, perte de connaissance, secousses conv
ns la connaissance des habitudes du malade, on aurait pu croire à une attaque d'alcoolisme aigu- Ses amis attribuaient tous
ais il n'y a eu de cas d'ivrognerie dans sa famille. Mère morte d'une attaque d'apoplexie. Frères et sœurs en bonne santé, une
ion d'avoir une résidence autre que le domicile conjugal. A celle attaque le mari répond en produisant, quelque jours après
l'idée que par la suggestion hypno-tique on parvient ù supprimer les attaques hystéro-épileptiques et les vomissements. Notre j
o-épileptiques et les vomissements. Notre jeune malade; qui avait des attaques et des vomissements quotidiens, est restée six mo
frayeur. L'impression pénible causée par le spectacl einopiné d'une attaque suffit à en provoquer les spasmes chez les sujets
alades, dont l'un, âgé de 33 ans, était « manifestement hystérique » ( attaques convulsives, mouvements désordonnés, perversion d
sthésie cutanée, hémiplégie), et l'autre, âgé de 25 ans, sujet a vies attaques d'épilepsie, était atteint, en outre, au dire de
lition presque complète du goût. de l'ouïe et de l'odorat, de petites attaques convulsives accompagnées d'une sensation d'étouff
ssement du champ visuel, des plus nettement caractérisés, ainsi que d' attaques représentées par une sensation douloureuse dans l
psie douteuse et qui peut être reconnue sans constatation directe des attaques convulsives. » De date récente, ces constatatio
ans, de phtisie du larynx, était atteinte déjà de somnambulisme et d' attaques de sommeil analogues à celles qu'a présentées not
urs et deux nuits sans qu'on parvînt à l'éveiller. Ce fut sa première attaque de sommeil Elle rentra à Genève et, dès lors, l
première attaque de sommeil Elle rentra à Genève et, dès lors, les attaques se répétèrent. Bientôt on s'aperçut que la malade
, le plus long intervalle pendant lequel Mlle X... resta sans avoir d' attaque fut de quinze jours. En général, les attaques de
X... resta sans avoir d'attaque fut de quinze jours. En général, les attaques de sommeil et le réveil dans « l'état second » se
é magnétisée par personne, ni à Vienne, ni à Genève. Cependant, les attaques de sommeil étaient toujours plus fréquentes. Elle
oi avec son fiancé. Elle est de nouveau dans l'état second depuis une attaque de sommeil qui l'avait surprise la veille, au mom
se sent beaucoup mieux. Dès ce moment, Mlle X... n'eut plus aucune attaque de sommeil, et aujourd'hui elle se porte tout à f
niques ou aiguës suscitées par la réverbération des neiges, outre les attaques d'aploplexie que favorise la congestion habituell
nces vraiment personnelles. Auguste Nicot. REVUE DE LA PRESSE L' attaque de sommeil hystérique. Leçon de M. le professeur
. Or l'apoplexie hystérique n'est, a mon avis, rien autre chose que l' attaque de sommeil. Vous savez que les journaux angla
ville et Regnard. Il ne s'agissait, en somme, que d'une variante de l' attaque de sommeil. Ce n'est pas d'ailleurs seulement d
Ce n'est pas d'ailleurs seulement de l'autre côté du détroit que ces attaques de sommeil attirent l'attention du public; et, ma
du sujet, je vous dirai que le phénomène auquel vous assistez est une attaque de sommeil.— C'est le nom qu'il faut lui donner,
attaque de sommeil.— C'est le nom qu'il faut lui donner, — C'est une attaque hystéro-épilep-tique qui appartient a la catégori
us décrire. Voilà que cette malade est tombée, et au lieu d'avoir des attaques spasmodiques, de faire des salutations, de se ren
Le sommeil hystérique, donc, c'est en quelque sorte l'équivalent de l' attaque convulsive. En général, voici comment les chose
, voici comment les choses se passent : tantôt la malade a une petite attaque convulsive avant le sommeil ou dans les premiers
et souvent esquisser, pendant la durée du phénomène, qui n'est qu'une attaque avortée, quelques-uns des mouvements spasmodiques
qu'une attaque avortée, quelques-uns des mouvements spasmodiques de l' attaque véritable, complète. Enfin, dans d'autres circons
oses dont nous avons souvent éic témoins dans la troisième phase de l' attaque hystéro-épileptique chez les femmes. C'est donc
se de l'attaque hystéro-épileptique chez les femmes. C'est donc une attaque qui, au lieu de se répéter pendant quelques heure
açon. Vous avez vu cette dormeus(1) vous comprenez maintenant que l' attaque de sommeil est une forme de l'attaque d'hystérie,
vous comprenez maintenant que l'attaque de sommeil est une forme de l' attaque d'hystérie, quoique assez rare. Comment vous comp
pée. Cette femme est, du reste, une hystérique avérée : elle a eu des attaques et elle présente du rétrécissement du champ visue
d'après les symptômes accusés par le volé, qu'il a dû tomber dans une attaque d'épilepsie. Sesdeux compagnons de voyage étaie
e pour le dévaliser. Les sensations éprouvées par le malade avant l' attaque se rattachent très facilement 1 l'aura épileptiqu
s hallucinations de la vue. Plus fréquemment, le point de départ de l' attaque est dans le membre supérieur. Beaucoup éprouvent
e pression, de constriction autour du poignet. Après ces prodromes, l' attaque elle-même survient, caractérisée par une perte de
un lourd sommeil, sans aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant l' attaque . Ce qui est le plus fait pour étonner, c'est le c
ement du spectacle repoussant que présente un individu en proie à une attaque d'épilepsie, ont eu assez de sang-froid pour lui
nable. A l'âge de 15 ans, à la suite d'un violent orage, elle eut une attaque d'hystérie. Depuis i5 ans jusqu'à 22, les attaque
orage, elle eut une attaque d'hystérie. Depuis i5 ans jusqu'à 22, les attaques se renouvelèrent huit eu dix fois, et toujours à
ujours à la suite d'une vive contrariété. Depuis l'âge de 22 ans, les attaques ont complètement disparu. L'état puerpéral pour
celui d'une hystérique qui, pendant la période som-nambulique de son attaque , m'ayant entendu dire à son entourage que cet éta
sive, beaucoup moins que celle du trouble intellectuel consécuti: A l' attaque , conférait à celle-ci son cachet. De notre côté,
d il est ivre. Ces scènes ont provoqué chez elle, depuis six ans, des attaques de nerfs. La dernière a eu lieu dans le milieu de
s classes laborieuses on rencontre une femme atteinte d'hystérie avec attaques sur cinq; une femme atteinte d'hystérie sans atta
d'hystérie avec attaques sur cinq; une femme atteinte d'hystérie sans attaques sur sept; une femme très impressionnable sur quat
très occupés, j'ai trouvé qu'on rencontre au plus une femme ayant des attaques hystériques sur sept, au lieu d'une sur cinq. Il
est très probable que le nombre des femmes atteintes d'hystérie sans attaques est proportionnel à celui-là ; de sorte que. bien
et la mère sont des personnes très nerveuses ; la mère a même eu une attaque d'hystérie franche à la suite d'une contrariété.
tion assistait une jeune fille bien portante, qui n'avait jamais eu d' attaques de nerfs. Sous la seule influence du spectacle au
le auquel elle assistait, cette personne a été prise de la plus forte attaque d'hystérie que j'aie jamais vue. Si elle n'avait
jamais assisté à cette séance, elle n'aurait probablement jamais eu d' attaque hystérique, car, jusque-là, elle n'en avait jamai
que sorte, succombé à la peine: quelques-uns avaient eu leur première attaque au moment où ils venaient d'être maltraités plus
es (session de Toulouse), 138, 191. — (session d'Oran )., 338, 364. Attaque de sommeil hystérique (l'), par Charcot, 27. Au
53 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
re crise qui céda aux moyens ordinaires succéda, en février 1886. une attaque formidable : hallucinations continuelles, démons,
l'époque où les règles s'établirent, avaient tous les caractères des attaques hystériques. A onze ans, elle resta con-tracturée
ériques. A onze ans, elle resta con-tracturée à la suite d'une de ses attaques et fut conduite à la Salpetrière, où on put l'hyp
ans. les contractions se renouvelèrent fréquemment, à la suite de ses attaques , et l'obligèrent un assez grand nombre de fois à
se gage comme domestique ; mais elle ne peut conserver sa place. Ses attaques la prennent à tous moments ; un jour, elle tombe
et, devant l'insistance du chirurgien, elle est prise d'une violente attaque d'hystérie. C'est alors qu'elle passa dans mon
é générale satisfaisantes, bien qu'elle ait toujours eu de fréquentes attaques de nerfs, mais sans complications. — Devenue en
ue, nous avons pu, lorsque V... était sous l'influence de ses grandes attaques , les constater un grand nombre de fois. Nous ne
nerons pas la description des crises hystéro-épileptiques de V... ces attaques répondent la plupart du temps aux phases décrites
ses décrites par l'école de la Salpêtrière. Toutefois, chez V..., l' attaque épileptique. précédée par l' aura hallucinatoire
e la vipère, se produit souvent isolément, indépendamment des grandes attaques hystéro-épileptiques, et nous dirons, sans insist
tique et hystéro-épileptique dans le sens le plus large du mot. Ces attaques de grande hystérie durent chez V... pendant un te
t constituée non seulement par les phénomènes ordinaires de la grande attaque , mais encore pardes changements successifs de per
s de paralysie ou de contracture des divers membres pendant la grande attaque et en n-tant les paroles du malade que nous avons
ions, nous décrirons seulement l'état de V... dans une de ses grandes attaques , et cela de la façon la plus sommaire. Un soir,
s la série des convulsions toniques et cloniques commence. l-a grande attaque suit son cours ordinaire, mais vers neuf heures d
... à des manifestations que nous résumons, la période du délire de l' attaque nous permettant de noter, en même temps que l'end
et le ramène à la Rochelle. Un autre jour, à la suite d'une grande attaque , il reste paralysé des deux jambes, se trouve à B
ogène à l'abdomen, à gauche. La compression de cette zone détermine l' attaque , avec aura prémonitoire de la vipère. Mais cett
e hystérogène, de déterminer, lorsqu'elle est sensible, une ébauche d' attaque qu'on arrête aussitôt par la pression du testicul
des fois, depuis que nous les avons constatés, d'enrayer les grandes attaques de notre malade et de mettre fin à ses déroulemen
té se transformer sans crise ou modification nerveuse préalables. L' attaque est, chez notre sujet, comme la manifestation d'u
mmaires et iliaque gauches. Il s'est produit il y a quelques mois une attaque hystérique convulsive. Son mari a essayé sans rés
Le nomme l..., âge de 32 ans, hémianesthésique gauche, sujet à des attaques nerveuses hystériques, est plongé dans le sommeil
forts faits pour passer son baccalauréat, a été frappé d'une première attaque d'épilepsie, qui s'est répétée quinze jours après
tuméfaction des pieds, insensibilité du pouls, embarras de la parole, attaques syncopales, perte de connaissance, secousses conv
ns la connaissance des habitudes du malade, on aurait pu croire à une attaque d'alcoolisme aigu- Ses amis attribuaient tous
ais il n'y a eu de cas d'ivrognerie dans sa famille. Mère morte d'une attaque d'apoplexie. Frères et sœurs en bonne santé, une
ion d'avoir une résidence autre que le domicile conjugal. A celle attaque le mari répond en produisant, quelque jours après
l'idée que par la suggestion hypno-tique on parvient ù supprimer les attaques hystéro-épileptiques et les vomissements. Notre j
o-épileptiques et les vomissements. Notre jeune malade; qui avait des attaques et des vomissements quotidiens, est restée six mo
frayeur. L'impression pénible causée par le spectacl einopiné d'une attaque suffit à en provoquer les spasmes chez les sujets
alades, dont l'un, âgé de 33 ans, était « manifestement hystérique » ( attaques convulsives, mouvements désordonnés, perversion d
sthésie cutanée, hémiplégie), et l'autre, âgé de 25 ans, sujet a vies attaques d'épilepsie, était atteint, en outre, au dire de
lition presque complète du goût. de l'ouïe et de l'odorat, de petites attaques convulsives accompagnées d'une sensation d'étouff
ssement du champ visuel, des plus nettement caractérisés, ainsi que d' attaques représentées par une sensation douloureuse dans l
psie douteuse et qui peut être reconnue sans constatation directe des attaques convulsives. » De date récente, ces constatatio
ans, de phtisie du larynx, était atteinte déjà de somnambulisme et d' attaques de sommeil analogues à celles qu'a présentées not
urs et deux nuits sans qu'on parvînt à l'éveiller. Ce fut sa première attaque de sommeil Elle rentra à Genève et, dès lors, l
première attaque de sommeil Elle rentra à Genève et, dès lors, les attaques se répétèrent. Bientôt on s'aperçut que la malade
, le plus long intervalle pendant lequel Mlle X... resta sans avoir d' attaque fut de quinze jours. En général, les attaques de
X... resta sans avoir d'attaque fut de quinze jours. En général, les attaques de sommeil et le réveil dans « l'état second » se
é magnétisée par personne, ni à Vienne, ni à Genève. Cependant, les attaques de sommeil étaient toujours plus fréquentes. Elle
oi avec son fiancé. Elle est de nouveau dans l'état second depuis une attaque de sommeil qui l'avait surprise la veille, au mom
se sent beaucoup mieux. Dès ce moment, Mlle X... n'eut plus aucune attaque de sommeil, et aujourd'hui elle se porte tout à f
niques ou aiguës suscitées par la réverbération des neiges, outre les attaques d'aploplexie que favorise la congestion habituell
nces vraiment personnelles. Auguste Nicot. REVUE DE LA PRESSE L' attaque de sommeil hystérique. Leçon de M. le professeur
. Or l'apoplexie hystérique n'est, a mon avis, rien autre chose que l' attaque de sommeil. Vous savez que les journaux angla
ville et Regnard. Il ne s'agissait, en somme, que d'une variante de l' attaque de sommeil. Ce n'est pas d'ailleurs seulement d
Ce n'est pas d'ailleurs seulement de l'autre côté du détroit que ces attaques de sommeil attirent l'attention du public; et, ma
du sujet, je vous dirai que le phénomène auquel vous assistez est une attaque de sommeil.— C'est le nom qu'il faut lui donner,
attaque de sommeil.— C'est le nom qu'il faut lui donner, — C'est une attaque hystéro-épilep-tique qui appartient a la catégori
us décrire. Voilà que cette malade est tombée, et au lieu d'avoir des attaques spasmodiques, de faire des salutations, de se ren
Le sommeil hystérique, donc, c'est en quelque sorte l'équivalent de l' attaque convulsive. En général, voici comment les chose
, voici comment les choses se passent : tantôt la malade a une petite attaque convulsive avant le sommeil ou dans les premiers
et souvent esquisser, pendant la durée du phénomène, qui n'est qu'une attaque avortée, quelques-uns des mouvements spasmodiques
qu'une attaque avortée, quelques-uns des mouvements spasmodiques de l' attaque véritable, complète. Enfin, dans d'autres circons
oses dont nous avons souvent éic témoins dans la troisième phase de l' attaque hystéro-épileptique chez les femmes. C'est donc
se de l'attaque hystéro-épileptique chez les femmes. C'est donc une attaque qui, au lieu de se répéter pendant quelques heure
açon. Vous avez vu cette dormeus(1) vous comprenez maintenant que l' attaque de sommeil est une forme de l'attaque d'hystérie,
vous comprenez maintenant que l'attaque de sommeil est une forme de l' attaque d'hystérie, quoique assez rare. Comment vous comp
pée. Cette femme est, du reste, une hystérique avérée : elle a eu des attaques et elle présente du rétrécissement du champ visue
d'après les symptômes accusés par le volé, qu'il a dû tomber dans une attaque d'épilepsie. Sesdeux compagnons de voyage étaie
e pour le dévaliser. Les sensations éprouvées par le malade avant l' attaque se rattachent très facilement 1 l'aura épileptiqu
s hallucinations de la vue. Plus fréquemment, le point de départ de l' attaque est dans le membre supérieur. Beaucoup éprouvent
e pression, de constriction autour du poignet. Après ces prodromes, l' attaque elle-même survient, caractérisée par une perte de
un lourd sommeil, sans aucun souvenir de ce qui s'est passé pendant l' attaque . Ce qui est le plus fait pour étonner, c'est le c
ement du spectacle repoussant que présente un individu en proie à une attaque d'épilepsie, ont eu assez de sang-froid pour lui
nable. A l'âge de 15 ans, à la suite d'un violent orage, elle eut une attaque d'hystérie. Depuis i5 ans jusqu'à 22, les attaque
orage, elle eut une attaque d'hystérie. Depuis i5 ans jusqu'à 22, les attaques se renouvelèrent huit eu dix fois, et toujours à
ujours à la suite d'une vive contrariété. Depuis l'âge de 22 ans, les attaques ont complètement disparu. L'état puerpéral pour
celui d'une hystérique qui, pendant la période som-nambulique de son attaque , m'ayant entendu dire à son entourage que cet éta
sive, beaucoup moins que celle du trouble intellectuel consécuti: A l' attaque , conférait à celle-ci son cachet. De notre côté,
d il est ivre. Ces scènes ont provoqué chez elle, depuis six ans, des attaques de nerfs. La dernière a eu lieu dans le milieu de
s classes laborieuses on rencontre une femme atteinte d'hystérie avec attaques sur cinq; une femme atteinte d'hystérie sans atta
d'hystérie avec attaques sur cinq; une femme atteinte d'hystérie sans attaques sur sept; une femme très impressionnable sur quat
très occupés, j'ai trouvé qu'on rencontre au plus une femme ayant des attaques hystériques sur sept, au lieu d'une sur cinq. Il
est très probable que le nombre des femmes atteintes d'hystérie sans attaques est proportionnel à celui-là ; de sorte que. bien
et la mère sont des personnes très nerveuses ; la mère a même eu une attaque d'hystérie franche à la suite d'une contrariété.
tion assistait une jeune fille bien portante, qui n'avait jamais eu d' attaques de nerfs. Sous la seule influence du spectacle au
le auquel elle assistait, cette personne a été prise de la plus forte attaque d'hystérie que j'aie jamais vue. Si elle n'avait
jamais assisté à cette séance, elle n'aurait probablement jamais eu d' attaque hystérique, car, jusque-là, elle n'en avait jamai
que sorte, succombé à la peine: quelques-uns avaient eu leur première attaque au moment où ils venaient d'être maltraités plus
es (session de Toulouse), 138, 191. — (session d'Oran )., 338, 364. Attaque de sommeil hystérique (l'), par Charcot, 27. Au
54 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
ive. La photo- graphie d'un paralysé agitant ou d'une hystérique en attaques n'en dit-elle pas plus long à l'esprit qu'une d
s et enfin déterminerait rapidement, si on insistait, une véritable attaque d'hystérie. Aussi le malade ne peut-il rester d
es pour de la rétention d'urine et présentant de temps-en temps des attaques convulsives. Vers le milieu d'octobre l'apparei
ue le malade pour son entrée dans la névrose ait été frappé d'une attaque d'apoplexie hystérique et en soit 12 NOUVELLE I
le nom de ses amis qu'en l'écrivant. Presque immédiatement après l' attaque apparaissent des phénomènes très intéressants d
ement en ce dernier endroit. Pendant la première semaine qui suit l' attaque , la contracture reste com- plète ; pendant la d
motilitéen augmentant. Durant les quarante-trois jours qui suivent l' attaque les douleurs de la mâchoire et surtout des cuis
r, les piqûres faites de ce côté par le médecin. Trois mois après l' attaque il pouvait marcher assez bien en s'appuyant sur u
r ». Le bras et la jambe droits sont raides, comme dans la première attaque ; la langue déviée à droite au même degré est pr
pied tourné en dedans; la langue aussi déviée à droite que dans les attaques précédentes est projetée hors de la bouche. La
se débat au point qu'on est obligé de le lier sur son lit. Après l' attaque légère contracture du côté droit pendant une he
ents, des sortes de crises de nerfs. Elle raconte ainsi sa première attaque : elle sentait, dit-elle, quelque chose lui par
uire aux membres supérieurs la contracture artificielle : enfin les attaques avaient complètement cessé. On pouvait donc e
ois frères et une soeur tous plus âgés qu'elle. Le frère aîné a des attaques de goutte, le plus jeune a une coxalgie gauche
l est en même temps très ner- veux sans cependant avoir jamais eu d' attaques . Un troisième frère est aussi très nerveux. La
vec les jambes enflées; elle est très nerveuse mais n'a jamais eu d' attaques . Antécédents personnels. - Dès l'âge de quatre
nt ; il en reste encore des traces. C'est vers cette époque que les attaques , ébauchées pour ainsi dire jusque-là aupara- va
ydenham pendant quatre mois, au bout desquels survient une nouvelle attaque , après quoi la danse de Saint- Guy disparaît. L
nouvelle attaque, après quoi la danse de Saint- Guy disparaît. Les attaques durent depuis quelque temps et se suspendent pe
ou ayant reparu, elle dut s'aliter pendant plusieurs semaines : les attaques ces- sèrent pendant ce nouveau séjour au lit. P
rche est pénible, claudicante, la jambe à demi contrac- turée : les attaques reviennent plusieurs fois par jour. Depuis cett
ambe toujours raide, se recouche et ainsi de suite, avec de grandes attaques quotidiennes. Dans le courant de l'année derniè
tracturés pendant trois mois. La contracture a disparu lors d'une attaque . Depuis le mois de juillet der- nier la contrac
douleurs très vives; il semble qu'en insistant on provoquerait des attaques . La rigidité est égale, au pied, au genou, à la
iste un point ovarique gauche douloureux mais non hysté- rique. Les attaques ont lieu tous les jours et même assez souvent plu
e la jambe contracturée n'a pu être fait à cause de l'imminence des attaques produites par l'exploration ; on a seulement cons
se, impressionnable; elle a eu, vers l'âge de trente ans, plusieurs attaques convulsives qui paraissent être de nature hystéri
sez fréquemment, une ou deux fois par semaine. Jamais elle n'a eu d' attaques convulsives ressemblant à des accès d'épilepsie
rt de douleurs rhumatoïdes, sans cependant avoir subi une véritable attaque de rhumatisme. Mais le fait le plus saillant es
et souvent plusieurs jours, ou même plusieurs semaines après une attaque , c'est-à-dire qu'on peut les considérer comme la
'elles s'exagèrent à la Fig. 33. Respiration une demi-heure après l' attaque de D..., dont la respiration normale est représ
doux, facile à vivre. A aucune époque il n'a eu de convulsions ni d' attaques de nerfs. État actuel (août 1887). Taille au-de
a ville voisine, tomba tout d'un coup à la renverse et mourut d'une attaque d'apoplexie. En ouvrant la tête, on trouva, qu'in
e jusqu'à l'âge de quatre ans et demi, elle a eu à celte époque une attaque de paralysie du côté gauche; deux ans plus tard,
paralysie du côté gauche; deux ans plus tard, elle eut une seconde attaque à la suite de laquelle elle a conservé une gran
e tous spasmodique ( ? ). C'est à treize ans qu'il a eu sa première attaque d'épilepsie. Depuis, elles se sont renouvelées
ain. Ces secousses, d'ailleurs, se produisent souvent en dehors des attaques , et principalement le matin. Elles pré- dominen
. En résumé, phé- nomènes les plus légitimes d'une série de petites attaques d'hystérie qui ne durent pas en moyenne plus d'
ce, peut se lever et reprendre ses occu- pations habituelles. Ces attaques qui, il leur début, revenaient tous les trois ou
travaux Cet observateur a remarqué que, quelques secondes avant l' attaque , le pouls devient plus rapide, les courbes sphy
ulement plus courtes, mais moins élevées et plus arrondies. Après l' attaque , on voit les ondulations prendre une forme curvil
nte-deux ans, a eu ses premiers accidents en 1880. A la suite d'une attaque d'hystérie pendant laquelle elle tombe sans con
dant elle souffre d'une migraine depuis près de vingt ans, dont les attaques se manifestent une fois par mois. Elle n'a jamais
rme de spasme. Dans l'épilepsie on le voit quelquefois précéder les attaques ou les vertiges ; mais il est assez rare de le
corps. A partir de ce moment, il s'est développé difficilement; ses attaques se renouvelaient plusieurs fois par mois, mais
il avait toujours des mouvements athétosiques qui ont persisté. Ses attaques sont devenues moins fréquentes dans ces dernièr
vingt-trois ans, est fils d'une mère névropathe, ayant eu plusieurs attaques d'hystérie convulsive '. Il a plusieurs frères et
bien. Mais un jour, en se promenant, il fut pris d'une défaillance ( attaque ? ) et on dut le ramener chez lui. Le lendema
re; les extrémités osseuses sont indemnes. , Le rhumatisme noueux n' attaque que les petites articulations, qui sont doulour
res qu'ils ont conservés jusqu'aujourd'hui, mais, à cette époque, les attaques étaient plus fréquentes, survenant cinq à six f
jours à s'employer, bien des gens refusant de l'occuper à cause des attaques épileptiques qu'il présentait. En novembre 1887
es diverses cicatrices il des plaies contuses produites pendant ses attaques . Enfin, à la fesse droite, existe une cicatrice
is des deux côtés. Enfin l'accident le plus grave consiste dans les attaques épileptiformes que nous allons décrire. Ces att
siste dans les attaques épileptiformes que nous allons décrire. Ces attaques , nous l'avons vu, se présentèrent pour la premi
t à peine si le malade en présente une par vingt-quatre heures. Ces attaques , pendant lesquelles la perte de connaissance es
lui a donné peu de détails sur ce qui se produisait au cour de ces attaques ; s'il est debout, il tombe toujours en arrière.
eut ensuite aucun souvenir. Il présentait enfin, très souvent, des attaques semblables pendant la nuit, ses camarades lui o
ent normalement. Le lendemain de son entrée à l'hôpital, il eut une attaque dont les circon- stances nous furent rapportées
Pas de maladie jusqu'à l'âge de quinze ans. A cette époque première attaque de rhumatisme ( ? ). Un an après, la malade a eu
, et la malade put de nouveau marcher. A trente-trois ans, deuxième attaque de rhumatisme, qui dura environ six mois ; la m
55 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ail particulièrement émotive; mais elle affirme n'avoir jamais eu d' attaques de nerfs. Les grands parents maternels sont viv
ssé. Elle est retombée malade, dit-elle, au mois d'août après une attaque de grippe et est restée dans un état d'engourdiss
teur apporte deux observations, l'une d'un épileptique chez qui les attaques étaient suivies de paialysie transitoire etqui ép
vants : loniques, massage, électro et hydrothérapie. R. C. XXI. L' attaque d'oputalmoplégie migraineuse; par M. L. d'Astros
t qui relèvent de lésions organiques diverses. La pathogénie de l' attaque d'ophlalmoplégie est, d'après M. d'As- tros, vr
a cérébrale postérieure) qu'il faut chercher le point de départ des attaques ophtalmoplégiques; celles-ci seraient dues il l
SE. vérifiées; mais la théorie qui reconnaît aux migraines et aux attaques ophtalmoplégiques une origine vasculaire parait à
jusqu'ici; six succès éclatants viennent encore d'être obtenus; les attaques ont disparu jusqu'à présent depuis depuis deux
e l'opium, étaient demeurées impuissantes, arrivent à suspendre les attaques du fait de l'introduction de l'opium. Il faut e
t pour reparaître à l'occasion de veaux excès. La répétition de ces attaques peut amener le sujet à l'épilepsie définitive,
ie générale, les ramollisse- ments cérébraux suivis de démence, les attaques d'apoplexie. Cette hérédité ainsi comprise peut
mbreuses encore montrent que la cérébralité, née d'une hérédité par attaques , peut être une cause de paralysie générale. L'é
érale sénile et que les paralysies générales nées de l'hérédité par attaques ont les allures de la paralysie générale ordina
u la prédominance de certains symptômes, tels que l'agitation,' les attaques apoplecti- formes et épileptiformes, les auto-i
Observation I. Femme de quarante-six ans. Céphalalgies opiniâtres. Attaques d'épilepsie corticale. Hémiparésie gauche. Ambl
'accidents parétiques du facial, du hras et de la jambe gauche, les attaques épileptiformes (épilepsiejacksonienne). Il y a
Suisse romande, 1896, n° 2.) - Des prodromes annoncent souvent l' attaque d'épilepsie; ils sont moins fréquents avant la
ais ne dure que quelques secondes; elle est plus rare au début de l' attaque d'hystérie et quand elle existe dure plus longt
ue toujours lentement et le malade ne se rappelle rien au réveil; l' attaque hystérique se termine brusquement dans la plupa
pé chez un héréditaire névropathique et vésanique, à la suite d'une attaque violente d'influenza et causée par l'action tox
rfois entre le myxoedème et le goitre exophtalmique (tremblement et attaque de dyspnée), pas plus que l'exophtalmie unilaté
se rétablir, et un cas de Gros et Lancereaux, caractérisé par deux attaques succes- sives, aggravation continue, mort. P. K
morrhagique dans le cours de l'in- fluenza. Au cinquième jour d'une attaque d'influenza, délire, sopor, convulsions tonique
apeutica, 1\° 3. 1898.) Un homme de cinquante-sept ans présente une attaque d'apo- plexie suivie d'hémiplégie droite saus p
n môme temps que sa densité montait, ce qui permettait de prévoir l' attaque ; les mêmes phénomènes annonçaient aussi les tr
ussi les troubles psychiques, courts du reste, qui remplaçaient les attaques . Dans la médication opiobromurée, chez plusieur
dix-huit ans et un fils âgé de vingt ans, qui étaient sujets à des attaques d'épilepsie. Hier soir, la mère étant malade da
tent sa vie en danger. Le fils Lu qui était tombé dans une nouvelle attaque de son mal pendant que sa mère et sa saur brûla
époques différentes chez la même malade, c'est-à-dire au moment des attaques en série, et au moment des espaces intercalaire
mot série, différemment compris par les auteurs. Nous entendons par attaques en série, non seulement les accès séparés les u
mme dans nos précédentes recherches chez les malades présentant des attaques en série, nous avons constaté que le maximum d'
u même la Il 00, comme chez l'une de nos malades, qui a présenté 25 attaques ou vertiges pendant le temps de l'élimination.
ons fait, à la vérité, l'injection de bleu pen- dant la période des attaques , mais au moment où la série allait prendre fin
nous avons pu nous en rendre compte en consultant le tableau des attaques dressé dans le service. ' J. Voisin et Hauser.
t ans, nous avons pratiqué une injection le 27 mai à la suite d'une attaque , et il n'existait plus trace de bleu à la 43° h
ure; mais nous constatons d'autre part que la malade qui a eu trois attaques le 23, trois le 24 et une le 25, est restée ind
chez la malade un état saburral très prononcé, indice d'une série d' attaques qui commen- cèrent vers la 80° heure. Du rest
t ans, moyenne des accès par mois, 7), injection faite à la fin d’une attaque sérielle le 25 mai. N° 3. Déc…, dix-sept ans. I
Déc…, dix-sept ans. Injection de 0 gr. 10 le 25 mai à la suite d’une attaque . L’élimination tombe à 0° à la 9e et à la 31e h
QUE N°5. Va…, vingt-cinq ans. Injection le 20 juin à la suite d’une attaque . ELIMINATION DU BLEU DE METHYLENE 197 N° 5.
5. Va… (vingt-cinq ans, moyenne des accès par mois, 18 ; suite d’une attaque isolée). N° 6. Re… Injection le 24 juin, le len
attaque isolée). N° 6. Re… Injection le 24 juin, le lendemain d’une attaque . L’élimination tombe à 0 entre la 23 et la 29e
98 CHIMIE PHYSIOLOGIQUE N° 7. Ba… Injection de 0 gr. 10 le 21 juin. Attaques en série. ELIMINATION DU BLEU DE METHYLENE 19
HYLENE 199 N° 8. Co…, trente ans. Injection de 0 gr. 10 le 15 juin. Attaques en série. 200 CHIMIE PHYSIOLOGIQUE. raître
(trente-deux ans, moyenne des accès par mois, 7) le lendemain d'une attaque . L'élimination tombe à 0 à la 32° heure pour re
N" 7. Bar... (quarante-trois ans, moyenne des accès par mois. 8), attaques en série. Pas trace de bleu à la 29° heure, tan
bleu est encore très apparent. ' 1\° 8. Go... (30 ans, moyenne des attaques par mois, 3), attaques en série. Col. vert fo
pparent. ' 1\° 8. Go... (30 ans, moyenne des attaques par mois, 3), attaques en série. Col. vert foncé à la 3° et 4° heure
de Prengrueber,'à la suite d'une ovariotomie, est prise de grandes attaques d'hystérie. Dans la remarquable communication d
première a trait à une malade ayant eu avant l'opération plusieurs attaques d'hys- térie, que celle qui nous est personnell
règle absolue, et par opposition à celle hé- miplégie progressive à attaques successives relevant de foyers de ramollissemen
tomatique de la démence organique et se manifester à la suite d'une attaque de ramollissement cérébral. En résumé, dans les
on- fusion mentale, de la sensiblerie, etc. A l'asile, elle eut des attaques d'hystérie, et aujourd'hui elle présente tous l
ndon de Montyel, Sérieux, Toulouse, Le Filliâtre conti- nuent leurs attaques contre l'organisation actuelle des asiles, dema
son travail, et se jeta sur sa femme. Celle-ci, s'attendant à cette attaque , put esquiver le coup. Mais, comme elle se préc
ceux des membres inférieurs et du visage auraient pu échapper à ses attaques dans un cas de vraie lèpre anesthésique. En com
1898.) L'auteur signale une observation de courtes et fréquentes attaques de parésie et montre l'intérêt que présentait leu
Garçon jeune, robuste, sans aucune tare héréditaire ou personnelle Attaques complètes épileptiques, à forme dite essentielle,
brusquement, avec accentuation des mouvements convulsifs à gauche, attaques se manifestant peu à peu en séries subsistantes
céphalée générale persistante. Mort au cours d'une de ces séries d' attaques . A l'autopsie on découvre une tumeur sarcomateu
non syphilitique, ni hystérique, ni héré- ditaire, ayant ce genre d' attaques à toute heure du jour, sans con- vulsions, sans
générale sont les ophtalmoplégies, en particulier le ptosis, et les attaques paraly- tiques ou aphasiques. L'importance de
pitations et d'angoisse aiguë, qui ne sont que la reproduction de l' attaque initiale, par hypermnésie émotive. L'histoire d
Nous connaissons tous la simili- tude complète qu'il y a entre les attaques épileptiformes (si fré- quentes dans la paralys
urs jours seule- ment ; née sans cause appréciable à la suite d'une attaque , elle disparait de même, enlevée par l'attaque
ble à la suite d'une attaque, elle disparait de même, enlevée par l' attaque suivante ou dans l'inter- valle de deux attaque
même, enlevée par l'attaque suivante ou dans l'inter- valle de deux attaques , pour se reproduire aux suivantes, sur les même
confusion d'idées où surnagent celles de grandeurs. Fin septembre, attaque d'épilep- sie suivie d'accès d'agitation. Les a
in septembre, attaque d'épilep- sie suivie d'accès d'agitation. Les attaques se renouvellent ensuite fréquemment et sont pré
ou six jours. C'est ainsi que nous constatons : 1884, octobre; 5 attaques ; novembre, 8 attaques. 1885. Attaques : janvie
nsi que nous constatons : 1884, octobre; 5 attaques ; novembre, 8 attaques . 1885. Attaques : janvier, 3 le 15; mai, 3 le 2
statons : 1884, octobre; 5 attaques ; novembre, 8 attaques. 1885. Attaques : janvier, 3 le 15; mai, 3 le 22 ; juillet, 3 le
1 le 13 ; novembre, 2 le 15 et 1 le 16; 1 en décembre. 1887 : 12 attaques ; 1888 : 14 attaques; 1889 : 22 attaques; 1890 :
2 le 15 et 1 le 16; 1 en décembre. 1887 : 12 attaques; 1888 : 14 attaques ; 1889 : 22 attaques; 1890 : 25 attaques ; 1891
6; 1 en décembre. 1887 : 12 attaques; 1888 : 14 attaques; 1889 : 22 attaques ; 1890 : 25 attaques ; 1891 : janvier à septembr
87 : 12 attaques; 1888 : 14 attaques; 1889 : 22 attaques; 1890 : 25 attaques ; 1891 : janvier à septembre, 30 attaques. Tout
: 22 attaques; 1890 : 25 attaques ; 1891 : janvier à septembre, 30 attaques . Toutes sont violentes, avec écume à la bouche
rs fin décembre apparaissent des crises d'épilepsie prises pour des attaques épileptiformes : 1887 : 9 attaques d'épilepsie;
es d'épilepsie prises pour des attaques épileptiformes : 1887 : 9 attaques d'épilepsie; 18S8 : 15 attaques ; 1889 : 29 atta-
attaques épileptiformes : 1887 : 9 attaques d'épilepsie; 18S8 : 15 attaques ; 1889 : 29 atta- ques ; 1890 : 58 attaques; 18
d'épilepsie; 18S8 : 15 attaques ; 1889 : 29 atta- ques ; 1890 : 58 attaques ; 1891 : janvier à septembre, 27 attaques. Elles
29 atta- ques ; 1890 : 58 attaques; 1891 : janvier à septembre, 27 attaques . Elles sont violentes, reviennent surtout par s
e Dr Renaudin constate une grande irritabilité de caractère due aux attaques épileptiques. La santé est satisfaisante depuis
ème observation. - Sommaire : Folie épileptique ; mort à la suite d' attaques . Adhérences généralisées des membranes viscérales
crises fréquentes, caractère très irritable, malade malpropre, onze attaques . » C... meurt asphyxié dans ses attaques d'épilep
le, malade malpropre, onze attaques. » C... meurt asphyxié dans ses attaques d'épilepsie au milieu de juillet 1877. Autops
otilité est affaiblie. Depuis son entrée à l'asile il n'a eu aucune attaque convulsive Signé : D'' Brunet. 1er avril, démen
il, démence épileptique. Le 10, il fut- combe le soir à une série d' attaques épileptiques qui a débuté le matin. Autopsie
, d'apparence robuste : son père est mort il y a dix-huit ans d'une attaque d'apoplexie. Sa mère vit et se porte bien. Ses de
ssions ; dans les périodes avancées elle peut apparaître, après une attaque épileptiforme, dans le côté où ont siégé les co
GIE MENTALE. ou être disséminée çà et là, indépendamment de toute attaque spéciale. Mickle dit avoir observé des cas très n
tant continuellement les cellules corticales. Conclusions. 1° Les attaques congestives apoplectiformes ou épileptiformes d
groupes de muscles. 2° Ces convulsions d'ordinaire s'associent aux attaques apoplectiformes, sont unilatérales et typiques,
une dégénérescence diffuse du territoire moteur de l'écorce. 6° Les attaques congestives épileptiformes ordinaires de la par
nt accessoire non provo- cateur. 7° Les cas de paralysie générale à attaques convulsives corticales prolongées impliquent un
'est avant tout les cellules des cornes antérieures de la moelle qu' attaque , et d'une manière très sensible, la toxine diph
ons qu'elle amène dans les cellules, tandis que le streptocoque les attaque directement en y provoquant des lésions toutes
56 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
spasmo- diques. UN CAS D'ABASIE-ASTASIE SOUS FORME D'ATTAQUES ( attaque ABASIQUE) Par le D' LADAME (de Genève) '. En
te. Pendant plusieurs années, quatre ans environ, il n'eut plus d' attaques , mais en 1869, étant à cheval et faisant de nouve
s accès de ce genre le prenant fréquemment en rue. Au moment de l' attaque , il devient très pâle. Nous n'ajouterons que qu
oire qui l'arrête net dans sa marche. C'est une abasie sous forme d' attaques . Bien que notre malade ne possède aucun des sti
ganique du système nerveux. A côté de toutes les variétés connues d' attaques hystériques, syncopale, épileptoïde, démoniaque
ie, etc., il faudra donc ranger désormais cette forme nouvelle, l' attaque abasique, dont nous pensons avoir démontré l'ex
omplète de la cons- cience, de cette amnésie complète qui a suivi l' attaque . La nature de l'agent irritatif explique la dur
une hystéro-épileptique qui, durant la période léthar- gique de ses attaques , manifesterait au plus haut degré le « phénomèn
nzaine de ce mois, il a en un jour un vertige et le lende- main une attaque . Il est resté jusqu'en septembre avec ses parents
Alors il a travaillé chez un fabri- cant de boutons. 11 a eu trois attaques en trois jours, et, dans la crainte d'être renv
lades comme lui ont de la peine à se fixer. z Voici le tableau des attaques durant son séjour à Bicêtre : 100 RECUEIL DE FA
t au niveau des tempes. Pas de convulsions. Nerveuse, mais jamais d' attaques . Appétit médiocre. Tympanite passagère. Pas de
6 aoM<. Depuis quelques jours, elle se débat violemment dans ses attaques qui sont devenues plus fréquentes. Elle en a deux
t du dos sur le ventre. Elle a perdu connaissance dans toutes les attaques . Points hystérogènes : douleur au niveau de l'apo
dehors des crises. Elle n'a plus d'hallucinations avant ou après l' attaque . Sifflements dans les deux oreilles, mais surtout
Du 17 au 25 décembre, elle aurait eu tous les jours trois ou quatre attaques . Rien du 25 au 27. Depuis', attaques tous les j
us les jours trois ou quatre attaques. Rien du 25 au 27. Depuis', attaques tous les jours, quatre au maximum. Ses attaques s
25 au 27. Depuis', attaques tous les jours, quatre au maximum. Ses attaques seraient plus fortes. Dans ses attaques de déce
urs, quatre au maximum. Ses attaques seraient plus fortes. Dans ses attaques de décembre, elle a eu un délire de parole très
t cherche à mordre. 28. Pendant le mois de janvier, elle a eu des attaques , trois ou quatre en moyenne, tous les jours. Le
mes. Traitement : capsules de bromure de camphre. 18 février. Pas d' attaques . Marie à recommencé le 13 les douches suspendue
recommencé le 13 les douches suspendues à cause du froid. 20. Les attaques paraissent avoir eu des caractères particu- lie
omplètement à elle qu'à deux heures et demie du matin. Depuis celte attaque , l'enfant a de la tendanceà dormir après ses at
Depuis celte attaque, l'enfant a de la tendanceà dormir après ses attaques ordinaires. 104 RECUEIL DE FAITS. 25 mars. Ma
attaques ordinaires. 104 RECUEIL DE FAITS. 25 mars. Marche des attaques : DE L'HYSTÉRO-ÈPILEPSIE. 105 26 août. Une at
s. Marche des attaques : DE L'HYSTÉRO-ÈPILEPSIE. 105 26 août. Une attaque le 30 juillet chez sa patronne, blanchis- seuse
fille, âgée de cinq ans, n'en eût peur. - Le 9 août, trois petites attaques sans cause appréciable. - Pas de règles en août
. A la fin de la séance la main droite seule donne 29 Elle a eu des attaques le 20 août, le 1 cor, 28 et 30 septembre et le
août, le 1 cor, 28 et 30 septembre et le 6 octobre. 14 octobre. Une attaque de cinq minutes. Pas de sommeil à la suite. 1
e cinq minutes. Pas de sommeil à la suite. 1 25 novembre. - Pas d' attaques nouvelles. Elle est retournée à l'école, ne pre
douches depuis un mois. - Règles régulières. ' 20 décembre. - Une attaque sans cause. 1887. 10 janvier. - Une attaque le
' 20 décembre. - Une attaque sans cause. 1887. 10 janvier. - Une attaque le 25 décembre et le 3 janvier; deux, le 4 janv
ère. Sensibilité conservée, normale. Pas de zone hystéro- gène. Les attaques surviennent toujours brusquement, sans cause. E
Elles durent au maximum vingt, au minimum dix minutes. A la fin des attaques , elle reste le regard fixe et sans voir, dit-on,
les ont été très peu abondantes et ont duré quatre jours. 27. Une attaque les 10, 11 et 18 janvier. Rien depuis le 19. La
22. Sommeil prolongé et lourd, sans cauchemars. 3 mars. - Nouvelles attaques le 3, le 4, le 5 et le 10 février. ' Comme on l
italisation. ' ' 106 RECUEIL DE faits. 5 août.-Marie n'a pas eu d' attaques depuis le 10 février. Réglée périodiquement. Ap
assez fréquentes. Exigeante. Continue les douches. = 22. - Pas d' attaques . Le 17 août, engourdissement de la main gauche
t arrivé deux ou trois fois de se trouver mal sans avoir de grandes attaques . En 1888, elle n'a eu ni crises, ni ver- tiges,
e d'une fille vers le milieu du mois de décembre. Elle n'a pas eu d' attaques . Durant cette période elle a travaillé d'abord
de peurs, pas de cauchemars, pas de céphalalgies, pas de nouvelles attaques . Sujet à se mettre en colère. -Traitement : bro
uatorze ans, à la suite d'une colère vive, se manifesta la première attaque d'hys- téro-épilepsie. III. - Ce malade prése
mènes de l'aura se manifestaient du même côté; il était sujet à des attaques et à des vertiges. Ceux-ci, quelquefois très no
elquefois très nombreux, se mon- traient surtout avant et après les attaques . Nous en avons donné la description. Contrairem
rçaient aucune influence sur les facultés intellectuelles. Dans les attaques , nous relevons seulement le cercle, l'attitude
éral synchrones au changement de son état physique accompagnant ses attaques d'épilepsie; le noir pendant la phase d'excitat
ur croit que l'excès d'alimentation peut augmenter la fréquence des attaques . Dans la manie chronique, l'appétit n'est réell
périences qu'il poursuit depuis long- temps en vue de combattre les attaques épileptiformes, si fré- quentes chez les paraly
a solution suivante : z8 SOCIÉTÉS SAVANTES. gré ce traitement des attaques congestives. 11 a remarqué que les paralytiques
hésitent à donner des certificats, dans la crainte d'être l'objet d' attaques injustes, et que, pour les mêmes raisons, les f
lurés, sans prescription de médecin, par un droguiste. Deux cas d' attaque DE sommeil hypnotique. - On écrit d'Alain- cour
s'agit là, selon toute probabilité, d'une hystérique un proie à une attaque de sommeil. Ce n'est pas là un cas exceptionnel.
