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1 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
'anatomie macroscopique a décelé : 1° celle des racines postérieures ( atrophie ) ; 2° celle des méninges (méningite spinale posté
aux, et entre autres, des nerfs optique, moteur oculaire, hypoglosse ( atrophie et dégénération grise). Disons aussi, d'une ma-ni
à, comme l'ont avancé quelques auteurs, M. Leyden entre autres, d'une atrophie simple. La méningite spinale, qui coexiste si fré
sait encore que la majorité des cas, désignés en clinique sous le nom atrophie musculaire progressive, se rapporte à une altérat
rare de voir, dans le cours de l'ataxie locomotrice, se produire une atrophie mus-culaire, tantôt partielle, tantôt, au contrai
ait depuis longtemps constituée chez cette femme, lorsque survint une atrophie musculaire, laquelle progressa sous nos yeux asse
re dans l'ataxie locomotrice, considérées da?is leurs rapports avec l' atrophie musculaire. {Archives de physiologie, 1872, p. 59
Le diagnostic était rendu facile, dans ce cas, par l'existence d'une atrophie com-mençante d'un des nerfs optiques. L'opinion q
femme est devenue aveugle. La lésion du fond de l'œil consiste en une atrophie nacrée des papilles ; les accès de douleurs fulgu
de 52 ans, est aveugle depuis quinze ans. Il s'agit ici encore d'une atrophie nacrée des nerfs optiques. Les accès de douleur
iens et bulbaires. — Induration grise progressive du nerf opti-que. — Atrophie progressive de la papille. — Nécessité de l'exame
ymptômes diffèrent d'une manière essentielle de ce qu'ils sont dans l' atrophie optique tabétique. L'induration grise progressi
et qui répondent à ce qu'on est convenu en ophtalmologie d'appeler Y atrophie progressive de la papille. Ces caractères, Messie
croire, d'après ce que j'ai vu, que les amaurotiques, chez lesquels Y atrophie progressive de la papille est la cause de la céci
pouvant également reproduire, jusqu'à un certain point, l'aspect de l' atrophie papillaire tabé-tique. Enfin, dans la paralysie g
irconstance permet peut-être d'expliquer l'occurrence fré-quente de l' atrophie papillaire progressive dans la méningite chroniqu
tomes concomitants de la neuro-rétinite et ceux qui accompa-gnent l' atrophie tabétique et, d'autre part, entre l'aspect de la
tabétique et, d'autre part, entre l'aspect de la papille qui marque l' atrophie papillaire consécutive à la névrite optique et ce
z laquelle se présentaient les ca-ractères de la névrite optique avec atrophie du nerf. Ces lé-sions étaient liées à l'existence
ute leur étendue. Il n'existait pas de trace d'une méningite. Cette atrophie scléreuse caractérise la seconde forme, ou, si l'
la papille tabétique ; — l'autre représente la papille de Ler... : l' atrophie consécutive à la névrite optique se présente là a
des nerfs périphériques au même titre que l'herpès, la peau lisse, l' atrophie muscu-laire rapide, et tant d'autres troubles tro
dans certains cas d'altérations de la sub-stance grise déterminant l' atrophie musculaire progressive 1 S. "Weir Mitchel. — In
l fallait chercher ailleurs. Par analogie avec ce qui a lieu dans l' atrophie musculaire et dans la paralysie infantile où la l
diés avec MM. Pierret et Gombault. J'ajoute-rai qu'un certain degré d' atrophie musculaire dans le mem-bre affecté s'observe fréq
ut récent d'arthropathie tabélique, malgré de patientes recherches, l' atrophie des cornes antérieures du côté correspondant à l'
te lésion s'était traduite, du vivant du malade, par une parésie avec atrophie musculaire des membres supérieurs. La dilatation,
n longueur du renflement cervical de la moelle. Le dernier phénomène, atrophie musculaire, se comprend aisément, puisque, en se
e rendent, affaiblissement qui est lui-même suivi, à la longue, d'une atrophie plus ou moins prononcée des muscles. La compres
r le tra-jet des nerfs douloureux ; anesthésie cutanée circonscrite ; atrophie et. contracture musculaires partielles. — Déforma
es bulles pemphigoïdes, les escarres même, et, du côté des muscles, l' atrophie plus ou moins rapide, la paralysie, la contractur
par M. Wagner 1 et dans un autre cas rapporté par M. Michaud 2, ou l' atrophie musculaire 1 E. Wagner. — Ârchiv. der Hdlkunde,
ibilité électrique est accrue, particularité qui semble prouver que l' atrophie muscu-laire est bien ici la conséquence d'un trav
té électrique des masses musculaires qui, peu à peu, présentèrent une atrophie remarquable. Les urines en même temps deviennent
es membres, paralysés déjà et contractures, offriraient, en plus, une atrophie plus ou moins prononcée des masses musculaires. E
nir, et les muscles des membres paralysés présente-raient bientôt une atrophie plus ou moins accusée, accompa-gnée ordinairement
udo-névralgies) suivie, tôt ou tard d'anes-thésie : il s'y ajoute une atrophie plus ou moins marquée et plus ou moins rapide des
es. Paralysie spinale infantile; — Paralysie spinale de l'adulte; — Atrophie musculaire progressive spinale ; — Sclérose latér
ré-gression des symptômes avec localisation des lésions musculaires ( Atrophie musculaire, arrêt de développement du système oss
de désinté-gration; sclérose partielle des cordons antéro-latéraux ; atrophie des racines antérieures. — Raisons qui tendent à
e de la vie animale, se traduisant par une impuissance motrice et une atrophie plus ou moins accusées, sont, ainsi que je vous l
constance, semble être en quelque sorte proportionnelle au degré de l' atrophie subie par le muscle; Ce sont là deux cas extrêm
classiques, h paralysie glosso-labio-laryngée, certaines formes de l' atrophie muscu-laire progressive, etc. J'espère vous démon
ise occupées par les grandes cellules motrices, dont elle détermine l' atrophie et même la destruction complète. — Cetteaffection
aru. On ne se rend pas toujours un compte exact de l'étendue de cette atrophie , parce qu'elle est souvent masquéej ne l'oublions
fait ressortir : c'est l'arrêt de développement du système osseux. L' atrophie qui affecte les os n'est nullement en rapport néc
rt nécessaire avec le degré ou avec l'étendue de la paralysie et de l' atrophie musculaires. Ainsi, suivant une remarque de Duc
prononcé que pré-sente tôt ou tard le membre paralysé. De même que l' atrophie , ce phénomène paraît s'accentuer plus dans la par
membres". C'est peut-être le lieu défaire remarquer qu'en outre de l' atrophie des muscles et des os, on trouve à l'autop-sie, d
rtie des faisceaux primitifs subirait, dans cette première période, l' atrophie simple sans 1 Voir Heine et Duchenne (de Boulog
t à l'opinion la plus répandue, le même ca-ractère se retrouve dans l' atrophie musculaire progressive de cause spinale. Les lé
e la moins importante. Ainsi, nous avions constaté l'exis-tence d'une atrophie des cornes antérieures de la substance grise et d
fait, rapporté en 1869 par MM. L. Clarke et Z. Johnson sous le nom d' atrophie musculaire, doit être, croyons-nous, rapproché du
brusquerie de l'invasion des accidents, le mode de localisation de l' atrophie des muscles ne laissent guère subsister de doute
; or, dans ce cas encore, l'examen microscopique a fait reconnaître l' atrophie des cornes antérieures, la disparition ou l'atrop
it reconnaître l'atrophie des cornes antérieures, la disparition ou l' atrophie granuleuse d'un certain nombre de cellules nerveu
hez^une femme morte de paralysie générale à l'âge de cinquante ans. — Atrophie fibroïde de la corne antérieure du côté droit, ém
atro-phie avec sclérose partielle des cordons antéro-latéraux et une atrophie très prononcée des racines antérieures, remarquab
aux symptômes de la mala-die, en particulier la paralysie ainsi que l' atrophie des mus-cles ; nous avons, en outre, émis l'opini
c'est là le fait anatomique initial, les lésions de la névroglie et l' atrophie des racines nerveuses devant être considérées com
partielles. — Conditions dans lesquelles ce3 affections déterminent l' atrophie rapide des muscles. I. Messieurs, Il y a lo
proche cliniquement cer-taines paraplégies à début brusque, suivies d' atrophie mus-culaire, développées dans l'adolescence ou ch
e appa-raît, vous ne devez pas vous attendre à voir se produire cette atrophie par arrêt de développement, qui, chez les enfants
es des membres supérieurs, la nutrition avait souffert au point que l' atrophie y était déjà manifeste. Six mois après le début
ent dans les autres membres. Mais le malade présente actuellement une atrophie vraisemblablement indélébile très prononcée des m
'un élève de la SalpêLrière, M. Petit/ils, travail ayant pour titre : Atrophie aiguë des cellules nerveuses. (J.-M. C.) et 15
ors ce qui suit: des deux côtés, mais surtout à droite, il existe une atrophie assez prononcée des épaules et de la partie posté
la paume de la main est aplatie et comme ex-cavée en conséquence de l' atrophie qu'ont subie les éminences thénar et hypothénar.
lière. Il a été matériellement impossible de préciser l'époque où l' atrophie des muscles a commencé à se produire. On assure t
et mar-qué par une période fébrile bien distincte, la flaccidité et l' atrophie profonde rapidement survenue que présentaient les
domestique. Les membres inférieurs sont amaigris dans la totalité, l' atrophie est surtout marquée aux cuisses qui sont flasques
régions de la moelle épinière, correspondantes aux muscles frappés d' atrophie ; mais on ne rencontre nulle part, dans les corne
rne grise est aussi profondément at-teinte, une sorte d'émaciation, d' atrophie , avec diminution plus ou moins prononcée de tous
iste, en général, pour ce qui concerne les cellules nerveuses, en une atrophie scléreuse plus ou moins accentuée. Les élé-ments
ltération pigmentaire arrivée au dernier terme.—E, cellule atteinte d' atrophie scléreuse. — F, altération vacuolaire. en ce qu
ières phases, l'altération des cellules nerveuses est marquée par une atrophie avec pigmentation excessive de ces éléments. La l
. Mais il s'y joint, dans les cas patho-logiques proprement dits, une atrophie véritable, dont M. L. Clarke a bien décrit toutes
u der-nier degré, ils disparaissent. Le noyau de la cellule subit une atrophie conco-mitante. Cette atrophie pigmentaire, qui co
ssent. Le noyau de la cellule subit une atrophie conco-mitante. Cette atrophie pigmentaire, qui conduit à la destruction totale
e toute lésion de la névroglie, dans certaines formes, par exemple, d' atrophie musculaire progressive, ou de paralysie bulbaire
e est celle que l'on désigne quelquefois sous le nom de sclérose ou i¥ atrophie sclé-reuse. — La cellule a diminué de volume, que
ignore si cette altération est toujours précédée par les lésions de l' atrophie pigmentaire ou 3° La lésion spinale, dont les p
e de cette incitation morbide, la cellule subit les diverses phases d' atrophie capables d'aboutir à une destruction complète, la
e même lésion des éléments ganglionnaires relève aussi certainement l' atrophie rapide des muscles paralysés et les modifications
fs, et la perte appa-rente de la contractilité faradique, ainsi que l' atrophie des-faisceaux musculaires, surviendraient en cons
nt, à l'instar de la paralysie infantile, la paralysie motrice avec l' atrophie rapide des muscles paralysés pourvu que soit remp
eurs ob-servations de myélite dès la première semaine 1 ; et enfin, l' atrophie des muscles rapidement développée. La théorie in-
peut déterminer dans les membres inférieurs paralysés du mouvement, l' atrophie aiguë des mus-cles, et en un mot tous les phénomè
tre l'analyse physiologique de la paralysie infantile, relè-vent de l' atrophie aiguë des cellules nerveuses motrices. 1 Charco
63, note 1. ONZIÈME LEÇON Des amyotrophies spinales chroniques. — Atrophie musculaire progressive spinale protopathique (Typ
ran). Sommaire. — Variétés cliniques des cas désignés sous le nom d' atrophie muscu laire progressive (atrophies musculaires pr
porte sur les cornes antérieures de la substance grise. Étude de l' atrophie musculaire progressive spinale protopathique comm
nales ; sclérose en plaques ; — sclérose laté-rale symétrique. De l' atrophie musculaire progressive spinale protopathique en p
ale protopathique en particu-lier. (Type Duchenne-Aran). — Symptômes: atrophie individuelle des muscles, troubles fonctionnels,
encore souvent confondues en clinique sous la dénomination commune d' atrophie muscu-laire progressive. L'anatomie pathologique
rencontrer dans les cas qui portent en clinique cette dénomination d' atrophie musculaire progressive sont très variées. Elles o
ce grise, tel est le sub-stratum anatomique dans une certaine forme d' atrophie muscu-laire progressive qui répond à peu près cli
le protopathique. La constitution de cette forme protopathique de l' atrophie musculaire spinale, qui reproduit en quelque sort
dans les racines motrices et les nerfs moteurs périphériques, par une atrophie plus ou moins prononcée, conséquence de la lésion
ême série de phénomènes consécutifs en découle, et en particu-lier, l' atrophie progressive des muscles ; toutefois les symptô-me
on, de retentir sur la substance grise antérieure et d'y déterminer l' atrophie des cellules motrices. Pour ne parler que des f
elle elle-même et simulta-nément aux origines des nerfs rachidiens. L' atrophie muscu-laire des membres supérieurs se développe s
ssive l. La symptomatologie se composera ici des phéno-mènes liés à l' atrophie consécutive des cornes antérieures, — atrophie le
s phéno-mènes liés à l'atrophie consécutive des cornes antérieures, — atrophie lente des muscles, — et de ceux qui caractérisent
subissent des altérations plus ou moins profondes et, par ce fait, l' atrophie muscu-laire, à marche progressive, viendra figure
a) Le premier trait à faire ressortir dans la symptomatologie de l' atrophie musculaire progressive, après le début insidieux,
ngtemps inaperçus, pour ainsi dire, c'est ce qu'on pourrait appeler Y atrophie in-dividuelle que subissent les muscles affectés
la main et de l'avant-bras auront, je suppose, à ce moment, subi une atrophie profonde, à l'ex-ception d'un seul peut-être, le
ume de l'état normal de manière à former un contraste frappant avec l' atrophie très accentuée de l'avant-bras et de la main. P
e saillie relativement considérable. Ce mode d'en- vahissement de l' atrophie qui procède, dans une certaine me-sure, muscle pa
. b) Les troubles fonctionnels que présentent les muscles en voie d' atrophie doivent nous arrêter actuellement. À la dimi-nuti
le-ci ne paraît guère dépendre que de la diminution du nombre ou de l' atrophie plus ou moins pro-noncée des faisceaux musculaire
topa-thique. J'ajouterai, en outre, qu'elles se voient en dehors de l' atrophie musculaire progressive, chez des sujets sains. El
symptômes qu'à mon sens on a compris à tort dans la description de l' atrophie musculaire vulgaire. Les douleurs spontanées, con
ractililé ne se mani-festent que dans les phases ultimes, alors que l' atrophie est portée à son comble. C'est là un caractère qu
anesthésie et de l'hyperesthésie cuta-nées. Elles sont étrangères à l' atrophie simple. Il en est de même, d'après mes observatio
maintes fois, dans cet hospice, des sujets atteints de longue date d' atrophie musculaire protopathique, dont les membres supéri
, comme un mode d'invasion tout à fait exceptionnel, très rare dans l' atrophie vulgaire — ce sera l'inverse dans quelques atroph
s douleurs {electric pains) dans les membres inférieurs, présenta une atrophie progressivement croissante, et, à un moment, deve
ervous System, p. 666, fig. 31. New-York. des de ces membres. Cette atrophie , si profonde qu'elle fût, des masses musculaires,
un exemple d'ataxie locomotrice ; on sait que, dans cette affection l' atrophie progressive des membres frap-pés d'incoordination
consanguinité ou sur Y hérédité, en tant qu'élément étiologique de l' atrophie musculaire progressive, me paraît, d'après la cri
sy, in R. Reynold's System of medicine, p. 168. — D'autres exemples d' atrophie progressive des muscles, survenue a la suite de c
a-blement aussi relatives à la myélite 1. Mais pour ce qui est de l' atrophie primitive, le rôle écolo-gique de la transmission
11. — Coupe delà moelle épinière à la région cervicale dans un cas d' atrophie musculaire protopathique. — A, Corne antérieure g
sentent des altérations qualicatives.) — B, Corne antérieure droite. ( Atrophie presque complète des cellules ner-veuses, un seul
e qui est des cellules nerveuses, ce sont tantôt les ca-ractères de l' atrophie pigmentaire (Fig. 10, C, D, p. 203), tantôt ceu
de l'atrophie pigmentaire (Fig. 10, C, D, p. 203), tantôt ceux de l' atrophie scléreuse (Fig. 10, E, p. 203) qu'on y observe.
*. D'après la considération des caractères anatomiques, la forme d' atrophie musculaire progressive, dont il s'agit, pour-rait
est pas indiqué d'une façon explicite. 3 Hayem. — Note sur un cas d' atrophie musculaire progressive, lésions de la moelle. (Ar
onne rachidienne. — Symptômes de paralysie labio-glosso-laryngée avec atrophie manifeste de la langue. —Gêne très prononcée de l
ar le membre supérieur droit. — Extension len-tement progressive de l' atrophie au membre supérieur gauche. — Les membres inférie
mouvements des membres sont devenus à peu près impossibles. — Mais l' atrophie des mus-cles est surtout prononcée au membre thor
e. Je vous rappellerai, à ce propos, que Ouveilhier avait considéré l' atrophie des racines antérieures comme le caractère anatom
e des racines antérieures comme le caractère anatomique de la forme d' atrophie musculaire dont il a contri-bué à élucider l'hist
n° 27, 28 juli 1869 et Cen-tralblatt, octobre n° 46, 1869) deux cas d' atrophie musculaire progressive dans lesquels l'autopsie,
dreich sous une même rubri-que, ne méritent en rien la dénomination d' atrophie musculaire progressive, c( nom étant employé, mêm
regrettable et ne peut qu'entretenir la confusion. (J. M. G.) cette atrophie serait rattachée quelque jour à une lésion de la
une lésion de la substance grise *. Il importe de reconnaître que l' atrophie des racines anté-rieures ne pourra pas être, au m
pourra pas être, au même degré que dans la para-lysie infantile, une atrophie destructive. Sans doute, dans les racines émanant
acte, ou tout au moins n'offrir d'autres, altérations que celles de l' atrophie simple. Cette intégrité rela-tive d'un très grand
nerveux subissent les mêmes altérations qu'un nerf sec-tionné. Dans l' atrophie musculaire, il n'est qu'un petit nom-bre de nerfs
sculaires qui, sous cette influence, subissent la lésion trophique. L' atrophie est ici, le phénomène primitif ; elle ne s'accomp
, ont perdu beaucoup de leur valeur. Je rappellerai seulement que l' atrophie granulo-graisseuse d'un certain nombre de faiscea
ntiel. En effet, dans l'amyotrophie progressive spinale, comme dans l' atrophie infantile, la dégénération granulo-protéique, de
faire à la Salpê-trière. Le fait capital, dans l'espèce, c'est une atrophie simple du faisceau musculaire avec conservation d
seuse peut, pendant la la vie, rendre méconnaissable l'existence de l' atrophie des masses musculaires et masquer ainsi le princi
iques des mus-cles. Messieurs, Nous en avons fini avec la forme d' atrophie musculaire pro-gressive qui relève d'une lésion l
t en rien d'essentiel de celles que nous avons étudiées à propos de Y atrophie musculaire spinale pro-topathique. C'est déclarer
querai pas de mettre en relief dans l'exposé clinique, à savoir que l' atrophie musculaire, dans la forme nosographique qui nous
iphériques. Je ne puis que ré-péter ici ce que j'ai dit au sujet de l' atrophie musculaire spi-nale pçotopathique. Les tubes nerv
ux sont conservés, seulement presque tous ont subi un certain degré d' atrophie simple. C'est là un fait que nous devrons faire r
ces qui séparent cliniquement la sclérose latérale amyotrophique de l' atrophie musculaire spinale protopathique. Symptômes com
chée entre la sclérose latérale amyotrophique et les autres formes (X atrophie musculaire spinale, deutéropathique. Je dois to
de l'excellent mémoire publié en 1867 par M. Duménil (de Rouen) sur l' atrophie musculaire progres-sive dans la Gazette hebdomada
ait reconnaître l'existence de la sclérose la-térale symétrique, avec atrophie des cellules nerveuses motrices dans les cor-nes
urs pratique de la Faculté. la sclérose latérale amyotrophique de l' atrophie musculaire spinale primitive, c'est la rapidité r
tôt, au bout d'un an, par exemple, tandis que les malades, atteints d' atrophie musculaire progressive spinale protopathique, peu
ssivement, et dans un assez bref délai frappés tous de paralysie avec atrophie , ou, pour ce qui concerne spécialement les membre
qui déterminent la mort. Cela contraste avec ce que nous savons de l' atrophie musculaire progressive vulgaire puisque dans cell
gaire puisque dans celle-ci, suivant la statistique de M. Duchenne, l' atrophie des muscles ani-més par les nerfs bulbaires ne se
ouvent frappées que les hommes, con-trairement à ce que l'on dit de l' atrophie protopathique, mais il est indispensable de faire
ions fibrillaires qui se montrent surtout dans la période active de l' atrophie ; — c) la conservation de la con-tractilité farad
ue que présentent, jusqu'à la dernière limite, [les muscles frappés d' atrophie . B. Les autres symptômes sont tout à fait étran
otrice, promptement développée qui, si elle ne précède pas toujours l' atrophie , est déjà souvent fort accusée alors que celle-ci
hie protopathique, l'impuissance motrice relève en grande partie de l' atrophie des masses musculaires, tandis que, dans la sclér
sclérose latérale, la paralysie domine certainement la situa-tion ; l' atrophie des muscles n'est là fréquemment qu'un fait consé
er-manente spasmodique. C'est là un phénomène absolument étranger à l' atrophie primitive. Enfin, dans cette dernière maladie,
t depuis l'extrémité du membre jusqu'à sa racine. Ce n'est plus cette atrophie individuelle des muscles que nous avons rele-vée
ire vulgaire, c'est, au contraire, une sorte d'émaciation générale, d' atrophie en masse. Elle n'atteint jamais, dans les comme
ce cas, d'une véritable paralysie accompagnée ou plutôt suivie d'une atrophie plus ou moins rapide et plus ou moins généralisée
membre tout entier. D'ailleurs, les muscles atrophiés, ou en voie d' atrophie , sont agités de mouvements fibrillaires souvent t
tés de mouvements fibrillaires souvent très accusés, et, comme dans l' atrophie simple, ils conservent, tant que l'atrophie n'est
accusés, et, comme dans l'atrophie simple, ils conservent, tant que l' atrophie n'est pas parvenue au plus haut degré, la contrac
faire reconnaître qu'il ne s'agit pas, en pareille circonstance, de l' atrophie musculaire spinale primitive. Je ne dois pas ou
us, l'é-macialion est déjà parvenue à un degré qui ne se voit, dans l' atrophie musculaire protopathique, qu'à une période avan-c
t à noter qu'elle n'enlraîne pas nécessairement, comme la première, l' atrophie musculaire. Les muscles, au contraire, peuvent co
ensemble à l'exemple des membres supérieurs. En général, quand cette atrophie est poussée à un certain degré, la rigidité s'amo
a langue paralysée pré-sente bientôt-, en général, un certain degré d' atrophie : elle est rapetissée, comme ridée, et agitée de m
; — d) enfin, dans la sclérose primitive des faisceaux latéraux sans atrophie musculaire. 2° La parésie et la contracture pré
ns atrophie musculaire. 2° La parésie et la contracture précèdent l' atrophie , cela est j établi clmiquement. Il y a donc lieu
s ; — parésie ; — éruptions cuta-nées . — Seconde période (paralysie, atrophie , griffe, contracture, plaques d'anesthésie, paral
trophic consécutive à l'ataxie locomotrice. — Forme particulière de l' atrophie musculaire en pareil cas. — Pathogénie. ~ Amyotro
altération de la substance grise antérieure, à laquelle se rattache l' atrophie des muscles, serait un phénomène consécutif. La p
térieures de manière à entraîner, elles aussi, le dé-veloppement de l' atrophie des muscles dans les membres paralysés ? C'est,
qu'alors, les mus-cles, dans les membres correspondants, subissent l' atrophie . Ainsi, j'ai observé plusieurs fois des hémiplé
lesquelles s'accompagnaient, contrairement à la règle commune, d'une atrophie plus ou moins pronon-cée des muscles dans les mem
résentaient une diminution notable de la con-tractilité électrique. L' atrophie musculaire progressa rapide-ment et, simultanémen
rand nombre des grandes cellules ner-veuses motrices avaient subi une atrophie très pronon-cée f; M. le Dr Hallopeau a recueil
par conséquent, de commencer l'exposition de quelques autres formes ^ atrophie musculaire spinale deuté- 1 Leçons sur les mala
rticipation des cornes grises et conséquem-ment sans accompagnement d' atrophie musculaire. C'est ce dont té uoignent, entre autr
onstante ; mais, comme elle ne s'observe pas dans les autres formes d' atrophie musculaire spinale, elle n'en fournit pas moins u
inférieurs, dans la pachyméningite, ne paraît se compliquer d'aucune atrophie musculaire. Il ne me semble pas difficile de fo
tte paralysie et de comprendre, à ce double point de vue, l'absence d' atrophie musculaire et l'exis-tence, pour ainsi dire oblig
lques autres. 11 résulte de ces observations que, cliniquement, cette atrophie musculaire des ataxiques se distingue par quelque
). Dans le cas recueilli dans mon service et publié par M. Pierret, l' atrophie portait à la fois sur toute l'é-tendue du membre
otte. — Union médicale, 11 juin 185:'. 4 Friedreich. —Uber degener. Atrophie der spinalen. Hinterstiange Virchow's Archiv. Bd.
re u la région lombaire dans un cas d'ataxie locomotrice compliquée d' atrophie muscidaire. — A, sclérose de la zone radiculaire
pée avant les symptômes tabétiques. B. Je ne ferai que mentionner l' atrophie musculaire qui se surajoute quelquefois aux sympt
n effet, cette forme d'amyotrophie, presque toujours confondue avec l' atrophie musculaire progressive, n'a-t-elle pas été l'occa
l'étendue de la paralysie et il ne se produit jamais d'es-carres. L' atrophie , qui ne tarde pas à apparaître dans les membres p
ait distinctif qu'il importe d'op-poser aux symptômes classiques de l' atrophie musculaire progressive, — les muscles, ceux même
durcissement imparfait, des lésions très délicates, telles que sont l' atrophie des cellules motrices 1 Duchenne (de Boulogne).
occupaient les membres ; de plus, les muscles paralysés offraient une atrophie profonde et devenaient, sur certains points, le s
Les faisceaux musculaires offraient : les uns, les altérations de l' atrophie simple, les autres en moins grand nombre, celles
n bon nombre de grandes cellules nerveuses motrices, présentaient une atrophie plus ou moins accusée et même beaucoup d'entre el
arth, — la sclérose symétrique des cordons latéraux se combine avec l' atrophie pro-gressive des cellules nerveuses des cornes an
pécifier. Ainsi l'hypertrophie du tissu conjonctif interstitiel, avec atrophie simple des fibres musculaires, peut se retrouver,
ge znr pathol. Anat. der lîuckenmarks. Leipzig. 1870. Obs. n). dans l' atrophie musculaire progressive, dans la para-lysie spinal
la critique, à l'une quelconque des formes de l'amyotrophie liée à l' atrophie des cellules nerveuses motrices. Rien, à mon sens
es que j'a étudiées, c'est que l'hyperplasie du tissu conjonctif et l' atrophie des faisceaux musculaires marchent pour ainsi dir
en quel-que sorte proportionnelle à l'étendue des vides laissés par l' atrophie ou la disparition des fibres musculaires. Il est
iel, mais la majeure partie d'entre eux, ceux-là mêmes qui ont subi l' atrophie la plus profonde, conservent, jusqu'aux dernières
ervation très intéres-sante, récemment publiée par M. C. Weslphal3. L' atrophie musculaire saturnine semble donc faite, d'après c
tération des nerfs périphériques ; je n'ignore pas que, sous le nom d' atrophie nerveuse progressive, on a tracé la description d
e dans laquelle on ait démontré anatomiquement cette névrite ou cette atrophie nerveuse progressive d'où dériverait la forme d'a
uni-cantes que des ganglions, ont été plusieurs fois observées dans l' atrophie musculaire progressive ; mais je ne sache pas que
spondant à la fracture. Peu après survint une paralysie complète avec atrophie musculaire, dans le membre supérieur, du même côt
. une paraplégie, et enfin une paralysie des membres supé-rieurs. L' atrophie musculaire, avec diminution de la contrac-tilité
as ayant déterminé d'abord une névrite du bout périphérique, suivie d' atrophie des muscles de la main et d'une éruption pemphigo
Plus tard, le membre supérieur du côté opposé fut à son tour frappé d' atrophie et d'anesthésie \ Il est au moins fort vraisemb
ise centrale. En effet, dans la plupart de ces cas, l'anesthésie et l' atrophie musculaire des membres paraly-sés semblent indiqu
je me propose d'appe-ler bientôt votre attention, et dans laquelle l' atrophie muscu- 1 Gazette hebdoma laire, 1866, p. 51, 67
es. — Foyers d'hémorragie et de ramollissement intra-encéphaliques. — Atrophie partielle du cerveau. Rareté de l'hémichorée po
oit. Ceux-ci, je puis vous le faire remar-quer de suite, n'offrent ni atrophie , ni contracture, ni défor-mation quelconque. Nous
ppement qui, chez les jeunes enfants, détermi-nent ce qu'on appelle Y atrophie partielle du cerveau (Colard, Thèse de Paris, 186
'hémianesthésie permanente se produit quelquefois en conséquence de l' atrophie partielle du cerveau datant de la première enfanc
là une fracture. Presque tout le fragment supérieur s'est détruit par atrophie , par frottement, et la partie persistante s'est s
les cellules ner-veuses tuméfiées puissent éprouver, elles aussi, une atrophie consécutive correspondant à celte désagrégation d
ormale et pathologique, année 1871-1872, p. 93)'. Note sur un cas d' atrophie musculaire progressive spinale protopathique ( ty
caractères cliniques qui per-mettent de reconnaître pendant la vie l' atrophie musculaire protopathique, réunis dans l'observati
re W... fut admise à la Salpêtrière le 19 mars. Elle était atteinte d' atrophie musculaire progressive, dont elle avait éprouvé l
gnements négatifs : aucun des membres de sa famille n'a été atteint d' atrophie musculaire ; elle-même n'a jamais eu d'au-tre mal
a pour les membres supérieurs le début des accidents. Bientôt après l' atrophie s'empara desmus-ctes de la main gauche, puis six
ndant), mais s'il y eut une amélioration, elle n'a pas été durable. L' atrophie , tout en faisant des progrès aux membres supérieu
ue des courses assez longues en dehors de la Salpêtrière. 1875. — L' atrophie des muscles est extrêmement prononcée dans les pa
e grand dorsal et toute la partie postérieure du trapèze ont subi une atrophie extrême. Le faisceau claviculaire de ce dernier m
ostaux, les muscles de la paroi antérieure de l'abdomen, ont subi une atrophie extrême. L'espace intercos-tal est absolument tra
nfiltré de granulations pigmentaires. (Pl. VIL fig. 4, b.) En un mot, atrophie du protoplasma, perte des prolongements, augmen-t
noire qui est la coupe d'un tube à myéline. Il semble cependant que l' atrophie n'envahit pas le nerf d'une façon absolument irré
se faire une idée du processus qui, vrai-semblablement, a présidé à l' atrophie de nerf. On rencontre en effet, bien qu'ils soien
édés actuellement en usage. Dans tous, la lésion prédominante est une atrophie simple des faisceaux pri-mitifs, avec augmentatio
ement les principaux caractères cliniques que nous avons assignés à l' atrophie musculaire spinale protopathique : longue durée,
i les nerfs périphériques, ceux qui ont été examinés avaient subi une atrophie considérable. Les phé-nomènes qui président à cet
subi une atrophie considérable. Les phé-nomènes qui président à cette atrophie paraissent, dans ce cas, identiques à ceux qui se
la collaboration de M. Gombault pour la seconde \ Orservation I. Atrophie musculaire progressive, marquée surtout aux membr
hie musculaire progressive, marquée surtout aux membres su-périeurs — Atrophie des muscles de la langue et de ïorbicidaire des l
daire des lèvres. — Paralysie avec rigidité des membres inférieurs. — Atrophie ou disparition des cellules nerveuses des cornes
des cornes anté-rieures aux régions cervicale et dorsale. — Au bulbe, atrophie et destruction des cellules nerveuses du noyau de
juin 1865, présentant déjà à un degré très marqué les symptômes d'une atrophie musculaire progres-sive, dont le début remontait,
e de savoir de la malade à quelle époque ont commencé à se produire l' atrophie et la déformation caractéristiques des membres su
ronc ; mais, de plus, à l'épaule, aux avant-bras et aux mains, il y a atrophie prédominante de certains muscles ou grou-pes de m
rès émacié et la saillie de l'épaule fait défaut. Aux avant-bras, l' atrophie porte à la fois sur les muscles flé-chisseurs et
emarquablement effacées ; le creux palmaire est excavé par suite de l' atrophie des interosseux ; de plus, les doigts sont fléchi
fait également des progrès, mais sans jamais être excessive. Enfin, l' atrophie des muscles, s'accentuant de plus en plus, rendai
des mains, plus caractéristiques encore. L'impuissance motrice et l' atrophie n'ont également marché que fort lentement du cô
n. Elle s'est montrée très forte même aux membres supérieurs, là où l' atrophie était le plus prononcée. Avant de faire l'autopsi
ombaire, à sa partie inférieure, semble avoir subi un certain degré d' atrophie . La coloration est jaunâtre. Les muscles de l'abd
mai-greur générale du sujet. En somme, il ne semble pas y avoir là d' atrophie proprement dite. Les muscles sont d'ailleurs roug
la demi-transparence que l'on observe dans les nerfs qui ont subi une atrophie complète. Ces altérations de vo-lume et de colora
ante à signaler, c'est qu'un grand nombre des fibres qui ont subi une atrophie aussi considérable présentent encore une striatio
s n'avons pas, comme l'a observé dernièrement M. Ha-yem dans un cas d' atrophie progressive, récemment publié, trouvé de multipli
leurs dans des altérations du muscle, qui n'ont rien de commun avec l' atrophie progressive ; on les observe entre autres communé
utres ; o° la division en fragments de la substance musculaire ; 0° l' atrophie de certaines fibres musculaires, simple et indépe
entièrement la dégénérescence vitreuse. D'autres présentaient enfin t' atrophie à tous ses degrés. Quelques-unes offraient la div
a moitié des tubes au moins, on pouvait observer tous les degrés de l' atrophie , depuis l'émaeiation simple jusqu'à la complète d
ne altération. Dans l'examen de la substance grise, le haut degré d' atrophie qu'ont subi, dans les cornes antérieures, la plup
latéraux de la moelle et des pyra-mides antérieures dans le bulbe. — Atrophie des cellules des cor-nes antérieures de la moelle
ulbe. — Atrophie des cellules des cor-nes antérieures de la moelle. — Atrophie musculaire progressive. — Paralysie glosso-laryng
musculaires sont atrophiées et agitées de mou-vements fibrillaires. L' atrophie , plus prononcée à gauche qu'à droite l'est peut-ê
ssu de la moelle est partout d'une consistance ferme ; il n'y a pas d' atrophie évidente portant sur les divers cordons blancs de
ces thénar et hypothénar, en particulier, les fibres avaient subi une atrophie simple très marquée ; sur d'autres points, elles
ci, essentiellement caractérisée par la dégénération pigmentaire et l' atrophie consécutive des cel-lules nerveuses qui entrent d
r celles de l'hypoglosse et con-traste d'une manière frappante avec l' atrophie très prononcée de leur noyau d'origine. La régi
a main gauctie qu'à l'aide de la main droite, et il n'y a pas trace d' atrophie prédominante des muscles des émi-nences thénar et
ormément amaigri dans toutes ses parties ; nulle part il n'y existe d' atrophie partielle. Ce-pendant des mouvements fîbrillaires
apparences de l'état normal. On n'y .peut reconnaître aucune trace d' atrophie ou d'induration. Les artères de la base sont à pe
aît y jouer un grand rôle ; il semble qu'elle soit le fait initial. L' atrophie des prolongements cellulaires, celle du noyau, et
. S'agit-il là d'un processus d'irritation lente, au contraire, d'une atrophie toute passive ? On ne peut rien décider à cet éga
ints du corps. Evi-demment, il ne s'agit pas ici d'un cas ordinaire d' atrophie musculaire-progressive ; les lésions des faisceau
t l'on trouve là, tantôt la dégénération granulo-graisseuse, tantôt l' atrophie simple des faisceaux avec prolifération des noyau
he était le seul point du corps où l'examen clinique pûtconstater une atrophie partielle quelque peu prononcée des masses muscul
nseignement fourni par l'amaigrissement partiel de l'épaule gauche, l' atrophie musculaire progressive généralisée qui, dans notr
nce d'une paralysie musculaire en partie au moins indépendante de l' atrophie *. 11 y a là une difficulté sérieuse, que nous av
une difficulté sérieuse, que nous avons rencontrée déjà à propos de l' atrophie musculaire progressive et de la paralysie infanti
'ailleurs explicitement mentionnée dans notre observation. 2 Dans l' atrophie musculaire progressive, la paralysie musculaire s
Dans l'atrophie musculaire progressive, la paralysie musculaire sans atrophie et l'atrophie sans paralysie se trouvent souvent
ie musculaire progressive, la paralysie musculaire sans atrophie et l' atrophie sans paralysie se trouvent souvent entremêlées su
nolcTs System of medicine. t. II, p. 171 ; 1867 ; — Duménil de Rouen ( Atrophie musculaire graisseuse progressive, pp. 93 et 108,
ttement affirmée. Or, l'on sait, par d'assez nombreux exemples, que l' atrophie mus-culaire progressive le mieux caractérisée, pe
eure partie des faisceaux musculaires, ceux-là mêmes qui ont subi une atrophie très prononcée, conservent jusqu'aux dernières li
me, que Gharcot. Œuvres complètes, t. 11. 31 les caractères, de l' atrophie simple, sans multiplication des no-yaux et avec p
le diamèire normal sont beaucoup plus rares. La plupart ont subi une atrophie manifeste, beaucoup sont re-marquables par leur e
e, sont peut-être ici plus fréquents qu'ailleurs, mais c'est encore l' atrophie simple qui domine toujours. Pour ce qui est des m
épaississement des parois vasculaires, l'hyper-plasie connective et l' atrophie simple d'un certain nombre de faisceaux musculair
m'ont été confiées, c'est que l'hy-perplasie du tissu conjonctif et l' atrophie des faisceaux mus-culaires marchent pour ainsi di
en quelque façon propor-tionnelle à l'étendue des vides laissés par l' atrophie ou la dis-parition des fibres musculaires. 11 est
rcissement imparfait, des lésions très délicates, — telles que sont l' atrophie des cellules nerveuses motrices et la sclérose de
ccupaient les mem-bres ; de plus, les muscles paralysés offraient une atrophie profonde et devenaient, sur certains points, le s
se, Les faisceaux musculaires offrirent les uns, les altérations de l' atrophie simple, les au-tres, en moins grand nombre, celle
un bon nombre de grandes cellules nerveuses motrices présentaient une atrophie plus ou moins accusée et même beaucoup d'entre el
pécifier. Ainsi l'hypertrophie du tissu con-jonctif interstitiel avec atrophie simple des fibres musculaires 1 Deux cas d'atro
terstitiel avec atrophie simple des fibres musculaires 1 Deux cas d' atrophie musculaire progressive avec lésion de la substanc
complication éventuelle, encore dans la paralysie infantile 3, dans l' atrophie musculaire progressive *, dans la paralysie spina
r la critique à l'une quelconque des formes de l'amyotrophie liée à l' atrophie des cellules nerveuses motrices. Rien à mon sens
des, la lésion est de même nature ; toutes les trois sont atteintes d' atrophie cérébrale uni-latérale, con-sécutive à une lésion
jarcot U'.uvkks Complètes, Ôïïlk , ? \padAyluy~l___ PLANCHE VII ATROPHIE MUSCULAIRE PROTOPATH1QUE Fig. 1. — Coupe transv
. VII. A. Karman ski Ivth Ñ' Kg. 7. Fi î. 4. PLANCHE VIII ATROPHIE MUSCULAIRE PROTOPATHIQUE Fig. 1. — Coupe transv
ume inégal. Les espaces conjonctifs, b, sont élargis par le fait de l' atrophie des fibres musculaires. Document numérisé par l
âniens et bulbaires. — Induration grise progressive du nerf optique. — Atrophie progressive de la papille. -- Nécessité de l'exam
sur le trajet des nerfs douloureux : anesthésie cutanée circonscrite; atrophie et contrac-ture musculaires partielles. — Déforma
de désingréta-tion ; sclérose partielle des cordons antéro-latéraux ; atrophie des racines antérieures. — Raisons qui lendent à
artielles. — Conditions dans lesquel-les ces affections déterminent l' atrophie rapide des muscles.......... 188 ONZIÈME LEÇON
....... 188 ONZIÈME LEÇON des amyotrophies spinales chroniques. — atrophie musculaire progressive spinale protopathique. (ty
ran). Sommaire. — Variétés cliniques des cas désignés sous le nom d' atrophie muscu-laire progressive (atrophies musculaires pr
porte sur les cornes antérieures de la substance grise. Étude de l' atrophie musculaire progressive spinale protopathique comm
nales ; sclérose en plaques ; — sclérose laté-rale symétrique. De l' atrophie musculaire progressive spinale protopathique en p
le protopathique en particu-lier. (Type Duchenne-Aran). — Symptômes : atrophie individuelle des muscles, troubles fonctionnels,
ces qui séparent cliniquement la sclérose latérale amyotrophique de l' atrophie musculaire spinale protopathique. Symptômes com
s ; — parésie ; — éruptions cuta-nées . — Seconde période (paralysie, atrophie , griffe, contracture, plaques d'anesthésie, paral
trophie consécutive à l'ataxie locomotrice. — Forme particulière de l' atrophie musculaire en pareil cas. — Pathogénie. Amyotro
ues. — Foyer d'hémorrhagie et de ramollissement intra-encéphaliques ; atrophie partielle du cerveau. Rareté de l'hémichorée po
certains cas de myélite.................. 41 IV. Note sur un cas d' atrophie musculaire progressive protopathique (type Duchen
ées, 395, Résumé des symptômes, 304. (Voir Anesthésie, Arthropathies, Atrophie musculaire , Crises 6astriques, Douleurs fulguran
fulguran-tes, Tabes dorsal spasmodique, Vertige). Athétose, 490. Atrophie musculaire progressive pro-topathique, 9, 74, 217
229 ; — des muscles, 231, 431 ; — Pathogénie, 425. — Cas d' —, 435. Atrophie . — deutéropathique, 108. — Dans Yataxie, 18, —
motrices (Tu-méfaction des) dans les myélites, 414 ; — 164, 245. (V. Atrophie musculaire, Bulbe, Cornes, Moelle.) Centre géni
328. Céphalalgie dans l'épilepsie syphi-litique, 376. Cerveau (V. Atrophie partielle. Chorée vulgaire, 363. — Symp-tomatiq
a) dans les amyotrophies saturnines et rhu-matismales, 29 '. — Dans Y atrophie musculaire protopathique, 220. Dans la myélite ai
es — , 179, 204, note. — Après amputations anciennes, 205. — Dans l' atrophie musculaire proto-pathique, 226. (V. Arthropathies
l'atrophie musculaire proto-pathique, 226. (V. Arthropathies, Ataxie, Atrophie musculaire.) — Postérieures (Lésions des), 16.
eux (Tuméfaction des), 414. Cystite, 326. d Déformations dans l' atrophie mus-culaire, 222. — Dans la sclérose latérale amy
Etat de la — dans la paralysie pseudo-hypertrophique 484. (V. Ataxie, Atrophie , Bulbe-, Cellules, Cornes, Paralysies glosso-la
-laryngée, 466, 467. — Pseudo-hypertrophique, 477. (V. Amyotrophies, Atrophie , Lipoma-tose, etc.) Myélite centrale, 165, 167,
(Lé-sions des), 42. (V. Amyotrophies, Paralysies, etc.) — Cérébraux ( Atrophie des), 5, 43. — Optique (Atrophie du), 44 ; — Indu
hies, Paralysies, etc.) — Cérébraux (Atrophie des), 5, 43. — Optique ( Atrophie du), 44 ; — Induration grise du,—43,47,49— Atroph
5, 43. — Optique (Atrophie du), 44 ; — Induration grise du,—43,47,49— Atrophie de la papille optique, 44, 49. — Dia-gnostic, 49,
246, 445, 446. — Symptô-mes, 248. — Évolution, 255. — Cau-ses, 253. — Atrophie en masse, 256. — Rigidité, 257.260. — Phénomè-nes
2 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
rveux; enfin Variot a remarqué dans la moelle de deux hémimèles une atrophie très nette de la substance grise cervicale, du
ables nous ont engagé à vérifier s'il existait chez notre sujet une atrophie analogue de ses centres médullaires. En vé- rit
s membres normaux, que d'apprécier d'une façon absolue le degré d' atrophie d'un axe gris qui est atteint dans sa totalité.
ormal. Ce résultat acquis, il sera dès lors possible de voir dans l' atrophie de l'axe gris des amèles, des hémimèles et des
certain cas d'ectromélie, une altération des filets nerveux et une atrophie des renflements de la moelle épinière est un fa
t que la section des nerfs d'un membre est généralement suivie de l' atrophie de la région de la moelle qui leur donne origin
rdu leurs prolongements protoplasmiques. En somme, compres- sion et atrophie de la couche grise corticale, mais sans réaction
des troubles trophiques vaso-moteurs particuliers qui, associés à l' atrophie musculaire qu'on rencontre souvent dans cette a
téressante^ c'est que du côté du membre supérieur droit il n'y a ni atrophie ni paralysie, tandis que le memhre supérieur gauc
ni paralysie, tandis que le memhre supérieur gauche pré- sente de l' atrophie musculaire. Les extrémités des membres supérieurs
infé- rieures ni la face ne présentent la moindre trace d'oedème. L' atrophie musculaire de la main gauche affectait particul
concave. Le premier espace interosseux est aplati et par suite de l' atrophie des parties molles qui remplissent cet espace, il
sont limitées, mais l'extension est mieux conservée que la flexion. Atrophie manifeste des muscles de l'avant-bras. Les musc
vant-bras. Les muscles de la face postérieure sont mieux conservés. Atrophie assez marquée du biceps et du triceps : mais ce
s : mais ce dernier fonctionne encore très bien il gau- che. Légère atrophie du deltoïde. L'état du grand pectoral est un pe
cique, surtout au niveau du mamelon, ce qui donne l'apparence d'une atrophie marquée de ces muscles. Cependant par l'examen
à ce muscle et l'excitation électrique on se rend compte que cette atrophie musculaire n'est pas très considérable. A la pa
s fréquentes. Méthode de Du- chenne), en vue de la topographie de l' atrophie musculaire, a donné le résultat suivant : Mem
ras et les mains ayant perdu leur souplesse. Mais la faiblesse et l' atrophie des memhres supérieurs seraient survenues progr
rophie des memhres supérieurs seraient survenues progressivement. L' atrophie , et le malade est très affirmntif ce point de v
u membre su- périeur. Presque en même temps, avec la faiblesse et l' atrophie , la main gau- che a commencé a se tuméfier, san
index, ce qui permet d'imprimer au doigt des mouvements anor- maux. Atrophie considérable des émiuences thénar et hypothénar.
n ne résulte pas seu- lement de l'attitude imprimée à la main par l' atrophie musculaire et l'action tonique de certains musc
s présentent une plus grande analogie. Il existe des deux côtés une atrophie considérable des éminences thénar et hypothénar
Les éminences thénar sont non seulement aplaties mais excavées. L' atrophie musculaire est distribuée d'une manière inégale a
istique. Les membres sont pendants le long du trouc et présentent une atrophie considérable. Ainsi l'épaule on peut voir à cau
une atrophie considérable. Ainsi l'épaule on peut voir à cause de l' atrophie très marquée de toutes les portions du deltoide
r de l'articulation scapulo-humérale. L'épaule droite est abaissée. Atrophie en masse du grand pectoral (portion claviculair
ose une grande résistance à la flexion du bras. A l'avant-bras, l' atrophie occupe les muscles des faces antérieure et posté-
adiaux qui fonctionnent bien qu'ils pré- sentent un certain degré d' atrophie . C'est par la persistance de l'action volon- ta
atrophié. Mais le segment terminal du membre supérieur présente une atrophie très marquée, surtout à la face palmaire de la ma
e parce qu'elle existe, et encore plus marquée, à la main droite. L' atrophie à la face palmaire de la main gauche intéresse l'
ouce. L'opposant est aussi atrophié, mais à un degré moindre. Cette atrophie qui efface complètement le relief de l'éminence t
ée, vers la partie médiane de l'éminence thénar. Par suite de cette atrophie , les mouvements de flexion du pouce, d'abduction
ence hypothénar sont aussi atrophiés, surtout l'ab- ducteur ; cette atrophie des deux saillies musculaires donne à la main l'a
musculaires donne à la main l'aspect simien. Il existe en outre une atrophie des interosseux de la main gauche, cons- tatabl
ains offre une conforma- tion toute particulière qui, associée il l' atrophie musculaire de la face palmaire, contribue il do
la syringomyélie. Tout d'abord, la con- formation est modifiée ; l' atrophie des muscles du petit doigt et de l'adducteur du
e convexe est excavée el se rapproche de l'axe médian parsuile de l' atrophie des muscles de l'éminence hypothénar et surtout
su- périeure de la face dorsale de la main est aplatie à cause de l' atrophie très marquée des interosseux, mais il existe to
se pas voir les espaces interosseux comme cela sevoil dans un cas d' atrophie vulgaire. Mais celle main potelée esl faible, c
ence thénar sont atro- phiés. La main révèle l'aspect simien. Cette atrophie musculaire peut aller jusqu'à l'aplatissement d
e la face dorsale de la main il laquelle s'associe d'autre part une atrophie musculaire du type Aran-Duchenne. C'est une mai
d mettra le clinicien en présence d'un cas d'oedème hystérique avec atrophie musculaire. Même alors si la main suc- culente
avait déterminé une contusion du plexus brachial avec paralysie et atrophie du membre supérieur et oedème très prononcé de
E 105 main, j'ai vu également la main violacée très oedématiée avec atrophie ,mais par l'attitude seule de la main et par les
nique. La cause immédiate ne réside ni dans la paralysie, ni dans l' atrophie des muscles dont la contraction favorise la cir
oteurs sont localisés principale- ment à la main et chez Corr..., l' atrophie musculaire est cantonnée au domaine de la main.
de la ligne médiane. Une année après l'accidenl, on constatait de l' atrophie et de la parésie du membre inférieur gauche, ains
observation que parce que la paralysie motrice s'est doublée d'une atrophie qui intéressait les mus- cles des membres, de l
. Quinze jours après l'attentat, on a constaté une paralysie et une atrophie du membre inférieur gauche, laquelle étaient supe
s manifestations pathologiques (céphaloemato- me), ou d'involution ( atrophie sénile symétrique des pariétaux). L'histoire de
térieur, non sans analogie avec la fossette ou (1) Cii. Fi : ni : . Atrophie sénile symétrique des pariétaux (Bull. Soc. Anat.
les coupes microscopiques de l'os sec. MAIN « SUCCULENTE » - ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES PAR G. MAR
ar Thorburn et Allen Starr. Je commence par don- MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 203 ner celu
les du mem- bre supérieur : 204 G. MARINESCO MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 205 l'orient
S LES SYRINGOMYÉLIES 205 l'orientation de ce processus que dépend l' atrophie musculaire de la syringomyélie. Il n'y a plus
on et suivant qu'elle aura une' marche ascendante ou descendante, l' atrophie musculaire dans le mem- bre supérieur sera plus
tement défaut. Si dans la plupart des cas de maladie de Mor- van, l' atrophie musculaire est très atténuée ou manque complèteme
ndent compte jusqu'à un certain point de vue de la répartition de l' atrophie musculaire dans la sy- ringomyélie. En effet, s
sa main droite, en est la preuve la plus démonstrative. En effet, l' atrophie musculaire est localisée ici presque exclusivemen
cisément ce qui s'observe chez Corr... La main gauche présente de l' atrophie dans le domaine du cubital et du médian, tandis
de l'atrophie dans le domaine du cubital et du médian, tandis que l' atrophie de la main droite est circonscrite plus particu
e est circonscrite plus particulièrement au domaine du cubital. A l' atrophie de la main succède celle de l'avant-bras, mais
à l'avant-hras gauche de Corr... On pour- rait donc affirmer que l' atrophie musculaire dans la syringomyélie est, seg- ment
s de la sensibilité dans lasyringomyélieestapplicable également à l' atrophie musculaire dans cette maladie. On sait combien es
eçons de clinique médicale. Paris, 1897, p. 404. MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 201 fonction
ut pas, cependant, penser qu'il s'agit, dans la syringomyélie d'une atrophie segmentaire complète, car, ainsi, que je l'ai dit
a admis au point de vue des déformations du membre supérieur, par l' atrophie musculaire, trois types principaux. Voici du rest
e à ce sujet. Dans l'un, dit Blocq (1), le début se faisait par une atrophie portant sur les muscles innervés par le nerf cu
tion de l'autre, le second, cubito-spasmo- dique, caractérisé par l' atrophie des muscles de l'éminence hypothénar, griffe d'
éflexes rotuliens; le troisième, radio-tabétique, caractérisé par l' atrophie des muscles de la zone radiale, griffe de flexi
ée de pachyméningite. J'arrive maintenant à l'étude clinique de l' atrophie musculaire telle qu'elle résulte d'observa lion
orne antérieure, il est facile de comprendre qu'il en résultera une atrophie musculaire localisée principalement aux petits
len- tivement les malades, je suis arrivé à la conclusion que cette atrophie peut débuter tantôt par l'éminence hypothénar,
c- teur du petit doigt qui semble être atteint en première ligne, d' atrophie musculaire. En tout cas, et cela est très net c
ie musculaire. En tout cas, et cela est très net chez Corr..., si l' atrophie dé- bute par l'éminence hypothénar,elle diminue
e déjà à 90°. La même particularité s'observe à la main droite où l' atrophie musculaire est encore moins accentuée. Ceci pro
rs n'ont pas accordé assez d'importance à la marche ultérieure de l' atrophie musculaire : tout au moins on ne trouve pas de
pouvoir affirmer que dans un bon nombre de cas de syringo- myélie l' atrophie musculaire se propage des petits muscles de la fa
s qui sont enva- his ensuite. Il est important de remarquer que l' atrophie peut se cantonner pour quelque temps aux muscle
rieure et quand ces derniers sont pris, ils sont MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 209 relative
tion de ces faits, c'est qu'il existe chez les syringomyéliques une atrophie du type Aran-Duchenne à marche ascendante qui e
même façon, car il existe des cas et j'en ai observé moi-même, où l' atrophie musculaire affecte d'une façon très notable les
eurs le sont moins. En opposition avec cette marche ascendante de l' atrophie musculaire il existe des cas où celle-ci suit u
nt un certain temps leurs fonctions. Enfin dans des as plus rares l' atrophie a une marche diffuse et frappe indistinctement,
rieurs. Dans ces trois formes ascendante, descendante et diffuse, l' atrophie musculaire tout en étant bilatérale est .presqu
ements du pouls. En 1882, elle est entrée à la Salpêtrière avec une atrophie manifeste des membres supérieurs et une ankylose
représentaient un type de main de prédicateur. MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 2H 1888, ell
érer comme un prototype de pré- dominance d'action du radial. Pas d' atrophie aux membres inférieurs. Dissociation syringomyé
onstante; mais comme elle ne s'observe pas dans les autres formes d' atrophie musculaire, elle n'en fournit pas moins un élé-
rs caractères. Et tout d'abord, est-ce que cette forme spé- ciale d' atrophie musculaire que réalise la main en question dépend
dans les cas déjà connus. Aussi se croit-on obligé d'admettre que l' atrophie musculaire qui a produit le geste de prédicateur
) Ziegler's Beitraege La. path. An., 1893, XIII. MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 213 déformat
artient en propre à la syringomyélie qui réalise les con- ditions d' atrophie musculaire capable de produire la main de prédica
oins, nous ne connaissons pas d'affection qui puisse déterminer une atrophie complète dans le domaine des nerfs mé- dian et
e celle-ci. En somme, il résulte des observations précédentes que l' atrophie mus- culaire présente, au moins dans quelques c
het spécial qui permet jusqu'à un certain point de distinguer cette atrophie de celle due à d'autres altérations du système
d'autres altérations du système nerveux. En effet, il s'agit d'une atrophie musculaire segmentaire, tout au moins quand elle
des autres segments du membre supérieur, car, dans ce cas, le mot d' atrophie segmentaire serait incorrect : je veux simpleme
rophie segmentaire serait incorrect : je veux simplement dire que l' atrophie est prédominante dans le segment de la main, ta
-bras est beaucoup moins touché : ce quiestarrivépour Corr... Celte atrophie ,limitée aux muscles delà main, on la rencontre
core une autre raison qui me fait admettre qu'on pourrait appeler l' atrophie musculaire dans ces cas de syringomyélie, atrop
urrait appeler l'atrophie musculaire dans ces cas de syringomyélie, atrophie segmentaire,c'est que la gliose mé- dullaire dé
petits muscles de la main est plus pré- cise. MAIN SUCCULENTE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES SYRINGOMYÉLIES 215 ne prése
s, des troubles trophiques cutanés et vaso-moteurs qui associés à l' atrophie .ran-Ducllenne qu'on rencontre chez les malades
métamère. VI. L'affection des neurones moteurs donne naissance à l' atrophie musculaire. Or comme dans la syringomyélie, la
le et se dirige vers les régions supérieures, il s'ensuit que cette atrophie musculaire présente une topo- graphie commandée
oblèmes de localisation médullaire. VII. Le type le plus fréquent d' atrophie musculaire qu'on rencon- tre dans la syringomyé
hez les sujets restés enfants ou devenus infantiles à la suite de l' atrophie des ovaires ou testicules. Cette neutralité est s
s auteurs comme une conséquence possible de la cas- tration ou de l' atrophie spontanée des testicules. Rien n'est plus inexact
e ne prédispose en somme ni au gigantisme ni à l'infantilisme, et l' atrophie tes- tiçulaire acquise observée chez un certain
dystrophies congénitales (nanisme, gigantisme, rachitisme, obésité, atrophie musculaire). La plus fréquente de ces asso- cia
les faits de myxoedème infantile, suivant l'âge auquel survient l' atrophie thyroïdienne. Cette classification est à la foi
conformes aux miennes, présentait un sujet infan- tile atteint d' atrophie thyroïdienne et originaire de pays à endémie go
u'elle relève d'une seule cause, assez rare elle-même, à savoir : l' atrophie spontanée du corps thyroïde. En résumé, l'infan
perceptible dans les mouvements de dégluti- tion. Ce n'est pas de l' atrophie de cette glande que procède ici l'infanti- lism
thie tuberculeuse cervicale a dû contribuer pour une bonne part à l' atrophie du corps thyroïde. Voilà bien la combinaison an
yxoedème est parfaitement reconnaissable et l'infantilisme vrai par atrophie thyroïdienne se fusionne avec l'infantilisme faux
anglionnaire ou autre, ne peut être une alrophiede ce centre, car l' atrophie de ce centre trophique entraînerait une atrophie
e ce centre, car l'atrophie de ce centre trophique entraînerait une atrophie des territoires cutanés, et non une lésion hype
es arthropa- thies du tabes, avec leurs ostéophytes, dépendent de l' atrophie du groupe des grosses cellules antérieures de l
s sur 23 cas (1). M. P. Marie dit que dans quelques cas, il y a une atrophie plus ou moins prononcée de la face (2). D'après
ces qui échappent à l'examen le plus méticuleux : dans l'étude de l' atrophie des membres dans l'hémiplégie infantile ils m'o
ite et des os de la face avec asy- métrie de la voûte palatine. L' atrophie du maxillaire inférieur peut encore entraîner une
leur caducité se rencontrent aussi chez quelques hémiplégi- ques à atrophie facile : on trouve les deux particularités réunie
Iche. MASSON & Cie, Editeurs PATHOGÉNIE ET PROPHYLAXIE DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES
GILLES de la TOURETTE, Professeur agrégé, médecin des hôpitaux. L' atrophie musculaire des hémiplégiques a, depuis longtemps,
ns exposer. Notre opinion est faite, depuis plusieurs années, sur l' atrophie muscu- laire des hémiplégiques, et aussi sur le
r- tain temps, le caractère spasmodique, s'accompagne constamment d' atrophie musculaire. Par atrophie, nous entendons une di
re spasmodique, s'accompagne constamment d'atrophie musculaire. Par atrophie , nous entendons une diminution très marquée du
uché. Il faut savoir, en effet, qu'en absence et en dehors de cette atrophie , qui saute aux yeux lorsqu'elle existe, les mus
mmédiatement, lorsqu'on compare la localisation en territoires de l' atrophie avec la généralisation constante de l'amaigrisse-
divisés en trois groupes. Dans le premier, comprenant 10 sujets, l' atrophie se limitait à certaines régions du membre supér
férieur restait in- demne. Dans le second, comprenant 7 sujets, l' atrophie existait à la fois au membre supérieur et au me
r et au membre inférieur. Dans le troisième, comprenant 3 sujets, l' atrophie musculaire n'existait pas. Examinons les 10 m
e spasmodique et aphasie depuis 1893. Demi-ankylose et craque- DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 289
t-bras et de la main, pas d'ankylose du opude ou du poignet ; pas d' atrophie . Membre inférieur droit; marche..Ni ankylose ni
et ; pas d'atrophie. Membre inférieur droit; marche..Ni ankylose ni atrophie . OBS.11. Monoplégie brachiale droite : ankylose
légie brachiale droite : ankylose, arthrite végétante de l'épaule ; atrophie musculaire. Pic..., soixante-dix ans, homme, hô
g- mentation de volume des surfaces articulaires masque en partie l' atrophie deltoïdienne. Circonférence : bras droit, au ni
auche, 27 centimètres. Flaccidité des muscles de l'avant-bras, sans atrophie marquée ; pas d'arthrite du coude ni radio-carp
oïdienne, s'étendant un peu sur la face externe du bras, masquant l' atrophie sous-jacente. Circonférence : bras droit, 27 ce
Doigts fléchis dans la main, mais réductibles sans arthrite ; pas d' atrophie . Membre inférieur droit spasmodique, sans arthr
as d'atrophie. Membre inférieur droit spasmodique, sans arthrite ni atrophie ; marche. Cas. IV. Hé1n1]Jlégie gauche, ankylos
ophie ; marche. Cas. IV. Hé1n1]Jlégie gauche, ankylose de l'épaule, atrophie des muscles -de la ceinture scapulaire. Mong.
u de contracture. Demi-ankylose de l'articulation scapulo-humérale, atrophie des muscles de la ceinture scapulaire, deltoïde s
Les autres articulations du membre supérieur sont li- bres ; pas d' atrophie . Marche conservée. Rien au membre inférieur gau
290 GILLES DE LA TOURETTE OBs. V. Hémiplégie droite et ankylose, atrophie des muscles de l'épaule. Anna R,,\, femme,- cin
e marquée. Ankylose douloureuse de l'articulation scapulo-humérale. Atrophie des muscles de l'é- paule ; adipose très marqué
égie droite ; demi-ankylose de l'articulation scapulo-/l1lmé- rale, atrophie du deltoïde. Disparition des douleurs sous l'infl
D, n° 25. Hé- miplégie droite spasmodique datant de 1893, aphasie. Atrophie musculaire marquée au niveau du deltoïde, adipo
Les autres articulations du membre su- périeur sont libres ; p'as d' atrophie , si ce n'est un amaigrissement sans adipose des
pulo-humérale, amyotrophie des muscles de la ceinture scapulaire. L' atrophie du biceps est masquée par de l'adipose localisée.
22 ; droit, 23. Membre inférieur gauche, trépidation spinale; pas d' atrophie ni d'arthrite; marche. ,' ' ! \ Cas. VII. - H
se de l'épaule de l'articulation métacar- po phalangienne du pouce. Atrophie des muscles de la ceinture scapulaire et du thé
ux mois. Ankylose douloureuse de l'ar- ticulation scapulo-humérale. Atrophie des muscles de la ceinture scapulaire. et surto
membre inférieur ; marche. HÉMIPLÉGIE GAUCHE. ARTHRITE DE L'EPAULE, ATROPHIE MUSCULAIRE MASSON & lt, 1-utcUe. DE L'ATR
E DE L'EPAULE, ATROPHIE MUSCULAIRE MASSON & lt, 1-utcUe. DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 291
émiplégie gauche. Arthrite avec ankylose de l'épaule et du poignet. Atrophie musculaire (PI. XXX). Cho..., homme, soixante-d
rs spontanées. Arthrite de l'articulation radio-carpienne gauche. Atrophie des muscles de l'avant-bras. Circonférence de l
dessous de l'olécrane, 19 cent. 1/2; à droite, 23 centimètres; légère atrophie des interosseux. Pas de secousses fibrillaires.
érieur gauche. Réflexe rotulien exagéré. Flaccidité musculaire sans atrophie ni arthrite concomitante. Le malade marche. OBS
e droite. Ankylose de toutes les articulations du membre supérieur. Atrophie musculaire ; adipose. Luc..., homme, soixante e
du coude, du poignet avec subluxation des articulations des doigts. Atrophie musculaire très marquée dans les trois segments
eps. Exagération des creux sus et sous-épineux, sus-claviculaire. L' atrophie est en partie masquée par une adipose sous-cutané
e de l'avant-bras, le long du tiers supérieur du radius, masquant l' atrophie à ce niveau. Méplats très accentués au niveau d
éplats très accentués au niveau du tiers supérieur de l'avant-bras. Atrophie en masse de tous les muscles de la main. Le mal
ens très forts sans trépidation. Un peu de flaccidité musculaire sans atrophie vraie. Chez sept des sujets du premier groupe
re sans atrophie vraie. Chez sept des sujets du premier groupe, l' atrophie portant sur le mem- bre supérieur est limitée a
ésister le plus longtemps. Ajoutons que pour la constatation de l' atrophie , il ne faut pas se borner au seul examen visuel
que rarement à dépasser les limites du territoire atro- phié, car l' atrophie musculaire des hémiplégiques est, nous y insiston
l'atrophie musculaire des hémiplégiques est, nous y insistons, une atrophie en territoire. Si les muscles de la ceinture sc
et qui, à notre avis, éclaire d'un jour nouveau la pathogénie de l' atrophie musculaire des hémiplégi- ques, chez nos sept m
l'atrophie musculaire des hémiplégi- ques, chez nos sept malades, l' atrophie des muscles de la ceinture scapu- laire se supe
e de l'ar- ticulation scapulo-humérale. On peut en inférer que leur atrophie est d'origine articulaire, et ce qui corrobore
tion méta- carpo-phalangienne du pouce, et celle-ci coïncide avec l' atrophie des muscles du premier espace interosseux et du
DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 293 Chez le malade de l'observation IX, atrophie des muscles de la cein- ture scapulaire coïncid
laire coïncidant avec une ankylose de l'épaule ; coude libre, pas d' atrophie des muscles du bras; demi-ankylose du poignet, at
ibre, pas d'atrophie des muscles du bras; demi-ankylose du poignet, atrophie des muscles de l'avant-bras et des quatre derni
articulations du membre supérieur paralysé, épaule, coude et main, atrophie muscu- laire généralisée. Chez les dix malade
scu- laire généralisée. Chez les dix malades du premier groupe, l' atrophie est restée limitée au membre supérieur. Remar
embre inférieur droit était forte- ment amaigri. En raison de cette atrophie , le malade fut soumis à un trai- tement par l'é
un trai- tement par l'électricité. Le 18 août de la même année, l' atrophie musculaire du membre infé- rieur droit s'était
constatait une aggravation dans l'état du malade, en ce sens que l' atrophie musculaire s'était reproduite; à droite, le pourt
ui maintenait le genou. Il conservait tou- jours un certain degré d' atrophie du membre inférieur droit; en outre, de ce côté
malade était de nouveau en état de marcher. II ne présentait pas d' atrophie muspu- laire. Somme toute, l'incapacité de trav
forme paraplégique remontant it l'cïe de deux ans. Poussée aiguë d' atrophie musculaire généralisée en 1892. Bannielle Emi
ésente le ma- lade vu dans cette position. L'attitude est due à une atrophie du squelette du bassin, qui, comme nous le verr
d'un membre de polichinelle. Les membres inférieurs sont le siège d' atrophie et de déformation. La peau qui les recouvre est
cuisse à droite qu'à gauche, à la jambe gauche qu'à la droite. L' atrophie musculaire très marquée se traduit par les mensur
NALE INFANTILE A. Forme paraplégique plus accusée du côté gauche. Atrophie du bassin. Scoliose. B. Forme localisée au memb
u bassin. Scoliose. B. Forme localisée au membre supérieur droit. Atrophie en longueur et surtout en largeur. MASSON &
monaire. Le tl\orax mis à nu montre dans toute sa partie droite une atrophie portant sur les parties molles et sur le squele
ngénère. Il n'existe pas de déformation de la colonne vertébrale. L' atrophie en masse du membre supérieur droit est encore p
n forcée, écarté de la main ne peut venir joindre le petit doigt. L' atrophie de l'éminence thénar est très marquée. Les mouv
t du thorax et l'omoplate sont également atrophiés. C'est sur cette atrophie osseuse, concomitante de l'atrophie musculaire, q
ment atrophiés. C'est sur cette atrophie osseuse, concomitante de l' atrophie musculaire, que nous allons revenir. Remarquons
exe tendineux du poignet est d'ailleurs aboli. En ce qui concerne l' atrophie osseuse, l'application des rayons de Roentgen d
de la paralysie infantile. En ce qui concerne la longueur des os, l' atrophie est, en gé- néral, moins marquée; car, si les m
ue à toute la surface du corps, sclérodermie bornée aux doigts avec atrophie des phalangettes ; atrophie de la moitié droite d
ps, sclérodermie bornée aux doigts avec atrophie des phalangettes ; atrophie de la moitié droite de la face. C. R. soc. de B
TABLEAU DES ACCÈS ET VERTIGES PATHOGÉNIE ET PROPHYLAXIE . DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES
s. OBS. XL Hémiplégie gauche. Ankylose de l'épaule et de la hanche, atrophie musculaire et adipose. Marg. BI..., femme, ci
te ( ? ). Etat mental. Ankylose de l'articulation scapulo-humérale. Atrophie des muscles de la ceinture scapulaire, masquée
centimètres. ' Reste confinée au lit. Ankylose de la hanche droite. Atrophie des muscles de la fesse et de la cuisse. Circon
kylose de l'épaule et de la hanche ; adipose généralisée masquant l' atrophie . Eug. Mars..., femme, soixante et un ans, hôpit
bre supérieur s'étendant jusqu'à l'extrémité des doigts, masquant l' atrophie . Circonférence : bras droit, au niveau de l'ais
ents dans le genou. Adipose généralisée à tout le membre inférieur, atrophie des muscles de la fesse. Circonférence : cuisse
mètres à gauche ; mollet droit, 30 centimètres ; gauche, 29. DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 341
kylose et arthrite de toutes les articulations du membre supérieur; atrophie musculaire . Séjour au lit. Arthrite de la han-
e de la han- che et du genou, oedème du membre inférieur masquant l' atrophie . Ler..., homme, soixante-seize ans, hôpital Hér
leurs; craquements du genou. OEdème généralisé du membre masquant l' atrophie musculaire. Circon- férence, 15 centimètres au-
lit; arthrite et ankylose des mem- bres supérieur et inférieur avec atrophie généralisée. Perr., homme, soixante-sept ans, h
érale droite avec craquements et douleurs spontanées et provoquées. Atrophie des muscles de la ceinture scapulaire très marqué
quée surtout dans le domaine du triceps crural masquant en partie l' atrophie . Muscles de la fesse atrophiés. Craquements du
scapulo-humérale droite avec craquements, sans douleurs spontanées. Atrophie des muscles de la ceinture scapulaire, portant
aule et de la hanche, séjour au lit. Adipose généralisée masquant l' atrophie . L. Bon..., femme, cinquante-huit ans, hôpital
. Hémiplégie droite, aphasie depuis 1895. Ankylose de l'épaule avec atrophie des muscles de la ceinture scapulaire ; les aut
utres articulations sont libres. Doigts fléchis, réductibles, pas d' atrophie des muscles de la main. Adipose très marquée gé
droit, 27 centimètres ; gauche, 26 centimètres. L'adipose masque l' atrophie . Membre inférieur droit. La malade reste couché
xo-fémorale droite ankylosée. Adipose généralisée à tout le membre. Atrophie des muscles de fesse et de la cuisse. Circonféren
ylose incomplète avec craquements sans douleurs de l'épaule droite. Atrophie des muscles de la ceinture scapulaire, méplats su
obilisé en extension sur le bras, doigts fléchis ; polyarthri- tes, atrophie généralysée de tous les muscles de la main. Mem
au-dessus de la rotule, 20 cent. 1/2 ; gauche, 24 centimètres. DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 343
e GROUPE. Mobilisation DU MEMBRE paralysé. Absence d'arthrites ET D' ATROPHIE MUSCULAIRE. 3 MALADES. OBs. XVIII. Hémiplégie g
permettant encore les mouvements du membre. Absence d'ankylose et d' atrophie . Cor..., trente-neuf ans, homme, hôpital Hérold
ans contracture. Amaigrissement généralisé des muscles du hras sans atrophie localisée. 1 centimètre de diffé- rence entre l
t sans douleurs provoquées ou spontanées. , Membre inférieur. Pas d' atrophie ni d'arthrite, légère trépidation spinale. OBS.
ite, légère trépidation spinale. OBS. XIX. - Hémiplégie gauche sans atrophie ni arthrite. Mobilisation du membre supérieur.
ant de 1895, avec hémiplégie faciale ; spasmodique. Flaccidité sans atrophie des muscles du membre supérieur; pas d'arthrite,
u membre inférieur ; ankylose de l'articulation coxo- fémorale avec atrophie musculaire par coxalgie fistuleuse d'ancienne dat
phasie. Mobilisation du membre supérieur, - absence d'ankylose et d' atrophie , sauf au niveau de l'articulation métacarpo- ph
sauf au niveau de l'articulation métacarpo- phalangienne du pouce, atrophie du premier espace interosseux et du thénar. Mar
ents extrêmes en arrière. de l'articulation scapulo-humérale. Pas d' atrophie musculaire appréciable, sauf une légère diminut
cale. Ankylose de l'articulation métacarpo-phalaugienne du pouce. Atrophie des muscles du premier espace interosseux et du
thénar. Membre inférieur. Trépidation spinale ; pas d'arthrite ni d' atrophie . Le ma- lade marche. Restent les trois malade
ilitique : l'amaigris- sement musculaire généralisé est apparu sans atrophie . Mais ce malade peut encore mouvoir son bras da
nts extrê- mes qu'il lui est difficile d'effectuer lui-même ; pas d' atrophie . De même en ce qui regarde le malade de l'obser
mobilisé quotidiennement son membre paralysé ; pas d'arthrite ni d' atrophie . Toutefois, la contracture a prédominé sur le pou
ankylose de l'articulation métacarpo-phalangienne qu'accompagne une atrophie du premier espace interosseux et du thénar. -
faits tirés du bloc d'observations recueillies d'un seul coup, DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 345
roborent singulièrement ce que nous avons dit de la pathogénie de l' atrophie musculaire des hémiplégiques dont les caractères
o-. bilisation, nous pouvons le dire, il ne survient ni arthrite ni atrophie , Si la contracture rend le membre inférieur rig
hanche en particulier s'immobilise, il survient de l'arthrite et l' atrophie ne tarde pas à apparaître. Pour le membre supér
hrite et de l'ankylose de l'épaule par immobilisation et aussi de l' atrophie musculaire'toujours précoce comme l'arthrite qu
rendre quelques services ; aussi dans ces segments l'arthrite et l' atrophie sont-elles beaucoup plus rarement observées que
ge, la fatigue physique, la faiblesse musculaire malgré l'absence d' atrophie , la diminution de la puissance génésique chez l
des' avant-bras. La paume est très large, pas très épaisse. Il y a atrophie des muscles des éminences thénar et hypothénar
es mains, alors que les membres inférieurs n'en présentent point, l' atrophie tacite des testicules et l'abolition complète du
postérieurs : il s'agissait de paralytiques généraux tabétiques. L' atrophie musculaire myélopathique, mise en cause par Charc
ois et Etienne, nous a paru l'uni- que arthropathie nerveuse dans l' atrophie musculaire myélopathique. Ce n'est donc jusqu'à
aire droit, main gauche) ne sont pas d'une nature aussi évidente. L' atrophie de la main gauche rappelle la syringomyélie, qu
s, avec ces arthropathies secondaires par arrêt de développement et atrophie musculaire, les pieds-bots de la maladie de rried
ne, 1894, p. 300, un cas (observé dans le service de M.SPILUIANN) d' atrophie musculaire myélopathique com- pliquée de troubl
eurs avec un léger oedème le long du tibia. gnets). Particularité : atrophie des extenseurs du cou, ce qui prouve que la lésio
itulé myélite aigué n'a trait qu'aune déformation ar- ticulaire par atrophie musculaire et rétraction consécutive. DE L'ARTH
on, ankylose ou état stationnaire, mais jamais par dislocation avec atrophie des têtes osseuses. Au contraire on n'a jamais no
ns laquelle une lésion nerveuse datant de l'enfance avait amené une atrophie complète du membre : on n'y note les arthropath
nfin les arthropathies névritiques s'accompagnent le plus souvent d' atrophie musculaire, puis de rétraction qui amène l'immo
Reuillet etBowlby : ostéite raréfiante, destruction des cartilages, atrophie des têtes osseuses, tels sont les trois faits pri
es osseuses (Moty) etc., à la suite des névrites. C'est surtout d' atrophie osseuse plutôt que d'arthropathie qu'il s'agit
qui est nerveux c'est la contracture, l'exagération des réflexes, l' atrophie musculaire et la névrite, ces deux derniers phé
ènes étant indépendants pour les uns, connexes pour les autres. L' atrophie musculaire s'explique suffisamment dans certains
secondaire à l'arthropathie. Descosses a montré que la marche de l' atrophie musculaire répondait à la distribution d'une né
Iconographie de la Salpêtrière, 1897, p. 217. « UN JOB MODERNE. » ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE CHEZ UN CHEMIN
later ne présente pas un très grand intérêt scientifique bien que l' atrophie musculaire spinale, type Aran-Duchenne, soit de
moins le métier pénible d'ouvrier agricole qu'il continua Fig. 1. Atrophie musculaire et déformation en griffe des mains (Ty
C'est un homme de forte taille, 1 m. 95. On remarque tout d'abord l' atrophie des petits muscles des deux mains; les mains so
oraux. Il ne peut plus écrire mais il enfile encore une aiguille. Atrophie musculaire des jambes (PI.XLVIII). Les cuisses on
lui donne un solide point d'appui sur la cuisse ; UN JOB MODERNE Atrophie musculaire chez un cI1Cl111n.ll1. MASSON &
l'on puisse rétablir l'histoire de ce malade, il s'agit bien d'une atrophie musculaire type Aran-Duchenne. Nous voyons, en ef
t ». x 29 Fig. 2. Chaussures portées par un chemineau atteint d' Atrophie musculaire progressive. LA LÈPRE DANS L'ART P
HENRY MEIGE phoneurotiques siégeant sur la peau, vient se joindre l' atrophie musculaire avec l'impotence fonctionnelle el le
leur tour, plus rarement ceux du bras. Aux membres inférieurs, une atrophie du même genre.frappe les muscles du pied, les e
ceux de la ceinture scapulaire peuvent être atteints, comme dans l' Atrophie Musculaire Progressive ou dans la Syringomyélie
s probabilités pour qu'il s'agisse d'une figuration de Lépreux. L' atrophie musculaire et les déformations qui l'accompagnent
eur position qu'elles sont inertes. Mais l'on distingue nettement l' atrophie musculaire qui réduit l'une d'elles à l'état de
ions authentiques de Lépreux. Les pertes de substance de la face, l' atrophie et la contracture des membres supérieur et infé
ant-bras et le poignet soient entourés de quelques tours débande, l' atrophie musculaire est clairement indiquée, à l'extrémi
couvert des macules ou des tubercules caractéristiques. Ici, pas d' atrophie musculaire, pas dégriffés, pas de mutilations ;
colyte. La rétraction du tendon d'Achille, conséquence obligée de l' atrophie musculaire des muscles du mollet, a mis le pied
s'accompagnaient, comme cela arrive souvent, de pigmenta- tion et d' atrophie ; les pustules se trouvent surtout sur la face, l
plus évidente les marques de l'a- trophie musculaire. On sait que l' atrophie musculaire chez certains lépreux est exactement
nt clinicien de notre époque, Duchenne (de Boulogne), sous le nom d' atrophie musculaire progressive. « Il a défini et classé
van- cée. L'attitude de la main nous révèle l'invasion inégale de l' atrophie qui a porté surtout sur les muscles interosseux
'a décrite avec soin, et a démontré qu'elle est la conséquence de l' atrophie des peti ts mus- cles logés dans les espaces in
. LA LÈPRE DANS L'AltT 453 cules. En second lieu, les signes de l' atrophie musculaire sont indiscuta- bles. Si l'on doit d
prouve la petite voiture qui sert au malheureux pour se déplacer, l' atrophie du membre supérieur gauche est clairement expri
e plus manifestement les stigmates sur le membre supérieur gauche : atrophie , griffe des interosseux et tubercules ou ulcé-
rer : d'une part les tubercules ou les ulcérations, et de l'autre l' atrophie mus- culaire. » Nous rapprocherons de ces deu
offrant un assez bon exemple de ces paralysies avec contracture et atrophie musculaire que la Lèpre sait réaliser. MATTHIAS
d'une figuration défectueuse de quelque malformation pathologique ( atrophie , griffe qui, elle aussi, aurait été inspirée par
s à néant; mais la peau encore semble par- ticiper à ce processus d' atrophie et de sclérose. On pourrait penser à quelque fo
er s'il ne s'agit pas encore ici d'une figuration de Lépreux. - L' atrophie musculaire qui prédomine aux extrémités des membr
ui tend son bras vers l'évêque. Ce bras ne présente pas de traces d' atrophie musculaire ; mais la main semble inerte, flasqu
u non, cette attitude répond bien à ce qu'on observe dans les cas d' atrophie musculaire portant sur les muscles trapèze etgr
un liseré saignant. Tel qu'il est, avec son omoplate « ailée », l' atrophie des muscles de la ceinture scapulaire et du bra
tion de son nez et de ses lèvres, l'affection oculaire et jusqu'à l' atrophie du bras et de l'épaule dont il est atteint, tou
ophiques articulaires d'apparence rhumatoide, par PAUL LONDE, 38. Atrophie musculaire et douleurs des hé- miplégiques (pat
laxie),par Gilles DE la TOURETTE (2 pho- totypies), 287, 3'10. Atrophie musculaire du type Aran-Du- chenne chez un chem
pie), 31. Gilles DE la TOURETTE. Pathogénie et pro- phylaxie de l' atrophie musculaire et des douleurs des hémiplégiques (2
des muscles du tronc (1 planche), 109. TARGOWLA. Un Job moderne. Atrophie musculaire du type Aran-Duchenne chez un chem
do- syphilitique, IV. Hémiplégie gauche; arthrite de l'épaule ; atrophie musculaire, XXX. Hémisectiou traumatique de la
ts mé- dius et index de la main gauche, XLIV, XLV. Job moderne. Atrophie musculaire chez un chemineau, XLVII, XLVIII.
3 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
autres manifestations pénibles ou inquié- tantes, aboutissant à une atrophie musculaire plus ou moins prononcée, à des rétra
fois, au moment de son entrée à l'hôpital, il ne présentait l pas d' atrophie musculaire bien nette, si ce n'est aux mains. D'a
avant. Les jamhes et les cuisses sont encore amaigries; il y a de l' atrophie diffuse, surtout dans le groupe des muscles ant
tout le jeu de la physio- nomie. Elle ne se compliquait pas d'une atrophie musculaire bien nette ; c'est tout au plus si o
ement du territoire qu'elle occupait primitivement. Du même coup, l' atrophie s'empare des muscles dans lesquels la paralysie s
are des muscles dans lesquels la paralysie s'établit à de- meure. L' atrophie musculaire, qu'on voit survenir dans ces conditio
vements physiologiques soient abolis.Elle ne s'accompagne pas d'une atrophie en masse 'de certains groupes de muscles,ou de
l'existence d'une polynévrite. J'en dirai autant de l'absence d'une atrophie musculaire frappant, avec une prépondérance trè
t local des parties dans lesquelles se cantonnent la paralysie et l' atrophie musculaire. Enfin, il n'est pas jusqu'à l'état
te, évolue sans laisser de traces irréparables, sous la forme d'une atrophie limitée à un segment de membre ou d'un groupe d
récupérer l'entier usage de ses muscles, sans conserver ni résidu d' atrophie musculaire, ni rétractions tendineuses ? Là-des
diste ou d'un chirurgien. MALADIE DE THOMSEN A» FORME FRUSTE AVEC ATROPHIE MUSCULAIRE PAR Et E. NOGUÈS J. SIROL Médeci
t un peu moindre pour le groupe des péroniers aux deux jambes.. Une atrophie également très sensible des vastes interne aux de
FLIRtÈRF. T. XII. PI. III MALADIE DE THOMSEN Forme fruste, avec atrophie musculaire. (1 : . Vuu ct J. Sirul) MASSON &a
dans ses jambes. En effet, cette impotence fonctionnelle et celle atrophie constituent la note dominante de l'affection de
n fondamentale de ces affections en deux espèces différentes : 1° l' atrophie d'origine spinale (type Du- chenne-Aran) ; 2° l
e individuelle, l'autre familiale, devaient englober tous les cas d' atrophie musculaire progressive. II n'eu est rien. En mê
e des faits devient plus attentive et plus précise, l'histoire de l' atrophie musculaire progressive paraît se compliquer de
urs caractères clini- ques ou anatomiques, procèdent à la fois de l' atrophie d'origine spinale et de la myopathie primitive,
tre malade ressemble à ce dernier type et peut en être rapproché. L' atrophie atteint en premier ' lieu les petits muscles de
rs, enfin les muscles du mollet. Après un temps d'arrêt variable, l' atrophie gagne les muscles des cuisses où elle frappe pa
ulièrement le vaste interne. Comme on le voit, la localisation de l' atrophie est à peu près la même dans notre cas, sauf pou
de très rares exceptions, de contractions fibrillaires. C'est une atrophie simple et qui ne donne pas lieu à la réaction de
ns celle-ci, d'hypertrophie musculaire, il existe au contraire de l' atrophie très manifeste. L'excitabi- lité électrique est
cas de cette dernière affection. Quelques symptômes tels que : l' atrophie musculaire et la diminution de l'excitabilité é
juger, au diagnostic de maladie de Thomsen à l'orme fruste avec une atrophie mus- culaire. UNIVERSITÉ DE MOSCOU - TROIS
sent les stades ultérieurs de la ma- ladie. Il n'y a pas non plus d' atrophie des nerfs optiques. Notre observation présente
à cause d'elle la vésicule est trop élargie, mais il n'y avait pas atrophie complète de cette dernière, comme ordinairement
de liquide sous la tente du cervelet. L'hydrocéphalie provoqua une atrophie égale du cerveau, du côté de la voûte, et du cô
nous avons trouvé : 1° une absence complète du cervelet ; 2° une atrophie des hémisphères cérébraux ; 3° une atrophie pre
du cervelet ; 2° une atrophie des hémisphères cérébraux ; 3° une atrophie presque totale des ganglions cérébraux centraux (
les noyaux rouges. L'absence des voies pyramidales s'explique par l' atrophie des hémi- sphères. L'absence de la couche du ru
uberculose pulmonaire à marche rapide; il est de plus atteint d'une atrophie musculaire qui a débuté insidieusement à l'âge de
i dans les ascendants ni dans les collatéraux on ne relève de cas d' atrophie musculaire non plus que chez ses deux frères dont
z sa soeur actuellement âgée de 39 ans. Antécédents personnels. L' atrophie musculaire a débuté il l'âge de 20 ans ; G... é
. Deux ans après, le bras gauche a commencé à être inté- ressé et l' atrophie a tout d'abord porté sur le biceps. Cette atrop
té- ressé et l'atrophie a tout d'abord porté sur le biceps. Cette atrophie symétrique a évolué sans douleurs. Le Dr Vernet,
s, les muscles des membres inférieurs ont commencé à participer à l' atrophie . Ses amis se sont aperçus avant lui qu'il boitait
embre on d'un segment de membre n'implique nullement l'ahsence ou l' atrophie du renflement spinal correspondant à ce membre.
et des rapports normaux des cellules dermiques et épidermiques : l' atrophie et l'hypertrophie, la (t) Iluours, Des nævi pig
liciel, mais leur gaine de myéline est très réduite. Il s'agit d'une atrophie des tubes plutôt que d'une dégénérescence avec
? ' Dans la région cervicale seulement : dégénérescence (ou plutôt atrophie des tubes nerveux) intéressant la zone qui sépa
le également plus jeune et nota- blement moins accusée. Quant à l' atrophie légère de la corne antérieure gauche dans la régi
traces de son existence dans les endroits les moins touchés qu'une atrophie légère de la corne anté- rieure gauche dorsale,
voisinage. LABORATOIRE DES CLINIQUES DE LA FACULTE DE BORDEAUX. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT
nte question. Observation. Sommaire. - Homme, 27 ans, colporteur; atrophie du membre supérieur droit : début à 12 ans aprè
droite. Nàropathie légère ; buveur de vin. Le 1,1; juillet 1898 : Atrophie d'intensité variable de tous les muscles inner-
eresthésie proportionnelle au 108 J. SABRAZÈS ET L, MARTY degré d' atrophie des muscles ; épaississement dermique à la surfac
al St-André, salle 15, lit 3, en juillet 1898; il est atteint d'une atrophie du membre supérieur droit. Cette atrophie a début
898; il est atteint d'une atrophie du membre supérieur droit. Cette atrophie a débuté, à de 12 ans, époque à laquelle le mal
n des échantillons dans les chais. C'est de cet accident que date l' atrophie qui est toujours allée s'accentuant en dépit des
paule; l'amaigrissement du membre ne fait par contre que s'accuser. atrophie musculaire ET OSSEUSE 109 A 17 ans, nouvelle ch
forces dans le membre atrophié. En dehors de ces accidents et de l' atrophie du membre supérieur droit qui en est la conséqu
t normal. Nouv. Iconographie UI la SAII'ÉrRIEHE. T. XII. PI. XVII ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT
UPÉRIEUR DROIT (S,ibi-izès et Marty) rP71 ? 1r/,>i ? </ ? ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 111 Celui-ci tire en haut
les intercostaux de t'hémithorax droit ne participent nullement à l' atrophie . Les muscles du bras droit sont très atrophiés.
ls, sont atrophiés. Mais si on voulait dresser une échelle du degré d' atrophie , on verrait que : 1° Le deltoïde est le plus
rachial, le long supinateur le sont à un degré un peu moindre. 4° L' atrophie est plus faible et inégalement répartie sur le su
ble épaisseur des tissus mous qui les enve- loppent participent à l' atrophie . Nouv. Iconographie DE la Salpètrière. T. XII.
atrophie. Nouv. Iconographie DE la Salpètrière. T. XII. PI. XVIII ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT
1)1 la Sai.fêikickk.. r. XII. Pl. XIX ph't'tyl'te n, rmsnn Paris ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPERIEUR DROIT
Z0s et M.1rty) Radiographie du coude MASSON & cle, Editeurs ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 113 La clavicule ne parai
ment. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. T. XII. PL. XX. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT
ographies. Main DROITI : (coté atrophié). Masson et Cio, Éditeurs ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 115 La flexion volontaire
st hyperaIgésique il peu près au même degré que le long supinateur. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 1 117 i Le pincement des
nd dentelé. Le degré de l'hyperalgésie est proportionnel au degré d' atrophie des muscles. Les territoires hyperalgésiques pe
ied est facile, ainsi que la z marche à reculons les yeux fermés. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 119 La sensibilité au con
t. 1/2 en- viron que le gauche. En dehors de la déformation et de l' atrophie de la région pectorale droite, on n'est frappé
rès bien. Son écriture est rendue difficile de la main droite par l' atrophie musculaire qui empêche d'appuyer ; mais cette écr
. Pas de priapisme. Hyperesthésie excessive des bourses. La près- . ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 121 sion même légère des
ne diffère pas sensiblement de ce qu'il était au mois de juillet. L' atrophie du membre supé- rieur droit ne s'est pas notabl
rophique de l'enfance ou de la paralysie spinale aiguë de l'adulte ( atrophie musculaire, atrophie osseuse, épaississement de
ou de la paralysie spinale aiguë de l'adulte (atrophie musculaire, atrophie osseuse, épaississement des téguments ; pas d'a
ue dans les cas où la tête humérale viendrait le comprimer directe- ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 123 ment contre la paroi
te complète pour les nerfs médian, radial et cubital ; (1) Fieux. ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 125 4° Réaction d'Erb com
, au besoin, mettre sur le seul compte de la luxation de l'épaule l' atrophie dont notre premier malade est atteint. Mais là
e époque, le membre est frappé d'impotence presque absolue et que l' atrophie prend une marche plus rapide. A 25 ans, inter
e. La part de cette fracture de la clavicule dans le mécanisme de l' atrophie ne parait pas avoir été bien grande. La clavicu
fragments soient maintenus par un périoste non déchiré. De plus, l' atrophie était déjà presque anssi avancée qu'aujourd'hui
ée qu'aujourd'hui lors de cette fracture. Néanmoins, le choc du ma- ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 127 drier qui est tombé s
scles de la ceinture scapulaire. Nous sommes donc en présence d'une atrophie musculaire et osseuse extrêmement marquée, limi
laire et osseuse extrêmement marquée, limitée à un membre. Malgré l' atrophie osseuse, le raccourcissement du membre n'excède
en un raccourcissement mais n'est pas très grand. Cela prouve que l' atrophie osseuse n'a pas dû s'établir avec évidence lors d
r tout comme en épaisseur. On est donc en droit de con- clure que l' atrophie osseuse et musculaire s'est produite au sur et M
lus atrophiés. Cette hyperalgésie est d'au- tant plus intense que l' atrophie est plus avancée. L'anesthésie permanente ou pa
ulaires par suite du traumatisme direct des racines et de la con- - ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE 129 tusion indirecte de l
ondairement aux affections ostéo- articulaires qui s'accompagnent d' atrophie des muscles. Ces amyotrophies considérées naguè
t tandis que la corne an- térieure, dans le territoire intéressé, s' atrophie in globo. Les observations de Klippel (1), Leyd
es observations de Klippel (1), Leyden (2), Achard et L. Lévi (3) d' atrophie localisée des centres nerveux en rapport avec l
Lévi (3) d'atrophie localisée des centres nerveux en rapport avec l' atrophie musculaire et osseuse de cause articulaire ne l
e moteur périphérique entraîne la pertur- bation fonctionnelle et l' atrophie du neurone moteur cérébral : dans le cas de MM.
frontale et pariétale ascendantes du côté droit partici- paient à l' atrophie . Les adultérations persistantes des neurones se
latives des neurones sensitifs ganglion- naires et médullaires. L' atrophie musculaire et osseuse de notre malade est donc so
résulté ont certainement influé par elles-mêmes sur la genèse de l' atrophie ; mais les lésions nerveuses fronculaires et radi
les paralysies radiculaires traumatiques entraînent, elles aussi, l' atrophie de la corne antérieure et du centre cérébral co
intervention de ces divers facteurs permet de comprendre pourquoi l' atrophie de ce membre a atteint un si haut degré. La parti
re intéressé s'atrophier au plus haut point. Les os participent à l' atrophie , ainsi qu'en témoigne l'examen radiographique.
o-adipeux s'épaississent notablement. Les principaux, facteurs de l' atrophie sont la compression et l'élonga- tion exagérée
usque dans leur trajet rachidien et intra-médullaire. La moelle s' atrophie dans le segment métamérique correspondant non s
la moelle, ne se montrent plus ici qu'indivi- duellement ; et si l' atrophie des fibres peut se reconnaître, la sclérose fasci
n'y a pas ou guère de sclérose des cordons, z faute de cordons - l' atrophie des fibres labyrinthiques a été depuis longtemps
ptique. Strumpell rapporte deux cas où il a observé simultanément l' atrophie du nerf acoustique et celle du nerf optique. Op
eim et Siemerling ont constaté, également dans un cas de tabes, une atrophie de la plupart des faisceaux du nerf vestibulaire
Ilahermann a observé, chez un tabétique sourd depuis douze ans, une atrophie profonde des nerfs acoustiques qui n'étaient pl
aminé le bulbe d'un ta- bétique de Pierret, et a trouvé également l' atrophie des racines du nerf cochléaire sous le plancher
té d'origine périphérique sans lésion primitive du tronc nerveux, l' atrophie est loin d'avoir cette allure ; et il semble qu
tte allure ; et il semble que, dans ces cas, il s'agisse bien d'une atrophie primitive du protoneurone labyrinthique. Néan
e labyrinthique. Néanmoins, si dans beaucoup de cas peut-être cette atrophie n'est pas primitive, il faudrait la considérer
llaire, mais les troubles trophi- ques de l'oeil et de l'oreille, l' atrophie simultanée des papilles et l'am- blyopie associ
yperémie et des phénomènes plus durables qui se termi- neront par l' atrophie , aussi bien pour les papilles du fond de l'oreill
ET J. CASTAIGNE chenne (1) déclare n'avoir pas vu de paralysie ou d' atrophie « parfaitement limitée au grand dentelé, ce qui
être rare, poursuit-il, puisque sur une vingtaine de cas au moins d' atrophie ou de paralysie du grand dentelé que j'ai explo
par cet auteur sonl fort complexes : la plu- part ressortissent à l' atrophie musculaire d'origine myopathique ou myé- lopath
de l'épaule n'est pas troublée. « Les signes palhognomoniques de l' atrophie du grand dentelé, dit en effet Duchenne (2), ne
nt l'élé- vation volontaire du bras. J'ai démontré, en effet, que l' atrophie du grand dentelé n'occasionne aucune difformité
aide duquel on peut établir le dia- gnostic de la paralysie ou de l' atrophie du grand dentelé, alors que le malade nepeut él
isation doit être rare, puisque sur une vingtaine de cas au moins d' atrophie ou de paralysie du grand dentelé que j'ai exploré
dipeux sous-cutané a disparu. Les lâches sont légèrement déprimées. Atrophie en masse du bras, de la cuisse et de la jambe d
ie en masse du bras, de la cuisse et de la jambe du côté droit, l' atrophie musculaire est surtout marquée au niveau des tach
t cica- triciel et considérablement amincie. De plus, il existe une atrophie muscu- laire manifeste de tout le côté droit, s
it à la naissance la pigmen- tation du membre inférieur gauche et l' atrophie de la jambe qui existent encore actuellement.
les phé- nomènes de sclérose cutanée au début coïncidaient avec une atrophie e légère du membre, du cas de l'observation nI
94. 204 P. HAUSHALTER ET L. SPILLMANN peau était accompagné d'une atrophie très accentuée des muscles et d'un raccourcisse
s qu'en 1886, Charcot et Marie ont décrit la « forme particulière d' atrophie musculaire progressive souvent familiale, débutan
moins volumineux que ceux de la main gauche; il diagnos- tiqua une atrophie musculaire progressive. H... resta deux mois à l'
continuer pendant quelque temps son travail de dessinateur. Mais l' atrophie s'étendit rapidement aux muscles du membre inféri
galement un an à l'hôpital Tenon, dans le service de M. Landouzy. L' atrophie , après avoir envahi un certain nombre de groupe
quées au membre inférieur du côté gauche. Membre supérieur droit. Atrophie très marquée des muscles des émi- nences thénar
très atrophiés, les fléchisseurs comme les extenseurs ; mais cette atrophie est surtout marquée au niveau de la moitié infé
-membra- neux, le demi-tendineux sont bien conservés. A la jambe, l' atrophie atteint tous les muscles. Le membre inférieur d
est comparable à celui du côté gauche. Membre inférieur gauche. - L' atrophie y est moins marquée que du côté droit. Le membr
a région sacrée. D'une façon générale, les lésions se réduisent à l' atrophie simple de tou- tes les parties constituantes de
taires, soit d'autre nature. Elles semblent atrophiées ou en voie d' atrophie . Nkhks. Les nerfs périphériques au point de vue
ombre de faisceaux musculaires sont atrophiés, ces fibres en voie d' atrophie se trouvent à côté de fibres absolu- ment saine
le biceps crural. Ce muscle présente peu de lésions des faisceaux : atrophie de certains faisceaux musculaires, conservation d
xiste un très grand nombre de noyaux entourant ces fibres en voie d' atrophie . Les vaisseaux sont épaissis, entou- rés d'un c
ke. d) Des lésions cellulaires des cornes antérieures consistant en atrophie de la cellule. 2° Des altérations des nerfs p
sciatique, sont normaux. : 3° Des lésions musculaires consistant en : atrophie des fibres muscu- laires, inégale clans les mêm
lieu sur la glande thyroïde, par contre-coup sur la croissance et l' atrophie en général. Nous allons en donner tout de suite
on que nous venons de rapporter montre bien qu'il s'agit d'un cas d' atrophie Charcot-Marie non familial survenu chez un homme
phie Charcot-Marie non familial survenu chez un homme de 32 ans : l' atrophie a débuté, comme cela a déjà été observé par Hoffm
ptômes, le ma- lade était incapable de gagner sa vie. A ce moment l' atrophie avait atteint aux membres supérieurs les éminen
i nous occupe. Les trois premiers ont été publiés à une époque où l' atrophie Charcot-Marie était inconnue et où la technique d
signalés chez les malades ne semblent pas devoir être rapportés à l' atrophie Charcot-Marie. Quant au cas de Dubreuibl, il est
ur Nervenheilkunde, 1891. (3) DU811EUIIIL, Etude sur quelques cas d' atrophie musculaire limitée aux extrémités et dépendant
(5) Tout récemment Siemerling a publié, sous le nom de « neuritische Atrophie », une ubservation dans laquelle les lésions pr
la méthode de Nissl a été employée pour l'examen des cellules, leur atrophie est des plus manifestes et se montre d'autant p
re quelle valeur on doit attribuera ces lésions dans la genèse de l' atrophie . C'est un sujet sur lequel nous n'oserions émettr
ne le croyons point. Elles se retrouvent dans la plupart des cas d' atrophie musculaire qui relèvent d'une affection nerveus
la vérité (1) en considérant l'amyotrophie Charcot-Marie comme une atrophie d'origine spinale etné- vritique, quoique la se
très rarement sous forme de cas isolés (10 cas dans la science), l' atrophie Charcot-Marie est essentiellement familiale et hé
res inférieurs qui sont pris les premiers ; quelquefois cependant l' atrophie se montre d'abord aux membres supérieurs. Le dé
nt les avant-bras et les jambes. En effet aux membres inférieurs, l' atrophie frappe les péroniers, l'ex- tenseur propre du g
ée en jarretière. Aux membres supérieurs (v. PI. LU, fig. E. IL), l' atrophie occupe les interosseux, les éminences thénar et
mations absolument comparables à celles qui ont été décrites dans l' atrophie dite du type Âran-Duchenne. A un premier degré
ig. II), c'est la main en griffe. De même qu'au membre inférieur, l' atrophie est en jarretière, elle est ici en manchette, s
é est douteuse à gauche. Il n'y a pas de trépidation spinale, pas d' atrophie mus- culaire ; la force est conservée partout,
pas de trépidation spinale. L'amaigrissement n'est pas accompagné d' atrophie musculaire. L'examen électrique ne donne en auc
uche, signe d'Argyl Robertson. A l'ophtalmos- cope, on constate une atrophie des nerfs optiques, plus accentuée à gauche, l'
s bien nets des orteils. Pas de trépidation spinale, il n'y a pas d' atrophie des muscles, leur force est conservée partout :
cq sont venus lui rendre son individualité. Je rapporte six cas d' atrophie musculaire progressive d'origine myélo- pathiqu
ritable air de famille que tous présentent. D'une façon générale, l' atrophie musculaire progressive myélopathique, poliomyél
érédité. Nouv. Iconographie DE la SALPÈTRIÉRK. T. XII. l'l. LiI ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE MYÉLOPATHIQUE (G. Etienn
diteurs. Nouv. Iconographie DE la Salpêtrière. T. XII. Pl. LXII ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE MYELOPATHIQUE (G. Élieuu
s phalanges en demi-flexions les unes sur les autres (PI. LXIf, G). Atrophie notable de l'éminence thénar qui est aplatie; le
deux jours. 15 décembre. Aucun symptôme nouveau n'est survenu. L' atrophie n'a ni rétrocédé ni augmenté ; le volume des memb
ital, le malade travaillant un peu. A partir du mois de janvier l' atrophie a gagné les muscles du dos en allant vers la ga
entent exactement les mêmes signes que la main droite il y a un an. Atrophie des muscles de l'éminence thénar, moins prononc
aillantes, les muscles sous-épineux semblent surtout atrophiés. L' atrophie est à peu près symétrique. Les apophyses épineu
pas de nystagmus ni de diplopie, pas do vertiges. Janvier 1895. L' atrophie musculaire des muscles de la main gauche est to
mbes sont atropliiés puisque le malade ne peut pas se lever, mais l' atrophie n'est pas apparente. atrophies musculaires PROG
cultation. 15. - Difficulté pour respirer et tousser en raison de l' atrophie des pecto- raux ; il sent les crachats obstruan
s coupes pratiquées à différents étages de la moelle épi- nière une atrophie très considérable des cornes antérieures avec dis
disparition presque complète des cellules nerveuses de ces cornes, atrophie et sclérose des racines qui en émergent. Les
Malgré cette grande rapidité d'évolution, il s'agit bien ici d'une atrophie musculaire myélopathique. Il ne peut être quest
en 18 mois ou en 3 ans. II. PRÉCOCITÉ DU DÉBUT. Habituellement l' atrophie myélopathique évolue dans l'âge mûr, entre 40 e
. Observation IL Paralysie infantile du membre inférieur droit. - Atrophie musculaire, type - Aral2-Dacc12e212e. Pravel.
atteint d'une paralysie infantile qui laissa comme déformation une atrophie des masses musculaire du membre inférieur droit,
endant les mouvements difficiles. A partir d ce moment com- mença l' atrophie musculaire, lentement progressive ; dès lors, il
; les muscles sont mous à la pression. Aux éminences hypothénar, l' atrophie musculaire a aussi déterminé les méplats. Les
vant-bras en fuseaux. Les bras ne paraissent pas atrophiés. Pas d' atrophie musculaire dans les autres régions. Les autres
vice en août 1891. Signalons encore dans ce cas la coïncidence de l' atrophie musculaire progressive avec la paralysie infant
V. III. - Modes DE début. Dans la très grande majorité des cas, l' atrophie musculaire débute par les petits muscles de la
dant pas toujours ainsi. Dans l'observation suivante, nous voyons l' atrophie débuter par le del- toïde et les muscles péri-s
ue du typescapuio- huméral décrit par Vulpian. Observation III. Atrophie musculaire progressive, d'origine myélopathique ;
, fig. D). Personne dans sa famille n'a eu de maladie nerveuse ni d' atrophie muscu- laire. . Père mort il 80 ans. Mère m
n'a jamais eu la syphilis. Pas d'antécédents alcooliques. , Son atrophie musculaire ne remonterait qu'à 3 ans. Il y a 7 an
at reste stationnaire depuis 18 mois dans les membres supérieurs. L' atrophie du thorax aurait accompagné celle des bras dont l
le poignet en demi-flexion; la main a l'aspect d'une main de singe. Atrophie des muscles du thénar et de l'hypothénar ; gril
ire. - L'insertion occipitale du trapèze est en partie dis- parue ; atrophie marquée des muscles des fosses sus-épineuses part
iculièrement t à droite ; ces deux fosses sont creusées en bateau ; atrophie musculaire marquée dans les fosses sous-épineus
à l'état de languettes aplaties laissant voir la saillie de l'os ; atrophie presque complète du grand dorsal ; à ce niveau on
ulève la peau qui semble reposer directement sur le système osseux; atrophie des muscles lombaires, mais moins marquée. Le
titué exclusivement par l'humérus directement attaché à l'omoplate. Atrophie générale des muscles du bras et de l'avant-bras ;
biceps réduit à l'état d'un petit cordon de 1 cm. 1/2 d'épaisseur ; atrophie en masse du triceps; la peau est trop ample. At
épaisseur ; atrophie en masse du triceps; la peau est trop ample. Atrophie musculaire également marquée de tous les muscles
e l'éminence thénar et de l'hypothénar, remplacés par des méplats ; atrophie très marquée des interosseux; creux entre les mét
interosseux; creux entre les métacarpiens égal des deux côtés. L' atrophie , moins considérable aux membres inférieurs, contr
tions fibrillaires, que l'on ne constate pas actuellement. Face : atrophie musculaire. . Abolition des réflexes. Le mala
e professeur Raymond dans les cas réunis par lui. C'est ainsi que l' atrophie a commencé par le deltoïde chez un ouvrier ruba
ervient dans l'observation sui- vante : un fossoyeur voit débuter l' atrophie musculaire par les muscles extenseurs de l'avan
jette par dessus bord la terre enlevée du fond. Observation IV. Atrophie musculaire progressive d'origine myélopathique. -
ux côtés. Abolition des réflexes patellaires et plantaires. Pas d' atrophie appréciable des muscles fessiers et lomhaires.
ale. - Le malade se baisse facilement pour ramasser un objet. Pas d' atrophie des muscles abdominaux. Membres supérieurs. - A
mouvements de pronation et de supination ne peuvent plus se faire. Atrophie considérable de la partie postérieure de l'avant-
e. Atrophie considérable de la partie postérieure de l'avant-bras ; atrophie des * radiaux. Le malade peut fermer les doig
iers supérieur de l'avant-bras, 22 centimètres. Bras cylin- drique. Atrophie considérable du deltoïde et des muscles du bras.
ntimètres. Les creux sous-claviculaires sont aplatis. Il existe une atrophie légère des pectoraux, le malade croise facileme
paule opposée. - L'omoplate ne suit pas les mouvements de l'épaule. Atrophie légère des muscles sus et sous -épineux. Le c
viculaire du trapèze est conservé ; le chef occipital est atrophié. Atrophie peu marquée des sterno-cléido-mastoïdiens. Le g
M. Ray- mond, Quinquaud, Rémond et Bernheim. Chez notre malade, l' atrophie progressive a très nettement débuté si- multané
Ce fait est très exceptionnellement signalé dans les observations d' atrophie musculaire progréssive myélo- pathique ; on sai
est au contraire fréquente dans les myopathies. Observation V. Atrophie musculaire progressive, d'origine myélopathique,
1891. , Nouv. Iconographie de la SALI'G1HIIi1·. T. XII. PI. LX ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE (TYPE ARAN-DUCHESNE) - (
le malade peut les fléchir. Force au dynamomètre à peu près nulle ; atrophie considérable des muscles de l'avant-bras et du br
er seul. 10 avril. - Même état, pas de phénomènes nouveaux. 25. L' atrophie des muscles de la face n'a pas progressé. Les m
IONNELS. Dans l'observation suivante, nous voyons un cas très pur d' atrophie myélopathique type Aran-Duchenne se compliquer
corps exposé à une pression un peu prolongée (1). Observation VI. Atrophie musculaire progressive d'origine myélopathique ;
roubles trophiques osseux et articulaires chez un hom- me atteint d' atrophie musculaire myélopat/ ! lqlle,l pr mémoire, Revue
No1.;v. ICUSOGHAPHIE DE LA SAlPÊTRII : KI ? T. XII. 1'1. LXIII ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE (G. Etienne) Arthropat
x membres inférieurs et au niveau du coccyx. Troubles trophiques. - Atrophie totale des éminences thénar et hypothé- nar, de
chée du tronc, l'angle inférieur re- levé est attiré en dedans. L' atrophie est beaucoup moins marquée à la partie inférieure
ticulations des genoux. La face amaigrie n'est pas intéressée par l' atrophie musculaire. Réaction de dégénérescence dans tou
25 octobre. Le malade absolument impotent, rentre à la clinique. L' atrophie musculaire est au maximum, état squelettique. Cac
liquer sur la clavicule. Depuis longtemps, en effet, par suite de l' atrophie précoce des muscles de la nuque, la malade porte
es de largeur sur 12 de longueur, est très profonde; en raison de l' atrophie musculaire, le plan du muscle a pour ainsi dire
est presque complètement obstrué par un amas de (1) Etudiant ici l' atrophie musculaire myélopathique au point de vue clinique
t moins prononcées que dans les petits filets terminaux. Muscles. - Atrophie musculaire extraordinaire surtout du côté droit.
ences entre les dimensions des fibres, dont beaucoup sont amincies. Atrophie simple, augmentation du tissu con- jonctif, not
ale. Charcot, et après lui MM. Grasset et Rauzier, ont attribué à l' atrophie musculaire progressive les faits d'arthropathie r
MYÉLOPATHIQUE 385 ment ces cas l'un de l'autre ; si, par exemple, l' atrophie débute par les muscles scapulaires ou par les m
onstitutifs d'une maladie bien in- dépendante, bien caractérisée, l' atrophie musculaire progressive d'origine myélopathique,
aire progressive. Il existe donc une série morbide constituée par l' atrophie musculaire myélopathique progressive, la para-
peu nombreux ceux qui après leur accident voient se développer une atrophie musculaire et ils sont très rares ceux qui, à l
devenir le point de départ d'une impuissance motrice relative avec atrophie plus ou moins prononcée et parfois très prononcée
malade s'est présenté à la consultation de la Salpêtrière avec une atrophie scapulo-humérale bila- térale. En présence de t
le gauches (PI. LXIV, A). Il a, en un mot, l'aspect classique d'une atrophie mus- culaire bilatérale scapulo-lmmérale. La ma
fon- deur anormale des fosses sus et sous-épineuses témoignant de l' atrophie des masses musculaires. L'omoplate est un peu é
à droite et à gauche, ses muscles faciaux sont normaux eux aussi. L' atrophie musculaire, quoique bilatérale, est un peu plus m
cun tremblement fibrillaire ne se remarque sur les muscles envoie d' atrophie , aucun trouble trophique sur les membres supérieu
d'inversion de l'action polaire en aucun point. En dehors de cetle atrophie musculaire à type scapulo-liuméral le ma- lade
s muscles adjacents à l'articulation maigrissent. Sept mois après l' atrophie se montre à l'épaule gauche et au bras gauche. Le
e malade se présente à la Salpêtrière au mois de juin 1899 avec une atrophie nette du type scapulo-huméral. C'est une atroph
uin 1899 avec une atrophie nette du type scapulo-huméral. C'est une atrophie musculaire s'étant dévelop- pée progressivement
exes tendineux. La question se posait de savoir de quelle variété d' atrophie musculaire il s'agissait chez cet homme ? Quelle
r que l'on puisse songer à une myopathie scapulo-humérale de Erb. L' atrophie musculaire que nous constatons n'a aucun des cara
au cours de névrites infectieuses ou toxiques. Il ne s'agit pas d' atrophie musculaire progressive du type.c1l'an-Duchenne qu
, ce n'est pas une sclérose latérale amyotrophique. Au contraire, l' atrophie musculaire présentée par le malade par ce fait
raît faire l'intérêt de notre observation, c'est la bilatéralité de l' atrophie malgré l'unilatéralité du traumatisme. S'il e
a jambe gauche, elle n'était nullement douloureuse. Il existait une atrophie con- sidérable de tout le membre inférieur port
édominant pas sur tel ou tel groupe de muscles. Il s'agissait d'une atrophie simple, sans réaction de dégénéres- cence, sans
ié dans ses trois seg- ments (jambe, cuisse et fesse) ; toutefois l' atrophie prédominait manifes- (i) Charcot, Progrès médic
cot, loC. cit. 392 G. GUILLAIN ment dans les muscles de la jambe. Atrophie simple, sans contractions fibrillaires, sans ré
une ténosite des tendons fléchisseurs. Le membre inférieur droit s' atrophie , et quand Charcot le voit, le malade est obligé
de troubles de la sensibilité. Chez un autre malade de Charcot, une atrophie du même caractère s'é- tait produite dans le me
e la déchi- rure d'un muscle pendant un effort peut en déterminer l' atrophie . Mais ces observations, comme le dit Charcot, é
de ses observa- tions, intéressante à cause de la bilatéralité de l' atrophie , il s'agissait d'un (1) CHARCOT, loc. cit. (2
'atrophie, il s'agissait d'un (1) CHARCOT, loc. cit. (2) Raymond, Atrophie musculaire d'origine réflexe. Bulletin médical, 2
e d'origine réflexe. Bulletin médical, 28 mars 189'7 . RAYMOI : OE, Atrophie musculaire réflexe. Journal de médecine et de chi
il reprend ses occupations, mais il y eut récidive et cette fois l' atrophie envahit le côté gauche. Après un long traitement
n fut à peu près.complète bien qu'il sub- sistât un degré notable d' atrophie musculaire ainsi qu'une certaine exagé- ration
rses théories proposées pour expliquer cette variété particulière d' atrophie musculaire. Nous rappellerons briè- vement cert
e opinion. Que l'inacti- vité fonctionnelle ait une influence sur l' atrophie musculaire consécutive à un séjour au lit de pl
tenseur du genou peut exister, que, au bout de dix à douze jours, l' atrophie est nette. Expérimentant chez les animaux en in
ui reçoit à la jambe un éclat de bois et qui fait dans la suite une atrophie massive de sa jambe, avait continué son travail
rophies musculaires ayant des caractères cliniques (1) VALTAT, De l' atrophie musculaire consécutive aux maladies des articulat
x maladies des articulations. Th. Paris, 1877. (2) Sabourin, De l' atrophie musculaire rhumatismale. Th. Paris, 1873. (3) D
es animaux l'impotence fonctionnelle, l'exagération des réflexes, l' atrophie musculaire. Dans aucune de ses expériences M. Ray
souvent de l'hyperesthésie cuta- née. M. Raymond a fait voir que l' atrophie musculaire ne se produit pas si les racines pos
es ainsi que l'hémisection de la moelle accé- lèrent la marche de l' atrophie musculaire dans le membre correspondant dont un
non pas d'une destruc- tion de la substance contractile, mais d'une atrophie de la substance inter- fibrillaire à laquelle l
partie redevable de son élasticité. Aussi l'on peut conclure que l' atrophie musculaire consécutive (t) IIo'FA, Congrès des
absence de lésions, ils arrivent eux aussi à cette conclusion que l' atrophie musculaire ne peut s'expliquer que par une acti
de la moelle, des nerfs périphé- riques, des muscles dans un cas d' atrophie musculaire consécutive à une lésion articulaire
berculose. .. * Si l'on envisage le mécanisme le plus intime de l' atrophie musculaire au point de vue de la pathologie gén
ale, peut-être est-il possible, avec Metchnikoff(3), de voir dans l' atrophie des muscles une résultante clel'ac- tion des ph
bre 1881 et janvier 1888. (3) Metcunikoff, Phagocytose musculaire . Atrophie des muscles pendant la trans- formation des bat
aux amyotrophies d'origine articulaire. Puisque ces deux variétés d' atrophie musculaire évoluent cliniquement avec des phé-
- lade tel que celui que nous avons observé, se présentant avec une atrophie musculaire bilatérale scapulo-humérale avec une
ux, il était important de savoir reconnaître qu'il s'agissait d'une atrophie simple consécutive un traumatisme banal chez un i
un individu ni héréditaire nerveux, ni nerveux lui-même, que cette atrophie pouvait guérir par un traitement prolongé, part
e réflexe plantaire est en flexion, il n'y a pas de clonus. Pas d' atrophie musculaire, la force est partout conservée, le dy
es ont lieu en flexion ; pas de trépidation spinale. Il n'y a pas d' atrophie musculaire ; la force est conservée dans tous les
flexion à droite, il est douteux à gauche. La malade présente de l' atrophie musculaire à un degré assez accentué. L'état él
st de même pour les muscles, sauf ceux de l'éminence thénar droite ( atrophie ). Excitabilité galvanique. - Contractions dans
e d'affecter tantôt des formes exubérantes, tantôt d'évoluer vers l' atrophie . Exemples : les hyperostoses d'une part, les font
amais quitté la région. Début à 18 ans : paralysie progressive avec atrophie musculaire des mem- bres supérieurs. Antécéde
es les intempéries; ni syphilis, ni alcoolisme, ni traumatisme. L' atrophie musculaire frappe d'abord le membre supérieur gau
embres supérieurs ; mains succulentes cyanosées et refroidies, avec atrophie des divers groupes musculaires ; dissociation d
e ; dystrophie unguéale; acromégalie (radiographie). Paralysie avec atrophie des muscles extenseurs et des cubitaux ; partici-
itéa remuer les doigts. Il se développa ensuite progressivement une atrophie musculaire du mem- bre supérieur gauche, puis,
: syringomyétique ; 5 centimètres : sujets normaux. Aux avant-bras, atrophie musculaire intéressant surtout les extenseurs ;
éditaire (Trois cas dans la même famille),par G. ROS80LIMO, 22. Atrophie musculaire et osseuse du mem- bre supérieur, pa
Raymond et P. JAXET, 353. Thomsen (Maladie de) (forme fruste avec atrophie musculaire), 15. Torticolis mental (un cas de),
e sur deux tics du pied (3 phot.), 353. .Marty L. et G. SABRAZES. Atrophie mus- ' culaire et osseuse du membre supérieur
83. NouuÈs E. et J. SIROL. Maladie de Thomsen à forme fruste avec atrophie musculaire. (3 phot.l, 15. z RAVAUT P. Incont
e dans la même fa- mille (4 phot.), 22. Suiiiazès J. et L. MARTY. Atrophie muscu- laire el osseuse du membre supérieur (
XIV. Aphasie amnésique (Trénel), LXXVI, LXXVII, LXXVIII, LXXIX. Atrophie musculaire progressive d'origine myélopathique
ive d'origine myélopathique (G. Etienne), LX, LXI, LXfI, LXIII. Atrophie musculaire et osseuse du mem- bre supérieur dro
. SIROL J, et E. Noguès. Maladie de Thom- sen à forme fruste avec atrophie muscu- laire (3 phot.), 15. SOLOVTZOFF (N.).
