'anatomie macroscopique a décelé : 1° celle des racines postérieures (
atrophie
) ; 2° celle des méninges (méningite spinale posté
aux, et entre autres, des nerfs optique, moteur oculaire, hypoglosse (
atrophie
et dégénération grise). Disons aussi, d'une ma-ni
à, comme l'ont avancé quelques auteurs, M. Leyden entre autres, d'une
atrophie
simple. La méningite spinale, qui coexiste si fré
sait encore que la majorité des cas, désignés en clinique sous le nom
atrophie
musculaire progressive, se rapporte à une altérat
rare de voir, dans le cours de l'ataxie locomotrice, se produire une
atrophie
mus-culaire, tantôt partielle, tantôt, au contrai
ait depuis longtemps constituée chez cette femme, lorsque survint une
atrophie
musculaire, laquelle progressa sous nos yeux asse
re dans l'ataxie locomotrice, considérées da?is leurs rapports avec l'
atrophie
musculaire. {Archives de physiologie, 1872, p. 59
Le diagnostic était rendu facile, dans ce cas, par l'existence d'une
atrophie
com-mençante d'un des nerfs optiques. L'opinion q
femme est devenue aveugle. La lésion du fond de l'œil consiste en une
atrophie
nacrée des papilles ; les accès de douleurs fulgu
de 52 ans, est aveugle depuis quinze ans. Il s'agit ici encore d'une
atrophie
nacrée des nerfs optiques. Les accès de douleur
iens et bulbaires. — Induration grise progressive du nerf opti-que. —
Atrophie
progressive de la papille. — Nécessité de l'exame
ymptômes diffèrent d'une manière essentielle de ce qu'ils sont dans l'
atrophie
optique tabétique. L'induration grise progressi
et qui répondent à ce qu'on est convenu en ophtalmologie d'appeler Y
atrophie
progressive de la papille. Ces caractères, Messie
croire, d'après ce que j'ai vu, que les amaurotiques, chez lesquels Y
atrophie
progressive de la papille est la cause de la céci
pouvant également reproduire, jusqu'à un certain point, l'aspect de l'
atrophie
papillaire tabé-tique. Enfin, dans la paralysie g
irconstance permet peut-être d'expliquer l'occurrence fré-quente de l'
atrophie
papillaire progressive dans la méningite chroniqu
tomes concomitants de la neuro-rétinite et ceux qui accompa-gnent l'
atrophie
tabétique et, d'autre part, entre l'aspect de la
tabétique et, d'autre part, entre l'aspect de la papille qui marque l'
atrophie
papillaire consécutive à la névrite optique et ce
z laquelle se présentaient les ca-ractères de la névrite optique avec
atrophie
du nerf. Ces lé-sions étaient liées à l'existence
ute leur étendue. Il n'existait pas de trace d'une méningite. Cette
atrophie
scléreuse caractérise la seconde forme, ou, si l'
la papille tabétique ; — l'autre représente la papille de Ler... : l'
atrophie
consécutive à la névrite optique se présente là a
des nerfs périphériques au même titre que l'herpès, la peau lisse, l'
atrophie
muscu-laire rapide, et tant d'autres troubles tro
dans certains cas d'altérations de la sub-stance grise déterminant l'
atrophie
musculaire progressive 1 S. "Weir Mitchel. — In
l fallait chercher ailleurs. Par analogie avec ce qui a lieu dans l'
atrophie
musculaire et dans la paralysie infantile où la l
diés avec MM. Pierret et Gombault. J'ajoute-rai qu'un certain degré d'
atrophie
musculaire dans le mem-bre affecté s'observe fréq
ut récent d'arthropathie tabélique, malgré de patientes recherches, l'
atrophie
des cornes antérieures du côté correspondant à l'
te lésion s'était traduite, du vivant du malade, par une parésie avec
atrophie
musculaire des membres supérieurs. La dilatation,
n longueur du renflement cervical de la moelle. Le dernier phénomène,
atrophie
musculaire, se comprend aisément, puisque, en se
e rendent, affaiblissement qui est lui-même suivi, à la longue, d'une
atrophie
plus ou moins prononcée des muscles. La compres
r le tra-jet des nerfs douloureux ; anesthésie cutanée circonscrite ;
atrophie
et. contracture musculaires partielles. — Déforma
es bulles pemphigoïdes, les escarres même, et, du côté des muscles, l'
atrophie
plus ou moins rapide, la paralysie, la contractur
par M. Wagner 1 et dans un autre cas rapporté par M. Michaud 2, ou l'
atrophie
musculaire 1 E. Wagner. — Ârchiv. der Hdlkunde,
ibilité électrique est accrue, particularité qui semble prouver que l'
atrophie
muscu-laire est bien ici la conséquence d'un trav
té électrique des masses musculaires qui, peu à peu, présentèrent une
atrophie
remarquable. Les urines en même temps deviennent
es membres, paralysés déjà et contractures, offriraient, en plus, une
atrophie
plus ou moins prononcée des masses musculaires. E
nir, et les muscles des membres paralysés présente-raient bientôt une
atrophie
plus ou moins accusée, accompa-gnée ordinairement
udo-névralgies) suivie, tôt ou tard d'anes-thésie : il s'y ajoute une
atrophie
plus ou moins marquée et plus ou moins rapide des
es. Paralysie spinale infantile; — Paralysie spinale de l'adulte; —
Atrophie
musculaire progressive spinale ; — Sclérose latér
ré-gression des symptômes avec localisation des lésions musculaires (
Atrophie
musculaire, arrêt de développement du système oss
de désinté-gration; sclérose partielle des cordons antéro-latéraux ;
atrophie
des racines antérieures. — Raisons qui tendent à
e de la vie animale, se traduisant par une impuissance motrice et une
atrophie
plus ou moins accusées, sont, ainsi que je vous l
constance, semble être en quelque sorte proportionnelle au degré de l'
atrophie
subie par le muscle; Ce sont là deux cas extrêm
classiques, h paralysie glosso-labio-laryngée, certaines formes de l'
atrophie
muscu-laire progressive, etc. J'espère vous démon
ise occupées par les grandes cellules motrices, dont elle détermine l'
atrophie
et même la destruction complète. — Cetteaffection
aru. On ne se rend pas toujours un compte exact de l'étendue de cette
atrophie
, parce qu'elle est souvent masquéej ne l'oublions
fait ressortir : c'est l'arrêt de développement du système osseux. L'
atrophie
qui affecte les os n'est nullement en rapport néc
rt nécessaire avec le degré ou avec l'étendue de la paralysie et de l'
atrophie
musculaires. Ainsi, suivant une remarque de Duc
prononcé que pré-sente tôt ou tard le membre paralysé. De même que l'
atrophie
, ce phénomène paraît s'accentuer plus dans la par
membres". C'est peut-être le lieu défaire remarquer qu'en outre de l'
atrophie
des muscles et des os, on trouve à l'autop-sie, d
rtie des faisceaux primitifs subirait, dans cette première période, l'
atrophie
simple sans 1 Voir Heine et Duchenne (de Boulog
t à l'opinion la plus répandue, le même ca-ractère se retrouve dans l'
atrophie
musculaire progressive de cause spinale. Les lé
e la moins importante. Ainsi, nous avions constaté l'exis-tence d'une
atrophie
des cornes antérieures de la substance grise et d
fait, rapporté en 1869 par MM. L. Clarke et Z. Johnson sous le nom d'
atrophie
musculaire, doit être, croyons-nous, rapproché du
brusquerie de l'invasion des accidents, le mode de localisation de l'
atrophie
des muscles ne laissent guère subsister de doute
; or, dans ce cas encore, l'examen microscopique a fait reconnaître l'
atrophie
des cornes antérieures, la disparition ou l'atrop
it reconnaître l'atrophie des cornes antérieures, la disparition ou l'
atrophie
granuleuse d'un certain nombre de cellules nerveu
hez^une femme morte de paralysie générale à l'âge de cinquante ans. —
Atrophie
fibroïde de la corne antérieure du côté droit, ém
atro-phie avec sclérose partielle des cordons antéro-latéraux et une
atrophie
très prononcée des racines antérieures, remarquab
aux symptômes de la mala-die, en particulier la paralysie ainsi que l'
atrophie
des mus-cles ; nous avons, en outre, émis l'opini
c'est là le fait anatomique initial, les lésions de la névroglie et l'
atrophie
des racines nerveuses devant être considérées com
partielles. — Conditions dans lesquelles ce3 affections déterminent l'
atrophie
rapide des muscles. I. Messieurs, Il y a lo
proche cliniquement cer-taines paraplégies à début brusque, suivies d'
atrophie
mus-culaire, développées dans l'adolescence ou ch
e appa-raît, vous ne devez pas vous attendre à voir se produire cette
atrophie
par arrêt de développement, qui, chez les enfants
es des membres supérieurs, la nutrition avait souffert au point que l'
atrophie
y était déjà manifeste. Six mois après le début
ent dans les autres membres. Mais le malade présente actuellement une
atrophie
vraisemblablement indélébile très prononcée des m
'un élève de la SalpêLrière, M. Petit/ils, travail ayant pour titre :
Atrophie
aiguë des cellules nerveuses. (J.-M. C.) et 15
ors ce qui suit: des deux côtés, mais surtout à droite, il existe une
atrophie
assez prononcée des épaules et de la partie posté
la paume de la main est aplatie et comme ex-cavée en conséquence de l'
atrophie
qu'ont subie les éminences thénar et hypothénar.
lière. Il a été matériellement impossible de préciser l'époque où l'
atrophie
des muscles a commencé à se produire. On assure t
et mar-qué par une période fébrile bien distincte, la flaccidité et l'
atrophie
profonde rapidement survenue que présentaient les
domestique. Les membres inférieurs sont amaigris dans la totalité, l'
atrophie
est surtout marquée aux cuisses qui sont flasques
régions de la moelle épinière, correspondantes aux muscles frappés d'
atrophie
; mais on ne rencontre nulle part, dans les corne
rne grise est aussi profondément at-teinte, une sorte d'émaciation, d'
atrophie
, avec diminution plus ou moins prononcée de tous
iste, en général, pour ce qui concerne les cellules nerveuses, en une
atrophie
scléreuse plus ou moins accentuée. Les élé-ments
ltération pigmentaire arrivée au dernier terme.—E, cellule atteinte d'
atrophie
scléreuse. — F, altération vacuolaire. en ce qu
ières phases, l'altération des cellules nerveuses est marquée par une
atrophie
avec pigmentation excessive de ces éléments. La l
. Mais il s'y joint, dans les cas patho-logiques proprement dits, une
atrophie
véritable, dont M. L. Clarke a bien décrit toutes
u der-nier degré, ils disparaissent. Le noyau de la cellule subit une
atrophie
conco-mitante. Cette atrophie pigmentaire, qui co
ssent. Le noyau de la cellule subit une atrophie conco-mitante. Cette
atrophie
pigmentaire, qui conduit à la destruction totale
e toute lésion de la névroglie, dans certaines formes, par exemple, d'
atrophie
musculaire progressive, ou de paralysie bulbaire
e est celle que l'on désigne quelquefois sous le nom de sclérose ou i¥
atrophie
sclé-reuse. — La cellule a diminué de volume, que
ignore si cette altération est toujours précédée par les lésions de l'
atrophie
pigmentaire ou 3° La lésion spinale, dont les p
e de cette incitation morbide, la cellule subit les diverses phases d'
atrophie
capables d'aboutir à une destruction complète, la
e même lésion des éléments ganglionnaires relève aussi certainement l'
atrophie
rapide des muscles paralysés et les modifications
fs, et la perte appa-rente de la contractilité faradique, ainsi que l'
atrophie
des-faisceaux musculaires, surviendraient en cons
nt, à l'instar de la paralysie infantile, la paralysie motrice avec l'
atrophie
rapide des muscles paralysés pourvu que soit remp
eurs ob-servations de myélite dès la première semaine 1 ; et enfin, l'
atrophie
des muscles rapidement développée. La théorie in-
peut déterminer dans les membres inférieurs paralysés du mouvement, l'
atrophie
aiguë des mus-cles, et en un mot tous les phénomè
tre l'analyse physiologique de la paralysie infantile, relè-vent de l'
atrophie
aiguë des cellules nerveuses motrices. 1 Charco
63, note 1. ONZIÈME LEÇON Des amyotrophies spinales chroniques. —
Atrophie
musculaire progressive spinale protopathique (Typ
ran). Sommaire. — Variétés cliniques des cas désignés sous le nom d'
atrophie
muscu laire progressive (atrophies musculaires pr
porte sur les cornes antérieures de la substance grise. Étude de l'
atrophie
musculaire progressive spinale protopathique comm
nales ; sclérose en plaques ; — sclérose laté-rale symétrique. De l'
atrophie
musculaire progressive spinale protopathique en p
ale protopathique en particu-lier. (Type Duchenne-Aran). — Symptômes:
atrophie
individuelle des muscles, troubles fonctionnels,
encore souvent confondues en clinique sous la dénomination commune d'
atrophie
muscu-laire progressive. L'anatomie pathologique
rencontrer dans les cas qui portent en clinique cette dénomination d'
atrophie
musculaire progressive sont très variées. Elles o
ce grise, tel est le sub-stratum anatomique dans une certaine forme d'
atrophie
muscu-laire progressive qui répond à peu près cli
le protopathique. La constitution de cette forme protopathique de l'
atrophie
musculaire spinale, qui reproduit en quelque sort
dans les racines motrices et les nerfs moteurs périphériques, par une
atrophie
plus ou moins prononcée, conséquence de la lésion
ême série de phénomènes consécutifs en découle, et en particu-lier, l'
atrophie
progressive des muscles ; toutefois les symptô-me
on, de retentir sur la substance grise antérieure et d'y déterminer l'
atrophie
des cellules motrices. Pour ne parler que des f
elle elle-même et simulta-nément aux origines des nerfs rachidiens. L'
atrophie
muscu-laire des membres supérieurs se développe s
ssive l. La symptomatologie se composera ici des phéno-mènes liés à l'
atrophie
consécutive des cornes antérieures, — atrophie le
s phéno-mènes liés à l'atrophie consécutive des cornes antérieures, —
atrophie
lente des muscles, — et de ceux qui caractérisent
subissent des altérations plus ou moins profondes et, par ce fait, l'
atrophie
muscu-laire, à marche progressive, viendra figure
a) Le premier trait à faire ressortir dans la symptomatologie de l'
atrophie
musculaire progressive, après le début insidieux,
ngtemps inaperçus, pour ainsi dire, c'est ce qu'on pourrait appeler Y
atrophie
in-dividuelle que subissent les muscles affectés
la main et de l'avant-bras auront, je suppose, à ce moment, subi une
atrophie
profonde, à l'ex-ception d'un seul peut-être, le
ume de l'état normal de manière à former un contraste frappant avec l'
atrophie
très accentuée de l'avant-bras et de la main. P
e saillie relativement considérable. Ce mode d'en- vahissement de l'
atrophie
qui procède, dans une certaine me-sure, muscle pa
. b) Les troubles fonctionnels que présentent les muscles en voie d'
atrophie
doivent nous arrêter actuellement. À la dimi-nuti
le-ci ne paraît guère dépendre que de la diminution du nombre ou de l'
atrophie
plus ou moins pro-noncée des faisceaux musculaire
topa-thique. J'ajouterai, en outre, qu'elles se voient en dehors de l'
atrophie
musculaire progressive, chez des sujets sains. El
symptômes qu'à mon sens on a compris à tort dans la description de l'
atrophie
musculaire vulgaire. Les douleurs spontanées, con
ractililé ne se mani-festent que dans les phases ultimes, alors que l'
atrophie
est portée à son comble. C'est là un caractère qu
anesthésie et de l'hyperesthésie cuta-nées. Elles sont étrangères à l'
atrophie
simple. Il en est de même, d'après mes observatio
maintes fois, dans cet hospice, des sujets atteints de longue date d'
atrophie
musculaire protopathique, dont les membres supéri
, comme un mode d'invasion tout à fait exceptionnel, très rare dans l'
atrophie
vulgaire — ce sera l'inverse dans quelques atroph
s douleurs {electric pains) dans les membres inférieurs, présenta une
atrophie
progressivement croissante, et, à un moment, deve
ervous System, p. 666, fig. 31. New-York. des de ces membres. Cette
atrophie
, si profonde qu'elle fût, des masses musculaires,
un exemple d'ataxie locomotrice ; on sait que, dans cette affection l'
atrophie
progressive des membres frap-pés d'incoordination
consanguinité ou sur Y hérédité, en tant qu'élément étiologique de l'
atrophie
musculaire progressive, me paraît, d'après la cri
sy, in R. Reynold's System of medicine, p. 168. — D'autres exemples d'
atrophie
progressive des muscles, survenue a la suite de c
a-blement aussi relatives à la myélite 1. Mais pour ce qui est de l'
atrophie
primitive, le rôle écolo-gique de la transmission
11. — Coupe delà moelle épinière à la région cervicale dans un cas d'
atrophie
musculaire protopathique. — A, Corne antérieure g
sentent des altérations qualicatives.) — B, Corne antérieure droite. (
Atrophie
presque complète des cellules ner-veuses, un seul
e qui est des cellules nerveuses, ce sont tantôt les ca-ractères de l'
atrophie
pigmentaire (Fig. 10, C, D, p. 203), tantôt ceu
de l'atrophie pigmentaire (Fig. 10, C, D, p. 203), tantôt ceux de l'
atrophie
scléreuse (Fig. 10, E, p. 203) qu'on y observe.
*. D'après la considération des caractères anatomiques, la forme d'
atrophie
musculaire progressive, dont il s'agit, pour-rait
est pas indiqué d'une façon explicite. 3 Hayem. — Note sur un cas d'
atrophie
musculaire progressive, lésions de la moelle. (Ar
onne rachidienne. — Symptômes de paralysie labio-glosso-laryngée avec
atrophie
manifeste de la langue. —Gêne très prononcée de l
ar le membre supérieur droit. — Extension len-tement progressive de l'
atrophie
au membre supérieur gauche. — Les membres inférie
mouvements des membres sont devenus à peu près impossibles. — Mais l'
atrophie
des mus-cles est surtout prononcée au membre thor
e. Je vous rappellerai, à ce propos, que Ouveilhier avait considéré l'
atrophie
des racines antérieures comme le caractère anatom
e des racines antérieures comme le caractère anatomique de la forme d'
atrophie
musculaire dont il a contri-bué à élucider l'hist
n° 27, 28 juli 1869 et Cen-tralblatt, octobre n° 46, 1869) deux cas d'
atrophie
musculaire progressive dans lesquels l'autopsie,
dreich sous une même rubri-que, ne méritent en rien la dénomination d'
atrophie
musculaire progressive, c( nom étant employé, mêm
regrettable et ne peut qu'entretenir la confusion. (J. M. G.) cette
atrophie
serait rattachée quelque jour à une lésion de la
une lésion de la substance grise *. Il importe de reconnaître que l'
atrophie
des racines anté-rieures ne pourra pas être, au m
pourra pas être, au même degré que dans la para-lysie infantile, une
atrophie
destructive. Sans doute, dans les racines émanant
acte, ou tout au moins n'offrir d'autres, altérations que celles de l'
atrophie
simple. Cette intégrité rela-tive d'un très grand
nerveux subissent les mêmes altérations qu'un nerf sec-tionné. Dans l'
atrophie
musculaire, il n'est qu'un petit nom-bre de nerfs
sculaires qui, sous cette influence, subissent la lésion trophique. L'
atrophie
est ici, le phénomène primitif ; elle ne s'accomp
, ont perdu beaucoup de leur valeur. Je rappellerai seulement que l'
atrophie
granulo-graisseuse d'un certain nombre de faiscea
ntiel. En effet, dans l'amyotrophie progressive spinale, comme dans l'
atrophie
infantile, la dégénération granulo-protéique, de
faire à la Salpê-trière. Le fait capital, dans l'espèce, c'est une
atrophie
simple du faisceau musculaire avec conservation d
seuse peut, pendant la la vie, rendre méconnaissable l'existence de l'
atrophie
des masses musculaires et masquer ainsi le princi
iques des mus-cles. Messieurs, Nous en avons fini avec la forme d'
atrophie
musculaire pro-gressive qui relève d'une lésion l
t en rien d'essentiel de celles que nous avons étudiées à propos de Y
atrophie
musculaire spinale pro-topathique. C'est déclarer
querai pas de mettre en relief dans l'exposé clinique, à savoir que l'
atrophie
musculaire, dans la forme nosographique qui nous
iphériques. Je ne puis que ré-péter ici ce que j'ai dit au sujet de l'
atrophie
musculaire spi-nale pçotopathique. Les tubes nerv
ux sont conservés, seulement presque tous ont subi un certain degré d'
atrophie
simple. C'est là un fait que nous devrons faire r
ces qui séparent cliniquement la sclérose latérale amyotrophique de l'
atrophie
musculaire spinale protopathique. Symptômes com
chée entre la sclérose latérale amyotrophique et les autres formes (X
atrophie
musculaire spinale, deutéropathique. Je dois to
de l'excellent mémoire publié en 1867 par M. Duménil (de Rouen) sur l'
atrophie
musculaire progres-sive dans la Gazette hebdomada
ait reconnaître l'existence de la sclérose la-térale symétrique, avec
atrophie
des cellules nerveuses motrices dans les cor-nes
urs pratique de la Faculté. la sclérose latérale amyotrophique de l'
atrophie
musculaire spinale primitive, c'est la rapidité r
tôt, au bout d'un an, par exemple, tandis que les malades, atteints d'
atrophie
musculaire progressive spinale protopathique, peu
ssivement, et dans un assez bref délai frappés tous de paralysie avec
atrophie
, ou, pour ce qui concerne spécialement les membre
qui déterminent la mort. Cela contraste avec ce que nous savons de l'
atrophie
musculaire progressive vulgaire puisque dans cell
gaire puisque dans celle-ci, suivant la statistique de M. Duchenne, l'
atrophie
des muscles ani-més par les nerfs bulbaires ne se
ouvent frappées que les hommes, con-trairement à ce que l'on dit de l'
atrophie
protopathique, mais il est indispensable de faire
ions fibrillaires qui se montrent surtout dans la période active de l'
atrophie
; — c) la conservation de la con-tractilité farad
ue que présentent, jusqu'à la dernière limite, [les muscles frappés d'
atrophie
. B. Les autres symptômes sont tout à fait étran
otrice, promptement développée qui, si elle ne précède pas toujours l'
atrophie
, est déjà souvent fort accusée alors que celle-ci
hie protopathique, l'impuissance motrice relève en grande partie de l'
atrophie
des masses musculaires, tandis que, dans la sclér
sclérose latérale, la paralysie domine certainement la situa-tion ; l'
atrophie
des muscles n'est là fréquemment qu'un fait consé
er-manente spasmodique. C'est là un phénomène absolument étranger à l'
atrophie
primitive. Enfin, dans cette dernière maladie,
t depuis l'extrémité du membre jusqu'à sa racine. Ce n'est plus cette
atrophie
individuelle des muscles que nous avons rele-vée
ire vulgaire, c'est, au contraire, une sorte d'émaciation générale, d'
atrophie
en masse. Elle n'atteint jamais, dans les comme
ce cas, d'une véritable paralysie accompagnée ou plutôt suivie d'une
atrophie
plus ou moins rapide et plus ou moins généralisée
membre tout entier. D'ailleurs, les muscles atrophiés, ou en voie d'
atrophie
, sont agités de mouvements fibrillaires souvent t
tés de mouvements fibrillaires souvent très accusés, et, comme dans l'
atrophie
simple, ils conservent, tant que l'atrophie n'est
accusés, et, comme dans l'atrophie simple, ils conservent, tant que l'
atrophie
n'est pas parvenue au plus haut degré, la contrac
faire reconnaître qu'il ne s'agit pas, en pareille circonstance, de l'
atrophie
musculaire spinale primitive. Je ne dois pas ou
us, l'é-macialion est déjà parvenue à un degré qui ne se voit, dans l'
atrophie
musculaire protopathique, qu'à une période avan-c
t à noter qu'elle n'enlraîne pas nécessairement, comme la première, l'
atrophie
musculaire. Les muscles, au contraire, peuvent co
ensemble à l'exemple des membres supérieurs. En général, quand cette
atrophie
est poussée à un certain degré, la rigidité s'amo
a langue paralysée pré-sente bientôt-, en général, un certain degré d'
atrophie
: elle est rapetissée, comme ridée, et agitée de m
; — d) enfin, dans la sclérose primitive des faisceaux latéraux sans
atrophie
musculaire. 2° La parésie et la contracture pré
ns atrophie musculaire. 2° La parésie et la contracture précèdent l'
atrophie
, cela est j établi clmiquement. Il y a donc lieu
s ; — parésie ; — éruptions cuta-nées . — Seconde période (paralysie,
atrophie
, griffe, contracture, plaques d'anesthésie, paral
trophic consécutive à l'ataxie locomotrice. — Forme particulière de l'
atrophie
musculaire en pareil cas. — Pathogénie. ~ Amyotro
altération de la substance grise antérieure, à laquelle se rattache l'
atrophie
des muscles, serait un phénomène consécutif. La p
térieures de manière à entraîner, elles aussi, le dé-veloppement de l'
atrophie
des muscles dans les membres paralysés ? C'est,
qu'alors, les mus-cles, dans les membres correspondants, subissent l'
atrophie
. Ainsi, j'ai observé plusieurs fois des hémiplé
lesquelles s'accompagnaient, contrairement à la règle commune, d'une
atrophie
plus ou moins pronon-cée des muscles dans les mem
résentaient une diminution notable de la con-tractilité électrique. L'
atrophie
musculaire progressa rapide-ment et, simultanémen
rand nombre des grandes cellules ner-veuses motrices avaient subi une
atrophie
très pronon-cée f; M. le Dr Hallopeau a recueil
par conséquent, de commencer l'exposition de quelques autres formes ^
atrophie
musculaire spinale deuté- 1 Leçons sur les mala
rticipation des cornes grises et conséquem-ment sans accompagnement d'
atrophie
musculaire. C'est ce dont té uoignent, entre autr
onstante ; mais, comme elle ne s'observe pas dans les autres formes d'
atrophie
musculaire spinale, elle n'en fournit pas moins u
inférieurs, dans la pachyméningite, ne paraît se compliquer d'aucune
atrophie
musculaire. Il ne me semble pas difficile de fo
tte paralysie et de comprendre, à ce double point de vue, l'absence d'
atrophie
musculaire et l'exis-tence, pour ainsi dire oblig
lques autres. 11 résulte de ces observations que, cliniquement, cette
atrophie
musculaire des ataxiques se distingue par quelque
). Dans le cas recueilli dans mon service et publié par M. Pierret, l'
atrophie
portait à la fois sur toute l'é-tendue du membre
otte. — Union médicale, 11 juin 185:'. 4 Friedreich. —Uber degener.
Atrophie
der spinalen. Hinterstiange Virchow's Archiv. Bd.
re u la région lombaire dans un cas d'ataxie locomotrice compliquée d'
atrophie
muscidaire. — A, sclérose de la zone radiculaire
pée avant les symptômes tabétiques. B. Je ne ferai que mentionner l'
atrophie
musculaire qui se surajoute quelquefois aux sympt
n effet, cette forme d'amyotrophie, presque toujours confondue avec l'
atrophie
musculaire progressive, n'a-t-elle pas été l'occa
l'étendue de la paralysie et il ne se produit jamais d'es-carres. L'
atrophie
, qui ne tarde pas à apparaître dans les membres p
ait distinctif qu'il importe d'op-poser aux symptômes classiques de l'
atrophie
musculaire progressive, — les muscles, ceux même
durcissement imparfait, des lésions très délicates, telles que sont l'
atrophie
des cellules motrices 1 Duchenne (de Boulogne).
occupaient les membres ; de plus, les muscles paralysés offraient une
atrophie
profonde et devenaient, sur certains points, le s
Les faisceaux musculaires offraient : les uns, les altérations de l'
atrophie
simple, les autres en moins grand nombre, celles
n bon nombre de grandes cellules nerveuses motrices, présentaient une
atrophie
plus ou moins accusée et même beaucoup d'entre el
arth, — la sclérose symétrique des cordons latéraux se combine avec l'
atrophie
pro-gressive des cellules nerveuses des cornes an
pécifier. Ainsi l'hypertrophie du tissu conjonctif interstitiel, avec
atrophie
simple des fibres musculaires, peut se retrouver,
ge znr pathol. Anat. der lîuckenmarks. Leipzig. 1870. Obs. n). dans l'
atrophie
musculaire progressive, dans la para-lysie spinal
la critique, à l'une quelconque des formes de l'amyotrophie liée à l'
atrophie
des cellules nerveuses motrices. Rien, à mon sens
es que j'a étudiées, c'est que l'hyperplasie du tissu conjonctif et l'
atrophie
des faisceaux musculaires marchent pour ainsi dir
en quel-que sorte proportionnelle à l'étendue des vides laissés par l'
atrophie
ou la disparition des fibres musculaires. Il est
iel, mais la majeure partie d'entre eux, ceux-là mêmes qui ont subi l'
atrophie
la plus profonde, conservent, jusqu'aux dernières
ervation très intéres-sante, récemment publiée par M. C. Weslphal3. L'
atrophie
musculaire saturnine semble donc faite, d'après c
tération des nerfs périphériques ; je n'ignore pas que, sous le nom d'
atrophie
nerveuse progressive, on a tracé la description d
e dans laquelle on ait démontré anatomiquement cette névrite ou cette
atrophie
nerveuse progressive d'où dériverait la forme d'a
uni-cantes que des ganglions, ont été plusieurs fois observées dans l'
atrophie
musculaire progressive ; mais je ne sache pas que
spondant à la fracture. Peu après survint une paralysie complète avec
atrophie
musculaire, dans le membre supérieur, du même côt
. une paraplégie, et enfin une paralysie des membres supé-rieurs. L'
atrophie
musculaire, avec diminution de la contrac-tilité
as ayant déterminé d'abord une névrite du bout périphérique, suivie d'
atrophie
des muscles de la main et d'une éruption pemphigo
Plus tard, le membre supérieur du côté opposé fut à son tour frappé d'
atrophie
et d'anesthésie \ Il est au moins fort vraisemb
ise centrale. En effet, dans la plupart de ces cas, l'anesthésie et l'
atrophie
musculaire des membres paraly-sés semblent indiqu
je me propose d'appe-ler bientôt votre attention, et dans laquelle l'
atrophie
muscu- 1 Gazette hebdoma laire, 1866, p. 51, 67
es. — Foyers d'hémorragie et de ramollissement intra-encéphaliques. —
Atrophie
partielle du cerveau. Rareté de l'hémichorée po
oit. Ceux-ci, je puis vous le faire remar-quer de suite, n'offrent ni
atrophie
, ni contracture, ni défor-mation quelconque. Nous
ppement qui, chez les jeunes enfants, détermi-nent ce qu'on appelle Y
atrophie
partielle du cerveau (Colard, Thèse de Paris, 186
'hémianesthésie permanente se produit quelquefois en conséquence de l'
atrophie
partielle du cerveau datant de la première enfanc
là une fracture. Presque tout le fragment supérieur s'est détruit par
atrophie
, par frottement, et la partie persistante s'est s
les cellules ner-veuses tuméfiées puissent éprouver, elles aussi, une
atrophie
consécutive correspondant à celte désagrégation d
ormale et pathologique, année 1871-1872, p. 93)'. Note sur un cas d'
atrophie
musculaire progressive spinale protopathique ( ty
caractères cliniques qui per-mettent de reconnaître pendant la vie l'
atrophie
musculaire protopathique, réunis dans l'observati
re W... fut admise à la Salpêtrière le 19 mars. Elle était atteinte d'
atrophie
musculaire progressive, dont elle avait éprouvé l
gnements négatifs : aucun des membres de sa famille n'a été atteint d'
atrophie
musculaire ; elle-même n'a jamais eu d'au-tre mal
a pour les membres supérieurs le début des accidents. Bientôt après l'
atrophie
s'empara desmus-ctes de la main gauche, puis six
ndant), mais s'il y eut une amélioration, elle n'a pas été durable. L'
atrophie
, tout en faisant des progrès aux membres supérieu
ue des courses assez longues en dehors de la Salpêtrière. 1875. — L'
atrophie
des muscles est extrêmement prononcée dans les pa
e grand dorsal et toute la partie postérieure du trapèze ont subi une
atrophie
extrême. Le faisceau claviculaire de ce dernier m
ostaux, les muscles de la paroi antérieure de l'abdomen, ont subi une
atrophie
extrême. L'espace intercos-tal est absolument tra
nfiltré de granulations pigmentaires. (Pl. VIL fig. 4, b.) En un mot,
atrophie
du protoplasma, perte des prolongements, augmen-t
noire qui est la coupe d'un tube à myéline. Il semble cependant que l'
atrophie
n'envahit pas le nerf d'une façon absolument irré
se faire une idée du processus qui, vrai-semblablement, a présidé à l'
atrophie
de nerf. On rencontre en effet, bien qu'ils soien
édés actuellement en usage. Dans tous, la lésion prédominante est une
atrophie
simple des faisceaux pri-mitifs, avec augmentatio
ement les principaux caractères cliniques que nous avons assignés à l'
atrophie
musculaire spinale protopathique : longue durée,
i les nerfs périphériques, ceux qui ont été examinés avaient subi une
atrophie
considérable. Les phé-nomènes qui président à cet
subi une atrophie considérable. Les phé-nomènes qui président à cette
atrophie
paraissent, dans ce cas, identiques à ceux qui se
la collaboration de M. Gombault pour la seconde \ Orservation I.
Atrophie
musculaire progressive, marquée surtout aux membr
hie musculaire progressive, marquée surtout aux membres su-périeurs —
Atrophie
des muscles de la langue et de ïorbicidaire des l
daire des lèvres. — Paralysie avec rigidité des membres inférieurs. —
Atrophie
ou disparition des cellules nerveuses des cornes
des cornes anté-rieures aux régions cervicale et dorsale. — Au bulbe,
atrophie
et destruction des cellules nerveuses du noyau de
juin 1865, présentant déjà à un degré très marqué les symptômes d'une
atrophie
musculaire progres-sive, dont le début remontait,
e de savoir de la malade à quelle époque ont commencé à se produire l'
atrophie
et la déformation caractéristiques des membres su
ronc ; mais, de plus, à l'épaule, aux avant-bras et aux mains, il y a
atrophie
prédominante de certains muscles ou grou-pes de m
rès émacié et la saillie de l'épaule fait défaut. Aux avant-bras, l'
atrophie
porte à la fois sur les muscles flé-chisseurs et
emarquablement effacées ; le creux palmaire est excavé par suite de l'
atrophie
des interosseux ; de plus, les doigts sont fléchi
fait également des progrès, mais sans jamais être excessive. Enfin, l'
atrophie
des muscles, s'accentuant de plus en plus, rendai
des mains, plus caractéristiques encore. L'impuissance motrice et l'
atrophie
n'ont également marché que fort lentement du cô
n. Elle s'est montrée très forte même aux membres supérieurs, là où l'
atrophie
était le plus prononcée. Avant de faire l'autopsi
ombaire, à sa partie inférieure, semble avoir subi un certain degré d'
atrophie
. La coloration est jaunâtre. Les muscles de l'abd
mai-greur générale du sujet. En somme, il ne semble pas y avoir là d'
atrophie
proprement dite. Les muscles sont d'ailleurs roug
la demi-transparence que l'on observe dans les nerfs qui ont subi une
atrophie
complète. Ces altérations de vo-lume et de colora
ante à signaler, c'est qu'un grand nombre des fibres qui ont subi une
atrophie
aussi considérable présentent encore une striatio
s n'avons pas, comme l'a observé dernièrement M. Ha-yem dans un cas d'
atrophie
progressive, récemment publié, trouvé de multipli
leurs dans des altérations du muscle, qui n'ont rien de commun avec l'
atrophie
progressive ; on les observe entre autres communé
utres ; o° la division en fragments de la substance musculaire ; 0° l'
atrophie
de certaines fibres musculaires, simple et indépe
entièrement la dégénérescence vitreuse. D'autres présentaient enfin t'
atrophie
à tous ses degrés. Quelques-unes offraient la div
a moitié des tubes au moins, on pouvait observer tous les degrés de l'
atrophie
, depuis l'émaeiation simple jusqu'à la complète d
ne altération. Dans l'examen de la substance grise, le haut degré d'
atrophie
qu'ont subi, dans les cornes antérieures, la plup
latéraux de la moelle et des pyra-mides antérieures dans le bulbe. —
Atrophie
des cellules des cor-nes antérieures de la moelle
ulbe. — Atrophie des cellules des cor-nes antérieures de la moelle. —
Atrophie
musculaire progressive. — Paralysie glosso-laryng
musculaires sont atrophiées et agitées de mou-vements fibrillaires. L'
atrophie
, plus prononcée à gauche qu'à droite l'est peut-ê
ssu de la moelle est partout d'une consistance ferme ; il n'y a pas d'
atrophie
évidente portant sur les divers cordons blancs de
ces thénar et hypothénar, en particulier, les fibres avaient subi une
atrophie
simple très marquée ; sur d'autres points, elles
ci, essentiellement caractérisée par la dégénération pigmentaire et l'
atrophie
consécutive des cel-lules nerveuses qui entrent d
r celles de l'hypoglosse et con-traste d'une manière frappante avec l'
atrophie
très prononcée de leur noyau d'origine. La régi
a main gauctie qu'à l'aide de la main droite, et il n'y a pas trace d'
atrophie
prédominante des muscles des émi-nences thénar et
ormément amaigri dans toutes ses parties ; nulle part il n'y existe d'
atrophie
partielle. Ce-pendant des mouvements fîbrillaires
apparences de l'état normal. On n'y .peut reconnaître aucune trace d'
atrophie
ou d'induration. Les artères de la base sont à pe
aît y jouer un grand rôle ; il semble qu'elle soit le fait initial. L'
atrophie
des prolongements cellulaires, celle du noyau, et
. S'agit-il là d'un processus d'irritation lente, au contraire, d'une
atrophie
toute passive ? On ne peut rien décider à cet éga
ints du corps. Evi-demment, il ne s'agit pas ici d'un cas ordinaire d'
atrophie
musculaire-progressive ; les lésions des faisceau
t l'on trouve là, tantôt la dégénération granulo-graisseuse, tantôt l'
atrophie
simple des faisceaux avec prolifération des noyau
he était le seul point du corps où l'examen clinique pûtconstater une
atrophie
partielle quelque peu prononcée des masses muscul
nseignement fourni par l'amaigrissement partiel de l'épaule gauche, l'
atrophie
musculaire progressive généralisée qui, dans notr
nce d'une paralysie musculaire en partie au moins indépendante de l'
atrophie
*. 11 y a là une difficulté sérieuse, que nous av
une difficulté sérieuse, que nous avons rencontrée déjà à propos de l'
atrophie
musculaire progressive et de la paralysie infanti
'ailleurs explicitement mentionnée dans notre observation. 2 Dans l'
atrophie
musculaire progressive, la paralysie musculaire s
Dans l'atrophie musculaire progressive, la paralysie musculaire sans
atrophie
et l'atrophie sans paralysie se trouvent souvent
ie musculaire progressive, la paralysie musculaire sans atrophie et l'
atrophie
sans paralysie se trouvent souvent entremêlées su
nolcTs System of medicine. t. II, p. 171 ; 1867 ; — Duménil de Rouen (
Atrophie
musculaire graisseuse progressive, pp. 93 et 108,
ttement affirmée. Or, l'on sait, par d'assez nombreux exemples, que l'
atrophie
mus-culaire progressive le mieux caractérisée, pe
eure partie des faisceaux musculaires, ceux-là mêmes qui ont subi une
atrophie
très prononcée, conservent jusqu'aux dernières li
me, que Gharcot. Œuvres complètes, t. 11. 31 les caractères, de l'
atrophie
simple, sans multiplication des no-yaux et avec p
le diamèire normal sont beaucoup plus rares. La plupart ont subi une
atrophie
manifeste, beaucoup sont re-marquables par leur e
e, sont peut-être ici plus fréquents qu'ailleurs, mais c'est encore l'
atrophie
simple qui domine toujours. Pour ce qui est des m
épaississement des parois vasculaires, l'hyper-plasie connective et l'
atrophie
simple d'un certain nombre de faisceaux musculair
m'ont été confiées, c'est que l'hy-perplasie du tissu conjonctif et l'
atrophie
des faisceaux mus-culaires marchent pour ainsi di
en quelque façon propor-tionnelle à l'étendue des vides laissés par l'
atrophie
ou la dis-parition des fibres musculaires. 11 est
rcissement imparfait, des lésions très délicates, — telles que sont l'
atrophie
des cellules nerveuses motrices et la sclérose de
ccupaient les mem-bres ; de plus, les muscles paralysés offraient une
atrophie
profonde et devenaient, sur certains points, le s
se, Les faisceaux musculaires offrirent les uns, les altérations de l'
atrophie
simple, les au-tres, en moins grand nombre, celle
un bon nombre de grandes cellules nerveuses motrices présentaient une
atrophie
plus ou moins accusée et même beaucoup d'entre el
pécifier. Ainsi l'hypertrophie du tissu con-jonctif interstitiel avec
atrophie
simple des fibres musculaires 1 Deux cas d'atro
terstitiel avec atrophie simple des fibres musculaires 1 Deux cas d'
atrophie
musculaire progressive avec lésion de la substanc
complication éventuelle, encore dans la paralysie infantile 3, dans l'
atrophie
musculaire progressive *, dans la paralysie spina
r la critique à l'une quelconque des formes de l'amyotrophie liée à l'
atrophie
des cellules nerveuses motrices. Rien à mon sens
des, la lésion est de même nature ; toutes les trois sont atteintes d'
atrophie
cérébrale uni-latérale, con-sécutive à une lésion
jarcot U'.uvkks Complètes, Ôïïlk , ? \padAyluy~l___ PLANCHE VII
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROTOPATH1QUE Fig. 1. — Coupe transv
. VII. A. Karman ski Ivth Ñ' Kg. 7. Fi î. 4. PLANCHE VIII
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROTOPATHIQUE Fig. 1. — Coupe transv
ume inégal. Les espaces conjonctifs, b, sont élargis par le fait de l'
atrophie
des fibres musculaires. Document numérisé par l
âniens et bulbaires. — Induration grise progressive du nerf optique. —
Atrophie
progressive de la papille. -- Nécessité de l'exam
sur le trajet des nerfs douloureux : anesthésie cutanée circonscrite;
atrophie
et contrac-ture musculaires partielles. — Déforma
de désingréta-tion ; sclérose partielle des cordons antéro-latéraux ;
atrophie
des racines antérieures. — Raisons qui lendent à
artielles. — Conditions dans lesquel-les ces affections déterminent l'
atrophie
rapide des muscles.......... 188 ONZIÈME LEÇON
....... 188 ONZIÈME LEÇON des amyotrophies spinales chroniques. —
atrophie
musculaire progressive spinale protopathique. (ty
ran). Sommaire. — Variétés cliniques des cas désignés sous le nom d'
atrophie
muscu-laire progressive (atrophies musculaires pr
porte sur les cornes antérieures de la substance grise. Étude de l'
atrophie
musculaire progressive spinale protopathique comm
nales ; sclérose en plaques ; — sclérose laté-rale symétrique. De l'
atrophie
musculaire progressive spinale protopathique en p
le protopathique en particu-lier. (Type Duchenne-Aran). — Symptômes :
atrophie
individuelle des muscles, troubles fonctionnels,
ces qui séparent cliniquement la sclérose latérale amyotrophique de l'
atrophie
musculaire spinale protopathique. Symptômes com
s ; — parésie ; — éruptions cuta-nées . — Seconde période (paralysie,
atrophie
, griffe, contracture, plaques d'anesthésie, paral
trophie consécutive à l'ataxie locomotrice. — Forme particulière de l'
atrophie
musculaire en pareil cas. — Pathogénie. Amyotro
ues. — Foyer d'hémorrhagie et de ramollissement intra-encéphaliques ;
atrophie
partielle du cerveau. Rareté de l'hémichorée po
certains cas de myélite.................. 41 IV. Note sur un cas d'
atrophie
musculaire progressive protopathique (type Duchen
ées, 395, Résumé des symptômes, 304. (Voir Anesthésie, Arthropathies,
Atrophie
musculaire , Crises 6astriques, Douleurs fulguran
fulguran-tes, Tabes dorsal spasmodique, Vertige). Athétose, 490.
Atrophie
musculaire progressive pro-topathique, 9, 74, 217
229 ; — des muscles, 231, 431 ; — Pathogénie, 425. — Cas d' —, 435.
Atrophie
. — deutéropathique, 108. — Dans Yataxie, 18, —
motrices (Tu-méfaction des) dans les myélites, 414 ; — 164, 245. (V.
Atrophie
musculaire, Bulbe, Cornes, Moelle.) Centre géni
328. Céphalalgie dans l'épilepsie syphi-litique, 376. Cerveau (V.
Atrophie
partielle. Chorée vulgaire, 363. — Symp-tomatiq
a) dans les amyotrophies saturnines et rhu-matismales, 29 '. — Dans Y
atrophie
musculaire protopathique, 220. Dans la myélite ai
es — , 179, 204, note. — Après amputations anciennes, 205. — Dans l'
atrophie
musculaire proto-pathique, 226. (V. Arthropathies
l'atrophie musculaire proto-pathique, 226. (V. Arthropathies, Ataxie,
Atrophie
musculaire.) — Postérieures (Lésions des), 16.
eux (Tuméfaction des), 414. Cystite, 326. d Déformations dans l'
atrophie
mus-culaire, 222. — Dans la sclérose latérale amy
Etat de la — dans la paralysie pseudo-hypertrophique 484. (V. Ataxie,
Atrophie
, Bulbe-, Cellules, Cornes, Paralysies glosso-la
-laryngée, 466, 467. — Pseudo-hypertrophique, 477. (V. Amyotrophies,
Atrophie
, Lipoma-tose, etc.) Myélite centrale, 165, 167,
(Lé-sions des), 42. (V. Amyotrophies, Paralysies, etc.) — Cérébraux (
Atrophie
des), 5, 43. — Optique (Atrophie du), 44 ; — Indu
hies, Paralysies, etc.) — Cérébraux (Atrophie des), 5, 43. — Optique (
Atrophie
du), 44 ; — Induration grise du,—43,47,49— Atroph
5, 43. — Optique (Atrophie du), 44 ; — Induration grise du,—43,47,49—
Atrophie
de la papille optique, 44, 49. — Dia-gnostic, 49,
246, 445, 446. — Symptô-mes, 248. — Évolution, 255. — Cau-ses, 253. —
Atrophie
en masse, 256. — Rigidité, 257.260. — Phénomè-nes
rveux; enfin Variot a remarqué dans la moelle de deux hémimèles une
atrophie
très nette de la substance grise cervicale, du
ables nous ont engagé à vérifier s'il existait chez notre sujet une
atrophie
analogue de ses centres médullaires. En vé- rit
s membres normaux, que d'apprécier d'une façon absolue le degré d'
atrophie
d'un axe gris qui est atteint dans sa totalité.
ormal. Ce résultat acquis, il sera dès lors possible de voir dans l'
atrophie
de l'axe gris des amèles, des hémimèles et des
certain cas d'ectromélie, une altération des filets nerveux et une
atrophie
des renflements de la moelle épinière est un fa
t que la section des nerfs d'un membre est généralement suivie de l'
atrophie
de la région de la moelle qui leur donne origin
rdu leurs prolongements protoplasmiques. En somme, compres- sion et
atrophie
de la couche grise corticale, mais sans réaction
des troubles trophiques vaso-moteurs particuliers qui, associés à l'
atrophie
musculaire qu'on rencontre souvent dans cette a
téressante^ c'est que du côté du membre supérieur droit il n'y a ni
atrophie
ni paralysie, tandis que le memhre supérieur gauc
ni paralysie, tandis que le memhre supérieur gauche pré- sente de l'
atrophie
musculaire. Les extrémités des membres supérieurs
infé- rieures ni la face ne présentent la moindre trace d'oedème. L'
atrophie
musculaire de la main gauche affectait particul
concave. Le premier espace interosseux est aplati et par suite de l'
atrophie
des parties molles qui remplissent cet espace, il
sont limitées, mais l'extension est mieux conservée que la flexion.
Atrophie
manifeste des muscles de l'avant-bras. Les musc
vant-bras. Les muscles de la face postérieure sont mieux conservés.
Atrophie
assez marquée du biceps et du triceps : mais ce
s : mais ce dernier fonctionne encore très bien il gau- che. Légère
atrophie
du deltoïde. L'état du grand pectoral est un pe
cique, surtout au niveau du mamelon, ce qui donne l'apparence d'une
atrophie
marquée de ces muscles. Cependant par l'examen
à ce muscle et l'excitation électrique on se rend compte que cette
atrophie
musculaire n'est pas très considérable. A la pa
s fréquentes. Méthode de Du- chenne), en vue de la topographie de l'
atrophie
musculaire, a donné le résultat suivant : Mem
ras et les mains ayant perdu leur souplesse. Mais la faiblesse et l'
atrophie
des memhres supérieurs seraient survenues progr
rophie des memhres supérieurs seraient survenues progressivement. L'
atrophie
, et le malade est très affirmntif ce point de v
u membre su- périeur. Presque en même temps, avec la faiblesse et l'
atrophie
, la main gau- che a commencé a se tuméfier, san
index, ce qui permet d'imprimer au doigt des mouvements anor- maux.
Atrophie
considérable des émiuences thénar et hypothénar.
n ne résulte pas seu- lement de l'attitude imprimée à la main par l'
atrophie
musculaire et l'action tonique de certains musc
s présentent une plus grande analogie. Il existe des deux côtés une
atrophie
considérable des éminences thénar et hypothénar
Les éminences thénar sont non seulement aplaties mais excavées. L'
atrophie
musculaire est distribuée d'une manière inégale a
istique. Les membres sont pendants le long du trouc et présentent une
atrophie
considérable. Ainsi l'épaule on peut voir à cau
une atrophie considérable. Ainsi l'épaule on peut voir à cause de l'
atrophie
très marquée de toutes les portions du deltoide
r de l'articulation scapulo-humérale. L'épaule droite est abaissée.
Atrophie
en masse du grand pectoral (portion claviculair
ose une grande résistance à la flexion du bras. A l'avant-bras, l'
atrophie
occupe les muscles des faces antérieure et posté-
adiaux qui fonctionnent bien qu'ils pré- sentent un certain degré d'
atrophie
. C'est par la persistance de l'action volon- ta
atrophié. Mais le segment terminal du membre supérieur présente une
atrophie
très marquée, surtout à la face palmaire de la ma
e parce qu'elle existe, et encore plus marquée, à la main droite. L'
atrophie
à la face palmaire de la main gauche intéresse l'
ouce. L'opposant est aussi atrophié, mais à un degré moindre. Cette
atrophie
qui efface complètement le relief de l'éminence t
ée, vers la partie médiane de l'éminence thénar. Par suite de cette
atrophie
, les mouvements de flexion du pouce, d'abduction
ence hypothénar sont aussi atrophiés, surtout l'ab- ducteur ; cette
atrophie
des deux saillies musculaires donne à la main l'a
musculaires donne à la main l'aspect simien. Il existe en outre une
atrophie
des interosseux de la main gauche, cons- tatabl
ains offre une conforma- tion toute particulière qui, associée il l'
atrophie
musculaire de la face palmaire, contribue il do
la syringomyélie. Tout d'abord, la con- formation est modifiée ; l'
atrophie
des muscles du petit doigt et de l'adducteur du
e convexe est excavée el se rapproche de l'axe médian parsuile de l'
atrophie
des muscles de l'éminence hypothénar et surtout
su- périeure de la face dorsale de la main est aplatie à cause de l'
atrophie
très marquée des interosseux, mais il existe to
se pas voir les espaces interosseux comme cela sevoil dans un cas d'
atrophie
vulgaire. Mais celle main potelée esl faible, c
ence thénar sont atro- phiés. La main révèle l'aspect simien. Cette
atrophie
musculaire peut aller jusqu'à l'aplatissement d
e la face dorsale de la main il laquelle s'associe d'autre part une
atrophie
musculaire du type Aran-Duchenne. C'est une mai
d mettra le clinicien en présence d'un cas d'oedème hystérique avec
atrophie
musculaire. Même alors si la main suc- culente
avait déterminé une contusion du plexus brachial avec paralysie et
atrophie
du membre supérieur et oedème très prononcé de
E 105 main, j'ai vu également la main violacée très oedématiée avec
atrophie
,mais par l'attitude seule de la main et par les
nique. La cause immédiate ne réside ni dans la paralysie, ni dans l'
atrophie
des muscles dont la contraction favorise la cir
oteurs sont localisés principale- ment à la main et chez Corr..., l'
atrophie
musculaire est cantonnée au domaine de la main.
de la ligne médiane. Une année après l'accidenl, on constatait de l'
atrophie
et de la parésie du membre inférieur gauche, ains
observation que parce que la paralysie motrice s'est doublée d'une
atrophie
qui intéressait les mus- cles des membres, de l
. Quinze jours après l'attentat, on a constaté une paralysie et une
atrophie
du membre inférieur gauche, laquelle étaient supe
s manifestations pathologiques (céphaloemato- me), ou d'involution (
atrophie
sénile symétrique des pariétaux). L'histoire de
térieur, non sans analogie avec la fossette ou (1) Cii. Fi : ni : .
Atrophie
sénile symétrique des pariétaux (Bull. Soc. Anat.
les coupes microscopiques de l'os sec. MAIN « SUCCULENTE » - ET
ATROPHIE
MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES PAR G. MAR
ar Thorburn et Allen Starr. Je commence par don- MAIN SUCCULENTE ET
ATROPHIE
MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 203 ner celu
les du mem- bre supérieur : 204 G. MARINESCO MAIN SUCCULENTE ET
ATROPHIE
MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 205 l'orient
S LES SYRINGOMYÉLIES 205 l'orientation de ce processus que dépend l'
atrophie
musculaire de la syringomyélie. Il n'y a plus
on et suivant qu'elle aura une' marche ascendante ou descendante, l'
atrophie
musculaire dans le mem- bre supérieur sera plus
tement défaut. Si dans la plupart des cas de maladie de Mor- van, l'
atrophie
musculaire est très atténuée ou manque complèteme
ndent compte jusqu'à un certain point de vue de la répartition de l'
atrophie
musculaire dans la sy- ringomyélie. En effet, s
sa main droite, en est la preuve la plus démonstrative. En effet, l'
atrophie
musculaire est localisée ici presque exclusivemen
cisément ce qui s'observe chez Corr... La main gauche présente de l'
atrophie
dans le domaine du cubital et du médian, tandis
de l'atrophie dans le domaine du cubital et du médian, tandis que l'
atrophie
de la main droite est circonscrite plus particu
e est circonscrite plus particulièrement au domaine du cubital. A l'
atrophie
de la main succède celle de l'avant-bras, mais
à l'avant-hras gauche de Corr... On pour- rait donc affirmer que l'
atrophie
musculaire dans la syringomyélie est, seg- ment
s de la sensibilité dans lasyringomyélieestapplicable également à l'
atrophie
musculaire dans cette maladie. On sait combien es
eçons de clinique médicale. Paris, 1897, p. 404. MAIN SUCCULENTE ET
ATROPHIE
MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 201 fonction
ut pas, cependant, penser qu'il s'agit, dans la syringomyélie d'une
atrophie
segmentaire complète, car, ainsi, que je l'ai dit
a admis au point de vue des déformations du membre supérieur, par l'
atrophie
musculaire, trois types principaux. Voici du rest
e à ce sujet. Dans l'un, dit Blocq (1), le début se faisait par une
atrophie
portant sur les muscles innervés par le nerf cu
tion de l'autre, le second, cubito-spasmo- dique, caractérisé par l'
atrophie
des muscles de l'éminence hypothénar, griffe d'
éflexes rotuliens; le troisième, radio-tabétique, caractérisé par l'
atrophie
des muscles de la zone radiale, griffe de flexi
ée de pachyméningite. J'arrive maintenant à l'étude clinique de l'
atrophie
musculaire telle qu'elle résulte d'observa lion
orne antérieure, il est facile de comprendre qu'il en résultera une
atrophie
musculaire localisée principalement aux petits
len- tivement les malades, je suis arrivé à la conclusion que cette
atrophie
peut débuter tantôt par l'éminence hypothénar,
c- teur du petit doigt qui semble être atteint en première ligne, d'
atrophie
musculaire. En tout cas, et cela est très net c
ie musculaire. En tout cas, et cela est très net chez Corr..., si l'
atrophie
dé- bute par l'éminence hypothénar,elle diminue
e déjà à 90°. La même particularité s'observe à la main droite où l'
atrophie
musculaire est encore moins accentuée. Ceci pro
rs n'ont pas accordé assez d'importance à la marche ultérieure de l'
atrophie
musculaire : tout au moins on ne trouve pas de
pouvoir affirmer que dans un bon nombre de cas de syringo- myélie l'
atrophie
musculaire se propage des petits muscles de la fa
s qui sont enva- his ensuite. Il est important de remarquer que l'
atrophie
peut se cantonner pour quelque temps aux muscle
rieure et quand ces derniers sont pris, ils sont MAIN SUCCULENTE ET
ATROPHIE
MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 209 relative
tion de ces faits, c'est qu'il existe chez les syringomyéliques une
atrophie
du type Aran-Duchenne à marche ascendante qui e
même façon, car il existe des cas et j'en ai observé moi-même, où l'
atrophie
musculaire affecte d'une façon très notable les
eurs le sont moins. En opposition avec cette marche ascendante de l'
atrophie
musculaire il existe des cas où celle-ci suit u
nt un certain temps leurs fonctions. Enfin dans des as plus rares l'
atrophie
a une marche diffuse et frappe indistinctement,
rieurs. Dans ces trois formes ascendante, descendante et diffuse, l'
atrophie
musculaire tout en étant bilatérale est .presqu
ements du pouls. En 1882, elle est entrée à la Salpêtrière avec une
atrophie
manifeste des membres supérieurs et une ankylose
représentaient un type de main de prédicateur. MAIN SUCCULENTE ET
ATROPHIE
MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 2H 1888, ell
érer comme un prototype de pré- dominance d'action du radial. Pas d'
atrophie
aux membres inférieurs. Dissociation syringomyé
onstante; mais comme elle ne s'observe pas dans les autres formes d'
atrophie
musculaire, elle n'en fournit pas moins un élé-
rs caractères. Et tout d'abord, est-ce que cette forme spé- ciale d'
atrophie
musculaire que réalise la main en question dépend
dans les cas déjà connus. Aussi se croit-on obligé d'admettre que l'
atrophie
musculaire qui a produit le geste de prédicateur
) Ziegler's Beitraege La. path. An., 1893, XIII. MAIN SUCCULENTE ET
ATROPHIE
MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 213 déformat
artient en propre à la syringomyélie qui réalise les con- ditions d'
atrophie
musculaire capable de produire la main de prédica
oins, nous ne connaissons pas d'affection qui puisse déterminer une
atrophie
complète dans le domaine des nerfs mé- dian et
e celle-ci. En somme, il résulte des observations précédentes que l'
atrophie
mus- culaire présente, au moins dans quelques c
het spécial qui permet jusqu'à un certain point de distinguer cette
atrophie
de celle due à d'autres altérations du système
d'autres altérations du système nerveux. En effet, il s'agit d'une
atrophie
musculaire segmentaire, tout au moins quand elle
des autres segments du membre supérieur, car, dans ce cas, le mot d'
atrophie
segmentaire serait incorrect : je veux simpleme
rophie segmentaire serait incorrect : je veux simplement dire que l'
atrophie
est prédominante dans le segment de la main, ta
-bras est beaucoup moins touché : ce quiestarrivépour Corr... Celte
atrophie
,limitée aux muscles delà main, on la rencontre
core une autre raison qui me fait admettre qu'on pourrait appeler l'
atrophie
musculaire dans ces cas de syringomyélie, atrop
urrait appeler l'atrophie musculaire dans ces cas de syringomyélie,
atrophie
segmentaire,c'est que la gliose mé- dullaire dé
petits muscles de la main est plus pré- cise. MAIN SUCCULENTE ET
ATROPHIE
MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 215 ne prése
s, des troubles trophiques cutanés et vaso-moteurs qui associés à l'
atrophie
.ran-Ducllenne qu'on rencontre chez les malades
métamère. VI. L'affection des neurones moteurs donne naissance à l'
atrophie
musculaire. Or comme dans la syringomyélie, la
le et se dirige vers les régions supérieures, il s'ensuit que cette
atrophie
musculaire présente une topo- graphie commandée
oblèmes de localisation médullaire. VII. Le type le plus fréquent d'
atrophie
musculaire qu'on rencon- tre dans la syringomyé
hez les sujets restés enfants ou devenus infantiles à la suite de l'
atrophie
des ovaires ou testicules. Cette neutralité est s
s auteurs comme une conséquence possible de la cas- tration ou de l'
atrophie
spontanée des testicules. Rien n'est plus inexact
e ne prédispose en somme ni au gigantisme ni à l'infantilisme, et l'
atrophie
tes- tiçulaire acquise observée chez un certain
dystrophies congénitales (nanisme, gigantisme, rachitisme, obésité,
atrophie
musculaire). La plus fréquente de ces asso- cia
les faits de myxoedème infantile, suivant l'âge auquel survient l'
atrophie
thyroïdienne. Cette classification est à la foi
conformes aux miennes, présentait un sujet infan- tile atteint d'
atrophie
thyroïdienne et originaire de pays à endémie go
u'elle relève d'une seule cause, assez rare elle-même, à savoir : l'
atrophie
spontanée du corps thyroïde. En résumé, l'infan
perceptible dans les mouvements de dégluti- tion. Ce n'est pas de l'
atrophie
de cette glande que procède ici l'infanti- lism
thie tuberculeuse cervicale a dû contribuer pour une bonne part à l'
atrophie
du corps thyroïde. Voilà bien la combinaison an
yxoedème est parfaitement reconnaissable et l'infantilisme vrai par
atrophie
thyroïdienne se fusionne avec l'infantilisme faux
anglionnaire ou autre, ne peut être une alrophiede ce centre, car l'
atrophie
de ce centre trophique entraînerait une atrophie
e ce centre, car l'atrophie de ce centre trophique entraînerait une
atrophie
des territoires cutanés, et non une lésion hype
es arthropa- thies du tabes, avec leurs ostéophytes, dépendent de l'
atrophie
du groupe des grosses cellules antérieures de l
s sur 23 cas (1). M. P. Marie dit que dans quelques cas, il y a une
atrophie
plus ou moins prononcée de la face (2). D'après
ces qui échappent à l'examen le plus méticuleux : dans l'étude de l'
atrophie
des membres dans l'hémiplégie infantile ils m'o
ite et des os de la face avec asy- métrie de la voûte palatine. L'
atrophie
du maxillaire inférieur peut encore entraîner une
leur caducité se rencontrent aussi chez quelques hémiplégi- ques à
atrophie
facile : on trouve les deux particularités réunie
Iche. MASSON & Cie, Editeurs PATHOGÉNIE ET PROPHYLAXIE DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES
GILLES de la TOURETTE, Professeur agrégé, médecin des hôpitaux. L'
atrophie
musculaire des hémiplégiques a, depuis longtemps,
ns exposer. Notre opinion est faite, depuis plusieurs années, sur l'
atrophie
muscu- laire des hémiplégiques, et aussi sur le
r- tain temps, le caractère spasmodique, s'accompagne constamment d'
atrophie
musculaire. Par atrophie, nous entendons une di
re spasmodique, s'accompagne constamment d'atrophie musculaire. Par
atrophie
, nous entendons une diminution très marquée du
uché. Il faut savoir, en effet, qu'en absence et en dehors de cette
atrophie
, qui saute aux yeux lorsqu'elle existe, les mus
mmédiatement, lorsqu'on compare la localisation en territoires de l'
atrophie
avec la généralisation constante de l'amaigrisse-
divisés en trois groupes. Dans le premier, comprenant 10 sujets, l'
atrophie
se limitait à certaines régions du membre supér
férieur restait in- demne. Dans le second, comprenant 7 sujets, l'
atrophie
existait à la fois au membre supérieur et au me
r et au membre inférieur. Dans le troisième, comprenant 3 sujets, l'
atrophie
musculaire n'existait pas. Examinons les 10 m
e spasmodique et aphasie depuis 1893. Demi-ankylose et craque- DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 289
t-bras et de la main, pas d'ankylose du opude ou du poignet ; pas d'
atrophie
. Membre inférieur droit; marche..Ni ankylose ni
et ; pas d'atrophie. Membre inférieur droit; marche..Ni ankylose ni
atrophie
. OBS.11. Monoplégie brachiale droite : ankylose
légie brachiale droite : ankylose, arthrite végétante de l'épaule ;
atrophie
musculaire. Pic..., soixante-dix ans, homme, hô
g- mentation de volume des surfaces articulaires masque en partie l'
atrophie
deltoïdienne. Circonférence : bras droit, au ni
auche, 27 centimètres. Flaccidité des muscles de l'avant-bras, sans
atrophie
marquée ; pas d'arthrite du coude ni radio-carp
oïdienne, s'étendant un peu sur la face externe du bras, masquant l'
atrophie
sous-jacente. Circonférence : bras droit, 27 ce
Doigts fléchis dans la main, mais réductibles sans arthrite ; pas d'
atrophie
. Membre inférieur droit spasmodique, sans arthr
as d'atrophie. Membre inférieur droit spasmodique, sans arthrite ni
atrophie
; marche. Cas. IV. Hé1n1]Jlégie gauche, ankylos
ophie ; marche. Cas. IV. Hé1n1]Jlégie gauche, ankylose de l'épaule,
atrophie
des muscles -de la ceinture scapulaire. Mong.
u de contracture. Demi-ankylose de l'articulation scapulo-humérale,
atrophie
des muscles de la ceinture scapulaire, deltoïde s
Les autres articulations du membre supérieur sont li- bres ; pas d'
atrophie
. Marche conservée. Rien au membre inférieur gau
290 GILLES DE LA TOURETTE OBs. V. Hémiplégie droite et ankylose,
atrophie
des muscles de l'épaule. Anna R,,\, femme,- cin
e marquée. Ankylose douloureuse de l'articulation scapulo-humérale.
Atrophie
des muscles de l'é- paule ; adipose très marqué
égie droite ; demi-ankylose de l'articulation scapulo-/l1lmé- rale,
atrophie
du deltoïde. Disparition des douleurs sous l'infl
D, n° 25. Hé- miplégie droite spasmodique datant de 1893, aphasie.
Atrophie
musculaire marquée au niveau du deltoïde, adipo
Les autres articulations du membre su- périeur sont libres ; p'as d'
atrophie
, si ce n'est un amaigrissement sans adipose des
pulo-humérale, amyotrophie des muscles de la ceinture scapulaire. L'
atrophie
du biceps est masquée par de l'adipose localisée.
22 ; droit, 23. Membre inférieur gauche, trépidation spinale; pas d'
atrophie
ni d'arthrite; marche. ,' ' ! \ Cas. VII. - H
se de l'épaule de l'articulation métacar- po phalangienne du pouce.
Atrophie
des muscles de la ceinture scapulaire et du thé
ux mois. Ankylose douloureuse de l'ar- ticulation scapulo-humérale.
Atrophie
des muscles de la ceinture scapulaire. et surto
membre inférieur ; marche. HÉMIPLÉGIE GAUCHE. ARTHRITE DE L'EPAULE,
ATROPHIE
MUSCULAIRE MASSON & lt, 1-utcUe. DE L'ATR
E DE L'EPAULE, ATROPHIE MUSCULAIRE MASSON & lt, 1-utcUe. DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 291
émiplégie gauche. Arthrite avec ankylose de l'épaule et du poignet.
Atrophie
musculaire (PI. XXX). Cho..., homme, soixante-d
rs spontanées. Arthrite de l'articulation radio-carpienne gauche.
Atrophie
des muscles de l'avant-bras. Circonférence de l
dessous de l'olécrane, 19 cent. 1/2; à droite, 23 centimètres; légère
atrophie
des interosseux. Pas de secousses fibrillaires.
érieur gauche. Réflexe rotulien exagéré. Flaccidité musculaire sans
atrophie
ni arthrite concomitante. Le malade marche. OBS
e droite. Ankylose de toutes les articulations du membre supérieur.
Atrophie
musculaire ; adipose. Luc..., homme, soixante e
du coude, du poignet avec subluxation des articulations des doigts.
Atrophie
musculaire très marquée dans les trois segments
eps. Exagération des creux sus et sous-épineux, sus-claviculaire. L'
atrophie
est en partie masquée par une adipose sous-cutané
e de l'avant-bras, le long du tiers supérieur du radius, masquant l'
atrophie
à ce niveau. Méplats très accentués au niveau d
éplats très accentués au niveau du tiers supérieur de l'avant-bras.
Atrophie
en masse de tous les muscles de la main. Le mal
ens très forts sans trépidation. Un peu de flaccidité musculaire sans
atrophie
vraie. Chez sept des sujets du premier groupe
re sans atrophie vraie. Chez sept des sujets du premier groupe, l'
atrophie
portant sur le mem- bre supérieur est limitée a
ésister le plus longtemps. Ajoutons que pour la constatation de l'
atrophie
, il ne faut pas se borner au seul examen visuel
que rarement à dépasser les limites du territoire atro- phié, car l'
atrophie
musculaire des hémiplégiques est, nous y insiston
l'atrophie musculaire des hémiplégiques est, nous y insistons, une
atrophie
en territoire. Si les muscles de la ceinture sc
et qui, à notre avis, éclaire d'un jour nouveau la pathogénie de l'
atrophie
musculaire des hémiplégi- ques, chez nos sept m
l'atrophie musculaire des hémiplégi- ques, chez nos sept malades, l'
atrophie
des muscles de la ceinture scapu- laire se supe
e de l'ar- ticulation scapulo-humérale. On peut en inférer que leur
atrophie
est d'origine articulaire, et ce qui corrobore
tion méta- carpo-phalangienne du pouce, et celle-ci coïncide avec l'
atrophie
des muscles du premier espace interosseux et du
DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 293 Chez le malade de l'observation IX,
atrophie
des muscles de la cein- ture scapulaire coïncid
laire coïncidant avec une ankylose de l'épaule ; coude libre, pas d'
atrophie
des muscles du bras; demi-ankylose du poignet, at
ibre, pas d'atrophie des muscles du bras; demi-ankylose du poignet,
atrophie
des muscles de l'avant-bras et des quatre derni
articulations du membre supérieur paralysé, épaule, coude et main,
atrophie
muscu- laire généralisée. Chez les dix malade
scu- laire généralisée. Chez les dix malades du premier groupe, l'
atrophie
est restée limitée au membre supérieur. Remar
embre inférieur droit était forte- ment amaigri. En raison de cette
atrophie
, le malade fut soumis à un trai- tement par l'é
un trai- tement par l'électricité. Le 18 août de la même année, l'
atrophie
musculaire du membre infé- rieur droit s'était
constatait une aggravation dans l'état du malade, en ce sens que l'
atrophie
musculaire s'était reproduite; à droite, le pourt
ui maintenait le genou. Il conservait tou- jours un certain degré d'
atrophie
du membre inférieur droit; en outre, de ce côté
malade était de nouveau en état de marcher. II ne présentait pas d'
atrophie
muspu- laire. Somme toute, l'incapacité de trav
forme paraplégique remontant it l'cïe de deux ans. Poussée aiguë d'
atrophie
musculaire généralisée en 1892. Bannielle Emi
ésente le ma- lade vu dans cette position. L'attitude est due à une
atrophie
du squelette du bassin, qui, comme nous le verr
d'un membre de polichinelle. Les membres inférieurs sont le siège d'
atrophie
et de déformation. La peau qui les recouvre est
cuisse à droite qu'à gauche, à la jambe gauche qu'à la droite. L'
atrophie
musculaire très marquée se traduit par les mensur
NALE INFANTILE A. Forme paraplégique plus accusée du côté gauche.
Atrophie
du bassin. Scoliose. B. Forme localisée au memb
u bassin. Scoliose. B. Forme localisée au membre supérieur droit.
Atrophie
en longueur et surtout en largeur. MASSON &
monaire. Le tl\orax mis à nu montre dans toute sa partie droite une
atrophie
portant sur les parties molles et sur le squele
ngénère. Il n'existe pas de déformation de la colonne vertébrale. L'
atrophie
en masse du membre supérieur droit est encore p
n forcée, écarté de la main ne peut venir joindre le petit doigt. L'
atrophie
de l'éminence thénar est très marquée. Les mouv
t du thorax et l'omoplate sont également atrophiés. C'est sur cette
atrophie
osseuse, concomitante de l'atrophie musculaire, q
ment atrophiés. C'est sur cette atrophie osseuse, concomitante de l'
atrophie
musculaire, que nous allons revenir. Remarquons
exe tendineux du poignet est d'ailleurs aboli. En ce qui concerne l'
atrophie
osseuse, l'application des rayons de Roentgen d
de la paralysie infantile. En ce qui concerne la longueur des os, l'
atrophie
est, en gé- néral, moins marquée; car, si les m
ue à toute la surface du corps, sclérodermie bornée aux doigts avec
atrophie
des phalangettes ; atrophie de la moitié droite d
ps, sclérodermie bornée aux doigts avec atrophie des phalangettes ;
atrophie
de la moitié droite de la face. C. R. soc. de B
TABLEAU DES ACCÈS ET VERTIGES PATHOGÉNIE ET PROPHYLAXIE . DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES
s. OBS. XL Hémiplégie gauche. Ankylose de l'épaule et de la hanche,
atrophie
musculaire et adipose. Marg. BI..., femme, ci
te ( ? ). Etat mental. Ankylose de l'articulation scapulo-humérale.
Atrophie
des muscles de la ceinture scapulaire, masquée
centimètres. ' Reste confinée au lit. Ankylose de la hanche droite.
Atrophie
des muscles de la fesse et de la cuisse. Circon
kylose de l'épaule et de la hanche ; adipose généralisée masquant l'
atrophie
. Eug. Mars..., femme, soixante et un ans, hôpit
bre supérieur s'étendant jusqu'à l'extrémité des doigts, masquant l'
atrophie
. Circonférence : bras droit, au niveau de l'ais
ents dans le genou. Adipose généralisée à tout le membre inférieur,
atrophie
des muscles de la fesse. Circonférence : cuisse
mètres à gauche ; mollet droit, 30 centimètres ; gauche, 29. DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 341
kylose et arthrite de toutes les articulations du membre supérieur;
atrophie
musculaire . Séjour au lit. Arthrite de la han-
e de la han- che et du genou, oedème du membre inférieur masquant l'
atrophie
. Ler..., homme, soixante-seize ans, hôpital Hér
leurs; craquements du genou. OEdème généralisé du membre masquant l'
atrophie
musculaire. Circon- férence, 15 centimètres au-
lit; arthrite et ankylose des mem- bres supérieur et inférieur avec
atrophie
généralisée. Perr., homme, soixante-sept ans, h
érale droite avec craquements et douleurs spontanées et provoquées.
Atrophie
des muscles de la ceinture scapulaire très marqué
quée surtout dans le domaine du triceps crural masquant en partie l'
atrophie
. Muscles de la fesse atrophiés. Craquements du
scapulo-humérale droite avec craquements, sans douleurs spontanées.
Atrophie
des muscles de la ceinture scapulaire, portant
aule et de la hanche, séjour au lit. Adipose généralisée masquant l'
atrophie
. L. Bon..., femme, cinquante-huit ans, hôpital
. Hémiplégie droite, aphasie depuis 1895. Ankylose de l'épaule avec
atrophie
des muscles de la ceinture scapulaire ; les aut
utres articulations sont libres. Doigts fléchis, réductibles, pas d'
atrophie
des muscles de la main. Adipose très marquée gé
droit, 27 centimètres ; gauche, 26 centimètres. L'adipose masque l'
atrophie
. Membre inférieur droit. La malade reste couché
xo-fémorale droite ankylosée. Adipose généralisée à tout le membre.
Atrophie
des muscles de fesse et de la cuisse. Circonféren
ylose incomplète avec craquements sans douleurs de l'épaule droite.
Atrophie
des muscles de la ceinture scapulaire, méplats su
obilisé en extension sur le bras, doigts fléchis ; polyarthri- tes,
atrophie
généralysée de tous les muscles de la main. Mem
au-dessus de la rotule, 20 cent. 1/2 ; gauche, 24 centimètres. DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 343
e GROUPE. Mobilisation DU MEMBRE paralysé. Absence d'arthrites ET D'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 3 MALADES. OBs. XVIII. Hémiplégie g
permettant encore les mouvements du membre. Absence d'ankylose et d'
atrophie
. Cor..., trente-neuf ans, homme, hôpital Hérold
ans contracture. Amaigrissement généralisé des muscles du hras sans
atrophie
localisée. 1 centimètre de diffé- rence entre l
t sans douleurs provoquées ou spontanées. , Membre inférieur. Pas d'
atrophie
ni d'arthrite, légère trépidation spinale. OBS.
ite, légère trépidation spinale. OBS. XIX. - Hémiplégie gauche sans
atrophie
ni arthrite. Mobilisation du membre supérieur.
ant de 1895, avec hémiplégie faciale ; spasmodique. Flaccidité sans
atrophie
des muscles du membre supérieur; pas d'arthrite,
u membre inférieur ; ankylose de l'articulation coxo- fémorale avec
atrophie
musculaire par coxalgie fistuleuse d'ancienne dat
phasie. Mobilisation du membre supérieur, - absence d'ankylose et d'
atrophie
, sauf au niveau de l'articulation métacarpo- ph
sauf au niveau de l'articulation métacarpo- phalangienne du pouce,
atrophie
du premier espace interosseux et du thénar. Mar
ents extrêmes en arrière. de l'articulation scapulo-humérale. Pas d'
atrophie
musculaire appréciable, sauf une légère diminut
cale. Ankylose de l'articulation métacarpo-phalaugienne du pouce.
Atrophie
des muscles du premier espace interosseux et du
thénar. Membre inférieur. Trépidation spinale ; pas d'arthrite ni d'
atrophie
. Le ma- lade marche. Restent les trois malade
ilitique : l'amaigris- sement musculaire généralisé est apparu sans
atrophie
. Mais ce malade peut encore mouvoir son bras da
nts extrê- mes qu'il lui est difficile d'effectuer lui-même ; pas d'
atrophie
. De même en ce qui regarde le malade de l'obser
mobilisé quotidiennement son membre paralysé ; pas d'arthrite ni d'
atrophie
. Toutefois, la contracture a prédominé sur le pou
ankylose de l'articulation métacarpo-phalangienne qu'accompagne une
atrophie
du premier espace interosseux et du thénar. -
faits tirés du bloc d'observations recueillies d'un seul coup, DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 345
roborent singulièrement ce que nous avons dit de la pathogénie de l'
atrophie
musculaire des hémiplégiques dont les caractères
o-. bilisation, nous pouvons le dire, il ne survient ni arthrite ni
atrophie
, Si la contracture rend le membre inférieur rig
hanche en particulier s'immobilise, il survient de l'arthrite et l'
atrophie
ne tarde pas à apparaître. Pour le membre supér
hrite et de l'ankylose de l'épaule par immobilisation et aussi de l'
atrophie
musculaire'toujours précoce comme l'arthrite qu
rendre quelques services ; aussi dans ces segments l'arthrite et l'
atrophie
sont-elles beaucoup plus rarement observées que
ge, la fatigue physique, la faiblesse musculaire malgré l'absence d'
atrophie
, la diminution de la puissance génésique chez l
des' avant-bras. La paume est très large, pas très épaisse. Il y a
atrophie
des muscles des éminences thénar et hypothénar
es mains, alors que les membres inférieurs n'en présentent point, l'
atrophie
tacite des testicules et l'abolition complète du
postérieurs : il s'agissait de paralytiques généraux tabétiques. L'
atrophie
musculaire myélopathique, mise en cause par Charc
ois et Etienne, nous a paru l'uni- que arthropathie nerveuse dans l'
atrophie
musculaire myélopathique. Ce n'est donc jusqu'à
aire droit, main gauche) ne sont pas d'une nature aussi évidente. L'
atrophie
de la main gauche rappelle la syringomyélie, qu
s, avec ces arthropathies secondaires par arrêt de développement et
atrophie
musculaire, les pieds-bots de la maladie de rried
ne, 1894, p. 300, un cas (observé dans le service de M.SPILUIANN) d'
atrophie
musculaire myélopathique com- pliquée de troubl
eurs avec un léger oedème le long du tibia. gnets). Particularité :
atrophie
des extenseurs du cou, ce qui prouve que la lésio
itulé myélite aigué n'a trait qu'aune déformation ar- ticulaire par
atrophie
musculaire et rétraction consécutive. DE L'ARTH
on, ankylose ou état stationnaire, mais jamais par dislocation avec
atrophie
des têtes osseuses. Au contraire on n'a jamais no
ns laquelle une lésion nerveuse datant de l'enfance avait amené une
atrophie
complète du membre : on n'y note les arthropath
nfin les arthropathies névritiques s'accompagnent le plus souvent d'
atrophie
musculaire, puis de rétraction qui amène l'immo
Reuillet etBowlby : ostéite raréfiante, destruction des cartilages,
atrophie
des têtes osseuses, tels sont les trois faits pri
es osseuses (Moty) etc., à la suite des névrites. C'est surtout d'
atrophie
osseuse plutôt que d'arthropathie qu'il s'agit
qui est nerveux c'est la contracture, l'exagération des réflexes, l'
atrophie
musculaire et la névrite, ces deux derniers phé
ènes étant indépendants pour les uns, connexes pour les autres. L'
atrophie
musculaire s'explique suffisamment dans certains
secondaire à l'arthropathie. Descosses a montré que la marche de l'
atrophie
musculaire répondait à la distribution d'une né
Iconographie de la Salpêtrière, 1897, p. 217. « UN JOB MODERNE. »
ATROPHIE
MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE CHEZ UN CHEMIN
later ne présente pas un très grand intérêt scientifique bien que l'
atrophie
musculaire spinale, type Aran-Duchenne, soit de
moins le métier pénible d'ouvrier agricole qu'il continua Fig. 1.
Atrophie
musculaire et déformation en griffe des mains (Ty
C'est un homme de forte taille, 1 m. 95. On remarque tout d'abord l'
atrophie
des petits muscles des deux mains; les mains so
oraux. Il ne peut plus écrire mais il enfile encore une aiguille.
Atrophie
musculaire des jambes (PI.XLVIII). Les cuisses on
lui donne un solide point d'appui sur la cuisse ; UN JOB MODERNE
Atrophie
musculaire chez un cI1Cl111n.ll1. MASSON &
l'on puisse rétablir l'histoire de ce malade, il s'agit bien d'une
atrophie
musculaire type Aran-Duchenne. Nous voyons, en ef
t ». x 29 Fig. 2. Chaussures portées par un chemineau atteint d'
Atrophie
musculaire progressive. LA LÈPRE DANS L'ART P
HENRY MEIGE phoneurotiques siégeant sur la peau, vient se joindre l'
atrophie
musculaire avec l'impotence fonctionnelle el le
leur tour, plus rarement ceux du bras. Aux membres inférieurs, une
atrophie
du même genre.frappe les muscles du pied, les e
ceux de la ceinture scapulaire peuvent être atteints, comme dans l'
Atrophie
Musculaire Progressive ou dans la Syringomyélie
s probabilités pour qu'il s'agisse d'une figuration de Lépreux. L'
atrophie
musculaire et les déformations qui l'accompagnent
eur position qu'elles sont inertes. Mais l'on distingue nettement l'
atrophie
musculaire qui réduit l'une d'elles à l'état de
ions authentiques de Lépreux. Les pertes de substance de la face, l'
atrophie
et la contracture des membres supérieur et infé
ant-bras et le poignet soient entourés de quelques tours débande, l'
atrophie
musculaire est clairement indiquée, à l'extrémi
couvert des macules ou des tubercules caractéristiques. Ici, pas d'
atrophie
musculaire, pas dégriffés, pas de mutilations ;
colyte. La rétraction du tendon d'Achille, conséquence obligée de l'
atrophie
musculaire des muscles du mollet, a mis le pied
s'accompagnaient, comme cela arrive souvent, de pigmenta- tion et d'
atrophie
; les pustules se trouvent surtout sur la face, l
plus évidente les marques de l'a- trophie musculaire. On sait que l'
atrophie
musculaire chez certains lépreux est exactement
nt clinicien de notre époque, Duchenne (de Boulogne), sous le nom d'
atrophie
musculaire progressive. « Il a défini et classé
van- cée. L'attitude de la main nous révèle l'invasion inégale de l'
atrophie
qui a porté surtout sur les muscles interosseux
'a décrite avec soin, et a démontré qu'elle est la conséquence de l'
atrophie
des peti ts mus- cles logés dans les espaces in
. LA LÈPRE DANS L'AltT 453 cules. En second lieu, les signes de l'
atrophie
musculaire sont indiscuta- bles. Si l'on doit d
prouve la petite voiture qui sert au malheureux pour se déplacer, l'
atrophie
du membre supérieur gauche est clairement expri
e plus manifestement les stigmates sur le membre supérieur gauche :
atrophie
, griffe des interosseux et tubercules ou ulcé-
rer : d'une part les tubercules ou les ulcérations, et de l'autre l'
atrophie
mus- culaire. » Nous rapprocherons de ces deu
offrant un assez bon exemple de ces paralysies avec contracture et
atrophie
musculaire que la Lèpre sait réaliser. MATTHIAS
d'une figuration défectueuse de quelque malformation pathologique (
atrophie
, griffe qui, elle aussi, aurait été inspirée par
s à néant; mais la peau encore semble par- ticiper à ce processus d'
atrophie
et de sclérose. On pourrait penser à quelque fo
er s'il ne s'agit pas encore ici d'une figuration de Lépreux. - L'
atrophie
musculaire qui prédomine aux extrémités des membr
ui tend son bras vers l'évêque. Ce bras ne présente pas de traces d'
atrophie
musculaire ; mais la main semble inerte, flasqu
u non, cette attitude répond bien à ce qu'on observe dans les cas d'
atrophie
musculaire portant sur les muscles trapèze etgr
un liseré saignant. Tel qu'il est, avec son omoplate « ailée », l'
atrophie
des muscles de la ceinture scapulaire et du bra
tion de son nez et de ses lèvres, l'affection oculaire et jusqu'à l'
atrophie
du bras et de l'épaule dont il est atteint, tou
ophiques articulaires d'apparence rhumatoide, par PAUL LONDE, 38.
Atrophie
musculaire et douleurs des hé- miplégiques (pat
laxie),par Gilles DE la TOURETTE (2 pho- totypies), 287, 3'10.
Atrophie
musculaire du type Aran-Du- chenne chez un chem
pie), 31. Gilles DE la TOURETTE. Pathogénie et pro- phylaxie de l'
atrophie
musculaire et des douleurs des hémiplégiques (2
des muscles du tronc (1 planche), 109. TARGOWLA. Un Job moderne.
Atrophie
musculaire du type Aran-Duchenne chez un chem
do- syphilitique, IV. Hémiplégie gauche; arthrite de l'épaule ;
atrophie
musculaire, XXX. Hémisectiou traumatique de la
ts mé- dius et index de la main gauche, XLIV, XLV. Job moderne.
Atrophie
musculaire chez un chemineau, XLVII, XLVIII.
autres manifestations pénibles ou inquié- tantes, aboutissant à une
atrophie
musculaire plus ou moins prononcée, à des rétra
fois, au moment de son entrée à l'hôpital, il ne présentait l pas d'
atrophie
musculaire bien nette, si ce n'est aux mains. D'a
avant. Les jamhes et les cuisses sont encore amaigries; il y a de l'
atrophie
diffuse, surtout dans le groupe des muscles ant
tout le jeu de la physio- nomie. Elle ne se compliquait pas d'une
atrophie
musculaire bien nette ; c'est tout au plus si o
ement du territoire qu'elle occupait primitivement. Du même coup, l'
atrophie
s'empare des muscles dans lesquels la paralysie s
are des muscles dans lesquels la paralysie s'établit à de- meure. L'
atrophie
musculaire, qu'on voit survenir dans ces conditio
vements physiologiques soient abolis.Elle ne s'accompagne pas d'une
atrophie
en masse 'de certains groupes de muscles,ou de
l'existence d'une polynévrite. J'en dirai autant de l'absence d'une
atrophie
musculaire frappant, avec une prépondérance trè
t local des parties dans lesquelles se cantonnent la paralysie et l'
atrophie
musculaire. Enfin, il n'est pas jusqu'à l'état
te, évolue sans laisser de traces irréparables, sous la forme d'une
atrophie
limitée à un segment de membre ou d'un groupe d
récupérer l'entier usage de ses muscles, sans conserver ni résidu d'
atrophie
musculaire, ni rétractions tendineuses ? Là-des
diste ou d'un chirurgien. MALADIE DE THOMSEN A» FORME FRUSTE AVEC
ATROPHIE
MUSCULAIRE PAR Et E. NOGUÈS J. SIROL Médeci
t un peu moindre pour le groupe des péroniers aux deux jambes.. Une
atrophie
également très sensible des vastes interne aux de
FLIRtÈRF. T. XII. PI. III MALADIE DE THOMSEN Forme fruste, avec
atrophie
musculaire. (1 : . Vuu ct J. Sirul) MASSON &a
dans ses jambes. En effet, cette impotence fonctionnelle et celle
atrophie
constituent la note dominante de l'affection de
n fondamentale de ces affections en deux espèces différentes : 1° l'
atrophie
d'origine spinale (type Du- chenne-Aran) ; 2° l
e individuelle, l'autre familiale, devaient englober tous les cas d'
atrophie
musculaire progressive. II n'eu est rien. En mê
e des faits devient plus attentive et plus précise, l'histoire de l'
atrophie
musculaire progressive paraît se compliquer de
urs caractères clini- ques ou anatomiques, procèdent à la fois de l'
atrophie
d'origine spinale et de la myopathie primitive,
tre malade ressemble à ce dernier type et peut en être rapproché. L'
atrophie
atteint en premier ' lieu les petits muscles de
rs, enfin les muscles du mollet. Après un temps d'arrêt variable, l'
atrophie
gagne les muscles des cuisses où elle frappe pa
ulièrement le vaste interne. Comme on le voit, la localisation de l'
atrophie
est à peu près la même dans notre cas, sauf pou
de très rares exceptions, de contractions fibrillaires. C'est une
atrophie
simple et qui ne donne pas lieu à la réaction de
ns celle-ci, d'hypertrophie musculaire, il existe au contraire de l'
atrophie
très manifeste. L'excitabi- lité électrique est
cas de cette dernière affection. Quelques symptômes tels que : l'
atrophie
musculaire et la diminution de l'excitabilité é
juger, au diagnostic de maladie de Thomsen à l'orme fruste avec une
atrophie
mus- culaire. UNIVERSITÉ DE MOSCOU - TROIS
sent les stades ultérieurs de la ma- ladie. Il n'y a pas non plus d'
atrophie
des nerfs optiques. Notre observation présente
à cause d'elle la vésicule est trop élargie, mais il n'y avait pas
atrophie
complète de cette dernière, comme ordinairement
de liquide sous la tente du cervelet. L'hydrocéphalie provoqua une
atrophie
égale du cerveau, du côté de la voûte, et du cô
nous avons trouvé : 1° une absence complète du cervelet ; 2° une
atrophie
des hémisphères cérébraux ; 3° une atrophie pre
du cervelet ; 2° une atrophie des hémisphères cérébraux ; 3° une
atrophie
presque totale des ganglions cérébraux centraux (
les noyaux rouges. L'absence des voies pyramidales s'explique par l'
atrophie
des hémi- sphères. L'absence de la couche du ru
uberculose pulmonaire à marche rapide; il est de plus atteint d'une
atrophie
musculaire qui a débuté insidieusement à l'âge de
i dans les ascendants ni dans les collatéraux on ne relève de cas d'
atrophie
musculaire non plus que chez ses deux frères dont
z sa soeur actuellement âgée de 39 ans. Antécédents personnels. L'
atrophie
musculaire a débuté il l'âge de 20 ans ; G... é
. Deux ans après, le bras gauche a commencé à être inté- ressé et l'
atrophie
a tout d'abord porté sur le biceps. Cette atrop
té- ressé et l'atrophie a tout d'abord porté sur le biceps. Cette
atrophie
symétrique a évolué sans douleurs. Le Dr Vernet,
s, les muscles des membres inférieurs ont commencé à participer à l'
atrophie
. Ses amis se sont aperçus avant lui qu'il boitait
embre on d'un segment de membre n'implique nullement l'ahsence ou l'
atrophie
du renflement spinal correspondant à ce membre.
et des rapports normaux des cellules dermiques et épidermiques : l'
atrophie
et l'hypertrophie, la (t) Iluours, Des nævi pig
liciel, mais leur gaine de myéline est très réduite. Il s'agit d'une
atrophie
des tubes plutôt que d'une dégénérescence avec
? ' Dans la région cervicale seulement : dégénérescence (ou plutôt
atrophie
des tubes nerveux) intéressant la zone qui sépa
le également plus jeune et nota- blement moins accusée. Quant à l'
atrophie
légère de la corne antérieure gauche dans la régi
traces de son existence dans les endroits les moins touchés qu'une
atrophie
légère de la corne anté- rieure gauche dorsale,
voisinage. LABORATOIRE DES CLINIQUES DE LA FACULTE DE BORDEAUX.
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT
nte question. Observation. Sommaire. - Homme, 27 ans, colporteur;
atrophie
du membre supérieur droit : début à 12 ans aprè
droite. Nàropathie légère ; buveur de vin. Le 1,1; juillet 1898 :
Atrophie
d'intensité variable de tous les muscles inner-
eresthésie proportionnelle au 108 J. SABRAZÈS ET L, MARTY degré d'
atrophie
des muscles ; épaississement dermique à la surfac
al St-André, salle 15, lit 3, en juillet 1898; il est atteint d'une
atrophie
du membre supérieur droit. Cette atrophie a début
898; il est atteint d'une atrophie du membre supérieur droit. Cette
atrophie
a débuté, à de 12 ans, époque à laquelle le mal
n des échantillons dans les chais. C'est de cet accident que date l'
atrophie
qui est toujours allée s'accentuant en dépit des
paule; l'amaigrissement du membre ne fait par contre que s'accuser.
atrophie
musculaire ET OSSEUSE 109 A 17 ans, nouvelle ch
forces dans le membre atrophié. En dehors de ces accidents et de l'
atrophie
du membre supérieur droit qui en est la conséqu
t normal. Nouv. Iconographie UI la SAII'ÉrRIEHE. T. XII. PI. XVII
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT
UPÉRIEUR DROIT (S,ibi-izès et Marty) rP71 ? 1r/,>i ? </ ?
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET OSSEUSE 111 Celui-ci tire en haut
les intercostaux de t'hémithorax droit ne participent nullement à l'
atrophie
. Les muscles du bras droit sont très atrophiés.
ls, sont atrophiés. Mais si on voulait dresser une échelle du degré d'
atrophie
, on verrait que : 1° Le deltoïde est le plus
rachial, le long supinateur le sont à un degré un peu moindre. 4° L'
atrophie
est plus faible et inégalement répartie sur le su
ble épaisseur des tissus mous qui les enve- loppent participent à l'
atrophie
. Nouv. Iconographie DE la Salpètrière. T. XII.
atrophie. Nouv. Iconographie DE la Salpètrière. T. XII. PI. XVIII
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT
1)1 la Sai.fêikickk.. r. XII. Pl. XIX ph't'tyl'te n, rmsnn Paris
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPERIEUR DROIT
Z0s et M.1rty) Radiographie du coude MASSON & cle, Editeurs
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET OSSEUSE 113 La clavicule ne parai
ment. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. T. XII. PL. XX.
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT
ographies. Main DROITI : (coté atrophié). Masson et Cio, Éditeurs
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET OSSEUSE 115 La flexion volontaire
st hyperaIgésique il peu près au même degré que le long supinateur.
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET OSSEUSE 1 117 i Le pincement des
nd dentelé. Le degré de l'hyperalgésie est proportionnel au degré d'
atrophie
des muscles. Les territoires hyperalgésiques pe
ied est facile, ainsi que la z marche à reculons les yeux fermés.
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET OSSEUSE 119 La sensibilité au con
t. 1/2 en- viron que le gauche. En dehors de la déformation et de l'
atrophie
de la région pectorale droite, on n'est frappé
rès bien. Son écriture est rendue difficile de la main droite par l'
atrophie
musculaire qui empêche d'appuyer ; mais cette écr
. Pas de priapisme. Hyperesthésie excessive des bourses. La près- .
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET OSSEUSE 121 sion même légère des
ne diffère pas sensiblement de ce qu'il était au mois de juillet. L'
atrophie
du membre supé- rieur droit ne s'est pas notabl
rophique de l'enfance ou de la paralysie spinale aiguë de l'adulte (
atrophie
musculaire, atrophie osseuse, épaississement de
ou de la paralysie spinale aiguë de l'adulte (atrophie musculaire,
atrophie
osseuse, épaississement des téguments ; pas d'a
ue dans les cas où la tête humérale viendrait le comprimer directe-
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET OSSEUSE 123 ment contre la paroi
te complète pour les nerfs médian, radial et cubital ; (1) Fieux.
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET OSSEUSE 125 4° Réaction d'Erb com
, au besoin, mettre sur le seul compte de la luxation de l'épaule l'
atrophie
dont notre premier malade est atteint. Mais là
e époque, le membre est frappé d'impotence presque absolue et que l'
atrophie
prend une marche plus rapide. A 25 ans, inter
e. La part de cette fracture de la clavicule dans le mécanisme de l'
atrophie
ne parait pas avoir été bien grande. La clavicu
fragments soient maintenus par un périoste non déchiré. De plus, l'
atrophie
était déjà presque anssi avancée qu'aujourd'hui
ée qu'aujourd'hui lors de cette fracture. Néanmoins, le choc du ma-
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET OSSEUSE 127 drier qui est tombé s
scles de la ceinture scapulaire. Nous sommes donc en présence d'une
atrophie
musculaire et osseuse extrêmement marquée, limi
laire et osseuse extrêmement marquée, limitée à un membre. Malgré l'
atrophie
osseuse, le raccourcissement du membre n'excède
en un raccourcissement mais n'est pas très grand. Cela prouve que l'
atrophie
osseuse n'a pas dû s'établir avec évidence lors d
r tout comme en épaisseur. On est donc en droit de con- clure que l'
atrophie
osseuse et musculaire s'est produite au sur et M
lus atrophiés. Cette hyperalgésie est d'au- tant plus intense que l'
atrophie
est plus avancée. L'anesthésie permanente ou pa
ulaires par suite du traumatisme direct des racines et de la con- -
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET OSSEUSE 129 tusion indirecte de l
ondairement aux affections ostéo- articulaires qui s'accompagnent d'
atrophie
des muscles. Ces amyotrophies considérées naguè
t tandis que la corne an- térieure, dans le territoire intéressé, s'
atrophie
in globo. Les observations de Klippel (1), Leyd
es observations de Klippel (1), Leyden (2), Achard et L. Lévi (3) d'
atrophie
localisée des centres nerveux en rapport avec l
Lévi (3) d'atrophie localisée des centres nerveux en rapport avec l'
atrophie
musculaire et osseuse de cause articulaire ne l
e moteur périphérique entraîne la pertur- bation fonctionnelle et l'
atrophie
du neurone moteur cérébral : dans le cas de MM.
frontale et pariétale ascendantes du côté droit partici- paient à l'
atrophie
. Les adultérations persistantes des neurones se
latives des neurones sensitifs ganglion- naires et médullaires. L'
atrophie
musculaire et osseuse de notre malade est donc so
résulté ont certainement influé par elles-mêmes sur la genèse de l'
atrophie
; mais les lésions nerveuses fronculaires et radi
les paralysies radiculaires traumatiques entraînent, elles aussi, l'
atrophie
de la corne antérieure et du centre cérébral co
intervention de ces divers facteurs permet de comprendre pourquoi l'
atrophie
de ce membre a atteint un si haut degré. La parti
re intéressé s'atrophier au plus haut point. Les os participent à l'
atrophie
, ainsi qu'en témoigne l'examen radiographique.
o-adipeux s'épaississent notablement. Les principaux, facteurs de l'
atrophie
sont la compression et l'élonga- tion exagérée
usque dans leur trajet rachidien et intra-médullaire. La moelle s'
atrophie
dans le segment métamérique correspondant non s
la moelle, ne se montrent plus ici qu'indivi- duellement ; et si l'
atrophie
des fibres peut se reconnaître, la sclérose fasci
n'y a pas ou guère de sclérose des cordons, z faute de cordons - l'
atrophie
des fibres labyrinthiques a été depuis longtemps
ptique. Strumpell rapporte deux cas où il a observé simultanément l'
atrophie
du nerf acoustique et celle du nerf optique. Op
eim et Siemerling ont constaté, également dans un cas de tabes, une
atrophie
de la plupart des faisceaux du nerf vestibulaire
Ilahermann a observé, chez un tabétique sourd depuis douze ans, une
atrophie
profonde des nerfs acoustiques qui n'étaient pl
aminé le bulbe d'un ta- bétique de Pierret, et a trouvé également l'
atrophie
des racines du nerf cochléaire sous le plancher
té d'origine périphérique sans lésion primitive du tronc nerveux, l'
atrophie
est loin d'avoir cette allure ; et il semble qu
tte allure ; et il semble que, dans ces cas, il s'agisse bien d'une
atrophie
primitive du protoneurone labyrinthique. Néan
e labyrinthique. Néanmoins, si dans beaucoup de cas peut-être cette
atrophie
n'est pas primitive, il faudrait la considérer
llaire, mais les troubles trophi- ques de l'oeil et de l'oreille, l'
atrophie
simultanée des papilles et l'am- blyopie associ
yperémie et des phénomènes plus durables qui se termi- neront par l'
atrophie
, aussi bien pour les papilles du fond de l'oreill
ET J. CASTAIGNE chenne (1) déclare n'avoir pas vu de paralysie ou d'
atrophie
« parfaitement limitée au grand dentelé, ce qui
être rare, poursuit-il, puisque sur une vingtaine de cas au moins d'
atrophie
ou de paralysie du grand dentelé que j'ai explo
par cet auteur sonl fort complexes : la plu- part ressortissent à l'
atrophie
musculaire d'origine myopathique ou myé- lopath
de l'épaule n'est pas troublée. « Les signes palhognomoniques de l'
atrophie
du grand dentelé, dit en effet Duchenne (2), ne
nt l'élé- vation volontaire du bras. J'ai démontré, en effet, que l'
atrophie
du grand dentelé n'occasionne aucune difformité
aide duquel on peut établir le dia- gnostic de la paralysie ou de l'
atrophie
du grand dentelé, alors que le malade nepeut él
isation doit être rare, puisque sur une vingtaine de cas au moins d'
atrophie
ou de paralysie du grand dentelé que j'ai exploré
dipeux sous-cutané a disparu. Les lâches sont légèrement déprimées.
Atrophie
en masse du bras, de la cuisse et de la jambe d
ie en masse du bras, de la cuisse et de la jambe du côté droit, l'
atrophie
musculaire est surtout marquée au niveau des tach
t cica- triciel et considérablement amincie. De plus, il existe une
atrophie
muscu- laire manifeste de tout le côté droit, s
it à la naissance la pigmen- tation du membre inférieur gauche et l'
atrophie
de la jambe qui existent encore actuellement.
les phé- nomènes de sclérose cutanée au début coïncidaient avec une
atrophie
e légère du membre, du cas de l'observation nI
94. 204 P. HAUSHALTER ET L. SPILLMANN peau était accompagné d'une
atrophie
très accentuée des muscles et d'un raccourcisse
s qu'en 1886, Charcot et Marie ont décrit la « forme particulière d'
atrophie
musculaire progressive souvent familiale, débutan
moins volumineux que ceux de la main gauche; il diagnos- tiqua une
atrophie
musculaire progressive. H... resta deux mois à l'
continuer pendant quelque temps son travail de dessinateur. Mais l'
atrophie
s'étendit rapidement aux muscles du membre inféri
galement un an à l'hôpital Tenon, dans le service de M. Landouzy. L'
atrophie
, après avoir envahi un certain nombre de groupe
quées au membre inférieur du côté gauche. Membre supérieur droit.
Atrophie
très marquée des muscles des émi- nences thénar
très atrophiés, les fléchisseurs comme les extenseurs ; mais cette
atrophie
est surtout marquée au niveau de la moitié infé
-membra- neux, le demi-tendineux sont bien conservés. A la jambe, l'
atrophie
atteint tous les muscles. Le membre inférieur d
est comparable à celui du côté gauche. Membre inférieur gauche. - L'
atrophie
y est moins marquée que du côté droit. Le membr
a région sacrée. D'une façon générale, les lésions se réduisent à l'
atrophie
simple de tou- tes les parties constituantes de
taires, soit d'autre nature. Elles semblent atrophiées ou en voie d'
atrophie
. Nkhks. Les nerfs périphériques au point de vue
ombre de faisceaux musculaires sont atrophiés, ces fibres en voie d'
atrophie
se trouvent à côté de fibres absolu- ment saine
le biceps crural. Ce muscle présente peu de lésions des faisceaux :
atrophie
de certains faisceaux musculaires, conservation d
xiste un très grand nombre de noyaux entourant ces fibres en voie d'
atrophie
. Les vaisseaux sont épaissis, entou- rés d'un c
ke. d) Des lésions cellulaires des cornes antérieures consistant en
atrophie
de la cellule. 2° Des altérations des nerfs p
sciatique, sont normaux. : 3° Des lésions musculaires consistant en :
atrophie
des fibres muscu- laires, inégale clans les mêm
lieu sur la glande thyroïde, par contre-coup sur la croissance et l'
atrophie
en général. Nous allons en donner tout de suite
on que nous venons de rapporter montre bien qu'il s'agit d'un cas d'
atrophie
Charcot-Marie non familial survenu chez un homme
phie Charcot-Marie non familial survenu chez un homme de 32 ans : l'
atrophie
a débuté, comme cela a déjà été observé par Hoffm
ptômes, le ma- lade était incapable de gagner sa vie. A ce moment l'
atrophie
avait atteint aux membres supérieurs les éminen
i nous occupe. Les trois premiers ont été publiés à une époque où l'
atrophie
Charcot-Marie était inconnue et où la technique d
signalés chez les malades ne semblent pas devoir être rapportés à l'
atrophie
Charcot-Marie. Quant au cas de Dubreuibl, il est
ur Nervenheilkunde, 1891. (3) DU811EUIIIL, Etude sur quelques cas d'
atrophie
musculaire limitée aux extrémités et dépendant
(5) Tout récemment Siemerling a publié, sous le nom de « neuritische
Atrophie
», une ubservation dans laquelle les lésions pr
la méthode de Nissl a été employée pour l'examen des cellules, leur
atrophie
est des plus manifestes et se montre d'autant p
re quelle valeur on doit attribuera ces lésions dans la genèse de l'
atrophie
. C'est un sujet sur lequel nous n'oserions émettr
ne le croyons point. Elles se retrouvent dans la plupart des cas d'
atrophie
musculaire qui relèvent d'une affection nerveus
la vérité (1) en considérant l'amyotrophie Charcot-Marie comme une
atrophie
d'origine spinale etné- vritique, quoique la se
très rarement sous forme de cas isolés (10 cas dans la science), l'
atrophie
Charcot-Marie est essentiellement familiale et hé
res inférieurs qui sont pris les premiers ; quelquefois cependant l'
atrophie
se montre d'abord aux membres supérieurs. Le dé
nt les avant-bras et les jambes. En effet aux membres inférieurs, l'
atrophie
frappe les péroniers, l'ex- tenseur propre du g
ée en jarretière. Aux membres supérieurs (v. PI. LU, fig. E. IL), l'
atrophie
occupe les interosseux, les éminences thénar et
mations absolument comparables à celles qui ont été décrites dans l'
atrophie
dite du type Âran-Duchenne. A un premier degré
ig. II), c'est la main en griffe. De même qu'au membre inférieur, l'
atrophie
est en jarretière, elle est ici en manchette, s
é est douteuse à gauche. Il n'y a pas de trépidation spinale, pas d'
atrophie
mus- culaire ; la force est conservée partout,
pas de trépidation spinale. L'amaigrissement n'est pas accompagné d'
atrophie
musculaire. L'examen électrique ne donne en auc
uche, signe d'Argyl Robertson. A l'ophtalmos- cope, on constate une
atrophie
des nerfs optiques, plus accentuée à gauche, l'
s bien nets des orteils. Pas de trépidation spinale, il n'y a pas d'
atrophie
des muscles, leur force est conservée partout :
cq sont venus lui rendre son individualité. Je rapporte six cas d'
atrophie
musculaire progressive d'origine myélo- pathiqu
ritable air de famille que tous présentent. D'une façon générale, l'
atrophie
musculaire progressive myélopathique, poliomyél
érédité. Nouv. Iconographie DE la SALPÈTRIÉRK. T. XII. l'l. LiI
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE MYÉLOPATHIQUE (G. Etienn
diteurs. Nouv. Iconographie DE la Salpêtrière. T. XII. Pl. LXII
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE MYELOPATHIQUE (G. Élieuu
s phalanges en demi-flexions les unes sur les autres (PI. LXIf, G).
Atrophie
notable de l'éminence thénar qui est aplatie; le
deux jours. 15 décembre. Aucun symptôme nouveau n'est survenu. L'
atrophie
n'a ni rétrocédé ni augmenté ; le volume des memb
ital, le malade travaillant un peu. A partir du mois de janvier l'
atrophie
a gagné les muscles du dos en allant vers la ga
entent exactement les mêmes signes que la main droite il y a un an.
Atrophie
des muscles de l'éminence thénar, moins prononc
aillantes, les muscles sous-épineux semblent surtout atrophiés. L'
atrophie
est à peu près symétrique. Les apophyses épineu
pas de nystagmus ni de diplopie, pas do vertiges. Janvier 1895. L'
atrophie
musculaire des muscles de la main gauche est to
mbes sont atropliiés puisque le malade ne peut pas se lever, mais l'
atrophie
n'est pas apparente. atrophies musculaires PROG
cultation. 15. - Difficulté pour respirer et tousser en raison de l'
atrophie
des pecto- raux ; il sent les crachats obstruan
s coupes pratiquées à différents étages de la moelle épi- nière une
atrophie
très considérable des cornes antérieures avec dis
disparition presque complète des cellules nerveuses de ces cornes,
atrophie
et sclérose des racines qui en émergent. Les
Malgré cette grande rapidité d'évolution, il s'agit bien ici d'une
atrophie
musculaire myélopathique. Il ne peut être quest
en 18 mois ou en 3 ans. II. PRÉCOCITÉ DU DÉBUT. Habituellement l'
atrophie
myélopathique évolue dans l'âge mûr, entre 40 e
. Observation IL Paralysie infantile du membre inférieur droit. -
Atrophie
musculaire, type - Aral2-Dacc12e212e. Pravel.
atteint d'une paralysie infantile qui laissa comme déformation une
atrophie
des masses musculaire du membre inférieur droit,
endant les mouvements difficiles. A partir d ce moment com- mença l'
atrophie
musculaire, lentement progressive ; dès lors, il
; les muscles sont mous à la pression. Aux éminences hypothénar, l'
atrophie
musculaire a aussi déterminé les méplats. Les
vant-bras en fuseaux. Les bras ne paraissent pas atrophiés. Pas d'
atrophie
musculaire dans les autres régions. Les autres
vice en août 1891. Signalons encore dans ce cas la coïncidence de l'
atrophie
musculaire progressive avec la paralysie infant
V. III. - Modes DE début. Dans la très grande majorité des cas, l'
atrophie
musculaire débute par les petits muscles de la
dant pas toujours ainsi. Dans l'observation suivante, nous voyons l'
atrophie
débuter par le del- toïde et les muscles péri-s
ue du typescapuio- huméral décrit par Vulpian. Observation III.
Atrophie
musculaire progressive, d'origine myélopathique ;
, fig. D). Personne dans sa famille n'a eu de maladie nerveuse ni d'
atrophie
muscu- laire. . Père mort il 80 ans. Mère m
n'a jamais eu la syphilis. Pas d'antécédents alcooliques. , Son
atrophie
musculaire ne remonterait qu'à 3 ans. Il y a 7 an
at reste stationnaire depuis 18 mois dans les membres supérieurs. L'
atrophie
du thorax aurait accompagné celle des bras dont l
le poignet en demi-flexion; la main a l'aspect d'une main de singe.
Atrophie
des muscles du thénar et de l'hypothénar ; gril
ire. - L'insertion occipitale du trapèze est en partie dis- parue ;
atrophie
marquée des muscles des fosses sus-épineuses part
iculièrement t à droite ; ces deux fosses sont creusées en bateau ;
atrophie
musculaire marquée dans les fosses sous-épineus
à l'état de languettes aplaties laissant voir la saillie de l'os ;
atrophie
presque complète du grand dorsal ; à ce niveau on
ulève la peau qui semble reposer directement sur le système osseux;
atrophie
des muscles lombaires, mais moins marquée. Le
titué exclusivement par l'humérus directement attaché à l'omoplate.
Atrophie
générale des muscles du bras et de l'avant-bras ;
biceps réduit à l'état d'un petit cordon de 1 cm. 1/2 d'épaisseur ;
atrophie
en masse du triceps; la peau est trop ample. At
épaisseur ; atrophie en masse du triceps; la peau est trop ample.
Atrophie
musculaire également marquée de tous les muscles
e l'éminence thénar et de l'hypothénar, remplacés par des méplats ;
atrophie
très marquée des interosseux; creux entre les mét
interosseux; creux entre les métacarpiens égal des deux côtés. L'
atrophie
, moins considérable aux membres inférieurs, contr
tions fibrillaires, que l'on ne constate pas actuellement. Face :
atrophie
musculaire. . Abolition des réflexes. Le mala
e professeur Raymond dans les cas réunis par lui. C'est ainsi que l'
atrophie
a commencé par le deltoïde chez un ouvrier ruba
ervient dans l'observation sui- vante : un fossoyeur voit débuter l'
atrophie
musculaire par les muscles extenseurs de l'avan
jette par dessus bord la terre enlevée du fond. Observation IV.
Atrophie
musculaire progressive d'origine myélopathique. -
ux côtés. Abolition des réflexes patellaires et plantaires. Pas d'
atrophie
appréciable des muscles fessiers et lomhaires.
ale. - Le malade se baisse facilement pour ramasser un objet. Pas d'
atrophie
des muscles abdominaux. Membres supérieurs. - A
mouvements de pronation et de supination ne peuvent plus se faire.
Atrophie
considérable de la partie postérieure de l'avant-
e. Atrophie considérable de la partie postérieure de l'avant-bras ;
atrophie
des * radiaux. Le malade peut fermer les doig
iers supérieur de l'avant-bras, 22 centimètres. Bras cylin- drique.
Atrophie
considérable du deltoïde et des muscles du bras.
ntimètres. Les creux sous-claviculaires sont aplatis. Il existe une
atrophie
légère des pectoraux, le malade croise facileme
paule opposée. - L'omoplate ne suit pas les mouvements de l'épaule.
Atrophie
légère des muscles sus et sous -épineux. Le c
viculaire du trapèze est conservé ; le chef occipital est atrophié.
Atrophie
peu marquée des sterno-cléido-mastoïdiens. Le g
M. Ray- mond, Quinquaud, Rémond et Bernheim. Chez notre malade, l'
atrophie
progressive a très nettement débuté si- multané
Ce fait est très exceptionnellement signalé dans les observations d'
atrophie
musculaire progréssive myélo- pathique ; on sai
est au contraire fréquente dans les myopathies. Observation V.
Atrophie
musculaire progressive, d'origine myélopathique,
1891. , Nouv. Iconographie de la SALI'G1HIIi1·. T. XII. PI. LX
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE (TYPE ARAN-DUCHESNE) - (
le malade peut les fléchir. Force au dynamomètre à peu près nulle ;
atrophie
considérable des muscles de l'avant-bras et du br
er seul. 10 avril. - Même état, pas de phénomènes nouveaux. 25. L'
atrophie
des muscles de la face n'a pas progressé. Les m
IONNELS. Dans l'observation suivante, nous voyons un cas très pur d'
atrophie
myélopathique type Aran-Duchenne se compliquer
corps exposé à une pression un peu prolongée (1). Observation VI.
Atrophie
musculaire progressive d'origine myélopathique ;
roubles trophiques osseux et articulaires chez un hom- me atteint d'
atrophie
musculaire myélopat/ ! lqlle,l pr mémoire, Revue
No1.;v. ICUSOGHAPHIE DE LA SAlPÊTRII : KI ? T. XII. 1'1. LXIII
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE (G. Etienne) Arthropat
x membres inférieurs et au niveau du coccyx. Troubles trophiques. -
Atrophie
totale des éminences thénar et hypothé- nar, de
chée du tronc, l'angle inférieur re- levé est attiré en dedans. L'
atrophie
est beaucoup moins marquée à la partie inférieure
ticulations des genoux. La face amaigrie n'est pas intéressée par l'
atrophie
musculaire. Réaction de dégénérescence dans tou
25 octobre. Le malade absolument impotent, rentre à la clinique. L'
atrophie
musculaire est au maximum, état squelettique. Cac
liquer sur la clavicule. Depuis longtemps, en effet, par suite de l'
atrophie
précoce des muscles de la nuque, la malade porte
es de largeur sur 12 de longueur, est très profonde; en raison de l'
atrophie
musculaire, le plan du muscle a pour ainsi dire
est presque complètement obstrué par un amas de (1) Etudiant ici l'
atrophie
musculaire myélopathique au point de vue clinique
t moins prononcées que dans les petits filets terminaux. Muscles. -
Atrophie
musculaire extraordinaire surtout du côté droit.
ences entre les dimensions des fibres, dont beaucoup sont amincies.
Atrophie
simple, augmentation du tissu con- jonctif, not
ale. Charcot, et après lui MM. Grasset et Rauzier, ont attribué à l'
atrophie
musculaire progressive les faits d'arthropathie r
MYÉLOPATHIQUE 385 ment ces cas l'un de l'autre ; si, par exemple, l'
atrophie
débute par les muscles scapulaires ou par les m
onstitutifs d'une maladie bien in- dépendante, bien caractérisée, l'
atrophie
musculaire progressive d'origine myélopathique,
aire progressive. Il existe donc une série morbide constituée par l'
atrophie
musculaire myélopathique progressive, la para-
peu nombreux ceux qui après leur accident voient se développer une
atrophie
musculaire et ils sont très rares ceux qui, à l
devenir le point de départ d'une impuissance motrice relative avec
atrophie
plus ou moins prononcée et parfois très prononcée
malade s'est présenté à la consultation de la Salpêtrière avec une
atrophie
scapulo-humérale bila- térale. En présence de t
le gauches (PI. LXIV, A). Il a, en un mot, l'aspect classique d'une
atrophie
mus- culaire bilatérale scapulo-lmmérale. La ma
fon- deur anormale des fosses sus et sous-épineuses témoignant de l'
atrophie
des masses musculaires. L'omoplate est un peu é
à droite et à gauche, ses muscles faciaux sont normaux eux aussi. L'
atrophie
musculaire, quoique bilatérale, est un peu plus m
cun tremblement fibrillaire ne se remarque sur les muscles envoie d'
atrophie
, aucun trouble trophique sur les membres supérieu
d'inversion de l'action polaire en aucun point. En dehors de cetle
atrophie
musculaire à type scapulo-liuméral le ma- lade
s muscles adjacents à l'articulation maigrissent. Sept mois après l'
atrophie
se montre à l'épaule gauche et au bras gauche. Le
e malade se présente à la Salpêtrière au mois de juin 1899 avec une
atrophie
nette du type scapulo-huméral. C'est une atroph
uin 1899 avec une atrophie nette du type scapulo-huméral. C'est une
atrophie
musculaire s'étant dévelop- pée progressivement
exes tendineux. La question se posait de savoir de quelle variété d'
atrophie
musculaire il s'agissait chez cet homme ? Quelle
r que l'on puisse songer à une myopathie scapulo-humérale de Erb. L'
atrophie
musculaire que nous constatons n'a aucun des cara
au cours de névrites infectieuses ou toxiques. Il ne s'agit pas d'
atrophie
musculaire progressive du type.c1l'an-Duchenne qu
, ce n'est pas une sclérose latérale amyotrophique. Au contraire, l'
atrophie
musculaire présentée par le malade par ce fait
raît faire l'intérêt de notre observation, c'est la bilatéralité de l'
atrophie
malgré l'unilatéralité du traumatisme. S'il e
a jambe gauche, elle n'était nullement douloureuse. Il existait une
atrophie
con- sidérable de tout le membre inférieur port
édominant pas sur tel ou tel groupe de muscles. Il s'agissait d'une
atrophie
simple, sans réaction de dégénéres- cence, sans
ié dans ses trois seg- ments (jambe, cuisse et fesse) ; toutefois l'
atrophie
prédominait manifes- (i) Charcot, Progrès médic
cot, loC. cit. 392 G. GUILLAIN ment dans les muscles de la jambe.
Atrophie
simple, sans contractions fibrillaires, sans ré
une ténosite des tendons fléchisseurs. Le membre inférieur droit s'
atrophie
, et quand Charcot le voit, le malade est obligé
de troubles de la sensibilité. Chez un autre malade de Charcot, une
atrophie
du même caractère s'é- tait produite dans le me
e la déchi- rure d'un muscle pendant un effort peut en déterminer l'
atrophie
. Mais ces observations, comme le dit Charcot, é
de ses observa- tions, intéressante à cause de la bilatéralité de l'
atrophie
, il s'agissait d'un (1) CHARCOT, loc. cit. (2
'atrophie, il s'agissait d'un (1) CHARCOT, loc. cit. (2) Raymond,
Atrophie
musculaire d'origine réflexe. Bulletin médical, 2
e d'origine réflexe. Bulletin médical, 28 mars 189'7 . RAYMOI : OE,
Atrophie
musculaire réflexe. Journal de médecine et de chi
il reprend ses occupations, mais il y eut récidive et cette fois l'
atrophie
envahit le côté gauche. Après un long traitement
n fut à peu près.complète bien qu'il sub- sistât un degré notable d'
atrophie
musculaire ainsi qu'une certaine exagé- ration
rses théories proposées pour expliquer cette variété particulière d'
atrophie
musculaire. Nous rappellerons briè- vement cert
e opinion. Que l'inacti- vité fonctionnelle ait une influence sur l'
atrophie
musculaire consécutive à un séjour au lit de pl
tenseur du genou peut exister, que, au bout de dix à douze jours, l'
atrophie
est nette. Expérimentant chez les animaux en in
ui reçoit à la jambe un éclat de bois et qui fait dans la suite une
atrophie
massive de sa jambe, avait continué son travail
rophies musculaires ayant des caractères cliniques (1) VALTAT, De l'
atrophie
musculaire consécutive aux maladies des articulat
x maladies des articulations. Th. Paris, 1877. (2) Sabourin, De l'
atrophie
musculaire rhumatismale. Th. Paris, 1873. (3) D
es animaux l'impotence fonctionnelle, l'exagération des réflexes, l'
atrophie
musculaire. Dans aucune de ses expériences M. Ray
souvent de l'hyperesthésie cuta- née. M. Raymond a fait voir que l'
atrophie
musculaire ne se produit pas si les racines pos
es ainsi que l'hémisection de la moelle accé- lèrent la marche de l'
atrophie
musculaire dans le membre correspondant dont un
non pas d'une destruc- tion de la substance contractile, mais d'une
atrophie
de la substance inter- fibrillaire à laquelle l
partie redevable de son élasticité. Aussi l'on peut conclure que l'
atrophie
musculaire consécutive (t) IIo'FA, Congrès des
absence de lésions, ils arrivent eux aussi à cette conclusion que l'
atrophie
musculaire ne peut s'expliquer que par une acti
de la moelle, des nerfs périphé- riques, des muscles dans un cas d'
atrophie
musculaire consécutive à une lésion articulaire
berculose. .. * Si l'on envisage le mécanisme le plus intime de l'
atrophie
musculaire au point de vue de la pathologie gén
ale, peut-être est-il possible, avec Metchnikoff(3), de voir dans l'
atrophie
des muscles une résultante clel'ac- tion des ph
bre 1881 et janvier 1888. (3) Metcunikoff, Phagocytose musculaire .
Atrophie
des muscles pendant la trans- formation des bat
aux amyotrophies d'origine articulaire. Puisque ces deux variétés d'
atrophie
musculaire évoluent cliniquement avec des phé-
- lade tel que celui que nous avons observé, se présentant avec une
atrophie
musculaire bilatérale scapulo-humérale avec une
ux, il était important de savoir reconnaître qu'il s'agissait d'une
atrophie
simple consécutive un traumatisme banal chez un i
un individu ni héréditaire nerveux, ni nerveux lui-même, que cette
atrophie
pouvait guérir par un traitement prolongé, part
e réflexe plantaire est en flexion, il n'y a pas de clonus. Pas d'
atrophie
musculaire, la force est partout conservée, le dy
es ont lieu en flexion ; pas de trépidation spinale. Il n'y a pas d'
atrophie
musculaire ; la force est conservée dans tous les
flexion à droite, il est douteux à gauche. La malade présente de l'
atrophie
musculaire à un degré assez accentué. L'état él
st de même pour les muscles, sauf ceux de l'éminence thénar droite (
atrophie
). Excitabilité galvanique. - Contractions dans
e d'affecter tantôt des formes exubérantes, tantôt d'évoluer vers l'
atrophie
. Exemples : les hyperostoses d'une part, les font
amais quitté la région. Début à 18 ans : paralysie progressive avec
atrophie
musculaire des mem- bres supérieurs. Antécéde
es les intempéries; ni syphilis, ni alcoolisme, ni traumatisme. L'
atrophie
musculaire frappe d'abord le membre supérieur gau
embres supérieurs ; mains succulentes cyanosées et refroidies, avec
atrophie
des divers groupes musculaires ; dissociation d
e ; dystrophie unguéale; acromégalie (radiographie). Paralysie avec
atrophie
des muscles extenseurs et des cubitaux ; partici-
itéa remuer les doigts. Il se développa ensuite progressivement une
atrophie
musculaire du mem- bre supérieur gauche, puis,
: syringomyétique ; 5 centimètres : sujets normaux. Aux avant-bras,
atrophie
musculaire intéressant surtout les extenseurs ;
éditaire (Trois cas dans la même famille),par G. ROS80LIMO, 22.
Atrophie
musculaire et osseuse du mem- bre supérieur, pa
Raymond et P. JAXET, 353. Thomsen (Maladie de) (forme fruste avec
atrophie
musculaire), 15. Torticolis mental (un cas de),
e sur deux tics du pied (3 phot.), 353. .Marty L. et G. SABRAZES.
Atrophie
mus- ' culaire et osseuse du membre supérieur
83. NouuÈs E. et J. SIROL. Maladie de Thomsen à forme fruste avec
atrophie
musculaire. (3 phot.l, 15. z RAVAUT P. Incont
e dans la même fa- mille (4 phot.), 22. Suiiiazès J. et L. MARTY.
Atrophie
muscu- laire el osseuse du membre supérieur (
XIV. Aphasie amnésique (Trénel), LXXVI, LXXVII, LXXVIII, LXXIX.
Atrophie
musculaire progressive d'origine myélopathique
ive d'origine myélopathique (G. Etienne), LX, LXI, LXfI, LXIII.
Atrophie
musculaire et osseuse du mem- bre supérieur dro
. SIROL J, et E. Noguès. Maladie de Thom- sen à forme fruste avec
atrophie
muscu- laire (3 phot.), 15. SOLOVTZOFF (N.).
s pour constituer les membres, tandis que la partie intermédiaire s'
atrophie
; chaque membre proviendrait ainsi du bour- geon
s les mêmes termes : Les troubles moteurs des membres, paralysie ou
atrophie
musculaire, produits par une lésion localisée d
ystème nerveux) la clinique n'a jamais montré chez l'homme un cas d'
atrophie
musculaire myélopathique à disposition segmentair
ns médullaires. L'extrême rareté de la poliomyélite chronique, de l'
atrophie
musculaire du type Aran-Ducllenne, ne permet pa
dans une syringomyélie peu avancée une disposition radiculaire de l'
atrophie
8 CESTAN ET üUGT musculaire, nous serons en d
es fonctions de l'extrémité distale d'une part, par la parésie et l'
atrophie
de l'extrémité proximale d'autre part, avec l'asp
té, l'auriculaire et- l'annulaire légèrement fléchis. Il existe une
atrophie
avec secousses fibrillaires des espaces interos
. L'examen électrique confirme d'ailleurs cette lo- calisation de t'
atrophie
dans le domaine des racines les plus basses du gr
ces foyers destructifs déterminent des paralysies définitives avec
atrophie
musculaire accompagnée de troubles des réactions
s n'ont jamais dressé le tableau exact des muscles intéressés par l'
atrophie
. On cherchera en vain des renseigne- ments dans
rchaient à élucider qu'un seul point, l'origine médullaire de cette
atrophie
musculaire infantile. Cependant il est intéress
suivi d'une conrir- mation histologique. Leur malade présentait une
atrophie
complète des muscles de l'éminence thénar et du
'éminence thénar et du premier interosseux de la main droite. Cette
atrophie
était due à un foyer de paralysie infantile ayant
es motrices du 8e segment cervical médullaire et ayant entraîné une
atrophie
de la 8e racine cervicale droite. Mais le cas e
ulaire externe a été seul lésé ; le malade présentait seulement une
atrophie
de la huitième racine cervicale correspondant à
ment une atrophie de la huitième racine cervicale correspondant à l'
atrophie
de l'éminence thénar et du premier interosseux.
le groupe antéro-interne du huitième segment médullaire cervical l'
atrophie
aurait atteint non seulement l'éminence thénar ma
insi une lésion de tout un segment médul- laire aurait entraîné une
atrophie
segmentaire de la main. Ce raisonne- ment est s
la poliomyélite aiguë de l'enfance, la topographie radiculaire de l'
atrophie
est facile à constater dans beaucoup de cas. Le
nne-Erb est parfois lésé dans cette affection, la distribution de l'
atrophie
est la même que dans le cas de paralysie radicula
il est souvent facile de constater la topographie radiculaire de l'
atrophie
. » Cependant il faut reconnaître que si l'atrop
radiculaire de l'atrophie. » Cependant il faut reconnaître que si l'
atrophie
prédomine souvent sur un groupe musculaire et r
viations anormales du pied. » Toutes ces raisons, localisation de l'
atrophie
sur le groupe des muscles innervés par la parti
, comme il arrive habituellement en pareils cas, un certain degré d'
atrophie
de la moitié droite de la face. Nous signalerons
t par la paralysie infantile. Dès qu'on examine la disposition de l'
atrophie
et de la paralysie des muscles sur ce membre, o
partie inférieure ou costale du grand pectoral, ne présentent pas d'
atrophie
notable ; tous ont bien conservé leur action et l
, de Raymond et de Déjerine. Chez lui en effet, nous constatons une
atrophie
des petits muscles des mains, des fléchisseurs, d
foyer de poliomyélite infantile, a donc créé chez notre malade une
atrophie
à topographie radiculaire des plus évidentes, c
du Long Supinateur et des Radiaux, contraste singulièrement avec l'
atrophie
des autres muscles de l'avant- bras et des peti
de 12 ans, atteint d'une paralysie du membre supérieur gauche avec
atrophie
assez prononcée de la plus grande partie des mu
dement toute leur force et aucun de leurs muscles n'a été atteint d'
atrophie
. Cet enfant fut vu alors parM.Féré,qui le suivi
uite de l'aplatissement antéro-postérieur du thorax, d'autre part à l'
atrophie
des muscles lombo-abdominaux. D et D'. - Les
ntant cet aspect si particulier du cou chez les myopathiques dû à l'
atrophie
des sterno-mastoïdiens, aspect qui consiste dan
ci présente quelque intérêt par la topographie un peu spéciale de l'
atrophie
musculaire. Pour les motifs que nous exposerons
HIE ATROPHIQUE PROGRESSIVE 33 Louise D., âgée de 23 ans, atteinte d'
atrophie
musculaire progressive est admise à l'hospice d
cinq enfants, nés de ces trois lits, seule notre malade présente de l'
atrophie
musculaire, les autres n'ont pas de tare spécia
l'état d'impotence presque absolue dont elle est atteinte et par l'
atrophie
du système musculaire. Elle reste étendue dans
fosse iliaque). Muscles des membres supérieurs. L'impotence due à l'
atrophie
muscu- laire diminue de la racine du membre à l
ture pelvienne et des membres inférieurs. Les dé- gâts causés par l'
atrophie
musculaire sont bien plus considérables qu'à la c
lrochantériens et adducteurs) sont arrivés à un degré très avancé d'
atrophie
; les faibles contractions musculaires qu'ils peu-
ues mois des troubles qui ne paraissent pas être en relation avec l'
atrophie
musculaire ; c'est de la pho- tophobie avec cli
dant lesquelles la respiration, très fréquente, reste superficielle (
atrophie
des muscles respirateurs accessoires). Ces lési
de la faible résistance du sujet. Observation résumée. Début de l'
atrophie
musculaire, il l'âge de quinze ans environ, par
les caractères géné- raux de la myopathie atrophique progressive ou
atrophie
musculaire pro- topathique. L'évolution lente e
L'évolution lente et régulièrement progressive, la topographie de l'
atrophie
des membres qui a débuté par leur racine, les réa
géné- raux de la maladie permettent de diagnostiquer la nature de l'
atrophie
musculaire - protopathique ou deutéropathique,
oupement des diverses formes de myopathies en une entité morbide, l'
atrophie
musculaire myopathique en opposition il l'atrophi
ntité morbide, l'atrophie musculaire myopathique en opposition il l'
atrophie
musculaire myélopathique, on signalait successi
ale, sans hérédité (1). Antécédents héréditaires. Il n'existe pas d'
atrophie
musculaire ni dans la ligne paternelle ni dans
s omo- plates avec énergie. , Le thorax est fortement aplati avec
atrophie
des grands Pectoraux et des grands Dentelés, av
IONS FAMILIALES 43 44 CESTAN ET LEJONNE - Membres inférieurs. - L'
atrophie
est prédominante à gauche. Elle est sur- tout m
rquée au niveau des fessiers, assez marquée au niveau de la cuisse (
atrophie
eu jarretière), moins marquée enfin au niveau du
e à cause de la flexion permanente des avant-bras sur les bras. L'
atrophie
est prédominante à la racine des membres ; elle n
la peau. L'élévation à l'horizontale des bras est très faible par l'
atrophie
des del- toïdes. Les muscles des avant-bras s
ières phalan- ges) se font avec facilité et énergie. En résumé, l'
atrophie
prédomine à la racine et sur le groupe des extens
des yeux fonctionne parfaitement. Thorax. Le thorax est aplati par
atrophie
des grands pectoraux, avec élargissement de la
s de la racine des membres, les caractères si particuliers de cette
atrophie
musculaire modifiant au prorata les réflexes, n
héréditaire. Les réflexes tendineux sont affaiblis au prorata de l'
atrophie
musculaire; les réflexes cutanés sont normaux; le
son thorax aplati, concave à sa partie antéro-supérieure, car par l'
atrophie
du trapèze, les omoplates ont glissé vers l'ais
es épi- neuses de la région cervicale saillantes sous la peau par l'
atrophie
des chefs médians et inférieurs du trapèze. Ses
et en arrière de l'extrémité externe de la clavicule, aussi, malgré l'
atrophie
des grands pectoraux la déformation thoracique
On sait que la myopathie est caractérisée par la prédominance de l'
atrophie
à la racine UNE 1111'OP1'IllIE AVEC RÉTRACTIONS
andinant, le corps incliné en arrière, et ne peut se rele- verpar l'
atrophie
des muscles du bassin et de la cuisse. Mais notre
ut enfant, il marche avec peine, se lève avec difficulté; bientôt l'
atrophie
progresse et il est immobilisé sur sa chaise pl
ne, 1885. OBs. V. - M... Léon, en 1885. Type facio-scapulo humerai.
Atrophie
pré- dominante sur le haut du thorax et des bra
isation localisée (3e édit., p. 509) Duchenne estime que dans toute
atrophie
musculaire (la distinction n'était pas encore f
ent acceptée par tous les auteurs et appliquée aux déformations par
atrophie
musculaire, quelle qu'en soit la variété, Aran-Du
ordinairement très fiasques. On avait essayé autrefois de séparer l'
atrophie
myopalhique pseudo- hypertrophique de l'atrophi
efois de séparer l'atrophie myopalhique pseudo- hypertrophique de l'
atrophie
musculaire atrophique, car ce caractère de pseu
re dans ceux-ci seulement au- dessous du point précis où commence l'
atrophie
visible, c'est-à-dire au-dessous de la ligne (j
e de Thomsen, la tendance à être accompagnée dans quelques cas de l'
atrophie
de certains groupes musculaires. On comprend que
- tation, manifestent, en certaines circonstances, une tendance à l'
atrophie
musculaire progressive, est d'une grande import
ard, à ce tableau commencent et se surajouter des pheno- mènes de l'
atrophie
musculaire progressive, y compris le visage myo
inférieurs, les muscles des mollets ; une telle locali- sation de l'
atrophie
, caractéristique pour les cas décrits par les a
nifeste en d'autres cas une tendance à la diminution par suite de l'
atrophie
de quelques fihres, entrant dans sa composition
te de l'atrophie de quelques fihres, entrant dans sa composition. L'
atrophie
des fibres, qu'on a supposé se basant sur l'étu
ement que la diminution de volume du muscle myotonique dépend- de l'
atrophie
de ses faisceaux, caractérisée par une teinte b
à la prolifération extrême des noyaux, que nous avons affaire à une
atrophie
de (t) FIIOIJ1H ? Ueber Thomsed'she Krankheil m
s, fait éloigner toute idée, sauf la seule possible, à savoir que l'
atrophie
muscu- laire de la maladie de Thomsen n'en est
trophique de la myotonie comme tous les autres ; disons plus, cette
atrophie
résulte des altérations organiques pré- cédente
aniques pré- cédentes. Nous sommes, bien entendu, loin de compter l'
atrophie
des grou- pes musculaires classiques pour le ré
mentales génériques contient encore en qualité de premier ordre une
atrophie
musculaire très originale, mais en même temps, sa
ndant une myotonie, mais d'un autre côté il est aussi évident que l'
atrophie
musculaire qui l'accom- pagne, est une atrophie
aussi évident que l'atrophie musculaire qui l'accom- pagne, est une
atrophie
myotonique qui n'est pas occasionnelle et étran-
e qui n'est pas occasionnelle et étran- gère, mais à elle, et cette
atrophie
, quoique progressive, ayant beaucoup de commun
ès la réaction de dégénérescence ; on est forcé de penser que cette
atrophie
dans la myotonie a le droit d'une pathogénie ne
est en même temps le lien qui relie la maladie de Thom- sen avec l'
atrophie
musculaire progressive, non seulement d'après leu
ffection, d'après laquelle le tissu musculaire (ce qu'on voit par l'
atrophie
et l'hypertrophie des fibres musculaires), ainsi
oins le jambier antérieur. Elle est flasque et elle se double d'une
atrophie
diffuse des muscles para- lysés ; . 2° Une pa
s, une eschare profonde, à la région sacro-lombaire, sans compter l'
atrophie
musculaire diffuse des membres inférieurs, déjà s
otre malade. - e) Des troubles trophiques : ils consistent dans une
atrophie
, le plus souvent diffuse, des muscles paralysés
alysie motrice et de l'anesthésie, la précocité et l'intensité de l'
atrophie
musculaire et des mo- difications qualitatives
ipaux symptômes, l'apparition tar- dive et le caractère diffus de l'
atrophie
musculaire progressive, l'absence de modificati
ïdie de la ménopause ou myxoedème de )'age critique, secondaire à l'
atrophie
thyroïdienne contemporaine de l'involution géni-
l'on rencontre dans presque toutes les autopsies (porencépha- lies,
atrophie
des névromes centraux) et les troubles intellectu
spasmodique légère ; exagération des réflexes patel- laires. Pas d'
atrophie
musculaire, pas de troubles sensitifs ou vésicaux
page 791, trois cas de syringomyélie à topographie radiculaire de l'
atrophie
, avec autopsie. » Nous nous faisons un devoir d
polio- myélite aiguë de l'enfance, la topographie radiculaire de l'
atrophie
est facile à constater dans beaucoup de cas. Le
nne-Erb est parfois lésé dans cette affection, la distribution de l'
atrophie
est la même que dans le cas de paralysie radicu
l est souvent facile de constater la topographie radi- culaire de l'
atrophie
. » Et nous ajoutions : « Cependant il faut reconn
hie. » Et nous ajoutions : « Cependant il faut reconnaître que si l'
atrophie
prédomine souvent sur un groupe musculaire et rev
étouffe peu à peu l'élément noble (cellule pyramidale) ; celle-ci s'
atrophie
et disparait, sa place n'est plus alors marquée
voir une sorte de lobule de l'insu la ; mais alors, il y aurait une
atrophie
considérable du lobe temporo-occipital,l'épaiss
que minutieux ne revèle maintenant rien d'anormal, sinon une légère
atrophie
du grand pectoral droit de Liao-Toun-Chen. On c
très atrophié, surtout dans sa partie distale. Il y a sou- vent une
atrophie
plus ou moins marquée de la cuisse. La jambe est
; l'hémisphère gau- che 526. Celte inégalité tient sans doute à une
atrophie
inégale, le ma- lade n'étant pas gaucher ; les
ion. Déjà Bour- don et Luys (1861) avaient attiré l'attention sur l'
atrophie
des racines pos- térieures que Vulpian mit plus
onnue pour la moelle, et la lésion fondamentale du tabes devint une
atrophie
primitive des racines postérieures. ' C'était
tanés, musculaires, articulaires; le sympathique (Roux), etc... L'
atrophie
des racines postérieures, elle-même, devait être
einer et Redlich, Nageotte) : elle serait susceptible de produire l'
atrophie
des racines en les étranglant à leur entrée dan
hérique remonte aux racines et à la moelle. Quoi qu'il en soit, l'
atrophie
des racines postérieures occupe encore une plac
iode tout à fait initiale d'un processus qui aboutira plus tard à l'
atrophie
cellulaire. Or dans le tabes, maladie à évoluti
ation progressive est impossible depuis 4 ans. Etat actuel (1899) :
Atrophie
musculaire généralisée très accusée. Incoordina
le sac durai jusqu'au delà du ganglion. Dans tous ces examens, l'
atrophie
de la racine postérieure a pu être sui- vie sur
n cas celui-ci était partiellement atrophié. Examen histologique. L'
atrophie
de la racine postérieure est due la la disparit
e, dont les noyaux ne paraissent pas sensiblement multipliés. Cette
atrophie
est assez irrégulière, en ce sens que les fibre
es sont épaissies, notamment à la partie supérieure de la figure. L'
atrophie
radiculaire augmente brusquement, en raison des
armin ou l'hémaléine-éosine, donne des indications intéressantes. L'
atrophie
de la racine postérieure peut être encore suivi
à l'hématéine éosine. (Zeiss Obj. E. Oc. 2.) Plusieurs étapes de l'
atrophie
cellulaire. En bas, : 1 droite : Cellule saine
éléments sont à pou près normaux En bas, gauche : Cellule en voie d'
atrophie
avec multiplication des éléments nucléaires de
1899 : Impossibilité de se tenir debout, émaciation très prononcée.
Atrophie
musculaire aux membres inférieurs. Cyphoscoliose
ographie DES lésions radiculaires. Région dorsale infé- rieure. - L'
atrophie
des racines postérieures existe dans le bout sus-
-ganglionnaire absolu- ment normales. Région dorsale moyenne. - L'
atrophie
des racines postérieures existe à un degré anal
(épaississement et trans- formation hyaline de leurs tuniques). L'
atrophie
peut aussi être suivie jusque dans le ganglion au
sus et sous-ganglionnaire; le contraste est très marqué : Au-dessus l'
atrophie
est évidente, la plupart des fibres sont réduit
demnes, ainsi que les racines antérieures sur tout leur trajet. L'
atrophie
des racines postérieures jusque dans le ganglion
ite est vraisemblablement prédominante sur l'arachnoïde. D'ailleurs l'
atrophie
des fibres radiculaires est aussi marquée dans
la méningite ne peut être mise en cause dans l'explication de cette
atrophie
. Nulle part on ne voit non plus les fibres de r
granuleux. D'une façon générale, aux régions lombaire et dorsale, l'
atrophie
des racines postérieures se poursuit jusqu'au g
'en témoigne notamment l'examen du 2* ganglion dorsal. Le degré d'
atrophie
des fibres radiculaires varie dans de grandes lim
eures au contraire les vaisseaux paraissent indemnes. En résumé l'
atrophie
des fibres radiculaires postérieures porte ici pr
ais à la multiplication des noyaux conjonctifs de la capsule et à l'
atrophie
concomitante de la cellule ganglionnaire. Ils s
oupes qu'une partie des cellules ganglionnaires est aussi en voie d'
atrophie
et de disparition. Il est à noter que le tissu
ibre nerveuse, met en relief ici la modalité et le proces- sus de l'
atrophie
radiculaire : atrophie lente portant d'abord sur
elief ici la modalité et le proces- sus de l'atrophie radiculaire :
atrophie
lente portant d'abord sur la gaine de myé- line
ature ? ` ? LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 309 L'
atrophie
de la racine postérieure est due à la disparition
conjonctif qui les engaine quelquefois de si près : de sorte que l'
atrophie
de la racine postérieure se pré- sente comme un
rte que l'atrophie de la racine postérieure se pré- sente comme une
atrophie
simple, sans endonévrite. La portion juxta-gang
bre entre eux, sur d'autres l'accolement est moins intime. A part l'
atrophie
de la racine postérieure qui peut être poursuivie
res inférieurs. Abolition des réflexes lumineux. Exophtalmie. Pas d'
atrophie
musculaire. La malade était alcoolique et a eu
e ou calcaire. Au-dessus les méninges ne sont pas très malades. L'
atrophie
de la racine postérieure n'est pas très accentuée
x. Cinquième ganglion lombaire gauche (coupé transversalement). L'
atrophie
de la racine postérieure peut être suivie sur tou
portion sous-ganglionnaire, la racine postérieure est normale. L'
atrophie
n'est pas très prononcée, et il subsiste encore b
nérées. Septième ganglion cervical droit (coupes longitudinales).
Atrophie
très légère de la racine postérieure dans sa port
dans sa portion sus-ganglion- naire ; sur une très petite étendue l'
atrophie
est un peu plus marquée et à ce niveau les fibr
e était telle qu'elle ne pouvait plus marcher. Etat actuel en 1900,
Atrophie
très prononcée des membres inférieurs avec parési
ion sous-ganglionnaire, les racines postérieures sont normales. L'
atrophie
des racines postérieures est due à l'amincissemen
ns du sens musculaire. Aux membres supérieurs, ni incoordination ni
atrophie
, conservation des réflexes et de la sensibilité
à l'héma- toxyline. Inclusion à la paraffine. Dans tous les cas l'
atrophie
de la racine postérieure existe dans toute la p
x-mêmes. 322 THOMAS ET HAUSER Dans le pôle central du ganglion, l'
atrophie
des racines postérieures se voit encore netteme
la portion sous-ganglionnaire. Dans la portion sus-ganglionnaire, l'
atrophie
diminue à mesure que la ra- cine se rapproche d
prolifération nucléaire. Les méninges sont légèrement épaissies. L'
atrophie
de la racine postérieure est due à l'amincissemen
es inférieurs, incoordination très légère avec affaiblissement sans
atrophie
ni hypotonie ; abolition des réflexes patellair
dans son trajet sous-arachnoïdien, mais sur la 6° racine dorsale, l'
atrophie
di- minue et disparaît en remontant vers le gan
ntant vers le ganglion : sur la 2° région lombaire, au contraire, l'
atrophie
est plus nette immédiatement au-dessus du ganglio
llaire, réflexe à la lumière très diminué à gauche, aboli à droite.
Atrophie
papillaire. Elle meurt en 1902 après 14 ans de
é les lésions radiculaires se montrent fort variables. Tandis que l'
atrophie
est minime ou nulle dans les segments sus-ganglio
nt prise sous t'influence de l'imprégnation par le sublimé osmique. L'
atrophie
se poursuit sur une notable longueur (environ 1
ndrie. 3e Lombaire droit. - Coupes perpendiculaires sériées. ., L'
atrophie
des fibres radiculaires postérieures est très net
ombre ont leur capsule conjonctive proliférée et semblent en voie d'
atrophie
. LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABE
à la lumière. Diminution considérable de l'acuité visuelle ; double
atrophie
optique tabétique. Mort en 1902. Examen ANATO
en quelques lignes. Les altérations des racines consistent dans une
atrophie
très considérable qui peut être suivie jusqu'au
tablement diminuée, mais la démarche est nor- male ; il n'y a pas d'
atrophie
musculaire, ni de signe de Babinski. Les réflexes
sparaissant complètement, sans laisser à sa suite ni contracture ni
atrophie
musculaire, semble bien avoir été d'origine dyn
rveux. Dans la paralysie spinale infantile, on constate souvent une
atrophie
et même une hyperlrophie des os, sans qu'on pui
et même une hyperlrophie des os, sans qu'on puisse rattacher cette
atrophie
à l'inaction forcée des membres paralysés ; car
ULTIPLES A TENDANCE SUPPUPATIVE 357 côtés, nous n'avons constaté ni
atrophie
musculaire, ni scoliose, etsurtout parce que l'
e la racine des mem- bres. La force est conservée, il n'y a pas d'
atrophie
musculaire appréciable, (1) Il en est de même d
es du tabès (1). 1° Lésions DES FIBRES radiculaires. - L'étude de l'
atrophie
radiculaire dans la portion sus-ganglionnaire c
el cas, on ne saurait déduire une règle absolue, suivant laquelle l'
atrophie
augmenterait ou diminuerait de la moelle vers le
reste presque toujours, au point de pénétration dans le ganglion l'
atrophie
se montre avec netteté, et l'on peut généralement
le reste de l'organe. Mais quelque profonde et intense que soit l'
atrophie
en ces régions, les fibres radiculaires reparai
rne les racines postérieures, il est donc nettement établi que leur
atrophie
s'étend jusqu'au ganglion rachidien et- même dans
lles sont au contraire généralement saines. Ilistologiqllement, l'
atrophie
est surtout caractérisée par une destruction pr
té, contingent ; et par là son in- nuence sur le développement de l'
atrophie
radiculaire est, comme nous verrons, discutable
- d'ailleurs déjà plusieurs fois notées - qui semblent aboutir à l'
atrophie
et à la disparition de quel- ques-unes d'entre
lésions, atteignant un petit nombre de cellules et aboutissant à l'
atrophie
. Nous ne nous pronon- cerons pas sur le point d
léments de la capsule qui détermine par compression ou autrement, l'
atrophie
cellulaire, ou si c'est la cellule, atteinte pr
conjonctif. f. Cette supposition est d'autant plus acceptable que l'
atrophie
simple de la cellule ganglionnaire, sans prolif
en rien ses caractères histologiques. Il semble donc que parfois l'
atrophie
cellulaire puisse s'effectuer isolément sans réac
tions cellulaires et péri-cellulaires qui évoluent lentement vers l'
atrophie
et la disparition de l'élément noble. V. - In
us proportionnés au degré de conservation des cylindres-axes qu'à l'
atrophie
macroscopique des racines. Il est assez fréquen
ous avons utilisées. Ce n'est pas toutefois une règle absolue que l'
atrophie
des racines pos- térieures remonte jusque dans
cas de tabes peu avancé, l'un de nous (3) a pu s'assurer déjà que l'
atrophie
radiculaire diminue en se rapprochant du ganglion
d'abord atteinte dans son bout périphérique ou médullaire, et que l'
atrophie
gagne progressivement le bout central. Cependan
res plus haut, ce qui laisse supposer qu'il s'agit d'un processus d'
atrophie
segmentaire : c'est ce que l'un de nous a déjà
ations de' racines postérieures traitées par l'acide osmique (4); l'
atrophie
des fibres radiculaires est irrégulière, parfois
phié fait parfois suite à un segment presque normal. Le processus d'
atrophie
ou de dégénérescence des racines (1) OPPENHEIM
libre de la fibre ne s'effectue pas par un procédé plus voisin de l'
atrophie
simple, par une sorte de des- truction molécula
amoindrissement de la cel- lule, lésions qui pourraient aboutir à l'
atrophie
et à la disparition de quel- ques-unes d'entre
l y a des altérations cellulaires assez prononcées variant depuis l'
atrophie
simple jusqu'à la disparition : en même temps q
phie simple jusqu'à la disparition : en même temps que la cellule s'
atrophie
, les capsules ganglionnaires prolifè- rent, à u
upée par la cellule. Il est assez difficile de saisir le début de l'
atrophie
cellulaire, car sur un ganglion normal les dime
e Neurologie, 1901, fasc. 61 et 62. 424 THOMAS ET HAUSSER degré d'
atrophie
marquée, il ne saurait plus y avoir d'hésitation,
rétraction, homogénéisation du noyau avec conservation du volume ou
atrophie
du nucléole ; plus rarement.l'atro- phie du cor
u'il faut chercher dans la cel- lule le ]Jl'i1lltl1ll 1nOl'ens de l'
atrophie
des racines postérieures et de la sclérose des
des cellules atteintes, et toujours disproportionnées au degré de l'
atrophie
radiculaire. 3° Elles n'ont pas de caractère sp
it, soit d'altérations du protoplasma (chromatolyse, vacuolisation,
atrophie
), ou du noyau (atro- phie, disparition) qui n'o
disproportion numérique entre les fibres et les cellules frappées d'
atrophie
. Nos connaissances plus récentes sur la structu
cas où les lésions cellulaires étaient évidentes, variant depuis l'
atrophie
légère jusqu'à la disparition complète. Il y au
que- ment, c'est la dégénérescence wallérienne que l'on observe ; s'
atrophie-t
-il lentement, progressivement, on peut alors ob
thodes actuellement en usage, on peut en tous cas admettre que si l'
atrophie
tabétique n'a pas de tendance à la régénéra- ti
uis le ganglion jusqu'à la moelle qu'il faut chercher la cause de l'
atrophie
des racines postérieures. D'après Obersteiner e
n, à moins d'admettre qu'en deçà de la moelle, il ne s'agisse d'une
atrophie
rétrograde, ce qui paraît très in- vraisemblabl
de nombreuses années ne donnent lieu qu'exception- nellement à de l'
atrophie
rétrograde et encore celle-ci est-elle légère.
le, mais qui ne saurait intervenir, à aucun titre, comme cause de l'
atrophie
de la racine postérieure, d'autre part, la péri-
ations interstitielles paraissent relativement récentes alors que l'
atrophie
des fibres est déjà ancienne (obs. III) : ces d
ES DU TABES 431 celle-ci est inconstante ou non proportionnelle à l'
atrophie
des racines, mais encore parce qu'elle ne sembl
geotte la spécificité de l'inflammation comme fadeur essentiel de l'
atrophie
radiculaire. Les arguments que nous venons d'in
ondait à l'interprétation exacte des faits, il faudrait envisager l'
atrophie
des fibres radiculaires à l'inté- rieur du gang
ophie des fibres radiculaires à l'inté- rieur du ganglion comme une
atrophie
rétrograde, et l'on ne conçoit guère que cette
n comme une atrophie rétrograde, et l'on ne conçoit guère que cette
atrophie
rétrograde puisse se produire si les fibres radic
SRT HAUSER avons pu le constater au cours de plusieurs examens, une
atrophie
légère., - de la racine postérieure au niveau e
d'autre part sur quelques séries de coupes de racines tabétiques l'
atrophie
pos- térieure s'accentue brusquement au niveau
de cette revue, le Professeur Soca (de Montevideo) publie un cas d'
atrophie
musculaire limitée aux membres inférieurs chez
dans mon travail inaugural (1), rejeté arbitrairement du cadre de l'
atrophie
type Charcot Marie les cas où l'atteinte des me
ons nous amène à nous demander s'il n'existe pas un type péronier d'
atrophie
mus- culaire héréditaire comme la description d
ffection a été limitée aux membres inférieurs n'est familial, que l'
atrophie
a toujours eu une prédilection marquée pour un cô
es années déjà les membres infé- rieurs étaient seuls touchés par l'
atrophie
. Leur grand'mère àgée de qlta- tre-vingts ans é
ses membres supérieurs n'avaient jamais présenté la moindre trace d'
atrophie
. Ce fait vient donc à l'appui de l'observation
le pli fessier est abaissé, à gauche. Déplus, ils sont frappés d'une
atrophie
qui se remarque à première vue. La mensuration,
ieure de la cuisse, des muscles de la jambe et du pied, à gauche.
Atrophie
, très nette, des mêmes muscles ; R. D.... dans le
que branche terminale du plexus sacré, doublée d'un certain degré d'
atrophie
musculaire, accompagnée de modifications quanti
nférieur gauche est allée en s'accentuant. Elle s'est doublée d'une
atrophie
musculaire diffuse. En même temps, l'examen du
e le membre inférieur gauche est fortement amaigri. Il s'agit d'une
atrophie
musculaire massive ; elle est prononcée surtout d
nsité, de l'extrémité à la racine du membre, et qui se double d'une
atrophie
musculaire massive, prédo- minante aux muscles
ujet. -t La disposition unilatérale de la paralysie motrice et de l'
atrophie
mus- culaire concomitante, les antécédents alco
omaine d'innervation du plexus sacré ; La prompte survenance de l'
atrophie
des muscles paralysés, le caractère massif de c
e de l'atrophie des muscles paralysés, le caractère massif de cette
atrophie
; La nature des modifications des réactions éle
nutrition et la contractilité des muscles frappés de paralysie et d'
atrophie
. L'expérience nous a démontré qu'en s'engageant
(/e L</o ? t (<), nous avons démontré que dans certains cas d'
atrophie
du cervelet on pouvait voir disparaître les cellu
s. Nos premiè- res constatations avaient d'abord porté sur un cas d'
atrophie
cérébelleuse ayant donné lieu à la production d
corce du cervelet dans un cas de sclérose cérébrale infantile avec
atrophie
de l'hémisphère cérébelleux opposé. Voici d'a
observations : (i) L\NNOIS et PAVIOT, De la mise en évidence, par l'
atrophie
dite parenchymalevse, du cervelet d'une couche
ieurement l'observation (1) et sur lequel nous avions déjà noté une
atrophie
des folioles absolument semblable à celle que nou
embres du côté gauche et conservation apparente de la conscience. -
Atrophie
du lobe gauche du cervelet. Le nommé Roc..., âg
oniques. Il n'a d'autre trouble somatique appréciable qu'une légère
atrophie
de la cuisse gauche dont on se rend bien compte
égère hési- tation dans la marche et à laquelle fut attribuée cette
atrophie
. Il avait une aura sensitive tantôt dans le bra
la jambe gauche. A l'autopsie « on est immédiatement frappé par une
atrophie
considérable du lobe gauche du cervelet qui est
al soit du côté de l'occipital, soit du côté de la base du crâne. L'
atrophie
porte égale- ment sur les pédoncules cérébelleu
ue la substance grise n'est pas (1) Lannois et PAVIOT, Sur un cas d'
atrophie
unilatérale du cervelet (Revue Neuro- logique,
aucoup moins marquée, moins totale que sur le fragment précédent. L'
atrophie
de la couche moléculaire, la raréfaction de la co
sable obligeance (Pl. LX et LXI). Il s'agissait dans ces deux cas d'
atrophie
du cervelet que l'on pouvait t à la rigueur dir
et étendue à toute la corticalité céré- belleuse. Dans le second, l'
atrophie
avec sclérose était nettement limitée à l'un de
s vivement nous rendre compte de ce qui se passait dans le cas où l'
atrophie
parait nettement secondaire, c'est-à-dire dans
droite. - Epilepsie. Sclérose cérébrale de l'hémisphère gauche avec
atrophie
croisée du cervelet. La nommée Philomène M...,
alade ne peut maîtriser : pas de mou- vements athétosiques. Pas d'
atrophie
manifeste ni au bras ni à la jambe ; seulement le
, séparées par des sillons et des scissures très larges. Bien que l'
atrophie
soit généralisée, elle a son maximum au niveau de
de forme, la cel- lule est bien constituée. En somme, dans cette
atrophie
de la couche cellulaire corticale, on remarque
ns l'alcool. Quand il s'agit d'une circonvolution qui présente de l'
atrophie
de son manteau gris seulement sur une de ses face
nt de l'hémisphère cérébelleux droit atrophié. - C'est toujours une
atrophie
parcellaire et régionale que révèlent les coupes.
core une arborisation de 3e ordre qui montre sur une de ses faces l'
atrophie
intense de ses trois couches quand l'autre face
é dans les deux cas précédents, le premier signe chronologique de l'
atrophie
est la disparition des cellules de Purkinje ; pui
e de galets, par un Ilot qui se retire, car elles préexis- tent à l'
atrophie
, cela n'est pas douteux ; elles ne sont que recou
coupes teintées au picro-carmin, on peut déjà se rendre compte de l'
atrophie
des portions médul- laires des arborisations cé
lycérine) disparaît de ces portions mé- dullaires parallèlement à l'
atrophie
du manteau gris. 4e Partie inférieure du bulbe.
oppement ordinaire. Les cellules de l'olive ne montrent ni signes d'
atrophie
ni diminution de nombre. En résumé, dans ces tr
e ni diminution de nombre. En résumé, dans ces trois observations d'
atrophie
primitive ou secon- daire du cervelet, nous.avo
car dans l'examen histologique du cas qui leur a servi à établir l'
atrophie
olivo-ponto-cérébelleuse, ils disent : « La plu
voir de lésions cel- lulaires. Nonne (3) dit expressément, malgré l'
atrophie
considérable qui donnait l'aspect d'un cervelet
Londe classe comme intermé- diaire entre l'ataxie héréditaire et l'
atrophie
cérébelleuse, il est facile de (1) Thomas, Le .
ur Psychiatrie, 1891, t. XXII. 528 LANNOIS ET PAVIOT - voir que l'
atrophie
ressemblait beaucoup à celle que nous avons décri
duit d'une manière uniforme dans des cas d'origine fort différente,
atrophie
d'apparence primitive, lepto- méningite chroniq
d'un cervelet atrophié se- condairement; 1 2° Dans ce processus d'
atrophie
, il s'isole constamment une couche qui répond p
ue et précède toutes les autres modifications dans ce pro- cessus d'
atrophie
; 3* La nature fréquemment secondaire de l'atro
pro- cessus d'atrophie ; 3* La nature fréquemment secondaire de l'
atrophie
démontre qu'on ne doit pas considérer le syndro
respectivement assez bien proportionnés. Si l'on excepte une légère
atrophie
musculaire du membre inférieur gauche tenant au
l ne permet pas de sentir la prostate ; comme c'est la règle dans l'
atrophie
testi- culaire congénitale, la glande prostatiq
jamais été accompagnées d'éjaculations. Il faut rapprocher de cette
atrophie
testiculaire les autres signes d'infanti- lisme
nt dans la région sus-puLienue, les ais- (1) Lnonois, Castration et
atrophie
de la prostate. Association française pour l'avan
on ; 2° Le mode de croissance gigantesque et ses anomalies ; 3° L'
atrophie
génitale, dans ses rapports avec les deux faits p
la polydipsie ; parmi les signes objectifs, inconstants, il signale l'
atrophie
des testicules, susceptible de coïncider parfoi
tre; cette dimi- nution peut, comme je l'ai dit, s'accompagner de l'
atrophie
du pénis et des testicules. En fait, cet affaib
Jancso (2). - Elles mettent également en valeur l'association de l'
atrophie
génitale et gigantisme. Voici l'observation d
que le mot d'acromégalie y soit même prononcé. (21 Les exemples d'
atrophie
génitale chez les géants pourraient être multipli
atis par la tumeur ; mais, bien que comprimés, ils ne présentent ni
atrophie
, ni changement décoloration. Les nerfs olfactif
a vu l'arwmenlation. Testicule droit : 9 er. 5 ; gauche : 12 er. 5.
Atrophie
testiculaire sans inflammation : ni la capsule,
: ni la capsule, ni le tissu conjonctif ne sont hypertro- phiés.
Atrophie
des canaux séminiféres, sclérosés et ratatinés
Pas de sper- matozoïdes dans les canaux. Il s'agit en somme d'une
atrophie
testiculaire primaire, semblable celle de certa
Nerfs périphériques. Sur les coupes du sciatique, on note un peu d'
atrophie
des fibres nerveuses ; les fibres normales sont
sur le tissu nerveux ; mais il n'y a pas trace d'inflammation. Ni
atrophie
, ni dégénérescence graisseuse des nerfs optique
ts, plus souvent encore que chez les acromégaliques, il existe de l'
atrophie
génitale. - , Réciproquement, pour ainsi dire
NTISME ET INFANTILISME 577 578 LAUNOIS ET ROY Tous ces exemples d'
atrophie
génitale chez des géants et d'accroisse- ment d
mégalie) des troubles des organes génitaux (suppression des règles,
atrophie
de l'utérus), produisent peut-être chez l'enfan
te en particulier l'étude des rapports réciproques existant entre l'
atrophie
testiculaire et j'hypertrophie hypophysaire. Au
gigantisme infantile, dans lequel la taille élevée coexiste avec l'
atrophie
génitale, ou, tout au moins, avec l'im- puissan
pl. en piotocollogi-.), par F. Ray- mond et Pierre JANI : T, 241.
Atrophie
musculaire m ! }élopathique (Noie à propos de l
opos de la topographie radiculaire des), par CESTAN et HULT, 182.
Atrophie
muscu'aire myélupatltique (Elude clinique de la
Raymond et P. JAXET), XXX. Amÿotrophie Charcot-Alarie (Soca), IX.
Atrophie
congénitale des muscles pec ! o- raux (Souques)
ophie congénitale des muscles pec ! o- raux (Souques), XVI, XVII.
Atrophie
musculaire myélopathique (Ces- TAX et HuET). II
on du crâne caractérisée par une synostose précoce des sutures avec
atrophie
des nerfs optiques. On a donc restreint penda
halique, en dehors de son cortège de symptômes nerveux bien connus (
atrophie
des nerfs optiques, strabisme, exophtalmie, idi
vu, dans l'oxycénhalie, les premiers un état post-méningitique avec
atrophie
secondaire des nerfs optiques, et les deuxièmes
l'autopsie d'un malade de Bicêtre atteint d'oxylrigonocéphalie et d'
atrophie
double des nerfs optiques (1). A peu près à la
1. (5) A. Patry, Thèse, Paris, 1905. (6) Meltzer, Pathogénie de l'
atrophie
optique et du Turmschoedel. Neur. Centralbl., 1
phalie deux types oplitalmoscopiques : la névrite en évolution et l'
atrophie
du nerf optique secondaire à la névrite. La név
utefois ex- ceptionnellement, tandis que les cas d'oxycéphalie avec
atrophie
optique sont beaucoup plus nombreux que les pré
édents. L'altération principale, la seule qui permette d'affirmer l'
atrophie
, est la lésion papillaire. Les bords de la papi
s veines sont dilatées, sinueuses et les artères minces. Avec cette
atrophie
, l'acuité visuelle reste encore relativement di
systématiques chez les aveugles, à relever que, dans certains cas d'
atrophie
névritique du fond de l'oeil, il est possible de
talmoscopique du fond de l'oeil, l'on peut relever qu'il existe une
atrophie
papillaire post-névritiqne assez avancée, plus ac
r- mant le diagnostic d'hydrocéphalie, il établit l'existence d'une
atrophie
névri- tiqne papillaire en train d'évoluer. Les
he nacrée, allongée trans- versalement, bords flous et irréguliers.
Atrophie
papillaire très accusée post- névritique. 0.
e qu'à droite bords flous, vais- seaux normaux, membranes normales,
atrophie
papillaire post-névritique. 0. G. D. Presque pa
rognathisme supérieur est plutôt apparent que réel et serait dû à l'
atrophie
de la mâchoire inférieure. En réalité, mes rech
is elle agit directement sur les us de la calotte en produisant une
atrophie
très rapide de la table interne. C'est là le cô
st chargé notre confrère le Dr Monra Brazil (fils), a démontré de l'
atrophie
des deux nerfs optiques, très avancée du côté gau
ômes d'une' tumeur de la base : de la céphalée, des vomissements, l'
atrophie
des nerfs optiques, des phé- nomènes de compres
enir autant la la disparition de la graisse qu'à un certain degré d'
atrophie
musculaire ; de ce fait, la force est très dimi
l'on trouve chez ce malade : un état 1)al·éto-SpaSnlOdlqllf·, avec
atrophie
musculaire, de l'instabilité chol'éi forme, une a
z marquée du nombre des cellules de Purkinje fit nn certain degré d'
atrophie
de la substance blanche. Anatomiquement donc, c
.IER ET NOVÉ-JOSSERAND rine et, Thomas, consistent ordinairement en
atrophie
simple du cylindraxe avec démyélinisation lente
, art. Ta- bes, par Dejerine et Thomas, p. 607. (2) Terrien, De l'
atrophie
labêltque, Presse médicale, 18 mars 1903, n- 22,
cette géante en effet, il constate avec un clitoris hypertrophié, l'
atrophie
du vagin, de l'utérus, des trompes et des ovair
n. Elles sont particulièrement fréquentes sur les organes en voie d'
atrophie
ou de disparitions ; dès qu'ils ont cessé d'êtr
rd. ^SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS SÉA1\CE DU 25 JANVIER 1912.
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN- DUCHENNE DE N
19 ;) 282 LONG n'existe pas d'autres phénomènes morbides que de l'
atrophie
musculaire et des troubles de la motilité. Me
tion prise pendant ce deuxième séjour à l'Hôpital cantonal note : L'
atrophie
musculaire est très marquée à la main gauche, à l
i-même, est moins volumineux que celui du côté droit. A droite, l'
atrophie
se retrouve à un plus faible degré, à la main et
pas appréciable à la vue sur les muscles du bras et de l'épaule.
atrophie
musculaire PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 283 M
dus à un cancer de l'estomac. Dans les huit dernière : années, l'
atrophie
musculaire a.subi une aggrava- tion lente : Le
spectés (trapèze, grand pectoral). , Au membre supérieur druit, l'
atrophie
a aboli presque complètement la mo- tilité des
mbres inférieurs, même prédominance du côté gauche où on trouve une
atrophie
considérable du quadriceps crural et une atrophie
où on trouve une atrophie considérable du quadriceps crural et une
atrophie
en masse des muscles de la jambe. Les troubles
une tumeur volumineuse, adhérente au foie. Décès le J9 août 1910.
ATROPHIE
MUSCULAIRE PR0GRUSS1VE TYPE AISAN-DUCHENNE 285
e. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALYLTRILRC. T. XXV. Pl. XXXV111
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE (Type Aran-Duchenne) d
SSIVE (Type Aran-Duchenne) de nature névritique. , (E. Long).
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 287 L
G de fibres saines, en général groupées ; les autres sont en état d'
atrophie
rela- tive, et entourées par des gaines de Schw
; inverse- ment, on trouve des fibres arrivées à un degré avancé d'
atrophie
sans que leur gaine conjonctive ait des dimensi
. NOUVELLE Iconographie DE la SALPLTRIÈRE. T. XXV. l'1. XXXIX X
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE (Type Aran-Duchenne) d
ature névritique. 1 (E. Long). Masson & Cie, Editeurs £ A
ATROPHIE
MUSCULAUOE POG) ! ESS)V) ! TYPE Alt,N-DUCHENNF, 2
isposition histologique que dans les troncs nerveux périphériques :
atrophie
des fibres nerveuses et épaississement concentr
cine dorsale est des- tinée, comme la racine C 8, à une région où l'
atrophie
musculaire a débuté et a atteint le plus de gra
ons, le Nouvelle Iconographie DE la SALPLTRILRr. T. XXV. Pl. XL
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE (Type Aran-Duchenne) d
SCULAIRE PROGRESSIVE (Type Aran-Duchenne) de nature névritique.
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPJ : ftCRENNE zvi volu
taines régions parait anormalement t développé, indépendamment de l'
atrophie
des fibres musculaires ; cette myosite intersti
muscles examinés. Résumé DE l'observation clinique. - Début de l'
atrophie
musculaire à l'âge de 53 ans, par les muscles d
ge de H5 ans par cancer de l'estomac), l'extension progressive de l'
atrophie
avait produit : une impotence presque complète
s cellules motrices dans le ren- flement cervical. Pans les nerfs :
atrophie
d'un grand nombre de fibres nerveuses ; hypertr
les racines postérieures sont presque indemnes . Dans les muscles,
atrophie
à divers degrés des fibres striées myosite inters
ie à divers degrés des fibres striées myosite interstitielle. Cette
atrophie
musculaire progressive débutant par les extrémité
d'obser- vations attribuées à l'amyotrophie type Charcot-Marie, ou
atrophie
mus- 292 LONG cuiaire progressive neurotique
de Hoffmann (1890 et 1891) ont fixé définitivement la notion d'une
atrophie
musculaire à marche lente, débutant par les ext
s observations cliniques la première, celle d'Eulenburg (début de l'
atrophie
à 29 ans par les petits muscles de la main, avec
e famille. Un des sujets est atteint dans la première enfance d'une
atrophie
des muscles des pieds et des jambes, avec exten
ras paraissent hypertrophiés. La soeur de ce ma- lade ne présente d'
atrophie
qu'aux muscles des mains. Ici contractions fibr
gine spinale.- . Hoffmann (1) fait rentrer ces trois cas dans son
atrophie
musculaire neurotique et les rapproche de ses o
bservations personnelles. Chez deux frères Otto G. et Gustave G., l'
atrophie
a commencé à l'âge adulte et a atteint t les mu
eux autres malades de Hoffmann (enfants Louise et Karl Willmann), l'
atrophie
a aussi un début et une topographie différents.
graphie différents. L'aînée est frappée depuis l'àge de 5 ans d'une
atrophie
progressive des membres supérieurs, commençant
éger degré d'équinisme. Le cadet a, depuis la première enfance, une
atrophie
partielle des mus- cles de la jambe; les mains
de Ilânel (2) l'histoire clinique d'une famille présentant 22 cas d'
atrophie
musculaire, répartis sur quatre générations, et
30 ou 40 ans ; les muscles de la main étaient pris les premiers, l'
atrophie
remontait pro- gressivement jusqu'à la ceinture
rouverons avec les documents anatomiques, ont établi que la forme d'
atrophie
musculaire progressive, que l'on dénomme amyolr
myolrophie type Charcot-Marie ou encore type péronier de Tooth., ou
atrophie
musculaire progressive neurotique (ou neurale)
s ren- seignements cliniques que ceux du caractère héréditaire de l'
atrophie
musculaire progressive et de son évolution : dé
ions cliniques dépourvues d'examen histologique. La topographie d'une
atrophie
musculaire n'a plus la valeur indiscutahle qu'o
43, 1896), par exemple, d'une myopathie évoluant sous la forme de l'
atrophie
neurotique et révélée seulement par l'examen an
) a fourni un autre exemple de la possibilité de cette erreur : une
atrophie
progressive débutant par les membres inférieurs a
r Muskelatrophie. Virchow's Archiv, vol. VIII, oct. 1855, p. 537.
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 295 e
ce. Cas DE Friedreich. -(I) La première observation est celle d'une
atrophie
progressive, datant de l'enfauce, intéressant l
trouve une moelle intacte ; dans les nerfs des régions malades, une
atrophie
des fibres nerveuses et une infil- tration inte
ntérieures. Dans les muscles, myosite chronique interstitielle avec
atrophie
graisseuse des fibres striées. Dans l'observati
bes, puis ceux des mains, des avant-bras et ceux du bras gauche : l'
atrophie
progressive est accompa- gnée de contractions f
es névrites périphériques. Dans sa première observation, bien que l'
atrophie
musculaire fut progressive z et accompagnée de
acines rachidiennes et même la moelle. (2) Elude sur quelques cas d'
atrophie
musculaire, limitée aux extrémités et dépen- da
est un noyau ou un cylindraxe. » Le second cas de Dubreuilh est une
atrophie
progressive, d'origine hérédi- taire, familiale
pinales-névritiques. Il s'agit d'une femme de 36 ans, frappée d'une
atrophie
progressive débutant par la racine des membres su
ns troubles objectifs de la sensibilité. A l'examen histolo- gmue :
atrophie
cellulaire partielle dans les cornes antérieures
stologiques publiés sous le titre d'amyotrophie Charcot- Marie ou d'
atrophie
musculaire neurotique de Hoffmann. Observation
bres inférieurs avec douleurs lancinantes pendant plusieurs années,
atrophie
des mains à 19 ans. Troubles de la sensibilité cu
ot-l9arie, Arch. de méd. expérim. et d'anat. path., 1891, p. 921.
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 297 m
oteurs et sensitifs. Observation DE SIEMEJlL1NG (1). - Début de l'
atrophie
entre et 7 ans par les muscles des jambes, exte
des cellules dans les cornes antérieures et la colonne de Clarke ;
atrophie
des racines antérieures, intégrité des racines po
ncée. Observation de SAINTON (2). - Début à l'âge de 42 ans par une
atrophie
des muscles de la main droite ; extension aux m
faible des cordons laté- raux ; altération de la colonne de Clarke;
atrophie
des cellules des cornes anté- rieures à divers
CASnzzn (3). - Début à 27 ans par des douleurs dans les extrémités;
atrophie
des membres inférieurs, steppage, réflexes rotuli
lexes rotuliens très faibles, légère diminution de la sensibilité ;
atrophie
des membres supérieurs, mains, avant-bras, bras
atrophie des membres supérieurs, mains, avant-bras, bras, épaules ;
atrophie
de l'orbiculaire des lèvres. Pas de contraction
ie). , Observation DE Dejerine et Arsiand-Delille (1). - Début de l'
atrophie
par les extrémités des membres, vers l'âge de 2
fois état criblé de la substance grise. Dans les ganglions spinaux,
atrophie
cellulaire, dégé- nérescence des fibres des rac
; diminution des fibres sans prolifération des noyaux (1) Un cas d'
atrophie
musculaire type Charcot-Marie, suivi d'autopsie.
opsie. Revue Neu- rologique, 1903, p. 1198. (2) Note sur un cas d'
atrophie
musculaire progressive. Journal de Neurologie, 19
phie musculaire progressive. Journal de Neurologie, 1906, p. 161.