pétrière, complétée plus récemment par M. J. Voisin chez laquelle l' attaque se prolongeait 3, 4 et 5 semaines. Dans les cas
e est enceinte de cinq mois. - On voit qu'il s'agit là encore d'une attaque de sommeil, analogue à la précédente. Un cas
xante ans, du village de Vimenet, can- ton de Laissac, ayant eu une attaque de paralysie, tomba en léthargie. Après vingt-q
tristes, croyait toujours qu'il allait mourir, il était sujet à des attaques de nerfs avec chute, danslesquelles il se rai-
sie nocturne être remplacée par la folie, et dans plusieurs cas des attaques vio- lentes d'épilepsie ont amendé les symptôme
ymptômes mentaux. Contre son attente, il a même vu la disparition d' attaques d'épilepsie, légères et espacées, apporter un t
ralysie génémle. - M. RIST lit une note d'où il résulterait que les attaques épileptiformes, et surtout l'état du mal. ne se
e sont notamment : une jeune fille de vingt-trois ans guérie de ses attaques hystéro-épilepti(III'" un jeune homme de vingt-
out manifestés quand la malade se trouvait sur le point d'avoir ses attaques , il semblait qu'alors elle fût char- gée de fl
iblissement très marqué des facultés intel- lectuelles avec ou sans attaques apoplectiformes, se produisant en- suite par de
it ivre et émet des sons incohérents, inarticulés. Le 17 septembre, attaque épileptiforme; d'autres atta- ques identiques s
ond de l'oeil. L'état mental n'a pas varié. Plus tard, de petites attaques ^se reproduisent avec troubles de la déglutition
rphinomanie qui s'est, peu après, le second sevrage traduit par des attaques convulsives du désordre dans les idées et du déli
nerveuse, impressionnable; elle a eu vers l'âge de 30 ans plusieurs attaques convulsives qui paraissent être de nature hysté
fré- quemment, une ou deux fois par semaine. Jamais elle n'a eu d' attaques convulsives ressemblant à des ac- cës d'épileps
nt. En résumé, phénomènes les plus légitimes d'une série de petites attaques d'hystérie qui ne durent pas en 336 ANATOMIE PA
ce, peut se lever et reprendre ses occu- pations habituelles. Ces attaques , qui à leur début revenaient tous les trois ou qu
ANGEn (de léna). Recherches expérimentales sur la patho- génie de l' attaque d'épilepsie. Troisième communication. Excitation
eune fille de 17 ans, nommée Marie Hostelandt, prise d'une violente attaque d'épilepsie( ? ),esttombéeaujourd'hui dans le can
s médecins faisaient exactement leur devoir et ne craignaient les attaques d'une certaine presse plus soucieuse de scandales
nt, BOl'IINEVILLE, TABLE DES MATIÈRES Abasie-astasie sous forme d' attaques , par Ladame, 40. Acéto-phénone (effets de 1')
iguë non suppurée, par Friedmann, 270. Epilepsie (pathogénie de l' attaque d'), par Binswanger, 416. Epileptiques (hospi
57 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
stée jusqu'en 1864. Son père serait mort, il y a dix-huit mois, d'une attaque apoplectique. Sa mère aurait succombé, à 45 ans,
e, jouit d'une bonne santé. Aucun membre de la fa-mille n'aurait eu d' attaques de nerfs. Le B... n'aurait eu dans l'enfance ni
qu'il se porte bien, ne fait pas d'excès de boisson et n'a jamais d' attaques nerveuses. — Du côté des ascendants, il n'y aurai
l'exposé des faits cliniques. Observation I. — Grossesse à terme. — Attaques éclamptiques. — Urines albumineuses. — Températur
index. On nous assure que, depuis hier soir, elle aurait eu plusieurs attaques con-vulsives. Bientôt en survie:! une durant laqu
e; la respiration est stertoreuse, l'écume s'éch.ippe de la bouche. L' attaque a duré une minute et demie; elle n'a été précédée
avons étudié : 1° les modifications de la température p oduites par l' attaque d'épilepsie ; 2° la température dans l'état de ma
rs onze heures, après avoir diné comme d'habitude, elle a été prise d' attaques convulsives qui n'ont pas discontinué. On nous l'
s les vents. A peine était-elle mise au lit qu'elle a eu une nouvelle attaque franchement éclampti-que, après laquelle le pouls
heure 10, moment où nous revoyons cette jeune fille, elle a eu quatre attaques . Nous assistons alors à une véri-table série. Les
°,2. Elle est ensuite descendue à 40°, pour remonter , dans une autre attaque , à 40°,2. Après celle-ci, la température était dé
d'une pièce de 2 francs. En moins de 40 minutes, nous comptons douze attaques . Une heure 50 minutes. —Le col de l'utérus étan
bre, 10 heures. P. 120; R. 28; T. V. 59°,8. B... a eu cette nuit deux attaques seulement. Ce matin, elle est assoupie, ne répond
soir). — 12 sangsues derrière les oreilles. Soir. Pas de nouvelles attaques . Assoupissement. Ventre souple, ni vomissements,
ration a été faite ici, à une époque déjà assez distante du début des attaques éclamptiques, — vingt-quatre heures environ. La t
ures environ. La température vagi-nale à ce moment était à 59°,2. Les attaques continuant à des intervalles rapprochés, nous la
euxième ob-servation nous permet encore d'apprécier l'in-fluence de l' attaque elle-même sur la tempé-rature. Que voyons-nous, e
t? Dans un instant de répit, la température était à 40°; survient une attaque et la température monte à 40°,2. Durant un second
malade. Observation III. — Grossesse de huit mois. — Albuminurie. — Attaques éclamptiques. — Marche ascendante de la températu
e (38°,8 à 41°,2).— Saignée; anesthésie; accouchement—Persistance des attaques . — Mort. — Néphrite. — Lem..., Élisa, 26 ans, car
De-puis 2 heures de l'après-midi jusqu'à 6 heures, on a compté quatre attaques . 6 heures; soir. La malade est dans le coma et
fait quelques efforts pour montrer la langue. De 6 à 10 heures, trois attaques . Même aspect général. Pas de modification notable
s, la dilatation du col égale la largeur d'une pièce de 5 francs. Une attaque . 3 janvier. 2 heures. P. 140 ; T. V. 59°,6. Lem
. 3 janvier. 2 heures. P. 140 ; T. V. 59°,6. Lem... a encore eu des attaques ; elles n'ont pas été comptées. Le travail a bien
ts ; sinapismes sur les cuisses. 8 heures. P. 144 ; T. Y. 40°. Huit attaques depuis l'accouchement. Coma profond, cyanose, etc
n : huile de ricin, 15 gr. ; huile de croton, 2 gouttes. Midi. Deux attaques . P. 140; T. V. 40°,4, — Injection de 2 gr. de chl
nnées, succomba au commencement du mois d'avril 1871 à la suite d'une attaque de ramollissement cérébral, dans le service de M.
pt ans, fut très-bien réglée jusqu'à cinquante ans et n'a jamais eu d' attaques nerveuses. — Il n'y a pas 1 Wecker, Traité prat
ous allons résumer les traits principaux. Observation I. — Urémie ; attaques éclamptiques, coma, mort. — Altération urémique d
e. La nuit se passe dans un état demi-comateux. 19 nov. A 5 heures, attaque éclamptique d'une minute de durée environ et suiv
nt une demi-heure au bout de laquelle la lucidité revient à moitié. L' attaque se reproduit d'une façon identique à 7 et à 9 heu
. L'attaque se reproduit d'une façon identique à 7 et à 9 heures. Ces attaques consistent en une perte complète de connaissance,
de la langue, écume sangui-nolente. Une demi-heure après la dernière attaque , le coma complet fait place à un état semi-comate
en plus embarras-sée. Mort à une heure de l'après-midi, sans coma ni attaques épi-leptiformes. Autopsie. — Tous les organes d
et la circonférence médullaire était purulente. Que la suppuration attaque plus ou moins profondément les par-ties, qu'elle
-mer le précédent. Observation V. — Hébétude. — Œdème des jambes. — Attaque apoplectiforme; ses caractères. —Abaissement de p
r la marche de la température. Quelques minutes après le début de l' attaque apoplectiforme, symptomatiquede l'urémie, nous co
, durant les cinq heures qui s'écoulèrent depuis le commencement de l' attaque jusqu'à sa terminaison, la température continua d
puberté, elle n'a jamais été malade sérieu-sement et n'a jamais eu d' attaques de nerfs. Elle s'est mariée il y a quatre ans, et
elui-ci : l'hémiplégie chez Etch... a débuté tout à coup, pendant une attaque , La malade, à la suite de cette attaque, est rest
buté tout à coup, pendant une attaque, La malade, à la suite de cette attaque , est restée sans connaissance durant plu-sieurs j
aladie a débuté à 54 ans, après une violente secousse morale, par une attaque avec perte de connaissance. Cette attaque, selon
te secousse morale, par une attaque avec perte de connaissance. Cette attaque , selon toute vraisemblance, a pris la forme épile
s'est faite dans cette circon-stance (voy. Planche XXV). De nouvelles attaques , tantôt franche-ment hystériques, tantôt prenant
ique et que la malade reconnaissait comme précédant la plupart de ses attaques . Ces douleurs, comme d'ailleurs le ballon-nement
c. Les choses en étaient là lorsque, en octobre 1868, survient une attaque très-intense, accompagnée de convulsions et suivi
et elle s'est développée tout à coup sans transition à la suite d'une attaque . Ce n'est pas de la sorte, vous le savez, que pro
décisives qui per-mettent d'établir le diagnostic. 1° Àlb... a des attaques hystériques depuis l'âge de 16 ans ; —• 2° elle e
stant un peu dans l'ex-ploration, on ne tarderait pas à provoquer une attaque hystérique ; — 5e la contracture des membres infé
des troubles nerveux bizarres, niait l'existence passée de véritables attaques hystériques. Il faut bien connaître, Messieurs,
aintenant de 55 ans et qui, il y a 18 ans, fut prise à la suite d'une attaque hystérique de la paraplégie avec contracture dont
intéressante, au point de vue clinique : chez cette jeune malade, les attaques hystériques se sont manifestées seulement dans le
it songer à rapporter l'observation suivante : Observation. — Trois attaques de névralgie sciatique. — Influence de l'humidité
airement atteints ; enfin dans les degrés extrêmes, la dégénérescence attaque les trabécules spléniques, la capsule d'enveloppe
moins dans ces cas, sont médiocre-ment tranchées. Observation XI. — Attaques apoplectiques répétées. — Hémiplégie droite compl
ne santé jusqu'à 21 ans, époque où elle a eu, dans un même jour, deux attaques caractérisées par des étourdissements avec perte
onnaissance et chute. A la fin de la semaine, elle a eu une troisième attaque , suivie d'une hémiplégie droite avec résolution d
vie d'une hémiplégie droite avec résolution des membres. Ces diverses attaques auraient été précédées de cé-phalalgie. Au dire
-bitablement reconnu la péricardite, et en présence du frisson et des attaques convulsives graves, on eût pu conclure à un proce
58 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
villod. OBERVATION VII. M... Jean-Pierre, quatre-vingt-trois ans, attaque d'apoplexie il y a trois semaines. L'hémiplégie g
B..., femme Q..., soixante-cinq ans. Hémi- plégie droite : première attaque il y a dix-neuf ans. Deux ans après, nouvelle a
te : première attaque il y a dix-neuf ans. Deux ans après, nouvelle attaque . Amélioration. La commissure buccale droite est
'orbite que du côté gauche. La malade n'a jamais pu, même avant son attaque de paralysie, fermer un oeil isolément. Obser
ssement cérébral avec gâtisme, quand il fut frappé subitement d'une attaque d'apoplexie, qui le rendit hémiplégique droit e
paternelle, morte asthmatique. Autre tante paternelle, morte d'une attaque d'apoplexie en un jour. Autre tante pater- nell
ns la lignée maternelle. Du côté du père,~une tante est morte d'une attaque d'apoplexie. Un frère aurait eu. une méningite
gurgitations et sont sans relations fixes avec l'alimentation ; les attaques convulsives sont sans caractères fixes, partielle
partielles ou géné- ralisées mais toujours il faut se défier de ces attaques convul- sives qui, simulant les attaques de l'é
s il faut se défier de ces attaques convul- sives qui, simulant les attaques de l'épilepsie vulgaire, survien- nent sans cau
structure des artères cérébrales, suivi d'un tableau clinique de l' attaque d'apoplexie. Le pronostic se fera surtout par l
ion qui sera généralement tranchée par l'examen des urines; enfin l' attaque BIBLIOGRAPHIE. 81 hystérique à forme apople
amais défaut et souvent la présence d'une zone hystérogène. Après l' attaque d'apoplexie, due à l'hémorrhagie cérébrale, sur-
-quatre heures le taux de tous les élé- ments solides de l'urine, l' attaque d'hystérie au contraire ainsi que M. Gilles de
écessités par des' phénomènes hystériques particuliers tels que les attaques , les paralysies, les contractures, les troubles t
rêves terrifiant-. Il est propre. Le 10 janvier 1897, survient une attaque confestive, avec plusieurs (13) accès épileptif
ion comme il la comprend et relate son cas : homme vingt et un ans, attaques depuis une peur survenue à l'âge de dix ans, tr
rait de l'oeil dans 160 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. l'orbite. Pas d' attaque immédiatement après, une petite seulement quelq
es quarante-cinq jours écoulés depuis la deuxième opération, cinq attaques seulement, la plus longue de vingt-cinq minutes,
s après il ne lui restait plus qn'une légère parésie. Cependant une attaque convulsive survenue dans l'intervalle laisse su
avait été pré- cédée par des maux de tête, des vomissements et des attaques convulsives. La partie inférieure de la face ét
jets, d'apparence indemnes de toute intoxica- tion externe, ont des attaques épileptiques très fréquentes ; et en effet, pas
coolisme chez eux, pas de saturnisme, ni autre cause provocatrice d' attaques . Les recherches de ces ' Desilles. N'olice sur
existe, et paraît être la cause quoique secondaire mais réelle de l' attaque . Ce sont les subs- tances toxiques, produites j
terne, en excitant l'écorce cérébrale prédisposée et provoquant l' attaque . Il y a longtemps déjà qu'on a recherché cette
umine en abondance dans l'urine de quelques épilep- tiques, après l' attaque . Bazin 2 trouve qu'elle est fréquente surtout a
il existe un stigmate permanent dans la névrose, en dehors de toute attaque : l'hypotoxicité uri- naire, qu'il s'agisse d'é
es pas bornés à chercher la toxicité du sérum dans l'intervalle des attaques , mais aussi avant, pen- dant et immédiatement a
II. La toxicité du sang des épileptiques pendant l'intervalle des attaques . Expérience IV. Le 21 avril, '1 ce. de sérum sa
, le sang des épileptiques parait peu toxique dans l'intervalle des attaques , c'est-à-dire les malades n'ayant pas eu d'atta
'intervalle des attaques, c'est-à-dire les malades n'ayant pas eu d' attaques au moins douze heures avant et après l'expérien
té vraie du sérum sanguin de l'épileptique pendant l'intervalle des attaques , Nos expé- riences très peu suffisantes ne nous
n kilog. d'animal. III. La toxicité du sang immédiatement avant l' attaque ep<7e ? Me. Expérience X. 11 avril, 3 h. 20
11 avril, 3 h. 20 du soir. Sérum recueilli une demi-heure avant une attaque épileptique, injecté à souris de 1j gr. L'injec
heures du soir. Sérum sanguin pris quarante-cinq minutes avant une attaque de très courte durée. Injection de 3 ce. de ce
ne pouvons dire, en outre, que le sang fût immédiatement d'avant l' attaque . Nos deux malades avaient eu des attaques seule
ût immédiatement d'avant l'attaque. Nos deux malades avaient eu des attaques seulement une demi-heure et quarante-cinq minut
donc pas considérer nos expériences comme précédant immédiatement l' attaque . Pourtant ce sang paraît assez toxique, plus to
ant, plus toxique que chez les épileptiques dans l'intervalle des attaques . Il a suffi, en effet, d'un ce. de sérum pour tue
er sa respiration. Quant à la toxicité du sang ait moment même de l' attaque , nous ne la connaissons pas. Les attaques épile
sang ait moment même de l'attaque, nous ne la connaissons pas. Les attaques épileptiques sont de courte durée et l'on arriv
rd auprès du malade. IV. Toxicité du sang immédiatement après l' attaque épileplique. Expérience XII. 29 avril. 1 ce. sé
ce XII. 29 avril. 1 ce. sérum du sang recueilli une heure après une attaque épileptique, injecté à souris de 17 gr. Grand m
III. 5 mai. 1 ce. 1/2 du sérum sanguin recueilli 2 heures après une attaque épileptique, injecté à souris de 20 gr. Malaise
s dans les membres. Survie. Expérience XIV. La malade E... a eu une attaque épileptique le 20 mai. Vingt minutes après la c
l'autopsie pas d'embolie. Expérience XV. La malade le,... a eu une attaque le 3 juin, à 4 heures de l'après-midi. Dix minu
attaque le 3 juin, à 4 heures de l'après-midi. Dix minutes après l' attaque nous prenons le sang. Le 4 juin, à 5 heures,
t un demi-cercle. Les convulsions durent une minute ; pendant cette attaque la température remonte à 39, et la respiration s'
et la respiration s'arrête. Deux à trois minutes après, une seconde attaque de convulsions épileptiformes qui n'a pas duré
'a pas duré plus d'une minute. Tempéra- ture : 39°5'. Une troisième attaque , plus forte et plus longue est survenue quelque
tre membres, la respiration s'arrête, le coeur bat très vite. Cette attaque épileptiforme dure LA TOXICITÉ DU SANG DANS L
NG DANS L'ÉPILEPSIE. 1 8o quelques secondes ; immédiatement après l' attaque , la température était à 39°6 ; elle descend len
demain il se portait bien. Expérience XVII. Le malade K... a eu une attaque de courte durée à 5 heures moins 20 (24 septemb
, nous injectons le sérum recueilli la veille vingt minutes après l' attaque . Quantité du sérum : 3 ce. Poids du lapin : 495
près la crise. Et ce sang a été recueilli une a deux heures après l' attaque . Le résultat des autres expériences est plus sa
plus concluant. Le sang recueilli de dix à vingt minutes après l' attaque est toxique puisque 5 ce. de sérum, réus- '18
t donc plus toxique en géné- ral, même chez ceux qui n'ont pas eu d' attaque depuis plu- sieurs heures, toxique avant l'atta
i n'ont pas eu d'attaque depuis plu- sieurs heures, toxique avant l' attaque , mais surtout toxique après l'attaque. Dans l
ieurs heures, toxique avant l'attaque, mais surtout toxique après l' attaque . Dans les expériences faites immédiatement aprè
après l'attaque. Dans les expériences faites immédiatement après l' attaque , nous trouvons une toxicité bien plus élevée, p
nce des toxines dans l'organisme fait-elle à elle seule éclater l' attaque ? Evidemment non. Il faut qu'il existe surtout et
apparence de conditions identiques, chez les uns des secousses, des attaques , tandis qu'elle ne produit aucun trouble chez l
provoque-t-elle ici quelques convulsions iso- lées, et là de vraies attaques épileptiques avec crise initiale ? Pourquoi tou
accommodation, modifications des réflexes, trépidation épileptoïde, attaques apo- pleetiformes, crises épileptiformes, migra
le terme de narcolepsie qui semble rappeler l'invasion brutale de l' attaque d'épilepsie. D'après M. Lamacq le début brusque
manifeste, rapporte trois observations d'épileptiques chez qui les attaques brusques de sommeil accompagnaient ou même remp
aques brusques de sommeil accompagnaient ou même remplaçaient les attaques , et s'éloignaient avec elles sous l'influence du
té ; enfin quinze ans après le début de l'affection, survinrent des attaques convulsives épilepliformes qui débutèrent dans
dant assez significatif, lui aussi, est constitué par l'existence d' attaques , avec ou sans convulsions. Ces attaques peuvent
constitué par l'existence d'attaques, avec ou sans convulsions. Ces attaques peuvent présenter tous les degrés et tous les t
ons noté, on l'a vu, dans une de nos observations personnelles, une attaque d'aphasie transitoire. De ces attaques, on pe
ervations personnelles, une attaque d'aphasie transitoire. De ces attaques , on peut rapprocher certaines raideurs mus- cul
malade était la conservation habituelle de la conscience pendant l' attaque épileptique. Il existe enfin une atrophie crois
vulnéraire, d'ab- sinthe ; elle en est, d'ailleurs, à sa troisième attaque de délire subaigu : les deux premières n'ont du
ère était un alcoolique franc et est mort, à trente-neuf ans, d'une attaque de delirium tremens. Ainsi, nous sommes amené
tation, par un de mes confrères, auprès d'une malade qui, après une attaque d'influenza, présentait, disait sa famille, des
ntait, disait sa famille, des symptômes de paralysie. Le début de l' attaque d'influenza remon- tait à deux mois environ : 1
t de ressentir les mêmes symptômes dans les membres supérieurs. L' attaque d'influenza avait duré un mois et demi environ et
ues années, était absolument affirma- tif sur ce point. Pendant son attaque d'influenza, on n'avait pas eu recours aux bois
o- rée chronique héréditaire avec démence et ayant succombé à une attaque apoplectiforme. Lamétliode de Nissl a permis de c
éconnu et condamné après expertise médico-légale. Traitement de l' attaque d'épilepsie par le trional. M. 111AOnu. : n (as
oupes : 10 celles dans lesquelles le trional agit en sup- primant l' attaque , la chute proprement dite ; 2° celles dans les-
3° celles dans lesquelles il agit en suppri- mant, en modifiant les attaques et l'excitation consécutive. Le trional est don
voulu. Dans la première obser- vation, type du premier groupe, les attaques précédées d'aura motrice sont suspendues. Dans
able qui nécessitait son isolement dans une cellule matelassée. Les attaques qui se produisaient jadis au nombre de 240 à 2
ade soumis au traitement par le trional depuis un mois environ, les attaques ainsi que l'excitation violente, la fureur ont
a au mois de jan- vier 1898. Au mois de mai 1898, le malade eut une attaque avec perte de connaissance, mais ne tarda pas à
bonne santé, a été emportée à l'âge de soixante-quinze ans par une attaque d'apoplexie. Les grands- parents de l'un et de
a émis, comme on sait, cette opinion que l'état second n'est qu'une attaque délirante prolongée, de nature hystérique, le s
ctères. La perte de la vue n'a pas été, semble-t-il, précédée d'une attaque ainsi que cela aurait presque toujours lieu, d'
oter cependant qu'il semble n'y avoir jamais eu ni grande ni petite attaque . Une dernière remarque : 'foute sa vie, P... s'
u'à treize ans ; affaiblissement intellectuel depuis cet à ? c avec attaques épileptiques et faiblesse du bras droit; essai
grise du cerveau d'une éclamptique qui a succombé après une série d' attaques (30 en deux jours) étudiée par les procédés ord
59 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
ent cette partie de la crise, on pourrait se croire en présence d'une attaque comitiale. Est-ce de l'hystéro-épilepsie ? En p
ix ans, il a contracté la syphilis. Il y a six ans, Il est pris d'une attaque soudaine avec perte presque totale des mouvements
n que, vers le mois de janvier de cette mùme année, clic eut quelques attaques de catalepsie qui, ayant augmenté, l'obligèrent à
res de rAcadimic des Sciences, année 17*2.) ment do mars. Lu, ces attaques la tourmentèrent pendant tout ce mois, revenant a
e entière, je ne manquai pas d'y faire mes visites .aux heures où ses attaques la prenoîent le plus souvent. J'observai qu'elle
ur le temps, mais très peu pour la quantité : elle ne pressentoit ses attaques que par une chaleur au front et une pesanteur con
le se sentoit soulagée à la fin de son sommeil cataleptique: Dans ces attaques : 1* Elle se trouvoit prise tout à coup, tantôt
2* Elle conservoit la même attitude qu'elle avoit à l'instant de l' attaque ; si elle étoit debout, elle y restoit; si elle m
eurs et des lassitudes. J'ai insisté sur le détail de ces premières attaques , parce que les auteurs ne les décrivent pas ordin
s d'avril et de mai de la même année 1737, elle eut plus de cinquante attaques d'uno autre maladie, dans lesquelles on distin-gu
ux ont été témoins de ce que je vais rapporter. Ce que je dirai d'une attaque doit s'entendre, à quelques circonstances près.de
i la malade au lit, la faiblesse et le ma! de téte l'y retenoient ; l' attaque de catalepsie venoit de la prendre et la quitta e
qu'elle disoit avoit quelque suite avec ce qu'elle avoit dit dans son attaque du jour précédent, où ayant rapporté mot pour mot
; cependant elle ne l'est point, elle a eu chaque hiver de nouvelles attaques de cet accident vif, avec cette différence que la
ivation de sentiment n'est pas si parfaite , car un jour dans son attaque ayant été sur un pont, on la trouva qui parloit à
qu'elle voyoit dans I eau, et aux dernières fêtes de Nofil durant son attaque elle distinguoit confusément une personne à ses c
parle Adrianus Alemanus, qui traversoit la Seine à la nage durant son attaque . Au reste cette fille s'est aujourd'hui aguerri
ns ; effrayée par leurs rugissements, elle perd connaissance et a une attaque . On la ramène ù la Salpèlricrc. Sa personnalité e
ion initiale et il continue : « M. B. {* fut prise (31 mai 188-J] d' attaques d'hystérie très violentes et très nettement carac
ie très violentes et très nettement caractérisées. Cette succession d' attaques dura environ (1) Observation présentée à l'Acad
nces variables, tous les mois, tous les mois et demi environ, par des attaques con-vulsives, survenant brusquement, pendant lesq
pour la maintenir couchée; l'arc de cercle fut nettement observé. Ces attaques d'hystérie se terminaient par une salivation abon
hystérogène très limitée, dont le moindre attouchement provoquait une attaque convutsive. Les mouvements, limités d'abord au tr
es années de sommeil. Elle lui présenta une nièce, nie la veille de l' attaque Initiale, comme étant une de ses sœurs. M. B. n
suite de l'ébranlement des neurones cérébraux, dans les deux séries d' attaques qui ont marqué le début et la fin de son état mor
se passe chez les épileptiques. absolument inconscients, après leurs attaques , des circonstances en ayant entouré le début. Ell
stifie celte opinion de Chnrcot : « Le sommeil hystérique est une attaque hystéro-épileptique modifiée. Une particularité
réveil le patois de son enfance et non celui des années précédant son attaque . Quelles qu'aient été les modifications psychiq
idents jusqu'à la période finale, est le cas le plus extraordinaire d' attaque de sommeil hystérique qui ait été relaté à ce jou
dans l'état de sommeil hystérique et la possibilité de survivre à des attaques très prolongées. Le mode de terminaison confirm
heures avant la cérémonie nuptiale cette jeune fille est prise d'une attaque hystérique ; on l'interprète comme le premier phé
ées sont faites dans l'ordre suivant : M. Wiazemsky (de Saratowi. — Attaques de pseudo-épilepsie guéries par la suggestion hyp
présente à ma consultation le 17 août 1901. à la suite de fréquentes attaques avec perte de connaissance. Il y n un an et demi
très grand chagrin. Peu après la mort de sa mère, elle a une première attaque d'hystérie avec perte de connaissance, puis d'aut
sance, puis d'autres très fréquentes a partir de janvier 1301. Chaque attaque est précédée d'une grande tristesse : tout irrite
sans cesser de crier cl tout son corps est agité de convulsions. Ces attaques durent pendant deux heures sans interruption. Ell
brisée avec un violent mai do tête. Certaines fois, le caractère des attaques est un peu modifié. Durant une minute la malade s
le en a lo temps, elle se couche; sinon, elle tombe n'importe où. Les attaques ont lieu tous les jours et même plusieurs fois pa
es jours de suite, dix jours au maximum. Dans ces derniers temps, les attaques reviennent régulièrement trois fois par jour.
sitôt reviennent la tristesse et le mal de tête, bientôt suivis d'une attaque qui dure vingt minutes. Après le 1S août, les att
ôt suivis d'une attaque qui dure vingt minutes. Après le 1S août, les attaques cessent jusqu'à son retour à la campagne, le 29 a
se sent fatiguée, elle a mal a la téte et elle se couche; une légère attaque s'en suit. Elle a eu froid durant cette excursion
. Durant cette maladie, elle a peur d'étouffer et elle a une nouvelle attaque , suivie d'une autre deux jours après à l'occasion
ertige me prend et je suis obligée de sortir, sans quoi, j'aurais une attaque suivie de perte de connaissance, n Pendant la séa
aisir, vous ne vous agiterez plus ; vous n'aurez plus ni vertiges, ni attaques , tout cola est passé et ne peut plus avoir lieu a
w deux semaines, durant lesquelles elle va huit fois au théâtre : les attaques ont cessé, elle se sent bien; les moments d'a
n: elle dort bien, ne souffre plus d'angoisses et n'a eu qu'une seule attaque , à la suite d'un gros rhume accompagné de fièvre.
la suite d'un gros rhume accompagné de fièvre. Au diro de sn sœur, l' attaque s'est passée sans convulsions et n'a duré qu'une
ut ce temps, la malade s'est très bien portée. Point d'angoisse, ni d' attaques . Le 25 avril, son père est mort. A l'annonce de c
vril, son père est mort. A l'annonce de ce deuil, elle a eu une forte attaque qui a duré à peu près quatre heures. Deux jours a
eux jours après, à l'occasion des funérailles du défunt, une nouvelle attaque survient, mais très légère. C'est définitivement
e qu'elle se porte à merveille. Non seulement elle n'a plus une seule attaque , mais elle n'a même pas pleuré une seule fois. L'
rétrospectivement le cas en question, nous devons en conclure que ces attaques ne sont point comme certains l'avaient cru, des c
d'épilepsic consécutives au traumatisme survenu en bas âge, mais dea attaques d'hystérie. Il est possible, il est vrai, que ce
présentée à ma consultation le 6 octobre 1901. Elle a eu sa première attaque avec perte de connaissance à l'âge de 7 ans. La s
apport avec la menstruation laquelle est régulière et indolore. Les attaques ne sont point précédées d'aura; elles sont suivie
tobre pour une nouvelle suggestion. Deux jours après, la malade a une attaque à 4 heures du matin; elle tombe du lit, avec perl
ombe du lit, avec perle de connaissance, et se lord en convulsions; l' attaque dure une demi-heurc. Une nouvelle attaques lieu t
t se lord en convulsions; l'attaque dure une demi-heurc. Une nouvelle attaques lieu te 18 octobre; c'est le matin, la jeune fill
st en train de se laver et elle tombe subitement sans connaissance; l' attaque dure une demi-heure. J'apprends que chaque attaqu
ns connaissance; l'attaque dure une demi-heure. J'apprends que chaque attaque est précédée d'une forte douleur dans l'cpaulc dr
aulc droite, ce mal d'épaule est permanent mais à l'approche de l' attaque H prend un caractère accentué. La malade a peur d
e de l'attaque H prend un caractère accentué. La malade a peur de ses attaques , elle surveille continuellement son mal d'épaule
surveille continuellement son mal d'épaule et ne fait que pensera ses attaques . Une fois constatée l'association entre l'exacerb
l'association entre l'exacerbation du mal d'épaule et l'approche de l' attaque , une suggestion dirigée contre le mal d'épaule po
contre le mal d'épaule pouvait faciliter la complète disparition des attaques elles-mêmes. Ces considérations faites à priori s
lus a sa maladie. Le 5 décembre, à 11 heures du matin, une nouvelle attaque a lieu; un léger mal d'épaule l'avait précédée. L
épaule l'avait précédée. La malade a encore mal à la tête, une fois l' attaque terminée, mais moins que par le passé. L'attaque
la tête, une fois l'attaque terminée, mais moins que par le passé. L' attaque elle-même est de courte durée, la malade n'a poin
ffirmer absolument que la guérlson de la malade est totale et que ses attaques ne sont plus revenues. Toutefois cette malade rés
e dans leur terre. Mais quand Nahasch, roi des Bcné-Ammon, a fait son attaque contre vous, vous m'avez dit : a Non! qu'un roi r
sant pas, Schaôul, qui voyait le peuple se disperser et craignait une attaque des Pélischtim, offrit lui-même l'holocauste. Il
toutefois comporter pour cela aucun des grands accidents que sont les attaques convulsives, les délires, le dédoublement de la p
graver ce fâcheux état. Ainsi, en lisant les récits des différentes attaques à fond poussées par les Japonais, on est étonné d
ment peut être appliqué à n'importe quel moment, aussi bien pendant l' attaque qu'avant l'embarquement du passager. Ayant fait
lles, ces troubles de la sensibilité génitale sont l'équivalent d'une attaque . Il n'en est pas de même dans l'observation de M.
Obs. II. — Femme de 36 ans, folle depuis la puberté, à la suite d'une attaque de mélancolie ayant dégénéré en démence. La malad
ltés sensilivo-sensorielles, mais avec impossibilité de réagir. Ces attaques durent le plus souvent de 3 à 6 heures consécutiv
uvent de 3 à 6 heures consécutives. C'est à la suite d'une de ces attaques qu'elle manifeste une perte complète de la vue et
nvulsive, à laquelle j'assiste jusqu'à la fin. C'est, assurément, une attaque de petite hystérie avec tout son cortège clinique
60 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
M. Ballet, qui avait affirmé qu'un de ses sujets aurait une violente attaque de nerfs avant de frapper le chef de clinique ave
ert dans le procès. Cette réponse contenait, a ce qu'il parait, des attaques directes et personnelles contre moi. L'assemblée,
elles contre moi. L'assemblée, aprè* un débat animé, a décidé que les attaques ne figureraient pu au Bulletin, et que la partie
r les excréta urinaires de vingt-quatre heures de la même façon que l' attaque hystérique ; 5° L'influence thérapeutique de l'
vers accidents qui dépendent de l'hystérie ; 7° On voit parfois des attaques hypnotiques s'enchevêtrer avec des attaques hysté
7° On voit parfois des attaques hypnotiques s'enchevêtrer avec des attaques hystériques. L'hypnotisme, ai-je dit, ne donne
une famille névropathique, me consulta quatre mois après sa première attaque d'épilepsie; je ne La traitai que par l'hypnose e
i que par l'hypnose et la suggestion, et il y a un an et demi que ses attaques ne sont plus revenues. Dans tous les autres cas
a psychothérapie, elle se montra insuffisante à faire disparaître les attaques , et j'étais obligé do prescrire un médicament. Ce
iminuer la dose du médicament, ordinairement au bromure, sans que les attaques fussent plus fréquentes. Â une jeune malade tra
e d'ammoniaque, dose que je ne pouvais diminuer, ou immédiatement les attaques se manifestaient à nouveau. La suggestion en hy
er successivement la dose de bromure, et il y a déjà deux ans que les attaques ne se manifestent plus, tandis qu'elle ne prend q
quis le môme succès. Les résultats dans le traitement psychique des attaques hystériques furent différents. Chez un grand no
nt différents. Chez un grand nombre de malades, je vis diminuer les attaques , ou même disparaître complètement; rarement je le
ressant : L'une d'elles est épileplique et est sujette à de grandes attaques qui, survenant pendant le sommeil hypnotique, l'o
possible et identique à d'autres accès que j'avais déjà observés. Ces attaques sont toujours précédées pendant quelques minutes
ra. Je lui ai fait respirer un peu de chloroforme : l'aura a cessé, l' attaque ne s'est pas produite et le sommeil hypnotique n'
sommeil hypnotique n'a pas été interrompu. Chez une autre dont les attaques hystéro-épileptiques ont fréquemment interrompu l
pnotique (elle avait avant le traitement hypnotique jusqu'à cinquante attaques en vingt-quatre heures), j'ai été appelé deux foi
dant ma visite, au moment où elle présentait la première période de l' attaque : respiration précipitée (80 resp.), mouvements d
issements alimentaires, ont fait cesser ces phénomènes, ont empêché l' attaque convulsive et la malade est redevenue calme, cont
iques en état d'hypnose, arrête les préludes et la première période d' attaques qui peuvent survenir pendant ce sommeil provoqué
l'hypnose se manifeste, chez quelque lecteurs des pensées, par une attaque de convulsions générales, par la perte do la cons
ent que l'accès hystérique se manifeste sous la forme seulement d'une attaque léthargique, caractérisée par un sommeil plus ou
te par Vizioli, l'accès hystérique se manifestait précisément par une attaque spontanée d'hypnotisme pendant laquelle on remarq
e sont pas rares dans lesquels les manœuvres hypnotiques provoquent l' attaque convulsive au lieu de l'état hypnotique. Dans un
l'état hypnotique. Dans un cas d'accès hystérique caractérisé par une attaque de sommeil léthargique profond que nous étudions
ons à présent, les manœuvres hypnotiques ne servent qu'à reproduire l' attaque de léthargie. Dans un autre cas que j'ai observé
et dans lequel la manifestation hystérique était caractérisée par des attaques de somnambulisme, ces attaques étaient exactement
hystérique était caractérisée par des attaques de somnambulisme, ces attaques étaient exactement reproduites, avec tous leurs p
nœuvres hvpno-tiques. Dans deux cas observés par nous dans lesquels l' attaque hystérique se manifestait sous laforme de cetétat
é, reproduisent simplement et fidèlement dans tous leurs traits leurs attaques spontanées d'hystérie antérieures. Tous ces fai
rtout de la bière en secret et continuellement. Il avait eu plusieurs attaques de nature apoplectique, et il était gros et bouff
état d'ivresse stupide. Quand on me l'amena, il semblait menacé d'une attaque d'apoplexie, de sorte que je dus le saigner. On l
apparence. II fut sobre pendant trois semaines et ent de nouveau une attaque . On l'a envoyé dans une retraite où il reste enco
ut de veille, que j'appelle l'étal normal. En effet, en dehors de ses attaques eomitiales et du délire transitoire qui leur succ
e et l'autre hystéro-épileptique, n'ayant pas de délire en dehors des attaques qui, plongées dans un sommeil léthargique de quin
git présente la plupart des stigmates hystériques; il est sujet à des attaques dans lesquelles la phase délirante joue un rôle p
a tête, eu. La compression des ovaires n'a aucune influence sur ses attaques , tandis que celle des globe» oculaires les arrête
s premier» moi» de son séjour à l'asile a diminué la fréquence de ses attaques , qui sont restées aussi violentes. A partir du
re complètement sa coxalgie et a rendu très rare» et très faibles ses attaques eonvulsives. Elle est sortie très améliorée le
nze jours, non» étions parvenu â suspendre pendant plusieurs mois les attaques qui revenaient quand on cessait complètement d'av
ecours à l'hypnose. La nommée I..... née le 18 mars 1853, ayant des attaques hystériques très rares mais bien caractérisées,
té 3,110. Nous avons commencé à "hypnotiser en octobre 1888. et ses attaques sont alors devenues très rares; elle n'en a eu qu
tisme par l'apologie de la thérapie suggestive faite par lui contre l' attaque du D' Normann Kerr, lors de la réunion annuelle d
organes des sens sur les hallucinations de la phase passionnelle de l' attaque hystérique »- Archives de neurologie, n*63, mai 1
fœtus, et l'enfant vécut seulement quelques mois, après avoir eu des attaques convulsives subites et fréquentes sans aucune cau
d'une boule posl-sternale. Elle était sujette à de 1res fréquentes attaques hystéro-épilepliques caractérisées par un cri ini
l'écume buccale et par des convulsions doniques, et, vers la fin de l' attaque , par des mouvements passionnels du ventre et du t
ambrure du tronc en avant. Cette femme a été prise plusieurs fois d' attaques de catalepsie et de somnambulisme nocturne. Penda
a son internement dans un asile d'aliénées pour y être traitée de ses attaques convulsives. B... a été placée dans mon service
sceptibilité morbide qui devait éclater tôt ou tard. La névropathie s' attaque à toutes les classes de la société. Après ces c
enfant sans éprouver aucun phénomène nerveux. Son mari attribue celte attaque de nerfs à une émotion très vive qu'elle aurait é
econnaître la personne qui lui parlait. L'intensité el la durée des attaques avaient fini par troubler l'intelligence de celte
ce fut alors seulement, c esl-à-dire un an environ après le début des attaques , que l'on me pria d'essayer la méthode psychique.
ouvait faire songer à l'hystérie. Tout au plus, avait-elle eu quelque attaque de nerfs à peine ébauchée et dont le souvenir s'é
de juin dernier, à la suite d'une scène de famille, elle avait eu une attaque de nerfs et, deux jours après, elle aurait vomi,
e progressive. Dans le premier cas, elle peut se produire après uno attaque convulsive hystérique ou presque aussitôt après c
rès uno attaque convulsive hystérique ou presque aussitôt après celle attaque , ou bien elle survient sans attaque convulsive an
e ou presque aussitôt après celle attaque, ou bien elle survient sans attaque convulsive antérieure. Le délire se produit alors
n hypnotique peuvent avoir les meilleurs résultats, en suspendant les attaques convulsives et en déracinant le délire ainsi que
ie grave. — Crises hystéro-épileptiques ; sensation de boule; grandes attaques ; hallucinations nocturnes et diurnes de la vue; c
omie se prêtent admirablement. Acluellement, bien que guérie de ses attaques , de ses hallucinations et de son hémianesthésic,
légie brachiale. Elle a été traitée par nous en 1889 pour des grandes attaques d'hystérie, avec perte complète de connaissance e
perdait complètement connaissance. ¦ Actuellement, elle n'a plus d' attaques convulsives. mais ello a de l'hémi-anesthèsie de
mblements. — L'enfant est très impressionnable. Lorsque sa mère a des attaques , elle crio et tombe elle-même dans des crises, el
rofonde que le doigt s'y enfonce, et qu'elle resta ensuite atteinte d' attaques épilep-tiques, cataleptiques, hystériques, et ces
prendre peur quand il se couchait, à ne pas dormir par crainte d'une attaque ou d'une surprise; son irritabilité lu: faisait p
xpliqué déjà ma ligne de conduite, provoqué que j'étais par certaines attaques formulées avec toute la violence ordinaire de leu
cadémie royale de Médecine; ce résumé, le voici : • En présence des attaques dirigées contre le rapport des experts, contre «
iables répétaient souvent [c'est-à-dire que la malade criait dans ses attaques ) : « Tu le plaignais que cette espoigne estoit tr
térique (je relève le fait en passant) et qu'elle était sujette à des attaques de catalepsie et de somnambulisme nocturne. Déplu
son mari; mais lorsque celui-ci arriva, il se produisit une violente attaque de nerfs, suivi d'un délire qui dura quatre heure
es; le délire reprit ensuite pendant trois jours. A la suite de cette attaque dont la nature hystérique n'est pas douteuse, l'é
l est à remarquer que les accidents ont débute à la Un d'une violente attaque hystérique; or, on sait que les différentes pério
u'on peui se demander s'il ne s'agit pas ici de la prolongation d'une attaque à forme particulière. Les phénomènes de ce genre
l. » Cn autre témoin dit que parfois la démoniaque avait de grandes attaques pendait le«qaelles elle se jetait à terre. (ij
ux, qu'elle rêve tout haut la nuit, qu'elle n'a cependant jamais eu d' attaque nerveuse bien caractérisée [crises hystériques ou
stant assise seule près du feu, il le luy dit et qu'elle tomba morte ( attaque syocopale hystérique). 'Comment il parla à elle?