4 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
s pour constituer les membres, tandis que la partie intermédiaire s' atrophie ; chaque membre proviendrait ainsi du bour- geon
s les mêmes termes : Les troubles moteurs des membres, paralysie ou atrophie musculaire, produits par une lésion localisée d
ystème nerveux) la clinique n'a jamais montré chez l'homme un cas d' atrophie musculaire myélopathique à disposition segmentair
ns médullaires. L'extrême rareté de la poliomyélite chronique, de l' atrophie musculaire du type Aran-Ducllenne, ne permet pa
dans une syringomyélie peu avancée une disposition radiculaire de l' atrophie 8 CESTAN ET üUGT musculaire, nous serons en d
es fonctions de l'extrémité distale d'une part, par la parésie et l' atrophie de l'extrémité proximale d'autre part, avec l'asp
té, l'auriculaire et- l'annulaire légèrement fléchis. Il existe une atrophie avec secousses fibrillaires des espaces interos
. L'examen électrique confirme d'ailleurs cette lo- calisation de t' atrophie dans le domaine des racines les plus basses du gr
ces foyers destructifs déterminent des paralysies définitives avec atrophie musculaire accompagnée de troubles des réactions
s n'ont jamais dressé le tableau exact des muscles intéressés par l' atrophie . On cherchera en vain des renseigne- ments dans
rchaient à élucider qu'un seul point, l'origine médullaire de cette atrophie musculaire infantile. Cependant il est intéress
suivi d'une conrir- mation histologique. Leur malade présentait une atrophie complète des muscles de l'éminence thénar et du
'éminence thénar et du premier interosseux de la main droite. Cette atrophie était due à un foyer de paralysie infantile ayant
es motrices du 8e segment cervical médullaire et ayant entraîné une atrophie de la 8e racine cervicale droite. Mais le cas e
ulaire externe a été seul lésé ; le malade présentait seulement une atrophie de la huitième racine cervicale correspondant à
ment une atrophie de la huitième racine cervicale correspondant à l' atrophie de l'éminence thénar et du premier interosseux.
le groupe antéro-interne du huitième segment médullaire cervical l' atrophie aurait atteint non seulement l'éminence thénar ma
insi une lésion de tout un segment médul- laire aurait entraîné une atrophie segmentaire de la main. Ce raisonne- ment est s
la poliomyélite aiguë de l'enfance, la topographie radiculaire de l' atrophie est facile à constater dans beaucoup de cas. Le
nne-Erb est parfois lésé dans cette affection, la distribution de l' atrophie est la même que dans le cas de paralysie radicula
il est souvent facile de constater la topographie radiculaire de l' atrophie . » Cependant il faut reconnaître que si l'atrop
radiculaire de l'atrophie. » Cependant il faut reconnaître que si l' atrophie prédomine souvent sur un groupe musculaire et r
viations anormales du pied. » Toutes ces raisons, localisation de l' atrophie sur le groupe des muscles innervés par la parti
, comme il arrive habituellement en pareils cas, un certain degré d' atrophie de la moitié droite de la face. Nous signalerons
t par la paralysie infantile. Dès qu'on examine la disposition de l' atrophie et de la paralysie des muscles sur ce membre, o
partie inférieure ou costale du grand pectoral, ne présentent pas d' atrophie notable ; tous ont bien conservé leur action et l
, de Raymond et de Déjerine. Chez lui en effet, nous constatons une atrophie des petits muscles des mains, des fléchisseurs, d
foyer de poliomyélite infantile, a donc créé chez notre malade une atrophie à topographie radiculaire des plus évidentes, c
du Long Supinateur et des Radiaux, contraste singulièrement avec l' atrophie des autres muscles de l'avant- bras et des peti
de 12 ans, atteint d'une paralysie du membre supérieur gauche avec atrophie assez prononcée de la plus grande partie des mu
dement toute leur force et aucun de leurs muscles n'a été atteint d' atrophie . Cet enfant fut vu alors parM.Féré,qui le suivi
uite de l'aplatissement antéro-postérieur du thorax, d'autre part à l' atrophie des muscles lombo-abdominaux. D et D'. - Les
ntant cet aspect si particulier du cou chez les myopathiques dû à l' atrophie des sterno-mastoïdiens, aspect qui consiste dan
ci présente quelque intérêt par la topographie un peu spéciale de l' atrophie musculaire. Pour les motifs que nous exposerons
HIE ATROPHIQUE PROGRESSIVE 33 Louise D., âgée de 23 ans, atteinte d' atrophie musculaire progressive est admise à l'hospice d
cinq enfants, nés de ces trois lits, seule notre malade présente de l' atrophie musculaire, les autres n'ont pas de tare spécia
l'état d'impotence presque absolue dont elle est atteinte et par l' atrophie du système musculaire. Elle reste étendue dans
fosse iliaque). Muscles des membres supérieurs. L'impotence due à l' atrophie muscu- laire diminue de la racine du membre à l
ture pelvienne et des membres inférieurs. Les dé- gâts causés par l' atrophie musculaire sont bien plus considérables qu'à la c
lrochantériens et adducteurs) sont arrivés à un degré très avancé d' atrophie ; les faibles contractions musculaires qu'ils peu-
ues mois des troubles qui ne paraissent pas être en relation avec l' atrophie musculaire ; c'est de la pho- tophobie avec cli
dant lesquelles la respiration, très fréquente, reste superficielle ( atrophie des muscles respirateurs accessoires). Ces lési
de la faible résistance du sujet. Observation résumée. Début de l' atrophie musculaire, il l'âge de quinze ans environ, par
les caractères géné- raux de la myopathie atrophique progressive ou atrophie musculaire pro- topathique. L'évolution lente e
L'évolution lente et régulièrement progressive, la topographie de l' atrophie des membres qui a débuté par leur racine, les réa
géné- raux de la maladie permettent de diagnostiquer la nature de l' atrophie musculaire - protopathique ou deutéropathique,
oupement des diverses formes de myopathies en une entité morbide, l' atrophie musculaire myopathique en opposition il l'atrophi
ntité morbide, l'atrophie musculaire myopathique en opposition il l' atrophie musculaire myélopathique, on signalait successi
ale, sans hérédité (1). Antécédents héréditaires. Il n'existe pas d' atrophie musculaire ni dans la ligne paternelle ni dans
s omo- plates avec énergie. , Le thorax est fortement aplati avec atrophie des grands Pectoraux et des grands Dentelés, av
IONS FAMILIALES 43 44 CESTAN ET LEJONNE - Membres inférieurs. - L' atrophie est prédominante à gauche. Elle est sur- tout m
rquée au niveau des fessiers, assez marquée au niveau de la cuisse ( atrophie eu jarretière), moins marquée enfin au niveau du
e à cause de la flexion permanente des avant-bras sur les bras. L' atrophie est prédominante à la racine des membres ; elle n
la peau. L'élévation à l'horizontale des bras est très faible par l' atrophie des del- toïdes. Les muscles des avant-bras s
ières phalan- ges) se font avec facilité et énergie. En résumé, l' atrophie prédomine à la racine et sur le groupe des extens
des yeux fonctionne parfaitement. Thorax. Le thorax est aplati par atrophie des grands pectoraux, avec élargissement de la
s de la racine des membres, les caractères si particuliers de cette atrophie musculaire modifiant au prorata les réflexes, n
héréditaire. Les réflexes tendineux sont affaiblis au prorata de l' atrophie musculaire; les réflexes cutanés sont normaux; le
son thorax aplati, concave à sa partie antéro-supérieure, car par l' atrophie du trapèze, les omoplates ont glissé vers l'ais
es épi- neuses de la région cervicale saillantes sous la peau par l' atrophie des chefs médians et inférieurs du trapèze. Ses
et en arrière de l'extrémité externe de la clavicule, aussi, malgré l' atrophie des grands pectoraux la déformation thoracique
On sait que la myopathie est caractérisée par la prédominance de l' atrophie à la racine UNE 1111'OP1'IllIE AVEC RÉTRACTIONS
andinant, le corps incliné en arrière, et ne peut se rele- verpar l' atrophie des muscles du bassin et de la cuisse. Mais notre
ut enfant, il marche avec peine, se lève avec difficulté; bientôt l' atrophie progresse et il est immobilisé sur sa chaise pl
ne, 1885. OBs. V. - M... Léon, en 1885. Type facio-scapulo humerai. Atrophie pré- dominante sur le haut du thorax et des bra
isation localisée (3e édit., p. 509) Duchenne estime que dans toute atrophie musculaire (la distinction n'était pas encore f
ent acceptée par tous les auteurs et appliquée aux déformations par atrophie musculaire, quelle qu'en soit la variété, Aran-Du
ordinairement très fiasques. On avait essayé autrefois de séparer l' atrophie myopalhique pseudo- hypertrophique de l'atrophi
efois de séparer l'atrophie myopalhique pseudo- hypertrophique de l' atrophie musculaire atrophique, car ce caractère de pseu
re dans ceux-ci seulement au- dessous du point précis où commence l' atrophie visible, c'est-à-dire au-dessous de la ligne (j
e de Thomsen, la tendance à être accompagnée dans quelques cas de l' atrophie de certains groupes musculaires. On comprend que
- tation, manifestent, en certaines circonstances, une tendance à l' atrophie musculaire progressive, est d'une grande import
ard, à ce tableau commencent et se surajouter des pheno- mènes de l' atrophie musculaire progressive, y compris le visage myo
inférieurs, les muscles des mollets ; une telle locali- sation de l' atrophie , caractéristique pour les cas décrits par les a
nifeste en d'autres cas une tendance à la diminution par suite de l' atrophie de quelques fihres, entrant dans sa composition
te de l'atrophie de quelques fihres, entrant dans sa composition. L' atrophie des fibres, qu'on a supposé se basant sur l'étu
ement que la diminution de volume du muscle myotonique dépend- de l' atrophie de ses faisceaux, caractérisée par une teinte b
à la prolifération extrême des noyaux, que nous avons affaire à une atrophie de (t) FIIOIJ1H ? Ueber Thomsed'she Krankheil m
s, fait éloigner toute idée, sauf la seule possible, à savoir que l' atrophie muscu- laire de la maladie de Thomsen n'en est
trophique de la myotonie comme tous les autres ; disons plus, cette atrophie résulte des altérations organiques pré- cédente
aniques pré- cédentes. Nous sommes, bien entendu, loin de compter l' atrophie des grou- pes musculaires classiques pour le ré
mentales génériques contient encore en qualité de premier ordre une atrophie musculaire très originale, mais en même temps, sa
ndant une myotonie, mais d'un autre côté il est aussi évident que l' atrophie musculaire qui l'accom- pagne, est une atrophie
aussi évident que l'atrophie musculaire qui l'accom- pagne, est une atrophie myotonique qui n'est pas occasionnelle et étran-
e qui n'est pas occasionnelle et étran- gère, mais à elle, et cette atrophie , quoique progressive, ayant beaucoup de commun
ès la réaction de dégénérescence ; on est forcé de penser que cette atrophie dans la myotonie a le droit d'une pathogénie ne
est en même temps le lien qui relie la maladie de Thom- sen avec l' atrophie musculaire progressive, non seulement d'après leu
ffection, d'après laquelle le tissu musculaire (ce qu'on voit par l' atrophie et l'hypertrophie des fibres musculaires), ainsi
oins le jambier antérieur. Elle est flasque et elle se double d'une atrophie diffuse des muscles para- lysés ; . 2° Une pa
s, une eschare profonde, à la région sacro-lombaire, sans compter l' atrophie musculaire diffuse des membres inférieurs, déjà s
otre malade. - e) Des troubles trophiques : ils consistent dans une atrophie , le plus souvent diffuse, des muscles paralysés
alysie motrice et de l'anesthésie, la précocité et l'intensité de l' atrophie musculaire et des mo- difications qualitatives
ipaux symptômes, l'apparition tar- dive et le caractère diffus de l' atrophie musculaire progressive, l'absence de modificati
ïdie de la ménopause ou myxoedème de )'age critique, secondaire à l' atrophie thyroïdienne contemporaine de l'involution géni-
l'on rencontre dans presque toutes les autopsies (porencépha- lies, atrophie des névromes centraux) et les troubles intellectu
spasmodique légère ; exagération des réflexes patel- laires. Pas d' atrophie musculaire, pas de troubles sensitifs ou vésicaux
page 791, trois cas de syringomyélie à topographie radiculaire de l' atrophie , avec autopsie. » Nous nous faisons un devoir d
polio- myélite aiguë de l'enfance, la topographie radiculaire de l' atrophie est facile à constater dans beaucoup de cas. Le
nne-Erb est parfois lésé dans cette affection, la distribution de l' atrophie est la même que dans le cas de paralysie radicu
l est souvent facile de constater la topographie radi- culaire de l' atrophie . » Et nous ajoutions : « Cependant il faut reconn
hie. » Et nous ajoutions : « Cependant il faut reconnaître que si l' atrophie prédomine souvent sur un groupe musculaire et rev
étouffe peu à peu l'élément noble (cellule pyramidale) ; celle-ci s' atrophie et disparait, sa place n'est plus alors marquée
voir une sorte de lobule de l'insu la ; mais alors, il y aurait une atrophie considérable du lobe temporo-occipital,l'épaiss
que minutieux ne revèle maintenant rien d'anormal, sinon une légère atrophie du grand pectoral droit de Liao-Toun-Chen. On c
très atrophié, surtout dans sa partie distale. Il y a sou- vent une atrophie plus ou moins marquée de la cuisse. La jambe est
; l'hémisphère gau- che 526. Celte inégalité tient sans doute à une atrophie inégale, le ma- lade n'étant pas gaucher ; les
ion. Déjà Bour- don et Luys (1861) avaient attiré l'attention sur l' atrophie des racines pos- térieures que Vulpian mit plus
onnue pour la moelle, et la lésion fondamentale du tabes devint une atrophie primitive des racines postérieures. ' C'était
tanés, musculaires, articulaires; le sympathique (Roux), etc... L' atrophie des racines postérieures, elle-même, devait être
einer et Redlich, Nageotte) : elle serait susceptible de produire l' atrophie des racines en les étranglant à leur entrée dan
hérique remonte aux racines et à la moelle. Quoi qu'il en soit, l' atrophie des racines postérieures occupe encore une plac
iode tout à fait initiale d'un processus qui aboutira plus tard à l' atrophie cellulaire. Or dans le tabes, maladie à évoluti
ation progressive est impossible depuis 4 ans. Etat actuel (1899) : Atrophie musculaire généralisée très accusée. Incoordina
le sac durai jusqu'au delà du ganglion. Dans tous ces examens, l' atrophie de la racine postérieure a pu être sui- vie sur
n cas celui-ci était partiellement atrophié. Examen histologique. L' atrophie de la racine postérieure est due la la disparit
e, dont les noyaux ne paraissent pas sensiblement multipliés. Cette atrophie est assez irrégulière, en ce sens que les fibre
es sont épaissies, notamment à la partie supérieure de la figure. L' atrophie radiculaire augmente brusquement, en raison des
armin ou l'hémaléine-éosine, donne des indications intéressantes. L' atrophie de la racine postérieure peut être encore suivi
à l'hématéine éosine. (Zeiss Obj. E. Oc. 2.) Plusieurs étapes de l' atrophie cellulaire. En bas, : 1 droite : Cellule saine
éléments sont à pou près normaux En bas, gauche : Cellule en voie d' atrophie avec multiplication des éléments nucléaires de
1899 : Impossibilité de se tenir debout, émaciation très prononcée. Atrophie musculaire aux membres inférieurs. Cyphoscoliose
ographie DES lésions radiculaires. Région dorsale infé- rieure. - L' atrophie des racines postérieures existe dans le bout sus-
-ganglionnaire absolu- ment normales. Région dorsale moyenne. - L' atrophie des racines postérieures existe à un degré anal
(épaississement et trans- formation hyaline de leurs tuniques). L' atrophie peut aussi être suivie jusque dans le ganglion au
sus et sous-ganglionnaire; le contraste est très marqué : Au-dessus l' atrophie est évidente, la plupart des fibres sont réduit
demnes, ainsi que les racines antérieures sur tout leur trajet. L' atrophie des racines postérieures jusque dans le ganglion
ite est vraisemblablement prédominante sur l'arachnoïde. D'ailleurs l' atrophie des fibres radiculaires est aussi marquée dans
la méningite ne peut être mise en cause dans l'explication de cette atrophie . Nulle part on ne voit non plus les fibres de r
granuleux. D'une façon générale, aux régions lombaire et dorsale, l' atrophie des racines postérieures se poursuit jusqu'au g
'en témoigne notamment l'examen du 2* ganglion dorsal. Le degré d' atrophie des fibres radiculaires varie dans de grandes lim
eures au contraire les vaisseaux paraissent indemnes. En résumé l' atrophie des fibres radiculaires postérieures porte ici pr
ais à la multiplication des noyaux conjonctifs de la capsule et à l' atrophie concomitante de la cellule ganglionnaire. Ils s
oupes qu'une partie des cellules ganglionnaires est aussi en voie d' atrophie et de disparition. Il est à noter que le tissu
ibre nerveuse, met en relief ici la modalité et le proces- sus de l' atrophie radiculaire : atrophie lente portant d'abord sur
elief ici la modalité et le proces- sus de l'atrophie radiculaire : atrophie lente portant d'abord sur la gaine de myé- line
ature ? ` ? LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABES 309 L' atrophie de la racine postérieure est due à la disparition
conjonctif qui les engaine quelquefois de si près : de sorte que l' atrophie de la racine postérieure se pré- sente comme un
rte que l'atrophie de la racine postérieure se pré- sente comme une atrophie simple, sans endonévrite. La portion juxta-gang
bre entre eux, sur d'autres l'accolement est moins intime. A part l' atrophie de la racine postérieure qui peut être poursuivie
res inférieurs. Abolition des réflexes lumineux. Exophtalmie. Pas d' atrophie musculaire. La malade était alcoolique et a eu
e ou calcaire. Au-dessus les méninges ne sont pas très malades. L' atrophie de la racine postérieure n'est pas très accentuée
x. Cinquième ganglion lombaire gauche (coupé transversalement). L' atrophie de la racine postérieure peut être suivie sur tou
portion sous-ganglionnaire, la racine postérieure est normale. L' atrophie n'est pas très prononcée, et il subsiste encore b
nérées. Septième ganglion cervical droit (coupes longitudinales). Atrophie très légère de la racine postérieure dans sa port
dans sa portion sus-ganglion- naire ; sur une très petite étendue l' atrophie est un peu plus marquée et à ce niveau les fibr
e était telle qu'elle ne pouvait plus marcher. Etat actuel en 1900, Atrophie très prononcée des membres inférieurs avec parési
ion sous-ganglionnaire, les racines postérieures sont normales. L' atrophie des racines postérieures est due à l'amincissemen
ns du sens musculaire. Aux membres supérieurs, ni incoordination ni atrophie , conservation des réflexes et de la sensibilité
à l'héma- toxyline. Inclusion à la paraffine. Dans tous les cas l' atrophie de la racine postérieure existe dans toute la p
x-mêmes. 322 THOMAS ET HAUSER Dans le pôle central du ganglion, l' atrophie des racines postérieures se voit encore netteme
la portion sous-ganglionnaire. Dans la portion sus-ganglionnaire, l' atrophie diminue à mesure que la ra- cine se rapproche d
prolifération nucléaire. Les méninges sont légèrement épaissies. L' atrophie de la racine postérieure est due à l'amincissemen
es inférieurs, incoordination très légère avec affaiblissement sans atrophie ni hypotonie ; abolition des réflexes patellair
dans son trajet sous-arachnoïdien, mais sur la 6° racine dorsale, l' atrophie di- minue et disparaît en remontant vers le gan
ntant vers le ganglion : sur la 2° région lombaire, au contraire, l' atrophie est plus nette immédiatement au-dessus du ganglio
llaire, réflexe à la lumière très diminué à gauche, aboli à droite. Atrophie papillaire. Elle meurt en 1902 après 14 ans de
é les lésions radiculaires se montrent fort variables. Tandis que l' atrophie est minime ou nulle dans les segments sus-ganglio
nt prise sous t'influence de l'imprégnation par le sublimé osmique. L' atrophie se poursuit sur une notable longueur (environ 1
ndrie. 3e Lombaire droit. - Coupes perpendiculaires sériées. ., L' atrophie des fibres radiculaires postérieures est très net
ombre ont leur capsule conjonctive proliférée et semblent en voie d' atrophie . LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABE
à la lumière. Diminution considérable de l'acuité visuelle ; double atrophie optique tabétique. Mort en 1902. Examen ANATO
en quelques lignes. Les altérations des racines consistent dans une atrophie très considérable qui peut être suivie jusqu'au
tablement diminuée, mais la démarche est nor- male ; il n'y a pas d' atrophie musculaire, ni de signe de Babinski. Les réflexes
sparaissant complètement, sans laisser à sa suite ni contracture ni atrophie musculaire, semble bien avoir été d'origine dyn
rveux. Dans la paralysie spinale infantile, on constate souvent une atrophie et même une hyperlrophie des os, sans qu'on pui
et même une hyperlrophie des os, sans qu'on puisse rattacher cette atrophie à l'inaction forcée des membres paralysés ; car
ULTIPLES A TENDANCE SUPPUPATIVE 357 côtés, nous n'avons constaté ni atrophie musculaire, ni scoliose, etsurtout parce que l'
e la racine des mem- bres. La force est conservée, il n'y a pas d' atrophie musculaire appréciable, (1) Il en est de même d
es du tabès (1). 1° Lésions DES FIBRES radiculaires. - L'étude de l' atrophie radiculaire dans la portion sus-ganglionnaire c
el cas, on ne saurait déduire une règle absolue, suivant laquelle l' atrophie augmenterait ou diminuerait de la moelle vers le
reste presque toujours, au point de pénétration dans le ganglion l' atrophie se montre avec netteté, et l'on peut généralement
le reste de l'organe. Mais quelque profonde et intense que soit l' atrophie en ces régions, les fibres radiculaires reparai
rne les racines postérieures, il est donc nettement établi que leur atrophie s'étend jusqu'au ganglion rachidien et- même dans
lles sont au contraire généralement saines. Ilistologiqllement, l' atrophie est surtout caractérisée par une destruction pr
té, contingent ; et par là son in- nuence sur le développement de l' atrophie radiculaire est, comme nous verrons, discutable
- d'ailleurs déjà plusieurs fois notées - qui semblent aboutir à l' atrophie et à la disparition de quel- ques-unes d'entre
lésions, atteignant un petit nombre de cellules et aboutissant à l' atrophie . Nous ne nous pronon- cerons pas sur le point d
léments de la capsule qui détermine par compression ou autrement, l' atrophie cellulaire, ou si c'est la cellule, atteinte pr
conjonctif. f. Cette supposition est d'autant plus acceptable que l' atrophie simple de la cellule ganglionnaire, sans prolif
en rien ses caractères histologiques. Il semble donc que parfois l' atrophie cellulaire puisse s'effectuer isolément sans réac
tions cellulaires et péri-cellulaires qui évoluent lentement vers l' atrophie et la disparition de l'élément noble. V. - In
us proportionnés au degré de conservation des cylindres-axes qu'à l' atrophie macroscopique des racines. Il est assez fréquen
ous avons utilisées. Ce n'est pas toutefois une règle absolue que l' atrophie des racines pos- térieures remonte jusque dans
cas de tabes peu avancé, l'un de nous (3) a pu s'assurer déjà que l' atrophie radiculaire diminue en se rapprochant du ganglion
d'abord atteinte dans son bout périphérique ou médullaire, et que l' atrophie gagne progressivement le bout central. Cependan
res plus haut, ce qui laisse supposer qu'il s'agit d'un processus d' atrophie segmentaire : c'est ce que l'un de nous a déjà
ations de' racines postérieures traitées par l'acide osmique (4); l' atrophie des fibres radiculaires est irrégulière, parfois
phié fait parfois suite à un segment presque normal. Le processus d' atrophie ou de dégénérescence des racines (1) OPPENHEIM
libre de la fibre ne s'effectue pas par un procédé plus voisin de l' atrophie simple, par une sorte de des- truction molécula
amoindrissement de la cel- lule, lésions qui pourraient aboutir à l' atrophie et à la disparition de quel- ques-unes d'entre
l y a des altérations cellulaires assez prononcées variant depuis l' atrophie simple jusqu'à la disparition : en même temps q
phie simple jusqu'à la disparition : en même temps que la cellule s' atrophie , les capsules ganglionnaires prolifè- rent, à u
upée par la cellule. Il est assez difficile de saisir le début de l' atrophie cellulaire, car sur un ganglion normal les dime
e Neurologie, 1901, fasc. 61 et 62. 424 THOMAS ET HAUSSER degré d' atrophie marquée, il ne saurait plus y avoir d'hésitation,
rétraction, homogénéisation du noyau avec conservation du volume ou atrophie du nucléole ; plus rarement.l'atro- phie du cor
u'il faut chercher dans la cel- lule le ]Jl'i1lltl1ll 1nOl'ens de l' atrophie des racines postérieures et de la sclérose des
des cellules atteintes, et toujours disproportionnées au degré de l' atrophie radiculaire. 3° Elles n'ont pas de caractère sp
it, soit d'altérations du protoplasma (chromatolyse, vacuolisation, atrophie ), ou du noyau (atro- phie, disparition) qui n'o
disproportion numérique entre les fibres et les cellules frappées d' atrophie . Nos connaissances plus récentes sur la structu
cas où les lésions cellulaires étaient évidentes, variant depuis l' atrophie légère jusqu'à la disparition complète. Il y au
que- ment, c'est la dégénérescence wallérienne que l'on observe ; s' atrophie-t -il lentement, progressivement, on peut alors ob
thodes actuellement en usage, on peut en tous cas admettre que si l' atrophie tabétique n'a pas de tendance à la régénéra- ti
uis le ganglion jusqu'à la moelle qu'il faut chercher la cause de l' atrophie des racines postérieures. D'après Obersteiner e
n, à moins d'admettre qu'en deçà de la moelle, il ne s'agisse d'une atrophie rétrograde, ce qui paraît très in- vraisemblabl
de nombreuses années ne donnent lieu qu'exception- nellement à de l' atrophie rétrograde et encore celle-ci est-elle légère.
le, mais qui ne saurait intervenir, à aucun titre, comme cause de l' atrophie de la racine postérieure, d'autre part, la péri-
ations interstitielles paraissent relativement récentes alors que l' atrophie des fibres est déjà ancienne (obs. III) : ces d
ES DU TABES 431 celle-ci est inconstante ou non proportionnelle à l' atrophie des racines, mais encore parce qu'elle ne sembl
geotte la spécificité de l'inflammation comme fadeur essentiel de l' atrophie radiculaire. Les arguments que nous venons d'in
ondait à l'interprétation exacte des faits, il faudrait envisager l' atrophie des fibres radiculaires à l'inté- rieur du gang
ophie des fibres radiculaires à l'inté- rieur du ganglion comme une atrophie rétrograde, et l'on ne conçoit guère que cette
n comme une atrophie rétrograde, et l'on ne conçoit guère que cette atrophie rétrograde puisse se produire si les fibres radic
SRT HAUSER avons pu le constater au cours de plusieurs examens, une atrophie légère., - de la racine postérieure au niveau e
d'autre part sur quelques séries de coupes de racines tabétiques l' atrophie pos- térieure s'accentue brusquement au niveau
de cette revue, le Professeur Soca (de Montevideo) publie un cas d' atrophie musculaire limitée aux membres inférieurs chez
dans mon travail inaugural (1), rejeté arbitrairement du cadre de l' atrophie type Charcot Marie les cas où l'atteinte des me
ons nous amène à nous demander s'il n'existe pas un type péronier d' atrophie mus- culaire héréditaire comme la description d
ffection a été limitée aux membres inférieurs n'est familial, que l' atrophie a toujours eu une prédilection marquée pour un cô
es années déjà les membres infé- rieurs étaient seuls touchés par l' atrophie . Leur grand'mère àgée de qlta- tre-vingts ans é
ses membres supérieurs n'avaient jamais présenté la moindre trace d' atrophie . Ce fait vient donc à l'appui de l'observation
le pli fessier est abaissé, à gauche. Déplus, ils sont frappés d'une atrophie qui se remarque à première vue. La mensuration,
ieure de la cuisse, des muscles de la jambe et du pied, à gauche. Atrophie , très nette, des mêmes muscles ; R. D.... dans le
que branche terminale du plexus sacré, doublée d'un certain degré d' atrophie musculaire, accompagnée de modifications quanti
nférieur gauche est allée en s'accentuant. Elle s'est doublée d'une atrophie musculaire diffuse. En même temps, l'examen du
e le membre inférieur gauche est fortement amaigri. Il s'agit d'une atrophie musculaire massive ; elle est prononcée surtout d
nsité, de l'extrémité à la racine du membre, et qui se double d'une atrophie musculaire massive, prédo- minante aux muscles
ujet. -t La disposition unilatérale de la paralysie motrice et de l' atrophie mus- culaire concomitante, les antécédents alco
omaine d'innervation du plexus sacré ; La prompte survenance de l' atrophie des muscles paralysés, le caractère massif de c
e de l'atrophie des muscles paralysés, le caractère massif de cette atrophie ; La nature des modifications des réactions éle
nutrition et la contractilité des muscles frappés de paralysie et d' atrophie . L'expérience nous a démontré qu'en s'engageant
(/e L</o ? t (<), nous avons démontré que dans certains cas d' atrophie du cervelet on pouvait voir disparaître les cellu
s. Nos premiè- res constatations avaient d'abord porté sur un cas d' atrophie cérébelleuse ayant donné lieu à la production d
corce du cervelet dans un cas de sclérose cérébrale infantile avec atrophie de l'hémisphère cérébelleux opposé. Voici d'a
observations : (i) L\NNOIS et PAVIOT, De la mise en évidence, par l' atrophie dite parenchymalevse, du cervelet d'une couche
ieurement l'observation (1) et sur lequel nous avions déjà noté une atrophie des folioles absolument semblable à celle que nou
embres du côté gauche et conservation apparente de la conscience. - Atrophie du lobe gauche du cervelet. Le nommé Roc..., âg
oniques. Il n'a d'autre trouble somatique appréciable qu'une légère atrophie de la cuisse gauche dont on se rend bien compte
égère hési- tation dans la marche et à laquelle fut attribuée cette atrophie . Il avait une aura sensitive tantôt dans le bra
la jambe gauche. A l'autopsie « on est immédiatement frappé par une atrophie considérable du lobe gauche du cervelet qui est
al soit du côté de l'occipital, soit du côté de la base du crâne. L' atrophie porte égale- ment sur les pédoncules cérébelleu
ue la substance grise n'est pas (1) Lannois et PAVIOT, Sur un cas d' atrophie unilatérale du cervelet (Revue Neuro- logique,
aucoup moins marquée, moins totale que sur le fragment précédent. L' atrophie de la couche moléculaire, la raréfaction de la co
sable obligeance (Pl. LX et LXI). Il s'agissait dans ces deux cas d' atrophie du cervelet que l'on pouvait t à la rigueur dir
et étendue à toute la corticalité céré- belleuse. Dans le second, l' atrophie avec sclérose était nettement limitée à l'un de
s vivement nous rendre compte de ce qui se passait dans le cas où l' atrophie parait nettement secondaire, c'est-à-dire dans
droite. - Epilepsie. Sclérose cérébrale de l'hémisphère gauche avec atrophie croisée du cervelet. La nommée Philomène M...,
alade ne peut maîtriser : pas de mou- vements athétosiques. Pas d' atrophie manifeste ni au bras ni à la jambe ; seulement le
, séparées par des sillons et des scissures très larges. Bien que l' atrophie soit généralisée, elle a son maximum au niveau de
de forme, la cel- lule est bien constituée. En somme, dans cette atrophie de la couche cellulaire corticale, on remarque
ns l'alcool. Quand il s'agit d'une circonvolution qui présente de l' atrophie de son manteau gris seulement sur une de ses face
nt de l'hémisphère cérébelleux droit atrophié. - C'est toujours une atrophie parcellaire et régionale que révèlent les coupes.
core une arborisation de 3e ordre qui montre sur une de ses faces l' atrophie intense de ses trois couches quand l'autre face
é dans les deux cas précédents, le premier signe chronologique de l' atrophie est la disparition des cellules de Purkinje ; pui
e de galets, par un Ilot qui se retire, car elles préexis- tent à l' atrophie , cela n'est pas douteux ; elles ne sont que recou
coupes teintées au picro-carmin, on peut déjà se rendre compte de l' atrophie des portions médul- laires des arborisations cé
lycérine) disparaît de ces portions mé- dullaires parallèlement à l' atrophie du manteau gris. 4e Partie inférieure du bulbe.
oppement ordinaire. Les cellules de l'olive ne montrent ni signes d' atrophie ni diminution de nombre. En résumé, dans ces tr
e ni diminution de nombre. En résumé, dans ces trois observations d' atrophie primitive ou secon- daire du cervelet, nous.avo
car dans l'examen histologique du cas qui leur a servi à établir l' atrophie olivo-ponto-cérébelleuse, ils disent : « La plu
voir de lésions cel- lulaires. Nonne (3) dit expressément, malgré l' atrophie considérable qui donnait l'aspect d'un cervelet
Londe classe comme intermé- diaire entre l'ataxie héréditaire et l' atrophie cérébelleuse, il est facile de (1) Thomas, Le .
ur Psychiatrie, 1891, t. XXII. 528 LANNOIS ET PAVIOT - voir que l' atrophie ressemblait beaucoup à celle que nous avons décri
duit d'une manière uniforme dans des cas d'origine fort différente, atrophie d'apparence primitive, lepto- méningite chroniq
d'un cervelet atrophié se- condairement; 1 2° Dans ce processus d' atrophie , il s'isole constamment une couche qui répond p
ue et précède toutes les autres modifications dans ce pro- cessus d' atrophie ; 3* La nature fréquemment secondaire de l'atro
pro- cessus d'atrophie ; 3* La nature fréquemment secondaire de l' atrophie démontre qu'on ne doit pas considérer le syndro
respectivement assez bien proportionnés. Si l'on excepte une légère atrophie musculaire du membre inférieur gauche tenant au
l ne permet pas de sentir la prostate ; comme c'est la règle dans l' atrophie testi- culaire congénitale, la glande prostatiq
jamais été accompagnées d'éjaculations. Il faut rapprocher de cette atrophie testiculaire les autres signes d'infanti- lisme
nt dans la région sus-puLienue, les ais- (1) Lnonois, Castration et atrophie de la prostate. Association française pour l'avan
on ; 2° Le mode de croissance gigantesque et ses anomalies ; 3° L' atrophie génitale, dans ses rapports avec les deux faits p
la polydipsie ; parmi les signes objectifs, inconstants, il signale l' atrophie des testicules, susceptible de coïncider parfoi
tre; cette dimi- nution peut, comme je l'ai dit, s'accompagner de l' atrophie du pénis et des testicules. En fait, cet affaib
Jancso (2). - Elles mettent également en valeur l'association de l' atrophie génitale et gigantisme. Voici l'observation d
que le mot d'acromégalie y soit même prononcé. (21 Les exemples d' atrophie génitale chez les géants pourraient être multipli
atis par la tumeur ; mais, bien que comprimés, ils ne présentent ni atrophie , ni changement décoloration. Les nerfs olfactif
a vu l'arwmenlation. Testicule droit : 9 er. 5 ; gauche : 12 er. 5. Atrophie testiculaire sans inflammation : ni la capsule,
: ni la capsule, ni le tissu conjonctif ne sont hypertro- phiés. Atrophie des canaux séminiféres, sclérosés et ratatinés
Pas de sper- matozoïdes dans les canaux. Il s'agit en somme d'une atrophie testiculaire primaire, semblable celle de certa
Nerfs périphériques. Sur les coupes du sciatique, on note un peu d' atrophie des fibres nerveuses ; les fibres normales sont
sur le tissu nerveux ; mais il n'y a pas trace d'inflammation. Ni atrophie , ni dégénérescence graisseuse des nerfs optique
ts, plus souvent encore que chez les acromégaliques, il existe de l' atrophie génitale. - , Réciproquement, pour ainsi dire
NTISME ET INFANTILISME 577 578 LAUNOIS ET ROY Tous ces exemples d' atrophie génitale chez des géants et d'accroisse- ment d
mégalie) des troubles des organes génitaux (suppression des règles, atrophie de l'utérus), produisent peut-être chez l'enfan
te en particulier l'étude des rapports réciproques existant entre l' atrophie testiculaire et j'hypertrophie hypophysaire. Au
gigantisme infantile, dans lequel la taille élevée coexiste avec l' atrophie génitale, ou, tout au moins, avec l'im- puissan
pl. en piotocollogi-.), par F. Ray- mond et Pierre JANI : T, 241. Atrophie musculaire m ! }élopathique (Noie à propos de l
opos de la topographie radiculaire des), par CESTAN et HULT, 182. Atrophie muscu'aire myélupatltique (Elude clinique de la
Raymond et P. JAXET), XXX. Amÿotrophie Charcot-Alarie (Soca), IX. Atrophie congénitale des muscles pec ! o- raux (Souques)
ophie congénitale des muscles pec ! o- raux (Souques), XVI, XVII. Atrophie musculaire myélopathique (Ces- TAX et HuET). II
5 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
on du crâne caractérisée par une synostose précoce des sutures avec atrophie des nerfs optiques. On a donc restreint penda
halique, en dehors de son cortège de symptômes nerveux bien connus ( atrophie des nerfs optiques, strabisme, exophtalmie, idi
vu, dans l'oxycénhalie, les premiers un état post-méningitique avec atrophie secondaire des nerfs optiques, et les deuxièmes
l'autopsie d'un malade de Bicêtre atteint d'oxylrigonocéphalie et d' atrophie double des nerfs optiques (1). A peu près à la
1. (5) A. Patry, Thèse, Paris, 1905. (6) Meltzer, Pathogénie de l' atrophie optique et du Turmschoedel. Neur. Centralbl., 1
phalie deux types oplitalmoscopiques : la névrite en évolution et l' atrophie du nerf optique secondaire à la névrite. La név
utefois ex- ceptionnellement, tandis que les cas d'oxycéphalie avec atrophie optique sont beaucoup plus nombreux que les pré
édents. L'altération principale, la seule qui permette d'affirmer l' atrophie , est la lésion papillaire. Les bords de la papi
s veines sont dilatées, sinueuses et les artères minces. Avec cette atrophie , l'acuité visuelle reste encore relativement di
systématiques chez les aveugles, à relever que, dans certains cas d' atrophie névritique du fond de l'oeil, il est possible de
talmoscopique du fond de l'oeil, l'on peut relever qu'il existe une atrophie papillaire post-névritiqne assez avancée, plus ac
r- mant le diagnostic d'hydrocéphalie, il établit l'existence d'une atrophie névri- tiqne papillaire en train d'évoluer. Les
he nacrée, allongée trans- versalement, bords flous et irréguliers. Atrophie papillaire très accusée post- névritique. 0.
e qu'à droite bords flous, vais- seaux normaux, membranes normales, atrophie papillaire post-névritique. 0. G. D. Presque pa
rognathisme supérieur est plutôt apparent que réel et serait dû à l' atrophie de la mâchoire inférieure. En réalité, mes rech
is elle agit directement sur les us de la calotte en produisant une atrophie très rapide de la table interne. C'est là le cô
st chargé notre confrère le Dr Monra Brazil (fils), a démontré de l' atrophie des deux nerfs optiques, très avancée du côté gau
ômes d'une' tumeur de la base : de la céphalée, des vomissements, l' atrophie des nerfs optiques, des phé- nomènes de compres
enir autant la la disparition de la graisse qu'à un certain degré d' atrophie musculaire ; de ce fait, la force est très dimi
l'on trouve chez ce malade : un état 1)al·éto-SpaSnlOdlqllf·, avec atrophie musculaire, de l'instabilité chol'éi forme, une a
z marquée du nombre des cellules de Purkinje fit nn certain degré d' atrophie de la substance blanche. Anatomiquement donc, c
.IER ET NOVÉ-JOSSERAND rine et, Thomas, consistent ordinairement en atrophie simple du cylindraxe avec démyélinisation lente
, art. Ta- bes, par Dejerine et Thomas, p. 607. (2) Terrien, De l' atrophie labêltque, Presse médicale, 18 mars 1903, n- 22,
cette géante en effet, il constate avec un clitoris hypertrophié, l' atrophie du vagin, de l'utérus, des trompes et des ovair
n. Elles sont particulièrement fréquentes sur les organes en voie d' atrophie ou de disparitions ; dès qu'ils ont cessé d'êtr
rd. ^SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS SÉA1\CE DU 25 JANVIER 1912. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN- DUCHENNE DE N
19 ;) 282 LONG n'existe pas d'autres phénomènes morbides que de l' atrophie musculaire et des troubles de la motilité. Me
tion prise pendant ce deuxième séjour à l'Hôpital cantonal note : L' atrophie musculaire est très marquée à la main gauche, à l
i-même, est moins volumineux que celui du côté droit. A droite, l' atrophie se retrouve à un plus faible degré, à la main et
pas appréciable à la vue sur les muscles du bras et de l'épaule. atrophie musculaire PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 283 M
dus à un cancer de l'estomac. Dans les huit dernière : années, l' atrophie musculaire a.subi une aggrava- tion lente : Le
spectés (trapèze, grand pectoral). , Au membre supérieur druit, l' atrophie a aboli presque complètement la mo- tilité des
mbres inférieurs, même prédominance du côté gauche où on trouve une atrophie considérable du quadriceps crural et une atrophie
où on trouve une atrophie considérable du quadriceps crural et une atrophie en masse des muscles de la jambe. Les troubles
une tumeur volumineuse, adhérente au foie. Décès le J9 août 1910. ATROPHIE MUSCULAIRE PR0GRUSS1VE TYPE AISAN-DUCHENNE 285
e. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALYLTRILRC. T. XXV. Pl. XXXV111 ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE (Type Aran-Duchenne) d
SSIVE (Type Aran-Duchenne) de nature névritique. , (E. Long). ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 287 L
G de fibres saines, en général groupées ; les autres sont en état d' atrophie rela- tive, et entourées par des gaines de Schw
; inverse- ment, on trouve des fibres arrivées à un degré avancé d' atrophie sans que leur gaine conjonctive ait des dimensi
. NOUVELLE Iconographie DE la SALPLTRIÈRE. T. XXV. l'1. XXXIX X ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE (Type Aran-Duchenne) d
ature névritique. 1 (E. Long). Masson & Cie, Editeurs £ A ATROPHIE MUSCULAUOE POG) ! ESS)V) ! TYPE Alt,N-DUCHENNF, 2
isposition histologique que dans les troncs nerveux périphériques : atrophie des fibres nerveuses et épaississement concentr
cine dorsale est des- tinée, comme la racine C 8, à une région où l' atrophie musculaire a débuté et a atteint le plus de gra
ons, le Nouvelle Iconographie DE la SALPLTRILRr. T. XXV. Pl. XL ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE (Type Aran-Duchenne) d
SCULAIRE PROGRESSIVE (Type Aran-Duchenne) de nature névritique. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPJ : ftCRENNE zvi volu
taines régions parait anormalement t développé, indépendamment de l' atrophie des fibres musculaires ; cette myosite intersti
muscles examinés. Résumé DE l'observation clinique. - Début de l' atrophie musculaire à l'âge de 53 ans, par les muscles d
ge de H5 ans par cancer de l'estomac), l'extension progressive de l' atrophie avait produit : une impotence presque complète
s cellules motrices dans le ren- flement cervical. Pans les nerfs : atrophie d'un grand nombre de fibres nerveuses ; hypertr
les racines postérieures sont presque indemnes . Dans les muscles, atrophie à divers degrés des fibres striées myosite inters
ie à divers degrés des fibres striées myosite interstitielle. Cette atrophie musculaire progressive débutant par les extrémité
d'obser- vations attribuées à l'amyotrophie type Charcot-Marie, ou atrophie mus- 292 LONG cuiaire progressive neurotique
de Hoffmann (1890 et 1891) ont fixé définitivement la notion d'une atrophie musculaire à marche lente, débutant par les ext
s observations cliniques la première, celle d'Eulenburg (début de l' atrophie à 29 ans par les petits muscles de la main, avec
e famille. Un des sujets est atteint dans la première enfance d'une atrophie des muscles des pieds et des jambes, avec exten
ras paraissent hypertrophiés. La soeur de ce ma- lade ne présente d' atrophie qu'aux muscles des mains. Ici contractions fibr
gine spinale.- . Hoffmann (1) fait rentrer ces trois cas dans son atrophie musculaire neurotique et les rapproche de ses o
bservations personnelles. Chez deux frères Otto G. et Gustave G., l' atrophie a commencé à l'âge adulte et a atteint t les mu
eux autres malades de Hoffmann (enfants Louise et Karl Willmann), l' atrophie a aussi un début et une topographie différents.
graphie différents. L'aînée est frappée depuis l'àge de 5 ans d'une atrophie progressive des membres supérieurs, commençant
éger degré d'équinisme. Le cadet a, depuis la première enfance, une atrophie partielle des mus- cles de la jambe; les mains
de Ilânel (2) l'histoire clinique d'une famille présentant 22 cas d' atrophie musculaire, répartis sur quatre générations, et
30 ou 40 ans ; les muscles de la main étaient pris les premiers, l' atrophie remontait pro- gressivement jusqu'à la ceinture
rouverons avec les documents anatomiques, ont établi que la forme d' atrophie musculaire progressive, que l'on dénomme amyolr
myolrophie type Charcot-Marie ou encore type péronier de Tooth., ou atrophie musculaire progressive neurotique (ou neurale)
s ren- seignements cliniques que ceux du caractère héréditaire de l' atrophie musculaire progressive et de son évolution : dé
ions cliniques dépourvues d'examen histologique. La topographie d'une atrophie musculaire n'a plus la valeur indiscutahle qu'o
43, 1896), par exemple, d'une myopathie évoluant sous la forme de l' atrophie neurotique et révélée seulement par l'examen an
) a fourni un autre exemple de la possibilité de cette erreur : une atrophie progressive débutant par les membres inférieurs a
r Muskelatrophie. Virchow's Archiv, vol. VIII, oct. 1855, p. 537. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 295 e
ce. Cas DE Friedreich. -(I) La première observation est celle d'une atrophie progressive, datant de l'enfauce, intéressant l
trouve une moelle intacte ; dans les nerfs des régions malades, une atrophie des fibres nerveuses et une infil- tration inte
ntérieures. Dans les muscles, myosite chronique interstitielle avec atrophie graisseuse des fibres striées. Dans l'observati
bes, puis ceux des mains, des avant-bras et ceux du bras gauche : l' atrophie progressive est accompa- gnée de contractions f
es névrites périphériques. Dans sa première observation, bien que l' atrophie musculaire fut progressive z et accompagnée de
acines rachidiennes et même la moelle. (2) Elude sur quelques cas d' atrophie musculaire, limitée aux extrémités et dépen- da
est un noyau ou un cylindraxe. » Le second cas de Dubreuilh est une atrophie progressive, d'origine hérédi- taire, familiale
pinales-névritiques. Il s'agit d'une femme de 36 ans, frappée d'une atrophie progressive débutant par la racine des membres su
ns troubles objectifs de la sensibilité. A l'examen histolo- gmue : atrophie cellulaire partielle dans les cornes antérieures
stologiques publiés sous le titre d'amyotrophie Charcot- Marie ou d' atrophie musculaire neurotique de Hoffmann. Observation
bres inférieurs avec douleurs lancinantes pendant plusieurs années, atrophie des mains à 19 ans. Troubles de la sensibilité cu
ot-l9arie, Arch. de méd. expérim. et d'anat. path., 1891, p. 921. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 297 m
oteurs et sensitifs. Observation DE SIEMEJlL1NG (1). - Début de l' atrophie entre et 7 ans par les muscles des jambes, exte
des cellules dans les cornes antérieures et la colonne de Clarke ; atrophie des racines antérieures, intégrité des racines po
ncée. Observation de SAINTON (2). - Début à l'âge de 42 ans par une atrophie des muscles de la main droite ; extension aux m
faible des cordons laté- raux ; altération de la colonne de Clarke; atrophie des cellules des cornes anté- rieures à divers
CASnzzn (3). - Début à 27 ans par des douleurs dans les extrémités; atrophie des membres inférieurs, steppage, réflexes rotuli
lexes rotuliens très faibles, légère diminution de la sensibilité ; atrophie des membres supérieurs, mains, avant-bras, bras
atrophie des membres supérieurs, mains, avant-bras, bras, épaules ; atrophie de l'orbiculaire des lèvres. Pas de contraction
ie). , Observation DE Dejerine et Arsiand-Delille (1). - Début de l' atrophie par les extrémités des membres, vers l'âge de 2
fois état criblé de la substance grise. Dans les ganglions spinaux, atrophie cellulaire, dégé- nérescence des fibres des rac
; diminution des fibres sans prolifération des noyaux (1) Un cas d' atrophie musculaire type Charcot-Marie, suivi d'autopsie.
opsie. Revue Neu- rologique, 1903, p. 1198. (2) Note sur un cas d' atrophie musculaire progressive. Journal de Neurologie, 19
phie musculaire progressive. Journal de Neurologie, 1906, p. 161. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 299 d
la transformation graisseuse; fuseaux neuro-musculaires lésés avec atrophie des tubes nerveux (Dans la discussion de cette
ette observation, les auteurs défendent la conception unitaire de l' atrophie musculaire progressive et considèrent les lésio
s. Examen histologique : Dé- générescence des cordons postérieurs ; atrophie des cellules des cornes anté- rieures, des colo
laires ; des fibres saines persistent à l'état isolé au milieu de l' atrophie ; quelques-unes sont hypertrophiées. Observati
hypertrophiées. Observation de GIERL1CH (2). Hérédité similaire ; atrophie des muscles de la jambe, pied-bot ; aux membres
trophie des muscles de la jambe, pied-bot ; aux membres supérieurs, atrophie des muscles de la main, puis de l'avant bras, s
RER ET Maas (3). - Début vers 39 ans, par les mus- cles des jambes. Atrophie musculaire, refroidissement, cyanose ; les mains
ible degré dans les nerfs de la queue de cheval. Dans les muscles : atrophie ou transformation graisseuse des fibres striées ;
AMA (1). - Début vers 5 ans par la paralysie des jam- bes ; à 9 ans atrophie des mains ; extension progressive allant jusqu'au
eux, diminution des fibres des racines antérieures et postérieures; atrophie des cellules des cornes antérieures et des colo
ues. De même celle de Rots(adt (2), qui est citée parfois comme une atrophie neurotique, est en réalité une myopathie de par s
e et progressive de l'enfance. Société de biologie, 18 mars 1893. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 301 m
mato- logie et l'anatomie pathologique se sont montrées identiques. Atrophie muscu- laire débutaut dans l'enfance par les ex
rachidiens, spinaux et sympathiques, avec lésions parenchymateuses ( atrophie des fibres et des gaines de myéline) et interst
vrite interstitielle hypertrophique. Début à l'âge de 7 ans par une atrophie progressive des muscles des mem- bres inférieur
es cellules multipolaires des cornes antérieures. Dans les muscles, atrophie simple, parfois transformation fibreuse. L'ob
e (type Pierre Marie). Semaine médicale, 1910, p. 145. 302 LONG Atrophie musculaire familiale prédominant aux membres infé
aires. Déséquilibre mental habituel. A l'âge de 44 ans, début d'une atrophie musculaire progressive au niveau de la main gau
t de l'épaule gauche. Sept à huit ans après le début de la maladie, atrophie progressive des muscles de la main droite, atroph
de la maladie, atrophie progressive des muscles de la main droite, atrophie consécutive incomplète des muscles de l'avant-b
sculaires, et au niveau des racines rachidiennes dont les anté- (1) Atrophie musculaire progressive des membres supérieurs (ty
titielle hypertrophique. Iconographie de la Salpêtrière, 1907, n 1. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 303 r
ables aux observations classées dans l'amyotrophie Charcot-Marie ou atrophie neurotique de Hoffmann ; le début par les mem-
lle de Hoffmann et de ceux qui, après lui, ont décrit et délimité l' atrophie musculaire neuro- tique. Mais on cherchait alor
ne la dégénérescence de la fibre musculaire. Les rapports entre l' atrophie des fibres nerveuses et t'hypertrophie des élém
Iandbuch der Neurologie (Le- wandowski), 1911, t. Il, p. 321-445. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE-ABAN' DUCHENNE oua
nc dans certains cas d'amyotrophie Charcot-Marie par un processus d' atrophie simple, sans que les éléments interstitiels aie
ire que dans la règle une hyperplasie interstitielle ac- compagne l' atrophie des éléments nerveux, sans avoir de relations pro
érieures, sans extension aux nerfs périphériques. 306 LONG mixte, atrophie spinale-névrilique, avait été proposée par Bernha
centres nerveux. Pour les muscles, la même question se pose : leur atrophie est-elle pri- mitive, ou secondaire à la dégéné
e propos, il est intéressant de relever dans plusieurs observations d' atrophie musculaire névritique, analysées plus haut (cas
ggère l'idée d'une extension au cerveau du processus dégénératif. ATROPHIE \IUSCULALItE PROGRESSIVE TYPE AiA-DUCIIRiZINE 307
ès accusé chez ce malade,varie dans l'ensemble des obser- vations d' atrophie musculaire progressive névritique, souvent atténu
disparu. Le réflexe plantaire se fait en flexion. On constate de l' atrophie de la jambe gauche. En 1903, l'état est sensibl
z exacte- ment à ce que la symptomatologie permettait d'imaginer. L' atrophie musculaire localisée aux territoires des deux n
fibres radiculaires postérieures f., p. diminution de la graisse l., atrophie des racines antérieutes r. a., aspect normal de
es musculaires de ce membre supérieur droit sont atrophiées, mais l' atrophie est encore plus évidente dans les muscles de l'
ne maladie à cours lent mais progressif,et exclusivement à droite : atrophie des muscles de la, face et, beaucoup plus tard,
epuis quelque temps, à quelques an- nées de distance, également une atrophie des muscles de la cuisse. A gauche, aucun signe
ment une atrophie des muscles de la cuisse. A gauche, aucun signe d' atrophie , sauf la tendance de l'omoplate à prendre la fo
omoplate ailée. L'examen objectif a permis de faire ressortir que l' atrophie des muscles chez le sujet est d'autant plus gra
la dis- parition, altération d'autant plus évidente elle-même que l' atrophie des muscles est plus grave. L'on n'a jamais con
x côtés et ils man- quent dans le membre supérieur droit, côté de l' atrophie . Or, si l'on considère que le sujet n'a jamais
inférieure tombante ; la disposition de la fossette sous-nasale ; l' atrophie ayant frappé, à droite, le masséter, les ptérygoï
é élec- trique correspond en général au degré plus ou moins grand d' atrophie des muscles. Et outre, il ne faut pas oublier,
e rarement dans la forme en question,que le masséter était frappé d' atrophie à droite et qu'il 1 en était de même des muscle
cicatrice ombilicale était déviée à gauche. Il faut signaler aussi l' atrophie des muscles de l'éminence thénar, du court abdu
us mince qu'à gauche. J'insiste sur ce point, car jusqu'à présent l' atrophie des os des membres, que l'on signalait, ap- par
dans un cas de pseudo-hypertrophie musculaire, Schultze trouva une atrophie du fémur, et Lloyd constata une atrophie de l'épi
laire, Schultze trouva une atrophie du fémur, et Lloyd constata une atrophie de l'épi- physe des os constituant les articula
çonner que peut-être ce côté-là commence aussi à être affecté d'une atrophie de quelques muscles de la ceinture scapulaire. Ce
ceinture scapulaire. Cela nous enseigne que la monolatéralilé de l' atrophie des muscles dans la dystrophie musculaire progr
gressive, suivant l'idée soutenue par Ray- mond (2). D'après lui, l' atrophie musculaire progressive se présente comme une af
les. La première éventualité se réalise en général dans le cas où l' atrophie commence dès le jeune âge, et alors cette affec
E DE LA ¡jALPJ1TR1ÈRE Service de M. Le Professeur Pierre Marie. L' ATROPHIE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES DE LA
ES FOIX PREMIÈRE PARTIE Lorsque Duchenne (de Boulogne) décrivit l' atrophie musculaire qui porte son nom, il la considéra c
la sclérose latérale s'approprièrent les cas les plus typiques de l' atrophie musculaire progressive. La main d'Aran-Duchenne
. Enfin dans un cas particulièrement intéressant de M. Sou- ques, l' atrophie à type Aran-Duchenne était associée à la sclérose
avec lésion thénarienne, hypothénarienne etinter-osseuse, soit une atrophie simple de l'éminence thénar ou de l'éminence hy
existe pas à notre connaissance d'étude d'ensemble de cette forme d' atrophie isolée non progressive en dehors d'un travail réc
utre limitée aux membres supérieurs, observé une raréfaction et une atrophie des cellules des cornes antérieurs des segments
édullaire, identique à celle de nos cas, mais plus haut placée. L' ATROPHIE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 357 p
r de la corne est en effet remplacée par une ligne de tissu cica- L' ATROPHIE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 359 t
uatrième cas anatomo-clinique, lésions de névrite interstitielle. L' atrophie était dans ce cas unilatérale el frappait les émi
staté ainsi : des altérations névritiques extrêmement marquées. Une atrophie relative des racines correspondantes. Des lésio
t que l'on n'y voit presque plus que des gaines vides au Pal ou à L' ATROPHIE ISOLEE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 363 l
ance est plus court que le gauche et atrophié. Le gauche présente l' atrophie des muscles du thénar et de l'hypothénar et des
e plus frappant au moment de l'entrée du malade à l'hôpital était l' atrophie de petits muscles de la paume gauche du type Ar
s symp- tômes de la maladie. Les altérations de dégénérescence et d' atrophie dans les cellules de la corne antérieure gauche
presque complète des raci- nes antérieures suffisent à expliquer l' atrophie de petits muscles de la main gauche avec réacti
en évidence dans l'ob- servation clinique des symptômes tels que l' atrophie des muscles de la main gauche du type Aran-Duch
uivies d'un affaiblissement nota- table des membres supérieurs et d' atrophie des muscles du type Aran-Du- chenne, les réflex
lles des deux médius et des pieds. , Amaigrissement général, avec atrophie bien prononcée des masses sacro- lombaires et d
t récent du pont de Varole et de l'hémisphère cérébelleux gauche. Atrophie musculaire non progressive de la main droite avec
e prendre le porte-plume pour écrire. On notait à ce moment : Une atrophie thénarienne très marquée avec grosse difficulté d
marquée avec grosse difficulté des mouve- ments d'opposition. Une atrophie hypothénarienne modérée. Un certain degré d'atr
osition. Une atrophie hypothénarienne modérée. Un certain degré d' atrophie des membres interosseux. Pas d'autre atrophie m
Un certain degré d'atrophie des membres interosseux. Pas d'autre atrophie musculaire. La main gauche paraît normale. Les ré
nt unéatrophie très marquée de l'éminence thénar du côté droit, une atrophie de l'éminence hypothénar du même côté, une atro
côté droit, une atrophie de l'éminence hypothénar du même côté, une atrophie modérée des muscles interosseux avec amaigrisse-
cie unilatérale droite. C 6-7 (la coupe a été retour- née). Noter l' atrophie légère de l'hémi-moelle droite (à gauche sur le d
et D 1 (partie supérieure). Le reste de la moelle était indemne. L' ATROPHIE ISOLÉE XOX PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 431 e
est toujours complètement sain d'un côté et de l'autre, pas d'autre atrophie musculaire. Le réflexe radial est extrême- ment
e. Destruction du même type au niveau du 7e segment cervical.Simple atrophie sans destruction complète au niveau de la parti
s. Son histoire présente également à étudier deux choses : 10 Une atrophie des petits muscles de la main gauche. 2° Une hé
oite, aphasie terminale survenue longtemps après l'amyotrophie. L' atrophie des petits muscles de la main n'a été observée qu
à son métier et ne s'en est pas autrement inquiété : A l'examen : l' atrophie porte sur la main gauche où elle est nettement
PHOE ISOLÉE NON PKOGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 433 3 par suite de l' atrophie des membres interosseux. Les mouvements de la mai
rre. Le 21 mai. Mort dans le marasme,température 0°7. En résumé : Atrophie musculaire isolée des petits muscles de la main.
é : Atrophie musculaire isolée des petits muscles de la main. Cette atrophie est limitée aux éminences thénar et hypothénar. L
es deux cornes antérieures. Aspect grêle des cornes posté- rieures. Atrophie de la moelle avec aplatissement antéro-postérieur
u'à ce niveau. C 6, U 3 et le reste de la moelle étaient indemne. L' ATROPHIE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 435 é
chroniques des hanches, de la colonne vertébrale et des genoux, une atrophie thénaro-hypothéuarienne très marquée et limitée
. Pas de trou- bles de la sensibilité. 4.36 P. MARIE ET FOIX 3° Atrophie théna1'o-hYJ1Othénal'ienne. Il existe du côté dro
de même de l'émi- nence hypothénar ainsi que dès interusseux dont l' atrophie se traduit par de profondes dépressions sur le
6 aus au dire de sa lille), ce qui cadre bien avec l'intensité de l' atrophie et l'état des réactions électriques. En résum
ans signe d'affectation caractérisée du système nerveux on note une atrophie de date ancienne isolée et non progressive des pe
safra- nine. Augmentation légère de la graisse intra-nerveuse. L' ATROPHIE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 437 g
ancienne portant sur les nerfs cubital et médian à partir du coude. Atrophie réflexe modérée des 7" et 8° racines cervicales
lus de changement. Examen. - L'attention est attirée d'emblée sur l' atrophie musculaire qui reproduit assez exactement le ty
XV. Pl. LXI Obs. VI. - Type thénarien pur. Obs. V. Type diffus. Atrophie ISOLÉE NON progressive DES PETITS MUSCLES DE la m
ssive DES PETITS MUSCLES DE la main ('Pierre Marie et C. Foix). l' atrophie isolée NON progressive DES PETITS muscles 439 n
avouée. La malade a refusé la ponction lombaire. Elle présente une atrophie tbénarienne droite. L'affection a débuté il y a
n gauche et craint, dit-elle, que celle-ci ne se prenne. Malgré son atrophie la malade peut coudre, et cependant l'oppositio
Pas d'autre amyotrophie. En résumé, t : 11les incipiens probable. Atrophie thénarienne respectant l'adducteur du pouce. Ob
la force musculaire du bras et de l'avant-bras est bonne et égale l' atrophie ISOLHR non PT1.0GIIESSIYE DES PETITS MUSCLES 441
thénar est profondément touchée, la peau y est lisse par suite de l' atrophie du palmaire cutané. On ne peut pas déterminer la
r pression sur le pisiforme alors que ce réllexe existe a gauche. L' atrophie de l'éminence thénar est diffuse et discrète, l'a
ez un ma- lade niant la syphilis, apparition en un an environ d'une atrophie mixte frap- pant à la fois l'éminence tbénar et
conservés et normaux. Observation VIII Wa..., 78 ans, ménagère. Atrophie thènariennc congénitale . La malade dit avoir é
d'opposition très difficiles. Elle sait qu'elle a toujours eu de l' atrophie de l'éminence thénar. Rien de semblable du côté
e thénar est nettement atrophiée par rapport l'autre sans que cette atrophie présente l'intensité de l'atrophie dans les cas p
r rapport l'autre sans que cette atrophie présente l'intensité de l' atrophie dans les cas précédents. Elle porte surtout sur
font bien, la force de pronation est un peu dimi- nuée. En somme, atrophie et affaiblissement nets des muscles de l'éminence
inence thé- nar à gauche surtout de l'abducteur et de l'opposant. Atrophie et affaiblissement légers de l'éminence hypothéna
t l'oeil droit a été opéré et iridectomisé pour la même raison. L' ATROPHIE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 443 3
arche bonne. Rien de très notable à l'examen viscéral. En résumé, atrophie thénarienne congénitale atteignant quelque peu l'
servation IX B...,49 ans, journalier. Nie la syphilis, présente une atrophie des petits mus- cles de la main droite frappant
Grosse augmentation de l'albumine rachidieune. Lym- phocytose. B) Atrophie des petits muscles de la main : Remonte égaleme
n malade atteint de syphilis nerveuse, à type de tahes supérieur. Atrophie isolée des petits muscles de la main du côté droi
muscles de la main du côté droit. Il est difficile de dire si cette atrophie sera ou non progressive puisqu'elle ne remonte
ps sensation d'engourdisse- ment et de faiblesse dans le pouce. L' atrophie musculaire fut remarquée par son médecin. Elle es
de la sensibilité dans les trois premiers doigts de la main droite, atrophie thénarienne limitée à l'abducteur et à l'opposant
e de l'abducteur et de l'opposant. Eminence hypothénar normale. L' ATROPHIE ISOLEE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES zizi
les de l'avant-bras. Lorsque ces symptômes existent, associés à une atrophie thénaro-hypothénarienne, l'affection sera général
s 2 cas limités. Quant au type hypothénar auquel se surajoute une atrophie des inté- rosseux nous ne l'avons pas rencontré
observation VI a trait un type hy- pothénar avec association d'une atrophie thénarienne modérée. A côlé de ces caractères t
e confondre une amyotrophie thénarienne d'origine nerveuse avec une atrophie parlésion simple de voisinage articulaire, par
cliniques d'atropliie thénarieune par téphromalacie, quant au cas d' atrophie thénarienne par névrite, il est difficile de rien
r se calmer plus ou moins complètement par la suite. Ces douleurs L' ATROPHIE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES 447 s
La première est que ces malades ont souvent autre chose que leur atrophie thénarienne ; et qu'ainsi, les modifications de l
n, net- tement plus fort du côté malade. » e) Enfin dans un cas d' atrophie congénitale, le réflexe radial était un peu plu
itique. Ainsi donc, malgré la variabilité de l'état des réllexes, l' atrophie isolée non progressive despetits muscles de la
presque tous le double pied-bot tabétique de Joffroy, et chez qui l' atrophie bilatérale des petits muscles de la main, s'accom
nsidérable de tout le membre supérieur. Il s'agit donc en réalité d' atrophie musculaire diffuse symétrique, bilatérale et pr
s extrémités, type en effet essentiellement névritique et non pas d' atrophie musculaire isolée des petits muscles de la main
pas d'atrophie musculaire isolée des petits muscles de la main. L' atrophie isolée non progressive peut d'ailleurs, comme le
sie relatent pres- que tous des lésions analogues, c'est-à-dire une atrophie des cellules des cornes antérieures. l'atroph
c'est-à-dire une atrophie des cellules des cornes antérieures. l' atrophie ISOLÉE 1\0l'\ PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES li 4
trophie ISOLÉE 1\0l'\ PROGRESSIVE DES PETITS MUSCLES li 41) A cette atrophie s'ajoutent des lésions vasculaires plns ou moins
dans un travail comportant l'examen anatomo-pathologique d'un cas d' atrophie muscu- laire progressive d'origine syphilitique
ment au cours de l'énumération succincte d'un grand nombre de cas d' atrophie musculaire se rapprochant plus ou moins de l'at
mbre de cas d'atrophie musculaire se rapprochant plus ou moins de l' atrophie musculaire progressive, des cas d'atrophie prof
chant plus ou moins de l'atrophie musculaire progressive, des cas d' atrophie professionnelle ou de fatigue qui doivent se rapp
edes deux côtés était surtout évidente du côté droit, où malgré une atrophie thénarienne complète, les interosseux fonction-
n aro-hypothénarienne des symptômes, éliminer ce diagnostic ? Pas l' atrophie isolée non progressive DES PETITS MUSCLES 451 d
ez un malade à liquide céphalo-rachidien normal on consta- tera une atrophie isolée avec abolition des réflexes radial et cubi
malade à liquide céphalo-rachidien pathologique, on constatera une atrophie isolée avec conservation des réflexes radial et c
OLEON. A111yvtrophie des tabétiques. Thèse de Paris, 1887. Dansa. - Atrophie musculaire progressive (sur l'). Journal of nervo
ous and mental diseases, vol. 33. février 1906. Dejerine. - Sur l' atrophie musculaire des tabéliques. Revue de Médecine, 188
bes. Archiv sur Psychiatrie, 1905, Bd XL, p. 602 et 752. . LBIU. - Atrophie musculaire progressive el menin,qo-lIt ! 1elite s
, 1903. - In traité Charcot-Bouchard-Brissaud, t. IX. Lherjiitte. Atrophie musculaire chez les tabéliques. Semaine Médicale,
re chez les tabéliques. Semaine Médicale, 23 décembre 1908. LONG. Atrophie musculaire progressive type Aran-Duchenne de natu
I)E.1 (de Milan). -- Analysé in Revue Neurologique, 1904, p. 802, l' atrophie isolée non progressive DES petits muscles 153 3
ophie isolée non progressive DES petits muscles 153 3 Merle (P.). - Atrophie musculaire progressive spmale syphilitique. -Revu
que; 1909, p. 817. - Même sujet, 1910, p. 1429. Mosnv et Carat. Atrophie musculaire progressive spinale syphilitique (un c
, 6 décembre 1906, in Revue Neurologique. «AyONDPtRENnu. Tabès avec atrophie musculaire des deux membres supérieurs. Re- vue
evue Neurologique, 1S96, p. 91. SCII ! JSTER. Paralysie générale et atrophie musculaire progressive . Neurologisclies Centra
1898, Bd XXXIV, p. 469. SOUQUES. - Sclérose combinée tabétique avec atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenne (S
hilitique. Le Névraxe, 1907. Vigouroux et LAIGNEL-LA v AS l'11OE. Atrophie musculaire au cours de la paralysie géné- rale.
observations analogues. Pic et Gardère (3) ont publié sous le nom d' atrophie généralisée de la face et de la région sus-ombi
é du tissu adipeux au niveau des membres inférieurs, d'autre part l' atrophie de ce même tissu et aussi du tissu musculaire au
chez ces derniers il (t) L. BARRAQUER, Histoire clinique d'un cas d' atrophie du tissu cellulo-adipeux, L'avenç. Barcelone, 1
- ) (2 pl.), par JoHANSSON et FROEDERSTMM, 105. Aran-Duchenne ( Atrophie musculaire type - de nature névritique) (2 pl.)
étudiée d'après la cinématographe) (2 pl.), par de CASTRO, 265 Atrophie isolée non progressive des petits muscles de la
aire) (4 pl ), par ANnn>i- TIIOM 18 et J UMENT1É, : 109. Main ( Atrophie isolée non progressive des petits muscles de la
(2 pi.), par Cil ILlE ! ! et n'OVÉ-,TOSSEItAND, 76. Téphromalacie ( Atrophie isolée non progres- sive des petits muscles de
a base du crâne (3 pl., 6 hg. ), 2 ? 3. Foix (Ch.) et Marie (P.). Atrophie isolée non progressif des petits musclesdela ma
André). Traumatisme et slndrome de Paget (4 pl.), 334. Long (E.). Atrophie musculaire progressive type Aran-Duchenne de na
XXXVIII à XL. Athétose, démarche (A. DE CASTRO), XXXV à XXXVI. Atrophie isolée des petits muscles de la main (Marie et
6 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
uzzari a autopsié un cas où il a trouvé la persistance du thymus, l' atrophie de la tyroïde, des altérations graves de l'hypo
enu par une compression méthodique qui pro- duit artificiellement l' atrophie du pied de la Chinoise. C'est le bistournage qu
angent un certain nombre de cellules chromo- philes volumineuses. L' atrophie glandulaire, ici, semble donc n'être pas dé- fi
au de laquelle les vertèbres sont douloureuses à la percussion ; 3) atrophie des muscles des ceintures scapulaire et pel- vi
muscles des ceintures scapulaire et pel- vienne, et plus rarement, atrophie des muscles des extrémités ; 4) inten- sité des
articulier des malades, par suite de l'aplatissement du dos et de l' atrophie des fesses, de l'effacement de la courbure lomb
HOPITAL CANTONAL DE GENÈVE LABORATOIRE DE M. LE PROFESSEUR BARD. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMRRES SUPÉRIEURS T
mort d'une maladie aiguë. Il n'y a pas eu dans la famille de cas d' atrophie muscu- laire. Antécédents personnels. Bonne s
T.XX. PI. V A. Photographie de la malade en 1892. (Depuis lors, l' atrophie musculaire n'a pas fait de progrès notables).
s notables). B. Nerf médian. Coupe transversale. (Pal et Carmin). ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPERIEURS T
YPE ARAN-DUCHENNE, PAR NEVRITE INTERSTITIELLE HYPERTROPHIQUE. LONG. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS si
auche, qui en même temps s'amaigrit peu à peu. Extension lente de l' atrophie à l'avant-bras, puis au bras et à l'épaule. La
mbre supérieur gauche. - Les muscles de la main sont comme fondus ; atrophie complète des muscles des éminences thénar et hypo
es muscles des éminences thénar et hypothénar et des in- terosseux. Atrophie des muscles fléchisseurs et extenseurs de l'avant
le long du corps (Pl. ? A). Membre supérieur droit. De ce côté l' atrophie est arrivée à un stade moins avancé. Les muscle
en 1894 dans le service des chroniques et y reste jusqu'en 1899. L' atrophie et l'impotence des membres supérieurs persistent
ous constatons que les membres supérieurs seuls sont atteints par l' atrophie musculaire ; le tronc et les membres inférieurs s
nt indemnes et la malade peut faire à pied de longues promenades. L' atrophie des membres supérieurs n'est pas symétrique, el
beaucoup plus accusée à gauche. La répartition et l'intensité de l' atrophie musculaire concordent bien avec la des- criptio
d'un néo- plasme des voies biliaires. Pour vérifier le diagnostic d' atrophie musculaire de nature myélopathique on enlève la
in). E. Neif médian, coupe longitudinale. ([>,11 et Carmin). ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPERIEURS T
NE, PAR NEVRITE INTERSTITIELLE HYPERTROPHIQUE. (Long, de Genève.) ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 49
pour former FiG. 3. - Nerf médian. Pal et carmin. Oc. 1, obj. 3. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 51
que très dense et épaisse et sont elles-mêmes arrivées à un stade d' atrophie avancé : la gaine de myéline est filiforme ou m
6. - Une fibre du nerf médian. Pal et carmin. Oc. III, obj. 6. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 53
8. Racine antérieure C VIII. Hématoxyline-éosine. Oc. III, obj. 6. atrophie musculaire PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 55
ig. 9) ; il en est qui sont hypertrophiées, d'autres sont en état d' atrophie plus ou moins avancé; les fibres en état d'atroph
sont en état d'atrophie plus ou moins avancé; les fibres en état d' atrophie complète ne sont plus représentées que par des
aires. Déséquilibre mental habituel. A l'âge de 44 ans, début d'une atrophie musculaire progressive au niveau de la main gau
s et de l'épaule gauches. 7. à 8 ans après le début de la maladie , atrophie pro- gressive des muscles de la main droite, at
la maladie , atrophie pro- gressive des muscles de la main droite, atrophie consécutive incomplète des muscles de l' avant-
ivant de la malade ce cas a été considéré à tort comme un exemple d' atrophie musculaire progressive de nature myélopathique (p
mène acces- soire, rhumatismal, se manifestèrent encore alors que l' atrophie muscu- laire avait cessé de progresser d'une ma
gris de la moelle le sont également (poliomyélite antérieure chro- atrophie musculaire PROGRESSIVE DES membres SUPÉRIEURS 57
leur persistance et leur localisation aux régions attein- tes par l' atrophie musculaire. Il y a là un fait important qui doit
es se sont établies ni où elles avaient \ leur maximum. Quant à l' atrophie musculaire il est bien évident que dans ce cas el
y trouve difficilement des fibres. Friedreich danssonouvragesur «L' atrophie musculaire progressive »(3) donne deux observat
iniques importantes pour le sujet qui nous occupe. L'observation I ( atrophie musculaire progressive de la main droite et des
e et d'une névrite chronique interstitielle. Dans l'observation II ( atrophie musculaire progressive des membres supérieurs e
lairophie und ùber wahl'e und faslehe Mus- kelhypcrtrophie, 1813. atrophie musculaire PROGRESSIVE DES membres SUPÉRIEURS 59
à soutenir l'existence d'une forme dite neurotique ou neurale de l' atrophie musculaire progressive dans laquelle il faisait
logique était encore inconnue. On a aussi annexé ultérieurement à l' atrophie neurotique les observa- tions de Dubreuilh publ
nnent un examen histologique. L'observation I de ce travail est une atrophie qui atteignit d'abord les membres inférieurs et
cles présentent des lésions souvent juxtaposées d'hypertrophie et d' atrophie des fibres musculaires. La moelle (1) HOFFMANN,
Psychiatrie, 1889, p. 661. (2) DUBREMLH, Etude sur quelques cas d' atrophie musculaire, etc. Revue de méde- cine, 1890, p.
ésions médullaires concomitantes (sclérose des cordons postérieurs, atrophie partielle des cornes antérieures) semblent à cet
mme des preuves de la nature périphérique des lésions causales de l' atrophie musculaire (atrophie (1) Marinesco, Contributio
nature périphérique des lésions causales de l'atrophie musculaire ( atrophie (1) Marinesco, Contribution à l'étude de l'amyo
ton, L'amyotrophie type Cliarcot-Marie, Thèse de Paris, 1889, p.86. ATROPHIE MUSCULA111E PROGRESSIVE DES'MEMBRES SUPÉRIEURS 61
RIEURS 61 neurotique de Hoffmann). Siemerling (1), dans un cas où l' atrophie avait débuté entre 5 et 7 ans par les muscles d
histologique.une sclérose des cordons latéraux et postérieurs, une atrophie des cornes antérieures. des racines postérieure
sculaires). On ne peut les interpréter que comme des phénomè- nes d' atrophie régressive simple ; on ne les trouve pas en effet
souvent en importance les lésions atrophiques des éléments nerveux ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 63
airement porteurs ; le fait est banal en tératologie. Ces lésions d' atrophie régressive des éléments nerveux ou musculaires
nous trouvons des variantes nombreuses. Dans le cas de Virchow où l' atrophie musculaire avait atteint les mem- bres inférieu
, les antérieures plus que les postérieures. Dans l'observation II ( atrophie des membres supé- rieurs et inférieurs) les lés
de cette forme répond à l'étendue des lésions ; en même temps que l' atrophie musculaire prédominant aux extrémités il y a des
ypertrophique. On y trouve en effet sur les coupes transversales et ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 65
maladies d'évolution, on peut l'interpréter de la façon suivante : Atrophie régressive d'un grand nom- bre de fibres nerveu
res sensitives. Cliniquement, ces lésions se sont traduites par une atrophie musculaire progressive, limitée aux membres sup
viron. xx 5 HOSPICE DE BICÊTRE LABORATOIRE DE M. PIERRE MARIE ATROPHIE PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET A LOCALIS
la présence d'une sclérose combinée de la moelle, mais celle d'une atrophie très particulière (1) 0. Crouzon, Des scléroses
Iconographie DE la Salpêtrière T. XX. PI. VII l4f.t... (Obs. 11). ATROPHIE PRIMITIVE PAREI\Clln ! ATEUSE DU CERVELET (J. R
RIMITIVE PAREI\Clln ! ATEUSE DU CERVELET (J. Rossi.) ITALO ROSSI. ATROPHIE PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 67 du cer
lui fait toucher du pied un objet placé au-dessus du plan du lit. ATROPHIE PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 69 Réflex
é mise en relief par Babinski. Ces troubles se manifestent chez nos ATROPHIE PRIMITIVE PARENCRT1111TEUSE DU CERVELET 71 mala
lobe central du vermis est nettement atro- phiée, tandis que cette atrophie ne parait pas exister dans les autres parties d
t par la Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. PI. VIII ATROPHIE PRIMITIVE 1'AItFNC111'ytATPn51-. f)l1 rr;1 : 1).1
II ATROPHIE PRIMITIVE 1'AItFNC111'ytATPn51-. f)l1 rr;1 : 1).1'.J, ATROPHIE PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 73 colora
la couche des grains et sur celle des cellules de Purkinje. Cette atrophie est à peu près symétrique dans les deux moitiés d
trois couches citées de la corticalité et si dans les mêmes lobes l' atrophie intéresse presque avec la même intensité les la
culaire. - Elle est manifestement atrophiée. Dans les lamelles où l' atrophie de cette couche atteintson maximum, elle est rédu
lquefois de la moitié de son épaisseur (PI. VIII, D ; PI. IX, F). L' atrophie est en général plus forte au niveau de la crête d
cellules de Purkinje, pour la plupart cependant en état manifeste d' atrophie . Dans quelques- unes mêmes de ces lamelles l'at
t manifeste d'atrophie. Dans quelques- unes mêmes de ces lamelles l' atrophie se limite presque aux cellules de Pur- kinje ;
rt d'atro- NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XX. PI. IX ATROPHIE PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 75 phie,
s. Noyaux centraux. - Le noyau dentelé ne paraît pas avoir subi une atrophie : il est bien développé des deux côtés, ses pli
es coupes minces colorées au carmin, ne présentent pas de lésions d' atrophie . Le feutrage in- traciliaire est très bien colo
nes postérieures adjacentes à la périphérie de la moelle et coupées ATROPHIE PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 77 transv
, dans la plus grande partie de l'écorce cérébelleuse des lésions d' atrophie intéressantes non seulement au point de vue des
de Purkinje. Ailleurs enfin, l'altération consiste seulement dans l' atrophie et la disparition de plus ou moins nombreuses c
es noyaux gris centraux ne montrent aucun fait de dégénération ou d' atrophie . Quelle est la pathogénie de cette atrophie ? N
it de dégénération ou d'atrophie. Quelle est la pathogénie de cette atrophie ? Nous ne pouvons certaine- ment pas la considé
rophie ? Nous ne pouvons certaine- ment pas la considérer comme une atrophie secondaire d'origine péri- phérique, due à la l
ainsi que Thomas (1 ) l'a admis pour un de ses cas. Dans ce cas, l' atrophie peu prononcée de l'écorce cérébelleuse était liée
très forte du pédoncule cérébelleux moyen, du corps restiforme, à l' atrophie très prononcée de la substance grise du pont, de
oncée de la substance grise du pont, de l'olive bul- baire et à une atrophie nette des faisceaux cérébelleux directs, des colo
nitale de celles-ci. Dans notre cas il ne s'agit pas non plus d'une atrophie scléreuse, comme c'est le cas plus fréquent dan
nous permet de dire, croyons-nousqu'il s'agit dans notre cas d'une atrophie primitive, parenchymateuse de l'écorce. (1) A.
(1) A. Thomas, Le cervelet. Th. Doctorat, 1897 (Obs. V, p. 215). ATROPHIE PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 79 C'est
mètres ; le tissu névroglique est étranger la pro- duction de cette atrophie , ou bien la prolifération névroglique et les al-
hies scléreuses, d'o- rigine vasculaire, inflammatoire. Ces cas d' atrophie cérébelleuse primitive dégénérative sont fort rar
as qui ont servi à Deje- rine et Thomas pour constituer leur type d' atrophie olivo-ponto-cérébel- leuse, cas qui montrent co
rce, du pont et des olives infé- rieures, de façon à constituer une atrophie primitive systématisée inté- ressant les voies
leurs noyaux et l'écorce. Notre cas, tout en entrant dans les cas d' atrophie primitive parenchyma- teuse, diffère évidemment
teuse, diffère évidemment des denx cas précités, par le fait que l' atrophie se limite presque exclusivement à la substance
les de quelques lobes (quadrilatère, flocculus, vermis supérieur) l' atrophie frappe avec une intensité égale les couches mol
elles présen- tant le même ordre de lésions, d'autres lamelles où l' atrophie se limite à la couche des grains et aux cellule
kinje. On en observe d'autres enfin où la diminution de nombre et l' atrophie des cellules de Purkinje constituent les seules
des cellules de Purkinje, auxquelles succèdent la raréfaction et l' atrophie de la couche des grains, et, en dernier lieu, l
ction et l'atrophie de la couche des grains, et, en dernier lieu, l' atrophie de la couche moléculaire. Pourrait-on conclure
hogéniques qui peuvent l'altérer ? et que (1) DEJEUINE et Thomas, L' atrophie olivo-ponto-cérébelleuse. Nouvelle Iconographie
Iconographie de la Salpêtrière, 1900, p. 330. 80 ITALO ROSSI l' atrophie des autres couches (moléculaire et des grains) dé
tions dans la littérature des atrophies du cervelet, même des cas d' atrophie scléreuse, semblent plaider en faveur de cette hy
lésions dégénéra- tives parenchymateuses consistant dans la simple atrophie ou disparition des cellules de Purkinje n'est p
les de Purkinje n'est pas sans intérêt. Il montre en effet que si l' atrophie du cervelet peut être dû à des faits dégénératifs
vasculaires ou méningées, peuvent sub- sister sans qu'il existe une atrophie du cervelet. Cela tient vraisembla- blement à l
e valeur absolument démonstrative ; nous voulons parler du cas d' « Atrophie lamellaire des cellules de Pur- kinje » publié
son observation Thomas a pu constater dans beaucoup de lamel- les l' atrophie et la disparition d'une certain nombre de cellule
ations vasculaires ni de processus inflammatoires. (1) A. Thomas, Atrophie lamellaire des cellules de Purkinje. Revue Neurol
ne enterogena. Rivista critica de clinica medica, n" 34-35, 1900. ATROPHIE PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 81 Ce son
que celles par nous constatées dans notre cas, mais cette fois sans atrophie proprement dite du cervelet. Dans ces cas il n'
ornerons à le si- gnaler, tout en rappelant que dans quelques cas d' atrophie scléreuse du cervelet on a signalé aussi cette
nce grise de l'écorce. On peut toujours objecter que dans ces cas d' atrophie scléreuse datant pour la plupart de l'enfance o
rche est consigné plus ou moins ouvertement dans des observations d' atrophie du cervelet sans qu'il y ait l'existence de lés
affection cérébelleuse, cause d'ailleurs qui dans beaucoup de cas d' atrophie du cervelet n'a pas pu être établie ou même présu
tte donnée anamnésique qui existait dans l'observation déjà citée d' atrophie lamellaire des cellules de Purkinje de Thomas.
que et partant, dans les conditions les plus favorables aux proces- ATROPHIE PRIMITIVE PARENCHYMATEUSE DU CERVELET 83 sus d'
plupart atrophiées (2). D (id.). - Type de lamelles atrophiées : atrophie de la couche moléculaire (1), dispa- rition pre
laire (1), dispa- rition presque complète des cellules de Purkinje, atrophie et raréfaction de la couche des grains (2). L
iées, avec disparition pres- que complète des cellules de Purkinje. Atrophie de la couche moléculaire (1), raré- faction et
e Purkinje. Atrophie de la couche moléculaire (1), raré- faction et atrophie de la couche des grains (3). G (object. 2). - G
3). G (object. 2). - Groupe de lamelles montrant un certain degré d' atrophie de la couche moléculaire (1) et de la raréfacti
outre de l'amaigrissement général très accusé. Il n'existe pas d' atrophie musculaire localisée et l'examen électrique ne mo
roits supérieurs ! signe d'Argyll-Robertson bilatéral, et enfin une atrophie papillaire double très accusée à droite. De t
: signe d'Argyll, paralysies diverses de la mus- culature externe, atrophie optique. Les autres consistent en un processus
anesthésie dans le domaine du triju- meau. Enfin la paralysie et l' atrophie des masticateurs est un phénomène tout à fait r
plégie externe combinée à la paralysie glosso-labio-laryngée et à l' atrophie musculaire progressive (Nouv. Iconographie de la
entr'ouverte. Mais à l'examen, on voit qu'il n'y a ni paralysie ni atrophie prononcées dans le domaine du facial. Cette app
arcades dentaires (Pl. XXIV, fig. 2). En général, on n'observe l' atrophie des masticateurs, dans les paraly- sies glosso-
e très tardivement dans les paralysies bulbaires chroniques. Ici, l' atrophie et la paralysie des masséters l'emportent sur les
ments. Il n'y a pas de rigidité dans les mouvements passifs ; pas d' atrophie musculaire. Le membre inférieur droit présente
pha- langes des orteils (PI. XXV). Il existe en outre une légère atrophie diffuse généralisée à tous les muscles de la ja
; au contraire au tiers inférieur il existe au-dessus du genou une atrophie circulaire en jarretière, frappant également le t
inelle. Les muscles fessiers gauches présentent également un état d' atrophie et de flaccidité mani- feste, mais l'atrophie e
t également un état d'atrophie et de flaccidité mani- feste, mais l' atrophie est surtout évidente à la jambe où elle atteint t
ternes sont toutefois beaucoup plus atrophiés que ceux du mollet. L' atrophie de la jambe gauche est de beaucoup plus marquée
ur les mor- ceaux encore dans le liquide de iNüller, noter la forte atrophie de la corne antérieure gauche et du cordon anté
la corne antérieure gauche et du cordon antéro-latéral gauche.Cette atrophie estsurtout accusée au niveau de S 2, S 1, L 5,
itié droite. Cette asymétrie, même à l'oeil nu, paraît être due à une atrophie plus ou moins forte suivant les divers segments
nsion au niveau de S ,S 4,L 5, L 4, L 3 et s'accompagne d'uue forte atrophie massive de la corne antérieure, réduite à la moit
3 (PI.XXVII) il y a encore une légère asymétrie de la moelle par l' atrophie de la corne et du cordon antéro-latéral gauche.Bi
en outre, dans les racines antérieures gauches de ce seg- ment une atrophie et une perte de fibres qui bien que beaucoup moin
moelle est moins accusée que dans les segments sous- jacents, et l' atrophie des racines antérieures gauches moins forte ; ces
aux sont bien colorés, ne présentent ni dégénération ni sclérose. L' atrophie du cordon latéral gauche, nette dans la moelle
ans la moelle sacro-lombaire, est ici beaucoup moins appréciable. L' atrophie du cordon antérieur gauche persiste au contraire
elle cervico-dorsale, même au niveau de C 1 ; il s'agit ici aussi d' atrophie simple, sans dégénération des fibres nerveu- se
ines postérieures, ni dans les cordons postérieurs à part la légère atrophie , sans dégénérescence, ni sclérose, décrite dans l
2e segment sacré au 1er segment lombaire inclusivement, avec forte atrophie des racines lombo-sacrées correspondantes et fort
c forte atrophie des racines lombo-sacrées correspondantes et forte atrophie de la moitié gauche de la moelle. C'est à ce fo
e- ment^ paralysé, en état de flaccidité complète et présentant une atrophie musculaire totale très accusée. La présence d
t à démontrer la fausseté de l'hypothèse, admise par Charcot, d'une atrophie cellulaire primitive. Auparavant déjà, Roger et
sie du mem- bre inférieur, droit qui très rapidement s'accompagne d' atrophie . Un exa- men fait plus tard montra en plus de l
oréo-athétosiques, exagération des réflexes tendineux, peu ou pas d' atrophie musculaire),; à droite, une paralysie flaccide du
laire),; à droite, une paralysie flaccide du membre inférieur (avec atrophie musculaire, abolition des réflexes tendineux et
eur droit les signes résiduels d'une poliomyélite antérieure aiguë ( atrophie muscu- laire, paralysie flaccide, abolition des
'achilléen, dimi- nution légère du réflexe cutané plantaire ; pas d' atrophie musculaire, exci- tabilité électrique partout i
mie dans la moelle allongée, de l'infiltration péri-vasculaire avec atrophie des noyaux des Ve, Xe, XIe (1) Huent, Revue neu
spinale infantile de la jambe droite, avec raccourcissement, forte atrophie musculaire, abolition des réflexes tendineux, p
oyer de paralysie infantile dans la moelle lombaire, à droite, avec atrophie des racines antérieures. Lamy émet justement l'
nt nous avons parlé dans un article précédent (1). ? (1) E. Long, Atrophie musculaire progressive des membres supérieurs typ
d'accalmie se succédant à intervalles variables. Dercum a décrit l' atrophie des fibres des nerfs périphériques, mais ce son
droite, en flexion à gauche. Troubles trophiques : Il existe une atrophie très marquée des membres du côté droit. La jamb
E WEBER AVEC HÉMIANOPSIE DATANT DE 28 ANS 189 du bulbe, on note une atrophie très marquée de la pyramide bulbaire gauche. Su
coupes des différents segments de la moelle enfin, on constate une atrophie de tout le cordon antéro-latéral du côté droit.
r de la partie de la capsule interne respectée par la lésion et une atrophie nette du champ de Wernicke. Les figures suivant
us externe. Il existe enfin, sur toutes les coupes de la série, une atrophie nette du champ de Wernicke et du corps de Luys
ins développée que la droite. Dans l'étage postérieur on note : une atrophie très marquée du ruban de Reil médian dont la couc
duite au moins des deux tiers par rapport à celle du côté droit une atrophie moins intense mais évidente cependant du ruban de
- On note ici la dégénération complète de la pyramide bulbaire et l' atrophie très nette de la portion interolivaire de la form
e de leur réseau myé- linique, une forte réduction de nombre et une atrophie de leurs cellules. En relation avec les lésions
sque sur celles du 3e segment sacré inclusivement, on observe : une atrophie en masse de tout le cordon antéro- Nouvelle Ico
tes du reste du cordon antérieur aboutissant en fin de compte à une atrophie en masse de ce cordon antérieur. Les coupes d
vons vu sur les coupes horizontales ci-dessus décrites, il s'agit d' atrophie plutôt que de dégénération proprement dite. A not
tion rétrograde très mar- quée de la bandelette optique gauche; une atrophie du champ de Wernicke et des couches sagittales
serva rien de semblable, cette localisation de la paralysie et de l' atrophie , si caractéristique de la paralysie spinale infan
le l'exécutait avec lenteur : il y avait, cepen- dant, des signes d' atrophie dans toute l'extrémité, 3 centimètres de différen
on observait seulement plus d'inclinaison du tronc en avant et une atrophie sensible des muscles de l'éminence thénar droit
murs voisins; les réactions électriques paraissaient être normales; l' atrophie de l'éminence thénar s'améliorait et les réacti
IE PSEUDO-HYPERTROPHIQUE DES MOLLETS ET DES CEINTURES SCAPULAIRES ; ATROPHIE DU GRAND- PECTORAL 1 PAR F. RAYMOND ET Féli
SEUDO HYPERTROPHIQUE des mollets et des ceintures scapulaires, avec atrophie du grand pectoral. (Raymond et F. Rose). MYOP
domen est renflé sur les côtés et déborde le bassin. Il n'y a pas d' atrophie apparente des muscles de la masse sacro- lombai
s muscles deltoïde, sous-épineux et grand den- telé, combinée à une atrophie très marquée du grand pectoral. Il existe en ou
ype pseudo-hypertrophique de Duchenne (mollets), du type Zimmerlin ( atrophie du grand pectoral) et du type juvénile d'Erb. E
conjonctif paraît peu augmenter. Le testicule : est le siège d'une atrophie scléreuse. De l'albuginée partent de larges tra
ppenheim sont positifs, tant à droite qu'à gauche. Il n'y a pas d' atrophie musculaire appréciable. L'examen électrique prati
s d'une manière abso- lue. Il ne paraît guère, toutefois, exister d' atrophie musculaire et l'examen électrique ne montre auc
acrolombaire qui est contracturée particulièrement M gauche, et une atrophie musculaire diffuse, prédominant sur les muscles d
blement fibrillaire très net, beaucoup plus marqué à droite, et une atrophie de toute la moitié droite de la langue; le côté
n'est d'ailleurs pas absolument indemne, tant au point de vue de l' atrophie que du tremblement fibrillaire (Pl. XLIII). Le
(scoliose, arthropathie de l'épaule et chiromégalie du côté droit, atrophie J musculaire diffuse), et les troubles vasomote
a quel- ques contractions fibrillaires et peut-êlre aussi un peu d' atrophie ; la mo- lilité de la langue ne semble guère tr
sie flasque du bras), mais peu profondément puisqu'il n'y a guère d' atrophie musculaire ni de trou- bles des réactions élect
culaire. ChezF..., il y a bien à la fois de la con- tracture etde l' atrophie d'un certain nombre de muscles de l'omoplate et
re de la place. Il ne faut pour cela que du temps. HÉMIMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS ÉTUDE ANATOMIQUE ET PATHOG
. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XX, PL. LIV. 11EMIMELIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS (Klippel et Paul Bouchel).
V, ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. T. XX, PL. LV. IIÉMIMELIE AVEC ATROPHIE NUMERIQUE DES TISSUS - (Kllppel et Paul Bouchel
V, ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. T. XX, PL. LVI, HÉMIMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMERIQUE DES TISSUS {Klippel et Paul BOl/chet)
bre de cellules : côté sain 33 ; côté atrophié 18. 11GDIIMLLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 303 écrivent-ils, si l'on
la moitié d'un membre fait défaut, alors que, presque tou- jours, l' atrophie , beaucoup plus limitée, ne porte que sur l'extrém
membre. Les coupes de la moelle, faites par M. Bourdon montrent une atrophie por- tant à peu près uniquement sur la corne an
émimélie. Mais, en somme, il nous paraît qu'il s'agit surtout d'une atrophie en masse de la substance grise, sans pouvoir af
ment semble avoir porte également sur les deux os. hémimélie avec atrophie numérique DES TISSUS 323 Cubitus et radius gauc
te, tout-à-fait à l'extrémité du moignon, une dispo- HÉMIMÉLIE avec atrophie numérique DES TISSUS 325 sition qui rappelle le
terlignes, on trouve d'une part, du côté du cubitus, hémimélie avec atrophie numérique DES TISSUS 327 "1 une masse plus volu
alement sur la pue phalange du pouce, et en correspondance avec une atrophie assez intense des muscles de l'éminence thénar de
x, la phalangette. Ce qu'il y a d'inté ressant dans ce cas, c'est l' atrophie du cubitus, bien moins souvent atteint dans ces
est plus grêle, du côté malade. Les tubes nerveux sont normaux ; l' atrophie est seulement quan- titative ; dans l'ensemble,
aire. Sans doute divers auteurs ont noté, chez des vieillards, de l' atrophie cérébelleuse : Thomas (2) dans sa thèse inaugur
) dans son rapport sur le cerveau sénile ; mais, nous le verrons, l' atrophie du cervelet n'est pas une manifestation habituell
ent d'accord avec Obersleiner (4) lorsqu'il dit : « Ordinairement l' atrophie sénile est peu nette dans le cer- (1) Congrès d
inique et ylzysiolo- gique, Ch. vi, p. 159, Observations cliniques, atrophie , sclérose. (3) LÉRI, loc. cit., p. 41. (4) Ou
organe, p. 547. xx 23 358 ANGLADE ET CALMETTES velet : senile Atrophie macht sich vonst am Kleinhirn relativ wenig bem
très accentuée (PI.LX, fig.2); nous aurions pu toutefois figurer une atrophie plus complète d'une circonvolution très ratatin
dense. On peut voir qu'à ce degré de sclérose ne correspond pas une atrophie de la cou- che moléculaire. La circonvolution n
rvelet sénile. La sénilité cérébelleuse ne se manifeste pas par une atrophie en masse. Elle se caractérise au contraire par
ombreux examens que nous avons pratiqués. Ce qui s'observe, c'est l' atrophie limitée il une ou plusieurs folioles cérébelleu
urs folioles cérébelleuses ; l'aspect n'y est aucunement celui de l' atrophie gé- néralisée. Ici la sclérose est régulière av
maladroits, se faisaient cependant avec une force suffisante. Pas d' atrophie musculaire. Il ne semble pas y avoir des troubles
s étaient atteints de parésie spasmodique, mais non paralysés, sans atrophie , avec conservation suffisante de la force muscula
le. Beaucoup plus rarement, le revêtement cutané est le siège d'une atrophie manifeste [Schlesinger (1)] et l'épaississement d
Muscles. Les muscles des membres inférieurs ne présentaient aucune atrophie . Le jumeau interne, le biceps droits sont absolum
on constate une prolifération des noyaux du sarcolemme associée à l' atrophie de quelques fibres, mais ce processus d'atrophie
lemme associée à l'atrophie de quelques fibres, mais ce processus d' atrophie simple est discret et limité. Les petits musc
n de volume porte aussi bien sur la longueur que sur la largeur ; l' atrophie musculaire est généra- lement prononcée dans la
x ou soient lésés en rien. Les muscles présentaient des lésions d' atrophie simple avec infiltra- tion adipeuse légère, lés
pouvant faire penser à la dysphasie périostale. HÉMIMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS ÉTUDE ANATOMIQUE ET PATHOG
; ce sont les segments terminaux qui manquent ou sont imparfaits. L' atrophie , suivant qu'elle est poussée plus ou moins loin
s sont courts, raréfiés, incurvés parfois, atrophiés toujours, et l' atrophie va en s'accentuant de l'épiphyse supérieure à l
re ; on comprend qu'au niveau du carpe et de la main ce processus d' atrophie puisse être tel que les parties sque- lettiques
rtains cas d'ectromé- lie, une altération des filets nerveux et une atrophie des renflements de la moelle épinière, doive êt
aucune lésion organique de 404 . KLIPPEL ET BOUCHET la moelle ; l' atrophie consistait en une diminution du nombre des cellul
ce correspondant aux mouvements de la main. Quoi qu'il en soit; l' atrophie du membre n'est pas projetée sur le cer- veau a
utres termes, l'exa- men a montré qu'il s'agissait, en ce cas, de l' atrophie numérique telle qu'elle fut décrite par l'un de
tative, non qualitative. Ce cas est donc encore un exemple de cette atrophie numérique marqué par un arrêt de développe- men
stologique pour le cas qui nous occupe présente les caractères de l' atrophie numé- rique. . BIBLIOGRAPHIE ALDRECIIT. - D
e développement des membres à la suite de lésions dans l'en- fance. Atrophie numérique. Rev. de méd., mars 1893. Même sujet, P
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. Traité d'Anat. path. de CORNIL et Ranvier (nouv. édit.) , RHNAUT, Atrophie numérique, Thèse Paris, 1907. 414 KLIPPEL ET
éveloppement consécutifs aux lésions locales datant de l'en- fance. Atrophie numérique de Klippel, Thèse Paris, 1899. DEBOUT
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aplasie des noyaux bul- baires de Goll et de Burdach à droite, une atrophie du tubercule quaclri- jumeau antérieur gauche,
ation cellulaire diffuse de Bôttiger. Au contraire, il existait une atrophie bien marquée du noyau placé dans une excavation
tose cleïdo-crânienne, 227. Klippel et P. BoucuET. Hémimélie avec atrophie numérique des tissus (S pl., il ng,) 290, 396.
nerveux dans un cas de trophoedème congénital (t pt.), 155. Long. Atrophie musculaire progressive des membres supérieurs,
udo- hypertrophique des mollets et des cein- turrs ^capillaires : atrophie du grand ppdoral (1 [il ), 224. Rose et F. RA
2° L'écorché mort et l'écorché en vie, par Henry MEIGE, 97, 174. Atrophie musculaire progressive des mem- bres supérieurs
II'S de la paralysie qértérale (2 pl ), par SÉGLAS, 18. Cervelet [ atrophie parcnchymateuse à to- calisation corticale) (3
excès- sive (1 pi ), par Parhon Il Ziplacta, 91 . Hémimélie avec atrophie numérique des tissus (3 pl., 11 fig.), par HLIP
du cadavre et anatomie du vi- vant 1 HENRY MEIGE), XIII à XXIII. Atrophie mus ulaire progressive des mem- bres supérieurs
rieurs par nevnte interstitielle hypertrophique (E. Long), V, VI. Atrophie primitive parenchymateuse du cervelet (ITALO RO
polysarcie exces- sive (PARHON et ZALPLACTA), XII. Hémimélie avec atrophie numérique des tissus (ILIPPEL et P. Bouchet), L
seudo - hypertrophique des mollets et des ceintures scapulaires ; atrophie du grand pectoral (RAYMOND et Rose), XLI. Ost
7 (1911) La pratique neurologique
turnine sont souvent le fait d'une lésion du nerf optique (névrite, atrophie ) visible à l'ophtalmoscope. D'autres fois, l'exam
est grave quand if y a des signes ophtalmoscopiques de névrite ou d' atrophie . Les cas les plus favorables sont ceux dans lesqu
LACUNES DANS LE CHAMP VISUEL. AT, lésions du nerf optique (névrite, atrophie ), lésions de la rétine {plaque de cho1'Ofdite,
méfaction considérable, papille sans limites, hémorragies, etc.). L' atrophie ne se voit qu'à une période avancée. En présenc
lésions rétiniennes, sans lésions papillaires, il faut penser à une atrophie optique qui commence. Ces déformations irréguli
icale. Hémianopsie par lésion du nerf optique. - D'ordinaire. une atrophie du nerf optique atteint le champ visuel sur tout
). Et encore n'existent-ils guère dans les lésions du nerf optique ( atrophie , névrite). Ils sont, en général, le fait d'une
urie, albuminurie, paralysie glosso-labio-laryngée) ou médullaires ( atrophie musculaire progressive). C'est encore à ce grou
de forme ovalaire, sans angles. Le glaucome ancien, à la période d' atrophie de l'iris, donne aussi des déformations pupillair
n aurait pu, malgré une cécité en apparence complète, avec signes d' atrophie du nerf optique, produire le réflexe pupillaire
n plaques (une fois), dans quelques cas de syringo- Inyélic, dans l' atrophie musculaire par névrite interstitielle hypertrophi
es, gêner la vision. C'est un pto- sis myopathique, résultant d'une atrophie du muscle releveur. Il se ren- contre également
e, toujours double, évolue très lentement. Il est le résultat d'une atrophie du relcveur. 11 marque souvent le début de cert
e rétrécis- sement pour le blanc. Les affections du nerf optique ( atrophie , névrite), altèrent très rapide- ment et d'une
on accompagnée de dyschro- matopsie, doit faire penser à un début d' atrophie du nerf optique. '1 Il faut peut-être rattacher
ase ou la névrite par stase ». Si une papillite légère, si même une atrophie papillaire, possèdent une réelle importance pour
du toxique, et donne la papillite intense des tumeurs cérébrales. Atrophie optique. Elle peut résulter d'une compression au
survient souvent il une période avancée. Symptômes objectifs : Une atrophie papillaire modérément accusée au début, très ac
ptique évoluée, laisse une papille atrophique analogue a celle de l' atrophie papillaire simple. L'oculiste accoutumé il l'op
particularités, reconnaître si une papillile accentuée a précédé l' atrophie . TUMEURS CÉRÉBRALES.- 123 Saillie des yeux. C
pour les partisans de la théorie dlfclr«lioltz, correspondrait il l' atrophie du nerf auditif il la base du limaçon, la dispa
s). Plus tard, la destruction de I'o1'allc l1C Corii s'accompagne d' atrophie des cellules du ganglion de Rosentilai. La lésion
les lésions du nerf sont secondaires. Mais lïlll1alll- tnation et l' atrophie du nerf peuvent être primitives, par exemple dans
nérale. Les vieillards ont souvent de l'anosmié qui paraît liée à l' atrophie ou à la sclérose des bulbes olfactifs. ' Les an
dème papillaire, la névrite optique, la névrite rétro-bulbaire et l' atrophie papillaire, les paralysies limitées à l'abducei
s dans la paralysie faciale. Les muscles atteints présentent de l' atrophie , des secousses librillaires, la réaction de dégén
la trémùlation des plus vives. Au niveau de la langue notamment, l' atrophie devient caractéristique : la muqueuse se plisse
sur la sclérose latérale amyotrophiquc, facile à reconnaître par l' atrophie des membres et l'exagération des réflexes persi
TROUBLES DE LA PAROLE. Dans les dysarthries d'origine cérébrale, l' atrophie musculaire fait à peu près complètement défaut
n n'observe guère qu'un vice de prononciation des labiales, lié à l' atrophie de l'orbiculaire des lèvres. L'émission des sons
cer. Il y arrive d'ailleurs en général il peu près, il moins qu'à l' atrophie des lèvres ne s'ajoute l'atrophie de la langue, e
éral il peu près, il moins qu'à l'atrophie des lèvres ne s'ajoute l' atrophie de la langue, exceptionnelle à vrai dire. 2°
bres. Bourneville et Crouzon ont étudié une idiotie diplégique. par atrophie cérébelleuse familiale (Congrès de Paris, 1900).
uents et très variés : changement de coloration et chute des poils, atrophie ou hypertrophie de la couche graisseuse sous-cuta
te des cheveux, des sourcils, de la barbe, canitie, hypertrophie ou atrophie de la peau de la face, augmentation du tissu grai
Dans la sciatique-névrite, ou observerait, outre les douleurs, de l' atrophie musculaire, des troubles de la sensibilité de la
gres- sives. en dehors de l'abolition des réflexes qui est liée à l' atrophie des muscles paralysés, on a pu constater l'abol
se latérale amyolropliique, mais dans ce cas il y a déjà eu début d' atrophie par les petits muscles des mains, gêne dans les m
n des réflexes n'existe plus qu'au niveau des membres inférieurs. L' atrophie des membres supérieurs associée à l'exagération
ène de Babinski ne se rencontre pas dans les polynévrites ni dans l' atrophie Charcot-Marie, ni dans la maladie de Parkinson, n
nalé, dans l'hémiplégie de l'adulte, des cas où se pro- duisait une atrophie des os des membres paralysés. Les Iroubles trop
bre inférieur sont, dans cette forme, susceptibles de présenter une atrophie considérable; on y constate alors des troubles
sc ou d hémicborée : les membres de ces malades ne présentent pas l' atrophie signalée dans la forme précédente. Du reste, d'
évolution de la maladie vers la paralysie spinale de l'adulte, avec atrophie , confirma notre diagnostic. C'est dans ces form
eur étude scia plus utile à propos de chaque maladie présentée. L' atrophie musculaire diffère selon les cas, et sera mieux e
même complète, mais c'était là phénomène secondaire, corrélatif à l' atrophie des muscles. Il pouvait persister quelque réfle
, la force musculaire est a peu près normale (a moins qu'il n'y ait atrophie ). Des gestes exagérés, ridicules, se rencontren
arche dont sont responsables il la fois l'ataxie, la paralysie et l' atrophie musculaire. Les états vertigineux ne peuvent gu
h. a) Paraplégies avec exagération des réflexes sans contracture; atrophie musculaire constante. Le diagnostic des maladies
clérose latérale amyo- trophique et les paraplégies spastiques avec atrophie secondaire. PARAPLEGIE. '. 49;¡ La sclérose l
lle présente dans son évolution deux périodes dis- tinctes, l'une d' atrophie progressive avec exagération des réflexes aux q
membres, débutant à vrai dire par les membres supérieurs, l'autre d' atrophie intense avec disparition des réflexes au prorata
re d'atrophie intense avec disparition des réflexes au prorata de l' atrophie . Cette atrophie est du type Aran-Ducbcnneau nivea
tense avec disparition des réflexes au prorata de l'atrophie. Cette atrophie est du type Aran-Ducbcnneau niveau des mains; l
le avec des muscles très atrophiés. On peut également observer de l' atrophie des membres inférieurs avec exagération des réf
contracture. Dans ces cas, la contracture musculaire cède devant l' atrophie , mais l'exagération des réflexes peut être mise
prononcée surtout aux mains. Celles-ci présentent égale- ment de l' atrophie du type Aran-Duche11lH', et à la période d'étal,
membres supérieurs : contrac- ture, thcrmo-anesthesie et analgésie, atrophie de la musculature de la main, troubles trophiqu
ment exagérés. Il- n'existe jamais de trouble trophique, escarre ou atrophie . Une des caractéristiques de la paraplégie de E
stauration rapide des contractures, leur degré excessif l'absence d' atrophie seront plutôt en faveur d'une paraplégie fonction
u'une telle paralysie puisse rarement à vrai dire s'ac- compagner d' atrophie . Pour le diagnostic, général de ces formes, nous
cède et se localise en certains groupes de muscles qui subiront une atrophie définitive. Il n'existe ni troubles des sphincter
te ni troubles des sphincters ni troubles de la sensibilité. Puis l' atrophie musculaire aidant, les membres atteints présent
e dans les poliomyélites, parallélisme entre cette disparition et l' atrophie musculaire. I. (In uhscrvc (huis la rnqr un syn
il la maladie de Landry. [MOUTIER.] 504 - PARAPLÉGIE. ' "' ; L' atrophie existe néanmoins et au plus haut point dans les p
de préférence. : on connaît la démarche du steppeur consécutive à l' atrophie du groupe jambier antéro-cxterne. Il faut d'ail
inc- ters en général. Il existe un degré variable mais nécessaire d' atrophie musculaire. Les malades peuvent marcher encore
s inférieurs peut être réalisée par la disparition du muscle. Cette atrophie est et demeure une des principales manifestations
interstitielle hypertrophique de Deje1'ine et Bottas est un type d' atrophie d'origine névritique. Les malades ont de la diffi
dans la maladie de Fez- reich, il peut exister très rapidement une atrophie suffisante pour em- pêcher la marche. Dans ces
culaire se com- plique souvent de rétractions tendineuses. Dans l' atrophie musculaire du type ChaTcot-Ma1'ie, l'atrophie des
s tendineuses. Dans l'atrophie musculaire du type ChaTcot-Ma1'ie, l' atrophie des muscles est encore d'origine myélopathique.
it d'une atïection héré- ditaire et familiale, caractérisée par une atrophie progressive des mem-. bres à début périphérique
à s'affaiblir. PARAPLÉGIE. 505 Il existe au-dessus du genou de l' atrophie en jarretière. Les réflexes ten- dineux sont ab
Les réflexes ten- dineux sont abolis proportionnellement au degré d' atrophie , et l'on constate des secousses fibrillaires. I
ntement, il une paraplégie flasque avec impossibilité de marcher. L' atrophie musculaire est néan- moins suffisamment prononc
t en général ni d'escarres, ni d'incontinence ou de rétention, ni d' atrophie musculaire, ni de troubles accusés des réflexes
en en faveur de la paraplégie organique : Signes de présomption : atrophie , incontinence, fièvre, fourmille- ments, rachia
du côté de la paralysie infantile de l'abolition des réflexes, de l' atrophie musculaire intense avec jambe de polichinelle,
nsion, de l'adduction de la cuisse, de la flexion de la cuisse avec atrophie en jarretière, peu ou point de troubles électri
e nerveux péri- plu'l'igue et central, ainsi que des articulations, atrophie et dégéné- rescence de la fibre musculaire. Les
é de la tête, flexion, rotation, extension, accom- pagnés parfois d' atrophie des muscles du cou. Fig. 1. Schémas radiculaire
dullaires directes. La para- plégie est totale, flasque d'emblée, l' atrophie rapide, la réaction de dégé- nérescence hâtive.
section de la branche externe du spinal ayant pour conséquence une atrophie complète ou presque complète du sterno-mastoïdien
cellules des cornes antérieures de la moelle ont pour conséquence l' atrophie des muscles innervés par ces cellules. On a discu
ment à un segment de membre. On ne rencontre jamais en clinique une atrophie , TOPOGRAPHIE RADICULAIRE. 599 musculaire aus
éminence hypo- thénar est aplatie, flasque, sans aucune tonicité. L' atrophie des muscles interosscux amène une saillie très
extenseurs, les réflexes olécrànion, po- riostique sont exagérés. L' atrophie musculaire est toujours peu accen- tuée compara
s et vaso-moteurs se constatent parfois dans la paralysie faciale : atrophie des muscles paralysés, altérations de la cornée,
e servent du pouce et de l'index pour la préhension des objets. L' atrophie musculaire, qui est la conséquence de la paralysi
nastique vocale.. ATROPHIES MUSCULAIRES par le Dr André LI~RI L' atrophie musculaire est la diminution de volume et. de nom
s : nous avons constaté, à l'autopsie d'un homme qui présentait une atrophie musculaire progressive, une amyotrophie généralis
autres amyotrophiques dont nous avons pu examiner les organes. L' atrophie musculaire, dans la totalité ou au moins la grand
é et une intensité variables ; aussi, alors que Hayem consi- dère 1 atrophie comme résultant d'un processus de myosite parench
rend que la prolifération interstitielle, qui marche de pair avec l' atrophie des fibres, puisse prendre le pas sur elle; le ti
ion anormale du volume d'un muscle est plus souvent le signe de son atrophie que de son hypertrophie. L'atrophie de certains
plus souvent le signe de son atrophie que de son hypertrophie. L' atrophie de certains muscles s'accompagne tout spécialemen
t spécialement de pseudo-hypertrophie, et une forme topographique d' atrophie musculaire I- LÚn. Rcv. 1/1'111'01., '15 mai 19
uand on cherche à apprécier le degré d'une amyotrophie. SIGNES DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE Le plus souvent c'est par la simple
e plus souvent c'est par la simple inspection que l'on constate une atrophie musculaire, la forme du membre ou de la portion d
nt là où d'ordinaire l'os est masqué par une couche musculaire. L' atrophie commençante est parfois très difficile à dépister
des muscles correspondants à gauche qu'on reconnaîtra facilement l' atrophie . On rendra la différence entre les deux côtés p
ue l'on ordonne au malade d'exécuter. Par exemple, pour constater l' atrophie d'un grand pectoral, on fera rap- procher avec
ement de la longueur du muscle : il se formera un noeud musculaire ( atrophie longitudinale de Roth), Ces deux aspects se ren
z communément sur certaist muscles, sur le deltoïde par exemple : l' atrophie de ces muscles devenu ainsi assez caractéristiq
ans l'abduction du bras pour le deltoïde) révèle alors facilement l' atrophie de cette portion. 1. P. MAillE et GuiNoi. Rev.
e portion. 1. P. MAillE et GuiNoi. Rev. méd., 1885. ' SIGNES DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. ( ! 59 La palpation ne donne des re
ULAIRE. ( ! 59 La palpation ne donne des renseignements que quand l' atrophie est déjà assez avancée : la mollesse et la dépr
rence nette entre le côté atteint et le côté sain, alors même que l' atrophie est encore minime. La mensuration de la circonf
nsuration et la palpation suffisent le plus souvent à reconnaitre l' atrophie d'un muscle quand elle se révèle, comme il est
tion de volume d'un muscle n'est pas toujours proportionnelle à son atrophie , tant s'en faut, et qu'assez souvent le muscle at
phié ne diminue pas ou même augmente de volume : pour reconnaître l' atrophie , ce n'est plus alors l'anatomie du membre qu'il
assent de I l'état de repos à l'état de contraction, est un signe d' atrophie bien plus ( [il. LEM.] 660 ATROPHIES MUSCULAI
s où les muscles atrophiés doivent entrer en contrac- tion que leur atrophie se révèle le plus aisément, et c'est par la gêne
du malade, en par- ticulier avec sa profession : c'est ainsi que l' atrophie des petits muscles de la main, qui entrent en j
d'a- dresse, sera d'ordinaire bien plus rapidement ressentie que l' atrophie des muscles de l'épaule ou du bras, et cela sur
mains. Pour que ces mesures aient une valeur réclle, il faut que l' atrophie porte sur- tout sur un côté et que l'on puisse
trait dans les cas douteux de faire le diagnostic histologique de l' atrophie musculaire; divers instruments, des harpons, l'
ments. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL. ' 661 DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL L' atrophie musculaire se distingue de l'amaigrissement par s
usculaire se distingue de l'amaigrissement par sa loca- lisation. L' atrophie est localisée à un certain nombre de muscles ou d
du corps diminue à peu près dans les mêmes proportions. De plus, l' atrophie est localisée au tissu musculaire, alors que l'
clés. Pourtant, en général, l'amaigrissement entraine précocement l' atrophie musculaire, et les cachectiques amaigris sont d
indemnes. La paralysie est souvent très difficile à distinguer de l' atrophie intis- culaire ; toute paralysie complète, d'or
es incomplètes sont suivies, à plus ou moins brève échéance, \ de l' atrophie des muscles paralysés, car, comme tout organe, un
alysés, car, comme tout organe, un muscle ` qui ne fonctionne pas s' atrophie ; toute amyotrophie devient une para- lysie le
enne (') de Boulogne est précisément d'avoir montré, en 1849, que l' atrophie musculaire n'est pas toujours un effet de la para
de la para- lysie motrice, mais qu'elle en peut être une cause. L' atrophie musculaire est facile à distinguer de la paralysi
tionnement ne soit pas sensiblement altéré. Chez certains sujets, l' atrophie de quelques muscles est très prononcée, leur puis
s d'autres muscles sont moins atteints et l'on lait le diagnostic d' atrophie musculaire en reconnaissant dans le mode d'évol
MUSCULAIRES. Mais le diagnostic devient plus délicat, soit quand l' atrophie ne s'accom- pagne pas de diminution de volume d
rophies d'origine spinale. FORMES CLINIQUES. - CLASSIFICATION - L' atrophie musculaire est un trouble trophique. Ce trouble t
mais sans doute dans ce cas l'altéra- tion pyramidale ne provoque l' atrophie musculaire que par l'intermé- diaire d'une modi
e affection nerveuse que ses autres signes permettent de classer. L' atrophie musculaire progressive dite Aran-Duchenne, form
n peut dire aujourd'hui qu'il existe un seul cas bien démon- tré (l' atrophie musculaire progressive vraie, par poliomyélite an
yélite antérieure chronique systématique. Bien plus fréquemment l' atrophie musculaire progressive se présente sous la form
ppement, déformations du squelette, du thorax, du crâne, absence ou atrophie congénitale de certains muscles, troubles psychiq
tale de certains muscles, troubles psychiques fréquents, début de l' atrophie par les muscles dont le développement s'est l'ait
ant, et cela quel que soit le siège de la lésion. C'est ainsi que l' atrophie Werdiii,-I-Ioffrriaiin, myélopathie, la paralys
a fois comme précocité et comme fréquence de l'hérédité, viennent l' atrophie facio-scalntlo-Inunérale de Landouzy-Dejerine,
phie facio-scalntlo-Inunérale de Landouzy-Dejerine, myopathie, et l' atrophie Charcot-Marie, myélopathie : ces affections déb
n total de plus de 100 cas; dans les rares cas jusqu'ici signalés l' atrophie Werdnig-IIoffmann s'est toujours montrée hérédita
us volontiers : c'est ainsi qu'Erh cite plusieurs sujets atteints d' atrophie juvénile dont les enfants ont été atteints de myo
être seulement au nombre encore relativement petit des cas connus d' atrophie Charcot-Marie, Werdnig-Ilolfmann et Gombault- 1
les malades et leurs descen- dants sont atteints de la même forme d' atrophie ; chez les myopathiques, elle peut être homologu
a des familles où le sexe féminin jouit d'une véritable immunité. L' atrophie Werdnig-llotfmann a été jusqu'ici observée plus
ATHIES. sao Symptômes musculaires. Les caractères ordinaires de l' atrophie myopathique sont les suivants : absence de cont
aires, mélange en proportions variables dans les mêmes muscles de l' atrophie et de l'hypertrophie vraie ou fausse, rétractio
ellement à la conservation des muscles correspon- dants, début de l' atrophie par la racine des membres, évolution très lente
emblent particulièrement prédisposés, quelle que soit la cause de l' atrophie , tels les deltoïdes, les muscles pos- térieurs
remarqué; en particulier elles ont manqué dans la plupart des cas d' atrophie Werdnig- Hofïmann jusqu'ici signalés. Dans to
és. Dans tous les muscles atrophiés, quelle que soit l'origine de l' atrophie , il existe histologiqucment des libres hypertro
par Erb,; elle serait transitoire et ferait généralement place à l' atrophie : elle siégerait surtout aux membres supérieurs s
le et due à la fois à une hypertrophie partielle et à une partielle atrophie en longueur. L'hypertrophie partielle des myopa
émités sont au contraire atrophiées : c'est ce que Roth a dénommé l' atrophie longitudinale. La conséquence de cette double a
hie est d'ordinaire transitoire et fait place à un moment donné à l' atrophie ; un certain nombre de muscles paraissent être to
; un certain nombre de muscles paraissent être toujours atteints d' atrophie dès le début, tels les muscles du bras et le long
MUSCULAIRES. une diminution de l'excitabilité proportionnelle il l' atrophie des muscles considérés; les contractions minium
e avait été longtemps consi- dérée comme signe caractéristique de l' atrophie d'origine musculaire; or les observations se mu
nt noté que le réflexe patellaire avait disparu avant toute trace d' atrophie des muscles de lai cuisse dans deux cas sur cin
tions'' l'abolition du réflexe rotulien bien plus fréquemment que l' atrophie du quadriceps. Pour ce qui est du réflexe oticr
e, mais de la cuisse même ne présentaient encore aucune apparence d' atrophie et que le réflexe rotulien subsistait encore, q
origine nerveuse, mais elles sont loin d'y être i constantes. . L' atrophie des myopathiques frappe d'ordinaire d'abord les m
ns : tel le cas, suivi d'autopsie, d'Oppenheim et Cassirer (') où l' atrophie s'était localisée aux membres inférieurs dans le
e et Thomas (2), également suivi d'autopsie, où la topographie de l' atrophie était celle de l'atrophie spinale Aran- Duchenn
suivi d'autopsie, où la topographie de l'atrophie était celle de l' atrophie spinale Aran- Duchenne typique. Dans ces deux c
volu- tion de la racine vers l'extrémité est la marche normale de l' atrophie myélopathique Werdnig-lIof1'mann. L'évolution
on de la maladie première. Tels sont les caractères ordinaires de l' atrophie myopathique ; comme on le voit, aucun d'eux n'e
caractères, d'autre part de la distribution et de l'évolution de l' atrophie qui ont permis d'en décrire des variétés topogr
passerons rapide- ment en revue la distribution et l'évolution de l' atrophie dans les diffé- rents types. Symptômes non mu
Gendre, Sclluitze (1), Lloyd(2) ont publié des observations où l' atrophie des os se trouve signalée. llal- lion a rappo
e d'un trau- matisme minime. C'est sans doute à une sem- blable atrophie osseuse, à un processus plus ou moins ostéo-
erre Marie sous le nom de « thorax en taille de guêpe». Peut-être l' atrophie de certains muscles abdominaux entre-t-elle aussi
ordose lombaire et de la cyphose dorsale de compen- sation dues à l' atrophie des muscles des gouttières vertébrales et de la
e Sacaze ('), de P. Marie e), de Scherb (5) ; il est possible que l' atrophie musculaire ait une certaine action sur la produ
e Thomsen suivie de myopathie sur d'autres muscles), de Rossoliino ( atrophie frappant les muscles préalablement myotoniques).