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 299 d
la transformation graisseuse; fuseaux neuro-musculaires lésés avec
atrophie
des tubes nerveux (Dans la discussion de cette
ette observation, les auteurs défendent la conception unitaire de l'
atrophie
musculaire progressive et considèrent les lésio
s. Examen histologique : Dé- générescence des cordons postérieurs ;
atrophie
des cellules des cornes anté- rieures, des colo
laires ; des fibres saines persistent à l'état isolé au milieu de l'
atrophie
; quelques-unes sont hypertrophiées. Observati
hypertrophiées. Observation de GIERL1CH (2). Hérédité similaire ;
atrophie
des muscles de la jambe, pied-bot ; aux membres
trophie des muscles de la jambe, pied-bot ; aux membres supérieurs,
atrophie
des muscles de la main, puis de l'avant bras, s
RER ET Maas (3). - Début vers 39 ans, par les mus- cles des jambes.
Atrophie
musculaire, refroidissement, cyanose ; les mains
ible degré dans les nerfs de la queue de cheval. Dans les muscles :
atrophie
ou transformation graisseuse des fibres striées ;
AMA (1). - Début vers 5 ans par la paralysie des jam- bes ; à 9 ans
atrophie
des mains ; extension progressive allant jusqu'au
eux, diminution des fibres des racines antérieures et postérieures;
atrophie
des cellules des cornes antérieures et des colo
ues. De même celle de Rots(adt (2), qui est citée parfois comme une
atrophie
neurotique, est en réalité une myopathie de par s
e et progressive de l'enfance. Société de biologie, 18 mars 1893.
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 301 m
mato- logie et l'anatomie pathologique se sont montrées identiques.
Atrophie
muscu- laire débutaut dans l'enfance par les ex
rachidiens, spinaux et sympathiques, avec lésions parenchymateuses (
atrophie
des fibres et des gaines de myéline) et interst
vrite interstitielle hypertrophique. Début à l'âge de 7 ans par une
atrophie
progressive des muscles des mem- bres inférieur
es cellules multipolaires des cornes antérieures. Dans les muscles,
atrophie
simple, parfois transformation fibreuse. L'ob
e (type Pierre Marie). Semaine médicale, 1910, p. 145. 302 LONG
Atrophie
musculaire familiale prédominant aux membres infé
aires. Déséquilibre mental habituel. A l'âge de 44 ans, début d'une
atrophie
musculaire progressive au niveau de la main gau
t de l'épaule gauche. Sept à huit ans après le début de la maladie,
atrophie
progressive des muscles de la main droite, atroph
de la maladie, atrophie progressive des muscles de la main droite,
atrophie
consécutive incomplète des muscles de l'avant-b
sculaires, et au niveau des racines rachidiennes dont les anté- (1)
Atrophie
musculaire progressive des membres supérieurs (ty
titielle hypertrophique. Iconographie de la Salpêtrière, 1907, n 1.
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 303 r
ables aux observations classées dans l'amyotrophie Charcot-Marie ou
atrophie
neurotique de Hoffmann ; le début par les mem-
lle de Hoffmann et de ceux qui, après lui, ont décrit et délimité l'
atrophie
musculaire neuro- tique. Mais on cherchait alor
ne la dégénérescence de la fibre musculaire. Les rapports entre l'
atrophie
des fibres nerveuses et t'hypertrophie des élém
Iandbuch der Neurologie (Le- wandowski), 1911, t. Il, p. 321-445.
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE-ABAN' DUCHENNE oua
nc dans certains cas d'amyotrophie Charcot-Marie par un processus d'
atrophie
simple, sans que les éléments interstitiels aie
ire que dans la règle une hyperplasie interstitielle ac- compagne l'
atrophie
des éléments nerveux, sans avoir de relations pro
érieures, sans extension aux nerfs périphériques. 306 LONG mixte,
atrophie
spinale-névrilique, avait été proposée par Bernha
centres nerveux. Pour les muscles, la même question se pose : leur
atrophie
est-elle pri- mitive, ou secondaire à la dégéné
e propos, il est intéressant de relever dans plusieurs observations d'
atrophie
musculaire névritique, analysées plus haut (cas
ggère l'idée d'une extension au cerveau du processus dégénératif.
ATROPHIE
\IUSCULALItE PROGRESSIVE TYPE AiA-DUCIIRiZINE 307
ès accusé chez ce malade,varie dans l'ensemble des obser- vations d'
atrophie
musculaire progressive névritique, souvent atténu
disparu. Le réflexe plantaire se fait en flexion. On constate de l'
atrophie
de la jambe gauche. En 1903, l'état est sensibl
z exacte- ment à ce que la symptomatologie permettait d'imaginer. L'
atrophie
musculaire localisée aux territoires des deux n
fibres radiculaires postérieures f., p. diminution de la graisse l.,
atrophie
des racines antérieutes r. a., aspect normal de
es musculaires de ce membre supérieur droit sont atrophiées, mais l'
atrophie
est encore plus évidente dans les muscles de l'
ne maladie à cours lent mais progressif,et exclusivement à droite :
atrophie
des muscles de la, face et, beaucoup plus tard,
epuis quelque temps, à quelques an- nées de distance, également une
atrophie
des muscles de la cuisse. A gauche, aucun signe
ment une atrophie des muscles de la cuisse. A gauche, aucun signe d'
atrophie
, sauf la tendance de l'omoplate à prendre la fo
omoplate ailée. L'examen objectif a permis de faire ressortir que l'
atrophie
des muscles chez le sujet est d'autant plus gra
la dis- parition, altération d'autant plus évidente elle-même que l'
atrophie
des muscles est plus grave. L'on n'a jamais con
x côtés et ils man- quent dans le membre supérieur droit, côté de l'
atrophie
. Or, si l'on considère que le sujet n'a jamais
inférieure tombante ; la disposition de la fossette sous-nasale ; l'
atrophie
ayant frappé, à droite, le masséter, les ptérygoï
é élec- trique correspond en général au degré plus ou moins grand d'
atrophie
des muscles. Et outre, il ne faut pas oublier,
e rarement dans la forme en question,que le masséter était frappé d'
atrophie
à droite et qu'il 1 en était de même des muscle
cicatrice ombilicale était déviée à gauche. Il faut signaler aussi l'
atrophie
des muscles de l'éminence thénar, du court abdu
us mince qu'à gauche. J'insiste sur ce point, car jusqu'à présent l'
atrophie
des os des membres, que l'on signalait, ap- par
dans un cas de pseudo-hypertrophie musculaire, Schultze trouva une
atrophie
du fémur, et Lloyd constata une atrophie de l'épi
laire, Schultze trouva une atrophie du fémur, et Lloyd constata une
atrophie
de l'épi- physe des os constituant les articula
çonner que peut-être ce côté-là commence aussi à être affecté d'une
atrophie
de quelques muscles de la ceinture scapulaire. Ce
ceinture scapulaire. Cela nous enseigne que la monolatéralilé de l'
atrophie
des muscles dans la dystrophie musculaire progr
gressive, suivant l'idée soutenue par Ray- mond (2). D'après lui, l'
atrophie
musculaire progressive se présente comme une af
les. La première éventualité se réalise en général dans le cas où l'
atrophie
commence dès le jeune âge, et alors cette affec
E DE LA ¡jALPJ1TR1ÈRE Service de M. Le Professeur Pierre Marie. L'
ATROPHIE
ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES DE LA
ES FOIX PREMIÈRE PARTIE Lorsque Duchenne (de Boulogne) décrivit l'
atrophie
musculaire qui porte son nom, il la considéra c
la sclérose latérale s'approprièrent les cas les plus typiques de l'
atrophie
musculaire progressive. La main d'Aran-Duchenne
. Enfin dans un cas particulièrement intéressant de M. Sou- ques, l'
atrophie
à type Aran-Duchenne était associée à la sclérose
avec lésion thénarienne, hypothénarienne etinter-osseuse, soit une
atrophie
simple de l'éminence thénar ou de l'éminence hy
existe pas à notre connaissance d'étude d'ensemble de cette forme d'
atrophie
isolée non progressive en dehors d'un travail réc
utre limitée aux membres supérieurs, observé une raréfaction et une
atrophie
des cellules des cornes antérieurs des segments
édullaire, identique à celle de nos cas, mais plus haut placée. L'
ATROPHIE
ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 357 p
r de la corne est en effet remplacée par une ligne de tissu cica- L'
ATROPHIE
ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 359 t
uatrième cas anatomo-clinique, lésions de névrite interstitielle. L'
atrophie
était dans ce cas unilatérale el frappait les émi
staté ainsi : des altérations névritiques extrêmement marquées. Une
atrophie
relative des racines correspondantes. Des lésio
t que l'on n'y voit presque plus que des gaines vides au Pal ou à L'
ATROPHIE
ISOLEE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 363 l
ance est plus court que le gauche et atrophié. Le gauche présente l'
atrophie
des muscles du thénar et de l'hypothénar et des
e plus frappant au moment de l'entrée du malade à l'hôpital était l'
atrophie
de petits muscles de la paume gauche du type Ar
s symp- tômes de la maladie. Les altérations de dégénérescence et d'
atrophie
dans les cellules de la corne antérieure gauche
presque complète des raci- nes antérieures suffisent à expliquer l'
atrophie
de petits muscles de la main gauche avec réacti
en évidence dans l'ob- servation clinique des symptômes tels que l'
atrophie
des muscles de la main gauche du type Aran-Duch
uivies d'un affaiblissement nota- table des membres supérieurs et d'
atrophie
des muscles du type Aran-Du- chenne, les réflex
lles des deux médius et des pieds. , Amaigrissement général, avec
atrophie
bien prononcée des masses sacro- lombaires et d
t récent du pont de Varole et de l'hémisphère cérébelleux gauche.
Atrophie
musculaire non progressive de la main droite avec
e prendre le porte-plume pour écrire. On notait à ce moment : Une
atrophie
thénarienne très marquée avec grosse difficulté d
marquée avec grosse difficulté des mouve- ments d'opposition. Une
atrophie
hypothénarienne modérée. Un certain degré d'atr
osition. Une atrophie hypothénarienne modérée. Un certain degré d'
atrophie
des membres interosseux. Pas d'autre atrophie m
Un certain degré d'atrophie des membres interosseux. Pas d'autre
atrophie
musculaire. La main gauche paraît normale. Les ré
nt unéatrophie très marquée de l'éminence thénar du côté droit, une
atrophie
de l'éminence hypothénar du même côté, une atro
côté droit, une atrophie de l'éminence hypothénar du même côté, une
atrophie
modérée des muscles interosseux avec amaigrisse-
cie unilatérale droite. C 6-7 (la coupe a été retour- née). Noter l'
atrophie
légère de l'hémi-moelle droite (à gauche sur le d
et D 1 (partie supérieure). Le reste de la moelle était indemne. L'
ATROPHIE
ISOLÉE XOX PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 431 e
est toujours complètement sain d'un côté et de l'autre, pas d'autre
atrophie
musculaire. Le réflexe radial est extrême- ment
e. Destruction du même type au niveau du 7e segment cervical.Simple
atrophie
sans destruction complète au niveau de la parti
s. Son histoire présente également à étudier deux choses : 10 Une
atrophie
des petits muscles de la main gauche. 2° Une hé
oite, aphasie terminale survenue longtemps après l'amyotrophie. L'
atrophie
des petits muscles de la main n'a été observée qu
à son métier et ne s'en est pas autrement inquiété : A l'examen : l'
atrophie
porte sur la main gauche où elle est nettement
PHOE ISOLÉE NON PKOGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 433 3 par suite de l'
atrophie
des membres interosseux. Les mouvements de la mai
rre. Le 21 mai. Mort dans le marasme,température 0°7. En résumé :
Atrophie
musculaire isolée des petits muscles de la main.
é : Atrophie musculaire isolée des petits muscles de la main. Cette
atrophie
est limitée aux éminences thénar et hypothénar. L
es deux cornes antérieures. Aspect grêle des cornes posté- rieures.
Atrophie
de la moelle avec aplatissement antéro-postérieur
u'à ce niveau. C 6, U 3 et le reste de la moelle étaient indemne. L'
ATROPHIE
ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 435 é
chroniques des hanches, de la colonne vertébrale et des genoux, une
atrophie
thénaro-hypothéuarienne très marquée et limitée
. Pas de trou- bles de la sensibilité. 4.36 P. MARIE ET FOIX 3°
Atrophie
théna1'o-hYJ1Othénal'ienne. Il existe du côté dro
de même de l'émi- nence hypothénar ainsi que dès interusseux dont l'
atrophie
se traduit par de profondes dépressions sur le
6 aus au dire de sa lille), ce qui cadre bien avec l'intensité de l'
atrophie
et l'état des réactions électriques. En résum
ans signe d'affectation caractérisée du système nerveux on note une
atrophie
de date ancienne isolée et non progressive des pe
safra- nine. Augmentation légère de la graisse intra-nerveuse. L'
ATROPHIE
ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 437 g
ancienne portant sur les nerfs cubital et médian à partir du coude.
Atrophie
réflexe modérée des 7" et 8° racines cervicales
lus de changement. Examen. - L'attention est attirée d'emblée sur l'
atrophie
musculaire qui reproduit assez exactement le ty
XV. Pl. LXI Obs. VI. - Type thénarien pur. Obs. V. Type diffus.
Atrophie
ISOLÉE NON progressive DES PETITS MUSCLES DE la m
ssive DES PETITS MUSCLES DE la main ('Pierre Marie et C. Foix). l'
atrophie
isolée NON progressive DES PETITS muscles 439 n
avouée. La malade a refusé la ponction lombaire. Elle présente une
atrophie
tbénarienne droite. L'affection a débuté il y a
n gauche et craint, dit-elle, que celle-ci ne se prenne. Malgré son
atrophie
la malade peut coudre, et cependant l'oppositio
Pas d'autre amyotrophie. En résumé, t : 11les incipiens probable.
Atrophie
thénarienne respectant l'adducteur du pouce. Ob
la force musculaire du bras et de l'avant-bras est bonne et égale l'
atrophie
ISOLHR non PT1.0GIIESSIYE DES PETITS MUSCLES 441
thénar est profondément touchée, la peau y est lisse par suite de l'
atrophie
du palmaire cutané. On ne peut pas déterminer la
r pression sur le pisiforme alors que ce réllexe existe a gauche. L'
atrophie
de l'éminence thénar est diffuse et discrète, l'a
ez un ma- lade niant la syphilis, apparition en un an environ d'une
atrophie
mixte frap- pant à la fois l'éminence tbénar et
conservés et normaux. Observation VIII Wa..., 78 ans, ménagère.
Atrophie
thènariennc congénitale . La malade dit avoir é
d'opposition très difficiles. Elle sait qu'elle a toujours eu de l'
atrophie
de l'éminence thénar. Rien de semblable du côté
e thénar est nettement atrophiée par rapport l'autre sans que cette
atrophie
présente l'intensité de l'atrophie dans les cas p
r rapport l'autre sans que cette atrophie présente l'intensité de l'
atrophie
dans les cas précédents. Elle porte surtout sur
font bien, la force de pronation est un peu dimi- nuée. En somme,
atrophie
et affaiblissement nets des muscles de l'éminence
inence thé- nar à gauche surtout de l'abducteur et de l'opposant.
Atrophie
et affaiblissement légers de l'éminence hypothéna
t l'oeil droit a été opéré et iridectomisé pour la même raison. L'
ATROPHIE
ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 443 3
arche bonne. Rien de très notable à l'examen viscéral. En résumé,
atrophie
thénarienne congénitale atteignant quelque peu l'
servation IX B...,49 ans, journalier. Nie la syphilis, présente une
atrophie
des petits mus- cles de la main droite frappant
Grosse augmentation de l'albumine rachidieune. Lym- phocytose. B)
Atrophie
des petits muscles de la main : Remonte égaleme
n malade atteint de syphilis nerveuse, à type de tahes supérieur.
Atrophie
isolée des petits muscles de la main du côté droi
muscles de la main du côté droit. Il est difficile de dire si cette
atrophie
sera ou non progressive puisqu'elle ne remonte
ps sensation d'engourdisse- ment et de faiblesse dans le pouce. L'
atrophie
musculaire fut remarquée par son médecin. Elle es
de la sensibilité dans les trois premiers doigts de la main droite,
atrophie
thénarienne limitée à l'abducteur et à l'opposant
e de l'abducteur et de l'opposant. Eminence hypothénar normale. L'
ATROPHIE
ISOLEE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES zizi
les de l'avant-bras. Lorsque ces symptômes existent, associés à une
atrophie
thénaro-hypothénarienne, l'affection sera général
s 2 cas limités. Quant au type hypothénar auquel se surajoute une
atrophie
des inté- rosseux nous ne l'avons pas rencontré
observation VI a trait un type hy- pothénar avec association d'une
atrophie
thénarienne modérée. A côlé de ces caractères t
e confondre une amyotrophie thénarienne d'origine nerveuse avec une
atrophie
parlésion simple de voisinage articulaire, par
cliniques d'atropliie thénarieune par téphromalacie, quant au cas d'
atrophie
thénarienne par névrite, il est difficile de rien
r se calmer plus ou moins complètement par la suite. Ces douleurs L'
ATROPHIE
ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 447 s
La première est que ces malades ont souvent autre chose que leur
atrophie
thénarienne ; et qu'ainsi, les modifications de l
n, net- tement plus fort du côté malade. » e) Enfin dans un cas d'
atrophie
congénitale, le réflexe radial était un peu plu
itique. Ainsi donc, malgré la variabilité de l'état des réllexes, l'
atrophie
isolée non progressive despetits muscles de la
presque tous le double pied-bot tabétique de Joffroy, et chez qui l'
atrophie
bilatérale des petits muscles de la main, s'accom
nsidérable de tout le membre supérieur. Il s'agit donc en réalité d'
atrophie
musculaire diffuse symétrique, bilatérale et pr
s extrémités, type en effet essentiellement névritique et non pas d'
atrophie
musculaire isolée des petits muscles de la main
pas d'atrophie musculaire isolée des petits muscles de la main. L'
atrophie
isolée non progressive peut d'ailleurs, comme le
sie relatent pres- que tous des lésions analogues, c'est-à-dire une
atrophie
des cellules des cornes antérieures. l'atroph
c'est-à-dire une atrophie des cellules des cornes antérieures. l'
atrophie
ISOLÉE 1\0l'\ PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES li 4
trophie ISOLÉE 1\0l'\ PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES li 41) A cette
atrophie
s'ajoutent des lésions vasculaires plns ou moins
dans un travail comportant l'examen anatomo-pathologique d'un cas d'
atrophie
muscu- laire progressive d'origine syphilitique
ment au cours de l'énumération succincte d'un grand nombre de cas d'
atrophie
musculaire se rapprochant plus ou moins de l'at
mbre de cas d'atrophie musculaire se rapprochant plus ou moins de l'
atrophie
musculaire progressive, des cas d'atrophie prof
chant plus ou moins de l'atrophie musculaire progressive, des cas d'
atrophie
professionnelle ou de fatigue qui doivent se rapp
edes deux côtés était surtout évidente du côté droit, où malgré une
atrophie
thénarienne complète, les interosseux fonction-
n aro-hypothénarienne des symptômes, éliminer ce diagnostic ? Pas l'
atrophie
isolée non progressive DES PETITS MUSCLES 451 d
ez un malade à liquide céphalo-rachidien normal on consta- tera une
atrophie
isolée avec abolition des réflexes radial et cubi
malade à liquide céphalo-rachidien pathologique, on constatera une
atrophie
isolée avec conservation des réflexes radial et c
OLEON. A111yvtrophie des tabétiques. Thèse de Paris, 1887. Dansa. -
Atrophie
musculaire progressive (sur l'). Journal of nervo
ous and mental diseases, vol. 33. février 1906. Dejerine. - Sur l'
atrophie
musculaire des tabéliques. Revue de Médecine, 188
bes. Archiv sur Psychiatrie, 1905, Bd XL, p. 602 et 752. . LBIU. -
Atrophie
musculaire progressive el menin,qo-lIt ! 1elite s
, 1903. - In traité Charcot-Bouchard-Brissaud, t. IX. Lherjiitte.
Atrophie
musculaire chez les tabéliques. Semaine Médicale,
re chez les tabéliques. Semaine Médicale, 23 décembre 1908. LONG.
Atrophie
musculaire progressive type Aran-Duchenne de natu
I)E.1 (de Milan). -- Analysé in Revue Neurologique, 1904, p. 802, l'
atrophie
isolée non progressive DES petits muscles 153 3
ophie isolée non progressive DES petits muscles 153 3 Merle (P.). -
Atrophie
musculaire progressive spmale syphilitique. -Revu
que; 1909, p. 817. - Même sujet, 1910, p. 1429. Mosnv et Carat.
Atrophie
musculaire progressive spinale syphilitique (un c
, 6 décembre 1906, in Revue Neurologique. «AyONDPtRENnu. Tabès avec
atrophie
musculaire des deux membres supérieurs. Re- vue
evue Neurologique, 1S96, p. 91. SCII ! JSTER. Paralysie générale et
atrophie
musculaire progressive . Neurologisclies Centra
1898, Bd XXXIV, p. 469. SOUQUES. - Sclérose combinée tabétique avec
atrophie
musculaire progressive du type Aran-Duchenne (S
hilitique. Le Névraxe, 1907. Vigouroux et LAIGNEL-LA v AS l'11OE.
Atrophie
musculaire au cours de la paralysie géné- rale.
observations analogues. Pic et Gardère (3) ont publié sous le nom d'
atrophie
généralisée de la face et de la région sus-ombi
é du tissu adipeux au niveau des membres inférieurs, d'autre part l'
atrophie
de ce même tissu et aussi du tissu musculaire au
chez ces derniers il (t) L. BARRAQUER, Histoire clinique d'un cas d'
atrophie
du tissu cellulo-adipeux, L'avenç. Barcelone, 1
- ) (2 pl.), par JoHANSSON et FROEDERSTMM, 105. Aran-Duchenne (
Atrophie
musculaire type - de nature névritique) (2 pl.)
étudiée d'après la cinématographe) (2 pl.), par de CASTRO, 265
Atrophie
isolée non progressive des petits muscles de la
aire) (4 pl ), par ANnn>i- TIIOM 18 et J UMENT1É, : 109. Main (
Atrophie
isolée non progressive des petits muscles de la
(2 pi.), par Cil ILlE ! ! et n'OVÉ-,TOSSEItAND, 76. Téphromalacie (
Atrophie
isolée non progres- sive des petits muscles de
a base du crâne (3 pl., 6 hg. ), 2 ? 3. Foix (Ch.) et Marie (P.).
Atrophie
isolée non progressif des petits musclesdela ma
André). Traumatisme et slndrome de Paget (4 pl.), 334. Long (E.).
Atrophie
musculaire progressive type Aran-Duchenne de na
XXXVIII à XL. Athétose, démarche (A. DE CASTRO), XXXV à XXXVI.
Atrophie
isolée des petits muscles de la main (Marie et
uzzari a autopsié un cas où il a trouvé la persistance du thymus, l'
atrophie
de la tyroïde, des altérations graves de l'hypo
enu par une compression méthodique qui pro- duit artificiellement l'
atrophie
du pied de la Chinoise. C'est le bistournage qu
angent un certain nombre de cellules chromo- philes volumineuses. L'
atrophie
glandulaire, ici, semble donc n'être pas dé- fi
au de laquelle les vertèbres sont douloureuses à la percussion ; 3)
atrophie
des muscles des ceintures scapulaire et pel- vi
muscles des ceintures scapulaire et pel- vienne, et plus rarement,
atrophie
des muscles des extrémités ; 4) inten- sité des
articulier des malades, par suite de l'aplatissement du dos et de l'
atrophie
des fesses, de l'effacement de la courbure lomb
HOPITAL CANTONAL DE GENÈVE LABORATOIRE DE M. LE PROFESSEUR BARD.
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMRRES SUPÉRIEURS T
mort d'une maladie aiguë. Il n'y a pas eu dans la famille de cas d'
atrophie
muscu- laire. Antécédents personnels. Bonne s
T.XX. PI. V A. Photographie de la malade en 1892. (Depuis lors, l'
atrophie
musculaire n'a pas fait de progrès notables).
s notables). B. Nerf médian. Coupe transversale. (Pal et Carmin).
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPERIEURS T
YPE ARAN-DUCHENNE, PAR NEVRITE INTERSTITIELLE HYPERTROPHIQUE. LONG.
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS si
auche, qui en même temps s'amaigrit peu à peu. Extension lente de l'
atrophie
à l'avant-bras, puis au bras et à l'épaule. La
mbre supérieur gauche. - Les muscles de la main sont comme fondus ;
atrophie
complète des muscles des éminences thénar et hypo
es muscles des éminences thénar et hypothénar et des in- terosseux.
Atrophie
des muscles fléchisseurs et extenseurs de l'avant
le long du corps (Pl. ? A). Membre supérieur droit. De ce côté l'
atrophie
est arrivée à un stade moins avancé. Les muscle
en 1894 dans le service des chroniques et y reste jusqu'en 1899. L'
atrophie
et l'impotence des membres supérieurs persistent
ous constatons que les membres supérieurs seuls sont atteints par l'
atrophie
musculaire ; le tronc et les membres inférieurs s
nt indemnes et la malade peut faire à pied de longues promenades. L'
atrophie
des membres supérieurs n'est pas symétrique, el
beaucoup plus accusée à gauche. La répartition et l'intensité de l'
atrophie
musculaire concordent bien avec la des- criptio
d'un néo- plasme des voies biliaires. Pour vérifier le diagnostic d'
atrophie
musculaire de nature myélopathique on enlève la
in). E. Neif médian, coupe longitudinale. ([>,11 et Carmin).
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPERIEURS T
NE, PAR NEVRITE INTERSTITIELLE HYPERTROPHIQUE. (Long, de Genève.)
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 49
pour former FiG. 3. - Nerf médian. Pal et carmin. Oc. 1, obj. 3.
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 51
que très dense et épaisse et sont elles-mêmes arrivées à un stade d'
atrophie
avancé : la gaine de myéline est filiforme ou m
6. - Une fibre du nerf médian. Pal et carmin. Oc. III, obj. 6.
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 53
8. Racine antérieure C VIII. Hématoxyline-éosine. Oc. III, obj. 6.
atrophie
musculaire PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 55
ig. 9) ; il en est qui sont hypertrophiées, d'autres sont en état d'
atrophie
plus ou moins avancé; les fibres en état d'atroph
sont en état d'atrophie plus ou moins avancé; les fibres en état d'
atrophie
complète ne sont plus représentées que par des
aires. Déséquilibre mental habituel. A l'âge de 44 ans, début d'une
atrophie
musculaire progressive au niveau de la main gau
s et de l'épaule gauches. 7. à 8 ans après le début de la maladie ,
atrophie
pro- gressive des muscles de la main droite, at
la maladie , atrophie pro- gressive des muscles de la main droite,
atrophie
consécutive incomplète des muscles de l' avant-
ivant de la malade ce cas a été considéré à tort comme un exemple d'
atrophie
musculaire progressive de nature myélopathique (p
mène acces- soire, rhumatismal, se manifestèrent encore alors que l'
atrophie
muscu- laire avait cessé de progresser d'une ma
gris de la moelle le sont également (poliomyélite antérieure chro-
atrophie
musculaire PROGRESSIVE DES membres SUPÉRIEURS 57
leur persistance et leur localisation aux régions attein- tes par l'
atrophie
musculaire. Il y a là un fait important qui doit
es se sont établies ni où elles avaient \ leur maximum. Quant à l'
atrophie
musculaire il est bien évident que dans ce cas el
y trouve difficilement des fibres. Friedreich danssonouvragesur «L'
atrophie
musculaire progressive »(3) donne deux observat
iniques importantes pour le sujet qui nous occupe. L'observation I (
atrophie
musculaire progressive de la main droite et des
e et d'une névrite chronique interstitielle. Dans l'observation II (
atrophie
musculaire progressive des membres supérieurs e
lairophie und ùber wahl'e und faslehe Mus- kelhypcrtrophie, 1813.
atrophie
musculaire PROGRESSIVE DES membres SUPÉRIEURS 59
à soutenir l'existence d'une forme dite neurotique ou neurale de l'
atrophie
musculaire progressive dans laquelle il faisait
logique était encore inconnue. On a aussi annexé ultérieurement à l'
atrophie
neurotique les observa- tions de Dubreuilh publ
nnent un examen histologique. L'observation I de ce travail est une
atrophie
qui atteignit d'abord les membres inférieurs et
cles présentent des lésions souvent juxtaposées d'hypertrophie et d'
atrophie
des fibres musculaires. La moelle (1) HOFFMANN,
Psychiatrie, 1889, p. 661. (2) DUBREMLH, Etude sur quelques cas d'
atrophie
musculaire, etc. Revue de méde- cine, 1890, p.
ésions médullaires concomitantes (sclérose des cordons postérieurs,
atrophie
partielle des cornes antérieures) semblent à cet
mme des preuves de la nature périphérique des lésions causales de l'
atrophie
musculaire (atrophie (1) Marinesco, Contributio
nature périphérique des lésions causales de l'atrophie musculaire (
atrophie
(1) Marinesco, Contribution à l'étude de l'amyo
ton, L'amyotrophie type Cliarcot-Marie, Thèse de Paris, 1889, p.86.
ATROPHIE
MUSCULA111E PROGRESSIVE DES'MEMBRES SUPÉRIEURS 61
RIEURS 61 neurotique de Hoffmann). Siemerling (1), dans un cas où l'
atrophie
avait débuté entre 5 et 7 ans par les muscles d
histologique.une sclérose des cordons latéraux et postérieurs, une
atrophie
des cornes antérieures. des racines postérieure
sculaires). On ne peut les interpréter que comme des phénomè- nes d'
atrophie
régressive simple ; on ne les trouve pas en effet
souvent en importance les lésions atrophiques des éléments nerveux
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 63
airement porteurs ; le fait est banal en tératologie. Ces lésions d'
atrophie
régressive des éléments nerveux ou musculaires
nous trouvons des variantes nombreuses. Dans le cas de Virchow où l'
atrophie
musculaire avait atteint les mem- bres inférieu
, les antérieures plus que les postérieures. Dans l'observation II (
atrophie
des membres supé- rieurs et inférieurs) les lés
de cette forme répond à l'étendue des lésions ; en même temps que l'
atrophie
musculaire prédominant aux extrémités il y a des
ypertrophique. On y trouve en effet sur les coupes transversales et
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 65
maladies d'évolution, on peut l'interpréter de la façon suivante :
Atrophie
régressive d'un grand nom- bre de fibres nerveu
res sensitives. Cliniquement, ces lésions se sont traduites par une
atrophie
musculaire progressive, limitée aux membres sup
viron. xx 5 HOSPICE DE BICÊTRE LABORATOIRE DE M. PIERRE MARIE
ATROPHIE
PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET A LOCALIS
la présence d'une sclérose combinée de la moelle, mais celle d'une
atrophie
très particulière (1) 0. Crouzon, Des scléroses
Iconographie DE la Salpêtrière T. XX. PI. VII l4f.t... (Obs. 11).
ATROPHIE
PRIMITIVE PAREI\Clln ! ATEUSE DU CERVELET (J. R
RIMITIVE PAREI\Clln ! ATEUSE DU CERVELET (J. Rossi.) ITALO ROSSI.
ATROPHIE
PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 67 du cer
lui fait toucher du pied un objet placé au-dessus du plan du lit.
ATROPHIE
PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 69 Réflex
é mise en relief par Babinski. Ces troubles se manifestent chez nos
ATROPHIE
PRIMITIVE PARENCRT1111TEUSE DU CERVELET 71 mala
lobe central du vermis est nettement atro- phiée, tandis que cette
atrophie
ne parait pas exister dans les autres parties d
t par la Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. PI. VIII
ATROPHIE
PRIMITIVE 1'AItFNC111'ytATPn51-. f)l1 rr;1 : 1).1
II ATROPHIE PRIMITIVE 1'AItFNC111'ytATPn51-. f)l1 rr;1 : 1).1'.J,
ATROPHIE
PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 73 colora
la couche des grains et sur celle des cellules de Purkinje. Cette
atrophie
est à peu près symétrique dans les deux moitiés d
trois couches citées de la corticalité et si dans les mêmes lobes l'
atrophie
intéresse presque avec la même intensité les la
culaire. - Elle est manifestement atrophiée. Dans les lamelles où l'
atrophie
de cette couche atteintson maximum, elle est rédu
lquefois de la moitié de son épaisseur (PI. VIII, D ; PI. IX, F). L'
atrophie
est en général plus forte au niveau de la crête d
cellules de Purkinje, pour la plupart cependant en état manifeste d'
atrophie
. Dans quelques- unes mêmes de ces lamelles l'at
t manifeste d'atrophie. Dans quelques- unes mêmes de ces lamelles l'
atrophie
se limite presque aux cellules de Pur- kinje ;
rt d'atro- NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. PI. IX
ATROPHIE
PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 75 phie,
s. Noyaux centraux. - Le noyau dentelé ne paraît pas avoir subi une
atrophie
: il est bien développé des deux côtés, ses pli
es coupes minces colorées au carmin, ne présentent pas de lésions d'
atrophie
. Le feutrage in- traciliaire est très bien colo
nes postérieures adjacentes à la périphérie de la moelle et coupées
ATROPHIE
PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 77 transv
, dans la plus grande partie de l'écorce cérébelleuse des lésions d'
atrophie
intéressantes non seulement au point de vue des
de Purkinje. Ailleurs enfin, l'altération consiste seulement dans l'
atrophie
et la disparition de plus ou moins nombreuses c
es noyaux gris centraux ne montrent aucun fait de dégénération ou d'
atrophie
. Quelle est la pathogénie de cette atrophie ? N
it de dégénération ou d'atrophie. Quelle est la pathogénie de cette
atrophie
? Nous ne pouvons certaine- ment pas la considé
rophie ? Nous ne pouvons certaine- ment pas la considérer comme une
atrophie
secondaire d'origine péri- phérique, due à la l
ainsi que Thomas (1 ) l'a admis pour un de ses cas. Dans ce cas, l'
atrophie
peu prononcée de l'écorce cérébelleuse était liée
très forte du pédoncule cérébelleux moyen, du corps restiforme, à l'
atrophie
très prononcée de la substance grise du pont, de
oncée de la substance grise du pont, de l'olive bul- baire et à une
atrophie
nette des faisceaux cérébelleux directs, des colo
nitale de celles-ci. Dans notre cas il ne s'agit pas non plus d'une
atrophie
scléreuse, comme c'est le cas plus fréquent dan
nous permet de dire, croyons-nousqu'il s'agit dans notre cas d'une
atrophie
primitive, parenchymateuse de l'écorce. (1) A.
(1) A. Thomas, Le cervelet. Th. Doctorat, 1897 (Obs. V, p. 215).
ATROPHIE
PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 79 C'est
mètres ; le tissu névroglique est étranger la pro- duction de cette
atrophie
, ou bien la prolifération névroglique et les al-
hies scléreuses, d'o- rigine vasculaire, inflammatoire. Ces cas d'
atrophie
cérébelleuse primitive dégénérative sont fort rar
as qui ont servi à Deje- rine et Thomas pour constituer leur type d'
atrophie
olivo-ponto-cérébel- leuse, cas qui montrent co
rce, du pont et des olives infé- rieures, de façon à constituer une
atrophie
primitive systématisée inté- ressant les voies
leurs noyaux et l'écorce. Notre cas, tout en entrant dans les cas d'
atrophie
primitive parenchyma- teuse, diffère évidemment
teuse, diffère évidemment des denx cas précités, par le fait que l'
atrophie
se limite presque exclusivement à la substance
les de quelques lobes (quadrilatère, flocculus, vermis supérieur) l'
atrophie
frappe avec une intensité égale les couches mol
elles présen- tant le même ordre de lésions, d'autres lamelles où l'
atrophie
se limite à la couche des grains et aux cellule
kinje. On en observe d'autres enfin où la diminution de nombre et l'
atrophie
des cellules de Purkinje constituent les seules
des cellules de Purkinje, auxquelles succèdent la raréfaction et l'
atrophie
de la couche des grains, et, en dernier lieu, l
ction et l'atrophie de la couche des grains, et, en dernier lieu, l'
atrophie
de la couche moléculaire. Pourrait-on conclure
hogéniques qui peuvent l'altérer ? et que (1) DEJEUINE et Thomas, L'
atrophie
olivo-ponto-cérébelleuse. Nouvelle Iconographie
Iconographie de la Salpêtrière, 1900, p. 330. 80 ITALO ROSSI l'
atrophie
des autres couches (moléculaire et des grains) dé
tions dans la littérature des atrophies du cervelet, même des cas d'
atrophie
scléreuse, semblent plaider en faveur de cette hy
lésions dégénéra- tives parenchymateuses consistant dans la simple
atrophie
ou disparition des cellules de Purkinje n'est p
les de Purkinje n'est pas sans intérêt. Il montre en effet que si l'
atrophie
du cervelet peut être dû à des faits dégénératifs
vasculaires ou méningées, peuvent sub- sister sans qu'il existe une
atrophie
du cervelet. Cela tient vraisembla- blement à l
e valeur absolument démonstrative ; nous voulons parler du cas d' «
Atrophie
lamellaire des cellules de Pur- kinje » publié
son observation Thomas a pu constater dans beaucoup de lamel- les l'
atrophie
et la disparition d'une certain nombre de cellule
ations vasculaires ni de processus inflammatoires. (1) A. Thomas,
Atrophie
lamellaire des cellules de Purkinje. Revue Neurol
ne enterogena. Rivista critica de clinica medica, n" 34-35, 1900.
ATROPHIE
PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 81 Ce son
que celles par nous constatées dans notre cas, mais cette fois sans
atrophie
proprement dite du cervelet. Dans ces cas il n'
ornerons à le si- gnaler, tout en rappelant que dans quelques cas d'
atrophie
scléreuse du cervelet on a signalé aussi cette
nce grise de l'écorce. On peut toujours objecter que dans ces cas d'
atrophie
scléreuse datant pour la plupart de l'enfance o
rche est consigné plus ou moins ouvertement dans des observations d'
atrophie
du cervelet sans qu'il y ait l'existence de lés
affection cérébelleuse, cause d'ailleurs qui dans beaucoup de cas d'
atrophie
du cervelet n'a pas pu être établie ou même présu
tte donnée anamnésique qui existait dans l'observation déjà citée d'
atrophie
lamellaire des cellules de Purkinje de Thomas.
que et partant, dans les conditions les plus favorables aux proces-
ATROPHIE
PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 83 sus d'
plupart atrophiées (2). D (id.). - Type de lamelles atrophiées :
atrophie
de la couche moléculaire (1), dispa- rition pre
laire (1), dispa- rition presque complète des cellules de Purkinje,
atrophie
et raréfaction de la couche des grains (2). L
iées, avec disparition pres- que complète des cellules de Purkinje.
Atrophie
de la couche moléculaire (1), raré- faction et
e Purkinje. Atrophie de la couche moléculaire (1), raré- faction et
atrophie
de la couche des grains (3). G (object. 2). - G
3). G (object. 2). - Groupe de lamelles montrant un certain degré d'
atrophie
de la couche moléculaire (1) et de la raréfacti
outre de l'amaigrissement général très accusé. Il n'existe pas d'
atrophie
musculaire localisée et l'examen électrique ne mo
roits supérieurs ! signe d'Argyll-Robertson bilatéral, et enfin une
atrophie
papillaire double très accusée à droite. De t
: signe d'Argyll, paralysies diverses de la mus- culature externe,
atrophie
optique. Les autres consistent en un processus
anesthésie dans le domaine du triju- meau. Enfin la paralysie et l'
atrophie
des masticateurs est un phénomène tout à fait r
plégie externe combinée à la paralysie glosso-labio-laryngée et à l'
atrophie
musculaire progressive (Nouv. Iconographie de la
entr'ouverte. Mais à l'examen, on voit qu'il n'y a ni paralysie ni
atrophie
prononcées dans le domaine du facial. Cette app
arcades dentaires (Pl. XXIV, fig. 2). En général, on n'observe l'
atrophie
des masticateurs, dans les paraly- sies glosso-
e très tardivement dans les paralysies bulbaires chroniques. Ici, l'
atrophie
et la paralysie des masséters l'emportent sur les
ments. Il n'y a pas de rigidité dans les mouvements passifs ; pas d'
atrophie
musculaire. Le membre inférieur droit présente
pha- langes des orteils (PI. XXV). Il existe en outre une légère
atrophie
diffuse généralisée à tous les muscles de la ja
; au contraire au tiers inférieur il existe au-dessus du genou une
atrophie
circulaire en jarretière, frappant également le t
inelle. Les muscles fessiers gauches présentent également un état d'
atrophie
et de flaccidité mani- feste, mais l'atrophie e
t également un état d'atrophie et de flaccidité mani- feste, mais l'
atrophie
est surtout évidente à la jambe où elle atteint t
ternes sont toutefois beaucoup plus atrophiés que ceux du mollet. L'
atrophie
de la jambe gauche est de beaucoup plus marquée
ur les mor- ceaux encore dans le liquide de iNüller, noter la forte
atrophie
de la corne antérieure gauche et du cordon anté
la corne antérieure gauche et du cordon antéro-latéral gauche.Cette
atrophie
estsurtout accusée au niveau de S 2, S 1, L 5,
itié droite. Cette asymétrie, même à l'oeil nu, paraît être due à une
atrophie
plus ou moins forte suivant les divers segments
nsion au niveau de S ,S 4,L 5, L 4, L 3 et s'accompagne d'uue forte
atrophie
massive de la corne antérieure, réduite à la moit
3 (PI.XXVII) il y a encore une légère asymétrie de la moelle par l'
atrophie
de la corne et du cordon antéro-latéral gauche.Bi
en outre, dans les racines antérieures gauches de ce seg- ment une
atrophie
et une perte de fibres qui bien que beaucoup moin
moelle est moins accusée que dans les segments sous- jacents, et l'
atrophie
des racines antérieures gauches moins forte ; ces
aux sont bien colorés, ne présentent ni dégénération ni sclérose. L'
atrophie
du cordon latéral gauche, nette dans la moelle
ans la moelle sacro-lombaire, est ici beaucoup moins appréciable. L'
atrophie
du cordon antérieur gauche persiste au contraire
elle cervico-dorsale, même au niveau de C 1 ; il s'agit ici aussi d'
atrophie
simple, sans dégénération des fibres nerveu- se
ines postérieures, ni dans les cordons postérieurs à part la légère
atrophie
, sans dégénérescence, ni sclérose, décrite dans l
2e segment sacré au 1er segment lombaire inclusivement, avec forte
atrophie
des racines lombo-sacrées correspondantes et fort
c forte atrophie des racines lombo-sacrées correspondantes et forte
atrophie
de la moitié gauche de la moelle. C'est à ce fo
e- ment^ paralysé, en état de flaccidité complète et présentant une
atrophie
musculaire totale très accusée. La présence d
t à démontrer la fausseté de l'hypothèse, admise par Charcot, d'une
atrophie
cellulaire primitive. Auparavant déjà, Roger et
sie du mem- bre inférieur, droit qui très rapidement s'accompagne d'
atrophie
. Un exa- men fait plus tard montra en plus de l
oréo-athétosiques, exagération des réflexes tendineux, peu ou pas d'
atrophie
musculaire),; à droite, une paralysie flaccide du
laire),; à droite, une paralysie flaccide du membre inférieur (avec
atrophie
musculaire, abolition des réflexes tendineux et
eur droit les signes résiduels d'une poliomyélite antérieure aiguë (
atrophie
muscu- laire, paralysie flaccide, abolition des
'achilléen, dimi- nution légère du réflexe cutané plantaire ; pas d'
atrophie
musculaire, exci- tabilité électrique partout i
mie dans la moelle allongée, de l'infiltration péri-vasculaire avec
atrophie
des noyaux des Ve, Xe, XIe (1) Huent, Revue neu
spinale infantile de la jambe droite, avec raccourcissement, forte
atrophie
musculaire, abolition des réflexes tendineux, p
oyer de paralysie infantile dans la moelle lombaire, à droite, avec
atrophie
des racines antérieures. Lamy émet justement l'
nt nous avons parlé dans un article précédent (1). ? (1) E. Long,
Atrophie
musculaire progressive des membres supérieurs typ
d'accalmie se succédant à intervalles variables. Dercum a décrit l'
atrophie
des fibres des nerfs périphériques, mais ce son
droite, en flexion à gauche. Troubles trophiques : Il existe une
atrophie
très marquée des membres du côté droit. La jamb
E WEBER AVEC HÉMIANOPSIE DATANT DE 28 ANS 189 du bulbe, on note une
atrophie
très marquée de la pyramide bulbaire gauche. Su
coupes des différents segments de la moelle enfin, on constate une
atrophie
de tout le cordon antéro-latéral du côté droit.
r de la partie de la capsule interne respectée par la lésion et une
atrophie
nette du champ de Wernicke. Les figures suivant
us externe. Il existe enfin, sur toutes les coupes de la série, une
atrophie
nette du champ de Wernicke et du corps de Luys
ins développée que la droite. Dans l'étage postérieur on note : une
atrophie
très marquée du ruban de Reil médian dont la couc
duite au moins des deux tiers par rapport à celle du côté droit une
atrophie
moins intense mais évidente cependant du ruban de
- On note ici la dégénération complète de la pyramide bulbaire et l'
atrophie
très nette de la portion interolivaire de la form
e de leur réseau myé- linique, une forte réduction de nombre et une
atrophie
de leurs cellules. En relation avec les lésions
sque sur celles du 3e segment sacré inclusivement, on observe : une
atrophie
en masse de tout le cordon antéro- Nouvelle Ico
tes du reste du cordon antérieur aboutissant en fin de compte à une
atrophie
en masse de ce cordon antérieur. Les coupes d
vons vu sur les coupes horizontales ci-dessus décrites, il s'agit d'
atrophie
plutôt que de dégénération proprement dite. A not
tion rétrograde très mar- quée de la bandelette optique gauche; une
atrophie
du champ de Wernicke et des couches sagittales
serva rien de semblable, cette localisation de la paralysie et de l'
atrophie
, si caractéristique de la paralysie spinale infan
le l'exécutait avec lenteur : il y avait, cepen- dant, des signes d'
atrophie
dans toute l'extrémité, 3 centimètres de différen
on observait seulement plus d'inclinaison du tronc en avant et une
atrophie
sensible des muscles de l'éminence thénar droit
murs voisins; les réactions électriques paraissaient être normales; l'
atrophie
de l'éminence thénar s'améliorait et les réacti
IE PSEUDO-HYPERTROPHIQUE DES MOLLETS ET DES CEINTURES SCAPULAIRES ;
ATROPHIE
DU GRAND- PECTORAL 1 PAR F. RAYMOND ET Féli
SEUDO HYPERTROPHIQUE des mollets et des ceintures scapulaires, avec
atrophie
du grand pectoral. (Raymond et F. Rose). MYOP
domen est renflé sur les côtés et déborde le bassin. Il n'y a pas d'
atrophie
apparente des muscles de la masse sacro- lombai
s muscles deltoïde, sous-épineux et grand den- telé, combinée à une
atrophie
très marquée du grand pectoral. Il existe en ou
ype pseudo-hypertrophique de Duchenne (mollets), du type Zimmerlin (
atrophie
du grand pectoral) et du type juvénile d'Erb. E
conjonctif paraît peu augmenter. Le testicule : est le siège d'une
atrophie
scléreuse. De l'albuginée partent de larges tra
ppenheim sont positifs, tant à droite qu'à gauche. Il n'y a pas d'
atrophie
musculaire appréciable. L'examen électrique prati
s d'une manière abso- lue. Il ne paraît guère, toutefois, exister d'
atrophie
musculaire et l'examen électrique ne montre auc
acrolombaire qui est contracturée particulièrement M gauche, et une
atrophie
musculaire diffuse, prédominant sur les muscles d
blement fibrillaire très net, beaucoup plus marqué à droite, et une
atrophie
de toute la moitié droite de la langue; le côté
n'est d'ailleurs pas absolument indemne, tant au point de vue de l'
atrophie
que du tremblement fibrillaire (Pl. XLIII). Le
(scoliose, arthropathie de l'épaule et chiromégalie du côté droit,
atrophie
J musculaire diffuse), et les troubles vasomote
a quel- ques contractions fibrillaires et peut-êlre aussi un peu d'
atrophie
; la mo- lilité de la langue ne semble guère tr
sie flasque du bras), mais peu profondément puisqu'il n'y a guère d'
atrophie
musculaire ni de trou- bles des réactions élect
culaire. ChezF..., il y a bien à la fois de la con- tracture etde l'
atrophie
d'un certain nombre de muscles de l'omoplate et
re de la place. Il ne faut pour cela que du temps. HÉMIMÉLIE AVEC
ATROPHIE
NUMÉRIQUE DES TISSUS ÉTUDE ANATOMIQUE ET PATHOG
. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XX, PL. LIV. 11EMIMELIE AVEC
ATROPHIE
NUMÉRIQUE DES TISSUS (Klippel et Paul Bouchel).
V, ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. T. XX, PL. LV. IIÉMIMELIE AVEC
ATROPHIE
NUMERIQUE DES TISSUS - (Kllppel et Paul Bouchel
V, ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. T. XX, PL. LVI, HÉMIMÉLIE AVEC
ATROPHIE
NUMERIQUE DES TISSUS {Klippel et Paul BOl/chet)
bre de cellules : côté sain 33 ; côté atrophié 18. 11GDIIMLLIE AVEC
ATROPHIE
NUMÉRIQUE DES TISSUS 303 écrivent-ils, si l'on
la moitié d'un membre fait défaut, alors que, presque tou- jours, l'
atrophie
, beaucoup plus limitée, ne porte que sur l'extrém
membre. Les coupes de la moelle, faites par M. Bourdon montrent une
atrophie
por- tant à peu près uniquement sur la corne an
émimélie. Mais, en somme, il nous paraît qu'il s'agit surtout d'une
atrophie
en masse de la substance grise, sans pouvoir af
ment semble avoir porte également sur les deux os. hémimélie avec
atrophie
numérique DES TISSUS 323 Cubitus et radius gauc
te, tout-à-fait à l'extrémité du moignon, une dispo- HÉMIMÉLIE avec
atrophie
numérique DES TISSUS 325 sition qui rappelle le
terlignes, on trouve d'une part, du côté du cubitus, hémimélie avec
atrophie
numérique DES TISSUS 327 "1 une masse plus volu
alement sur la pue phalange du pouce, et en correspondance avec une
atrophie
assez intense des muscles de l'éminence thénar de
x, la phalangette. Ce qu'il y a d'inté ressant dans ce cas, c'est l'
atrophie
du cubitus, bien moins souvent atteint dans ces
est plus grêle, du côté malade. Les tubes nerveux sont normaux ; l'
atrophie
est seulement quan- titative ; dans l'ensemble,
aire. Sans doute divers auteurs ont noté, chez des vieillards, de l'
atrophie
cérébelleuse : Thomas (2) dans sa thèse inaugur
) dans son rapport sur le cerveau sénile ; mais, nous le verrons, l'
atrophie
du cervelet n'est pas une manifestation habituell
ent d'accord avec Obersleiner (4) lorsqu'il dit : « Ordinairement l'
atrophie
sénile est peu nette dans le cer- (1) Congrès d
inique et ylzysiolo- gique, Ch. vi, p. 159, Observations cliniques,
atrophie
, sclérose. (3) LÉRI, loc. cit., p. 41. (4) Ou
organe, p. 547. xx 23 358 ANGLADE ET CALMETTES velet : senile
Atrophie
macht sich vonst am Kleinhirn relativ wenig bem
très accentuée (PI.LX, fig.2); nous aurions pu toutefois figurer une
atrophie
plus complète d'une circonvolution très ratatin
dense. On peut voir qu'à ce degré de sclérose ne correspond pas une
atrophie
de la cou- che moléculaire. La circonvolution n
rvelet sénile. La sénilité cérébelleuse ne se manifeste pas par une
atrophie
en masse. Elle se caractérise au contraire par
ombreux examens que nous avons pratiqués. Ce qui s'observe, c'est l'
atrophie
limitée il une ou plusieurs folioles cérébelleu
urs folioles cérébelleuses ; l'aspect n'y est aucunement celui de l'
atrophie
gé- néralisée. Ici la sclérose est régulière av
maladroits, se faisaient cependant avec une force suffisante. Pas d'
atrophie
musculaire. Il ne semble pas y avoir des troubles
s étaient atteints de parésie spasmodique, mais non paralysés, sans
atrophie
, avec conservation suffisante de la force muscula
le. Beaucoup plus rarement, le revêtement cutané est le siège d'une
atrophie
manifeste [Schlesinger (1)] et l'épaississement d
Muscles. Les muscles des membres inférieurs ne présentaient aucune
atrophie
. Le jumeau interne, le biceps droits sont absolum
on constate une prolifération des noyaux du sarcolemme associée à l'
atrophie
de quelques fibres, mais ce processus d'atrophie
lemme associée à l'atrophie de quelques fibres, mais ce processus d'
atrophie
simple est discret et limité. Les petits musc
n de volume porte aussi bien sur la longueur que sur la largeur ; l'
atrophie
musculaire est généra- lement prononcée dans la
x ou soient lésés en rien. Les muscles présentaient des lésions d'
atrophie
simple avec infiltra- tion adipeuse légère, lés
pouvant faire penser à la dysphasie périostale. HÉMIMÉLIE AVEC
ATROPHIE
NUMÉRIQUE DES TISSUS ÉTUDE ANATOMIQUE ET PATHOG
; ce sont les segments terminaux qui manquent ou sont imparfaits. L'
atrophie
, suivant qu'elle est poussée plus ou moins loin
s sont courts, raréfiés, incurvés parfois, atrophiés toujours, et l'
atrophie
va en s'accentuant de l'épiphyse supérieure à l
re ; on comprend qu'au niveau du carpe et de la main ce processus d'
atrophie
puisse être tel que les parties sque- lettiques
rtains cas d'ectromé- lie, une altération des filets nerveux et une
atrophie
des renflements de la moelle épinière, doive êt
aucune lésion organique de 404 . KLIPPEL ET BOUCHET la moelle ; l'
atrophie
consistait en une diminution du nombre des cellul
ce correspondant aux mouvements de la main. Quoi qu'il en soit; l'
atrophie
du membre n'est pas projetée sur le cer- veau a
utres termes, l'exa- men a montré qu'il s'agissait, en ce cas, de l'
atrophie
numérique telle qu'elle fut décrite par l'un de
tative, non qualitative. Ce cas est donc encore un exemple de cette
atrophie
numérique marqué par un arrêt de développe- men
stologique pour le cas qui nous occupe présente les caractères de l'
atrophie
numé- rique. . BIBLIOGRAPHIE ALDRECIIT. - D
e développement des membres à la suite de lésions dans l'en- fance.
Atrophie
numérique. Rev. de méd., mars 1893. Même sujet, P
e neurologie, 6 juillet 1905 ; Anomalies multiples congénitales par
atrophie
numérique des tissus. Nouv. Iconographie de la Sa
enfance. 'Atrophie mimétique de Klippel, Thèse Paris, 1899; DURATE,
Atrophie
numérique. Traité d'Anat. path. de CORNIL et Ra
. Traité d'Anat. path. de CORNIL et Ranvier (nouv. édit.) , RHNAUT,
Atrophie
numérique, Thèse Paris, 1907. 414 KLIPPEL ET
éveloppement consécutifs aux lésions locales datant de l'en- fance.
Atrophie
numérique de Klippel, Thèse Paris, 1899. DEBOUT
ionale de médecine de Lyon. Lyon médical, 1883, p. 460. DUE(ANTE.
Atrophie
numérique. Traité d'anat. path. de Cornil et Ranv
de développement des membres à la suite de lésions dans l'enfance.
Atrophie
numérique. Rev. de méd., mars 1893. Même sujet, P
un cas d'hémimélie. Soc. anat. Paris, 1874, XLV, 224. RENAULT. -
Atrophie
numérique, thèse Paris, 1907. RUSSEL Bardeen an
aplasie des noyaux bul- baires de Goll et de Burdach à droite, une
atrophie
du tubercule quaclri- jumeau antérieur gauche,
ation cellulaire diffuse de Bôttiger. Au contraire, il existait une
atrophie
bien marquée du noyau placé dans une excavation
tose cleïdo-crânienne, 227. Klippel et P. BoucuET. Hémimélie avec
atrophie
numérique des tissus (S pl., il ng,) 290, 396.
nerveux dans un cas de trophoedème congénital (t pt.), 155. Long.
Atrophie
musculaire progressive des membres supérieurs,
udo- hypertrophique des mollets et des cein- turrs ^capillaires :
atrophie
du grand ppdoral (1 [il ), 224. Rose et F. RA
2° L'écorché mort et l'écorché en vie, par Henry MEIGE, 97, 174.
Atrophie
musculaire progressive des mem- bres supérieurs
II'S de la paralysie qértérale (2 pl ), par SÉGLAS, 18. Cervelet [
atrophie
parcnchymateuse à to- calisation corticale) (3
excès- sive (1 pi ), par Parhon Il Ziplacta, 91 . Hémimélie avec
atrophie
numérique des tissus (3 pl., 11 fig.), par HLIP
du cadavre et anatomie du vi- vant 1 HENRY MEIGE), XIII à XXIII.
Atrophie
mus ulaire progressive des mem- bres supérieurs
rieurs par nevnte interstitielle hypertrophique (E. Long), V, VI.
Atrophie
primitive parenchymateuse du cervelet (ITALO RO
polysarcie exces- sive (PARHON et ZALPLACTA), XII. Hémimélie avec
atrophie
numérique des tissus (ILIPPEL et P. Bouchet), L
seudo - hypertrophique des mollets et des ceintures scapulaires ;
atrophie
du grand pectoral (RAYMOND et Rose), XLI. Ost
turnine sont souvent le fait d'une lésion du nerf optique (névrite,
atrophie
) visible à l'ophtalmoscope. D'autres fois, l'exam
est grave quand if y a des signes ophtalmoscopiques de névrite ou d'
atrophie
. Les cas les plus favorables sont ceux dans lesqu
LACUNES DANS LE CHAMP VISUEL. AT, lésions du nerf optique (névrite,
atrophie
), lésions de la rétine {plaque de cho1'Ofdite,
méfaction considérable, papille sans limites, hémorragies, etc.). L'
atrophie
ne se voit qu'à une période avancée. En présenc
lésions rétiniennes, sans lésions papillaires, il faut penser à une
atrophie
optique qui commence. Ces déformations irréguli
icale. Hémianopsie par lésion du nerf optique. - D'ordinaire. une
atrophie
du nerf optique atteint le champ visuel sur tout
). Et encore n'existent-ils guère dans les lésions du nerf optique (
atrophie
, névrite). Ils sont, en général, le fait d'une
urie, albuminurie, paralysie glosso-labio-laryngée) ou médullaires (
atrophie
musculaire progressive). C'est encore à ce grou
de forme ovalaire, sans angles. Le glaucome ancien, à la période d'
atrophie
de l'iris, donne aussi des déformations pupillair
n aurait pu, malgré une cécité en apparence complète, avec signes d'
atrophie
du nerf optique, produire le réflexe pupillaire
n plaques (une fois), dans quelques cas de syringo- Inyélic, dans l'
atrophie
musculaire par névrite interstitielle hypertrophi
es, gêner la vision. C'est un pto- sis myopathique, résultant d'une
atrophie
du muscle releveur. Il se ren- contre également
e, toujours double, évolue très lentement. Il est le résultat d'une
atrophie
du relcveur. 11 marque souvent le début de cert
e rétrécis- sement pour le blanc. Les affections du nerf optique (
atrophie
, névrite), altèrent très rapide- ment et d'une
on accompagnée de dyschro- matopsie, doit faire penser à un début d'
atrophie
du nerf optique. '1 Il faut peut-être rattacher
ase ou la névrite par stase ». Si une papillite légère, si même une
atrophie
papillaire, possèdent une réelle importance pour
du toxique, et donne la papillite intense des tumeurs cérébrales.
Atrophie
optique. Elle peut résulter d'une compression au
survient souvent il une période avancée. Symptômes objectifs : Une
atrophie
papillaire modérément accusée au début, très ac
ptique évoluée, laisse une papille atrophique analogue a celle de l'
atrophie
papillaire simple. L'oculiste accoutumé il l'op
particularités, reconnaître si une papillile accentuée a précédé l'
atrophie
. TUMEURS CÉRÉBRALES.- 123 Saillie des yeux. C
pour les partisans de la théorie dlfclr«lioltz, correspondrait il l'
atrophie
du nerf auditif il la base du limaçon, la dispa
s). Plus tard, la destruction de I'o1'allc l1C Corii s'accompagne d'
atrophie
des cellules du ganglion de Rosentilai. La lésion
les lésions du nerf sont secondaires. Mais lïlll1alll- tnation et l'
atrophie
du nerf peuvent être primitives, par exemple dans
nérale. Les vieillards ont souvent de l'anosmié qui paraît liée à l'
atrophie
ou à la sclérose des bulbes olfactifs. ' Les an
dème papillaire, la névrite optique, la névrite rétro-bulbaire et l'
atrophie
papillaire, les paralysies limitées à l'abducei
s dans la paralysie faciale. Les muscles atteints présentent de l'
atrophie
, des secousses librillaires, la réaction de dégén
la trémùlation des plus vives. Au niveau de la langue notamment, l'
atrophie
devient caractéristique : la muqueuse se plisse
sur la sclérose latérale amyotrophiquc, facile à reconnaître par l'
atrophie
des membres et l'exagération des réflexes persi
TROUBLES DE LA PAROLE. Dans les dysarthries d'origine cérébrale, l'
atrophie
musculaire fait à peu près complètement défaut
n n'observe guère qu'un vice de prononciation des labiales, lié à l'
atrophie
de l'orbiculaire des lèvres. L'émission des sons
cer. Il y arrive d'ailleurs en général il peu près, il moins qu'à l'
atrophie
des lèvres ne s'ajoute l'atrophie de la langue, e
éral il peu près, il moins qu'à l'atrophie des lèvres ne s'ajoute l'
atrophie
de la langue, exceptionnelle à vrai dire. 2°
bres. Bourneville et Crouzon ont étudié une idiotie diplégique. par
atrophie
cérébelleuse familiale (Congrès de Paris, 1900).
uents et très variés : changement de coloration et chute des poils,
atrophie
ou hypertrophie de la couche graisseuse sous-cuta
te des cheveux, des sourcils, de la barbe, canitie, hypertrophie ou
atrophie
de la peau de la face, augmentation du tissu grai
Dans la sciatique-névrite, ou observerait, outre les douleurs, de l'
atrophie
musculaire, des troubles de la sensibilité de la
gres- sives. en dehors de l'abolition des réflexes qui est liée à l'
atrophie
des muscles paralysés, on a pu constater l'abol
se latérale amyolropliique, mais dans ce cas il y a déjà eu début d'
atrophie
par les petits muscles des mains, gêne dans les m
n des réflexes n'existe plus qu'au niveau des membres inférieurs. L'
atrophie
des membres supérieurs associée à l'exagération
ène de Babinski ne se rencontre pas dans les polynévrites ni dans l'
atrophie
Charcot-Marie, ni dans la maladie de Parkinson, n
nalé, dans l'hémiplégie de l'adulte, des cas où se pro- duisait une
atrophie
des os des membres paralysés. Les Iroubles trop
bre inférieur sont, dans cette forme, susceptibles de présenter une
atrophie
considérable; on y constate alors des troubles
sc ou d hémicborée : les membres de ces malades ne présentent pas l'
atrophie
signalée dans la forme précédente. Du reste, d'
évolution de la maladie vers la paralysie spinale de l'adulte, avec
atrophie
, confirma notre diagnostic. C'est dans ces form
eur étude scia plus utile à propos de chaque maladie présentée. L'
atrophie
musculaire diffère selon les cas, et sera mieux e
même complète, mais c'était là phénomène secondaire, corrélatif à l'
atrophie
des muscles. Il pouvait persister quelque réfle
, la force musculaire est a peu près normale (a moins qu'il n'y ait
atrophie
). Des gestes exagérés, ridicules, se rencontren
arche dont sont responsables il la fois l'ataxie, la paralysie et l'
atrophie
musculaire. Les états vertigineux ne peuvent gu
h. a) Paraplégies avec exagération des réflexes sans contracture;
atrophie
musculaire constante. Le diagnostic des maladies
clérose latérale amyo- trophique et les paraplégies spastiques avec
atrophie
secondaire. PARAPLEGIE. '. 49;¡ La sclérose l
lle présente dans son évolution deux périodes dis- tinctes, l'une d'
atrophie
progressive avec exagération des réflexes aux q
membres, débutant à vrai dire par les membres supérieurs, l'autre d'
atrophie
intense avec disparition des réflexes au prorata
re d'atrophie intense avec disparition des réflexes au prorata de l'
atrophie
. Cette atrophie est du type Aran-Ducbcnneau nivea
tense avec disparition des réflexes au prorata de l'atrophie. Cette
atrophie
est du type Aran-Ducbcnneau niveau des mains; l
le avec des muscles très atrophiés. On peut également observer de l'
atrophie
des membres inférieurs avec exagération des réf
contracture. Dans ces cas, la contracture musculaire cède devant l'
atrophie
, mais l'exagération des réflexes peut être mise
prononcée surtout aux mains. Celles-ci présentent égale- ment de l'
atrophie
du type Aran-Duche11lH', et à la période d'étal,
membres supérieurs : contrac- ture, thcrmo-anesthesie et analgésie,
atrophie
de la musculature de la main, troubles trophiqu
ment exagérés. Il- n'existe jamais de trouble trophique, escarre ou
atrophie
. Une des caractéristiques de la paraplégie de E
stauration rapide des contractures, leur degré excessif l'absence d'
atrophie
seront plutôt en faveur d'une paraplégie fonction
u'une telle paralysie puisse rarement à vrai dire s'ac- compagner d'
atrophie
. Pour le diagnostic, général de ces formes, nous
cède et se localise en certains groupes de muscles qui subiront une
atrophie
définitive. Il n'existe ni troubles des sphincter
te ni troubles des sphincters ni troubles de la sensibilité. Puis l'
atrophie
musculaire aidant, les membres atteints présent
e dans les poliomyélites, parallélisme entre cette disparition et l'
atrophie
musculaire. I. (In uhscrvc (huis la rnqr un syn
il la maladie de Landry. [MOUTIER.] 504 - PARAPLÉGIE. ' "' ; L'
atrophie
existe néanmoins et au plus haut point dans les p
de préférence. : on connaît la démarche du steppeur consécutive à l'
atrophie
du groupe jambier antéro-cxterne. Il faut d'ail
inc- ters en général. Il existe un degré variable mais nécessaire d'
atrophie
musculaire. Les malades peuvent marcher encore
s inférieurs peut être réalisée par la disparition du muscle. Cette
atrophie
est et demeure une des principales manifestations
interstitielle hypertrophique de Deje1'ine et Bottas est un type d'
atrophie
d'origine névritique. Les malades ont de la diffi
dans la maladie de Fez- reich, il peut exister très rapidement une
atrophie
suffisante pour em- pêcher la marche. Dans ces
culaire se com- plique souvent de rétractions tendineuses. Dans l'
atrophie
musculaire du type ChaTcot-Ma1'ie, l'atrophie des
s tendineuses. Dans l'atrophie musculaire du type ChaTcot-Ma1'ie, l'
atrophie
des muscles est encore d'origine myélopathique.
it d'une atïection héré- ditaire et familiale, caractérisée par une
atrophie
progressive des mem-. bres à début périphérique
à s'affaiblir. PARAPLÉGIE. 505 Il existe au-dessus du genou de l'
atrophie
en jarretière. Les réflexes ten- dineux sont ab
Les réflexes ten- dineux sont abolis proportionnellement au degré d'
atrophie
, et l'on constate des secousses fibrillaires. I
ntement, il une paraplégie flasque avec impossibilité de marcher. L'
atrophie
musculaire est néan- moins suffisamment prononc
t en général ni d'escarres, ni d'incontinence ou de rétention, ni d'
atrophie
musculaire, ni de troubles accusés des réflexes
en en faveur de la paraplégie organique : Signes de présomption :
atrophie
, incontinence, fièvre, fourmille- ments, rachia
du côté de la paralysie infantile de l'abolition des réflexes, de l'
atrophie
musculaire intense avec jambe de polichinelle,
nsion, de l'adduction de la cuisse, de la flexion de la cuisse avec
atrophie
en jarretière, peu ou point de troubles électri
e nerveux péri- plu'l'igue et central, ainsi que des articulations,
atrophie
et dégéné- rescence de la fibre musculaire. Les
é de la tête, flexion, rotation, extension, accom- pagnés parfois d'
atrophie
des muscles du cou. Fig. 1. Schémas radiculaire
dullaires directes. La para- plégie est totale, flasque d'emblée, l'
atrophie
rapide, la réaction de dégé- nérescence hâtive.
section de la branche externe du spinal ayant pour conséquence une
atrophie
complète ou presque complète du sterno-mastoïdien
cellules des cornes antérieures de la moelle ont pour conséquence l'
atrophie
des muscles innervés par ces cellules. On a discu
ment à un segment de membre. On ne rencontre jamais en clinique une
atrophie
, TOPOGRAPHIE RADICULAIRE. 599 musculaire aus
éminence hypo- thénar est aplatie, flasque, sans aucune tonicité. L'
atrophie
des muscles interosscux amène une saillie très
extenseurs, les réflexes olécrànion, po- riostique sont exagérés. L'
atrophie
musculaire est toujours peu accen- tuée compara
s et vaso-moteurs se constatent parfois dans la paralysie faciale :
atrophie
des muscles paralysés, altérations de la cornée,
e servent du pouce et de l'index pour la préhension des objets. L'
atrophie
musculaire, qui est la conséquence de la paralysi
nastique vocale.. ATROPHIES MUSCULAIRES par le Dr André LI~RI L'
atrophie
musculaire est la diminution de volume et. de nom
s : nous avons constaté, à l'autopsie d'un homme qui présentait une
atrophie
musculaire progressive, une amyotrophie généralis
autres amyotrophiques dont nous avons pu examiner les organes. L'
atrophie
musculaire, dans la totalité ou au moins la grand
é et une intensité variables ; aussi, alors que Hayem consi- dère 1
atrophie
comme résultant d'un processus de myosite parench
rend que la prolifération interstitielle, qui marche de pair avec l'
atrophie
des fibres, puisse prendre le pas sur elle; le ti
ion anormale du volume d'un muscle est plus souvent le signe de son
atrophie
que de son hypertrophie. L'atrophie de certains
plus souvent le signe de son atrophie que de son hypertrophie. L'
atrophie
de certains muscles s'accompagne tout spécialemen
t spécialement de pseudo-hypertrophie, et une forme topographique d'
atrophie
musculaire I- LÚn. Rcv. 1/1'111'01., '15 mai 19
uand on cherche à apprécier le degré d'une amyotrophie. SIGNES DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE Le plus souvent c'est par la simple
e plus souvent c'est par la simple inspection que l'on constate une
atrophie
musculaire, la forme du membre ou de la portion d
nt là où d'ordinaire l'os est masqué par une couche musculaire. L'
atrophie
commençante est parfois très difficile à dépister
des muscles correspondants à gauche qu'on reconnaîtra facilement l'
atrophie
. On rendra la différence entre les deux côtés p
ue l'on ordonne au malade d'exécuter. Par exemple, pour constater l'
atrophie
d'un grand pectoral, on fera rap- procher avec
ement de la longueur du muscle : il se formera un noeud musculaire (
atrophie
longitudinale de Roth), Ces deux aspects se ren
z communément sur certaist muscles, sur le deltoïde par exemple : l'
atrophie
de ces muscles devenu ainsi assez caractéristiq
ans l'abduction du bras pour le deltoïde) révèle alors facilement l'
atrophie
de cette portion. 1. P. MAillE et GuiNoi. Rev.
e portion. 1. P. MAillE et GuiNoi. Rev. méd., 1885. ' SIGNES DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. ( ! 59 La palpation ne donne des re
ULAIRE. ( ! 59 La palpation ne donne des renseignements que quand l'
atrophie
est déjà assez avancée : la mollesse et la dépr
rence nette entre le côté atteint et le côté sain, alors même que l'
atrophie
est encore minime. La mensuration de la circonf
nsuration et la palpation suffisent le plus souvent à reconnaitre l'
atrophie
d'un muscle quand elle se révèle, comme il est
tion de volume d'un muscle n'est pas toujours proportionnelle à son
atrophie
, tant s'en faut, et qu'assez souvent le muscle at
phié ne diminue pas ou même augmente de volume : pour reconnaître l'
atrophie
, ce n'est plus alors l'anatomie du membre qu'il
assent de I l'état de repos à l'état de contraction, est un signe d'
atrophie
bien plus ( [il. LEM.] 660 ATROPHIES MUSCULAI
s où les muscles atrophiés doivent entrer en contrac- tion que leur
atrophie
se révèle le plus aisément, et c'est par la gêne
du malade, en par- ticulier avec sa profession : c'est ainsi que l'
atrophie
des petits muscles de la main, qui entrent en j
d'a- dresse, sera d'ordinaire bien plus rapidement ressentie que l'
atrophie
des muscles de l'épaule ou du bras, et cela sur
mains. Pour que ces mesures aient une valeur réclle, il faut que l'
atrophie
porte sur- tout sur un côté et que l'on puisse
trait dans les cas douteux de faire le diagnostic histologique de l'
atrophie
musculaire; divers instruments, des harpons, l'
ments. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL. ' 661 DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL L'
atrophie
musculaire se distingue de l'amaigrissement par s
usculaire se distingue de l'amaigrissement par sa loca- lisation. L'
atrophie
est localisée à un certain nombre de muscles ou d
du corps diminue à peu près dans les mêmes proportions. De plus, l'
atrophie
est localisée au tissu musculaire, alors que l'
clés. Pourtant, en général, l'amaigrissement entraine précocement l'
atrophie
musculaire, et les cachectiques amaigris sont d
indemnes. La paralysie est souvent très difficile à distinguer de l'
atrophie
intis- culaire ; toute paralysie complète, d'or
es incomplètes sont suivies, à plus ou moins brève échéance, \ de l'
atrophie
des muscles paralysés, car, comme tout organe, un
alysés, car, comme tout organe, un muscle ` qui ne fonctionne pas s'
atrophie
; toute amyotrophie devient une para- lysie le
enne (') de Boulogne est précisément d'avoir montré, en 1849, que l'
atrophie
musculaire n'est pas toujours un effet de la para
de la para- lysie motrice, mais qu'elle en peut être une cause. L'
atrophie
musculaire est facile à distinguer de la paralysi
tionnement ne soit pas sensiblement altéré. Chez certains sujets, l'
atrophie
de quelques muscles est très prononcée, leur puis
s d'autres muscles sont moins atteints et l'on lait le diagnostic d'
atrophie
musculaire en reconnaissant dans le mode d'évol
MUSCULAIRES. Mais le diagnostic devient plus délicat, soit quand l'
atrophie
ne s'accom- pagne pas de diminution de volume d
rophies d'origine spinale. FORMES CLINIQUES. - CLASSIFICATION - L'
atrophie
musculaire est un trouble trophique. Ce trouble t
mais sans doute dans ce cas l'altéra- tion pyramidale ne provoque l'
atrophie
musculaire que par l'intermé- diaire d'une modi
e affection nerveuse que ses autres signes permettent de classer. L'
atrophie
musculaire progressive dite Aran-Duchenne, form
n peut dire aujourd'hui qu'il existe un seul cas bien démon- tré (l'
atrophie
musculaire progressive vraie, par poliomyélite an
yélite antérieure chronique systématique. Bien plus fréquemment l'
atrophie
musculaire progressive se présente sous la form
ppement, déformations du squelette, du thorax, du crâne, absence ou
atrophie
congénitale de certains muscles, troubles psychiq
tale de certains muscles, troubles psychiques fréquents, début de l'
atrophie
par les muscles dont le développement s'est l'ait
ant, et cela quel que soit le siège de la lésion. C'est ainsi que l'
atrophie
Werdiii,-I-Ioffrriaiin, myélopathie, la paralys
a fois comme précocité et comme fréquence de l'hérédité, viennent l'
atrophie
facio-scalntlo-Inunérale de Landouzy-Dejerine,
phie facio-scalntlo-Inunérale de Landouzy-Dejerine, myopathie, et l'
atrophie
Charcot-Marie, myélopathie : ces affections déb
n total de plus de 100 cas; dans les rares cas jusqu'ici signalés l'
atrophie
Werdnig-IIoffmann s'est toujours montrée hérédita
us volontiers : c'est ainsi qu'Erh cite plusieurs sujets atteints d'
atrophie
juvénile dont les enfants ont été atteints de myo
être seulement au nombre encore relativement petit des cas connus d'
atrophie
Charcot-Marie, Werdnig-Ilolfmann et Gombault- 1
les malades et leurs descen- dants sont atteints de la même forme d'
atrophie
; chez les myopathiques, elle peut être homologu
a des familles où le sexe féminin jouit d'une véritable immunité. L'
atrophie
Werdnig-llotfmann a été jusqu'ici observée plus
ATHIES. sao Symptômes musculaires. Les caractères ordinaires de l'
atrophie
myopathique sont les suivants : absence de cont
aires, mélange en proportions variables dans les mêmes muscles de l'
atrophie
et de l'hypertrophie vraie ou fausse, rétractio
ellement à la conservation des muscles correspon- dants, début de l'
atrophie
par la racine des membres, évolution très lente
emblent particulièrement prédisposés, quelle que soit la cause de l'
atrophie
, tels les deltoïdes, les muscles pos- térieurs
remarqué; en particulier elles ont manqué dans la plupart des cas d'
atrophie
Werdnig- Hofïmann jusqu'ici signalés. Dans to
és. Dans tous les muscles atrophiés, quelle que soit l'origine de l'
atrophie
, il existe histologiqucment des libres hypertro
par Erb,; elle serait transitoire et ferait généralement place à l'
atrophie
: elle siégerait surtout aux membres supérieurs s
le et due à la fois à une hypertrophie partielle et à une partielle
atrophie
en longueur. L'hypertrophie partielle des myopa
émités sont au contraire atrophiées : c'est ce que Roth a dénommé l'
atrophie
longitudinale. La conséquence de cette double a
hie est d'ordinaire transitoire et fait place à un moment donné à l'
atrophie
; un certain nombre de muscles paraissent être to
; un certain nombre de muscles paraissent être toujours atteints d'
atrophie
dès le début, tels les muscles du bras et le long
MUSCULAIRES. une diminution de l'excitabilité proportionnelle il l'
atrophie
des muscles considérés; les contractions minium
e avait été longtemps consi- dérée comme signe caractéristique de l'
atrophie
d'origine musculaire; or les observations se mu
nt noté que le réflexe patellaire avait disparu avant toute trace d'
atrophie
des muscles de lai cuisse dans deux cas sur cin
tions'' l'abolition du réflexe rotulien bien plus fréquemment que l'
atrophie
du quadriceps. Pour ce qui est du réflexe oticr
e, mais de la cuisse même ne présentaient encore aucune apparence d'
atrophie
et que le réflexe rotulien subsistait encore, q
origine nerveuse, mais elles sont loin d'y être i constantes. . L'
atrophie
des myopathiques frappe d'ordinaire d'abord les m
ns : tel le cas, suivi d'autopsie, d'Oppenheim et Cassirer (') où l'
atrophie
s'était localisée aux membres inférieurs dans le
e et Thomas (2), également suivi d'autopsie, où la topographie de l'
atrophie
était celle de l'atrophie spinale Aran- Duchenn
suivi d'autopsie, où la topographie de l'atrophie était celle de l'
atrophie
spinale Aran- Duchenne typique. Dans ces deux c
volu- tion de la racine vers l'extrémité est la marche normale de l'
atrophie
myélopathique Werdnig-lIof1'mann. L'évolution
on de la maladie première. Tels sont les caractères ordinaires de l'
atrophie
myopathique ; comme on le voit, aucun d'eux n'e
caractères, d'autre part de la distribution et de l'évolution de l'
atrophie
qui ont permis d'en décrire des variétés topogr
passerons rapide- ment en revue la distribution et l'évolution de l'
atrophie
dans les diffé- rents types. Symptômes non mu
Gendre, Sclluitze (1), Lloyd(2) ont publié des observations où l'
atrophie
des os se trouve signalée. llal- lion a rappo
e d'un trau- matisme minime. C'est sans doute à une sem- blable
atrophie
osseuse, à un processus plus ou moins ostéo-
erre Marie sous le nom de « thorax en taille de guêpe». Peut-être l'
atrophie
de certains muscles abdominaux entre-t-elle aussi
ordose lombaire et de la cyphose dorsale de compen- sation dues à l'
atrophie
des muscles des gouttières vertébrales et de la
e Sacaze ('), de P. Marie e), de Scherb (5) ; il est possible que l'
atrophie
musculaire ait une certaine action sur la produ
e Thomsen suivie de myopathie sur d'autres muscles), de Rossoliino (
atrophie
frappant les muscles préalablement myotoniques).
, etc.). Gowers, Oppenheim. Damsch C) ont d'ailleurs remarqué que l'
atrophie
congénitale portait particulièrement d'ordinaire
de la myopathie, parce qu'ils montrent qu'elle n'est pas une simple
atrophie
musculaire, mais une maladie portant plus ou mo
oggie 2). L'affaiblissement progressif des masses musculaires, avec
atrophie
ou pseudo-hypertrophie, prédominant aux membres
et à la maladie. La pseudo-hypertrophie fait généralement place à l'
atrophie
à une période avancée de l'évolution. MYOPATH
atte- ments ; la mort semble pouvoir être aussi la conséquence de l'
atrophie
des intercostaux et du diaphragme. Mais presque
diaphragme. Mais presque toujours les malades, immobilisés par une
atrophie
très étendue et des déformations très pro- nonc
nne du muscle et est parfois plus apparente que réelle a cause de l'
atrophie
de la portion supérieure (atrophie longitudinal
pparente que réelle a cause de l'atrophie de la portion supérieure (
atrophie
longitudinale de Both). Les sus- et sous-épineux.
rarement altéré (cas de Landouzy et Dejerine, de F. Pick, etc.); l'
atrophie
porte surtout sur sa portion clavi- culaire. L'
co-hracloial, le grand et le petit ronds résistent généralement à l'
atrophie
. Les muscles extenseurs et fléchisseurs de l'av
erine dont nous parlerons ci-dessous, mais dans cette dernière leur
atrophie
est précoce et prédominante. Les atrophies, s
rminent des déformations et des troubles spéciaux des mouvements. L'
atrophie
des muscles qui s'insèrent à l'omoplate déter-
its. Le faisceau supérieur du trapèze, qui résiste parfois seul à l'
atrophie
de presque toute la musculature cer- vicale, fo
errompue par cette saillie anormale très caracté- ristique. Quand l'
atrophie
des épaules et des bras est très prononcée, le
avant ou en arrière au moyen d'une brusque rotation du tronc. L'
atrophie
des membres inférieurs, des masses sacro-lombai
, * z et les parents ne s'en aperçoivent généralement, que quand l'
atrophie
est déjà très prononcée; c'est souvent à cause
o- phie des masticateurs par Reinhold ('), parHoff- mann (*), l'
atrophie
à la fois du releveur de la paupière et des masti
et par P. Marie (). Le malade de Bouveret, présentait en outre une
atrophie
très notable des muscles- de la langue, celui d
ophie très notable des muscles- de la langue, celui de Reinhold une
atrophie
légère de la langue, surtout à droite, des trou
observation de deux jumeaux myopa- thiques présentant tous deux une
atrophie
de la langue et une forte pa- résie du voile ;
langue et une forte pa- résie du voile ; l'un d'eux seul avait une
atrophie
notable des masticateurs. De la face l'atrophie
'eux seul avait une atrophie notable des masticateurs. De la face l'
atrophie
s'étend aux épaules et aux membres supé- rieurs
rale pure, mais les mêmes muscles sont beaucoup plus résistants à l'
atrophie
que les muscles environnants; seul d'entre eux le
rophie que les muscles environnants; seul d'entre eux le deltoïde s'
atrophie
parfois ou s'hypertrophie partiellement ou totale
sque toujours inaltérés; cependant SpiUer (1) a constaté une fois l'
atrophie
du diaphragme; Dttchenne a observé un cas où le
ves sur ce cas parce qu'il leur est arrivé de faire un diagnostic d'
atrophie
des intercostaux que l'autopsie n'a pas confirm
dans la forme scapulo-humérale, en ce sens que la progression de l'
atrophie
est Fig. i. Faciès myopathique. La malade ne
e très fréquem- ment des cas où l'on remarque en plus ou en moins l'
atrophie
non clas- sique de tel ou tel muscle ou groupe
ées encore par l'en- semble des caractères que l'on a attribués à l'
atrophie
des muscles supposée, à tort ou à raison, proto
elles ont fait défaut dans la plupart des cas jusqu'ici signalés d'
atrophie
W erdnig-lIol1mann. ) L'absence de pseudo-hyper
e dégénérescence, totale ou partielle, a été trouvée dans les cas d'
atrophie
Charcot-Marie ou Werdnig- Hoffmann au niveau de
ot-Marie ou Werdnig- Hoffmann au niveau des muscles dont le degré d'
atrophie
était favorable. s) Les modifications des réfle
tait favorable. s) Les modifications des réflexes tendineux. Dans l'
atrophie
Charcot- Marie ils sont abolis ou diminués dans
rés rarement (Sainton); ces modifications sont indé- pendantes de l'
atrophie
des muscles et de l'ancienneté de l'affection. Da
ffmann les réflexes tendineux étaient abolis. s) L'évolution de l'
atrophie
myélopathiqur est différente de celle de l'atro
'évolution de l'atrophie myélopathiqur est différente de celle de l'
atrophie
myopathique : dans le type Charcot-Marie parce qu
tissus autres que le tissu musculaire. Dans le type Charcot-Marie l'
atrophie
des os, signalée une fois par Hoffmann, n'a pas
'-11AII11 ? gaz Variétés. Les signes différentiels cliniques de l'
atrophie
Charcot-Marie et de l'atrophie Werdnig-ttou'man
signes différentiels cliniques de l'atrophie Charcot-Marie et de l'
atrophie
Werdnig-ttou'mann résident surtout dans l'âge du
nfance, fréquemment dans l'adolescence, rarement plus tard, par l'
atrophie
des muscles des pieds et des jambes. Exceptionn
2), ller-. ringham (3), Sainton) (*). . Aux membres inférieurs, l'
atrophie
atteint au pied tous les muscles, en particulie
, mais les muscles de la région postérieure restent indemnes et l'
atrophie
ne remonte jamais au delà du tiers inférieur de
fes- siers paraissaient un peu touchés. Aux membres supérieurs, l'
atrophie
frappe d'abord les mains, soit les éminences th
les supinateurs. 11 est tout il fait exceptionnel de constater une
atrophie
légère de quelque muscle du bras ou de l'épaule
Paris, 188 ! J. v [A LÉRI.] lig. 9. Amyotrophie Charcot- Marie.
Atrophie
considérable des jambes et des pieds, jambes de
eds, jambes de ('0'1, pieds creux et cambrés, orteils en grilles;
atrophie
des cuisses en jarretière, atrophie modérée d
cambrés, orteils en grilles; atrophie des cuisses en jarretière,
atrophie
modérée des mains. 694 ATROPHIES MUSCULAIRES.
tière, atrophie modérée des mains. 694 ATROPHIES MUSCULAIRES. L'
atrophie
est facile à reconnaître par l'examen des membres
d'une jambe mince, effilée, sans saillie du mollet. A la cuisse, l'
atrophie
, ne portant que sur le tiers inférieur, prend l
tiers inférieur, prend l'aspect tout à fait caractéristique de l' «
atrophie
en jarretière » ; quand les jambes sont rappro-
altérés, mais d'une façon très variable, proportion- nelle à l'
atrophie
des mus- cles correspondants. Dans la station
avons connu un amyotro- phique Charcot-Marie qui, malgré une grosse
atrophie
de ses membres inférieurs qui l'empêchait de ma
, faisait quotidienne- ment de longues promenades à bicyclette. L'
atrophie
des mains ne diffère pas del'amyotrophiediteÀran-
ement réductible. Les avant-bras sont minces, aplatis, ballants : l'
atrophie
« en man- chette » s'arrête d'ordinaire au tier
s sont souvent le signe révélateur de l'affection, alors même que l'
atrophie
est déjà beaucoup plus prononcée aux mem- bres
ctions sont souvent remarqua- blement conservées pour le degré de l'
atrophie
; l'adaptation des membres aux différents usages
ejerine et Armand-Delille ()1 ont jusqu'ici révélé, en dehors d'une
atrophie
des cellules des cornes antérieures et d'une al
es nerfs, une dégé- nération prononcée des cordons postérieurs. L'
atrophie
des nerfs optiques a été signalée jusqu'ici dans
n, de Gordon, de Ballet et Rose : sa cause est encore inconnue. L'
atrophie
, qui débute par les membres inférieurs, n'envahit
upérieurs, mais les cas décrits par cet auteur, cas dans lesquels l'
atrophie
avait gagné les épaules et qui n'ont pas été suiv
ont pas été suivis d'autopsie, sont sans doute tout différents de l'
atrophie
Charcot-Marie. La marche de la maladie est extr
ue maladie intercurrente. 2. Type Werdnig-Hoffmann. - Cette forme d'
atrophie
est extrêmement rare ; on n'en connait que les
nig et par Hoffmann ont appris que le substratum anatomique est une
atrophie
des cellules radiculaires anté- rieures de la m
atrophie des cellules radiculaires anté- rieures de la moelle. L'
atrophie
débute dans la première enfance (fin de la premiè
rieurs, puis du dos. Cet affaiblissement est rapidement suivi par l'
atrophie
symé- trique des muscles des cuisses, du bassin
ie symé- trique des muscles des cuisses, du bassin et du dos. Cette
atrophie
frappe les muscles en masse et rapidement ; ell
pprennent pas à se tenir do- bout ni à marcher. La paralysie et l'
atrophie
s'étendent en même temps aux muscles du cou et
peuvent s'atro- phier et la mort peut être la conséquence de cette
atrophie
. L'atrophie a partout les caractères de l'atrop
o- phier et la mort peut être la conséquence de cette atrophie. L'
atrophie
a partout les caractères de l'atrophie myélopathi
équence de cette atrophie. L'atrophie a partout les caractères de l'
atrophie
myélopathique. à part la rareté des contraction
s récents de Bruns qui se sont prolongés jusqu'à 12 et 15 ans. C.
ATROPHIE
MUSCULAIRE MYÉLO-NÉVRITIQUE . DE L'ENFANCE ET D
ifférant par certains caractères de la forme Gombault-Dejerine. - L'
atrophie
débute dans l'enfance ou l'adolescence, Elle prés
l'enfance ou l'adolescence, Elle présente tous les caractères' de l'
atrophie
d'origine nerveuse : contractions fibril- laire
gression se fait de l'extrémité vers la ra- cine des membres ; l'
atrophie
peut être presque généralisée et atteindre même
ine). Ce qui caractérise cette affection, c'est l'association à l'
atrophie
(plus ou moins semblable à celle dela variété C
us la peau (P. Marie) ; cette hy- pertrophie ne se trouve ni dans l'
atrophie
Charcot-Marie ni, au même degré, dans aucune
Névrite interstitielle hy- pertrophique (malade de Pierre Marie).
Atrophie
des jambes et des pieds, atrophie des mains, cy
hique (malade de Pierre Marie). Atrophie des jambes et des pieds,
atrophie
des mains, cypho- scoliose. Chez ce malade on v
ies acquises, myélopathiques.) 1 ATROPHIES A TYPE DUCHENNE-ARAN L'
atrophie
musculaire progressive de l'adulte est presque to
différenciée, est l'amyotrophie dite Aran-Duchenne. Elle répond à l'
atrophie
et à la dispa- rition des cellules radiculaires
ur, que l'affection se révèle. Parfois, c'est par les épaules que l'
atrophie
commence ou semble commencer, beaucoup plus rar
eDuchenne avait décrite et représentée comme caractéris- tique de l'
atrophie
musculaire progressive. Les muscles de l'avant-
uvement actif : c'est la main de squelette, la main de cadavre. L'
atrophie
gagne les bras et, plus souvent, les épaules, soi
»; B, main que Duchenne considérait comme caractéristique de son
atrophie
musculaire progressive et qui est sans doute une
la doublure musculaire, se creuse de gouttières transversales par l'
atrophie
des inter- costaux et se trouve réduit au « gri
mbe tout à fait sur le sternum et ne peut être relevée à cause de l'
atrophie
des extenseurs de la tète, et en particulier du
ns » de Duchenne. Les membres inférieurs prennent rarement part à l'
atrophie
: elle commence par les petits muscles du pied
t uniformément émacié très caracté- ristique. Les caractères de l'
atrophie
sont ceux des atrophies myélopathi- ques que no
partie de la musculature ou localisées à quelques muscles en voie d'
atrophie
, plus particulièrement à certains d'entre eux,
ctilité électrique varie pour chaque muscle suivant la période de l'
atrophie
, et même pour chaque faisceau musculaire, car les
La contractilité faradique diminue progressivement jusqu'à ce que l'
atrophie
soit complète. La contractilité galvanique diminu
ence n'apparaît donc dans chaque muscle qu'à un moment donné de son
atrophie
; son apparition est la règle dans les atrophies
s est normale ou diminuée, rarement abolie. Remak a décrit dans l'
atrophie
Aran-Duchenne une « contraction diplégique », p
nt variables, mais leur variation ne paraît pas proportionnelle à l'
atrophie
. Ils sont en général diminués dès le début; dan
Ils sont en général diminués dès le début; dans certaines formes d'
atrophie
Duchenne-Aran, dans la pachy- méningite cervica
t pas toujours symétriquement atrophiés, il est ordinaire de voir l'
atrophie
d'un segment de membre précéder de quelques mois
iques, tachycardiques et arythmiques que l'on a attribuées soit à l'
atrophie
du diaphragme (respiration paradoxale avec rétr
aryngée). Ces crises sont peut-être dues aussi en grande partie à Y
atrophie
de la musculature viscérale, et en particulier
en particulier du coeur : nous avons, en effet, trouvé une fois une
atrophie
musculaire presque complète de tous les organes
diminués. Dans la sclérose latérale amyotrophique, au syndrome de l'
atrophie
progressive des cellules radiculaires antérieur
ence. La paralysie et la contracture se joi- gnent rapidement à l'
atrophie
ou la précèdent et, en dehors des signes ordi
avancé, presque toujours sans atteinte des membres inférieurs. L'
atrophie
, comme les autres troubles, est souvent très inég
la polyomyélite antérieure chronique vraie : parésie précé- dant l'
atrophie
, douleurs, évolution rapide. Aucun de ces symptôm
g. '14. 3léiiiii qa-myél7te sy- philitique ayant évolué comme une
atrophie
musculaire pro- gressive. Atrophie des' mains,d
litique ayant évolué comme une atrophie musculaire pro- gressive.
Atrophie
des' mains,du type Aran-Duchenne. Atrophie de
culaire pro- gressive. Atrophie des' mains,du type Aran-Duchenne.
Atrophie
des membres inférieurs. AMYOTROPHIES TYPE ARA
des membres inférieurs. AMYOTROPHIES TYPE ARAN-DUCHENNE. 705 l'
atrophie
, quelle que soit la lésion causale, parce que la
eurs; parfois aussi on trouve des atrophies diversement localisées,
atrophie
de la langue, des muscles innervés par la branc
tre d'une névrite : les premières au contraire, et en particulier l'
atrophie
Aran-Duchenne, dépendent sûre- ment d'une atrop
en particulier l'atrophie Aran-Duchenne, dépendent sûre- ment d'une
atrophie
des cellules radiculaires antérieures de la moell
dans les névrites : il semble logique d'admettre aujourd'hui que l'
atrophie
d'origine spinale dans le tabès peut n'en pas ê
ur la méninge et le cordon postérieurs (P. Marie et Guillain), de l'
atrophie
musculaire par sa localisation sur les cornes a
à la paralysie générale. Dans certaines névrites on peut observer l'
atrophie
type Aran- Duchenne ; dans la névrite saturnine
is nous croyons devoir émettre des doutes sur l'origine réelle de l'
atrophie
dans le cas où elle est étendue et progressive; d
e et progressive; dans la moelle d'un vieux saturnin, chez lequel l'
atrophie
, d'abord localisée aux extrémités suivant le ty
xiques sont en réalité des m/élopatlhies toxiques. L'évolution de l'
atrophie
, la paralysie plus ou moins marquée du début, l
ation de l'opinion que nous exprimons ici : ce malade, présentant une
atrophie
musculaire presque généralisée, ayant débuté pa
musculaire presque généralisée, ayant débuté par les mains comme une
atrophie
Ai'im- Duchenne et s'étant propagée ensuite non
07 prouver; mais, dans presque tous les cas, d'autres lésions que l'
atrophie
des cellules radiculaires, lésions médullaires
tion plutôt régressive que progressive, sinon pour l'intensité de l'
atrophie
, du moins pour son étendue. Si vastes qu'elles
altat, de Duplay et Cazin, de Van Gehuchten n, qui ont constaté une
atrophie
simple des muscles sans aucune altéra- tion inf
montré qu'on pouvait expérimentalement empêcher l'apparition d'une
atrophie
réflexe par la section préalable des racines po
patholo- gique, les autres par l'expérimentation, ont montré que l'
atrophie
pou- vait être due à des lésions véritables des
de lésions abarticulaires. a) Atrophies d'origine articulaire. Une
atrophie
musculaire peut apparaître au cours ou à la sui
épaule, les fessiers pour une lésion de la hanche. Des extenseurs l'
atrophie
peut s'étendre aux fléchisseurs, mais en restan
s segments situés au-dessous de l'articulation lésée. Quelquefois l'
atrophie
présente une localisation conforme à la topogra
carie sèche de l'articulation scapulo-humérale, Ilalipré (') a vu l'
atrophie
affecter tous les muscles du groupe Duchenne-Er
aque de rhumatisme polyarti- culaire, par exemple, peut simuler une
atrophie
musculaire progressive. L'atrophie est ordinair
e, par exemple, peut simuler une atrophie musculaire progressive. L'
atrophie
est ordinairement peu prononcée, elle peut parfoi
érences de circonférence de 5 ou 6 centimètres et plus. C'est une
atrophie
simple, elle ne s'accompagne pas d'hypertrophie
bilité électrique est normale ou dimi- nuée proportionnellement à l'
atrophie
, mais jamais on n'observe de modification quali
mamlic, 1 (JO;), p. 425. [A. LÉRI. 710 ATROPHIES MUSCULAIRES. L'
atrophie
de cause articulaire s'accompagne ordinairement d
moins au début; cette parésie semble même précéder ordinairement l'
atrophie
, et l'impotence fonctionnelle est excessive si on
temps, mais que le muscle n'augmente pas pour cela de volume, que l'
atrophie
subsiste, augmente même plutôt qu'elle ne dimin
culaire provocatrice, mais le fait n'est nullement constant, et une
atrophie
peut persister indéfiniment à la suite d'une ar
r indéfiniment à la suite d'une arthrite tout à fait passa- gère. L'
atrophie
, quelle que soit sa durée, est d'emblée circonscr
eine intra-musculaire (coup de fouet, Charcot). Les caractères de l'
atrophie
d'origine abarticulaire sont identiques à ceux
s de l'atrophie d'origine abarticulaire sont identiques à ceux de l'
atrophie
arthrogène ; elles sont parfois très étendues, or
ésie aiguë, dès la 2e ou la le semaine (Lasègue, Desplats). Quand l'
atrophie
ne frappe que les muscles inter- costaux, on pe
rédominant, c'est elle qui commande avant tout la distribution de l'
atrophie
. L'atrophie est d'ail- leurs d'une fréquence et
c'est elle qui commande avant tout la distribution de l'atrophie. L'
atrophie
est d'ail- leurs d'une fréquence et d'une inten
as il est difficile de dire si la paralysie précède véritablement l'
atrophie
, il semble que la parésie soit d'ordinaire prop
mbres infé- rieurs). .. - . Dans la paralysie spinale infantile l'
atrophie
ne se montre que long- temps, six semaines au m
d très étendue ou généra- lisée, ensuite régressive et localisée. L'
atrophie
se montre exclusivement au niveau des groupes m
scapulo-huméral) : elle s'y loca- lise parfois. - Toujours cette
atrophie
est accom- pagnée d'un arrêt de développement
bres inférieurs où elle peut dissimuler plus ou moins longtemps l'
atrophie
; les rétractions fibro-musculaires sont ha- b
tuelles dans les antagonistes des muscles les plus atropines. Cette
atrophie
est à peu près irrémédiable ; elle envahit d'embl
e proche en proche. Pourtant on a cité un certain nom- bre de cas d'
atrophie
musculaire progressive survenant très tardive-
itaire, 1' « infériorité originelle », dans les lésions, Fig. 15. -
Atrophie
considérable du membre inférieur gauche à la su
culièrement friable et vulnérable du foetus et du nouveau-né ('). L'
atrophie
musculaire peut affecter chez l'adulte les mêmes
us en avons publié avec Wilson un cas absolument typique (2). ' L'
atrophie
consécutive à une hématomyélie est toujours secon
se traduisent par une paraplégie ou par une paralysie ascendante, l'
atrophie
est rare et légère; on constate surtout une éma
i- plégie, diplégie, paraplégie, monoplégie, on peut constater de l'
atrophie
1. C)nn)t ! ? < et Léhi. Acad. des Se, 16 ma
OPHIES MUSCULAIRES. ' ' dés membres paralysés; dans, tous ces cas l'
atrophie
musculaire n'est qu'un des éléments du trouble
ulier le tissu osseux; elle est plus ou moins propor- tionnelle à l'
atrophie
des os, au moins à leur atrophie en épaisseur, ma
lus ou moins propor- tionnelle à l'atrophie des os, au moins à leur
atrophie
en épaisseur, mais n'est nullement proportionne
trêmement prononcé, il fait défaut exceptionnellement (P. Marie); l'
atrophie
frappe avec prédilection le membre supérieur, e
muscles du tronc et la cage thoracique ne sont pas respectés. L'
atrophie
musculaire et os- seuse des hémiplégies cérébra
es éléments des muscles, des os, des nerfs, de la moelle, etc. («
atrophie
numérique » de Jiuppel) ly. Dans l'hémiplégie d
rophie numérique » de Jiuppel) ly. Dans l'hémiplégie de l'adulte, l'
atrophie
musculaire est loin d'être exceptionnelle, mais
altération morphologique; plus tard Dejerine a rapporté des faits d'
atrophie
mus- 1. 11LIPPIsL. Presse médit, 3J juillet 189
phie mus- 1. 11LIPPIsL. Presse médit, 3J juillet 1897. Fig. 16. -
Atrophie
des membres paralysés dans un cas d'hémiplégie
un cas d'hémiplégie gauche avec para- lysie cérébrale infantile. L'
atrophie
est sur- tout nette au niveau des membres supér
., avril 1898. ' [A. LERI-1 Fig. 17. Hémiplégie gauche acquise.
Atrophie
du côté correspondant du tronc et dcs membres.
exceptionnellement la réaction de dégénérescence, assez souvent une
atrophie
du squelette en épaisseur et même en lon- gueur
ons des nerfs moteurs ou mixtes provoquent des paralysies suivies d'
atrophie
musculaire : ces lésions sont traumatiques (sec
usions d'un nerf, la paralysie et l'amyotrophie sont superposées, l'
atrophie
succédant de peu à la para- lysie ; la localisa
s sec- tions incomplètes, des plaies ou contusions, la paralysie, l'
atrophie
et les troubles objectifs de la sensibilité son
s voisins, puis à la main, à l'avant-bras, au bras. Le doigt lésé s'
atrophie
, s'el'lile, sa peau devient mince, lissé, luisant
re à son tour subit les mêmes modifications. Puis, après la main, l'
atrophie
musculaire gagne souvent l'avant-bras, le bras
laircs sont fréquentes. L'examen radioscopique montre par- fois une
atrophie
dans l'épaisseur des os. Tardivement la douleur p
ifs peuvent prédominer sur les troubles moteurs ou inver- sement. L'
atrophie
musculaire présente les caractères ordinaires de
ment. L'atrophie musculaire présente les caractères ordinaires de l'
atrophie
d'origine périphérique : absence de contractions
(ordinaires, mais inconstants), les paralysies; un peu plus tard l'
atrophie
envahit en masse les muscles préalablement paraly
ertrophies nodulaires de périnévrite réparties le long des nerfs. L'
atrophie
affecte très souvent le type Duchenne-Aran : elle
l la polynévrite, mais il faut sans doute faire une part dans cette
atrophie
progressive à la poliomyélite, car le bacille de
troubles sensitifs objectifs et réaction de dégénérescence, mais l'
atrophie
musculaire est rare. La guérison rapide ATROPHI
les consistent surtout en paralysies douloureuses circonscrites ; l'
atrophie
musculaire peut être considérable, elle est gén
e et musculaire précèdent toujours la paralysie ; la paralysie et l'
atrophie
sont cependant presque constantes ; elles se lo
muscles innervés par le radial, à l'exception du long supinateur; l'
atrophie
rapide de ces muscles est presque constante, la
laires névritiques du tabes n'est pas encore résolue. A propos de l'
atrophie
spinale type Duchcnne-Aran, nous avons noté déj
e l'atrophie spinale type Duchcnne-Aran, nous avons noté déjà que l'
atrophie
du tabes se présente parfois sous cette forme e
ires antérieures par la méningo-myélite syphilitique; cette forme d'
atrophie
ne diffère pas en effet de la forme myélopathique
que l'on pouvait trouver dans le tabes une dé- générescence et une
atrophie
des grandes cellules motrices. Mais la forme la
n- sion de la première phalange et flexion des autres. Puis l'
atrophie
envahit les muscles de la jambe et surtout le
que les mouvements de latéralité sont conservés et même exagérés. L'
atrophie
des jambes est souvent très considérable ; elle
a moelle, et dans les trois observations de Raymond et Philippe une
atrophie
des cel- lules radiculaires antérieures semblai
trophie classique des membres inférieurs. Il est possible que cette
atrophie
musculaire des tabétiques reconnaisse pour cause
trophie musculaire des tabétiques reconnaisse pour cause tantôt une
atrophie
des cellules motrices, tantôt une névrite primiti
) Atrophies consécutives à une paralysie d'origine fonctionnelle. -
Atrophie
musculaire hystérique. La réalité de l'atrophie
fonctionnelle. - Atrophie musculaire hystérique. La réalité de l'
atrophie
musculaire hystérique a été démontrée par Charcot
t, Gilles de la Tourette, etc.). Mais il n'en reste pas moins quc l'
atrophie
purement hystérique doit être considérée de plu
tions minimes des voies nerveuses centrales et périphériques. Cette
atrophie
peut peut-être être considérée comme due à l'in
résulte presque toujours du défaut de fonctionnement des muscles. L'
atrophie
hystérique porte toujours sur un membre paralysé,
. [A. LÉRI.] 728 ATROPHIES MUSCULAIRES. retarder quelque peu l'
atrophie
de certains muscles, mais rien n'est moins cert
essitent une immobilisation pro- longée de la région qui favorise l'
atrophie
. Des corsets divers peuvent plus ou moins rendr
de l'affection causale : la relation n'est nullement absolue. A l'
atrophie
elle-même, il faut appliquer un traitement préven
ans les lésions articulaires, le meilleur traitement préventif de l'
atrophie
réflexe consiste dans le massage doux, commencé s
ilisation, mais même le massage doux. Le traitement curatif d'une
atrophie
réflexe sera plus complexe. Le I. Raymond. Soc.
infantiles. La laxité excessive de certaines' articulations due à l'
atrophie
des muscles qui les meuvent sera parfois, avec
actère héréditaire ou familial. a) Myopathie : 1. Caractères de l'
atrophie
musculaire : Absence de contractions fibrillaires
es accessoires inconstants, troubles divers du développement : os :
atrophie
, aplatissement du thorax et taille de guêpe, thor
zy-Dejerine : 2" enfance. b) Myélopathies : .' 1. Caractères de l'
atrophie
: Contractions fibrillaires (pas dans la forme \\
fouet; séreuses : atro- phies pleurétiques, etc. Caractères de l'
atrophie
: caractères de l'atrophie simple, myopathique, m
phies pleurétiques, etc. Caractères de l'atrophie : caractères de l'
atrophie
simple, myopathique, mais absence de pseudo-hyp
t limi- tées ; durée prolongée. B) Consécutives A une paralysie :
atrophie
de tout ou partie des muscles préalablement par
périphérique : lésions des nerfs périphériques : 1. Caractères de l'
atrophie
: pas de contractions fibrillaires ; pas de pseud
ion anormale du volume d'un muscle est plus souvent le signe de son
atrophie
que de son hypertrophie. En dehors de l'augmentat
e de relation, au niveau des muscles des membres et du tronc, que l'
atrophie
musculaire y est fréquente. Il en est tout autrem
[A. LÉRI ] 7.ÏN Illl'I : li'l'ISlll'lllla llll : l;1..111s1;s.
atrophie
musculaire : le stade d'hypertrophie indique déjà
s en amènent plus ou moins précocement l'hypertrophie, avec ou sans
atrophie
des muscles voisins. Mais dans ces cas encore,
S PRÉATROPHIQUES Nous avons dit que dans tous les muscles en voie d'
atrophie
, quelle que soit l'origine de l'atrophie, on tr
tous les muscles en voie d'atrophie, quelle que soit l'origine de l'
atrophie
, on trouve des fibres hypertrophiées. Erh, qui
thies, le nombre des fibres hypertrophiées dans un muscle en voie d'
atrophie
n'est jamais assez considérable pour que le mus
typer- - trophiée, les extrémités des fibres s'atrophiant; cette «
atrophie
longitu- dinale » (Roth) détermine la formation
r Marinesco ; ces auteurs croient, qu'elle s'associe toujours à une
atrophie
longitudinale, et que la saillie contractile pl
l'existence de fibres d'un volume énorme dans les muscles en voie d'
atrophie
, s'explique par le fait que l'hypertrophie est
éalable d'hyper- trophie soit indispensable, pour toute fibre qui s'
atrophie
. L'hypertrophie préatrophique est donc déjà un
ulaires s'hypertrophient généralement, puisque nous avons dit que l'
atrophie
n'est pas un simple trouble trophique, niais qu'e
ement les matériaux contractiles : ce processus sera l'origine de l'
atrophie
. .Ces caractères distinguent les fibres atteint
r que l'hypertrophie de certaines fibres dans les muscles en voie d'
atrophie
esl - une hypertrophie fonctionnelle vicariante
ion sur les mêmes muscles ou sur des muscles voisins de caractères (
atrophie
, hypertrophie préatro- phique ou permanente, co
ans un cas de Friedreich et dans le cas de Bressler, il y avait une
atrophie
de certains muscles en même temps qu'une hypert
x portions différenciées de la fibre; c'est pourquoi il n'y a pas d'
atrophie
consécutive à l'hypertrophie. Si nous nous rapp
rose des nerfs auditifs (le signe de Rombcrgpcut être dû à la seule
atrophie
des nerfs labyrinthiques et, d'après serait mêm
non incontinence des sphincters, abolition des réflexes tendineux,
atrophie
musculaire; il n'y a pas de signe d'Argyll- Rob
crises gastralgiques, frigidité et impuissance, troubles oculaires,
atrophie
musculaire, maux perforants, chute des ongles e
e Romberg; on n'observe ni troubles vésicaux, ni signe d'Argyll, ni
atrophie
papillaire. Ces troubles sont très différemment
ntré que la lésion essentielle de cette affection consistait en une
atrophie
des cellules de Purkinjc du cer- velet : l'inco
et des masses musculaires, la fréquence et souvent l'intensité de l'
atrophie
des muscles douloureux, la topographie périphériq
airement accompagnée d'épilepsie ou de troubles mentaux graves. L'
atrophie
Oll.vO-0)t ! o-C('1'Glllll(SG, isolée par Dejerin
qui sont beaucoup plus riches en symptômes que les scléroses ou les
atrophie
*, il est souvent beaucoup plus marqué, il s'acc
ubles sont sans doute dus à un mélange de paralysie, d'hypotonie, d'
atrophie
musculaire et de contracture plus qu'à une alté
s mus- cles de l'oeil; la présence dans près du tiers des cas d'une
atrophie
optique présentant il peu près les caractères o
il peu près les caractères ophlhalmoscopiques et fonctionnels de l'
atrophie
tabétique, mais aboutissant rarement à la cécité
titesse de tout le système nerveux central, surtout de la moelle, l'
atrophie
de la substance grise, la dégénération partielle
superficiels qui sont parfois saillants sous la peau IP. Marie), l'
atrophie
musculaire manifeste des membres inférieurs et
il lance ses jambes; il ne talonne pas pourtant, car il cause de l'
atrophie
mnscu- laire ses pieds sont pendants et il a un
INATIONS. Variétés topographiques : a) Affections du cervelet :
Atrophie
ou sclérose : syndrome pur- ou associé à épilepsi
x muscles, ni dans l'une ni dans l'autre il n'y a de paralysie ou d'
atrophie
. La physiologie pathologique et la pathogénie d
et l'on observe une hémi- plégie double, soit que la paralysie et l'
atrophie
linguales demeurent iso- lées, unies ou bilatér
t encore entravé par la paralysie des constricteurs du 1. Lorsque l'
atrophie
est peu prononcée, le malade, s'il n'est point. L
'abord des troubles de la motilité linguale, de la dysartbric, de l'
atrophie
marquée de la langue. Les lèvres, le men- ton s
lésion se traduit en effet par des symptômes parfois très frustes (
atrophie
olivaire de Pierre Marie et Guillain, atrophie ol
arfois très frustes (atrophie olivaire de Pierre Marie et Guillain,
atrophie
olivo-rubro-céré- helleuse de Lejonne et Lhermi
- helleuse de Lejonne et Lhermitte). parfois nettement cérébelleux (
atrophie
olivo-ponto-cérébelleuse de Dejerine et Thomas)
r- tension crânienne fait défaut. Diagnostic. Il n'existe point d'
atrophie
chez les pseudo-bul- baires, gâteux présentant
o-labio-palato-pharyng('.e avec hémia trophiedroitcdela langue, une
atrophie
du faisceau supérieur du trapèze droit, un comp
ompagnées ni de troubles trophiques, ni de troubles électriques : l'
atrophie
musculaire et la réaction de dégénérescence fon
ie congénitale liées lune et l'autre à de gros accidents cérébraux,
atrophie
et sclérose corticales, microgyrie, porencéphal
s du complexus symptomatique bulbaire ; plus tard se décèleront une
atrophie
musculaire notahle et des troubles des réaction
és. L'intelligence est intacte. Il est exceptionnel d'observer de l'
atrophie
musculaire, mais les tremblements fibrillaires
actérisées de la myasthénie est simple. Dans les myopathies, il y a
atrophie
musculaire, et l'impotence est au prorata de la
ilité et en particulier le tremblement kinétiquc et statique dans l'
atrophie
olivo- ponto-cerebelleuse. Gordon Holilles a dé
l'a observé également dans la sclérose en plaques ou au cours de l'
atrophie
musculaire (Fiarges Priécracini et Tamburini).
e véritable, particulièrement des adducteurs du pouce, souvent avec
atrophie
; on a noté aussi, à titre d'exception, du trem
ement dou- loureuse, accompagnée de douleurs le long des nerfs et d'
atrophie
muscu- laire (Donath) (1). Elle est quelquefois
les syringomyéliques. Ces malades peuvent, en effet présenter de l'
atrophie
osseuse ou téguinen- faire et notamment de l'hé
lie un nombre extraor- dinaire d'altérations trophiques, soit que l'
atrophie
, musculaire simple réalise la déformation dite
se la déformation dite main de singe ou main de cadavre, soit que l'
atrophie
musculaire, la contracture et les rétractions ten
icile de savoir quel est le rôle du trophisme proprement dit dans l'
atrophie
testi- culaire d'un tabétique, par exemple, ou
pré- sentent souvent une intelligence obtuse, de la frigidité avec
atrophie
testi- culaire. Mais celle-ci peut-elle être te
varie du diamètre d'une cerise à celui d'une orange, subissent une
atrophie
locale des tissus sous-cutanés s'étendant jusqu
t destructions osseuses. Ces lésions sont à distinguer des cas où l'
atrophie
osseuse, sans lésion des tégu- ments, intervien
us serons assez brefs sur ces différents Fig. 10. Griffe lépreuse :
atrophie
. des éminences thénar -et hypothé- nar. Le m
syringomyélie, le tabès, la sclérose en plaques, on a signalé leur
atrophie
, accompagnée parfois de chan- gement de colorat
surtout d'arrêt de développement. 11 y a dans ces cas non seulement
atrophie
de squelette, mais réduction du membre entier;
à la suite de trauma- tismes, de brùlures étendues survient une
atrophie
numérique (Klippel), un arrêt de développemen
omyélie (d'après Ilal- lion). Fig. 14. Paralysie infantile avec
atrophie
considérable de tout le membre supé- rieur dr
bre supé- rieur droit. - ! )0 ' 1 TROUBLES TROPHIQUES. aire d'
atrophie
cutaneo-osseusc, cantonnée généralement au niveau
1 ic, les tumeurs b ulbo- proLuhérnn- ticlles. - En dehors de l'
atrophie
osseuse massive, les affections du système ne
e ce traité; rappelons seulement la lipomatose qui masque parfois l'
atrophie
musculaire, et les déformations rachidiennes, les
culaire, et les déformations rachidiennes, les scolioses, liées à l'
atrophie
des muscles des gouttières vertébrales. Les aff
lation, de reptation sur place, coexistant avec un degré variable d'
atrophie
de l'organe. Le, plus ordinairement les secousses
peuvent être fonctionnelles ou organiques et s'accompagner ou non d'
atrophie
. La paralysie totale de la langue sans atrophie
ompagner ou non d'atrophie. La paralysie totale de la langue sans
atrophie
se voit chaque fois que la lésion siège au-dess
double hémiplégie. Lue paralysie ou mieux une parésie totale, sans
atrophie
fait encore partie du syndrome myaslhénique d'E
ction électrique spéciale. Avec les lésions bulbaires se montrent l'
atrophie
, les secousses fibril- laires, la réaction de d
fin d'une maladie à évolution progressive et rapide. Il existe une
atrophie
musculaire précoce et considérable au niveau de
que les myopathiques présentent quelquefois de la para- lysie avec
atrophie
. Les paralysies de la langue n'atteignant qu'un
supra-bulbaires, bulbaires et périphériques. Dans tous ces cas une
atrophie
peu marquée se décèle en saisissant la langue e
te de la résistance physiologique normale. Il ne survient point d'
atrophie
, ou cette atrophie est minime et il s'agit plut
physiologique normale. Il ne survient point d'atrophie, ou cette
atrophie
est minime et il s'agit plutôt d'amaigrissement
. [F MOUTIER] J 982 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. l'
atrophie
est lent, la langue prend l'aspect d'un croissant
plan un peu inférieur à celui du côté sain. En général, malgré une
atrophie
notable, les mou- vements sont encore possibles
n semblable cas. Une autre forme de gastro- plégie est réalisée par
atrophie
de la musculature viscérale comme dans la myélo
) Trouble local : difformité tératologique : a) Par défaut : arrêt,
atrophie
: Ectromélie : ecti-omèles, hémimèles, phocomèl
na ventosa syphilitique. ! < ! . Attitudes vicieuses : paralysies,
atrophie
, contracture, accessoirement rétraction : A)
ulsations artérielles,- d'élévation de la température locale. 1 L'
atrophie
d'un- membre congénitale est plus souvent la cons
sants, la peau semble lopins souvent adhérer aux os par suite d'une
atrophie
en masse des muscles et du tissu sous- cutané;
ie par Pierre Marie et llarinesco (fig. 11 ), est due à la fois à l'
atrophie
musculaire et à des troubles trophiques de la p
iation longitudinale des ongles est exagérée. A la face palmaire, l'
atrophie
de l'éminence hypothé- nar et presque toujours
llirallié, on pourrait l'observer dans des cas divers, hémiplégie,
atrophie
musculaire Aran-Duchenne, myopathie, etc. Dan
tés, elle s'accompagne souvent . , . ATTITUDES VICIEUSES. '1055 d'
atrophie
musculaire, de troubles vaso-moteurs et trophique
est plus fréquente; elle s'observe dans les diverses va- riétés d'
atrophie
et de sclérose cé- rébrale, d'encéphalite foeta
tiques » que de mains-botes paralytiques. -, La localisation de l'
atrophie
.ou de la paralysie soit sur les extenseurs, so
bms avec un certain degré de supination. Cette altitude est due à 1
atrophie
ou à la paralysie des muscles. 1 . Il est.rare
lésion de la moelle est assez intense pour déterminer lllïg. 14. -
Atrophie
du mem- bré supérieur droit il la ' suite d'u
r le radial, extenseurs et supinateurs. Suivant le degré variable d'
atrophie
, de paralysie ou de contracture de ces muscles,
mains fléchies du rhumatisme chronique sont dues au contraire à l'
atrophie
des exten- seurs et à la prédominance d'action
B) Déviations des DOIGTS sur la main : GRIFFES. La paralysie ou l'
atrophie
des muscles innervés par un des nerfs moteurs d
de certaines lésions médullaires ou méningées, paralysie infantile,
atrophie
musculaire pro- gressive au début, pachyméningi
une main de singe avec «rifle des in- 1('rossl'lIx et généralement,
atrophie
de l'hypothénar. L'eminencethenar est atrophiée
ons et hémisections de la moelle et dans la paralysie mlantlle. L
atrophie
.musculaire type Ltiarcot-jiane et la névrite i
-athélosc post- hémiplégique infantile on observe d'ordinaire une
atrophie
plus ou moins prononcée des membres at- teint
ma- tion peut être produite, on le conçoit, par la paralysie ou l'
atrophie
d'un muscle ou d'un groupe de muscles ou par la
un pied-bot paralytique. ' En dehors de ce cas. la paralysie ou l'
atrophie
isolée de certains muscles d'une part, la contr
odiques, on peut diagnostiquer s'il s agit d'une paralysie ou d'une
atrophie
de certains muscles ou d'une contrac- ture de l
vue. Ceci est vrai au moins dans les lore- miers temps, avant que l'
atrophie
ou la contracture secondaire, les retrac- tions
alange, surtout au pouce, et flexion des autres phalanges. Dans l'
atrophie
musculaire Charcot-Marie, qui est aussi une myélo
es inférieurs. " A) Double pied-bot équin varus très prononcé. B)
Atrophie
à la fois des pieds et de la totalité des membres
uxième enfance et serait caractérisée par la griffe des orteils par
atrophie
des in- lernsseux (extension de la première pha
nges et flexion des deux autres. Elle est due à la paralysie ou à l'
atrophie
des interosseux dont le rôle physiologique est
, le court fléchisseur du gros orteil participent généralement il l'
atrophie
, de sorte que, sur la face plantaire, l'éminenc
l comprendre. Il existe parfois un eWl1lchislIIe familial, soit par
atrophie
lesiicii- laire familiale (Debove) soit par her
étendue, par leur pigmentation et par leur forme, mais encore par l'
atrophie
cicatricielle, l'aspect déprimé et gaufré qui se
leur ancienneté. ' Stigmates testiculaires. - Ce sont, ou bien une
atrophie
scléro- tique de l'organe consistant dans un te
ents permet de trouver 4 stigmates de l'hérédo-syphilis. 1° C'est l'
atrophie
cuspidienne de la première grosse molaire : cette
ues unilatérales des corps vertébraux peuvent jouer un rôle comme l'
atrophie
musculaire : ici encore la radiologie peut à la f
ormations osseuses. Aussi, alors que dans le tabès il y a à la fois
atrophie
et rénovation osseuse, dans la syringo.myélie (ar
ranslucidité accentuée plus qu'une diminution de volume des os. L'
atrophie
numérique de Klippel est intéressante il rapproch
rapprocher, au point de vue radiographique, des types précédents d'
atrophie
myélopa- (chique ou myopathique; elle montre un
ndit et s'excaye dans le sens vertical. Schiiller montra l'usure, l'
atrophie
, parfois la destruction irré- guliere de la sel
a- géré de la tète qui est bien ossifiée. Porak a signalé aussi une
atrophie
de la base du crâne et du trou occipital, un fa
montre sur des muscles paraissant encore indemnes de paralysie et d'
atrophie
, c'est souvent un indice de leurs altérations p
oment de l'examen, soit que, par suite de la lenteur du processus d'
atrophie
, les libres nerveuses et les fibres musculaires
t parfois très prononcée et peut aller jusqua l'abolition lorsque l'
atrophie
est très grande. Parmi les paralysies périphéri
a poliomyélite antérieure chronique ou de la syringomyélie. ou de l'
atrophie
Charcot-Marie; on peut voir, dans cette dernière
sence d'une DR plus ou moins caractérisée sur des muscles en voie d'
atrophie
, alors que sur d'autres muscles plus altérés la
du type Landouzy-Dejerine, myopathie scapulo-humérale du type Erb,
atrophie
musculaire du type Leyden-Mobius, etc. Dans ces
Remak chez un malade présentant des troubles des mouvements et de l'
atrophie
musculaire probablement d'ori- gine myélopathiq
tes on de polynévrites. En pareils cas, il s'agit de muscles dont l'
atrophie
n'est pas complète et dont l'excitabilité farad
mentée (Frey et Windscheid, Destot). Dans les myopathies, même avec
atrophie
, la résistance resterait sensiblement normale (
ces excitations sur des muscles plus ou moins atrophiés (malgré une
atrophie
parfois assez prononcée de certains muscles dan
Comme type principal de ces affections nous pouvons considérer \'
atrophie
musculaire mclopalhiqlce l'almur-Duclrelne. Les m
es muscles, excitations modérées des muscles atrophiés ou en voie d'
atrophie
, faites suivant l'étal de leur excitabilité élect
on tentés contre les autres loca- lisations de la paralysie et de l'
atrophie
; généralement l'évolution pro- gressive continu
ace de deux ans, parfois cependant d'une façon plus lente. Dans l'
atrophie
musculaire du type i.hc( ? COt,-1%(XY'2G, le trai
myopathie primitive, paralysie pseudo-hyper- trophique de Duchenne,
atrophie
J'aeio-seapulo-huII\(\rale de Landouzy- Dejerin
uchenne, atrophie J'aeio-seapulo-huII\(\rale de Landouzy- Dejerine,
atrophie
scapulo-humérale (l'I'.r'h, atrophie musculaire d
\(\rale de Landouzy- Dejerine, atrophie scapulo-humérale (l'I'.r'h,
atrophie
musculaire du type Leyden-Mobius, paraissent dé
rique de bonne heure, lorsque l'affaiblissement des muscles et leur
atrophie
ne sont pas encore très prononcés, que l'on peu
iculaire sont généralement bons et assez rapides, surtout lorsque l'
atrophie
n'est pas trop ancienne. On voit assez rapideme
n voit assez rapidement les muscles gagner en volume et en force. L'
atrophie
toutefois ne disparait pas toujours complètemen
il y aura lieu de chercher à remédier à 1 affadi- blissement et à l'
atrophie
des muscles en portant sur ces derniers des exc
gaines de myéline en noir et de permettre d'apprécier le degré « d'
atrophie
des racines postérieures dans leur trajet extra e
dans le liquide céphalorachi- dien, 1150. Alcoolisme. Névrites et
atrophie
muscu- laire, 725. Tremblement, 847. Alexie.
xication, névrites et atrophie' musculaire, 723. Artériosclérose.
Atrophie
musculaire, 707. - cérébrale, vertiges, 170.
4. Articulation des mots, troubles, 198. Articulations, lésions,
atrophie
muscu- laire réllexe, 708, 711. , Asphyxie lo
tellectuels, 875. Mouvements de la main, 1041. des pieds, 1059.
Atrophie
congénitale des membres, 1016, 1042. du névraxe
omènes oculaires, 75. Bergeron. Voy. Chorée électrique. Béribéri.
Atrophie
musculaire, 722. Besoins, sensations internes,
hémiplégie, 464. INDEX ALPHABÉTIQUE. lu83 -Diabète. Névrites et
atrophie
musculaire, 723. Ataxie, 761. Diamètres cépha
s mains. Ectrodactylie, Polydactylie, etc., 1015. Hypertrophie et
atrophie
, 1016. . tératologiques des pieds, 1042. Diga
ilatateur des narines. Innervation phy- o ! ogie, 585. Diphtérie.
Atrophie
musculaire, 722. Diplégies cérébrales infantile
ion, physiologie, 559. Dubini Yoy. Chorée électrique. Duchenne (
Atrophie
musculaire pseudo- hypertrophique de -) 682 Syn
trophies à type ), ), 688, 698. (Maladie de existence), 706. Voy.
Atrophie
musculaire, Griffe. Dysarthries, 196, 198, 211.
es nerveuses, 955, ! IaG.-Irslé7'Iq7cc, inexistence, 958. typhoïde,
atrophie
musculaire, 725. Fixation des centres nerveux
les de la sensibilité. Anesthésies, JJ2. - Hypereslhésies, 556. -
Atrophie
musculaire, 726. - Incoordination, 781. - Crise
iologique, 482, 485. Kleist (Apraxie motrice de -), 225. Klippel (
Atrophie
numérique de -), 1l ili. Kojewnikoff (Syndrom
49. Topo- graphie segmentaire, 550. Topogra- phie insulaire, 551.
Atrophie
, type Duchenne-Aran, 704. Atrophie mus- culai
Topogra- phie insulaire, 551. Atrophie, type Duchenne-Aran, 704.
Atrophie
mus- culaire, 722. troubles trophiques, 925,
ction lombaire thérapeutique, 1141. Méningo-myélite syphilitique.
Atrophie
musculaire, type Aran-Duchennc, 704. Mensurat
para- lytique. - spastique, 84. pltysio, logique, 88. Myélites,
atrophie
musculaire, 715. transverses chroniques, 501.
189. - Traitement électrique, 13ou. - in- fectieuses ou toxiques,
atrophie
mus- , culaire consécutive, 720. Névroglie. C
13,i. - Labyrinthites, 155. Orth (Liquide de). Voy. Fixation. Os.
Atrophie
chez les myopalhiques, 075. Ostéo - arthropathi
odiagnostic, 1171. P Pachyméningite cervicale hypertrophi- que,
atrophie
musculaire type Duchenne- Aran, 702. Cytodiagno
do-bulbaire. Voy. Pseudo-bul- baire. - spinale aiguë de l'adulte,
atrophie
musculaire, 715. - spinale infantile, atrophi
- spasmo- diques, avec exagération des réflexes sans contracture,
atrophie
musculaire constante, 494. - avec contracture^
rome des lésions médul- laires), 515. - . Saturnisme. Névrites et
atrophie
muscu- laire, 725. Tremblement, 848. Scalènes
combinée sénile, ataxie, 7G3. en plaques, lésions de l'oreille, z
Atrophie
musculaire typeAran-Duchenne, 705. - Tremblemen
iagnostic, 1137. - Radiothérapie, 1187. - latérale amyotrophique,
atrophie
musculaire type Duchenne-Aran, 702. - Traite--
Troubles de la sensibilité à topographie radiculaire, 550, 32. -
Atrophie
musculaire type Aran-Du- chenne, 705. - Chiromé
528, 529. - Amyotrophie de type Aran-Duchenne, 705. - Névrites et
atrophie
musculaire, 724. - Ataxie tabétique, 7a ! ). -
céreuses, 922. - Altérations des phanères, 026. - Hypertrophie et
atrophie
du squelette, 928. - Troubles trophiques des ar
jumeaux, lésions, hé- mianesthésie, 514. Tuberculose. Névrites et
atrophie
mus- culaire, 725. Tumeurs bullaires, 805. -
e. Ponction lombaire thérapeutique, 1141. V Vaisseaux. Lésions,
atrophie
musculaire consécutive, 707. Ventricules céré
donne les résultats suivants : réactions électriques normales. Pas d'
atrophie
. Anesthésie plus marquée à droite. Réflexes rot
tre sous les sym- ptômes d'une paralysie labio-glosso-laryngée sans
atrophie
. » Bris- touez, en effet, a relaté un fait de n
ËGIE EXTERNE COMBINÉE A LA PARALYSIE GLOSSO-LABIO-LARYNGÉE ET A L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE LESION SYSTÉMATIQUE DES
lité faradique et galvanique encore plus pro- noncée que ne l'est l'
atrophie
, mais sans inversion de la formule. Les réflexe
la valeur à propos du diagnostic de la poliencépllalomyélite avec l'
atrophie
myopathique, il existe à droite et à gauche une s
bras, toujours en commençant par le côté droit. De l'avanl- bras, l'
atrophie
remonta au bras, puis à l'épaule, et enfin, au mo
ent point augmenté du côté des membres supérieurs, l'impotence et l'
atrophie
étaient restées dans le même état. Etat actue
t des lèvres s'exécutent parfaitement bien. Il n'y a pas de trace d'
atrophie
de la langue, qui se meut bien en avant, en bas
rs de la légère. rougeur congestive.de. la muqueuse des cordes. L'
atrophie
musculaire est considérable au niveau du cou, du
hache (voir la planche III). Au niveau des épaules on constate une
atrophie
notable des deltoïdes et des muscles de la cein
LaNDE PHOTOCOLLOARAPHIR Chêne ET Longue* POLIOENCÉPHALOMYÉLITE. -
ATROPHIE
MUSCULAIRE DU COU ET DES MEMBRES SUPÉRIEURS L
. La supina- tion complète est également empêchée. Aux avant-bras l'
atrophie
porte surtout sur les extenseurs. Mais au premi
ité faradique et galva- nique, encore plus prononcée que ne l'est l'
atrophie
, mais sans inversion de la formule. Notre sec
r à la Salpêtrière. Les planches ci-jointes montrent à quel point l'
atrophie
était prononcée au bras, à l'épaule, à la cuisse
LONDE PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne et Longuet POLIOENCÉPHALOMYÉLITE. -
ATROPHIE
MUSCULAIRE GÉNÉRALISÉE LECROSNIER & BASÉ
à travers le deltoïde réduit à une lame musculaire insignifiante. L'
atrophie
des membres inférieurs est'très prononcée, part
ue par un appareil ligamenteux et surtout musculaire trop faible. L'
atrophie
des muscles du mollet est également considérable
l et commençait à marcher sans béquilles, bien qu'il eùt encore une
atrophie
considérable du triceps. Il écrivait assez faci-
1. Contribution à l'élude des troubles trophiques dans l'hystérie,
atrophie
musculaire el oedème (Nouvelle Iconographie, n°
es il une diminution de calibre dn tronc artériel correspondant à l'
atrophie
; cependant il pourrait ici arriver qu'en modifi
résultait et qui ressemblait à celle produite par laparalysie ou l'
atrophie
des lombricaux et des interrosseux (Pl. XIII) s
pasmodique des extrémités avec démarche incertaine, titubante, de l'
atrophie
partielle du nerf optique. du nystagmus. A côté d
spasmodique, tremblement inten- tionnel, nystagmus, rires forcés et
atrophie
partielle du nerf optique) se trou- vait dans l
par les maladies organiques spinales : tabes, sclérose en plaques,
atrophie
musculaire, maladie de Friedreich, mal de Pott,
aucoup plus fréquente dans la catégorie des altérations spinales. L'
atrophie
musculaire considérable est la règle dans celle
Pour la lésion spinale, on aura : 1° Des signes de présomption :
atrophie
musculaire, incontinence d'urine, élévation de
GIE EXTERNE COMBINÉE A LA PARALYSIE GLOSSO-LAB10-LARYL\GÉE ET A L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES
èrent en cet état pendant quelque temps. Il n'existait alors aucune
atrophie
de membres. Les membres inférieurs présentaient s
'observe aucun trouble de la déglutition, pas de nasonnement, pas d'
atrophie
de la langue. La tête est légèrement penchée en
nstate cependant pas de déformation bien nette de cette région ni d'
atrophie
manifeste des muscles. Ceux-ci ré- sistent peu
mbres supérieurs, la faiblesse va presque jusqu'à la pa- ralysie. L'
atrophie
est très accentuée au niveau du deltoïde et des p
certain degré d'amaigrissement et de faiblesse des fléchisseurs, une
atrophie
très considérable et une impotence des extenseu
nférieurs sont affaiblis, mais on n'y peut constater aucune trace d'
atrophie
véritable. Les réflexes tendineux du genou sont n
aractéristique. La combinaison de l'ophthalmoplégie externe et de l'
atrophie
musculaire ne permet pas le doute un seul insta
on empruntée à Rosenthal. Ces. XXIX. Ophthalmoplégie nucléaire avec
atrophie
musculaire progressive (Rosenthal 1). Sujet d
ittente des muscles de la face. Six mois plus tard se développa une
atrophie
progressive du bras droit. Faiblesse de la main
ophie progressive du bras droit. Faiblesse de la main, paralysie et
atrophie
du premier'interosseux, de l'émi- 1. Rosenthal.
à d'un cas de complication de la paralysie nucléaire des yeux par l'
atrophie
musculaire progressive. La lésion descendante,
a débuté dans le cas de Sachs, et ce n'est qu'au bout d'un an que l'
atrophie
du membre inférieur droit commença à apparaître.
d'hui sur tous les muscles de l'oeil, sauf le muscle ciliaire, et l'
atrophie
très accusée est étendue à toute la jambe droite.
e cette affection font défaut. La perte des réflexes à gauche, sans
atrophie
, sans réaction musculaire anormale, prouve que
le ptosis. - ? ? -' ...-- ? Ons. XXXI. Ophthalmoplégie externe et
atrophie
musculaire (John Bristowe'). 1 John M., cuisi
encèrent à tomber. Quatre ans après, il eut de la faiblesse et de l'
atrophie
des muscles de l'épaule gauche et ensuite du bras
le malade ouvre largement la bouche. Il y a de la faiblesse et de l'
atrophie
des deux épaules et de la partie supérieure des b
des deux épaules et de la partie supérieure des bras, et une légère
atrophie
des avant-bras. Les cuisses sont amaigries : exce
rnes sont très atrophiés, et flasques en proportion. Par suite de l'
atrophie
de ces derniers la surface externe de la cuisse
é et ramassé sur lui-même; tous ces changements correspondent à une
atrophie
générale de l'individu... L'émaciation dont il
avant-bras droit s'atro- phier rapidement en quelques jours. Cette
atrophie
a toujours persisté depuis. Le 6 juin, Cah... e
périeur est atrophié dans son ensemble. Au bras et à l'avant-bras l'
atrophie
est uniformément répartie, mais à la main l'atrop
l'avant-bras l'atrophie est uniformément répartie, mais à la main l'
atrophie
porte surtout sur les muscles. L'éminence théna
es muscles. L'éminence thénar a complètement dis- paru. Il s'agit d'
atrophie
simple sans réaction de dégénérescence (examen
érescence (examen de M. Vigoureux). Malgré cette parésie et cette
atrophie
musculaire, le malade se sert sans difficulté d
es irrégularités de l'extrémité céphalique et le développement ou l'
atrophie
de certaines facultés. Mais, sans aller jusque-là
ÉGIE EXTERNE COMBINÉE A LA PARALYSIE GLOSSO-LABIO-LARYNGÉE ET A L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES
x mois. OBS. XXXII. Polio encéphalite supérieure et inférieure avec
atrophie
musculaire (Eichhorsl 2). .11 s'agit d'une je
pupilles. Mais la malade présente en outre le tableau typique de l'
atrophie
muscu- laire progressive. Le processus morbide
he progressive et gagne la colonne grise antérieure de la moelle. L'
atrophie
apparaît alors à la main, au bras et à l'épaule,
ations du processus morbide. Dans un cas rapporté par Bris- towe, l'
atrophie
secondaire à l'ophthalmoplégie commença par les
ulo- hmnéral décrit par Vulpian. Début par l'amyotrophie. Parfois l'
atrophie
musculaire est le premier phénomène en date et
esse et de pesanteur dans les quatre membres et dans le cou.... » L'
atrophie
poursuivit si bien sa marche envahissante, qu'a
le entraîne des différences considérables dans la distribution de l'
atrophie
, qui tantôt reste cantonnée à un seul membre, t
autre, comptent parmi les muscles les plus altérés. Chez Brau... l'
atrophie
est surtout considérable au niveau des éminences
solément et non par groupes : on sait que c'est ainsi que procède l'
atrophie
dans la poliomyélite chronique. C'est l'atrophi
insi que procède l'atrophie dans la poliomyélite chronique. C'est l'
atrophie
qui domine la scène et règle le degré d'impotence
artout; elles sont surtout marquées au niveau des muscles en voie d'
atrophie
, bien qu'elles puissent, ainsi que cela se voit
s puissent paraître. On sait qu'il est de règle de constater dans l'
atrophie
musculaire d'origine myélo- pathique l'existenc
de la poliomyélite antérieure chronique, dans la syringomyélie avec
atrophie
musculaire, là où l'atrophie est évidemment de
chronique, dans la syringomyélie avec atrophie musculaire, là où l'
atrophie
est évidemment de cause spinale, M. Vigoureux a c
ce de ce signe n'est donc pas suffisante pour éloigner l'idée d'une
atrophie
de cause spinale dans le cas actuel. « Nous admet
igts et de la main, au début de la maladie. Bientôt, il est vrai, l'
atrophie
frappe en masse, un peu partout, les muscles pa
se rédui- sirent au minimum. La planche V montre bien quel degré d'
atrophie
les membres supérieurs et inférieurs peuvent at
ieurs est-elle définitive ? Il est malheureusement à craindre que l'
atrophie
des bras ne disparaisse jamais. La polioencépha
araisse jamais. La polioencéphalite avec ophthalmoplégie externe et
atrophie
mus- culaire pourrait être confondue avec un ce
e bien spécial à signa- ler; c'est celle de tout individu atteint d'
atrophie
des membres infé- rieurs. Le trouble peut aller
nsi que cela existait chez un de nos malades (obs. XXVI). Lorsque l'
atrophie
a envahi les extenseurs de la jambe, on observe
lité de ses yeux, pour diriger ses regards autour de lui. Lorsque l'
atrophie
des muscles de la partie postérieure du cou est
bouche à sa main. L'un de nos deux hommes, ne pouvant, à cause de l'
atrophie
des fléchisseurs, empoigner comme il faut ses b
la force du moins la possibilité de soutenir sa béquille. Lorsque l'
atrophie
est suffisamment prononcée, les malades ne peuv
l'on remarque moins souvent la dépression sous-occipitale due à l'
atrophie
des muscles de la nuque. Mais il suffit de jeter
atteints et que les mains sont absolument indem- nes, tandis que l'
atrophie
prédomine énormément au niveau des mus- cles de
myopathiques le front est lisse, exempt de toute ride, à cause de l'
atrophie
des muscles. Chez les autres, au contraire, la
e parler que des réactions électriques, que voit-on en effet dans l'
atrophie
myopathique ? une absence d'anomalie des réaction
ore à la volonté. Ce n'est point du tout ce que l'on observe dans l'
atrophie
myopathique où la contractilité persisle tant qu'
ez lui à un effet de l'intoxication saturnine. Enfin la marche de l'
atrophie
, la durée de son évolution, la présence des troub
ne paralysie bulbaire infé- rieure qui s'était développée ensuite :
atrophie
légère de la langue, paralysie des muscles du v
XTERNE. 231 paralysés et atrophiés en masse, sans prédominance de l'
atrophie
dans tel ou tel groupe musculaire et sans troub
ncore sur l'étiologie de la paralysie glosso-Iabio-laryngée et de l'
atrophie
musculaire progressive; on n'est pas plus éclai
térieure su- baiguë et chronique. Parmi les sept malades atteints d'
atrophie
mus- culaire combinée il l'ophthalmoplégie un s
'ont point reparu; les signes d'intoxication font défaut; enfin son
atrophie
musculaire n'offre pas les caractères de l'amyotr
rieure n'est pas faite pour rendre plus favorable le pronostic de l'
atrophie
musculaire progressive et inverse- ment ; dans
bres supérieurs et inférieurs. Pas de paralysie dc la langue. Pas d'
atrophie
. Pas de troubles de la sensibilité. Réflexe rotul
les, après durcissement et coloration, étaient absolument normaux. Ni
atrophie
des faisceaux, ni lésions interstitielles. Ri
e complète, une parésie de la portion sen- sitive du trijumeau, une
atrophie
des nerfs optiques, de violentes céphalées, des
siste sur la similitude de ces lésionsavec celles qui déterminent l'
atrophie
musculaire progressive. Il s'appuie notamment sur
notamment sur ce que chez la première de ses malades il y avait une
atrophie
des sterno-mastoïdiens et des trapèzes qui témo
trouvé, chez un tabétique avec psychose2 et paralysie oculaire, une
atrophie
des nerfs oculomoteurs communs, externes, pathé
lomoteur avec une grande quantité de petits extravasats sanguins; l'
atrophie
des cellules ganglionnaires composant ce noyau et
ophtlialmoscopiques répétés, on pou- vait admettre tout au plus une
atrophie
commençante de la papille. La physionomie du pa
ement des lèvres et en production de plis profonds. Il existait une
atrophie
notable de la moitié gauche de la langue, un em
cés de la sensibilité générale et des sensibilités spéciales. Pas d'
atrophie
des muscles des membres. Abolition 1. \l'eslphl
e l'oeil présentent les traces d'une dégénérescence graisseuse avec
atrophie
. Sur la moelle on découvrait à l'oeil nu une te
stologiquement, dégénérescence considérable des nerfs oculomoteurs.
Atrophie
très prononcée des cellules ganglionnaires du noy
leurs cellules ganglionnaires intactes. Par contre, il existait une
atrophie
à peu près complète des cellules compo- sant le
ur trajet inlra-médullaire, les nerfs pathétiques étaient en état d'
atrophie
complète. Atrophie très prononcée des racines des
ullaire, les nerfs pathétiques étaient en état d'atrophie complète.
Atrophie
très prononcée des racines des oculomoteurs com
ingite interne hémorrha- gique. A l'achnitis chronique avec oedème.
Atrophie
sénile du cerveau, parti- culièrement de l'écor
la cause de cette dégénéres- cence qui peut dépendre, on bien d'une
atrophie
des cellules ganglionnaires composant le noyau
platie l'éminence hypothénar nel'est que beaucoup moins. Cet état d'
atrophie
partielle de la main contraste avec celui du re
ÉGIE EXTERNE COMBINÉE A LA PARALYSIE GLOSSO-LABIO-LARYNGÉE ET A L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES
-laryngée (poliencéphalite ' inférieure) vient parfois compliquer l'
atrophie
musculaire du type , Duchenne-Aran (poliomyélit
contractions fibrillaires ' dans les muscles atrophiés ou en voie d'
atrophie
, les caractères en un ', mot de l'amyotrophie,
avoir lieu presque indifféremment par l'ophthal- moplégie ou par l'
atrophie
musculaire. t 8° C'est une affection des plus g
hydermie. , Membres supérieurs. - Bras et avant-bras normaux; pas d'
atrophie
musculaire. (1) C'est déjà pour la troisième
ue nous avons l'occasion do trouver dans le rhumatisme noueux cette
atrophie
du maxillaire inférieur, et sans vouloir donner u
Nodosités d'Heberden au niveau des deux épiphyses phalanginiennes.
Atrophie
notable et raccourcissement de presque toutes les
culations phalangino-phalangelliennes des quatre derniers doigts.
Atrophie
osseuse de toutes les phalangettes. Ongles rudi
des deux membres, de même qu'aux déformations des orteils (pas d'
atrophie
musculaire, réflexes normaux, sensibilité idem).
al (phimosis labial), l'hypertrophie des lèvres ou au contraire une
atrophie
plus ou moins prononcée laissant les dents à dé
ur certains auteurs cette dent est chez l'homme un organe en voie d'
atrophie
et que son absence, le retard de son apparition
es doigts, la brachydactilie, diminution du nombre des phalanges, l'
atrophie
congénitale d'un ou plusieurs doigts, la syndac
éveloppement coïncidant avec celles des doigts de la main (absence,
atrophie
, anomalies de nombre); on pourra noter aussi le
uatre secousses, mais pas de trépidation épi- leptoïde nette. Pas d'
atrophie
musculaire. La mensuration au niveau des jambes
champ visuel, affaiblissement de la vue à droite, diplopie ». Pas d'
atrophie
des membres inférieurs mais exagération des réf
laies ulcéreuses et les tubercules. En second lieu, les signes de l'
atrophie
musculaire sont indiscutables. Si l'on doit dev
ouve la petite voi- ture qui sert au malheureux pour se déplacer, l'
atrophie
du membre supérieur gauche est clairement expri
plus manifestement les stigmates sur lefmeffibre supérieur gauche,
atrophie
, griffe des interosseux et tubercules ou' ulcér
Durer, d'une parties tubercules ou les ulcérations, et de l'autre l'
atrophie
musculaire. J.-M. Charcot et PAUL Richer. Le gé
mond, Malad. du syst. neru" Paris, 1889). Chez un malade atteint d'
atrophie
musculaire généralisée d'origine articulaire. M
atrophiés. M. Déjerine émet l'hypothèse qu'il s'agit, dans ce cas, d'
atrophie
musculaire d'origine articulaire et comme dans
dans la myopathie progressive, d'une déforma- tion consécutive a l'
atrophie
musculaire (Soc. de Biologie, 27 juin 1891). UN
es troubles trophiques, tels que esclaccres, ulcérations profondes,
atrophie
musculaire, plaident plutôt pour l'origine médull
aire, plaident plutôt pour l'origine médullaire orga- nique. Mais l'
atrophie
musculaire n'est pas rare dans l'hystérie. Le d
signes spéciaux du tabes, aucun « stigmate tabétique », à savoir :
atrophie
papillaire, signe de Robertson, de Weslphal, etc.
tons nous-même plus loin (obs. LXXI) un cas d'hystérie associée à l'
atrophie
cérébrale partielle. En somme, qu'il s'agisse d
te pathognomoniques du tabès : « stigmates tabétiques », tels que :
atrophie
de la papille, signe d'drgyll Roberlson, signe
le des hôpitaux, deux hommes hystériques avec 1. 1,;tljitibhi, De l'
atrophie
musculaire dans les paralysies hystériques (Progr
t 3 ? 1886), ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». Ail
atrophie
musculaire, mais, sur la foi des idées encore rég
, dans une thèse inspirée par Seelig- muller, signalé incidemment l'
atrophie
musculaire sur un membre frappé de contracture
caractères principaux de cette amyotrophie en ces termes : « 1° L'
atrophie
est plus ou moins considérable, mais il faut savo
a contractilité électrique est diminuée en proportion du degré de l'
atrophie
musculaire, mais il n'y a pas de réaction de dégé
, mais il n'y a pas de réaction de dégéné- rescence. ' « 5° Celte
atrophie
peut se développer avec une grande rapidité. Ch
quinze jours après le début de la paralysie... La rétrocession de l'
atrophie
semble pouvoir être rapide comme son développem
6, présen- tait à la Société médicale un cas vraiment remarquable d'
atrophie
mus- culaire et osseuse du membre supérieur gau
aples, 1886. 3. Leroux, De l'hystérie chez l'homme, monoplégie avec
atrophie
musculaire (Journ. des connaiss. méd., 188(i, t
ie). 4. Brissaud, Hémiplégie probablement d'origine hystérique avec
atrophie
musculaire (Archiv. de phI/s" 1887, p. 338).
e Icooogr., t. I, p. 28, 1888). 6. Ballet, Coxalgie hystérique avec
atrophie
musculaire (Soc. )met. II6p., 28 juin 1886). 7.
. )met. II6p., 28 juin 1886). 7. Debove, Hémiplégie hystérique avec
atrophie
musculaire survenue ri la suite d'une diprlrlla
elles données et eu ont tiré les conclu- sions suivantes : ' 1° L'
atrophie
musculaire d'origine hystérique peut quelquefois
secousses fibrillaires dans les territoires muscu- laires en voie d'
atrophie
. 3° Dans un cas d'atrophie hystérique des muscl
es territoires muscu- laires en voie d'atrophie. 3° Dans un cas d'
atrophie
hystérique des muscles de la main, l'examen éle
e à ce que la lésion dynamique des cornes antérieures qui produit l'
atrophie
musculaire ne puisse amener, du côté des nerfs,
respondant, ils n'ont jamais constaté chez l'animal en expérience d'
atrophie
musculaire autour de la jointure. Au contraire,
térique frappe en masse un territoire musculaire. Or, dans un cas d'
atrophie
musculaire rapporté par M. Michaut, il s'agit d
s un cas d'atrophie musculaire rapporté par M. Michaut, il s'agit d'
atrophie
des muscles de l'avant-bras, rapide selon l'usa
ique de son service était atteint, disait-il, d'une monoplégie avec
atrophie
débutant par l'émi- nence thénar. C'est aussi d
alisée qu'il s'agit dans la récente communication de M. Féréol 2. L'
atrophie
porte sur les muscles de l'épaule droite : bice
revoir encore ce malade avant d'affirmer la nature hystérique de l'
atrophie
musculaire. Mais si, comme le pense M. Féréol,
de l'atrophie musculaire. Mais si, comme le pense M. Féréol, cette
atrophie
scapulaire relève de la névrose, il nous semble
n'a pas été faite. 1. Ballet, Monoplégie brachiale hystérique avec
atrophie
(Soc. méd. IfÕp, , 9 mai 1890). 2. Féréol, Un C
, il nous semble légitime d'admettre provisoirement deux variétés d'
atrophie
hystérique : '1° l'une pure et simple, sans modif
LPÊTRIÈRE CHAPITRE XIII 1\lYOTROPIIIE HYSTÉRIQUE SIMULATRICE DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE SPINALE OBS. LXVIII (inédite). Amy
RE SPINALE OBS. LXVIII (inédite). Amyotrophie hystérique simulant l'
atrophie
musculaire progressive (Type Aran-Duchenne). Er
nalogues à celles que l'on voit encore aujourd'hui. La parésie et l'
atrophie
auraient marché rapidement. Dans la main gauche
rienne gauche, l'autre dans la fosse sus- épineuse du côté droil.
Atrophie
musculaire. - Elle est localisée aux mains (Pl. X
oie de disparition, elle s'aperçoit que ses mains ont maigri; cette
atrophie
évolue avec rapidité, puisque trois mois après
isation et la symétrie de la lésion, auraient pu faire songer à une
atrophie
spinale, au type Aran Duchenne, par exemple. Cett
rapporter. Ces. LXIX (inédite). Amyotrophie hystérique simulant l'
atrophie
mus- culaire (type Aran Duchenne. M... G...me,
s une attaque, elle se fractura le péroné. Au mois de novembre, l'
atrophie
musculaire fit son apparition. Un soir, elle s'
lle maigrissait et qu'il lui était très difficile de s'en servir. L'
atrophie
se développa rapidement, « elle voyait sa main ma
ait toujours ses attaques convulsives; elle présentait toujours celte
atrophie
musculaire de la main droite avec des secousses
pçon de tuberculose au début ( ? ). Les autres viscères sont sains.
Atrophie
musculaire (Planche lII, fig. B). L'atrophie, qui
s viscères sont sains. Atrophie musculaire (Planche lII, fig. B). L'
atrophie
, qui a été au- trefois considérable, est aujour
s jours, a cédé la place à une amyotrophie de la main droite. Cette
atrophie
a évolué rapidement ; elle s'est accompagnée de
s fibrillaires et de réaction de dégénérescence. Puis, lentement, l'
atrophie
a rétrocédé, les mouvements de la main sont rev
grande hystérique; c'est de l'hystérie et d'elle seule que relève l'
atrophie
musculaire. Ous. LXX (résumée) (Gilles de la To
assez rapidement, puis le membre supérieur gauche s'est pris. Celle
atrophie
présente comme les deux précédentes des secouss
aires des- 424 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. tinés à l'
atrophie
. Elle siège exclusivement ou prédomine du côté de
rté l'histoire. Or, ce malade présentait tou- jours le même degré d'
atrophie
musculaire sans secousses fibrillaires, sans ré
ons pourra tracer quelques règles générales a ce sujet. A priori, l'
atrophie
avec réaction dégénérative paraît plus grave que
tun jour une paralysie du, long péronier latéral qui s'accompagna d'
atrophie
avec réaction de dégénérescence. Au bout de dix
trophie avec réaction de dégénérescence. Au bout de dix-huit mois l'
atrophie
et la paralysie disparurent. En somme, il s'agi
, il s'agit là d'une variété nouvelle d'amyotrophie hysté- rique, d'
atrophie
avec réaction dégénérative. Cette variété repose
vrite périphérique. Il nous faut maintenant mentionner un exemple d'
atrophie
muscu- laire hystérique simulant l'amyotrophie
ies simples. uns. LXXI (inédite), Amyotrophie hystérique simulant l'
atrophie
mus- culaire de la paralysie infantile. Cécile
URS ». d'7 asymétrie due au spasme et aussi il 1111 certain degré d'
atrophie
du même côté droit (cette asymétrie se retrouve
temps à autre , il y a des secousses dans l'orbiculaire des lèvres.
Atrophie
musculaire. 1° Membre supérieur droit, (a) L'ayan
isse d'une lésion spinale, d'une véritable paralysie infantile avec
atrophie
. Dans la paralysie spi- nale de l'enfance, la f
ces symptômes, malgré que le tableau soit incomplet, relèvent d'une
atrophie
partielle, d'une sclérose du cerveau qui tient so
déjà écarté l'hypothèse de lésion organique de la. moelle. Reste l'
atrophie
cérébrale. Que depuis l'enfance il y eut un cer
trophie cérébrale. Que depuis l'enfance il y eut un certain degré d'
atrophie
reconnaissant pour cause la sclérose céré- bral
amaigrie et très rapidement l'a décharnée. Cette seconde étape de l'
atrophie
ne nous semble pas due à la sclérose-, cérébral
les troubles amyotrophiques. L'hémianesthé- sie permanente, suite d'
atrophie
partielle du cerveau datant de la pre- mière en
nous l'avons déjà démontré, relèvent de l'hystérie, les autres de l'
atrophie
partielle du cerveau. En résumé, il s'agit d'un
t d'un cas très complexe : d'une juxtaposition, d'une association d'
atrophie
cérébrale partielle et d'hystérie. La première,
e très accusée qui aurait pu donner le change et faire songer à une
atrophie
d'origine cérébrale ou spinale. CES. LXXII (i
e M. le professeur Proust). Amyotrophie hystérique simulatrice de l'
atrophie
musculaire spinale : hémiplégie infantile du cô
ophie musculaire spinale : hémiplégie infantile du côté gauche avec
atrophie
musculaire spinale; hémiplégie hystérique du cô
ste une quinzaine de jours, sans modifications. Pendant ce temps, l'
atrophie
n'avait fait qu'aug- menter à droite. Le malade
de M. Proust et fut admis dans son service. Depuis l'année 1888, l'
atrophie
a augmenté, toujours marquée surtout à la main,
d'ailleurs normalement en flexion sur les premières. A la jambe, l'
atrophie
est à peu près totale. Le relief du mollet, peu
gauche. - Dans ce membre la motilité est faible- ment conservée. L'
atrophie
a fait disparaître l'action musculaire, et de ce
e de mensuration dynamométrique, la main ne se fer- mant pas. Cette
atrophie
est surtout marquée à l'avant-bras et à la main ;
arquer qu'il y a un degré d'adiposc sous-cutanée très sen- sible. L'
atrophie
des muscles de t'avant-bras laisse la main complè
veau de certains muscles peauciers qui ont subi un sensible degré d'
atrophie
. C'est ainsi que les muscles qui s'insèrent il
e le malade ne puisse ni souffler, ni siffler. On ne constate pas d'
atrophie
des antres muscles de la face (frontaux, orbicu
masticateurs); ni la langue, ni le voile du palais ne présentent d'
atrophie
; il y a seulement un degré notable de paralysie d
s par le nez du malade. (d) Tronc. Au tronc, on ne constate point d'
atrophie
des muscles de la ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQU
TEURS», ,133 partie postérieure. A la partie antérieure, il y a une
atrophie
très marquée des grands pectoraux : les espaces
e à la flexion forcée était à peu près égale des deux côtés, mais l'
atrophie
musculaire esl en appa- rence beaucoup moins ma
de flexion de la jambe sur la cuisse sont plus aisés qu'à gauche; l'
atrophie
musculaire y est en effet moins prononcée de be
métriques donnent le résultat suivant : pression, 12 kilogrammes. L'
atrophie
est ici surtout marquée au bras ; les mesures d
membre inférieur droit c'est a l'extrémité qu'on constate surtout l'
atrophie
, au membre supérieur du même côlé c'est à la raci
membre supérieur du même côlé c'est à la racine du memhre que celte
atrophie
est surtout prononcée. L'atrophie des éminences t
t à la racine du memhre que celte atrophie est surtout prononcée. L'
atrophie
des éminences thénar et hypothénar est très mar
halanges de ce coté sont fléchies plus ou moins, ce qui indique une
atrophie
moins considérable de ce côté des interosseux e
x, et en voici les raisons : 1° La paralysie infantile spinale avec
atrophie
remonte il l'âge de trois ans, et elle est stig
olt°ice. Sur ce côté paralysé a apparu, presque aussitôt après, une
atrophie
muscu- laire qui a évolué rapidement. Un an apr
loir. CHAPITRE XLIV DIAGNOSTIC DE LA SIMULATION Démontrer que l'
atrophie
musculaire relève de l'hystérie, et de l'hys- t
La réaction de dégénérescence dans les masses musculaires en voie d'
atrophie
est un signe commun aux amyotrophies spinales e
ble aujourd'hui de se prononcer défiuiti.. vement sur la durée de l'
atrophie
musculaire hystérique. Mais il reste établi qu'
sur une région anesthésique ou hypel'esthésiquc que se développe l'
atrophie
musculaire. Et même lorsqu'elle esl symétrique, c
é, c'est sur les circonstances mêmes dans lesquelles se développe l'
atrophie
hystérique, sur sa localisation habituelle dans
ue sur les caractères de cette amyotrophie, pour la distinguer de l'
atrophie
d'origine spinale. La réunion de ces deux group
analogues à ceux qu'elle revêt dans la gliomatose médullaire. Cette
atrophie
occupe de préférence les membres supérieurs, les
ue. Du reste un des deux caractères primordiaux de la yliomatose, l'
atrophie
musculaire, fait ici complètement défaut. La di
éro-syringomyélique. Ons. LXXVII (Roth, in eodem loco). Sommaire.
Atrophie
progressive des muscles de la main. Exagération
ée par des symptômes intrinsèques : dissociation de la sensibilité,
atrophie
musculaire, et par des phénomènes extrinsèques te
uraient avoir la valeur diagnostique que leur attribue Roth. 2° L'
atrophie
musculaire des hystériques ne présente plus, aprè
muscles isolés qu'elle frappe à des degrés divers. Enfin c'est une
atrophie
sans paralysie ou avec paralysie secondaire.
ulenburg la dimi- nution de l'amblyopie qui était accompagnée d'une
atrophie
du nerf optique et une amélioration de la parés
staté une amélioration de la vue dans quatre cas où il existait une
atrophie
du nerf optique. Dertiliard (41) signale un cas
erne (De l'- combinée à la paralysie labio-glosso-laryngée et à l'
atrophie
musculaire progressive), par G. Guinon et Parmo
te. Pestiférés (Les de Jaffa), 25, 26. Polioencéphalomyélite avec
atrophie
mus- culaire 3, 5 ; avec ophtalmoplégie externe
LA MALADIE DE PARKINSON 5 vives contractions musculaires, malgré l'
atrophie
musculaire, pourtant si prononcée. Remarquez,
a moelle, consistant en pigmentation, vacualisation, déplacement ou
atrophie
du noyau, destruc- tion partielle des dendrites
des faisceaux pyramidaux; des lésions des cellules de la moelle, l'
atrophie
scléreuse des ganglions rachidiens. Dans le cer
aréfaction des fibres tangentielles. Il pense, en définitive, que l'
atrophie
des faisceaux pyramidaux et les lésions corti-
tre lésion qu'une tumeur de l'hé- misphère gauche du cervelet, et l'
atrophie
du corps thyroïde, il attribue, à cette dernièr
e la santé générale, malgré une affec- tion cancéreuse, a empêché l'
atrophie
des neurones subordonnés aux racines postérieur
es réflexes rotuliens, signe de Romberg, ataxie, affaiblissement et
atrophie
des membres inférieurs, surtout'à gauche. Exame
e osseuse, logée dans le lobe frontal sur la pointe du noyau caudé.
Atrophie
cérébelleuse croisée par rapport au noyau caudé
au caudé. Atrophie cérébelleuse croisée par rapport au noyau caudé,
atrophie
bulbaire et médullaire croisée par rapport au c
masse cérébelleuse. Bulbe. - Asymétrie très nette par suite de l'
atrophie
de la moitié droite du bulbe et du peu de saill
laties. L'infiltration d'élé- ments ronds y est moindre. Bulbe. -
Atrophie
de la moitié droite du bulbe et atrophie nette de
ds y est moindre. Bulbe. - Atrophie de la moitié droite du bulbe et
atrophie
nette de l'olive droite (Fig. 7). Moelle. - S
Fig. 7. - Coupe du bulbe au niveau du tiers inférieur de l'olive :
atrophie
marquée de l'olive droite. (La coupe a été dess
blements : Déjerine et Thomas (3) citent comme caractéristique de l'
atrophie
du cervelet les tremblements du membre supérieu
L'examen macroscopique et l'étude histologique nous ont montré une
atrophie
du cervelet, atrophie croisée par rapport à l'hém
e et l'étude histologique nous ont montré une atrophie du cervelet,
atrophie
croisée par rapport à l'hémisphère cérébral où
l'hémisphère cérébral où siégeait la tumeur ; et, d'autre part, une
atrophie
de l'olive bulbaire droite et de la moitié droi
ns anciennes des hémisphères cérébraux, on constate ordinairement l'
atrophie
croisée du cervelet et ces lésions n'ont pas beso
rce ou le centre ovale simplement (BetcUerew) » (3). Dans les cas d'
atrophie
du cerveau observés surtout chez les épileptiqu
amer (8), Nothnagel, Brosset (9) ont publié des cas semblables avec
atrophie
descendante et croisée portant encore sur l'olive
e sur l'olive bulbaire opposée, comme dans notre observation. Cette
atrophie
entraîne à son tour l'altération des systèmes e
ns portant sur la moitié droite de la moelle. De même dans un cas d'
atrophie
de l'hémis- (1) Thomas, op. cil., p. 130 et 132
(9) Connexions pathologiques du cervelet, Thèse de Lyon, 1891. (10)
Atrophie
olivo-ponto-cérébelleuse, Iconog. Salp., 1901, p.
HO-PARALYTIQUE 123 phére cérébelleux gauche, Brosset (1) constate l'
atrophie
du corps strié droit et de l'olive bulbaire dro
nt paru intéressantes au moins comme condition étiologique de cette
atrophie
systématisée du névraxe. Il est peul-être utile d
minué, réflexe crémas- térien nul. Pas de troubles trophiques pas d'
atrophie
musculaire. La pointe du coeur bat dans le 5B e
le, sans qu'aucun de ses segments soit spécialement le siège de cette
atrophie
. Les coupes pratiquées à des hauteurs diverses
hauteurs diverses montrent partout la même lésion, c'est-à-dire une
atrophie
blanche très visible des cordons de Goll ; le sil
et des faisceaux cérébelleux latéraux se poursuivent, de même que l'
atrophie
des zones postérieures. On voit égale- ment il
érébelleux laté- ral a disparu. Mais on retrouve encore nettement l'
atrophie
de la corne posté- rieure et la sclérose de zon
ont leur lumière effacée, et quelques-uns sont nettement en voie d'
atrophie
et de'dégénérescence. Notre observation est, co
ose du faisceau pyramidal croisé et du faisceau cérébelleux direct,
atrophie
des cornes postérieures. Nous avons constaté, e
On le trouve associé au nanisme, au gigantisme, à l'obé- sité, à l'
atrophie
musculaire » (2). Et comme exemple d'association
la circulation du sang et de la lymphe causé par l'importance de l'
atrophie
musculaire. Enfin M. P. Marie a rapporté dans l
e assez considérables, par suite d'un processus de tuméfaction ou d'
atrophie
, on conçoit qu'une cellule malade d'un certain
es gaines de myéline en noir et de permettre d'apprécier le degré d'
atrophie
des racines postérieures dans leur trajet extra
urs et à la face. Hypo- tonie considérable aux membres inférieurs ;
atrophie
musculaire assez mar- quée aux membres inférieu
olorées au contraire dans la moitié externe ou pôle périphérique. L'
atrophie
radiculaire est déjà ancienne, il n'y a pas de
les. Parmi les cellules qui restent, un grand nombre sont en voie d'
atrophie
(Pl. XXXI, A). Les espaces laissés libres par l
ications de la capsule peuvent s'observer pour les cellules en voie d'
atrophie
. Le noyau des cellules nerveuses est plus ou mo
ré cela il est facile de se rendre compte du degré très marqué de l'
atrophie
de la racine postérieure dans son bout central.
très pigmentées. Les noyaux sont également altérés et leur degré d'
atrophie
est proportionnel à celui de la cellule. Quelques
titiel. LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACniDIEN 215 Tout d'abord, l'
atrophie
des racines postérieures dans l'intérieur du gang
ont été débités en coupes longitudinales. Sur tous ces ganglions l'
atrophie
des racines postérieures dans le bout central est
res font corps avec le protoplasma de la cellule nerveuse en voie d'
atrophie
: lorsque les cellules nerveuses sont très atroph
es que sur d'autres, sur tel autre la disparition des cellules ou l'
atrophie
est plus manifeste : mais ce qui est constant d
urs : incoordination très légère, abolition des réflexes tendineux.
Atrophie
des muscles de la main. Sensibilité à peu près
à la lumière. Diminution considérable de l'acuité visuelle, double
atrophie
optique tabétique. Mort en 1902. Examen anatomi
sont très pigmentées, mais en outre un grand nombre sont en voie d'
atrophie
, quelques-unes sont même très atrophiées et bea
IV. Riv..... Tabes remontant à trente ans. 3° ganglion lombaire. -
Atrophie
de quelques cellules. - Dégénérescence graisseuse
iférations des cellules cap- sulaires autour des cellules en voie d'
atrophie
ou des cellules normales. Le tissu interstitiel
rdination des membres inférieurs. Réflexe patel- laire aboli. Pas d'
atrophie
musculaire. Sensibilité superficielle altérée sur
llaire, réflexe à la lumière très diminué à gauche, aboli à droite.
Atrophie
papillaire. Elle meurt en 1902 après quatorze a
mbaires droits ; 2", 3e et 5° lombaires gauches). Rappelons que l'
atrophie
des racines postérieures est minime ou nulle dans
mbre de cellules ont complètement disparu, plusieurs sont en voie d'
atrophie
. Dans quelques rares cellules il existe quelques
a place des cellules manquantes, soit autour des cellules en voie d'
atrophie
. Les cellules capsulaires semblent plus volumin
is alors à côté de cellules normales on voit des cellules en voie d'
atrophie
, dont le noyau est également plus petit. Le tis
s cellules sont atteintes de dégénérescence graisseuse ou en voie d'
atrophie
; quelques- unes ont disparu. Il existe un cert
ci minimes : on distingue bien quelques cellules petites en voie^ d'
atrophie
et par places il semble que quelques cellules o
l'autre perpendiculairement à l'axe. Sur le premier on constate une
atrophie
extrême des racines postérieures dans leur bout
ments précis sur l'évolution de la maladie. Il s'agit d'un tabes avec
atrophie
papillaire. La vision était presque complètemen
et dans le 4e ganglion lombaire droit. Dans ces deux ganglions, l'
atrophie
des racines postérieures dans le bout central d
s postérieuras sont saines dans le bout périphérique du ganglion. L'
atrophie
des racines pos- térieures est la même au nivea
oyau très atrophié, le noyau même n'est pas toujours visible. Cette
atrophie
pourrait même échapper à l'observa- tion, si l'
es proli- férations capsulaires. Même autour des cellules en voie d'
atrophie
les cellules capsulaires sont plutôt rares. Le
3° lombaire gauche et le*le lombaire droit : c'est-à-dire que leur
atrophie
est plus prononcée dans le pôle central du gang
mal ; mais un certain nombre ont disparu et plusieurs sont en voie d'
atrophie
. Celles-ci sont disséminées et ne corresponden
ux faits que`nous désirons retenir. Dans deux cas (Obs. IV et V), l'
atrophie
des fibres radiculaires postérieures était en voi
ent intéressant, puisqu'il démontre d'une part comment se produit l'
atrophie
des fibres radiculaires et permet d'éta- blir d
e la maladie, combien est lente et progressive l'évolution de cette
atrophie
; dans le cas de Riv... le début du tabes remon
VIII) est encore intéressant à un autre point de vue : en effet, l'
atrophie
des racines postérieures, si l'on en juge par l'a
n : ceci n'a pas lieu de nous surprendre, puisque nous savons que l'
atrophie
des racines postérieures est irrégulière dans son
éduction du nombre des cellules, la lésion la plus importante est l'
atrophie
de la cellule, celle-là étant d'ailleurs la consé
étant d'ailleurs la conséquence de celle-ci. L'appréciation de l'
atrophie
cellulaire est parfois assez délicate, parce que
s dimensions, des cellules grandes,des moyennes, des petites : si l'
atrophie
était peu marquée et n'atteignait qu'un petit n
e tel ou tel de ceux-ci, s'il s'agit d'une grande cellule en voie d'
atrophie
,ou d'une cellule normalement petite ; mais dans l
ement petite ; mais dans le plus grand nombre de nos observations l'
atrophie
était suffisamment accusée pour que nous n'ayon
ans la plu- part des ganglions, un tel nombre de cellules en voie d'
atrophie
qu'on ne peut les considérer comme des éléments
runtée à notre précédent mémoire et qui montre bien les étapes de l'
atrophie
cellulaire avec proli- fération capsulaire (fig
es entourées d'une capsule proliférée, on pourrait se demander si l'
atrophie
de la cellule n'est pas la conséquence de la vé
met de rejeter immédiatement cette manière de voir et d'envisager l'
atrophie
de la cellule nerveuse et la prolifération caps
inisée dont la nutrition ne semble nullement compromise (fig. 2). L'
atrophie
cellulaire sans prolifération capsulaire et l'atr
(fig. 2). L'atrophie cellulaire sans prolifération capsulaire et l'
atrophie
avec prolifération capsulaire prédominent suiva
tiples auxquelles on s'exposerait ; Fie. 5. - Plusieurs étapes de l'
atrophie
cellulaire (coloration à l'hématéine éosine, Ze
éments sont à peu près normaux. En bas à gauche : cellule en voie d'
atrophie
avec multiplication des éléments nucléaires de la
nairement des modifications semblables à celles de la cellule. Il s'
atrophie
en même temps qu'elle. Sou- vent aussi, il devi
ntre le nombre des cellules atrophiées ou dispa- rues et le degré d'
atrophie
des racines postérieures. En apparence, il n'en
laires sont le plus accusées, qu'elles le sont beaucoup moins que l'
atrophie
des fibres radiculaires. Mais, comme nous l'avo
vasculaires. Il en est d'autres qui sont plus fréquentes, ce sont l'
atrophie
et la dispari- tion de la cellule, celle-ci éta
cellule soit détruite avant d'avoir passé par tous les degrés de l'
atrophie
, et qu'elle subisse, à une phase quelconque de la
e résultat est le même, c'est la mort de la cellule. En tout cas, l'
atrophie
ou la désin- tégration ne sont pas sous la dépe
nt des aspects pathologiques qui sont moins fréquents que ceux de l'
atrophie
ou de la désintégration cellulaire. A côté de
celles qui ont le plus de valeur sont la diminution des cellules, l'
atrophie
et la désintégration cellulaire ; les autres so
u'une qui doive retenir notre attention : c'est la disparition et l'
atrophie
de la cellule dont la fréquence et l'importance
une fois, que ce seul fait : la lésion de la cel- lule amenant son
atrophie
ou sa désintégration. Voyons maintenant si quel-
prédominent pendant les quelques jours qui .suivent l'opération, l'
atrophie
cellulaire apparaît ; elle débute vers la fin du
u troisième mois que commence chez le chat, le chien ou le lapin, l'
atrophie
d'un nombre tout d'abord relativement faible de c
omme des altérations primitives ou tout au moins indépendantes de l'
atrophie
radi- culaire; celles de Kôster sont de nature
inion et lais- sent supposer qu'elles peuvent être consécutives à l'
atrophie
des racines postérieures. Mais, nous ne saurion
s ne saurions trop le répéter, on ne peut assimiler sans réserves l'
atrophie
lente des racines postérieures du tabes et la sec
acines postérieures, d'autant plus que, quel que soit le degré de l'
atrophie
apparente des racines postérieures chez les ta-
'établir un rapport précis entre la raré- faction des cellules et l'
atrophie
de la racine postérieure, c'est que jus- qu'ici
ut établir un rapport absolu entre la disparition des cellules et l'
atrophie
des racines, puisque les cellules dis- parues p
en droit de nous demander si la lésion anatomi- que qui aboutit à l'
atrophie
ou à la désagrégation cellulaire n'est pas pré-
rturbation fonctionnelle qui joue déjà son rôle dans le processus d'
atrophie
lente et progressive de la racine postérieure ?
bétiques. Ces lésions consistent principalement en un pro- cessus d'
atrophie
lente et de désintégration, qui aboutit à la disp
ficile d'apprécier le rôle qu' elles jouent dans la pathogénie de l'
atrophie
des racines postérieures et des dégénérescences
ion par le picrocarmin en masse. Grossissement : 180 dia- mètres.
Atrophie
et disparition d'un grand nombre de cellules nerv
un certain nombre de cellules remplacées par du tissu fibrohyalin .