61 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
euse. Frère atteint d'aflection cardiaque, d' arthritisme, a eu des attaques de nerfs. Quatre sœurs migraineuses; l'aînée a
des attaques de nerfs. Quatre sœurs migraineuses; l'aînée a eu des attaques de nerfs et est hypochondriaque et mélancolique ;
que la d'une bonne santé. Elle "avait eu, dix jours auparavant, une attaque durant laquelle un autre médecin l'avait soignée.
umettait aux exigences actuelles de la guerre. On le disait sujet aux attaques de nerfs. A Dumdum il avait été plusieurs fois, p
ney me fit signe de m'approcher et me dit : On prétend que C. a des attaques de somnambulisme, je crois qu'il ena une maintena
nir des événements de la nuit. Il me dit qu'il avait quelque fois des attaques de somnambulisme, que son vieux domestique savait
ait beaucoup d'affection, mourut subitement. Elle eut à ce moment une attaque de nerfs. Dans le courant de la semaine qui suivi
partielle commune, le tic de Salaam, les vertiges, les absences, les attaques apoplectiformes les attaques procursives, les fug
Salaam, les vertiges, les absences, les attaques apoplectiformes les attaques procursives, les fugues inconscientes, les grands
mise, n'expliquerait pas tout. On se demandera encore pourquoi elle s' attaque au même organe chez les deux conjoints, pourquoi
loi de ta suggestion hypnotique est nettement indiqué : 1° Contre les attaques convulsives de la grande hystérie et contre les s
térie et contre les symptômes qui peuvent persister â la suite de ces attaques (paralysies, contractures, spasmes, tremblements,
Ouen. Les parents sont bien portants. Une sœur ni née a eu de grandes attaques d'hystérie. La malade a éprouvé quatre ans aupara
ne vomit qu'une partie des aliments. Elle a eu a divers reprises des attaques d'hystérie : l'aura est caractérisée par la sensa
nt de l'ovaire droit. Elle perd complètement connaissance pendant ces attaques . L'aphonie a débuté, il y a onze mois, i la sui
. sur une malade atleinte d'atrophie hystérique. OBS VII. — Grandes attaques hystériques. Mme H..., âgée de 24 ans, n'a pas
clownîques, avec une tendance a l'arc de cercle. Elle a jusqu'à huit attaques consécutives par jour. La nuit se passe en insomn
une première suggestion peut arrêter, dés le lendemain, le retour des attaques . Quatre séances, faites à huit jours d'intervalle
ris un assez grand nombre d'observations de malades chez lesquels les attaques convulsives ont cédé à la suite d'un nombre très
es ; il lui arrivait fréquemment de tomber dans la rue en proie i des attaques violentes, pendant lesquelles il écumait et se mo
s sous l'influence du même traitement. Au bout d'un an, il a eu trois attaques successives pour lesquelles il est venu redemande
crises très fréquentes la nuit, pendant le sommeil. Dans le cours des attaques elle écume et se mord la langue. Son mari dit qu'
élé mordu par un chien; depuis ce moment, il a. pendant le jour, des attaques de petit mal. mais pendant la nuit il a de grande
jour, des attaques de petit mal. mais pendant la nuit il a de grandes attaques dans lesquelles il se mord la langue cl dont il n
maine. Une amélioration notable s'est promptement manifestée, les attaques diurnes et noclur-nés ont complètement cesse. Le
e auparavant. Etant resté un mois sans recevoir de suggestions, ses attaques ! nocturnes ont reparu. La reprise du traitement l
s elle perd complètement connaissance. Elle urine sous elle pendant l' attaque ; après il lui arrive de rester sourde ou complèt
nin et par nous. Quelques séances ont amené dispari-tion complète des attaques et le retour à l'état intellectuel antérieur.I
x autres malades, nous avons obtenu soit la disparition passagère des attaques , soit celle des tremblements. des. vertiges. Chez
que se montre, dans la grande majorité des cas, impuissant contre les attaques du grand mal épileptique. par contre, il pourra t
dents névropathiques variés et. ..depuis l'âge de dix-huit ans. à des attaques hvstériques, avale, après une querelle avec son m
venirs elle avala d'un trait le liquide. Elle eut aussitôt une grande attaque convulsive, puis elle se mit à errer dans les cha
vingt et un ans est sujette depuis l'âge de onze ans et demi A des attaques convulsives. La premier est survenue à la suite
et, arrivée au réfectoire, l'émotion l'étouffa et elle eut une grand; attaque de nerfs qui dura quatre heures. Depuis cette épo
a quatre heures. Depuis cette époque, elle a eu très fréquem-ment des attaques du même genre. D'un caractère acariâtre, irrita
gham dans le mois de juillet dernier, l'hypnotisme a été le but d'une attaque de la part du docteur Norman Kerr. Avec autant d'
faites chez des malades atteints de grande hystérie ont provoqué des attaques convulsives. Je ne crois pas que la suggestion ai
de ses principales indications. A mon avis, el'e constitue contre les attaques convulsives de l'hystérie un traitement d'une eff
eux ans. Seulement lorsque M. Mierzcjevski prétend qu'il provoque des attaques hystériques en faisant des tentatives d'hypnotisa
e qui engendre la crise d'hystérie. On pourrait de même provoquer une attaque d'hystérie par l'électrisation, mais il serait in
auront seules déterminé la crise nerveuse. Je n'ai Jamais constaté d' attaques chez les hystéro-épilep-tiques que j'si hypnotisé
qui se produisent par des choçfl électriques violents, ainsi que des attaques de suffocation pénibles, je ' supprimai de suite
attitudes avec le genre de musique. Un bruit subit peut causer une attaque de catalepsie chez certains animaux. Ainsi daprfc
bles à des statues, dans la position qu'ils occupaient au moment de l' attaque . Il parait que c'est un Français dont on ignore
paralysie, c'est pour mieux la loger ailleurs ou la remplacer par une attaque sérieuse. On fait ainsi sortir du corps le diable
ctueuse d'abord, car il est fils d'une mère hystérique qui a eu des « attaques de sommeil » ; en second lieu, à son passé morbid
es. Ils racontent que le sujet a présenté, au début de la séance, une attaque d'hystérie avec contractures et hallucinations te
s mains. Alber-tïne M..., était alors dans le service. Elle avait des attaques convulsivc* fréquentes qui se terminaient habitue
cette date était complètement effacé de la mémoire. Plus tard, les attaques convulsives de notre malade furent remplacées par
d, les attaques convulsives de notre malade furent remplacées par des attaques de délire, durant lesquelles le phénomène de l'ec
avec réversion de la personnalité prit une netteté parfaite. Dans ces attaques , Albertine se croit revenue à une période antérie
(1); nous aurons occasion d'y revenir quand nous nous occuperons des attaques de délire hystéro-hypnotique. Pendant queje pou
ur de son bras. Il fut épouvanté, perdit connaissance, eut de grandes attaques de nerfs et devint paraplégique. En mars 18s0,
t de lui. Deux mois après son arrivée a Bonneval, il eut de grandes attaques d'hystéro-épilepsie i la suite desquelles il guér
squ'au 16 avril de la même année. Ce jour-la, à la suite d'une légère attaque , la contracture disparut. Le lendemain ma:in on s
ns. Les troubles de cette nature observebt courammentt dan* la grande attaque hystérique, « Une fois ! attaque calmée, Gabrie
servebt courammentt dan* la grande attaque hystérique, « Une fois ! attaque calmée, Gabrielle Bompard est restée endormie ; e
atteinte de « petite hystérie» se formulant de temps en temps par des attaques légères, • très rares », elle nous l'a dit elle-m
mpard est une c petite hypnotique » qui entre dans le sommeil par une attaque d'hystérie; rien n'indique qn'elle ait obéi à une
riminelle ; au moment de l'échéance fatale, le physique cédera et une attaque d'hystérie se substituera à la volonté de l'hypno
ystérique, les zones hystérogènes et les quatre périodes de la grande attaque (1). Et ce n'est plus par les seuls hystériques
mais elle n'a pu réaliser l'acte criminel— A ce moment elle a eu une attaque de nerfs, et alors Evraud s'est Jeté sur Gooffe e
nerfs, et alors Evraud s'est Jeté sur Gooffe et l'a élran-glé. » L' attaque d'hystérie terminale, mais c'est là l'enseignemen
ngt et un an, est atteinte de manie intermittente qui a succédé à des attaques comitiales. J» l'hypnotise aux époques menstruell
lle avait dirigé dans le Progrès mèdkai, contre l'Ecole de Nancy, des attaque * que nous avons reproduites dans notre dernier nu
heure où elle avait été attaquée, elle tombait en somnambulisme et en attaques de nerfs. Le général eut voulu étouffer l'affaire
rnelle était contrefaite. — Du coté maternel, la grand'mère avait des attaques convulsives, sans doute hystériques. A cinquante-
sifs (méningite1). Jusqu'à sept ans, il avait uriné au lit, et eu des attaques . La nuit, rêve» terrifiants. Céphalalgie habita
e, le sujet tombera infailliblement en léthargie, ou bien il aura une attaque de nerfs. — « Prenez garde, lorsqu'un autre que m
esser avec insistance de se réveiller; il se fait par une très légère attaque hystérique qui passerait très facilement inaperçu
er en quelques mots : son père était alcoolique et sujet à de grandes attaques hystériques ou épilepliques ; la mère était émoti
suite d'une impression morale très vive, commença à. avoir de grandes attaques hystériques, un jour, sans qu'on puisse bien préc
ie chez la femme, mais assez rare chez l'homme. Elle a, en outre, des attaques d'hystérie de temps en temps, mais beaucoup moins
par une sorte d'objurgation, et la transition se fait encore par une attaque hystérique ébauchée, mais un peu plus forte que d
t d'heure environ, elle repasse dan» l'état B à la suite d'une petite attaque d'une durée de quelques secondes. Alors tous les
ès calquée sur celle de la première et c'est à la suite d'une série d' attaques violentes qu'elle est passée dans l'état de condi
aire de mal, mais rien que du bien. Tu ne peux plus lui faire avoir d' attaques de nerfs, tu ne peux plus l'endormir. Moi seul pu
utres, au contraire, affirment que le sujet tombera toujours dans une attaque de nerfs ou de catalepsie lorsqu'on voudra lui fa
62 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
issent étrangers à toute création pyrétique : dans le tétanos, dans l' attaque épi-leptique et dans le choléra, surtout au momen
aux primitif. Dans la goutte aiguë, il s'efface dans l'intervalle des attaques , au moins à l'origine de la maladie (Garrod) (1);
miqnes constants et vraiment caractéristiques. I. Dès la première attaque , des dépôts d'urate de soude se forment dans le c
plus saillant est le soulagement éprouvé par le malade à la fin de l' attaque ; cette sensation de bien-être relatif corres-pon
ification saillante dans l'ensemble symptomatique qui caractérise les attaques . Limitées à une ou deux jointures, les fluxions a
ies, qui s'accroissent à cha-que accès, et même dans l'intervalle des attaques . Enfin, à la troisième période la peau s'ulcère e
sion de la moelle épinière cette faiblesse musculaire qui succède aux attaques intenses de goutte articulaire, et qui peut presq
i paraît avoir en-trevu toutes les questions de ce genre, signale les attaques de goutte et de rhumatisme parmi les causes les p
i par disparaître presque complètement; mais, à la suite d'une légère attaque , qui fut promptement réprimée, on vit se manifest
agir dans le même sens; j'ai vu une plaie produire simultanément une attaque de trismus et un accès de goutte; 6° Les causes
comme une maladie de gens pléthoriques. Mais ïodd a prouvé qu'elle s' attaque volontiers aux sujets débilités. Nous consacrer
elle de la goutte, et il n'est pas douteux, pour lui, que la première attaque ne coïncide déjà avec une sécrétion de ce produit
Nous avons vu que diverses circonstances préparent l'ex-plosion d'une attaque et la rendent imminente. Les unes ont pour effet
la formation de ces dépôts dans le cartilage pré-céderait la première attaque ; et la formation de dépôts nou-veaux, soit dans l
plus souvent, il y a eu, chez ces sujets, aune époque antérieure, une attaque de rhumatisme articulaire aigu ; mais j'ai recuei
ad. des Vieillards. i5 un logement très humide, paraît avoir eu une attaque , de rhu-matisme articulaire aigu ; elle est resté
mbagos et des douleurs articulaires fugaces. A quarante ans, nouvelle attaque de rhumatisme articulaire subaigu. Un dernier acc
u-lations métacarpo-phalangieunes furent envahies dans le cours d'une attaque de rhumatisme articulaire aigu : il en ré-sulta u
sont là de véritables accès que la maladie regarde souvent comme des attaques de goutte. Les lésions anatomiques de cette art
entres nerveux. — Tétanos. — Epilepsie. — Affections hystériformes. — Attaques apoplectiformcs de la paralysie générale des alié
s. — Attaques apoplectiformcs de la paralysie générale des aliénés. — Attaques épilepti-formes des hémiplégiques. — Ecrasement d
t montré que la tempéra-ture, un quart d'heure ou une heure après ces attaques , s'é-lève jusqu'à 39 degrés environ qu'il y ait e
pondants de la paraly-sie des aliénés. La mort peut survenir dans ses attaques ou à leur suite comme dans la périencéphalite dif
e cérébrale datant de deux ans. Cette femme avait déjà eu plusieurs attaques épilepfiformes, en général assez légères. Un jour
n récente (hémorragie ou ramollisse-ment) peut être distinguée de ces attaques apoplectiformes ou épileptiformes qui surviennent
la péritonite ; — dans les commotions du système ner-veux ; — dans l' attaque apoplectique, etc. Collapsus : ses caractères e
niciens (Abercrombie, Portai, Watson, Grisolle), marque le début de l' attaque apo-plectique par hémorragie ou ramollissement, e
s son origine, la maladie qui les a produits n'a jamais succédé à une attaque de rhumatisme articulaire aigu; les antiphlogisti
rte constitution, plutôt sanguine que nerveuse ; elle n'a jamais eu d' attaques de nerfs. Elle avait dix-sept ans, et était dans
laires. Sauvages avait déjà remarqué que le rheuma-tismus arthriticus attaque constamment les articulations et ça et là les par
hapitre , en faisant remarquer qu'aucun de nos malades n'a présenté d' attaques de rhumatisme articulaire franchement aigu, avant
es auteurs, que la goutte est très sou- vent héréditaire, qu'elle n' attaque que rarement les femmes, qu'elle est une maladie
un engourdissement très in-tense. Quelques mois après cette première attaque , toutes les articulations des orteils du pied gau
peut même n'être pas appréciable, dans l'intervalle qui sé-pare deux attaques de goutte, pour reparaître au prochain accès. Les
anchâtre quelques heures après l'é-mission. Qu'il survienne alors une attaque aiguë de goutte ou une irritation bronchique, et
e de l'observation très intéressante d'un goutteux mort à sa huitième attaque , peu de temps après le début de l'affection. Dans
arrod rapporte l'exemple d'un gout-teux, qui n'a éprouvé qu'une seule attaque , dans une seule jointure, au gros orteil, et où l
é pour un rhumatisme ar-ticulaire aigu, et il attribue cette première attaque à l'impres-sion du froid auquel il était journell
éfaction persistante et de la gène dans les mouvements. Ses dernières attaques ne duraient pas habituel-lement plus de huit jour
vation relatée précédemment. Ainsi, en résumé, un malade est pris d' attaques de goutte, d'hypertrophie du cœur, puis de néphri
les reins, d'une grande quantité d'urates, à la suite de chacune des attaques de goutte, ou dans l'intervalle des accès, a été
tteint pour la première fois de la goutte, après avoir subi plusieurs attaques de colique de plomb, et éprouver par la suite, un
ureuses et tuméfiées. L'hiver passé, étant couché et en proie à une attaque de goutte, S... éprouva tout à coup une sensation
que, se plaint de devenir sujet, depuis un an, à ce qu'il appelle des attaques . Cet état est annoncé par un chatouillement qui e
arynx, une petite toux sèche qui est suivie quelquefois d'une sorte d' attaque pendant laquelle le malade s'affaise et perd conn
dant laquelle le malade s'affaise et perd connaissance. Pendant cette attaque , 1. Comptes rendus de la Société de biologie, 1
et dans le bras. Il ne se mord pas la langue, n'urine pas sous lui. L' attaque est courte, et à peine est-elle terminée, que le
e, et se trouve capable d'a-chever une conversation commencée avant l' attaque . Ces accès sont devenus très fréquents depuis que
r, et il est arrivé au malade de tomber dans la rue. Chaque fois, les attaques ont été précédées d'un chatouillement etd'une pet
lpeutarriver que les accès d'une toux ne soient pas suivis de grandes attaques . Dans ce cas, le malade n'éprouve qu'un sentiment
mphysème ; mais c'est depuis un an seulement que se sont montrées les attaques . M. Charcot a été amené à penser que, dans ce cas
un engourdis-sement très intense. Quelques mois après cette première attaque , toutes les articulations des orteils du pied gau
a fait usage à une certaine époque, se contentait de prendre lors des attaques de huit à dix gouttes de teinture de colchique, m
rédilection pour le côté gauche. — Dans ces mêmes 40 cas, la première attaque a porté 36 fois sur le gros orteil, 2 fois sur le
mplète, langue sèche, regard fixe, respiration difficile. — Plusieurs attaques épileptiformes pendant les deux jours qui ont pré
la première jointure du gros orteil surve-nir à la suite d'une seule attaque de goutte. (Pratical remarks on gout, rheumatic f
le professeur Trousseau fait remar-quer, de son côté, qu'une première attaque , même une première attaque survenue accidentellem
t remar-quer, de son côté, qu'une première attaque, même une première attaque survenue accidentellement, peut, dans certains ca
cessus de l'arthropathie goutteuse. Elle paraît avoir lieu dès la lre attaque (p. 240 du Traité), tandis que les dépôts erratiq
atteint pour la première fois de la goutte après avoir subi plusieurs attaques de coliques de plomb, et éprouver, par suite, une
inage. » La sécrétion d'tirate de soude a-t-elle lieu dès la première attaque de goutte ? Cela ne me paraît pas douteux. La for
cès de goutte : « 1° Dans les intervalles qui séparent les pre-mières attaques de goutte, il n'y a pas surabondance de l'acide u
'acide urique du sang chez plusieurs malades observés au sortir d'une attaque de goutte aiguë ; 3° dans la goutte chronique, le
s'agit dans ce cas d'un vieillard qui, après avoir éprouvé plusieurs attaques épileptiformes, fut pris d'un accès de goutte art
. Deux jours après le début de l'affection hydrargyrique, survint une attaque de goutte bien caractérisée, et l'on apprit alors
ticulation du pied. Les symp- « tomes cardiaques disparaissent et l' attaque de goutte est peu « intense et peu prolongée. J
vis d'une affection « cardiaque. Mais dans les cas où il y a eu des attaques de « goutte répétées, surtout à un âge avancé,
tte faiblesse musculaire déjà signalée par Scudamore, qui succède aux attaques intenses de goutte articulaire et peut simuler un
rhumatisme noueux, et qui, douze ans auparavant, avait éprouvé une attaque de rhumatisme articulaire aigu. Un fait du même g
s valvules sigmoïdes de l'aorte. Cet homme avait subi autrefois trois attaques de rhumatisme arti-culaire aigu. Dans la plupar
centres nerveux. — Tétanos. — Epilepsie. —Affections hystériformes. — Attaques apoplectiformes de la paralysie générale des alié
s. — Attaques apoplectiformes de la paralysie générale des aliénés. — Attaques épileptiformes des hémiplégiques. — Ecrasement de
s la péritonite ; — dans les commotions du système nerveux ; — dans l' attaque apoplectique, etc. Collapsus : ses caractères e
63 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
eu vraisemblable- ment des accès de mélancolie qu'elle appelle des attaques de pros- tration morale. Elle comptait des nerv
scendants. La dernière de ces crises morales, caractérisée du nom d' attaque par la malade, eut lieu il y a vingt-deux ans,
pied droit (mouvement type de l'hémiplégie hystérique). Depuis les attaques ont cessé, et la malade s'est soustraite au tra
sions du malade, était exactement celui noté au commencement de ses attaques . » Dans un second cas publié par Keen a « en to
l'heure, car ce trouble arriva chez un malade qui a eu une soudaine attaque d'hémiplégie avec hémianesthésie et quelque tro
également influencer les psychoses alcooliques en déterminant des attaques épileptoïdes et des psychopathies semblables à ce
faut pas suspendre l'administration sous peine de voir revenir les attaques . - P. K. VII. Du SULFON.1L; par R. OTTO. (All
eaux si largement traités qui représentent les diverses phases de l' attaque hystérique. et dont notre maître se sert souven
récurrente et d'une tension dans la blessure, il y eut une ou deux attaques épileptiformes affectant le côté droit. Elles c
t perdu la force dans le bras droit, et bientôt après, avait eu une attaque apoplectique, avec perte du langage et surdité.
sensibilité tactile et l'odorat étaient intacts. Elle eut quelques attaques et en dernier, mourut de pneumonie une année ap
ourbes seulement ou à la dégénérescence des nerfs optiques ? Mais l' attaque soudaine de surdité dans ce cas coïncidant avec
qui avait souflertde surdité et de trouble de la vi- sion, eut une attaque le 22 juin 1880 avec hémiplégie droite et apha-
s l'oreille opposée ou dans les deux. Ainsi une femme sujette à des attaques épileptiques précédées par un grand bruit comme
che, devenait temporairement sourde de chaque oreille après. chaque attaque . Les deux oreilles étaient défectueuses, mais i
e ne pouvait supporter. - A l'époque de mon examen, un mois après l' attaque , il avait guéri de sa paralysie de la jambe gau
re extrémités - des céphalalgies- des vertiges des vomissements des attaques épileptiformes - une surdité complète. , 268
é arrêtée, Mme Millet se croyait continuellement sous le coup d'une attaque semblable et la pauvre femme donnait depuis quel-
-il besoin de vous dire que ces arthralgies furent attribuées à une attaque de rhuma- tisme et que, durant cette longue pér
ent nous n'avons trouvé ici, ni dans le passé ni dans le présent, d' attaques convulsives d'hystérie mais la malade nous a fa
copes » qui, envisagées de très près, ne sont autre chose que des attaques avortées. Ce n'est pas tout : elle pré- sente e
eau de ces zones réveille les phénomènes de l'aura sans provoquer d' attaque convulsive. Au point de vue sensoriel, le goût,
NES DES SENS SUR LES HALLUCINATIONS DE LA PHASE PASSIONNELLE DE L' ATTAQUE HYSTÉRIQUE; . Par Georges GUINON, chef de clini
ans la nomenclature établie par M. Charcot, la troisième phase de l' attaque hystéro-épileptique, sont commandées en général
s souvent visuelles. On sait aussi que cette troisième période de l' attaque peut dans certains cas prendre un développement
nt être dans la suite vérifiés par d'autres DES HALLUCINATIONS DE L' ATTAQUE HYSTÉRIQUE. 347 observateurs'. Mais un point no
OLOGIE NERVEUSE. sujet dans le délire de la phase passionnelle de l' attaque hystérique. Depuis les travaux de M. Mesnet, M.
ibilité de donner des suggestions dans la phase passionnelle de l' attaque d'hystérie, mais sans insister sur les carac- t
la Salpêtrière. 1 Pitres. Des zones hystérogènes et hypnogènes; des attaques de sommeil. Bordeaux, 1885. ' Charcot,. -Leço
stéro-epileptiques. (met, Obozr. XXXIII.) DES HALLUCINATIONS DE L' ATTAQUE HYSTÉRIQUE. 349 Le nommé Constant..., juif de r
te. Le 8 avril, en examinant le réflexe rotulien, on provoque une attaque de nerfs qui commence par des mouvements épilepto
e qui s'étend aux membres supérieurs persiste quelque temps après l' attaque et résiste aux frictions et au massage. Les dou
n est obligé de recourir aucathétérisme pour vider la vessie. Les attaques peuvent se produire avec un aimant, l'examen des
arrêter par une suggestion énergique, mais seulement au moment où l' attaque commençait. Chaque attaque est précédée d'une a
énergique, mais seulement au moment où l'attaque commençait. Chaque attaque est précédée d'une aura gastrique (boule qui re-
trique (boule qui re- monte de l'estomac à la gorge). Au début, l' attaque ne s'accompagnait pas d'attitudes passion- nell
cènes de knout. Il voit aussi son père, mort aujourd'hui. Après son attaque il ne conserve aucun souvenir de 380 PATHOLOGIE
ces instituées en novembre 1889, pendant la phase passionnelle de l' attaque . En plaçant un verre vert devant les yeux du ma
n objet. Verre rouge. Il se lève effrayé et cherche à s'enfuir... L' attaque survient qui clôt la scène. Deuxième expérien
verres devant les yeux du malade à l'état normal ne produit pas l' attaque et ne provoque aucune hallucination. Le verre rou
ucination. Le verre rouge au contraire, provoque instantanément une attaque du genre de celles que nous avons décrites plus
à s'enfuir. Le verre violet amène une séda- DES HALLUCINATIONS DE L' ATTAQUE HYSTÉRIQUE. 381 tion considérable, il fixe un p
iences, on suggère au malade pendant la période hallucinatoire de l' attaque , de raconter les tableaux qui se sont déroulés
e, mange souvent du pain frotté d'oignon. DES hallucinations DE l' attaque hystérique. 333 Après ces expériences, le malad
cinations qu'il n'avait manifestées exté- rieurement pendant chaque attaque que par une mi- mique assez animée. Dans son
ro- voquée chez lui l'audition de l'orgue de Barbarie pen- dant l' attaque répond la partie correspondante de son récit.
mment aux gestes de déboucher une bouteille DES HALLUCINATIONS DE L' ATTAQUE HYSTÉRIQUE. 333 et de boire qu'il avait faits l
e malade voyait spontanément pendant la phase pas- sionnelle de l' attaque . Il est certain que toutes ces hallucinations n
nateurs dans les deux régions ovariennes. Elle a eu autrefois des attaques de chorée rhythmée hystérique et à plusieurs repr
attaques de chorée rhythmée hystérique et à plusieurs reprises des attaques de délire dont l'une en particulier a duré dix jo
lire dont l'une en particulier a duré dix jours. Elle a de plus des attaques d'hystérie classique avec période epi- leploide
omine notablement sur les deux autres phases. Elle dmerait à chaque attaque jusqu'à une et deux heures, ainsi que nous l'av
pnotisable, nous profitons de cette circons- tance pour provoquer l' attaque hystérique, en lui suggérant dans la période so
livrée à elle-même pour nous rendre compte DES HALLUCINATIONS DE L' ATTAQUE HYSTÉRIQUE. 3151 de la nature de son délire. El
maladie ! je la plains de tout mon coeur... Je n'en ai plus, moi, d' attaques , (à part) et puis je ne te le dirais pas, pour sû
l'on se sert généralement d'éther a la Salpêtrière pour arrêter les attaques d'hystérie.) Ici, nous arrêtons le délire en ap
harles ! ... etc. Chloroforme. - (De même que l'éther sert pour les attaques , le chloroforme est employé généralement ici so
s pour tenir la jambe droite... Ether. De nouveau, hallucinations d' attaques de nerfs, comme dans la première expérience.
Ah 1 oui j'en ai avalé ! C'est si bon, les DES HALLUCINATIONS DE L' ATTAQUE HYSTÉRIQUE. S bains de met. 011 ! j'y pense enc
ncentration se manifeste aussi dans ce fait DES HALLUCINATIONS DE L' ATTAQUE HYSTÉRIQUE. 361 que la réaction(de la malade vi
la piqûre au ventre l'idée de laparatomie, l'éther le ta- bleau d' attaques de nerfs, le chloroforme celui de contractures,
souvent les mêmes sug- gestions que dans la phase passionnelle de l' attaque . Il en est ainsi pour l'éther, le chloroforme,
'années, hys- téro-traumatique typique avec stigmates permanents et attaques classiques, mais dans lesquelles la phase passi
es la phase passionnelle prend un dé- veloppement exagéré. Dans une attaque provoquée, après avoir laissé passer les périod
arait ennuyé de lui avoir fait de la peine. DES HALLUCINATIONS DE L' ATTAQUE HYSTERIQUE. 363 P/tOSpAot'e.fi voit un de ses a
tes, Une femme est là, dans la rue, sur le trottoir, en proie à une attaque de nerfs. Il écarte la foule pour qu'on lui lai
dire en essayant de lui rappeler soit 364 PATHOLOGIE NERVEUSE. DE L' ATTAQUE HYSTÉRIQUE. par la parole, soit par des bruits
IQUE. 365 retrouvons aujourd'hui quelque chose d'analogue, dans l' attaque délirante hystérique. C'est un point de contact
ons rapportés : 1° que dans le délire de la phase passionnelle de l' attaque hystérique on peut modifier la marche des hallu
ôté droit. Même état le troisième jour, où l'animal a eu une légère attaque à droite indiquant quelque irrita- tion, qu'on
erve avec la sensation d'odo- rat pendant a l'état de rêverie » des attaques épileptiques sont probablement des décharges de
umeur de la région pariétale inférieure droite qui occasionnait des attaques d'épilepsie débutant par le pouce, donna lieu à
sir de lui nuire, c'est le sentiment d'une injustice commise, d'une attaque injustifiable. Il n'y a pas de concentra- tion
l'ébranlement périodique que font subir à leurs centres nerveux les attaques convulsives contribue à provoquer une désé- qui
ur Heilkande, vol. XI, 18UO.) Observation d'un malade qui avait des attaques d'épilepsie - suivies parfois d'accès de fureur
rve sur le côté où commencent les phénomènes con- vulsifs pendant l' attaque . On sait qu'avant on supposait que l'asy- métri
64 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
cessaires pour l'action d'écrire doivent se trouver paralysés par une attaque do l'hémisphère gauche. Mais nous pouvons écrir
En effet, le Dr Holder cite le cas d'un malade qui, à la suite d'une attaque où il avait perdu le langage, l'avait petit a pet
ourgogne. (In-18 de 101 pages. — Alean, Paris, 1892.) Ladame. — L' attaque hystérique d'aphasie et la simulation. (Brochure
n emploi thérapeutique utile de l'hypnotisme, soit pour combattre les attaques convul-sives de l'hystéro - épilepsie, soit pour
un voyage qu'elle lit à Rogan, quand elle fut un peu remise de celte attaque , un accident grave qui lui arriva (elle fut mordu
des épaules larges... Je pense qu'il se défendra bien, si quelqu'un l' attaque . [Mouvement de Mathis.) Le songeur. — Qu'avez-v
11 faut parler longtemps pour désorganiser peu à peu l'idée que l'on attaque et habituer l'esprit de l'auditeur a l'idée nouve
s pourront consister soit dans l'identité de la cause qui détermine l' attaque , soit dans la manière dont elle survient, soit da
e. 11 n'y a aucune régularité, ni pour le temps, ni pour le lieu de l' attaque . La crise est réelle. Son débat arrive fataleme
s actions criminelles suicides, homicides), les hallucinations et les attaques convulsives. Les exemples de suicide par imitat
ui se trouve, dans le second, imité, d'une manière complète, dans une attaque de grande hystérie. Mme E. C..., âgée de vingt-
ntérieurement de grandes crises convulsives qui étaient de véritables attaques d'hystérie. Ce jeune homme avait été vivement f
e. M. Gibert vit immédiatement que cette jeune fille avail subi une attaque et qu'ello était dans l'attitude de la défense. L
er depuis cette époque peuvent se grouper de la façon suivante : 1° Attaques convulsives; 2° Attaques somnambulo-délirantes;
ent se grouper de la façon suivante : 1° Attaques convulsives; 2° Attaques somnambulo-délirantes; 3° Accès de vigitambnlis
re très vite en som-n*mi-ali>m* délirant, se transformant aînsi en attaque hystériqae. Les attaques convalsives, tantôt ép
li>m* délirant, se transformant aînsi en attaque hystériqae. Les attaques convalsives, tantôt épileplodes, tantôt exclusive
mnambulique. accès de condition seconde, qui ne sont en somme que l' attaque somnambulo-délirante prolongée, durent de quelque
) minutes le 18 septembre, eu état de condition, seconde, ayant des attaques eon-vulsives. les accés de délire hallucinatoire,
uffée dans les bras du fantôme ut qui mettaient sa vie en danger. Ces attaques à forme asphyxique n'amenant pas le résultat atte
à forme asphyxique n'amenant pas le résultat attendu, survinrent de* attaques syncopales. La vision disait : « Tu vas mourir ».
circulation et do la respiration. Or il arriva qu'à la suite de ce* attaques à forme syncopale. Mme X... revenait à elle, mais
es hystérogènes, puis l' application de l'aimant à provoquer toit une attaque , soit le réveil des sens; mais, après de nombreux
la malade; car, lorsqu'elle a perdu l'usage de ses sens, elle est en attaque délirante, et l'abolition des sens est le résulta
mère, je m'en irais tout de suite, puis... A ce moment survient une attaque convnlsive qui interrompt l'entretien. La crise p
fait écrire a la malade ; R. Ce qu'elle écrit spontanément. (2) En attaque somnambulique. délirante, Mme X... tutoie tout le
aussi pénibles, alors qu'au contraire les conditions psychiques de l' attaque en expliquent si naturellement la production? La
dre conscience de lui-même, cesse de voir, d'entendre et de parler. L' attaque terminée, c'est une véritable résurrection qui se
ple. Ce qu'on peut supposer dans l'espèce, c'est que la fréquence des attaques convulsives chez notre malade, modifiant incessam
Remarquons que quand elle est aveugle, sourde et muette, elle est en attaque délirante et cependant suggestible, ce qui n'a ri
précis chez la première. Chez la seconde, la mère est sujette à des attaques d'hystérie : et, il y a un point très intéressant
ualifié diathèse de contracture, terme qui prévaut aujourd'hui. Les attaques convulsives, les émotions, les états morbides son
, sont prétes à défaillir, elles aussi. Allons-nous avoir une série d' attaques d'hystérie ? Mais-non; l'habile et puissant mette
gt-six ans, grande hystérique, avec, tous les jours, une ou plusieurs attaques du type Charcot-Richer : période épileploîde, pér
nose. C'est le 13 août 1883 que, à l'occasion de la première grande attaque , le médecin appelé fit la première injection de m
ournie. C'était à qui, dans l'entourage direct, à la moindre menace d' attaque , ferait une injection, et la ferait le mieux. Du
haque émolion. Pendant ces derniers quatre ans, elle a eu cinq ou six attaques hystériques. Le jour de sa présentation à la cl
e réponse, en dehors de la question scientifique proprement dite, une attaque violente contre la probité scientifique de M. Dej
pression violente de ces points hyperesthésiques ne détermine point d' attaque , mats provoque des contorsions et des cris de dou
par l'infirmier Pendant son séjour à l'hôpital, E... n'a eu aucune attaque hystérique, mais leur existence a été constatée p
rait-il, d'un caractère emporté et violent. Sa mère est sujette à des attaques de nerfs, autrefois très fréquentes, réduites mai
s maintenant à deux par semaine, depuis l'époque de la ménopause; ces attaques surviennent à la suite d'émotions ou de vives con
les médicaments. Motet (2) cite un enfant de quinze ans simulant des attaques d'hystérie qu'il avait vues chez sa mère. Mon col
D-' E. Noguès. a rapporté le fait d'un petit garçon qui simulait des attaques d'hystérie pour éviter d'aller au collège Un moti
pondu à ce procédé de traitement chez ces deux malades. Hystérie. — Attaques cataleptiques datant de sept ans. — Délire lypema
sa santé ne s'est pas remise et elle a été prise assez fréquemment d' attaques convulsives du genre cataleptiforme et hystérifor
ovoquée par la flexion. La malade est sujette depuis deux ans à des attaques convolsives semblables à la suivante que nous con
s'endort. A ce moment, elle n'a pas poussé de cris, elle n'a pas eu d' attaque convulsive, pat de chute à terre. La malade va
s, puis une demi-heure, puis une heure, puis deux heures. Pendant l' attaque , elle perd connaissance. Revenue à elle, se souri
sorte qu'elle a atteint iii kilogrammes. La malade n'a jamais eu d' attaque de nerfs; la sensibilité exis:e des deux côtés, m
ite avec tarhycardie et rythme couplé du cœur. Elle n'a jamais eu d' attaque de nerfs ; sa sensibilité est normale et ses cham
Un frère et une sœur sont bien portants. Enfin, une autre sœur a des attaques de nerfs. Fig . 10. — Champs visuels de Julie
, spécialiste a l'hôpital de Molenbeck.) Julie M... n'a jamais eu d' attaque , mais elle est atteinte depuis un an de tuberculo
sérieusement malade; à la suite d'une colère, elle a eu une violente attaque de nerfs, puis de la gastralgie. Elle est entrée
e est normal; les réflexes sont sains: l'intelligence est vive. Les attaques convulsives que la malade a eues ont été peu nomb
mblement dans la jambe, et pendant la nuit s'est déclarée la première attaque de nerfs. Depuis lors, elle a toujours eu des acc
une boule partir de l'estomac et lui monter à la gorge, à ce moment l' attaque commença. Ces accès duraient souvent longtemps, e
lexes sont normaux ; l'Intelligence est vive, la mémoire bonne. Les attaques convulsives sont spontanées ou provoquées : les a
bonne. Les attaques convulsives sont spontanées ou provoquées : les attaques spontanées sont toujours précédées d'un aura qui
n se réveillant, elle n'a aucun souvenir de ce qui s'est passé. Les attaques provoquées sont pareilles aux précédentes, elles
et, de dire à la malade endormie : « Faites comme quand vous avez une attaque », pour qu'aussitôt se déclare un accès très pr
llette ii... (Pris par m.Coppey fils.) Collette H... est atteinte d' attaque hystériques suivies d'un sommeil comateux avec co
sommeil comateux avec contracture durant fort longtemps en dehors des attaques , elle est atteinte de mouvements cholériformes av
n rêve dans lequel elle avait vu son père tuer sa mère, elle a eu une attaque de nerfs ; les accès ont été nombreux et la malad
ien des réticences, elle finit par me dire qu'elle a peur d'avoir des attaques de nerfs après chaque séance, comme une de ces am
bservation de Joséphine, nous avons dit que l'on pouvait produire des attaques par suggestion ; pour connaître ce fait, la malad
son récit était un conte. Une autre disait avoir été l'objet d'une attaque en wagon et présentait eu effet une toute petite
nce et pouvait encore répondre aux questions qu'on lui adressait. Ces attaques augmentèrent de fréquence pendant trois mois et e
ne se produisit jusqu'il y a six mois, époque à laquelle elle eut une attaque , et, à la suite, le bras et la jambe du côté droi
e soit, et avec la même lenteur que l'effet se produira. La seconde attaque de paralysie, dans le cas actuel, présente moins
tte observation, ajoutons que. la nuit suivante, la malade simula une attaque d'hystérie ; elle simula quelques mouvements conv
65 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
chez un homme atteint depuis huit ans de cette terrible névrose. Les attaques , d'abord rares, étaient devenues plus fréquentes
ations terrifiantes qui surviennent chez quelques malades avant les attaques et les poussent au suicide. (Nouv. Diction, de mé
quelques minutes, et qui nous ont donné le spectacle d'une véritable attaque d'hystérie. Au premier abord, voyant le nombre de
'aggravèrent; on ob- serva du trisraus, et il survint de fréquentes attaques d'opisthotonos. On administra alors l'extrait alc
s'est développée subitement le 20 mars 1870, à la suite d'une grande attaque . Disons toutefois que, antérieurement, le membre
cas des phénomènes permanents. Enfin, cette femme est sujette à des attaques spéciales, tantôt té-taniformes, tantôt épileptif
e. Ainsi, ce matin, vous pouvez recon-naître un accident datant d'une attaque survenue il y a deux jours; c'est le trismus, con
soin, néanmoins, d'indiquer la filiation des accidents. La première attaque convulsive a éclaté en 1861. Dans quelles circons
est difficile de se débrouiller. Ce qui est plus sûr, c'est que cette attaque paraît avoir été d'une violence extrême: la malad
biles qui sont résultés de cet acci-dent. A partir de cette date, les attaques ont continué à se reproduire de temps à autre, av
rise d'une hémiplégie avec flaccidité du côté gauche à la suite d'une attaque , et entre dans le service de M. Lasôgue. Admise
ses restent à peu près dans le môme état, si ce n'est qu'une nouvelle attaque est suivie d'une contracture du mem-bre supérieur
gique de la contracture hystérique1. Dans le mois de mars 1871, une attaque donne lieu à une hémi-plégie flasque du côté droi
ention d'urine; c'était en janvier. Le mois suivant, à la suite d'une attaque , nous notons des alternatives de polyurie (2 litr
psie pendant le travail, fut accouchée par le forceps dès la première attaque , et les accès s'étant répétés un certain nombre d
iqueur témoin. Fig. 4. -+- Température 19 heures après la pre-mière attaque . ± Tem-pérature 5 heures après la dernière attaqu
après la pre-mière attaque. ± Tem-pérature 5 heures après la dernière attaque . La liqueur titrante renferme : Bichlorure de
ure spontanée des membranes. Présentation du sommet en O.I.G.A. Une attaque d'éclampsie ayant eu lieu à minuit, la sage-femme
u soir. 9" . 6 h. À 7 heures du soir (19 heures après la première attaque ) tempé-rature vaginale 39°,2. — A 8 heures, saign
oin de mettre en relief les princi-paux caractères que présentent les attaques convulsives dont elles sont atteintes. Vous ave
ous avez pu reconnaître aisément qu'il ne s'agissait pas chez elles d' attaques vulgaires, rentrant du premier coup, sans discus-
ils revêtent, et, ce qui frappe le plus l'observa-teur, témoin de ces attaques , c'est de retrouver parmi les convul-sions cloniq
surface, il semble en être ainsi, puisque nous avons reconnu dans les attaques quelques-uns des traits de l'épilepsie. C'est de
par Louyer-Villermay, l'un des premiers, convien-drait à désigner ces attaques mixtes. La convulsion à forme épilep- tique y a
coin de la plus saine observation, dit que cette espèce d'hystérie ci attaques mixtes n'est qu'une forme particulière de l'hysté
dividu affecté, sont la source de ces modifications dans la forme des attaques . La nature même de l'hys-térie n'en est pas fonci
d'admettre les catégories suivantes. A. Dans un premier groupe, les attaques hystériques et les accès 1 Maladies des nerfs,
e révèle. De là des contrariétés vives qui engendrent l'hystérie. Les attaques étaient disjointes et conservaient, sans s'influe
ont jamais été. Dès l'origine, le mélange s'est effectué et, dans les attaques ultérieures, les deux formes convul-sives se mont
les ré-sultats de mon observation personnelle. a) Dès l'origine, l' attaque mixte revêt son caractère propre; dès cet instant
u développement d'un accès, se garantir, trouver un abri. c) Dans l' attaque convulsive, la phase dite épileptique ouvre en gé
ne, etc.; en même temps éclate le délire de l'accès. é) La fin de l' attaque est marquée par des sanglots, des pleurs, des rir
le donc un fait nouveau, insolite, dans la description classique de l' attaque hystérique vulgaire ? Certainement non. Il n'est
? Certainement non. Il n'est pas vraiment exceptionnel de voir dans l' attaque d'hystérie commune, — alors que personne ne songe
ns toniques à caractère épileptiforme, particulièrement au début de l' attaque ; tous les au-teurs sont d'accord sur ce point. Ce
entuées, que M. Briquet a été, par là, conduit à éta-blir à côté de l' attaque d'hystérie clonique, ou classique, une sorte d'at
ir à côté de l'attaque d'hystérie clonique, ou classique, une sorte d' attaque dans laquelle prédomine une roideur semi-tétaniqu
le vertige épileptique dans les descriptions de l'hystéro-épilepsie à attaques mixtes. Nous pourrions ajouter encore, car il y a
mportante distinction, que dans cette forme de l'hystéro-épilepsie, l' attaque épileptiforme, même la plus intense, est d'après
ée dans son développement par la compression de l'ovaire1. Dans les attaques mixtes, alors même que leur retour est très-fréqu
bnubilation de l'intelligence et la démence ne sont l'aboutissant des attaques , contrairement à ce qui aurait lieu, d'une manièr
, des hystériques, diffèrent en quoi que ce soit des convulsions de l' attaque épileptique. L'attaque hystérique tonique, pour p
èrent en quoi que ce soit des convulsions de l'attaque épileptique. L' attaque hystérique tonique, pour peu qu'elle ait quelque
e d'un degré et quelques dixièmes (38° — 38°,5), tout comme le fait l' attaque d'épilepsie vraie. C'est là un résultat 1 Yoy.
rapide d'eschares au sacrum; quelquefois enfin, production 1 Dans l' attaque hystérique vulgaire clonique, il n'y a pas, quell
tat de mal épileptique ; on l'observe encore, par exemple, dans les attaques dites congestives, apoplectiformes, ou épileptifo
nné du fait une interprétation vicieuse1. On l'observe aussi dans les attaques fort analogues aux précédentes qui peuvent surven
urvenir dans le cours de la sclérose en plaques2, et, enfin, dans les attaques , avec ou sans convulsions, qui s'observent dans l
u soir : de huit à neuf heures, il y a eu un temps de repos, puis les attaques ont repris comme de plus belle, sans le moindre r
'une manière approximative, — évaluer sans exagération le chiffre des attaques épileptiformes qu'elle a éprouvées à cette époque
ivo, terminée par la mort. A la vérité, ce sont presque tou-jours des attaques d'un genre particulier, des attaques dyspnéiques,
é, ce sont presque tou-jours des attaques d'un genre particulier, des attaques dyspnéiques, qui amènent ce triste résultat1; mai
dyspnéiques, qui amènent ce triste résultat1; mais, je le répète, les attaques con-vulsives elles-mêmes peuvent y conduire. Je p
ir. Pendant plus de huit semai-nes, la malade en question éprouva des attaques épileptiformes, en nombre d'ailleurs assez restre
atismes. — Ré-trécissement de l'urèthre. — Malformation du prépuce. — Attaque apoplectique. — Hémiplégie droite incomplète. — A
les personnes qui l'ont apporté, il aurait eu, il y a deux jours, une attaque apoplectique depuis laquelle il n'a pas recouvré
survenue l'hypertrophie du cœur. A cette lésion doit être rattachée l' attaque apoplectique symptomatique du ramollissement céré
de malade, femme âgée de 72 ans, la tempéra-ture, deux heures après l' attaque , était à 37°,8, et le soir du pre-mier jour à 37°
ig. 13. —T. Température. — P. Pouls. — Température deux jours après l' attaque apoplectique. Fig. 14. — T. Température va-gina
.— La première température a été prise le soir du troisième jour de l' attaque . Dans notre troisième cas, concernant une malad
és. Il en ressort que, vers le troisième ou le quatrième jour après l' attaque , la température subit une ascension assez rapide,
tendre un ou deux doigts. Chez la seconde, âgée de 32 ans et dont l' attaque remonte à deux ans, l'aphasie était complète et c
fait plus de mou-vements. Chez la troisième, âgée de 53 ans, dont l' attaque remonte à huit mois, l'usage des membres était re
une de ces malades les règles avaient disparu pendant un an après son attaque et ne revenaient depuis cette époque que très-irr
un mois ei. demi, les règles avaient complètement disparu depuis son attaque , qui a eu lieu il y a près de deux ans, cinq sema
in-connus, et après une lutte bizarrement accidentée, succombe à une attaque dont, dans d'autres circonstances, il se fût déga
66 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
exagérée ou l'extension forcée d'un orteil ou d'un doigt arrête une attaque comme Bravais l'a montré. Il en est de môme de
de mélisse. Cette simple ingestion pourra amener la suspension de l' attaque . Nothnagel et Schultz ont arrêté une attaque en
r la suspension de l'attaque. Nothnagel et Schultz ont arrêté une attaque en ingurgitant du sel marin dans la bouche d'un m
e deux cas qui lui paraissent probants, destinés à démontrer qu'une attaque épi- leptique peut se derouler dans un état de
ême temps que le poids du corps, quand survient la guérison; 4° les attaques congestives épileptiformes ou apoplec- tiformes
ux la prédisposition hystérique latente et voilàqu'apparaissent des attaques convulsives (observations) ou des syndromes de fo
térie paroxys- tique et du traitement. Après avoir décrit la grande attaque d'hysté- rie avec la régularité de ses phases s
riment des autres constitue justement les formes si nombreuses de l' attaque d'hystérie. Ces attaques d'hystérie si souvent
e justement les formes si nombreuses de l'attaque d'hystérie. Ces attaques d'hystérie si souvent remarquables par leur vio-
stique et interpa- roxystique ; il les résume ainsi lui-même. « L' attaque convulsive d'hystérie comprenant une période d'an
ir, comme 2 est à 3 sinon plus... La longueur et l'intensité de l' attaque accentuent les modifica- tions nutritives qui s
parfaitement perceptibles par l'analyse chi- mique pour une simple attaque d'un quart d'heure de durée. » Elles débutent a
simple attaque d'un quart d'heure de durée. » Elles débutent avec l' attaque . La nutrition reste normale dans l'in- tervalle
heures peut en outre trancher la question souvent si difficile de l' attaque de l'hystérie ou de l'accès d'épilepsie. Après
i difficile d'attribuer sa véritable cause (vertiges hysté- riques, attaques avec syncopes, absences, pseudo-méningite hys-
. G. de la Tourette s'occupe des cas où la mort a été attribuée à l' attaque ; il résume le point important en constatant « c
aroxysme hystérique simple ou prolongé sous forme d'état de mal ; l' attaque de spasme paraît avoir surtout le privilège. En
ste concours ». L'auteur s'occupe ensuite de quelques variétés de l' attaque et de l'état de mal hystérique revêtant plus pa
dence que, comme l'enseigne Charcot, la chorée rythmée n'est qu'une attaque hystérique transformée. Dans l'attaque et dans
chorée rythmée n'est qu'une attaque hystérique transformée. Dans l' attaque et dans l'état de mal du sommeil hystérique, il n
mal du sommeil hystérique, il ne s'agit en réalité que d'une grande attaque modifiée par l'immixtion des phénomènes létharg
emble sans que la malade en ait conscience. S'occupant ensuite de l' attaque cataleptique, de l'attaque des délires et des é
ait conscience. S'occupant ensuite de l'attaque cataleptique, de l' attaque des délires et des étals délirants, l'auteur ar
lons d'une même chaîne qui commence au délire hallucina- toire de l' attaque pour se terminer au vigilambulisme ; il en est de
-deux ans, manouvrière à Saint- Hilaire-les-Andrésis, sujette à des attaques d'épilepsie, a été trouvée noyée dans un lavoir
ttoyer, l'haleine devenir meilleure et aux vertiges faire suite les attaques convulsives. Celles-ci se renouvellent cinq à s
transforme les accès convulsifs en vertiges, en accès incomplets en attaques hysté- riformes et en excitation cérébrale, mai
r le passé. En ce moment l'une et l'autre viennent d'avoir quelques attaques et sont dans une période d'agitation légère. Ce
chiv. f. Psychiat., XXVI, 1.) Observation I. Troubles de la parole. Attaques congestives; réaction pupillaire défectueuse; n
ymptomatologie. 1° Aura, observée seulement 42 fois. 2° Nature de l' attaque , constatée 212 fois, qui se répartissent ainsi
rotatoire, 2 fois, et épilepsie psychique, 6 fois. 3° Fréquence des attaques , notée 167 fois : une ou deux attaques par mois
ue, 6 fois. 3° Fréquence des attaques, notée 167 fois : une ou deux attaques par mois dans 44 cas; attaques irrégulières ou
taques, notée 167 fois : une ou deux attaques par mois dans 44 cas; attaques irrégulières ou groupes irréguliers d'attaques
ar mois dans 44 cas; attaques irrégulières ou groupes irréguliers d' attaques dans 41 cas; une ou plusieurs attaques quotidie
res ou groupes irréguliers d'attaques dans 41 cas; une ou plusieurs attaques quotidiennes dans 29 cas; une ou deux attaques
as; une ou plusieurs attaques quotidiennes dans 29 cas; une ou deux attaques par semaine dans 28 cas; une ou deux attaques p
s 29 cas; une ou deux attaques par semaine dans 28 cas; une ou deux attaques par an dans 25 cas. 4a Heures des attaques, not
dans 28 cas; une ou deux attaques par an dans 25 cas. 4a Heures des attaques , notées dans 126 cas : dans 59 cas, les attaque
s. 4a Heures des attaques, notées dans 126 cas : dans 59 cas, les attaques se montraient indifféremment le jour et la nuit;
raphe de l'étiologie, l'hémiplégie transitoire qui survient après l' attaque d'épilepsie, ou en d'autres termes l'hémiplégie
st influencé par des facteurs très divers, tels que l'hérédité, les attaques antérieures, la cause déterminante, la précocit
immédiat ou défi- nitif, est d'autant plus grave que le nombre des attaques anté- rieures est plus grand. Il est, d'autre p
asile le signalait comme épileptique, mais on n'a jamais constaté d' attaques pendant son internement. Cependant, dans l'hy
une affection du coeur sans avoir pour cela des phobies pendant les attaques d'asystolie. Il cite une observation à l'appui
sent favorables. M. GLEY tient à faire remarquer de nouveau qu'il n' attaque aucune théorie et ne soutient ni l'h3·perthyroï
adie de Basedow typique. Cette femme était une hystérique, dont les attaques cessèrent lorsque le syndrome base- dowien appa
hui permettent de la considérer comme une hystérique. Lorsque les attaques l'ont quittée, une époque malheureusement t ind
estations habituelles de l'épilepsie convulsive (absence, vertiges, attaques complètes ou incomplètes) peuvent avoir des imp
lsifs, voit ces troubles disparaître au moment où il pré- sente des attaques d'épilepsie qu'il n'avait point éprouvées jusque-
oint éprouvées jusque- là, et inversement les cas dans lesquels des attaques d'épilepsie convulsive diminuent de fréquence o
enfin sortent de leur crise d'une manière identique. L'un a eu des attaques d'épilepsie convulsive, l'autre n'en a jamais pré
tiques les uns aux autres chez le même individu. A l'identité des attaques entre elles se rattache un autre carac- tère qu
otion fasse défaut, soit qu'on ne puisse par soi-même constater les attaques , soit qu'il ne se trouve personne ni rien pour
e, est le vrai critérium médico-légal. La constatation ultérieure d' attaques d'é- pilepsie laisse toujours la porte ouverte
urait manquer de signaler aux juges l'étroite connexion qui relie l' attaque d'épilepsie aux pertur- bations psychiques les
nouveau d'épilepsie observé sur un jeune homme élève d'un lycée. L' attaque provenait d'une idée qui, grossissant peu à peu
à propos de l'observation précédente où le malade a pu refréner ses attaques dans certains cas, cite un malade qui, par un e
s, cite un malade qui, par un effort volontaire, a pu supprimer des attaques épileptiques diurnes fréquentes. M. GARNIEIi.