, etc.). Gowers, Oppenheim. Damsch C) ont d'ailleurs remarqué que l' atrophie congénitale portait particulièrement d'ordinaire
de la myopathie, parce qu'ils montrent qu'elle n'est pas une simple atrophie musculaire, mais une maladie portant plus ou mo
oggie 2). L'affaiblissement progressif des masses musculaires, avec atrophie ou pseudo-hypertrophie, prédominant aux membres
et à la maladie. La pseudo-hypertrophie fait généralement place à l' atrophie à une période avancée de l'évolution. MYOPATH
atte- ments ; la mort semble pouvoir être aussi la conséquence de l' atrophie des intercostaux et du diaphragme. Mais presque
diaphragme. Mais presque toujours les malades, immobilisés par une atrophie très étendue et des déformations très pro- nonc
nne du muscle et est parfois plus apparente que réelle a cause de l' atrophie de la portion supérieure (atrophie longitudinal
pparente que réelle a cause de l'atrophie de la portion supérieure ( atrophie longitudinale de Both). Les sus- et sous-épineux.
rarement altéré (cas de Landouzy et Dejerine, de F. Pick, etc.); l' atrophie porte surtout sur sa portion clavi- culaire. L'
co-hracloial, le grand et le petit ronds résistent généralement à l' atrophie . Les muscles extenseurs et fléchisseurs de l'av
erine dont nous parlerons ci-dessous, mais dans cette dernière leur atrophie est précoce et prédominante. Les atrophies, s
rminent des déformations et des troubles spéciaux des mouvements. L' atrophie des muscles qui s'insèrent à l'omoplate déter-
its. Le faisceau supérieur du trapèze, qui résiste parfois seul à l' atrophie de presque toute la musculature cer- vicale, fo
errompue par cette saillie anormale très caracté- ristique. Quand l' atrophie des épaules et des bras est très prononcée, le
avant ou en arrière au moyen d'une brusque rotation du tronc. L' atrophie des membres inférieurs, des masses sacro-lombai
, * z et les parents ne s'en aperçoivent généralement, que quand l' atrophie est déjà très prononcée; c'est souvent à cause
o- phie des masticateurs par Reinhold ('), parHoff- mann (*), l' atrophie à la fois du releveur de la paupière et des masti
et par P. Marie (). Le malade de Bouveret, présentait en outre une atrophie très notable des muscles- de la langue, celui d
ophie très notable des muscles- de la langue, celui de Reinhold une atrophie légère de la langue, surtout à droite, des trou
observation de deux jumeaux myopa- thiques présentant tous deux une atrophie de la langue et une forte pa- résie du voile ;
langue et une forte pa- résie du voile ; l'un d'eux seul avait une atrophie notable des masticateurs. De la face l'atrophie
'eux seul avait une atrophie notable des masticateurs. De la face l' atrophie s'étend aux épaules et aux membres supé- rieurs
rale pure, mais les mêmes muscles sont beaucoup plus résistants à l' atrophie que les muscles environnants; seul d'entre eux le
rophie que les muscles environnants; seul d'entre eux le deltoïde s' atrophie parfois ou s'hypertrophie partiellement ou totale
sque toujours inaltérés; cependant SpiUer (1) a constaté une fois l' atrophie du diaphragme; Dttchenne a observé un cas où le
ves sur ce cas parce qu'il leur est arrivé de faire un diagnostic d' atrophie des intercostaux que l'autopsie n'a pas confirm
dans la forme scapulo-humérale, en ce sens que la progression de l' atrophie est Fig. i. Faciès myopathique. La malade ne
e très fréquem- ment des cas où l'on remarque en plus ou en moins l' atrophie non clas- sique de tel ou tel muscle ou groupe
ées encore par l'en- semble des caractères que l'on a attribués à l' atrophie des muscles supposée, à tort ou à raison, proto
elles ont fait défaut dans la plupart des cas jusqu'ici signalés d' atrophie W erdnig-lIol1mann. ) L'absence de pseudo-hyper
e dégénérescence, totale ou partielle, a été trouvée dans les cas d' atrophie Charcot-Marie ou Werdnig- Hoffmann au niveau de
ot-Marie ou Werdnig- Hoffmann au niveau des muscles dont le degré d' atrophie était favorable. s) Les modifications des réfle
tait favorable. s) Les modifications des réflexes tendineux. Dans l' atrophie Charcot- Marie ils sont abolis ou diminués dans
rés rarement (Sainton); ces modifications sont indé- pendantes de l' atrophie des muscles et de l'ancienneté de l'affection. Da
ffmann les réflexes tendineux étaient abolis. s) L'évolution de l' atrophie myélopathiqur est différente de celle de l'atro
'évolution de l'atrophie myélopathiqur est différente de celle de l' atrophie myopathique : dans le type Charcot-Marie parce qu
tissus autres que le tissu musculaire. Dans le type Charcot-Marie l' atrophie des os, signalée une fois par Hoffmann, n'a pas
'-11AII11 ? gaz Variétés. Les signes différentiels cliniques de l' atrophie Charcot-Marie et de l'atrophie Werdnig-ttou'man
signes différentiels cliniques de l'atrophie Charcot-Marie et de l' atrophie Werdnig-ttou'mann résident surtout dans l'âge du
nfance, fréquemment dans l'adolescence, rarement plus tard, par l' atrophie des muscles des pieds et des jambes. Exceptionn
2), ller-. ringham (3), Sainton) (*). . Aux membres inférieurs, l' atrophie atteint au pied tous les muscles, en particulie
, mais les muscles de la région postérieure restent indemnes et l' atrophie ne remonte jamais au delà du tiers inférieur de
fes- siers paraissaient un peu touchés. Aux membres supérieurs, l' atrophie frappe d'abord les mains, soit les éminences th
les supinateurs. 11 est tout il fait exceptionnel de constater une atrophie légère de quelque muscle du bras ou de l'épaule
Paris, 188 ! J. v [A LÉRI.] lig. 9. Amyotrophie Charcot- Marie. Atrophie considérable des jambes et des pieds, jambes de
eds, jambes de ('0'1, pieds creux et cambrés, orteils en grilles; atrophie des cuisses en jarretière, atrophie modérée d
cambrés, orteils en grilles; atrophie des cuisses en jarretière, atrophie modérée des mains. 694 ATROPHIES MUSCULAIRES.
tière, atrophie modérée des mains. 694 ATROPHIES MUSCULAIRES. L' atrophie est facile à reconnaître par l'examen des membres
d'une jambe mince, effilée, sans saillie du mollet. A la cuisse, l' atrophie , ne portant que sur le tiers inférieur, prend l
tiers inférieur, prend l'aspect tout à fait caractéristique de l' « atrophie en jarretière » ; quand les jambes sont rappro-
altérés, mais d'une façon très variable, proportion- nelle à l' atrophie des mus- cles correspondants. Dans la station
avons connu un amyotro- phique Charcot-Marie qui, malgré une grosse atrophie de ses membres inférieurs qui l'empêchait de ma
, faisait quotidienne- ment de longues promenades à bicyclette. L' atrophie des mains ne diffère pas del'amyotrophiediteÀran-
ement réductible. Les avant-bras sont minces, aplatis, ballants : l' atrophie « en man- chette » s'arrête d'ordinaire au tier
s sont souvent le signe révélateur de l'affection, alors même que l' atrophie est déjà beaucoup plus prononcée aux mem- bres
ctions sont souvent remarqua- blement conservées pour le degré de l' atrophie ; l'adaptation des membres aux différents usages
ejerine et Armand-Delille ()1 ont jusqu'ici révélé, en dehors d'une atrophie des cellules des cornes antérieures et d'une al
es nerfs, une dégé- nération prononcée des cordons postérieurs. L' atrophie des nerfs optiques a été signalée jusqu'ici dans
n, de Gordon, de Ballet et Rose : sa cause est encore inconnue. L' atrophie , qui débute par les membres inférieurs, n'envahit
upérieurs, mais les cas décrits par cet auteur, cas dans lesquels l' atrophie avait gagné les épaules et qui n'ont pas été suiv
ont pas été suivis d'autopsie, sont sans doute tout différents de l' atrophie Charcot-Marie. La marche de la maladie est extr
ue maladie intercurrente. 2. Type Werdnig-Hoffmann. - Cette forme d' atrophie est extrêmement rare ; on n'en connait que les
nig et par Hoffmann ont appris que le substratum anatomique est une atrophie des cellules radiculaires anté- rieures de la m
atrophie des cellules radiculaires anté- rieures de la moelle. L' atrophie débute dans la première enfance (fin de la premiè
rieurs, puis du dos. Cet affaiblissement est rapidement suivi par l' atrophie symé- trique des muscles des cuisses, du bassin
ie symé- trique des muscles des cuisses, du bassin et du dos. Cette atrophie frappe les muscles en masse et rapidement ; ell
pprennent pas à se tenir do- bout ni à marcher. La paralysie et l' atrophie s'étendent en même temps aux muscles du cou et
peuvent s'atro- phier et la mort peut être la conséquence de cette atrophie . L'atrophie a partout les caractères de l'atrop
o- phier et la mort peut être la conséquence de cette atrophie. L' atrophie a partout les caractères de l'atrophie myélopathi
équence de cette atrophie. L'atrophie a partout les caractères de l' atrophie myélopathique. à part la rareté des contraction
s récents de Bruns qui se sont prolongés jusqu'à 12 et 15 ans. C. ATROPHIE MUSCULAIRE MYÉLO-NÉVRITIQUE . DE L'ENFANCE ET D
ifférant par certains caractères de la forme Gombault-Dejerine. - L' atrophie débute dans l'enfance ou l'adolescence, Elle prés
l'enfance ou l'adolescence, Elle présente tous les caractères' de l' atrophie d'origine nerveuse : contractions fibril- laire
gression se fait de l'extrémité vers la ra- cine des membres ; l' atrophie peut être presque généralisée et atteindre même
ine). Ce qui caractérise cette affection, c'est l'association à l' atrophie (plus ou moins semblable à celle dela variété C
us la peau (P. Marie) ; cette hy- pertrophie ne se trouve ni dans l' atrophie Charcot-Marie ni, au même degré, dans aucune
Névrite interstitielle hy- pertrophique (malade de Pierre Marie). Atrophie des jambes et des pieds, atrophie des mains, cy
hique (malade de Pierre Marie). Atrophie des jambes et des pieds, atrophie des mains, cypho- scoliose. Chez ce malade on v
ies acquises, myélopathiques.) 1 ATROPHIES A TYPE DUCHENNE-ARAN L' atrophie musculaire progressive de l'adulte est presque to
différenciée, est l'amyotrophie dite Aran-Duchenne. Elle répond à l' atrophie et à la dispa- rition des cellules radiculaires
ur, que l'affection se révèle. Parfois, c'est par les épaules que l' atrophie commence ou semble commencer, beaucoup plus rar
eDuchenne avait décrite et représentée comme caractéris- tique de l' atrophie musculaire progressive. Les muscles de l'avant-
uvement actif : c'est la main de squelette, la main de cadavre. L' atrophie gagne les bras et, plus souvent, les épaules, soi
»; B, main que Duchenne considérait comme caractéristique de son atrophie musculaire progressive et qui est sans doute une
la doublure musculaire, se creuse de gouttières transversales par l' atrophie des inter- costaux et se trouve réduit au « gri
mbe tout à fait sur le sternum et ne peut être relevée à cause de l' atrophie des extenseurs de la tète, et en particulier du
ns » de Duchenne. Les membres inférieurs prennent rarement part à l' atrophie : elle commence par les petits muscles du pied
t uniformément émacié très caracté- ristique. Les caractères de l' atrophie sont ceux des atrophies myélopathi- ques que no
partie de la musculature ou localisées à quelques muscles en voie d' atrophie , plus particulièrement à certains d'entre eux,
ctilité électrique varie pour chaque muscle suivant la période de l' atrophie , et même pour chaque faisceau musculaire, car les
La contractilité faradique diminue progressivement jusqu'à ce que l' atrophie soit complète. La contractilité galvanique diminu
ence n'apparaît donc dans chaque muscle qu'à un moment donné de son atrophie ; son apparition est la règle dans les atrophies
s est normale ou diminuée, rarement abolie. Remak a décrit dans l' atrophie Aran-Duchenne une « contraction diplégique », p
nt variables, mais leur variation ne paraît pas proportionnelle à l' atrophie . Ils sont en général diminués dès le début; dan
Ils sont en général diminués dès le début; dans certaines formes d' atrophie Duchenne-Aran, dans la pachy- méningite cervica
t pas toujours symétriquement atrophiés, il est ordinaire de voir l' atrophie d'un segment de membre précéder de quelques mois
iques, tachycardiques et arythmiques que l'on a attribuées soit à l' atrophie du diaphragme (respiration paradoxale avec rétr
aryngée). Ces crises sont peut-être dues aussi en grande partie à Y atrophie de la musculature viscérale, et en particulier
en particulier du coeur : nous avons, en effet, trouvé une fois une atrophie musculaire presque complète de tous les organes
diminués. Dans la sclérose latérale amyotrophique, au syndrome de l' atrophie progressive des cellules radiculaires antérieur
ence. La paralysie et la contracture se joi- gnent rapidement à l' atrophie ou la précèdent et, en dehors des signes ordi
avancé, presque toujours sans atteinte des membres inférieurs. L' atrophie , comme les autres troubles, est souvent très inég
la polyomyélite antérieure chronique vraie : parésie précé- dant l' atrophie , douleurs, évolution rapide. Aucun de ces symptôm
g. '14. 3léiiiii qa-myél7te sy- philitique ayant évolué comme une atrophie musculaire pro- gressive. Atrophie des' mains,d
litique ayant évolué comme une atrophie musculaire pro- gressive. Atrophie des' mains,du type Aran-Duchenne. Atrophie de
culaire pro- gressive. Atrophie des' mains,du type Aran-Duchenne. Atrophie des membres inférieurs. AMYOTROPHIES TYPE ARA
des membres inférieurs. AMYOTROPHIES TYPE ARAN-DUCHENNE. 705 l' atrophie , quelle que soit la lésion causale, parce que la
eurs; parfois aussi on trouve des atrophies diversement localisées, atrophie de la langue, des muscles innervés par la branc
tre d'une névrite : les premières au contraire, et en particulier l' atrophie Aran-Duchenne, dépendent sûre- ment d'une atrop
en particulier l'atrophie Aran-Duchenne, dépendent sûre- ment d'une atrophie des cellules radiculaires antérieures de la moell
dans les névrites : il semble logique d'admettre aujourd'hui que l' atrophie d'origine spinale dans le tabès peut n'en pas ê
ur la méninge et le cordon postérieurs (P. Marie et Guillain), de l' atrophie musculaire par sa localisation sur les cornes a
à la paralysie générale. Dans certaines névrites on peut observer l' atrophie type Aran- Duchenne ; dans la névrite saturnine
is nous croyons devoir émettre des doutes sur l'origine réelle de l' atrophie dans le cas où elle est étendue et progressive; d
e et progressive; dans la moelle d'un vieux saturnin, chez lequel l' atrophie , d'abord localisée aux extrémités suivant le ty
xiques sont en réalité des m/élopatlhies toxiques. L'évolution de l' atrophie , la paralysie plus ou moins marquée du début, l
ation de l'opinion que nous exprimons ici : ce malade, présentant une atrophie musculaire presque généralisée, ayant débuté pa
musculaire presque généralisée, ayant débuté par les mains comme une atrophie Ai'im- Duchenne et s'étant propagée ensuite non
07 prouver; mais, dans presque tous les cas, d'autres lésions que l' atrophie des cellules radiculaires, lésions médullaires
tion plutôt régressive que progressive, sinon pour l'intensité de l' atrophie , du moins pour son étendue. Si vastes qu'elles
altat, de Duplay et Cazin, de Van Gehuchten n, qui ont constaté une atrophie simple des muscles sans aucune altéra- tion inf
montré qu'on pouvait expérimentalement empêcher l'apparition d'une atrophie réflexe par la section préalable des racines po
patholo- gique, les autres par l'expérimentation, ont montré que l' atrophie pou- vait être due à des lésions véritables des
de lésions abarticulaires. a) Atrophies d'origine articulaire. Une atrophie musculaire peut apparaître au cours ou à la sui
épaule, les fessiers pour une lésion de la hanche. Des extenseurs l' atrophie peut s'étendre aux fléchisseurs, mais en restan
s segments situés au-dessous de l'articulation lésée. Quelquefois l' atrophie présente une localisation conforme à la topogra
carie sèche de l'articulation scapulo-humérale, Ilalipré (') a vu l' atrophie affecter tous les muscles du groupe Duchenne-Er
aque de rhumatisme polyarti- culaire, par exemple, peut simuler une atrophie musculaire progressive. L'atrophie est ordinair
e, par exemple, peut simuler une atrophie musculaire progressive. L' atrophie est ordinairement peu prononcée, elle peut parfoi
érences de circonférence de 5 ou 6 centimètres et plus. C'est une atrophie simple, elle ne s'accompagne pas d'hypertrophie
bilité électrique est normale ou dimi- nuée proportionnellement à l' atrophie , mais jamais on n'observe de modification quali
mamlic, 1 (JO;), p. 425. [A. LÉRI. 710 ATROPHIES MUSCULAIRES. L' atrophie de cause articulaire s'accompagne ordinairement d
moins au début; cette parésie semble même précéder ordinairement l' atrophie , et l'impotence fonctionnelle est excessive si on
temps, mais que le muscle n'augmente pas pour cela de volume, que l' atrophie subsiste, augmente même plutôt qu'elle ne dimin
culaire provocatrice, mais le fait n'est nullement constant, et une atrophie peut persister indéfiniment à la suite d'une ar
r indéfiniment à la suite d'une arthrite tout à fait passa- gère. L' atrophie , quelle que soit sa durée, est d'emblée circonscr
eine intra-musculaire (coup de fouet, Charcot). Les caractères de l' atrophie d'origine abarticulaire sont identiques à ceux
s de l'atrophie d'origine abarticulaire sont identiques à ceux de l' atrophie arthrogène ; elles sont parfois très étendues, or
ésie aiguë, dès la 2e ou la le semaine (Lasègue, Desplats). Quand l' atrophie ne frappe que les muscles inter- costaux, on pe
rédominant, c'est elle qui commande avant tout la distribution de l' atrophie . L'atrophie est d'ail- leurs d'une fréquence et
c'est elle qui commande avant tout la distribution de l'atrophie. L' atrophie est d'ail- leurs d'une fréquence et d'une inten
as il est difficile de dire si la paralysie précède véritablement l' atrophie , il semble que la parésie soit d'ordinaire prop
mbres infé- rieurs). .. - . Dans la paralysie spinale infantile l' atrophie ne se montre que long- temps, six semaines au m
d très étendue ou généra- lisée, ensuite régressive et localisée. L' atrophie se montre exclusivement au niveau des groupes m
scapulo-huméral) : elle s'y loca- lise parfois. - Toujours cette atrophie est accom- pagnée d'un arrêt de développement
bres inférieurs où elle peut dissimuler plus ou moins longtemps l' atrophie ; les rétractions fibro-musculaires sont ha- b
tuelles dans les antagonistes des muscles les plus atropines. Cette atrophie est à peu près irrémédiable ; elle envahit d'embl
e proche en proche. Pourtant on a cité un certain nom- bre de cas d' atrophie musculaire progressive survenant très tardive-
itaire, 1' « infériorité originelle », dans les lésions, Fig. 15. - Atrophie considérable du membre inférieur gauche à la su
culièrement friable et vulnérable du foetus et du nouveau-né ('). L' atrophie musculaire peut affecter chez l'adulte les mêmes
us en avons publié avec Wilson un cas absolument typique (2). ' L' atrophie consécutive à une hématomyélie est toujours secon
se traduisent par une paraplégie ou par une paralysie ascendante, l' atrophie est rare et légère; on constate surtout une éma
i- plégie, diplégie, paraplégie, monoplégie, on peut constater de l' atrophie 1. C)nn)t ! ? < et Léhi. Acad. des Se, 16 ma
OPHIES MUSCULAIRES. ' ' dés membres paralysés; dans, tous ces cas l' atrophie musculaire n'est qu'un des éléments du trouble
ulier le tissu osseux; elle est plus ou moins propor- tionnelle à l' atrophie des os, au moins à leur atrophie en épaisseur, ma
lus ou moins propor- tionnelle à l'atrophie des os, au moins à leur atrophie en épaisseur, mais n'est nullement proportionne
trêmement prononcé, il fait défaut exceptionnellement (P. Marie); l' atrophie frappe avec prédilection le membre supérieur, e
muscles du tronc et la cage thoracique ne sont pas respectés. L' atrophie musculaire et os- seuse des hémiplégies cérébra
es éléments des muscles, des os, des nerfs, de la moelle, etc. (« atrophie numérique » de Jiuppel) ly. Dans l'hémiplégie d
rophie numérique » de Jiuppel) ly. Dans l'hémiplégie de l'adulte, l' atrophie musculaire est loin d'être exceptionnelle, mais
altération morphologique; plus tard Dejerine a rapporté des faits d' atrophie mus- 1. 11LIPPIsL. Presse médit, 3J juillet 189
phie mus- 1. 11LIPPIsL. Presse médit, 3J juillet 1897. Fig. 16. - Atrophie des membres paralysés dans un cas d'hémiplégie
un cas d'hémiplégie gauche avec para- lysie cérébrale infantile. L' atrophie est sur- tout nette au niveau des membres supér
., avril 1898. ' [A. LERI-1 Fig. 17. Hémiplégie gauche acquise. Atrophie du côté correspondant du tronc et dcs membres.
exceptionnellement la réaction de dégénérescence, assez souvent une atrophie du squelette en épaisseur et même en lon- gueur
ons des nerfs moteurs ou mixtes provoquent des paralysies suivies d' atrophie musculaire : ces lésions sont traumatiques (sec
usions d'un nerf, la paralysie et l'amyotrophie sont superposées, l' atrophie succédant de peu à la para- lysie ; la localisa
s sec- tions incomplètes, des plaies ou contusions, la paralysie, l' atrophie et les troubles objectifs de la sensibilité son
s voisins, puis à la main, à l'avant-bras, au bras. Le doigt lésé s' atrophie , s'el'lile, sa peau devient mince, lissé, luisant
re à son tour subit les mêmes modifications. Puis, après la main, l' atrophie musculaire gagne souvent l'avant-bras, le bras
laircs sont fréquentes. L'examen radioscopique montre par- fois une atrophie dans l'épaisseur des os. Tardivement la douleur p
ifs peuvent prédominer sur les troubles moteurs ou inver- sement. L' atrophie musculaire présente les caractères ordinaires de
ment. L'atrophie musculaire présente les caractères ordinaires de l' atrophie d'origine périphérique : absence de contractions
(ordinaires, mais inconstants), les paralysies; un peu plus tard l' atrophie envahit en masse les muscles préalablement paraly
ertrophies nodulaires de périnévrite réparties le long des nerfs. L' atrophie affecte très souvent le type Duchenne-Aran : elle
l la polynévrite, mais il faut sans doute faire une part dans cette atrophie progressive à la poliomyélite, car le bacille de
troubles sensitifs objectifs et réaction de dégénérescence, mais l' atrophie musculaire est rare. La guérison rapide ATROPHI
les consistent surtout en paralysies douloureuses circonscrites ; l' atrophie musculaire peut être considérable, elle est gén
e et musculaire précèdent toujours la paralysie ; la paralysie et l' atrophie sont cependant presque constantes ; elles se lo
muscles innervés par le radial, à l'exception du long supinateur; l' atrophie rapide de ces muscles est presque constante, la
laires névritiques du tabes n'est pas encore résolue. A propos de l' atrophie spinale type Duchcnne-Aran, nous avons noté déj
e l'atrophie spinale type Duchcnne-Aran, nous avons noté déjà que l' atrophie du tabes se présente parfois sous cette forme e
ires antérieures par la méningo-myélite syphilitique; cette forme d' atrophie ne diffère pas en effet de la forme myélopathique
que l'on pouvait trouver dans le tabes une dé- générescence et une atrophie des grandes cellules motrices. Mais la forme la
n- sion de la première phalange et flexion des autres. Puis l' atrophie envahit les muscles de la jambe et surtout le
que les mouvements de latéralité sont conservés et même exagérés. L' atrophie des jambes est souvent très considérable ; elle
a moelle, et dans les trois observations de Raymond et Philippe une atrophie des cel- lules radiculaires antérieures semblai
trophie classique des membres inférieurs. Il est possible que cette atrophie musculaire des tabétiques reconnaisse pour cause
trophie musculaire des tabétiques reconnaisse pour cause tantôt une atrophie des cellules motrices, tantôt une névrite primiti
) Atrophies consécutives à une paralysie d'origine fonctionnelle. - Atrophie musculaire hystérique. La réalité de l'atrophie
fonctionnelle. - Atrophie musculaire hystérique. La réalité de l' atrophie musculaire hystérique a été démontrée par Charcot
t, Gilles de la Tourette, etc.). Mais il n'en reste pas moins quc l' atrophie purement hystérique doit être considérée de plu
tions minimes des voies nerveuses centrales et périphériques. Cette atrophie peut peut-être être considérée comme due à l'in
résulte presque toujours du défaut de fonctionnement des muscles. L' atrophie hystérique porte toujours sur un membre paralysé,
. [A. LÉRI.] 728 ATROPHIES MUSCULAIRES. retarder quelque peu l' atrophie de certains muscles, mais rien n'est moins cert
essitent une immobilisation pro- longée de la région qui favorise l' atrophie . Des corsets divers peuvent plus ou moins rendr
de l'affection causale : la relation n'est nullement absolue. A l' atrophie elle-même, il faut appliquer un traitement préven
ans les lésions articulaires, le meilleur traitement préventif de l' atrophie réflexe consiste dans le massage doux, commencé s
ilisation, mais même le massage doux. Le traitement curatif d'une atrophie réflexe sera plus complexe. Le I. Raymond. Soc.
infantiles. La laxité excessive de certaines' articulations due à l' atrophie des muscles qui les meuvent sera parfois, avec
actère héréditaire ou familial. a) Myopathie : 1. Caractères de l' atrophie musculaire : Absence de contractions fibrillaires
es accessoires inconstants, troubles divers du développement : os : atrophie , aplatissement du thorax et taille de guêpe, thor
zy-Dejerine : 2" enfance. b) Myélopathies : .' 1. Caractères de l' atrophie : Contractions fibrillaires (pas dans la forme \\
fouet; séreuses : atro- phies pleurétiques, etc. Caractères de l' atrophie : caractères de l'atrophie simple, myopathique, m
phies pleurétiques, etc. Caractères de l'atrophie : caractères de l' atrophie simple, myopathique, mais absence de pseudo-hyp
t limi- tées ; durée prolongée. B) Consécutives A une paralysie : atrophie de tout ou partie des muscles préalablement par
périphérique : lésions des nerfs périphériques : 1. Caractères de l' atrophie : pas de contractions fibrillaires ; pas de pseud
ion anormale du volume d'un muscle est plus souvent le signe de son atrophie que de son hypertrophie. En dehors de l'augmentat
e de relation, au niveau des muscles des membres et du tronc, que l' atrophie musculaire y est fréquente. Il en est tout autrem
[A. LÉRI ] 7.ÏN Illl'I : li'l'ISlll'lllla llll : l;1..111s1;s. atrophie musculaire : le stade d'hypertrophie indique déjà
s en amènent plus ou moins précocement l'hypertrophie, avec ou sans atrophie des muscles voisins. Mais dans ces cas encore,
S PRÉATROPHIQUES Nous avons dit que dans tous les muscles en voie d' atrophie , quelle que soit l'origine de l'atrophie, on tr
tous les muscles en voie d'atrophie, quelle que soit l'origine de l' atrophie , on trouve des fibres hypertrophiées. Erh, qui
thies, le nombre des fibres hypertrophiées dans un muscle en voie d' atrophie n'est jamais assez considérable pour que le mus
typer- - trophiée, les extrémités des fibres s'atrophiant; cette « atrophie longitu- dinale » (Roth) détermine la formation
r Marinesco ; ces auteurs croient, qu'elle s'associe toujours à une atrophie longitudinale, et que la saillie contractile pl
l'existence de fibres d'un volume énorme dans les muscles en voie d' atrophie , s'explique par le fait que l'hypertrophie est
éalable d'hyper- trophie soit indispensable, pour toute fibre qui s' atrophie . L'hypertrophie préatrophique est donc déjà un
ulaires s'hypertrophient généralement, puisque nous avons dit que l' atrophie n'est pas un simple trouble trophique, niais qu'e
ement les matériaux contractiles : ce processus sera l'origine de l' atrophie . .Ces caractères distinguent les fibres atteint
r que l'hypertrophie de certaines fibres dans les muscles en voie d' atrophie esl - une hypertrophie fonctionnelle vicariante
ion sur les mêmes muscles ou sur des muscles voisins de caractères ( atrophie , hypertrophie préatro- phique ou permanente, co
ans un cas de Friedreich et dans le cas de Bressler, il y avait une atrophie de certains muscles en même temps qu'une hypert
x portions différenciées de la fibre; c'est pourquoi il n'y a pas d' atrophie consécutive à l'hypertrophie. Si nous nous rapp
rose des nerfs auditifs (le signe de Rombcrgpcut être dû à la seule atrophie des nerfs labyrinthiques et, d'après serait mêm
non incontinence des sphincters, abolition des réflexes tendineux, atrophie musculaire; il n'y a pas de signe d'Argyll- Rob
crises gastralgiques, frigidité et impuissance, troubles oculaires, atrophie musculaire, maux perforants, chute des ongles e
e Romberg; on n'observe ni troubles vésicaux, ni signe d'Argyll, ni atrophie papillaire. Ces troubles sont très différemment
ntré que la lésion essentielle de cette affection consistait en une atrophie des cellules de Purkinjc du cer- velet : l'inco
et des masses musculaires, la fréquence et souvent l'intensité de l' atrophie des muscles douloureux, la topographie périphériq
airement accompagnée d'épilepsie ou de troubles mentaux graves. L' atrophie Oll.vO-0)t ! o-C('1'Glllll(SG, isolée par Dejerin
qui sont beaucoup plus riches en symptômes que les scléroses ou les atrophie *, il est souvent beaucoup plus marqué, il s'acc
ubles sont sans doute dus à un mélange de paralysie, d'hypotonie, d' atrophie musculaire et de contracture plus qu'à une alté
s mus- cles de l'oeil; la présence dans près du tiers des cas d'une atrophie optique présentant il peu près les caractères o
il peu près les caractères ophlhalmoscopiques et fonctionnels de l' atrophie tabétique, mais aboutissant rarement à la cécité
titesse de tout le système nerveux central, surtout de la moelle, l' atrophie de la substance grise, la dégénération partielle
superficiels qui sont parfois saillants sous la peau IP. Marie), l' atrophie musculaire manifeste des membres inférieurs et
il lance ses jambes; il ne talonne pas pourtant, car il cause de l' atrophie mnscu- laire ses pieds sont pendants et il a un
INATIONS. Variétés topographiques : a) Affections du cervelet : Atrophie ou sclérose : syndrome pur- ou associé à épilepsi
x muscles, ni dans l'une ni dans l'autre il n'y a de paralysie ou d' atrophie . La physiologie pathologique et la pathogénie d
et l'on observe une hémi- plégie double, soit que la paralysie et l' atrophie linguales demeurent iso- lées, unies ou bilatér
t encore entravé par la paralysie des constricteurs du 1. Lorsque l' atrophie est peu prononcée, le malade, s'il n'est point. L
'abord des troubles de la motilité linguale, de la dysartbric, de l' atrophie marquée de la langue. Les lèvres, le men- ton s
lésion se traduit en effet par des symptômes parfois très frustes ( atrophie olivaire de Pierre Marie et Guillain, atrophie ol
arfois très frustes (atrophie olivaire de Pierre Marie et Guillain, atrophie olivo-rubro-céré- helleuse de Lejonne et Lhermi
- helleuse de Lejonne et Lhermitte). parfois nettement cérébelleux ( atrophie olivo-ponto-cérébelleuse de Dejerine et Thomas)
r- tension crânienne fait défaut. Diagnostic. Il n'existe point d' atrophie chez les pseudo-bul- baires, gâteux présentant
o-labio-palato-pharyng('.e avec hémia trophiedroitcdela langue, une atrophie du faisceau supérieur du trapèze droit, un comp
ompagnées ni de troubles trophiques, ni de troubles électriques : l' atrophie musculaire et la réaction de dégénérescence fon
ie congénitale liées lune et l'autre à de gros accidents cérébraux, atrophie et sclérose corticales, microgyrie, porencéphal
s du complexus symptomatique bulbaire ; plus tard se décèleront une atrophie musculaire notahle et des troubles des réaction
és. L'intelligence est intacte. Il est exceptionnel d'observer de l' atrophie musculaire, mais les tremblements fibrillaires
actérisées de la myasthénie est simple. Dans les myopathies, il y a atrophie musculaire, et l'impotence est au prorata de la
ilité et en particulier le tremblement kinétiquc et statique dans l' atrophie olivo- ponto-cerebelleuse. Gordon Holilles a dé
l'a observé également dans la sclérose en plaques ou au cours de l' atrophie musculaire (Fiarges Priécracini et Tamburini).
e véritable, particulièrement des adducteurs du pouce, souvent avec atrophie ; on a noté aussi, à titre d'exception, du trem
ement dou- loureuse, accompagnée de douleurs le long des nerfs et d' atrophie muscu- laire (Donath) (1). Elle est quelquefois
les syringomyéliques. Ces malades peuvent, en effet présenter de l' atrophie osseuse ou téguinen- faire et notamment de l'hé
lie un nombre extraor- dinaire d'altérations trophiques, soit que l' atrophie , musculaire simple réalise la déformation dite
se la déformation dite main de singe ou main de cadavre, soit que l' atrophie musculaire, la contracture et les rétractions ten
icile de savoir quel est le rôle du trophisme proprement dit dans l' atrophie testi- culaire d'un tabétique, par exemple, ou
pré- sentent souvent une intelligence obtuse, de la frigidité avec atrophie testi- culaire. Mais celle-ci peut-elle être te
varie du diamètre d'une cerise à celui d'une orange, subissent une atrophie locale des tissus sous-cutanés s'étendant jusqu
t destructions osseuses. Ces lésions sont à distinguer des cas où l' atrophie osseuse, sans lésion des tégu- ments, intervien
us serons assez brefs sur ces différents Fig. 10. Griffe lépreuse : atrophie . des éminences thénar -et hypothé- nar. Le m
syringomyélie, le tabès, la sclérose en plaques, on a signalé leur atrophie , accompagnée parfois de chan- gement de colorat
surtout d'arrêt de développement. 11 y a dans ces cas non seulement atrophie de squelette, mais réduction du membre entier;
à la suite de trauma- tismes, de brùlures étendues survient une atrophie numérique (Klippel), un arrêt de développemen
omyélie (d'après Ilal- lion). Fig. 14. Paralysie infantile avec atrophie considérable de tout le membre supé- rieur dr
bre supé- rieur droit. - ! )0 ' 1 TROUBLES TROPHIQUES. aire d' atrophie cutaneo-osseusc, cantonnée généralement au niveau
1 ic, les tumeurs b ulbo- proLuhérnn- ticlles. - En dehors de l' atrophie osseuse massive, les affections du système ne
e ce traité; rappelons seulement la lipomatose qui masque parfois l' atrophie musculaire, et les déformations rachidiennes, les
culaire, et les déformations rachidiennes, les scolioses, liées à l' atrophie des muscles des gouttières vertébrales. Les aff
lation, de reptation sur place, coexistant avec un degré variable d' atrophie de l'organe. Le, plus ordinairement les secousses
peuvent être fonctionnelles ou organiques et s'accompagner ou non d' atrophie . La paralysie totale de la langue sans atrophie
ompagner ou non d'atrophie. La paralysie totale de la langue sans atrophie se voit chaque fois que la lésion siège au-dess
double hémiplégie. Lue paralysie ou mieux une parésie totale, sans atrophie fait encore partie du syndrome myaslhénique d'E
ction électrique spéciale. Avec les lésions bulbaires se montrent l' atrophie , les secousses fibril- laires, la réaction de d
fin d'une maladie à évolution progressive et rapide. Il existe une atrophie musculaire précoce et considérable au niveau de
que les myopathiques présentent quelquefois de la para- lysie avec atrophie . Les paralysies de la langue n'atteignant qu'un
supra-bulbaires, bulbaires et périphériques. Dans tous ces cas une atrophie peu marquée se décèle en saisissant la langue e
te de la résistance physiologique normale. Il ne survient point d' atrophie , ou cette atrophie est minime et il s'agit plut
physiologique normale. Il ne survient point d'atrophie, ou cette atrophie est minime et il s'agit plutôt d'amaigrissement
. [F MOUTIER] J 982 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. l' atrophie est lent, la langue prend l'aspect d'un croissant
plan un peu inférieur à celui du côté sain. En général, malgré une atrophie notable, les mou- vements sont encore possibles
n semblable cas. Une autre forme de gastro- plégie est réalisée par atrophie de la musculature viscérale comme dans la myélo
) Trouble local : difformité tératologique : a) Par défaut : arrêt, atrophie : Ectromélie : ecti-omèles, hémimèles, phocomèl
na ventosa syphilitique. ! < ! . Attitudes vicieuses : paralysies, atrophie , contracture, accessoirement rétraction : A)
ulsations artérielles,- d'élévation de la température locale. 1 L' atrophie d'un- membre congénitale est plus souvent la cons
sants, la peau semble lopins souvent adhérer aux os par suite d'une atrophie en masse des muscles et du tissu sous- cutané;
ie par Pierre Marie et llarinesco (fig. 11 ), est due à la fois à l' atrophie musculaire et à des troubles trophiques de la p
iation longitudinale des ongles est exagérée. A la face palmaire, l' atrophie de l'éminence hypothé- nar et presque toujours
llirallié, on pourrait l'observer dans des cas divers, hémiplégie, atrophie musculaire Aran-Duchenne, myopathie, etc. Dan
tés, elle s'accompagne souvent . , . ATTITUDES VICIEUSES. '1055 d' atrophie musculaire, de troubles vaso-moteurs et trophique
est plus fréquente; elle s'observe dans les diverses va- riétés d' atrophie et de sclérose cé- rébrale, d'encéphalite foeta
tiques » que de mains-botes paralytiques. -, La localisation de l' atrophie .ou de la paralysie soit sur les extenseurs, so
bms avec un certain degré de supination. Cette altitude est due à 1 atrophie ou à la paralysie des muscles. 1 . Il est.rare
lésion de la moelle est assez intense pour déterminer lllïg. 14. - Atrophie du mem- bré supérieur droit il la ' suite d'u
r le radial, extenseurs et supinateurs. Suivant le degré variable d' atrophie , de paralysie ou de contracture de ces muscles,
mains fléchies du rhumatisme chronique sont dues au contraire à l' atrophie des exten- seurs et à la prédominance d'action
B) Déviations des DOIGTS sur la main : GRIFFES. La paralysie ou l' atrophie des muscles innervés par un des nerfs moteurs d
de certaines lésions médullaires ou méningées, paralysie infantile, atrophie musculaire pro- gressive au début, pachyméningi
une main de singe avec «rifle des in- 1('rossl'lIx et généralement, atrophie de l'hypothénar. L'eminencethenar est atrophiée
ons et hémisections de la moelle et dans la paralysie mlantlle. L atrophie .musculaire type Ltiarcot-jiane et la névrite i
-athélosc post- hémiplégique infantile on observe d'ordinaire une atrophie plus ou moins prononcée des membres at- teint
ma- tion peut être produite, on le conçoit, par la paralysie ou l' atrophie d'un muscle ou d'un groupe de muscles ou par la
un pied-bot paralytique. ' En dehors de ce cas. la paralysie ou l' atrophie isolée de certains muscles d'une part, la contr
odiques, on peut diagnostiquer s'il s agit d'une paralysie ou d'une atrophie de certains muscles ou d'une contrac- ture de l
vue. Ceci est vrai au moins dans les lore- miers temps, avant que l' atrophie ou la contracture secondaire, les retrac- tions
alange, surtout au pouce, et flexion des autres phalanges. Dans l' atrophie musculaire Charcot-Marie, qui est aussi une myélo
es inférieurs. " A) Double pied-bot équin varus très prononcé. B) Atrophie à la fois des pieds et de la totalité des membres
uxième enfance et serait caractérisée par la griffe des orteils par atrophie des in- lernsseux (extension de la première pha
nges et flexion des deux autres. Elle est due à la paralysie ou à l' atrophie des interosseux dont le rôle physiologique est
, le court fléchisseur du gros orteil participent généralement il l' atrophie , de sorte que, sur la face plantaire, l'éminenc
l comprendre. Il existe parfois un eWl1lchislIIe familial, soit par atrophie lesiicii- laire familiale (Debove) soit par her
étendue, par leur pigmentation et par leur forme, mais encore par l' atrophie cicatricielle, l'aspect déprimé et gaufré qui se
leur ancienneté. ' Stigmates testiculaires. - Ce sont, ou bien une atrophie scléro- tique de l'organe consistant dans un te
ents permet de trouver 4 stigmates de l'hérédo-syphilis. 1° C'est l' atrophie cuspidienne de la première grosse molaire : cette
ues unilatérales des corps vertébraux peuvent jouer un rôle comme l' atrophie musculaire : ici encore la radiologie peut à la f
ormations osseuses. Aussi, alors que dans le tabès il y a à la fois atrophie et rénovation osseuse, dans la syringo.myélie (ar
ranslucidité accentuée plus qu'une diminution de volume des os. L' atrophie numérique de Klippel est intéressante il rapproch
rapprocher, au point de vue radiographique, des types précédents d' atrophie myélopa- (chique ou myopathique; elle montre un
ndit et s'excaye dans le sens vertical. Schiiller montra l'usure, l' atrophie , parfois la destruction irré- guliere de la sel
a- géré de la tète qui est bien ossifiée. Porak a signalé aussi une atrophie de la base du crâne et du trou occipital, un fa
montre sur des muscles paraissant encore indemnes de paralysie et d' atrophie , c'est souvent un indice de leurs altérations p
oment de l'examen, soit que, par suite de la lenteur du processus d' atrophie , les libres nerveuses et les fibres musculaires
t parfois très prononcée et peut aller jusqua l'abolition lorsque l' atrophie est très grande. Parmi les paralysies périphéri
a poliomyélite antérieure chronique ou de la syringomyélie. ou de l' atrophie Charcot-Marie; on peut voir, dans cette dernière
sence d'une DR plus ou moins caractérisée sur des muscles en voie d' atrophie , alors que sur d'autres muscles plus altérés la
du type Landouzy-Dejerine, myopathie scapulo-humérale du type Erb, atrophie musculaire du type Leyden-Mobius, etc. Dans ces
Remak chez un malade présentant des troubles des mouvements et de l' atrophie musculaire probablement d'ori- gine myélopathiq
tes on de polynévrites. En pareils cas, il s'agit de muscles dont l' atrophie n'est pas complète et dont l'excitabilité farad
mentée (Frey et Windscheid, Destot). Dans les myopathies, même avec atrophie , la résistance resterait sensiblement normale (
ces excitations sur des muscles plus ou moins atrophiés (malgré une atrophie parfois assez prononcée de certains muscles dan
Comme type principal de ces affections nous pouvons considérer \' atrophie musculaire mclopalhiqlce l'almur-Duclrelne. Les m
es muscles, excitations modérées des muscles atrophiés ou en voie d' atrophie , faites suivant l'étal de leur excitabilité élect
on tentés contre les autres loca- lisations de la paralysie et de l' atrophie ; généralement l'évolution pro- gressive continu
ace de deux ans, parfois cependant d'une façon plus lente. Dans l' atrophie musculaire du type i.hc( ? COt,-1%(XY'2G, le trai
myopathie primitive, paralysie pseudo-hyper- trophique de Duchenne, atrophie J'aeio-seapulo-huII\(\rale de Landouzy- Dejerin
uchenne, atrophie J'aeio-seapulo-huII\(\rale de Landouzy- Dejerine, atrophie scapulo-humérale (l'I'.r'h, atrophie musculaire d
\(\rale de Landouzy- Dejerine, atrophie scapulo-humérale (l'I'.r'h, atrophie musculaire du type Leyden-Mobius, paraissent dé
rique de bonne heure, lorsque l'affaiblissement des muscles et leur atrophie ne sont pas encore très prononcés, que l'on peu
iculaire sont généralement bons et assez rapides, surtout lorsque l' atrophie n'est pas trop ancienne. On voit assez rapideme
n voit assez rapidement les muscles gagner en volume et en force. L' atrophie toutefois ne disparait pas toujours complètemen
il y aura lieu de chercher à remédier à 1 affadi- blissement et à l' atrophie des muscles en portant sur ces derniers des exc
gaines de myéline en noir et de permettre d'apprécier le degré « d' atrophie des racines postérieures dans leur trajet extra e
dans le liquide céphalorachi- dien, 1150. Alcoolisme. Névrites et atrophie muscu- laire, 725. Tremblement, 847. Alexie.
xication, névrites et atrophie' musculaire, 723. Artériosclérose. Atrophie musculaire, 707. - cérébrale, vertiges, 170.
4. Articulation des mots, troubles, 198. Articulations, lésions, atrophie muscu- laire réllexe, 708, 711. , Asphyxie lo
tellectuels, 875. Mouvements de la main, 1041. des pieds, 1059. Atrophie congénitale des membres, 1016, 1042. du névraxe
omènes oculaires, 75. Bergeron. Voy. Chorée électrique. Béribéri. Atrophie musculaire, 722. Besoins, sensations internes,
hémiplégie, 464. INDEX ALPHABÉTIQUE. lu83 -Diabète. Névrites et atrophie musculaire, 723. Ataxie, 761. Diamètres cépha
s mains. Ectrodactylie, Polydactylie, etc., 1015. Hypertrophie et atrophie , 1016. . tératologiques des pieds, 1042. Diga
ilatateur des narines. Innervation phy- o ! ogie, 585. Diphtérie. Atrophie musculaire, 722. Diplégies cérébrales infantile
ion, physiologie, 559. Dubini Yoy. Chorée électrique. Duchenne ( Atrophie musculaire pseudo- hypertrophique de -) 682 Syn
trophies à type ), ), 688, 698. (Maladie de existence), 706. Voy. Atrophie musculaire, Griffe. Dysarthries, 196, 198, 211.
es nerveuses, 955, ! IaG.-Irslé7'Iq7cc, inexistence, 958. typhoïde, atrophie musculaire, 725. Fixation des centres nerveux
les de la sensibilité. Anesthésies, JJ2. - Hypereslhésies, 556. - Atrophie musculaire, 726. - Incoordination, 781. - Crise
iologique, 482, 485. Kleist (Apraxie motrice de -), 225. Klippel ( Atrophie numérique de -), 1l ili. Kojewnikoff (Syndrom
49. Topo- graphie segmentaire, 550. Topogra- phie insulaire, 551. Atrophie , type Duchenne-Aran, 704. Atrophie mus- culai
Topogra- phie insulaire, 551. Atrophie, type Duchenne-Aran, 704. Atrophie mus- culaire, 722. troubles trophiques, 925,
ction lombaire thérapeutique, 1141. Méningo-myélite syphilitique. Atrophie musculaire, type Aran-Duchennc, 704. Mensurat
para- lytique. - spastique, 84. pltysio, logique, 88. Myélites, atrophie musculaire, 715. transverses chroniques, 501.
189. - Traitement électrique, 13ou. - in- fectieuses ou toxiques, atrophie mus- , culaire consécutive, 720. Névroglie. C
13,i. - Labyrinthites, 155. Orth (Liquide de). Voy. Fixation. Os. Atrophie chez les myopalhiques, 075. Ostéo - arthropathi
odiagnostic, 1171. P Pachyméningite cervicale hypertrophi- que, atrophie musculaire type Duchenne- Aran, 702. Cytodiagno
do-bulbaire. Voy. Pseudo-bul- baire. - spinale aiguë de l'adulte, atrophie musculaire, 715. - spinale infantile, atrophi
- spasmo- diques, avec exagération des réflexes sans contracture, atrophie musculaire constante, 494. - avec contracture^
rome des lésions médul- laires), 515. - . Saturnisme. Névrites et atrophie muscu- laire, 725. Tremblement, 848. Scalènes
combinée sénile, ataxie, 7G3. en plaques, lésions de l'oreille, z Atrophie musculaire typeAran-Duchenne, 705. - Tremblemen
iagnostic, 1137. - Radiothérapie, 1187. - latérale amyotrophique, atrophie musculaire type Duchenne-Aran, 702. - Traite--
Troubles de la sensibilité à topographie radiculaire, 550, 32. - Atrophie musculaire type Aran-Du- chenne, 705. - Chiromé
528, 529. - Amyotrophie de type Aran-Duchenne, 705. - Névrites et atrophie musculaire, 724. - Ataxie tabétique, 7a ! ). -
céreuses, 922. - Altérations des phanères, 026. - Hypertrophie et atrophie du squelette, 928. - Troubles trophiques des ar
jumeaux, lésions, hé- mianesthésie, 514. Tuberculose. Névrites et atrophie mus- culaire, 725. Tumeurs bullaires, 805. -
e. Ponction lombaire thérapeutique, 1141. V Vaisseaux. Lésions, atrophie musculaire consécutive, 707. Ventricules céré
8 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
donne les résultats suivants : réactions électriques normales. Pas d' atrophie . Anesthésie plus marquée à droite. Réflexes rot
tre sous les sym- ptômes d'une paralysie labio-glosso-laryngée sans atrophie . » Bris- touez, en effet, a relaté un fait de n
ËGIE EXTERNE COMBINÉE A LA PARALYSIE GLOSSO-LABIO-LARYNGÉE ET A L' ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LESION SYSTÉMATIQUE DES
lité faradique et galvanique encore plus pro- noncée que ne l'est l' atrophie , mais sans inversion de la formule. Les réflexe
la valeur à propos du diagnostic de la poliencépllalomyélite avec l' atrophie myopathique, il existe à droite et à gauche une s
bras, toujours en commençant par le côté droit. De l'avanl- bras, l' atrophie remonta au bras, puis à l'épaule, et enfin, au mo
ent point augmenté du côté des membres supérieurs, l'impotence et l' atrophie étaient restées dans le même état. Etat actue
t des lèvres s'exécutent parfaitement bien. Il n'y a pas de trace d' atrophie de la langue, qui se meut bien en avant, en bas
rs de la légère. rougeur congestive.de. la muqueuse des cordes. L' atrophie musculaire est considérable au niveau du cou, du
hache (voir la planche III). Au niveau des épaules on constate une atrophie notable des deltoïdes et des muscles de la cein
LaNDE PHOTOCOLLOARAPHIR Chêne ET Longue* POLIOENCÉPHALOMYÉLITE. - ATROPHIE MUSCULAIRE DU COU ET DES MEMBRES SUPÉRIEURS L
. La supina- tion complète est également empêchée. Aux avant-bras l' atrophie porte surtout sur les extenseurs. Mais au premi
ité faradique et galva- nique, encore plus prononcée que ne l'est l' atrophie , mais sans inversion de la formule. Notre sec
r à la Salpêtrière. Les planches ci-jointes montrent à quel point l' atrophie était prononcée au bras, à l'épaule, à la cuisse
LONDE PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne et Longuet POLIOENCÉPHALOMYÉLITE. - ATROPHIE MUSCULAIRE GÉNÉRALISÉE LECROSNIER & BASÉ
à travers le deltoïde réduit à une lame musculaire insignifiante. L' atrophie des membres inférieurs est'très prononcée, part
ue par un appareil ligamenteux et surtout musculaire trop faible. L' atrophie des muscles du mollet est également considérable
l et commençait à marcher sans béquilles, bien qu'il eùt encore une atrophie considérable du triceps. Il écrivait assez faci-
1. Contribution à l'élude des troubles trophiques dans l'hystérie, atrophie musculaire el oedème (Nouvelle Iconographie, n°
es il une diminution de calibre dn tronc artériel correspondant à l' atrophie ; cependant il pourrait ici arriver qu'en modifi
résultait et qui ressemblait à celle produite par laparalysie ou l' atrophie des lombricaux et des interrosseux (Pl. XIII) s
pasmodique des extrémités avec démarche incertaine, titubante, de l' atrophie partielle du nerf optique. du nystagmus. A côté d
spasmodique, tremblement inten- tionnel, nystagmus, rires forcés et atrophie partielle du nerf optique) se trou- vait dans l
par les maladies organiques spinales : tabes, sclérose en plaques, atrophie musculaire, maladie de Friedreich, mal de Pott,
aucoup plus fréquente dans la catégorie des altérations spinales. L' atrophie musculaire considérable est la règle dans celle
Pour la lésion spinale, on aura : 1° Des signes de présomption : atrophie musculaire, incontinence d'urine, élévation de
GIE EXTERNE COMBINÉE A LA PARALYSIE GLOSSO-LAB10-LARYL\GÉE ET A L' ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES
èrent en cet état pendant quelque temps. Il n'existait alors aucune atrophie de membres. Les membres inférieurs présentaient s
'observe aucun trouble de la déglutition, pas de nasonnement, pas d' atrophie de la langue. La tête est légèrement penchée en
nstate cependant pas de déformation bien nette de cette région ni d' atrophie manifeste des muscles. Ceux-ci ré- sistent peu
mbres supérieurs, la faiblesse va presque jusqu'à la pa- ralysie. L' atrophie est très accentuée au niveau du deltoïde et des p
certain degré d'amaigrissement et de faiblesse des fléchisseurs, une atrophie très considérable et une impotence des extenseu
nférieurs sont affaiblis, mais on n'y peut constater aucune trace d' atrophie véritable. Les réflexes tendineux du genou sont n
aractéristique. La combinaison de l'ophthalmoplégie externe et de l' atrophie musculaire ne permet pas le doute un seul insta
on empruntée à Rosenthal. Ces. XXIX. Ophthalmoplégie nucléaire avec atrophie musculaire progressive (Rosenthal 1). Sujet d
ittente des muscles de la face. Six mois plus tard se développa une atrophie progressive du bras droit. Faiblesse de la main
ophie progressive du bras droit. Faiblesse de la main, paralysie et atrophie du premier'interosseux, de l'émi- 1. Rosenthal.
à d'un cas de complication de la paralysie nucléaire des yeux par l' atrophie musculaire progressive. La lésion descendante,
a débuté dans le cas de Sachs, et ce n'est qu'au bout d'un an que l' atrophie du membre inférieur droit commença à apparaître.
d'hui sur tous les muscles de l'oeil, sauf le muscle ciliaire, et l' atrophie très accusée est étendue à toute la jambe droite.
e cette affection font défaut. La perte des réflexes à gauche, sans atrophie , sans réaction musculaire anormale, prouve que
le ptosis. - ? ? -' ...-- ? Ons. XXXI. Ophthalmoplégie externe et atrophie musculaire (John Bristowe'). 1 John M., cuisi
encèrent à tomber. Quatre ans après, il eut de la faiblesse et de l' atrophie des muscles de l'épaule gauche et ensuite du bras
le malade ouvre largement la bouche. Il y a de la faiblesse et de l' atrophie des deux épaules et de la partie supérieure des b
des deux épaules et de la partie supérieure des bras, et une légère atrophie des avant-bras. Les cuisses sont amaigries : exce
rnes sont très atrophiés, et flasques en proportion. Par suite de l' atrophie de ces derniers la surface externe de la cuisse
é et ramassé sur lui-même; tous ces changements correspondent à une atrophie générale de l'individu... L'émaciation dont il
avant-bras droit s'atro- phier rapidement en quelques jours. Cette atrophie a toujours persisté depuis. Le 6 juin, Cah... e
périeur est atrophié dans son ensemble. Au bras et à l'avant-bras l' atrophie est uniformément répartie, mais à la main l'atrop
l'avant-bras l'atrophie est uniformément répartie, mais à la main l' atrophie porte surtout sur les muscles. L'éminence théna
es muscles. L'éminence thénar a complètement dis- paru. Il s'agit d' atrophie simple sans réaction de dégénérescence (examen
érescence (examen de M. Vigoureux). Malgré cette parésie et cette atrophie musculaire, le malade se sert sans difficulté d
es irrégularités de l'extrémité céphalique et le développement ou l' atrophie de certaines facultés. Mais, sans aller jusque-là
ÉGIE EXTERNE COMBINÉE A LA PARALYSIE GLOSSO-LABIO-LARYNGÉE ET A L' ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES
x mois. OBS. XXXII. Polio encéphalite supérieure et inférieure avec atrophie musculaire (Eichhorsl 2). .11 s'agit d'une je
pupilles. Mais la malade présente en outre le tableau typique de l' atrophie muscu- laire progressive. Le processus morbide
he progressive et gagne la colonne grise antérieure de la moelle. L' atrophie apparaît alors à la main, au bras et à l'épaule,
ations du processus morbide. Dans un cas rapporté par Bris- towe, l' atrophie secondaire à l'ophthalmoplégie commença par les
ulo- hmnéral décrit par Vulpian. Début par l'amyotrophie. Parfois l' atrophie musculaire est le premier phénomène en date et
esse et de pesanteur dans les quatre membres et dans le cou.... » L' atrophie poursuivit si bien sa marche envahissante, qu'a
le entraîne des différences considérables dans la distribution de l' atrophie , qui tantôt reste cantonnée à un seul membre, t
autre, comptent parmi les muscles les plus altérés. Chez Brau... l' atrophie est surtout considérable au niveau des éminences
solément et non par groupes : on sait que c'est ainsi que procède l' atrophie dans la poliomyélite chronique. C'est l'atrophi
insi que procède l'atrophie dans la poliomyélite chronique. C'est l' atrophie qui domine la scène et règle le degré d'impotence
artout; elles sont surtout marquées au niveau des muscles en voie d' atrophie , bien qu'elles puissent, ainsi que cela se voit
s puissent paraître. On sait qu'il est de règle de constater dans l' atrophie musculaire d'origine myélo- pathique l'existenc
de la poliomyélite antérieure chronique, dans la syringomyélie avec atrophie musculaire, là où l'atrophie est évidemment de
chronique, dans la syringomyélie avec atrophie musculaire, là où l' atrophie est évidemment de cause spinale, M. Vigoureux a c
ce de ce signe n'est donc pas suffisante pour éloigner l'idée d'une atrophie de cause spinale dans le cas actuel. « Nous admet
igts et de la main, au début de la maladie. Bientôt, il est vrai, l' atrophie frappe en masse, un peu partout, les muscles pa
se rédui- sirent au minimum. La planche V montre bien quel degré d' atrophie les membres supérieurs et inférieurs peuvent at
ieurs est-elle définitive ? Il est malheureusement à craindre que l' atrophie des bras ne disparaisse jamais. La polioencépha
araisse jamais. La polioencéphalite avec ophthalmoplégie externe et atrophie mus- culaire pourrait être confondue avec un ce
e bien spécial à signa- ler; c'est celle de tout individu atteint d' atrophie des membres infé- rieurs. Le trouble peut aller
nsi que cela existait chez un de nos malades (obs. XXVI). Lorsque l' atrophie a envahi les extenseurs de la jambe, on observe
lité de ses yeux, pour diriger ses regards autour de lui. Lorsque l' atrophie des muscles de la partie postérieure du cou est
bouche à sa main. L'un de nos deux hommes, ne pouvant, à cause de l' atrophie des fléchisseurs, empoigner comme il faut ses b
la force du moins la possibilité de soutenir sa béquille. Lorsque l' atrophie est suffisamment prononcée, les malades ne peuv
l'on remarque moins souvent la dépression sous-occipitale due à l' atrophie des muscles de la nuque. Mais il suffit de jeter
atteints et que les mains sont absolument indem- nes, tandis que l' atrophie prédomine énormément au niveau des mus- cles de
myopathiques le front est lisse, exempt de toute ride, à cause de l' atrophie des muscles. Chez les autres, au contraire, la
e parler que des réactions électriques, que voit-on en effet dans l' atrophie myopathique ? une absence d'anomalie des réaction
ore à la volonté. Ce n'est point du tout ce que l'on observe dans l' atrophie myopathique où la contractilité persisle tant qu'
ez lui à un effet de l'intoxication saturnine. Enfin la marche de l' atrophie , la durée de son évolution, la présence des troub
ne paralysie bulbaire infé- rieure qui s'était développée ensuite : atrophie légère de la langue, paralysie des muscles du v
XTERNE. 231 paralysés et atrophiés en masse, sans prédominance de l' atrophie dans tel ou tel groupe musculaire et sans troub
ncore sur l'étiologie de la paralysie glosso-Iabio-laryngée et de l' atrophie musculaire progressive; on n'est pas plus éclai
térieure su- baiguë et chronique. Parmi les sept malades atteints d' atrophie mus- culaire combinée il l'ophthalmoplégie un s
'ont point reparu; les signes d'intoxication font défaut; enfin son atrophie musculaire n'offre pas les caractères de l'amyotr
rieure n'est pas faite pour rendre plus favorable le pronostic de l' atrophie musculaire progressive et inverse- ment ; dans
bres supérieurs et inférieurs. Pas de paralysie dc la langue. Pas d' atrophie . Pas de troubles de la sensibilité. Réflexe rotul
les, après durcissement et coloration, étaient absolument normaux. Ni atrophie des faisceaux, ni lésions interstitielles. Ri
e complète, une parésie de la portion sen- sitive du trijumeau, une atrophie des nerfs optiques, de violentes céphalées, des
siste sur la similitude de ces lésionsavec celles qui déterminent l' atrophie musculaire progressive. Il s'appuie notamment sur
notamment sur ce que chez la première de ses malades il y avait une atrophie des sterno-mastoïdiens et des trapèzes qui témo
trouvé, chez un tabétique avec psychose2 et paralysie oculaire, une atrophie des nerfs oculomoteurs communs, externes, pathé
lomoteur avec une grande quantité de petits extravasats sanguins; l' atrophie des cellules ganglionnaires composant ce noyau et
ophtlialmoscopiques répétés, on pou- vait admettre tout au plus une atrophie commençante de la papille. La physionomie du pa
ement des lèvres et en production de plis profonds. Il existait une atrophie notable de la moitié gauche de la langue, un em
cés de la sensibilité générale et des sensibilités spéciales. Pas d' atrophie des muscles des membres. Abolition 1. \l'eslphl
e l'oeil présentent les traces d'une dégénérescence graisseuse avec atrophie . Sur la moelle on découvrait à l'oeil nu une te
stologiquement, dégénérescence considérable des nerfs oculomoteurs. Atrophie très prononcée des cellules ganglionnaires du noy
leurs cellules ganglionnaires intactes. Par contre, il existait une atrophie à peu près complète des cellules compo- sant le
ur trajet inlra-médullaire, les nerfs pathétiques étaient en état d' atrophie complète. Atrophie très prononcée des racines des
ullaire, les nerfs pathétiques étaient en état d'atrophie complète. Atrophie très prononcée des racines des oculomoteurs com
ingite interne hémorrha- gique. A l'achnitis chronique avec oedème. Atrophie sénile du cerveau, parti- culièrement de l'écor
la cause de cette dégénéres- cence qui peut dépendre, on bien d'une atrophie des cellules ganglionnaires composant le noyau
platie l'éminence hypothénar nel'est que beaucoup moins. Cet état d' atrophie partielle de la main contraste avec celui du re
ÉGIE EXTERNE COMBINÉE A LA PARALYSIE GLOSSO-LABIO-LARYNGÉE ET A L' ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES
-laryngée (poliencéphalite ' inférieure) vient parfois compliquer l' atrophie musculaire du type , Duchenne-Aran (poliomyélit
contractions fibrillaires ' dans les muscles atrophiés ou en voie d' atrophie , les caractères en un ', mot de l'amyotrophie,
avoir lieu presque indifféremment par l'ophthal- moplégie ou par l' atrophie musculaire. t 8° C'est une affection des plus g
hydermie. , Membres supérieurs. - Bras et avant-bras normaux; pas d' atrophie musculaire. (1) C'est déjà pour la troisième
ue nous avons l'occasion do trouver dans le rhumatisme noueux cette atrophie du maxillaire inférieur, et sans vouloir donner u
Nodosités d'Heberden au niveau des deux épiphyses phalanginiennes. Atrophie notable et raccourcissement de presque toutes les
culations phalangino-phalangelliennes des quatre derniers doigts. Atrophie osseuse de toutes les phalangettes. Ongles rudi
des deux membres, de même qu'aux déformations des orteils (pas d' atrophie musculaire, réflexes normaux, sensibilité idem).
al (phimosis labial), l'hypertrophie des lèvres ou au contraire une atrophie plus ou moins prononcée laissant les dents à dé
ur certains auteurs cette dent est chez l'homme un organe en voie d' atrophie et que son absence, le retard de son apparition
es doigts, la brachydactilie, diminution du nombre des phalanges, l' atrophie congénitale d'un ou plusieurs doigts, la syndac
éveloppement coïncidant avec celles des doigts de la main (absence, atrophie , anomalies de nombre); on pourra noter aussi le
uatre secousses, mais pas de trépidation épi- leptoïde nette. Pas d' atrophie musculaire. La mensuration au niveau des jambes
champ visuel, affaiblissement de la vue à droite, diplopie ». Pas d' atrophie des membres inférieurs mais exagération des réf
laies ulcéreuses et les tubercules. En second lieu, les signes de l' atrophie musculaire sont indiscutables. Si l'on doit dev
ouve la petite voi- ture qui sert au malheureux pour se déplacer, l' atrophie du membre supérieur gauche est clairement expri
plus manifestement les stigmates sur lefmeffibre supérieur gauche, atrophie , griffe des interosseux et tubercules ou' ulcér
Durer, d'une parties tubercules ou les ulcérations, et de l'autre l' atrophie musculaire. J.-M. Charcot et PAUL Richer. Le gé
mond, Malad. du syst. neru" Paris, 1889). Chez un malade atteint d' atrophie musculaire généralisée d'origine articulaire. M
atrophiés. M. Déjerine émet l'hypothèse qu'il s'agit, dans ce cas, d' atrophie musculaire d'origine articulaire et comme dans
dans la myopathie progressive, d'une déforma- tion consécutive a l' atrophie musculaire (Soc. de Biologie, 27 juin 1891). UN
es troubles trophiques, tels que esclaccres, ulcérations profondes, atrophie musculaire, plaident plutôt pour l'origine médull
aire, plaident plutôt pour l'origine médullaire orga- nique. Mais l' atrophie musculaire n'est pas rare dans l'hystérie. Le d
signes spéciaux du tabes, aucun « stigmate tabétique », à savoir : atrophie papillaire, signe de Robertson, de Weslphal, etc.
tons nous-même plus loin (obs. LXXI) un cas d'hystérie associée à l' atrophie cérébrale partielle. En somme, qu'il s'agisse d
te pathognomoniques du tabès : « stigmates tabétiques », tels que : atrophie de la papille, signe d'drgyll Roberlson, signe
le des hôpitaux, deux hommes hystériques avec 1. 1,;tljitibhi, De l' atrophie musculaire dans les paralysies hystériques (Progr
t 3 ? 1886), ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». Ail atrophie musculaire, mais, sur la foi des idées encore rég
, dans une thèse inspirée par Seelig- muller, signalé incidemment l' atrophie musculaire sur un membre frappé de contracture
caractères principaux de cette amyotrophie en ces termes : « 1° L' atrophie est plus ou moins considérable, mais il faut savo
a contractilité électrique est diminuée en proportion du degré de l' atrophie musculaire, mais il n'y a pas de réaction de dégé
, mais il n'y a pas de réaction de dégéné- rescence. ' « 5° Celte atrophie peut se développer avec une grande rapidité. Ch
quinze jours après le début de la paralysie... La rétrocession de l' atrophie semble pouvoir être rapide comme son développem
6, présen- tait à la Société médicale un cas vraiment remarquable d' atrophie mus- culaire et osseuse du membre supérieur gau
aples, 1886. 3. Leroux, De l'hystérie chez l'homme, monoplégie avec atrophie musculaire (Journ. des connaiss. méd., 188(i, t
ie). 4. Brissaud, Hémiplégie probablement d'origine hystérique avec atrophie musculaire (Archiv. de phI/s" 1887, p. 338).
e Icooogr., t. I, p. 28, 1888). 6. Ballet, Coxalgie hystérique avec atrophie musculaire (Soc. )met. II6p., 28 juin 1886). 7.
. )met. II6p., 28 juin 1886). 7. Debove, Hémiplégie hystérique avec atrophie musculaire survenue ri la suite d'une diprlrlla
elles données et eu ont tiré les conclu- sions suivantes : ' 1° L' atrophie musculaire d'origine hystérique peut quelquefois
secousses fibrillaires dans les territoires muscu- laires en voie d' atrophie . 3° Dans un cas d'atrophie hystérique des muscl
es territoires muscu- laires en voie d'atrophie. 3° Dans un cas d' atrophie hystérique des muscles de la main, l'examen éle
e à ce que la lésion dynamique des cornes antérieures qui produit l' atrophie musculaire ne puisse amener, du côté des nerfs,
respondant, ils n'ont jamais constaté chez l'animal en expérience d' atrophie musculaire autour de la jointure. Au contraire,
térique frappe en masse un territoire musculaire. Or, dans un cas d' atrophie musculaire rapporté par M. Michaut, il s'agit d
s un cas d'atrophie musculaire rapporté par M. Michaut, il s'agit d' atrophie des muscles de l'avant-bras, rapide selon l'usa
ique de son service était atteint, disait-il, d'une monoplégie avec atrophie débutant par l'émi- nence thénar. C'est aussi d
alisée qu'il s'agit dans la récente communication de M. Féréol 2. L' atrophie porte sur les muscles de l'épaule droite : bice
revoir encore ce malade avant d'affirmer la nature hystérique de l' atrophie musculaire. Mais si, comme le pense M. Féréol,
de l'atrophie musculaire. Mais si, comme le pense M. Féréol, cette atrophie scapulaire relève de la névrose, il nous semble
n'a pas été faite. 1. Ballet, Monoplégie brachiale hystérique avec atrophie (Soc. méd. IfÕp, , 9 mai 1890). 2. Féréol, Un C
, il nous semble légitime d'admettre provisoirement deux variétés d' atrophie hystérique : '1° l'une pure et simple, sans modif
LPÊTRIÈRE CHAPITRE XIII 1\lYOTROPIIIE HYSTÉRIQUE SIMULATRICE DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE SPINALE OBS. LXVIII (inédite). Amy
RE SPINALE OBS. LXVIII (inédite). Amyotrophie hystérique simulant l' atrophie musculaire progressive (Type Aran-Duchenne). Er
nalogues à celles que l'on voit encore aujourd'hui. La parésie et l' atrophie auraient marché rapidement. Dans la main gauche
rienne gauche, l'autre dans la fosse sus- épineuse du côté droil. Atrophie musculaire. - Elle est localisée aux mains (Pl. X
oie de disparition, elle s'aperçoit que ses mains ont maigri; cette atrophie évolue avec rapidité, puisque trois mois après
isation et la symétrie de la lésion, auraient pu faire songer à une atrophie spinale, au type Aran Duchenne, par exemple. Cett
rapporter. Ces. LXIX (inédite). Amyotrophie hystérique simulant l' atrophie mus- culaire (type Aran Duchenne. M... G...me,
s une attaque, elle se fractura le péroné. Au mois de novembre, l' atrophie musculaire fit son apparition. Un soir, elle s'
lle maigrissait et qu'il lui était très difficile de s'en servir. L' atrophie se développa rapidement, « elle voyait sa main ma
ait toujours ses attaques convulsives; elle présentait toujours celte atrophie musculaire de la main droite avec des secousses
pçon de tuberculose au début ( ? ). Les autres viscères sont sains. Atrophie musculaire (Planche lII, fig. B). L'atrophie, qui
s viscères sont sains. Atrophie musculaire (Planche lII, fig. B). L' atrophie , qui a été au- trefois considérable, est aujour
s jours, a cédé la place à une amyotrophie de la main droite. Cette atrophie a évolué rapidement ; elle s'est accompagnée de
s fibrillaires et de réaction de dégénérescence. Puis, lentement, l' atrophie a rétrocédé, les mouvements de la main sont rev
grande hystérique; c'est de l'hystérie et d'elle seule que relève l' atrophie musculaire. Ous. LXX (résumée) (Gilles de la To
assez rapidement, puis le membre supérieur gauche s'est pris. Celle atrophie présente comme les deux précédentes des secouss
aires des- 424 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. tinés à l' atrophie . Elle siège exclusivement ou prédomine du côté de
rté l'histoire. Or, ce malade présentait tou- jours le même degré d' atrophie musculaire sans secousses fibrillaires, sans ré
ons pourra tracer quelques règles générales a ce sujet. A priori, l' atrophie avec réaction dégénérative paraît plus grave que
tun jour une paralysie du, long péronier latéral qui s'accompagna d' atrophie avec réaction de dégénérescence. Au bout de dix
trophie avec réaction de dégénérescence. Au bout de dix-huit mois l' atrophie et la paralysie disparurent. En somme, il s'agi
, il s'agit là d'une variété nouvelle d'amyotrophie hysté- rique, d' atrophie avec réaction dégénérative. Cette variété repose
vrite périphérique. Il nous faut maintenant mentionner un exemple d' atrophie muscu- laire hystérique simulant l'amyotrophie
ies simples. uns. LXXI (inédite), Amyotrophie hystérique simulant l' atrophie mus- culaire de la paralysie infantile. Cécile
URS ». d'7 asymétrie due au spasme et aussi il 1111 certain degré d' atrophie du même côté droit (cette asymétrie se retrouve
temps à autre , il y a des secousses dans l'orbiculaire des lèvres. Atrophie musculaire. 1° Membre supérieur droit, (a) L'ayan
isse d'une lésion spinale, d'une véritable paralysie infantile avec atrophie . Dans la paralysie spi- nale de l'enfance, la f
ces symptômes, malgré que le tableau soit incomplet, relèvent d'une atrophie partielle, d'une sclérose du cerveau qui tient so
déjà écarté l'hypothèse de lésion organique de la. moelle. Reste l' atrophie cérébrale. Que depuis l'enfance il y eut un cer
trophie cérébrale. Que depuis l'enfance il y eut un certain degré d' atrophie reconnaissant pour cause la sclérose céré- bral
amaigrie et très rapidement l'a décharnée. Cette seconde étape de l' atrophie ne nous semble pas due à la sclérose-, cérébral
les troubles amyotrophiques. L'hémianesthé- sie permanente, suite d' atrophie partielle du cerveau datant de la pre- mière en
nous l'avons déjà démontré, relèvent de l'hystérie, les autres de l' atrophie partielle du cerveau. En résumé, il s'agit d'un
t d'un cas très complexe : d'une juxtaposition, d'une association d' atrophie cérébrale partielle et d'hystérie. La première,
e très accusée qui aurait pu donner le change et faire songer à une atrophie d'origine cérébrale ou spinale. CES. LXXII (i
e M. le professeur Proust). Amyotrophie hystérique simulatrice de l' atrophie musculaire spinale : hémiplégie infantile du cô
ophie musculaire spinale : hémiplégie infantile du côté gauche avec atrophie musculaire spinale; hémiplégie hystérique du cô
ste une quinzaine de jours, sans modifications. Pendant ce temps, l' atrophie n'avait fait qu'aug- menter à droite. Le malade
de M. Proust et fut admis dans son service. Depuis l'année 1888, l' atrophie a augmenté, toujours marquée surtout à la main,
d'ailleurs normalement en flexion sur les premières. A la jambe, l' atrophie est à peu près totale. Le relief du mollet, peu
gauche. - Dans ce membre la motilité est faible- ment conservée. L' atrophie a fait disparaître l'action musculaire, et de ce
e de mensuration dynamométrique, la main ne se fer- mant pas. Cette atrophie est surtout marquée à l'avant-bras et à la main ;
arquer qu'il y a un degré d'adiposc sous-cutanée très sen- sible. L' atrophie des muscles de t'avant-bras laisse la main complè
veau de certains muscles peauciers qui ont subi un sensible degré d' atrophie . C'est ainsi que les muscles qui s'insèrent il
e le malade ne puisse ni souffler, ni siffler. On ne constate pas d' atrophie des antres muscles de la face (frontaux, orbicu
masticateurs); ni la langue, ni le voile du palais ne présentent d' atrophie ; il y a seulement un degré notable de paralysie d
s par le nez du malade. (d) Tronc. Au tronc, on ne constate point d' atrophie des muscles de la ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQU
TEURS», ,133 partie postérieure. A la partie antérieure, il y a une atrophie très marquée des grands pectoraux : les espaces
e à la flexion forcée était à peu près égale des deux côtés, mais l' atrophie musculaire esl en appa- rence beaucoup moins ma
de flexion de la jambe sur la cuisse sont plus aisés qu'à gauche; l' atrophie musculaire y est en effet moins prononcée de be
métriques donnent le résultat suivant : pression, 12 kilogrammes. L' atrophie est ici surtout marquée au bras ; les mesures d
membre inférieur droit c'est a l'extrémité qu'on constate surtout l' atrophie , au membre supérieur du même côlé c'est à la raci
membre supérieur du même côlé c'est à la racine du memhre que celte atrophie est surtout prononcée. L'atrophie des éminences t
t à la racine du memhre que celte atrophie est surtout prononcée. L' atrophie des éminences thénar et hypothénar est très mar
halanges de ce coté sont fléchies plus ou moins, ce qui indique une atrophie moins considérable de ce côté des interosseux e
x, et en voici les raisons : 1° La paralysie infantile spinale avec atrophie remonte il l'âge de trois ans, et elle est stig
olt°ice. Sur ce côté paralysé a apparu, presque aussitôt après, une atrophie muscu- laire qui a évolué rapidement. Un an apr
loir. CHAPITRE XLIV DIAGNOSTIC DE LA SIMULATION Démontrer que l' atrophie musculaire relève de l'hystérie, et de l'hys- t
La réaction de dégénérescence dans les masses musculaires en voie d' atrophie est un signe commun aux amyotrophies spinales e
ble aujourd'hui de se prononcer défiuiti.. vement sur la durée de l' atrophie musculaire hystérique. Mais il reste établi qu'
sur une région anesthésique ou hypel'esthésiquc que se développe l' atrophie musculaire. Et même lorsqu'elle esl symétrique, c
é, c'est sur les circonstances mêmes dans lesquelles se développe l' atrophie hystérique, sur sa localisation habituelle dans
ue sur les caractères de cette amyotrophie, pour la distinguer de l' atrophie d'origine spinale. La réunion de ces deux group
analogues à ceux qu'elle revêt dans la gliomatose médullaire. Cette atrophie occupe de préférence les membres supérieurs, les
ue. Du reste un des deux caractères primordiaux de la yliomatose, l' atrophie musculaire, fait ici complètement défaut. La di
éro-syringomyélique. Ons. LXXVII (Roth, in eodem loco). Sommaire. Atrophie progressive des muscles de la main. Exagération
ée par des symptômes intrinsèques : dissociation de la sensibilité, atrophie musculaire, et par des phénomènes extrinsèques te
uraient avoir la valeur diagnostique que leur attribue Roth. 2° L' atrophie musculaire des hystériques ne présente plus, aprè
muscles isolés qu'elle frappe à des degrés divers. Enfin c'est une atrophie sans paralysie ou avec paralysie secondaire.
ulenburg la dimi- nution de l'amblyopie qui était accompagnée d'une atrophie du nerf optique et une amélioration de la parés
staté une amélioration de la vue dans quatre cas où il existait une atrophie du nerf optique. Dertiliard (41) signale un cas
erne (De l'- combinée à la paralysie labio-glosso-laryngée et à l' atrophie musculaire progressive), par G. Guinon et Parmo
te. Pestiférés (Les de Jaffa), 25, 26. Polioencéphalomyélite avec atrophie mus- culaire 3, 5 ; avec ophtalmoplégie externe
9 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
LA MALADIE DE PARKINSON 5 vives contractions musculaires, malgré l' atrophie musculaire, pourtant si prononcée. Remarquez,
a moelle, consistant en pigmentation, vacualisation, déplacement ou atrophie du noyau, destruc- tion partielle des dendrites
des faisceaux pyramidaux; des lésions des cellules de la moelle, l' atrophie scléreuse des ganglions rachidiens. Dans le cer
aréfaction des fibres tangentielles. Il pense, en définitive, que l' atrophie des faisceaux pyramidaux et les lésions corti-
tre lésion qu'une tumeur de l'hé- misphère gauche du cervelet, et l' atrophie du corps thyroïde, il attribue, à cette dernièr
e la santé générale, malgré une affec- tion cancéreuse, a empêché l' atrophie des neurones subordonnés aux racines postérieur
es réflexes rotuliens, signe de Romberg, ataxie, affaiblissement et atrophie des membres inférieurs, surtout'à gauche. Exame
e osseuse, logée dans le lobe frontal sur la pointe du noyau caudé. Atrophie cérébelleuse croisée par rapport au noyau caudé
au caudé. Atrophie cérébelleuse croisée par rapport au noyau caudé, atrophie bulbaire et médullaire croisée par rapport au c
masse cérébelleuse. Bulbe. - Asymétrie très nette par suite de l' atrophie de la moitié droite du bulbe et du peu de saill
laties. L'infiltration d'élé- ments ronds y est moindre. Bulbe. - Atrophie de la moitié droite du bulbe et atrophie nette de
ds y est moindre. Bulbe. - Atrophie de la moitié droite du bulbe et atrophie nette de l'olive droite (Fig. 7). Moelle. - S
Fig. 7. - Coupe du bulbe au niveau du tiers inférieur de l'olive : atrophie marquée de l'olive droite. (La coupe a été dess
blements : Déjerine et Thomas (3) citent comme caractéristique de l' atrophie du cervelet les tremblements du membre supérieu
L'examen macroscopique et l'étude histologique nous ont montré une atrophie du cervelet, atrophie croisée par rapport à l'hém
e et l'étude histologique nous ont montré une atrophie du cervelet, atrophie croisée par rapport à l'hémisphère cérébral où
l'hémisphère cérébral où siégeait la tumeur ; et, d'autre part, une atrophie de l'olive bulbaire droite et de la moitié droi
ns anciennes des hémisphères cérébraux, on constate ordinairement l' atrophie croisée du cervelet et ces lésions n'ont pas beso
rce ou le centre ovale simplement (BetcUerew) » (3). Dans les cas d' atrophie du cerveau observés surtout chez les épileptiqu
amer (8), Nothnagel, Brosset (9) ont publié des cas semblables avec atrophie descendante et croisée portant encore sur l'olive
e sur l'olive bulbaire opposée, comme dans notre observation. Cette atrophie entraîne à son tour l'altération des systèmes e
ns portant sur la moitié droite de la moelle. De même dans un cas d' atrophie de l'hémis- (1) Thomas, op. cil., p. 130 et 132
(9) Connexions pathologiques du cervelet, Thèse de Lyon, 1891. (10) Atrophie olivo-ponto-cérébelleuse, Iconog. Salp., 1901, p.
HO-PARALYTIQUE 123 phére cérébelleux gauche, Brosset (1) constate l' atrophie du corps strié droit et de l'olive bulbaire dro
nt paru intéressantes au moins comme condition étiologique de cette atrophie systématisée du névraxe. Il est peul-être utile d
minué, réflexe crémas- térien nul. Pas de troubles trophiques pas d' atrophie musculaire. La pointe du coeur bat dans le 5B e
le, sans qu'aucun de ses segments soit spécialement le siège de cette atrophie . Les coupes pratiquées à des hauteurs diverses
hauteurs diverses montrent partout la même lésion, c'est-à-dire une atrophie blanche très visible des cordons de Goll ; le sil
et des faisceaux cérébelleux latéraux se poursuivent, de même que l' atrophie des zones postérieures. On voit égale- ment il
érébelleux laté- ral a disparu. Mais on retrouve encore nettement l' atrophie de la corne posté- rieure et la sclérose de zon
ont leur lumière effacée, et quelques-uns sont nettement en voie d' atrophie et de'dégénérescence. Notre observation est, co
ose du faisceau pyramidal croisé et du faisceau cérébelleux direct, atrophie des cornes postérieures. Nous avons constaté, e
On le trouve associé au nanisme, au gigantisme, à l'obé- sité, à l' atrophie musculaire » (2). Et comme exemple d'association
la circulation du sang et de la lymphe causé par l'importance de l' atrophie musculaire. Enfin M. P. Marie a rapporté dans l
e assez considérables, par suite d'un processus de tuméfaction ou d' atrophie , on conçoit qu'une cellule malade d'un certain
es gaines de myéline en noir et de permettre d'apprécier le degré d' atrophie des racines postérieures dans leur trajet extra
urs et à la face. Hypo- tonie considérable aux membres inférieurs ; atrophie musculaire assez mar- quée aux membres inférieu
olorées au contraire dans la moitié externe ou pôle périphérique. L' atrophie radiculaire est déjà ancienne, il n'y a pas de
les. Parmi les cellules qui restent, un grand nombre sont en voie d' atrophie (Pl. XXXI, A). Les espaces laissés libres par l
ications de la capsule peuvent s'observer pour les cellules en voie d' atrophie . Le noyau des cellules nerveuses est plus ou mo
ré cela il est facile de se rendre compte du degré très marqué de l' atrophie de la racine postérieure dans son bout central.
très pigmentées. Les noyaux sont également altérés et leur degré d' atrophie est proportionnel à celui de la cellule. Quelques
titiel. LES ALTÉRATIONS DU GANGLION RACniDIEN 215 Tout d'abord, l' atrophie des racines postérieures dans l'intérieur du gang
ont été débités en coupes longitudinales. Sur tous ces ganglions l' atrophie des racines postérieures dans le bout central est
res font corps avec le protoplasma de la cellule nerveuse en voie d' atrophie : lorsque les cellules nerveuses sont très atroph
es que sur d'autres, sur tel autre la disparition des cellules ou l' atrophie est plus manifeste : mais ce qui est constant d
urs : incoordination très légère, abolition des réflexes tendineux. Atrophie des muscles de la main. Sensibilité à peu près
à la lumière. Diminution considérable de l'acuité visuelle, double atrophie optique tabétique. Mort en 1902. Examen anatomi
sont très pigmentées, mais en outre un grand nombre sont en voie d' atrophie , quelques-unes sont même très atrophiées et bea
IV. Riv..... Tabes remontant à trente ans. 3° ganglion lombaire. - Atrophie de quelques cellules. - Dégénérescence graisseuse
iférations des cellules cap- sulaires autour des cellules en voie d' atrophie ou des cellules normales. Le tissu interstitiel
rdination des membres inférieurs. Réflexe patel- laire aboli. Pas d' atrophie musculaire. Sensibilité superficielle altérée sur
llaire, réflexe à la lumière très diminué à gauche, aboli à droite. Atrophie papillaire. Elle meurt en 1902 après quatorze a
mbaires droits ; 2", 3e et 5° lombaires gauches). Rappelons que l' atrophie des racines postérieures est minime ou nulle dans
mbre de cellules ont complètement disparu, plusieurs sont en voie d' atrophie . Dans quelques rares cellules il existe quelques
a place des cellules manquantes, soit autour des cellules en voie d' atrophie . Les cellules capsulaires semblent plus volumin
is alors à côté de cellules normales on voit des cellules en voie d' atrophie , dont le noyau est également plus petit. Le tis
s cellules sont atteintes de dégénérescence graisseuse ou en voie d' atrophie ; quelques- unes ont disparu. Il existe un cert
ci minimes : on distingue bien quelques cellules petites en voie^ d' atrophie et par places il semble que quelques cellules o
l'autre perpendiculairement à l'axe. Sur le premier on constate une atrophie extrême des racines postérieures dans leur bout
ments précis sur l'évolution de la maladie. Il s'agit d'un tabes avec atrophie papillaire. La vision était presque complètemen
et dans le 4e ganglion lombaire droit. Dans ces deux ganglions, l' atrophie des racines postérieures dans le bout central d
s postérieuras sont saines dans le bout périphérique du ganglion. L' atrophie des racines pos- térieures est la même au nivea
oyau très atrophié, le noyau même n'est pas toujours visible. Cette atrophie pourrait même échapper à l'observa- tion, si l'
es proli- férations capsulaires. Même autour des cellules en voie d' atrophie les cellules capsulaires sont plutôt rares. Le
3° lombaire gauche et le*le lombaire droit : c'est-à-dire que leur atrophie est plus prononcée dans le pôle central du gang
mal ; mais un certain nombre ont disparu et plusieurs sont en voie d' atrophie . Celles-ci sont disséminées et ne corresponden
ux faits que`nous désirons retenir. Dans deux cas (Obs. IV et V), l' atrophie des fibres radiculaires postérieures était en voi
ent intéressant, puisqu'il démontre d'une part comment se produit l' atrophie des fibres radiculaires et permet d'éta- blir d
e la maladie, combien est lente et progressive l'évolution de cette atrophie ; dans le cas de Riv... le début du tabes remon
VIII) est encore intéressant à un autre point de vue : en effet, l' atrophie des racines postérieures, si l'on en juge par l'a
n : ceci n'a pas lieu de nous surprendre, puisque nous savons que l' atrophie des racines postérieures est irrégulière dans son
éduction du nombre des cellules, la lésion la plus importante est l' atrophie de la cellule, celle-là étant d'ailleurs la consé
étant d'ailleurs la conséquence de celle-ci. L'appréciation de l' atrophie cellulaire est parfois assez délicate, parce que
s dimensions, des cellules grandes,des moyennes, des petites : si l' atrophie était peu marquée et n'atteignait qu'un petit n
e tel ou tel de ceux-ci, s'il s'agit d'une grande cellule en voie d' atrophie ,ou d'une cellule normalement petite ; mais dans l
ement petite ; mais dans le plus grand nombre de nos observations l' atrophie était suffisamment accusée pour que nous n'ayon
ans la plu- part des ganglions, un tel nombre de cellules en voie d' atrophie qu'on ne peut les considérer comme des éléments
runtée à notre précédent mémoire et qui montre bien les étapes de l' atrophie cellulaire avec proli- fération capsulaire (fig
es entourées d'une capsule proliférée, on pourrait se demander si l' atrophie de la cellule n'est pas la conséquence de la vé
met de rejeter immédiatement cette manière de voir et d'envisager l' atrophie de la cellule nerveuse et la prolifération caps
inisée dont la nutrition ne semble nullement compromise (fig. 2). L' atrophie cellulaire sans prolifération capsulaire et l'atr
(fig. 2). L'atrophie cellulaire sans prolifération capsulaire et l' atrophie avec prolifération capsulaire prédominent suiva
tiples auxquelles on s'exposerait ; Fie. 5. - Plusieurs étapes de l' atrophie cellulaire (coloration à l'hématéine éosine, Ze
éments sont à peu près normaux. En bas à gauche : cellule en voie d' atrophie avec multiplication des éléments nucléaires de la
nairement des modifications semblables à celles de la cellule. Il s' atrophie en même temps qu'elle. Sou- vent aussi, il devi
ntre le nombre des cellules atrophiées ou dispa- rues et le degré d' atrophie des racines postérieures. En apparence, il n'en
laires sont le plus accusées, qu'elles le sont beaucoup moins que l' atrophie des fibres radiculaires. Mais, comme nous l'avo
vasculaires. Il en est d'autres qui sont plus fréquentes, ce sont l' atrophie et la dispari- tion de la cellule, celle-ci éta
cellule soit détruite avant d'avoir passé par tous les degrés de l' atrophie , et qu'elle subisse, à une phase quelconque de la
e résultat est le même, c'est la mort de la cellule. En tout cas, l' atrophie ou la désin- tégration ne sont pas sous la dépe
nt des aspects pathologiques qui sont moins fréquents que ceux de l' atrophie ou de la désintégration cellulaire. A côté de
celles qui ont le plus de valeur sont la diminution des cellules, l' atrophie et la désintégration cellulaire ; les autres so
u'une qui doive retenir notre attention : c'est la disparition et l' atrophie de la cellule dont la fréquence et l'importance
une fois, que ce seul fait : la lésion de la cel- lule amenant son atrophie ou sa désintégration. Voyons maintenant si quel-
prédominent pendant les quelques jours qui .suivent l'opération, l' atrophie cellulaire apparaît ; elle débute vers la fin du
u troisième mois que commence chez le chat, le chien ou le lapin, l' atrophie d'un nombre tout d'abord relativement faible de c
omme des altérations primitives ou tout au moins indépendantes de l' atrophie radi- culaire; celles de Kôster sont de nature
inion et lais- sent supposer qu'elles peuvent être consécutives à l' atrophie des racines postérieures. Mais, nous ne saurion
s ne saurions trop le répéter, on ne peut assimiler sans réserves l' atrophie lente des racines postérieures du tabes et la sec
acines postérieures, d'autant plus que, quel que soit le degré de l' atrophie apparente des racines postérieures chez les ta-
'établir un rapport précis entre la raré- faction des cellules et l' atrophie de la racine postérieure, c'est que jus- qu'ici
ut établir un rapport absolu entre la disparition des cellules et l' atrophie des racines, puisque les cellules dis- parues p
en droit de nous demander si la lésion anatomi- que qui aboutit à l' atrophie ou à la désagrégation cellulaire n'est pas pré-
rturbation fonctionnelle qui joue déjà son rôle dans le processus d' atrophie lente et progressive de la racine postérieure ?
bétiques. Ces lésions consistent principalement en un pro- cessus d' atrophie lente et de désintégration, qui aboutit à la disp
ficile d'apprécier le rôle qu' elles jouent dans la pathogénie de l' atrophie des racines postérieures et des dégénérescences
ion par le picrocarmin en masse. Grossissement : 180 dia- mètres. Atrophie et disparition d'un grand nombre de cellules nerv
un certain nombre de cellules remplacées par du tissu fibrohyalin . Atrophie de quelques cellules. - Epaississement du tissu i
picrocarmin en masse. Grossissement : 190 diamètres. Raréfaction et atrophie des cellules. Vaisseaux nombreux et dilatés. Epai
ocarmin en masse. Grossissement : 145 dia- mètres. Disparition et atrophie d'un assez grand nombre de cellules. Epaississeme
Contribution à l'étude des troubles trophiques dans l'hysté- rie ( atrophie musculaire et oedeme), en collaboration avec Pl
re de la moelle^épinière . En 1897, Pallzogénie et prophylaxie de l' atrophie musculaire chez les hémiplégiques . ' Traitem
nsitives; pas de troubles à la vessie, ni au rectum; pasde signes d' atrophie muscu- laire, ni de réaction électrique de dégé
Lépine. La forme spinale, de la neurasthénie spécialemenl, et de l' atrophie musculaire d'Aran-Duchenne. Migraine ophtalmo
t de la forme bulbaire, par son évolution continue et la présence d' atrophie musculaire et la réaction de dégénéralion, oulr
es réflexes abolis. Un léger degré de pied-bot varus. Il existe une atrophie musculaire des extrémités, plus forte à droite
zone de Lissauer. La subs- tance réticulaire de bulbe présente une atrophie considérable. Le noyau de Monakow particulièrem
e ou deux cellules ; et même alors elles se trouvent dans un état d' atrophie au plus haut degré. Avec ces lésions tellement
palement le siège des lésions, c'est aussi dans cette moitié, que l' atrophie du bulbe est la plus marquée. La largeur (diamè
rieures présentent dans les trois cas une diminution énorme et une atrophie des cellules et une raréfaction des fibres. Enfin
l'hérédo- ataxie cérébelleuse. Ce diagnostic trouve un appui par l' atrophie du (1) Progrès médical, 1897, p. 85. 302 RYDE
oelle. Mirto (7) signale un amincissement du réticulum nerveux avec atrophie des cellules : la région dorsale est la plus to
atrophie des cellules : la région dorsale est la plus touchée. Une atrophie des cellu- les des cornes antérieures put aussi
'IiÉRÉDO-ATAX1E CÉRÉBELLEUSE 303 Chez François Hand... existait une atrophie de l'éminence thénar et de troubles trophiques
- merod (2), on en trouve au moins six dans lesquels il y avait une atrophie musculaire due certainement à des lésions médul
s recherches, concordantes avec celles de Popoff, que le début de l' atrophie se fait dans la rétine et que l'atrophie optiqu
Popoff, que le début de l'atrophie se fait dans la rétine et que l' atrophie optique est une affection du neurone périphérique
fibres optiques ; aussi il donne pour cause à l'amaurose du tabes l' atrophie par trouble de nutrition des cellules ganglionnai
ionnaires réti- niennes. De Grosz (1), en 1898, admet aussi que l' atrophie tabétique est ascen- dante de 1'oeil,au cerveau
altérations vasculaires syphilitiques pourraient être la cause de l' atrophie nerveuse « primitive ». La théorie rétinienne d
ntactes dans l'atro- phie optique complète; aussi ils croient que l' atrophie des cellules gan- glionnaires est secondaire à
LÉIiI externe par exemple; la théorie de l'origine rétinienne de l' atrophie ta- bétique n'a pas de raison d'être. Nos rec
ons nerveuses diverses et de 2 sujets atteints de cécité, mais sans atrophie optique. Rappelons rapidement quelles sont les
t intéressante à signaler pour la re- cherche de la pathogénie de l' atrophie optique. Les autres couches de la rétine ne son
que nous croyons pouvoir tirer de ces examens est que le début de l' atrophie tabétique n'est pas dans la rétine, et en par-
que nous avons pu examiner à l'autopsie paraissent parti- ciper à l' atrophie , mais celle-ci n'est pas uniformément répartie ;
rès conservé leur couleur rouge normale ; d'une manière générale, l' atrophie est donc plus prononcée à la racine des membres
longitudinale). Hématoxyline carmin. a) Fibre musculaire en voie d atrophie avec noyaux en chapelet b) Fibre musculaire donna
versal de 100 u. et davantage ; en d'autres points, au contraire, l' atrophie n'est pas moins nette, et l'on rencontre fréque
NNE Les fibres musculaires elles-mêmes, qu'elles soient atteintes d' atrophie ou d'hypertrophie, conservent en beaucoup de po
ient la fibre musculaire. Notons qu'au point de vue topographique l' atrophie semble bien débuter au niveau de l'insertion te
roportionnalité entre l'adipose interstitielle et l'ancienneté de l' atrophie , les vésicules adipeuses sont d'ailleurs parfai
es ces lésions dans les différents muscles. Au niveau du tronc, l' atrophie et les lésions scléro-adipeuses sont à leur max
n'ont pu jouer, on peut le dire, aucun rôle dans la production de l' atrophie musculaire. Du côté des nerfs, les lésions un p
e des fibres musculaires soit une phase prémonitoire précédant leur atrophie définitive : en effet, c'est dans les faisceaux
à l'état embryonnaire et peut-être trans- formation fibreuse. c) Atrophie d'une fibre musculaire avec amas de blocs réfring
onservant sa striation et finalement disparaître par un processus d' atrophie lente ; ce processus d'ailleurs se combine fréque
membres supérieurs et inférieurs, la rigidité du tronc qui malgré l' atrophie permettait au malade de marcher, tous ces signes,
von Michel, de Grosz) ont voulu voir dans la dégé- nérescence et l' atrophie primitive des cellules rétiniennes la cause de
ence et l'atrophie primitive des cellules rétiniennes la cause de l' atrophie du nerf optique. Les partisans de la théorie « ne
combien elles se contredisent encore mutuellement. Pour Ordonez l' atrophie tabétique était une sclérose d'origine vascu- l
une règle à la dégénérescence. Westphal (1) a constaté une fois une atrophie totale du nerf optique ; aucune fibre n'était c
onservées forment de petits groupes. Uhthoff a observé une fois l' atrophie d'un secteur du nerf. De Wecker (4) admet que l
labétique. Schlaagenhaufer (3) a émis l'hypothèse que la cause de l' atrophie tabéli- que du nerf optique doit être cherchée
ne périostiteou d'une pachymé- ningite syphilitique ; la cause de l' atrophie des nerfs optiques serait ana- logue à celle qu
rait ana- logue à celle que Obersteiner et Redlich admettent pour l' atrophie des racines postérieures, à savoir une compress
nt été émises sur la forme, la nature et l'origine des lésions de l' atrophie optique du tabes : les uns placent l'origine de
parenchymateuse avec prolifération conjonctive secondaire, d'autres atrophie simple sans réaction conjonctive. Quant au débu
dor- sal, il nous a paru justifié, pour élucider la pathogénie de l' atrophie opti- que tabétique, d'utiliser les nombreux et
t atteint de cécité bilatérale par suite de lé- sions diverses avec atrophie consécutive des nerfs optiques. Enfin nous avon
it normaux soit atteints de lésions quelconques des yeux, mais sans atrophie optique. Dans l'ensemble nous avons fait l'exam
eloppe opaque, surtout dans les périodes relativement précoces de l' atrophie (nerfs de Gara..., Laverg..., Bits..., etc.).
t, la gaine du- rale, à demi-vidée, est lâche et se plisse. Quand l' atrophie nerveuse est limitée à une portion périphérique
ri qu'il doit y avoir dans le nerf un autre processus qu'une simple atrophie sur place des fibres nerveuses : l'examen histo
s les nerfs « gros », au lieu de nodules qui em- Nerf optique d'une atrophie tabélique comlète ( lng...) : type ordinaire, « n
s faisceaux, mais assez peu nombreu- Fig. 3. , Nerf optique d'une atrophie tabétique envoie d'évolution (Bout...) : colorati
parition des fibres nerveuses. Ces lésions sont-elles spéciales à l' atrophie tabétique des nerfs optiques ? ` ? Ne les renco
re de reconnaître la forme ou la couleur d'au- cun objet. Ainsi l' atrophie tabétique du nerf optique s'explique à notre sens
d'irrigation sanguine de l'organe : le résultat en est forcément l' atrophie ou la dégénérescence des éléments qu'il contien
de vaisseaux. Mais du fait que la lésion interstitielle explique l' atrophie des fibres optiques, faut-il absolument nier to
les variétés dans les rétrécissements du champ visuel au début de l' atrophie tabétique et suivant les hasards de leur statis
lytiques généraux, nous avons pu observer les lésions de début de l' atrophie optique dans plusieurs cas (cas de Labb..., Lefèv
araplégie spasmodique) ; elle présentait les mêmes caractères que l' atrophie tabétique au début, même lymphocytose, même scl
onvaincu que dans toutes les amau- roses syphilitiques tardives par atrophie oplique, qu'elles soient associées au talles ou
compression ; le nerf se trouve privé de vaisseaux perméables et l' atrophie des fibres nerveuses s'explique par leur défaut
perflu d'admettre une altération primitivement palenchymateuse. L' atrophie des fihres débute au pourtour des vaisseaux, et s
e les doigts et la paume de la main. Il ne semble pas qu'il y ait d' atrophie musculaire. Au membre supérieur gauche, les mou
quelques mouvements spontanés a gauche ; mais rien à droite. Pas d' atrophie musculaire. Aux membres supérieurs, les mouveme
ités, surtout à droite. Les deux mains restent contracturées. Pas d' atrophie musculaire. Du côté de la face on note un peu d
sont toujours en flexion forcée. Abolition des réflexes tendineux. Atrophie musculaire peu marquée. Fig.. l'et]i2. HISTOL
érale des réflexes, phénomènes qu'explique l'état des FPC. Le peu d' atrophie musculaire se justifie par l'intégrité relative
porte dans l'adduction à 130°. Pas de contracture des membres. Atrophie des membres inférieurs, pas de troubles trophique
s inférieurs, pas de troubles trophiques, pas d'escha- res ; légère atrophie des membres supérieurs. Réflexe patellaire pres
sociées. Pas de dou- leurs dans les membres. Thorax normal. Pas d' atrophie des pectoraux. Pas de déviation du racliis. Res
iques. Sur une coupe macroscopique on voit dès le premier abord une atrophie considérable des cornes antérieures, surtout da
on de volume de sa moitié antérieure. 2° Sa déformation due à cette atrophie partielle et à la dépression de son pourtour au
- fération conjonctive interfasciculaire, les muscles de myosite, d' atrophie musculaire et de dégénérescence adipeuse. Mais
ature myopathique de cette dernière. Voici d'abord l'observation. Atrophie musculaire à forme segmenlaire occupant les avant
cation de tous ces troubles se trouve-t-elle tout simplement dans l' atrophie musculaire des deux jambes. Celle-ci est très acc
ie (PI. LXI et LXII). La crête du tibia est devenue saillante par l' atrophie très apparente des muscles de la région antéro-
s cuisses sont très volumi- neuses. Au point de vue fonctionnel l' atrophie se traduit par une difficulté marquée dans le f
ossibles, surtout l'extension du pièd, mais se font avec lenteur. L' atrophie musculaire est aussi évidente, mais cependant moi
s fibres. « Quand la substance musculaire diminue, quand la libre s' atrophie , ces noyaux paraissent proportionnellement augm
olique. non syphilitique, surviennent concurremment du steppage par atrophie des muscles de la jambe et des douleurs à carac
lés. Hoffmann (2), dans un cas de myotonie congénitale, a signalé l' atrophie musculaire de la main et de l'avant-bras alors
i- que de Raymond, d'un sujet de 34 ans qui eut successivement de l' atrophie des mains, des avant-bras, des membres inférieu
spasmes myoto- niques firent régulièrement leur apparition après l' atrophie . Lamy (4), en rapportant ce fait, remarque que
(1) un malade chez lequel existait à la fois de la myotonie et de l' atrophie musculaire. Chez un malade de Dana (cité par Ko
hold), la maladie de Thomsen survint quatre ans après le début de l' atrophie musculaire. A cette énumération il convient d'a
toussant facilement et réformé pour bronchite, qui présentait de l' atrophie du jumeau interne, du jambier antérieur et de l
t-bras, aussi bien des fléchisseurs que des extenseurs, avec légère atrophie musculaire. Il faut encore citer le cas intéres
embres inférieurs avec prédominance au bras. Plus tard apparaît une atrophie musculaire qui envahit surtout les mus- cles ay
, 1900. (5) Noeuds et Sirol, Maladie de Thomsen à forme fruste avec atrophie musculaire (Nouv. Icon. de la Salpêtrière, 1899
moins une douzaine d'ob- servations dans lesquelles coexistaient l' atrophie musculaire et les phéno- mènes myotoniques et c
n autre de mes malades, grand myopathique depuis 17 ou 18 ans, avec atrophie généra- lisée, sauf aux jambes, présente depuis
du malade, que j'ai fait prendre il cette époque, qui montrent une atrophie myopathique généralisée avec conservation des m
t facile de s'en convaincre sur la photographie ci-jointe, bien que l' atrophie ait été un peu masquée par de l'adiposité ultér
té photo- graphié. La menace de chute en avant tient évidemment à l' atrophie des mus- cles des fesses et de toute la gouttiè
ique (1 pl., 1 fig.), par CESTaN et LE- joNNE, 343. Myotonie avec atrophie musculaire (2 pl.), par LAN\OIS, 450. b9yxoed
E. La syphilis dans l'Art (1 planche), 83. LANNOIS. Myotonie avec atrophie muscu- laire (2 planches), 450. 506 TABLE D
Malformations osseuses (A. Cange), XL, XLI, XLII. Myotonie avec atrophie musculaire (LA- nos), LXI, LXII. Myxoedème fr
10 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
pas en rapport constant avec l'état des réflexes. Enfin apparaît l' atrophie musculaire. Fickler fait observer que la longue
ompression : les paralysies flasques avec aboli- tion des réflexes, atrophie musculaire et anesthésie à topographie radicu-
aperçus; 6 mois de repos ont amené une guérison complète, même de l' atrophie musculaire. Voici le résumé d'une observation d
atique double, avec hypoesthésie diffuse aux jambes et aux cuisses, atrophie muscu- laire sans altération des réactions élec
araplégie complète, flasque, avec abolition des réflexes tendineux, atrophie musculaire, anesthésie remon- tant jusqu'au pli
iredey et de M. Brissaud montrent la possibilité d'une 12 ALQUIER atrophie musculaire avec exagération des réflexes et la pr
- formation et douleur à la pression au niveau de la région sacrée. Atrophie mus- culaire très marquée aux membres inférieur
et les mains appuyées sur les cuisses. On ne trouve d'ailleurs aucune atrophie des groupes musculaires préférés par la myopath
asque, avec abolition des réflexes tendineux et cutané plantaire. L' atrophie musculaire remontait jusqu'aux fes- (1) Gazette
à droite flexion à gauche ; crémastériens faibles. Peut-être légère atrophie musculaire diffuse aux membres inférieurs. Lent
e légère parésie des extrémités supérieures peut-être même un peu d' atrophie , on pense à une névrite alcoolique surtout sens
licat d'habi- tude. ' Puis, apparaît une paraplégie flasque, avec atrophie musculaire. Lors- qu'il s'y ajoute une anesthés
malade put reprendre son travail. En même temps se développait une atrophie bilatérale de la langue; 4 mois après, nouvelle
e. De 8 à 12 ans, rétablissement de la santé ; il reste seulement l' atrophie linguale bilatérale. Le malade dut, à 36 ans, c
nalogues dans les membres inférieurs. A 43 ans on constate, outre l' atrophie linguale, surtout marquée à gauche, un raccour-
mouvements délicats, avec troubles du sens sté- réognostique, sans atrophie musculaire ni altération des sensibilités superfi
ur le mal de Pott », M. Brissaud résume deux autres cas : l'un avec atrophie légère diffuse des membres supérieurs, et grosse
le diagnostic qui est seulement probable, il y avait du côté droit atrophie musculaire et douleurs dans le mem- bre supérie
la possibilité d'une paralysie flasque des membres supérieurs, avec atrophie musculaire. Il est exceptionnel de ne constater
près, paralysie, d'abord du bras gauche, puis du droit flasque, puis, atrophie rapide de certains groupes de muscles : deltoïd
eut donner lieu cette variété, surtout lorsqu'elle s'ac- compagne d' atrophie musculaire des membres supérieurs et de troubles
sion et les caractères de douleurs radiculaires. Un mois plus tard, atrophie et paralysie du membre supérieur, puis du membr
ur gauche, puis des 2 membres du côté op- posé. Ou constate alors : atrophie et paralysie flasque des muscles de la main, de
es muscles antibrachiaux, et paralysie des muscles de la main, avec atrophie des éminences thénar et hypothénar (v. pl. IV),
de de M. Broca : douleurs radiculaires, puis paralysie flasque avec atrophie musculaire et troubles sensitifs aux membres supé
ralement flasque ; tôt ou lard, elle se double d'un certain degré d' atrophie musculaire, quand la compression s'exerce sur l
l'hypoglosse, au niveau du trou occipital, il en peut résulter une atrophie de la langue, qui, souvent, n'intéresse qu'une
'un des quatre aspects suivants : 1° Paralysie flasque avec ou sans atrophie musculaire ; 20 Paralysie spasmodique des membr
pourra donner lieu aux erreurs de diagnostic suivantes : a) Si l' atrophie musculaire est peu marquée, la constatation d'une
hèse d'une névrite. Les troubles objec- tifs de la sensibilité et l' atrophie musculaire, souvent diffus, sans limites nettes
mains sur ses membres inférieurs que pour immobiliser le rachis ; l' atrophie et la paralysie respectent d'or- dinaire les mu
ue des membres supérieurs . - Lorsque cette dernière s'accompagne d' atrophie musculaire à topographie radiculaire (muscles d
rieurs, avec paralysie flas- que des supérieurs, un certain degré d' atrophie des muscles du groupe Aran-Duchenne, une dissoc
i- nués vis-à-vis de l'excitation faradique. Il existe en outre une atrophie marquée (1) E. BRISSAUD et H. GRE1VBT, Un cas d
ections dans lesquelles on constate le plus fréquemment une notable atrophie et une spéciale fragilité des os. Nous avons pu
anisme, le gigantisme, l'acroméga- lie, le rachitisme, l'obésité, l' atrophie musculaire, le myxoedème (d'après M. Brissaud c
s- trophies congénitales (nanisme, gigantisme, rachitisme, obésité, atrophie musculaire). La plus fréquente de ces associati
maladie de Basedow, la sclérodermie, le gigantisme, le nanis- me, l' atrophie musculaire, des exostoses multiples, et de l'infa
rit un agran- dissement acromégalique d'une extrémité, combiné avec atrophie musculaire, épaississement de la peau ou résidu
ez les malades atteints d'acromégalie, tandis que d'un autre côté l' atrophie de l'appareil (1) mur Physiologie der Hypophyse
r le côté dans une position accroupie : les genoux au menton. Pas d' atrophie musculaire marquée ni de déviations osseuses. L
bluxations des phalanges aux 3 derniers doigts de la main droite. Atrophie du membre inférieur droit portant sur le fémur. A
rve une dégénérescence des radiations thalamiques, et en plus, de l' atrophie consi- rable des grosses cellules multipolaires
faible degré. La muscula- ture des membres est peu développée, sans atrophie . En résumé, nous nous trouvons en présence d'un
CIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS ANOMALIES MULTIPLES CONGÉNITALES PAR ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS PAR M. KLIPPEL Médecin
PAR M. KLIPPEL Médecin de l'Hôpital Tenon. Il faut entendrè par atrophie numérique un arrêt de développement d'un organe
sulter d'un moindre vo- lume organique. Supposons, par exemple, l' atrophie numérique d'un membre consécutive à une brûlure
eux du côté opposé et ils ont aussi la même structure, donc point d' atrophie simple, ni d'atrophie dégénéra- tive. Le nomb
ils ont aussi la même structure, donc point d'atrophie simple, ni d' atrophie dégénéra- tive. Le nombre seul est en défaut.
oire sur ce sujet. De tels caractères suffisent à montrer combien l' atrophie numérique diffère de tant d'autres atrophies av
re des éléments anatomiques. ANOMALIES MULTIPLES CONGÉNITALES PAR ATROPHIE NUMÉRIQUE DES, TISSUS 137 Le terme d'atrophie n
PLES CONGÉNITALES PAR ATROPHIE NUMÉRIQUE DES, TISSUS 137 Le terme d' atrophie numérique est significatif. Il implique,non seule
nt reconnaître aucune espèce d'altération structurale, telles que l' atrophie simple,la dégénérescence, la multiplication des n
njonctives et vasculaires qui accompa- gnent les autres formes de l' atrophie et qui sont surajoutées à la dispa- rition d'un
surajoutées à la dispa- rition d'un certain nombre d'éléments. L' atrophie numérique est non seulement d'une grande fréquenc
détail (1), je voudrais insister ici sur un cas assez particulier d' atrophie numérique et dont l'origine doit être recherchée
de développement des membres à la suite de lésions dans l'enfance. Atrophie numérique, Rev. de méd., mars 1893. Même sujet, P
éveloppement consécutifs aux lésions locales datant de l'en- fance. Atrophie numérique de Klippel. Thèse Paris, 1899, DURANT
fance. Atrophie numérique de Klippel. Thèse Paris, 1899, DURANTE, Atrophie numérique. Traité d'Anat. path. de CORAIL et Ranv
autopsie qui eût levé tous les doutes, qu'il s'agit en ce cas d'une atrophie numérique, suivant la définition qui vient d'en ê
1° Des signes qui marquent des arrêts de développements localisés ( atrophie numérique) ; . 2° Des déformations qui sont les
Ce qui permet surtout de rattacher les premiers de ces troubles à l' atrophie numérique, c'est l'absence de toute réaction fonc
le avoir tourné par rapport an ANOMALIES MULTIPLES CONGÉNITALES PAR ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 141 reste du pied. Sur ell
nger complètement les quatre ANOMALIES MULTIPLES CONGÉNITALES par atrophie numérique des tissus. .. (Mo Klippel) ANOMALI
des tissus. .. (Mo Klippel) ANOMALIES MULTIPLES CONGÉNITALES PAR ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 143 derniers doigts, et qu
t d'un point de côté violent ; ANOMALIES MULTIPLES CONGÉNITALES PAR ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 145 l'auscultation pulmona
En tous ces cas il est bien peu probable qu'il y ait des lésions d' atrophie simple ou de dégénérescences, pour les mêmes ra
'ai fait valoir plus haut. Un arrêt de développement] répondant à l' atrophie numérique peut rendre compte et de-la brièveté
optique ; sur des coupes postérieures à celle-ci, on constate de l' atrophie et de la décoloration générale du pulvinar. Un pe
niveau, passe dans le pulvinar de la couche optique. On remarque l' atrophie considérable et la décoloration du pulvinar. De
ien, prouvent que ce ne sont pas des fibres démyélinisées en voie d' atrophie ; leur terminaison par des massues directes ou ré
gé- nitales ? Cette analogie ne se retrouve-t-elle pas aussi dans l' atrophie très prononcée du corps calleux, dans l'intégri
ns ces cas, l'examen anatomique des muscles permet de constater une atrophie volumétrique des fibres musculaires, une proli-
tion de l'état général de cause indéterminée. Il en est demême de l' atrophie fébrile des vieillards décrite par B.Bail (2),
le symptôme fondamental, essentiel, est l'affaiblissement joint à l' atrophie du système musculaire strié, on est en droit de
eiten. Erlangen, 1860. , . (2) B. BALL, Diction. Dechambre, article atrophie . (3) G. HAYIOE, Diction. Dechambre, article mus
ompte qu'il s'agit bien d'une maladie très spéciale déterminant une atrophie musculaire très prononcée; atrophie qui, fait imp
e très spéciale déterminant une atrophie musculaire très prononcée; atrophie qui, fait important, s'accom- pagne de rétracti
M. le professeur Hayem ont eu l'occasion d'observer les exemples d' atrophie musculaire suivie de rétraction dont nous avons
se produit le myoedème ou une onde lente de contraction. Dès que l' atrophie est extrême le phéno- mène disparait. Les réf
ù la pression était basse (14) nous avons constaté à l'autopsie une atrophie des parois du coeur qui est peut être responsab
Coupe longitudinale du soléairc. Adipose interstitielle considérable. Atrophie j des libres musculaires, prolifération du tiss
Munchener med. Wochenschrift, 1890. 270 LEJONNE ET LHERM1TE leur atrophie est excessive. Le quadriceps par exemple ne recou
de considérables rétractions. ' " Tous les viscères sont en état d' atrophie plus ou moins prononcée. Le grand épiploon est
ues tu- bercules crétacés. Chez un sujet le coeur était en état d' atrophie manifeste et pesait, vide de sang 170 grammes ;
de nombreux corps amyloïdes, une réaction névroglique modérée, une atrophie des cel- ' Iules pyramidales pigmentées; en som
us efforcer de montrer comment évolue la lésion avant d'aboutir à l' atrophie et à la sclérose accu- sée du muscle. Tout d'
nt à la maladie propre et de ce qui est surajouté, contingent. Si l' atrophie du muscle est l'aboutissant forcé de la plupart
on assez variée. Avec la majorité des auteurs, on peut considérer l' atrophie de la fibre comme résultant de deux processus d
e deux processus différents bien que susceptibles de s'associer : l' atrophie simple avec ré- (1) CESTAN et P. LEJONNE, Myopa
lpêtrière, 1904. 274 LEJONNE ET LHERMITE gression cellulaire et l' atrophie consécutive aux processus dégénératifs. Dans la
s deux processus d'a- trophie ; mais si l'un d'eux est constant : l' atrophie simple, l'autre apparaît comme nettement surajo
avec une dégénérescence et cependant la prolifération des noyaux, l' atrophie des fibres, les divisions dont elles sont le si
sont très marquées. Nous croyons qu'il s'agit ici d'un processus d' atrophie simple avec disparition graduelle et progressive
s ou moins abondamment selon l'intensité de la cause patho- gène. Atrophie simple de la fibre musculaire (division, prolifér
de même dimension qu'à gauche (6 cent. de largeur). Il y a un peu d' atrophie musculaire de la cuisse (38 à droite, 40 à gauc
le pannicule adipeux des nodules de consistance glandulaire. De l' atrophie très marquée du testicule du même côté ; De l'a
issement des testicules et des bourses ; l'emphysème pulmonaire par atrophie des fibres élastiques ; le glissement des tégum
éveloppement général : asymétrie faciale, hyper- trophie du sein et atrophie du testicule à droite, comme si les caractères
estait sa souffrance par l'atro- phie du prolongement périphérique, atrophie se produisant tout d'abord à l'ex- trémité la p
oules de myéline éparses, associées à l'altération fusiforme ou à l' atrophie simple. L'auteur en concluait à l'existence des n
t à peu près disparu ; beaucoup de cellules se montraient en voie d' atrophie , près d'un tiers avait disparu, notamment (comm
ap- paraît la diminution générale de la grandeur des cellules, et l' atrophie d'un certain nombre d'entre elles. Cette atroph
es cellules, et l'atrophie d'un certain nombre d'entre elles. Cette atrophie fait des progrès continus jusqu'au 200e jour; à
arge pigmentaire, enfin tout à fait revenues sur elles-mêmes. Cette atrophie porte si- multanément sur le noyau et le protop
éclare que ces lésions ne peuvent s'expliquer autre- ment que par l' atrophie des cellules à la suite de la destruction de leur
s nous ont paru bien conservées, sans diminution de leur volume, ni atrophie à aucun degré, au moins pour l'immense majorité
nce de la zone externe seule. Nous n'avons pas rencontré non plus l' atrophie de la gaîne, ni la désintégration de la myéline
as d'ailleurs la possibilité de cette régénérescence, étant donné l' atrophie , constatée par lui, du bout ganglionnaire. Enfi
ifester, plus généralisée, ne se caractérise tout d'abord que par l' atrophie simple de la gaîne de myéline. Au 12e mois, la
wallérien, tandis que le prolongement central subit un processus d' atrophie rétrograde jusqu'au voisinage de la cellule. No
trophiées dans leur ensemble, légèrement ou presque complètement, l' atrophie portant assez souvent aussi sur le noyau. Les cap
o. Semaine médicale, 18 avril 1906. 320 .. noux ET HEITZ lement l' atrophie , et dont l'intensité est sous la dépendance du de
en sont très rares, la plupart sont simplement atrophiées, et cette atrophie se fait suivant le type segmentaire (Shaw, Dejeri
e vide, sans le stade intermédiaire et indéfi- niment prolongé de l' atrophie . Enfin au lieu d'un processus essentiellement c
u point de vue histologique des névrites cuta- nées des tabétiques ( atrophie simple à type segmentaire). Il n'y a pas non pl
rescence rétrograde de la racine postérieure sectionnée et l'état d' atrophie segmentaire des racines tabétiques. Seules les
res ne se distinguant en rien de celles des ganglions droits. Pas d' atrophie ni de raréfaction des cellules, pas de modifica
égères altérations cellulaires égales des deux côtés ; aucune trace d' atrophie ni de raréfaction cellulaire. Les nerfs périp
331 tion du nombre des cellules, aucune trace de ratatinement ni d' atrophie . Sur les coupes de la racine postérieure au voi
este. Il existe donc dans ces ganglions quelques cellules en voie d' atrophie comme celles que nous avions remarquées, très r
ion de l'acuité visuelle, nystagmus, myosis et rigidité pupillaire, atrophie grise des papilles. Cette étude bibliographique
e. Facilité à pleurer à la suite de la cause la plus insignifiante. Atrophie évidente des muscles des membres inférieurs. Es
encontre avec ces méthodes sont les sui- vantes : l'hypertrophie, l' atrophie , les varicosités et la pâleur. Nous n'avons pas
e, les symptômes méningés, l'altération des réflexes pupillaires, l' atrophie du nerf optique, la céphalée intense, les spasmes
placche d'origine silitica. 15. Catola (G.). - Sclérose en plaques; atrophie cérébelleuse et sclérose pseudo-systématique de
e est nette. Notre malade n'avait ni le facies en pleine lune, ni l' atrophie du corps thyroïde, ni les altérations cutanées,
ée pour franchir la formation kystique, ont souffert un processus d' atrophie , de résorption. Même les fibres moniliformes on
auche. - Sur les coupes longitudinales, on cons- tate des lésions d' atrophie simple très marquées. Il existe quelques fibres
lus marquées. Il n'existe aucune fibre saine, toutes sont en voie d' atrophie simple avec prolifération excessive des noyaux. O
muscles précédents; quel- ques fibres cependant, bien qn'en voie d' atrophie , sont encore assez volumi- neuses, un certain n
ate sur la plupart des faisceaux des lésions extrêmement marquées d' atrophie simple avec prolifération nu- cléaire, comme da
constate également sur ces muscles des lésions dégénératives, mais l' atrophie en est notablement moins marquée que celle des
celle des muscles des membres infé- rieurs. Il existe des lésions d' atrophie simple, mais elle est moins prononcée, la proli
s du 5° ganglion cervical 2° ganglion dorsal 2° lombaire montrent : Atrophie très considérable des racines antérieures, qui pr
que l'on descend de la région cervicale vers la région sacrée, une atrophie très intense des cellules radiculaires, avec un c
te qu'aucune cellule n'est intacte, toutes présentent des lésions d' atrophie simple et progressive. Il y a désintégration de
actes ainsi que leurs vaisseaux. Afin de vérifier s'il existait une atrophie numérique, nous avons compté les cellules des c
ion. A. Coupe de la moelle au niveau de la XII" dorsale, montrant l' atrophie des cellules radiculaires de la corne antérieur
de Clarke. B. Cellules radiculaires antérieures en divers stades d' atrophie (Méthode de Nissl). POLIOMYÉLITE DIFFUSE SUBAIG
épinière, portant sur les cornes antérieures, et caractérisée par l' atrophie à différents stades des cellules radiculaires,
les cordons antéro-latéraux, dégénérations des racines antérieures, atrophie simple des différents muscles examinés. Fait in
rati- quée sur le muscle droit antérieur du quadriceps, montra de l' atrophie simple avec un certain degré de dégénérescence
ifé- ration des noyaux. Hoffmann a publié, en 1893, sous le nom d' atrophie musculaire chro- nique de l'enfance d'origine s
umonie. A l'autopsie, qui put cependant être faite, on constata une atrophie musculaire très marquée, et en prélevant la moe
ne atrophie musculaire très marquée, et en prélevant la moelle, une atrophie également évidente des racines antérieures. Les
Les conclusions de l'examen histologique peuvent se résumer ainsi : atrophie ou disparition de la plupart des cellu- les rad
r de la moelie, plus marquée dans la partie inférieure de celle-ci, atrophie très intense des racines antérieures depuis leu
antérieures depuis leur origine intramédullaire, s'accompa- gnant d' atrophie de certains faisceaux des nerfs mixtes et d'atrop
compa- gnant d'atrophie de certains faisceaux des nerfs mixtes et d' atrophie géné- ralisée et très marquée des nerfs intramu
'atrophie géné- ralisée et très marquée des nerfs intramusculaires, atrophie très inlense des muscles correspondants ayant t
s inlense des muscles correspondants ayant tous les caractères de l' atrophie simple. On notait de plus quelques dégénération
ic avec la paralysie infantile, la paralysie d'origine cérébrale, l' atrophie névritique Charcot Marie, la myopathie pseudo-h
e atteignait les bras et la nuque, l'évolution fut progres- sive, l' atrophie musculaire était marquée, et s'accompagnait de co
mort se fit par affection pulmonaire. A l'autopsie on constata de l' atrophie simple des muscles, avec atrophie des nerfs pér
re. A l'autopsie on constata de l'atrophie simple des muscles, avec atrophie des nerfs périphériques, atrophie des cellules
atrophie simple des muscles, avec atrophie des nerfs périphériques, atrophie des cellules des cornes antérieures de la moell
et demi qui présente depuis sa naissance une paralysie flasque avec atrophie musculaire affectant les quatre membres et tous
e l'enfant par nous observé, montre du moins que cette affection, l' atrophie musculaire chronique d'origine spinale de l'enf
ments des membres, sauf au niveau des mains qui sont le siège d'une atrophie très marquée, et au niveau du pied droit. Amyot
et au niveau du pied droit. Amyotrophie. Aux membres supérieurs, l' atrophie musculaire porte surtout sur les éminences thén
e un certain degré d'amblyopie. L'examen actuel des yeux dénote une atrophie partielle des deux papilles, plus ac- cusée à g
s ailes sont.immobiles, affaissées. Les joues aplaties traduisent l' atrophie des sinus maxillaires. Le menton est proéminent
quement par les symptômes suivants : ataxie des quatre membres avec atrophie muscu- laire ; troubles très marqués de la sens
vé à une période assez avancée de son évolution, mais associé à une atrophie musculaire généralisée, une cyphoscoliose et un
n'y voir qu'une variante d'une autre maladie également familiale, l' Atrophie musculaire type Charcot-Marie. Ainsi que nous l
ntre ces deux affections. OBSERVATION Homme de trente-quatre ans. Atrophie musculaire avec troubles de la sensibilité et d
rs fulgurantes, ayant débuté à l'c £ ge de quatorze ans. Début de l' atrophie par les muscles des jambes s'étendant plus tard a
Intégrité des muscles de la racine des membres. Pieds-bols équins. Atrophie des muscles des mains, type Aran-Duchenne. Contra
nt une déformation très prononcée des deux pieds et des mains, avec atrophie musculaire, le membre inférieur droit (frac- tu
s des deux pieds sont nettement atrophiés ; pour les interosseux, l' atrophie paraît moins prononcée. Les muscles des deux jamb
aire quelques pas. Signe de Romberg très accusé. Membres supérieurs Atrophie musculaire, type Aran-Duchenne, égale et symétr
métrique des deux côtés, main simienne avec griffe cubitale légère, atrophie très prononcée des éminences thénar et hypothénar
droite est un peu déformée, allongée dans le sens vertical. . z L' atrophie musculaire n'a que très peu progressé depuis cett
le n'est ni diminuée, ni augmentée de volume ; on ne constate que l' atrophie des cordons postérieurs qui sont moins larges et
. Certains muscles étaient extrêmement atrophiés : pour d'autres, l' atrophie était moins prononcée ; malheureusement il ne n
culière- ment favorables pour suivre le processus histologique de l' atrophie muscn- laire. - Dans les muscles de l'éminenc
usculaires : la plupart ont disparu et sur celles qui persistent, l' atrophie est extrême, la striation n'est plus reconnaissab
remarque tout d'abord que toutes les fibres ne sont pas atteintes d' atrophie , celle-ci procède par zones, des petits groupes d
délimité. Un certain nombre de fibres n'ont subi qu'un processus d' atrophie simple, le sarcolemme est très légèrement épais
s phases de ce processus. C'est la même distribution par zones de l' atrophie ; en outre, des libres déjà très réduites ont c
ns la zone radiculaire postéro-externe et dans la zone de Lissauer. L' atrophie des cornes postérieures est la même : les fibre
). Cas. II (résumée). Femme de 45 ans, soeur du malade précédent. Atrophie musculaire et troubles de la sensibilité chez une
e à l'âge de douze ans. Double pied-bot varus extrêmement prononcé. Atrophie extrême des muscles des jambes et des cuisses p
des muscles des jambes et des cuisses plus marquée à la périphérie. Atrophie des membres supérieurs type Aran-Duchenne, dimi
membres supérieurs, moins nette aux membres inférieurs du fait de l' atrophie . Marche possible, mais difficile et incertaine.