Atrophie
de quelques cellules. - Epaississement du tissu i
picrocarmin en masse. Grossissement : 190 diamètres. Raréfaction et
atrophie
des cellules. Vaisseaux nombreux et dilatés. Epai
ocarmin en masse. Grossissement : 145 dia- mètres. Disparition et
atrophie
d'un assez grand nombre de cellules. Epaississeme
Contribution à l'étude des troubles trophiques dans l'hysté- rie (
atrophie
musculaire et oedeme), en collaboration avec Pl
re de la moelle^épinière . En 1897, Pallzogénie et prophylaxie de l'
atrophie
musculaire chez les hémiplégiques . ' Traitem
nsitives; pas de troubles à la vessie, ni au rectum; pasde signes d'
atrophie
muscu- laire, ni de réaction électrique de dégé
Lépine. La forme spinale, de la neurasthénie spécialemenl, et de l'
atrophie
musculaire d'Aran-Duchenne. Migraine ophtalmo
t de la forme bulbaire, par son évolution continue et la présence d'
atrophie
musculaire et la réaction de dégénéralion, oulr
es réflexes abolis. Un léger degré de pied-bot varus. Il existe une
atrophie
musculaire des extrémités, plus forte à droite
zone de Lissauer. La subs- tance réticulaire de bulbe présente une
atrophie
considérable. Le noyau de Monakow particulièrem
e ou deux cellules ; et même alors elles se trouvent dans un état d'
atrophie
au plus haut degré. Avec ces lésions tellement
palement le siège des lésions, c'est aussi dans cette moitié, que l'
atrophie
du bulbe est la plus marquée. La largeur (diamè
rieures présentent dans les trois cas une diminution énorme et une
atrophie
des cellules et une raréfaction des fibres. Enfin
l'hérédo- ataxie cérébelleuse. Ce diagnostic trouve un appui par l'
atrophie
du (1) Progrès médical, 1897, p. 85. 302 RYDE
oelle. Mirto (7) signale un amincissement du réticulum nerveux avec
atrophie
des cellules : la région dorsale est la plus to
atrophie des cellules : la région dorsale est la plus touchée. Une
atrophie
des cellu- les des cornes antérieures put aussi
'IiÉRÉDO-ATAX1E CÉRÉBELLEUSE 303 Chez François Hand... existait une
atrophie
de l'éminence thénar et de troubles trophiques
- merod (2), on en trouve au moins six dans lesquels il y avait une
atrophie
musculaire due certainement à des lésions médul
s recherches, concordantes avec celles de Popoff, que le début de l'
atrophie
se fait dans la rétine et que l'atrophie optiqu
Popoff, que le début de l'atrophie se fait dans la rétine et que l'
atrophie
optique est une affection du neurone périphérique
fibres optiques ; aussi il donne pour cause à l'amaurose du tabes l'
atrophie
par trouble de nutrition des cellules ganglionnai
ionnaires réti- niennes. De Grosz (1), en 1898, admet aussi que l'
atrophie
tabétique est ascen- dante de 1'oeil,au cerveau
altérations vasculaires syphilitiques pourraient être la cause de l'
atrophie
nerveuse « primitive ». La théorie rétinienne d
ntactes dans l'atro- phie optique complète; aussi ils croient que l'
atrophie
des cellules gan- glionnaires est secondaire à
LÉIiI externe par exemple; la théorie de l'origine rétinienne de l'
atrophie
ta- bétique n'a pas de raison d'être. Nos rec
ons nerveuses diverses et de 2 sujets atteints de cécité, mais sans
atrophie
optique. Rappelons rapidement quelles sont les
t intéressante à signaler pour la re- cherche de la pathogénie de l'
atrophie
optique. Les autres couches de la rétine ne son
que nous croyons pouvoir tirer de ces examens est que le début de l'
atrophie
tabétique n'est pas dans la rétine, et en par-
que nous avons pu examiner à l'autopsie paraissent parti- ciper à l'
atrophie
, mais celle-ci n'est pas uniformément répartie ;
rès conservé leur couleur rouge normale ; d'une manière générale, l'
atrophie
est donc plus prononcée à la racine des membres
longitudinale). Hématoxyline carmin. a) Fibre musculaire en voie d
atrophie
avec noyaux en chapelet b) Fibre musculaire donna
versal de 100 u. et davantage ; en d'autres points, au contraire, l'
atrophie
n'est pas moins nette, et l'on rencontre fréque
NNE Les fibres musculaires elles-mêmes, qu'elles soient atteintes d'
atrophie
ou d'hypertrophie, conservent en beaucoup de po
ient la fibre musculaire. Notons qu'au point de vue topographique l'
atrophie
semble bien débuter au niveau de l'insertion te
roportionnalité entre l'adipose interstitielle et l'ancienneté de l'
atrophie
, les vésicules adipeuses sont d'ailleurs parfai
es ces lésions dans les différents muscles. Au niveau du tronc, l'
atrophie
et les lésions scléro-adipeuses sont à leur max
n'ont pu jouer, on peut le dire, aucun rôle dans la production de l'
atrophie
musculaire. Du côté des nerfs, les lésions un p
e des fibres musculaires soit une phase prémonitoire précédant leur
atrophie
définitive : en effet, c'est dans les faisceaux
à l'état embryonnaire et peut-être trans- formation fibreuse. c)
Atrophie
d'une fibre musculaire avec amas de blocs réfring
onservant sa striation et finalement disparaître par un processus d'
atrophie
lente ; ce processus d'ailleurs se combine fréque
membres supérieurs et inférieurs, la rigidité du tronc qui malgré l'
atrophie
permettait au malade de marcher, tous ces signes,
von Michel, de Grosz) ont voulu voir dans la dégé- nérescence et l'
atrophie
primitive des cellules rétiniennes la cause de
ence et l'atrophie primitive des cellules rétiniennes la cause de l'
atrophie
du nerf optique. Les partisans de la théorie « ne
combien elles se contredisent encore mutuellement. Pour Ordonez l'
atrophie
tabétique était une sclérose d'origine vascu- l
une règle à la dégénérescence. Westphal (1) a constaté une fois une
atrophie
totale du nerf optique ; aucune fibre n'était c
onservées forment de petits groupes. Uhthoff a observé une fois l'
atrophie
d'un secteur du nerf. De Wecker (4) admet que l
labétique. Schlaagenhaufer (3) a émis l'hypothèse que la cause de l'
atrophie
tabéli- que du nerf optique doit être cherchée
ne périostiteou d'une pachymé- ningite syphilitique ; la cause de l'
atrophie
des nerfs optiques serait ana- logue à celle qu
rait ana- logue à celle que Obersteiner et Redlich admettent pour l'
atrophie
des racines postérieures, à savoir une compress
nt été émises sur la forme, la nature et l'origine des lésions de l'
atrophie
optique du tabes : les uns placent l'origine de
parenchymateuse avec prolifération conjonctive secondaire, d'autres
atrophie
simple sans réaction conjonctive. Quant au débu
dor- sal, il nous a paru justifié, pour élucider la pathogénie de l'
atrophie
opti- que tabétique, d'utiliser les nombreux et
t atteint de cécité bilatérale par suite de lé- sions diverses avec
atrophie
consécutive des nerfs optiques. Enfin nous avon
it normaux soit atteints de lésions quelconques des yeux, mais sans
atrophie
optique. Dans l'ensemble nous avons fait l'exam
eloppe opaque, surtout dans les périodes relativement précoces de l'
atrophie
(nerfs de Gara..., Laverg..., Bits..., etc.).
t, la gaine du- rale, à demi-vidée, est lâche et se plisse. Quand l'
atrophie
nerveuse est limitée à une portion périphérique
ri qu'il doit y avoir dans le nerf un autre processus qu'une simple
atrophie
sur place des fibres nerveuses : l'examen histo
s les nerfs « gros », au lieu de nodules qui em- Nerf optique d'une
atrophie
tabélique comlète ( lng...) : type ordinaire, « n
s faisceaux, mais assez peu nombreu- Fig. 3. , Nerf optique d'une
atrophie
tabétique envoie d'évolution (Bout...) : colorati
parition des fibres nerveuses. Ces lésions sont-elles spéciales à l'
atrophie
tabétique des nerfs optiques ? ` ? Ne les renco
re de reconnaître la forme ou la couleur d'au- cun objet. Ainsi l'
atrophie
tabétique du nerf optique s'explique à notre sens
d'irrigation sanguine de l'organe : le résultat en est forcément l'
atrophie
ou la dégénérescence des éléments qu'il contien
de vaisseaux. Mais du fait que la lésion interstitielle explique l'
atrophie
des fibres optiques, faut-il absolument nier to
les variétés dans les rétrécissements du champ visuel au début de l'
atrophie
tabétique et suivant les hasards de leur statis
lytiques généraux, nous avons pu observer les lésions de début de l'
atrophie
optique dans plusieurs cas (cas de Labb..., Lefèv
araplégie spasmodique) ; elle présentait les mêmes caractères que l'
atrophie
tabétique au début, même lymphocytose, même scl
onvaincu que dans toutes les amau- roses syphilitiques tardives par
atrophie
oplique, qu'elles soient associées au talles ou
compression ; le nerf se trouve privé de vaisseaux perméables et l'
atrophie
des fibres nerveuses s'explique par leur défaut
perflu d'admettre une altération primitivement palenchymateuse. L'
atrophie
des fihres débute au pourtour des vaisseaux, et s
e les doigts et la paume de la main. Il ne semble pas qu'il y ait d'
atrophie
musculaire. Au membre supérieur gauche, les mou
quelques mouvements spontanés a gauche ; mais rien à droite. Pas d'
atrophie
musculaire. Aux membres supérieurs, les mouveme
ités, surtout à droite. Les deux mains restent contracturées. Pas d'
atrophie
musculaire. Du côté de la face on note un peu d
sont toujours en flexion forcée. Abolition des réflexes tendineux.
Atrophie
musculaire peu marquée. Fig.. l'et]i2. HISTOL
érale des réflexes, phénomènes qu'explique l'état des FPC. Le peu d'
atrophie
musculaire se justifie par l'intégrité relative
porte dans l'adduction à 130°. Pas de contracture des membres.
Atrophie
des membres inférieurs, pas de troubles trophique
s inférieurs, pas de troubles trophiques, pas d'escha- res ; légère
atrophie
des membres supérieurs. Réflexe patellaire pres
sociées. Pas de dou- leurs dans les membres. Thorax normal. Pas d'
atrophie
des pectoraux. Pas de déviation du racliis. Res
iques. Sur une coupe macroscopique on voit dès le premier abord une
atrophie
considérable des cornes antérieures, surtout da
on de volume de sa moitié antérieure. 2° Sa déformation due à cette
atrophie
partielle et à la dépression de son pourtour au
- fération conjonctive interfasciculaire, les muscles de myosite, d'
atrophie
musculaire et de dégénérescence adipeuse. Mais
ature myopathique de cette dernière. Voici d'abord l'observation.
Atrophie
musculaire à forme segmenlaire occupant les avant
cation de tous ces troubles se trouve-t-elle tout simplement dans l'
atrophie
musculaire des deux jambes. Celle-ci est très acc
ie (PI. LXI et LXII). La crête du tibia est devenue saillante par l'
atrophie
très apparente des muscles de la région antéro-
s cuisses sont très volumi- neuses. Au point de vue fonctionnel l'
atrophie
se traduit par une difficulté marquée dans le f
ossibles, surtout l'extension du pièd, mais se font avec lenteur. L'
atrophie
musculaire est aussi évidente, mais cependant moi
s fibres. « Quand la substance musculaire diminue, quand la libre s'
atrophie
, ces noyaux paraissent proportionnellement augm
olique. non syphilitique, surviennent concurremment du steppage par
atrophie
des muscles de la jambe et des douleurs à carac
lés. Hoffmann (2), dans un cas de myotonie congénitale, a signalé l'
atrophie
musculaire de la main et de l'avant-bras alors
i- que de Raymond, d'un sujet de 34 ans qui eut successivement de l'
atrophie
des mains, des avant-bras, des membres inférieu
spasmes myoto- niques firent régulièrement leur apparition après l'
atrophie
. Lamy (4), en rapportant ce fait, remarque que
(1) un malade chez lequel existait à la fois de la myotonie et de l'
atrophie
musculaire. Chez un malade de Dana (cité par Ko
hold), la maladie de Thomsen survint quatre ans après le début de l'
atrophie
musculaire. A cette énumération il convient d'a
toussant facilement et réformé pour bronchite, qui présentait de l'
atrophie
du jumeau interne, du jambier antérieur et de l
t-bras, aussi bien des fléchisseurs que des extenseurs, avec légère
atrophie
musculaire. Il faut encore citer le cas intéres
embres inférieurs avec prédominance au bras. Plus tard apparaît une
atrophie
musculaire qui envahit surtout les mus- cles ay
, 1900. (5) Noeuds et Sirol, Maladie de Thomsen à forme fruste avec
atrophie
musculaire (Nouv. Icon. de la Salpêtrière, 1899
moins une douzaine d'ob- servations dans lesquelles coexistaient l'
atrophie
musculaire et les phéno- mènes myotoniques et c
n autre de mes malades, grand myopathique depuis 17 ou 18 ans, avec
atrophie
généra- lisée, sauf aux jambes, présente depuis
du malade, que j'ai fait prendre il cette époque, qui montrent une
atrophie
myopathique généralisée avec conservation des m
t facile de s'en convaincre sur la photographie ci-jointe, bien que l'
atrophie
ait été un peu masquée par de l'adiposité ultér
té photo- graphié. La menace de chute en avant tient évidemment à l'
atrophie
des mus- cles des fesses et de toute la gouttiè
ique (1 pl., 1 fig.), par CESTaN et LE- joNNE, 343. Myotonie avec
atrophie
musculaire (2 pl.), par LAN\OIS, 450. b9yxoed
E. La syphilis dans l'Art (1 planche), 83. LANNOIS. Myotonie avec
atrophie
muscu- laire (2 planches), 450. 506 TABLE D
Malformations osseuses (A. Cange), XL, XLI, XLII. Myotonie avec
atrophie
musculaire (LA- nos), LXI, LXII. Myxoedème fr
pas en rapport constant avec l'état des réflexes. Enfin apparaît l'
atrophie
musculaire. Fickler fait observer que la longue
ompression : les paralysies flasques avec aboli- tion des réflexes,
atrophie
musculaire et anesthésie à topographie radicu-
aperçus; 6 mois de repos ont amené une guérison complète, même de l'
atrophie
musculaire. Voici le résumé d'une observation d
atique double, avec hypoesthésie diffuse aux jambes et aux cuisses,
atrophie
muscu- laire sans altération des réactions élec
araplégie complète, flasque, avec abolition des réflexes tendineux,
atrophie
musculaire, anesthésie remon- tant jusqu'au pli
iredey et de M. Brissaud montrent la possibilité d'une 12 ALQUIER
atrophie
musculaire avec exagération des réflexes et la pr
- formation et douleur à la pression au niveau de la région sacrée.
Atrophie
mus- culaire très marquée aux membres inférieur
et les mains appuyées sur les cuisses. On ne trouve d'ailleurs aucune
atrophie
des groupes musculaires préférés par la myopath
asque, avec abolition des réflexes tendineux et cutané plantaire. L'
atrophie
musculaire remontait jusqu'aux fes- (1) Gazette
à droite flexion à gauche ; crémastériens faibles. Peut-être légère
atrophie
musculaire diffuse aux membres inférieurs. Lent
e légère parésie des extrémités supérieures peut-être même un peu d'
atrophie
, on pense à une névrite alcoolique surtout sens
licat d'habi- tude. ' Puis, apparaît une paraplégie flasque, avec
atrophie
musculaire. Lors- qu'il s'y ajoute une anesthés
malade put reprendre son travail. En même temps se développait une
atrophie
bilatérale de la langue; 4 mois après, nouvelle
e. De 8 à 12 ans, rétablissement de la santé ; il reste seulement l'
atrophie
linguale bilatérale. Le malade dut, à 36 ans, c
nalogues dans les membres inférieurs. A 43 ans on constate, outre l'
atrophie
linguale, surtout marquée à gauche, un raccour-
mouvements délicats, avec troubles du sens sté- réognostique, sans
atrophie
musculaire ni altération des sensibilités superfi
ur le mal de Pott », M. Brissaud résume deux autres cas : l'un avec
atrophie
légère diffuse des membres supérieurs, et grosse
le diagnostic qui est seulement probable, il y avait du côté droit
atrophie
musculaire et douleurs dans le mem- bre supérie
la possibilité d'une paralysie flasque des membres supérieurs, avec
atrophie
musculaire. Il est exceptionnel de ne constater
près, paralysie, d'abord du bras gauche, puis du droit flasque, puis,
atrophie
rapide de certains groupes de muscles : deltoïd
eut donner lieu cette variété, surtout lorsqu'elle s'ac- compagne d'
atrophie
musculaire des membres supérieurs et de troubles
sion et les caractères de douleurs radiculaires. Un mois plus tard,
atrophie
et paralysie du membre supérieur, puis du membr
ur gauche, puis des 2 membres du côté op- posé. Ou constate alors :
atrophie
et paralysie flasque des muscles de la main, de
es muscles antibrachiaux, et paralysie des muscles de la main, avec
atrophie
des éminences thénar et hypothénar (v. pl. IV),
de de M. Broca : douleurs radiculaires, puis paralysie flasque avec
atrophie
musculaire et troubles sensitifs aux membres supé
ralement flasque ; tôt ou lard, elle se double d'un certain degré d'
atrophie
musculaire, quand la compression s'exerce sur l
l'hypoglosse, au niveau du trou occipital, il en peut résulter une
atrophie
de la langue, qui, souvent, n'intéresse qu'une
'un des quatre aspects suivants : 1° Paralysie flasque avec ou sans
atrophie
musculaire ; 20 Paralysie spasmodique des membr
pourra donner lieu aux erreurs de diagnostic suivantes : a) Si l'
atrophie
musculaire est peu marquée, la constatation d'une
hèse d'une névrite. Les troubles objec- tifs de la sensibilité et l'
atrophie
musculaire, souvent diffus, sans limites nettes
mains sur ses membres inférieurs que pour immobiliser le rachis ; l'
atrophie
et la paralysie respectent d'or- dinaire les mu
ue des membres supérieurs . - Lorsque cette dernière s'accompagne d'
atrophie
musculaire à topographie radiculaire (muscles d
rieurs, avec paralysie flas- que des supérieurs, un certain degré d'
atrophie
des muscles du groupe Aran-Duchenne, une dissoc
i- nués vis-à-vis de l'excitation faradique. Il existe en outre une
atrophie
marquée (1) E. BRISSAUD et H. GRE1VBT, Un cas d
ections dans lesquelles on constate le plus fréquemment une notable
atrophie
et une spéciale fragilité des os. Nous avons pu
anisme, le gigantisme, l'acroméga- lie, le rachitisme, l'obésité, l'
atrophie
musculaire, le myxoedème (d'après M. Brissaud c
s- trophies congénitales (nanisme, gigantisme, rachitisme, obésité,
atrophie
musculaire). La plus fréquente de ces associati
maladie de Basedow, la sclérodermie, le gigantisme, le nanis- me, l'
atrophie
musculaire, des exostoses multiples, et de l'infa
rit un agran- dissement acromégalique d'une extrémité, combiné avec
atrophie
musculaire, épaississement de la peau ou résidu
ez les malades atteints d'acromégalie, tandis que d'un autre côté l'
atrophie
de l'appareil (1) mur Physiologie der Hypophyse
r le côté dans une position accroupie : les genoux au menton. Pas d'
atrophie
musculaire marquée ni de déviations osseuses. L
bluxations des phalanges aux 3 derniers doigts de la main droite.
Atrophie
du membre inférieur droit portant sur le fémur. A
rve une dégénérescence des radiations thalamiques, et en plus, de l'
atrophie
consi- rable des grosses cellules multipolaires
faible degré. La muscula- ture des membres est peu développée, sans
atrophie
. En résumé, nous nous trouvons en présence d'un
CIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS ANOMALIES MULTIPLES CONGÉNITALES PAR
ATROPHIE
NUMÉRIQUE DES TISSUS PAR M. KLIPPEL Médecin
PAR M. KLIPPEL Médecin de l'Hôpital Tenon. Il faut entendrè par
atrophie
numérique un arrêt de développement d'un organe
sulter d'un moindre vo- lume organique. Supposons, par exemple, l'
atrophie
numérique d'un membre consécutive à une brûlure
eux du côté opposé et ils ont aussi la même structure, donc point d'
atrophie
simple, ni d'atrophie dégénéra- tive. Le nomb
ils ont aussi la même structure, donc point d'atrophie simple, ni d'
atrophie
dégénéra- tive. Le nombre seul est en défaut.
oire sur ce sujet. De tels caractères suffisent à montrer combien l'
atrophie
numérique diffère de tant d'autres atrophies av
re des éléments anatomiques. ANOMALIES MULTIPLES CONGÉNITALES PAR
ATROPHIE
NUMÉRIQUE DES, TISSUS 137 Le terme d'atrophie n
PLES CONGÉNITALES PAR ATROPHIE NUMÉRIQUE DES, TISSUS 137 Le terme d'
atrophie
numérique est significatif. Il implique,non seule
nt reconnaître aucune espèce d'altération structurale, telles que l'
atrophie
simple,la dégénérescence, la multiplication des n
njonctives et vasculaires qui accompa- gnent les autres formes de l'
atrophie
et qui sont surajoutées à la dispa- rition d'un
surajoutées à la dispa- rition d'un certain nombre d'éléments. L'
atrophie
numérique est non seulement d'une grande fréquenc
détail (1), je voudrais insister ici sur un cas assez particulier d'
atrophie
numérique et dont l'origine doit être recherchée
de développement des membres à la suite de lésions dans l'enfance.
Atrophie
numérique, Rev. de méd., mars 1893. Même sujet, P
éveloppement consécutifs aux lésions locales datant de l'en- fance.
Atrophie
numérique de Klippel. Thèse Paris, 1899, DURANT
fance. Atrophie numérique de Klippel. Thèse Paris, 1899, DURANTE,
Atrophie
numérique. Traité d'Anat. path. de CORAIL et Ranv
autopsie qui eût levé tous les doutes, qu'il s'agit en ce cas d'une
atrophie
numérique, suivant la définition qui vient d'en ê
1° Des signes qui marquent des arrêts de développements localisés (
atrophie
numérique) ; . 2° Des déformations qui sont les
Ce qui permet surtout de rattacher les premiers de ces troubles à l'
atrophie
numérique, c'est l'absence de toute réaction fonc
le avoir tourné par rapport an ANOMALIES MULTIPLES CONGÉNITALES PAR
ATROPHIE
NUMÉRIQUE DES TISSUS 141 reste du pied. Sur ell
nger complètement les quatre ANOMALIES MULTIPLES CONGÉNITALES par
atrophie
numérique des tissus. .. (Mo Klippel) ANOMALI
des tissus. .. (Mo Klippel) ANOMALIES MULTIPLES CONGÉNITALES PAR
ATROPHIE
NUMÉRIQUE DES TISSUS 143 derniers doigts, et qu
t d'un point de côté violent ; ANOMALIES MULTIPLES CONGÉNITALES PAR
ATROPHIE
NUMÉRIQUE DES TISSUS 145 l'auscultation pulmona
En tous ces cas il est bien peu probable qu'il y ait des lésions d'
atrophie
simple ou de dégénérescences, pour les mêmes ra
'ai fait valoir plus haut. Un arrêt de développement] répondant à l'
atrophie
numérique peut rendre compte et de-la brièveté
optique ; sur des coupes postérieures à celle-ci, on constate de l'
atrophie
et de la décoloration générale du pulvinar. Un pe
niveau, passe dans le pulvinar de la couche optique. On remarque l'
atrophie
considérable et la décoloration du pulvinar. De
ien, prouvent que ce ne sont pas des fibres démyélinisées en voie d'
atrophie
; leur terminaison par des massues directes ou ré
gé- nitales ? Cette analogie ne se retrouve-t-elle pas aussi dans l'
atrophie
très prononcée du corps calleux, dans l'intégri
ns ces cas, l'examen anatomique des muscles permet de constater une
atrophie
volumétrique des fibres musculaires, une proli-
tion de l'état général de cause indéterminée. Il en est demême de l'
atrophie
fébrile des vieillards décrite par B.Bail (2),
le symptôme fondamental, essentiel, est l'affaiblissement joint à l'
atrophie
du système musculaire strié, on est en droit de
eiten. Erlangen, 1860. , . (2) B. BALL, Diction. Dechambre, article
atrophie
. (3) G. HAYIOE, Diction. Dechambre, article mus
ompte qu'il s'agit bien d'une maladie très spéciale déterminant une
atrophie
musculaire très prononcée; atrophie qui, fait imp
e très spéciale déterminant une atrophie musculaire très prononcée;
atrophie
qui, fait important, s'accom- pagne de rétracti
M. le professeur Hayem ont eu l'occasion d'observer les exemples d'
atrophie
musculaire suivie de rétraction dont nous avons
se produit le myoedème ou une onde lente de contraction. Dès que l'
atrophie
est extrême le phéno- mène disparait. Les réf
ù la pression était basse (14) nous avons constaté à l'autopsie une
atrophie
des parois du coeur qui est peut être responsab
Coupe longitudinale du soléairc. Adipose interstitielle considérable.
Atrophie
j des libres musculaires, prolifération du tiss
Munchener med. Wochenschrift, 1890. 270 LEJONNE ET LHERM1TE leur
atrophie
est excessive. Le quadriceps par exemple ne recou
de considérables rétractions. ' " Tous les viscères sont en état d'
atrophie
plus ou moins prononcée. Le grand épiploon est
ues tu- bercules crétacés. Chez un sujet le coeur était en état d'
atrophie
manifeste et pesait, vide de sang 170 grammes ;
de nombreux corps amyloïdes, une réaction névroglique modérée, une
atrophie
des cel- ' Iules pyramidales pigmentées; en som
us efforcer de montrer comment évolue la lésion avant d'aboutir à l'
atrophie
et à la sclérose accu- sée du muscle. Tout d'
nt à la maladie propre et de ce qui est surajouté, contingent. Si l'
atrophie
du muscle est l'aboutissant forcé de la plupart
on assez variée. Avec la majorité des auteurs, on peut considérer l'
atrophie
de la fibre comme résultant de deux processus d
e deux processus différents bien que susceptibles de s'associer : l'
atrophie
simple avec ré- (1) CESTAN et P. LEJONNE, Myopa
lpêtrière, 1904. 274 LEJONNE ET LHERMITE gression cellulaire et l'
atrophie
consécutive aux processus dégénératifs. Dans la
s deux processus d'a- trophie ; mais si l'un d'eux est constant : l'
atrophie
simple, l'autre apparaît comme nettement surajo
avec une dégénérescence et cependant la prolifération des noyaux, l'
atrophie
des fibres, les divisions dont elles sont le si
sont très marquées. Nous croyons qu'il s'agit ici d'un processus d'
atrophie
simple avec disparition graduelle et progressive
s ou moins abondamment selon l'intensité de la cause patho- gène.
Atrophie
simple de la fibre musculaire (division, prolifér
de même dimension qu'à gauche (6 cent. de largeur). Il y a un peu d'
atrophie
musculaire de la cuisse (38 à droite, 40 à gauc
le pannicule adipeux des nodules de consistance glandulaire. De l'
atrophie
très marquée du testicule du même côté ; De l'a
issement des testicules et des bourses ; l'emphysème pulmonaire par
atrophie
des fibres élastiques ; le glissement des tégum
éveloppement général : asymétrie faciale, hyper- trophie du sein et
atrophie
du testicule à droite, comme si les caractères
estait sa souffrance par l'atro- phie du prolongement périphérique,
atrophie
se produisant tout d'abord à l'ex- trémité la p
oules de myéline éparses, associées à l'altération fusiforme ou à l'
atrophie
simple. L'auteur en concluait à l'existence des n
t à peu près disparu ; beaucoup de cellules se montraient en voie d'
atrophie
, près d'un tiers avait disparu, notamment (comm
ap- paraît la diminution générale de la grandeur des cellules, et l'
atrophie
d'un certain nombre d'entre elles. Cette atroph
es cellules, et l'atrophie d'un certain nombre d'entre elles. Cette
atrophie
fait des progrès continus jusqu'au 200e jour; à
arge pigmentaire, enfin tout à fait revenues sur elles-mêmes. Cette
atrophie
porte si- multanément sur le noyau et le protop
éclare que ces lésions ne peuvent s'expliquer autre- ment que par l'
atrophie
des cellules à la suite de la destruction de leur
s nous ont paru bien conservées, sans diminution de leur volume, ni
atrophie
à aucun degré, au moins pour l'immense majorité
nce de la zone externe seule. Nous n'avons pas rencontré non plus l'
atrophie
de la gaîne, ni la désintégration de la myéline
as d'ailleurs la possibilité de cette régénérescence, étant donné l'
atrophie
, constatée par lui, du bout ganglionnaire. Enfi
ifester, plus généralisée, ne se caractérise tout d'abord que par l'
atrophie
simple de la gaîne de myéline. Au 12e mois, la
wallérien, tandis que le prolongement central subit un processus d'
atrophie
rétrograde jusqu'au voisinage de la cellule. No
trophiées dans leur ensemble, légèrement ou presque complètement, l'
atrophie
portant assez souvent aussi sur le noyau. Les cap
o. Semaine médicale, 18 avril 1906. 320 .. noux ET HEITZ lement l'
atrophie
, et dont l'intensité est sous la dépendance du de
en sont très rares, la plupart sont simplement atrophiées, et cette
atrophie
se fait suivant le type segmentaire (Shaw, Dejeri
e vide, sans le stade intermédiaire et indéfi- niment prolongé de l'
atrophie
. Enfin au lieu d'un processus essentiellement c
u point de vue histologique des névrites cuta- nées des tabétiques (
atrophie
simple à type segmentaire). Il n'y a pas non pl
rescence rétrograde de la racine postérieure sectionnée et l'état d'
atrophie
segmentaire des racines tabétiques. Seules les
res ne se distinguant en rien de celles des ganglions droits. Pas d'
atrophie
ni de raréfaction des cellules, pas de modifica
égères altérations cellulaires égales des deux côtés ; aucune trace d'
atrophie
ni de raréfaction cellulaire. Les nerfs périp
331 tion du nombre des cellules, aucune trace de ratatinement ni d'
atrophie
. Sur les coupes de la racine postérieure au voi
este. Il existe donc dans ces ganglions quelques cellules en voie d'
atrophie
comme celles que nous avions remarquées, très r
ion de l'acuité visuelle, nystagmus, myosis et rigidité pupillaire,
atrophie
grise des papilles. Cette étude bibliographique
e. Facilité à pleurer à la suite de la cause la plus insignifiante.
Atrophie
évidente des muscles des membres inférieurs. Es
encontre avec ces méthodes sont les sui- vantes : l'hypertrophie, l'
atrophie
, les varicosités et la pâleur. Nous n'avons pas
e, les symptômes méningés, l'altération des réflexes pupillaires, l'
atrophie
du nerf optique, la céphalée intense, les spasmes
placche d'origine silitica. 15. Catola (G.). - Sclérose en plaques;
atrophie
cérébelleuse et sclérose pseudo-systématique de
e est nette. Notre malade n'avait ni le facies en pleine lune, ni l'
atrophie
du corps thyroïde, ni les altérations cutanées,
ée pour franchir la formation kystique, ont souffert un processus d'
atrophie
, de résorption. Même les fibres moniliformes on
auche. - Sur les coupes longitudinales, on cons- tate des lésions d'
atrophie
simple très marquées. Il existe quelques fibres
lus marquées. Il n'existe aucune fibre saine, toutes sont en voie d'
atrophie
simple avec prolifération excessive des noyaux. O
muscles précédents; quel- ques fibres cependant, bien qn'en voie d'
atrophie
, sont encore assez volumi- neuses, un certain n
ate sur la plupart des faisceaux des lésions extrêmement marquées d'
atrophie
simple avec prolifération nu- cléaire, comme da
constate également sur ces muscles des lésions dégénératives, mais l'
atrophie
en est notablement moins marquée que celle des
celle des muscles des membres infé- rieurs. Il existe des lésions d'
atrophie
simple, mais elle est moins prononcée, la proli
s du 5° ganglion cervical 2° ganglion dorsal 2° lombaire montrent :
Atrophie
très considérable des racines antérieures, qui pr
que l'on descend de la région cervicale vers la région sacrée, une
atrophie
très intense des cellules radiculaires, avec un c
te qu'aucune cellule n'est intacte, toutes présentent des lésions d'
atrophie
simple et progressive. Il y a désintégration de
actes ainsi que leurs vaisseaux. Afin de vérifier s'il existait une
atrophie
numérique, nous avons compté les cellules des c
ion. A. Coupe de la moelle au niveau de la XII" dorsale, montrant l'
atrophie
des cellules radiculaires de la corne antérieur
de Clarke. B. Cellules radiculaires antérieures en divers stades d'
atrophie
(Méthode de Nissl). POLIOMYÉLITE DIFFUSE SUBAIG
épinière, portant sur les cornes antérieures, et caractérisée par l'
atrophie
à différents stades des cellules radiculaires,
les cordons antéro-latéraux, dégénérations des racines antérieures,
atrophie
simple des différents muscles examinés. Fait in
rati- quée sur le muscle droit antérieur du quadriceps, montra de l'
atrophie
simple avec un certain degré de dégénérescence
ifé- ration des noyaux. Hoffmann a publié, en 1893, sous le nom d'
atrophie
musculaire chro- nique de l'enfance d'origine s
umonie. A l'autopsie, qui put cependant être faite, on constata une
atrophie
musculaire très marquée, et en prélevant la moe
ne atrophie musculaire très marquée, et en prélevant la moelle, une
atrophie
également évidente des racines antérieures. Les
Les conclusions de l'examen histologique peuvent se résumer ainsi :
atrophie
ou disparition de la plupart des cellu- les rad
r de la moelie, plus marquée dans la partie inférieure de celle-ci,
atrophie
très intense des racines antérieures depuis leu
antérieures depuis leur origine intramédullaire, s'accompa- gnant d'
atrophie
de certains faisceaux des nerfs mixtes et d'atrop
compa- gnant d'atrophie de certains faisceaux des nerfs mixtes et d'
atrophie
géné- ralisée et très marquée des nerfs intramu
'atrophie géné- ralisée et très marquée des nerfs intramusculaires,
atrophie
très inlense des muscles correspondants ayant t
s inlense des muscles correspondants ayant tous les caractères de l'
atrophie
simple. On notait de plus quelques dégénération
ic avec la paralysie infantile, la paralysie d'origine cérébrale, l'
atrophie
névritique Charcot Marie, la myopathie pseudo-h
e atteignait les bras et la nuque, l'évolution fut progres- sive, l'
atrophie
musculaire était marquée, et s'accompagnait de co
mort se fit par affection pulmonaire. A l'autopsie on constata de l'
atrophie
simple des muscles, avec atrophie des nerfs pér
re. A l'autopsie on constata de l'atrophie simple des muscles, avec
atrophie
des nerfs périphériques, atrophie des cellules
atrophie simple des muscles, avec atrophie des nerfs périphériques,
atrophie
des cellules des cornes antérieures de la moell
et demi qui présente depuis sa naissance une paralysie flasque avec
atrophie
musculaire affectant les quatre membres et tous
e l'enfant par nous observé, montre du moins que cette affection, l'
atrophie
musculaire chronique d'origine spinale de l'enf
ments des membres, sauf au niveau des mains qui sont le siège d'une
atrophie
très marquée, et au niveau du pied droit. Amyot
et au niveau du pied droit. Amyotrophie. Aux membres supérieurs, l'
atrophie
musculaire porte surtout sur les éminences thén
e un certain degré d'amblyopie. L'examen actuel des yeux dénote une
atrophie
partielle des deux papilles, plus ac- cusée à g
s ailes sont.immobiles, affaissées. Les joues aplaties traduisent l'
atrophie
des sinus maxillaires. Le menton est proéminent
quement par les symptômes suivants : ataxie des quatre membres avec
atrophie
muscu- laire ; troubles très marqués de la sens
vé à une période assez avancée de son évolution, mais associé à une
atrophie
musculaire généralisée, une cyphoscoliose et un
n'y voir qu'une variante d'une autre maladie également familiale, l'
Atrophie
musculaire type Charcot-Marie. Ainsi que nous l
ntre ces deux affections. OBSERVATION Homme de trente-quatre ans.
Atrophie
musculaire avec troubles de la sensibilité et d
rs fulgurantes, ayant débuté à l'c £ ge de quatorze ans. Début de l'
atrophie
par les muscles des jambes s'étendant plus tard a
Intégrité des muscles de la racine des membres. Pieds-bols équins.
Atrophie
des muscles des mains, type Aran-Duchenne. Contra
nt une déformation très prononcée des deux pieds et des mains, avec
atrophie
musculaire, le membre inférieur droit (frac- tu
s des deux pieds sont nettement atrophiés ; pour les interosseux, l'
atrophie
paraît moins prononcée. Les muscles des deux jamb
aire quelques pas. Signe de Romberg très accusé. Membres supérieurs
Atrophie
musculaire, type Aran-Duchenne, égale et symétr
métrique des deux côtés, main simienne avec griffe cubitale légère,
atrophie
très prononcée des éminences thénar et hypothénar
droite est un peu déformée, allongée dans le sens vertical. . z L'
atrophie
musculaire n'a que très peu progressé depuis cett
le n'est ni diminuée, ni augmentée de volume ; on ne constate que l'
atrophie
des cordons postérieurs qui sont moins larges et
. Certains muscles étaient extrêmement atrophiés : pour d'autres, l'
atrophie
était moins prononcée ; malheureusement il ne n
culière- ment favorables pour suivre le processus histologique de l'
atrophie
muscn- laire. - Dans les muscles de l'éminenc
usculaires : la plupart ont disparu et sur celles qui persistent, l'
atrophie
est extrême, la striation n'est plus reconnaissab
remarque tout d'abord que toutes les fibres ne sont pas atteintes d'
atrophie
, celle-ci procède par zones, des petits groupes d
délimité. Un certain nombre de fibres n'ont subi qu'un processus d'
atrophie
simple, le sarcolemme est très légèrement épais
s phases de ce processus. C'est la même distribution par zones de l'
atrophie
; en outre, des libres déjà très réduites ont c
ns la zone radiculaire postéro-externe et dans la zone de Lissauer. L'
atrophie
des cornes postérieures est la même : les fibre
). Cas. II (résumée). Femme de 45 ans, soeur du malade précédent.
Atrophie
musculaire et troubles de la sensibilité chez une
e à l'âge de douze ans. Double pied-bot varus extrêmement prononcé.
Atrophie
extrême des muscles des jambes et des cuisses p
des muscles des jambes et des cuisses plus marquée à la périphérie.
Atrophie
des membres supérieurs type Aran-Duchenne, dimi
membres supérieurs, moins nette aux membres inférieurs du fait de l'
atrophie
. Marche possible, mais difficile et incertaine.
er dans les membres inférieurs, du fait de l'intensité extrême de l'
atrophie
, il n'en est pas de même aux mem- bres supérieu
, le 18 jan- vier 1892. Oas. III (Résumée). Ataxie locomotrice et
atrophie
musculaire chez un jeune homme de vingt ans. Dé
e l'affection entre sept et huit ans par des troubles de la marche.
Atrophie
musculaire des quatre membres diminuant de la p
double pied-bot équin varus avec pied creux. Aux membres supérieurs
atrophie
musculaire type Aran-Duchenne. Mains simiennes
la sensibilité dans la névrite interstitielle hyper- trophique. L'
atrophie
musculaire quoique toujours très accusée chez ces
quoique très marquée cependant chez celui de l'observation I. Cette
atrophie
a comme caractère de prédominer aux extrémités
sur la participation des muscles de la face à la paraly- sie et à l'
atrophie
,signalée déjà par l'un de nous dans son mémoire d
tact. Nous ajouterons enfin que chez tous ces malades, du fait de l'
atrophie
des muscles des jam- bes et de la plante du pie
mbres inférieurs les troubles fonctionnels sont la conséquence de l'
atrophie
et de t'ataxie. Les malades marchent en steppant,
t médullaires. Les lésions musculaires consistent en un processus d'
atrophie
dont la caractéristique topographique est l'inv
que est l'invasion par zones et la caractéristique histologique une
atrophie
progressive, débutant quelquefois par la dégé-
une seule fois par Hayem sur les racines postérieures dans un cas d'
atrophie
musculaire deutéropathique (IInrw, Atrophie muscu
térieures dans un cas d'atrophie musculaire deutéropathique (IInrw,
Atrophie
musculaire progressive, Dic.,encsclop. des Se.
phique de l'enfance et l'affection désignée en France sous le nom d'
atrophie
musculaire type Charcot-Marie (en Angle- terre
usculaire type Charcot-Marie (en Angle- terre du type péronier de l'
atrophie
musculaire progressive [ Tooth }, en Allemagne
nier de l'atrophie musculaire progressive [ Tooth }, en Allemagne d'
atrophie
musculaire progressive névritique , fut discuté
co ('1) a soutenu que la névrite interstitielle hypertrophique et l'
atrophie
musculaire type Charcot-Marie ne seraient qu'un
ique : nous rappellerons cependant que dans aucune observation de l'
atrophie
musculaire type Charcot-Marie, il n'est fait me
sensibilité, la difficulté de la marche et de la station debout, l'
atrophie
musculaire et enfin l'hyper- trophie considérab
e croit trouver une différence entre ses malades et les nôtres dans l'
atrophie
musculaire, qui dans ces cas n'atteindrait que
uscles propres du pied et de la jambe, tandis que dans les nôtres l'
atrophie
musculaire serait généralisée. Or, s'il est vra
s l'atrophie musculaire serait généralisée. Or, s'il est vrai que l'
atrophie
musculaire est excessive aux membres inférieurs c
e nous avec Sottas, il a été mentionné qu'il s'agissait surtout d'une
atrophie
des extrémités et que les extrémités inférieure
si la névrite intterstitielle hypertrophique comme une variété de l'
atrophie
type Charcot-Marie, opinion qui vient encore d'
(1906). C'est là une erreur absolue. Jamais à l'autopsie d'un cas d'
atrophie
type Charcot-Ma- rie, il n'a élé constaté d'hyp
anatomique. Et tout d'abord quel est le subslratum anatomique de l'
atrophie
type Charcot-Marie ? Les autopsies en sont rare
que la pseudohyperlrophie des muscles des jambes, l'asymétrie de l'
atrophie
dans les muscles des mem- bres supérieurs, qui
ant en s'appuyant sur ces observations que Hoffmann (5) considère l'
atrophie
musculaire type Charcot-Marie comme une névrite i
de Marinesco et de lui-même, il s'agit dans le cas de Du- breuilh d'
atrophie
musculaire type Charcot-Marie ou d'un syndrome pl
ration avec Armand-Delille (2), les lésions consta- tées furent une
atrophie
simple des nerfs musculaires, l'intégrité des ner
ent un peu dans les détails. Sainton reconnaît que les lésions de l'
atrophie
musculaire type Charcot- Marie ne sont pas les
hypertrophique; d'ailleurs (1) Dubreuilh, Etude sur quelques cas d'
atrophie
musculaire limitée aux extrémités et dépendant
s. Rev. de 111éd., 1890. (2) J. DEJEMKE et Armand-Delille, Un cas d'
atrophie
musculaire, type Charcot-Ma- rie, suivi d'autop
Armand-Delille, la malade est morte trente ans après le début de l'
atrophie
musculaire et sur aucun nerf il n'a été pos- si
ions n'est pas abso- lument la même dans les deux maladies : dans l'
atrophie
type Charcot- Marie, l'atrophie n'atteint pas l
ême dans les deux maladies : dans l'atrophie type Charcot- Marie, l'
atrophie
n'atteint pas les racines antérieures et c'est là
trophique est donc une maladie autonome, distincte du tabes et de l'
atrophie
musculaire type Charcot-Marie, elle doit occupe
ention sur quelques particu- larités cliniques. Chez notre malade l'
atrophie
musculaire avait gagné les muscles de la face e
AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE 515 5 très sclérosées, avec
atrophie
intense de nombreuses fibres nerveuses, et dispa-
olles et leurs vaisseaux sont intacts : les racines sclérosées avec
atrophie
des gaînes de myéline qui sont en voie de dégénér
ant de 7 ans), il n'y avait que de la sclé- rose névrogliqueet de l'
atrophie
de certaines fibres nerveuses, sans dila- tatio
e est penchée en avant, raide et immobile ; aux membres supérieurs,
atrophie
du type Aran-Duchenne avec participation des tr
s présentent un épaississement con- sidérable de la névroglie, avec
atrophie
des fibres nerveuses, dont les cylindres- axes
s dans la patho- génie des troubles moteurs des membres supérieurs (
atrophie
musculaire, dans l'observation IX, réaction de
e la névroglie, désintégration de la myéline, ou bien sclérose avec
atrophie
des fibres nerveuses, et, au Pal et au Marchi,
erfs et des muscles, pratiqué par Rossi, lui a montré des lésions d'
atrophie
musculaire dans plusieurs des muscles innervés pa
ibilité se fait de l'olive vers le cervelet. Dans ces conditions, l'
atrophie
de l'olive et du corps restiforme consécutiveme
ion cérébelleuse doit s'ex- pliquer en admettant qu'il s'agit d'une
atrophie
rétrograde. Enfin notre cas est confirmatif de
radiculaires vont se perdre irrégulièrement de chaque côté : mais l'
atrophie
est prédominante dans les groupes cellulaires de
e qui concerne les amyotrophies et l'état lacunaire de la moelle. L'
atrophie
musculaire dont l'origine est artério-scléreuse e
forte réaction dégénérative et par la distribution irrégulaire de l'
atrophie
; la seconde doit être refusée de même pour des m
ire (1 pl.), 552. ICr.irreL. Anomalies multiples congénitales par
atrophie
numérique des tissus (1 pl., 4 dess.), 136. '
. Françus et M\x EGGER, 463. Anomalies multiples congénitales par
atrophie
numérique des tissus (1 pl., 4 dess.), par Klip
aient, puis se desséchaient. Peu à peu, la peau, d'abord gonflée, s'
atrophie
, devient lisse, se colle aux os sous-jacents des
intégrité de la moelle en même temps qu'il appelait l'attention sur l'
atrophie
graisseuse des phalangines. En un mot, s'il exi
ment et paraissent volumineux. Au pourtour de l'orbite, il existe une
atrophie
notable de la peau qui est tendue, adhérente à l'
e en tant qu'elle affecte les extrémités supérieures, les paralyse, y
atrophie
les muscles, y abolit la sensibilité et y produit
d les malades l'ignorent et qu'elle se présente chez eux sous forme d'
atrophie
musculaire, en particulier des mains. Voici que
niveau des extrémités et en particulier aux mains. En ce qui touche l'
atrophie
, c'est la main de singe avec aplatissement des ém
sie. Ce sont des douleurs névralgi-formes. Puis vient la parésie avec
atrophie
musculaire plus ou moins accentuée, occupant la m
ingomyélie.Celle-ci est caractérisée tout d'abord par des symptômes d'
atrophie
musculaire, notablement plus accentués que celle
résentant cliniquement, d'une façon beaucoup plus nette, le type de l'
atrophie
musculaire de Duchenne-Aran. Il y existe aussi, i
res et aussi les faisceaux latéraux, car il existe une paralysie avec
atrophie
; les cornes postérieures et les faisceaux postér
s au pouce, au médius et à l'annulaire, des crevasses indolores, de l'
atrophie
des éminences thénar et hypothénar, de la parésie
Il n'y a, en aucun point du corps, de traces visibles à l'oeil nu d'
atrophie
musculaire. Les avant-bras donnent des résultats
ure à celle du côté sain. Les reliefs musculaires sont normaux. Pas d'
atrophie
. « Pas d'anesthésie sur aucun autre point du co
e plaint pas de douleur. En aucun point du membre vous ne constatez d'
atrophie
musculaire, ni de troubles trophiques. La main
de pointes de feu. De plus, on constate très nettement à la vue une
atrophie
notable du triceps fémoral (droit antérieur princ
y rencontrer, tels que l'hyperesthésie et l'anesthésie et enfin que l'
atrophie
des muscles du membre inférieur pouvant survenir
que-névrite (1). Cette distinction, qu'il appuyait sur l'absence de l'
atrophie
musculaire dans le premier cas, et sur sa présenc
la base de son remarquable travail, il nous est facile de noter que l'
atrophie
dont il parle est toujours une atrophie en masse,
ous est facile de noter que l'atrophie dont il parle est toujours une
atrophie
en masse, soit de la totalité du membre, soit d'u
e compression du nerf scia- (1) Landouzy. — De la sciatique et de l'
atrophie
musculaire qui peut la compliquer. (Arch. gén. de
tée exclusivement aux muscles du mollet, sans qu'il y eût pour cela d'
atrophie
musculaire bien manifeste. Il s'agissait d'un hom
oici un résumé succinct : Observation I (résumée). — Paralysie avec
atrophie
du membre inférieur gauche consécutive à un accou
malement. Fistule vésico-vaginale. Etat actuel (5 novembre 1866). —
Atrophie
notable de la jambe gauche (3 centimètres de diff
excitabilité électrique. Le pied est tombant ; il y a paralysie avec
atrophie
des extenseurs. » La localisation n'est pas moins
car trois ans plus tard la malade avait encore son anesthésie et une
atrophie
des muscles de la région antéro-externe telle qu'
e celle de la jambe gauche. Remarquons que cette paralysie et cette
atrophie
, dues sans aucun doute à la névrite du sciatique
en était encore affectée trois ans après le début des accidents et l'
atrophie
surtout, à ce moment, était considérable. Cette g
ante aux muscles jambier antérieur et extenseur commun, indiquant une
atrophie
non douteuse de ces muscles. Il en est de même à
ieur et péronier, et incomplète de l'extenseur propre du gros orteil.
Atrophie
musculaire manifeste à la région antéro-externe d
rf dans le petit bassin, se compliquer d'accidents graves, paralysie,
atrophie
musculaire, localisés exclusivement dans le domai
l'aide du forceps, s'était compliquée d'une paralysie incurable avec
atrophie
dégénérative des muscles du mollet. Elle ne saura
arcot. Observation VII (personnelle). — Sciatique avec paralysie et
atrophie
dègènèrative des muscles extenseurs de la jambe,
auche, à peine appréciable en réalité et qui prouve en tous cas que l'
atrophie
ne porte que sur les extenseurs dont la diminutio
e gauche. A première vue, il semble qu'il existe un certain degré d'
atrophie
des muscles de cette région. Mais les dimensions
que nulles ; à la cuisse, la résistance est conservée. Il n'y a pas d'
atrophie
des muscles de la cuisse ni de la fesse. — Pas de
la douleur est plus vague, quoique non complètement absente. — Pas d'
atrophie
de la cuisse ni de la jambe. L'épaisseur de la co
s nerveuses. Observation X (personnelle). — Sciatique ancienne avec
atrophie
musculaire et troubles de la sensibilité. Marie
et de tous les muscles de la région antéro-externe de la jambe, avec
atrophie
et réaction de dégénérescence. Puis d'autres déso
e domaine du sciatique poplité externe, marchent parallèlement avec l'
atrophie
dégénérative constatée dans les muscles animés pa
n pronostic assez sévère, commandé par la présence d'une névrite avec
atrophie
dégénérative des muscles. Un cas de sciatique a
iques.— Le membre inférieur droit présente dans toute son étendue une
atrophie
notable des muscles, qui va croissant de la cuiss
rophie notable des muscles, qui va croissant de la cuisse à la jambe,
atrophie
que le tableau suivant indique : Fig. 34. — Poi
Guinon et Parmentier (Obs. n° XI). Sciatique double primitive avec
atrophie
dégé-nérative des muscles dans le domaine du popl
en face de cet ensemble symptomatique, démarche de stepper, douleur,
atrophie
musculaire, pied violacé et œdémateux, fut qu'il
aibles qu'à l'état normal, mais la démarche de stepper fait défaut, l'
atrophie
est moins accusée qu'à gauche et il n'existe pas
mple, c'est-à-dire primitive, pouvait s'accompagner de paralysie avec
atrophie
des muscles innervés par le péronier (V. plus hau
yngée. Tabes et ophthalmoplegic externe. Ophthalmoplegie externe et
atrophie
musculaire généralisée constituant un syndrome à
phthalmoplegie nucléaire comme on l'appelle encore, coïncidant avec l'
atrophie
musculaire plus ou moins généralisée des membres,
ant avec l'atrophie musculaire plus ou moins généralisée des membres,
atrophie
qui, d'après les caractères un peu différents cep
ple, les cornes antérieures de la substance grise de la moelle dans l'
atrophie
musculaire progressive du type Duchenne-Aran ou d
ifs étant respectés, tout comme lorsqu'il s'agit de la moelle, dans l'
atrophie
musculaire du type Duchenne-Aran, où l'altérati
e pour la clinique, il faut toujours compter, lorsqu'il survient de l'
atrophie
musculaire dans le tabès, qu'elle soit bulbaire o
t ici le lieu de rappeler la combinaison qui se fait quelquefois de l'
atrophie
musculaire du type Du-chenne-Aran (poliomyélite a
nte. Mais y a-t-il plus? Les deux cas sont-ib identiques? Est-ce de l'
atrophie
du type Duchenne-Aran qu'il s'agit dans nos cas ?
ue dans l'un d'eux l'ophthalmoplégie externe se trouve combinée à une
atrophie
musculaire généralisée à marche lente et progress
dans cette leçon. (G. G). affection connexe, la syringomyélie avec
atrophie
musculaire, là où l'atrophie est évidemment de ca
affection connexe, la syringomyélie avec atrophie musculaire, là où l'
atrophie
est évidemment de cause spinale, nous avons const
nce de ce signe n'est clone pas suffisante pour éloigner l'idée d'une
atrophie
de cause spinale dans le cas actuel. Nous admet
ysés des membres se sont atrophiés rapidement. Comme vous le voyez, l'
atrophie
a frappé en masse, un peu partout. Les muscles so
paralysie labio-glosso laryngée (paralysie bulbaire totale), soit à l'
atrophie
musculaire généralisée (polioencéphalomyélite). —
aryngée qui résulte de la lésion similaire du bulbe inférieur, ou à l'
atrophie
musculaire progressive due à l'altération portant
moplegic externe combinée à la paralysie labio-glosso-laryngée et à l'
atrophie
musculaire progressive ; lésion systématique des
s. Pas de troubles vésicaux. Rien aux membres ; pas de parésie ni d'
atrophie
. Les réflexes rotuliens sont présents. L'appéti
bles cardiaques ni respiratoires. Il n'y avait toujours ni parésie ni
atrophie
au niveau des membres. Il s'agit là bien nettem
) maigreur extrême, due plutôt à de l'amaigrissement simple qu'à de l'
atrophie
musculaire véri- (1) Cette malade a été observé
la fin de la moelle lombaire. L'ophthalmoplégie externe s'associe à l'
atrophie
musculaire progressive le plus souvent et de la f
ntrons deux fois et toujours à un degré beaucoup moins prononcé que l'
atrophie
musculaire et les symptômes de paralysie bulbaire
abilité fa-radique et galvanique encore plus prononcée que ne l'est l'
atrophie
, mais sans inversion cle formule. Les ré flexes
la valeur à propos du diagnostic de la polioencéphalo-myélite avec l'
atrophie
myopathique, il existe à droite et à gauche une s
nt-bras, toujours en commençant par le côté droit. De l'avant-bras, l'
atrophie
remonta au bras, puis à l'épaule, et enfin, au mo
aient point augmenté du côté des membres supérieurs, l'impotence et l'
atrophie
étaient restées dans le même état. Etat actuel.
et des lèvres s'exécutent parfaitement bien, Il n'y a pas de trace d'
atrophie
de la langue, qui se meut bien en avant, en bas
dehors de la légère rougeur congestive de la muqueuse des cordes. L'
atrophie
musculaire est considérable au niveau du cou, du
e un véritable coup de hache. Au niveau des épaules on constate une
atrophie
notable des deltoïdes et des muscles de la ceintu
a ceinture scapulaire: sus-épineux, sous-épineux, grands pectoraux. L'
atrophie
est à peu près égale des deux côtés, beaucoup moi
nt. La supination complète est également empêchée. Aux avant-bras l'
atrophie
porte surtout sur les extenseurs. Mais au premier
abilité faradique et galvanique, encore plus prononcée que ne l'est l'
atrophie
, mais sans inversion de la formule. En septembr
ière, est toujours à peu près dans le même état, en ce qui concerne l'
atrophie
musculaire des membres supérieurs. Le mal s'est u
eurs. Le mal s'est un peu aggravé au niveau des membres inférieurs. L'
atrophie
commence à se manifester à ce niveau, bien qu'ell
Peyn..., complètement infirme, demandait à entrer à la Salpêtrière. L'
atrophie
était prononcée au plus haut point au bras, à l'é
23 cent. 1/2 Du bras gauche à 12 cent, de l'olécrâne. * . . =24 — L'
atrophie
des muscles de l'avant-bras et du bras est manife
ès faible. Les réflexes abdominal et crémastérien sont conservés. L'
atrophie
est extrêmement accusée au niveau des muscles des
à travers le deltoïde réduit à une lame musculaire insignifiante. L'
atrophie
des membres inférieurs est très prononcée, partic
enue par un appareil ligamenteux et surtout musculaire trop faible. L'
atrophie
des muscles du mollet est également considérable.
eul et commençait à marcher sans béquilles, bien qu'il eût encore une
atrophie
considérable du triceps. Il écrivait assez facile
stèrent en cet état pendant quelque temps. Il n'existait alors aucune
atrophie
des membres. Les membres inférieurs présentaient
n'observe aucun trouble de la déglutition, pas de nasonnement, pas d'
atrophie
de la langue. La tête est légèrement penchée en
constate cependant pas de déformation bien nette de cette région ni d'
atrophie
manifeste des muscles. Ceux-ci résistent peu au m
iveau des membres supérieurs, la faiblesse va jusqu'à la paralysie. L'
atrophie
est très accentuée au niveau du deltoïde et des p
certain degré d'amaigrissement et de faiblesse des fléchisseurs, une
atrophie
très considérable et une impotence des extenseurs
énars et hypothé-nars des deux côtés sont relativement conservées ; l'
atrophie
n'est pas très manifeste au niveau des espaces
inférieurs sont affaiblis, mais on n'y peut constater aucune trace d'
atrophie
véritable. Les réflexes tendineux du genou sont n
caractéristique. La combinaison de l'ophthalmoplégie externe et de l'
atrophie
musculaire ne permet pas le doute un seul instant
son évolution. La polioencéphalite avec ophthalmoplégie externe et
atrophie
musculaire pourrait être confondue avec un cert
n de bien spécial à signaler ; c'est celle de tout individu atteint d'
atrophie
des membres inférieurs. Le trouble peut aller de
s ainsi que cela existait chez un de nos malades (Obs. IV). Lorsque l'
atrophie
a envahi les extenseurs de la jambe, on observe l
bilité de ses yeux, pour diriger ses regards autour de lui. Lorsque l'
atrophie
des muscles de la partie postérieure du cou est t
a bouche à sa main. L'un de nos deux hommes, ne pouvant, à cause de l'
atrophie
des fléchisseurs, empoigner comme il faut ses béq
n la force du moins la possibilité de soutenir sa béquille. Lorsque l'
atrophie
est suffisamment prononcée, les malades ne peuven
t l'on remarque moins souvent la dépression sous-occipitale due à l'
atrophie
des muscles de la nuque. Mais il suffît de jeter
pas atteints et que les mains sont absolument indemnes, tandis que l'
atrophie
prédomine énormément au niveau des muscles de la
s myopathiques le front est lisse, exempt de toute ride, à cause de l'
atrophie
des muscles. Chez les autres, au contraire, la co
e parler que des réactions électriques, que voit-on en effet dans l'
atrophie
myopathique? une absence d'anomalie des réactions
ncore à la volonté. Ce n'est point du tout ce que l'on observe dans l'
atrophie
myopathique où la contractilité persiste tant qu'
chez lui à un effet de l'intoxication saturnine. Enfin la marche de l'
atrophie
, la durée de son évolution, la présence des troub
d'une paralysie bulbaire inférieure qui s'était développée ensuite :
atrophie
légère de la langue, paralysie des muscles du voi
mbres étaient paralysés et atrophiés en masse, sans prédominance de l'
atrophie
dans tel ou tel groupe musculaire et sans trouble
et intrinsèques (poliomyéliques antérieurs, postérieurs et médians).
Atrophie
musculaire, troubles de la sensibilité, troubles
phies musculaires progressives spi-~ nales, qu'ils consistent en de l'
atrophie
musculaire. Pour ce qui concerne les symptômes
en la matière. 1° Symptômes parétiques amyotrophiques. Il s'agit d'
atrophie
musculaire analogue à celle du type Du-chenne-Ara
ntrer par exemple dans l'hystérie et dans la lèpre; mais, combiné à l'
atrophie
musculaire progressive généralisée dans de certai
douleurs rhumatoïdes prodromiques, il se produit une faiblesse et une
atrophie
plus ou moins prononcée du membre. Ces troubles m
nt; démarche de stepper; paralysie double des extenseurs du pied avec
atrophie
musculaire dégénérative. — Glycosurie considérabl
était douloureux à son passage dans la gouttière épitrochléenne, de l'
atrophie
des muscles, des troubles trophiques du côté de l
et le pied est véritablement tombant. On ne constate cependant aucune
atrophie
musculaire nette aux membres inférieurs. Il y a u
musculaire; les réflexes sont normaux et égaux des deux côtés. Pas d'
atrophie
musculaire. La sensibilité générale est abolie
nt de la raideur du membre. Bientôt la main droite s'atfaiblit puis s'
atrophie
. Le quatrième mois, à l'occasion d'une blessure q
cusée pour celle-là; des dépressions intermétacarpiennes trahissent l'
atrophie
des interosseux. Le volume de l'avant-bras est,
e l'avant-bras, les extenseurs. La physionomie des lésions rappelle l'
atrophie
musculaire du type Duchenne-Aran. Ajoutons que la
lle non seulement les troubles sensitifs, mais encore la parésie et l'
atrophie
qui intéressent les muscles de l'éminence thénar,
que l'a bien relevé M. Déjerine, que l'on a fort souvent rapporté à l'
atrophie
musculaire du type Aran-Duchenne des cas où seule
u moins prononcée, se montrait combinée aux symptômes classiques de l'
atrophie
musculaire progressive (2). » Mais la confusion
ire progressive (2). » Mais la confusion de la syringomyélie avec l'
atrophie
musculaire n'est pas bien certainement la seule e
roit est parfaitement sain. Ni à gauche, ni à droite, il n'existe d'
atrophie
musculaire proprement dite, mais les muscles du c
it pour caractériser la syringomyélie. En somme, à part l'absence d'
atrophie
musculaire, rien ne manque au tableau. Et même, s
des plaques choroïdiennes couvertes de dépôts pig-mentaires. C'est l'
atrophie
choroïdienne syphilitique. Vous n'ignorez pas q
e un stigmate syphilitique à peu près univoque. J'ajouterai que cette
atrophie
paraît être un des attributs de la syphilis héréd
ynamométrique et compliquée d'exagération des réflexes tendineux et d'
atrophie
musculaire en masse. Cette atrophie très notable
ation des réflexes tendineux et d'atrophie musculaire en masse. Cette
atrophie
très notable — les chiffres que je vais vous cite
mé. L'ophtalmoscope vous montrera ici que cet accident relève d'une
atrophie
pa-pillaire à bords diffus et nuageux. 3° La va
diable par des îlots scléreux, et cette destruction peut produire une
atrophie
musculaire avec secousses fîbril-laires et, au de
et des déformations considérables (raccourcissement du médius gauche,
atrophie
ou peut-être adhérences des interosseux...) que l
arcot et H. Meige). . . . 169 IX. Sciatique double primitive avec
atrophie
dégénérative des muscles dans le domaine du popli
yngëe. Tabès et ophthalmoplégie externe. Ophthalmoplégie externe et
atrophie
musculaire généralisée constituant un syndrome à
paralysie labio-glosso-laryngée (paralysie bulbaire totale^, soit à l'
atrophie
musculaire généralisée (polioencéphalomyélite). —
et intrinsèques (poliomyéliques antérieurs, postérieurs et médians).
Atrophie
musculaire, troubles de la sensibilité, troubles
nt; démarche de stepper; paralysie double des extenseurs du pied avec
atrophie
musculaire dégénérative. — Glycosurie considérabl
yphilitique cérébrale, 373, 386. Arthritisme et névropathie, 368.
Atrophie
musculaire progressive de Duchenne Aran (diagnost
ue, 366, 378. Chiromégalie dans la syringomyélie, 359. Choroïde :
atrophie
de la — dans la syphilis héréditaire tardive, 3o0
la paralysie générale et l'ataxie locomotrice, 177; — combiné avec l'
atrophie
musculaire généralisée (polioenoéphalomyélite), 1
ent de la —. 383, 395. Syphilis héréditaire tardive : cérébrale, 370;
Atrophie
choroï-dïenne dans la —,380; Lésions du nez dans
as de même de sa création des grands types morbides qui s'appellent l'
atrophie
musculaire progressive, la paralysie infantile, l
à laquelle j'ai l'honneur d'appartenir. DEUXIÈME LEÇON «» Sur l'
atrophie
musculaire qui succède à certaines lésions articu
s articulaires. Sommaire. — Traumatisme articulaire. — Paralysie et
atrophie
musculaire consécutives. — Modifications de la co
s par l'étincelle électrique. — Exagération des réflexes tendineux. —
Atrophie
musculaire simple. — Pas de relation nécessaire e
lement une parésie, mais encore une modification de la nutrition, une
atrophie
du muscle triceps. Peut-être y a-t-il aussi un pe
ve de la réaction; on peut, d'après cela, conclure qu'il s'agit d'une
atrophie
simple et non d'une atrophie dégénérative \ Cho
'après cela, conclure qu'il s'agit d'une atrophie simple et non d'une
atrophie
dégénérative \ Chose remarquable d'ailleurs, ce
itative, ce qui distingue absolument ces altérations musculaires de l'
atrophie
dégénérative. Par le redressement brusque de la
sement étudiés. En résumé, ce malade est atteint d'une paralysie avec
atrophie
simple, presque exclusivement localisée dans les
hèse d'agrég., 1869. — Le Fort, Soc. de chir., 1872. — Sabourin, De l'
atrophie
musculaire rhumatismale. Thèse de 1873. — J. Page
s affections articulaires, Thèse de 1877. — Guyon et Féré, Note sur l'
atrophie
musculaire consécutive à quelques traumatismes de
es extenseurs de l'articulation qui sont atteints. Et, dans ce cas, l'
atrophie
, présentant les caractères de l'atrophie simple,
atteints. Et, dans ce cas, l'atrophie, présentant les caractères de l'
atrophie
simple, sans caractère irritatif, survient très r
i est de la persistance des accidents deutéropa-thiques (paralysie et
atrophie
) après la cessation de l'affection protopathique
ne arthrite légère, lorsque les phénomènes d'impuissance motrice ou l'
atrophie
sont bien constatés, s'exposer à porter un pronos
(triceps), ou du moins plus spécialement sur ces muscles, que porte l'
atrophie
. Je dis plus spécialement, car l'irritation, part
l'épaule, du coude, de la hanche, c'est toujours aux extenseurs que l'
atrophie
prédomine, bien qu'elle puisse comprendre plusieu
articulaire, de proche en proche, jusqu'aux muscles voisins ; mais l'
atrophie
existe au même degré dans toute l'étendue du musc
l'étendue du muscle, et d'ailleurs les expériences montrent qu'il y a
atrophie
simple, sans trace d'inflammation, sans myosite.
hie simple, sans trace d'inflammation, sans myosite. L'hypothèse de l'
atrophie
par repos prolongé n'est pas admissible; l'affect
mment pourrait-on expliquer la localisation à peu près exclusive de l'
atrophie
aux extenseurs ? On est donc réduit à admettre
ue, et c'est en conséquence de cette affection que la paralysie et. l'
atrophie
se produisent. Mais en quoi consiste la modificat
e nous avons constaté, ces jours-ci encore, chez une femme atteinte d'
atrophie
incomplète des muscles du cou et des membres supé
porté par M. Charcot, au cours de la leçon, qu'il ne s'agit que d'une
atrophie
simple. Pour ce qui est de la manière dont le t
plus profondes. Il ne faut pas oublier non plus que la parésie et l'
atrophie
ne sont pas les seuls troubles deutéropalhiques q
les fléchisseurs l'emportant sur les extenseurs. Dans d'autres cas, l'
atrophie
et la contracture se combinent. Ces variétés d'
t reproduites encore plusieurs fois. Ch. F. QUATRIÈME LEÇON Sur l'
atrophie
musculaire consécutive au rhumatisme articulaire
ulaire consécutive au rhumatisme articulaire chronique. Sommaire. —
Atrophie
musculaire dans les arthropathies aiguës, sub-aig
uës, sub-aiguës, ou chroniques. — Relation entre la localisation de l'
atrophie
et le siège de l'arthropathie. — Types du rhumati
ion entre le siège de l'affection articulaire et la localisation de l'
atrophie
musculaire est même assez régulière pour pouvoir
issement très marqué de la fesse du côlé correspondant résultant de l'
atrophie
des faisceaux inférieurs du grand fessier peut au
ion unique ; partout ailleurs les réactions électriques indiquent une
atrophie
simple, sans altération profonde de la nutrition.
tudier au microscope les muscles d'un rhumatisant chronique atteint d'
atrophie
musculaire, et il a noté des caractères qui perme
ies des myopathies d'origine nerveuse : à savoir, l'irrégularité de l'
atrophie
, qui atteint à des degrés différents non seulemen
us pourrez chez elle reconnaître cet aplatissement de la fesse dû à l'
atrophie
des muscles fessiers, et que je vous ai déjà sign
rand trochanter droit paraît beaucoup plus saillant, ce qui tient à l'
atrophie
du petit fessier. Je tenais à vous montrer cett
d'entre eux, mais ceux surtout qui produisent l'extension, subir une
atrophie
plus ou moins marquée. La dépression et l'exaltat
arquée, dénotant un trouble manifeste des vaso-moteurs. Il existe une
atrophie
, ou plutôt uneémacia-tion légère, non seulement d
moins en circonférence que du côté opposé ; il ne s'agit pas là d'une
atrophie
musculaire véritable, mais d'un amaigrissement dû
ermanentes, douleurs intermittentes. — Impuissance motrice précoce. —
Atrophie
musculaire.— Troubles de la miction, de la déféca
Troubles de la miction, de la défécation, des fonctions génitales. —
Atrophie
persistante des muscles innervés par le grand et
t le petit sciatiques gauches. — Exploration électrique. — Parésie et
atrophie
des muscles fessiers du côté droit. Messieurs,
cas, ainsi que l'ont fait remarquer MM. Bonnefin et Lan-douzy, d'une
atrophie
plus ou moins prononcée des masses musculaires du
trophie plus ou moins prononcée des masses musculaires du membre. Une
atrophie
de ce genre existait très certainement, à cette é
r quoi notre assertion est fondée. L'impuissance fonctionnelle et l'
atrophie
musculaire concomitante, dans la sciatique vulgai
l'intervention du centre spinal dans ce mécanisme, est que souvent l'
atrophie
frappe les muscles qui n'appartiennent pas au dom
s où la douleur a occupé exclusivement le tronc du grand sciatique, l'
atrophie
se produit non seulement dans les muscles innervé
ans la sciatique spontanée vulgaire, l'impuissance f^ictionnelle et l'
atrophie
musculaire qui l'accompagnent ne survivent pas lo
ité l'emploi du forceps. Dans ce cas, la névralgie a été suivie d'une
atrophie
paralytique, portant sur les muscles jumeaux, et
sie des muscles du côté droit comme du côté gauche s'accompagne d'une
atrophie
qui se traduit par une diminution de volume facil
côté gauche. Il convient maintenant de considérer un instant cette
atrophie
qui persiste depuis 6 mois. La question à résoudr
t non seulement la théorie, mais encore la pratique : s'agit-il d'une
atrophie
simple, c'est-à-dire sans altération profonde des
ans altération profonde des fibres, ou, au contraire, s'agit-il d'une
atrophie
dégénérative, d'une atrophie correspondant à une
ibres, ou, au contraire, s'agit-il d'une atrophie dégénérative, d'une
atrophie
correspondant à une modification profonde, à une
n certain point, à la solution de cette question. C'est qu'en effet l'
atrophie
simple cède habituellement à l'emploi des moyens
e habituellement à l'emploi des moyens appropriés, tandis que, dans l'
atrophie
dégénérative, le traitement est impuissant. Somme
indiquer en quoi consiste, au point de vue de l'électro-diagnostic, l'
atrophie
simple des muscles et leur atrophie dégénérative.
de vue de l'électro-diagnostic, l'atrophie simple des muscles et leur
atrophie
dégénérative. 1° Dans l'atrophie simple, l'exci
trophie simple des muscles et leur atrophie dégénérative. 1° Dans l'
atrophie
simple, l'excitabilité faradique et galvanique es
ques développées à la suite de certaines lésions articulaires. 2° L'
atrophie
dégénérative a été étudiée avec soin dans les con
upérieurs. La paraplégie cervicale s'accompagne datrophie musculaire,
atrophie
simple pour certains muscles, atrophie dégénéra
mpagne datrophie musculaire, atrophie simple pour certains muscles,
atrophie
dégénérative pour certains autres, comme on peut
les aspects très divers sous lesquels peut s'offrir à l'observateur Y
atrophie
musculaire de fonne progressive. Je me propose d'
sujet dans quelques développements relativement à cette question de l'
atrophie
ou mieux des atrophies musculaires progressives.
à mon enseignement d'il y a 10 ans. La dénomination toute clinique d'
atrophie
musculaire progressive comprend, disions-nous alo
ie est constituée dans son entier, nous avons l'aspect ordinaire de l'
atrophie
musculaire progressive à laquelle se serait suraj
pinales, nous avons proposé de la désigner cliniquement sous le nom d'
atrophie
musculaire progressive du type Duchenne-Aran. La
nosographique Duchenne-Aran. Il existe en effet réellement un genre d'
atrophie
musculaire progressive caractérisée anatomiquemen
ien distinctes l'une de l'autre. Il existe encore une autre forme d'
atrophie
musculaire sans neuropathie qui atteint les jeune
a décrite dans ces derniers temps sous le nom de forme juvénile de V
atrophie
musculaire progressive et qu'il considère avec ra
paralysie pseudo-hypertrophîque, restant en général indemnes de toute
atrophie
. C'est l'atrophie «en effet qui paraît le fait ca
ypertrophîque, restant en général indemnes de toute atrophie. C'est l'
atrophie
«en effet qui paraît le fait caractéristique: l'h
portés à la forme juvénile. Mais celle-ci se distingue cependant de l'
atrophie
musculaire progressive de cause spinale par un ce
sur la question qui nous occupe : hypertrophie apparente dans un cas,
atrophie
dans l'autre, c'est le seul point de différence.
ainsi dire, au point de vue de .l'impotence fonctionnelle, la forme d'
atrophie
juvénile d'Erb, moins l'atrophie, et la paralysie
'impotence fonctionnelle, la forme d'atrophie juvénile d'Erb, moins l'
atrophie
, et la paralysie pseudo-hypertrophique, moins l'h
egardez les masses musculaires; nulle part vous ne constaterez soit l'
atrophie
, soit l'hypertrophie. Ce n'est pas à dire que cet
s ce n'est pas tout; je vais encore vous montrer deux autres formes d'
atrophie
musculaire, qui faisaient autrefois partie du cad
yotrophie des membres inférieurs ou plus exactement des jambes. Cette
atrophie
est très prononcée; la malade peut à peine marche
outre une certaine impotence fonctionnelle des bras, un léger degré d'
atrophie
de la main qui est aplatie du côté de la face pal
de Boulogne) a décrite comme représentant simplement une variété de l'
atrophie
musculaire progressive et à laquelle il a donné l
e progressive et à laquelle il a donné le nom de forme infantile de l'
atrophie
musculaire progressive. Elle semble être rare, ca
so dans un mémoire de MM. Charcot et Marie : Sur une forme spéciale d'
atrophie
musculaire progressive débutant par les jambes et
an dernier à l'Académie des Sciences, l'histoire de cas typiques de l'
atrophie
musculaire progressive in- fantile de Duchenne,
membres supérieurs ont commencé à se prendre à leur tour (fig. 30), l'
atrophie
est apparue bientôt et ici la description de l'af
usculaire rentre absolument dans celle de la forme juvénile de Erb. L'
atrophie
des muscles du bras est considérable. La résistan
mot, aucun des symptômes bulbaires qui existent quelquefois dans l'
atrophie
musculaire progressive de cause spinale. Voilà,
nnent à titre d'espèces: 1° la sclérose latérale amyotrophique ; 2° l'
atrophie
musculaire progressive du type Duchenne-Aran, mai
s :. 1° la paralysie vscudo-hypertrophique; 2° la forme juvénile de l'
atrophie
musculaire progressive du PT Erb ; 3° ï atrophie
forme juvénile de l'atrophie musculaire progressive du PT Erb ; 3° ï
atrophie
musculaire progressive de F enfance de Duchenne {
esse musculaire est le fait dominant et où on ne trouve, en somme, ni
atrophie
, ni hyper- Fig. 33. — Elle montré l'occlusion i
pas très apparente, mais on voit bien la conservation du deltoïde, l'
atrophie
du biceps et des muscles thénar. trophie ; enfi
resque tous nos malades, en effet, même chez celui qui ne présente ni
atrophie
ni hyper- Charcot. Œuvres complètes, t. iii, Sy
une faiblesse très prononcée des muscles des membres supérieurs, sans
atrophie
ni hypertrophie, tandis que le triceps crural des
es non plus, malgré la date ancienne déjà du début de la paralysie, d'
atrophie
des muscles paralysés, circonstance qui, jointe à
noplégie singulière survenue à la suite d'un traumatisme. L'absence d'
atrophie
et de toute modification des réactions électrique
de la face; l'absence d'exaltation marquée des réflexes tendineux, d'
atrophie
musculaire et de toute modification des réactions
chronique d'origine rhumatismale, il s'est produit un certain degré d'
atrophie
du triceps crural (amyotrophie d'origine articula
ablie depuis quatre mois, il n'y a pas cependant le moindre vestige d'
atrophie
ou de diminution de consistance des muscles paral
bout de 1. Voir, à la page 23 de ce volume, la seconde leçon, Sur l'
atrophie
musculaire qui succède à certaines lésions articu
laire qui succède à certaines lésions articulaires. quatre mois une
atrophie
manifeste de ces muscles. De plus les réflexes te
d l'absence de toute modification des réactions électriques, de toute
atrophie
des muscles alors même que la paralysie date de p
lle que soit la durée de cette affection, il ne subit aucune espèce d'
atrophie
, nous verrons tout à l'heure que si la première p
e la jointure ; l'amaigrissement du membre lui-même ne répond pas à l'
atrophie
musculaire, avec flaccidité qu'on trouve dans les
edresser. Fig. 80. Il existe un certain degré d'amaigrissement, d'
atrophie
du membre ; mais les réactions électriques sont n
tence que je vous fais reconnaître sur ce membre d'un certain degré d'
atrophie
musculaire et de refroidissement des téguments ;
grès médical1, puis dans un mémoire qui fait par- 1. Babinski, De L'
atrophie
musculaire dans les paralysies hystériques (Progr
sent être régulièrement marquées par l'existence d'un certain degré d'
atrophie
musculaire; que celle-ci même, à la vérité toujou
eut parler, ce malade crie encore, tout au moins. Il y a paralysie et
atrophie
de la langue ; sa bouche est élargie, ses lèvres
onc un contraste profond avec des troubles moteurs. D'ailleurs, pas d'
atrophie
des muscles dont les réactions électriques sont n
avail. 1. Voir les Leçons XX, XXI, XXII. 2. Voir J. Babinski De l'
atrophie
musculaire dans les paralysies hystériques. (Arch
a sensibilité et la motilité furent absolument normales. IV. De l'
atrophie
musculaire dans les paralysies hystériques *. (
x dernières observations, il y a prédominance de la paralysie et de l'
atrophie
dans le membre supérieur ; dans l'autre, prédomin
supérieur ; dans l'autre, prédominance dans le membre inférieur. L'
atrophie
musculaire hystérique se présente sous l'aspect s
la contractilité électrique est diminuée en proportion du degré de l'
atrophie
musculaire, mais il n'y a pas de réaction de dégé
usculaire, mais il n'y a pas de réaction de dégénérescence ; 5° cette
atrophie
peut se développer avec une grande rapidité. Chez
nt de l'amyotrophie a été aussi très rapide ; 6° la rétrocession de l'
atrophie
semble pouvoir être rapide, comme son développeme
avait déjà augmenté de 1 centimètre. Quelle est la nature de cette
atrophie
musculaire? Nous avons déjà dit plus haut qu'à l'
il n'y avait pas de réaction de dégénérescence. Il s'agit donc d'une
atrophie
simple, c'est-à-dire d'une atrophie indépendante
énérescence. Il s'agit donc d'une atrophie simple, c'est-à-dire d'une
atrophie
indépendante de toute lésion matérielle de la sub
é suspendues pendant une année entière, n'avaient pas subi la moindre
atrophie
. Or, chez les malades dont il est ici question, l
la moindre atrophie. Or, chez les malades dont il est ici question, l'
atrophie
s'est développée très rapidement et a pris en peu
étrange; car, 1. Voir la Leçon XX. est-il possible de comparer l'
atrophie
dont nous nous occupons ici avec l'amyotrophie qu
— 11 est sans doute indispensable d'établir entre ces deux variétés d'
atrophie
une distinction fondamentale. Mais il faut aussi
centres gris de la moelle et les nerfs périphériques sont normaux ; l'
atrophie
musculaire est, comme dans l'hystérie, une atroph
sont normaux ; l'atrophie musculaire est, comme dans l'hystérie, une
atrophie
simple. M. Charcot a encore rapproché l'atrophi
ns l'hystérie, une atrophie simple. M. Charcot a encore rapproché l'
atrophie
hystérique d'une Viriélé d'atrophie que j'ai réce
M. Charcot a encore rapproché l'atrophie hystérique d'une Viriélé d'
atrophie
que j'ai récemment signalée et qui s'appuie sur u
ne peut môme plus y avoir de contestation au sujet de l'origine de l'
atrophie
musculaire, comme dans l'amyotrophie articulaire
lles le sont dynamiquement. La seule différence entre cette variété d'
atrophie
et l'atrophie hystérique est que, dans le premier
ynamiquement. La seule différence entre cette variété d'atrophie et l'
atrophie
hystérique est que, dans le premier cas, la modif
rvations, un fait important et incontestable s'en dégage, c'est que l'
atrophie
musculaire peut relever directement, contrairemen
......................................... t DEUXIÈME LEÇON. sur l'
atrophie
musculaire qui succède a certaines lésions articu
s articulaires. Sommaire. — Traumatisme articulaire. — Paralysie et
atrophie
musculaire consécutives. — Modifications de la co
s par l'étincelle électrique. — Exagération des réflexes tendineux. —
Atrophie
musculaire simple. — Pas de relation nécessaire e
— Simulation.......................... 37 QUATRIÈME LEÇON. sur l'
atrophie
musculaire consécutive au rhumatisme articulaire
ulaire consécutive au rhumatisme articulaire chronique. Sommaire. —
Atrophie
musculaire dans les arthropathies aiguës, subaigu
iguës, subaiguës ou chroniques. — Relation entre la localisation de l'
atrophie
et le siège de l'arthropathie.— Types de rhumatis
ermanentes, douleurs intermittentes. — Impuissance motrice précoce. —
Atrophie
musculaire. — Troubles de la miction, de la déféc
Troubles de la miction, de la défécation, des fonctions génitales. —
Atrophie
persistante des muscles innervés par le grand et
t le petit sciatiques gauches. — Exploration électrique. — Parésie et
atrophie
des muscles fessiers du côté droit...............
harcot, par M. P. Marie............................. 471 IV. — De l'
atrophie
musculaire dans les paralysies hystériques, d'apr
Articulaires (Traumatismes), 28. Asyllabie, i68. Athétose, 2j£l
Atrophie
musculaire à la suite des lésions articulaires, 2
rophies musculaires du rhumatisme chronique, 56; — Réactions — dans l'
atrophie
musculaire consécutive à une contusion du sciatiq
que, 195; — dans les paralysies hystéro-trauniatiques, 305 ; — dans l'
atrophie
musculaire relevant de l'hystérie, 407. Ei.ectr
ume des muscles, 197 ; — forme de Leyden, 200; — forme infantile de l'
atrophie
musculaire progressive de lhtehenne, 200 ; — n'es
R Railway spine, 250, 355. Réflexes (Exagération des) — dans l'
atrophie
musculaire consécutive aux traumatismes articulai
acture hystéro-trauma-tique, 4 0. Rhumatisme articulaire chronique (
Atrophie
musculaire consécutive au —), 51 ; — Différents t
titieuses dans le développement de l'hystérie, 229. Steppage dans l'
atrophie
musculaire progressive, 199. Stigmates hystériq
illaire supérieur, mais ce fait doit être rapporté sans doute à une
atrophie
régressive du rebord du maxillaire supérieur, q
opathies de ce genre. Archives générales de médecine, octobre 1891.
Atrophie
musculaire suite d'arthrite du genou. Examen hist
ail, les mamelles étaient peu développées. On sait d'ailleurs que l'
atrophie
de ces organes a été vue dans certains cas du s
irée énergiquement au dehors dans tous les sens. Il n'existe aucune
atrophie
de la langue (V. PI. XII, 3), ni de contraction
uent tout ce qui reste du faisceau cléido-occipital du trapèze. L'
atrophie
musculaire s'étend encore à tous les muscles de l
ion, on s'aperçoit qu'elle est réduite au prorata de la remarquable
atrophie
musculaire. Notre femme marche en maintenant sa
généralement moins évidents. Cette différence tient simplement à l'
atrophie
profonde de lous les muscles de la région cervi-
on horizontale des bras ne peut s'exécuter qu'avec difficulté par l'
atrophie
des muscles pectoraux. Le mouve- ment d'élévati
région sons-claviculaire qui présente un méplat assez évident par l'
atrophie
du grand pectoral. Postérieurement on voit le
on sus-claviculaire très profonde. Cette ensellure est donnée par l'
atrophie
du faisceau claviculaire du trapèze (V. PI XII,
contractilité musculaire au faradique sont parallèles au degré de l'
atrophie
. Les muscles excités se fatiguent très vite sous
e qui à la suite de longs efforts faits à coudre,avait présenté une
atrophie
de tous les muscles de la gouttière cervicale p
nne de la polyomyélite chronique ou la topographie radiculaire de l'
atrophie
débute par la VIIIe cervicale et la Ire dorsale
t une forme bulbaire de la polyomyélite antérieure chro- nique où l'
atrophie
gagnerait les nerfs crâniens et donnerait naissan
l'ophique. Selon Dejerine on peut poser en règle générale que toute
atrophie
musculaire progressive qui débute par le bulbe
e par le bulbe est une maladie de Charcot fruste, de même que toute
atrophie
myélopathique qui se termine par une paralysie la
ion et son évolution, nous étudierons ensuite la séméio- logie de l'
atrophie
cantonnée au muscle de la région cervicale postér
e, déjà Aran Duchenne avait placé le surmenage : selon cet auteur l'
atrophie
débute- rait par les muscles soumis à un travai
main qui sont parfaitement conservé des deux côtés. A cause de l'
atrophie
des muscles de la nuque, la tète ne peut être mai
les fonctions sensorielles sont respectées. Il existe toutefois une
atrophie
de la langue, une paralysie symétrique du voile
fait que dans la paralysie périphérique du nerf spinal le trapèze s'
atrophie
dans son chef scapulaire et dans son chef clavi
et quelques rameaux inférieurs du nerf facial, on avait observé une
atrophie
complète du stel'l1o-cléido-mastoïdien et une atr
en s'appuyant sur ces faits et sur l' l'existence concomitante de l'
atrophie
du trapèze et du sterno-cléido-mas- toidien, co
ysiologique de la co- lonne cervicale ne tiennent pas seulement à l'
atrophie
musculaire qui en réalité était cantonnée à la
ais ce mot d'impotence évoque, en général, l'idée de paralysie ou d'
atrophie
musculaire; or, celles-ci sont l'exception. Ce te
Remak (194) a observé une crampe des écrivains avec paralysie et
atrophie
du fléchisseur du pouce droit, et névrite du file
névritique. Stéphan (137) rapporte un cas analogue où existait une
atrophie
des éminences thénar et hypothénar, ainsi que d
ir des douleurs dans ces 86 MAC DE LÉPINAY deux doigts, puis de l'
atrophie
des muscles de l'éminence thénar et des interos
opération. Un constate, outre la présence de ce petit névrome, une
atrophie
marquée des muscles extenseurs des doigts et d'
1909. M. Pet... est grand, très solide, bien musclé ; il n'a aucune
atrophie
mus- culaire du bras droit ; tous les muscles e
l'éminence thénar peut amener à la longue 218 MACÉ DE LÉPINAY une
atrophie
des muscles, d'où paralysie flaccide, mais perman
uer cette crampe professionnelle de la névrite correspondante, avec
atrophie
de l'éminence thénar et des interosseux, signal
de la Salpêtrière, 1897. (2) Pierre Marie et Crouzon, Fracture par
atrophie
de l'humérus chez un nty0- palhique, Revue neur
eloppement du tissu osseux en tous ses points, bien différents de l'
atrophie
réflexe, trophoneurotique des os (Ludeck, Kienb
peut marcher assez facilement et s'occuper à des travaux manuels. L'
atrophie
des muscles de la cuisse n'est pas extrême- men
bdomen. C'est surtout pour les muscles du bras et de l'épaule que l'
atrophie
est marquée. L'épaule est assez bien fixée à la
oracique ; le malade présente en outre du ptosis bilatéral, et de l'
atrophie
des muscles masticateurs et moteurs de la langue,
nt-bras. Il présente encore de la déformation en taille de guêpe. L'
atrophie
est extrêmement marquée pour la cuisse. Les réf
ion et de flexion du tronc sont presque impossibles. Il n'y a pas d'
atrophie
marquée pour les mains, et les avant-bras sont
eut les mettre sur sa tête. Les mains présentent un certain degré d'
atrophie
pour l'éminence thénar. Les avant-bras sont pri
gros, presque ohèoe,Cet embonpoint survenu depuis deux ans masque l'
atrophie
mus- culaire. Les cuisses sont beaucoup plus at
osés en flexion, la jambe formant avec la cuisse un angle de 90°. L'
atrophie
est surtout marquée pour la cuisse et le quadri
l'avant-bras est mieux conservé, la main ne présente qu'une légère
atrophie
de l'éminence thénar. Les mouvements sont très
eu plus marqués à gauche. Le membre inférieur présente surtout de l'
atrophie
du quadriceps et de la racine du membre ; l'enf
des os portant sur les diaphyses, et l'aspect du tube osseux dû à l'
atrophie
du tissu spongieux. Humérus. L'étude de l'humér
considérable que celle du radius et du cubitus, comme d'ailleurs l'
atrophie
musculaire est plus marquée pour le bras que pour
ras. Squelette des mains. - Chez 1\leul...Artlur, qui présente de l'
atrophie
des éminences thénar et hypothénar, les altérat
YOPATHIE (Pierre Merle et Raulot - Lapoillte) , A. Myopathie sans
atrophie
des masticateurs. B. - Myopathie avec atrophie
A. Myopathie sans atrophie des masticateurs. B. - Myopathie avec
atrophie
des masticateurs. LES ALTÉRATIONS OSSEUSES AU C
ons que nous avons notées prédominent dans les segments où domine l'
atrophie
musculaire et peuvent se préciser de la manière
rallèle. Sans doute, les os peuvent être altérés secondairement à l'
atrophie
mus- culaire, et l'on conçoit que les reliefs o
troubles trophiques. » L'examen du maxillaire de Borg..., atteint d'
atrophie
des muscles masticateurs (phénomène très rare,
mots sont conservés, pas d'asymétrie, on relève seulement un peu d'
atrophie
des orbiculaires ; du prognathisme alvéolo-dent
lombo-sacrée est normale, il en résulte une ensellure considérable.
Atrophie
des masses lombaires ; le matelas des muscles fes
asses lombaires ; le matelas des muscles fessiers ne présente pas d'
atrophie
manifeste. L'abdomen et les organes génitaux ex
oubles sensitifs. - Rien. Troubles trophiques. - Un certain degré d'
atrophie
des intercostaux ; le pectoral gauche est atrop
refroidissement rapide des téguments, pas de poils. On trouve de l'
atrophie
et de la pseudo-hypertrophie ou tout au moins des
té ligneuse à un ramollissement partiel. - 248 VIRES ET ANGLADA L'
atrophie
siège : a) au niveau du trapèze et des muscles de
une corde dure et tendue, que l'on arrive à palper facilement. L'
atrophie
deltoïdienne est moins marquée à gauche. La pse
nservé sa musculature à peu près indemne, tandis que dans le dos, l'
atrophie
qui n'étaitprimitivement que lombaire, s'est ét
la musculature sauf aux muscles inter- scapulaires. En avant il y a
atrophie
et pseudo-hypertrophie des pecto- raux. Les mou
umeaux, phénomène ancien, apparaissent la pseudo- hypertrophie et l'
atrophie
réparties inégalement dans la jambe et la cuiss
-même est un peu tou- ché.La paralysie, la pseudo-hypertrophie et l'
atrophie
se répartissent sur la plupart des muscles du c
s diaphysaires irrégulièrement épaissies. Ça et là on remarque de l'
atrophie
osseuse, tandis qu'à côté on peut voir des trav
la suite d'une blessure par arme à feu du nerf cubital droit avec l'
atrophie
musculaire de la main droite et la contracture
ssez rapides. Les muscles des membres inférieurs sont atrophiés ; l'
atrophie
paraît résul- ter de l'inertie même de la malad
ment de la force motrice de l'extrémité supérieure droite et par l'
atrophie
des petits muscles de la main. Après divers tra
ncée de l'extrémité supérieure droite, réflexes profonds affaiblis.
Atrophie
des muscles intérosseux, des muscles de l'émine
force motrice de l'extrémité supérieure ^droite fut reconstituée. L'
atrophie
des muscles diminua rapidement, et un mois après,
eurs et la parésie cessèrent ; même, le symptôme organique qu'est l'
atrophie
des muscles, au dire de la malade, disparut aussi
rapide, à vue d'oeil, sous Y influence d'un moment psychique, de l'
atrophie
des petits muscles de la main, atrophie qui rap
d'un moment psychique, de l'atrophie des petits muscles de la main,
atrophie
qui rappelle d'une manière surprenante une forme
hie qui rappelle d'une manière surprenante une forme très rare de l'
atrophie
locale hystérique et qui est au fond l'atrophie d
orme très rare de l'atrophie locale hystérique et qui est au fond l'
atrophie
d'ori- gine mixte hystéro-névritique. Pareillem
griffe, les réflexes sont exagérés. Il existe, en outre, une légère
atrophie
musculaire. Le membre inférieur est plus tlasqu
ite, albuminurie accompagnée de paralysie des membres inférieurs, d'
atrophie
musculaire rapide, de douleurs intenses à ce ni
inférieur droit ; au bout de deux mois la malade meurt, sans que l'
atrophie
musculaire n'ait rétrocédé ni que la motricité ne
état de cachexie de la malade. Toutefois aux membres inférieurs l'
atrophie
musculaire était pour ainsi dire totale. A l'ex
s pu déceler dans les racines antérieures quelques fibres en voie d'
atrophie
et dans les racines postérieures quelques très
s sphériques ou irréguliers de matière argentophile, provenant de l'
atrophie
et de la dégénérescence de l'ancienne arhorisatio
les que l'on observe chez l'animal après section d'un nerf moteur :
atrophie
musculaire, effacement des striations transvers
ion et la dégénérescence des gaines de myéline est accompagnée de l'
atrophie
des cylindraxes cen- traux. La névrite parenc
isséminées, rappe- lant la névrite périaxile segmentaire, jusqu'à l'
atrophie
presque totale du nerf. Cette variété extrême
gue de la malade rend la réponse difficile. La constatation de l'
atrophie
d'un grand nombre decylindraxes, atrophie à laq
ile. La constatation de l'atrophie d'un grand nombre decylindraxes,
atrophie
à laquelle a fait suite un début de régénératio
es ; les filets moteurs des nerfs, frappés à mort, donnent lieu à l'
atrophie
musculaire ; les filets sensitifs restant au st
s capsulaires des ganglions rachidiens se faisant parallèlement à l'
atrophie
des cellules ganglionnaires (rage, sénilité, dé
ctère de la lésion anatomique d'être bien limitée, mais complète, l'
atrophie
musculaire et la paralysie sont complètes pour
ons dit déjà, l'intention de nous en occuper. Le développement de l'
atrophie
musculaire et l'état des réflexes tendi- neux s
lade a une parésie partielle du membre inférieur gauche, combinée d'
atrophie
musculaire. Par ailleurs aucun signe de maladie
lade le 20 juin 1905, il y a une parésie très étendue et combinée d'
atrophie
du membre inférieur droit. Pas d'autres symptômes
able. Elle peut marcher, mais boite un peu à droite. Il n'y a pas d'
atrophie
musculaire nette. . Il) Observations sans sympt
ême année, j'ai vu la fille et j'ai constaté une parésie combinée d'
atrophie
du membre inférieur gauche qui s'étend à un assez
vu la malade le 21 juillet de la même année, il y avait parésie et
atrophie
très étendues dans le membre inférieur droit. J'a
une parésie considérable dans le membre inférieur droit, combinée d'
atrophie
. Observation XVIII. L. K..., fille, âgée de 2 a
peu de temps. Etal le 4juin 1905. - Il y a une parésie combinée d'
atrophie
d'un certain nombre des muscles de l'épaule dro
rs qui est plus étendue à droite.Les muscles paralysés montrent une
atrophie
très prononcée. En regardant de plus près l'ext
paralysie de presque tous les mouvements des deux épaules avec une
atrophie
très prononcée des muscles. On constate aussi une
sie des membres inférieurs est encore complète et combinée avec une
atrophie
marquée. Le malade ne peut s'asseoir dans le lit
ombe en avant et il ne peut la relever. Il semble aussi y avoir une
atrophie
de la masse commune des muscles du dos. Il y a
il y a encore une parésie de l'épaule gauche et, du même côté, une
atrophie
du deltoïde et du trapèze. Il y a une parésie con
on de Wasser- mann positive, le signe d'Argyll-Robertson, la légère
atrophie
pupillaire, et l'abolition des réflexes tendine
n ; abolition des réflexes patellaires et achilléens ; petitesse et
atrophie
légère de la papille ; per- sistance de la memb
la papille parle plutôt pour un défaut de déve- loppement que pour
atrophie
secondaire. La littérature médicale nous donne
ANCE DU GIGANTISME 469 Les dernières phalanges montrent des faits d'
atrophie
et d'hypertrophie associés. En général le tis
le fait dominant est repré- senté par l'association de phénomènes d'
atrophie
osseuse liés à des faits d'hypertrophie. Nous v
ans l'acromégalie que dans le gigantisme, des faits très évidents d'
atrophie
des dernières pha- langes des doigts et des mai
ulement quelques travaux. Marie et Astier (1897) n'ont pas trouvé d'
atrophie
musculaire ni de modifications de la sensibilit
uge brun. Diagnostic : Récente pachyméningite hémorragique interne.
Atrophie
et 498 ROUDNEW sclérose du cerveau. Pneumon
rce cérébrale montrent des différents signes de dégénérescence et d'
atrophie
(tigrolyse, atrophie pigmentaire, kariolyse et dé
t des différents signes de dégénérescence et d'atrophie (tigrolyse,
atrophie
pigmentaire, kariolyse et dé- sagrégation compl
pigmentation très marquée des cellules de la moelle épinière et une
atrophie
des cellules nerveuses ganglionnaires. La plupart
es, remplacées par du tissu interstitiel de nouvelle formation. L'
atrophie
des racines postérieures est plus marquée que cel
est plus marquée que celle des racines antérieures. On constate une
atrophie
particulièrement intense au niveau de la région
ure ne renferment plus du tout de fibres à myéline. Ailleurs, cette
atrophie
est de beaucoup moins marquée. On ne la trouve
dégénéres- cence (tigrolyse, karyolise, dégénérescence vacuolaire,
atrophie
pigmentaire). Les espaces péri-cellulaires sont
-céplta- lile et méningo-myélite chronique diffuse interstitielle ;
atrophie
des racines de la moelle épinière, surtout des
t, une immobilité de la colonne vertébrale, une cyphose, une légère
atrophie
des muscles, un affaiblissement de' la respirat
omènes d'hyperplasie qui n'excluent pas d'ailleurs des phénomènes d'
atrophie
. Notre colonne vertébrale ne présente pas de dé-
verté- brale. La fusion des vertèbres vient après, à la suite de l'
atrophie
des disques intervertébraux. Ainsi, pour Bech
x changements des conditions mécaniques amenés par la parésie] et l'
atrophie
des muscles de la colonne vertébrale. La fusion
a fusion des vertèbres est due, comme nous ve- nons de le dire, à l'
atrophie
des cartilages intervertébraux ainsi qu'à la mi
fait que la spondylose ne se développe pas toujours à la suite de l'
atrophie
des muscles de la colonne vertébrale. De plus,
nt observé des cas de ma- ladie de Bechterew dans lesquels manque l'
atrophie
des muscles dorsaux. N'ayant pas trouvé d'atrop
esquels manque l'atrophie des muscles dorsaux. N'ayant pas trouvé d'
atrophie
musculaire chez son malade, Troschine pense que
LOSE DE LA COLONNE VERTÉBRALE ET DES CÔTES 505 Chez notre malade, l'
atrophie
musculaire n'était pas suffisamment pro- noncée
u'une ossification aussi étendue était un phénomène secondaire de l'
atrophie
musculaire ; il faut plutôt considérer l'ossifi
aussi lorsque des conditions d'ordre mécanique amènent d'abord une
atrophie
des car- tilages, puis leur disparition complèt
, dans notre cas, l'inflammation de la colonne vertébrale a amené l'
atrophie
des disques in- tervertébraux dans ses régions
une ostéo-arthropathie remarquable de la colonne verlébrale et une
atrophie
marquée du membre inférieur gauche. Les osteo-a
temps,dans ce même membre inférieur gauche, se rendait évidente une
atrophie
musculaire massive. En plus la fonction sexuelle
xterne et est situé en dehors relative- ment à la côte iliaque. L'
atrophie
du membre inférieur gauche porte sur tous les mus
es déformations osseuses dues à l'os lé-oa rili ropa (li ie : sur l'
atrophie
remarquable qui s'est manifestée sur le membre in
le membre inférieur gauche. . Ce qui prouve que la cause de cette
atrophie
est bien celle que je pré- ? 1 : . ? \\ ......
crois pas, non plus, devoir discuter l'association éventuelle d'une
atrophie
musculaire progressive avec le tabes, dont furent
vec le tabes, dont furent publiés plu- sieurs exemples, parce que l'
atrophie
que présentait notre malade n'a aucun caractère
sives. Il me semble donc certain que, dans le cas de notre malade l'
atrophie
du membre inférieur gauche est due à l'ostéo-ar
t à discuter de quelle façon la lésion osseuse a pu engendrer celte
atrophie
. Les éventualités à examiner sont au nombre de
phie. Les éventualités à examiner sont au nombre de deux; ou bien l'
atrophie
est d'origine médullaire, ou bien elle est due
port avec la diminution de la masse musculaire. L'hypothèse d'une
atrophie
d'origine médullaire pourrait trouver un SUR UN
plus troublée sur le membre in- férieur droit qui ne présente pas d'
atrophie
notable, que dans le gauche où l'on voit l'atro
présente pas d'atrophie notable, que dans le gauche où l'on voit l'
atrophie
musculaire dont nous avons parlé. On aurait en
er, quand on se rappelle que les fibres nerveuses responsables de l'
atrophie
ont leur cellule d'origine beaucoup plus haut.-
es du corps. Pour toutes ces raisons, il parait plus probable que l'
atrophie
muscu- laire du membre inférieur est due plutôt
récédents, confirment mon opinion sur l'origine non médullaire de l'
atrophie
du membre inférieur gauche. En effet, il serait
juste d'admettre que, si une lésion médullaire était cause de celle
atrophie
, les centres trophiques les plus atteints auraien
, il est à remarquer combien chez notre malade, même sans compter l'
atrophie
du membre inférieur gauche, due, d'après ma modes
affaiblissement progressif spécialement des membres inférieurs avec
atrophie
musculaire et depuis lors le malade boita de pl
coxo-fémo- rales ; elles sont facilement accessibles en raison de l'
atrophie
musculaire. Le fémur gauche présente la diaphys
sa diminution dans les maladies de cet organe (cirrhose atrophique,
atrophie
jaune aiguë, empoisonnement par le phos- phore,
; il nous reste à discuter la pre- mière. Les faits très évidents d'
atrophie
du squelette que nous avons mis en évidence par
ssible de constater dans certains cas des faits très mani- festes d'
atrophie
osseuse liés à des faits non moins évidents d'hyp
non moins évidents d'hypertro- phie ; dans quelques cas les faits d'
atrophie
dominaient le cadre aussi bien si la maladie ét
de méde- cine, no 10, 1908. CUSIIING. - Infantilisme sexuel avec
atrophie
optique dû à une tumeur de l'hypophyse. Journal
LPÊl BIL.IOE) Travail du laboratoire de M. le professeur Raymond.
ATROPHIE
OLlVO-RUBRO-CLRI;JBELLL,.USE ESSAI DE CLASSIFIC
qui aboutissent à la dégénération d'un ou de plusieurs systèmes, l'
atrophie
oliro-ponlo-cérébelleuse décrite par MM. Dejerine
oncules cérébelleux moyens sont entièrement respectés. Comme dans l'
atrophie
otivo-ponto-cérébetteuse, les olives bulbaires,
live bulbaire pour monter vers le cervelet. La systématisation de l'
atrophie
que nous allons décrire nous a semblé suffisamm
écrire nous a semblé suffisamment précise pour lui mériter le nom d'
atrophie
olivo-rzsbro-céré- belleuse. Il nous a paru int
peu flexueux, ne présentent pas d'athérome. Il existe en outre une
atrophie
prononcée du pédoncule cérébral gauche, qui à s
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T, XXII. Pl. LXIII Fig. 2 Fig. 1
ATROPHIE
OLI'O-RUBltO-C1;RBEL1.EUSE (Le jointe et Lhermi
LA SALPl : 1RIL ! {E T, XXII. Pl. LXIV Fig. 1 Fig. 2 Fier 3
ATROPHIE
OLI'O-RUI3110-CAILBFLI,F-USF (Lei(iiiie el Lher
ATROPHIE OLI'O-RUI3110-CAILBFLI,F-USF (Lei(iiiie el Lher mille)
ATROPHIE
OLIVO-RU13RO-CRLeBEI,LEUSE 607 Examen microscop
ellules de Purkinje disparues. La couche moléculaire présente une
atrophie
prononcée ; elle est constituée par des fibres
nts, mais il en subsiste un assez grand nombre ; c'est surtout de l'
atrophie
simple qu'on observe. Les fibres qui traverse
sont bien colorées ; on retrouve la lésion générale, c'est-à-dire l'
atrophie
en masse de la substance blanche, mais les fibr
Nouvelle Iconographie DE la SALPÊ : TRIt`·.R1 : T. XXII. P. LXV
ATROPHIE
OL1VO-RUBRO-CÉRÉBELLEUSE (Lejoinie el LberlIIi/
XV ATROPHIE OL1VO-RUBRO-CÉRÉBELLEUSE (Lejoinie el LberlIIi/tl')
ATROPHIE
OLEUSE 609 par le Van Gieson. Au niveau du foye
e qu'à gauche, les pédoncules cérébelleux supérieurs présentent une
atrophie
considérable. 1° Segment intm-cérébelleux. - Da
s ; );0"\ hLi Iconographie de la Salpi' trière T. XXII. Pl. I.XVI
ATROPHIE
OL1V0-KU13R0-C.RÉBEL1.EUSE (Lcim11lc et Lhcrini
0-C.RÉBEL1.EUSE (Lcim11lc et Lhcrinitlc) Masson et Cm, Editeurs
ATROPHIE
OLIVO-RUBRO-CÉRÉBELLEUSI 611 elles forment un r
confondent avec les pédoncules cérébelleux moyens. On constate une
atrophie
généralisée, mais pas de champ de dégénération
u de son quart interne ; dans les régions supérieures on constate l'
atrophie
de la partie tout à fait interne de ce ruban :
velle Iconographie DE la SALI'1 : 1RI1 : RE 'I'. XXII. Pi. 1.\'ll
ATROPHIE
OLI\'O-RU13R0-CÉREI3ELLEUS1 : (Lejonne et Hermi
ll ATROPHIE OLI\'O-RU13R0-CÉREI3ELLEUS1 : (Lejonne et Hermille)
ATROPHIE
OLtVO-RUI3R0-CERL.BELLEIJSE 613 La couche optiq
e optique est semblable des deux côtés et ne parait pas présenter d'
atrophie
. Le faisceau longitudinal postérieur est complè
com- plexes de l'appareil cérébelleux ; nous avons proposé le nom d'
atrophie
o/i).'o-rM6;'o-ccreMM. ! e pour désigner ce typ
restiforme, sans altération des nerfs ou des noyaux bulbaires. 2o
Atrophie
globale du cervelet, caractérisée histolo;iquemen
ue as- sez dense par endroits. Au point de vue topographique, cette
atrophie
est généralisée et frappe avec une égale intens
lobe médian, le flocculus, l'amygdale, etc. Il existe également une
atrophie
pro- noncée de la substance blanche centrale av
ce blanche centrale avec raréfaction des fibres myé- liniques. 3°
Atrophie
des noyaux dentelés et disparition presque complè
relation directe entre la lésion du pédoncule cérébral gauche et l'
atrophie
olivo-rubro-cérébelleuse. On pourrait se demand
NOUVELI.E ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊ1Rli : RE 'I'. XXII. PI. LXVIi[
ATROPHIE
OLIVO-RUBRO-CÉRÉBELLEUSE (Le jointe et Lberlll
berlll itte) Masson et Cie, Editeurs PhOlotYlue Uellhaud, Paris
ATROPHIE
OLIVO-RUBRO-CKRÉBELLEUSE 615 différents niveaux
eau pyra- midal devait être totale dans le cas qui nous occupe. L'
atrophie
olivo-rubro-cérébelleuse au contraire nous paraît
es différentes atrophies du système cérébelleux décrites jusqu'ici,
atrophie
olivo-ponto-cérébel- leuse de Dejerine et Thoma
squ'ici, atrophie olivo-ponto-cérébel- leuse de Dejerine et Thomas,
atrophie
lamellaire de Thomas, atrophie parenchymateuse
érébel- leuse de Dejerine et Thomas, atrophie lamellaire de Thomas,
atrophie
parenchymateuse des lamelles du cervelet de Mur
phie parenchymateuse des lamelles du cervelet de Murri et I. Rossi,
atrophie
olivo-cérébelleuse de G. IIolmes, etc. Il nous
G. IIolmes, etc. Il nous faut maintenant assigner une place à cette
atrophie
olivo-rubro-cérébelleuse dans le groupe des mal
: beaucoup sont des trouvailles d'autopsie. C'était le cas de notre
atrophie
olivo-rubro-cérébelleuse. Nous nous gardons bien
(4), on peut diviser les atrophies céré- belleuses en : /' (1)
Atrophie
olivo et rtebro-cérébelleuse, par P. Lejonne et J
ses combinées de la moelle, thèse de Paris, 1904. (3) ITAI.0 Rossi,
Atrophie
primitive pm enchymateuse du cervelet à localisat
aphie de la Salpêtrière, 1907, p. 66. . (4) Dejerine et Thomas, L'
atrophie
olivo ponto-cél'ébelleuse, Nouvelle Iconographie
ngénitales. III. Atrophies dégéhératives et parenchymateuses dont l'
atrophie
olivo-ponlo-cérébelleuse est le type le plus ac
n de savoir dans quel groupe de cette classification peut rentrer l'
atrophie
olivo-rubro-cérébelleuse que nous venons de déc
euses : I. Dégénération parenchymateuse primitive du cervelet. IL
Atrophie
0 livo-pon to-cél'ébellr : 1tse, III. - Atrophi
du cervelet. IL Atrophie 0 livo-pon to-cél'ébellr : 1tse, III. -
Atrophie
cérébelleuse progressive due à des lésions irrila
de ces trois classes; nous avons montré en quoi elle différait de l'
atrophie
olivo-ponto-céi-ébelleuse; on ne peut non plus
tion parenchyma- teuse absolument pure; encore bien moins comme une
atrophie
cérébel- leuse progressive d'origine interstiti
s sépare les atrophies parenchymateuses primitives du cervelet de l'
atrophie
olivo-ponto-céréhelleuse, ces deux types de lésio
MM. Dejerine et Thomas, au con- traire, insistent sur ce fait que l'
atrophie
olivo-ponto-cérébelleuse est une dégénération p
o/ familiale dégénération of the cerebellum. Brain, 1907, p. 466.
ATROPHIE
OLIVO-RUBRO-CI : RBELLUSE 617 classes d'atrophi
classification. En nous fondant sur l'époque du développement de l'
atrophie
, sur la topographie des lésions, leur systémati
cervelet : Une première division s'impose, basée sur l'origine de l'
atrophie
; sou- vent, en effet, certaines atrophies succ
upe, les atrophies primitives. Par ce terme, nous enten- dons toute
atrophie
du cervelet développée indépendamment de toute
lir une classification, 618 11 LEJONNE ET LHERMITTE suivant que l'
atrophie
porte sur une partie ou au contraire atteint la t
atisation de ces lésions. C'est dans cette catégorie que rentrent l'
atrophie
lamellaire de Tho- mas, les atrophies parenchym
- bable que la liste n'en estpas encore close. On y peut ranger l'
atrophie
olivo-ponto-cérébelleuse de Dejerine et Thomas,
ranger l'atrophie olivo-ponto-cérébelleuse de Dejerine et Thomas, l'
atrophie
cérébelleuse de G. Holmes. C'est dans ce groupe q
s, l'atrophie cérébelleuse de G. Holmes. C'est dans ce groupe que l'
atrophie
olivo-rubro-cérébelleuse trouve sa place naturell
ment aux éléments nobles, sont purement parenchyma- teuses, telle l'
atrophie
olivo-ponto-céréhelleuse. Cependant la présence
ication des atrophies du cervelet, telle que nous la comprenons :
atrophie
OLIVO-RUBIIO-C'Rf,,13ELLFUSF 619 Atrophies seco
LLFUSF 619 Atrophies secondaires : IIémiall'ophie cérébelleuse.
Atrophie
de la maladie de Friedreich, du tabes, etc. Atr
symétriques. 1° Parenchymateuses pures. Cas de Murri, I. Rossi.
Atrophie
lamellaire de Thomas. t" Avec lésions interstit
e. (Paralysie générale). Cas de H. Bond, etc. b) Symétriques.
Atrophie
olivo-ponto-cérébelleuse. Atrophie olivo-cérébe
. Bond, etc. b) Symétriques. Atrophie olivo-ponto-cérébelleuse.
Atrophie
olivo-cérébelleuse. Atrophie olivo-rubro-cérébe
Atrophie olivo-ponto-cérébelleuse. Atrophie olivo-cérébelleuse.
Atrophie
olivo-rubro-cérébelleuse. UN CAS DE GLIOME BULB
ation. Adroite une atrophieiucomplète du nerf optique et à gauche l'
atrophie
du même nerf est complète. Les artérioles sont tr
écubitus dorsal, les membres inférieurs en flexion. On constate une
atrophie
générale, plus prononcée aux jambes où les moll
on des muscles fléchisseurs s'y opposant. Aux membres supérieurs, l'
atrophie
est plus intense à la main, dont les émi- nence
es muscles des bras et des avant-bras sont égalemenl le siège d'une
atrophie
manifeste. L'ex- tension de l'avant-bras se fai
communiqué au Congrès de Baden-Baden (23 24 mai 1903) quatre cas d'
atrophie
du nerf optique consécutives aux tumeurs de la
mouvements fibrillaires (au moment de l'examen). II y a une notable
atrophie
dans les masses musculaires du mollet et de la cu
ans la marche ; à partir de ce moment il commença à se produire une
atrophie
associée à parésie des muscles des jambes et de
d'un appui. Parallèlement aux troubles moteurs s'est développée une
atrophie
des muscles des mains, qui est maintenant assez
és et pro/onds sont complètement disparus. En outre une appréciable
atrophie
de la main droite vient de commencer avec une lég
on de l'excitabilité électrique. Nous sommes donc en présence d'une
atrophie
musculaire spinale du type Aran Duchenne. En ef
n faveur d'elle sont les caractères suivants : le commencement de l'
atrophie
musculaire aux extrémités des membres inférieur
ronique, soit en considérant la marche, soit parce que paralysie et
atrophie
muscu- laire ont progressé parallèlement, et la
du type Wei-diiing-Hoffmann parlent le jeune âge, l'extension de l'
atrophie
de la portion distale des membres et la lenteur
et la lenteur de l'évolution. On ne peut admettre aucune forme d'
atrophie
névritique (alcool, plomb) vu l'absence de trou
e comporter de l'excitabilité électrique. On peut exclure aussi une
atrophie
musculaire progressive du type Charcot-Marie pa
Contre la sclérose en plaques est surtout l'évolution et la notable
atrophie
musculaire, l'absence de quelques-uns des sympt
érieure aiguë (lombaire) s'est produite après environ seize ans une
atrophie
musculaire progressive du type spinal. Or une d
igue et le froid. L'intervalle qui sépare la maladie primitive de l'
atrophie
secondaire est très varié, ordinairement de 10
s commence par un affaiblissement musculaire, qui est suivi par une
atrophie
musculaire ; celle-ci prend une marche progressiv
atteint un grand nombre de muscles, de manière à paraître comme une
atrophie
musculaire généralisée, ordinairement du type A
généralisée, ordinairement du type Aran Duchenne. Dans notre cas l'
atrophie
successive des différents grou- pes musculaires
eux qui étaient voisins des paralysés (les muscles des jambes). L'
atrophie
musculaire peut encore atteindre ou la partie sym
la maladie dans notre cas a été chronique,progressive,comme dans l'
atrophie
du type Aran Duchenne. Il y a encore des cas à ma
au varus équin. A l'âge de 35 ans il se produisit une parésie avec
atrophie
dans la jambe homonyme, associée à des atrophies
la poliomyélite chronique comme une entité morbide différente de l'
atrophie
musculaire à type Aran Duchenne (Oppenheim, Str
anger. En tout cas la parenté entre les formes de poliomyélite et l'
atrophie
musculaire spinale est démontrée par les atroph
En effet, dans notre cas et dans les cas analogues, nous avons une
atrophie
musculaire du type Aran Duchenne qui représente
eut se faire que le processus de poliomyélite initial contribue à l'
atrophie
tar- dive, en diminuant encore davantage la rés
ivent avoir sans doute contribué non seulement au commencement de l'
atrophie
musculaire, mais à son développement rela- tive
ide et à sa diffusion. BIBLIOGRAPHIE RAYMOND Paralysie infantile.
Atrophie
musculaire, C. R. de la Soc. de biolog., 21 avr
1875. COUDOIN. Etude clinique de la paralysie spinale aiguë et de l'
atrophie
musculaire progressive chez le même individu. T
9. Quinquauii. Elude clinique de la paralysie spinale aiguë el de l'
atrophie
muscu- laire progressive. Thèse de Paris, 1819.
nce de la paralysie infantile sur le développement ulté- rieur de l'
atrophie
musculaire progressive . Gazette médicale de Pari
antérieure aiguë. Thèse de Paris, 1888. Rémond. - Une observation d'
atrophie
musculaire myélopathique à type scapulo- huméra
aralysie infantile avec la paralysie spinale aiguë de l'adulte et l'
atrophie
musculaire progressive spinale. Thèse de Nancy, 1
1893. t. 1, p. 1. Gnnrrnov. - Étude clinique sur les relations de l'
atrophie
musculaire progressive de l'adulte avec paralys
èrement intéressant dans ce dernier cas est la coexis- tence avec l'
atrophie
des humérus, de l'atrophie de diverses portions d
dernier cas est la coexis- tence avec l'atrophie des humérus, de l'
atrophie
de diverses portions de plusieurs systèmes vert
e à l'appendice médioventral. Chez le sujet que nous avons en vue l'
atrophie
est au maximum au niveau du 2e métamère dorsal ;
complètement développées) ; les métamères voisins par- ticipent à l'
atrophie
surtout par leurs sternèbres. Plus bas au niveau
sous-scapulaire et leurs crêtes séparatives marquent les limites) l'
atrophie
porte sur les métamères moyens comme le montre la
coïncidant avec la diminution de la longueur de l'os. En somme l'
atrophie
des humérus coexiste chez ce sujet avec une atro-
ie. Comment se forme la matière organisée ? Certes, on s'explique l'
atrophie
et la disparition d'organes devenus inutiles pa
est soumise à des conditions opposées à celles qui déterminent son
atrophie
, mais comment comprendre l'apparition de la vie
delà nature. La matière ne supporte pas le repos prolon- gé. Elle s'
atrophie
dès qu'elle n'est plus soumise à l'action de ses
dans l'art ; - de C. Maccari) (1 pl.), par POIITIGLIOTTI, 329.
Atrophie
olivo-rubro-cérebelletise. Classifica- tion des
tuiel (On cas de gliome ), par DUSTJN et Van LJXT, 620. Cervelet [
Atrophie
olivo-rubro cérebelleuse. Classification des at
603. Goeltl' (Myopathie généralisée avec pseudo- hypertrophIe et
atrophie
; hypertrophie du - observée à dix années d'int
t BoUDON, 432. Myopathie généralisée avec pseudolypertro- phie et
atrophie
; hypertrophie du coeur observée à dix années d
-], par Macé DE LÉPINIY, 65, 189, 289. Olivo-rttbro-cérébelleuse (
Atrophie
). Classifi- cation des atrophies du cervelet (5
STIN, 349. Pseudo-hypertrophie (Myopathie généralisée avec - et
atrophie
; hypertrophie du coeur observée il dix années
it pl.), 119. Alyopathic généralisée avec pseudo- hypertruphie et
atrophie
. Hypertrophie du coeur observée à dix ans d'int
e, osteomalacie, rachitisme) (4 pl.), 24. LÉJO¡ ? B et Lhermitte.
Atrophie
olivo-ru- bro-cérsbetieuse. Essai de classifica
ériel dans cette maladie (4 pl.), 449, 566. Lhermitte et Lejonne.
Atrophie
olivo-ponto- cérebelleuse. Essai de classificat
1 pl.). 119. Myopathie généralisée avec pseudo- hypertrophie et
atrophie
. Hypertrophie du coeur observée à dix ans d'int
XIX à XXIV. Ankylose de la colonne vertébrale (RoL'D- NEW),L1V.
Atrophie
olivo-rubro-cérébelleuse (LEJONnE et Lhermitte)
ostéophytes et les stalactites d'origine périostée, on remarque une
atrophie
osseuse assez marquée. La dystrophie est plus r
de la clinique ophtalmologique de Turin) : Rétinite pigmentaire,
atrophie
complète post-neuritique de la papille. La papi
ômes en foyer dépendants de la compression des nerfs optiques, avec
atrophie
complète de la papille, réduction énorme du diamè
ux caractères sexuels secondaires, nous signalons l'existence d'une
atrophie
typique du système pileux caractérisée notam- m
s cérébraux en foyer, avec de la céphalée, des vomis- sements, de l'
atrophie
complète des nerfs optiques et concomitant à un
l s'agit d'ectrodaclylle, parfois avec réduction des os de carpe et
atrophie
des os de l'avant-bras. Un auteur italien, Fuma
embre supérieur gauche absence du pouce (ectrodactylie absolue avec
atrophie
de l'avant-bras) et au thorax une légère atrophie
ylie absolue avec atrophie de l'avant-bras) et au thorax une légère
atrophie
congénitale de toute la moitié gauche. Cet aute
trophie congénitale de toute la moitié gauche. Cet auteur signale l'
atrophie
de la moitié gauche du thorax comme étant sans
sive lenticular degeneration » et qui ont leur base anatomique en l'
atrophie
et les foyers de désintégration des corps strié
t épaissis. Des hémorragies ne sont pas constatées à l'oeil nu. Une
atrophie
bien appréciable des circonvolutions n'existe nul
ous trouvons tous les stades de l'intégrité de la cellule jusqu'à l'
atrophie
extrême. Souvent les cellules saines et les cel
ns. Durée de la maladie 1 an 5 mois. Autopsie : cirrhose hépatique,
atrophie
des testicu- les el de la glande thyroïde, lept
e 21 juin 1913 le malade succombe. Autopsie (9 h. après la mort).
Atrophie
très forte des testicules. Glande thyroïde très
uée par l'infection tuberculeuse. Comme dans mon premier cas il y a
atrophie
de la glande thyroïde et des testicules. Mais c
ment avancé, 45 et 59 ans, une cirrhose du foie, se combinant d'une
atrophie
des testicules et des glandes thyroïdes, peut s
nes postérieures ne présentent pas d'altération marquée, à part une
atrophie
nette du groupe cellulaire de la co- lonne de C
ment ont presque tous des caractères nor- maux ; mais il existe une
atrophie
nette de la moitié gauche ; de plns, sur presqu
auche est nettement diminuée de volume par rapport à la droite,et l'
atrophie
semble porter presque également sur toutes ses pa
iges cellulaires ; les cellules des groupes latéraux sont en état d'
atrophie
simple. Il existe en outre une. raréfaction mar
91 d'apparence si chétive, les organes génitaux ne présentent pas d'
atrophie
; ce sujet dit accomplir normalement ses foncti
la dystrophie, on note de la raré- faction du tissu osseux et de l'
atrophie
; il est probable que cet état est dû à des cau
la plupart des cas on n'a l'occasion de constater ni paralysie, ni
atrophie
de cause centrale, ni anesthésie de type segmen
nt rare de la voir commencer par une anesthésie de la main et par l'
atrophie
de quelque muscle interosseux. Le symptôme culm
animés par le facial supérieur, .spécialement les orbi- culaires. L'
atrophie
de ces muscles qui, dans la plupart des cas, n'es
cale ». Il faut remarquer que dans ce cas de masque aneslhésique, l'
atrophie
et l'anesthésie ne coexistent ni en intensité,
ins cas, le trouble sensitif précède le premier, et dans d'autres l'
atrophie
précède le trouble sensitif. Mais il la fin les d
philitique bilatérale des VIIe et Ville paires crâniennes, suivie d'
atrophie
rapide des mêmes paires. La figure 18 appartien
se trouve, comme c'est à supposer, en propor- tion avec le degré d'
atrophie
des muscles qui entrent en travail. Quand il y
use, il n'y a point de paralysie, et que ce qui existe est purement
atrophie
musculaire. Les muscles altères sont pour eux s
bien clair, c'est que la paralysie, quand elle existe, est unie à l'
atrophie
musculaire dégé- nérative et que l'atrophie, qu
le existe, est unie à l'atrophie musculaire dégé- nérative et que l'
atrophie
, quand elle n'est pas unie il la paralysie, ne
des atrophies musculaires, suivant qu'il y a ou non para- lysie, en
atrophie
musculaire paralytique et atrophie musculaire non
qu'il y a ou non para- lysie, en atrophie musculaire paralytique et
atrophie
musculaire non paralytique. Les caractères de
tique et atrophie musculaire non paralytique. Les caractères de l'
atrophie
musculaire paralytique, dans la lèpre ner- veus
puissentalleindre. L'exemple le plus vulgaire et le plus courant d'
atrophie
paralytique ou dégénéralive est le type jambier
sente des signes de dégénération avancée, sont également atteints d'
atrophie
para- lytique. L'homme de la figure 11 a une pa
à des processus musculairesauxquels prennent part la para- lysie, l'
atrophie
et la conlraclure. Dans le but de spécifier les t
erceplible parésie du droit externe gauche. » , Sans aucun doute, l'
atrophie
musculaire non paralytique est fréquente dans l
oup de malades, ayant : des mains et des pieds en période avancée d'
atrophie
musculaire et même avec mutilations, peuvent co
phique. Le résultat de l'électro-diannostic confirme la nature de l'
atrophie
musculaire puisque le muscle jambier se contrac
ouvement rythmique. Les mains de la femme des figures 4 et i', avec
atrophie
musculaire, peuvent se fermer presque normaleme
end de ce que les muscles, quoiqu'ils présentent un certain degré d'
atrophie
, ne sont pas atteints de contracture des extenseu
r profond mettant en flexion les dernières. La figure 2G démontre l'
atrophie
du voile du palais; à cause de son insuffisance
liquides à avaler s'échappent par le nez. Dans la syringomyélie, l'
atrophie
musculaire ne garde pas en général autant de sy
igure 27 appartenant à un syringomyélique chez lequel, en plus de l'
atrophie
des muscles des mains, il y a celle du biceps e
côlé droit. On ne trouve pas non plus, dans la lèpre nerveuse, l'
atrophie
des muscles de la région antérieure de l'avant-
n autre cas de syringomyélie. Nous trou\ons aussi, dans la lèpre, l'
atrophie
musculaire d'origine arthritique. Les muscles d
r l'effet de la tuméfaction inflammatoire du carpe et de la main. L'
atrophie
est uniforme dans toute la longueur des muscles
névrite typhique, et dans les antagonistes de ceux chez lesquels l'
atrophie
n'est pas paralytique quand le processus atrophiq
on. En troisième lieu, par l'effet de causes combinées telles que l'
atrophie
,cornme je viens de le dire, unie des lésions ar
développée en conséquence de la névrite qui en même temps produit l'
atrophie
de l'extrémité·cles doigts avec résorption osse
temps à la flexion des doigts succède l'extension par l'effet de l'
atrophie
des premiers et de la contracture ultérieure des
ctures, il n'est point nécessaire qu'ils en arrivent à la période d'
atrophie
avancée ; il arrive que l'irréflectivilé se prése
ns souvent l'irréflectivité dans la lèpre nerveuse par l'effet de l'
atrophie
musculaire dégénérative, et elle est fré- quent
quelques amyotrophies, dans la syringomyélie et dans certains cas d'
atrophie
avec réaction de dégénération partielle. Mais c
signes de dégénération neuro-musculaire dans les régions où il y a
atrophie
paralytique. Dans ces muscles ainsi atrophiés,
igures 36 et 37. Avec cette neurolépride, la lépride maculeuse et l'
atrophie
cutanée accompagnent la forme nerveuse. On voit
use et l'atrophie cutanée accompagnent la forme nerveuse. On voit l'
atrophie
cutanée dans les figures 38 et 39. Et spécialem
vrite, soit lépreuse, traumatique, tabétique, etc., nous trouvons l'
atrophie
osseuse par résorp- tion, d'une même forme et d
commune, soit élective, des fibres des cordons nerveux. DEUX CAS D'
ATROPHIE
MUSCUL,\IRE CH.\nCOT-IARIE (1 .PAR A. SOUQUES
dis une entité morbide, que l'un désigne actuellement sous le nom d'
atrophie
musculaire progressive. Dès 18'19, Duchenne att
culaire arec transformation graisseuse, et qu'il appela, plus lard,
atrophie
musculaire graisseuse progressive. Il empruntait
. la pachyméningite cervicale hypertrophique, la syringo- myélie, l'
atrophie
musculaire Charcot-Marie, la névrite hypertr'opbi
de l'une des espèces morbides élevées sur les ruines de l'ancienne
atrophie
musculaire progressive de Duchenne. C'est en
it sur ce sujet un intéressant mémoire intitulé : type péuonier r d'
atrophie
musculaire. Trois ans plus tard, IIoffmann repren
r son service militaire et de faire campagne au Maroc. DEUX CAS D'
ATROPHIE
MUSCULAIRE CHA11COT-MARIE 179 9 membres supérie
ujourd'hui infiniment moins touchés que ses membres inférieurs. L'
atrophie
Charcot-Marie, arrivée a son complet développemen
muscles du tronc contrastent par leur relief et leur vigueur avec l'
atrophie
extrême des membres ; il n'y a aucune lésion vi
ésumé de la description classique donnée par Charcot et Marie : «
Atrophie
musculaire progressive envahissant d'abord les pi
es crampes. « Réaction de dégénérescence dans les muscles en voie d'
atrophie
. « Début de l'affection le plus souvent dans l'
mptô- mes frappent au premier abord : la déformation des pieds et l'
atrophie
musculaire portant sur les jambes et le tiers i
ré ; les orteils ont une certaine tendance à se mettre en griffe. L'
atrophie
des jambes est telle que la saillie des mollets a
moyenne etsupérieure paraissant normalement développées. C'est une
atrophie
« en jarretière», comme disent Charcot et Marie
la flexion ; les tendons des. extenseurs sont saillants, et il y a
atrophie
exlrême de tous les petits muscles de la main,
NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVII. PL. XXXII 1
ATROPHIE
MUSCULAIRE CHARCOT-MARIE . ' ' Obs. 1 ' (A. S
s NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. - T. XXVII. PL. XXXIII
ATROPHIE
MUSCULAIRE CHARCOT-MARIE Obs. II (A. Souques)
i., ? LrT ? IJaNVII. PL. XXXIV 0 .. , . .t< Obs. I Obs. II
ATROPHIE
MUSCULAIRE CHARCOT-MARIE (A. Souques) Masson
tacts. Le second de nos malades, S... (âgé de 47 ans), présente une
atrophie
encore plus marquée : les pieds ont une déforma
t pas de tendance à la griffe. Les jambes sont très atrophiées et l'
atrophie
atteint ici les cuisses, dans leur totalité (PI
lité (PI. XXXIII et XXXIV). Aux membres supérieurs, il faut noter l'
atrophie
extrême des petits muscles de la main : interos
de secousses fibril- ¡aires très visibles sur les muscles en voie d'
atrophie
, sur ceux de la cuisse pax exemple. La motili
e la cuisse pax exemple. La motilité est diminuée au prorata de l'
atrophie
. C'est l'atrophie, en effet, qui régit les trou
exemple. La motilité est diminuée au prorata de l'atrophie. C'est l'
atrophie
, en effet, qui régit les troubles moteurs. Chez
t des doigts. 182 souques En contraste avec le degré extrême de l'
atrophie
musculaire, il faut signaler le peu d'intensité
conserver l'équilibre. Ce même contraste entre le degré marqué de l'
atrophie
et le degré léger de l'impotence fonctionnelle,
son impotence fonctionnelle est com- plète. Le second présente une
atrophie
du type Aran-Duchenne, d'origine syringomyéliqu
jusqu'aux chevilles et sur la partie externe des jambes. DRUX cas d'
atrophie
musculaire CHARCOT-hlARl E 183 Partout ailleurs
x et la présence d'un contra-latéral des adducteurs est rare dans l'
atrophie
Charcot-Marie, mais elle a été signalée cependa
nets. Seul, le réflexe plantaire n'existe pas, ce qui semble dû à l'
atrophie
des muscles du pied. Je dois signaler ici que M
ar Alarinesco ; la décoloration de la papille citée par Vizioli ; l'
atrophie
optique avec amaurose notée par Gordon, Gilbert B
Il faut éliminer toutes les maladies qui peuvent produire ce type d'
atrophie
, c'est-à-dire la sclérose latérale amyotro- phi
eurs, électriques ; en raison de la discordance entre le degré de l'
atrophie
et le degré de l'impotence fonctionnelle. J'ai
diffuse des quatre memhres avec secousses fibrillaires, deux cas d'
atrophie
musculaire CHARCOT-MAHIE 18S une incoordination
r les muscles, la moelle et les nerfs périphériques. Je passe sur l'
atrophie
des muscles qui est une atrophie simple, sans n
erfs périphériques. Je passe sur l'atrophie des muscles qui est une
atrophie
simple, sans notable dégénération walléi-ieniie
ieniie, sans prolifération cellulaire, sans myosite interstitielle,
atrophie
plus ou moins accusée suivant les muscles et su
teurs et spécialement sur les filets musculaires qui sont frappés d'
atrophie
simple. Les troncs restent de volume normal et
s reste à voir comment il faut comprendre la nature, la genese de l'
atrophie
musculaire Charcot-Marie. Faut-il, étant données
eloppent la nature des atrophies spontanées du système , DEUX CAS D'
ATROPHIE
MUSCULAIRE CHARCOT-MARIE 187 nerveux, c'est-à-d
tenir de ces considérations qu'il existe une variété particulière d'
atrophie
musculaire progressive, limilée aux quatre memb
récise. La première observation, dans laquelle se trouve signalée l'
atrophie
dégénérative du noyau rouge à la suite d'une lé
rs strictement limités à l'hémisphère cérébral avaient entraîné une
atrophie
notable du noyau rouge. Dans ce premier travail
rew, et d'autres. Dans la plupart de ces cas, il s'agis- sait d'une
atrophie
très marquée du noyau rouge déterminée par des
imitée à la capsule du noyau rouge, tantôt de dégéné- rescence et d'
atrophie
atteignant d'une façon plus ou moins globale la
yau rouge dans ces diver- ses observations se caractérisait par une
atrophie
en masse de ce noyau, dont le volume était quel
n'admet le lo- bule paracentral qu'avec la plus grande réserve. L'
atrophie
secondaire du noyau rouge n'ayant été constatée q
ne capsulaire frontale du noyau rouge, on z ohsema, par contre, une
atrophie
liés nelte'du faisceau thalamique de Forel (Bal
it d'un quart au moins, présentait au niveau de son tiers moyen une
atrophie
très marquée, laquelle intéres- sait surtout la
a substance moléculaire, bien que, çà et là, la dégénérescence et l'
atrophie
portaient même sur les cellules ganglionnaires
misphère cérébral, on observe toujours au niveau du noyau rouge une
atrophie
et une dégénérescence très accusées. La réaction
On constate assez fréquem- ment, toutefois, la dégénérescence et l'
atrophie
d'un certain nombre de cellules principales.
e de leur segment vertical, mais, ce que l'on note surtout, c'est l'
atrophie
rétrograde énorme, la résorption presque, de la
res et grossièrement atrophiés. Sur la présente coupe on remarque l'
atrophie
nota- ble et la décoloration intense du corps g
uent LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 207 à intensifier l'
atrophie
du bord supérieur de ce ganglion. Le corps du tri
générescence du noyau latéral, une dégénérescence rétrograde et une
atrophie
très accentuée du tubercule antérieur ainsi qu'
'Arnold demeure manifestement dégénéré, et on observe, en plus, une
atrophie
très considérable de la bandelette optique. Il
dérable de la bandelette optique. Il s'agit vraisemblablement d'une
atrophie
, dite indirecte ou de second ordre. A ce niveau
générescence si intense du trigone s'accompagne, dans ce cas, d'une
atrophie
exagérée du corps mam- millaire correspondant.
a lésion temporo-occipitale a déterminé une dégé- nérescence et une
atrophie
très notables du corps quadrijumeau antérieur, du
persiste ainsi qu'un certain degré de défor- mation engendrée par l'
atrophie
secondaire. Sur une coupe (PI. XXXVI-F) passant
la capsule externe. Au niveau de la couche optique, on remarque une
atrophie
notable du bord snpé- rieur de ce ganglion et u
considéra- ble du noyau latéral ainsi qu'une dégénérescence et une
atrophie
rétrogrades du tubercule antérieur. La derniè
lleux, lequel présente du reste une dégénéres- cence diffuse et une
atrophie
assez considérable. Un petit foyer lacunaire oc
ble être intéressé par des altérations vasculaires. On remarque une
atrophie
en masse du bord supérieur de l'hé- misphère ai
ps genouillé externe. Au niveau de, couche optique, on remarque une
atrophie
déformante plus ou moins généralisée de ce gang
ule interne. Au niveau de la couche optique, on remarque encore une
atrophie
très notable de ce gan- glion avec déformation
intérieur de ce noyau, la résorption de la substance moléculaire, l'
atrophie
et le tassement des éléments cellulai- res et l
Réflexes : Mêmes résultats que précédemment. Troubles trophiques :
Atrophie
visible des muscles de l'avant-bras. Troubles v
é de volume. (1) JoFFRov, Deux cas de zona du membre supérieur avec
atrophie
musculaire. Archives de physiologie. 1882. (2
r exemple Oppenheim et Vogt, Wilson et Fischer dans leurs cas par l'
atrophie
(malfot nialion) de cet organe. Ce sonl les spasm
ction- nels dans un cas où les corps striés furent trouvés en forte
atrophie
. La courte relation d'un autre cas suivra ; les
e. Dans le cerveau de Kn. l'intégrité de celles-ci contraste avec l'
atrophie
des premières. Les coupes d'après Van Gieson mo
LES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 283 dente :
atrophie
du corps strié avec réduction des radiations de c
téressant la partie antérieure du globus pallidus). Celui-ci est en
atrophie
aussi prononcée que les antres parties du corps s
un bon nombre de fibres verticales. Le corps sous-thalamique est en
atrophie
manifeste ; quelques libres appartenant au systèm
L'affaissement très évident de la couche optique est expliqué par l'
atrophie
de la région sous-thalamique. Microscopi- queme
oces- sus d'involution très avancés. Les corps striés sont en forte
atrophie
. Les corps de Luys ont perdu la moitié de leur
de cellules nerveuses ont disparu et qu'on en remarque qui sont en
atrophie
extrême ; en général les cellules pyramidales o
on, les rubans de Reil également. , Dans la première observation, l'
atrophie
des corps striés est compliquée d'une atrophie
mière observation, l'atrophie des corps striés est compliquée d'une
atrophie
des corps sous-thalamiques. Dans la seconde obs
PAR A. SOUQUES, BAUDOUIN et LANTUÉJOUL On sait aujourd'hui que l'
atrophie
musculaire progressive Aran-Du- chenne est souv
cornes antérieures. Nous avons eu l'occasion d'observer deux cas d'
atrophie
musculaire progressive Aran-Duchenne, qui répon
incident. Mais un médecin consulté à cette époque diagnostique une
atrophie
musculaire déjà ancienne de l'épaule gauche, ce
bre supérieur gauche présente tout d'abord au niveau de la main une
atrophie
très marquée, ayant amené la disparition des émin
s'effectue sans force. w Au niveau de l'avant-bras, on constate une
atrophie
très accentuée et surtout marquée au niveau Je
re faut-il remarquer qu'une adipose sous-cutanée masque en partie l'
atrophie
. La supination est impossible, la pronation s'e
les mouvements du bras. Au niveau de la région scapulo-humérale, l'
atrophie
est extrême, le deltoïde paraît complètement di
ssible. Le membre supérieur droit présente au niveau de la main une
atrophie
un peu moins accentuée que du côté opposé, auss
e, les peauciers, les muscles de la langue sont indem- nes de toute
atrophie
. Les muscles pectoraux sont par contre très touch
int de tabes. Uix ans après le début de ce tabès, s'est montrée une
atrophie
musculaire progressive qui a évolué selon le ty
rtiVILLIOD petits débris. La musculature du dos est atteinte d'une
atrophie
lipomateuse intéressant spécialement les région
êt dans les progrès d'un tissu, tissu de remplissage consécutif à l'
atrophie
supposée des racines postérieures, laquelle pouva
sés par des troubles de la vue : stase papillaire, névrite optique,
atrophie
du nerf optique, hémianopsie bitem- porale, hém
nlacl a décrit aussi des difformités assez accentuées du squelette (
atrophie
de la moelle osseuse et des os) chez une femme de
d'Anthropo- logie, 1906. (2) KL1PPEL et BOT'CIIET, Hémimélie avec
atrophie
numérique des lissus, Nouvelle Iconographie de
e disposition anormale ; la palpation ne permet de constater aucune
atrophie
des masses muscu- laires. Les dimensions de ce
éorie est alors la suivante : la compression de la jambe entraîne l'
atrophie
d'un os gênant, d'une manière ou d'une autre, la
ci arrête la nutrition, et par suite la croissance, puis entraîne l'
atrophie
en oblitérant les vaisseaux, celle-là ne produi
reprennent petit petit un volume normal, il ne s'est produit aucune
atrophie
sensible, mais simple- ment des déformations in
la flexion des os soit presque exactement superposable, pour que l'
atrophie
porte sur les mêmes parties. Le plus souvent, a
appé que la cicatrice placée sui- le tibia devrait coïncider avec l'
atrophie
du tibia et non avec celle du pé- roné et que,
umatique et dyslhénie pério- dique, par BENON et LEINRERGER, 415.
Atrophie
musculaire Charcot-Marie, par A. Souques, 1'S.
ycho-physiolo- gique de l'hystérie, 251. Souques (A.). Deux cas d'
atrophie
muscu- laire Charcot-Marie, 175. Souques (A.)
ophie Aran-Duchenne (Souques, Baudouin etL.1\rU'JOUL), XL1X à LI.
Atrophie
musculaire Charcot-Marie (Sou- QUES), XXXII à X
t que tout au '-moins une des* variétés -des troübles trophiques, l'
atrophie
musculaire, peut être sous la dépendance de l'h
membre supérieur gauche, avec anesthésie absolue. Cette pa- de l'
atrophie
musculaire. 3 ralysie persiste plus de deux moi
- de flaccidité et de contracture ; elle s'accompagne d'une amyo-
atrophie
assez prononcée, qui se développe une semaine en-
le début de la paralysie, et qui a les caractères électriques de l'
atrophie
simple. A côté de cette monoplégie, viennent se
e que le côté gauche était plus fort, car il est gaucher), et cette
atrophie
a été en s'accentuant rapide- ment ; elle a été
ume du membre parait tenir principalement sinon exclusi- vement à l'
atrophie
des masses musculaires et celle-ci s'ob- serve
st de 22 centi- mètres et celle du bras droit de 25 centimètres ; l'
atrophie
semble porter à peu près également sur les musc
s et en les comparant à ceux du côté opposé on constate une notable
atrophie
. L'atrophie de l'avant- bras est moins marquée
comparant à ceux du côté opposé on constate une notable atrophie. L'
atrophie
de l'avant- bras est moins marquée que celle du
che et de 25 centi- mètres à droite ; il est difficile de dire si l'
atrophie
s'est faite plutôt àux dépens des muscles de la
bservations suivent a été pratiqué par le Dr Vigouroux, direc- DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 7 La sensibilité est abolie dans le
emercions vivement de son obligeance. 8 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. t0 CLINIQUE NERVEUSE. mord son br
force. Mais la paralysie et l'anesthésie du membre supérieur DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 1 t ne se sont pas encore modifiées
nt vers quatre heures du soir. La motilité persiste.. Le ..ma- DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 13 3 lade a dans la soirée, une att
- pilepsie spinale ainsi que la rigidité observées ultérieu- DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 15 j rement seront attribuées à la
E. 15 j rement seront attribuées à la dégénération descendante; l'
atrophie
musculaire se comprend très bien puisque cette
hésie est presque calquée sur celle qui a été notée dans les DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 17 deux cas de monoplégie hystériqu
chée à la paralysie hystérique et qu'il ne peut être question d'une
atrophie
indépendante de cette paralysie et qui ne ferai
paralysie et qui ne ferait que coïncider avec elle; en effet, cette
atrophie
est rigoureusement limitée aux muscles paralysé
myotrophie assez accentuée, ayant les ' caractères électriques de l'
atrophie
simple; sous l'influence . de l'application d'u
à la suite d'une attaque, il aurait eu une paralysie du côté DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 19 .gauche qui aurait duré deux ans
note en prenant des mensurations les différences suivantes : DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 21 La région antérieure du thorax e
imètres, et celui du bras droit au même niveau de 22 centimètres. L'
atrophie
semble porter sur tous les muscles ; le biceps
es et au même niveau à droite le périmètre est de 22 centimètres. L'
atrophie
paraît porter davantage sur les muscles épitroc
lade. Les flagellations sont faites par 2 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 23 '»4 le CLINIQUE NERVEUSE. M. G
23 février montrent les différences suivantes : 23 février. DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 25 l'esprit, quand on réfléchit aux
aiblissement des réflexes tendineux 26 CLINIQUE ! OERYEUSE, - DE l/
ATROPHIE
MUSCULAIRE. et la flaccidité des membres paraly
inverse : c'est comme si on séparait les tabétiques chez lesquels l'
atrophie
optique précède la sclérose spinale, et ceux ch
EUSE t. MYÉLITE SUBAIGUE DES CORNES antérieures. - Paralysie avec
ATROPHIE
GRADUELLE DE TOUS LES MUSCLES DU CORPS, SAUF CEUX
iser quelles sons celles sur lesquelles porte le plus souvent cette
atrophie
; il incline à penser pourtant que ce sont les c
ns le cordon anté- rieur. Il serait très intéressant de savoir si l'
atrophie
des cordons latéraux est primitive ou secondair
andis que dans d'autres, la sclérose latérale est consécutive à une
atrophie
ou à une dégénérescence des aires motrices cort
e mental que l'auteur dans un précédent mémoire, avait rattaché à l'
atrophie
des lobes frontaux; il rangerait volon- tiers l
h. Chez les animaux en expé- rience, on n'a pu constater sûrement l'
atrophie
de ce dernier no- yau. , M. Remak. Sur les ra
mais irrégulièrement; amaigrissement des membres infé- rieurs sans
atrophie
, même partielle ; mouvements volontaires limité
pasmodique. Inté- grité de la sensibilité de la vessie, du rectum ;
atrophie
des mus- cles des extrémités supérieures, surto
u palais ; la voix grave a semblé dépendre de la flaccidité et de l'
atrophie
des rubans vocaux, tandis que les muscles respi
t du rectum. Au microscope, il existe une névrite dégénérative, une
atrophie
musculaire, portant sur un grand nombre de nerf
symptôme ne fait défaut. (A suivre.) Archives, t. XII. 1 1 DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE DANS LES PARALYSIES HYSTÉRIQUES'; (s
rieur, sont atrophiés ; au point de vue électrique, il s'agit d'une
atrophie
simple; les réflexes tendineux sont plus faibles
la colonie fictive de Port-Breton. 1 Voir tome XII, page 1. DE l'
atrophie
musculaire. 155 Le récit que le malade fait de
le même aspect et se développant dans les mêmes conditions : DE l'
atrophie
musculaire. 157 le malade est adonné à la morph
les chiffres qu'on obtient en faisant des mensura- tions : . DE l'
atrophie
musculaire. 15j 160 CLINIQUE NERVEUSE. de l'a
s : . DE l'atrophie musculaire. 15j 160 CLINIQUE NERVEUSE. de l'
atrophie
musculaire. 161 t ses modes (tact, douleur, tem
ration et d'aggravation, l'intégrité de la face, la prédomi- DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 163 nance de la paralysie dans le m
equel la paralysie est le plus marquée , et les caractères de cette
atrophie
musculaire sont exacte- ment semblables à ceux
racture disparaît; les mouvements reparaissent progressivement et l'
atrophie
s'atténue en même temps. Boin... (Victor), âgé
le 25 janvier 1884 dans le service de M. Bucquoy, à Cochin. DE l'
atrophie
musculaire. 163 Antécédents héréditaires. - D'a
ain, la main sur l'avant-bras et l'avant-bras sur le bras, , DE l'
atrophie
musculaire. 167 10. - La raideur s'est accentué
t possibles, mais ils sont moins étendus que ceux du côté opposé. L'
atrophie
est moins accentuée qu'autrefois; entre les cir
con- daire. Mais alors, où localiser la lésion ? Il faudrait DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 169 évidemment la placer flans l'hé
- sensorielle ; un rétrécissement du champ visuel. Le malade DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 171 est sujet à des attaques de dys
e rudimentaire, sait à peine lire et écrire. Il a un peu d'am- DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 173 nésie : il ne peut pas dire ni
la clavicule et à l'omoplate. 1711. 1· CLINIQUE NERVEUSE. DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 175 176 CLINIQUE NERVEUSE. Les di
Les divers segments du membre sont manifestement atrophiés. DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 177 Il revient le 18 juin. Son état
tes les autres fonctions s'effectuent d'une façon nor- male. DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 181 On soumet le malade à l'électri
la diminution de volume du bras et de l'avant-bras parait due à \'
atrophie
des muscles, mais il est impossible de déter- m
' atrophie des muscles, mais il est impossible de déter- miner si l'
atrophie
porte plus particulièrement sur tel ou tel musc
t dont nous avons déjà parlé. Nous ne 182 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 183 18 \ CLINIQUE NERVEUSE. discu
- tées, qu'il s'agissait bien là de paralysies hystériques, que l'
atrophie
musculaire dépendait étroitement de ces paralys
aler ? L'examen des divers cas que nous avons observés montre que l'
atrophie
musculaire présente à ce point de vue d'assez g
s-unes des mensurations que nous avons faites. Observation 1 DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 185 Observation II l 186, . CI,IN
plus développé. Nous sommes d'autant plus porté à admettre que l'
atrophie
est bien, dans ce cas, attribuable à l'hys- tér
, > . , 1 t . t J fui tères de cette amyotrophie. , . \, de l'
atrophie
musculaire. 187 On ne constate pas de secousses
male. La contractilité électrique est diminuée en proportion de l'
atrophie
musculaire, mais il n'y a pas de réaction de dé
é, dans tous les cas, absolu- ment négatif. Il s'agit donc là d'une
atrophie
simple au point de vue électrique. Cette donnée
dyliens. Dans l'Observation III, il est dit, en ce qui concerne l'
atrophie
du membre supérieur gauche, qu'elle ne 188 clin
on en particulier. Ces observa- - tions semblent donc montrer que l'
atrophie
dans un membre paralysé peut prédominer dans te
l ou tel seg- ment du membre, mais que dans chaque segment, cette
atrophie
semble envahir uniformément tous les groupes mu
, que dans l'Observation II que l'on relève une prédominance de l'
atrophie
dans les muscles de la région épitro- chléenne,
léenne, et encore n'est-elle pas très accentuée. Le facies de cette
atrophie
diffère donc essentielle- ment de celui de cert
sentielle- ment de celui de certaines atrophies musculaires, de l'
atrophie
Aran-Duchenne, par exemple, dans laquelle un mu
rique présente des caractères dignes d'intérêt. Le début de cette
atrophie
paraît être généralement rapide. Dans l'Ob- ser
pement de l'amyotrophie est tout aussi rapide. La rétrocession de l'
atrophie
semble DE l'atrophie musculaire. i 89 pouvoir
est tout aussi rapide. La rétrocession de l'atrophie semble DE l'
atrophie
musculaire. i 89 pouvoir être rapide comme son
déjà facile à constater. Malgré la rapidité du développement de l'
atrophie
musculaire, celle-ci, comme nous l'avons dit pl
rité. On peut voir, en effet, dans plusieurs de nos observations, l'
atrophie
rester stationnaire, alors même que la paralysi
ion VI, où il s'agit d'une monoplégie brachiale droite absolue, l'
atrophie
musculaire, malgré la persistance de la paralys
ié une observation très intéressante de monoplégie hystérique, avec
atrophie
consécutive du membre, survenue chez un enfant
ence du massage. Or, trois ans après la guérison de la paralysie, l'
atrophie
musculaire était encore notable. En plus, et ce
nti jusque sur les os du membre paralysé, en produisant non pas une
atrophie
, le terme serait peu exact, mais un arrêt de dé
Voy. le numéro du 21 mai 1886 de la Gazette hebdomadaire. . DE l'
atrophie
musculaire. 191 I Quelle est la nature de cette
cence.. Il s'agit donc d'une 'atrophie simple, c'est-à-dire d'une
atrophie
indépendante de toute lésion matérielle de là s
pendues pendant une année entière, n'avaient pas subi la moindre
atrophie
. Or, chez les malades dont il est ici question,
moindre atrophie. Or, chez les malades dont il est ici question, l'
atrophie
s'est développée très rapi- dement et a pris en
n peut pourtant paraître étrange; car est-il possible de comparer l'
atrophie
dont nous nous occupons ici avec l'amyotrophie
Il est sans doute indispensable d'établir entre ces deux variétés d'
atrophie
, une distinction fondamentale. Mais il faut aus
uie sur de très grandes probabilités. Or, il s'agit là d'une DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 193 altération purement dynamique d
entres gris de la moelle et les nerfs périphériques sont normaux, l'
atrophie
musculaire est, comme dans l'hystérie, une atro
sont normaux, l'atrophie musculaire est, comme dans l'hystérie, une
atrophie
simple. On peut encore rapprocher l'atrophie hy
dans l'hystérie, une atrophie simple. On peut encore rapprocher l'
atrophie
hystérique d'une variété d'atrophie que j'ai ré
. On peut encore rapprocher l'atrophie hystérique d'une variété d'
atrophie
que j'ai récemment signalée et qui s'appuie sur
peut même plus y avoir de con- testation au sujet de l'origine de l'
atrophie
muscu- laire, comme dans l'amyotrophie articula
es le sont dynamiquement. La seule différence entre cette variété d'
atrophie
et l'atrophie hystérique est que, dans le premi
amiquement. La seule différence entre cette variété d'atrophie et l'
atrophie
hystérique est que, dans le premier cas la modi
194 CLINIQUE NERVEUSE. blir, au moyen de ces observations, que l'
atrophie
musculaire peut relever directement, contrairem
ul- tanée à la Salpêtrière de plusieurs malades atteints de cette
atrophie
ne pourrait-elle pas être mise exclusive- ment
d'abord il faut remarquer que ce que nous disons là au sujet de l'
atrophie
hystérique s'appliquerait tout aussi bien à tou
t et en vertu duquel un phénomène qui avait échappé jusque , DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. 195 là à l'observation vient à être
existence et apprécier leur signification, et pour en revenir à l'
atrophie
hystérique, rappelons les motifs invoqués plus
. Comptes rendus de Birgtre, 1880-1885. 196 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE. Nos malades étaient atteints de par
dans une hyperémie stasique du canal dorsal entraînant après elle l'
atrophie
du tissu osseux dans les corps vertébraux. La d
é était du reste conservée dans tous ses modes; il n'existait pas d'
atrophie
musculaire. Les autres membres, le tronc et la
arésie du pli naso-Iabial et de la joue gauche avec légère plaque d'
atrophie
grise brunâtre, trem- blement modéré des mains
ivent le territoire de nerfs déterminés et s'accompagnent bientôt d'
atrophie
musculaire : les nerfs dorso-lombaires sont eux
. XXI. UN second cas DE CO-ATTEINTE DES muscles DE la face dans l'
atrophie
musculaire juvénile ; par F. MOSSDORF. (Neurol. C
sur les côtés des muscles droits présentant une tension uniforme ;
atrophie
irrégulièrement disséminée des mus- cles du tro
auquel ap- parurent les premierssymptômes, de la localisation de l'
atrophie
(voir le mémoire), de l'absence de convulsions
he régulière, sans saccades, du tronc vers la périphérie. C'est une
atrophie
quasi-acquise par exagération de travaux physiq
trouble de la sensibilité et de l'excitabilité électrique (malgré l'
atrophie
extrême) permet d'exclure l'idée d'une névrite
onger à une myopathie ; d'autre part, la parésie faciale émane de l'
atrophie
musculaire et non d'une lésion des noyaux des n
ne dégénérescence qui suit le sillon longi- tudiual postérieur, une
atrophie
partielle des fibres radiculaires au point où e
n des régions distinctes. Du moins, c'est l'avis de M. Rumpf. II.
Atrophie
des circonvolutions ascendantes ci la suite de pa
é de la vessie et du rectum. On tue l'animal par narcose prolongée.
Atrophie
portant uniformément sur toutes les parties du
rd considérables, ont rétrocédé graduellement en même temps que l'
atrophie
musculaire dégénérative des extrémités, après une
e presque complète; tout cela est d'ordre périphérique comme dans l'
atrophie
musculaire héréditaire : genèse myopa- thique,
en ceinture, de troubles vésico-rectaux), et l'ataxie d'un tabes (
atrophie
tardive, lente; à l'hyperexcitabilité électrique
périeures, de la paralysie spasmodique des membres inférieurs, sans
atrophie
ni perturbation de la sensibilité ; conservatio
e nystagmus, la bradylalie, la paralysie spasmo- dique, l'absence d'
atrophie
, rapprochent cette affection de la sclérose en
, le cubital postérieur, les longs abducteur et extenseur du pouce.
Atrophie
extrême et réaction dégénérative complète des m
atrophique disséminée, en plaques, dans le plexus brachial gauche ;
atrophie
des éléments contractiles dans les muscles sus-
bes a presque disparu, et celle du toucher est moins déran- gée ; l'
atrophie
musculaire n'existe pas; on constate une ten- Q
son opi- nion, il est difficile de préciser la date du début de l'
atrophie
de la glande thyroïde; toutefois, il lui paraît
ns précédentes que chez tous les idiots crétinoïdes, l'absence ou l'
atrophie
de la glande thyroïde paraît constante. Les que
VEUSE. à l'âge de quatorze ou quinze ans. A l'autopsie, outre une
atrophie
glomérulaire des reins, il fut constaté que la
le était dégénérée' dans les cas de Ord, Greenfield, Cushier s. L'
atrophie
de la glande thyroïde est de même signa- lée da
, Hamiltone, Oliver', Abbott 8, Hadden", etc.; dans quelques cas, l'
atrophie
était si accusée que la glande ne pouvait être
.) La glande thyroïde, plus petite qu'à l'ordinaire, présentait une
atrophie
avec sclérose; absence de follicules clos; vais
roïdienne; il en résulterait, en tout cas, que si l'alr- sence ou l'
atrophie
de la glande thyroïde n'existe pas, ce qui est di
tion évi- dente entre la cachexie pachydermique et l'absence ou l'
atrophie
delà glande thyroïde '. Nous sommes donc .condu
contrées dans les autopsies des myxoedémateux idiopathiques . 1 L'
atrophie
du corps thyroïde, accompagnée de la destruction
ier 18.S6 . .IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 367 suivie de l'
atrophie
du lobe droit '; toutefois M.Pon- cet dit ne pa
e du lobe droit '; toutefois M.Pon- cet dit ne pas avoir constaté l'
atrophie
de la glande chez son opéré. Sur 24 cas d'ext
ses jusqu'à ce jour sur l'éliologie de la cachexie pachydermique, l'
atrophie
ou l'absence de la glande thyroïde était celle
plus considérable de la glande thyroïde dans le jeune âge et de sou
atrophie
et de sa dégéné- rescence chez le vieillard, qu
on trouve dans le gastrocnémien nombre de fibres hypertrophiées,
atrophie
de certaines autres (quelques-unes semblant fendu
oyaux des fibres musculaires; le sous-épineux présente surtout de l'
atrophie
des fibres accompa- gnée d'hypergenèse du tissu
seux, mais par une hypertrophie musculaire véritable, accompagnée d'
atrophie
de nombreuses fibres^et d'hy- perplasie simulta
logie. Revues analytiques. 408 SOCIÉTÉS SAVANTES. tées à un cas d'
atrophie
musculaire généralisée ; il pense que dans l'af
que l'hypertrophie d'une fibre musculaire en ait toujours précédé l'
atrophie
. Il montre encore des prépara- tions dues à Wei
es appa- reils nerveux qui occupent le parametrium ', dans le cas d'
atrophie
simple et p,ii,amét2,itique. - Dans le cas de p
cés, il existait une métamorphose graisseuse du même organe. Dans l'
atrophie
simple du tissu cellulaire du bassin, alliée du r
rophie simple du tissu cellulaire du bassin, alliée du reste à de l'
atrophie
utérine consécutive à des maladies rapidement c
aliénés en Espa- gne, 62. 1 Ataxiespinale (théorie del ? t 1 5.
Atrophie
musculaire juvénile, 214. Atrophie musculaire
pinale (théorie del ? t 1 5. Atrophie musculaire juvénile, 214.
Atrophie
musculaire dans les paralysies des hystériques,
ire, qui a été atteint. Cette paralysie de la langue s'accompagna d'
atrophie
musculaire, ce qui se comprend aussi très aisém
it dans le bout périphé- rique une dégénérescence Wallérienne, avec
atrophie
musculaire. Il en serait de même au lieu de la
ction du noyau bulbaire de l'hypoglosse; tandis qu'au . contraire l'
atrophie
musculaire aurait fait défaut ou du moins n'aurai
lement à sa suite une dégénéra lion Wallérienne, il s'en suivra une
atrophie
dégé- nérative des muscles paralysés. La lési
te du moteur oculaire commun, véritable paralysie périphérique avec
atrophie
dégénérative des muscles qu'il innerve. C'est cet
s à l'appareil oculaire sous forme de para- lysies des muscles ou d'
atrophie
de la papille. Ces malades doivent être éliminé
PI. VIII 'I'bott'h'pi, J.-B. Cbil -01 'Pb"I ? IJ, 'B,'llb,II,,1
ATROPHIE
MUSCULAIRE CONSECUTIVE A LA VARIOLE Chez un Fcl
que la gauche, le signe d'A. Robertson est présent des deux côtés.
Atrophie
blanche de la papille. En plus, scotome scintil
6. Hypertrophie du corps thyroïde. Tabès légitime avec amaurose par
atrophie
papi Maire bilatérale. Douleurs fulgurantes. Pas
lie à gauche; à droite : 5/10. Les nerfs optiques sont atrophiés. L'
atrophie
est complète il gauche. Les pu- pilles sont iné
es punctiformes. Amau- rose complète à droite, incomplète à gauche.
Atrophie
des deux papilles. Ré- flexes patellaires norma
une sclérose des cordons postérieurs dans toute leur étendue et une
atrophie
des racines posté- rieures qui sont grêles et g
ni altération dégénérative d'aucune sorte : il s'agit d'une sorte d'
atrophie
simple. Une branche musculaire du tibial postér
sons et que dans les dernières phases de celle maladie on observe l'
atrophie
de la couche papillaire de la peau. Plusieurs
e des phénomènes purement trophiques, comme : taches de vitiligo et
atrophie
des muscles des jambes. Les altérations de la s
riant la force d'excitation qu'il a employée. Ainsi il provoquait l'
atrophie
et l'hypertrophie du pigment, l'hypertrophie de
hie et l'hypertrophie du pigment, l'hypertrophie de l'épithélium, l'
atrophie
de la peau, la formation de plaies et autres tr
ponévroses ou au tissu conjonctif in- termusculaire. ' Pour lui l'
atrophie
, la dégénérescence fibreuse et lipomateuse des mu
de la striation transversale, la dissociation ,longi- tudinale et l'
atrophie
" des'disques transversaux. Mays a trouvé une prol
IFIANTE PROGRESSIVE 123 Formation d'un tissu conjonctif adulte avec
atrophie
des fibres muscu- laires, telles sont en un mot
n réalité. Les lésions musculaires, la dégénérescence graisseuse, l'
atrophie
et la dégénérescence fibreuse, sont secondaires
ellaire ne diffère pas de celui du côté gauche sain. Aucune trace d'
atrophie
. C'est le membre supérieur seulement qui a été
volumineux que son congénère et ne présente aucune malformation, ni
atrophie
. Les proportions des doigts sont normales et les
ro- gressive avec d'autres lésions nerveuses, telles que épilepsie,
atrophie
du nerf optique, dans d'autres cas, et croit de
du tissu conjonctif intermusculaire. Les muscles disparaissant par
atrophie
dégéné- rative et se paralysant, devaient subir
ses, la rotule est libre. L'ankylose du genou a eu pour effet une
atrophie
marquée des muscles de Fig. 2. - Radiographie d
one, traînante ; on a quelquefois de la peine a comprendre. Pas d'
atrophie
linguale. Du côté des yeux, il n'y a ni paralys
ranulations analogues aux granulations de Pacchioni. Il r'y a pas d'
atrophie
. - Poids : 155 grammes. Le bulbe et la protubér
1) DÉJERINE, Sur une forme particulière de maladie de Friedreich avec
atrophie
musculaire et troubles de la sensibilité. Soc.
uin. 184 LÉON BONNUS reich, il existait dans les nerfs mixtes une
atrophie
systématique des fibres sensitives tant cutanée
é normal macroscopiquement et microscopiquement, il n'y avait pas d'
atrophie
, il n'y avait aucune lésion des cellules de Purki
hèse de IIammond, Senator ; attribuant la Maladie de Friedreich à l'
atrophie
primitive du cervelet; il vient au contraire à
erte cle la vue, de la Ululation. (1) C. PIERRES, Note sur un cas d'
atrophie
périphérique du cervelet. Archives de Phy- siol
t suscepti- ble d'entraîner la perte totale de la vision par voie d'
atrophie
des deux papilles. Oui, Messieurs, il en est ai
située à la base du cervelet peut, disais-je, entraîner une double
atrophie
papillaire par le mécanisme suivant : elle compri
crocéphalie procède ou non de synostoses prématurées du crâne, si l'
atrophie
du cerveau chez le microcéphale est primitive ou
. V, X, XVII, etc. (2) Leçon clinique de l'Hôpital Saint-Louis.
ATROPHIE
DES CENTRES NERVEUX, DANS UN CAS D'ATROPHIE MUS
'Hôpital Saint-Louis. ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX, DANS UN CAS D'
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET OSSEUSE D'ORIGINE ARTICULAIRE P
édecin de Ancien interne-lauréat des l'Hôpital Tenon. Hôpitaux. L'
atrophie
de tout un membre, y compris les os, est bien con
rapport avec une lésion pri- mitive de la moelle, qui a entraîné l'
atrophie
des cellules trophiques de la corne corresponda
iques de la corne correspondant au membre frappé. D'autre part, l'
atrophie
d'un membre se rencontre encore au cours de lés
e au cours de lésions périphériques. Il s'agit alors, en général, d'
atrophie
musculaire. Mais il est possible d'observer aus
ifférente de celle de la paralysie infantile : c'est, en effet, une
atrophie
simple avec diminution correspon- dante du nomb
tion. Affection articulaire ancienne avec ankylose du -genou droit.
Atrophie
du membre inférieur droit et aplasie osseuse. A
genou droit. Atrophie du membre inférieur droit et aplasie osseuse.
Atrophie
médullaire et cérébrale. liourl... François, âg
nts personnels. - Le malade raconte qu'à la suite d'une chute qu'il
ATROPHIE
DES CENTRES NERVEUX 263 fit en sautant, l'âge d
t il cette maladie articulaire, il se produisit progressivement une
atrophie
du membre inférieur droit. Hormis une rougeole
tion avait été attirée sur le membre inférieur droit, qui, avec son
atrophie
tant en longueur qu'en largeur,aurait donné l'app
d'un membre de paralysie infantile, n'eùt été l'ankylose du genou. L'
atrophie
porte sur les différents segments du membre. El
berculose pleuro-pumouaire bilatérale, prédomi- nante à droite, une
atrophie
hépatiqueavec cirrhose et adénomes. La rate pèse
érieurs. NOUV, ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T XI. PL, XXXIII
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET OSSEUSE D'ORIGINE ARTICULAIRE (Ra
rs) A. CÔTÉ DROIT ATROPHIÉ. B. CÔTÉ GAUCHE NORMAL. On voit en A l'
atrophie
des fémur, tibia, péroné. L'épaisseur du tissu co
ALPÊTRIÈRE. T. XI. 1'1. XXXIV A B rhototyple rtbl.ud Paris.
ATROPHIE
DES CENTRES NERVEUX (ACHARD et LËOPOLD-LÉVi)
t et moins long que du côté opposé. MASSON & Cu : . Editeur :
ATROPHIE
DES CENTRES NERVEUX 265 Extrémité supérieure, 2
nsversales de ces branches nerveuses ne montrent ni altéra- tion ni
atrophie
manifeste il gauche. Les nerfs plus volumineux,
laire. Il semble donc qu'il s'agisse d'une sclérose conjonctive par
atrophie
simple. Les artères volumineu- ses des nerfs pr
NOUV. Iconographie de la Salpêtrière. T. XI. PI. XXXV 1 2 3
ATROPHIE
DES CENTRES NERVEUX (ACHARD Ct LÉOPOLD-LÉVI)
r de sclérose au niveau de la corne gauche. 2. Moelle dans le cas J'
atrophie
simple, saite d'atrophie du genou, qui fait l'obj
e la corne gauche. 2. Moelle dans le cas J'atrophie simple, saite d'
atrophie
du genou, qui fait l'objet de ce mémoire (régio
e, plus discret d-uu la corne droite. MASSON & C'e, Editeurs.
ATROPHIE
DES CENTRES NERVEUX 267 La méthode de Ma rchi n
eure du côté correspondant au membre atrophié (PI. XXXV,2). Cette
atrophie
devient facile à étudier sur les préparations col
paration de la moelle, colorée par la méthode de Nissl. On note une
atrophie
considérable de tout le côté droit de la moelle,
es retrouve. Elles ont été coupées isolément, après repérage, colo-
ATROPHIE
DES CENTRES NERVEUX 269 rées par la méthode de
ion chro- nique du genou, développée à l'âge de 7 ans, survient une
atrophie
du membre inférieur correspondant. Le malade me
pulmonaire, hépatique, génitale) à l'âge de 41 ans. On constate une
atrophie
simple de la moelle et de l'atrophie cérébrale.
âge de 41 ans. On constate une atrophie simple de la moelle et de l'
atrophie
cérébrale. Quant à la cause de l'arthrite, elle
tuberculeuse) ayant entraîné l'ankylose articulaire. L'existence d'
atrophie
du squelette dans ces conditions, est une notion
longue (2), dans son beau livre sur la coxo- tuberculose, signale l'
atrophie
spéciale de tout le squelette du membre. M. Kli
auma- tisme survenu dans l'enfance, il s'est produit à la fois de l'
atrophie
mus- culaire et un arrêt de développement du me
s en fournit un nouvel exemple Ci). En second lieu, l'existence d'
atrophie
médullaire mérite de fixer l'at- tention. Une f
ence, il faut l'interpréter, puis voir les relations qui unissent l'
atrophie
médullaire et l'arrêt du développe- ment des me
) doivent être discutées. Dans un cas d'arthrite du genou, suivie d'
atrophie
musculaire, cet auteur étudia la moelle. Il con
d'atrophie musculaire, cet auteur étudia la moelle. Il constata une
atrophie
pigmentaire des cellules de la moelle lombaire
isation de la lésion, il est difficile d'établir un rapport entre l'
atrophie
musculaire unilatérale et les altérations médul
volume, des fibres musculaires et des nerfs et pro- posa pour cette
atrophie
la dénomination d'atrophie numérique. Quant à l
res et des nerfs et pro- posa pour cette atrophie la dénomination d'
atrophie
numérique. Quant à la moelle, il pratiqua des c
de 10 centimètres environ du membre inférieur droit. Il existe une
atrophie
musculaire très accentuée et une atrophie osseu
ieur droit. Il existe une atrophie musculaire très accentuée et une
atrophie
osseuse portant sur les divers segments du membre
ments du membre : le pied droit chausse 36, le pied gauche 3 : i. L'
atrophie
parait surtout marquée sur les os dans leurs di
Bull, de la Soc. auat., janv. 1888, p. 37; Revue de médecine, 1893.
ATROPHIE
DES CENTRES NERVEUX 271 Cette observation est p
271 Cette observation est précieuse. Elle montre l'existence d'une
atrophie
des cellules médullaires, mais très peu marquée
près l'avis môme de l'auteur. Notre cas est plus favorable, car l'
atrophie
n'est pas discutable. Elle se laisse constater
érence considérable (jusqu'à 29 cellules en moins du côté droit). L'
atrophie
est en outre très étendue, manifeste depuis la 3e
e, manifeste depuis la 3e racine lombaire jusqu'à la on sacrée. L'
atrophie
médullaire avait d'ailleurs été reconnue dans un
ancien de Leyden (1), concernant une ankylose du genou avec légère
atrophie
du membre. Il s'était produit une diminution de v
du côté ankylosé. Il y avait diminution de la substance grise avec
atrophie
des cellules, et en outre diminution de la subs
outre diminution de la substance blanche. Comment interpréter cette
atrophie
médullaire ? On sait que, pour expliquer les at
iveau du foyer d'origine des nerfs se rendant aux muscles frappés d'
atrophie
. C'est un cas particulier de la formule de Mari
e lésion médullaire. Un cas, qui, comme le nôtre, met en évidence l'
atrophie
médullaire, donne un caractère d'authenticité ind
ysie faciale non spécifique, la dégénérescence du bout central avec
atrophie
du noyau, secondairement aux lésions périphérique
lésée. 272 ACHARD ET LÉOPOLD-LÉVI Pour comprendre pourquoi, si l'
atrophie
est exceptionnelle, elle existe dans notre cas,
air (1). Cet auteur a observé, après amputation sur des chiens, une
atrophie
du mem- bre inférieur. Il a fait cette remarque
rtrophie serait due à une irritation réflexe du centre trophique, l'
atrophie
à une diminution d'acti- vité médullaire, ou, c
on d'acti- vité médullaire, ou, comme dans notre observation, à une
atrophie
des cellulles. Apropos de l'atrophie médullai
ans notre observation, à une atrophie des cellulles. Apropos de l'
atrophie
médullaire, une dernière question se pose. Quelle
armi les autres atrophies de la moelle ? Elle est très voisine de l'
atrophie
secondaire liée à l'amputation des membres, très
r sur les différentes lésions observées,nous pouvons rappeler que l'
atrophie
peut porter essentiellement sur la corne antérieu
lbert (3), Déjerine et Mayor (4). Le plus souvent, il y a à la fois
atrophie
de la substance grise et de la substance blanche.
n se souvient d'ailleurs que, dans lecasdel.eyden cité plus haut, l'
atrophie
médullaire en rapport avec une ankylose du geno
tés de vieille date. Soc. de biol., et Gaz. rnéd. de Paris, 1871.
ATROPHIE
DES CENTRES NERVEUX 273 Dans la paralysie infan
'examen histologique permettrait de séparer, dans un cas douteux, l'
atrophie
d'un membre par lésion périphérique ou par para-
e d'un membre par lésion périphérique ou par para- lysie infantile.
Atrophie
simple de la corne antérieure d'un côté, foyer de
ire, d'une laxité exagérée. Il nous faut maintenant revenir sur l'
atrophie
cérébrale. Elle est loca- lisée ici au lobule p
nution du nombre et du volume des grandes cellules pyramidales. L'
atrophie
de l'écorce cérébrale, répondant comme siège au c
stinés à stimuler et à diriger l'activité motrice. Remarquons que l'
atrophie
de l'écorce, accompagnant l'atrophie médul- lai
vité motrice. Remarquons que l'atrophie de l'écorce, accompagnant l'
atrophie
médul- laire, s'interprète fort bien par la thé
(11) Charcot et Pitres, Centres moteurs corticaux de l'homme, 1893.
ATROPHIE
DES CENTRES NERVEUX 275 de la chaîne neurale. L
mo- teur périphérique entraîne la perturbation fonctionnelle puis l'
atrophie
du neurone moteur cérébral (1). (1) M. Apert
L'autopsie fut faite 33 ans après l'accident. L'auteur signale' une
atrophie
de la corne antérieure de la moelle et du centre
l'occasion de cette présentation, M. Achard attira l'attention sur l'
atrophie
osseuse bien manifeste sur la pièce et qui perm
craquement comme s'ils glissaient sur une tête humérale inégale. L'
atrophie
du deltoïde et l'hypertrophie de son tissu conjon
t bien. Examen des yeux par H orner. - A gauche, amaurose complète,
atrophie
complète du nerf optique, rétrécissement des va
tissu cho- roïdien. On ne peut pas admettre qu'elle provienne d'une
atrophie
pigmentaire simple à cause du réflexe lumineux
ates. Perte de substance de la peau du dos en plusieurs endroits.