fatalité du mal sacré. Il. Laroussime rappelle à son tour les cas d' attaque avortant par SOCIÉTÉS SAVANTES. 249 ligature
eux-ci ont conscience des actes qu'ils accom- plissent pendant leur attaque d'épilepsie larvée, mais ils n'ont pas le souve
ant l'alcool dans lequel elle est dissoute (elle ne provoque plus d' attaques d'épilepsie si elle est injectée en solution da
ec une conduite normale pour le reste. On voit survenir parfois des attaques apoplectiques. Au point de vue somatique, il faut
c brutalité. Une pauvre femme atteinte de mélancolie, était prise d' attaques au cours des- quelles elle ne savait plus ce qu
G voit son mal évoluer rapidement; depuis mai 1891, il présente des attaques caractérisées par une perte de connaissance com
ie chronique, durant depuis trois ans, fut brusquement frappé d'une attaque d'apoplexie mortelle : M. Tambourer attribue à
ar l'absence totale d'aphasie : la malade, droitière, a eu quelques attaques convulsives et épilep- tiformes ; débile, elle
on dégénérative, pas de tremblement intentionnel. En juil- let 1891 attaque apoplectiforme sans autre conséquence. Le 7 août,
ion avec 1\lI. Regnier, Laroussinie, Régis. On peut réveil- ler des attaques d'hystérie chez les malades nerveux par les opéra
hystérique. LE BECQ. Contribution à l'étude du traumatisme dans les attaques d'épilepsie. Fayet. Les aponévroses cervicales.
nce chez une femme de vingt-six ans. La plus grande fréquence des attaques et un embarras croissant de la parole déterminère
eu à peu et trois mois après elle n'avait encore eu aucune nouvelle attaque . II. Observation d'épilepsie procursive type à
rte de délire musculaire se rapprochant plus ou moins d'une franche attaque d'hystérie. Aussi devra-t-on prendre la précaut
ois suivie de récidive. De même que dans les observations d'Erb les attaques dyspnéiques apparurent subitement au milieu d'u
i- tation. Il en résulte que chez l'homme, un très petit nombre d' attaques épileptiformes tiennent à une intoxication de ce
latation pupillaire surtout il gauche. Le cinquième jour vingt-cinq attaques convulsives, qui persislent pendant une semaine
e nouvelles recherches, mais un fait est certain c'est qu'avant les attaques l'urée était éliminée en quantité insuffisante.
SOCIÉTÉS SAVANTES. 407 restreignant la durée, et prédisposant à des attaques congestives; celles-ci ont été observées dans 5
vé la combinaison des convulsions épileptiques dues à l'alcool et d' attaques hystériques. Les premières disparaissent par l'
térie traumatique une dose minime d'alcool parait faire avorter les attaques hystériques. Au point de vue du traitement, on
ilepsie. Le médecin-major dans son rapport certifiait l'existence d' attaques graves et fréquentes suivies d'une longue pério
illes hystériques qui,à lasuite d'un viol, voient au cours de leurs attaques se dérouler la scène du viol. M. Pick rappelle
veurs. Convulsions trois jours après la naissance. Au onzième jour, attaque apoplectiforme avec paralysie du côté droit. Le
res a trait soit à des dangers qui menacent l'existence, soit à des attaques contre l'honneur du patient, soit à des idées d
67 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
au Dieu sauveur tout-puissant, semble préserver la personnalité des attaques du démon. Les individualités ne sont plus entam
en clinique n'avait pu les révéler. La maladie avait débuté par des attaques épilepti- formes avec convulsions localisées au
avec convulsions localisées au bras et à la jambe gauches ; ,; ces attaques , d'abord simples, s'accompagnèrent plus tard d'ap
les muscles. Elles préoccupent beaucoup plus les malades que les attaques caractérisées et, comme celles-ci, s'améliorent p
ement. Les asiles de la Seine n'ont naturellement pas échappé à des attaques dont la vio- lence exagérée a été heureusement
ature dans les accès épileptiques, les vertiges épileptiques et les attaques h ? lsléro-épilepliques. Volume in-So ùe \)6 pa
t mort jeune par accident. Sa mère est très nerveuse, elle a eu des attaques de nerfs, elle a une sorte de paralysie du bras
flexe anal.' SOCIÉTÉS SAVANTES. -157 Dans l'hystérie, pendant les attaques , ainsi qu'en dehors des attaques le phénomène f
157 Dans l'hystérie, pendant les attaques, ainsi qu'en dehors des attaques le phénomène fait constamment défaut. Il en résul
ire est normal en dehors des crises, permet d'écarter l'hypothèse d' attaque hystérique et pourrait, dans un cas douteux, se
erte a éclairé cette question et rendu effective la thérapeuthique. Attaques de som- meil, fugues, vagabondage ; troubles di
atteinte d'abord'd'hémiplégie droite avec aphasie. Dix mois après, attaque convulsive suivie de mono- plégie gauche, de pa
tpellier). L'hémorragie cérébrale ne se marque pas toujours par l' attaque d'apoplexie brutale. En dehors des cas où elle pe
description. D'après lui, en dehors de la modalité progressive de l' attaque qui en est le caractère distinctif, il semblera
paludisme peu sévères. Le 3 janvier 1892, cette femme présente une attaque avec para- lysie du côté droit. Insuffisance ao
de connaissance ; enfin' le seul symptôme de début peut être une attaque de paralysie qui disparaît rapidement. L'absenc
r, trois jours pan exemple après la disparition rapide d'une légère attaque de paralysie du début, se produire brusquement
riode prodromique très prolongée et progres- sivement aggravée de l' attaque d'apoplexie. Il est à remar- quer en effet qu'à
l'attaque d'apoplexie. Il est à remar- quer en effet qu'à côté des attaques d'apoplexie ordinaires avec ictus instantané, i
mbre, portant une bougie à la main ; comme elle était sujette à des attaques d'épilepsie, on suppose qu'elle est tombée et q
ATHOLOGIE NERVEUSE. 315 Il s'agit en réalité non d'une narcolepsie ( attaques de sommeil) mais d'une somnolence permanente; d
arante-neuf ans, ayant eu sept semaines avant la mort, à la suite d' attaques congestives prédominant à gauche, une hémipa- 3
la malade, atteinte de névrite parenchymatellse subaiguë (troisième attaque , à la suite des couches) greffée sur le terrain
persistante (syphilis ? ). Quinze jours après les couches, première attaque hystérique Dix-huit mois plus tard, deuxième at
ches, première attaque hystérique Dix-huit mois plus tard, deuxième attaque . A partir du printemps 1898, les accès se répèt
l'intelligence est intacte. Jusqu'au 9 décembre, la malade eut six attaques . A partir de ce jour survient une série d'accès
ion physique. Pas de convulsions. - Intelligence normale. Début des attaques en octobre. 1897. - Affaiblissement simultané
ade ci treize ans. Traitement médico-péda- gogique. Disparition des attaques . - Amélioration progressive de l'elat intellect
Mère « névropathe des plus accentuées », sans cependant avoir des attaques de nerfs. Caractère peu commode. Morte onze jours
ontrariété, au moindre ennui (leçon non sue, devoir non fait) a des attaques de durée variable; en a eu jusqu'à neuf par jou
t à bégayer et le bégaiement ne disparut qu'à la réapparition des attaques . Dans l'impossibilité de garder plus longtemps l'
se, la marche, tendance à se voûter. Lorsque Gabriel a eu plusieurs attaques consécutives, il marche les cuisses serrées l'u
Volonté plutôt active mais facile à entraîner. Description d'une attaque . Gabriel est debout adossé au cham- branle d'un
sser la main entre le sol et les fesses de l'enfant. A mesure que l' attaque se continue, la face tout en restant con- gesti
estent immobiles même si on fait passer un objet devant les yeux. L' attaque proprement dite a duré dix-huit minutes. Puis G
e tétaniforme en même temps que la face reprend la physionomie de l' attaque . Les bras restent quelques secondes raides mais
aux scolaires et manuels, traitement moral. ' Février. Le 10, trois attaques . - Le 13, une (décrite ci-dessus). - Le 14, tro
- Le 14, trois Le i 5, deux. Le 17, deux. - Le 18, deux. Toutes ces attaques ont présenté les mêmes caractères que celle du
ieu des secousses tétaniformes qui marquaient la seconde phase de l' attaque , nous constatons après plusieurs cris de joie a
e qui lui donne l'angoisse de J'étouffemenl. Quelques heures après, attaque . Le 2-1, deux attaques ; elles se sont succédée
se de J'étouffemenl. Quelques heures après, attaque. Le 2-1, deux attaques ; elles se sont succédées à une demi-heure d'in
te, etc. Il fait les mouvements d'une personne qui se défend et qui attaque , les poings sont fermés, l'avant-bras replié su
tantôt la frayeur, tantôt la colère ; il ne bave plus. La deuxième attaque a présenté les mêmes caractères en raccourci; d
é les mêmes caractères en raccourci; durée, dix minutes. Le 28, une attaque ; dans la période de résolution, Gabiiel tout e
obstacle s'oppose à leur contact. - Toutes les fois qu'il y a eu attaque dans la journée, la nuit l'enfant est très agité,
régulièrement que le permet son état. Mars. Même traitement. - Onze attaques en tout. Durée moyenne quatre minutes. La rigid
ge caractérisé par la fixité du regard, durée dix secondes. - Le 5, attaque complète durée vingt minutes. -- Le '1, sommeil
ge, et, tout nous permet de croire qu'il y a eu guérison, car les attaques n'ont pas reparu depuis mai 1898. REVUE D'ANATO
anément atteintes, quoique dans leur trajet intramédullaire. Cela n' attaque pas l'opinion, d'après laquelle la substance gr
ubarbe, ou un peu d'aloès. La codéine est encore indiquée quand les attaques sont accompagnées d'une extrême irritabilité so
des troubles intellectuels, tels que du délire, qu'on peut, avant l' attaque , rattacher, comme l'étourdissement, à l'is- ché
, démence absolue, avec persistance des troubles hallucinatoires et attaques épileptiformes fréquentes. Mort dans le coma vi
a paupière supérieure). En octobre 1893, la malade meurt dans une attaque apoplectiforme. L'aulolJsie montre un vaste foy
Dans le premier cas, il s'agit d'un officier chez qui, après des - attaques de choléra est survenue une atrophie du membre su
contractions de l'estomac, de l'intestin et de la vessie pendant l' attaque d'épilepsie ; par W. Ossipow. (Nell1'olog. Cen-
d'absinthe cultivée. Enregistrement des phéno- mènes : 1° Pendant l' attaque , il se produit des contractions sto- macales, i
près. 2° Celles de l'estomac se montrent dans environ 50 p. 100 des attaques ; elles se limitent principalement au cardia et
le, du gros intestin et de la vessie sont un accident constant de l' attaque d'épilepsie : a) celles du jéjunum commencent à
lepsie : a) celles du jéjunum commencent à la période clonique de l' attaque , un peu après la cessation des convulsions des
aussi après la cessation de toutes les contractions produites par l' attaque d'é- pilepsie, a lieu, dans la majorité des cas
- sécutives à l'ablation de la zone motrice de l'écorce pendant l' attaque d'épilepsie; à la section transverse du tronc du
l'estomac, aux intestins, à la vessie, observés dans le cours de l' attaque produite par l'influence du REVUE DE PATHOLOGIE
entre cortical de l'estomac, de l'intestin, de la vessie, mais de l' attaque elle-même qui apparaît comme résultant d'une ex
t placés ; 7° L'asphyxie, qui se montre continuellement pen- dant l' attaque d'épilepsie, est une cause adjuvante des contrac-
abdomen, de même que l'intestin et la vessie se contracte pendant l' attaque d'épilepsie : 9° L'émission de l'nrine et des m
émission de l'nrine et des matières fécales, si fréquente pendant l' attaque , résulte a la fois de ces contractions et de la
riés et les contractions stomacales, intestinales et vésicales dé l' attaque ; les unes et les autres dépendent de la zone m
cordes vocales. P. Keraval. LX. Paralysie radiale consécutive à des attaques d'épilepsie ; par Adlku. (Neu2'°loy. Centralbl.
, les contractions violentes et soudaines des mus- cles pendant une attaque convulsive paraissent aptes à déterminer la com
donc la paralysie du radial est-elle néanmoins rare à la suite des attaques d'épilepsie ? C'est que, probablement, pour qu'
ration, quand, pendant la nuit du quatrième jour, il se produit une attaque d'épilepsie corticale; brusque rotation de la t
et de la face du côté droit, perte de connaissance; stertor. Trois attaques de quelques minutes entre chacune desquelles le
rin- cipales des sciatiques sont-prises. P. KERAVAL. 1.Y\III. Des attaques épileptiques et épileptoïdes revètant la forme
e ou à l'état d'accès complèlementautouomes, qui alternent avec les attaques d'épilepsie. Il est plus rare de voir l'angoiss
mptôme le plus essentiel de la névrose épileptique ; en ce cag, les attaques d'épilepsie proprement dites diminuent nettemen
s antiépileptiques. On les observe parfois encore dans le cours des attaques congestives épileptiformes de la démence paraly
enne, hémiplégie, hémianopsie, amaurose, ralen- tissement du pouls, attaques apoplectiformes, elc. La lenteur du développeme
générale de la sclérose en plaques. La méningite peut expliquer les attaques épileptiformes ou apoplectiformes, assez fréque
n'avait jamais présenté aucun symptôme de dérangement cérébral, son attaque l'avait pris si subitement qu'il ne pouvait guè
dans l' -, par Ossipow, 488. Paralysie radiale consécutive il des attaques cI ? par Aduler ? 1tJ. Accès teianoiaes dans n -,
Des fractures sponta- nées pendant les accès -, par Charon, 484. Attaques - forme d'angoisse, par de liechterew, 500. E
68 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
troubles fonctionnels liés aux affections nerveuses : chorées, tics, attaques convulsives, anesthésies, contractures et parésie
re. Mlle J..., 16 ans, vient me consulter le 26 avril 1895 pour des attaques cataleptiques qui datent de quatre mois et qui on
es dans la première enfance ni au moment de la formation. La première attaque , survenue il y a quatre mois, a coïncidé avec la
Trois jours après le début de cette douleur, est survenue la première attaque suivie depuis d'un grand nombre d'autres, 4 à 6 p
attaque suivie depuis d'un grand nombre d'autres, 4 à 6 par jour. L' attaque est caractérisée par la perte à peu près complète
raideur complète et générale, avec tresmus, pâleur de la face. Les attaques durent 5 à 6 minutes et elles sont souvent suivie
sieurs reprises de la demi-perle de connaissance et même une fois une attaque , parce que j'avais insisté sur le toucher. Cett
e qu'elle entend ma voix. De plus, elle a la même douleur et autant d' attaques . L'idée me vient que son état maladif étant la ca
sa mère m'apprend avec joie que sa fille n'a plus eu de douleurs ni d' attaques . Dans la quatrième séance je renouvelle dès le
aucune atteinte de ce terrible mal. » C'est une de ces guérisons d' attaque hystérique par l'imposition des mains, comme en s
'Evénement a pris texte de cette communication pour formuler diverses attaques contre M. le professeur Bernheim, lui reprochant
° 0. Novembre 1895. ACTION I? HI?I? 01R ? DE LA VOLONTÉ sur les attaques d'épllepsie (') Par M. le D' Ph. TIS8IÊ, de Bor
is jusqu'à ce jour que la volonté n'a aucune action inhibitoire sur l' attaque épileptique, celle-ci étant, comme on l'a déjà di
plète de ce qu'il avait fait ou dit dans l'intervalle. Cette première attaque est suivie de plusieurs autres pendant un mois, c
t l'esprit et que, malgré sa banalité, X... sent devoir provoquer une attaque . Cette idée s'impose, elle grossit peu à (1) Tr
sité même de cette seconde idée d'origine volitive ne provoque aucune attaque , alors qu'il n'en est pas de même de l'idée patho
crise. Un jour étant en voiture et conduisant, il sentit venir une attaque , il était assis auprès du cocher, sa mère était p
les rênes. Huit mois après, il dit avoir été atteint d'une première attaque pendant la nuit, entre une heure et deux heures ;
, mais l'état d'accès est si profondément établi qu'il fond les trois attaques en une seule. Après être reçu, il se rend à la ca
l de la Robine et tenait le gouvernail ; tout à coup, sentant venir l' attaque , il eut le temps de diriger l'embarcation vers la
il y a coïncidence régulière entre toute fatigue et la production des attaques . Le traitement polybromuré à haute dose, qui a ag
sans antécédents nerveux notables, la malade est brusquement prise d' attaques d'hystérie. Ces attaques apparaissent tous les de
notables, la malade est brusquement prise d'attaques d'hystérie. Ces attaques apparaissent tous les deux ou trois jours. Trois
skia Viede-mosti, déclare, sans vouloir se justifier et méprisant les attaques , que, s'il a fait une communication de ce cas int
mmeil impératif dans lesquels on voit des malades, pris de véritables attaques de sommeil, s'endormir subitement, au milieu de l
i accidents nerveux, qui, pendant plusieurs mois, était sujette à des attaques de sommeil qui la prenaient tout d'abord à des in
tique, j'eus la bonne fortune de diminuer d'abord la fréquence de ses attaques de sommeil qui s'élevaient à deux et trois par se
pêtrière, atteinte pareillement, dans les derniers temps de sa vie, d' attaques de sommeil, et dont j'ai eu l'occasion de faire l
ditaires et personnels névropathiques, est atteinte, à la suite d'une attaque apoplectiforme, d'hémiplégie droite ou plutôt d'h
au plus haut degré, pleurait et sanglotait comme un enfant. Puis je m' attaque à la jambe inerte, qui se met à fonctionner ; bre
ouvrière. ?. l'âge de vingt ans et trois mois, elle a eu une première attaque d'cpilcpsie, qui depuis s'est répétée tous les de
pilcpsie, qui depuis s'est répétée tous les deux à trois mois. Chaque attaque est suivie de stupeur, puis d'un délire qui dure
i a laissé un léger degré de surdité. Elle a été témoin de toutes les attaques de sa sœur, qui l'ont profondément impressionnée.
895, exactement au même âge de vingt ans et trois mois, elle a eu une attaque épileptiforme qui s'est répétée, depuis plusieurs
Le second frère des deux malades, né en 1871, ayant assistéà une des attaques épileptiformesde sa troisième sœur, eut à son lou
ne des attaques épileptiformesde sa troisième sœur, eut à son lourdes attaques de tout point semblables à ces dernières. Nous
serrées, perte do connaissance, mouvements cloniques, amnésie après l' attaque }. Plus tard, il apprit à se masturber et il s'y a
d'une autre cause, la tension neurique dépassera un certain degré, l' attaque comitiale éclatera rapide comme l'éclair. Au ré
un exemple de la puissance inhibitoire de la volonté du sujet sur les attaques diurnes de cette névrose. X..., en effet, sans
résiste, il ne veut pas tomber et il ne tombe point. Dès sa première attaque , à l'âge de cinq ans, alors même qu'il ignore le
s cloniques, et, à son réveij, il est amnésique : c'est donc bien une attaque d'épilepsie qu'il a eue. Plus tard, il résiste
éagir, le malade, livré au sommeil, n'est plus maître de l'exercer, l' attaque a lieu complète, sans entrave, et encore a-t-il p
individus, ne sont pas autre chose qu'une inhibition matérielle de l' attaque . A la dernière réunion de la Société d'hypnolog
lui enjoignit de dormir pendant ces huit jours et de ne plus avoir d' attaques ;la malade, en état de somnambulisme, mangeait, bu
ne influence cachée l'ayant poussée à ne pas se laisser endormir, les attaques anciennes ont reparu. Le mieux était dû évidemm
été trop forte, et la détente se sera-l-elle produite, comme dans ces attaques d'épi- lepsie et d'hystérie, où l'on diraitqu
353, à propos de paralysies et de névrites, suites de quatre grandes attaques apo-plectiformes : « la suggestion contribue dans
tion hypnotique Par le D' Auguste Voisin. Etat de mal hystérique. Attaques coiivulsives. Hallucinations et délire. Troubles
.., âgée de 14 ans, m'est amenée par sa mère le 29 mai 1895, pour des attaques convulsives qui lui reviennent très fréquemment,
ment, pour de la céphalée et pour du délire qui surviennent après les attaques . Cet état a débuté, il y a trois ans, par des cto
oduisaient d'une façon continue. Deux jours après, elle a été prise d' attaques caractérisées par la perte presque complète de sa
ranglement, le tout durant de dix à trente minutes. Elle a cinq à six attaques semblables par jour. Ce matin, elle en a déjà eu
attaques semblables par jour. Ce matin, elle en a déjà eu deux. Ces attaques se produisent en dehors même des époques. Etat
relatives à son état et en particulier à son hypéres-thésie et à ses attaques . Le 31 Mai. Elle a déjà été hypnotisée 3 fois,
aques. Le 31 Mai. Elle a déjà été hypnotisée 3 fois, elle n'a eu ni attaques , ni étouffements, et elle ne manisfeste que quelq
e la séparation avec lui, qu'elle tomba dans la rue dans une première attaque de nerfs. Je dois ajouter que depuis son mariage,
; elle les entendait proférer des menaces contre elle. La nuit de l' attaque de nerfs qui éclata à la Charité, elle fut prise
née qui suivit. 11 fut placé dans un asile et, là, il eut plusieurs attaques d'hystérie. J'eus recours à la suggestion et pa
n de la volonté sur la circulation, 316. Action inhibitoire sur les attaques d'épilepsie. par Tissié, 129. Affections mental
éricaines, 318. Epilepsie (action inhibitoire de la volonté sur les attaques d'), par Ph. Tissié, 129. Etres fantastiques et
69 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de.,Bright, met en premièret;ligne4des,variétés,de ces troubles, l' attaque plus ou.'moins soudaine,de,stupeur qui} peutàè,
cinquante-deux ans dans un état de somnambulisme,' terminé par des attaques d'hystérie. Le souvenir de la fugue et de la jour
«f» "" 1 · -1 ? ,, .i,tù,n^, nmbo^m^ *»<2"l>. En septembre, attaque .de. dysenterie qui,fait.faire à,la paralysie de
VANTES. jours on redescendit aux chiffres qui étaient notés avant l' attaque congestive. r Wt > » ! '* ' - ; - 1 1 il z
ttaque congestive. r Wt > » ! '* ' - ; - 1 1 il z A la suite d' attaques d'épilepsie grave, il'y a d'ordinaire augmen- t
" prenant depuis onze ans du bromure, a, une demi- heure avant `une attaque graver un poids spécifique de 1,067 une proport
Falret a observé aussi plusieurs cas d'aura visuelle précédant une attaque d'épilepsie. Un malade, qui avait eu sa première
dant une attaque d'épilepsie. Un malade, qui avait eu sa première attaque à la suite de la morsure d'un chien, voyait ce mê
e et n'avait aucun rapport avec la frayeur. M. JORFROY. Pendant l' attaque il a parlé à sa fille; on ne peut donc considér
e; on ne peut donc considérer le mutisme comme pathognomonique de l' attaque d'épilepsie. Quelques-uns ne peuvent répondre p
coup rata ; mais le len- demain le sous-officier avait une première attaque d'épilepsie. Les auras qu'il eut, par la suite,
douleurs dans les reins. Il y a dix-huit mois, il paraît avoir une attaque épileptiforme sans perte de connaissance (mouve
nts dans le côté gauche de la face et dans le bras du même côté), l' attaque a duré environ dix minutes et presque aussitôt
la parole embarrassée. (Il y a six mois, au mois de mai), nouvelle attaque épileptiforme (côté gauche), sur le boulevard H
était très emporté s'adoucit un peu plus tard. En 1889. Première attaque caractérisée par des contractions spasmodiques
hasie, parésie du bras gauche ayant duré un quart d'heure. Deuxième attaque en 1890; de la même nature. Troisième attaque e
art d'heure. Deuxième attaque en 1890; de la même nature. Troisième attaque en 1891 ; commencement. Quatrième attaque en ma
la même nature. Troisième attaque en 1891 ; commencement. Quatrième attaque en mai 1892. Jamais de troubles digestifs ni d'
arche de la maladie. 23 octobre 1892. Cette nuit le malade a eu une attaque épileptiforme sans morsure de la langue, ni mic-
flexe plantaire. Le malade est arrivé à cet état graduellement sans attaques congestives ni épileptiformes dans ces derniers
e dix à vingt minutes. Les excitations fortes engendrent de grandes attaques d'hystérie, mais on les suspend en frottant légè-
pend en frottant légè- rement les globes oculaires. A la suite de l' attaque , il y a mutisme hystérique de quelques secondes
e primitif revêtant la forme de mélan- colie ou de manie. Snell l' attaque et montre qu'il existe une paranoïa primitive,
ni troubles des sens spé- ciaux.Les malades eurent leurs premières attaques après la soixante- treizième année. (British Al
ments choréiques, tremblements, certaines amnésies et aboulies, les attaques , les crises de somnambulisme, les troubles vasc
de l'hystérie. Qu'on ait affaire à un spasme, à une idée fixe, à l' attaque ou au délire, tous ces troubles paraissent résult
a eue à faire de l'hystérie une folie. On trouve d'ailleurs dans l' attaque d'hystérie des troubles délirants qui appartienne
lie et de l'hystérie. SOCIÉTÉS SAVANTES. 225 C'est dans la grande attaque que les troubles délirants se mani- festent ave
ent dans un monde imaginaire. La quatrième et dernière période de l' attaque porte le nom de période de délire. C'est assez
tions déli- rantes sont le phénomène capital. A côté de la grande attaque avec toutes ses phases, il existe des formes in
a des délires simulant des délires d'autre nature. Le délire de l' attaque d'hystérie est généralement passager; il suppri
supprime ce qui reste de conscience au malade dans l'intervalle des attaques . Mais cet anéantissement de la conscience ne s'ob
es formes vraiment accusées de délire. On a expliqué le délire de l' attaque en l'envisageant comme un rêve qui se repro- du
oins impressionné la malade. Lorsque ce rêve a lieu (au moment de l' attaque ) il absorbe à son profit toute l'activité cérébra
amène chez d'autres malades des paralysies, des contractures ou des attaques . Pour en finir avec les troubles mentaux qui ress
tions provoquées par le rêve qui représente la phase délirante de l' attaque , sont assez accusées pour qu'au premier abord o
tres carac- tères, autorise à considérer comme des équivalents de l' attaque hystérique, on en voit d'autres d'une durée de
s qui se relient étroitement soit aux concep- tions délirantes de l' attaque , soit à des idées fixes ou à des rêves. Mais in
que qu'aux accidents qui se rattachent ou dérivent directement de l' attaque d'hystérie complète ou fruste ou d'une autre mani
lui rapporta bientôt vivant. Trois jours après elle eut une grande attaque d'hystérie convul- sive suivie d'une scène de d
'accident et parfois le souvenir de la scène déterminait une grande attaque d'hystérie suivie d'un délire tou- jours identi
t sauf, souriant et bien portant. L'effet fut des plus heureux. Les attaques convulsives et délirantes disparurent très rapi
tu n'es pas blessé ; tu l'as échappé belle ! 1 » Débarrassée de ses attaques , la 'malade conservait un certain nombre d'acci
t sujette à des rechutes. Et l'on voit fréquemment, après plusieurs attaques de manie aiguë rémittente, l'affection passer à
ues. C'était la présence d'une anesthésie qui disparaissait après l' attaque , j'ai eu l'occasion d'observer des cas semblables
nombre d'accidents ner- veux : crises et hoquets, quintes de toux, attaques syncopales, etc.; mais ces accidents n'autorise
orter la conviction. Personne ne conteste aujourd'hui que certaines attaques d'hystérie ne puissent être remplacées par des
acées par des crises de manie qui constituent une forme fruste de l' attaque . Il s'agit seulement de savoir si les accès de ma
roduit par l'éther ou le chloroforme, dernière période de la grande attaque ), il faut joindre un certain nombre d'états frust
L'épilepsie, cette grande névrose à paroxysmes, peut accoler à l' attaque , en dehors des accès maniaques ou mélancoliques
n organique du coeur, 3; phtisie pulmonaire, 4; fièvre typhoïde, 1; attaques subintrantes d'épilepsie, 3; cancer de l'utérus,
plu- sieurs religieuses débutèrent déjà dans la maladie, par des attaques plus ou moins complètes, s'accompagnant de vomis-
riaient plus ou moins, , BARBE BUVÉE. 509 suivant les sujets. Les attaques avec perte de connaissance, parfois accompagnée
et à com- mettre toutes sortes d'excentricités. D'autres fois les attaques prenaient le caractère léthargique, comme chez
on des assistants. - Les contractures diverses qui accompagnent l' attaque hys- térique et persistent même parfois, en deh
nt l'attaque hys- térique et persistent même parfois, en dehors des attaques , donnent également l'explication scientifique d
nt pendant le voyage : peut-être avait-il eu à ce moment une petite attaque apoplectiforme. Amélioré, il retourne à Lama- l
e à déterminer rétrospec- tivement. Jusqu'à il y a six mois, plus d' attaques . Depuis cette époque, elle s'est trouvée mal se
us comme atteinte d'anesthésie généralisée. Elle a d'autre part des attaques plus ou moins intenses, mais toujours du même t
ac- tères. Cette amnésie s'est montrée le 26 mai à la suite d'une attaque survenue dans l'après-midi, au retour de quelques
ograde de quelques heures, comprise entre la venue du gendarme et l' attaque . Cette période rétrograde comprend même quelque
salle, sur ses voisines, sur ce qui se passe autour d'elle, sur ses attaques et leurs particularités. Elle a une notion et u
s son sommeil natu- rel et le revoir tout le temps à chacune de ses attaques . C'est d'ailleurs ce que nous avons pu constate
son père, de son émancipation. Et dans la période délirante de son attaque , c'est l'hallucination visuelle du gendarme qui
ure les particularités, lorsqu'un jour, au lendemain d'une violente attaque , nous répétons cette expérience de la même faço
égère amélioration dans l'état mental, jusqu'à ce qu'une nou- velle attaque , en rappelant le délire, vint tout remettre en
dale d'où les vertiges et tintorius. Le traitement préconisé pour l' attaque consista en bromure de lithium, colchique et sa
LOGIE NERVEUSE. 393 avec purgatifs (calomel). Dans l'intervalle des attaques paroxys- tiques la quinine et la pilocarpine. A
eux aussi, durée plus longue de la maladie, rareté plus grande des attaques congestives, explosion plus précoce de la malad
s'est contenté de se défendre, dès maintenant il se lève, prêt à l' attaque . Les modes de réaction varient, en effet, avec
Excédé enfin par ces continuels outrages, le délirant chro- nique attaque à son tour : dans la rue il frappe un passant q
'accident, alors qu'il était encore à Saint-Louis, il aurait eu une attaque de nerfs, caractérisée par du tremblement et de
e- vomissements, d'étouffements avec tremblement, d'une véritable attaque de nerfs. Il urine souvent un litre par miction.
de rapporter l'histoire est in- contestablement un hystérisque. Ses attaques , son hémianes- thésie, etc., nous dispenseront
ue. Il fait expressément remarquer que trois de ces malades ont des attaques convulsives, hystériques, tout au moins chez l'
de l'affaissement des muscles de la mimique et du squelette, des attaques épileptiformes. Or ceci n'existe pas dans leb for
a- niaque des épileptiques et les équivalents psychiques de leurs attaques convulsives puissent être tenus pour de la confus
70 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
is ans, s'y marie en 1895. Peu de temps après a coup sur coup trois attaques épileptiformes. Grand fumeur, il ne fait aucun
génitaux : il présente un tic de la mâchoire inférieure, depuis ses attaques . A la suite de sa vie errante où il a dilapidé
nait en courant dans mon cabinet. Je crus que son mari avait eu une attaque . Non, mais depuis un instant elle se sentait mo
e en plaques. P. KERAVAL. IV. De l'immobilité des pupilles dans les attaques hystériques; par Karplus. Ueber PU}Jillellsta1'
éré et Pausier) ont admis comme démontré qu'il n'y avait pas dans l' attaque hystérique d'immobi- lité des pupilles, et que
l'immobilité des pupilles est un symptôme observé dans les grandes attaques hystériques, et qu'on ne peut utiliser ce signe
et l'immobilité des pupilles dans les deux premières périodes de l' attaque ; l'immobilité pupillaire a été noté en outre d
de l'attaque ; l'immobilité pupillaire a été noté en outre dans des attaques hystériques non convulsives, z / , REVUE DE PAT
sujets, sans que la conscience fitt profondément troublée (petites attaques avec troubles respiratoires, etc.). On peul s'é
ute, on avait l'idée pré- conçue que l'immobilité des pupilles et l' attaque hystérique étaient deux manifestations de natur
endant rien qui empêche de considérer les troubles pupillaires de l' attaque hystérique comme un phénomène cortical : -. la
chez les malades de 11Z..Ianet : phénomènes d'aboulie, idées fixes, attaques de délire, etc. ; il n'y a pas eu chez lui ces
d'un homme atteint de syphilis cérébrale chez qui à la suite d'une attaque épileptiforme suivie de délire hallucinatoire p
ques sont niés. Dans toutes les observations, sauf la septième, les attaques avaient commencé dès l'enfance : dans celle-ci,
a paralysie progrès sive des aliénés et la démence secondaire, sans attaques d'épilep- sie. Dans la dernière, la corne faisa
dance à diminuer plutôt qu'a augmenter. Dans l'un des cas ce fut l' attaque convulsive qui permit de faire le diagnostic. L.
sort réservé à sa propo- sition'. R. DE 111oscnavE CLAY. VI. Une attaque d'épilepsie (status epilepticus) suivie au bout d
épilepsie (status epilepticus) suivie au bout de six semaines d'une attaque de chorée, chez une malade atteinte de folie- p
este diminuée. 11 est parfaitement établi,10 que pendant et après l' attaque , l'am- nésie et la dysphasie sont bien accusées
athématiques ; mais sa vie intellec- tuelle est interrompue par une attaque d'aliénation mentale, pour laquelle il est enfe
dence d'un grand génie. Suivant l'expression du Dr Dumas, après son attaque de manie de 1 826, ilcôtoya la folie ; et si par
'hygiène et par son régime mental, il réussit à éviter une nouvelle attaque , il resta sujet à des crises nerveuses intenses
étiologique est souvent difficile. Dans l'automatisme hystérique l' attaque est rarement ou même jamais, de courte durée. E
hystérique. Le malade peut se rappelercequi s'est passé durant son attaque , ou s'il y a amnésie, il est possible de retrou
y a amnésie, il est possible de retrouver l'histoire complète de l' attaque par l'hypnotisme. Ce dernier caraclère a une impo
puberté, la déviation conju- guée des yeux dans l'une au moins des attaques ; l'inconscience REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.'
asie temporaire, paralysie et paresthésie, peut un jour avoir des attaques convulsives jacksonniennes. L'auteur donne, de ce
urvint chez une petite fille de onze ans. Quelques semaines avant l' attaque de cécité elle se plaignit de douleurs sus-orbita
us en avons observé un cas chez une vieille femme, à la suite d'une attaque apoplectique. La paralysie de la 3e paire était
brale. Le diagnostic de siège fut fait d'une part par l'existence d' attaques partielles du côté droit d'autre part, par la p
présente une jeune fille qui, à la vue d'un incendie, a été prise d' attaque convulsive hystérique. Depuis lors, chaque nuit
s analogue d'oedème bleu du pied chez une hystérique qui, après ses attaques convul- sives, présentait des hémoptysies. M.
enon, elle prit dans l'hospice des crises d'hystérie à la vue d'une attaque présentée par une jeune femme de ses compagnes.
s les maladies du faisceau pyramidal; par exemple, au début d'une attaque d'hémiplégie avant l'établissement du réflexe rot
généralement sont : au point de vue physique : la céphalalgie, les attaques hysté- riformes ou épileptiformes, les états ca
peut voir de même dans la période prémonitoire du délire aigu des attaques hystéri formes ou épilp.ptifo1'1nes. Audemard a c
nution de la résistance de la peau et, finalement, au cours de l' attaque extatique, l'écoulement sanguin si ardemment dési
même à doses modérées peut conduire à l'alcoolisme. L'alcoolisme attaque le buveur non seulement dans sa personne, mais
de cette affection une entité morbide distincte. La périodicité des attaques , la paralysie motrice flaccide, la perte des ré
te de troubles sensitifs,et la santé parfaite dans l'intervalle des attaques rendent très caractérisque le tableau clinique.
re périodique,, survenant dans premières périodes de la maladie.Ces attaques de cécité sont secondaires, et durent de quelqu
obre 1900.) La perte du langage survenait tantôt après une sérieuse attaque du grand mal épileptique, d'autres fois après u
sérieuse attaque du grand mal épileptique, d'autres fois après une attaque de petit mal, quelquefois indépendamment de tou
après une attaque de petit mal, quelquefois indépendamment de toute attaque convulsive. Dans ce dernier cas, une forte sugg
Jeune fille de v ingt-deux ans, faisant remonter sa maladie à une attaque de grippe, survenue il y a quatre ans, à laquelle
ns les Archives de neurologie, le malade est mort après une série d' attaques épileptiformes et que les lésions macroscopique
des nouveau-nés, maladie bleue, urémie, intoxication alcoolique, attaques d'apoplexie, etc., et il insiste sur ce point que
nostic n'était possible que depuis peu de temps. Ce malade ayant eu attaque apoplectilorme, on prit alors sa température re
prononcer sur l'existence ou la nou-existence d'une grossesse, je m' attaque aux vomissements et - au ptyalisme. Cette fois
époque, il eut un ictus avec symptômes épileptiformes. Une deuxième attaque épilepti- forme survint dix-huit mois après, à
il avait continué son état de marinier. Pendant l'année 1857, les attaques épileptiformes se renouvelè- rent presque tous
e d'aliénés. Depuis 1861 il n'a plus eu, jusqu'à cette admission, d' attaques convulsives. A son entrée à l'asile de Dijon, o
habitude, se tient plus difficilement sur ses jambes. 6 décembre. Attaque épileptiforme avec perte de connais- sance, res
tiforme avec perte de connais- sance, ressemblant entièrement à une attaque d'épilepsie ordi- naire. 15. Deux attaques épil
emblant entièrement à une attaque d'épilepsie ordi- naire. 15. Deux attaques épileptiformes. 16. Il ne peut plus se tenir de
uses. La maladie a débuté à la suite d'une violente émotion par des attaques épileptiformes, qui ne se sont compliquées de d
rielle pré- sentait une marche plus ou moins définie. Au début de l' attaque , à la période d'agitation et de troubles mentau
dinairement un très mauvais signe; mais il y a des exceptions, et l' attaque d'épilepsie peut quelquefois au contraire être
l'absence de tonicité ' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 413 dans les attaques , la brièveté du stade tonique par rapport au st
e la lune, des époques menstruelles, des saisons, sur le nombre des attaques épileptiques, et enfin sur le traitement. R. de
abalistique permettant à cette persé- cutée de se défendre contre l' attaque de l'esprit du mail ». Enfin, dans quelque cas
fements, sans ver- tiges, sans cri, sans pertes de connaissance, ni attaques de nerfs. Il semblait littéralement asphyxié Al
si typique de Watson, cité par Briquet : une jeune femme, après une attaque d'hystérie convulsive, perdit la parole et rest
pendant quatorze mois.' Durant ce temps elle n'eut pas de nouvelles attaques convulsives et jouit d'une parfaite santé. Un s
six ans, héréditairement prédisposé à la folie, ayant déjà eu des « attaques » sur la nature desquelles il n'a pas été possibl
comprises et bien estimées permettraient aux intéressés de parer l' attaque ; 6° Des mesures préventives devraient s'occupe
ntage d'un cas de démence épileptique bien que la malade ait eu des attaques con- vulsives, car les accès se sont surtout mo
d'une partie du lobe frontal, cette tumeur n'a donné lieu qu'à des attaques épileptiformes ne présentant aucun carac- tère
s de la corne d'Ammon dans l ? par Borozdine et Lioubimow, 121. Attaque d'- suivie de chorée dans une folie perpuérale
par IIunerford, 414. Hystérique. Immobilité des pupilles dans les attaques -, par Iïarples, 39. Sein -, par Lannois, 355.