er dans les membres inférieurs, du fait de l'intensité extrême de l' atrophie , il n'en est pas de même aux mem- bres supérieu
, le 18 jan- vier 1892. Oas. III (Résumée). Ataxie locomotrice et atrophie musculaire chez un jeune homme de vingt ans. Dé
e l'affection entre sept et huit ans par des troubles de la marche. Atrophie musculaire des quatre membres diminuant de la p
double pied-bot équin varus avec pied creux. Aux membres supérieurs atrophie musculaire type Aran-Duchenne. Mains simiennes
la sensibilité dans la névrite interstitielle hyper- trophique. L' atrophie musculaire quoique toujours très accusée chez ces
quoique très marquée cependant chez celui de l'observation I. Cette atrophie a comme caractère de prédominer aux extrémités
sur la participation des muscles de la face à la paraly- sie et à l' atrophie ,signalée déjà par l'un de nous dans son mémoire d
tact. Nous ajouterons enfin que chez tous ces malades, du fait de l' atrophie des muscles des jam- bes et de la plante du pie
mbres inférieurs les troubles fonctionnels sont la conséquence de l' atrophie et de t'ataxie. Les malades marchent en steppant,
t médullaires. Les lésions musculaires consistent en un processus d' atrophie dont la caractéristique topographique est l'inv
que est l'invasion par zones et la caractéristique histologique une atrophie progressive, débutant quelquefois par la dégé-
une seule fois par Hayem sur les racines postérieures dans un cas d' atrophie musculaire deutéropathique (IInrw, Atrophie muscu
térieures dans un cas d'atrophie musculaire deutéropathique (IInrw, Atrophie musculaire progressive, Dic.,encsclop. des Se.
phique de l'enfance et l'affection désignée en France sous le nom d' atrophie musculaire type Charcot-Marie (en Angle- terre
usculaire type Charcot-Marie (en Angle- terre du type péronier de l' atrophie musculaire progressive [ Tooth }, en Allemagne
nier de l'atrophie musculaire progressive [ Tooth }, en Allemagne d' atrophie musculaire progressive névritique , fut discuté
co ('1) a soutenu que la névrite interstitielle hypertrophique et l' atrophie musculaire type Charcot-Marie ne seraient qu'un
ique : nous rappellerons cependant que dans aucune observation de l' atrophie musculaire type Charcot-Marie, il n'est fait me
sensibilité, la difficulté de la marche et de la station debout, l' atrophie musculaire et enfin l'hyper- trophie considérab
e croit trouver une différence entre ses malades et les nôtres dans l' atrophie musculaire, qui dans ces cas n'atteindrait que
uscles propres du pied et de la jambe, tandis que dans les nôtres l' atrophie musculaire serait généralisée. Or, s'il est vra
s l'atrophie musculaire serait généralisée. Or, s'il est vrai que l' atrophie musculaire est excessive aux membres inférieurs c
e nous avec Sottas, il a été mentionné qu'il s'agissait surtout d'une atrophie des extrémités et que les extrémités inférieure
si la névrite intterstitielle hypertrophique comme une variété de l' atrophie type Charcot-Marie, opinion qui vient encore d'
(1906). C'est là une erreur absolue. Jamais à l'autopsie d'un cas d' atrophie type Charcot-Ma- rie, il n'a élé constaté d'hyp
anatomique. Et tout d'abord quel est le subslratum anatomique de l' atrophie type Charcot-Marie ? Les autopsies en sont rare
que la pseudohyperlrophie des muscles des jambes, l'asymétrie de l' atrophie dans les muscles des mem- bres supérieurs, qui
ant en s'appuyant sur ces observations que Hoffmann (5) considère l' atrophie musculaire type Charcot-Marie comme une névrite i
de Marinesco et de lui-même, il s'agit dans le cas de Du- breuilh d' atrophie musculaire type Charcot-Marie ou d'un syndrome pl
ration avec Armand-Delille (2), les lésions consta- tées furent une atrophie simple des nerfs musculaires, l'intégrité des ner
ent un peu dans les détails. Sainton reconnaît que les lésions de l' atrophie musculaire type Charcot- Marie ne sont pas les
hypertrophique; d'ailleurs (1) Dubreuilh, Etude sur quelques cas d' atrophie musculaire limitée aux extrémités et dépendant
s. Rev. de 111éd., 1890. (2) J. DEJEMKE et Armand-Delille, Un cas d' atrophie musculaire, type Charcot-Ma- rie, suivi d'autop
Armand-Delille, la malade est morte trente ans après le début de l' atrophie musculaire et sur aucun nerf il n'a été pos- si
ions n'est pas abso- lument la même dans les deux maladies : dans l' atrophie type Charcot- Marie, l'atrophie n'atteint pas l
ême dans les deux maladies : dans l'atrophie type Charcot- Marie, l' atrophie n'atteint pas les racines antérieures et c'est là
trophique est donc une maladie autonome, distincte du tabes et de l' atrophie musculaire type Charcot-Marie, elle doit occupe
ention sur quelques particu- larités cliniques. Chez notre malade l' atrophie musculaire avait gagné les muscles de la face e
AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE 515 5 très sclérosées, avec atrophie intense de nombreuses fibres nerveuses, et dispa-
olles et leurs vaisseaux sont intacts : les racines sclérosées avec atrophie des gaînes de myéline qui sont en voie de dégénér
ant de 7 ans), il n'y avait que de la sclé- rose névrogliqueet de l' atrophie de certaines fibres nerveuses, sans dila- tatio
e est penchée en avant, raide et immobile ; aux membres supérieurs, atrophie du type Aran-Duchenne avec participation des tr
s présentent un épaississement con- sidérable de la névroglie, avec atrophie des fibres nerveuses, dont les cylindres- axes
s dans la patho- génie des troubles moteurs des membres supérieurs ( atrophie musculaire, dans l'observation IX, réaction de
e la névroglie, désintégration de la myéline, ou bien sclérose avec atrophie des fibres nerveuses, et, au Pal et au Marchi,
erfs et des muscles, pratiqué par Rossi, lui a montré des lésions d' atrophie musculaire dans plusieurs des muscles innervés pa
ibilité se fait de l'olive vers le cervelet. Dans ces conditions, l' atrophie de l'olive et du corps restiforme consécutiveme
ion cérébelleuse doit s'ex- pliquer en admettant qu'il s'agit d'une atrophie rétrograde. Enfin notre cas est confirmatif de
radiculaires vont se perdre irrégulièrement de chaque côté : mais l' atrophie est prédominante dans les groupes cellulaires de
e qui concerne les amyotrophies et l'état lacunaire de la moelle. L' atrophie musculaire dont l'origine est artério-scléreuse e
forte réaction dégénérative et par la distribution irrégulaire de l' atrophie ; la seconde doit être refusée de même pour des m
ire (1 pl.), 552. ICr.irreL. Anomalies multiples congénitales par atrophie numérique des tissus (1 pl., 4 dess.), 136. '
. Françus et M\x EGGER, 463. Anomalies multiples congénitales par atrophie numérique des tissus (1 pl., 4 dess.), par Klip
11 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
aient, puis se desséchaient. Peu à peu, la peau, d'abord gonflée, s' atrophie , devient lisse, se colle aux os sous-jacents des
intégrité de la moelle en même temps qu'il appelait l'attention sur l' atrophie graisseuse des phalangines. En un mot, s'il exi
ment et paraissent volumineux. Au pourtour de l'orbite, il existe une atrophie notable de la peau qui est tendue, adhérente à l'
e en tant qu'elle affecte les extrémités supérieures, les paralyse, y atrophie les muscles, y abolit la sensibilité et y produit
d les malades l'ignorent et qu'elle se présente chez eux sous forme d' atrophie musculaire, en particulier des mains. Voici que
niveau des extrémités et en particulier aux mains. En ce qui touche l' atrophie , c'est la main de singe avec aplatissement des ém
sie. Ce sont des douleurs névralgi-formes. Puis vient la parésie avec atrophie musculaire plus ou moins accentuée, occupant la m
ingomyélie.Celle-ci est caractérisée tout d'abord par des symptômes d' atrophie musculaire, notablement plus accentués que celle
résentant cliniquement, d'une façon beaucoup plus nette, le type de l' atrophie musculaire de Duchenne-Aran. Il y existe aussi, i
res et aussi les faisceaux latéraux, car il existe une paralysie avec atrophie ; les cornes postérieures et les faisceaux postér
s au pouce, au médius et à l'annulaire, des crevasses indolores, de l' atrophie des éminences thénar et hypothénar, de la parésie
Il n'y a, en aucun point du corps, de traces visibles à l'oeil nu d' atrophie musculaire. Les avant-bras donnent des résultats
ure à celle du côté sain. Les reliefs musculaires sont normaux. Pas d' atrophie . « Pas d'anesthésie sur aucun autre point du co
e plaint pas de douleur. En aucun point du membre vous ne constatez d' atrophie musculaire, ni de troubles trophiques. La main
de pointes de feu. De plus, on constate très nettement à la vue une atrophie notable du triceps fémoral (droit antérieur princ
y rencontrer, tels que l'hyperesthésie et l'anesthésie et enfin que l' atrophie des muscles du membre inférieur pouvant survenir
que-névrite (1). Cette distinction, qu'il appuyait sur l'absence de l' atrophie musculaire dans le premier cas, et sur sa présenc
la base de son remarquable travail, il nous est facile de noter que l' atrophie dont il parle est toujours une atrophie en masse,
ous est facile de noter que l'atrophie dont il parle est toujours une atrophie en masse, soit de la totalité du membre, soit d'u
e compression du nerf scia- (1) Landouzy. — De la sciatique et de l' atrophie musculaire qui peut la compliquer. (Arch. gén. de
tée exclusivement aux muscles du mollet, sans qu'il y eût pour cela d' atrophie musculaire bien manifeste. Il s'agissait d'un hom
oici un résumé succinct : Observation I (résumée). — Paralysie avec atrophie du membre inférieur gauche consécutive à un accou
malement. Fistule vésico-vaginale. Etat actuel (5 novembre 1866). — Atrophie notable de la jambe gauche (3 centimètres de diff
excitabilité électrique. Le pied est tombant ; il y a paralysie avec atrophie des extenseurs. » La localisation n'est pas moins
car trois ans plus tard la malade avait encore son anesthésie et une atrophie des muscles de la région antéro-externe telle qu'
e celle de la jambe gauche. Remarquons que cette paralysie et cette atrophie , dues sans aucun doute à la névrite du sciatique
en était encore affectée trois ans après le début des accidents et l' atrophie surtout, à ce moment, était considérable. Cette g
ante aux muscles jambier antérieur et extenseur commun, indiquant une atrophie non douteuse de ces muscles. Il en est de même à
ieur et péronier, et incomplète de l'extenseur propre du gros orteil. Atrophie musculaire manifeste à la région antéro-externe d
rf dans le petit bassin, se compliquer d'accidents graves, paralysie, atrophie musculaire, localisés exclusivement dans le domai
l'aide du forceps, s'était compliquée d'une paralysie incurable avec atrophie dégénérative des muscles du mollet. Elle ne saura
arcot. Observation VII (personnelle). — Sciatique avec paralysie et atrophie dègènèrative des muscles extenseurs de la jambe,
auche, à peine appréciable en réalité et qui prouve en tous cas que l' atrophie ne porte que sur les extenseurs dont la diminutio
e gauche. A première vue, il semble qu'il existe un certain degré d' atrophie des muscles de cette région. Mais les dimensions
que nulles ; à la cuisse, la résistance est conservée. Il n'y a pas d' atrophie des muscles de la cuisse ni de la fesse. — Pas de
la douleur est plus vague, quoique non complètement absente. — Pas d' atrophie de la cuisse ni de la jambe. L'épaisseur de la co
s nerveuses. Observation X (personnelle). — Sciatique ancienne avec atrophie musculaire et troubles de la sensibilité. Marie
et de tous les muscles de la région antéro-externe de la jambe, avec atrophie et réaction de dégénérescence. Puis d'autres déso
e domaine du sciatique poplité externe, marchent parallèlement avec l' atrophie dégénérative constatée dans les muscles animés pa
n pronostic assez sévère, commandé par la présence d'une névrite avec atrophie dégénérative des muscles. Un cas de sciatique a
iques.— Le membre inférieur droit présente dans toute son étendue une atrophie notable des muscles, qui va croissant de la cuiss
rophie notable des muscles, qui va croissant de la cuisse à la jambe, atrophie que le tableau suivant indique : Fig. 34. — Poi
Guinon et Parmentier (Obs. n° XI). Sciatique double primitive avec atrophie dégé-nérative des muscles dans le domaine du popl
en face de cet ensemble symptomatique, démarche de stepper, douleur, atrophie musculaire, pied violacé et œdémateux, fut qu'il
aibles qu'à l'état normal, mais la démarche de stepper fait défaut, l' atrophie est moins accusée qu'à gauche et il n'existe pas
mple, c'est-à-dire primitive, pouvait s'accompagner de paralysie avec atrophie des muscles innervés par le péronier (V. plus hau
yngée. Tabes et ophthalmoplegic externe. Ophthalmoplegie externe et atrophie musculaire généralisée constituant un syndrome à
phthalmoplegie nucléaire comme on l'appelle encore, coïncidant avec l' atrophie musculaire plus ou moins généralisée des membres,
ant avec l'atrophie musculaire plus ou moins généralisée des membres, atrophie qui, d'après les caractères un peu différents cep
ple, les cornes antérieures de la substance grise de la moelle dans l' atrophie musculaire progressive du type Duchenne-Aran ou d
ifs étant respectés, tout comme lorsqu'il s'agit de la moelle, dans l' atrophie musculaire du type Duchenne-Aran, où l'altérati
e pour la clinique, il faut toujours compter, lorsqu'il survient de l' atrophie musculaire dans le tabès, qu'elle soit bulbaire o
t ici le lieu de rappeler la combinaison qui se fait quelquefois de l' atrophie musculaire du type Du-chenne-Aran (poliomyélite a
nte. Mais y a-t-il plus? Les deux cas sont-ib identiques? Est-ce de l' atrophie du type Duchenne-Aran qu'il s'agit dans nos cas ?
ue dans l'un d'eux l'ophthalmoplégie externe se trouve combinée à une atrophie musculaire généralisée à marche lente et progress
dans cette leçon. (G. G). affection connexe, la syringomyélie avec atrophie musculaire, là où l'atrophie est évidemment de ca
affection connexe, la syringomyélie avec atrophie musculaire, là où l' atrophie est évidemment de cause spinale, nous avons const
nce de ce signe n'est clone pas suffisante pour éloigner l'idée d'une atrophie de cause spinale dans le cas actuel. Nous admet
ysés des membres se sont atrophiés rapidement. Comme vous le voyez, l' atrophie a frappé en masse, un peu partout. Les muscles so
paralysie labio-glosso laryngée (paralysie bulbaire totale), soit à l' atrophie musculaire généralisée (polioencéphalomyélite). —
aryngée qui résulte de la lésion similaire du bulbe inférieur, ou à l' atrophie musculaire progressive due à l'altération portant
moplegic externe combinée à la paralysie labio-glosso-laryngée et à l' atrophie musculaire progressive ; lésion systématique des
s. Pas de troubles vésicaux. Rien aux membres ; pas de parésie ni d' atrophie . Les réflexes rotuliens sont présents. L'appéti
bles cardiaques ni respiratoires. Il n'y avait toujours ni parésie ni atrophie au niveau des membres. Il s'agit là bien nettem
) maigreur extrême, due plutôt à de l'amaigrissement simple qu'à de l' atrophie musculaire véri- (1) Cette malade a été observé
la fin de la moelle lombaire. L'ophthalmoplégie externe s'associe à l' atrophie musculaire progressive le plus souvent et de la f
ntrons deux fois et toujours à un degré beaucoup moins prononcé que l' atrophie musculaire et les symptômes de paralysie bulbaire
abilité fa-radique et galvanique encore plus prononcée que ne l'est l' atrophie , mais sans inversion cle formule. Les ré flexes
la valeur à propos du diagnostic de la polioencéphalo-myélite avec l' atrophie myopathique, il existe à droite et à gauche une s
nt-bras, toujours en commençant par le côté droit. De l'avant-bras, l' atrophie remonta au bras, puis à l'épaule, et enfin, au mo
aient point augmenté du côté des membres supérieurs, l'impotence et l' atrophie étaient restées dans le même état. Etat actuel.
et des lèvres s'exécutent parfaitement bien, Il n'y a pas de trace d' atrophie de la langue, qui se meut bien en avant, en bas
dehors de la légère rougeur congestive de la muqueuse des cordes. L' atrophie musculaire est considérable au niveau du cou, du
e un véritable coup de hache. Au niveau des épaules on constate une atrophie notable des deltoïdes et des muscles de la ceintu
a ceinture scapulaire: sus-épineux, sous-épineux, grands pectoraux. L' atrophie est à peu près égale des deux côtés, beaucoup moi
nt. La supination complète est également empêchée. Aux avant-bras l' atrophie porte surtout sur les extenseurs. Mais au premier
abilité faradique et galvanique, encore plus prononcée que ne l'est l' atrophie , mais sans inversion de la formule. En septembr
ière, est toujours à peu près dans le même état, en ce qui concerne l' atrophie musculaire des membres supérieurs. Le mal s'est u
eurs. Le mal s'est un peu aggravé au niveau des membres inférieurs. L' atrophie commence à se manifester à ce niveau, bien qu'ell
Peyn..., complètement infirme, demandait à entrer à la Salpêtrière. L' atrophie était prononcée au plus haut point au bras, à l'é
23 cent. 1/2 Du bras gauche à 12 cent, de l'olécrâne. * . . =24 — L' atrophie des muscles de l'avant-bras et du bras est manife
ès faible. Les réflexes abdominal et crémastérien sont conservés. L' atrophie est extrêmement accusée au niveau des muscles des
à travers le deltoïde réduit à une lame musculaire insignifiante. L' atrophie des membres inférieurs est très prononcée, partic
enue par un appareil ligamenteux et surtout musculaire trop faible. L' atrophie des muscles du mollet est également considérable.
eul et commençait à marcher sans béquilles, bien qu'il eût encore une atrophie considérable du triceps. Il écrivait assez facile
stèrent en cet état pendant quelque temps. Il n'existait alors aucune atrophie des membres. Les membres inférieurs présentaient
n'observe aucun trouble de la déglutition, pas de nasonnement, pas d' atrophie de la langue. La tête est légèrement penchée en
constate cependant pas de déformation bien nette de cette région ni d' atrophie manifeste des muscles. Ceux-ci résistent peu au m
iveau des membres supérieurs, la faiblesse va jusqu'à la paralysie. L' atrophie est très accentuée au niveau du deltoïde et des p
certain degré d'amaigrissement et de faiblesse des fléchisseurs, une atrophie très considérable et une impotence des extenseurs
énars et hypothé-nars des deux côtés sont relativement conservées ; l' atrophie n'est pas très manifeste au niveau des espaces
inférieurs sont affaiblis, mais on n'y peut constater aucune trace d' atrophie véritable. Les réflexes tendineux du genou sont n
caractéristique. La combinaison de l'ophthalmoplégie externe et de l' atrophie musculaire ne permet pas le doute un seul instant
son évolution. La polioencéphalite avec ophthalmoplégie externe et atrophie musculaire pourrait être confondue avec un cert
n de bien spécial à signaler ; c'est celle de tout individu atteint d' atrophie des membres inférieurs. Le trouble peut aller de
s ainsi que cela existait chez un de nos malades (Obs. IV). Lorsque l' atrophie a envahi les extenseurs de la jambe, on observe l
bilité de ses yeux, pour diriger ses regards autour de lui. Lorsque l' atrophie des muscles de la partie postérieure du cou est t
a bouche à sa main. L'un de nos deux hommes, ne pouvant, à cause de l' atrophie des fléchisseurs, empoigner comme il faut ses béq
n la force du moins la possibilité de soutenir sa béquille. Lorsque l' atrophie est suffisamment prononcée, les malades ne peuven
t l'on remarque moins souvent la dépression sous-occipitale due à l' atrophie des muscles de la nuque. Mais il suffît de jeter
pas atteints et que les mains sont absolument indemnes, tandis que l' atrophie prédomine énormément au niveau des muscles de la
s myopathiques le front est lisse, exempt de toute ride, à cause de l' atrophie des muscles. Chez les autres, au contraire, la co
e parler que des réactions électriques, que voit-on en effet dans l' atrophie myopathique? une absence d'anomalie des réactions
ncore à la volonté. Ce n'est point du tout ce que l'on observe dans l' atrophie myopathique où la contractilité persiste tant qu'
chez lui à un effet de l'intoxication saturnine. Enfin la marche de l' atrophie , la durée de son évolution, la présence des troub
d'une paralysie bulbaire inférieure qui s'était développée ensuite : atrophie légère de la langue, paralysie des muscles du voi
mbres étaient paralysés et atrophiés en masse, sans prédominance de l' atrophie dans tel ou tel groupe musculaire et sans trouble
et intrinsèques (poliomyéliques antérieurs, postérieurs et médians). Atrophie musculaire, troubles de la sensibilité, troubles
phies musculaires progressives spi-~ nales, qu'ils consistent en de l' atrophie musculaire. Pour ce qui concerne les symptômes
en la matière. 1° Symptômes parétiques amyotrophiques. Il s'agit d' atrophie musculaire analogue à celle du type Du-chenne-Ara
ntrer par exemple dans l'hystérie et dans la lèpre; mais, combiné à l' atrophie musculaire progressive généralisée dans de certai
douleurs rhumatoïdes prodromiques, il se produit une faiblesse et une atrophie plus ou moins prononcée du membre. Ces troubles m
nt; démarche de stepper; paralysie double des extenseurs du pied avec atrophie musculaire dégénérative. — Glycosurie considérabl
était douloureux à son passage dans la gouttière épitrochléenne, de l' atrophie des muscles, des troubles trophiques du côté de l
et le pied est véritablement tombant. On ne constate cependant aucune atrophie musculaire nette aux membres inférieurs. Il y a u
musculaire; les réflexes sont normaux et égaux des deux côtés. Pas d' atrophie musculaire. La sensibilité générale est abolie
nt de la raideur du membre. Bientôt la main droite s'atfaiblit puis s' atrophie . Le quatrième mois, à l'occasion d'une blessure q
cusée pour celle-là; des dépressions intermétacarpiennes trahissent l' atrophie des interosseux. Le volume de l'avant-bras est,
e l'avant-bras, les extenseurs. La physionomie des lésions rappelle l' atrophie musculaire du type Duchenne-Aran. Ajoutons que la
lle non seulement les troubles sensitifs, mais encore la parésie et l' atrophie qui intéressent les muscles de l'éminence thénar,
que l'a bien relevé M. Déjerine, que l'on a fort souvent rapporté à l' atrophie musculaire du type Aran-Duchenne des cas où seule
u moins prononcée, se montrait combinée aux symptômes classiques de l' atrophie musculaire progressive (2). » Mais la confusion
ire progressive (2). » Mais la confusion de la syringomyélie avec l' atrophie musculaire n'est pas bien certainement la seule e
roit est parfaitement sain. Ni à gauche, ni à droite, il n'existe d' atrophie musculaire proprement dite, mais les muscles du c
it pour caractériser la syringomyélie. En somme, à part l'absence d' atrophie musculaire, rien ne manque au tableau. Et même, s
des plaques choroïdiennes couvertes de dépôts pig-mentaires. C'est l' atrophie choroïdienne syphilitique. Vous n'ignorez pas q
e un stigmate syphilitique à peu près univoque. J'ajouterai que cette atrophie paraît être un des attributs de la syphilis héréd
ynamométrique et compliquée d'exagération des réflexes tendineux et d' atrophie musculaire en masse. Cette atrophie très notable
ation des réflexes tendineux et d'atrophie musculaire en masse. Cette atrophie très notable — les chiffres que je vais vous cite
mé. L'ophtalmoscope vous montrera ici que cet accident relève d'une atrophie pa-pillaire à bords diffus et nuageux. 3° La va
diable par des îlots scléreux, et cette destruction peut produire une atrophie musculaire avec secousses fîbril-laires et, au de
et des déformations considérables (raccourcissement du médius gauche, atrophie ou peut-être adhérences des interosseux...) que l
arcot et H. Meige). . . . 169 IX. Sciatique double primitive avec atrophie dégénérative des muscles dans le domaine du popli
yngëe. Tabès et ophthalmoplégie externe. Ophthalmoplégie externe et atrophie musculaire généralisée constituant un syndrome à
paralysie labio-glosso-laryngée (paralysie bulbaire totale^, soit à l' atrophie musculaire généralisée (polioencéphalomyélite). —
et intrinsèques (poliomyéliques antérieurs, postérieurs et médians). Atrophie musculaire, troubles de la sensibilité, troubles
nt; démarche de stepper; paralysie double des extenseurs du pied avec atrophie musculaire dégénérative. — Glycosurie considérabl
yphilitique cérébrale, 373, 386. Arthritisme et névropathie, 368. Atrophie musculaire progressive de Duchenne Aran (diagnost
ue, 366, 378. Chiromégalie dans la syringomyélie, 359. Choroïde : atrophie de la — dans la syphilis héréditaire tardive, 3o0
la paralysie générale et l'ataxie locomotrice, 177; — combiné avec l' atrophie musculaire généralisée (polioenoéphalomyélite), 1
ent de la —. 383, 395. Syphilis héréditaire tardive : cérébrale, 370; Atrophie choroï-dïenne dans la —,380; Lésions du nez dans
12 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
as de même de sa création des grands types morbides qui s'appellent l' atrophie musculaire progressive, la paralysie infantile, l
à laquelle j'ai l'honneur d'appartenir. DEUXIÈME LEÇON «» Sur l' atrophie musculaire qui succède à certaines lésions articu
s articulaires. Sommaire. — Traumatisme articulaire. — Paralysie et atrophie musculaire consécutives. — Modifications de la co
s par l'étincelle électrique. — Exagération des réflexes tendineux. — Atrophie musculaire simple. — Pas de relation nécessaire e
lement une parésie, mais encore une modification de la nutrition, une atrophie du muscle triceps. Peut-être y a-t-il aussi un pe
ve de la réaction; on peut, d'après cela, conclure qu'il s'agit d'une atrophie simple et non d'une atrophie dégénérative \ Cho
'après cela, conclure qu'il s'agit d'une atrophie simple et non d'une atrophie dégénérative \ Chose remarquable d'ailleurs, ce
itative, ce qui distingue absolument ces altérations musculaires de l' atrophie dégénérative. Par le redressement brusque de la
sement étudiés. En résumé, ce malade est atteint d'une paralysie avec atrophie simple, presque exclusivement localisée dans les
hèse d'agrég., 1869. — Le Fort, Soc. de chir., 1872. — Sabourin, De l' atrophie musculaire rhumatismale. Thèse de 1873. — J. Page
s affections articulaires, Thèse de 1877. — Guyon et Féré, Note sur l' atrophie musculaire consécutive à quelques traumatismes de
es extenseurs de l'articulation qui sont atteints. Et, dans ce cas, l' atrophie , présentant les caractères de l'atrophie simple,
atteints. Et, dans ce cas, l'atrophie, présentant les caractères de l' atrophie simple, sans caractère irritatif, survient très r
i est de la persistance des accidents deutéropa-thiques (paralysie et atrophie ) après la cessation de l'affection protopathique
ne arthrite légère, lorsque les phénomènes d'impuissance motrice ou l' atrophie sont bien constatés, s'exposer à porter un pronos
(triceps), ou du moins plus spécialement sur ces muscles, que porte l' atrophie . Je dis plus spécialement, car l'irritation, part
l'épaule, du coude, de la hanche, c'est toujours aux extenseurs que l' atrophie prédomine, bien qu'elle puisse comprendre plusieu
articulaire, de proche en proche, jusqu'aux muscles voisins ; mais l' atrophie existe au même degré dans toute l'étendue du musc
l'étendue du muscle, et d'ailleurs les expériences montrent qu'il y a atrophie simple, sans trace d'inflammation, sans myosite.
hie simple, sans trace d'inflammation, sans myosite. L'hypothèse de l' atrophie par repos prolongé n'est pas admissible; l'affect
mment pourrait-on expliquer la localisation à peu près exclusive de l' atrophie aux extenseurs ? On est donc réduit à admettre
ue, et c'est en conséquence de cette affection que la paralysie et. l' atrophie se produisent. Mais en quoi consiste la modificat
e nous avons constaté, ces jours-ci encore, chez une femme atteinte d' atrophie incomplète des muscles du cou et des membres supé
porté par M. Charcot, au cours de la leçon, qu'il ne s'agit que d'une atrophie simple. Pour ce qui est de la manière dont le t
plus profondes. Il ne faut pas oublier non plus que la parésie et l' atrophie ne sont pas les seuls troubles deutéropalhiques q
les fléchisseurs l'emportant sur les extenseurs. Dans d'autres cas, l' atrophie et la contracture se combinent. Ces variétés d'
t reproduites encore plusieurs fois. Ch. F. QUATRIÈME LEÇON Sur l' atrophie musculaire consécutive au rhumatisme articulaire
ulaire consécutive au rhumatisme articulaire chronique. Sommaire. — Atrophie musculaire dans les arthropathies aiguës, sub-aig
uës, sub-aiguës, ou chroniques. — Relation entre la localisation de l' atrophie et le siège de l'arthropathie. — Types du rhumati
ion entre le siège de l'affection articulaire et la localisation de l' atrophie musculaire est même assez régulière pour pouvoir
issement très marqué de la fesse du côlé correspondant résultant de l' atrophie des faisceaux inférieurs du grand fessier peut au
ion unique ; partout ailleurs les réactions électriques indiquent une atrophie simple, sans altération profonde de la nutrition.
tudier au microscope les muscles d'un rhumatisant chronique atteint d' atrophie musculaire, et il a noté des caractères qui perme
ies des myopathies d'origine nerveuse : à savoir, l'irrégularité de l' atrophie , qui atteint à des degrés différents non seulemen
us pourrez chez elle reconnaître cet aplatissement de la fesse dû à l' atrophie des muscles fessiers, et que je vous ai déjà sign
rand trochanter droit paraît beaucoup plus saillant, ce qui tient à l' atrophie du petit fessier. Je tenais à vous montrer cett
d'entre eux, mais ceux surtout qui produisent l'extension, subir une atrophie plus ou moins marquée. La dépression et l'exaltat
arquée, dénotant un trouble manifeste des vaso-moteurs. Il existe une atrophie , ou plutôt uneémacia-tion légère, non seulement d
moins en circonférence que du côté opposé ; il ne s'agit pas là d'une atrophie musculaire véritable, mais d'un amaigrissement dû
ermanentes, douleurs intermittentes. — Impuissance motrice précoce. — Atrophie musculaire.— Troubles de la miction, de la déféca
Troubles de la miction, de la défécation, des fonctions génitales. — Atrophie persistante des muscles innervés par le grand et
t le petit sciatiques gauches. — Exploration électrique. — Parésie et atrophie des muscles fessiers du côté droit. Messieurs,
cas, ainsi que l'ont fait remarquer MM. Bonnefin et Lan-douzy, d'une atrophie plus ou moins prononcée des masses musculaires du
trophie plus ou moins prononcée des masses musculaires du membre. Une atrophie de ce genre existait très certainement, à cette é
r quoi notre assertion est fondée. L'impuissance fonctionnelle et l' atrophie musculaire concomitante, dans la sciatique vulgai
l'intervention du centre spinal dans ce mécanisme, est que souvent l' atrophie frappe les muscles qui n'appartiennent pas au dom
s où la douleur a occupé exclusivement le tronc du grand sciatique, l' atrophie se produit non seulement dans les muscles innervé
ans la sciatique spontanée vulgaire, l'impuissance f^ictionnelle et l' atrophie musculaire qui l'accompagnent ne survivent pas lo
ité l'emploi du forceps. Dans ce cas, la névralgie a été suivie d'une atrophie paralytique, portant sur les muscles jumeaux, et
sie des muscles du côté droit comme du côté gauche s'accompagne d'une atrophie qui se traduit par une diminution de volume facil
côté gauche. Il convient maintenant de considérer un instant cette atrophie qui persiste depuis 6 mois. La question à résoudr
t non seulement la théorie, mais encore la pratique : s'agit-il d'une atrophie simple, c'est-à-dire sans altération profonde des
ans altération profonde des fibres, ou, au contraire, s'agit-il d'une atrophie dégénérative, d'une atrophie correspondant à une
ibres, ou, au contraire, s'agit-il d'une atrophie dégénérative, d'une atrophie correspondant à une modification profonde, à une
n certain point, à la solution de cette question. C'est qu'en effet l' atrophie simple cède habituellement à l'emploi des moyens
e habituellement à l'emploi des moyens appropriés, tandis que, dans l' atrophie dégénérative, le traitement est impuissant. Somme
indiquer en quoi consiste, au point de vue de l'électro-diagnostic, l' atrophie simple des muscles et leur atrophie dégénérative.
de vue de l'électro-diagnostic, l'atrophie simple des muscles et leur atrophie dégénérative. 1° Dans l'atrophie simple, l'exci
trophie simple des muscles et leur atrophie dégénérative. 1° Dans l' atrophie simple, l'excitabilité faradique et galvanique es
ques développées à la suite de certaines lésions articulaires. 2° L' atrophie dégénérative a été étudiée avec soin dans les con
upérieurs. La paraplégie cervicale s'accompagne datrophie musculaire, atrophie simple pour certains muscles, atrophie dégénéra
mpagne datrophie musculaire, atrophie simple pour certains muscles, atrophie dégénérative pour certains autres, comme on peut
les aspects très divers sous lesquels peut s'offrir à l'observateur Y atrophie musculaire de fonne progressive. Je me propose d'
sujet dans quelques développements relativement à cette question de l' atrophie ou mieux des atrophies musculaires progressives.
à mon enseignement d'il y a 10 ans. La dénomination toute clinique d' atrophie musculaire progressive comprend, disions-nous alo
ie est constituée dans son entier, nous avons l'aspect ordinaire de l' atrophie musculaire progressive à laquelle se serait suraj
pinales, nous avons proposé de la désigner cliniquement sous le nom d' atrophie musculaire progressive du type Duchenne-Aran. La
nosographique Duchenne-Aran. Il existe en effet réellement un genre d' atrophie musculaire progressive caractérisée anatomiquemen
ien distinctes l'une de l'autre. Il existe encore une autre forme d' atrophie musculaire sans neuropathie qui atteint les jeune
a décrite dans ces derniers temps sous le nom de forme juvénile de V atrophie musculaire progressive et qu'il considère avec ra
paralysie pseudo-hypertrophîque, restant en général indemnes de toute atrophie . C'est l'atrophie «en effet qui paraît le fait ca
ypertrophîque, restant en général indemnes de toute atrophie. C'est l' atrophie «en effet qui paraît le fait caractéristique: l'h
portés à la forme juvénile. Mais celle-ci se distingue cependant de l' atrophie musculaire progressive de cause spinale par un ce
sur la question qui nous occupe : hypertrophie apparente dans un cas, atrophie dans l'autre, c'est le seul point de différence.
ainsi dire, au point de vue de .l'impotence fonctionnelle, la forme d' atrophie juvénile d'Erb, moins l'atrophie, et la paralysie
'impotence fonctionnelle, la forme d'atrophie juvénile d'Erb, moins l' atrophie , et la paralysie pseudo-hypertrophique, moins l'h
egardez les masses musculaires; nulle part vous ne constaterez soit l' atrophie , soit l'hypertrophie. Ce n'est pas à dire que cet
s ce n'est pas tout; je vais encore vous montrer deux autres formes d' atrophie musculaire, qui faisaient autrefois partie du cad
yotrophie des membres inférieurs ou plus exactement des jambes. Cette atrophie est très prononcée; la malade peut à peine marche
outre une certaine impotence fonctionnelle des bras, un léger degré d' atrophie de la main qui est aplatie du côté de la face pal
de Boulogne) a décrite comme représentant simplement une variété de l' atrophie musculaire progressive et à laquelle il a donné l
e progressive et à laquelle il a donné le nom de forme infantile de l' atrophie musculaire progressive. Elle semble être rare, ca
so dans un mémoire de MM. Charcot et Marie : Sur une forme spéciale d' atrophie musculaire progressive débutant par les jambes et
an dernier à l'Académie des Sciences, l'histoire de cas typiques de l' atrophie musculaire progressive in- fantile de Duchenne,
membres supérieurs ont commencé à se prendre à leur tour (fig. 30), l' atrophie est apparue bientôt et ici la description de l'af
usculaire rentre absolument dans celle de la forme juvénile de Erb. L' atrophie des muscles du bras est considérable. La résistan
mot, aucun des symptômes bulbaires qui existent quelquefois dans l' atrophie musculaire progressive de cause spinale. Voilà,
nnent à titre d'espèces: 1° la sclérose latérale amyotrophique ; 2° l' atrophie musculaire progressive du type Duchenne-Aran, mai
s :. 1° la paralysie vscudo-hypertrophique; 2° la forme juvénile de l' atrophie musculaire progressive du PT Erb ; 3° ï atrophie
forme juvénile de l'atrophie musculaire progressive du PT Erb ; 3° ï atrophie musculaire progressive de F enfance de Duchenne {
esse musculaire est le fait dominant et où on ne trouve, en somme, ni atrophie , ni hyper- Fig. 33. — Elle montré l'occlusion i
pas très apparente, mais on voit bien la conservation du deltoïde, l' atrophie du biceps et des muscles thénar. trophie ; enfi
resque tous nos malades, en effet, même chez celui qui ne présente ni atrophie ni hyper- Charcot. Œuvres complètes, t. iii, Sy
une faiblesse très prononcée des muscles des membres supérieurs, sans atrophie ni hypertrophie, tandis que le triceps crural des
es non plus, malgré la date ancienne déjà du début de la paralysie, d' atrophie des muscles paralysés, circonstance qui, jointe à
noplégie singulière survenue à la suite d'un traumatisme. L'absence d' atrophie et de toute modification des réactions électrique
de la face; l'absence d'exaltation marquée des réflexes tendineux, d' atrophie musculaire et de toute modification des réactions
chronique d'origine rhumatismale, il s'est produit un certain degré d' atrophie du triceps crural (amyotrophie d'origine articula
ablie depuis quatre mois, il n'y a pas cependant le moindre vestige d' atrophie ou de diminution de consistance des muscles paral
bout de 1. Voir, à la page 23 de ce volume, la seconde leçon, Sur l' atrophie musculaire qui succède à certaines lésions articu
laire qui succède à certaines lésions articulaires. quatre mois une atrophie manifeste de ces muscles. De plus les réflexes te
d l'absence de toute modification des réactions électriques, de toute atrophie des muscles alors même que la paralysie date de p
lle que soit la durée de cette affection, il ne subit aucune espèce d' atrophie , nous verrons tout à l'heure que si la première p
e la jointure ; l'amaigrissement du membre lui-même ne répond pas à l' atrophie musculaire, avec flaccidité qu'on trouve dans les
edresser. Fig. 80. Il existe un certain degré d'amaigrissement, d' atrophie du membre ; mais les réactions électriques sont n
tence que je vous fais reconnaître sur ce membre d'un certain degré d' atrophie musculaire et de refroidissement des téguments ;
grès médical1, puis dans un mémoire qui fait par- 1. Babinski, De L' atrophie musculaire dans les paralysies hystériques (Progr
sent être régulièrement marquées par l'existence d'un certain degré d' atrophie musculaire; que celle-ci même, à la vérité toujou
eut parler, ce malade crie encore, tout au moins. Il y a paralysie et atrophie de la langue ; sa bouche est élargie, ses lèvres
onc un contraste profond avec des troubles moteurs. D'ailleurs, pas d' atrophie des muscles dont les réactions électriques sont n
avail. 1. Voir les Leçons XX, XXI, XXII. 2. Voir J. Babinski De l' atrophie musculaire dans les paralysies hystériques. (Arch
a sensibilité et la motilité furent absolument normales. IV. De l' atrophie musculaire dans les paralysies hystériques *. (
x dernières observations, il y a prédominance de la paralysie et de l' atrophie dans le membre supérieur ; dans l'autre, prédomin
supérieur ; dans l'autre, prédominance dans le membre inférieur. L' atrophie musculaire hystérique se présente sous l'aspect s
la contractilité électrique est diminuée en proportion du degré de l' atrophie musculaire, mais il n'y a pas de réaction de dégé
usculaire, mais il n'y a pas de réaction de dégénérescence ; 5° cette atrophie peut se développer avec une grande rapidité. Chez
nt de l'amyotrophie a été aussi très rapide ; 6° la rétrocession de l' atrophie semble pouvoir être rapide, comme son développeme
avait déjà augmenté de 1 centimètre. Quelle est la nature de cette atrophie musculaire? Nous avons déjà dit plus haut qu'à l'
il n'y avait pas de réaction de dégénérescence. Il s'agit donc d'une atrophie simple, c'est-à-dire d'une atrophie indépendante
énérescence. Il s'agit donc d'une atrophie simple, c'est-à-dire d'une atrophie indépendante de toute lésion matérielle de la sub
é suspendues pendant une année entière, n'avaient pas subi la moindre atrophie . Or, chez les malades dont il est ici question, l
la moindre atrophie. Or, chez les malades dont il est ici question, l' atrophie s'est développée très rapidement et a pris en peu
étrange; car, 1. Voir la Leçon XX. est-il possible de comparer l' atrophie dont nous nous occupons ici avec l'amyotrophie qu
— 11 est sans doute indispensable d'établir entre ces deux variétés d' atrophie une distinction fondamentale. Mais il faut aussi
centres gris de la moelle et les nerfs périphériques sont normaux ; l' atrophie musculaire est, comme dans l'hystérie, une atroph
sont normaux ; l'atrophie musculaire est, comme dans l'hystérie, une atrophie simple. M. Charcot a encore rapproché l'atrophi
ns l'hystérie, une atrophie simple. M. Charcot a encore rapproché l' atrophie hystérique d'une Viriélé d'atrophie que j'ai réce
M. Charcot a encore rapproché l'atrophie hystérique d'une Viriélé d' atrophie que j'ai récemment signalée et qui s'appuie sur u
ne peut môme plus y avoir de contestation au sujet de l'origine de l' atrophie musculaire, comme dans l'amyotrophie articulaire
lles le sont dynamiquement. La seule différence entre cette variété d' atrophie et l'atrophie hystérique est que, dans le premier
ynamiquement. La seule différence entre cette variété d'atrophie et l' atrophie hystérique est que, dans le premier cas, la modif
rvations, un fait important et incontestable s'en dégage, c'est que l' atrophie musculaire peut relever directement, contrairemen
......................................... t DEUXIÈME LEÇON. sur l' atrophie musculaire qui succède a certaines lésions articu
s articulaires. Sommaire. — Traumatisme articulaire. — Paralysie et atrophie musculaire consécutives. — Modifications de la co
s par l'étincelle électrique. — Exagération des réflexes tendineux. — Atrophie musculaire simple. — Pas de relation nécessaire e
— Simulation.......................... 37 QUATRIÈME LEÇON. sur l' atrophie musculaire consécutive au rhumatisme articulaire
ulaire consécutive au rhumatisme articulaire chronique. Sommaire. — Atrophie musculaire dans les arthropathies aiguës, subaigu
iguës, subaiguës ou chroniques. — Relation entre la localisation de l' atrophie et le siège de l'arthropathie.— Types de rhumatis
ermanentes, douleurs intermittentes. — Impuissance motrice précoce. — Atrophie musculaire. — Troubles de la miction, de la déféc
Troubles de la miction, de la défécation, des fonctions génitales. — Atrophie persistante des muscles innervés par le grand et
t le petit sciatiques gauches. — Exploration électrique. — Parésie et atrophie des muscles fessiers du côté droit...............
harcot, par M. P. Marie............................. 471 IV. — De l' atrophie musculaire dans les paralysies hystériques, d'apr
Articulaires (Traumatismes), 28. Asyllabie, i68. Athétose, 2j£l Atrophie musculaire à la suite des lésions articulaires, 2
rophies musculaires du rhumatisme chronique, 56; — Réactions — dans l' atrophie musculaire consécutive à une contusion du sciatiq
que, 195; — dans les paralysies hystéro-trauniatiques, 305 ; — dans l' atrophie musculaire relevant de l'hystérie, 407. Ei.ectr
ume des muscles, 197 ; — forme de Leyden, 200; — forme infantile de l' atrophie musculaire progressive de lhtehenne, 200 ; — n'es
R Railway spine, 250, 355. Réflexes (Exagération des) — dans l' atrophie musculaire consécutive aux traumatismes articulai
acture hystéro-trauma-tique, 4 0. Rhumatisme articulaire chronique ( Atrophie musculaire consécutive au —), 51 ; — Différents t
titieuses dans le développement de l'hystérie, 229. Steppage dans l' atrophie musculaire progressive, 199. Stigmates hystériq
13 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
illaire supérieur, mais ce fait doit être rapporté sans doute à une atrophie régressive du rebord du maxillaire supérieur, q
opathies de ce genre. Archives générales de médecine, octobre 1891. Atrophie musculaire suite d'arthrite du genou. Examen hist
ail, les mamelles étaient peu développées. On sait d'ailleurs que l' atrophie de ces organes a été vue dans certains cas du s
irée énergiquement au dehors dans tous les sens. Il n'existe aucune atrophie de la langue (V. PI. XII, 3), ni de contraction
uent tout ce qui reste du faisceau cléido-occipital du trapèze. L' atrophie musculaire s'étend encore à tous les muscles de l
ion, on s'aperçoit qu'elle est réduite au prorata de la remarquable atrophie musculaire. Notre femme marche en maintenant sa
généralement moins évidents. Cette différence tient simplement à l' atrophie profonde de lous les muscles de la région cervi-
on horizontale des bras ne peut s'exécuter qu'avec difficulté par l' atrophie des muscles pectoraux. Le mouve- ment d'élévati
région sons-claviculaire qui présente un méplat assez évident par l' atrophie du grand pectoral. Postérieurement on voit le
on sus-claviculaire très profonde. Cette ensellure est donnée par l' atrophie du faisceau claviculaire du trapèze (V. PI XII,
contractilité musculaire au faradique sont parallèles au degré de l' atrophie . Les muscles excités se fatiguent très vite sous
e qui à la suite de longs efforts faits à coudre,avait présenté une atrophie de tous les muscles de la gouttière cervicale p
nne de la polyomyélite chronique ou la topographie radiculaire de l' atrophie débute par la VIIIe cervicale et la Ire dorsale
t une forme bulbaire de la polyomyélite antérieure chro- nique où l' atrophie gagnerait les nerfs crâniens et donnerait naissan
l'ophique. Selon Dejerine on peut poser en règle générale que toute atrophie musculaire progressive qui débute par le bulbe
e par le bulbe est une maladie de Charcot fruste, de même que toute atrophie myélopathique qui se termine par une paralysie la
ion et son évolution, nous étudierons ensuite la séméio- logie de l' atrophie cantonnée au muscle de la région cervicale postér
e, déjà Aran Duchenne avait placé le surmenage : selon cet auteur l' atrophie débute- rait par les muscles soumis à un travai
main qui sont parfaitement conservé des deux côtés. A cause de l' atrophie des muscles de la nuque, la tète ne peut être mai
les fonctions sensorielles sont respectées. Il existe toutefois une atrophie de la langue, une paralysie symétrique du voile
fait que dans la paralysie périphérique du nerf spinal le trapèze s' atrophie dans son chef scapulaire et dans son chef clavi
et quelques rameaux inférieurs du nerf facial, on avait observé une atrophie complète du stel'l1o-cléido-mastoïdien et une atr
en s'appuyant sur ces faits et sur l' l'existence concomitante de l' atrophie du trapèze et du sterno-cléido-mas- toidien, co
ysiologique de la co- lonne cervicale ne tiennent pas seulement à l' atrophie musculaire qui en réalité était cantonnée à la
ais ce mot d'impotence évoque, en général, l'idée de paralysie ou d' atrophie musculaire; or, celles-ci sont l'exception. Ce te
Remak (194) a observé une crampe des écrivains avec paralysie et atrophie du fléchisseur du pouce droit, et névrite du file
névritique. Stéphan (137) rapporte un cas analogue où existait une atrophie des éminences thénar et hypothénar, ainsi que d
ir des douleurs dans ces 86 MAC DE LÉPINAY deux doigts, puis de l' atrophie des muscles de l'éminence thénar et des interos
opération. Un constate, outre la présence de ce petit névrome, une atrophie marquée des muscles extenseurs des doigts et d'
1909. M. Pet... est grand, très solide, bien musclé ; il n'a aucune atrophie mus- culaire du bras droit ; tous les muscles e
l'éminence thénar peut amener à la longue 218 MACÉ DE LÉPINAY une atrophie des muscles, d'où paralysie flaccide, mais perman
uer cette crampe professionnelle de la névrite correspondante, avec atrophie de l'éminence thénar et des interosseux, signal
de la Salpêtrière, 1897. (2) Pierre Marie et Crouzon, Fracture par atrophie de l'humérus chez un nty0- palhique, Revue neur
eloppement du tissu osseux en tous ses points, bien différents de l' atrophie réflexe, trophoneurotique des os (Ludeck, Kienb
peut marcher assez facilement et s'occuper à des travaux manuels. L' atrophie des muscles de la cuisse n'est pas extrême- men
bdomen. C'est surtout pour les muscles du bras et de l'épaule que l' atrophie est marquée. L'épaule est assez bien fixée à la
oracique ; le malade présente en outre du ptosis bilatéral, et de l' atrophie des muscles masticateurs et moteurs de la langue,
nt-bras. Il présente encore de la déformation en taille de guêpe. L' atrophie est extrêmement marquée pour la cuisse. Les réf
ion et de flexion du tronc sont presque impossibles. Il n'y a pas d' atrophie marquée pour les mains, et les avant-bras sont
eut les mettre sur sa tête. Les mains présentent un certain degré d' atrophie pour l'éminence thénar. Les avant-bras sont pri
gros, presque ohèoe,Cet embonpoint survenu depuis deux ans masque l' atrophie mus- culaire. Les cuisses sont beaucoup plus at
osés en flexion, la jambe formant avec la cuisse un angle de 90°. L' atrophie est surtout marquée pour la cuisse et le quadri
l'avant-bras est mieux conservé, la main ne présente qu'une légère atrophie de l'éminence thénar. Les mouvements sont très
eu plus marqués à gauche. Le membre inférieur présente surtout de l' atrophie du quadriceps et de la racine du membre ; l'enf
des os portant sur les diaphyses, et l'aspect du tube osseux dû à l' atrophie du tissu spongieux. Humérus. L'étude de l'humér
considérable que celle du radius et du cubitus, comme d'ailleurs l' atrophie musculaire est plus marquée pour le bras que pour
ras. Squelette des mains. - Chez 1\leul...Artlur, qui présente de l' atrophie des éminences thénar et hypothénar, les altérat
YOPATHIE (Pierre Merle et Raulot - Lapoillte) , A. Myopathie sans atrophie des masticateurs. B. - Myopathie avec atrophie
A. Myopathie sans atrophie des masticateurs. B. - Myopathie avec atrophie des masticateurs. LES ALTÉRATIONS OSSEUSES AU C
ons que nous avons notées prédominent dans les segments où domine l' atrophie musculaire et peuvent se préciser de la manière
rallèle. Sans doute, les os peuvent être altérés secondairement à l' atrophie mus- culaire, et l'on conçoit que les reliefs o
troubles trophiques. » L'examen du maxillaire de Borg..., atteint d' atrophie des muscles masticateurs (phénomène très rare,
mots sont conservés, pas d'asymétrie, on relève seulement un peu d' atrophie des orbiculaires ; du prognathisme alvéolo-dent
lombo-sacrée est normale, il en résulte une ensellure considérable. Atrophie des masses lombaires ; le matelas des muscles fes
asses lombaires ; le matelas des muscles fessiers ne présente pas d' atrophie manifeste. L'abdomen et les organes génitaux ex
oubles sensitifs. - Rien. Troubles trophiques. - Un certain degré d' atrophie des intercostaux ; le pectoral gauche est atrop
refroidissement rapide des téguments, pas de poils. On trouve de l' atrophie et de la pseudo-hypertrophie ou tout au moins des
té ligneuse à un ramollissement partiel. - 248 VIRES ET ANGLADA L' atrophie siège : a) au niveau du trapèze et des muscles de
une corde dure et tendue, que l'on arrive à palper facilement. L' atrophie deltoïdienne est moins marquée à gauche. La pse
nservé sa musculature à peu près indemne, tandis que dans le dos, l' atrophie qui n'étaitprimitivement que lombaire, s'est ét
la musculature sauf aux muscles inter- scapulaires. En avant il y a atrophie et pseudo-hypertrophie des pecto- raux. Les mou
umeaux, phénomène ancien, apparaissent la pseudo- hypertrophie et l' atrophie réparties inégalement dans la jambe et la cuiss
-même est un peu tou- ché.La paralysie, la pseudo-hypertrophie et l' atrophie se répartissent sur la plupart des muscles du c
s diaphysaires irrégulièrement épaissies. Ça et là on remarque de l' atrophie osseuse, tandis qu'à côté on peut voir des trav
la suite d'une blessure par arme à feu du nerf cubital droit avec l' atrophie musculaire de la main droite et la contracture
ssez rapides. Les muscles des membres inférieurs sont atrophiés ; l' atrophie paraît résul- ter de l'inertie même de la malad
ment de la force motrice de l'extrémité supérieure droite et par l' atrophie des petits muscles de la main. Après divers tra
ncée de l'extrémité supérieure droite, réflexes profonds affaiblis. Atrophie des muscles intérosseux, des muscles de l'émine
force motrice de l'extrémité supérieure ^droite fut reconstituée. L' atrophie des muscles diminua rapidement, et un mois après,
eurs et la parésie cessèrent ; même, le symptôme organique qu'est l' atrophie des muscles, au dire de la malade, disparut aussi
rapide, à vue d'oeil, sous Y influence d'un moment psychique, de l' atrophie des petits muscles de la main, atrophie qui rap
d'un moment psychique, de l'atrophie des petits muscles de la main, atrophie qui rappelle d'une manière surprenante une forme
hie qui rappelle d'une manière surprenante une forme très rare de l' atrophie locale hystérique et qui est au fond l'atrophie d
orme très rare de l'atrophie locale hystérique et qui est au fond l' atrophie d'ori- gine mixte hystéro-névritique. Pareillem
griffe, les réflexes sont exagérés. Il existe, en outre, une légère atrophie musculaire. Le membre inférieur est plus tlasqu
ite, albuminurie accompagnée de paralysie des membres inférieurs, d' atrophie musculaire rapide, de douleurs intenses à ce ni
inférieur droit ; au bout de deux mois la malade meurt, sans que l' atrophie musculaire n'ait rétrocédé ni que la motricité ne
état de cachexie de la malade. Toutefois aux membres inférieurs l' atrophie musculaire était pour ainsi dire totale. A l'ex
s pu déceler dans les racines antérieures quelques fibres en voie d' atrophie et dans les racines postérieures quelques très
s sphériques ou irréguliers de matière argentophile, provenant de l' atrophie et de la dégénérescence de l'ancienne arhorisatio
les que l'on observe chez l'animal après section d'un nerf moteur : atrophie musculaire, effacement des striations transvers
ion et la dégénérescence des gaines de myéline est accompagnée de l' atrophie des cylindraxes cen- traux. La névrite parenc
isséminées, rappe- lant la névrite périaxile segmentaire, jusqu'à l' atrophie presque totale du nerf. Cette variété extrême
gue de la malade rend la réponse difficile. La constatation de l' atrophie d'un grand nombre decylindraxes, atrophie à laq
ile. La constatation de l'atrophie d'un grand nombre decylindraxes, atrophie à laquelle a fait suite un début de régénératio
es ; les filets moteurs des nerfs, frappés à mort, donnent lieu à l' atrophie musculaire ; les filets sensitifs restant au st
s capsulaires des ganglions rachidiens se faisant parallèlement à l' atrophie des cellules ganglionnaires (rage, sénilité, dé
ctère de la lésion anatomique d'être bien limitée, mais complète, l' atrophie musculaire et la paralysie sont complètes pour
ons dit déjà, l'intention de nous en occuper. Le développement de l' atrophie musculaire et l'état des réflexes tendi- neux s
lade a une parésie partielle du membre inférieur gauche, combinée d' atrophie musculaire. Par ailleurs aucun signe de maladie
lade le 20 juin 1905, il y a une parésie très étendue et combinée d' atrophie du membre inférieur droit. Pas d'autres symptômes
able. Elle peut marcher, mais boite un peu à droite. Il n'y a pas d' atrophie musculaire nette. . Il) Observations sans sympt
ême année, j'ai vu la fille et j'ai constaté une parésie combinée d' atrophie du membre inférieur gauche qui s'étend à un assez
vu la malade le 21 juillet de la même année, il y avait parésie et atrophie très étendues dans le membre inférieur droit. J'a
une parésie considérable dans le membre inférieur droit, combinée d' atrophie . Observation XVIII. L. K..., fille, âgée de 2 a
peu de temps. Etal le 4juin 1905. - Il y a une parésie combinée d' atrophie d'un certain nombre des muscles de l'épaule dro
rs qui est plus étendue à droite.Les muscles paralysés montrent une atrophie très prononcée. En regardant de plus près l'ext
paralysie de presque tous les mouvements des deux épaules avec une atrophie très prononcée des muscles. On constate aussi une
sie des membres inférieurs est encore complète et combinée avec une atrophie marquée. Le malade ne peut s'asseoir dans le lit
ombe en avant et il ne peut la relever. Il semble aussi y avoir une atrophie de la masse commune des muscles du dos. Il y a
il y a encore une parésie de l'épaule gauche et, du même côté, une atrophie du deltoïde et du trapèze. Il y a une parésie con
on de Wasser- mann positive, le signe d'Argyll-Robertson, la légère atrophie pupillaire, et l'abolition des réflexes tendine
n ; abolition des réflexes patellaires et achilléens ; petitesse et atrophie légère de la papille ; per- sistance de la memb
la papille parle plutôt pour un défaut de déve- loppement que pour atrophie secondaire. La littérature médicale nous donne
ANCE DU GIGANTISME 469 Les dernières phalanges montrent des faits d' atrophie et d'hypertrophie associés. En général le tis
le fait dominant est repré- senté par l'association de phénomènes d' atrophie osseuse liés à des faits d'hypertrophie. Nous v
ans l'acromégalie que dans le gigantisme, des faits très évidents d' atrophie des dernières pha- langes des doigts et des mai
ulement quelques travaux. Marie et Astier (1897) n'ont pas trouvé d' atrophie musculaire ni de modifications de la sensibilit
uge brun. Diagnostic : Récente pachyméningite hémorragique interne. Atrophie et 498 ROUDNEW sclérose du cerveau. Pneumon
rce cérébrale montrent des différents signes de dégénérescence et d' atrophie (tigrolyse, atrophie pigmentaire, kariolyse et dé
t des différents signes de dégénérescence et d'atrophie (tigrolyse, atrophie pigmentaire, kariolyse et dé- sagrégation compl
pigmentation très marquée des cellules de la moelle épinière et une atrophie des cellules nerveuses ganglionnaires. La plupart
es, remplacées par du tissu interstitiel de nouvelle formation. L' atrophie des racines postérieures est plus marquée que cel
est plus marquée que celle des racines antérieures. On constate une atrophie particulièrement intense au niveau de la région
ure ne renferment plus du tout de fibres à myéline. Ailleurs, cette atrophie est de beaucoup moins marquée. On ne la trouve
dégénéres- cence (tigrolyse, karyolise, dégénérescence vacuolaire, atrophie pigmentaire). Les espaces péri-cellulaires sont
-céplta- lile et méningo-myélite chronique diffuse interstitielle ; atrophie des racines de la moelle épinière, surtout des
t, une immobilité de la colonne vertébrale, une cyphose, une légère atrophie des muscles, un affaiblissement de' la respirat
omènes d'hyperplasie qui n'excluent pas d'ailleurs des phénomènes d' atrophie . Notre colonne vertébrale ne présente pas de dé-
verté- brale. La fusion des vertèbres vient après, à la suite de l' atrophie des disques intervertébraux. Ainsi, pour Bech
x changements des conditions mécaniques amenés par la parésie] et l' atrophie des muscles de la colonne vertébrale. La fusion
a fusion des vertèbres est due, comme nous ve- nons de le dire, à l' atrophie des cartilages intervertébraux ainsi qu'à la mi
fait que la spondylose ne se développe pas toujours à la suite de l' atrophie des muscles de la colonne vertébrale. De plus,
nt observé des cas de ma- ladie de Bechterew dans lesquels manque l' atrophie des muscles dorsaux. N'ayant pas trouvé d'atrop
esquels manque l'atrophie des muscles dorsaux. N'ayant pas trouvé d' atrophie musculaire chez son malade, Troschine pense que
LOSE DE LA COLONNE VERTÉBRALE ET DES CÔTES 505 Chez notre malade, l' atrophie musculaire n'était pas suffisamment pro- noncée
u'une ossification aussi étendue était un phénomène secondaire de l' atrophie musculaire ; il faut plutôt considérer l'ossifi
aussi lorsque des conditions d'ordre mécanique amènent d'abord une atrophie des car- tilages, puis leur disparition complèt
, dans notre cas, l'inflammation de la colonne vertébrale a amené l' atrophie des disques in- tervertébraux dans ses régions
une ostéo-arthropathie remarquable de la colonne verlébrale et une atrophie marquée du membre inférieur gauche. Les osteo-a
temps,dans ce même membre inférieur gauche, se rendait évidente une atrophie musculaire massive. En plus la fonction sexuelle
xterne et est situé en dehors relative- ment à la côte iliaque. L' atrophie du membre inférieur gauche porte sur tous les mus
es déformations osseuses dues à l'os lé-oa rili ropa (li ie : sur l' atrophie remarquable qui s'est manifestée sur le membre in
le membre inférieur gauche. . Ce qui prouve que la cause de cette atrophie est bien celle que je pré- ? 1 : . ? \\ ......
crois pas, non plus, devoir discuter l'association éventuelle d'une atrophie musculaire progressive avec le tabes, dont furent
vec le tabes, dont furent publiés plu- sieurs exemples, parce que l' atrophie que présentait notre malade n'a aucun caractère
sives. Il me semble donc certain que, dans le cas de notre malade l' atrophie du membre inférieur gauche est due à l'ostéo-ar
t à discuter de quelle façon la lésion osseuse a pu engendrer celte atrophie . Les éventualités à examiner sont au nombre de
phie. Les éventualités à examiner sont au nombre de deux; ou bien l' atrophie est d'origine médullaire, ou bien elle est due
port avec la diminution de la masse musculaire. L'hypothèse d'une atrophie d'origine médullaire pourrait trouver un SUR UN
plus troublée sur le membre in- férieur droit qui ne présente pas d' atrophie notable, que dans le gauche où l'on voit l'atro
présente pas d'atrophie notable, que dans le gauche où l'on voit l' atrophie musculaire dont nous avons parlé. On aurait en
er, quand on se rappelle que les fibres nerveuses responsables de l' atrophie ont leur cellule d'origine beaucoup plus haut.-
es du corps. Pour toutes ces raisons, il parait plus probable que l' atrophie muscu- laire du membre inférieur est due plutôt
récédents, confirment mon opinion sur l'origine non médullaire de l' atrophie du membre inférieur gauche. En effet, il serait
juste d'admettre que, si une lésion médullaire était cause de celle atrophie , les centres trophiques les plus atteints auraien
, il est à remarquer combien chez notre malade, même sans compter l' atrophie du membre inférieur gauche, due, d'après ma modes
affaiblissement progressif spécialement des membres inférieurs avec atrophie musculaire et depuis lors le malade boita de pl
coxo-fémo- rales ; elles sont facilement accessibles en raison de l' atrophie musculaire. Le fémur gauche présente la diaphys
sa diminution dans les maladies de cet organe (cirrhose atrophique, atrophie jaune aiguë, empoisonnement par le phos- phore,
; il nous reste à discuter la pre- mière. Les faits très évidents d' atrophie du squelette que nous avons mis en évidence par
ssible de constater dans certains cas des faits très mani- festes d' atrophie osseuse liés à des faits non moins évidents d'hyp
non moins évidents d'hypertro- phie ; dans quelques cas les faits d' atrophie dominaient le cadre aussi bien si la maladie ét
de méde- cine, no 10, 1908. CUSIIING. - Infantilisme sexuel avec atrophie optique dû à une tumeur de l'hypophyse. Journal
LPÊl BIL.IOE) Travail du laboratoire de M. le professeur Raymond. ATROPHIE OLlVO-RUBRO-CLRI;JBELLL,.USE ESSAI DE CLASSIFIC
qui aboutissent à la dégénération d'un ou de plusieurs systèmes, l' atrophie oliro-ponlo-cérébelleuse décrite par MM. Dejerine
oncules cérébelleux moyens sont entièrement respectés. Comme dans l' atrophie otivo-ponto-cérébetteuse, les olives bulbaires,
live bulbaire pour monter vers le cervelet. La systématisation de l' atrophie que nous allons décrire nous a semblé suffisamm
écrire nous a semblé suffisamment précise pour lui mériter le nom d' atrophie olivo-rzsbro-céré- belleuse. Il nous a paru int
peu flexueux, ne présentent pas d'athérome. Il existe en outre une atrophie prononcée du pédoncule cérébral gauche, qui à s
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T, XXII. Pl. LXIII Fig. 2 Fig. 1 ATROPHIE OLI'O-RUBltO-C1;RBEL1.EUSE (Le jointe et Lhermi
LA SALPl : 1RIL ! {E T, XXII. Pl. LXIV Fig. 1 Fig. 2 Fier 3 ATROPHIE OLI'O-RUI3110-CAILBFLI,F-USF (Lei(iiiie el Lher
ATROPHIE OLI'O-RUI3110-CAILBFLI,F-USF (Lei(iiiie el Lher mille) ATROPHIE OLIVO-RU13RO-CRLeBEI,LEUSE 607 Examen microscop
ellules de Purkinje disparues. La couche moléculaire présente une atrophie prononcée ; elle est constituée par des fibres
nts, mais il en subsiste un assez grand nombre ; c'est surtout de l' atrophie simple qu'on observe. Les fibres qui traverse
sont bien colorées ; on retrouve la lésion générale, c'est-à-dire l' atrophie en masse de la substance blanche, mais les fibr
Nouvelle Iconographie DE la SALPÊ : TRIt`·.R1 : T. XXII. P. LXV ATROPHIE OL1VO-RUBRO-CÉRÉBELLEUSE (Lejoinie el LberlIIi/
XV ATROPHIE OL1VO-RUBRO-CÉRÉBELLEUSE (Lejoinie el LberlIIi/tl') ATROPHIE OLEUSE 609 par le Van Gieson. Au niveau du foye
e qu'à gauche, les pédoncules cérébelleux supérieurs présentent une atrophie considérable. 1° Segment intm-cérébelleux. - Da
s ; );0"\ hLi Iconographie de la Salpi' trière T. XXII. Pl. I.XVI ATROPHIE OL1V0-KU13R0-C.RÉBEL1.EUSE (Lcim11lc et Lhcrini
0-C.RÉBEL1.EUSE (Lcim11lc et Lhcrinitlc) Masson et Cm, Editeurs ATROPHIE OLIVO-RUBRO-CÉRÉBELLEUSI 611 elles forment un r
confondent avec les pédoncules cérébelleux moyens. On constate une atrophie généralisée, mais pas de champ de dégénération
u de son quart interne ; dans les régions supérieures on constate l' atrophie de la partie tout à fait interne de ce ruban :
velle Iconographie DE la SALI'1 : 1RI1 : RE 'I'. XXII. Pi. 1.\'ll ATROPHIE OLI\'O-RU13R0-CÉREI3ELLEUS1 : (Lejonne et Hermi
ll ATROPHIE OLI\'O-RU13R0-CÉREI3ELLEUS1 : (Lejonne et Hermille) ATROPHIE OLtVO-RUI3R0-CERL.BELLEIJSE 613 La couche optiq
e optique est semblable des deux côtés et ne parait pas présenter d' atrophie . Le faisceau longitudinal postérieur est complè
com- plexes de l'appareil cérébelleux ; nous avons proposé le nom d' atrophie o/i).'o-rM6;'o-ccreMM. ! e pour désigner ce typ
restiforme, sans altération des nerfs ou des noyaux bulbaires. 2o Atrophie globale du cervelet, caractérisée histolo;iquemen
ue as- sez dense par endroits. Au point de vue topographique, cette atrophie est généralisée et frappe avec une égale intens
lobe médian, le flocculus, l'amygdale, etc. Il existe également une atrophie pro- noncée de la substance blanche centrale av
ce blanche centrale avec raréfaction des fibres myé- liniques. 3° Atrophie des noyaux dentelés et disparition presque complè
relation directe entre la lésion du pédoncule cérébral gauche et l' atrophie olivo-rubro-cérébelleuse. On pourrait se demand
NOUVELI.E ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊ1Rli : RE 'I'. XXII. PI. LXVIi[ ATROPHIE OLIVO-RUBRO-CÉRÉBELLEUSE (Le jointe et Lberlll
berlll itte) Masson et Cie, Editeurs PhOlotYlue Uellhaud, Paris ATROPHIE OLIVO-RUBRO-CKRÉBELLEUSE 615 différents niveaux
eau pyra- midal devait être totale dans le cas qui nous occupe. L' atrophie olivo-rubro-cérébelleuse au contraire nous paraît
es différentes atrophies du système cérébelleux décrites jusqu'ici, atrophie olivo-ponto-cérébel- leuse de Dejerine et Thoma
squ'ici, atrophie olivo-ponto-cérébel- leuse de Dejerine et Thomas, atrophie lamellaire de Thomas, atrophie parenchymateuse
érébel- leuse de Dejerine et Thomas, atrophie lamellaire de Thomas, atrophie parenchymateuse des lamelles du cervelet de Mur
phie parenchymateuse des lamelles du cervelet de Murri et I. Rossi, atrophie olivo-cérébelleuse de G. IIolmes, etc. Il nous
G. IIolmes, etc. Il nous faut maintenant assigner une place à cette atrophie olivo-rubro-cérébelleuse dans le groupe des mal
: beaucoup sont des trouvailles d'autopsie. C'était le cas de notre atrophie olivo-rubro-cérébelleuse. Nous nous gardons bien
(4), on peut diviser les atrophies céré- belleuses en : /' (1) Atrophie olivo et rtebro-cérébelleuse, par P. Lejonne et J
ses combinées de la moelle, thèse de Paris, 1904. (3) ITAI.0 Rossi, Atrophie primitive pm enchymateuse du cervelet à localisat
aphie de la Salpêtrière, 1907, p. 66. . (4) Dejerine et Thomas, L' atrophie olivo ponto-cél'ébelleuse, Nouvelle Iconographie
ngénitales. III. Atrophies dégéhératives et parenchymateuses dont l' atrophie olivo-ponlo-cérébelleuse est le type le plus ac
n de savoir dans quel groupe de cette classification peut rentrer l' atrophie olivo-rubro-cérébelleuse que nous venons de déc
euses : I. Dégénération parenchymateuse primitive du cervelet. IL Atrophie 0 livo-pon to-cél'ébellr : 1tse, III. - Atrophi
du cervelet. IL Atrophie 0 livo-pon to-cél'ébellr : 1tse, III. - Atrophie cérébelleuse progressive due à des lésions irrila
de ces trois classes; nous avons montré en quoi elle différait de l' atrophie olivo-ponto-céi-ébelleuse; on ne peut non plus
tion parenchyma- teuse absolument pure; encore bien moins comme une atrophie cérébel- leuse progressive d'origine interstiti
s sépare les atrophies parenchymateuses primitives du cervelet de l' atrophie olivo-ponto-céréhelleuse, ces deux types de lésio
MM. Dejerine et Thomas, au con- traire, insistent sur ce fait que l' atrophie olivo-ponto-cérébelleuse est une dégénération p
o/ familiale dégénération of the cerebellum. Brain, 1907, p. 466. ATROPHIE OLIVO-RUBRO-CI : RBELLUSE 617 classes d'atrophi
classification. En nous fondant sur l'époque du développement de l' atrophie , sur la topographie des lésions, leur systémati
cervelet : Une première division s'impose, basée sur l'origine de l' atrophie ; sou- vent, en effet, certaines atrophies succ
upe, les atrophies primitives. Par ce terme, nous enten- dons toute atrophie du cervelet développée indépendamment de toute
lir une classification, 618 11 LEJONNE ET LHERMITTE suivant que l' atrophie porte sur une partie ou au contraire atteint la t
atisation de ces lésions. C'est dans cette catégorie que rentrent l' atrophie lamellaire de Tho- mas, les atrophies parenchym
- bable que la liste n'en estpas encore close. On y peut ranger l' atrophie olivo-ponto-cérébelleuse de Dejerine et Thomas,
ranger l'atrophie olivo-ponto-cérébelleuse de Dejerine et Thomas, l' atrophie cérébelleuse de G. Holmes. C'est dans ce groupe q
s, l'atrophie cérébelleuse de G. Holmes. C'est dans ce groupe que l' atrophie olivo-rubro-cérébelleuse trouve sa place naturell
ment aux éléments nobles, sont purement parenchyma- teuses, telle l' atrophie olivo-ponto-céréhelleuse. Cependant la présence
ication des atrophies du cervelet, telle que nous la comprenons : atrophie OLIVO-RUBIIO-C'Rf,,13ELLFUSF 619 Atrophies seco
LLFUSF 619 Atrophies secondaires : IIémiall'ophie cérébelleuse. Atrophie de la maladie de Friedreich, du tabes, etc. Atr
symétriques. 1° Parenchymateuses pures. Cas de Murri, I. Rossi. Atrophie lamellaire de Thomas. t" Avec lésions interstit
e. (Paralysie générale). Cas de H. Bond, etc. b) Symétriques. Atrophie olivo-ponto-cérébelleuse. Atrophie olivo-cérébe
. Bond, etc. b) Symétriques. Atrophie olivo-ponto-cérébelleuse. Atrophie olivo-cérébelleuse. Atrophie olivo-rubro-cérébe
Atrophie olivo-ponto-cérébelleuse. Atrophie olivo-cérébelleuse. Atrophie olivo-rubro-cérébelleuse. UN CAS DE GLIOME BULB
ation. Adroite une atrophieiucomplète du nerf optique et à gauche l' atrophie du même nerf est complète. Les artérioles sont tr
écubitus dorsal, les membres inférieurs en flexion. On constate une atrophie générale, plus prononcée aux jambes où les moll
on des muscles fléchisseurs s'y opposant. Aux membres supérieurs, l' atrophie est plus intense à la main, dont les émi- nence
es muscles des bras et des avant-bras sont égalemenl le siège d'une atrophie manifeste. L'ex- tension de l'avant-bras se fai
communiqué au Congrès de Baden-Baden (23 24 mai 1903) quatre cas d' atrophie du nerf optique consécutives aux tumeurs de la
mouvements fibrillaires (au moment de l'examen). II y a une notable atrophie dans les masses musculaires du mollet et de la cu
ans la marche ; à partir de ce moment il commença à se produire une atrophie associée à parésie des muscles des jambes et de
d'un appui. Parallèlement aux troubles moteurs s'est développée une atrophie des muscles des mains, qui est maintenant assez
és et pro/onds sont complètement disparus. En outre une appréciable atrophie de la main droite vient de commencer avec une lég
on de l'excitabilité électrique. Nous sommes donc en présence d'une atrophie musculaire spinale du type Aran Duchenne. En ef
n faveur d'elle sont les caractères suivants : le commencement de l' atrophie musculaire aux extrémités des membres inférieur
ronique, soit en considérant la marche, soit parce que paralysie et atrophie muscu- laire ont progressé parallèlement, et la
du type Wei-diiing-Hoffmann parlent le jeune âge, l'extension de l' atrophie de la portion distale des membres et la lenteur
et la lenteur de l'évolution. On ne peut admettre aucune forme d' atrophie névritique (alcool, plomb) vu l'absence de trou
e comporter de l'excitabilité électrique. On peut exclure aussi une atrophie musculaire progressive du type Charcot-Marie pa
Contre la sclérose en plaques est surtout l'évolution et la notable atrophie musculaire, l'absence de quelques-uns des sympt
érieure aiguë (lombaire) s'est produite après environ seize ans une atrophie musculaire progressive du type spinal. Or une d
igue et le froid. L'intervalle qui sépare la maladie primitive de l' atrophie secondaire est très varié, ordinairement de 10
s commence par un affaiblissement musculaire, qui est suivi par une atrophie musculaire ; celle-ci prend une marche progressiv
atteint un grand nombre de muscles, de manière à paraître comme une atrophie musculaire généralisée, ordinairement du type A
généralisée, ordinairement du type Aran Duchenne. Dans notre cas l' atrophie successive des différents grou- pes musculaires
eux qui étaient voisins des paralysés (les muscles des jambes). L' atrophie musculaire peut encore atteindre ou la partie sym
la maladie dans notre cas a été chronique,progressive,comme dans l' atrophie du type Aran Duchenne. Il y a encore des cas à ma
au varus équin. A l'âge de 35 ans il se produisit une parésie avec atrophie dans la jambe homonyme, associée à des atrophies
la poliomyélite chronique comme une entité morbide différente de l' atrophie musculaire à type Aran Duchenne (Oppenheim, Str
anger. En tout cas la parenté entre les formes de poliomyélite et l' atrophie musculaire spinale est démontrée par les atroph
En effet, dans notre cas et dans les cas analogues, nous avons une atrophie musculaire du type Aran Duchenne qui représente
eut se faire que le processus de poliomyélite initial contribue à l' atrophie tar- dive, en diminuant encore davantage la rés
ivent avoir sans doute contribué non seulement au commencement de l' atrophie musculaire, mais à son développement rela- tive
ide et à sa diffusion. BIBLIOGRAPHIE RAYMOND Paralysie infantile. Atrophie musculaire, C. R. de la Soc. de biolog., 21 avr
1875. COUDOIN. Etude clinique de la paralysie spinale aiguë et de l' atrophie musculaire progressive chez le même individu. T
9. Quinquauii. Elude clinique de la paralysie spinale aiguë el de l' atrophie muscu- laire progressive. Thèse de Paris, 1819.
nce de la paralysie infantile sur le développement ulté- rieur de l' atrophie musculaire progressive . Gazette médicale de Pari
antérieure aiguë. Thèse de Paris, 1888. Rémond. - Une observation d' atrophie musculaire myélopathique à type scapulo- huméra
aralysie infantile avec la paralysie spinale aiguë de l'adulte et l' atrophie musculaire progressive spinale. Thèse de Nancy, 1
1893. t. 1, p. 1. Gnnrrnov. - Étude clinique sur les relations de l' atrophie musculaire progressive de l'adulte avec paralys
èrement intéressant dans ce dernier cas est la coexis- tence avec l' atrophie des humérus, de l'atrophie de diverses portions d
dernier cas est la coexis- tence avec l'atrophie des humérus, de l' atrophie de diverses portions de plusieurs systèmes vert
e à l'appendice médioventral. Chez le sujet que nous avons en vue l' atrophie est au maximum au niveau du 2e métamère dorsal ;
complètement développées) ; les métamères voisins par- ticipent à l' atrophie surtout par leurs sternèbres. Plus bas au niveau
sous-scapulaire et leurs crêtes séparatives marquent les limites) l' atrophie porte sur les métamères moyens comme le montre la
coïncidant avec la diminution de la longueur de l'os. En somme l' atrophie des humérus coexiste chez ce sujet avec une atro-
ie. Comment se forme la matière organisée ? Certes, on s'explique l' atrophie et la disparition d'organes devenus inutiles pa
est soumise à des conditions opposées à celles qui déterminent son atrophie , mais comment comprendre l'apparition de la vie
delà nature. La matière ne supporte pas le repos prolon- gé. Elle s' atrophie dès qu'elle n'est plus soumise à l'action de ses
dans l'art ; - de C. Maccari) (1 pl.), par POIITIGLIOTTI, 329. Atrophie olivo-rubro-cérebelletise. Classifica- tion des
tuiel (On cas de gliome ), par DUSTJN et Van LJXT, 620. Cervelet [ Atrophie olivo-rubro cérebelleuse. Classification des at
603. Goeltl' (Myopathie généralisée avec pseudo- hypertrophIe et atrophie ; hypertrophie du - observée à dix années d'int
t BoUDON, 432. Myopathie généralisée avec pseudolypertro- phie et atrophie ; hypertrophie du coeur observée à dix années d
-], par Macé DE LÉPINIY, 65, 189, 289. Olivo-rttbro-cérébelleuse ( Atrophie ). Classifi- cation des atrophies du cervelet (5
STIN, 349. Pseudo-hypertrophie (Myopathie généralisée avec - et atrophie ; hypertrophie du coeur observée il dix années
it pl.), 119. Alyopathic généralisée avec pseudo- hypertruphie et atrophie . Hypertrophie du coeur observée à dix ans d'int
e, osteomalacie, rachitisme) (4 pl.), 24. LÉJO¡ ? B et Lhermitte. Atrophie olivo-ru- bro-cérsbetieuse. Essai de classifica
ériel dans cette maladie (4 pl.), 449, 566. Lhermitte et Lejonne. Atrophie olivo-ponto- cérebelleuse. Essai de classificat
1 pl.). 119. Myopathie généralisée avec pseudo- hypertrophie et atrophie . Hypertrophie du coeur observée à dix ans d'int
XIX à XXIV. Ankylose de la colonne vertébrale (RoL'D- NEW),L1V. Atrophie olivo-rubro-cérébelleuse (LEJONnE et Lhermitte)
14 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
ostéophytes et les stalactites d'origine périostée, on remarque une atrophie osseuse assez marquée. La dystrophie est plus r
de la clinique ophtalmologique de Turin) : Rétinite pigmentaire, atrophie complète post-neuritique de la papille. La papi
ômes en foyer dépendants de la compression des nerfs optiques, avec atrophie complète de la papille, réduction énorme du diamè
ux caractères sexuels secondaires, nous signalons l'existence d'une atrophie typique du système pileux caractérisée notam- m
s cérébraux en foyer, avec de la céphalée, des vomis- sements, de l' atrophie complète des nerfs optiques et concomitant à un
l s'agit d'ectrodaclylle, parfois avec réduction des os de carpe et atrophie des os de l'avant-bras. Un auteur italien, Fuma
embre supérieur gauche absence du pouce (ectrodactylie absolue avec atrophie de l'avant-bras) et au thorax une légère atrophie
ylie absolue avec atrophie de l'avant-bras) et au thorax une légère atrophie congénitale de toute la moitié gauche. Cet aute
trophie congénitale de toute la moitié gauche. Cet auteur signale l' atrophie de la moitié gauche du thorax comme étant sans
sive lenticular degeneration » et qui ont leur base anatomique en l' atrophie et les foyers de désintégration des corps strié
t épaissis. Des hémorragies ne sont pas constatées à l'oeil nu. Une atrophie bien appréciable des circonvolutions n'existe nul
ous trouvons tous les stades de l'intégrité de la cellule jusqu'à l' atrophie extrême. Souvent les cellules saines et les cel
ns. Durée de la maladie 1 an 5 mois. Autopsie : cirrhose hépatique, atrophie des testicu- les el de la glande thyroïde, lept
e 21 juin 1913 le malade succombe. Autopsie (9 h. après la mort). Atrophie très forte des testicules. Glande thyroïde très
uée par l'infection tuberculeuse. Comme dans mon premier cas il y a atrophie de la glande thyroïde et des testicules. Mais c
ment avancé, 45 et 59 ans, une cirrhose du foie, se combinant d'une atrophie des testicules et des glandes thyroïdes, peut s
nes postérieures ne présentent pas d'altération marquée, à part une atrophie nette du groupe cellulaire de la co- lonne de C
ment ont presque tous des caractères nor- maux ; mais il existe une atrophie nette de la moitié gauche ; de plns, sur presqu
auche est nettement diminuée de volume par rapport à la droite,et l' atrophie semble porter presque également sur toutes ses pa
iges cellulaires ; les cellules des groupes latéraux sont en état d' atrophie simple. Il existe en outre une. raréfaction mar
91 d'apparence si chétive, les organes génitaux ne présentent pas d' atrophie ; ce sujet dit accomplir normalement ses foncti
la dystrophie, on note de la raré- faction du tissu osseux et de l' atrophie ; il est probable que cet état est dû à des cau
la plupart des cas on n'a l'occasion de constater ni paralysie, ni atrophie de cause centrale, ni anesthésie de type segmen
nt rare de la voir commencer par une anesthésie de la main et par l' atrophie de quelque muscle interosseux. Le symptôme culm
animés par le facial supérieur, .spécialement les orbi- culaires. L' atrophie de ces muscles qui, dans la plupart des cas, n'es
cale ». Il faut remarquer que dans ce cas de masque aneslhésique, l' atrophie et l'anesthésie ne coexistent ni en intensité,
ins cas, le trouble sensitif précède le premier, et dans d'autres l' atrophie précède le trouble sensitif. Mais il la fin les d
philitique bilatérale des VIIe et Ville paires crâniennes, suivie d' atrophie rapide des mêmes paires. La figure 18 appartien
se trouve, comme c'est à supposer, en propor- tion avec le degré d' atrophie des muscles qui entrent en travail. Quand il y
use, il n'y a point de paralysie, et que ce qui existe est purement atrophie musculaire. Les muscles altères sont pour eux s
bien clair, c'est que la paralysie, quand elle existe, est unie à l' atrophie musculaire dégé- nérative et que l'atrophie, qu
le existe, est unie à l'atrophie musculaire dégé- nérative et que l' atrophie , quand elle n'est pas unie il la paralysie, ne
des atrophies musculaires, suivant qu'il y a ou non para- lysie, en atrophie musculaire paralytique et atrophie musculaire non
qu'il y a ou non para- lysie, en atrophie musculaire paralytique et atrophie musculaire non paralytique. Les caractères de
tique et atrophie musculaire non paralytique. Les caractères de l' atrophie musculaire paralytique, dans la lèpre ner- veus
puissentalleindre. L'exemple le plus vulgaire et le plus courant d' atrophie paralytique ou dégénéralive est le type jambier
sente des signes de dégénération avancée, sont également atteints d' atrophie para- lytique. L'homme de la figure 11 a une pa
à des processus musculairesauxquels prennent part la para- lysie, l' atrophie et la conlraclure. Dans le but de spécifier les t
erceplible parésie du droit externe gauche. » , Sans aucun doute, l' atrophie musculaire non paralytique est fréquente dans l
oup de malades, ayant : des mains et des pieds en période avancée d' atrophie musculaire et même avec mutilations, peuvent co
phique. Le résultat de l'électro-diannostic confirme la nature de l' atrophie musculaire puisque le muscle jambier se contrac
ouvement rythmique. Les mains de la femme des figures 4 et i', avec atrophie musculaire, peuvent se fermer presque normaleme
end de ce que les muscles, quoiqu'ils présentent un certain degré d' atrophie , ne sont pas atteints de contracture des extenseu
r profond mettant en flexion les dernières. La figure 2G démontre l' atrophie du voile du palais; à cause de son insuffisance
liquides à avaler s'échappent par le nez. Dans la syringomyélie, l' atrophie musculaire ne garde pas en général autant de sy
igure 27 appartenant à un syringomyélique chez lequel, en plus de l' atrophie des muscles des mains, il y a celle du biceps e
côlé droit. On ne trouve pas non plus, dans la lèpre nerveuse, l' atrophie des muscles de la région antérieure de l'avant-
n autre cas de syringomyélie. Nous trou\ons aussi, dans la lèpre, l' atrophie musculaire d'origine arthritique. Les muscles d
r l'effet de la tuméfaction inflammatoire du carpe et de la main. L' atrophie est uniforme dans toute la longueur des muscles
névrite typhique, et dans les antagonistes de ceux chez lesquels l' atrophie n'est pas paralytique quand le processus atrophiq
on. En troisième lieu, par l'effet de causes combinées telles que l' atrophie ,cornme je viens de le dire, unie des lésions ar
développée en conséquence de la névrite qui en même temps produit l' atrophie de l'extrémité·cles doigts avec résorption osse
temps à la flexion des doigts succède l'extension par l'effet de l' atrophie des premiers et de la contracture ultérieure des
ctures, il n'est point nécessaire qu'ils en arrivent à la période d' atrophie avancée ; il arrive que l'irréflectivilé se prése
ns souvent l'irréflectivité dans la lèpre nerveuse par l'effet de l' atrophie musculaire dégénérative, et elle est fré- quent
quelques amyotrophies, dans la syringomyélie et dans certains cas d' atrophie avec réaction de dégénération partielle. Mais c
signes de dégénération neuro-musculaire dans les régions où il y a atrophie paralytique. Dans ces muscles ainsi atrophiés,
igures 36 et 37. Avec cette neurolépride, la lépride maculeuse et l' atrophie cutanée accompagnent la forme nerveuse. On voit
use et l'atrophie cutanée accompagnent la forme nerveuse. On voit l' atrophie cutanée dans les figures 38 et 39. Et spécialem
vrite, soit lépreuse, traumatique, tabétique, etc., nous trouvons l' atrophie osseuse par résorp- tion, d'une même forme et d
commune, soit élective, des fibres des cordons nerveux. DEUX CAS D' ATROPHIE MUSCUL,\IRE CH.\nCOT-IARIE (1 .PAR A. SOUQUES
dis une entité morbide, que l'un désigne actuellement sous le nom d' atrophie musculaire progressive. Dès 18'19, Duchenne att
culaire arec transformation graisseuse, et qu'il appela, plus lard, atrophie musculaire graisseuse progressive. Il empruntait
. la pachyméningite cervicale hypertrophique, la syringo- myélie, l' atrophie musculaire Charcot-Marie, la névrite hypertr'opbi
de l'une des espèces morbides élevées sur les ruines de l'ancienne atrophie musculaire progressive de Duchenne. C'est en
it sur ce sujet un intéressant mémoire intitulé : type péuonier r d' atrophie musculaire. Trois ans plus tard, IIoffmann repren
r son service militaire et de faire campagne au Maroc. DEUX CAS D' ATROPHIE MUSCULAIRE CHA11COT-MARIE 179 9 membres supérie
ujourd'hui infiniment moins touchés que ses membres inférieurs. L' atrophie Charcot-Marie, arrivée a son complet développemen
muscles du tronc contrastent par leur relief et leur vigueur avec l' atrophie extrême des membres ; il n'y a aucune lésion vi
ésumé de la description classique donnée par Charcot et Marie : « Atrophie musculaire progressive envahissant d'abord les pi
es crampes. « Réaction de dégénérescence dans les muscles en voie d' atrophie . « Début de l'affection le plus souvent dans l'
mptô- mes frappent au premier abord : la déformation des pieds et l' atrophie musculaire portant sur les jambes et le tiers i
ré ; les orteils ont une certaine tendance à se mettre en griffe. L' atrophie des jambes est telle que la saillie des mollets a
moyenne etsupérieure paraissant normalement développées. C'est une atrophie « en jarretière», comme disent Charcot et Marie
la flexion ; les tendons des. extenseurs sont saillants, et il y a atrophie exlrême de tous les petits muscles de la main,
NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVII. PL. XXXII 1 ATROPHIE MUSCULAIRE CHARCOT-MARIE . ' ' Obs. 1 ' (A. S
s NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. - T. XXVII. PL. XXXIII ATROPHIE MUSCULAIRE CHARCOT-MARIE Obs. II (A. Souques)
i., ? LrT ? IJaNVII. PL. XXXIV 0 .. , . .t< Obs. I Obs. II ATROPHIE MUSCULAIRE CHARCOT-MARIE (A. Souques) Masson
tacts. Le second de nos malades, S... (âgé de 47 ans), présente une atrophie encore plus marquée : les pieds ont une déforma
t pas de tendance à la griffe. Les jambes sont très atrophiées et l' atrophie atteint ici les cuisses, dans leur totalité (PI
lité (PI. XXXIII et XXXIV). Aux membres supérieurs, il faut noter l' atrophie extrême des petits muscles de la main : interos
de secousses fibril- ¡aires très visibles sur les muscles en voie d' atrophie , sur ceux de la cuisse pax exemple. La motili
e la cuisse pax exemple. La motilité est diminuée au prorata de l' atrophie . C'est l'atrophie, en effet, qui régit les trou
exemple. La motilité est diminuée au prorata de l'atrophie. C'est l' atrophie , en effet, qui régit les troubles moteurs. Chez
t des doigts. 182 souques En contraste avec le degré extrême de l' atrophie musculaire, il faut signaler le peu d'intensité
conserver l'équilibre. Ce même contraste entre le degré marqué de l' atrophie et le degré léger de l'impotence fonctionnelle,
son impotence fonctionnelle est com- plète. Le second présente une atrophie du type Aran-Duchenne, d'origine syringomyéliqu
jusqu'aux chevilles et sur la partie externe des jambes. DRUX cas d' atrophie musculaire CHARCOT-hlARl E 183 Partout ailleurs
x et la présence d'un contra-latéral des adducteurs est rare dans l' atrophie Charcot-Marie, mais elle a été signalée cependa
nets. Seul, le réflexe plantaire n'existe pas, ce qui semble dû à l' atrophie des muscles du pied. Je dois signaler ici que M
ar Alarinesco ; la décoloration de la papille citée par Vizioli ; l' atrophie optique avec amaurose notée par Gordon, Gilbert B
Il faut éliminer toutes les maladies qui peuvent produire ce type d' atrophie , c'est-à-dire la sclérose latérale amyotro- phi
eurs, électriques ; en raison de la discordance entre le degré de l' atrophie et le degré de l'impotence fonctionnelle. J'ai
diffuse des quatre memhres avec secousses fibrillaires, deux cas d' atrophie musculaire CHARCOT-MAHIE 18S une incoordination
r les muscles, la moelle et les nerfs périphériques. Je passe sur l' atrophie des muscles qui est une atrophie simple, sans n
erfs périphériques. Je passe sur l'atrophie des muscles qui est une atrophie simple, sans notable dégénération walléi-ieniie
ieniie, sans prolifération cellulaire, sans myosite interstitielle, atrophie plus ou moins accusée suivant les muscles et su
teurs et spécialement sur les filets musculaires qui sont frappés d' atrophie simple. Les troncs restent de volume normal et
s reste à voir comment il faut comprendre la nature, la genese de l' atrophie musculaire Charcot-Marie. Faut-il, étant données
eloppent la nature des atrophies spontanées du système , DEUX CAS D' ATROPHIE MUSCULAIRE CHARCOT-MARIE 187 nerveux, c'est-à-d
tenir de ces considérations qu'il existe une variété particulière d' atrophie musculaire progressive, limilée aux quatre memb
récise. La première observation, dans laquelle se trouve signalée l' atrophie dégénérative du noyau rouge à la suite d'une lé
rs strictement limités à l'hémisphère cérébral avaient entraîné une atrophie notable du noyau rouge. Dans ce premier travail
rew, et d'autres. Dans la plupart de ces cas, il s'agis- sait d'une atrophie très marquée du noyau rouge déterminée par des
imitée à la capsule du noyau rouge, tantôt de dégéné- rescence et d' atrophie atteignant d'une façon plus ou moins globale la
yau rouge dans ces diver- ses observations se caractérisait par une atrophie en masse de ce noyau, dont le volume était quel
n'admet le lo- bule paracentral qu'avec la plus grande réserve. L' atrophie secondaire du noyau rouge n'ayant été constatée q
ne capsulaire frontale du noyau rouge, on z ohsema, par contre, une atrophie liés nelte'du faisceau thalamique de Forel (Bal
it d'un quart au moins, présentait au niveau de son tiers moyen une atrophie très marquée, laquelle intéres- sait surtout la
a substance moléculaire, bien que, çà et là, la dégénérescence et l' atrophie portaient même sur les cellules ganglionnaires
misphère cérébral, on observe toujours au niveau du noyau rouge une atrophie et une dégénérescence très accusées. La réaction
On constate assez fréquem- ment, toutefois, la dégénérescence et l' atrophie d'un certain nombre de cellules principales.
e de leur segment vertical, mais, ce que l'on note surtout, c'est l' atrophie rétrograde énorme, la résorption presque, de la
res et grossièrement atrophiés. Sur la présente coupe on remarque l' atrophie nota- ble et la décoloration intense du corps g
uent LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 207 à intensifier l' atrophie du bord supérieur de ce ganglion. Le corps du tri
générescence du noyau latéral, une dégénérescence rétrograde et une atrophie très accentuée du tubercule antérieur ainsi qu'
'Arnold demeure manifestement dégénéré, et on observe, en plus, une atrophie très considérable de la bandelette optique. Il
dérable de la bandelette optique. Il s'agit vraisemblablement d'une atrophie , dite indirecte ou de second ordre. A ce niveau
générescence si intense du trigone s'accompagne, dans ce cas, d'une atrophie exagérée du corps mam- millaire correspondant.
a lésion temporo-occipitale a déterminé une dégé- nérescence et une atrophie très notables du corps quadrijumeau antérieur, du
persiste ainsi qu'un certain degré de défor- mation engendrée par l' atrophie secondaire. Sur une coupe (PI. XXXVI-F) passant
la capsule externe. Au niveau de la couche optique, on remarque une atrophie notable du bord snpé- rieur de ce ganglion et u
considéra- ble du noyau latéral ainsi qu'une dégénérescence et une atrophie rétrogrades du tubercule antérieur. La derniè
lleux, lequel présente du reste une dégénéres- cence diffuse et une atrophie assez considérable. Un petit foyer lacunaire oc
ble être intéressé par des altérations vasculaires. On remarque une atrophie en masse du bord supérieur de l'hé- misphère ai
ps genouillé externe. Au niveau de, couche optique, on remarque une atrophie déformante plus ou moins généralisée de ce gang
ule interne. Au niveau de la couche optique, on remarque encore une atrophie très notable de ce gan- glion avec déformation
intérieur de ce noyau, la résorption de la substance moléculaire, l' atrophie et le tassement des éléments cellulai- res et l
Réflexes : Mêmes résultats que précédemment. Troubles trophiques : Atrophie visible des muscles de l'avant-bras. Troubles v
é de volume. (1) JoFFRov, Deux cas de zona du membre supérieur avec atrophie musculaire. Archives de physiologie. 1882. (2
r exemple Oppenheim et Vogt, Wilson et Fischer dans leurs cas par l' atrophie (malfot nialion) de cet organe. Ce sonl les spasm
ction- nels dans un cas où les corps striés furent trouvés en forte atrophie . La courte relation d'un autre cas suivra ; les
e. Dans le cerveau de Kn. l'intégrité de celles-ci contraste avec l' atrophie des premières. Les coupes d'après Van Gieson mo
LES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 283 dente : atrophie du corps strié avec réduction des radiations de c
téressant la partie antérieure du globus pallidus). Celui-ci est en atrophie aussi prononcée que les antres parties du corps s
un bon nombre de fibres verticales. Le corps sous-thalamique est en atrophie manifeste ; quelques libres appartenant au systèm
L'affaissement très évident de la couche optique est expliqué par l' atrophie de la région sous-thalamique. Microscopi- queme
oces- sus d'involution très avancés. Les corps striés sont en forte atrophie . Les corps de Luys ont perdu la moitié de leur
de cellules nerveuses ont disparu et qu'on en remarque qui sont en atrophie extrême ; en général les cellules pyramidales o
on, les rubans de Reil également. , Dans la première observation, l' atrophie des corps striés est compliquée d'une atrophie
mière observation, l'atrophie des corps striés est compliquée d'une atrophie des corps sous-thalamiques. Dans la seconde obs
PAR A. SOUQUES, BAUDOUIN et LANTUÉJOUL On sait aujourd'hui que l' atrophie musculaire progressive Aran-Du- chenne est souv
cornes antérieures. Nous avons eu l'occasion d'observer deux cas d' atrophie musculaire progressive Aran-Duchenne, qui répon
incident. Mais un médecin consulté à cette époque diagnostique une atrophie musculaire déjà ancienne de l'épaule gauche, ce
bre supérieur gauche présente tout d'abord au niveau de la main une atrophie très marquée, ayant amené la disparition des émin
s'effectue sans force. w Au niveau de l'avant-bras, on constate une atrophie très accentuée et surtout marquée au niveau Je
re faut-il remarquer qu'une adipose sous-cutanée masque en partie l' atrophie . La supination est impossible, la pronation s'e
les mouvements du bras. Au niveau de la région scapulo-humérale, l' atrophie est extrême, le deltoïde paraît complètement di
ssible. Le membre supérieur droit présente au niveau de la main une atrophie un peu moins accentuée que du côté opposé, auss
e, les peauciers, les muscles de la langue sont indem- nes de toute atrophie . Les muscles pectoraux sont par contre très touch
int de tabes. Uix ans après le début de ce tabès, s'est montrée une atrophie musculaire progressive qui a évolué selon le ty
rtiVILLIOD petits débris. La musculature du dos est atteinte d'une atrophie lipomateuse intéressant spécialement les région
êt dans les progrès d'un tissu, tissu de remplissage consécutif à l' atrophie supposée des racines postérieures, laquelle pouva
sés par des troubles de la vue : stase papillaire, névrite optique, atrophie du nerf optique, hémianopsie bitem- porale, hém
nlacl a décrit aussi des difformités assez accentuées du squelette ( atrophie de la moelle osseuse et des os) chez une femme de
d'Anthropo- logie, 1906. (2) KL1PPEL et BOT'CIIET, Hémimélie avec atrophie numérique des lissus, Nouvelle Iconographie de
e disposition anormale ; la palpation ne permet de constater aucune atrophie des masses muscu- laires. Les dimensions de ce
éorie est alors la suivante : la compression de la jambe entraîne l' atrophie d'un os gênant, d'une manière ou d'une autre, la
ci arrête la nutrition, et par suite la croissance, puis entraîne l' atrophie en oblitérant les vaisseaux, celle-là ne produi
reprennent petit petit un volume normal, il ne s'est produit aucune atrophie sensible, mais simple- ment des déformations in
la flexion des os soit presque exactement superposable, pour que l' atrophie porte sur les mêmes parties. Le plus souvent, a
appé que la cicatrice placée sui- le tibia devrait coïncider avec l' atrophie du tibia et non avec celle du pé- roné et que,
umatique et dyslhénie pério- dique, par BENON et LEINRERGER, 415. Atrophie musculaire Charcot-Marie, par A. Souques, 1'S.
ycho-physiolo- gique de l'hystérie, 251. Souques (A.). Deux cas d' atrophie muscu- laire Charcot-Marie, 175. Souques (A.)
ophie Aran-Duchenne (Souques, Baudouin etL.1\rU'JOUL), XL1X à LI. Atrophie musculaire Charcot-Marie (Sou- QUES), XXXII à X
15 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t que tout au '-moins une des* variétés -des troübles trophiques, l' atrophie musculaire, peut être sous la dépendance de l'h
membre supérieur gauche, avec anesthésie absolue. Cette pa- de l' atrophie musculaire. 3 ralysie persiste plus de deux moi
- de flaccidité et de contracture ; elle s'accompagne d'une amyo- atrophie assez prononcée, qui se développe une semaine en-
le début de la paralysie, et qui a les caractères électriques de l' atrophie simple. A côté de cette monoplégie, viennent se
e que le côté gauche était plus fort, car il est gaucher), et cette atrophie a été en s'accentuant rapide- ment ; elle a été
ume du membre parait tenir principalement sinon exclusi- vement à l' atrophie des masses musculaires et celle-ci s'ob- serve
st de 22 centi- mètres et celle du bras droit de 25 centimètres ; l' atrophie semble porter à peu près également sur les musc
s et en les comparant à ceux du côté opposé on constate une notable atrophie . L'atrophie de l'avant- bras est moins marquée
comparant à ceux du côté opposé on constate une notable atrophie. L' atrophie de l'avant- bras est moins marquée que celle du
che et de 25 centi- mètres à droite ; il est difficile de dire si l' atrophie s'est faite plutôt àux dépens des muscles de la
bservations suivent a été pratiqué par le Dr Vigouroux, direc- DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. 7 La sensibilité est abolie dans le
emercions vivement de son obligeance. 8 CLINIQUE NERVEUSE. DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. t0 CLINIQUE NERVEUSE. mord son br
force. Mais la paralysie et l'anesthésie du membre supérieur DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. 1 t ne se sont pas encore modifiées
nt vers quatre heures du soir. La motilité persiste.. Le ..ma- DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. 13 3 lade a dans la soirée, une att
- pilepsie spinale ainsi que la rigidité observées ultérieu- DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. 15 j rement seront attribuées à la
E. 15 j rement seront attribuées à la dégénération descendante; l' atrophie musculaire se comprend très bien puisque cette
hésie est presque calquée sur celle qui a été notée dans les DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. 17 deux cas de monoplégie hystériqu
chée à la paralysie hystérique et qu'il ne peut être question d'une atrophie indépendante de cette paralysie et qui ne ferai
paralysie et qui ne ferait que coïncider avec elle; en effet, cette atrophie est rigoureusement limitée aux muscles paralysé
myotrophie assez accentuée, ayant les ' caractères électriques de l' atrophie simple; sous l'influence . de l'application d'u
à la suite d'une attaque, il aurait eu une paralysie du côté DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. 19 .gauche qui aurait duré deux ans
note en prenant des mensurations les différences suivantes : DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. 21 La région antérieure du thorax e
imètres, et celui du bras droit au même niveau de 22 centimètres. L' atrophie semble porter sur tous les muscles ; le biceps
es et au même niveau à droite le périmètre est de 22 centimètres. L' atrophie paraît porter davantage sur les muscles épitroc
lade. Les flagellations sont faites par 2 CLINIQUE NERVEUSE. DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. 23 '»4 le CLINIQUE NERVEUSE. M. G
23 février montrent les différences suivantes : 23 février. DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. 25 l'esprit, quand on réfléchit aux
aiblissement des réflexes tendineux 26 CLINIQUE ! OERYEUSE, - DE l/ ATROPHIE MUSCULAIRE. et la flaccidité des membres paraly
inverse : c'est comme si on séparait les tabétiques chez lesquels l' atrophie optique précède la sclérose spinale, et ceux ch
EUSE t. MYÉLITE SUBAIGUE DES CORNES antérieures. - Paralysie avec ATROPHIE GRADUELLE DE TOUS LES MUSCLES DU CORPS, SAUF CEUX
iser quelles sons celles sur lesquelles porte le plus souvent cette atrophie ; il incline à penser pourtant que ce sont les c
ns le cordon anté- rieur. Il serait très intéressant de savoir si l' atrophie des cordons latéraux est primitive ou secondair
andis que dans d'autres, la sclérose latérale est consécutive à une atrophie ou à une dégénérescence des aires motrices cort
e mental que l'auteur dans un précédent mémoire, avait rattaché à l' atrophie des lobes frontaux; il rangerait volon- tiers l
h. Chez les animaux en expé- rience, on n'a pu constater sûrement l' atrophie de ce dernier no- yau. , M. Remak. Sur les ra
mais irrégulièrement; amaigrissement des membres infé- rieurs sans atrophie , même partielle ; mouvements volontaires limité
pasmodique. Inté- grité de la sensibilité de la vessie, du rectum ; atrophie des mus- cles des extrémités supérieures, surto
u palais ; la voix grave a semblé dépendre de la flaccidité et de l' atrophie des rubans vocaux, tandis que les muscles respi
t du rectum. Au microscope, il existe une névrite dégénérative, une atrophie musculaire, portant sur un grand nombre de nerf
symptôme ne fait défaut. (A suivre.) Archives, t. XII. 1 1 DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LES PARALYSIES HYSTÉRIQUES'; (s
rieur, sont atrophiés ; au point de vue électrique, il s'agit d'une atrophie simple; les réflexes tendineux sont plus faibles
la colonie fictive de Port-Breton. 1 Voir tome XII, page 1. DE l' atrophie musculaire. 155 Le récit que le malade fait de
le même aspect et se développant dans les mêmes conditions : DE l' atrophie musculaire. 157 le malade est adonné à la morph
les chiffres qu'on obtient en faisant des mensura- tions : . DE l' atrophie musculaire. 15j 160 CLINIQUE NERVEUSE. de l'a
s : . DE l'atrophie musculaire. 15j 160 CLINIQUE NERVEUSE. de l' atrophie musculaire. 161 t ses modes (tact, douleur, tem
ration et d'aggravation, l'intégrité de la face, la prédomi- DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. 163 nance de la paralysie dans le m
equel la paralysie est le plus marquée , et les caractères de cette atrophie musculaire sont exacte- ment semblables à ceux
racture disparaît; les mouvements reparaissent progressivement et l' atrophie s'atténue en même temps. Boin... (Victor), âgé
le 25 janvier 1884 dans le service de M. Bucquoy, à Cochin. DE l' atrophie musculaire. 163 Antécédents héréditaires. - D'a
ain, la main sur l'avant-bras et l'avant-bras sur le bras, , DE l' atrophie musculaire. 167 10. - La raideur s'est accentué
t possibles, mais ils sont moins étendus que ceux du côté opposé. L' atrophie est moins accentuée qu'autrefois; entre les cir
con- daire. Mais alors, où localiser la lésion ? Il faudrait DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. 169 évidemment la placer flans l'hé
- sensorielle ; un rétrécissement du champ visuel. Le malade DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. 171 est sujet à des attaques de dys
e rudimentaire, sait à peine lire et écrire. Il a un peu d'am- DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. 173 nésie : il ne peut pas dire ni
la clavicule et à l'omoplate. 1711. 1· CLINIQUE NERVEUSE. DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. 175 176 CLINIQUE NERVEUSE. Les di
Les divers segments du membre sont manifestement atrophiés. DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. 177 Il revient le 18 juin. Son état
tes les autres fonctions s'effectuent d'une façon nor- male. DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. 181 On soumet le malade à l'électri
la diminution de volume du bras et de l'avant-bras parait due à \' atrophie des muscles, mais il est impossible de déter- m
' atrophie des muscles, mais il est impossible de déter- miner si l' atrophie porte plus particulièrement sur tel ou tel musc
t dont nous avons déjà parlé. Nous ne 182 CLINIQUE NERVEUSE. DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. 183 18 \ CLINIQUE NERVEUSE. discu
- tées, qu'il s'agissait bien là de paralysies hystériques, que l' atrophie musculaire dépendait étroitement de ces paralys
aler ? L'examen des divers cas que nous avons observés montre que l' atrophie musculaire présente à ce point de vue d'assez g
s-unes des mensurations que nous avons faites. Observation 1 DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. 185 Observation II l 186, . CI,IN
plus développé. Nous sommes d'autant plus porté à admettre que l' atrophie est bien, dans ce cas, attribuable à l'hys- tér
, > . , 1 t . t J fui tères de cette amyotrophie. , . \, de l' atrophie musculaire. 187 On ne constate pas de secousses
male. La contractilité électrique est diminuée en proportion de l' atrophie musculaire, mais il n'y a pas de réaction de dé
é, dans tous les cas, absolu- ment négatif. Il s'agit donc là d'une atrophie simple au point de vue électrique. Cette donnée
dyliens. Dans l'Observation III, il est dit, en ce qui concerne l' atrophie du membre supérieur gauche, qu'elle ne 188 clin
on en particulier. Ces observa- - tions semblent donc montrer que l' atrophie dans un membre paralysé peut prédominer dans te
l ou tel seg- ment du membre, mais que dans chaque segment, cette atrophie semble envahir uniformément tous les groupes mu
, que dans l'Observation II que l'on relève une prédominance de l' atrophie dans les muscles de la région épitro- chléenne,
léenne, et encore n'est-elle pas très accentuée. Le facies de cette atrophie diffère donc essentielle- ment de celui de cert
sentielle- ment de celui de certaines atrophies musculaires, de l' atrophie Aran-Duchenne, par exemple, dans laquelle un mu
rique présente des caractères dignes d'intérêt. Le début de cette atrophie paraît être généralement rapide. Dans l'Ob- ser
pement de l'amyotrophie est tout aussi rapide. La rétrocession de l' atrophie semble DE l'atrophie musculaire. i 89 pouvoir
est tout aussi rapide. La rétrocession de l'atrophie semble DE l' atrophie musculaire. i 89 pouvoir être rapide comme son
déjà facile à constater. Malgré la rapidité du développement de l' atrophie musculaire, celle-ci, comme nous l'avons dit pl
rité. On peut voir, en effet, dans plusieurs de nos observations, l' atrophie rester stationnaire, alors même que la paralysi
ion VI, où il s'agit d'une monoplégie brachiale droite absolue, l' atrophie musculaire, malgré la persistance de la paralys
ié une observation très intéressante de monoplégie hystérique, avec atrophie consécutive du membre, survenue chez un enfant
ence du massage. Or, trois ans après la guérison de la paralysie, l' atrophie musculaire était encore notable. En plus, et ce
nti jusque sur les os du membre paralysé, en produisant non pas une atrophie , le terme serait peu exact, mais un arrêt de dé
Voy. le numéro du 21 mai 1886 de la Gazette hebdomadaire. . DE l' atrophie musculaire. 191 I Quelle est la nature de cette
cence.. Il s'agit donc d'une 'atrophie simple, c'est-à-dire d'une atrophie indépendante de toute lésion matérielle de là s
pendues pendant une année entière, n'avaient pas subi la moindre atrophie . Or, chez les malades dont il est ici question,
moindre atrophie. Or, chez les malades dont il est ici question, l' atrophie s'est développée très rapi- dement et a pris en
n peut pourtant paraître étrange; car est-il possible de comparer l' atrophie dont nous nous occupons ici avec l'amyotrophie
Il est sans doute indispensable d'établir entre ces deux variétés d' atrophie , une distinction fondamentale. Mais il faut aus
uie sur de très grandes probabilités. Or, il s'agit là d'une DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. 193 altération purement dynamique d
entres gris de la moelle et les nerfs périphériques sont normaux, l' atrophie musculaire est, comme dans l'hystérie, une atro
sont normaux, l'atrophie musculaire est, comme dans l'hystérie, une atrophie simple. On peut encore rapprocher l'atrophie hy
dans l'hystérie, une atrophie simple. On peut encore rapprocher l' atrophie hystérique d'une variété d'atrophie que j'ai ré
. On peut encore rapprocher l'atrophie hystérique d'une variété d' atrophie que j'ai récemment signalée et qui s'appuie sur
peut même plus y avoir de con- testation au sujet de l'origine de l' atrophie muscu- laire, comme dans l'amyotrophie articula
es le sont dynamiquement. La seule différence entre cette variété d' atrophie et l'atrophie hystérique est que, dans le premi
amiquement. La seule différence entre cette variété d'atrophie et l' atrophie hystérique est que, dans le premier cas la modi
194 CLINIQUE NERVEUSE. blir, au moyen de ces observations, que l' atrophie musculaire peut relever directement, contrairem
ul- tanée à la Salpêtrière de plusieurs malades atteints de cette atrophie ne pourrait-elle pas être mise exclusive- ment
d'abord il faut remarquer que ce que nous disons là au sujet de l' atrophie hystérique s'appliquerait tout aussi bien à tou
t et en vertu duquel un phénomène qui avait échappé jusque , DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. 195 là à l'observation vient à être
existence et apprécier leur signification, et pour en revenir à l' atrophie hystérique, rappelons les motifs invoqués plus
. Comptes rendus de Birgtre, 1880-1885. 196 CLINIQUE NERVEUSE. DE L' ATROPHIE MUSCULAIRE. Nos malades étaient atteints de par
dans une hyperémie stasique du canal dorsal entraînant après elle l' atrophie du tissu osseux dans les corps vertébraux. La d
é était du reste conservée dans tous ses modes; il n'existait pas d' atrophie musculaire. Les autres membres, le tronc et la
arésie du pli naso-Iabial et de la joue gauche avec légère plaque d' atrophie grise brunâtre, trem- blement modéré des mains
ivent le territoire de nerfs déterminés et s'accompagnent bientôt d' atrophie musculaire : les nerfs dorso-lombaires sont eux
. XXI. UN second cas DE CO-ATTEINTE DES muscles DE la face dans l' atrophie musculaire juvénile ; par F. MOSSDORF. (Neurol. C
sur les côtés des muscles droits présentant une tension uniforme ; atrophie irrégulièrement disséminée des mus- cles du tro
auquel ap- parurent les premierssymptômes, de la localisation de l' atrophie (voir le mémoire), de l'absence de convulsions
he régulière, sans saccades, du tronc vers la périphérie. C'est une atrophie quasi-acquise par exagération de travaux physiq
trouble de la sensibilité et de l'excitabilité électrique (malgré l' atrophie extrême) permet d'exclure l'idée d'une névrite
onger à une myopathie ; d'autre part, la parésie faciale émane de l' atrophie musculaire et non d'une lésion des noyaux des n
ne dégénérescence qui suit le sillon longi- tudiual postérieur, une atrophie partielle des fibres radiculaires au point où e
n des régions distinctes. Du moins, c'est l'avis de M. Rumpf. II. Atrophie des circonvolutions ascendantes ci la suite de pa
é de la vessie et du rectum. On tue l'animal par narcose prolongée. Atrophie portant uniformément sur toutes les parties du
rd considérables, ont rétrocédé graduellement en même temps que l' atrophie musculaire dégénérative des extrémités, après une
e presque complète; tout cela est d'ordre périphérique comme dans l' atrophie musculaire héréditaire : genèse myopa- thique,
en ceinture, de troubles vésico-rectaux), et l'ataxie d'un tabes ( atrophie tardive, lente; à l'hyperexcitabilité électrique
périeures, de la paralysie spasmodique des membres inférieurs, sans atrophie ni perturbation de la sensibilité ; conservatio
e nystagmus, la bradylalie, la paralysie spasmo- dique, l'absence d' atrophie , rapprochent cette affection de la sclérose en
, le cubital postérieur, les longs abducteur et extenseur du pouce. Atrophie extrême et réaction dégénérative complète des m
atrophique disséminée, en plaques, dans le plexus brachial gauche ; atrophie des éléments contractiles dans les muscles sus-
bes a presque disparu, et celle du toucher est moins déran- gée ; l' atrophie musculaire n'existe pas; on constate une ten- Q
son opi- nion, il est difficile de préciser la date du début de l' atrophie de la glande thyroïde; toutefois, il lui paraît
ns précédentes que chez tous les idiots crétinoïdes, l'absence ou l' atrophie de la glande thyroïde paraît constante. Les que
VEUSE. à l'âge de quatorze ou quinze ans. A l'autopsie, outre une atrophie glomérulaire des reins, il fut constaté que la
le était dégénérée' dans les cas de Ord, Greenfield, Cushier s. L' atrophie de la glande thyroïde est de même signa- lée da
, Hamiltone, Oliver', Abbott 8, Hadden", etc.; dans quelques cas, l' atrophie était si accusée que la glande ne pouvait être
.) La glande thyroïde, plus petite qu'à l'ordinaire, présentait une atrophie avec sclérose; absence de follicules clos; vais
roïdienne; il en résulterait, en tout cas, que si l'alr- sence ou l' atrophie de la glande thyroïde n'existe pas, ce qui est di
tion évi- dente entre la cachexie pachydermique et l'absence ou l' atrophie delà glande thyroïde '. Nous sommes donc .condu
contrées dans les autopsies des myxoedémateux idiopathiques . 1 L' atrophie du corps thyroïde, accompagnée de la destruction
ier 18.S6 . .IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 367 suivie de l' atrophie du lobe droit '; toutefois M.Pon- cet dit ne pa
e du lobe droit '; toutefois M.Pon- cet dit ne pas avoir constaté l' atrophie de la glande chez son opéré. Sur 24 cas d'ext
ses jusqu'à ce jour sur l'éliologie de la cachexie pachydermique, l' atrophie ou l'absence de la glande thyroïde était celle
plus considérable de la glande thyroïde dans le jeune âge et de sou atrophie et de sa dégéné- rescence chez le vieillard, qu
on trouve dans le gastrocnémien nombre de fibres hypertrophiées, atrophie de certaines autres (quelques-unes semblant fendu
oyaux des fibres musculaires; le sous-épineux présente surtout de l' atrophie des fibres accompa- gnée d'hypergenèse du tissu
seux, mais par une hypertrophie musculaire véritable, accompagnée d' atrophie de nombreuses fibres^et d'hy- perplasie simulta
logie. Revues analytiques. 408 SOCIÉTÉS SAVANTES. tées à un cas d' atrophie musculaire généralisée ; il pense que dans l'af
que l'hypertrophie d'une fibre musculaire en ait toujours précédé l' atrophie . Il montre encore des prépara- tions dues à Wei
es appa- reils nerveux qui occupent le parametrium ', dans le cas d' atrophie simple et p,ii,amét2,itique. - Dans le cas de p
cés, il existait une métamorphose graisseuse du même organe. Dans l' atrophie simple du tissu cellulaire du bassin, alliée du r
rophie simple du tissu cellulaire du bassin, alliée du reste à de l' atrophie utérine consécutive à des maladies rapidement c
aliénés en Espa- gne, 62. 1 Ataxiespinale (théorie del ? t 1 5. Atrophie musculaire juvénile, 214. Atrophie musculaire
pinale (théorie del ? t 1 5. Atrophie musculaire juvénile, 214. Atrophie musculaire dans les paralysies des hystériques,
16 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
ire, qui a été atteint. Cette paralysie de la langue s'accompagna d' atrophie musculaire, ce qui se comprend aussi très aisém
it dans le bout périphé- rique une dégénérescence Wallérienne, avec atrophie musculaire. Il en serait de même au lieu de la
ction du noyau bulbaire de l'hypoglosse; tandis qu'au . contraire l' atrophie musculaire aurait fait défaut ou du moins n'aurai
lement à sa suite une dégénéra lion Wallérienne, il s'en suivra une atrophie dégé- nérative des muscles paralysés. La lési
te du moteur oculaire commun, véritable paralysie périphérique avec atrophie dégénérative des muscles qu'il innerve. C'est cet
s à l'appareil oculaire sous forme de para- lysies des muscles ou d' atrophie de la papille. Ces malades doivent être éliminé
PI. VIII 'I'bott'h'pi, J.-B. Cbil -01 'Pb"I ? IJ, 'B,'llb,II,,1 ATROPHIE MUSCULAIRE CONSECUTIVE A LA VARIOLE Chez un Fcl
que la gauche, le signe d'A. Robertson est présent des deux côtés. Atrophie blanche de la papille. En plus, scotome scintil
6. Hypertrophie du corps thyroïde. Tabès légitime avec amaurose par atrophie papi Maire bilatérale. Douleurs fulgurantes. Pas
lie à gauche; à droite : 5/10. Les nerfs optiques sont atrophiés. L' atrophie est complète il gauche. Les pu- pilles sont iné
es punctiformes. Amau- rose complète à droite, incomplète à gauche. Atrophie des deux papilles. Ré- flexes patellaires norma
une sclérose des cordons postérieurs dans toute leur étendue et une atrophie des racines posté- rieures qui sont grêles et g
ni altération dégénérative d'aucune sorte : il s'agit d'une sorte d' atrophie simple. Une branche musculaire du tibial postér
sons et que dans les dernières phases de celle maladie on observe l' atrophie de la couche papillaire de la peau. Plusieurs
e des phénomènes purement trophiques, comme : taches de vitiligo et atrophie des muscles des jambes. Les altérations de la s
riant la force d'excitation qu'il a employée. Ainsi il provoquait l' atrophie et l'hypertrophie du pigment, l'hypertrophie de
hie et l'hypertrophie du pigment, l'hypertrophie de l'épithélium, l' atrophie de la peau, la formation de plaies et autres tr
ponévroses ou au tissu conjonctif in- termusculaire. ' Pour lui l' atrophie , la dégénérescence fibreuse et lipomateuse des mu
de la striation transversale, la dissociation ,longi- tudinale et l' atrophie " des'disques transversaux. Mays a trouvé une prol
IFIANTE PROGRESSIVE 123 Formation d'un tissu conjonctif adulte avec atrophie des fibres muscu- laires, telles sont en un mot
n réalité. Les lésions musculaires, la dégénérescence graisseuse, l' atrophie et la dégénérescence fibreuse, sont secondaires
ellaire ne diffère pas de celui du côté gauche sain. Aucune trace d' atrophie . C'est le membre supérieur seulement qui a été
volumineux que son congénère et ne présente aucune malformation, ni atrophie . Les proportions des doigts sont normales et les
ro- gressive avec d'autres lésions nerveuses, telles que épilepsie, atrophie du nerf optique, dans d'autres cas, et croit de
du tissu conjonctif intermusculaire. Les muscles disparaissant par atrophie dégéné- rative et se paralysant, devaient subir
ses, la rotule est libre. L'ankylose du genou a eu pour effet une atrophie marquée des muscles de Fig. 2. - Radiographie d
one, traînante ; on a quelquefois de la peine a comprendre. Pas d' atrophie linguale. Du côté des yeux, il n'y a ni paralys
ranulations analogues aux granulations de Pacchioni. Il r'y a pas d' atrophie . - Poids : 155 grammes. Le bulbe et la protubér
1) DÉJERINE, Sur une forme particulière de maladie de Friedreich avec atrophie musculaire et troubles de la sensibilité. Soc.
uin. 184 LÉON BONNUS reich, il existait dans les nerfs mixtes une atrophie systématique des fibres sensitives tant cutanée
é normal macroscopiquement et microscopiquement, il n'y avait pas d' atrophie , il n'y avait aucune lésion des cellules de Purki
hèse de IIammond, Senator ; attribuant la Maladie de Friedreich à l' atrophie primitive du cervelet; il vient au contraire à
erte cle la vue, de la Ululation. (1) C. PIERRES, Note sur un cas d' atrophie périphérique du cervelet. Archives de Phy- siol
t suscepti- ble d'entraîner la perte totale de la vision par voie d' atrophie des deux papilles. Oui, Messieurs, il en est ai
située à la base du cervelet peut, disais-je, entraîner une double atrophie papillaire par le mécanisme suivant : elle compri
crocéphalie procède ou non de synostoses prématurées du crâne, si l' atrophie du cerveau chez le microcéphale est primitive ou
. V, X, XVII, etc. (2) Leçon clinique de l'Hôpital Saint-Louis. ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX, DANS UN CAS D'ATROPHIE MUS
'Hôpital Saint-Louis. ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX, DANS UN CAS D' ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE D'ORIGINE ARTICULAIRE P
édecin de Ancien interne-lauréat des l'Hôpital Tenon. Hôpitaux. L' atrophie de tout un membre, y compris les os, est bien con
rapport avec une lésion pri- mitive de la moelle, qui a entraîné l' atrophie des cellules trophiques de la corne corresponda
iques de la corne correspondant au membre frappé. D'autre part, l' atrophie d'un membre se rencontre encore au cours de lés
e au cours de lésions périphériques. Il s'agit alors, en général, d' atrophie musculaire. Mais il est possible d'observer aus
ifférente de celle de la paralysie infantile : c'est, en effet, une atrophie simple avec diminution correspon- dante du nomb
tion. Affection articulaire ancienne avec ankylose du -genou droit. Atrophie du membre inférieur droit et aplasie osseuse. A
genou droit. Atrophie du membre inférieur droit et aplasie osseuse. Atrophie médullaire et cérébrale. liourl... François, âg
nts personnels. - Le malade raconte qu'à la suite d'une chute qu'il ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX 263 fit en sautant, l'âge d
t il cette maladie articulaire, il se produisit progressivement une atrophie du membre inférieur droit. Hormis une rougeole
tion avait été attirée sur le membre inférieur droit, qui, avec son atrophie tant en longueur qu'en largeur,aurait donné l'app
d'un membre de paralysie infantile, n'eùt été l'ankylose du genou. L' atrophie porte sur les différents segments du membre. El
berculose pleuro-pumouaire bilatérale, prédomi- nante à droite, une atrophie hépatiqueavec cirrhose et adénomes. La rate pèse
érieurs. NOUV, ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T XI. PL, XXXIII ATROPHIE MUSCULAIRE ET OSSEUSE D'ORIGINE ARTICULAIRE (Ra
rs) A. CÔTÉ DROIT ATROPHIÉ. B. CÔTÉ GAUCHE NORMAL. On voit en A l' atrophie des fémur, tibia, péroné. L'épaisseur du tissu co
ALPÊTRIÈRE. T. XI. 1'1. XXXIV A B rhototyple rtbl.ud Paris. ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX (ACHARD et LËOPOLD-LÉVi)
t et moins long que du côté opposé. MASSON & Cu : . Editeur : ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX 265 Extrémité supérieure, 2
nsversales de ces branches nerveuses ne montrent ni altéra- tion ni atrophie manifeste il gauche. Les nerfs plus volumineux,
laire. Il semble donc qu'il s'agisse d'une sclérose conjonctive par atrophie simple. Les artères volumineu- ses des nerfs pr
NOUV. Iconographie de la Salpêtrière. T. XI. PI. XXXV 1 2 3 ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX (ACHARD Ct LÉOPOLD-LÉVI)
r de sclérose au niveau de la corne gauche. 2. Moelle dans le cas J' atrophie simple, saite d'atrophie du genou, qui fait l'obj
e la corne gauche. 2. Moelle dans le cas J'atrophie simple, saite d' atrophie du genou, qui fait l'objet de ce mémoire (régio
e, plus discret d-uu la corne droite. MASSON & C'e, Editeurs. ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX 267 La méthode de Ma rchi n
eure du côté correspondant au membre atrophié (PI. XXXV,2). Cette atrophie devient facile à étudier sur les préparations col
paration de la moelle, colorée par la méthode de Nissl. On note une atrophie considérable de tout le côté droit de la moelle,
es retrouve. Elles ont été coupées isolément, après repérage, colo- ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX 269 rées par la méthode de
ion chro- nique du genou, développée à l'âge de 7 ans, survient une atrophie du membre inférieur correspondant. Le malade me
pulmonaire, hépatique, génitale) à l'âge de 41 ans. On constate une atrophie simple de la moelle et de l'atrophie cérébrale.