Atrophie
considérable des muscles antérieurs du cou. Dégén
t s'insérer sur la 3° côte, le supérieur, sur l'apophyse coracoide.
Atrophie
du deltoïde, l'acromion émet sous lui quelques
es. Epaississement notable de la capsule arti- culaire de l'épaule,
atrophie
du revêtement cartilagineux. Épaississement de la
la portion dorsale, en avant et à droite de la portion lombaire.
Atrophie
de la musculature de la cuisse droite ; une masse
ur. Les muscles frontaux, de la mimique, les oculaires sont lihres.
Atrophie
du triangulaire par ossification. Ossification
es corps verté- braux. Les fascia sont en général durs et épaissis.
Atrophie
des muscles très prononcée, quelques-uns sont f
de à la partie moyenne de la moitié droite du maxillaire inférieur.
Atrophie
des muscles antéro-latéraux droits du cou. Ster
muscles antéro-latéraux droits du cou. Sterno-mastoïdiens fibreux;
atrophie
des omo-hyoïdiens. Dégénérescence fibreuse moin
ous les bandes osseuses ; à gauche,ils entrent en rapport avec elles.
Atrophie
considérable de la musculature de la cuisse dro
ée par des noyaux osseux. Ossification complète du muscle crural.
Atrophie
de la musculature de la jambe; hypertrophie consi
mmun du quadriceps; le tendon contient également un noyau osseux.
Atrophie
des muscles de la jambe ; sur l'extrémité supérie
e bord inférieur du grand pectoral se montre tendu comme une corde.
Atrophie
de la portion sternale dn grand pectoral sans o
rapide ; ankylose des épaules, Mouvements de l'avant-bras limités.
Atrophie
des muscles char- gés de noyaux osseux. A peine
re, légère scoliose à droite. Raideur absolue de l'é- paule gauche,
atrophie
complète du deltoïde ; le biceps gauche est trans
tions des muscles grands dorsaux, grands ronds et grands pectoraux.
Atrophie
du deltoïde. Avant-bras en flexion et en pronatio
et 7e, sont durs. Les bras sont serrés contre le tronc, atrophiés.
Atrophie
également des del- toides. Ossification des cor
ormation du splénius et du grand com- plexus en cordes fibreuses.
Atrophie
du muscle grand pectoral droit. A droite de la pa
on cons- tate un point d'une dureté osseuse, large comme un franc.
Atrophie
du grand pectoral gauche dans ses parties supér
dorsale légère- ment en cypho-scoliose. Les omoplates sont fixées ;
atrophie
des muscles sus et sous-épineux. Sacrum et cocc
cluse dans la musculature du triceps avec une base large et solide.
Atrophie
du triceps. (1) L'auteur veut sans doute parler
fléchi à angle obtus. Mouvements de la main et des doigts normaux.
Atrophie
des muscles du bras et de la main.Dans le brach
gauche, la plus grosse des quatre, est douloureuse à la pression.
Atrophie
musculaire. Vitiligo. Avec les déformations du sq
te coexis- tent des particularités diverses consistant surtout en l'
atrophie
de différents muscles. ' Il y a un léger' deg
lade s'ell'orce de tenter la flexion ou la rotation de la tête. L'
atrophie
musculaire accentue les déformations du côté du &
ôtés le grand pectoral est diminué de volume en totalité ; de plus, l'
atrophie
de sa partie moyenne est complète; il ne reste
la région dorsale de la pièce du musée Dupuytren. Patiiogénie de l'
atrophie
musculaire. Chez notre malade, l'atrophie muscu
ytren. Patiiogénie de l'atrophie musculaire. Chez notre malade, l'
atrophie
musculaire de quelques muscles est bien évident
E DE la contracture DES MUSCLES DE la paroi abdominale. A côté de l'
atrophie
musculaire nous avons mentionné chez Duf... la
se. Celte dernière avait pour artériole une branche de la rénale. L'
atrophie
de l'un de ces organes et l'hypertrophie de l'aut
on de continuité des nerfs dans un membre s'accompagne plutôt d'une
atrophie
des os et cela dans un bref délai. Schiff pense
NGÉNITALES DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL 369 pement, peut amener à une
atrophie
complète des hémisphères cérébraux et peut même
r les parties avoisinant cerveau, et c'est l'écorce cérébrale qui s'
atrophie
d'abord sous l'inflt de la compression, de sort
d'hydro- céphalie congénitale. Dilatation des ventricules latéraux,
atrophie
de l'écorce du corps calleux et du septum lucid
; ou bien, cette vésicule peut, dans quelques endroits, su- bir une
atrophie
complète, à la suite de laquelle le liquide, accu
(N. Solovtzoff) O. - Cas ? Coupe de la moelle ; région cervicale ;
atrophie
des cordons latéraux des deux côtés. P. - Cas I
sicule cérébrale se distendit tellement qu'elle fut sou- mise à une
atrophie
dans les endroits où la résistance était la moind
erveau, sous l'influence de l'hydrocéphalie interne, il y avait une
atrophie
complète de ce dernier ; il ne restait que le bul
sceau claviculaire et allant du rachis à l'acromion ; il est dù à l'
atrophie
des faisceaux acromiaux du trapèze. - (Dans l'é
le à diverses reprises. Il écrit qu'il n'a pas vu de paralysie ou d'
atrophie
étroitement localisée au grand dentelé, « ce qui
e localisation doit être rare, puisque sur une vingtaine de « cas d'
atrophie
ou de paralysie du grand dentelé que j'ai exploré
ix observations qu'il rapporte sommairement, sept ressortissent à l'
atrophie
d'origine spi- nale ou myopathique. Des trois a
seule fois, dit Duchenne (3), que j'ai eu « l'occasion d'observer l'
atrophie
du grand den telé,ivec iii légi,1 té pa l'laite (
dentelé. Une des deux dernières observations est ainsi relatée : «
Atrophie
du grand dentelé, de la moitié inférieure du tr
rvation per- sonnelle, est ainsi conçue : « V... brossier, 34 ans ;
atrophie
dit grand den- « telé, du tiers inférieur et d'
partie du tiers moyen du trapèze « droit, par abus de travail. - L'
atrophie
n'avait pas encore envahi les « muscles des aut
portion adductrice du trapèze, qui est la première atteinte dans l'
atrophie
mus- culaire progressive, écrit : Cette portion
trapèze est toujours paralysée ou atrophiée dans la paralysie ou l'
atrophie
du grand dentelé. C'est du moins ce qui ressort
d de la paralysie de la por- tion moyenne du trapèze. cc Lorsqu'à l'
atrophie
du faisceau inférieur du trapèze, di t Duchenne
e l'o- moplate sur son angle interne est d'autant plus étendu que l'
atrophie
du tiers moyen et de la portion inférieure du t
r le moignon de l'épaule à son ni- veau normal. En effet, lorsque l'
atrophie
de cette portion claviculaire s'as- socie à l'a
t, lorsque l'atrophie de cette portion claviculaire s'as- socie à l'
atrophie
de la portion moyenne, le moignon de l'épaule n'e
n de l'épaule n'est pas plus abaissé, affirme Duchenne, que quand l'
atrophie
a détruit seulement la portion moyenne du muscl
l'omoplate sur son angle externe est encore plus exagéré, quand à l'
atrophie
des deux tiers inférieurs du trapèze s'ajoute c
le méplat de la fosse sus-épineuse. C'est encore la paralysie et l'
atrophie
des deux tiers inférieurs du trapèze qui est su
u méplat de la fosse sus-épineuse, il relève incontestablement de l'
atrophie
des portions moyenne et inférieure du trapèze.
ticale du bras se fait dans des conditions a peu près normales. « L'
atrophie
du trapèze, dit Duchenne (1), ne dérange en rien
ntraction du deltoïde. Il ne pourrait en être autrement car, dans l'
atrophie
du grand dentelé, le deltoïde se contracte isolém
0 0 LANNOIS ET BERNOUD Le membre supérieur gauche ne présente pas d'
atrophie
en longueur, mais les masses musculaires sont f
; à droite, 17. Au membre inférieur gauche il n'y a pas non plus d'
atrophie
en lou- gueur, mais une diminution appréciable
truation. La malade a une hémiplégie spasmodique du côté droit avec
atrophie
très marquée nette du membre inférieur (au nive
elle s'est réunie secondairement au squelette. Bien qu'il y ait une
atrophie
considérable de la musculature, on voit que les
niveau de la première articulation du 2° ; il y a vraisemblablement
atrophie
de la première phalange; atrophie vraisemblable
du 2° ; il y a vraisemblablement atrophie de la première phalange;
atrophie
vraisemblable de l'articulation interphatangien
dinaire; un petit noyau semblable dans le tendon du grand palmaire.
Atrophie
des éminences théuar et hypothénar. Le coude flé-
a partie supérieure du clos : - 9° Elledétermine secondairement l'
atrophie
des muscles ; elle ankylose les articulations d
à l'étude des),par A. Londe et Henry MEME (15 phot, 2 fig.), 34.
Atrophie
des cent/'es nerveux, dans un cas d'atrophie mu
5 phot, 2 fig.), 34. Atrophie des cent/'es nerveux, dans un cas d'
atrophie
musculaire el osseuse d'origine articulaire, pa
alis..Un.cas avec autopsie (9 phot.), 83. Achard et Léopold Lévi.
Atrophie
des cen- tres nerveux dans un cas d'atrophie
chard et Léopold Lévi. Atrophie des cen- tres nerveux dans un cas d'
atrophie
musculaire et osseuse d'origine articu- laire
alis. Un cas avec autopsie (9 phot.), 83. LÉoroLD Lévi et Achard.
Atrophie
des centres nerveux dans un cas d'atrophie mu
LÉoroLD Lévi et Achard. Atrophie des centres nerveux dans un cas d'
atrophie
musculaire et osseuse d'origine articu- laire
Anomalies digitales (A. Londe et Il. MeiGE), III, IV, V, VI, VII.
Atrophie
musculaire consécutive il la va- riole (.L-B. C
hie musculaire consécutive il la va- riole (.L-B. Charcot), VIII.
Atrophie
des centres nerveux (Achard et Lsoron Lévi), XX
trophie des centres nerveux (Achard et Lsoron Lévi), XXXIV, XXXV.
Atrophie
musculaire et osseuse d'origine articulaire (Ac
totalement nécrosé. La hase du tronc cérébral présente de même une
atrophie
prononcée par compression. L'anévrysme s'enfonç
n peu aplati à sa sortie du pont de Varole, mais il n'offrait pas d'
atrophie
marquée. Les racines des 9° et 10° paires prése
forte réduc- tion de volume et présente les suites manifestes d'une
atrophie
simple par compression. Elle est d'un tiers plu
aussi dégénérées (voir PI. I, B). Le corps restiforme droit dont l'
atrophie
est considérable, doit sa dégénéra- tion il la
gauche des modifications pathologiques qui se rapportent soit il l'
atrophie
par compression, soit il des dégénérations second
acoustique est aplati à gauche, "déformé, déplacé et atteint d'une
atrophie
considérable par compression. Il en est de même d
ite on ne peut méconnaître qu'elles pré- sentent un certain degré d'
atrophie
. La racine vestibulaire est déformée, sans s at
rtain degré d'atrophie. La racine vestibulaire est déformée, sans s
atrophie
notable (PI. II, C). Les noyaux médians de Burd
cularités singulières. Nous avons déjà eu l'occasion de parler de l'
atrophie
indirecte de celui de droite. Celui de gauche e
is que le contingent des fibres olivaires a disparu à la suite de l'
atrophie
de l'olive infé- rieure gauche. ANÉVRYSME DE
he qu'à droite. Le segment interne du corps restiforme présente uue
atrophie
très nette à droite de ses cellules ganglionnai
supérieur de droite. Nous dirons bientôt les conséquences de cette
atrophie
sur le noyau rouge. ANÉVRYSME DE L'AHTÈRE VERTÉ
ns sanguines. Les capillaires sont gonflés de sang. On constate une
atrophie
des faisceaux de fibres et des lacunes dans la
ésion du corps restiforme. La tumeur anévrysmale avait provoqué une
atrophie
par compression de l'hémisphère gauche du cerve
it com- plètement disparu. Cette olive était dans un état général d'
atrophie
dans toute son étendue (diminution sensible de
servées dans leur majeure partie. Une conséquence importante de l'
atrophie
par compression de l'olive gauche' été l'atroph
e importante de l'atrophie par compression de l'olive gauche' été l'
atrophie
secondaire des fihresarciformes internes ventrale
bulbe une apparence tout à fait paradoxale. En effet, au lieu d'une
atrophie
secondaire de l'olive droite qu'on devait s'atten
struction partielle du corps restiforme gau- che, nous trouvons une
atrophie
primaire par compression directe de l'o- live g
rmes correspondantes de droite et dans le corps restiforme droit. L'
atrophie
secondaire ne se produisit pas parce que, comme o
ophie secondaire ne se produisit pas parce que, comme on le sait, l'
atrophie
croisée de l'olive n'a lieu que si sa connexion a
le corps restiforme du côté opposé est totalement interrompue. L'
atrophie
des fibres arciformes et du corps restiforme à dr
i que les deux corps restiformes étaient atteints simultané- ment d'
atrophie
, celui de gauche d'une manière primaire par la co
de notre cas la destruction du pédoncule cérébelleux supérieur et l'
atrophie
par compression,du pédoncule cérébelleux moyen.
s fibres situé en arrière de cette voie présente un certain degré d'
atrophie
. Il s'agissait dans le cas de Menzel d'une dimi
enzel d'une diminution considérable du cervelet tout entier, mais l'
atrophie
dégénérative était surtout prononcée dans l'hémis
. (5) A. Cramer, Eizzseitige MetM ? 7'Ma<)'op/t ! B mil leichter
Atrophie
der gehreuzlen Grosshiirn-Henzisplzdre Iait ein
vol. XXII, 1891, p. 160. (9) M. Lannois et J. PIYIOT, Sur un cas d'
atrophie
unilatérale du cervelet. Revue neurologique, t.
u pédoncule cérébral à gauche surtout dans la partie médiane; cette
atrophie
correspondait à la dégénérescence des cellules ga
la substance grise du pont à droite. Edinger a constaté aussi cette
atrophie
croisée dans son cas. Mais il y a toutefois une
sme, surtout dans les parties basales etpos- térieures ; à droite l'
atrophie
était secondaire, en conséquence de Tinter-, ru
ntl'Ctlblatl, 15 octobre 1899, p. 914. 24 P. LADAME ETC. MONAKOW (
atrophie
de second ordre). On ne s'explique pas toutefois
directe dans notre cas ? Nous n'avons.pas constaté sur nos coupes d'
atrophie
du réseau fibril- laire des noyaux sensibles du
e Bechterew était atrophiée du côté croisé. On pouvait suivre celte
atrophie
jusqu'à la ré- gion du tubercule quadrijumeau a
ite. Mais Edinger attribue ce fait à une déformation provenant de l'
atrophie
du noyau rouge, et non pas à une atrophie des f
éformation provenant de l'atrophie du noyau rouge, et non pas à une
atrophie
des fibres nerveuses elles-mêmes. Le noyau rouge
leux supérieur ne fût pas aussi compromis que dans notre cas. Cette
atrophie
complète du noyau rouge croisé dans le cas de E
e lésion homolatérale du thalamus soit la condition nécessaire de l'
atrophie
croisée du cervelet quand l'hémisphère cérébral
La lésion est constituée par une 36 PIERHE MARIE ET A. COUVELAIRE
atrophie
très marquée diffuse et irrégulièrement distribué
s sont profondément altérés. Les fibres musculaires sont frappées d'
atrophie
. Cette atrophie frappe inégalement les fibres d
ent altérés. Les fibres musculaires sont frappées d'atrophie. Cette
atrophie
frappe inégalement les fibres d'un même faisceau,
it à peine une lumière; sans paralysie oculaire elle présentait une
atrophie
papillaire dou- ble et plus prononcée du côté g
e paralysie oculaire d'aucune sorte. A l'examen oplltalmoscopique :
atrophie
complète et avancée des deux papilles avec altéra
Babinski physiologique; sphincters : la malade se salit. ' Pas d'
atrophie
. Les autres appareils normaux. Les urines exami
roite et jambes, mouvements spontanés. Main gauche inerte, trismus,
atrophie
de la papille. La malade rentre de plus en plus
mier examen ophtalmoscopique. Or, à cet examen on a trouvé déjà une
atrophie
papillaire assez avancée et probablement bien p
té des scolioses de la syringomyélie, de l'ataxie héréditaire, de l'
atrophie
musculaire progressive, etc. Il s'aperçoit (1)
lus tard l'intégrité absolue des racines antérieures lombaires et l'
atrophie
complète des racines postérieu- res. Au microsc
Confinement au lit depuis un an. Amai- grissement allant jusqu'à l'
atrophie
des membres. Légère incoordination motrice des
mains et des pieds en particulier, pré- sentent même une véritable
atrophie
. Seul l'abdomen conserve un certain de- gré d'e
dans les actes ordinaires de la vie. L'amaigrissement devient de l'
atrophie
dans les membres inférieurs. La peau est blanch
jambes sont impotentes, bien plus du fait des arthropathies que par
atrophie
musculaire. Les sphincters ont une certaine ten
osseuse, tandis qu'une cause agissant en sens inverse entraîne de l'
atrophie
ostéo-articulaire. On peut d'ores et déjà pense
, apparition de la paralysie des extenseurs du poignet le 14 nzai ;
atrophie
musculaire avec DR ; absence de troubles de la
s est très faible, de même l'élévation des deux bras. 11 existe une
atrophie
des petits muscles des mains et des muscles de l'
dominaux. Du côté du système nerveux, l'attention est attirée par l'
atrophie
musculaire du bras et de la jambe droite, atrop
st attirée par l'atrophie musculaire du bras et de la jambe droite,
atrophie
plus marquée à la racine des membres, bras et c
résie des doigts, à tel point que le malade ne pouvait plus écrire.
Atrophie
des muscles des mains, de l'avant-bras droit av
ec plaques muqueuses buccales et alopecie. On constate en outre une
atrophie
musculaire avec paralysie Ilaccide portant sur
mol acétate de mercure. Amélioration progressive ; disparition de l'
atrophie
, cependant en mars 1896 le malade steppe encore
njections de calomel. Bientôt paralysie complète des 4 membres avec
atrophie
musculaire, douleurs la pression des troncs nerve
Salpétrière, la malade présentait une polynévrite généralisée avec
atrophie
musculaire, pré- dominant sur les extenseurs du
ration progressive de la maladie. Electrothérapie. Disparition de l'
atrophie
musculaire. Cependant en décembre 1899 le malade
dans les épaules avec parésie des muscles du tronc et des épaules ;
atrophie
musculaire de ces derniers muscles Abolition des
des nerfs des membres inférieurs. Paraplégie flasque complète avec
atrophie
musculaire et chute du pied. Pas de troubles de
le, mais à la fin de juillet 1895, elle stoppe encore légèrement; l'
atrophie
des mollets tend à disparaître. OBs. X. - Braue
rs. Parésie des 4 membres avec abolition des réflexes tendi- neux ;
atrophie
musculaire avec RD., hypoesthésie limitée aux mai
ession sur les racines ; infil- tration embryonnaire de l'épinèvre,
atrophie
des fihres nerveuses, production de petites nod
ngourdisse- ments des extrémités, abolition des réflexes tendineux,
atrophie
muscu- laire, intégrité des sphincters, absence
ne paraplégie flasque subite avec paralysie précédant et dominant l'
atrophie
musculaire, les troubles des sphincters. Mais l
pseudo-lipomes cervicaux ou sus-claviculaires avec le crétinisme, l'
atrophie
des hémisphères céré- braux et l'absence de cor
de l'épaule gauche est beaucoup moins saillant qu'à droite. y a une
atrophie
considérable des muscles de cette région, les ré-
s bas et plus accusé par suite de la flaccidité musculaire. La même
atrophie
que nous avons signalée au membre supérieur se
he d'athétose. Les réflexes sont à peu près normaux. Il n'y a pas d'
atrophie
des muscles ni du squelette, pas de déviation d
s. Les muscles des bras ont subi une légère diminution de volume. L'
atrophie
s'est manifestée surtout aux jambes : le gras d
ont abolis à la lu- mière et à l'accommodation. Il n'existe pas d'
atrophie
partielle ou totale de la langue. Trois dents sub
consti- tution qui a toujours lieu, si la lésion n'a pas provoqué l'
atrophie
de la cellule par une réaction trop violente.
de ces faits que les processus de réaction, de réorganisation ou d'
atrophie
se présentent différemment aux observateurs qui n
franchi l'état de réaction pour passer à la désorganisation et à l'
atrophie
(Pl. XLV, p). Parmi ces éléments, les uns ont p
les qui réparent leurs lésions chromatiques et des cellules en voie d'
atrophie
destinées à disparaître complètement. Un bon
sible. La capsule semble s'être ramassée sur les cellules en voie d'
atrophie
, elle est envahie par un abondant tissu conjonc
rmal. Jeune chai, 118 jours. 93 cellules mesurées sur 4 coupes. L'
ATROPHIE
OL1V0-PONTO-CÉRÉBELLUSE PAR J. DEJERINE et A.
ste dans la littérature médicale un certain nombre d'observations d'
atrophie
du cervelet qui présentent les plus grandes analo
e (1) Thomas, Le cervelet. Th. Doctorat, 189 (Obs. IV, p. 207). L'
ATROPHIE
OLIVO-PONTO-CÉR'U 1F3ELLEUSE 3 avait plus de pe
s au départ qu'à l'arrivée au but; malgré cela, dans l'usage cou- l'
atrophie
OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 333 rant, lorsqu'elle
résistance aux mouvements passifs est considérable. Il n'y a pas d'
atrophie
musculaire. La sensibilité, la notion de positi
ar la méthode de Weigert Pal et du carmin ; mais au préalable des l'
atrophie
OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 335 petits fragments d
elles sont très atrophiées dans toutes les régions du cervelet et l'
atrophie
porte sur les trois couches : la couche molé- c
à myéline dans les substances blanches des lames et des lamelles. L'
atrophie
n'atteint pas cependant le même degré sur toute
r degré d'altération, leur pédi- cule est encore très apparent. L'
atrophie
atteint son maximum sur les hémisphères, et princ
é- sions sont encore plus avancées et on peut saisir le processus d'
atrophie
de la cellule : du noyau peu apparent partent d
des lobes et lobules, lames et lamelles n'a rien de surprenant. l'
atrophie
OLIVO- PONTo-cÉnÉI3ELLEUSE ' 337 B. Noyaux cent
etits qu'à l'état normal, mais ils sont loin d'atteindre le degré d'
atrophie
de l'écorce. Le corps dentelé est relativement
uée en avant de la limite antérieure du faisceau de Gowers et ré- l'
atrophie
OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 339 pondant assez exac
-olivaires sont extrêmement atrophiés, dans tous leurs diamètres; l'
atrophie
est plus marquée d'un côté; le hile est presque
uche la plus interne de la substance mé- dullaire péri-olivaire ; l'
atrophie
est plus prononcée dans la moitié inférieure qu
e volume du faisceau central est due peut-être à un certain degré d'
atrophie
de la substance réticulée de la calotte protubéra
u les faisceaux cérébello-vestibulaires sont peu nombreuses : cette
atrophie
peut être poursuivie sur toute la hauteur de ce
hauteur, mais principalement dans l'étage antérieur. Il existe une
atrophie
totale des noyaux du pont, toutes les cellules
s considérable du faisceau central de la calotte correspondant. L'
atrophie
de la protubérance et du pédoncule cérébelleux mo
gitudinal postérieur et le ruban de Reil médian sont nor- maux. l'
atrophie
OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 341 C.- Pédoncule céré
CERVELET ET DES PÉDONCULES.- Considérations anatomiques. ` , , L'
atrophie
totale de l'étage antérieur de la protubérance (n
La rareté des fibres senticirculaires internes et externes explique l'
atrophie
marquée du segment interne du corps restiforme
ou fibres cérébello-vestibu- 'aires, c'est vraisemblablement à leur
atrophie
qu'il faut attribuer la dégénères- 342 J. DEJER
llo-protubérantiel ces libres ne sont pas groupées en faisceau. L'
atrophie
des fibres semi-circulaires internes et de l'entr
et de l'entrecroisement du vermis est elle-même la conséquence de l'
atrophie
des noyaux gris centraux et principalement du n
lamus. Résumé. - Le névraxe est en général petit. Il existe une
atrophie
en masse de l'écorce cérébelleuse, plus marquée d
des fibres afférentes et efférentes, des fibres de projection, avec
atrophie
des principaux noyaux d'origine des fibres affére
des fibres afférentes : olives bulbaires et noyaux pontiques, avec
atrophie
relativement beaucoup moins accentuée des noyau
telé, noyau du toit, bouchon, noyau sphéri- que). Il s'agit d'une
atrophie
cellulaire primitive; l'absence d'altérations vas
let ou anormal du névraxe, n'autorisant pas cependant à envisager l'
atrophie
olivo- ponto-cérébelleuse constatée ici, comme
u qu'un enfant mort-né, sa femme n'a pas fait d'autre fausse cou- l'
atrophie
OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 343 che ; il nie avoir
asserait à peu près entre les épines iliaques antéro-supérieures. L'
ATROPHIE
OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 345 Pendant la station
normalement. Motilité des membres supérieurs. - Ni paralysie, ni
atrophie
musculaire. Au dynamomètre : main droite 40, ma
plus juste de dire qu'il y a un peu d'hésitation il n'existe pas l'
atrophie
OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 347 de tremblement int
crire (Fig. z) : Motilité des membres inférieurs. -Ni paralysie, ni
atrophie
. Il éprouve seulement un peu plus de difficulté
vue se manifeste par l'apparition d'oscillations de grande ampli- L'
ATROPHIE
OLIVO-PONTO-CÉRÉBELtEUSE 3 tude : remarquons to
une topographie et d'une nature liés ,particulières, ce sont : 1° l'
atrophie
symétrique dp l'écorce cérébelleuse. plus prono
x : noyau dentelé, noyau du toit, noyau sphérique et bouchon ; 2° l'
atrophie
totale de la substance grise du pont et la dégé
le noyau dentelé, est au contraire relativement bien conservé; 3° l'
atrophie
très prononcée des olives inférieures, des noya
ive inférieure, la dégénérescence partielle -du corps restiforme, l'
atrophie
des cellules de Purkinje, la dégénérescence des
énérescence des fibres de projection du cervelet, toutes réunies, l'
atrophie
de la sub- stance blanche et de l'écorce cérébe
rophie de la sub- stance blanche et de l'écorce cérébelleuse. Cette
atrophie
systématique de l'écorce cérébelleuse et des no
t des noyaux d'origine de ses principales voies afférentes, est une
atrophie
primitive, l'absence de lésion inflammatoire et
ation névroglique permet de l'affirmer. L'examen des observations d'
atrophie
cérébelleuse, qui ont été pu- bliées, conduit à
leur nature, elles sont scléreuses ou simples ou dégénérait es. l'
atrophie
olivo-ponto-cérébelleose 351 Partielles et asym
is cérébelleux couche des grains et cellules de Purkinje. C'est une
atrophie
sans lésions vasculaires (Lannois et Paviot) (1)
compte des lésions dégénératives. Il s'agit dans notre cas d'une
atrophie
dégénérative, mais avec ce ca- ractère particul
us ne saurions mieux définir cet état anatomique que par le terme d'
atrophie
oliuo-pocato-cérébelleuse. L'atrophie cérébelle
atomique que par le terme d'atrophie oliuo-pocato-cérébelleuse. L'
atrophie
cérébelleuse est une affection assez rare, le typ
que par un léger degré d'ataxie (1) LAN\OIS et Paviot, Sur un cas d'
atrophie
unilatérale du cervelet. Revue neurolo- gique,
INE et A. THOMAS des membres inférieurs et par la coïncidence d'une
atrophie
musculaire des mains; au point de vue anatomiqu
culaire des mains; au point de vue anatomique par l'existence d'une
atrophie
des cellules des cornes antérieures en rapport
'une atrophie des cellules des cornes antérieures en rapport avec l'
atrophie
musculaire ; mais les lésions cérébelleuses, bu
ralisée de la peau et des muqueuses. (1) PIERRET, Note sur un cas d'
atrophie
pÙiphèl'iq1f,ÆJ du cervelet avec lésion conco-
s. Arch. für Psychiatrie, 1894. (5) Thomas, Th. Doctorat, 1897. l'
atrophie
OLIVO-PONTO-CERÉBELLEUSE 353 Anatomiquement les
omiques que ceux qui entrent en rapport avec le cervelet ont subi l'
atrophie
ou la dégénérescence, les faisceaux pyramidaux so
s (Menzel, Arndt, Thomas, obs. V). Dans l'observation V de Thomas l'
atrophie
des olives et de la protubérance n'a rien de co
te le plus d'analogie avec elles, mais l'auteur semble considérer l'
atrophie
cérébelleuse qu'il a examinée comme d'origine scl
oujours en effet qu'elle est la pre- mière en date et la cause de l'
atrophie
; alors malgré quelques nuances anatomiques et
nerveuses familiales et héréditaires. Revue de médecine, 1892, l'
atrophie
OLI'0-PONTO-CÉRÉBBLLI;USIz. 355 par l'incoordin
. Il existe une légère diminution des facultés intellectuelles. L'
atrophie
papillaire est signalée dans quelques observation
men anatomique du cas de Nonne ne laisse subsister aucun doute. z L'
atrophie
du cervelet parait être une atrophie due à un a
sse subsister aucun doute. z L'atrophie du cervelet parait être une
atrophie
due à un arrêt de développement; l'encéphale est
laires ; c'est plutôt un organe petit qu'un organe atrophié, le mot
atrophie
laissant sous-entendre un processus de destruct
own n'a pas répondu à celle attente : ici, en effet, il n'y a pas d'
atrophie
du cervelet ou du moins elle est douteuse, mais
roduction by Dr Sanger Brown. Brain, 1897. Part. LXXIX, p. 276. l'
atrophie
OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 357 ; cérébelleuse ; i
ns le contrôle d'une autopsie. Spiller a publié deux observations d'
atrophie
du cervelet chez le frère et la soeur; dans les
e fut pratiquée et les pièces soumi- ses à l'examen histologique; l'
atrophie
du cervelet est dans ces deux cas très nettemen
le dorsale le canal central est dilaté ; vers l'extrémité infé- ' l'
atrophie
OLIVO-PONTO-CÉRÉBLLLEUSE 359 rieure le canal es
tait au-dessous du poids normal (1.150 à 1.170 d'après Schwalbe). L'
atrophie
du cervelet, l'absence de lésions histologiques d
édo-ataxie cérébelleuse des atrophies du cervelet : les arguments l'
atrophie
olivo-ponto-cérébelleuse 361 qui servent de bas
me ou d'une infection, de l'épilepsie ou de troubles mentaux dans l'
atrophie
non familiale, oubien la possibilité d'une asym
ant des atro- phies non familiales. Londe admet qu'anatomiquement l'
atrophie
non familiale du cervelet se distingue peut-êtr
ment de l'a- trophie familiale et il ajoute plus loin : « Ces'cas d'
atrophie
non familiale que nous avons compulsés pourraie
de nature très différente ; 'petitesse de l'organe (Nonne, Miura),
atrophie
scléreuse (Spiller), atrophie dégénérative avec
petitesse de l'organe (Nonne, Miura), atrophie scléreuse (Spiller),
atrophie
dégénérative avec lésions de la moelle (Menzel) ;
lleuse ayant toujours le même substratum anato- mique, à savoir une
atrophie
du cervelet, mais des hérédo-ataxies céré- bell
vasculaire de la maladie, la nature inflammatoire et scléreuse de l'
atrophie
cérébelleuse seront sans doute plus judicieusemen
tion clinique ou dans l'exa- men anatomique ne permet d'envisager l'
atrophie
du cervelet comme une atrophie d'origine inflam
n anatomique ne permet d'envisager l'atrophie du cervelet comme une
atrophie
d'origine inflammatoire. La pathogénie est des
obscure que d'autres atrophies cellulaires primitives telles que l'
atrophie
des cellules des cornes antérieures dans la mal
cient à d'autres dégénérescences systé- matiques ou restent pures :
atrophie
olivo-ponto-cérébelleuse. L'apparition de troub
u cours d'affections dans lesquelles le cervelet n'est pas direc- l'
atrophie
OL1V0-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 363 tement en cause, n
e, nous impose quelques réserves sur la facilité du diagnostic de l'
atrophie
du cervelet et de l'atrophie olivo-ponto-cérébell
ves sur la facilité du diagnostic de l'atrophie du cervelet et de l'
atrophie
olivo-ponto-cérébelleuse en parti- culier, bien
- dique et minutieux et avec une quasi-certitude, diagnostiquer une
atrophie
cérébelleuse. Le diagnostic avec d'autres aff
si bien connu cliniquement que l'hésitation avec le diagnos- tic d'
atrophie
cérébelleuse peut être envisagé comme une éventua
tagmus sont des symptômes communs à la maladie de Friedreich et à l'
atrophie
cérébelleuse. La maladie de Friedreich a un déb
tic de pre- mier ordre; la scoliose est, en effet, très rare dans l'
atrophie
cérébelleuse ; l'observation de Botl;in et cell
ataxie céré- belleuse, Marie relève des signes oculaires tels que l'
atrophie
papillaire, le rétrécissement du champ visuel,
t abolis ; ils ont été trouvés - exagérés dans la plupart des cas d'
atrophie
du cervelet ; d'après Londe, il y a des cas où
ique, le diagnostic de maladie de Friedreich avait été fait. l. l'
atrophie
OLIVO-PON'1'0-CÉItÉBELLEUSE : ! 6o 5 L'ataxie d
oute à cet égard. , En se fondant sur l'observation de Menzel, où l'
atrophie
cérébelleuse est associée à des lésions médulla
intentionnel est moins constant et en tout cas moins intense dans l'
atrophie
cérébelleuse que dans la sclérose en plaques; l
si dire constants dans la sclérose en plaques, exceptionnels dans l'
atrophie
du cervelet ; l'exagération- des réflexes est plu
ent à la paralysie pseudo-bulbaire et la distinguent nettement de l'
atrophie
du cervelet. On a signalé chez certains individ
(1) Babinski, Société de neurologie de Paris, le, février 1900. L'
ATROPHIE
OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 367 taine, le corps se
n des Acuslicus zui,i4ckzufult,en ? Pflùger Archiv. 50, p, 115, l'
atrophie
OLIVO-PONTO-CÉRÉBELf.EUSE 369 vements impropres
urs. Il ne faut pas oublier toutefois que dans la plupart des cas l'
atrophie
des olives, et la protubérance et la petitesse
érance et la petitesse du système nerveux central coexistent avec l'
atrophie
cérébelleuse et peu(être jouent-élles un rôle d
rme, par l'ntégrité relative des noyaux gris cen- traux : c'est une
atrophie
primitive dégénérative systématique, ni scléreuse
atro- phies cellulaires primitives. Nous la désignons sous le nom d'
atrophie
olivo- pou to-cérébelleuse. HOSPICE DE BICL'T
timètres environ sur le bras, la main repos«à plat sur la cuisse. L'
atrophie
est manifeste : l'amaigrissement est déjà notable
rconférence de moins que le bras gauche (18 1/2 au lieu de 24) et l'
atrophie
commence déjà à la partie supérieure (2< 1/2 a
ion arbitraire établie dès le principe entre les différents types d'
atrophie
musculaire essentielle, n'a pu subsister devant l
m- baire fait saillie. Les membres supérieurs sont le siège d'une
atrophie
généralisée étendue jusqu'aux -mains dont les e
arrière. Le deltoïde est hypertrophié. Aux membres inférieurs, l'
atrophie
des muscles de la cuisse est notablement moins
a sclérose latérale amyotrophique, de la syringomyélie et même de l'
atrophie
mus- culaire progressive myélopathique type Ara
re 1896. 424 ABADIE ET DENOYÉS Ce n'est pas non plus : Un cas d'
atrophie
musculaire progressive neurotique de Hoffmann, ca
s par le nerf facial gauche sont très affaiblis ou même nuls. Pas d'
atrophie
dans ces muscles, ni de secousses fibrillaires.
sont partout conservées, les réflexes sont normaux, pas la moindre
atrophie
; pas de troubles vésicaux. Tous les organes, t
ésion a commencé à une date de beaucoup postérieure. Il n'y a pas d'
atrophie
dans le domaine des nerfs atteints, pas de DR, et
érieure compliqués soit de la paralysie bulbaire inférieure, soit d'
atrophie
musculaire, soit enfin d'ataxie locomo- trice o
es autres nerfs du bulbe, la paralysie bulbaire inférieure ou d'une
atrophie
musculaire, tan- dis que dans le cas indiqué, t
avons eu surtout en vue, d'abord le processus anatomo-patboloique d'
atrophie
, ensuite nous avons basé notre raisonnement en
le type hypertrophique. Ce dernier peut exister primitivement, sans
atrophie
et tassement antérieur d'un corps vertébral. On
ans le noyau dorsal droit, de temps à autre, des cellules en voie d'
atrophie
; mais ceci n'est pas pour nous surprendre, car
epuis le début de la réaction jusqu'à la réparation com- plète ou l'
atrophie
avec destruction des éléments. Les cellules en
ou l'atrophie avec destruction des éléments. Les cellules en voie d'
atrophie
(PI.LXXVI, a) se présentent sous deux aspects d
éjà franchi cette dernière étape et sont en voie de régression et d'
atrophie
. Les unes (Pl. LXXVII, e) sont ratatinées, recr
ression a atteint un très grand nombre d'éléments nerveux en voie d'
atrophie
. Nous nous bornons donc à signaler ici, les cel
sont tout à fait pâles ; leur corps est déformé, allongé, en voie d'
atrophie
. Le plus souvent leur noyau a disparu ; leur pr
uolaires ainsi que de celles qui étaient en voie de réparation ou d'
atrophie
. Il résulte nettement de la comparaison des div
doux au toucher, plus pâles qu'à gauche, mais il y a pas de réelle
atrophie
musculaire. Seulement à droite les os sont plus
juillet, l'aphémie a disparu, mais il semble qu'il y ait une légère
atrophie
de tout le membre supérieur droit en même temps
lumineux, le trapèze et legrand dor- sal droits ne présentent pas d'
atrophie
visible. Il existe une dépression plus marquée
euses ne sont pas plus visibles que du côté opposé. Avant-bras. - L'
atrophie
est aussi visible que pour le segment supérieur
ovenant de la région lombaire, à l'état d'achromatose relative avec
atrophie
du noyau. Elle contient à son intérieur un gros
lule et la fibre nerveuse avant d'arriver à la désorganisation et l'
atrophie
per- manente présentent des phénomènes de tuméf
ire à l'é- tat d'achromalose relative avec émigration du noyau et
atrophie
des prolongements. Fio. 23. - Achromatose par
nnant naissance à une destruction partielle de la cellule nerveuse,
atrophie
avec homogénéisation du noyau. NATURE ET TRAI
deux pieds, par redressement brusque du pied. Troubles trophiques.
Atrophie
légère des muscles des deux mollets ; pas de tr
horax s'est exagérée. La paraplégie ne s'est pas modifiée ; seule l'
atrophie
des mollets est un peu plus accentuée, quoique
s troubles moteurs se réduisaient à une paraplégie spasmodique avec
atrophie
légère des muscles des membres in- férieurs : m
r répara- tion et enfin des divers processus de dégénérescence et d'
atrophie
des cel- lules nerveuses, en nous arrêtant spéc
chromatique. Mais il y avait aussi bon nombre de cellules en voie d'
atrophie
dans ce ganglion. Nos autres cas nous ont donné
ue la cellule a subi des lésions trop profondes; dans ce cas elle s'
atrophie
et disparaît. L'atrophie et la disparition des ce
lésions trop profondes; dans ce cas elle s'atrophie et disparaît. L'
atrophie
et la disparition des cellules à la suite de la
t la radio- graphie, par GWERT (3 pl. en photocol- logr.), 145.
Atrophie
olivo-ponto-cérébelleuse, par J. Dcrcxmc et A.
lisée (3 pl. en photocollogr.), 26. DF.IEI11\E J. et A. Thomas. L'
atrophie
olivo- ponto-cérébelleuse (avec 3 pi. photo-
suivi d'autopsie (1 pl. photogr.), 113. Thomas A. et J. Déierine. L'
atrophie
olivo- ponto-cérébelleuse (3 pl. photocollogr.
urs rachidiennes cervicales, irradiées dans les membres supérieurs.
Atrophie
musculaire considérable dans les membres supé-
emarqua que les .membres supérieurs maigrissaient énormément. z L'
atrophie
musculaire envahit rapidement les avant-bras et l
e 8 juin 1892. État DU malade A l'entrée. Il se présente avec une
atrophie
musculaire très accentuée, occupant le thorax e
ion du poignet. Avant-bras très amaigris dans leur ensemble; mais l'
atrophie
porte surtout sur les fléchisseurs et sur les e
eur que le malade éprouve. Bras amaigris dans leur ensemble, sans
atrophie
musculaire localisée. Tous les muscles fonction
Tous les muscles fonctionnent, sans énergie il est vrai. Épaule.
Atrophie
de tous les muscles, mais surtout du grand pector
semble rétracté. La faiblesse des muscles est proportionnée à leur
atrophie
. Le malade est incapable de manger seul, de s'h
des doigts. Il y a une symétrie absolue dans la distribution de l'
atrophie
. Réflexes tendineux du coude normaux. Trouble
aigrisse- ment et à la faiblesse générale, mais ils n'offrent pas d'
atrophie
systéma- tique, pas de douleurs. Les réflexes t
tiges du tout. Enfin la diplopie Il' complètement disparu. Mais l'
atrophie
musculaire a persisté à peu près telle qu'elle ét
CONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. traitement, malgré un commencement d'
atrophie
musculaire aux membres supérieurs. (De la ménin
t de troubles profonds dans la nutrition des muscles, dénotés par l'
atrophie
considérable et la réaction électrique de dégén
let et de la cuisse est le même des deux côtés. Il n'y a donc pas d'
atrophie
muscu- laire du membre paralysé. Pas de troub
RIÈRE bras de levier auquel ils s'attachent est fort court. Aussi l'
atrophie
de ces muscles produit-elle la flexion de la tè
s du tronc dépendant soit de la ré- traction musculaire, soit d'une
atrophie
spécialement localisée, l'attitude des atrophiq
s, quant aux causes et à la na- ture des atrophies musculaires. L'
atrophie
musculaire progressive (type Aran-Duchenne) conse
ne sauraient laisser subsister aucun doute sur l'exis- tence d'une
atrophie
musculaire consécutive aux lésions des cornes ant
nt Duchenne de Boulogne avait d'ailleurs décrit plusieurs for- mes (
atrophie
musculaire progressive de l'enfance, paralysie ps
s, chacun croyant trouver dans une localisation par- ticulière de l'
atrophie
un type clinique différencié. A chacun de ces t
e la variété des groupes musculaires pri- mitivement atteints par l'
atrophie
était infinie, et que celle-ci, limitée au débu
contractiles. De plus, on a noté plusieurs fois la coexistence de l'
atrophie
et de la pseudo-hypertrophie sur les mus- cles
ropos de sa « forme juvénile ». « On n'y observe pas seulement de l'
atrophie
: dans plusieurs mus- cles, toujours les mêmes
de la maladie. Dans quelques muscles on voit celle-ci succéder à l'
atrophie
. D'autres muscles restent longtemps épargnés pa
que dans la paralysie pseudo-hypertrophique, on trouve toujours une
atrophie
atteignant plusieurs muscles, principale- ment
, de la ceinture scapulaire et des bras. « La localisation de cette
atrophie
, dit Erb, est partout exacte- ment la même, att
te pas plus considérables entre les cas de pseudo-hypertrophie et d'
atrophie
juvénile qu'entre les différents cas d'atrophie
o-hypertrophie et d'atrophie juvénile qu'entre les différents cas d'
atrophie
juvénile ou de pseudo-hypertrophie ». Les obser
e des symptômes cliniques essentiels ». Il en est de même des cas d'
atrophie
musculaire dite infantile, c'est-à- dire de la
utogen. de.pseio/type ? oamMeoare. Mitano, 1883. -* . (3) Hoffmann.
Atrophie
musculaire chronique spinale héréditaire dans l'e
dien médian, les portions antérieure et postérieure ayant subi une
atrophie
beaucoup plus prononcée. Les mouvements d'add
faible. Les muscles de l'avant-bras sont aussi atteints, quoique l'
atrophie
ne soit ici guère apparente ; il s'ensuit que l
dans la station debout. Une épaisse masse graisseuse dissimule cette
atrophie
des fessiers et retombe sur les parties latéral
te chute du bassin du côté du pied qui quitte le sol correspond à l'
atrophie
bilatérale des muscles pelviens, surtout à cell
'156 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE dissimulent parfois l'
atrophie
des muscles. Notre malade en fournit de nouveau
usculaires, ou bien (comme ici aux jambes) combler les méplats de l'
atrophie
au point de simuler une configuration extérieure
(3). Cet auteur a constaté que les fibres musculaires subissaient l'
atrophie
par leurs extré- mités (atrophie longitudinale)
s fibres musculaires subissaient l'atrophie par leurs extré- mités (
atrophie
longitudinale). Au sur et à mesure que se raccour
Au point de contact de l'extrémité de la fibre musculaire en voie d'
atrophie
et de la portion fibro-tendineuse en voie d'accro
tères d'un processus anatomiquement actif. En même temps existe une
atrophie
transversale des fibres musculaires. Et dans le
on. de la Salp., 1894, ne 3. (3) W. ROTfI, Sur la palhogénie de l'
atrophie
musculaire progressive. Ziegler's Bei- trâge zu
ndant, quand on examine les muscles, ne présente ni hypertrophie ni
atrophie
, bien que l'affaiblissement musculaire soit con
ntractilité musculaire, proportionnnée dans une certaine mesure à l'
atrophie
ou aux altérations de la contractilité volontaire
urs la diminution de l'excitabilité électrique des muscles, comme l'
atrophie
d'ailleurs, est surtout marquée dans les mus- c
e est aussi très atrophiée, surtout dans ses faisceaux internes ; l'
atrophie
semble à peu près aussi prononcée à gauche qu'il
épineuse est excavée dans sa partie externe, en raison surtout de l'
atrophie
du deltoïde postérieur, elle est assez bien rem
ont normaux et fonc- tionnent régulièrement. Tout' se borne à une
atrophie
musculaire et à des déformations considérables.
) nous dispenseront de longs commentai- res. Quant aux détails de l'
atrophie
musculaire, on les trouvera dans la note très s
as il canse de leur volume et de leur forme relativement normaux. L'
atrophie
porte surtout sur le long supinateur et les rad
vexes. L'abdomen est proéminent; sa paroi amincie fait supposer une
atrophie
notable de ses muscles. Vu de dos, le malade pr
s de la ceinture scapulaire sont pour la plupart très atrophiés ; l'
atrophie
.est en particulier très marquée pour le trapèze e
duisent à 0 un léger déplacement du scapulum ; à gauche, bien que l'
atrophie
paraisse presque aussi prononcée, la contractil
apparaissent à ! >·0 ? ; il droite seulement à 30mm. (Malgré l'
atrophie
des adducteurs du scapulum le rapprochement des é
onserve cependant un volume assez considérable qui contraste avec l'
atrophie
énorme des muscles du bras. Portion antérieur
u bras. Portion antérieure : à droite, n'est que peu atrophié, et l'
atrophie
est appré- ciable surtout dans sa partie supéri
il 80mm, il 70mm C. assez bon- nes, il 65, C. bonnes ; - gauche, l'
atrophie
est plus marquée et porte surtout aussi sur la
'il m'a été donné d'observer. j Si l'on définit l'amyotrophie : une
atrophie
musculaire qu'accompagne une paralysie proporti
d'entre eux seulement recouvrent dans la suite leurs propriétés. 2°
Atrophie
musculaire progressive (type Ductienne-Aran). P
ressive (type Ductienne-Aran). Paralysie essentielle des adultes.
Atrophie
musculaire spinale chronique. Po/<o)Mye7/<
est chronique; l'éminence thénar est la localisation favorite de l'
atrophie
qui envahit progressivement les autres muscles.
s multiples ou localisées. La paralysie l'emporte ici souvent sur l'
atrophie
. 4" Atrophies musculaires liées à des poliomyél
rmales, ou seulement celles qui sont en relation avec le degré de l'
atrophie
, affections probablement indépendantes de toute
amyotrophies qui se distinguent entre elles par la répartition de l'
atrophie
au début dans certains groupes musculaires; mai
ans l'enfance ou l'adolescence, et sont en général héréditaires :
Atrophie
musculaire infantile progressive de Duchenne (1)
ire infantile progressive de Duchenne (1) qui débute par la face.
Atrophie
musculaire progressive d'Erb (2) commençant par l
aire progressive d'Erb (2) commençant par la ceinture scapulaire.
Atrophie
musculaire progressive de Leyrlen (3) débutant pa
sujet à des attaques d'é- pilepsie « causées par une peur ». Pas d'
atrophie
musculaire, ni de dif- formités. 8° Une fille
il revient tout de suite à sa position pri- mitive. (PI. XXII). L'
atrophie
semble un peu moins accusée au bras et à la jambe
endant pas très accusée. Les changements électriques, de même que l'
atrophie
sont plus accusés à gauche qu'à droite, en géné
mettent bien en évidence les déformations dont nous avons parlé. L'
atrophie
des membres est suffisamment apparente pour qu'il
ntement et progressivement tous les muscles volontaires du corps. L'
atrophie
et l'impotence musculaire prédominaient d'une faç
dues à ce fait que tous les muscles de la face sont atrophiés. 2° L'
atrophie
progressive de tous les muscles volontaires s'est
ns les extenseurs que dans les fléchisseurs des extrémités. Cette
atrophie
est si intense que l'on ne peut sentir par la pal
La force musculaire a diminuée peu et peu au 'fur et à mesure que l'
atrophie
s'accentuait. Elle a toujours été proportionnelle
e) qui a le premier décrit ce faciès dans la maladie qu'il appelait
atrophie
musculaire progressive de l'enfance (2), et qu'
ive de l'enfance (2), et qu'il considérait comme une forme de celle
atrophie
musculaire progres- sive de l'adulte qui porte
, ce masque, comme par un changement de décor, dénonce avec éclat l'
atrophie
des muscles faciaux, prélude ou compagne d'une
vec éclat l'atrophie des muscles faciaux, prélude ou compagne d'une
atrophie
musculaire diffusante et progres- sive ». (1)
Andréa de Pise et montrant le Christ guérissant des malades. ; L'
atrophie
des muscles de la jambe qui accompagne souvent le
le avec . Fig. 1. 204 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE l'
atrophie
et les déformations articulaires qui en sont la c
me dans la paralysie radiale; mais on n'y remarque au- cune trace d'
atrophie
. L'atrophie musculaire fait partie des symptôme
alysie radiale; mais on n'y remarque au- cune trace d'atrophie. L'
atrophie
musculaire fait partie des symptômes de la lèpre.
ailleurs les discussions qui ont élé soulevées sur. l'identité de l'
atrophie
lépreuse avec l'atrophie qu'on observe dans la
qui ont élé soulevées sur. l'identité de l'atrophie lépreuse avec l'
atrophie
qu'on observe dans la syringomyélie et la maladie
x cas de myopathie atrophique, type Lazdouy-Déje- rine, et un cas d'
atrophie
musculaire, type Aran Duchenne, dans la même fa-
rain, 1896. ROTI ! . - Contribution à l'allatomie pathologique de l'
atrophie
musculaire progres- sive, Comptes rendus de la
'ochenschr., 1886. CHARCOT ET MARIE. - Sur une forme particulière d'
atrophie
musculaire progres- sive, Revue de Méd., 1886.
ll. Soc. anat. 1891. FERRIER. - The Pathology and distribution of
atrophie
Paralysis. British Med. As- soc Meeting; Lancet
ne 20, 1891. JorFROY ET Ar : IIARD. - Contribution et l'Etude de l'
Atrophie
mllscul. chez les hé- miplégiques. Arch. de Méd
giques. Arch. de Méd. exp. et anat. pathol., 1891, no 6. JOURNÉE. -
Atrophie
Musculaire progressive, Progrès Médical, 1892, n°
H). - Dystrophia muscula¡'is hyperplastica (TVah¡'e l11uskelhype¡',
atrophie
), Deutsche Zeitschrifft sur Nervenheilkunde (1892
is, mai 1893. C. GRANDON. - Étude clinique sur les relations de l'
atrophie
musc. progr. de l'a- dulte avec la paralysie in
f. Nerv. and. Ment. Discases, Avril 1893, n° 4, p. 252. F. Raymond.
Atrophie
musculaire à marche progress., chez des syphiliti
med. des Hôpit., 3 fév. 1893. STRUMPELL. - Contrib. à l'étude de l'
atrophie
muscrcl. progress. Deutsche Zeitschr. für Nerve
93, p. 427. SIRTORI. Contribut. à l'étude des formes juvéniles de l'
atrophie
muscul. progres- o sive. Archivio italiano di c
res- o sive. Archivio italiano di clinica medica, 1893. Burrtrrc.
Atrophie
muscul. neu¡'opath. dans un cas de chorée chroniq
i della societa medico. chirurg. Bologna, 1893. ToMMASELu. Un cas d'
atrophie
musc, juvénile (type d'Brb.) Riforma medica, 1893
ELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE WLADiMmRoTH. J°67M/e<ttede l'
atrophie
mnscnl. progressive. Ziegler's Beitr. z. Pathol
, Reforma medica, 1893. J.-E. EDGREN. - De la forme névritique de l'
atrophie
musculaire progressive. Hygiea, 1893, p. 591.
importantes, ne sont pas exceptionnelles. Elles se combinent avec l'
atrophie
sur les mêmes surfaces diartlirodiales, de façon
o Romhcrg, du myosis bilatéral avec perte du réflexe lumineux, de l'
atrophie
papillaire avec un peu d'amblyopie et des douleur
'arthropathie, nos faits rentrent dans le type classique : usure et
atrophie
à l'épaule (Obs. 1), ostéophytes et hy- pertrop
pertrophie aux genoux (Obs. II et 111). D'ailleurs, qu'il s'agisse d'
atrophie
ou d'hypertrophie, la nature de la lésion est t
contraire, pense qu'elle est d'origine musculaire, et causée par l'
atrophie
des muscles lransversai- (1) Nous remercions M.
'amputa- tion la mort arriva par septicémie. Ce malade avait de l'
atrophie
des 2 mains, mais il n'est pas dit qu'il ait eu
de lésions bypertropbiques on trouve au contraire les os en voie d'
atrophie
. Signalons en passant les lésions de la diaphys
e membre supérieur droit est atrophié dans son ensemble, mais celle
atrophie
d'origine réflexe (amputation des doigts) n'esl.
syringomyéliques et présente un intérêt particulier par l'absence d'
atrophie
musculaire manifeste. Résumé de l'observation.
tence de son membre supérieur droit. Motilité. On ne remarque pas d'
atrophie
visible des muscles des membres et du tronc, sa
nerf atteint; il existe de la douleur au niveau du nerf et enfin l'
atrophie
mus- culaire est rapide. Pour les mêmes raiso
rites, l'indolence et la facilité de réduction et enfin l'absence d'
atrophie
musculaire notable. Puis les lésions nerveuses
lente de l'affection, la dissociation de la sensibilité excluent l'
atrophie
musculaire progressive et la sclérose latérale am
s prétexte que vous ne trouvez pas une hypertrophie de la rate, une
atrophie
du foie, une pa- raplégie spasmodique, n'allez
r ces deux membres et surtout le membre supérieur étaient frappés d'
atrophie
; ce dernier, réduit de volume dans sa totalité, n
e corticale ne sont-ils jamais primitifs. Il ne s'en suit pas que l'
atrophie
musculaire soit chose rare chez les tabétiques ;
r l'existence que nul ne conteste-des névrites périphériques dans l'
atrophie
ARTHROPATHIES NERVEUSES ET TROUBLES DE LA SENSI
tabétiques, on peut d'autant mieux concevoir la pathogénie de celte
atrophie
, en ajoutant l'influence des désordres sensitifs
le tabes la forme hypertrophique ne tend pas nécessairement vers l'
atrophie
. Le type atrophique a été rencontré notamment d
s. Ainsi on voit signalées dans la première observation de Nissen l'
atrophie
de la tète Immorale à côté de l'hypertrophie de
'hypertrophie de la cavité articulaire. Il n'est pas fréquent que l'
atrophie
musculaire soit superposée il l'ar- thropathie.
es de l'épaule droite ont subi un degré notable d'alrophie et cette
atrophie
a bien les caractères d'une amyotrophie d'origine
eur les signes suivants : l'abolition de la sensibilité tactile ; l'
atrophie
et la parésie des muscles superficiels de la fa
derniers symptômes n'excluaient pas le tabès. Enfin ou découvrit l'
atrophie
musculaire et la dissociation de la sensibilité
ons atteintes, ankylose souvent fibreuse, parfois même osseuse avec
atrophie
des extrémités articulaires constatée directeme
nuls ou passagers : nuls si la résection ne peut dépasser la zone d'
atrophie
osseuse, passagers si elle la dépasse, car le pro
les modes de la sensibilité. Au membre supérieur, il y a une légère
atrophie
musculaire en masse. Le périmètre donne les chi
un peu abaissée : la pupille dilatée ne réagit point. Il y a en outre
atrophie
de la papille et névrite ancienne (contours irr
ille est un peu dilatée mais réagit normalement. Il y a égale- ment
atrophie
.par névrite delà papille et même aspect ophthalm
emblerait en rapport avec une lésion diffuse et extensive. Quanta l'
atrophie
des nerfs optiques, nous croi- rions volontiers
tcrale droite de la 11'° vertèbre cervicale sur la 1 ? Paralysie et
atrophie
des muscles dépendant des lie et ¡Se segments ra-
ltime dans un certain nombre d'affections médullaires, telles que l'
atrophie
musculaire progressive, la sclérose latérale amyo
cipal de l'oxycéphalie, est en rapport avec l'hyperten- sion, car l'
atrophie
est précédée d'oedème de la papille. Cette atroph
en- sion, car l'atrophie est précédée d'oedème de la papille. Cette
atrophie
ne dépend pas des canaux optiques, dont le diam
ne prouve que leur rétrécissement ne soit pas alors secondaire à l'
atrophie
optique. Du côté du crâne, l'un des signes de
tate : oeil droit, mydriase considérable, vision = 1 ; oeil gauche,
atrophie
blanche du nerf optique très avancée, vision z1/1
épendent d'une affection bien plus ancienne, l'oxycéphalie. Outre l'
atrophie
du nerf optique, ces signes oculaires indiquent
conséquences ? Ces questions restent ouvertes. CONCLUSIONS. 4° L'
atrophie
du nerf optique n'est pas la conséquence d'un can
normal. Par contre la région sous-thalamique à droite est^en forte
atrophie
; le corps de Luys n'a pas la inoitié du volume
volontaire des muscles. Un de ces cas' fut examiné anatomiquement :
atrophie
très forte des corps striés et des régions sous-t
ontraient des altérations ni macrosco- piques, ni microscopiques, l'
atrophie
se limitant à la région sous-thalami- que (corp
ce nerf.. - Les deux traits principaux sont dans ce cas : 1 ° L'
atrophie
des interosseux ; 2° L'altitude dite « griffe c
u médius, et le médius peu écarté de l'index (pl. XXI, fig. B). L'
atrophie
des interosseux, du premier surtout, donne parfoi
spect dit « squelettique » (pl. XXI, fig. B). A la face palmaire, l'
atrophie
de l'éminence hypothénar est notable; à ce nive
appuyée, donne l'impression d'un creux plutôt que d'une saillie. L'
atrophie
de l'adducteur du pouce doit être appréciée par
parant le pouce de l'index (pl. XXII, fig. B). Par suite de cette
atrophie
musculaire, les tendons des fléchisseurs font s
a paume, et les tendons des extenseurs au dos de la main. Lorsque l'
atrophie
est très accusée, on peut observer un léger dépla
terne de l'éminence thénar. Si la lésion date de quelques mois, une
atrophie
importante envahit également le groupe des musc
territoire du cubital où la peau est plus brune et plus sèche. L'
atrophie
musculaire est moins marquée que dans les paralys
l'éminence thénar. Par contre, il existe toujours un degré marqué d'
atrophie
des muscles situés au-dessus de la lésion et n'
particulier, absolument inutilisables (pl. 1VII, fig. F et H). L'
atrophie
de la main va en augmentant et porte sur tous les
de l'ongle ont tendance à déborder leur rainure d'incrustation. L'
atrophie
semble s'étendre aux os, toute la main s'affine e
devient de l'hypoesthésie, la piqûre est perçue comme un contact ;
atrophie
notable de l'éminence hypothénar, delà partie i
.était incomplète, surtout dans le domaine du scia- tique externe ;
atrophie
importante des muscles postérieurs de la cuisse
éguments devenus inextensibles, et d'autre part, par un processus d'
atrophie
et de résorption même osseuse, qui finit parfoi
tre par un lien élastique. Supposant que cet appareil entretenait l'
atrophie
et empêchait la rééducation, Lucca le supprime.
é musculaire conservée. Pas de douleurs à la pression des muscles ;
atrophie
musculaire ; pas de contractions fasciculaires.
lités normales, sauf douleurs diffuses dans les membres inférieurs.
Atrophie
considérable des muscles des mollets, très flasqu
ses. Pas de douleurs à la pression dans les mollets. Mollets mous ;
atrophie
musculaire. Réflexes rotuliens vifs. La maladie
rs vives dans les muscles des jambes, du genou, au bas de la jambe;
atrophie
musculaire rapide; faiblesse persistante. Diarr
bulbaires qui ont brusquement déterminé la mort. Un certain degré d'
atrophie
musculaire des muscles paralysés ou paré- siés
général est bon. Aux membres inférieurs, on ne peut observer aucune
atrophie
ni de diminu- tion de la sensibilité. La force
, p. 767. DOCUMENTS POUR L'ÉTUDE DES ATROPHIES MUSCULAIRES I. -
ATROPHIE
musculaire PURE sans paralysie par. tiraillement
URE sans paralysie par. tiraillement du - PLEXUS BRACHIAL. - IL -
Atrophie
musculaire PURE, sans paralysie, dans LE domaine
torze ANS après UNE fracture méconnue DE la clavicule. ' ' III. -
ATROPHIE
musculaire syphilitique A type péronikr, simulant
simulant l'amyotrophie CHARCOT-IIÎARIE. PAR André LÉRI. , 1
Atrophie
musculaire pure sans paralysie par tiraillement
rédominant, c'est elle qui commande avant tout la distribution de l'
atrophie
; l'amyotrophie est post-paralytiqué u. Telle e
ost-paralytiqué u. Telle est règle. Elle souffre des exceptions ; l'
atrophie
musculaire peut survenir sans aucune paralysie
NOUIF.1,LU Iconographie DU. f,A Salpêtrière. T. XXVIII. PL. XLVI
ATROPHIE
MUSCULAIRE PURE SANS PARALYSIE PAR TIRAILLEMENT
d'un léger amaigris- sement au niveau de l'éminence thénar ; cette
atrophie
a progressé depuis avec une extrême lenteur. En
uelques jours. 1 Quand nous l'examinons, nous constatons une grosse
atrophie
de la main gauche. Le premier espace interosseu
sans plus de difficulté qu'on ouvre et qu'on ferme un éventail. L'
atrophie
de l'avant-bras est très apparente, surtout dans
nt-bras, le long supinateur paraît aussi fort que du côté sain. L'
atrophie
du bras est minime ; elle parait porter essentiel
férieurs. .. En somme, tout se réduit chez ce malade à une grosse
atrophie
de l'éminence thénar et des interosseux à gauch
se atrophie de l'éminence thénar et des interosseux à gauche, à une
atrophie
un peu moindre de l'éminence hypothénar et des
nce hypothénar et des fléchisseurs des doigts, proba- blement à une
atrophie
légère du biceps. Autrement dit, l'atrophie porte
s, proba- blement à une atrophie légère du biceps. Autrement dit, l'
atrophie
porte d'une façon inégale sur tout le domaine d
aussi très légèrement sur le musculo-cutané (biceps). Partout où l'
atrophie
n'est pas très prononcée, il n'y a pas et il n'
y a et il n'y a eu aucun trouble sensitif ni vaso-moteur. A cette
atrophie
pure, progressive et en apparence primitive, on n
traumatisme survenu trois à quatre mois avant les premiers signes d'
atrophie
. Il semble que ce traumatisme n'a pu agir que d
y a eu aucune paralysie, aucune anesthésie, et, trois mois après, l'
atrophie
progressive a pu paraître véritablement le phén
tiologié est peu connue et passerait faci- lement inaperçue. II
Atrophie
musculaire PURE, sans paralysie, dans LE domaine
Nous avons rapporté l'observation d'un malade chez qui survint une
atrophie
musculaire pure, sans paralysie préalable, à la s
traumatisme furent une véritable révélation radiographique ; 2° L'
atrophie
musculaire fut une conséquence extraordinairement
ll Iconographie dl la S.4LP) : 'l'RII : R);. T. XXVIII. Pal. XLVI
ATROPHIE
MUSCULAIRE SANS PARALYSIE DANS LE DOMAINE DU PLEX
e de l'un et de l'autre côté. Ce qui frappe à première vue, c'est l'
atrophie
considérable du deltoïde gauche; l'épaule est n
ion et la partie externe de la clavicule font une forte saillie ; l'
atrophie
du deltoïde est globale, portant également sur
également sur les faisceaux antérieurs, moyens et postérieurs. Cette
atrophie
n'empêche pas le malade de porter ses bras laté
rable. En regardant d'un peu plus près, on voit manifestement que l'
atrophie
est loin d'être limitée au deltoïde ; elle port
ux que du côté opposé ; dans le même mouvement, on constate aussi l'
atrophie
manifeste du long supinateur dont la corde est
t la face postérieure de l'avant-bras est aplatie. Enfin il y a une
atrophie
légère, mais pourtant bien apparente, de la parti
ent l'extrémité du pouce et celle du petit doigt. Il n'y a aucune
atrophie
des muscles du cou ou de l'épaule autres que le
èzes ou des sterno-cléido-mastoïdiens. Tout se résume donc en une
atrophie
très accentuée du deltoïde, moins accentuée du
geait plus à ce traumatisme quand à 26 ans, 14 ans après, survint l'
atrophie
de l'épaule. Y avait-il entre ce traumatisme en
ation nous a paru mériter d'être rapportée. 260 - LÉRI III ..
Atrophie
musculaire' syphilitique A TYPE péronier (simulan
us avons affirmé depuis 1903 (1) que la causera plus fréquente de l'
atrophie
musculaire progressive Aran-Duchenne est' la sy
es spinales et syphilis. Congrès, de neurologie, Bruxelles, 't9(M ;
Atrophie
musculaire progressive spinale (type Duchenne-
uvelle Iconographie I)1 L.1$.\LPL'IRIl : RE. T. XXVHI. PL. XLV111
atrophie
musculaire SYPHYLITIQUE A type PÉRONIER simulan
rçu déjà en constatant que chez les amyotrophiques Aran- Duchenne l'
atrophie
musculaire avait gagné les membres inférieurs, ma
tendu dire qu'aucun parent ait eu des troubles de la marche ou de l'
atrophie
des membres. Le 20 mai 1915, un obus éclata prè
te maigrissait, aussi bien en avant qu'en arrière. C'est pour cette
atrophie
qu'il nous est adressé. L'atrophie est en eff
u'en arrière. C'est pour cette atrophie qu'il nous est adressé. L'
atrophie
est en effet extrêmement prononcée. La jambe droi
tout juste une légère saillie du haut du mollet (mollet de coq), l'
atrophie
porte en masse aussi bien sur les muscles antér
s tendons péroniers ; cette saillie anormale paraît due surtout à l'
atrophie
des péroniers latéraux et à une sorte de sublux
utour d'un axe vertical qui passerait par le milieu de ce bord. Son
atrophie
est considérable ; ni i la vue ni au toucher il
'étendent légèrement, surtout le premier. A première vue, c'est l'
atrophie
de la jambe et du pied droit qui frappe, si bie
t qui frappe, si bien que le malade nous ayant été adressé pour une
atrophie
consécutive à un traumatisme, nous avons cru d'
atrophie consécutive à un traumatisme, nous avons cru d'abord à une
atrophie
réflexe. Mais l'impor- tance de l'atrophie étai
avons cru d'abord à une atrophie réflexe. Mais l'impor- tance de l'
atrophie
était hors de proportion avec le peu d'intensité
paru les troubles. De plus, il nous a été facile de constater que l'
atrophie
portait aussi à un moindre degré certes, mais d
au sphygmomanomètre du Potain, pour 26 aux radiales). - Malgré l'
atrophie
, tous les mouvements segmentaires des deux membre
e la formule galvanique. En somme, ce malade de 32 ans présente une
atrophie
très pro- noncée de toute la musculature des pi
pro- noncée de toute la musculature des pieds et des jambes et une
atrophie
légère de la partie inférieure des cuisses. Cet
s et une atrophie légère de la partie inférieure des cuisses. Cette
atrophie
est beaucoup plus prononcée du côté droit, et,
de la jambe droite, on a tendance au premier examen à croire à une
atrophie
réflexe post-traumatique. Mais le traumatisme
l qu'en apparence, et certaines observations publiées sous le nom d'
atrophie
musculaire type Charcot- Marie mériteraient-ell
ois mois après, lorsqu'elle vint nous consulter la première fois, l'
atrophie
des muscles de la 'ceinture scapulaire était dé
scles lombaires, des muscles du bassin et des membres inférieurs. L'
atrophie
musculaire a donc atteint les parties moyenne et
les muscles rhomboïdes, les grands dentelés. Les muscles atteints d'
atrophie
présentent les caractères suivants : ils sont sym
omme de 29 ans (G. M. de' Bologne), chez lequel la disposition de l'
atrophie
était un peu moins symétrique que chez la malad
es épaules avec difficulté. En conclusion, on note du côté gauche l'
atrophie
du grand, du petit pecto- ral et du rhomboïde,
e du grand, du petit pecto- ral et du rhomboïde, et du côté droit l'
atrophie
du grand pectoral et du grand dentelé, le muscl
ous a intéressé à cause de la localisation purement scapulaire de l'
atrophie
et de l'absence de tout caractère fami- lial (1
dans deux cas trouva on une concrétion calcaire dans la thyroïde, l'
atrophie
de cette glande contenant de la ma- tière collo
dominance surtout de l'hypo physe. Chez notre malade, on trouve l'
atrophie
de l'appareil thyroïdien et les indices du synd
e, leur union ou bilaté- ralité. KLIFPEL et BOUCHET (Hémimélie avec
atrophie
numérique des tissus. Nouv. Ico- nogr. de la Sa
eure de l'humérus. La luxation congénitale du coude, par suite de l'
atrophie
du cubitus, est évidente. L'extrémité inférie
amen radiographique du membre atrophié (fig. 8 et 9). Fémur normal.
Atrophie
congénitale du tibia, qui se trouve représenté
alléole péronière et d'articulation tibio-tarsienne. Déformation et
atrophie
du tarse et du méta- tarse, de telle sorte que
d'un syndrome d'irritation léger du plexus brachial dans des cas d'
atrophie
musculaire, de parésies et de troubles trophiqu
ucoup plus atténuée. Ce qui domine, ce sont la parésie et surtout l'
atrophie
musculaire, les troubles trophiques cutanés et
an. Tiraillement du membre supérieur droit par retour de manivelle.
Atrophie
et parésie prédominant sur les muscles périscapul
droite, de l'avant-bras et de la main, prédominant à l'épaule. Une
atrophie
musculaire nette complique celle parésie. Elle es
e. Lésion par balle dans la région du plexus brachial. Paralysie et
atrophie
prédominant sur les muscles périscapulaires. Aucu
ommotion le 2 juillet 1916. Etat le 15 novembre 116. - Parésie avec
atrophie
du membre supérieur droit prédominant à l'épaul
du membre supérieur droit prédominant à l'épaule. La paralysie et l'
atrophie
des muscles périsca- pulaires est telle que les
sont impossibles. L'antëpulsion est moins complètement supprimée. L'
atrophie
est d'ailleurs compliquée pour le grand pectora
ion de l'épaule reste indemne. Au niveau du bras, existe aussi de l'
atrophie
et de plus les muscles -sont plus mous que du côt
possibles quoique diminués de force. A l'avant-bras existe un peu d'
atrophie
. Au poignet, les mouvements de flexion-extension
ement incomplets et à ce niveau on constate peut-être un peu plus d'
atrophie
. Dans l'ensemble, parésie et atrophie diffuses
state peut-être un peu plus d'atrophie. Dans l'ensemble, parésie et
atrophie
diffuses du membre supérieur droit prédominant
notonus, aucune élévation des seuils. On pourrait donc conclure une
atrophie
réflexe type Bahinski-Froment. La participation
érieur droit.. 1 Il semble donc qu'on ait affaire à un syndrome d'
atrophie
et parésie réflexe. La participation du plexus
t en février 1916. Le malade présente une paralysie incomplète avec
atrophie
moyenne du membre supérieur gauche. Paralysie et
lète avec atrophie moyenne du membre supérieur gauche. Paralysie et
atrophie
: \OU\" 1 1-1 1 [<'.n\HK,UAi'ii[i'' ni 1..\
atteint ont des contractions vives. On pourrait donc conclure aune
atrophie
avec parésie réflexe, type Ba- binski-Froment.
ntre de la VIIIe armée le 11 septembre 1917, avec le diagnostic : «
Atrophie
progressive des muscles, des.mains et de l'avant-
- blement. » Un examen sommaire nous montrait immédiatement que l'
atrophie
muscu- laire, inégalement répartie suivant une
'eut qu'un seul frère mort à 30 ans d'embolie sans avoir présenté d'
atrophie
musculaire, de paralysie, ni de tremblement. Lu
La diminution de la force s'accentua progressivemenl de pair avec l'
atrophie
musculaire qui creusait des sillons entre les m
ette position pour éviter un tremblement spontané qui le gêne. A. L'
atrophie
musculaire apparaît dès qu'on regarde les mains :
erosseux, les éminences thénar et hypothénar ont presque disparu. L'
atrophie
d'ailleurs dépasse sensiblement les extrémités di
st modifiée nettement dans le sens de la R. D. qu'à une époque où l'
atrophie
musculaire est telle que la réaction perd beauc
t à peu près nulle ; le phénomène est nettement progressif. Comme l'
atrophie
, il manquait d'abord complètement à droite et s
apelet. L'hypertrophie des nerfs précède nettement les phénomènes d'
atrophie
et les gros troubles fonctionnels. Par ailleu
on décrite, nous devons retenir le syndrome caractérisé par : 1° L'
atrophie
musculaire à localisation distale, lentement prog
able des gros troncs nerveux. Ce syndrome élimine d'emblée : A) L'
atrophie
myélopathique par lésion intra-médu) taire en foy
VIII 26 - 382 DIDE ET COURJON graphie et un aspect semblable de l'
atrophie
peuvent s'observer en pareil cas, elles comport
s de la peau, des taches de pigmentation spéciale ; d'autre part, l'
atrophie
musculaire n'affecte jamais la topographie que no
ir et Long (2) (de Genève) en a rapporté un en 1906 sous le nom . d'
atrophie
musculaire type Aran-Duchenne par névrite interst
de volume (circonférence 44 cm.); ses dimensions contrastent avec l'
atrophie
considérable de la cuisse et de la jambe. Il es
à travers les habits laisse voir un pénis très réduit et une grande
atrophie
des testicules. - L'état psychique est apparemm
1 nécessaire, qu ce ine veut pas dire qu'elle est suffisante. Toute
atrophie
testiculaire ne provoque pas en effet l'infanti
striction finale, fait allusion à l'observation de Widal et Lutier,
atrophie
congénitale et complète des testicules sans signe
st certain, c'est que la glande génitale est toujours intéressée, l'
atrophie
testiculaire ou utéro-ova- rienne, l'impuissanc
r par suite d'un traumatisme ou d'une grave orchite bilatérale, une
atrophie
, ou · mieux une régression des organes sexuels,
bère. - Chez le malade auquel se rapporte l'observation VI, après l'
atrophie
des testicules qui ont pris la dureté d'une pie
sion testiculaire continue, à laquelle suc- cèdent des phénomènes d'
atrophie
de l'organe et la régression des carac- tères s
yndrome de Frôhlich, dystrophie adiposo-génitale hypophysaire, avec
atrophie
secondaire de la glande génitale. Pour nous a
a nosologie méthodique de Sauvages, par BENON et LEINBERGER, 297.
Atrophie
musculaire pure, sans paralysie, par tirailleme
), ), par LAIGNEL-L.1VA5'CINE et P. COURBON, 81. Plexus brachial (
Atrophie
musculaire pure par tiraillement du -), par Lér
pure par tiraillement du -), par Léri et DAGNAN-BOUYERET, 252. (
Atrophie
musculaire pure, dans le do- maine du - supérie
tion de la poly- névrile - ou mercurielle), par Petren, 226. ' (
Atrophie
musculaire - à type péro. nier), par Léri, 260.
E. Névrite hyper- trophique, 377. DAGNAN-BouVERET (Jean) et Léri.
Atrophie
musculaire pure par tiraillement du plexus br
mations des mains et des pieds chez les blessés ner- veux, 121.
Atrophie
musculaire pure quatorze ans après une fracture
torze ans après une fracture méconnue de la cla- vicule, 256. -
Atrophie
musculaire syphilitique à type péronier, simula
simulant l'amyotrophie Char- cot-Marie, 260. et Dagnan-Bouveret.
Atrophie
muscu- laire pure par tiraillement du plexus
'épilepsie partielle. (Archiv. de Neu- )-ologie, 1884.) Babinsky. L'
atrophie
musculaire dans l'hystérie. Progrès médical 188
e s'asseoir. - Le système musculaire est très bien développé. Pas d'
atrophie
, pas de secousse fibrillaires. Les masses muscu
trent qu'il dit la vérité, à savoir : 1° l'absence absolue de toute
atrophie
dans les mem- bres paralysés; 2° l'état dans le
sie, n'eût pas fait de doute, mais cette paralysie s'accompagnait d'
atrophie
: Eh bien, il est péremptoirement démontré aujo
rophie : Eh bien, il est péremptoirement démontré aujourd'hui que l'
atrophie
musculaire accompagne assez souvent la paralysi
me est-il encore plus évi- dent lorsque la paralysie s'accompagne d'
atrophie
, lorsque l'oedème produit de la gangrène cutané
is, il est guéri d'une contrac- ture des membres du côté droit avec
atrophie
. « Mais, dit explicitement le narrateur, sa mai
trophiques d'origine hys- térique qu'on commence à bien connaître :
atrophie
muscu- laire, oedème, tumeurs avec ulcérations.
. III. Contribution A L'ÉTUDE DE l'épilepsie jacksonienne ET DB l'
atrophie
musculaire D'ORIGINE cérébrale ; par L. KR.1MER.
des doutes si les convulsions n'avaient été suivies de parésie et d'
atrophie
. Et d'abord il n'y a pas paralysie générale (ni t
ique de la base s'insinuant entre la bandelette et le nerf optique (
atrophie
de celui-ci) ou d'un foyer inflammatoire circon
miparésie et l'épilepsie jacksonienne (irritation sous-jacente). L'
atrophie
aurait la même origine, étant donné qu'elle est p
rce (Quincke Hirt Eisenlohr). Autopsie. Leptoméningite chronique,
atrophie
et hypérémie cérébrale. Pneumonie lobulaire. Os
. L'évolution de cette psychose a - duré vingt-cinq ans. G. D. X.
Atrophie
partielle symétrique DES hémisphères ET PORENC-
lation de l'autopsie d'un idiot dont le cerveau présentait : 1° une
atrophie
de la seconde circonvolution temporale et de la
et de la seconde circonvolution occipitale des deux côtés ; 2° une
atrophie
porencépbalique occupant le lobe frontal de l'h
à un simple arrêt de développement D'après lui la porencéphalie, l'
atrophie
simple, les ramollissements, les dégénérations
oppement et de l'évolu- tion, un trouble nutritif aboutissant à une
atrophie
générale, ona- nisme avec les signes habituels
l., 1891.) Paralytique général atteint d'amaurose de l'oeil gauche (
atrophie
de la papille) pendant les derniers temps de la
ané du champ visuel de l'oeil droit à droite. L'autopsie révèle une
atrophie
du nerf optique gauche dont les fibres sont toute
110 REVUE. D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. C'est à l'
atrophie
des fibres de la substance grise des cavités qu'i
rne et de l'écorce de l'Insula ; en bas, elle ne se sépare pas de l'
atrophie
latérale, et on la retrouve à l'état de fascicu
at de fascicule scléreux dans la pyramide du bulbe. Secondairement,
atrophie
du pulvinar, du corps genouillé externe, du bra
e la couronne rayon- nante entrent directelllentdans les ganglions.
Atrophie
encore plus avancée du corps genouillé interne
latéraux de la couche optique, qui est probablement consécutive à l'
atrophie
du lobule pariétal inférieur (et de la circonvo
des préparations (lapins) montre le rapport pathogénétique entre l'
atrophie
de la racine ascendante et celle de la substanc
lésé entre la protubérance et le ganglion de Casser, on y trouve l'
atrophie
des deux organes. P. Klraval. XIV. DE l'atrophi
r, on y trouve l'atrophie des deux organes. P. Klraval. XIV. DE l'
atrophie
DES fibres dans la substance grise ET des PRO-
e a permis de découvrir, en outre, des altérations musculaires, une
atrophie
très prononcée des fibres nerveuses, dissociati
atteinte; l'examen du noyau du facial (picro-carminé) démontre une
atrophie
importante de ses cellules. Dans d'autres expérie
ant dans la racine que dans le noyau du facial les mêmes lésions, l'
atrophie
des cellules était pourtant un peu moins pronon
moins de certaines formes des atro- phies musculaires, surtout de l'
atrophie
musculaire progressive neurotique (type péronéa
clinique un malade, atteint de syringomyélie. Il présente une forte
atrophie
musculaire et un anesthésie typique d'un membre
partie thoracique. Marche titubante. Le symptôme de Romberg. Une
atrophie
diffuse générale des membres gauches. Diminution
ubles du sens du toucher, principalement du côté gauche. Nystagmus.
Atrophie
de la moitié droite de la langue. La largeur de
glosses. Discussion : M. le Dr RosSOLIMO pense pouvoir rapporter l'
atrophie
de la langue à une légère lésion des fibres tro
. Ses expériences avec la section du nerf lingual, qui est suivie d'
atrophie
des muscles linguaux semblent confirmer cette m
basant sur l'intégrité de l'excitabilité électrique, suppose que l'
atrophie
est d'origine réflexe. M. le Dr RoTU mettant' e
système nerveux, il s'appuie sur un cas de gliomatose spinale avec
atrophie
des nerfs optiques. III. M. le Dr G. P(tIBYTK
e comme résolue en sens négatif vu les expériences de Mendel, sur l'
atrophie
de cette partie à la suite de l'extirpation de
ophique, par exemple, les auteurs nous montrent dans le muscle, une
atrophie
de la fibre et du réseau terminal de la plaque,
qui n'est certes pas à dédaigner : qu'est devenu l'an- cien groupe
atrophie
musculaire progressive, tel que ce grand observ
ui répondent l'un à la sclérose latérale amyotrophique, l'autre à l'
atrophie
du type Duchenne-Aran, ont pour caractères comm
re les deux affections, c'est, vous le savez, que dans la maladie
ATROPHIE
D'UN MEMBRE INFERIEUR. 1G3 de Duchenne-Aran, la
sorte, les symptômes de la poliomyélite antérieure, c'est-à-dire l'
atrophie
muscu- laire progressive. 1° Certaines myélit
peuvent reproduire assez fidèlement les caractères cliniques de l'
atrophie
musculaire progressive. M. Ray- mond en rapport
La même altération des cornes antérieures, se tra- duisant par une
atrophie
symétrique et lentement effec- tuée des muscles
tualité se réalise dans le renflement cervical, il en résulte une
atrophie
progressive et souvent symétrique des deux memb
bres supérieurs, tout à fait semblable, vous le comprenez, soit à l'
atrophie
du type Aran-Duchenne, soit à la sclérose latér
la trépidation spinale se produit dès qu'on redresse brusquement
ATROPHIE
D'UN MEMBRE INFÉRIEUR. 165 l'avant-pied. Serait
moins prononcée, se montre com- binée aux symptômes classiques de l'
atrophie
muscu- laire progressive. Cette anesthésie est
ItVEUSE. spinale, qui toutes figuraient dans l'ancien groupe de l'
atrophie
musculaire progressive. Elles n'y prenaient pas
t la myopathie pri- mitive était englobée dans le grand groupe de l'
atrophie
musculaire progressive de Duchenne. Nous en avo
e en général vers la vingtième année; elle débute par les muscles
atrophie
D'UN membre inférieur, 167 de la ceinture scapu
us pourrez voir dans son livre une planche qui a trait à un cas d'
atrophie
répondant bien certainement à la forme juvénile
andouzy et Déjerine ont repris l'étude de la forme infantile de l'
atrophie
musculaire progressive, d'après Duchenne. Ces a
malades que voici sont deux exemples typiques de cette variété d'
atrophie
myopathique. Aujourd'hui on s'accorde assez gén
tions de ce membre. C'est la vue, la vue seule qui lui a révélé l'
atrophie
considérable qui porte sur le membre atrophie D
qui lui a révélé l'atrophie considérable qui porte sur le membre
atrophie
D'UN MEMBRE inférieur. 169 inférieur gauche. Et
s. C'est donc une chose récente ou relativement récente que cette
atrophie
. Il vient nous demander un avis, un pronostic,
z Voici ce qu'un examen méthodique nous a permis de constater. L'
atrophie
porte sur les muscles du pied, de la jambe, de
ssai), sans ressentir dans la jambe atrophiée un sentiment de fa-
atrophie
d'un membre inférieur. Il -1 1 ligue ou de gêne
ues sont normales. Quelle est donc la signification d'une semblable
atrophie
? On peut rejeter tout d'abord l'hypothèse d'un
roite et de la partie supérieure du bras ont subi un commencement d'
atrophie
, qu'ils sont le siège de con- 172 CLINIQUE NERV
rieurs sont notablement exagérés. Il s'agit donc évidemment d'une
atrophie
qui tend à se généraliser. Le réflexe massétéri
relativement court. Cependant n'est-il pas singulier qu'avec une
atrophie
aussi accentuée l'examen électrique ne révèle e
, ne fût-ce que l'absence d'une impuissance motrice dans un cas d'
atrophie
musculaire aussi avancée. Eh bien ! le malade e
de stig- mates permanents, il est vrai, pas d'anesthésie, pas de
atrophie
D'UN MEMBRE INFÉRIEUR. 173 rétrécissement du ch
t parfois en quelques jours après une durée qui est très variable
ATROPHIE
D'UN MEMBRE INFÉRIEUR. 175 elles peuvent rétroc
ns les publica- tions de ces dernières années certains exemples d'
atrophie
musculaire hystérique dans lesquels l'exis- ten
stic ; car il n'a pas été démontré du moins jusqu'à ce jour que l'
atrophie
musculaire hystérique peut donner lieu à des ré
ire entre les faits observés chez notre malade et l'hypothèse d'une
atrophie
dynamique. Car ici on ne constate aucune des mo
s réac- tions auxquelles on était en droit de s'attendre pour une
atrophie
aussi prononcée, si son point de départ t était
prochait de lui, pris de frayeur, il se dressait sur son lit, trem-
ATROPHIE
D'UN MEMBRE INFÉRIEUR. 177 7 blant de tous ses
e 19 janvier 1893. 1 Etat actuel. On constate chez cet homme : 1°
Atrophie
du membre inférieur gauche intéressant les deux s
ssant les deux seg- ments du membre (jambe, cuisse et fesse), cette
atrophie
est très prononcée. Contraste choquant au premi
e fonctionnelle, aucune faiblesse dans les membres intéressés par l'
atrophie
. Cependant à l'épreuve des mouvements provoqués
ale de Landouzy et Déjerine. On sait, en effet, que cette variété d'
atrophie
musculaire fut décrite, en premier lieu, par Du
e (de Boulogne) qui la considérait comme étant de même nature que l'
atrophie
mus- culaire progressive ou, autrement comme re
'en sont pas moins intéressants. Tout d'abord, en ce qui concerne l'
atrophie
musculaire, elle ne cessa pas de progresser len
embres supérieurs, la main et l'avant-bras restent indemnes, mais l'
atrophie
est extrème, aux bras et aux épaules, la malade
du bras, on est frappé de la coloration, de la consistance et de l'
atrophie
con- sidérable qu'ils présentent. Ils revêtent
celle de la graisse. Si tous les muscles du bras participent à l'
atrophie
, il n'en est pas de même en ce qui concerne ceu
es lésions analogues mais plus intenses encore, quant au degré de l'
atrophie
. Ici ou peut presque compter les unités muscula
ui un grand nombre d'arguments : l'hé- rédité, la localisation de l'
atrophie
dans certains muscles cor- respondant à des cen
gine nerveuse. Nous en dirons autant du mode de distribution de l'
atrophie
musculaire, que les recherches de Babinski et O
c des localisations nerveuses spinales. Quant à la coïncidence de l'
atrophie
musculaire avec divers troubles nerveux, elle s
e- part (muscles avoisinant les cals osseux, les abcès, muscles d'
atrophie
expérimentale, muscles pseudo-hypertrophiés). Il
dévore. C'est à l'aide de ces phagocytes musculaires que s'opère l'
atrophie
des muscles des tétards en voie de dévelop- ' R
a été observé dans les muscles atteints de pseudo-hypertrophie et d'
atrophie
musculaire pro- gressive par M. Lewin 1. Cet au
- quer. Fig. 20. 228 8 recueil de faits. IDIOTIE CONGÉNITALE;
ATROPHIE
CÉRÉBRALE; TICS NOMBREUX; Par BOURNEVILLE et
e, de poser le diagnostic à' arrêt de développement cérébral. Cette
atrophie
, d'origine congénitale, doit même porter tout p
tion de la grosse racine du triju- meau détermine chez le chien une
atrophie
des muscles correspon- dants de la face, notamm
de plus aux myélites chroniques graves, comme la myélite diffuse, l'
atrophie
musculaire progressive et la sclérose en plaque
mettre une névrite en arrière du globe' de l'oeil, terminée par une
atrophie
partielle. Mal- ' Voy. Archives de Neurologie,
actif ou plus prolongé, un certain nombre de fibres succombent à l'
atrophie
. Il y a par conséquent des cas où les troubles
le qui régit les nerfs sensibles de la peau. M. J. HOFFMANN. De l'
atrophie
musculaire spinale progressive dans une même fa
s muscles du cou, de l'épaule, des bras, des avant-bras, des mains.
Atrophie
dégénérative progressive du système musculaire,
x. L'autopsie d'un des sujets a jusqu'ici démontré l'existence de l'
atrophie
dégénérative des muscles (état graisseux), de l
evêtant l'aspect de lapéliose rhumatismale et de l'infection aiguë.
Atrophie
excessive avec diminution colossale de poids, e
le membre gauche toutes les positions imprimées au membre droit.
Atrophie
musculaire. Elle est incontestable quoique peu ac
nt pas abolis, la réaction de dégénérescence manque totalement et l'
atrophie
musculaire est très peu prononcée. Une lésion o
exes tendineux normaux, pas de tremblement de la main droite. Pas d'
atrophie
du membre paralysé. La main gauche éten- due pr
t lenle; 3° tremblement intentionnel de deux mains; 4° nystagmus;
atrophie
blanche de la papille; 5° troubles urinaires, mic
ts, sans prédominance de tel ou tel muscle ou groupe des muscles.
Atrophie
des muscles pectoraux, sous et sus-épineux et tou
et tous les muscles du bras et un peu aussi de l'avant-bras, pas d'
atrophie
de muscle de la Ira,in. Voici la mesure des cir
sement du champ visuel. Un 'peu de dyschromatopsie pour le vert.
Atrophie
blanche de la papille. Fig. 43. - Distribution
ro- nMtopsie complète. Compte seulement les doigts à deux mètres.
Atrophie
de la papille plus accusée que du côté droit. T
ervice. Les limites de la zone anesthésique n'avaient pas changé, l'
atrophie
et la para- lysie'étaient stationnaires en ce q
e très particulière, le tremblement intentionnel, le nys- tagmus, l'
atrophie
blanche de la papille, relèvent incontesta- ble
vement et la sen- sibilité qui ont suivi immédiatement le choc et l'
atrophie
mus- culaire dégénérative nerveuse par la suite
hie musculaire du membre paralysé, dont deux cas en même temps avec
atrophie
osseuse, un avec élévation de la tempéra- ture
hives de neurologie, 1887, t. XIV, p. 177). 14-16. B,1BINSIiI. De l'
atrophie
musculaire dans les paralysies hys- tériques. (
26. Ballet. - Sur un cas de monoplégie brachiale hystérique avec
atrophie
. (Bulletin et Mém. de la Soc. méd. de Paris, 1890
usculaires progressives familiales. « Les myopathiques at- teints d'
atrophie
des muscles des gouttières vertébrales et de la
ous ses frères ou sceurs. D'aboril, un de ses frères a présenté une
atrophie
musculaire progressive, qui débuta à l'âge de t
les atteintes de la maladie. Il a déjà vu mourir un de ses frères d'
atrophie
musculaire. Celle-ci, d'après les renseignements
olume. A une période assez rap- prochée du début, la faiblesse et l'
atrophie
s'emparèrent également des bras; la face ne mon
ns les membres supérieurs. Les mollets sont un peu hypertrophiés. L'
atrophie
des bras, quoique manifeste, n'offre pas encore
à cause du défaut d'appareil. Dans le co urant de l'année 1889, l'
atrophie
apparaît aux jambes, aux cuisses, au tronc et s
'année 1890, et au mois d'avril 1891 nous revoyons le ma- lade. L'
atrophie
des jambes, des cuisses, du tronc et des bras est
s entraî- nées par la scoliose, il nous a semblé qu'il n'y avait ni
atrophie
ni ramollissement très manifestes. Pas d'exosto
maladie, il n'est pas douteux que nous sommes en présence ici d'une
atrophie
SCOLIOSE DANS UNE MYOPATHIE PRIMITIVE ATROPHIQU
à cause du cachet spécia Fig. 16. 364 ' CLINIQUE NERVEUSE de l'
atrophie
qui n'a été précédée que d'une hypertrophie assez
et par des troubles fonctionnels identiques, et dans la suite, l'
atrophie
musculaire, progressant de plus en plus, a entraî
rmation sera encore plus facile à comprendre, si on l'ad- met que l'
atrophie
se trouve plus marquée d'un seul côté. Néanmoin
à peu entraîné, ou bien mérite d'être rapprochée comme origine de l'
atrophie
musculaire. Depuis bien longtemps, c'est une no
sentir un rapport étroit comme cause entre cette déformation et l'
atrophie
musculaire. En traçant l'histoire héréditaire d
un de ses frères frappé par cette même ma- ladie avait présenté une
atrophie
de la racine du membre infé- rieur droit; les p
où il s'agissait d'un enfant de treize ans et demi, atteint d'une
atrophie
musculaire, à peu près générale, et qui présentai
icale, 1S91, n" 11.) UN CAS SINGULIER DE L'HYSTÉRIE MALE. 367 Î d'
atrophie
musculaire progressive familiale comme des affec-
ntécédents héréditaires névropathiques et arthri- tiques ; 2° Une
atrophie
musculaire familiale ayant déjà frappé des memb
côté, dans les'amyotrophies arthropathiques, le mécanisme amenant l'
atrophie
est différent; elle se produit d'une manière réfl
nte un malade affecté de paralysie progressive avec complications d'
atrophie
musculaire spinale 1l1'ooressive. 11 pré- sente
p, 265. Attention, rôle de l'- dans l'hyp- nose, par Page, 256.
Atrophie
musculaire spinale fami- liale, par Hoffmann, 2
la , par \Vaner, 450, cas anormaux de , par Bonville, 460; avec
atrophie
musculaire spinale pro- gressive, par Neisser,
du système nerveux, par Schultz, Brasch, 263. Syringomyélie avec
atrophie
de la langue, par Fambourère, 104. Système ne
membres inférieurs, en rapport avec un amaigrissementgénèrat, sans
atrophie
musculairepro- prement dite. Vous voyez qu'elle
s, c'est en somme une sorte de paraplégie ataxi- que, flasque, sans
atrophie
musculaire, et où l'incoordination motrice domi
vement conservée, hypotonicité très nette des divers muscles, pas d'
atrophie
musculaire, réflexes osseux et tendineux abolis
e. D'ailleurs, et j'ai pris soin de le noter, elle ne présente ni l'
atrophie
musculaire, ni l'hypertrophie douloureuse des t
ire lombaire. Aspect tabétiquo des lésions des cordons postérieurs.
Atrophie
des racines. Sclérose très nette de la région p
ions vasculaires d'ordre dystroplllque qu'il se produit d'abord une
atrophie
, plus tard une dégénérescence dans les parties
e celte interprétation. A l'idée de Senator, il devait s'agir d'une
atrophie
congénitale du cervelet développée sur un fonds
de prédisposition familiale et avec laquelle de- vait coïncider une
atrophie
de la moelle et du bulbe. Les observations de N
et de Nlenzel, dans lesquelles les autopsies relatent à la fois une
atrophie
du cervelet et de la moelle, apportaient un appoi
lexion. Les réflexes cutanés sont nuls ou indécis. Il n'y a pas d'
atrophie
musculaire, pas de mouvements fibrillaires. Pas d
ne de ce segment comprendrait la corne antérieure gauche (absence d'
atrophie
musculaire) et toute la demi-moelle droite(corne
e. ' (1) Fouché a rapporté un cas où le vermis fut trouvé en voie d'
atrophie
et où l'in- coordination des membres supérieurs
tudes qui résultent de leur contracture, de leur paralysie, de leur
atrophie
. Gerdy (1) cependant avait signalé le phénomène
fluence prédisposante à longue échéance sur des déformations dont l'
atrophie
osseuse sénile est la seule vraie cause. Le rhu
rs étroite. En somme, ce sont là des lésions d'ostéoporose sénile d'
atrophie
osseuse simple. L'analyse chimique du fémur d'u
rose progressive. Bull. Acad. de méd., 1897, pp. 81-85. (2) PONCET,
Atrophie
des os. Traité de chirurgie de Duplay-Reclus, 2e
eillard constaté certai- nes déformations que l'on a attribuées à l'
atrophie
osseuse. La fréquence des fractures du col du f
ions séniles du squelette sont en cause. Il s'agit d'ostéoporose, d'
atrophie
osseuse banales. Mais lorsque certains détails du
iques, et devant toutes relever d'un même substratum anatomique : l'
atrophie
cérébelleuse. Or, je vous ai dit, Messieurs, qu
mal,sans déformation aucune ; il n'y a pas trace, dans le membre, d'
atrophie
musculaire. Aux membres supérieurs, on ne const
de même pour ceux du poignet. Comme aux' membres inférieurs, pas d'
atrophie
musculaire, pas de diminution de la force segme
station debout très com- promise. Pas de déformation du pied. Pas d'
atrophie
musculaire. La. force segmen- taire est diminué
re claire, coloration Weigert-Pal). Rétraction des circonvolutions,
atrophie
du centre ovale. B - Ecorce cérébelleuse normal
ivant l'un ou l'autre des types ? Mais Colin n'a-t-il pas noté de l'
atrophie
optique dans la maladie de Friedreich, et n'est
tomique, dit Londe, sur lequel est basée cette entité morbide est l'
atrophie
du cervelet », et il ajoute : « la moelle ne pr
et qui, comme cette dernière, présentait à l'examen anatomique de l'
atrophie
simple du cervelet et de la moelle. Déjà les ob
ent être plutôt rapprochés de celui que publia Menzel en 1891, où l'
atrophie
du cervelet s'associe à des lésions médullaires
ment, il présentait de l'exagération des réflexes tendineux et de l'
atrophie
des* nerfs optiques. Or, de son autopsie, prati
ptiques. Or, de son autopsie, pratiquée par Meyer, il résulte que l'
atrophie
du cervelet est au moins douteuse, et qu'il n'e
es de Purkinje n'a pas diminué. Dans la protubérance, il existe une
atrophie
considérable des fibres du pédon- cule cérébell
r contre, la moelle présente des altérations de la substance grise (
atrophie
partielle ou disparition des cellules de la cor
phie partielle ou disparition des cellules de la corne postérieure,
atrophie
des colonnes de Clarke et absence presque total
ect). Au bulbe, il existe une dégénération du cordon laté- ral et l'
atrophie
du noyau correspondant (1). Evidemment, Messieu
ervation absolue de sa sensibilité objective à tous ses modes, sans
atrophie
musculaire appréciable. La force segmentaire co
ire ou névroglique, pas de méningite. B. Ecorce cérébelleuse. - L'
atrophie
constatée macroscopique ment est bien plus mani
macroscopique ment est bien plus manifeste au microscope, c'est une
atrophie
globale et diffuse, sans sclé- rose, dépendant
ée,elles donnent bien l'impression d'éléments en train de subir une
atrophie
dégénérative, semblable à celle que l'on observe,
ste au niveau des cellules de l'écorce cérébelleuse, un processus d'
atrophie
dégénérative qui paraît en pleine évolution. Ce p
e a été décrite un substratum anatomique constant, différentiel : l'
atrophie
isolée du cervelet. Cette maladie répond à des
anatomique de la distinction qu'il faudra établir plus tard entre l'
atrophie
cérébelleuse scléreuse, accidentelle, non familia
l'atrophie cérébelleuse scléreuse, accidentelle, non familiale et l'
atrophie
cérébelleuse simple, familiale ? » Et ce caractèr
rophie cérébelleuse simple, familiale ? » Et ce caractère de simple
atrophie
, mais avec normale proportion des éléments, attri
ement une époque indéter- minée de la vie. Tantôt, il est atteint d'
atrophie
dégénérative ; les cellules MALADIE DE FR1EDREI
uisant par la sclérose, Dejerine et Thomas ont décrit sous le nom d'
atrophie
olivorponto-cérébelleuse, une affection non fam
points de l'hérédo-ataxie, et caractérisée anatomiquement par « une
atrophie
systématique de l'é- corce cérébelleuse et des
euse et des noyaux d'origine de ses principales voies affé- rentes,
atrophie
primitive, indemne de lésion inflammatoire et de
mmun constituerait le type de Friedreich : Un type cérébelleux où l'
atrophie
des nerfs optiques, les vertiges, les troubles
ossibilité d'un lien de transition entre les deux grandes espèces d'
atrophie
musculaire progressive, l'atrophie myélopathique
entre les deux grandes espèces d'atrophie musculaire progressive, l'
atrophie
myélopathique et l'atrophie myopathique. Le typ
es d'atrophie musculaire progressive, l'atrophie myélopathique et l'
atrophie
myopathique. Le type Werdnig-Hoffmann est venu
lésions des cellules des cornes antérieures et d'un certain degré d'
atrophie
musculaire au cours de la maladie de Friedreich
dans sa circulation ait été chassé à gauche où il a occasionné une
atrophie
de l'hémisphère. A droite l'atrophie était caus
gauche où il a occasionné une atrophie de l'hémisphère. A droite l'
atrophie
était causée directement par la présence du néo
sence du néoplasme. De cette façon le maxi- mum de compression et d'
atrophie
des tissus correspondant à la pression exer- cé
ue : elles seraient brutes, élémentaires. Mais n'oublions pas que l'
atrophie
des nerfs optiques, produisant une cécité compl
Tumeur sise en avant des ventricules cérébraux. Phénomènes locaux d'
atrophie
des 1 ? et 2e paires avec hallucinations remarqua
tion spéciale, ont conduit à la mort avant qu'il se fût produit une
atrophie
notable du cerveau (poids 1430 gr.). Nous n'avo
ncompressible, se fait place en réduisant les fibres nerveuses il l'
atrophie
. C'est le second stade 158 WEBER ET PAPADAK1
e générale. Ici c'est surtout l'écorce qui est lésée. Le siège de l'
atrophie
dans le cortex ou la substance blanche ne fourn
et les mouvements volontaires sont normaux. Il n'y a pas de trace d'
atrophie
des muscles d'un côté ni de l'autre. Examen de
hétosiques. A part cela, on ne constate ni tremblement au repos, ni
atrophie
muscu- laire, ni autre trouble trophique. Le
droit, examiné, est pàle et atrophié. Au microscope on constate une
atrophie
simple des fibres musculaires avec réaction du ti
romégalie une période d'hy- pertrophie musculaire qui précéderait l'
atrophie
. L'atrophie est parfois assez marquée pour que
e période d'hy- pertrophie musculaire qui précéderait l'atrophie. L'
atrophie
est parfois assez marquée pour que Duchesneau a
usculaires étaient proliférés. Nous avons dans notre cas constaté l'
atrophie
musculaire. Il nous pa- raît plus simple de rap
rophie musculaire. Il nous pa- raît plus simple de rapprocher cette
atrophie
des lésions paralytiques du système nerveux que
un cas d'ackomégalie 187 elle répond en effet à la description de l'
atrophie
musculaire des hémi- plégiques (1). L'examen
s le corps vitré, de perforation spontanée de la scléroti- que et d'
atrophie
consécutive du globe. Il est probable que les c
ersistait, peut-être un peu moins accusée; qu'il y avait une légère
atrophie
des muscles de la paroi thora- cique, surtout d
llaire droit est un peu plus vif que le gauche. Mais il n'y a pas d'
atrophie
musculaire. Voilà pour la sciatique. Quant à
n lombo-sacrée jusqu'au bulbe. Histologique- ment le tube nerveux s'
atrophie
graduellement, avec peu de corps granu- leux et
ammes. Méninges. Peu épaissies et transparentes, très adhérentes.
Atrophie
des circonvolutions. Moelle. Plaque de leptomén
ct à peu près normal. Cas. VII. P. G. consécutive à un tabès avec
atrophie
du nerf optique \ démence avec idées absurdes d
etc.) et de l'embarras de la parole. Il a en outre de la cécité par
atrophie
du nerf optique, l'abolition des réflexes patel
ce de la pie-mère, l'augmentation du liquide céphalo-rachidien et l'
atrophie
des nerfs optiques. Les artères de la base sont
. L'autopsie montre l'épaississement et l'adhérence des méninges, l'
atrophie
des circonvolutions au niveau des lobes frontau
ollissements sous-corticaux, lacunes de désintégration. Au Weigert,
atrophie
des fibres de la couronne rayonnante, disparition
des membres, mouvements de manège de gauche à droite. - Autopsie :
Atrophie
du lobe cérébelleux gauche, méningo-encéphalite
apparentes sur les vaisseaux de la base. Le cervelet présente une
atrophie
du lobe gauche (fig. 1). Les circonvolu- tions
rées ne dépassent pas la ligne médiane. En un mot, chez ce chien, l'
atrophie
du lobule pneumogastrique gauche et des circonv
rcher, etc.). L'examen de la musculature ne révèle eu aucun point d'
atrophie
, même peu accentuée]; mais montre au contraire
'axe bulbo-médullaire. L'association des oedèmes en question avec l'
atrophie
musculaire [Schlesinger (888), Kolbe (143)], ou b
ces muscles. La contraction des muscles est normale, il n'y a pas d'
atrophie
appréciable. On ne relève pas chez la malade
li- gence qui reste normale. Cette pseudo-hydrocéphalie est due à l'
atrophie
réelle de la face d'une part, à l'écartement ex
physaires et l'état marastique chez l'enfant décrit par Hamilton, l'
atrophie
(1) Sur un cas d'achondroplasie fruste. Gaillar
s, paraît d'ailleurs en relation avec un phénomène plus général : l'
atrophie
-ou plus exactement un arrêt de croissance de l
a fréquence des troubles 'pupillaires et oculaires (décoloration ou
atrophie
des papilles optiques), qui au cours de la sclé
nctionnement, cette réparation du tissu nerveux ne se fait pas et l'
atrophie
et la sclérose apparaissent. Si cette théorie n'e
oduction d'une poliomyélite chronique héréditaire, sans parler de l'
atrophie
Charcot-Marie et de la névrite hypertrophique de
nsuf- fisances fonctionnelles multiples. Ainsi, l'on rencontre de l'
atrophie
des papilles optiques au cours du Charcot-Marie
le service de M. le professeur Ma- rinesco, deux frères atteints d'
atrophie
musculaire et d'impotence fonc- tionnelle des q
rimitive ; progressive familiale. La myopathie avait commencé par l'
atrophie
musculaire des membres inférieurs sans passer p
e opinion. En résumé, la lordose dans notre cas, est produite par l'
atrophie
des muscles extenseurs de la cuisse sur le bass
muscles extenseurs de la cuisse sur le bassin et vice-versa, par l'
atrophie
(1) OLOA SACASA-FULBURS, Studin clinic asupra p
sseux assez pro- noncé. La face est symétrique, on n'observe aucune
atrophie
musculaire. Les oreilles sont normalement confo
a concavité de la face palmaire de la main est exagérée, suite de l'
atrophie
. Sur la face dorsale nous constatons des dépres
constatons des dépressions longitudinales, occasionnées également par
atrophie
des muscles interosseux dorsaux. Ces atrophies
première. La main est déviée sur le bord cubital de l'avant-bras. L'
atrophie
de l'avant-bras est de même très exagérée, la f
et la peau qui l'entoure. Le muscle deltoïde est de même atteint d'
atrophie
, surtout dans les portions claviculaires et acr
insérée sur l'épine de l'omoplate est mieux conservée. A cause de l'
atrophie
des deux premières por- tions, on observe une d
est remplacée par une surface plane. Nous trouvons le même état d'
atrophie
musculaire aux muscles de la cuisse, les fléchi
don d'Achille, ne peuvent plus se produire, le premier à cause de l'
atrophie
du muscle quadriceps, le second à cause de la r
s membres supérieurs ne se produisent plus non plus, par suite de l'
atrophie
musculaire. Si on excite la plante des pieds, o
ne se contracte même pas à l'excitation maxima (nous avons vu que l'
atrophie
de ce muscle est considérable). Les pectoraux,
nt la déviation brusque; dans l'état local, un peu d'adénopathie, d'
atrophie
musculaire, et surtout une douleur fixe, à la p
; rien de semblable à droite, où d'ailleurs il n'y a pas non plus d'
atrophie
apprécia- ble (fig. 1 et 2). La station debou
nsuration ne montre aucune différence à droite et il gauche. Aucune
atrophie
musculaire au niveau du quadriceps, au- cun gan
t, dans le cas actuel, aucun signe de sciatique. L'absence de toute
atrophie
musculaire empêchait de penser soit à une paral
tension, sans différence de volume ou de longueur entre eux. Aucune
atrophie
muscu- laire à la cuisse, ni à la jambe. Les mo
re, c'est-à-dire être partielles et périphériques, flas- ques, avec
atrophie
musculaire et abolition des réflexes. De plus, l'
t du canal médullaire qui, dans le cas de Lampe, avait entraîné une
atrophie
par compression de la moelle allongée et de la
moplate et du bassin, du caractère rhizomélique de la micromélie. L'
atrophie
, portant surtout sur le segment supérieur des m
palatins normaux, et ne se distingue des autres bovidés que par une
atrophie
portant sur le seul maxillaire supérieur. Cette p
l'achondroplasie. Dans celle-ci nous constations une sclérose, une
atrophie
du cartilage de conjugaison d'où une absence de
galie (Hutchinson, Pierre Marie). Casselli, Hutchinson ont noté son
atrophie
chez les nains crétinoïdes. Nous l'avons re- ch
d'autres une transformation fibreuse du cartilage de conjugaison avec
atrophie
de la zone de rivulation qui ressemblait étrang
rme morbide, les altérations bistologiques constatées (ostéoporose,
atrophie
musculaire) sont identiques à celles qui parfois
avida (6) et d'Ediuger (7). Dans la première l'au- teur observa une
atrophie
des nerls et des ganglions intervertébraux corr
uteur observa l'absence de la main et de l'avant-bras gauche et une
atrophie
de la moitié gauche de la moelle cervicale ; la
ons qui arrivent de la périphérie aux centres nerveux, produit leur
atrophie
progressive. Cette donnée indiscutable est le fon
les premières périodes une ébauche de moelle qui plus tard tombe en
atrophie
, un fait est certain, c'est que cette atrophie
i plus tard tombe en atrophie, un fait est certain, c'est que cette
atrophie
n'a pas d'influence sur le développement des memb
arer notre sujet à l'observation de Jameson (62) qui présentait une
atrophie
dans la partie inférieure du corps due au cordo
erches exactes d'Handeclc (72) présentent tous les caractères d'une
atrophie
de la peau résultant d'un pression exercée du d
DE BICÊTRE LABORATOIRE DE M. PIERRE MARIE SCLÉROSE EN PLAQUES;
ATROPHIE
CÉRÉBELLEUSE ET SCLÉROSE PSEUDO-SYSTÉMATIQUE
ographie DE la SALPETR1RE. T. XVIII. Pl. LXI SCLÉROSE EN PLAQUES,
ATROPHIE
CÉRÉBELLEUSE (Catola) Masson & Cie Éditeu
tissu environnant coloré avec la méthode de Weigert-Pal. En résumé,
atrophie
très accentuée du rhombencéphale et surtout du
que sous-pie-mérienne ; lésions vasculaires et périvasculaires. L'
atrophie
du cervelet est, nous allons le répéter, extrêmem
ici l'occasion de lui en exprimer les plus vifs remer- ciements.
ATROPHIE
, MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYP
ôpitaux de Lyon. Le rôle joué par la syphilis dans l'étiologie de l'
atrophie
musculaire pro- gressive spinale (type Aran-Duc
i, en 9 79, vit se développer une affection paraissant répondre à l'
atrophie
mus- culaire progressive et qui, en 1800, s'éta
jouait un rôle dans son affection, se mit au traitement ioduré, vit l'
atrophie
s'arrêter, les muscles se réparer peu à peu et,
d (3) cite la syphilis comme pouvant être quelquefois la cause de l'
atrophie
musculaire et il rapporte le cas d'un malade ayan
l'altéra- tion vasculaire de la moelle ayant eu pour conséquence l'
atrophie
avec douleurs et paresthésies. A ce sujet, Raic
e Lyon par mon interne, M. Lévy (2), un malade qui pré- sentait une
atrophie
musculaire ayant tous les caractères du type Aran
e long du cubital gauche et nous vîmes évoluer assez rapidement une
atrophie
musculaire à début périphérique. En même temps
lien gauche était conservé. Nous continuons à voir ce malade dont l'
atrophie
musculaire a augmenté, qui a des troubles vaso-
moitié droite de la face. Depuis quelque temps il comnence un peu d'
atrophie
de la racine du membre in- férieur droit (3).
but d'amyotrophie au cours de la méningo-myélite syphiliti- que : l'
atrophie
rétrograda sous l'influence du traitement mercuri
cervical, englobant les racines antérieures et ayant déterminé une
atrophie
nette de la moelle. Celle-ci est aplatie et les c
s complètement. (4) A. Léri, Congrès de Bruxelles, 1903 et Article,
Atrophie
musculaire progressive spinale (Type Duchenne-A
. Nouvelle ICONOGRAPIIIE DE la SALPCTRIHE. T. XVIII. 1'1. LXIII
ATROPHIE
MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYPH
ENNE D'ORIGINE SYPHILITIQUE (Lannois). Masson et C·, Editeurs
ATROPHIE
MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYPHIL
typique qu'il m'a été donné d'observer récemment. Observation.
Atrophie
musculaire du type Aran-Duchenne d'origine syphil
reprises de la conjonctivite et des suppurations des oreilles. L'
atrophie
musculaire, affection pour laquelle il vient cons
nt difficiles, puis impossibles, en même temps qu'il constatait une
atrophie
marquée de l'éminence thénar. Trois ans plus ta
e, où il avait débuté peu après l'atteinte de la main droite ; même
atrophie
de l'émi- nence thénar, même rétraction tendine
use palmaire mais limitée aux deux der- niers doigts. Peu à peu l'
atrophie
avait envahi les avant-bras, puis les bras : mais
instant d'un air mal assuré. Il présente aux membres supérieurs une
atrophie
très apparente, plus marquée du côté. Côté dr
marquée du côté. Côté droit. Epaule. - Il ne paraît pas y avoir d'
atrophie
marquée du grand dentelé, du trapèze, du sous-é
eau du del- toïde, surtout dans sa partie supérieure, qu'il y a une
atrophie
certaine, d'ail- leurs peu appréciable à la vue
de NOUVELLE Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE T. XVIII. Pl. LXI\'
ATROPHIE
MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE d'origine SYPH
Launois). Masson & Cu, Éditeurs . Phototypie Ucrthaud, Pans
ATROPHIE
MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYPHIL
me qu'ils laissent facilement toucher le ligament interosseux. Même
atrophie
très apparente de tous les extenseurs, extenseur
enseurs propres du pouce et de l'index. Main. C'est à la main que l'
atrophie
atteint son maximum. C'est à peine si le pouce
us atrophiés, surtout ceux du premier espace ; à la face palmaire l'
atrophie
est également certaine mais elle est masquée pa
l'avant-bras sont relativement indemnes. Il y a au con- traire une
atrophie
manifeste des extenseurs. A la main, atrophie d
au con- traire une atrophie manifeste des extenseurs. A la main,
atrophie
des muscles thénar et hypothénar et des interosse
ncore une certaine utilisation de la main. Malgré le degré de cette
atrophie
, on est un peu étonné que le malade ait conserv
membres inférieurs, où les muscles sont un peu graciles, mais sans
atrophie
vraie, les tibias et surtout le droit sont en lam
n coup à la fin de 1890, c'est-à-dire nettement après le début de l'
atrophie
. Le reste de l'examen donne les renseignements
e. Le reste de l'examen donne les renseignements suivants : Pas d'
atrophie
des muscles de la face ni du tronc. La sensibil
que d'une façon insignifiante à la lumière et à l'accommodation*
ATROPHIE
MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYPHIL
s génito-urinaires. Outre sa hernie inguinale droite, on trouve une
atrophie
complète du testicule gauche : à sa place, un p
rès une syphilis sérieuse, vit apparaître les premiers signes d'une
atrophie
musculaire progressive dont l'évolution se cont
ncore ac- tuellement. Une question se pose aussi dès le début : l'
atrophie
musculaire ne pour- rait-elle pas être simpleme
es ? Gela ne nous paraît pas vraisemblable, car chronologiquement l'
atrophie
a débuté avant les lésions de la peau et des 60
les énormes lésions qu'on voit sur les tibias n'ont pas déterminé d'
atrophie
musculaire appréciable. Il nous parait donc plu
on a cru pouvoir indiquer quelques caractères cliniques propres à l'
atrophie
myélopathique syphili- tique. J'ai moi-même, av
me, avec Lévy, insisté sur les douleurs précédant et accompagnant l'
atrophie
, notre malade ayant débuté par une névralgie ne
t exagérer : ils démontrent avec évidence que le type clinique de l'
atrophie
musculaire myélopathique Aran-Duchenne est un syn
une trentaine d'observations : il n'est pas douteux que ce chiffre
ATROPHIE
MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'OHIGINE SYPHIL
syringomyélie. Mais cette notion étiologique de la syphilis dans l'
atrophie
musculaire a une certaine importance thérapeuti
tensive mpn premier malade sans enrayer chez lui l'évolution de son
atrophie
. Mais il faut avouer que nous possédons actuell
peut-être d'après une certaine sélection (voir Weber et Papadaki) l'
atrophie
et la destruction de tissu cérébral, constituan
ué de volume. Du côté de la face on ne relève pas de paralysie ou d'
atrophie
; le frontal ce- pendant exécute des mouvements
sement et de plus, cela surtout chez la malade 1, de paralysie ou d'
atrophie
du muscle frontal. Il y a donc là plus qu'une s
es, pas de rétractions tendineuses ; pas de paralysie partielle, ni
atrophie
ou hyper- trophie ou pseudo-hypertrophie muscul
primitives progressives ? Ou bien, existe-t-il une amyotrophie ? L'
atrophie
de plusieurs muscles, ou d'un muscle unique, ou
ues. Qu'arrive-t-il, au contraire dans les scapuloe alaise dues à l'
atrophie
des muscles qui prennent leur insertion sur l'o
trapèze ? « A l'état de repos, lorsque les bras sont pendants, et l'
atrophie
des muscles scapu- laires accusée, le bord inte
acquises. Et on connaît, en particulier, un certain nombre de cas d'
atrophie
musculaire limitée au trapèze ou à une seule po
oportionnelle pour chacune d'elle. S'agit-il d'une aplasie ou d'une
atrophie
vraie ? C'est ce qu'il est actuellement difficile
e de conclusion, résumer ce'chapitre (1) X. BENDER et A. Léri, De l'
atrophie
des capsules surrénales chez les foetus {l1lell-
les cas d'anencéphalie. Société de Biologie, 1903, p. 1136. - De l'
atrophie
des capsules surrénales chez les foetus anencépha
UD, 345, 602, 675. Aphasie amnésique (3 pl.), par HALl PRÉ, 36.
Atrophie
musculaire du type Aran-Du- chêne d'origine syp
te) (2 fig., 1 pl.), par Henry MnIGE), 234. Sclérose en plaques ;
atrophie
cérébelleuse et sclérose pseudosystématique de
que chez les enfants (2 fig.), 443. CATOLA. Sclérose en plaques ;
atrophie
cérébelleuse et sclérose pseudo-systéma- tiqu
te de la paralysie faciale périphéri- que (1 pl.), 424. LA1'NOIS.
Atrophie
musculaire du type Aran-Duchenne d'origine syph
(Henry MElGE), XXXII. Aphasie amnésique (ILaLrrnr : ), V â VII.
Atrophie
musculaire du type Aran-Du- chenne d'origine sy
t LAI G1'o'EL-LAVASTI1'o'E), XXXVIII, XXXIV. Sclérose en plaques,
atrophie
cérébelleuse (CATOLA), LXI. Sclérose en plaqe
oil, pas la trace d'un duvet. Nous faisons remarquer encore que l'
atrophie
des téguments ne porte pas seulement sur le sys
relever : avant tout, le tropllisme du système pileux réduit à une
atrophie
extrême, l'état hypotrophique de l'épiderme et
Puln Imc, 16 janvier 1907, ruz 6. CusniNG. Infuntilisme sexuel avec
atrophie
optique dû à une tumeur de l'hypophyse. Journ.
rathyroïdes et l'hypophyse com- plètement normales, et une complète
atrophie
des éléments nobles de la glande séminale dont
artie dorsale. Les côtes gauclies inférieures étaient douloureuses.
Atrophie
appréciable des masses musculaires fessières et d
es postérieures, et, probablement les antérieures aussi (preuve : l'
atrophie
des muscl,es fessiers). Quant aux symptômes qui d
. La force muscu- laire des jambes est normale. Pas d'ataxie. Pas d'
atrophie
visible. Réflexes périustaux bien faibles de mê
le aussi bonne que la plantaire). Mouvements des orteils nor- maux.
Atrophie
visible sur la face antérieure de la jambe. La ja
égion lombaire ou cervicale, on note alors l'apparition d'herpès, d'
atrophie
musculaire et de contractures (Charcot). Un t
xtenseurs, la perte du mouvement était complète et il n'y avait pas
atrophie
appréciable des muscles paralysés. On notait un p
ns les cas que nous avons observés, il s'agit de paralysie et non d'
atrophie
musculaire.il s'agit de sujets jeunes qui n'ava
ssive. Nombreux caractères dégénératifs somatiques et psychiques.
Atrophie
presque complète de la papille. Amaurose très ava
tres sens spécifiques. Aucun trouble dans la sphère cérébelleuse.
Atrophie
musculaire énorme en jarretière aux membres supér
euses très accusées. Pas de contractions fibrillaires. - Début de l'
atrophie
par les extré- mités supérieures. Atrophie musc
brillaires. - Début de l'atrophie par les extré- mités supérieures.
Atrophie
musculaire rigoureusement identique au type Cha
plier ses dernières phalanges. Il parait donc que chez Marguerite l'
atrophie
aurait débuté par les extrémités supérieures.
s renseignements donnés par la mère, il paraît que les phénomènes d'
atrophie
musculaire, débutant par les extrémités des membr
ent avec tout le monde. A 13 ans, les troubles paralytiques dus à l'
atrophie
musculaire avaient déjà atteint un degré consid
projetée dans toutes les directions. Il n'existe absolument aucune
atrophie
de la langue, ni de tremblements fibril- la ire
ille apparaît aplatie et légèrement excavée. Il existe eu somme une
atrophie
primitive bilatérale de la papille, portée à so
Ce qui frappe le plus dans l'examen somatique de Marguerite,c'est l'
atrophie
énorme et la difformité singulière de ses quatr
par l'examen clinique et électrique, on peut t constater que cette
atrophie
est absolument limitée à la portion périphérique
ment abolis. La main de Marguerite (V. PI. XIII) atteint un degré d'
atrophie
musculaire extrême. Les doigts sont fléchis s
nt atrophié ; on y voit le relief des os métacarpiens produit par l'
atrophie
des interosseux. L'attitude vicieuse des doigts
a main, au lieu de présenter sa convexité normale, est excavé par l'
atrophie
profonde des muscles du côté cubital ; de même le
n existant entre le pouce et l'index est très accusé en raison de l'
atrophie
des muscles de cette région. Les ongles sont
pince. La région du poignet se présente aussi très atrophiée. Cette
atrophie
est de NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALI'ÊTRIÈRE
musculaires sont plus prononcées. On peut dire en conclusion que l'
atrophie
des membres supérieurs chez Marguerite s'arrête
hez Marguerite s'arrête en forme de gant au milieu de l'avant-bras (
atrophie
en manchette). La pronation et la supination de
'hypertrophie des troncs ner- veux. Extrémités inférieures. Ici l'
atrophie
musculaire commence au tiers infé- rieur des cu
mence au tiers infé- rieur des cuisses et il s'agit d'une véritable
atrophie
en jarretière qui com- mence à peu près à quelq
mence à peu près à quelques centimètres au-dessus de la rotule. Cette
atrophie
atteint son degré maximum à la hauteur des chev
e déchéance progressive de toutes les facultés intellectuelles. ,
Atrophie
complète bilatérale de la papille avec amaurose c
lition des réflexes tendineux et exagération des réflexes osseux.
Atrophie
musculaire énorme des quatre extrémités, avec tou
es caractè- res du type spino-neurotique Charcot- Marie. Début de l'
atrophie
par les pieds. Pas de contractions fibrillaires
c avec effroi les mêmes altérations se produire chez Auré- lie. L'
atrophie
des- mains s'installa assez rapidement et en- peu
tre tirée droit et projetée dans tous les sens ; il n'existe aucune
atrophie
de la langue, les muscles masticateurs sont indem
La convergence est très incomplète. Examen du fond de l'oeil. - L'
atrophie
bilatérale de.la papille chez Aurélie est absol
que Marguerite, comme nous l'avons décrit, est très gourmande. L'
atrophie
musculaire chez Aurélie n'est pas encore arrivée
rice ; il n'y a du reste aucun signe ni de chorée, ni d'athétose. L'
atrophie
musculaire se manifeste chez elle avec une locali
ne localisation absolu- ment identique à celle de Marguerite. Cette
atrophie
est très accusée aux extrémités et va en diminu
oins développées que chez sa soeur, mais on ne relève aucun signe d'
atrophie
musculaire dans cette région. Le cou est un p
est très in- téressante à étudier. Cette main présente en effet une
atrophie
poussée à son degré le plus extrême. -- L'émi
ez Marguerite. La face dorsale de la main présente, elle aussi, une
atrophie
très grave. Les mouvements actifs de la main et
e assez bien. L'avant-bras aussi se présente très atrophié; cette
atrophie
est nettement limi- tée à l'union du tiers infé
êter au tiers moyen de l'avant-bras ne sont pas limités seulement à l'
atrophie
musculaire. La peau aussi semble y participer d
oucher ; enfin les os de la main semblent aussi avoir participé à l'
atrophie
. Les mouvements de pronation et de supination d
complit d'une façon tout à fait normale. Il n'existe aucune trace d'
atrophie
musculaire sous la région scapulo-humérale. Les d
nférieures. - Comme nous l'avons décrit aux membres supé- rieurs, l'
atrophie
musculaire aux extrémités inférieures est rigoure
s et au tiers inférieur des cuisses. Il s'agit donc d'une véritable
atrophie
en jarretière. Cette atrophie commence à quatre
ses. Il s'agit donc d'une véritable atrophie en jarretière. Cette
atrophie
commence à quatre travers de doigt au-dessus du g
son maximum aux jambes et aux pieds qui sont réduits dans un état d'
atrophie
extrême. Dans cette région, les parties molles so
e possible chez elle. Le bord interne du pied est incavé cause de l'
atrophie
musculaire et à cause aussi du varisme très pro
monotone (bmdylalie), avec troubles graves dans la prononciation.
Atrophie
assez avancée de la papille. - Acuité visuelle en
nution des réflexes tendineux. - Exagération des réflexes osseux.
Atrophie
musculaire débutant par les mains. Troubles tro
llant). Rétractions tendineuses à peine ébauchées au gros orteil.
Atrophie
des jambes en jarretière. Type amyotrophique Ch
s l'idiotie. , Chez Elisabeth, l'insuffisance fonctionnelle due à l'
atrophie
musculaire est encore peu prononcée en comparai
s), elle ne présente aucune-déviation de sa colonne vertébrale. 1 L'
atrophie
musculaire, au lieu.d'être complète, est à peine
olument iden- tique chez toutes les trois. Il s'agit en effet d'une
atrophie
musculaire localisée aux quatre membres avec pr
isabeth (V. PI. XIII) est suffisant pour faire saisir le degré de l'
atrophie
musculaire. Cette atrophie est plus accusée du
uffisant pour faire saisir le degré de l'atrophie musculaire. Cette
atrophie
est plus accusée du côté radial. L'éminence théna
elque chose de spécial qu'il faut discuter. Le poignet présente une
atrophie
absolument limitée en manchette au tiers inféri
t de la main. Le bras aussi est absolument indemne de toute trace d'
atrophie
. Les mou- vements du bras et de l'avant-bras s'
mbres inférieurs d'Elisabeth sont bien loin de présenter le degré d'
atrophie
que nous avons pu constater chez les autres.
n train de commencer. Les pieds de la petite fille sont ballants, l'
atrophie
des muscles intrinsèques est assez avancée, mai
hie des muscles intrinsèques est assez avancée, mais il y a surtout
atrophie
des péroniers, du jambier antérieur, des extens
un peu arrondie, mais l'on n'observe aucune trace de durillons. L'
atrophie
musculaire ne s'arrête pas aux jambes, mais elle
us haut, jusqu'aux cuisses, et ici encore il s'agit d'une véritable
atrophie
en jarretière limitée à quatre travers de doigt
s et cyanosés, mais ils ne présentent pas ce degré excep- tionnel d'
atrophie
des téguments et de troubles vasomoteurs que nous
e, le nystagmus, la bradylalie, les troubles de la déglutition et l'
atrophie
des membres, sont communs chez eux. Seulement,
es, sont communs chez eux. Seulement, dans les cas d'IIigier, cette
atrophie
musculaire n'est pas décrite avec les caractère
ar une rigi- dité spasmodiquedes membres avec strabisme, nystagmus,
atrophie
des nerfs et bradylalie. On voit tout de suite
is), avaient été frappés par un état spasmodique des mem- bres avec
atrophie
musculaire, bradylalie, mouvements athétosiques e
préférence le sexe masculin, et com- mence à se manifester par une
atrophie
des petits muscles des mains et des pieds. '
ft, 1876. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 125 L'
atrophie
musculaire débute généralement par les pieds et e
résumés de la façon suivante : le Troubles visuels constitués par l'
atrophie
primitive de la papille avec amaurose plus ou m
ont les altérations du fond de l'oeil ou à plus proprement parler l'
atrophie
primitive des nerfs optiques. Le premier auteur
Charcot-Marie a été Vizioli qui, en 1889, a décrit trois cas (1) d'
atrophie
musculaire familiale sans hérédité directe simi
fait très impor- tant à relever, on pouvait constater chez tous une
atrophie
assez avancée des nerfs optiques. Dans la lit
tions personnelles. En résumé, comme il est aisé de le constater, l'
atrophie
primitive de la pupille constitue dans la forme C
(2) Ballet et Rose, Un cas d'amyolrophie du type Charcot-Marie avec
atrophie
des nerfs optiques, Revue neurol., n° 10, 1904.
après le début de la maladie. Dans les cas de Vizioli nous voyons l'
atrophie
musculaire précéder les altérations du fond de
Gordon et en- core dans mes observations, nous avons constaté que l'
atrophie
des nerfs optiques n'avait débuté que cinq ou s
le commencement de la maladie. Il est bon de faire observer que l'
atrophie
de la papille peut déjà être assez avancée, san
git toujours d'une altération du fond de l'oeil, c'est-à-dire d'une
atrophie
bilatérale de la papille, tandis que, au contrair
démontrer comment dans les formes plus avancées de celte maladie l'
atrophie
musculaire, au lieu de rester limitée aux membres
hique comme des troubles visuels, (1) DUDREUILH, Sur quelques cas d'
atrophie
musculaire des extrémités. Revue de méd., p. 44
fférente : selon les uns, il se- rait seulement la conséquence de l'
atrophie
musculaire des membres infé- rieurs ou des duri
it souvent que dans la forme spino-névritique de Charcot-Ma- rie, l'
atrophie
des extrémités s'accomplit seulement aux- dépens
remières années, m'ont démontré les traces les plus évidentes d'une
atrophie
osseuse assez prononcée. . Je regrette de n'avo
egrette de n'avoir pu étudier par la radiographie le degré de cette
atrophie
qui était du reste assez évidente à un simple exa
ait du reste assez évidente à un simple examen clinique. En effet l'
atrophie
des extrémités dans mes cas était à peu près glob
des extrémités observé dans mes cas n'avait pas les caractères de l'
atrophie
osseuse que l'on rencontre dans les diplégies c
tre dans les diplégies cérébrales infantiles, mais que plutôt cette
atrophie
globale des extrémités était analogue à celle que
névri tiques. J'ajouterai encore que Hoffmann (1) avait constaté l'
atrophie
des os dans la forme amyotrophique Charcot-Mari
t-Marie et que MM. Ballet et Rose, dans leur cas d'amyotrophie avec
atrophie
des nerfs optiques, avaient re- marqué en passa
nous avons cherché à démontrer que plusieurs symptômes, tels que l'
atrophie
primitive bilatérale de la papille, les alté- r
plus évident alors que les sens spécifiques peuvent participer à l'
atrophie
(décoloration de la papille, anosmie, etc.). Je
ns un cadre morbide qui rappelle absolument la forme familiale de l'
atrophie
spino- névritique Charcot-Marie, en faisant sim
uscles de l'avant-bras, du bras et de l'épaule ne présentent aucune
atrophie
. La douleur localisée à l'articulation scapulo-hu
s droites ; les doigts s'amincirent et le derme s'atrophia ; puis l'
atrophie
porta sur tout le membre supérieur. La sensibilit
distance de cinq tra- vers de doigt, la gauche de six. On voit une
atrophie
notable des muscles deltoïde, splénius et sus-é
r contre les muscles de la nuque sont très sensibles à la pression.
Atrophie
des muscles splénius, deltoïde, rhomboïde, surt
rhomboïde, surtout du côté gauche, des muscles sus et sous-épineux.
Atrophie
des muscles de l'avant-bras et de la main du côté
que la malade ne marchait plus. Douleurs du côté gauche du tronc. L'
atrophie
musculaire dans l'épaule, le bras, l'avant-bras
endaient de deux causes. Il y a lieu de supposer tout d'abord que l'
atrophie
musculaire de l'épaule gauche était causée par
symptômes plus tardifs dans les membres supérieurs (affaiblissement,
atrophie
, paralysie) étaient en grande partie produits par
ans. Fragment de l'écorce de la paracentrale. (Bleu de toluidine).
Atrophie
de l'écorce, les lésions sont interstitielles et
bles trophiques ou vaso-moteurs : Dans la paralysie hystérique : ni
atrophie
, si ce n'est celle résultant de l'inactivité pr
déviations secondaires, dépendant d'une lésion de la plèvre, d'une
atrophie
muscu- laire, etc... sont hors de cause, et peu
isseaux dilatés, les cellules nerveuses en petite quantité à l'état d'
atrophie
; les racines bien conservées, par places,à gauc
en temps, courts tressaillements musculaires dans les jambes. Pas d'
atrophie
musculaire. Le réflexe patellaire est conservé.
laires. Membres supérieurs fléchis au coude et rapprochés du tronc.
Atrophie
des petits muscles des mains. Affai- blissement
les 354 FLATAU mains, affaiblissement des membres supérieurs avec
atrophie
muscu- laire, affaiblissement suivi de paralysi
érieur de la capsule interne produisent d'une part la réaction et l'
atrophie
des cellules géantes dans la frontale ascendant
a section de la substance blanche sous corticale, il se produit une
atrophie
rapide des grandes cellules pyramidales, celles-c
pitaux de Paris, séance du 24 mars. (2) GILBERT Ballet et M. Faune,
Atrophie
des grandes cellules pyramidales dans la zone m
on que la réaction des cellules pyramidales géantes, suivie de leur
atrophie
puis de leur disparition complète, est un fait
de sclérose laté- rale amyotrophique, dans lesquels ils ont noté l'
atrophie
et la dispa- rition des cellules de Betz ; ils
sont en réaction ; très peu sont normales ; d'autres sont en voie d'
atrophie
. Sa Alexandre C... Notes cliniques. 71 ans, hém
5 de Brod- mann, on voit également des phénomènes de réaction et d'
atrophie
dans quelques grandes pyramidales de la couche
pyramides géantes normales et un certain nombre qui sont en voie d'
atrophie
. Dans la partie postérieure du lobule paracentral
noyau est excentrique. Beaucoup de pyramides géantes sont en voie d'
atrophie
plus ou moins avancée. Les lésions sont plus pron
et du lobule paracentral sont en réaction, quelques-unes en voie d'
atrophie
. Les grandes cellules sous -granulaires des typ
Betz, d'aspect normal, parmi lesquelles d'autres qui sont en voie d'
atrophie
. On fait la même constatation dans la frontale
ues et celles qui per- sistent encore sont en réaction ou en voie d'
atrophie
pigmentaire. Dans la pariétale ascendante on ne
obule paracentral droit. Les lésions consistent dans la réaction et l'
atrophie
des cellules de Betz. Mais beaucoup de cellules
oins normal. Dans les tiers supérieurs des frontales ascendantes, l'
atrophie
et la disparition des cellules de Betz sont un
eaux pyramidaux croisés et directs. Avec Nissl la dimi- nution et l'
atrophie
des cellules de Betz des lobules paracentraux et
racentraux et des fron- tales ascendants. Cette diminution et cette
atrophie
sont plus intenses du côté droit. · 4° Sofia
iées des lobules paracentraux et des frontales ascendantes, on voit l'
atrophie
et la disparition des cellules de Betz. Le nomb
t la balle fut extraite. Paraplégie flasque. Aux membres supérieurs
atrophie
des muscles des avant-bras, des régions scapulo
liniques. - 7 ans, paraplégie flasque consécutive à un mal de Pott.
Atrophie
des membres inférieurs. Durée de la paraplégie, 6
pique. - Lésions manifestes consistant en réaction à distance et en
atrophie
des cellules de Betz des lobules paracentraux e
. - 19 ans, paraplégie spasmodique avec con- tracture en flexion et
atrophie
des membres inférieurs. Examen macrosco- pique.
ux beaucoup de cellules de Betz en réaction, certaines présentent l'
atrophie
pigmentaire. Par endroits les pyramides géantes o
s. 20 ans, paraplégie-spasmodique à la suite d'un*mal de Pott, sans
atrophie
, ni contracture. Réflexes rotuliens exagé- rés,
a moelle au niveau du VU' segment dorsal. - Examen microscopique. -
Atrophie
pigmentaire des cellules de Betz dans les lobul
parties supérieures des frontales ascen- dantes sont en réaction et
atrophie
pigmentaire. Quelques pyramides géantes ont l'a
nt en grande [partie disparu ; celles qui persistent encore sont en
atrophie
pigmentaire. E. SCLÉROSE latérale amyotrophique
es cliniques. 45 ans, sclérose latérale amyotrophique, typique avec
atrophie
plus prononcée aux membres supérieurs et à certai
paracentral. Dans les paralysies pseudo-bulbaires la réaction et l'
atrophie
des cel- lules géantes de l'écorce cérébrale co
redressés. En résumé, on constate la soudure des deux vertèbres ; l'
atrophie
de toute la partie droite de l'axis, qui est en
rdue en bas ; le glisse- ment apparent de l'axis vers la droite ; l'
atrophie
de l'articulation condy- lienne droite ; l'apla
eures (tremblement, contrac- 468 FLATAU lions) ou de leur lésion (
atrophie
musculaire). Cette dernière est surtout évident
-dorsale ou lombo- sacrée. Oppenheim attire l'attention aussi sur l'
atrophie
des muscles abdominaux. Il est] étrange que,
e réaction électrique. Dans nos cas il n'y avait pas de symptômes d'
atrophie
bien accusée. Dans l'un d'eux (XXI°) les contra
ment des gaines de myéline, leur déformation, leur désagrégalion et
atrophie
; le gonflement et la déformation des cylindraxes
ait jamais cons- taté dans les cas d'agénésie du corps calleux, une
atrophie
du tapétum ; bien au contraire, ainsi qu'en tém
isant que l'agénésie du corps calleux est le résultat non pas d'une
atrophie
se- condaire, mais bien d'un arrêt de développe
e de la couche périventriculaire, auxquels il faut encore ajouter l'
atrophie
déterminée par l'augmentation de la pression intr
git t évidemment soit d'un état rudimentaire généralisé, soit d'une
atrophie
secondaire. L'auteur veut bien reconnaître, d'ail
ataxie était extrêmement prononcée et avait atteint, de' même que l'
atrophie
musculaire et l'hypo- tonie, les quatre membres
s rien d'anormal. Dupuy-Dutemps (1), qui a le premier insisté sur l'
atrophie
de l'iris au cours du tabes et de la paralysie
égularité et les troubles réflexes de la pupille, suppose que cette
atrophie
dépend d'un trouble tro- phique consécutif à de
moteur ait disparu. ' (1) Dupuy-DUTE.)IPS, Sur une forme spéciale d'
atrophie
de l'iris au cours du labes et de la paralysie
vue avait beaucoup baissé depuis son entrée à l'hôpital, du fait de l'
atrophie
papillaire et aussi d'une cataracte bilatérale.
tions de l'architecture osseuse ont une analogie très grande avec l'
atrophie
osseuse que l'on voit survenir, souvent d'une f
plus variées (fi,act2ties,inflam- mations aiguës ou chroniques) ; l'
atrophie
ne se limite pas à l'os malade mais atteint enc
ater un fait, ce n'est pas en donner la raison ; affirmer qu'il y a
atrophie
n'avance pas davantage la question. Pourquoi cet
s davantage la question. Pourquoi cet arrêt de développement, cette
atrophie
? Le phénomène est-il dû à une inflam- mation d
ce, Paris, Masson, 1902. (8) \f. KLIrFELet 13ouclmr,lIémimélie avec
atrophie
numérique des tissus. Etude anar lomique et pat
se au second plan ; ce qui détermine l'aspect futur c'est surtout l'
atrophie
numérique; il y a moins de cellules, elles sont c
itaire : nous manquons de documents à cet égard : le processus d c'
atrophie
gélatiniforme » (2) qui raréfie l'os, isole le ca
médullaires pen- dant l'opération. Il en résulte la paralysie et l'
atrophie
des muscles cor- respondants (Oppenheim). Que
rge qu'à l'é- tat normal, ce qui donne à cette région l'aspect de l'
atrophie
corticale sénile. La circonvolution pariétale a
.Launois fait allusion d'une façon très indéterminée ; là où il y a
atrophie
génitale et par conséquent impuissance sexuelle,
sme pur ni de microsomie pure. 1\1. Launois se demande aussi si l'
atrophie
génitale ne commanderait pas l'atrophie du sque
unois se demande aussi si l'atrophie génitale ne commanderait pas l'
atrophie
du squelette et s'il n'y aurait pas lieu d'admett
anormales des cartilages de conjugaison avec la suppres- sion ou l'
atrophie
des testicules. « Je l'ai retrouvée en particul
le nain A ? alors âgé de 32 ans ; la persistance des cartilages, l'
atrophie
génitale bilatérale ont permis de bien saisir l
naperçue jusqu'à l'an dernier, époque à laquelle M. Richet a noté l'
atrophie
musculaire. L'anomalie est plus nette à droite
ctilité faradique et galvani- que de tous les muscles de la main. L'
atrophie
en effet n'est pas musculaire, mais porte sur t
l'amaurose, de troubles multiples bulbo- protubérantiels et de l'
atrophie
spino- neurotique Charcot-Marie (3 pi.), 91.
it de la plus haute importance, avec l'aspect de la papille gauche -
atrophie
con- génitale, constatée par un médecin ophtalm
secondaires et une croissance exagérée, examinons l'influence de l'
atrophie
génitale de José Lopes sur son état morphologiq
e l'atrophie génitale de José Lopes sur son état morphologique. L'
atrophie
génitale des géants, qui est un fait définitiveme
er à ces animaux une apparence particulière. Or, tous ces faits - l'
atrophie
génitale des géants, le gigantisme des eunuques
cette complexité, il suffit de se rappe- ler qu'on observe aussi l'
atrophie
des glandes sexuelles dans des cas tout à fait
r des troubles des organes gé- nitaux, la suppression des règles, l'
atrophie
de l'utérus ; il est donc bien naturel qu'une s
que tous les cas de lésion hypophysaire, les auteurs constatent une
atrophie
des organes génitaux, ou tout au moins l'affaib
g péronier, etc.) présentent des altérations marquées consistant en
atrophie
d'un grand nombre de fibres, dont le volume n'a
45. (3) REoucu , Ueber Pliliare Sklerose der llirnrinde bei seniler
Atrophie
. Jahrb. f. Psych. u. Neurol., Bd XVII, 1898.
marquée aux membres inférieurs, moins nette aux membres supérieurs.
Atrophie
musculaire du quadriceps, parésie des membres i
its et,chez les mâles, l'examen des glandes génitales démontre leur
atrophie
. Chez quelques-uns on a pu mettre en évidence l
re des nains de ce groupe, on a noté des lésions diverses (absence,
atrophie
, dégénérescence) de la glande thyroïde. Bien av
lature des extrémités inférieures est un peu rigide. Il n'y a pas d'
atrophie
musculaire partielle. Atrophie générale de l'ex
es est un peu rigide. Il n'y a pas d'atrophie musculaire partielle.
Atrophie
générale de l'extrémité inférieure droite, de 1/2
ans les articulationscoxo-fémnrales; absence de déformation des os.
Atrophie
et épaississpment des muscles longs du dos et d
anifestée auparavant, disparut après un mois de séjour à l'hôpital.
Atrophie
de quelques muscles de la région de l'épaule et d
l'épaule et de toute l'extrémité supérieure gauche (3 cm.) ; cette
atrophie
ne s'accompagne pas de tremble- ments fibrillai
ments ; la palpation révèle l'existence de points osseux douloureux.
Atrophie
Nouvelle Iconographie DE la SALPÉTRIÉRE. T. X
rtout), gêne peu sensible dans les articulations des genoux. Faible
atrophie
des muscles de la région des épaules et des muscl
mobile. La respiration est du type costal infé- rieur et abdominal.
Atrophie
symétrique des muscles autour des articulations
res. La région des petites articulations des deux pieds est enflée.
Atrophie
ou tension de quelques muscles de la région de
ures ou inférieures, in loto (1 à 3 centim.) (obs. I, II, VII); une
atrophie
avec épaississement des muscles longs du dos. Dan
e membre droit est beaucoup plus court que le gauche. Il existe une
atrophie
très marquée de tous les muscles du membre mala
e très marquée de tous les muscles du membre malade. Mais surtout l'
atrophie
est grande aux muscles de la v face antéro-exte
teuses. Mort deux jours plus tard. Cette femme avait, en outre, une
atrophie
des membres supérieur et inférieur 200 ALQUIER
scopique est dû à M. Dupuy-Dutemps : quelques jours après l'entrée,
atrophie
papillaire double plus accentuée à gauche, avec c
uble plus accentuée à gauche, avec con- tours papillaires flous : l'
atrophie
est consécutive à une stase dont les signes (sa
par un cysticerque gros comme une cerise. Pas d'autre cysticerque.
Atrophie
excessive des os du crâne. Il s'agit d'un homme
ives d'où abaissement de l'acuité visuelle avec, à l'ophtalmoscope,
atrophie
temporale des deux pa- pilles. Ilerringliam (
xistait une hydrocéphalie énorme des 3 premiers ventricu- les, avec
atrophie
du manteau cérébral, due à une occlusion presque
côté gauche, où la main n'offre rien en apparence d'anormal (pas d'
atrophie
, mou- vements libres). Nous avons constaté deux
et l'on peut ramener en extension les doigts sur les métacarpiens.
Atrophie
des es- paces interosseux et des muscles de l'é
ssement de la main au niveau de la, partie métarcapienne ; malgré l'
atrophie
des muscles de l'éminence hypothé- nar et du pr
pour ce qui est de son altitude (en griffe), de l'état des muscles (
atrophie
) et des mouvements relatifs. Mais ce qu'il y a
e voit pas les espaces interosseux comme cela se voit dans un cas d'
atrophie
vulgaire. La couleur de la peau de la face dors
dépendance d'affections nerveuses. Ce sont plutôt des phénomènes d'
atrophie
cutanée, où la peau est lisse, luisante même, s
lisse, luisante même, sans plis, altérations qui s'accompagnent à l'
atrophie
musculaire et qui sont consécutives à certaines
escence des cellules des ganglions spinaux; en outre, il existe une
atrophie
importante du cartilage intervertébral, tan- di
rmation du cartilage hyalin en cartilage fibreux. 2° Un processus d'
atrophie
idiopathique de la substance cartilagineuse. A
at de la substance chroma- tophile. Rares sont les noyaux en étal d'
atrophie
et d'habitude sur chaque coupe on ne peut trouv
l'aspect est tout à fait différent, car ces cellules sont en état d'
atrophie
pigmentaire ; leur corps protoplasmi- que envah
en position intermédiaire. D'autre part on note une paralysie avec
atrophie
du trapèze et du sterno- mastoïdien. A l'état
conséquent la paralysie récurrentielle. Mais il existe en outre une
atrophie
du trapèze et du sterno-mastoïdien qui suppose
: absence congénitale du pouce (ectrodac- tylie absolue) et légère
atrophie
congénitalede l'avant-bras (micromélie congé- n
'avant-bras (micromélie congé- nitale). ' . c) Au thorax : légère
atrophie
congénitale de toute la moitié gauche. Voyons m
très prononcées de ces os et que certainement le degré très léger d'
atrophie
des extrémités du radius et du cubitus n'arrive
encore être remarqué chez le sujet dontje m'occupe, c'est la légère
atrophie
de la moitié gauche du thorax, qui n'a d'égale en
ALADIES NERVEUSES DE L'UNiVERSiTÉ DE MOSCOU Professeur : W. Roth.
ATROPHIE
CURIEUSE ET RARE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA
nt touffu et varié. Mais le fait, dominant tous les autres, est une
atrophie
très prononcée de la moelle épinière et d'une p
lle épinière et d'une partie de la moelle allongée. C'est sur cette
atrophie
que je m'étendrai. Une telle constatation, si e
d intérêt immédiat de rechercher le mécanisme et l'origine de cette
atrophie
. Je ne me propose nullement, dans l'article act
e et au point de vue anatomique. Je n'envisagerai que la question «
atrophie
». Les renseignements concernant l'évolution de l
ntribué il relever les phases successives de cette longue histoire.
ATROPHIE
CURIEUSE ET RARE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 361 C'es
onner à toute la maladie une physionomie particulière ; c'est d'une
atrophie
musculaire qu'il va s'agir, et c'est par le delto
res; ayant débuté à droite, en 1895, par la main et l'avant-bras, l'
atrophie
ne cessa d'agrandir son domaine; l'extension pr
e d'une pachyméningile. - ce' région lombaire. - dd' Cône terminal.
ATROPHIE
CURIEUSE ET RAHE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 363 me
al. ATROPHIE CURIEUSE ET RAHE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 363 menée l'
atrophie
; elle passe insensiblement du bulbe à la moelle
intensité. La moelle épinière, dans toute sa hauteur, présente une
atrophie
fortement accusée ; de plus une pachyméningite
d'une façon plus légère dans la moelle allongée. Si on considère l'
atrophie
dans les diverses régions médullaires, on note
la formaline. 364 . HEIMANOW1TSCH La description du cas extrême d'
atrophie
dont nous nous occupons exige, pour être complè
donc, dans notre cas, impossible d'arriver à poser le diagnostic d'
atrophie
médullaire et c'eût été même un contre-sens logiq
gique que de chercher à l'établir, La possibilité d'un diagnostic d'
atrophie
ne saurait être admise que dans les cas où il p
hie ne saurait être admise que dans les cas où il peut s'agir d'une
atrophie
systématique (maladie de Friedreich, atrophie o
il peut s'agir d'une atrophie systématique (maladie de Friedreich,
atrophie
olivo-ponto-cérébellense, etc.). Mais l'idée gé
atrophie olivo-ponto-cérébellense, etc.). Mais l'idée générale de l'
atrophie
de la substance nerveuse considérée en soi comm
ayant sa réalité propre, comme une entité si l'on veut, ne saurail
ATROPHIE
CURIEUSE ET RARE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE I 365 êt
IEUSE ET RARE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE I 365 être admise ; en effet, l'
atrophie
n'est qu'une diminution de volume et de multipl
la n'a pas empêché certains cliniciens (1) d'employer le terme d' «
atrophie
de l'encéphale », notamment pour désigner le proc
sus de la porencéphalie ; cependant ici, il n'est pas question de l'
atrophie
des fibres. Si nous envisageons les causes ap
penser aux troubles circulatoires. Oppenheim a publié un seul cas d'
atrophie
du système nerveux central (moelle épinière). L
épinière). Long et Wiki, qui ont décrit un fait analogue, ont mis l'
atrophie
en rapport avec les troubles en question. Dans
stence, dans l'étendue du premier jusqu'au 9e segment dorsal, d'une
atrophie
de la moelle s'exprimant par les nombres suivan
ches expérimentales de Soukhanoff et d'autres. Cependant le cas d'
atrophie
que nous présentons ici paraît unique dans son
utre étiologie que le cas de Long et Wiki, dans lequel d'ailleurs l'
atrophie
est fort loin d'atteindre l'intensité reconnue
paraîtra évi- dent que, dans le fait étudié par nous, la cause de l'
atrophie
n'avait rien à voir avec des troubles de la cir
it rien à voir avec des troubles de la circulation. La cause de l'
atrophie
ne pouvait pas tenir non plus à une compression
même avant l'examen histologique, il était impossible de mettre . l'
atrophie
sous la dépendance de la seule compression exercé
Cette dernière circonstance élimine également la possibilité d'une
atrophie
par constriction des vaisseaux du fait de la méni
ur sclérose consécutive. Donc, comme nous l'avons déjà dit, notre
atrophie
médullaire a une cause qui n'a rien à voir avec
quels qu'ils soient, de l'axe nerveux. Dans la région lombaire, l'
atrophie
existe d'une façon bien nette. Ici nous trouvon
iller l'idée de troubles circulatoires pou- vant être la cause de l'
atrophie
. On ne constate pas non plus ici de mul- tiplic
la leptoméningite ne sauraient être, dans notre cas, la cause de l'
atrophie
; on ne peut cependant pas refuser une certaine im
trophie; on ne peut cependant pas refuser une certaine importance .
ATROPHIE
CURIEUSE ET RARE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 367 au p
ose et la rétraction des tissus, cette dernière, s'ad- joignant à l'
atrophie
, a provoqué la diminution maximale de la moelle
vraxe nous parait constituer la cause nécessaire et suffisante de l'
atrophie
de la substance nerveuse que nous avons décrite.
insi : « qui, après avoir offert des phénomènes de développement, s'
atrophie
, se résorbe, ou se décompose » (Dict. de Littré).
'est agi d'une maladie générale, d'une ty- phoïde ayant déterminé l'
atrophie
des testicules (obs. XVII), d'une grippe (obs.
s la fièvre typhoïde. E. Organes génitaux et fonctions sexuelles. L'
atrophie
des uns et le déficit des secondes sont réalisé
a verge a tantôt subi une sim- ple diminution de volume, tantôt une
atrophie
vraiment surprenante; tel le malade de l'observ
voix soient moins accusées. G. Symptômes d,origine"thyroïdienne. L'
atrophie
du corps thy- L INFANTILISME REGRESSIF OU TARDr
athyroïdiens très nets ; on a aussi plus précieusement constaté son
atrophie
à l'autopsie, se traduisant par une pesée de lu
le et sa frilosité. Mais son im- puissance ne s'améliora pas et son
atrophie
testiculaire ne rétrocéda pas* 41( ! CORDIER ET
de féminisme par castration de l'homme adulte et d'infantilisme par
atrophie
testiculaire de l'adulte ont des ressemblances
rchite syphi- litique bilatérale. La suppression des érections et l'
atrophie
testiculaire ouvrirent la scène clinique dans l
nes de myxoedème, d'ailleurs très discrets, n'apparurent qu'après l'
atrophie
testiculaire bilatérale et l'impuissance consécut
t certain, c'est que la glande génitale est toujours intéressée : l'
atrophie
testiculaire ou utéro-ovarienne, l'impuissance
génitales. Les troubles menstruels sont parfois signalés, et même l'
atrophie
des organes génitaux. Meige précise davantage : «
de l'adulte n'est-elle pas capable d'entraîner, au même litre que l'
atrophie
des testicules, une régression in- fantile. U
s, une régression in- fantile. Une question préalable se pose ; l'
atrophie
testiculaire produit-elle les mêmes effets que
suppression anatomique des testicules. Ce que fait la cassation, C
atrophie
testiculaire, d' O1'dre pathologique, peut le réa
i est de petit volume parce que non développée, mais n'a pas subi d'
atrophie
après avoir achevé son développement normal. Il
ît au premier abord. Ces réserves faites, il faut reconnaître que l'
atrophie
testiculaire d'or- dre pathologique entraîne de
més canisme d'ailleurs très mal connu. H. -Mais il est des cas d'
atrophie
testiculaire en apparence totale qui ne suffise
cas de MM. Widal et Lutier, ayant trait à un sujet pré- sentant une
atrophie
congénitale complète des deux testicules et n'aya
ulement continuent à fonctionner (ce qui est possible même avec une
atrophie
testiculaire très marquée) et la fonction diasté-
testicule ? Et alors que la palpation des bourses fait croire à une
atrophie
complète, il peut subsister une partie de la gl
s, 1''e édition, 1812, tome II, p. 62. Campa- gnes d'Egypte. « De l'
atrophie
des testicules. Plusieurs soldats de l'armée d'
z dure : le cordon spermatique est lui-même aminci et participe à l'
atrophie
. « Lorsque, les deux testicules sont atrophiés,
Syphilis à 24 ans. Orchite syphi- litique bilatérale à 25 ans, avec
atrophie
consécutive des testicules. Peau blanche. Cheve
63 ans. Compression testiculaire traumatique vers l'âge de 3S ans.
Atrophie
testiculaire consécutive. Depuis 7 ans environ,
es. Il est difficile de dire si ce phénomène doit être rattaché à l'
atrophie
des testicules ou à un léger degré d'insuffisan
ires et pubiens. C'est alors (très probablement), qu'est survenue l'
atrophie
des organes génitaux qui a passé inaperçue aux
- nèmes. Les testicules, petits et mous, pèsent 8 et 10 grammes ;
atrophie
des tubes éminifères, avec absence complète des
sement complet des fonctions génitales, ni appétence, ni érection ;
atrophie
des testicules; bouffissure transitoire de la f
el- ques très rares poils grêles sans couleur au niveau du pubis.
Atrophie
très marquée des organes génitaux ; la verge a à
cils et les sourcils; le reste du corps est complètement glabre.
Atrophie
de la verge et des testicules; frigidité totale;
giment d'infanterie. Mais lorsqu'on eut, 15 jours après, constaté l'
atrophie
de ses organes génitaux, il fut réformé à son g
poils courts et lins, les aisselles sont complètement disparues.
Atrophie
remarquable des organes génitaux ; les testicules
date de l'examen. BIBLIOGRAPHIE (1) Achard et DEHANCHE. Un cas d'
atrophie
testiculaire. Société Médicale des Hôpitaux de
. - Impuissance, in fmlrlisme tardif et épilepsie consécutifs à une
atrophie
testiculaire bitatéiale £ 1'0' igme traumatique.
ns génitales : la disparition des caractères sexuels secondaires, l'
atrophie
des testicules et des organes génitaux externes
esticules et des organes génitaux externes indiquent l'hyporchidie.
Atrophie
des organes génitaux mais non infantilisme, car
ille normale sont les plus rares, la plupart sont petites en voie d'
atrophie
. La paroi de ces vésicules est formée par une r
des acini ; la nappe scléreuse est tachetée de vésicules en voie d'
atrophie
, ces vésicules sont petites, vides, ou ne renferm
sculaire en voie de résorption. Les lésions sont donc intenses, l'
atrophie
scléreuse tend à détruire la glande dont pourta
la résorption ne semble pas se faire. Ces lésions de sclérose et d'
atrophie
semblent un peu plus marquées encore que dans l
l y a donc anatomiquement, macroscopiquement et micros- copiquement
atrophie
de la thyroïde, des testicules, des surrénales, d
rnes, mais qui n'a pas de souve- nir bibliographique, reconnaît une
atrophie
des organes génitaux exter- nes, des testicules
ques. La section expérimentale de ces filets avertisseurs empêche l'
atrophie
de se produire avec la même soudaineté. Il y a do
lacée sous la dépendance effec- tive des centres trophiques, et une
atrophie
passive observée dans tout membre condamné à l'
sions osseuses consécutives à des traumatismes dans lesquels aucune
atrophie
musculaire systématisée, aucun trouble sensitif
os du carpe et du métacarpe, les os du tarse qui sont touchés par l'
atrophie
se prêtent en effet tout spécialement, en raiso
ns, l'extrémité infé- rieure du radius et du cubitus présentent une
atrophie
osseuse très marquée. Les os sont transparents
toires auraient existé dès le début. Ils ne se sont pas modifiés.
Atrophie
musculaire. - Les éminences thénar et hypothénar
les filets sensitifs ont été sectionnés et qui ne présentent qu'une
atrophie
lente proportionnelle à l'impotence du membre. Le
tions normales avec les centres nerveux pré- sentent au contraire l'
atrophie
osseuse caractéristique. La lésion s'étend au d
actéristique. La lésion s'étend au delà du foyer traumatisé. Il y a
atrophie
osseuse articulaire et abrcrti- culaire comme i
emarque judicieuse de Imbert et Gagnière, la date d'apparition de l'
atrophie
peut être très variable. Elle n'a pas eu le tem
es et répétés en vue de cette recherche spéciale. - La durée de l'
atrophie
peut être fort longue. Nos Confrères citent des f
ts datant de quinze mois, deux ans et deux ans 1/2, dans lesquels l'
atrophie
persistait avec ses caractères habituels. Chez
ment au premier malade, n'a pas repris le travail. L'existence de l'
atrophie
osseuse étant démontrée, y a-t-il lieu d'en ten
la dépendance du système ner- veux, on peut considérer également l'
atrophie
osseuse post-traumatique comme un véritable tro
m.Lt, 140. .Ilaxie labéliqite, mécanisme, par NOlc.\, 31l, 481.
Atrophie
de la moelle épinière el de la moelle allongée.
ale) (7 pl.), par EI.n \1101'1', 1'-)l, 236. Syphilis médullaire (
Atrophie
curieuse et rare de la moelle épiniel el de la
les accidents du travail (1 pi.), 472. IIEIJ11 : \o\\'tTscn (A.).
Atrophie
curieuse et rare de la moelle épinière. et de l
5 CL sur l'index. Sur la face dorsale de la même main on remarque l'
atrophie
con- sidérahle, et môme le creux des espaces in
fibrillaires. 11 n'existe pas d'autres troubles tro- phiques que l'
atrophie
musculaire. . Ons. II. Paul S..., emballeur, âg
face dorsale présente une saillie exagérée des métacarpiens, due à l'
atrophie
des interosseux; vue par sa face palmaire, elle
et encore par le côté droit. Ce sont toujours de la paralysie, de l'
atrophie
, et des troubles de la sensibilité symétriques,
er les signes d'une paralysie du cubital; griffe carac- téristique,
atrophie
des interosseux, en particulier du premier, par
de ce membre, douleurs qui revenaient par accès. La faiblesse et l'
atrophie
ne se sont déclarées qu'il y a cinq mois. N'a j
formation. - La main droite vue par sa face palmaire pré- sente une
atrophie
très-marquée des éminences thénar et hypothénar d
difficile de confondre avec les espèces nosologiques connues. Ni l'
atrophie
musculaire progressive mopatlique ou myélopathi
u des régions correspondantes de la cuisse droite. Il n'y a pas d'
atrophie
musculaire, ou du moins, si les muscles se sont
ure de sacrum remontant à cinq ans. Paralysie. z Crampes. Douleurs.
Atrophie
musculaire. Troubles tro- phiques cutanés. Enge
sit, au bout d'un certain temps que la malade ne peut préciser, une
atrophie
musculaire des deux membres inférieurs. Pas de tr
sibilité à la piqûre. Les troubles trophiques sont les suivants :
atrophie
sensiblement symé- trique des deux membres infé
les jours suivants. Ainsi donc, paraplégie, anesthésie, douleurs,
atrophie
musculaire, troubles trophiques des extrémités
les nerfs grand et petit sciatiques. Il est à noter également que l'
atrophie
musculaire s'est manifestée, elle aussi, exclus
DES SUITES ÉLOIGNÉES DES TRAUMATISEES DE LA MOELLE. à 7 décembre. -
Atrophie
du membre inférieur droit. Du côté de la plaie,
Ils n'ont manqué dans aucun cas. Le plus souvent, il existait de l'
atrophie
musculaire, généralement asymétrique. ' . Com
is toujours il y a prédominance de certains symptômes- : paralysie,
atrophie
musculaire, troubles trophiques cutanés, surun cô
énitale peut renaître en même temps que disparaître la paralysie. L'
atrophie
des membres in- férieurs est fréquente. » Les
de la pupille droite, mais l'action indirecte est bonne. Il y aune
atrophie
blanc bleuâtre de la pupille droite, ses veines s
ongue 7. 5 centimètres et porte d'ailleurs tous les caractères de l'
atrophie
sénile au début; on remarque surtout la flaccidit
fallait-il attribuer la dilatation des tissus ? Principalement à l'
atrophie
du cerveau, mais je crois aussi qu'il fallait adm
nt un certain degré de mollesse. Il paraît y avoir un léger degré d'
atrophie
. L'articulation phalango-phalanginienne du médi
dystrophies des ongles signalées par M. Régis '. L'existence de l'
atrophie
musculaire dans la paralysie générale a été con
dans la paralysie générale a été contestée, sauf comme coïncidence (
atrophie
musculaire progres- sive, Baillarger). Pourtant
cidence (atrophie musculaire progres- sive, Baillarger). Pourtant l'
atrophie
musculaire peut se présenter sous forme épisodi
un grognement inintelligible. L'inspection de la langue montre une
atrophie
con- sidérable limitée au côté droit. La muqueu
e cotonneuse comme si les mus- cles étaient complètement absents. L'
atrophie
est surtout marquée vers la pointe, elle l'est
e vers la pointe, elle l'est beaucoup moins à la base. Malgré cette
atrophie
, la déviation de la langue est nulle. Les mouve
es jours après sa visite. , - Il n'est pas sans exemple de voir l'
atrophie
de la langue se développer en conséquence de lé
a rapporté d'assez nombreux exemples depuis, on peut trouver cette
atrophie
très mani- feste '.L'interprétation de l'atroph
eut trouver cette atrophie très mani- feste '.L'interprétation de l'
atrophie
dans ce cas de paralysie générale est donc asse
le que, d'après lui, le cerveau de cet homme avait subi une notable
atrophie
. Le larynx était grand, l'épiglotte large; cett
de la base du sternum; les deux ventricules étaient agrandis par l'
atrophie
du tissu musculaire; ces faits semblaient être en
tes, chrondrites), le tissu osseux peut s'altérer dans le sens de l'
atrophie
ou de l'hypertrophie. Primitivement, il peut exis
nsiblement moindre à gauche, ce qui tient plus particulièrement à l'
atrophie
du maxillaire inférieur. En l'examinant, on voi
uand, par l'abus des substances alcooliques et par l'âge, survint l'
atrophie
des lobes cérébraux antérieurs : car alors, com
ement hypertrophiées. Le coeur est très petit, il a subi un degré d'
atrophie
considérable, il ne présente guère que les ` ?
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET OEDÈME I Jusqu'à ces derniers t
xcellent mémoire 1 l'existence de troubles trophiques en étudiant l'
atrophie
musculaire des hystériques, déjà signalée en 18
inaugurale faite sous l'inspiration de M. Sceligmüller °. 1. De l'
atrophie
musculaire dans les paralysies hystériques. Archi
dernières observations il y a prédominance de la paralysie et de l'
atrophie
dans le membre supérieur, dans l'autre, prédomi
ieur. » Puis il donne les caractères de ces troubles nutritifs. « L'
atrophie
musculaire se présente sous l'aspect suivant :
a contractilité électrique est diminuée en proportion du degré de l'
atrophie
musculaire, mais il n'y a pas de réaction de dé
culaire, mais il n'y a pas de réaction de dégénérescence ; 5° cette
atrophie
peut se développer avec une grande rapidité. Ch
quinze jours après le début de la paralysie... La rétrocession de l'
atrophie
semble pouvoir être rapide comme son développem
e pouvoir être rapide comme son développement ». C'est donc d'une
atrophie
simple qu'il s'agit ; il n'existe pas de réacti
n jeune malade de treize ans atteint de mono- plégie brachiale avec
atrophie
musculaire, ayant duré trois ans et s'étant ter
de Babinski, tout au moins en ce qui regarde à proprement parler l'
atrophie
musculaire. Dans ses Leçons cliniques du premie
et lez. 1887, p. 4C. 2. De l'hystérie chez l'homme, monoplégie avec
atrophie
musculaire (Journal des con- naissances médical
VIII, p. 107). 3. Hémiplégie probablement d'origine hystérique avec
atrophie
musculaire (Archives de physiologie, 1887, p. 3
raphie de la Salpètrière, t. I, 1888). : .J. Coxalgie hystérique avec
atrophie
musculaire (Société médicale des hôpitaux, 28 j
dicale des hôpitaux, 28 juin 188G). 0. Hémiplégie hystérique avec
atrophie
musculaire survenue la suite d'une diphtérie (S
-253 « , 1889-1890, M. le professeur Charcot nous a appris que l'
atrophie
musculaire hystérique pouvait revêtir certaines
rnée d'une bande marron; grande chaîne de montre en simili-or, etc.
Atrophie
.musculaire. Le malade ne peut dire quand a comme
Atrophie .musculaire. Le malade ne peut dire quand a commencé celle
atrophie
. Membre-supérieur droit. Elle porte sur les muscl
nterosseux, le premier et le second principalement, participent à l'
atrophie
. Le périmètre de la main pris à la base du pouc
ONOGRAPHIE T It PL. XLI Cliché A LONDE rNOTOTYPth BHHTHAUD un
ATROPHIE
MUSCULAIRE DE LA MAIN GAUCHE D'ORIGINE HYSTÉRIQ
se mettant en griffe, le bras droit s'atrophiant dans sa totalité. L'
atrophie
débuta par la main, prenant d'emblée tous les m
était fini ; la main et le bras avaient re- pris leurs fonctions, l'
atrophie
avait disparu.. ' ' , , C'estalors que la main
in et le bras gauche commencèrent à être à leur, tour envahis par l'
atrophie
. Aujourd'hui (octobre 1889) la main gauche présen
ade qui les a parfai- tement constatés dit qu'ils ont débuté avec l'
atrophie
. 260 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
é avec l'atrophie. 260 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. L'
atrophie
intéresse le bras gauche dans sa totalité ; elle
t parfaitement saine, mobile, sans craque- ments. Il n'existe pas d'
atrophie
du membre infé- rieur gauche. La main droile
atrophié (fig. 76). L'avanl- bras et le bras ne participent pas à l'
atrophie
. Pas de (roubles de sensibilité locale. La cont
s cas publiés par M. Babinski et par les auteurs qui l'ont suivi, l'
atrophie
a toujours porté sur un membre atteint de paralys
aire exception à .cette règle. Plusieurs années avant le début de l'
atrophie
, il a été zut NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈ
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. contracturé des quatre membres et l'
atrophie
porte uniquement sur le bras droit et le côté d
e. De plus, Cah... ne peut préciser l'époque exacte du début de son
atrophie
. L'atrophie, si elle ne se superpose pas toujou
h... ne peut préciser l'époque exacte du début de son atrophie. L'
atrophie
, si elle ne se superpose pas toujours à une contr
uées; ils ont tous expressément noté qu'elles avaient débuté avec l'
atrophie
. Chez Bill... (Obs. II), elles ont accompagné la
z Bill... (Obs. II), elles ont accompagné la marche ascendante de l'
atrophie
partant des muscles de la main pour gagner le b
aient, dans les territoires musculaires atrophiés, la réaction de l'
atrophie
simple. Or, le malade de l'observation II, examin
lles nous désirons attirer l'attention sont les suivantes : '1° L'
atrophie
musculaire d'origine hystérique peut quelquefois
secousses fibrillaires dans les territoires mus- culaires en voie d'
atrophie
. 3° Dans un cas d'atrophie hystérique des muscl
es territoires mus- culaires en voie d'atrophie. 3° Dans un cas d'
atrophie
hystérique des muscles de la main, l'exa- men é
service de Monneret à l'hôpital Necker, avait porté le diagnostic d'
atrophie
muscu- - laire progressive. Cependant l'affecti
e (de Boulogne) qui écrivait en traçant la sym- ptomatologie de « l'
atrophie
musculaire de l'adulte ». « L'anesthésie est qu
re supérieur, et n'est pas toujours en raison directe du degré de l'
atrophie
». (De l'électrisation localisée, 3e édition 18
93). , Mais il est' incontestable que Duchenne confondit toujours l'
atrophie
musculaire progressive du type qui porte son no
ce, le diagnostic de sclérose latérale amyotrophique, étant donné l'
atrophie
des membres supérieurs débutant par les mains et
as-type de syringomyélie : début in- sidieux, à un fige peu avancé,
atrophie
musculaire à marche lente et progressive, aboli
dura de 3 à 4 mois. C'est à l'âge de 19 ans qu'il s'est aperçu de l'
atrophie
des muscles de l'hypothénar et des interosseux
illaires, mais sans douleurs dans les régions des muscles en voie d'
atrophie
. , UN CAS D1; S1'RI\GOlll'ÉLIC. 313 Un an plu
fut examiné par Duchenne (de Boulogne) qui porta le diagnostic « d'
atrophie
musculaire progressive ». Dans l'intervalle,
ue la main 314 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. gauche. L'
atrophie
ne progresse qu'avec une lenteur extrême, de sort
tous les deux jours. Elles n'ont pas reparu depuis. A part cette
atrophie
musculaire et les autres symptômes que nous venon
appétit sexuel persiste. État actuel (17 juin 1889) (pl. XLVIII).
Atrophie
très marquée des éminences thénar et hypothénar d
des éminences thénar et hypothénar du côté gauche. Main en griffe.