ue dans les fonctionnelles, par Heil- bronner, 516. Puerpérale. Attaque d'épilepsie sui- vie de chorée dans la folie -,
olie -, par Easterbrook, 133. Pupilles. Immobilité des dans les attaques hystériques, par Karples, 39. QUEUE DE cheval
71 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
maladie de coeur, est morte subitement. t. Un oncle est mort d'une attaque d'apoplexie. Boul... a eu 5 soeurs. L'ainée, 33
90. Elle avait été bien por- tante jusque là et n'avait jamais eu d' attaques de nerfs. En août 1890, elle commença à souffri
ns l'intervention d'une pareille cause, il apparut dans une au- tre attaque semblable à celle que j'ai décrite des taches éry
exceptons l'anorexie complète pendant tout le temps que persista l' attaque fébrile et douloureuse. La langue fut toujours
ances devint dans la suite durable et la malade fut guérie. IV. L' attaque convulsive qui se produsit dans l'année 1885 et q
a dernière forme. Dans les trois cas, les femmes n'avaient pas eu d' attaques convulsi- ves antérieures; les phénomènes de la
ermittente, du type tierce, qui dépassa en général 41°. Pendant les attaques , elle fut en proie à des phé- nomènes subjectif
ile, ni souffrance générale, mais en pré- sence d'une malade dont l' attaque a commencé avec une fièvre de nature dou- teuse
'affirmer que l'anu- rie est d'origine fonctionnelle. Après celte attaque , il n'y eut point de rétablissement aussi franc q
maintint pendant un court intervalle, un mois environ, simulant une attaque de rhumatisme articulaire. Au troisième jour de
, elles cédèrent facilement à la suggestion. Vers la fin de cette attaque , des taches congestives petites et irrégulières-
ique le fait soit rare, la maladie est quelquefois précédée par des attaques convulsives plus ou moins répétées (cas de Bour-
ux dans la famille. Mère âgée de 33 ans, nerveuse, coléreuse; pas d' attaques de nerfs. Elle a trois frères et une soeur en b
membres, manger ou même s'as- seoir. A deux ans et demi première attaque de convulsions ; durée de neuf heures du matin
du matin à quatre heures du soir ; quinze jours plus tard nouvelle attaque . De- puis lors les attaques se sont renouvelées
u soir ; quinze jours plus tard nouvelle attaque. De- puis lors les attaques se sont renouvelées tous les mois ou toutes les s
se- maines. Leur durée n'était alors que de quelques minutes. Les attaques arrivent toujours de grand matin : la malade devi
s laissait échapper de l'urine. Elle ne se mord jamais la langue. L' attaque est pré- cédée d'une aura consistant eu tremble
st bien net à cet égard, vers ]'age de sept ans son malade a eu une attaque de paralysie infantile, caractérisée par de viole
du temps il laisse écouler sous lui l'urine et le matières fécales. Attaques épileptiques et apoplectiformes. Convulsions. L
thétose double s'installe dès les premières années de la vie. Les attaques apoplectiformes s'observent surtout dans l'âge mu
la différence. Chez un de mes malades l'affection a débuté par une attaque apoplectiforme au dire de la mère. L'attaque apop
ction a débuté par une attaque apoplectiforme au dire de la mère. L' attaque apoplectiforme sur- vient aussi dans la période
u de temps après, en faisant un pont de bateaux, il eut sa première attaque , et tomba il l'eau. Il serait resté sans connai
deux jours. Il fut ré- formé, bien qu'il n'eut pas eu de nouvelles attaques au régiment; il supportait d'ailleurs mal le ch
enir. Quant il fut rentré dans sa famille, il fut pris de nouvelles attaques , qui tantôt revenaient tous les quinze jours, t
idue tout entière ». De plus, le grand- père paternel aurait eu des attaques convulsives sur la nature desquelles nous somme
e, âgé de 23 ans, le début des accidents avait été marqué par une « attaque » suivie de troubles urinaires ; puis le rachis
s la maladie deDubini, les secousses im olontaires s'accompagnent d' attaques convulsives, laissant après elles un certain de
Une seule fois, à la suite d'une contrariété, elle a eu une légère attaque de nerfs avec perte de connaissance. Depuis d
olique. Mère hystérique, issue elle- même d'une mère présentant des attaques convulsives. La mère du malade est de plus boss
de l'hémianesthésie gauclie sensitivo- sensorielle ; il a eu trois attaques revêtant le type classique ; la première il y a
étose double. La grande chorée se présente sous forme de véritables attaques , lesquelles sont pro- voquées par certaines inf
'excitation de zones hystéro-frénatrices. , Dans l'intervalle des attaques , les malades sont dans l'état normal. Les secou
é des cas il n'existe pas de perte de connaissance au mo- ment de l' attaque de chorée rhythmée. Cependant l'attaque d'hystéri
nnaissance au mo- ment de l'attaque de chorée rhythmée. Cependant l' attaque d'hystérie avec perte de connaissance peut revê
, loin d'être con- tinues et permanentes, surviennent seulement par attaques . L'attaque de tétanie commence d'ordinaire par
con- tinues et permanentes, surviennent seulement par attaques. L' attaque de tétanie commence d'ordinaire par certains sign
té de ces convulsions Ioniques est très considérable. La durée de l' attaque est tantôt de quelques minutes, tantôt de quelque
rsure de la langue, sans miction in- volontaire. La première de ces attaques a eu lieu il y a trois ans, avant la pleurésie,
cessé d'exister un seul ins- tant. N'a pas eu de convulsions, ni d' attaques d'épilepsie. Pas de causes occa- sionnelles con
veux. Mariée à 20 ans. Père mort d'une chute d'un arbre. Mère d'une attaque d'apoplexie avec paralysie droite en 11 jours.
elle n'a jamais été impres- sionnée), pas d'oedème des pieds, pas d' attaque , pas de syncope. Accouche- ment à terme naturel
pètrière, en même temps qu'étaient nettement établies les lois de l' attaque hystérique et les formules presque mathématique
. « Pas n'est besoin pour l'affirmer de trouver tous les stigmates; attaques , points hystérogènes, (1) Société médicale des
quelles les accès de délire alternaient avec certaines phases de l' attaque hystéro-épiteptique. Mais tous les cas ne son
s grande mo- bilité de symptômes, une moins grande prédominance des attaques et des stig- mates soma tiques (Burnet, thèse 1
éral moins complète et moins bruyante que l'hystérie juvénile ; les attaques convulsives y sont moins fréquentes et moins nett
u longtemps l'idée que c'était de la simulation, que les prétendues attaques d'hystérie étaient des farces ». Ainsi, après W
de l'hémiplégie spasmo- dique infantile, il nous reste à signaler l' attaque convulsive du début, l'arrêt de développement a
nfantile que le phénomène initial semblait être le plus sou- vent l' attaque éclamptique. L'hémiplégie hystérique peut aussi d
e second. Enfin, si on était en face de troubles intellectuels et d' attaques comitiales, ce qui se présente seulement dans l
ôpital, Adolphe T... a dû garder le lit et il a été pris chez lui d' attaques convulsives généralisées, se ré- pétant cinq ou
racture disparut comme par enchante- ment, à la suite de la seconde attaque apoplectique; la paralysie était de nouveau fla
t de vue pathologique, est des plus intéres- sants. Il présente des attaques de sommeil d'une forme spéciale et nons ne saur
du système nerveux. (1) Parmentier, De la forme narcoléptique de l' attaque du sommeil hystérique, Arche- ves gén. de méd.,
72 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
eune homme grand et vigoureux ayant présenté depuis son enfance des attaques ressemblant à celles du petit mal. Il fut pris
a raideur de la nuque avec opisthotonos, et, dans quelques cas, des attaques épilepti- formes, des ictus cérébelleux, des pa
des macula, perte de l'orientation. Mort dans le coma à la suite d' attaques nombreuses. A l'autopsie on constate une scléro
non plus parler de « grand mal » ou de « petit mal » non plus que d' attaques légères ou graves. Dans un cas comme dans l'autre
ifs, dits de décharge, dominent la scène en apparence au début de l' attaque , ils n'en constituent pas le phénomène initial.
es) et une excitation afférente purement mentale peut provoquer une attaque d'épilepsie. L'au- teur estime que les troubles
as, aucune amélioration, ni passagère ni permanente; dans 8 cas les attaques ont diminué de fréquence et de gravité, mais l'
YCHOLOGIE Séance du mardi 17 mai 1904. - Présidence DE M. Voisin. Attaques de pseudo-épilepsie guéries par la suggestion hyp
Y (de Saratow). - Une femme âgée de vingt et un ans a de fréquentes attaques convulsives. Son pariétal droit pre- SOCIÉTÉS.
. grâce à la sugges- tion hypnotique, faire cesser complètement ces attaques ; celles-ci étaient donc de nature hystérique et
ue, souffrait d'une douleur permanente à l'épaule et chacune de ses attaques convulsives était précédée de l'exaspération de
leur. J'ai supprimé cette dernière par suggestion et, dès lors, les attaques ont complètement disparu. , M. Voisin. - Je soi
idents ; enfin la toxicité s'élève considérablement aux moments des attaques épileptiques et des accès de polypuée.. z BIB
le. REVUE D'ANA1'( 'AT110L0GIQUES. 153 Genèse de l'épilepsie. - L' attaque est l'expression directe de l'an- crage de la t
sang sont de faible quantité, on a l'état de mal épileptique et les attaques d'épi- lepsie sllbintmntes; l'épuisement des ce
HRISTIAN. - Les fractures spontanées ne sont pas rares au cours des attaques épileptiques, non plus que les fractures par ac
et voit jouer Faust. A la suite de cela, elle présente des séries d' attaques hystériques avec délire hallucinatoire en rappo
déjà tous les défauts de celui de la dégénérescence mentale, qu'il attaque . MM. Colin, Pactet (de Villejuif) sont bien par
d'habitude, les obsessions d'habitude et aussi les insomnies et les attaques d'habitude. Les insomnies d'habitude sont très
sent les fonctions nerveuses en rendant l'habitude de dormir. Les attaques d'habitude se rencontrent très fréquemment aussi;
ÉTÉS SAVANTES. nerveux prédisposé, du même phénomène (qui est ici l' attaque ) provoqué une première fois par une cause tangi
une guérison définitive. L'auteur rapporte des cas d'insomnie et d' attaques d'habitude. Un moyen épilepto-fréazateur héroïq
eur héroïque. M. CaocQ. - Autant il est unanimement reconnu que les attaques d'épilepsie précédées d'aura peuvent être quelq
e laléro-station gauche, paraît capable non seulement d'arrêter les attaques . mais encore d'en diminuer la fréquence et l'in
is jusque-là vigoureuse et bien portante, est tout à coup prise d' attaques épileptiformes, de vertiges, nausées, vomissement
e paralysies, de sueurs hémilatérales, de fièvre. Le second jour, 3 attaques . Le troi- sième, 23 attaques, obtusion croissan
atérales, de fièvre. Le second jour, 3 attaques. Le troi- sième, 23 attaques , obtusion croissante, déviation alternative des
itabilité de la région corticale motrice du cerveau à la suite de l' attaque d'épilepsie ; par \ ? P. Ussrovr et E.-S. BORIS
ajorité des cas, il y a hyperexcitabilité. 2° Immédiatement après l' attaque , la région en question est un peu plus excitabl
son exagération. Généralement, l'hyperexcitabilité qui succède à l' attaque se continue pendant soixante-dix à deux cent cinq
elle s'accroît ' mais alors moins notablement qu'après la première attaque et pour peu de temps. 5° Parfois, après la dimi
espond pas rigoureusement à l'hyperémie corticale : à la suite de l' attaque , la pression du sang tombe dans le cerveau, cel
er le mouvement d'une extrémité par le centre psychomoteur, après l' attaque d'épilepsie, on a besoin de moins rapprocher les
s de nature hys- térique, qui sont parfois même intimement liés aux attaques d'hystérie habituelles. Il est des cas où l'o
il la patiente rie aux éclats, pleure; elle a eu aussi une violente attaque d'hystérie en dormant. Règles très irrégulières;
ouvent le diagnostic de l'hystérie ne se fait que par l'existence d' attaques antérieures, de syndromes convul- sifs antécéde
mples. 4° D'ordinaire inopinés, ils succèdent le plus souvent à une attaque d'hystérie, à un choc psychique; ils surviennen
bl., XX, 1901.) Une très belle observation montre qu'à la suite d' attaques con- gestives le paralytique général peut perdr
fondeur est indépendante du trouble de la conscience consécutif à l' attaque congestive et de l'affaiblissement mental. Elle
te synergie ne se développe que plus tard. P. Keiuval. XXXVIII. L' attaque convulsive de toux hystérique; par ADaDIE ET Gr
'il s'agit là d'une toux de nature hystérique. On retrouve dans ces attaques de toux les trois pério- des : préconvulsive, c
ion de convulsions myocloniques qui n'étaient associées ni avec des attaques congestives épiteptifonnes, ni avec des attaque
ociées ni avec des attaques congestives épiteptifonnes, ni avec des attaques congestives apoplectiformes. Le diagnostic de p
ens dans la zone motrice corti- cale. Bechterew a déjà noté que les attaques congestives épilepti- formes des paralytiques g
éningo-encéphalique n'est pas tou- jours suffisante pour prévenir l' attaque d'épilepsie nous est fournie par l'action même
cette exaltation est bien accusée par la plus grande fréquence des attaques au moment des règles chez les épileptiques, et
es règles chez les épileptiques, et l'on sait aussi que la première attaque d'épilepsie éclate presque toujours à une époqu
nt de l'écoule- ment des règles et sur la plus grande fréquence des attaques au même moment ? Mais on oublie, en faisant cet
ilep- tiques continents, constituent un signe avant-coureur d'une attaque d'épilepsie. , Les bains un peu prolongés, l'ex
on de l'at- taque convulsive. On oublie trop qu'il y a, à côté de l' attaque convulsive, avant elle, des troubles de l'intel
éjà assez nombreux où il a suffi pour faire disparaître les grandes attaques d'épilepsie. Mais il ne donne parfois que des r
de douze en douze heures, et, bientôt, non seule- ment les grandes attaques d'épilepsie devenaient plus rares, mais les tro
'une femme de quarante et un ans ayant éprouvé, il y a six mois une attaque apoplectique à la suite de laquelle la jambe et l
ulsions de l'enfance, elle était, en outre, sujette à de nombreuses attaques d'épilepsie. Ce n'est que cinq ou six ans après
e cette observation, elle pré- sentait certains jours de nombreuses attaques d'épilepsie; il nous parait intéressant de dire
parait intéressant de dire ici quelques mots de l'influence de ces attaques sur le mérycisme. Au moment même de l'attaque, to
e l'influence de ces attaques sur le mérycisme. Au moment même de l' attaque , tout phénomène était naturellement suspendu, m
nnelle où une dépres- sion et une exaltation se réunissent dans une attaque d'une cer- taine durée laquelle se répète plusi
r à des revendications passionnées de la part des familles, à des attaques de journaux, poursuites contre les médecins, etc.
tante ma- lernels, décédés/de maladie inconnue, n'auraient pas eu d' attaques . Deux frères et une scc2cr, bien portants, sobr
sommeil est bon, sans rêves, ni cauchemars, ni accès de cris; pas d' attaques de sommeil, pas de somnambulisme. Très peu de m
de Romberg. Depuis lors, affaiblissement intellec- tuel progressif Attaque apoplectiforme et embarras de la parole. Mélang
on sanguine. , 1 Chez une femme de 33 ans, frappée subitement d'une attaque épileptiforme, nous avons observé une série de
eur de la nuque, signe de Kernis, vomissements, fièvre (38° 6). Les attaques épileptiformes se répétèrent avec une grande fr
la méningite tuberculeuse qui débute parfois chez l'adulte par des attaques épileptiformes. Or l'autopsie montre un foyer d
ervice le décubitus gauche pendant toutes les crises d'épilepsie. L' attaque est toujours plus courte dans cette attitude. F
De l'- de la région corticale motrice du cerveau à la suite de l' attaque d'épilepsie. par Ossipow et Borischpolsky,-325
la - chez les nerveux, par Schnyder, 246. Suggestion hypnotique. Attaques de pseudo-épilepsie guéries par la , par Viaz
système nerveux, par Gallavardin et Savy, 482. Toux hystérique L' attaque convul- sive de -, pat Abadie et Grenier cie
73 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
poussait quelquefois l'irritation si loin qu'il avait de véritables attaques de nerfs, pendant lesquelles il se roulait par
ment. Mais, au mois de septembre de l'année 1879, il fut pris d'une attaque de rhumatisme articulaire aigu généralisé. Il e
tèrent de la matière la plus vive. Il se déclara aussi une nouvelle attaque de rhumatisme articulaire, mais elle ne dura qu
meuble ? imprimant au canon des directions diverses, ripostant aux attaques , et, trahis- lsànt'sa satisfaction quand, feign
ons; 'dans lesquelles' les malades1 présentèrent °denvéri- ,tables' attaques épileptiqùes ' ou' des1 attaqûêV blnleptlformes ;
sonnelle;'dont le trait-le plus saillant est la suspension par. une attaque [de (goutte desophénomènes de'mérycismerl9 : )
mme de,1 quarante-huit1 ans ayant.- d'abord pré- sen ? lll1Q légère attaque apopleclifoI'lllo passagèro ; cinq ans après, à
manière passagère, puis d'une manière définitive ; il survient des attaques convulsives. L'odorat, le goût diminuent et dispa
t d'épui- sement complet, deux ans après l'apparition des premières attaques êorivulsi'Í'èsi et' quatre ? ans'après le début
es du côté de l'oeil chez les-hystéro-épilepfiqttes, soit pendant l' attaque , soit en dehors de l'attaque. [Société de Biolo
-hystéro-épilepfiqttes, soit pendant l'attaque, soit en dehors de l' attaque . [Société de Biologie, 29 octobre 1881, et Archiv
Publié in extenso 2; , ' ' ' ' ? ' ' , 30 Eickholdt. Pathogénie des attaques de paralysie dans les mala- dies mentales. Sera
à, une lésion 1 1 , .11 sont-les nausées et les vomissements, les attaques hystériques ou les phénomènes sensitifs de l'hyst
e service de M. le professeur CHARCOT le 23 mars 1882, affectée d' attaques d'épilepsie partielle gauche. L'attaque commenc
23 mars 1882, affectée d'attaques d'épilepsie partielle gauche. L' attaque commence toujours par une aura sensitive (dou-
de trépidations, avec abduction consécutive du pied. A la suite des attaques , la face se couvre de sueur; il ne se produit j
se produit jamais de perte de connaissance ni pendant, ni après les attaques , qui sont sui- vies d'une paralysie flasque du
as toujours constante, mais qui survient surtout après les crises d' attaques multiples. Cette paralysie se mani- feste égale
e produit un intervalle de trente à quarante-cinq minutes entre les attaques , la paralysie faciale disparaît ; mais celle des
des membres du côté gauche persiste pendant toute la période des attaques pour ne cesser que quelques jours après la fin d'
r ne cesser que quelques jours après la fin d'une de ces périodes d' attaques convulsives. La première attaque a eu lieu à l'
la fin d'une de ces périodes d'attaques convulsives. La première attaque a eu lieu à l'âge de cinq ans, sans pro- dromes
e période de calme de huit mois. A cette époque, nouvelles séries d' attaques , à la suite des- ENCÉPHALITE PARENCHYMATEUSE. 2
rièro où elle est restée deux ans. Pendant ce temps, trois séries d' attaques , avec six mois d'intervalle entre chacune d'ell
es. Étant sortie, elle a, pendant quatre mois, une nouvelle série d' attaques de même force et de même fréquence. A l'âge de
t oscille de 37° à 37 ? 3 pour s'élever à 38°,5 et 39 ? pendant les attaques . : La dernière série d'attaques a commencé à la
'élever à 38°,5 et 39 ? pendant les attaques. : La dernière série d' attaques a commencé à la clinique, le 19 octobre 1882, p
ations terrifiantes. Du 29 au 30 octobre, la malade a eu cent seize attaques diurnes et cinquante-huit nocturnes. Le 5 novem
de la langue )).- Mère, quatre-vingt-deux ans, bien portante, pas d' attaques de nerfs. Grand'mère maternelle, morte paralysée.
, actuellement convalescente d'une fièvre typhoïde ; elle n'a pas d' attaques , mais est très nerveuse et se trouve quel- quef
proie dès l'âge de neuf ans à des accès d'épilepsie, ainsi qu'à des attaques choréiformes se montrant à des intervalles assez
, XXXVIII, 2 et 3.) La révulsion exercée sur le crâne pendant les attaques apoplec- tiformes ou épileptiformes qui menacen
elle utile ? L'auteur prétend avoir obtenu des améliorations dans l' attaque même (six observations), avoir réussi à reculer
ée pendant vingt et un jours en état de mal épileptique et dont les attaques ont atteint le chiffre énorme de 8,000, malgré
gle. Dans l'épilepsie, la température s'élève ! davantage pendant l' attaque . Peut-être s'agit-il là d'acci- dents hystériqu
t d'autant plus urgent que les médecins aliénistes très injustement attaques , à ce propos, l'ont été avec une telle apparenc
pas de la tonicité musculaire (Wernicke). Immédiate- ment après les attaques d'épilepsie grave, les muscles sont flasques, ,
tés psychiques étaient demeurées absolument intactes à la suite des attaques décrites, il faut rejeter l'idée d'at- taques c
stérique, puis nous avons passé en revue les diverses périodes de l' attaque , avec les modifications qui s'y introduisent pa
z une autre malade, au contraire, hystérique avant l'opération, les attaques disparurent après l'ex- tirpation de la thyroïd
émoigne sa sur- prise de voir ses vêtements mouillés. Plus tard l' attaque s'accompagne de violentes con- vulsions et G...
S. 339 pour cause d'épilepsie. Un phénomène singulier pré- cède l' attaque , c'est une saveur âcre, un goût de sang; cette
rale sur laquelle frappe d'abord la dé- charge épileptique. Après l' attaque , G... reste habi- tuellement hébété, il se bros
ui. Il est bon de noter que, sous l'influence des bro- mures, les attaques sont actuellement plus rares. L'é- pilepsie ne
saurait être mieux caractérisée : hérédité directe, aura, vertiges, attaques , délire inconscient, action favorable de la méd
mère hystérique qui, à la suite d'une contrariété, eut un jour une attaque convulsive suivie de délire avec paroles extrav
mentale, un exemple de mérycisme. Le malade ayant succombé à une attaque d'épilepsie, l'on aremarqué, à l'ouverturede son
, qui se renouvelle le 2 novembre. Alors, ou cherche à conjurer ces attaques par la belladone (0,02 d'extrait environ par jo
de quoi; ne buvait pas.- Mère, bien portante, pas de migraine, ni d' attaques de nerfs. Elle était enceinte du père de notre
la forçant à garder le lit pendant deux jours. Elle n'a jamais eu d' attaques de nerfs, ni de maladies graves. [Père, mort pa
eu une ving- taine de fois environ, à la suite de contrariétés, des attaques de nerfs durant de cinq minutes à une heure; pa
ssez forte, asthmatique, facilement irritable; elle n'a jamais eu d' attaques de nerfs.-Pas de névralgies, de migraines'; var
nn,lissance à l'aide des autres sens. Les lésions, consécutives aux attaques con- gestives, portaient, soit, comme dans les
. 1), soit sur le lobe temporo- occipital (obs. II). L'ensemble des attaques dont chacune était inva- riablement suivie dans
rales comme les autres manifestations, survenues avant ou après les attaques congestives tant pendant la cécité psychique qu
e de démence ayant débuté chez une femme de vingt-trois ans par des attaques d'hémiplégie consécutive à des troubles vaso-mo
ées de nausées et de vomissements, elle eut, il y a quatre ans, une attaque de nerfs avec perte de connaissance, mouve- men
perte de connaissance, mouve- ments impulsifs et écume. Depuis, ces attaques se sont renouve- lées avec les mêmes caractères
par mois dans la der- nière année. C'est '), ]il suite d'une de ces attaques , qu'elle fut con- duite a la préfecture de poli
as dans SOCIÉTÉS SAVANTES. 415 quelles circonstances. ,Les autres attaques étaient toujours accom- pagnées de perte de con
extrordinaire ici, puisque la malade se trouvait sous le coup d'une attaque épileptiforme récente lors- qu'elle a été condu
lice. Tout le monde sait que, chez tous les épileptiques simples, l' attaque peut être suivie d'un trouble passager de la pa
aînant l'irresponsabilité. L'observation à l'asile ayant révélé des attaques de grand et de petit mal, M. Froenkel tend à cr
puyant sur des faits d'un ordre un peu différent. En dehors ne ses attaques , les épileptiques se trouvent dans des états ps
pathologique, qu'il soit permanent ou transi- toire et précédant l' attaque , cet état psychique détermine la forme du délir
74 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
100 ; albumine ; pgp très active ; congestions, agitation soutenue, attaques en se-; rie, etc.). Ces variantes de la formule
ïde notamment, j'étais persuadé que ce résultat, la suppression des attaques convulsives et des troubles psy- chiques pendan
vont se tarir, à l'âge critique, l'épilep- tique verra souvent ses attaques diminuer de fréquence et d'intensité pour dispa
t compter les goitreux, qui 108 CLINIQUE NERVEUSE. ont le moins d' attaques convulsives et que ce sont les épi- leptiques e
l, les particularités en rapport avec le sens de la chute (grande attaque ), et j'ai remarqué, par exemple, que c'est parmi
un même temps, les quatre derniers mois de z90, les moyennes des attaques d'épilepsie par groupes de malades classés d'ap
SIE : PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 109 davantage leurs attaques , à de rares exceptions près, et ils auront, j'e
désordre des actes, mobilité incons- 'cliente incessante. Quant aux attaques d'épilepsie, leur nombre mensuel atteignit pour
itre le plus volumineux avait, en ils889, 1890, ils91, au moins une attaque d'épilepsie par jour, quelquefois deux; -en 189
enait pas de bromure et n'en a pas pris ^ depuis 1889 au moins) les attaques commencent à s'espacer un peu plus, et, en 1900
de traitement médicamenteux). A côté de cette constatation que les attaques d'épilepsie sont, d'une façon générale, moins f
ique spéciale, vu d'épileptiques goitreuses en état de mal, que les attaques convulsives diminuent beaucoup de fréquence che
les troubles symptomatiques de l'épilepsie, troubles psychiques ou attaques , sont plus accentués, plus graves, chez la femm
1876, alors âgée de trente-neuf ans, atteinte d'épilepsie (grandes attaques et vertiges) avec affaiblissement intellectuel,
réquentes préoccupations hypo- chondriaques ; deux ou trois grandes attaques , au minimum, par mois et nombreux vertiges. Dim
et nombreux vertiges. Diminution progressive des petites et grandes attaques à partir de la ménopause sans le secours d'un t
incendie), atteinte d'épilepsie depuis l'âge de quinze-ans; grandes attaques autrefois fréquentes; une trentaine seulement e
tement médica- menteux, a été suivie de la disparition complète des attaques convulsives et même des vertiges. A rapprocher
ans malade ; qu'il a, au début, beaucoup engraissé ; qu'il a eu des attaques et qu'elle l'a soigné pendant trois ans comme u
i- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 145 dents paralytiques. Nouvelles attaques ultérieures suivies d'excita- tion maniaque lég
e prédispose à une psychose asthé- nique. Une deuxième ou troisième attaque de fièvre typhoïde s'accompagnent plus souvent
pu, en effet, interroger une hystérique avérée, ayant eu de grandes attaques et qui, au cours d'un voyage, fut l'une des vic
peu explosive. Pupilles dila- tées, inégales, immobiles. Nombreuses attaques épileptiformes. Gâtisme. A l'ophtbalmoscope les
qu'elles réagissent suffisamment à l'accommodation. La malade a des attaques épileptiformes très fréquentes et un affaiblissem
des mains par intervalles. Gâtisme intermittent. La malade a eu une attaque congestive suivie d'aphasie motrice qui n'a per
s.. Examen du 9 septembre 1903. Confusion mentale, demi- stupeur, attaques épileptiformes fréquentes. Il est difficile d'obt
vations' publiées par M. Ducosté dans un travail sur « Les songes d' attaque des épileptiques 1». Comme MM. Vaschide et Piér
MM. Vaschide et Piéron nous pen- sons que ces songes, dits songes d' attaques parce qu'ils se produiraient seulement pendant
onges d'attaques parce qu'ils se produiraient seulement pendant les attaques , ne constituent que des auras. Nous ne pouvons
pelle, au point de le narrer, un rêvé qu'il aurait fait pendant une attaque , au paroxysme de l'at- taque. Trois observation
des auras et que la fin du songe, la mort, est le commencement de l' attaque convul- sive, marque le début de la suspension
tte concordance habituellement signalée à l'occasion de la première attaque d'épilepsie : une frayeur, à l'époque de la pub
qui, ajoutée à celle résultant déjà d'autres causes, fait que les attaques d'épilepsie éclatent plus facilement et sont plus
qui viennent agir sur les cen- tres encéphaliques qui déterminent l' attaque d'épilepsie, ont pour premier point de départ l
orale, etc...) de l'activité encéphalique, même indépen- dantes des attaques , le terrain épileptogène serait constitué par l
vidus que l'on n'a pas encore vu tomber ou qui n'ont que de rares attaques . Ce rôle nous paraît accusé par maintes remarques
cette accumulation possible que l'on s'explique l'éloignement des attaques chez certains individus, comme on interprète la
épilep- tiques, lorsqu'on arrive à supprimer ou à éloigner leurs attaques . Les décharges nerveuses ont d'autant plus d'acti
ques. D'autre part, l'intelligence des idiots qui sont sujets à des attaques d'épilepsie, subit des modifications spontanées
passe autour d'eux et même de parler : c'est qu'ils n'ont pas eu d' attaques depuis un certain temps. Survienne une crise, e
troubles qui précèdent ou accompagnent les grandes et les. petites attaques d'épilepsie. Il n'y a donc rien là qui puisse ê
isant pour le mettre en jeu comme dans la pathogénie de la grande attaque d'épilepsie ? ' De ce qui se produit dans certa
, et de l'observation facile de troubles psychiques avant la grande attaque de l'épilepsie complète, on peut conclure que l
fet, et parfois même de beaucoup, les troubles moteurs de la grande attaque ,,confusion men- tale, ou simple, ou hallucinato
ux, troubles que l'on observe assez fréquemment et avant et après l' attaque d'épilepsie complète et qui, dans le premier ca
énomènes d'ordre nerveux qui se succèdent pour constituer la grande attaque . Ainsi, de la pathogénie que nous avons attribu
, de folie impulsive, etc..... On n'ignore pas, du reste, que les attaques convulsives sont souvent remplacées chez les épi-
iations d'un sujet à un autre de l'intervalle et de l'intensité des attaques d'épilepsie en tenant .recompte de toutes les c
ode de calme relatif, si elle ne s'est pas produite à l'apogée de l' attaque . Pendant tout ce temps, les battements du coeur
'est pas concluante. L'auteur chercha alors à déterminer le point d' attaque de ce poison hypothétique, muscles ou système ner
dies infectieuses. P. Keraval. XLV. Physiologie pathologique de l' attaque d'apoplexie; par le Dr BIET-SA1VGL. La physio
s) sont également frappés. D'après l'auteur, on ne peut expliquer l' attaque d'apoplexie, ni par la compression, ni par l'an
; presque toujours (85 p. 100) elles présentent le même type que l' attaque initiale. Dans un tiers des cas environ, la pre
que l'attaque initiale. Dans un tiers des cas environ, la première attaque ne gué- rit pas et le malade aboutit à la folie
commune; elle est souvent violente, et rappelle souvent beaucoup l' attaque d'épilepsie. La démence primitive est extrêmeme
dre le caractère et les révélations de sainte Thérèse contre les attaques de l'incrédulité. Tel a été également le but pour
s est caractérisé anatomiquement par une lésion inflam- matoire qui attaque un nombre quelconque de racines sensitives ou m
on est celle d'un vieillard artério-sclé- reux qui a succombé à une attaque d'urémie avec délire. Reste à savoir si ce déli
e coloration permet de montrer l'inanité des récentes et nombreuses attaques contre la doctrine du neurone. M. Déjerine in
rriver parfois que ces lésions musculaires se manifestent après des attaques apoplectiformes ou épilepti- formes, mais le pl
rne un peintre de quarante et un ans, non éthylique, ayant eu des attaques de coliques de plomb antérieures. Dapuis dix an
t pris de scarlatine, au cours de laquelle il eut parfois 100 à 200 attaques par jour (en tout 1.742 en dix- sept jours). Dé
éveloppement de l'oedème dans les premiers instants qui ont suivi l' attaque montre que paralysie et gonflement relèvent de
diminution brusque et prononcée immédia- tement avant le début de l' attaque , c) elle subit une nouvelle dimi- nution quand
début de l'attaque, c) elle subit une nouvelle dimi- nution quand l' attaque est terminée; cette nouvelle diminution dépend
existe une relation entre le degré de l'alcalinité et le début des attaques ; plus l'alcalinité est élevée, moins le malade
ues; plus l'alcalinité est élevée, moins le malade est exposé à une attaque , f) il est impossible d'élever ou de maintenir
it, dans les automatismes, sou- vent si compliqués, qui suivent les attaques de petit mal, et qui accompagnent le somnambuli
e motrice droite, les crises ont toujours gardé l'allure de grandes attaques généralisées sans jamais présenter le caractère
éphalo-rachidien dépourvu de germes, témoignent de l'intensité de l' attaque du virus syphilitique sur les méninges. Enfin,
75 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s grammes de bromure de potassium. Il faut savoir toutefois que les attaques d'habitude, comme les tics qui sont également d
urs. Dès lors, tout reproche provoque, non plus une fugue, mais une attaque de sommeil qui dure de 3 à 8 jours. L'attaque d
s une fugue, mais une attaque de sommeil qui dure de 3 à 8 jours. L' attaque de sommeil comporte quelques phénomènes prémoni
tre écartée. Il s'agit d'un cas qui ré- pond au type classique de l' attaque de sommeil hystérique. Les timidités. Indicatio
e un signe précurseur d'hystérie. Le rire peut précéder ou suivre l' attaque banale d'hystérie. Il peut apparaître comme réa
l peut constituer à lui seul un équivalent convulsif de la grande attaque : c'est l'attaque convulsive de fou-rire. Le rire
r à lui seul un équivalent convulsif de la grande attaque : c'est l' attaque convulsive de fou-rire. Le rire peut être provo
ns du rire, enfin par excitation de zones spasmogènes spéciales à l' attaque con- vulsive de fou-rire. Jean ABADIE. 11 ? C
cutanés se constatait etimmédiatemontct assez long- temps après les attaques . P. Keraval. XIV. De l'innervation corticale de
urs le même pour le même sujet et qui l'avertit de l'imminence de l' attaque de la né rose. VIII. Epilepsie cardiaque et phé
vent longtemps avant le développement complet delà maladie, par des attaques d'am- blyopie voire d'amaurose l'assageres qui
vive frayeur, survenue au moment de sa première menstruation, d'une attaque convulsive intense dont elle ne peut retracer ave
obligée de la reprendre et l'employa comme bergère. A la première attaque succédèrent, avec une périodicité régu- lière,
convulsives, qui se reproduisaient environ tous les quinze jours. L' attaque était annoncée par une exagéra- tion très marqu
CHEZ UNE ÉPILEPTIQUE. 173 ou trois jours. Quelques instants avant l' attaque , céphalée lé- gère, lassitude profonde ; d'aprè
pas d'émission involontaire d'urine ou de matières fécales. Après l' attaque , diminution des mouvements choréifor- mes en in
ement croissante pen- dant toute la nuit ; c'est, le prodrome d'une attaque d'épilepsie, qui survient dans la matinée du 10
Notons que cette crise in- tense est restée unique. Auparavant, les attaques se re- produisaient par séries de deux il cinq,
urs après l'accouchement. Ce n'est qu'à l'appro- che d'une nouvelle attaque d'épilepsie et la veille seule- ment, que l'agi
compte de l'exacerba- tion des troubles moteurs, prodromiques de l' attaque d'épilepsie avec une telle netteté, qu'ils perm
e durent que quelques jours ; elles représentent l'équivalent d'une attaque d'hystérie L'Ionique et rentrent dans la variét
ou mentaux. Observation V. - Cerf ? quarante-neuf ans, comptable. Attaques épileptiques depuis une douzaine d'années. Les pr
310 CLINIQUE MENTALE. , surtout à droite. Puis, peu à peu, les attaques deviennent géné- rales, plus fortes et fréquent
es troubles de circulation dus à un processus morbide artériel, qui attaque le plus sou- vent l'artère de Sylvius, sur le t
a plusieurs années. Cicatrices adhé- rentes et dépression osseuse. Attaques épileptiformes à l'asile; par- le de son accide
tstationnaire en juillet 1902. Mort en janvier 1905, au cours d'une attaque épileptiforme. Observation XVII. - welter, CI a
précédentes. 3° Il n'est pas rare de voir les migraineux avoir des attaques d'épilepsie, les épileptiques sont encore plus
ques-uns d'entre eux contiennent un excès de paraxanthine pendant l' attaque , mais comme ce phénomène n'est pas la règle et
éclara, précédée quelquefois de migraine sous l'orme d'aura avant l' attaque ; dans le se- cond cas la migraine éclatait ava
x dont la cessa- tion de la migraine coïncidait avec l'apparition d' attaques épileptiques ; dans le second cas,des attaques
avec l'apparition d'attaques épileptiques ; dans le second cas,des attaques d'épilepsie petit mal sont venues remplacer des
ès de mi- graine qui avaient disparu ; dans le troisième cas, des attaques purement convulsives se sont modifiées comme su
anifeste depuis le commencement jusqu'àla fin de la marche de leurs attaques . Toutes les deux sont presque toujours précédée
fusion des idées, etc. Tantôt les phéno- mènes désignés précèdent l' attaque , tantôt ils lui sont concomitants, tantôt ils s
éclarent tout seuls indépen- damment des phénomènes ultérieurs de l' attaque . Tou- tefois ils constituent une partie de l'at
ltérieurs de l'attaque. Tou- tefois ils constituent une partie de l' attaque et si celle-ci n'est pas toujours complète, ils
epsie. Dans le domaine moteur, il faut avant tout relever les cas d' attaques épileptiques non convulsives, et d'autre part,
a migraine joue le rôle d'aura et si l'on considère ce fait que les attaques épileptiques se bornent quelquefois à l'aura se
ux qui sont restés en vie sont tous malades nerveux ou bien ont des attaques . A l'épo- que de la dentition, notre malade fut
uvel accèsd'épilepsie accom- pagné de lueur rouge et d'amnésie de l' attaque , sauf celle de l'aura. La malade se rend compte
ie. Du reste, depuis 2 ans, elle n'a pas eu de coït, sa frayeur des attaques l'empêchant même d'y penser. ' A34 ans, un no
persistait pendant 3 à 4 secondes, et le tout se terminait par une attaque convulsive avec perte de conscience et amnésie.
un rôle considérable dans l'accès; la malade fait un grandeffort, l' attaque ne se produit pas (toutefois la malade ne saurait
evint plus calme au point de vue mental. Elle n'eut ni migraine, ni attaques d'épi- lepsie convulsive, mais l'aura seule se
n motivée. 1° Il serait impossible de considérer l'apparition des attaques épileptiques à la fin des accès de migraine com
ur rouge et à chaque approche de vomissements il se déclarait une attaque générale d'épilepsie convulsive qui comprenait
t commencé par trouver que le coït lui-même rap- pelle beaucoup une attaque d'épilepsie. Les anciens au- teurs, tels que De
il existe ou s'il n'existe pas d'analogie entre une manifestation d' attaque épilep- tique et celle des rapports sexuels. Ce
Selon eux, les rapports sexuels contribueraient à faire cesser les attaques épileptiques. Quant à Galien, il déclare que la
après son mariage. Zimmerman connut un jeune homme qui avait des attaques épileptiques chaque fois qu'il s'adon- nait à l
réditairement prédisposés à l'épilepsie a souvent déter- miné des attaques et que chez d'autres sujets, chaque coït ou sa
e chez d'autres sujets, chaque coït ou sa tentative déterminait une attaque épileptique qui obligeait à interrompre l'acte
ition de notre monographie, nous avons déjà signalé ce fait que les attaques épileptiques d'un seul et même sujet pouvaient
ster en les manifestations initiales, moyennes ou terminales de l' attaque . Néanmoins, etbien qu'elles soient partielles, ce
nmoins, etbien qu'elles soient partielles, ce sont tout de même des attaques épileptiques. Nous avons vu que les accès de no
que les accès de notre malade comprenaient aussi tantôt l'aura et l' attaque , tantôt l'aura seule. L'aura elle- même est trè
père alcoolique, dont les hallucinations prenaient l'aspect d'une attaque : croyant voir un homme tout vêtu de fouge qui
- lent courroux de l'épileptique peut déterminer l'appari- tion d' attaques épileptiques isolées. Enfin, une colère non mot
colère non motivée peut être encore le signe avant-coureur d'une attaque épileptique convulsive qui est proche. Fanier (2)
ntre leur homogénité et leur proche parenté. 3° Dans certains cas l' attaque épileptique est en connexité étroite avec l'act
à la fin du coït en remplaçant la sensa- tion voluptueuse. - 4° Les attaques épileptiques incom- plètes peuvent se manifeste
et amnésique comme en commettent au cours de ce que l'on appelle l' attaque congestive, les vieillards en enfance, les para
76 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t dits. N'est-ce pas dans l'hystérie que l'on observe surtout les attaques convulsives à caractère hystéro-épileptique plus
lsives à caractère hystéro-épileptique plus ou moins tranché 2, les attaques de catalepsie, de léthargie, de contractures, d
vaguement la recherche de l'anesthésie sensitive. Le caractère des attaques est toujours mal déterminé et très vague, ce so
des attaques est toujours mal déterminé et très vague, ce sont des attaques hystériformes, épileptiformes, etc., ou bien on
nous trouvons des convulsions toniques en opistothonos au cours d' attaques convulsives revenant plusieurs fois par jour (O
ulsives revenant plusieurs fois par jour (Obs. II de Kahlbaum); des attaques convulsives indétermi- nées (comme d'ailleurs d
le début de la catatonie qui fut d'ail- leurs suivie d'hébéphrénie; attaque convulsive avec opistotho- nos à la suite d'une
lire intense et avant le début de la catatonie (ibid. Obs. II); une attaque semblable dont la description ressemble à l'arc
ires. Père, faible d'esprit, et de carac- tère. Mère, nerveuse sans attaques , intelligence faible, tremble- ment de la tête.
le fut soignée alors comme anémique. A l'âge de vingt ans, première attaque convul- sive de caractère hystérique, puis une
roduites environ tous les mois, jamais la nuit. En plus, elle a des attaques moins fortes, incomplètes, et des vertiges. Ell
magnétisme : des pratiques ont eu lieu à l'insu des pa- rents. Les attaques cependant continuaient, la dernière eut lieu le
epris de la maladie et en mouraient ; deux succombaient, l'un à une attaque d'apoplexie survenue deux ans plus tard, l'autr
à porter un pronostic favorable ; néanmoins, après une assez forte attaque de diarrhée avec fièvre (il est à noter qu'il n
relatent que l'épilepsie s'est déclarée après une chute, et comme l' attaque elle-même produit souvent une chute brusque, on p
nser qu'ils se rapportent fréquemment à l'amnésie provoquée par une attaque épileptique dont la chute a été faussement inte
Contribution à l'étude clinique des caractères somatiques fixes des attaques rie sommeil spontané et provoquées chez les hysté
uis douze ans dans l'air comprimé. Deux années se sont passées sans attaque . Le 18 octobre 1875, après avoir déjà fait sept
des données positives : 1° si le trouble mental qui accompagne les attaques d'épilepsie exclut l'existence de toute animosi
re les impulsions automatiques soudaines qui apparaissent après une attaque ordi- naire d'épilepsie et celles qui sont exéc
es épileptiques sont fréquemment comme la manifestation psychique d' attaques inaperçues de petit mal, pouvant aisément about
ssaire à l'Etat, et nécessaire aux directeurs, qu'elle préserve des attaques et des calomnies. C'est dans son sem que le psy-
reprend sa bonne humeur, tout en restant un peu pleurard. En août, attaque congestive apoplectiforme laissant après elle des
on d'étincelles. Chez celui de 1'013SERVATION XVI, la troi- sième attaque de perte de connaissance était précédée d'étour
rigi- nales que ce symptôme a présentées. Eu effet, la pre- mière attaque de perte de connaissance, après avoir duré une
aite pendant dix minutes, au bout des- quelles survient une seconde attaque de perte de connaissance d'une demi-heure. aprè
dépassé vingtminutes, que le malade avait été pris d'une troisième attaque qui, cette fois-ci, s'était prolongée jusqu'à v
qui avaient pré- cédé quelques moments l'invasion de la troisième attaque de la perte de connaissance du malade de 1'0] !
droite. La même chose se passe à I'Observation XVI, où les trois attaques de perte de connaissance et les étourdissements
epsie PROCURSIVE. 431 de chaleur brûlante dans le corps. Fréquentes attaques d'hypé- réznie aiguc pulmonaire. Durée de l'épi
urd, incapable d'exécuter un tra- vail soigné. Il eut de nombreuses attaques d'hyperhémie pulmo- naire aiguë qui mirent souv
en danger (saignée du bras ou scarification à la lûle); c'est à une attaque de ce genre que succomba le malade, 423 PATHO
') On observe souvent chez les hystériques, à la fin des séries d' attaques surtout, des accidents procursifs, un besoin de
n de courir, mais ces accidents ne consti- tuent qu'un épisode de l' attaque et ne la composent pas tout entière, comme dans
ccès épilepti- formes dans le cervelet lésé; bien au contraire, les attaques pro- viennent toujours de la protubérance ou de
ue à l'écorce ou quand on l'excite faiblement, on n'obtient que des attaques cloniques ; un fort courant provoque, en sollic
s différences ; souvent la succession des éléments convulsifs d'une attaque est telle que, comparée à l'attaque de la moiti
n des éléments convulsifs d'une attaque est telle que, comparée à l' attaque de la moitié du corps du côté opposé, elle est
corticale, mais la transmission et la succession des éléments de l' attaque ne contredisent nullement à l'idée que l'hémisp
ssivement en 1881, du délire des persécutions hypochondriaques, une attaque apoplectiforme avec hémiplégie droite, de l'inc
e-quatre ans. Ictus apoplec- tique ; hémiparésie droite ; aphasie ; attaques épileptiformes avec convulsions cloniques de la
IlEss. (Arclt, f. Psych., XIX, 1.) Courte période prodomique : une attaque apoplectiforme suivie d'hémiplégie gauche avec
e est bien connue. Son principal carac- tère est la soudaineté de l' attaque . Il peut y avoir ou non des symptômes prémonito
cès d'épilepsie ; enfin dans l'alcoolisme. L'existence de plusieurs attaques antérieures est très importante et assombrit be
a durée. Qu'y a-t-il pour déterminer le pronostic de la durée d'une attaque ? La température donne peu d'aide, mais le poul
rapide, même si le malade est calme, il y a des chances pour que l' attaque soit longue. Le manque de sommeil est toujours
tion est adoptée. M. B.aSTr;LBEt2G. De l'anatomie pathologique de l' attaque congés- tive. D'abord la démence paralytique es
le système nerveux central d'un malade mort au cours d'une première attaque congestive brutale, M. Eastelberg ne trouve, co
encéphale ni dans la moelle, qui fournissent l'explication de cette attaque . Il n'en était pas de même du bulbe. Ici, altérat
ions ; ce sont ces oscillations géné- ralisées qui produiraient les attaques épileptiformes ; localisées, elles déterminerai
les attaques épileptiformes ; localisées, elles détermineraient les attaques apoplectiformes.1' M. Tigges. Un grand nombre d
t les attaques apoplectiformes.1' M. Tigges. Un grand nombre de ces attaques , de par leur aspect même (elles sont unilatéral
x. M. OEDEKE. Chez un malade observé par lui, à la suite de trois attaques héinilatérales caractérisées par une paralysie de
'un escroc de trente ans, qui simulait la démence consécutive à des attaques convulsives. Ces attaques, il eut soin de ne pa
qui simulait la démence consécutive à des attaques convulsives. Ces attaques , il eut soin de ne pas les avoir devant le monde
ence des .magistrats; ils répondent aussi bien que l'avocat qui les attaque ... M. DE Gwardie. C'est évident ! M. TESTEUR
sorte que les hypothèses de l'auteur concernant la pa- thogénie des attaques n'offrent qu'une valeur discutable. P. B. XV. C
ychologique (discours présidentiel de 1'), par I : ames, 1 i 1. Attaque congestivc (anatomio patho- logique de" 1'), pa
77 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
vous donc au Conseil et non à ses anciens membres. M. RouzÉ. On n' attaque pas les absents ! M. Després. Il existe encore
nous de ne pas accorder. Mais je tiens abso- lument à répondre aux attaques portées par lui contre un de nos anciens collèg
radicalement transformée. Nous serions heureux que cette nouvelle attaque de M. Des- prés provoquât de nouvelles visites
n'aurait jamais fait d'excès de boisson; il esttrès nerveux (pas d' attaques ); très doux de caractère; il fume peu ; marié à v
des faiblesses avec perte de connaissance et sueurs froides; pas d' attaques de nerfs, pas de migraines, pas de convul- sion
e à droite. [Père, charpentier, mort à quatre-vingt-deux ans, d'une attaque de paralysie gauche qui l'a enlevé en trois jou
intelli- gente, très nerveuse, pleure et rit sans motif, n'a eu ni attaques ni faiblesses; elle est mariée et a un enfant d
on. - Mère, morte en 1831, écrasée par une voiture; n'a jamais eu d' attaques de nerfs. Pas d'aliénés, ni de paralytiques, ni
ion (ses enfants sont morts les uns de la poi- trine, une avait des attaques de nerfs, un autre, qu'on appelait le lutteur,
ne »; elle est bien portante, n'est sujette ni aux migraines ni aux attaques nerveuses, elle est peu impressionnable, a eu b
la rougeole, une roséole antécédente ne pré- serve pas de nouvelles attaques ; et même, dit Borsicri, celui qui en a été aff
1877-1883). -Amélioration progressive. - Dis- parition des accès. - Attaque d'apoplexie : Hémorrha- gie cérébrale. - Sm2tôn
empérature, qui était à 37°, une heure et demie après le début de l' attaque , était descendue à 36°,2 au bout de 3 heures et
répond à une heure, - température prise une heure et demie après l' attaque ; +, ;{-> abaissement de la tempe- rature rép
euse, ménagère. Elle serait un peu nerveuse, mais n'aurait pas eu d' attaques ni de convulsions dans l'enfance; ni migraines,
ts fournis par sa mère. Père mort on 1878, à l'âge de 78 ans, d'une attaque d'apoplexie, en qua- tre jours; très grand « be
is depuis la ménopause (51 ans).-[on père est mort à 73 ans,à sa 3" attaque de para- lysie, en quatre heures; il étaitsobre
demain, il ne se rappelait pas ses promenades. En dehors de cette attaque et de celle qu'il a eue à 7 ans et demi, la mèr
sure à la lan- gue, ni d'urine dans le lit. Il n'eut pas d'autres attaques à Sainte-Anne; mais il se plaignait d'un mal de
caractère est celui d'un épileptique méchant, mais il n'a pas eu d' attaques ici;'on n'a reconnu qu'une méchan- ceté sournoi
ns divers hôpitaux. Simulation. De 13 à 16 ans, syncopes. Début des attaques en juillet 1880 (17 ans). État de mal hystériqu
mal hystérique. - Contusions. - Admission à la Pitié : nouvelles attaques . Envoi à Sainte-Anne. - Etat du malade à l'entr
résente comme ayant eu des coliques de plomb et étant sujet à des attaques de nerfs. Il raconte même avoir assisté à plusieu
agita- tion violente ; après un certain temps de calme relatif, l' attaque reprenait et ainsi de suite pendant plusieurs j
la Pitié. Comme il troublait le repos des autres malades, par ses attaques , M. Dumontpallier le fit conduire à Sainte- Ann
s qui durèrent une heure et un quart. Deux heures après la première attaque en survint une seconde, puis une troisième. De
re attaque en survint une seconde, puis une troisième. De nouvelles attaques se produisirent ainsi pendant trois jours, ne p
'influence d'inhalations de bromure ou d'iodure d'éthyle(' ? ). Les attaques ne tardèrent pas à repa- raitre, et c'est alors
itié, chez M. Dumontpallier. Là, il aurait encore eu de nouvelles attaques . C'est à cause des inconvénients résultant, pour
cause des inconvénients résultant, pour les autres malades, de ses attaques , que M. Dumontpallier se décida à l'envoyer à l
ur coustric- tivc au niveau du front au moment où il va avoir son attaque . Au-dessous des fausses côtes de chaque côté, p
un simulateur. Lui-même écrit à M. Bour- neville qu'il a simulé des attaques et de l'hélllianesthésie à Laënnec pour passer
sements. L'un de ses grands pères maternels est mort à sa troisième attaque de paralgsie. Un oncle du même côté a eu un acc
des frayeurs nocturnes et, plus tard, à la suite d'une peur, des attaques cl'hystdi-o-épilepsie. De même aussi que Sim ?