âge de 41 ans. On constate une atrophie simple de la moelle et de l' atrophie cérébrale. Quant à la cause de l'arthrite, elle
tuberculeuse) ayant entraîné l'ankylose articulaire. L'existence d' atrophie du squelette dans ces conditions, est une notion
longue (2), dans son beau livre sur la coxo- tuberculose, signale l' atrophie spéciale de tout le squelette du membre. M. Kli
auma- tisme survenu dans l'enfance, il s'est produit à la fois de l' atrophie mus- culaire et un arrêt de développement du me
s en fournit un nouvel exemple Ci). En second lieu, l'existence d' atrophie médullaire mérite de fixer l'at- tention. Une f
ence, il faut l'interpréter, puis voir les relations qui unissent l' atrophie médullaire et l'arrêt du développe- ment des me
) doivent être discutées. Dans un cas d'arthrite du genou, suivie d' atrophie musculaire, cet auteur étudia la moelle. Il con
d'atrophie musculaire, cet auteur étudia la moelle. Il constata une atrophie pigmentaire des cellules de la moelle lombaire
isation de la lésion, il est difficile d'établir un rapport entre l' atrophie musculaire unilatérale et les altérations médul
volume, des fibres musculaires et des nerfs et pro- posa pour cette atrophie la dénomination d'atrophie numérique. Quant à l
res et des nerfs et pro- posa pour cette atrophie la dénomination d' atrophie numérique. Quant à la moelle, il pratiqua des c
de 10 centimètres environ du membre inférieur droit. Il existe une atrophie musculaire très accentuée et une atrophie osseu
ieur droit. Il existe une atrophie musculaire très accentuée et une atrophie osseuse portant sur les divers segments du membre
ments du membre : le pied droit chausse 36, le pied gauche 3 : i. L' atrophie parait surtout marquée sur les os dans leurs di
Bull, de la Soc. auat., janv. 1888, p. 37; Revue de médecine, 1893. ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX 271 Cette observation est p
271 Cette observation est précieuse. Elle montre l'existence d'une atrophie des cellules médullaires, mais très peu marquée
près l'avis môme de l'auteur. Notre cas est plus favorable, car l' atrophie n'est pas discutable. Elle se laisse constater
érence considérable (jusqu'à 29 cellules en moins du côté droit). L' atrophie est en outre très étendue, manifeste depuis la 3e
e, manifeste depuis la 3e racine lombaire jusqu'à la on sacrée. L' atrophie médullaire avait d'ailleurs été reconnue dans un
ancien de Leyden (1), concernant une ankylose du genou avec légère atrophie du membre. Il s'était produit une diminution de v
du côté ankylosé. Il y avait diminution de la substance grise avec atrophie des cellules, et en outre diminution de la subs
outre diminution de la substance blanche. Comment interpréter cette atrophie médullaire ? On sait que, pour expliquer les at
iveau du foyer d'origine des nerfs se rendant aux muscles frappés d' atrophie . C'est un cas particulier de la formule de Mari
e lésion médullaire. Un cas, qui, comme le nôtre, met en évidence l' atrophie médullaire, donne un caractère d'authenticité ind
ysie faciale non spécifique, la dégénérescence du bout central avec atrophie du noyau, secondairement aux lésions périphérique
lésée. 272 ACHARD ET LÉOPOLD-LÉVI Pour comprendre pourquoi, si l' atrophie est exceptionnelle, elle existe dans notre cas,
air (1). Cet auteur a observé, après amputation sur des chiens, une atrophie du mem- bre inférieur. Il a fait cette remarque
rtrophie serait due à une irritation réflexe du centre trophique, l' atrophie à une diminution d'acti- vité médullaire, ou, c
on d'acti- vité médullaire, ou, comme dans notre observation, à une atrophie des cellulles. Apropos de l'atrophie médullai
ans notre observation, à une atrophie des cellulles. Apropos de l' atrophie médullaire, une dernière question se pose. Quelle
armi les autres atrophies de la moelle ? Elle est très voisine de l' atrophie secondaire liée à l'amputation des membres, très
r sur les différentes lésions observées,nous pouvons rappeler que l' atrophie peut porter essentiellement sur la corne antérieu
lbert (3), Déjerine et Mayor (4). Le plus souvent, il y a à la fois atrophie de la substance grise et de la substance blanche.
n se souvient d'ailleurs que, dans lecasdel.eyden cité plus haut, l' atrophie médullaire en rapport avec une ankylose du geno
tés de vieille date. Soc. de biol., et Gaz. rnéd. de Paris, 1871. ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX 273 Dans la paralysie infan
'examen histologique permettrait de séparer, dans un cas douteux, l' atrophie d'un membre par lésion périphérique ou par para-
e d'un membre par lésion périphérique ou par para- lysie infantile. Atrophie simple de la corne antérieure d'un côté, foyer de
ire, d'une laxité exagérée. Il nous faut maintenant revenir sur l' atrophie cérébrale. Elle est loca- lisée ici au lobule p
nution du nombre et du volume des grandes cellules pyramidales. L' atrophie de l'écorce cérébrale, répondant comme siège au c
stinés à stimuler et à diriger l'activité motrice. Remarquons que l' atrophie de l'écorce, accompagnant l'atrophie médul- lai
vité motrice. Remarquons que l'atrophie de l'écorce, accompagnant l' atrophie médul- laire, s'interprète fort bien par la thé
(11) Charcot et Pitres, Centres moteurs corticaux de l'homme, 1893. ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX 275 de la chaîne neurale. L
mo- teur périphérique entraîne la perturbation fonctionnelle puis l' atrophie du neurone moteur cérébral (1). (1) M. Apert
L'autopsie fut faite 33 ans après l'accident. L'auteur signale' une atrophie de la corne antérieure de la moelle et du centre
l'occasion de cette présentation, M. Achard attira l'attention sur l' atrophie osseuse bien manifeste sur la pièce et qui perm
craquement comme s'ils glissaient sur une tête humérale inégale. L' atrophie du deltoïde et l'hypertrophie de son tissu conjon
t bien. Examen des yeux par H orner. - A gauche, amaurose complète, atrophie complète du nerf optique, rétrécissement des va
tissu cho- roïdien. On ne peut pas admettre qu'elle provienne d'une atrophie pigmentaire simple à cause du réflexe lumineux
ates. Perte de substance de la peau du dos en plusieurs endroits. Atrophie considérable des muscles antérieurs du cou. Dégén
t s'insérer sur la 3° côte, le supérieur, sur l'apophyse coracoide. Atrophie du deltoïde, l'acromion émet sous lui quelques
es. Epaississement notable de la capsule arti- culaire de l'épaule, atrophie du revêtement cartilagineux. Épaississement de la
la portion dorsale, en avant et à droite de la portion lombaire. Atrophie de la musculature de la cuisse droite ; une masse
ur. Les muscles frontaux, de la mimique, les oculaires sont lihres. Atrophie du triangulaire par ossification. Ossification
es corps verté- braux. Les fascia sont en général durs et épaissis. Atrophie des muscles très prononcée, quelques-uns sont f
de à la partie moyenne de la moitié droite du maxillaire inférieur. Atrophie des muscles antéro-latéraux droits du cou. Ster
muscles antéro-latéraux droits du cou. Sterno-mastoïdiens fibreux; atrophie des omo-hyoïdiens. Dégénérescence fibreuse moin
ous les bandes osseuses ; à gauche,ils entrent en rapport avec elles. Atrophie considérable de la musculature de la cuisse dro
ée par des noyaux osseux. Ossification complète du muscle crural. Atrophie de la musculature de la jambe; hypertrophie consi
mmun du quadriceps; le tendon contient également un noyau osseux. Atrophie des muscles de la jambe ; sur l'extrémité supérie
e bord inférieur du grand pectoral se montre tendu comme une corde. Atrophie de la portion sternale dn grand pectoral sans o
rapide ; ankylose des épaules, Mouvements de l'avant-bras limités. Atrophie des muscles char- gés de noyaux osseux. A peine
re, légère scoliose à droite. Raideur absolue de l'é- paule gauche, atrophie complète du deltoïde ; le biceps gauche est trans
tions des muscles grands dorsaux, grands ronds et grands pectoraux. Atrophie du deltoïde. Avant-bras en flexion et en pronatio
et 7e, sont durs. Les bras sont serrés contre le tronc, atrophiés. Atrophie également des del- toides. Ossification des cor
ormation du splénius et du grand com- plexus en cordes fibreuses. Atrophie du muscle grand pectoral droit. A droite de la pa
on cons- tate un point d'une dureté osseuse, large comme un franc. Atrophie du grand pectoral gauche dans ses parties supér
dorsale légère- ment en cypho-scoliose. Les omoplates sont fixées ; atrophie des muscles sus et sous-épineux. Sacrum et cocc
cluse dans la musculature du triceps avec une base large et solide. Atrophie du triceps. (1) L'auteur veut sans doute parler
fléchi à angle obtus. Mouvements de la main et des doigts normaux. Atrophie des muscles du bras et de la main.Dans le brach
gauche, la plus grosse des quatre, est douloureuse à la pression. Atrophie musculaire. Vitiligo. Avec les déformations du sq
te coexis- tent des particularités diverses consistant surtout en l' atrophie de différents muscles. ' Il y a un léger' deg
lade s'ell'orce de tenter la flexion ou la rotation de la tête. L' atrophie musculaire accentue les déformations du côté du &
ôtés le grand pectoral est diminué de volume en totalité ; de plus, l' atrophie de sa partie moyenne est complète; il ne reste
la région dorsale de la pièce du musée Dupuytren. Patiiogénie de l' atrophie musculaire. Chez notre malade, l'atrophie muscu
ytren. Patiiogénie de l'atrophie musculaire. Chez notre malade, l' atrophie musculaire de quelques muscles est bien évident
E DE la contracture DES MUSCLES DE la paroi abdominale. A côté de l' atrophie musculaire nous avons mentionné chez Duf... la
se. Celte dernière avait pour artériole une branche de la rénale. L' atrophie de l'un de ces organes et l'hypertrophie de l'aut
on de continuité des nerfs dans un membre s'accompagne plutôt d'une atrophie des os et cela dans un bref délai. Schiff pense
NGÉNITALES DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL 369 pement, peut amener à une atrophie complète des hémisphères cérébraux et peut même
r les parties avoisinant cerveau, et c'est l'écorce cérébrale qui s' atrophie d'abord sous l'inflt de la compression, de sort
d'hydro- céphalie congénitale. Dilatation des ventricules latéraux, atrophie de l'écorce du corps calleux et du septum lucid
; ou bien, cette vésicule peut, dans quelques endroits, su- bir une atrophie complète, à la suite de laquelle le liquide, accu
(N. Solovtzoff) O. - Cas ? Coupe de la moelle ; région cervicale ; atrophie des cordons latéraux des deux côtés. P. - Cas I
sicule cérébrale se distendit tellement qu'elle fut sou- mise à une atrophie dans les endroits où la résistance était la moind
erveau, sous l'influence de l'hydrocéphalie interne, il y avait une atrophie complète de ce dernier ; il ne restait que le bul
sceau claviculaire et allant du rachis à l'acromion ; il est dù à l' atrophie des faisceaux acromiaux du trapèze. - (Dans l'é
le à diverses reprises. Il écrit qu'il n'a pas vu de paralysie ou d' atrophie étroitement localisée au grand dentelé, « ce qui
e localisation doit être rare, puisque sur une vingtaine de « cas d' atrophie ou de paralysie du grand dentelé que j'ai exploré
ix observations qu'il rapporte sommairement, sept ressortissent à l' atrophie d'origine spi- nale ou myopathique. Des trois a
seule fois, dit Duchenne (3), que j'ai eu « l'occasion d'observer l' atrophie du grand den telé,ivec iii légi,1 té pa l'laite (
dentelé. Une des deux dernières observations est ainsi relatée : « Atrophie du grand dentelé, de la moitié inférieure du tr
rvation per- sonnelle, est ainsi conçue : « V... brossier, 34 ans ; atrophie dit grand den- « telé, du tiers inférieur et d'
partie du tiers moyen du trapèze « droit, par abus de travail. - L' atrophie n'avait pas encore envahi les « muscles des aut
portion adductrice du trapèze, qui est la première atteinte dans l' atrophie mus- culaire progressive, écrit : Cette portion
trapèze est toujours paralysée ou atrophiée dans la paralysie ou l' atrophie du grand dentelé. C'est du moins ce qui ressort
d de la paralysie de la por- tion moyenne du trapèze. cc Lorsqu'à l' atrophie du faisceau inférieur du trapèze, di t Duchenne
e l'o- moplate sur son angle interne est d'autant plus étendu que l' atrophie du tiers moyen et de la portion inférieure du t
r le moignon de l'épaule à son ni- veau normal. En effet, lorsque l' atrophie de cette portion claviculaire s'as- socie à l'a
t, lorsque l'atrophie de cette portion claviculaire s'as- socie à l' atrophie de la portion moyenne, le moignon de l'épaule n'e
n de l'épaule n'est pas plus abaissé, affirme Duchenne, que quand l' atrophie a détruit seulement la portion moyenne du muscl
l'omoplate sur son angle externe est encore plus exagéré, quand à l' atrophie des deux tiers inférieurs du trapèze s'ajoute c
le méplat de la fosse sus-épineuse. C'est encore la paralysie et l' atrophie des deux tiers inférieurs du trapèze qui est su
u méplat de la fosse sus-épineuse, il relève incontestablement de l' atrophie des portions moyenne et inférieure du trapèze.
ticale du bras se fait dans des conditions a peu près normales. « L' atrophie du trapèze, dit Duchenne (1), ne dérange en rien
ntraction du deltoïde. Il ne pourrait en être autrement car, dans l' atrophie du grand dentelé, le deltoïde se contracte isolém
0 0 LANNOIS ET BERNOUD Le membre supérieur gauche ne présente pas d' atrophie en longueur, mais les masses musculaires sont f
; à droite, 17. Au membre inférieur gauche il n'y a pas non plus d' atrophie en lou- gueur, mais une diminution appréciable
truation. La malade a une hémiplégie spasmodique du côté droit avec atrophie très marquée nette du membre inférieur (au nive
elle s'est réunie secondairement au squelette. Bien qu'il y ait une atrophie considérable de la musculature, on voit que les
niveau de la première articulation du 2° ; il y a vraisemblablement atrophie de la première phalange; atrophie vraisemblable
du 2° ; il y a vraisemblablement atrophie de la première phalange; atrophie vraisemblable de l'articulation interphatangien
dinaire; un petit noyau semblable dans le tendon du grand palmaire. Atrophie des éminences théuar et hypothénar. Le coude flé-
a partie supérieure du clos : - 9° Elledétermine secondairement l' atrophie des muscles ; elle ankylose les articulations d
à l'étude des),par A. Londe et Henry MEME (15 phot, 2 fig.), 34. Atrophie des cent/'es nerveux, dans un cas d'atrophie mu
5 phot, 2 fig.), 34. Atrophie des cent/'es nerveux, dans un cas d' atrophie musculaire el osseuse d'origine articulaire, pa
alis..Un.cas avec autopsie (9 phot.), 83. Achard et Léopold Lévi. Atrophie des cen- tres nerveux dans un cas d'atrophie
chard et Léopold Lévi. Atrophie des cen- tres nerveux dans un cas d' atrophie musculaire et osseuse d'origine articu- laire
alis. Un cas avec autopsie (9 phot.), 83. LÉoroLD Lévi et Achard. Atrophie des centres nerveux dans un cas d'atrophie mu
LÉoroLD Lévi et Achard. Atrophie des centres nerveux dans un cas d' atrophie musculaire et osseuse d'origine articu- laire
Anomalies digitales (A. Londe et Il. MeiGE), III, IV, V, VI, VII. Atrophie musculaire consécutive il la va- riole (.L-B. C
hie musculaire consécutive il la va- riole (.L-B. Charcot), VIII. Atrophie des centres nerveux (Achard et Lsoron Lévi), XX
trophie des centres nerveux (Achard et Lsoron Lévi), XXXIV, XXXV. Atrophie musculaire et osseuse d'origine articulaire (Ac
17 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
totalement nécrosé. La hase du tronc cérébral présente de même une atrophie prononcée par compression. L'anévrysme s'enfonç
n peu aplati à sa sortie du pont de Varole, mais il n'offrait pas d' atrophie marquée. Les racines des 9° et 10° paires prése
forte réduc- tion de volume et présente les suites manifestes d'une atrophie simple par compression. Elle est d'un tiers plu
aussi dégénérées (voir PI. I, B). Le corps restiforme droit dont l' atrophie est considérable, doit sa dégénéra- tion il la
gauche des modifications pathologiques qui se rapportent soit il l' atrophie par compression, soit il des dégénérations second
acoustique est aplati à gauche, "déformé, déplacé et atteint d'une atrophie considérable par compression. Il en est de même d
ite on ne peut méconnaître qu'elles pré- sentent un certain degré d' atrophie . La racine vestibulaire est déformée, sans s at
rtain degré d'atrophie. La racine vestibulaire est déformée, sans s atrophie notable (PI. II, C). Les noyaux médians de Burd
cularités singulières. Nous avons déjà eu l'occasion de parler de l' atrophie indirecte de celui de droite. Celui de gauche e
is que le contingent des fibres olivaires a disparu à la suite de l' atrophie de l'olive infé- rieure gauche. ANÉVRYSME DE
he qu'à droite. Le segment interne du corps restiforme présente uue atrophie très nette à droite de ses cellules ganglionnai
supérieur de droite. Nous dirons bientôt les conséquences de cette atrophie sur le noyau rouge. ANÉVRYSME DE L'AHTÈRE VERTÉ
ns sanguines. Les capillaires sont gonflés de sang. On constate une atrophie des faisceaux de fibres et des lacunes dans la
ésion du corps restiforme. La tumeur anévrysmale avait provoqué une atrophie par compression de l'hémisphère gauche du cerve
it com- plètement disparu. Cette olive était dans un état général d' atrophie dans toute son étendue (diminution sensible de
servées dans leur majeure partie. Une conséquence importante de l' atrophie par compression de l'olive gauche' été l'atroph
e importante de l'atrophie par compression de l'olive gauche' été l' atrophie secondaire des fihresarciformes internes ventrale
bulbe une apparence tout à fait paradoxale. En effet, au lieu d'une atrophie secondaire de l'olive droite qu'on devait s'atten
struction partielle du corps restiforme gau- che, nous trouvons une atrophie primaire par compression directe de l'o- live g
rmes correspondantes de droite et dans le corps restiforme droit. L' atrophie secondaire ne se produisit pas parce que, comme o
ophie secondaire ne se produisit pas parce que, comme on le sait, l' atrophie croisée de l'olive n'a lieu que si sa connexion a
le corps restiforme du côté opposé est totalement interrompue. L' atrophie des fibres arciformes et du corps restiforme à dr
i que les deux corps restiformes étaient atteints simultané- ment d' atrophie , celui de gauche d'une manière primaire par la co
de notre cas la destruction du pédoncule cérébelleux supérieur et l' atrophie par compression,du pédoncule cérébelleux moyen.
s fibres situé en arrière de cette voie présente un certain degré d' atrophie . Il s'agissait dans le cas de Menzel d'une dimi
enzel d'une diminution considérable du cervelet tout entier, mais l' atrophie dégénérative était surtout prononcée dans l'hémis
. (5) A. Cramer, Eizzseitige MetM ? 7'Ma<)'op/t ! B mil leichter Atrophie der gehreuzlen Grosshiirn-Henzisplzdre Iait ein
vol. XXII, 1891, p. 160. (9) M. Lannois et J. PIYIOT, Sur un cas d' atrophie unilatérale du cervelet. Revue neurologique, t.
u pédoncule cérébral à gauche surtout dans la partie médiane; cette atrophie correspondait à la dégénérescence des cellules ga
la substance grise du pont à droite. Edinger a constaté aussi cette atrophie croisée dans son cas. Mais il y a toutefois une
sme, surtout dans les parties basales etpos- térieures ; à droite l' atrophie était secondaire, en conséquence de Tinter-, ru
ntl'Ctlblatl, 15 octobre 1899, p. 914. 24 P. LADAME ETC. MONAKOW ( atrophie de second ordre). On ne s'explique pas toutefois
directe dans notre cas ? Nous n'avons.pas constaté sur nos coupes d' atrophie du réseau fibril- laire des noyaux sensibles du
e Bechterew était atrophiée du côté croisé. On pouvait suivre celte atrophie jusqu'à la ré- gion du tubercule quadrijumeau a
ite. Mais Edinger attribue ce fait à une déformation provenant de l' atrophie du noyau rouge, et non pas à une atrophie des f
éformation provenant de l'atrophie du noyau rouge, et non pas à une atrophie des fibres nerveuses elles-mêmes. Le noyau rouge
leux supérieur ne fût pas aussi compromis que dans notre cas. Cette atrophie complète du noyau rouge croisé dans le cas de E
e lésion homolatérale du thalamus soit la condition nécessaire de l' atrophie croisée du cervelet quand l'hémisphère cérébral
La lésion est constituée par une 36 PIERHE MARIE ET A. COUVELAIRE atrophie très marquée diffuse et irrégulièrement distribué
s sont profondément altérés. Les fibres musculaires sont frappées d' atrophie . Cette atrophie frappe inégalement les fibres d
ent altérés. Les fibres musculaires sont frappées d'atrophie. Cette atrophie frappe inégalement les fibres d'un même faisceau,
it à peine une lumière; sans paralysie oculaire elle présentait une atrophie papillaire dou- ble et plus prononcée du côté g
e paralysie oculaire d'aucune sorte. A l'examen oplltalmoscopique : atrophie complète et avancée des deux papilles avec altéra
Babinski physiologique; sphincters : la malade se salit. ' Pas d' atrophie . Les autres appareils normaux. Les urines exami
roite et jambes, mouvements spontanés. Main gauche inerte, trismus, atrophie de la papille. La malade rentre de plus en plus
mier examen ophtalmoscopique. Or, à cet examen on a trouvé déjà une atrophie papillaire assez avancée et probablement bien p
té des scolioses de la syringomyélie, de l'ataxie héréditaire, de l' atrophie musculaire progressive, etc. Il s'aperçoit (1)
lus tard l'intégrité absolue des racines antérieures lombaires et l' atrophie complète des racines postérieu- res. Au microsc
Confinement au lit depuis un an. Amai- grissement allant jusqu'à l' atrophie des membres. Légère incoordination motrice des
mains et des pieds en particulier, pré- sentent même une véritable atrophie . Seul l'abdomen conserve un certain de- gré d'e
dans les actes ordinaires de la vie. L'amaigrissement devient de l' atrophie dans les membres inférieurs. La peau est blanch
jambes sont impotentes, bien plus du fait des arthropathies que par atrophie musculaire. Les sphincters ont une certaine ten
osseuse, tandis qu'une cause agissant en sens inverse entraîne de l' atrophie ostéo-articulaire. On peut d'ores et déjà pense
, apparition de la paralysie des extenseurs du poignet le 14 nzai ; atrophie musculaire avec DR ; absence de troubles de la
s est très faible, de même l'élévation des deux bras. 11 existe une atrophie des petits muscles des mains et des muscles de l'
dominaux. Du côté du système nerveux, l'attention est attirée par l' atrophie musculaire du bras et de la jambe droite, atrop
st attirée par l'atrophie musculaire du bras et de la jambe droite, atrophie plus marquée à la racine des membres, bras et c
résie des doigts, à tel point que le malade ne pouvait plus écrire. Atrophie des muscles des mains, de l'avant-bras droit av
ec plaques muqueuses buccales et alopecie. On constate en outre une atrophie musculaire avec paralysie Ilaccide portant sur
mol acétate de mercure. Amélioration progressive ; disparition de l' atrophie , cependant en mars 1896 le malade steppe encore
njections de calomel. Bientôt paralysie complète des 4 membres avec atrophie musculaire, douleurs la pression des troncs nerve
Salpétrière, la malade présentait une polynévrite généralisée avec atrophie musculaire, pré- dominant sur les extenseurs du
ration progressive de la maladie. Electrothérapie. Disparition de l' atrophie musculaire. Cependant en décembre 1899 le malade
dans les épaules avec parésie des muscles du tronc et des épaules ; atrophie musculaire de ces derniers muscles Abolition des
des nerfs des membres inférieurs. Paraplégie flasque complète avec atrophie musculaire et chute du pied. Pas de troubles de
le, mais à la fin de juillet 1895, elle stoppe encore légèrement; l' atrophie des mollets tend à disparaître. OBs. X. - Braue
rs. Parésie des 4 membres avec abolition des réflexes tendi- neux ; atrophie musculaire avec RD., hypoesthésie limitée aux mai
ession sur les racines ; infil- tration embryonnaire de l'épinèvre, atrophie des fihres nerveuses, production de petites nod
ngourdisse- ments des extrémités, abolition des réflexes tendineux, atrophie muscu- laire, intégrité des sphincters, absence
ne paraplégie flasque subite avec paralysie précédant et dominant l' atrophie musculaire, les troubles des sphincters. Mais l
pseudo-lipomes cervicaux ou sus-claviculaires avec le crétinisme, l' atrophie des hémisphères céré- braux et l'absence de cor
de l'épaule gauche est beaucoup moins saillant qu'à droite. y a une atrophie considérable des muscles de cette région, les ré-
s bas et plus accusé par suite de la flaccidité musculaire. La même atrophie que nous avons signalée au membre supérieur se
he d'athétose. Les réflexes sont à peu près normaux. Il n'y a pas d' atrophie des muscles ni du squelette, pas de déviation d
s. Les muscles des bras ont subi une légère diminution de volume. L' atrophie s'est manifestée surtout aux jambes : le gras d
ont abolis à la lu- mière et à l'accommodation. Il n'existe pas d' atrophie partielle ou totale de la langue. Trois dents sub
consti- tution qui a toujours lieu, si la lésion n'a pas provoqué l' atrophie de la cellule par une réaction trop violente.
de ces faits que les processus de réaction, de réorganisation ou d' atrophie se présentent différemment aux observateurs qui n
franchi l'état de réaction pour passer à la désorganisation et à l' atrophie (Pl. XLV, p). Parmi ces éléments, les uns ont p
les qui réparent leurs lésions chromatiques et des cellules en voie d' atrophie destinées à disparaître complètement. Un bon
sible. La capsule semble s'être ramassée sur les cellules en voie d' atrophie , elle est envahie par un abondant tissu conjonc
rmal. Jeune chai, 118 jours. 93 cellules mesurées sur 4 coupes. L' ATROPHIE OL1V0-PONTO-CÉRÉBELLUSE PAR J. DEJERINE et A.
ste dans la littérature médicale un certain nombre d'observations d' atrophie du cervelet qui présentent les plus grandes analo
e (1) Thomas, Le cervelet. Th. Doctorat, 189 (Obs. IV, p. 207). L' ATROPHIE OLIVO-PONTO-CÉR'U 1F3ELLEUSE 3 avait plus de pe
s au départ qu'à l'arrivée au but; malgré cela, dans l'usage cou- l' atrophie OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 333 rant, lorsqu'elle
résistance aux mouvements passifs est considérable. Il n'y a pas d' atrophie musculaire. La sensibilité, la notion de positi
ar la méthode de Weigert Pal et du carmin ; mais au préalable des l' atrophie OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 335 petits fragments d
elles sont très atrophiées dans toutes les régions du cervelet et l' atrophie porte sur les trois couches : la couche molé- c
à myéline dans les substances blanches des lames et des lamelles. L' atrophie n'atteint pas cependant le même degré sur toute
r degré d'altération, leur pédi- cule est encore très apparent. L' atrophie atteint son maximum sur les hémisphères, et princ
é- sions sont encore plus avancées et on peut saisir le processus d' atrophie de la cellule : du noyau peu apparent partent d
des lobes et lobules, lames et lamelles n'a rien de surprenant. l' atrophie OLIVO- PONTo-cÉnÉI3ELLEUSE ' 337 B. Noyaux cent
etits qu'à l'état normal, mais ils sont loin d'atteindre le degré d' atrophie de l'écorce. Le corps dentelé est relativement
uée en avant de la limite antérieure du faisceau de Gowers et ré- l' atrophie OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 339 pondant assez exac
-olivaires sont extrêmement atrophiés, dans tous leurs diamètres; l' atrophie est plus marquée d'un côté; le hile est presque
uche la plus interne de la substance mé- dullaire péri-olivaire ; l' atrophie est plus prononcée dans la moitié inférieure qu
e volume du faisceau central est due peut-être à un certain degré d' atrophie de la substance réticulée de la calotte protubéra
u les faisceaux cérébello-vestibulaires sont peu nombreuses : cette atrophie peut être poursuivie sur toute la hauteur de ce
hauteur, mais principalement dans l'étage antérieur. Il existe une atrophie totale des noyaux du pont, toutes les cellules
s considérable du faisceau central de la calotte correspondant. L' atrophie de la protubérance et du pédoncule cérébelleux mo
gitudinal postérieur et le ruban de Reil médian sont nor- maux. l' atrophie OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 341 C.- Pédoncule céré
CERVELET ET DES PÉDONCULES.- Considérations anatomiques. ` , , L' atrophie totale de l'étage antérieur de la protubérance (n
La rareté des fibres senticirculaires internes et externes explique l' atrophie marquée du segment interne du corps restiforme
ou fibres cérébello-vestibu- 'aires, c'est vraisemblablement à leur atrophie qu'il faut attribuer la dégénères- 342 J. DEJER
llo-protubérantiel ces libres ne sont pas groupées en faisceau. L' atrophie des fibres semi-circulaires internes et de l'entr
et de l'entrecroisement du vermis est elle-même la conséquence de l' atrophie des noyaux gris centraux et principalement du n
lamus. Résumé. - Le névraxe est en général petit. Il existe une atrophie en masse de l'écorce cérébelleuse, plus marquée d
des fibres afférentes et efférentes, des fibres de projection, avec atrophie des principaux noyaux d'origine des fibres affére
des fibres afférentes : olives bulbaires et noyaux pontiques, avec atrophie relativement beaucoup moins accentuée des noyau
telé, noyau du toit, bouchon, noyau sphéri- que). Il s'agit d'une atrophie cellulaire primitive; l'absence d'altérations vas
let ou anormal du névraxe, n'autorisant pas cependant à envisager l' atrophie olivo- ponto-cérébelleuse constatée ici, comme
u qu'un enfant mort-né, sa femme n'a pas fait d'autre fausse cou- l' atrophie OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 343 che ; il nie avoir
asserait à peu près entre les épines iliaques antéro-supérieures. L' ATROPHIE OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 345 Pendant la station
normalement. Motilité des membres supérieurs. - Ni paralysie, ni atrophie musculaire. Au dynamomètre : main droite 40, ma
plus juste de dire qu'il y a un peu d'hésitation il n'existe pas l' atrophie OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 347 de tremblement int
crire (Fig. z) : Motilité des membres inférieurs. -Ni paralysie, ni atrophie . Il éprouve seulement un peu plus de difficulté
vue se manifeste par l'apparition d'oscillations de grande ampli- L' ATROPHIE OLIVO-PONTO-CÉRÉBELtEUSE 3 tude : remarquons to
une topographie et d'une nature liés ,particulières, ce sont : 1° l' atrophie symétrique dp l'écorce cérébelleuse. plus prono
x : noyau dentelé, noyau du toit, noyau sphérique et bouchon ; 2° l' atrophie totale de la substance grise du pont et la dégé
le noyau dentelé, est au contraire relativement bien conservé; 3° l' atrophie très prononcée des olives inférieures, des noya
ive inférieure, la dégénérescence partielle -du corps restiforme, l' atrophie des cellules de Purkinje, la dégénérescence des
énérescence des fibres de projection du cervelet, toutes réunies, l' atrophie de la sub- stance blanche et de l'écorce cérébe
rophie de la sub- stance blanche et de l'écorce cérébelleuse. Cette atrophie systématique de l'écorce cérébelleuse et des no
t des noyaux d'origine de ses principales voies afférentes, est une atrophie primitive, l'absence de lésion inflammatoire et
ation névroglique permet de l'affirmer. L'examen des observations d' atrophie cérébelleuse, qui ont été pu- bliées, conduit à
leur nature, elles sont scléreuses ou simples ou dégénérait es. l' atrophie olivo-ponto-cérébelleose 351 Partielles et asym
is cérébelleux couche des grains et cellules de Purkinje. C'est une atrophie sans lésions vasculaires (Lannois et Paviot) (1)
compte des lésions dégénératives. Il s'agit dans notre cas d'une atrophie dégénérative, mais avec ce ca- ractère particul
us ne saurions mieux définir cet état anatomique que par le terme d' atrophie oliuo-pocato-cérébelleuse. L'atrophie cérébelle
atomique que par le terme d'atrophie oliuo-pocato-cérébelleuse. L' atrophie cérébelleuse est une affection assez rare, le typ
que par un léger degré d'ataxie (1) LAN\OIS et Paviot, Sur un cas d' atrophie unilatérale du cervelet. Revue neurolo- gique,
INE et A. THOMAS des membres inférieurs et par la coïncidence d'une atrophie musculaire des mains; au point de vue anatomiqu
culaire des mains; au point de vue anatomique par l'existence d'une atrophie des cellules des cornes antérieures en rapport
'une atrophie des cellules des cornes antérieures en rapport avec l' atrophie musculaire ; mais les lésions cérébelleuses, bu
ralisée de la peau et des muqueuses. (1) PIERRET, Note sur un cas d' atrophie pÙiphèl'iq1f,ÆJ du cervelet avec lésion conco-
s. Arch. für Psychiatrie, 1894. (5) Thomas, Th. Doctorat, 1897. l' atrophie OLIVO-PONTO-CERÉBELLEUSE 353 Anatomiquement les
omiques que ceux qui entrent en rapport avec le cervelet ont subi l' atrophie ou la dégénérescence, les faisceaux pyramidaux so
s (Menzel, Arndt, Thomas, obs. V). Dans l'observation V de Thomas l' atrophie des olives et de la protubérance n'a rien de co
te le plus d'analogie avec elles, mais l'auteur semble considérer l' atrophie cérébelleuse qu'il a examinée comme d'origine scl
oujours en effet qu'elle est la pre- mière en date et la cause de l' atrophie ; alors malgré quelques nuances anatomiques et
nerveuses familiales et héréditaires. Revue de médecine, 1892, l' atrophie OLI'0-PONTO-CÉRÉBBLLI;USIz. 355 par l'incoordin
. Il existe une légère diminution des facultés intellectuelles. L' atrophie papillaire est signalée dans quelques observation
men anatomique du cas de Nonne ne laisse subsister aucun doute. z L' atrophie du cervelet parait être une atrophie due à un a
sse subsister aucun doute. z L'atrophie du cervelet parait être une atrophie due à un arrêt de développement; l'encéphale est
laires ; c'est plutôt un organe petit qu'un organe atrophié, le mot atrophie laissant sous-entendre un processus de destruct
own n'a pas répondu à celle attente : ici, en effet, il n'y a pas d' atrophie du cervelet ou du moins elle est douteuse, mais
roduction by Dr Sanger Brown. Brain, 1897. Part. LXXIX, p. 276. l' atrophie OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 357 ; cérébelleuse ; i
ns le contrôle d'une autopsie. Spiller a publié deux observations d' atrophie du cervelet chez le frère et la soeur; dans les
e fut pratiquée et les pièces soumi- ses à l'examen histologique; l' atrophie du cervelet est dans ces deux cas très nettemen
le dorsale le canal central est dilaté ; vers l'extrémité infé- ' l' atrophie OLIVO-PONTO-CÉRÉBLLLEUSE 359 rieure le canal es
tait au-dessous du poids normal (1.150 à 1.170 d'après Schwalbe). L' atrophie du cervelet, l'absence de lésions histologiques d
édo-ataxie cérébelleuse des atrophies du cervelet : les arguments l' atrophie olivo-ponto-cérébelleuse 361 qui servent de bas
me ou d'une infection, de l'épilepsie ou de troubles mentaux dans l' atrophie non familiale, oubien la possibilité d'une asym
ant des atro- phies non familiales. Londe admet qu'anatomiquement l' atrophie non familiale du cervelet se distingue peut-êtr
ment de l'a- trophie familiale et il ajoute plus loin : « Ces'cas d' atrophie non familiale que nous avons compulsés pourraie
de nature très différente ; 'petitesse de l'organe (Nonne, Miura), atrophie scléreuse (Spiller), atrophie dégénérative avec
petitesse de l'organe (Nonne, Miura), atrophie scléreuse (Spiller), atrophie dégénérative avec lésions de la moelle (Menzel) ;
lleuse ayant toujours le même substratum anato- mique, à savoir une atrophie du cervelet, mais des hérédo-ataxies céré- bell
vasculaire de la maladie, la nature inflammatoire et scléreuse de l' atrophie cérébelleuse seront sans doute plus judicieusemen
tion clinique ou dans l'exa- men anatomique ne permet d'envisager l' atrophie du cervelet comme une atrophie d'origine inflam
n anatomique ne permet d'envisager l'atrophie du cervelet comme une atrophie d'origine inflammatoire. La pathogénie est des
obscure que d'autres atrophies cellulaires primitives telles que l' atrophie des cellules des cornes antérieures dans la mal
cient à d'autres dégénérescences systé- matiques ou restent pures : atrophie olivo-ponto-cérébelleuse. L'apparition de troub
u cours d'affections dans lesquelles le cervelet n'est pas direc- l' atrophie OL1V0-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 363 tement en cause, n
e, nous impose quelques réserves sur la facilité du diagnostic de l' atrophie du cervelet et de l'atrophie olivo-ponto-cérébell
ves sur la facilité du diagnostic de l'atrophie du cervelet et de l' atrophie olivo-ponto-cérébelleuse en parti- culier, bien
- dique et minutieux et avec une quasi-certitude, diagnostiquer une atrophie cérébelleuse. Le diagnostic avec d'autres aff
si bien connu cliniquement que l'hésitation avec le diagnos- tic d' atrophie cérébelleuse peut être envisagé comme une éventua
tagmus sont des symptômes communs à la maladie de Friedreich et à l' atrophie cérébelleuse. La maladie de Friedreich a un déb
tic de pre- mier ordre; la scoliose est, en effet, très rare dans l' atrophie cérébelleuse ; l'observation de Botl;in et cell
ataxie céré- belleuse, Marie relève des signes oculaires tels que l' atrophie papillaire, le rétrécissement du champ visuel,
t abolis ; ils ont été trouvés - exagérés dans la plupart des cas d' atrophie du cervelet ; d'après Londe, il y a des cas où
ique, le diagnostic de maladie de Friedreich avait été fait. l. l' atrophie OLIVO-PON'1'0-CÉItÉBELLEUSE : ! 6o 5 L'ataxie d
oute à cet égard. , En se fondant sur l'observation de Menzel, où l' atrophie cérébelleuse est associée à des lésions médulla
intentionnel est moins constant et en tout cas moins intense dans l' atrophie cérébelleuse que dans la sclérose en plaques; l
si dire constants dans la sclérose en plaques, exceptionnels dans l' atrophie du cervelet ; l'exagération- des réflexes est plu
ent à la paralysie pseudo-bulbaire et la distinguent nettement de l' atrophie du cervelet. On a signalé chez certains individ
(1) Babinski, Société de neurologie de Paris, le, février 1900. L' ATROPHIE OLIVO-PONTO-CÉRÉBELLEUSE 367 taine, le corps se
n des Acuslicus zui,i4ckzufult,en ? Pflùger Archiv. 50, p, 115, l' atrophie OLIVO-PONTO-CÉRÉBELf.EUSE 369 vements impropres
urs. Il ne faut pas oublier toutefois que dans la plupart des cas l' atrophie des olives, et la protubérance et la petitesse
érance et la petitesse du système nerveux central coexistent avec l' atrophie cérébelleuse et peu(être jouent-élles un rôle d
rme, par l'ntégrité relative des noyaux gris cen- traux : c'est une atrophie primitive dégénérative systématique, ni scléreuse
atro- phies cellulaires primitives. Nous la désignons sous le nom d' atrophie olivo- pou to-cérébelleuse. HOSPICE DE BICL'T
timètres environ sur le bras, la main repos«à plat sur la cuisse. L' atrophie est manifeste : l'amaigrissement est déjà notable
rconférence de moins que le bras gauche (18 1/2 au lieu de 24) et l' atrophie commence déjà à la partie supérieure (2< 1/2 a
ion arbitraire établie dès le principe entre les différents types d' atrophie musculaire essentielle, n'a pu subsister devant l
m- baire fait saillie. Les membres supérieurs sont le siège d'une atrophie généralisée étendue jusqu'aux -mains dont les e
arrière. Le deltoïde est hypertrophié. Aux membres inférieurs, l' atrophie des muscles de la cuisse est notablement moins
a sclérose latérale amyotrophique, de la syringomyélie et même de l' atrophie mus- culaire progressive myélopathique type Ara
re 1896. 424 ABADIE ET DENOYÉS Ce n'est pas non plus : Un cas d' atrophie musculaire progressive neurotique de Hoffmann, ca
s par le nerf facial gauche sont très affaiblis ou même nuls. Pas d' atrophie dans ces muscles, ni de secousses fibrillaires.
sont partout conservées, les réflexes sont normaux, pas la moindre atrophie ; pas de troubles vésicaux. Tous les organes, t
ésion a commencé à une date de beaucoup postérieure. Il n'y a pas d' atrophie dans le domaine des nerfs atteints, pas de DR, et
érieure compliqués soit de la paralysie bulbaire inférieure, soit d' atrophie musculaire, soit enfin d'ataxie locomo- trice o
es autres nerfs du bulbe, la paralysie bulbaire inférieure ou d'une atrophie musculaire, tan- dis que dans le cas indiqué, t
avons eu surtout en vue, d'abord le processus anatomo-patboloique d' atrophie , ensuite nous avons basé notre raisonnement en
le type hypertrophique. Ce dernier peut exister primitivement, sans atrophie et tassement antérieur d'un corps vertébral. On
ans le noyau dorsal droit, de temps à autre, des cellules en voie d' atrophie ; mais ceci n'est pas pour nous surprendre, car
epuis le début de la réaction jusqu'à la réparation com- plète ou l' atrophie avec destruction des éléments. Les cellules en
ou l'atrophie avec destruction des éléments. Les cellules en voie d' atrophie (PI.LXXVI, a) se présentent sous deux aspects d
éjà franchi cette dernière étape et sont en voie de régression et d' atrophie . Les unes (Pl. LXXVII, e) sont ratatinées, recr
ression a atteint un très grand nombre d'éléments nerveux en voie d' atrophie . Nous nous bornons donc à signaler ici, les cel
sont tout à fait pâles ; leur corps est déformé, allongé, en voie d' atrophie . Le plus souvent leur noyau a disparu ; leur pr
uolaires ainsi que de celles qui étaient en voie de réparation ou d' atrophie . Il résulte nettement de la comparaison des div
doux au toucher, plus pâles qu'à gauche, mais il y a pas de réelle atrophie musculaire. Seulement à droite les os sont plus
juillet, l'aphémie a disparu, mais il semble qu'il y ait une légère atrophie de tout le membre supérieur droit en même temps
lumineux, le trapèze et legrand dor- sal droits ne présentent pas d' atrophie visible. Il existe une dépression plus marquée
euses ne sont pas plus visibles que du côté opposé. Avant-bras. - L' atrophie est aussi visible que pour le segment supérieur
ovenant de la région lombaire, à l'état d'achromatose relative avec atrophie du noyau. Elle contient à son intérieur un gros
lule et la fibre nerveuse avant d'arriver à la désorganisation et l' atrophie per- manente présentent des phénomènes de tuméf
ire à l'é- tat d'achromalose relative avec émigration du noyau et atrophie des prolongements. Fio. 23. - Achromatose par
nnant naissance à une destruction partielle de la cellule nerveuse, atrophie avec homogénéisation du noyau. NATURE ET TRAI
deux pieds, par redressement brusque du pied. Troubles trophiques. Atrophie légère des muscles des deux mollets ; pas de tr
horax s'est exagérée. La paraplégie ne s'est pas modifiée ; seule l' atrophie des mollets est un peu plus accentuée, quoique
s troubles moteurs se réduisaient à une paraplégie spasmodique avec atrophie légère des muscles des membres in- férieurs : m
r répara- tion et enfin des divers processus de dégénérescence et d' atrophie des cel- lules nerveuses, en nous arrêtant spéc
chromatique. Mais il y avait aussi bon nombre de cellules en voie d' atrophie dans ce ganglion. Nos autres cas nous ont donné
ue la cellule a subi des lésions trop profondes; dans ce cas elle s' atrophie et disparaît. L'atrophie et la disparition des ce
lésions trop profondes; dans ce cas elle s'atrophie et disparaît. L' atrophie et la disparition des cellules à la suite de la
t la radio- graphie, par GWERT (3 pl. en photocol- logr.), 145. Atrophie olivo-ponto-cérébelleuse, par J. Dcrcxmc et A.
lisée (3 pl. en photocollogr.), 26. DF.IEI11\E J. et A. Thomas. L' atrophie olivo- ponto-cérébelleuse (avec 3 pi. photo-
suivi d'autopsie (1 pl. photogr.), 113. Thomas A. et J. Déierine. L' atrophie olivo- ponto-cérébelleuse (3 pl. photocollogr.
18 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
urs rachidiennes cervicales, irradiées dans les membres supérieurs. Atrophie musculaire considérable dans les membres supé-
emarqua que les .membres supérieurs maigrissaient énormément. z L' atrophie musculaire envahit rapidement les avant-bras et l
e 8 juin 1892. État DU malade A l'entrée. Il se présente avec une atrophie musculaire très accentuée, occupant le thorax e
ion du poignet. Avant-bras très amaigris dans leur ensemble; mais l' atrophie porte surtout sur les fléchisseurs et sur les e
eur que le malade éprouve. Bras amaigris dans leur ensemble, sans atrophie musculaire localisée. Tous les muscles fonction
Tous les muscles fonctionnent, sans énergie il est vrai. Épaule. Atrophie de tous les muscles, mais surtout du grand pector
semble rétracté. La faiblesse des muscles est proportionnée à leur atrophie . Le malade est incapable de manger seul, de s'h
des doigts. Il y a une symétrie absolue dans la distribution de l' atrophie . Réflexes tendineux du coude normaux. Trouble
aigrisse- ment et à la faiblesse générale, mais ils n'offrent pas d' atrophie systéma- tique, pas de douleurs. Les réflexes t
tiges du tout. Enfin la diplopie Il' complètement disparu. Mais l' atrophie musculaire a persisté à peu près telle qu'elle ét
CONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. traitement, malgré un commencement d' atrophie musculaire aux membres supérieurs. (De la ménin
t de troubles profonds dans la nutrition des muscles, dénotés par l' atrophie considérable et la réaction électrique de dégén
let et de la cuisse est le même des deux côtés. Il n'y a donc pas d' atrophie muscu- laire du membre paralysé. Pas de troub
RIÈRE bras de levier auquel ils s'attachent est fort court. Aussi l' atrophie de ces muscles produit-elle la flexion de la tè
s du tronc dépendant soit de la ré- traction musculaire, soit d'une atrophie spécialement localisée, l'attitude des atrophiq
s, quant aux causes et à la na- ture des atrophies musculaires. L' atrophie musculaire progressive (type Aran-Duchenne) conse
ne sauraient laisser subsister aucun doute sur l'exis- tence d'une atrophie musculaire consécutive aux lésions des cornes ant
nt Duchenne de Boulogne avait d'ailleurs décrit plusieurs for- mes ( atrophie musculaire progressive de l'enfance, paralysie ps
s, chacun croyant trouver dans une localisation par- ticulière de l' atrophie un type clinique différencié. A chacun de ces t
e la variété des groupes musculaires pri- mitivement atteints par l' atrophie était infinie, et que celle-ci, limitée au débu
contractiles. De plus, on a noté plusieurs fois la coexistence de l' atrophie et de la pseudo-hypertrophie sur les mus- cles
ropos de sa « forme juvénile ». « On n'y observe pas seulement de l' atrophie : dans plusieurs mus- cles, toujours les mêmes
de la maladie. Dans quelques muscles on voit celle-ci succéder à l' atrophie . D'autres muscles restent longtemps épargnés pa
que dans la paralysie pseudo-hypertrophique, on trouve toujours une atrophie atteignant plusieurs muscles, principale- ment
, de la ceinture scapulaire et des bras. « La localisation de cette atrophie , dit Erb, est partout exacte- ment la même, att
te pas plus considérables entre les cas de pseudo-hypertrophie et d' atrophie juvénile qu'entre les différents cas d'atrophie
o-hypertrophie et d'atrophie juvénile qu'entre les différents cas d' atrophie juvénile ou de pseudo-hypertrophie ». Les obser
e des symptômes cliniques essentiels ». Il en est de même des cas d' atrophie musculaire dite infantile, c'est-à- dire de la
utogen. de.pseio/type ? oamMeoare. Mitano, 1883. -* . (3) Hoffmann. Atrophie musculaire chronique spinale héréditaire dans l'e
dien médian, les portions antérieure et postérieure ayant subi une atrophie beaucoup plus prononcée. Les mouvements d'add
faible. Les muscles de l'avant-bras sont aussi atteints, quoique l' atrophie ne soit ici guère apparente ; il s'ensuit que l
dans la station debout. Une épaisse masse graisseuse dissimule cette atrophie des fessiers et retombe sur les parties latéral
te chute du bassin du côté du pied qui quitte le sol correspond à l' atrophie bilatérale des muscles pelviens, surtout à cell
'156 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE dissimulent parfois l' atrophie des muscles. Notre malade en fournit de nouveau
usculaires, ou bien (comme ici aux jambes) combler les méplats de l' atrophie au point de simuler une configuration extérieure
(3). Cet auteur a constaté que les fibres musculaires subissaient l' atrophie par leurs extré- mités (atrophie longitudinale)
s fibres musculaires subissaient l'atrophie par leurs extré- mités ( atrophie longitudinale). Au sur et à mesure que se raccour
Au point de contact de l'extrémité de la fibre musculaire en voie d' atrophie et de la portion fibro-tendineuse en voie d'accro
tères d'un processus anatomiquement actif. En même temps existe une atrophie transversale des fibres musculaires. Et dans le
on. de la Salp., 1894, ne 3. (3) W. ROTfI, Sur la palhogénie de l' atrophie musculaire progressive. Ziegler's Bei- trâge zu
ndant, quand on examine les muscles, ne présente ni hypertrophie ni atrophie , bien que l'affaiblissement musculaire soit con
ntractilité musculaire, proportionnnée dans une certaine mesure à l' atrophie ou aux altérations de la contractilité volontaire
urs la diminution de l'excitabilité électrique des muscles, comme l' atrophie d'ailleurs, est surtout marquée dans les mus- c
e est aussi très atrophiée, surtout dans ses faisceaux internes ; l' atrophie semble à peu près aussi prononcée à gauche qu'il
épineuse est excavée dans sa partie externe, en raison surtout de l' atrophie du deltoïde postérieur, elle est assez bien rem
ont normaux et fonc- tionnent régulièrement. Tout' se borne à une atrophie musculaire et à des déformations considérables.
) nous dispenseront de longs commentai- res. Quant aux détails de l' atrophie musculaire, on les trouvera dans la note très s
as il canse de leur volume et de leur forme relativement normaux. L' atrophie porte surtout sur le long supinateur et les rad
vexes. L'abdomen est proéminent; sa paroi amincie fait supposer une atrophie notable de ses muscles. Vu de dos, le malade pr
s de la ceinture scapulaire sont pour la plupart très atrophiés ; l' atrophie .est en particulier très marquée pour le trapèze e
duisent à 0 un léger déplacement du scapulum ; à gauche, bien que l' atrophie paraisse presque aussi prononcée, la contractil
apparaissent à ! >·0 ? ; il droite seulement à 30mm. (Malgré l' atrophie des adducteurs du scapulum le rapprochement des é
onserve cependant un volume assez considérable qui contraste avec l' atrophie énorme des muscles du bras. Portion antérieur
u bras. Portion antérieure : à droite, n'est que peu atrophié, et l' atrophie est appré- ciable surtout dans sa partie supéri
il 80mm, il 70mm C. assez bon- nes, il 65, C. bonnes ; - gauche, l' atrophie est plus marquée et porte surtout aussi sur la
'il m'a été donné d'observer. j Si l'on définit l'amyotrophie : une atrophie musculaire qu'accompagne une paralysie proporti
d'entre eux seulement recouvrent dans la suite leurs propriétés. 2° Atrophie musculaire progressive (type Ductienne-Aran). P
ressive (type Ductienne-Aran). Paralysie essentielle des adultes. Atrophie musculaire spinale chronique. Po/<o)Mye7/<
est chronique; l'éminence thénar est la localisation favorite de l' atrophie qui envahit progressivement les autres muscles.
s multiples ou localisées. La paralysie l'emporte ici souvent sur l' atrophie . 4" Atrophies musculaires liées à des poliomyél
rmales, ou seulement celles qui sont en relation avec le degré de l' atrophie , affections probablement indépendantes de toute
amyotrophies qui se distinguent entre elles par la répartition de l' atrophie au début dans certains groupes musculaires; mai
ans l'enfance ou l'adolescence, et sont en général héréditaires : Atrophie musculaire infantile progressive de Duchenne (1)
ire infantile progressive de Duchenne (1) qui débute par la face. Atrophie musculaire progressive d'Erb (2) commençant par l
aire progressive d'Erb (2) commençant par la ceinture scapulaire. Atrophie musculaire progressive de Leyrlen (3) débutant pa
sujet à des attaques d'é- pilepsie « causées par une peur ». Pas d' atrophie musculaire, ni de dif- formités. 8° Une fille
il revient tout de suite à sa position pri- mitive. (PI. XXII). L' atrophie semble un peu moins accusée au bras et à la jambe
endant pas très accusée. Les changements électriques, de même que l' atrophie sont plus accusés à gauche qu'à droite, en géné
mettent bien en évidence les déformations dont nous avons parlé. L' atrophie des membres est suffisamment apparente pour qu'il
ntement et progressivement tous les muscles volontaires du corps. L' atrophie et l'impotence musculaire prédominaient d'une faç
dues à ce fait que tous les muscles de la face sont atrophiés. 2° L' atrophie progressive de tous les muscles volontaires s'est
ns les extenseurs que dans les fléchisseurs des extrémités. Cette atrophie est si intense que l'on ne peut sentir par la pal
La force musculaire a diminuée peu et peu au 'fur et à mesure que l' atrophie s'accentuait. Elle a toujours été proportionnelle
e) qui a le premier décrit ce faciès dans la maladie qu'il appelait atrophie musculaire progressive de l'enfance (2), et qu'
ive de l'enfance (2), et qu'il considérait comme une forme de celle atrophie musculaire progres- sive de l'adulte qui porte
, ce masque, comme par un changement de décor, dénonce avec éclat l' atrophie des muscles faciaux, prélude ou compagne d'une
vec éclat l'atrophie des muscles faciaux, prélude ou compagne d'une atrophie musculaire diffusante et progres- sive ». (1)
Andréa de Pise et montrant le Christ guérissant des malades. ; L' atrophie des muscles de la jambe qui accompagne souvent le
le avec . Fig. 1. 204 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE l' atrophie et les déformations articulaires qui en sont la c
me dans la paralysie radiale; mais on n'y remarque au- cune trace d' atrophie . L'atrophie musculaire fait partie des symptôme
alysie radiale; mais on n'y remarque au- cune trace d'atrophie. L' atrophie musculaire fait partie des symptômes de la lèpre.
ailleurs les discussions qui ont élé soulevées sur. l'identité de l' atrophie lépreuse avec l'atrophie qu'on observe dans la
qui ont élé soulevées sur. l'identité de l'atrophie lépreuse avec l' atrophie qu'on observe dans la syringomyélie et la maladie
x cas de myopathie atrophique, type Lazdouy-Déje- rine, et un cas d' atrophie musculaire, type Aran Duchenne, dans la même fa-
rain, 1896. ROTI ! . - Contribution à l'allatomie pathologique de l' atrophie musculaire progres- sive, Comptes rendus de la
'ochenschr., 1886. CHARCOT ET MARIE. - Sur une forme particulière d' atrophie musculaire progres- sive, Revue de Méd., 1886.
ll. Soc. anat. 1891. FERRIER. - The Pathology and distribution of atrophie Paralysis. British Med. As- soc Meeting; Lancet
ne 20, 1891. JorFROY ET Ar : IIARD. - Contribution et l'Etude de l' Atrophie mllscul. chez les hé- miplégiques. Arch. de Méd
giques. Arch. de Méd. exp. et anat. pathol., 1891, no 6. JOURNÉE. - Atrophie Musculaire progressive, Progrès Médical, 1892, n°
H). - Dystrophia muscula¡'is hyperplastica (TVah¡'e l11uskelhype¡', atrophie ), Deutsche Zeitschrifft sur Nervenheilkunde (1892
is, mai 1893. C. GRANDON. - Étude clinique sur les relations de l' atrophie musc. progr. de l'a- dulte avec la paralysie in
f. Nerv. and. Ment. Discases, Avril 1893, n° 4, p. 252. F. Raymond. Atrophie musculaire à marche progress., chez des syphiliti
med. des Hôpit., 3 fév. 1893. STRUMPELL. - Contrib. à l'étude de l' atrophie muscrcl. progress. Deutsche Zeitschr. für Nerve
93, p. 427. SIRTORI. Contribut. à l'étude des formes juvéniles de l' atrophie muscul. progres- o sive. Archivio italiano di c
res- o sive. Archivio italiano di clinica medica, 1893. Burrtrrc. Atrophie muscul. neu¡'opath. dans un cas de chorée chroniq
i della societa medico. chirurg. Bologna, 1893. ToMMASELu. Un cas d' atrophie musc, juvénile (type d'Brb.) Riforma medica, 1893
ELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE WLADiMmRoTH. J°67M/e<ttede l' atrophie mnscnl. progressive. Ziegler's Beitr. z. Pathol
, Reforma medica, 1893. J.-E. EDGREN. - De la forme névritique de l' atrophie musculaire progressive. Hygiea, 1893, p. 591.
importantes, ne sont pas exceptionnelles. Elles se combinent avec l' atrophie sur les mêmes surfaces diartlirodiales, de façon
o Romhcrg, du myosis bilatéral avec perte du réflexe lumineux, de l' atrophie papillaire avec un peu d'amblyopie et des douleur
'arthropathie, nos faits rentrent dans le type classique : usure et atrophie à l'épaule (Obs. 1), ostéophytes et hy- pertrop
pertrophie aux genoux (Obs. II et 111). D'ailleurs, qu'il s'agisse d' atrophie ou d'hypertrophie, la nature de la lésion est t
contraire, pense qu'elle est d'origine musculaire, et causée par l' atrophie des muscles lransversai- (1) Nous remercions M.
'amputa- tion la mort arriva par septicémie. Ce malade avait de l' atrophie des 2 mains, mais il n'est pas dit qu'il ait eu
de lésions bypertropbiques on trouve au contraire les os en voie d' atrophie . Signalons en passant les lésions de la diaphys
e membre supérieur droit est atrophié dans son ensemble, mais celle atrophie d'origine réflexe (amputation des doigts) n'esl.
syringomyéliques et présente un intérêt particulier par l'absence d' atrophie musculaire manifeste. Résumé de l'observation.
tence de son membre supérieur droit. Motilité. On ne remarque pas d' atrophie visible des muscles des membres et du tronc, sa
nerf atteint; il existe de la douleur au niveau du nerf et enfin l' atrophie mus- culaire est rapide. Pour les mêmes raiso
rites, l'indolence et la facilité de réduction et enfin l'absence d' atrophie musculaire notable. Puis les lésions nerveuses
lente de l'affection, la dissociation de la sensibilité excluent l' atrophie musculaire progressive et la sclérose latérale am
s prétexte que vous ne trouvez pas une hypertrophie de la rate, une atrophie du foie, une pa- raplégie spasmodique, n'allez
r ces deux membres et surtout le membre supérieur étaient frappés d' atrophie ; ce dernier, réduit de volume dans sa totalité, n
e corticale ne sont-ils jamais primitifs. Il ne s'en suit pas que l' atrophie musculaire soit chose rare chez les tabétiques ;
r l'existence que nul ne conteste-des névrites périphériques dans l' atrophie ARTHROPATHIES NERVEUSES ET TROUBLES DE LA SENSI
tabétiques, on peut d'autant mieux concevoir la pathogénie de celte atrophie , en ajoutant l'influence des désordres sensitifs
le tabes la forme hypertrophique ne tend pas nécessairement vers l' atrophie . Le type atrophique a été rencontré notamment d
s. Ainsi on voit signalées dans la première observation de Nissen l' atrophie de la tète Immorale à côté de l'hypertrophie de
'hypertrophie de la cavité articulaire. Il n'est pas fréquent que l' atrophie musculaire soit superposée il l'ar- thropathie.
es de l'épaule droite ont subi un degré notable d'alrophie et cette atrophie a bien les caractères d'une amyotrophie d'origine
eur les signes suivants : l'abolition de la sensibilité tactile ; l' atrophie et la parésie des muscles superficiels de la fa
derniers symptômes n'excluaient pas le tabès. Enfin ou découvrit l' atrophie musculaire et la dissociation de la sensibilité
ons atteintes, ankylose souvent fibreuse, parfois même osseuse avec atrophie des extrémités articulaires constatée directeme
nuls ou passagers : nuls si la résection ne peut dépasser la zone d' atrophie osseuse, passagers si elle la dépasse, car le pro
les modes de la sensibilité. Au membre supérieur, il y a une légère atrophie musculaire en masse. Le périmètre donne les chi
un peu abaissée : la pupille dilatée ne réagit point. Il y a en outre atrophie de la papille et névrite ancienne (contours irr
ille est un peu dilatée mais réagit normalement. Il y a égale- ment atrophie .par névrite delà papille et même aspect ophthalm
emblerait en rapport avec une lésion diffuse et extensive. Quanta l' atrophie des nerfs optiques, nous croi- rions volontiers
tcrale droite de la 11'° vertèbre cervicale sur la 1 ? Paralysie et atrophie des muscles dépendant des lie et ¡Se segments ra-
ltime dans un certain nombre d'affections médullaires, telles que l' atrophie musculaire progressive, la sclérose latérale amyo
19 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
cipal de l'oxycéphalie, est en rapport avec l'hyperten- sion, car l' atrophie est précédée d'oedème de la papille. Cette atroph
en- sion, car l'atrophie est précédée d'oedème de la papille. Cette atrophie ne dépend pas des canaux optiques, dont le diam
ne prouve que leur rétrécissement ne soit pas alors secondaire à l' atrophie optique. Du côté du crâne, l'un des signes de
tate : oeil droit, mydriase considérable, vision = 1 ; oeil gauche, atrophie blanche du nerf optique très avancée, vision z1/1
épendent d'une affection bien plus ancienne, l'oxycéphalie. Outre l' atrophie du nerf optique, ces signes oculaires indiquent
conséquences ? Ces questions restent ouvertes. CONCLUSIONS. 4° L' atrophie du nerf optique n'est pas la conséquence d'un can
normal. Par contre la région sous-thalamique à droite est^en forte atrophie ; le corps de Luys n'a pas la inoitié du volume
volontaire des muscles. Un de ces cas' fut examiné anatomiquement : atrophie très forte des corps striés et des régions sous-t
ontraient des altérations ni macrosco- piques, ni microscopiques, l' atrophie se limitant à la région sous-thalami- que (corp
ce nerf.. - Les deux traits principaux sont dans ce cas : 1 ° L' atrophie des interosseux ; 2° L'altitude dite « griffe c
u médius, et le médius peu écarté de l'index (pl. XXI, fig. B). L' atrophie des interosseux, du premier surtout, donne parfoi
spect dit « squelettique » (pl. XXI, fig. B). A la face palmaire, l' atrophie de l'éminence hypothénar est notable; à ce nive
appuyée, donne l'impression d'un creux plutôt que d'une saillie. L' atrophie de l'adducteur du pouce doit être appréciée par
parant le pouce de l'index (pl. XXII, fig. B). Par suite de cette atrophie musculaire, les tendons des fléchisseurs font s
a paume, et les tendons des extenseurs au dos de la main. Lorsque l' atrophie est très accusée, on peut observer un léger dépla
terne de l'éminence thénar. Si la lésion date de quelques mois, une atrophie importante envahit également le groupe des musc
territoire du cubital où la peau est plus brune et plus sèche. L' atrophie musculaire est moins marquée que dans les paralys
l'éminence thénar. Par contre, il existe toujours un degré marqué d' atrophie des muscles situés au-dessus de la lésion et n'
particulier, absolument inutilisables (pl. 1VII, fig. F et H). L' atrophie de la main va en augmentant et porte sur tous les
de l'ongle ont tendance à déborder leur rainure d'incrustation. L' atrophie semble s'étendre aux os, toute la main s'affine e
devient de l'hypoesthésie, la piqûre est perçue comme un contact ; atrophie notable de l'éminence hypothénar, delà partie i
.était incomplète, surtout dans le domaine du scia- tique externe ; atrophie importante des muscles postérieurs de la cuisse
éguments devenus inextensibles, et d'autre part, par un processus d' atrophie et de résorption même osseuse, qui finit parfoi
tre par un lien élastique. Supposant que cet appareil entretenait l' atrophie et empêchait la rééducation, Lucca le supprime.
é musculaire conservée. Pas de douleurs à la pression des muscles ; atrophie musculaire ; pas de contractions fasciculaires.
lités normales, sauf douleurs diffuses dans les membres inférieurs. Atrophie considérable des muscles des mollets, très flasqu
ses. Pas de douleurs à la pression dans les mollets. Mollets mous ; atrophie musculaire. Réflexes rotuliens vifs. La maladie
rs vives dans les muscles des jambes, du genou, au bas de la jambe; atrophie musculaire rapide; faiblesse persistante. Diarr
bulbaires qui ont brusquement déterminé la mort. Un certain degré d' atrophie musculaire des muscles paralysés ou paré- siés
général est bon. Aux membres inférieurs, on ne peut observer aucune atrophie ni de diminu- tion de la sensibilité. La force
, p. 767. DOCUMENTS POUR L'ÉTUDE DES ATROPHIES MUSCULAIRES I. - ATROPHIE musculaire PURE sans paralysie par. tiraillement
URE sans paralysie par. tiraillement du - PLEXUS BRACHIAL. - IL - Atrophie musculaire PURE, sans paralysie, dans LE domaine
torze ANS après UNE fracture méconnue DE la clavicule. ' ' III. - ATROPHIE musculaire syphilitique A type péronikr, simulant
simulant l'amyotrophie CHARCOT-IIÎARIE. PAR André LÉRI. , 1 Atrophie musculaire pure sans paralysie par tiraillement
rédominant, c'est elle qui commande avant tout la distribution de l' atrophie ; l'amyotrophie est post-paralytiqué u. Telle e
ost-paralytiqué u. Telle est règle. Elle souffre des exceptions ; l' atrophie musculaire peut survenir sans aucune paralysie
NOUIF.1,LU Iconographie DU. f,A Salpêtrière. T. XXVIII. PL. XLVI ATROPHIE MUSCULAIRE PURE SANS PARALYSIE PAR TIRAILLEMENT
d'un léger amaigris- sement au niveau de l'éminence thénar ; cette atrophie a progressé depuis avec une extrême lenteur. En
uelques jours. 1 Quand nous l'examinons, nous constatons une grosse atrophie de la main gauche. Le premier espace interosseu
sans plus de difficulté qu'on ouvre et qu'on ferme un éventail. L' atrophie de l'avant-bras est très apparente, surtout dans
nt-bras, le long supinateur paraît aussi fort que du côté sain. L' atrophie du bras est minime ; elle parait porter essentiel
férieurs. .. En somme, tout se réduit chez ce malade à une grosse atrophie de l'éminence thénar et des interosseux à gauch
se atrophie de l'éminence thénar et des interosseux à gauche, à une atrophie un peu moindre de l'éminence hypothénar et des
nce hypothénar et des fléchisseurs des doigts, proba- blement à une atrophie légère du biceps. Autrement dit, l'atrophie porte
s, proba- blement à une atrophie légère du biceps. Autrement dit, l' atrophie porte d'une façon inégale sur tout le domaine d
aussi très légèrement sur le musculo-cutané (biceps). Partout où l' atrophie n'est pas très prononcée, il n'y a pas et il n'
y a et il n'y a eu aucun trouble sensitif ni vaso-moteur. A cette atrophie pure, progressive et en apparence primitive, on n
traumatisme survenu trois à quatre mois avant les premiers signes d' atrophie . Il semble que ce traumatisme n'a pu agir que d
y a eu aucune paralysie, aucune anesthésie, et, trois mois après, l' atrophie progressive a pu paraître véritablement le phén
tiologié est peu connue et passerait faci- lement inaperçue. II Atrophie musculaire PURE, sans paralysie, dans LE domaine
Nous avons rapporté l'observation d'un malade chez qui survint une atrophie musculaire pure, sans paralysie préalable, à la s
traumatisme furent une véritable révélation radiographique ; 2° L' atrophie musculaire fut une conséquence extraordinairement
ll Iconographie dl la S.4LP) : 'l'RII : R);. T. XXVIII. Pal. XLVI ATROPHIE MUSCULAIRE SANS PARALYSIE DANS LE DOMAINE DU PLEX
e de l'un et de l'autre côté. Ce qui frappe à première vue, c'est l' atrophie considérable du deltoïde gauche; l'épaule est n
ion et la partie externe de la clavicule font une forte saillie ; l' atrophie du deltoïde est globale, portant également sur
également sur les faisceaux antérieurs, moyens et postérieurs. Cette atrophie n'empêche pas le malade de porter ses bras laté
rable. En regardant d'un peu plus près, on voit manifestement que l' atrophie est loin d'être limitée au deltoïde ; elle port
ux que du côté opposé ; dans le même mouvement, on constate aussi l' atrophie manifeste du long supinateur dont la corde est
t la face postérieure de l'avant-bras est aplatie. Enfin il y a une atrophie légère, mais pourtant bien apparente, de la parti
ent l'extrémité du pouce et celle du petit doigt. Il n'y a aucune atrophie des muscles du cou ou de l'épaule autres que le
èzes ou des sterno-cléido-mastoïdiens. Tout se résume donc en une atrophie très accentuée du deltoïde, moins accentuée du
geait plus à ce traumatisme quand à 26 ans, 14 ans après, survint l' atrophie de l'épaule. Y avait-il entre ce traumatisme en
ation nous a paru mériter d'être rapportée. 260 - LÉRI III .. Atrophie musculaire' syphilitique A TYPE péronier (simulan
us avons affirmé depuis 1903 (1) que la causera plus fréquente de l' atrophie musculaire progressive Aran-Duchenne est' la sy
es spinales et syphilis. Congrès, de neurologie, Bruxelles, 't9(M ; Atrophie musculaire progressive spinale (type Duchenne-
uvelle Iconographie I)1 L.1$.\LPL'IRIl : RE. T. XXVHI. PL. XLV111 atrophie musculaire SYPHYLITIQUE A type PÉRONIER simulan
rçu déjà en constatant que chez les amyotrophiques Aran- Duchenne l' atrophie musculaire avait gagné les membres inférieurs, ma
tendu dire qu'aucun parent ait eu des troubles de la marche ou de l' atrophie des membres. Le 20 mai 1915, un obus éclata prè
te maigrissait, aussi bien en avant qu'en arrière. C'est pour cette atrophie qu'il nous est adressé. L'atrophie est en eff
u'en arrière. C'est pour cette atrophie qu'il nous est adressé. L' atrophie est en effet extrêmement prononcée. La jambe droi
tout juste une légère saillie du haut du mollet (mollet de coq), l' atrophie porte en masse aussi bien sur les muscles antér
s tendons péroniers ; cette saillie anormale paraît due surtout à l' atrophie des péroniers latéraux et à une sorte de sublux
utour d'un axe vertical qui passerait par le milieu de ce bord. Son atrophie est considérable ; ni i la vue ni au toucher il
'étendent légèrement, surtout le premier. A première vue, c'est l' atrophie de la jambe et du pied droit qui frappe, si bie
t qui frappe, si bien que le malade nous ayant été adressé pour une atrophie consécutive à un traumatisme, nous avons cru d'
atrophie consécutive à un traumatisme, nous avons cru d'abord à une atrophie réflexe. Mais l'impor- tance de l'atrophie étai
avons cru d'abord à une atrophie réflexe. Mais l'impor- tance de l' atrophie était hors de proportion avec le peu d'intensité
paru les troubles. De plus, il nous a été facile de constater que l' atrophie portait aussi à un moindre degré certes, mais d
au sphygmomanomètre du Potain, pour 26 aux radiales). - Malgré l' atrophie , tous les mouvements segmentaires des deux membre
e la formule galvanique. En somme, ce malade de 32 ans présente une atrophie très pro- noncée de toute la musculature des pi
pro- noncée de toute la musculature des pieds et des jambes et une atrophie légère de la partie inférieure des cuisses. Cet
s et une atrophie légère de la partie inférieure des cuisses. Cette atrophie est beaucoup plus prononcée du côté droit, et,
de la jambe droite, on a tendance au premier examen à croire à une atrophie réflexe post-traumatique. Mais le traumatisme
l qu'en apparence, et certaines observations publiées sous le nom d' atrophie musculaire type Charcot- Marie mériteraient-ell
ois mois après, lorsqu'elle vint nous consulter la première fois, l' atrophie des muscles de la 'ceinture scapulaire était dé
scles lombaires, des muscles du bassin et des membres inférieurs. L' atrophie musculaire a donc atteint les parties moyenne et
les muscles rhomboïdes, les grands dentelés. Les muscles atteints d' atrophie présentent les caractères suivants : ils sont sym
omme de 29 ans (G. M. de' Bologne), chez lequel la disposition de l' atrophie était un peu moins symétrique que chez la malad
es épaules avec difficulté. En conclusion, on note du côté gauche l' atrophie du grand, du petit pecto- ral et du rhomboïde,
e du grand, du petit pecto- ral et du rhomboïde, et du côté droit l' atrophie du grand pectoral et du grand dentelé, le muscl
ous a intéressé à cause de la localisation purement scapulaire de l' atrophie et de l'absence de tout caractère fami- lial (1
dans deux cas trouva on une concrétion calcaire dans la thyroïde, l' atrophie de cette glande contenant de la ma- tière collo
dominance surtout de l'hypo physe. Chez notre malade, on trouve l' atrophie de l'appareil thyroïdien et les indices du synd
e, leur union ou bilaté- ralité. KLIFPEL et BOUCHET (Hémimélie avec atrophie numérique des tissus. Nouv. Ico- nogr. de la Sa
eure de l'humérus. La luxation congénitale du coude, par suite de l' atrophie du cubitus, est évidente. L'extrémité inférie
amen radiographique du membre atrophié (fig. 8 et 9). Fémur normal. Atrophie congénitale du tibia, qui se trouve représenté
alléole péronière et d'articulation tibio-tarsienne. Déformation et atrophie du tarse et du méta- tarse, de telle sorte que
d'un syndrome d'irritation léger du plexus brachial dans des cas d' atrophie musculaire, de parésies et de troubles trophiqu
ucoup plus atténuée. Ce qui domine, ce sont la parésie et surtout l' atrophie musculaire, les troubles trophiques cutanés et
an. Tiraillement du membre supérieur droit par retour de manivelle. Atrophie et parésie prédominant sur les muscles périscapul
droite, de l'avant-bras et de la main, prédominant à l'épaule. Une atrophie musculaire nette complique celle parésie. Elle es
e. Lésion par balle dans la région du plexus brachial. Paralysie et atrophie prédominant sur les muscles périscapulaires. Aucu
ommotion le 2 juillet 1916. Etat le 15 novembre 116. - Parésie avec atrophie du membre supérieur droit prédominant à l'épaul
du membre supérieur droit prédominant à l'épaule. La paralysie et l' atrophie des muscles périsca- pulaires est telle que les
sont impossibles. L'antëpulsion est moins complètement supprimée. L' atrophie est d'ailleurs compliquée pour le grand pectora
ion de l'épaule reste indemne. Au niveau du bras, existe aussi de l' atrophie et de plus les muscles -sont plus mous que du côt
possibles quoique diminués de force. A l'avant-bras existe un peu d' atrophie . Au poignet, les mouvements de flexion-extension
ement incomplets et à ce niveau on constate peut-être un peu plus d' atrophie . Dans l'ensemble, parésie et atrophie diffuses
state peut-être un peu plus d'atrophie. Dans l'ensemble, parésie et atrophie diffuses du membre supérieur droit prédominant
notonus, aucune élévation des seuils. On pourrait donc conclure une atrophie réflexe type Bahinski-Froment. La participation
érieur droit.. 1 Il semble donc qu'on ait affaire à un syndrome d' atrophie et parésie réflexe. La participation du plexus
t en février 1916. Le malade présente une paralysie incomplète avec atrophie moyenne du membre supérieur gauche. Paralysie et
lète avec atrophie moyenne du membre supérieur gauche. Paralysie et atrophie : \OU\" 1 1-1 1 [<'.n\HK,UAi'ii[i'' ni 1..\
atteint ont des contractions vives. On pourrait donc conclure aune atrophie avec parésie réflexe, type Ba- binski-Froment.
ntre de la VIIIe armée le 11 septembre 1917, avec le diagnostic : « Atrophie progressive des muscles, des.mains et de l'avant-
- blement. » Un examen sommaire nous montrait immédiatement que l' atrophie muscu- laire, inégalement répartie suivant une
'eut qu'un seul frère mort à 30 ans d'embolie sans avoir présenté d' atrophie musculaire, de paralysie, ni de tremblement. Lu
La diminution de la force s'accentua progressivemenl de pair avec l' atrophie musculaire qui creusait des sillons entre les m
ette position pour éviter un tremblement spontané qui le gêne. A. L' atrophie musculaire apparaît dès qu'on regarde les mains :
erosseux, les éminences thénar et hypothénar ont presque disparu. L' atrophie d'ailleurs dépasse sensiblement les extrémités di
st modifiée nettement dans le sens de la R. D. qu'à une époque où l' atrophie musculaire est telle que la réaction perd beauc
t à peu près nulle ; le phénomène est nettement progressif. Comme l' atrophie , il manquait d'abord complètement à droite et s
apelet. L'hypertrophie des nerfs précède nettement les phénomènes d' atrophie et les gros troubles fonctionnels. Par ailleu
on décrite, nous devons retenir le syndrome caractérisé par : 1° L' atrophie musculaire à localisation distale, lentement prog
able des gros troncs nerveux. Ce syndrome élimine d'emblée : A) L' atrophie myélopathique par lésion intra-médu) taire en foy
VIII 26 - 382 DIDE ET COURJON graphie et un aspect semblable de l' atrophie peuvent s'observer en pareil cas, elles comport
s de la peau, des taches de pigmentation spéciale ; d'autre part, l' atrophie musculaire n'affecte jamais la topographie que no
ir et Long (2) (de Genève) en a rapporté un en 1906 sous le nom . d' atrophie musculaire type Aran-Duchenne par névrite interst
de volume (circonférence 44 cm.); ses dimensions contrastent avec l' atrophie considérable de la cuisse et de la jambe. Il es
à travers les habits laisse voir un pénis très réduit et une grande atrophie des testicules. - L'état psychique est apparemm
1 nécessaire, qu ce ine veut pas dire qu'elle est suffisante. Toute atrophie testiculaire ne provoque pas en effet l'infanti
striction finale, fait allusion à l'observation de Widal et Lutier, atrophie congénitale et complète des testicules sans signe
st certain, c'est que la glande génitale est toujours intéressée, l' atrophie testiculaire ou utéro-ova- rienne, l'impuissanc
r par suite d'un traumatisme ou d'une grave orchite bilatérale, une atrophie , ou · mieux une régression des organes sexuels,
bère. - Chez le malade auquel se rapporte l'observation VI, après l' atrophie des testicules qui ont pris la dureté d'une pie
sion testiculaire continue, à laquelle suc- cèdent des phénomènes d' atrophie de l'organe et la régression des carac- tères s
yndrome de Frôhlich, dystrophie adiposo-génitale hypophysaire, avec atrophie secondaire de la glande génitale. Pour nous a
a nosologie méthodique de Sauvages, par BENON et LEINBERGER, 297. Atrophie musculaire pure, sans paralysie, par tirailleme
), ), par LAIGNEL-L.1VA5'CINE et P. COURBON, 81. Plexus brachial ( Atrophie musculaire pure par tiraillement du -), par Lér
pure par tiraillement du -), par Léri et DAGNAN-BOUYERET, 252. ( Atrophie musculaire pure, dans le do- maine du - supérie
tion de la poly- névrile - ou mercurielle), par Petren, 226. ' ( Atrophie musculaire - à type péro. nier), par Léri, 260.
E. Névrite hyper- trophique, 377. DAGNAN-BouVERET (Jean) et Léri. Atrophie musculaire pure par tiraillement du plexus br
mations des mains et des pieds chez les blessés ner- veux, 121. Atrophie musculaire pure quatorze ans après une fracture
torze ans après une fracture méconnue de la cla- vicule, 256. - Atrophie musculaire syphilitique à type péronier, simula
simulant l'amyotrophie Char- cot-Marie, 260. et Dagnan-Bouveret. Atrophie muscu- laire pure par tiraillement du plexus
20 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'épilepsie partielle. (Archiv. de Neu- )-ologie, 1884.) Babinsky. L' atrophie musculaire dans l'hystérie. Progrès médical 188
e s'asseoir. - Le système musculaire est très bien développé. Pas d' atrophie , pas de secousse fibrillaires. Les masses muscu
trent qu'il dit la vérité, à savoir : 1° l'absence absolue de toute atrophie dans les mem- bres paralysés; 2° l'état dans le
sie, n'eût pas fait de doute, mais cette paralysie s'accompagnait d' atrophie : Eh bien, il est péremptoirement démontré aujo
rophie : Eh bien, il est péremptoirement démontré aujourd'hui que l' atrophie musculaire accompagne assez souvent la paralysi
me est-il encore plus évi- dent lorsque la paralysie s'accompagne d' atrophie , lorsque l'oedème produit de la gangrène cutané
is, il est guéri d'une contrac- ture des membres du côté droit avec atrophie . « Mais, dit explicitement le narrateur, sa mai
trophiques d'origine hys- térique qu'on commence à bien connaître : atrophie muscu- laire, oedème, tumeurs avec ulcérations.
. III. Contribution A L'ÉTUDE DE l'épilepsie jacksonienne ET DB l' atrophie musculaire D'ORIGINE cérébrale ; par L. KR.1MER.
des doutes si les convulsions n'avaient été suivies de parésie et d' atrophie . Et d'abord il n'y a pas paralysie générale (ni t
ique de la base s'insinuant entre la bandelette et le nerf optique ( atrophie de celui-ci) ou d'un foyer inflammatoire circon
miparésie et l'épilepsie jacksonienne (irritation sous-jacente). L' atrophie aurait la même origine, étant donné qu'elle est p
rce (Quincke Hirt Eisenlohr). Autopsie. Leptoméningite chronique, atrophie et hypérémie cérébrale. Pneumonie lobulaire. Os
. L'évolution de cette psychose a - duré vingt-cinq ans. G. D. X. Atrophie partielle symétrique DES hémisphères ET PORENC-
lation de l'autopsie d'un idiot dont le cerveau présentait : 1° une atrophie de la seconde circonvolution temporale et de la
et de la seconde circonvolution occipitale des deux côtés ; 2° une atrophie porencépbalique occupant le lobe frontal de l'h
à un simple arrêt de développement D'après lui la porencéphalie, l' atrophie simple, les ramollissements, les dégénérations
oppement et de l'évolu- tion, un trouble nutritif aboutissant à une atrophie générale, ona- nisme avec les signes habituels
l., 1891.) Paralytique général atteint d'amaurose de l'oeil gauche ( atrophie de la papille) pendant les derniers temps de la
ané du champ visuel de l'oeil droit à droite. L'autopsie révèle une atrophie du nerf optique gauche dont les fibres sont toute
110 REVUE. D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. C'est à l' atrophie des fibres de la substance grise des cavités qu'i
rne et de l'écorce de l'Insula ; en bas, elle ne se sépare pas de l' atrophie latérale, et on la retrouve à l'état de fascicu
at de fascicule scléreux dans la pyramide du bulbe. Secondairement, atrophie du pulvinar, du corps genouillé externe, du bra
e la couronne rayon- nante entrent directelllentdans les ganglions. Atrophie encore plus avancée du corps genouillé interne
latéraux de la couche optique, qui est probablement consécutive à l' atrophie du lobule pariétal inférieur (et de la circonvo
des préparations (lapins) montre le rapport pathogénétique entre l' atrophie de la racine ascendante et celle de la substanc
lésé entre la protubérance et le ganglion de Casser, on y trouve l' atrophie des deux organes. P. Klraval. XIV. DE l'atrophi
r, on y trouve l'atrophie des deux organes. P. Klraval. XIV. DE l' atrophie DES fibres dans la substance grise ET des PRO-
e a permis de découvrir, en outre, des altérations musculaires, une atrophie très prononcée des fibres nerveuses, dissociati
atteinte; l'examen du noyau du facial (picro-carminé) démontre une atrophie importante de ses cellules. Dans d'autres expérie
ant dans la racine que dans le noyau du facial les mêmes lésions, l' atrophie des cellules était pourtant un peu moins pronon
moins de certaines formes des atro- phies musculaires, surtout de l' atrophie musculaire progressive neurotique (type péronéa
clinique un malade, atteint de syringomyélie. Il présente une forte atrophie musculaire et un anesthésie typique d'un membre
partie thoracique. Marche titubante. Le symptôme de Romberg. Une atrophie diffuse générale des membres gauches. Diminution
ubles du sens du toucher, principalement du côté gauche. Nystagmus. Atrophie de la moitié droite de la langue. La largeur de
glosses. Discussion : M. le Dr RosSOLIMO pense pouvoir rapporter l' atrophie de la langue à une légère lésion des fibres tro
. Ses expériences avec la section du nerf lingual, qui est suivie d' atrophie des muscles linguaux semblent confirmer cette m
basant sur l'intégrité de l'excitabilité électrique, suppose que l' atrophie est d'origine réflexe. M. le Dr RoTU mettant' e
système nerveux, il s'appuie sur un cas de gliomatose spinale avec atrophie des nerfs optiques. III. M. le Dr G. P(tIBYTK
e comme résolue en sens négatif vu les expériences de Mendel, sur l' atrophie de cette partie à la suite de l'extirpation de
ophique, par exemple, les auteurs nous montrent dans le muscle, une atrophie de la fibre et du réseau terminal de la plaque,
qui n'est certes pas à dédaigner : qu'est devenu l'an- cien groupe atrophie musculaire progressive, tel que ce grand observ
ui répondent l'un à la sclérose latérale amyotrophique, l'autre à l' atrophie du type Duchenne-Aran, ont pour caractères comm
re les deux affections, c'est, vous le savez, que dans la maladie ATROPHIE D'UN MEMBRE INFERIEUR. 1G3 de Duchenne-Aran, la
sorte, les symptômes de la poliomyélite antérieure, c'est-à-dire l' atrophie muscu- laire progressive. 1° Certaines myélit
peuvent reproduire assez fidèlement les caractères cliniques de l' atrophie musculaire progressive. M. Ray- mond en rapport
La même altération des cornes antérieures, se tra- duisant par une atrophie symétrique et lentement effec- tuée des muscles
tualité se réalise dans le renflement cervical, il en résulte une atrophie progressive et souvent symétrique des deux memb
bres supérieurs, tout à fait semblable, vous le comprenez, soit à l' atrophie du type Aran-Duchenne, soit à la sclérose latér
la trépidation spinale se produit dès qu'on redresse brusquement ATROPHIE D'UN MEMBRE INFÉRIEUR. 165 l'avant-pied. Serait
moins prononcée, se montre com- binée aux symptômes classiques de l' atrophie muscu- laire progressive. Cette anesthésie est
ItVEUSE. spinale, qui toutes figuraient dans l'ancien groupe de l' atrophie musculaire progressive. Elles n'y prenaient pas
t la myopathie pri- mitive était englobée dans le grand groupe de l' atrophie musculaire progressive de Duchenne. Nous en avo
e en général vers la vingtième année; elle débute par les muscles atrophie D'UN membre inférieur, 167 de la ceinture scapu
us pourrez voir dans son livre une planche qui a trait à un cas d' atrophie répondant bien certainement à la forme juvénile
andouzy et Déjerine ont repris l'étude de la forme infantile de l' atrophie musculaire progressive, d'après Duchenne. Ces a
malades que voici sont deux exemples typiques de cette variété d' atrophie myopathique. Aujourd'hui on s'accorde assez gén
tions de ce membre. C'est la vue, la vue seule qui lui a révélé l' atrophie considérable qui porte sur le membre atrophie D
qui lui a révélé l'atrophie considérable qui porte sur le membre atrophie D'UN MEMBRE inférieur. 169 inférieur gauche. Et
s. C'est donc une chose récente ou relativement récente que cette atrophie . Il vient nous demander un avis, un pronostic,
z Voici ce qu'un examen méthodique nous a permis de constater. L' atrophie porte sur les muscles du pied, de la jambe, de
ssai), sans ressentir dans la jambe atrophiée un sentiment de fa- atrophie d'un membre inférieur. Il -1 1 ligue ou de gêne
ues sont normales. Quelle est donc la signification d'une semblable atrophie ? On peut rejeter tout d'abord l'hypothèse d'un
roite et de la partie supérieure du bras ont subi un commencement d' atrophie , qu'ils sont le siège de con- 172 CLINIQUE NERV
rieurs sont notablement exagérés. Il s'agit donc évidemment d'une atrophie qui tend à se généraliser. Le réflexe massétéri
relativement court. Cependant n'est-il pas singulier qu'avec une atrophie aussi accentuée l'examen électrique ne révèle e
, ne fût-ce que l'absence d'une impuissance motrice dans un cas d' atrophie musculaire aussi avancée. Eh bien ! le malade e
de stig- mates permanents, il est vrai, pas d'anesthésie, pas de atrophie D'UN MEMBRE INFÉRIEUR. 173 rétrécissement du ch
t parfois en quelques jours après une durée qui est très variable ATROPHIE D'UN MEMBRE INFÉRIEUR. 175 elles peuvent rétroc
ns les publica- tions de ces dernières années certains exemples d' atrophie musculaire hystérique dans lesquels l'exis- ten
stic ; car il n'a pas été démontré du moins jusqu'à ce jour que l' atrophie musculaire hystérique peut donner lieu à des ré
ire entre les faits observés chez notre malade et l'hypothèse d'une atrophie dynamique. Car ici on ne constate aucune des mo
s réac- tions auxquelles on était en droit de s'attendre pour une atrophie aussi prononcée, si son point de départ t était
prochait de lui, pris de frayeur, il se dressait sur son lit, trem- ATROPHIE D'UN MEMBRE INFÉRIEUR. 177 7 blant de tous ses
e 19 janvier 1893. 1 Etat actuel. On constate chez cet homme : 1° Atrophie du membre inférieur gauche intéressant les deux s
ssant les deux seg- ments du membre (jambe, cuisse et fesse), cette atrophie est très prononcée. Contraste choquant au premi
e fonctionnelle, aucune faiblesse dans les membres intéressés par l' atrophie . Cependant à l'épreuve des mouvements provoqués
ale de Landouzy et Déjerine. On sait, en effet, que cette variété d' atrophie musculaire fut décrite, en premier lieu, par Du
e (de Boulogne) qui la considérait comme étant de même nature que l' atrophie mus- culaire progressive ou, autrement comme re
'en sont pas moins intéressants. Tout d'abord, en ce qui concerne l' atrophie musculaire, elle ne cessa pas de progresser len
embres supérieurs, la main et l'avant-bras restent indemnes, mais l' atrophie est extrème, aux bras et aux épaules, la malade
du bras, on est frappé de la coloration, de la consistance et de l' atrophie con- sidérable qu'ils présentent. Ils revêtent
celle de la graisse. Si tous les muscles du bras participent à l' atrophie , il n'en est pas de même en ce qui concerne ceu
es lésions analogues mais plus intenses encore, quant au degré de l' atrophie . Ici ou peut presque compter les unités muscula
ui un grand nombre d'arguments : l'hé- rédité, la localisation de l' atrophie dans certains muscles cor- respondant à des cen
gine nerveuse. Nous en dirons autant du mode de distribution de l' atrophie musculaire, que les recherches de Babinski et O
c des localisations nerveuses spinales. Quant à la coïncidence de l' atrophie musculaire avec divers troubles nerveux, elle s
e- part (muscles avoisinant les cals osseux, les abcès, muscles d' atrophie expérimentale, muscles pseudo-hypertrophiés). Il
dévore. C'est à l'aide de ces phagocytes musculaires que s'opère l' atrophie des muscles des tétards en voie de dévelop- ' R
a été observé dans les muscles atteints de pseudo-hypertrophie et d' atrophie musculaire pro- gressive par M. Lewin 1. Cet au
- quer. Fig. 20. 228 8 recueil de faits. IDIOTIE CONGÉNITALE; ATROPHIE CÉRÉBRALE; TICS NOMBREUX; Par BOURNEVILLE et
e, de poser le diagnostic à' arrêt de développement cérébral. Cette atrophie , d'origine congénitale, doit même porter tout p
tion de la grosse racine du triju- meau détermine chez le chien une atrophie des muscles correspon- dants de la face, notamm
de plus aux myélites chroniques graves, comme la myélite diffuse, l' atrophie musculaire progressive et la sclérose en plaque
mettre une névrite en arrière du globe' de l'oeil, terminée par une atrophie partielle. Mal- ' Voy. Archives de Neurologie,
actif ou plus prolongé, un certain nombre de fibres succombent à l' atrophie . Il y a par conséquent des cas où les troubles
le qui régit les nerfs sensibles de la peau. M. J. HOFFMANN. De l' atrophie musculaire spinale progressive dans une même fa
s muscles du cou, de l'épaule, des bras, des avant-bras, des mains. Atrophie dégénérative progressive du système musculaire,
x. L'autopsie d'un des sujets a jusqu'ici démontré l'existence de l' atrophie dégénérative des muscles (état graisseux), de l
evêtant l'aspect de lapéliose rhumatismale et de l'infection aiguë. Atrophie excessive avec diminution colossale de poids, e
le membre gauche toutes les positions imprimées au membre droit. Atrophie musculaire. Elle est incontestable quoique peu ac
nt pas abolis, la réaction de dégénérescence manque totalement et l' atrophie musculaire est très peu prononcée. Une lésion o
exes tendineux normaux, pas de tremblement de la main droite. Pas d' atrophie du membre paralysé. La main gauche éten- due pr
t lenle; 3° tremblement intentionnel de deux mains; 4° nystagmus; atrophie blanche de la papille; 5° troubles urinaires, mic
ts, sans prédominance de tel ou tel muscle ou groupe des muscles. Atrophie des muscles pectoraux, sous et sus-épineux et tou
et tous les muscles du bras et un peu aussi de l'avant-bras, pas d' atrophie de muscle de la Ira,in. Voici la mesure des cir
sement du champ visuel. Un 'peu de dyschromatopsie pour le vert. Atrophie blanche de la papille. Fig. 43. - Distribution
ro- nMtopsie complète. Compte seulement les doigts à deux mètres. Atrophie de la papille plus accusée que du côté droit. T
ervice. Les limites de la zone anesthésique n'avaient pas changé, l' atrophie et la para- lysie'étaient stationnaires en ce q
e très particulière, le tremblement intentionnel, le nys- tagmus, l' atrophie blanche de la papille, relèvent incontesta- ble
vement et la sen- sibilité qui ont suivi immédiatement le choc et l' atrophie mus- culaire dégénérative nerveuse par la suite
hie musculaire du membre paralysé, dont deux cas en même temps avec atrophie osseuse, un avec élévation de la tempéra- ture
hives de neurologie, 1887, t. XIV, p. 177). 14-16. B,1BINSIiI. De l' atrophie musculaire dans les paralysies hys- tériques. (
26. Ballet. - Sur un cas de monoplégie brachiale hystérique avec atrophie . (Bulletin et Mém. de la Soc. méd. de Paris, 1890
usculaires progressives familiales. « Les myopathiques at- teints d' atrophie des muscles des gouttières vertébrales et de la
ous ses frères ou sceurs. D'aboril, un de ses frères a présenté une atrophie musculaire progressive, qui débuta à l'âge de t
les atteintes de la maladie. Il a déjà vu mourir un de ses frères d' atrophie musculaire. Celle-ci, d'après les renseignements
olume. A une période assez rap- prochée du début, la faiblesse et l' atrophie s'emparèrent également des bras; la face ne mon
ns les membres supérieurs. Les mollets sont un peu hypertrophiés. L' atrophie des bras, quoique manifeste, n'offre pas encore
à cause du défaut d'appareil. Dans le co urant de l'année 1889, l' atrophie apparaît aux jambes, aux cuisses, au tronc et s
'année 1890, et au mois d'avril 1891 nous revoyons le ma- lade. L' atrophie des jambes, des cuisses, du tronc et des bras est
s entraî- nées par la scoliose, il nous a semblé qu'il n'y avait ni atrophie ni ramollissement très manifestes. Pas d'exosto
maladie, il n'est pas douteux que nous sommes en présence ici d'une atrophie SCOLIOSE DANS UNE MYOPATHIE PRIMITIVE ATROPHIQU
à cause du cachet spécia Fig. 16. 364 ' CLINIQUE NERVEUSE de l' atrophie qui n'a été précédée que d'une hypertrophie assez
et par des troubles fonctionnels identiques, et dans la suite, l' atrophie musculaire, progressant de plus en plus, a entraî
rmation sera encore plus facile à comprendre, si on l'ad- met que l' atrophie se trouve plus marquée d'un seul côté. Néanmoin
à peu entraîné, ou bien mérite d'être rapprochée comme origine de l' atrophie musculaire. Depuis bien longtemps, c'est une no
sentir un rapport étroit comme cause entre cette déformation et l' atrophie musculaire. En traçant l'histoire héréditaire d
un de ses frères frappé par cette même ma- ladie avait présenté une atrophie de la racine du membre infé- rieur droit; les p
où il s'agissait d'un enfant de treize ans et demi, atteint d'une atrophie musculaire, à peu près générale, et qui présentai
icale, 1S91, n" 11.) UN CAS SINGULIER DE L'HYSTÉRIE MALE. 367 Î d' atrophie musculaire progressive familiale comme des affec-
ntécédents héréditaires névropathiques et arthri- tiques ; 2° Une atrophie musculaire familiale ayant déjà frappé des memb
côté, dans les'amyotrophies arthropathiques, le mécanisme amenant l' atrophie est différent; elle se produit d'une manière réfl
nte un malade affecté de paralysie progressive avec complications d' atrophie musculaire spinale 1l1'ooressive. 11 pré- sente
p, 265. Attention, rôle de l'- dans l'hyp- nose, par Page, 256. Atrophie musculaire spinale fami- liale, par Hoffmann, 2
la , par \Vaner, 450, cas anormaux de , par Bonville, 460; avec atrophie musculaire spinale pro- gressive, par Neisser,
du système nerveux, par Schultz, Brasch, 263. Syringomyélie avec atrophie de la langue, par Fambourère, 104. Système ne
21 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
membres inférieurs, en rapport avec un amaigrissementgénèrat, sans atrophie musculairepro- prement dite. Vous voyez qu'elle
s, c'est en somme une sorte de paraplégie ataxi- que, flasque, sans atrophie musculaire, et où l'incoordination motrice domi
vement conservée, hypotonicité très nette des divers muscles, pas d' atrophie musculaire, réflexes osseux et tendineux abolis
e. D'ailleurs, et j'ai pris soin de le noter, elle ne présente ni l' atrophie musculaire, ni l'hypertrophie douloureuse des t
ire lombaire. Aspect tabétiquo des lésions des cordons postérieurs. Atrophie des racines. Sclérose très nette de la région p
ions vasculaires d'ordre dystroplllque qu'il se produit d'abord une atrophie , plus tard une dégénérescence dans les parties
e celte interprétation. A l'idée de Senator, il devait s'agir d'une atrophie congénitale du cervelet développée sur un fonds
de prédisposition familiale et avec laquelle de- vait coïncider une atrophie de la moelle et du bulbe. Les observations de N
et de Nlenzel, dans lesquelles les autopsies relatent à la fois une atrophie du cervelet et de la moelle, apportaient un appoi
lexion. Les réflexes cutanés sont nuls ou indécis. Il n'y a pas d' atrophie musculaire, pas de mouvements fibrillaires. Pas d
ne de ce segment comprendrait la corne antérieure gauche (absence d' atrophie musculaire) et toute la demi-moelle droite(corne
e. ' (1) Fouché a rapporté un cas où le vermis fut trouvé en voie d' atrophie et où l'in- coordination des membres supérieurs
tudes qui résultent de leur contracture, de leur paralysie, de leur atrophie . Gerdy (1) cependant avait signalé le phénomène
fluence prédisposante à longue échéance sur des déformations dont l' atrophie osseuse sénile est la seule vraie cause. Le rhu
rs étroite. En somme, ce sont là des lésions d'ostéoporose sénile d' atrophie osseuse simple. L'analyse chimique du fémur d'u
rose progressive. Bull. Acad. de méd., 1897, pp. 81-85. (2) PONCET, Atrophie des os. Traité de chirurgie de Duplay-Reclus, 2e
eillard constaté certai- nes déformations que l'on a attribuées à l' atrophie osseuse. La fréquence des fractures du col du f
ions séniles du squelette sont en cause. Il s'agit d'ostéoporose, d' atrophie osseuse banales. Mais lorsque certains détails du
iques, et devant toutes relever d'un même substratum anatomique : l' atrophie cérébelleuse. Or, je vous ai dit, Messieurs, qu
mal,sans déformation aucune ; il n'y a pas trace, dans le membre, d' atrophie musculaire. Aux membres supérieurs, on ne const
de même pour ceux du poignet. Comme aux' membres inférieurs, pas d' atrophie musculaire, pas de diminution de la force segme
station debout très com- promise. Pas de déformation du pied. Pas d' atrophie musculaire. La. force segmen- taire est diminué
re claire, coloration Weigert-Pal). Rétraction des circonvolutions, atrophie du centre ovale. B - Ecorce cérébelleuse normal
ivant l'un ou l'autre des types ? Mais Colin n'a-t-il pas noté de l' atrophie optique dans la maladie de Friedreich, et n'est
tomique, dit Londe, sur lequel est basée cette entité morbide est l' atrophie du cervelet », et il ajoute : « la moelle ne pr
et qui, comme cette dernière, présentait à l'examen anatomique de l' atrophie simple du cervelet et de la moelle. Déjà les ob
ent être plutôt rapprochés de celui que publia Menzel en 1891, où l' atrophie du cervelet s'associe à des lésions médullaires
ment, il présentait de l'exagération des réflexes tendineux et de l' atrophie des* nerfs optiques. Or, de son autopsie, prati
ptiques. Or, de son autopsie, pratiquée par Meyer, il résulte que l' atrophie du cervelet est au moins douteuse, et qu'il n'e
es de Purkinje n'a pas diminué. Dans la protubérance, il existe une atrophie considérable des fibres du pédon- cule cérébell
r contre, la moelle présente des altérations de la substance grise ( atrophie partielle ou disparition des cellules de la cor
phie partielle ou disparition des cellules de la corne postérieure, atrophie des colonnes de Clarke et absence presque total
ect). Au bulbe, il existe une dégénération du cordon laté- ral et l' atrophie du noyau correspondant (1). Evidemment, Messieu
ervation absolue de sa sensibilité objective à tous ses modes, sans atrophie musculaire appréciable. La force segmentaire co
ire ou névroglique, pas de méningite. B. Ecorce cérébelleuse. - L' atrophie constatée macroscopique ment est bien plus mani
macroscopique ment est bien plus manifeste au microscope, c'est une atrophie globale et diffuse, sans sclé- rose, dépendant
ée,elles donnent bien l'impression d'éléments en train de subir une atrophie dégénérative, semblable à celle que l'on observe,
ste au niveau des cellules de l'écorce cérébelleuse, un processus d' atrophie dégénérative qui paraît en pleine évolution. Ce p
e a été décrite un substratum anatomique constant, différentiel : l' atrophie isolée du cervelet. Cette maladie répond à des
anatomique de la distinction qu'il faudra établir plus tard entre l' atrophie cérébelleuse scléreuse, accidentelle, non familia
l'atrophie cérébelleuse scléreuse, accidentelle, non familiale et l' atrophie cérébelleuse simple, familiale ? » Et ce caractèr
rophie cérébelleuse simple, familiale ? » Et ce caractère de simple atrophie , mais avec normale proportion des éléments, attri
ement une époque indéter- minée de la vie. Tantôt, il est atteint d' atrophie dégénérative ; les cellules MALADIE DE FR1EDREI
uisant par la sclérose, Dejerine et Thomas ont décrit sous le nom d' atrophie olivorponto-cérébelleuse, une affection non fam
points de l'hérédo-ataxie, et caractérisée anatomiquement par « une atrophie systématique de l'é- corce cérébelleuse et des
euse et des noyaux d'origine de ses principales voies affé- rentes, atrophie primitive, indemne de lésion inflammatoire et de
mmun constituerait le type de Friedreich : Un type cérébelleux où l' atrophie des nerfs optiques, les vertiges, les troubles
ossibilité d'un lien de transition entre les deux grandes espèces d' atrophie musculaire progressive, l'atrophie myélopathique
entre les deux grandes espèces d'atrophie musculaire progressive, l' atrophie myélopathique et l'atrophie myopathique. Le typ
es d'atrophie musculaire progressive, l'atrophie myélopathique et l' atrophie myopathique. Le type Werdnig-Hoffmann est venu
lésions des cellules des cornes antérieures et d'un certain degré d' atrophie musculaire au cours de la maladie de Friedreich
dans sa circulation ait été chassé à gauche où il a occasionné une atrophie de l'hémisphère. A droite l'atrophie était caus
gauche où il a occasionné une atrophie de l'hémisphère. A droite l' atrophie était causée directement par la présence du néo
sence du néoplasme. De cette façon le maxi- mum de compression et d' atrophie des tissus correspondant à la pression exer- cé
ue : elles seraient brutes, élémentaires. Mais n'oublions pas que l' atrophie des nerfs optiques, produisant une cécité compl
Tumeur sise en avant des ventricules cérébraux. Phénomènes locaux d' atrophie des 1 ? et 2e paires avec hallucinations remarqua
tion spéciale, ont conduit à la mort avant qu'il se fût produit une atrophie notable du cerveau (poids 1430 gr.). Nous n'avo
ncompressible, se fait place en réduisant les fibres nerveuses il l' atrophie . C'est le second stade 158 WEBER ET PAPADAK1
e générale. Ici c'est surtout l'écorce qui est lésée. Le siège de l' atrophie dans le cortex ou la substance blanche ne fourn
et les mouvements volontaires sont normaux. Il n'y a pas de trace d' atrophie des muscles d'un côté ni de l'autre. Examen de
hétosiques. A part cela, on ne constate ni tremblement au repos, ni atrophie muscu- laire, ni autre trouble trophique. Le
droit, examiné, est pàle et atrophié. Au microscope on constate une atrophie simple des fibres musculaires avec réaction du ti
romégalie une période d'hy- pertrophie musculaire qui précéderait l' atrophie . L'atrophie est parfois assez marquée pour que
e période d'hy- pertrophie musculaire qui précéderait l'atrophie. L' atrophie est parfois assez marquée pour que Duchesneau a
usculaires étaient proliférés. Nous avons dans notre cas constaté l' atrophie musculaire. Il nous pa- raît plus simple de rap
rophie musculaire. Il nous pa- raît plus simple de rapprocher cette atrophie des lésions paralytiques du système nerveux que
un cas d'ackomégalie 187 elle répond en effet à la description de l' atrophie musculaire des hémi- plégiques (1). L'examen
s le corps vitré, de perforation spontanée de la scléroti- que et d' atrophie consécutive du globe. Il est probable que les c
ersistait, peut-être un peu moins accusée; qu'il y avait une légère atrophie des muscles de la paroi thora- cique, surtout d
llaire droit est un peu plus vif que le gauche. Mais il n'y a pas d' atrophie musculaire. Voilà pour la sciatique. Quant à
n lombo-sacrée jusqu'au bulbe. Histologique- ment le tube nerveux s' atrophie graduellement, avec peu de corps granu- leux et
ammes. Méninges. Peu épaissies et transparentes, très adhérentes. Atrophie des circonvolutions. Moelle. Plaque de leptomén
ct à peu près normal. Cas. VII. P. G. consécutive à un tabès avec atrophie du nerf optique \ démence avec idées absurdes d
etc.) et de l'embarras de la parole. Il a en outre de la cécité par atrophie du nerf optique, l'abolition des réflexes patel
ce de la pie-mère, l'augmentation du liquide céphalo-rachidien et l' atrophie des nerfs optiques. Les artères de la base sont
. L'autopsie montre l'épaississement et l'adhérence des méninges, l' atrophie des circonvolutions au niveau des lobes frontau
ollissements sous-corticaux, lacunes de désintégration. Au Weigert, atrophie des fibres de la couronne rayonnante, disparition
des membres, mouvements de manège de gauche à droite. - Autopsie : Atrophie du lobe cérébelleux gauche, méningo-encéphalite
apparentes sur les vaisseaux de la base. Le cervelet présente une atrophie du lobe gauche (fig. 1). Les circonvolu- tions
rées ne dépassent pas la ligne médiane. En un mot, chez ce chien, l' atrophie du lobule pneumogastrique gauche et des circonv
rcher, etc.). L'examen de la musculature ne révèle eu aucun point d' atrophie , même peu accentuée]; mais montre au contraire
'axe bulbo-médullaire. L'association des oedèmes en question avec l' atrophie musculaire [Schlesinger (888), Kolbe (143)], ou b
ces muscles. La contraction des muscles est normale, il n'y a pas d' atrophie appréciable. On ne relève pas chez la malade
li- gence qui reste normale. Cette pseudo-hydrocéphalie est due à l' atrophie réelle de la face d'une part, à l'écartement ex
physaires et l'état marastique chez l'enfant décrit par Hamilton, l' atrophie (1) Sur un cas d'achondroplasie fruste. Gaillar
s, paraît d'ailleurs en relation avec un phénomène plus général : l' atrophie -ou plus exactement un arrêt de croissance de l
a fréquence des troubles 'pupillaires et oculaires (décoloration ou atrophie des papilles optiques), qui au cours de la sclé
nctionnement, cette réparation du tissu nerveux ne se fait pas et l' atrophie et la sclérose apparaissent. Si cette théorie n'e
oduction d'une poliomyélite chronique héréditaire, sans parler de l' atrophie Charcot-Marie et de la névrite hypertrophique de
nsuf- fisances fonctionnelles multiples. Ainsi, l'on rencontre de l' atrophie des papilles optiques au cours du Charcot-Marie
le service de M. le professeur Ma- rinesco, deux frères atteints d' atrophie musculaire et d'impotence fonc- tionnelle des q
rimitive ; progressive familiale. La myopathie avait commencé par l' atrophie musculaire des membres inférieurs sans passer p
e opinion. En résumé, la lordose dans notre cas, est produite par l' atrophie des muscles extenseurs de la cuisse sur le bass
muscles extenseurs de la cuisse sur le bassin et vice-versa, par l' atrophie (1) OLOA SACASA-FULBURS, Studin clinic asupra p
sseux assez pro- noncé. La face est symétrique, on n'observe aucune atrophie musculaire. Les oreilles sont normalement confo
a concavité de la face palmaire de la main est exagérée, suite de l' atrophie . Sur la face dorsale nous constatons des dépres
constatons des dépressions longitudinales, occasionnées également par atrophie des muscles interosseux dorsaux. Ces atrophies
première. La main est déviée sur le bord cubital de l'avant-bras. L' atrophie de l'avant-bras est de même très exagérée, la f
et la peau qui l'entoure. Le muscle deltoïde est de même atteint d' atrophie , surtout dans les portions claviculaires et acr
insérée sur l'épine de l'omoplate est mieux conservée. A cause de l' atrophie des deux premières por- tions, on observe une d
est remplacée par une surface plane. Nous trouvons le même état d' atrophie musculaire aux muscles de la cuisse, les fléchi
don d'Achille, ne peuvent plus se produire, le premier à cause de l' atrophie du muscle quadriceps, le second à cause de la r
s membres supérieurs ne se produisent plus non plus, par suite de l' atrophie musculaire. Si on excite la plante des pieds, o
ne se contracte même pas à l'excitation maxima (nous avons vu que l' atrophie de ce muscle est considérable). Les pectoraux,
nt la déviation brusque; dans l'état local, un peu d'adénopathie, d' atrophie musculaire, et surtout une douleur fixe, à la p
; rien de semblable à droite, où d'ailleurs il n'y a pas non plus d' atrophie apprécia- ble (fig. 1 et 2). La station debou
nsuration ne montre aucune différence à droite et il gauche. Aucune atrophie musculaire au niveau du quadriceps, au- cun gan
t, dans le cas actuel, aucun signe de sciatique. L'absence de toute atrophie musculaire empêchait de penser soit à une paral
tension, sans différence de volume ou de longueur entre eux. Aucune atrophie muscu- laire à la cuisse, ni à la jambe. Les mo
re, c'est-à-dire être partielles et périphériques, flas- ques, avec atrophie musculaire et abolition des réflexes. De plus, l'
t du canal médullaire qui, dans le cas de Lampe, avait entraîné une atrophie par compression de la moelle allongée et de la
moplate et du bassin, du caractère rhizomélique de la micromélie. L' atrophie , portant surtout sur le segment supérieur des m
palatins normaux, et ne se distingue des autres bovidés que par une atrophie portant sur le seul maxillaire supérieur. Cette p
l'achondroplasie. Dans celle-ci nous constations une sclérose, une atrophie du cartilage de conjugaison d'où une absence de
galie (Hutchinson, Pierre Marie). Casselli, Hutchinson ont noté son atrophie chez les nains crétinoïdes. Nous l'avons re- ch
d'autres une transformation fibreuse du cartilage de conjugaison avec atrophie de la zone de rivulation qui ressemblait étrang
rme morbide, les altérations bistologiques constatées (ostéoporose, atrophie musculaire) sont identiques à celles qui parfois
avida (6) et d'Ediuger (7). Dans la première l'au- teur observa une atrophie des nerls et des ganglions intervertébraux corr
uteur observa l'absence de la main et de l'avant-bras gauche et une atrophie de la moitié gauche de la moelle cervicale ; la
ons qui arrivent de la périphérie aux centres nerveux, produit leur atrophie progressive. Cette donnée indiscutable est le fon
les premières périodes une ébauche de moelle qui plus tard tombe en atrophie , un fait est certain, c'est que cette atrophie
i plus tard tombe en atrophie, un fait est certain, c'est que cette atrophie n'a pas d'influence sur le développement des memb
arer notre sujet à l'observation de Jameson (62) qui présentait une atrophie dans la partie inférieure du corps due au cordo
erches exactes d'Handeclc (72) présentent tous les caractères d'une atrophie de la peau résultant d'un pression exercée du d
DE BICÊTRE LABORATOIRE DE M. PIERRE MARIE SCLÉROSE EN PLAQUES; ATROPHIE CÉRÉBELLEUSE ET SCLÉROSE PSEUDO-SYSTÉMATIQUE
ographie DE la SALPETR1RE. T. XVIII. Pl. LXI SCLÉROSE EN PLAQUES, ATROPHIE CÉRÉBELLEUSE (Catola) Masson & Cie Éditeu
tissu environnant coloré avec la méthode de Weigert-Pal. En résumé, atrophie très accentuée du rhombencéphale et surtout du
que sous-pie-mérienne ; lésions vasculaires et périvasculaires. L' atrophie du cervelet est, nous allons le répéter, extrêmem
ici l'occasion de lui en exprimer les plus vifs remer- ciements. ATROPHIE , MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYP
ôpitaux de Lyon. Le rôle joué par la syphilis dans l'étiologie de l' atrophie musculaire pro- gressive spinale (type Aran-Duc
i, en 9 79, vit se développer une affection paraissant répondre à l' atrophie mus- culaire progressive et qui, en 1800, s'éta
jouait un rôle dans son affection, se mit au traitement ioduré, vit l' atrophie s'arrêter, les muscles se réparer peu à peu et,
d (3) cite la syphilis comme pouvant être quelquefois la cause de l' atrophie musculaire et il rapporte le cas d'un malade ayan
l'altéra- tion vasculaire de la moelle ayant eu pour conséquence l' atrophie avec douleurs et paresthésies. A ce sujet, Raic
e Lyon par mon interne, M. Lévy (2), un malade qui pré- sentait une atrophie musculaire ayant tous les caractères du type Aran
e long du cubital gauche et nous vîmes évoluer assez rapidement une atrophie musculaire à début périphérique. En même temps
lien gauche était conservé. Nous continuons à voir ce malade dont l' atrophie musculaire a augmenté, qui a des troubles vaso-
moitié droite de la face. Depuis quelque temps il comnence un peu d' atrophie de la racine du membre in- férieur droit (3).
but d'amyotrophie au cours de la méningo-myélite syphiliti- que : l' atrophie rétrograda sous l'influence du traitement mercuri
cervical, englobant les racines antérieures et ayant déterminé une atrophie nette de la moelle. Celle-ci est aplatie et les c
s complètement. (4) A. Léri, Congrès de Bruxelles, 1903 et Article, Atrophie musculaire progressive spinale (Type Duchenne-A
. Nouvelle ICONOGRAPIIIE DE la SALPCTRIHE. T. XVIII. 1'1. LXIII ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYPH
ENNE D'ORIGINE SYPHILITIQUE (Lannois). Masson et C·, Editeurs ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYPHIL
typique qu'il m'a été donné d'observer récemment. Observation. Atrophie musculaire du type Aran-Duchenne d'origine syphil
reprises de la conjonctivite et des suppurations des oreilles. L' atrophie musculaire, affection pour laquelle il vient cons
nt difficiles, puis impossibles, en même temps qu'il constatait une atrophie marquée de l'éminence thénar. Trois ans plus ta
e, où il avait débuté peu après l'atteinte de la main droite ; même atrophie de l'émi- nence thénar, même rétraction tendine
use palmaire mais limitée aux deux der- niers doigts. Peu à peu l' atrophie avait envahi les avant-bras, puis les bras : mais
instant d'un air mal assuré. Il présente aux membres supérieurs une atrophie très apparente, plus marquée du côté. Côté dr
marquée du côté. Côté droit. Epaule. - Il ne paraît pas y avoir d' atrophie marquée du grand dentelé, du trapèze, du sous-é
eau du del- toïde, surtout dans sa partie supérieure, qu'il y a une atrophie certaine, d'ail- leurs peu appréciable à la vue
de NOUVELLE Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE T. XVIII. Pl. LXI\' ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE d'origine SYPH
Launois). Masson & Cu, Éditeurs . Phototypie Ucrthaud, Pans ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYPHIL
me qu'ils laissent facilement toucher le ligament interosseux. Même atrophie très apparente de tous les extenseurs, extenseur
enseurs propres du pouce et de l'index. Main. C'est à la main que l' atrophie atteint son maximum. C'est à peine si le pouce
us atrophiés, surtout ceux du premier espace ; à la face palmaire l' atrophie est également certaine mais elle est masquée pa
l'avant-bras sont relativement indemnes. Il y a au con- traire une atrophie manifeste des extenseurs. A la main, atrophie d
au con- traire une atrophie manifeste des extenseurs. A la main, atrophie des muscles thénar et hypothénar et des interosse
ncore une certaine utilisation de la main. Malgré le degré de cette atrophie , on est un peu étonné que le malade ait conserv
membres inférieurs, où les muscles sont un peu graciles, mais sans atrophie vraie, les tibias et surtout le droit sont en lam
n coup à la fin de 1890, c'est-à-dire nettement après le début de l' atrophie . Le reste de l'examen donne les renseignements
e. Le reste de l'examen donne les renseignements suivants : Pas d' atrophie des muscles de la face ni du tronc. La sensibil
que d'une façon insignifiante à la lumière et à l'accommodation* ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'ORIGINE SYPHIL
s génito-urinaires. Outre sa hernie inguinale droite, on trouve une atrophie complète du testicule gauche : à sa place, un p
rès une syphilis sérieuse, vit apparaître les premiers signes d'une atrophie musculaire progressive dont l'évolution se cont
ncore ac- tuellement. Une question se pose aussi dès le début : l' atrophie musculaire ne pour- rait-elle pas être simpleme
es ? Gela ne nous paraît pas vraisemblable, car chronologiquement l' atrophie a débuté avant les lésions de la peau et des 60
les énormes lésions qu'on voit sur les tibias n'ont pas déterminé d' atrophie musculaire appréciable. Il nous parait donc plu
on a cru pouvoir indiquer quelques caractères cliniques propres à l' atrophie myélopathique syphili- tique. J'ai moi-même, av
me, avec Lévy, insisté sur les douleurs précédant et accompagnant l' atrophie , notre malade ayant débuté par une névralgie ne
t exagérer : ils démontrent avec évidence que le type clinique de l' atrophie musculaire myélopathique Aran-Duchenne est un syn
une trentaine d'observations : il n'est pas douteux que ce chiffre ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE D'OHIGINE SYPHIL
syringomyélie. Mais cette notion étiologique de la syphilis dans l' atrophie musculaire a une certaine importance thérapeuti
tensive mpn premier malade sans enrayer chez lui l'évolution de son atrophie . Mais il faut avouer que nous possédons actuell
peut-être d'après une certaine sélection (voir Weber et Papadaki) l' atrophie et la destruction de tissu cérébral, constituan
ué de volume. Du côté de la face on ne relève pas de paralysie ou d' atrophie ; le frontal ce- pendant exécute des mouvements
sement et de plus, cela surtout chez la malade 1, de paralysie ou d' atrophie du muscle frontal. Il y a donc là plus qu'une s
es, pas de rétractions tendineuses ; pas de paralysie partielle, ni atrophie ou hyper- trophie ou pseudo-hypertrophie muscul
primitives progressives ? Ou bien, existe-t-il une amyotrophie ? L' atrophie de plusieurs muscles, ou d'un muscle unique, ou
ues. Qu'arrive-t-il, au contraire dans les scapuloe alaise dues à l' atrophie des muscles qui prennent leur insertion sur l'o
trapèze ? « A l'état de repos, lorsque les bras sont pendants, et l' atrophie des muscles scapu- laires accusée, le bord inte
acquises. Et on connaît, en particulier, un certain nombre de cas d' atrophie musculaire limitée au trapèze ou à une seule po
oportionnelle pour chacune d'elle. S'agit-il d'une aplasie ou d'une atrophie vraie ? C'est ce qu'il est actuellement difficile
e de conclusion, résumer ce'chapitre (1) X. BENDER et A. Léri, De l' atrophie des capsules surrénales chez les foetus {l1lell-
les cas d'anencéphalie. Société de Biologie, 1903, p. 1136. - De l' atrophie des capsules surrénales chez les foetus anencépha
UD, 345, 602, 675. Aphasie amnésique (3 pl.), par HALl PRÉ, 36. Atrophie musculaire du type Aran-Du- chêne d'origine syp
te) (2 fig., 1 pl.), par Henry MnIGE), 234. Sclérose en plaques ; atrophie cérébelleuse et sclérose pseudosystématique de
que chez les enfants (2 fig.), 443. CATOLA. Sclérose en plaques ; atrophie cérébelleuse et sclérose pseudo-systéma- tiqu
te de la paralysie faciale périphéri- que (1 pl.), 424. LA1'NOIS. Atrophie musculaire du type Aran-Duchenne d'origine syph
(Henry MElGE), XXXII. Aphasie amnésique (ILaLrrnr : ), V â VII. Atrophie musculaire du type Aran-Du- chenne d'origine sy
t LAI G1'o'EL-LAVASTI1'o'E), XXXVIII, XXXIV. Sclérose en plaques, atrophie cérébelleuse (CATOLA), LXI. Sclérose en plaqe
22 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
oil, pas la trace d'un duvet. Nous faisons remarquer encore que l' atrophie des téguments ne porte pas seulement sur le sys
relever : avant tout, le tropllisme du système pileux réduit à une atrophie extrême, l'état hypotrophique de l'épiderme et
Puln Imc, 16 janvier 1907, ruz 6. CusniNG. Infuntilisme sexuel avec atrophie optique dû à une tumeur de l'hypophyse. Journ.