Atrophie
moins marquée de l'avant-bras du même côté où e
vives dans le talon droit survenant d'une manière intermittente. L'
atrophie
ne porte pas sur les muscles des membres inférieu
oins le mo- NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. II. PL. XLVUI. SCOLIOSE ET
ATROPHIE
MUSCULAIRE DANS LA SYRINGOMYELIE LECR05NIHR b
culier dans les fractures du -), 5, 6. Syringomyélie (scoliose et
atrophie
muscu- laire dans la -), 48. Suspension (de l
2, 43, 41, IJ,J3, Jf·. 55, 56, 57, 58, 70,71, 77, 78. Hystérique (
atrophie
musculaire - de 1, main), 72, 73, 74, 75. 76; a
pemphigus. — Glossy Skin des auteurs anglais. — Lésions musculaires :
atrophie
. — Lésions ar-ticulaires ; lésions osseuses : pér
de charbon, etc. Eruptions cutanées diverses (zona, pemphigus, etc.),
atrophie
musculaire, arthropathies, qui, en pareil cas, se
prend pour la maladie tout entière. Telles sontcertaines formes de X
atrophie
muscu-laireprogressive considérées naguère comme
on de la nutrition dans le membre paralysé. Si ce n'est toutefois une
atrophie
plus ou moins prononcée, mais se pro-duisant seul
ins prononcée, mais se pro-duisant seulement à la longue (1). Cette
atrophie
, survenant à la suite de la section du nerf scia-
Pathology. New-York, 1853, p. 6. —Après la section d'un nerf mixte, l'
atrophie
des muscles ne commence à se manifester en généra
d'un mois environ, par un léger degré d'émaciation. Deux mois après l'
atrophie
est mieux caractérisée ; elle est très prononcée
urines, se blesse en se heurtant à tous les contacts, etc. Quant à l'
atrophie
qui survient à la longue dans les membres paralys
onstate simplement, dans les membres paralysés, une dégénération avec
atrophie
des muscles très lente à se produire, des ulcérat
rs les méninges, provoquer dans les parties périphéri-ques, outre une
atrophie
plus ou moins prononcée des masses musculaires, d
la partie inférieure de la région cervicale. L'érythème, le zona, l'
atrophie
musculaire, certaines arthro-pathies, eniin, ont
pemphigus leprosus ; b) l'état lisse de la peau (Glossy S/un) ; c) l'
atrophie
des muscles ; d) lapériostite etenfin la nécrose.
nution ou abolition hâtives de la contractilité électrique, suivies d'
atrophie
rapide des muscles dans le cas de paralysie rhuma
terminent l'abolition hâtive de la contractilité électrique, suivie d'
atrophie
rapide des muscles. Expériences de MM. Erb, Zie
ale de l'adulte, paralysie générale spinale ('Duehenne, de Boulogne),
atrophie
musculaire progressive, etc. —Rôle prédomminanl d
ertains cas, pres-que fatalement, si le médecin n'intervient pas, à l'
atrophie
plus ou moins complète du muscle et à la perte qu
lien : la plupart des auteurs semblent s'accordera reconnaître que l'
atrophie
du muscle, sa dégénéra-tion histologique, ne surv
respondants, examinés après la mort, présentaient de légères traces d'
atrophie
. Mais il ne s'agit là, sans doute, que d'un exame
Dans les cas do paralysie consécutive à lasec-tion des nerfs, outre l'
atrophie
des faisceaux primitifs qui se produit à la longu
arition de la contractitilité élec-trique, ne tardent pas à subir une
atrophie
qui devient parfois très rapidement appréciable,
eloppement les altérations histologiques auxquelles se rapporte celte
atrophie
rapide des masses muscu-laires; mais c'est là un
al et zygomatique du côté gauche Il est clair que si, dans le cas d'
atrophie
musculaire que les physiologistes obtiennent à la
869). L'absence de dégénération graisseuse des faisceaux primitifs, l'
atrophie
de ces faisceaux avec persistance de la striation
prompte modification de lacon-tractilité électrique, bientôt suivie d'
atrophie
musculaire, sont assimilables, sans réserves, ain
irritatif. De fait, il n'est pas rare, dans les cas de cegenre,que l'
atrophie
musculaire à marche ra-pide, foudroyante en quelq
emarquables, produits par les lésions de nerfs, est l'émaciation ou l'
atrophie
des muscles desservis par ces nerfs. Celte atroph
l'émaciation ou l'atrophie des muscles desservis par ces nerfs. Celte
atrophie
peut exister seule ou se montrer associée à d'aut
6. sais aussi qu'on peut voir survenir, en pareille circonstance, l'
atrophie
des muscles et la perte de la contractilité élect
s ou moins directe, la perte rapide de la contractilité électrique, l'
atrophie
hâtive des muscles et, en un mot, toute la série
ême que l'affaiblisse-ment rapide de la contractilité électrique et l'
atrophie
musculaire consécutive sont portées très loin ; c
onstater déjà que le diamètre de ces faisceaux s'est amoindri ; cette
atrophie
va rapidement en progressant. Cependant, la stria
ement dans leur nutrition (1). 1. Charcot et .Toffroy. — Deux cas d'
atrophie
musculaire avec lésion de la substance grise et d
ère da?is Vataxie locomotrice, considérées dans leurs rapports avec l'
atrophie
musculaire qui com-plique quelquefois celte affec
la voie des faisceaux radi-culaires internes du côté correspondant. L'
atrophie
musculaire consécutive ôtail exactement limitée a
e unilatérale peut, en s'étendant à la substance grise, déter-miner l'
atrophie
musculaire. Une femme, âgée d'environ 70 ans, a
ommencèrent à diminuer de volume, deux mois à peine après l'attaque L'
atrophie
musculaire était uniformément répandue sur toutes
ractilité électrique et progressa rapidement. Dans le temps même où l'
atrophie
se prononçait, la peau des membres du côté gauche
re de la substance grise du côté correspondant et y avait déterminé l'
atrophie
d'un certain nombre de cellules motrices. 1. Ch
rosseux étaient atrophiés ; les avant-bras présentaient également une
atrophie
très marquée, limitée à certains groupes de muscl
emps inaperçues. ¦ i'ondes de la contractilité électrique, et d'une
atrophie
à dévelop-pement rapide de la fibre musculaire. —
ement, on peut suivre le développement des phénomènes corrélatifs : l'
atrophie
des masses musculaires s'accuse bientôt ; les lés
sion de constater la lésion histologique des faisceaux primitifs et l'
atrophie
des masses musculaires qui ne manqueraient sans d
n point de départ dans la névroglie. Il est des cas d'ail-leurs, où l'
atrophie
d'un certain nombre, voire même d'un groupe tout
ation des cellules nerveuses, dites motrices, dans la pathogénie de l'
atrophie
musculaire nombreuses recherches dontles lésion
ect. IV : Diseuses of Nerve Cells, p. 683. New-York, 1861. 1. Sur l'
atrophie
des cellules nerveuses motrices dans la paralysie
aires marche d'ailleurs avec rapidité et devient bientôt manifeste. L'
atrophie
simple des faisceauxpri-mitifsavec conservation d
ac-cidentel (1). L''atrophiemusculaireprogressiveoffre à étudier l'
atrophie
irritative des cellules motrices dans son mode ch
1. Charcot et Joffroy, loc. cit. — Vulpian, loc. cit. 2. Voir sur l'
atrophie
des cellules motrices dans l'atrophie musculaire
pian, loc. cit. 2. Voir sur l'atrophie des cellules motrices dans l'
atrophie
musculaire progres-sive : Luys, Société de Biolog
progres-sive : Luys, Société de Biologie, 1860. — Duménil (de Rouen),
Atrophie
muscu-laire graisesuseprogressive, histoire, crit
critique. Rouen, 1867. —Nouveaux faits relatifs à la pathologie de l'
atrophie
musculaire progressive, in Gazette hehdom., Paris
tivement dans un certain nombre de muscles paralysés et, enfin, par l'
atrophie
rapide que ces mêmes muscles subissent, constamme
nt, au contraire, la paralysie générale spinale et larapprochent de l'
atrophie
musculaire pro-gressive avec laquelle elle est qu
membre sont frappés en masse, presque uniformément, de paralysie ou d'
atrophie
; ils présentent, déjà, aune époque peu éloignée d
a langue, le pha-rynx, le larynx, l'orbiculaire des lèvres, etc., une
atrophie
plus ou moins accusée des fibres musculaires (2).
p. 356, 636, pl. XIII. Obs. deCath. Aubel.)—Duehenne et Joffroy. De l'
atrophie
aiguë et chron. des cellules nerv. de lamoelle et
s la sclérose postérieure (ataxie locomotrice) et dans certains cas d'
atrophie
musculaire progressive. Messieurs, Lorsque j'
âgée de 61 ans, admise, il y a huit ans, à l'hospice, comme aveugle (
atrophie
scléreuse des nerfs optiques), est aujourd'hui
es douleurs fulgurantes à l'une quelconque des lésions suivantes : 1°
atrophie
des racines postérieures avant leur entrée dans l
duisent le décubitus aigu sont aussi celles qui donnent naissance à l'
atrophie
musculaire rapide et aux autres troubles du même
fet, certaines affections spinales ont pour carac-tère que toujours l'
atrophie
rapide des muscles se développe sansaccompagnemen
contractilité électrique (faradique) des muscles, bientôt suivie de l'
atrophie
, une forme particulière d'arthro-pathie sur laque
le décubitus aigu. Chose remarquable, tandis que l'arthropathie et l'
atrophie
musculaire siègent sur le membre du côté où la mo
thropathie n'estpas signalée, mais on y trouve notée, par contre, une
atrophie
rapide des muscles du membre paralysé, précédée,
95. Obs. \.) faits exposés dans la leçon précédente, de rapporter l'
atrophie
rapide et générale des muscles paralysés, notés d
tanément, il en résulte que, dans la clinique, le décubitus aigu et l'
atrophie
musculaire aiguë, tantôt se montreront isolés, ta
res à formation rapide et, lorsqu'il s'agit de la' moelle épinière, l'
atrophie
musculaire aiguë des membres paralysés, la cystit
'usure qu'ont subies les têtes osseuses. J'ai noté plusieurs fois une
atrophie
rapide des masses musculaires sur les membres où
ve: sclérose des cordons posté-rieurs, méningite spinale postérieure,
atrophie
des racines pos-térieures des nerfs rachidiens. U
1), Remak (2), et tout récemment M. Rosen-thal (3) ont observé dans Y
atrophie
musculaire progressive des arthropathies, qui, pa
ois les membres sur lesquels se développent les troubles trophiques —
atrophie
musculaire rapide,éruptions huileuses, eschares,—
laire. Il peut survenir, et je l'ai constaté deux fois, une véritable
atrophie
graisseuse des muscles. A un moment donné, l'inte
tionnées, dans les nécrop-sies, des lésions banales, en particulier l'
atrophie
cérébrale sénile; or, celle-ci peut exister, comm
est muette. 11 n'est nullement question, dans le texte allemand, de l'
atrophie
des éléments nerveux, non plus que des caractères
instar de l'ataxie lo-comotrice dans certaines circonstances, et de l'
atrophie
mus-culaire progressive, une maladie de famille.
res ; en réalité, ils ont surtout diminué de volume, et cette sorte d'
atrophie
s'est faite aux dépens du cylindre de myéline, ca
le qui, en outre, semble composé de couches concentriques. Enfin, une
atrophie
, capable d'amener une diminution de volume re-lat
g.. 1868. le fait initial, fondamental, l'antécédent nécessaire ; l'
atrophie
dégénérativedes élémentsnerveuxestsecondaire, con
sibilité. — Immixtion de symptômes insolites : symptômes tabétiques ;
atrophie
musculaire. — Contracture permanente. —Epilepsie-
tée par M. Magnan (Archiv. de physiologie, t. II, p. 795), il y avait
atrophie
papillaire des deux yeux avec cécité complète.
e, tantôt enfin dans les cas rares oùla cécité est complète (1 ), une
atrophie
totale (coloration d'un blanc nacré, extrême ténu
a s'observe dans certains cas de paralysie labio-glosso-laryngée avec
atrophie
des muscles linguaux. D'abordàpeine appréciable
les rappelant, tant par son siège que par son mode d'envahissement, l'
atrophie
musculaire à marche progressive. 11 m'a été donné
, qui a succombée à une sclérose en plaques. M. Charcot a observé une
atrophie
des muscles de l'éminence thénar. La paume delà m
einte d'une hémiplégie du côté droit, datant de l'enfance. Il y avait
atrophie
générale, rigidité et raccourcissement des membre
mités, surtout à gauche : tremblement de la tête ; parole difficile :
atrophie
des jambes. — Autopsie : Sclérose du pont de Varo
r la contrac-ture disparaître sans laisser de traces. Au contraire, l'
atrophie
limitée plus particulièrement à certains groupes
es contractions fibrillaires, analogues à celles qu'on observe dans l'
atrophie
musculaire progressive ou un affaiblissement très
initive (juin 1870). Plusieurs des muscles de la jambe ont subi une
atrophie
pro-fonde; ils présentent, de plus, des contracti
aigrissement général assez prononcé, mais on n'observe aucune trace d'
atrophie
partielle. Aucun désordre à noter, du reste, dans
pemphigus. — Glossy Skin des auteurs anglais. — Lésions musculaires :
atrophie
. — Lésions ar-ticulaires; lésions osseuses : péri
de charbon, etc. Éruptions cutanées diverses (zona, pemphigus, etc.),
atrophie
musculaire, arthropathies, qui, en pareil cas, se
nution ou abolition hâtives de la contractilité électrique, suivies d'
atrophie
rapide des muscles dans Je cas de paralysie rhuma
terminent l'abolition hâtive de la contractilité électrique, suivie d'
atrophie
rapide des muscles. Expériences de MM. Erb, Zie
nale de l'adulte, paralysie générale spinale (Duchenne, de Boulogne),
atrophie
musculaire progressive, etc. —Rôle prédomminant d
s la sclérose postérieure (ataxie locomotrice) et dans certains cas d'
atrophie
musculaire progressive.................... 75 Q
sibilité. — Immixtion de symptômes insolites : symptômes tabétiques ;
atrophie
musculaire. — Contracture permanente. — Epilepsie
dans la sclérose en plaques, 233. Amyotrophie protopathique ( V .
Atrophie
musculaire). — symptoma-tique : dans la contractu
e la sclérose en plaques, 230 ; — dans la sclérose en plaques, 242.
Atrophie
musculaire, 5. — consé-cutive à la section du ner
ellules : forme aiguë (pa-ralysie infantile), 68 ; — forme chronique (
atrophie
musculaire progressive, 69. — Rôie des — dans la
paraplégie traumatique, 100. — Arthro|athies dans 1' —, 103, 106. —
Atrophie
musculaire dans 1' —, 105. — Altérations des urin
iques des), 36 ; — dans la paralysie infantile, 68. (V. Amyotrophies,
Atrophie
musculaire, Myopathies, Sclé-rose en plaques.)
mem-bres inférieurs, 239. — Symptô-mes insolites, 241. — Ataxie, 212.
Atrophie
musculaire, 241. — Con-tracture des membres, 245.
. D'après Bouvier, en effet2, le torticolis pour- rait déterminer l'
atrophie
du côté correspondant de la face, et Broca nous
ujet dont le père fut atteint plus tard d'ataxie locomotrice 4. L'
atrophie
musculaire progressive est quelquefois une mala
, Bd. VII, II. 1, p. Ib.) in .labdte. Lypélnflnie consecutive à une
atrophie
musculaire progrea- sive. (Ann. nzéd. psych., 6
accompagnée, comme cela a lieu dans cette dernière affection, de l'
atrophie
des cellules antérieures. Aussi ne saurait-il ê
embres. - Douleurs au niveau du thorax et des membres inférieurs.
Atrophie
grise des nerfs optiques. -Sclérose des cordons p
nerfs optiques. -Sclérose des cordons pos- térieurs et latéraux. -
Atrophie
des tubes nerveux dans les nerfs de la deuxième
lmoscopique, pratiqué par M. Parinaud, démontre l'exis- tence d'une
atrophie
grise des papilles. De temps en temps, la malad
sont amaigris ; mais il ne semble pas y avoir à proprement parler d'
atrophie
musculaire. Pas de troubles du côté des réservo
é de notre cas mérite d'être mise en relief, c'est l'existence de l'
atrophie
des nerfs optiques. Cette atrophie s'observe co
n relief, c'est l'existence de l'atrophie des nerfs optiques. Cette
atrophie
s'observe communément, on le sait, dans le tabe
ent à la genèse des altérations de l'ataxie locomo- trice. Pareille
atrophie
existait aussi chez le malade dont M. Babesiu a
fausse sclérose sys- tématique combinée de la moelle, compliquée d'
atrophie
des nerfs optiques. Un certain nombre d'obser
VEUSE. dans la région dorsale et s'accompagnant à ce niveau d'une
atrophie
des racines rachidiennes postérieures. Cette sc
onfiné au lit. Vers la troi- sième année commença à se manifester l'
atrophie
des papilles; l'affection dura quatre ans; en d
tant, d'aspect gélatiniforme. Pas de lésions à première vue : pas d'
atrophie
de la corne d'Ammon. Les ventricules latéraux e
tte conclusion que la résection d'un côté du bulbe n'entraîne pas l'
atrophie
du centre visuel de Munk du côté opposé; on y r
nt vécu ultérieurement de six à quatorze mois, M. Furstner trouva l'
atrophie
du nerf optique ainsi qu'une faible atrophie du
, M. Furstner trouva l'atrophie du nerf optique ainsi qu'une faible
atrophie
du faisceau croisé, le tubercule quadrijumeau qui
leurs subi qu'une petite diminution de volume; jamais il n'obtint l'
atrophie
du centre visuel croisé, non plus que l'hypertr
le que M. Furstner l'a consignée du côté lésé, sans que pour cela l'
atrophie
de la région corticale du côté susmentionné ait
rend la région motrice du lobe frontal. De sa destruction résulte l'
atrophie
des fibres des pyramides et du faisceau de Vicq
lie. Un peu d'affaiblissement de la motilité du côté gauche, sans
atrophie
musculaire, ni troubles de la sensibilité. Rien
bulbaire progressive : la con- servation des réflexes, l'absence d'
atrophie
musculaire et la' conservation de la contractil
le nom de sa rue. Pupilles immobiles, la droite plus étroite. A une
atrophie
pupillaire qualifiée de ta- bétique par M. Fano
ions médullaires développées chez les goutteux, signalons un fait d'
atrophie
musculaire progressive vu par M. Potain '. Dans
Par le Der GILBERT BALLET, ancien chef de clinique de la Faculté. L'
atrophie
de certains groupes musculaires n'est pas un fa
relief leur fré- quence relative et leurs caractères propres. . L'
atrophie
musculaire des ataxiques « ne présente pas, dit
cas recueilli dans mou service par M. Pierret, ajoute M. Charcot, l'
atrophie
portait à la fois sur toute l'étendue du membre
e locomotrice se complique aune période relati- vement précoce de l'
atrophie
de certains muscles..., notamment de ceux d'une
constate tous les signes de l'ataxie et, de plus, un commencement d'
atrophie
des muscles de l'é- ' Grasset ? 5·aite ywatigue
19 le CLINIQUE Nh¡t\ BUSB. minence thénar de la main droite. Cette
atrophie
de la main a débuté, au dire du malade, il y a
atrophié présente la forme de circonvolutions bien décrite dans l'
atrophie
de la langue. On la voit aussi agitée de contra
llet 1875. DE L'HEM1A'rlWPHII, : DE LA LANGUE. 195 Observation I.
Atrophie
musculaire de la moitié gauche de la face el de
est très amaigri. Il a presque complètement disparu. Par suite de l'
atrophie
des DE 1.'HFRI1TILOP111G de 1.1 langue. 197 m
ie au niveau des interos- seux. c) Membre inférieur gauche. Pas d'
atrophie
musculaire; mais diminution de la sensibilité d
dans l'ataxie. Cette affection dé- termine plutôt, on le sait, une
atrophie
qu'une hypertro- phie des têtes osseuses, et no
chez le même sujet, d'un rhumatisme chronique et d'une DE 1,'H k,li
ATROPHIE
DE LA LANGUE. 199 ataxie. Des coïncidences anal
r sous la direction de notre maître, nous autorisent à penser que l'
atrophie
de la langue, sans 1 Bulletin de la Société ana
201 t et de l'épaule droits. La même année on constatait un peu d'
atrophie
des deux papilles plus prononcée à gauche, et une
vons fait reproduire ici (Fig. 3) '. Il n'y avait d'ailleurs aucune
atrophie
des muscles des membres et du tronc. Un secon
nerveux , héréditaires. Atrophies musculaires multiples. - Hémia-
atrophie
de la langue. M. Grossor..., trente-cinq ans, h
Leisier, telle qu'elle est 1 apportée dans la thèse de M. Illum, l'
atrophie
linguale n'est pas mentionnée. C'est qu'en effe
llum, l'atrophie linguale n'est pas mentionnée. C'est qu'en effet l'
atrophie
s'est montrée une époque postérieure à celle ou l
ite étant un peu plus dilatée; absence de réflexes pour la lumière;
atrophie
de la papule au début a droite, s'accusant pa
lade, c'est l'existence d'atro- phies musculaires multiples. 1°
Atrophie
des muscles des membres. L'atrophie est surto
ies musculaires multiples. 1° Atrophie des muscles des membres. L'
atrophie
est surtout marquée au niveau des membres sup
ux ont beau- coup diminué de volume. La main droite, malgré que l'
atrophie
y soit très réelle,n'a pas de tendance à se pla
emble qu'il s'agisse là plutôt d'un simple amaigrissement que d'une
atrophie
vraie. 2° Hémiatrophie de la langue ( ! %i. 5.)
au duquel le tremblement porte seulement sur la partie atrophiée. L'
atrophie
de la langue semble gêner fort peu la masticati
et iodure de potassium) fut institué et ne donna aucun résultat. L'
atrophie
de la langue, loin de rétrocéder, continua à pr
pportés plus haut, et d'en faire, sans plus ample informé, un cas d'
atrophie
linguale tabétique. Le diagnostic, on le voit
l'hémiplégie est ancienne et très prononcée. Mais, dans ces cas, l'
atrophie
ne serait constatable qu'après la mort et par l
omplication de chorée. Le second cas a été publié par Jackson, et l'
atrophie
linguale dans celui-ci paraît avoir été produit
érie, elles semblent déter- miner plus fréquemment que les autres l'
atrophie
I \V. l.W ne-Clarke. - A treuluc on the cleseas
manentes et irrémédiables comme placées sous la dépendance de cette
atrophie
. Le fait est vrai pour les muscles des membres,
s altérations très graves des muscles oculaires et souvent même une
atrophie
des nerfs moteurs oculaires ». Or, ces divers
e ou des yeux, reconnaître une pathogénie univoque. On sait que l'
atrophie
des muscles des membres résulte d'une atrophie
que. On sait que l'atrophie des muscles des membres résulte d'une
atrophie
des cellules des cornes antérieures de la moelle,
d'hémiatro- phie linguale que nous possédons, la coïncidence de l'
atrophie
des muscles de la langue (Cas. personnelle; OBs
ou tro- DE L'HG\IIaTROPIIIr nE LA LANGUE. 1217 phiques bulbaires (
atrophie
delà langue, paralysie des muscles oculaires, e
paralysie infantile, dans la paralysie spinale de l'adulte, dans l'
atrophie
musculaire progressive, dans la paralysie génér
ous les symptômes classiques de la sclérose latérale amyotropbique,
atrophie
des muscles avec con- tractures dans les poigne
sensibilité, nuls troubles aussi du côté de la vessie ou du rectum.
Atrophie
de la langue avec parésie qui s'est associée pe
ntérieures très prononcée, surtout dans le ren- flement cervical et
atrophie
des racines antérieures. Dans le bulbe, l'étage
ne peut être tirée hors de la bouche; elle est large, étalée, sans
atrophie
, ni déviation. Il n'y a pas d'aphasie et le mal
e. Réflexes conservés, ainsi que la contractilité électrique. Pas d'
atrophie
des muscles atteints. 302 PATHOLOGIE NERVEUSE
patellaire. Pas de con- tracture ni d'épilepsie spinale. Absence d'
atrophie
musculaire et de troubles trophiques. Contracti
ns les mouvements d'extension au dehors et d'éléva- tion) ; pas d'
atrophie
ni de dévia- tion. Les lèvres se rapprochent
ons dans la substance grise des cornes postérieures, ainsi que de l'
atrophie
des racines postérieures (identité des fibres de
'hémianesthésie et l'hémiopie passagères, de là l'aphasie du debut.
Atrophie
du lobe frontal en rapport avec la démence de l
ieures, la paralysie infantile, la paralysie spinale de l'adulte, l'
atrophie
musculaire progressive, laparalysie-labio-glosso-
repris les séances d'une façon continue. P. K. XXXV. Observation d'
atrophie
musculaire, articulaire ET osseuse, névropathiq
extrémités supérieures et les mains, et sont caractérisées par de l'
atrophie
des muscles, des tendons, des os, les articulat
nkylosées, tordues de par les contractures musculaires. Signalons l'
atrophie
avec rigidité des sternocleidomastoïdiens, des
ité des sternocleidomastoïdiens, des trapèzes, en opposition avec l'
atrophie
sans exagération de la tonicité des pectoraux :
rapprocher de l'atro- phie concentrique de Volkmann, semblable à l'
atrophie
générale sénile, dont le début devrait peut-êtr
ations spiniles (Autopsie ' d'une ancienne paralysie infantile avec
atrophie
très localisée) ; z par Hermann S.mu. (Berne, D
que, avait, à la suite d'une paralysie atrophique de l'enfance, une
atrophie
considérable des muscles des éminences thénar e
ux muscles atrophiés. L'auteur ajoute quelques considérations sur l'
atrophie
des os correspondants aux muscles paralysés, et
lysie des muscles de la bouche, de la langue, du voile du palais, l'
atrophie
commençante du nerf optique, l'insensibilité re
ique, on notait, avec la parésie de tous les muscles des yeux, de l'
atrophie
des nerfs optiques (cécité d'un côté), de la pa-
révélait la dégénérescence des cordons postérieurs et laté- raux, l'
atrophie
des nerfs oculo-moteurs externes, oculo-moteurs
cas, la participation morbide du nerf optique (cécité ou amblyopie,
atrophie
) apparaissait dix fois. M. Westphal ne croit pa
ce progressive. L'anatomie pa- thologique permet de lui attribuer l'
atrophie
des nerfs oculaires correspondants (deux cas de
ques ressortissant aux trois autres observa- tions se résument en :
atrophie
des nerf moteurs de l'oeil et de leurs muscles
de visé dans l'espèce, était en même temps atteint de sclérose et d'
atrophie
des cordons postérieurs excessivement accusées.
ation regarde la paralysie générale seule, voudrait-elle dire que l'
atrophie
des fibres fût primitive et que l'encéphalite ser
ce sont des altérations d'un genre particulier, qui ont déterminé l'
atrophie
de la substance nerveuse. 11 ne manque pas non
substance nerveuse a été atrophiée primitivement, d'emblée. Si à l'
atrophie
s'ajoute l'm- flammation interstitielle, c'est
ne genèse multiple, mais ce ne peut être, eu dernier ressort, que l'
atrophie
du parenchyme cérébral, qui Archives, t. VU. 12
tains cas, son écorce indemne ; quand l'écorce diminue de volume, s'
atrophie
, on doit penser a une atrophie fondamentale des
uand l'écorce diminue de volume, s'atrophie, on doit penser a une
atrophie
fondamentale des éléments corticaux. Tuczek a rai
eur), mi-partie dans l'olive infé- rieure. Cette texture explique l'
atrophie
secondaire de l'olive du cas 376 ô SOCIÉTÉS SAV
le temps de l'observation. Chez 12 p. 100 des paralysées générales,
atrophie
blanche ; chez deux d'entre elles il n'y avait
'entre elles il n'y avait qu'une légère pâleur de la papille. Cette
atrophie
est- elle la phase ultérieure d'un processus pa
rales, manquait vingt fois. Or. sur les douze patientes atteintes d'
atrophie
papillaire, six ne tradui- saient plus le réfle
la durée, la marche de la paralysie générale; loin de là, souvent l'
atrophie
pa- pillaire ou la disparition du phénomène du
uis les circonvolutions ascendantes jusqu'à la queue de cheval, une
atrophie
très avancée, compliquée d'oedème très mar- qué
s; par Dultois. Thèse de Paris, 1884. Contribution a l'élude de l'
atrophie
musculaire progressive (1) pc Aran-Duchennej ;
ans l'), z24 ; - (hérédité nerveuse dans la genèse de l'), 259.
Atrophie
, musculaire. articulaire et osseuse, névronathi
ct des urines et il existe de profondes es- carres ; il n'y a pas d'
atrophie
musculaire. Les membres' supérieurs sont allong
egré d'oedème au niveau de la paume. On est frappé de suite par une
atrophie
marquée localisée aux muscles de la ceinture scap
s signes nous montraient que la lésion devait s'étendre en haut ; l'
atrophie
des deltoïdes et celle des muscles de l'épaule
e d'un mot. Ces désordres, toutefois, s'expliquent facilement par l'
atrophie
sénile du cervelet dont cet homme était atteint.
ous avons constaté un épaississement généralisé de la pie-mère, une
atrophie
corticale très accentuée et une dilatation assez
passablement élargis. Or, en réalité, il ne s'agit pas d'une simple
atrophie
ainsi qu'on pourrait bien le croire ; la consis
ais avec une « légère hésitation » ; il n'y a pas de paralysie ni d'
atrophie
. La voix n'est ni.enrouée ni bitonale. Du côte
lques troubles dans l'articulation de certaines lettres (1). L'hémi
atrophie
ET L'lIE41t1' : 1HI.SIE linguales, symptômes obje
la moitié gauche atrophiée, la pointe dirigée à gauche du côté de l'
atrophie
; rides nombreuses et profondes, consislance moin
onsislance moindre de celte moitié. La paralysie, correspondant à l'
atrophie
, répond bien au type décrit par Babinski (Soc.
ée, l'hystérie fait de l'hémispasme glossolabié et ne produit pas d'
atrophie
, on doit se demander d'abord, ou siège la LÉSION,
lésion secondaire comme dans le cas de lésion de l'hypoglosse avec
atrophie
de son noyau d'origine publiée par Laignel-Lavast
façon générale, les lésions corticales ne donnent naissance à de l'
atrophie
que par l'intermédiaire des neurones bulbo-médu
e de ces hémiatrophies. En sa faveur plaident, chez notre malade, l'
atrophie
très marquée et les tremblements fibrillaires,
bulbaire unique puisse anatomiquement expliquer. Pour produire une
atrophie
linguale et une paralysie faciale alterne, il fau
ipaux caractères morphologiques propres à l'enfance : hypoplasie ou
atrophie
des organes génitaux, absence des carac- tères
les entre elles. Iris normaux. Milieux éclairables. Fond d'oeil :
atrophie
optique bilatérale plus accentuée à droite. Acu
dévelop- pés, absence de poils. En outre : céphalée, vomissements,
atrophie
blanche des deux papilles. Réaction hémiopique
Epiphyses osseuses non soudées. Céphalée, vomissements. Cécité avec
atrophie
blanche bilatérale des papilles. Grand élargiss
céphalée. Hémianopsie latérale droite. Pâleur de la papille droite.
Atrophie
de la papille gauche. Elargissement énorme de la
e de poils. Pas d'adiposité. Céphalée. Hémianopsie bitemporale avec
atrophie
optique. 76 SOUQUES ET STEPIIEN CHAUVET II. C
21 ans qui, à partir de t'age de 14 ans, avait l cessé de grandir.
Atrophie
des organes génitaux. Cryptorchidie du côté droit
de l'hypophyse, mais tumeur cal- cifiée de la tige pituitaire (1).
Atrophie
testiculaire avec absence de cellules interstit
s'agissait d'un tératome. Cas de Zôllner. Femme d'aspect infantile.
Atrophie
optique bilatérale. Autopsie : Carcinome du lob
et Qttacquenboss. Homme de 27 ans ayant la taille d'un adolescent.
Atrophie
des organes génitaux. Absence de poils. Hémianops
la Salpêtrière, 1907, p. 238. ' CusniNS. Infantilisme sexuel avec
atrophie
optique due à une tumeur de l'hypophyse. Journ.
acrée. A l'autopsie : tuberculose pulmonaire sclérosée aux sommets,
atrophie
sénile. Le tissu du cerveau est dur, sec, blanc
s altérations du squelette dans l'aclion- droplasie dépendent d'une
atrophie
du cartilage épiphysaire primordial, qui accomp
ne l'était pas, mais sa main était à trident et présentait la même
atrophie
des métacarpiens qu'on a trouvée chez le fils.
taires. Leur volume semble réduit dans certaines régions bien que l'
atrophie
ne soit pas manifeste. On observe aussi des îlo
que. On n'a pu conslaler aucun des symptômes observés dans le cas d'
atrophie
musculaire quelle qu'elle soit. Les auteurs exp
ssance de. l'existence, dans sa famille, d'un cas de paralysie ou d'
atrophie
musculaire, ou d'une difformité quelconque. Les
e voit ni tremblement, ni contractions fibrillaires, ni spasmes, ni
atrophie
, ni même hypertrophie ou pseudohypertrophie.
re, les réactions électriques des muscles para- lysés, avec ou sans
atrophie
, chez l'hémiplégique ne sont généralement pas m
minuées elles le sont seulement quantitativement et au prorata de l'
atrophie
; enfin parfois et exceptionnellement, le phéno
du Ve à droite. Réflexe cornéen du côté droit 0, du côté gauche -1-.
Atrophie
du muscle masséter droit et du muscle temporal
e l'hôpital. Il rentra de nouveau le 8 avril 1908. Cécité complète.
Atrophie
papil- laire des deux côtés. Parésie du nerf fa
bservation 1 (PI. XXXVIII). (Service du Dr GALLAVARDiN.) Résumé :
Atrophie
testiculaire sans doute congénitale. Absence de l
iveau de la bouche ou des dents. En somme, n'étaient sa taille et l'
atrophie
de ses testicules, notre homme serait absolumen
andis qu'elle fait défaut chez le malade de l'observation I, dont l'
atrophie
testiculaire persiste. Ces différences mises à
e ne trouver ni infantilisme, ni féminisme, chez un sujet atteint d'
atrophie
testiculaire congénitale. Aussi croient-ils à l
w dans un certain nombre de cas alors que, dans d'autres, on note l'
atrophie
du corps thyroïde. On doit donc en déduire que
érodermie présentant en même temps des symptômes basedowiens et une
atrophie
de la face. Eichhorst (3), dans son Traité de p
un simple goitre. Schâffer (4) a publié un cas de sclérodermie avec
atrophie
du corps thy- roïde. Dans celui communiqué par
etit. Hektoen (9) a publié un cas de sclérodermie où il a observé l'
atrophie
, la sclérose et la disparition d'un goitre, la
), il y avait de la sclérodermie et le syndrome de Raynaud avec une
atrophie
du corps thyroïde. Dans le IIP cas d'Osier (11)
chez une femme de 39 ans, atteinte d'une sclérodermie diffuse, une
atrophie
considérable du corps thyroïde. Kronheimer (6)
e considérable du corps thyroïde. Kronheimer (6) a noté également l'
atrophie
de la thyroïde chez une femme de 23 ans présent
physe et un goitre colloïdal. Laignel-Lavastine (5) a observé une
atrophie
appréciable du corps thy- roïde chez une jeune
rodactylie et puis la sclérodermie. Dupré et Kahn (6) mentionnent l'
atrophie
du corps thyroïde chez une femme de 57 ans avec
s le cas I de sclérodermie diffuse de Pedrazzini (7), il est noie l'
atrophie
du corps thyroïde et l'opothérapie thyroïdienne f
pas lieu d'admettre une hypertrophie surrénale compen- satrice de l'
atrophie
thyroïdienne. Strumpell (7) a émis l'opinion th
de se limiter à la peau, est très envahissante et il insista sur l'
atrophie
des muscles, qu'il croyait secondaire à une lés
de relever : ' , 1° Les relations existant entre la sclérodermie, l'
atrophie
thyroïdienne et l'hypertrophie hypophysaire;
l'exagération des plis paralabiaux. Au cou la palpation révèle une
atrophie
absolue,complète, du corps thyroïde, qui n'est
nces thénar et hypothénar sont aplaties ; il y a un certain degré d'
atrophie
musculaire. La paume des mains est toujours hum
et le talon, à cause de la rétraction des tissus, est anguleux. L'
atrophie
musculaire, très accusée -aux mollets, diminue à
s parties molles, mais encore les os, qui sont nettement altérés. L'
atrophie
osseuse est localisée aux extrémités digitales, e
sition dorso-pal- maire. Il est inutile d'ajouter que les lésions d'
atrophie
osseuse se sont montrées parfaitement symétriqu
femme de 36 ans présentant des signes certains d'hypo- thyroïdisme (
atrophie
de la glande, suspension des règles) depuis 6 ans
es endroits, au contraire (cou, épaules, ceinture pelvienne), cette
atrophie
musculaire n'est pas accompagnée d'une indurati
c- tionnement du corps thyroïde : cette glande présentait un état d'
atrophie
complète avec retentissement sur les glandes gé
uspension des règles à un âge encore relativement peu avancé. Cette
atrophie
du corps thyroïde, fréquente dans la sclérodermie
ée sur l'insuffisance thyroïdienne ; on a observé en effelque celle
atrophie
était le plus souvent unilatérale et que, par con
cas par la médication thyroïdienne. Or, ce n'est pas toujours une
atrophie
thyroïdienne qui se produit au cours de la sclé
vec laquelle les hypertrophies du corps thyroïde sont suivies d'une
atrophie
de cette glande, en dernière analyse l'on peul
tions thyroïdiennes ont soulevé l'hypothèse que l'hypertrophie et l'
atrophie
consécutive de cette glande sont liées à des tr
re deviennent plus ou moins épais, dans la sclé- rodermie la peau s'
atrophie
, se rétracte, et à cette atrophie les os sous-
dans la sclé- rodermie la peau s'atrophie, se rétracte, et à cette
atrophie
les os sous- jacents et surtout ceux des derniè
atologie und Venerologie, 1908, no 6. 304 BERTOLOTTI liée à une
atrophie
du corps thyroide. Or, depuis les recherches de
e des symptômes généraux graves concomitants, caractérisés par de l'
atrophie
musculaire, des troubles vaso-moteurs, tro- phi
, en se basant sur la coexis- tence des taches, des tumeurs et de l'
atrophie
musculaire, on avait cru pouvoir conclure à une
insertion de certains muscles est calcifiée (tendon d'lcliille) ; l'
atrophie
musculaire dans certains endroits atteint un de
mme le petit doigt, les éminences thénar et hypothénar ont subi une
atrophie
énorme, la flexion et l'extension des doigts so
une leucoplasie buccale très accentuée. On notait encore une double
atrophie
de la papille avec troubles du réflexe pupil.-
uer. Chez un autre malade, le viti- ligo coexistait avec une double
atrophie
des'nerfs optiques. Deux malades ne présentaien
rêmement réduite dans les plans supérieurs ; il ne s'agit pas d'une
atrophie
primitive, 'mais plutôt d'une atrophie secondaire
urs ; il ne s'agit pas d'une atrophie primitive, 'mais plutôt d'une
atrophie
secondaire. C'est sans doute à la dégénérescenc
la dégénérescence des fibres de projection qu'il faut attri- buer l'
atrophie
extrême du thalamus dans sa partie la plus supéri
ibres à myéline y sont clairsemées et faihlement colorées. Dans cette
atrophie
sont compris le noyau externe, le noyau interne
e déformation due très vraisemblablement à la dégénérescence et à l'
atrophie
de la capsule interne. Le noyau de Luys parait pl
rt des cas semblables, la dégénération se traduit davantage par une
atrophie
globale que par la décolo- ration sur les coupe
, parce qu'il faut tenir compte du tassement qui se produit et de l'
atrophie
secondaire de l'étage inférieur. Le faisceau ex
ures. - Dégénération du segment postérieur de la capsule interne. -
Atrophie
de la couche optique. le,(;. B. - Coupe horizon
ayant empieté sur la moitié antérieure de la temporale profonde. -
Atrophie
du thalamus. Atrophie de l'opercule rolandique
moitié antérieure de la temporale profonde. - Atrophie du thalamus.
Atrophie
de l'opercule rolandique et de la 3, circonvolu
rolandique, pariétal et frontal, est atteint dans sa face profonde. -
Atrophie
du gy- rus supramarginalis et de la 2- circonvo
'est généralement chez des idiots que l'on constate l'agénésie et l'
atrophie
du corps calleux, et nous avons recherché dans
âne durs, moitié plus épais à droite qu'à gauche; pas de synostose.
Atrophie
considérable de l'hémis- phère cérébral droit,
obe temporal. Absence du 408 ROUBINOVITCH ET BARBE corps calleux;
atrophie
du lobe gauche du cervelet. Plus récemment, Kot
nt,commandé pal' la lésion hypophysaire. Quant aux rapports entre l'
atrophie
testiculaire et la lésion primitive du corps pi
amène dans un grand nombre de cas un arrêt de développement, et une
atrophie
génitale, on voit que l'on est autorisé à décri
bles oculaires graves, de céphalée et d'accidents délirants, puis d'
atrophie
testjculaire avec syndrome eunuchoïde sans infant
le même diminuée d'étendue, ce qui est de nature à évoquer l'idée d'
atrophie
hypophysaire. Quoi qu'il en soit, l'absence d
que par un processus néoplasique, par un processus de sclérose ou d'
atrophie
- fait que notre interprétation demeure jusqu'i
et sur l'encéphale. Déformation de la voûte crânienne, exophtalmie,
atrophie
des nerfs optiques, pouvant se compliquer de fai-
lblatt f. Augenheil- kunden, 1883-85. - (10) SCHlILLER, Schnerven
atrophie
d. Schoedelmissbildung, Kliniscb 1\10no.tsblatter
ce, mai 1893. (15) BOUIiNEVILLÛ, Oxyl1'igallocéphalia, épilepsie et
atrophie
optique, Comptes rendus de Bicêtre, 1895. (16
. Iconographie de la Salpêtrière, 1908. (26) MxvLzeER,'Palhog. de l'
atrophie
optique et du ThU1'mshoedel, Neur. Centralblalt
tut, Traité d'Anatomie humaine. ... ' ? S YXIX -3 SUIt UN CAS D'
ATROPHIE
MUSCULAIRE CHEZ UN [NÈGRE PAR R A. AUSTREGÉSI
Médecine de Rio de Janeiro. Dans nos services de clinique les cas d'
atrophie
musculaire ne sont pas rares. Cependant, nous n
musculaire ne sont pas rares. Cependant, nous n'avions jamais vu l'
atrophie
musculaire progres- sive dans la race noire où
est rare. L'observation suivante mérite donc d'être enregistrée. L'
atrophie
pré- sentée par le malade est semblable au type
le patient ayant les scapulæ alaise. On ne voit pas l'invasion de l'
atrophie
aux mains ni aux régions thénar, hypothénar, ni
aux régions thénar, hypothénar, ni aux interosseux. Il semble que l'
atrophie
ait commencé par la racine des membres, dans la
s pour M. Sacara est un phénomène actif com- pensateur. En ellet, l'
atrophie
des muscles extenseurs des cuisses sur le bassi
nfé- Kouvei.le Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVI. Pl. LXI
ATROPHIE
MUSCULAIRE CHEZ UN NÈGRE (Auslrcgesito) Mnsso
Z UN NÈGRE (Auslrcgesito) Mnsson & C^, Ehteurs SUR UN CAS D'
ATROPHIE
MUSCULAIRE CHEZ UN NÈGRE 431 rieur, le malade a
ie de Paris (Séance du 12 janvier 1911). Il s'agit, en effet, d'une
atrophie
musculaire progressive.. L'atrophie est nette
). Il s'agit, en effet, d'une atrophie musculaire progressive.. L'
atrophie
est nette dans plusieurs muscles de la ceinture s
aie hypertrophie ; comme l'ont montré P. Marie et Guinon en 1885, l'
atrophie
musculaire n'a rien a voir avec le volume du mu
Ce n'est pas seulement la palpation et l'inspection qui montrent l'
atrophie
par la mollesse et la dépressibihté des autres ma
e et l'évolution lente sont des signes qui viennent à l'appui d'une
atrophie
musculaire dite primitive progressive, myopathi
ec myxoedème, acromégalie avec hyperthyroï- disme, acromégalie avec
atrophie
testiculaire, acromégalie avec insuffi- sance s
sence de la réaction de dégénérescence. (1) PIERRE Marie et Foix, L'
atrophie
isolée non progressive des petits muscles de la
s a observés avec M. Foix et qui peuvent expliquer certains faits d'
atrophie
des petits muscles de la main (1). Il serait prém
UN CAS DE MÉGALODACT'YLIE UNILATÉRALE DES ORTEILS 477 jointe à l'
atrophie
du le', à l'atrophie légère des 4e et 5*, les aut
CT'YLIE UNILATÉRALE DES ORTEILS 477 jointe à l'atrophie du le', à l'
atrophie
légère des 4e et 5*, les autres parties du pied
use se prolonge même sur la face plan- taire du 3e cunéiforme. 2°
Atrophie
du gros orteil. Elle est très marquée, mais peu
e moins que l'hypertrophie des 2' et 3e orteils. Il y a aussi une
atrophie
légère du 1e' métatarsien portant surtout sur l
malade ne peut le mette en extension qu'en se servant de ses mains.
Atrophie
musculaire à la jambe et aux cuisses. - La mo
Babinski ne se produit pas. Les réflexes crémastériens sont abolis.
Atrophie
musculaire massive dans la cuisse et les jambes
squ'à la complète impotence fonctionnelle des membres inférieurs et
atrophie
musculaire massive (le 3e de nos cas). On a not
e par les douleurs extrêmement violentes, la paralysie flasque avec
atrophie
musculaire, la modification des réac- tions éle
re par - de 1 épaule chez un tabé/ ! que), par Goi- 31L,s, 242.
Atrophie
musculaire chez un nègre, par AUSTEIEGESILO, 43
Aphasie de Broca, cerveau (Déjeiune et ANDR6; THOaIS), XLIX à LI.
Atrophie
musculaire chez un nègre (Aus- THEGÉSILO). LXI.
'existence d'un liséré gingival léger. Il n'existe ni paralysie, ni
atrophie
mus- culaire qu'on soit en droit de rapporter à
produise chaque fois que le même territoire est affecté. G. D. II.
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE A TYPE ARAN-DuCHENNE ; p
inte des muscles soumis à la volonté indique, d'après l'auteur, une
atrophie
dégénéralive des fibres et cellules nerveuses,
la motilité volontaire (au bout de huit semaines) et une certaine
atrophie
des extenseurs de l'avant-bras. P. K. XXVI. SUR
absolue des quatre membres : anesthésie légère et passagère ; pas d'
atrophie
musculaire ; réflexes normaux; les sphincters g
achis, avec convexité à gauche, sans aucun point douloureux ; pas d'
atrophie
des membres inférieurs; réflexes normaux. Ici e
d'ordre subjectif. Réflexes normaux ; - pas d'anesthésie : - pas d'
atrophie
musculaire ; tonicité des sphincters conservée ;
Conclusions. - Oui, la paralysie générale s'accompagne toujours d'
atrophie
plus ou moins accusée des fibres intracorlicales
déterminés de l'écorce. Mais il ne faut pas s'illusion- ner. Cette
atrophie
n'est pas caractéristique de la paralysie gé- n
dans les affections cérébrales dues à la sénilité; dans ces cas, -l'
atrophie
des fibres intracorticales marche de pair avec
air avec les lésions athéromateuses. Nous avons aussi rencontré une
atrophie
très nette de ces fibres dans trois cas de psyc
vidus atteints de folie systématique chronique, deux présentaient l'
atrophie
en question, mais ils étaient alcooliques ; les
autres ne présen- taient ni alcooli-me, ni lésion des vaisseaux, ni
atrophie
des fibres intracorticales. D'ailleurs, l'alién
t, en effet, les régions antérieures du cerveau où l'on rencontre l'
atrophie
des fibres intracorticales, mais non sur- tout
à établir au sujet des diverses couches de l'écorce atteintes par l'
atrophie
des fibres intracorticales, au sujet de l'ordre
l'ordre dans lequel elles sont atteintes, ni de la progression de l'
atrophie
du lobe frontal au lobe pariétal, ni de l'intég
reste surtout par plaques. Au point de vue histologique, c'est une
atrophie
simple; les fibres se rétrécissent graduellement,
pourrait l'appeler nutri- tive, le premier degré méritant le nom d'
atrophie
simple ou paren- chymateuse. On est loin, du re
On est loin, du reste, de toujours constater un paral- lèle entre l'
atrophie
des fibres intra-corlicales et les altérations
OGIQUE. 93 tout en faisant remarquer qu'à côté de l'importance de l'
atrophie
des fibres radiculaires postérieures, le maître
rescence des cornes postérieures dans le labes, M. Krauss signale l'
atrophie
de la base de la corne postérieure cervicale (f
se produisent de préférence chez les aliénés, parce que chez eux, l'
atrophie
des circonvolutions qui accompagne si fréquemme
cet entre-croisement et il a signalé la constante coïncidence de l'
atrophie
d'une moitié du cervelet avec l'atrophie du cor
constante coïncidence de l'atrophie d'une moitié du cervelet avec l'
atrophie
du corps olivaire du côté opposé; mais il n'a pas
XXX. Amputation ancienne A la partie supérieure du bras gauche ;
ATROPHIE
DE L\ CIRCONVOLUTION PARIETALE ASCENDANTE DROITE
x où il existe manifestement un certain degré d'amaigrissement ou d'
atrophie
du tissu cérébral, la tension artérielle estéle
is après le début de la maladie. A l'autopsie : dégénérescence et
atrophie
des cellules nerveuses de l'ecorce cérébrale et
s pour révéler la propagation de la lésion à la substance grise : l'
atrophie
mus- culaire progressive et les tremblements fi
logie. SOCIÉTÉS SAVANTES. -t 13 M. A. 111YEa (d'Osnabrrick). De l'
atrophie
des fibres dans le cerve- let. Il s'agit de l'a
rrick). De l'atrophie des fibres dans le cerve- let. Il s'agit de l'
atrophie
des fibres à myéline dans l'écorce du cervelet
ules jusque dans le substratum de névroglie en un plexus élégant. L'
atrophie
est particulièrement accusée dans les préparati
ent de l'appareil vasculaire; nous avons probablement affaire à une
atrophie
pri- mitive des éléments rnyéliniques 1. M. S
'il faille castrer tous les aliénés. M. Cramer (d'Eberswalde). De l'
atrophie
des fibres du cerveau à la suite d'insolation.
ammes), une pleurésie sèche bilatérale, de l'oedème pulmonaire, une
atrophie
brune du coeur. Les fibres itî les ont disparu
issu conjonctif et encore moins à la pathogénie interstitielle de l'
atrophie
des fibres cérébrales. Le cervelet est atteint
sies; on trouva les signes d'une encéphalite franchement aiguë avec
atrophie
partielle de la substance corticale. L'étiologie
cnuLTZR présente un garçon de douze ans atteint de para- lysie et d'
atrophie
des muscles des mains innervés par les nerfs cuúi
re 1888. sociétés savantes. 119 qu'it droite. Il existe aussi une
atrophie
des muscles des avant- bras ; le reste du corps
e les cornes antérieures soient atteintes; mais il existe aussi une
atrophie
juvénile myopathique qui, rien ne s'y oppose, p
yélitiques antérieurs sont : 1° l'affaiblisse- ment musculaire et l'
atrophie
musculaire suivant la disposition et la marche
ystérie, la maladie de Morvan, la lèpre systématisée de Leloir et l'
atrophie
musculaire d'Aran- Duchenne. Le travail de L. B
rencontrer, tels que l'hypéresthésie et l'anesthésie et enfin que l'
atrophie
des muscles du membre inférieur pouvant surveni
base de son remarquable travail, il nous est facile de noter que l'
atrophie
dont il parle est toujours une atrophie en mass
s est facile de noter que l'atrophie dont il parle est toujours une
atrophie
en masse, soit de la totalité du membre, soit d
d'une même branche nerveuse. 1 Landouzy. De la sciatique et de l'
atrophie
musculaire qui peut la compliquer. (Arc%. yén,
clusive- ment aux muscles du mollet, sans qu'il y eût pour cela d'
atrophie
musculaire bien manifeste. Il s'agissait d'un h
ormalement. Fistule vésico-vaginale. Etat actuel (5 novembre 1866).
Atrophie
notable de la jambe gauche (3 centimètres de di
excitabilité électrique. Le pied est tombant; il y a paralysie avec
atrophie
des extenseurs. La localisation n'est pas moins
ar trois ans plus tard la malade avait encore son anesthésie et une
atrophie
des muscles de la région antéro- externe telle
t celle de la jambe gauche. Remarquons que cette paralysie et cette
atrophie
, dues sans aucun doute à la névrite du sciatiqu
tait encore affectée trois aus après le début des ', accidents et l'
atrophie
surtout, à ce moment, était considérable. Cette
ux muscles jambier antérieur et exlen- l seur commun, indiquant une
atrophie
non douteuse de ces muscles. Il en est de même
et péronier, et incom- plète de l'extenseur propre du gros orteil.
Atrophie
musculaire manifeste à la région antéro-externe
ans le petit bassin, se compliquer d'accidents graves, paralys : e,
atrophie
musculaire, localisés exclusivement dans le dom
'aide du forceps, s'était compliquée d'une paralysie incurable avec
atrophie
dégénérative des muscles du mollet. Elle ne sau
IQUE. '161 Observation VII (personnelle).Sc : a(Mgsepa ! 'as : e et
atrophie
dégénérative des muscles extenseurs de la jambe
che, à peine appréciable en réalité et qui prouve en tous cas que l'
atrophie
ne porte que sur les extenseurs dont la diminut
e nulles ; à la cuisse, la résistance est conservée. Il n'y a pas d'
atrophie
des muscles de la cuisse ni de la fesse. - Pas
a douleur est plus vague, quoique non complètement absente. Pas d'
atrophie
de la cuisse ni de la jambe. L'épaisseur de la
es nerveuses. Observation X (personnelle). -Sciatique ancienne avec
atrophie
musculaire et troubles de la sensibilité. Mar
t de tous les muscles de la région antéro-externe de la jambe, avec
atrophie
et réaction de dégénérescence. Puis d'autres dé
omaine du sciatique poplité externe marchent pa- rallèlement avec l'
atrophie
dégénérative constatée dans les muscles animés
onostic assez sévère, com- mandé par la présence d'une névrite avec
atrophie
dé- générative des muscles.. CLINIQUE NERVEUS
'avoir trouvé que les altérations banales de là moelle sénile ; une
atrophie
générale de la moelle, une pig- mentation anorm
a sensi- bilité est respectée; dans un cas seulement il y eut une
atrophie
légère qui disparut plus tard. Il n'existe que
presque impossible, le moignon de l'épaule est déformé, aplati, par
atrophie
notable du deltoïde, sensibilité intacte. Réactio
la gué- rison complète a été la plus fréquente. C'est ainsi que l'
atrophie
, toujours peu marquée d'ailleurs, a été signalé
d plus à l'excitation électrique, non plus que le nerf en question.
Atrophie
correspondante. Patho- génie : portde lourds fa
US-SCAPULAIRE gauche; par J. HOFFMANN (Neurol. Centralbl., 1888.)
Atrophie
du sous-épineux et du sus-épineux. Confirmation d
malade cliniquement étudiée dans la biblio- graphie depuis Romberg.
Atrophie
du coté gauche du visage portant sur les trois
de la sensi- bilité, intégrité des os, pas de troubles vasomoteurs.
Atrophie
simultanée du bras du même côté dans le territo
g du radial. Les conséquences anatomiques de ces névrites ont été :
atrophie
de la racine descendante du trijumeau, atrophie
névrites ont été : atrophie de la racine descendante du trijumeau,
atrophie
partielle de la substance ferrugineuse, alro- p
nseurs et allures de l'excitabilité électrique. Ce ne peut être une
atrophie
musculaire spinale au début, car on constate :
rol. Centralbl., 1888). I. Nystagmus intentionnel. - En même temps,
atrophie
de la - 250 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. moi
médiaire des cellules- araignées qui forment de nouveaux vaisseaux.
Atrophie
parallèle des cellules nerveuses et des fibres
eurs en relalion avec les racines. Ces mutila- tions entraînent une
atrophie
simple, sans autre modification dans la structu
ique, des cellules des cornes antérieures cor- respondantes ; cette
atrophie
s'accentue surtout chez les jeunes animaux et d
e hydrocéphalie interne qui a également par compression déterminé l'
atrophie
du cervelet dans lequel on trouve des lacunes d
trayait avec une aiguille. M. lVionDREr communique un mémoire sur l'
atrophie
thyroïdienne chez les idiots, d'après lequel ce
'âge des sujets. Quoi qu'il en soit, ils n'ont jamais ren- contré d'
atrophie
manifeste et encore moins d'absence totale du c
les corps opto-striés. Le cerveau pesait 675 grammes seulement et l'
atrophie
portait également sur l'hémisphère droit. M. Du
sieurs accès de convulsions qui furent suivies d'une paralysie avec
atrophie
du côté droit. Depuis cette époque jusqu'à l'âg
texte. Napoli, 1890. Tipografico Tocco. PILLIET (A.). Sclérose et
atrophie
des glandes gastriques. Bro- chure in-8° de 26
partie des deux hémisphères. La substance cérébrale détruite avec l'
atrophie
secondaire consécutive fut assez importante pou
ert) et de son altération dans la para- lysie générale. Il divise l'
atrophie
des fibres blanches en quatre formes : 1° dégén
systématique fusiforme; 2° ci égéné- rescence limitée en foyer; 3°
atrophie
générale diffuse de la substance blanche; 4° at
en foyer; 3° atrophie générale diffuse de la substance blanche; 4°
atrophie
diffuse simple de la substance blanche. La prem
peut, chez le paralytique gé- néral, rencontrer en même temps de l'
atrophie
générale qui frappe sur toutes les fibres indis
générale qui frappe sur toutes les fibres indistinctement, et de l'
atrophie
simple qui n'attaque que les fibres enlre-crois
s, sans ordre, épargnant les systèmes de fibres intramédullaires. L'
atrophie
des fibres nerveuses à myéline de l'écorce ne s
'inflammation; plus ou moins systématique, selon qu'il s'agit d'une
atrophie
simple ou générale, comme nous l'avons dit, par
deux yeux, mais immobiles quand on éclaire seulement l'oeil malade (
atrophie
du nerf optique après embolie par exemple), les
E BILATERALE DU FAISCEAU EXTERNE DU PIED DU PÉDONCULE CÉRÉBRAL AVEC
ATROPHIE
DE LA MOITIÉ SUPÉ- RIEURE (DORSALE) DE LA PROTU
les inférieures et supérieures, aux première et deuxième temporale.
Atrophie
des circonvolutions correspondantes. Intégrité
an et latéral du pied des deux pédoncules. Intégrité des pyramides.
Atrophie
de la partie de la protubérance sus-jacente au
tie de la protubérance sus-jacente au prolongement des pyramides.
Atrophie
presque complète de la couche profonde et des cou
t 12e paires cra- niennes au niveau du bulbe. Il en est résulté une
atrophie
des noyaux de l'accessoire, du noyau supérieur
ions, abolition parallèle, uniforme, qui se perpétue à la période d'
atrophie
du tissu nerveux. L'intégrité des réflexes REVU
troubles vaso-moteurs et secrétoires, troubles du tissu cellulaire,
atrophie
musculaire. On pourrait cri- tiquer cette divis
des-, 299. Assistante des enfants idiots et arriérés, 296, 449.
Atrophie
musculaire, progressive, par Audry, 70 ; état d
les aliénés, par Bartels, 110; chez les déments, par Wulf, 114;
atrophie
des fibres du par suite d'insolation, par Crame
re du -avec dégé- nérescence de l'olive opposée, par Dudlay, 98 ;
atrophie
des fibres du -, par Meyer, 113. Champ visuel
? ZA, psychoses consécutives à l' -, par Munter, 284. Insolation,
atrophie
des fibres du cerveau à la suite d ? par Cra-
par conséquent la résistance de i'osr a notablement diminué. Dans l'
atrophie
, le corps des os longs présente une cavité cylind
lamelles séparées par des couches très minces de tissu spongieux. L'
atrophie
des extrémités des os longs, des os courts et mêm
enter un cylindre analogue à celui des os longs. Au summum de cette
atrophie
, les os s'entament, se coupent par le scalpel, et
décubitus au lit très longtemps continué, suffisent pour déterminer l'
atrophie
des os, non-seulement chez le vieillard, xxiiie
sition celluleuse ou spongieuse qu'on y remarque est le résultat de l'
atrophie
de l'os Réflexions. — Il est rare qu'une fractu
une fracture extracapsulaire du col du fémur parfaitement simple : l'
atrophie
sénile portant en effet autant sur le grand troch
ne autre part, reçoivent les chocs transmis au bassin par le fémur.
Atrophie
de toutes les parties du bassin qui ne concourent
transversal de la partie pubienne de l'os devînt plus considérable.
Atrophie
de la cavité cotyloïde qui se trouve convertie en
graisse, ne présentant aucun vestige de surface articulaire. — Cette
atrophie
delà cavité cotyloïde est due à deux causes: i° a
ylose présente plusieurs degrés, savoir : l'ankylose par fusion, sans
atrophie
, de telle façon qu'à l'exception de la soudure, o
es les parties constituantes de la main ; i° ankylose par fusion avec
atrophie
, de telle manière que la main ne présente plus qu
offre le maximum de cette dernière espèce d'ankylose. Ainsi ankylose,
atrophie
, absence de parties, tels sont les divers degrés
mplètes, beaucoup plus profondes, et bien plus souvent accompagnées d'
atrophie
et de disparition complète des parties, que les a
t. Il importe, dans l'étude des vices de conformation par ankylose,
atrophie
ou absence de parties, de ne pas confondre l'atro
n par ankylose, atrophie ou absence de parties, de ne pas confondre l'
atrophie
avec le défaut complet des parties: ainsi, j'avai
Quanta la théorie des ankyloses par fusion congèniale, avec ou sans
atrophie
, avec ou sans absence de parties, je considère ce
laires sont après la naissance une cause si puissante d'ankylose et d'
atrophie
, à tel point qu'on voie disparaître presque sans
tl'atrophier si bien qu'on est toujours tenté de se demander si cette
atrophie
ou cette absence de parties n'entre pas dans le p
i appartient à l'autre. Dans cette espèce d'ankylose, il y a toujours
atrophie
des extrémités anky-losées , et cette atrophie es
ylose, il y a toujours atrophie des extrémités anky-losées , et cette
atrophie
est quelquefois telle que les deux extrémités oss
fosses nasales; mais il est d'autres cas de cyclopie dans lesquels l'
atrophie
porte non-seulement sur la partie supérieure delà
et monotie, vice de conformation qui consiste essentiellement dans l'
atrophie
des parties situées sur la ligne médiane avec fus
ons était identique avec celle de la glande parotide. Fig. a et 2'.
Atrophie
des muscles propres de la moitié gauche du larynx
hiés les muscles intrinsèques de la moitié droite du larynx, et cette
atrophie
m'a paru si complète et si remarquable, que j'ai
que j'ai cru devoir la faire représenter ici. La figure 2 montre l'
atrophie
complète du muscle crico-arythénoïdien postérieur
phie complète du muscle crico-arythénoïdien postérieur droit CAP et l'
atrophie
presque complète du muscle aryténoïdien , dont il
stitue-t-elle une paralysie locale produite par la compression, par l'
atrophie
des nerfs laryngés? Je ne puis me livrer, à cet é
au degré de la certitude, et je puis affirmer que cette hémiplégie ou
atrophie
hémiplégique du larynx tenait à une lésion du ner
erf laryngé inférieur ou récurrent du même côté, car les limites de l'
atrophie
sont exactement celles de sa distribution'(i).
e côté, si l'on considère la fréquence des causes de compression et d'
atrophie
du nerf laryngé inférieur, on sera porté à consid
ntes que faiblement et à l'aide d'un tissu cellulaire très lâche. L'
atrophie
du sphincter anal, qui est très certainement cons
re la part que doivent prendre la dilatation excessive de l'anus et l'
atrophie
du sphincter à la reproduction de la maladie, et
d'un renversement du tronc en arrière et de côté et de pied-bots avec
atrophie
des membres inférieurs. Lors même qu'on n'adopt
térus, à l'ovaire et à la trompe gauches, tous organes dans un état d'
atrophie
complet, tels qu'ils sont chez une enfant de huit
'intestin; fistule recto-périnéale,recto-vulvaire, recto-péritonéale;
atrophie
ou plutôt arrêt de développement des organes géni
aux mêmes causes de distention, et par conséquent de débilitation, d'
atrophie
, que les parois abdominales; cependant, une contu
x. Aucun tissu n'échappe à cette transformation, qui s'explique par l'
atrophie
de tous les élémens organiques autres que le syst
tissu variqueux qui les dissocie pour les atrophier, les détruire par
atrophie
, sans pouvoir les pénétrer. Ainsi les filets du n
vésicules pulmonaires, et c'est de cette manière que je m'explique l'
atrophie
considérable que subissent les poumons chez les v
icardes adhérens au cœur, sans le moindre développement, et même avec
atrophie
de cet organe; 4° Enfin, on trouve tous les jou
quelques années, sur l'idée que le cœur des vieillards participe à l'
atrophie
de tous les tissus à cet âge de la vie. Pendant q
de la vie. Pendant que le système musculaire de la vie de relation s'
atrophie
avec la charpente qui le soutient, le système mus
tout son jour l'hypertrophie considérable du ventricule droit VD et l'
atrophie
relative du ventricule gauche VG : la cloison ven
lus nombreux) qu'on peut appeler idiopathiques et qui résultent d'une
atrophie
pure et simple des nerfs optiques, sans lésion au
sans céphalalgie, c'est ordinairement l'amaurose idiopathique ou par
atrophie
; l'amaurose avec céphalalgie, habituelle ou inte
e dont elle était accompagnée. — Le caractère anatomique général de l'
atrophie
des nerfs optiques, c'est la couleur grise avec d
olume. INous verrons ailleurs que tels sont aussi les caractères de l'
atrophie
de la moelle épinière. La mort subite arrive tr
Paraplégie par induration de la moelle. L'induration avec ou sans
atrophie
de la moelle me paraît une cause de paraplégie be
e malade. Dans le cas qu'on vient de lire, il y avait induration sans
atrophie
notable. L'atrophie existait en même temps que l'
s qu'on vient de lire, il y avait induration sans atrophie notable. L'
atrophie
existait en même temps que l'induration dans le c
e l'induration dans le cas suivant. Paraplégie presque complète par
atrophie
et induration de la moelle épinière. — Néphrite.
s dur que celui d'une moelle qui a macéré clans l'alcool concentré. L'
atrophie
a porté sur la substance grise encore plus que su
de que lui offre la région costo-lombaire. Quelle est la cause de l'
atrophie
avec induration de la moelle ? Est-ce une inflamm
la moelle ? Est-ce une inflammation ? Mais où én est la preuve? Si l'
atrophie
est, dans un certain nombre de cas, la conséquenc
plète de la sensibilité tactile : tels ont été les symptômes de cette
atrophie
avec induration de la moelle. Nous ne devrons pas
embres inférieurs : affaiblissement moindre des membres supérieurs. —
Atrophie
et induratio n de la moelle.—Epaississement et de
é , et par conséquent du côté opposé à l'hémiplégie, atrophiée. Cette
atrophie
se continuait dans le prolongement de la pyramide
se ou œdème du cerveau se voit là comme dans tous les lieux où il y a
atrophie
d'un organe susceptible de mouvement. La sérosité
antérieures, qui ont conservé leur volume et leur aspect naturels. L'
atrophie
des racines est un peu moins considérable à la ré
e, gris jaunâtre, gris rougeâtre de la substance blanche ? Est-ce une
atrophie
? Est-ce la conséquence d'une inflammation? Est-ce
vement seulement, mourut de je ne sais quelle maladie. A l'ouverture,
atrophie
des nerfs optiques, avant et après le chiasma , c
t la moelle; dégénération grise des cordons postérieurs de la moelle;
atrophie
des racines postérieures des nerfs spinaux. Je
ésentée par un gros tubercule gris. La densité, la couleur grise et l'
atrophie
observées dans la protubérance se continuent dans
upent même toute leur épaisseur, et, chose bien remarquable, malgré l'
atrophie
de ses pédoncules moyens, le cervelet n'avait pas
es et postérieures des nerfs spinaux n'avaient d'ailleurs subi aucune
atrophie
notable. Quant à la profondeur de cette dégénérat
e remarquable que cette altération remontait à la première enfance.
atrophie
complète d'un membre inférieur depuis la première
flasque, pendant, inerte, tout-à-fait inutile pour la progression. L'
atrophie
porte non-seulement sur la circonférence, mais en
membre atrophié. Cette courbure était unique et une conséquence de l'
atrophie
. La moelle était parfaitement saine jusqu'à tro
inférieure. Dans ces trois pouces et demi inférieurs, elle a subi une
atrophie
remarquable , et présente une densité plus grande
st sensiblement plus considérable à gauche, c'est-à-dire du côté de l'
atrophie
, qu'à droite. Les nerfs qui se détachent au niv
ferai également remarquer la coïncidence d'un cancer vaginal et d'une
atrophie
de la partie inférieure de la moelle. L'influence
elle; cette circonstance m'avait d'abord embarrassé, pour expliquer l'
atrophie
d'un seul membre inférieur, bien que Paltération
rieur gauche, n'était pourtant pas à l'état normal, qu'il offrait une
atrophie
et une faiblesse réelles, que démontraient anatom
fficulté qu'avait la malade à marcher à l'aide d'une béquille. 4° L'
atrophie
en longueur aussi bien qu'en largeur et en épaiss
huit ans. Il y a donc à-la-fois dans ce cas arrêt de développement et
atrophie
. Fig. 2. La figure 2 représente la moelle rét
s assez d'attention à la moitié non paralysée. Je ferai remarquer l'
atrophie
des pyramides antérieures coïncidant avec la déch
es antérieures coïncidant avec la déchirure de la protubérance. Cette
atrophie
était d'ailleurs plus complète à gauche, sans clo
les plans traversent la protubérance à différentes profondeurs. Cette
atrophie
semblerait établir que les pyramides procèdent de
, comme nous avons vu ailleurs qu'elles étaient le siège spécial de l'
atrophie
sénile. Plusieurs cicatrices peau de chamois du
vre gauche. Les deux pariétaux étaient atrophiés par places, et cette
atrophie
se manifestait par une dépression de leur surface
ales se divisent en deux genres bien distincts: i° microcéphales avec
atrophie
du cerveau ; -2° microcéphales avec épanchement s
° enfin, il est des cas mixtes dans lesquels on rencontre à-la-fois l'
atrophie
du cerveau et l'hydrocéphalie. Je ne connais aucu
rt a lieu au moment de la naissance, tandis que les microcéphales par
atrophie
du cerveau vivent plus ou moins long-temps. IV.
isséquer, avec beaucoup de soin, plusieurs têtes de microcéphales par
atrophie
du cerveau : voici le résultat de mes dissections
ation notable. Deuxième fait. Chez un autre enfant microcéphale par
atrophie
du cerveau, les os de la base avaient leur dévelo
rentrés en dedans de la base du crâne. Le cerveau était très petit. L'
atrophie
avait principalement porté sur les circonvolution
ouches optiques et les corps striés n'avaient nullement participé à l'
atrophie
des autres parties, en sorte qu'on peut considére
e cas diffère essentiellement du précédent, en ce qu'il y a à-la-fois
atrophie
du cerveau et hydrocéphalie. Il en diffère encore
ie du cerveau et hydrocéphalie. Il en diffère encore, en ce que cette
atrophie
du cerveau n'est pas un défaut de développement,
rophie du cerveau n'est pas un défaut de développement, mais bien une
atrophie
morbide, une atrophie avec induration; et la séro
t pas un défaut de développement, mais bien une atrophie morbide, une
atrophie
avec induration; et la sérosité contenue dans la
a dissertation inaugurale (2), nous offre un cas de microcéphalie par
atrophie
du cerveau avec encéphalocèle. Voici le résumé de
droit du cervelet avec destruction d'un grand nombre de lamelles, et
atrophie
de ce lobe. —Apoplexie récente de la couche optiq
re dans la cavité de l'arachnoïde. Relativement à la cicatrice avec
atrophie
du cervelet, les commémoratifs ne disent rien, en
Quelques circonvolutions présentent cet aspect ratatiné qui atteste l'
atrophie
, et le cerveau est d'ailleurs parfaitement sain.
estreinte, ne diminuent pas sensiblement de volume. Il est vrai que l'
atrophie
des nerfs ne se juge pas par la dimension du volu
rveux ; que le tissu propre n'est susceptible que d'hypertrophie et d'
atrophie
. L'atropbie des nerfs présente plusieurs degrés
erfs présente plusieurs degrés et plusieurs formes bien distinctes. L'
atrophie
se juge, non d'après le volume du cordon nerveux
volume moindre que dans un nerf qui n'a pas été soumis à des causes d'
atrophie
. Dans un dernier degré d'atrophie, le nerf ne p
n'a pas été soumis à des causes d'atrophie. Dans un dernier degré d'
atrophie
, le nerf ne présente plus la disposition filament
de tous les nerfs celui dans lequel on observe le plus fréquemment l'
atrophie
portée à son maximum. Les particularités de struc
ne s'opposent nullement à ce qu'il soit considéré comme le type de l'
atrophie
des cordons nerveux. Or, cette atrophie débute ta
considéré comme le type de l'atrophie des cordons nerveux. Or, cette
atrophie
débute tantôt par l'extrémité périphérique, tantô
bute par l'extrémité centrale. Une des causes les plus fréquentes d'
atrophie
, c'est la compression, ou mieux la distension du
oppée, soit dans le voisinage du nerf, soit dans son épaisseur. Cette
atrophie
peut être portée jusqu'à la disparition complète
l'hypertrophie des fibres musculaires prostatiques coexistant avec l'
atrophie
des grains glanduleux de cet organe. Ce fait te
rophies partielles ou tabulaires : celles-ci peuvent coexister avec l'
atrophie
des autres parties de la prostate. L'absence de
embraneuse du canal de l'urètre est presque toujours accompagné d'une
atrophie
plus ou moins complète de la prostate, et cette a
mpagné d'une atrophie plus ou moins complète de la prostate, et cette
atrophie
est souvent la suite d'une inflammation chronique
e. Les deux faits sui-vans viennent à l'appui de cette proposition.
Atrophie
de la prostate convertie en une poche biloculaire
le rectum. La dilatation du rectum, l'hypertrophie de la vessie, l'
atrophie
des reins, l'état tuberculeux du testicule, sont
es effets de la présence des calculs rénaux dans le bassinet, c'est Y
atrophie
du rein. Cette altération atrophique, exempte de
n décrite sous le nom de maladie de Brigbt. Il est probable que cette
atrophie
n'est pas primitive , mais bien consécutive à une
e une rétention d'urine dans le rein, et, par suite, la distension, l'
atrophie
, la transformation de chaque lobule du rein en un
iformes, doit sans doute favoriser leur innocuité. Le tissu du rein s'
atrophie
tout autour de ces calculs, et cette atrophie peu
ité. Le tissu du rein s'atrophie tout autour de ces calculs, et cette
atrophie
peut avoir lieu de deux manières, par compression
ce bouche l'orifice de communication de ce calice avec le bassinet. L'
atrophie
par compression, de même que l'atrophie par diste
ce calice avec le bassinet. L'atrophie par compression, de même que l'
atrophie
par distension, sont donc partielles ou générales
ère fois que j'ai observé des productions graisseuses dans le rein. L'
atrophie
de cet organe accumule souvent la graisse dans so
u remarquable par le développement de la substance corticale et par l'
atrophie
de la substance tubuleuse. La nuance de sa couleu
ureté pierreuse, dont je n'ai pu exprimer aucune goutte de liquide. L'
atrophie
était telle que l'épaisseur la plus grande de la
(Salpêtrière) qui nous a offert un cancer ulcéré avec ratatinement ou
atrophie
des deux mamelles, avec induration des ganglions
s dans l'intervalle desquelles le tissu propre de l'organe comprimé s'
atrophie
, à tel point que l'organe est entièrement convert
emens de texture qu'il subit, soit qu'il s'hypertrophie, soit qu'il s'
atrophie
. i° Relativement au ramollissement des corps fi
t, où la présence des corps fibreux dans l'utérus devient une cause d'
atrophie
, c'est celui dans lequel ces corps fibreux sont e
mouvement d'hypertrophie. Comme type de corps fibreux multiples avec
atrophie
de Futérus, oblitération de l'orifice de communic
ent ossifiées. Je crois devoir considérer ce cas comme un exemple d'
atrophie
de l'utérus, bien que les fibres prises individue
On conçoit que la qualité du liquide épanché, que sa quantité, que l'
atrophie
ou l'hypertrophie, l'induration ou le ramollissem
i m'a présenté un exemple remarquable de dilatation de l'uretère avec
atrophie
du rein correspondant. Les rapports de l'uretère
le. Le rein comprimé par l'urine accumulée dans les calices dilatés s'
atrophie
graduellement et se convertit en une coque d'un j
ue dans ces derniers temps, sous le nom de maladie deBright; et cette
atrophie
peut être portée au point que la sécrétion d'urin
ge aucun pour l'économie. Toutes les glandes sont donc sujettes à l'
atrophie
par suite de la rétention du liquide qu'elles séc
er ulcéré mélanique de la parotide et des ganglions sous-maxillaires.—
Atrophie
des muscles propres delà moitié gauche du larynx.
ailles du tissu cellulaire, d'où l'éparpillement d'abord et ensuite l'
atrophie
du tissu propre. 1 liv., pl. iv, p. 3.— Les malad
pl. n, p. 4-— Anévrysme actif du ventricule gauche coïncidant avec l'
atrophie
du ventricule droit. 17e liv., pl. iv, p./.—Anévr
l. 1, p. 3; 38e liv., pl. 1, p. 4. — Ankylose congéniale avec ou sans
atrophie
et avec disparition complète de parties. 38e liv.
hirure du tissu de l'utérus. 24e liv., pl. 1, il,p. 6. — Apoplexie et
atrophie
avec ratatinement des lamelles du cervelet. 20e l
sphérique sur la production de la pneumonie. 29e liv., pl. v, p. s.
ATROPHIE
. Différence entre l'atrophie et la solution de co
e la pneumonie. 29e liv., pl. v, p. s. ATROPHIE. Différence entre l'
atrophie
et la solution de continuité des fibres cérébrale
tinuité des fibres cérébrales. 8e liv., pl. v, p. 2. — Divers modes d'
atrophie
du cerveau. Résultats différens de l'atrophie du
p. 2. — Divers modes d'atrophie du cerveau. Résultats différens de l'
atrophie
du cerveau par compression et de l'atrophie sans
Résultats différens de l'atrophie du cerveau par compression et de l'
atrophie
sans compression. 8e liv., pl. v, p. a. — Atrophi
ompression et de l'atrophie sans compression. 8e liv., pl. v, p. a. —
Atrophie
du placenta. 16e liv., pl. i, p. 2.— Atrophie ave
8e liv., pl. v, p. a. — Atrophie du placenta. 16e liv., pl. i, p. 2.—
Atrophie
avec ralatinementdes circonvolutions du cerveau.
ralatinementdes circonvolutions du cerveau. 20e liv., pl. m, p. i. —
Atrophie
des os. 23e liv., pl. i, n, p. — Atrophie de l'ut
u. 20e liv., pl. m, p. i. — Atrophie des os. 23e liv., pl. i, n, p. —
Atrophie
de l'utérus affecté de corps fibreux. 24e liv., p
corps fibreux. 24e liv., pl. m, p. 5. — Formes, degrés et causes de l'
atrophie
des nerfs. 35e liv., pl. n, p. 2. AUTEUR. Sa po
iv., pl. 1, 11, p. 3. — Présenee de calculs dans le bassinet, cause d'
atrophie
du rein; idem de transformation du rein en un kys
es d'organisation du cerveau. 5e liv., pl. iv, v, p. /. — Idiotie par
atrophie
de la presque totalité de l'hémisphère droit du c
e quelques fibres cérébrales. 5e liv., pl. iv, v, p. 2. — Idiotie par
atrophie
du cerveau qui remplissait à peine la moitié du c
l avec la cavité de l'arachnoïde extérieure. Déformation du cervelet;
atrophie
de son hémisphère gauche. = Effets "de l'indurati
s. Hémiplégie droite incomplète. Facultés intellectuelles ordinaires.
Atrophie
sans lésion organique de l'hémisphère gauche du c
'hémisphère gauche du cerveau. 8e liv., pl. v, p. /. — Divers modes d'
atrophie
du cerveau. Différence entre l'atrophie et la sol
pl. v, p. /. — Divers modes d'atrophie du cerveau. Différence entre l'
atrophie
et la solution de continuité des fibres cérébrale
olution de continuité des fibres cérébrales. Résultats différens de l'
atrophie
du cerveau par compression et de l'atrophie sans
Résultats différens de l'atrophie du cerveau par compression et de l'
atrophie
sans compression. 8e liv., pl. v, p. 2. — Idiotie
rmation du crâne avec absence des deux lobes antérieurs du cerveau et
atrophie
de son hémisphère droit. Ventricules latéraux ouv
a 1 Ie année. 15e liv.,pl.v,p. /.— Maladies du cerveau chez le fœtus.
Atrophie
des circonvolutions; elle peut être partielle ou
inemeui granuleux. 17e liv., pl. i, p. t.— Transformation celluleuse,
atrophie
avec induration du tissu cérébral, perte de subst
volutions. 20e liv., pl. m, iv, p. /. 36e liv., pl. ni, iv, p. i,3. —
Atrophie
avec ratatinemenl des circonvolutions. Cicatrices
ntérieures. Cicatrices anciennes des circonvolutions inférieures avec
atrophie
de la corne d'Ammon et de la voûte à trois pilier
pl. iv, p. /. — Division des microcéphales en : 1° Microcéphales avec
atrophie
du cerveau ; 2° microcéphales avec épanchement sé
chement séreux dans la cavité du crâne; 3° microcéphales réunissant l'
atrophie
du cerveau et l'hydrocéphalie. 39e liv., pl. iv,
éphalie. 39e liv., pl. iv, p. 2, 4.— Trois faits de microcéphalie par
atrophie
du cerveau. 39e liv., pl. iv, p. 2.— Microcéphali
e par atrophie du cerveau. 39e liv., pl. iv, p. 2.— Microcéphalie par
atrophie
du cerveau avec encéphalocèle. 39e liv., pl. iv,
actères. 39e liv., pl. iv, p. 5. CERVELET. Déformation du cervelet,
atrophie
de son hémisphère gauche. 5e liv., pl. iv et v, p
de l'hémisphère correspondant. 28e liv., pl. 11, p. v.— Apoplexie et
atrophie
, avec ratatinement des lamelles du cervelet. Colo
droit du cervelet, avec destruction d'un grand nombre de lamelles, et
atrophie
de ce lobe. Apoplexie récente de la couche optiqu
iv, p. /0.—Cicatrices anciennes des circonvolutions inférieures avec
atrophie
de la corne d'Ammon et de la voûte à trois pilier
l. iv, p. t. — Anévrysme actif du ventricule gauche coïncidant avec l'
atrophie
du ventricule droit. 17e liv., pl. iv, p. t.— Hyp
éricardite. 40e liv., pl. îv, p. i. COLON. Amincissement extrême ou
atrophie
aiguë d'une portion des parois de l'arc du colon.
pl. 1, n, m,/). 3,j; 16e liv., pl. iv,p. 3.—Résultats différens de l'
atrophie
du cerveau par compression et de l'atrophie du ce
—Résultats différens de l'atrophie du cerveau par compression et de l'
atrophie
du cerveau sans compression. 8e liv., pl. v, p. 2
. — Réunion des doigts : An-kylose congéniale par fusion avec et sans
atrophie
; avec disparition complète de parties. 38e liv.,
espondant. 18e liv., pl. 11, p. 5. ENCÉPHALOCELE. Microcéphalie par
atrophie
du cerveau avec encéphalocèle. 39e liv., pl. iv,p
du fœtus. 15e liv. pl. m, p. . — Maladies du cerveau chez le fœtus :
atrophie
des circonvolutions. 17e liv., pl. 1, p. /. —Les
m, iv, y, p. 4G, 4g. GLANDES. Toutes les glandes sont sujettes à l'
atrophie
par suite de la rétention du liquide qu'elles séc
— Hémiplégie droite incomplète. Facultés intellectuelles ordinaires.
Atrophie
sans lésion organique de l'hémisphère gauche du c
., pl. iv, v, p. 1. — Idiotie con-géniale : ses causes. = Idiotie par
atrophie
de la presque totalité de l'hémisphère droit du c
géniale de l'idiotie acquise. 6e liv., pl. iv, v, p. 3. — Idiotie par
atrophie
du cerveau, qui remplissait à peine la moitié du
l avec la cavité de l'arachnoïde extérieure. Déformation du cervelets
Atrophie
de son hémisphère gauche. 5e liv., pl. iv, v, p.
rmation du crâne avec absence des deux lobes antérieurs du cerveau et
atrophie
de son hémisphère droit. Ventricules latéraux ouv
lle. 32e liv., pl. i, n, p. 4 3. — Cas d'induration de la moelle avec
atrophie
. = Quelle est la cause de l'atrophie avec indurai
s d'induration de la moelle avec atrophie. = Quelle est la cause de l'
atrophie
avec induraiion de la moelle. 32e liv., pl..i, n
liv., pl. i, p. 3. — Maladies des intestins—Amincissement extrême ou
atrophie
aiguë d'une portion des parois de l'arc du colon.
11, p. 5. — Cas de laryngite sous-muqueuse. 35e liv., pl. iv, p. 3. —
Atrophie
des muscles propres de la moitié gauche du larynx
pl. iv, p. /. — Division des microcéphales en : 1" Microcéphales avec
atrophie
du cerveau; 2° microcéphales avec épanchement sér
cavité du crâne; 3° microcéphales réunissant le double caractère de l'
atrophie
du cerveau et de l'hydrocéphalie. = Trois faits d
du cerveau et de l'hydrocéphalie. = Trois faits de microcéphalie par
atrophie
du cerveau. 39e liv., pl. iv, p. 2. — Microcéphal
par atrophie du cerveau. 39e liv., pl. iv, p. 2. — Microcéphalie par
atrophie
du cerveau avec encéphalocèle. 39° liv. , pl. îv,
rigidité. Induration de la moelle. 2° Paraplégie presque complète par
atrophie
et induration de la moelle épinière. Néphrite. Ru
sous-périlonéal. 32e liv-, pl. 1, n, p. t3,— Quelle est la cause de l'
atrophie
avec induration de la moelle; symptômes de cett
ause de l'atrophie avec induration de la moelle; symptômes de cette
atrophie
. = Paralysie incomplète des membres inférieurs; a
s membres inférieurs; affaiblissement moindre des membres supérieurs.
Atrophie
et induration de la moelle. Epaississemenl et den
nnes et racines du sentiment et du mouvement. 38e liv., pl. v, p. 4.—
Atrophie
complète d'un membre inférieur depuis la première
v,p. 5-, — Néphrite coïncidant avec une paraplégie par induration et
atrophie
de la moelle. 32" liv., pl. 1, n, p. 14. NERFS.
tent les lésions anatomiques des nerfs. Formes, degrés et causes de l'
atrophie
des nerfs. Altérations les plus habituelles des n
de l'estomac chez les nouveau- nés. 15e liv., pl. m, p. 2. NUTRITION.
Atrophie
par défaut de nutrition. 8° liv., pl. v, p. 2.
périoste et aux couches superficielles de l'os. 21e liv., pl. n, p. —
Atrophie
des os; ses phénomènes; ses causes. 23e liv., pl.
rigidité. Induration de la moelle. 2° paraplégie presque complète par
atrophie
et induration de la moelle épinière. Néphrite. Ru
membres inférieurs : affaiblissement moindre des membres supérieurs.
Atrophie
et induration de la moelle. Epaississement et den
. 5. — Nature et destination du placenta. lre liv., pl. 1, n, p. 6. —
Atrophie
du placenta, défaut de développement et dessiccat
etit nombre de lésions : 1° Hypertrophie. 16e liv., pl. 1, p. 1. — 2°
Atrophie
; 3° inflammation ; 4° ossification. 16e liv., pl.
ntion. Calcul mural. Hypertrophie de la vessie. 26e liv., pl. v, p. =
Atrophie
delà prostate convertie en une poche biloculaire.
ntérieures. Cicatrices anciennes des circonvolutions inférieures avec
atrophie
de la corne d'Am-mon et de la voûte à trois pilie
des lésions de la moelle sur les reins. 32e liv., pl. 1, n, p. i4. —
Atrophie
du rein résultant de la présence d'un calcul ré
graisseuses dans le rein; développement de la substance corticale et
atrophie
de la substance lubuleuse du rein. 36e liv., pl.
e. he liv., pl. lit, p. 5, 6. URETÈRE. Dilatation de l'uretère avec
atrophie
du rein correspondant. 27e liv., pl. u, p- 4. — I
Si c'est la nutrition qui est intéres- sée, on observe parfois de l'
atrophie
, parfois de l'hypertrophie,au contraire. En sor
l'acro-cyanose chronique ci forme sensitive ; 2° La modalité avec
atrophie
: acrocyanose et formeatrophique.M. Cassirer en
issie presque pachydermique. Mais les altérations y sont minimes. L'
atrophie
ne se ren- contre pas dans cette forme qui amèn
de la peau, sensibles à la pression. Ces lupus peuvent présenter l'
atrophie
centrale de la forme commune, mais souvent on o
la paupière droite n'était qu'une apparence due au contraste avec l'
atrophie
du côté gauche.' L'affection a suivi sa marche
te et que le tronc, le cou et les membres ne présentent pas trace d'
atrophie
. Aujourd'hui le contraste entre les deux côtés
la malade peut siffler, souffler, faire la grimace. Et cependant l'
atrophie
musculaire est manifeste : on peut nettement la
eur Imbert, est normale. Pour le squelette, la palpation décèle une
atrophie
notable du rebord orbi- taire, de l'os malaire,
pages ne frappe pas uniquement la muqueuse et est bien le fait de l'
atrophie
des masses musculaires de la langue. La sensi
delaise de l'aplasie lamineuse, celle qui voit dans l'affection une
atrophie
primitive du tissu cellulaire sous-cutané et qu
PROFESSEUR BRISSAUD. SYRINGOMYÉLIE ; ARTHROPATHIE DE L'ÉPAULE;
ATROPHIE
MUSCULAIRE ET THERMO-ANALGÉSIE DU TYPE TRANSVER
la coexis- tence d'une artropalhie monstrueuse et indolente, d'une
atrophie
muscu- laire progressive du membre supérieur ga
XVIII). Sur les coupes supérieures de la protubérance annulaire, l'
atrophie
considérable du pédoncule cérébelleux supérieur
belleux supérieur à gauche est très appa- rente. On voit toujours l'
atrophie
du faisceau longitudinal postérieur et la dispa
he XVII). Cette dégénération du^faisceau central de la calotte et l'
atrophie
du fais- ceau longitudinal postérieur droit se
oupes de la région olivaire du bulbe (Planche XIX), on con- state l'
atrophie
de l'olive droite. Les fibres de la capsule de l'
u'elles sont en connexion avec le faisceau central de la calotte. L'
atrophie
du faisceau longitudinal postérieur qui était t
ellules de l'olive droite est très diminué, aussi s'explique-t-on l'
atrophie
des fibres cérébello-olivaires. M. Thomas (1) dan
er que, dans le cas de M. Thomas, cet auteur a observé, non pas une
atrophie
, mais une hypertrophie de l'olive, mais cette h
ographies, le bile du noyau dentelé gauche est très atrophié. Cette
atrophie
est en rapport avec l'atrophie du pédoncule. cé
telé gauche est très atrophié. Cette atrophie est en rapport avec l'
atrophie
du pédoncule. cérébelleux supérieur gauche observ
tion méningée. La symphise complète des membranes et de l'écorce, l'
atrophie
presque totale de cette écorce, réduite à une lam
se du tissu gommeux ont déterminé à plus ou moins longue échéance l'
atrophie
des circonvolutions atteintes, et paral- lèleme
à l'aide des méthodes anciennes, semblent surtout consister en une
atrophie
tar- dive et affecter parfois avec plus d'inten
ntement d'abord, exagérant l'épanchement ventri- culaire, amenant l'
atrophie
scléreuse du manteau hémisphérique, déter- mina
ion très nette de dureté. L'examen macroscopique ne révèle aucune
atrophie
des couches optiques, des tubercules quadrijume
eprésentations de ce genre a subi trop profondément les effets de l'
atrophie
d'inactivité pour nous être d'un grand secours da
s de quelques types cliniques nouveaux : amyotrophie Charcot-Marie ^
atrophie
neurotique de Hoff- mann) atrophie musculaire p
aux : amyotrophie Charcot-Marie ^atrophie neurotique de Hoff- mann)
atrophie
musculaire progressive familiale myélopathique de
ctrine du dua- lisme. On voyait, en effet, dans le premier cas, une
atrophie
névritique,' prendre le caractère familial et l
évolution dans l'enfance et le mode de propagation centrifuge de l'
atrophie
musculaire. Aussi Brissaud (1), Raymond (2) se
nature nerveuse des myopathies et il semble bien aujourd'hui que l'
atrophie
musculaire des myopathies soit sous la dépendan
sserrant les liens de t'amyotrophie névritique et de la myopathie :
atrophie
des petits muscles du pied chez une jeune fille
fréquents. Sans parler du cas classique de Cénas et Douillet (5) où
atrophie
myopathique et atrophie nerveuse sont signalées
u cas classique de Cénas et Douillet (5) où atrophie myopathique et
atrophie
nerveuse sont signalées dans la même famille, dan
ues à celle décrite par Marie et Onanolf (G). La topographie de l'
atrophie
reste vraie pour la plupart des cas ; cepen- da
es cas ; cepen- dant Oppenheim et Cassirer (7) ont signalé un cas d'
atrophie
du type pé- riphérique que l'autopsie montra in
ontra indemne de toute lésion nerveuse. Inver- sement, la variété d'
atrophie
décrite par Werdnig et Hoffmann, pour être de n
ne adipose sous-cutanée énorme qui masque défi- cit musculaire. L'
atrophie
musculaire, en effet, est considérable et massive
tes quand on commande au malade des mou- vements. Aux cuisses cette
atrophie
est totale. Tous les mouvements sont impossible
ffe du pied. Les membres supérieurs présentent eux aussi une grosse
atrophie
muscu- laire, symétrique, prédominante encore à
masquée comme aux membres inférieurs par de l'adipose sous-cutanée.
Atrophie
totale au niveau de l'épaule où l'on ne trouve pl
our les deux derniers. La motilité est en rapport avec le degré d'
atrophie
. Les mouvements de l'é- paule sont impossibles
membre supérieur, on reconnaît bien cette inégale répartition de l'
atrophie
et sa prédominance à la racine. Si l'on dit au
nt l'aplatissement postérieur signalé par Marie et Onanoff. Pas d'
atrophie
des muscles de la face. L'expression du visage es
t intelligente. Pas de trouble de la mimique. Cou et tronc. Pas d'
atrophie
des muscles du cou ou de la nuque. Au palper, o
des gouttières sont respectés. Il semble y avoir cependant un peu d'
atrophie
des muscles de la sangle ab- dominale qui n'off
excitabilité musculaire aux cou- rants faradiques en rapport avec l'
atrophie
: abolition au niveau de la racine des membres;
eurs et fausse hypertrophie des membres inférieurs. - Actuellement,
atrophie
musculaire étendue aux quatre membres, symétriq
évolution très lente et pro- gressive, la prédominance marquée de l'
atrophie
à la racine des mem- bres, la fausse hypertroph
urs vives, atro- ces, généralisées, coïncidant avec la parésie et l'
atrophie
; il faisait des chutes fréquentes, comme le nôt
ureet aplatissement latéral rendus peut-être plus nets encore par l'
atrophie
musculaire plus prononcée à gauche. L'extrémité
che, le défaut de déve- loppement du fémur estassez considérable, l'
atrophie
du segment basilaire du membre assez marquée po
rouble de la vue ni de l'ouïe. Pas de céphalée. . On constate une
atrophie
marquée des muscles des éminences thénar et hyp
bras droit, de l'épaule et du tronc présentent un degré très net d'
atrophie
. A la main et au bras gauches, l'atrophie est à
ent un degré très net d'atrophie. A la main et au bras gauches, l'
atrophie
est à peine marquée, mais il y a une diminution
ce au dynamomètre. Paraplégie complète des membres inférieurs, avec
atrophie
commençante PARAPLÉGIE CERVICALE INCOMPLÈTE 145
le tableau d'une paraplégie des quatre membres, avec anesthésie et
atrophie
musculaire, quand dans une (1) E. Brissaud. Leç
vaient succédé la paralysie, puis plus tardivement on constata de l'
atrophie
, traduction de la destruction de la moitié droite
pto- matique (nerveux) était le suivant : Membre supérieur droit.
Atrophie
des muscles de la main droite. = (main simienne
droit. Atrophie des muscles de la main droite. = (main simienne).
Atrophie
des muscles du bras droit et de l'épaule. . For
térieurs sont en grande partie respectés.) Membre supérieur gauche.
Atrophie
très légère, diminution de la force au dynamomè
t Beadles, qui ont, chez leurs malades, relevé la coexistence d'une
atrophie
thyroïdienne avec une hypertrophie pituitaire.
as fonctionnelle, mais résulte du dévelop- pement incomplet ou de l'
atrophie
des organes génitaux internes et ex- te mes.
e restait plus trace de vie sexuelle. Chez le malade de Sylva (2) l'
atrophie
des testicules commença à treize ans, a vingt a
tat des organes génitaux de notre sujet va à l'encontre de l'idée d'
atrophie
, et que, si nous ne considérons pas les instinc
les deux biceps entre le pouce et l'index, on con- state une légère
atrophie
par comparaison avec le côté sain. Dans cette mêm
rieur ainsi que les autres muscles du bras paraissent intacts, sans
atrophie
, ils se contractent bien ; il en est de même pour
otre malade est habituellement respecté dans la forme juvénile de l'
atrophie
musculaire progressive. D'ailleurs, l'atrophie mu
forme juvénile de l'atrophie musculaire progressive. D'ailleurs, l'
atrophie
musculaire est insignifiante, sinon tout à fait
a. perturbation dans les fonctions de ce muscle, un certain degré d'
atrophie
du biceps brachial, l'effacement des pectoraux
- nelle de cerlains de ces muscles, caractérisée d'une part par une
atrophie
légère du biceps avec effacement du faisceau cl
ans cette observation, le premier plan, alors qu'un certain degré d'
atrophie
du biceps ne consti- tue qu'un phénomène second
énérale de la maladie, justifient pleinement cette hypothèse qu'une
atrophie
légère du biceps ne suffit pas à faire écarler.
EUR DHOIT 229 Peut-on concilier avec l'hypothèse d'un tic la légère
atrophie
du biceps et du grand pectoral signalée dans no
sur le bout du nez. Il n'y a d'ailleurs aucune paralysie ni aucune
atrophie
musculaire à droite. A gauche, tous les mouvement
nt sur la première phalange du pouce, et en correspondance avec une
atrophie
assez intense des muscles de l'éminence thénar
membre su- périeur gauche. Notre observation signale, en outre, une
atrophie
marquée de l'éminence thénar droite, et cette s
e d'au- cune modification sensible des parties squelettiques, cette
atrophie
n'est pas le seul caractère de la variation qui
int le membre droit. L'artère radiale de ce côté est atrophiée et l'
atrophie
parait complète, si l'on en juge par l'impossib
anomalie observée sur ce membre. Reliant donc, comme il convient, l'
atrophie
de l'éminence thénar à l'ab- sence de l'artère
certaines dispositions. Lorsque nous nous trouvons en présence de l'
atrophie
simultanée de tout un massif muscu- laire et de
du membre à l'axe nerveux, mais bien plutôt la possi- bilité d'une
atrophie
ou d'une absence de formation de la substance gri
nglions inguinaux très développés dans l'aine correspondante. Pas d'
atrophie
de la cuisse et de la jambe droites. Si l'on fa
signe de Romberg. Pas de perte de la sensibilité musculaire. Légère
atrophie
musculaire dans le mollet du côté malade. App
1890, Ebstein en 1898, ont décrit dans l'écorce des tabétiques une
atrophie
des fibres tangentielles et une prolifération d
er, il avait le sentiment d'être attiré vers la terre, d'avoir de l'
atrophie
des muscles, et d'être comme si ses jambes n'av
t du poignet à la moitié de l'avant-bras gauche. Il n'y avait pas d'
atrophie
visible des petits muscles de la main, pas plus q
ex. Durant son séjour à la Maternité, la malade ne présentait pas d'
atrophie
apparente, se servait régulièrement de la main
ications plus ou moins marquées. Celle dégénération, ou mieux cette
atrophie
ré- trograde, sur laquelle nous sommes revenu à
s à celles qui se passent dans le bout périphérique, tantôt par une
atrophie
simple des éléments qui ne sont, du reste, pas to
URANTE Quant au bout central, il subit la dégénérescence ou mieux l'
atrophie
rétrograde dont nous avons essayé de déterminer
(Iahrb. f. Psych. und Neurol., XVII, 1898). Beitr. z. Studium d.
Atrophie
und Degen. in Nervensystem. (lahrb. f. Psych.,
a san- té générale. Or, il ne paraît pas douteux que dans ce cas, l'
atrophie
mus- culaire est, commel'aedéme, commandée par
lloâr.), par RICnoN, 84. Syringomyélie. Arthropathie de l'épaule.
Atrophie
musculaire et lheî,nio-ai2alg( ? sie du type tr
3. Brissaud et BRUANDET. Syringomyélie. Arthropathie de l'épaule.
Atrophie
mus- culaire et thermo-analgésie du type tran
1. BRUANDET et BRISSAUD, Syringomyélie. Arthropathie de l'épaule.
Atrophie
mus- culaire et thermo-analgésie du type tran
gram- mes ; son ventricule latéral est dilaté, rempli de liquide; l'
atrophie
porte surtout sur les circonvolutions du lobe o
ct de gravité moyenne, mais chez le premier nous avons trouvé une
atrophie
du lobe cérébral gauche et de la splénisation pul
: 1° Tumeurs et abcès (y compris les gommes) ; 2° Traumatisme. c)
atrophie
idiopathique du cerveau. d) méningite progressive
us ou moins diffus, soit par taches ou stries, de la neuroglie avec
atrophie
correspondante- et destruction des fibres nerve
aux adultérations cellulaires; les atrophies cellulaires amènent l'
atrophie
simple des faisceaux blancs, mais non leur scléro
dans un cas, par les mains dans l'autre cas. Elle a consisté en une
atrophie
musculaire progressive avec secousses fibrillai
ose latérale amyotrophique ; la lésion prin- cipale consiste en une
atrophie
simple des cellules des cornes antérieures, cel
guë, niée par certains auteurs. Cette affection consisterait en une
atrophie
simple des cellules de la corne antérieure, en un
SAVANTES. - 73 de la corne antérieure. Au contraire, elle a, avec l'
atrophie
Aran- Duchenne et la maladie de Charcot, une pa
olution. Des relations de la sclérose latérale amyotrophique avec l'
atrophie
musculaire pi,ogtessive; par F. Raymond et E. R
lin (de Paris). L'opinion qui prétend fondre en une seule maladie l'
atrophie
musculaire progressive du type Aran-Duchenne et
, on est bien obligé d'établir une distinc- tion entre une maladie (
atrophie
musculaire progressive du type Ai-ttit-l)ticlte
ttit-l)ticlteiine) dont toute la symptomatologie se résume dans une
atrophie
musculaire progressive flasque, accompagnée d'une
eur de la néces- sité de cette disjonction. Elle nous montre dans l'
atrophie
muscu- laire progressive du type Aran-Duchenne
ré- texte qu'on a vu des phénomènes spasmodiques s'associer à une
atrophie
musculaire progressive, dans un cas où, à l'autop
a nécessité de disjoindre la sclérose latérale amyo- trophique de l'
atrophie
musculaire progressive du type Aran- Duchenne n
. Enfin les deux auteurs ont cité des faits qui établissent que l'
atrophie
musculaire progressive du type Aran-Duchenne peut
ait confondre avec celles des myélites, et qui se résument dans une
atrophie
primi- tive de la cellule nerveuse, aboutissant
ndre en une seule. En définitive, les deux auteurs ont conclu que l'
atrophie
mus- culaire progressive du type Aran-Duchenne
eppant légèrement et présentent en effet une certaine parésie, sans
atrophie
musculaire, des muscles anté- rieurs de la jamb
membre inférieur gauche depuis six mois. Membre supérieur gauche :
Atrophie
des éminences thénar, hypo- thénar et des inter
minences thénar, hypo- thénar et des interosseux. fl l'avant-bras :
atrophie
du groupe des fléchisseurs (groupe cubital).-tl
traction, homo- généisation du noyau avec conservation du volume ou
atrophie
du nucléole ; plus rarement, atrophie du corps
vec conservation du volume ou atrophie du nucléole ; plus rarement,
atrophie
du corps cellulaire. Je ne parle pas de la pigm
uppurée du poignet droit, qui a guéri en laissant une ankylose avec
atrophie
partielle de tout l'avant-bras, infirmité qui l
ules des ganglions spinaux intervertébraux. Wollenberg cons- tata l'
atrophie
et la pigmentation de ces cellules ainsi que l'as
correspondant à la hauteur du processus labétique dans la moelle :
atrophie
, pigmentation, vacuolisation du protoplasma, dé
des lésions des cellules des ganglions spinaux. De même Wollenberg (
atrophie
, pigmentation, vacuolisation, hyperplasie du ti
leur noyau. Schaffer a bien trouvé, quoique « très rarement », une
atrophie
et une figure anormale du noyau. L'aspect de la
hode de Nissl une moelle tabétique dont le sujet avait présenté une
atrophie
muscu- ' Ch. Schaffer. Sur l'origine de l'amyot
eurones radiculaires se trouve de ce fait gravement compromise et l'
atrophie
des muscles correspondants est une des suites i
mes du tableau typique du tabes, inégalité et rigidité pupillaires,
atrophie
du nerf optique, troubles de sensibilité sous for
x; 2" symptômes étrangers à la symptomatologie classique du tabes :
atrophie
des muscles de la ceinture scapulaire et des av
sie générale : la réac- tion caractéristique est moins nette dans l'
atrophie
musculaire tabétique, dont on connait la lenteu
hie musculaire tabétique, dont on connait la lenteur des progrès. L'
atrophie
musculaire peut être attribuée soit à des altér
affections. Ce que les deux maladies ont surtout en commun, c'est l'
atrophie
primitive des éléments nerveux. Hoche ne saurai
ammatoires des méninges la dégénération des racines postérieures; l'
atrophie
des cordons ' Il n'est pas exact de compter Red
ningite ; enfin, il pouvait s'agir de dyscrasies déterminant une
atrophie
primaire des racines postérieures. Minor et'Sachs
ctifs et gustatifs), a montré des lésions banales, mais accusées, d'
atrophie
et de dégé- nérescence des éléments nerveux, su
ntré Dax. Enfin, dans le cerveau des déments chroniques, il y a une
atrophie
considérable des lobes occipitaux. . ' `s1 t`
lynévrite due à la malaria, dont un s'est terminé par la mort, avec
atrophie
musculaire, albuminurie, et oedème final. D'après
es. Les troubles trophiques ne manquent presque jamais, sur- tout l'
atrophie
musculaire. Ces symptômes n'ont pas de locali-
les cas bénins, il peut y avoir guérison, en général il reste de l'
atrophie
et une certaine impotence des membres. Comme le
ehuchten (jour, de Neurologie, 1900, n° 8.) XXI. Syringomyélie ou
atrophie
mnsculaire progressive ; par les Drs de Bock et
ude microscopique d'un fragment de la moelle cervicale a montré une
atrophie
des cornes antérieures, une dégénérescence hyal
orce de la pesan- teur suffit seule. C'est ainsi que, dans un cas d'
atrophie
totale du triceps brachical; l'extension de l'a
de précision. De même la flexion du tronc peut s'effectuer malgré l'
atrophie
ou la paralysie des muscles abdominaux, par la
hésie du tact et de la douleur. La seconde observation concerne une
atrophie
musculaire progressive avec névrite ; dans les
loureuse et tactile. Obs. XIII à XIX, concernant le tabès dorsal, l'
atrophie
musculaire progressive, la paralysie spinale sp
encéphttlile. (L'observation sera publiée ainsi qne la suivante.)
Atrophie
Cérébelleuse. Diplégie cérébrale spasmodique infa
les membres paralysés, et ne disparait que pour faire place à de l'
atrophie
musculaire. Cette contracture se développe lent
re plus spécialement l'attention sur l'existence de l'amaurose avec
atrophie
papillaire, survenue chez un malade atteint de
e, et plus par- ticulièrement de son action sur la contracture et l'
atrophie
muscu- laires ; deux exemples de méningite céré
1° dégénération secondaire chez les amputés avec sclé- rose et non
atrophie
simple (les auteurs jusqu'ici n'ont pas signalé
aient diminué de volume, mais à l'examen il ne parait pas exister d'
atrophie
. 0 CLINIQUE NERVEUSE. Il existe quelques craq
tortueux et les veines plus grosses que normalement. Il n'y a pas d'
atrophie
. - « Hypermétropie, O.D. = hum= 1.50 V, = I.
une : Peut-être avait-il conservé dans les années qui suivirent une
atrophie
transitoire du membre paralysé ; peut-être même
ignes morbides : une légère exagération des réflexes roluliens, une
atrophie
très nette'de la cuisse et de la jambe gauche p
e professeur Charcot et M. Marie ont décrit, en 18863,une variété d'
atrophie
musculaire progressive qui peut parfois se prés
imination on peut y rattacher ces deux cas. 1 M. H. 111. Un cas d'
atrophie
segmentaire ou atrophie musculaire pro- gressiv
acher ces deux cas. 1 M. H. 111. Un cas d'atrophie segmentaire ou
atrophie
musculaire pro- gressive type Aran-Duchenne ; p
UCHTEN. (Joui-n. de Neurologie.) , , On sait que l'existence de l'
atrophie
musculaire progressive type Aran-Duchenne a été
personnels ni héréditaires, qui est atteint depuis trois ans d'une
atrophie
de tous les muscles des deux mains et des fléchis
ras de la parole qui se dissipèrent graduellement, puis d'une autre
atrophie
musculaire qui, après avoir débuté à l'extré- m
itres, croit que les accidents présentés par un malade, y compris l'
atrophie
musculaire qui constitue le phénomène prédominant
urs des signes caractéristiques des tumeurs du cerveau, notamment l'
atrophie
musculaire, les spasmes, les nausées et l'aphas
rébrale met brusquement fin à sa vie. R. DE Musgrave CLAY. XII. L'
atrophie
musculaire progressive chez les jeunes sujets; pa
Journal, 20 mars 1897.) L'auteur relate d'abord une observation d'
atrophie
musculaire progressive chez une jeune fille de
cte. Au point de vue du diagnostic différen- tiel, on distinguera l'
atrophie
musculaire progressive delà paraly- sie infanti
ent, douleur, pares- Hiésies, pertes des réflexes profonds suivie d'
atrophie
musculaire avec réaction électrique de dégénére
à une para- lysie plus ou moins complète selon la gravité du cas, l'
atrophie
- · consécutive, a elle aussi une intensité var
sité variable, et quelquefois des contractures. Dans tous les cas d'
atrophie
on constatait la réac- tion électrique de dégén
opique n'a pas été fait dans les cas cérébelleux. Dans quatre cas l'
atrophie
du nerf optique était complète et la cécité abs
ussi des symptômes précoces (miction paresseuse ou incontinence). L'
atrophie
du nerf optique ne se rencontre à la vérité que
eloppé. Les t«ber- cudes mamillaires font défaut. Fig. 7. Ardue :
atrophie
du frontal ; persistance des sutures. '28 1 ANA
onction de macrophages. Il faut mentionner, en outre, dans ce cas l'
atrophie
extrême des cellules nerveuses. Elles sont arro
pas été justifiée ; pachyménin- gite très accusée de la dure-mère,
atrophie
de la faux, méningo-encéphalite, destruction de
OLOGIQUES. 319 sous le nom de- chromatolyse; ils étudient ensuite l'
atrophie
variqueuse des prolongements protoplasmiques, l
l'on a soumis à l'influence des divers agents toxiques. Quant à l'
atrophie
variqueuse des prolongements protoplas- miques
scles des membres sous forme de nodules de très petites dimensions;
atrophie
musculaire, des- truction des branches terminal
la gaine des petits vaisseaux par les leucocytes mononucléaires, l'
atrophie
des libres tangentielles, la chromotalyne légèr
eaucoup plus intenses que dans la paralysie générale, au lieu que l'
atrophie
et la raréfac- tion des cellules nerveuses est
and C° 1900, 111-80, extrait du Brain.) Il s'agit de trois cas d'
atrophie
partielle d'un hémisphère céré- bral, dans lesq
ésion primitive des ganglions de la base à gauche (couche optique),
atrophie
de l'hémisphère gauche englobant les ganglions
sphère gauche englobant les ganglions de la base, consécutivement :
atrophie
de la pyramide et de la bandelette à gauche dan
eau pyramidal direct à gauche et du croisé à droite dans la moelle;
atrophie
du cordon autérolatéral gauche; atrophie de la
à droite dans la moelle; atrophie du cordon autérolatéral gauche;
atrophie
de la moitié droite du cervelet et du pédoncule c
exagérés (de naissance), pas de démence, mort à trente- trois ans.
Atrophie
des circonvolutions centrales de l'hémisphère g
hère gauche. Intégrité des ganglions de la base. En conséquence :
atrophie
du faisceau descendant correspondant dans la prot
is l'âge de douze ans, démence progressive, morte à vingt-deux ans.
Atrophie
des circonvolutions à la partie inférieure BIBL
es gan- glions de la base, de la bandelette et du cervelet. ' , L'
atrophie
de l'écorce seule entraîne donc la sclérose des f
moelle. Quand la lésion intéresse les ganglions de la base, il y a
atrophie
de la moitié opposée du cervelet et de son pédon-
cerveau. Dégénéres- cence des cellules corticales, depuis la simple
atrophie
, jusqu'à la nécrose de coagulation, mais avec p
des vaisseaux procède le développement du tissu conjonctif, et l'
atrophie
de la substance cérébrale, selon l'étendue du pro
cordons postérieurs (faisceaux de Goll et de Burdach), ainsi que l'
atrophie
du corps thyroïde. Cliniquement il s'agissait d
ème opératoire ou spontané, l'arrêt de développement par absence ou
atrophie
de la thyroïde, guérissent entièrement par l'ac
fantile qui ne porte que sur les cellules motrices ne produit que l'
atrophie
. Les mêmes remarques s'alressentaux affectionsc
n ne voit de réaction dégénérative ; 4° On ne voit pas non plus d'
atrophie
dégénérative : il y a seulement une maigreur géné
n presque complète de l'hémisphère cérébelleux gauche et du vermis,
atrophie
de la VI° paire à gauche, rien du côté des hémi
cérébraux, com- pression totale du bulbe et de la protubérance avec
atrophie
des cellules et dégénérescence des fibres surto
seuse, tandis qu'une cause agis- sant en sens inverse entraîne de l'
atrophie
ostéo-articulaire. « On peut d'ores et déjà pen
début. Enfin, dans le tabès dit amaurotique, c'est ordinairement l'
atrophie
du nerf optique qui révèle le diagnostic. ' T
nsibilité est atteinte, les sphincters sont intéressés, il y a de l'
atrophie
et des modifica- tions électriques; dans la myé
issance dans le côté opéré, on observa, après un certain temps, une
atrophie
de ce côté du crâne. Tous ces faits confirment
a été perdurable. Quand cette contracture cesse, c'est à cause de l'
atrophie
des muscles. Mais, dans ce dernier cas, les att
s). Mais il ne pourrait être question de ce cas non plus, puisque l'
atrophie
des muscles contractures n'existe pas. Les fa
é le cas de Tambroni, dans toutes les autres autopsies, on a noté l'
atrophie
diffuse des circonvolutions' qui se rencontre c
aralytiques passa- gers (hémiplégie à gauche). Puis survinrent de l'
atrophie
, muscu- laire et des e-chares. La perte de l'in
s après le début de l'affection. L'autopsie permet de relever une
atrophie
cérébrale manifeste, des adhérences de la pie-m
ilise; 50 î)s ! lcitoses organiques : p. p. g., tumeurs céiébrales,
atrophie
du cerveau, et 6° psychoses par arrêt de dévelo
ecbterew, 392. Atiiltose double cllorétforme, par Londe, 344.
Atrophie
musculaire progressive. Relations de la scléros
illil, 73. Syringo- ni y elie et -, par de Buclc et de loor, 143.
Atrophie
segmentaire et -, par van Gelluclaan, 'L>39.
t d'un gliome du IVe ventricule, par llariuesco, 85. DtPt.éctE.
Atrophie
cérébelleuse, - céiébrale spasmodique infantile
es de la , par Philippe et Guillain, 71. Relation de la - et de l'
atrophie
musculaire progressive, par Ray- mond et Rick
enne au niveau de la loge frontale.' Le cerveau de Vey... avait une
atrophie
double de la partie antérieure des loles fronta
a galli sur ses deux faces est iden- tique. Qu'un des hémisphères s'
atrophie
et cesse de se déve- lopper, qu'arrive-t-il ? L
on trophique directe sur l'os qui le recouvre (ce qui dans le cas d'
atrophie
de" cet organe, entraînerait une atrophie des c
vre (ce qui dans le cas d'atrophie de" cet organe, entraînerait une
atrophie
des crêtes osseuses observées normalement) que
es hémisphères cérébelleux sont égaux; d'autres fois, plus rares, l'
atrophie
cérébelleuse existe du même côté que l'atrophie
fois, plus rares, l'atrophie cérébelleuse existe du même côté que l'
atrophie
cérébrale. Enfin, souvent, tandis que les hémis
action est hors de doute, par exemple le cas de R ? chez .lequel l'
atrophie
des lobes frontaux a laissé un large Fig. 10.
ttement d'origine inflammatoire. Sur les fig, 8, 9 et 10, on voit l'
atrophie
de la partie antérieure du cerveau; sur la fig.
OGIE NERVEUSE. 53 sèment considérable de la vision du même côté par
atrophie
opti- que, et à droite ptosis incomplet avec pa
(acrocyanose chronique à forme sensitive).- -20 La moda- lité avec
atrophie
(acrocyanose à forme atrophique). 3° L'acro- cy
Jeune fille de quinze ans atteinte depuis plusieurs années d'une
atrophie
progressive de,tous les muscles du côté gauche de
une arthropathie monstrueuse et indolente de l'épaule gauche, de l'
atrophie
musculaire progressive du même memhre et de la
mérale (énormes végétations fibro-cartilagineuses) et de la moelle (
atrophie
des cornes anté- rieures, foyers lacunaires des
ans par de la parésie et des douleurs lancinantes, évolution lente,
atrophie
musculaire étendue aux quatre membres, fausse b
adiculaire totale du plexus bra- chial droit. Elle s'accompagnait d'
atrophie
des muscles du bras et de l'épaule avec réactio
enfin du myosis droit avec rétraction de la fente palpébrale; une
atrophie
considérable de la joue droite avec aplatissement
langue, qui peuvent accompagner cette hémiatrophie, est celle d'une
atrophie
de rameaux nerveux moteurs de certains nerfs cr
s le traumatisme. (Revue neurologique, janvier 1903). - E. B. VI.
Atrophie
du cervelet et sclérose en plaques; par André Tho
men histologique a révélé des lésions très semblables à celles de l'
atrophie
olivo ? oizio-cé ? -ébelleuse, mais cependant un
Schlaagenhaufer, etc.) placent dans le nerf optique l'origine de l'
atrophie
optique tabétique, d'autres (Pofoff, Moxter, Vo
la lésion primitive siège dans la rétine et qu'elle consiste dans l'
atrophie
des cellules multipolaires ou ganglionnaires, c
n somme, ces recherches nous permettent de conclure nettement que l'
atrophie
optique tabétique ne commence pas par la rétine
issait supposer qu'il devait exister une autre lésion qu'une simple
atrophie
sur place des fibres nerveuses. Cette disproporti
lésions est très nette quand on examine des nerfs à des degrés d'
atrophie
différents 'ou même quand on examine des portions
ng des sensations lumineuses. Ces lésions n'ont rien de spécial à l'
atrophie
tabétique, ce sont des lésions de péri et d'end
dos. Un second symptôme attire immédiatement l'attention, c'est l'
atrophie
musculaire coexistant avec l'impotence, elle oc
hénar et l'effacement du creux de la main.- A l'avant-bras, cette
atrophie
n'est pas moins évidente, la DEUX CAS DE LÈPRE
es séparant les méta- carpiens à la face dorsale. Aux avant-bras, l'
atrophie
portait t de façon prépondérante sur les extens
Quant aux phénomènes parétiques, ceux-ci rigoureusemt adéquates à l'
atrophie
musculaire se manifestaient par une diminution
embres supérieurs l'aspect' clas- sique de la main simienne, en une
atrophie
musculaire superposable à la paralysie, en une
us frappants, dès l'abord, chez nos deux malades est certainement l'
atrophie
musculaire, si accentuée dans les deux cas, et
e, et cette apparence évoque immédiatement dans l'esprit l'idée d'
atrophie
musculaire myélopathique, d'atrophie du type Ar
atement dans l'esprit l'idée d'atrophie musculaire myélopathique, d'
atrophie
du type Aran-Duchenne. Je place à dessein, sous
ssière que de porter dans les cas qui nous occupent le diagnostic d'
atrophie
musculaire du type Arau-Duchenne. Tout d'abor
stic d'atrophie musculaire du type Arau-Duchenne. Tout d'abord, l'
atrophie
musculaire myélopathique est symétrique,, tandi
autant de phénomènes qui sont étran- gens à la symptomatologie de l'
atrophie
musculaire progres- sive type. Laissez-moi, Mes
« Je dois ajouter, disais-je, que les premières des- criptions de l'
atrophie
musculaires, dans lesquelles on notait expressé
à cet égard, c'est qu'ils ont observé des cas qui n'étaient plus l'
atrophie
musculaire type. Je vous ferai remarquer d'aill
e des troubles de sensibilité un peu importants sont superposés à l'
atrophie
musculaire, ce n'est plus en présence de la mal
alades ne pré- ' sentent aucun stigmate d'hystérie. Le diagnostic d'
atrophie
musculaire par poliomyélite est donc à rejeter.
eter. Mais il est une autre affection qui se rapproche assez du l'
atrophie
musculaire progressive pour que, jusqu'en 1882.
l en est un que je veux d'abord retenir, la syringomyélie à forme d'
atrophie
musculaire : ici la symptomatologie se caractér
ire : ici la symptomatologie se caractérise essentiellement par une
atrophie
débutant par les petits muscles des mains et s'
la syringomyélie. A vrai dire, la présence et les caractères de l'
atrophie
mus- culaire, les troubles des réactions électr
s ai mentionnés : en cas de syringomyélie en effet la symétrie de l'
atrophie
musculaire et des anesthésies est de règle, tan
mineront, selon l'in- tensité et la rapidité du processus, soit une
atrophie
de la fibre nerveuse qui devient plus grêle dan
u d'élé- ments utilisables. On ne saurait admettre l'existence de l'
atrophie
simple ; on ne connaît pas de dégénérescence gr
coin. la corne d'Ammon, une partie de l'insula sont indemnes de l'
atrophie
des fibres. Le processus dégénératif épargne tout
e géné- rale à la dernière période, où l'hémisphère entier trahit l'
atrophie
des fibres. la plus grande qui sepuisse imagine
sivement dégénérée. On peut néanmoins se demander si certains cas d'
atrophie
diffuse ne ' Voy. Archives de Xenrologie, t. XI
l'épuisement avec agitation d'origine traumatique, la mienne dans l'
atrophie
des nerfs opti- ques syphilitique. IV. La vraie
ANTES. niques seraient liés aux lésions dites fonctionnelles et à l'
atrophie
du neurone, tandis que les autres tissus de l'e
le même caractère (destruction d'un très grand nom- bre d'éléments,
atrophie
des survivants). Il a semblé aux auteurs que ce
gauche, fait en rapport avec les constatations du D1' L. Dor sur l'
atrophie
des flocculus chez les lapins qui ont subi une
mais pouvant, dans quel- ques cas, devenirdéfinitives, rappellent l'
atrophie
musculaire des paralysies hystériques (Charcot,
nus fortement fléchis en per- manence, devenir peu à peu le siège d'
atrophie
et d'une rétraction définitive (Brissaud). Il s
e on donne le nom de « tabes avec cécité » est caractérisée par une
atrophie
papillaire assez rapidement complète, accompa-
ster plus ou moins complètement isolées Anatomiquement d'ailleurs l'
atrophie
optique du tabes est semblable à celle de la pa
emblable à celle de la paralysie générale ; il s'agit, ce semble, d'
atrophie
secondaire à des lésions de méningite et de név
s opérés et l'audacieuse fourberie des opé- rateurs. ' Névrite et
atrophie
optique dans l'erysipèle facial1. Le Dr CABANNE
te optique post-érysipélateuse qui s'accompagna très rapi- dement d'
atrophie
avec perte absolue de la vision du côté corres-
Ripault, etc. La réalité clinique de la lésion optique (névrite ou
atrophie
) au cours de l'érysipèle facial est actuellemen
roverses : les uns, à l'exemple de Carl, pensent qu'il y a toujours
atrophie
directe de la papille sans névrite anté- cédent
s autres, plus nombreux, incriminent, dans la genèse des lésions, l'
atrophie
post-névritique. Nous nous rangeons à cette der
la rétine voisine (le long des veines). Ultérieurement signes de l'
atrophie
post-névritique avec ses carac- tères connus. D
plus souvent irrémédiable.. b) Dans le second cas, il survient de l'
atrophie
optique sans névrite ni papillite évidente. Le
varnie, vers Bayonne et la côte basque. Pierre Roy. 1rfyotonie avec
atrophie
musculaire. M. LANNOIS (de Lyon). Présentation
athie progressive avec hypertonie que Maladie de Thomsen ruste avec
atrophie
musculaire. Il s'agit d'un malade ayant, depuis
ie musculaire. Il s'agit d'un malade ayant, depuis quatre ans, de l'
atrophie
musculaire à forme segmentaire (avant-bras et j
biopsique d'un fragment de muscle montre les lésions typiques de l'
atrophie
musculaire. Des faits de ce genre ont été signa
s de la motilité, des troubles de la sensibilité, de l'ataxie, de l'
atrophie
musculaire. 1. Les troubles de la motilité so
es des mou- vements. 4. Il se produit dans la jambe parétique une
atrophie
musculaire précoce qui dépend du foyer cérébral
in gauche s'est simplement améliorée. On constate actuellement de l'
atrophie
avec raccourcissement et raideur de la jambe ga
témoignent d'un amoindrissement du squelette en ces deux organes. L'
atrophie
musculaire est des plus nette à la face antérie
On a donc sous les yeux les traces d'une affection spinale aiguë. L'
atrophie
de la jambe gauche, sans accidents paralytiques,
tion est survenue pendant la période de développe- ment du sujet. L'
atrophie
avec paralysie musculaire et ? 011 dégénérative
ologiques des filets pupillaires correspondants ou de leurs noyaux (
atrophie
des cellules nerveuses correspondantes). X. Che
observation qui, de concert avec celle de Mendel (1895), montre une
atrophie
très accusée du corps restiforme gauche dans la
apsule interne. Delà, altérations consécutives en deux directions :
atrophie
marquée de la couche optique, dégénérescence desc
ue dans la protubérance, le bulbe et le côté opposé de la moelle. L'
atrophie
de la couche optique porte principalement sur s
s auteurs ont constaté des lésions du fond de rail (décoloration ou
atrophie
de la papille] qui ont évolué parallèlement aux
rajoutent pour augmenter la capa- cité des ventricules latéraux : l'
atrophie
cérébrale, et la pression exagérée du liquide c
le et l'ampliation des ventricules latéraux est la conséquence de l'
atrophie
cérébrale. G. D. Asile d'aliénés DES P1'RÉNÉE
USE. Imbécillité; hémiplégie gauche; épilepsie; état de mal mort;
atrophie
considérable de l'hémisphère cérébral droit. 1
demi; accès sériels. Etat du malade à Ventrée : Hémiplégie gauche,
atrophie
et con- fracture. - Marche des accès. Etal de m
à drode; épaississement notable du frontal et du pariétal droits. -
Atrophie
considérable de l'hémisphère cérébral droit; de
au. - A l'examen du cerveau, ce qui frappe immédiate- ment, c'est l'
atrophie
très considérable de l'hémisphère droit. Nerf o
re que le droit est d'au moins un quart plus petit que le gauche. L'
atrophie
porte sur la largeur et davantage sur la hauteu
est de même de la sensibilité dans ses divers modes. Notons enfin l'
atrophie
ou mieux l'arrêt de développement du système mu
ogue : Hypertrophie compen- satrice des os du crâne répondant à une
atrophie
considé- rible des lobes frontaux). , Les dét
ophiqtteintéressant l'resque tout l'hémisphère cérébral droit, avec
atrophie
croisée du cervelet et compliqué, lésion rare,
tent au type décrit par MM. Lannois et Paviot dans leur étude sur l'
atrophie
du cervelet. Ces éléments sont disséminés sur u
occipital : circonvolutions petites et irrégu- lières. A cause de l'
atrophie
et du retrait des circonvolutions dans 484 REVU
erno-cléido-mastoïdien (8 centi- mètres au lieu de 18 centimètres).
Atrophie
musculaire simple du chef claviculaire. Pas d'a
inférieur et supérieur). Pas de lésion du noyau bulbaire du spinal.
Atrophie
très marquée de la corne antérieure de la moell
e une lésion médullaire « collatérale » du torticolis congénital, l'
atrophie
de la corne antérieure de la moelle cervicale s
Mais il est possible que cette lésion ait seulement la valeur d'une
atrophie
rétrograde consécutive à une malformation ou à
à la racine du membre supérieur droit, irradiant vers l'extrémité.
Atrophie
progressive des muscles. Complications de bronc
- métriques des membres supérieurs avec atténuation du côté droit
atrophie
des phalanges et des métacarpiens avec exten- s
nifestations choréiques). Il présentait en outre une paralysie avec
atrophie
du membre inférieur droit, vraisemblablement d'
reux sous-claviculaire et de l'effacement des pectoraux et quel- qu'
atrophie
du biceps. Le malade'ne présente aucun trouble de
ontale. Oiromoiyse centrale, légère pigmentation jaune pale, légère
atrophie
cellulaire ; atro- phie, dislocation et gonflem
e Y. Base de l'encéphale de ¡¡am... (\'oir p. 473). - Elle montre l'
atrophie
de l'hémisphère droit et de hémisphère cérébelleu
x que la précédente, cette planche montre très nettement le degré d'
atrophie
de l'hémisphère cérébral droit. ' Planche VII
ervation d'abcès du , par Gordinier, 4S9. Voir Maladie. CERVELET.
Atrophie
du et sclérose en plaques, par Thomas, 62. Vo
Lamion et Po- rot, 57. , Miosis. Voir Méningite. Myotonie avec
atrophie
musculaire, par Lannois, 273. MYXOEDEMATEUX.
nerfs périphériques (ra- cines antérieures), par Nageotte, 61. et
atrophie
optique dans l'érysipèle facial, par Cabannes,
on VI. \. Thermanesthésie stationnaire limitée datant de dix ans. -
Atrophie
progressive des muscles de la main. Paralysie a
subi d'altérations. La musculature est modé- rément développée. Une
atrophie
considérable à la main gauche : les muscles lom
Dans le courant de la première moitié de 1884, la faiblesse et l'
atrophie
musculaire des membres inférieurs a progressé; un
-excilabilité des muscles paralysés diminuait progressivement. Leur
atrophie
pro- gressait rapidement. Dans les membres supé
. Elle commença à élever et à remuer plus librement les pieds ; l'
atrophie
disparut presque complètement; et le réflexe rotu
85, lorsque je vis la malade pour la dernière fois. Aucon- traire l'
atrophie
des muscles de la main avait augmenté. Les doul
s muscles n'existe plus maintenant dans les mem- bres inférieurs. L'
atrophie
musculaire des extrémi- tés inférieures a dispa
s pour la malade. L'écriture est devenue un peu plus jetée. Point d'
atrophie
musculaire dans la main droite; à la main gauch
soit étendu aux parties voisines de la moelle et eût provo- qué l'
atrophie
des muscles delà main. Les douleurs dans le dos
cas, une existence continue de la thermanesthésie isolée et de l'
atrophie
musculaire dans un seul membre supé- rieur, la
. Les muscles sont assez mal développés, on n'aperçoit nulle part d'
atrophie
. Souvent le malade éprouve une sensation diffic
aussi pendant l'état de repos. La faiblesse de la main associée à l'
atrophie
mus- culaire progressait jusqu'à l'entrée du ma
emarque parfois dans la main droite, mais à un faible degré. Il y a
atrophie
marquée du premier in- terosseux de la main gau
amélioration considé- rable, on constate une certaine faiblesse. L'
atrophie
musculaire de la main gauche a considérablement
ence thermique de 1° et moins. Dans ce cas aussi, la parésie et l'
atrophie
muscu- laire des parties périphériques des memb
bout de très peu de temps pour faire place à la paralysie et à la l'
atrophie
. La distribution de l'anesthésie cutanée corres
après, on nota une faiblesse dans le membre inférieur gauche avec
atrophie
progressive du mollet et de la cuisse. La réactio
alysie spinale de l'adulte sur laquelle est venue se superposer une
atrophie
musculaire, n'occupant pour le moment que le me
; dé- générescence partielle du pédoncule correspondant. OBs. IX.
Atrophie
considérable d'un des hémisphères céré- braux,
yers bulbaires semblables aux altérations de la poliomyélite. Pas d'
atrophie
certaine des noyaux de l'acoustique, mais bien
lite. Pas d'atrophie certaine des noyaux de l'acoustique, mais bien
atrophie
partielle et très marquée des deux troncs du ne
Produits ultimes d'une affection labyrin- thique très accusée, avec
atrophie
du nerf acoustique. Dans la poliomyélite et dan
ant une collection de photographies de malades ayant été affectés d'
atrophie
musculaire progressive (formes musculaires), l'
bable que l'hypertrophie des fibres est la période prodromique de l'
atrophie
. Discussion. MM. IU351(AUL, Boeumler, SCIIULTZE
optique, ainsi que des corpuscules lym- phoides et de la névroglie.
Atrophie
d'une partie des fibres ner- veuses, surtout da
eviennent inertes et demeurent inertes. Enfin, dès le début de mai,
atrophie
bilatérale du nerf optique qui s'accentue de pl
Ce sont les auteurs français qui ont mis en relief les formes de l'
atrophie
musculaire simple consécutive aux arthrites, frac
fémoral, à la suite desquels on put suivre le développe- ment de l'
atrophie
. On eut cliniquement affaire à une flaccidité t
u qu'à ceux qui avaient subi une contusion violente, à la période d'
atrophie
survenue d'ail- leurs rapidement, surtout à la
l'excitabilité diminua dans le système muscu- laire, il survint une
atrophie
rapide, surtout prompte et rapide dans la contu
duit une contracture dans une jambe ; pied bot varus-équin ; forte
atrophie
du jambier antérieur, de l'extenseur commun, des
laires. Cela ne peut-il pas avoir eu lieu dans le cas présent ? L'
atrophie
et la contracture ne peuvent-elles pas être consi
néopla=ies osseuses compensant le vide intra-crânien causé par une
atrophie
générale de l'encéphale. Enfin, plalycéphalie a
nerveuses de la substance blanche, tandis que l'écorce offrait une
atrophie
de fibres relativement faible. Voici maintenant
tendineux. Intégrité des fonctions de la vessie et du rectum. Pas d'
atrophie
musculaire : intrégrité des éminences thénar et
s moteurs et trophiques, la dernière s'accompagnant de parésie et d'
atrophie
. Quant aux altérations anatomiques, on constate
sie exquise au froid au niveau du pied gauche. Il n'y a pas trace d'
atrophie
; les membres du malade, aussi bien le gauche qu
aralytiques ne présentent et n'ont jamais pré- senté aucune trace d'
atrophie
; leur musculature est remarquable; DES ACCIDENT
ale au membre gauche. Sens musculaire normal. Il n'y apas trace d'
atrophie
musculaire ; les muscles répondent très bien au
« accidentelles » qui ont laissé des cicatrices; des am- poules.
Atrophie
de deux côtés (plus forte à gauche) des muscles d
, les doigts s'incurvèrent peu à peu, la force des mains diminua, l'
atrophie
se développa; tous les phé- nomènes douloureux
vements des membres supérieurs est légèrement supérieure au degré d'
atrophie
. Membres inférieurs : Faiblesse subjective du c
ments convulsifs, etc.; 4). Troubles trophiques et vaso- moteurs :
atrophie
musculaire, distrophies cutanées et celle du ti
tions locales plus favorables au déve- loppement de la maladie. L'
atrophie
musculaire nous présente cet intérêt, .qu'elle
main et présentait le tableau considéré comme caractéristique de l'
atrophie
musculaire spi- nale protopathique (type soi-di
e dans les muscles scapulaires et ceux de l'épaule rappelle aussi l'
atrophie
musculaire progressive, mais idiopathique de mo
mps, je pus observer encore trois cas de gliomatose médullaire avec
atrophie
musculaire du type Aron-Duchenne liée a l'anest
merai Landonsy-Dejerine). Dans d'autres cas, ta dis- tribution de l'
atrophie
est moins trompeuse : elle se borne longtemps à
e dans les atrophies musculaires progressives protopa- thiques. L'
atrophie
des membres inférieurs est exces- sivement rare
bres inférieurs est exces- sivement rare et dans ces cas le degré d'
atrophie
peu considérable ne correspond pas au degré de
accusée, ne constituant pas, du reste, l'apanage né- cessaire de l'
atrophie
musculaire dans la gliomatose de la moelle épin
lle épinière, pas plus que dans d'autres amyotrophies spinales. L'
atrophie
des muscles peut ne pas avoir lieu pen- dant tr
s membres supérieurs; la fai- blesse prédomine habituellement sur l'
atrophie
. Ces deux espèces de troubles atteignent rareme
contracture atrophique des articu- lations des doigts. Au début, l'
atrophie
musculaire et la faiblesse se localisent dans l
, VI, VIII, IX, X). Plus tard, comme le prouve notre premier cas, l'
atrophie
des muscles et les troubles moteurs peuvent êtr
nous avons observés dans tous les cas où il y avait faiblesse et
atrophie
des muscles de la main, se rap- portent les tre
fs de la sensibilité ou l'analgésie, ou les troubles moteurs et l'
atrophie
des muscles. Plusieurs années peuvent s'é- coul
tteint; les lésions principales trou- vées à la nécropsie étaient l'
atrophie
cérébrale et la méninge - en cépha Vite . Obs
hie cérébrale et la méninge - en cépha Vite . Observation XLIV. -
Atrophie
cérébrale. e/n/ë ? <' gauche. Débilité menta
oedème de la pie-mère. Anomalies artérielles. Hydrocéphalie légère.
Atrophie
du pédoncule cérébral droit, de la moitié droit
sur les parties anté- rieures des première et deuxième frontales, l'
atrophie
est beaucoup plus prononcée que sur les parties
IVE. 247 trois étapes : 1° prolifération vasculaire; 2° sclérose et
atrophie
des cellules nerveuses; 3° formation des cavité
plus atteinte à gauche qu'à droite. L'autopsie nous a fait voir une
atrophie
de l'hémi- sphère cérébral droit qui pèse 50 gr
poque été attirée sur le cervelet. Toutefois il existait une légère
atrophie
portant sur leur, ensemble, puisque le poids mo
phies d'origine nzyélopathique représentées par les types : .' 1°
Atrophie
musculaire progressive spinale protopathique (typ
pathique représentées par les formes : -. lo Forme infantile de l'
atrophie
musculaire progressive de Duchenne ou type faci
seul du sujet; si la marche de la maladie est chronique, le type
atrophie
musculaire progressive spinale protopathique' (ty
le peut se trouver accom- pagnée dans la suite par la sclérose et l'
atrophie
des régions voisines. Aux douleurs fulgurantes,
ce niveau par les fibres du pédoncule cérébelleux supérieur. : l'
atrophie
des cornes et des libres radiculaires postérieure
dansle tissu interstitiel ; intégrité des rameaux intermusculaires.
Atrophie
dégénéralive des muscles en rapport avec la man
te droite, du chiasma et des deux nerfs optiques surtout à gauche ;
atrophie
commençante. Seul un trousseau de fibres a écha
définir. Pas d'autres troubles sensitifs. 11 n'y a aucune trace d'
atrophie
musculaire, il n'y a pas de troubles vaso-moteu
s qu'on imprime à ses membres paralytiques. Il n'y a aucune trace d'
atrophie
musculaire. Nous n'avons pas rencontré de troub
e est pris, maintes fois, de douleurs fulgurantes. Il n'y a pas d'
atrophie
musculaire, sauf une anidrose complète des pied
e l'anes- thésie, puis la coïncidence fréquente au début avec une
atrophie
musculaire dans les mêmes régions, nous fait su
onnaires. Généralement, durant plusieurs années, un certain degré d'
atrophie
et de faiblesse reste stationnaire ; dans d'aut
a thermanesthésie partielle delà partie périphérique du membre avec
atrophie
de muscles de la main avait été observé à un ce
iomatose spinale avec quelques cas de lèpre anesthétique, grâce à l'
atrophie
musculaire, l'anesthésie thermique et l'analgés
onservé leur sensibilité normale. Il ne faut pas en outre oublier l'
atrophie
avec affai- blissement des muscles orbiculaires
n sudorale et vaso-moteurs ; 4) dans les atrophies musculaires. L'
atrophie
progressive des muscles avec localisation préal
n'exclue pas ce processus. II peut également se manifester par l'
atrophie
musculaire seule accompagnée de phéno- mènes d'
lorsqu'on veut faire la part de leur fréquence assez grande dans l'
atrophie
cérébelleuse, c'est-à-dire dans une lésion qui
nsertion aux muscles. Le cerveau n'avait point d'autre lésion que l'
atrophie
des nerfs optiques, une diminution notable du v
sistant intacts. Les membres inférieurs sont principalement pris. L'
atrophie
musculaire pro- gressant, apparaissent les trou
é visuelle et de la vision pélipliérique. A partir de février 1882;
atrophie
papillaire marchant de dehors en dedans, trem-
archant de dehors en dedans, trem- blements convulsifs périhuccaux,
atrophie
de la moitié gauche de la langue, parole embarr
e à la base du bulbe et de la protubérance. Dégénérescence grise et
atrophie
111·LologiIue de toute la région des oculo-moteur
s cellules sont plus petites que ne le sont celles de ces derniers.
Atrophie
des racines et des noyaux des oculo-moteurs exter
rigine dos pathétiques : intégrité de leurs grandes cel- lules mais
atrophie
presque complète de groupes cellulaires (petite
ct, des deux côtés, au-dessus du faisceau longitudinal postérieur ;
atrophie
presque complète des segments intramédul- laire
e à une altération vasculaire beaucoup plus marquée, aussi y a-t-il
atrophie
myélinique et disparition des cylindraxes. P.K.
ie par suub- cation. Lésion des cornes antérieures absolument pure;
atrophie
, disparition presque totale des cellules de la
dérables (régression des fibres pro- tiféfation des noyaux). Faible
atrophie
des nerfs périphériques; dégénérescence insigni
C%t. f. Psych., XIX, 2.) Une première observation de névrite avec
atrophie
musculaire 4'l4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
aires. En somme, névrite périphérique unilatérale (répartition de l'
atrophie
, examen électrique) et, longtemps après, tabès
t : une sclérose irrégulièrement disposée des cordons latéraux et l'
atrophie
des cellules des cornes antérieures à la région
que chose de défectueux dans le système ner- veux central, il a une
atrophie
congénitale du membre supérieur droit et de la
sclérose en plaques). P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Cas d'
atrophie
infantile unilatérale DES muscles DE la face, p
a mère s'est aperçue de cette paralysie faciale du côté droit, avec
atrophie
des muscles de la face. Il ne peut fermer l'oei
du nerf REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. G3 cubital et du médian ; l'
atrophie
évidente, quoique incomplète, des segments infé
ramollissement circonscrit des cellules appartenant à l'accessoire (
atrophie
du trapèze); c'est ce qui ressort des avis de G
e font plus sentir, tous les symp- tômes enfin se dissipent, sauf l'
atrophie
musculaire qui, elle, resle aussi prononcée qu'
cyphose cervico- dorsale légère également. Aux membres supérieurs :
atrophie
des deltoïdes et impossibilité d'étendre horizo
Aux membres inférieurs : les grands fessiers sont atrophiés, mais l'
atrophie
est dissimulée par une forte masse graisseuse.
Les réflexes rotuliens sont normaux des deux côtés, il n'y a pas d'
atrophie
musculaire, ni de trouble trophique, pas plus à
antitative de l'excitabilité électrique, en rapport avec le degré d'
atrophie
des muscles ou avec les altéra- tions de leur c
Dans le premier groupe on trouve la paralysie spinale infantile, l'
atrophie
musculaire progressive, les atrophies avec paraly
res, lèvres épaisses projetées en avant, absence de rides, etc... L'
atrophie
musculaire est si intense que l'on ne peut sent
oïde ou au trapèze. La force musculaire est diminuée en raison de l'
atrophie
. Les fléchisseurs sont toujours restés plus gro
faciale qui s'établit à la suite de la névralgie du triju- meau, l'
atrophie
musculaire des arthrites douloureuses, etc. ^Re
atrophie des muscles volontaires dans le tabes. On sait que quand l'
atrophie
musculaire existe, elle est due à des complicat
s doigts. Der- mographisme. Trouble de la sécrétion sudorale. Pas d'
atrophie
musculaire, sauf un léger aplatissement de l'ém
vers les cornes postérieures puis- qu'il n'y a qu'à peine un peu d'
atrophie
musculaire, elle doit sié- ger surtout à droite
es des deux moitiés delà moelle, et surtout parce qu'il n'y a pas d'
atrophie
musculaire. L'hypolhèse d'une paralysie hystéro
ET ÉDUCATION DE LA PAROLE. 117 une cause physiologique, paralysie,
atrophie
de tel ou tel élé- ment d'organe. La langue tro
cavités grises centrales jusqu'au début du quatrième ventri- cule.
Atrophie
complète des éléments nerveux, fibres et cellules
II. Démence; hypocondrie; hémiplégie gauche; hémi- parésie droite.
Atrophie
des extenseurs de l'avanl-bras. Réaction pupill
vée. Intégrité de la parole. Dans l'écorce de l'hé- misphère droit,
atrophie
avec cavités et cicatrices. 138 REVUE D'ANATOMI
ues. Quelles que soient les déformations du tronc dépendant d'une
atrophie
oud'une rétraction musculaires, l'attitude des ar
ition; puis elle présenta de la paralysie des cordes vocales et une
atrophie
des interosseux des mains; pas d'affection des
région dorsale. Le corps dentelé détruit dans le cervelet amène une
atrophie
contra-latérale. Ces faits sembleraient venir à
s Archives, t. XXX. il 162 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. cas une
atrophie
cérébrale très marquée. L'adhérence des mem- br
ême temps que les vaisseaux sont beaucoup moins visibles que dans l'
atrophie
ordinaire. Sur la rétine on voit, entre les fib
e fourmillements dans les doigts de la main droite. Le 2 mars : L'
atrophie
des muscles, des jambes et des cuisses est très
a malade peut à peine porter ses mains à la tête. 11 y a un peu d'
atrophie
de l'éminence thénar et du premier interosseux de
n voit les deux membres supérieurs atteints. Ensuite se développe l'
atrophie
; elle commence à apparaître dans l'éminence thé
e le myxoedème et le goitre exophtalmique, puisque le premier est l'
atrophie
, le second l'hypertrophie du corps thyroïde. De
la diminution du poids du cerveau, les altérations des méninges, l'
atrophie
de l'écorce et les granulations épendymaires. L
être rencontrées en dehors de la paralysie générale. De même pour l'
atrophie
de l'écorce qui peut faire défaut dans les cas
ysie générale. Il en est de même pour les lésions microscopiques. L'
atrophie
des fibres à myéline se rencontie dans d'autres
un cas d'atro- phie de la substance blanche du lobe occipilal avec
atrophie
de la corne ventriculaire correspondante); 2° l
soit atteint de tabès ou de paralysie générale. ' M. Alzheimer. L'
atrophie
nrtério-scléreuse du cerveau. - Cette forme doi
ale. Mais la démence sénile est une affection diffuse, tandis que l'
atrophie
artério-scléreuse présente des lésions en foyer.
du Progrès Médical. CHARCOT (J.-B.). - Contribution a l'étude de l'
atrophie
musculaire progressive. - (Type lMichenne-Aran.
gé actuellement. Quelques troubles trophiques existent aussi - de l'
atrophie
des muscles du mollet, des éruptions zostérifor
s. Celles-ci sont grises, atrophiées depuis le bas jusqu'en haut. L'
atrophie
est pourtant moins accentuée au niveau du renfl
lanchâtres. Sur une coupe transversale de la moelle on constate une
atrophie
considé- rable des cordons postérieurs qui sont
sauf le cubital. Les muscles antérieurs de la jambe présentent une
atrophie
simple de la plupart de leurs fibres. Un assez
à un travail quelconque depuis plusieurs mois déjà. Il n'y a pas d'
atrophie
musculaire. Les pupilles, en état de myosis, so
ont l'un, myélite chronique diffuse évoluant sous les allures d'une
atrophie
musculaire, n'était à proprement parler que l'e
accompagnent. Cette disparition a évidemment pour consé- quence une
atrophie
générale de la moelle, atrophie poussée très lo
a évidemment pour consé- quence une atrophie générale de la moelle,
atrophie
poussée très loin dans certains cas; de plus, e
de la névrite se ren- contrent chez la malade : douleur, paralysie,
atrophie
musculaire, troubles trophiques. La première at
psies d'hérédo-ataxie cérébel- leuse qui aient été faites, que de l'
atrophie
du cervelet, l'organe de l'équilibration, et da
cervelet, l'organe de l'équilibration, et dans un cas seulement une
atrophie
de la moelle sans lésions dégénératives. Pour
ésie spasmodique des extrémi- tés avec rémission de deux ans. Pas d'
atrophie
musculaire; pas de réaction dégénérative, pas d
rofonds. L'affec- tion gagna le membre supérieur du même côté, avec
atrophie
spéciale des éminences thénar et hypothénar et
rieures et fibres motrices avec état spasmodique et en même temps
atrophie
progressive des muscles. Ce cas viendrait donc à
rapport qui existe entre la sclérose latérale amyo- trophique et l'
atrophie
musculaire progressive. P. S. SOCIÉTÉS SAVANTES
gis . BOURNEVILLE. BIBLIOGRAPHIE. Il. Contribution à l'étude de l'
atrophie
musculaire progressive (type Duchenne-Aran); pa
ses efforts. Ce n'est pas une monographie 344 bibliographie. de l'
atrophie
musculaire type Duchenne-Aran qu'il a voulu écrir
ne-Aran devait être net- tement différenciée des autres formes de l'
atrophie
des muscles. . Dans ce but, M..J.-B. Charcot no
te place devait cependant lui être dis- cutée. Gowers (1886) raye l'
atrophie
Duchenne-Aran de la noso- graphie et l'identifi
sa place est marquée à part dans le cadre nosographique, soit que l'
atrophie
évolue chroniquement (type Duchenne-Aran vrai),
t les régions examinées, mais son étendue reste proportionnelle à l'
atrophie
, des cellules de la substance grise. Elle respe
es cordons blancs de la moelle épinière, nées sous l'influence de l'
atrophie
des cellules ganglionnaires, de quelque origine
harcot, avait, obéi àun pieux 346 varia. devoir. La question de l'
atrophie
musculaire, type Duchenne-Aran, était une de ce
aitement de la morphinomanie.- CUARCOT. Contribution à l'étude de l'
atrophie
musculaire progressive type Duchenne-Aran ? AI"
it d'un petit malade atteint de paraplégie congénitale flasque sans
atrophie
, avec incontinence absolue de l'urine et des 37
mités, la variation fréquente des symptômes, le ptosis, l'absence d'
atrophie
musculaire et le dénouement fatal. L'ordre de l
sseaux de la base existait dans une pro- portion de 12,6. p. 100. L'
atrophie
générale du cerveau dans 65,9 p. 10.0. L'épendy
ouva une dégénérescence grise dans cinq cas. La dégénérescence et l'
atrophie
du nerf optique sont une lésion relativement fr
rouvée dans 41 cas dont36hommes et 5 femmes. La dégénérescence et l'
atrophie
du moteur oculaire cranien ont été trouvées dan
trophie du moteur oculaire cranien ont été trouvées dans 8 cas. L'
atrophie
du nerf acoustique dans 3 cas. Les méninges rac
qui correspond à la région corticale spéciale à celte extrémité une
atrophie
.qui porte à la fois sur le volume et sur les é
X. ETUDE SUR la dégénérescence DES CELLULES NERVEUSES dans UN cas d'
atrophie
cérébrale localisée; par le Dr PROUT. Chez un é
n épileptique de onze ans, mort en état de mal, l'auteur trouva une
atrophie
marquée des circonvolutions frontales des deux
stance cérébrale, dont il déterminerait peu à peu l'altération et l'
atrophie
? Les deux observations relatées par l'auteur p
réflexes profonds des jambes avec paralysie flasque, et quelquefois
atrophie
peu marquée des muscles, peu d'altérations de l
SESSION DE DRESDE. Séance du 22 septembre 1894. M. IIIEYER, Sur l'
atrophie
des fibres corticales chez les aliénés. - Depui
s corticales chez les aliénés. - Depuis les travaux de Tuczek sur l'
atrophie
des fibres à myéline intra-corticales dans la p
ues généraux, les fibres intra-corticales ont totalement disparu. L'
atrophie
des fibres externes et moyennes se rencontre da
nstituent les démences doit être considéré comme l'expression d'une
atrophie
diffuse des 414 r SOCIÉTÉS SAVANTES. fibres d
res, y compris l'idiotie - paraissent être sous la dépendance d'une
atrophie
des fibres corticales. Pour ce qui est des affe
n atrophique, quelque ait été le processus initial de la maladie. L'
atrophie
des fibres corticales n'est donc pas une lésion
lutions rolandiques. Discussion : M. TuczEK. La localisation de l'
atrophie
des fibres corticales chez les paralytiques gén
aines variétés cliniques de la maladie. Si le fait se confirme de l'
atrophie
des fibres dans les psychoses chroniques évolua
x régions anté- rieures des hémisphères. Je n'ai jamais rencontré l'
atrophie
des fibres de l'écorce en dehors de la paralysi
ment et peut-être les psy- choses séniles. Les cas de paranoïa avec
atrophie
des fibres d'asso- ciation ont besoin d'être co
qui simulent si complètement la démence paralytique, il n'y a pas d'
atrophie
des fibres. M. Iïa.> : eEtrar émet l'avis qu
tive à la paranoïa. M. MEYER a constaté dans un cas de paranoïa une
atrophie
des fibres dans les couches externe et moyenne
rt). Il est d'accord avec M. Tuczek : dans le cas qu'il a observé l'
atrophie
était prédominante dans la région antérieure de
ANTES. 4t5 lutions rolandiques; chez les sujets non paralytiques, l'
atrophie
des fibres de cette région est moins avancée.
du Progrès Médical. Chajicot (J.-li.). Contribution ci l'élude de l'
atrophie
musculaire prollressiue. (Type 1W chenne-Aran.)
s mains traduit un amoindrissement de l'énergie musculaire. Point d'
atrophie
. Ce fait, survenu en pleine épidémie d'influenz
de toute infection ou intoxication, et par la suite celui de toute
atrophie
musculaire. L'anatomie pathologique de la psych
dégénératives des nerfs périphériques (névrite paren- chymateuse),
atrophie
dégénérative des muscles, altérations du cordon
rs générations ont déterminé une 472 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
atrophie
complète du sens moral : cet état de perle complè
alysie complète des muscles des membres, du tronc et de la nuque et
atrophie
seulement bien nette aux mains. Les troubles
x tiers de son volume; on y trouve des corps granuleux en quantité.
Atrophie
des circonvolutions voisines des lobes occipita
al et pariétal. Hémisphère droit. Pas de lésions en foyer, mais une
atrophie
manifeste du lobe occipital. Les coupes des d
cellules qui leur correspondent ont dû dégénérer, comme le prouve l'
atrophie
des circonvolutions des deux lobes occipitaux.
Les convulsions continuent ensuite à se manifester. Contracture et
atrophie
des muscles des extrémités droites. Niveau ment
égère parésie du facial, déviation de la langue à droite. A droite,
atrophie
musculaire et contracture des extrémités, légèr
optiques dans lequel, à part un oedème double des papilles suivi d'
atrophie
, aucun autre symptôme ne pouvait faire supposer
démence sénite. M. NEISSER (de Leubus). Paralysie progressive avec
atrophie
muscu- laire, spinale progressive. L'auteur a d
chondrie. Il entre à l'asile cinq mois après : on ne constate pas d'
atrophie
musculaire. Les symptômes intellectuels consisten
3, le malade entre en rémission. En janvier suivant on constate une
atrophie
de l'émi- nence thénar de la main gauche. Depui
ne atrophie de l'émi- nence thénar de la main gauche. Depuis lors l'
atrophie
muscu- laire a suivi une marche progressive. Le
actuellement, la paralysie progressive a précédé l'apparition de J'
atrophie
musculaire pro- gressive. M. Bonhoffer (de Br
witch, 329. - double débutant chez l'adulte pat Brandeis, 337.
Atrophie
infantile unilatérale des 502 TABLE DES MATIÈRE
ns un cas d'amputation an-kmon collègue, à la Salpêtrière, a noté une
atrophie
jyip^ (nrcortvolulions cérébrales du côté opposé
rales du côté opposé au membre ampute\ Malheureusement, le siège de l'
atrophie
, à ma con-?HM^'sârîce du moins n'a pas été précis
la sensibilité. L'aphasie, dans ce cas, était le symptôme unique et l'
atrophie
de la troisième circonvolution a été aussi la seu
ues mois, les animaux ainsi opérés sont sacrifiés, on reconnaît que l'
atrophie
consécutive porte, en ce qui con-cerne les partie
é-rieurs et les corps genouillés internes ne prennent aucune pari à l'
atrophie
. Moins importante que l'externe, Xaracine inter
léroses secondaires : impuissance motrice, contrac-ture permanente. —
Atrophie
musculaire produite par l'extension de la sclé-ro
unes sujets. 11 s'agit là d'un arrêt de dévelop-pement comparable à l'
atrophie
que, dans les mêmes circons-tances, présentent le
et ne s'amaigrissent qu'à la longue, su-bissent dans certains cas une
atrophie
dégénérative plus ou moins rapide, en même temps
spondant s'atrophier d'une façon remar-quable. Il est clair que cette
atrophie
n'aurait pas lieu, si la ca-psule interne, comme
centraux non plus que la capsule interne. Dans ce cas, il y avait une
atrophie
très accusée du pied du pédoncule, de la protubér
eux. Du même côté que la lésion hémisphéri-que, vous reconnaissez une
atrophie
réelle de l'étage inférieur du pédoncule, de la p
staterez également une asymétrie de la moelle épinière résultant de l'
atrophie
du faisceau antéro-latéral. C'est sous cet aspect
e le faisceau pyramidal et la substance grise delà moelle épinière. —
Atrophie
musculaire des hémiplégiques. — Observations de M
es des membres frappés d'hémiplégie subissent, à un moment donné, une
atrophie
plus ou moins rapide, en même temps qu'ils offren
cture, commencèrent à diminuer de volume deux mois après l'attaque. L'
atrophie
musculaire était unifor-mément répandue sur toute
t d'une diminution très notable de la contractilité électrique. Cette
atrophie
musculaire progressa très rapidement, la malade v
ant une altération dont le point le plus saillant était précisément l'
atrophie
et même la dispari-tion complète d'un certain nom
oins, relevé le rapportentre l'altération des cellules nerveuses et l'
atrophie
des muscles. Tout récemment, M. Pitres (1), à p
raire, les muscles du membre inférieur paralysé ne présentaient pas d'
atrophie
notable. (1) Arch. de physiologie normale et pa
airé par les faits antérieurs, j'avais cru pouvoir annoncer que cette
atrophie
musculaire insolite, survenant dans le cours de l
de conditions incon-nues, la cellule est atteinte à son tour, elle, s'
atrophie
et consécutivement les racines correspondantes
lpian qui signale, cinq mois après l'abla-tion du gyrus sigmoïde, une
atrophie
de la pyramide corres-pondande avec une dégénérat
t. Car nous savons que la sec-tion des nerfs centrifuges est suivie d'
atrophie
musculaire,tan1 dis que l'interruption des fibres
poliomyélites antérieures aiguës ou chroniques (paralysie infantile,
atrophie
musculaire progressive spinale protopathique, et
La contracture ne disparaît-elle jamais avant l'époque où survient l'
atrophie
des muscles et la rétraction ligamenteuse? Quelqu
plégie des apoplectiques. —Causes anatomiques de cette hémiplé-gie. —
Atrophie
des membres, du thorax, du bassin. Intermittenc
En outre, l'hémisphère cérébral affecté présente dans l'ensemble une
atrophie
plus ou moins prononcée, d'où la dé-nomination d'
nsemble une atrophie plus ou moins prononcée, d'où la dé-nomination d'
atrophie
partielle du cerveau sous laquelle sont généralem
les caractères qu'on leur connaît chez l'adulte, et c'est (1) Sur l'
atrophie
partielle du cerveau^ 1868. en pareille circons
8. en pareille circonstance qu'on observe les plus beaux exemples d'
atrophie
des pédoncules, de la protubérance et de la pyra-
insi une sorte de poliomyélite antérieure dont la conséquence est une
atrophie
musculaire survenant dans les membres paralysés.
on destructive des éléments cellulaires. La conséquence est alors une
atrophie
des muscles où se rendent les nerfs émanant des r
ux distinguent, cliniquement, d'après mes observations, cette forme d'
atrophie
musculaire spinale de celle dans laquelle les élé
a contracture, une paraplégie spasmodique, etc. ; je laisse de côté l'
atrophie
musculaire qui s'observe également dans les cas o
e. D'ailleurs, les réflexes tendineux sont exaltés ; il n'y a pas d'
atrophie
musculaire et les muscles ont conservé leur excit
e antérieure subaiguë de Du-chenne (de Boulogne). — Forme chronique :
atrophie
musculaire pro-gressive de Duchenne et Aran. Po
ne ont tracé le tableau clinique et à laquelle ils ont donné le nom d'
atrophie
musculaire progressive. Cruveil-hier avait reconn
es qui, dans certaines circonstances, peu-vent prendre le masque de l'
atrophie
progressive. Il existe même des lésions non infla
s consi-dérer isolément, on pourrait se croire en présence d'un cas d'
atrophie
musculaire progressive. Il n'en est rien cependan
du cou, en un mot, sorte dé tétanisation généralisée, associée à une
atrophie
musculaire progressive bien et dûment carac-téris
fait que s'accroître. Mais, dès lors, et à mesure que la complication
atrophie
musculaire s'accentuait, ils diminuèrent progres-
autres, dans un même groupe, la sclérose latérale amyotrophique et l'
atrophie
musculaire décrite parDu-chenne et Aran, peuvent
it atonique ; il n'existerait pas de symptômes spasmodi-ques ; 2° L'
atrophie
musculaire serait le symptôme dominant; et il ne
trépidation spinale, etc., etc. ; et même aujourd'hui, en dépit de l'
atrophie
extrême des membres supérieurs, on peut encore pr
ètement atrophié. Lesjambes sont tendues, absolument paralysées, sans
atrophie
proprement dite. La rigi-dité est prononcée, surt
elle. Us n'étaient, d'ailleurs, prononcés à ce point, que parce que l'
atrophie
musculaire n'avait pas marché vite. Quoi qu'il en
ntracture peut être modifié, à un moment donné, par l'apparition de l'
atrophie
musculaire. L'intervention plus ou moins précoce
atérale amyotrophique, décrite par M. Charcot, il ne s'agit que d'une
atrophie
musculaire primaire progressive ; l'atrophie musc
, il ne s'agit que d'une atrophie musculaire primaire progressive ; l'
atrophie
musculaire est le symptôme dominant ; et ce n'est
lui-même. En effet, à ne con-sidérer que les membres inférieurs, où l'
atrophie
est tardive eL par conséquent exceptionnelle (la
il : « Les extrémités inférieures sont sensiblement affai-blies, sans
atrophie
remarquable » ; — et un peu plus loin : « les jam
e qui concerne les membres inférieurs, aucun doute n'est possible : l'
atrophie
est précédée d'une période plus ou moins longue d
moins longue de paralysie. Mais, aux membres supérieurs même, quand l'
atrophie
ne survient pas trop brusquement, cette paralysie
léroses secondaires : impuissance motrice, contrac-ture permanente. —
Atrophie
musculaire produite par l'extension de la sclé-ro
e le faisceau pyramidal et la substance grise delà moelle épinière. —
Atrophie
musculaire des hémiplégiques. — Observations de M
plégie des apoplectiques. —Causes anatomiques de cette hémiplé-gie. —
Atrophie
des membres, du thorax, du bassin. Intermittenc
e antérieure subaiguë de Dn ehenne (de Boulogne;. — Forme chronique :
atrophie
musculaire pro-gressive de Duchenne et Aran. Po
ai-guës et chroniques, 382 ; — pro-gressive protopathique, 383. — (V.
Atrophie
musculaire progres-sive); — deutéropathique, 389.
95, 96. Ataxle locomotrice, 180, 268; — Réflexes dans 1' —, 337.
Atrophie
cérébrale, 335. Atrophie musculaire dans l'hémi
ce, 180, 268; — Réflexes dans 1' —, 337. Atrophie cérébrale, 335.
Atrophie
musculaire dans l'hémi-plégie, 246 ; — dans la sc
n trois régions, 206 ; — Dégénéra-tion systématique dans les —. 222, —
Atrophie
des —, 336. Phénomène du genou, 310. — de la ma
al dans la —, 204 ; — Dégénération systématique dans la — , 223 ; —
Atrophie
de la -, 336. Pulvinar, 141. Putamën, 106,107.
Pulvinar, 141. Putamën, 106,107. Pyramides antérieures, 184 ; —,
Atrophie
des —, 336. (V. Entre-croisement. r Racines n
lement dégonflée. Autopsie le 16 août. La moelle épinière offre une
atrophie
avec dégénération grise très-prononcée des cordon
comme dans l'arthrite sèche. On constate, au contraire, une véritable
atrophie
de la tête de l'humérus. La cavité glénoïde de
s, indices de l'usure des os. Souvent le palper permet de constater l'
atrophie
des extrémités articulaires. A cette époque de l'
qu'il s'agisse de l'épaule ou du genou. Destruction des cartilages,
atrophie
, usure considérable, à marche rapide, des os eux-
s arthropathies des ataxiques en deux variétés, l'une dans laquelle Y
atrophie
serait pour ainsi dire la lésion capitale, l'autr
paralysie labio-glosso-laryngée, sur la sclérose en plaques, sur une
atrophie
du cerveau produite par des kystes sy-métriques d
ées avec soin par M. Cotard dans sa thèse inaugurale, sous le titre d'
Atrophie
partielle du cerveau ; — 3° une observation de M.
mie du nerf optique, de la diffusion rougeâtre de la papille et d'une
atrophie
partielle ou totale de cette partie, coïncidant a
1 - SUITE — 11. arthropathies qui s observent dans le cours ue l'
atrophie
musculaire progressive. Pour terminer l'histoir
faut citer les cas suivants survenus : l'un chez une femme atteinte d'
atrophie
musculaire progiessive; l'autre chez un homme à l
à la suite d'une lésion traumatique de la mo lie. Observation V. —
Atrophie
musculaire progressive. — Arthropa-thie de l'épau
z les ataxiques par M. Chareot,— chez une femme de 50 ans, atteinte d'
atrophie
musculaire progres-sive qui avait d'abord occupé
e, puis le droit. Alors que, vers la troisième année de la maladie, l'
atrophie
s'était éten-due aux membres inférieurs avec pert
t que l'on n'ait pas mentionné plus souvent cette complication dans l'
atrophie
musculaire progressive, car il nous 1 Voy. Revu
ue des lésions, un rapport entre les arthropalhies des ataxiques et l'
atrophie
musculaire progressive. On sait, en effet, que, d
té-rieures de la substance grise présentent, entre autre lésions, une
atrophie
profonde et la disparition même d'un bon nombre d
les hémiplégiques. Ou ne si- 1 Voy. Charcot. et Joffroy, Deux cas d'
atrophie
musculaire progressive avec lésions de la substan
e époque plus ou moins avancée de l'existence. 1° Hémiplégiques par
atrophie
partielle du cerveau datant de l'en-fance. L'hist
r atrophie partielle du cerveau datant de l'en-fance. L'histoire de l'
atrophie
partielle du cerveau a été tracée avec beaucoup d
ion plus ou moins complète de l'intelligence. Dans nos observations d'
atrophie
remontant à la première enfance, l'intelligence n
ules dans les*cheveux, glandes au cou, ophthalmie qui 1 Étude sur l'
atrophie
partielle du cerveau, p. 89-90; Paris, 1808. 2
nférence est de chaque côté de onze centimètres : il n'y a donc pas d'
atrophie
à gauche. Le moignon présente les particularité
temps de ses fonc-tions ; aussi est-il généralement proportionnel à l'
atrophie
des mus-cles du mollet. 5° L'arrêt de développe
ansmise par le fémur sain pour produire des déformations du bassin. L'
atrophie
presque constante des muscles fessiers causée par
OGRAPHIQUE DES HOPITAUX Planche XVI. HÉMIPLÉGIE CONSÉCUTIVE A L'
ATROPHIE
CÉRÉBRALE A T T I T L' I) Ë D E S M E M II li E
est grenue et parsemée d'un grand nombre de petits kystes. 11 y a une
atrophie
considérable des deux substances, qui sont confon
te manifestation morbide du côté des téguments. CLINIQUE MÉDICALE
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE par g. peltier, interine
par g. peltier, interine des hopitaux de paris g I. Observation. —
Atrophie
musculaire progressive. — Début remon-tant à douz
son état et sur ses antécédents des détails assez précis. Atteint d'
atrophie
musculaire progressive, Bellinghen fait remon-ter
e s'emparèrent du bras droit, qui s'atrophia à son tour, et bientôt l'
atrophie
gagna les muscles thoraciques et dorsaux. Le mala
es inférieurs, qui commencent à s'affaiblir, n'ont pas en-core subi d'
atrophie
appréciable. Les lésions occupent donc surtout
des dépressions au niveau de l'espace interosseux. Bras gauche. — L'
atrophie
porte aussi sur tous les muscles du bras gauche ;
es saillies osseuses de l'épaule peuvent se sentir très-facilement. L'
atrophie
est beaucoup moins marquée sur les autres muscles
is, mais la flexion est moins prononcée. Cette défor-mation tient à l'
atrophie
des muscles extenseurs. Les interosseux ont égale
e volume, Il E VUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX Planche XXIII.
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE mais il a conservé sa fo
sont, eu résumé, les principaux caractères extérieurs que présente l'
atrophie
chez notre malade. Que va-t-il arriver? L'affec-t
faire voir les déformations qu'avait engendrées, chez notre malade, l'
atrophie
musculaire progressive. Mais il est un point que
avant; la première, celle de Duchenne et d'Aran, qui ne voient dans l'
atrophie
muscu-laire qu'une maladie des muscles ; la secon
omment expliquer par une lésion première aussi net-tement limitée une
atrophie
aussi irrégulière, portant sur tel ou tel muscle
ans le système nerveux comme dans l'état général. Dans les muscles, l'
atrophie
et l'état graisseux peuvent se disposer aussi irr
e à cette définition, que nous ne saurions partager complètement. « L'
atrophie
musculaire progressive est un trouble de la nutri
lésions de la moelle qui sont plus particulièrement en rapport avec l'
atrophie
des mus- cles sont celles de la substance grise
tation chronique et diffuse. — On doit donc considérer certains cas d'
atrophie
mus-culaire comme des lésions de nutrition, consé
ntement progressive, elle se traduit par les symptômes habituels de l'
atrophie
musculaire progressive. — Le siège variable des a
ules de la sub-stance grise. Serait-ce là une lésion constante dans l'
atrophie
mus-culaire progressive? L'avenir en décidera. To
ion qui désorganise lentement la cellule et en détermine finalement l'
atrophie
complète... Il ne faudrait pas croire que l'atr
e finalement l'atrophie complète... Il ne faudrait pas croire que l'
atrophie
en question des cellules nerveuses des cornes ant
es cornes antérieures n'ait été observée jusqu'ici que dans des cas d'
atrophie
musculaire progressive s'éloignant mani- festem
lus diverses ; cette lé-sion est un fait général dans l'histoire de l'
atrophie
musculaire pro-gressive ; de plus, il y a une rel
ons des cellules dans la moelle, et la localisation particulière de l'
atrophie
des muscles, dans les diverses parties du corps.
elle épinière devront jouer uu rôle important dans la pathogénie de l'
atrophie
musculaire pro-gressive. » CLINIQUE OBSTÉTRICAL
ir la contracture disparaître sans laisser de traces. Au contraire, l'
atrophie
limitée plus particulière-ment à certains groupes
éfinitive (juin 1870). Plusieurs des muscles de la jambe ont subi une
atrophie
profonde ; ils présentent, en outre, des contrac-
laires qui s'observent chez les hémiplégiques. 1° Hémiplégiques par
atrophie
partielle du cerveau (fin). — « L'attitude habitu
s phalanges. Cette forme particulière est sans doute le résultat de l'
atrophie
du tissu osseux et des éminences articulaires, at
résultat de l'atrophie du tissu osseux et des éminences articulaires,
atrophie
à laquelle ne participe pas le tissu cellulaire s
mmémoratif, pour distinguer le ramollissement ancien de l'adulte de l'
atrophie
céré-brale unilatérale consécutive à une lésion,
r ensemble sont plutôt dans la demi-flexion. Toutefois \Étude sur l'
atrophie
partielle du cerveau, p. 98. Paris, 1868. nous
'ophthal-moscope nous en a montré la raison, en faisant constater une
atrophie
de la papille ; enfin, pour compléter ce tableau,
ous apprend en effet que, dans les cas de cette espèce, il existe une
atrophie
prononcée de la corne anté-rieure de la moelle ép
altérations analogues de l'axe gris dans la para-lysie infantile et l'
atrophie
musculaire progressive. Elle s'en rap-proche d'au
, par Bourne-ville, 9 ; — des ataxiques, par le même, 9, 52; — dans l'
atrophie
musculaire progressive, parle même, 67 ; — suite
Ataxie locomotrice (Observations d'), par Bourneville, 10, 15,59.
Atrophie
musculaire progressive, 67. — (Obs. et réflexions
-bras droit......... . 107 Planche XVI. Hémiplégie consé-cutive à l'
atrophie
cérébrale (attitude)..........122 Planche XVII.
nche XXII. Psoriasis scarlati-niforme........... 108 Planche XXIII.
Atrophie
muscu-laire progressive.......172 Planche XXIV.
au pouce, au médius et à l'annulaire, des crevasses indolores, de l'
atrophie
des éminences thénar et hypothénar, de la parés
Il n'y a en aucun point du corps de traces visibles à l'oeil nu d'
atrophie
musculaire ! ' Les avant-bras donnent des résulta
Les réflexes tendineux sont affaiblis mais égaux des deux côtés.
Atrophie
musculaire. - On constate : 1° une atrophie très
s égaux des deux côtés. Atrophie musculaire. - On constate : 1° une
atrophie
très pro- noncée de la moitié droite de la lang
a partie atrophiée est le siège de mouvements vermiculaires. 2° Une
atrophie
notable des éminences thénar et hypothénar, des
; NOUVELLE ICONOGRAPHIE. T. 111. PL. V FACE PALMAIRE MONTRANT L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE DES ÉMINENCES ' DEUX CAS DE MALADI
ort accentués, panaris véritables chez l'un, éruptions bulleuses et
atrophie
muscu- laire chez l'autre. Le premier doit être
aires, et, à la longue, de déformations notables, d'ankyloses, avec
atrophie
mus- culaire consécutive et contracture des mem
es sont comme desséchés, la peau est sèche et rugueuse ; il y a une
atrophie
musculaire considérable et un degré très prononcé
res troubles oculaires quelconques. Cette exophthalmie donne avec l'
atrophie
du maxillaire, un aspect des plus étranges à la
TISME ARTICULAIRE CHRONIQUE GENERALISE CHEZ UNE PETITE FILLE AVEC
ATROPHIE
MUSCULAIRE CONSIDERABLE RHUMATISME ARTICULAIRE
maladie de Basedow (le fond de l'oeil n'a pas été examiné). 6° L'
atrophie
du maxillaire inférieur concordant, il est vrai,
a diminution de volume des têtes osseuses et de l'amélioration de l'
atrophie
mus- culaire. Dr A. WEILL, Médecin de l'hôp
et de son volume exagéré dont il a déjà été fait mention. » Pas d'
atrophie
musculaire nette au niveau des membres inférieurs
la pointe du pied ne provoque pas de trépidation èpileptoïde. ' L'
atrophie
des membres est peu marquée. La circonférence du
intint avec opiniâtreté, et les paralysies des muscles de l'oeil, l'
atrophie
du nerf optique ne présen- tèrent pas de change
MODIFICATIONS DE LA TECHNIQUE DE LA SUSPENSION. 131 dans ce cas une
atrophie
musculaire progressive, la paralysie peut donc
rmation caractéristique de la main-bote cubito-palmaire, signe de l'
atrophie
cérébrale de l'enfance. Cet infirme est un adol
ès clairement reconnaître ce signe donné comme caractéristique de l'
atrophie
cérébrale et qui consiste dans l'atténuation de
ées dans quel- ques-unes sont des troubles trophiques à l'égal de l'
atrophie
muscu- laire concomittante. Toutefois la lésion
tion de l'autopsie, qu'il existait une sclérose très prononcée avec
atrophie
cellulaire des cornes antérieures de la substan
clusivement sur la motilité. Il existait une paralysie flasque avec
atrophie
musculaire des quatre membres. Les divers group
examen microscopique montre, sur toute la hauteur de la moelle, une
atrophie
très prononcée des cellules ganglionnaires. Cette
i que l'examen à l'oeil nu avait permis de le constater, mais cette
atrophie
n'est pas, quant à son intensité, proportionnel
tte atrophie n'est pas, quant à son intensité, proportionnelle il l'
atrophie
des cellules glanglionnaires des cornes antérie
embres inférieurs devint plus accentué et ceux-ci furent pris d'une
atrophie
très prononcée. Dès lors, la malade est incapable
volumineuses que celles du côté opposé. Nulle part aucune trace d'
atrophie
musculaire. L'examen électrique, pratiqué par M
E EXTERNE COMBINÉE A LA PARALYSIE LABIO-GLOSSO-LARYNG1 : E ET A L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES
ses auditeurs deux malades atteints d'ophthalmoplégie externe et d'
atrophie
musculaire, et rapprochait dans une vue synthé-
phthalmoplégie externe de laparalysie glosso-labio-laryngée et de l'
atrophie
musculaire, en insistant sur le caractère systéma
verrons plus loin, à la com- binaison de l'ophthalmoplégie avec une
atrophie
musculaire du type Duchenne-Aran (poliomyélite
étant respec- tés, tout comme lorsqu'il s'agit de la moelle, dans l'
atrophie
muscu- laire du type Duchenne-Aran, l'altératio
Cette' lésion capitale des cornes antérieures s'accompagne d'une
atrophie
notable, mais l'altération porte comme nous l'avo
droit, paralysie des extenseurs plus marquée que des fléchisseurs.
Atrophie
considérable des muscles du bras et de l'avant-
omplète du deltoïde et des muscles qui s'insèrent à l'omo- plate.