78 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
contractures : la contracture précoce se produisant au moment de l' attaque ou bientôt après, et la con- tracture tardive q
mais cet accès s'ac- compagne de cyanose et « il persiste entre les attaques un état de torpeur et d'hypothermie locale avec
suture interpariétale. Au mois d'août 1872, le malade a une seconde attaque : subitement il s'aper- çoit qu'il ne peut plus
de Gibert dans le service de Maurice Raynand. Aussitôt après cette attaque , il s'aperçoit que la vue baissait sensiblement
bles du goût ni de l'odorat. Mais, en 1872, au moment de la seconde attaque , la malade affirme qu'il avait perdu xi 8 110
hangement de 1899 à 1904 ; c'est alors que survinrent les premières attaques de toute une série; chacune de ces attaques aig
urvinrent les premières attaques de toute une série; chacune de ces attaques aiguë et douloureuse laissait après elle une au
Nous nous proposons de donner une relation assez détaillée de ces « attaques aiguës » parce qu'on né les retrouve pas ou du mo
réditaire rapportés par Milroy, Meige, Rolleston, etc. Première « attaque aiguë ». Elle survint le 19 janvier 1904 ; la ma-
peu à peu ; vers le 26 janvier elle était pratiquement guérie de l' attaque aiguë, le pudendum était redevenu nor- mal, la
a seule fois où il n'y eut pas d'élévation de température pendant l' attaque aiguë. OEDÈME PERSISTANT HEREDITAIRE 179 Se
nt l'attaque aiguë. OEDÈME PERSISTANT HEREDITAIRE 179 Seconde « attaque aiguë ». Celle-ci survint le 10 juin 1904 à 6 h
e 18 ans et qu'elle n'avait encore été menstruée qu'une fois. Une attaque courte, mais aiguë, de dérangement mental survint
ah. Ce William était atteint des « jambes enflées » et il eut des « attaques ». Il mourut en 1870. Hannah aussi eut les « jamb
Il mourut en 1870. Hannah aussi eut les « jambes enflées » et des « attaques ». Elle mourut en 1864 à l'âge de 70 ans. Elle av
nts, Eliza et Alfred. Eliza avait les « jambes enflées » avec des « attaques ». Elle se maria, mais elle n'eut pas d'enfant,
fut retenu par des bandages. A l'âge de 20 ans il eut la première « attaque aiguë », sem- blable à celles de notre malade,
- blable à celles de notre malade, et depuis il eut de nombreuses « attaques aiguës », jusqu'à l'âge de 25 ans, époque où il
et trois autres, l'une (Ellen) eut les « jambes enflées » et les « attaques aiguës » (V. ci-dessous). William n'eut pas d'o
nfant. Harriet eut dès sa jeunesse les~ « jambes enflées » et les « attaques aiguës ». Elle mourut à sa première couche et l
. A trois reprises, pendant les deux dernières années, il eut des « attaques » que nous n'avons pas vues, mais qui nous été
n'avait pas la notion de ce qui était arrivé. Il est possible que l' attaque fut de nature épileptique. La dernière fois il
PERSISTANT HÉRÉDITAIRE 187 Nous avons des renseignements sur deux « attaques aiguès » dans ses jambes ; elles furent semblab
lendemain, le malade était revenu à son état normal d'oedème, l' « attaque aiguë » ayant duré 4 jours, et ayant disparu sp
anément sans laisser après elle un surcroît d'oedème. La deuxième « attaque aiguë » qui ait été observée commença le 31 mai
était allée et l'enflure était reve- nue à son état habituel. Ces attaques sont toutes de même caractère, elles sont assez p
hes, comme chez notre propre malade. Elle eut également plusieurs « attaques aiguës », mais nous n'avons pu avoir de renseigne
étendit en descendant sur le pied et sur les orteils. Sa première « attaque aiguë » survint lorsqu'elle avait 36 ans, quinz
uinze ans après le début de l'oedème, apparemment sans cause. Les « attaques aiguës », quoiqu'elles aient été bien tardives, s
EDÈME PERSISTANT HÉRÉDITAIRE 189 guérie ; mais d'ordinaire chaque « attaque aiguë » a été strictement uni- latérale. La m
on père et sa soeur, a été sujette à ce que nous avons appelé les « attaques aiguës » ; l'une d'elles a été observée,elle comm
e 11 juillet, elle était rouge et enflée comme au commencement de l' attaque . La température de la peau rougie était de 99°
st à peu près de même importance aux deux jambes. Une semblable « attaque aiguë » survint du côté gauche le 18 juillet 19
mal jusqu'ici en ce qui regarde ses jambes, mais il est sujet à des attaques d'épilepsie. Les enfants de Bessie. Bessie, f
ANT HÉRÉDITAIRE 193 Relations entre les « jambes enflées » et les « attaques aiguës ». Avant de pénétrer plus avant dans la
s sur les rapports exis- tant entre les « jambes enflées » et les « attaques aiguës » que tous ou presque tous les malades c
ue tous ou presque tous les malades ci-dessus ont éprouvées. Si « l' attaque aiguë » avait été le phénomène primitif, il ser
aiguës » soient survenues. Par conséquent il paraît clair que les « attaques aiguës » sont plutôt des accidents concomitants
sentiels de l'eedème. Nous ne savons pas quelle est la nature des « attaques aiguës » ; nous discuterons à ce propos lorsqu'
e que, bien qu'étant peut-être un « phénomène vaso-moteur », chaque attaque aiguë a quelque point de ressemblance avec quel
nt, font penser une infection microbienne. Mais d'autre part, les « attaques » sont remarqua- blement transitoires, et elles
car aucun de nos malades n'est mort de septicémie même lorsque les attaques ont été abondamment répé- tées. En somme nous s
ndamment répé- tées. En somme nous sommes enclin à penser que les « attaques aiguës » ne sont pas dues à l'infection ou du m
est ainsi nous comprenons que l'oedème puisse exister avant toute « attaque aiguë » et même 25 ans avant elle. Par con- séq
rédisposition héréditaire si fortement affirmée, et peut-être les « attaques aiguës » auxquelles nombre des malades décrits ci
éritent des appellations propres. Il est noter que, en dehors des « attaques aiguës » nos sujets avaient un oedème des jam-
du tout de trouble géné- ral de leur santé, alors que pendant les « attaques aiguës » le désordre constitutionnel était cons
ent au cours des exacerbations de l'oedème angioneurotique. Nos « attaques aiguës » étaient si semblables aux exacerbations
la gorge, que nous sommes très portés à les appeler définitivement « attaques an51oneurotiques ». Mais nous avons évité de le
que nous ne pouvons donner des preuves absolues démontrant que nos attaques étaient bien angioneurotiques de nature. La c
le intelligence et la risée du village ; T110111a; son père, a eu 3 attaques qui ont été très semblables à de l'épilepsie ;
est d'esprit lent ; Bessie fut dipsomane ; Alice elle-même eut une attaque aiguë de manie loquace, avec du délire; son frè
jambes pâles et enflées (cela existait dans nos cas en dehors des « attaques aiguës »). 5° Absence de tout symptôme constitu
ffèrent des autres. Meige, par exemple, insiste sur l'absence des « attaques aiguës » ; elles se produisaient au contraire d
enflure par un appareil de bandes maintenues en permanence. Les « attaques aiguës » bien qu'elles paraissent dangereuses dis
sse. Cela n'a pas été le cas, et même dans une observation où les « attaques aiguës » avaient été fréquentes au- paravant, l
ursélaient qu'ils présentaient ce que nous avons décrit comme des « attaques aiguës » dont nous avons donné les détails en t
que sa taille n'augmentait plus. , Il y a dix-huit mois il eut une attaque de polyarthrite rhumatismale aiguë avec tuméfac
cer- tainement elle remontait à une époque antérieure à la première attaque de polyarthrite, car déjà depuis deux à trois a
du premier accouchement, crises éclamptiqnes. Eu mai 1901 première attaque épilepli- forme. Après avoir ressenti des tourn
es. Morsure de la langue. Durée de la crise : un quart d'heure. Ces attaques se renouvelèrent, parfois en rapport avec les r
lligence. Admission à l'hôpital cantonal 1 an 1/2 après la première attaque épilepti- forme. Etat corporel. Tête souvent
tiformes, irrégulières, 12 au total jusqu'en mai 1906. A la suite d' attaques plus fréquentes et plus intenses, avec morsures
t mercuriel. Toutefois la famille nous affirme que, dès la première attaque , la mémoire diminua ; après la seconde se montr
modifier l'étal de tension des muscles et provoquer des attitudes d' attaque ou de défense, en un mot conditionner une confi
e dressent sur la tête, jusqu'aux orteils qui se contractent pour l' attaque , tous les organes vibrent à l'unis- son et se m
En dehors des symptômes généraux de compression on peut voir des attaques convulsives généralisées ou à type jacksonien ; p
79 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
Utile, surtout. Toutes ces citations mettent à néant les violentes attaques dirigées contre nous par M. A. Després. Ces att
les violentes attaques dirigées contre nous par M. A. Després. Ces attaques ont eu un heureux résultat : elles ont hâté la
s de Bicêtre. (1) M. Roux fait allusion au projet qui nous vaut les attaques de M. Desprès. (2) Hospice de Bicêtre. - Cont
embarras de la parole. - Mort le sixième, jour après deux nouvelles attaques convulsives. M. de la F., âgé de soixante ans
. ,15 barrassa; le sixième, le malade succomba après deux courtes attaques de convulsions. Le cadavre ne fut point ouvert.
ommes observés l'un en 1822, l'autre en 1825, qui, « au moment de l' attaque ressentirent une douleur des plus vives, poussè
une certaine intensité; avant qu'elle fût réglée, elle n'avait ses attaques qu'une fois par mois ; elles se renouvelaient p
deux ou trois jours ; mais depuis que ses règles sont établies, les attaques sont plus fréquentes ; d'abord tous les huit jo
LP malade dit qu'elle est prévenue de la prochaine arrivée d'una attaque par un sentiment irrésistible qui la pousse à cou
des membres. Une de ses tantes, du côté de sa mère, a eu aussi des attaques d'épilepsie. Quant aux causes de la chorée, M.
e au milieu de la rue, éprouva au mois de juillet 1836 une nouvelle attaque de paralysie du côté gauche de la face avecpert
ut saisi et maintenu jusqu'à ce qu'il reprit sa connaissance. Cette attaque dura en- viron quatre minutes. Outre cet accè
que l'accès était passé, elle retournait à sa place. La durée de l' attaque n'excédait pas une minute et il n'y avait ni ex
Mère, morte à l'âge de soixante-dix-neuf ans, en douze jours, d'une attaque d'apoplexie avec hémiplégie gauche ; elle aurait
me de peine au che- min defer, sobre, mortà soixante-neuf ans d'une attaque d'apo- plexie en quarante-huit heures. - Mère,
. Grand'mère paternelle, sobre, morte à soixante-quinze ans d'une attaque d'apoplexie terminale précédée de deux ou trois
auparavant ; elle était vive, impressionnable, mais n'a jamais eu d' attaques nerveuses. - On n'a aucuns rensei- gements sur
bservation suivante : Observation XXII. - Fièvres intermittentes. - Attaques éclamptiques à l'âge de six mois. - Petit mal c
olentes. [Père, laboureur, sobre, mort à cinquante- neuf ans, d'une attaque d'apoplexie foudroyante en dix-neuf heures. - M
, n'est pas en enfance, travaille encore un peu aux champs, pas d' attaques de nerfs, a souvent le sang à la tête. - Quatre
urs ; tisserand, sobre. - Mère, morte à soixante-douze ans, d'une attaque d'apoplexie. - Pas de détails sur les grands-pare
inale. Observation XXVI. Mère, nerveuse. - Grand'mère maternelle, attaques de nerfs, somnambulisme, migraines. Conception
ernelle. - Oncle paternel, mort de convulsions. - Tante paternelle, attaques de nerfs et insuffisance intellectuelle. - Gran
verre d'eau qu'on lui présente, se raidit de tous les membres, et l' attaque se complète. - Le fils d'un médecin, pris à tab
nsation intercurrente de chaleur brûlante dans le corps. Fréquentes attaques d'hypé- rérnie aiguë pulmonaire. - Durée de l'é
urd, incapable d'exécuter un tra- vail soigné. Il eut de nombreuses attaques d'hyperhémie pulmo- naire aiguë qui mirent souv
en danger (saignée du bras ou scarification à la tête); c'est à une attaque do ce genre que succomba le malade. , M. Mesc
' On observe souvent chez les hystériques, à la fin des séries d' attaques surtout, des accidents procursifs, 1 Ces auteur
n de courir, mais ces accidents ne consti- tuent qu'un épisode de l' attaque et ne la composent pas tout entière, comme dans
ccès épilepti- formes dans le cervelet lésé; bien au contraire, les attaques pro- viennent toujours de la protubérance ou de
, faisait des ménages; asthma- tique, pas de maladies de peau, ni d' attaques ; n'est pas nerveuse, aucun excès. [Père, mort o
'une affection osseuse, consécutive à sa fracture. Il n'avait pas d' attaque , mais était très nerveux. 11 disait que son enf
uis sept à huit ans à des douleurs de tête; pas de migraines; pas d' attaques ; n'est pas nerveuse. [Père, culti- tivateur ; e
ions répétées. - Une soeur, morte à son retour d'âge, n'avait pas d' attaques . - Point d'épileptiques, d'aliénés, de criminels,
colique, etc.), l'affaiblissement des facultés intellectuelles, les attaques apoplectiformes qui sont assez fréquentes dans la
, fils d'une de ses soeurs, âgé de 21 ans, a eu l'hiver dernier une attaque nerveuse à la suite d'une discus- sion avec son
es passagères. Elle n'a jamais ou ni convulsions dans l'enfance, ni attaques de nerfs. Pas d'enfants avant le mariage. Elle
e, t.I,p. 125; t.II, p. 99. 260 MÉLANCOLIE DES ONANISTES. que ses attaques ont une tendance à devenir plus rares. IV. - Po
80 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
palhiqiie. Cela parait être le cas, dans la paralysie générale avec attaques dites congestives. Les attaques congestives d
, dans la paralysie générale avec attaques dites congestives. Les attaques congestives dans certaines formes reviennent, on
on le sail, par accès, ainsi que quelques monoplégies transitoires, attaques épilepli- l'onnes, accès d'aphasie transitoire,
e ; il est de provenance surtout empirique. Les analogies entre les attaques d'épilepsie survenant par accès et la migraine
une paralysie générale. A plusieurs reprises il s'était produit des attaques d'aphasie transitoire d'une durée de 5 il 10 mi
es ou quelques jours. C'est ainsi que deux jours après l'une de ces attaques d'aphasie il ne pouvait se rap- peler le nom de
paroxysmes), la marche de l'atrophie musculaire consécutive, qui s' attaque en masse à tout le membre inférieur ou à tout un
us connaissez la signification. Cette jeune fille est sujette à des attaques convulsives. Tout cela joint à l'évolution des ac
s. De plus, il a des antécédents névropathiques : sa mère avait des attaques d'hystérie. Lui-même a eu des accès de somnambu
ations de gonflement douloureux des deux seins, coïncidant avec des attaques d'hystérie. Nous ferons remarquer que l'une de se
e, un cas de « galactorrhée, datant de sept ans, alternant avec des attaques d'hystérie », sur lequel nous aurons à revenir.
pas quelques-uns des phénomènes prémonitoires ou constitutifs de l' attaque . Quel est, à cette période, l'aspect du tégumen
s lesein donné à l'enfant; cette douleur devenait le prodrome d'une attaque de colvul- sions hystériques ; c'était comme un
phiques dans l'hystérie, ce cas est d'une interpréta Lion facile. Attaques syncopales d'hystérie nées sous l'inlluence d'un
à la suite d'une sorte d'ictus qui n'est pas sans analogie avec les attaques apoplecli formes. N'est-ce pas ainsi que procèd
de sécrétion, l'innervation des vaisseaux et enfin l'eczéma si elle attaque /les centres trophiques. ' On peut accorder aux
sa profession de mécanicien, il la quitte, à la suite d'une légère attaque de rhumatisme articulaire aigu, pour prendre ce
archand de nouveautés. Jusqu'à trente-quatre ans, sauf cette légère attaque de rhumatisme, il se porte bien, ne ressent auc
hystérie. On dirait plutôt que le Convive indigne ¡cuL de tomber en attaque En tout cas, la pâleur du visage, l'abandon de
: il a représenté un possédé du diable, c'est-à-dire une phase de l' attaque hystérique. - Il lui a répugné sans doute de re
par une attitude moins désordonnée, mais non moins émouvante, de l' attaque d'hystérie. Dans cette interprétation hypothéti
orme de canitie, mais aussi sous forme d'alopécie (1). A la suite d' attaques d'hystérie, on peut aussi ren- contrer une séch
Note sur un trouble trophique des cheveux survenant à la suile des attaques chez les hystériques (C. Il. Soc. de biol., 1885,
l y a plusieurs années (1) : Ons. I. Un épileptique de 32 ans à des attaques convulsives et des vertiges depuis l'âge de 13
es attaques convulsives et des vertiges depuis l'âge de 13 ans. Les attaques se reproduisent environ une fois par se- maine,
par jour), les vertiges ont à peu près complètement disparu, et les attaques sont devenues moins fréquentes il lui arrive d'
considérable que le malade lui-même ne se l'imagine, parce que. les attaques qui autrefois étaient isolées, se montrent main-
3 jours, et incomparablement plus profond que celui qui suivait les attaques isolées. Il n'avait eu aucun accès depuis le 26
eu des convulsions dans l'enfance comme ses huit frè- res. Il a des attaques et des vertiges. Sous'l'influence de la bromurati
t jamais paru. Cette femme-enfant était hystérique, sujette à des attaques assez fré- quentes. Son état mental était res
.., est épileptique, mais on ne connaît pas la date de début de ses attaques . Une de ses soeurs est morte aliénée. Les att
e début de ses attaques. Une de ses soeurs est morte aliénée. Les attaques d'épilepsie ne sont pas fréquentes, quoique le ma
et qui pour la plupart étaient des hystériques en proie, soit à des attaques du type ordinaire, soit à des manifestations ch
irréprochable. Nous ferons remarquer, en outre, qu'en décrivant les attaques de la jeune femme qui fait le sujet de sa premi
ns nombre d'observations de la forme grave de la tétanie. Certaines attaques de contractures avec spasme de la glotte rentre
reraient donc dans le cadre de cette affection. Or, on sait que ces attaques de spasmes ont parfois un pronostic des plus gr
l était alcoolique et avait, au dire de la malade, tous les ans une attaque pendant laquelle il était comme fou pen- dant 3
des cris violents ; on ne pou- vait pas l'approcher. Pendant cette attaque , il n'avait pas d'écume aux lèvres, ni de sang
est bien portante. Cette fillette n'a jamais en de convulsions ni d' attaques de nerfs; mais elle rêve et cause tout haut la
té. Voici comment évolua cette'crise : deux ou trois heures avant l' attaque la malade se sentit mal il 'son aise; elle était
es 8, 15 jours et enfin pendant tout le 9° mois de sa grossesse les attaques disparaissent pour ne plus reve- nir. La malade
une grande, hystérique; elle a actuellement encore de fré- quentes attaques . Il a trois frères et une soeur, tous actuellemen
ssionnels. Il avoue d'ailleurs l'alcoolisme. L... n'a jamais eu d' attaques convulsives. Mais il a de fréquents étourdisse- 1
cte copie du faciès qui s'observe a certaines périodes de la grande attaque hystérique, tandis que la mimique du malade de
ce de M. le Dl Quenu à l'hôpital Cochin. La il aurait eu de grandes attaques avec perte de connaissance et mouvements désord
ques avec perte de connaissance et mouvements désordonnés ; sur ces attaques lui-même ne sait donner aucun renseignement, il
es de la sensibilité objective qui, si nous rappelons l'existence d' attaques antérieures, nous permettent d'affirmer l'hysté
nt laisser de doute, combien même on n'aurait pas le commémoratif d' attaques antérieures. Il en est de même des soubresauts
81 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l a souffert de rachitisme, mais a guéri. A trois ans a eu quelques attaques con- vulsives avec perte de connaissance qui ne
es accidents à la suite d'une sorte d'ictus, qui se rappro- che des attaques d'apoplexie, semble bien l'indiquer. CAMUSET. I
vrose d'angoisse (irritabilité, état d'at- tente anxieuse, phobies, attaques d'angoisse complètes ou rudi- mentaires, de peu
e la colonne vertébrale et au niveau de la ceinture scapulaire; les attaques cessent quand on comprime les testicules. Dimin
pérant les douleurs. Pour se mettre au lit, quand il sent venir les attaques , il fléchità peinela cuisse, s'appuie à l'aide
nt pu tolérer l'opium, cinq ont vu complète- ment disparaître leurs attaques , huit les ont vu diminuer; chez quatre il n'y a
résente cependant l'avantage d'amener un répit favo- rable dans les attaques ; 3° de plus elle calme les malades irritables
oin invincible de dormir. Comme cette femme a eu antérieurement une attaque d'épilepsie et comme on aobservé chez elle l'ap
t de travers et avec un rire niais. Deux jours après se produit une attaque apo- plectiforme avec perte complète de connais
amélioration assurée; 4° opérer de préférence les cas accompagnés d' attaques épileptiformes, de contractures, rigi- dité ou
ent du corps régulier. A trois mois première crise épi- leptiforme, attaques très fréquentes depuis lors, jusqu'à 20 par jou
satisfaction à l'opinion publique. M. ZiNN, après avoir rappelé les attaques récentes dont les asiles d'aliénés et les médec
GRAPHIE. fièrement la seconde partie de sa vie. La description de l' attaque hystérique, l'étude de l'hystérie interparoxysl
oir, un marchand de chansons esttombé sur la place Gambetta d'une attaque d'épilepsie. Quelques passants l'ont secouru et i
el ad hoc. Une jeune épileptique qui, à son entrée, avait plusieurs attaques d'épilepsie par jour et élait tombée dans un ab
a été complètement guérie. Depuis plusieurs mois elle n'a pas eu d' attaques , malgré la suppression de tout traitement. Ce cas
elle à Brancourt (Aisne), où elle passe trois mois, dit-elle, sans attaque . Mais à la suite d'une chute, l'état ner- veux
pen- dant une période d'observation de douze jours. 27 avril. Une attaque , à la suite de laquelle la main commence à enfl
nseurs. Dans la journée : T. G. 27°,8; T. D., 28°,7. 1er mai. Une attaque , après laquelle la main gauche est très peu enf
enfler de la main gauche (oedème blanc rosé), et de la face. 9. 2 attaques convulsives de suite, après lesquelles la main
in 1890) avec le diagnostic suivant : Dégéné- rescence mentale avec attaques hystéro-épileptiques graves, suivies de trouble
le 25 mars 1894, n'ayant plus dé crises depuis six mois. Ebauche d' attaque le 25 mai. Attaque complète le 18 juin, à la su
'ayant plus dé crises depuis six mois. Ebauche d'attaque le 25 mai. Attaque complète le 18 juin, à la suite de laquelle, so
e suite sans intervalle, soit une véritable 198 RECUEIL DE FAITS. attaque . Elles n'ont en tout cas aucune influence sur l'h
nose, vint nous trouver en février dernier pour être guérie de ses attaques de nerfs; elle était âgée de vingt-deux ans et av
ix-neuf ans, comme atteinte depuis longtemps d'hydro- céphalie et d' attaques d'épilepsie fréquentes, avec agitation conco- m
a donné l'idée d'une analogie possible de mécanisme avec celui de l' attaque d'épilepsie jack- sonienne ; il y a d'ailleurs
'aliénés. Durée des causes ? Le trouble actuel est-il la première attaque ou d'autres ont-elles précédé ? 1 Décrire les
u des désirs spéciaux ? A-t-on observé des signes d'apoplexie ? Des attaques épileptiques ? Les prodromes sont-ils apparus c
rois ans, trois mois ( ? ) après, gomme au front. Il y a deux mois, attaque d'apoplexie et à la suite hémiplégie droite. Dis-
orure de mercure. Le malade ayant suspendu ses injections, nouvelle attaque d'apoplexie il y a deux jours. Depuis, perte de
ales. Réflexes patellaires exagérés, les autres réflexes normaux. L' attaque convulsive du soir dure une ou deux heures. Tou
qui, six ans après avoir eu la syphilis, est pris subitement d'une attaque convulsive ; celle- ci ne laisse pas de traces.
e convulsive ; celle- ci ne laisse pas de traces. Mais une deuxième attaque survient, qui est suivie de troubles psychiques
erveuse, mais il est difficile de le démontrer. Pourtant, quand les attaques sont rares et que la pelade apparaît peu après l'
s deux, trois ou quatre mois, qui en revanche avait alors plusieurs attaques très rapprochées et très violentes, resta une f
ents qui la suivirent. L'autre patientent, après la pendaison, deux attaques de plusieurs minutes de durée séparées par un cou
endit à la tentative de suicide et aux incidents consécutifs. Les attaques observées chez le premier malade présentaient les
L'hystérie parait être en cause. Le patient a eu antérieurement des attaques paraissant de nature hystérique; il présente de
mère était toujours très nerveuse. Il y a quatre ans elle a eu une attaque d'apoplexie, et elle est maintenant hémiplégique.
père était goutteux, il est mort à l'âge de soixante-six ans d'une attaque apoplectique. La mère du malade est bien portan
l'épilepsie : la folie préépileptique, l'équivalent psychique de l' attaque , la folie postépileptique, la folie intermédiaire
l'attaque, la folie postépileptique, la folie intermédiaire à deux attaques et la démence épileptique. La folie épileptique
as de folie et il est probable que seul l'équivalent psychique de l' attaque est plus fréquent qu'on ne l'indique ordinairem
rement, cela d'autant mieux que souvent l'équivalent psychique de l' attaque se manifeste sous forme d'une perversion morale
vec déchéance (trois mois); pendant sept mois, démence progressive, attaques épileptiformes, mort rapide de pneumonie. Autop
jaunes du diamètre d'une pièce de cinquante centimes). Pendant les attaques conges- tives on constatait un nouveau symptôme
sensibilité; marche et articulation des mots assez bien conservées; attaques épileptiformes rares; démence progressive très
sie. D'une sorte DE PHÉNO- MÈNE ÉPILEPTIQUE PARTICULIÈRE; LA PETITE ATTAQUE ÉPILEPTIQUE erotique avec éjaculations; par M.
ir qu'il existe, au point de vue clinique, une forme particulière d' attaque épileptique, caractérisée par des rêves érotiqu
occupe et déprime le malade; lorsqu'on a pu gagner sa confiance, on attaque la destruction dans l'esprit du malade des conc
ccompagner de symptômes thoraciques se manifestant par des sortes d' attaques de suffocation avec anxiété précordiale, l'aute
té du pli courbe. Le début de l'aphasie sensorielle peut être une attaque d'apo- plexie, ou bien il peut être brusque san
t être une attaque d'apo- plexie, ou bien il peut être brusque sans attaque , ou encore l'aphasie s'installe lentement et pr
oliques, en revanche, il n'y a pas, à propre- ment parler, d'idée d' attaque et par suite de défense, de résis- tance. C'est
rifiantes ou consolantes; répondant au double courant antagoniste d' attaque et de défense ; les premières consistent en app
liquer, par cette hypothèse ingénieuse, l'apparition de la première attaque de céphalée, alors que le sujet ne pouvait avoi
téger à son tour. Peu après il tomba en convulsions et présenta une attaque typique d'épilepsie convulsive. Revenu à lui il
t est pas difficile de démontrer, en résumé, que le prévenu a des attaques d'épilepsie convulsives et psychiques et qu il ét
re de l'épilepsie (11tutles SUl' la physio- logie pathologique de l' attaque épileptique). Volume in-8''do 182 pages. - Prix
82 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
ant des douleurs et des haines ; celles-ci déterminent un mouvement d' attaque , aussitôt réprimé par la mise en action d'autres
résente manifestation est la meilleure réponse qu'on puisse faire aux attaques souvent formulées contre les médecins. Pour fai
yngite cause de ce symptôme paraissait avoir pour point de départ une attaque de grippe. Au bout de deux jours la toux se tra
age. Elle a eu, quinze jours avant son entrée à la Salpétrière, une attaque de nerfs dont nous n'avons pas eu les détails.
si qu'on n'a pas pu la garder dans sa pension parce qu'elle avait des attaques : elle en a eu trois. A la suite de ces attaques,
ce qu'elle avait des attaques : elle en a eu trois. A la suite de ces attaques , elle resle anéantie et ne peut rien faire. Les a
suite de ces attaques, elle resle anéantie et ne peut rien faire. Les attaques débutent par un mal de cœur, des étoufîements. El
e et une certaine sensibilité de l'intestin à la pression. En 1894, attaque d'influenza, après laquelle survient une névralgi
naît qu'ils ne se sont nettement dessinés qu'en 18S9 a la suite d'une attaque sérieuse d'influenza à forme cardio-pulmonaire. A
l'asile de St-Trond où elle est morte : elle était folle et avait des attaques de nerfs. Voilà donc un état d'inconscience, d'
e alléguée par le prévenu. Eventuellement, on aura à tenir compte d' attaques antérieures de somnambulisme. On établira soign
ement qu'on allait le toucher, tout attouchement amenait chez lui une attaque épileptique, de même que chez une personne fortem
s ; si l'excitation cutanée était plus intense, il y avait une grande attaque épileptique complète (sauf l'absence de cri initi
épendent de l'hystérie ont un début brusque et se déclarent après une attaque ou une violente émotion. Chez notre malade, au co
contraire, le début a été lent et a précédé de longtemps la première attaque d'hystérie. L'évolution est également différente
it qu'il voulait traiter « de l'état mental des maniaques pendant les attaques périodiques de folie. » La leçon fut interrompu
e semaine dans un établissement hydrothérapique pour se remettre. Les attaques devenaient plus fréquentes, il eut de l'albuminer
evenaient plus fréquentes, il eut de l'albuminerie et quelquefois des attaques de nature épileptique. C'était un bon sujet qui d
l'indication de cette méthode de traitement. Telles sont les grandes attaques convulsives accompagnées d'accès maniaques et de
petite fille tomber du haut mal ; immédiatement, elle fut prise d'une attaque qui se renouvela tous les deux jours ou quotidien
rois mois de soins (douches et bromures) que la sédation s'opéra. Les attaques disparurent pour reparaître en 1892. Elles se pré
ue, me contentant de dire que j'eus la bonne fortune d'assister à une attaque complète d'hystéro-épi-lepsie que je ne pouvais m
drothérapie et des bromures, il est satisfaisant, quoiqu'elle ait des attaques de temps en temps, environ une tous les quinze jo
. Ils se sont produits, et j'y insiste maintenant, en dehors de toute attaque . D'autre part, les lésions conjonctivales et corn
erçant la profession de brunisseur, est sujet, depuis cinq ans, à des attaques d'épilepsie, diurnes et nocturnes, qui le rendent
phalée à localisation frontale ; deux mois après, survint la première attaque convulsive. (1) Observation recueillie par M. R
années, le malade n'a jamais cessé de prendre du bromure). Avant l' attaque , L... accuse une sensation de constriction dans l
tète tournée à droite et en arrière. Après deux pas, il tombe, et l' attaque commence. Le cri initial fait défaut. Les yeux
raîtrait en même temps. Immédiatement, le nombre et l'intensité des attaques diminua, ainsi que les maux de tète, et, à partir
accès, mais bien pour guérir ; que s'il voulait continuer à avoir des attaques , il n'avait qu'à retourner chez lui ». Depuis c
'ordre médicamenteux ou opératoire ? Il n'y a pas de cris pendant t' attaque , tout au plus quelques gémissements. La durée d
quelques gémissements. La durée de ces phénomènes est variable : l' attaque à laquelle nous avons assisté n'a pas dépassé deu
evenait en courant dans mon cabinet. Je crus que M. X... avait eu une attaque . Non, mais depuis un instant elle se sentait moui
ons, et sans être ému du calme qu'il conserva au milieu des violentes attaques qui s'élevaient de tous côtés autour de lui. Et,
du point qui est le siège de la sensation anormale, peut arrêter une attaque . Ce moyen a été recommandé surtout par Odier. La
ée, ou encore la torsion d'un doigt de la main peut faire avorter une attaque . II en est de même du redressement forcé ou de la
sentaient l'aura arriver, et ils pouvaient, par ce moyen, éviter une attaque . Des flagellations, des applications d'eau froide
même résultat. Une malade de la consultation. Mme Mon..., évitait une attaque en mangeant du chocolat ou une bouchée de pain. C
romure d'éthyle, de sels anglais ont été employées pour suspendre les attaques d'épilepsie, mais ces moyens sont très aléatoires
c pas à le faire revenir à lui, à le réveiller. Le sommeil, après une attaque epileptique, est le meilleur réparateur que le ma
t abdomino-crurales. Sa sœur jumelle, pâle et chétive, a gardé, d'une attaque de rhumatisme articulaire aigu, un rétrécissement
Enfin surviennent coup sur coup, dans l'espace de six semaines, deux attaques de pseudopéritonite avec faciès grippé, pouls pet
hénomènes tels que : désagréable sensation d'éblouissement, migraine, attaques d'évanouissement ou de catalepsie, caractérisées
issait que certains malades pouvait prédire avec succès leurs propres attaques hystériques, mais il disait que, dans ce cas, la
non distinctement conçu par son esprit, peut cependant déterminer une attaque de rhumatisme. Il est possible que les passes aie
malgré cela, dit-il, me faire juge de ce que pourraient accomplir des attaques systématiques et persévérantes destinées à corrom
83 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
rouges légèrement saillantes, qui ap- paraissent avant ou après les attaques et qui persistent plus ou moins longtemps, beau
, et chez quelques-unes il se développe subitement à la suite d'une attaque et d'une émotion. Enfin, les réflexes vaso-mote
ses vêtements et dont les sueurs disparurent subitement, quand des attaques délirantes se sont développées à la suite d'une
nt des douleurs, des symptômes relatifs aux organes génitaux et des attaques particulières, c'est-à-dire en réalité à un pet
enfants, à des hommes, à des malades sans troubles génitaux et sans attaques , en un mot à un bien plus grand nombre de perso
n qu'au sujet ébloui par une fixation continue et à l'hystérique en attaque extatique. Nous ne nions aucunement que l'obser
avec des délires du contact, aux contractures des idées fixes, aux attaques convulsives certaines attaques d'idées précédées
ux contractures des idées fixes, aux attaques convulsives certaines attaques d'idées précédées d'une angoisse comme d'une au
miler entièrement t une hystérique simple avec ses anesthésies, ses attaques et ses contractures à un psychasthénique qui ne
activité. Aussi l'anesthésie est nette, l'amnésie est absolue, l' attaque et le somnambulisme se distinguent bien de la vei
est folle. Cepen- dant elle est en plein délire, depuis sa dernière attaque elle rêve continuellement que sa mère, du haut
s à la suite des autres ou coexistent, ce qui donne naissance aux attaques , aux somnambulismes,' aux actes subconscients; en
paralysie cérébrale, au contraire, est toujours une affec- tiôn qui attaque une grande partie de la périphérie, une extré-
endue et intensité qu'on ne s'y attend. Si une lésion inflammatoire attaque les nerfs spinaux ou les centres de la moelle,
et postérieures. Intégrité des nerfs périphériques. Observation Il. Attaques épilep- tiformes avec paralysie des quatre patt
'un homme ayant présenté les symptômes d'un néoplasme cérébral avec attaques d'épilepsie partielle, puis hémiplégie gauche,
vêtue de noir tomber de son haut sur le trottoir, des suites d'une attaque de catalepsie. Trans- portée dans une pharmacie
' . 't.. jJ' 11' a"' 1 L f Homme de- cinquante-trois ans.1 D'abord attaque 'apop]ectiforme;1 puis attaques épileptiformes
me de- cinquante-trois ans.1 D'abord attaque 'apop]ectiforme;1 puis attaques épileptiformes ? qui' commencent' par';le°bras' e
ec cécité psychique, . paraphasie, hémianopsie bilatérale homonyme, attaques d'épilepsie . corticale. A1'autopsie; altératio
'et trouble de la parole) : récidive il y a quatre ans ; troisième" attaque il y a trois .mois. Démence, parésiedes'rameaux
i, ,I91 'rfJ()1Tf 9a '111.I ? no- 1 ·a;r ayant succédé des séries d' attaques convulsives. 'Pup.lIIe ,gauche dilatéé ? Aüéstb
ter l'origine de ses antécédents à trois ans, époque où il, eut une attaque de astro-,r ¡I entérite. Depuis cette époque il
1 , ,i ? "» '<><( ? tnt un . 1 n,tl1 ? .. .- , Ir XXXVI. L' attaque hystérique D'APHASIE ET la simulation ; par \ ,
i - . lin 1 j 1 1,1 ., ' 1 , 1 H ! If ! 'i f '< 1 i '+ XXXIX. Attaques DE léthargie ET suggestion hypnotique; par HITZIG
u corps qui avait diminué augmente, grâce à, un fort appétit. Cette attaque dé sommeil avec les mêmes caractères revient to
" ^ Par la suggestion hypnotiquel'auleur parvint à supprimer les attaques de sommeil, mais non'les prodromes. Aussi- conclu
s attaques de sommeil, mais non'les prodromes. Aussi- conclut-il, attaques de '1 n ? nl ? P,f.dr. ? m.sj,i ? HssiSg ! J811t
ttache complètement à la doctrine de 1\1.1 Charcot et considère ces( attaques de sommeil , comme faisant partie de.l'at-, taq
endant quatre mois. Il' y a un an il commença' à tomber. 'Après les attaque spasmodiques il'resta une semaine'sans'se lever
ès les attaque spasmodiques il'resta une semaine'sans'se lever. Ces attaques se produisaient à une ou deux semaines d'interv
e année dans un profond sommeil. Suit la description d'une de ses attaques de léthargie. Un soir, Jack se, couche après son
TÉS SAVANTES. 163 aussi chez des individus n'ayant cependant qu'une attaque de folie passagère. P. K. XV. Contribution A
Au début de cette année, SOCIÉTÉS SAVANTES. 165 à la suite d'une attaque congestive grave, alternatives mathématique- me
mélancolie et de manie durant chacune un jour juste Puis, nouvelle attaque congestive, troubles trophiques, déchéance psy-
elles qui imposent la trépanation. M. PELMAN. Les toutes récentes attaques contre les aliénistes et les asiles d'aliénés.