rathyroïdes et l'hypophyse com- plètement normales, et une complète atrophie des éléments nobles de la glande séminale dont
artie dorsale. Les côtes gauclies inférieures étaient douloureuses. Atrophie appréciable des masses musculaires fessières et d
es postérieures, et, probablement les antérieures aussi (preuve : l' atrophie des muscl,es fessiers). Quant aux symptômes qui d
. La force muscu- laire des jambes est normale. Pas d'ataxie. Pas d' atrophie visible. Réflexes périustaux bien faibles de mê
le aussi bonne que la plantaire). Mouvements des orteils nor- maux. Atrophie visible sur la face antérieure de la jambe. La ja
égion lombaire ou cervicale, on note alors l'apparition d'herpès, d' atrophie musculaire et de contractures (Charcot). Un t
xtenseurs, la perte du mouvement était complète et il n'y avait pas atrophie appréciable des muscles paralysés. On notait un p
ns les cas que nous avons observés, il s'agit de paralysie et non d' atrophie musculaire.il s'agit de sujets jeunes qui n'ava
ssive. Nombreux caractères dégénératifs somatiques et psychiques. Atrophie presque complète de la papille. Amaurose très ava
tres sens spécifiques. Aucun trouble dans la sphère cérébelleuse. Atrophie musculaire énorme en jarretière aux membres supér
euses très accusées. Pas de contractions fibrillaires. - Début de l' atrophie par les extré- mités supérieures. Atrophie musc
brillaires. - Début de l'atrophie par les extré- mités supérieures. Atrophie musculaire rigoureusement identique au type Cha
plier ses dernières phalanges. Il parait donc que chez Marguerite l' atrophie aurait débuté par les extrémités supérieures.
s renseignements donnés par la mère, il paraît que les phénomènes d' atrophie musculaire, débutant par les extrémités des membr
ent avec tout le monde. A 13 ans, les troubles paralytiques dus à l' atrophie musculaire avaient déjà atteint un degré consid
projetée dans toutes les directions. Il n'existe absolument aucune atrophie de la langue, ni de tremblements fibril- la ire
ille apparaît aplatie et légèrement excavée. Il existe eu somme une atrophie primitive bilatérale de la papille, portée à so
Ce qui frappe le plus dans l'examen somatique de Marguerite,c'est l' atrophie énorme et la difformité singulière de ses quatr
par l'examen clinique et électrique, on peut t constater que cette atrophie est absolument limitée à la portion périphérique
ment abolis. La main de Marguerite (V. PI. XIII) atteint un degré d' atrophie musculaire extrême. Les doigts sont fléchis s
nt atrophié ; on y voit le relief des os métacarpiens produit par l' atrophie des interosseux. L'attitude vicieuse des doigts
a main, au lieu de présenter sa convexité normale, est excavé par l' atrophie profonde des muscles du côté cubital ; de même le
n existant entre le pouce et l'index est très accusé en raison de l' atrophie des muscles de cette région. Les ongles sont
pince. La région du poignet se présente aussi très atrophiée. Cette atrophie est de NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALI'ÊTRIÈRE
musculaires sont plus prononcées. On peut dire en conclusion que l' atrophie des membres supérieurs chez Marguerite s'arrête
hez Marguerite s'arrête en forme de gant au milieu de l'avant-bras ( atrophie en manchette). La pronation et la supination de
'hypertrophie des troncs ner- veux. Extrémités inférieures. Ici l' atrophie musculaire commence au tiers infé- rieur des cu
mence au tiers infé- rieur des cuisses et il s'agit d'une véritable atrophie en jarretière qui com- mence à peu près à quelq
mence à peu près à quelques centimètres au-dessus de la rotule. Cette atrophie atteint son degré maximum à la hauteur des chev
e déchéance progressive de toutes les facultés intellectuelles. , Atrophie complète bilatérale de la papille avec amaurose c
lition des réflexes tendineux et exagération des réflexes osseux. Atrophie musculaire énorme des quatre extrémités, avec tou
es caractè- res du type spino-neurotique Charcot- Marie. Début de l' atrophie par les pieds. Pas de contractions fibrillaires
c avec effroi les mêmes altérations se produire chez Auré- lie. L' atrophie des- mains s'installa assez rapidement et en- peu
tre tirée droit et projetée dans tous les sens ; il n'existe aucune atrophie de la langue, les muscles masticateurs sont indem
La convergence est très incomplète. Examen du fond de l'oeil. - L' atrophie bilatérale de.la papille chez Aurélie est absol
que Marguerite, comme nous l'avons décrit, est très gourmande. L' atrophie musculaire chez Aurélie n'est pas encore arrivée
rice ; il n'y a du reste aucun signe ni de chorée, ni d'athétose. L' atrophie musculaire se manifeste chez elle avec une locali
ne localisation absolu- ment identique à celle de Marguerite. Cette atrophie est très accusée aux extrémités et va en diminu
oins développées que chez sa soeur, mais on ne relève aucun signe d' atrophie musculaire dans cette région. Le cou est un p
est très in- téressante à étudier. Cette main présente en effet une atrophie poussée à son degré le plus extrême. -- L'émi
ez Marguerite. La face dorsale de la main présente, elle aussi, une atrophie très grave. Les mouvements actifs de la main et
e assez bien. L'avant-bras aussi se présente très atrophié; cette atrophie est nettement limi- tée à l'union du tiers infé
êter au tiers moyen de l'avant-bras ne sont pas limités seulement à l' atrophie musculaire. La peau aussi semble y participer d
oucher ; enfin les os de la main semblent aussi avoir participé à l' atrophie . Les mouvements de pronation et de supination d
complit d'une façon tout à fait normale. Il n'existe aucune trace d' atrophie musculaire sous la région scapulo-humérale. Les d
nférieures. - Comme nous l'avons décrit aux membres supé- rieurs, l' atrophie musculaire aux extrémités inférieures est rigoure
s et au tiers inférieur des cuisses. Il s'agit donc d'une véritable atrophie en jarretière. Cette atrophie commence à quatre
ses. Il s'agit donc d'une véritable atrophie en jarretière. Cette atrophie commence à quatre travers de doigt au-dessus du g
son maximum aux jambes et aux pieds qui sont réduits dans un état d' atrophie extrême. Dans cette région, les parties molles so
e possible chez elle. Le bord interne du pied est incavé cause de l' atrophie musculaire et à cause aussi du varisme très pro
monotone (bmdylalie), avec troubles graves dans la prononciation. Atrophie assez avancée de la papille. - Acuité visuelle en
nution des réflexes tendineux. - Exagération des réflexes osseux. Atrophie musculaire débutant par les mains. Troubles tro
llant). Rétractions tendineuses à peine ébauchées au gros orteil. Atrophie des jambes en jarretière. Type amyotrophique Ch
s l'idiotie. , Chez Elisabeth, l'insuffisance fonctionnelle due à l' atrophie musculaire est encore peu prononcée en comparai
s), elle ne présente aucune-déviation de sa colonne vertébrale. 1 L' atrophie musculaire, au lieu.d'être complète, est à peine
olument iden- tique chez toutes les trois. Il s'agit en effet d'une atrophie musculaire localisée aux quatre membres avec pr
isabeth (V. PI. XIII) est suffisant pour faire saisir le degré de l' atrophie musculaire. Cette atrophie est plus accusée du
uffisant pour faire saisir le degré de l'atrophie musculaire. Cette atrophie est plus accusée du côté radial. L'éminence théna
elque chose de spécial qu'il faut discuter. Le poignet présente une atrophie absolument limitée en manchette au tiers inféri
t de la main. Le bras aussi est absolument indemne de toute trace d' atrophie . Les mou- vements du bras et de l'avant-bras s'
mbres inférieurs d'Elisabeth sont bien loin de présenter le degré d' atrophie que nous avons pu constater chez les autres.
n train de commencer. Les pieds de la petite fille sont ballants, l' atrophie des muscles intrinsèques est assez avancée, mai
hie des muscles intrinsèques est assez avancée, mais il y a surtout atrophie des péroniers, du jambier antérieur, des extens
un peu arrondie, mais l'on n'observe aucune trace de durillons. L' atrophie musculaire ne s'arrête pas aux jambes, mais elle
us haut, jusqu'aux cuisses, et ici encore il s'agit d'une véritable atrophie en jarretière limitée à quatre travers de doigt
s et cyanosés, mais ils ne présentent pas ce degré excep- tionnel d' atrophie des téguments et de troubles vasomoteurs que nous
e, le nystagmus, la bradylalie, les troubles de la déglutition et l' atrophie des membres, sont communs chez eux. Seulement,
es, sont communs chez eux. Seulement, dans les cas d'IIigier, cette atrophie musculaire n'est pas décrite avec les caractère
ar une rigi- dité spasmodiquedes membres avec strabisme, nystagmus, atrophie des nerfs et bradylalie. On voit tout de suite
is), avaient été frappés par un état spasmodique des mem- bres avec atrophie musculaire, bradylalie, mouvements athétosiques e
préférence le sexe masculin, et com- mence à se manifester par une atrophie des petits muscles des mains et des pieds. '
ft, 1876. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 125 L' atrophie musculaire débute généralement par les pieds et e
résumés de la façon suivante : le Troubles visuels constitués par l' atrophie primitive de la papille avec amaurose plus ou m
ont les altérations du fond de l'oeil ou à plus proprement parler l' atrophie primitive des nerfs optiques. Le premier auteur
Charcot-Marie a été Vizioli qui, en 1889, a décrit trois cas (1) d' atrophie musculaire familiale sans hérédité directe simi
fait très impor- tant à relever, on pouvait constater chez tous une atrophie assez avancée des nerfs optiques. Dans la lit
tions personnelles. En résumé, comme il est aisé de le constater, l' atrophie primitive de la pupille constitue dans la forme C
(2) Ballet et Rose, Un cas d'amyolrophie du type Charcot-Marie avec atrophie des nerfs optiques, Revue neurol., n° 10, 1904.
après le début de la maladie. Dans les cas de Vizioli nous voyons l' atrophie musculaire précéder les altérations du fond de
Gordon et en- core dans mes observations, nous avons constaté que l' atrophie des nerfs optiques n'avait débuté que cinq ou s
le commencement de la maladie. Il est bon de faire observer que l' atrophie de la papille peut déjà être assez avancée, san
git toujours d'une altération du fond de l'oeil, c'est-à-dire d'une atrophie bilatérale de la papille, tandis que, au contrair
démontrer comment dans les formes plus avancées de celte maladie l' atrophie musculaire, au lieu de rester limitée aux membres
hique comme des troubles visuels, (1) DUDREUILH, Sur quelques cas d' atrophie musculaire des extrémités. Revue de méd., p. 44
fférente : selon les uns, il se- rait seulement la conséquence de l' atrophie musculaire des membres infé- rieurs ou des duri
it souvent que dans la forme spino-névritique de Charcot-Ma- rie, l' atrophie des extrémités s'accomplit seulement aux- dépens
remières années, m'ont démontré les traces les plus évidentes d'une atrophie osseuse assez prononcée. . Je regrette de n'avo
egrette de n'avoir pu étudier par la radiographie le degré de cette atrophie qui était du reste assez évidente à un simple exa
ait du reste assez évidente à un simple examen clinique. En effet l' atrophie des extrémités dans mes cas était à peu près glob
des extrémités observé dans mes cas n'avait pas les caractères de l' atrophie osseuse que l'on rencontre dans les diplégies c
tre dans les diplégies cérébrales infantiles, mais que plutôt cette atrophie globale des extrémités était analogue à celle que
névri tiques. J'ajouterai encore que Hoffmann (1) avait constaté l' atrophie des os dans la forme amyotrophique Charcot-Mari
t-Marie et que MM. Ballet et Rose, dans leur cas d'amyotrophie avec atrophie des nerfs optiques, avaient re- marqué en passa
nous avons cherché à démontrer que plusieurs symptômes, tels que l' atrophie primitive bilatérale de la papille, les alté- r
plus évident alors que les sens spécifiques peuvent participer à l' atrophie (décoloration de la papille, anosmie, etc.). Je
ns un cadre morbide qui rappelle absolument la forme familiale de l' atrophie spino- névritique Charcot-Marie, en faisant sim
uscles de l'avant-bras, du bras et de l'épaule ne présentent aucune atrophie . La douleur localisée à l'articulation scapulo-hu
s droites ; les doigts s'amincirent et le derme s'atrophia ; puis l' atrophie porta sur tout le membre supérieur. La sensibilit
distance de cinq tra- vers de doigt, la gauche de six. On voit une atrophie notable des muscles deltoïde, splénius et sus-é
r contre les muscles de la nuque sont très sensibles à la pression. Atrophie des muscles splénius, deltoïde, rhomboïde, surt
rhomboïde, surtout du côté gauche, des muscles sus et sous-épineux. Atrophie des muscles de l'avant-bras et de la main du côté
que la malade ne marchait plus. Douleurs du côté gauche du tronc. L' atrophie musculaire dans l'épaule, le bras, l'avant-bras
endaient de deux causes. Il y a lieu de supposer tout d'abord que l' atrophie musculaire de l'épaule gauche était causée par
symptômes plus tardifs dans les membres supérieurs (affaiblissement, atrophie , paralysie) étaient en grande partie produits par
ans. Fragment de l'écorce de la paracentrale. (Bleu de toluidine). Atrophie de l'écorce, les lésions sont interstitielles et
bles trophiques ou vaso-moteurs : Dans la paralysie hystérique : ni atrophie , si ce n'est celle résultant de l'inactivité pr
déviations secondaires, dépendant d'une lésion de la plèvre, d'une atrophie muscu- laire, etc... sont hors de cause, et peu
isseaux dilatés, les cellules nerveuses en petite quantité à l'état d' atrophie ; les racines bien conservées, par places,à gauc
en temps, courts tressaillements musculaires dans les jambes. Pas d' atrophie musculaire. Le réflexe patellaire est conservé.
laires. Membres supérieurs fléchis au coude et rapprochés du tronc. Atrophie des petits muscles des mains. Affai- blissement
les 354 FLATAU mains, affaiblissement des membres supérieurs avec atrophie muscu- laire, affaiblissement suivi de paralysi
érieur de la capsule interne produisent d'une part la réaction et l' atrophie des cellules géantes dans la frontale ascendant
a section de la substance blanche sous corticale, il se produit une atrophie rapide des grandes cellules pyramidales, celles-c
pitaux de Paris, séance du 24 mars. (2) GILBERT Ballet et M. Faune, Atrophie des grandes cellules pyramidales dans la zone m
on que la réaction des cellules pyramidales géantes, suivie de leur atrophie puis de leur disparition complète, est un fait
de sclérose laté- rale amyotrophique, dans lesquels ils ont noté l' atrophie et la dispa- rition des cellules de Betz ; ils
sont en réaction ; très peu sont normales ; d'autres sont en voie d' atrophie . Sa Alexandre C... Notes cliniques. 71 ans, hém
5 de Brod- mann, on voit également des phénomènes de réaction et d' atrophie dans quelques grandes pyramidales de la couche
pyramides géantes normales et un certain nombre qui sont en voie d' atrophie . Dans la partie postérieure du lobule paracentral
noyau est excentrique. Beaucoup de pyramides géantes sont en voie d' atrophie plus ou moins avancée. Les lésions sont plus pron
et du lobule paracentral sont en réaction, quelques-unes en voie d' atrophie . Les grandes cellules sous -granulaires des typ
Betz, d'aspect normal, parmi lesquelles d'autres qui sont en voie d' atrophie . On fait la même constatation dans la frontale
ues et celles qui per- sistent encore sont en réaction ou en voie d' atrophie pigmentaire. Dans la pariétale ascendante on ne
obule paracentral droit. Les lésions consistent dans la réaction et l' atrophie des cellules de Betz. Mais beaucoup de cellules
oins normal. Dans les tiers supérieurs des frontales ascendantes, l' atrophie et la disparition des cellules de Betz sont un
eaux pyramidaux croisés et directs. Avec Nissl la dimi- nution et l' atrophie des cellules de Betz des lobules paracentraux et
racentraux et des fron- tales ascendants. Cette diminution et cette atrophie sont plus intenses du côté droit. · 4° Sofia
iées des lobules paracentraux et des frontales ascendantes, on voit l' atrophie et la disparition des cellules de Betz. Le nomb
t la balle fut extraite. Paraplégie flasque. Aux membres supérieurs atrophie des muscles des avant-bras, des régions scapulo
liniques. - 7 ans, paraplégie flasque consécutive à un mal de Pott. Atrophie des membres inférieurs. Durée de la paraplégie, 6
pique. - Lésions manifestes consistant en réaction à distance et en atrophie des cellules de Betz des lobules paracentraux e
. - 19 ans, paraplégie spasmodique avec con- tracture en flexion et atrophie des membres inférieurs. Examen macrosco- pique.
ux beaucoup de cellules de Betz en réaction, certaines présentent l' atrophie pigmentaire. Par endroits les pyramides géantes o
s. 20 ans, paraplégie-spasmodique à la suite d'un*mal de Pott, sans atrophie , ni contracture. Réflexes rotuliens exagé- rés,
a moelle au niveau du VU' segment dorsal. - Examen microscopique. - Atrophie pigmentaire des cellules de Betz dans les lobul
parties supérieures des frontales ascen- dantes sont en réaction et atrophie pigmentaire. Quelques pyramides géantes ont l'a
nt en grande [partie disparu ; celles qui persistent encore sont en atrophie pigmentaire. E. SCLÉROSE latérale amyotrophique
es cliniques. 45 ans, sclérose latérale amyotrophique, typique avec atrophie plus prononcée aux membres supérieurs et à certai
paracentral. Dans les paralysies pseudo-bulbaires la réaction et l' atrophie des cel- lules géantes de l'écorce cérébrale co
redressés. En résumé, on constate la soudure des deux vertèbres ; l' atrophie de toute la partie droite de l'axis, qui est en
rdue en bas ; le glisse- ment apparent de l'axis vers la droite ; l' atrophie de l'articulation condy- lienne droite ; l'apla
eures (tremblement, contrac- 468 FLATAU lions) ou de leur lésion ( atrophie musculaire). Cette dernière est surtout évident
-dorsale ou lombo- sacrée. Oppenheim attire l'attention aussi sur l' atrophie des muscles abdominaux. Il est] étrange que,
e réaction électrique. Dans nos cas il n'y avait pas de symptômes d' atrophie bien accusée. Dans l'un d'eux (XXI°) les contra
ment des gaines de myéline, leur déformation, leur désagrégalion et atrophie ; le gonflement et la déformation des cylindraxes
ait jamais cons- taté dans les cas d'agénésie du corps calleux, une atrophie du tapétum ; bien au contraire, ainsi qu'en tém
isant que l'agénésie du corps calleux est le résultat non pas d'une atrophie se- condaire, mais bien d'un arrêt de développe
e de la couche périventriculaire, auxquels il faut encore ajouter l' atrophie déterminée par l'augmentation de la pression intr
git t évidemment soit d'un état rudimentaire généralisé, soit d'une atrophie secondaire. L'auteur veut bien reconnaître, d'ail
ataxie était extrêmement prononcée et avait atteint, de' même que l' atrophie musculaire et l'hypo- tonie, les quatre membres
s rien d'anormal. Dupuy-Dutemps (1), qui a le premier insisté sur l' atrophie de l'iris au cours du tabes et de la paralysie
égularité et les troubles réflexes de la pupille, suppose que cette atrophie dépend d'un trouble tro- phique consécutif à de
moteur ait disparu. ' (1) Dupuy-DUTE.)IPS, Sur une forme spéciale d' atrophie de l'iris au cours du labes et de la paralysie
vue avait beaucoup baissé depuis son entrée à l'hôpital, du fait de l' atrophie papillaire et aussi d'une cataracte bilatérale.
tions de l'architecture osseuse ont une analogie très grande avec l' atrophie osseuse que l'on voit survenir, souvent d'une f
plus variées (fi,act2ties,inflam- mations aiguës ou chroniques) ; l' atrophie ne se limite pas à l'os malade mais atteint enc
ater un fait, ce n'est pas en donner la raison ; affirmer qu'il y a atrophie n'avance pas davantage la question. Pourquoi cet
s davantage la question. Pourquoi cet arrêt de développement, cette atrophie ? Le phénomène est-il dû à une inflam- mation d
ce, Paris, Masson, 1902. (8) \f. KLIrFELet 13ouclmr,lIémimélie avec atrophie numérique des tissus. Etude anar lomique et pat
se au second plan ; ce qui détermine l'aspect futur c'est surtout l' atrophie numérique; il y a moins de cellules, elles sont c
itaire : nous manquons de documents à cet égard : le processus d c' atrophie gélatiniforme » (2) qui raréfie l'os, isole le ca
médullaires pen- dant l'opération. Il en résulte la paralysie et l' atrophie des muscles cor- respondants (Oppenheim). Que
rge qu'à l'é- tat normal, ce qui donne à cette région l'aspect de l' atrophie corticale sénile. La circonvolution pariétale a
.Launois fait allusion d'une façon très indéterminée ; là où il y a atrophie génitale et par conséquent impuissance sexuelle,
sme pur ni de microsomie pure. 1\1. Launois se demande aussi si l' atrophie génitale ne commanderait pas l'atrophie du sque
unois se demande aussi si l'atrophie génitale ne commanderait pas l' atrophie du squelette et s'il n'y aurait pas lieu d'admett
anormales des cartilages de conjugaison avec la suppres- sion ou l' atrophie des testicules. « Je l'ai retrouvée en particul
le nain A ? alors âgé de 32 ans ; la persistance des cartilages, l' atrophie génitale bilatérale ont permis de bien saisir l
naperçue jusqu'à l'an dernier, époque à laquelle M. Richet a noté l' atrophie musculaire. L'anomalie est plus nette à droite
ctilité faradique et galvani- que de tous les muscles de la main. L' atrophie en effet n'est pas musculaire, mais porte sur t
l'amaurose, de troubles multiples bulbo- protubérantiels et de l' atrophie spino- neurotique Charcot-Marie (3 pi.), 91.
23 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
it de la plus haute importance, avec l'aspect de la papille gauche - atrophie con- génitale, constatée par un médecin ophtalm
secondaires et une croissance exagérée, examinons l'influence de l' atrophie génitale de José Lopes sur son état morphologiq
e l'atrophie génitale de José Lopes sur son état morphologique. L' atrophie génitale des géants, qui est un fait définitiveme
er à ces animaux une apparence particulière. Or, tous ces faits - l' atrophie génitale des géants, le gigantisme des eunuques
cette complexité, il suffit de se rappe- ler qu'on observe aussi l' atrophie des glandes sexuelles dans des cas tout à fait
r des troubles des organes gé- nitaux, la suppression des règles, l' atrophie de l'utérus ; il est donc bien naturel qu'une s
que tous les cas de lésion hypophysaire, les auteurs constatent une atrophie des organes génitaux, ou tout au moins l'affaib
g péronier, etc.) présentent des altérations marquées consistant en atrophie d'un grand nombre de fibres, dont le volume n'a
45. (3) REoucu , Ueber Pliliare Sklerose der llirnrinde bei seniler Atrophie . Jahrb. f. Psych. u. Neurol., Bd XVII, 1898.
marquée aux membres inférieurs, moins nette aux membres supérieurs. Atrophie musculaire du quadriceps, parésie des membres i
its et,chez les mâles, l'examen des glandes génitales démontre leur atrophie . Chez quelques-uns on a pu mettre en évidence l
re des nains de ce groupe, on a noté des lésions diverses (absence, atrophie , dégénérescence) de la glande thyroïde. Bien av
lature des extrémités inférieures est un peu rigide. Il n'y a pas d' atrophie musculaire partielle. Atrophie générale de l'ex
es est un peu rigide. Il n'y a pas d'atrophie musculaire partielle. Atrophie générale de l'extrémité inférieure droite, de 1/2
ans les articulationscoxo-fémnrales; absence de déformation des os. Atrophie et épaississpment des muscles longs du dos et d
anifestée auparavant, disparut après un mois de séjour à l'hôpital. Atrophie de quelques muscles de la région de l'épaule et d
l'épaule et de toute l'extrémité supérieure gauche (3 cm.) ; cette atrophie ne s'accompagne pas de tremble- ments fibrillai
ments ; la palpation révèle l'existence de points osseux douloureux. Atrophie Nouvelle Iconographie DE la SALPÉTRIÉRE. T. X
rtout), gêne peu sensible dans les articulations des genoux. Faible atrophie des muscles de la région des épaules et des muscl
mobile. La respiration est du type costal infé- rieur et abdominal. Atrophie symétrique des muscles autour des articulations
res. La région des petites articulations des deux pieds est enflée. Atrophie ou tension de quelques muscles de la région de
ures ou inférieures, in loto (1 à 3 centim.) (obs. I, II, VII); une atrophie avec épaississement des muscles longs du dos. Dan
e membre droit est beaucoup plus court que le gauche. Il existe une atrophie très marquée de tous les muscles du membre mala
e très marquée de tous les muscles du membre malade. Mais surtout l' atrophie est grande aux muscles de la v face antéro-exte
teuses. Mort deux jours plus tard. Cette femme avait, en outre, une atrophie des membres supérieur et inférieur 200 ALQUIER
scopique est dû à M. Dupuy-Dutemps : quelques jours après l'entrée, atrophie papillaire double plus accentuée à gauche, avec c
uble plus accentuée à gauche, avec con- tours papillaires flous : l' atrophie est consécutive à une stase dont les signes (sa
par un cysticerque gros comme une cerise. Pas d'autre cysticerque. Atrophie excessive des os du crâne. Il s'agit d'un homme
ives d'où abaissement de l'acuité visuelle avec, à l'ophtalmoscope, atrophie temporale des deux pa- pilles. Ilerringliam (
xistait une hydrocéphalie énorme des 3 premiers ventricu- les, avec atrophie du manteau cérébral, due à une occlusion presque
côté gauche, où la main n'offre rien en apparence d'anormal (pas d' atrophie , mou- vements libres). Nous avons constaté deux
et l'on peut ramener en extension les doigts sur les métacarpiens. Atrophie des es- paces interosseux et des muscles de l'é
ssement de la main au niveau de la, partie métarcapienne ; malgré l' atrophie des muscles de l'éminence hypothé- nar et du pr
pour ce qui est de son altitude (en griffe), de l'état des muscles ( atrophie ) et des mouvements relatifs. Mais ce qu'il y a
e voit pas les espaces interosseux comme cela se voit dans un cas d' atrophie vulgaire. La couleur de la peau de la face dors
dépendance d'affections nerveuses. Ce sont plutôt des phénomènes d' atrophie cutanée, où la peau est lisse, luisante même, s
lisse, luisante même, sans plis, altérations qui s'accompagnent à l' atrophie musculaire et qui sont consécutives à certaines
escence des cellules des ganglions spinaux; en outre, il existe une atrophie importante du cartilage intervertébral, tan- di
rmation du cartilage hyalin en cartilage fibreux. 2° Un processus d' atrophie idiopathique de la substance cartilagineuse. A
at de la substance chroma- tophile. Rares sont les noyaux en étal d' atrophie et d'habitude sur chaque coupe on ne peut trouv
l'aspect est tout à fait différent, car ces cellules sont en état d' atrophie pigmentaire ; leur corps protoplasmi- que envah
en position intermédiaire. D'autre part on note une paralysie avec atrophie du trapèze et du sterno- mastoïdien. A l'état
conséquent la paralysie récurrentielle. Mais il existe en outre une atrophie du trapèze et du sterno-mastoïdien qui suppose
: absence congénitale du pouce (ectrodac- tylie absolue) et légère atrophie congénitalede l'avant-bras (micromélie congé- n
'avant-bras (micromélie congé- nitale). ' . c) Au thorax : légère atrophie congénitale de toute la moitié gauche. Voyons m
très prononcées de ces os et que certainement le degré très léger d' atrophie des extrémités du radius et du cubitus n'arrive
encore être remarqué chez le sujet dontje m'occupe, c'est la légère atrophie de la moitié gauche du thorax, qui n'a d'égale en
ALADIES NERVEUSES DE L'UNiVERSiTÉ DE MOSCOU Professeur : W. Roth. ATROPHIE CURIEUSE ET RARE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA
nt touffu et varié. Mais le fait, dominant tous les autres, est une atrophie très prononcée de la moelle épinière et d'une p
lle épinière et d'une partie de la moelle allongée. C'est sur cette atrophie que je m'étendrai. Une telle constatation, si e
d intérêt immédiat de rechercher le mécanisme et l'origine de cette atrophie . Je ne me propose nullement, dans l'article act
e et au point de vue anatomique. Je n'envisagerai que la question « atrophie ». Les renseignements concernant l'évolution de l
ntribué il relever les phases successives de cette longue histoire. ATROPHIE CURIEUSE ET RARE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 361 C'es
onner à toute la maladie une physionomie particulière ; c'est d'une atrophie musculaire qu'il va s'agir, et c'est par le delto
res; ayant débuté à droite, en 1895, par la main et l'avant-bras, l' atrophie ne cessa d'agrandir son domaine; l'extension pr
e d'une pachyméningile. - ce' région lombaire. - dd' Cône terminal. ATROPHIE CURIEUSE ET RAHE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 363 me
al. ATROPHIE CURIEUSE ET RAHE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 363 menée l' atrophie ; elle passe insensiblement du bulbe à la moelle
intensité. La moelle épinière, dans toute sa hauteur, présente une atrophie fortement accusée ; de plus une pachyméningite
d'une façon plus légère dans la moelle allongée. Si on considère l' atrophie dans les diverses régions médullaires, on note
la formaline. 364 . HEIMANOW1TSCH La description du cas extrême d' atrophie dont nous nous occupons exige, pour être complè
donc, dans notre cas, impossible d'arriver à poser le diagnostic d' atrophie médullaire et c'eût été même un contre-sens logiq
gique que de chercher à l'établir, La possibilité d'un diagnostic d' atrophie ne saurait être admise que dans les cas où il p
hie ne saurait être admise que dans les cas où il peut s'agir d'une atrophie systématique (maladie de Friedreich, atrophie o
il peut s'agir d'une atrophie systématique (maladie de Friedreich, atrophie olivo-ponto-cérébellense, etc.). Mais l'idée gé
atrophie olivo-ponto-cérébellense, etc.). Mais l'idée générale de l' atrophie de la substance nerveuse considérée en soi comm
ayant sa réalité propre, comme une entité si l'on veut, ne saurail ATROPHIE CURIEUSE ET RARE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE I 365 êt
IEUSE ET RARE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE I 365 être admise ; en effet, l' atrophie n'est qu'une diminution de volume et de multipl
la n'a pas empêché certains cliniciens (1) d'employer le terme d' « atrophie de l'encéphale », notamment pour désigner le proc
sus de la porencéphalie ; cependant ici, il n'est pas question de l' atrophie des fibres. Si nous envisageons les causes ap
penser aux troubles circulatoires. Oppenheim a publié un seul cas d' atrophie du système nerveux central (moelle épinière). L
épinière). Long et Wiki, qui ont décrit un fait analogue, ont mis l' atrophie en rapport avec les troubles en question. Dans
stence, dans l'étendue du premier jusqu'au 9e segment dorsal, d'une atrophie de la moelle s'exprimant par les nombres suivan
ches expérimentales de Soukhanoff et d'autres. Cependant le cas d' atrophie que nous présentons ici paraît unique dans son
utre étiologie que le cas de Long et Wiki, dans lequel d'ailleurs l' atrophie est fort loin d'atteindre l'intensité reconnue
paraîtra évi- dent que, dans le fait étudié par nous, la cause de l' atrophie n'avait rien à voir avec des troubles de la cir
it rien à voir avec des troubles de la circulation. La cause de l' atrophie ne pouvait pas tenir non plus à une compression
même avant l'examen histologique, il était impossible de mettre . l' atrophie sous la dépendance de la seule compression exercé
Cette dernière circonstance élimine également la possibilité d'une atrophie par constriction des vaisseaux du fait de la méni
ur sclérose consécutive. Donc, comme nous l'avons déjà dit, notre atrophie médullaire a une cause qui n'a rien à voir avec
quels qu'ils soient, de l'axe nerveux. Dans la région lombaire, l' atrophie existe d'une façon bien nette. Ici nous trouvon
iller l'idée de troubles circulatoires pou- vant être la cause de l' atrophie . On ne constate pas non plus ici de mul- tiplic
la leptoméningite ne sauraient être, dans notre cas, la cause de l' atrophie ; on ne peut cependant pas refuser une certaine im
trophie; on ne peut cependant pas refuser une certaine importance . ATROPHIE CURIEUSE ET RARE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 367 au p
ose et la rétraction des tissus, cette dernière, s'ad- joignant à l' atrophie , a provoqué la diminution maximale de la moelle
vraxe nous parait constituer la cause nécessaire et suffisante de l' atrophie de la substance nerveuse que nous avons décrite.
insi : « qui, après avoir offert des phénomènes de développement, s' atrophie , se résorbe, ou se décompose » (Dict. de Littré).
'est agi d'une maladie générale, d'une ty- phoïde ayant déterminé l' atrophie des testicules (obs. XVII), d'une grippe (obs.
s la fièvre typhoïde. E. Organes génitaux et fonctions sexuelles. L' atrophie des uns et le déficit des secondes sont réalisé
a verge a tantôt subi une sim- ple diminution de volume, tantôt une atrophie vraiment surprenante; tel le malade de l'observ
voix soient moins accusées. G. Symptômes d,origine"thyroïdienne. L' atrophie du corps thy- L INFANTILISME REGRESSIF OU TARDr
athyroïdiens très nets ; on a aussi plus précieusement constaté son atrophie à l'autopsie, se traduisant par une pesée de lu
le et sa frilosité. Mais son im- puissance ne s'améliora pas et son atrophie testiculaire ne rétrocéda pas* 41( ! CORDIER ET
de féminisme par castration de l'homme adulte et d'infantilisme par atrophie testiculaire de l'adulte ont des ressemblances
rchite syphi- litique bilatérale. La suppression des érections et l' atrophie testiculaire ouvrirent la scène clinique dans l
nes de myxoedème, d'ailleurs très discrets, n'apparurent qu'après l' atrophie testiculaire bilatérale et l'impuissance consécut
t certain, c'est que la glande génitale est toujours intéressée : l' atrophie testiculaire ou utéro-ovarienne, l'impuissance
génitales. Les troubles menstruels sont parfois signalés, et même l' atrophie des organes génitaux. Meige précise davantage : «
de l'adulte n'est-elle pas capable d'entraîner, au même litre que l' atrophie des testicules, une régression in- fantile. U
s, une régression in- fantile. Une question préalable se pose ; l' atrophie testiculaire produit-elle les mêmes effets que
suppression anatomique des testicules. Ce que fait la cassation, C atrophie testiculaire, d' O1'dre pathologique, peut le réa
i est de petit volume parce que non développée, mais n'a pas subi d' atrophie après avoir achevé son développement normal. Il
ît au premier abord. Ces réserves faites, il faut reconnaître que l' atrophie testiculaire d'or- dre pathologique entraîne de
més canisme d'ailleurs très mal connu. H. -Mais il est des cas d' atrophie testiculaire en apparence totale qui ne suffise
cas de MM. Widal et Lutier, ayant trait à un sujet pré- sentant une atrophie congénitale complète des deux testicules et n'aya
ulement continuent à fonctionner (ce qui est possible même avec une atrophie testiculaire très marquée) et la fonction diasté-
testicule ? Et alors que la palpation des bourses fait croire à une atrophie complète, il peut subsister une partie de la gl
s, 1''e édition, 1812, tome II, p. 62. Campa- gnes d'Egypte. « De l' atrophie des testicules. Plusieurs soldats de l'armée d'
z dure : le cordon spermatique est lui-même aminci et participe à l' atrophie . « Lorsque, les deux testicules sont atrophiés,
Syphilis à 24 ans. Orchite syphi- litique bilatérale à 25 ans, avec atrophie consécutive des testicules. Peau blanche. Cheve
63 ans. Compression testiculaire traumatique vers l'âge de 3S ans. Atrophie testiculaire consécutive. Depuis 7 ans environ,
es. Il est difficile de dire si ce phénomène doit être rattaché à l' atrophie des testicules ou à un léger degré d'insuffisan
ires et pubiens. C'est alors (très probablement), qu'est survenue l' atrophie des organes génitaux qui a passé inaperçue aux
- nèmes. Les testicules, petits et mous, pèsent 8 et 10 grammes ; atrophie des tubes éminifères, avec absence complète des
sement complet des fonctions génitales, ni appétence, ni érection ; atrophie des testicules; bouffissure transitoire de la f
el- ques très rares poils grêles sans couleur au niveau du pubis. Atrophie très marquée des organes génitaux ; la verge a à
cils et les sourcils; le reste du corps est complètement glabre. Atrophie de la verge et des testicules; frigidité totale;
giment d'infanterie. Mais lorsqu'on eut, 15 jours après, constaté l' atrophie de ses organes génitaux, il fut réformé à son g
poils courts et lins, les aisselles sont complètement disparues. Atrophie remarquable des organes génitaux ; les testicules
date de l'examen. BIBLIOGRAPHIE (1) Achard et DEHANCHE. Un cas d' atrophie testiculaire. Société Médicale des Hôpitaux de
. - Impuissance, in fmlrlisme tardif et épilepsie consécutifs à une atrophie testiculaire bitatéiale £ 1'0' igme traumatique.
ns génitales : la disparition des caractères sexuels secondaires, l' atrophie des testicules et des organes génitaux externes
esticules et des organes génitaux externes indiquent l'hyporchidie. Atrophie des organes génitaux mais non infantilisme, car
ille normale sont les plus rares, la plupart sont petites en voie d' atrophie . La paroi de ces vésicules est formée par une r
des acini ; la nappe scléreuse est tachetée de vésicules en voie d' atrophie , ces vésicules sont petites, vides, ou ne renferm
sculaire en voie de résorption. Les lésions sont donc intenses, l' atrophie scléreuse tend à détruire la glande dont pourta
la résorption ne semble pas se faire. Ces lésions de sclérose et d' atrophie semblent un peu plus marquées encore que dans l
l y a donc anatomiquement, macroscopiquement et micros- copiquement atrophie de la thyroïde, des testicules, des surrénales, d
rnes, mais qui n'a pas de souve- nir bibliographique, reconnaît une atrophie des organes génitaux exter- nes, des testicules
ques. La section expérimentale de ces filets avertisseurs empêche l' atrophie de se produire avec la même soudaineté. Il y a do
lacée sous la dépendance effec- tive des centres trophiques, et une atrophie passive observée dans tout membre condamné à l'
sions osseuses consécutives à des traumatismes dans lesquels aucune atrophie musculaire systématisée, aucun trouble sensitif
os du carpe et du métacarpe, les os du tarse qui sont touchés par l' atrophie se prêtent en effet tout spécialement, en raiso
ns, l'extrémité infé- rieure du radius et du cubitus présentent une atrophie osseuse très marquée. Les os sont transparents
toires auraient existé dès le début. Ils ne se sont pas modifiés. Atrophie musculaire. - Les éminences thénar et hypothénar
les filets sensitifs ont été sectionnés et qui ne présentent qu'une atrophie lente proportionnelle à l'impotence du membre. Le
tions normales avec les centres nerveux pré- sentent au contraire l' atrophie osseuse caractéristique. La lésion s'étend au d
actéristique. La lésion s'étend au delà du foyer traumatisé. Il y a atrophie osseuse articulaire et abrcrti- culaire comme i
emarque judicieuse de Imbert et Gagnière, la date d'apparition de l' atrophie peut être très variable. Elle n'a pas eu le tem
es et répétés en vue de cette recherche spéciale. - La durée de l' atrophie peut être fort longue. Nos Confrères citent des f
ts datant de quinze mois, deux ans et deux ans 1/2, dans lesquels l' atrophie persistait avec ses caractères habituels. Chez
ment au premier malade, n'a pas repris le travail. L'existence de l' atrophie osseuse étant démontrée, y a-t-il lieu d'en ten
la dépendance du système ner- veux, on peut considérer également l' atrophie osseuse post-traumatique comme un véritable tro
m.Lt, 140. .Ilaxie labéliqite, mécanisme, par NOlc.\, 31l, 481. Atrophie de la moelle épinière el de la moelle allongée.
ale) (7 pl.), par EI.n \1101'1', 1'-)l, 236. Syphilis médullaire ( Atrophie curieuse et rare de la moelle épiniel el de la
les accidents du travail (1 pi.), 472. IIEIJ11 : \o\\'tTscn (A.). Atrophie curieuse et rare de la moelle épinière. et de l
24 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
5 CL sur l'index. Sur la face dorsale de la même main on remarque l' atrophie con- sidérahle, et môme le creux des espaces in
fibrillaires. 11 n'existe pas d'autres troubles tro- phiques que l' atrophie musculaire. . Ons. II. Paul S..., emballeur, âg
face dorsale présente une saillie exagérée des métacarpiens, due à l' atrophie des interosseux; vue par sa face palmaire, elle
et encore par le côté droit. Ce sont toujours de la paralysie, de l' atrophie , et des troubles de la sensibilité symétriques,
er les signes d'une paralysie du cubital; griffe carac- téristique, atrophie des interosseux, en particulier du premier, par
de ce membre, douleurs qui revenaient par accès. La faiblesse et l' atrophie ne se sont déclarées qu'il y a cinq mois. N'a j
formation. - La main droite vue par sa face palmaire pré- sente une atrophie très-marquée des éminences thénar et hypothénar d
difficile de confondre avec les espèces nosologiques connues. Ni l' atrophie musculaire progressive mopatlique ou myélopathi
u des régions correspondantes de la cuisse droite. Il n'y a pas d' atrophie musculaire, ou du moins, si les muscles se sont
ure de sacrum remontant à cinq ans. Paralysie. z Crampes. Douleurs. Atrophie musculaire. Troubles tro- phiques cutanés. Enge
sit, au bout d'un certain temps que la malade ne peut préciser, une atrophie musculaire des deux membres inférieurs. Pas de tr
sibilité à la piqûre. Les troubles trophiques sont les suivants : atrophie sensiblement symé- trique des deux membres infé
les jours suivants. Ainsi donc, paraplégie, anesthésie, douleurs, atrophie musculaire, troubles trophiques des extrémités
les nerfs grand et petit sciatiques. Il est à noter également que l' atrophie musculaire s'est manifestée, elle aussi, exclus
DES SUITES ÉLOIGNÉES DES TRAUMATISEES DE LA MOELLE. à 7 décembre. - Atrophie du membre inférieur droit. Du côté de la plaie,
Ils n'ont manqué dans aucun cas. Le plus souvent, il existait de l' atrophie musculaire, généralement asymétrique. ' . Com
is toujours il y a prédominance de certains symptômes- : paralysie, atrophie musculaire, troubles trophiques cutanés, surun cô
énitale peut renaître en même temps que disparaître la paralysie. L' atrophie des membres in- férieurs est fréquente. » Les
de la pupille droite, mais l'action indirecte est bonne. Il y aune atrophie blanc bleuâtre de la pupille droite, ses veines s
ongue 7. 5 centimètres et porte d'ailleurs tous les caractères de l' atrophie sénile au début; on remarque surtout la flaccidit
fallait-il attribuer la dilatation des tissus ? Principalement à l' atrophie du cerveau, mais je crois aussi qu'il fallait adm
nt un certain degré de mollesse. Il paraît y avoir un léger degré d' atrophie . L'articulation phalango-phalanginienne du médi
dystrophies des ongles signalées par M. Régis '. L'existence de l' atrophie musculaire dans la paralysie générale a été con
dans la paralysie générale a été contestée, sauf comme coïncidence ( atrophie musculaire progres- sive, Baillarger). Pourtant
cidence (atrophie musculaire progres- sive, Baillarger). Pourtant l' atrophie musculaire peut se présenter sous forme épisodi
un grognement inintelligible. L'inspection de la langue montre une atrophie con- sidérable limitée au côté droit. La muqueu
e cotonneuse comme si les mus- cles étaient complètement absents. L' atrophie est surtout marquée vers la pointe, elle l'est
e vers la pointe, elle l'est beaucoup moins à la base. Malgré cette atrophie , la déviation de la langue est nulle. Les mouve
es jours après sa visite. , - Il n'est pas sans exemple de voir l' atrophie de la langue se développer en conséquence de lé
a rapporté d'assez nombreux exemples depuis, on peut trouver cette atrophie très mani- feste '.L'interprétation de l'atroph
eut trouver cette atrophie très mani- feste '.L'interprétation de l' atrophie dans ce cas de paralysie générale est donc asse
le que, d'après lui, le cerveau de cet homme avait subi une notable atrophie . Le larynx était grand, l'épiglotte large; cett
de la base du sternum; les deux ventricules étaient agrandis par l' atrophie du tissu musculaire; ces faits semblaient être en
tes, chrondrites), le tissu osseux peut s'altérer dans le sens de l' atrophie ou de l'hypertrophie. Primitivement, il peut exis
nsiblement moindre à gauche, ce qui tient plus particulièrement à l' atrophie du maxillaire inférieur. En l'examinant, on voi
uand, par l'abus des substances alcooliques et par l'âge, survint l' atrophie des lobes cérébraux antérieurs : car alors, com
ement hypertrophiées. Le coeur est très petit, il a subi un degré d' atrophie considérable, il ne présente guère que les ` ?
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L'HYSTÉRIE ATROPHIE MUSCULAIRE ET OEDÈME I Jusqu'à ces derniers t
xcellent mémoire 1 l'existence de troubles trophiques en étudiant l' atrophie musculaire des hystériques, déjà signalée en 18
inaugurale faite sous l'inspiration de M. Sceligmüller °. 1. De l' atrophie musculaire dans les paralysies hystériques. Archi
dernières observations il y a prédominance de la paralysie et de l' atrophie dans le membre supérieur, dans l'autre, prédomi
ieur. » Puis il donne les caractères de ces troubles nutritifs. « L' atrophie musculaire se présente sous l'aspect suivant :
a contractilité électrique est diminuée en proportion du degré de l' atrophie musculaire, mais il n'y a pas de réaction de dé
culaire, mais il n'y a pas de réaction de dégénérescence ; 5° cette atrophie peut se développer avec une grande rapidité. Ch
quinze jours après le début de la paralysie... La rétrocession de l' atrophie semble pouvoir être rapide comme son développem
e pouvoir être rapide comme son développement ». C'est donc d'une atrophie simple qu'il s'agit ; il n'existe pas de réacti
n jeune malade de treize ans atteint de mono- plégie brachiale avec atrophie musculaire, ayant duré trois ans et s'étant ter
de Babinski, tout au moins en ce qui regarde à proprement parler l' atrophie musculaire. Dans ses Leçons cliniques du premie
et lez. 1887, p. 4C. 2. De l'hystérie chez l'homme, monoplégie avec atrophie musculaire (Journal des con- naissances médical
VIII, p. 107). 3. Hémiplégie probablement d'origine hystérique avec atrophie musculaire (Archives de physiologie, 1887, p. 3
raphie de la Salpètrière, t. I, 1888). : .J. Coxalgie hystérique avec atrophie musculaire (Société médicale des hôpitaux, 28 j
dicale des hôpitaux, 28 juin 188G). 0. Hémiplégie hystérique avec atrophie musculaire survenue la suite d'une diphtérie (S
-253 « , 1889-1890, M. le professeur Charcot nous a appris que l' atrophie musculaire hystérique pouvait revêtir certaines
rnée d'une bande marron; grande chaîne de montre en simili-or, etc. Atrophie .musculaire. Le malade ne peut dire quand a comme
Atrophie .musculaire. Le malade ne peut dire quand a commencé celle atrophie . Membre-supérieur droit. Elle porte sur les muscl
nterosseux, le premier et le second principalement, participent à l' atrophie . Le périmètre de la main pris à la base du pouc
ONOGRAPHIE T It PL. XLI Cliché A LONDE rNOTOTYPth BHHTHAUD un ATROPHIE MUSCULAIRE DE LA MAIN GAUCHE D'ORIGINE HYSTÉRIQ
se mettant en griffe, le bras droit s'atrophiant dans sa totalité. L' atrophie débuta par la main, prenant d'emblée tous les m
était fini ; la main et le bras avaient re- pris leurs fonctions, l' atrophie avait disparu.. ' ' , , C'estalors que la main
in et le bras gauche commencèrent à être à leur, tour envahis par l' atrophie . Aujourd'hui (octobre 1889) la main gauche présen
ade qui les a parfai- tement constatés dit qu'ils ont débuté avec l' atrophie . 260 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
é avec l'atrophie. 260 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. L' atrophie intéresse le bras gauche dans sa totalité ; elle
t parfaitement saine, mobile, sans craque- ments. Il n'existe pas d' atrophie du membre infé- rieur gauche. La main droile
atrophié (fig. 76). L'avanl- bras et le bras ne participent pas à l' atrophie . Pas de (roubles de sensibilité locale. La cont
s cas publiés par M. Babinski et par les auteurs qui l'ont suivi, l' atrophie a toujours porté sur un membre atteint de paralys
aire exception à .cette règle. Plusieurs années avant le début de l' atrophie , il a été zut NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈ
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. contracturé des quatre membres et l' atrophie porte uniquement sur le bras droit et le côté d
e. De plus, Cah... ne peut préciser l'époque exacte du début de son atrophie . L'atrophie, si elle ne se superpose pas toujou
h... ne peut préciser l'époque exacte du début de son atrophie. L' atrophie , si elle ne se superpose pas toujours à une contr
uées; ils ont tous expressément noté qu'elles avaient débuté avec l' atrophie . Chez Bill... (Obs. II), elles ont accompagné la
z Bill... (Obs. II), elles ont accompagné la marche ascendante de l' atrophie partant des muscles de la main pour gagner le b
aient, dans les territoires musculaires atrophiés, la réaction de l' atrophie simple. Or, le malade de l'observation II, examin
lles nous désirons attirer l'attention sont les suivantes : '1° L' atrophie musculaire d'origine hystérique peut quelquefois
secousses fibrillaires dans les territoires mus- culaires en voie d' atrophie . 3° Dans un cas d'atrophie hystérique des muscl
es territoires mus- culaires en voie d'atrophie. 3° Dans un cas d' atrophie hystérique des muscles de la main, l'exa- men é
service de Monneret à l'hôpital Necker, avait porté le diagnostic d' atrophie muscu- - laire progressive. Cependant l'affecti
e (de Boulogne) qui écrivait en traçant la sym- ptomatologie de « l' atrophie musculaire de l'adulte ». « L'anesthésie est qu
re supérieur, et n'est pas toujours en raison directe du degré de l' atrophie ». (De l'électrisation localisée, 3e édition 18
93). , Mais il est' incontestable que Duchenne confondit toujours l' atrophie musculaire progressive du type qui porte son no
ce, le diagnostic de sclérose latérale amyotrophique, étant donné l' atrophie des membres supérieurs débutant par les mains et
as-type de syringomyélie : début in- sidieux, à un fige peu avancé, atrophie musculaire à marche lente et progressive, aboli
dura de 3 à 4 mois. C'est à l'âge de 19 ans qu'il s'est aperçu de l' atrophie des muscles de l'hypothénar et des interosseux
illaires, mais sans douleurs dans les régions des muscles en voie d' atrophie . , UN CAS D1; S1'RI\GOlll'ÉLIC. 313 Un an plu
fut examiné par Duchenne (de Boulogne) qui porta le diagnostic « d' atrophie musculaire progressive ». Dans l'intervalle,
ue la main 314 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. gauche. L' atrophie ne progresse qu'avec une lenteur extrême, de sort
tous les deux jours. Elles n'ont pas reparu depuis. A part cette atrophie musculaire et les autres symptômes que nous venon
appétit sexuel persiste. État actuel (17 juin 1889) (pl. XLVIII). Atrophie très marquée des éminences thénar et hypothénar d
des éminences thénar et hypothénar du côté gauche. Main en griffe. Atrophie moins marquée de l'avant-bras du même côté où e
vives dans le talon droit survenant d'une manière intermittente. L' atrophie ne porte pas sur les muscles des membres inférieu
oins le mo- NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. II. PL. XLVUI. SCOLIOSE ET ATROPHIE MUSCULAIRE DANS LA SYRINGOMYELIE LECR05NIHR b
culier dans les fractures du -), 5, 6. Syringomyélie (scoliose et atrophie muscu- laire dans la -), 48. Suspension (de l
2, 43, 41, IJ,J3, Jf·. 55, 56, 57, 58, 70,71, 77, 78. Hystérique ( atrophie musculaire - de 1, main), 72, 73, 74, 75. 76; a
25 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
pemphigus. — Glossy Skin des auteurs anglais. — Lésions musculaires : atrophie . — Lésions ar-ticulaires ; lésions osseuses : pér
de charbon, etc. Eruptions cutanées diverses (zona, pemphigus, etc.), atrophie musculaire, arthropathies, qui, en pareil cas, se
prend pour la maladie tout entière. Telles sontcertaines formes de X atrophie muscu-laireprogressive considérées naguère comme
on de la nutrition dans le membre paralysé. Si ce n'est toutefois une atrophie plus ou moins prononcée, mais se pro-duisant seul
ins prononcée, mais se pro-duisant seulement à la longue (1). Cette atrophie , survenant à la suite de la section du nerf scia-
Pathology. New-York, 1853, p. 6. —Après la section d'un nerf mixte, l' atrophie des muscles ne commence à se manifester en généra
d'un mois environ, par un léger degré d'émaciation. Deux mois après l' atrophie est mieux caractérisée ; elle est très prononcée
urines, se blesse en se heurtant à tous les contacts, etc. Quant à l' atrophie qui survient à la longue dans les membres paralys
onstate simplement, dans les membres paralysés, une dégénération avec atrophie des muscles très lente à se produire, des ulcérat
rs les méninges, provoquer dans les parties périphéri-ques, outre une atrophie plus ou moins prononcée des masses musculaires, d
la partie inférieure de la région cervicale. L'érythème, le zona, l' atrophie musculaire, certaines arthro-pathies, eniin, ont
pemphigus leprosus ; b) l'état lisse de la peau (Glossy S/un) ; c) l' atrophie des muscles ; d) lapériostite etenfin la nécrose.
nution ou abolition hâtives de la contractilité électrique, suivies d' atrophie rapide des muscles dans le cas de paralysie rhuma
terminent l'abolition hâtive de la contractilité électrique, suivie d' atrophie rapide des muscles. Expériences de MM. Erb, Zie
ale de l'adulte, paralysie générale spinale ('Duehenne, de Boulogne), atrophie musculaire progressive, etc. —Rôle prédomminanl d
ertains cas, pres-que fatalement, si le médecin n'intervient pas, à l' atrophie plus ou moins complète du muscle et à la perte qu
lien : la plupart des auteurs semblent s'accordera reconnaître que l' atrophie du muscle, sa dégénéra-tion histologique, ne surv
respondants, examinés après la mort, présentaient de légères traces d' atrophie . Mais il ne s'agit là, sans doute, que d'un exame
Dans les cas do paralysie consécutive à lasec-tion des nerfs, outre l' atrophie des faisceaux primitifs qui se produit à la longu
arition de la contractitilité élec-trique, ne tardent pas à subir une atrophie qui devient parfois très rapidement appréciable,
eloppement les altérations histologiques auxquelles se rapporte celte atrophie rapide des masses muscu-laires; mais c'est là un
al et zygomatique du côté gauche Il est clair que si, dans le cas d' atrophie musculaire que les physiologistes obtiennent à la
869). L'absence de dégénération graisseuse des faisceaux primitifs, l' atrophie de ces faisceaux avec persistance de la striation
prompte modification de lacon-tractilité électrique, bientôt suivie d' atrophie musculaire, sont assimilables, sans réserves, ain
irritatif. De fait, il n'est pas rare, dans les cas de cegenre,que l' atrophie musculaire à marche ra-pide, foudroyante en quelq
emarquables, produits par les lésions de nerfs, est l'émaciation ou l' atrophie des muscles desservis par ces nerfs. Celte atroph
l'émaciation ou l'atrophie des muscles desservis par ces nerfs. Celte atrophie peut exister seule ou se montrer associée à d'aut
6. sais aussi qu'on peut voir survenir, en pareille circonstance, l' atrophie des muscles et la perte de la contractilité élect
s ou moins directe, la perte rapide de la contractilité électrique, l' atrophie hâtive des muscles et, en un mot, toute la série
ême que l'affaiblisse-ment rapide de la contractilité électrique et l' atrophie musculaire consécutive sont portées très loin ; c
onstater déjà que le diamètre de ces faisceaux s'est amoindri ; cette atrophie va rapidement en progressant. Cependant, la stria
ement dans leur nutrition (1). 1. Charcot et .Toffroy. — Deux cas d' atrophie musculaire avec lésion de la substance grise et d
ère da?is Vataxie locomotrice, considérées dans leurs rapports avec l' atrophie musculaire qui com-plique quelquefois celte affec
la voie des faisceaux radi-culaires internes du côté correspondant. L' atrophie musculaire consécutive ôtail exactement limitée a
e unilatérale peut, en s'étendant à la substance grise, déter-miner l' atrophie musculaire. Une femme, âgée d'environ 70 ans, a
ommencèrent à diminuer de volume, deux mois à peine après l'attaque L' atrophie musculaire était uniformément répandue sur toutes
ractilité électrique et progressa rapidement. Dans le temps même où l' atrophie se prononçait, la peau des membres du côté gauche
re de la substance grise du côté correspondant et y avait déterminé l' atrophie d'un certain nombre de cellules motrices. 1. Ch
rosseux étaient atrophiés ; les avant-bras présentaient également une atrophie très marquée, limitée à certains groupes de muscl
emps inaperçues. ¦ i'ondes de la contractilité électrique, et d'une atrophie à dévelop-pement rapide de la fibre musculaire. —
ement, on peut suivre le développement des phénomènes corrélatifs : l' atrophie des masses musculaires s'accuse bientôt ; les lés
sion de constater la lésion histologique des faisceaux primitifs et l' atrophie des masses musculaires qui ne manqueraient sans d
n point de départ dans la névroglie. Il est des cas d'ail-leurs, où l' atrophie d'un certain nombre, voire même d'un groupe tout
ation des cellules nerveuses, dites motrices, dans la pathogénie de l' atrophie musculaire nombreuses recherches dontles lésion
ect. IV : Diseuses of Nerve Cells, p. 683. New-York, 1861. 1. Sur l' atrophie des cellules nerveuses motrices dans la paralysie
aires marche d'ailleurs avec rapidité et devient bientôt manifeste. L' atrophie simple des faisceauxpri-mitifsavec conservation d
ac-cidentel (1). L''atrophiemusculaireprogressiveoffre à étudier l' atrophie irritative des cellules motrices dans son mode ch
1. Charcot et Joffroy, loc. cit. — Vulpian, loc. cit. 2. Voir sur l' atrophie des cellules motrices dans l'atrophie musculaire
pian, loc. cit. 2. Voir sur l'atrophie des cellules motrices dans l' atrophie musculaire progres-sive : Luys, Société de Biolog
progres-sive : Luys, Société de Biologie, 1860. — Duménil (de Rouen), Atrophie muscu-laire graisesuseprogressive, histoire, crit
critique. Rouen, 1867. —Nouveaux faits relatifs à la pathologie de l' atrophie musculaire progressive, in Gazette hehdom., Paris
tivement dans un certain nombre de muscles paralysés et, enfin, par l' atrophie rapide que ces mêmes muscles subissent, constamme
nt, au contraire, la paralysie générale spinale et larapprochent de l' atrophie musculaire pro-gressive avec laquelle elle est qu
membre sont frappés en masse, presque uniformément, de paralysie ou d' atrophie ; ils présentent, déjà, aune époque peu éloignée d
a langue, le pha-rynx, le larynx, l'orbiculaire des lèvres, etc., une atrophie plus ou moins accusée des fibres musculaires (2).
p. 356, 636, pl. XIII. Obs. deCath. Aubel.)—Duehenne et Joffroy. De l' atrophie aiguë et chron. des cellules nerv. de lamoelle et
s la sclérose postérieure (ataxie locomotrice) et dans certains cas d' atrophie musculaire progressive. Messieurs, Lorsque j'
âgée de 61 ans, admise, il y a huit ans, à l'hospice, comme aveugle ( atrophie scléreuse des nerfs optiques), est aujourd'hui
es douleurs fulgurantes à l'une quelconque des lésions suivantes : 1° atrophie des racines postérieures avant leur entrée dans l
duisent le décubitus aigu sont aussi celles qui donnent naissance à l' atrophie musculaire rapide et aux autres troubles du même
fet, certaines affections spinales ont pour carac-tère que toujours l' atrophie rapide des muscles se développe sansaccompagnemen
contractilité électrique (faradique) des muscles, bientôt suivie de l' atrophie , une forme particulière d'arthro-pathie sur laque
le décubitus aigu. Chose remarquable, tandis que l'arthropathie et l' atrophie musculaire siègent sur le membre du côté où la mo
thropathie n'estpas signalée, mais on y trouve notée, par contre, une atrophie rapide des muscles du membre paralysé, précédée,
95. Obs. \.) faits exposés dans la leçon précédente, de rapporter l' atrophie rapide et générale des muscles paralysés, notés d
tanément, il en résulte que, dans la clinique, le décubitus aigu et l' atrophie musculaire aiguë, tantôt se montreront isolés, ta
res à formation rapide et, lorsqu'il s'agit de la' moelle épinière, l' atrophie musculaire aiguë des membres paralysés, la cystit
'usure qu'ont subies les têtes osseuses. J'ai noté plusieurs fois une atrophie rapide des masses musculaires sur les membres où
ve: sclérose des cordons posté-rieurs, méningite spinale postérieure, atrophie des racines pos-térieures des nerfs rachidiens. U
1), Remak (2), et tout récemment M. Rosen-thal (3) ont observé dans Y atrophie musculaire progressive des arthropathies, qui, pa
ois les membres sur lesquels se développent les troubles trophiques — atrophie musculaire rapide,éruptions huileuses, eschares,—
laire. Il peut survenir, et je l'ai constaté deux fois, une véritable atrophie graisseuse des muscles. A un moment donné, l'inte
tionnées, dans les nécrop-sies, des lésions banales, en particulier l' atrophie cérébrale sénile; or, celle-ci peut exister, comm
est muette. 11 n'est nullement question, dans le texte allemand, de l' atrophie des éléments nerveux, non plus que des caractères
instar de l'ataxie lo-comotrice dans certaines circonstances, et de l' atrophie mus-culaire progressive, une maladie de famille.
res ; en réalité, ils ont surtout diminué de volume, et cette sorte d' atrophie s'est faite aux dépens du cylindre de myéline, ca
le qui, en outre, semble composé de couches concentriques. Enfin, une atrophie , capable d'amener une diminution de volume re-lat
g.. 1868. le fait initial, fondamental, l'antécédent nécessaire ; l' atrophie dégénérativedes élémentsnerveuxestsecondaire, con
sibilité. — Immixtion de symptômes insolites : symptômes tabétiques ; atrophie musculaire. — Contracture permanente. —Epilepsie-
tée par M. Magnan (Archiv. de physiologie, t. II, p. 795), il y avait atrophie papillaire des deux yeux avec cécité complète.
e, tantôt enfin dans les cas rares oùla cécité est complète (1 ), une atrophie totale (coloration d'un blanc nacré, extrême ténu
a s'observe dans certains cas de paralysie labio-glosso-laryngée avec atrophie des muscles linguaux. D'abordàpeine appréciable
les rappelant, tant par son siège que par son mode d'envahissement, l' atrophie musculaire à marche progressive. 11 m'a été donné
, qui a succombée à une sclérose en plaques. M. Charcot a observé une atrophie des muscles de l'éminence thénar. La paume delà m
einte d'une hémiplégie du côté droit, datant de l'enfance. Il y avait atrophie générale, rigidité et raccourcissement des membre
mités, surtout à gauche : tremblement de la tête ; parole difficile : atrophie des jambes. — Autopsie : Sclérose du pont de Varo
r la contrac-ture disparaître sans laisser de traces. Au contraire, l' atrophie limitée plus particulièrement à certains groupes
es contractions fibrillaires, analogues à celles qu'on observe dans l' atrophie musculaire progressive ou un affaiblissement très
initive (juin 1870). Plusieurs des muscles de la jambe ont subi une atrophie pro-fonde; ils présentent, de plus, des contracti
aigrissement général assez prononcé, mais on n'observe aucune trace d' atrophie partielle. Aucun désordre à noter, du reste, dans
pemphigus. — Glossy Skin des auteurs anglais. — Lésions musculaires : atrophie . — Lésions ar-ticulaires; lésions osseuses : péri
de charbon, etc. Éruptions cutanées diverses (zona, pemphigus, etc.), atrophie musculaire, arthropathies, qui, en pareil cas, se
nution ou abolition hâtives de la contractilité électrique, suivies d' atrophie rapide des muscles dans Je cas de paralysie rhuma
terminent l'abolition hâtive de la contractilité électrique, suivie d' atrophie rapide des muscles. Expériences de MM. Erb, Zie
nale de l'adulte, paralysie générale spinale (Duchenne, de Boulogne), atrophie musculaire progressive, etc. —Rôle prédomminant d
s la sclérose postérieure (ataxie locomotrice) et dans certains cas d' atrophie musculaire progressive.................... 75 Q
sibilité. — Immixtion de symptômes insolites : symptômes tabétiques ; atrophie musculaire. — Contracture permanente. — Epilepsie
dans la sclérose en plaques, 233. Amyotrophie protopathique ( V . Atrophie musculaire). — symptoma-tique : dans la contractu
e la sclérose en plaques, 230 ; — dans la sclérose en plaques, 242. Atrophie musculaire, 5. — consé-cutive à la section du ner
ellules : forme aiguë (pa-ralysie infantile), 68 ; — forme chronique ( atrophie musculaire progressive, 69. — Rôie des — dans la
paraplégie traumatique, 100. — Arthro|athies dans 1' —, 103, 106. — Atrophie musculaire dans 1' —, 105. — Altérations des urin
iques des), 36 ; — dans la paralysie infantile, 68. (V. Amyotrophies, Atrophie musculaire, Myopathies, Sclé-rose en plaques.)
mem-bres inférieurs, 239. — Symptô-mes insolites, 241. — Ataxie, 212. Atrophie musculaire, 241. — Con-tracture des membres, 245.
26 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. D'après Bouvier, en effet2, le torticolis pour- rait déterminer l' atrophie du côté correspondant de la face, et Broca nous
ujet dont le père fut atteint plus tard d'ataxie locomotrice 4. L' atrophie musculaire progressive est quelquefois une mala
, Bd. VII, II. 1, p. Ib.) in .labdte. Lypélnflnie consecutive à une atrophie musculaire progrea- sive. (Ann. nzéd. psych., 6
accompagnée, comme cela a lieu dans cette dernière affection, de l' atrophie des cellules antérieures. Aussi ne saurait-il ê
embres. - Douleurs au niveau du thorax et des membres inférieurs. Atrophie grise des nerfs optiques. -Sclérose des cordons p
nerfs optiques. -Sclérose des cordons pos- térieurs et latéraux. - Atrophie des tubes nerveux dans les nerfs de la deuxième
lmoscopique, pratiqué par M. Parinaud, démontre l'exis- tence d'une atrophie grise des papilles. De temps en temps, la malad
sont amaigris ; mais il ne semble pas y avoir à proprement parler d' atrophie musculaire. Pas de troubles du côté des réservo
é de notre cas mérite d'être mise en relief, c'est l'existence de l' atrophie des nerfs optiques. Cette atrophie s'observe co
n relief, c'est l'existence de l'atrophie des nerfs optiques. Cette atrophie s'observe communément, on le sait, dans le tabe
ent à la genèse des altérations de l'ataxie locomo- trice. Pareille atrophie existait aussi chez le malade dont M. Babesiu a
fausse sclérose sys- tématique combinée de la moelle, compliquée d' atrophie des nerfs optiques. Un certain nombre d'obser
VEUSE. dans la région dorsale et s'accompagnant à ce niveau d'une atrophie des racines rachidiennes postérieures. Cette sc
onfiné au lit. Vers la troi- sième année commença à se manifester l' atrophie des papilles; l'affection dura quatre ans; en d
tant, d'aspect gélatiniforme. Pas de lésions à première vue : pas d' atrophie de la corne d'Ammon. Les ventricules latéraux e
tte conclusion que la résection d'un côté du bulbe n'entraîne pas l' atrophie du centre visuel de Munk du côté opposé; on y r
nt vécu ultérieurement de six à quatorze mois, M. Furstner trouva l' atrophie du nerf optique ainsi qu'une faible atrophie du
, M. Furstner trouva l'atrophie du nerf optique ainsi qu'une faible atrophie du faisceau croisé, le tubercule quadrijumeau qui
leurs subi qu'une petite diminution de volume; jamais il n'obtint l' atrophie du centre visuel croisé, non plus que l'hypertr
le que M. Furstner l'a consignée du côté lésé, sans que pour cela l' atrophie de la région corticale du côté susmentionné ait
rend la région motrice du lobe frontal. De sa destruction résulte l' atrophie des fibres des pyramides et du faisceau de Vicq
lie. Un peu d'affaiblissement de la motilité du côté gauche, sans atrophie musculaire, ni troubles de la sensibilité. Rien
bulbaire progressive : la con- servation des réflexes, l'absence d' atrophie musculaire et la' conservation de la contractil
le nom de sa rue. Pupilles immobiles, la droite plus étroite. A une atrophie pupillaire qualifiée de ta- bétique par M. Fano
ions médullaires développées chez les goutteux, signalons un fait d' atrophie musculaire progressive vu par M. Potain '. Dans
Par le Der GILBERT BALLET, ancien chef de clinique de la Faculté. L' atrophie de certains groupes musculaires n'est pas un fa
relief leur fré- quence relative et leurs caractères propres. . L' atrophie musculaire des ataxiques « ne présente pas, dit
cas recueilli dans mou service par M. Pierret, ajoute M. Charcot, l' atrophie portait à la fois sur toute l'étendue du membre
e locomotrice se complique aune période relati- vement précoce de l' atrophie de certains muscles..., notamment de ceux d'une
constate tous les signes de l'ataxie et, de plus, un commencement d' atrophie des muscles de l'é- ' Grasset ? 5·aite ywatigue
19 le CLINIQUE Nh¡t\ BUSB. minence thénar de la main droite. Cette atrophie de la main a débuté, au dire du malade, il y a
atrophié présente la forme de circonvolutions bien décrite dans l' atrophie de la langue. On la voit aussi agitée de contra
llet 1875. DE L'HEM1A'rlWPHII, : DE LA LANGUE. 195 Observation I. Atrophie musculaire de la moitié gauche de la face el de
est très amaigri. Il a presque complètement disparu. Par suite de l' atrophie des DE 1.'HFRI1TILOP111G de 1.1 langue. 197 m
ie au niveau des interos- seux. c) Membre inférieur gauche. Pas d' atrophie musculaire; mais diminution de la sensibilité d
dans l'ataxie. Cette affection dé- termine plutôt, on le sait, une atrophie qu'une hypertro- phie des têtes osseuses, et no
chez le même sujet, d'un rhumatisme chronique et d'une DE 1,'H k,li ATROPHIE DE LA LANGUE. 199 ataxie. Des coïncidences anal
r sous la direction de notre maître, nous autorisent à penser que l' atrophie de la langue, sans 1 Bulletin de la Société ana
201 t et de l'épaule droits. La même année on constatait un peu d' atrophie des deux papilles plus prononcée à gauche, et une
vons fait reproduire ici (Fig. 3) '. Il n'y avait d'ailleurs aucune atrophie des muscles des membres et du tronc. Un secon
nerveux , héréditaires. Atrophies musculaires multiples. - Hémia- atrophie de la langue. M. Grossor..., trente-cinq ans, h
Leisier, telle qu'elle est 1 apportée dans la thèse de M. Illum, l' atrophie linguale n'est pas mentionnée. C'est qu'en effe
llum, l'atrophie linguale n'est pas mentionnée. C'est qu'en effet l' atrophie s'est montrée une époque postérieure à celle ou l
ite étant un peu plus dilatée; absence de réflexes pour la lumière; atrophie de la papule au début a droite, s'accusant pa
lade, c'est l'existence d'atro- phies musculaires multiples. 1° Atrophie des muscles des membres. L'atrophie est surto
ies musculaires multiples. 1° Atrophie des muscles des membres. L' atrophie est surtout marquée au niveau des membres sup
ux ont beau- coup diminué de volume. La main droite, malgré que l' atrophie y soit très réelle,n'a pas de tendance à se pla
emble qu'il s'agisse là plutôt d'un simple amaigrissement que d'une atrophie vraie. 2° Hémiatrophie de la langue ( ! %i. 5.)
au duquel le tremblement porte seulement sur la partie atrophiée. L' atrophie de la langue semble gêner fort peu la masticati
et iodure de potassium) fut institué et ne donna aucun résultat. L' atrophie de la langue, loin de rétrocéder, continua à pr
pportés plus haut, et d'en faire, sans plus ample informé, un cas d' atrophie linguale tabétique. Le diagnostic, on le voit
l'hémiplégie est ancienne et très prononcée. Mais, dans ces cas, l' atrophie ne serait constatable qu'après la mort et par l
omplication de chorée. Le second cas a été publié par Jackson, et l' atrophie linguale dans celui-ci paraît avoir été produit
érie, elles semblent déter- miner plus fréquemment que les autres l' atrophie I \V. l.W ne-Clarke. - A treuluc on the cleseas
manentes et irrémédiables comme placées sous la dépendance de cette atrophie . Le fait est vrai pour les muscles des membres,
s altérations très graves des muscles oculaires et souvent même une atrophie des nerfs moteurs oculaires ». Or, ces divers
e ou des yeux, reconnaître une pathogénie univoque. On sait que l' atrophie des muscles des membres résulte d'une atrophie
que. On sait que l'atrophie des muscles des membres résulte d'une atrophie des cellules des cornes antérieures de la moelle,
d'hémiatro- phie linguale que nous possédons, la coïncidence de l' atrophie des muscles de la langue (Cas. personnelle; OBs
ou tro- DE L'HG\IIaTROPIIIr nE LA LANGUE. 1217 phiques bulbaires ( atrophie delà langue, paralysie des muscles oculaires, e
paralysie infantile, dans la paralysie spinale de l'adulte, dans l' atrophie musculaire progressive, dans la paralysie génér
ous les symptômes classiques de la sclérose latérale amyotropbique, atrophie des muscles avec con- tractures dans les poigne
sensibilité, nuls troubles aussi du côté de la vessie ou du rectum. Atrophie de la langue avec parésie qui s'est associée pe
ntérieures très prononcée, surtout dans le ren- flement cervical et atrophie des racines antérieures. Dans le bulbe, l'étage
ne peut être tirée hors de la bouche; elle est large, étalée, sans atrophie , ni déviation. Il n'y a pas d'aphasie et le mal
e. Réflexes conservés, ainsi que la contractilité électrique. Pas d' atrophie des muscles atteints. 302 PATHOLOGIE NERVEUSE
patellaire. Pas de con- tracture ni d'épilepsie spinale. Absence d' atrophie musculaire et de troubles trophiques. Contracti
ns les mouvements d'extension au dehors et d'éléva- tion) ; pas d' atrophie ni de dévia- tion. Les lèvres se rapprochent
ons dans la substance grise des cornes postérieures, ainsi que de l' atrophie des racines postérieures (identité des fibres de
'hémianesthésie et l'hémiopie passagères, de là l'aphasie du debut. Atrophie du lobe frontal en rapport avec la démence de l
ieures, la paralysie infantile, la paralysie spinale de l'adulte, l' atrophie musculaire progressive, laparalysie-labio-glosso-
repris les séances d'une façon continue. P. K. XXXV. Observation d' atrophie musculaire, articulaire ET osseuse, névropathiq
extrémités supérieures et les mains, et sont caractérisées par de l' atrophie des muscles, des tendons, des os, les articulat
nkylosées, tordues de par les contractures musculaires. Signalons l' atrophie avec rigidité des sternocleidomastoïdiens, des
ité des sternocleidomastoïdiens, des trapèzes, en opposition avec l' atrophie sans exagération de la tonicité des pectoraux :
rapprocher de l'atro- phie concentrique de Volkmann, semblable à l' atrophie générale sénile, dont le début devrait peut-êtr
ations spiniles (Autopsie ' d'une ancienne paralysie infantile avec atrophie très localisée) ; z par Hermann S.mu. (Berne, D
que, avait, à la suite d'une paralysie atrophique de l'enfance, une atrophie considérable des muscles des éminences thénar e
ux muscles atrophiés. L'auteur ajoute quelques considérations sur l' atrophie des os correspondants aux muscles paralysés, et
lysie des muscles de la bouche, de la langue, du voile du palais, l' atrophie commençante du nerf optique, l'insensibilité re
ique, on notait, avec la parésie de tous les muscles des yeux, de l' atrophie des nerfs optiques (cécité d'un côté), de la pa-
révélait la dégénérescence des cordons postérieurs et laté- raux, l' atrophie des nerfs oculo-moteurs externes, oculo-moteurs
cas, la participation morbide du nerf optique (cécité ou amblyopie, atrophie ) apparaissait dix fois. M. Westphal ne croit pa
ce progressive. L'anatomie pa- thologique permet de lui attribuer l' atrophie des nerfs oculaires correspondants (deux cas de
ques ressortissant aux trois autres observa- tions se résument en : atrophie des nerf moteurs de l'oeil et de leurs muscles
de visé dans l'espèce, était en même temps atteint de sclérose et d' atrophie des cordons postérieurs excessivement accusées.
ation regarde la paralysie générale seule, voudrait-elle dire que l' atrophie des fibres fût primitive et que l'encéphalite ser
ce sont des altérations d'un genre particulier, qui ont déterminé l' atrophie de la substance nerveuse. 11 ne manque pas non
substance nerveuse a été atrophiée primitivement, d'emblée. Si à l' atrophie s'ajoute l'm- flammation interstitielle, c'est
ne genèse multiple, mais ce ne peut être, eu dernier ressort, que l' atrophie du parenchyme cérébral, qui Archives, t. VU. 12
tains cas, son écorce indemne ; quand l'écorce diminue de volume, s' atrophie , on doit penser a une atrophie fondamentale des
uand l'écorce diminue de volume, s'atrophie, on doit penser a une atrophie fondamentale des éléments corticaux. Tuczek a rai
eur), mi-partie dans l'olive infé- rieure. Cette texture explique l' atrophie secondaire de l'olive du cas 376 ô SOCIÉTÉS SAV
le temps de l'observation. Chez 12 p. 100 des paralysées générales, atrophie blanche ; chez deux d'entre elles il n'y avait
'entre elles il n'y avait qu'une légère pâleur de la papille. Cette atrophie est- elle la phase ultérieure d'un processus pa
rales, manquait vingt fois. Or. sur les douze patientes atteintes d' atrophie papillaire, six ne tradui- saient plus le réfle
la durée, la marche de la paralysie générale; loin de là, souvent l' atrophie pa- pillaire ou la disparition du phénomène du
uis les circonvolutions ascendantes jusqu'à la queue de cheval, une atrophie très avancée, compliquée d'oedème très mar- qué
s; par Dultois. Thèse de Paris, 1884. Contribution a l'élude de l' atrophie musculaire progressive (1) pc Aran-Duchennej ;
ans l'), z24 ; - (hérédité nerveuse dans la genèse de l'), 259. Atrophie , musculaire. articulaire et osseuse, névronathi
27 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
ct des urines et il existe de profondes es- carres ; il n'y a pas d' atrophie musculaire. Les membres' supérieurs sont allong
egré d'oedème au niveau de la paume. On est frappé de suite par une atrophie marquée localisée aux muscles de la ceinture scap
s signes nous montraient que la lésion devait s'étendre en haut ; l' atrophie des deltoïdes et celle des muscles de l'épaule
e d'un mot. Ces désordres, toutefois, s'expliquent facilement par l' atrophie sénile du cervelet dont cet homme était atteint.
ous avons constaté un épaississement généralisé de la pie-mère, une atrophie corticale très accentuée et une dilatation assez
passablement élargis. Or, en réalité, il ne s'agit pas d'une simple atrophie ainsi qu'on pourrait bien le croire ; la consis
ais avec une « légère hésitation » ; il n'y a pas de paralysie ni d' atrophie . La voix n'est ni.enrouée ni bitonale. Du côte
lques troubles dans l'articulation de certaines lettres (1). L'hémi atrophie ET L'lIE41t1' : 1HI.SIE linguales, symptômes obje
la moitié gauche atrophiée, la pointe dirigée à gauche du côté de l' atrophie ; rides nombreuses et profondes, consislance moin
onsislance moindre de celte moitié. La paralysie, correspondant à l' atrophie , répond bien au type décrit par Babinski (Soc.
ée, l'hystérie fait de l'hémispasme glossolabié et ne produit pas d' atrophie , on doit se demander d'abord, ou siège la LÉSION,
lésion secondaire comme dans le cas de lésion de l'hypoglosse avec atrophie de son noyau d'origine publiée par Laignel-Lavast
façon générale, les lésions corticales ne donnent naissance à de l' atrophie que par l'intermédiaire des neurones bulbo-médu
e de ces hémiatrophies. En sa faveur plaident, chez notre malade, l' atrophie très marquée et les tremblements fibrillaires,
bulbaire unique puisse anatomiquement expliquer. Pour produire une atrophie linguale et une paralysie faciale alterne, il fau
ipaux caractères morphologiques propres à l'enfance : hypoplasie ou atrophie des organes génitaux, absence des carac- tères
les entre elles. Iris normaux. Milieux éclairables. Fond d'oeil : atrophie optique bilatérale plus accentuée à droite. Acu
dévelop- pés, absence de poils. En outre : céphalée, vomissements, atrophie blanche des deux papilles. Réaction hémiopique
Epiphyses osseuses non soudées. Céphalée, vomissements. Cécité avec atrophie blanche bilatérale des papilles. Grand élargiss
céphalée. Hémianopsie latérale droite. Pâleur de la papille droite. Atrophie de la papille gauche. Elargissement énorme de la
e de poils. Pas d'adiposité. Céphalée. Hémianopsie bitemporale avec atrophie optique. 76 SOUQUES ET STEPIIEN CHAUVET II. C
21 ans qui, à partir de t'age de 14 ans, avait l cessé de grandir. Atrophie des organes génitaux. Cryptorchidie du côté droit
de l'hypophyse, mais tumeur cal- cifiée de la tige pituitaire (1). Atrophie testiculaire avec absence de cellules interstit
s'agissait d'un tératome. Cas de Zôllner. Femme d'aspect infantile. Atrophie optique bilatérale. Autopsie : Carcinome du lob
et Qttacquenboss. Homme de 27 ans ayant la taille d'un adolescent. Atrophie des organes génitaux. Absence de poils. Hémianops
la Salpêtrière, 1907, p. 238. ' CusniNS. Infantilisme sexuel avec atrophie optique due à une tumeur de l'hypophyse. Journ.
acrée. A l'autopsie : tuberculose pulmonaire sclérosée aux sommets, atrophie sénile. Le tissu du cerveau est dur, sec, blanc
s altérations du squelette dans l'aclion- droplasie dépendent d'une atrophie du cartilage épiphysaire primordial, qui accomp
ne l'était pas, mais sa main était à trident et présentait la même atrophie des métacarpiens qu'on a trouvée chez le fils.
taires. Leur volume semble réduit dans certaines régions bien que l' atrophie ne soit pas manifeste. On observe aussi des îlo
que. On n'a pu conslaler aucun des symptômes observés dans le cas d' atrophie musculaire quelle qu'elle soit. Les auteurs exp
ssance de. l'existence, dans sa famille, d'un cas de paralysie ou d' atrophie musculaire, ou d'une difformité quelconque. Les
e voit ni tremblement, ni contractions fibrillaires, ni spasmes, ni atrophie , ni même hypertrophie ou pseudohypertrophie.
re, les réactions électriques des muscles para- lysés, avec ou sans atrophie , chez l'hémiplégique ne sont généralement pas m
minuées elles le sont seulement quantitativement et au prorata de l' atrophie ; enfin parfois et exceptionnellement, le phéno
du Ve à droite. Réflexe cornéen du côté droit 0, du côté gauche -1-. Atrophie du muscle masséter droit et du muscle temporal
e l'hôpital. Il rentra de nouveau le 8 avril 1908. Cécité complète. Atrophie papil- laire des deux côtés. Parésie du nerf fa
bservation 1 (PI. XXXVIII). (Service du Dr GALLAVARDiN.) Résumé : Atrophie testiculaire sans doute congénitale. Absence de l
iveau de la bouche ou des dents. En somme, n'étaient sa taille et l' atrophie de ses testicules, notre homme serait absolumen
andis qu'elle fait défaut chez le malade de l'observation I, dont l' atrophie testiculaire persiste. Ces différences mises à
e ne trouver ni infantilisme, ni féminisme, chez un sujet atteint d' atrophie testiculaire congénitale. Aussi croient-ils à l
w dans un certain nombre de cas alors que, dans d'autres, on note l' atrophie du corps thyroïde. On doit donc en déduire que
érodermie présentant en même temps des symptômes basedowiens et une atrophie de la face. Eichhorst (3), dans son Traité de p
un simple goitre. Schâffer (4) a publié un cas de sclérodermie avec atrophie du corps thy- roïde. Dans celui communiqué par
etit. Hektoen (9) a publié un cas de sclérodermie où il a observé l' atrophie , la sclérose et la disparition d'un goitre, la
), il y avait de la sclérodermie et le syndrome de Raynaud avec une atrophie du corps thyroïde. Dans le IIP cas d'Osier (11)
chez une femme de 39 ans, atteinte d'une sclérodermie diffuse, une atrophie considérable du corps thyroïde. Kronheimer (6)
e considérable du corps thyroïde. Kronheimer (6) a noté également l' atrophie de la thyroïde chez une femme de 23 ans présent
physe et un goitre colloïdal. Laignel-Lavastine (5) a observé une atrophie appréciable du corps thy- roïde chez une jeune
rodactylie et puis la sclérodermie. Dupré et Kahn (6) mentionnent l' atrophie du corps thyroïde chez une femme de 57 ans avec
s le cas I de sclérodermie diffuse de Pedrazzini (7), il est noie l' atrophie du corps thyroïde et l'opothérapie thyroïdienne f
pas lieu d'admettre une hypertrophie surrénale compen- satrice de l' atrophie thyroïdienne. Strumpell (7) a émis l'opinion th
de se limiter à la peau, est très envahissante et il insista sur l' atrophie des muscles, qu'il croyait secondaire à une lés
de relever : ' , 1° Les relations existant entre la sclérodermie, l' atrophie thyroïdienne et l'hypertrophie hypophysaire;
l'exagération des plis paralabiaux. Au cou la palpation révèle une atrophie absolue,complète, du corps thyroïde, qui n'est
nces thénar et hypothénar sont aplaties ; il y a un certain degré d' atrophie musculaire. La paume des mains est toujours hum
et le talon, à cause de la rétraction des tissus, est anguleux. L' atrophie musculaire, très accusée -aux mollets, diminue à
s parties molles, mais encore les os, qui sont nettement altérés. L' atrophie osseuse est localisée aux extrémités digitales, e
sition dorso-pal- maire. Il est inutile d'ajouter que les lésions d' atrophie osseuse se sont montrées parfaitement symétriqu
femme de 36 ans présentant des signes certains d'hypo- thyroïdisme ( atrophie de la glande, suspension des règles) depuis 6 ans
es endroits, au contraire (cou, épaules, ceinture pelvienne), cette atrophie musculaire n'est pas accompagnée d'une indurati
c- tionnement du corps thyroïde : cette glande présentait un état d' atrophie complète avec retentissement sur les glandes gé
uspension des règles à un âge encore relativement peu avancé. Cette atrophie du corps thyroïde, fréquente dans la sclérodermie
ée sur l'insuffisance thyroïdienne ; on a observé en effelque celle atrophie était le plus souvent unilatérale et que, par con
cas par la médication thyroïdienne. Or, ce n'est pas toujours une atrophie thyroïdienne qui se produit au cours de la sclé
vec laquelle les hypertrophies du corps thyroïde sont suivies d'une atrophie de cette glande, en dernière analyse l'on peul
tions thyroïdiennes ont soulevé l'hypothèse que l'hypertrophie et l' atrophie consécutive de cette glande sont liées à des tr
re deviennent plus ou moins épais, dans la sclé- rodermie la peau s' atrophie , se rétracte, et à cette atrophie les os sous-
dans la sclé- rodermie la peau s'atrophie, se rétracte, et à cette atrophie les os sous- jacents et surtout ceux des derniè
atologie und Venerologie, 1908, no 6. 304 BERTOLOTTI liée à une atrophie du corps thyroide. Or, depuis les recherches de
e des symptômes généraux graves concomitants, caractérisés par de l' atrophie musculaire, des troubles vaso-moteurs, tro- phi
, en se basant sur la coexis- tence des taches, des tumeurs et de l' atrophie musculaire, on avait cru pouvoir conclure à une
insertion de certains muscles est calcifiée (tendon d'lcliille) ; l' atrophie musculaire dans certains endroits atteint un de
mme le petit doigt, les éminences thénar et hypothénar ont subi une atrophie énorme, la flexion et l'extension des doigts so
une leucoplasie buccale très accentuée. On notait encore une double atrophie de la papille avec troubles du réflexe pupil.-
uer. Chez un autre malade, le viti- ligo coexistait avec une double atrophie des'nerfs optiques. Deux malades ne présentaien
rêmement réduite dans les plans supérieurs ; il ne s'agit pas d'une atrophie primitive, 'mais plutôt d'une atrophie secondaire
urs ; il ne s'agit pas d'une atrophie primitive, 'mais plutôt d'une atrophie secondaire. C'est sans doute à la dégénérescenc
la dégénérescence des fibres de projection qu'il faut attri- buer l' atrophie extrême du thalamus dans sa partie la plus supéri
ibres à myéline y sont clairsemées et faihlement colorées. Dans cette atrophie sont compris le noyau externe, le noyau interne
e déformation due très vraisemblablement à la dégénérescence et à l' atrophie de la capsule interne. Le noyau de Luys parait pl
rt des cas semblables, la dégénération se traduit davantage par une atrophie globale que par la décolo- ration sur les coupe
, parce qu'il faut tenir compte du tassement qui se produit et de l' atrophie secondaire de l'étage inférieur. Le faisceau ex
ures. - Dégénération du segment postérieur de la capsule interne. - Atrophie de la couche optique. le,(;. B. - Coupe horizon
ayant empieté sur la moitié antérieure de la temporale profonde. - Atrophie du thalamus. Atrophie de l'opercule rolandique
moitié antérieure de la temporale profonde. - Atrophie du thalamus. Atrophie de l'opercule rolandique et de la 3, circonvolu
rolandique, pariétal et frontal, est atteint dans sa face profonde. - Atrophie du gy- rus supramarginalis et de la 2- circonvo
'est généralement chez des idiots que l'on constate l'agénésie et l' atrophie du corps calleux, et nous avons recherché dans
âne durs, moitié plus épais à droite qu'à gauche; pas de synostose. Atrophie considérable de l'hémis- phère cérébral droit,
obe temporal. Absence du 408 ROUBINOVITCH ET BARBE corps calleux; atrophie du lobe gauche du cervelet. Plus récemment, Kot
nt,commandé pal' la lésion hypophysaire. Quant aux rapports entre l' atrophie testiculaire et la lésion primitive du corps pi
amène dans un grand nombre de cas un arrêt de développement, et une atrophie génitale, on voit que l'on est autorisé à décri
bles oculaires graves, de céphalée et d'accidents délirants, puis d' atrophie testjculaire avec syndrome eunuchoïde sans infant
le même diminuée d'étendue, ce qui est de nature à évoquer l'idée d' atrophie hypophysaire. Quoi qu'il en soit, l'absence d
que par un processus néoplasique, par un processus de sclérose ou d' atrophie - fait que notre interprétation demeure jusqu'i
et sur l'encéphale. Déformation de la voûte crânienne, exophtalmie, atrophie des nerfs optiques, pouvant se compliquer de fai-
lblatt f. Augenheil- kunden, 1883-85. - (10) SCHlILLER, Schnerven atrophie d. Schoedelmissbildung, Kliniscb 1\10no.tsblatter
ce, mai 1893. (15) BOUIiNEVILLÛ, Oxyl1'igallocéphalia, épilepsie et atrophie optique, Comptes rendus de Bicêtre, 1895. (16
. Iconographie de la Salpêtrière, 1908. (26) MxvLzeER,'Palhog. de l' atrophie optique et du ThU1'mshoedel, Neur. Centralblalt
tut, Traité d'Anatomie humaine. ... ' ? S YXIX -3 SUIt UN CAS D' ATROPHIE MUSCULAIRE CHEZ UN [NÈGRE PAR R A. AUSTREGÉSI
Médecine de Rio de Janeiro. Dans nos services de clinique les cas d' atrophie musculaire ne sont pas rares. Cependant, nous n
musculaire ne sont pas rares. Cependant, nous n'avions jamais vu l' atrophie musculaire progres- sive dans la race noire où
est rare. L'observation suivante mérite donc d'être enregistrée. L' atrophie pré- sentée par le malade est semblable au type
le patient ayant les scapulæ alaise. On ne voit pas l'invasion de l' atrophie aux mains ni aux régions thénar, hypothénar, ni
aux régions thénar, hypothénar, ni aux interosseux. Il semble que l' atrophie ait commencé par la racine des membres, dans la
s pour M. Sacara est un phénomène actif com- pensateur. En ellet, l' atrophie des muscles extenseurs des cuisses sur le bassi
nfé- Kouvei.le Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVI. Pl. LXI ATROPHIE MUSCULAIRE CHEZ UN NÈGRE (Auslrcgesito) Mnsso
Z UN NÈGRE (Auslrcgesito) Mnsson & C^, Ehteurs SUR UN CAS D' ATROPHIE MUSCULAIRE CHEZ UN NÈGRE 431 rieur, le malade a
ie de Paris (Séance du 12 janvier 1911). Il s'agit, en effet, d'une atrophie musculaire progressive.. L'atrophie est nette
). Il s'agit, en effet, d'une atrophie musculaire progressive.. L' atrophie est nette dans plusieurs muscles de la ceinture s
aie hypertrophie ; comme l'ont montré P. Marie et Guinon en 1885, l' atrophie musculaire n'a rien a voir avec le volume du mu
Ce n'est pas seulement la palpation et l'inspection qui montrent l' atrophie par la mollesse et la dépressibihté des autres ma
e et l'évolution lente sont des signes qui viennent à l'appui d'une atrophie musculaire dite primitive progressive, myopathi
ec myxoedème, acromégalie avec hyperthyroï- disme, acromégalie avec atrophie testiculaire, acromégalie avec insuffi- sance s
sence de la réaction de dégénérescence. (1) PIERRE Marie et Foix, L' atrophie isolée non progressive des petits muscles de la
s a observés avec M. Foix et qui peuvent expliquer certains faits d' atrophie des petits muscles de la main (1). Il serait prém
UN CAS DE MÉGALODACT'YLIE UNILATÉRALE DES ORTEILS 477 jointe à l' atrophie du le', à l'atrophie légère des 4e et 5*, les aut
CT'YLIE UNILATÉRALE DES ORTEILS 477 jointe à l'atrophie du le', à l' atrophie légère des 4e et 5*, les autres parties du pied
use se prolonge même sur la face plan- taire du 3e cunéiforme. 2° Atrophie du gros orteil. Elle est très marquée, mais peu
e moins que l'hypertrophie des 2' et 3e orteils. Il y a aussi une atrophie légère du 1e' métatarsien portant surtout sur l
malade ne peut le mette en extension qu'en se servant de ses mains. Atrophie musculaire à la jambe et aux cuisses. - La mo
Babinski ne se produit pas. Les réflexes crémastériens sont abolis. Atrophie musculaire massive dans la cuisse et les jambes
squ'à la complète impotence fonctionnelle des membres inférieurs et atrophie musculaire massive (le 3e de nos cas). On a not
e par les douleurs extrêmement violentes, la paralysie flasque avec atrophie musculaire, la modification des réac- tions éle
re par - de 1 épaule chez un tabé/ ! que), par Goi- 31L,s, 242. Atrophie musculaire chez un nègre, par AUSTEIEGESILO, 43
Aphasie de Broca, cerveau (Déjeiune et ANDR6; THOaIS), XLIX à LI. Atrophie musculaire chez un nègre (Aus- THEGÉSILO). LXI.
28 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'existence d'un liséré gingival léger. Il n'existe ni paralysie, ni atrophie mus- culaire qu'on soit en droit de rapporter à
produise chaque fois que le même territoire est affecté. G. D. II. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE A TYPE ARAN-DuCHENNE ; p
inte des muscles soumis à la volonté indique, d'après l'auteur, une atrophie dégénéralive des fibres et cellules nerveuses,
la motilité volontaire (au bout de huit semaines) et une certaine atrophie des extenseurs de l'avant-bras. P. K. XXVI. SUR
absolue des quatre membres : anesthésie légère et passagère ; pas d' atrophie musculaire ; réflexes normaux; les sphincters g
achis, avec convexité à gauche, sans aucun point douloureux ; pas d' atrophie des membres inférieurs; réflexes normaux. Ici e
d'ordre subjectif. Réflexes normaux ; - pas d'anesthésie : - pas d' atrophie musculaire ; tonicité des sphincters conservée ;
Conclusions. - Oui, la paralysie générale s'accompagne toujours d' atrophie plus ou moins accusée des fibres intracorlicales
déterminés de l'écorce. Mais il ne faut pas s'illusion- ner. Cette atrophie n'est pas caractéristique de la paralysie gé- n
dans les affections cérébrales dues à la sénilité; dans ces cas, -l' atrophie des fibres intracorticales marche de pair avec
air avec les lésions athéromateuses. Nous avons aussi rencontré une atrophie très nette de ces fibres dans trois cas de psyc
vidus atteints de folie systématique chronique, deux présentaient l' atrophie en question, mais ils étaient alcooliques ; les
autres ne présen- taient ni alcooli-me, ni lésion des vaisseaux, ni atrophie des fibres intracorticales. D'ailleurs, l'alién
t, en effet, les régions antérieures du cerveau où l'on rencontre l' atrophie des fibres intracorticales, mais non sur- tout
à établir au sujet des diverses couches de l'écorce atteintes par l' atrophie des fibres intracorticales, au sujet de l'ordre
l'ordre dans lequel elles sont atteintes, ni de la progression de l' atrophie du lobe frontal au lobe pariétal, ni de l'intég
reste surtout par plaques. Au point de vue histologique, c'est une atrophie simple; les fibres se rétrécissent graduellement,
pourrait l'appeler nutri- tive, le premier degré méritant le nom d' atrophie simple ou paren- chymateuse. On est loin, du re
On est loin, du reste, de toujours constater un paral- lèle entre l' atrophie des fibres intra-corlicales et les altérations
OGIQUE. 93 tout en faisant remarquer qu'à côté de l'importance de l' atrophie des fibres radiculaires postérieures, le maître
rescence des cornes postérieures dans le labes, M. Krauss signale l' atrophie de la base de la corne postérieure cervicale (f
se produisent de préférence chez les aliénés, parce que chez eux, l' atrophie des circonvolutions qui accompagne si fréquemme
cet entre-croisement et il a signalé la constante coïncidence de l' atrophie d'une moitié du cervelet avec l'atrophie du cor
constante coïncidence de l'atrophie d'une moitié du cervelet avec l' atrophie du corps olivaire du côté opposé; mais il n'a pas
XXX. Amputation ancienne A la partie supérieure du bras gauche ; ATROPHIE DE L\ CIRCONVOLUTION PARIETALE ASCENDANTE DROITE
x où il existe manifestement un certain degré d'amaigrissement ou d' atrophie du tissu cérébral, la tension artérielle estéle
is après le début de la maladie. A l'autopsie : dégénérescence et atrophie des cellules nerveuses de l'ecorce cérébrale et
s pour révéler la propagation de la lésion à la substance grise : l' atrophie mus- culaire progressive et les tremblements fi
logie. SOCIÉTÉS SAVANTES. -t 13 M. A. 111YEa (d'Osnabrrick). De l' atrophie des fibres dans le cerve- let. Il s'agit de l'a
rrick). De l'atrophie des fibres dans le cerve- let. Il s'agit de l' atrophie des fibres à myéline dans l'écorce du cervelet
ules jusque dans le substratum de névroglie en un plexus élégant. L' atrophie est particulièrement accusée dans les préparati
ent de l'appareil vasculaire; nous avons probablement affaire à une atrophie pri- mitive des éléments rnyéliniques 1. M. S
'il faille castrer tous les aliénés. M. Cramer (d'Eberswalde). De l' atrophie des fibres du cerveau à la suite d'insolation.
ammes), une pleurésie sèche bilatérale, de l'oedème pulmonaire, une atrophie brune du coeur. Les fibres itî les ont disparu
issu conjonctif et encore moins à la pathogénie interstitielle de l' atrophie des fibres cérébrales. Le cervelet est atteint
sies; on trouva les signes d'une encéphalite franchement aiguë avec atrophie partielle de la substance corticale. L'étiologie
cnuLTZR présente un garçon de douze ans atteint de para- lysie et d' atrophie des muscles des mains innervés par les nerfs cuúi
re 1888. sociétés savantes. 119 qu'it droite. Il existe aussi une atrophie des muscles des avant- bras ; le reste du corps
e les cornes antérieures soient atteintes; mais il existe aussi une atrophie juvénile myopathique qui, rien ne s'y oppose, p
yélitiques antérieurs sont : 1° l'affaiblisse- ment musculaire et l' atrophie musculaire suivant la disposition et la marche
ystérie, la maladie de Morvan, la lèpre systématisée de Leloir et l' atrophie musculaire d'Aran- Duchenne. Le travail de L. B
rencontrer, tels que l'hypéresthésie et l'anesthésie et enfin que l' atrophie des muscles du membre inférieur pouvant surveni
base de son remarquable travail, il nous est facile de noter que l' atrophie dont il parle est toujours une atrophie en mass
s est facile de noter que l'atrophie dont il parle est toujours une atrophie en masse, soit de la totalité du membre, soit d
d'une même branche nerveuse. 1 Landouzy. De la sciatique et de l' atrophie musculaire qui peut la compliquer. (Arc%. yén,
clusive- ment aux muscles du mollet, sans qu'il y eût pour cela d' atrophie musculaire bien manifeste. Il s'agissait d'un h
ormalement. Fistule vésico-vaginale. Etat actuel (5 novembre 1866). Atrophie notable de la jambe gauche (3 centimètres de di
excitabilité électrique. Le pied est tombant; il y a paralysie avec atrophie des extenseurs. La localisation n'est pas moins
ar trois ans plus tard la malade avait encore son anesthésie et une atrophie des muscles de la région antéro- externe telle
t celle de la jambe gauche. Remarquons que cette paralysie et cette atrophie , dues sans aucun doute à la névrite du sciatiqu
tait encore affectée trois aus après le début des ', accidents et l' atrophie surtout, à ce moment, était considérable. Cette
ux muscles jambier antérieur et exlen- l seur commun, indiquant une atrophie non douteuse de ces muscles. Il en est de même
et péronier, et incom- plète de l'extenseur propre du gros orteil. Atrophie musculaire manifeste à la région antéro-externe
ans le petit bassin, se compliquer d'accidents graves, paralys : e, atrophie musculaire, localisés exclusivement dans le dom
'aide du forceps, s'était compliquée d'une paralysie incurable avec atrophie dégénérative des muscles du mollet. Elle ne sau
IQUE. '161 Observation VII (personnelle).Sc : a(Mgsepa ! 'as : e et atrophie dégénérative des muscles extenseurs de la jambe
che, à peine appréciable en réalité et qui prouve en tous cas que l' atrophie ne porte que sur les extenseurs dont la diminut
e nulles ; à la cuisse, la résistance est conservée. Il n'y a pas d' atrophie des muscles de la cuisse ni de la fesse. - Pas
a douleur est plus vague, quoique non complètement absente. Pas d' atrophie de la cuisse ni de la jambe. L'épaisseur de la
es nerveuses. Observation X (personnelle). -Sciatique ancienne avec atrophie musculaire et troubles de la sensibilité. Mar
t de tous les muscles de la région antéro-externe de la jambe, avec atrophie et réaction de dégénérescence. Puis d'autres dé
omaine du sciatique poplité externe marchent pa- rallèlement avec l' atrophie dégénérative constatée dans les muscles animés
onostic assez sévère, com- mandé par la présence d'une névrite avec atrophie dé- générative des muscles.. CLINIQUE NERVEUS
'avoir trouvé que les altérations banales de là moelle sénile ; une atrophie générale de la moelle, une pig- mentation anorm
a sensi- bilité est respectée; dans un cas seulement il y eut une atrophie légère qui disparut plus tard. Il n'existe que
presque impossible, le moignon de l'épaule est déformé, aplati, par atrophie notable du deltoïde, sensibilité intacte. Réactio
la gué- rison complète a été la plus fréquente. C'est ainsi que l' atrophie , toujours peu marquée d'ailleurs, a été signalé
d plus à l'excitation électrique, non plus que le nerf en question. Atrophie correspondante. Patho- génie : portde lourds fa
US-SCAPULAIRE gauche; par J. HOFFMANN (Neurol. Centralbl., 1888.) Atrophie du sous-épineux et du sus-épineux. Confirmation d
malade cliniquement étudiée dans la biblio- graphie depuis Romberg. Atrophie du coté gauche du visage portant sur les trois
de la sensi- bilité, intégrité des os, pas de troubles vasomoteurs. Atrophie simultanée du bras du même côté dans le territo
g du radial. Les conséquences anatomiques de ces névrites ont été : atrophie de la racine descendante du trijumeau, atrophie
névrites ont été : atrophie de la racine descendante du trijumeau, atrophie partielle de la substance ferrugineuse, alro- p
nseurs et allures de l'excitabilité électrique. Ce ne peut être une atrophie musculaire spinale au début, car on constate :
rol. Centralbl., 1888). I. Nystagmus intentionnel. - En même temps, atrophie de la - 250 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. moi
médiaire des cellules- araignées qui forment de nouveaux vaisseaux. Atrophie parallèle des cellules nerveuses et des fibres
eurs en relalion avec les racines. Ces mutila- tions entraînent une atrophie simple, sans autre modification dans la structu
ique, des cellules des cornes antérieures cor- respondantes ; cette atrophie s'accentue surtout chez les jeunes animaux et d
e hydrocéphalie interne qui a également par compression déterminé l' atrophie du cervelet dans lequel on trouve des lacunes d
trayait avec une aiguille. M. lVionDREr communique un mémoire sur l' atrophie thyroïdienne chez les idiots, d'après lequel ce
'âge des sujets. Quoi qu'il en soit, ils n'ont jamais ren- contré d' atrophie manifeste et encore moins d'absence totale du c
les corps opto-striés. Le cerveau pesait 675 grammes seulement et l' atrophie portait également sur l'hémisphère droit. M. Du
sieurs accès de convulsions qui furent suivies d'une paralysie avec atrophie du côté droit. Depuis cette époque jusqu'à l'âg
texte. Napoli, 1890. Tipografico Tocco. PILLIET (A.). Sclérose et atrophie des glandes gastriques. Bro- chure in-8° de 26
partie des deux hémisphères. La substance cérébrale détruite avec l' atrophie secondaire consécutive fut assez importante pou
ert) et de son altération dans la para- lysie générale. Il divise l' atrophie des fibres blanches en quatre formes : 1° dégén
systématique fusiforme; 2° ci égéné- rescence limitée en foyer; 3° atrophie générale diffuse de la substance blanche; 4° at
en foyer; 3° atrophie générale diffuse de la substance blanche; 4° atrophie diffuse simple de la substance blanche. La prem
peut, chez le paralytique gé- néral, rencontrer en même temps de l' atrophie générale qui frappe sur toutes les fibres indis
générale qui frappe sur toutes les fibres indistinctement, et de l' atrophie simple qui n'attaque que les fibres enlre-crois
s, sans ordre, épargnant les systèmes de fibres intramédullaires. L' atrophie des fibres nerveuses à myéline de l'écorce ne s
'inflammation; plus ou moins systématique, selon qu'il s'agit d'une atrophie simple ou générale, comme nous l'avons dit, par
deux yeux, mais immobiles quand on éclaire seulement l'oeil malade ( atrophie du nerf optique après embolie par exemple), les
E BILATERALE DU FAISCEAU EXTERNE DU PIED DU PÉDONCULE CÉRÉBRAL AVEC ATROPHIE DE LA MOITIÉ SUPÉ- RIEURE (DORSALE) DE LA PROTU
les inférieures et supérieures, aux première et deuxième temporale. Atrophie des circonvolutions correspondantes. Intégrité
an et latéral du pied des deux pédoncules. Intégrité des pyramides. Atrophie de la partie de la protubérance sus-jacente au
tie de la protubérance sus-jacente au prolongement des pyramides. Atrophie presque complète de la couche profonde et des cou
t 12e paires cra- niennes au niveau du bulbe. Il en est résulté une atrophie des noyaux de l'accessoire, du noyau supérieur
ions, abolition parallèle, uniforme, qui se perpétue à la période d' atrophie du tissu nerveux. L'intégrité des réflexes REVU
troubles vaso-moteurs et secrétoires, troubles du tissu cellulaire, atrophie musculaire. On pourrait cri- tiquer cette divis
des-, 299. Assistante des enfants idiots et arriérés, 296, 449. Atrophie musculaire, progressive, par Audry, 70 ; état d
les aliénés, par Bartels, 110; chez les déments, par Wulf, 114; atrophie des fibres du par suite d'insolation, par Crame
re du -avec dégé- nérescence de l'olive opposée, par Dudlay, 98 ; atrophie des fibres du -, par Meyer, 113. Champ visuel
? ZA, psychoses consécutives à l' -, par Munter, 284. Insolation, atrophie des fibres du cerveau à la suite d ? par Cra-
29 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
par conséquent la résistance de i'osr a notablement diminué. Dans l' atrophie , le corps des os longs présente une cavité cylind
lamelles séparées par des couches très minces de tissu spongieux. L' atrophie des extrémités des os longs, des os courts et mêm
enter un cylindre analogue à celui des os longs. Au summum de cette atrophie , les os s'entament, se coupent par le scalpel, et
décubitus au lit très longtemps continué, suffisent pour déterminer l' atrophie des os, non-seulement chez le vieillard, xxiiie
sition celluleuse ou spongieuse qu'on y remarque est le résultat de l' atrophie de l'os Réflexions. — Il est rare qu'une fractu
une fracture extracapsulaire du col du fémur parfaitement simple : l' atrophie sénile portant en effet autant sur le grand troch
ne autre part, reçoivent les chocs transmis au bassin par le fémur. Atrophie de toutes les parties du bassin qui ne concourent
transversal de la partie pubienne de l'os devînt plus considérable. Atrophie de la cavité cotyloïde qui se trouve convertie en
graisse, ne présentant aucun vestige de surface articulaire. — Cette atrophie delà cavité cotyloïde est due à deux causes: i° a
ylose présente plusieurs degrés, savoir : l'ankylose par fusion, sans atrophie , de telle façon qu'à l'exception de la soudure, o
es les parties constituantes de la main ; i° ankylose par fusion avec atrophie , de telle manière que la main ne présente plus qu
offre le maximum de cette dernière espèce d'ankylose. Ainsi ankylose, atrophie , absence de parties, tels sont les divers degrés
mplètes, beaucoup plus profondes, et bien plus souvent accompagnées d' atrophie et de disparition complète des parties, que les a
t. Il importe, dans l'étude des vices de conformation par ankylose, atrophie ou absence de parties, de ne pas confondre l'atro
n par ankylose, atrophie ou absence de parties, de ne pas confondre l' atrophie avec le défaut complet des parties: ainsi, j'avai
Quanta la théorie des ankyloses par fusion congèniale, avec ou sans atrophie , avec ou sans absence de parties, je considère ce
laires sont après la naissance une cause si puissante d'ankylose et d' atrophie , à tel point qu'on voie disparaître presque sans
tl'atrophier si bien qu'on est toujours tenté de se demander si cette atrophie ou cette absence de parties n'entre pas dans le p
i appartient à l'autre. Dans cette espèce d'ankylose, il y a toujours atrophie des extrémités anky-losées , et cette atrophie es
ylose, il y a toujours atrophie des extrémités anky-losées , et cette atrophie est quelquefois telle que les deux extrémités oss
fosses nasales; mais il est d'autres cas de cyclopie dans lesquels l' atrophie porte non-seulement sur la partie supérieure delà
et monotie, vice de conformation qui consiste essentiellement dans l' atrophie des parties situées sur la ligne médiane avec fus
ons était identique avec celle de la glande parotide. Fig. a et 2'. Atrophie des muscles propres de la moitié gauche du larynx
hiés les muscles intrinsèques de la moitié droite du larynx, et cette atrophie m'a paru si complète et si remarquable, que j'ai
que j'ai cru devoir la faire représenter ici. La figure 2 montre l' atrophie complète du muscle crico-arythénoïdien postérieur
phie complète du muscle crico-arythénoïdien postérieur droit CAP et l' atrophie presque complète du muscle aryténoïdien , dont il
stitue-t-elle une paralysie locale produite par la compression, par l' atrophie des nerfs laryngés? Je ne puis me livrer, à cet é
au degré de la certitude, et je puis affirmer que cette hémiplégie ou atrophie hémiplégique du larynx tenait à une lésion du ner
erf laryngé inférieur ou récurrent du même côté, car les limites de l' atrophie sont exactement celles de sa distribution'(i).
e côté, si l'on considère la fréquence des causes de compression et d' atrophie du nerf laryngé inférieur, on sera porté à consid
ntes que faiblement et à l'aide d'un tissu cellulaire très lâche. L' atrophie du sphincter anal, qui est très certainement cons
re la part que doivent prendre la dilatation excessive de l'anus et l' atrophie du sphincter à la reproduction de la maladie, et
d'un renversement du tronc en arrière et de côté et de pied-bots avec atrophie des membres inférieurs. Lors même qu'on n'adopt
térus, à l'ovaire et à la trompe gauches, tous organes dans un état d' atrophie complet, tels qu'ils sont chez une enfant de huit
'intestin; fistule recto-périnéale,recto-vulvaire, recto-péritonéale; atrophie ou plutôt arrêt de développement des organes géni
aux mêmes causes de distention, et par conséquent de débilitation, d' atrophie , que les parois abdominales; cependant, une contu
x. Aucun tissu n'échappe à cette transformation, qui s'explique par l' atrophie de tous les élémens organiques autres que le syst
tissu variqueux qui les dissocie pour les atrophier, les détruire par atrophie , sans pouvoir les pénétrer. Ainsi les filets du n
vésicules pulmonaires, et c'est de cette manière que je m'explique l' atrophie considérable que subissent les poumons chez les v
icardes adhérens au cœur, sans le moindre développement, et même avec atrophie de cet organe; 4° Enfin, on trouve tous les jou
quelques années, sur l'idée que le cœur des vieillards participe à l' atrophie de tous les tissus à cet âge de la vie. Pendant q
de la vie. Pendant que le système musculaire de la vie de relation s' atrophie avec la charpente qui le soutient, le système mus
tout son jour l'hypertrophie considérable du ventricule droit VD et l' atrophie relative du ventricule gauche VG : la cloison ven
lus nombreux) qu'on peut appeler idiopathiques et qui résultent d'une atrophie pure et simple des nerfs optiques, sans lésion au
sans céphalalgie, c'est ordinairement l'amaurose idiopathique ou par atrophie ; l'amaurose avec céphalalgie, habituelle ou inte
e dont elle était accompagnée. — Le caractère anatomique général de l' atrophie des nerfs optiques, c'est la couleur grise avec d
olume. INous verrons ailleurs que tels sont aussi les caractères de l' atrophie de la moelle épinière. La mort subite arrive tr
Paraplégie par induration de la moelle. L'induration avec ou sans atrophie de la moelle me paraît une cause de paraplégie be
e malade. Dans le cas qu'on vient de lire, il y avait induration sans atrophie notable. L'atrophie existait en même temps que l'
s qu'on vient de lire, il y avait induration sans atrophie notable. L' atrophie existait en même temps que l'induration dans le c
e l'induration dans le cas suivant. Paraplégie presque complète par atrophie et induration de la moelle épinière. — Néphrite.
s dur que celui d'une moelle qui a macéré clans l'alcool concentré. L' atrophie a porté sur la substance grise encore plus que su
de que lui offre la région costo-lombaire. Quelle est la cause de l' atrophie avec induration de la moelle ? Est-ce une inflamm
la moelle ? Est-ce une inflammation ? Mais où én est la preuve? Si l' atrophie est, dans un certain nombre de cas, la conséquenc
plète de la sensibilité tactile : tels ont été les symptômes de cette atrophie avec induration de la moelle. Nous ne devrons pas
embres inférieurs : affaiblissement moindre des membres supérieurs. — Atrophie et induratio n de la moelle.—Epaississement et de
é , et par conséquent du côté opposé à l'hémiplégie, atrophiée. Cette atrophie se continuait dans le prolongement de la pyramide
se ou œdème du cerveau se voit là comme dans tous les lieux où il y a atrophie d'un organe susceptible de mouvement. La sérosité
antérieures, qui ont conservé leur volume et leur aspect naturels. L' atrophie des racines est un peu moins considérable à la ré
e, gris jaunâtre, gris rougeâtre de la substance blanche ? Est-ce une atrophie ? Est-ce la conséquence d'une inflammation? Est-ce
vement seulement, mourut de je ne sais quelle maladie. A l'ouverture, atrophie des nerfs optiques, avant et après le chiasma , c
t la moelle; dégénération grise des cordons postérieurs de la moelle; atrophie des racines postérieures des nerfs spinaux. Je
ésentée par un gros tubercule gris. La densité, la couleur grise et l' atrophie observées dans la protubérance se continuent dans
upent même toute leur épaisseur, et, chose bien remarquable, malgré l' atrophie de ses pédoncules moyens, le cervelet n'avait pas
es et postérieures des nerfs spinaux n'avaient d'ailleurs subi aucune atrophie notable. Quant à la profondeur de cette dégénérat
e remarquable que cette altération remontait à la première enfance. atrophie complète d'un membre inférieur depuis la première
flasque, pendant, inerte, tout-à-fait inutile pour la progression. L' atrophie porte non-seulement sur la circonférence, mais en
membre atrophié. Cette courbure était unique et une conséquence de l' atrophie . La moelle était parfaitement saine jusqu'à tro
inférieure. Dans ces trois pouces et demi inférieurs, elle a subi une atrophie remarquable , et présente une densité plus grande
st sensiblement plus considérable à gauche, c'est-à-dire du côté de l' atrophie , qu'à droite. Les nerfs qui se détachent au niv
ferai également remarquer la coïncidence d'un cancer vaginal et d'une atrophie de la partie inférieure de la moelle. L'influence
elle; cette circonstance m'avait d'abord embarrassé, pour expliquer l' atrophie d'un seul membre inférieur, bien que Paltération
rieur gauche, n'était pourtant pas à l'état normal, qu'il offrait une atrophie et une faiblesse réelles, que démontraient anatom
fficulté qu'avait la malade à marcher à l'aide d'une béquille. 4° L' atrophie en longueur aussi bien qu'en largeur et en épaiss
huit ans. Il y a donc à-la-fois dans ce cas arrêt de développement et atrophie . Fig. 2. La figure 2 représente la moelle rét
s assez d'attention à la moitié non paralysée. Je ferai remarquer l' atrophie des pyramides antérieures coïncidant avec la déch
es antérieures coïncidant avec la déchirure de la protubérance. Cette atrophie était d'ailleurs plus complète à gauche, sans clo
les plans traversent la protubérance à différentes profondeurs. Cette atrophie semblerait établir que les pyramides procèdent de
, comme nous avons vu ailleurs qu'elles étaient le siège spécial de l' atrophie sénile. Plusieurs cicatrices peau de chamois du
vre gauche. Les deux pariétaux étaient atrophiés par places, et cette atrophie se manifestait par une dépression de leur surface
ales se divisent en deux genres bien distincts: i° microcéphales avec atrophie du cerveau ; -2° microcéphales avec épanchement s
° enfin, il est des cas mixtes dans lesquels on rencontre à-la-fois l' atrophie du cerveau et l'hydrocéphalie. Je ne connais aucu
rt a lieu au moment de la naissance, tandis que les microcéphales par atrophie du cerveau vivent plus ou moins long-temps. IV.
isséquer, avec beaucoup de soin, plusieurs têtes de microcéphales par atrophie du cerveau : voici le résultat de mes dissections
ation notable. Deuxième fait. Chez un autre enfant microcéphale par atrophie du cerveau, les os de la base avaient leur dévelo
rentrés en dedans de la base du crâne. Le cerveau était très petit. L' atrophie avait principalement porté sur les circonvolution
ouches optiques et les corps striés n'avaient nullement participé à l' atrophie des autres parties, en sorte qu'on peut considére
e cas diffère essentiellement du précédent, en ce qu'il y a à-la-fois atrophie du cerveau et hydrocéphalie. Il en diffère encore
ie du cerveau et hydrocéphalie. Il en diffère encore, en ce que cette atrophie du cerveau n'est pas un défaut de développement,
rophie du cerveau n'est pas un défaut de développement, mais bien une atrophie morbide, une atrophie avec induration; et la séro
t pas un défaut de développement, mais bien une atrophie morbide, une atrophie avec induration; et la sérosité contenue dans la
a dissertation inaugurale (2), nous offre un cas de microcéphalie par atrophie du cerveau avec encéphalocèle. Voici le résumé de
droit du cervelet avec destruction d'un grand nombre de lamelles, et atrophie de ce lobe. —Apoplexie récente de la couche optiq
re dans la cavité de l'arachnoïde. Relativement à la cicatrice avec atrophie du cervelet, les commémoratifs ne disent rien, en
Quelques circonvolutions présentent cet aspect ratatiné qui atteste l' atrophie , et le cerveau est d'ailleurs parfaitement sain.
estreinte, ne diminuent pas sensiblement de volume. Il est vrai que l' atrophie des nerfs ne se juge pas par la dimension du volu
rveux ; que le tissu propre n'est susceptible que d'hypertrophie et d' atrophie . L'atropbie des nerfs présente plusieurs degrés
erfs présente plusieurs degrés et plusieurs formes bien distinctes. L' atrophie se juge, non d'après le volume du cordon nerveux
volume moindre que dans un nerf qui n'a pas été soumis à des causes d' atrophie . Dans un dernier degré d'atrophie, le nerf ne p
n'a pas été soumis à des causes d'atrophie. Dans un dernier degré d' atrophie , le nerf ne présente plus la disposition filament
de tous les nerfs celui dans lequel on observe le plus fréquemment l' atrophie portée à son maximum. Les particularités de struc
ne s'opposent nullement à ce qu'il soit considéré comme le type de l' atrophie des cordons nerveux. Or, cette atrophie débute ta
considéré comme le type de l'atrophie des cordons nerveux. Or, cette atrophie débute tantôt par l'extrémité périphérique, tantô
bute par l'extrémité centrale. Une des causes les plus fréquentes d' atrophie , c'est la compression, ou mieux la distension du
oppée, soit dans le voisinage du nerf, soit dans son épaisseur. Cette atrophie peut être portée jusqu'à la disparition complète
l'hypertrophie des fibres musculaires prostatiques coexistant avec l' atrophie des grains glanduleux de cet organe. Ce fait te
rophies partielles ou tabulaires : celles-ci peuvent coexister avec l' atrophie des autres parties de la prostate. L'absence de
embraneuse du canal de l'urètre est presque toujours accompagné d'une atrophie plus ou moins complète de la prostate, et cette a
mpagné d'une atrophie plus ou moins complète de la prostate, et cette atrophie est souvent la suite d'une inflammation chronique
e. Les deux faits sui-vans viennent à l'appui de cette proposition. Atrophie de la prostate convertie en une poche biloculaire
le rectum. La dilatation du rectum, l'hypertrophie de la vessie, l' atrophie des reins, l'état tuberculeux du testicule, sont
es effets de la présence des calculs rénaux dans le bassinet, c'est Y atrophie du rein. Cette altération atrophique, exempte de
n décrite sous le nom de maladie de Brigbt. Il est probable que cette atrophie n'est pas primitive , mais bien consécutive à une
e une rétention d'urine dans le rein, et, par suite, la distension, l' atrophie , la transformation de chaque lobule du rein en un
iformes, doit sans doute favoriser leur innocuité. Le tissu du rein s' atrophie tout autour de ces calculs, et cette atrophie peu
ité. Le tissu du rein s'atrophie tout autour de ces calculs, et cette atrophie peut avoir lieu de deux manières, par compression
ce bouche l'orifice de communication de ce calice avec le bassinet. L' atrophie par compression, de même que l'atrophie par diste
ce calice avec le bassinet. L'atrophie par compression, de même que l' atrophie par distension, sont donc partielles ou générales
ère fois que j'ai observé des productions graisseuses dans le rein. L' atrophie de cet organe accumule souvent la graisse dans so
u remarquable par le développement de la substance corticale et par l' atrophie de la substance tubuleuse. La nuance de sa couleu
ureté pierreuse, dont je n'ai pu exprimer aucune goutte de liquide. L' atrophie était telle que l'épaisseur la plus grande de la
(Salpêtrière) qui nous a offert un cancer ulcéré avec ratatinement ou atrophie des deux mamelles, avec induration des ganglions
s dans l'intervalle desquelles le tissu propre de l'organe comprimé s' atrophie , à tel point que l'organe est entièrement convert
emens de texture qu'il subit, soit qu'il s'hypertrophie, soit qu'il s' atrophie . i° Relativement au ramollissement des corps fi
t, où la présence des corps fibreux dans l'utérus devient une cause d' atrophie , c'est celui dans lequel ces corps fibreux sont e
mouvement d'hypertrophie. Comme type de corps fibreux multiples avec atrophie de Futérus, oblitération de l'orifice de communic
ent ossifiées. Je crois devoir considérer ce cas comme un exemple d' atrophie de l'utérus, bien que les fibres prises individue
On conçoit que la qualité du liquide épanché, que sa quantité, que l' atrophie ou l'hypertrophie, l'induration ou le ramollissem
i m'a présenté un exemple remarquable de dilatation de l'uretère avec atrophie du rein correspondant. Les rapports de l'uretère
le. Le rein comprimé par l'urine accumulée dans les calices dilatés s' atrophie graduellement et se convertit en une coque d'un j
ue dans ces derniers temps, sous le nom de maladie deBright; et cette atrophie peut être portée au point que la sécrétion d'urin
ge aucun pour l'économie. Toutes les glandes sont donc sujettes à l' atrophie par suite de la rétention du liquide qu'elles séc
er ulcéré mélanique de la parotide et des ganglions sous-maxillaires.— Atrophie des muscles propres delà moitié gauche du larynx.
ailles du tissu cellulaire, d'où l'éparpillement d'abord et ensuite l' atrophie du tissu propre. 1 liv., pl. iv, p. 3.— Les malad
pl. n, p. 4-— Anévrysme actif du ventricule gauche coïncidant avec l' atrophie du ventricule droit. 17e liv., pl. iv, p./.—Anévr
l. 1, p. 3; 38e liv., pl. 1, p. 4. — Ankylose congéniale avec ou sans atrophie et avec disparition complète de parties. 38e liv.
hirure du tissu de l'utérus. 24e liv., pl. 1, il,p. 6. — Apoplexie et atrophie avec ratatinement des lamelles du cervelet. 20e l
sphérique sur la production de la pneumonie. 29e liv., pl. v, p. s. ATROPHIE . Différence entre l'atrophie et la solution de co
e la pneumonie. 29e liv., pl. v, p. s. ATROPHIE. Différence entre l' atrophie et la solution de continuité des fibres cérébrale
tinuité des fibres cérébrales. 8e liv., pl. v, p. 2. — Divers modes d' atrophie du cerveau. Résultats différens de l'atrophie du
p. 2. — Divers modes d'atrophie du cerveau. Résultats différens de l' atrophie du cerveau par compression et de l'atrophie sans
Résultats différens de l'atrophie du cerveau par compression et de l' atrophie sans compression. 8e liv., pl. v, p. a. — Atrophi
ompression et de l'atrophie sans compression. 8e liv., pl. v, p. a. — Atrophie du placenta. 16e liv., pl. i, p. 2.— Atrophie ave
8e liv., pl. v, p. a. — Atrophie du placenta. 16e liv., pl. i, p. 2.— Atrophie avec ralatinementdes circonvolutions du cerveau.
ralatinementdes circonvolutions du cerveau. 20e liv., pl. m, p. i. — Atrophie des os. 23e liv., pl. i, n, p. — Atrophie de l'ut
u. 20e liv., pl. m, p. i. — Atrophie des os. 23e liv., pl. i, n, p. — Atrophie de l'utérus affecté de corps fibreux. 24e liv., p
corps fibreux. 24e liv., pl. m, p. 5. — Formes, degrés et causes de l' atrophie des nerfs. 35e liv., pl. n, p. 2. AUTEUR. Sa po
iv., pl. 1, 11, p. 3. — Présenee de calculs dans le bassinet, cause d' atrophie du rein; idem de transformation du rein en un kys
es d'organisation du cerveau. 5e liv., pl. iv, v, p. /. — Idiotie par atrophie de la presque totalité de l'hémisphère droit du c
e quelques fibres cérébrales. 5e liv., pl. iv, v, p. 2. — Idiotie par atrophie du cerveau qui remplissait à peine la moitié du c
l avec la cavité de l'arachnoïde extérieure. Déformation du cervelet; atrophie de son hémisphère gauche. = Effets "de l'indurati
s. Hémiplégie droite incomplète. Facultés intellectuelles ordinaires. Atrophie sans lésion organique de l'hémisphère gauche du c
'hémisphère gauche du cerveau. 8e liv., pl. v, p. /. — Divers modes d' atrophie du cerveau. Différence entre l'atrophie et la sol
pl. v, p. /. — Divers modes d'atrophie du cerveau. Différence entre l' atrophie et la solution de continuité des fibres cérébrale
olution de continuité des fibres cérébrales. Résultats différens de l' atrophie du cerveau par compression et de l'atrophie sans
Résultats différens de l'atrophie du cerveau par compression et de l' atrophie sans compression. 8e liv., pl. v, p. 2. — Idiotie
rmation du crâne avec absence des deux lobes antérieurs du cerveau et atrophie de son hémisphère droit. Ventricules latéraux ouv
a 1 Ie année. 15e liv.,pl.v,p. /.— Maladies du cerveau chez le fœtus. Atrophie des circonvolutions; elle peut être partielle ou
inemeui granuleux. 17e liv., pl. i, p. t.— Transformation celluleuse, atrophie avec induration du tissu cérébral, perte de subst
volutions. 20e liv., pl. m, iv, p. /. 36e liv., pl. ni, iv, p. i,3. — Atrophie avec ratatinemenl des circonvolutions. Cicatrices
ntérieures. Cicatrices anciennes des circonvolutions inférieures avec atrophie de la corne d'Ammon et de la voûte à trois pilier
pl. iv, p. /. — Division des microcéphales en : 1° Microcéphales avec atrophie du cerveau ; 2° microcéphales avec épanchement sé
chement séreux dans la cavité du crâne; 3° microcéphales réunissant l' atrophie du cerveau et l'hydrocéphalie. 39e liv., pl. iv,
éphalie. 39e liv., pl. iv, p. 2, 4.— Trois faits de microcéphalie par atrophie du cerveau. 39e liv., pl. iv, p. 2.— Microcéphali
e par atrophie du cerveau. 39e liv., pl. iv, p. 2.— Microcéphalie par atrophie du cerveau avec encéphalocèle. 39e liv., pl. iv,
actères. 39e liv., pl. iv, p. 5. CERVELET. Déformation du cervelet, atrophie de son hémisphère gauche. 5e liv., pl. iv et v, p
de l'hémisphère correspondant. 28e liv., pl. 11, p. v.— Apoplexie et atrophie , avec ratatinement des lamelles du cervelet. Colo
droit du cervelet, avec destruction d'un grand nombre de lamelles, et atrophie de ce lobe. Apoplexie récente de la couche optiqu
iv, p. /0.—Cicatrices anciennes des circonvolutions inférieures avec atrophie de la corne d'Ammon et de la voûte à trois pilier
l. iv, p. t. — Anévrysme actif du ventricule gauche coïncidant avec l' atrophie du ventricule droit. 17e liv., pl. iv, p. t.— Hyp
éricardite. 40e liv., pl. îv, p. i. COLON. Amincissement extrême ou atrophie aiguë d'une portion des parois de l'arc du colon.
pl. 1, n, m,/). 3,j; 16e liv., pl. iv,p. 3.—Résultats différens de l' atrophie du cerveau par compression et de l'atrophie du ce
—Résultats différens de l'atrophie du cerveau par compression et de l' atrophie du cerveau sans compression. 8e liv., pl. v, p. 2
. — Réunion des doigts : An-kylose congéniale par fusion avec et sans atrophie ; avec disparition complète de parties. 38e liv.,
espondant. 18e liv., pl. 11, p. 5. ENCÉPHALOCELE. Microcéphalie par atrophie du cerveau avec encéphalocèle. 39e liv., pl. iv,p
du fœtus. 15e liv. pl. m, p. . — Maladies du cerveau chez le fœtus : atrophie des circonvolutions. 17e liv., pl. 1, p. /. —Les
m, iv, y, p. 4G, 4g. GLANDES. Toutes les glandes sont sujettes à l' atrophie par suite de la rétention du liquide qu'elles séc
— Hémiplégie droite incomplète. Facultés intellectuelles ordinaires. Atrophie sans lésion organique de l'hémisphère gauche du c
., pl. iv, v, p. 1. — Idiotie con-géniale : ses causes. = Idiotie par atrophie de la presque totalité de l'hémisphère droit du c
géniale de l'idiotie acquise. 6e liv., pl. iv, v, p. 3. — Idiotie par atrophie du cerveau, qui remplissait à peine la moitié du
l avec la cavité de l'arachnoïde extérieure. Déformation du cervelets Atrophie de son hémisphère gauche. 5e liv., pl. iv, v, p.
rmation du crâne avec absence des deux lobes antérieurs du cerveau et atrophie de son hémisphère droit. Ventricules latéraux ouv
lle. 32e liv., pl. i, n, p. 4 3. — Cas d'induration de la moelle avec atrophie . = Quelle est la cause de l'atrophie avec indurai
s d'induration de la moelle avec atrophie. = Quelle est la cause de l' atrophie avec induraiion de la moelle. 32e liv., pl..i, n
liv., pl. i, p. 3. — Maladies des intestins—Amincissement extrême ou atrophie aiguë d'une portion des parois de l'arc du colon.