Atrophie
. - Côté droit : atrophie des interosseux et des m
s muscles qui s'insèrent à l'omo- plate. Atrophie. - Côté droit :
atrophie
des interosseux et des muscles thénar et hypoth
le long du trajet de la dernière côte gauche. Le deltoïde gauche s'
atrophie
. Différence entre les mains presque nulle. 'i8
oit très peu le passage des courants dans les muscles de la main. L'
atrophie
et la déformation qui en résultent semblent plu
ée du côté gauche. Les muscles du pied ne présentent aucune trace d'
atrophie
; la face plantaire semble un peu creuse, mais l
- Ni troubles de la sensibilité, ni troubles trophiques. Mains :
atrophie
localisée presque exclusivement aux interosseux e
jectée, en les diverses régions de l'organe. Au membre supérieur, l'
atrophie
porte sur les muscles (interosseux et éminences
me du réflexe crémastérien et abdominal. Bien qu'il n'y ait pas d'
atrophie
musculaire et que la puissance des membres infé
des déformations considérables (raccourcissement du médius gauche,
atrophie
ou peut-être adhérences des interosseux...) que
ique droite se traduit encore par de l'amyotro- phie généralisée. L'
atrophie
musculaire ne semble pas plus marquée dans'un g
et l'impossibilité de l'extension complète de la jambe. En outre, l'
atrophie
musculaire est aussi marquée qu'aupara- vant :
paralysie spinale aiguë. Il est certain qu'à cette époque, où toute
atrophie
musculaire était censée relever d'une altération
t ne procèdent pas comme dans la paralysie spinale. Le retrait de l'
atrophie
ne se fait pas par membres ou par groupes de mu
a moelle épinière ne peuvent être invoquées comme ayant déterminé l'
atrophie
musculaire qui, elle, a débuté vingt ans aupara
rfs eux-mêmes n'étaient certes pas en rapport avec l'intensité de l'
atrophie
. Celle-ci, aux membres supérieurs en particulie
vue anatomique, que M. Babinski a observé un cas d'hémiplégie, avec
atrophie
musculaire, dans lequel l'absence de toute lési
les paralysies psychiques de l'hystérie se compliquer fréquemment d'
atrophie
musculaire (Char- cot, Babinski). Le rôle de
usculaires d'origine articulaire'. Cet observateur a constaté que l'
atrophie
musculaire qui se montre dans un membre dont un
cause de cette influence accélératrice. Il incline à croire « que l'
atrophie
musculaire consécutive aux arthropathies traumati
trice que la section des cordons latéraux exerce sur la marche de l'
atrophie
d'origine arthropathique. » Que l'on considère
ÉGIE EXTERNE COMBINÉE A LA PARALYSIE GLOSSO-LABIO-LARYNGME ET A L'
ATROPHIE
MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES
cessus anatomique, dit-il, est vraisemblablement représenté par une
atrophie
dégénéra- tive de l'oculo-moteur, de l'abducens
. Pas de troubles vésicaux. Rien aux membres; pas de parésie ni d'
atrophie
. Les réflexes rotuliens sont présents. L'appé
cardiaques ni respiratoires. II n'y avait toujours ni pa- résie ni
atrophie
au niveau des membres. Nous terminerons ici la
igreur extrême, due plutôt à de l'amaigris- sement simple qu'à de l'
atrophie
musculaire véritable, car tous les mouve- ments
noyaux moteurs du quatrième ventricule. On peut en dire autant de l'
atrophie
muscu- laire et de la paralysie labio-glosso-la
pasétonnant que l'ophtlialmoplégie puisse se trouver combinée à une
atrophie
musculaire plus ou moins généralisée, à marche
avoir signalé lepremier lacoïncidence de l'opbthal- moplégie avec l'
atrophie
musculaire, indépendamment de toute autre affec
e (De l' - combinée à I la paralysie labio-glosso-laryngée et à l'
atrophie
musculaire progressive), par Guinon et I'arment
r Ch. Féré, 45. Rhumatisme articulaire chronique défor- mant avec
atrophie
musculaire considérable, par A. Weil, 16. Sci
isme articulaire chronique généra- lisé chez une petite fille, avec
atrophie
con- sidérable, 6. Sclérose en plaques, 44, 4
rose du pied des pédon- cules, Kahler et Pick notaient une certaine
atrophie
des circonvolutions motrices et émettaient l'op
ie du bras droit. Gène légère de la pa- l'ole. Deux mois plus tard,
atrophie
de l'énzzinence thé- nar droite, augmentation d
énomènes spasmodiques qui dispa- missent ensuite. Augmentation de l'
atrophie
des mains. Troubles de la déglutition, de la re
gauche ; il n'y en a jamais eu du côté droit. On ne constate pas d'
atrophie
des membres ; la marche n'est possible qu'avec
dans la bouche. Quelques tremblements fibrillaires à la pointe. L'
atrophie
de l'éminence thénar droite se prononce rapide-
, sauf une demi pro- nation. Pendant le mois de septembre 1883, l'
atrophie
des émi- nences thénar des deux côtés a fait de
G PATHOLOGIE NERVEUSE. Absence de trémulation épileptoïde. Pas d'
atrophie
des membres inférieurs. La malade est obligée d
la rotation est pénible. La parole s'embrouille, la paralysie et l'
atrophie
de la lèvre supérieure sont de plus en plus vis
duction de la mâchoire sont conservés. - Les mains présentent une
atrophie
musculaire manifeste avec déformation caractéri
est impossible, vu l'existence de l'oedème, de dire s'il y a ou non
atrophie
musculaire. D'ailleurs, les mouvements du pied
forme suivie d'augmentation des troubles bulbaires. Parésie puis-
atrophie
des membres supérieurs. Paralysie des membres i
prononcées. Aux membres supérieurs on constate un certain degré d'
atrophie
plus marquée à la main droite qu'à la gauche. (Le
qu'à la gauche. (Les membres supérieurs ont d'ailleurs montré de l'
atrophie
avant les membres inférieurs, et tout d'abord d
pour imprimer à sa tête le mouvement désiré. On constate aussi une
atrophie
très notable du trapèze, du rhomboïde et des mu
senta, dans la région qui correspond aux origines du sciatique, une
atrophie
générale de la moitié opérée, tant des parties
as à se faire sentir, et se tra- duisent par un rétrécissement, une
atrophie
du cordon postérieur. Du côté correspondant à l
érieur. Du côté correspondant à la traction, le cordon postérieur s'
atrophie
manifestement en compa- raison de son congénère
a- lement on constate dans la moelle de ces derniers, à côté de l'
atrophie
du cordon postérieur un rétrécisse- ment notabl
rne postérieure du côté opéré est accompagné le* plus souvent d'une
atrophie
de la partie intramédullaire des racines postér
bstance grise, des cornes postérieures et antérieures, ainsi qu'une
atrophie
prononcée des cellules nerveuses des cornes ant
pillaires de la moelle à différents niveaux, ce qui con- tribue à l'
atrophie
de la corne postérieure ; à l'amoin- drissement
ullaire des racines postérieures et enfin à la vacuolisation et à l'
atrophie
des cellules nerveuses des cornes antérieures.
épinière après la traction ; altéra- tions qui se résument en de l'
atrophie
de la corne et du cordon postérieurs du côté op
ullaire des racines postérieures ; en de la vascularisation et de l'
atrophie
consécutive des cellules des cornes antérieures
omme on l'a fait dans ces der- nières années. Indépendamment de l'
atrophie
et de la disparition des cellules nerveuses dan
Ces lésions comme nous l'avons dit, con- sistent pour la plupart en
atrophie
des cornes et des cordons postérieurs, dont les
ment du nerf sciatique chez le lapin produit de la sclérose et de l'
atrophie
dans les cornes et les cordons postérieurs de l
missible, que la traction nerveuse produit de la sclérose et de l'
atrophie
des cornes et du cordon postérieurs, lésions qu
elon l'intensité de l'insulte, par plus ou moins de sclé- rose et d'
atrophie
dans les cornes et les cordons pos- térieurs de
mp visuel, fait par le périmètre de Landolt, n'a rien montré, pas d'
atrophie
blanche de la pupille, pas de sténose vasculair
dégénérescence descendante de plexus et troncs nerveux co-affectés,
atrophie
dégénérative des muscles. Pathogénie. Au début,
en apparence vraiment inflammatoire) jusqu'aux cas chro- niques (
atrophie
presque purement dégénérative à l'aspect), il s
° grande hys- térie avec troubles psychiques intenses. Castration :
atrophie
et dégénérescence folliculaire des deux ovaires
randeur et troubles de la parole; à ce moment, il est porteur d'une
atrophie
des nerfs optiques datant de trois ans à marche
ma; saillie du noyau à contours fortement réfringents, disparition,
atrophie
, détachement des prolongements, rétraction du c
ue, la sclérose en plaques, la sclérose laté- rale amyolrophique, l'
atrophie
musculaire progressive, la para- lysie spasmodi
égie progressive, et le parallèle établi entre cette affection et l'
atrophie
musculaire progressive, ainsi qu'avec la scléro
érieurs, et en avril 1884 que ceux-ci commencent à présenter de l'
atrophie
; quant aux membres inférieurs, ils ne sont atte
dix-sept mois entre le début des phénomènes bulbaires et celui de l'
atrophie
mus- culaire. Cette évolution présente ce poi
fec- tion répond à un type clinique tout spécial : para- lysie et
atrophie
débutant par les membres supérieurs, le plus so
telligence in- tacte. » A Bonneval on constate la paraplégie avec
atrophie
des mem- bres inférieurs ! ? ) et contracture.
s (domaine des taches lépreuses) et sur la peau de la face intacte,
atrophie
des petits muscles des deux mains avec troubles
que des affections du nerf optique. Elles constituent, notamment l'
atrophie
du nerf optique, des accidents assez fréquents
de l'acuité visuelle, et parmi ces faits, la moitié se complique d'
atrophie
du nerf. La statistique de l'auteur comprend ci
l (5), ou des mêmes symptô- mes avec altération du fond de l'oeil :
atrophie
totale ou partielle des nerfs optiques; hyperém
elques détails sur diverses observations, et la mise en relief de l'
atrophie
du nerf optique d'origine névritique dans la sc
igine névritique dans la sclérose en plaques, M. Gnauck distingue l'
atrophie
primi- tive du tabes de celle de cette affectio
tabes de celle de cette affection, en ce que la progres- sion de l'
atrophie
est uniforme et généralisée dans la papille du
par E. REMAK (Neurol. Cen- tralbl, 1884). Observation d'un cas d'
atrophie
musculaire progressive héréditaire, compliquée
onclusion est que l'existence d'une forme purement myopathique de l'
atrophie
musculaire pro- gressive est irréfutable. P. K.
gressive est irréfutable. P. K. XXXIV. SCLÉROSE multiloculaire avec
atrophie
NÉVRITIQUE bilatérale DU NERF optique;» par Eul
Ce symptôme, consistant en une névrite optique, ayant abouti à une
atrophie
totale, aveccécité complète, (durée quatre sema
st capable d'atteindre rapi- dement toute la papille. P. K. XXXV.
Atrophie
musculaire héréditaire ET PSEUDOHYPER- TROPHIE
tion révélant chez une même famille, l'existence de plusieurs cas d'
atrophie
musculaire. L'auteur est d'avis que toutes les
d'atrophie musculaire. L'auteur est d'avis que toutes les formes d'
atrophie
musculaire progressive sont très proches parent
tives, telles que la pseudo-hypertrophie et les formes analogues d'
atrophie
musculaire héréditaire ou non, relèguent, continu
a pseudo-hyper- trophie n'est pas une maladie du système nerveux, l'
atrophie
musculaire héréditaire est une myopathie primit
'esprit du mémoire. P. K. XXXVI. UN cas DE tabès dorsal compliqué d'
atrophie
musculaire PRO- GRESSIVE ; par A. EULENBURG. (B
. klin. Coca., 1885, n° 15.) L'auteur présente un cas de tabes avec
atrophie
musculaire ; sur un nombre d'environ 500 cas de
logues. Pas d'autopsie; Eulenburg se demande si dans certains cas l'
atrophie
musculaire n'est pas une maladie surajoutée plu
ures opaques ou brillantes fortement réfringentes) ; 3° sclérose et
atrophie
cellulaires : disparition du contenu fine- ment
- La bibliographie renferme un grand' nombre de èas dans lesquels l'
atrophie
du nerf optique, celle même qui ne s'était inst
racr,inien.,ll importe de noter que le 'cas n'a rien -à 1 voir avec t'
atrophie
spinale des paralytiques généraux. Il ? ,c5 --
rêve)) à Ubthot)' et Jloeli (décembre 18S2, janvier-mars 1883), une
atrophie
du nerf optique droit; rien il gauche; la pupil
ur du nerf optique droit, qui est un psammome, il faut rattacher. l'
atrophie
de la pa- pille observ'ee'de'ce côté pendant la
n,, somme une des , neuf observations de. l'auteur démontre que £ l'
atrophie
des nerfs)optiques;t uni- ou bi-lalérale ne saura
côténopposéi ou des deux bandelettes, bien que, dans' l'espèce1,' l'
atrophie
eaistàt'dépuis des années (un'cas' d'atrophie uni
, dans' l'espèce1,' l'atrophie eaistàt'dépuis des années (un'cas' d'
atrophie
unilatérale durant' depuis'1 dix' ans)'. Quant'
les réactifs colorants 1 et leurs- noyaux sont indistincts. Quand l'
atrophie
existait depuis un temps' assez long, les vaiss
.émanas- sent du lobe occipital puisqu'un des cas témoignait d'une
atrophie
partielle du nerf,occipital droit de, par une t
, par une tumeur (action rétro- grade), et que dans Inobservation d'
atrophie
du nerf optique avec phlhisie du, globe, oculai
be occipital n'est pas démontrée. ' '' " " l' Conclusions : v 1 Une
atrophie
du nerf optique uni- ou'hi-latéralé qui porte s
aux bandelettes optiques (aspect macroscopique), même quand cette
atrophie
existe depuis dix ans. 2° Dans ce laps de temps,
cette atrophie existe depuis dix ans. 2° Dans ce laps de temps, l'
atrophie
du nerf oplique se propage aux éléments nerveux (
urs et inférieurs et à'ia couche optique d'une manière égale; toute
atrophie
unilatérale du nerf optique agit sur les organes
nerf optique agit sur les organes en question des deux côtés. Si l'
atrophie
du nerf optique est bilatérale, ,il s'exerce un
uses des organes placés en avant de lui les mêmes altérations que l'
atrophie
du nerf optique. Il ' t i , . . l' 1, t. l' l ,
gmehtaire *du~proloplasmà''cellu- laire ; 3° de la sclérose et de l'
atrophie
des cellules ? 4° des altéra- tions des noyaux
ui viennent de lui. Il est, sur-le-champ, facile de recon- naître l'
atrophie
des cellules nerveuses de l'écorce des paralytiqu
e de la maladie, par son cours de bas en haut, par l'absence de l'
atrophie
de muscles. 11 est vrai qu'à ce diagnostic on pou
très bornés; turbulence, gâtisme. Arrêt gé- néral de développement,
atrophie
des membres inférieurs, para- plégie. 16 octo
avant son entrée. IL est arrivé graduellement à une cécité absolue (
atrophie
des deux nerfs optiques). A l'asile, il est agi
piques : dégénérescence presque complète des cordons postérieurs,
atrophie
prononcée des racines postérieures, amincissement
es (comparaison presque constante avec la normale). Il s'agit d'une
atrophie
simple des tubes nerveux, sans proliféra- tion
omparativement fort intéressante. Comme les régions où il y avait l'
atrophie
la plus prononcée ont été dans l'espèce hantées
les nerfs mixtes ont été trouvés intacts, l'anesthésie émanait de l'
atrophie
des nerfs sensitifs. Planche à l'appui. P. K.
ù l'évolution a été la plus tardive et c'est dans ces régions que l'
atrophie
se manifeste tout d'abord. Quant à la remarque
les autres lésions attribuées à la paralysie générale. notamment l'
atrophie
cérébrale, l'inflammation des méninges et de la
t au début de la para- lysie progressive, alors même que manquent l'
atrophie
du cerveau les adhérences et inflammations méni
seudo-hypertrophi- clue), par Schultze, ? 30; -(tabes dorsal avec
atrophie
), 230. lyélopathie aiguë à marche ascen- dant
ar Moebius, 98. Tabes dorsal et syphilis, par de Reuz,99; (avec
atrophie
), par Eulenburg, 30;- (avec dégéné- rescence
os. - Légère diminution de volume de la corne postérieure droite B,
atrophie
marquée du cordon postérieur droit A. Les élément
lesse considérable des membres supérieurs, compliquée bientôt d'une
atrophie
musculaire géné- ralisée. La paralysie et l'atr
bientôt d'une atrophie musculaire géné- ralisée. La paralysie et l'
atrophie
ont évolué avec une très grande rapidité; au mo
ion des muscles trapèzes. Partout la paralysie se compliquait d'une
atrophie
musculaire considérable. L'exa- men électrique
out ; les muscles du cou et ceux de la tète étaient respectés par l'
atrophie
. La paralysie et l'atrophie mus- culaire s'acco
ceux de la tète étaient respectés par l'atrophie. La paralysie et l'
atrophie
mus- culaire s'accompagnaient de troubles vésic
rectaux persistaient. Par contre, l'oedème des téguments masquait l'
atrophie
des muscles ; les réflexes tendineux, exagé- ré
ie musculaire du type Aran-Duchenne, la pachyméningite, les types d'
atrophie
musculaire pro- gressive myopathique, la scléro
e absolue que nous constatons chez notre malade, et qui a précédé l'
atrophie
musculaire; la participation des cordons postér
TRIÈRE M. D. = 20 kilogs. M. G. = 17 kilogs. On ne constate pas d'
atrophie
, pas de paralysie. La force musculaire est cons
t conservé dans son intégrité leur aspect extérieur. Il n'y a pas d'
atrophie
, pas de paralysie. Pas de perte de la force mus
ncore de se servir facilement de ses membres inférieurs. En plus, l'
atrophie
musculaire s'est établie d'emblée sans paralysie
eut conclure à une névrite de cause interne, nous de- vons mettre l'
atrophie
musculaire aux membres supérieurs, uniquement sou
ient 2 zones arrondies où la substance grise est très raréfiée avec
atrophie
des cellules ganglionnaires, des fibres nerveuses
épaississement dès méninges, endartérite oblitérante, hydromyélie,
atrophie
des cellules ganglionnaires et des fibres nerveus
trent en effet des lésions de porencéphalie, de sclérose lobaire, d'
atrophie
.plus ou moins étendue des circonvolutions, etc.
érosions et un sillon transversal.' Canine droite, sillons blancs,
atrophie
de la couronne. Première petite molaire droite, a
ns blancs, atrophie de la couronne. Première petite molaire droite,
atrophie
cuspidienne. Dernière grosse molaire cariée. A
olaire, cassée, la 2e est relativement saine. I ° grosse e molaire,
atrophie
cuspidienne, dent en chou-fleur. ; A droite.- l
e cuspidienne, dent en chou-fleur. ; A droite.- lr° petite molaire,
atrophie
cuspidienne; 2e petite molaire saine. La 2e gro
trophie cuspidienne; 2e petite molaire saine. La 2e grosse molaire,
atrophie
cuspidienne. Les troubles de la locomotion sont
s, affaiblissement de la vue sous la dépendance d'un commencement d'
atrophie
du nerf optique, s'accompa- gnant d'une faibles
Sgommeuse basilaire. Hydrocéphalie interne. Gommes de la dure-mère.
Atrophie
de la dure-mère de la convexité. Ostéoporose mu
e-mère, les racines étaient peu altérées, il exislait cependant une
atrophie
de quelques fibres nerveuses,surtout dans la régi
est aussi normale. Les membres supérieurs sont étendus,rigides,sans
atrophie
musculaire et présentent un tremblement plus où
profond transversal des deux molaires moyennes des deux côtés avec
atrophie
de la moitié inférieure de la dent. Il existe de
és avec atrophie de la moitié inférieure de la dent. Il existe de l'
atrophie
cuspidienne des deux canines supérieures. « En
ières molaires et les deux incisives du côté gauche sont le siège d'
atrophie
, de sillons et d'érosions. « En résumé, il n'es
musculaire des membres supérieurs et inférieurs est normale ; pas d'
atrophie
musculaire ; pas de troubles de la sensibilité. ,
triées transversalement. Sillons pro- fonds sur la canine droite et
atrophie
cuspidienne de la canine. Sillons sur la' 1re p
he est déformée ; la droite est normale. , Première petite molaire,
atrophie
cuspidienne. Il n'y a pas de perforation de la
ÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 141 de troubles de sensibilité, ni d'
atrophie
musculaire des membres inférieurs. Pas de signe
atrophiées. La première grosse molaire des deux côtés présente de l'
atrophie
cuspidienne. En présence de ces dents et du fai
iens sont abolis, les réflexes plantaire et pharyngien conservés. L'
atrophie
des muscles des membres inférieurs semble en rela
rdonne- ments. , Troubles trophiques. --Nous avons déjà signalé l'
atrophie
des muscles des membres inférieurs ; les ongles
du squelette photographié : il s'agit là presque certainement d'une
atrophie
secondaire, l'altération des tissus en- vironna
itique, l'insertion en lorgnette de l'index dans le métacarpe, et l'
atrophie
osseuse légère de l'index étant des lésions secon
hairs métacarpiennes : il en était ainsi dans le cas de Riehl, où l'
atrophie
du premier métacarpien paraît avoir été due à l'é
aie ou fausse). Ilexiste dans l'art d'excellentes représentations d'
atrophie
musculaire (2) . Cependant elles sont rarement
s, gèmt valgum, etc.). Nains atteints de dystrophies musculaires (
atrophie
ou hypertrophie). Le même individu pouvant,d'ai
en haut, la conservation des reliefs musculaires nor- maux, sans
atrophie
ni pseudo-hypertrophie, sur tous les membres, p
si que la substance grise sont atrophiées. Deux coupes frontales de
ATROPHIE
DU LOBE TEMPORAL GAUGHE chez une 0pilcptiquc.
une image il peu près égale, la gauche est plus petite à cause de l'
atrophie
du tissu ner- veux. ' 6° Le fornix et la fimb
pariétal. Pour une moindre part la cause doit être cherchée dans l'
atrophie
de la substance blanche et grise de l'écorce céré
tout la dégénération de l'élément nerveux qui nous frappe. B. Une
atrophie
du pied du pédoncule cérébral gauche, qui s'est r
ble surtout en ce qui concerne les noyaux rouges de Slilliîèfl. L'
atrophie
du pédoncule cérébral gauche et du pédoncule céré
gauche et du pédoncule cérébelleux supérieur droit s'explique par l'
atrophie
de l'hémisphère gauche. Nous n'avons pas affair
Nous n'avons pas affaire à une dégénération secondaire, mais ai une
atrophie
, peut-être fonctionnelle. Comme nous le savon
s. Il nous parait discutable que le lobe temporal ait contribué à l'
atrophie
du pédoncule cérébelleux supérieur, car eu égar
sans aucune anomalie secondaire dans le fais- ceau latéral, sauf l'
atrophie
insignifiante, qui fait partie de l'atrophie gé
- ceau latéral, sauf l'atrophie insignifiante, qui fait partie de l'
atrophie
générale du pied pédonculaire. Remarquons en
alingre (PI. XXXIX). Ce qui frappe tout d'abord en même temps que l'
atrophie
générale, ce sont les rétractions fibro-tendine
ontre toute attente, se fait encore relativement assez bien. Avec l'
atrophie
complète des inter-osseux, on constate une diminu
la racine du membre : ce sont des membres d'échassier. A gauche, l'
atrophie
et l'impotence sont un peu plus accentuées qu'à
t moyen et à ses dépendances. ' - Il était intéressant devant une
atrophie
semblable d'être renseigné sur l'état et la val
à la cathode. UN HOMME MOMIE 263 Ainsi cet examen montre que l'
atrophie
n'est d'origine ni myélopathi- que, ni névritiq
t d'origine ni myélopathi- que, ni névritique; il confirme l'idée d'
atrophie
simple, de myopathie. Voilà donc le tableau que
re' mais totale des extenseurs de la jambe droite, s'accompagnant d'
atrophie
musculaire ; B. Un tremblement de la langue vér
ment la force musculaire dans le membre inférieur est normale, et l'
atrophie
a disparu. A quoi attribuer cette paralysie loc
hie musculaire. L'une et l'autre marchent de pair; l'évolution de l'
atrophie
est liée à celle de la paralysie, d'où les phén
met de le constater, atrophiques et qu'il y a lieu de séparer cette
atrophie
avec paralysie de la période de début du tabes,
cette atrophie avec paralysie de la période de début du tabes, de l'
atrophie
qui se montre le plus souvent à la période d'ét
les comprennent toules les formes,de dégénérescence cellu- laire, l'
atrophie
, la sclérose qui a ainsi une double origine. ,
NOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE phalie interne. Gommes do la dure-mère.
Atrophie
de la dur.e-mi;re de la con- vexité. Ostéoporos
ient 2 zones arrondies où la substance grise est très raréfiée'aVec
atrophie
des cellules ganglionnaires, des fibres nerveuses
aissis- sement des méninges, cndartérite oblitérante, liydromyélie,
atrophie
des fibres nerveuses et des cellules ganglionna
constituer. A aucun moment la paralysie ne s'est accompagnée d'une
atrophie
musculaire appréciable. Dès le 25 mai on notait l
il y a d'autres éléments à considérer; c'est d'une part l'absence d'
atrophie
musculaire, et, d'autre part, la rapidité de l'év
xes tendineux, des signes de la réac- tion de dégénérescence, d'une
atrophie
diffuse qui va aller en s'accentuant, (1) P. Br
la conséquence des manifestations douloureuses. La paralysie et l'
atrophie
qui l'accompagne sont curables ; dans les cas h
es. Etant donnée la prépondérance fréquente de la paralysie et de l'
atrophie
du côté des extenseurs, on conçoit que des rétrac
ter encore que ces déformations, à l'instar de la paralysie et de l'
atrophie
, sont généralement plus prononcées dans le côté d
diriger les soupçons sur l'arsenic. Or peu à peu la paralysie et l'
atrophie
s'emparèrent des membres de la malade ; en même
muscles du tronc, aux masticateurs, aux muscles des paupières. Une
atrophie
énorme s'empara des muscles paralysés. Les réfl
hit les membres supérieurs. Il n'est pas dit qu'il s'y associa de l'
atrophie
; par contre, à un moment donné, l'enfant a prés
i avait envahi les quatre membres ainsi que des muscles du tronc. L'
atrophie
s'empara ensuite des muscles paralysés. Les réf
ysie. Celle-ci était limitée aux membres ; elle s'est accompagnée d'
atrophie
musculaire, de la perte des réflexes, des signes
ion, à des troubles respiratoires, à de la tachy- cardie. Bientôt l'
atrophie
musculaire s'associe à la paralysie; atrophie dif
hy- cardie. Bientôt l'atrophie musculaire s'associe à la paralysie;
atrophie
dif- fuserais qui atteint un degré extrêmement
urs, et s'y cantonner dans certains. groupes de muscles; sauf que l'
atrophie
musculaire est géné- ralement moins prononcée (
- phiques et uccso ? aotezcrs, qui comprennent, indépendamment de l'
atrophie
musculaire (type Aran-Duchenne), des éruptions
). Mal de Pott avec grande déformation, 158. TABLE DES PLANCHES
Atrophie
du lobe temporal gauche chez une épileptique, X
grande du courant sanguin vers les veines musculaires a déterminé l'
atrophie
des autres vaisseaux, de même que le développem
régulier du champ visuel (v. fig. 13). Dyschroma- topsie prononcée.
Atrophie
nacrée des papilles. Amblyopie encore peu accus
ns oculaires ont pris une intensité remarquable. En quelques mois l'
atrophie
est devenue complète, la cécité absolue. Dans
corps vitré; 4° des rétinites et des hémorrhagies rétiniennes; 5° l'
atrophie
du nerf optique. Les quatre premiers n'existent
. Les quatre premiers n'existent pas chez notre malade. Quant à l'
atrophie
du nerf optique,- inutile de faire remarquer qu
- phie tabétique. Il n'est, du reste, pas éloigné de croire que l'
atrophie
de la papille n'appartient jamais au diabète. Q
a papille n'appartient jamais au diabète. Quoi qu'il en soit, cette
atrophie
relève ici du tabes. En outre, le myosis bilaté
externe de la Salpêtrière, le 21 août 1890. 1 Jlartin Joannès. De l'
atrophie
du nerf optique et de sa valeur pro-, nostique
c quelques plaques blanches, sans contractions fibril- laires, sans
atrophie
appréciable. Pas de troubles de la sensibilité
, mais sans steppage véritable, à cause d'un degré assez accentué d'
atrophie
des muscles des jambes avec prédomi- nance sur
la démarche. Mais celle-ci reste encore assez ataxique pour que l'
atrophie
des extenseurs ne donne pas lieu à la démarche fr
de la tête à gauche - sous la réaction pupillaire de l'hémianopsie.
Atrophie
partielle du nerf optique. Légère parésie spasm
VII. Contribution A la connaissance DE l'ataxie héréditaire ET DE l'
atrophie
cérébelleuse; par P. MENZEL. (Arch. f. Psychiat.,
e qu'elle a perdu la vue. P. K. - , . X. NOTES sur QUELQUES cas d'
atrophie
ET d'hypertrophie du z cervelet; par BOURSOUT.
. Boursout apporte une série d'observations comprenant quatre cas d'
atrophie
du cervelet ét huit cas d'hypertrophie. Les c
cas d'atrophie du cervelet ét huit cas d'hypertrophie. Les cas d'
atrophie
sont pris sur des idiots. Dans l'une des obser-
génitale du cervelet fait totalement défaut dans ces observations d'
atrophie
et d'hypertrophie sauf dans un cas d'exaltation
vements puisque dans les observations citées, l'hypertro- phie et l'
atrophie
entraînent, l'une comme l'autre, une insuffisance
2° Paralysie du sus-épineux et du sous-épineux; 3° Paralysie avec
atrophie
du sous-épineux seul, ayant passé ina- perçue à
e myélite péri-épendymaire procédant par poussées. · P. K. , XXI.
Atrophie
musculaire ET altération de l'excitabilité ÉLEC-
eu éloi- gnée de la paralysie d'origine cérébrale, on constate de l'
atrophie
musculaire des membres atteints, de concert ave
en dehors, en haut et en dedans ataxie statique et loco- motrice -
atrophie
des N. 0. absence du signe de Romberg, de parés
ombé à la tuberculose, on rencontra à l'autopsie, une incontestable
atrophie
du cervelet sans lésion inflammatoire, c'est do
r le diagnostic d'ataxie de Fried- reich, de sclérose en plaques, d'
atrophie
cérébelleuse, on ne peut s'empêcher de reconnaî
dehors de la cachexie, on peut observer des paralysies avec ou sans
atrophie
à la période préterminale de la maladie de Par-
ineuse; comme troubles trophiques et vaso-moteurs, des sueurs, de l'
atrophie
musculaire et de l'amincissement de la peau.
. G. D. XXXIX. Remarques complémentaires relatives A l'étude DE l'
atrophie
musculaire; par DOEHNH,RDT. (Neurol. Central6l.,
entre la forme névropathique (spinale) et la forme myopathique de l'
atrophie
musculaire. Nous ne trouvons de points de repèr
ns les allures des groupes musculaires, isolés en ce qui concerne l'
atrophie
, ni dans les douleurs, ni dans les convulsions
thique. Voici, par exemple, dans une famille jusqu'alors indemne d'
atrophie
musculaire, un jeune homme de vingt et un ans aff
fatigues exagérées, il est porteur du complexus symptomatique de l'
atrophie
musculaire myopathique, dans les deux cuisses; la
il s'agisse déformes spinales ou non, que les premiers indices de l'
atrophie
remontent à la première enfance ; ce qui permet d
sont par essence mobiles et passagères. Quant à l'amblyopie et à l'
atrophie
du nerf optique dans le diabète, nous avons vu
ommentaires de l'observation III, ce qu'il fallait en penser. Cette
atrophie
diffère, si toutefois elle existe (Pa- rinaud),
Cette atrophie diffère, si toutefois elle existe (Pa- rinaud),de l'
atrophie
nacrée du tabès. M. Galezowsky 2 ' Althaus. Mal
ie diabétique grave est due tantôt à des hémorrhagies, tantôt à une
atrophie
simple, générale ou partielle du nerf optique o
générale ou partielle du nerf optique ou de la rétine, tantôt à une
atrophie
avec iridochoroïdite (Liebreich). Sur ce même s
trécis- sement plus ou moins considérable du champ visuel et avec
atrophie
du nerf optique. Les auteurs signalent à peu pr
atrophie du nerf optique. Les auteurs signalent à peu près tous une
atrophie
simple, sans trouble bien manifeste de la papil
s une atrophie simple, sans trouble bien manifeste de la papille. L'
atrophie
était assez avancée dans quelques cas, au point
des troubles de l'achromatopsie en somme de même nature que dans l'
atrophie
du nerf optique en général. » Pour Althaus « le
e du diabète et de l'alcoolisme chronique. On distingue néanmoins l'
atrophie
optique du tabes de l'amblyopie de ces deux der
u tabes de l'amblyopie de ces deux dernière maladies, en ce que l'
atrophie
commence toujours dans un seul oeil, et dans le
ent aveugle, tandis que dans le diabète et l'alcoolisme chronique l'
atrophie
optique est toujours bilatérale d'emblée ». Et
éve- ASSOCIATION DU TABÈS AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 187 I lopper une
atrophie
progressive de la papille qui n'a guère le temp
s vitré, des rétinites, des hémorrbagies rétiniennes et peut-être l'
atrophie
du nerf optique. Or l'oeil tabé- tique se prése
utopsie, être déterminé avec précision. R. M. C. IX. NOTE SUR UNE
atrophie
DU nerf OPTIQUE QUI précède LES SYMP- TÔMES MEN
observer l'auteur conclut que lorsqu'on se trouve en présence d'une
atrophie
primitive du nerf optique, sans cause appréciab
En attendant, il est intéressant de nous reporter à l'observation d'
atrophie
complète d'un système pyramidal communiqué par
la partie supérieure du ruban de Reil, du même côté, il existe une
atrophie
des fibres, que l'on constate en descendant jus
urée et de la veine affaissée, le nerf optique est atrophié ; cette
atrophie
très marquée prend vers la macula de telles pro
cette région sont les uns per- méables, les autres thromboses. L'
atrophie
de la rétine se limite aux couches profondes de l
s'explique par des expérimentations toutes récentes. En revanche l'
atrophie
si prononcée du nerf optique tient à l'obstruct
uleur. Chez le premier malade, outre la paralysie (incomplète) et l'
atrophie
des extenseurs des doigts et de la main des deu
altération parenchy- mateuse peu prononcée des nerfs périphériques.
Atrophie
à un haut degré et dégénérescence granuleuse de
res parties sont consacrées à l'hystérie simulatrice du tabes, de l'
atrophie
musculaire, et de la syringomyélie. Dans chacun
du caractère. L'affaiblissement de la vue est probablement dû à une
atrophie
. de la papille. A l'examen à l'ophthalmoscope,
esquels on ne peut rien dire de précis. P. KERAVAL.. XI. DEUX cas d'
atrophie
musculaire progressive infantile HÉRÉ- DITAIRE
ts pris à dix mois brusquement de faiblesse dans les jambes, puis d'
atrophie
avec parésie des muscles de la cuisse et du bas
ganglions d'où elles elles rayonnent. P. KERAVAL. XIV. D'UN cas d'
atrophie
musculaire PRÉCOCE D'ORIGINE cérébrale ; par A.
oute la moitié droite du corps, sans autres phénomènes antécédents,
atrophie
assez notable de l'extré- mité supérieure droit
notable de l'extré- mité supérieure droite complètement paralysée,
atrophie
moindre de l'extrémité inférieure du même côté
extrémité inférieure du même côté d'ailleurs simplementparé- siée ;
atrophie
extrême des muscles de l'épaule, moindre des ém
avant-bras), qui ne présente du reste point le type Duchenne-Aran ;
atrophie
des muscles du tronc (pectoraux, sous et sus-ép
; atrophie des muscles du tronc (pectoraux, sous et sus-épineux) ;
atrophie
de la peau de l'extrémité supérieure et surtout
t surtout du dos de la main (aspect de la pellagre). En somme, si l'
atrophie
est adéquate au degré de la paralysie. suivant le
ions examinées, elle n'estsûrementpas proportionnelle au degré de l'
atrophie
des muscles; hyperalgésie, intégrité de la sens
bien mar- quant du côté de l'examen électrique. Notons encore que l'
atrophie
est survenue juste deux mois après l'apparition
leur suite une mort immédiate. J. Séglas. XXI. NOTE SUR UN cas d'
atrophie
D'UN HÉMISPHÈRE AVFC PACHY3fÉNIN- GITE consécut
la substance cérébrale ne pré- sente pas de signe de sclérose et d'
atrophie
, porte à faire accepter l'idée de Meyer, Rumpf,
é l'état clinique suivant. Epilepsie Jacksonnienne unilatérale avec
atrophie
marquée des extrémités atteintes compa- rées au
orps du délit subsistant qui détermine l'épilepsie Jacksonnienne, l'
atrophie
con- tinue à évoluer de concert avec les phénom
tinue à évoluer de concert avec les phénomènes d'excitation, car,
atrophie
centrale signifie, paralysie périphérique. Et d'a
t et continuait à irriter ceux des éléments qui avaient échappé à l'
atrophie
, il n'y avait qu'un pas. Nous l'avons franchi.
ations et des impulsions volontaires. M. ALZIIEIMER. Sur un cas d'
atrophie
musculaire spinale progressive compliqué de lés
autopsie, on constate : d'abord des altérations médul- laires, de l'
atrophie
musculaire progressive, puis une lésion des noy
culaire progressive, puis une lésion des noyaux du bulbe, enfin une
atrophie
étendue des cellules ner- veuses de l'écorce. D
ce provient, comme le montrent des pré- parations à l'alcool, d'une
atrophie
plus prononcée des cellules nerveuses en des co
on cérébrale. C'est une synovite qui peut être aiguë ou subaiguë. L'
atrophie
musculaire précoce qui apparaît pendant les pre
les cellules nerveuses de la, moelle sont complètement intactes. L'
atrophie
musculaire est causée par la localisation spéci
rculose intesti- nale. Obs. II. Idiotie et épilepsie symptomatique (
atrophie
, sclérose). Obs. III. Idiotie symptomatique de
mala- die de Basedow, par Eulenburg, 104. Ataxie héréditaire et
atrophie
cé- rébelleuse, par Mené),95. Athétose spasmo
belleuse, par Mené),95. Athétose spasmodique, parScheiber, 100.
Atrophie
musculaire, dans les foyers cérébraux, par Eise
s albuminoïdes phosphorées du -, par Danilewski, 414. Cervelet,
atrophie
et hypertrophie du -, par Boursuut, 96; - acti-
s articu- laires dans l ? par Darkche- witsch, 411. Hémisphère,
atrophie
d'un - avec pachymémngite consécutive, par Pl
étranger de 1' -, par Courtenay, 224; Buttemberg, 438. Optique,
atrophie
du nerf -, par Wiglesworth, 219. PARALDÉHYDE,
sées, ni diminuées de nombre ; sur d'autres coupes, au contraire, l'
atrophie
de l'une des cornes est très marquée et à cette
ntraire, l'atrophie de l'une des cornes est très marquée et à cette
atrophie
, visible à l'oeil nu, correspond la dégéné- U
ente palpébrale, aplatissement el moindre ouverture de la narine; l'
atrophie
portait sur tous les plans, jusques et y compris
n particulier, la syringomyélie peut s'accompagner d'un processus d'
atrophie
osseuse. , A. FENAYROU. IV. Glande thyroïde e
myotophique (contracture musculaire des membres avec commencement d'
atrophie
, portant surtout sur les membres supérieurs, ex
Nil. L'auteur a rencontré sans les chercher trois cas identiques d'
atrophie
réellement squelettique du membre supérieur, re
s qui avaient été atteints de la variole vers la vingtième année. L'
atrophie
portait sur la totalité du membre, entraînant u
quelquefois de l'oedème périmalléolaire, chute de poils, phlyctène
atrophie
des muscles paralysés. Ces différents signes, d
lus volumineuses et. plus nombreuses, destruction du tissu nerveux,
atrophie
des fibres 'nerveuses à myéline. L'écorce, géné
se colorer au bleu de méthylène, et à la longue, toute la cellule s'
atrophie
. Les altérations des nerfs périphériques n'appa
ration s'observent dans les cellules radiculaires anté- rieures : l'
atrophie
ou la cbromatolyse. Il est vraisemblable que la
r que les choses se passent toujours ainsi. Quoi qu'il en soit, l'
atrophie
est plus fréquente que la chro- matolyse. Elle
ésente plus alors qu'une masse chromatique homogène et dégénérée. L'
atrophie
est souvent plus marquée d'un côté de la moelle
lus avancée dans la région lombaire que dans la région cervicale.
Atrophie
et chromatolyse coexistent souvent. Celle-ci s'ob
les radiculaires ne sont point seules frappées de chromatolyse et d'
atrophie
. Celles de la colonne de Clarke sont constammen
ubles de la sensibilité sont graves dans la paralysie générale. L'
atrophie
de la cellule radiculaire antérieure résulterait
il a noté des lésions des cellules nerveuses carac- térisées par l'
atrophie
pigmentaire. Enfin, plus rarement, il a eu l'oc
t plus rares. Les cellules radiculaires antérieures sont frappées d'
atrophie
ou seulement de chromatolyse. Les cel- lules de
la paralysie générale. Ici, en outre de la lésion corticale, il y a
atrophie
très marquée de lacouche optique correspondante
lacouche optique correspondante. AI. Sander tend à penser que cette
atrophie
est primitive, car, même lorsqu'on est en prése
lialitiquescorticales des plus graves, il est bien rare de voir une
atrophie
aussi avancée de la couche optique. Il n'est guèr
e la couche optique. Il n'est guère admis- sible de rattacher cette
atrophie
à l'affection corticale car, si l'un des hémisp
dépendait, par conséquent, moins del'affection cor- ticale que de l'
atrophie
de la couche optique. Pathogénie. La lésion des
existence de la maladie. G. D. XXXV. PATHOGÉNIE ET prophylaxie DE l'
atrophie
musculaire ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES; p
hie se superpose tou- jours à une arthrite avec ankylose, que cette
atrophie
reste tou- 'ours dans les limites de l'articula
e, et se dirige vers les régions supérieures, il s'ensuit que cette
atrophie
présente une topographie commandée par la march
problèmes de localisation médullaire; 7° Le type le plus fréquent d'
atrophie
musculaire qu'on ren- contre dans la syringomyé
ite D'11 £ Mi ? TI(OPIIIE progressive, myosclérose, SCLÉRODERMIE ET
atrophie
des os ET des ARTICULATIONS ; par PELI- ZOEIH.
cles présente la même tendance à la rétraction cicatricielle et à l'
atrophie
. Cette sclérose qui de la peau s'enfonce dans l
vait entraîné une contracture très marquée de deux doigts. Enfin, l'
atrophie
des os ici est patente tandis qu'elle est rare
sclérodermie, et rappellerait celle qui constamment survient dans l'
atrophie
faciale progressive, dans l'hémiatrophie facial
s inflammatoires initiaux, pas d'oedème; tout à coup se pro- duit l'
atrophie
avec décoloration de la peau, et ily a atteinte i
cas de Schulz caractérisé par de la sclérodermie, avec sclérose et
atrophie
musculaire, par places, indépendantes de la pre
jusqu'ici c'en est une qui se rapproche de la sclérodermie et de l'
atrophie
faciale pro- gressive, mais non pas le développ
ns lesquels, quoique la sciatique soit chronique, on ne constate ni
atrophie
, ni REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 143 dégénéresce
ait toujours progressive. Au bout de deux mois, on constate que l'
atrophie
musculaire et les troubles électriques dans les
rtout ceux des membres inférieurs présentent tous les indices d'une
atrophie
à caractère dégénératif de la plus haute intens
la sensibilité, des réflexes, de la contractilité électrique, avec
atrophie
musculaire, etc.). C'est alors seulement que no
gtemps cherché de la sclérose pri- mitive des cordons latéraux sans
atrophie
musculaire. Je l'ai décrite dès 1885 sous le no
. Il ne manquait que de voir un cas de tabès moteur se compliquer d'
atrophie
musculaire. Cette lacune a été comblée récemmen
ire. Cette lacune a été comblée récemment, et on a vu une véritable
atrophie
détruire peu à peu les cellules des cornes anté
nérescences primitives du téléneurone moteur (certaines formes de
atrophie
musculaire progressive), de l'archineurone moteur
toïde des deux pieds, avec exagération des réflexes rotuliens, avec
atrophie
du triceps. Ces accidents spasmodiques disparur
ions peu étudiées du système nerveux et uni- quement révélées par l'
atrophie
ou la perte plus ou moins complète de la sensib
ne sensation de poids dans la région cervicale. A qua- torze ans, l'
atrophie
envahissait les muscles des membres supé- rieur
astation les lésions qui caractérisent aujourd'hui cette maladie.
Atrophie
. Celle-ci ayant commencé par le membre supérieur
le côté correspondant du corps, excepté le visage, était endormi. L'
atrophie
a attaqué en premier lieu les muscles de la cei
emaines après il pendait inerte et décharné le long du tronc. Cette
atrophie
était accompagnée de fortes contractions SYRI
idèrent comme typique dans la syringomyélie. Dès le commencement, l'
atrophie
s'est prononcée davantage dans le membre supéri
t suivie d'une autre durant laquelle se manifestent la parésie et l'
atrophie
des muscles des membres supérieurs en respectan
ostic différen- tiel : le manque d'éruption, les localisations de l'
atrophie
dans les muscles des membres supérieurs et du t
son avec le choc reçu . 1. Dans la forme anesthésique de la lèpre l'
atrophie
ne se limite pas à un groupe déterminé de muscl
ntité qui existe dans les difformités des mains et l'intensité de l'
atrophie
des muscles supérieurs et du tronc, il y a auss
u visage, sont affectés chez le lépreux. En outre, la marche de l'
atrophie
chez ce patient n'est pas comparable avec le cour
viations existent d'une façon caractéristique en même temps que l'
atrophie
et les perturbations de la sensibilité, on peut
et de cette observation, présentait au niveau de la main droite une
atrophie
complète de tous les mus- cles innervés par le
rophie complète de tous les mus- cles innervés par le médian et une
atrophie
incomplète des muscles innervés par le cubital.
incomplète des muscles innervés par le cubital. A la suite de cette
atrophie
, la main avait subi une déformation particulièr
té morbide, comme . l'a soutenu Charcot, ne serait qu'une variété d'
atrophie
muscu- .laire progressive. NI S'appuyant sur
très voisine mais distincte toutefois de celle que l'on assigne à l'
atrophie
musculaire progressive. G. D. LIII. La suggesti
de la 5e verticale. Paralysie et anesthésie transitoires suivies d'
atrophie
avec spasmes et rigidités.' La lésion semble av
spécifiques initiaux et de l'énergie du traitement correspondant. L'
atrophie
optique précoce correspond aux ataxies tardives
c'est bien là la paralysie spasmodique amyotrophique de Charcot, l'
atrophie
réflexe de cause articulaire. L'amyotrophie art
supérieures et inférieures du facial des deux côtés, paré- sie avec
atrophie
de la langue, troubles de la déglutition, aphonie
n, aphonie absolue, immobilité cadavérique des deux cordes vocales,
atrophie
'en masse dégénérative des muscles du bras droi
horacique inférieure et moyeune; à coup sûr, des deux côtés, il y a
atrophie
des cellules dans la moelle thoracique supérieu
des cordons antérieurs et latéraux s'accroîs- sant de bas en haut.
Atrophie
très marquée des noyaux des neu- vièmes aux dou
dégénérescence graisseuses. En somme, lésions systématiques avec
atrophie
primitive des cellules nerveuses dans les foyer
int de vue clinique, ni au point de vue anatomique. Ce n'est ni une
atrophie
musculaire progressive, ni une poliomyélite ant
rations dans les racines, les cordons et les noyaux sensitifs à une
atrophie
chronique des cornes anté- 312 REVUE D'ANATOM
mes précoces (parésies du larynx et de la vessie, crises d'estomac,
atrophie
des nerfs optiques, mi- cropsie, douleurs rhuma
état de mal et présentait d'ailleurs une grave lésion encéphalique (
atrophie
unilatérale du cervelet) '. ' La communication
blanche et de la substance grise du cerveau (obs. 4, 5, 6 et 11);
atrophie
(obs. 9); hypertrophie des circonvolutions cérébr
nts des hanches sont limités. Craquements au genou gauche. Certaine
atrophie
de la cuisse et de la jambe droite avec diminut
es causes de na- ture diverse. M. KOR,41LOFF fait remarquer que l'
atrophie
musculaire dans la première observation de M. S
lombaire et dorsale dela moelle) l'épaississement de la pie-mère, l'
atrophie
des racines postérieures, etc. Dans la région c
l'hypothèse de Hammond Sénator qui attribue la maladie de F..., à l'
atrophie
primitive du cervelet et vient à l'appui de l'opi
IE MUSCULAIRE PROGRESSIVE Aran-Duchenne; par le Dr P. Marie. De l'
atrophie
musculaire progressive de Duchenne, constituée
oit peu à peu la myopathie progressive primitive être éliminée de l'
atrophie
musculaire progressive, puis ce seront les polyné
e dernière affection constituait environ un tiers des cas de s'en
atrophie
musculaire progressive. De même presque tous les
ait, et comme on le croit trop généralement encore, une maladie : l'
atrophie
musculaire progressive de l'adulte. Et l'auteur
catégorique, que, dans l'état actuel de la science, il n'y a pas d'
atrophie
musculaire progressive de Duchenne, de Boulogne
e détache facilement de la sur- face du cerveau. Hémisphère gauche.
Atrophie
légère des deux tiers postérieurs de la troisiè
circonvolution temporale au voisinage de la scissure de Sylvius. L'
atrophie
est surtout prononcée au niveau de la région ro
au-dessus de l'opercule rolan- dique. La partie qui présente cette
atrophie
si marquée est de petites dimensions : en large
auteur elle mesure à peine 2 centimètres. Hémisphère droit : légère
atrophie
du pied de la troisième circon- volution fronta
olandique. Pas de lésion de la première circonvolution temporale. L'
atrophie
ici aussi est plus prononcée à la région roland
n observe e plus souvent la transformation granuleuse, mais aussi l'
atrophie
POUSSÉES d'encéphalite aiguë. 437 simple et
Les fibres nerveuses correspondant aux foyers décrits ont subi une
atrophie
très prononcée qui n'est plus nettement visible q
eaux, capillaires) ne présente aucune des altéra- tions suivantes :
atrophie
, dégénérescence de l'une des tuniques, anévrism
n faible épaississement de l'adventice des vaisseaux et peut-être l'
atrophie
d'un certain nombre de cellules nerveuses. C'es
o-bulbaire, observés pendant la vie, relèvent histologiquement de l'
atrophie
complète des cellules nerveuses dans. le domain
dégénérées ou en voie de dégénérescence granuleuse, scléreuse ou d'
atrophie
simple ; v, capillaire à endothélium proliféran
stitue le premier processus de la paralysie générale, ou si c'est l'
atrophie
des éléments nerveux constitutifs. Mais on ne peu
et, absence absolue des fais- ceaux pyramidaux dans la moelle, avec
atrophie
des cornes anté- rieures. Microscopiquement, le
te, de dégénérescence rétrograde, car il s'agit Lien plutôt d'une «
atrophie
* par désagrégation moléculaire assez différent
léculaire assez différente delà dégénérescence wallérienne. Cette
atrophie
rétrograde propagée des voies cérébro-spinales
erf, leur apparition relativement tardive permettent de 1 egarder l'
atrophie
rétrograde comme une lésion non pas d'origine c
gine cellulaire, mais au contraire cellulipète. La propagation de l'
atrophie
rétrograde d'un neurone à un autre neurone expl
dégénérées ou en voie de dégénérescence granuleuse, scléreuse ou d'
atrophie
simple; v, capillaire à endothélium proliférant
, par Jle1'lI1g, 509. Atiiéiose avec autopsie, par Sander, 118.
Atrophie
. Existe-t-il une - muscu- ]aire progressive d'A
un corps inerte ; pas d'anesthésie d'ailleurs, pas de rigidité, pas d'
atrophie
, les réflexes tendineux étaient absents. Je n'ava
te du sensmusculaire; — 3° Elévation relative de la température; — 4°
Atrophie
musculaire plus ou moins rapide parfois avec réac
e température de ce côté ; —3° Pas traces de paralysie motrice, pas d'
atrophie
, pas d'exagération des réflexes; — 4° Quelquefois
e moyenne, 26 c. ; jambe droite, partie moyenne, 33 c. C'est donc une
atrophie
très remarquable ; mais M. Vigouroux qui a examin
me je suppose que cela a lieu d'ordinaire dans les cas de ce genre, l'
atrophie
a été la [conséquence d'une propagation du proces
nifestement amaigri (fig.18,19,20,21) ; l'amaigrissement Fig. 20. -
Atrophie
totale du membre Fig. 21. - Le muscle tenseur du
7. Aujourd'hui, 13 novembre 1888, les choses, quant à ce qui est de l'
atrophie
, sont restées à peu près telles quelles ; seuleme
e la maladie. J'insisterai particulièrement sur les traits suivants :
atrophie
musculaire d'un membre tout entier, mais manifest
èle, quand tous ces caiac-tères se trouvent réunis, l'existence d'une
atrophie
musculaire de cause articulaire, autrement dit d'
l'arthrite avait complètement disparu, sans laisser de traces; mais l'
atrophie
du membre tout entier, prédominant toutefois, com
cé et chez notre homme elle laisse subsister des traces profondes ; l'
atrophie
est, vous l'avez vu,considérable encore et les mo
it pour surprendre, lorsque l'on songe que, dans la règle, ce genre d'
atrophie
musculaire ne s'accompagne pas de la réaction de
t pas en général très diffìcile à déterminer. Ce sont, par exemple, l'
atrophie
musculaire avec réaction de dégénération plus ou
et les deux cuisses sont considérablement atrophiées. A gauche cette
atrophie
est plus prononcée qu'à droite. Gauche Droite
es de la paralysie actuelle paraissent remonter à sept ou huit ans. L'
atrophie
des membres s'était dès l'origine rapidement acce
tacher, en particulier, l'inégale répartition de la paralysie et de l'
atrophie
dôgénérative des muscles des membres inférieurs.
descendance au deuxième degré, chez un des produits un pied bot avec
atrophie
de plusieurs orteils et une gueule de loup ; chez
plusieurs orteils et une gueule de loup ; chez un second produit, un
atrophie
du train postérieur. C'en est assez sur ce poin
us ou moins considérable de nerfs moteurs correspondants, par suite l'
atrophie
consécutive des muscles ou partie de muscle auxqu
e d'un examen ophthalmologique attentif, qu'elle était atteinte d'une
atrophie
du nerf optique de ce côté. Rien de plus naturel,
urel, rien de moins imprévu, incontestablement, que l'existence d'une
atrophie
progressive du nerf optique dans le tabes. Il y a
e fût pas affecté à son tour. Car, dans l'immense majorité des cas, l'
atrophie
progressive des nerfs optiques dans le tabes, abo
issement permanent ; on sait que dans l'am-blyopie tabétique liée à l'
atrophie
progressive des nerfs optiques, il y a aussi rétr
s Myosis sthénique. 0. 0. Image opthalmoscopique de la papille.
Atrophie
nacrée de la papille (Atrophie tabétique). 2e c
mage opthalmoscopique de la papille. Atrophie nacrée de la papille (
Atrophie
tabétique). 2e cas. A. Simple décoloration de l
2e cas. A. Simple décoloration de la papille. B. Névrite optique et
atrophie
blanche consécutive. (Cas d'Eulenbourg, de Gnauk)
en général, qu'on désigne quelquefois sous le nom de papille nacrée,
atrophie
nacrée de la papille, papille tabétique. L'aspect
ne manière frappante avec le rétrécissement inégal qui se voit dans l'
atrophie
tabétique et aussi dans les périodes avancées de
it dans l'atrophie tabétique et aussi dans les périodes avancées de l'
atrophie
par névrite optique. Il faut ajouter que l'achrom
s paralysés sont légèrement amaigris, on n'y remarque cependant pas d'
atrophie
proprement dite, pas de secousses fibrillaires en
..Le diagnostic était rendu facile dans ce cas, par l'existence d'une
atrophie
commençante d'un des nerfs optiques. L'opinion qu
essivement sa marche vers le but fatal. II n'est guère en somme que l'
atrophie
ta-bétique des nerfs optiques, qui, une fois cons
, symétriquement des deux côtés. Les réflexes rotuliens sont absents.
Atrophie
, également prononcée des deux côtés, des muscles
e d'une névrite périphérique, qu'on dit primitivement développée, une
atrophie
des muscles extenseurs suivie d'une chute du pied
aiblissement des facultés intellectuelles. Paraplégie alcoolique avec
atrophie
». Ou ne saurait mieux dire et vous avez compris
oire de l'hystérie et qui ici est fort accentué. Je veux parler d'une
atrophie
musculaire, sans accompagnement de secousses fibr
ut bien le reconnaître, nous en savons encore fort peu sur ce genre d'
atrophie
musculaire, et avant de vouloir légiférer définit
a jambe droite, 32co — de la jambe gauche, 34 cc. 2. Babinski. De l'
atrophie
musculaire dans les paralysies hystériques. Arcb.
e de faits consécutifs, correspondent dans les membres paralysés, une
atrophie
dégénérative des troncs nerveux émanant des par
troncs nerveux émanant des parties altérées des cornes antérieures, l'
atrophie
des muscles auxquels ces nerfs se distribuent et
rétrocession, à peu près complètement dégagé. Pour ce qui est de l'
atrophie
des nerfs et des muscles signalée plus haut, il f
près surviennent dans ces parties des fourmillements; en même temps l'
atrophie
des muscles intéressés y devient des plus évident
t. Enfin, c'est le tour des cuisses où les fourmillements ainsi que l'
atrophie
musculaire se montrent également, et, en conséque
bien marquée sur les éminences thénar et hypothénar. A. gauche même
atrophie
, seulement moins prononcée, de l'épaule et du bra
s membres nous permet de constater. A la face, pas le moindre signe d'
atrophie
musculaire : les lèvres ne paraissent pas grosses
e sommairement du nom d'amyotrophie progressive. Mais de quel genre d'
atrophie
musculaire à marche progressive s'agit-il ici ? L
i proposé d'adopter dans le temps, pour classer les diverses formes d'
atrophie
musculaire à évolution progressive. A. Le grand
fections diverses autrefois confondues sous la dénomination commune d'
atrophie
musculaire progressive. C'est, vous le savez, l'a
rencontrer clans les cas qui portent en clinique cette dénomination d'
atrophie
musculaire progressive, sont très variées. Elles
ciable ; 2° dans les racines motrices et les nerfs moteurs, par une
atrophie
, conséquence de la lésion spinale; 3° enfin dans
ssement s'est opéré,la même série de phénomènes et, en particulier, l'
atrophie
progressive des muscles se manifeste ; toutefois,
ion, de s'étendre à la substance grise antérieure et d'y déterminer l'
atrophie
des cellules motrices. Parmi les diverses affecti
arence d'hypertrophie, et même se montrer constamment marquée par une
atrophie
manifeste de la plupart des muscles affectés. Les
A première vue et sans y regarder de plus près, la localisation de l'
atrophie
dans les muscles des épaules et des bras, les ava
ès intenses et généralisées à tous les muscles atrophiés ou en voie d'
atrophie
. Or, pareille chose ne se voit dans aucune des fo
, comme on sait, chez les myopathiques du type Lan-douzy-Déjerine une
atrophie
de certains muscles faciaux amenant la gêne des m
s muscles les plus profondément lésés, ainsi que la participation à l'
atrophie
des sus et sous-épineux, sous-scapulaires et des
nc les muscles de la face qui ont été pris en premier. Aujourd'hui, l'
atrophie
porte sur les muscles des épaules et des bras, et
quelle il est naturel de songer toutes les fois qu'il se présente une
atrophie
musculaire à marche progressive, non accompagnée
opathiques.Ici, je vous le rappelle, la lésion spinale d'où procède l'
atrophie
musculaire est systématiquement localisée dans le
nt, ce sont les membres inférieurs qui ont été le siège primitif de l'
atrophie
progressive ; maisil existe un certain nombre d'o
la maladie de l'adulte. t. Voir sur le même sujet, E. Thomas. De l'
atrophie
musculaire progressive, consécutive à la paralysi
il a été admis à l'hôpital, on a relevé ce qui suit. Il y a un peu d'
atrophie
des interosseux, de l'émi-nence thénar et hypothé
74) la syringoymélie est signalée comme une des causes possibles de l'
atrophie
musculaire spinale deutéropathique. (t. II, p. 21
oire de la paralysie infantile d'un côté et de l'autre par celle de l'
atrophie
musculaire progressive du type Aran-Duchenne et d
ation dans l'exposé clinique. II Le plus souvent, les symptômes d'
atrophie
musculaire progressive, débutant parles éminences
sagés isolément, l'espèce morbide antérieurement connue sous le nom d'
atrophie
musculaire progressive du type Duchenne-Aran : il
ces études, « aie premier appelé l'attention sur la combinaison de l'
atrophie
musculaire, « avec des troubles particuliers de l
entif fait reconnaître, chez lui, surtout dans les membres où siège l'
atrophie
musculaire, l'existence concomitante de troubles
ther-mo-anesthésiesyringomyéliques limitées aux parties où se voit l'
atrophie
musculaire : Ce cas, tant s'en faut, n'est point
suivie de péritonite suraiguë a occasionné la terminaison fatale. L'
atrophie
musculaire progressive du type Duchenne-Aran, la
que l'a bien relevé M. Déjerine, que l'on a fort souvent rapporté à l'
atrophie
musculaire du type Àran-Duchenne des cas où seule
u moins prononcée, se montrait combinée aux symptômes classiques de l'
atrophie
musculaire progressive. « Cette anesthésie », écr
wei..,.ei-, autrefois traité par Duchenne de Boulogne comme atteint d'
atrophie
musculaire avec anesthésie. Un examen attentif a
cipalement dans les cas où celle-ci s'est accompagnée, en outre, de l'
atrophie
musculaire à marche lente, de divers troubles tro
res ,se sont montrées très accentuées dès l'origine La parésie et l'
atrophie
gagnèrent rapidement le membre supérieur droit to
commencé à s'affaiblir et à maigrir il y a deux ans.Vous voyez que l'
atrophie
est surtout prononcée sur les muscles antérieurs
ession produite par l'examen du malade est qu'il s'agit chez lui de l'
atrophie
musculaire progressive du Fig, 108 Fig, 1Q9 S
liers des doigts étant impossibles. Par suite de la prédominance de l'
atrophie
musculaire dans la sphère d'innervation des nerfs
s mouvements naturels y sont parfaitement libres; on n'y voit point d'
atrophie
. Les seules anomalies qu'on y observe consistent
tôt enclin à penser qu'il s'agissait là soit d'une forme anomale de l'
atrophie
musculaire progressive, du type Aran-Duchenne, so
es épaules. Depuis 1882 l'évolution de la maladie semble arrêtée; l'
atrophie
musculaire tout au moins n'a pas progressé depuis
conséquence d'une névrite qui semble primitivement périphérique, une
atrophie
des muscles extenseurs, suivie d'une chute du pie
— Amyotrophie de cause articulaire (Attitude) ... 73 Fig. 20,21 — (
Atrophie
) ... 74 Fig. 22. — Alcoolisme, paralysie infant
lepsie, 322. Amorphinismf, (Périodes d'), 431. Amyotrophie. (Voy.
Atrophie
musculaire, Myopathie.) Amyotrophie de cause ar
Amyotrophie spinale progressive de la paralysie infantile, 144. (Voy.
Atrophie
musculaire.) Amyotrophique (Paralysie), 76. A
52. Ataxie par défaut de coordination automatique. (Voy. Abasie.)
Atrophie
musculaire, —dans l'hystérie,403. — dans la paral
articulaire, 75. — dans la syringomyélie, 495, 496. — Diagnostic de l'
atrophie
syringomyélique, 501. Atrophies musculaires progr
164.— (Antagonisme entre les attaques et les accidents locaux), 7. —
Atrophie
musculaire, 403. — (Attaques), 7, 195. {Voy. auss
iologiques chez les liqueurs, 14. Müller, 54, 59, 60. Musculaire (
Atrophie
) de cause articulaire, 75. Mutisme hystérique,
ension, 204. — Transverse du MaldePott, 182. Myopathies( Voy. aussi
atrophie
musculaire progressive). — et Atrophie musculaire
182. Myopathies( Voy. aussi atrophie musculaire progressive). — et
Atrophie
musculaire progressive 413. — Diagnostic, 414. My
, 488, 527, 533, 534. Optique (névrite), 164, 165, 166. Optiques (
atrophie
des nerfs) dans le tabès, 158. Otite goutteuse,
Paralysie infantile.— 38,91,140. (Amyotrophic de la),144, (Voy.aussi
atrophie
musculaire).— (Début), 147, 149.— et amyotrophic
.— (Début), 147, 149.— et amyotrophic spinale progressive (Voy. aussi
atrophie
musculaire),407. — et paralysie générale, 144,
Syringomyélie. 487. —Anat. pathologique, 489. — Arthropathies, 498.
Atrophie
musculaire, 495. — Causes, 499. — Cicatrices, 498
ses, 499. — Cicatrices, 498. — Diagnostic, 500. — Diagnostic avec l'
atrophie
musculaire, 501, — Eruptions huileuses, 497. Sy
5. — Amaurose, 164. — Arthropathies et crises gastriques, 333, 336. —
Atrophie
des nerfs optiques,158.— Champ visuel, 159, 165.—
r cas fût très ancienne. On pouvait observer seulement une certaine
atrophie
des fibres du bourrelet du corps calleux et du fa
lution brusque, l'arrêt du développement de la maladie, le manque d'
atrophie
musculaire, de contractions fibril- laires et d
, la paralysie de la langue, la diffi- culté de la déglutition sans
atrophie
, ni réaction de dégénérescence, la participatio
mes donne l'aspect plutôt de la paralysiepseudo-bulhaire (absence d'
atrophie
, réaction électrique normale), le siège de l'in
avec anar- thrie et dysphagie, ensuite une hémiparésie droite sans
atrophie
, sans contractions fibrillaires et sans réactio
stes d'une inflammation guérie avec perte de substance. Le manque d'
atrophie
et de réaction de dégénérescence prouve, que le
celui de Hoppe-Seyler étaient amincis, ne peut être attribué à une
atrophie
dégénéralive à cause de l'absence d'une réaction
périphéri- ques, soit centrales. Donc, d'une part, l'absence de l'
atrophie
dégénérative et d'autre part l'existence des tr
côté droit de 76 centimètres, du côté gauche de 83 centimètres. L'
atrophie
des muscles est très marquée, à la cuisse du moin
ni contracture; on pourrait sans doute invoquer la fai- blesse et l'
atrophie
musculaires constatées pendant la coxalgie, en le
siège sur le membre sain, il n'existe sur celui-ci ni faiblesse, ni
atrophie
du système musculaire. On 58 1 GASNE ET COURTEL
n appareil à traction mal placé et tirant sur le tibia; d'ordinaire
atrophie
inégale des muscles de la cuisse, plus marquée
ents étiologiques qu'il faut écarter; enfin il n'existe pas trace d'
atrophie
musculaire, ni sur le groupe postérieur, ni sur l
sans lésion osseuse, sans trouble musculaire (faiblesse, hypotonie,
atrophie
), et en dehors de toute lésion médullaire ; not
onnelle, variable puis permanente, et comme résultat anatomique une
atrophie
partielle de la moelle. LES DIFFORMITÉS DU SYST
st vrai, mais on ne peut avoir aucun doute sur son existence. Cette
atrophie
, assez rare, est particulièrement intéressante, c
ui vient, en effet, à l'esprit, c'est qu'il s'agit ici d'un début d'
atrophie
musculaire progressive, qui commence, comme on le
vation, nous n'avons jamais pu retrouver les autres symptômes de l'
atrophie
musculaire progressive ; sa main gauche, en par
tous les deux de ['atrophie, ce qui assombrit le pro- nostic. Cette
atrophie
n'est pas signalée, autant que nous avons pu nous
énutrition générale. Autant qu'on peut s'en assurer, il n'y a pas d'
atrophie
de son bras ou de sa main gauche. 11 est plus q
de la crampe des télégraphistes. Nulle part, on ne peut découvrir d'
atrophie
; elle peut se ser- vir de ses deux membres pou
La douleur ; c) La fai- blesse musculaire] D) Le tremblement ; F) L'
atrophie
ou quelquefois l' /typer- atrophie. z A. La r
ulaire] D) Le tremblement ; F) L'atrophie ou quelquefois l' /typer-
atrophie
. z A. La raideur, les crampes, ou les spasmes c
rtrophie. Nos observations I et II sont au contraire des exemples d'
atrophie
. Dans ces derniers cas, existent aussi quelques
ses occupations ; mais s'ils sont peu prononcés, la paralysie et l'
atrophie
peuvent survenir avant, que le malade ait consc
ifications de structure, cela n'est pas douteux comme le prouvent t'
atrophie
et les modifications de-la contractilité électriq
nement répété et forcé d'un élément nerveux amène avec le temps son
atrophie
, puis sa destruction avec hypertrophie des élém
ection (crampe avec ou sans hypertrophie, tremblement, paralysie et
atrophie
), il peut arriver que l'un de ces stades soit ass
s, l'affec- tion peut arriver rapidement à la paralysie et même à l'
atrophie
sans passer parle spasme initial. Ces différent
ement sont cepen- dant plus faciles à traiter que la paralysie et l'
atrophie
. Cette dernière est la plus difficile à guérir,
ns les cas graves. Lorsqu'on est appelé à traiter la paralysie et l'
atrophie
, on doit quelque peu modifier ses prescriptions
mémoire et torpeur psychique, amblyopie progressive et amaurose par
atrophie
papillaire ; ensuite épilepsie, légères parésie
cette époque, pratiqués, notamment par M. Druault, qui constata une
atrophie
papillaire bilatérale, avec dilatation variqueuse
ine, à Lariboisière, le malade et formule le diagnostic suivant : «
Atrophie
postnévritiquedes deux nerfs optiques, en rappo
essive, l'existence d'une stase oedémateuse et variqueuse, et d'une
atrophie
névritique secondaire de la papille. L'étude hi
ne foule d'altérations variables, qui toutes ont pour conséquence l'
atrophie
de la cellule et sa disparition complète ». Dan
en masse surtout pro- longée amène un ratatinement et plus tard une
atrophie
extrême des corps cellulaires. Pareilles lésion
iotie et présentant une hypertrichose généralisée, s'accompagnant d'
atrophie
du testicule droit,de bec-de-lièvre et de malform
e et l'annu- laire gauches et l'annulaire droit un peu rapetissé. L'
atrophie
intéresse la 2° et la 3° phalange, surtout cett
té libre. La radiographie (Pl. XLVI) de la main gauche montre que l'
atrophie
porte sur le squelette de la phalangine et de l
es sans trace appréciable d'ancienne névrite éveillant l'idée d'une
atrophie
simple. AUTOPSIE ? Epaississement et oedème de
nt une dilata- tion très marquée. ' Les nerfs optiques ont subi l'
atrophie
grise, encore très visible au niveau du chiasma
nt les suivantes : dans les circonvolutions directement comprimées,
atrophie
cellulaire ; dans les cir- convolutions indirec
ration du fond de l'oeil. Secousses fibrillaires à la langue. Pas d'
atrophie
musculaire. Examen de llT. P. Londe, 894. - Les
xtrême, est très amaigri ; il existe aux extrémités des membres une
atrophie
que nous exposons plus bas. Le malade ne répond
r le pied. Actuellement, il y a un léger degré de pied-bot varus.
Atrophie
. - Il existe enfin une modification dont il n'a p
il n'a pas été fait mention dans les examens antérieurs, c'est une
atrophie
musculaire des extrémités. Malheureusement il e
très pronon- cée des gouttières inter-métacarpienues. Il y a de l'
atrophie
moins marquée dans la région antéro-externe des j
ns les faisceaux cérébelleux directs, dans les faisceaux de Gowers.
Atrophie
de la substance grise de la moelle avec dispari
ébelleux direct et du faisceau de Goll. Dans la protubérance, une
atrophie
considérable des fibres du pédon- cule cérébell
couche moléculaire. Réduction de volume de la substance blanche.
Atrophie
du nerf optique droit. Dans les nerfs périphéri
en état de dégénérescence grais- seuse. Dans le bulbe existait une
atrophie
des noyaux des cordons de Goll, de Burdach et d
des cordons de Goll, de Burdach et des noyaux des cordons latéraux,
atrophie
du faisceau cérébelleux, des nerfs hypoglosse e
er la coupe d'après leur direction. Pas de noyau visible. En somme,
atrophie
et diminution de nombre des cellules de Purkinje.
Les lésions qui ont été trouvées dans tous les cas examinés sont l'
atrophie
des fibres du pédoncule cérébelleux moyen et l'
inés sont l'atrophie des fibres du pédoncule cérébelleux moyen et l'
atrophie
(agénésie) du cervelet. Dans le cervelet examin
eux cas se rapproche celui de Miura : pas de sclérose de la moelle,
atrophie
du cervelet et atrophie du pédoncule cérébelleu
ui de Miura : pas de sclérose de la moelle, atrophie du cervelet et
atrophie
du pédoncule cérébelleux moyen. En présence d
à se ressentir de la diminution de la nutrition et s'atro- phie. L'
atrophie
se manifeste au commencement par une diminution d
ou la prédisposition du système nerveux plus grande, le processus d'
atrophie
va plus loin et se manifestera par une dégénéres-
niques de vaisseaux. Cette lésion seule ne pouvait pas produire une
atrophie
d'une certaine partie du système nerveux. La pa
e vaisseaux, comme nous l'avons dit, se produit au commencement une
atrophie
, ensuite une dégénérescence dans les parties mo
céré- belleuse auront toujours les mêmes signes communs, tels que l'
atrophie
de la moelle, du bulbe, du cervelet, etc., etc.
l. Fig. 6). D'une façon générale les ganglions ne présentent aucune
atrophie
, analogue à ce que l'on observe par exemple pou
nservé la persistance de leurs mouvements et ne présentaient aucune
atrophie
appré- ciable, autant qu'un examen minutieux no
s et compressibles à l'attouchement, ce qui accusait clairement une
atrophie
des muscles de ces régions ; sur l'éminence hypot
, Editeurs MAIN EN PINCE 411 qui en reçoivent l'innervation, leur
atrophie
consécutive avec des contractions fibrillaires
rtout à droite (PI. LIV). Les mains sont normales. Il n'y a pas d'
atrophie
musculaire aux différents segments et les réflexe
pôle supé- rieur est occupé par un gros kyste urinaire. Il y a une
atrophie
considérable de la substance corticale, et la c
l'examen macroscopique. Les organes pelviens sont le siège d'une
atrophie
sénile extrêmement accu- sée. Les ovaires ne pè
ous les glomérules sont atteints plus ou moins d'un certain degré d'
atrophie
. Beaucoup ont autour d'eux un anneau de périglo
ns. En somme, il semble que la formation kystique est, plutôt que l'
atrophie
scléreuse, l'origine et la cause de la diminuti
les trophiques est un fait avéré. On l'observe conjointement avec l'
atrophie
musculaire, ou avec les déformations osseuses (
ibuons. EÙ1'uf¡ chercherons à prouver que, dans cette maladie, où l'
atrophie
semble ré- "' gner en maîtresse exclusive, l'hy
l n'est pas très rare, en effet, de constater, conjointement avec l'
atrophie
, mais pouvant aussi se montrer sans elle, la fo
eux pourra, non seulement compenser la perte de volume causée par l'
atrophie
, mais rendre le membre malade plus volu- mineux
préoccupe beaucoup de cette singulière combinaison symptomatique :
atrophie
musculaire, poly- sarcie sous-cutanée. - Duch
est ainsi que dans la paralysie atrophique de l'enfance, le degré d'
atrophie
ou de texture des muscles (1) Collette, Sur une
Duchenne avait coutume de faire des plis à la peau, pour dépister l'
atrophie
musculaire, alors que, de prime abord, elle n'a
encore : « l'abondance du tissu adipeux sous-cutané peut masquer l'
atrophie
musculaire (p. 488) ». Il répète plus loin la m
usculaire (p. 488) ». Il répète plus loin la même observation : « L'
atrophie
d'un grand nombre de muscles est quelquefois ma
npoint considérable». ». - La surcharge graisseuse accompagnant l'
atrophie
musculaire sympto- matique d'affections de la m
bservations d'adipose sous-cutanée dans la paralysie infantile avec
atrophie
musculaire : « Les conclusions à tirer de mes re
adipeux sous-cutané des membres ou des segments de membre frappés d'
atrophie
est d'ordinaire plus épais que dans l'état norm
trophiés, un degré très prononcé, au point de masquer entièrement l'
atrophie
ou même de simuler l'hypertrophie du membre. Ce
ue l'hypertrophie du tissu cellulo-graisseux accom- pagne parfois l'
atrophie
musculaire et qu'elle posséderait même quelque
le - début fébrile, paralysie motrice d'un ou de plusieurs membres,
atrophie
muscu- laire graisseuse avec les déformations q
hie muscu- laire graisseuse avec les déformations qu'elle entraine,
atrophie
osseuse impriment généralement à la maladie don
. La paralysie peut être très fugace, pas- ser même inaperçue, et l'
atrophie
musculaire n'en être pas moins très prononcée.
s trophiques osseuses qui per- sistaient toute la vie. « Le degré d'
atrophie
osseuse, dit encore Du- chenne (2), n'est pas t
s cas, dit Boulloche (3), la paralysie infantile n'aboutit à aucune
atrophie
musculaire : les muscles ont conservé leur force
loppement. D'autre part, il n'y a parfois aucune proportion entre l'
atrophie
des muscles et celle des os dans le membre paraly
njonctif sous-cutané, est admise sans conteste en ce qui concerne l'
atrophie
musculaire qu'elle a suivie. A vrai dire, l'intér
uons. Nous sommes trop enclins, par exemple, à associer la notion d'
atrophie
au tableau clinique de la paralysie infantile,
ta, un malade atteint d'une paralysie infantile ayant déterminé une
atrophie
du bras droit. Ce malade ayant contracté la syp
plégie, avec cette différence toutefois qu'au lieu d'aboutir à une
atrophie
506 H. MABILLE limitée à certains groupes mus
ar PAUL SE- RIçUX et ROGER Mignot (4 fig.), 39. Syphilis spinale (
Atrophie
de la moelle dans la), par E. Long et `Vzx1 (21
tiques : et de même la destruction des réactions optiques amène une
atrophie
strictement confinée aux régions comprises dans
9.) Type de paralysie semblable à celui qu'a décrit DrescIlfeld ;
atrophie
des cellules des cornes antérieures ; concrétions
une adhérence généralisée des méninges à la couche corticale et une
atrophie
du cerveau avec accompagnement des lésions que
rielle fait penser à une syringomyélie ; mais. comme il n'y a pas d'
atrophie
, il y a lieu d'admettre une affection des cordo
ralentissement de la sensibilité à la douleur - signe de Homberg -
atrophie
du nerf optique droit. C'est le pied et l'ortei
minué de volume. Il est cependant certains groupes musculaires où l'
atrophie
est très prononcée, tandis que d'autres groupes
scles de la partie postérieure ont subi également un commencement d'
atrophie
: mais, chose remarquable et sur laquelle nous
à-dire, à une altération profonde des centres médullaires, mais à l'
atrophie
du muscle triceps crural. C'est aussi à cette a
es, mais à l'atrophie du muscle triceps crural. C'est aussi à cette
atrophie
, ainsi qu'à celles des muscles extenseurs du pi
178 tômes fondamentaux consistent, comme vous le savez, dans une
atrophie
musculaire, liée ou non à divers troubles de la s
nerveuses. Le symptôme capital de la téphromyélite antérieure est l'
atrophie
musculaire; c'est même, si l'on peut dire, un s
mode de développement et son [origine, toujours elle détermine l'
atrophie
dés muscles tributaires des cellules nerveuses al
fondes. Pour abréger, ne nous occupons, si vous le voulez, que de l'
atrophie
musculaire des hémiplégiques. Celle-ci appa- ra
iner la moelle de qnelques hémiplégiques qui avaient présenté cette
atrophie
, et il a constaté l'existence de lésions très c
que si les cellules antérieures sont malades, et s'il s'ensuit une
atrophie
mus- culaire, c'est que la dégénération descend
ami, M. Deje- rine, a publié des observations fort intéressantes d'
atrophie
musculaire, chez des hémiplégiques à l'autopsie
nchymateuse. Que faut-il conclure de ces faits ? Evidem- ment que l'
atrophie
avait succédé à la névrite. Mais quel avait été
Evidemment la lésion qui avait déterminé la contracture, puisque l'
atrophie
'et la névrite présentaient leur maximum d'inte
ue qui n,a point été lésé ne tarde pas à subir un certain degré d'
atrophie
, et il est probable que les muscles correspondant
ique, qui naissent dans la même région, subissent un faible degré d'
atrophie
simple » » La même démonstration ressort, au po
linique, des notions qui nous ont été fournies par M. Charcot sur l'
atrophie
muscu- laire des hystériques. Enfin une autre e
UES DE LA MOELLE. Quoi qu'il en soit, un fait subsiste, c'est que l'
atrophie
mus- culaire des hémiplégiques, indépendante de
er une névrite dégénérative. Cette opinion, pour ce qui a trait à l'
atrophie
musculaire saturnine, me paraît pouvoir s'appli
es ainsi atrophiés. Ce qui est indéniable, en tous cas, c'est que l'
atrophie
en question, liée ou non à une névrite, est, qu
ns l'hystérie, pas plus que dans l'hémiplégie de cause cérébrale, l'
atrophie
n'est chose fatale. Elle peut survenir cependan
pasmodique, existant depuis des années, peut ne pas se compliquer d'
atrophie
musculaire, tandis que telle hémiplégie de caus
contracture sont beaucoup moins prononcées, se compli- quera d'une
atrophie
musculaire marche relativement rapide. Il est e
ur lequel je tiens à attirer votre attention. Vous connaissez cette
atrophie
muscu- laire,. dite réflexe, qui succède à cert
urut de pneumonie une année après son entrée. L'autopsie montra une
atrophie
complète des plis courbes et des premières circ
es nerfs optiques avaient une augmentation du tissu conjonctif, une
atrophie
des fibres nerveuses et avec des espaces rempli
rd depuis trente ans ; le cerveau, autrement normal, présentait une
atrophie
extensive des deux circonvolutions temporales s
en plus de quelque lésion du lobule supramarginal, il y avait une
atrophie
de deux circonvolutions temporales plus marquée à
rpation du lobe temporal chez les lapins nouveau-nés, on trouve une
atrophie
dans les fibres médullaires correspondantes de
'extenseur commun des doigts, de l'exten- seur propre du pouce avec
atrophie
musculaire consécutive, avec intégrité du muscl
ces péricellulaires de la substance grise. On constate, en outre, l'
atrophie
ou la destruction de nom- breuses cellules nerv
hémiplégie droite avec perte de la parole qui guérit en un an - une
atrophie
bilatérale du nerf optiquequi la rend aveugle en
s optiques tiennent, dans la sclérose en plaques, le milieu entre l'
atrophie
tabétique primitive, l'atrophie consécutive à l
érose en plaques, le milieu entre l'atrophie tabétique primitive, l'
atrophie
consécutive à l'interruption des conducteurs, et
tive, l'atrophie consécutive à l'interruption des conducteurs, et l'
atrophie
inflammatoire interstitielle. L'atrophie grisât
tion des conducteurs, et l'atrophie inflammatoire interstitielle. L'
atrophie
grisâtre et blanche de la papille a une grande
es premières années de la vie du bras droit (impotence absolue avec
atrophie
) et de la jambe du même côté (atrophie, simple
roit (impotence absolue avec atrophie) et de la jambe du même côté (
atrophie
, simple parésie), à la suite de convulsions. Au
oire, d'une réduction considérable de la cloison transparente, de l'
atrophie
des circon- volutions du corps calleux et de la
nc. La 276 revue d'anatomie ET DE physiologie pathologiques. même
atrophie
des organes du manteau se retrouve chez les mé-
étatif, de phtisie pulmonaire avec eschare, un an après l'accident.
Atrophie
de toute la région antérieure des deux hémisphè
e contusion juste à l'opposite du lieu d'application de la force; l'
atrophie
bila- térale en a été la conséquence. Les ascen
'il existe des systèmes de fibres d'association. P. K. XXII. DE l'
atrophie
DES FIBRES DE l'écorce DU cervelet ; par A. MEY
lacunes considérables de l'intelligence; elles dispa- raissent par
atrophie
dégénératrice primitive. On en constate trois t
rophie dégénératrice primitive. On en constate trois types : 10 Une
atrophie
généralisée uniforme des fibres profondes; 2° u
: 10 Une atrophie généralisée uniforme des fibres profondes; 2° une
atrophie
uniforme diffuse des fibres péricellulaires , 3
NCÉPHALE HU- mun; par A. RICaTER. (Arch. f. Psychi'lt., XX, 2.) L'
atrophie
unilatérale ou bilatérale du nerf optique peut s'
asculaires et péricellulaires, la dégé- nérescence pigmentaire et l'
atrophie
des cellules pyramidales et des autres cellules
aux à parois épaissies, irrégulières, en zigzags. P. K. XXX. De l'
atrophie
musculaire névritique PROGRESSIVE; par J. IIOFF
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 283 nom de forme parlicullèl d'
atrophie
musculaire. Quatre obser- vations, dont une per
d'atrophie musculaire. Quatre obser- vations, dont une personnelle (
atrophie
); trois observations dé Schultze; autopsies de
ction double (hématoxyline et éosine, héma- toxyline et safranine).
Atrophie
généralement simple des fibres musculaires; que
es dans les trousseaux pyramidaux des cordons latéraux. Conclusion.
Atrophie
névrotique constituant une variété de l'atrophi
éraux. Conclusion. Atrophie névrotique constituant une variété de l'
atrophie
musculaire spinale de l'enfance. P. K. XXXIV.
ystérie ; mais, ce qui permit.le diagnostic en l'espèce, ce fut une
atrophie
bilatérale des nerfs optiques. M. ROLLER (de Br
il s'agit d'une femme atteinte d'aphasie avec hémiplégie gauche et
atrophie
du bras du même côté. A l'au- topsie on a trouv
le épinière, de sorte qu'il paraîtrait irra- tionnel de rattacher l'
atrophie
des muscles d'un côté du corps à une modificati
trouve des solutions de continuité manifestes. On voit ainsi que l'
atrophie
ou la diminution du diamètre transversal du corps
e ou interstitielle. Dans les muscles du côté lésé, on constate une
atrophie
la plus classique. En résumé, à côté de l'atrop
on constate une atrophie la plus classique. En résumé, à côté de l'
atrophie
musculaire consécutive à une lésion cérébrale,
rfs périphériques. Dans les muscles du côté gauche, on constate une
atrophie
des plus évidentes. L'examen histologique a p
mier intérosseux et le biceps du côté gauche; on a pu constater une
atrophie
des fibres dont le caractère est d'être diffuse
u laboratoire de M. Charcot par M. Babinski1 , on admet- tait que l'
atrophie
musculaire, dans les scléroses descendantes, ét
re, dans les scléroses descendantes, était toujours provoquée par l'
atrophie
des cornes antérieures. Cette manière de voir a
sa signification exclusive depuis que M. Babinski a démontré que l'
atrophie
musculaire de cause cérébrale est possible avec
égie avec contractures et un développement relativement tardif de l'
atrophie
musculaire; tantôt cette dernière se développe
érébrale fonda- mentale. Il parait donc établi actuellement que l'
atrophie
musculaire peut se développer consécutivement à
rébrale est inconnue et encore moins la localisation du 1 Babinski.
Atrophie
musculaire d'origine cérébrale, (Comptes rendus
usculaire; les réflexes sont normaux et égaux des deux côtés. Pas d'
atrophie
musculaire. La sensibilité générale est abolie
olfactive toute la portion olfactive de la commissure antérieure s'
atrophie
des deux côtés, tandis que la portion temporale r
ues normales de l'existence des fibres musculaires. Chaque espèce d'
atrophie
musculaire a son tableau clinique et son substr
e constitue pas une condition nécessaire pour le développement de l'
atrophie
. Il est encore impossible de préciser la locali
on anatomique de la lésion cérébrale provoquant infail- liblement l'
atrophie
, mais dans la majorité de cas il faut incrimi-
oloique, les modifications mus- culaires portent le caractère d'une
atrophie
simple. Les théories 462 ) SOCIÉTÉS SAVANTES.
n de prédominance d'un de ces phénomènes comme cause d'origine de l'
atrophie
. \I. RoiT a fait une seconde communication sur
\I. RoiT a fait une seconde communication sur la « pathogénie de l'
atrophie
musculaire progressive ». Les modifications fonda
ales des fibles musculaires dans cette affection consistent en leur
atrophie
longitudinale et transversale. L'hypertrophie des
otrophies progressives. L'analyse des particularités cliniques de l'
atrophie
musculaire progressive jointes aux modification
troubles vaso-moteurs et sécrétoires, troubles du tissu cellulaire,
atrophie
musculaire. On pourrait critiquer cette divisio
, par Baumler 132. ' Athétose dans le tabes, par Laquer, 133.
Atrophie
MoscumnE névritique pro- gressive, par Hoffmann
duo-moyen, par Edll1ger,136. TABLE DES MATIERES . 47 -1 Cervelet (
atrophie
des fibres du) - ), par Meyer, 280; fonction du
ABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS 479 z maladie d'Addison, -et
atrophie
musculaire, par Schulz, 273. Sclérose, début
pontanée ou sénile. Dans le cas de pétrification du placenta, c'est l'
atrophie
d'abord, puis la mort avec dessiccation du fœtus
bsolument impossible de prévoir. Notons encore i° la coexistence de l'
atrophie
d'un rein non calculeux, de la gravelle du rein o
avec le développement énorme du tissu adipeux; 2° la coexistence de l'
atrophie
du rein droit et de l'hypertrophie de la capsule
it double de la capsule surrénale gauche ; notons enfin 3° cette même
atrophie
du rein droit comme une cause prédisposante de l'
lation. Les os du pied droit sont évidemment atrophiés. A la jambe, l'
atrophie
portait davantage sur les parties molles que sur
e celui du côté opposé, et comme les aponévroses avaient subi la même
atrophie
, on voit que l'exercice est aussi nécessaire aux
ubisse le scaphoïde, c'est une diminution considérable de volume, une
atrophie
produite et par la compression violente à laquell
de des lois qui régissent l'état sain. J'ai expliqué tout à l'heure l'
atrophie
de l'astragale par la compression à laquelle il é
ttente. Pour les os, la continuité de la compression est une source d'
atrophie
; la compression intermittente est une source d'h
n général encroûtées de cartilage de nouvelle formation. Muscles. L'
atrophie
, la transformation graisseuse de tous les muscles
il est facile de pénétrer pourquoi ces muscles seuls ont échappé à l'
atrophie
générale. C'est parce que le pied, dans la positi
ire et du jumeau externe. J'ai dit que ces fibres avaient échappé à l'
atrophie
; car personne n'imaginera, je pense, que l'atroph
aient échappé à l'atrophie; car personne n'imaginera, je pense, que l'
atrophie
des muscles soit primitive; il me serait facile d
ée pendant la première année de sa naissance, j'ai pu constater que l'
atrophie
du membre était consécutive. Se pourrait-il cepen
ulaire, devenue graisseuse, peut redevenir fibre musculaire, et cette
atrophie
, ou dégénération graisseuse complète des muscles,
es extrémités inférieures du péroné le sont entièrement ; parce que l'
atrophie
des muscles va toujours croissant, et que cette a
parce que l'atrophie des muscles va toujours croissant, et que cette
atrophie
doit nuire à la guérison en privant les appareils
pas qu'elles contre-indiqucnt absolument toute espèce de tentative. L'
atrophie
des muscles en particulier n'est pas une contre-i
-porte, division qui était singulièrement rétrécie, d'où sans doute l'
atrophie
du lobe gauche. La branche correspondante du cana
mine, avec son changement de forme, une espèce de racornissement et d'
atrophie
qui a été notée par un grand nombre d'observateur
remplacé en entier par le kyste; mais il pourrait se faire que cette
atrophie
ne fut qu'apparente, et que la partie du foie qui
MALADIES DE L'ESTOMAC ET DES INTESTINS. Amincissement extrême ou
atrophie
aiguë d'une portion des parois de lare du colon.
essemble exactement à l'amincissement pur et simple sans érosion, à l'
atrophie
de l'intestin, que l'on rencontre fréquemment che
cinquième que je ne connaissais pas encore, c'est l'amincissement ou
atrophie
des parois de l'intestin. Or, dans le cas actuel,
n y sans diminution notable de cohésion, que j'appellerais volontiers
atrophie
aiguë, et qui consiste peut-être dans un travail
anisatrice du gros intestin, ayant pour résultat son amincissement ou
atrophie
aiguë; ; du 6 octobre au 18, peritonite; le 18 oc
pendante, que nos tissus ne sont susceptibles que d'hypertrophie et d'
atrophie
. Ici l'atrophie s'explique à merveille par la com
s tissus ne sont susceptibles que d'hypertrophie et d'atrophie. Ici l'
atrophie
s'explique à merveille par la compression qu'a ép
econnaissable, parce qu'elle n'avait encore subi qu'un commencement d'
atrophie
. La forme que je viens de décrire est peut-être
lage; 4° à l'absence et à la transformation celluleuse, en un mot à l'
atrophie
partielle ou générale de cet organe. Ire Observ
partielle ou générale de cet organe. Ire Observation. — Idiotie par
atrophie
de la presque totalité de l'hémisphère droit du c
le texture. Les corps genouillés externe et interne participaient à l'
atrophie
de sa couche optique. Jamais je n'ai vu plus mani
ogradation de la presque totalité d'un hémisphère à l'état celluleux,
atrophie
en un mot portée à son dernier terme. On voit don
un rapport intime entre les uns et les autres. Je suis persuadé que l'
atrophie
primitive d'un hémisphère entraîne l'atrophie de
Je suis persuadé que l'atrophie primitive d'un hémisphère entraîne l'
atrophie
de la couche optique et du corps strié du même cô
rophiés. Ce cas nous permettra, en outre, de comparer les effets de l'
atrophie
partielle avec ceux de l'atrophie générale du cer
outre, de comparer les effets de l'atrophie partielle avec ceux de l'
atrophie
générale du cerveau. IIe Observation. — Idiotie
x de l'atrophie générale du cerveau. IIe Observation. — Idiotie par
atrophie
du cerveau qui remplissait a peine la moitié du c
ment extrême de la substance cérébrale. Dans le cas actuel, c'est à l'
atrophie
et à l'induration du cerveau que nous devons rapp
rosité très-abondante contenue dans le crâne, non comme la cause de l'
atrophie
du cerveau, mais comme un effet du retrait de cet
existe entre les différentes parties du cerveau sous le rapport de l'
atrophie
. Les circonvolutions, le centre médullaire, les c
ndiquer un rapport entre les olives et le cervelet. Il est vrai que l'
atrophie
des pyramides antérieures peut induire en erreur,
tion entre ce ventricule et la cavité de l'arachnoïde extérieure, à l'
atrophie
de la couche optique gauche, au défaut de symétri
he, au défaut de symétrie des circonvolutions droites et gauches, à l'
atrophie
de la moitié gauche du cervelet et à l'irrégulari
avec la cavité de Varachnoïde extérieure. — Déformation du cervelet;
atrophie
de son hémisphère gauche (*). (Planche v.) Le 9
qui ont échappé plus ou moins complètement à la transformation et à l'
atrophie
, et c'est ce qui explique comment plusieurs indiv
progrès de l'art des accouchemens, me paraît un exemple remarquable d'
atrophie
du placenta qui a déterminé le défaut de développ
'atrophie du placenta qui a déterminé le défaut de développement et l'
atrophie
du fœtus. Ce fait prouve en outre l'indépendance
poplexie du placenta, cause fréquente d'avortement (*). 6°. Enfin l'
atrophie
du placenta est accompagnée de sa décoloration, d
organe s'accoutume à la compression, ou plutôt la portion comprimée s'
atrophie
; et si cette portion comprimée ou atrophiée n'est
en partie atrophié. Je ne saurais trop appeler l'attention sur cette
atrophie
du cerveau qui, s unissant à la compressi-bilité
cause comprimante: ou, en d'autres termes, la compression, de cause d'
atrophie
qu'elle était d'abord, est devenue cause d'irrita
émiplégie droite incomplète. — Facultés intellectuelles ordinaires. —
Atrophie
sans lésion organique de Vhémisphère gauche du
i et 2 ). Les figures i et 2 représentent tous les détails de cette
atrophie
étudiée à l'extérieur du cerveau. La figure 1 mon
ndiquée : la figure 2 représente la base de la masse encéphalique : l'
atrophie
de l'hémisphère gauche du cerveau, l'atrophie du
masse encéphalique : l'atrophie de l'hémisphère gauche du cerveau, l'
atrophie
du pédoncule cérébral correspondant P A, l'atroph
che du cerveau, l'atrophie du pédoncule cérébral correspondant P A, l'
atrophie
du tubercule mamillaire du même côté M' contraste
du tubercule mamillaire du même côté M' contrastent avec le défaut d'
atrophie
de la protubérance et du bulbe raehidien. Chose b
inution du lobe droit de celui-ci ne saurait entrer en balance avec l'
atrophie
de l'hémisphère gauche du cerveau. La figure 3
n découvrir la cause dans la différence qui existe d'une part entre l'
atrophie
du cerveau par compression et l'atrophie sans com
ui existe d'une part entre l'atrophie du cerveau par compression et l'
atrophie
sans compression, et, d'une autre part, entre cet
ion et l'atrophie sans compression, et, d'une autre part, entre cette
atrophie
, quelle qu'en soit la cause, et la solution de co
olution de continuité ou l'interruption des fibres cérébrales. Dans l'
atrophie
, l'instrument de nos sensations et de nos volitio
anche iv), qui nous a offert l'idiotie la plus absolue produite par l'
atrophie
des deux tiers environ de l'hémisphère gauche du
é, soit enfin par le défaut de nutrition des fibres elles-mêmes. Or l'
atrophie
du cerveau représenté planche iv, ve livraison, d
re sous-arachnoïdien me paraissent l'effet et nullement la cause de l'
atrophie
, et destinées à remplir les vides. Peut-être l'ép
le des os du crâne du côté atrophié est-elle encore un effet de cette
atrophie
? Ce qu'il y a de certain, c'est qu'il n'en est p
ain, c'est qu'il n'en est pas la cause ; car, dans cette hypothèse, l'
atrophie
devrait lui être proportionnelle. Du reste la voû
es mamillaires à gauche qu'à droite, ce qui ne prouve nullement que l'
atrophie
date d'une époque récente, ainsi que j'aurai occa
mation du crâne, avec absence des deux lobes antérieurs du cerveau et
atrophie
de son hémisphère droit. Ventricules latéraux ouv
is les lobes moyen et postérieur de l'hémisphère droit présentent une
atrophie
manifeste. Les lobes antérieurs LA, LA existent à
et de la cavité de l'arachnoïde extérieure : il y avait en même temps
atrophie
de l'hémisphère correspondant du cervelet. Dans l
tant d'ac-cidens de toute espèce, guérison qui, au fond, n'est qu'une
atrophie
. Mais extirper n'est pas guérir, et ce serait le
s guérir, et ce serait le but idéal de l'art que de pouvoir obtenir l'
atrophie
des portions d'organes ou des organes tuberculeux
ite de l'irritation de cette substance, entraînent la décoloration, l'
atrophie
et la disparution plus ou moins complète de la su
mme dans la figure 1. Tous les muscles du bras sont atrophiés, mais l'
atrophie
porte principalement sur les radiaux et les cubit
supinateurs, muscles propres des articulations radio-cubitales. Cette
atrophie
s'explique aisément ; car les mouvemens de flexio
eure de ces os qui devait répondre au scaphoïde atrophié. Au reste, l'
atrophie
de la première rangée s'explique aisé-ment par le
ompression pour lesquelles elle n'a pas été destinée, se déforme et s'
atrophie
plus ou moins, suivant le degré de cette compress
ux-mêmes de lésion organique, si vous en exceptez l'hypertrophie et l'
atrophie
; que d'abord hypertrophiés par l'irritation qui l
ment (Précis d'Anat. patholog,, p. 385) que, dans la cyrrhose, il y a
atrophie
de la substance rouge, et hypertrophie de la subs
t augmenté de volume; que, dans d'autres cas, cette substance rouge s'
atrophie
complètement et se transforme en tissu cellulaire
de quantité de matière jaune, ce qui a suggéré l'idée ingénieuse de l'
atrophie
de lune des substances, et de l'hypertrophie de l
raisonnable de penser que la cyrrhose consiste essentiellement dans Y
atrophie
du plus grand nombre des granulations du foie, et
uppléer celles qui sont atrophiées. Mais quelle est la cause de cette
atrophie
? De nouvelles recherches sont nécessaires pour r
cas, le foie est atrophié, soit partiellement, soit généralement : l'
atrophie
partielle peut porter sur un lobe, sur une petite
tumeurs, atrophiée, décolorée, et même convertie en tissu fibreux. L'
atrophie
générale peut être portée au point que le foie, a
ent été atrophiés par la compression. Ici, comme dans d'autres cas, l'
atrophie
aurait donc succédé à l'hypertrophie. On conçoi
sa distension est portée outre mesure, qu'à l'hyperthrophie succède l'
atrophie
, et qu'on le voit se tranformer en une membrane f
géniale du cervelet; ou bien le cervelet s'est-il atrophié , et cette
atrophie
a-t-eîle précédé ou suivi la naissance ? Lies d
me paraissent militer en faveur de l'existence du cervelet et de son
atrophie
lente, graduelle. Ce qui me parait inexplicable d
ellulaire intermédiaire au chorion et à l'amnios était infiltré. i°
Atrophie
. Elle peut être générale ou partielle; l'atrophie
tait infiltré. i° Atrophie. Elle peut être générale ou partielle; l'
atrophie
partielle peut occuper un tiers, deux tiers, troi
issant intacts les cotylédons intermédiaires. La conséquence de cette
atrophie
est le dépérissement et même la mort du fœtus. Le
st le dépérissement et même la mort du fœtus. Les caractères de cette
atrophie
sont : un amincissement considérable, une sorte d
mbre de cotylédons intacts peut suffire à maintenir la vie, lorsque l'
atrophie
des diverses parties du placenta a été successive
lui-même. 11 pourrait se faire que cette perméabilité fût une cause d'
atrophie
du foie, en ce sens que ce vaisseau serait bien p
ette explication. 17e. Livraison. Pl. Ire. MALADIES DU CERVEAU.
Atrophie
des Circonvolutions MALADIES DU CERVEAU CHEZ LE
utions MALADIES DU CERVEAU CHEZ LE FOETUS (XVIIe livr., pl. I.)
Atrophie
des circonvolutions. Les lésions des circonvolu
la suite de ces lésions; je ne m'occuperai, pour le moment, que de l'
atrophie
des circonvolutions. U atrophie des circonvolut
occuperai, pour le moment, que de l'atrophie des circonvolutions. U
atrophie
des circonvolutions peut être générale ou partiel
e ou partielle, congéniale ou postérieure à la naissance. Lorsque l'
atrophie
a lieu avant le développement complet de l'ossifi
emplacé par du liquide , les os éprouvent un retrait proportionné à l'
atrophie
. Si au contraire l'ossification des os du crâne e
arois des os du crâne peuvent acquérir une très grande épaisseur. L'
atrophie
des circonvolutions se présente sous plusieurs fo
e sérosité occupe le tissu cellulaire sous-arachnoïdien, et lorsque l'
atrophie
est très circonscrite, le liquide remplissant l'i
s circonvolutions coïncide très XVIIe LIVRAISON. 1 souvent avec l'
atrophie
apoplectique de ces mêmes circonvolutions, et occ
mation celluleuse avec coloration brunâtre ou jaune-serin; mais cette
atrophie
étant la suite d'une attaque d'apoplexie , sa des
e des altérations qui suivent les foyers d'apoplexie. 4° Il est une
atrophie
des circonvolutions avec induration du tissu céré
st la suite d'une inflammation chronique. 5° Une cinquième espèce d'
atrophie
est celle qui résulte de la perte de substance su
tre, jaune-serin, plus ou moins vasculaire. 6° Une sixième espèce d'
atrophie
consiste dans la transformation d'une portion d'h
géniale. Je possède quelques observations qui semblent dénoter qu'une
atrophie
semblable, étendue à la presque totalité d'un hém
re, a été postérieure à la naissance. 7° Dans une septième espèce d'
atrophie
, chaque circonvolution est convertie en un kyste
-mêmes représentent assez bien l'aspect d'une dentelle. On voit que l'
atrophie
s'étend beaucoup plus en arrière de ce côté que d
ées qui sont peut-être quelques fibres cérébrales qui ont échappé à l'
atrophie
. Les circonvolutions adjacentes sont atrophiées,
corne d'Ammon B G, était indurée et jaunâtre. Réflexions. Ce cas d'
atrophie
des circonvolutions, dans lequel chaque circonvol
de tissu qu'on observe dans les autres organes. On y rencontre: i° l'
atrophie
dont une des formes consiste dans la dégénération
(dilatation avec hypertrophie) du ventricule gauche coïncidant avec l'
atrophie
du ventricule droit : Cette coïncidence fréquen
gée de soixante-sept ans, portait à l'une des mamelles un cancer avec
atrophie
de l'organe. Il était dur, bosselé, superficielle
lus grande distension possible. 20 Livraison. Pl. 3. Apoplexie et
Atrophie
des Circonvolutions MALADIES DU CERVEAU. (Pla
xxe livraison.) Apoplexie des circonvolutions. Cicatrices du cerveau.
Atrophie
avec ratatinement des circonvolutions. (Fig. i
ratiquées au niveau de l'altération. Apoplexie des circonvolutions.
Atrophie
avec ratatinement des circonvolutions, fig. i et
t celles qui présentent le plus souvent ces cicatrices, de même que l'
atrophie
avec ratatinement des circonvolutions. J'ai vu
ntérieures. Cicatrices anciennes des circonvolutions inférieures avec
atrophie
de la corne d'ammon et de la voûte à trois pilier
. . . . . . , . . _ „ , estomac et des intestins. Amincissement ou
atrophie
aiguë dune Maladies de . . , , . . - . „. par
halie du fœtus. Observations et réflexions........ --— Hémiplégie ;
atrophie
................. — Apoplexie. Observations et c
-nés. Observations et réflexions...... —~ — Apoplexie capillaire et
atrophie
des circonvolutions. Ramollissement. ——-cihezle f
re et atrophie des circonvolutions. Ramollissement. ——-cihezle fœtus.
Atrophie
des circonvolutions. Observations et réflexions.
fections . Maladies du placenta. Foyers sanguins.............. ---
Atrophie
; défaut de développement et dessiccation du fœtus
e que le mal irait en se propageant de proche en proche jusqu'à l'
atrophie
du cerveau, si caractéristique chez les vieux d
serait injecté pendant l'attaque. Pas d'asymétrie faciale, pas d'
atrophie
des membres, ni aucune déformation, ni asymétri
en ayant soin de respecter les ganglions de la base. 11 obtient une
atrophie
de la bandelette optique du même côté; cette at
1 obtient une atrophie de la bandelette optique du même côté; cette
atrophie
se continue sur les deux nerfs optiques, mais e
state 78 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. en outre, un début d'
atrophie
des couches de fibres des moitiés homonymes des
d'Eulenburg), à la résorption biliaire (excitation cérébrale) de l'
atrophie
jaune aiguë du foie. Peut-être l'athétose a-t-e
re de la technique microsco- pique. les assertions d'Aufrecht sur l'
atrophie
des cellules nerveuses de la moelle cervicale e
ce n'est pas pour M. Schuitze une myéliteaiguë parenchymateuse, une
atrophie
primitive des cellules nerveuses. Peut-être, vu
présenté des contre-indications. P. K. XIV. Présentation d'un cas d'
atrophie
hémilatérale DE la face; par E. KÙSTFR. (ivetir
éphale et les nerfs qui en émanent jusqu'au collet du bulbe. Aucune
atrophie
, aucune dégénération des nerfs, pas plus des ne
n considérable de la branche horizontale de la mâchoire inférieure;
atrophie
de tous les muscles innervé» par la troisième b
omopathotogiques mettent en évidence dans la paralysie gé- nérale l'
atrophie
considérable de toutes les fibres à myéline à tra
corticales des lobes frontaux,'y compris l'in- sula (le, cas), ou l'
atrophie
exclusive des fibres d'association (2" cas). 1
s du cer- veau des paralytiques dépendent pour une forte part, de l'
atrophie
des fibres corticales à myéline. P. KERAVAL.
' 9tt 9 : T[3,lTt.`3`JfiÎ concerne la, troisième frontale" droite. (
Atrophie
|Com-t 1 fil [lit fil 1-, ''b ? 11V[ JOMIBU -UI
Gazette hebdomadaire, 31 juillet 1863.) Il existe un autre fait d'
atrophie
relative à la troi- sième frontale gauche, publ
' t ? ? , >> l · si -- > oui. , ' ju Hémisphère gauche :
atrophie
delà troisième circonvolution. frontale,-obnter
ise par M. Bourneville, il était naturel de rapporter l'aphasie à l'
atrophie
de la troisième frontale gauche, sans se préocc
le. R. M. C. XVII. Paralysie et aphasie congénitale chez un idiot ;
atrophie
des circonvolutions; par James SffAW. (Journal
. Les principaux faits constatés à l'autopsie sont les suivants :
atrophie
extrême de la circonvolution pariétale ascendante
atrophie extrême de la circonvolution pariétale ascendante gauche;
atrophie
ou arrêt de développement, de la frontale infé-
phie ou arrêt de développement, de la frontale infé- rieure gauche;
atrophie
d'une portion de la pariétale ascendante droite
t ma ? - quée entre les surfaces médianes des lobes frontaux. Pas d'
atrophie
La substaiice grise parait avoir 1 épaisseur no
ons paraissent, atrophiées de^ce 1 côté, 1 mais,. cette apparence d'
atrophie
est due surtout à la compression. Au-dessus de
e frontale du;qût6fdroit ? ebausommetS de la frontalelascendante. L'
atrophie
? Ielsoulè%,éiiieiitpde)tl'aracli-5 npideupar d
? · nh 111. Enn (d*Heidelber-). Renza2,qzies sur certaines formes d'
atrophie
9 névropathique , (connue, sous, ]e4 nom de j z
cles), occasion non t d'es désordres n anatomiquement perceptibles (
atrophie
, dégénérative). q|,7)j ? s1û 2" 11 est possible
, se- traduisent pas fatale- a ment, forcément, par le tableau de l'
atrophie
dégénératie,tomate 8'de la zone d'action périph
tricité statique (cont'ract)onsëntes)Tro)s,autres, faits, vie uns d'
atrophie
périphérique, les autres d'atrophie : spina)e ? i
)Tro)s,autres, faits, vie uns d'atrophie périphérique, les autres d'
atrophie
: spina)e ? io'n- Lins d'atropliie péi-ipliéri4
détermine, qua'nd'on épargne la'zo ? dite'm'oLrie, d'une part, une
atrophie
. descendante totale du'finsceau p3'ramidâl,et
Hitzig rappelle les travaux de Schiff. Il y a matière à rattacher l'
atrophie
des cellules pyramidales à une dégénérescence a
teurs (par ex. du facial), on n'a, jusqu'à ce jour, point observé d'
atrophie
centripète gagnant les noyaux nerveux. Donc, il
mme le veut M. T uczek -, croire que, dans la paralysie générale, l'
atrophie
des fibres nerveuses à myéline est primitive et
''fois en des observations sem- blables desi ! ésionstesticu)aires (
atrophie
). Il ne croit pas que la ,Voy.· Archives de' Ne
ssium. - Armures magnétiques. État de mal. J)f0t'<. Autopsie :
Atrophie
de l'hémisphère cérébral droit et de l'hémisphère
é- ralisée (base et convexité). Dès l'abord, l'on est frappé de l'
atrophie
considérable de l'hémis- phère droitqui présent
res antérieurs; mais elle estatro- phiée dans ses autres parties; l'
atrophie
porte principalement sur la face antérieure, la
t ascendante est atrophiée dans ses trois centimètres inférieurs; l'
atrophie
est consi- dérable ; celle partie est par rappo
ne les faisceaux de fibres de pro- jection de la sphère visuelle, l'
atrophie
s'étend dans les deux sens et, par conséquent,
a lésion porte spécialement sur les cellules pyramidales géantes. L'
atrophie
s'est limitée dans l'espèce au département cort
t une anesthésie complète dans toutes les modalités; aucune trace d'
atrophie
musculaire. Pas de réaction de dégénération lor
soit affaiblis, et les réflexes tendineux ont absolument disparu. L'
atrophie
mus- culaire est générale; réaction dégénérativ
en les remuant, on pro- voque des douleurs assez violentes. Délire;
atrophie
des segments externes des deux nerfs optiques;
tumeurpériméningée, ayant, par compression gra- duelle, déterminé l'
atrophie
et la solution de continuité totale de la porti
pour caractères cliniques : un affai- blissement croissant, suivi d'
atrophie
des muscles, des extrémités, la conservation de
as de mieux localiser. P. K. XXXIX. A. Nouvelle communication sur l'
atrophie
des fibres nerveu- SRBaMIÉLI\E D.1\S L'ECOIICE
cédentes communications' àl'aide de la même méthode d'examen. Cette
atrophie
appartient-elle exclusi- vement à la paralysie
cause d'eireur (décomposition par exemple). Pour admettre que cette
atrophie
est la lésion primitive Voy. drcltives de Neuro
us grande ni moindre que celle des cas récents. P. K. L. UN cas d'
atrophie
FACHLH iiémilvtérale ; par E. Mendel. (Neurol.
n, du même côté participaient aux altérations. Cette extension de l'
atrophie
indique dans l'espèce une lésion centrale porta
z les chiens et les lapins. D'une manière générale, on constate une
atrophie
dégénérative des cellules ner- veuses, de la né
depuis neuf mois. P. K. LIV. Remarques sur certaines formes DE l'
atrophie
névrotique (dite névrite dégénérative multiple)
nt tous atteints soit de névrose, soit d'aliénation. R. M. C. XL.
Atrophie
DU cerveau; imbécillité ; par Fletcuer 131 ? vcu.
3.) L'auteur rappelle que l'on décrit ordinairement deux formes d'
atrophie
cérébrale : l'une dans laquelle on constate un ar
et que l'arachnoïde de ce côté est épaissie par places et opaque. L'
atrophie
est surtout appréciable dans les régions fron-
s l'espace sous- arachnoïdien, quelquefois dans les ventricules, et
atrophie
d'un hémisphère, y compris le corps strié, la c
chronique des méninges ou de la région corticale, il se produit une
atrophie
unilatérale du cerveau. Par compensation, le cr
nutrition imparfaite, et s'atrophient à leur tour. R. M. C. XLI.
Atrophie
ET sclérose DU cervelet dans UN cas d'imbécillité
mais moins avancées, correspondre, comme dans le cas actuel, à l'
atrophie
et à la sclérose d'un hémisphère cérébelleux. 11
clut que ces altérations histologiques sont réellement propres à l'
atrophie
et à la sclérose cérébelleuses, et que les différ
paralytiques généraux. Ce sont : 40 L'amblyopie qui repose sur l'
atrophie
habituelle du nerf op- tique, qui progresse par
nombreux groupes musculaires, les altérations les plus multiples :
atrophie
, dégénérescence graisseuse, dégénéres- cence du
rche per- mettent de consigner une certaine analogie entre lui et l'
atrophie
musculaire progressive ou la pseudoliypertropli
'on constatait réellement, comme dans les maladies précédentes, une
atrophie
des cellules de ces cornes, serait-il juste de
hie des cellules de ces cornes, serait-il juste de considérer cette
atrophie
comme la cause de la myopathie , alors que la l
plète de marcher. Nulle part de para- lysies réelles, ni ataxie, ni
atrophie
musculaire, ni contracture*. Dans quelques cas,
succombé. Les pièces anatomiques ont révélé, chez quelques-uns une
atrophie
marquée des nerfs oculo-moteurs externes, et pa
des nerfs oculo-moteurs externes, et pathétiques et, dans un cas, l'
atrophie
jaune des muscles oculaires. Dans un autre enfin,
aralytiques d'ordre moteur, aboutissant à l'hypo- Irophie, puis à l'
atrophie
et à la déchéance du malade, s'appelle vésanie
les d'aliénés de Rennes, 127. Ataxie locomotrice et syphilis, 88.
Atrophie
spinale chronique chez l'enlant, 30. Bains pr
visage chez les aliénés, parOppenheim, 238. Experts, 93. Face (
atrophie
hémilatérale de la 85, 89, 345; - (traitement
ules quadrijumeaux et des nerfs prouve, de concert avec l'absence d'
atrophie
générale de l'hémisphère, que la lésion s'était
lefaisceau plusinterne. Intégrité du segment externe du pédoncule.
Atrophie
des cordons antéro-latéraux de la région cervic
noire du pédoncule et du noyau rouge de la calotte (de Stilling) ;
atrophie
de l'étage supé- rieur du pédoncule, du ruhan d
nt une marche des plus chroniques. Ce sont : l'affaiblissement et l'
atrophie
lente des extrémités supérieures, des troubles
arie des dernières vertèbres cervicales s'accompagne généralement d'
atrophie
mus- culaire des membres supérieurs, d'abord de
ux muscles de l'avant-bras, du bras, et même de l'épaule; c'est une
atrophie
non paralytique; l'examen éleclrique donnant le
lytique; l'examen éleclrique donnant les mêmes résultats que pour l'
atrophie
mus- culaire progressive, les réflexes tendineu
emment cités, dans un tableau de neuf colonnes. P. K. XII. Un cas d'
atrophie
faciale rl ? M1LATÉnALE; par bKRKHAMT. (Central
se développent, du même côté, les dépressions caractéristiques de l'
atrophie
. Intégrité de coloration de la peau (excepté su
le très prononcée; un peu d'hyperalgésieetaussi d'anesthésie. Pas d'
atrophie
musculaire, ni de troubles trophiques. Mais le sy
produit des attaques apopluaiformea, tandis qu'on ne constate pas d'
atrophie
ni de réaction dégénérative de la langue. : 11.
on un état trouble avecépaississemenl delà pie-mère, accom- pagné d'
atrophie
considérable des deux insulas, notamment de la
s vasculo-ré- tinienneset ne uro-vascuto-reti nie unes avec ou sans
atrophie
percep- tible etc... Quoi qu'il en soit, jusqu'
a été la dégénérescence graisseuse des ganglions car- diaques et l'
atrophie
avec dégénérescence pigmentairedes noyaux bulba
hie progressive des muscles, 13 cas. Dans l'un de ces cas, on vit l'
atrophie
envahir d'abord les muscles interosseux de la m
rophie envahir d'abord les muscles interosseux de la main droite; l'
atrophie
passa ensuite aux muscles du bras entier et de
a jambe gauche avait perdu de sa force. A partir de ce moment une
atrophie
progressive s'empara de ses muscles et il finit
ceux'de la précédente, maintenant que les lésiônsmédullitirës de l'
atrophie
musculaire et de l'ataxie locomotrice sont bien
de l'in- telligence ni de la sensibilité -générale ou spéciale. L'
atrophie
musculaire envahit- les ` membres ? supé- rieur
eurs passagères dans ,lesbras.` Six mois. après, des , phénomènes d'
atrophie
se manifestèrent, .dans l'éminence thénar droit
é, suivirent une chute sur le dos.d'une hauteur de 8 ou 10 pieds; l'
atrophie
mus- culaire se déclara six ans plus tard.... ,
sujet que.se rattache un fait publié par M. Gull 3 sous le titre :
Atrophie
progressive des muscles du tronc et des extrémi
es sur trois cas de trauma- tisme de la colonne vertébrale suivis d'
atrophie
mus- culaire. Dans les trois cas, la sensibilit
lieu peu de temps après l'accident. La marche et le caractère de l'
atrophie
prouvaient qu'elle était sous la dépendance de
motrices des cornes anté- rieures. Tous ces cas appartiennent à l'
atrophie
musculaire. L'ataxie a aussi sa part dans les e
oigts; extenseurs et fléchisseurs de la jambe, etc.. (flaccidité et
atrophie
); les mouvements d'ensemble sont encore possibles
on secondaire consécutive à la section et à l'écrasement d'un nerf;
atrophie
graisseuse et même cireuse du tissu musculaire
ce dans le réseau gris du corps genouillé externe et du pulvinar. L'
atrophie
des nerfs optiques qui succède à l'extirpation
nt à la moitié latérale de la même région. La zone corticale dont l'
atrophie
provoque la dégénérescence du système des fibre
nérescence réelle et les pseudo-dégénérescences (névroses), c'est l'
atrophie
du nerf optique; l'existence de cette dernière
nique externe et interne, de )'oedème cérébral, de la sclérose avec
atrophie
de tout le cervelet, moins le vermis et les par
as droit, une hémipa- rébie très accusée de la- jambe du même côté (
atrophie
de ces membres), un nystagnius horizontal des d
amena une guérison de la névralgie. Mac-Leod' (1879) : Parésie et
atrophie
de l'avant-bras et de la main chez un homme de
main chez un homme de vingt-six ans; élongation du nerf ulnaire; l'
atrophie
ne diminue pas. Gerald Bom- ferd (1880) : Atrop
nerf ulnaire; l'atrophie ne diminue pas. Gerald Bom- ferd (1880) :
Atrophie
musculaire de l'extrémité supérieure; élongatio
ntreprit une élongation bilatérale des nerfs optiques dans un cas d'
atrophie
de ce nerf, d'o- rigine syphilitique; amendemen
re ; traction du nerf sciatique, amélioration. Blum' : Névralgie et
atrophie
musculaire dans la région sciatique, chez un ho
ésection du nerf amena la guérison. Spence' (1880) : Commencement d'
atrophie
musculaire; amen- dement après l'élongation du
ccès. Mort dans un accès (1883). Autopsie : asymétrie du crâne. -
Atrophie
de l'hémisphère droit ( ? : i0 gr. de moins que
llement et au froid est presque entièrement abolie. Il existe une
atrophie
de la moitié gauche de la face; l'ouverture pal
développée et moins bombée que la gauche. Au-dessous des olives, l'
atrophie
porte au contraire sur le côté gauche de la moe
ution du corps calleux est atrophiée dans toute son étendue, mais l'
atrophie
atteint son maximum sur la moitié antérieure; e
ns ne communiquant que par un pont étroit de substance nerveuse ; l'
atrophie
de la capsule interne, de l'avant- mur, etc., c
déchéance intellectuelle de plus en plus accusée. Observation XXII.
Atrophie
cérébrale. Epilepsie symptoma- tique et imbécil
ort.- Autopsie : sur l'hémis- phère cérébral droit (face convexe) :
atrophie
de la plupart des circonvolutions situées en ar
qui n'était pas atteinte de surdité verbale, Mendel a rencontré une
atrophie
très accusée du lobe temporal droit. M. R ! C
n ait affaire à un hys- térique. L'absence de troubles moteurs et d'
atrophie
plaide contre l'existence de lésions syringomyé
te quanta la sensibilité. L'absence de troubles de la motilité et d'
atrophie
s'ex- pliquerait de la façon suivante : des alt
ques des nerfs sensitifs dans un cas de tabès avec lésion centrale (
atrophie
dégénérative du nerf fémoro- cutané postérieur.
utané interne dans un cas de tabes, il les avait trouvés atteints d'
atrophie
grise, surtout à la périphérie. M. Uhthoff. D
eints d'atrophie grise, surtout à la périphérie. M. Uhthoff. De l'
atrophie
des nerfs optiques. Le matériel d'observa- tion
eurs, tels que Galezowsky, vont trop loin quand ils fout dépendre l'
atrophie
des nerfs optiques d'une bien plus grande catég
d'une bien plus grande catégorie d'agents pathogénétiques. C'est l'
atrophie
d'origine spinale qui est la plus fréquente de
eaucoup. On doit de plus en plus rayer de son agenda diagnostique l'
atrophie
simple, progres- sive, non compliquée. Les allu
s allures du phénomène du genou et de la réaction pupillaire dans l'
atrophie
spinale ont été soigneuse- ment étudiées ; l'or
les de l'oeil sont proportionnellement rares dans l'espèce. Après l'
atrophie
spinale, on fera venir, au point de vue statistiq
s l'atrophie spinale, on fera venir, au point de vue statistique, l'
atrophie
cérébrale. Un assez vif intérêt s'attache à l'atr
atistique, l'atrophie cérébrale. Un assez vif intérêt s'attache à l'
atrophie
des nerfs optiques consécutive à une névrite pr
on; à cet égard, M. Uhthoff pense que, parmi les malades atteints d'
atrophie
spinale, quelques- unspourraientbien se transfo
f se termine par la présentation de préparations micros- copiques d'
atrophie
du nerf optique dans la paralysie générale. Il
des accidents, les petits muscles de la main gauche s'atrophient; l'
atrophie
augmente graduellement, si bien que la force de
u compte de l'immobilité rigide de la pupille), 2 présentaient de l'
atrophie
du nerf optique. Les hommes tabé- tiques se rép
s, de 28 p. 100 d'af- fection des muscles oculaires, de 22 p. 100 d'
atrophie
du nerf optique. La seconde catégorie est celle
enté de la paralysie des muscles de l'oeil; aucun n'était atteint d'
atrophie
du nerf optique, de sorte qu'en réalité ce grou
té affectés de para- lysie des muscles de l'eeil, 1 était atteint d'
atrophie
du nerf optique; soit, au total, 44 p. 100 de r
100 de symptômes en rapport avec les muscles de l'oeil, 5 p. 100 d'
atrophie
du nerf optique. Si maintenant on adopte la thé
ante : ici il y a sclé- rose étendue de l'écorce grise, étiolement,
atrophie
des cellules nerveuses ganglionnaires. Cette ét
ruire un appareil spécial destiné aux hémiplégiques. Enfin dans l'
atrophie
musculaire progressive, tant que la con- tracti
e, nous voulons parler du mal perforant plantaire (Christian), de l'
atrophie
mus- culaire (Voisin et Hanot), d'une altératio
éphalite chronique, l'autre avec hydrocé- phalie, la troisième avec
atrophie
simple des circonvolutions cé- rébrales. Dès ma
ostic; par WALLET. (Thèse de Paris, 1884.) Etude sur quelques cas d'
atrophie
musculaire généralisée, consécu- Mue à des tume
; par 601DAL. (Thèse de Paris, 1884.) Contribution à l'étude de l'
atrophie
musculaire survenant dans le cours de la scléro
et de la pratique sur 1'), par Orchansky, 137. Faciale (un cas d'
atrophie
uni- latérale), par Bernhardt, 65. Familles n
ostic des maladies du cer- ' veau), par 1'illraml, 136. Optiques (
atrophie
des nerfs), par Ulittioti, 427. Paralysie agi
des craquements articulaires dans les genoux et on observe un peu d'
atrophie
des muscles de la cuisse; les phénomènes doulou
RAL (LO/lP') PORENCEPIIADE CONGÉNITALE 47 7 pédoncule cérébral.
Atrophie
secondaire du pédoncule cérébral et de la protu
e secondaire du pédoncule cérébral et de la protubérance annulaire.
Atrophie
croisée du cervelet. Cette observation concerne
oubles de la sensibilité cutanée. Le diagnostic à appliquer à cette
atrophie
partielle du membre supérieur gauche avait paru
édoncules cérébraux on voit, par com- paraison avec le côté sain, l'
atrophie
considérable du pédoncule cérébral droit, atrop
le côté sain, l'atrophie considérable du pédoncule cérébral droit,
atrophie
portant également sur la calotte et sur le pied d
ent sur la calotte et sur le pied du pédoncule. On re- trouve cette
atrophie
unilatérale dans la protubérance annulaire. Il y
allant presque jusqu'à l'o- blitération. Belkousky a cité un cas d'
atrophie
des fibres nerveuses avec sclérose des artères.
est de même des réflexes tendineux, qu'on ne peut provoquer. Pas d'
atrophie
musculaire. Réac- tions électriques normales. I
cela tient en partie à la petitesse du .maxillaire supérieur et à l'
atrophie
des -.bords alvéolaires, en partie aussi à la t
pe montre des papilles atrophiées, à bords à coloration blanchâtre (
atrophie
, suite de névrite). Les artères temporales et i
l de la moelle une impotence subite du membre inférieur gauche avec
atrophie
rapide et abolition simultanée des réflexes rot
ur contrebalancer l'unilatéralité, il y avait le début brusque et l'
atrophie
rapide, dénotant plus une lésion directe des co
les membres supérieurs. Au niveau de ces membres la paralysie et l'
atrophie
musculaire se locali- sent initialement aux mus
dernière affection, en rappelant qu'en outre de la parésie et de l'
atrophie
musculaire, elle est caractérisée par des trouble
ré de dégénérescence des cordons postérieurs et, plus exactement, l'
atrophie
des fibres ascendantes des cordons postérieurs, s
e épinière, que la dégénérescence primaire est caractérisée par une
atrophie
plus ou.moins lente des fibres nerveuses avec dis
de Paris, 1879. 12. Eisenloiir. - Idiopatische JJ1uskelliihmung und
Atrophie
. Centralbl. f. Nervenheil- kunde, 1879. 13. J
ue- ments dans la flexion et l'extension du coude. Il n'y a pas d'
atrophie
des muscles de la main, pas d'atrophie apparente
ion du coude. Il n'y a pas d'atrophie des muscles de la main, pas d'
atrophie
apparente des muscles de l'avant-bras et du bra
parente des muscles de l'avant-bras et du bras ; mais à vrai dire l'
atrophie
pourrait L se dissimuler sous l'oedème. Pas d
é par la tuméfaction des téguments, des troubles intellectuels et l'
atrophie
du corps thyroïde, quelle que soit la cause de
loppement psychique comme du physique dépend et de 1 l'âge auquel l'
atrophie
thyroïdienne est survenue et du degré de son in-
a face interne et la base des deux hémisphères. On constate aussi l'
atrophie
relative de l'hémisphère droit et de l'hémi- sp
n pli de pas- sage fronto-limbique (pré-ovalaire). La processus d'
atrophie
intéresse la totalité de la face externe de l'hé-
s l'insula et toute la face interne, à l'exception de TI et Tel.. L'
atrophie
est plus marquée au niveau du lobule quadri- la
semble de même normal. Quant au cervelet, nous avons déjà signalé l'
atrophie
de son hémisphère droit qui pèse 46 gr., tandis
aire est rétractée, le nucléole est atrophié à différents de- grés,
atrophie
parfois considérable et l'intérieur du suc nucléa
ns de chromatolyse,devacuolisation, d'homogénéisation du noyau avec
atrophie
268 HAUSHALTER ET COLLIN observées à'gauche n
véolaire du cytoplasma. Chromatolyse. Homogénéisation du noyau avec
atrophie
. Vacuole nucléolaire. En E, une cellule névrogliq
g. Chromatolyse du corps cellulaire. Homogénéisation du noyau avec
atrophie
. Comparer cette figure à la figure F. LES RÉF
n de la colonne cervi- cale Il y a en même temps un certain degré d'
atrophie
: l'épaisseur des corps vertébraux d'arrière en
de 25 centimètres au lieu de 30 centimètres de dimension normale. L'
atrophie
, par contre, est plus mar- quée. La fusion des
12 centimètres au lieu de 15 centimètres ; soudure identique, pas d'
atrophie
apparente. Il faut noter aussi que le ligament ve
COLONNE VERTÉBRALE 289 dylotiques sont les douleurs d'une part et l'
atrophie
musculaire d'autre part. Bechterew (1), dans
c, du cou et des mem- bres, le plus souvent accompagné d'une légère
atrophie
des muscles pé- riscapulaires ; 2° un émousseme
e, rappelant l'aspect du thorax des spondylotiques. On constate une
atrophie
musculaire assez marquée au niveau des gouttièr
rues Un oculiste (Dr Pereyra) la vit à cette époque et constata une
atrophie
blanche papillaire bilatérale très avancée avec
esseur Guaita de la Clinique oculistique de Florence constatait une
atrophie
blanche bilatérale avec vision totalement abolie
ue. L'examen du fond de l'oeil pratiqué le 23 janvier 1907 disait «
atrophie
blanche bilatérale de la papille. » L'examen
extérieur et inférieur de la papille ». Diagnostic de l'oculiste :
Atrophie
bilatérale de la papille secondaire à papillite.
t très irrégulièrement plantées, elles sont grandes et montrent une
atrophie
trèsnette du tavolatum externum; en ou- tre une
moscopique. Les artères sont très grêles. La papille est atteinte d'
atrophie
blanche. Examen du champ visuel. - Pour l'oeil
s aussi au tibia et au péroné. L'auteur ayant découvert des faits d'
atrophie
chez trois acromégaliques anémiés, amaigris et de
ré que la maladie durât depuis dix années, il n'aurait pas trouvé d'
atrophie
. Dans la suite, d'autres observations similaire
. Ce que je viens de décrire et que je crois devoir attribuer à une
atrophie
partielle de l'os, est rare et remarquable d'au
ie et par l'hyperostose ; bien plus rarement on observe des faits d'
atrophie
osseuse. Examen IIEJIATOLOGIQUE dans l'acroméga
u'elle peut s'accompagner de troubles oculaires et en particulier d'
atrophie
des nerfs optiques. C'est ce qui explique que l
de l'oxycéphalie, Th. de Paris, 1898. (1) MELT7.ER, Pathogénie de l'
atrophie
optique et du 7'hw'mschoedel, Neur. Cen- tralbl
s : quelquefois elle a été constatée à 35 et 40 ans. 2° Un type d'
atrophie
optique secondaire, diagnostiqué par la lésion
alie est diversement in- terprétée par les auteurs. 1° Névrite et
atrophie
postnévritique par suite de méningite'qui d'autre
urée (Friedenwald) (3). Les caractères de la papille sont ceux de l'
atrophie
optique post inflam- matoire, non ceux de l'atr
sont ceux de l'atrophie optique post inflam- matoire, non ceux de l'
atrophie
simple que pourrait seulement donner l'étrangle
médical science, mai 1893. (4) BoUtfNSVItLE, Oxytrigonocéphalie,
atrophie
des nerfs optiques, épilepsie. Comptes rendus d
possible. Le cervelet et l'oblongata ne contenaient pas de tumeur ;
atrophie
et dégé- nérescence de la pyramide gauche. Me
côté opposé à la tumeur ; il en est généralement ainsi. Cependant l'
atrophie
du lobe occipital droit n'est pas compensée par
pointe mousse et est plus grêle que le corps de l'os. A signaler l'
atrophie
relative du cinquième doigt par rapport au quatri
osition ; mais beaucoup plus accentuée, puisqu'il y a non seulement
atrophie
du métacarpien, mais disparition complète de ce
ois derniers métatarsiens dont l'extrémité antérieure est en voie d'
atrophie
pour le troisième et le qua- trième. L'atrophie
ieure est en voie d'atrophie pour le troisième et le qua- trième. L'
atrophie
et la fusion des os sont plus accusés au côté gau
es mensura- tions suivantes permettent de se rendre compte de cette
atrophie
: -. 4H APERT ET. MORISETTI Il est à remarq
e atrophie : -. 4H APERT ET. MORISETTI Il est à remarquer que l'
atrophie
en longueur porte surtout sur l'avant- bras à d
atre doigts sont bien conformées. On remarque d'une part une légère
atrophie
du squelette de l'index, d'autre part des modif
rpien de l'index est grêle comme s'il était légèrement touché par l'
atrophie
du bord ra- dial de la main. Le cinquième métac
ABSENCE CONGÉNITALE BILATÉRALE DU RADIUS - 4t 1 la conséquence de l'
atrophie
de la main et de l'avant-bras, car elles sont p
s hémimélies congénitales. Il semble que le processus qui a causé l'
atrophie
d'une partie de la main et de l'avant-bras ait
formations. Quand elle est unilatérale on note souvent une certaine
atrophie
du thorax et même de la mâchoire du même côté.
rte en effet le plus souvent l'absence du pouce,, et l'absence ou l'
atrophie
plus ou moins accentuée de l'index. Cependant d
e côté externe et antérieur du membre supérieur est atrophié; cette
atrophie
remonte parfois jusqu'à la racine du membre et mê
e proéminent, traits du visage bien dessinés, voix haute, cou long,
atrophie
génitale, caractères sexuels secondaires peu acce
ent ossifiés et par la radiographie on put constater un processus d'
atrophie
chronique du squelette. Nous avons ainsi résumé
plus grand des testicules. Soli au contraire aurait constaté une
atrophie
des testicules après l'ablation du thymus. As
gne de compte dans l'évolution de certains infantiles, mais que son
atrophie
fille-môme ne serait que secondaire à une dystr
âge assez avancé (25 ans) après un traumatisme du testicule suivi d'
atrophie
. Enfin selon Rummo et Ferranini l'atrophie test
e du testicule suivi d'atrophie. Enfin selon Rummo et Ferranini l'
atrophie
testiculaire congénitale déter- minerait le sén
'INFANTILlS-.NIF, DU TYPE LORAIN 453 La cécité, qui a pour base une
atrophie
papillaire bilatérale consécu- tive à une papil
se déterminer non seulement une papillite qui peut aller jusqu'à l'
atrophie
papillaire, mais aussi toute la cohorte des sympt
ucki les premiers symptômes de tumeur de la base furent justement l'
atrophie
des nerfs optiques et les troubles menstruels ;
nerfs optiques et les troubles menstruels ; dans aucun de ces cas l'
atrophie
optique ne fut pré- cédée par des faits de papi
hyse sont celles qui produisent le plus souvent l'aménor- rhée et l'
atrophie
optique. Sur quatre cas de tumeurs de celle natur
la malade n'avait jamais été réglée ; dans ce cas aussi il y avait
atrophie
optique qui n'avaitpas été précédée de papillit
La tumeur de l'hypophyse était un tératome. Dans le deuxième cas, l'
atrophie
optique fut primitive ; le développe- ment sexu
urs de l'hypophyse la papillite est extrêmement rarepen- dant que l'
atrophie
primitive des nerfs optiques est presque constant
que constante ; chez Marguerite au contraire la papillite précéda l'
atrophie
papillaire. Selon'les mêmes auteurs l'exophtalm
de faits analogues, mais aussi bien dans un cas que dans l'autre l'
atrophie
optique est primitive et non pas secondaire à la
s parésies multiples ; d'autres fois tout se limite à la cécité par
atrophie
des nerfs optiques. Quincke a publié plusieurs
n symptôme de ménin- gite spinale postérieure; tout se réduisit à l'
atrophie
optique (précédée de papillite), à l'exophtalmi
Klin. Monalsbl. f. Augenheilk., 1903. ACHARD et Démanche. Un cas d'
atrophie
tesliculaire. Bulletins et mémoires de la Socié
is-Suffit. - Revue de méd., 1890. CUSHING. Infantilisme sexuel avec
atrophie
optique dÛ à une tumeur de l'hypo- physe. Journ
. Soc. de méd. de Nancy, 9 janv. 1907. PERUCiA. Infantilisme avec
atrophie
des organes génitaux. Rev. Neur.. 1906, p. 236.
ans traumatisme opérée de la même façon (prolrlération névralgique,
atrophie
des cellules pyramidales, hémorrhagies punctifo
ien est conservé et le signe de Romberg fait défaut. 11 n'existe ni
atrophie
musculaire, ni troubles trophiques. Les mouvement
bsence d'incoordi- nation motrice et de signe de Romberg. Absence d'
atrophie
mus- culaire et de troubles trophiques. Les mou
. On constate quelques troubles sphnictériens, mais on ne relève ni
atrophie
musculaire des jambes ni troubles objectifs de
vallérienne de son bout périphérique et la réaction cellulaire avec
atrophie
du bout central de l'axone arrêtent précisément
ues de divers corps cellu- laires, la dégénérescence d'un côté et l'
atrophie
de l'autre devraient envahir les éléments nerve
che. L'examen microscopique montra qu'il ne s'agissait pas là d'une
atrophie
et que les fibres qui manquaient à la pyra- mid
st pas toujours suffisant pour pouvoir conclure à l'existence d'une
atrophie
quelconque. XIX. Un cas de tumeur cérébrale a
refroidissement, contusion du dos par chute dans une cave; un cas d'
atrophie
musculaire sans réaction dégénératrice (Marie);
z quelques malades existe de l'anesthésie, de l'hyperesthésie, de l'
atrophie
musculaire, de la diminution de l'excitabilité
ysies des muscles des yeux; troubles dans le domaine du trijumeau ;
atrophie
du nerf optique ; phénomènes de la paralysie bu
pitaux, des altérations de la méningoencéphalite avec ratatinement,
atrophie
et plissement des circonvolutions, et de la scl
nomène du genou- : inégalité des pupilles avec réaction paresseuse,
atrophie
des nerfs optiques ; alaxie faible mais nette,
u début, chez lesquels sous l'in- fluence d'injections de calomel l'
atrophie
optique a cessé d'évoluer. Comme Winkler qui a
que fut négatif; l'autre, combinaison d'ophtalmoplégie interne et d'
atrophie
musculaire progressive Aran Duchenne. Ces leçon
ège possible de la lésion. Faut-il, avec Marie et Gowers, rayer l'
atrophie
musculaire, type Aran. Duchenne, du cadre nosog
ce pour étudier les rapports nosologiques des diverses va- riétés d'
atrophie
musculaire progressive. Deux faits d'atrophie c
verses va- riétés d'atrophie musculaire progressive. Deux faits d'
atrophie
chez les tabétiques viennent ensuite. L'atrophi
ve. Deux faits d'atrophie chez les tabétiques viennent ensuite. L'
atrophie
musculaire est tantôt symptôme, tantôt complicati
conde variété, complica- tion, est une association du tabes et de l'
atrophie
spinale Aran. Duchenne. L'atrophie musculaire A
une association du tabes et de l'atrophie spinale Aran. Duchenne. L'
atrophie
musculaire Aran. Duchenne n'est pas la seule as
entres nerveux, ophtalmie pro- gressive, hémiatrophie de la langue,
atrophie
musculaire progres- sive, syringomyélie, maladi
s et les paralysies : z10 Aspect brillant du corps du neurone; 2°
atrophie
simple; 3° ectopie du nucléole; 4° ectopie du n
le bras, et il était 18 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. survenu une
atrophie
très marquée des muscles de la ceinture scapula
tôme marquant. 4° L'intégrité des muscles, c'est-à-dire l'absence d'
atrophie
et le défaut de modifications électriques ne sa
gère et le dernier de troubles glosso-labio-laryngés. 11 existe une
atrophie
des muscles des mains et des avant-bras. Les ré
'auteur croit pouvoir affirmer qu'il ne s'agit dans ce cas ni d'une
atrophie
musculaire progressive, ni d'une syringomyélie,
ie fiasque des quatre membres. Cette paralysie qui fut suivie d'une
atrophie
rapide rétrocéda au bout d'un certain temps dan
on attribuait une importance démesurée : hydrocéphalie, hémorragie,
atrophie
, hypertrophie, induration, ramollissement, encé
n, des productions morbides de la moelle et de ses enveloppes, de l'
atrophie
et de l'induration du névraxe. Cependant, dès l
DE MEDECINE. Dès 183, Cruveilhier avait constaté l'existence d'une
atrophie
des racines antérieures de la moelle, dans un c
d'une atrophie des racines antérieures de la moelle, dans un cas d'
atrophie
mus- culaire progressive. Guidé par cette remar
de découvertes futures, il avait conclu que le point de départ de l'
atrophie
des racines antérieures devait être cherché dan
ures de- la moelle constituait la lésion anatomique principale de l'
atrophie
musculaire progressive. A peu d'années de dista
ous ont fourni les preuves matérielles de l'existence d'une forme d'
atrophie
muscu- laire progressive, en rapport avec une l
ntré que la paralysie spinale infantile avait pour substra- tum une
atrophie
aiguë des cellules tropho-motrices des cornes a
tum fondamental une sclé- rose des cordons latéraux, associée à une
atrophie
des cellules tropho-motrices des cornes antérie
une déformation semblable, il ne s'ensuit pas nécessairement que l'
atrophie
mentale résultait de cette entrave à l'impulsion
ussi les troisième et quatrième ventricules, et la compression et l'
atrophie
des parties comprimées peuvent en résulter; le
ssante, et plus le malade est jeune, plus grande est l'expansion. L'
atrophie
par compression est la lésiuu caractéristique d
primaire est associée à une malformation résultant peut-être d'une
atrophie
par compression antérieurement à la naissance. Un
la névroglie, des fibres et des cellules local ou diffus, avec une
atrophie
progressive des cellules nerveuses. « Les cellu
ires de la paralysie générale furent relevées. Dans tous ces cas, l'
atrophie
spécialement des circonvolutions frontales et c
e gauche pesait moins que le droit. L'examen microscopique montra l'
atrophie
des fibres tangentielles, l'atro- phie et la dé
nce, ou survenant dans le premier âge. Fréquem- ment. on relève une
atrophie
de l'un des hémisphères, avec une atrophie conc
m- ment. on relève une atrophie de l'un des hémisphères, avec une
atrophie
concomittante des membres du côté opposé. Dans un
e sérosité dans l'espace sous-arachnoïdien et les ventri- cules, et
atrophie
du cervelet et du cordon spinal du côté opposé.
énérescence graisseuse et pigmentaire des cellules nerveuses et une
atrophie
de leurs processus, avec dimi- nution du nombre
sont exagérés aux membres supérieurs et inférieurs. Il n'y a pas d'
atrophie
musculaire. Les phénomènes paralytiques sont su
centes pour pouvoir, à elles seules, rendre compte des symptômes. L'
atrophie
des fibres pyramidales "a une plus grande impor
de nous rendre compte de l'état tonique des muscles, du degré de l'
atrophie
, des contractures, de l'oedème et de l'épaisseu
adipeuses, qui couvrent souvent les muscles atrophiés et masquent l'
atrophie
. De plus, le massage permet d'étudier : les art
aisonné rend des énormes ser- vices aux hémiplégiques : il arrête l'
atrophie
, qui les envahit inévitablement, si on n'interv
dire par l'activité de la nutrition des régions atteintes soit de l'
atrophie
, soit de la parésie. On croit aussi, que c'est
nutritive; il agit sur les fibres musculaires, non atteintes de l'
atrophie
et qui, en proliférant, régénèrent le muscle para
e massage méthodique serait ici le régénérateur du muscle en voie d'
atrophie
. Il faut masser avec précaution les régions inf
es résultats négatifs, car les appareils orthopédiques augmentent l'
atrophie
et occasionnent une aggravation des contracture
9 que dans les cas où l'impuis- sance motrice est accompagnée d'une
atrophie
musculaire on observe une diminution notable (u
et que l'intensité de la décharge décroît avec les progrès de celle
atrophie
musculaire au point qu'elle disparaît à peu près
et. Dans les paralysies simples 'sans troubles trophiques ou avec
atrophie
musculaire, la variation négative est toujours mo
s évidemment avec ses deux phases. Dans la paralysie compliquée d'
atrophie
musculaire avec affai- blissement de la contrac
ilisable qui varie de 12 à 25 volls. Les cas traités' sont' : une
atrophie
musculaire survenue à la suite d'un uévnome du~
es muscles incurvés par le nerf cubital guérit ensuite rapidement l'
atrophie
musculaire. Le troisième cas est une paralysie
décubitus aigu, cystite et pyélite septiques, troubles vasomoteurs,
atrophie
musculaire, etc. Donc l'abolition des réflexes ro
Burdach du côté croisé. Cette diminution de volume consiste en une
atrophie
simple du cylindre-axe et de sa gaine de myéline,
aberrantes de la voie pédonculaire, mais elle relève sur- tout de l'
atrophie
simple, indirecte dans le sens de Gudden et von
l'une de l'autre deux formes de tabes avec cécité. A. Le tubes avec
atrophie
papillaire. 13. L'a- trophie papillaire des lab
taxie, signe de Rom- berg, trouble de la nutrition générale. Dans l'
atrophie
papillaire des tabétisants l'aspect des malades
dissocia- tion semblable il celle qu'on a fait subir autrefois à l'
atrophie
mus- culaire progressive ; suivant eux, le tabe
hie mus- culaire progressive ; suivant eux, le tabes, de même que l'
atrophie
musculaire, ne constituerait pas une espèce nos
manière de voir. Le rapprochement qu'ils viennent de faire entre l'
atrophie
musculaire et le tabes ne me parait pas soutena
hie musculaire et le tabes ne me parait pas soutenable. En effet, l'
atrophie
musculaire, qui peut être sous la dépendance de
l est vrai, ainsi que mes collègues, beaucoup de malades atteints d'
atrophie
papillaire tabé- tique et ne présentant pas d'i
t n'ont jamais dépassé la période dite préataxique. En résumé, si l'
atrophie
papillaire sans ataxie est bien plus fréquente qu
microscopique des pièces, où il y avait de la cécité, c'est-à-dire
atrophie
papillaire, sans que la maladie du reste, avec
, etc., ait été arrêtée, mais pourtant sou- vent modifiée. Si cette
atrophie
précède les lésions médullaires ou survient dan
con- sidérés en rapport avec les lésions qui les produisent. a. L'
atrophie
musculaire progressive (type Charcot-Marie). Sclé
hangements simi- laires dans les nerfs sensitifs périphériques et l'
atrophie
des gan- glions des racines postérieures, qui s
horacique en avant ; respiration presque exclusivement abdominale ;
atrophie
légère du système musculaire au niveau des omop
es ; ceux du thorax et de la ceinture de l'épaule subissent quelque
atrophie
. De là les phénomènes de paresthésie et de doul
ut à fait en démence, presque incapables de mouve- ment, atteints d'
atrophie
musculaire, des accidents gangreneux du décubit
. On trouva, l'autopsie les lésions de la paralysie générale et une
atrophie
microscopique de l'oculomoteur commun du côté d
y existe néanmoins encore quelques cellules tout à fait normales. L'
atrophie
de la partie du noyau de l'oculomoteur éloignée
de la portion. moyenne de cette région sont normales. Aux points d'
atrophie
correspond l'atrophie du réseau intranucléaire
e de cette région sont normales. Aux points d'atrophie correspond l'
atrophie
du réseau intranucléaire des fibres et des. rac
e des fibres et des. racines intramédullaires. Il existe encore une
atrophie
presque complète des cellules externes du noyau
moteur commun lui-même présente, dans sa partie péri- phérique, une
atrophie
avec prolifération interstitielle. Les autres n
la paralysie unilatérale qui nous occupe (cinq ans de durée), et l'
atrophie
des fibres radiculaires intramédullaires, l'atr
durée), et l'atrophie des fibres radiculaires intramédullaires, l'
atrophie
nucléaire partielle circonscrite. Pourquoi l'inté
omotrice, parWard, 149. - cérébrale aiguë, par Din- ides', 157.
Atrophie
musculaire expérimen- tale, par Levaditi, 137.
e paralysie générale, signale dans chacune d'elles l'existence de l'
atrophie
papillaire. Voisin, en 1868, note cinq fois l
tence de l'atrophie papillaire. Voisin, en 1868, note cinq fois l'
atrophie
de la papille, il remarque, cinq fois, les artè
UE. sont dilatées. C'était pour lui le premier stade, l'anémie, l'
atrophie
devant bientôt suivre. Il note 6 amblyopies mono-
ouvé qu'un seul sur 40 malades; Clifl'ort Allbutt avait rencontré l'
atrophie
papillaire 41 fois sur 54 malades. 1 Jehn de
malades. 1 Jehn de Siegburg, un an plus tard, notait également l'
atrophie
du nerf optique (4 fois des deux côtés, 3 fois d'
optique (4 fois des deux côtés, 3 fois d'un seul côté, et 8 fois l'
atrophie
commençante), dans 19 p. 100 des cas. Raoult, d
- phie papillaire. Il avait examiné 167 malades et noté 18 fois l'
atrophie
. Ach. Foville fils, la même année, s'occupait de
is de la perte de la vue et qui sont des paralytiques généraux. L'
atrophie
est tantôt blanche, tantôt grise. » Il en observa
blanche, tantôt grise. » Il en observait quatre cas dans lesquels l'
atrophie
se serait propagée par le nerf optique. En 18
tiques généraux, tire de cet examen les conclusions suivantes : « L'
atrophie
papil- laire ou commençante ou confirmée se ren
néralisée du fond de l'oeil ». Nettleship cite une observation où l'
atrophie
du nerf opti- que précède les symptômes mentaux
les symptômes mentaux. Magnan avait d'ailleurs déjà remarqué que l'
atrophie
blanc grisâtre du disque, chez un homme âgé de
roubles oculaires dans la paralysie générale, s'exprime ainsi : « L'
atrophie
des nerfs optiques se voit, mais rarement ; d'a
de la papille. Enfin chez 8,2/3 p. 100 de ces malades existait une
atrophie
du nerf optique. Dans des recherches ultérieu
nés (1130). < Peltesohn, en ] 886, ne trouve que 3,06 p. 100 d'
atrophie
papillaire. La même année, Siemerling en trouva
r 42 malades, la décoloration de la papille une fois, deux fois l'
atrophie
, une fois la papille de stase. Wiglesworth et B
la paralysie générale ». Gilbert Ballet, en 1893, rapporte un cas d'
atrophie
papil- laire trouvée, avec Jocqs, sur 37 malade
s avoir signalé l'inégalité pupillaire, la paralysie des muscles, l'
atrophie
du nerf opti- que, il signale, d'après Furstner
halmos- copique fut possible et les auteurs trouvèrent 3 fois une
atrophie
avancée, 1 fois une névrite optique, 3 fois un re
uel est le processus pathologique qui préside au développement de l'
atrophie
du nerf optique, il croit à l'exis- tence d'une
ns trouvé des lésions plus particulièrement accusées : trois fois l'
atrophie
blanche bilatérale ; deux fois l'atrophie blanc
t accusées : trois fois l'atrophie blanche bilatérale ; deux fois l'
atrophie
blanche de la papille de l'oeil gauche, la papi
sible. Les vaisseaux étaient en quelque sorte ratatinés. Une fois l'
atrophie
grise bilatérale. Une fois de la scléro-choroïd
gmates de dégénérescence, un était syphilitique; il présentait de l'
atrophie
blanche bilatérale et l'observation montre que
ns accentué chez 13 de nos malades. Ce n'était plus la papille de l'
atrophie
grise, ce n'était pas non plus l'aspect strié d
la papille présente évidemment un degré d'altération moindre que l'
atrophie
papillaire blanche, mais le pas est vite franch
até cet état flou de la papille, présentait, un mois plus tard, une
atrophie
blanche très nette, tandis qu'il lui était deve
AUX. 7 part des auteurs qui y sont cités ont décrit comme nous, l'
atrophie
grise et l'atrophie blanche de la papille, peut-ê
teurs qui y sont cités ont décrit comme nous, l'atrophie grise et l'
atrophie
blanche de la papille, peut-être ont-ils moins
apille, peut-être ont-ils moins étudié la période de début de cette
atrophie
, période marquée par l'état flou, lavé, de la p
a papille une série de modifications allant de la simple pâleur à l'
atrophie
blanche totale en passant par l'état flou, le m
eté de ses bords, l'aspect blanchâtre de ces mêmes bords et enfin l'
atrophie
grise de la papille tout entière. A mesure qu
sible de poser un diagnostic étiologique certain. D'autre part, l'
atrophie
papillaire de nos malades ressem- blait à celle
rvé entre elles les différences signalées par Raoult. (Selon lui, l'
atrophie
blanche des paralytiques diffère de celle des a
ible.) De sorte que rien jusqu'ici ne nous permet de distin- guer l'
atrophie
paralytique de l'atrophie tabétique d'après l'e
usqu'ici ne nous permet de distin- guer l'atrophie paralytique de l'
atrophie
tabétique d'après l'examen ophthalmoscopique. ,
IQUES GÉNÉRAUX. 9 sont bien adéquats.) 2° Du malade V..., atteint d'
atrophie
papillaire blanche bilatérale. 1° LÉSIONS INI
ccommodation normal. Examen ophtalmoscopiqtze : oeil droit : légère
atrophie
avec état vascularisé intense de la papille. De
e, groupées irrégulièrement, sinueuses et manifestement altérées; l'
atrophie
papillaire apparaît dans toute son évidence au
ne du malade B... 2° La papille présente peu d'altérations; pas d'
atrophie
des fibres optiques. Nous constatons que la qua
t à l'accommodation. Amaurose. L'examen ophtalmoscopique révéla une
atrophie
papil- laire blanche des deux côtés. L'évolut
paralysie générale a déjà atteint une période avancée, 5 fois de l'
atrophie
papil- laire blanche, une fois de l'atrophie gr
e avancée, 5 fois de l'atrophie papil- laire blanche, une fois de l'
atrophie
grise, une fois une sclé- rochoroïdite postérie
ec bord indécis. Ces deux aspects sont des états préliminaires de l'
atrophie
papillaire. V. Enfin, chez les paralytiques gén
is. Netv-Yoi,4- American Journal of insane, janvier 1895. Moxter.
Atrophie
des Opticus bei Tabès. D6HKMs<}'a<t'OK inz
onstatée, mais c'est à tort qu'on la désigne toujours sous le nom d'
atrophie
, si du moins on donne à ce mot un sens précis.
le nom d'atrophie, si du moins on donne à ce mot un sens précis. L'
atrophie
vraie, avec altération histologique de la fibre
hérapeutique ; l'exercice métho- dique et prudent, inutile en cas d'
atrophie
vraie, est au contraire tout indiqué contre l'a
sur le muscle lui-même par l'électricité ou par le massage en cas d'
atrophie
vraie, autant ces moyens deviennent insuffisant
es lésions classiques du tabès dorsalis, les auteurs ont trouvé une
atrophie
primitibe des grandes cellules radi- culaires d
tibe des grandes cellules radi- culaires de la substance grise avec
atrophie
des racines antérieures correspondantes et alté
résie, de fatigue précoce, plutôt que de paralysie; par l'absence d'
atrophie
, par la participation du facial supérieur, par
culaire est conservé ainsi que les réflexes. Pas de douleurs, pas d'
atrophie
. Devant ce tableau, M. Josserand songe à une pa
r fonction motrice et respectant leur fonction trophique, puisque l'
atrophie
musculaire fait défaut, ou bien comme le disent
énérescence habituelle. du faisceau pyramidal correspondant et de l'
atrophie
de l'hémisphère homolatéral du cervelet. Le par
que de la nature épithélioma- teuse de la tuméfaction pituitaire.
Atrophie
ponlo-cérébelleuse. M. Thomas présente les pièc
dont les centres nerveux ne portent aucune lésion. Il s'agit d'une
atrophie
ponto-céréhelleuse avec dégénérescence pres- qu
antérieure subaigue (diminution de nombre des cellules; processus d'
atrophie
simple et exceptionnellement d'atrophie dite pi
e des cellules; processus d'atrophie simple et exceptionnellement d'
atrophie
dite pigmentaire ; sclérose des vaisseaux ; scl
e de Dejerine, a pour caractères : ataxie des qua- tre membres avec
atrophie
musculaire et contractions fibrillaires ; troub
épuise rapidement et aboutit rapidement à une para- lysie totale; l'
atrophie
musculaire fait défaut et les réactions électri
arynx, du voile du palais, épuisement rapide des muscles, absence d'
atrophie
musculaire, résultats négatifs de l'examen élec
réfaction assez considérable des cellules nerveuses. Il existe de l'
atrophie
des fibres pyramidales dans leur trajet protubé
d'incoordination motrice et dont le signe le. plus marqué a été une
atrophie
musculaire à prédominance inférieure avec évo-
peut être très nettement arrêté et qui peut se résumer comme suit :
atrophie
musculaire progressive et très lente débutant p
on des réflexes tendineux et cutanés, réac- tion de dégénérescence,
atrophie
musculaire, etc. Il n'existait pas de troubles
e spinale perd de son importance comme signe de lésion organique.
Atrophie
des membres de nature mal déterminée. M. Marie
, A huit ans il put marcher de nouveau. Il présente aujourd'hui une
atrophie
énorme des membres; mais cette atrophie n'attei
Il présente aujourd'hui une atrophie énorme des membres; mais cette
atrophie
n'atteint pas le squelette. 296 SOCIÉTÉS SAVANT
blement d'une paralysie infantile. Ne serait-ce pas un de ces cas d'
atrophie
con- consécutive à une méningite cérébrospinale
ale comme Rendu en a publié. - M. Brissaud. C'est en tout cas une
atrophie
consécutive à une céphalo-myélite aiguë. 11 n'e
le périolivaire à celle du noyau rouge. A noter aussi dans ce cas l'
atrophie
du pédoncule cérébelleux supérieur. Un cas de Z
t sur- tout profondes de chaque côté de la scissure de S\ Ivius ; l'
atrophie
, elle ramollissement de la substance grise sont
rie mâle ayant débuté chez un vieillard de soixante-quatorze ans.
Atrophie
du pédoncule. 1111f. GoiLC,m et Marie dans un c
1902). 1;. 13. XXXVI. Nouvelle méthode de mensurations cérébrales.
Atrophie
relative du lobe pariétal par rapport au lobe f
moins dans la démence, le grand centre d'association postérieur, s'
atrophie
par rapport au centre antérieur (Revue neurolog
urs du cerveau; mais on ne peut nier ici (comme le fait Strumpet) l'
atrophie
primaire de certains sys- tèmes accessoires des
é. G. C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 835 LXX1X. Sclérodermie et
atrophie
musculaire; par M. Vacher (Société des Sciences
her on constate aux deux mains, mais plus marquée à gauche : 1° une
atrophie
musculaire des plus nettes des muscles des émin
ésentent une myopa- thie à symptômes très accentués et généralisés,
atrophie
scléreuse extrême avec rétraction des membres s
t à se surajouter, comme particularités atypiques, des phénomènes d'
atrophie
musculaire progressive dont le degré se montre
et de troubles de la déglutition attribuée, d'après l'auteur, à une
atrophie
ou une aplasie des noyaux bulbaires et prébulba
nte ans, qui fut pris en pleine santé d'un ictus auquel succéda une
atrophie
musculaire du type de Duchenne sans réaction de
e tous les muscles atrophiés. L'auteur crut pouvoir rattacher cette
atrophie
musculaire à une lésion d'origine musculaire de
e prodrome faible de celle de Saenger. Ces deux formes émanent de l'
atrophie
progressive et de la contracture du REVUE D'ANA
i lui est assurée par la gaine de myéline. Si la gaine de myéline s'
atrophie
et disparaît, le nerf devient facilement épuisa
la résistance ner- veuse, qui elle-même reconnaîtrait comme cause l'
atrophie
du cylindraxe et la disparition de la gaine de
entrale et d'origine périphérique, par Déjerme et Eg- ger, 474.
Atrophie
ponto-cérébelleuse, par Thomas, 198, des membre
t Chocreaux, 197. Mensurations cérébrales. Nouvelle méthode de -.
Atrophie
relative du lobe pariétal par rapport au lobe
Voir Diplégie. Tédoncule cérébral. Voir Dégéné- rescences. . Voir
atrophie
. PELLVCOE. Sur un cas de accom- pagna de la r
l'ombre. Pour n'en citer qu'un, l'état des muscles, en dehors de l'
atrophie
imputable à la névrite, n'est mentionné dans le
s. Une autre cause, et non des moins efficaces, con- siste dans l'
atrophie
des muscles du côté immobilisé. L'atrophie musc
ces, con- siste dans l'atrophie des muscles du côté immobilisé. L'
atrophie
musculaire à la suite de la sciatique, sur- tou
cence descendante, à savoir une lésion scléreuse caractérisée par l'
atrophie
considérable et la disparition du plus grand no
dans le même état ; en ce qui concerne les réflexes tendineux et l'
atrophie
musculaire, il. n'en est pas fait mention. L'
ampe. Enfin, dans le cas d'épilepsie chronique, où la sclérose et l'
atrophie
de la corne d'Ammon constituent une trouvaille
de pneumonie, amputé de la cuisse gauche onze ans aupa- ravant, une
atrophie
ascendante du cordon postérieur, de la corne pos-
ablation d'un membre. L'amputation est suivie, dans la moelle, de l'
atrophie
simple ascendante des voies sensitives, atrophi
ns la moelle, de l'atrophie simple ascendante des voies sensitives,
atrophie
s'étendant jusqu'à la statiun terminale, dans l
s la paralysie bulbaire, alors par exemple qu'il y a paralysie avec
atrophie
des muscles inner- vés par la branche buccale,
culaire restent indemnes, tandis que l'autopsie révèle une complète
atrophie
du noyau ventriculaire du facial. Or, si chez d
bres. Quand on a extirpé la sphère visuelle du cerveau on obtient l'
atrophie
non seulement du corps genouillé externe, mais
issement ultérieur des fibres du tronc central jusqu'au muscle, une
atrophie
lente maras- tique du tronc central et de ses o
on a détruit le trijumeau de l'in- térieur du crâne, on rencontre l'
atrophie
de la racine ascendante de ce nerf, mais les ce
t demie, considéré comme représentant le poids perdu par suite de l'
atrophie
du tissu cérébral, on obtiendra pour ce cerveau
s que d'offrir des contradictions. D'un autre côté, arguer du peu d'
atrophie
des fibres de la paroi ventriculaire des paraly
eur n'est pas altéré. Or nos alié- nés sont très souvent porteurs d'
atrophie
brune du muscle car- diaque, de dégénérescence
de, d'athéromedes SOCIÉTÉS SAVANTES. 135 artères coronairées avec
atrophie
consécutive de i'organe. Il n'est commode de di
ointe au lieu d'élec- tion, la tachycardie avec petitesse du pouls (
atrophie
brune), la mollesse et la petitesse du jet sphy
que l'on rencontre se traduit par : désorganisation de la myéline,
atrophie
et disparition du cylindre-axe, avec hypergènesse
s de tumeur cérébrale par Mi. Holsti et Ruhnberg, ainsi qu'un cas d'
atrophie
partielle du cerveau chez une femme de 32 ans,
même de sa vie, de petits morceaux de muscles; il y a constaté de l'
atrophie
, une transformation granuleuse de la substance
e, la multiplication des noyaux. L'examen post mortem a révélé de l'
atrophie
des adducteurs, des grands droits de l'abdomen,
roits de l'abdomen, du biceps, des pectoraux, de l'éminence thénar,
atrophie
très avancée accompagnée de multiplication exag
complète l'histoire de la maladie à laquelle il a assigné le nom d'
atrophie
musculaire progressive névrotique par la descri
n'atteint en montant que les faisceaux de Goll. Il existe aussi une
atrophie
des cellules nerveuses multipo- laires des corn
la question de l'origine spinale et de l'origine non spinale d'une
atrophie
musculaire donnée. M. ERB demande à M. Hitzig s
pulvinar et du corps genouillé interne du côté de la lésion ; cette
atrophie
atteint la ban- odelette optique du côté gauche
diminution considérable du pulvinar et du corps genouillé externe ;
atrophie
du bras du tubercule quadrijumeau antérieur et
sur la substance blanche. Dilatation extrême du ventricule latéral.
Atrophie
secondaire de la pyramide gauche, du noyau moye
de tabès dorsal avancé caractérisé par une complète paralysie avec
atrophie
des 264 SOCIÉTÉS SAVANTES. muscles masticateu
pui; ces préparations proviennent du chiasma d'un homme affecté d'
atrophie
d'un des nerfs optiques; elles sont colorées par
s l'espèce, une action semblable, quoique plus faible, à celle de l'
atrophie
; elle ralentit l'effet des purgatifs surtout quan
une tétanisat.ion formidable. Inté- grité de la sensibilité. Légère
atrophie
de toute la charpente musculaire au hras droit.
disparait cependant; la monoplégie elle-même s'amé- liore, moins l'
atrophie
; quant à la diplopie monoculaire, elle subsiste
ges. - Nocera, 1889. Tipojrafia del111anicurnio. Sirut (A.). - De l'
atrophie
cérébrale partielle d'origine périphériques Bro
t douloureux à son passage dans la gout- tière épitrochléenne, de l'
atrophie
des muscles, des troubles trophiques du côté de
le pied est véritablement tombant. On ne constate cependant aucune
atrophie
musculaire bien nette aux membres inférieurs. I
elle ne tarde pas à s'arrêter. L'examen microscopique a démontré l'
atrophie
des fibres nerveuses des cordons postérieurs à la
edreich.) Sclérose des cordons postérieurs et des cordons latéraux.
Atrophie
des racines postérieures. Dans la moitié inféri
latéral, la lésion est plus avancée que dans la région supérieure.
Atrophie
des racines postérieures. Les co- lonnes de Cla
e demander jusqu'à un certain point s'il s'agit en l'espèce d'une
atrophie
à proprement parler, ou bien d'une simple rétra
ais il y a plus, et l'on peut légitimement conclure à une véritable
atrophie
, car dans les cas où la moelle est atteinte d'i
e le démontrent les mensura- tions que nous avons pratiquées, cette
atrophie
était considérable. 352 ANATOMIE PATHOLOGIQUE
table des fibres grosses, dont la consé- quence est de déterminer l'
atrophie
de la moelle elle- même. De plus, on peut invoq
de troubles vasculaires, troubles qui produisent non seulement l'
atrophie
et l'altération du tissu nerveux, mais corré- l
ui est 362 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. d'accord avec l'hypothèse d'une
atrophie
dégéné- rative, et que d'autre part, il existe
ns vas- culaires du genre de celles qu'on observe, ni surtout une
atrophie
semblable de l'organe. On a dit aussi (Ladame)
asculaire. L'atteinte cir- culatoire tiendrait sous sa dépendance l'
atrophie
de l'organe en même temps que la sclérose. L'at
dépendance l'atrophie de l'organe en même temps que la sclérose. L'
atrophie
se conçoit facilement, puisque l'organe est ins
cliniquement ni somatiquement. C'est pourquoi on ne constata pas d'
atrophie
des fibres nerveuses intracorticales. (Techniqu
(une tumeur existait à ce niveau) ; de parésie du facial gauche ; d'
atrophie
gauche de la langue ; depuis dix ans, elle souffr
la parole soit immédiatement voisin du centre de la voix. 2° De l'
atrophie
symétrique de la calotte crânienne sous l'influen
ue de la calotte crânienne sous l'influence du système nerveux. - L'
atrophie
de la calotte crânienne se ren- contre surtout
âgés ou dans le cas de tumeurs céré- brales. Ici on a affaire à une
atrophie
qui s'est montrée à l'âge de vingt-cinq ans ; l
h. f. Psychiatrie, XLVI, 4.) P. KERAVAL. BIBLIOGRAPHIE IV. De l'
atrophie
cérébrale partielle d'origine périphérique; par
e; par le Dr A. SI130T (J.-B. l3aillière et fils, Paris, 1890.) L'
atrophie
localisée de l'écorce cérébrale peut reconnaître
re l'époque de cette lésion et celle de l'examen nécros- copique. L'
atrophie
n'est pas la résultante d'un processus dégéné-
n organe : le centre moteur qui n'est plus sollicité à agir subit l'
atrophie
fonctionnelle. Il ressort de là que l'on peut, de
ce peuvent s'expliquer parla théorie de la dégéné- rescence et de l'
atrophie
des tissus qui ne fonctionnent plus depuis long
00). Plix : 3 fr. Pour nos abonnés 2 fr. PILLIET (A). - Sclérose et
Atrophie
des glandes gastriques. - Brochure in-8 de 26 p
ubles de la sensibilité et rapports avec 1' -), par Rumpf, 259.
Atrophie
musculaire progressive né- vrotique, par Hoffma
t, 146; rôle de l'hérédité dans l'alcoolisme, par Sollier, 147; -
atrophie
cé- rébrale partielle d'origine périphé- riqu
; des aliénistes Allemands, 405. 440 TABLE DES MATIÈRES Crâne (
atrophie
symétrique du), par Rossbach, 405. Démence pa
s des nerfs périphériques, par Oppenheim et Siemerling, 245; avec
atrophie
et paralysie des muscles mastica, teurs, par
st complète. La paralysie du rectum et de la vessie s'y ajoute. L'
atrophie
musculaire est peu marquée; les réflexes rotulien
'associer -l'exercice volontaire au traitement électrique. Dans l'
atrophie
musculaire progressive, la syringomyélie, la sc
thèse était d'opposer la paralysie infantile vulgaire, fiasque avec
atrophie
musculaire à ces formes spasmodiques; la premiè
HOLOGIE NERVEUSE. ss Aux membres supérieurs parésie, contracture et
atrophie
mus- culaire sensible malgré l'adiposité; le de
mes donc en présence d'une paralysie labio.losso- laryngée et d'une
atrophie
musculaire du type Aran-Duchenne asso- ciées à
relations qui existent entre la paralysie labio-glosso- laryngée, l'
atrophie
musculaire progressive spinale du type Aran- Du
intéressants de nosologie. Au type Aran-Duchenne représentée par l'
atrophie
flasque, Charcot ajouta bientôt la sclérose lat
de sclérose latérale amyotrophique peut faire défaut dans les cas d'
atrophie
musculaire progressive. Toutefois, l'existence
contestée. Aux auteurs qni devant le démembrement successif de l'
atrophie
musculaire type Aran-Duchenne au profit de la scl
abord, puis de la pachyméningite cervicale, des formes familiales d'
atrophie
musculaire myopathique, de la syringomyélie et
la syringomyélie et même des polynévrites ont nié qu'il existât une
atrophie
mus- culaire progressive reconnaissant pour sub
discutée. Leyden ne voulait pas la reconnaître comme distincte de l'
atrophie
type Aran-Duchenne. En effet pour Charcot la lé
on de la substance grise des cornes antérieures rendant compte de l'
atrophie
musculaire était commune aux deux affec- tions
rose latérale amyotrophique n'en doit pas moins être séparée de l'
atrophie
musculaire progressive; elle doit l'être d'abord
as pu être fait. Mais la séparation de la sclérose latérale et de l'
atrophie
musculaire doit être faite sur- tout par le poi
e nouveau ; on remar- qua un abaissement de la paupière gauche, une
atrophie
symé- trique légère de la langue, une immobilit
lètement ; la mastication se fait avec difficulté. Une assez grande
atrophie
de la langue, plus marquée du côté droit ; le r
eux aussi une manifestation de la fatigue musculaire générale; 2° l'
atrophie
dégénérative des muscles de la langue et du pal
et du palais mou est une seconde particularité du cas décrit. Cette
atrophie
qui restait sta- tionnaire pendant le séjour de
M. le professeur RoTH partage l'avis du rapporteur et pense que l'
atrophie
désignée plus haut, fait ce cas très précieux ; i
és différents de lésion des centres nerveux sont possibles et que l'
atrophie
peut se manifester même, par les signes de dégé
; 2° les omoplates alaires semblables à ce qu'on observe pendant l'
atrophie
musculaire ou pendant la paralysie du grand den
: 1) les troubles psychi- ques ; 2) les mouvements impulsifs; 3) l'
atrophie
musculaire, et 4) le nystagmus. Le traitement e
gie inférieure spasmodique; spasme des muscles abdominaux obliques,
atrophie
partielle des membres inférieurs avec diminutio
ue du membre supérieur droit avec arrêt de développement du membre,
atrophie
musculaire, 84 BIBLIOGRAPHIE troubles vaso-mo
eints de syphilis cérébrale, présente une monoplégie brachiale avec
atrophie
, ayant débuté brusquement vers l'âge de huit an
la neuropathologie française. Ch. Muullié. II. Main succulente et
atrophie
musculaire ; par G. AInawESCO. Thèse de Paris,
rticu- liers ; dans la deuxième l'auteur étudie la topographie de l'
atrophie
musculaire de la syringomyélie. Le plus intér
te fracture a été prise antérieurement pour une hyperosto<e. L'
atrophie
musculaire de la syringomyélie revêt trois types
s, du poignet, de l'avant-bras, et même du bras sont épargnés par l'
atrophie
. Cette topographie de l'atrophie musculaire per
t même du bras sont épargnés par l'atrophie. Cette topographie de l'
atrophie
musculaire permet à l'auteur de résoudre certai
ique au plus haut point et crée l'ataxie locomotrice progressive, l'
atrophie
musculaire progressive, la paralysie atrophiquc
le amyotrophique, p. 647 : « Les causes sont des plus obscures. » -
Atrophie
musculaire progressive spinale, p. 683 : « Son
d a pris l'observation avec beaucoup de soin. Il a tout d'abord une
atrophie
de la main droite. Il y a cinq ans il s'aperçoi
UX. 105 s'allumer que de seconde main pour remplir les vides de l'
atrophie
parenchymateuse ; mais enfin ce n'en est pas mo
lis cérébrale. Oreillons. - Décembre 1893, Raymond (Lariboisière) :
atrophie
musculaire. Avril 1894, Lance- reaux (Hôtel-Die
tique l'arthritisme.et Fournier la syphilis, comme Ray- mond voit l'
atrophie
musculaire et Cornil la lésion d'encé- phalomyé
sans sclérose des faisceaux pyramidaux; c'est une autre espèce d'
atrophie
musculaire progressive. Au lieu de la sclé- ros
é- rose latérale amyotrophique, c'est la forme Aran-Duchenne de l'
atrophie
musculaire progressive. Le tableau de la scléro
une manifestation de la sclérose multiple disséminée. Dès lors, l'
atrophie
musculaire progressive 11 ran-Du- chenue peut,
nsité moyenne. Puis, en dix-huit mois se développe une parésie avec
atrophie
des muscles débutant par les membres supérieurs
e haut en bas; aucune altération notable des vaisseaux médullaires;
atrophie
partielle des fibres des nerfs périphériques; a
médullaires; atrophie partielle des fibres des nerfs périphériques;
atrophie
avancée des fibres musculaires avec multiplicat
i me paraissent établir nettement qu'au moins, dans certains cas, l'
atrophie
musculaire progressive peut être associée à d'a
er- vation III, p. 408) : 1° sclérose des cordons postérieurs; 2°
atrophie
du nerf optique gauche; 3° vaisseaux de la base
et non des maladies vraies, des espèces nosologiques. Le tabes, l'
atrophie
musculaire progressive, la sclérose latérale, a
su actif atrophié. Dans cet effet double également caractéristique,
atrophie
du tissu actif et hypertrophie du tissu inerte,
ouffe le tissu parenchymateux : c'est une variété de sclérose. Si l'
atrophie
parenchymateuse est primitive et provoque l'hyp
iques, affaiblis- sement progressif jusqu'à paralysie complète avec
atrophie
des épaules et des bras. Sueurs profuses, membr
rs profuses, membres postérieurs atteints ultérieurement, mais sans
atrophie
; réactions électriques conservées. Difficulté
Homme 23 ans, pas d'antécédents, paralysie presque com- plète avec
atrophie
des bras; parésie et rigidité desjambes. Sueurs
xamen de la pièce : raréfaction des grandes cellules pyrami- dales,
atrophie
des cellules restantes, hémorragies punctiformes.
leur longueur. Les libres plus grosses ne subissent qu'une simple
atrophie
. La myéline est plus altérée que les cylindraxes.
s auraient bien dû expliquer par quel mécanisme elles déterminent l'
atrophie
des tubes nerveux. A ce propos, nous rappellero
e dans tous ses seg- ments ; cette réduction de volume résulte de l'
atrophie
considérable du tube nerveux. Le processus atro
nt cette coloration sur les gaines myéliniques tabéliques en voie d'
atrophie
. Elle ne tient pas à une imprégnation insuffisa
gènes ou endogènes). Là aussi, le processus tabétique évolue par
atrophie
simple : on assiste à un amincissement graduel
tendance à la contracture - diminution de la force musculaire sans
atrophie
- démarche aty- pique). Les troubles sensitifs,
- rescence est un signe sans valeur puisqu'on le rencontre dans l'
atrophie
musculaire purement hystérique. Séance du soir.
ux généraux subjectifs. OEdème de la papille avec transformation en
atrophie
des deux côtés. Hémiatropsie bitemporale. Paral
lui du côté droit. Papillite bilatérale avec commence- z ment d'une
atrophie
à la suite d'oedème, rétrécissement du champ vi
5, l'enfant pouvait saisir son pain et le porter à sa bouche. Pas d'
atrophie
du membre et pas de déformation. Le 30, la guér
e au bout de vingt- deux jours sans laisser de trace, sans marque d'
atrophie
ni de déformation, achève de fixer le diagnosti
re supérieur droit. Cette parahsie ne tarda pas à s'ac- compagner d'
atrophie
musculaire, mais la sensibilité resta toujours
la jambe, puis du bras paralysé commencèrent à se rétablir, mais l'
atrophie
persista plus longtemps surtout au niveau Archi
'hématomes récents, les auteurs appellent surtout l'attention sur l'
atrophie
cérébrale, qui est des plus accu- sée ; l'encép
lorsqu'elle n'avait que dix mois. Hémiplégie i latérale gauche avec
atrophie
musculaire et avec développement incomplet du s
endue plus vaste des dégénérescences consécutives ce qui mène par l'
atrophie
et la diminution des lobes centraux en- tiers e
s médian des circonvolutions centrales droites, qui a provoqué leur
atrophie
. La circonvolution centrale antérieure, ainsi que
e et sixième racines cervicales, le malade en question a encore une
atrophie
du muscle triceps. Ce muscle est innervé par le
pression du nerf médian et en partie du nerf cubital, ainsi qu'une
atrophie
de la main et des hémorrha- gies à l'avant-bras
suivants : paralysie du nerf facial droit; lagophthalmie médiocre,
atrophie
très marquée dans la région de la fosse canine so
gmente; tous les mouvements des muscles mentonniers se font bien. L'
atrophie
du peaucier est très marquée et on n'y voit que
nale atrophique à deux ans et demi et qui présente actuellement une
atrophie
considérable de la jambe droite avec pied bot.
t : 1896. Août. Garçon de huit ans. Paralysie à deux ans et demi,
atrophie
consécutive de la jambe droite, déformation du pi
u, les réflexes cutané plantaire et abdominal sont conservés. Pas d'
atrophie
marquée du côté des pieds, alors qu'on trouve u
dyna- momètre donne 5 à droite et si à gauche. Grâce à l'inégale
atrophie
des muscles interosseux, les doigts ont une alt
ervés jusqu'à la mort apparte- naient à la série syringomyélique; l'
atrophie
musculaire, extrê- mement marquée, marchait sen
cas il est impos- sible d'établir, suivant le tableau clinique de l'
atrophie
, une sépa- ration nette entre les formes spinal
thiques des atro- phies musculaires. A une période plus avancée d'
atrophie
myopathique primaire, on rencontre des dégénére
nérescence ascendante des faisceaux sensitifs, paraissent être de l'
atrophie
simple et correspondent aux modifi- cations des
s mains, des pieds, de la face, de la cyphose cervico-dorsale, de l'
atrophie
et de la flaccidité des seins, etc., etc. ? La
brusque- ment, sans cause, à l'âge de dix-neuf ans (photographie*).