de succomber soudainement et sans que rien ne le fit prévoir, à une attaque d'angine de poitrine. Après quelques minutes de
ès de l'École des infirmières. Nous n'en aurions point parlé si les attaques dont il vient d'être l'objet ne nous y contraig
ue) ; Hémianopsie hystérique et hémiazzesticésies toxiques (1887) ; Attaque de sommeil hystérique; Des tics et des tiqueurs
été très marquée surtout en ce qui concerne la nutrition, quand une attaque de cho- léra enleva le sujet en deux-jours; il
aire et commencement de perte de connaissance, et pour éviter une attaque épileptiforme nous le recouchons immédiatement et
ace. Le silence qui semble d'ailleurs se faire autour d'elle et les attaques dont elle a été l'objet de différents côtés, co
cuisinière, d'un naturel gai; elle n'avait jamais eu de crises ni d' attaques d'aucune sorte. ' Il y a trois mois, étant au
de quarante ans est prise subitement de maux de tête violents et d' attaques épileptiformes avec perte de con- naissance, sa
rés et inégaux, dans beaucoup de cas, ils disparaissent pendant les attaques de grand mal et parfois restent longtemps sans
et parfois restent longtemps sans revenir. En d'autres cas, après l' attaque , les réflexes tendineux sont temporairement ren
la courbe est modifié. Le temps perdu est un peu plus long après l' attaque qu'avant; mais, parfois aussi, il est ou trop a
mais, parfois aussi, il est ou trop accusé ou moindre qu'avant l' attaque . La modification des réflexes immédiatement après
eptiques, des hystériques, des paranoïaques, des déments, après les attaques épileptiformes ou apoplectiformes, le pouvoir i
remonte un peu, mais succombe au bout de trois mois et demi, à une attaque assez légère de paralysie, accompagnée d'une co
la jeune fille ressentit une telle impres- sion qu'elle 'tomba' en attaque et's'endormit. Depuis, elle- ne s'est jamais ré
de Vaucluse après un long internement. Un frère utérin sujet à des attaques convulsives, s'est volontairement noyé. Un autr
prenant l'idée ancienne de Schroeder van der Kolk qui com- parait l' attaque épileptique à la décharge d'une bouteille de Leyd
ezançon. De l'antagonisme des idées délirantes chez les aliénés : l' attaque et la défense, le bien et le mal; le dédouble-
il elle n'avait aucun sou- venir. A plusieurs reprises elle eut des attaques de sommeil variables, comme'durée, de quelques
. Or, on a pu voir combien la suggestion est efficace, quand elle attaque l'élément hystérique. Je pourrais citer bien d'
a gorge. Elle aurait eu en bas âge quelques pertes de connaissance, attaques de sommeil. " Nous trouvons donc encore là deux
er, 132; de l' - dans la paralysie générale, par Ascher, "142 ; l' attaque hysté- rique d' - et la simulation, par Ladam
8. Lésions, microscopiques par Ed. Goodall, 59.. f LÉTII IHGIE, attaques de et sug- gestion hypnotique, par Ilitzig, 1
Bechterew, 484. Suicide d'un fou, d'un enfant, 513. Suggestion, attaque de léthargie et hypnotiqtie,l'1)ar Hitzig, 148;
84 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
xie locomotrice progressive est une maladie chronique primitive qui s' attaque simultané-ment à différents points du système ner
de la déglutition. — Hoquet. — Troubles fonctionnels de la vessie. — Attaques d'épilepsie. Du pouls lent permanent. — Ralenti
sans intérêt de faire ressortir. e) Je ne ferai que mentionner les attaques d'épilepsie qui se manifestent quelquefois d'une
'altération dans un cas très intéressant de poids lent permanent avec attaques syncopales et épileptiques, publié par M. A. Rotu
ssocie sans réserve à son opinion 1. 1 Le pouls lent permanent avec attaques syncopales, apoplectiformes et épileptiformes, s'
équent, les cellules motrices, mais elle ne s'y limite point, et elle attaque aussi bien les cornes grises postérieures et les
s rapidement dans les membres paralysés et, deux mois a peine après l' attaque , les muscles, tant du membre in-férieur que du su
eu près permanentes, mais s'exaspèrent de temps à autre, sous forme d' attaque . Elles retentissent souvent dans les jointures
u'elle prédomine sur certains muscles ou groupes de muscles, elle s' attaque cependant à toute l'étendue ou à toute une partie
, la diplopie, l'embarras particulier de la parole, les verliges, les attaques apoplectiformes, les troubles spéciaux de l'intel
et station impossibles. — Évolution de la maladie. — Complica-tion : attaques d'hystérie. Historique. — Le vertige de Meniere
termit-tente qui a duré six mois. A 41 ans, R... a été saisie d'une attaque apoplectique avec perte de connaissance et accomp
é gauche. Elle n'a pas cessé depuis cette époque d'être sujette à des attaques d'épilepsie. Les membres du côté droit sont actue
ans les idées, tels ont été les symptômes qui ont suivi cette seconde attaque et ont persisté après elle. A partir de celte épo
n'a pas uriné sous lui. Sans qu'il eut repris connaissance, plusieurs attaques se produisirent, sur tous les points semblables à
que la douleur de tête, dit entre autres M. Buzzard, est associée aux attaques convulsives de la syphi-lis, elle précède en géné
lle a existé pendant plusieurs mois avant l'apparition de la première attaque » Il ne faudrait pas sans doute, tant s'en faut,
tte céphalalgie fixée sur un point et précédant pendant longtemps les attaques convulsives comme un signe carac-téristique ; on
j'émis l'opi-nion qu'il fallait procéder ici en quelque sorte par une attaque 1 « If pain in the head be associated with the
ard, il se considérait comme tout à fait guéri; que, enfin, quant aux attaques épileptiformes, elles n'avaient plus reparu et qu
t la nuit qui fut sans sommeil et durant la journée du lendemain, des attaques du même genre se reproduisi-rent à trois ou quatr
quelquefois en outre la moitié correspondante delà face. Une nouvelle attaque , avor-tée également, comme celle de la veille, av
ium et les frictions mercurielles furent commencées le jour même. Une attaque avortée, cette fois limitée au membre in-férieur,
ois. Aucun accident nerveux n'avait reparu. Il peut arriver que les attaques d'épilepsie partielle syphili-tique soient précéd
avoir été littéralement soudaine, inopinée, et le malade ne connaît l' attaque que d'après ce qui lui en a été dit par les as-si
a main douloureuse avait été l'occasion du développement d'une de ses attaques convulsives1. 1 II n'est pas sans exemple, on l
à la fin de 1876 ; depuis près de 14 mois, il n'avait plus éprouvé d' attaques ; sa santé d'ailleurs s'était tout à fait rafferm
., mais sans succès. Au bout d'un certain temps, il remar-qua que les attaques , qui revenaient à des intervalles très irrégu-lie
ieusement son larynx (?) qui est aujourd'hui guéri. En même temps les attaques ont disparu, depuis neuf mois il en est complè-te
fut appelé il y a une quinzaine d'années avoir un malade sujet à des attaques de goutte articulaire et qui souffrait de temps e
lai-gnait d'être devenu sujet, depuis un an, à ce qu'il appelle des « attaques ». L'attaque est annoncée par un chatouillement s
re devenu sujet, depuis un an, à ce qu'il appelle des « attaques ». L' attaque est annoncée par un chatouillement sié-geant au-d
tout à coup le malade perd connaissance et s'affaisse. Pendant cette attaque , au dire des personnes qui sont à même de l'obser
our et il est arrivé au malade de tomber dans la rue. Chaque fois les attaques en question ont été précé-dées du chatouillement
il peut arriver que les accès de toux ne soient pas suivis de grandes attaques . Dans ce cas, le malade éprouve seulement un sent
un caractère con-stant de ce que l'on pourrait appeler les « grandes attaques ; » elle a fait défaut seulement dans les cas lég
dans les cas légers, dans les atta-ques incomplètes. Dans les grandes attaques , l'existence de quelques phénomènes convulsifs lo
ister, en quelque sorte, au développement des premières phases de l' attaque . La perte de connaissance suit de très-près l'app
la face, plus rarement en arrière ou sur un des côtés 2 ; la fin de l' attaque est le plus souvent marquée par l'appariton de na
ique doit être réservée : sans doute les symptômes prémonitoires de l' attaque semblent désigner le larynx ou les régions supéri
e de la déglutition. — Hoquet. — Troubles fonctionnels de la vessie. — Attaques d'épilepsie. Du pouls lent permanent. — Ralenti
et station impossibles. — Évolution de la maladie. — Complica-tion : attaques d'hystérie. Historique. — Le vertige de Ménière
85 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
été l'objet de notre part, trouvait qu'elle avait puisé, dans ces attaques mêmes, un nouveau caractère de certitude. 1 Lu
NOTE SUR L'ÉTAT DE LA PUPILLE CHEZ. LES ÉPILEPTIQUES EN DEHORS DES ATTAQUES ; Par Pierre MARIE, interne des hôpitaux. Dans
Se.) que chez les épileptiques la pupille présente en dehors des attaques des caractères spéciaux. Notre maître, M. le pr
du mémoire de L. C. Gray. Cet auteur a constaté qu'en dehors des attaques les pupilles des épileptiques sont toujours plu
ence du mal comitial chez les individus dont on n'a pu observer les attaques . Ainsi, dilatation manifeste, variations plus r
mettre en colère, elle n'avait cependant jamais été sujette à des attaques de nerfs ; morte percluse de douleurs, aveugle et
aissance, qui, la dernière fois, aurait duré douze heures. Ces deux attaques , sur lesquelles le ma- 1 Comptes rendus de l'.1
riel dans une compagnie de chemins de fer ; mais depuis sa première attaque cette émotivité a subi quelques alternatives d'
atteignant le membre inférieur gauche resté, sain longtemps après l' attaque , il est survenu une rigidité beaucoup plus cons
r des injections sous-cutanées d'ergotine. Elle avait eu déjà des attaques épileptiformes, de l'aphasie, de l'hémianesthésie
s 88 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. s'exagérèrent à la suite d'une attaque d'épilepsie, puis d'une attaque d'hystérie. Ell
E. s'exagérèrent à la suite d'une attaque d'épilepsie, puis d'une attaque d'hystérie. Elles disparurent plus d'un an après,
orte. La mère est morte d'une tumeur abdominale, elle avait eu deux attaques de chorée dans son enfance. revue DE patholog
aternel, il existait plusieurs aliénés, et la mère qui avait eu des attaques de chorée et avait évidemment une disposition n
elle allongée influence d'abord les vasomoteurs cérébraux, et que l' attaque classique est la résultante de l'accumulation d
ique à Paris pour se distraire, fut frappé, étant au théâtre, d'une attaque apoplecliforme que rien ne faisait prévoir. A la
lle le 12 octobre 1881. La mère est morte à cinquante-six ans d'une attaque d'apoplexie. Réglée à quatorze ans, la malade a
résentant les diverses attitudes prises par les malades pendant les attaques . M. Mills fait ensuite l'histoire de l'bystéro-
DE pathologie mentale. la parole et des mouvements volontaires. Une attaque apoplec- tiforme avec convulsions de l'épaule e
nce du pouls exagérée. Le patient meurt trois jours et demi après l' attaque . L'autopsie décèle simplement deux zones nettem
proie, dans les derniers jours qui précédèrent sa mort, à plusieurs attaques apoplectiformes. La partie antérieure des hémis
travaux de l'École de la Salpêtrière sur les grandes et les petites attaques convulsives de l'hystérie. S'appuyant sur ses p
les premières ne sont pas mises eu jeu, les secondes donnent lieu à attaques . Ni les unes ni les autres ne disparaissent sou
; après comme avant l'action du froid, la compression détermine une attaque . La chaleur ne met pas en jeu l'action des zone
Les piqûres et les frictions cutanées ne déterminent pas non plus l' attaque ; la sensibilité spéciale des zones hystérogenes s
a compression des troncs nerveux qui innervent ces zones provoque l' attaque , tout comme la compres- sion de ces zones elles
ins grave et sur- tout d'allure moins terrifiante que la forine par attaque , peuvent être des manifestations incontestables
mariée, mère de famille,' eu il y a plusieurs années de vio- lentes attaques d'hystérie. Placée une première fois à Vanves,
étranges qu'il éprouve. Sa mère, atteinte d'hystérie, présente des attaques et despériodes de vive excitation intellectuell
en indiquer l'origine. . Elles peuvent débuter subitement par une attaque d'apo- plexie, comme on le voit dans un cas, ra
; parésie des extenseurs de la cuisse gauche. Puis, après une autre attaque , embarras de la pa- role et déviation de la bou
(Themeda'calllecool 11'eao-I'ooh, août 1881.) .) La répétition des attaques d'épilepsie crée une condition particulière du
xe; surtout si elles se répètent dans un court espace de temps; une attaque isolée doit faire craindre l'épilepsie. Chez le
et des néphrites, les convulsions, surtout si elles constituent une attaque isolée, sont presque certaine- ment épileptique
car- diaques). Les phénomènes d'excitation se traduisent par des attaques épileptiques, les phénomènes paralytiques, par de
tre pour quelque chose dans le mode de réponse à l'excitation : les attaques d'épilepsie se rencontreraient principalement che
vomissements alimentaires qui s'ajoutent aux autres symptômes de l' attaque , par l'embarras gastrique qu'elle laisse à sa s
réflexe' correspond à une difficulté marquée de la parole et à des attaques hémi-parétiques. Cette connexion est suscep- ti
dans sa famille ; un mois avant son entrée à l'asile, elle a eu une attaque de rhumatisme articulaire qui paraît avoir été
tétanie; par DELcnoix. Thèse de Paris, 1882. Considérations sur les attaques apoplectifornzes et épileptiformes de la paraly
pileptiques (note sur l'état de la pupille chez les en dehors des attaques ), par Marie, 42. Epileptique (cerveau d'). ).
ille (note sur l'état de la), chez les épileptiques en dehors des attaques ), par Marie, 42. Réflexe tendineux dans la para
86 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'examen est le plus souvent négatif, mais lorsqu'à l'approche'des attaques , pen- dant ou immédiatement après les crises in
emencements et cultures. * En prélevant le sang à l'approche i) des attaques convulsives, pendant les vertiges, les crises inc
e qui se traduit moins par la démence, a peine marquée, que par des attaques congestives, trouve une intégrité relative du lob
se limite ici au territoire des hémisphères qui a été le foyer de l' attaque congestive. (Monatsschr. f. Psychiat. u. Neurol
tombaient en lambeaux. Comme cette malheureuse était sujette à des attaques d'épilepsie, on suppose qu'elle sera tombée sur
e- ment, presque en face de la maison d'école de Givraines, d'une attaque d'épilepsie. Il tomba sur le milieu de la route.
le. Celui-ci tremblait de la tête depuis sa naissance. Il avait des attaques épilepliformes avec écume de ' Achard et Soupau
NYSTAGMUS CONGÉNITAUX 403 la bouche et yeux convulsés. Pendant ces attaques , le visage était noir et l'enfant semblait ne p
isage était noir et l'enfant semblait ne pas respirer. Le début des attaques remontait à l'âge de sept à huit mois : d'abord
Pendant la grossesse elle avait été faible et très ner- veuse (sans attaques ). Etat actuel. Enfant d'apparence robuste, est
inconscient et transporté sur son lit, il aurait eu une « violente attaque de nerfs ». Le 16 mai 1895, à la suite d'un dél
ce. Des voisins viennent à son aide et le trouvent, à la suite de l' attaque , en proie à un délire ' maniaque très violent.
atteint de « dé- pression mélancolique paraissant consécutive à une attaque comi-" tiale avec inconscience, inertie, mutism
stoire, disant que depuis trois ans il a pendant la nuit de petites attaques : il se lève fré- quemment le matin avec la têt
ette position couchée divers symptômes d'hystérie, mais surtout des attaques convulsives et des para- lysies diverses; cela
esquelles, nous dit-elle, elle se déchirait la langue : parfois les attaques étaient si fortes qu'elles semblaient épileptiq
ente. Il s'agissait d'une jeune femme de la campagne, sujette à des attaques convulsives d'hystérie et qui, un jour, à la su
ation : Femme de vingt-cinq ans, déraisonnable, bruyante, violente, attaques fréquentes pendant et après lesquelles elle est
ans, chute de trois mètres sur la tète, commotion céré- brale. Les attaques ont commencé après la naissance de son second e
s autres accidents du zzicoliczisme. Depuis deux ans il éprouve des attaques d'épilepsie de plus en plus fréquentes et viole
tion. Les troubles digestifs sont principalement caractérisés par l' attaque de diarrhée. Les troubles secrétoires sont de l
est tarie et la bouche est sèche. Il y a quelquefois de véritables attaques sudo- rales localisées aux mains et à la face.
heures du matin, G... assis dans la cour est pris brusquement d'une attaque épileptiforme : perte de connaissance, chute pa
me aux lèvres, respiration stertoreuse. Il urine sous lui. Deuxième attaque à 4 heures. Pas de paralysie consécu- tive. Mai
les objets entre eux; ne peut continuer son travail. Le 4, nouvelle attaque épileptiforme, toujours sans paralysie con- séc
uis dix ans. 308 RECUEIL DE FAITS. ' ' - Le 20 décembre, nouvelle attaque épileptiforme avec perte de connaissance : le b
tournés à droite. Obtu- sion intellectuelle consécutive. Une autre attaque 1e22,;loujours avec secousses du côté droit. Au
La parole est très embarrassée, bredouillante. Le 2 mars une autre attaque qui dure trois minutes, avec perte incomplète d
e, loca- lisée au bras droit; aphasie pendant une heure. Depuis son attaque du 4 février, G... grince fréquemment des dents
gage persistent quelques jours en s'atténuant. Le 20 mai, nouvelles attaques épileptiformes. Le 8 juillet, ictus léger avec
rant persiste avec inconscience absolue ; température 38;°2; les attaques reviennent de plus en plus rapprochées et se géné
pprochées et se généralisent. t. Le 11, saignée de 500 grammes; les attaques se localisent de nou- veau du côté droit et son
oments de l'embarras de la parole ; puis bientôt apparaissent des attaques épileptiformes non suivies de paralysie. Après ci
, la parole s'arrête, le corps s'immobilise et tombe lentement. L' attaque a lieu : le malade se convulsé comme dans l'épi-
la perte de connaissance n'est pas brusquement complète ; durant l' attaque on observe des mouvements désordonnés de tout l
els le spasme cynique, la folie libidineuse des anciens ; parfois l' attaque se passe en silence ; d'autres fois elle est ac
invariable se maintient à 370, 3 8° au plus, malgré l'intensité des attaques . Enfin l'hystéro-épileptique conserve tel quel
emontait à plus de dix ans; il s'était mani- festé à la suite d'une attaque avortée provoquée par une émotion; la malade l'
e. On distingue dans l'état panophobique, l'attente anxieuse et l' attaque anxieuse, cette dernière précédée parfois d'une
illes et s'irradiant dans tout le système cérébro-spinal (Morel). L' attaque est constituée par une angoisse avec pho- bie (
ier' variablement avec prédominance des uns sur les autres dans l' attaque qui se traduit surtout alors par une crampe cardi
ée, des sueurs profuses, de la boulimie, etc. Prend admet alors des attaques rudimentaires d'angoisse qui peuvent affecter :
; 56 Le type à boulimie; 6° Le. type à diarrhée et polyurie ; 7° L' attaque vaso-mo- trice ; 8° Le type parcsthésique ; 9°
rie ; 7° L'attaque vaso-mo- trice ; 8° Le type parcsthésique ; 9° L' attaque de, frayeurs nocturnes ; 10° L'attaque du verti
Le type parcsthésique ; 9° L'attaque de, frayeurs nocturnes ; 10° L' attaque du vertige. A l'état d'angoisse vient se greffe
. La phobie systématisée peut se manifester exclusivement par des attaques angoissantes, avec tranquillité complète d'espr
ent ou type rémit- tent), ce dernier plus fréquent ou en dehors des attaques , la crainte subsiste sous forme de pensée plus
'obsession de la folie, de la gale, de laj-yphilis, du cancer, de l' attaque d'apoplexie, de la mort subite, du ramollisseme
ychique passager survenant chez l'épileptique immédiatement après l' attaque , à la place du som- meil qui, le plus souvent,
it après les petites attarlues, mais le plus souvent à la suite des attaques longues et intenses. Il. ne faut pas le confondre
mentale longue des épileptiques, qui précède, suit ou remplace les attaques , se rattache surtout à l'état de mal, et se ter
ileptiqne; car, au cours de sa durée, les malades dorment après les attaques , et le sommeil ne ramène pas la lucidité, contr
ment possible lorsqu'il s'agit d'un individu n'ayant que de petites attaques larvées, dont l'intelligence a peu souffert, qu
t, il y a quelques années, après une violente céphalalgie à droite. Attaque d'apoplexie avec convulsions très accusées à ga
Dans les deux cas rapportés par l'auteur il y avait eu plusieurs attaques de chorée, ce .qui peut, suivant lui, faire pense
fut loué que par Wagner et sa femme ; puis il publia une véhémente attaque contre David Strauss, ennemi comme lui-même du
87 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
us l'influence du traitement médico-pédagogique, le nombre de ses attaques était allé en diminuant progressivement pour to
re, : \1 Il Marie Lisconet, 18 ans, 1 ? prise rue du Commerce d'une attaque d'épilepsie. Elle tomba sur la chaussée juste a
le bord d'un chemin à Creully. Le malheureux avait succombé iL une attaque (l'épilepsie il laquelle il était sujet. (Bonho
: Coups, chutes, peur, émotions (nature, durée), envies, syncopes, attaques de nerfs, albuminurie, alcoolisme opium, café,
t, durée, toniques, cloniques, prédominance d'un côté, nombre des attaques de convulsions. Etat de l'intelligence arant et
rem- blements. Sommeil : durée, rêves, cauchemars, accès de cris, attaques de sommeil; somnambulisme. Mémoire, raisonnem
ont relatifs aux épileptiques (accès et vertiges), aux hystériques ( attaques ), à la tempéra- ture des accès et des attaques,
s), aux hystériques (attaques), à la tempéra- ture des accès et des attaques , aux règles. CLIV ASILE-ÉCOLE DE BICrTRI : .
inution de la résistance de la peau et, finalement, au cours de l' attaque extatique, l'écoulement sanguin si ardemment dé
e la rupture d'un anévrysme. Arrière-grand-père maternel mort d'une attaque d'apoplexie. - Cousin maternel hydrocéphale.
d'acné. Pas de migraines, ni de rhuma- tismes. Peu nerveuse; pas d' attaques de nerfs. Physionomie régulière, intelligente ;
e hydropisie de poitrine » à 12 ans. Grand père maternel mort d'une attaque d'apoplexie (en avait eu deux), à 74 ans, sobre
, des migraines et des crises hystériformes chez la grand'mère, des attaques apoplectiques chez l'un des arrière-grands père
e et à l'ardeur qu'apportait l'enfant au travail. A 12 ans première attaque de folie : excitation pendant deux jours suivie
ale. Envoyée en congé rie 8 jours, elle ne revient pas. - Troisième attaque de folie a la fin de décembre 1899 : guérison e
s avec exaltation, divagations, turbulence comme aux deux premières attaques . C'est alors que la famille se décide à la plac
e, elle était bien plus agitée qu'elle ne l'avait été à sa première attaque de folie, et qu'à son arrivée il la Fondation :
ent a la fin de son congé, ce qu'ils n'ont pas fait. 120 Nouvelle attaque DE folie. 1900. 8 janvier. - L'enfant est ramen
e ; elle aurait dû presque réapprendre à parler. 111. La première attaque de folie est survenue, avant la puberté, Ù 15 a
. A cette rémission, d'ailleurs incomplète, succéda une troisième attaque (octobre 1898), qui obligea la famil- le à l'in
ccidents coïncidaient avec son époque. Sa sceur, qui SUCCESSION DES attaques . 131 nous a fourni ce complément de renseigneme
d'amourette et qu'on ignore absolument la cause de ses différentes attaques de folie. Quatrième attaque de folie au commenc
solument la cause de ses différentes attaques de folie. Quatrième attaque de folie au commencement de janvier 1900. Du 8
et complète : .1\1 argue- rite a recouvré la raison . Les quatre attaques cle folie, sauf l'intensité, ont offert les mêm
ulé entre la guérison 132 FOLIE de l'adolescence. de sa quatrième attaque de folie jusqu'au début de sa tuberculose intes
uté sans douleurs il 4 ans. Elles ont été irrégulières. La première attaque d'aliéna- tionm entale était survenue deux ans
tale était survenue deux ans auparavant. La seconde et la troisième attaques auraient coïncidé avec une absence des règles.
es. Entre elles, les règles auraient été régulières. La quatrième attaque a débuté au commencement de janvier 1900. Sur l
e particulier, sauf f un oncle paternel suicidé. Mère, migraineuse, attaques de nerfs. Arrière grand-père paternel mort d'ap
pen- dues pendant la grossesse de sa première fille, compliquée d' attaques de nerfs consécutives à des ennuis de famille. El
nerfs consécutives à des ennuis de famille. Elle aurait même eu une attaque de 2 heures avec perte de connais- sance : «J'é
Progrès Médical). - SADR AIN (G.). - Etude sur le traitement des attaques d'hystérie et des accès d'épilepsie. In-8° de 5
88 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des accidents cardiaques d'origine rhumatismale, ayant présenté des attaques répétées d'asystolie, au régime lacté depuis tr
t par l'intégrité de l'intelligence et delà face et par l'absence d' attaques épileptilormes Le cas actuel semblerait dû à un
compte que ces pseudo-men- songes sont dus aux hallucinations de l' attaque , ou à des rêves noc- turnes, à des troubles de
mme et confirmés par lui après sa guérison nous apprennent qu'une attaque grave de rhumatisme articulaire aigu, subie à l'â
uatorze ans, fut suivie de maladie nnrale. Il a même eu plu- sieurs attaques d'aystolie, de la congestion pulmonaire et a pré-
n motrice de plus ou moins longue durée, et précé- dant souvent les attaques épileptiformes, il est exceptionnel* d'observer
sont les mouvements congestifs vers la tête ; il en est de même des attaques apoplectiformes, qui ne se montrent plus du mom
par mois sans compter les raptus, les impulsions agres- sives, les attaques subintrantes, le délire postépileptique exigeant
rêmement pénible. Néanmoins le premier sujet n'avait plus du tout d' attaques le 5 juillet; les attaques dis- paraissaient ch
le premier sujet n'avait plus du tout d'attaques le 5 juillet; les attaques dis- paraissaient chez le second le 12, et chez
huit, neuf jours après la reprise de l'alimentation habituelle, les attaques recom- mencent en reprenant leur intensité acco
ssesses répétées, le pronostic est généralement défavorable. 3° Les attaques antérieures : ces attaques sont dans la majorité
tic est généralement défavorable. 3° Les attaques antérieures : ces attaques sont dans la majorité des cas, puerpérales : on
que, épileptique, entré à Gicétre le 26 août 1900, pour une série d' attaques épileptiformes, raconte tous les événements de
la tête; plusieurs semaines d'état inconscient. Deux ans plus tard, attaques d'épi- lepsie, suivies d'accès de manie qui le
epsie, suivies d'accès de manie qui le lont interner à l'asile. Les attaques d'épilepsie reviennent à peu près tous les deux m
la crise indique assez exactement la partie du cerveau où débute l' attaque , et celle sur laquelle elle va se propa- ger; l
n'est pas rare de voir l'épilepsie psychique pure alterner avec des attaques de grand mal, en sorte qu'un crime peut être comm
s jours. Cette méningite tuberculeuse mortelle, encadrée entre deux attaques de méningisme, chez deux soeurs, décèle chez el
ermi- que des méningites. Le puérilisme mental, qui a succédé à l' attaque de méningisme, est cette singulière altération
ternelle morte avec une hémiplégie. Grand-oncle paternel mort d'une attaque d'apoplexie. Mère : céphalalgies, sourde, caféi
ie céré- brute. Grand-père maternel alcoolique, mort à sa troisième attaque d'apoplexie. Grand'mère maternelle morte d'un c
mère est morte IL soixante-dix-huit ans, dix-huit mois après une attaque de paralysie (hémiplégie gauche). Grand-père pate
lle, morte d'une pneumonie. z Un oncle paternel a succombé dans une attaque d'apoplexie fou- droyante. Ses autres oncles et
urs bu énormément de café. Elle a succombé le 8 mai dernier à une attaque d'apoplexie. [Son père, alcoolique, est mort à so
père, alcoolique, est mort à soixante-dix- huit ans, à sa troisième attaque d'apoplexie. Sa mère est décédée à quarante-cin
et l'infection y a sans doute sa part; la fiè- vre, le délire, les attaques épileptiformes, le coma, en sont la con- séquen
rythromélalgie limités à la main gauche. A la suite de deux petites attaques sans perte de connaissance, elle est d'abord un
fréquent chez la femme. Le mode d'apparition ou de disparition des attaques de cécité, leurs causes provocatrices rappellen
ser une plainte à un Commissaire de police à propos d'une prétendue attaque dont il aurait été l'objet. Les jeu- nes gens q
uteuil dans le cabi- net médical prétendant qu'il était sujet à des attaques à la suite desquelles il restait paralysé penda
e il commet de nouveaux délits. C'est encore à AI. Toquenne qu'il s' attaque par l'envoi de nouvelles cartes encore plus ignob
e Versailles. A peine sorti de prison il recommence ses frasques, s' attaque de nouveau à M. Toquenne, en retraite depuis lo
voir un agent sans avoir un accès de fureur. Le 25 juillet, il s' attaque au brigadier Peretti qui sort tranquil- 300 MÉD
uvrage. Le 8 et le 21, c'est un autre distillateur, M. Meyer, qu'il attaque de la même façon. Le H, nou- velle dénonciation
s dans les rues et si on les envoie à l'école ils peuvent avoir des attaques sur leur chemin ou dans la classe. Ces attaques
peuvent avoir des attaques sur leur chemin ou dans la classe. Ces attaques dérangent la classe et effrayent les autres enfan
l ne devrait donc pas être permis aux enfants sujets à de violentes attaques de fréquenter l'école. Il y a sans doute un gra
nfiance, souvent perdue, en leur propre capacité d'exécution ». Les attaques sont moins fréquentes et il y a des exemples qu
ux malades qui ont été traités dans les hôpitaux, mais chez qui les attaques se produisent si fréquemment qu'il leur est imp
eurs d'un goitre plus ou moins bien développé, qui ont présenté des attaques de grande épilepsie souvent répétées, malgré l'ab
folie maniaque et dépressive et la démence précoce dans la première attaque ? Et comment ? Mélancolie avec idées de persécu
, âgée de vingt-neuf ans, nièce d'un aliéné, ayant eu elle-même des attaques classiques d'hystérie dans sa jeunesse, arrive
ement que le rétablissement de la pression sanguine générale. 17° L' attaque épileptoïde entraîne, à la période tonique, la
e longue durée, qui survit encore quelque temps à la cessation de l' attaque , qu'on ait ou non lié les artères spléniques. 1
léniques. 18° Quand on a complètement coupé les nerfs spléniques, l' attaque épileptoïde détermine encore le gonflement à la
e de leur rareté. 1. - Femme de trente-huit ans, est à sa troisième attaque d'alié- nation, ne dort pas, refuse de manger,
lisme. Parole nette. Signe d'Argyll Robertson. Mort après plusieurs attaques épileptiformes. - Autopsie : membranes congesti
compression ovarienne, un puissant moyen d'enrayer les terrifiantes attaques de l'hystérie convulsive. Il ne s'est pas conte
est pas contenté de nous faire von toute la distance qui sépare ces attaques de celles de l'épilepsie vraie et de nous prému
rêve, dans les somnambulismes hystériques, la période délirante des attaques hystériques ou des accès épi- leptiques, la con
ou des accès épi- leptiques, la confusion mentale, etc. Dans les attaques d'hystérie, plus souvent dans les grands accès,
au cours de l'épilepsie, où elle ne constitue qu'un équivalent des attaques ; or, les théories mo- dernes tendent de plus en
e le rôle prédominant de l'autn-intoxication dans la production des attaques épileptiques. En résumé, dans l'obésité, comme
des pièces de lingerie souillées, les noms des malades qui ont des attaques et le nombre de ces atta- ques, les noms de ceu
es malpropres dans chaque salle, le nombre des malades ayant eu des attaques , les visites du personnel dans les salles, les
on de la surveillance de nuit : d'abord les risques d'incen- die, d' attaques imprévues, n'apollexies et autres maladies soudai
e chez lui. Ce malade qui est en même temps épileptique verrait ses attaques diminuer après chaque ponction. Buveurs inter
89 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
e aucun des stigmates de l'hystérie ; jamais non plus elle n'a eu d' attaque convulsive. Bref, l'hystérie ne peut être incri
le malade s'en plaint et déclare n'avoir pas été selle-cleptiis son attaque un lavement pris hier, n'aurait produit aucun e
és précisant le jour, le quantième, l'heure, le lieu. Avant cette attaque brutale, il ne présentait comme symptômes médul-
nflammation méningo-vasculaire périphérique. Survient brusquement l' attaque apoplectiforme, suivie de paraplégie complète e
té qu'à 5 ans ; elle est considérée comme intelligente. Vers 3 ans, attaques qui ressemblent fort à des crises épileptiques.
s oeuvres d'art où il est possible de retrouver les caractères de l' attaque convulsive d'hystérie semble s'étendre indéfinime
mble qU'il ait été saisi faisant les mouvements de salutations de l' attaque hystérique, les seuls d'ailleurs que lui permet
ent d'une observation fort attentive des phénomènes convulsifs de l' attaque d'hystérie, elle possédé de St Rom- baut mérite
celui-ci, hystérique comme ses congénères, n'est pas en proie à une attaque con- vulsive : on peut supposer qu'il est en lé
l'artiste connaissait également bien les phénomènes convulsifs de l' attaque démonia- que (PI. XVI). Les contorsions illogiq
it eu plus d'une fois l'occasion de voir la variété démoniaque de l' attaque d'hystérie. La bouche ouverte, contournée, la l
droite, et l'on sait qu'il est fréquent de voir les hystériques en attaque saisir à pleines mains leur chevelure, souvent
pécimens du facies démoniaque, tel qu'on l'observe dans les grandes attaques d'hystérie. A ces nouveaux spécimens choisis pa
(musée de Vienne), une des représentations les plus réalistes de l' attaque dé- moniaque. Une peinture sur toile du XVIIP
t d'épilepsie tardive, mort à 87 ans. Le père est mort frappé d'une attaque d'apoplexie qui l'avait rendu hémiplé- gique dr
que l'âge de 4 ans et marcha au bout de sa première année. A 4 ans, attaque apoplectique suivie d'une hémiplégie droite avec
nomènes de compres- sion cérébrale s'accompagnant de strabisme et d' attaques épileptiques.Sur- vinrent des douleurs dans les
82. 122 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE A 7 ans, deuxième attaque de paralysie spasmodique avec incontinence- d'u
incontinence- d'urine ; guérison en un an. ' A 10 ans, troisième attaque et guérison complète en li mois sous l'in- flue
ontinu tandis que/ dans ses observations, l'affection a procédé par attaques suivies de guérisons et de récidives. Il s'effo
rsqu'elle était couchée ; elle ne vomissait pas. Dès le jour de son attaque , elle présenta de l'incontinence d'urine qui s'am
oration est de plus en plus marquée. # Eu novembre, très violente attaque de grippe avec fièvre. Mme X... est for- cée de
icêtre le 7 août 189fi, épileptique depuis (le 2 ans, a surtout des attaques sériel- les. Sous l'influence du hromure de pot
ler juin 1893), jusqu'à sa mort (2 octobre 1893) elle a eu dix-neuf attaques d'épilepsie (nous ne savons pas si elles différen
t les quatre derniers jours de sa vie, elle a eu tous les jours une attaque d'épilepsie. LA TERMINAISON CORTICALE DU FAISCE
ntremêlant toujours les vomissements et les évacuations vésicales d' attaques convulsives et de poussées éruptives. Une « enflu
fréquentes chez Geneviève, appartiennent bien au type classique des attaques de grande hystérie. Elles alternent avec les vo
az par haut et par bas ». Nous retrouvons là toutes les phases de l' attaque de la Salpêtrière : le cri initial, la perte de
tériques peuvent être considérées tantôt comme des équivalents de l' attaque convulsive, tantôt comme des phénomènes d'hystéri
r, accusait de vives douleurs dans la vessie et dans l'urèthre. Une attaque convulsive mettait généralement fin à cette rét
ment là maladie hystérique cause une douleur très vive quand elle s' attaque à la vessie, mais encore, elle supprime l'urine
la cause d'un séjour au lit de 2 mois. * Cinq ans après, nouvelle attaque de sciatique double, avec phénomènes douloureux
De quoi s'est-il réellement agi ? Est-ce plutôt qu'une syncope, une attaque apoplecti forme de courte durée ; le fait est v
s et personnels, ni elle, ni personne de sa famille n'a jamais eu d' attaque de rhumatisme articulaire. Ce détail a son impo
u'il ne lui reste plus aujourd'hui (30 juin) que des résidus de son attaque de paralysie. * .. Vous pouvez constater d'
oubles trophiques, et ce sera tout. Cette fillette, au cours de son attaque de paralysie, a présenté une petite eschare au si
avec ou sans crampes dans les mollels, le tout pouvant simuler une attaque de choléra. Quelquefois les matières vomies et
ux qui firent croire au médecin traitant qu'il avait affaire il une attaque de rhumatisme articulaire; c'étaient des dou- l
t arsenical, le malade a eu des accidents convulsifs et jusqu'à des attaques épileplij'o1'1nes. D'après Imbert-Courbeyre (1),
phase -de gastro-entérite qui, je vous le répète, peut simuler une attaque de choléra, et dont la durée ne dépasse pas quelq
a vu aussi des malades, victimes de l'arsenicisme, tomber dans des attaques épileptiformes, alors qu'avant leur empoisonnem
tar de l'empoisonnement alcoolique paraît être apte à provoquer des attaques épileptiformes. Caractères différentiels . Vous
ou plusieurs ribottes lui ont valu une crise d'alcoolisme aigu, une attaque de delirium tremens. Ce seront donc des manifes
90 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
re migraineuse. Grand - père maternel aliéné. Bisaïeule maternelle, attaques d'hystérie. Un oncle maternel, crises nerveuses
e. Grand-père paternel rhu- matisant. Mère nerveuse et migraineuse; attaques d'hystérie. Grand-père maternel alcoolique. Gra
... Epilcpsie. Parents : cousins germains. Père, convulsions. Mère, attaques d'hystérie. Grand'mère mater- nelle aliénée. Dé
s de germains. Père, enfant naturel. Oncle paternel imbécile. Mère, attaques d'hystérie. Grand'mère maternelle très nerveuse
Père alcoolique et excentrique Mère, migraines, fièvre ty- phoïde, attaques d'hystérie. Grand'père maternel suicidé. Tante
ère paternelle alcoolique. Cousine germaine paralysée; une autre, attaques d'hystérie. Mère, intelligence faible. Grand-père
que et absinthique, suicidé. Grand'père pa- ternel alcoolique. Mère attaques d'hystérie et migraines. Début de la maladie à
uestrée dans un asile, une autre imbécile. Un cousin suicidé. Mère, attaques d'hystérie. Oncle maternel im- bécile. Début co
x. Grand'mère paternelle nerveuse. Oncle paternel, méningite. Mère, attaques d'hys- térie. Grand'mère maternelle nerveuse. C
apoplexie; chez la mère, l'impressionnabilité, le nervosisme, les attaques d'hystérie, la chorée, la migraine, les acci- 2
Plous..., 41 ans, épilepsie idiopathique. Grand'mère maternelle, attaques de nerf ; frère mort à 3 ans de fièvre cérébral
re maternelle hystérique. - Bisaïeul maternel mort des suites d'une attaque d'apoplexie. Oncle maternel alcoolique. Soeur m
; réglée à 14 ans, l'est encore; elle est assez nerveuse, n'a pas d' attaques de nerfs ni de migraines, mais est sujette à de
bablement de phthisie, après une couche ; elle était sujette à des attaques de nerfs consécutives à une peur (20 ans), sur-
peur (20 ans), sur- venant après contrariétés; mariée à 21 ans; les attaques au- raient continué après son mariage. - Grand-
it en enfance. - Grand-père maternel mort à 69 ans des suites d'une attaque de paralysie. - Grand'mère maternelle, pas de d
fièvre typhoïde, à l'hôpital Beaujon ; pas de convulsions, pas d' attaques ; intelligente. 7° Garçon mort d'une cholérino à
on cérébrale à laquelle a succombé son grand-père maternel;- 4° les attaques de nerfs de sa grand'mère maternelle ; 5° l'apo
es douleurs rhumatismales; elle est ner- veuse mais n'a jamais eu d' attaques . Grand-père, mort d'un cancer delà face. Cousin
ette de temps en temps à des céplwl- algies. Pas de migraines,pas d' attaques nerveuses. [Père, soixante- six ans, cultivateu
91 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sie consécutive à des convulsions. Cousine germaine su- jette à des attaques . Grand-père maternel, apoplectique. Grand'mère
» tous les matins et quelquefois dans la journée, il est mort d'une attaque d' apoplexie en une heure. Sa mère est morte «
res inférieurs et du bras droit qui disparut bientôt. En juin 1892, attaque d'apoplexie évoluant sans aucun symptôme partic
été REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 53 relevés qu'au début après l' attaque ; plus tard le malade peut écrire spontanément e
es jusqu'à la mort qui a lieu un an et demi plus tard il la suite d' attaques épileptiformes et d'une bronchite grave. Ana- l
GRAVE Clay. XVII. UN cas d'épilepsie HCKSOl\ILiC-OE : cessation DES attaques après l'opération du trépan; par CU\\ING11AI. (
e, est modérée et siège principalement au niveau de la cicatrice. L' attaque spasmodique a été soigneusement observée : elle
antérieure. Le lendemain de l'opération, il y eut encore une petite attaque d'épilepsie jackson- nienne, mais il n'y en a p
rd, douleur vive dans les régions pariétale et occipitale gauches : attaque de petit mal ; changement très accentué du carac-
blit notablement. Cet état dura environ quatre jours. eut plusieurs attaques de manie plus douce que la moindre excitation s
: retour à la santé normale. Onze.mois avant l'admission à l'asile, attaque d'épilepsie : depuis cette époque retour plus o
e d'épilepsie : depuis cette époque retour plus ou moins fréquent d' attaques d'épilepsie plus ou moins intenses. Presque sim
ilepsie plus ou moins intenses. Presque simultanément à la première attaque , appari- tion de troubles mentaux d'abord léger
oir commis le « péché impardonnable » et être devenue enceinte. Les attaques d'épilepsie reparaissent à des intervalles plus
abord un résultat satisfaisant et une semaine entière se passa sans attaque épileptique. Les crises reparurent bientôt, mai
amené la guérison espérée, elle avait du moins précisé la cause des attaques , à savoir : Ja compression exercée sur l'écorce
Il s'agissait d'un homme de soixante-dix-neuf ans qui, à la suite d' attaques épileptiformes, eut des hallucinations de la vu
ck 2. Le malade était un para- lytique général, qui eut un jour une attaque épileptiforme suivie d'hémiparésie, hémianesthé
mba dans son état habituel. Deux mois après il survint une nouvelle attaque épileptiforme, suivie des mêmes phénomènes qui
tion de l'ouïe était vraisemblablement provoquée, de même que les attaques épileptiformes, par la tumeur, c'est-à-dire par l
e traumatisme de la région pariétale droite, ayant donné lieu à des attaques épileptiformes. Celles-ci étaient précédées de
énéraux, étudiés SURTOUT AU POINT DE VUE DE LEURS RAPPORTS AVEC LES ATTAQUES OBSERVÉES chez ces malades; par John TunNEl\, (
crétion des sulfates combinés est plus considé- rable au moment des attaques qu'aux autres époques de la maladie. R. M. C.