11, p. 5. — Cas de laryngite sous-muqueuse. 35e liv., pl. iv, p. 3. — Atrophie des muscles propres de la moitié gauche du larynx
pl. iv, p. /. — Division des microcéphales en : 1" Microcéphales avec atrophie du cerveau; 2° microcéphales avec épanchement sér
cavité du crâne; 3° microcéphales réunissant le double caractère de l' atrophie du cerveau et de l'hydrocéphalie. = Trois faits d
du cerveau et de l'hydrocéphalie. = Trois faits de microcéphalie par atrophie du cerveau. 39e liv., pl. iv, p. 2. — Microcéphal
par atrophie du cerveau. 39e liv., pl. iv, p. 2. — Microcéphalie par atrophie du cerveau avec encéphalocèle. 39° liv. , pl. îv,
rigidité. Induration de la moelle. 2° Paraplégie presque complète par atrophie et induration de la moelle épinière. Néphrite. Ru
sous-périlonéal. 32e liv-, pl. 1, n, p. t3,— Quelle est la cause de l' atrophie avec induration de la moelle; symptômes de cett
ause de l'atrophie avec induration de la moelle; symptômes de cette atrophie . = Paralysie incomplète des membres inférieurs; a
s membres inférieurs; affaiblissement moindre des membres supérieurs. Atrophie et induration de la moelle. Epaississemenl et den
nnes et racines du sentiment et du mouvement. 38e liv., pl. v, p. 4.— Atrophie complète d'un membre inférieur depuis la première
v,p. 5-, — Néphrite coïncidant avec une paraplégie par induration et atrophie de la moelle. 32" liv., pl. 1, n, p. 14. NERFS.
tent les lésions anatomiques des nerfs. Formes, degrés et causes de l' atrophie des nerfs. Altérations les plus habituelles des n
de l'estomac chez les nouveau- nés. 15e liv., pl. m, p. 2. NUTRITION. Atrophie par défaut de nutrition. 8° liv., pl. v, p. 2.
périoste et aux couches superficielles de l'os. 21e liv., pl. n, p. — Atrophie des os; ses phénomènes; ses causes. 23e liv., pl.
rigidité. Induration de la moelle. 2° paraplégie presque complète par atrophie et induration de la moelle épinière. Néphrite. Ru
membres inférieurs : affaiblissement moindre des membres supérieurs. Atrophie et induration de la moelle. Epaississement et den
. 5. — Nature et destination du placenta. lre liv., pl. 1, n, p. 6. — Atrophie du placenta, défaut de développement et dessiccat
etit nombre de lésions : 1° Hypertrophie. 16e liv., pl. 1, p. 1. — 2° Atrophie ; 3° inflammation ; 4° ossification. 16e liv., pl.
ntion. Calcul mural. Hypertrophie de la vessie. 26e liv., pl. v, p. = Atrophie delà prostate convertie en une poche biloculaire.
ntérieures. Cicatrices anciennes des circonvolutions inférieures avec atrophie de la corne d'Am-mon et de la voûte à trois pilie
des lésions de la moelle sur les reins. 32e liv., pl. 1, n, p. i4. — Atrophie du rein résultant de la présence d'un calcul ré
graisseuses dans le rein; développement de la substance corticale et atrophie de la substance lubuleuse du rein. 36e liv., pl.
e. he liv., pl. lit, p. 5, 6. URETÈRE. Dilatation de l'uretère avec atrophie du rein correspondant. 27e liv., pl. u, p- 4. — I
30 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
Si c'est la nutrition qui est intéres- sée, on observe parfois de l' atrophie , parfois de l'hypertrophie,au contraire. En sor
l'acro-cyanose chronique ci forme sensitive ; 2° La modalité avec atrophie : acrocyanose et formeatrophique.M. Cassirer en
issie presque pachydermique. Mais les altérations y sont minimes. L' atrophie ne se ren- contre pas dans cette forme qui amèn
de la peau, sensibles à la pression. Ces lupus peuvent présenter l' atrophie centrale de la forme commune, mais souvent on o
la paupière droite n'était qu'une apparence due au contraste avec l' atrophie du côté gauche.' L'affection a suivi sa marche
te et que le tronc, le cou et les membres ne présentent pas trace d' atrophie . Aujourd'hui le contraste entre les deux côtés
la malade peut siffler, souffler, faire la grimace. Et cependant l' atrophie musculaire est manifeste : on peut nettement la
eur Imbert, est normale. Pour le squelette, la palpation décèle une atrophie notable du rebord orbi- taire, de l'os malaire,
pages ne frappe pas uniquement la muqueuse et est bien le fait de l' atrophie des masses musculaires de la langue. La sensi
delaise de l'aplasie lamineuse, celle qui voit dans l'affection une atrophie primitive du tissu cellulaire sous-cutané et qu
PROFESSEUR BRISSAUD. SYRINGOMYÉLIE ; ARTHROPATHIE DE L'ÉPAULE; ATROPHIE MUSCULAIRE ET THERMO-ANALGÉSIE DU TYPE TRANSVER
la coexis- tence d'une artropalhie monstrueuse et indolente, d'une atrophie muscu- laire progressive du membre supérieur ga
XVIII). Sur les coupes supérieures de la protubérance annulaire, l' atrophie considérable du pédoncule cérébelleux supérieur
belleux supérieur à gauche est très appa- rente. On voit toujours l' atrophie du faisceau longitudinal postérieur et la dispa
he XVII). Cette dégénération du^faisceau central de la calotte et l' atrophie du fais- ceau longitudinal postérieur droit se
oupes de la région olivaire du bulbe (Planche XIX), on con- state l' atrophie de l'olive droite. Les fibres de la capsule de l'
u'elles sont en connexion avec le faisceau central de la calotte. L' atrophie du faisceau longitudinal postérieur qui était t
ellules de l'olive droite est très diminué, aussi s'explique-t-on l' atrophie des fibres cérébello-olivaires. M. Thomas (1) dan
er que, dans le cas de M. Thomas, cet auteur a observé, non pas une atrophie , mais une hypertrophie de l'olive, mais cette h
ographies, le bile du noyau dentelé gauche est très atrophié. Cette atrophie est en rapport avec l'atrophie du pédoncule. cé
telé gauche est très atrophié. Cette atrophie est en rapport avec l' atrophie du pédoncule. cérébelleux supérieur gauche observ
tion méningée. La symphise complète des membranes et de l'écorce, l' atrophie presque totale de cette écorce, réduite à une lam
se du tissu gommeux ont déterminé à plus ou moins longue échéance l' atrophie des circonvolutions atteintes, et paral- lèleme
à l'aide des méthodes anciennes, semblent surtout consister en une atrophie tar- dive et affecter parfois avec plus d'inten
ntement d'abord, exagérant l'épanchement ventri- culaire, amenant l' atrophie scléreuse du manteau hémisphérique, déter- mina
ion très nette de dureté. L'examen macroscopique ne révèle aucune atrophie des couches optiques, des tubercules quadrijume
eprésentations de ce genre a subi trop profondément les effets de l' atrophie d'inactivité pour nous être d'un grand secours da
s de quelques types cliniques nouveaux : amyotrophie Charcot-Marie ^ atrophie neurotique de Hoff- mann) atrophie musculaire p
aux : amyotrophie Charcot-Marie ^atrophie neurotique de Hoff- mann) atrophie musculaire progressive familiale myélopathique de
ctrine du dua- lisme. On voyait, en effet, dans le premier cas, une atrophie névritique,' prendre le caractère familial et l
évolution dans l'enfance et le mode de propagation centrifuge de l' atrophie musculaire. Aussi Brissaud (1), Raymond (2) se
nature nerveuse des myopathies et il semble bien aujourd'hui que l' atrophie musculaire des myopathies soit sous la dépendan
sserrant les liens de t'amyotrophie névritique et de la myopathie : atrophie des petits muscles du pied chez une jeune fille
fréquents. Sans parler du cas classique de Cénas et Douillet (5) où atrophie myopathique et atrophie nerveuse sont signalées
u cas classique de Cénas et Douillet (5) où atrophie myopathique et atrophie nerveuse sont signalées dans la même famille, dan
ues à celle décrite par Marie et Onanolf (G). La topographie de l' atrophie reste vraie pour la plupart des cas ; cepen- da
es cas ; cepen- dant Oppenheim et Cassirer (7) ont signalé un cas d' atrophie du type pé- riphérique que l'autopsie montra in
ontra indemne de toute lésion nerveuse. Inver- sement, la variété d' atrophie décrite par Werdnig et Hoffmann, pour être de n
ne adipose sous-cutanée énorme qui masque défi- cit musculaire. L' atrophie musculaire, en effet, est considérable et massive
tes quand on commande au malade des mou- vements. Aux cuisses cette atrophie est totale. Tous les mouvements sont impossible
ffe du pied. Les membres supérieurs présentent eux aussi une grosse atrophie muscu- laire, symétrique, prédominante encore à
masquée comme aux membres inférieurs par de l'adipose sous-cutanée. Atrophie totale au niveau de l'épaule où l'on ne trouve pl
our les deux derniers. La motilité est en rapport avec le degré d' atrophie . Les mouvements de l'é- paule sont impossibles
membre supérieur, on reconnaît bien cette inégale répartition de l' atrophie et sa prédominance à la racine. Si l'on dit au
nt l'aplatissement postérieur signalé par Marie et Onanoff. Pas d' atrophie des muscles de la face. L'expression du visage es
t intelligente. Pas de trouble de la mimique. Cou et tronc. Pas d' atrophie des muscles du cou ou de la nuque. Au palper, o
des gouttières sont respectés. Il semble y avoir cependant un peu d' atrophie des muscles de la sangle ab- dominale qui n'off
excitabilité musculaire aux cou- rants faradiques en rapport avec l' atrophie : abolition au niveau de la racine des membres;
eurs et fausse hypertrophie des membres inférieurs. - Actuellement, atrophie musculaire étendue aux quatre membres, symétriq
évolution très lente et pro- gressive, la prédominance marquée de l' atrophie à la racine des mem- bres, la fausse hypertroph
urs vives, atro- ces, généralisées, coïncidant avec la parésie et l' atrophie ; il faisait des chutes fréquentes, comme le nôt
ureet aplatissement latéral rendus peut-être plus nets encore par l' atrophie musculaire plus prononcée à gauche. L'extrémité
che, le défaut de déve- loppement du fémur estassez considérable, l' atrophie du segment basilaire du membre assez marquée po
rouble de la vue ni de l'ouïe. Pas de céphalée. . On constate une atrophie marquée des muscles des éminences thénar et hyp
bras droit, de l'épaule et du tronc présentent un degré très net d' atrophie . A la main et au bras gauches, l'atrophie est à
ent un degré très net d'atrophie. A la main et au bras gauches, l' atrophie est à peine marquée, mais il y a une diminution
ce au dynamomètre. Paraplégie complète des membres inférieurs, avec atrophie commençante PARAPLÉGIE CERVICALE INCOMPLÈTE 145
le tableau d'une paraplégie des quatre membres, avec anesthésie et atrophie musculaire, quand dans une (1) E. Brissaud. Leç
vaient succédé la paralysie, puis plus tardivement on constata de l' atrophie , traduction de la destruction de la moitié droite
pto- matique (nerveux) était le suivant : Membre supérieur droit. Atrophie des muscles de la main droite. = (main simienne
droit. Atrophie des muscles de la main droite. = (main simienne). Atrophie des muscles du bras droit et de l'épaule. . For
térieurs sont en grande partie respectés.) Membre supérieur gauche. Atrophie très légère, diminution de la force au dynamomè
t Beadles, qui ont, chez leurs malades, relevé la coexistence d'une atrophie thyroïdienne avec une hypertrophie pituitaire.
as fonctionnelle, mais résulte du dévelop- pement incomplet ou de l' atrophie des organes génitaux internes et ex- te mes.
e restait plus trace de vie sexuelle. Chez le malade de Sylva (2) l' atrophie des testicules commença à treize ans, a vingt a
tat des organes génitaux de notre sujet va à l'encontre de l'idée d' atrophie , et que, si nous ne considérons pas les instinc
les deux biceps entre le pouce et l'index, on con- state une légère atrophie par comparaison avec le côté sain. Dans cette mêm
rieur ainsi que les autres muscles du bras paraissent intacts, sans atrophie , ils se contractent bien ; il en est de même pour
otre malade est habituellement respecté dans la forme juvénile de l' atrophie musculaire progressive. D'ailleurs, l'atrophie mu
forme juvénile de l'atrophie musculaire progressive. D'ailleurs, l' atrophie musculaire est insignifiante, sinon tout à fait
a. perturbation dans les fonctions de ce muscle, un certain degré d' atrophie du biceps brachial, l'effacement des pectoraux
- nelle de cerlains de ces muscles, caractérisée d'une part par une atrophie légère du biceps avec effacement du faisceau cl
ans cette observation, le premier plan, alors qu'un certain degré d' atrophie du biceps ne consti- tue qu'un phénomène second
énérale de la maladie, justifient pleinement cette hypothèse qu'une atrophie légère du biceps ne suffit pas à faire écarler.
EUR DHOIT 229 Peut-on concilier avec l'hypothèse d'un tic la légère atrophie du biceps et du grand pectoral signalée dans no
sur le bout du nez. Il n'y a d'ailleurs aucune paralysie ni aucune atrophie musculaire à droite. A gauche, tous les mouvement
nt sur la première phalange du pouce, et en correspondance avec une atrophie assez intense des muscles de l'éminence thénar
membre su- périeur gauche. Notre observation signale, en outre, une atrophie marquée de l'éminence thénar droite, et cette s
e d'au- cune modification sensible des parties squelettiques, cette atrophie n'est pas le seul caractère de la variation qui
int le membre droit. L'artère radiale de ce côté est atrophiée et l' atrophie parait complète, si l'on en juge par l'impossib
anomalie observée sur ce membre. Reliant donc, comme il convient, l' atrophie de l'éminence thénar à l'ab- sence de l'artère
certaines dispositions. Lorsque nous nous trouvons en présence de l' atrophie simultanée de tout un massif muscu- laire et de
du membre à l'axe nerveux, mais bien plutôt la possi- bilité d'une atrophie ou d'une absence de formation de la substance gri
nglions inguinaux très développés dans l'aine correspondante. Pas d' atrophie de la cuisse et de la jambe droites. Si l'on fa
signe de Romberg. Pas de perte de la sensibilité musculaire. Légère atrophie musculaire dans le mollet du côté malade. App
1890, Ebstein en 1898, ont décrit dans l'écorce des tabétiques une atrophie des fibres tangentielles et une prolifération d
er, il avait le sentiment d'être attiré vers la terre, d'avoir de l' atrophie des muscles, et d'être comme si ses jambes n'av
t du poignet à la moitié de l'avant-bras gauche. Il n'y avait pas d' atrophie visible des petits muscles de la main, pas plus q
ex. Durant son séjour à la Maternité, la malade ne présentait pas d' atrophie apparente, se servait régulièrement de la main
ications plus ou moins marquées. Celle dégénération, ou mieux cette atrophie ré- trograde, sur laquelle nous sommes revenu à
s à celles qui se passent dans le bout périphérique, tantôt par une atrophie simple des éléments qui ne sont, du reste, pas to
URANTE Quant au bout central, il subit la dégénérescence ou mieux l' atrophie rétrograde dont nous avons essayé de déterminer
(Iahrb. f. Psych. und Neurol., XVII, 1898). Beitr. z. Studium d. Atrophie und Degen. in Nervensystem. (lahrb. f. Psych.,
a san- té générale. Or, il ne paraît pas douteux que dans ce cas, l' atrophie mus- culaire est, commel'aedéme, commandée par
lloâr.), par RICnoN, 84. Syringomyélie. Arthropathie de l'épaule. Atrophie musculaire et lheî,nio-ai2alg( ? sie du type tr
3. Brissaud et BRUANDET. Syringomyélie. Arthropathie de l'épaule. Atrophie mus- culaire et thermo-analgésie du type tran
1. BRUANDET et BRISSAUD, Syringomyélie. Arthropathie de l'épaule. Atrophie mus- culaire et thermo-analgésie du type tran
31 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
gram- mes ; son ventricule latéral est dilaté, rempli de liquide; l' atrophie porte surtout sur les circonvolutions du lobe o
ct de gravité moyenne, mais chez le premier nous avons trouvé une atrophie du lobe cérébral gauche et de la splénisation pul
: 1° Tumeurs et abcès (y compris les gommes) ; 2° Traumatisme. c) atrophie idiopathique du cerveau. d) méningite progressive
us ou moins diffus, soit par taches ou stries, de la neuroglie avec atrophie correspondante- et destruction des fibres nerve
aux adultérations cellulaires; les atrophies cellulaires amènent l' atrophie simple des faisceaux blancs, mais non leur scléro
dans un cas, par les mains dans l'autre cas. Elle a consisté en une atrophie musculaire progressive avec secousses fibrillai
ose latérale amyotrophique ; la lésion prin- cipale consiste en une atrophie simple des cellules des cornes antérieures, cel
guë, niée par certains auteurs. Cette affection consisterait en une atrophie simple des cellules de la corne antérieure, en un
SAVANTES. - 73 de la corne antérieure. Au contraire, elle a, avec l' atrophie Aran- Duchenne et la maladie de Charcot, une pa
olution. Des relations de la sclérose latérale amyotrophique avec l' atrophie musculaire pi,ogtessive; par F. Raymond et E. R
lin (de Paris). L'opinion qui prétend fondre en une seule maladie l' atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenne et
, on est bien obligé d'établir une distinc- tion entre une maladie ( atrophie musculaire progressive du type Ai-ttit-l)ticlte
ttit-l)ticlteiine) dont toute la symptomatologie se résume dans une atrophie musculaire progressive flasque, accompagnée d'une
eur de la néces- sité de cette disjonction. Elle nous montre dans l' atrophie muscu- laire progressive du type Aran-Duchenne
ré- texte qu'on a vu des phénomènes spasmodiques s'associer à une atrophie musculaire progressive, dans un cas où, à l'autop
a nécessité de disjoindre la sclérose latérale amyo- trophique de l' atrophie musculaire progressive du type Aran- Duchenne n
. Enfin les deux auteurs ont cité des faits qui établissent que l' atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenne peut
ait confondre avec celles des myélites, et qui se résument dans une atrophie primi- tive de la cellule nerveuse, aboutissant
ndre en une seule. En définitive, les deux auteurs ont conclu que l' atrophie mus- culaire progressive du type Aran-Duchenne
eppant légèrement et présentent en effet une certaine parésie, sans atrophie musculaire, des muscles anté- rieurs de la jamb
membre inférieur gauche depuis six mois. Membre supérieur gauche : Atrophie des éminences thénar, hypo- thénar et des inter
minences thénar, hypo- thénar et des interosseux. fl l'avant-bras : atrophie du groupe des fléchisseurs (groupe cubital).-tl
traction, homo- généisation du noyau avec conservation du volume ou atrophie du nucléole ; plus rarement, atrophie du corps
vec conservation du volume ou atrophie du nucléole ; plus rarement, atrophie du corps cellulaire. Je ne parle pas de la pigm
uppurée du poignet droit, qui a guéri en laissant une ankylose avec atrophie partielle de tout l'avant-bras, infirmité qui l
ules des ganglions spinaux intervertébraux. Wollenberg cons- tata l' atrophie et la pigmentation de ces cellules ainsi que l'as
correspondant à la hauteur du processus labétique dans la moelle : atrophie , pigmentation, vacuolisation du protoplasma, dé
des lésions des cellules des ganglions spinaux. De même Wollenberg ( atrophie , pigmentation, vacuolisation, hyperplasie du ti
leur noyau. Schaffer a bien trouvé, quoique « très rarement », une atrophie et une figure anormale du noyau. L'aspect de la
hode de Nissl une moelle tabétique dont le sujet avait présenté une atrophie muscu- ' Ch. Schaffer. Sur l'origine de l'amyot
eurones radiculaires se trouve de ce fait gravement compromise et l' atrophie des muscles correspondants est une des suites i
mes du tableau typique du tabes, inégalité et rigidité pupillaires, atrophie du nerf optique, troubles de sensibilité sous for
x; 2" symptômes étrangers à la symptomatologie classique du tabes : atrophie des muscles de la ceinture scapulaire et des av
sie générale : la réac- tion caractéristique est moins nette dans l' atrophie musculaire tabétique, dont on connait la lenteu
hie musculaire tabétique, dont on connait la lenteur des progrès. L' atrophie musculaire peut être attribuée soit à des altér
affections. Ce que les deux maladies ont surtout en commun, c'est l' atrophie primitive des éléments nerveux. Hoche ne saurai
ammatoires des méninges la dégénération des racines postérieures; l' atrophie des cordons ' Il n'est pas exact de compter Red
ningite ; enfin, il pouvait s'agir de dyscrasies déterminant une atrophie primaire des racines postérieures. Minor et'Sachs
ctifs et gustatifs), a montré des lésions banales, mais accusées, d' atrophie et de dégé- nérescence des éléments nerveux, su
ntré Dax. Enfin, dans le cerveau des déments chroniques, il y a une atrophie considérable des lobes occipitaux. . ' `s1 t`
lynévrite due à la malaria, dont un s'est terminé par la mort, avec atrophie musculaire, albuminurie, et oedème final. D'après
es. Les troubles trophiques ne manquent presque jamais, sur- tout l' atrophie musculaire. Ces symptômes n'ont pas de locali-
les cas bénins, il peut y avoir guérison, en général il reste de l' atrophie et une certaine impotence des membres. Comme le
ehuchten (jour, de Neurologie, 1900, n° 8.) XXI. Syringomyélie ou atrophie mnsculaire progressive ; par les Drs de Bock et
ude microscopique d'un fragment de la moelle cervicale a montré une atrophie des cornes antérieures, une dégénérescence hyal
orce de la pesan- teur suffit seule. C'est ainsi que, dans un cas d' atrophie totale du triceps brachical; l'extension de l'a
de précision. De même la flexion du tronc peut s'effectuer malgré l' atrophie ou la paralysie des muscles abdominaux, par la
hésie du tact et de la douleur. La seconde observation concerne une atrophie musculaire progressive avec névrite ; dans les
loureuse et tactile. Obs. XIII à XIX, concernant le tabès dorsal, l' atrophie musculaire progressive, la paralysie spinale sp
encéphttlile. (L'observation sera publiée ainsi qne la suivante.) Atrophie Cérébelleuse. Diplégie cérébrale spasmodique infa
les membres paralysés, et ne disparait que pour faire place à de l' atrophie musculaire. Cette contracture se développe lent
re plus spécialement l'attention sur l'existence de l'amaurose avec atrophie papillaire, survenue chez un malade atteint de
e, et plus par- ticulièrement de son action sur la contracture et l' atrophie muscu- laires ; deux exemples de méningite céré
1° dégénération secondaire chez les amputés avec sclé- rose et non atrophie simple (les auteurs jusqu'ici n'ont pas signalé
aient diminué de volume, mais à l'examen il ne parait pas exister d' atrophie . 0 CLINIQUE NERVEUSE. Il existe quelques craq
tortueux et les veines plus grosses que normalement. Il n'y a pas d' atrophie . - « Hypermétropie, O.D. = hum= 1.50 V, = I.
une : Peut-être avait-il conservé dans les années qui suivirent une atrophie transitoire du membre paralysé ; peut-être même
ignes morbides : une légère exagération des réflexes roluliens, une atrophie très nette'de la cuisse et de la jambe gauche p
e professeur Charcot et M. Marie ont décrit, en 18863,une variété d' atrophie musculaire progressive qui peut parfois se prés
imination on peut y rattacher ces deux cas. 1 M. H. 111. Un cas d' atrophie segmentaire ou atrophie musculaire pro- gressiv
acher ces deux cas. 1 M. H. 111. Un cas d'atrophie segmentaire ou atrophie musculaire pro- gressive type Aran-Duchenne ; p
UCHTEN. (Joui-n. de Neurologie.) , , On sait que l'existence de l' atrophie musculaire progressive type Aran-Duchenne a été
personnels ni héréditaires, qui est atteint depuis trois ans d'une atrophie de tous les muscles des deux mains et des fléchis
ras de la parole qui se dissipèrent graduellement, puis d'une autre atrophie musculaire qui, après avoir débuté à l'extré- m
itres, croit que les accidents présentés par un malade, y compris l' atrophie musculaire qui constitue le phénomène prédominant
urs des signes caractéristiques des tumeurs du cerveau, notamment l' atrophie musculaire, les spasmes, les nausées et l'aphas
rébrale met brusquement fin à sa vie. R. DE Musgrave CLAY. XII. L' atrophie musculaire progressive chez les jeunes sujets; pa
Journal, 20 mars 1897.) L'auteur relate d'abord une observation d' atrophie musculaire progressive chez une jeune fille de
cte. Au point de vue du diagnostic différen- tiel, on distinguera l' atrophie musculaire progressive delà paraly- sie infanti
ent, douleur, pares- Hiésies, pertes des réflexes profonds suivie d' atrophie musculaire avec réaction électrique de dégénére
à une para- lysie plus ou moins complète selon la gravité du cas, l' atrophie - · consécutive, a elle aussi une intensité var
sité variable, et quelquefois des contractures. Dans tous les cas d' atrophie on constatait la réac- tion électrique de dégén
opique n'a pas été fait dans les cas cérébelleux. Dans quatre cas l' atrophie du nerf optique était complète et la cécité abs
ussi des symptômes précoces (miction paresseuse ou incontinence). L' atrophie du nerf optique ne se rencontre à la vérité que
eloppé. Les t«ber- cudes mamillaires font défaut. Fig. 7. Ardue : atrophie du frontal ; persistance des sutures. '28 1 ANA
onction de macrophages. Il faut mentionner, en outre, dans ce cas l' atrophie extrême des cellules nerveuses. Elles sont arro
pas été justifiée ; pachyménin- gite très accusée de la dure-mère, atrophie de la faux, méningo-encéphalite, destruction de
OLOGIQUES. 319 sous le nom de- chromatolyse; ils étudient ensuite l' atrophie variqueuse des prolongements protoplasmiques, l
l'on a soumis à l'influence des divers agents toxiques. Quant à l' atrophie variqueuse des prolongements protoplas- miques
scles des membres sous forme de nodules de très petites dimensions; atrophie musculaire, des- truction des branches terminal
la gaine des petits vaisseaux par les leucocytes mononucléaires, l' atrophie des libres tangentielles, la chromotalyne légèr
eaucoup plus intenses que dans la paralysie générale, au lieu que l' atrophie et la raréfac- tion des cellules nerveuses est
and C° 1900, 111-80, extrait du Brain.) Il s'agit de trois cas d' atrophie partielle d'un hémisphère céré- bral, dans lesq
ésion primitive des ganglions de la base à gauche (couche optique), atrophie de l'hémisphère gauche englobant les ganglions
sphère gauche englobant les ganglions de la base, consécutivement : atrophie de la pyramide et de la bandelette à gauche dan
eau pyramidal direct à gauche et du croisé à droite dans la moelle; atrophie du cordon autérolatéral gauche; atrophie de la
à droite dans la moelle; atrophie du cordon autérolatéral gauche; atrophie de la moitié droite du cervelet et du pédoncule c
exagérés (de naissance), pas de démence, mort à trente- trois ans. Atrophie des circonvolutions centrales de l'hémisphère g
hère gauche. Intégrité des ganglions de la base. En conséquence : atrophie du faisceau descendant correspondant dans la prot
is l'âge de douze ans, démence progressive, morte à vingt-deux ans. Atrophie des circonvolutions à la partie inférieure BIBL
es gan- glions de la base, de la bandelette et du cervelet. ' , L' atrophie de l'écorce seule entraîne donc la sclérose des f
moelle. Quand la lésion intéresse les ganglions de la base, il y a atrophie de la moitié opposée du cervelet et de son pédon-
cerveau. Dégénéres- cence des cellules corticales, depuis la simple atrophie , jusqu'à la nécrose de coagulation, mais avec p
des vaisseaux procède le développement du tissu conjonctif, et l' atrophie de la substance cérébrale, selon l'étendue du pro
cordons postérieurs (faisceaux de Goll et de Burdach), ainsi que l' atrophie du corps thyroïde. Cliniquement il s'agissait d
ème opératoire ou spontané, l'arrêt de développement par absence ou atrophie de la thyroïde, guérissent entièrement par l'ac
fantile qui ne porte que sur les cellules motrices ne produit que l' atrophie . Les mêmes remarques s'alressentaux affectionsc
n ne voit de réaction dégénérative ; 4° On ne voit pas non plus d' atrophie dégénérative : il y a seulement une maigreur géné
n presque complète de l'hémisphère cérébelleux gauche et du vermis, atrophie de la VI° paire à gauche, rien du côté des hémi
cérébraux, com- pression totale du bulbe et de la protubérance avec atrophie des cellules et dégénérescence des fibres surto
seuse, tandis qu'une cause agis- sant en sens inverse entraîne de l' atrophie ostéo-articulaire. « On peut d'ores et déjà pen
début. Enfin, dans le tabès dit amaurotique, c'est ordinairement l' atrophie du nerf optique qui révèle le diagnostic. ' T
nsibilité est atteinte, les sphincters sont intéressés, il y a de l' atrophie et des modifica- tions électriques; dans la myé
issance dans le côté opéré, on observa, après un certain temps, une atrophie de ce côté du crâne. Tous ces faits confirment
a été perdurable. Quand cette contracture cesse, c'est à cause de l' atrophie des muscles. Mais, dans ce dernier cas, les att
s). Mais il ne pourrait être question de ce cas non plus, puisque l' atrophie des muscles contractures n'existe pas. Les fa
é le cas de Tambroni, dans toutes les autres autopsies, on a noté l' atrophie diffuse des circonvolutions' qui se rencontre c
aralytiques passa- gers (hémiplégie à gauche). Puis survinrent de l' atrophie , muscu- laire et des e-chares. La perte de l'in
s après le début de l'affection. L'autopsie permet de relever une atrophie cérébrale manifeste, des adhérences de la pie-m
ilise; 50 î)s ! lcitoses organiques : p. p. g., tumeurs céiébrales, atrophie du cerveau, et 6° psychoses par arrêt de dévelo
ecbterew, 392. Atiiltose double cllorétforme, par Londe, 344. Atrophie musculaire progressive. Relations de la scléros
illil, 73. Syringo- ni y elie et -, par de Buclc et de loor, 143. Atrophie segmentaire et -, par van Gelluclaan, 'L>39.
t d'un gliome du IVe ventricule, par llariuesco, 85. DtPt.éctE. Atrophie cérébelleuse, - céiébrale spasmodique infantile
es de la , par Philippe et Guillain, 71. Relation de la - et de l' atrophie musculaire progressive, par Ray- mond et Rick
32 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
enne au niveau de la loge frontale.' Le cerveau de Vey... avait une atrophie double de la partie antérieure des loles fronta
a galli sur ses deux faces est iden- tique. Qu'un des hémisphères s' atrophie et cesse de se déve- lopper, qu'arrive-t-il ? L
on trophique directe sur l'os qui le recouvre (ce qui dans le cas d' atrophie de" cet organe, entraînerait une atrophie des c
vre (ce qui dans le cas d'atrophie de" cet organe, entraînerait une atrophie des crêtes osseuses observées normalement) que
es hémisphères cérébelleux sont égaux; d'autres fois, plus rares, l' atrophie cérébelleuse existe du même côté que l'atrophie
fois, plus rares, l'atrophie cérébelleuse existe du même côté que l' atrophie cérébrale. Enfin, souvent, tandis que les hémis
action est hors de doute, par exemple le cas de R ? chez .lequel l' atrophie des lobes frontaux a laissé un large Fig. 10.
ttement d'origine inflammatoire. Sur les fig, 8, 9 et 10, on voit l' atrophie de la partie antérieure du cerveau; sur la fig.
OGIE NERVEUSE. 53 sèment considérable de la vision du même côté par atrophie opti- que, et à droite ptosis incomplet avec pa
(acrocyanose chronique à forme sensitive).- -20 La moda- lité avec atrophie (acrocyanose à forme atrophique). 3° L'acro- cy
Jeune fille de quinze ans atteinte depuis plusieurs années d'une atrophie progressive de,tous les muscles du côté gauche de
une arthropathie monstrueuse et indolente de l'épaule gauche, de l' atrophie musculaire progressive du même memhre et de la
mérale (énormes végétations fibro-cartilagineuses) et de la moelle ( atrophie des cornes anté- rieures, foyers lacunaires des
ans par de la parésie et des douleurs lancinantes, évolution lente, atrophie musculaire étendue aux quatre membres, fausse b
adiculaire totale du plexus bra- chial droit. Elle s'accompagnait d' atrophie des muscles du bras et de l'épaule avec réactio
enfin du myosis droit avec rétraction de la fente palpébrale; une atrophie considérable de la joue droite avec aplatissement
langue, qui peuvent accompagner cette hémiatrophie, est celle d'une atrophie de rameaux nerveux moteurs de certains nerfs cr
s le traumatisme. (Revue neurologique, janvier 1903). - E. B. VI. Atrophie du cervelet et sclérose en plaques; par André Tho
men histologique a révélé des lésions très semblables à celles de l' atrophie olivo ? oizio-cé ? -ébelleuse, mais cependant un
Schlaagenhaufer, etc.) placent dans le nerf optique l'origine de l' atrophie optique tabétique, d'autres (Pofoff, Moxter, Vo
la lésion primitive siège dans la rétine et qu'elle consiste dans l' atrophie des cellules multipolaires ou ganglionnaires, c
n somme, ces recherches nous permettent de conclure nettement que l' atrophie optique tabétique ne commence pas par la rétine
issait supposer qu'il devait exister une autre lésion qu'une simple atrophie sur place des fibres nerveuses. Cette disproporti
lésions est très nette quand on examine des nerfs à des degrés d' atrophie différents 'ou même quand on examine des portions
ng des sensations lumineuses. Ces lésions n'ont rien de spécial à l' atrophie tabétique, ce sont des lésions de péri et d'end
dos. Un second symptôme attire immédiatement l'attention, c'est l' atrophie musculaire coexistant avec l'impotence, elle oc
hénar et l'effacement du creux de la main.- A l'avant-bras, cette atrophie n'est pas moins évidente, la DEUX CAS DE LÈPRE
es séparant les méta- carpiens à la face dorsale. Aux avant-bras, l' atrophie portait t de façon prépondérante sur les extens
Quant aux phénomènes parétiques, ceux-ci rigoureusemt adéquates à l' atrophie musculaire se manifestaient par une diminution
embres supérieurs l'aspect' clas- sique de la main simienne, en une atrophie musculaire superposable à la paralysie, en une
us frappants, dès l'abord, chez nos deux malades est certainement l' atrophie musculaire, si accentuée dans les deux cas, et
e, et cette apparence évoque immédiatement dans l'esprit l'idée d' atrophie musculaire myélopathique, d'atrophie du type Ar
atement dans l'esprit l'idée d'atrophie musculaire myélopathique, d' atrophie du type Aran-Duchenne. Je place à dessein, sous
ssière que de porter dans les cas qui nous occupent le diagnostic d' atrophie musculaire du type Arau-Duchenne. Tout d'abor
stic d'atrophie musculaire du type Arau-Duchenne. Tout d'abord, l' atrophie musculaire myélopathique est symétrique,, tandi
autant de phénomènes qui sont étran- gens à la symptomatologie de l' atrophie musculaire progres- sive type. Laissez-moi, Mes
« Je dois ajouter, disais-je, que les premières des- criptions de l' atrophie musculaires, dans lesquelles on notait expressé
à cet égard, c'est qu'ils ont observé des cas qui n'étaient plus l' atrophie musculaire type. Je vous ferai remarquer d'aill
e des troubles de sensibilité un peu importants sont superposés à l' atrophie musculaire, ce n'est plus en présence de la mal
alades ne pré- ' sentent aucun stigmate d'hystérie. Le diagnostic d' atrophie musculaire par poliomyélite est donc à rejeter.
eter. Mais il est une autre affection qui se rapproche assez du l' atrophie musculaire progressive pour que, jusqu'en 1882.
l en est un que je veux d'abord retenir, la syringomyélie à forme d' atrophie musculaire : ici la symptomatologie se caractér
ire : ici la symptomatologie se caractérise essentiellement par une atrophie débutant par les petits muscles des mains et s'
la syringomyélie. A vrai dire, la présence et les caractères de l' atrophie mus- culaire, les troubles des réactions électr
s ai mentionnés : en cas de syringomyélie en effet la symétrie de l' atrophie musculaire et des anesthésies est de règle, tan
mineront, selon l'in- tensité et la rapidité du processus, soit une atrophie de la fibre nerveuse qui devient plus grêle dan
u d'élé- ments utilisables. On ne saurait admettre l'existence de l' atrophie simple ; on ne connaît pas de dégénérescence gr
coin. la corne d'Ammon, une partie de l'insula sont indemnes de l' atrophie des fibres. Le processus dégénératif épargne tout
e géné- rale à la dernière période, où l'hémisphère entier trahit l' atrophie des fibres. la plus grande qui sepuisse imagine
sivement dégénérée. On peut néanmoins se demander si certains cas d' atrophie diffuse ne ' Voy. Archives de Xenrologie, t. XI
l'épuisement avec agitation d'origine traumatique, la mienne dans l' atrophie des nerfs opti- ques syphilitique. IV. La vraie
ANTES. niques seraient liés aux lésions dites fonctionnelles et à l' atrophie du neurone, tandis que les autres tissus de l'e
le même caractère (destruction d'un très grand nom- bre d'éléments, atrophie des survivants). Il a semblé aux auteurs que ce
gauche, fait en rapport avec les constatations du D1' L. Dor sur l' atrophie des flocculus chez les lapins qui ont subi une
mais pouvant, dans quel- ques cas, devenirdéfinitives, rappellent l' atrophie musculaire des paralysies hystériques (Charcot,
nus fortement fléchis en per- manence, devenir peu à peu le siège d' atrophie et d'une rétraction définitive (Brissaud). Il s
e on donne le nom de « tabes avec cécité » est caractérisée par une atrophie papillaire assez rapidement complète, accompa-
ster plus ou moins complètement isolées Anatomiquement d'ailleurs l' atrophie optique du tabes est semblable à celle de la pa
emblable à celle de la paralysie générale ; il s'agit, ce semble, d' atrophie secondaire à des lésions de méningite et de név
s opérés et l'audacieuse fourberie des opé- rateurs. ' Névrite et atrophie optique dans l'erysipèle facial1. Le Dr CABANNE
te optique post-érysipélateuse qui s'accompagna très rapi- dement d' atrophie avec perte absolue de la vision du côté corres-
Ripault, etc. La réalité clinique de la lésion optique (névrite ou atrophie ) au cours de l'érysipèle facial est actuellemen
roverses : les uns, à l'exemple de Carl, pensent qu'il y a toujours atrophie directe de la papille sans névrite anté- cédent
s autres, plus nombreux, incriminent, dans la genèse des lésions, l' atrophie post-névritique. Nous nous rangeons à cette der
la rétine voisine (le long des veines). Ultérieurement signes de l' atrophie post-névritique avec ses carac- tères connus. D
plus souvent irrémédiable.. b) Dans le second cas, il survient de l' atrophie optique sans névrite ni papillite évidente. Le
varnie, vers Bayonne et la côte basque. Pierre Roy. 1rfyotonie avec atrophie musculaire. M. LANNOIS (de Lyon). Présentation
athie progressive avec hypertonie que Maladie de Thomsen ruste avec atrophie musculaire. Il s'agit d'un malade ayant, depuis
ie musculaire. Il s'agit d'un malade ayant, depuis quatre ans, de l' atrophie musculaire à forme segmentaire (avant-bras et j
biopsique d'un fragment de muscle montre les lésions typiques de l' atrophie musculaire. Des faits de ce genre ont été signa
s de la motilité, des troubles de la sensibilité, de l'ataxie, de l' atrophie musculaire. 1. Les troubles de la motilité so
es des mou- vements. 4. Il se produit dans la jambe parétique une atrophie musculaire précoce qui dépend du foyer cérébral
in gauche s'est simplement améliorée. On constate actuellement de l' atrophie avec raccourcissement et raideur de la jambe ga
témoignent d'un amoindrissement du squelette en ces deux organes. L' atrophie musculaire est des plus nette à la face antérie
On a donc sous les yeux les traces d'une affection spinale aiguë. L' atrophie de la jambe gauche, sans accidents paralytiques,
tion est survenue pendant la période de développe- ment du sujet. L' atrophie avec paralysie musculaire et ? 011 dégénérative
ologiques des filets pupillaires correspondants ou de leurs noyaux ( atrophie des cellules nerveuses correspondantes). X. Che
observation qui, de concert avec celle de Mendel (1895), montre une atrophie très accusée du corps restiforme gauche dans la
apsule interne. Delà, altérations consécutives en deux directions : atrophie marquée de la couche optique, dégénérescence desc
ue dans la protubérance, le bulbe et le côté opposé de la moelle. L' atrophie de la couche optique porte principalement sur s
s auteurs ont constaté des lésions du fond de rail (décoloration ou atrophie de la papille] qui ont évolué parallèlement aux
rajoutent pour augmenter la capa- cité des ventricules latéraux : l' atrophie cérébrale, et la pression exagérée du liquide c
le et l'ampliation des ventricules latéraux est la conséquence de l' atrophie cérébrale. G. D. Asile d'aliénés DES P1'RÉNÉE
USE. Imbécillité; hémiplégie gauche; épilepsie; état de mal mort; atrophie considérable de l'hémisphère cérébral droit. 1
demi; accès sériels. Etat du malade à Ventrée : Hémiplégie gauche, atrophie et con- fracture. - Marche des accès. Etal de m
à drode; épaississement notable du frontal et du pariétal droits. - Atrophie considérable de l'hémisphère cérébral droit; de
au. - A l'examen du cerveau, ce qui frappe immédiate- ment, c'est l' atrophie très considérable de l'hémisphère droit. Nerf o
re que le droit est d'au moins un quart plus petit que le gauche. L' atrophie porte sur la largeur et davantage sur la hauteu
est de même de la sensibilité dans ses divers modes. Notons enfin l' atrophie ou mieux l'arrêt de développement du système mu
ogue : Hypertrophie compen- satrice des os du crâne répondant à une atrophie considé- rible des lobes frontaux). , Les dét
ophiqtteintéressant l'resque tout l'hémisphère cérébral droit, avec atrophie croisée du cervelet et compliqué, lésion rare,
tent au type décrit par MM. Lannois et Paviot dans leur étude sur l' atrophie du cervelet. Ces éléments sont disséminés sur u
occipital : circonvolutions petites et irrégu- lières. A cause de l' atrophie et du retrait des circonvolutions dans 484 REVU
erno-cléido-mastoïdien (8 centi- mètres au lieu de 18 centimètres). Atrophie musculaire simple du chef claviculaire. Pas d'a
inférieur et supérieur). Pas de lésion du noyau bulbaire du spinal. Atrophie très marquée de la corne antérieure de la moell
e une lésion médullaire « collatérale » du torticolis congénital, l' atrophie de la corne antérieure de la moelle cervicale s
Mais il est possible que cette lésion ait seulement la valeur d'une atrophie rétrograde consécutive à une malformation ou à
à la racine du membre supérieur droit, irradiant vers l'extrémité. Atrophie progressive des muscles. Complications de bronc
- métriques des membres supérieurs avec atténuation du côté droit atrophie des phalanges et des métacarpiens avec exten- s
nifestations choréiques). Il présentait en outre une paralysie avec atrophie du membre inférieur droit, vraisemblablement d'
reux sous-claviculaire et de l'effacement des pectoraux et quel- qu' atrophie du biceps. Le malade'ne présente aucun trouble de
ontale. Oiromoiyse centrale, légère pigmentation jaune pale, légère atrophie cellulaire ; atro- phie, dislocation et gonflem
e Y. Base de l'encéphale de ¡¡am... (\'oir p. 473). - Elle montre l' atrophie de l'hémisphère droit et de hémisphère cérébelleu
x que la précédente, cette planche montre très nettement le degré d' atrophie de l'hémisphère cérébral droit. ' Planche VII
ervation d'abcès du , par Gordinier, 4S9. Voir Maladie. CERVELET. Atrophie du et sclérose en plaques, par Thomas, 62. Vo
Lamion et Po- rot, 57. , Miosis. Voir Méningite. Myotonie avec atrophie musculaire, par Lannois, 273. MYXOEDEMATEUX.
nerfs périphériques (ra- cines antérieures), par Nageotte, 61. et atrophie optique dans l'érysipèle facial, par Cabannes,
33 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
on VI. \. Thermanesthésie stationnaire limitée datant de dix ans. - Atrophie progressive des muscles de la main. Paralysie a
subi d'altérations. La musculature est modé- rément développée. Une atrophie considérable à la main gauche : les muscles lom
Dans le courant de la première moitié de 1884, la faiblesse et l' atrophie musculaire des membres inférieurs a progressé; un
-excilabilité des muscles paralysés diminuait progressivement. Leur atrophie pro- gressait rapidement. Dans les membres supé
. Elle commença à élever et à remuer plus librement les pieds ; l' atrophie disparut presque complètement; et le réflexe rotu
85, lorsque je vis la malade pour la dernière fois. Aucon- traire l' atrophie des muscles de la main avait augmenté. Les doul
s muscles n'existe plus maintenant dans les mem- bres inférieurs. L' atrophie musculaire des extrémi- tés inférieures a dispa
s pour la malade. L'écriture est devenue un peu plus jetée. Point d' atrophie musculaire dans la main droite; à la main gauch
soit étendu aux parties voisines de la moelle et eût provo- qué l' atrophie des muscles delà main. Les douleurs dans le dos
cas, une existence continue de la thermanesthésie isolée et de l' atrophie musculaire dans un seul membre supé- rieur, la
. Les muscles sont assez mal développés, on n'aperçoit nulle part d' atrophie . Souvent le malade éprouve une sensation diffic
aussi pendant l'état de repos. La faiblesse de la main associée à l' atrophie mus- culaire progressait jusqu'à l'entrée du ma
emarque parfois dans la main droite, mais à un faible degré. Il y a atrophie marquée du premier in- terosseux de la main gau
amélioration considé- rable, on constate une certaine faiblesse. L' atrophie musculaire de la main gauche a considérablement
ence thermique de 1° et moins. Dans ce cas aussi, la parésie et l' atrophie muscu- laire des parties périphériques des memb
bout de très peu de temps pour faire place à la paralysie et à la l' atrophie . La distribution de l'anesthésie cutanée corres
après, on nota une faiblesse dans le membre inférieur gauche avec atrophie progressive du mollet et de la cuisse. La réactio
alysie spinale de l'adulte sur laquelle est venue se superposer une atrophie musculaire, n'occupant pour le moment que le me
; dé- générescence partielle du pédoncule correspondant. OBs. IX. Atrophie considérable d'un des hémisphères céré- braux,
yers bulbaires semblables aux altérations de la poliomyélite. Pas d' atrophie certaine des noyaux de l'acoustique, mais bien
lite. Pas d'atrophie certaine des noyaux de l'acoustique, mais bien atrophie partielle et très marquée des deux troncs du ne
Produits ultimes d'une affection labyrin- thique très accusée, avec atrophie du nerf acoustique. Dans la poliomyélite et dan
ant une collection de photographies de malades ayant été affectés d' atrophie musculaire progressive (formes musculaires), l'
bable que l'hypertrophie des fibres est la période prodromique de l' atrophie . Discussion. MM. IU351(AUL, Boeumler, SCIIULTZE
optique, ainsi que des corpuscules lym- phoides et de la névroglie. Atrophie d'une partie des fibres ner- veuses, surtout da
eviennent inertes et demeurent inertes. Enfin, dès le début de mai, atrophie bilatérale du nerf optique qui s'accentue de pl
Ce sont les auteurs français qui ont mis en relief les formes de l' atrophie musculaire simple consécutive aux arthrites, frac
fémoral, à la suite desquels on put suivre le développe- ment de l' atrophie . On eut cliniquement affaire à une flaccidité t
u qu'à ceux qui avaient subi une contusion violente, à la période d' atrophie survenue d'ail- leurs rapidement, surtout à la
l'excitabilité diminua dans le système muscu- laire, il survint une atrophie rapide, surtout prompte et rapide dans la contu
duit une contracture dans une jambe ; pied bot varus-équin ; forte atrophie du jambier antérieur, de l'extenseur commun, des
laires. Cela ne peut-il pas avoir eu lieu dans le cas présent ? L' atrophie et la contracture ne peuvent-elles pas être consi
néopla=ies osseuses compensant le vide intra-crânien causé par une atrophie générale de l'encéphale. Enfin, plalycéphalie a
nerveuses de la substance blanche, tandis que l'écorce offrait une atrophie de fibres relativement faible. Voici maintenant
tendineux. Intégrité des fonctions de la vessie et du rectum. Pas d' atrophie musculaire : intrégrité des éminences thénar et
s moteurs et trophiques, la dernière s'accompagnant de parésie et d' atrophie . Quant aux altérations anatomiques, on constate
sie exquise au froid au niveau du pied gauche. Il n'y a pas trace d' atrophie ; les membres du malade, aussi bien le gauche qu
aralytiques ne présentent et n'ont jamais pré- senté aucune trace d' atrophie ; leur musculature est remarquable; DES ACCIDENT
ale au membre gauche. Sens musculaire normal. Il n'y apas trace d' atrophie musculaire ; les muscles répondent très bien au
« accidentelles » qui ont laissé des cicatrices; des am- poules. Atrophie de deux côtés (plus forte à gauche) des muscles d
, les doigts s'incurvèrent peu à peu, la force des mains diminua, l' atrophie se développa; tous les phé- nomènes douloureux
vements des membres supérieurs est légèrement supérieure au degré d' atrophie . Membres inférieurs : Faiblesse subjective du c
ments convulsifs, etc.; 4). Troubles trophiques et vaso- moteurs : atrophie musculaire, distrophies cutanées et celle du ti
tions locales plus favorables au déve- loppement de la maladie. L' atrophie musculaire nous présente cet intérêt, .qu'elle
main et présentait le tableau considéré comme caractéristique de l' atrophie musculaire spi- nale protopathique (type soi-di
e dans les muscles scapulaires et ceux de l'épaule rappelle aussi l' atrophie musculaire progressive, mais idiopathique de mo
mps, je pus observer encore trois cas de gliomatose médullaire avec atrophie musculaire du type Aron-Duchenne liée a l'anest
merai Landonsy-Dejerine). Dans d'autres cas, ta dis- tribution de l' atrophie est moins trompeuse : elle se borne longtemps à
e dans les atrophies musculaires progressives protopa- thiques. L' atrophie des membres inférieurs est exces- sivement rare
bres inférieurs est exces- sivement rare et dans ces cas le degré d' atrophie peu considérable ne correspond pas au degré de
accusée, ne constituant pas, du reste, l'apanage né- cessaire de l' atrophie musculaire dans la gliomatose de la moelle épin
lle épinière, pas plus que dans d'autres amyotrophies spinales. L' atrophie des muscles peut ne pas avoir lieu pen- dant tr
s membres supérieurs; la fai- blesse prédomine habituellement sur l' atrophie . Ces deux espèces de troubles atteignent rareme
contracture atrophique des articu- lations des doigts. Au début, l' atrophie musculaire et la faiblesse se localisent dans l
, VI, VIII, IX, X). Plus tard, comme le prouve notre premier cas, l' atrophie des muscles et les troubles moteurs peuvent êtr
nous avons observés dans tous les cas où il y avait faiblesse et atrophie des muscles de la main, se rap- portent les tre
fs de la sensibilité ou l'analgésie, ou les troubles moteurs et l' atrophie des muscles. Plusieurs années peuvent s'é- coul
tteint; les lésions principales trou- vées à la nécropsie étaient l' atrophie cérébrale et la méninge - en cépha Vite . Obs
hie cérébrale et la méninge - en cépha Vite . Observation XLIV. - Atrophie cérébrale. e/n/ë ? <' gauche. Débilité menta
oedème de la pie-mère. Anomalies artérielles. Hydrocéphalie légère. Atrophie du pédoncule cérébral droit, de la moitié droit
sur les parties anté- rieures des première et deuxième frontales, l' atrophie est beaucoup plus prononcée que sur les parties
IVE. 247 trois étapes : 1° prolifération vasculaire; 2° sclérose et atrophie des cellules nerveuses; 3° formation des cavité
plus atteinte à gauche qu'à droite. L'autopsie nous a fait voir une atrophie de l'hémi- sphère cérébral droit qui pèse 50 gr
poque été attirée sur le cervelet. Toutefois il existait une légère atrophie portant sur leur, ensemble, puisque le poids mo
phies d'origine nzyélopathique représentées par les types : .' 1° Atrophie musculaire progressive spinale protopathique (typ
pathique représentées par les formes : -. lo Forme infantile de l' atrophie musculaire progressive de Duchenne ou type faci
seul du sujet; si la marche de la maladie est chronique, le type atrophie musculaire progressive spinale protopathique' (ty
le peut se trouver accom- pagnée dans la suite par la sclérose et l' atrophie des régions voisines. Aux douleurs fulgurantes,
ce niveau par les fibres du pédoncule cérébelleux supérieur. : l' atrophie des cornes et des libres radiculaires postérieure
dansle tissu interstitiel ; intégrité des rameaux intermusculaires. Atrophie dégénéralive des muscles en rapport avec la man
te droite, du chiasma et des deux nerfs optiques surtout à gauche ; atrophie commençante. Seul un trousseau de fibres a écha
définir. Pas d'autres troubles sensitifs. 11 n'y a aucune trace d' atrophie musculaire, il n'y a pas de troubles vaso-moteu
s qu'on imprime à ses membres paralytiques. Il n'y a aucune trace d' atrophie musculaire. Nous n'avons pas rencontré de troub
e est pris, maintes fois, de douleurs fulgurantes. Il n'y a pas d' atrophie musculaire, sauf une anidrose complète des pied
e l'anes- thésie, puis la coïncidence fréquente au début avec une atrophie musculaire dans les mêmes régions, nous fait su
onnaires. Généralement, durant plusieurs années, un certain degré d' atrophie et de faiblesse reste stationnaire ; dans d'aut
a thermanesthésie partielle delà partie périphérique du membre avec atrophie de muscles de la main avait été observé à un ce
iomatose spinale avec quelques cas de lèpre anesthétique, grâce à l' atrophie musculaire, l'anesthésie thermique et l'analgés
onservé leur sensibilité normale. Il ne faut pas en outre oublier l' atrophie avec affai- blissement des muscles orbiculaires
n sudorale et vaso-moteurs ; 4) dans les atrophies musculaires. L' atrophie progressive des muscles avec localisation préal
n'exclue pas ce processus. II peut également se manifester par l' atrophie musculaire seule accompagnée de phéno- mènes d'
lorsqu'on veut faire la part de leur fréquence assez grande dans l' atrophie cérébelleuse, c'est-à-dire dans une lésion qui
nsertion aux muscles. Le cerveau n'avait point d'autre lésion que l' atrophie des nerfs optiques, une diminution notable du v
sistant intacts. Les membres inférieurs sont principalement pris. L' atrophie musculaire pro- gressant, apparaissent les trou
é visuelle et de la vision pélipliérique. A partir de février 1882; atrophie papillaire marchant de dehors en dedans, trem-
archant de dehors en dedans, trem- blements convulsifs périhuccaux, atrophie de la moitié gauche de la langue, parole embarr
e à la base du bulbe et de la protubérance. Dégénérescence grise et atrophie 111·LologiIue de toute la région des oculo-moteur
s cellules sont plus petites que ne le sont celles de ces derniers. Atrophie des racines et des noyaux des oculo-moteurs exter
rigine dos pathétiques : intégrité de leurs grandes cel- lules mais atrophie presque complète de groupes cellulaires (petite
ct, des deux côtés, au-dessus du faisceau longitudinal postérieur ; atrophie presque complète des segments intramédul- laire
e à une altération vasculaire beaucoup plus marquée, aussi y a-t-il atrophie myélinique et disparition des cylindraxes. P.K.
ie par suub- cation. Lésion des cornes antérieures absolument pure; atrophie , disparition presque totale des cellules de la
dérables (régression des fibres pro- tiféfation des noyaux). Faible atrophie des nerfs périphériques; dégénérescence insigni
C%t. f. Psych., XIX, 2.) Une première observation de névrite avec atrophie musculaire 4'l4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
aires. En somme, névrite périphérique unilatérale (répartition de l' atrophie , examen électrique) et, longtemps après, tabès
34 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t : une sclérose irrégulièrement disposée des cordons latéraux et l' atrophie des cellules des cornes antérieures à la région
que chose de défectueux dans le système ner- veux central, il a une atrophie congénitale du membre supérieur droit et de la
sclérose en plaques). P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Cas d' atrophie infantile unilatérale DES muscles DE la face, p
a mère s'est aperçue de cette paralysie faciale du côté droit, avec atrophie des muscles de la face. Il ne peut fermer l'oei
du nerf REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. G3 cubital et du médian ; l' atrophie évidente, quoique incomplète, des segments infé
ramollissement circonscrit des cellules appartenant à l'accessoire ( atrophie du trapèze); c'est ce qui ressort des avis de G
e font plus sentir, tous les symp- tômes enfin se dissipent, sauf l' atrophie musculaire qui, elle, resle aussi prononcée qu'
cyphose cervico- dorsale légère également. Aux membres supérieurs : atrophie des deltoïdes et impossibilité d'étendre horizo
Aux membres inférieurs : les grands fessiers sont atrophiés, mais l' atrophie est dissimulée par une forte masse graisseuse.
Les réflexes rotuliens sont normaux des deux côtés, il n'y a pas d' atrophie musculaire, ni de trouble trophique, pas plus à
antitative de l'excitabilité électrique, en rapport avec le degré d' atrophie des muscles ou avec les altéra- tions de leur c
Dans le premier groupe on trouve la paralysie spinale infantile, l' atrophie musculaire progressive, les atrophies avec paraly
res, lèvres épaisses projetées en avant, absence de rides, etc... L' atrophie musculaire est si intense que l'on ne peut sent
oïde ou au trapèze. La force musculaire est diminuée en raison de l' atrophie . Les fléchisseurs sont toujours restés plus gro
faciale qui s'établit à la suite de la névralgie du triju- meau, l' atrophie musculaire des arthrites douloureuses, etc. ^Re
atrophie des muscles volontaires dans le tabes. On sait que quand l' atrophie musculaire existe, elle est due à des complicat
s doigts. Der- mographisme. Trouble de la sécrétion sudorale. Pas d' atrophie musculaire, sauf un léger aplatissement de l'ém
vers les cornes postérieures puis- qu'il n'y a qu'à peine un peu d' atrophie musculaire, elle doit sié- ger surtout à droite
es des deux moitiés delà moelle, et surtout parce qu'il n'y a pas d' atrophie musculaire. L'hypolhèse d'une paralysie hystéro
ET ÉDUCATION DE LA PAROLE. 117 une cause physiologique, paralysie, atrophie de tel ou tel élé- ment d'organe. La langue tro
cavités grises centrales jusqu'au début du quatrième ventri- cule. Atrophie complète des éléments nerveux, fibres et cellules
II. Démence; hypocondrie; hémiplégie gauche; hémi- parésie droite. Atrophie des extenseurs de l'avanl-bras. Réaction pupill
vée. Intégrité de la parole. Dans l'écorce de l'hé- misphère droit, atrophie avec cavités et cicatrices. 138 REVUE D'ANATOMI
ues. Quelles que soient les déformations du tronc dépendant d'une atrophie oud'une rétraction musculaires, l'attitude des ar
ition; puis elle présenta de la paralysie des cordes vocales et une atrophie des interosseux des mains; pas d'affection des
région dorsale. Le corps dentelé détruit dans le cervelet amène une atrophie contra-latérale. Ces faits sembleraient venir à
s Archives, t. XXX. il 162 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. cas une atrophie cérébrale très marquée. L'adhérence des mem- br
ême temps que les vaisseaux sont beaucoup moins visibles que dans l' atrophie ordinaire. Sur la rétine on voit, entre les fib
e fourmillements dans les doigts de la main droite. Le 2 mars : L' atrophie des muscles, des jambes et des cuisses est très
a malade peut à peine porter ses mains à la tête. 11 y a un peu d' atrophie de l'éminence thénar et du premier interosseux de
n voit les deux membres supérieurs atteints. Ensuite se développe l' atrophie ; elle commence à apparaître dans l'éminence thé
e le myxoedème et le goitre exophtalmique, puisque le premier est l' atrophie , le second l'hypertrophie du corps thyroïde. De
la diminution du poids du cerveau, les altérations des méninges, l' atrophie de l'écorce et les granulations épendymaires. L
être rencontrées en dehors de la paralysie générale. De même pour l' atrophie de l'écorce qui peut faire défaut dans les cas
ysie générale. Il en est de même pour les lésions microscopiques. L' atrophie des fibres à myéline se rencontie dans d'autres
un cas d'atro- phie de la substance blanche du lobe occipilal avec atrophie de la corne ventriculaire correspondante); 2° l
soit atteint de tabès ou de paralysie générale. ' M. Alzheimer. L' atrophie nrtério-scléreuse du cerveau. - Cette forme doi
ale. Mais la démence sénile est une affection diffuse, tandis que l' atrophie artério-scléreuse présente des lésions en foyer.
du Progrès Médical. CHARCOT (J.-B.). - Contribution a l'étude de l' atrophie musculaire progressive. - (Type lMichenne-Aran.
gé actuellement. Quelques troubles trophiques existent aussi - de l' atrophie des muscles du mollet, des éruptions zostérifor
s. Celles-ci sont grises, atrophiées depuis le bas jusqu'en haut. L' atrophie est pourtant moins accentuée au niveau du renfl
lanchâtres. Sur une coupe transversale de la moelle on constate une atrophie considé- rable des cordons postérieurs qui sont
sauf le cubital. Les muscles antérieurs de la jambe présentent une atrophie simple de la plupart de leurs fibres. Un assez
à un travail quelconque depuis plusieurs mois déjà. Il n'y a pas d' atrophie musculaire. Les pupilles, en état de myosis, so
ont l'un, myélite chronique diffuse évoluant sous les allures d'une atrophie musculaire, n'était à proprement parler que l'e
accompagnent. Cette disparition a évidemment pour consé- quence une atrophie générale de la moelle, atrophie poussée très lo
a évidemment pour consé- quence une atrophie générale de la moelle, atrophie poussée très loin dans certains cas; de plus, e
de la névrite se ren- contrent chez la malade : douleur, paralysie, atrophie musculaire, troubles trophiques. La première at
psies d'hérédo-ataxie cérébel- leuse qui aient été faites, que de l' atrophie du cervelet, l'organe de l'équilibration, et da
cervelet, l'organe de l'équilibration, et dans un cas seulement une atrophie de la moelle sans lésions dégénératives. Pour
ésie spasmodique des extrémi- tés avec rémission de deux ans. Pas d' atrophie musculaire; pas de réaction dégénérative, pas d
rofonds. L'affec- tion gagna le membre supérieur du même côté, avec atrophie spéciale des éminences thénar et hypothénar et
rieures et fibres motrices avec état spasmodique et en même temps atrophie progressive des muscles. Ce cas viendrait donc à
rapport qui existe entre la sclérose latérale amyo- trophique et l' atrophie musculaire progressive. P. S. SOCIÉTÉS SAVANTES
gis . BOURNEVILLE. BIBLIOGRAPHIE. Il. Contribution à l'étude de l' atrophie musculaire progressive (type Duchenne-Aran); pa
ses efforts. Ce n'est pas une monographie 344 bibliographie. de l' atrophie musculaire type Duchenne-Aran qu'il a voulu écrir
ne-Aran devait être net- tement différenciée des autres formes de l' atrophie des muscles. . Dans ce but, M..J.-B. Charcot no
te place devait cependant lui être dis- cutée. Gowers (1886) raye l' atrophie Duchenne-Aran de la noso- graphie et l'identifi
sa place est marquée à part dans le cadre nosographique, soit que l' atrophie évolue chroniquement (type Duchenne-Aran vrai),
t les régions examinées, mais son étendue reste proportionnelle à l' atrophie , des cellules de la substance grise. Elle respe
es cordons blancs de la moelle épinière, nées sous l'influence de l' atrophie des cellules ganglionnaires, de quelque origine
harcot, avait, obéi àun pieux 346 varia. devoir. La question de l' atrophie musculaire, type Duchenne-Aran, était une de ce
aitement de la morphinomanie.- CUARCOT. Contribution à l'étude de l' atrophie musculaire progressive type Duchenne-Aran ? AI"
it d'un petit malade atteint de paraplégie congénitale flasque sans atrophie , avec incontinence absolue de l'urine et des 37
mités, la variation fréquente des symptômes, le ptosis, l'absence d' atrophie musculaire et le dénouement fatal. L'ordre de l
sseaux de la base existait dans une pro- portion de 12,6. p. 100. L' atrophie générale du cerveau dans 65,9 p. 10.0. L'épendy
ouva une dégénérescence grise dans cinq cas. La dégénérescence et l' atrophie du nerf optique sont une lésion relativement fr
rouvée dans 41 cas dont36hommes et 5 femmes. La dégénérescence et l' atrophie du moteur oculaire cranien ont été trouvées dan
trophie du moteur oculaire cranien ont été trouvées dans 8 cas. L' atrophie du nerf acoustique dans 3 cas. Les méninges rac
qui correspond à la région corticale spéciale à celte extrémité une atrophie .qui porte à la fois sur le volume et sur les é
X. ETUDE SUR la dégénérescence DES CELLULES NERVEUSES dans UN cas d' atrophie cérébrale localisée; par le Dr PROUT. Chez un é
n épileptique de onze ans, mort en état de mal, l'auteur trouva une atrophie marquée des circonvolutions frontales des deux
stance cérébrale, dont il déterminerait peu à peu l'altération et l' atrophie ? Les deux observations relatées par l'auteur p
réflexes profonds des jambes avec paralysie flasque, et quelquefois atrophie peu marquée des muscles, peu d'altérations de l
SESSION DE DRESDE. Séance du 22 septembre 1894. M. IIIEYER, Sur l' atrophie des fibres corticales chez les aliénés. - Depui
s corticales chez les aliénés. - Depuis les travaux de Tuczek sur l' atrophie des fibres à myéline intra-corticales dans la p
ues généraux, les fibres intra-corticales ont totalement disparu. L' atrophie des fibres externes et moyennes se rencontre da
nstituent les démences doit être considéré comme l'expression d'une atrophie diffuse des 414 r SOCIÉTÉS SAVANTES. fibres d
res, y compris l'idiotie - paraissent être sous la dépendance d'une atrophie des fibres corticales. Pour ce qui est des affe
n atrophique, quelque ait été le processus initial de la maladie. L' atrophie des fibres corticales n'est donc pas une lésion
lutions rolandiques. Discussion : M. TuczEK. La localisation de l' atrophie des fibres corticales chez les paralytiques gén
aines variétés cliniques de la maladie. Si le fait se confirme de l' atrophie des fibres dans les psychoses chroniques évolua
x régions anté- rieures des hémisphères. Je n'ai jamais rencontré l' atrophie des fibres de l'écorce en dehors de la paralysi
ment et peut-être les psy- choses séniles. Les cas de paranoïa avec atrophie des fibres d'asso- ciation ont besoin d'être co
qui simulent si complètement la démence paralytique, il n'y a pas d' atrophie des fibres. M. Iïa.> : eEtrar émet l'avis qu
tive à la paranoïa. M. MEYER a constaté dans un cas de paranoïa une atrophie des fibres dans les couches externe et moyenne
rt). Il est d'accord avec M. Tuczek : dans le cas qu'il a observé l' atrophie était prédominante dans la région antérieure de
ANTES. 4t5 lutions rolandiques; chez les sujets non paralytiques, l' atrophie des fibres de cette région est moins avancée.
du Progrès Médical. Chajicot (J.-li.). Contribution ci l'élude de l' atrophie musculaire prollressiue. (Type 1W chenne-Aran.)
s mains traduit un amoindrissement de l'énergie musculaire. Point d' atrophie . Ce fait, survenu en pleine épidémie d'influenz
de toute infection ou intoxication, et par la suite celui de toute atrophie musculaire. L'anatomie pathologique de la psych
dégénératives des nerfs périphériques (névrite paren- chymateuse), atrophie dégénérative des muscles, altérations du cordon
rs générations ont déterminé une 472 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. atrophie complète du sens moral : cet état de perle complè
alysie complète des muscles des membres, du tronc et de la nuque et atrophie seulement bien nette aux mains. Les troubles
x tiers de son volume; on y trouve des corps granuleux en quantité. Atrophie des circonvolutions voisines des lobes occipita
al et pariétal. Hémisphère droit. Pas de lésions en foyer, mais une atrophie manifeste du lobe occipital. Les coupes des d
cellules qui leur correspondent ont dû dégénérer, comme le prouve l' atrophie des circonvolutions des deux lobes occipitaux.
Les convulsions continuent ensuite à se manifester. Contracture et atrophie des muscles des extrémités droites. Niveau ment
égère parésie du facial, déviation de la langue à droite. A droite, atrophie musculaire et contracture des extrémités, légèr
optiques dans lequel, à part un oedème double des papilles suivi d' atrophie , aucun autre symptôme ne pouvait faire supposer
démence sénite. M. NEISSER (de Leubus). Paralysie progressive avec atrophie muscu- laire, spinale progressive. L'auteur a d
chondrie. Il entre à l'asile cinq mois après : on ne constate pas d' atrophie musculaire. Les symptômes intellectuels consisten
3, le malade entre en rémission. En janvier suivant on constate une atrophie de l'émi- nence thénar de la main gauche. Depui
ne atrophie de l'émi- nence thénar de la main gauche. Depuis lors l' atrophie muscu- laire a suivi une marche progressive. Le
actuellement, la paralysie progressive a précédé l'apparition de J' atrophie musculaire pro- gressive. M. Bonhoffer (de Br
witch, 329. - double débutant chez l'adulte pat Brandeis, 337. Atrophie infantile unilatérale des 502 TABLE DES MATIÈRE
35 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
ns un cas d'amputation an-kmon collègue, à la Salpêtrière, a noté une atrophie jyip^ (nrcortvolulions cérébrales du côté opposé
rales du côté opposé au membre ampute\ Malheureusement, le siège de l' atrophie , à ma con-?HM^'sârîce du moins n'a pas été précis
la sensibilité. L'aphasie, dans ce cas, était le symptôme unique et l' atrophie de la troisième circonvolution a été aussi la seu
ues mois, les animaux ainsi opérés sont sacrifiés, on reconnaît que l' atrophie consécutive porte, en ce qui con-cerne les partie
é-rieurs et les corps genouillés internes ne prennent aucune pari à l' atrophie . Moins importante que l'externe, Xaracine inter
léroses secondaires : impuissance motrice, contrac-ture permanente. — Atrophie musculaire produite par l'extension de la sclé-ro
unes sujets. 11 s'agit là d'un arrêt de dévelop-pement comparable à l' atrophie que, dans les mêmes circons-tances, présentent le
et ne s'amaigrissent qu'à la longue, su-bissent dans certains cas une atrophie dégénérative plus ou moins rapide, en même temps
spondant s'atrophier d'une façon remar-quable. Il est clair que cette atrophie n'aurait pas lieu, si la ca-psule interne, comme
centraux non plus que la capsule interne. Dans ce cas, il y avait une atrophie très accusée du pied du pédoncule, de la protubér
eux. Du même côté que la lésion hémisphéri-que, vous reconnaissez une atrophie réelle de l'étage inférieur du pédoncule, de la p
staterez également une asymétrie de la moelle épinière résultant de l' atrophie du faisceau antéro-latéral. C'est sous cet aspect
e le faisceau pyramidal et la substance grise delà moelle épinière. — Atrophie musculaire des hémiplégiques. — Observations de M
es des membres frappés d'hémiplégie subissent, à un moment donné, une atrophie plus ou moins rapide, en même temps qu'ils offren
cture, commencèrent à diminuer de volume deux mois après l'attaque. L' atrophie musculaire était unifor-mément répandue sur toute
t d'une diminution très notable de la contractilité électrique. Cette atrophie musculaire progressa très rapidement, la malade v
ant une altération dont le point le plus saillant était précisément l' atrophie et même la dispari-tion complète d'un certain nom
oins, relevé le rapportentre l'altération des cellules nerveuses et l' atrophie des muscles. Tout récemment, M. Pitres (1), à p
raire, les muscles du membre inférieur paralysé ne présentaient pas d' atrophie notable. (1) Arch. de physiologie normale et pa
airé par les faits antérieurs, j'avais cru pouvoir annoncer que cette atrophie musculaire insolite, survenant dans le cours de l
de conditions incon-nues, la cellule est atteinte à son tour, elle, s' atrophie et consécutivement les racines correspondantes
lpian qui signale, cinq mois après l'abla-tion du gyrus sigmoïde, une atrophie de la pyramide corres-pondande avec une dégénérat
t. Car nous savons que la sec-tion des nerfs centrifuges est suivie d' atrophie musculaire,tan1 dis que l'interruption des fibres
poliomyélites antérieures aiguës ou chroniques (paralysie infantile, atrophie musculaire progressive spinale protopathique, et
La contracture ne disparaît-elle jamais avant l'époque où survient l' atrophie des muscles et la rétraction ligamenteuse? Quelqu
plégie des apoplectiques. —Causes anatomiques de cette hémiplé-gie. — Atrophie des membres, du thorax, du bassin. Intermittenc
En outre, l'hémisphère cérébral affecté présente dans l'ensemble une atrophie plus ou moins prononcée, d'où la dé-nomination d'
nsemble une atrophie plus ou moins prononcée, d'où la dé-nomination d' atrophie partielle du cerveau sous laquelle sont généralem
les caractères qu'on leur connaît chez l'adulte, et c'est (1) Sur l' atrophie partielle du cerveau^ 1868. en pareille circons
8. en pareille circonstance qu'on observe les plus beaux exemples d' atrophie des pédoncules, de la protubérance et de la pyra-
insi une sorte de poliomyélite antérieure dont la conséquence est une atrophie musculaire survenant dans les membres paralysés.
on destructive des éléments cellulaires. La conséquence est alors une atrophie des muscles où se rendent les nerfs émanant des r
ux distinguent, cliniquement, d'après mes observations, cette forme d' atrophie musculaire spinale de celle dans laquelle les élé
a contracture, une paraplégie spasmodique, etc. ; je laisse de côté l' atrophie musculaire qui s'observe également dans les cas o
e. D'ailleurs, les réflexes tendineux sont exaltés ; il n'y a pas d' atrophie musculaire et les muscles ont conservé leur excit
e antérieure subaiguë de Du-chenne (de Boulogne). — Forme chronique : atrophie musculaire pro-gressive de Duchenne et Aran. Po
ne ont tracé le tableau clinique et à laquelle ils ont donné le nom d' atrophie musculaire progressive. Cruveil-hier avait reconn
es qui, dans certaines circonstances, peu-vent prendre le masque de l' atrophie progressive. Il existe même des lésions non infla
s consi-dérer isolément, on pourrait se croire en présence d'un cas d' atrophie musculaire progressive. Il n'en est rien cependan
du cou, en un mot, sorte dé tétanisation généralisée, associée à une atrophie musculaire progressive bien et dûment carac-téris
fait que s'accroître. Mais, dès lors, et à mesure que la complication atrophie musculaire s'accentuait, ils diminuèrent progres-
autres, dans un même groupe, la sclérose latérale amyotrophique et l' atrophie musculaire décrite parDu-chenne et Aran, peuvent
it atonique ; il n'existerait pas de symptômes spasmodi-ques ; 2° L' atrophie musculaire serait le symptôme dominant; et il ne
trépidation spinale, etc., etc. ; et même aujourd'hui, en dépit de l' atrophie extrême des membres supérieurs, on peut encore pr
ètement atrophié. Lesjambes sont tendues, absolument paralysées, sans atrophie proprement dite. La rigi-dité est prononcée, surt
elle. Us n'étaient, d'ailleurs, prononcés à ce point, que parce que l' atrophie musculaire n'avait pas marché vite. Quoi qu'il en
ntracture peut être modifié, à un moment donné, par l'apparition de l' atrophie musculaire. L'intervention plus ou moins précoce
atérale amyotrophique, décrite par M. Charcot, il ne s'agit que d'une atrophie musculaire primaire progressive ; l'atrophie musc
, il ne s'agit que d'une atrophie musculaire primaire progressive ; l' atrophie musculaire est le symptôme dominant ; et ce n'est
lui-même. En effet, à ne con-sidérer que les membres inférieurs, où l' atrophie est tardive eL par conséquent exceptionnelle (la
il : « Les extrémités inférieures sont sensiblement affai-blies, sans atrophie remarquable » ; — et un peu plus loin : « les jam
e qui concerne les membres inférieurs, aucun doute n'est possible : l' atrophie est précédée d'une période plus ou moins longue d
moins longue de paralysie. Mais, aux membres supérieurs même, quand l' atrophie ne survient pas trop brusquement, cette paralysie
léroses secondaires : impuissance motrice, contrac-ture permanente. — Atrophie musculaire produite par l'extension de la sclé-ro
e le faisceau pyramidal et la substance grise delà moelle épinière. — Atrophie musculaire des hémiplégiques. — Observations de M
plégie des apoplectiques. —Causes anatomiques de cette hémiplé-gie. — Atrophie des membres, du thorax, du bassin. Intermittenc
e antérieure subaiguë de Dn ehenne (de Boulogne;. — Forme chronique : atrophie musculaire pro-gressive de Duchenne et Aran. Po
ai-guës et chroniques, 382 ; — pro-gressive protopathique, 383. — (V. Atrophie musculaire progres-sive); — deutéropathique, 389.
95, 96. Ataxle locomotrice, 180, 268; — Réflexes dans 1' —, 337. Atrophie cérébrale, 335. Atrophie musculaire dans l'hémi
ce, 180, 268; — Réflexes dans 1' —, 337. Atrophie cérébrale, 335. Atrophie musculaire dans l'hémi-plégie, 246 ; — dans la sc
n trois régions, 206 ; — Dégénéra-tion systématique dans les —. 222, — Atrophie des —, 336. Phénomène du genou, 310. — de la ma
al dans la —, 204 ; — Dégénération systématique dans la — , 223 ; — Atrophie de la -, 336. Pulvinar, 141. Putamën, 106,107.
Pulvinar, 141. Putamën, 106,107. Pyramides antérieures, 184 ; —, Atrophie des —, 336. (V. Entre-croisement. r Racines n
36 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
lement dégonflée. Autopsie le 16 août. La moelle épinière offre une atrophie avec dégénération grise très-prononcée des cordon
comme dans l'arthrite sèche. On constate, au contraire, une véritable atrophie de la tête de l'humérus. La cavité glénoïde de
s, indices de l'usure des os. Souvent le palper permet de constater l' atrophie des extrémités articulaires. A cette époque de l'
qu'il s'agisse de l'épaule ou du genou. Destruction des cartilages, atrophie , usure considérable, à marche rapide, des os eux-
s arthropathies des ataxiques en deux variétés, l'une dans laquelle Y atrophie serait pour ainsi dire la lésion capitale, l'autr
paralysie labio-glosso-laryngée, sur la sclérose en plaques, sur une atrophie du cerveau produite par des kystes sy-métriques d
ées avec soin par M. Cotard dans sa thèse inaugurale, sous le titre d' Atrophie partielle du cerveau ; — 3° une observation de M.
mie du nerf optique, de la diffusion rougeâtre de la papille et d'une atrophie partielle ou totale de cette partie, coïncidant a
1 - SUITE — 11. arthropathies qui s observent dans le cours ue l' atrophie musculaire progressive. Pour terminer l'histoir
faut citer les cas suivants survenus : l'un chez une femme atteinte d' atrophie musculaire progiessive; l'autre chez un homme à l
à la suite d'une lésion traumatique de la mo lie. Observation V. — Atrophie musculaire progressive. — Arthropa-thie de l'épau
z les ataxiques par M. Chareot,— chez une femme de 50 ans, atteinte d' atrophie musculaire progres-sive qui avait d'abord occupé
e, puis le droit. Alors que, vers la troisième année de la maladie, l' atrophie s'était éten-due aux membres inférieurs avec pert
t que l'on n'ait pas mentionné plus souvent cette complication dans l' atrophie musculaire progressive, car il nous 1 Voy. Revu
ue des lésions, un rapport entre les arthropalhies des ataxiques et l' atrophie musculaire progressive. On sait, en effet, que, d
té-rieures de la substance grise présentent, entre autre lésions, une atrophie profonde et la disparition même d'un bon nombre d
les hémiplégiques. Ou ne si- 1 Voy. Charcot. et Joffroy, Deux cas d' atrophie musculaire progressive avec lésions de la substan
e époque plus ou moins avancée de l'existence. 1° Hémiplégiques par atrophie partielle du cerveau datant de l'en-fance. L'hist
r atrophie partielle du cerveau datant de l'en-fance. L'histoire de l' atrophie partielle du cerveau a été tracée avec beaucoup d
ion plus ou moins complète de l'intelligence. Dans nos observations d' atrophie remontant à la première enfance, l'intelligence n
ules dans les*cheveux, glandes au cou, ophthalmie qui 1 Étude sur l' atrophie partielle du cerveau, p. 89-90; Paris, 1808. 2
nférence est de chaque côté de onze centimètres : il n'y a donc pas d' atrophie à gauche. Le moignon présente les particularité
temps de ses fonc-tions ; aussi est-il généralement proportionnel à l' atrophie des mus-cles du mollet. 5° L'arrêt de développe
ansmise par le fémur sain pour produire des déformations du bassin. L' atrophie presque constante des muscles fessiers causée par
OGRAPHIQUE DES HOPITAUX Planche XVI. HÉMIPLÉGIE CONSÉCUTIVE A L' ATROPHIE CÉRÉBRALE A T T I T L' I) Ë D E S M E M II li E
est grenue et parsemée d'un grand nombre de petits kystes. 11 y a une atrophie considérable des deux substances, qui sont confon
te manifestation morbide du côté des téguments. CLINIQUE MÉDICALE ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE par g. peltier, interine
par g. peltier, interine des hopitaux de paris g I. Observation. — Atrophie musculaire progressive. — Début remon-tant à douz
son état et sur ses antécédents des détails assez précis. Atteint d' atrophie musculaire progressive, Bellinghen fait remon-ter
e s'emparèrent du bras droit, qui s'atrophia à son tour, et bientôt l' atrophie gagna les muscles thoraciques et dorsaux. Le mala
es inférieurs, qui commencent à s'affaiblir, n'ont pas en-core subi d' atrophie appréciable. Les lésions occupent donc surtout
des dépressions au niveau de l'espace interosseux. Bras gauche. — L' atrophie porte aussi sur tous les muscles du bras gauche ;
es saillies osseuses de l'épaule peuvent se sentir très-facilement. L' atrophie est beaucoup moins marquée sur les autres muscles
is, mais la flexion est moins prononcée. Cette défor-mation tient à l' atrophie des muscles extenseurs. Les interosseux ont égale
e volume, Il E VUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX Planche XXIII. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE mais il a conservé sa fo
sont, eu résumé, les principaux caractères extérieurs que présente l' atrophie chez notre malade. Que va-t-il arriver? L'affec-t
faire voir les déformations qu'avait engendrées, chez notre malade, l' atrophie musculaire progressive. Mais il est un point que
avant; la première, celle de Duchenne et d'Aran, qui ne voient dans l' atrophie muscu-laire qu'une maladie des muscles ; la secon
omment expliquer par une lésion première aussi net-tement limitée une atrophie aussi irrégulière, portant sur tel ou tel muscle
ans le système nerveux comme dans l'état général. Dans les muscles, l' atrophie et l'état graisseux peuvent se disposer aussi irr
e à cette définition, que nous ne saurions partager complètement. « L' atrophie musculaire progressive est un trouble de la nutri
lésions de la moelle qui sont plus particulièrement en rapport avec l' atrophie des mus- cles sont celles de la substance grise
tation chronique et diffuse. — On doit donc considérer certains cas d' atrophie mus-culaire comme des lésions de nutrition, consé
ntement progressive, elle se traduit par les symptômes habituels de l' atrophie musculaire progressive. — Le siège variable des a
ules de la sub-stance grise. Serait-ce là une lésion constante dans l' atrophie mus-culaire progressive? L'avenir en décidera. To
ion qui désorganise lentement la cellule et en détermine finalement l' atrophie complète... Il ne faudrait pas croire que l'atr
e finalement l'atrophie complète... Il ne faudrait pas croire que l' atrophie en question des cellules nerveuses des cornes ant
es cornes antérieures n'ait été observée jusqu'ici que dans des cas d' atrophie musculaire progressive s'éloignant mani- festem
lus diverses ; cette lé-sion est un fait général dans l'histoire de l' atrophie musculaire pro-gressive ; de plus, il y a une rel
ons des cellules dans la moelle, et la localisation particulière de l' atrophie des muscles, dans les diverses parties du corps.
elle épinière devront jouer uu rôle important dans la pathogénie de l' atrophie musculaire pro-gressive. » CLINIQUE OBSTÉTRICAL
ir la contracture disparaître sans laisser de traces. Au contraire, l' atrophie limitée plus particulière-ment à certains groupes
éfinitive (juin 1870). Plusieurs des muscles de la jambe ont subi une atrophie profonde ; ils présentent, en outre, des contrac-
laires qui s'observent chez les hémiplégiques. 1° Hémiplégiques par atrophie partielle du cerveau (fin). — « L'attitude habitu
s phalanges. Cette forme particulière est sans doute le résultat de l' atrophie du tissu osseux et des éminences articulaires, at
résultat de l'atrophie du tissu osseux et des éminences articulaires, atrophie à laquelle ne participe pas le tissu cellulaire s
mmémoratif, pour distinguer le ramollissement ancien de l'adulte de l' atrophie céré-brale unilatérale consécutive à une lésion,
r ensemble sont plutôt dans la demi-flexion. Toutefois \Étude sur l' atrophie partielle du cerveau, p. 98. Paris, 1868. nous
'ophthal-moscope nous en a montré la raison, en faisant constater une atrophie de la papille ; enfin, pour compléter ce tableau,
ous apprend en effet que, dans les cas de cette espèce, il existe une atrophie prononcée de la corne anté-rieure de la moelle ép
altérations analogues de l'axe gris dans la para-lysie infantile et l' atrophie musculaire progressive. Elle s'en rap-proche d'au
, par Bourne-ville, 9 ; — des ataxiques, par le même, 9, 52; — dans l' atrophie musculaire progressive, parle même, 67 ; — suite
Ataxie locomotrice (Observations d'), par Bourneville, 10, 15,59. Atrophie musculaire progressive, 67. — (Obs. et réflexions
-bras droit......... . 107 Planche XVI. Hémiplégie consé-cutive à l' atrophie cérébrale (attitude)..........122 Planche XVII.
nche XXII. Psoriasis scarlati-niforme........... 108 Planche XXIII. Atrophie muscu-laire progressive.......172 Planche XXIV.
37 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
au pouce, au médius et à l'annulaire, des crevasses indolores, de l' atrophie des éminences thénar et hypothénar, de la parés
Il n'y a en aucun point du corps de traces visibles à l'oeil nu d' atrophie musculaire ! ' Les avant-bras donnent des résulta
Les réflexes tendineux sont affaiblis mais égaux des deux côtés. Atrophie musculaire. - On constate : 1° une atrophie très
s égaux des deux côtés. Atrophie musculaire. - On constate : 1° une atrophie très pro- noncée de la moitié droite de la lang
a partie atrophiée est le siège de mouvements vermiculaires. 2° Une atrophie notable des éminences thénar et hypothénar, des
; NOUVELLE ICONOGRAPHIE. T. 111. PL. V FACE PALMAIRE MONTRANT L' ATROPHIE MUSCULAIRE DES ÉMINENCES ' DEUX CAS DE MALADI
ort accentués, panaris véritables chez l'un, éruptions bulleuses et atrophie muscu- laire chez l'autre. Le premier doit être
aires, et, à la longue, de déformations notables, d'ankyloses, avec atrophie mus- culaire consécutive et contracture des mem
es sont comme desséchés, la peau est sèche et rugueuse ; il y a une atrophie musculaire considérable et un degré très prononcé
res troubles oculaires quelconques. Cette exophthalmie donne avec l' atrophie du maxillaire, un aspect des plus étranges à la
TISME ARTICULAIRE CHRONIQUE GENERALISE CHEZ UNE PETITE FILLE AVEC ATROPHIE MUSCULAIRE CONSIDERABLE RHUMATISME ARTICULAIRE
maladie de Basedow (le fond de l'oeil n'a pas été examiné). 6° L' atrophie du maxillaire inférieur concordant, il est vrai,
a diminution de volume des têtes osseuses et de l'amélioration de l' atrophie mus- culaire. Dr A. WEILL, Médecin de l'hôp
et de son volume exagéré dont il a déjà été fait mention. » Pas d' atrophie musculaire nette au niveau des membres inférieurs
la pointe du pied ne provoque pas de trépidation èpileptoïde. ' L' atrophie des membres est peu marquée. La circonférence du
intint avec opiniâtreté, et les paralysies des muscles de l'oeil, l' atrophie du nerf optique ne présen- tèrent pas de change
MODIFICATIONS DE LA TECHNIQUE DE LA SUSPENSION. 131 dans ce cas une atrophie musculaire progressive, la paralysie peut donc
rmation caractéristique de la main-bote cubito-palmaire, signe de l' atrophie cérébrale de l'enfance. Cet infirme est un adol
ès clairement reconnaître ce signe donné comme caractéristique de l' atrophie cérébrale et qui consiste dans l'atténuation de
ées dans quel- ques-unes sont des troubles trophiques à l'égal de l' atrophie muscu- laire concomittante. Toutefois la lésion
tion de l'autopsie, qu'il existait une sclérose très prononcée avec atrophie cellulaire des cornes antérieures de la substan
clusivement sur la motilité. Il existait une paralysie flasque avec atrophie musculaire des quatre membres. Les divers group
examen microscopique montre, sur toute la hauteur de la moelle, une atrophie très prononcée des cellules ganglionnaires. Cette
i que l'examen à l'oeil nu avait permis de le constater, mais cette atrophie n'est pas, quant à son intensité, proportionnel
tte atrophie n'est pas, quant à son intensité, proportionnelle il l' atrophie des cellules glanglionnaires des cornes antérie
embres inférieurs devint plus accentué et ceux-ci furent pris d'une atrophie très prononcée. Dès lors, la malade est incapable
volumineuses que celles du côté opposé. Nulle part aucune trace d' atrophie musculaire. L'examen électrique, pratiqué par M
E EXTERNE COMBINÉE A LA PARALYSIE LABIO-GLOSSO-LARYNG1 : E ET A L' ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES
ses auditeurs deux malades atteints d'ophthalmoplégie externe et d' atrophie musculaire, et rapprochait dans une vue synthé-
phthalmoplégie externe de laparalysie glosso-labio-laryngée et de l' atrophie musculaire, en insistant sur le caractère systéma
verrons plus loin, à la com- binaison de l'ophthalmoplégie avec une atrophie musculaire du type Duchenne-Aran (poliomyélite
étant respec- tés, tout comme lorsqu'il s'agit de la moelle, dans l' atrophie muscu- laire du type Duchenne-Aran, l'altératio
Cette' lésion capitale des cornes antérieures s'accompagne d'une atrophie notable, mais l'altération porte comme nous l'avo
droit, paralysie des extenseurs plus marquée que des fléchisseurs. Atrophie considérable des muscles du bras et de l'avant-
omplète du deltoïde et des muscles qui s'insèrent à l'omo- plate. Atrophie . - Côté droit : atrophie des interosseux et des m
s muscles qui s'insèrent à l'omo- plate. Atrophie. - Côté droit : atrophie des interosseux et des muscles thénar et hypoth
le long du trajet de la dernière côte gauche. Le deltoïde gauche s' atrophie . Différence entre les mains presque nulle. 'i8
oit très peu le passage des courants dans les muscles de la main. L' atrophie et la déformation qui en résultent semblent plu
ée du côté gauche. Les muscles du pied ne présentent aucune trace d' atrophie ; la face plantaire semble un peu creuse, mais l
- Ni troubles de la sensibilité, ni troubles trophiques. Mains : atrophie localisée presque exclusivement aux interosseux e
jectée, en les diverses régions de l'organe. Au membre supérieur, l' atrophie porte sur les muscles (interosseux et éminences
me du réflexe crémastérien et abdominal. Bien qu'il n'y ait pas d' atrophie musculaire et que la puissance des membres infé
des déformations considérables (raccourcissement du médius gauche, atrophie ou peut-être adhérences des interosseux...) que
ique droite se traduit encore par de l'amyotro- phie généralisée. L' atrophie musculaire ne semble pas plus marquée dans'un g
et l'impossibilité de l'extension complète de la jambe. En outre, l' atrophie musculaire est aussi marquée qu'aupara- vant :
paralysie spinale aiguë. Il est certain qu'à cette époque, où toute atrophie musculaire était censée relever d'une altération
t ne procèdent pas comme dans la paralysie spinale. Le retrait de l' atrophie ne se fait pas par membres ou par groupes de mu
a moelle épinière ne peuvent être invoquées comme ayant déterminé l' atrophie musculaire qui, elle, a débuté vingt ans aupara
rfs eux-mêmes n'étaient certes pas en rapport avec l'intensité de l' atrophie . Celle-ci, aux membres supérieurs en particulie
vue anatomique, que M. Babinski a observé un cas d'hémiplégie, avec atrophie musculaire, dans lequel l'absence de toute lési
les paralysies psychiques de l'hystérie se compliquer fréquemment d' atrophie musculaire (Char- cot, Babinski). Le rôle de
usculaires d'origine articulaire'. Cet observateur a constaté que l' atrophie musculaire qui se montre dans un membre dont un
cause de cette influence accélératrice. Il incline à croire « que l' atrophie musculaire consécutive aux arthropathies traumati
trice que la section des cordons latéraux exerce sur la marche de l' atrophie d'origine arthropathique. » Que l'on considère
ÉGIE EXTERNE COMBINÉE A LA PARALYSIE GLOSSO-LABIO-LARYNGME ET A L' ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE LÉSION SYSTÉMATIQUE DES
cessus anatomique, dit-il, est vraisemblablement représenté par une atrophie dégénéra- tive de l'oculo-moteur, de l'abducens
. Pas de troubles vésicaux. Rien aux membres; pas de parésie ni d' atrophie . Les réflexes rotuliens sont présents. L'appé
cardiaques ni respiratoires. II n'y avait toujours ni pa- résie ni atrophie au niveau des membres. Nous terminerons ici la
igreur extrême, due plutôt à de l'amaigris- sement simple qu'à de l' atrophie musculaire véritable, car tous les mouve- ments
noyaux moteurs du quatrième ventricule. On peut en dire autant de l' atrophie muscu- laire et de la paralysie labio-glosso-la
pasétonnant que l'ophtlialmoplégie puisse se trouver combinée à une atrophie musculaire plus ou moins généralisée, à marche
avoir signalé lepremier lacoïncidence de l'opbthal- moplégie avec l' atrophie musculaire, indépendamment de toute autre affec
e (De l' - combinée à I la paralysie labio-glosso-laryngée et à l' atrophie musculaire progressive), par Guinon et I'arment
r Ch. Féré, 45. Rhumatisme articulaire chronique défor- mant avec atrophie musculaire considérable, par A. Weil, 16. Sci
isme articulaire chronique généra- lisé chez une petite fille, avec atrophie con- sidérable, 6. Sclérose en plaques, 44, 4
38 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
rose du pied des pédon- cules, Kahler et Pick notaient une certaine atrophie des circonvolutions motrices et émettaient l'op
ie du bras droit. Gène légère de la pa- l'ole. Deux mois plus tard, atrophie de l'énzzinence thé- nar droite, augmentation d
énomènes spasmodiques qui dispa- missent ensuite. Augmentation de l' atrophie des mains. Troubles de la déglutition, de la re
gauche ; il n'y en a jamais eu du côté droit. On ne constate pas d' atrophie des membres ; la marche n'est possible qu'avec
dans la bouche. Quelques tremblements fibrillaires à la pointe. L' atrophie de l'éminence thénar droite se prononce rapide-
, sauf une demi pro- nation. Pendant le mois de septembre 1883, l' atrophie des émi- nences thénar des deux côtés a fait de
G PATHOLOGIE NERVEUSE. Absence de trémulation épileptoïde. Pas d' atrophie des membres inférieurs. La malade est obligée d
la rotation est pénible. La parole s'embrouille, la paralysie et l' atrophie de la lèvre supérieure sont de plus en plus vis
duction de la mâchoire sont conservés. - Les mains présentent une atrophie musculaire manifeste avec déformation caractéri
est impossible, vu l'existence de l'oedème, de dire s'il y a ou non atrophie musculaire. D'ailleurs, les mouvements du pied
forme suivie d'augmentation des troubles bulbaires. Parésie puis- atrophie des membres supérieurs. Paralysie des membres i
prononcées. Aux membres supérieurs on constate un certain degré d' atrophie plus marquée à la main droite qu'à la gauche. (Le
qu'à la gauche. (Les membres supérieurs ont d'ailleurs montré de l' atrophie avant les membres inférieurs, et tout d'abord d
pour imprimer à sa tête le mouvement désiré. On constate aussi une atrophie très notable du trapèze, du rhomboïde et des mu
senta, dans la région qui correspond aux origines du sciatique, une atrophie générale de la moitié opérée, tant des parties
as à se faire sentir, et se tra- duisent par un rétrécissement, une atrophie du cordon postérieur. Du côté correspondant à l
érieur. Du côté correspondant à la traction, le cordon postérieur s' atrophie manifestement en compa- raison de son congénère
a- lement on constate dans la moelle de ces derniers, à côté de l' atrophie du cordon postérieur un rétrécisse- ment notabl
rne postérieure du côté opéré est accompagné le* plus souvent d'une atrophie de la partie intramédullaire des racines postér
bstance grise, des cornes postérieures et antérieures, ainsi qu'une atrophie prononcée des cellules nerveuses des cornes ant
pillaires de la moelle à différents niveaux, ce qui con- tribue à l' atrophie de la corne postérieure ; à l'amoin- drissement
ullaire des racines postérieures et enfin à la vacuolisation et à l' atrophie des cellules nerveuses des cornes antérieures.
épinière après la traction ; altéra- tions qui se résument en de l' atrophie de la corne et du cordon postérieurs du côté op
ullaire des racines postérieures ; en de la vascularisation et de l' atrophie consécutive des cellules des cornes antérieures
omme on l'a fait dans ces der- nières années. Indépendamment de l' atrophie et de la disparition des cellules nerveuses dan
Ces lésions comme nous l'avons dit, con- sistent pour la plupart en atrophie des cornes et des cordons postérieurs, dont les
ment du nerf sciatique chez le lapin produit de la sclérose et de l' atrophie dans les cornes et les cordons postérieurs de l
missible, que la traction nerveuse produit de la sclérose et de l' atrophie des cornes et du cordon postérieurs, lésions qu
elon l'intensité de l'insulte, par plus ou moins de sclé- rose et d' atrophie dans les cornes et les cordons pos- térieurs de
mp visuel, fait par le périmètre de Landolt, n'a rien montré, pas d' atrophie blanche de la pupille, pas de sténose vasculair
dégénérescence descendante de plexus et troncs nerveux co-affectés, atrophie dégénérative des muscles. Pathogénie. Au début,
en apparence vraiment inflammatoire) jusqu'aux cas chro- niques ( atrophie presque purement dégénérative à l'aspect), il s
° grande hys- térie avec troubles psychiques intenses. Castration : atrophie et dégénérescence folliculaire des deux ovaires
randeur et troubles de la parole; à ce moment, il est porteur d'une atrophie des nerfs optiques datant de trois ans à marche
ma; saillie du noyau à contours fortement réfringents, disparition, atrophie , détachement des prolongements, rétraction du c
ue, la sclérose en plaques, la sclérose laté- rale amyolrophique, l' atrophie musculaire progressive, la para- lysie spasmodi
égie progressive, et le parallèle établi entre cette affection et l' atrophie musculaire progressive, ainsi qu'avec la scléro
érieurs, et en avril 1884 que ceux-ci commencent à présenter de l' atrophie ; quant aux membres inférieurs, ils ne sont atte
dix-sept mois entre le début des phénomènes bulbaires et celui de l' atrophie mus- culaire. Cette évolution présente ce poi
fec- tion répond à un type clinique tout spécial : para- lysie et atrophie débutant par les membres supérieurs, le plus so
telligence in- tacte. » A Bonneval on constate la paraplégie avec atrophie des mem- bres inférieurs ! ? ) et contracture.
s (domaine des taches lépreuses) et sur la peau de la face intacte, atrophie des petits muscles des deux mains avec troubles
que des affections du nerf optique. Elles constituent, notamment l' atrophie du nerf optique, des accidents assez fréquents
de l'acuité visuelle, et parmi ces faits, la moitié se complique d' atrophie du nerf. La statistique de l'auteur comprend ci
l (5), ou des mêmes symptô- mes avec altération du fond de l'oeil : atrophie totale ou partielle des nerfs optiques; hyperém
elques détails sur diverses observations, et la mise en relief de l' atrophie du nerf optique d'origine névritique dans la sc
igine névritique dans la sclérose en plaques, M. Gnauck distingue l' atrophie primi- tive du tabes de celle de cette affectio
tabes de celle de cette affection, en ce que la progres- sion de l' atrophie est uniforme et généralisée dans la papille du
par E. REMAK (Neurol. Cen- tralbl, 1884). Observation d'un cas d' atrophie musculaire progressive héréditaire, compliquée
onclusion est que l'existence d'une forme purement myopathique de l' atrophie musculaire pro- gressive est irréfutable. P. K.
gressive est irréfutable. P. K. XXXIV. SCLÉROSE multiloculaire avec atrophie NÉVRITIQUE bilatérale DU NERF optique;» par Eul
Ce symptôme, consistant en une névrite optique, ayant abouti à une atrophie totale, aveccécité complète, (durée quatre sema
st capable d'atteindre rapi- dement toute la papille. P. K. XXXV. Atrophie musculaire héréditaire ET PSEUDOHYPER- TROPHIE
tion révélant chez une même famille, l'existence de plusieurs cas d' atrophie musculaire. L'auteur est d'avis que toutes les
d'atrophie musculaire. L'auteur est d'avis que toutes les formes d' atrophie musculaire progressive sont très proches parent
tives, telles que la pseudo-hypertrophie et les formes analogues d' atrophie musculaire héréditaire ou non, relèguent, continu
a pseudo-hyper- trophie n'est pas une maladie du système nerveux, l' atrophie musculaire héréditaire est une myopathie primit
'esprit du mémoire. P. K. XXXVI. UN cas DE tabès dorsal compliqué d' atrophie musculaire PRO- GRESSIVE ; par A. EULENBURG. (B
. klin. Coca., 1885, n° 15.) L'auteur présente un cas de tabes avec atrophie musculaire ; sur un nombre d'environ 500 cas de
logues. Pas d'autopsie; Eulenburg se demande si dans certains cas l' atrophie musculaire n'est pas une maladie surajoutée plu
ures opaques ou brillantes fortement réfringentes) ; 3° sclérose et atrophie cellulaires : disparition du contenu fine- ment
- La bibliographie renferme un grand' nombre de èas dans lesquels l' atrophie du nerf optique, celle même qui ne s'était inst
racr,inien.,ll importe de noter que le 'cas n'a rien -à 1 voir avec t' atrophie spinale des paralytiques généraux. Il ? ,c5 --
rêve)) à Ubthot)' et Jloeli (décembre 18S2, janvier-mars 1883), une atrophie du nerf optique droit; rien il gauche; la pupil
ur du nerf optique droit, qui est un psammome, il faut rattacher. l' atrophie de la pa- pille observ'ee'de'ce côté pendant la
n,, somme une des , neuf observations de. l'auteur démontre que £ l' atrophie des nerfs)optiques;t uni- ou bi-lalérale ne saura
côténopposéi ou des deux bandelettes, bien que, dans' l'espèce1,' l' atrophie eaistàt'dépuis des années (un'cas' d'atrophie uni
, dans' l'espèce1,' l'atrophie eaistàt'dépuis des années (un'cas' d' atrophie unilatérale durant' depuis'1 dix' ans)'. Quant'
les réactifs colorants 1 et leurs- noyaux sont indistincts. Quand l' atrophie existait depuis un temps' assez long, les vaiss
.émanas- sent du lobe occipital puisqu'un des cas témoignait d'une atrophie partielle du nerf,occipital droit de, par une t
, par une tumeur (action rétro- grade), et que dans Inobservation d' atrophie du nerf optique avec phlhisie du, globe, oculai
be occipital n'est pas démontrée. ' '' " " l' Conclusions : v 1 Une atrophie du nerf optique uni- ou'hi-latéralé qui porte s
aux bandelettes optiques (aspect macroscopique), même quand cette atrophie existe depuis dix ans. 2° Dans ce laps de temps,
cette atrophie existe depuis dix ans. 2° Dans ce laps de temps, l' atrophie du nerf oplique se propage aux éléments nerveux (
urs et inférieurs et à'ia couche optique d'une manière égale; toute atrophie unilatérale du nerf optique agit sur les organes
nerf optique agit sur les organes en question des deux côtés. Si l' atrophie du nerf optique est bilatérale, ,il s'exerce un
uses des organes placés en avant de lui les mêmes altérations que l' atrophie du nerf optique. Il ' t i , . . l' 1, t. l' l ,
gmehtaire *du~proloplasmà''cellu- laire ; 3° de la sclérose et de l' atrophie des cellules ? 4° des altéra- tions des noyaux
ui viennent de lui. Il est, sur-le-champ, facile de recon- naître l' atrophie des cellules nerveuses de l'écorce des paralytiqu
e de la maladie, par son cours de bas en haut, par l'absence de l' atrophie de muscles. 11 est vrai qu'à ce diagnostic on pou
très bornés; turbulence, gâtisme. Arrêt gé- néral de développement, atrophie des membres inférieurs, para- plégie. 16 octo
avant son entrée. IL est arrivé graduellement à une cécité absolue ( atrophie des deux nerfs optiques). A l'asile, il est agi
piques : dégénérescence presque complète des cordons postérieurs, atrophie prononcée des racines postérieures, amincissement
es (comparaison presque constante avec la normale). Il s'agit d'une atrophie simple des tubes nerveux, sans proliféra- tion
omparativement fort intéressante. Comme les régions où il y avait l' atrophie la plus prononcée ont été dans l'espèce hantées
les nerfs mixtes ont été trouvés intacts, l'anesthésie émanait de l' atrophie des nerfs sensitifs. Planche à l'appui. P. K.
ù l'évolution a été la plus tardive et c'est dans ces régions que l' atrophie se manifeste tout d'abord. Quant à la remarque
les autres lésions attribuées à la paralysie générale. notamment l' atrophie cérébrale, l'inflammation des méninges et de la
t au début de la para- lysie progressive, alors même que manquent l' atrophie du cerveau les adhérences et inflammations méni
seudo-hypertrophi- clue), par Schultze, ? 30; -(tabes dorsal avec atrophie ), 230. lyélopathie aiguë à marche ascen- dant
ar Moebius, 98. Tabes dorsal et syphilis, par de Reuz,99; (avec atrophie ), par Eulenburg, 30;- (avec dégéné- rescence
os. - Légère diminution de volume de la corne postérieure droite B, atrophie marquée du cordon postérieur droit A. Les élément
39 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
lesse considérable des membres supérieurs, compliquée bientôt d'une atrophie musculaire géné- ralisée. La paralysie et l'atr
bientôt d'une atrophie musculaire géné- ralisée. La paralysie et l' atrophie ont évolué avec une très grande rapidité; au mo
ion des muscles trapèzes. Partout la paralysie se compliquait d'une atrophie musculaire considérable. L'exa- men électrique
out ; les muscles du cou et ceux de la tète étaient respectés par l' atrophie . La paralysie et l'atrophie mus- culaire s'acco
ceux de la tète étaient respectés par l'atrophie. La paralysie et l' atrophie mus- culaire s'accompagnaient de troubles vésic
rectaux persistaient. Par contre, l'oedème des téguments masquait l' atrophie des muscles ; les réflexes tendineux, exagé- ré
ie musculaire du type Aran-Duchenne, la pachyméningite, les types d' atrophie musculaire pro- gressive myopathique, la scléro
e absolue que nous constatons chez notre malade, et qui a précédé l' atrophie musculaire; la participation des cordons postér
TRIÈRE M. D. = 20 kilogs. M. G. = 17 kilogs. On ne constate pas d' atrophie , pas de paralysie. La force musculaire est cons
t conservé dans son intégrité leur aspect extérieur. Il n'y a pas d' atrophie , pas de paralysie. Pas de perte de la force mus
ncore de se servir facilement de ses membres inférieurs. En plus, l' atrophie musculaire s'est établie d'emblée sans paralysie
eut conclure à une névrite de cause interne, nous de- vons mettre l' atrophie musculaire aux membres supérieurs, uniquement sou
ient 2 zones arrondies où la substance grise est très raréfiée avec atrophie des cellules ganglionnaires, des fibres nerveuses
épaississement dès méninges, endartérite oblitérante, hydromyélie, atrophie des cellules ganglionnaires et des fibres nerveus
trent en effet des lésions de porencéphalie, de sclérose lobaire, d' atrophie .plus ou moins étendue des circonvolutions, etc.
érosions et un sillon transversal.' Canine droite, sillons blancs, atrophie de la couronne. Première petite molaire droite, a
ns blancs, atrophie de la couronne. Première petite molaire droite, atrophie cuspidienne. Dernière grosse molaire cariée. A
olaire, cassée, la 2e est relativement saine. I ° grosse e molaire, atrophie cuspidienne, dent en chou-fleur. ; A droite.- l
e cuspidienne, dent en chou-fleur. ; A droite.- lr° petite molaire, atrophie cuspidienne; 2e petite molaire saine. La 2e gro
trophie cuspidienne; 2e petite molaire saine. La 2e grosse molaire, atrophie cuspidienne. Les troubles de la locomotion sont
s, affaiblissement de la vue sous la dépendance d'un commencement d' atrophie du nerf optique, s'accompa- gnant d'une faibles
Sgommeuse basilaire. Hydrocéphalie interne. Gommes de la dure-mère. Atrophie de la dure-mère de la convexité. Ostéoporose mu
e-mère, les racines étaient peu altérées, il exislait cependant une atrophie de quelques fibres nerveuses,surtout dans la régi
est aussi normale. Les membres supérieurs sont étendus,rigides,sans atrophie musculaire et présentent un tremblement plus où
profond transversal des deux molaires moyennes des deux côtés avec atrophie de la moitié inférieure de la dent. Il existe de
és avec atrophie de la moitié inférieure de la dent. Il existe de l' atrophie cuspidienne des deux canines supérieures. « En
ières molaires et les deux incisives du côté gauche sont le siège d' atrophie , de sillons et d'érosions. « En résumé, il n'es
musculaire des membres supérieurs et inférieurs est normale ; pas d' atrophie musculaire ; pas de troubles de la sensibilité. ,
triées transversalement. Sillons pro- fonds sur la canine droite et atrophie cuspidienne de la canine. Sillons sur la' 1re p
he est déformée ; la droite est normale. , Première petite molaire, atrophie cuspidienne. Il n'y a pas de perforation de la
ÉDITAIRE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 141 de troubles de sensibilité, ni d' atrophie musculaire des membres inférieurs. Pas de signe
atrophiées. La première grosse molaire des deux côtés présente de l' atrophie cuspidienne. En présence de ces dents et du fai
iens sont abolis, les réflexes plantaire et pharyngien conservés. L' atrophie des muscles des membres inférieurs semble en rela
rdonne- ments. , Troubles trophiques. --Nous avons déjà signalé l' atrophie des muscles des membres inférieurs ; les ongles
du squelette photographié : il s'agit là presque certainement d'une atrophie secondaire, l'altération des tissus en- vironna
itique, l'insertion en lorgnette de l'index dans le métacarpe, et l' atrophie osseuse légère de l'index étant des lésions secon
hairs métacarpiennes : il en était ainsi dans le cas de Riehl, où l' atrophie du premier métacarpien paraît avoir été due à l'é
aie ou fausse). Ilexiste dans l'art d'excellentes représentations d' atrophie musculaire (2) . Cependant elles sont rarement
s, gèmt valgum, etc.). Nains atteints de dystrophies musculaires ( atrophie ou hypertrophie). Le même individu pouvant,d'ai
en haut, la conservation des reliefs musculaires nor- maux, sans atrophie ni pseudo-hypertrophie, sur tous les membres, p
si que la substance grise sont atrophiées. Deux coupes frontales de ATROPHIE DU LOBE TEMPORAL GAUGHE chez une 0pilcptiquc.
une image il peu près égale, la gauche est plus petite à cause de l' atrophie du tissu ner- veux. ' 6° Le fornix et la fimb
pariétal. Pour une moindre part la cause doit être cherchée dans l' atrophie de la substance blanche et grise de l'écorce céré
tout la dégénération de l'élément nerveux qui nous frappe. B. Une atrophie du pied du pédoncule cérébral gauche, qui s'est r
ble surtout en ce qui concerne les noyaux rouges de Slilliîèfl. L' atrophie du pédoncule cérébral gauche et du pédoncule céré
gauche et du pédoncule cérébelleux supérieur droit s'explique par l' atrophie de l'hémisphère gauche. Nous n'avons pas affair
Nous n'avons pas affaire à une dégénération secondaire, mais ai une atrophie , peut-être fonctionnelle. Comme nous le savon
s. Il nous parait discutable que le lobe temporal ait contribué à l' atrophie du pédoncule cérébelleux supérieur, car eu égar
sans aucune anomalie secondaire dans le fais- ceau latéral, sauf l' atrophie insignifiante, qui fait partie de l'atrophie gé
- ceau latéral, sauf l'atrophie insignifiante, qui fait partie de l' atrophie générale du pied pédonculaire. Remarquons en
alingre (PI. XXXIX). Ce qui frappe tout d'abord en même temps que l' atrophie générale, ce sont les rétractions fibro-tendine
ontre toute attente, se fait encore relativement assez bien. Avec l' atrophie complète des inter-osseux, on constate une diminu
la racine du membre : ce sont des membres d'échassier. A gauche, l' atrophie et l'impotence sont un peu plus accentuées qu'à
t moyen et à ses dépendances. ' - Il était intéressant devant une atrophie semblable d'être renseigné sur l'état et la val
à la cathode. UN HOMME MOMIE 263 Ainsi cet examen montre que l' atrophie n'est d'origine ni myélopathi- que, ni névritiq
t d'origine ni myélopathi- que, ni névritique; il confirme l'idée d' atrophie simple, de myopathie. Voilà donc le tableau que
re' mais totale des extenseurs de la jambe droite, s'accompagnant d' atrophie musculaire ; B. Un tremblement de la langue vér
ment la force musculaire dans le membre inférieur est normale, et l' atrophie a disparu. A quoi attribuer cette paralysie loc
hie musculaire. L'une et l'autre marchent de pair; l'évolution de l' atrophie est liée à celle de la paralysie, d'où les phén
met de le constater, atrophiques et qu'il y a lieu de séparer cette atrophie avec paralysie de la période de début du tabes,
cette atrophie avec paralysie de la période de début du tabes, de l' atrophie qui se montre le plus souvent à la période d'ét
les comprennent toules les formes,de dégénérescence cellu- laire, l' atrophie , la sclérose qui a ainsi une double origine. ,
NOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE phalie interne. Gommes do la dure-mère. Atrophie de la dur.e-mi;re de la con- vexité. Ostéoporos
ient 2 zones arrondies où la substance grise est très raréfiée'aVec atrophie des cellules ganglionnaires, des fibres nerveuses
aissis- sement des méninges, cndartérite oblitérante, liydromyélie, atrophie des fibres nerveuses et des cellules ganglionna
constituer. A aucun moment la paralysie ne s'est accompagnée d'une atrophie musculaire appréciable. Dès le 25 mai on notait l
il y a d'autres éléments à considérer; c'est d'une part l'absence d' atrophie musculaire, et, d'autre part, la rapidité de l'év
xes tendineux, des signes de la réac- tion de dégénérescence, d'une atrophie diffuse qui va aller en s'accentuant, (1) P. Br
la conséquence des manifestations douloureuses. La paralysie et l' atrophie qui l'accompagne sont curables ; dans les cas h
es. Etant donnée la prépondérance fréquente de la paralysie et de l' atrophie du côté des extenseurs, on conçoit que des rétrac
ter encore que ces déformations, à l'instar de la paralysie et de l' atrophie , sont généralement plus prononcées dans le côté d
diriger les soupçons sur l'arsenic. Or peu à peu la paralysie et l' atrophie s'emparèrent des membres de la malade ; en même
muscles du tronc, aux masticateurs, aux muscles des paupières. Une atrophie énorme s'empara des muscles paralysés. Les réfl
hit les membres supérieurs. Il n'est pas dit qu'il s'y associa de l' atrophie ; par contre, à un moment donné, l'enfant a prés
i avait envahi les quatre membres ainsi que des muscles du tronc. L' atrophie s'empara ensuite des muscles paralysés. Les réf
ysie. Celle-ci était limitée aux membres ; elle s'est accompagnée d' atrophie musculaire, de la perte des réflexes, des signes
ion, à des troubles respiratoires, à de la tachy- cardie. Bientôt l' atrophie musculaire s'associe à la paralysie; atrophie dif
hy- cardie. Bientôt l'atrophie musculaire s'associe à la paralysie; atrophie dif- fuserais qui atteint un degré extrêmement
urs, et s'y cantonner dans certains. groupes de muscles; sauf que l' atrophie musculaire est géné- ralement moins prononcée (
- phiques et uccso ? aotezcrs, qui comprennent, indépendamment de l' atrophie musculaire (type Aran-Duchenne), des éruptions
). Mal de Pott avec grande déformation, 158. TABLE DES PLANCHES Atrophie du lobe temporal gauche chez une épileptique, X
40 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
grande du courant sanguin vers les veines musculaires a déterminé l' atrophie des autres vaisseaux, de même que le développem
régulier du champ visuel (v. fig. 13). Dyschroma- topsie prononcée. Atrophie nacrée des papilles. Amblyopie encore peu accus
ns oculaires ont pris une intensité remarquable. En quelques mois l' atrophie est devenue complète, la cécité absolue. Dans
corps vitré; 4° des rétinites et des hémorrhagies rétiniennes; 5° l' atrophie du nerf optique. Les quatre premiers n'existent
. Les quatre premiers n'existent pas chez notre malade. Quant à l' atrophie du nerf optique,- inutile de faire remarquer qu
- phie tabétique. Il n'est, du reste, pas éloigné de croire que l' atrophie de la papille n'appartient jamais au diabète. Q
a papille n'appartient jamais au diabète. Quoi qu'il en soit, cette atrophie relève ici du tabes. En outre, le myosis bilaté
externe de la Salpêtrière, le 21 août 1890. 1 Jlartin Joannès. De l' atrophie du nerf optique et de sa valeur pro-, nostique
c quelques plaques blanches, sans contractions fibril- laires, sans atrophie appréciable. Pas de troubles de la sensibilité
, mais sans steppage véritable, à cause d'un degré assez accentué d' atrophie des muscles des jambes avec prédomi- nance sur
la démarche. Mais celle-ci reste encore assez ataxique pour que l' atrophie des extenseurs ne donne pas lieu à la démarche fr
de la tête à gauche - sous la réaction pupillaire de l'hémianopsie. Atrophie partielle du nerf optique. Légère parésie spasm
VII. Contribution A la connaissance DE l'ataxie héréditaire ET DE l' atrophie cérébelleuse; par P. MENZEL. (Arch. f. Psychiat.,
e qu'elle a perdu la vue. P. K. - , . X. NOTES sur QUELQUES cas d' atrophie ET d'hypertrophie du z cervelet; par BOURSOUT.