Atrophie
progressive pendant plusieurs années de différe
l., XV, 18cJ6.) Trois séries de symptômes : 1° Troubles moteurs ;
atrophie
et parésie des muscles de la cein- ture scapula
ar Korsalioff, 347. Asystolie postépileptique, par Féré, 322.
Atrophie
. Main succulente et - musculaire, par larinesc
é- nation au Colorado, par llob- house, 165. Main succulente et
atrophie
mus- culaire, par Marinesco, 85. TABLE DES MA
e troubles de la sensibilité locale, générale ou sensorielle; pas d'
atrophie
des muscles. Réflexes rotuliens très exagérés :
athie : la paralysie pseudo-hypertrophique ; la forme juvénile de l'
atrophie
mus- culaire de Erb ; l'atrophie infantile héré
trophique ; la forme juvénile de l'atrophie mus- culaire de Erb ; l'
atrophie
infantile héréditaire de Duchenne de Boulo- gne
forme d'amyotrophie, connue communément aujour- d'hui sous le nom d'
atrophie
myopathicjue du type Landouzy-Déjérine, ou faci
primitive ; paralysie pseudo-hyperlrophique, forme juvénile de Br6,
atrophie
infantile héréditaire de Duchenne de Boulogne (Re
et la paralysie pseudo-hypertrophique. On connais- sait avant lui l'
atrophie
dans la paralysie pseudo-hypertrophique (myopa-
trophie) ; il a montré l'hyper- trophie dans la forme juvénile de l'
atrophie
musculaire (myopathie avec prédominance de l'at
juvénile de l'atrophie musculaire (myopathie avec prédominance de l'
atrophie
). Il fallait faire de même pour la forme facio-
s du malade, envahissement de la face, localisations spéciales de l'
atrophie
, évolution. D'ailleurs ces mouvements fibrillaire
qu'ils le sont en général dans les amyotrophies myé- lopatiliques (
atrophie
musculaire progressive de Duchenne-Aran, sclérose
érosique avait marché du côté de l'hypertrophie et non du côté de l'
atrophie
. En effet ces muscles avaient perdu leur force.
s malades, lorsqu'il décrivit la forme infantile héré- ditaire de l'
atrophie
musculaire progressive, qu'il rattachait à tort a
éplat latéral en arrière des lèvres très prononcé. Rire en travers.
Atrophie
des muscles de la houppe du menton. Rien à la l
l'appui de notre communication. Scapuloe alatce très accentuées.
Atrophie
considérable des pectoraux, du grand dorsal, du t
ndis qu'en 1889, le côté gauche était presque intact, aujourd'hui l'
atrophie
y est nettement prononcée. Mais.il est survenu en
M. le Dr P. Richer (us. 1). Ces noyaux contrastent vivement avec l'
atrophie
de tout le reste de la cuisse, dont presque tous
. Le mal'évolue soit du côté de l'hyper- trophie, soit du côté'de l'
atrophie
, lesquelles peuvent être tantôt isolées, comme
fantile ; crises convulsives, hémiplégie droite avec contracture et
atrophie
; guérison complète. A. H. âgé de 3 ans 1/2. A
ture des membres du côté droit ne tarde pas à s'accompagner de leur
atrophie
musculaire ; cette atrophie, quoique généralisée,
it ne tarde pas à s'accompagner de leur atrophie musculaire ; cette
atrophie
, quoique généralisée, est plus marquée pour cer
tudes et les exercices de son âge ; l'hémiplégie, la contracture et l'
atrophie
du côté droit ne tardent pas à disparaître comp
? La contracture avait suivi la paralysie flasque des membres, el l'
atrophie
musculaire avait suivi la contracture. N'est-ce
tres ; mais dans presque tous ces cas, ce qui avait fait attribuer l'
atrophie
musculaire à l'hystérie, c'étaient les caractèr
et la pseudo-athétose, et dans l'observation II la contracture avec
atrophie
musculaire. Mais il existe des types moins comp
s qui ne cadrent qu'imparfaitement avec l'idée d'une hémiplégie par
atrophie
ou sclérose cérébrale. Ce n'est pas ainsi, nous
noplégies hystériques de constater les modifications des réflexes, l'
atrophie
musculaire et les troubles trophiques qui sont
n cas analogue observé aux Enfants-Malades : l'amaurose double avec
atrophie
papillaire était l'unique lésion qu'on pût consta
eau des doigts l environnant le médian, et enfin un certain degré d'
atrophie
de l'éminence, t thénar. Enfin l'exploration él
ltiples, s'ac- compagnant de douleurs rhumatoïdes avec faiblesse et
atrophie
du mem- bre. Il y a abolition complète de toute
atteintes, et alors s'ensuivront des troubles de la motilité, avec
atrophie
et paralysie des muscles; d'autres fois c'est s
ne s'agissait pas seulement d'une cicatrice fibreuse ayant amené l'
atrophie
des tubes nerveux, mais qu'il y avait eu produc
ont puncti- formes et présentent le signe d'Argyll Roberlson. Pas d'
atrophie
papil- laire. La malade a été soumise pendant
pilles sont blanchâtres, les artères diminuées, mais il n'y a pas l'
atrophie
papillaire classique. Pas de dyschromatopsie ni
ntérieures sont toutes dans un état de dégénérescence très avancé :
atrophie
, absence des prolongements, forme ar- rondie, c
opé- dique sur l'hémiplégie spasmodique infantile. La sclérose et l'
atrophie
cé- rébrales sont en effet des processus pathol
on note un hypospadias pénien et de l'hypoalgésie testiculaire sans
atrophie
; urines et miction normales. Main droite. (PI
ses membres inférieurs des ulcères perforants plantaires, puis de l'
atrophie
musculaire des extrémités. Il avait, en outre, un
oite. Moindre résistance au mouvement d'extension à droite. 4 Pas d'
atrophie
musculaire. - Aux mains le dynamomètre donne 50
elle-même que nous devons chercher ces caractères spé- cifiques. L'
atrophie
pigmentaire des cellules, la production d'exsudat
re gauche. Il existe dans les deux cornes des stades plus avancés d'
atrophie
des grandes cellules ; mais alors elles sont mé
ammations du cerveau en foyer ou diffuses et qui se terminent par l'
atrophie
de cet organe. Les indices psychiques les plus
môme la disparition totale des fonctions psychiques, produite par l'
atrophie
de l'écorce cérébrale (Kraft-Ebing). L'expres
C'est grâce à cela que M. Erb a pu déterminer exactement le degré d'
atrophie
congénitale de certains muscles au moyen de cou
des fonctions psychiques, est caractérisée anatomil]lleml'lItpar l'
atrophie
systématisée de l'écorce céré- brale et mi1niqu
uche. Les avant-bras sont considérablement amaigris, en masse, sans
atrophie
mus- culaire localisée. Il y a une diminution d
simplement un peu plus forts qu'à l'état normal. Il n'existe pas d'
atrophie
musculaire, ni le moindre trouble de sensibilit
rra- diées dans les bras, les avant-bras et jusque dans les doigts.
Atrophie
muscu- laire des avant-bras et des petits muscl
auche faiblesse et douleurs dans les deux mem- bres supérieurs avec
atrophie
légère du côté gauche. Examen de la région du c
environ de leur étendue normale. Membres supérieurs. Il existe une
atrophie
musculaire évidente dans le bras, l'avant-bras
uvement de flexion complète. On peut donc conclure qu'il existe une
atrophie
des interosseux, marquée surtout pour les deux de
bras et à l'avant-bras gauche on ne saurait dire avec précision si l'
atrophie
l'emporte dans tel ou tel groupe des muscles.
ger l'électrisation des muscles, étant donné le peu de gravité de l'
atrophie
, et l'absence de réaction de dégénérescence; déte
ête seulement, la malade accuse une légère douleur il la nuque. L'
atrophie
des muscles de la main gauche a disparu entièreme
s elle n'a at- teint 38°. Pas le moindre trouble trophique, pas d'
atrophie
musculaire aux membres inférieurs. L'excitabili
, de Boulogne, son rival en génie, décrit l'a- taxie locomotrice, l'
atrophie
musculaire sous toutes ses formes. Charcot marc
ns l'articulation tibia- tarsienne en particulier. Pas la moindre
atrophie
musculaire ; les réactions électriques dos muscle
tement libres. La puissance musculaire est conservée. Il n'y a pas d'
atrophie
des muscles ; les réactions électriques sont no
tendons. Les muscles périscapulaires du côté gauche présentent une
atrophie
évidente (sus et sous-épineux, grand pectoral pri
membres inférieurs cependant ; elle est égale des deux côtés. Pas d'
atrophie
. Les muscles répondent normale- ment aux excita
atérale amyotrophiquola mieux confirmée. Il n'existe pas la moindre
atrophie
ni la moindre perversion de la sensibilité obje
cédente : tels, les eschares profondes de dé- cubitus, voire même l'
atrophie
musculaire dans les membres paralysés, la perte
droite la résistance et les mouvements sont bien conservés. - Pas d'
atrophie
musculaire appréciable. Examen dynamométrique :
rin- cipalement les eczémas et les diverses poussées herpétiques, l'
atrophie
des ongles, leur fendillement et leur friabilit
ie, crachements de sang; les modifications des muscles sous forme d'
atrophie
ou de tumeur sanguine, le ramollisse- ment ou l
arcot, de M. Babinski, de MM. Gilles de la Tourette et Dutil, sur l'
atrophie
musculaire chez les hystériques. Ce sont là des
tes. Nombreuses hémorrhagies de toutes dimensions dans l'encéphale.
Atrophie
très accusée d'une des cornes antérieures de la
e très accusée d'une des cornes antérieures de la moelle cervicale;
atrophie
des grandes cellules ou formation de vacuoles d
s méninges, adhé- rence, par places, de la pie-mère et de l'écorce,
atrophie
cérébrale, surtout des lobes frontaux, vaisseau
ulaires, cirrhose hépatique, tuméfac- tion splénique. Histologie.
Atrophie
des fibres à myéline, surtout des fibres tangen
res à myéline, surtout des fibres tangentielles des lobes frontaux,
atrophie
des cellules pyramidales. Epaississement de la
nt donc en rapport avec les centres ther- miques. J.-B. C. XVIII.
Atrophie
musculaire idiopathique COMPLIQUÉE DE NÉVRITE MUL
'agit d'une malade présentant une hérédité bien nette et atteinte d'
atrophie
musculaire compliquée d'anesthésie complète des
avoir discuté les différents diagnostics, arrive à admettre celui d'
atrophie
musculaire idiopa- thique compliqué de névrite
ses détails. OBSERVATION. - Syringomyélie à forme spasmodique, avec
atrophie
musculaire prédominant dans les muscles péri-sc
ri-scapulaires sont considérablement atrophiés, surtout à droite. L'
atrophie
porte plus particulièrement sur les muscles sus
pulaire et le triceps fémoral contiennent quelques fibres en voie d'
atrophie
, avec prolifération des noyaux, ces fibres sont d
enseurs; quelques muscles de la ceinture scapulaire subis- sent une
atrophie
évidente, mais qui ne devient jamais très 124 P
int qui aurait dû attirer mon atten- tion, c'est l'absence de'cette
atrophie
des muscles de la main qui se rencontre dans la
les^ malades atteints de pacha- f. méningite, la distribution de l'
atrophie
dans le membre supé-' rieur est toute spéciale
aux. Ces mêmes- foyers occupent les ,, espaces péricellu ? laires;.
atrophie
des grandes cellules de Betz. Dégénérescence des
x des fissures; l'absence des por- tions centrales du cerveau, et l'
atrophie
des lobes, spécialement le frontal et l'occipit
ollaboration avec Pitres, 1883) ; - Sur une forme par- ticcaliére d'
atrophie
musculaire progressive (en collaboration avec M
i de la face interne du lobe frontal gauche. Compression cérébrale;
atrophie
par com- pression des fibres tangentielles de l
Enfin en arrivant dans le lobe occipital, on retrouve encore une
atrophie
très marquée des deux premières couches à la fa
on moyenne; dessin pris dans la portion située au fond d'un sillon.
Atrophie
considérable des fibres tangentielles dans toutes
e j'ai observés.1 Dans ces deux cas, en effet, la distribution de l'
atrophie
était exactement comparable, ainsi qu'on pourra
diots ou des aliénés. Ces Fig. ` ? S. Schéma de la disposition de l'
atrophie
des libres iL myéline tangentielles de l'écorce
e l'altération. (Loc. cit.) Fig. 29. Schéma, de la disposition de l'
atrophie
des fibres à myéline tangentielles de l'écorce
sphère gauche. (Loc. cit.) . Fiy. 31. Schéma de la disposition de l'
atrophie
des fibres à myéline tangentielles de l'écorce
nts. Son premier argument est d'ordre histologique. Les processus d'
atrophie
, de sclérose, de dégénérescence à forme de cell
tissu intersti- tiel. Intégrité des cellules et ganglions spinaux.
Atrophie
du cor- don postérieur correspondant, sans alté
de la colonne de Clarke droite. Dans le renflement cervical il y a
atrophie
de la corne latérale droite surtout au niveau du
ie de la corne latérale droite surtout au niveau du groupe latéral.
Atrophie
des racines postérieures dans toute leur étendue
ure. La seconde observation concerne l'amputation du bras gauche,
Atrophie
à la corne latérale gauche dans le renflement cer
région dorsale. Dimi- nution des cellules de la colonne de Clarke,
atrophie
du cordon pos- térieur gauche, mais limitée au
puis longtemps connues. En 1872, M. Pierret' a publié un cas type d'
atrophie
cérébelleuse, accompagné d'un examen microscopi
es antérieures de la protubé- rance. Dans son premier article sur l'
atrophie
cérébelleuse, et 1 Pierret. Note sur un cas d'a
rticle sur l'atrophie cérébelleuse, et 1 Pierret. Note sur un cas d'
atrophie
périphérique du cervelet avec lésion concomitan
raphé. Or, précisément, cette intégrité, mise en opposition avec l'
atrophie
des pédoncules cérébelleux moyens, la dispariti
diagnostic des maladies de l'encéphale, où sont colligés les cas d'
atrophie
jusqu'en 1883, Nothnagel * s'attache à montrer
eurs n'y sont pas suffisamment mis en relief. Quatre observations d'
atrophie
, celles d'Otto 2, de Fischer de Verdelle '* et
coordination figurent au rang des symptômes les plus constants de l'
atrophie
cérébelleuse. Il n'y a là rien qui ne cadre ave
n particulier, sa rareté dans les lésions de déficit pures, comme l'
atrophie
, où sont si marqués les troubles de la coordi-
. Appendice, p. 37. Menzel,. - Loc. cit. 8 Brosse ! . Sclérose et
atrophie
du cervelet. (Lyon médical, 20 avril 1890.) S
e scandée; ce n'était pas non plus la parole qu'on observe dans l'
atrophie
du noyau de l'hypoglosse D ; ' Parmi les affect
du noyau de l'hypoglosse D ; ' Parmi les affections du cervelet, l'
atrophie
ne paraît pas être la seule qui ait le privilèg
et de Verdelli, on note les troubles de la parole coexistant avec l'
atrophie
du cervelet, du bulbe et de la protubérance, et
de la parole, comme celui de Vulpian, cité par Laborde 2, ou une
atrophie
des pyramides antérieures s'accompagnait d'une sc
légitimée par l'étude des lésions secondaires de la protubérance. L'
atrophie
des pédoncules céré- belleux moyens, la dispari
e vomissement, les troubles de la vue et de l'ouïe, manquent dans l'
atrophie
, qui ne s'accompagne d'aucun retentissement à d
thologique des lésions bulbo-protubéran- tielles qui accompagnent l'
atrophie
cérébelleuse, d'insister sur les difficultés de
interne, la couche optique, de diamètres variés, surtout à gauche.
Atrophie
des pyramides correspondant aux gros ganglions du
ces formes aiguës de folie, on ne s'attendrait guère à y observer l'
atrophie
ou l'infiltration séreuse : la première pourtan
de l'anémie qui paraît s'accentuer parallèlement à la chronicité. L'
atrophie
du tissu cérébral existe dans les deux tiers des
ravail, c'est elle qui a donné le moins d'hémorrhagies méningées. L'
atrophie
, la diminution de consistance du tissu cérébral m
bonne, son niveau intellectuel très bas. 11 présente à droite de l'
atrophie
générale et de la contracture musculaire des me
lle. Il con- vient de ranger dans la même catégorie d'altérations l'
atrophie
du nerf optique, à évolution lente, des gens âg
atrophiées en étaient, les fibres. M. Bernhardt. Qu'esl-ce que l'
atrophie
du nerf optique de Fuchs ? `t M. OTTO. Je n'a
ophie du nerf optique de Fuchs ? `t M. OTTO. Je n'ai pas trouvé d'
atrophie
du nerf optique dans le voisinage des vaisseaux
ormée, fraîcheur du teint que la maladie n'avait pas altérée. Pas d'
atrophie
des muscles de la face. L'orbiculaire des paupi
près l'avoir dépouillée de ses vête- ments, que remarque-t-on ? Une
atrophie
complète des muscles de l'épaule et de la hanch
on ? Une atrophie complète des muscles de l'épaule et de la hanche,
atrophie
telle que les têtes humérales et fémorales peuv
es ont conservé leur volume normal. Pas d'hyper- trophie mais pas d'
atrophie
, les éminences thénar et hypothénar 468 CLINIQU
sans fausse honte, que ce cas tout d'abord me troubla. C'était de l'
atrophie
musculaire mais quel genre d'atrophie ? Ce n'ét
bord me troubla. C'était de l'atrophie musculaire mais quel genre d'
atrophie
? Ce n'était pas l'atrophie musculaire progress
l'atrophie musculaire mais quel genre d'atrophie ? Ce n'était pas l'
atrophie
musculaire progressive de Duchonne. L'intégrité
remblements fibrillaires écartaient ce diagnostic. Ce n'était pas l'
atrophie
mus- culaire héréditaire de Duchenne, l'orbicul
aupières étant parfaitement conservé. Ce ne pouvait donc être que l'
atrophie
juvénile décrite par Erb où la ceinture scapulair
arke., Les deux premiers faits permet-, tent aussi de constater une
atrophie
des cornes antérieures portant principalement s
ôté amputéine sonti pas eo41)pletementintacts. Mentionnonsf aussi l'
atrophie
des 'racines antérieures dans' leur trajet intr
ors de la moelle, intégrité de la commissure1 antérieure'; 'légère'
atrophie
de la commissure1 postés r 16 à r 'è /s «'.ji.i
uses des ganglions spinaux envoient à la moelle. Ainsi s'explique l'
atrophie
dans les régions qui président à la sensibilité
e postéro- latéral des cornes antérieures sont de nature motrice. L'
atrophie
de ces cellules doit démontrer qu'elles possède
llules des ganglions spinaux; 10" dans le cordon postérieur, il y a
atrophie
de groupes de fibres différents au point de vue
canal; puis, secondement, sous cette influence, s'est produite une
atrophie
simple, non'inflamma- toire du noyau qui a alor
faible teneur en fibres. C'est là qu'à l'avenir on devra étudier l'
atrophie
des fibres intra-corticales. La'largeur'de l'éc
e sur les téuménts`dû trôné indique la syrinomyélie; en revanche, l'
atrophie
précocerdu nerf f optique et l'immobilité réfle
notée une fois ! Dans'iës'observaUons typiques il'ÿ avaitavec' de l'
atrophie
musculaire ? un troublé très élendu''dé'la'r' s
ations fruste's,' il' fallut cliércliër`éédèrniëisÿinpt6më; c'est l'
atrophie
" musculaire spinale e,, qui prédominait. L'une
ce e eonvuls 0 i' e - l"iéaction"'dé ? é èii iinpo- sait pour une
atrophie
musculaire spinale progressive;, enfin on s exp
Ainsi, dans un cas de paralysie saturnine des péroniers, il y avait
atrophie
muscu- Igire, excessive, etq l'on ' constatait'
oolique; l'intégrité de la moelle et des nerfs contraste ici avec l'
atrophie
considérable des muscles, atrophie avec multipl
t des nerfs contraste ici avec l'atrophie considérable des muscles,
atrophie
avec multiplication- de3 noyaux; abondance de noy
bservation \ est empruntée à une sclérose lâtëralë arpÿotropliique;
atrophie
des bourgeons musculaires, intégrité, de la gai
e; dégénérescence des cornes) antérieures dans la moelle cervicale;
atrophie
dégénérative de la plupart des fibres du cubital,
tain nombre i de fibres. du médian, .du radial, du musculo- cutané;
atrophie
dégénérative des «muscles de l'éminence hypothé-
ion\est puissante (eliiei.is1pai ? exemple), c'est ce. que montre l'
atrophie
, des mêmes orâanésl,chezl'homme.`sUne portion, de
avec maladie des jointures dp Charcot" par lleilhronner, 132.'
Atrophie
musculaire idiopathique compliquée de névrite m
térie dégénéra- tive, par, Griedenbel'g,¡3Dl.¡, ,. , ,p, ÉVIiITE,
atrophie
musculaire, idio- ,, pathique compliquée de mul
re gyécogène. — Altérations de la cellule hépatique : compression ; —
atrophie
; — hypertrophie : — infiltration et dégénération
rophie ; — hypertrophie : — infiltration et dégénération graisseuses (
atrophie
jaune aiguë du foie, atrophie jaune consécutive,
filtration et dégénération graisseuses (atrophie jaune aiguë du foie,
atrophie
jaune consécutive, ictère grave;; — altérations a
émontrent les recherches de M. L. Mayer (1). Quoiqu'il en soit, une
atrophie
complète, allant parfois jusqu'à la disparition t
e une con-séquence de celte compression. Mais il est d'autres modes d'
atrophie
cellulaire, ceux, par exemple, qui succèdent à un
remière période de l'altération diabétique du foie, car, plus Lard, l'
atrophie
succède souvent à l'hypertrophie, et, simultanéme
forme nous est donné par l'altération hépatique connue sous le nom d'
atrophie
jaune aiguë du foie. Sur certains points de l'org
paraît être un phé-nomène vital. En effet, pendant la vie, les cas d'
atrophie
jaune aiguë du foie, il est de règle que la leuci
nnaît, à l'autop-sie, quelques-uns des caractères microscopiques de l'
atrophie
jaune sur lesquels nous insisterons prochainement
u sein du tissu hépatique a été plusieurs fois recon-nue dans ces cas
atrophie
j aune consécutive et que là aussi, comme dans l'
ans ces cas atrophie j aune consécutive et que là aussi, comme dans l'
atrophie
aiguë, on observe des phénomènes cliniques se rap
pour expliquer la destruc-tion des cellules hépatiques dans les cas d'
atrophie
jaune aiguë du foie. Il n'a pas été difficile de
d,) (2) Klebs. — Path. Anatom., p. 406. mènes rappelant ceux de l'
atrophie
jaune aiguë du foie. A l'autopsie on retira du fo
antes ob-servations de Frericbs sur les altérations de l'urine dans l'
atrophie
jaune aiguë du foie, qu'on s'est occupé avec un p
es de physiologie, 1876. son étendue le parenchyme du foie, comme l'
atrophie
jaune aiguë, la cirrhose vulgaire ou 2° des altér
du taux de l'urée ; — apparition de la leucine et de la tyrosine. —
Atrophie
jaune aiguë du foie. Fièvres intermittentes s
ence de la leucine et de la tyrosine. cl) Mais c'est surtout dans Y
atrophie
jaune aiguë du foie, comme j'ai eu l'occasion de
la sécrétion urinaire, accompagnement néces-saire, suivant lui, de l'
atrophie
jaune aiguë du foie, Cette mo-dification, d'après
intéressante relatée par M. Murchison (4) : Elle montre que dans l'
atrophie
jaune aiguë du foie, la leucine et la tyrosine pe
l'urine qui vient d'être indiqué, comme parti-culièrement propre à l'
atrophie
jaune aiguë du foie. C'est évi-demment une erreur
ces faits cependant n'appar-tiennent pas plus que les précédents à l'
atrophie
jaune aiguë du foie. 11 s'agit ici d'une forme
frisson. En même temps, le foie a commencé à subir un certain degré d'
atrophie
. Or, voici ce qu'apprend l'étude de l'excrétion d
e sont les mêmes que celles qui succèdent à la ligature de ce canal. —
Atrophie
consécutive du foie. I. Messieurs, Je vous
eprend d'abord son volume normal, pour devenir ensuite petit. Cette
atrophie
du foie, consécutive à l'enclavement des calculs
vec fonte granulo-graisseuse, comparable à celle qu'on observe dans l'
atrophie
jaune aiguë du foie. Le fait a été reconnu pour l
'être relevées de celles qui se montrent d'une façon constante dans l'
atrophie
jaune aiguë du foie. Il y aura lieu de recher-che
stite suppurative). —Inflammation chronique (cholécystite scléreuse ;
atrophie
de la vésicule). — Inflammation ulcéreuse (perfor
qui, alors, sont pour ainsi dire enkystées. [Cholécystite sclé-reuse,
atrophie
de la vésicule (l)"j. C'est là, en somme, un mode
dans l'exposé général des lésions anatomiques du foie, à propos de l'
atrophie
jaune aiguë où s'observent des altérations du mêm
plasie conjonctive, dans la cirrhose de Laennec, est d'entraî-ner une
atrophie
progressive du foie. Le volume, ainsi que le poid
hie du foie qui, dans le cours de la mala-die, avait fait place à une
atrophie
plus ou moins accentuée. Budd, qui incline quelqu
tait en contact avec les parties dont il s'est éloigné par suite de l'
atrophie
qu'il a subie. Quoi qu'il en soit, vous n'ignorez
dans la 22e livraison de son Atlas et celle qui accompagne l'article
Atrophie
de l'Atlas de Carswell : ce sont les deux meilleu
sidérable que joue dans la cirrhose l'interruption plus (1) Article
Atrophie
, pl. n, fig. 1. Charcot. Œuvres complètes, t. vi,
ues de très petites dimensions. En somme, c'est par le mécanisme de l'
atrophie
simple que les cellules semblent disparaître sous
en outre, çà et là, de petits kystes. A la coupe, on reconnaît que l'
atrophie
porte sur la substance corticale, qui peut être r
oloration est d'un rouge plus ou moins vif. Les coupes montrent que l'
atrophie
porte principalement sur la substance corticale e
pighi qui marquent les limites des lobules paraissent, en raison de l'
atrophie
subie par les tubes contournés, beaucoup plus rap
lques personnes qui pensent que, en dehors de la maladie de Bright, l'
atrophie
du rein combinée à l'athérome artériel, et peut-ê
t. vi, Maladies des reins. 23 le rein présentait un certain degré d'
atrophie
, et, remarquez-le bien, il s'agissait ici de l'at
rtain degré d'atrophie, et, remarquez-le bien, il s'agissait ici de l'
atrophie
sénile, banale chez les vieillards, et jamais de
éveloppement de ces ané-vrysmes n'est pas lié nécessairement soit à l'
atrophie
rénale soit à l'hypertrophie du cœur, soit à l'al
s, rares à la vérité, le gros rein blanc peut, à la longue, subir une
atrophie
plus ou moins prononcée, et pré-senter, en conséq
ein, consécutive à la néphrite parenchymateuse et bien distincte de l'
atrophie
produite par la néphrite interstitielle (rein con
la néphrite interstitielle (rein contracté, petit rein granuleux). L'
atrophie
consécutive, dans le cas de la néphrite parenchym
tière glycogène. —Altérations de la cellule hépatique: compression; —
atrophie
; — hypertrophie; infiltration et dégénération g
atrophie; — hypertrophie; infiltration et dégénération graisseuses (
atrophie
jaune aiguë du foie, atrophie jaune consécutive,
filtration et dégénération graisseuses (atrophie jaune aiguë du foie,
atrophie
jaune consécutive, ictère grave;: — altérations a
du taux de, l'urée ; — apparition de la leucine et de la tyrosine. —
Atrophie
jaune aiguë du foie. Fièvres intermittentes sym
sont les mêmes que celles qui succèdent à la ligature de ce canal. —
Atrophie
consécutive du foie..... 171 DIX-SEPTIÈME LEÇON
tite suppurative). — Inflammation chronique (cholécystite scléreuse ;
atrophie
de la vésicule). — Inflammation ulcéreuse (perfor
erstitielle, 339. Ascite. 193, 223, 238, 242, 255, 256, 277, 279.
Atrophie
du foie dans la cirrhose vul-gaire, 246. — Conséc
l-tération amyloïde des —, 28; — graisseuse, 25; —pigmentaire, 29; —?
Atrophie
des —, 24. — Décou-verte, 20- — Disposition dans
ra-ombi-licales (Dilatation des), 254, 256, 265. Vésicule biliaire (
Atrophie
de la,) 199; — distension de la —, 165, 176; — ra
e la sensibilité à la cha- leur. Pas de troubles sphinctériens.
Atrophie
très légère des muscles du memhre inférieur droit
lagent dans les cordons latéraux. Dans la substance grise on note l'
atrophie
avec, pigmentation des cellules de la corne ant
ce de lésions en foyer mais atropliie élec- tive d'un hémisphère. L'
atrophie
prédominante d'un hémisphère est fonction de la
tomatique d'une affection du système nerveux. Cependant un début d'
atrophie
de la langue laisserait penser àunesclérose lat
Par Cl. bonne Médecin adjoint à l'asile de Braquevine. Les cas d'
atrophie
d'un des hémisphères cérébelleux sont relativem
lobule du pneumogastrique, la postérieure à l'amyg- dale ». Outre l'
atrophie
secondaire du noyau rouge et de l'olive bulbair
ouge et de l'olive bulbaire du côté opposé, il existait encore de t'
atrophie
croisée du corps strié. , Dans le cas de Ilil
isphère gaucho, en arrière de l'amygdale. Il existait en outre de l'
atrophie
de l'olive bulbaire du côté opposé et des racin
os que normale- ment. » Dans lecas de Neuburger et Edinger (t), l'
atrophie
presque to- tale d'une moitié du cervelet ne se
ssables mais con- sidérablement atrophiés. 11 y avait en outre de l'
atrophie
de l'o- live bulbaire gaucho, et un amincisseme
du cerveau postérieur et des pédoncules cérébraux, dénota de plus l'
atrophie
(les noyaux et des racines de plusieurs nerfs c
est recou- vert en grande partie par des lamelles cérébelleuses; l'
atrophie
(1) Einseitiger fast totaler Mangel des Cerebel
rtée par Thomas, 1. c, p. 185 à 190) intéressante par ce fait que l'
atrophie
a peu près généralisée à tout le cerve- let éta
de la coordination, surtout du côté droit. On a vu plus haut que l'
atrophie
portait ex- clusivement sur l'hémisphère cérébe
rès long le fonctionnement normal du névraxe. Mais dans les cas d'
atrophie
acquise (sclérose, etc.), unilatérale, et d'ail
res pyramidales coupés transversalement. On sait d'ailleurs que l'
atrophie
croisée de la protubérance est de règle dans le
p. 100). » De même que celle de l'olive et de la protubérance, l'
atrophie
croisée du noyau rouge se présentait avec ses c
ajeure partie indé- pendantes de celles du cervelet : telles sont l'
atrophie
du corps calleux, les nombreuses anomalies des
que les lésions éten- dues d'un hémisphère cérébral entraînent une
atrophie
croisée du cervelet, mais la réciproque ne se r
s les observations de lésion unilatérale de ce dernier organe une
atrophie
même légère des régions corticales eu rap- port
n t¡'oltble passager intermittent ; depe1'mett1'e de pronostiquer l'
atrophie
prochaine. D'ordinaire, le champ visuel est nor
se trouve en présence de l'évolution de la névrite optique et de l'
atrophie
papillaire. Les caractères de l'atrophie papill
la névrite optique et de l'atrophie papillaire. Les caractères de l'
atrophie
papillaire du paralyti- que général sont d'être
arquée. Les vaisseaux conservent leur calibre normal. En somme, l'
atrophie
du nerf optique est moins étendue ; 3° Elle est
bles de la vision ne sont pas parallèles au développe- ment de l'
atrophie
. C'est là le symptôme le plus essen- tiel pour
roubles visuels dans l'alcoo- lisme chronique . En même temps que l'
atrophie
évolue, il y a conservation de la vue. (Jean Ga
olue, il y a conservation de la vue. (Jean Gazelowski.) Lorsque l'
atrophie
s'accompagne, ce qui est rare, de rétrécissemen
ment n'est pas concentrique (3) . Lorsqu'il y a, en même temps qu'
atrophie
, dyschromatopsie, le rétrécissement pour les co
ues ou seulement microscopiques , sans foyer. Elles consistent en :
atrophie
, simple oudégénéra- tive, des éléments parenchy
eau petit et atrophié, son poids et son volume sonttrès diminués. L'
atrophie
ne porte pas de façon uniforme sur tout le cerv
méninge est souvent épaissie, mais, d'autres fois, par- ticipe à l'
atrophie
du cerveau. Les cavités ventriculaires sont trè
rveau. Les cavités ventriculaires sont très dilatées par suite de l'
atrophie
de la substance cérébrale, les parois ventricul
. La couronne rayonnante et les noyaux centraux parti- cipent à l'
atrophie
. D'une façon générale, la substance blanche de
autour des gaines vasculaires. Le cervelet prend parfois part à l'
atrophie
du cerveau, mais son atrophie n'atteint pas le
Le cervelet prend parfois part à l'atrophie du cerveau, mais son
atrophie
n'atteint pas le même degré. B) Etude histologi
e très souvent des cellules saines chez les sujets les plus âgés. L'
atrophie
cellulaire peut être simple, avec raréfaction d
La dégéné- rescence des fibres myéliniques se faitgénéralementpar
atrophie
simple, quelquefois avec colorabilité anormale,
ueux. La disparition des fibres myéliniques explique pour- quoi l'
atrophie
de la substance blanche paraît beaucoup plus co
un simple tassement du tissu dans les espaces laissés vides par l'
atrophie
des cellules nerveuses. b) La prolifération des
ers multiples de « ramollissement incomplet », tel que ceux de 1' «
atrophie
artério-scléreuse du cerveau »,de l' « encéphal
de façon indépen- dante, produisent l'altération des vaisseaux. L'
atrophie
des cellules,et des fibres nerveuses en par- ti
ssus anatomique commun, d'ori- gine toxique, de désintégration et d'
atrophie
des cellules et des fibres nerveuses. ' 2° Le
s délirantes vagues et isolées, paraissent devoir s'expliquer par l'
atrophie
et la dégénérescence des cellu- les cérébrales
é considérablement le rôle des lésions vasculaires. En réa- lité, l'
atrophie
sénile, les formations lacunaires ne sont pas l
mie pathologique des maladies nerveuses et mentales. J. Séglas. -
Atrophie
cérébrale expérimentale et atrophie cra- nienne
ses et mentales. J. Séglas. - Atrophie cérébrale expérimentale et
atrophie
cra- nienne concomitante ; par D'ABUNDO. (In Ri
on corticale est profonde et atteint la substance blanche, on a une
atrophie
de l'hémisphère cérébral correspondant, plus ou
escu/. - VI. Origine arLlwopatlriyuu (Gilles de la Tourelle). 1'll.
Atrophie
musculaire par lésion d'un point du faisceau pyra
naître les tics quand ils n'existaient pas. G. U. II. Sur un cas d'
atrophie
musculaire progressive ; par MM. de t3UCK et De
ue nombre d'auteurs mettent en doute l'autonomie des divers types d'
atrophie
musculaire progressive et se rallient à l'idée
apports entre les formes myopathique, neurale et neuro-spinale de l'
atrophie
musculaire progressive, les auteurs croient pou
ée de Iltintin,,Loii..1. SEra.As, V. Nosographie et pathogénie de l'
atrophie
muscu- laire progressive ; par Valobra. (In Riv
delà question. Puis il rapporte deux observations de cas typiques d'
atrophie
musculaire progressive, et qui ont pré- sente c
tologique des coupes de l'hémisphère gauche permit de constater une
atrophie
considérable des fibres tangentielles d'Exner,
es glandes sécrétion interne. 1. T. VIII. - Sclérose en plaques ;
atrophie
cérébelleuse et sclé- rose pseudo-systématique
on- naire et ne manifeste aucune tendance à se transformer en une
atrophie
musculaire progressive. Une infection et une vuln
membres chez l'un, en deux fois distante de trois ans chez l'autre,
atrophie
musculaire sans hypertrophie préa- lable, - lor
ger rapportent une observation très intéressante. L, W AH ? XXII.
Atrophie
musculaire du type Aran-Duchenne d'origine syph
et du mouvement dans le bras droit remontât à près de trois mois, l'
atrophie
du membre était encore bien marquée au mois d'a
es signes physiques constatés sont un hémispasme facial gauche, une
atrophie
du bras droit des adhé- rences fibro-tendineuse
ute parce que Menzel était gaucher. Ces observations prouvent que l'
atrophie
sénile n'est pas synonyme de démence sénile. Le
la colonne; le rhomboïde et l'angulaire paraissent sous-cuta- nés ;
atrophie
du stemo- mastoidien. La posi tion des deux omopl
ll. nerv. et de leurs pro- longements dans le S.N.C., dans un cas d'
atrophie
cong. du cervelet) ; par ERNST ? TRAUSSLrR, de
, fas, ',) et 10, 1905) dans l'idiotie amaurotique de Tay- Sachs.
Atrophie
considérable de toute l'écorce du cervelet, sauf
de toute l'écorce du cervelet, sauf du no- dule et des flocculus ;
atrophie
de la protubérance, du bulbe et de la moelle (c
èrement sensibles à la pres- sion. Abolition du réflexe hatcllaire.
Atrophie
considérable du quadriceps et des adducteurs, l
dans ses éléments; en outre de deux petits kystes, il y avait une
atrophie
notable avec sclérose du lobe glandulaire. Les au
opsie, syphilis héréditaire probable, par Cres- pin, p. 191. 1.
Atrophie
cérébrale expérimen- tale et crânienne concomi-
ses et de leurs prolon- gements dans le S. IvT. C., dans un cas d'
atrophie
cong. du cervelet, par Straussler, p. 393. Ce
ose latérale amyotrophi- que, par Kojesvmhoff, p. 48. en plaques,
atrophie
céré- belleuse et pseudo-systéma- tique de la
tes consécutives au traumatisme, on note d'après M. Paul Berbez une
atrophie
plus ou moins considérable du membre, un change
binski et M. Berbez lui-même avaient déjà insisté sur l'existence d'
atrophie
musculaire assez accusée dans les paralysies hy
es fibres nerveuses de la substance blan- che et grise, ainsi que l'
atrophie
et la vacuolisation avec tuméfac- tion des cell
es membres inférieurs de cette malade ne présentent, en effet, ni
atrophie
ni contracture. Les réflexes tendineux sont conse
fs différaient fort sur les deux côtés du corps. Du côté opposé à l'
atrophie
cérébrale, laquelle occupait les parties postér
onc y participaient pleine- ment, ce qui s'accorde avec l'absence d'
atrophie
corticale, chez ce malade, du tiers inférieur d
ccident qu'il se développa une paralysie périphé- rique isolée avec
atrophie
des muscles sus et sous-épineux. Les observatio
. la raideur du membre. Bientôt la main droite s'affaiblit puis s'
atrophie
. Le quatrième mois, à l'occasion d'une blessure
e pour celle-là; des dépressions intermétacar- piennes trahissent l'
atrophie
des interosseux. Le volume de l'avant-bras est,
l'avant-bras, les extenseurs. La physionomie des lésions rappelle l'
atrophie
musculaire du type Duchesne-Aran. Ajoutons que
non seulement les trou- bles sensitifs, mais encore la parésie et l'
atrophie
qui intéressent les muscles de l'éminence théna
s de la vue, liées à une lésion intra-crânienne et s'accompagnant d'
atrophie
des nerfs optiques. Malade, soixante-deux ans,
, soixante-deux ans, sans alcoolisme, ni syphilis, présen- tant une
atrophie
des deux nerfs optiques, s'accompagnant d'hal-
hallucinations dont l'intensité a suivi la marche progressive de l'
atrophie
de la rétine. Ce dernier fait tendrait à démont
re de viande. La sonde peut servir à faire des lavages d'estomac.
Atrophie
partielle symétrique des hémisphères et porencéph
M. Salgo, médecin en chef de l'asile d'aliénés de Budapest, sur l'
atrophie
partielle des hémisphères cérébraux. Neurasthén
nce. Fillette de quinze ans présentant les symp- tômes suivants : '
atrophie
bilatérale du nerf optique, immobilité fixe des
des pyramides, jusque dans la moitié supérieure de la protubérance.
Atrophie
presque complète de la vaccine descendante de l
, dans un cas pathologique, on en a trouvé vingt-cinq atrophiées; l'
atrophie
du groupe entier était complète en un cas d'atrop
atrophiées; l'atrophie du groupe entier était complète en un cas d'
atrophie
du noyau de l'oculomoteur commun, les deux autr
a moelle cervicale et de la partie supérieure de la moelle dorsale,
atrophie
des cellules dans les noyaux moteurs du bulbe,
ontal des deux yeux. Diminution évidente de la force motrice brûle.
Atrophie
manifeste du deltoide gauche, des deux sterno-
rural) sont, jusque dans leurs rameaux intramusculaires, affectés d'
atrophie
des fibres avec multi- plication des noyaux du
qui affecte parfois le grand et le petit pectoral ? S'agit-il d'une
atrophie
due à une atrophie musculaire juvénile ? Nous a
le grand et le petit pectoral ? S'agit-il d'une atrophie due à une
atrophie
musculaire juvénile ? Nous adopterions plus vol
par l'angle de la mâchoire; il a réussi nombre de fois à produire l'
atrophie
des racines postérieures de l'acoustique. L'ori-
nakow, Forel, Onufrovicz. On peut aussi constater chez le lapin une
atrophie
du corps trapé- zoïde et de l'olive supérieure
légie bilatérale; trou- bles de la motilité du voile du palais sans
atrophie
musculaire ni altérations électriques; dysarthr
que le condyle droit fuit en dehors. Puisqu'il n'est pas survenu d'
atrophie
musculaire, les noyaux d'origine des nerfs sont
et que le kyste a pu se développer dans l'espace vide laissé par l'
atrophie
. Le Congrès se réunira au mois de novembre proc
891. - Rockwell and Churchill. MORDRET (A.-E.). Deux observations d'
atrophie
cérébrale. Brochure in-8° de' 24 pages. Le Mans
et la barbe noirs, C... parait fortement constitué ; mais il a une
atrophie
marquée des muscles de la jambe droite, provena
s siens, de con- vulsions survenues à l'âge de dix-huit mois. Cette
atrophie
muscu- laire ne s'accompagne pas de raccourciss
bientôt abandonnée. Actuellement, toutes les opinions concernant l'
atrophie
faciale progressive peuvent être divisées en de
ix mois auparavant, m'a communiqué n'avoir pas constaté chez elle d'
atrophie
du cucullaire. Ce fait-ci, ainsi que l'évolutio
système qu'il faut considérer tous les cas que je viens de citer. L'
atrophie
faciale, ne déterminant point le caractère de l
coulée depuis cet epouvante, que la famille remarqua chez elle de l'
atrophie
dans le territoire de la troisième branche du n
d'anesthésie, accompagnées de dilatation de la pupille droite et d'
atrophie
de la moitié droite de la face.-Le même auteur
Friedenthal a publié le cas d'une fille de quatorze ans, atteinte d'
atrophie
faciale droite où il constata ce qui suit : pup
que nous venons de citer prouvent, d'une manière concluante, que l'
atrophie
de la face peut dépendre d'une affection du ner
écède ne nous autorise pas à conclure que tous les cas concernant l'
atrophie
progressive de la face puissent sans exception
ropathologie contemporaine ne connaît plus de maladies telles que l'
atrophie
d'un membre, l'atrophie de la langue, etc., et
ne ne connaît plus de maladies telles que l'atrophie d'un membre, l'
atrophie
de la langue, etc., et traite les tableaux clin
e la Société physico-médicale à Moscou, 1884) (Russe). GowsEIEFF.
Atrophie
de la face partiale unilatérale. Arch. de Psych
ale di Freniatria, 1888. LowENFELD. - Weber einen Fall halbseitiger
Atrophie
der Gesicht und Kccumusculatur, Jlùnch, med. Wo
889, n° 10. 11ALT. - Le Progrès médical, 1889. ' BLUME.\AU. Cas d'
atrophie
faciale unilatérale. (Messager de Psychiatrie,
ente une légère orchile traumatique. 25 juillet. - On constate de l'
atrophie
musculaire de J'éminence thénar droite, et du p
portant : « Epilepsie( perversion des instincts, débilité mentale;
atrophie
musculaire de la main droite.» 0 Envoyé en cell
qu'on observe dans l'état de mal épileptique. V. Relevons enfin l'
atrophie
musculaire de l'éminence thénar droite et du pr
le : des adhé- rences de la pie-mère avec le cerveau antérieur, une
atrophie
indé- niable des circonvolutions principalement
t dans les deux moyens lenticulaires. On trouve, au microscope, une
atrophie
des cellules de la deuxième couche (ascendants
Intégrité de la moelle. Cirrhose hépatique fréquente à la période d'
atrophie
(épaississement des parois vascu- laires) ; mac
its. C'est une encéphalite interstitielle diffuse terminée par de l'
atrophie
cérébrale. ' P. K. XVIII. QUELQUES MOTS sur l
el n'étaient relativement que peu altérés, tandis qu'il y avait une
atrophie
considérable et étendue des fibres SOCIÉTÉS SAV
de paralysie générale ayant pour substratum anatomique primitif.une
atrophie
des fibres myé- liniques. Discussion. - M. He
dans les autres vis- cères contredit à cette idée. Et d'ailleurs, l'
atrophie
des fibres myéli- niques du cerveau n'a, jusqu'
ance du 16 mars 4891'. Présidence DE M. LOEHR aîné. M. Cramer. De l'
atrophie
du cervelet. Il s'agit d'un épileptique mort à
s points, on trouve, selon le degré de la sclérose, divers degrés d'
atrophie
des cellules de Purkinje. Suivant l'intensité d
s d'atrophie des cellules de Purkinje. Suivant l'intensité de cette
atrophie
, les grosses fibres myéliniques de l'écorce et
mbre 1890. SOCIÉTÉS SAVANTES. 419 cellules à tous les stades de l'
atrophie
pigmentaire, dans son bile, on trouve une légèr
'un tiers, de même que le noyau rouge de la calotte du côté opposé;
atrophie
également prononcée du pulvinar de la couche op
s, comme il n'y a pas eu inflam- mation des parties atteintes par l'
atrophie
, on est autorisé à croire qu'il existe une conn
é malade et la substance grise de la protubérance du côté opposé.
Atrophie
macroscopique et microscopique (atrophie des fibr
otubérance du côté opposé. Atrophie macroscopique et microscopique (
atrophie
des fibres) du corps restiforme du côté gauche.
e (atrophie des fibres) du corps restiforme du côté gauche. De là :
atrophie
du cordon latéral du même côté et du noyau d'or
système des fibres arciformes externes antérieures du côté malade;
atrophie
encore plus prononcée des fibres arciformes int
plus prononcée des fibres arciformes internes à droite ou à gauche.
Atrophie
partielle des noyaux d'ori- gine des cordons po
elle des noyaux d'ori- gine des cordons postérieurs des deux côtés.
Atrophie
excessive du noyau d'origine du faisceau grêle
phie excessive du noyau d'origine du faisceau grêle du côté opposé;
atrophie
marquée de la grosse olive du côté opposé, dimi
ions du -, par Bechterew, 137 ; cellules du , par Renaut, 256 ; -
atrophie
du , par Cramer. 418. Chorée, sénile hérédita
és. M. Hardy justifie de cette manière DES HOPITAUX Planche IX.
ATROPHIE
MUSCU LAI RE le nom de lichen hypertrophique qu
ue la guérison se manifeste sous l'influence de ce traitement. De l'
atrophie
musculaire progressive de l'enfance, et de son di
la planche IX, représentent le thorax et la face de sujets atteints d'
atrophie
musculaire progressive de l'enfance. — L'atrophie
e sujets atteints d'atrophie musculaire progressive de l'enfance. — L'
atrophie
musculaire progressive, lorsqu'elle fut décrite p
le de troubles dans les mouvements de la face nous donna l'idée d'une
atrophie
musculaire progressive de l'enfance, car nous l'a
du tronc et des membres inférieurs; entre six et sept ans début de l'
atrophie
aux membres supérieurs. Nous n'entrerons pas dans
s du rachis et de la jambe sur la cuisse sont presque détruits. Cette
atrophie
n'a été précédée ni de fièvre, ni de paralysie en
le ne s'en est pas préoccupée. Aujourd'hui, on constate chez elle une
atrophie
à des degrés divers, dans un assez grand nombre d
lever son marteau. Nous avons aussi constaté chez le jeune garçon une
atrophie
assez avancée du grand dentelé, du deltoïde droit
la ressemblance physionomique. La figure 5 représente également une
atrophie
musculaire graisseuse qui, dans l'enfance, a atte
d'mère maternelle. Nous pourrions citer encore une dizaine de cas d'
atrophie
de l'enfance héréditaires ou non héréditaires ; o
aladie pour en bien résumer la description d'après lui. En somme, l'
atrophie
musculaire progressive débute dans la seconde enf
la striation est altérée. L'affection de l'enfance, avec laquelle l'
atrophie
musculaire progressive qui survient dans le jeune
vre, avec ou sans convulsions, à un âge en général moins avancé que l'
atrophie
musculaire de l'enfance (de 15 jours à 2 et 3 ans
, a été confondue par un pathologiste anglais, M. Edw. Mergon, avec l'
atrophie
musculaire de l'enfance. Sans entrer dans les dét
de la fibre musculaire dans les deux maladies est différente ; dans l'
atrophie
musculaire de l'enfance la fibre musculaire subit
pour bien faire connaître l'affection curieuse décrite sous le nom d'
atrophie
musculaire progressive de l'enfance, dont le [dia
scles propres du bras, se rendant à l'avant-bras, sont le siège d'une
atrophie
partielle : l'humérus garde une configuration nor
que le tout se terminera dans un temps plus ou moins éloigné par l'
atrophie
de la rétine et de la papille optique. Ed. Meye
s et ses ventouses, il se colle à la muqueuse, perd son ampoule qui s'
atrophie
, il devient transparent, s'allonge, se rubane, dé
à s'ulcérer, et s'accompagnant à la fin d'un affaiblissement et d'une
atrophie
générale progressive. On a déjà eu dans le cour
taches, s'épaissit de plus en plus, devient plus lisse ; l'épiderme s'
atrophie
et laisse voir très facilement par points le rése
5. Les pustules se dessèchent et semblent entraîner un commencement d'
atrophie
des tubercules, excepté sur les membres où la des
u de chose à signaler à la paume de la main, où il y a commencement d'
atrophie
des muscles de l'éminence thénar. BULLETIN De
chés jusqu'au soir. des HOpitaux PLANCHE XXVIII RAMOLLISSEMENT ET
ATROPHIE
DU CERVEAU dre ; épuisons les moyens de le comb
dans une mesure restreinte, à sauvegarder la vie de nos semblables.
Atrophie
cérébrale, — Hémiplégie à droite, — Attaques épi-
ard de Clichy, 62. REVUE PHOTOGRAPHIQUE des nOPITAIX »E PARIS
Atrophie
cérébrale. — Hémiplégie à droite. — Attaques épi-
ce grise. Lorsque la pie-mère est enlevée en totalité, on observe une
atrophie
considérable des circonvolutions des lobes occipi
e considérable des circonvolutions des lobes occipital et sphénoïdal,
atrophie
qui se traduit par une différence (en moins) de c
ssements anciens. (La planche XXVII1 donne une idée exacte du degré d'
atrophie
des circonvolutions.) Si maintenant on examine
re les lésions précédentes, on note encore les suivantes (fig. i) : L'
atrophie
du nerf ci de la bandelette optiques gauches [a,
à l'enfance. II. — La face n'offrait aucune trace de paralysie ni d'
atrophie
. Il n'en était pas de même des membres. Bien que
is un peu la jambe. Ces phénomènes s'expliquent sans difficulté par l'
atrophie
qui portait en même temps sur le volume et la lon
Observations de lichen hypertrophique..................... 38 De l'
atrophie
musculaire progressive de l'enfance........... 41
ement des blessés............................................ !42
Atrophie
cérébrale.................................... 153
la malade la tire correc- tement ; elle ne présente ni déviation ni
atrophie
. Je remarque du côté de la musculature du cou u
la clinique du professeur Fehige, à Jourieff (Derpt), démontra une
atrophie
de tout le cerveau. Il est à regretter que l'ex
éral dans les formes de démence terminale, se sont achevées par une
atrophie
. Ainsi donc, la « catatonie » satisfait parfait
ts variqueux des dendrites correspondent à leur état pathologique d'
atrophie
dégénérative. P. KERAVAL. XI. Du réflexe hypo
tres nerveux. 2. Les fibres des nerfs et des muscles présentent une
atrophie
sim- ple et une dégénérescence primitive. Celle
trière, n° 6, 1902). Trois observations : 1. Syndrome cérébelleux,
atrophie
du cerve- let apparemment limitée à la base ; 2
psie à crises très fré- quentes avec aura sensitive du côté gauche,
atrophie
du lobe gauche du cervelet ; 3. hémiplégie spas
elet ; 3. hémiplégie spasmodique infantile droite avec épi- lepsie.
Atrophie
croisée du cervelet. Conclusions : 1° il n'y a pa
le d'un cervelet atrophié secondaire- ment ; 2" dans ce processus d'
atrophie
, il s'isole constamment une couche qui répond p
olue et précède toutes les autres modifications dans ce processus d'
atrophie
; 3° la nature fréquemment secondaire de l'atro
ce processus d'atrophie ; 3° la nature fréquemment secondaire de l'
atrophie
démontre qu'on ne doit pas considérer le syndro
e gigantisme infantile dans lequel la taille élevée coexiste avec l'
atrophie
génitale ou, tout au moins, avec l'impuissance
Nouv. Icono ! J1'. de la Salpêtrière, n° 3. 1902). Eunuchoïde par
atrophie
testiculaire dont les ascendants pré- sentent d
ions sont de degré très variable; chromatolyse légère ou accentuée,
atrophie
plus ou moins complète du proto- plasma avec pe
par suite, peuvent induire en erreur. KEIIA VAL. P. Keraval. III.
Atrophie
musculaire du membre inférieur gauche ; par le Do
e douze ans et demi qui est atteint depuis trois ans au moins d'une
atrophie
musculaire du membre inférieur gauche sans trou
s réflexes, ni phénomènes de parésie. La lente évolu- tion de cette
atrophie
musculaire et son état pour ainsi dire sta-' ti
e cette astasie-abasie ne semble pas douteuse. G. D. VI. Un cas d'
atrophie
du membre inférieur gauche et d'hypertro- phie
ui, quatre années après une chute sur le genou gauche, présenta une
atrophie
du membre inférieur correspondant accompagnée d
triques consécutives avec signe d'Argyll Roberstson intermittent.
Atrophie
musculaire type Charcot-Marie. MM. DÊJEMNE et A
ussi. Les lésions des nerfs périphériques sont plutôt des lésions d'
atrophie
simple que de dégénération; il n'y a pas de név
pourrait appeler « les troubles secondaires de l'hypnose » comme l'
atrophie
musculaire est quel- quefois nn trouble seconda
nces encore. On serait tenté de supposer que la dégénérescence et l'
atrophie
finale du tissu nerveux est simplement due à une
es alcooliques et qui ont été atteintes de parésie des membres avec
atrophie
musculaire accompagnée de troubles intellectuels
classification est la suivante : Troubles trophiques muscu- laires (
atrophie
musculaire); -Troubles trophiques osseux (frac-
n, du foie et du rein) ; Troubles trophiques des organes du sens (
atrophie
blanche de la pupille) ; Troubles trophiques géné
et idiotie chez deux frères; l'autopsie de l'aine fit constater une
atrophie
manifeste du cervelet et du pont de Varole. Le se
Le second frère a succombé et l'autopsie a fait,aussi découvrir une
atrophie
cérébelleuse. Relevons uue observation très i
oisième groupe. - Paralytiques générales présentant les signes de l'
atrophie
papillaire en voie d'évolution des deux côtés o
oite est floue, la papille gauche présente les signes certains de l'
atrophie
blanche en voie d'évolution. te Observation XXV
pas reproduit. A l'ophthalmoscope, on constate la physionomie de l'
atrophie
blanche surtout à gauche, la papille droite éta
oubles de la parole. A l'ophthalmoscope, la papille gauche tend à l'
atrophie
blanche et le bord inférieur en est im- précis.
invisible. Le bord externe de la papille gauche également en voie d'
atrophie
blanche est un peu imprécis. - IV. Enfin, sept
t eu dans son enfance une fracture du poignet qui est atteint d'une
atrophie
des muscles de l'épaule et du bras gauche ainsi
on de la jambe au tiers supérieur. Dans les cinq cas, il existe une
atrophie
de la moelle, du côté correspondant à l'ampu- t
de la moelle, du côté correspondant à l'ampu- tation ! ' A : cette
atrophie
, participent aussi bien la substance blan- che
sont atteints. La' substance' grise est, in loto', le siège d'une-
atrophie
; cepen; dant,' les cornes postérieures semblent
a pas seule- ment.atrophie simple, mais sclérose, et, tandis que l'
atrophie
ala tendance'à' diminuer' de bas en haut, la sc
de sclérose latérale amyotrophique à cause des symptômes diffus d'
atrophie
musculaire observés qui prédominaient aux éminenc
femme ayant présenté une névrite spontanée du plexus brachial, avec
atrophie
et rétrac- tion musculaires du membre, hypérest
hes nerveuses hypertrophiées. - La névrite motrice s'accompagne d'
atrophie
et de DR très pro- noncés pour la partie antibr
trente ans tout à fait infantile mais extrêmement grand et avec une
atrophie
génitale très apparente. Il a cessé de grandir
constatations objectives, l'impotence fonctionnelle des membres, l'
atrophie
musculaire, les vives douleurs à la pression de
contact et à la douleur, et on remarque de plus qu'il existe une
atrophie
évidente de l'éminence thénar. Le premier espace
t. Quant aux autres espaces, ils sont plus légèrement atteints et l'
atrophie
est moins perceptible. Nous attirons l'attent
est moins perceptible. Nous attirons l'attention du malade sur l'
atrophie
ainsi consta- tée. Il répond l'avoir lui-même d
erdons le malade de vue pendant quelque temps,mais les phénomènes d'
atrophie
et de paralysie ne faisant qu'augmenter nous le
ectifs de la sensibilité ont alors à peu près dis- paru, et c'est l'
atrophie
musculaire qui inquiète le patient qui res- sen
an-Duchenne complet, l'aspect de la main est celui du syndrome de l'
atrophie
musculaire progressive qu'on ren- contre dans u
oujours sur la coexis- tence, dans le saturnisme, de paralysie et d'
atrophie
pour peu que la durée excède une semaine; tandi
ophie pour peu que la durée excède une semaine; tandis que dans l'
atrophie
musculaire progressive, l'atrophie est le phéno-
e une semaine; tandis que dans l'atrophie musculaire progressive, l'
atrophie
est le phéno- mène primitif et primordial. En o
pe Aran-Duchenne les mouvements sont sou- vent longs à revenir et l'
atrophie
persiste plus longtemps encore. ' Duchenne (d
at physique est le suivant : membres supérieurs : impotence totale,
atrophie
mus- culaire prédominant à droite masquée par l
tence moins marquée prédominant aux fléchisseurs, réflexes faibles,
atrophie
peu considérable. Cpho-scoliose extrêmement a
ital à Beyrouth une jeune femme de vingt-quatre ans, présentant une
atrophie
musculaire 318 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
de nombreux-troubles de la sensibilité font rejeter - l'hypothèse d'
atrophie
musculaire progressive type Aran-Du- chenne.
ssus marchant de la moelle aux ganglions. La lésion consiste en une
atrophie
lente qui frappe de préférence certaines espèce
elle présente une parésie manifeste des membres inférieurs et une
atrophie
marquée des muscles des cuisses et des jambes. El
osée par l'auteur. Ce phénomène est probablement dû, d'une part à l'
atrophie
du quadriceps fémoral incapable de répondre suf
x ou en état d'hyperexcitabilité à côté d'autres qui sont en pleine
atrophie
. G. C. XXIX. Syndrome basedowien avec enophtalm
e un cas de cyphose avec ankylose partielle du rachis, accompagné d'
atrophie
des muscles spinaux. L'émission des rayons N'da
ropose d'explorer. Leur examen a porté sur un myopatbique atteint d'
atrophie
complète du deltoïde, incomplète des muscles de
N paraît donc, dans ce cas, directement proportionnelle au degré d'
atrophie
, musculaire. Dans trois cas de névrite (polynév
ies dans la diphtérie. G. Durante. Du processus histolo- gique de l'
atrophie
musculaire. E. Maurel. Contribution à l'étude e
ésions artérielles du fond de l'oeil, de l'oedème et sur- tout de l'
atrophie
papillaire. . C'est bien en effet cette dernièr
lésions du fond de l'oeil. : » atrophies blanches de la pupille, 1
atrophie
grise, 1 scléro- ellOrOÏdiLe postérieure sans m
le facial à sa sortie du trou osseux, en arrière de la parotide, l'
atrophie
qui n'existait pas dans la section en avant de
re étaient sains; 3- La couche optique gauche était atrophiée, et l'
atrophie
intéressait les noyaux latéral médian et ventra
res étaient intacts. La radiation optique gauche était atrophiée, L'
atrophie
de la couche optique était entièrement sous la
deux hémisphères dont le droit présentait aussi un certain degré d'
atrophie
générale. Ceci semble être indépendant de la lé
encontrent dans ce trajet sont dues à la dégénération rétrograde. L'
atrophie
musculaire dans les cas aigus dépend vrai- semb
malade, dont les symptômes s'étaient aggravés ; elle présentait une
atrophie
du nerf optique à droite; à gauche une légère d
e dans le quadriceps, le couturier et le carré pronateur. Outre une
atrophie
très marquée il rencon- tra des altérations mus
tions ou auto-intoxi- cations chroniques. Elle se caractérise par l'
atrophie
simple ou pseudo-pigmentaire des cellules attei
iproque est vraie : l'absence d'influx du stimulus amène. une lente
atrophie
régressive, d'abord du protagone dans la gaine
ribuée n'a été que le prélude des manifestations les plus graves.
Atrophie
cérébelleuse cérébrale. lliV. Boasrrenrr,LE et
ntile. L'un des deux frères était mort son autopsieavait révélé une
atrophie
cérébelleuse. Les auteurs avaient émis en 1900
Société, l'encé- phale de ce deuxième enfant, atteint lui aussi, d'
atrophie
cérébel- leuse. Il s'agit donc là d'une maladie
diotie et la diplégie cérébrale infantile et ana- tomiquement par l'
atrophie
cérébelleuse. ' Scléroses combinées médullaires
rvation des extenseurs des pieds. Musculature de la cuisse intacte.
Atrophie
et paralysie des fessiers. Tremble- ments fibri
iguë d'origine organique compli- quée d'hystérie, par Popow, 321.
Atrophie
. Voir Cervelet. - muscu- laire du membre inféri
de paralysies musculaires, de perte d'un organe (oeil, nez, etc.) d'
atrophie
, etc., suivant qu'un nerf a été coupé, que le c
e du haut d'un trapèze : il lui resta une paralysie incomplète avec
atrophie
des muscles du côté gauche de la face. Vie acci
Hitzig l'observa en 1874, et que la perte d'un oeil détermine une
atrophie
ascendante des tubercules quadrijumeaux antérie
action à distance, d'une dégénération secondaire descendante, d'une
atrophie
des ganglions du mésocéphale consécutive à une
e mois qu'elle a vécu, ces circonvo- lutions ont dû s'atrophier » ,
atrophie
résultant de l'inactivité fonctionnelle de ces
tés et une partie du lobe pariétal. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 3
atrophie
descendantedégénérative bilatérale des tuber- c
on, et Monakow, 1 avait cons- taté que le corps genouillé interne s'
atrophie
secondai- rement après extirpation du lobe temp
mporaux au regard des autres régions cérébrales, en particulier une
atrophie
marquée, sur l'un de ces cerveaux, de la T i ga
italiens de Pavie, de 1887, Frigerio a rapporté une observation d'
atrophie
de la corne d'Ammon gauche dans un cas d'halluc
e Dr Darier 2, qui aurait obtenu de bons résul- tats dans des cas d'
atrophie
du nerf optique, par la suspension. On ne peut
ons. Depuis l'âge de deux ans, ces jeunes gar- çons sont atteints d'
atrophie
du nerf optique, avec nystagmus, mouvements eho
les-ci, des plus accentuées, telles que la méningo-encéphalite ou l'
atrophie
des circonvolu- tions. Et parmi celles-ci nous
ot; car ces lésions peuvent servir à établir une transition entre l'
atrophie
de la substance grise que nous étudions et les
UE. sur les extrémités des nerfs, ce qui donne comme résultat une
atrophie
de toutes ces parties. L'auteur rapporte la pares
altération de l'humeur, taciturnité, douleurs à la tête et au dos,
atrophie
et absence de la glande thyroïde, anémie généra
t circulatoire. D'autre part, on constate chez les deux malades une
atrophie
blanche de la pupille. On peut se demander jusq
chez la première, l'aspect de la papille faisait plutôt penser une
atrophie
primitive des nerfs optiques. Toutefois, plus d
s produits inflammatoires s'étant résorbés, il ne soit resté qu'une
atrophie
progressive. En sup- posant l'atrophie primitiv
bés, il ne soit resté qu'une atrophie progressive. En sup- posant l'
atrophie
primitive, on peut se demander si elle doit êtr
t en ce cas quelque chose d'ana- logue à ce que l'on observe dans l'
atrophie
musculaire pro- gressive où l'on voit se dévelo
des cellules multipolaires des cornes antérieures de la moelle, une
atrophie
des fibres du nerf moteur et des muscles auxquels
mois. Les symptômes constatés furent les suivants : Paralysie avec
atrophie
des muscles des lèvres et diminution considérab
constata au microscope des altérations scléreuses ayant déterminé l'
atrophie
des cellules du noyau de l'hypoglosse, du facia
s de l'oesophage, de l'accélération du pouls. L'autopsie révéla :
Atrophie
des racines ascendantes du trijumeau des deux côt
intégrité, par contre, des noyaux du nerf vague et de l'accessoire.
Atrophie
des fais- ceaux radiculaires intra-bulbaires du
du pneumo-gastrique, de l'ac- cessoire, du glosso-pharyngien. Cette
atrophie
se poursuit sur les racines émergentes de ces n
s; dansla moelle, le même processus parait plus avancé encore, et l'
atrophie
des élé- ments nerveux portée très loin. Ces lé
Arch. de Neurologie, n° J3, p. 177. 334 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. L'
atrophie
des circonvolutions et de la moelle résulte donc
e la moelle résulte donc de la condensation de la névroglie et de l'
atrophie
des éléments nerveux eux-mêmes et est masquée e
e avec la prédomidance de quelques symptômes à gauche. - Malgré l'
atrophie
plus marquée du côté gauche du corps, il n'y a
ion qui nous est expliquée par les différents états aboutissant à l'
atrophie
que l'on peut observer sur les coupes. Sur une
n a dit que les vaisseaux paraissaient plus nom- breux à cause de l'
atrophie
du cerveau. C'est pour la paralysie générale qu
a paralysie générale que cette opinion a été émise, quoique cette
atrophie
soit réelle; et il suffit de com- parer le cône
sur les coupes prises dans l'hémisphère gauche, on ne voit que de l'
atrophie
simple, sans les taches de désintégration que n
on que nous avons si souvent retrouvées. C'est donc un exemple de l'
atrophie
simple, ou -plutôt du non-développement, sans t
rescence; soit qu'elles n'existent plus, soit que le .processus d'
atrophie
ait été différent, ce que nous ne (pouvons savo
les retrouvons, coïncidant il est vrai, avec les mêmes lésions d'
atrophie
et d'état chagriné à l'oeil nu. L'atrophie et l
ec les mêmes lésions d'atrophie et d'état chagriné à l'oeil nu. L'
atrophie
et l'état chagriné des circonvolutions se retro
A l'autopsie, on constate que l'épilepsie est symptomatique d'une
atrophie
considérable de l'hémisphère droit du cerveau et
'hémisphère droit du cerveau et de l'hémisphère cérébelleux gauche,
atrophie
caractérisée par un amaigrissement profond des
parenchymateux normaux. Il détruit l'harmonie des couches et les
atrophie
d'une façon inégale, puisque ses prolonge- ment
A l'autopsie, aspect foetal du cerveau; arrêt de développe- raient,
atrophie
et état chagriné de la partie postérieure de l'aé
rvation XI. Le malade suivant était aussi un épileptique, atteint d'
atrophie
cérébrale, mais cette atrophie n'était point la
tait aussi un épileptique, atteint d'atrophie cérébrale, mais cette
atrophie
n'était point la LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE.
ONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 347 grande sclérose lobaire, c'était une
atrophie
partielle et que l'on peut, jusqu'à un certain
stinguer trois étapes : 1° prolifération vasculaire; 2° sclérose et
atrophie
des cellules nerveuses ; 3° formation des cavit
posés ; enfin les cellules pyramidales présentent tous les degrés d'
atrophie
. Nous n'avons pas insisté sur leur vacuolisatio
rêter. Du côté de la substance blanche, il est facile de voir son
atrophie
; la multiplication des noyaux des petites cellu
n française, p. 449, 1865. Magnan. Thèse, p. 323, 1866. Cotard.
Atrophie
partielle du cerveau. Thèse, 1868. 17' ANATOMIE
en. - Maladies de la moelle, p. 56, 1879. Magnan. Idiotie, mutisme,
atrophie
scléreuse gauche. Soc. biologie, 1881. Bourne
phale, p. 155, 1883. . Danillo. Encéphalite parenchymateuse avec
atrophie
partielle. - Archives de Neurologie , t. Il, p.
es de la couronne rayonnante (distinct du faisceau pyramidal), et s'
atrophie
secondairement aux lésions destructives de la z
ons une prolifération et une division des cellules, et non pas leur
atrophie
, donc nous avons dans ce cas non pas un process
second cas, comme dans le premier, il existait un cer- tain degré d'
atrophie
cérébrale, ayant, selon tarègle, comme siège un
. Enll (d'Heidelberg). De la dystrophie musculaire progressive. - L'
atrophie
musculaire progressive se décompose en deux for
ique (dystrophie musculaire progressive). Cette dernière comprend l'
atrophie
musculaire juvénile (Erb), la pseu- dohypertrop
musculaire juvénile (Erb), la pseu- dohypertrophie de l'enfance, l'
atrophie
musculaire héréditaire (Leyden), l'atrophie mus
trophie de l'enfance, l'atrophie musculaire héréditaire (Leyden), l'
atrophie
musculaire progressive infantile de Du- chenne
par de l'hypertrophie ; en même temps les fibres s'altèrent et l'
atrophie
graduelle s'accompagne bientôt d'hyperplasie du t
s affaires de la Société. M. HOFFMANN (privat-docent). Sur un cas d'
atrophie
musculaire progressive. - L'orateur le désigne
L'orateur le désigne sous le nom de forme tenant le milieu entre l'
atrophie
musculaire spinale et l'atrophie muscu- laire m
de forme tenant le milieu entre l'atrophie musculaire spinale et l'
atrophie
muscu- laire myopathique, à l'exemple des obser
e, d'une dégénérescence nerveuse multiloculaire et propose le nom d'
atrophie
musculaire progressive neurolique bien que, ain
s travaux de COTARD ; qu'il nous suffise de signaler sa thèse sur l'
Atrophie
partielle du cerveau (1866) et quelques communica
SCENCES SPINALES. 35 contournement flexueux du cylindraxe en voie d'
atrophie
et se présentant comme une ligne izzcuroée, au
n résultat de l'emploi, l'extrait thyroïdien dans un têt cas. II.
Atrophie
primitive des muscles du tronc et des membres ; p
Psyc)ciut., XXVI, 2.) Sorte de cirrhose cérébelleuse, c'est-à-dire
atrophie
des éléments nerveux par multiplication des élé
accusait depuis longtemps une faiblesse de la vue consécutive à une
atrophie
du nerf optique, mais qui ne l'empêchait pas de p
ire et du niveau intellectuel. Pas de cécité psychique. Autopsie.
Atrophie
du cerveau généralisée. Petits foyers sans impo
. pas ramollie sur les coupes antérieures, mais elle présente une
atrophie
de ses faisceaux. Le fornix gauche présente des s
de constituer un. nouveau type indépendant de la polynévrite, de l'
atrophie
musculaire névropathique progressive, de l'atro
lynévrite, de l'atrophie musculaire névropathique progressive, de l'
atrophie
musculaire Duchenne-Aran, de la sclérose latérale
. 56 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. symptômes infectieux, par de l'
atrophie
avec parésie de la région qui englobe le bassin
'apprend pas à marcher et ne peut se tenir debout sans aide. Puis l'
atrophie
avec la paralysie ^ gagne supra et infra, frapp
s. La paralysie, toujours flasque, progresse parallèlement avec l'
atrophie
. Jamais il n'y a d'hypertrophie ou de pseudo-hype
éflexes cutanés, intégrité de la sensibilité et des sphincters. L'
atrophie
de la substance musculaire est excessive; il y a
souffre aucune exception. Anatomie pathologique : disparition par
atrophie
des cellules des cornes antérieures dans toute la
nérescence des troncs nerveux antérieurs. Les muscles subissent : l'
atrophie
simple, la dégénérescence homogène, et fragment
aux phénomènes parétiques ou paralytiques; il en est de même pour l'
atrophie
des muscles et ponr divers troubles cutanés, se
résultats de l'autopsie, en choisissant les plus saillants : légère
atrophie
des régions frontale et pariétale; sur le bord
l'opinion de ce dernier auteur, ces changements con- sistent dans l'
atrophie
et la vacuolisation des cellules, dans les chan
rtie. Schaffer aussi rencontra dans la polynévrite alcoolique une
atrophie
des cellules des cornes antérieures et des cordon
rveaux séniles d'aliénés que l'auteur a examinés pré- sentaient une
atrophie
plus ou moins marquée et une diminution de poid
sa strialion manque de netteté. La substance blanche participe à l'
atrophie
superficielle; elle est de consistance ferme. On
pathogénie des lésions qui viennent d'être signalées. R. M. C. VU.
Atrophie
ET sclérose du CERVELET; par C. HUBERT-Bo\D. (T
eur ensemble sous le nom d' « astasie » et que Ferrier rattache à l'
atrophie
du cervelet. Ce cas nous montre aussi que l'exi
troncs nerveux avec sensibilité à la pression, d'un certain degré d'
atrophie
avec diminution de l'irritabilité faradique, avec
multiple. L'abolition du réflexe du genou, avec paralysie flasque,
atrophie
, et perte de la sensibilité faradiqne du muscle
HÉMIPLÉGIE gauche : PERTE DES réflexes superficiels ET PRO- FONDS ;
ATROPHIE
musculaire considérable; anesthésie marquée de
squelles on puisse légitimement baser une théorie de l'origine de l'
atrophie
musculaire dans l'hémiplégie. R. M. C. XIV. L
re la part de l'état des parties molles qui recouvrent les os, leur
atrophie
étant en rapport avec une perception plus nette
raire obnubilant le son dans cette région. P. Keraval. XXII. DE l'
atrophie
musculaire dégénérative dans la paralysie PROGR
rophies, de par leur siège et leur répartition, se distinguent de l'
atrophie
ordi- naire de la paralysie générale, et, par l
eté des altérations qualitatives de l'excitabilité galvanique, de l'
atrophie
lente tabé- tique. M. Hoche discute à ce sujet
uisent l'acromégalie, de même que le myxoedème est le résultat de l'
atrophie
de la glande thyroïde. La lésion dépénérative a
initivement, les contrac- tures gagnent les membres supérieurs où l'
atrophie
est très mar- quée, tandis qu'elle est légère s
u groupe antéro-interne des cellules de la corne anté- rieure ; g).
Atrophie
du noyau de la douzième paire. Après une discus
s d'eux, on rencontre fréquemment des caractères : névrite optique,
atrophie
papillaire, troubles de la vessie, inexcitabili
alors le plus souvent le type de la paralysie spinale aiguë ou de l'
atrophie
musculaire progressive. Ce travail se termine par
complètement oblitérés, avec disparition complète de la lumière et
atrophie
des parois. Sur quelques préparations de la pea
moindre dans les cas spasmodiques que dans les cas tabétiques. - L'
atrophie
de la moelle est la règle dans la paralysie gén
ytiques généraux de rencontrer des lésions trophiques, telles que l'
atrophie
de la peau, des muscles et des os, des destruct
E MENTALE. .XLVII. Observation DE paralysie générale associée A une
atrophie
musculaire progressive; par P. SCHUSTEIt. (Neur
oalgésie dans les jambes (moindre à la parlie supérieure du corps);
atrophie
musculaire extrême. Il s'agit évidemment de deux
git évidemment de deux maladies, car l'un des complexus morbides (l'
atrophie
) précédait l'autre (la démence paralytique) de
ar exemple du tabes dorsal, d'avec la névrite mulliloculaire avec
atrophie
, d'avec la syringomyélie. Conviendrait-il d'admet
ctuel et un autre dans lequel - la paralysie générale précéderait l'
atrophie
? On ne sait. Y aurait-il lieu de tenir pour ac
pour accidentelle la coexistence de la paralysie géné- rale et de l'
atrophie
, ou de considérer cette coexistence comme due à
ES. 383 puisse s'exercer de fonction minima. Ceci dit, l'étude de l'
atrophie
du lobe optique des oiseaux prouve, d'après M.
nt placées il la périphérie anté- rieure de la corne postérieure. L'
atrophie
de la rétine et du nerf optique des tabétiques
arasme, mort. On constate à l'autopsie : de l'artério-sclérose; une
atrophie
générale du cerveau ; un foyer de ramollissemen
existe des formes intermédiaires, entre la maladie de Friedreich, l'
atrophie
du cer- velet, l'ataxie cérébelleuse héréditair
agit pas, dans ces cas, comme on l'a souvent prétendu, d'une simple
atrophie
d'une moitié de la moelle. La lésion pre- mière
dégénération bien localisée d'un segment du cordon de Burdach et l'
atrophie
ne vient que consécutivement. Les cellules scns
bre de cellules dans les cornes antérieures du renflement lombaire.
Atrophie
musculaire dans la région de l'éminence thénar
re. Atrophie musculaire dans la région de l'éminence thénar droite.
Atrophie
et disparition totale des libres dans les extré
e paralysie complète de l'oculo-moteur commun du côté gauche et une
atrophie
du nerf optique; du côté droit on note la perte d
urs et les nôtres, comme caractérisant la dégénérescence ou mieux l'
atrophie
rétrograde dans sa forme typique. ' Revue de Mé
es auteurs qui ont établi ce fait. 426 1N1T0911li PATHOLOGIQUE. l'
atrophie
que nous appelons rétrograde est plus obscur. M
Wallérienne ; à celle du bout central le nom de dégénérescence ou d'
atrophie
rétrograde , tout en acceptant d'ailleurs certa
dans les maladies du neurone précédent ; ce tableau est celui de l'
atrophie
musculaire progressive. Les muscles s'atrophien
nt ; les paralysies ne se produisent qu'en raison du degré de cette
atrophie
qui n'est jamais absolue ; les réflexes diminue
nés les mani- festations des deux variétés précédentes. 11 y aura l'
atrophie
musculaire, ce caractère principal des dégénére
acture va se compli- 430 0 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. quer d'un peu d'
atrophie
musculaire impliquant la partici- pation du neu
ue dans la variété du télétabès. Ainsi, par exemple, il n'y a pas d'
atrophie
de la papille dans les formes spinales tabétiqu
albatl, 1er avril 1895, p. 290. 1 Les malades qui ont le tabes avec
atrophie
de la papille délirent souvent, mais ils ne son
s, malgré cette différence, se dessinent nettement : aucun indice d'
atrophie
. L'aisselle droite est le siège de troubles troph
res doigts n'offrent qu'une hypertrophie de la peau. Il n'y a pas d'
atrophie
des éminences thénar et hypothénar (fig. 28). b
des doigts. Signalons aussi l'attitude des mains en crochet et une
atrophie
, à droite, des éminences thénar et hypothénar.
t. Sans doute, une lésion hémi-cérébrale est parfois suivie d'une
atrophie
de l'hémisphère cérébelleux du côté opposé, mais
du corps des cellules nerveuses en fines granulations, suivie d'une
atrophie
homogène progressive du noyau. Quelquefois il y
Les symptômes consistaient en : hémianopsie et plus tard amblyopie,
atrophie
du nerf optique du côté droit, alexie, agraphie
die de Morvan, mais y est plus fugace. Comme troubles trophiques, l'
atrophie
mus- culaire prime dans la syringomyélie les pa
ns latéraux de la moelle; une observation d'ataxie locomotrice avec
atrophie
musculaire et ataxie du tonus, par le Dr Sacaze
ouvements involon- taires au repos chez les - par Grasset, 493.
Atrophie
primitive des muscles du tronc et des membres p
u- par Belmondo, 480. Cervelet. Pathologie du -, par Arndt, 51.
Atrophie
et sclérose du -, par Hubert Boud, 213. Diagn
Hémiplégie gauche, perte des ré- flexes superficiels et profonds,
atrophie
musculaire, etc., par Es- kridge et Peterson, 2
Campbell, 134. - chez une fillette de neuf ans, parDunn 137. De l'
atrophie
musculaire dé- générativedans la -, par Hoche,
cliniques et pathologiques de la-, pai-Fari-ar. - associée à une
atrophie
mus- culaire, par Schuter, 354. Quelques prob
rtante doit être faite aux lésions cons- tatées du côté du coeur. L'
atrophie
du muscle, cardiaque a été observée chez un cer
és à des formications pas- sagères, évolution apyrétique, absence d'
atrophie
; réaction normale des muscles et des nerfs à l'
Cette affection, que Duchenne (de Boulogne) a décrite sous le nom d'
atrophie
musculaire progressive de l'enfance"est une malad
enfance"est une maladie spéciale qui n'est pas de même nature que l'
atrophie
musculaire progressive de l'adulte; car, tandis
nale, le système nerveux ne prend aucune part dans l'évolution de l'
atrophie
de l'enfance qui est exclusivement myopathiqzte
erveuse. 79 (rire en travers, immobilité des traits). De la face, l'
atrophie
se généralise aux membres, en étant toujours pl
nerfs n'offrent aucune altération. Au point de vue diagnostique, l'
atrophie
des muscles de la face a une valeur absolue qui
une valeur absolue qui permettra de repousser d'emblée l'idée d'une
atrophie
musculaire myélopathiqne. Si les muscles de la
e la « forme .juvénile » de Erb par la participation de la face à l'
atrophie
, l'absence de pseudo-hypertrophie, et la fréque
irréparables du système nerveux (fixité, immobilité de la pupille,
atrophie
des deux nerfs optiques, complexus symptomatiqu
ral. Enlevez un hémisphère cérébral à un lapin, vous obtiendrez l'
atrophie
du faisceau de l'hémisphère qui se rend au tuberc
en rapport avec le lobe pariéto-occipital; vous obtiendrez encore l'
atrophie
du groupe de cellules nerveuses du tubercule an
d'un hémis- phère, disait M. de Gudden, le faisceau de la calotte s'
atrophie
aussi, il n'en reste qu'un élément. Cela est en
il n'en reste qu'un élément. Cela est encore vrai. Seulement, cette
atrophie
partielle est uniquement la conséquence d'un arrê
li, sur laquelle se renverse l'hémisphère cérébral normal ; de là l'
atrophie
partielle du nerf lui-même. Le ganglion ventral
est comprimé et demeure en retard dans son accroissement, de là une
atrophie
parallèle des trous- seaux de fibres correspond
avec ou sans la partie antérieure de la couche optique, détermine l'
atrophie
des tractus du faisceau de la calotte situés in
le plan ventral du faisceau longitudinal postérieur. (Voyez supra l'
atrophie
par compression de la portion ventrale du gangl
s et des mains, bientôt remplacées par des contractures vives, de l'
atrophie
mus- culaire, de la diminution de l'excitabilit
t celui du facial ; on a vu en plusieurs cas du strabisme. Jamais d'
atrophie
musculaire dégénératrice à proprement par- ler,
compagner d'immobilité ou d'irrégularité pupillaire, par névrose ou
atrophie
du nerf optique, et leur diagnostic est facilit
. . L'hémianopsie latérale avec immobilité pupillaire, névrite ou
atrophie
du nerf optique, surtout s'il s'y joint des sym
nique d'ori- gine rhumatismale, il s'est produit un certain degré d'
atrophie
du triceps crural (amyotrophie d'origine articu
de fibres qui doit être en rapport avec le noyau du cordon latéral (
atrophie
de ce noyau). Où se termine le corps restiforme
n tout cas l'extirpation totale de la moitié du cervelet entraîne l'
atrophie
d'un corps restiforme et toujours du corps rest
t interne du pédoncule cérébelleux in- férieur qui contraste avec l'
atrophie
notable du corps restiforme : on peut également
s corticales du cervelet. Quant à son trajet extra-cérébelleux, son
atrophie
est en rapport le plus intime avec. 236 REVUE D
ouge de la calotte (de Stilling) du côté opposé, mais ce noyau ne s'
atrophie
simultanément que partiellement.-d. Pédon- cule
rement dans les cellules protubérantielles qui empêchent tout autre
atrophie
au sein de ce pédoncule. B. Trajet du faisceau
tal, mais il est impossible de dire pourquoi l'on ne perçoit plus d'
atrophie
de la couche intermédiaire des olives dès qu'on
t en connexion avec les deux faisceaux d'une manière assez égale. L'
atrophie
des centres optiques primaires présente à peu prè
les ner- veuses de la couche grise superficielle qui commandent à l'
atrophie
. 1 Voy. Archives de Neurologie, t. X, p. 104 et
e, l'ablation de la partie médiane de la sphère visuelle entraîne l'
atrophie
de toute l'étendue des faisceaux conducteurs jusq
res au-dessus du filum terminal. L'examen histologique révèle : une
atrophie
extrême de tout le cône médullaire au point d'é
nt la mort en quatorze jours. Autopsie. Aucune lésion syphilitique.
Atrophie
simple, mais générale des nerfs optiques. Lésio
région lombaire, de larges segments périphériques du même système :
atrophie
des racines'postérieures de la moelle lombaire.
es égaux; intégrité du cervelet, des nerfs et vaisseaux de la base,
atrophie
extrême du corps calleux, de la voûte à trois p
ue de ce genre, on a trouvé à l'autopsie de la pachyméningite, de l'
atrophie
cérébrale, de la périhépatile et de la périsplé
les évidents de forme relatives aux §§ a et sont constitués par l'
atrophie
et l'hypertrophie faciales unilatérales, formes c
es membres inférieurs. Excitabilité électiiqup normale; absence d'
atrophie
en masse des muscles paralysés : pas de convulsio
e poliomyélite de la forme la plus légère, c'est-à-dire dépourvue d'
atrophie
et de réaction dégénérative des muscles paralys
èse de la compression pathogénétique, qui généralement provoque une
atrophie
du système musculaire avec altération de la réa
dix jours dans la liqueur de lltueller, décorti- quer les organes);
atrophie
considérable mais non uniforme du cerveau antér
ne possède pas d'état anatomo-pathotogique spécifique. En effet, l'
atrophie
du cerveau antérieur, les traces et résidus d'h
erturbations de la paralysie générale, auxquels se joignent alors l'
atrophie
des nerfs optiques etjla dégénérescence grise des
ie, un ensemble morbide rappelant la paralysie générale, enfin de l'
atrophie
des nerfs optiques avee du tabès . L'associatio
Com- munication provisoire sur un cas de paralysie saturnine avec
atrophie
, chez un homme de vingt-six ans, ayant souflert a
ravant pendant quatre ans de l'intoxication par le plomb. Mort par
atrophie
granuleuse des reins. L'examen n'est pas encore
recueil ? . M. Zacher (de SLepliansfeld). Sur la disparition par
atrophie
des fibres nerveuses à myéline de l'écorce du c
décelé d'autres traces d'anêts de développement. En tout cas, si l'
atrophie
des fibres intracorticales du cerveau du paraly
dans tous ses modes; ralen- tissement des impressions douloureuses.
Atrophie
des interosseux des deux mains et des muscles d
tructure du tube nerveux une série de modifications aboutissant à l'
atrophie
plus ou moins complète. Dans l'immense majori
l'homme, et M. Gombault a pu l'observer chez des sujets atteints d'
atrophie
mus- culaire protopathique, de sclérose latéral
. Enfin, au degré ultime, toute trace de myéline ayant disparu, l'
atrophie
est complète. La gaîne de Schwann se présente sou
Schwann affaissée ou plissée. Quelque soit d'ailleurs le degré de l'
atrophie
, jamais on ne constate dans la gaîne de Schwann
lisée. Enfin la physionomie de ces accidents est com- plétée par l'
atrophie
et la diminution de l'excitabilité faradique de
ment; au sur et à mesure de leur élimination, la fibre s'amincit, s'
atrophie
, d'abord en quelques 'points, puis sur toute so
Soelbrig, de Munich) de l'inégalité des cornes d'Ammon et de leur
atrophie
ou sclérose (Meynert, Kéraval), de l'asymétrie de
CUEIL DE FAITS. ventricules. Pas d'inégalité des cornes d'Ammon, ni
atrophie
ni ramollissement. Cervelet : Les deux lobes
Rien à noter la coupe. Pas de ramollissement, ni d'induration, ni d'
atrophie
de la corne d'Ammon. Hémisphère gauche : poids
hésies, exagération des réflexes tendineux , immobilité pupillaire,
atrophie
musculaire et cutanée, cv-tite, in-omnie, accid
vins généreux. Trois observations. . II. Traitement galvanique de l'
atrophie
musculaire progressive. - On prend souvent pend
par l'hydrothérapie; par H. DUPI1É. (Thèse de Paris, 1885.) De l'
atrophie
du triceps crural dans les fractures de la rotule
e de la vie animale, se traduisant par une impuissance motrice et une
atrophie
plus ou moins accusées, sont, ainsi que je vous l
, en pareille circonstance, semble être proportionnelle au degré de l'
atrophie
subie par le muscle. Ce sont là deux cas extrêm
ile dans les cadres classiques, la paralysie glosso labio-laryngée, Y
atrophie
musculaire progressive. J'espère vous démontrer q
ga-lement arquées des deux côtés à cause de la scoliose. Bassin : l'
atrophie
est manifeste. Il est plus petit que ne le com-po
es molles. Celles-ci n'exis-tent presque point pour ainsi dire, car l'
atrophie
musculaire semble complète. A peine voit-on quelq
peau. Mouvements en partie détruits, en partie conservés, suivant l'
atrophie
musculaire plus ou moins complète. L'action des m
a voix revint, mais la paralysie des membres augmenta, et avec elle l'
atrophie
musculaire. Le sang fut examiné quatre fois aux
enne ou aux intumescences dues au tubercule, au carci-nome, etc. 2°
Atrophie
du foie. L'atrophie du foie peut dépendre, comme
ences dues au tubercule, au carci-nome, etc. 2° Atrophie du foie. L'
atrophie
du foie peut dépendre, comme pour la rate, d'une
e pour la rate, d'une inflammation chronique interstitielle, ou d'une
atrophie
pure et simple du parenchyme du foie, on d'une at
lle, ou d'une atrophie pure et simple du parenchyme du foie, on d'une
atrophie
jaune aiguë. La première de ces affections a quel
écarter l'hypéré-mie chronique du foie, l'infiltration graisseuse, l'
atrophie
jaune et la pyléphlébite. 5° Altération morphol
ulation géné-rale. Si à l'hyperplasie de la rate vient se joindre une
atrophie
du foie, celui-ci détruira moins de microcytes, d
tient en grande partie à l'ad-hérence de la peau au maxillaire et à l'
atrophie
de la peau, condi-tions qui mettent obstacle au j
aru. On ne se rend pas toujours un compte exact de l'étendue de cette
atrophie
, parce qu'elle est souvent masquée, ne l'oublions
fait ressortir : c'est l'arrêt de développement du système osseux. L'
atrophie
qui affecte les os n'est nullement en rap-port né
rt nécessaire avec le degré ou avec l'étendue de la paralysie et de l'
atrophie
musculaires. Ainsi, suivant une remarque de Duc
s-prononcé que présente tôt ou tard le membre paralysé. De même que l'
atrophie
, ce phénomène paraît s'accentuer plus dans la par
membres3. C'est peut-être le lieu de faire remarquer qu'en outre de l'
atrophie
des muscles et des os, on trouve à l'autopsie, da
génie de ces déformations n'offre pas d'obscurités. Nous savons que l'
atrophie
n'est pas répan-due uniformément sur tous les mus
artie des faisceaux primitifs subirait dans celte première période, l'
atrophie
simple, sans dégénération graisseuse. L'examen mi
l'opinion généralement répandue, le même caractère se retrouve dans l'
atrophie
musculaire progressive de cause spinale. Les lé
e la moins impor-tante. Ainsi, nous avions constaté l'existence d'une
atrophie
des cor-dons antérieurs de la substance grise et
fait, rapporté en 1869 par MM. L. Clarke et Z. Johnson, sous le nom d'
atrophie
musculaire, doit être, croyons-nous, rapproché du
brusquerie de l'invasion des accidents, le mode de localisation de l'
atrophie
des muscles ne laissent guère subsister de doute
; or, dans ce cas encore, l'examen microscopique a fait reconnaître l'
atrophie
des cornes antérieures, la disparition ou l'atrop
it reconnaître l'atrophie des cornes antérieures, la disparition ou l'
atrophie
granuleuse d'un certain nombre de cel-lules nerve
ructure normale. Enfin nous signalerons dans notre observation, une
atrophie
avec sclérose partielle des cordons antéro-latéra
e atrophie avec sclérose partielle des cordons antéro-latéraux et une
atrophie
très-prononcèe des racines antérieures, remarquab
paux symptômes de la maladie, en particulier la paralysie ainsi que l'
atrophie
des muscles ; nous avons en outre émis l'opinion
est là le fait anatomique initial ; les lé-sions de la névroglie et l'
atrophie
des racines nerveuses devant être considérées com
relative du cerveau gauche de notre malade est bien en rapport avec l'
atrophie
de cette moitié de la tête. L'exploration des o
rationnel que nous puissions invoquer pour expliquer les phénomènes d'
atrophie
dont le torticolis est le point de départ. REVU
ation au bord libre des ongles des deux der-niers doigts. Peut-être l'
atrophie
du filet sous-unguéal des rameaux digitaux du cub
), m'ayant appris qu'il avait démontré par l'exploration électrique l'
atrophie
de la portion interne du court fléchisseur du pou
ges quand on veut examiner la conlractilité des muscles et le degré d'
atrophie
, surtout lorsqu'on fait ces recherches chez des e
d'ajouter qu'il ne se rapporte qu'au cas où le muscle n'a pas subi d'
atrophie
bien considérable. On ne peut guère comprendre qu
aciales, dans les paralysies infantiles, dans certains cas hybrides d'
atrophie
musculaire pro-gressive, et à une certaine périod
II. La troisième partie est consacrée aux Lésions de nutrition : Io
atrophie
: par lésion de la texture de la rate (échine-coq
ion de la rate; on la rencontre soit avec l'hypertrophie, soit avec l'
atrophie
de l'organe; 5° Gangrène de la rate. IV. Dégéné
Académie des sciences. Eh bien, dans aucun des cas, ni dans des cas d'
atrophie
, de rhumatisme articulaire chronique ou de contra
ans la circulation intra-oculaire sont moins prononcés dans les cas d'
atrophie
de la pupille, mais ils existent cependant cl ain
si peut s'expliquer comment, dans quelques cas, on peut arrêter celte
atrophie
et même obtenir une amélioration. Dans trois cas
ter celte atrophie et même obtenir une amélioration. Dans trois cas d'
atrophie
de la pupille, nous avons incontestable-ment obte
en est d'autres enfin où nous n'avons pu obtenir aucun résultat, et l'
atrophie
a continué à envahir le nerf optique. Chez deux
ontinus est celui que nous avons obtenu chez une malade qui avait une
atrophie
musculaire généralisée à la suite d'une fièvre ty
bras et de sa main ni pour manger, ni pour s'habiller; il y avait une
atrophie
visible à l'œil nu dans tous les muscles du bras
nous ayons observé ces phénomènes. Chez une autre malade atteinte d'
atrophie
musculaire progres-sive, le résultat ne paraît pa
rite du genou gauche, épaississement unilatéral du tissu sous-cutané,
atrophie
simultanée des muscles, intumescence de la mamell
utané, atrophie simultanée des muscles, intumescence de la mamelle et
atrophie
du testicule correspondant. Cette relation entre
correspondant. Cette relation entre l'intumescence de la mamelle et l'
atrophie
du testicule correspon-dant étudiée, d'abord, par
-gien doit toujours prévoir la possibilité : nous voulons parler de l'
atrophie
de l'utérus. Celle-ci peut devenir une cause d'er
4 centimètres. Par le toucher rectal, il fut facile de constater une
atrophie
de la ma-trice. Celle-ci présentait, en outre, un
e élongation congénitale du col, compliquée d'antéversion légère avec
atrophie
de l'utérus. Telles sont les diverses complicat
également se mon-trer comme conséquence de l'altération médullaire :
atrophie
mus-culaire, arthropathies, zona, eschare sacrée,
ngite cervicale, les douleurs précoces dans les membres supérieurs, l'
atrophie
musculaire rapide qui leur succède, la paralysie
e temporale superficielle; liga-ture, 213. — rénale; anomalie, 182.
Atrophie
musculaire progressive traitée par les courants c
de méningo-encéphalite diffuse, le tabes étant caractérisé par de l'
atrophie
papillaire du côté droit, le signe de Robertson,
rs ful- gurantes, des crises gastriques, des crises laryngées, de l'
atrophie
papil- laire, etc., les réflexes tendineux n'ét
is ; néanmoins, l'irréflectivité s'établit généralement avant que l'
atrophie
des muscles soit complète. Dans la poliomyélite
ans le tissu inflammatoire et que les lésions eussent déterminé une
atrophie
considérable des muscles. RÉFLEXES TENDINEUX ET
ent et finissent par disparaître au sur et à mesure que progresse l'
atrophie
. Cependant Landouzy et Dejerine, Erb, Marie, Guin
t d'autant plus frappante qu'elle s'associe le plus sou- vent à une
atrophie
musculaire. Bien plus, l'amyotrophie sans réactio
n est toujours plus marqué du côté du membre atrophié, même quand l'
atrophie
relève d'une paralysie hystérique. J'appelle
ramollissement plus ou moins anciens. Mais on note aussi des cas d'
atrophie
ou plutôt d'agénésie partielle s'étendant parfo
les cérébelleux. André Thomas, traitant ce sujet, rapporte un cas d'
atrophie
olivo- ponto-cérébelleuse où l'examen anatomiqu
tte particularité qu'il a observée chez quelques malades atteints d'
atrophie
musculaire progres- sive, de poliomyélite antér
ë, de paralysie saturnine des exten- R LECTROLO CI E 225 seurs, d'
atrophie
musculaire ab-articulaire ('). D'après Huet, ce f
ner des troubles des organes génitaux, la suppression des règles, l'
atrophie
de l'utérus ; il est donc bien naturel qu'une s
oisin de la surdité, et une décoloration papillaire bilatérale avec
atrophie
des vais- seaux, sans affaiblissement de l'acui
mastoïdien droit, mais il est difficile de savoir s'il s'agit d'une
atrophie
du côté gauche ou d'une hypertrophie du côté dr
ement réduites, puisque nous ne constatons chez cette malade aucune
atrophie
musculaire, et qu'il existe une inté- grité par
'esprit qu'il souffre de la même maladie que son conjoint atteint d'
atrophie
papillaire ou d'incoordination motrice. J'ai no
emment, une femme atteinte de paralysie spasmodique associée à de l'
atrophie
papillaire, dont le mari présentait des signes
ire bilatérale, plus prononcée à gauche, qui a le même aspect que l'
atrophie
tabétique ; le Dr Dehenne, qui est très compétent
à F ? C'A C/A 77M DU CHAMP VISUEL ET DE LA VISION CENTRALE DANS L'
ATROPHIE
TABÉTIQUE DES NERFS OPTIQUES [J. Babinski et J.
s ayant envoyé, à l'hôpital de la Pitié, un tabétique atteint d'une
atrophie
des deux nerfs optiques, dont les symptômes lui p
son champ visuel, et suivre jusqu'au bout l'évolution fatale de son
atrophie
. Il nous a semblé qu'à cette observation, il se
e. Nous l'en remercions bien vivement. L'étude du champ visuel de l'
atrophie
tabétique semble à priori banale. Nous espérons
a recherche du champ visuel et l'étude de la vision centrale dans l'
atrophie
tabétique peuvent être parfois de la plus grand
cliniques que peut revêtir le rétrécissement du champ visuel dans l'
atrophie
tabétique. Ce fait, c'est l'extrême variété ave
être d'accord sur la forme du rétrécissement du champ visuel dans l'
atrophie
tabétique : « Leber parle d'un rétrécissement c
t-quatre observa- tions, ou plutôt de vingt-quatre champs visuels d'
atrophie
tabétique. Pour ne pas allonger inutilement ce
irrégularité, la varia- bilité des contours des champs visuels de l'
atrophie
tabétique. Chez deux malades, on constate un ré
'agissait de tabétiques avérés, présentant d'autres symptômes que l'
atrophie
des nerfs optiques. Sauf exception, le champ
cette forme n'est pas exceptionnelle. ' Il existe donc des cas d'
atrophie
tabétique des nerfs optiques où l'on constate,
mportance, au point de vue du pro- nostic, de la constatation d'une
atrophie
tabétique des nerfs optiques évoluant d'une faç
uellement fatale de cette affection. 3" Du scotome central dans l'
atrophie
tabétique. Si de Wecker, Parinaud, Rouffinet, K
ecker, Parinaud, Rouffinet, Kahler donnaient du champ visuel dans l'
atrophie
tabétique une description différente, ils étaient
qu'on peut obser- ver le scotome central dans 2 pour 100 des cas d'
atrophie
tabétique. D'après M. J. Galezowski, ce pourcen
gretter que la grande majorité de ces cas de scotome central dans l'
atrophie
tabétique ait été simplement énoncée sans schéma
ome central : i° chez un tabétique atteint d'amblyopie toxique sans
atrophie
tabétique ; 2° chez un tabétique atteint d'ambl
e tabétique ; 2° chez un tabétique atteint d'amblyopie toxique avec
atrophie
tabétique. On peut aussi obser- ver un pseudo-s
nt avancé quelques auteurs, que, dans certains cas, il s'ajoute à l'
atrophie
tabétique une névrite rétrobulbaire d'origine s
ite rétrobulbaire d'origine syphilitique. Le scotome central dans l'
atrophie
tabétique sans lésion surajoutée semble excessive
semble encore plus significative si l'on songe à la fréquence de l'
atrophie
tabétique des nerfs optiques. Conclusions. i°
tique des nerfs optiques. Conclusions. i° Il n'existe pas, dans l'
atrophie
tabétique du nerf optique, une forme de rétréci
ision centrale intacte : 4° Le scotome central est très rare dans l'
atrophie
tabétique. Quand il existe, il est le plus souv
ù nous examinons ce malade, il existe au membre supérieur droit une
atrophie
et une faiblesse très marquée des muscles de l'ép
a main, sont contractures à des degrés divers. Les mêmes troubles :
atrophie
et contracture, existent aussi au membre supérieu
a force musculaire est assez bien conservée. Il n'y a ni hypotonie ni
atrophie
musculaire. Les réflexes tendineux des membre
contact des urines et il existe de profondes escarres; il n'y a pas d'
atrophie
musculaire. Les membres supérieurs sont allon
degré d'oedème au niveau de la paume. On est frappé de suite par une
atrophie
marquée localisée aux muscles de la ceinture sc
s signes nous montraient que la lésion devait s'étendre en haut ; l'
atrophie
des deltoïdes et celle COMPRESSIONS MÉDULLAIRES
artie postérieure du bras, prédo- minent dans cette région ; légère
atrophie
et diminution de la contracti- lité électrique
aque jour une importance de plus en plus grande, dans JL laquelle l'
atrophie
musculaire est indépendante de toute lésion des
coup à la précédente. Dans une autre forme, la forme infantile de l'
atrophie
musculaire progres- sive de Duchenne, dont la n
le rhomboïde ; au bras : le biceps et le brachial antérieur, mais l'
atrophie
du triceps suit de près celle des muscles précé
il paraît vraisemblable que l'inégale participation des muscles à l'
atrophie
est en relation avec les différences dans le déve
écute ce mouvement les omoplates se détachent du tronc; il y a de l'
atrophie
des deltoïdes. Les muscles du bras et les longs s
mais il faut ajouter à ces trou- bles l'épithète de secondaires. L'
atrophie
musculaire dans l'hystérie (') est le type du g
s qui sont l'objet de discussions, j'es- (') Voir à ce sujet : De l'
atrophie
musculaire dans les paralysies hystériques, par J
otrophie liée à la para- lysie hystérique, malgré l'apparition de l'
atrophie
musculaire très peu de temps après le début de
s il faut alors ajouter à ces troubles l'épithète de secondaires. L'
atrophie
mus- culaire, dans l'hystérie ('), serait le ty
laire est redevenue normale ; il est donc permis de rattacher cette
atrophie
à l'hystérie. Toutefois, je reconnais qu'on pourr
illeurs ce que je pense actuellement moi-même de la nature de cette
atrophie
que nous avons été les premiers à décrire, mon
agi d'une autosuggestion. Mais vous auriez (1) Voir ce sujet : De l'
atrophie
musculaire dans les paralysies hystériques, par J
es associations hvstéro-organiques étant chose très commune. Si l'
atrophie
musculaire simple, sans D. R. peut dépendre de l'
ents du membre, on constate, lorsque le syndrome est complet : de l'
atrophie
musculaire; de l'exagé- ration des réflexes ten
Hunter (') appela le premier l'attention sur l'affaiblissement et l'
atrophie
des muscles qui se produisent à la suite des lési
drons seulement parmi ceux-ci le mémoire où Gosselin (') décrivit l'
atrophie
musculaire consécutive aux fractures des os lon
recherches d'Erb et de Rümpf); cette amyotrophie se distingue de l'
atrophie
dégénérative. Elle est généralement localisée a
est de la persistance des accidents deuthéropathiques (paralysie et
atrophie
) après la cessation de l'affection protopathiqu
s atrophies musculaires, Thèse d'agrégation, 1869. (3) Valtat, De l'
atrophie
musculaire consécutive aux maladies des articulat
les plaies qui se forment accidentellement sur le membre atteint d'
atrophie
musculaire peuvent ne se cicatriser qu'avec une
es éléments fondamentaux du syndrome clinique que nous étudions : l'
atrophie
musculaire avec l'absence de R. D., la parésie et
ses Leçons cliniques sur l'hystérie à propos d'un malade atteint d'
atrophie
musculaire consécutive à un traumatisme. « Ces
nt d'atrophie musculaire consécutive à un traumatisme. « Ces mots d'
atrophie
réflexe ne correspondent à aucune conception no
n sera sans doute de même pour une grande partie des observations d'
atrophie
. » Cette manière de voir était la conséquence d
marquée, comme elle l'est souvent, ne pouvait être confondue avec l'
atrophie
musculaire hystérique qui est discrète et légèr
plus marquées avec rotation du pied en dehors. Nous constatons de l'
atrophie
musculaire de la cuisse, sans trouble appréciab
eurs et une hypothermie locale très manifeste. Il existait un peu d'
atrophie
diffuse et non systématisée des masses musculai
te de traumatismes portant sur le genou ou à la suite d'arthrite, l'
atrophie
peut être accentuée sans que les troubles parét
serve, tout particulièrement lorsque la lésion siège à la main, une
atrophie
globale nettement appréciable aux doigts qui, alo
exten- sion de la jambe avec contracture du pied en varus équin et
atrophie
du mollet. Cet homme était incapable de marcher
dication motrice ». Retrouve-t-on ces trois facteurs dans les cas d'
atrophie
musculaire, dite réflexe ? L'excitation produit
tôt affaiblie, tantôt exagérée, des trou- bles vaso-moteurs et de l'
atrophie
musculaire. Ces analogies entre les contracture
er des résultats satisfaisants, je crois devoir signaler deux cas d'
atrophie
papillaire tabétique. Ol3SErtVA1'r0\ I. Homme d
schromatopsie. A l'examen ophtalmosco- pique on constate une double
atrophie
papillaire bien plus marquée à gauche qu'à droi
'une manière progressive. Le Dr Parinaud constate l'existence d'une
atrophie
de la papille du côté gauche ; l'acuité visuell
x cas particulièrement heureux et que l'arrêt dans l'évolution de l'
atrophie
papillaire a simple- ment coïncidé avec la mise
pour éviter les troubles dus à la compression, et en particulier l'
atrophie
des nerfs optiques qui peut être la suite des n
a date de ma communication, une observa- tion de syringomyélie avec
atrophie
traitée par la radiothérapie ; chez ces deux ma
vec atrophie traitée par la radiothérapie ; chez ces deux malades l'
atrophie
s'est atténuée à la suite du traitement ('). Ce
sur la sclérose en plaques (Thèse, Paris, 1885, chez Masson). 14.
Atrophie
musculaire d'origine cérébrale avec intégrité des
des nerfs moteurs (Société de Biologie, 20 février 1886). ib. De l'
atrophie
musculaire dans les paralysies hystériques (Archi
janvier 1907). t3z. Du champ visuel et de la vision centrale dans l'
atrophie
tabétique des nerfs . optiques (en collaboratio
udo-tabes 349 VIII. Du champ visuel et de la vision centrale dans l'
atrophie
labétiquc des nerfs optiques 353 Compressions
de folie systématisée non originaire, dans lequel il y avait une
atrophie
de l'hémisphère droit du cerveau. Leidesdorf 2
d'examiner son cerveau et sa moelle. On voit à l'oeil nu : 1" une
atrophie
de la moitié correspondante du crâne ; 2° l'hémis
symétrique des deux lobes occipitaux chez un foetus de huit mois :
atrophie
totale des deux nerfs optiques. Lacunes étendue
et destruction des deux temporales supérieures; à droite, en outre,
atrophie
dégénérative du pulvinar, du corps penouillé ex
s en nageoires, présentent parallèlement un raccourcissement et une
atrophie
de leur moelle lombaire. L'extrémité du cône te
quand un seul de ces organesa subi cette altération ; dans le cas d'
atrophie
bilatérale, la dimi- nution des cellules est pl
u lobe occipital demeurent intactes. On ne peut, en supposant que l'
atrophie
du nerf optique concerne un adulte, suivre touj
e du nerf optique concerne un adulte, suivre toujours à l'oeil nu l'
atrophie
de l'organe en question au-delà des bandelettes
en question au-delà des bandelettes optiques, qu'il s'agisse d'une
atrophie
du même côté ou du côté opposé, même après dix
un lapin nouveau-né se traduit par un arrêt de développement ou une
atrophie
de la bandelette optique du côté opposé, .à l'e
s que ce trousseau, il se conduit comme s'il était aveugle. A cette
atrophie
de la bandelette se rattache l'atrophie du corp
s'il était aveugle. A cette atrophie de la bandelette se rattache l'
atrophie
du corps genouillé externe ; il se présente alors
qui est probablement l'analogue du pulvinar. On ren- contre enfin l'
atrophie
de la couche la plus supérieure du tubercule qu
est le vrai centre visuel. Le faisceau pédonculaire transverse 1 s'
atrophie
quand le nerf optique s'atro- phie, mais son ce
né, à leur émergence du bulbe, sans autre mutilation, entraine l'
atrophie
désirable '. On sait que l'acoustique se compose
e ou racine descendante est-elle coupée, son centre correspondant s'
atrophie
. Je crois avoir trouvé une voie qui de ce centr
. La cinquième paire est, chez le lapin, un nerf puissant, mais son
atrophie
ne se tra- duit par rien sur l'écorce. Nerf o
ques points de suture, des adhérences dans la plaie, vous aurez une
atrophie
très modérée de la couche glomérulaire et de la
ppléance du trijumeau à l'âge de sept à huit jours), on assiste à l'
atrophie
totale des deux bandelettes les deux lobes rest
e, peuvent être enlevés chez le nouveau-né sans qu'il se produise d'
atrophie
de l'écorce ultérieure. Si l'on prend un nouvea
plus difficile; en tout cas, l'écorce ne subit en pareil cas aucune
atrophie
. Centres des animaux nouveau-nés, et, avant tou
aire, il faut donc se montrer très circonspect quand il s'agit de l'
atrophie
d'une bande- lette optique consécutive à une de
uer un rapport de cause à effet avant d'avoir sûrement constaté une
atrophie
anatomique depuis J'écorce jusqu'à la bandelett
2° L'ablation du lobe frontal, et cette ablation seule, entraîne l'
atrophie
complète des faisceaux pyramidaux. L'ablation d
blation de tout un hémisphère, y compris le corps strié, entraîne l'
atrophie
de tout le pédoncule du côtédroit. Chez le lapi
t reste des faisceaux pyra- midaux, l'écorce cérébrale révélait une
atrophie
presque complète, des grandes cellules pyramida
en revue six groupes de névropathies; les unes à lésion classée,1;
atrophie
musculaire progressive ( observation) ataxie lo
que : Constitution vigoureuse, muscles bien développés, pas trace d'
atrophie
, nutrition satisfaisante. L'intelligence et la
s membres inférieurs, considéra- blement affaiblis, présentent de l'
atrophie
dans le domaine du nerf crural (absence du phén
'autopsie permet de constater : une néphrite interstitielle double (
atrophie
granuleuse) ; une hypertrophie du coeur ; un fo
; on y rencontre d'ailleurs peu de granulations grais- seuses, et l'
atrophie
des fibres est particulièrement prononcée dans
substance grise et de ses cellules. Hyperplasie interstitielle avec
atrophie
des tubes nerveux des cordons grêles et cunéifo
in la démence terminale est sous la dépendance d'un certain degré d'
atrophie
du cerveau. Comme le patient était tubercu- leu
mise en rapport qu'avec des lésions périphériques des nerfs ; 2° l'
atrophie
musculaire avec les déformations détermi- nées
ions détermi- nées par les rétractions fibreuses, et tendineuses; l'
atrophie
des muscles de la face, outre qu'elle entraîne
les titres des leçons contenues dans le présent volume : Leçon II.
Atrophie
! musculaire qui succède à certaines lésions ar
tturnatique. Tic non douloureux de la face chez une hystérique. IV.
Atrophie
mus- culaire consécutive au rhumatisme articula
ypertrophie des circonvolutions rolandiques et du lobe paracentral.
Atrophie
des circonvolu- Baillarner. Annales médico-psyc
ont une certaine lenteur et beaucoup de raideur. En somme, pas d'
atrophie
des membres inférieurs ; tout au plus un léger
rtant la sphère visuelle a entraîné secondairement des deux côtés l'
atrophie
du pulvinar, du corps genouillé externe, du tub
struction des faisceaux blancs émanés du lobe temporal a provoqué l'
atrophie
secondaire d'un département » Voy. Archives de
ratiolet sont partiellement remplies de produits de dégénérescence;
atrophie
extrême- ment faible à son début, de la substan
D'abord une légère attaque apoplectiforme dénature inconnue; puis,
atrophie
progressive du nerf optique et choroidorétinite
s altérations des centres optiques pri- maires sont postérieurs à l'
atrophie
des deux nerfs optiques l'intensité de cette at
stérieurs à l'atrophie des deux nerfs optiques l'intensité de cette
atrophie
etlalocalisationdelésions dégéné- ratives en de
nt demeurées intactes n'ont rien à voir avec le nerf optique. Or, l'
atrophie
secondaire est manifeste pour les tubercules bi
insignifiantes de toute autre nature, n'ayant rien à faire avec l'
atrophie
des nerfs optiques. Après avoir rapproché les d
meau antérieur n'est pas absolument clair, mais le caractère de l'
atrophie
descendante paraît prouver que les fibres zonifor
synostoses, état trouble de la pie-mère avec adhérences au cerveau.
Atrophie
cé- rébrale, surtout du cerveau antérieur, des
tance spongieuse environnante de la corne postérieure participe à l'
atrophie
. La colonne de Clarke reçoit des trousseaux de
Les stigmates physiques se traduisent chez l'un des malades par l'
atrophie
des testicules; chez le second, par de la cryptor
ie des testicules; chez le second, par de la cryptor- chidie et une
atrophie
considérable de la verge ; le troisième est un
délirant mais non de sa déséquilibration mentale. 11 présente une
atrophie
considérable des testicules qui sont réduits au
ation de la papille et émer- gence anormale des vaisseaux centraux;
atrophie
de la verge, cryptorchidie ; scrotum réduit ci
NTRS. H9 9 Ce fait sert, en quelque sorte, de trait d'union entre l'
atrophie
simple des organes génitaux et l'atrophie avec
de trait d'union entre l'atrophie simple des organes génitaux et l'
atrophie
avec division scrotale donnant les apparences d
ons de Golf étaient plus ou moins lésés. 0-ii-a constaté une fois l'
atrophie
portant sur presque toute la moelle, comme le f
sées par la congestion de la substance mé- dullaire etsurtout par l'
atrophie
des cellules de la substance grise. Cette atrop
etsurtout par l'atrophie des cellules de la substance grise. Cette
atrophie
cellulaire s'accompagne en outre de pigmentation.
à la teinture d'iode, qui produit la transformation fibreuse, et l'
atrophie
, et oblitère par accolement des parois, la cavi
ez des buveurs ha- bituels. Cu. F. XXIII. De l'anesthésié et de l'
atrophie
testiculuires dans l'ataxie loeo- motrice progr
; elle existait à un certain degré chez seize malades sur vingt. L'
atrophie
du testicule, déjà observée par M. Fourmer, coï
observée par M. Fourmer, coïncide quelquefois avec l'anesthésie. L'
atrophie
et J'anesthésie du testicule ne sont pas en rap
des escharres chez les aliénés, parFoisard, 462. Anesthésie et
atrophie
testiculaires dans l'ataxie locomotrice, par Ri
e cuir chevelu n'est pas soigné », la teinte brunâtre des ongles, l'
atrophie
musculaire des interosseux palmaires et des mus
contrer : le zona, le vitiligo, l'aspect ichthyosique de la peau, l'
atrophie
muscu- laire, la diminution de l'excitation éle
des recherches faites à la Salpêtrière, avait indiqué l'anémie et l'
atrophie
progres- sive de la pupille chaque fois que la
ne altération du fond de l'oeil ». Duterque 1 a remarqué qu'avant l'
atrophie
la pupille subit une congestion intense avec di
de C. Westphal (Charité Annalen, l. XI, 1896) caractérisée par de l'
atrophie
musculaire avec atteinte des muscles de la face
es. La dégénérescence de la cellule ne conduit pas toujours à son
atrophie
; dans un grand nombre de cas, une phase de répar
membre supérieur consécutif A un- traumatisme datant DE l'enfance.
Atrophie
IUSCUL11BE NULLE- RIQUE ; par M. J. KLIPPEL. (R
s, de la moelle et des nerfs a démontré qu'il s'agissait d'un cas d'
atrophie
numérique affection caractérisée par le seul défa
de ces éléments, ni altération de leur structure (diagnostic avec l'
atrophie
simple et l'atrophie dégénérative). L'atrophie
ltération de leur structure (diagnostic avec l'atrophie simple et l'
atrophie
dégénérative). L'atrophie numérique, localisée
(diagnostic avec l'atrophie simple et l'atrophie dégénérative). L'
atrophie
numérique, localisée ou généralisée ne s'observe
est porté à croire qu'il en est de même pour les autres organes ; l'
atrophie
numérique n'est donc pas due à un arrêt de déve
sujets n'ayant pas atteint leur complet développement produisant l'
atrophie
numérique déterminent chez l'adulte, des atroph
hies véritables. M. Klippel fait observer que les sujets atteints d'
atrophie
numérique semblent prédisposés à la tuberculose
tait une amputation con- génitale des trois doigts du milieu et une
atrophie
notable du pouce et de l'auriculaire de la main
au niveau du centre moteur du membre supérieur, ne présentait pas d'
atrophie
visible à lit nu. Le maximum des lésions de l
ion de nombre des collatérales du centre de la corne posté- rieure.
Atrophie
de la substance gélalineus de Rolando. Atrophie
orne posté- rieure. Atrophie de la substance gélalineus de Rolando.
Atrophie
des racines antérieures (sans prolifération int
oelle une situation correspondante à celle de la coloune de Clarke.
Atrophie
du cordon postérieur droit : la zone postérieur
s dans les centres nerveux. En faveur de cette supposition plaide l'
atrophie
dégénérative de certains muscles avec réaction
électrique devint presque normale. Cette observation indique que l'
atrophie
des muscles, qui dépend des modifications dans
le en pain à cacheter, sans stade inflammatoire prémonitoire. Cette
atrophie
doit être considérée aujourd'hui comme une dégé
ille était saine ; que dans la syphilis méningée on avait soit de l'
atrophie
simple, soit de la névrite optique avec phénomè
point de vue pathologique qu'au point de vue symptomatologique. L'
atrophie
cérébrale chronique est le type le plus important
les bras et de plier les coudes. Mais déjà à cette mène époque, l'
atrophie
des petits muscles de la main était bien prononcé
etits muscles de la main était bien prononcée des deux côtés. Cette
atrophie
ne fit que progresser dans la suite. A l'examen
des poignets sont faibles et limités des deux côtés ; il existe une
atrophie
dégénérative des petits muscles de la main, des e
maladies nerveuses, on a constaté : paraplégie inférieure complète;
atrophie
des muscles correspondants avec abolition de l'
bles peuvent aller de la simple coloration brune ou jaune jusqu'à l'
atrophie
, la dystrophie et la chute. Dans la majorité
lpe est à nu sur les incisives infé- rieures. Observation XXVIII.
Atrophie
et déformation des ongles. Alo- pécie. OEdème d
rasion des dents assez accentuée, deuxième degré. Observation XXIX.
Atrophie
et chiite des ongles. Alopécie. Ichthyose. V.
âge de quatre ans une coxalgie gauche. 11 a depuis cette époque une
atrophie
de la jambe gauche et claudi- cation. Anesthési
et plus particulièrement les cordons antérieurs. L'association de l'
atrophie
musculaire et de la paralysie générale trouve s
. Journal of mental science, octobre 1872. ' Grellière. Etude sur l'
atrophie
musculaire dans lapai al. gêner. (Th. de Paris,
ies d'abord ; mais il a vu un cas où l'affection a commencé par une
atrophie
considérable de la cuisse. Il importe de dist
ectrique. L'examen microscopique de l'un de ces deux cas montre une
atrophie
dégénérative des muscles, les cornes antérieure
peut revêtir deux formes principales : la maladie d'Arau- Duchenne (
atrophie
musculaire progressive) ou celle de Charcot (sc
la malade dont nous rapportons l'observation. Dans l'autre forme, l'
atrophie
est générale. Les réflexes sont exagérés, et le
elle se déclara d'abord une éruption de pem- phigus, et plus tard l'
atrophie
des muscles de la main gauche. ' Joflroy. Sur
urnal de méd. et de chir. pratiques, 1894, p. 280.) ' Hoche. De l'
atrophie
musculaire dans la paralysie générale. (Be-liîi
MENTALE. Observation LXVII. Eruption de phlyctènes. Déformation,
atrophie
et chute des ongles. Amyatrophie de la main gauch
taient déjà. Les métacarpiens paraissaient décharnés par suite de l'
atrophie
des interosseux et des lombricaux. L'abduction
isse. Les ongles du pouce et de l'index cessaient de pousser. Pas d'
atrophie
ni des muscles du bras et de l'épaule gauche, n
premier lieu par une éruption trophique, et cinq mois après, par l'
atrophie
des petits muscles de la main, se localisant à
e (obs. VIII), l'ichthyose et la déformation unguéale (obs. XIX), l'
atrophie
et déformation des ongles, l'alopécie, l'oedème
ce de peu de temps. Nous avons observé 2 fois le purpura ; 1 fois l'
atrophie
musculaire localisée à une main et précédée d'u
organes génitaux. Un caractère qui paraîtrait plus corrélatif de l'
atrophie
de son système génital, c'est l'absence de poil
e non goitreux acquis ou myxoedème juvénile qui est produit par une
atrophie
de la REVUE 'DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 227 7 gl
rthago du très distingué M. Escu- der. F. BOISSIER. XVI. UN cas d'
atrophie
musculaire PROGRESSIVE d'origine trauma- TIQUE
ire. On est donc conduit à penser qu'il s'est agi dans ce cas d'une
atrophie
.musculaire progressive plus ou moins aiguë con
inuant sans exagération pendant les mouvements intentionnels. Pas d'
atrophie
. Réflexe patellaire exagéré, clonus des deux pi
e gauche. Couche optique gauche beaucoup plus petite que la droite.
Atrophie
scléreuse des deux noyaux dentelés à la partie
l'hérédo-ataxie cérébel- leuse de Marie la lésion importante est l'
atrophie
du cervelet avec simple diminution de volume de
diagnostic entre une paralysie brachiale radiculaire et une forme d'
atrophie
musculaire du type juvénile d'Erb, il s'agit d'
men de l'enfant, qui est bien portant et vigoureux, on constate une
atrophie
très marquée des muscles de l'épaule et du thor
que l'enfant n'a accusé aucune douleur lors de l'accident et que l'
atrophie
n'a été constatée que deux à trois mois après.
e sont venus : la difficulté de la déglutition, le ptosis gauche, l'
atrophie
tle là langue, la parésie des muscles masticate
en plus grand, le goût s'en ressentait de la même façon ; 2° Une
atrophie
très nette avec signe de dégénérescence peut êt
c ce traitement (entre autres une diminution très considérable de l'
atrophie
). E. i\L1RGOUL1ES. LIV. DES symptômes précoce
n observait fréquemment dans le muscle paralysé; 3° sur l'absence d'
atrophie
après deux mois de paralysie persistante. E. MA
rte uniquement sur les tissus nerveux du lapin. R. Charon. LVIII.
Atrophie
unilatérale DU CERVELET ET SYMPATHICOTOMIE pour
atre jours après en état de mal. Autopsie. Congestion des méninges.
Atrophie
du lobe gauche du ce ? -velet, réduit au volume
lètement atrophiée, la substance blanche est mieux conservée. Cette
atrophie
ne s'est caractérisée par aucune lésion permett
n'y avait de lésion certaine des racines posté- rieures : un peu d'
atrophie
des cellules de la corne antérieure. C'est vrai
s'agissait d'une névrite traumatique du plexus brachial suivie de l'
atrophie
de quelques muscles. Le deltoïde surtout était
ues est bien indiquée. C'est d'abord le pied bot tabétique dû à une
atrophie
des muscles de la jambe et aux troubles trophique
scles du cou, troubles légers de la phonation et de la déglutition,
atrophie
dégénérative des muscles paralysés et anesthési
du trijumeau du même côté, paralysie des membres du côté droit avec
atrophie
musculaire. A l'état de repos la main et la pla
les de la sensibilité objective. Pas de troubles tro- phiques, ni d'
atrophie
musculaire. Aux membres supérieurs, il paraît y
coordination, ni de tremblement. Pas de troubles tro- phiques, ni d'
atrophie
musculaire. Les sphincters ont fonctionné norma
ase de développement. P. KERAvaL. XCVI. CONTRIBUTION A l'étude DE l'
atrophie
UNIL1TLR.1LE isolée (CON- génitale ? ) DES musc
u'il existe une paralysie faciale unilaté- rale isolée congénitale (
atrophie
faciale infantile). Voici une obser- vation dan
vrites dites apoplectiques. Marinesco (Georges). Main succulente et
atrophie
musculaire dans la syringomyélie. Marion (Abel)
nski, 09. Assistance des aliénés en Belgique, par Peeters, 339.
Atrophie
musculaire progressive d'o- rigine traumatique,
férteure, par de Sofider, 495. Cervelet. Abcès du - par Rist, 67.
Atrophie
unilatérale du, par Lauuois, 397. occulo-mole
ni affaissement dans la région des del- toïdes, en rapport avec une
atrophie
de ces muscles. Les denxbras étaient pendants d
ens à insis- ter, il existe du côté des deltoïdes, un léger degré d'
atrophie
musculaire. L'examen électrique, récemment prat
s éclaircissements. Duchenne de Boulogne (1) a fait remarquer que l'
atrophie
ou la paralysie du grand dentelé n'occasionne a
effet, la paralysie n'a été ici ni de- vancée ni accompagnée par l'
atrophie
musculaire, comme c'est la règle dans les faits
es plus favorables. La paralysie est déjà en voie de résolution ; l'
atrophie
muscu- laire est fort peu accusée, et les signe
, les cellules sont également très rares et manifestement en voie d'
atrophie
. Les racines antérieures ont conservé des tubes
t presque disparu, celles qui per- sistent présentent des lésions d'
atrophie
. Dans la corne antérieure droite, au contraire,
droit du cerveau. Les cellules nerveuses sont altérées et en voie d'
atrophie
dans le lobe frontal et dans la région temporo-
ns pigmentaires. Leurs parois sont épaissies. Sous l'influence de l'
atrophie
cérébrale les noyaux de la substance blanche pa
région intéressée n'est pas visiblement changée. On n'y constate ni
atrophie
apparente ni secousses fibrillaires. Les deux bra
n retrouve d'abord plusieurs des ca- ractères de l'infantilisme : l'
atrophie
des organes génitaux, la voix grêle, l'envelopp
e infé- rieur droit, le membre inférieur gauche est atrophié. Celte
atrophie
est plus prononcée au niveau de la région antér
e façon très prononcée. Indépendamment de cette parésie et de cette
atrophie
circonscrite a cer- tains groupes de muscles du
extenseurs du pied, des adducteurs et abducteurs de la cuisse ; une
atrophie
des mus- cles de la jambe et du pied, prédomina
de large; elle empié- tait sur la fesse droite. Il exislait de Y
atrophie
de la fesse droite. A cause de la violence des
mbre inférieur innervés par des branches nerveuses détermi- nées, l'
atrophie
musculaire, les troubles vésico-anaux, t'eschareu
itatératc. Dans le premier cas, vous avez remarqué, en outre, que l'
atrophie
exis- tait surtout dans le domaine du nerf scia
re vue, ce qui domine la scène morbide, ce sont les dou- leurs ou l'
atrophie
musculaire, ou les deux réunies. L'eschare au siè
affections dans lesquelles vous voyez dominer des douleurs ou de l'
atrophie
musculaire ayant pour siège le membre inférieur
ctère de celle-ci (douleur' sourde avec paroxysmes), la marche de l'
atrophie
musculaire consécutive, qui s'attaque en masse
ue poplité externe. Or, vous vous rappelez que chez notre malade, l'
atrophie
musculaire prédomine précisément dans la région
peut se poser a propos de cas pathologiques dans lesquels domine l'
atrophie
mus- culaire. Vous pouvez, par exemple, vous tr
ion de phénomènes doulou- reux, d'anesthésie ou d'hypoesthésie et d'
atrophie
. Seulement, cette der- nière évolue d'une façon
e, qui se caractérise par- une paraplégie atrophique spasmodique, l'
atrophie
étant peu accusée comparativement à l'élément c
de l'a- trophie musculaire, ou par les deux à la fois, douleurs et
atrophie
occu- 78 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
mb dans l'obscurité). Parfois la parésie motrice se complique d'une
atrophie
plus ou moins SUR LES AFFECTIONS DE LA QUEUE DE
s-uns des muscles paralysés, ,c'est le cas chez notre malade. Cette
atrophie
est, le plus souvent, irréparable. , Troubles d
constatation de la réaction de dégénérescence, coexistant avec de l'
atrophie
musculaire, a une grande signification pro- nos
santes à connaître. Troubles trophiques. Je vous ai déjà dit qu'une
atrophie
plus ou moins prononcée envahit quelquefois les
lysie totale des membres inférieurs, avec suppression des réflexes,
atrophie
des muscles paralysés; l'exploration électrique d
aura à se préoccuper des troubles trophiques, en parti- culier de l'
atrophie
musculaire. Messieurs, dans ce qui précède, j'a
t subitement frappée de paraplégie avec anesthésie s'accompagnant d'
atrophie
musculaire. En effet, au bout de huit mois, « s
section du cubital dans la gouttière épitrochléenne, a provoqué une
atrophie
rapide des muscles dépendant de ce nerf, atrophie
e, a provoqué une atrophie rapide des muscles dépendant de ce nerf,
atrophie
sur laquelle nous reviendrons dans un instant.
t surtout le petit doigt fléchis sur le méta- carpe. Il y avait une
atrophie
manifeste des muscles de la partie antéro- inte
cutanés ont complètement disparu. Il ne persiste somme toute que l'
atrophie
musculaire et l'anesthésie dues aux opérations qu
sement. Il n'y a, chez ce malade, ni affaiblissement musculaire, ni
atrophie
, ni incoordination motrice, ni si- gne de Rombe
tater enfin : 2° une paralysie complète avec déviation il gauche et
atrophie
de toute la moitié gaucho de la langue. Cette atr
il gauche et atrophie de toute la moitié gaucho de la langue. Cette
atrophie
indiquait que la lésion siégeait au noyau ou au
rer en cause pour expliquer la déviation (spasme glosso-labié) ou l'
atrophie
'de la langue. Il ne restait donc que l'hypothè
coloration du reste delà substance médullaire. Ici il existait une
atrophie
notable des tubes nerveux et même une absence c
de la névroglie par contre étaient augmentées en nombre. Cet état d'
atrophie
nerveuse et d'hypertrophie névroglique était su
ous l'avons dit plus haut, le bulbe présentait déjà à l'oeil nu une
atrophie
de la pyramide gauche dont l'extrémité supérieure
nom- bre de fibres fines, résultat, pensons-nous, d'un processus d'
atrophie
de ces fibres nerveuses. Quant aux nerfs que,
arrêt dans son évolution. · L'infantilisme est congénital, quand l'
atrophie
des organes génitaux re- monte à la période foe
issance, par accident, mutilation ou maladie. Comme corollaire de l'
atrophie
génitale apparaît le syndrome morpho- logique s
antisme (Capitan, Reichlin), au rachitisme, à l'obésité (Féré), à l'
atrophie
musculaire, etc. Les affections osseuses inflam
H67 participation du facial inférieur, se compliquait d'une légère
atrophie
de la main. Il s'agissait là d'amyotrophie simp
ophie de la main paralysée ? Vous n'ignorez point, Messieurs, que l'
atrophie
mus- culaire est assez fréquente chez les hémip
u'ailleurs. Les muscles des membres inférieurs ne présentent aucune
atrophie
apprécia- ble : ils sont bien colorés, mais n'o
ion. A l'autre extrémité de la série nous placerons l'observation d'
atrophie
mus- culaire syphilitique publiée par notre maî
ces divers titres il nous a paru mériter d'être publié. Résumé :
Atrophie
musculaire chez un homme de 44 ans avec déformati
servés aussi bien les mouvements d'extension que ceux de flexion. L'
atrophie
des masses musculaires de la jambe semble porter
l s'agit d'un individu manifestement hystérique et présen- tant une
atrophie
musculaire touchant très légèrement les muscles d
ion, équinisme et aplatissement de la voûte plantaire, montre que l'
atrophie
a surtout porté sur les muscles de la région anté
thie atrophique pro- gressive, c'est-à-dire d'une de ces variétés d'
atrophie
musculaire où les recherches les plus minutieus
de sclérose combinée. » · l " j. " ,l' ; i f JI. . Paralysie avec
atrophie
généralisée aux qitatî-e-ext2-émités. - Diplopie,
cuisse sont flasques et ont considérablement maigri. 1 , 1 ' ' L'
atrophie
est très prononcée, bien que la forme des membres
i s'y accu- ' mulent. De plus, cette paralysie s'accompagne d'une
atrophie
très prononcée des quatre extrémités des membre
constipation, douleur en allant à la selle, miction incomplète;,
atrophie
musculaire des triceps fémoraux, sacrum extrêmeme
tôt les flé- chisseurs de la main et le triceps brachial sont pris (
atrophie
), ainsi que les muscles du facial inférieur gau
servation de Sceligmulkes), sur le tabes, la sclérose en plaques, l'
atrophie
mus- culaire progressive, la paralysie progress
bservation de poliomyélite chro- nique. - Le malade a quarante ans.
Atrophie
musculaire et fai- blesse des membres supérieur
iaphragme. Examen microsco- pique : substance grise : diminution et
atrophie
des cellules gan- glionnaires des cornes antéri
de Deiters, hémorrhagies capillaires notables. Substance blanche :
atrophie
très nette des fibres de la partie fondamentale
férencier nettement la poliomyélite de la sclérose amyotrophique. L'
atrophie
partielle des fibres des cordons latéraux ne su
ne suffit pas pour invalider le dia- gnostic de poliomyélite, cette
atrophie
n'impliquant pas nécessai- rement une atrophie
poliomyélite, cette atrophie n'impliquant pas nécessai- rement une
atrophie
des faisceaux pyramidaux. Or, une lésion de ceu
la sclérose amyotrophique. Quant au défaut de parallélisme entre l'
atrophie
des fibres des racines antérieures et celle des
M. le Dr W. Roxa présente une fille de vingt-trois ans atteinte d'
atrophie
musculaire progressive, type périphérique (péroné
érescence complète des muscles à partir des genoux, divers degrés d'
atrophie
des muscles des cuisses. L'atrophie des muscles
tir des genoux, divers degrés d'atrophie des muscles des cuisses. L'
atrophie
des muscles des membres supé- rieurs, atteints
homme de vingt-trois ans. Chez celui-ci existait dès l'enfance une
atrophie
de la région du nerf péronéen et à un degré moind
ultérieur de cette maladie. De l'avis du rapporteur. cette forme d'
atrophie
musculaire doit être rangée avec la maladie de
Déjerine (bled. mod., 1891) ne sont que des exemples de cette même
atrophie
musculaire progressive (type périphé- rique), m
Elles tiennent à la fois de la maladie de Friedreich classique avec
atrophie
de la plante des pieds (pieds creux et griffe d
jour à être constatés où si l'examen microscopique démontrait une «
atrophie
en longueur des fibres musculaires D (Rora, Soc
887) caracté- ristique pour les myopathies, il serait évident que l'
atrophie
mus- culaire progressive à type périphérique vi
articulier dans le cas de M. Duchesneau, c'est qu'on constatait une
atrophie
musculaire des membres supérieurs et inférieurs
ntraînait une attitude pseudo-paralytique du pied en varus équin. L'
atrophie
musculaire était survenue d'assez bonne heure.
'oedème bleu des hystériques, l'analyse de la sciatique double avec
atrophie
musculaire, l'ophtalmoplégie externe, la syring
sensibilité. L'aphasie, dans ce cas, était le symptôme unique et l'
atrophie
de la troisième circonvolution a été aussi la s
, au point de vue qui nous occupe. A. Dans la substance grise. - 1°
Atrophie
du noyau principal de 260 REVUE d'anatomie ET D
REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. l'hypoglose avec
atrophie
, soit complète (2 observations), soit par- tiel
s la troisième observation). Le ra- meau d'émergence présentait une
atrophie
partielle, le genou du facial, et les fibres qu
ui environnent le noyau de l'oculomoteur externe étaient atteints d'
atrophie
complète ; - 40 atrophie faible du noyau moteur
e l'oculomoteur externe étaient atteints d'atrophie complète ; - 40
atrophie
faible du noyau moteur du trijumeau (1 observat
che. 1° Sclérose du faisceau pyra- midal dans toute son étendue; 2°
atrophie
, peu nette, du fais- ceau longitudinal postérie
stérieur du bulbe, mais extrêmement nette dans le cas où il y avait
atrophie
complète du noyau de l'hypo- glosse, ce qui pro
n inférieure (ventrale), à la hauteur de l'hypoglosse; - 5° zones d'
atrophie
disséminées dans la région ven- trale (inférieu
en proie à cette affection. L'autopsie révéla : dans la moelle une
atrophie
complète des cellules des cornes antérieures av
latéraux presque totale des racines antérieures. Dans le cerveau,
atrophie
des noyaux de l'hypoglosse, du pneumogastrique, d
ve être rattaché à une lésion du noyau lenticulaire. XX. UN cas d'
atrophie
musculaire spinale PROGRESSIVE COMPLIQUÉE DE LÉ
ychiat., XXIII, 2.) Homme de trente-trois ans, sans tares. En 1879,
atrophie
de t'éminence thénar gauche. En 1881, syphilis.
omissements. En février 1890, psychose aiguë (délire). Actuellement
atrophie
des muscles des deux bras et des épaules; convu
aississement de la pie-mère et des vaisseaux cérébraux; épendymite.
Atrophie
des cornes antérieures de la moelle, du plexus
uméfaction de la rate et des ganglions lymphatiques. Au microscope,
atrophie
simple des cornes grises antérieures de la moel
es et des sutures avec les différentes régions du crâne (étude de l'
atrophie
cérébrale des paralytiques généraux) l'auteur p
t les rapports que vous cherchez'. J. P. E;ERAVAL. XXIV. UN cas d'
atrophie
musculaire précoce CHEZ UN hémiplégique ; par L
disparu, mais le deltoïde, le sus et le sous-épineux présentent une
atrophie
évi- dente, arthrite de l'épaule; l'atrophie ga
épineux présentent une atrophie évi- dente, arthrite de l'épaule; l'
atrophie
gagne l'avant-bras, la main. Nouvel ictus. Mort
es vaisseaux englobés dans la région, a déterminé en même temps une
atrophie
de la moitié gauche du crâne. P. K. XVIII. SU
res, hypérémie excessive du cerveau, surtout au niveau de l'écorce.
Atrophie
considérable et étendue des fibres, dans le gyrus
nstituant une chorée héré- ditaire atypique. P. K. XXII. UN cas d'
atrophie
musculaire par lésion articulaire (ATRO- PHIE M
ticulation de l'épaule gauche. Pas d'altération du système nerveux.
Atrophie
musculaire simple (étude micros- copique). P. K
ion rougeâtre de la lumière surtout à gauche. Ce n'est donc pas une
atrophie
tabético- paralytique ; c'est une amblyopie alc
cule latéral gauche, état granuleux et épaississementdel'épendyme,
atrophie
des couches optiques, ramollissement du corps str
syphi- litique atteinte de paralysie générale, ayant présenté de l'
atrophie
musculaire, et venant à ce point de vue s'ajout
itions de netteté qui ne laissent aucun doute sur le mécanisme de l'
atrophie
musculaire. Elle se développe suivant le procéd
ment disparaitre. D'autre part, j'ai signalé autrefois des points d'
atrophie
(encéphalite scléreuse) sur le cortex de tabéti
L'autopsie montre, outre les lésions de la paralysie générale, une
atrophie
extrême du segment supérieur de la pariétale as
a pachyméningite hél11orrhagique, une leptoméningite chronique, une
atrophie
modérée du cerveau, une dilatation des ventricu
atation des ventricules latéraux, avec granulations épeudy- maires.
Atrophie
remarquable de la première temporale gauche. Le
marquable de la première temporale gauche. Le microscope révèle une
atrophie
considérable des fibresnerveuses avec multiplic
JOLLY présente une malade chez laquelle le tabès existe combiné à l'
atrophie
musculaire. - Il s'agit d'une femme de cinquante-
ate de l'ataxie statique et locomotrice, le signe de Westphal, de l'
atrophie
de certains muscles dans les jambes et dans les
s. M. Jolly pense que les cornes antérieures ne sontpas en cause; l'
atrophie
dépend d'une névrite périphérique en rapport avec
moteur externe. Dans la région du noyau de l'oculo-moteur commun, l'
atrophie
portait sur les groupes de cellules supérieurs,
e pleurésie. L'au- SOCIÉTÉS SAVANTES. 507 topsie ne révéla qu'une
atrophie
du corps restiforme et du faisceau solitaire dr
en soit dans l'espèce, j'ai quelquefois rencontré dans le tabès une
atrophie
du faisceau solitaire, quelquefois aussi l'atroph
ns le tabès une atrophie du faisceau solitaire, quelquefois aussi l'
atrophie
du corps restiforme. Mais il n'y avait pas en c
petitesse du faisceau solitaire d'un côté ne prouve pas qu'il y ait
atrophie
. En effet, ce faisceau se compose de substance
e différence au fond. Ces trois formes sont de la sclérose. C'est l'
atrophie
des fibres ner- veuses à myéhne qui est le phén
fections systématiques de la moelle. - Ce sont : a le tabès; .6 l'
atrophie
musculaire spinale progressive et la paralysie
muette. Certains points de l'écorce étaient nota- blement frappés d'
atrophie
, ils correspondent aux centres admis pour les s
iste entre le développement des muscles et leur envahissement par l'
atrophie
myopathique (en collaboration avec M. BABINSKI; l
es épileptiques, 364; des aliénés en france, par Iluberty, 495.
Atrophie
musculaire, progressive, par Both, 129;- spinal
dorsal, anatomie patholo- gique du - par Mayer, 99; - combiné à l'
atrophie
musculaire, par Jolly, 498; Bernhardt,-503;-
e. - Examen des yeux par le Dr Péchin : 0. G. perception lumineuse,
atrophie
blanche. 0. D. pas de percep- tion lumineuse. A
n lumineuse, atrophie blanche. 0. D. pas de percep- tion lumineuse.
Atrophie
blanche. Des deux côtés, les vaisseaux sont rét
nance des lésions de ce côté et partant à une compres- sion et une
atrophie
plus intenses de cet hémisphère. Observation Il
tionnant : « est atteint d'idiotie avec para- lysie et contracture,
atrophie
papillaire ». DESCRIPTION DU MALADE. 19 Fac
uvent spinale que radiculaire. Dans la plupart des cas, en effet, l'
atrophie
ainsi que la paralysie n'intéressent pas tous l
trices de la moelle ce cas offre également un certain intérêt : à l'
atrophie
de tous les muscles de la jambe et du pied droi
44 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. VU. - Un cas d'
atrophie
abarticulaire ; par le Dr Deroubaix [Journ. de
int à 12 ans d'une arthrite du genou droit suivie d'ankylose et d'
atrophie
du membre correspondant. A l'autopsie on ne tro
ont abolis. Le réflexe cutané abdominal est conservé. Il existe une
atrophie
musculaire dif- fuse des membres inférieurs, qu
gique extrême. Autopsie. - Kyste delà dure-mère à parois ossifiées.
Atrophie
par compression de l'hémisphère droit. Atrophie
à parois ossifiées. Atrophie par compression de l'hémisphère droit.
Atrophie
croisée du cer- v clet. Cadavre émacié il l'e
paissies. Lus deux lobes sont très inégaux; ils sont le siège d'une
atrophie
croisée avec celle des hémisphère» cérébraux et
coupe delà protubérance montre que la région pyramidale a subi une
atrophie
très accusée ; à droite, celte atrophie se tra-
égion pyramidale a subi une atrophie très accusée ; à droite, celte
atrophie
se tra- duit l'extérieur par une différence de
volume. Il s'est développé ensuite de façon considérable causant l'
atrophie
de l'hémisphère droit et occupant près d'un cin
onze observa- lions-de paralysie faciale, de maladie de Thomsen, d'
atrophie
avancée du l'éminence thénar droite, dans lesqu
postérieu- res ou du nerf vague au-dessus du ganglion jugulaire. L'
atrophie
des cellules des ganglions spinaux ne commence
ssagers : souvent pendant la nuit. Parfois on observe une véritable
atrophie
de la langue : la sensibilité reste normale ; d
ltéromasie. Si on pratique les coupes de Flechsig, on observe de, l'
atrophie
des noyaux gris centraux avec des saillies anor
psichiatrii, X, 1905.1 Elude clinique et anatomique du tabès, de l'
atrophie
muscu- laire progressive spinale, de la sy ring
de la sy ringomyélie, de la sclérose la- luraluamyotrophidue, de l'
atrophie
musculaire atypique Duchenne- Aran. de la polio
décrite en 1887 par Wagner, qui la considé- rait comme une forme d'
atrophie
musculaire progressive; elle a été étudiée de r
douleurs en 10 minutes. La galvanisation calme, tout en arrêtant l'
atrophie
musculaire, seulement le malade ne sup- porte p
tion des exercices. P. KERAVAL, \\'1.-Contribution a l'étude de l'
atrophie
musculaire pro- gressive ; par P.A PREOBRAJENSK
P.A PREOBRAJENSK[.(0&f);r<.'ittC ysicltiatrü.,\'lll,) Type d'
atrophie
musculaire progressive chez un homme de 3lî ans
érieures de la moelle el du bulbe trahissent toutes les phases de l'
atrophie
. L'auteur croit cependant qu'il s'agit d'une form
auteur croit cependant qu'il s'agit d'une forme inter- médiaire à l'
atrophie
musculaire progressive et à la sclérose laté- r
rnie pulmonaire sus-claviculaire dans la toux, abaissement du foie,
atrophie
du testicule, hypertrophie mammaire, large repl
. Déjerine et LEI : NH1RDT montrent un malade atteint de Tabès avec
atrophie
des muscles abdominaux et des gouttières ver- t
de la moelle dans la démence précoce. JDI. KLiPPELet LnERMiTTE.A l'
atrophie
avec élat granuleux, et, pigmenlaire des cullul
erl-Pal. Il trouva dans la substance corticale des altérations avec
atrophie
légère plus ou moins'accenluée dans un petit no
ophié. Le reste du la face est, respecte. La peau, au niveau de l'
atrophie
jtigale et des deux tiers anté- rieurs de la fo
cule adipeux liers postérieur de la fosse temporale, large plaque d'
atrophie
cutanée, montant dans les cheveux. La peau, à e
e un trou- Mtitrophique d'origine nerveuse. Il fait remarquer que l'
atrophie
des tissus profonds se fait en même temps que l
lésions débutent aussi, en l'espèce, dans le 3° segment lom- baire (
atrophie
commençante d es cellules-) Le 4c segment lom-
l'apparition de porencephalie et microgyrie en même temps. L\l1.
Atrophie
lamellaire des cellules de Purkinje ; par André
que du cervelet permet de constater des lésions caractérisées par l'
atrophie
et la dispa- rition d'un certain nombre de cell
que, mais l'examen histologique n'a pas confirmé ce diagnostic. L'
atrophie
de la corne antérieure a joué sans doute un Tôle
une dégénéra- lion quelconque du faisceau pyramidal,; d'ailleurs, l'
atrophie
de la corne antérieure ne s'est pas faite exclu
Quand la lésion du neurone périphérique est plus ancienne, avec, l'
atrophie
musculaire, avec la disparition de l'excitabilité
gressive, les réflexes muscu- laires diminuèrent, tandis que dans l'
atrophie
musculaire spinale, il existe ordinairement non
ons classiques des amyotrophies spinales : absence de chromatolyse,
atrophie
pro- gressive de tous les éléments de la cellul
ux, parésie des membres, mouvements de manège de gau- che à droite,
atrophie
du lobe cérébelleux gauche, méningo-en- céphali
ints de vue physio- logique, psychologique et-clinique comparés : l'
atrophie
. très loca- lisée du lobule pneumogastrique gau
EJONNE présentent deux adultes atteints de para- lysie flasque avec
atrophie
reliquat de poliomyélite antérieure aiguë récen
r l'application de courants continus de : 30 à 60 mil- liamperes.
Atrophie
musculaire et osseuse chez des nègres. M. J3RUM
hez des nègres. M. J3RUMPT a observé chez des nègres, en outre de l'
atrophie
musculaire progressive, l'atrophie des phalange
é chez des nègres, en outre de l'atrophie musculaire progressive, l'
atrophie
des phalanges. M. EGGER relate un cas de troubl
urtout à gauche où le deltoïde et les pectoraux sontcomme fondus. L'
atrophie
des deux membres est diffuse, plus considéra- b
set qui indique une atteinte du larynx et des cor- des vocales. L'
atrophie
n'a pas épargné les muscles thoraciques et il exi
Pavant-bras et à la main, qui est légèrement déformée en griffe. L'
atrophie
est moins pronon- cée à gauche. Tendance à la r
assez bien et n'a pas l'habitude de s'engouer. ' On constate de l'
atrophie
musculaire en différentes régions, principaleme
e et d'un centi- mètre à la jambe gauche. Aux membres supérieurs, l'
atrophie
, surtout prononcée à gauche, atteint la ceintur
, maladroite,avec raideur prédominant dans la jambe gauche. Pas d'
atrophie
musculaire apparente aux membres inférieurs. Le
es muscles périscapulaires du même côté sont nettement touchés; l'
atrophie
est aussi très nette à l'éminencethénar,moindre à
ité pupillaire. Les réflexes irions sont normaux. Des symptômes d'
atrophie
musculaire existent en de nombreux points, surt
à la contracture des fléchisseurs et à la main en griffe à droite.
Atrophie
de la ceinture scapulaire très marquée à droite
de la peine à se détacher du sol. L'embonpoint mas- que en partie l'
atrophie
musculaire, cependant elle est très nette aux m
; celle de la gauche de 3 1/2. Les cuisses sont égales. En somme, l'
atrophie
atteint surtout le bras et la jambe gauches. Au
les éminences thénar et hypothénar ne pa- raissent pas avoir subi d'
atrophie
; toutefois, l'opposition dupouce aux autres doi
ns la deuxième zone : des fibres myéli- niques abondantes en voie d'
atrophie
, des cylindraxes (1; Handbuch der Pathulogisc5e
en réaction placées au-dessous de la section et les condamne à une
atrophie
probablement définitive suivje de- leur dispari
t au- cune particularité rare, par Cer- litti et Perusini, 213.
Atrophie
abarticulaire. Un cas d' par Deroubaix, 4f¡.
é- rique, Sommeil. Puerpéralité. Voir Grossesse. Purkinje. Voir
Atrophie
lamel- laire. Queue de cheval. oir Laminec-
vasserie, quelquefois excitabilité, agitation, angoisse, loquacité;
atrophie
bilatérale des interosseux sans lésion périphériq
de 1 à 2 millimètres d'épaisseur limitant une cavité celluleuse.
Atrophie
considérable des racines. Amincissement de la dur
chronique, avec réduction des fibres tangentielles de l'écorce, et
atrophie
des cellules de la seconde couche. Je me réserve
issure de Sylvius. Lannois et Paviot, en 1898, ont aussi trouvé une
atrophie
très prononcée des circonvolutions rolandiques
de anormale, avec rigidité, de la tête en avant et à gauche; 3° une
atrophie
hémilatérale de la langue ; 1 4° le malade en s
g de la l'artère interfuniculaire ; 4° A côté de la déchéance, de l'
atrophie
, de la tuméfaction bour- souflée et de la trans
'acuité visuelle petit elle-même rétrocéder. P. KERAVAL. VI. De l'
atrophie
musculaire dans la sclérose multiloculaire; par
(Neurolog. Cenluulbl., XVII, 1898.) Observation tout entière dans l'
atrophie
musculaire précoce de plus en plus prononcée ul
ique des jambes survient bien après l'installation primordiale de l'
atrophie
musculaire bilatérale, non compliquée, des bras
surtout des petits muscles des mains. On croit successivement à une
atrophie
musculaire progressive et à une sclérose latéra
ules destinés aux muscles) ; en certains endroits seulement, il y a
atrophie
vraie. Il faut remarquer que le processus est d
nt absente. Il s'agit évidemment de dégénérescences secondaires par
atrophie
des cellules nerveuses correspondant aux systèm
de continuité. D'autres cellules sont atrophiées et sombres; il y a
atrophie
du corps et des prolongements de la cellule, le
\f. Brunet; Secrétaires annuels : MM. SEMELAIGNE et SOLFIER. De l'
atrophie
du cerveau dans la paralysie générale. M. Brune
u liquide céphalo-rachidien destiné à combler le vide produit par l'
atrophie
, quantité qu'il a vu s'élever, dans quelques ca
. Il est d'ailleurs impossible que les statistiques, concernant l'
atrophie
du cerveau, puissent concorder complètement entre
s et de 16 à G7 grammes dans 93 cas. , Elle permet de constater l'
atrophie
du cerveau là où l'on aurait pu ne pas en soupç
, le blanc 30, le vert 40. L'ophthalmoscope montre d'autre part une
atrophie
double des nerfs optiques. CONVULSIONS POST-T
de sensation de boule. Pas de trouble des sphincters ; pas trace d'
atrophie
musculaire; le malade est au con- traire fortem
lformations typiques hérédi- Déformations accidentelles par taires.
atrophie
Caractères psychiques de per- Caractères psychi
ides différents affectant le cerveau, et aboutissant finalement à l'
atrophie
et à la destruction des éléments cérébraux, sur
euxième, troisième, quatrième dorsale avec cyphose en ligne brisée,
atrophie
musculaire avec contractions fibril- laires de
nférieurs. A ceci s'ajoute de la dissociation de la sensibilité ; l'
atrophie
musculaire revêt la forme syringomyélique et au
he les pieds croisent à chaque pas l'axe de direction. On note de l'
atrophie
simple des muscles grands pectoraux et grands f
tant les symptômes d'Argyll-Robertson, de Westphal, de Romberg, une
atrophie
du nerf optique gauche, et des douleurs fulgura
phérique, sensibilité des trones nerveux et des muscles et certaine
atrophie
musculaire. Les réflexes patellaires sont exa-
raphie (le cliché est présenté à la Société). Mains en griffes avec
atrophie
intense. Exagération des réflexes rotuliens. Cl
s chez différents auteurs, à savoir : état variqueux des dendrites,
atrophie
variqueuse, état perlé, état moniliforme, atrop
x des dendrites, atrophie variqueuse, état perlé, état moniliforme,
atrophie
moniliforme, etc. Le processus morbide se manif
logique des éléments nerveux, nous devons le considé- rer comme une
atrophie
particulière, comme dégénérescence suigeneris.
la région qui nous intéresse nous rencontrons les termes suivants :
atrophie
variqueuse, dégé- nérescence variqueuse, etc...
ence variqueuse, etc... De notre côté nous trouvons, que le terme «
atrophie
variqueuse des prolongements pro- toplasmatique
s dans les prolongements protoplasmatiques, c'est- à-dire, avec une
atrophie
variqueuse de ces derniers, et l'écorce cérébra
L'anatomie pathologique de la cellule ner- veuse en rapport avec l'
atrophie
variqueuse des dendrites de l'écorce cérébrale.
avec asymétrie faciale. Proé- minence de la bosse frontale droite,
atrophie
relative du même côté de la face; voûte palatin
s encéphaliques aigus ou chroniques, avec processus secondaires d'
atrophie
, de ramollissement, de dégénérescence, d'hyperpla
région de l'écorce où prédominent les lésions de ramollissement, d'
atrophie
, d'oedème, d'anémie persis- tante des éléments
bonne réaction pupillaire à la lumière. Chez un tabétique aveugle (
atrophie
des nerfs optiques), dont les pupilles étaient
ésions déterminées par ce corps étranger sont-elles considérables :
atrophie
de la main et de l'avant-bras, rétraction tendi
paralysies pseudo-bulbaires, les tabès spamodiques, les chorées, l'
atrophie
musculaire progressive avec ses phénomènes oculai
use ; paresthésie auditive, olfactive, gus- tative ; vue affaiblie,
atrophie
papillaire commençante. Au point de vue psychiq
a coaptation des mâchoires avec quelque force est impossible. Pas d'
atrophie
, ni secousses fibrillaires. Organes de la par
de la déglutition. - Langue épaisse et molasse, sans dentelures, ni
atrophie
, ni tremblement. Pas de mou- vements de latéral
paralysie pseudo-bulbaire est plus difficile à cause de l'absence d'
atrophie
dans les deux cas. Le diagnostic de paralysie b
i n'est pas atrophiée, et sans contractions fibrillaires. Absence d'
atrophie
dans tous les muscles. Caractère transitoire de
adique ne s'épuise pas comme l'ont observé Jolly et d'autres. Pas d'
atrophie
de la langue ni d'aucun muscle ; pas de tremble
est-à-dire atteigne le tissu glandulaire dans son entier. P. XXX.
Atrophie
musculaire progressive atypique ; par le Dr Pearc
nis au rectum dans 2 cas. Fréquence relative des divers symptômes :
Atrophie
optique : dans 11 cas parmi lesquels deux furen
d'ataxie légère ; 1 cas fut sans ataxie. Dans la plupart des cas d'
atrophie
optique l'ataxie fut donc légère. Dans deux de ce
d'atrophie optique l'ataxie fut donc légère. Dans deux de ces cas d'
atrophie
optique le signe de Romberg existait en dépit de
extrémités droites, ainsi que de la moitié droite de la face; de l'
atrophie
musculaire; un arrêt de développement du squele
a réunion des symp- tômes généraux d'une tumeur encéphalique avec l'
atrophie
optique, et la perte du champ visuel temporal r
nnes (troubles de sensibilité objective et subjective, faiblesse et
atrophie
musculaires). Dans les trois observations de Ze
'esprit qu'il souffre de la même maladie que son conjoint atteint d'
atrophie
papillaire ou d'incoordination motrice. J'ai no
cemment une femme atteinte de paralysie spasmodique associée à de l'
atrophie
papil- laire et dont le mari présentait des sig
es géantes). Les éléments nerveux (tubes et cellules) subissent une
atrophie
lente jusqu'à la destruction complète. Il n'y a
ns tel qu'il se présente dans la paralysie générale vraie. Enfin, l'
atrophie
avec consistance (oetrtle se rencontre dans un
SIONS DE L'INSULA, ETC. 499 notablement plus petite que la gauche. (
Atrophie
du lobe frontal correspondant.) L'apophyse cris
tre les deux hémisphères qui est de 135 grammes donne une idée de l'
atrophie
de l'hémisphère droit dont toutes les circonvol
aque côté la 500 RECUEIL DE FAITS. partie postérieure de Se. p. L'
atrophie
continue sur la face interne de l'hémisphère, i
e nor- male quant à leur structure. - Normaux aussi dans un cas d'
atrophie
musculaire progressive et dans un cas de névrite
ment dans un grand nombre d'affections médullaires accompagnées d'
atrophie
musculaire, cette atrophie peut se localiser plus
d'affections médullaires accompagnées d'atrophie musculaire, cette
atrophie
peut se localiser plus ou moins nettement dans
multiple s'exclut par le début lent, l'ataxie marquée, l'absence d'
atrophie
musculaire et de douleur, l'apparition de troub
lusieurs particularités in- téressantes : 1° D'abord la marche de l'
atrophie
qui au lieu d'être ascendante était descendante
on du cunéus; le pli courbe parait intact. L'auteur signale aussi l'
atrophie
du tubercule mamillaire du même côté, qui serai
dans le domaine du nerf cubital, puis de l'affaiblissement et de l'
atrophie
des muscles. Celle-ci s'étend non seulement à t
qui avait présenté aux quatre extrémités des panaris multiples avec
atrophie
musculaire et mutilation de phalanges, le diagn
atérale avec quelques symptômes inaccoutumes, par CumpheH, 338.
Atrophie
. De 1' musculaire dans la sclérose multicolore,
, 53. La - au point de vue médico-légal, par Kovalewsky, 59. De l'
atrophie
du cerveau dans la -, par Bru- net, 167. Pupi
ommunications avec les centres, par Doellken, 322. Sclérose. De l'
atrophie
musculaire TABLE DES MATIERES. 56S i dans l
n examinant les membres inférieurs, on cons- tate qu'il n'y a pas d'
atrophie
; la force musculaire est conservée, et les mouv
opsie on trouva une hypérostose concentrique des os du crâne et une
atrophie
d'une partie des circonvolu- tions de la base d
les organes périphériques sont, dit l'auteur, devenus malades et l'
atrophie
s'est développée, s'opposant à la persistance des
l par exemple, dans les cas de tabes avec paralysie générale, celte
atrophie
des fibres corticales dont parle Tuczek et prés
é droite du corps. Mort à l'âge de trois ans. L'autopsie révèle une
atrophie
très accusée d'un hémisphère cérébral sans autre
isons). Une des quatre moelles décèle (préparations à l'appui), une
atrophie
presque complète des réseaux de fibres nerveuse
son le 23 août. Guérison complète, mais cécité de l'oeil gauche par
atrophie
blanche de la papille. Diagnostic : éruption de
e ans panaris. - Depuis rage de dix-neuf ans, scoliose parétique et
atrophie
progressive des mus- cles, surtout des scapulai
sont aussi considérablement atrophiés. Les deltoïdes présentent une
atrophie
marquée des portions pos- térieures ; les parti
- tants des muscles de la ceinture scapulaire ne présentent pas d'
atrophie
notable et le muscle pectoral droit paraît même h
son du gauche. Les muscles du bras présen- tent le degré moyen de l'
atrophie
. Elle est plus accusée à droite qu'à gauche. Le
- sidérablement plus gros et le long supinateur seul présente une
atrophie
marquée, appréciable au palper. Le biceps et le l
olides mollement réunis entre eux. Sur les mains on n'observe que l'
atrophie
du premier espace interosseux et un léger amai-
u tronc, à l'exception de ceux cités plus haut, ne présentent pas d'
atrophie
notable. Les muscles situés le long de la colon
scles de la face, autant qu'on puisse en juger, ne présentent pas d'
atrophie
. Mouvements. -Le bras droit ne peut être soulev
alade passa à l'hôpital, ils ne présentèrent pas de changements : l'
atrophie
des muscles demeura station- naire, le sens de
e et se limitant par la partie supé- rieure du corps ; faiblesse et
atrophie
musculaire nettement accusée dans la sphère de
enteux et d'altérations notables des extrémités articulaires. Pas d'
atrophie
musculaire ni à l'épaule gauche, ni dans d'autres
cou, après quoi elle partit pour la campagne. Tous les symptômes (
atrophie
musculaire, anes- Archives, t. XV. , 12 178 p
elle généralisée. - Anesthésie limitée de la main. - Pareslliésies.
Atrophie
musculaire progressive de la main. Phelgmon, pa
cou. DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 179 Il n'y a jamais eu de cas d'
atrophie
musculaire, de para- lysies, de psychoses, etc.
uent pas de contraction. Main droite. Il n'existe nulle part de l'
atrophie
musculaire, le petit doigt est fléchi dans l'ar
truits, sur les mains et les doigts dans les limites antérieures. L'
atrophie
et la faiblesse de la main gauche sont restées
esse de la main gauche sont restées stationnaires. A la main droite
atrophie
partielle des muscles du thénar, surtout dans l
thénar, surtout dans la partie inféro-externe, et un commencement d'
atrophie
du premier muscle interosseux ; tous les mouvem
eux sont considérablement affaiblis et présentent un commencement d'
atrophie
. Le thénar et l'hypothénar sont atrophiés, le p
ques qu'elles par- tent de la bouche d'un ouvrier. last nos least
atrophie
musculaire ayant le caractère de l'atrophie mus
ouvrier. last nos least atrophie musculaire ayant le caractère de l'
atrophie
musculaire progressive protopathique spinale, p
nt un espace considérable dans d'autres observations également. L'
atrophie
musculaire associée à l'anesthésie par- tielle
ion avec sclérose, altérations cellulaires consistant tantôt en une
atrophie
simple ou 1 Vu'pian. - C. il. Académie des scie
es gan- glions cervicaux une dilatation marquée de vais- seaux, l'
atrophie
des cellules nerveuses avec accu- mulation de g
bre 1884). - Automatisme. - Mort en état de mal (1SSG). Autopsie.
Atrophie
et aspect chagriné de différentes circonvolutio
topsie. Atrophie et aspect chagriné de différentes circonvolutions.
Atrophie
cérébelleuse. - Anomalies des circonvolutions e
tions des lobes pariétaux et temporal offrent un cer- tain degré d'
atrophie
et un aspect chagriné. L'hémisphère cérébelleux
ronches remplis de boudin; esto- 7zt«r; plein; thymus persistant. -
Atrophie
des lobes occipitaux. - Hémisphère droit 20 gr.
qui, débutant par l'hypé- rémie, l'exsudation, sont terminés par l'
atrophie
l'hydro- pisie et la formation de nouveaux tiss
et faible dans la première partie du processus; la rétraction et l'
atrophie
arrivent très tardive- ment, ce qui empêche l'a
chyméningite hé- morrhagique au niveau de tout l'hémisphère gauche;
atrophie
corticale des deux hémisphères. M. KNECHT insis
sclérose systématique des cordons pos- térieurs de la moelle, avec
atrophie
des racines posté- rieures des nerfs rachidiens
eurésie tuberculeuse. Autopsie. Pas de sclérose de la moelle. Pas d'
atrophie
des racines postérieures. Intégrité des nerfs p
ent etserait incapable de faire une longue course. Il n'y a pas d'
atrophie
musculaire, ni d'adipose sous-cutanée, ni de tr
est très affaiblie. Le malade ignore à quelle époque a débuté cette
atrophie
testiculaire, mais il assure très catégorique-
ffaibli à droite. Pas de dystrophie de la peau ou des ongles. Pas d'
atrophie
mus- culaire. Le goût, l'ouïe, l'odorat sont no
'cMepu/mo ? ! 0 ! ? 'ec)'acee. Quelques adhérences pie-méi,ienizes
atrophie
et sclérose du lobe cérébelleux gauche;-inégali
, cystite), les troubles 12-oplti*- ques (arthropathies, fractures,
atrophie
musculaire, eschares) qui compliquent si souven
ques; lésions de la folie systéma- tique (Ieptoméningite chronique,
atrophie
de l'écorce, hydrocé- 1 Charcot. - Leçons sur l
s de coeur sur cent aliénés. L'hypertrophie du ventricule gauche, l'
atrophie
du ven- tricule droit, la surcharge et la dégén
du même côté que la paralysie. Dans le troisième cas, les plaques d'
atrophie
pigmentaire apparurent en même temps qu'une mal
ons. Le Dr Yiuaur a montré que, chez les aliénés, on trouvait une
atrophie
du bulbe pileux des cheveux, fait qui explique bi
, troubles considérables de la sensi- bilité et du sens musculaire.
Atrophie
de la jambe gauche dans les régions de la cuiss
phie de la jambe gauche dans les régions de la cuisse et du mollet;
atrophie
moindre à droite. iné- galité pupillaire (mydri
de six tailleurs de limes. On constata, en effet, la paralysie et l'
atrophie
des muscles de l'éminence thénar et du premier
branches musculaires sont très affectées. La lésion consiste en une
atrophie
dégénérative avec multiplication des noyaux, hy
au-dessus, intégrité parfaite. On avait constaté, pendant la vie, l'
atrophie
de la partie antéro-latérale de la moitié gauche
et de la déglutition, aggravation graduelle de la paralysie ; pas d'
atrophie
; intégrité de la vie mentale, de la sensibilité
ues semaines, a vu se développer graduellement de la paralysie avec
atrophie
musculaire de l'érni- nence thénar droite due c
de vingt ans ayant graduellement et progressive- ment présenté une
atrophie
des petits muscles de la main du côté droit, de
mbreuses années sont toujours caractérisés par la co-existence de l'
atrophie
musculaire et d'une paralysie partielle de la s
es de la moelle Archives, t. XV. 31 482 sociétés savantes. et l'
atrophie
des cellules multipolaires, ici presque totale, q
Souffle au i9t temps et à la base du cœur. Pas do paralysie, pas d'
atrophie
musculaire. Pas de troubles trophiques ou vaso-mo
du champ visuel d'origine tabétique chez un diabétique. prononcée.