lé ou endormi. La courbature et la grande prostration qui suivent l' attaque sont rigoureusement semblables à ce que l'on ob
sme et à la verbigération de la catatonie. Un malade a présenté des attaques épileptiformes avec perte de connaissance ; l'a
s le chapitre des paroxysmes, ils passent t en revue les auras, les attaques , les vertiges, les absences, les délires. Comme
nscient. Au mois de décembre de cette même année, il a eu plusieurs attaques épileptiques. Nous ne pûmes savoir au juste le
quelquefois des flammes, un jour ou deux avant mes époques ». Pas d' attaques de nerfs. Pertes de connaissance de treize à qu
cation raffinée, de tendances presque religieuses, qui durant une attaque d'aliénation mentale a une tendance irrésistible
e durant les neuf années précédentes, elle n'a pas eu moins de cinq attaques d'aliénation mentale, ces attaques devenant cha
elle n'a pas eu moins de cinq attaques d'aliénation mentale, ces attaques devenant chaque fois plus prolongées tandis que l
pileptiques, sans antécédents héréditaires ; chez l'une d'elles les attaques se montrèrent en même temps que la menstruation
x malades. Chez l'une la pression ovarienne provoque et suspend les attaques . Celles-ci augmentent de fréquence aux périodes
riodes menstruelles. Les malades en question étaient sujettes à des attaques syncopales, à des palpitations, des hallucination
s, dans un cas, donné immédiatement des résultats favorables; les attaques augmentèrent même de fréquence, ce qu'il faut att
rminée par les suites de l'opération. Mais depuis octobre 1891, les attaques ont complètement disparu, le caractère s'est am
la guérison se maintient depuis trois ans. Dans le second cas, les attaques convulsives ont disparu ; les atta- ques syncop
démie aux méde- cins aliénistes, sont une légitime compensation aux attaques d'une certaine presse qui les prend souvent à p
us d'une minute, souvent moins. Les vociférations changent à chaque attaque , mais l'idée qui y domine est l'idée de peur. Q
, le malade répond raisonnablement à une question posée pendant l' attaque . La crise est suivie d'une légère confusion dans
les côcaïniques à 0,05 demeu- raient d'ailleurs impuissantes. Cette attaque de polyurie spasmo- dico-urinaire ne dura pas m
e, c'est une compagne fréquente de l'hystérie, surtout avec grandes attaques comme ici. Elude com- parative des travaux de M
légère pour que la compression des carotides puisse déterminer des attaques épileptiformes. G. D. LX. Deux cas de tumeur du
que groupe a un dortoir, une chambre de réu- nion (avec un lit pour attaques ), une salle-lavabo (avec une bai- gnoire) et de
ns la forme tabétique de, deux à trois ans. Les crises congestives ( attaques épileptiformes géné- rales ou partielles, attaq
ses congestives (attaques épileptiformes géné- rales ou partielles, attaques apoplectiformes, paralysies passagères) sont pl
e générale ; notamment s'il s'agit d'épilepsie dite psychique, sans attaques convulsives nettes. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
/4 (2m,02) et paraissait avoir dix-sept ans. Elle était morte d'une attaque de grippe survenue au cours d'une cachexie déjà
en rapport avec la méningite purulente de la base, finalement des attaques épileptoïdes (épend3·mite). Observation II. Jeune
cune seize places. A côté des salles d'étude se trouve la chambre d' attaques , matelassée, qui con- · duit aux cabinets d'ais
mais on ne sait si c'est pendant sa fièvre ou dans l'enfance. Pas d' attaques de nerfs ni de migraines, mais des accès de colèr
se : pas de traumatismes, ni d'envie de boire, ni de syncopes, ni d' attaques , mais dans les premiers mois, sa mère urait eu
our de l'axe de son corps, de droite à gauche, puis surviennent des attaques convulsives des quatre pattes, la fête est alte
elaient leurs parents dont ils étaient séparés. La phase aiguë de l' attaque n'a pas empêché presque tous les épileptiques d
92 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
du atteint d'une hémorrhagie sous-arachnoïdienne, qui, frappé d'une attaque d'apoplexie, revenait à lui au bout de dix minu
s après, elle a été effrayée par les cris d'une femme qui avait une attaque : « Je n'ai pas perdn connaissance, mais je me
it entre l'inconti- nence de l'urine et des matières fécales et les attaques , les habi- tudes de la malade devenant plus pro
la malade devenant plus propres pendant les mois où elle avait des attaques . Enfin le quatrième point à signaler, c'est la
aient dû se mon- trer les règles. Celles-ci ont été précédées d'une attaque convulsive intense. Il. de Muscrivë CLAY. VII
ations fébriles, des eschares et des troubles trophiques. Enfin les attaques apoplectiformes de la fin relèvent d'une cause di
ileptique, ou lorsque l'injection a été faite immédiatement après l' attaque , elle présente toujours quelque interruption. J
nvalescent de variole se plaint de douleurs frontales et est pris d' attaques épileptiques avec une perle- complète de connais-
iorations passagères suivies, au bout de quelques mois, de séries d' attaques et d'un retour à l'état antérieur. Il a noté fr
Os ? 60 d'opium, est mort, dans une nuit, à la suite d'une série d' attaques , sans avoir présenté auparavant aucun phé- nomè
d'intoxication. Il avait, d'ailleurs, fréquemment, au- paravant des attaques en série. Un troisième malade, arrivé à 0,70 d'
t déterminables. Il est opéré deux mois seulement après la première attaque . Quatorze mois après l'opération le patient n'a
e des cellules pyramidales, hémorrhagies punctiformes) reste sans attaques depuis plusieurs mois. Mais l'auteur prudent a
coolique; mulacle bien l1a1'lante jusqu'à huit ans. 1'rwtlnali,'me, attaques épilcl,li/,oJrnes à rrqneue; croissante . depui
e ou cinq semaines. Les choses durèrent ainsi pendant deux ans, les attaques cependant avaient augmenté de fréquence et une
r an, en mars et en juillet ordinairement, survenaient des séries d' attaques constituant un véritable état de mal. En 1898 c
fant avait cessé de se développer et demeurait lente et obtuse. Ces attaques révélaient exactement la forme sui- vante : Léo
nnaissance était rarement complète, souvent nulle, le souvenir de l' attaque était conservé, parfois même on pouvait au cour
de la même année un état de mal très grave survient. Le 20 mars 68 attaques le jour et 80 la nuit, le 23 75 attaques le jou
ve survient. Le 20 mars 68 attaques le jour et 80 la nuit, le 23 75 attaques le jour et 102 la nuit ; la température s'élève
s'intéresse à tout ce qu'on lui dit et lui montre ; elle n'a plus d' attaques depuis le 27 mars ; en mai elle fait des progrès
avait été pendant toute l'année qui avait précédé l'opération. Les attaques sont aussi fréquentes qu'en 1890-91, elles ont
me ; crises revenant par petites séries de loin en loin, nombreuses attaques isolées ou vertiges dans l'in- tervalle, état d
ique de cette malade aussi bien que la forme et le caractère de ses attaques devaient nécessaire- ment faire penser à des ac
férée, formulait ainsi son opinion : a Même état; à la suite d'une attaque hystérique, surdité. » En octobre, elle était suf
beaucoup de coliques de plomb, des paralysies «alumines, mais pas d' attaques d'éclampsie. Sa mère est morte de la poitrine à
ments fréquents pendant les trois premiers mois ; elle n'a pas eu d' attaques d'hystérie durant sa gros- sesse. L'accouchemen
ande ; en faveur de la dernière, on a le début des convulsions sans attaque épileptiforme et le retard dans l'ap- parition
reflexes tendineux aux 4 membres. Il parlait. Il était sujet à des attaques d'épilepsie qui finirent par le tuer. Taille'l
lange de bro- mure, d'adonis vernalis et de codéine fait cesser les attaques , et, en outre, rétablit les facultés intellectu
jambe droits sonttrès affaiblis. Pendant plusieurs jours, séries d' attaques convulsives qui finissent par disparaître, mais l
nc de Hitzig et Loehr. Analgésie du cubital des deux côtés. Légères attaques apoplecti- l'ormes, ayant pu être produites par
A la suite d'une frayeur, une fillette de douze ans est prise d'une attaque de contracture, crises convulsives à caractère ja
a jusqu'ici prétendu expliquer le tremblement, les myoclonies, les attaques d'épilepsie et les attaques d'hystérie est loin
r le tremblement, les myoclonies, les attaques d'épilepsie et les attaques d'hystérie est loin de satisfaire l'esprit. - P
ues, des se- cousses choréiques et des tics; 50 La soudaineté des attaques d'épilepsie et des attaques d'hystérie. Je. p
iques et des tics; 50 La soudaineté des attaques d'épilepsie et des attaques d'hystérie. Je. propose de lui substituer une
tremblement, de l'athétose, des chorées et des tics, ainsi que des attaques d'épilepsie et des attaques d'hystérie. - Que
des chorées et des tics, ainsi que des attaques d'épilepsie et des attaques d'hystérie. - Que se passe-t-il entre les décha
eurs (secousses clioréiques exagérées par les excitations cutanées; attaques d'épilepsie ou d'hystérie occasionnées par l'ex
ues des épileptiques l'exception qu'offrent à ce point de vue les attaques d'épilepsie. La théorie des neuro-diélectriques l
Individu de trente-huit ans, ayant eu, trois ans auparavant, une attaque d'hémiplégie, dont il guérit rapidement. Il y a s
s contractions de l'estomac, des intestins et de la vessie dans les attaques d'épilepsie ; par V.-P. Ossipnw. (O/¡o1'Pl11e p
ce travail était con- sidérée comme une épileptique ordinaire : ses attaques ne se dis- tinguaient en rien de celles des aut
ileptiques et les alcoolisés. Pour les premiers, en raison de leurs attaques , on songe plus volontiers aux colonisa- tions a
ésente deux grands avantages. Le premier, c'est que le traitement s' attaque , non à l'idée de la phobie, mais à l'émotion de
fectées de goitre. Lui-même, à l'âge de seize ans, eut une première attaque de rhumatisme articulaire aigu, puis quelques a
s, où il avait été soigné jusqu'au 2 mars de la même année pour une attaque de rhuma- tisme compliquée d'endocardite, dont
d'un quatrième séjour de B... à l'hôpital Desgenettes causé par une attaque de rhumatisme articulaire subaigu (entré le 2 j
co-légale. L'aphasie motrice pure (sans agraphie) se distingue de l' attaque d'aphasie de nature hystérique par son étiologi
de faire tourner la pièce sur son axe vertical pour que le rasoir l' attaque dans le sens le plus favo- rable, eu égard à la
dans le service de M. Bourneville, a cherché ce signe au cours des attaques . Dans une première catégorie de malades, il y a
e catégorie de malades, il y a immobilité abso- lue pendant toute l' attaque et retour du réflexe un certain temps après la
de la crise; dans une seconde catégorie : immobilité au début de l' attaque et retour du réflexe après un certain temps, ma
e troisième catégorie, il y a extension pendant toute la durée de l' attaque . F. 13otssEn. SOCIÉTÉ D'H1PNOLOGI1; ET DE PSY
s. La fameuse dormeuse de Thenelles esquisse parfois des ébauches d' attaques d'hystérie; c'est qu'on lui administre des lave
93 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t c'étaient de simples ver- tiges, parfois cependant il y avait des attaques complètes avec perte momentanée de connaissance
core attribuer à l'état des centres vaso-moteurs ; tels sont les attaques syncopales,les ictus apoplectiformes, les accès
lus tard, le réflexe pa- tellaire droit reparaît, 3 jours après une attaque paralytique et persiste, variable, jusqu'à quel
f. 13, p. 594 à 605, 1r juillet 1906.) Femme de 30 ans ; en 1903, attaques d'épilepsie jacksonnienne commençant par des co
ance. En 1904,parésie du bras droit. En 1905, cessation des grandes attaques avec perte de connaissance, des maux de tête, des
deux segments, surtout l'épaule et les doigts ; beaucoup de petites attaques furent de simples monospames du bras droit ; quan
contractions spastiques qu'a- près tous les autres. Dans certaines attaques , l'excitation partie de la lésion trouvait, dan
e tendance spéciale à la coa- gulation intra-vasculaire, et que les attaques , qu'il s'agisse du grand mal ou du petit mal, o
donné lieu à des spasmes généralisés et à tous les phénomènes d'une attaque légère d'épilepsie. Schiff, en compri- Arcuives
s phénomènes qui remplacent quelquefois les crises convulsives, les attaques du petit mal et les faits que l'on désigne sous
des de cette caté- gorie, alors même qu'on ne leur a jamais connu d' attaques , peu- vent être pris de crises épileptiques à n
tention sont les sui- vants : 1° Surdité complète succédant à une attaque de ramollissement cérébral et vraisemblablement
t qu'elle ne mangera pas, barricadant la porte de sa chambre ; ? en attaques d'hys- térie le plus souvent limitées à la péri
0 MEDECINE LÉGALE. irritable, se plaint de névralgies, a de petites attaques d'hystérie sous forme de spasmes de toux, de tr
ssus violacés, la langue tuméfiée, pendant hors de la bou- che. Ces attaques de forme asphyxique n'amenant pas le résul- tat
sphyxique n'amenant pas le résul- tat attendu, sont suivies par des attaques syucopales. La \ision disait : tu vas mourir ;
ion et de la respiration. A un moment donné il arma la suite de ces attaques à forme syncopale, Mme \... .. revenait à elle
n temps opportun, On est désormais obligé d'explorer pendant chaque attaque cette singulière cachette. Les nuits sont toute
d activité, en apparence normale. Le 18 septembre, à la suite d'une attaque convulsive, elle revient à l'état prime, très é
nté sont aussi im- possibles que dans les états crépusculaires de l' attaque épileptique. On pourrait objecter, à la vérit
mple, pour les pa- ralysies, les contractures, les anesthésies, les attaques dites hystériques. Il ne suffit pas, non plus,
e, etc. Pas de paralysie pro- gressive, marche lente, par poussées. Attaques apoplectiques avec séquelles. b) S. psychique
ent de la paralysie générale par les carac- tères suivants : 1. Les attaques apoplectiques avec résidus. 2. Les symptômes en
que Delasiauve l'a fait pour les autres signes prodro- miqucs de l' attaque , on peut diviser les manifestations oculaires q
s visuels, car les troubles prodromiques immédiats font partie de l' attaque elle-même. Pour nous, troubles prodromiques, ve
es prodromiques, veut dire toute manifestation oculaire précédant l' attaque dans l'intervalle compris (1) DELASIAUVE. Trait
ur la fréquence des manifestations oculaires qui peuvent annoncer l' attaque . Le seul signe qui signale parfois Une aura mot
Thèse d'agrégation 1880. (2) DESPAGNET. Cécité temporaire pendant l' attaque . (Rcccuil d'ophtalmologie, 1880, p. 51.) , .
bie. D'après Pichon, cette dernière manifestation prémonitoire de l' attaque n'est pas fré- quente. Axenfeld et Huchard (2)
e sensibilité rétinienne exagérée pour certaines couleurs avant les attaques . D'après lui, c'est le rouge qui est la couleur
ade, la dyschromatopsie se pré- sente de la même façon avant chaque attaque . 2° Cette dyschromatopsie est purement temporai
ro- matopsie existant chez certains malades dans l'intervalle des attaques . Il peut arriver que l'aura visuelle s'accompag
s lumineuses. Voisin (4) cite le cas d'une jeune fille qui, avant l' attaque , voyait des figures grimaçantes et d'une autre
. Leçons sur l'cpilcpsic. 182 CLINIQUE NERVEUSE. au début de ses' attaques les'objets- scintiller devant lui. Puis ce mala
ar certains épileptiques est souvent le seul prodrome qui annonce l' attaque , et c'est pour eux un trouble de la vue dont il
(1) rapporte aussi l'histoire d'une malade qui, avant d'avoir une attaque , voyait « un grand noir » s'approchant d'elle i
ologie, 190 1. (3) Journal de Médecine de Bordeaux : « Les songes d' attaque dos épi- leptiques ». ' LES AURAS VISUELLES D
ée le 20 janvier 1905 à l'asile de Montdevergues pour épi- lepsie à attaques fréquentes et, après les attaques, accès de vio
Montdevergues pour épi- lepsie à attaques fréquentes et, après les attaques , accès de violence. 1 .. Aucune hérédité. Pas
s- mes. Elle était alors âgée de 17 ans. Quelques minutes avant l' attaque , elle sent comme un souf- fle lui monter du ven
de ce moment, l'amné- sie est complète. Souvent, au moment de ses attaques , il sent sa vue se trou- bler et il survient de
gereux pour son entourage. Il est vrai que, comme le dit Voisin « l' attaque convulsive est le plus souvent suivie que précé
tat hallu- cinatoire, se montrer comme symptôme prémonitoire de l' attaque et prévenir toute précaution de la part de l'en
ne commence à augmenter au commence- ment de la phase clonique de l' attaque ; cette pression augmente 230 CONGRÈS INTERNATI
. On expose le cerveau d'un chien par trépanation et l'on produit l' attaque épileptique par le courant Leduc, comme cela es
de leur intensité. Comment se comporte la masse cérébrale pendant l' attaque d'épi- lepsie électrique ? . 1° La masse cérébr
breux symptômes de la nature hystérique y compris même les grandes attaques convulsives. Depuis son enfance la malade est t
es de la maladie gynécologique, la malade a com- mencé à souffrir d' attaques hystéro-épileptiques accompagnées d'automatisme
l'intellect sur le subconscient. En- fin Raymond rappelle la grande attaque hystérique qui est un phénomène de réévocation
et de Maxwell. Les hystériques perdent aussi le souvenir de leurs attaques con- vulsives d'une façon moins radicale que le
la capacité de lutter contre le mobile et d'opposer à ses moyens d' attaque des moyens de défense contraires. Il y a lutte
94 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ésentait aucun trouble trophique. Elle eut quelques jours après une attaque épileptiforme; nous la faisons coucher le 20 dé
perte de la mémoire, hésitation de la parole. Elle n'a jamais eu d' attaque ni de vertige. Hémianesthésie droite. Retard de
testins ne fonctionnent plus. Au mois de janvier 1897, elle a une attaque apoplectiforme ; nous la faisons coucher. Deux
, apparition d'eschare, purpura et hématurie, qui coïncide avec une attaque apoplectiforme, ainsi que l'a signalé Zacher'.
es d'excitabilité réflexe qui entrent en jeu dans la production des attaques . Ces causes provocatrices sont de divers ordres
roduc- tion des accidents nerveux et il est certain qu'une première attaque convulsive en prépare une seconde, et que les a
'une première attaque convulsive en prépare une seconde, et que les attaques suivantes tendent ainsi à se répéter. Nous comp
citation réflexe qui jouent un si grand rôle dans la production des attaques , il convient de soustraire l'enfant à son entoura
les phé- nomènes ischémiques secondaires. A. Troubles moteurs. L' attaque épileptiforme, qui appartient à toutes les form
ale grave. L'iclits apoplectique, moins grave immédiatement que l' attaque foudroyante due à la thrombose ou à la rupture
rt, en passant par des phénomènes irritatifs de moyenne intensité : attaques épileptiformes, hémiplé- gie, etc. Tous ces phé
es d'une même famille. L'activité cardiaque est accélérée pendant l' attaque . Les réflexes restent normaux. Assez rare chez
axie. sans aucune des lésions de la paralysie générale. Quant aux attaques épileptiformes, il faut probablement les attribue
auteur a tout récemment, chez une hystérique, immédiatement après l' attaque , obtenu des hallucinations par ce procédé, mais
e l'abat- tement, du délire, des paralysies des nerfs crâniens, des attaques épileptiformes, etc. Le diagnostic avec la méni
que : d'abord les conditions de l'épileptique dans l'intervalle des attaques , puis l'attaque elle- même. D'ordinaire, trop p
conditions de l'épileptique dans l'intervalle des attaques, puis l' attaque elle- même. D'ordinaire, trop peu d'attention e
egré de contracture qui se développe dans les jambes à la suite des attaques convulsives qui surviennent quelquefois. .-On o
altérations de la mémoire, de l'apathie, des idées de suicide, des attaques de sommeil et notamment des accès d'automatisme
ieii ? ze, qui au congrès de Bruxelles en 1892, avait été l'objet d' attaques dont le résultat pouvait ressem- bler à une exé
ntenant dix-huit ans et ne présente plus, depuis quatre ans, aucune attaque convulsive; mais il est resté sujet à des crise
e émotion profonde suivie d'insomnie, et quatre jours après d'une attaque de chorée généralisée, avec un état mélancolique
5, c'est-à-dire quatre ans après l'éventualité qui avait provoqué l' attaque de cho- rée, l'amie répondit par une acceptatio
e resta en crise de cinq heures du matin à quatre heures du soir. L' attaque avait débuté par un vomissement. Depuis l'on n'
Fille de sept ans, idiote, microcéphalie, dystocie de la mère, une attaque convulsive à quatre ans. Pas de signe d'Ar-yll
XL1V. UN cas dont l'autopsie démontre la guérison D'UNE première attaque DE MÉNINGITE ;par H. White. (Brain, part. LXXVI,
ocalisée dans les muscles. Cas 4 et 5 : une demi-heure avant chaque attaque , le malade tombe dans un état de rêve qui le re
ation d'odeur de fumée de bois. Cas 9 : dix ou douze heures avant l' attaque , le ma- lade perd toute sensibilité de la moiti
n dehors de tout phénomène de ce genre. Il constitue alors soit une attaque hysté- rique réduite à sa dernière période, soi
uite à sa dernière période, soit, ce qui en est l'équiva- lent, une attaque de somnambulisme spontané ou provoqué. BIBLIOGR
s phénomènes hysté- riformes qui sont à l'hystérie vraie ce que les attaques épilepti- formes sont à l'épilepsie. Enfin, l'h
us le nom de spasmes, vapeurs, pâmoi- sons, etc., jusqu'à la grande attaque classique, avec arc de cercle, hallucinations.
tant unjour mon service, a pu observer la malade pendant une de ces attaques d' amaurose . Il a pu, de plus, avec sa compéte
placée sous le coup de l'accès prémonitoire, elle est menacée d'une attaque convulsive, et disparaîtra après l'attaque auss
elle est menacée d'une attaque convulsive, et disparaîtra après l' attaque aussi vite qu'elle s'est produite. « Une amauro
les deux yeux, pourra aussi s'établir momentanément à la suite de l' attaque (obs. PERTE DE LA VISION BILATÉRALE. 393 de L
souvenir de ce qui lui arriva lors de son retour au magasin. Deux attaques similaires se produisirent peu de temps après.
M. Mouratow présente un malade, âgé de cinquante-sept ans. En 1888, attaque d'apoplexie avechémiplégie droite consécutive. Un
ssait alors d'un malade qui, dans l'es- pace de deux ans, a eu deux attaques apoplectiques, suivies la première d'une hémipl
trouvée; esquilles, hémiplégie gauche. Guérison en juin 18-il. Mais attaques convutsivos de la moitié gauche du corps avec p
nfusion dans les idées, obtusiou. Même état en 1892 avec nombreuses attaques . Séquestré le 30 janvier 1894; guérison le 21k
re d'épingle dans la région protubéranlielle du lapin détermine une attaque d'épilepsie com- plète classique ; mais, chez l
, et en particulier à l'écorce de la région motrice, comme pour les attaques convulsives toxhé- miques. Pour qu'il y ait con
r qu'il y ait convulsions cloniques, il faut agir sur l'écorce. Les attaques d'épilepsie, quelle qu'en soit l'origine (ab- s
nution de l'action des artères des autres parties du corps; de là l' attaque d'épilepsie. La simple piqûre du même organe ch
cès proprement dit, complet, on comprit l'importance de cette aura, attaque légère, décharge faible, trop faible pour voile
i dire l'acmé, que les décharges légères tendent à atteindre. Cette attaque faible eût été de plus haute valeur théra- peut
être sûr, il aurait fallu reproduire, avec le courant faradique, l' attaque con- vulsive toute entière, avec l'aura paroxys
inférieur un point où le cocu- rant le plus faible fait naître une attaque convulsive unilatérale gauche, partant du petit
95 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
ivrer à ses excès alcooliques. Pendant sa grossesse, elle a eu deux attaques d'éclampsie ( ? ) bien caractéri- sées. - L'acc
E. - Père, alcoolique, emporté. - Grand-père pater- nel, mort d'une attaque de paralysie. - Grand-onçle pater-- net tubercu
e fume pas. - [Père, meunier, sobre et calme, serait mort d'une « attaque de paralysie » après deux mois de maladie. - Mère
'accuse aucun antécédent nerveux tels que convulsions de l'enfance, attaques de nerfs etc. Pas de maladies de peau.- [Père,
n. L'enfant fut alors pris de convulsions fréquentes, survenant par attaques portant sur 8 jours environ, puis restant un mo
ieur traversant la suture fronto-pa- riétale. - 25 juin : violentes attaques de convulsions épileptiques. - 26 juin : nouvel
olentes attaques de convulsions épileptiques. - 26 juin : nouvelles attaques qui ne se sont plus reproduites. - 30 janvier 189
robablement d'une affection de l'esto- mac. -Grawcd'mère a eu trois attaques de congestion cërë- brale sans paralysie; cépha
nostic posé. - Mère, GG ans, actuellement bien portante, a eu trois attaques à HO ans qualifiées de congestion cérébrale. Il
nce, de divaga- tion et de délire peu violent. Après chacune de ces attaques , elle est revenue à son état normal, sans avoir
leurs du côté paternel. La grand'mère paternelle a présenté trois attaques sans paralysie, étiquetées attaques de congesti
ère paternelle a présenté trois attaques sans paralysie, étiquetées attaques de congestion cérébrale. Quelques céphalalgies
Irrégularité du pouls, hyperesthésie cutanée. Duf... n'a plus eu d' attaques convul- sives. T.R. 3 ? 7. -Soir : 39°, 8. 17
méningite. Autre oncle paternel, suicidé. Tante paternelle, morte d' attaques d'éclampsie. Mère, soignée comme hysté- rique à
el, mort phthisique. Grand'mère maternelle, très-colère. A eu des attaques de nerfs. Pas de consanguinité. - Inégalité d'â
re soeurs, aucune n'est vivante. L'une d'elles est morte à 18 ans d' attaques d'éclampsie. - Dans le reste de la famille, pas
ÉCDENTS héréditaires. 175 par M. Charcot. Elle a eu quelquefois des attaques de nerfs. Elle est très faible et anémique. Ell
chisseuse parce qu'elle a une « maladie du ventre ». Elle a eu des attaques de nerfs. On ne sait si elle fait des excès de
s, est atteint de mal épileptique parfaitement caractérisé, que les attaques épileptiques sont au nombre de 8 à 10 par jour, q
ts fort vieux. - Mère, très nerveuse, pourtant elle n'a jamais eu d' attaques de nerfs, et n'a jamais fait d'excès de boisson
n accls de folie, déclare d'abord lanière de notre malade, pour une attaque de deli, ittm trP.Jllc118, déclare- t-elle une
e maternel, alcoolique, violent. - Grand-oncle maternel, mort d'une attaque d'apoplexie. - Pas de consanguinité. - Inégalit
s, morts tous les deux, l'un de maladie indéterminée, l'autre d'une attaque d'apoplexie. - Une tante paternelle est encore
- Grand-père paternel, nombreux excès de tout genre ; plu- sieurs attaques apoplectiques; hémiplégique. - Demi- oncle pate
de fièvre typhoïde, migrai- neux, assez nerveux, a eu à 36 ans une attaque de rhumatisme articulaire aigu qui ne s'est pas
culaire aigu qui ne s'est pas reproduit depuis. Il y a quatre mois, attaques de coliques néphrétiques ayant duré 4 jours ; h
é habituelle bonne. - [Père, mort à 57 ans, à la suite de plusieurs attaques d'apoplexie ; il était paralysé de tout un côté
stérique. Arrière-grand-père maternel, excès de boisson, mort d'une attaque de paralysie. z Grand-oncle maternel, excès de
E. - Père, alcoolique, emporté. - Grand-père pater- nel, mort d'une attaque de paralysie. - Grand-oncle pater- nel tubercul
SUTURES DU crâne dans L'IDIOTIE. 321 excès de boisson, mort d'une attaque de paralysie.- Grand- oncle maternel, excès de
pendaison, ? ... 328 Idiotie. Grand'mère maternelle, morte d'une attaque d'apoplexie. Arrière-grand' tante maternelle, a
96 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vre typhoïde. Il n'a jamais eu ni incontinence nocturne d'urine, ni attaque de nerfs, ni accès d'épilepsie, ni agitation chor
droit, exaspération de ces douleurs, de temps à autre, sous forme d' attaque , rigidité musculaire du cou. Dans l'après- midi
elle, rétrécissement du champ visuel, points liystérogènes, grandes attaques ). On cherche à l'hypnotiser par la pression sur
e artificielle, qu'on peut à beaucoup de points de vue comparer à l' attaque hystérique. De même que diverses formes convuls
ulsives ou psychiques, peuvent être rattachées au type de la grande attaque d'hystéro-épilepsie, de même les diverses varié
de l'hypnotisme, peuvent être reliées au grand hypnotisme. Dans l' attaque d'hysteria major, il existe plusieurs périodes
e plusieurs périodes distinctes comme dans le grand hypnotisme. Les attaques d'hystérie peuvent dévier du type normal par l'
isme ? - t04' REVUE CRITIQUE. Tous les caractères somatiques de l' attaque hystérique, con- tractures, mouvements convulsi
ements convulsifs, grands mouvements, etc., peuvent faire défaut. L' attaque est constituée exclusivement par des troubles p
larmes, qui peuvent être considérés comme des formes effacées de l' attaque hysté- rique. Ces cas correspondent aux variété
ième, l'asthme chronique cesse chez un imbécile, lorsque éclate une attaque aiguë de folie, pour reparaitre quand celle-ci
de qui est tombée alors dans un état mental particulier et dont les attaques débutant à ce moment ont revêtu, par suite d'un
is dormi et ce pseudo-hypnotisme ne consiste en réalilé qu'en des attaques hystériques d'une allure un peu particulière dans
on est relative à une jeune hystérique de vingt-trois ans, dont les attaques augmentaient de fréquence en même temps que s'é
ème jour, tous ces phénomènes disparaissaient. La malade n'a plus d' attaques et on peut la considérer comme guérie. Classi
que, par cela seul qu'un individu sera sujet de loin en loin à des attaques d'épilepsie, on pourra le prendre au moment d'ê
ompris ceux dont ne parle pas M. Liégeois, tels par exemple que les attaques d'hystérie sur- venues à la suite des hypnotisa
dans la région des masséters. La malade craint exces- sivement ces attaques . Catarrhe très violent de la vessie avec réten-
ais il ne peut pro- noncer un seul mot. Il se rappelle que dans son attaque précé- dente (il y avait déjà deux années) il p
l reprend son travail. Le 7 août 1874, il fait cinq immersions sans attaque , il redescend à la même profondeur de 20 à 21 b
ppellerons de nouveau qu'un malade peut n'avoir jamais eu une seule attaque et être pourtant bel et bien hys- térique. Il f
au point de vue de ses périodes, des variétés qu'il présente, di l' attaque hysté- rique et qu'il y avait une véritable ana
idents qui relèvent de l'hystérie. Nous avons vu plusieurs fois des attaques hystériques diminuer de nombre et d'intensité q
asion du développement de quelque manifestation hystérique, d'une attaque de sommeil, de la chorée rythmée, par exemple. C'
embolie cérébrale : une hémiplégie droite, sans aphasie, après deux attaques apoplecti- formes. A l'autopsie, on trouva une
hyperesthésies, la nature terrifiante des délires qui succèdent aux attaques . Toujours héréditaire, elle éclate parfois Si l
sie. Athétose progressive et généralisée aboutissant à une espèce d' attaque avec perte de connaissance totale, représentant
. M. l3nt.wo demande si le malade de M. Camuset était sujet à des attaques épileptiforme qui pourraient expliquer dans une
'il a commis. M. CW1USLT. - Aton malade a été frappé de sa première attaque épileptiforme quelques jours après son entrée à
eule- ment de violents accès de vertige, mais une longue et grave attaque convulsive, alors que cette personne n'en avait j
phasique. Cet état a déjà été assez sou- vent observé, à la suite d' attaques congestives, d'une façon passa- gère. L'aphasie
ves, d'une façon passa- gère. L'aphasie sensorielle consécutive aux attaques congestives est moins rare que la surdité absol
nombreux aujourd'hui où la vio- lence a revêtu certaines formes : l' attaque par le vitriol ou par le revolver. L'on voit tr
s acciden- telles, la suppression brusque de la menstruation, une attaque d'épilepsie ou d'hystérie. Ce n'est pas le lieu
t les soins ordinaires et le sondèrent : le troisième jour de son attaque , il vint à Hydra et il me disait qu'il se trouvai
rome d'apoplexie par hémorrhagie céré- brale, que parfois c'est une attaque syncopale qui termine la vie du plongeur. Pro
e exagération persiste pendant un certain temps ; elle explique les attaques épileptiformes chez les animaux in- toxiqués pa
; 2° de la motricité (hyperexcitabilité musculaire, convulsions, - attaques épileptiformes). Ces derniers accidents rapproche
plus saillants de la cocaïne sont les troubles de la motilité, les attaques épileptiformes et les troubles de la sensibilit
a trépanation et l'excision du centre moteur, sans réapparition des attaques au bout de deux mois. M. le D'' Fermer (de Lond
97 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
ques dans la circonstance. Par cela même qu'un malade est sujet à des attaques de léthargie, de catalepsie, de somnambulisme, on
ntique à celle découverte antérieurement par les mêmes auteurs pour l' attaque et les états de mal hystérique. a Entre l'hypno
de nature. Hypnotiser un sujet, c'est lui donner artificiellement une attaque de sommeil ; le réveiller, c'est faire cesser cet
ement une attaque de sommeil ; le réveiller, c'est faire cesser cette attaque par des manœuvres expérimentales. Or, nous avon
des manœuvres expérimentales. Or, nous avons vu précédemment que l' attaque de sommeil n'est qu'un fragment détaché ou tout a
fragment détaché ou tout au moins un équivalent clinique de la grande attaque complète et régulière de l'hystérie. Nous sommes
er dans les divers accidents qui dépendent de l'hystérie, — Enfin une attaque hypnotique peut s'enchevêtrer parfois avec une at
e, — Enfin une attaque hypnotique peut s'enchevêtrer parfois avec une attaque hystérique (1). M. Tamburini pense au contraire
que cette femme avait eue avec son mari. Il y avait eu une ébauche d' attaque d'hystérie avec strangulation, cris et grands mou
t de sa fillette. Elle avait présenté seulement à l'âge de 18 ans une attaque d'hystérie, mais depuis lors elle n'en avait plus
guérie, Iorsqu'en février 1885, c'est-à-dire 8 mois après la première attaque , elle est reprise, à la suite d'une dispute avec
taque, elle est reprise, à la suite d'une dispute avec sa sœur, d'une attaque d'hystérie convulsive qui la fait retomber dans s
ns que son interdiction ait clé prononcée ou provoquée, pourront être attaques pour cause de démence.....» IIy aura dol.au c
a troisième période dite des attitudes passionnelles de la grande attaque d'hystérie, ou plus probablement qu'elle se ratta
robablement qu'elle se rattache au syndrome que Briquet a dénommé les attaques d'extases, que sainte Thérèse, était, à ce moment
acas, perd connaissance et offre le tableau classique des grandes attaques . Mais elle éprouve un symptôme très rare : chaque
uve un symptôme très rare : chaque fois, une ou deux heures après son attaque , elle est prise d'hémoptysies, et, sans tousser,
rnières années, elle offrit un nouveau symptôme : brusquement après l' attaque ou en dehors de toute attaque, les pieds enflaien
nouveau symptôme : brusquement après l'attaque ou en dehors de toute attaque , les pieds enflaient et devenaient bleuâtres. L'œ
sans hésitation et sans défaillance ; elle lui donne la sûreté dans l' attaque de chaque note et le sentiment absolu des distanc
dans l'éducation musicale. Suggestion curative dans le cours d'une attaque d'éclampsie. * par M. leDr Le Menant des Chesnais
n. Lcdébutcncst toujours brusque, à la suite dune émotion vive, d'une attaque , d'une laryngite, d'une angine, d'un traumatisme
ueux et intelligent, qui fut atteint, pour la première fois d'une attaque convulsive, sans perte de connaissance, à l'occas
niques et toniques des membres et du tronc, paralysie de la vessie et attaques classiques de grande hystérie. Le début de la mal
parfaitement explicables et n'ont rien d'invraisemblable. » « Les attaques de nerfs sont certainement une des manifestations
comme au Moyen-Age et même pour beaucoup d'esprils de nos jours, ces attaques étaient l'oeuvre de démons, parfois nombreux chez
e laquelle étaient sortis sept démons(Luc VIII, 2). Même guéries, ces attaques pouvaient revenir : ¦¦ lorsqu'un esprit immonde e
és de paralysies, de contractures, d'ancsthésies, toutes les formes d' attaques peuvent être reproduits par suggestion chez certa
nt la vie d'ermites : tel saint Jean-Baptiste qui paya de sa tête ses attaques aux puissants. Il existait donc un milieu propi
sont assez chargés : la mère aurait eu pendant sa grossesse plusieurs attaques de nerfs, suivies de perte de connaissance. Les
a dit, mais à la fois hystériques et épileptiques. Ils présentent des attaques séparées. Ce sont des hystériques qui ont des cri
; la thérapeutique qu'il commandait ne pouvait avoir pour moyen que l' attaque directe de cette lésion par d'illusoires médicati
nt, parésies, atrophies musculaires fonctionnelles, marche titubante, attaques convulsives hystéro-épileptiques généralisées, co
u'à la gorge et produit la toux et une sensation d'étouffement. Pas d' attaques convulsives. Le sens musculaire est modifié. Au
Raymond, p. 343. Eclampsie (Suggestion curatlve dans le cours d'une attaque (d'), par Le Menant des Chesaais, p. 120. Ecole
98 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
cile. Mère migraineuse. Arrière grand' mère maternelle, peti- tes attaques de ramollissement (de 79 à 82 ans). -Tante mate
ire. Père, alcoolique, emporté. - C¡'and-père pater- nel mort d'une attaque de paralysie. G)'a ? td-otc ! epafe ? '- nel tu
érique. Arrière-grand-père maternel, ' excès de boisson, mort d'une attaque de paralysie.- "- Grand-oncle maternel, excès d
rt proba- blement d'un cancer de l'intestin. Grand-père paternel, attaque de paralysie. Oncle paternel, mort à sa 3e attaqu
d-père paternel, attaque de paralysie. Oncle paternel, mort à sa 3e attaque apoplectique (hémiplégie gauche). - Cousine pat
nel, mort phthisique. Grand'mère maternelle, très colère; a eu dès attaques de nerfs : Pas de consanguinité ' - Inégalité d
x. Grand-père paternel, nombreux excès de tout genre; plu- sieurs attaques apoplectiques; 12é11üpléique. - Demi- oncle pat
blement d'une affection de l'es- tonac. Gra ? td/u)ë)'e, a eu trois attaques de congestion ce- - t'ebrate sans paralysie; cé
marché. Il a parlé tard. Il n'aurait jamais eu de convulsions, ni d' attaques de nerfs, ni de chorée. On n'a constaté ni cris
céphalalgies depuis son premier allaitement ; très-nerveuse, sans attaques de nerfs ; lymphatique, aurait eu une punaisie.
cidents nerveux. Mère morte à 83 ans ; elle avait eu, à 60 ans, une attaque d'hémiplégie. Grand' mère maternelle, morte cen
euse, facile à irriter, colères violen- tes, cependant ni accès, ni attaques , mais, à 18 ans, elle a eu des fièvres intermit
é DROIT; état DE MAL épileptique; mort. Sommaire. Père rhumatisant, attaque d'apoplexie avec hémiplégie gauche; excès alcoo
en octobre 1874, d'une hypertrophie du coeur. Il avait eu plusieurs attaques incom- plètes de paralysie, suivies d'une attaq
ait eu plusieurs attaques incom- plètes de paralysie, suivies d'une attaque d'apoplexie avec hémiplégie gauche. [ Père, ex-
roit, 121 gr. . Nous devons signaler l'hérédité du côté paternel ( attaques paralytiques répétées du père, mort hémi- plégi
qu'il paraît avoir été conçu alors que son père avait eu déjà des attaques paralytiques. Signalons une impression vive de
e, gastralgique. trri'ère-rand'mère 7naZeî' ? ieZZe, sujette il des attaques syncopales. Grande tante mater- nelle, tubercul
rises de nerfs et paraplégie passa- gère. - Autre tante maternelle, attaques convulsives auec aura. - In frère, méningite. -
t eu dans les deux ou trois dernières an- nées de sa vie de petites attaques syncopales (probablement symptomatiques de thro
ur, qui est vivante, est rhumatisante, un de ses enfants aurait des attaques convulsives avec aura ; un médecin témoin de ce
arler et ne chan- terait plus. Lorsque, à 15 mois, après sa seconde attaque con- vulsive, Fut repris par ses parents, il ét
portante. Une de ses soeurs a eu des troubles intellectuels et des attaques d'hys- térie au moment de la puberté. Pas de co
d'onanisme. A 5 ou (i repri- ses différentes, elle aurait eu des « attaques de nerfs. » Une fois dans le service de M. More
ts-Malades pour être traité d'une fistule ( ? ) au bras, il eut des attaques convulsives et fut envoyé à l'Asile Clinique.
e maternel, alcoo- lique, violent. Grand-oncle maternel, mort d'une attaque d'apoplexie. Pas de consanguinité. - Inégalité
99 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vation I est celle d'une femme qui est morte dans mon service d'une attaque épileptiforme causée vraisemblable- ment par un
malade n'avait présenté, en fait de symptômes cérébraux, que trois attaques d'aphasie transitoire ; ce n'était pas un paral
ale. Observation I. Syphilis datant de quatorze ans. Céphalalgie. Attaque apoplectifoi-ine. Paralysie du nerf moteur oculai
bolition du réflexe patellaire gauche, diminution du réflexe droit. Attaques z épileptiformes subintrantes, mort dans le com
ue vers le milieu du mois de septembre. A cette époque elle eut une attaque apoplectiforme sur laquelle elle ne peut donner
s du matin, pendant le repas, la malade est prise brusquement d'une attaque épileptiforme : elle se renverse sur son oreill
duit. La nialade est en réalité en étal de mal et subit une série d' attaques subintrantes qui se prolongent jusque vers une
en état de mal et n'en sort que vers 2 heures de l'après-midi ; les attaques recommencent à '5 heures pour durer toute la nu
flasque : c'est l'inverse de ce qui s'est produit après la première attaque . La face est pâle, avec des lèvres bleuâtres ; la
point de' vue des mouvements athé- tosiques, ni au point de vue'des attaques convulsives qui peuvent même devenir plus fréqu
le stade'prodromique de la paralysie générale,' il" se produit des' attaques d'aphasie ataxique passagères, parfois accompag
e ou de sensations''toutes spéciales dans -une moitié du corps. Ces attaques peuvent se répéter à des intervalles déterminés,
tation- naire de la paraplégie dépôts 1890 environ. En 1 889, trois attaques d'aphasie transitoire; aucun symptôme mental de
érale ; ces malades ont bien quelques .symptômes légers, quelques attaques épileptiformes de temps,en(temps, mais Usine font
orbides, la psychopathie maniaque arrive à la période critique de l' attaque de grippe, la mélancolie ne se montre que quelq
tion générale des malades de nos asiles et les accidents tels que : attaques congestives subintrantes, gangrènes du décubitu
trantes, gangrènes du décubitus, paralysie et spasmes de la vessie, attaques apoplectiques laissant après elles des paralysies
maison de santé, et il resta seize mois chez le De F.... « pour une attaque de nerfs avec folie », selon sa propre expressi
t, iaiisE4ue"rienne l'aitv.faitprévoir, ? tnotre malade,fut- pris d' attaques épileptiformes : ,Lesattaques étaientjtrès violen
bres supérieurs'à. évolution' subaiguë; marchesprogressive ; puis,, attaque L4 apoplectiforme ? affaiblissement deulac mémoir
leur au contact. Douleurs spon- tanées de toute espèce. Quelquefois attaques f généralisées comme dans l'épilepsie. Tremblem
ébrales soudaines. Sans le brusque^arrêt respiratoire du début de l' attaque ,sans,la"persistance de l'action cardiaque, très
'atta- ques apoplectiques répétées ? il, .succomba, à. une nouvelle attaque . A l'autopsie, on trouve les membranes épaissie
ffai- blissement ou l'arrêt], du développement des 'facultés; les attaques épileptiformes ; , les contractures ; la lassitud
ent quant au signe de Westphal, aux facultés intellectuelles, aux attaques épileptiformes,' à l'état ,d'épuisementphysique;·
este'en bonne santé jusqu'à quatorze ans; à ce moment il est pris d' attaques épileptiques sub- intrântes; démence progressiv
elles que l'épilepsie et l'hystérie. Chez beaucoup d'épileptiques l' attaque est annoncée par une hallucination de la vue, t
rs' la même chez le même individu. Celles qui surviennent après l' attaque ont un caractère beaucoup plus général; ce sont d
tats sont surtout favorables quand la microcéphatie. s accompagne d attaques epileptiformes, de soubresauts muscu- laires,"
tion, spéciale,auxj'nuitipares.q «mol . 1 Dans ;3 p. 100 des cas, l' attaque de folie puerpérale n'avait été t précédée d'au
le, mégalomaniaquc ou non (3 ? .,accès) ; il, aura., à sa quatrième attaque un ensemble qui devra être caractérisé de folie
; on voit, , eii effet, \ des psychoses., graves, succéder . à une, attaque ,t\d' nfluenza accompagnée, dune èvi,e.ti,ès leg
'' j Le mot « Amok » est un mot malais qui-exprime l'idée d'une attaque furieuse, ayant presque toujours le caractère hom
errées convulsivement ne permettant pas l'ouverture de la bouche. L' attaque n'était pas suivie de troubles moteurs, mais de
les centres corticaux inté- resses/c'est'd'une part, là'précocité ( attaque épileptiforme avec trismus dès le début dé l'af
ation' de M., Boixq (trismus isolé, durant quatre jours, , suivi, d' attaques tétanie ' Hirt. Localisation du centre cortical
oupésliôizonyales, de^comparer lacapa-i cité des ventricules, qui n' attaque pas la capsule interne et les;gros.. ganglions,
e est également mauvais parce qu'il agit trop sur le muscle. Monell attaque le mal à son centre à travers la constitution g
paraissent appartenir aux paralytiques généraux syphilitiques. Les attaques congestives se montrent plus fréquentes chez le
ches buccales du facial. De'puis'celte époque, à la suite de chaque attaque , il se produit une paralysie passagère du côté
lleurs dans la'conférence en question s'étaient montrés opposés aux attaques de MM Bodelsch- winch, Hafner'et autres; ? 2° q
qui dans un'paroxysme, peut-être provoqué par des hallucinations, s' attaque à la' personne d'un autre doit être rendu respô
réconciliable entre l'aliéniste et l'as- sistance spirituelle. Les. attaques haineuses des conférences sur l'assistance, spi
- dances homicides, par Camuset, -288. ' ? Aliénistes, récentes attaques contre les -, par Pelmau. 453. 11, Anlox, l'
100 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
; elle n'offre aucun autre trouble de sensibilité et n'a jamais eu d' attaques d’hystérie. Pour ramener cette jeune fille à un
personne subit parfois des crises qui 1 appellent singulièrement les attaques d’hystérie : la respiration devient alors plus ra
de la moutarde aux jambes; il élait donc convaincu qu’il s'agissait d’ attaque apoplecliforme. Or, il ne s'est agi ni d’hémorrag
se, elle a eu une perte de connaissance analogue, diagnostiquée aussi attaque d'apoplexie et de laquelle elle s'est complètemen
uggestif; il ne faut pas oublier, en effet, que cette femme a eu deux attaques de sommeil hystérique. REVUE DE LA PRESSE ÉTRAN
à un dénigrement systématique et aveugle. C'est, pour répondre à ces attaques , comme aussi pour asseoir de plus en plus solidem
léger ou de bière pendant ses repas aura moins de chance d'avoir une attaque d’ivrognerie que celui auquel on a défendu de jam
. Car l’hystérique imite aussi intensément qu’il se suggestionne. Les attaques de nerfs sont contagieuses dans une salle de mala
les a mis en lumière, c’est qu’il s’adressait à d'autres procédés. L’ attaque de grande hystérie provoque spontanément 1 appari
de sensibilité, etc. Tous les jours depuis six ans, elle est prise d’ attaques d'hysléro-épiiepsie. J’ai beau la presser de ques
e questions, je ne puis parvenir à me renseigner sur l’origine de ces attaques . Un beau jour, une crise se déroule sous mes yeux
projections à la lumière oxy-drique, les diverses phases de la grande attaque d’hystérie. M. Magnin a montré que les descriptio
uables dessins qui reproduisent toutes les périodes et attitudes de l’ attaque sont devenus classiques. Son Anatomie et sa Physi
il provoquent des réactions spéciales qui ne sont autre chose que les attaques efc tous les accidents paroxystiques. L’hystérie
crises convulsives. Mahomet se retirait sous sa tente pour cacher ses attaques . Mais ces convulsions, ces vertiges, n'étaient-il
psie que l’hystérie. Arrivons aux crises convulsives. La première attaque se déclare au début de sa vingt-deuxième année, l
aura (2). Voici la description que nous donne Maxime du Camp de ces attaques : « Elles se produisaient de la même façon et é
ofond et une courbature qui durait pendant plusieurs jour?. » Cette attaque ressemble plutôt à une crise d’hystérie. Le mal c
contraire la précaution de se coucher tout d’abord dans son lit. L’ attaque d’hystérie à grandes allures se terminant par des
manquer cl l’at-taque se réduire à des convulsions. Au contraire l' attaque d’épilepsic commence par des convulsions toniques
peut faire bien des hypothèses. Or, Flaubert est le génial sur les attaques duquel nous possédons le plus de renseignements.
l de ses idées exactement au point où il l’avait laissé au début de l’ attaque . Il importe dans les observations de bien spéci
miplégie droite qui est survenue sans cause particulière sous forme d’ attaque apoplectique. Le malade aurait eu des attaques co
rticulière sous forme d’attaque apoplectique. Le malade aurait eu des attaques convulsives une fois chez lui ; l’aphasie est ext
ion d’aicool aggravera une anesthésie hystérique, ou fera éclater une attaque . Et cela n’a plus lieu de nous surprendre, depuis
la fatigue. Le traumatisme est une cause d’hystérie. Mais aussi une attaque d’hystérie éclatera sous l’influence d’un traumat
o-didlectriques (Archives de neurologie, sept. 1900). cle grandes attaques . Ces diverses espèces de secousses peuvent d'aill
es augmentent suffisamment de résistance. Les tics organisés et les attaques méritent de nous arrêter un instant. Les tics org
malléatoire, salta-toire, rotatoire, grimpante et tournante, etc. Les attaques , qui ne sont que de grands tics organisés, s'expl
ganisés, s'expliquent de la même manière. La période épileptoïde de l’ attaque , qui consiste dans une contraction généralisée, c
ême d’une demi-rétraction des neurones de mouvement aboutissant à une attaque ; tandis que la rétraction complète des neurones
trices, tremblements, contractions athétosiques, secousse choréiques, attaques , qui s’expliquent de la même manière. Au surplus
ant aux trois systèmes se rétractent ensemble, comme il arrive dans l’ attaque syncopale. Ce qui est vrai, c’est que le processu
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