Atrophie
nacrée des papilles. Amblyopie encore peu accusée
ions oculaires ont pris une intensité remarquable. En quelques mois l'
atrophie
est devenue complète, la cécité absolue. Dans c
ertscn, rétrécissement irrégulier du champ visuel, dyschromatopsie et
atrophie
nacrée des papilles. Ce sont là incontestablement
u corps vitré; 4° des rétinites et des hémorrhagies rétiniennes; 5° l'
atrophie
du nerf optique. Les quatre premiers n'existent
ue. Les quatre premiers n'existent pas chez notre malade. Quant à l'
atrophie
du nerf optique, inutile de faire remarquer qu'el
il chez Lem... est catégorique sur l'existence, dans noire cas, d'une
atrophie
tabétique. Il n'est, du reste, pas éloigné de cro
e atrophie tabétique. Il n'est, du reste, pas éloigné de croire que l'
atrophie
de la papille n'appartient jamais au diabète. Quo
la papille n'appartient jamais au diabète. Quoi qu'il en soit, cette
atrophie
relève ici du tabès. En outre, le myosis bilaté
erne de la Salpêtrière, le 21 août 1890. (1) Martin-Joannès. — De l'
atrophie
du nerf optique et de sa valeur pronostique dans
avec quelques plaques blanches, sans contractions fibrillaires, sans
atrophie
appréciable. Pas de troubles de la sensibilité
ou, mais sans steppage véritable, à cause d'un degré assez accentué d'
atrophie
des muscles des jambes avec prédominance sur les
la démarche. Mais celie-ci reste encore, assez ataxique pour que l'
atrophie
des extenseurs ne donne pas iieu à la démarche fr
sont par essence mobiles et passagères. Quant à l'amblyopie et à l'
atrophie
du nerf optique dans le diabète, nous avons vu pl
commentaires de l'observation III, ce qu'il fallait en penser. Cette
atrophie
diffère, si toutefois elle existe (Parinaud), de
er. Cette atrophie diffère, si toutefois elle existe (Parinaud), de l'
atrophie
nacrée du tabès. M. Gale-zowsky1 déclare que l'am
opie diabétique grave est due tantôt à des hémorrhagies, tantôt à une
atrophie
simple, générale ou partielle du nerf optique ou
, générale ou partielle du nerf optique ou de la rétine, tantôt à une
atrophie
avec iridochoroïdite (Liebreich). Sur ce même suj
vec rétrécissement plus ou moins considérable du champ visuel et avec
atrophie
du nerf optique. Les auteurs signalent à peu près
c atrophie du nerf optique. Les auteurs signalent à peu près tous une
atrophie
simple, sans trouble bien manifeste de la papille
ous une atrophie simple, sans trouble bien manifeste de la papille. L'
atrophie
était assez avancée dans quelques cas, au point q
vé des troubles de l'achromatopsie en somme de même nature que dans l'
atrophie
du nerf optique en général. » Pour Althaus « le r
zowski. — Traité des maladies des yeux, 1875. distingue néanmoins l'
atrophie
optique du tabès de l'amblyopie de ces deux derni
e du tabès de l'amblyopie de ces deux dernières maladies, en ce que l'
atrophie
commence toujours dans un seul œil, et dans le co
ent aveugle, tandis que, dans le diabète et l'alcoolisme chronique, l'
atrophie
optique est toujours bilatérale d'emblée. » Et Dr
e en ces termes : « Plus exceptionnellement on voit se développer une
atrophie
progressive de la papille'qui n'a guère le temps
rps vitré, des rétinites, des hémorrhagies rétiniennes et peut-être l'
atrophie
du nerf optique. Or l'œil tabétique se présente a
perçu depuis longtemps qu'il traînait un peu la jambe gauche. Pas d'
atrophie
musculaire. Pas de tremblement spontané, ni int
pathie : la paralysie pseudo-hypertro-phique ; la forme juvénile de l'
atrophie
musculaire de Erb ; l'atrophie infantile hérédita
pertro-phique ; la forme juvénile de l'atrophie musculaire de Erb ; l'
atrophie
infantile héréditaire de Duchenne (de Boulogne) s
e primitive ; paralysie pseudo-hypertrophique, forme juvénile de Erb,
atrophie
infantile héréditaire de Duchenne de Boulogne. (R
tte forme d'amyotrophie, connue communément aujourd'hui sous le nom d'
atrophie
myopathique du type Landouzy-Dejerine, ou facio-s
ile et la paralysie pseudo-hypertrophique. On connaissait avant lui l'
atrophie
dans la paralysie pseudo-hypertrophique (myopathi
ypertrophie) ; il a montré l'hypertrophie dans la forme juvénile de l'
atrophie
musculaire (myopathie avec prédominance de l'atro
e juvénile de l'atrophie musculaire (myopathie avec prédominance de l'
atrophie
). Il fallait faire de même pour la forme facio-sc
itus du malade, envahissement delà face, localisations spéciales de l'
atrophie
, évolution. D'ailleurs ces mouvements fibrillaire
ntués qu'ils le sont en général dans les amyotrophies myélopathiques (
atrophie
musculaire progressive de Duchenne-Aran, sclérose
clérosique avait marché du côté de l'hypertrophie et non du côté de l'
atrophie
. En effet, ces muscles avaient perdu leur force,
ez ses malades lorsqu'il décrivit la forme infantile héréditaire de l'
atrophie
musculaire progressive, qu'il rattachait à tort a
Méplat latéral en arrière des lèvres très prononcé. Rire en travers.
Atrophie
des muscles de la houppe du menton. Rien à la lan
e à l'appui de notre communication. Scapulse alatœ très accentuées.
Atrophie
considérable des pectoraux, du grand dorsal, du t
tandis qu'en 1889 le côté gauche était presque intact, aujourd'hui l'
atrophie
y est nettement prononcée. Mais il est survenu en
yaux de pseudo-hypertro Fig. 20. — Pseudo-hypertrophie associée à l'
atrophie
myopathique. \ phie, du volume d'une grosse man
igeance de M. le Dr P. Richer. Ces noyaux contrastent vivement avec l'
atrophie
de tout le reste de la cuisse, dont presque tous
tout. Le mal évolue soit du côté de l'hypertrophie, soit du côté de l'
atrophie
, lesquelles peuvent être tantôt isolées, comme cl
en ce qui concerne l'examen des centres nerveux. Pendant la vie, l'
atrophie
prédominait au niveau du cou et présentait son dé
ceinture scapulaire, du tronc et des membres. En conséquence de cette
atrophie
et des rétractions tendineuses qui étaient très a
térale amyotrophique........ 3 Maladie de Friedreich........... 1
Atrophie
musculaire du type Duchenne-Aran ... 6 Paralysi
type Duchenne-Aran ... 6 Paralysie spinale infantile.......... 19
Atrophie
musculaire d'origine articulaire et abarti- cul
mais pas d'ictère ; hémiplégie incomplète du côté droit, sans trace d'
atrophie
. Il y a faiblesse de tout le côté et diminution d
érique, 277; — et hypnotisme, 285. Arthritisme : — et tahes, 307.
Atrophie
musculaire, 369 ; — et pseudo-hypertrophie, 369 ;
Pseudo-hypertrophie musculaire : — dans la myopathie, 367 ; — et
atrophie
, 369. R Réflexes rotuliens : dans le diabète
atteinte. Intégrité de la couche optique entière et du noyau coudé.
Atrophie
de la cornée antérieure gauche de la moelle, de-
phie des cellules est surtout marquée au niveau des renflements.
Atrophie
et dégénérescence des cordons latéraux. C'est, po
ion permet de distinguer cet état du morcellement en écale, ou de l'
atrophie
des fibres. Le cylindraxe participe à la rétrac
on n'explique pas, en effet, les troubles sphinctériens, on parle d'
atrophie
des mem- bres inférieurs sans en chercher la ca
rouble sensitif ailleurs : Trou- bles trophiques : Peut-être légère
atrophie
musculaire diffuse. Pas de troubles trophiques
ueue de cheval et de la moelle est normal. Cerveau normal. Aucune
atrophie
apparente des muscles des différents segments d
u dopérinévritc ainsi que la très faible intensité des phénomènes d'
atrophie
simple qu'ils présentent, suf- fisent à écarter
pébrale. Il n'y a en tout cas ni paralysie de l'accom- modation, ni
atrophie
des nerfs optiques ; réflexes patellaires norma
rti- ges intenses. Puis s'installaient : une légère démence ; une
atrophie
de la langue àgauche, une paralysie du voile du
u voile du palais du même côté, des troubles de la déglutition, une
atrophie
bilatérale du nerf optique, de l'hémianopsie ga
te optique droite, de l'hypoglosse et du vago-accessoire gauches. L'
atrophie
de la langue, l'hémi-paralysie du voile du pala
érale se complique de l'engourdissement réflexe de A, notamment par
atrophie
du nerf optique ; si la pupille B ne réa- git p
communication avec le système nerveux central, ex. : destruction et
atrophie
des centres etconducteurs cérébro-spinaux moteu
ce du muscle dépendant ou non du système nerveux, ex : myosi- tes,
atrophie
musculaire par inaction des ankyloses, 6° Chez le
ires des 5° lombaires et 1 rc sacrées. 132 SOCIÉTÉS SAVANTES. /
Atrophie
musculaire avec réactions électriques de la malad
MM. Lortat-Jacob et l ? l'unoN présentent un malade afl'ecté d'une
atrophie
musculaire portant sur la face, la langue, la cei
c'est là une forme exception- nelle de cette affection, soit que l'
atrophie
musculaire ait évolué parallèlement, soit qu'el
ssait d'un épithélioma de la moelle. , Anomalies congénitales par
atrophie
numérique. M. Klippel présente une malade de 24
sent de les avoir mal soignés ou d'être la cause de leur infirmité (
atrophie
testiculaire à la suite des interventions chiru
rtains groupes mus- culaires, et extrêmement faible pour d'autres ;
atrophie
mus- culaire très marquée. Réflexes tendineux a
lobule paracentral droit; adhéren- ces de ces méninges au cortex ;
atrophie
du cerveau. A l'exa- men histologique : lésions
ntérieure des bords su- périeurs des hémisphères cérébraux avec une
atrophie
des lobes frontaux très accentuée. Les méninges
u'une dissociation syringomyélique très nette du côté gauche. Une
atrophie
très prononcée se localisa de même, surtout de ce
ment la sclérose en plaques et la syringomyélie. La pathogénie de l'
atrophie
doit se rapprocher, dans de pa- reils cas, de c
es de la moelle. Dans l'une ou l'autre de ces deux circonstances, l'
atrophie
est surtout la conséquence de deux facteurs : 1
doit mettre en action des mécanismes semblables pour pro- duire l'
atrophie
musculaire. Note anatomo-clinique sur un cas d'
ES ET NEUROLOGISTES. l'homme celles du Dr Dore,qui avait remarqué l'
atrophie
du llocculus chez les lapins énucléés. Nous v
- termédiaire, et à l'arrière est le siège de la mémoire qui con-
ATROPHIE
MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE. 213 serve les
rait matière à une étude beaucoup plus dé- veloppée que la nôtre.
Atrophie
musculaire du type Aran-Duchenne d'origine syph
au point de vue anatomique, cette maladie est caractérisée par une
atrophie
généralisée du cerveau. L'écorce est amincie, l
ions moins nettes, et des auteurs tels que Meynert confessent que l'
atrophie
des zones corticales chez les déments n'est que
édical, p. 594). h. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Myotonie avec
atrophie
musculaire ; par Lannois. (11'o2sv. Icon. de la
n du réflexe rotulien) quien réalité reconnaissaient pour cause une
atrophie
musculaire à distribu- tion segmentaire occupan
écialau point de vue clinique et ca- ractérisé anatomiquement par l'
atrophie
du cervelet ; or il y a des cas mixtes, et le P
ci ne sont pas l'exception. En effet, dans plusieurs cas publiés, l'
atrophie
du cervelet s'associe à des lésions médullaires
dans d'autres, classés comme héré- do-ataxies cérébelleuses, cette
atrophie
manque ; bien plus une même observation est pub
ie ; caractérisée par des paralysies musculaires avec asthénie sans
atrophie
, sans réactions électriques anormales, sans troub
anatomiques, Léri combat la théorie de l'origine rétinienne de l'
atrophie
tabétique admise par Popull', Moxter, de Grosz, e
elle n'est pas hypertrophiée : celle de la main droite présente une
atrophie
marquée. Les par- ties molles sont très forteme
iques les plus accusés et des lésions avancées de la sensibilité, l'
atrophie
musculaire est ex- trêmement faible. (Schlesing
ent progressif et expansif des membres, puis progressi- vement de l'
atrophie
non cantonnée aux territoires des nerfs péri- p
318 REVUE de pathologie NERVEUSE. plupart des autres ont subi une
atrophie
plus ou moins pronon- cée : il y a atrophie des
des autres ont subi une atrophie plus ou moins pronon- cée : il y a
atrophie
des racines antérieures, du réseau des fibres d
d'apparence et de consistance fibreuses, ils sont atro- phiés et l'
atrophie
est plus prononcée à la racine des membres 324
e division longitudinale ; les noyaux en sont partout multipliés. L'
atrophie
semble bien débuter au niveau de l'inser- tion
asse ; cette hypertrophie doit être considérée, au même litre que l'
atrophie
d'emblée, comme une réaction pri- mitive du pro
mps, on e vite le : Pln· graves nom- plications. C. 1;. : \ \\'1. -
Atrophie
musculaire et bradycardie ; pal' .\1.'1. lî. Lk
(Soc. de mèd. des hôpitau.r de Lyon Hte\rierl"0.j.) Observation d'
atrophie
musculaire progressive nnélopalhique avec aboli
Iacie·nwn- pathilille - Sculiosc professionnelle, prédominance de l'
atrophie
sur le pectoral gauche. Le traumatisme profes
19Uô.) - ()I\SIW\'ATIOK 1. - Ilnllllilc de iVl ans, présentant une
atrophie
douloureuse de la cuisse rlrnilc vl'oriinc fruu
mènes paralytiques sont plus étendus que le domaine du radial, L'
atrophie
musculaire est difluso tous les ligaments du bras
nt très fragi- les et présentent les lésions de l'ostéoporose, de l'
atrophie
osseuse simple, liée àl'involulion sénile régre
n bibliographie. de conjugaison , mode de croissance gigantesque et
atrophie
génitale. Les examens du squelette montrent la
nettes, avec nucléole peu visible. Les cellules qui présentent de l'
atrophie
proprement dite sont assez rares. Dégénérescenc
és : phénomène des orteils en extension nette des deux côtés. Pas d'
atrophie
musculaire. Signe d'Argill flohertson à la pupi
vident. Beaucoup de cellules sonL très riches en pig-- ment : pas d'
atrophie
vraie cellulaire. Au niveau du 2e segm. lombair
ayant perdu près de la moitié de leur poids. L'autopsie montra une
atrophie
remarquable de la rate et de la vésicule biliai
à une affection plus ou moins prononcée de la glande ! thyroïde,
atrophie
, kystes, tubercules, etc. (2). j L'idiotie mong
normaux, les troubles delà sensibilité ont com- plètement disparu.
Atrophie
persistante au niveau du dellollle, de l'avant-
sme et castration ; Les modifications du squelette consécutives à l'
atrophie
testiculaire et à la cast¡ ation; Des relations
isme et castration. Les modifl- tions du squelette consécutives à l'
atrophie
testiculaire et à la castration. (Soc de path.
centres nerveux. Syphilis des centres nerveux. Paralysie générale.
Atrophie
musculaire progressive ; Atrophies musculaires
1111 ? ment, par Faure, p. 235. ' Atiiéromateux. Voir Parésie,.
Atrophie
musculaire. Vo;r Thomsrl1. - numérique. Voir
rayons et Charpentier, par Kiki- tine, p. 39. Bradycardie. Voir
Atrophie
musculaire. Bromure. Voir Epilepsie. Bulbe.
Immobilité pu- pillaire, Myotonie. Voir Onde muscu- laire. avec
atrophie
mus- culaire, par Lannois, p. 312. MYSTIQUE.
notait la proéminence des trois premières vertèbres thoraciques, l'
atrophie
des jambes avec paralysie la contmc- ture des t
n'y ait pas de paralysie proprement dite. Pas de signe de Romberg.
Atrophie
des masses musculaires des membres inférieurs.
ssification simplement arbitraire. Le cas en question présente de l'
atrophie
progressive débutant dans le tout jeune âge aux
sclérose s'étendant à toute l'étendue du faisceau pyramidal avec
atrophie
des cellules ganglionnaires; sans lésion vasculai
étudié. Les lésions les plus manifestes sont'macrosco- piquement l'
atrophie
des circonvolutions frontales, pariétales et te
, sauf l'éminence thénar droite néanmoins touchée. En même temps,
atrophie
prononcée des muscles paralysés les plus atteints
exogène. Pour la plupart des savants l'altération procède par une
atrophie
dégénérative des éléments nerveux, qui, une fois
, le début a été beaucoup plus rapide, la paralysie plus intense, l'
atrophie
consécutive prédominante à la cuisse. Donc, i
aussi par l'hypertrophie. De plus, on a signalé, conjointement à l'
atrophie
musculaire, la pro- lifération du tissu cellulo
SOCIETES SAVANTES. plitude, celle-ci étant en rapport avec l'état d'
atrophie
des muscles. Il est naturel que les contraction
la vue périphérique et centrale, en arrêtant le développement de l'
atrophie
et en éloignant la marche progressive de l'affe
nt les suivantes : dans les'circonvolutions directement comprimées,
atrophie
cellulaire; dans les circonvolutions indirectem
gie le plus de progrès. SillON. XXV. De la mise en évidence par l'
atrophie
dite parenchymateuse du cervelet, d'une couche
. Leur constatation soulève une question importante, à savoir : l'
atrophie
parenchymateuse primitive du cervelet existe-t-el
t existe-t-elle vrai- ment ? Ils se demandent, en effet, pourquoi l'
atrophie
, ou l'arrêt de développement, sur trois variété
ehors des atrophies par ramollissement ou par méningite, ne subit d'
atrophie
que secondairement, soit par lésions des parties
phalie interne. Légère épendymite granulée du quatrième ventricule.
Atrophie
du coeur, du foie, de la rate et des reins. ,
la colonne vertébrale (Wirbelsteifigheit); 2° 5 malades, atteints d'
atrophie
musculaire progressive d'origine myopatleiq2ce.
oties, elle peut être acquise. Elle est quelquefois consécutive à l'
atrophie
ou à la destruction des centres dans lesquels dev
0 grammes. Il parait y avoir eu, dans les trois cas, en dehors de l'
atrophie
, arrêt de développement ou exiguïté congénitale
euse, avec l'étude de tous les modes de dégénérescence cellulaire :
atrophie
simple, etc. ; 3° la patho- logie des artères e
s sur les rapports de la structure et des fonctions cérébrales. L'
atrophie
musculaire progressive du type Oran. Duchenne et
s. 2't3 stigmates d'hystérie, sans troubles de la sensibilité, sans
atrophie
, sans troubles des réactions électriques, il ex
éflexes rotuhens, Phéno- mène du pied. Démarche spastique. Certaine
atrophie
des muscles de la jambe droite sans raideur, ma
et à la station debout, puis sensation de froid à la jambe droite,
atrophie
des muscles de la jambe droite et les phéno- mè
. M. RoTO attire l'attention sur l'existence de transitions entre l'
atrophie
et la dégénération de sorte que sou- vent on es
ion subjective passagère, diminution de la réaction myoto- nique. L'
atrophie
artificielle constatée n'a que très incomplètemen
intervention chirurgicale n'étant pas capable de doser exactement l'
atrophie
dégénérative qu'elle désire produire, ni les co
sse d'une dégénérescence wallérienne : c'est un stade plus étendu d'
atrophie
secondaire produite par la perte de la fonction
ne voit pas à quoi elle répond. 330 SOCIÉTÉS -SAVANTES. - '.
Atrophie
cérébrale. M. Dorai : montre le moulage du cerv
u liséré. La sensibilité tactile est peu modifiée. Pas de douleurs.
Atrophie
manifeste du premier espace interosseux et de l
oncerne la sclérodermie, la sclérodactylie, la maladie de Rayuau, l'
atrophie
musculaire progressive. Dans la symptomatologie
s peut-être aussi par les fibres du médian associées à ce nerf. L'
atrophie
des muscles atteints est considérable : elle donn
n a noté parésies et paralysies, allant à l'impotence totale et à l'
atrophie
, de l'affai- blissement du sens musculaire, une
uleux. Il semble que le complexus symptomatique de la myotonie et l'
atrophie
manifestement progressive des muscles aient pri
res observations, également résumées, témoignent de l'idiotie, avec
atrophie
des nerfs optiques, dues à la syphilis hérédita
sie, point d'attaques d'apo- plexie. On trouve, à l'autopsie, une
atrophie
typique du cerveau et principalement à gauche,
surtout des première et seconde tem- porale gauches (figures). A l'
atrophie
du lobe temporal gauche se rattache la perte de
er- cutés. Une presque complète séparation du lobe temporal par l'
atrophie
n'est pas possible sans que d'autres parties de l
influence du cerveau. P. KERAVAL.. LXXIV. Observation originale d'
atrophie
musculaire étendue, à début aigu et devenue sta
erminée ? ); par J. Eveusmann. (Neurolog. CenI1'albl" XIX, 1900.)
Atrophie
étendue des muscles du tronc et des extrémités, s
e diagnostic entre la dystrophie muscu- laire progressive de ERB, l'
atrophie
musculaire progressive spinale de Duchenne-Aran
son début subaigu, sa longue durée et le caractère progressif de l'
atrophie
pendant six à huit années, indiquent un process
nte simul- tanée de tant de régions; le choix des muscles frappés d'
atrophie
, incapable, en aucune des affections en questio
ts cornéens. Persistance des troubles pupil- laires et patellaires.
Atrophie
commençante du nerf optique à droite. C'est une
e 21 juillet 1899, il existe une paralysie dégénérative grave, avec
atrophie
musculaire, troubles sensitifs, trophiques et vas
atrophiés; la faiblesse relative du bras droit tient en somme à une
atrophie
par inaction, le patient se servant depuis long
ervés. On n'a pas cherché le phénomène de Babinski. Il n'y avait ni
atrophie
des membres, ni modification des réactions élec
s étaient anesthésiés. La guérison a été complète en deux mois sans
atrophie
. L'auteur rappelle ensuite les explications ou
st jamais négligeable dans ces régions et atteint même la moelle.
Atrophie
consécutive à une ligature artérielle. M. TOUCH
té est notablement diminuée. La face est devenue asymétrique sans
atrophie
véritable, la pupille est rétrécie et la langue d
ade plus avancé : méningite, encé- phalite et myélite ; souvent une
atrophie
du cerveau et des cellules des cornes antérieur
uche pas, en marchant. Nulle part on ne découvre la moindre trace d'
atrophie
musculaire. Par contre, à droite, on constate u
e lésions destructives de la zone corticale visuelle. Peut-être l'
atrophie
de la papille, plus marquée du côté droit, que no
t du champ visuel chez les paralytiques généraux est le signe d'une
atrophie
commençante du nerf oplique; 10° les symptômes
and on a assigné à ces derniers une proportion de a0 p. 100, et à l'
atrophie
du nerf opti- que celle de 4 à 4,5 p. 100, on n
trophie du nerf opti- que celle de 4 à 4,5 p. 100, on n'admettait l'
atrophie
que lorsqu'on voyait une image ophtalmoscopique
ent si l'on accorde que la campiinétrie suffit pour diagnosliquer l'
atrophie
au début; en ce cas, les données périmétriques pr
l est le processus patholo- gique qui préside au développement de l'
atrophie
du nerf optique. A son avis, dans la papille du
rface et entraine la multiplication du tissu conjonctif ainsi que l'
atrophie
des fibres nerveuses périphériques. C'est pourquo
ste à l'état de pâleur de la papille et de formation d'un segment d'
atrophie
autour d'elle, marche avec une extrême lenteur.
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE. gressive, qui aboutit inévitablement à l'
atrophie
de la papille. Du moins c'est ce qu'indique la
'hystérie associée au tabes. . M. LAMY présente un malade atteint d'
atrophie
totale radicu- laire du membre supérieur à la s
une portion du plexus cervical sont intéressés. 11 s'agit là d'une
atrophie
organique et non réflexe. , III. Souques présen
ue et idiotie. L'un des frères a succombé : l'autopsie a montré une
atrophie
cérébelleuse très accentuée. - Un cas d'¡di9- t
e la parole normalement cons- titués ; 4° Absence de paralysie ou d'
atrophie
du tronc et des membres. Dans ce mutisme de n
des ataxi- ques, 175. Ataxie spinale aiguë, par Ch, Dana, 398.
Atrophie
parenchymateuse du cer- Nelet, par Lannois et l
336. LI : PI;osE, par dom Sauton, 343. Ligature artérielle. Voir
Atrophie
. Liseur DE pensée, par Farez, 91.. z )1,CIIOD
me chronique avec démence et à l'autopsie de laquelle on trouva une
atrophie
symétrique de toutes les circonvolutions frontale
diffuse et à la folie systématisée chro- nique, anatomiquement, à l'
atrophie
générale du cerveau. Dans les observations 4 et
céphalie interne idiopathique. Moindre est-elle dans les exemples d'
atrophie
du cerveau. L'examen, dans tous ces types, du c
endance des excès alcooliques. R. de Musgrave-Clay. XII. Un cas d'
atrophie
musculaire progressive et un cas de para- lysie
DTEII. (The Aew-Yo ? ,Ii médical Journal, 5 juillet 1902). Cas. L
Atrophie
musculaire progressive juvénile, (forme d'Er6).
a moelle correspondant au côté de l'amputation. 5° L'étendue de l'
atrophie
, en hauteur et en largeur, dépend surtout de l'
ans le tabes au contraire, la surdi-cécité est caractérisée par une
atrophie
des nerfs optiques et acoustiques. Cette double m
8 RECUEIL DE FAITS. ment bornés à apprécier à vue d'oeil le degré d'
atrophie
ou d'hy- pertrophie de telle ou telle partie. D
s branches contiguës des V osseux signa- lés à l'instant. Face. L'
atrophie
du massif facial e,t considérable : minceur des
'étude de l'état du fond de l'oeil chez les paralytiques généraux. «
Atrophie
papillaire et décollement de la rétine ; PAR
portons aujourd'hui l'observation d'un paralyti- que qui, outre une
atrophie
papillaire bi-latérale, présen- tait un vaste d
demain de l'entrée 11 donne les résultats suivants : (EU gauche :
atrophie
papdluire blanche. (Mit d,oit : décollement de
névrogliques. Ce sont là en somme les lésions du dernier stade de l'
atrophie
papillaire des paralytiques généraux : nous les a
de volume, infil- trée de pigments, présente bien les lésions de l'
atrophie
pig- mentaire consécutive au décollement. A ce
toutes les lésions étudiés et représentées figure 2 mais bientôt l'
atrophie
si marquée de la couche intergranuleuse dispara
en ophthalmoseopique fut pratiqué on cons- ' tata l'existence d'une
atrophie
papillaire blanche du côté gauche, d'un vaste d
le diagnostic clinique et nous a décelé les lésions ordinaires de l'
atrophie
papillaire et rétinienne, dans les deux yeux, s
séreux de la grosseur d'une petite noix. A la coupe, on constate l'
atrophie
de la substance corticale. L'examen histologi(l
d'autre part l'existence d'une double néphrite interstitielle avec
atrophie
portant surtout sur le rein droit, qui pesait 60
palatin est faible ou absent : le réflexe pharyngien existe. Aucune
atrophie
de la langue, des lèvres, des muscles quelconqu
cHivM,2'SKne,t.XVI. H '162 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. manque l'
atrophie
musculaire progressive, les modifications qua-
té trop brusque et l'évolu- tion trop rapide En raison de la double
atrophie
papillaire, on peut penser à une lésion localis
(partie moyenne de la première temporale) a permis de constater une
atrophie
notable des cellules de l'écorce. Cette atrophi
s de constater une atrophie notable des cellules de l'écorce. Cette
atrophie
des cellules du cerveau sous l'influence de la lé
ccourcissement du cou, avec scoliose du dos. Dès l'âge de cinq ans,
atrophie
considérable de la langue, surtout à gauche, de
de l'épaule dans le domaine du radial supérieur, sans paralysie ni
atrophie
, mais avec abolition du réflexe du triceps brac
condité. On avait multiplié, comme à plaisir, les formes ou types d'
atrophie
musculaire progressive. Le meilleur moyen de fa
» On avait eu la prétention d'ériger un certain nombre de types d'
atrophie
musculaire progressive en véritables espèces morb
une valeur qui leur fait défaut. Elle a démontré que ces types d'
atrophie
musculaire, érigés en espèces morbides autonome
graphie générale, il existe une maladie de dégénérescence qui e,t T'
atrophie
musculaire progressive, celle- ci comportant de
agir contre cette tendance à multiplier indéfiniment les variétés d'
atrophie
musculaire progressive; il propose de les ramen
es espèces : une forme spinale qu'on dési- gna encore sous le nom d'
atrophie
musculaire progressive du type Aran-Duchenue; u
ligne de démarcation absolue entre les formes spinale myopathique d'
atrophie
musculaire progressive, entre les formes famili
iliale et non familiale. Nous connaissons au- jourd'hui une forme d'
atrophie
musculaire progressive (type We)'</M.'y-/7oy
rine ont eu tort de prétendre que dans le type qu'ils ont décrit l'
atrophie
commençait par les muscles des mains, comme dans
rit l'atrophie commençait par les muscles des mains, comme dans l'
atrophie
Aron-Duchenne, l'atrophie myétopathique, alors qu
t par les muscles des mains, comme dans l'atrophie Aron-Duchenne, l'
atrophie
myétopathique, alors qu'ils ont établi, les pre
tions inédites. La question des rapports de cette maladie avec l'
atrophie
musculaire progressive de Duchenne est discutée à
qu'ils soient ou non paralytiques, présente des lésions spéciales :
atrophie
et dégé- nérescence granulo-graisseuse et pigme
ctives, qui sont l'aboutissant des précédentes, sont marquées par l'
atrophie
du neurone en toutes ses parties, le corps de l
ganglions. Ce qui parait ressortir de ces observations, c'est que l'
atrophie
-de l'élément noble est secondaire a la scléros
uccède à l'in- flammation du tissu conjonctivo-vasculaire, et que l'
atrophie
des fibres nerveuses à myéline est due, quand o
, chez l'homme sain, le neurasthénique, le myopa- litique et dans l'
atrophie
mMS<;t ? )'6H6'u)'t<tue. MM. Gilbert Ball
ls se succèdent. Chez les myopathiques, chez les malades affectés d'
atrophie
névritique, les choses se passent très dillérem-
AI)rès 'e trace d'épuisement (dont le niveau général, à cause de l'
atrophie
musculaire, est moins élevé, cela se conçoit, q
ostérieure. Celles qui persistent présentent l'aspect évident d'une
atrophie
à évolution lente. il n'y a pas de lésions marq
e et la persistance des cartilages de conjugaison en rapport avec l'
atrophie
testiculaire (Soc. de Bio- logie, 10 janvier 19
e Boulogne) a pro- posé, en 1872, d'isoler des multiples variétés d'
atrophie
musculaire 332 SOCIÉTÉS SAVANTES. qui peuvent
ies spinales ante- rieures aiguës de l'adulte et les attribua à une
atrophie
aiguë des cellules antérieures de la moelle.
d'une séparation : l'existence de douleurs, la parésie précédant l'
atrophie
, la plus courte évolution. Mais de nouveaux cas n
ssible d'apprendre d'un malade si la parésie a réellement précédé l'
atrophie
, car, presque toujours la gêne fonctionnelle pr
près de trente ans plus tard présentait la plupart des symptômes :
Atrophie
musculaire localisée aux membres supérieurs, at
mière ni à l'accom- modation. L'examen oculaire constate une légère
atrophie
de la pupille, probablement consécutive à d'anc
a besoin d'être surveillée, même apprise; la langue (hypertrophie,
atrophie
, perlèche, fissure-comme chez les idiots Mongol
la papille. Toutefois, il existe des exceptions, et nous avons vu l'
atrophie
422 ) ANATOMIE PATHOLOGIQUE. papillaire se pr
la papille décolorée, mieux encore de la papille présen- tant de l'
atrophie
blanche. Nous avons pu dans cinq cas pratiquer
la vie sexuelle disparaît, les organes de l'économie subissent une
atrophie
de la substance active et la multiplication du
tion du tissu inteistitiel (hypertrophie de la prostate par ex.). L'
atrophie
rapide du cerveau sénile détermine la tlémei2ce
sénile détermine la tlémei2ce sénile; il peut aussi se produire une
atrophie
cérébrale prématurée, qui entraîne la démence j
l'utaxie spinale héréditaire, la paralysie bullaire progressive, l'
atrophie
musculaire progressive, laissent supposer que d
spasmodiquc, à la myélite chronique de la femme. à quelques faits d'
atrophie
du nerf auditif et du nerf optique. Seulement o
nts cas de sclérose de l'oreille moyenne, d'emphysème pulmonaire, d'
atrophie
de la muqueuse gastrique et intestinale, de scl
(sauf quelquefois dans les phases terminales, où l'on rencontre une
atrophie
vraie avec ses conséquences réactionnelles élec
d'un rêve. Il existe assez souvent un degré plus ou moins avancé d'
atrophie
du nerf optique ; la diminution de la vision, e
ylindres-axes nettement reconnais- sables malgré un certain degré d'
atrophie
. La substance grise n'est représentée que par u
hez l'homme sain, le nemastlléniyue, le myo- llatlllque et dans l'
atrophie
mus- culalre névritique, par Ballet et Philip
aplégie. Voit- YéVI-08C. Paralysie trseudo-hypertrophique. Voir
Atrophie
musculaire. as- sociée des globes oculaires pou
défauts de prononciation ont une cause physio- logique, paralysie,
atrophie
de tel ou tel élément d'organe. La langue, trop
besoin d'être surveillée, même apprise ; - la langue (hypertrophie,
atrophie
, fis- sures, brièveté du. frein); le palais (dé
tion des molaires, dont les unes sont gâtées etles autres absentes.
Atrophie
cuspidienne, émail jaunâtre. - Menton rond ; la
er (Edm.) pratiquent l'examen de la dentition : Erosions dentaires,
atrophie
cuspidienne qu'ils mettent sur le compte de l'h
est jaune noirâtre. Les canines et les incisives présentent de l'
atrophie
cuspidienne. Le con est très court. Les membres
sont par contre moindres. A côté de nombreuses cellules en voie d'
atrophie
ou d'homogénéisation,on renconte quel- ques cel
nt autour des cellules nerveuses que dans le centre ovale, dont l'
atrophie
scléreuse est encore plus accusée que précé- de
técédents héréditaires. 199 de tout l'hémisphère cérébral gauche. -
Atrophie
croisée du cerveau et du cervelet.. -, Tard..
ment, sans aucune adhérence. - Tout l'hémisphère est le siège d'une
atrophie
très notable des circonvolutions; l'atrophie pr
ère est le siège d'une atrophie très notable des circonvolutions; l'
atrophie
prédonime au niveau du lobe frontal et du lobe
est d'environ un tiers moindre à gauche qu'à droite. Par suite de l'
atrophie
des circonvolutions à gauche, de la dilation du
, sont blanchâtres, indurées, moitié plus denses qu'à droite ; leur
atrophie
, très-notable, prédomine sur le lobe frontal et
ienne au niveau de la loge frontale. Le cerveau de Vey... avait une
atrophie
double de la partie antérieure des lobes fronta
a-galli sur ses deux faces est iden- tique. Qu'un des hémisphères s'
atrophie
et cesse de se déve- lopper, qu'arrive-t-il ? L
on trophique directe sur l'os qui le recouvre (ce qui dans le cas d'
atrophie
de cet organe , entraînerait une atrophie des c
vre (ce qui dans le cas d'atrophie de cet organe , entraînerait une
atrophie
des crêtes osseuses observées normalement) que
s hémisphères cérébelleux sont égaux ; d'autres fois, plus rares, l'
atrophie
cérébelleuse existe du même côté que l'atrophie
fois, plus rares, l'atrophie cérébelleuse existe du même côté que l'
atrophie
cérébrale. Enfin, souvent, tandis que les hémis
action est hors de doute, par exemple le cas de R.... chez lequel l'
atrophie
des lobes frontaux a laissé un large Fit. 62.
ement d'origine inflammatoire. Sur les fig. (je,61 et 62, on voit l'
atrophie
de la partie antérieure du cerveau; sur la fig.
VI. Imbécillité; hémiplégie gauche; épilepsie; état de mal; mort;
atrophie
très considérable de l'hémis- phère cérébral dr
; accès sériels. ' Etat du malade à l'entrée : . Hémiplégie gauche,
atrophie
et con- fracture. - Marche des accès. Etat de m
droite ; épaississement notable du frontal et du pariétal droits. -
Atrophie
considérable de l'hémisphère cérébral droit; -
au. - A l'examen du cerveau, ce qui frappe immédiate- ment, c'est l'
atrophie
très considérable de l'hémisphère droit. Nerf o
re que le droit est d'au moins un quart plus petit que le gauche. L'
atrophie
porte sur la largeur et davantage sur la hauteu
e : elle tient à l'ABSENCE du CORPS calleux. Poids des organes.
Atrophie
CROISÉE : cerveau ET CERVELET. 263 autre sce2tr
est de même de la sensibilité dans ses divers modes. Notons enfin l'
atrophie
ou mieux l'arrêt de développement du système mu
alogue : Hypertrophie compensatrice des os du crâne répondant à une
atrophie
considérable des lobes frontaux; - voir aussi p
ophiqzteintéressaiitl,resque tout l'hémisphère cérébral droit, avec
atrophie
croisée du cervelet et compliqué, lésion rare,
ayant eu de nombreux accès. XV. Hydrocéphalie congénitale avec
atrophie
croisée de - l'hémisphère cérebral droit et de
. Autopsie : Fracture de L'avant-bras droit et du radius gauche.
Atrophie
de l'hémisphère cérébral droit et de l'hémisphère
érébral droit et de l'hémisphère cérébelleux gauche. Hydrocéphalie.
Atrophie
, de la partie inférieure du lobe pariétal droit
de contracture musculaire. Pas de contractions fibrillaires. l'as d'
atrophie
, ni d'épilepsie spi- nale. Réflexes rotuliens é
entir la lésion atrophique de l'hémisphère céré- bral droit. Mais l'
atrophie
de l'hémisphère cérébelleux gauche no correspon
ervation, riche déjà en lésions anatomiques peu fréquentes, est l'
atrophie
décrite à la région inférieure du lobe parié- t
phie décrite à la région inférieure du lobe parié- tal droit. Cette
atrophie
détermine laformation d'une dépression dont le
Base de l'encéphale de (Voir p. 248, 259, etc.). - Elle montre l'
atrophie
de l'hémisphère cérébral droit et de l'hémisphè
x que la précédente, cette planche montre très nettement le degré d'
atrophie
de l'hémisphère cérébral droit. BOURNEVILLE,
VI. Imbécillité;' hémiplégie gauche; épilepsie; état de mal, mort,
atrophie
considéra- ble de l'hémisphère cérébral droit;
E et IZOU................... 300 XV. Hydrocéphalie congénitale avec
atrophie
croisée de l'hémisphère cérébral droit et l'h
sensations mus- culaires. Il y a des états pathologiques du muscle,
atrophie
, etc., mais, dans ces états, bien qu'il puisse
ec M. Bonnier et M. Péchin. Ce dernier a trouvé chez le patient une
atrophie
papillaire bi-latérale intense. M. Bonnier, inv
ction du faisceau supérieur (claviculaire) du muscle par suite de l'
atrophie
des fais- ceaux inférieurs. Le cou ressemble
ique. MM. DFJERINP et Thomas. Les symptômes ont été : ataxie avec
atrophie
musculaire et scoliose. La moelle épinière avait
ner le signe d'Argyll sans syphilis. M. Meunier communique un cas d'
atrophie
musculaire progres- sive, avec contractures tra
: état ataxospa- smodique ; 4° le syndrome des cornes antérieures :
atrophie
musculaire; 5° le syndrome associé des cordons
e syndrome associé des cordons latéraux et des cornes antérieures :
atrophie
musculaire spasmodique ; 6° le syn- drome de la
oumons, le tube digestif, fonctionnent bien. Elle ne présente pas d'
atrophie
musculaire, pas de déviation de la colonne verté-
irée à gauche sans qu'il manque de dents de ce côté. Il n'y a pas d'
atrophie
, pas de modifications du thorax, aucun signe de
J. Ch... n'a pas fait de service militaire, ayant été réformé pour
atrophie
du médius de la main gauche. Cest à l'âge de vi
cles de la masse sacro-lombaire du même côté étaient le siège d'une
atrophie
manifeste. En outre, il existait une scoliose c
rent bientôt suivies d'une paralysie radiculaii e du type Erb, avec
atrophie
des muscles de la ceinture scapulaire. Quelque
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. VIII. Paralysie labio-glosso-laryngée (
Atrophie
chronique des noyaux moteurs de la protubérance
ellectuel ; 3° une exhaustibilité des fonctions psychiques ; 4° une
atrophie
avec diminution de la con- tractilité faradique
té affligée d'une névralgie du trijumeau à gauche ; elle entraîna l'
atrophie
de la moitié correspondante de la face; c'est e
nérescence du trijumeau. Moebius regarde cette maladie comme une
atrophie
primitive de la peau, causée par des processus
et SIC.1RD présentent deux malades, le frère et la soeur atteints d'
atrophie
distribuée selon la forme de l'hémiplégie c'est
supérieur, au tronc et à la face. Il y a donc là un type nouveau d'
atrophie
à forme hémiplégique, et une notion nouvelle fa
formation dite thorax en entonnoir. L'un des malades présente de l'
atrophie
des pectoraux et de la cyanose des mains, ni l'un
r le groupe radiculaire supérieur. On constate chez ce ma- lade une
atrophie
osseuse très apparente de l'omoplate, de l'humé-
dans un trouble de l'innervation sympathique vasculaire. Quant à l'
atrophie
osseuse, rarement signalée dans les paralvsies
n trouvait cinq atrophies papillaires blanches, une seule fois de l'
atrophie
grise, une sclérochoroïdite postérieure bilatér
-deux malades, ces deux aspects sont des ' états préliminaires de l'
atrophie
papillaire. Chez les neuf paralytiques en rémis
ervelet. 111111. LANNOIS et Paviot (de Lyon) rapportent 3 6bserv. d'
atrophie
du cervelet. Dans la 1 ? il s'agissait d'un enf
éningile généralisée avec un pseudo-kyste sous-céré- belleux et une
atrophie
qui semblait limitée à la face inférieure du ce
cervelet, mais en réalité était diffuse. La seconde est une hémi-
atrophie
du cervelet apparemment primitive, et la troisièm
ondairement. Le syndrome clinique cérébelleux en rapport avec cette
atrophie
ne doit donc pas-tou- jours être considéré comm
s ; on y remarque seulement un certain degré de chroma- tolyse et d'
atrophie
. C'est seulement à un degré plus avancé qu'elle
t seulement à un degré plus avancé qu'elles disparaissent, soit par
atrophie
, soit par complet envahis- sement. Malgré un en
nérale et par conséquent empêcher ou atténuer l'amaigrissement ou J'
atrophie
musculaire chez les tabétiques comme chez d'aut
1 Les cellules du; cortex présentaient les différents degrés de l'
atrophie
; celles de la moelle étaient intactes, sauf une l
doivent être soigneusement évités. Dît processus histologique de l'
atrophie
musculaire. M. G. Durante. L'auteur élimine les
oxiques analogues à celles des autres organes, pour n'étudier que l'
atrophie
simple telle qu'elle s'observedans les affectio
moindre état pathologique et prolifère. Le processus conduisant à l'
atrophie
simple peut être divisé en trois périodes : 1
bres hypertrophiées qui marquent la première phase inconstante de l'
atrophie
. SOCIÉTÉS savantes. 389 Au niveau des amas de
des fibres très grêles, mais ne saurait, à elle seule, entraîner l'
atrophie
du muscle, puisque la diminution de volume des
reconnaissables les éléments musculaires dans les amyotrophies. L'
atrophie
musculaire est donc l'aboutissant non pas d'une
e la sclérose en plaques (35 cas), de la polynévrite (30 cas), de l'
atrophie
musculaire Charcot-Marie (6 cas), de la syringo
ies affectées. P. Keraval. XVIII. Un cas d'herpès zoster, suivi d'
atrophie
musculaire; par \\'ilUelul Mlacus. (Norsk 111ga
d'un herpès zoster limité au bord ulnaire de l'avant-bras droit, l'
atrophie
se déclara dans les muscles suivants : infraspi
réaction de la dégénérescence. Après quelques mois de traitement, l'
atrophie
disparut, sauf dans les petits muscles de la ma
l existe donc, conclut l'auteur, une série morbide constituée par l'
atrophie
musculaire myélopathique pro- gressive, la para
res. Dans l'observation que rapporte l'auteur, il parait bien qne l'
atrophie
musculaire double scapulo-humérale ne reconnaît p
permettait 430 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de mettre en doute l'
atrophie
du nerf optique, et, d'autre part, le réflexe l
que, novembre 1899.) Observation de syringomyélie avec paralysie et
atrophie
des muscles de la main gauche, paralysie du mus
e la huitième racine cervicale, rend compte de la paralysie et de l'
atrophie
des muscles de la main et des fléchisseurs de l
à gauche de la parésie spas- modique, puis du myosis gauche et une
atrophie
, sans caractères radiculaires bien nets, portan
ériphérique; qu'il est possible, et même vraisem- blable, que cette
atrophie
s'accompagne des mêmes aspects mor- phologiques
t être utile, non seulement pour le diagnostic différentiel entre l'
atrophie
scapulo- humérale d'origine cérébrale et l'atro
rentiel entre l'atrophie scapulo- humérale d'origine cérébrale et l'
atrophie
scapulo-humérale .d'ori- REVUE D'ANATOMIE ET DE
heurte à quelques difficultés, mais parfois aussi pour distinguer l'
atrophie
musculaire juvénile au début d'autres processus a
i s'annoncent par une crise de mélancolie; 5° il est démontré que l'
atrophie
symétrique que l'on observe fréquemment dans les
s inférieurs. Ces douleurs furent suivies quelque temps après d'une
atrophie
avec parésie des quatre membres, exagéra- tion
rapports existant entre l'état de la glande pituitaire et l'état d'
atrophie
ou l'absence des testicules (animaux châtrés et
ocalisation bulbaire directe du névritique en raison de l'absence d'
atrophie
musculaire et de troubles des réactions électri
e d'atrophie musculaire et de troubles des réactions électriques.
Atrophie
musculaire et poliomyélite. 1111. . Raymond et
apportent un nouveau document pour l'histoire anatomo-clinique de l'
atrophie
musculaire progres- sive spinale, due à une pol
ue. L'affection avait commencé à faire de cinquante- deux ans par l'
atrophie
graduelle des muscles antéro-externes de la jam
moelle épinière, avec prédominance pour la région lombo-sacrée, une
atrophie
considérable, en nombre et en volume, au niveau
trebente, 340. Asynergie cérébelleuse, par Ba- binsl,i, 435.
Atrophie
du cervelet, voir llislolo- gie. Du processus l
Hérédité. Théories sur 1' , par Reid, 505. Herpès ZOSTER, suivi d'
atrophie
mus- culaire, par Wilhelm Magnus, 42 ? Hist
u crâne par coup de feu. par D. S. Latnll. 57. Poliomyélite. Voir
Atrophie
mus- calcuire. Pglynévrue wcc psychose, par
e de Weigert. La zone dégénérée est colorée en jaune. - Remarquer l'
atrophie
extrême des régions non dégénérées du pied du p
agnent toujours d'une dégénérescence très intense, voire même d'une
atrophie
complète de cette pyramide. Les fibres pyramidale
rs accompagnées d'une dégénérescence très intense, voire même d'une
atrophie
complète de la pyramide bulbaire (voy. cas Scheul
yers hémorrhagiques du cerveau entraînent du côté correspondant une
atrophie
du pédoncule cérébral, de la protubérance et du b
protubérance et du bulbe rachidien, et Rokitansky montra que cette
atrophie
peut être suivie dans le 'côté opposé de la moell
corps striés, pratiquée sur des animaux nouveau-nés, entraînait une
atrophie
totale de la pyramide, atrophie qui peut être sui
animaux nouveau-nés, entraînait une atrophie totale de la pyramide,
atrophie
qui peut être suivie (jusque dans le cordon lat
sont anciennes (voy. cas Pradel, p. 100 et suiv.) - enlraînent une
atrophie
des neurones de 2° el de 3° ordre. Ces atrophie
même fréquent de constater, suivant le siège de la lésion, soit une
atrophie
de la bandelette optique, ou du ruban de Reil m
atrophies indirectes ou secondaires, s'accompagnent toujours d'une
atrophie
en masse plus ou moins prononcée de la moitié cor
; Fig. 157, 158, 159, cas Rivaud). A topographie de lésion égale, l'
atrophie
en masse est d'autant plus Considérations gé-
tation de la corne occipitale et du carrefour ventriculaire, et une
atrophie
des circonvolutions des régions pariéto- occipi
u bulbe. ^Dégénérescence de la pyramide anté- rieure du bulbe (Py),
atrophie
indirecte de la couche interolivaire (im(a) et hé
e du bulbe. Fig. 58 ? Coupe transversale delà VU3 i- icnepi 1 Il.
Atrophie
indirecte du ruban do Reil tnëdian et lieiiii
re du bulbe. Dégénérescence de la pyramide antérieure droite (l'y),
atrophie
indirecte de l'entre-croisement piniforme (xpin),
e coloration. (Méthode de Weigert et Carmin.) Fig. 61. FiG. 60.
Atrophie
en masse de la calolte du pédoncule cérébral et d
pédoncule cérébral. (Cas Bizaguet, voy. Fig. 39, p. 55.) FiG. Gi.
Atrophie
en masse du pilier antérieur du trigone dans un c
rébrale infantile. (Cas Rivaud, Fig. 142 à 162, p. l : il et suiv.) L'
atrophie
porte non sur le nombre mais sur le volume des
rophié et le trigone sain ont été dessinés à un même grossissement.
atrophie
indirecte du ruban do Reil médian dans un cas d'h
méthode de Marchi pour cette étude. pouvant s'accompagner d'une
atrophie
complète des cellules pyramidales de l'écorce c
de de Marchi), participent néanmoins dans les lésions anciennes à l'
atrophie
en masse de la moitié du tronc encéphalique corre
Th). - Dégénérescence incomplète de la commissure antérieure (coa).
Atrophie
indirecte de la partie ventrale du noyau extern
té du noyau lenticulaire (NLi, NL2, NL3) qui n'a subi qu'une simple
atrophie
en masse. - Méthode de Weigert 2/1 grandeur nat
olume marquée de l'hémisphère gauche dans tous ses diamètres et une
atrophie
très prononcée de la couche optique, ainsi qu'u
(Th). Dégénérescence incomplète de la commissure antérieure (coa).
Atrophie
indirecte de la partie ventrale du tha- lamus e
recte de la partie ventrale du tha- lamus et du centre médian (Nm).
Atrophie
en masse du corps de Luys (CL), du noyau lentic
et interne (Cge, Cgi) (Fig. 69-72), de la zone de Werniche (W) et une
atrophie
con- sidérable de la zone réticulée (Zr) et des
a capsule du noyau rouge (CNR,), de la commissure antérieure (coa).
Atrophie
indirecte de la région du mban de Reil médian (
du tubercule quadrijumeau antérieur. Dégénérescence du noyau rouge.
Atrophie
légère de la bandelette optique. Atrophie indirec
érescence du noyau rouge. Atrophie légère de la bandelette optique.
Atrophie
indirecte du ruban de Reil médian. - Méthode de
arez avec coupe normale Fig. 36). Remarquez sur toutes ces coupes l'
atrophie
en masse de la moitié gauche du tronc encéphali
longitudinales de la protubérance et des noyaux pontiques gauches.
Atrophie
indirecte des pédoncules cérébelleux supérieur et
FIG. 76. - Cas Pradel. Dégénérescence totale de la pyramide gauche.
Atrophie
de la couche inter-olivaire gauche. Atrophie en
de la pyramide gauche. Atrophie de la couche inter-olivaire gauche.
Atrophie
en masse de la moitié gauche du bulbe. Biblioth
sé droit. Di- minution de volume de la corne antérieure droite,
atrophie
en masse de la moitié droite de la moelle. Mé
e avec contracture et arrêt de développement du membre inférieur. L'
atrophie
musculaire du membre supérieur était portée à u
ssiné à la même échelle). Intégrité du taenia semicircularis.
Atrophie
indirecte des piliers antérieur (Tga) et post
du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (13r Qlp) (fig. 149).
Atrophie
secondaire très évidente du faisceau rétroflexe d
par la lé- sion primitive. Intégrité du fais- ceau de Turck (FT).
Atrophie
se- condaire du ruban de Reil médian droit (R
erne de cet étage ne contient pas de fibres longitudinales (Py (d).
Atrophie
des noyaux pontiques. Atropine indirecte du rub
de la protubérance, aucune ne descend dans la pyra- mide bulbaire.
Atrophie
en masse de toute la moitié droite du bulbe, en p
nquièmes internes du pied du pédoncule cérébral (P) (Fig. 150), une
atrophie
très accusée de la substance grise antérieure d
petit amas névroglique situé en avant de la couche interolivaire. L'
atrophie
complète de la pyramide (Py) démontre que les fib
nt une véritable expérience de Gudden chez le jeune enfant. Comme
atrophie
secondaire indirecte, il faut citer : Y atrophie
eune enfant. Comme atrophie secondaire indirecte, il faut citer : Y
atrophie
du trigone cérébral (Tg) (Fig. 61, p. 94) et du
ence de ces dernières; l'hémiall'ophic cérébelleuse croisée, due il
atrophie
secondaire des pédoncules cérébelleux supérieur (
ncules cérébelleux supérieur (l'cs) et moyen (Fig. 150 à 9 : ;1); l'
atrophie
du ruban de Reil (Rm) dans son trajet pédoncu-
urdach (\C13) du côté opposé iL la lésion cérébrale (Fig. 153). Cette
atrophie
est en tout comparable celle du trigone (Fig. 6
ophie est en tout comparable celle du trigone (Fig. 61, p. 91). L'
atrophie
de ces différents faisceaux est cause de la dimin
ile. Ce qui frappe encore dans le cas Rivaud, c'est la petitesse, l'
atrophie
extrême de la partie supérieure de la couche op
bulbaire droite, dans son trajet bulbaire et médullaire. Hyper-
atrophie
compensa- trice de la pyramide gauche, faisce
res troubles de la sensi- bilité. Dysarthrie, paralysie linguale et
atrophie
de la moitié gauche de la langue remontant à tr
thalamus a lieu de surprendre de prime abord, lorsqu'on songe il l'
atrophie
extrême que subit parfois ce ganglion à la suit
s sur les mala- dies du système nerveux, 1874. - Charcot et Turnkr.
Atrophie
cérébrale avec atrophie el dégénémtion dans une
u système nerveux, 1874. - Charcot et Turnkr. Atrophie cérébrale avec
atrophie
el dégénémtion dans une moitié du corps. Compte
ali. du corps humain, livr. 28-32. - J. Dejerine. Noie sur un cas d'
atrophie
d'un lobe cérébral observé chez un chien, avec
ur un cas d'atrophie d'un lobe cérébral observé chez un chien, avec
atrophie
secondaire du pédoncule et de la pyramide corresp
l., 1897, p. 199. - Scuroe- DER VA : \' DER Kola, lYameming von ene
Atrophie
van het linker halfratzd der hersenen met gelij
ne Atrophie van het linker halfratzd der hersenen met gelijklijdige
atrophie
van het ligelcaccuetz. Verhandelingen d. eerste C
ais. Acad. d. Wissensch, Wien, Bd. 36, f859, p. 191. - Turner. De l'
atrophie
partielle ou unilatérale du cervelet et de la moe
llongée et de la moelle épinière consécutive li la destruction avec
atrophie
, d'un des hémisphères du cerveau. Th. de Paris,
on temporale (Fig. 247). Fletcher Beach et lluguenin ont constaté l'
atrophie
de la première circon- volution temporale dans
sensibilité générale observé chez un hémiplégique et relevant d'une
atrophie
du faisceau rubannè de Reil. Arch. de Phys. norm.
l'étude des dégénérescences secondaires. Le tubercule mamillaire s'
atrophie
et diminue considérablement de volume à la suite
ation de la masse blanche sous-jacente. Dans l'un et l'autre cas, l'
atrophie
porte sur tout le tubercule mamil- laire, sur l
umm, 0. Vogt, et chez l'homme par V. Monakow. Gudden a montré que l'
atrophie
même totale du pilier antérieur s'accompagne d'un
elette optique. GANGLIONS INFIIACOITTICAUX : CORPS STRIE. 311 une
atrophie
légère du corps strié à la suite d'ablalion du gy
s neurones corticaux lésés, ne sont tou- tefois pas comparables à l'
atrophie
souvent extrême que subit la couche optique dan
sion primitive et à sa section par cette dernière. Dans ce cas, l'
atrophie
du thalamus atteint un degré extrême et tel qu'on
no retentissent pas sur le corps strié ou no déterminent qu'une
atrophie
en masse. 312 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
ubir aucune espèce de modification; on n'y rencontre pas de zones d'
atrophie
limitée avec disparition, soit des fibres radié
e visuelle, mais encore dans les cas d'ablation, d'énucléation ou d'
atrophie
du globe oculaire. A côté de ces fibres terminale
s Pradel, p. 100, cas Rivaud, p. 151), il s'agit dans ces cas d'une
atrophie
indirecte, rétrograde et diminuant de haut en b
une dégénérescence au-dessous et au-dessus de la lésion, à savoir une
atrophie
plus ou moins étendue du thalamus et une atroph
ion, à savoir une atrophie plus ou moins étendue du thalamus et une
atrophie
des fibres et des cellules dans la partie corre
de de Marchi que la destruction du ruban de Reil n'entraine pas une
atrophie
ou une dégénérescence du corps de Luys, et que
lement que la commissure de Meynert persiste intacte dans les cas d'
atrophie
de la bandelette optique et qu'elle n'affecte,
tres ganglionnaires de la vision et n'entraînent qu'à la longue une
atrophie
du segment antérieur, extra-cérébral de l'ap- p
es nerfs optiques. Chez l'homme, nous avons toujours constaté que l'
atrophie
bilatérale des nerfs op- tiques entraine une dé
. Comme d'autre part, ainsi que nous avons pu nous en convaincre, l'
atrophie
complète des deux nerfs optiques entraîne une atr
convaincre, l'atrophie complète des deux nerfs optiques entraîne une
atrophie
com- pléte des deux bandelettes, c'est donc dan
ngénitale. Quant à nous, dans nos cas d'énucléation bilatérale ou d'
atrophie
optique bilatérale, nous avons toujours constaté
tre homologué avec la commissure de Gudden du lapin. Dans les cas d'
atrophie
optique uni ou bilatérale, rapportés par v. Monak
n est en général passée sous silence. Schlagenhaufer dans son cas d'
atrophie
bilatérale des nerfs optiques, avec faisceau ab
en und Balmen in Ficlletz von congénitale)' Anophthalmie und Bulbus
atrophie
bei neugeborenen Kindem. Arch. f. Psych. XXVIII,
ersales de la protubérance font défaut (Fig. 373). C'est FiG. 3n. -
Atrophie
complète des fibres du pédoncule cérébelleux moye
l'obs. et le protocole d'autopsie, voy. J. Dejerine et A. Thomas, l'
Atrophie
olivo-ponto-cerébelleusc. Nouvelle iconographie
avec disparition plus ou moins complète des cellules de Purkinje et
atrophie
de la substance grise antérieure de la protubéran
je et atrophie de la substance grise antérieure de la protubérance (
Atrophie
olivo-Jo7to-cééb·llezcse de Dejerine et Thomas)
es el moyennes. Leur trajet est particulièrement manifeste dans les
Atrophie
des libres traii,%ei-,ziles protubéran tielle
ciennes, ou remontent à la première enfance, on observe souvent une
atrophie
simple, indirecte, des fibres sag Ut aies du raph
tabli; et la liste est déjà longue des affections dans lesquelles l'
atrophie
dégénérative des tubes nerveux périphériques a
es phénomènes qui conduisent le tube nerveux de l'état normal à l'
atrophie
complète, à celle qui s'observe dans l'extrémit
Charcot, avec notre collaboration 1. Il s'agissait ici d'un cas d'
atrophie
musculaire protopathique. Dans la figure 3, pla
mpant brusquement pour se 1 Charcot et Gombault. Arote sur un cas d'
atrophie
musculaire p·oto- pathique. (A,'ch. de Physiolo
enre et que, jusqu'à nouvel ordre, nous désignerons sous le nom d'
atrophie
cérébrale. OBSERVATION II ATROPHIE CEREBRALE
us désignerons sous le nom d'atrophie cérébrale. OBSERVATION II
ATROPHIE
CEREBRALE : IDIOTIE PROFONDE. SounAiRE. Antécéd
ngite : marche de la température centrale; - Pneumonie. -Autopsie :
atrophie
des lobes frontaux. (Obs. pers.) - Oud... J. Cé
ue; de là, jusqu'à la crête de la première circonvolution frontale,
atrophie
et indu- ration, de la lésion des trois circonv
partie postérieure, de la lésion de la frontale ascendante et de l'
atrophie
de la pariétale ascendante résulte un sillon qui
nerveux et qu'on ne saurait invoquer l'alcoolisme. Au lieu d'une
atrophie
partielle des -circoW tions, sur la nature de l
Guilde'n ayant arraché les yeux à de jeunes animaux, ne - trouva d'
atrophie
que dans les tubercules antérieurs. - Ces tuber
titude de l'enfant à suivre les instructions du médecin, le degré d'
atrophie
des muscles. 156 BIBLIOGRAPHIE. L'auteur a un
ar sa méthode, chez un enfant atteint de paralysie du deltoïde avec
atrophie
muscu- laire complète; or, cette paralysie atro
ppuie sur cette circons- tance, que dans un certain nombre de cas d'
atrophie
musculaire, les lésions des tubes nerveux ont p
sses sont AHs 11 ;¡td4uctlOp,r la gauche plus que) la droite. Pas d'
atrophie
, ni de. troubles deila sensibilité. n Le réflex
t; -n mi 15 9-"ioni Jrt, muq en 'ip ™ sa I XXXVIII : 7SIUn UN cas d'
atrophie
du cervelet ; RarG.SEPP;LL;.(Jtt)) ! S<a'U s
xte, répondent aux circonvolutions centrales. Ainsi, dans ce cas, l'
atrophie
et la sclérose des circonvolu- tions centrales
grand soin par M. Leuba. 392 CLINIQUE MENTALE. Observation IV.
ATROPHIE
CEREBRALE : IDIOTIE PROFONDE. SOJIDIJ.1RB. - An
mphysème sous-cutané. Affaiblissement progressif : mort. Autopsie :
Atrophie
d'un grand nombre de circonvolutions des deux hém
e réunissent à l'extrémité postérieure de la scissure de Sylvius. L'
atrophie
intéresse surtout le pli courbe, la partie post
es lésions des circonvolutions de la face interne. Face interne :
atrophie
de la partie postérieure de la première circonv
yenne et postérieure de la circonvolu- tion du corps calleux; enfin
atrophie
des première et deuxième circonvolutions occipi
vations de sclérose du cervelet qui correspondent bien plutôt à une
atrophie
simple ou à un arrêt de dé- veloppement qu'à un
ltération de celui-ci et non à un simple affaissement produit par l'
atrophie
du tubercule quadrijumeau antérieur sous-jacent
i avait porté sur sa jambe para- lysée. L'auteur signale encore l'
atrophie
musculaire des membres du côté malade, et il co
fait rare. Ici encore nous nous permettrons d'objecter que, si l'
atrophie
totale des muscles contracturés est relativement
hie totale des muscles contracturés est relativement peu commune, l'
atrophie
de certains groupes est au contraire une conséq
s que l'absence d'anesthésie, de troubles vésicaux et gé- nitaux, d'
atrophie
, d'eschares et de symptômes cérébraux.- Les obs
l'avant-bras gau- che et les doigts. Dès la fin du premier mois, l'
atrophie
com- mença. Il n'y eut pas le plus léger troubl
ez lequel les lésions avaient débuté par la base de l'encéphale ; l'
atrophie
des nerfs optiques devança de plu- sieurs année
ns l'ostéite chronique des extré- mités articulaires, il existe une
atrophie
musculaire spécifique, due à la lésion ; un spa
uscles ainsi atteints. La contraction émotive détermine seulement l'
atrophie
par défaut d'usage, une rigidité musculaire var
'ostéite chronique par l'action de l'éther, mais il n'existe qu'une
atrophie
purement fonctionnelle, et la réaction faradiqu
stériques; enfin, 10° des maladies organiques de la moelle (ataxie,
atrophie
musculaire, méningite spinale), et 1 1° certain
les à la convexité. Adhérence du lobe postérieur droit. Sclérose et
atrophie
de l'hémisphère droit du cervelet. Corps rhom-
e de la sclérose latérale bibliographie. 499 amyotrophique. Cette
atrophie
porterait surtout sur les cellules du groupe an
contracture faisant place à la flacidité dans les cas où survient l'
atrophie
musculaire qu'il a décrite dans la première par
aire qu'il a décrite dans la première partie de son travail ; cette
atrophie
serait surtout apparente aux muscles de l'épaul
; dans un cas qui a évolué sous les yeux de l'auteur, le début de l'
atrophie
s'est manifesté quatre mois après l'attaque d'h
n-dêi' irâiidds "cellules"" motrices des'cornes antérieu- res, avec
atrophie
des racines nerveuses qui partaient du point ma
cellulaire néôformé est apte à conduire les incitations. C'est à l'
atrophie
des,, élé- ments musculaires qu'il rattache l'e
ssous de la normale à raison de la persistance d'un certain degré d'
atrophie
simple. P. K. XIII. SUR L'EMPLOI DE l'appareil
E D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 579 rappelant cependant les lésions de l'
atrophie
musculaire progres- sive3 La localisation des p
aire des cellules, celle-ci appartenant, pour l'auteur, surtout à l'
atrophie
musculaire progressive et à la sclérose latéral
riques témoignant des dégénérescences névro- musculaires'. Notons l'
atrophie
simple de la gaine et du cylin- draxe comme rel
'inutilité de la sur la réparation médullaire ni sur la marche de l'
atrophie
et de la dégénérescence névro-musculaire. P. K.
s, strabisme de l'oeil droit, immobilité et dilatation pupillaires,
atrophie
des muscles masticateurs du même côté, parésies
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 589 pagnées d'accès épileptiformes,
atrophie
musculaire très pro- noncée bientôt suivie d'hé
ertains troubles d'ans les disques optiques (névrité"o'p ? tique et
atrophie
papillaire); 2° Céphalalgie;- 3° Vomisse- ments
1., - 1 1 Il, i £ -1 , - - A. côté de la névrite il faut' ranger -l'
atrophie
papillaire et l'hypérémie des disques optiques
té, elles sont encore moins connues. A côté des cas de M. Luys avec
atrophie
des circonvolutions de la face interne des lobe
quelle valeur faudrait-il leur attribuer ? Devrait-on considérer l'
atrophie
comme primitive, due à un arrêt de développement,
éments possédant la propriété de conduire toutes les impressions; l'
atrophie
partielle des racines postérieures peut aussi c
cordons latéraux dans le cervelet intégrité des cornes antérieures
atrophie
des cellules dans les pyramides de Clarke). ,
s faisceaux pyramidaux (moelle dorsolombaire). Méningite chronique,
atrophie
des nerfs optique et acoustique. P- K. LXXXIV
des cas. Parmi les trente-sept cas de myosis, il y avait huit fois
atrophie
du nerf optique. Sur les soixante et onze cas,
normal. A l'avant-bras gau- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 601 che
atrophie
et paralysie complètes des muscles animés par le
sie du pouce et de l'index gauches ; un peu plus tard, paralysie et
atrophie
de la partie antérieure du deltoïde à gauche et
Bien que Duchenne (de Boulogne), puis Lewinski aient prétendu que l'
atrophie
isolée du grand dentelé ne s'accom- pagne pas d
te dans le cas en question. L'auteur pense que ces paralysies, avec
atrophie
, ont été plus probablement de cause centrale qu
de démence). L'autopsie fit découvrir de l'oedème pie-mérien, de l'
atrophie
des circonvolutions, de l'hydrocéphalie interne
lvsie avec contractures, il faut' encore noter les arthralgies et l'
atrophie
des membres. Les douleurs, quelque*- fois avec
(On a trouvé les lésions de l'arthrite dans' quelques autopsies.) L'
atrophie
, ou plutôt l'arrèt' de développement', porte à
" ' ` , ' , ' eti 1 1 f1l j > ' Tous ces sujets sont atteints d'
atrophie
cérébrale ; mais l'hémi- plégic, chez les, mala
ophie cérébrale ; mais l'hémi- plégic, chez les, malades atteints d'
atrophie
cérébrale, avec athétosc ou hémichoréo, diffère
hémichoréo, diffère de l'hémiplégie 'des "autres malades atteints d'
atrophie
cérébrale sans phénomènes choréi- formes ; chez
dans le service de M. Gaujot, suppléé par M. Charvot. On sait que l'
atrophie
musculaire consécutive 1 Archives de Neurologie
nesthésies limitées ; aux troubles de nutrition il faut rattacher l'
atrophie
musculaire, l'hypertrophie du tissu cellulo-adi
musculaire, l'hypertrophie du tissu cellulo-adipeux sous-cutané, l'
atrophie
de la peau, les lésions des poils et des glande
le interne et de la couronne rayonnante, par Bitot, 524. Ccnelet (
atrophie
du), par Seppilli, 313. Cervelet (sclérose du
les-ci, des plus accentuées, telles que la méningo-encéphalite ou l'
atrophie
des circonvolu- tions. Et parmi celles-ci nous
ot; car ces lésions peuvent servir à établir une transition entre l'
atrophie
de la substance grise que nous étudions et les
s; dansla moelle. ,e même processus parait plus avancé encore, et l'
atrophie
des élé- ments nerveux portée très loin. Ces lé
riode de tuméfaction des cellules dans la para- lysie générale. L'
atrophie
des circonvolutions et de la moelle résulte donc
e la moelle résulte donc de la condensation de la névroglie et de l'
atrophie
des éléments nerveux eux-mêmes et est masquée e
ide avec laprédoiiiidance de quelques symptômes il gauche, Malgré l'
atrophie
plus marquée du côté gauche du corps, il n'y a
ion qui nous est expliquée par les différents états aboutissant à l'
atrophie
que l'on peut observer sur les coupes. Sur une
n a dit que les vaisseaux paraissaient plus nom- breux à cause de l'
atrophie
du cerveau. C'est pour la paralysie générale qu
a paralysie générale que cette opinion a été émise, quoique cette
atrophie
soit réelle; et il suffit de corn. LÉSIONS HIST
sur les coupes prises dans l'hémisphère gauche, on ne voit que de l'
atrophie
simple, sans les taches de désintégration que n
on que nous avons si souvent retrouvées. C'est donc un exemple de l'
atrophie
simple, ou plutôt du non-développement, sans ta
rescence ; soit qu'elles n'existent plus, soit que le processus d'
atrophie
ait été différent, ce que nous ne pouvons savoi
les retrouvons, coïncidant il est vrai, avec les mêmes lésions d'
atrophie
et d'état chagriné à l'oeil nu. L'atrophie et l
ec les mêmes lésions d'atrophie et d'état chagriné à l'oeil nu. L'
atrophie
et l'état chagriné des circonvolutions se retro
A l'autopsie, on constate que l'épilepsie est symptomatique d'une
atrophie
considérable de l'hémisphère droit du cerveau et
'hémisphère droit du cerveau et de l'hémisphère cérébelleux gauche,
atrophie
caractérisée par un amaigrissement profond des
parenchymateux normaux. Il détruit l'harmonie des couches et les
atrophie
d'une façon inégale, puisque ses prolonge- ment
. A l'autopsie, aspect foetal du cerveau; arrêt de développe- ment,
atrophie
et état chagriné de la partie postérieure de l'hé
ation XI. - Le malade suivant était aussi un épileptique, atteint d'
atrophie
cérébrale, mais celle atrophie n'était point la
tait aussi un épileptique, atteint d'atrophie cérébrale, mais celle
atrophie
n'était point la 136 ENCÉPHALITES CHRONIQUES.
136 ENCÉPHALITES CHRONIQUES. grande sclérose lobaire, c'était une
atrophie
partielle et que l'on peut, jusqu'à un certain
stinguer trois étapes : 10 prolifération vasculaire; 2° sclérose et
atrophie
des cellules nerveuses ; 3° formation des cavit
posés ; enfin les cellules pyramidales présentent tous les degrés d'
atrophie
. Nous n'avons pas insisté sur leur vacuolisatio
rêter. Du côté de la substance blanche, il est facile de voir son
atrophie
; la multiplication des noyaux des petites cellu
. 449, 1868. BIBLIOGRAPHIE 147 ï Thèse, p. 323, dBGG. Cotard. -
Atrophie
partielle du cerveau. Thèse, <86S. Ilayem. -
. - Maladies de la moelle, p. 56, 1879. Magnan. - Idiotie, mutisme,
atrophie
scléreuse gauche. - Soc. biologie, 1881. Bour
é- phale, p. 155, 1883. Uanillo. Encéphalite parenchymateuse avec
atrophie
partielle. - Archives de Neurologie , t. Il, p.
ndroits il l'écorce cérébrale, laquelle présente un certain degré d'
atrophie
. Les vaisseaux pré- sentent des lésions accentu
parle comme s'il avait une blessure de Ja langue. La paralysie avec
atrophie
est des plus nettes. Ea R ; Ka SZ = An SZ. Ce q
puis longtemps de son angine, ce malade pré- senta une parésie avec
atrophie
des membres inférieurs, une para- lysie du voil
idité plus prononcée avec exagérations des réflexes et parésie sans
atrophie
des membres inférieurs; parésie atrophique avec
. Observation DE paralysie facule datant DE la première EN- Fange ;
atrophie
unilatérale des muscles DE la face ; par 11.1RTOS
Epileptique aliéné alcoolique de trente-trois ans. Il présente une
atrophie
complète, perceptible à la palpation, des muscles
ssent d'ailleurs au courant électrique direct. L'auteur croit cette
atrophie
d'origine périphérique, malgré l'atro- phie ; i
modification dans la constitution des muscles en question sinon une
atrophie
, au moins une diminution de leur tonicité, qui
dans le noyau de la couche réticulaire de la moelle cervicale ; une
atrophie
simple dans le noyau rouge de la calotte, dans
ues se montrent : peau sèche, froide, mince, squa- meuse, exsangue;
atrophie
musculaire en masse mais non dégéné- rative (ex
s cas, le train postérieur s'amaigrit rapidement sans qu'il y ait d'
atrophie
musculaire ; cet amaigrissement contraste avec l'
ité cadavériques. Autopsie. Liquide céphalo-rachidien abondant. -
Atrophie
totale de l'hémisphère cérébral gauche. Atrophi
hidien abondant. - Atrophie totale de l'hémisphère cérébral gauche.
Atrophie
du pédoncule cérébral, du tubercule mamillaire
paralysie, à de l'idiotie, ou à d'autres symptômes cérébraux, avec
atrophie
cérébrale, sclérose ou kystes consécutifs à la lé
nt probablement donné lieu à un épaissisemeut des méninges et à une
atrophie
lente de la substance corticale. Dans le premier
ne cécité absolue (altérations de la tache jaune, et ultérieurement
atrophie
du nerf optique); - 5° marasme, et, règle général
liquait de troubles du côté des nerfs. optiques et en particulier d'
atrophie
. Weiss et Brugger ont publié 16 cas de crâne en
. Weiss et Brugger ont publié 16 cas de crâne en forme de tour avec
atrophie
des nerfs optiques ; entre autres chez deux frè
expliqué le rapport qui existe entre le crâne en forme de tour et l'
atrophie
optique ; cependant, étant donné l'ar- rêt de d
unes, généralement groupées par trois ou quatre, pré- sentaient une
atrophie
avancée. Elles étaient petites, apparais- sant
et gustatifs ? ), a mon- tré des lésions banales, mais accusées, d'
atrophie
et de dégé- nérescence des éléments nerveux, su
ées, surtout à gauche, avec perte de l'exci- tabilité faradique, et
atrophie
. Pendant les deux premiers mois il avait des sy
a région affectée, symptôme qui est tout à fait exceptionnel dans l'
atrophie
circulaire de la face. - L'auteur rappelle les
e du tractus pyramidal (paralysie avec rigidité spas- modique, sans
atrophie
marquée). Dans quelques cas la corne anté- rieu
ept ans, présente des symptômes analogues ; le visage participe à l'
atrophie
, de même les fléchis- seurs de la cuisse ; il e
rire impulsif. L'autre offre les mêmes symp- tômes et en outre une
atrophie
musculaire progressive des deux mains, à caract
ique spécial ; combinai- son d'un état de débilité mentale avec une
atrophie
musculaire progressive (et fréquemment aussi av
sions héréditaires des voies motrices; paralysie spinale spastique,
atrophie
musculaire familiale par névrites, dystrophie pro
uer, à l'âge adulte, d'une façon lente et progressive, sous forme d'
atrophie
musculaire spi- nale, ou d'une façon aiguë, sou
du centre trophique, car la destruction de la cellule provoque l'
atrophie
de la fibre, qui est en continuité avec elle. Les
PTIQUES PRIMITIFS DANS LES CAS D'ANOPHTHALMIE CONGÉNITALE ET DANS L'
ATROPHIE
DU GLOBE OCULAIRE CHEZ LES EN- FANTS NOUVEAU-NÉ
les centres nerveux dans quatre cas d'anopllthalmie et trois cas d'
atrophie
du globe oculaire. Les tubercules quadrijumeaux
nerfs étant purement moteurs. Dans l'écorce, l'auteur constate une
atrophie
de la quatrième couche (couche des noyaux) dans
muscles et des ligaments, la diminution du volume des muscles et l'
atrophie
simple. Ces modifications des cellules de la
rale. A l'autopsie, lésions habituelles de la méningo- encéphalite,
atrophie
des ganglions de la base. 3° Fille de vingt-six
yphilis probable. A vingt-un ans dimi- nution de l'acuité visuelle.
Atrophie
optique. Céphalée, douleurs fulgurantes, perte
ont fait défaut dans 7 cas; ils étaient exagérés chez 15 malades. L'
atrophie
optique a été rencon- trée dans 12 cas pour 100
re, et, fréquemment, les adhérences de cette membrane à l'écorce, l'
atrophie
des circonvolutions surtout au niveau du lobe f
s, devinrent plus tard con- tinuelles. Deux ans plus lard parut une
atrophie
de la glande mammaire droite et un an après s'e
membre supérieur droit. 410 SOCIÉTÉS savantes. Etat actuel.- Une
atrophie
très marquée des tissus cutanés, sous- cutanés
tie droite du tronc et dans le membre inférieur droit. De ce côté l'
atrophie
atteignit le sein, les muscles sterno-huméral,
sensibilité des muscles est un peu exagérée, dans les endroits où l'
atrophie
cutanée est plus marquée. Les réflexes tendineu
SOCIÉTÉS SAVANTES. 411 1 Vers la fin de la vie, au bout d'un mois,
atrophie
musculaire surtout dans la région des grandes a
fibres musculaires à savoir : vacuolisation, gonflement, troubleet
atrophie
, infiltration cellulaire et prolifération du ti
es phénomènes d'une tumeur du cervelet : céphalalgie, vomissements,
atrophie
des nerfs optiques secondaire, accès épileptifo
es membres inférieurs complètement paralysés étaient le siège d'une
atrophie
mus- culaire considérable avec rétraction telle
escence cellulaire généralisée. Il. DE MUSGRAVE-CLAY. LVI. UN cas d'
atrophie
musculaire A DÉBUT BRUSQUE; par Théodore DITTER
x mois après, paralysie brusque de la main droite, bientôt suivie d'
atrophie
progressive de l'avant-bras et de l'épaule. L'a
tôt suivie d'atrophie progressive de l'avant-bras et de l'épaule. L'
atrophie
et la paralysie persistent sans changement pend
gravent progressivement pendant deux ans; puis ensuite paralysie et
atrophie
du deltoïde, des muscles de la région radiale e
iques sont normales. Les muscles, - peu développés ne présentent ni
atrophie
, ni hypertrophie. La malade ne parle pas ; il y
ux cornes anté- rieures, on observe de la paralysie motrice et de l'
atrophie
muscu- laire, tandis que la lésion des cornes p
s postérieurs en dehors de la substance grise. Paralysie motrice,
atrophie
musculaire, anesthésies diverses se rattachent
e résulte de la dégénérescence des cylindraxes, due elle-même à l'
atrophie
de leurs cellules d'origine. Dans la myélite tr
ysie est d'ordinaire complète au-dessous du siège de la lésion. L'
atrophie
musculaire accompagne la paralysie motrice quand
qu'un phénomène particu- lier de la vie cellulaire - Canstatt et l'
atrophie
résultant de la prépondérance de la désassimila
céphale (p. 200). Cette planche montre à quel degré est prononcée l'
atrophie
de l'hémisphère cérébral gauche. EXPLICATION
Même remarque. - Sur cette planche on se rend compte, en outre de l'
atrophie
du pédoncule cérébral gauche, P, de la moitié gau
aliénés, par Zlehen, 137. t1T wE et syphilis, par Drennen, 47.
Atrophie
atuscuLUnE, à début brus- que, par Dicter, 458.
re, MIGRAINE OPHTHALMIQUE. 57 l'axe médullaire subit une espèce d'
atrophie
en masse, déformé par un nombre de plaques tell
a vie, du côté des membres par de la rai- deur d'abord, et par de l'
atrophie
musculaire ensuite ; du côté de l'encéphale par
z des sujets sains. Dans certains autres cas, il est question d'une
atrophie
générale d'un hémisphère, qui n'a plus rien à f
postérieure du pharynx). L'absence congénitale de nerf olfactif, l'
atrophie
scléreuse sénile de ses racines, la perte de pi
e la région visuelle de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 95 -) Munk (
atrophie
secondaire du corps genouillé externe, aussi co
le noyau externe de la couche optique droite, puisque ce noyau ne s'
atrophie
ni après l'énu- cléation du globe de l'mil, ni
'immobilité, l'absence de cellules granuleuses (avant-coureurs de l'
atrophie
des éléments nerveux) témoigneraient que, dès l
de second ordre se compose le domaine des cordons pos- térieurs ? L'
atrophie
générale de la région dorso-lombaire qui est lo
o- noncée n'a fait que s,'accentuer pendant l'ataxie locomotrice (
atrophie
par inactivité ou par les processus atrophiques).
t indemne tandis que le biceps et le brachial ne sont qu'affaiblis.
Atrophie
des muscles affectés; atrophie des muscles des
et le brachial ne sont qu'affaiblis. Atrophie des muscles affectés;
atrophie
des muscles des mains, surtout du côté droit qu
ar ce moyen l'anesthésie quelle que soit son origine, la névrite, l'
atrophie
musculaire pro- gressive, l'angine de poitrine,
l'imagination du malade. M. Hammond .cite cependant quelques cas d'
atrophie
où l'on 'pouvait obtenir des contractions avec
juguée latérale droite. Nystagmus. Paralysie de l'hypoglosse avec
atrophie
de la langue du côté droit. M-1 Rob.... cinquan
a langue à gauche en rapport avec la paralysie de l'hypoglosse et l'
atrophie
de l'organe du côté droit. Le facial n'est pas
. 3e Type. Fragmentation de la myéline en fines granulations avec
atrophie
discontinue de la fibre nerveuse. Etat variqueu
res ainsi altérées on ne découvre trace du cylindre axe. je Type.
Atrophie
des tubes avec granulations ambrées dans l'inté
ment et paraît absolument vide. 200 PATHOLOGIE NERVEUSE. 5e Type.
Atrophie
complète des tubes nerveux ; vacuité des g aîné
détachent en rose pâle les noyaux propres à chaque tube ; ce sera l'
atrophie
complète avec colo- ration jaune des gaines. D'
e des faisceaux conjonctifs; aussi peut-on dénommer cette variété :
atrophie
coin- plète avec aspect conjozacti f des cM.
té. Jamais elle ne provoque eu un aussi petit nombre de jours une
atrophie
complète des tubes nerveux.. Notons incidemment
d'une varicosité ; d'autres sont très petites et semblent en voie d'
atrophie
. La trame conjonctive et les cellules nerveuses
1 et 3) ; plus commune est sa fragmentation en granulations avec
atrophie
partielle et varicosités (type 3). Mais l'altérat
osités (type 3). Mais l'altération domi- nante est constituée par l'
atrophie
complète des tubes ; les uns renferment encore
venant du nerf mentonnier (Obs. V). planche III. Fig. il, 12, 13.
Atrophie
avec granulations ambrées fibres provenant du 1
rovenant du 1 le nerf intercostal (Obs. IV). Fig. 14, 15, 16, 17.
Atrophie
complète des tubes nerveux. Fig. 14 et 15, atro
14, 15, 16, 17. Atrophie complète des tubes nerveux. Fig. 14 et 15,
atrophie
avec coloration jaune provenant du Me nerf interc
on jaune provenant du Me nerf intercostal (Obs. IV); fig. 16 et 17,
atrophie
avec aspect conjonctif provenant des nerfs du v
. P. K. XII. Blessure par arme A FEU DES GROS nerfs DU bras, avec
atrophie
consécutive DE l'extrémité ; par ISRAEL. (A ? 'Ch
ial cutané interne, après avoir perforé l'aponévrose brachiale. L'
atrophie
du bras gauche est générale, quoique de valeur
s de l'avant-bras, paralysie absolue des flé- chisseurs des doigts,
atrophie
considérable de l'avant-bras, de l'éminence thé
ble, ne présente pas REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 3') non plus d'
atrophie
. L'anesthésie, totale dans l'extrémité infé- ri
tes maladies (paralysie faciale de Bell, section nerveuse ancienne,
atrophie
musculaire progressive). Dans toutes ces affect
rme des fibres en rapport avec le sciatique. Dans une observation d'
atrophie
complète de la moelle cervicale inférieure, il
rpente du névrilemne en est revêtue. 11 est enfin des endroits où l'
atrophie
ayant détruit les cloisons conjonctives, on obs
certains cas le zona est précédé'ou accompagné 'de 'paralysie 'et d'
atrophie
musculaires, qui''sont`difficilement explicable
réquemment dans le cours- de la paralysie spinale infantile ou de l'
atrophie
musculaire progressive, dont les, lésions initi
s. çette .hypothèse,encore, comment expliquer une arthropathien'snr
atrophie
musculaire concomitante, quand on sait pertinem
- phiques, dont Jajdestructtqnjjentraîne constamment à sa suite l'
atrophie
de ces muscles ? L'hypothèse de l'ori- gme cqnt
galement, mais bien plus marquée que n'aurait permis de le penser l'
atrophie
, s'accompagnant d'une contrac- ture légère, exa
llulaires ; 3° l'état vacuolaire ; 4° l'altération pigmentaire et l'
atrophie
pigmentaire. ' ' 1° Hpertroplué.'=Aprèsavoirrap
cellules nerveuses ? 1, ' ' " ' ' ' 1 4° Altération pigmentaire et
atrophie
pigmentaire. L auteur pense que le pigment des
pe d'altérations rénales comprend la dégénérescence kys- tique avec
atrophie
des deux organes,' l'hydronéphrose'et l'atrophi
kys- tique avec atrophie des deux organes,' l'hydronéphrose'et l'
atrophie
granuleuse, l'atrophie par malformation congénita
phie des deux organes,' l'hydronéphrose'et l'atrophie granuleuse, l'
atrophie
par malformation congénitale; ' les pesées four
réduction du pédoncule cérébral à gauche. M. Kirchhoff estime que l'
atrophie
scléreuse du lobtile lingual a succédé à l'alté
'athéromasie artérielle, de l'hydrocéphalie interne et externe, une
atrophie
modérée des circonvolutions, de la caséification
ioii (les), 1 19. Nerfs du bras (blessure par arme à feu des avec
atrophie
consécu- tive de l'extrémité), par Isi-aèl, 3
V). EXPLICATION DES PLANCHES. 435 PLANCHE III Fig. il, 12, 13.
Atrophie
avec granulations ambrées fibres provenant du l
provenant du lie nerf intercostal (Obs. IV). Fig. 14, 15, 16, 17.
Atrophie
complète des tubes nerveux. - Fig. 14 et 15, at
, 15, 16, 17. Atrophie complète des tubes nerveux. - Fig. 14 et 15,
atrophie
avec coloration jaune provenant du lie nerf inter
n jaune provenant du lie nerf intercostal (Obs. IV); fig. 16 et 17,
atrophie
avec aspect conjonctif provenant des nerfs du v
aux de couture exagérés, est atteinte depuis plus de dix ans, d'une
atrophie
avec déformation en griffe des deux mains. Cett
ns, d'une atrophie avec déformation en griffe des deux mains. Cette
atrophie
est exactement limitée aux muscles des mains et n
adulte, mais se caractérise- rait par ce fait que l'altération ou l'
atrophie
du corps thyroïde, est survenue à une époque qu
incriminer, comme on le fait généralement, une thyroïdite survie d'
atrophie
du corps thyroïde; en effet, d'ordinaire, cette
- tal de Nancy, elle présentait une hémiplégie gauche totale avec
atrophie
musculaire et contractures particulièrement accus
il gauche ; constatation à l'ophtalmoscope, de neuro- rétinite avec
atrophie
de la papille; puis les mêmes symptômes apparur
cinatoires à forme zoophique, paraplégie symétrique bilatérale avec
atrophie
des muscles des jambes et des cuisses, avec pie
Nocuia (E.) et SIHOL (J.). Maladie de Thomsen il. forme fruste avec
atrophie
musculaire. Brochure in-8° de 7 pages, avec une p
'infanterie entre à l'hôpital Desgenettes le 15 mars 1898, pour une
atrophie
du hras gauche. Il est envoyé de Montmélian pour
nalée déjà. Il s'agit plutôt d'un développement incomplet que d'une
atrophie
car les réactions électriques sont les mêmes à
ncert avec deux autres ouvriers, à la suite d'une débauche commune.
Atrophie
congénitale du médius, de l'annulaire, et de l'
e à évolu- tion progressive de tous les quatre membres avec ataxie,
atrophie
SOCIÉTÉS SAVANTES. 147 musculaire, secousses
u premier jour. Au niveau du membre atteint, on constate une légère
atrophie
musculaire. M. Brissaud pense qu'il s'agit d'un
d combien de temps après le début de la claudication est survenue l'
atrophie
. ' M. Brissaud répond que l'atrophie est surven
claudication est survenue l'atrophie. ' M. Brissaud répond que l'
atrophie
est survenue quinze mois après. Suites éloign
cérébrale antérieure. III. Ces causes auraient leur source dans l'
atrophie
des rameaux : \ : artériels qui portent le sang
sang dans l'extrémité céphalique de l'embryon, d'autant plus que l'
atrophie
de la vésicule cérébrale antérieure est toujour
e de la vésicule cérébrale antérieure est toujours accompagnée de l'
atrophie
plus ou moins profonde des arcs branchiaux et d
rement intactes, qui exclut toute explication péripliréique, ; 3° l'
atrophie
si complète du corps calleux, constituée par quel
t en avant et en hauteur très restreint. Diminution de la force par
atrophie
muscu- laire. Sur la plaque centrifuge, la mala
ogénique du syndrome de l3use ! toiu. - Brasiano (Ohm). Etude sur l'
atrophie
musculaire dans l'hémiplégie. Brun gruger). Con
utations, la castration, l'opération du varicocèle ayant entraîné l'
atrophie
du testicule, la taille hypogastrique, l'établi
ement sur la possibilité chez lui d'érection et de copu- lation : l'
atrophie
de la verge et des corps caverneux devait rendr
iotie semble tenir principalement à une dysgénésie fonctionnelle; l'
atrophie
des circonvolutions, la malformation crânienne,
récédée de douleurs et accompagnée de troubles de la sensibilité, d'
atrophie
musculaire et de réaction de dégénérescence. To
tuméfaction légère du cylindre-axe jus- qu'à la fragmentation et l'
atrophie
de ce filament). Au-dessus de la zone d'infecti
tuméfaction légère du cytoplasma avec migration du noyau jusqu'à l'
atrophie
de la cellule. Parmi les cellules altérées, les
existe des lésions manifestes dans les nerfs. A. Fenayrou. XXIV.
Atrophie
musculaire et osseuse du membre supérieur droit,
n destruc- tive chronique des poumons, dans l'observation Il il y a
atrophie
du nerf optique. L'ataxie et la simultanéité de
t, ni de préciser la localisation patliolo- logique de la moelle. L'
atrophie
du nerf optique de l'observation Il bien que pa
'une maladie de Frie- dreich ; c'est une maladie de Friedreich avec
atrophie
du nerf optique, voilà tout. C'est vraiment i
) est restée intacte ainsi que celle des extenseurs du pouce. Pas d'
atrophie
visible des longs extenseurs des doigts. Les tend
encore sous l'influence de forts courants électriques. Il n'y a ni
atrophie
, ni impossibilité fonctionnelle des éminences t
lles du tabes sous deux aspects : 1° celui d'un pro- cessus ancien (
atrophie
et disparition des fibres, multiplication du ti
s présentées par deux des malades de M. J. Voisin. Sans parler de l'
atrophie
du cerveau, qui pour lui n'a aucun caractère pa
OULOUSE s'étonne que 11. Nageotte n'attache aucune impor- tance à l'
atrophie
du cerveau comme signe de la paralysie générale.
'entendre soutenir une opinion contraire. Il n'a jamais rencontré d'
atrophie
du cerveau dans les nombreuses autopsies qu'il
gauche vers la colonne vertébrale. En même temps, on constate de l'
atrophie
musculaire et de l'abaissement de l'excitabilit
: chromatolyse partielle ou généralisée, formation de vacuoles avec
atrophie
con- sécutive de certaines cellules, etc., phén
onservés; aboli- tion des réflexes crémastérien et abdominal. Pas d'
atrophie
des masses musculaires. Pas de troubles vaso-mo
scence et REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 401 l'
atrophie
des cellules pyramidales sont avancées. Le protop
ette réaction de la cellule nerveuse pyramidale, allant jusqu'à son
atrophie
à la suite des lésions du faisceau pyramidal da
on constate, au même niveau, la déchéance des libres myéliniques, l'
atrophie
et la destruction des cellules nerveuses; abond
interstitielle, la cirrhose du foie, des reins et du testi- cule, l'
atrophie
du nerf auditif et'surtout du nerf optique, le ta
clinique est, dans ces cas, celui de l'imbécillité progressive avec
atrophie
et agitation périodique passagère, causée par d
ble. Un mois après, le médecin constate une cécité double complète (
atrophie
des nerfs optiques), et un affaiblissement psyc
ents ataxiques et du tremblement des extrémités. Cécité complète (
atrophie
papillaire). État hallucinatoire terrifiant. Di
officier chez qui, après des - attaques de choléra est survenue une
atrophie
du membre supé- rieur droit en même temps que s
celui de la sclérose en plaques. 11 est difficile desavoir si cette
atrophie
du membre supérieur est due à la présence d'une
ion arsenicale (Henschen, Elitzky et Rybalkin) il faut craindre une
atrophie
des grandes cellules motrices, un kyste hémorra
l est le ré- sumé du complexus symptomatique. Il y faut ajouter une
atrophie
progressive de tous les muscles insensibles au
roisième sacrée. Cet accident, rare, expliquerait le début subit, l'
atrophie
et la réaction dégénérative. Il s'agit, en somm
rs le bras. Conservation des mouvements de la main et des doigts.
Atrophie
des muscles paralysés qui poursuit son évolution
de la nutrition des cellules a nui aux fibres subordonnées. D'où l'
atrophie
prédominante des faisceaux d'association supéri
de. A noter enfin tremble- ments de la main gauche, paresthésies et
atrophie
des muscles du côté gauche. Il s'agit donc d'un
dix-sept ans) ne s'est aperçue de la paralysie qu'alors que déjà l'
atrophie
de la langue était considérable, parce qu'enfin
comporte des variétés indivi- duelles. D'ailleurs quand progresse l'
atrophie
, la pointe propre- ment dite de la langue c'est
complète d'un oeil avec hémianopsie de l'autre à la même époque;
atrophie
bilatérale des papilles à une période plus avancé
grand symptôme des tumeurs de cette région. Elle se termine par une
atrophie
des nerfs optiques (Bath); mais elle peut manqu
Colin, 319. Athétose. Un cas d' bilatérale, par Campbell, 510.
Atrophie
. Musculaire et osseuse du TABLE DES MATIERES.
, leur ressemblance avec les allures des muscles dans le cours de l'
atrophie
musculaire spinale progressive et de la syringo
que générale, et non du tabès paternel. Son cas est un hybride. L'
atrophie
héréditaire de la papille est une affection héréd
ette arthrite est due simplement à l'immobilisation et entraîne une
atrophie
musculaire dans le territoire trophique de l'arti
contracture, et éviter complètement l'arthrite si douloureuse et l'
atrophie
presque obligatoire qui l'accompagne par la mob
galvanique dans les myé- lites spasmodiques surtout, accompagnées d'
atrophie
. BIBLIOGRAPHIE. 89 DixOEEn.çoN. Diagnostic
trice; puis les troubles trophiques : mal perforant, arthropathies,
atrophie
musculaire. Il insiste ensuite sur le diagnostic
ouve un épaississement considérable des os frontaux (pl. I), et une
atrophie
complète des lobes frontaux. (PI. 11, III, IV e
Leur fait-on absorber continuellement de ce phosphate, on produit l'
atrophie
de ce qui leur reste de glande; il cachexie, qu
goitreuse, elle ne se trouve jamais dans des conditions normales.
Atrophie
, absence, extirpation sont physiologiquement équi
iblesse dans 'les muscles de l'épaule, puis de la paralysie et de l'
atrophie
de ces mêmes muscles; ensuite apparurent la the
leur, traumatisme; passe en revue certains symptômes ocu- laires, l'
atrophie
tabétique, etc., et insiste sur la fréquence des
érieurs présen- taient le tableaude la myosite interstitielle, avec
atrophie
et désa- grégation partielle des éléments muscu
irent particulièrement par le strabisme interne avec nystag- mus, l'
atrophie
optique et l'imbécillité. D' Marie. XXIV. Un ca
it émoussée au niveau des membres paralysés. 11 n'exis- .tait pas d'
atrophie
. La mort survint dix jours après le début des p
(Revue neurologique, oct. 1898.) ' E. Blin. XXVIII. Sur un cas d'
atrophie
unilatérale du cervelet ; par les Drs Laxkois-
et ; par les Drs Laxkois- et PAVIOT. . Observation intéressante d'
atrophie
du lobe gauche du cervelet chez un malade épile
la sympathec- tomie. L'épilepsie paraît avoir été en rapport avec l'
atrophie
céré- belleuse, mais, au point de vue clinique
de la conscience pendant l'attaque épileptique. Il existe enfin une
atrophie
croisée du cerveau très appréciable puisque l'h
es contre 5GO grammes pour l'hémisphère gauche. Histologiquement, l'
atrophie
cérébel- leuse est caractérisée par la disparit
eau gris cérébelleux, couche des grains et cellules de l'ur- kinje,
atrophie
sans lésion vasculaire. (Revue neurologique, oc
s thrombus et légères hémorragies interstitielles. Dans les nerfs
atrophie
marquée des fibres fines se rendant aux vaisseaux
s troubles de la parole et de la déglutition. A noter l'absence d'
atrophie
et de contractions fibrillaires. Depuis le débu
en histologique la coexistence d'une myélite centrale aiguë et de l'
atrophie
des cornes anté- rieures avec destruction de gr
rticulation de l'épaule gauche est augmentée de volume et déformée.
Atrophie
des mus- cles des deux membres supérieurs, avec
externe de l'oeil gauche, parésie faciale inférieure du même côté.
Atrophie
dés muscles du thénar et de l'hypothénar et de
augmenté ; on ne provoqué pas le clonus du pied. 11 n'existe pas d'
atrophie
pro- noncée dans aucun des membres inférieurs.
aucun phéno- mène trophique ni vaso-moteur. Pour ce qui concerne l'
atrophie
, à peine si elle se note et on peut l'attribuer
c antécédents personnels et héréditaires tuberculeux. Est atteint d'
atrophie
musculaire parvenue à un degré extrême et ayant
rême et ayant débuté à l'âge de vingt ans, par le bras droit. Cette
atrophie
a gagné successivement et lentement, le bras ga
tants. R. Ciiaron. L1V1. Maladie de Thomsen à forme fruste et avec
atrophie
muscu- laire ; par E. 1\'ocuia et SIROL. (Nouv.
a guérison d'une maladie de Basedow, parait avoir coïncidé avec une
atrophie
fibreuse de la glande thyroïde. On s'explique a
t donc parésie du muscle et non paralysie. Bien entendu, il y eut
atrophie
musculaire ; la main se présentait sous le même a
e musculaire ; la main se présentait sous le même aspect que dans l'
atrophie
musculaire progressive, type Aran-Duchenue. Mm0
des symptômes que nous avons signalés chez notre malade, tels que l'
atrophie
des éminences thénaret hypothénar, la griffe Ar
qu'à droite) et surtout une diminution de la force musculaire avec
atrophie
de certains muscles; en outre, attitude du pied
gauche, la persistance et la marche progressive du trem- blement, l'
atrophie
musculaire, le pied en équin, la diminution de
couches de l'écorce cérébrale dans les zones psycho- motrices, une
atrophie
dégénérative plus ou moins avancée de la plupar
'écorce et principalement autour des cellules pyramidales en voie d'
atrophie
. L'existence de lésions à la fois parenchymateu
ans, sans ictus, ayant res- pecté la face, ne s'accompagnant pas d'
atrophie
: réflexes exagérés et trépidation épileptoïdes
scles pectoraux sont atrophiés, de même qu'on remarque une certaine
atrophie
des épaules et des bras, surtout en ce qui conc
es affections. a Discussion. M. Rossolimo affirme que dans un cas d'
atrophie
musculaire progressive de type de Landouzy-Uéje
fibres du muscle cardiaque, on constate en partie les phénomènes d'
atrophie
ou de dégénération graisseuse. Le foie et les r
ème musculaire à la diathèse graisseuse généralisée. D'autre part l'
atrophie
musculaire progressive peut être due à une auto
erne du même oeil ; la pupille gauche est plus large que la droite.
Atrophie
des muscles du mollet. Abolition des réflexes c
de la Se. de Sylvius, déformation du lobe frontal qui parait accru,
atrophie
droite du cervelet. L'auteur fait remonter la p
eurs vagues dans le membre inférieur gauche, puis de paralysie avec
atrophie
en masse et hypoesthésie à tous les modes ; tro
ois plus tard le membre inférieur droit se paralyse à son tour et s'
atrophie
, mais plus rapidement (15 jours environ). A ce
égie flaccide est complète, l'abolition des réflexes est absolue, l'
atrophie
muscu- laire considérable. L'examen électrique
laires des cuisses et des jambes douloureuses à la pression ; pas d'
atrophie
, pas de troubles trophiques ; intégrité des sph
symétrique et les muscles correspondants sont le siège d'une légère
atrophie
. Quelques séances d'hypnotisme et de suggestion
oxo-fémorale est toujours très douloureuse, la bouche est tuméfiée.
Atrophie
considérable des deux membres inférieurs, parap
jours tuméfiée, douloureuse, les mouvements sont fort difficiles. L'
atrophie
des membres inférieurs a encore aug- menté. Héb
EXPLICATION DES PLANCHES. Planche I Coupe du crâne dans un cas d'
atrophie
considérable des lobes frontaux du cerveau. P
frontaux du cerveau. Planches II, III, IV, V Elles représentent l'
atrophie
scléreuse, à un très haut degré, des lobes fron
- ties supérieurs du -, par l'aton, 418. Cervelet. Sur un cas d'
atrophie
uni- latérale du -, par Lannuls et l'aviot, 3
laire 1897-1898, 172. Tiiomsen. ttatadiedeàforme fruste et avec
atrophie
musculaire par Noguès et Sirol, 361. Thyroïdi
son opi- nion, il est difficile de préciser la date du début de l'
atrophie
de la glande thyroïde; toutefois, il lui paraît
ns précédentes que chez tous les idiots crétinoïdes, l'absence ou l'
atrophie
de la glande thyroïde paraît constante. Les que
UE. 79 à l'âge de quatorze ou quinze ans. A l'autopsie, outre une
atrophie
glomérulaire des reins, il fut constaté que la
était dégénérée= dans les cas de Ord, Greenfield, Cushier 3. 3. L'
atrophie
de la glande thyroïde est de même signa- lée da
s, Hamilton6, Oliver', Abbott8, Hadden9, etc.; dans quelques cas, l'
atrophie
était si accusée que la glande ne pouvait être
3.) a glande thyroïde, plus petite qu'à l'ordinaire, présentait une
atrophie
avec sclérose; absence de follicules clos; vais
yroïdienne; il en résulterait, en tout cas, que si l'ab- sence ou l'
atrophie
de la glande thyroïde n'existe pas, ce qui est di
tion évi- dente entre la cachexie pachydermique et l'absence ou l'
atrophie
de la glande thyroïde '. Nous sommes donc condu
ncontrées dans les autopsies des myxoedémateux idiopathiques. 1 L'
atrophie
du corps thyroïde, accompagnée de la destruction
2, 9, 16, et 23 janvier l8tG,. 94 IDIOTIE CRÉTINOÏDE. suivie de l'
atrophie
du lobe droit '; toutefois 11. Pon- cet dit ne
du lobe droit '; toutefois 11. Pon- cet dit ne pas avoir constaté l'
atrophie
de la glande chez son opéré. Sur 24 cas d'ext
ses jusqu'à ce jour sur l'étiologie de la cachexie pachydermique, l'
atrophie
ou l'absence de la glande thyroïde était celle
plus considérable de la glande thyroïde dans le jeune âge et de son
atrophie
et de sa dégéné- rescence chez le vieillard, qu
é- flexe rotulien conservé à droite, moins accusé à gauche. Pas d'
atrophie
. Excitabilité musculaire. normale. Rien de pathol
Le pli courbe, assez volumineux en avant,est atrophié en arrière. L'
atrophie
porte aussi sur tout le lobe occipital et sur l
lando. Le lobule quadrilatère est peu développé dans son ensemble
ATROPHIE
CONSÉCUTIVE DES CIRCONVOLUTIONS. HO 9 et surtou
ion qui nous est expliquée par les différents états aboutissant à l'
atrophie
que l'on peut observer sur les coupes. Sur un
15 i IDIOTIE COMPLÈTE. V. Idiotie complète symptomatique d'une
atrophie
cérébrale double; Par bourneville et BRICON.
ons exposer, d'une ma- ladie nerveuse assez commune de l'enfance, l'
atrophie
cérébrale. Elle est, ici, consécutive à des lés
55 frontaux. Isp/meh'ze et inégalité do poids des hémis- phères ;
atrophie
de certaines circonvolutions. Sots : - sure tra
, vési- cule biliaire, intestins, ganglions mésentériques et pan-
ATROPHIE
CÉRÉBRALE; PSEUDO-KYSTE. 161 créas (25 gr.), ri
quart de la deuxième frontale. Le lobule orbitaire est assez bien
ATROPHIE
CÉRÉBRALE. 163 développé et sinueux dans sa par
e et au-dessus présente,sur une hauteur d'un demi- centimètre, de l'
atrophie
avec coloration grise un peu ardoisée. Le lobul
t sinueuse, présente la même scissure transversale que nous avons
ATROPHIE
CÉRÉBRALE. 165 signalée sur l'autre hémisphère;
rons prochainement une note sur les premiers signes de l'idiotie.
ATROPHIE
CÉRÉBRALE CONGÉNITALE. 167 bes frontaux ; - que
- rébelleux gauche était un peu atrophié; qu'enfin il y avait une
atrophie
de la bandelette optique droite. La multipli- c
tielle et parenchymateuse diffuse subaiguë des deux hémisphères ;
atrophie
prononcée des cellules motrices des cornes anté
esdel'écorce. On les retrouve dans la plupart descerveaux en voie d'
atrophie
; ils nous paraissent constitueruneébauche, un
encéphalite. 177 le même processus paraît plus avancé encore, et l'
atrophie
des éléments nerveux portée très loin. Ces lési
riode de tuméfaction des cellules dans la paralysie générale. ' L'
atrophie
des circonvolutions et de la moelle résulte don
L'atrophie des circonvolutions et de la moelle résulte donc de l'
atrophie
des éléments nerveux eux-mêmes et est masquée e
ncide avec la prédominance de quelques symptômes à gauche. Malgré l'
atrophie
plus marquée du côté gauche du corps, il n'y a
YPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 3 luer sous les allures cliniques d'une
atrophie
musculaire pro- gressive : c'est un fait de ce
t aboli ; le droit persiste encore, quoique diminué. 11 n'y a pas d'
atrophie
musculaire ni de para- lysie des membres. Les d
ptômes psychiques. Autopsie. Cadavre amaigri, pas d'escliarres ni d'
atrophie
mus- culaire. La calotte crânienne est normale
pporté plusieurs cas de troubles mentaux et nerveux consécutifs à l'
atrophie
ou à l'ex- a, 1` ? « * Tl . 1 -. 9r'Lr : 11, ?
ation.d'imbécillité avec hémiplégie et . atliétose.symptomatiques d'
atrophie
.cérébrale, avec tableaux de. las taille, du po
a condition efficiente du processus résiderait d'après lui dans une
atrophie
dégénérative des fibres nerveuses. La dispariti
leur forme. Il se produit enfin, dans certaines circonstances, une
atrophie
relative des fibres nerveuses corticales par su
ction nocive va même parfois jusqu'à déterminer un 'Certain degré d'
atrophie
dans les tubes nerveux en rapport avec le foyer
Les fibres renfermées dans ce faisceau ont subi un certain degré d'
atrophie
, et l'endoneurium s'y montre surchargé de noyau
t longtemps a s épuiser. ? a"<j-< ? o Il n y a aucune trace d
atrophie
musculaire localisée, les muscles ont simplemen
pulmonaire et intestinale, dégénérescence des nerfs périphériques,
atrophie
dégénératrice des muscles, vacuoles dans les gr
es''membres sont restées identiques à celles des enfants atteints d'
atrophie
des faisceaux pyramidaux (contrac- tures spasmo
s avec léger empiétement sur lès colonnes de Clarke. Observation V.
Atrophie
ayant atteint la substance grise pos- térieure
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Autopsie. Dégénérescence partielle et
atrophie
des cellules des cornes antérieures, surtout da
terstitielle etparenchy- mateuse. Surcharge graisseuse des muscles;
atrophie
et hypertro- phie, souvent dans le même muscle,
-ne r Il 1 n. 'Ir l - n,. - ,. v cellules inhibitrices, oit'pal, 1
atrophie
des fibres qui, relient les centres d'inhibitiô
cette toxin e le parenchyme spécial. Les dégénérations, y compris l'
atrophie
musculaire et'les sclérosés primitives : sont d
e ans; syphilis en 1870 (sansitraces); en 1872, 'paresthésie 'avec;
atrophie
de)amain'droite;'en 1870, douleurs névralgiques
erg, myosis, immobilité réflexe 'des 'pupilles ? signe de Westpbal,
atrophie
des nerfs optiques, atrophie et' analgésie ? de
xe 'des 'pupilles ? signe de Westpbal, atrophie des nerfs optiques,
atrophie
et' analgésie ? de' l'avant=bras ' daris le dom
e complète; ou partielle des petits muscles de l'éminence thénar. L'
atrophie
date de,plusieurs années; elle' nè^s'est" pas' am
f' Mf 8[iR'7 .L-.t-a;bfj ,ic'.y d5 tu ^ Malade ayant, présenté. une
atrophie
spéciale progressive et une dystrophie ,,muscül
'ab'6rdu'une.simp)epara)ysie radiale. (Quelques moisaprès,ily avait
atrophie
des autres muscles du bras et de,lla main paraiss
urs, c'est d'admettre que les dystrophies musculaires progressives (
atrophie
juvénile ici) sont une sorte de trophonévrose (
utition).' Observation 11-Par«ésie des extrémités -gauches',j pas d'
atrophie
inàr4uée.llé 'miatieslhésie du bras'à la doulëù
,deflapartie, supé- rieure de la moelle dorsale a pour symptômes ^l'
atrophie
, muscu- laire progressive (type^Azan-DucJiejine
n ait affaire dans l'observa- tion en question à une syringomyélie.
Atrophie
musculaire des extrémités-supérieures - paralys
névroglie centrale. Mais en réfléchissant, le professeur voit que l'
atrophie
musculaire est celle de la dystrophie et non de l
? J. SÉGLas. 11. ,1 ,uun 1 T * t - X ' ' ' et -- ? t, XHY. SUR l'
atrophie
musculaire précoce DES hémiplégiques ET sur 1 l
e antérieure du côté paralysé. Dans le cas recueilli par l'auteur l'
atrophie
muscu- laire était de nature dégénérative et su
t REVUE DE ' PATHOLOGIE NERVEUSE. '*19 ? ' Il y a d'autres cas d'
atrophie
musculaire tardive chez les hémiplé- giques dép
ne'sont si légères qu'elles peuvent échapper et laisser croire' une
atrophie
d'origine cérébrale. Dans son observation de
e depuis l'âge de'- trois a semaines^ hémiplégique" àdr61te*'avec
atrophie
et contrâcture'·du"31râs;' morté'â cinqûanté-deàâ
oteur commun gauche englobé dans un néoplasme , d'origine méningée;
atrophie
du nerf, mais limitée à son trajet extramédul-
quantitative gdemeurant intacte.-Au delà') d'uni certain jdepré, l'
atrophie
reste stationnaire ou ne progresse,plus que cleli
le sans les ananmes- tiques. Cela ne veut du reste point dire que l'
atrophie
,' musculaire , des hémiplégiques soit d'origine
on articulaire des hémiplégiques influe sur le développe- ment de l'
atrophie
musculaire. En effet, c'est,I l'articulation; de
lus souvent prise, c'est aussi dans les muscles de l'épaule i que l'
atrophie
^ musculaire se développe, chez eux, le plus tôt
`, M .1.'i ·Inq . : ? u'U .il Nous proposons la dénomination de : ,
atrophie
musculaire , des leémiplégiqzLespi·écôëe'(d'ôi·
iculations prises (synovite)'et l'extrémité "paralysée.' De plus, l'
atrophie
musculaire -'des1 muscles"1 qui entourent l'artic
, un objet quel-' conque et semblait ne rien voir ;- il y avait une
atrophie
double du nerf optique. Plusieurs fois par jour
essif d'émacia- tion'des maldes., On;3 peût noter. aussi. l'extrême
atrophie
du cer- veau. Quant à l'étiologie, ,rhéréditéi.
que l'intervention de ce facteur physique puisse être attribuée à l'
atrophie
: ,celle-ci' en 'effet n'est jamais assez soudain
'cètte' diminution^ pouf être"soudaine (spasme vasculaire ou lente (
atrophie
du cerveau) et que naturellement son maximum de
glie, etc.), les autres sont des altérations de dégénérescence et d'
atrophie
. 31ri( ).u ? jt,i. j z En' résumé, si la compre
danstla paralysie générale : ils'favorisent, la dégénérescence et l'
atrophie
démêle- ments nerveux dont les'* échanges nutri
ut 29'IiAT J .sa ! 1" '1M> aux LXXX. Idiotie symptomatique d'une
atrophie
DE l'hémisphère gauche; 9.) 9)m.b sL 3B.H par M
nt les cas de scléroses combinées, ceux de scié- rose latérale avec
atrophie
-musculaire, de sclérose, multilocu- laire port
s courants faradiques produit un surmenage qui a pour conséquence l'
atrophie
des niuscles;-50 l'étincelle statique ne pro- d
dans les maladies à lésions,, spinales; polyo- myélite antérieure,
atrophie
musculaire progressive, tabes, para- lysies bul
inférieure de l'apophyse mastoïde du côté droit,'est atteint d'une.
atrophie
, de la langue ; cet organe qui ne réagit plust
courants faradiques forts; l'excitabilité galvanique est meilleure.
Atrophie
très accen- tuée de la partie snpérieure du tra
. paraplégie spinale spasmodique, sclérose latérale amyotropluque,
atrophie
musculaire progressive, paralysies consécutives
Les fibres renfermées dans ce faisceau ont subi un certain degré d'
atrophie
et l'endoneurium s'y montre surchargé de noyaux
on'de l'a- baissement sur les aliénés, par Iirypiahiewicz, 141.
Atrophie
'musculaire' combinée, ' ayant une étiologie to
de vue mosographique'5 par Sol- lier, 33; ' symptomatiqué* d'une
atrophie
de l'hémisphère 'gauche, par lllenereul,' 380.
VAROLE, un cas d'hémorra- gie du -, par Rorie, 196. Pouls, sur l'
atrophie
précoce des hémiplégiques et sur le lent perm
te intact, sans état chromopliiliclue nettement appréciable, sans
atrophie
ni déplacement bien marqué. De même, l'espace p
la racine de F2 et F3. Après décortication, ce qui frappe, c'est l'
atrophie
des circonvolutions périsylviennes et périrolan
artie anté- rieure du lobule de l'insula. Cet écartement est dû à l'
atrophie
de la moitié antérieure de la circonvolution d'
son bord supérieur jusques et y compris le bord inférieur de F3. L'
atrophie
s'étend sur F3 en arrière et sur le cinquième i
rapport aux parties environnantes, saines. En ce qui concerne PA, l'
atrophie
porte sur son épaisseur et non sur sa hauteur,
ralement, en dehors, sur la phalange, Pas de saillies musculaires ;
atrophie
très accentuée de l'éminence thénard, Les tendo
TIE myxoedémateuse. ment bornés à apprécier à vue d'oeil le degré d'
atrophie
ou d'hy- pertrophie de telle ou telle .partie.
branches contiguës des V osseux signa- lés à l'instant. Face. - L'
atrophie
du massif facial est considérable : minceur des
une absence de pigmenta- tion et une réfringence très marquée, sans
atrophie
des par- ties constituantes. Mme V... a des c
lite disséminées sur les trois faces du lobe frontal. Il existe une
atrophie
très prononcée du bord supérieur du lobe carré
antérieur. A l'angle de ces deux bords il y a un foyer ocreux avec
atrophie
des circonvolutions environnantes. Le foyer ocr
e spasmodique infantile et idiotie chez deux frères ; hypothermie ;
Atrophie
du cervelet ; PAR BOURNEVILLE et CROUZON (1).
res viscères sont normaux. Aspect général de l'encé- phale arrondi.
Atrophie
du cervelet et du pont de Varole. Dans la moell
tête et des membres dans le Compte-rendu de 1900, p, 11 15 et 10.
Atrophie
du cervelet'. 215 sont assez volumineuses ; e
iétales et frontales. Fig. 30. - Lecl... (René) en juin 1899. 246
Atrophie
DU cervelet. Hémisphère gauche. Sur la face int
cérébelleux. - Réflexions. - I. La juxtaposition des deux obser-
Atrophie
DU cervelet.. · 247 vations des frères Lecl.. a
L'intérêt, anatomique de l'autopsie- de René Lecl... réside dans Y
atrophie
cérébelleuse que nous avons constatée. L'atroph
... réside dans Y atrophie cérébelleuse que nous avons constatée. L'
atrophie
cérébelleuse est rare. Tous les cas observés so
les au- tres ont été révélés cliniquement par l'apparition de 248
Atrophie
DU cervelet. symptômes cérébelleux plus ou moin
ieurs et des troubles de la parole. II. Nous ne croyons pas que l'
atrophie
cérébelleuse dans notre cas suffise à expliquer
Nous ne sommes point autorisés à affirmer que nous trouverons une
atrophie
cérébelleuse il l'autopsie d'André Lecl... et d
gauche. Bronchite généralisée. Cerceau macroscopiquement normal;
atrophie
, ponta-cérébelleuse identique à celle de son fr
nte. Poids après décès 9 k. Tableau du poids et de la taille. 258
Atrophie
CÉRÉBELLEUSE. cerveau de son frère. La longueur
r examen. Les circonvolutions sont de volume normal, il n'y a pas d'
atrophie
, ni de lésions. La décortication se fait facile
nc pas la davantage de méningo-encéphalite. CERVELET.-Il existe une
atrophie
régulière et uniforme portant sur les deux hémi
il est de 44 ? chez Lecl.. (André). ' Le bulbe semble atteint par l'
atrophie
. Le pont de Varole Atrophie cérébelleuse. 259
dré). ' Le bulbe semble atteint par l'atrophie. Le pont de Varole
Atrophie
cérébelleuse. 259 est lui-même manifestement at
'on l'a vu plus haut, vérifier noire diagnostic : il s'agit d'une
atrophie
cérébelleuse familiale. Nous ne connaissons, pa
statistique méritait enfin d'être placée après les deux beaux cas d'
atrophie
cérébelleuse qui précé- dent. Travaux scienti
. (Obs. de Lecl... René, p. 2'r6). Base de l'encéphale montrant l'
atrophie
considérable du cervelet. l3oamevu.r,s, Bicêt
. (Obs. de Lecl.. (André, p. 258). Base de l'encéphale montrant l'
atrophie
considérable du cervelet. Bourneville, Bicêtr
dans le service de M. Raymond. Pendant un moment il a présenté de l'
atrophie
des deltoïdes, mais celle-ci n'a pas persisté,
expression d'un état d'irri- tation des fibres nerveuses et de leur
atrophie
ou compression par la né- vroglie trop abondant
rime, diminue leur pouvoir fonctionnel et les tue lentement par une
atrophie
progressive. Ce n'est qu'à ces indica- tions qu
ion à faire; dans des dégénérescences secondaires, il y a également
atrophie
des fibres et sclérose consécutive. En se resserr
fois à la compression des fibres, à leur état d'irritation, à leur
atrophie
. Dans ces cas, l'action de la suspension varier
ie) sont déterminés par la compression des fibres nerveuses et leur
atrophie
, les phénomènes spasmodiques, par l'état d'irri
inlaiicy. (Brain, 1882). (3) Delhomme, Contribution à l'étude de l'
atrophie
cérébrale infantile. (Thèse de Pa- ris, 1882).
thèse de Paris, 1892, 78 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
Atrophie
et hypertrophie. Clay Schaw fut le premier à sign
ler ont prétendu que l'on ne rencontrait clans l'athétose double ni
atrophie
, ni hypertrophie. On n'a pas encore signalé d'a
se double ni atrophie, ni hypertrophie. On n'a pas encore signalé d'
atrophie
dépendant de l'athétose double; mais il existe
; mais il existe un certain nombre d'observations dans lesquelles l'
atrophie
dépend d'une autre maladie et en particulier de
ins cas, d'hémiplégie spastique bilatérale el qu'on peul observer l'
atrophie
des membres au cours de cette dernière. Massa
ur maximum.. Pas de paralysie des membres. Pas d'hypertrophie, ni d'
atrophie
. Pas do dé- formation aux pieds. Pas de déviati
ressif de la vue : à l'examen ophtalmos- copique vous constatez une
atrophie
grise de la papille (papille nacrée). Vous n'hé
émités osseuses dans l'ar- thropathie tabétique, c'est le fait de l'
atrophie
ou mieux de l'usure. On di- rait que les extrém
tribue la scoliose a l'a- trophie musculaire des muscles spinaux. L'
atrophie
a envahi successive- ment la main, le membre su
droit. A gauche il n'y a que de la thermo-anesthésie, nulle part d'
atrophie
. Dans une observation de Kahler (Prager medicin
c ; nous la décrirons plus loin. 1 lllotilité. Membres supérieurs ;
atrophie
très notable, plus marquée M droite, sauf pour
ce, ni une extension absolument complète, ni une flexion normale. L'
atrophie
musculaire est peu appréciable ; il existe tout
ué que les muscles transversales épi- neux présentaient souvent une
atrophie
précoce, attribue a la scoliose une origine mus
des troubles dits trophiques : elle est favorisée sans doute par l'
atrophie
musculaire et peut-être par la contracture, à l
as chez une petite fille que nous avons eu l'occasion d'examiner. L'
atrophie
frappait le membre supérieur droit et la jambe
uscles du tronc, et qu'elle « n'y entraîne point les phé- nomènes d'
atrophie
el de rétraction consécutives si fréquents dans d
répondant il la sciatique névrite et s'ac- compagnant volontiers d'
atrophie
du membre. Brunelli fait remarquer (1) Schiidel
ucider ce dernier point. Peut être faut-il faire intervenir aussi l'
atrophie
des muscles latéraux du rachis lombaire du côté
muscles latéraux du rachis lombaire du côté de la sciatique, car l'
atrophie
peut s'étendre au delà de la sphère de distribu
Tel est le type habituel. Cependant, chez deux sujets frappés d'une
atrophie
très manifeste d'un membre supérieur, de l'épaule
rable; on peut invoquer dans ce cas une participation du rachis à l'
atrophie
osseuse unilatérale. En somme, ce qui nous para
ions latérales du rachis. Chez deux malades de ce genre, atteints d'
atrophie
très marquée des muscles des gouttières vertébr
offrant avec quelques légères variantes la forme décrite par Erb. L'
atrophie
musculaire était à peu près générale; toutefois
pontanée. Chez deux autres myopathiques, nous avons trouvé, outre l'
atrophie
des muscles spinaux et la lordose consécutive,
station debout prolongée. Conclusion : les myopathiques atteints d'
atrophie
des muscles des gout- tières vertébrales et de
plan médian. Elles ont été observées dans les cas de paralysie ou d'
atrophie
symétrique 1° des muscles abdominaux, fléchisse
e affection autre que la pa- ralysie infantile et cela du fait de l'
atrophie
, de l'arrêt de développement des membres, de l'
ment. Du côté des mains, rien de saillant n'est survenu, sauf que l'
atrophie
a progressé, que les doigts se sont de plus en pl
as encore fixée, qui paraît souvent liée, comme l'hémiathétose, à l'
atrophie
cérébrale, mais qui peut aussi se développer sa
e dans le cas de Kurella l'auteur signale de la pachyméningite et l'
atrophie
cérébrale ; 294 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL
ticle de M. Marie. La prédominance des lésions corticales et de l'
atrophie
partielle du cer- veau (Cotard, 1868) n'est pas
gnaler l'attaque convulsive du début, l'arrêt de développement avec
atrophie
des os et des muscles du côté pa- ralysé, la co
pinion de Todd reste encore vraie pour la majorité des cas (2). L'
atrophie
des membres peut faire complètement défaut dans l
commune dans les paralysies hystériques. Mais au cas môme où celle
atrophie
existerait, sans raccour- cissement des membres
graves des résultats satisfaisants après une série de séances. ,' L'
atrophie
musculaire décrite par Duchenne est une affection
les fibres musculaires en voie de développement. On voit donc que l'
atrophie
de la substance contractile marche de pair avec
ît bien être, en effet, le pro- cessus primordial et essentiel de l'
atrophie
dite simple, mais ne saurait entrainer qu'indir
'atrophie dite simple, mais ne saurait entrainer qu'indirectement l'
atrophie
. » A. Prenant et P. Bouin (Traité d'Ilistologie
lé (voir p. 58), soit associé à une hémiplégie, une paraplégie, une
atrophie
musculaire progressive, une atrophie papil- lai
émiplégie, une paraplégie, une atrophie musculaire progressive, une
atrophie
papil- laire ayant l'aspect de l'atrophie tabét
sculaire progressive, une atrophie papil- laire ayant l'aspect de l'
atrophie
tabétique. Et il faut remarquer que dans aucun
partie postérieure du bras, prédominent dans cetle région ; légère
atrophie
et diminution de la contractilité électrique du
e » (p. 34). C. - Du champ visuel et de la vision centrale dans l'
atrophie
tabétique des nerfs optiques. J'ai fait avec
n voici les conclusions : TABES 93 « i° Il n'existe pas, dans l'
atrophie
tabétique du nerf optique, une forme de rétréci
e la vision centrale. « Il' Le scotome central est très rare dans l'
atrophie
tabétique. Quand il existe, il est dù le plus s
se qu'on observe. 2° On constate, ce qui n'a jamais été noté dans l'
atrophie
tabétique du nerf optique, une acuité visuelle
Dans l'hémiplégie d'origine cérébrale il se développe parfois une
atrophie
des muscles paralysés qui, d'après les idées autr
é- HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 127 ration descendante peut provoquer une
atrophie
musculaire très pro- noncée et ayant les caract
use une perturbation centrale. Mes obser- vations ont montré qu'une
atrophie
musculaire peut résulter d'une modification dan
umen- tié un malade qui rappelait cliniquement les cas antérieurs d'
atrophie
olivo-ponto- cérébelleuse, a fait une analyse s
lpétrière, 1907, p. 66) mentionne l'adiadoco- sinésie dans un cas d'
atrophie
parenchymateuse du cervelet à localisation cortic
ysé l'adiadococi- nésie chez un malade atteint -vraisemblablement d'
atrophie
cérébelleuse, où le trouble était très net au m
d chez un enfant de 5 ans, atteint vraisemblablement d'aplasie ou d'
atrophie
du cervelet. Rothmann (loco citato) signale l'a
rorru. Icon. de la Salpêtrière, 190, p. 66), dans le fait précité d'
atrophie
parenchymateuse, a constaté la catalepsie cérébel
cas analogue. A ce propos, j'attire l'attention sur ce fait qu'à l'
atrophie
du sterno- mastoïdien et du trapèze, consécutiv
ner des troubles des organes génitaux, la suppression des règles, l'
atrophie
de l'utérus ; il est donc bien naturel qu'une s
ur la sclérose en plaques (Thèse, Paris, )885, chez Masson). Il¡.
Atrophie
musculaire d'origine cérébrale avec intégrité des
e Biologie, 20 février issu). 220 INDEX RIRLIOGRAPIIIQUE r5. De l'
atrophie
musculaire dans les paralysies hystériques (Archi
nvier '907). 132. Du champ visuel et de la vision centrale dans l'
atrophie
tabétique'des nerfs optiques (en collaboration
bres supérieurs 1)2 Du champ visuel et de la vision centrale dans l'
atrophie
tabétique des nerfs optiques 92 Cytodiagnosti
re inférieur. Les muscles de ce dernier sont en plus le siège d'une
atrophie
très-marquée, étudiée déjà par M. Babinski ' da
intéressant. La face ne participe en rien à la paralysie. 1. Dz l'
atrophie
musculaire dans las paralysies hystériques. Archi
e monte à 00, adroite il n'atteint que la vingtième division. Pas d'
atrophie
apparente; intégrité de la face. Aboli- tion co
iellement. En même temps que la position vicieuse, on constate de l'
atrophie
de la jambe gauche : les circonférences de la j
s ce temps des troubles divers : douleurs, phénomènes vaso-moteurs,
atrophie
mus- culaire : altérations de la peau, rétracti
ecin qui y découvre, de la façon la plus évidente, les marques de l'
atrophie
musculaire. On sait que l'atrophie musculaire q
plus évidente, les marques de l'atrophie musculaire. On sait que l'
atrophie
musculaire qui se montre chez cer- tains lépreu
ent clinicien de notre époque, Duchenne, de Boulogne, sous le nom d'
atrophie
musculaire progressive. Il a défini et classé c
bres supérieurs. L'impuissance motrice s'accroît avec le degré de l'
atrophie
qui, suivant sa localisation, laisse persister ce
avancée. L'attitude de la main nous révèle l'invasion inégale de l'
atrophie
qui a porté surtout sur les muscles interosseux
'a décrite avec soin, et s démontré qu'elle est la conséquence de l'
atrophie
des petits muscles logés dans les espaces inter
5° Les couches optiques et'le noyau caitelé présentent un degré d'
atrophie
notable; les autres parties des hémisphères sont
eptum lucidum et la voûte à trois piliers. Il existait en outre une
atrophie
des corps striés. Antérieurement, Tiedeman avai
iforme. , On voit que ce lentigo s'est développé du côté opposé à l'
atrophie
faciale et à la localisation prédominante des c
e, l'avant-bras seul découvert paraît bien musclé; ici, pas-trace d'
atrophie
musculaire. Mais on remarque une flexion du poi
début des acci- dents, alors que l'incoordination motrice et même l'
atrophie
des muscles étaient déjà très avancées. M. Ba
rieurs, pas plus du reste qu'aux membres inférieurs, on ne trouve d'
atrophie
musculaire, mais les chairs sont en général assez
ons déjà dit, que dans les cas les plus anciens et les plus graves (
atrophie
papillaire, atrophie du globe de l'oeil tout en
s les cas les plus anciens et les plus graves (atrophie papillaire,
atrophie
du globe de l'oeil tout entier^ alors que toute p
nt de sept ans. - Signes d'hémilésions de la moelle. - Paralysie et
atrophie
du membre inférieur droit. - Signes de myé- lit
dans les premiers mois, et à plusieurs reprises le malade tomba. L'
atrophie
restait stationnaire; pas de troubles trophique
; apparence de bonne santé. Ce qui frappe tout d'abord, c'est une
atrophie
très considérable du membre inférieur droit.
iculier les parois abdominales, ne présentent t aucune paralysie ni
atrophie
musculaire. Enfin l'examen de l'oeil montra les
e du membre inférieur droit avait notablement augmenté. Cependant l'
atrophie
était demeurée absolument stationnaire et la me
sur les cornes antérieures de la substance grise, ce qui explique l'
atrophie
étendue à toutle membre inférieur droit; 2° sur
onstances et par un mécanisme presque identiques, la paralysie et l'
atrophie
musculaire prédominantes dans le membre inférieur
embres inférieurs plus accentuée à gauche. Anesthésie incomplète. -
Atrophie
musculaire à gauche. zig..., âge de cinquante-d
re. Une aiguille traversant le mollet ne provoquait aucune douleur.
Atrophie
musculaire très prononcée du membre inférieur g
tion des membres éprouva un ralentissement qui se traduisit par une
atrophie
très considérable. « Mes jambes étaient comme d
ment, et l'on peut se demander s'il n'existe pas un certain degré d'
atrophie
des interosseux. Les éminences thénar et hypolh
uque est massive et ferme. La force musculaire est très abaissée. L'
atrophie
des muscles est surtout marquée aux bras, aux m
petit , n'offre aucune lésion appa- rente. Constatpns encore une
atrophie
notable de la circonvolu- tion du corps calleux
e que sur l'hémisphère gauche. Le lobe frontal présente une bande d'
atrophie
obli- que d'avant en arrière, largo de 2 centim
do et à la petite branche de la scissure de Sylvius. Cette zone d'
atrophie
comprend donc le pied des trois premières circon-
sous du pli courbe, le lobule pariétal inférieur est le siège d'une
atrophie
considérable qui se prolonge sur la 2we circonv
rière des 32 Tuberculose viscérale. adhérences pie-mériennes avec
atrophie
se prolongeant sur la partie postérieure et inf
semble saine. La circonvolution du corps calleux est le siège d'une
atrophie
scléreuse intense surtout à son bord inférieur
, chez l'enfant Sal..., il y avait à ce point, des deux' côtés, une
atrophie
de la région tout-à-fait postérieure du lobule
. - Inégalité de poids de 75 gr. des deux hémis- phères cérébraux.-
Atrophie
de l'hémisphère cérébral, du nerf optique et du
de 38°, 8; - 2 heures après de 36°, 2. Tête. 46 Hémiplégie ET
atrophie
. de piété, que ses parents ou le vicaire lui do
stpas augmenté. ' - BOURNEVILLE, Bicêtre, 1892. 4 50 MÉNINGITE;
ATROPHIE
DE L'HÉMISPHÈRE GAUCHE. RÉFLEXIONS. 51 Hémisp
n éral dans les cas d'hémiplégie avec contracture permanente et l'
atrophie
musculaire était peu prononcée. Nous de- vons n
gauche. Est-ce à cette méningo- encéphalite qu'il faut attribuer l'
atrophie
notable de l'hémisphère gauche ? Nous serions t
résente des tra- ces d'adhérences dans ses deux tiers inférieurs. -
Atrophie
et aspect chagriné au niveau du pli courbe. Sci
vrais des deux hémisphères cérébraux Méningo-encéphalite chronique;
atrophie
de la protu- bérance. Lestons pulmonaires. Ro
aminé par M. VIOLET, interne des hôpi- taux, a montré à gauche, une
atrophie
du nerf optique. La Description du malade.- 93
Diminution de calibre des artères de la moitié gauche du cerveau. -
Atrophie
de la bandelette optique, du pédoncule cérébral
re au moment où elle se perd dans le lobule paracentral une sorte d'
atrophie
kystique, lésion que nous retrouverons plus acc
Les lésions de cet hémisphère, peuvent se résumer dans ces mots :
atrophie
, induration, blancheur. (PL. XIII). Hémisphère
- 2° un arrêt de développement des artères cérébra- les ; - 3° une
atrophie
de la bandelette optique, du tubercule mamillai
ts ; gâtisme persistant, etc. L'autopsie a confirmé le diagnostic d'
atrophie
céré- brale ou mieux d'arrêt de développement d
total adhérent, et de plus, à droite, une occlusion pupillaire et l'
atrophie
de l'iris. Ne ? petit, bien conformé, droit. Na
presque sans plis a droite. Il y a lieu de noter un certain degré d'
atrophie
portant sur les circonvolutions qui bordent la sc
u tubercule mamillaire et du pédoncule céré- bral du côté gauche, l'
atrophie
de la pyramide anté- rieure et de la moitié cle
partir de 13 ans. - Parole et marche nulles; - gâtisme incomplet
Atrophie
des membres du côté droit. Autopsie : Synostose
ttacher durant la vie l'idiotie à la sclé- rose atrophique. II. L'
atrophie
musculaire des membres droits accompagnée de co
intervention chirur- gicale, les lésions anciennes de sclérose et l'
atrophie
des circonvolutions nous en donnent la raison;
s convulsives probables ( ? ). - Nystag- mus ; strabisme divergent;
atrophie
blanche des deu2 pa- pilles. - Paraplégie spasm
ue, qui commençait à baisser, disparut complètement. Il y avait une
atrophie
totale des papilles. Aux Enfants-Malades, une p
ou cornéennes. Il y a du nystagmus et un léger strabisme divergent.
Atrophie
blanche des deux papilles, L'en fantasme percep
e. 238 DESCRIPTION DE la malade. Cou arrondi, pas de saillie ou d'
atrophie
du corps thyroïde. Circonférence, 26 centimètre
moyenne de T2 et de T3 est le siège sur un centimètre environ d'une
atrophie
notable. La face interne laisse voir une énor
plus haut en montre le vif intérêt. XXI. Idiotie congénitale; -
Atrophie
cérébrale; - Tics nombreux : PAR BOURXEVILLE
de poser le diagnostic d'arrêt de deuetop- pement céréb l'al. Cette
atrophie
, d'origine congénitale, doit même poser tout pa
i des deux hémisphères cérébraux. Iléningo-encéphalite chronique. -
Atrophie
de la protu- bérance. -Lésions pulmonaires. R
) Le tronc du facial, après sa traversée parotidienne, présente une
atrophie
considérable de se* faisceaux, qui, sur une coupe
iés à gauche, par comparaison avec ceux du côté droit : il s'agit d'
atrophie
simple sans sclérose. 5° Le bulbe ne présente d
tre altération que les suivantes : dans le noyau du facial gauche :
atrophie
simple de nombreuses cellules, quelques-unes ay
ervé leur aspect normal. Dans le noyau de la VI" paire gauche, même
atrophie
do nombreuses cellules, la partie centrale et e
bres nerveuses,qui, après avoir traversé la tumeur, sont frappées d'
atrophie
. Mais, c'est ce qui fait l'intérêt principal de
euse. - Sclérose atrophique 1 de tout l'hémisphère cérébral gauche.
Atrophie
croisée du cerveau et du cervelet. Tard.. (Ma
lement, sans aucune adhérence. Tout l'hémisphère est le siège d'une
atrophie
très notable des circonvolutions; l'atrophie pr
ère est le siège d'une atrophie très notable des circonvolutions; l'
atrophie
prédomine au Archives, 2, série, 1905, l. XIX.
st d'environ un tiers moindre iL gauche qu'à droite. Par suite do l'
atrophie
des circonvolutions à gauche, de la dilation du
, sont hlanchâtres, indurées, moitié plus denses qu'à droite ; leur
atrophie
, très-notable, prédomine sur le lohe frontal et
il ne s'était pas encore manifesté de symptômes de déficit : pas d'
atrophie
des muscles de la main et du bras. P. KERAVAL.
le ; la kératite s'ins- talle. P. Keraval. - XIV. S'agit-il d'une
atrophie
musculaire d'origine né- vritico-spinale ou d'o
faibles. GO REVUE D'ANAI OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. L'
atrophie
musculaire progressive est indubitable. La déma
r Il. HiGiEp. (Nenrolog. Centralùl. XX, 1901.) Caractérisée par l'
atrophie
des nerfs optiques, et surtout de la macula lut
la fin de la 22 ou dans le cours de la 3e année de la v ie. Outre l'
atrophie
pure du nerf optique, la tache jaune est tranb-
légie cérébrale, assez rare, affection familiale qui s'accompagne d'
atrophie
des nerfs optiques. Seulement ici la période la
PATHOLOGIE MENTALE. les malades atteignent l'âge de 17 et 24 ans, l'
atrophie
des nerfs optiques ne s'accompagne pas de dégén
muscles du mollet. L'une des observations (OITS.I), trahit quelque
atrophie
des mains notamment 1 de l'éminence thénar. Dan
ins notamment 1 de l'éminence thénar. Dans l'obs. 11, on relève une
atrophie
nette des muscles des jambes el des cuisses rét
SY. - Les auteurs insistent sur ce fait qu'ici la distribution de l'
atrophie
affecte une topographie l'adit'II- lail'p, co q
ilité du côté tlroil. Ce qui frappe surtout, c'esL, d'une pari, une
atrophie
du membre inférieur avec pied en varus érittin,
,de diminution des renexesrotutiens, d'impotence fonctionnelle avec
atrophie
des divers muscles de la main et du pied et ave
s, des dettoides, (te la ceinture scapulaire, des pecio- raux, avec
atrophie
rapide, amaigrissement des quadriceps et marche
ercibles, une asthénie 1res profonde avec amaigrissement général el
atrophie
musculaire diffuse. Comme cette femme a présent
sse à une véritable papille étranglée. Le plus souvent on observe l'
atrophie
descendante simple Au nerf optique par vous- su
-\'1.) \\\V.- Les centres optiques primaires après énucléation ou
atrophie
du globe oculaire; par Guu.r.t : nrnrrz. (Policli
ndes dans sa forme. Par suite do résorption de parties détruites et
atrophie
secondaire de libres, il est devenu étroit (Gau
s et où la co- loration au carmin a donné de meilleurs résultats, l'
atrophie
des cellules nerveuses de c. g. e. (non compris
fférents territoires ou entre les diverses cellules de l'écorcc par
atrophie
des prolon- gemcnts qui les mettent en communic
tivité psychique, dû en grande partie à un manque d'exercice, à une
atrophie
e.x non usu, si bien qu'au point de vue psycholog
La malade pré- seule l'écriture spéculaire spontanée. Tabès avec
atrophie
dans le domaine moteur clac trijuntroar. ' MM.
tômes les plus divers du labes dorsal caractérisé. Il a en plus une
atrophie
très marquée des masticateurs du côté gauche ;
s une atrophie très marquée des masticateurs du côté gauche ; cette
atrophie
frappe à première vue pour le masséter et le te
\'le paire d'abord, puis de la Ille et de la lVr) et une cécité par
atrophie
papillaire. La concomitance de lésions importan
olition des réflexes achilléens eL rotuliens persiste, ainsi qu'une
atrophie
papillaire bilatérale et l'immobilité des pupil
près les auteurs ('tableau d'Edinger), s'attendre il rencontrer une
atrophie
des cellules depuis le VIe segment cervical, ju
icile d'apprécier le rôle qu'elles jouent dans la patboge- nie de l'
atrophie
des racines postérieures et des dégénérescen- c
E. (Noue. Iconogr. de 10 SrdlJét,'i,;re, n , I ! 101.) Nanisme avec
atrophie
squeletlique des membres supérieurs et inférieu
Pnrcsthésies, suivies de douleurs et finalement de paralysies avec
atrophie
. Début paralytique pres- que apopjectiforme, do
, même à l'impression lumi- neuse. L'ophtalmoscope reveieà droite :
atrophie
blanche du nerf optique ; grande quanti lé de p
sie de l'oculumoteu ! 'commun, de l'auditif, du glossopharyngien,
atrophie
de celles des libres du nerf optique gauche qui p
de même du réflexe pharyngien. Du côté de la motilité, on ne note d'
atrophie
musculaire dans aucun des points du corps ; tou
e par une lral.ie lalio ? losco-larygée. Un autre t\po débute par l'
atrophie
musculaire progressive ; un quatrième par des s
se en plaques, par Rodolico, 239. ATHÉIIO)lATEUX. Voir Troubles
Atrophie
. S'agit-il d'une mus- culaire d'origine névriti
Agadjaniantz, 131. Les - optiques primaires après énucléation ou
atrophie
du globe oculaire, par Guille- maetz, 139. De
dal. Voir Réflexes. Tabès. La genèse du -, par Pandy, 243. avec
atrophie
dans le domaine moteur du trijumeau, par P. M
naux : diplégie spasmodique infantile et idiotie chez deux frères ;
Atrophie
du cervelet ; Par BOURNEVILLE et CIIOUZON (1).
s viscères sont normaux. - Aspect général de l'encé- phale arrondi.
Atrophie
du cervelet et du pont de Varole. Dans la moell
RNEVILLE, Bicêtre, 1900. 3 Fig. 3. Lee).. (René) en juin 1899. 18
Atrophie
DU cervelet. grand axe fronto-occipital est de
lan- tes, leur longueur est a peu près normale, 14 millimètres au
Atrophie
du cervelet. 19 lieu de 16 millimètres. La larg
2° L'intérêt anatomique de l'autopsie de René Lecl... réside dans l'
atrophie
cérébelleuse que nous avons constatée. L'atroph
... réside dans l'atrophie cérébelleuse que nous avons constatée. L'
atrophie
cérébelleuse est rare : Tous les cas observés s
ement des troubles de la parole, et dont une soeur était idiote ;
Atrophie
du cervelet. 21 c'est le cas de Spiller chez un
ieurs et des troubles de la parole. II. Nous ne croyons pas que l'
atrophie
cérébelleuse dans notre cas suffise à expliquer
. Nous ne voulons donc pas établir un lien nécessaire entre cette
atrophie
cérébelleuse et l'affection familiale. Nous ne
Nous ne sommes point autorisés à affirmer que nous trouverons une
atrophie
cérébelleuse à l'autopsie d'André Lecl... et da
'un coup, chancelle et tombe. Réflexes rotuliens réguliers; pas d'
atrophie
ni de contractures. Thorax normal. Rien à l'aus
é. - Les tuber- cules mamillaires font défaut. Fig. 10. - Crâne :
atrophie
du frontal ; persistance des sutures. 92 Idioti
onction de macrophages. Il faut mentionner, en outre, dans ce cas l'
atrophie
extrême des cellules nerveuses. Elles sont arro
pas été justifiée ; pachyménin- gite très accusée de la dure-mère,
atrophie
de la faux, méningo-encéphalite, destruction de
un fort grossissement, par la méthode de Nisl, on observe surtout l'
atrophie
simple de ces cellules avec perte de leurs prol
trouve de leucocytes polynucléaires. S V. -Idiotie symptomatique d'
atrophie
cérébrale ; pachyméningite; kyste de la dure-mè
un certain degré de dilatation des ventricules, causé surtout par l'
atrophie
considérable du corps calleux et des noyaux gri
altérations fines des éléments nerveux consistent sur- tout en une
atrophie
des cellules et des fibres nerveuses : cellules
u- laires sont analogues Ù celles que nous signalions plus haut :
atrophie
simple, disparition (l'un grand nombre d'élé- m
de l'écorce absolument sain : partout, nous avons noté une certaine
atrophie
des éléments nobles, des lésions cellulaires im
xie ; mort. Sclérose spéciale des deux hémisphères céré- braux auec
atrophie
de ces hémisphères. Pougeo... (Réné), né le 4 a
faut pas généra- liser, car la déformation peut manquer alors que l'
atrophie
est considérable. Le fait se retrouve encore pl
encéphale. (Obs. de Lecl... p. 3.) Cette PL. met bien en relief l'
atrophie
considérable du cervelet. Bournevilliî, Bicêt
ts héréditaires, qui présentait du côté gauche une paralysie avec
atrophie
des muscles deltoïde, biceps, brachial antérieur,
nté est impossible seulement dans les cas où il y a une trop grande
atrophie
musculaire. Les anatomo-pathologistes divisent
lescence dépend de la gravité du cas et sur- tout de l'étendue de l'
atrophie
musculaire. Pour le traitement, il y a d'abord
de dégénérescence. Il semble cependant qu'il y ait un léger degré d'
atrophie
musculaire au niveau des muscles de l'éminence
taché d'hypochondrie et. atteint d'une paralysie fonctionnelle sans
atrophie
musculaire et sans lésions évidentes de la moel
'une névrite radicu- laire du plexus brachial, car il y aurait de l'
atrophie
muscu- laire, une paralysie motrice complète, u
précisément la conséquence de la pachyménin- gite est d'amener une
atrophie
musculaire bilatérale avec réaction de dégénére
t paresseuse. Les muscles de la cuisse subissent un certain degré d'
atrophie
, et les réflexes tendineux s'exagèrent. Cette p
ative de la nature de la maladie. Nous savons qu'un certain degré d'
atrophie
muscu- laire n'est pas incompatible avec la par
n de l'anesthésie à la jambe droite, parésie motrice à gauche, puis
atrophie
musculaire et troubles vési- 204 PATHOLOGIE NER
les racines spinales antérieures correspondantes, et déterminé l'
atrophie
des muscles de la cuisse. Il ne se demande pas si
pille étranglée. Puis, des deux côtés, dévelop- pementgraduel d'une
atrophie
du nerf optique, avec cécité absolue, inertie d
raitement. Après avoir rappelé que l'honneur de la découverte d'une
atrophie
musculaire spéciale revient à M. Charcot qui l'a
dernières con- sistent dans une sclérose du faisceau pyramidal avec
atrophie
des cellules de la substance grise des cornes a
rcot. - C'est ainsi que l'un des symptômes fondamentaux, paralysie,
atrophie
musculaire, contracture, pourra faire défaut. L
BLIOGRAPHIE. être fait d'avec l'hystérie, la sclérose en plaques, l'
atrophie
mus- claire progressive myélopathique, la myopa
intelligence ? - Réponse affirmative, tirée de l'examen des faits d'
atrophie
cérébel- leuse. Brochure in-8° de 32 pages, Bor
emble de symptômes cliniques, qui encore aujourd'hui porte le nom d'
atrophie
mus- culaire progressive, soit-disant type Aran
vons présenté à la Société des Médecins russes, un malade atteint d'
atrophie
musculaire pro- gressive de la main, et d'anest
on voit se développer en quatre années, une faiblesse accompagnée d'
atrophie
muscu- laire des membres supérieurs, une suppre
tteinte. Dans la moelle allongée se trouvèrent des fissures, et une
atrophie
de l'olive gauche. L'année suivante, rürstner
r, l'élève d'Eu]), dans ses études de la réaction électrique dans l'
atrophie
musculaire « typique », ad- met qu'un cas de ce
rature étaient le plus atteints, en même temps qu'on constatait une
atrophie
des muscles de la main gauche, des bulles sur l
spondante, qui était en outre le siège de troubles locomoteurs, d'
atrophie
musculaire, de troubles trophiques de la peau e
degré très insigni- fiant. Enfin Freud décrivit en 1885 un cas « d'
atrophie
musculaire avec des troubles de sensibilité éte
a peau et du tissu cellulaire sous- cutané, de la faiblesse et de l'
atrophie
musculaire dans les extrémités. Toutes ces ob
, Balmer ', l3eard 2, Leloir '\ etc., l'attention est attirée sur l'
atrophie
musculaire compliquée de rares symptômes d'anes
indolente, ou bien une appari- ' lion de troubles locomoteurs avec
atrophie
muscu- laire, ne vint forcer le médecin d'étudi
. 380 PATHOLOGIE NERVEUSE. Observation I Troubles trophiques et
atrophie
musculaire du côté droit. -Scoliose. - Ilémiane
t y observer des mouvements fibrillaires, mais on ne remarque pas d'
atrophie
. Les muscles extérieurs des yeux n'ont pas été at
énérale satisfaisante; caractère pué- ril, mémoire bonne. Onanisme;
atrophie
du testicule gauche. Dévotion. -Pèlerin age à L
e et l'ataxie héréditaire. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XI. Cas d'
atrophie
musculaire PROGRESSIVE DU A une HYDROMYÉLir; pa
main droite était en forme de griffe («in Krallenstellung »), avec
atrophie
des muscles inlerusseux, ainsi que des éminence
ne. A l'autopsie, il fut découvert, outre l'empyème à droite, une
atrophie
assez marquée des muscles de la main droite, qui
nces faisceaux d'un rouge jaune pâle, englobés dans de la graisse ;
atrophie
moins considérable de la main gau- che. La même
graisse ; atrophie moins considérable de la main gau- che. La même
atrophie
et les mêmes altérations évidentes aux deux ava
cales, il atteignait un diamètre de près de cinq centi- mètres. Une
atrophie
excessive des cornes antérieures saute im- médi
vicale; passé cette partie, elle commence à diminuer, de même que l'
atrophie
des cornes anté- rieures ; mais ce n'est qu'au
'évolution nor- male du tabes, et en rapport avec l'apparition de l'
atrophie
musculaire. D'autre part, les faits dans lesq
ici rapportée, plusieurs ont trait à des idiots présentant soit une
atrophie
cérébrale double, soit une sclérose céré- brale
et les réflexions nécessaires viendront ensuite. Observation i. —
Atrophie
cérébrale infantile. — Hémiplégie droite; ses car
appelle la personne la plus voisine. Elle s'affaisse Planche [.
ATROPHIE
CÉRÉBRALE : ÉPILEPSIE PARTIELLE hémiplégie droi
émité du 3e orteil........ 16e 16e Il suit de ces indications que l'
atrophie
est beaucoup moins prononcée au membre inférieur
tères des accès complets. Ceux-ci n'ont pas modifié Planche II.
ATROPHIE
CÉRÉBRALE : EPILEPSIE PARTIELLE hémiplégie gauc
mparatives des membres ont permis de s'assurer qu'il y avait bien une
atrophie
relative des membres du côté gauche, mais que les
conception, son père avait 29 ans et sa mère 22 ans. Planche m.
ATROPHIE
CÉRÉBRALE : ÉPILEPSIE PARTIELLE hémiplégie droi
se surajoutent à la paralysie, nous signalerons les arthralgies et Y
atrophie
des membres. Arthralgies. Les jointures des mem
t, à l'autopsie, on trouve quelques-unes des lésions de l'arthrite.
Atrophie
du mieux arrêt de développement. L'arrêt de dével
tte apophyse à l'extrémité du médius ... 17,5- 17,5 Planche IV.
ATROPHIE
CÉRÉBRALE : EPILEPSIE PARTIELLE athétose Me
ons annoncé l'existence chez un certain nombre de malades atteintes d'
atrophie
cérébrale, sont mis en évidence par la descriptio
tre malade sont dus à une lésion particulière, désignée sous le nom d'
atrophie
cérébrale et possédant une localisation particuli
s exagérer outre mesure. L'hémiplégie, chez les malades atteintes d'
atrophie
cérébrale avec athétose ou hémichorée, diffère de
ou hémichorée, diffère de l'hémiplégie des autres malades atteintes d'
atrophie
cérébrale sans phénomènes choréiques. Chez les pr
e et à dire un mot des facultés intellectuelles des malades frappés d'
atrophie
cérébrale. C'est ce que nous ferons après avoir r
ntre le thorax,l'avant-bras fléchi à angle droit sur Planche Y,
ATROPHIE
CEREBRALE : EPILEPSIE PARTIELLE Hü VHP CJK DROI
malade plie, allonge, soulève la jambe avec une certaine force. Pas d'
atrophie
musculaire, ni de trépidation provoquée. Droit.
Parmi les autres particularités de ce fait, nous avons à mentionner l'
atrophie
assez prononcée des membres avec prédominance rel
pileptiques du groupe que nous étudions : chez celles-ci, en effet, l'
atrophie
était plus prononcée au membre supérieur. Ajouton
mement contractures. La malade, qui tient d'ordi- Planche VI.
ATROPHIE
CÉRÉBRALE : EPILEPSIE PARTIELLE hémiplégie droi
Comme il n'y a aucune cicatrice sur les membres non paralysés, que l'
atrophie
des membres paralysés est assez prononcée, nous p
e, 165. Arthralgie, 30. Ataxie hystérique, 136. Athétose, 29, 32, 37.
Atrophie
, 30. Attaques (Description des) d'hystérie, 96.
Charcot, 7. — E P. hémiplégique, 5, 7; Accès, 43, 46, 48, 55, 60; —
Atrophie
des membres, 45,57,etc. ;—Aura, 8, 10, 17, 26, 32
Chez les quatre autres, la paralysie s'établit définitivement avec
atrophie
musculaire et abaissement de la température du me
lade, aucun signe de lésion organique en dehors d'un commencement d'
atrophie
de la papille gauche, l'auteur pense que cette
constituent la queue de cheval; l'affection a été à la fin suivie d'
atrophie
. ' - Arthropathie dans l'amyotrophie. M. Etie
urologie, 1891, n° 8.) Observation d'un malade qui présentait une
atrophie
muscu- laire très marquée 'de la totalité des d
n processus pathologique circonscrit, qui produit graduellement une
atrophie
complète des deux nerfs optiques sans symptômes
incters, et hypoalgésie sans hyperesthésie. Plus tard, il y eut une
atrophie
musculaire mar- quée, et la guérison se fit inc
Pas de troubles marqués de la sensibilité. Il y eut plus tard de l'
atrophie
musculaire avec guérison complete. Discussion
paralysie de Landry. Dans les deux cas qui guérirent il y eut une
atrophie
musculaire considérable et dans le cas fatal, une
la majorité des auteurs, est l'existence de paralysie complète sans
atrophie
mus- culaire et sans changements dans les réact
es résultats de l'au- topsie ne sont pas négatifs. La question de l'
atrophie
et des modifications électriques restent à éluc
tions nerveuses sont justes, qu'il doit résulter de ces lésions une
atrophie
musculaire et une modification dans les réactio
ire et une modification dans les réactions électriques. Cependant l'
atrophie
musculaire et les modifications électriques dem
facilement de légers changements dans les réactions électriques. L'
atrophie
musculaire et les modifications électriques se
ns modifications électriques. Dans les cas graves qui guérissent, l'
atrophie
et les modifications électriques doivent être r
recherchées, mais dans beaucoup de cas la mort survient avant que l'
atrophie
atteigne un degré appréciable. Poulard. CI 1
une ressemi blance très marquée, les symptômes de la synngomyélie,
atrophie
et paralysie des muscles de l'épaule, avec des
des contractions fibril- laires, et une paraplégie spasmodique sans
atrophie
des muscles de la jambe, et sans aucun trouble
me, présentait des symptômes analogues. à ceux de la syringomyélie.
Atrophie
avancée des muscles des; deux épaules, comprena
ées. Exagération du réflxe rotulien. Trépidation épileptoïde. Pas d'
atrophie
musculaire aux membres inférieurs, pas de lésions
hémitrophie de la langue ; celle-ci tirée est déviée du côté de l'
atrophie
, au repos dans la bouche elle est déviée du côté
ehors de l'émaciation des muscles qui est générale, on constate une
atrophie
des muscles de la jambe, prédominant dans les e
membre supérieur gauche est également bien conformé; il n'y a pas d'
atrophie
; la mensuration, effectuée dans les mêmes points
érée. · Le membre inférieur gauche n'offre aucune malformation ni
atrophie
; la mensuration faite dans des points symétrique
u corps cellulaire, cbromatol3·se, perte et déplacement des noyaux,
atrophie
et absence d'un certain nombre de deutrites ».
siège de. névrite interstitielle. Il y avait diminution marquée et
atrophie
des fibres nerveuses, eu même temps qu'une gran
périeures. Le fuie présente de la dégénérescence graisseuse, et une
atrophie
pigmentaire dla cellule hépatique. La rate quel
rticulation tibio-tarsienne qui dure trois ans - et qui laisse de l'
atrophie
du membre gauche - Education facile - bonne mé-
uve de l'hyper- trophie des muscles hypertoniques, et, à côté, de l'
atrophie
des os 298 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. et d
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. et des muscles non hypertoniques due à une
atrophie
parétique précoce du malade hémiplégique. Ce
avec le degré de la maladie, l'hygiène et la thérapeutique. Puis l'
atrophie
s'empare graduellement du nerf optique. La pupi
p. 100 de la rigidité réflexe des pupilles ; et dans 50 p. 100 de l'
atrophie
du nerf optique. Dans 6 cas sur 10, on a noté
es motrices individuelles ne sont pas atteintes, car il n'y a pas d'
atrophie
consécutive : ce ne sont pas les muscles qui sont
Le début par douleurs sourdes puis aiguës, suivies de parésie et d'
atrophie
des membres avec présence de zônes d'anesthésie
e professeur ag. Gilbert Ballet). Revue neurologique, octobre 1897.
Atrophie
des grandes cellules pyra- midales dans la zone
uvements athétoïdes des muscles de la bouche et des orteils et de l'
atrophie
optique post-névritique. L'observation du malad
es à cytoplasme abondant, états qui sont communément asso- ciés à l'
atrophie
chronique du cerveau et à l'excès de liquide dans
1900) la motilité des muscles de la face ne s'est pas améliorée. L'
atrophie
du nerf optique est très avancée, et la vision
qui serait irri- guée avant tout par l'aorte abdominale. LXXIX. L'
atrophie
olivo-ponto-cérébelleuse; par Dejerine et Thoma
existe une affection cérébelleuse caractérisée anatomiquement par l'
atrophie
de l'écorce, des olives bulbaires et de la subs
ormé, par l'intégrité relative des noyaux gris centraux ; c'est une
atrophie
primitive dégénérative systéma- tique, ni sclér
s atrophies cellulaires primitives. Nous la désignons sous le nom d'
atrophie
olivo-ponto cérébelleuse. » R. C. LXXX. Contr
die de Basedow, de l'épilepsie, et tout à fait dernière- ment, de l'
atrophie
simple du nerf optique. Les cas sont peu nom- b
la douleur, de contracter la pupille, d'augmenter la vision quand l'
atrophie
de la papille n'est pas complète, de réduire la
thiques cervicaux supérieurs constitue dans le cas de glaucome, d'
atrophie
simple du nerf optique, de maladie de Basedow, et
omotrice. Symptômes oculaires dans 1 ? par Turner Vaughan, 304.
Atrophie
olivo-ponto-cérébelleuse. par Déjerine et Thoma
avation ; le début de la contracture ; le début de l'athutose. de l'
atrophie
. Lorsque ces renseignements ont été donnés par
s. Etat des mus- cles : a) 1 contractilité, b) amaigrissement, c)
atrophie
musculaire. Go IIémicliorée, athétose. 7° Epi
observations, photogra- phies, mensurations, etc.). Les causes de l'
atrophie
(I) Compte-rendu du service des enfants de Bicê
résoudre le problème ainsi posé : Étant donné d'une part le degré d'
atrophie
d'un os correspondant à un membre hémiplégie; é
qu'on les rencontre généralement. Il ne suffit pas de signaler l'
atrophie
ou la gracilité de l'os, de donner sa circon- f
ère fois, car nous y revien- drons encore, cette opposition entre l'
atrophie
osseuse accompagnée d'un moindre développement
est augmentée, et com- me ce léger agrandissement coïncide avec une
atrophie
de l'épaisseur de l'os, on obtient un indice de
terne est étroit ; la surface loin d'être lisse est ridée (stries d'
atrophie
). Sur l'exemple représenté sur la Planche XI, i
ter l'importance de l,y,oit clu muscle dans la détermination de l'
atrophie
osseuse. On peut même ajouter que par la seule
est plus ? P Mais il faut préciser le rôle du muscle, car le mot
atrophie
est impropre : l'os du membre hémiplégie est at
professeur Brissaud (1), ce qu'on appelle dans le langage courant
atrophie
« n'est pas un phénomène régressif. » La maladie
e assimilation entre les formes que nous signalons et une véritable
atrophie
La direction du traitement doit s'inspirer de c
un cas bénin. En examinant la Pal. II, on remarquera d'abord que l'
atrophie
est difficile à constater. A la vue, le volume
- Os du crâne peu durs, moyennement épais. Plaques transparentes. -
Atrophie
de tout le coin de BOURNEVILLE, Bicêtre, 1901.
es, et forment un contraste avec les circonvolutions pariétales : l'
atrophie
commence au niveau des plis de passage. Face
plis de passage. Face interne. - Ce qui frappe avant tout, c'est l'
atrophie
du coin et de la partie postérieure du lobe occ
erne. - Au niveau du coin et des circonvolutions Toi, To2, un peu d'
atrophie
, mais sans qu'il y ait rien de sem- blable à l'
2, un peu d'atrophie, mais sans qu'il y ait rien de sem- blable à l'
atrophie
du coin de l'hémisphère gauche. Les lobes front
ses. En résumé, on se trouve en présence de lésions des méninges, d'
atrophie
des circonvolutions et de sclé1'ose de la subst
cellules encore plus considérable qu'il ne paraît, étant donnée l'
atrophie
de celles-ci. En effet, les cellules sont petites
o-kys- tes, sont irrégulières, anfractueuses, sans sclérose, sans
atrophie
à l'oeil nu. Il s'agit la d'une lésion acquise,
, avec prédominance des lésions d'un côté, nous relevons une légère
atrophie
du nerf optique, de la bandelette optique, du t
le système muscu- lairc 1(;galclllCnt SUI' l'os malade) ; 3°) Une
atrophie
de l'os malade très peu marquée. La dif- férenc
lanche 111. Sujet chez lequel l'hémiplégie (''[ait 1res accentuée :
atrophie
consiclor.cblc, ulninismc,clc. L;mnarclnt (·I;i
anches. Planche IV. Fémurs du malade précédent. On voit 1°) L'
atrophie
de l'os malade ; ? °) L'ouverture plus grande de
iation des angles du col ; 2° La différence des courbures : : ;)0 L'
atrophie
de l'os malade ; 4° Par comparaison avec la I'l
et de la tête. Comme troubles fonction- nets le malade présentait l'
atrophie
des papilles ? ' symptôme rare, et une dyspnée'
chement sanguin dans l'espace subarachhoïdien. Dans tous il y avait
atrophie
marquée du cerveau, lésion évidente de la,pie-m
;>"»0'i'ii i(J ' ' hn,'31·,1·... ? C- '«'" ? ) ? <-.q t7ri V.
Atrophie
musculaire progressive; par ZENNER (d8, CIIIC : I
s noms de : paralysie, pseudo-hyperlro- phique, forme juvénile de l'
atrophie
musculaire deErb, atrophie myopathique de Lando
do-hyperlro- phique, forme juvénile de l'atrophie musculaire deErb,
atrophie
myopathique de Landouzy-Déjerine, ne sont, en r
directement et parla clinique, que ce - type 1 Landouzy-Déjeritie (
atrophie
myopathique à forme facio-scapulo-humérale) est
, dans les deux cas qu'il relate on voit qu'il y a coexistence de l'
atrophie
et' de laipseudo- hypertrophie, celle-ci entraî
aire. Dans certains muscles, l'affection a évolué dans'le sens de l'
atrophie
; dans d'autres dans-le sens- de l'hypertrophie. 1
e ' Landouzy (impossibilité- de clore complètement les paupières) ?
Atrophie
de'tous lès muscles'pris ordinairement dans la'
Cette"obsérvationiest concluante,' on y voit la coexistence'de l'
atrophie
et'de la pseudo-hypertrophie, d'où'résulte parfoi
phie, d'où'résulte parfois''un aspect étrange des membres,' ainsi l'
atrophie
du'bras très pro- iioâeée' tranche avec l'hyper
rtrophies'et non''de'* cas de muscles1' conservés 1 et échappés à l'
atrophie
; on a vu ? dans le service, les pseudo-hyper- t
tie. La vue est diminuée, les pupilles ; sont puncti- formes, pas d'
atrophie
papillaire. - ,'i»,i(, 4V) -0 . . Troubles. tro
érodés.- Craquements pendant'.les mouvements. Mouvements anormaux.
Atrophie
du fémur. et hy- pertrophie du tibia - Arthrite
trale ; la réaction pupillaire était conservée ; il n'y avait pas d'
atrophie
des nerfs optiques. Comme il n'y, avait pas de
- taires. 1 Les cellules rondes de l'écorce sont plutôt en voie d'
atrophie
qu'en état de prolifération. Il serait difficil
, on constate des atrophies dégé- nératives des tubes nerveux, de l'
atrophie
simple et çà et là des boules hyalines dont l'o
iriforme du fait de houles irrégulières de protoplasma; enfin, en l'
atrophie
plus ou moins avancée du panache de la tige, de
plasmiques irréguliers sur ces derniers et sur le corps cellulaire;
atrophie
du panache périphérique, des expansions protoplas
rocédés habituels, nous constatons des traits com- muns, à savoir l'
atrophie
des protoplasmas cellulaires, les changements d
est cet état moni- liforme des prolongements protoplasmiques, cette
atrophie
et cette rareté des expansions du corps de la c
qui à l'état normal hérissent les prolongements cellulaires, cette
atrophie
du panache périphé- rique et, en un mot, l'ense
a paralysie générale la cellule nerveuse s'amoindrit, s'étiole et s'
atrophie
. Il nous a semblé que dans cette maladie, les l
Ce qu'elle nous montre surtout d'intéressant et de nouveau, c'est l'
atrophie
et la disparition des nombreuses épines, des sa
RASTHÉNIE PALUSTRE. 91 branches ramifiées du protoplasma et la même
atrophie
des organes de terminaison de ces prolongements
blement conclure que dans tout processus destructif aboutissant à l'
atrophie
de ces organes terminaux, il doit nécessairemen
é six fois des paralysies et dans trois cas, il a pu constater de l'
atrophie
dégénérative des nerfs et des muscles. Schaffer
il est constitué par une contusion chronique, comme dans les cas d'
atrophie
avec parésie des membres supérieurs, à la suite
ion des fonctions psychiques, est caractérisée anatomiquement par l'
atrophie
systéma- tisée de l'écorce cérébrale, et rnimiq
rapport avec une distension excessive et rapide et mériter le nom d'
atrophie
cutanée progressive. Dans deux cas observés à l
la région sacrée, la corne antérieure du côté droit présentait une
atrophie
considérable. Tout l'intérêt de l'observation s
rveuses motrices dans le bulbe et la moelle d'une malade atteinte d'
atrophie
mus- culaire et de sclérose latérale. Plus tard
ures, altérations de la subs- tance grise de la moelle ou du bulbe,
atrophie
des nerfs optiques et enfin des névrites (Pierr
oelle épinière, ce sont les altérations des vaisseaux, tandis que l'
atrophie
des cellules nerveuses apparaît tardivement et
urs vaisseaux, la sclérose de l'ensemble des cordons postérieurs, l'
atrophie
des cellules de la corne antérieure et de la co
squelles les auteurs appellent l'attention, elles consistent dans l'
atrophie
du faisceau solitaire et dans l'atrophie très p
n, elles consistent dans l'atrophie du faisceau solitaire et dans l'
atrophie
très prononcée de la racine ascendante du Lriju-
es (D'' Hamburry).. A. Marie. LVII. Paralysie DU grand DENTELÉ avec
atrophie
DES muscles DE l'épaule. Deux cas DE déformatio
25 et 1720 suivant, observatioli de paralysie du grand dentelé avec
atrophie
des muscles de l'épaule. Guérison par massage,
° parésie des muscles du corps, du cou, des extrémités, avec légère
atrophie
des muscles du dos et du scapulum; 4° diminutio
ux et dorsaux qui, progressive- ment, entraînent'de la parésie avec
atrophie
légère des muscles correspondants. Simultanémen
ritation des racines, la parésie des muscles dorso- cervicaux, leur
atrophie
et, parfois également, la parésie des extré- mi
ance. La diplégie cérébrale est constituée, suivant lui, par : 1° l'
atrophie
des nerfs optiques avec nystagmus horizontal et
e ébauche du type précédent : un vestige de paralysie oculaire, une
atrophie
papillaire, des cé- phalées nocturnes à l'origi
nglais, 520. Athétose, sur un cas d'- double, par Moussous, il.
Atrophie
musculaire progressive, par Zenner. 37. Atten
07; pseudohypertro- phique, par Coley, 208; du grand dentelé avec
atrophie
des muscles de l'épaule, par Moor- house, 395
i contient de la mucine. Cette infiltration de la peau entraîne l'
atrophie
des bulbes pileux, des glandes sébacées et sudo
crânienne où l'oedème est peu marqué. D'ailleurs il n'existe pas d'
atrophie
musculaire. Ce fait de la diminution de la cont
on excessive de la sensibilité, des hémiparésies passagères, de l'
atrophie
progressive de l'ensemble du système musculaire
à l'affection après vingt mois de durée. L'autopsie révèle : uno
atrophie
de la région thoracique et lombaire de la moell
sion maxima des ventricules latéraux d'où sourd un liquide clair; l'
atrophie
des ganglions de la base, des tubercules qua- d
l'épendyme. Nombreuses granulations sur le plancher ventriculaire.
Atrophie
de la substance grise oedé- matiée, brunâtre; c
parois vasculaires, feutrage épais de fines fibrilles conjonctives,
atrophie
des cellules nerveuses un travail identique dans
gauche,; pLosis ran- ,sitôiré'àJplusieürs''r'éprisës ? paraplébie;
atrophie
des nerfs opti- ' crues consécutive' à' la' név
< FQii ? ). OBSEIIVATION. 111 ? ( Névrite optique terminée par l'
atrophie
du nerf, optique droit ? sans autre phénomène*
TJON,,V., ^Paralysiejj du. droit inférieur droit;.ptosis à droite;,
atrophie
, dunerf,oplicfue,drolt' surdité, complète d'un cô
e Galezowski, tendent à prouver que l'amaurose est due soit à une
atrophie
de la papille, relovant elle-même d'une lésion pl
ài,l'amaurose consécutive aux lésions du sourcil et aboutissant à l'
atrophie
do la papille, elle est incurable ; tf , 6° Dan
ente plus.'ou moins''prolongée, la santé générale se détériorer," l'
atrophie
et les contractures tendineuses survenir dans l
rs intra-cràniennes, de l'inflammation du ventricule lui-même, de l'
atrophie
et'du ramollissement du cerveau, (ainsi;que des
Mort. Autopsie : Destruction du lobule de l'insula du colé droit;
Atrophie
de la couche optique et du corps strié correspond
espondante de l'hémisphère gauche. Nous devons signaler aussi cette
atrophie
, ou si l'on préfère,- cet amaigrissement gé- né
ans. Quel est le rôle de la lésion du lobule de l'insula dans cette
atrophie
? 2 . V. La dégénération secondaire partie du f
lier de la frontale et de la pariétale ascendantes), et produit une
atrophie
considérable de la couche optique et du corps s
e, clavicule, pieds, aponévrose crânienne). Enfin complication de l'
atrophie
musculaire qui fixe les mains dans l'abduction,
se dilatant dès qu'on force I'oeil à se mettre au punctum remoturn.
Atrophie
bilatérale des N. 0 ; elle est tout à fait au d
trémités inférieures; on observe l'absence du phénomène du genou, l'
atrophie
des deux N. 0. avec rétrécissement du champ vis
ation du tissu interstitiel (grandes cellules araignées en nombre),
atrophie
desfibres nerveuses, développement de cellules
rouble tro- phique qu'il nous a été permis de constater, à part l'
atrophie
du membre inférieur gauche qui était légère enc
n droite et quarante-cinq pour la gauche. Il s'est produit un peu d'
atrophie
de la main droite, l'éminence thénar est moins
y en a qui reconnaissent pour cause tantôt une sclérose atrophzque (
atrophie
cérébrale), tantôt une sclérose 328 RECUEIL DE
nt. Séquestra- tion dans une maison de santé. E. C. XVI. UN cas d'
atrophie
DU cervelet; par le Dl SEPPILI. {Bulletin de la
1° les altérations microscopiques qui consti- tuent généralement l'
atrophie
du cervelet sont : le développe- ment considéra
développe- ment considérable du tissu conjonctif interstitiel et l'
atrophie
des cellules de Purkinje. Celles-ci disparaisse
activité fonctionnelle de ces parties du cervelet, non sujettes à l'
atrophie
, ou bien par l'intégrité des veines, ou enfin p
Il ne se présente pas de désordres delà sensibilité cutanée dans l'
atrophie
du cervelet; 5° C'est une erreur de localiser l
Lllnnntcox; thèse 1881. t. Essai sur la diminution de l'urée dans l'
atrophie
musculaire progres- sive ; conséquences qu'on p
l',watomie et de la physiologie du), har Bauney, 3r"i. Cervelet (
atrophie
du), 360. Chaire de clinique des maladies du
e du côté de l'omoplate. Ces explora- tions sont faciles, grâce à l'
atrophie
complète du deltoïde et à l'atrophie moins pron
tions sont faciles, grâce à l'atrophie complète du deltoïde et à l'
atrophie
moins prononcée des autres muscles de l'épaule.
est facile de reconnaître que le muscle deltoïde a déjà subi une
atrophie
manifeste. Le liquide que nous avons évacué par
e malade dont l'épaule droite est si facile à explo- rer, grâce à l'
atrophie
des muscles, quoique les lésions remontent à un
iquides de l'économie et par l'augmentation de la paralysie et de l'
atrophie
musculaires. Le béribéri peut quelquefois offri
1 8 . RECUEIL DE FAITS Observations pour SERVIR A L'HISTOIRE DE l'
atrophie
MUSCU- 1 LAIRE.. Accès CONVULSIFS ET comateux.
que, depuis dix ou douze ans, les notions que nous possédons sur. l'
atrophie
, musculaire sont devenues atrophie musculaire.
ions que nous possédons sur. l'atrophie, musculaire sont devenues
atrophie
musculaire. 233 3 plus nombreuses etplus précis
culier sur les symp- tômes cérébraux qui se montrent parfois dans l'
atrophie
mus- culaire, que nous publions l'observation s
, suivis de paralysies partielles'; crises gastriques; paraplégie ;
atrophie
musculaire. ^ r ; ' rt . Il n'y a aucun antéc
Au bout de quinze jours, survint une crise (la cinquième environ)
atrophie
MUSCULAIRE. 235' analogue aux précédentes, mais
ible. Il n'y a, en somme, qu'un affaiblissement assez accusé et une
atrophie
peu considérable des'' deux deltoïdes. Les musc
lier à noter. t -( ? ' t . A l'avant-bras, au contraire, il y a une
atrophie
peu marquée des fléchisseurs et des radiaux ; m
nts, la contractilité faradique étant à peu près nulle. Du reste, l'
atrophie
de l'éminence thénar est tellement marquée, que
in de Bourgogne, chaque jour il dînait en ville et ne rentrait à la
atrophie
musculaire. 237 maison qu'à une heure avancée d
e dans les mains et dans les jambes, mais sans nouvelle'1 poussée d'
atrophie
. En somme, ces derniers accès, très violents, n
ts, les muscles atteints diminuaient de volume et subis- saient une
atrophie
dégénérative. On assiste ensuite à une améliora
e des accidents, et surtout montrer l'association peu vulgaire de l'
atrophie
musculaire d'une part, des accès comateux et de
gauche de la face était plus petit que le droit. Avec l'âge, cette
atrophie
faciale devint de plus en plus marquée, plusieu
ce. Il ne peut s'agir non plus ici d'une paralysie faciale ni d'une
atrophie
musculaire de l'enfance au début. On ne peut so
hémzatrophie faciale progressive, trophonévrose faciale de Romberg,
atrophie
unilatérale de la face deMoore, aplasie la ? ni-
- neuse de Lande, prosopodismorphie de Bergson. Localisation de l'
atrophie
du côté gauche de la face, déve- loppement à la
phiques du facial (Hammond) ; névrite du nerf facial (Rosc-nthal) ;
atrophie
pri- mitive du tissu cellulo-adipeux (Lande et
normales. Soixante-seize d'entre les faits colligés concernent une
atrophie
avec induration calleuse ou cartilagineuse de l
les nerveuses pyra- midales (Obs. n° 90 du tableau); concurremment,
atrophie
et sclérose des fibres nerveuses correspondante
t de la congestion ou de l'oedème péri papillaire ; plus tard, de l'
atrophie
du nerf optique. Les pupilles,- qui, au moment
internes), 157. Association médico-psychologique anglaise, 139.
Atrophie
musculaire (observations pour servir à l'histoi
▲