. Boursout apporte une série d'observations comprenant quatre cas d' atrophie du cervelet ét huit cas d'hypertrophie. Les c
cas d'atrophie du cervelet ét huit cas d'hypertrophie. Les cas d' atrophie sont pris sur des idiots. Dans l'une des obser-
génitale du cervelet fait totalement défaut dans ces observations d' atrophie et d'hypertrophie sauf dans un cas d'exaltation
vements puisque dans les observations citées, l'hypertro- phie et l' atrophie entraînent, l'une comme l'autre, une insuffisance
2° Paralysie du sus-épineux et du sous-épineux; 3° Paralysie avec atrophie du sous-épineux seul, ayant passé ina- perçue à
e myélite péri-épendymaire procédant par poussées. · P. K. , XXI. Atrophie musculaire ET altération de l'excitabilité ÉLEC-
eu éloi- gnée de la paralysie d'origine cérébrale, on constate de l' atrophie musculaire des membres atteints, de concert ave
en dehors, en haut et en dedans ataxie statique et loco- motrice - atrophie des N. 0. absence du signe de Romberg, de parés
ombé à la tuberculose, on rencontra à l'autopsie, une incontestable atrophie du cervelet sans lésion inflammatoire, c'est do
r le diagnostic d'ataxie de Fried- reich, de sclérose en plaques, d' atrophie cérébelleuse, on ne peut s'empêcher de reconnaî
dehors de la cachexie, on peut observer des paralysies avec ou sans atrophie à la période préterminale de la maladie de Par-
ineuse; comme troubles trophiques et vaso-moteurs, des sueurs, de l' atrophie musculaire et de l'amincissement de la peau.
. G. D. XXXIX. Remarques complémentaires relatives A l'étude DE l' atrophie musculaire; par DOEHNH,RDT. (Neurol. Central6l.,
entre la forme névropathique (spinale) et la forme myopathique de l' atrophie musculaire. Nous ne trouvons de points de repèr
ns les allures des groupes musculaires, isolés en ce qui concerne l' atrophie , ni dans les douleurs, ni dans les convulsions
thique. Voici, par exemple, dans une famille jusqu'alors indemne d' atrophie musculaire, un jeune homme de vingt et un ans aff
fatigues exagérées, il est porteur du complexus symptomatique de l' atrophie musculaire myopathique, dans les deux cuisses; la
il s'agisse déformes spinales ou non, que les premiers indices de l' atrophie remontent à la première enfance ; ce qui permet d
sont par essence mobiles et passagères. Quant à l'amblyopie et à l' atrophie du nerf optique dans le diabète, nous avons vu
ommentaires de l'observation III, ce qu'il fallait en penser. Cette atrophie diffère, si toutefois elle existe (Pa- rinaud),
Cette atrophie diffère, si toutefois elle existe (Pa- rinaud),de l' atrophie nacrée du tabès. M. Galezowsky 2 ' Althaus. Mal
ie diabétique grave est due tantôt à des hémorrhagies, tantôt à une atrophie simple, générale ou partielle du nerf optique o
générale ou partielle du nerf optique ou de la rétine, tantôt à une atrophie avec iridochoroïdite (Liebreich). Sur ce même s
trécis- sement plus ou moins considérable du champ visuel et avec atrophie du nerf optique. Les auteurs signalent à peu pr
atrophie du nerf optique. Les auteurs signalent à peu près tous une atrophie simple, sans trouble bien manifeste de la papil
s une atrophie simple, sans trouble bien manifeste de la papille. L' atrophie était assez avancée dans quelques cas, au point
des troubles de l'achromatopsie en somme de même nature que dans l' atrophie du nerf optique en général. » Pour Althaus « le
e du diabète et de l'alcoolisme chronique. On distingue néanmoins l' atrophie optique du tabes de l'amblyopie de ces deux der
u tabes de l'amblyopie de ces deux dernière maladies, en ce que l' atrophie commence toujours dans un seul oeil, et dans le
ent aveugle, tandis que dans le diabète et l'alcoolisme chronique l' atrophie optique est toujours bilatérale d'emblée ». Et
éve- ASSOCIATION DU TABÈS AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 187 I lopper une atrophie progressive de la papille qui n'a guère le temp
s vitré, des rétinites, des hémorrbagies rétiniennes et peut-être l' atrophie du nerf optique. Or l'oeil tabé- tique se prése
utopsie, être déterminé avec précision. R. M. C. IX. NOTE SUR UNE atrophie DU nerf OPTIQUE QUI précède LES SYMP- TÔMES MEN
observer l'auteur conclut que lorsqu'on se trouve en présence d'une atrophie primitive du nerf optique, sans cause appréciab
En attendant, il est intéressant de nous reporter à l'observation d' atrophie complète d'un système pyramidal communiqué par
la partie supérieure du ruban de Reil, du même côté, il existe une atrophie des fibres, que l'on constate en descendant jus
urée et de la veine affaissée, le nerf optique est atrophié ; cette atrophie très marquée prend vers la macula de telles pro
cette région sont les uns per- méables, les autres thromboses. L' atrophie de la rétine se limite aux couches profondes de l
s'explique par des expérimentations toutes récentes. En revanche l' atrophie si prononcée du nerf optique tient à l'obstruct
uleur. Chez le premier malade, outre la paralysie (incomplète) et l' atrophie des extenseurs des doigts et de la main des deu
altération parenchy- mateuse peu prononcée des nerfs périphériques. Atrophie à un haut degré et dégénérescence granuleuse de
res parties sont consacrées à l'hystérie simulatrice du tabes, de l' atrophie musculaire, et de la syringomyélie. Dans chacun
du caractère. L'affaiblissement de la vue est probablement dû à une atrophie . de la papille. A l'examen à l'ophthalmoscope,
esquels on ne peut rien dire de précis. P. KERAVAL.. XI. DEUX cas d' atrophie musculaire progressive infantile HÉRÉ- DITAIRE
ts pris à dix mois brusquement de faiblesse dans les jambes, puis d' atrophie avec parésie des muscles de la cuisse et du bas
ganglions d'où elles elles rayonnent. P. KERAVAL. XIV. D'UN cas d' atrophie musculaire PRÉCOCE D'ORIGINE cérébrale ; par A.
oute la moitié droite du corps, sans autres phénomènes antécédents, atrophie assez notable de l'extré- mité supérieure droit
notable de l'extré- mité supérieure droite complètement paralysée, atrophie moindre de l'extrémité inférieure du même côté
extrémité inférieure du même côté d'ailleurs simplementparé- siée ; atrophie extrême des muscles de l'épaule, moindre des ém
avant-bras), qui ne présente du reste point le type Duchenne-Aran ; atrophie des muscles du tronc (pectoraux, sous et sus-ép
; atrophie des muscles du tronc (pectoraux, sous et sus-épineux) ; atrophie de la peau de l'extrémité supérieure et surtout
t surtout du dos de la main (aspect de la pellagre). En somme, si l' atrophie est adéquate au degré de la paralysie. suivant le
ions examinées, elle n'estsûrementpas proportionnelle au degré de l' atrophie des muscles; hyperalgésie, intégrité de la sens
bien mar- quant du côté de l'examen électrique. Notons encore que l' atrophie est survenue juste deux mois après l'apparition
leur suite une mort immédiate. J. Séglas. XXI. NOTE SUR UN cas d' atrophie D'UN HÉMISPHÈRE AVFC PACHY3fÉNIN- GITE consécut
la substance cérébrale ne pré- sente pas de signe de sclérose et d' atrophie , porte à faire accepter l'idée de Meyer, Rumpf,
é l'état clinique suivant. Epilepsie Jacksonnienne unilatérale avec atrophie marquée des extrémités atteintes compa- rées au
orps du délit subsistant qui détermine l'épilepsie Jacksonnienne, l' atrophie con- tinue à évoluer de concert avec les phénom
tinue à évoluer de concert avec les phénomènes d'excitation, car, atrophie centrale signifie, paralysie périphérique. Et d'a
t et continuait à irriter ceux des éléments qui avaient échappé à l' atrophie , il n'y avait qu'un pas. Nous l'avons franchi.
ations et des impulsions volontaires. M. ALZIIEIMER. Sur un cas d' atrophie musculaire spinale progressive compliqué de lés
autopsie, on constate : d'abord des altérations médul- laires, de l' atrophie musculaire progressive, puis une lésion des noy
culaire progressive, puis une lésion des noyaux du bulbe, enfin une atrophie étendue des cellules ner- veuses de l'écorce. D
ce provient, comme le montrent des pré- parations à l'alcool, d'une atrophie plus prononcée des cellules nerveuses en des co
on cérébrale. C'est une synovite qui peut être aiguë ou subaiguë. L' atrophie musculaire précoce qui apparaît pendant les pre
les cellules nerveuses de la, moelle sont complètement intactes. L' atrophie musculaire est causée par la localisation spéci
rculose intesti- nale. Obs. II. Idiotie et épilepsie symptomatique ( atrophie , sclérose). Obs. III. Idiotie symptomatique de
mala- die de Basedow, par Eulenburg, 104. Ataxie héréditaire et atrophie cé- rébelleuse, par Mené),95. Athétose spasmo
belleuse, par Mené),95. Athétose spasmodique, parScheiber, 100. Atrophie musculaire, dans les foyers cérébraux, par Eise
s albuminoïdes phosphorées du -, par Danilewski, 414. Cervelet, atrophie et hypertrophie du -, par Boursuut, 96; - acti-
s articu- laires dans l ? par Darkche- witsch, 411. Hémisphère, atrophie d'un - avec pachymémngite consécutive, par Pl
étranger de 1' -, par Courtenay, 224; Buttemberg, 438. Optique, atrophie du nerf -, par Wiglesworth, 219. PARALDÉHYDE,
41 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sées, ni diminuées de nombre ; sur d'autres coupes, au contraire, l' atrophie de l'une des cornes est très marquée et à cette
ntraire, l'atrophie de l'une des cornes est très marquée et à cette atrophie , visible à l'oeil nu, correspond la dégéné- U
ente palpébrale, aplatissement el moindre ouverture de la narine; l' atrophie portait sur tous les plans, jusques et y compris
n particulier, la syringomyélie peut s'accompagner d'un processus d' atrophie osseuse. , A. FENAYROU. IV. Glande thyroïde e
myotophique (contracture musculaire des membres avec commencement d' atrophie , portant surtout sur les membres supérieurs, ex
Nil. L'auteur a rencontré sans les chercher trois cas identiques d' atrophie réellement squelettique du membre supérieur, re
s qui avaient été atteints de la variole vers la vingtième année. L' atrophie portait sur la totalité du membre, entraînant u
quelquefois de l'oedème périmalléolaire, chute de poils, phlyctène atrophie des muscles paralysés. Ces différents signes, d
lus volumineuses et. plus nombreuses, destruction du tissu nerveux, atrophie des fibres 'nerveuses à myéline. L'écorce, géné
se colorer au bleu de méthylène, et à la longue, toute la cellule s' atrophie . Les altérations des nerfs périphériques n'appa
ration s'observent dans les cellules radiculaires anté- rieures : l' atrophie ou la cbromatolyse. Il est vraisemblable que la
r que les choses se passent toujours ainsi. Quoi qu'il en soit, l' atrophie est plus fréquente que la chro- matolyse. Elle
ésente plus alors qu'une masse chromatique homogène et dégénérée. L' atrophie est souvent plus marquée d'un côté de la moelle
lus avancée dans la région lombaire que dans la région cervicale. Atrophie et chromatolyse coexistent souvent. Celle-ci s'ob
les radiculaires ne sont point seules frappées de chromatolyse et d' atrophie . Celles de la colonne de Clarke sont constammen
ubles de la sensibilité sont graves dans la paralysie générale. L' atrophie de la cellule radiculaire antérieure résulterait
il a noté des lésions des cellules nerveuses carac- térisées par l' atrophie pigmentaire. Enfin, plus rarement, il a eu l'oc
t plus rares. Les cellules radiculaires antérieures sont frappées d' atrophie ou seulement de chromatolyse. Les cel- lules de
la paralysie générale. Ici, en outre de la lésion corticale, il y a atrophie très marquée de lacouche optique correspondante
lacouche optique correspondante. AI. Sander tend à penser que cette atrophie est primitive, car, même lorsqu'on est en prése
lialitiquescorticales des plus graves, il est bien rare de voir une atrophie aussi avancée de la couche optique. Il n'est guèr
e la couche optique. Il n'est guère admis- sible de rattacher cette atrophie à l'affection corticale car, si l'un des hémisp
dépendait, par conséquent, moins del'affection cor- ticale que de l' atrophie de la couche optique. Pathogénie. La lésion des
existence de la maladie. G. D. XXXV. PATHOGÉNIE ET prophylaxie DE l' atrophie musculaire ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES; p
hie se superpose tou- jours à une arthrite avec ankylose, que cette atrophie reste tou- 'ours dans les limites de l'articula
e, et se dirige vers les régions supérieures, il s'ensuit que cette atrophie présente une topographie commandée par la march
problèmes de localisation médullaire; 7° Le type le plus fréquent d' atrophie musculaire qu'on ren- contre dans la syringomyé
ite D'11 £ Mi ? TI(OPIIIE progressive, myosclérose, SCLÉRODERMIE ET atrophie des os ET des ARTICULATIONS ; par PELI- ZOEIH.
cles présente la même tendance à la rétraction cicatricielle et à l' atrophie . Cette sclérose qui de la peau s'enfonce dans l
vait entraîné une contracture très marquée de deux doigts. Enfin, l' atrophie des os ici est patente tandis qu'elle est rare
sclérodermie, et rappellerait celle qui constamment survient dans l' atrophie faciale progressive, dans l'hémiatrophie facial
s inflammatoires initiaux, pas d'oedème; tout à coup se pro- duit l' atrophie avec décoloration de la peau, et ily a atteinte i
cas de Schulz caractérisé par de la sclérodermie, avec sclérose et atrophie musculaire, par places, indépendantes de la pre
jusqu'ici c'en est une qui se rapproche de la sclérodermie et de l' atrophie faciale pro- gressive, mais non pas le développ
ns lesquels, quoique la sciatique soit chronique, on ne constate ni atrophie , ni REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 143 dégénéresce
ait toujours progressive. Au bout de deux mois, on constate que l' atrophie musculaire et les troubles électriques dans les
rtout ceux des membres inférieurs présentent tous les indices d'une atrophie à caractère dégénératif de la plus haute intens
la sensibilité, des réflexes, de la contractilité électrique, avec atrophie musculaire, etc.). C'est alors seulement que no
gtemps cherché de la sclérose pri- mitive des cordons latéraux sans atrophie musculaire. Je l'ai décrite dès 1885 sous le no
. Il ne manquait que de voir un cas de tabès moteur se compliquer d' atrophie musculaire. Cette lacune a été comblée récemmen
ire. Cette lacune a été comblée récemment, et on a vu une véritable atrophie détruire peu à peu les cellules des cornes anté
nérescences primitives du téléneurone moteur (certaines formes de atrophie musculaire progressive), de l'archineurone moteur
toïde des deux pieds, avec exagération des réflexes rotuliens, avec atrophie du triceps. Ces accidents spasmodiques disparur
ions peu étudiées du système nerveux et uni- quement révélées par l' atrophie ou la perte plus ou moins complète de la sensib
ne sensation de poids dans la région cervicale. A qua- torze ans, l' atrophie envahissait les muscles des membres supé- rieur
astation les lésions qui caractérisent aujourd'hui cette maladie. Atrophie . Celle-ci ayant commencé par le membre supérieur
le côté correspondant du corps, excepté le visage, était endormi. L' atrophie a attaqué en premier lieu les muscles de la cei
emaines après il pendait inerte et décharné le long du tronc. Cette atrophie était accompagnée de fortes contractions SYRI
idèrent comme typique dans la syringomyélie. Dès le commencement, l' atrophie s'est prononcée davantage dans le membre supéri
t suivie d'une autre durant laquelle se manifestent la parésie et l' atrophie des muscles des membres supérieurs en respectan
ostic différen- tiel : le manque d'éruption, les localisations de l' atrophie dans les muscles des membres supérieurs et du t
son avec le choc reçu . 1. Dans la forme anesthésique de la lèpre l' atrophie ne se limite pas à un groupe déterminé de muscl
ntité qui existe dans les difformités des mains et l'intensité de l' atrophie des muscles supérieurs et du tronc, il y a auss
u visage, sont affectés chez le lépreux. En outre, la marche de l' atrophie chez ce patient n'est pas comparable avec le cour
viations existent d'une façon caractéristique en même temps que l' atrophie et les perturbations de la sensibilité, on peut
et de cette observation, présentait au niveau de la main droite une atrophie complète de tous les mus- cles innervés par le
rophie complète de tous les mus- cles innervés par le médian et une atrophie incomplète des muscles innervés par le cubital.
incomplète des muscles innervés par le cubital. A la suite de cette atrophie , la main avait subi une déformation particulièr
té morbide, comme . l'a soutenu Charcot, ne serait qu'une variété d' atrophie muscu- .laire progressive. NI S'appuyant sur
très voisine mais distincte toutefois de celle que l'on assigne à l' atrophie musculaire progressive. G. D. LIII. La suggesti
de la 5e verticale. Paralysie et anesthésie transitoires suivies d' atrophie avec spasmes et rigidités.' La lésion semble av
spécifiques initiaux et de l'énergie du traitement correspondant. L' atrophie optique précoce correspond aux ataxies tardives
c'est bien là la paralysie spasmodique amyotrophique de Charcot, l' atrophie réflexe de cause articulaire. L'amyotrophie art
supérieures et inférieures du facial des deux côtés, paré- sie avec atrophie de la langue, troubles de la déglutition, aphonie
n, aphonie absolue, immobilité cadavérique des deux cordes vocales, atrophie 'en masse dégénérative des muscles du bras droi
horacique inférieure et moyeune; à coup sûr, des deux côtés, il y a atrophie des cellules dans la moelle thoracique supérieu
des cordons antérieurs et latéraux s'accroîs- sant de bas en haut. Atrophie très marquée des noyaux des neu- vièmes aux dou
dégénérescence graisseuses. En somme, lésions systématiques avec atrophie primitive des cellules nerveuses dans les foyer
int de vue clinique, ni au point de vue anatomique. Ce n'est ni une atrophie musculaire progressive, ni une poliomyélite ant
rations dans les racines, les cordons et les noyaux sensitifs à une atrophie chronique des cornes anté- 312 REVUE D'ANATOM
mes précoces (parésies du larynx et de la vessie, crises d'estomac, atrophie des nerfs optiques, mi- cropsie, douleurs rhuma
état de mal et présentait d'ailleurs une grave lésion encéphalique ( atrophie unilatérale du cervelet) '. ' La communication
blanche et de la substance grise du cerveau (obs. 4, 5, 6 et 11); atrophie (obs. 9); hypertrophie des circonvolutions cérébr
nts des hanches sont limités. Craquements au genou gauche. Certaine atrophie de la cuisse et de la jambe droite avec diminut
es causes de na- ture diverse. M. KOR,41LOFF fait remarquer que l' atrophie musculaire dans la première observation de M. S
lombaire et dorsale dela moelle) l'épaississement de la pie-mère, l' atrophie des racines postérieures, etc. Dans la région c
l'hypothèse de Hammond Sénator qui attribue la maladie de F..., à l' atrophie primitive du cervelet et vient à l'appui de l'opi
IE MUSCULAIRE PROGRESSIVE Aran-Duchenne; par le Dr P. Marie. De l' atrophie musculaire progressive de Duchenne, constituée
oit peu à peu la myopathie progressive primitive être éliminée de l' atrophie musculaire progressive, puis ce seront les polyné
e dernière affection constituait environ un tiers des cas de s'en atrophie musculaire progressive. De même presque tous les
ait, et comme on le croit trop généralement encore, une maladie : l' atrophie musculaire progressive de l'adulte. Et l'auteur
catégorique, que, dans l'état actuel de la science, il n'y a pas d' atrophie musculaire progressive de Duchenne, de Boulogne
e détache facilement de la sur- face du cerveau. Hémisphère gauche. Atrophie légère des deux tiers postérieurs de la troisiè
circonvolution temporale au voisinage de la scissure de Sylvius. L' atrophie est surtout prononcée au niveau de la région ro
au-dessus de l'opercule rolan- dique. La partie qui présente cette atrophie si marquée est de petites dimensions : en large
auteur elle mesure à peine 2 centimètres. Hémisphère droit : légère atrophie du pied de la troisième circon- volution fronta
olandique. Pas de lésion de la première circonvolution temporale. L' atrophie ici aussi est plus prononcée à la région roland
n observe e plus souvent la transformation granuleuse, mais aussi l' atrophie POUSSÉES d'encéphalite aiguë. 437 simple et
Les fibres nerveuses correspondant aux foyers décrits ont subi une atrophie très prononcée qui n'est plus nettement visible q
eaux, capillaires) ne présente aucune des altéra- tions suivantes : atrophie , dégénérescence de l'une des tuniques, anévrism
n faible épaississement de l'adventice des vaisseaux et peut-être l' atrophie d'un certain nombre de cellules nerveuses. C'es
o-bulbaire, observés pendant la vie, relèvent histologiquement de l' atrophie complète des cellules nerveuses dans. le domain
dégénérées ou en voie de dégénérescence granuleuse, scléreuse ou d' atrophie simple ; v, capillaire à endothélium proliféran
stitue le premier processus de la paralysie générale, ou si c'est l' atrophie des éléments nerveux constitutifs. Mais on ne peu
et, absence absolue des fais- ceaux pyramidaux dans la moelle, avec atrophie des cornes anté- rieures. Microscopiquement, le
te, de dégénérescence rétrograde, car il s'agit Lien plutôt d'une « atrophie * par désagrégation moléculaire assez différent
léculaire assez différente delà dégénérescence wallérienne. Cette atrophie rétrograde propagée des voies cérébro-spinales
erf, leur apparition relativement tardive permettent de 1 egarder l' atrophie rétrograde comme une lésion non pas d'origine c
gine cellulaire, mais au contraire cellulipète. La propagation de l' atrophie rétrograde d'un neurone à un autre neurone expl
dégénérées ou en voie de dégénérescence granuleuse, scléreuse ou d' atrophie simple; v, capillaire à endothélium proliférant
, par Jle1'lI1g, 509. Atiiéiose avec autopsie, par Sander, 118. Atrophie . Existe-t-il une - muscu- ]aire progressive d'A
42 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
un corps inerte ; pas d'anesthésie d'ailleurs, pas de rigidité, pas d' atrophie , les réflexes tendineux étaient absents. Je n'ava
te du sensmusculaire; — 3° Elévation relative de la température; — 4° Atrophie musculaire plus ou moins rapide parfois avec réac
e température de ce côté ; —3° Pas traces de paralysie motrice, pas d' atrophie , pas d'exagération des réflexes; — 4° Quelquefois
e moyenne, 26 c. ; jambe droite, partie moyenne, 33 c. C'est donc une atrophie très remarquable ; mais M. Vigouroux qui a examin
me je suppose que cela a lieu d'ordinaire dans les cas de ce genre, l' atrophie a été la [conséquence d'une propagation du proces
nifestement amaigri (fig.18,19,20,21) ; l'amaigrissement Fig. 20. - Atrophie totale du membre Fig. 21. - Le muscle tenseur du
7. Aujourd'hui, 13 novembre 1888, les choses, quant à ce qui est de l' atrophie , sont restées à peu près telles quelles ; seuleme
e la maladie. J'insisterai particulièrement sur les traits suivants : atrophie musculaire d'un membre tout entier, mais manifest
èle, quand tous ces caiac-tères se trouvent réunis, l'existence d'une atrophie musculaire de cause articulaire, autrement dit d'
l'arthrite avait complètement disparu, sans laisser de traces; mais l' atrophie du membre tout entier, prédominant toutefois, com
cé et chez notre homme elle laisse subsister des traces profondes ; l' atrophie est, vous l'avez vu,considérable encore et les mo
it pour surprendre, lorsque l'on songe que, dans la règle, ce genre d' atrophie musculaire ne s'accompagne pas de la réaction de
t pas en général très diffìcile à déterminer. Ce sont, par exemple, l' atrophie musculaire avec réaction de dégénération plus ou
et les deux cuisses sont considérablement atrophiées. A gauche cette atrophie est plus prononcée qu'à droite. Gauche Droite
es de la paralysie actuelle paraissent remonter à sept ou huit ans. L' atrophie des membres s'était dès l'origine rapidement acce
tacher, en particulier, l'inégale répartition de la paralysie et de l' atrophie dôgénérative des muscles des membres inférieurs.
descendance au deuxième degré, chez un des produits un pied bot avec atrophie de plusieurs orteils et une gueule de loup ; chez
plusieurs orteils et une gueule de loup ; chez un second produit, un atrophie du train postérieur. C'en est assez sur ce poin
us ou moins considérable de nerfs moteurs correspondants, par suite l' atrophie consécutive des muscles ou partie de muscle auxqu
e d'un examen ophthalmologique attentif, qu'elle était atteinte d'une atrophie du nerf optique de ce côté. Rien de plus naturel,
urel, rien de moins imprévu, incontestablement, que l'existence d'une atrophie progressive du nerf optique dans le tabes. Il y a
e fût pas affecté à son tour. Car, dans l'immense majorité des cas, l' atrophie progressive des nerfs optiques dans le tabes, abo
issement permanent ; on sait que dans l'am-blyopie tabétique liée à l' atrophie progressive des nerfs optiques, il y a aussi rétr
s Myosis sthénique. 0. 0. Image opthalmoscopique de la papille. Atrophie nacrée de la papille (Atrophie tabétique). 2e c
mage opthalmoscopique de la papille. Atrophie nacrée de la papille ( Atrophie tabétique). 2e cas. A. Simple décoloration de l
2e cas. A. Simple décoloration de la papille. B. Névrite optique et atrophie blanche consécutive. (Cas d'Eulenbourg, de Gnauk)
en général, qu'on désigne quelquefois sous le nom de papille nacrée, atrophie nacrée de la papille, papille tabétique. L'aspect
ne manière frappante avec le rétrécissement inégal qui se voit dans l' atrophie tabétique et aussi dans les périodes avancées de
it dans l'atrophie tabétique et aussi dans les périodes avancées de l' atrophie par névrite optique. Il faut ajouter que l'achrom
s paralysés sont légèrement amaigris, on n'y remarque cependant pas d' atrophie proprement dite, pas de secousses fibrillaires en
..Le diagnostic était rendu facile dans ce cas, par l'existence d'une atrophie commençante d'un des nerfs optiques. L'opinion qu
essivement sa marche vers le but fatal. II n'est guère en somme que l' atrophie ta-bétique des nerfs optiques, qui, une fois cons
, symétriquement des deux côtés. Les réflexes rotuliens sont absents. Atrophie , également prononcée des deux côtés, des muscles
e d'une névrite périphérique, qu'on dit primitivement développée, une atrophie des muscles extenseurs suivie d'une chute du pied
aiblissement des facultés intellectuelles. Paraplégie alcoolique avec atrophie ». Ou ne saurait mieux dire et vous avez compris
oire de l'hystérie et qui ici est fort accentué. Je veux parler d'une atrophie musculaire, sans accompagnement de secousses fibr
ut bien le reconnaître, nous en savons encore fort peu sur ce genre d' atrophie musculaire, et avant de vouloir légiférer définit
a jambe droite, 32co — de la jambe gauche, 34 cc. 2. Babinski. De l' atrophie musculaire dans les paralysies hystériques. Arcb.
e de faits consécutifs, correspondent dans les membres paralysés, une atrophie dégénérative des troncs nerveux émanant des par
troncs nerveux émanant des parties altérées des cornes antérieures, l' atrophie des muscles auxquels ces nerfs se distribuent et
rétrocession, à peu près complètement dégagé. Pour ce qui est de l' atrophie des nerfs et des muscles signalée plus haut, il f
près surviennent dans ces parties des fourmillements; en même temps l' atrophie des muscles intéressés y devient des plus évident
t. Enfin, c'est le tour des cuisses où les fourmillements ainsi que l' atrophie musculaire se montrent également, et, en conséque
bien marquée sur les éminences thénar et hypothénar. A. gauche même atrophie , seulement moins prononcée, de l'épaule et du bra
s membres nous permet de constater. A la face, pas le moindre signe d' atrophie musculaire : les lèvres ne paraissent pas grosses
e sommairement du nom d'amyotrophie progressive. Mais de quel genre d' atrophie musculaire à marche progressive s'agit-il ici ? L
i proposé d'adopter dans le temps, pour classer les diverses formes d' atrophie musculaire à évolution progressive. A. Le grand
fections diverses autrefois confondues sous la dénomination commune d' atrophie musculaire progressive. C'est, vous le savez, l'a
rencontrer clans les cas qui portent en clinique cette dénomination d' atrophie musculaire progressive, sont très variées. Elles
ciable ; 2° dans les racines motrices et les nerfs moteurs, par une atrophie , conséquence de la lésion spinale; 3° enfin dans
ssement s'est opéré,la même série de phénomènes et, en particulier, l' atrophie progressive des muscles se manifeste ; toutefois,
ion, de s'étendre à la substance grise antérieure et d'y déterminer l' atrophie des cellules motrices. Parmi les diverses affecti
arence d'hypertrophie, et même se montrer constamment marquée par une atrophie manifeste de la plupart des muscles affectés. Les
A première vue et sans y regarder de plus près, la localisation de l' atrophie dans les muscles des épaules et des bras, les ava
ès intenses et généralisées à tous les muscles atrophiés ou en voie d' atrophie . Or, pareille chose ne se voit dans aucune des fo
, comme on sait, chez les myopathiques du type Lan-douzy-Déjerine une atrophie de certains muscles faciaux amenant la gêne des m
s muscles les plus profondément lésés, ainsi que la participation à l' atrophie des sus et sous-épineux, sous-scapulaires et des
nc les muscles de la face qui ont été pris en premier. Aujourd'hui, l' atrophie porte sur les muscles des épaules et des bras, et
quelle il est naturel de songer toutes les fois qu'il se présente une atrophie musculaire à marche progressive, non accompagnée
opathiques.Ici, je vous le rappelle, la lésion spinale d'où procède l' atrophie musculaire est systématiquement localisée dans le
nt, ce sont les membres inférieurs qui ont été le siège primitif de l' atrophie progressive ; maisil existe un certain nombre d'o
la maladie de l'adulte. t. Voir sur le même sujet, E. Thomas. De l' atrophie musculaire progressive, consécutive à la paralysi
il a été admis à l'hôpital, on a relevé ce qui suit. Il y a un peu d' atrophie des interosseux, de l'émi-nence thénar et hypothé
74) la syringoymélie est signalée comme une des causes possibles de l' atrophie musculaire spinale deutéropathique. (t. II, p. 21
oire de la paralysie infantile d'un côté et de l'autre par celle de l' atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenne et d
ation dans l'exposé clinique. II Le plus souvent, les symptômes d' atrophie musculaire progressive, débutant parles éminences
sagés isolément, l'espèce morbide antérieurement connue sous le nom d' atrophie musculaire progressive du type Duchenne-Aran : il
ces études, « aie premier appelé l'attention sur la combinaison de l' atrophie musculaire, « avec des troubles particuliers de l
entif fait reconnaître, chez lui, surtout dans les membres où siège l' atrophie musculaire, l'existence concomitante de troubles
ther-mo-anesthésiesyringomyéliques limitées aux parties où se voit l' atrophie musculaire : Ce cas, tant s'en faut, n'est point
suivie de péritonite suraiguë a occasionné la terminaison fatale. L' atrophie musculaire progressive du type Duchenne-Aran, la
que l'a bien relevé M. Déjerine, que l'on a fort souvent rapporté à l' atrophie musculaire du type Àran-Duchenne des cas où seule
u moins prononcée, se montrait combinée aux symptômes classiques de l' atrophie musculaire progressive. « Cette anesthésie », écr
wei..,.ei-, autrefois traité par Duchenne de Boulogne comme atteint d' atrophie musculaire avec anesthésie. Un examen attentif a
cipalement dans les cas où celle-ci s'est accompagnée, en outre, de l' atrophie musculaire à marche lente, de divers troubles tro
res ,se sont montrées très accentuées dès l'origine La parésie et l' atrophie gagnèrent rapidement le membre supérieur droit to
commencé à s'affaiblir et à maigrir il y a deux ans.Vous voyez que l' atrophie est surtout prononcée sur les muscles antérieurs
ession produite par l'examen du malade est qu'il s'agit chez lui de l' atrophie musculaire progressive du Fig, 108 Fig, 1Q9 S
liers des doigts étant impossibles. Par suite de la prédominance de l' atrophie musculaire dans la sphère d'innervation des nerfs
s mouvements naturels y sont parfaitement libres; on n'y voit point d' atrophie . Les seules anomalies qu'on y observe consistent
tôt enclin à penser qu'il s'agissait là soit d'une forme anomale de l' atrophie musculaire progressive, du type Aran-Duchenne, so
es épaules. Depuis 1882 l'évolution de la maladie semble arrêtée; l' atrophie musculaire tout au moins n'a pas progressé depuis
conséquence d'une névrite qui semble primitivement périphérique, une atrophie des muscles extenseurs, suivie d'une chute du pie
— Amyotrophie de cause articulaire (Attitude) ... 73 Fig. 20,21 — ( Atrophie ) ... 74 Fig. 22. — Alcoolisme, paralysie infant
lepsie, 322. Amorphinismf, (Périodes d'), 431. Amyotrophie. (Voy. Atrophie musculaire, Myopathie.) Amyotrophie de cause ar
Amyotrophie spinale progressive de la paralysie infantile, 144. (Voy. Atrophie musculaire.) Amyotrophique (Paralysie), 76. A
52. Ataxie par défaut de coordination automatique. (Voy. Abasie.) Atrophie musculaire, —dans l'hystérie,403. — dans la paral
articulaire, 75. — dans la syringomyélie, 495, 496. — Diagnostic de l' atrophie syringomyélique, 501. Atrophies musculaires progr
164.— (Antagonisme entre les attaques et les accidents locaux), 7. — Atrophie musculaire, 403. — (Attaques), 7, 195. {Voy. auss
iologiques chez les liqueurs, 14. Müller, 54, 59, 60. Musculaire ( Atrophie ) de cause articulaire, 75. Mutisme hystérique,
ension, 204. — Transverse du MaldePott, 182. Myopathies( Voy. aussi atrophie musculaire progressive). — et Atrophie musculaire
182. Myopathies( Voy. aussi atrophie musculaire progressive). — et Atrophie musculaire progressive 413. — Diagnostic, 414. My
, 488, 527, 533, 534. Optique (névrite), 164, 165, 166. Optiques ( atrophie des nerfs) dans le tabès, 158. Otite goutteuse,
Paralysie infantile.— 38,91,140. (Amyotrophic de la),144, (Voy.aussi atrophie musculaire).— (Début), 147, 149.— et amyotrophic
.— (Début), 147, 149.— et amyotrophic spinale progressive (Voy. aussi atrophie musculaire),407. — et paralysie générale, 144,
Syringomyélie. 487. —Anat. pathologique, 489. — Arthropathies, 498. Atrophie musculaire, 495. — Causes, 499. — Cicatrices, 498
ses, 499. — Cicatrices, 498. — Diagnostic, 500. — Diagnostic avec l' atrophie musculaire, 501, — Eruptions huileuses, 497. Sy
5. — Amaurose, 164. — Arthropathies et crises gastriques, 333, 336. — Atrophie des nerfs optiques,158.— Champ visuel, 159, 165.—
43 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
r cas fût très ancienne. On pouvait observer seulement une certaine atrophie des fibres du bourrelet du corps calleux et du fa
lution brusque, l'arrêt du développement de la maladie, le manque d' atrophie musculaire, de contractions fibril- laires et d
, la paralysie de la langue, la diffi- culté de la déglutition sans atrophie , ni réaction de dégénérescence, la participatio
mes donne l'aspect plutôt de la paralysiepseudo-bulhaire (absence d' atrophie , réaction électrique normale), le siège de l'in
avec anar- thrie et dysphagie, ensuite une hémiparésie droite sans atrophie , sans contractions fibrillaires et sans réactio
stes d'une inflammation guérie avec perte de substance. Le manque d' atrophie et de réaction de dégénérescence prouve, que le
celui de Hoppe-Seyler étaient amincis, ne peut être attribué à une atrophie dégénéralive à cause de l'absence d'une réaction
périphéri- ques, soit centrales. Donc, d'une part, l'absence de l' atrophie dégénérative et d'autre part l'existence des tr
côté droit de 76 centimètres, du côté gauche de 83 centimètres. L' atrophie des muscles est très marquée, à la cuisse du moin
ni contracture; on pourrait sans doute invoquer la fai- blesse et l' atrophie musculaires constatées pendant la coxalgie, en le
siège sur le membre sain, il n'existe sur celui-ci ni faiblesse, ni atrophie du système musculaire. On 58 1 GASNE ET COURTEL
n appareil à traction mal placé et tirant sur le tibia; d'ordinaire atrophie inégale des muscles de la cuisse, plus marquée
ents étiologiques qu'il faut écarter; enfin il n'existe pas trace d' atrophie musculaire, ni sur le groupe postérieur, ni sur l
sans lésion osseuse, sans trouble musculaire (faiblesse, hypotonie, atrophie ), et en dehors de toute lésion médullaire ; not
onnelle, variable puis permanente, et comme résultat anatomique une atrophie partielle de la moelle. LES DIFFORMITÉS DU SYST
st vrai, mais on ne peut avoir aucun doute sur son existence. Cette atrophie , assez rare, est particulièrement intéressante, c
ui vient, en effet, à l'esprit, c'est qu'il s'agit ici d'un début d' atrophie musculaire progressive, qui commence, comme on le
vation, nous n'avons jamais pu retrouver les autres symptômes de l' atrophie musculaire progressive ; sa main gauche, en par
tous les deux de ['atrophie, ce qui assombrit le pro- nostic. Cette atrophie n'est pas signalée, autant que nous avons pu nous
énutrition générale. Autant qu'on peut s'en assurer, il n'y a pas d' atrophie de son bras ou de sa main gauche. 11 est plus q
de la crampe des télégraphistes. Nulle part, on ne peut découvrir d' atrophie ; elle peut se ser- vir de ses deux membres pou
La douleur ; c) La fai- blesse musculaire] D) Le tremblement ; F) L' atrophie ou quelquefois l' /typer- atrophie. z A. La r
ulaire] D) Le tremblement ; F) L'atrophie ou quelquefois l' /typer- atrophie . z A. La raideur, les crampes, ou les spasmes c
rtrophie. Nos observations I et II sont au contraire des exemples d' atrophie . Dans ces derniers cas, existent aussi quelques
ses occupations ; mais s'ils sont peu prononcés, la paralysie et l' atrophie peuvent survenir avant, que le malade ait consc
ifications de structure, cela n'est pas douteux comme le prouvent t' atrophie et les modifications de-la contractilité électriq
nement répété et forcé d'un élément nerveux amène avec le temps son atrophie , puis sa destruction avec hypertrophie des élém
ection (crampe avec ou sans hypertrophie, tremblement, paralysie et atrophie ), il peut arriver que l'un de ces stades soit ass
s, l'affec- tion peut arriver rapidement à la paralysie et même à l' atrophie sans passer parle spasme initial. Ces différent
ement sont cepen- dant plus faciles à traiter que la paralysie et l' atrophie . Cette dernière est la plus difficile à guérir,
ns les cas graves. Lorsqu'on est appelé à traiter la paralysie et l' atrophie , on doit quelque peu modifier ses prescriptions
mémoire et torpeur psychique, amblyopie progressive et amaurose par atrophie papillaire ; ensuite épilepsie, légères parésie
cette époque, pratiqués, notamment par M. Druault, qui constata une atrophie papillaire bilatérale, avec dilatation variqueuse
ine, à Lariboisière, le malade et formule le diagnostic suivant : « Atrophie postnévritiquedes deux nerfs optiques, en rappo
essive, l'existence d'une stase oedémateuse et variqueuse, et d'une atrophie névritique secondaire de la papille. L'étude hi
ne foule d'altérations variables, qui toutes ont pour conséquence l' atrophie de la cellule et sa disparition complète ». Dan
en masse surtout pro- longée amène un ratatinement et plus tard une atrophie extrême des corps cellulaires. Pareilles lésion
iotie et présentant une hypertrichose généralisée, s'accompagnant d' atrophie du testicule droit,de bec-de-lièvre et de malform
e et l'annu- laire gauches et l'annulaire droit un peu rapetissé. L' atrophie intéresse la 2° et la 3° phalange, surtout cett
té libre. La radiographie (Pl. XLVI) de la main gauche montre que l' atrophie porte sur le squelette de la phalangine et de l
es sans trace appréciable d'ancienne névrite éveillant l'idée d'une atrophie simple. AUTOPSIE ? Epaississement et oedème de
nt une dilata- tion très marquée. ' Les nerfs optiques ont subi l' atrophie grise, encore très visible au niveau du chiasma
nt les suivantes : dans les circonvolutions directement comprimées, atrophie cellulaire ; dans les cir- convolutions indirec
ration du fond de l'oeil. Secousses fibrillaires à la langue. Pas d' atrophie musculaire. Examen de llT. P. Londe, 894. - Les
xtrême, est très amaigri ; il existe aux extrémités des membres une atrophie que nous exposons plus bas. Le malade ne répond
r le pied. Actuellement, il y a un léger degré de pied-bot varus. Atrophie . - Il existe enfin une modification dont il n'a p
il n'a pas été fait mention dans les examens antérieurs, c'est une atrophie musculaire des extrémités. Malheureusement il e
très pronon- cée des gouttières inter-métacarpienues. Il y a de l' atrophie moins marquée dans la région antéro-externe des j
ns les faisceaux cérébelleux directs, dans les faisceaux de Gowers. Atrophie de la substance grise de la moelle avec dispari
ébelleux direct et du faisceau de Goll. Dans la protubérance, une atrophie considérable des fibres du pédon- cule cérébell
couche moléculaire. Réduction de volume de la substance blanche. Atrophie du nerf optique droit. Dans les nerfs périphéri
en état de dégénérescence grais- seuse. Dans le bulbe existait une atrophie des noyaux des cordons de Goll, de Burdach et d
des cordons de Goll, de Burdach et des noyaux des cordons latéraux, atrophie du faisceau cérébelleux, des nerfs hypoglosse e
er la coupe d'après leur direction. Pas de noyau visible. En somme, atrophie et diminution de nombre des cellules de Purkinje.
Les lésions qui ont été trouvées dans tous les cas examinés sont l' atrophie des fibres du pédoncule cérébelleux moyen et l'
inés sont l'atrophie des fibres du pédoncule cérébelleux moyen et l' atrophie (agénésie) du cervelet. Dans le cervelet examin
eux cas se rapproche celui de Miura : pas de sclérose de la moelle, atrophie du cervelet et atrophie du pédoncule cérébelleu
ui de Miura : pas de sclérose de la moelle, atrophie du cervelet et atrophie du pédoncule cérébelleux moyen. En présence d
à se ressentir de la diminution de la nutrition et s'atro- phie. L' atrophie se manifeste au commencement par une diminution d
ou la prédisposition du système nerveux plus grande, le processus d' atrophie va plus loin et se manifestera par une dégénéres-
niques de vaisseaux. Cette lésion seule ne pouvait pas produire une atrophie d'une certaine partie du système nerveux. La pa
e vaisseaux, comme nous l'avons dit, se produit au commencement une atrophie , ensuite une dégénérescence dans les parties mo
céré- belleuse auront toujours les mêmes signes communs, tels que l' atrophie de la moelle, du bulbe, du cervelet, etc., etc.
l. Fig. 6). D'une façon générale les ganglions ne présentent aucune atrophie , analogue à ce que l'on observe par exemple pou
nservé la persistance de leurs mouvements et ne présentaient aucune atrophie appré- ciable, autant qu'un examen minutieux no
s et compressibles à l'attouchement, ce qui accusait clairement une atrophie des muscles de ces régions ; sur l'éminence hypot
, Editeurs MAIN EN PINCE 411 qui en reçoivent l'innervation, leur atrophie consécutive avec des contractions fibrillaires
rtout à droite (PI. LIV). Les mains sont normales. Il n'y a pas d' atrophie musculaire aux différents segments et les réflexe
pôle supé- rieur est occupé par un gros kyste urinaire. Il y a une atrophie considérable de la substance corticale, et la c
l'examen macroscopique. Les organes pelviens sont le siège d'une atrophie sénile extrêmement accu- sée. Les ovaires ne pè
ous les glomérules sont atteints plus ou moins d'un certain degré d' atrophie . Beaucoup ont autour d'eux un anneau de périglo
ns. En somme, il semble que la formation kystique est, plutôt que l' atrophie scléreuse, l'origine et la cause de la diminuti
les trophiques est un fait avéré. On l'observe conjointement avec l' atrophie musculaire, ou avec les déformations osseuses (
ibuons. EÙ1'uf¡ chercherons à prouver que, dans cette maladie, où l' atrophie semble ré- "' gner en maîtresse exclusive, l'hy
l n'est pas très rare, en effet, de constater, conjointement avec l' atrophie , mais pouvant aussi se montrer sans elle, la fo
eux pourra, non seulement compenser la perte de volume causée par l' atrophie , mais rendre le membre malade plus volu- mineux
préoccupe beaucoup de cette singulière combinaison symptomatique : atrophie musculaire, poly- sarcie sous-cutanée. - Duch
est ainsi que dans la paralysie atrophique de l'enfance, le degré d' atrophie ou de texture des muscles (1) Collette, Sur une
Duchenne avait coutume de faire des plis à la peau, pour dépister l' atrophie musculaire, alors que, de prime abord, elle n'a
encore : « l'abondance du tissu adipeux sous-cutané peut masquer l' atrophie musculaire (p. 488) ». Il répète plus loin la m
usculaire (p. 488) ». Il répète plus loin la même observation : « L' atrophie d'un grand nombre de muscles est quelquefois ma
npoint considérable». ». - La surcharge graisseuse accompagnant l' atrophie musculaire sympto- matique d'affections de la m
bservations d'adipose sous-cutanée dans la paralysie infantile avec atrophie musculaire : « Les conclusions à tirer de mes re
adipeux sous-cutané des membres ou des segments de membre frappés d' atrophie est d'ordinaire plus épais que dans l'état norm
trophiés, un degré très prononcé, au point de masquer entièrement l' atrophie ou même de simuler l'hypertrophie du membre. Ce
ue l'hypertrophie du tissu cellulo-graisseux accom- pagne parfois l' atrophie musculaire et qu'elle posséderait même quelque
le - début fébrile, paralysie motrice d'un ou de plusieurs membres, atrophie muscu- laire graisseuse avec les déformations q
hie muscu- laire graisseuse avec les déformations qu'elle entraine, atrophie osseuse impriment généralement à la maladie don
. La paralysie peut être très fugace, pas- ser même inaperçue, et l' atrophie musculaire n'en être pas moins très prononcée.
s trophiques osseuses qui per- sistaient toute la vie. « Le degré d' atrophie osseuse, dit encore Du- chenne (2), n'est pas t
s cas, dit Boulloche (3), la paralysie infantile n'aboutit à aucune atrophie musculaire : les muscles ont conservé leur force
loppement. D'autre part, il n'y a parfois aucune proportion entre l' atrophie des muscles et celle des os dans le membre paraly
njonctif sous-cutané, est admise sans conteste en ce qui concerne l' atrophie musculaire qu'elle a suivie. A vrai dire, l'intér
uons. Nous sommes trop enclins, par exemple, à associer la notion d' atrophie au tableau clinique de la paralysie infantile,
ta, un malade atteint d'une paralysie infantile ayant déterminé une atrophie du bras droit. Ce malade ayant contracté la syp
plégie, avec cette différence toutefois qu'au lieu d'aboutir à une atrophie 506 H. MABILLE limitée à certains groupes mus
ar PAUL SE- RIçUX et ROGER Mignot (4 fig.), 39. Syphilis spinale ( Atrophie de la moelle dans la), par E. Long et `Vzx1 (21
44 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tiques : et de même la destruction des réactions optiques amène une atrophie strictement confinée aux régions comprises dans
9.) Type de paralysie semblable à celui qu'a décrit DrescIlfeld ; atrophie des cellules des cornes antérieures ; concrétions
une adhérence généralisée des méninges à la couche corticale et une atrophie du cerveau avec accompagnement des lésions que
rielle fait penser à une syringomyélie ; mais. comme il n'y a pas d' atrophie , il y a lieu d'admettre une affection des cordo
ralentissement de la sensibilité à la douleur - signe de Homberg - atrophie du nerf optique droit. C'est le pied et l'ortei
minué de volume. Il est cependant certains groupes musculaires où l' atrophie est très prononcée, tandis que d'autres groupes
scles de la partie postérieure ont subi également un commencement d' atrophie : mais, chose remarquable et sur laquelle nous
à-dire, à une altération profonde des centres médullaires, mais à l' atrophie du muscle triceps crural. C'est aussi à cette a
es, mais à l'atrophie du muscle triceps crural. C'est aussi à cette atrophie , ainsi qu'à celles des muscles extenseurs du pi
178 tômes fondamentaux consistent, comme vous le savez, dans une atrophie musculaire, liée ou non à divers troubles de la s
nerveuses. Le symptôme capital de la téphromyélite antérieure est l' atrophie musculaire; c'est même, si l'on peut dire, un s
mode de développement et son [origine, toujours elle détermine l' atrophie dés muscles tributaires des cellules nerveuses al
fondes. Pour abréger, ne nous occupons, si vous le voulez, que de l' atrophie musculaire des hémiplégiques. Celle-ci appa- ra
iner la moelle de qnelques hémiplégiques qui avaient présenté cette atrophie , et il a constaté l'existence de lésions très c
que si les cellules antérieures sont malades, et s'il s'ensuit une atrophie mus- culaire, c'est que la dégénération descend
ami, M. Deje- rine, a publié des observations fort intéressantes d' atrophie musculaire, chez des hémiplégiques à l'autopsie
nchymateuse. Que faut-il conclure de ces faits ? Evidem- ment que l' atrophie avait succédé à la névrite. Mais quel avait été
Evidemment la lésion qui avait déterminé la contracture, puisque l' atrophie 'et la névrite présentaient leur maximum d'inte
ue qui n,a point été lésé ne tarde pas à subir un certain degré d' atrophie , et il est probable que les muscles correspondant
ique, qui naissent dans la même région, subissent un faible degré d' atrophie simple » » La même démonstration ressort, au po
linique, des notions qui nous ont été fournies par M. Charcot sur l' atrophie muscu- laire des hystériques. Enfin une autre e
UES DE LA MOELLE. Quoi qu'il en soit, un fait subsiste, c'est que l' atrophie mus- culaire des hémiplégiques, indépendante de
er une névrite dégénérative. Cette opinion, pour ce qui a trait à l' atrophie musculaire saturnine, me paraît pouvoir s'appli
es ainsi atrophiés. Ce qui est indéniable, en tous cas, c'est que l' atrophie en question, liée ou non à une névrite, est, qu
ns l'hystérie, pas plus que dans l'hémiplégie de cause cérébrale, l' atrophie n'est chose fatale. Elle peut survenir cependan
pasmodique, existant depuis des années, peut ne pas se compliquer d' atrophie musculaire, tandis que telle hémiplégie de caus
contracture sont beaucoup moins prononcées, se compli- quera d'une atrophie musculaire marche relativement rapide. Il est e
ur lequel je tiens à attirer votre attention. Vous connaissez cette atrophie muscu- laire,. dite réflexe, qui succède à cert
urut de pneumonie une année après son entrée. L'autopsie montra une atrophie complète des plis courbes et des premières circ
es nerfs optiques avaient une augmentation du tissu conjonctif, une atrophie des fibres nerveuses et avec des espaces rempli
rd depuis trente ans ; le cerveau, autrement normal, présentait une atrophie extensive des deux circonvolutions temporales s
en plus de quelque lésion du lobule supramarginal, il y avait une atrophie de deux circonvolutions temporales plus marquée à
rpation du lobe temporal chez les lapins nouveau-nés, on trouve une atrophie dans les fibres médullaires correspondantes de
'extenseur commun des doigts, de l'exten- seur propre du pouce avec atrophie musculaire consécutive, avec intégrité du muscl
ces péricellulaires de la substance grise. On constate, en outre, l' atrophie ou la destruction de nom- breuses cellules nerv
hémiplégie droite avec perte de la parole qui guérit en un an - une atrophie bilatérale du nerf optiquequi la rend aveugle en
s optiques tiennent, dans la sclérose en plaques, le milieu entre l' atrophie tabétique primitive, l'atrophie consécutive à l
érose en plaques, le milieu entre l'atrophie tabétique primitive, l' atrophie consécutive à l'interruption des conducteurs, et
tive, l'atrophie consécutive à l'interruption des conducteurs, et l' atrophie inflammatoire interstitielle. L'atrophie grisât
tion des conducteurs, et l'atrophie inflammatoire interstitielle. L' atrophie grisâtre et blanche de la papille a une grande
es premières années de la vie du bras droit (impotence absolue avec atrophie ) et de la jambe du même côté (atrophie, simple
roit (impotence absolue avec atrophie) et de la jambe du même côté ( atrophie , simple parésie), à la suite de convulsions. Au
oire, d'une réduction considérable de la cloison transparente, de l' atrophie des circon- volutions du corps calleux et de la
nc. La 276 revue d'anatomie ET DE physiologie pathologiques. même atrophie des organes du manteau se retrouve chez les mé-
étatif, de phtisie pulmonaire avec eschare, un an après l'accident. Atrophie de toute la région antérieure des deux hémisphè
e contusion juste à l'opposite du lieu d'application de la force; l' atrophie bila- térale en a été la conséquence. Les ascen
'il existe des systèmes de fibres d'association. P. K. XXII. DE l' atrophie DES FIBRES DE l'écorce DU cervelet ; par A. MEY
lacunes considérables de l'intelligence; elles dispa- raissent par atrophie dégénératrice primitive. On en constate trois t
rophie dégénératrice primitive. On en constate trois types : 10 Une atrophie généralisée uniforme des fibres profondes; 2° u
: 10 Une atrophie généralisée uniforme des fibres profondes; 2° une atrophie uniforme diffuse des fibres péricellulaires , 3
NCÉPHALE HU- mun; par A. RICaTER. (Arch. f. Psychi'lt., XX, 2.) L' atrophie unilatérale ou bilatérale du nerf optique peut s'
asculaires et péricellulaires, la dégé- nérescence pigmentaire et l' atrophie des cellules pyramidales et des autres cellules
aux à parois épaissies, irrégulières, en zigzags. P. K. XXX. De l' atrophie musculaire névritique PROGRESSIVE; par J. IIOFF
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 283 nom de forme parlicullèl d' atrophie musculaire. Quatre obser- vations, dont une per
d'atrophie musculaire. Quatre obser- vations, dont une personnelle ( atrophie ); trois observations dé Schultze; autopsies de
ction double (hématoxyline et éosine, héma- toxyline et safranine). Atrophie généralement simple des fibres musculaires; que
es dans les trousseaux pyramidaux des cordons latéraux. Conclusion. Atrophie névrotique constituant une variété de l'atrophi
éraux. Conclusion. Atrophie névrotique constituant une variété de l' atrophie musculaire spinale de l'enfance. P. K. XXXIV.
ystérie ; mais, ce qui permit.le diagnostic en l'espèce, ce fut une atrophie bilatérale des nerfs optiques. M. ROLLER (de Br
il s'agit d'une femme atteinte d'aphasie avec hémiplégie gauche et atrophie du bras du même côté. A l'au- topsie on a trouv
le épinière, de sorte qu'il paraîtrait irra- tionnel de rattacher l' atrophie des muscles d'un côté du corps à une modificati
trouve des solutions de continuité manifestes. On voit ainsi que l' atrophie ou la diminution du diamètre transversal du corps
e ou interstitielle. Dans les muscles du côté lésé, on constate une atrophie la plus classique. En résumé, à côté de l'atrop
on constate une atrophie la plus classique. En résumé, à côté de l' atrophie musculaire consécutive à une lésion cérébrale,
rfs périphériques. Dans les muscles du côté gauche, on constate une atrophie des plus évidentes. L'examen histologique a p
mier intérosseux et le biceps du côté gauche; on a pu constater une atrophie des fibres dont le caractère est d'être diffuse
u laboratoire de M. Charcot par M. Babinski1 , on admet- tait que l' atrophie musculaire, dans les scléroses descendantes, ét
re, dans les scléroses descendantes, était toujours provoquée par l' atrophie des cornes antérieures. Cette manière de voir a
sa signification exclusive depuis que M. Babinski a démontré que l' atrophie musculaire de cause cérébrale est possible avec
égie avec contractures et un développement relativement tardif de l' atrophie musculaire; tantôt cette dernière se développe
érébrale fonda- mentale. Il parait donc établi actuellement que l' atrophie musculaire peut se développer consécutivement à
rébrale est inconnue et encore moins la localisation du 1 Babinski. Atrophie musculaire d'origine cérébrale, (Comptes rendus
usculaire; les réflexes sont normaux et égaux des deux côtés. Pas d' atrophie musculaire. La sensibilité générale est abolie
olfactive toute la portion olfactive de la commissure antérieure s' atrophie des deux côtés, tandis que la portion temporale r
ues normales de l'existence des fibres musculaires. Chaque espèce d' atrophie musculaire a son tableau clinique et son substr
e constitue pas une condition nécessaire pour le développement de l' atrophie . Il est encore impossible de préciser la locali
on anatomique de la lésion cérébrale provoquant infail- liblement l' atrophie , mais dans la majorité de cas il faut incrimi-
oloique, les modifications mus- culaires portent le caractère d'une atrophie simple. Les théories 462 ) SOCIÉTÉS SAVANTES.
n de prédominance d'un de ces phénomènes comme cause d'origine de l' atrophie . \I. RoiT a fait une seconde communication sur
\I. RoiT a fait une seconde communication sur la « pathogénie de l' atrophie musculaire progressive ». Les modifications fonda
ales des fibles musculaires dans cette affection consistent en leur atrophie longitudinale et transversale. L'hypertrophie des
otrophies progressives. L'analyse des particularités cliniques de l' atrophie musculaire progressive jointes aux modification
troubles vaso-moteurs et sécrétoires, troubles du tissu cellulaire, atrophie musculaire. On pourrait critiquer cette divisio
, par Baumler 132. ' Athétose dans le tabes, par Laquer, 133. Atrophie MoscumnE névritique pro- gressive, par Hoffmann
duo-moyen, par Edll1ger,136. TABLE DES MATIERES . 47 -1 Cervelet ( atrophie des fibres du) - ), par Meyer, 280; fonction du
ABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS 479 z maladie d'Addison, -et atrophie musculaire, par Schulz, 273. Sclérose, début
45 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
pontanée ou sénile. Dans le cas de pétrification du placenta, c'est l' atrophie d'abord, puis la mort avec dessiccation du fœtus
bsolument impossible de prévoir. Notons encore i° la coexistence de l' atrophie d'un rein non calculeux, de la gravelle du rein o
avec le développement énorme du tissu adipeux; 2° la coexistence de l' atrophie du rein droit et de l'hypertrophie de la capsule
it double de la capsule surrénale gauche ; notons enfin 3° cette même atrophie du rein droit comme une cause prédisposante de l'
lation. Les os du pied droit sont évidemment atrophiés. A la jambe, l' atrophie portait davantage sur les parties molles que sur
e celui du côté opposé, et comme les aponévroses avaient subi la même atrophie , on voit que l'exercice est aussi nécessaire aux
ubisse le scaphoïde, c'est une diminution considérable de volume, une atrophie produite et par la compression violente à laquell
de des lois qui régissent l'état sain. J'ai expliqué tout à l'heure l' atrophie de l'astragale par la compression à laquelle il é
ttente. Pour les os, la continuité de la compression est une source d' atrophie ; la compression intermittente est une source d'h
n général encroûtées de cartilage de nouvelle formation. Muscles. L' atrophie , la transformation graisseuse de tous les muscles
il est facile de pénétrer pourquoi ces muscles seuls ont échappé à l' atrophie générale. C'est parce que le pied, dans la positi
ire et du jumeau externe. J'ai dit que ces fibres avaient échappé à l' atrophie ; car personne n'imaginera, je pense, que l'atroph
aient échappé à l'atrophie; car personne n'imaginera, je pense, que l' atrophie des muscles soit primitive; il me serait facile d
ée pendant la première année de sa naissance, j'ai pu constater que l' atrophie du membre était consécutive. Se pourrait-il cepen
ulaire, devenue graisseuse, peut redevenir fibre musculaire, et cette atrophie , ou dégénération graisseuse complète des muscles,
es extrémités inférieures du péroné le sont entièrement ; parce que l' atrophie des muscles va toujours croissant, et que cette a
parce que l'atrophie des muscles va toujours croissant, et que cette atrophie doit nuire à la guérison en privant les appareils
pas qu'elles contre-indiqucnt absolument toute espèce de tentative. L' atrophie des muscles en particulier n'est pas une contre-i
-porte, division qui était singulièrement rétrécie, d'où sans doute l' atrophie du lobe gauche. La branche correspondante du cana
mine, avec son changement de forme, une espèce de racornissement et d' atrophie qui a été notée par un grand nombre d'observateur
remplacé en entier par le kyste; mais il pourrait se faire que cette atrophie ne fut qu'apparente, et que la partie du foie qui
MALADIES DE L'ESTOMAC ET DES INTESTINS. Amincissement extrême ou atrophie aiguë d'une portion des parois de lare du colon.
essemble exactement à l'amincissement pur et simple sans érosion, à l' atrophie de l'intestin, que l'on rencontre fréquemment che
cinquième que je ne connaissais pas encore, c'est l'amincissement ou atrophie des parois de l'intestin. Or, dans le cas actuel,
n y sans diminution notable de cohésion, que j'appellerais volontiers atrophie aiguë, et qui consiste peut-être dans un travail
anisatrice du gros intestin, ayant pour résultat son amincissement ou atrophie aiguë; ; du 6 octobre au 18, peritonite; le 18 oc
pendante, que nos tissus ne sont susceptibles que d'hypertrophie et d' atrophie . Ici l'atrophie s'explique à merveille par la com
s tissus ne sont susceptibles que d'hypertrophie et d'atrophie. Ici l' atrophie s'explique à merveille par la compression qu'a ép
econnaissable, parce qu'elle n'avait encore subi qu'un commencement d' atrophie . La forme que je viens de décrire est peut-être
lage; 4° à l'absence et à la transformation celluleuse, en un mot à l' atrophie partielle ou générale de cet organe. Ire Observ
partielle ou générale de cet organe. Ire Observation. — Idiotie par atrophie de la presque totalité de l'hémisphère droit du c
le texture. Les corps genouillés externe et interne participaient à l' atrophie de sa couche optique. Jamais je n'ai vu plus mani
ogradation de la presque totalité d'un hémisphère à l'état celluleux, atrophie en un mot portée à son dernier terme. On voit don
un rapport intime entre les uns et les autres. Je suis persuadé que l' atrophie primitive d'un hémisphère entraîne l'atrophie de
Je suis persuadé que l'atrophie primitive d'un hémisphère entraîne l' atrophie de la couche optique et du corps strié du même cô
rophiés. Ce cas nous permettra, en outre, de comparer les effets de l' atrophie partielle avec ceux de l'atrophie générale du cer
outre, de comparer les effets de l'atrophie partielle avec ceux de l' atrophie générale du cerveau. IIe Observation. — Idiotie
x de l'atrophie générale du cerveau. IIe Observation. — Idiotie par atrophie du cerveau qui remplissait a peine la moitié du c
ment extrême de la substance cérébrale. Dans le cas actuel, c'est à l' atrophie et à l'induration du cerveau que nous devons rapp
rosité très-abondante contenue dans le crâne, non comme la cause de l' atrophie du cerveau, mais comme un effet du retrait de cet
existe entre les différentes parties du cerveau sous le rapport de l' atrophie . Les circonvolutions, le centre médullaire, les c
ndiquer un rapport entre les olives et le cervelet. Il est vrai que l' atrophie des pyramides antérieures peut induire en erreur,
tion entre ce ventricule et la cavité de l'arachnoïde extérieure, à l' atrophie de la couche optique gauche, au défaut de symétri
he, au défaut de symétrie des circonvolutions droites et gauches, à l' atrophie de la moitié gauche du cervelet et à l'irrégulari
avec la cavité de Varachnoïde extérieure. — Déformation du cervelet; atrophie de son hémisphère gauche (*). (Planche v.) Le 9
qui ont échappé plus ou moins complètement à la transformation et à l' atrophie , et c'est ce qui explique comment plusieurs indiv
progrès de l'art des accouchemens, me paraît un exemple remarquable d' atrophie du placenta qui a déterminé le défaut de développ
'atrophie du placenta qui a déterminé le défaut de développement et l' atrophie du fœtus. Ce fait prouve en outre l'indépendance
poplexie du placenta, cause fréquente d'avortement (*). 6°. Enfin l' atrophie du placenta est accompagnée de sa décoloration, d
organe s'accoutume à la compression, ou plutôt la portion comprimée s' atrophie ; et si cette portion comprimée ou atrophiée n'est
en partie atrophié. Je ne saurais trop appeler l'attention sur cette atrophie du cerveau qui, s unissant à la compressi-bilité
cause comprimante: ou, en d'autres termes, la compression, de cause d' atrophie qu'elle était d'abord, est devenue cause d'irrita
émiplégie droite incomplète. — Facultés intellectuelles ordinaires. — Atrophie sans lésion organique de Vhémisphère gauche du
i et 2 ). Les figures i et 2 représentent tous les détails de cette atrophie étudiée à l'extérieur du cerveau. La figure 1 mon
ndiquée : la figure 2 représente la base de la masse encéphalique : l' atrophie de l'hémisphère gauche du cerveau, l'atrophie du
masse encéphalique : l'atrophie de l'hémisphère gauche du cerveau, l' atrophie du pédoncule cérébral correspondant P A, l'atroph
che du cerveau, l'atrophie du pédoncule cérébral correspondant P A, l' atrophie du tubercule mamillaire du même côté M' contraste
du tubercule mamillaire du même côté M' contrastent avec le défaut d' atrophie de la protubérance et du bulbe raehidien. Chose b
inution du lobe droit de celui-ci ne saurait entrer en balance avec l' atrophie de l'hémisphère gauche du cerveau. La figure 3
n découvrir la cause dans la différence qui existe d'une part entre l' atrophie du cerveau par compression et l'atrophie sans com
ui existe d'une part entre l'atrophie du cerveau par compression et l' atrophie sans compression, et, d'une autre part, entre cet
ion et l'atrophie sans compression, et, d'une autre part, entre cette atrophie , quelle qu'en soit la cause, et la solution de co
olution de continuité ou l'interruption des fibres cérébrales. Dans l' atrophie , l'instrument de nos sensations et de nos volitio
anche iv), qui nous a offert l'idiotie la plus absolue produite par l' atrophie des deux tiers environ de l'hémisphère gauche du
é, soit enfin par le défaut de nutrition des fibres elles-mêmes. Or l' atrophie du cerveau représenté planche iv, ve livraison, d
re sous-arachnoïdien me paraissent l'effet et nullement la cause de l' atrophie , et destinées à remplir les vides. Peut-être l'ép
le des os du crâne du côté atrophié est-elle encore un effet de cette atrophie ? Ce qu'il y a de certain, c'est qu'il n'en est p
ain, c'est qu'il n'en est pas la cause ; car, dans cette hypothèse, l' atrophie devrait lui être proportionnelle. Du reste la voû
es mamillaires à gauche qu'à droite, ce qui ne prouve nullement que l' atrophie date d'une époque récente, ainsi que j'aurai occa
mation du crâne, avec absence des deux lobes antérieurs du cerveau et atrophie de son hémisphère droit. Ventricules latéraux ouv
is les lobes moyen et postérieur de l'hémisphère droit présentent une atrophie manifeste. Les lobes antérieurs LA, LA existent à
et de la cavité de l'arachnoïde extérieure : il y avait en même temps atrophie de l'hémisphère correspondant du cervelet. Dans l
tant d'ac-cidens de toute espèce, guérison qui, au fond, n'est qu'une atrophie . Mais extirper n'est pas guérir, et ce serait le
s guérir, et ce serait le but idéal de l'art que de pouvoir obtenir l' atrophie des portions d'organes ou des organes tuberculeux
ite de l'irritation de cette substance, entraînent la décoloration, l' atrophie et la disparution plus ou moins complète de la su
mme dans la figure 1. Tous les muscles du bras sont atrophiés, mais l' atrophie porte principalement sur les radiaux et les cubit
supinateurs, muscles propres des articulations radio-cubitales. Cette atrophie s'explique aisément ; car les mouvemens de flexio
eure de ces os qui devait répondre au scaphoïde atrophié. Au reste, l' atrophie de la première rangée s'explique aisé-ment par le
ompression pour lesquelles elle n'a pas été destinée, se déforme et s' atrophie plus ou moins, suivant le degré de cette compress
ux-mêmes de lésion organique, si vous en exceptez l'hypertrophie et l' atrophie ; que d'abord hypertrophiés par l'irritation qui l
ment (Précis d'Anat. patholog,, p. 385) que, dans la cyrrhose, il y a atrophie de la substance rouge, et hypertrophie de la subs
t augmenté de volume; que, dans d'autres cas, cette substance rouge s' atrophie complètement et se transforme en tissu cellulaire
de quantité de matière jaune, ce qui a suggéré l'idée ingénieuse de l' atrophie de lune des substances, et de l'hypertrophie de l
raisonnable de penser que la cyrrhose consiste essentiellement dans Y atrophie du plus grand nombre des granulations du foie, et
uppléer celles qui sont atrophiées. Mais quelle est la cause de cette atrophie ? De nouvelles recherches sont nécessaires pour r
cas, le foie est atrophié, soit partiellement, soit généralement : l' atrophie partielle peut porter sur un lobe, sur une petite
tumeurs, atrophiée, décolorée, et même convertie en tissu fibreux. L' atrophie générale peut être portée au point que le foie, a
ent été atrophiés par la compression. Ici, comme dans d'autres cas, l' atrophie aurait donc succédé à l'hypertrophie. On conçoi
sa distension est portée outre mesure, qu'à l'hyperthrophie succède l' atrophie , et qu'on le voit se tranformer en une membrane f
géniale du cervelet; ou bien le cervelet s'est-il atrophié , et cette atrophie a-t-eîle précédé ou suivi la naissance ? Lies d
me paraissent militer en faveur de l'existence du cervelet et de son atrophie lente, graduelle. Ce qui me parait inexplicable d
ellulaire intermédiaire au chorion et à l'amnios était infiltré. i° Atrophie . Elle peut être générale ou partielle; l'atrophie
tait infiltré. i° Atrophie. Elle peut être générale ou partielle; l' atrophie partielle peut occuper un tiers, deux tiers, troi
issant intacts les cotylédons intermédiaires. La conséquence de cette atrophie est le dépérissement et même la mort du fœtus. Le
st le dépérissement et même la mort du fœtus. Les caractères de cette atrophie sont : un amincissement considérable, une sorte d
mbre de cotylédons intacts peut suffire à maintenir la vie, lorsque l' atrophie des diverses parties du placenta a été successive
lui-même. 11 pourrait se faire que cette perméabilité fût une cause d' atrophie du foie, en ce sens que ce vaisseau serait bien p
ette explication. 17e. Livraison. Pl. Ire. MALADIES DU CERVEAU. Atrophie des Circonvolutions MALADIES DU CERVEAU CHEZ LE
utions MALADIES DU CERVEAU CHEZ LE FOETUS (XVIIe livr., pl. I.) Atrophie des circonvolutions. Les lésions des circonvolu
la suite de ces lésions; je ne m'occuperai, pour le moment, que de l' atrophie des circonvolutions. U atrophie des circonvolut
occuperai, pour le moment, que de l'atrophie des circonvolutions. U atrophie des circonvolutions peut être générale ou partiel
e ou partielle, congéniale ou postérieure à la naissance. Lorsque l' atrophie a lieu avant le développement complet de l'ossifi
emplacé par du liquide , les os éprouvent un retrait proportionné à l' atrophie . Si au contraire l'ossification des os du crâne e
arois des os du crâne peuvent acquérir une très grande épaisseur. L' atrophie des circonvolutions se présente sous plusieurs fo
e sérosité occupe le tissu cellulaire sous-arachnoïdien, et lorsque l' atrophie est très circonscrite, le liquide remplissant l'i
s circonvolutions coïncide très XVIIe LIVRAISON. 1 souvent avec l' atrophie apoplectique de ces mêmes circonvolutions, et occ
mation celluleuse avec coloration brunâtre ou jaune-serin; mais cette atrophie étant la suite d'une attaque d'apoplexie , sa des
e des altérations qui suivent les foyers d'apoplexie. 4° Il est une atrophie des circonvolutions avec induration du tissu céré
st la suite d'une inflammation chronique. 5° Une cinquième espèce d' atrophie est celle qui résulte de la perte de substance su
tre, jaune-serin, plus ou moins vasculaire. 6° Une sixième espèce d' atrophie consiste dans la transformation d'une portion d'h
géniale. Je possède quelques observations qui semblent dénoter qu'une atrophie semblable, étendue à la presque totalité d'un hém
re, a été postérieure à la naissance. 7° Dans une septième espèce d' atrophie , chaque circonvolution est convertie en un kyste
-mêmes représentent assez bien l'aspect d'une dentelle. On voit que l' atrophie s'étend beaucoup plus en arrière de ce côté que d
ées qui sont peut-être quelques fibres cérébrales qui ont échappé à l' atrophie . Les circonvolutions adjacentes sont atrophiées,
corne d'Ammon B G, était indurée et jaunâtre. Réflexions. Ce cas d' atrophie des circonvolutions, dans lequel chaque circonvol
de tissu qu'on observe dans les autres organes. On y rencontre: i° l' atrophie dont une des formes consiste dans la dégénération
(dilatation avec hypertrophie) du ventricule gauche coïncidant avec l' atrophie du ventricule droit : Cette coïncidence fréquen
gée de soixante-sept ans, portait à l'une des mamelles un cancer avec atrophie de l'organe. Il était dur, bosselé, superficielle
lus grande distension possible. 20 Livraison. Pl. 3. Apoplexie et Atrophie des Circonvolutions MALADIES DU CERVEAU. (Pla
xxe livraison.) Apoplexie des circonvolutions. Cicatrices du cerveau. Atrophie avec ratatinement des circonvolutions. (Fig. i
ratiquées au niveau de l'altération. Apoplexie des circonvolutions. Atrophie avec ratatinement des circonvolutions, fig. i et
t celles qui présentent le plus souvent ces cicatrices, de même que l' atrophie avec ratatinement des circonvolutions. J'ai vu
ntérieures. Cicatrices anciennes des circonvolutions inférieures avec atrophie de la corne d'ammon et de la voûte à trois pilier
. . . . . . , . . _ „ , estomac et des intestins. Amincissement ou atrophie aiguë dune Maladies de . . , , . . - . „. par
halie du fœtus. Observations et réflexions........ --— Hémiplégie ; atrophie ................. — Apoplexie. Observations et c
-nés. Observations et réflexions...... —~ — Apoplexie capillaire et atrophie des circonvolutions. Ramollissement. ——-cihezle f
re et atrophie des circonvolutions. Ramollissement. ——-cihezle fœtus. Atrophie des circonvolutions. Observations et réflexions.
fections . Maladies du placenta. Foyers sanguins.............. --- Atrophie ; défaut de développement et dessiccation du fœtus
46 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
e que le mal irait en se propageant de proche en proche jusqu'à l' atrophie du cerveau, si caractéristique chez les vieux d
serait injecté pendant l'attaque. Pas d'asymétrie faciale, pas d' atrophie des membres, ni aucune déformation, ni asymétri
en ayant soin de respecter les ganglions de la base. 11 obtient une atrophie de la bandelette optique du même côté; cette at
1 obtient une atrophie de la bandelette optique du même côté; cette atrophie se continue sur les deux nerfs optiques, mais e
state 78 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. en outre, un début d' atrophie des couches de fibres des moitiés homonymes des
d'Eulenburg), à la résorption biliaire (excitation cérébrale) de l' atrophie jaune aiguë du foie. Peut-être l'athétose a-t-e
re de la technique microsco- pique. les assertions d'Aufrecht sur l' atrophie des cellules nerveuses de la moelle cervicale e
ce n'est pas pour M. Schuitze une myéliteaiguë parenchymateuse, une atrophie primitive des cellules nerveuses. Peut-être, vu
présenté des contre-indications. P. K. XIV. Présentation d'un cas d' atrophie hémilatérale DE la face; par E. KÙSTFR. (ivetir
éphale et les nerfs qui en émanent jusqu'au collet du bulbe. Aucune atrophie , aucune dégénération des nerfs, pas plus des ne
n considérable de la branche horizontale de la mâchoire inférieure; atrophie de tous les muscles innervé» par la troisième b
omopathotogiques mettent en évidence dans la paralysie gé- nérale l' atrophie considérable de toutes les fibres à myéline à tra
corticales des lobes frontaux,'y compris l'in- sula (le, cas), ou l' atrophie exclusive des fibres d'association (2" cas). 1
s du cer- veau des paralytiques dépendent pour une forte part, de l' atrophie des fibres corticales à myéline. P. KERAVAL.
' 9tt 9 : T[3,lTt.`3`JfiÎ concerne la, troisième frontale" droite. ( Atrophie |Com-t 1 fil [lit fil 1-, ''b ? 11V[ JOMIBU -UI
Gazette hebdomadaire, 31 juillet 1863.) Il existe un autre fait d' atrophie relative à la troi- sième frontale gauche, publ
' t ? ? , >> l · si -- > oui. , ' ju Hémisphère gauche : atrophie delà troisième circonvolution. frontale,-obnter
ise par M. Bourneville, il était naturel de rapporter l'aphasie à l' atrophie de la troisième frontale gauche, sans se préocc
le. R. M. C. XVII. Paralysie et aphasie congénitale chez un idiot ; atrophie des circonvolutions; par James SffAW. (Journal
. Les principaux faits constatés à l'autopsie sont les suivants : atrophie extrême de la circonvolution pariétale ascendante
atrophie extrême de la circonvolution pariétale ascendante gauche; atrophie ou arrêt de développement, de la frontale infé-
phie ou arrêt de développement, de la frontale infé- rieure gauche; atrophie d'une portion de la pariétale ascendante droite
t ma ? - quée entre les surfaces médianes des lobes frontaux. Pas d' atrophie La substaiice grise parait avoir 1 épaisseur no
ons paraissent, atrophiées de^ce 1 côté, 1 mais,. cette apparence d' atrophie est due surtout à la compression. Au-dessus de
e frontale du;qût6fdroit ? ebausommetS de la frontalelascendante. L' atrophie ? Ielsoulè%,éiiieiitpde)tl'aracli-5 npideupar d
? · nh 111. Enn (d*Heidelber-). Renza2,qzies sur certaines formes d' atrophie 9 névropathique , (connue, sous, ]e4 nom de j z
cles), occasion non t d'es désordres n anatomiquement perceptibles ( atrophie , dégénérative). q|,7)j ? s1û 2" 11 est possible
, se- traduisent pas fatale- a ment, forcément, par le tableau de l' atrophie dégénératie,tomate 8'de la zone d'action périph
tricité statique (cont'ract)onsëntes)Tro)s,autres, faits, vie uns d' atrophie périphérique, les autres d'atrophie : spina)e ? i
)Tro)s,autres, faits, vie uns d'atrophie périphérique, les autres d' atrophie : spina)e ? io'n- Lins d'atropliie péi-ipliéri4
détermine, qua'nd'on épargne la'zo ? dite'm'oLrie, d'une part, une atrophie . descendante totale du'finsceau p3'ramidâl,et
Hitzig rappelle les travaux de Schiff. Il y a matière à rattacher l' atrophie des cellules pyramidales à une dégénérescence a
teurs (par ex. du facial), on n'a, jusqu'à ce jour, point observé d' atrophie centripète gagnant les noyaux nerveux. Donc, il
mme le veut M. T uczek -, croire que, dans la paralysie générale, l' atrophie des fibres nerveuses à myéline est primitive et
''fois en des observations sem- blables desi ! ésionstesticu)aires ( atrophie ). Il ne croit pas que la ,Voy.· Archives de' Ne
ssium. - Armures magnétiques. État de mal. J)f0t'<. Autopsie : Atrophie de l'hémisphère cérébral droit et de l'hémisphère
é- ralisée (base et convexité). Dès l'abord, l'on est frappé de l' atrophie considérable de l'hémis- phère droitqui présent
res antérieurs; mais elle estatro- phiée dans ses autres parties; l' atrophie porte principalement sur la face antérieure, la
t ascendante est atrophiée dans ses trois centimètres inférieurs; l' atrophie est consi- dérable ; celle partie est par rappo
ne les faisceaux de fibres de pro- jection de la sphère visuelle, l' atrophie s'étend dans les deux sens et, par conséquent,
a lésion porte spécialement sur les cellules pyramidales géantes. L' atrophie s'est limitée dans l'espèce au département cort
t une anesthésie complète dans toutes les modalités; aucune trace d' atrophie musculaire. Pas de réaction de dégénération lor
soit affaiblis, et les réflexes tendineux ont absolument disparu. L' atrophie mus- culaire est générale; réaction dégénérativ
en les remuant, on pro- voque des douleurs assez violentes. Délire; atrophie des segments externes des deux nerfs optiques;
tumeurpériméningée, ayant, par compression gra- duelle, déterminé l' atrophie et la solution de continuité totale de la porti
pour caractères cliniques : un affai- blissement croissant, suivi d' atrophie des muscles, des extrémités, la conservation de
as de mieux localiser. P. K. XXXIX. A. Nouvelle communication sur l' atrophie des fibres nerveu- SRBaMIÉLI\E D.1\S L'ECOIICE
cédentes communications' àl'aide de la même méthode d'examen. Cette atrophie appartient-elle exclusi- vement à la paralysie
cause d'eireur (décomposition par exemple). Pour admettre que cette atrophie est la lésion primitive Voy. drcltives de Neuro
us grande ni moindre que celle des cas récents. P. K. L. UN cas d' atrophie FACHLH iiémilvtérale ; par E. Mendel. (Neurol.
n, du même côté participaient aux altérations. Cette extension de l' atrophie indique dans l'espèce une lésion centrale porta
z les chiens et les lapins. D'une manière générale, on constate une atrophie dégénérative des cellules ner- veuses, de la né
depuis neuf mois. P. K. LIV. Remarques sur certaines formes DE l' atrophie névrotique (dite névrite dégénérative multiple)
nt tous atteints soit de névrose, soit d'aliénation. R. M. C. XL. Atrophie DU cerveau; imbécillité ; par Fletcuer 131 ? vcu.
3.) L'auteur rappelle que l'on décrit ordinairement deux formes d' atrophie cérébrale : l'une dans laquelle on constate un ar
et que l'arachnoïde de ce côté est épaissie par places et opaque. L' atrophie est surtout appréciable dans les régions fron-
s l'espace sous- arachnoïdien, quelquefois dans les ventricules, et atrophie d'un hémisphère, y compris le corps strié, la c
chronique des méninges ou de la région corticale, il se produit une atrophie unilatérale du cerveau. Par compensation, le cr
nutrition imparfaite, et s'atrophient à leur tour. R. M. C. XLI. Atrophie ET sclérose DU cervelet dans UN cas d'imbécillité
mais moins avancées, correspondre, comme dans le cas actuel, à l' atrophie et à la sclérose d'un hémisphère cérébelleux. 11
clut que ces altérations histologiques sont réellement propres à l' atrophie et à la sclérose cérébelleuses, et que les différ
paralytiques généraux. Ce sont : 40 L'amblyopie qui repose sur l' atrophie habituelle du nerf op- tique, qui progresse par
nombreux groupes musculaires, les altérations les plus multiples : atrophie , dégénérescence graisseuse, dégénéres- cence du
rche per- mettent de consigner une certaine analogie entre lui et l' atrophie musculaire progressive ou la pseudoliypertropli
'on constatait réellement, comme dans les maladies précédentes, une atrophie des cellules de ces cornes, serait-il juste de
hie des cellules de ces cornes, serait-il juste de considérer cette atrophie comme la cause de la myopathie , alors que la l
plète de marcher. Nulle part de para- lysies réelles, ni ataxie, ni atrophie musculaire, ni contracture*. Dans quelques cas,
succombé. Les pièces anatomiques ont révélé, chez quelques-uns une atrophie marquée des nerfs oculo-moteurs externes, et pa
des nerfs oculo-moteurs externes, et pathétiques et, dans un cas, l' atrophie jaune des muscles oculaires. Dans un autre enfin,
aralytiques d'ordre moteur, aboutissant à l'hypo- Irophie, puis à l' atrophie et à la déchéance du malade, s'appelle vésanie
les d'aliénés de Rennes, 127. Ataxie locomotrice et syphilis, 88. Atrophie spinale chronique chez l'enlant, 30. Bains pr
visage chez les aliénés, parOppenheim, 238. Experts, 93. Face ( atrophie hémilatérale de la 85, 89, 345; - (traitement
47 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ules quadrijumeaux et des nerfs prouve, de concert avec l'absence d' atrophie générale de l'hémisphère, que la lésion s'était
lefaisceau plusinterne. Intégrité du segment externe du pédoncule. Atrophie des cordons antéro-latéraux de la région cervic
noire du pédoncule et du noyau rouge de la calotte (de Stilling) ; atrophie de l'étage supé- rieur du pédoncule, du ruhan d
nt une marche des plus chroniques. Ce sont : l'affaiblissement et l' atrophie lente des extrémités supérieures, des troubles
arie des dernières vertèbres cervicales s'accompagne généralement d' atrophie mus- culaire des membres supérieurs, d'abord de
ux muscles de l'avant-bras, du bras, et même de l'épaule; c'est une atrophie non paralytique; l'examen éleclrique donnant le
lytique; l'examen éleclrique donnant les mêmes résultats que pour l' atrophie mus- culaire progressive, les réflexes tendineu
emment cités, dans un tableau de neuf colonnes. P. K. XII. Un cas d' atrophie faciale rl ? M1LATÉnALE; par bKRKHAMT. (Central
se développent, du même côté, les dépressions caractéristiques de l' atrophie . Intégrité de coloration de la peau (excepté su
le très prononcée; un peu d'hyperalgésieetaussi d'anesthésie. Pas d' atrophie musculaire, ni de troubles trophiques. Mais le sy
produit des attaques apopluaiformea, tandis qu'on ne constate pas d' atrophie ni de réaction dégénérative de la langue. : 11.
on un état trouble avecépaississemenl delà pie-mère, accom- pagné d' atrophie considérable des deux insulas, notamment de la
s vasculo-ré- tinienneset ne uro-vascuto-reti nie unes avec ou sans atrophie percep- tible etc... Quoi qu'il en soit, jusqu'
a été la dégénérescence graisseuse des ganglions car- diaques et l' atrophie avec dégénérescence pigmentairedes noyaux bulba
hie progressive des muscles, 13 cas. Dans l'un de ces cas, on vit l' atrophie envahir d'abord les muscles interosseux de la m
rophie envahir d'abord les muscles interosseux de la main droite; l' atrophie passa ensuite aux muscles du bras entier et de
a jambe gauche avait perdu de sa force. A partir de ce moment une atrophie progressive s'empara de ses muscles et il finit
ceux'de la précédente, maintenant que les lésiônsmédullitirës de l' atrophie musculaire et de l'ataxie locomotrice sont bien
de l'in- telligence ni de la sensibilité -générale ou spéciale. L' atrophie musculaire envahit- les ` membres ? supé- rieur
eurs passagères dans ,lesbras.` Six mois. après, des , phénomènes d' atrophie se manifestèrent, .dans l'éminence thénar droit
é, suivirent une chute sur le dos.d'une hauteur de 8 ou 10 pieds; l' atrophie mus- culaire se déclara six ans plus tard.... ,
sujet que.se rattache un fait publié par M. Gull 3 sous le titre : Atrophie progressive des muscles du tronc et des extrémi
es sur trois cas de trauma- tisme de la colonne vertébrale suivis d' atrophie mus- culaire. Dans les trois cas, la sensibilit
lieu peu de temps après l'accident. La marche et le caractère de l' atrophie prouvaient qu'elle était sous la dépendance de
motrices des cornes anté- rieures. Tous ces cas appartiennent à l' atrophie musculaire. L'ataxie a aussi sa part dans les e
oigts; extenseurs et fléchisseurs de la jambe, etc.. (flaccidité et atrophie ); les mouvements d'ensemble sont encore possibles
on secondaire consécutive à la section et à l'écrasement d'un nerf; atrophie graisseuse et même cireuse du tissu musculaire
ce dans le réseau gris du corps genouillé externe et du pulvinar. L' atrophie des nerfs optiques qui succède à l'extirpation
nt à la moitié latérale de la même région. La zone corticale dont l' atrophie provoque la dégénérescence du système des fibre
nérescence réelle et les pseudo-dégénérescences (névroses), c'est l' atrophie du nerf optique; l'existence de cette dernière
nique externe et interne, de )'oedème cérébral, de la sclérose avec atrophie de tout le cervelet, moins le vermis et les par
as droit, une hémipa- rébie très accusée de la- jambe du même côté ( atrophie de ces membres), un nystagnius horizontal des d
amena une guérison de la névralgie. Mac-Leod' (1879) : Parésie et atrophie de l'avant-bras et de la main chez un homme de
main chez un homme de vingt-six ans; élongation du nerf ulnaire; l' atrophie ne diminue pas. Gerald Bom- ferd (1880) : Atrop
nerf ulnaire; l'atrophie ne diminue pas. Gerald Bom- ferd (1880) : Atrophie musculaire de l'extrémité supérieure; élongatio
ntreprit une élongation bilatérale des nerfs optiques dans un cas d' atrophie de ce nerf, d'o- rigine syphilitique; amendemen
re ; traction du nerf sciatique, amélioration. Blum' : Névralgie et atrophie musculaire dans la région sciatique, chez un ho
ésection du nerf amena la guérison. Spence' (1880) : Commencement d' atrophie musculaire; amen- dement après l'élongation du
ccès. Mort dans un accès (1883). Autopsie : asymétrie du crâne. - Atrophie de l'hémisphère droit ( ? : i0 gr. de moins que
llement et au froid est presque entièrement abolie. Il existe une atrophie de la moitié gauche de la face; l'ouverture pal
développée et moins bombée que la gauche. Au-dessous des olives, l' atrophie porte au contraire sur le côté gauche de la moe
ution du corps calleux est atrophiée dans toute son étendue, mais l' atrophie atteint son maximum sur la moitié antérieure; e
ns ne communiquant que par un pont étroit de substance nerveuse ; l' atrophie de la capsule interne, de l'avant- mur, etc., c
déchéance intellectuelle de plus en plus accusée. Observation XXII. Atrophie cérébrale. Epilepsie symptoma- tique et imbécil
ort.- Autopsie : sur l'hémis- phère cérébral droit (face convexe) : atrophie de la plupart des circonvolutions situées en ar
qui n'était pas atteinte de surdité verbale, Mendel a rencontré une atrophie très accusée du lobe temporal droit. M. R ! C
n ait affaire à un hys- térique. L'absence de troubles moteurs et d' atrophie plaide contre l'existence de lésions syringomyé
te quanta la sensibilité. L'absence de troubles de la motilité et d' atrophie s'ex- pliquerait de la façon suivante : des alt
ques des nerfs sensitifs dans un cas de tabès avec lésion centrale ( atrophie dégénérative du nerf fémoro- cutané postérieur.
utané interne dans un cas de tabes, il les avait trouvés atteints d' atrophie grise, surtout à la périphérie. M. Uhthoff. D
eints d'atrophie grise, surtout à la périphérie. M. Uhthoff. De l' atrophie des nerfs optiques. Le matériel d'observa- tion
eurs, tels que Galezowsky, vont trop loin quand ils fout dépendre l' atrophie des nerfs optiques d'une bien plus grande catég
d'une bien plus grande catégorie d'agents pathogénétiques. C'est l' atrophie d'origine spinale qui est la plus fréquente de
eaucoup. On doit de plus en plus rayer de son agenda diagnostique l' atrophie simple, progres- sive, non compliquée. Les allu
s allures du phénomène du genou et de la réaction pupillaire dans l' atrophie spinale ont été soigneuse- ment étudiées ; l'or
les de l'oeil sont proportionnellement rares dans l'espèce. Après l' atrophie spinale, on fera venir, au point de vue statistiq
s l'atrophie spinale, on fera venir, au point de vue statistique, l' atrophie cérébrale. Un assez vif intérêt s'attache à l'atr
atistique, l'atrophie cérébrale. Un assez vif intérêt s'attache à l' atrophie des nerfs optiques consécutive à une névrite pr
on; à cet égard, M. Uhthoff pense que, parmi les malades atteints d' atrophie spinale, quelques- unspourraientbien se transfo
f se termine par la présentation de préparations micros- copiques d' atrophie du nerf optique dans la paralysie générale. Il
des accidents, les petits muscles de la main gauche s'atrophient; l' atrophie augmente graduellement, si bien que la force de
u compte de l'immobilité rigide de la pupille), 2 présentaient de l' atrophie du nerf optique. Les hommes tabé- tiques se rép
s, de 28 p. 100 d'af- fection des muscles oculaires, de 22 p. 100 d' atrophie du nerf optique. La seconde catégorie est celle
enté de la paralysie des muscles de l'oeil; aucun n'était atteint d' atrophie du nerf optique, de sorte qu'en réalité ce grou
té affectés de para- lysie des muscles de l'eeil, 1 était atteint d' atrophie du nerf optique; soit, au total, 44 p. 100 de r
100 de symptômes en rapport avec les muscles de l'oeil, 5 p. 100 d' atrophie du nerf optique. Si maintenant on adopte la thé
ante : ici il y a sclé- rose étendue de l'écorce grise, étiolement, atrophie des cellules nerveuses ganglionnaires. Cette ét
ruire un appareil spécial destiné aux hémiplégiques. Enfin dans l' atrophie musculaire progressive, tant que la con- tracti
e, nous voulons parler du mal perforant plantaire (Christian), de l' atrophie mus- culaire (Voisin et Hanot), d'une altératio
éphalite chronique, l'autre avec hydrocé- phalie, la troisième avec atrophie simple des circonvolutions cé- rébrales. Dès ma
ostic; par WALLET. (Thèse de Paris, 1884.) Etude sur quelques cas d' atrophie musculaire généralisée, consécu- Mue à des tume
; par 601DAL. (Thèse de Paris, 1884.) Contribution à l'étude de l' atrophie musculaire survenant dans le cours de la scléro
et de la pratique sur 1'), par Orchansky, 137. Faciale (un cas d' atrophie uni- latérale), par Bernhardt, 65. Familles n
ostic des maladies du cer- ' veau), par 1'illraml, 136. Optiques ( atrophie des nerfs), par Ulittioti, 427. Paralysie agi
48 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
des craquements articulaires dans les genoux et on observe un peu d' atrophie des muscles de la cuisse; les phénomènes doulou
RAL (LO/lP') PORENCEPIIADE CONGÉNITALE 47 7 pédoncule cérébral. Atrophie secondaire du pédoncule cérébral et de la protu
e secondaire du pédoncule cérébral et de la protubérance annulaire. Atrophie croisée du cervelet. Cette observation concerne
oubles de la sensibilité cutanée. Le diagnostic à appliquer à cette atrophie partielle du membre supérieur gauche avait paru
édoncules cérébraux on voit, par com- paraison avec le côté sain, l' atrophie considérable du pédoncule cérébral droit, atrop
le côté sain, l'atrophie considérable du pédoncule cérébral droit, atrophie portant également sur la calotte et sur le pied d
ent sur la calotte et sur le pied du pédoncule. On re- trouve cette atrophie unilatérale dans la protubérance annulaire. Il y
allant presque jusqu'à l'o- blitération. Belkousky a cité un cas d' atrophie des fibres nerveuses avec sclérose des artères.
est de même des réflexes tendineux, qu'on ne peut provoquer. Pas d' atrophie musculaire. Réac- tions électriques normales. I
cela tient en partie à la petitesse du .maxillaire supérieur et à l' atrophie des -.bords alvéolaires, en partie aussi à la t
pe montre des papilles atrophiées, à bords à coloration blanchâtre ( atrophie , suite de névrite). Les artères temporales et i
l de la moelle une impotence subite du membre inférieur gauche avec atrophie rapide et abolition simultanée des réflexes rot
ur contrebalancer l'unilatéralité, il y avait le début brusque et l' atrophie rapide, dénotant plus une lésion directe des co
les membres supérieurs. Au niveau de ces membres la paralysie et l' atrophie musculaire se locali- sent initialement aux mus
dernière affection, en rappelant qu'en outre de la parésie et de l' atrophie musculaire, elle est caractérisée par des trouble
ré de dégénérescence des cordons postérieurs et, plus exactement, l' atrophie des fibres ascendantes des cordons postérieurs, s
e épinière, que la dégénérescence primaire est caractérisée par une atrophie plus ou.moins lente des fibres nerveuses avec dis
de Paris, 1879. 12. Eisenloiir. - Idiopatische JJ1uskelliihmung und Atrophie . Centralbl. f. Nervenheil- kunde, 1879. 13. J
ue- ments dans la flexion et l'extension du coude. Il n'y a pas d' atrophie des muscles de la main, pas d'atrophie apparente
ion du coude. Il n'y a pas d'atrophie des muscles de la main, pas d' atrophie apparente des muscles de l'avant-bras et du bra
parente des muscles de l'avant-bras et du bras ; mais à vrai dire l' atrophie pourrait L se dissimuler sous l'oedème. Pas d
é par la tuméfaction des téguments, des troubles intellectuels et l' atrophie du corps thyroïde, quelle que soit la cause de
loppement psychique comme du physique dépend et de 1 l'âge auquel l' atrophie thyroïdienne est survenue et du degré de son in-
a face interne et la base des deux hémisphères. On constate aussi l' atrophie relative de l'hémisphère droit et de l'hémi- sp
n pli de pas- sage fronto-limbique (pré-ovalaire). La processus d' atrophie intéresse la totalité de la face externe de l'hé-
s l'insula et toute la face interne, à l'exception de TI et Tel.. L' atrophie est plus marquée au niveau du lobule quadri- la
semble de même normal. Quant au cervelet, nous avons déjà signalé l' atrophie de son hémisphère droit qui pèse 46 gr., tandis
aire est rétractée, le nucléole est atrophié à différents de- grés, atrophie parfois considérable et l'intérieur du suc nucléa
ns de chromatolyse,devacuolisation, d'homogénéisation du noyau avec atrophie 268 HAUSHALTER ET COLLIN observées à'gauche n
véolaire du cytoplasma. Chromatolyse. Homogénéisation du noyau avec atrophie . Vacuole nucléolaire. En E, une cellule névrogliq
g. Chromatolyse du corps cellulaire. Homogénéisation du noyau avec atrophie . Comparer cette figure à la figure F. LES RÉF
n de la colonne cervi- cale Il y a en même temps un certain degré d' atrophie : l'épaisseur des corps vertébraux d'arrière en
de 25 centimètres au lieu de 30 centimètres de dimension normale. L' atrophie , par contre, est plus mar- quée. La fusion des
12 centimètres au lieu de 15 centimètres ; soudure identique, pas d' atrophie apparente. Il faut noter aussi que le ligament ve
COLONNE VERTÉBRALE 289 dylotiques sont les douleurs d'une part et l' atrophie musculaire d'autre part. Bechterew (1), dans
c, du cou et des mem- bres, le plus souvent accompagné d'une légère atrophie des muscles pé- riscapulaires ; 2° un émousseme
e, rappelant l'aspect du thorax des spondylotiques. On constate une atrophie musculaire assez marquée au niveau des gouttièr
rues Un oculiste (Dr Pereyra) la vit à cette époque et constata une atrophie blanche papillaire bilatérale très avancée avec
esseur Guaita de la Clinique oculistique de Florence constatait une atrophie blanche bilatérale avec vision totalement abolie
ue. L'examen du fond de l'oeil pratiqué le 23 janvier 1907 disait « atrophie blanche bilatérale de la papille. » L'examen
extérieur et inférieur de la papille ». Diagnostic de l'oculiste : Atrophie bilatérale de la papille secondaire à papillite.
t très irrégulièrement plantées, elles sont grandes et montrent une atrophie trèsnette du tavolatum externum; en ou- tre une
moscopique. Les artères sont très grêles. La papille est atteinte d' atrophie blanche. Examen du champ visuel. - Pour l'oeil
s aussi au tibia et au péroné. L'auteur ayant découvert des faits d' atrophie chez trois acromégaliques anémiés, amaigris et de
ré que la maladie durât depuis dix années, il n'aurait pas trouvé d' atrophie . Dans la suite, d'autres observations similaire
. Ce que je viens de décrire et que je crois devoir attribuer à une atrophie partielle de l'os, est rare et remarquable d'au
ie et par l'hyperostose ; bien plus rarement on observe des faits d' atrophie osseuse. Examen IIEJIATOLOGIQUE dans l'acroméga
u'elle peut s'accompagner de troubles oculaires et en particulier d' atrophie des nerfs optiques. C'est ce qui explique que l
de l'oxycéphalie, Th. de Paris, 1898. (1) MELT7.ER, Pathogénie de l' atrophie optique et du 7'hw'mschoedel, Neur. Cen- tralbl
s : quelquefois elle a été constatée à 35 et 40 ans. 2° Un type d' atrophie optique secondaire, diagnostiqué par la lésion
alie est diversement in- terprétée par les auteurs. 1° Névrite et atrophie postnévritique par suite de méningite'qui d'autre
urée (Friedenwald) (3). Les caractères de la papille sont ceux de l' atrophie optique post inflam- matoire, non ceux de l'atr
sont ceux de l'atrophie optique post inflam- matoire, non ceux de l' atrophie simple que pourrait seulement donner l'étrangle
médical science, mai 1893. (4) BoUtfNSVItLE, Oxytrigonocéphalie, atrophie des nerfs optiques, épilepsie. Comptes rendus d
possible. Le cervelet et l'oblongata ne contenaient pas de tumeur ; atrophie et dégé- nérescence de la pyramide gauche. Me
côté opposé à la tumeur ; il en est généralement ainsi. Cependant l' atrophie du lobe occipital droit n'est pas compensée par
pointe mousse et est plus grêle que le corps de l'os. A signaler l' atrophie relative du cinquième doigt par rapport au quatri
osition ; mais beaucoup plus accentuée, puisqu'il y a non seulement atrophie du métacarpien, mais disparition complète de ce
ois derniers métatarsiens dont l'extrémité antérieure est en voie d' atrophie pour le troisième et le qua- trième. L'atrophie
ieure est en voie d'atrophie pour le troisième et le qua- trième. L' atrophie et la fusion des os sont plus accusés au côté gau
es mensura- tions suivantes permettent de se rendre compte de cette atrophie : -. 4H APERT ET. MORISETTI Il est à remarq
e atrophie : -. 4H APERT ET. MORISETTI Il est à remarquer que l' atrophie en longueur porte surtout sur l'avant- bras à d
atre doigts sont bien conformées. On remarque d'une part une légère atrophie du squelette de l'index, d'autre part des modif
rpien de l'index est grêle comme s'il était légèrement touché par l' atrophie du bord ra- dial de la main. Le cinquième métac
ABSENCE CONGÉNITALE BILATÉRALE DU RADIUS - 4t 1 la conséquence de l' atrophie de la main et de l'avant-bras, car elles sont p
s hémimélies congénitales. Il semble que le processus qui a causé l' atrophie d'une partie de la main et de l'avant-bras ait
formations. Quand elle est unilatérale on note souvent une certaine atrophie du thorax et même de la mâchoire du même côté.
rte en effet le plus souvent l'absence du pouce,, et l'absence ou l' atrophie plus ou moins accentuée de l'index. Cependant d
e côté externe et antérieur du membre supérieur est atrophié; cette atrophie remonte parfois jusqu'à la racine du membre et mê
e proéminent, traits du visage bien dessinés, voix haute, cou long, atrophie génitale, caractères sexuels secondaires peu acce
ent ossifiés et par la radiographie on put constater un processus d' atrophie chronique du squelette. Nous avons ainsi résumé
plus grand des testicules. Soli au contraire aurait constaté une atrophie des testicules après l'ablation du thymus. As
gne de compte dans l'évolution de certains infantiles, mais que son atrophie fille-môme ne serait que secondaire à une dystr
âge assez avancé (25 ans) après un traumatisme du testicule suivi d' atrophie . Enfin selon Rummo et Ferranini l'atrophie test
e du testicule suivi d'atrophie. Enfin selon Rummo et Ferranini l' atrophie testiculaire congénitale déter- minerait le sén
'INFANTILlS-.NIF, DU TYPE LORAIN 453 La cécité, qui a pour base une atrophie papillaire bilatérale consécu- tive à une papil
se déterminer non seulement une papillite qui peut aller jusqu'à l' atrophie papillaire, mais aussi toute la cohorte des sympt
ucki les premiers symptômes de tumeur de la base furent justement l' atrophie des nerfs optiques et les troubles menstruels ;
nerfs optiques et les troubles menstruels ; dans aucun de ces cas l' atrophie optique ne fut pré- cédée par des faits de papi
hyse sont celles qui produisent le plus souvent l'aménor- rhée et l' atrophie optique. Sur quatre cas de tumeurs de celle natur
la malade n'avait jamais été réglée ; dans ce cas aussi il y avait atrophie optique qui n'avaitpas été précédée de papillit
La tumeur de l'hypophyse était un tératome. Dans le deuxième cas, l' atrophie optique fut primitive ; le développe- ment sexu
urs de l'hypophyse la papillite est extrêmement rarepen- dant que l' atrophie primitive des nerfs optiques est presque constant
que constante ; chez Marguerite au contraire la papillite précéda l' atrophie papillaire. Selon'les mêmes auteurs l'exophtalm
de faits analogues, mais aussi bien dans un cas que dans l'autre l' atrophie optique est primitive et non pas secondaire à la
s parésies multiples ; d'autres fois tout se limite à la cécité par atrophie des nerfs optiques. Quincke a publié plusieurs
n symptôme de ménin- gite spinale postérieure; tout se réduisit à l' atrophie optique (précédée de papillite), à l'exophtalmi
Klin. Monalsbl. f. Augenheilk., 1903. ACHARD et Démanche. Un cas d' atrophie tesliculaire. Bulletins et mémoires de la Socié
is-Suffit. - Revue de méd., 1890. CUSHING. Infantilisme sexuel avec atrophie optique dÛ à une tumeur de l'hypo- physe. Journ
. Soc. de méd. de Nancy, 9 janv. 1907. PERUCiA. Infantilisme avec atrophie des organes génitaux. Rev. Neur.. 1906, p. 236.
49 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ans traumatisme opérée de la même façon (prolrlération névralgique, atrophie des cellules pyramidales, hémorrhagies punctifo
ien est conservé et le signe de Romberg fait défaut. 11 n'existe ni atrophie musculaire, ni troubles trophiques. Les mouvement
bsence d'incoordi- nation motrice et de signe de Romberg. Absence d' atrophie mus- culaire et de troubles trophiques. Les mou
. On constate quelques troubles sphnictériens, mais on ne relève ni atrophie musculaire des jambes ni troubles objectifs de
vallérienne de son bout périphérique et la réaction cellulaire avec atrophie du bout central de l'axone arrêtent précisément
ues de divers corps cellu- laires, la dégénérescence d'un côté et l' atrophie de l'autre devraient envahir les éléments nerve
che. L'examen microscopique montra qu'il ne s'agissait pas là d'une atrophie et que les fibres qui manquaient à la pyra- mid
st pas toujours suffisant pour pouvoir conclure à l'existence d'une atrophie quelconque. XIX. Un cas de tumeur cérébrale a
refroidissement, contusion du dos par chute dans une cave; un cas d' atrophie musculaire sans réaction dégénératrice (Marie);
z quelques malades existe de l'anesthésie, de l'hyperesthésie, de l' atrophie musculaire, de la diminution de l'excitabilité
ysies des muscles des yeux; troubles dans le domaine du trijumeau ; atrophie du nerf optique ; phénomènes de la paralysie bu
pitaux, des altérations de la méningoencéphalite avec ratatinement, atrophie et plissement des circonvolutions, et de la scl
nomène du genou- : inégalité des pupilles avec réaction paresseuse, atrophie des nerfs optiques ; alaxie faible mais nette,
u début, chez lesquels sous l'in- fluence d'injections de calomel l' atrophie optique a cessé d'évoluer. Comme Winkler qui a
que fut négatif; l'autre, combinaison d'ophtalmoplégie interne et d' atrophie musculaire progressive Aran Duchenne. Ces leçon
ège possible de la lésion. Faut-il, avec Marie et Gowers, rayer l' atrophie musculaire, type Aran. Duchenne, du cadre nosog
ce pour étudier les rapports nosologiques des diverses va- riétés d' atrophie musculaire progressive. Deux faits d'atrophie c
verses va- riétés d'atrophie musculaire progressive. Deux faits d' atrophie chez les tabétiques viennent ensuite. L'atrophi
ve. Deux faits d'atrophie chez les tabétiques viennent ensuite. L' atrophie musculaire est tantôt symptôme, tantôt complicati
conde variété, complica- tion, est une association du tabes et de l' atrophie spinale Aran. Duchenne. L'atrophie musculaire A
une association du tabes et de l'atrophie spinale Aran. Duchenne. L' atrophie musculaire Aran. Duchenne n'est pas la seule as
entres nerveux, ophtalmie pro- gressive, hémiatrophie de la langue, atrophie musculaire progres- sive, syringomyélie, maladi
s et les paralysies : z10 Aspect brillant du corps du neurone; 2° atrophie simple; 3° ectopie du nucléole; 4° ectopie du n
le bras, et il était 18 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. survenu une atrophie très marquée des muscles de la ceinture scapula
tôme marquant. 4° L'intégrité des muscles, c'est-à-dire l'absence d' atrophie et le défaut de modifications électriques ne sa
gère et le dernier de troubles glosso-labio-laryngés. 11 existe une atrophie des muscles des mains et des avant-bras. Les ré
'auteur croit pouvoir affirmer qu'il ne s'agit dans ce cas ni d'une atrophie musculaire progressive, ni d'une syringomyélie,
ie fiasque des quatre membres. Cette paralysie qui fut suivie d'une atrophie rapide rétrocéda au bout d'un certain temps dan
on attribuait une importance démesurée : hydrocéphalie, hémorragie, atrophie , hypertrophie, induration, ramollissement, encé
n, des productions morbides de la moelle et de ses enveloppes, de l' atrophie et de l'induration du névraxe. Cependant, dès l
DE MEDECINE. Dès 183, Cruveilhier avait constaté l'existence d'une atrophie des racines antérieures de la moelle, dans un c
d'une atrophie des racines antérieures de la moelle, dans un cas d' atrophie mus- culaire progressive. Guidé par cette remar
de découvertes futures, il avait conclu que le point de départ de l' atrophie des racines antérieures devait être cherché dan
ures de- la moelle constituait la lésion anatomique principale de l' atrophie musculaire progressive. A peu d'années de dista
ous ont fourni les preuves matérielles de l'existence d'une forme d' atrophie muscu- laire progressive, en rapport avec une l
ntré que la paralysie spinale infantile avait pour substra- tum une atrophie aiguë des cellules tropho-motrices des cornes a
tum fondamental une sclé- rose des cordons latéraux, associée à une atrophie des cellules tropho-motrices des cornes antérie
une déformation semblable, il ne s'ensuit pas nécessairement que l' atrophie mentale résultait de cette entrave à l'impulsion
ussi les troisième et quatrième ventricules, et la compression et l' atrophie des parties comprimées peuvent en résulter; le
ssante, et plus le malade est jeune, plus grande est l'expansion. L' atrophie par compression est la lésiuu caractéristique d
primaire est associée à une malformation résultant peut-être d'une atrophie par compression antérieurement à la naissance. Un
la névroglie, des fibres et des cellules local ou diffus, avec une atrophie progressive des cellules nerveuses. « Les cellu
ires de la paralysie générale furent relevées. Dans tous ces cas, l' atrophie spécialement des circonvolutions frontales et c
e gauche pesait moins que le droit. L'examen microscopique montra l' atrophie des fibres tangentielles, l'atro- phie et la dé
nce, ou survenant dans le premier âge. Fréquem- ment. on relève une atrophie de l'un des hémisphères, avec une atrophie conc
m- ment. on relève une atrophie de l'un des hémisphères, avec une atrophie concomittante des membres du côté opposé. Dans un
e sérosité dans l'espace sous-arachnoïdien et les ventri- cules, et atrophie du cervelet et du cordon spinal du côté opposé.
énérescence graisseuse et pigmentaire des cellules nerveuses et une atrophie de leurs processus, avec dimi- nution du nombre
sont exagérés aux membres supérieurs et inférieurs. Il n'y a pas d' atrophie musculaire. Les phénomènes paralytiques sont su
centes pour pouvoir, à elles seules, rendre compte des symptômes. L' atrophie des fibres pyramidales "a une plus grande impor
de nous rendre compte de l'état tonique des muscles, du degré de l' atrophie , des contractures, de l'oedème et de l'épaisseu
adipeuses, qui couvrent souvent les muscles atrophiés et masquent l' atrophie . De plus, le massage permet d'étudier : les art
aisonné rend des énormes ser- vices aux hémiplégiques : il arrête l' atrophie , qui les envahit inévitablement, si on n'interv
dire par l'activité de la nutrition des régions atteintes soit de l' atrophie , soit de la parésie. On croit aussi, que c'est
nutritive; il agit sur les fibres musculaires, non atteintes de l' atrophie et qui, en proliférant, régénèrent le muscle para
e massage méthodique serait ici le régénérateur du muscle en voie d' atrophie . Il faut masser avec précaution les régions inf
es résultats négatifs, car les appareils orthopédiques augmentent l' atrophie et occasionnent une aggravation des contracture
9 que dans les cas où l'impuis- sance motrice est accompagnée d'une atrophie musculaire on observe une diminution notable (u
et que l'intensité de la décharge décroît avec les progrès de celle atrophie musculaire au point qu'elle disparaît à peu près
et. Dans les paralysies simples 'sans troubles trophiques ou avec atrophie musculaire, la variation négative est toujours mo
s évidemment avec ses deux phases. Dans la paralysie compliquée d' atrophie musculaire avec affai- blissement de la contrac
ilisable qui varie de 12 à 25 volls. Les cas traités' sont' : une atrophie musculaire survenue à la suite d'un uévnome du~
es muscles incurvés par le nerf cubital guérit ensuite rapidement l' atrophie musculaire. Le troisième cas est une paralysie
décubitus aigu, cystite et pyélite septiques, troubles vasomoteurs, atrophie musculaire, etc. Donc l'abolition des réflexes ro
Burdach du côté croisé. Cette diminution de volume consiste en une atrophie simple du cylindre-axe et de sa gaine de myéline,
aberrantes de la voie pédonculaire, mais elle relève sur- tout de l' atrophie simple, indirecte dans le sens de Gudden et von
l'une de l'autre deux formes de tabes avec cécité. A. Le tubes avec atrophie papillaire. 13. L'a- trophie papillaire des lab
taxie, signe de Rom- berg, trouble de la nutrition générale. Dans l' atrophie papillaire des tabétisants l'aspect des malades
dissocia- tion semblable il celle qu'on a fait subir autrefois à l' atrophie mus- culaire progressive ; suivant eux, le tabe
hie mus- culaire progressive ; suivant eux, le tabes, de même que l' atrophie musculaire, ne constituerait pas une espèce nos
manière de voir. Le rapprochement qu'ils viennent de faire entre l' atrophie musculaire et le tabes ne me parait pas soutena
hie musculaire et le tabes ne me parait pas soutenable. En effet, l' atrophie musculaire, qui peut être sous la dépendance de
l est vrai, ainsi que mes collègues, beaucoup de malades atteints d' atrophie papillaire tabé- tique et ne présentant pas d'i
t n'ont jamais dépassé la période dite préataxique. En résumé, si l' atrophie papillaire sans ataxie est bien plus fréquente qu
microscopique des pièces, où il y avait de la cécité, c'est-à-dire atrophie papillaire, sans que la maladie du reste, avec
, etc., ait été arrêtée, mais pourtant sou- vent modifiée. Si cette atrophie précède les lésions médullaires ou survient dan
con- sidérés en rapport avec les lésions qui les produisent. a. L' atrophie musculaire progressive (type Charcot-Marie). Sclé
hangements simi- laires dans les nerfs sensitifs périphériques et l' atrophie des gan- glions des racines postérieures, qui s
horacique en avant ; respiration presque exclusivement abdominale ; atrophie légère du système musculaire au niveau des omop
es ; ceux du thorax et de la ceinture de l'épaule subissent quelque atrophie . De là les phénomènes de paresthésie et de doul
ut à fait en démence, presque incapables de mouve- ment, atteints d' atrophie musculaire, des accidents gangreneux du décubit
. On trouva, l'autopsie les lésions de la paralysie générale et une atrophie microscopique de l'oculomoteur commun du côté d
y existe néanmoins encore quelques cellules tout à fait normales. L' atrophie de la partie du noyau de l'oculomoteur éloignée
de la portion. moyenne de cette région sont normales. Aux points d' atrophie correspond l'atrophie du réseau intranucléaire
e de cette région sont normales. Aux points d'atrophie correspond l' atrophie du réseau intranucléaire des fibres et des. rac
e des fibres et des. racines intramédullaires. Il existe encore une atrophie presque complète des cellules externes du noyau
moteur commun lui-même présente, dans sa partie péri- phérique, une atrophie avec prolifération interstitielle. Les autres n
la paralysie unilatérale qui nous occupe (cinq ans de durée), et l' atrophie des fibres radiculaires intramédullaires, l'atr
durée), et l'atrophie des fibres radiculaires intramédullaires, l' atrophie nucléaire partielle circonscrite. Pourquoi l'inté
omotrice, parWard, 149. - cérébrale aiguë, par Din- ides', 157. Atrophie musculaire expérimen- tale, par Levaditi, 137.
50 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e paralysie générale, signale dans chacune d'elles l'existence de l' atrophie papillaire. Voisin, en 1868, note cinq fois l
tence de l'atrophie papillaire. Voisin, en 1868, note cinq fois l' atrophie de la papille, il remarque, cinq fois, les artè
UE. sont dilatées. C'était pour lui le premier stade, l'anémie, l' atrophie devant bientôt suivre. Il note 6 amblyopies mono-
ouvé qu'un seul sur 40 malades; Clifl'ort Allbutt avait rencontré l' atrophie papillaire 41 fois sur 54 malades. 1 Jehn de
malades. 1 Jehn de Siegburg, un an plus tard, notait également l' atrophie du nerf optique (4 fois des deux côtés, 3 fois d'
optique (4 fois des deux côtés, 3 fois d'un seul côté, et 8 fois l' atrophie commençante), dans 19 p. 100 des cas. Raoult, d
- phie papillaire. Il avait examiné 167 malades et noté 18 fois l' atrophie . Ach. Foville fils, la même année, s'occupait de
is de la perte de la vue et qui sont des paralytiques généraux. L' atrophie est tantôt blanche, tantôt grise. » Il en observa
blanche, tantôt grise. » Il en observait quatre cas dans lesquels l' atrophie se serait propagée par le nerf optique. En 18
tiques généraux, tire de cet examen les conclusions suivantes : « L' atrophie papil- laire ou commençante ou confirmée se ren
néralisée du fond de l'oeil ». Nettleship cite une observation où l' atrophie du nerf opti- que précède les symptômes mentaux
les symptômes mentaux. Magnan avait d'ailleurs déjà remarqué que l' atrophie blanc grisâtre du disque, chez un homme âgé de
roubles oculaires dans la paralysie générale, s'exprime ainsi : « L' atrophie des nerfs optiques se voit, mais rarement ; d'a
de la papille. Enfin chez 8,2/3 p. 100 de ces malades existait une atrophie du nerf optique. Dans des recherches ultérieu
nés (1130). < Peltesohn, en ] 886, ne trouve que 3,06 p. 100 d' atrophie papillaire. La même année, Siemerling en trouva
r 42 malades, la décoloration de la papille une fois, deux fois l' atrophie , une fois la papille de stase. Wiglesworth et B
la paralysie générale ». Gilbert Ballet, en 1893, rapporte un cas d' atrophie papil- laire trouvée, avec Jocqs, sur 37 malade
s avoir signalé l'inégalité pupillaire, la paralysie des muscles, l' atrophie du nerf opti- que, il signale, d'après Furstner
halmos- copique fut possible et les auteurs trouvèrent 3 fois une atrophie avancée, 1 fois une névrite optique, 3 fois un re
uel est le processus pathologique qui préside au développement de l' atrophie du nerf optique, il croit à l'exis- tence d'une
ns trouvé des lésions plus particulièrement accusées : trois fois l' atrophie blanche bilatérale ; deux fois l'atrophie blanc
t accusées : trois fois l'atrophie blanche bilatérale ; deux fois l' atrophie blanche de la papille de l'oeil gauche, la papi
sible. Les vaisseaux étaient en quelque sorte ratatinés. Une fois l' atrophie grise bilatérale. Une fois de la scléro-choroïd
gmates de dégénérescence, un était syphilitique; il présentait de l' atrophie blanche bilatérale et l'observation montre que
ns accentué chez 13 de nos malades. Ce n'était plus la papille de l' atrophie grise, ce n'était pas non plus l'aspect strié d
la papille présente évidemment un degré d'altération moindre que l' atrophie papillaire blanche, mais le pas est vite franch
até cet état flou de la papille, présentait, un mois plus tard, une atrophie blanche très nette, tandis qu'il lui était deve
AUX. 7 part des auteurs qui y sont cités ont décrit comme nous, l' atrophie grise et l'atrophie blanche de la papille, peut-ê
teurs qui y sont cités ont décrit comme nous, l'atrophie grise et l' atrophie blanche de la papille, peut-être ont-ils moins
apille, peut-être ont-ils moins étudié la période de début de cette atrophie , période marquée par l'état flou, lavé, de la p
a papille une série de modifications allant de la simple pâleur à l' atrophie blanche totale en passant par l'état flou, le m
eté de ses bords, l'aspect blanchâtre de ces mêmes bords et enfin l' atrophie grise de la papille tout entière. A mesure qu
sible de poser un diagnostic étiologique certain. D'autre part, l' atrophie papillaire de nos malades ressem- blait à celle
rvé entre elles les différences signalées par Raoult. (Selon lui, l' atrophie blanche des paralytiques diffère de celle des a
ible.) De sorte que rien jusqu'ici ne nous permet de distin- guer l' atrophie paralytique de l'atrophie tabétique d'après l'e
usqu'ici ne nous permet de distin- guer l'atrophie paralytique de l' atrophie tabétique d'après l'examen ophthalmoscopique. ,
IQUES GÉNÉRAUX. 9 sont bien adéquats.) 2° Du malade V..., atteint d' atrophie papillaire blanche bilatérale. 1° LÉSIONS INI
ccommodation normal. Examen ophtalmoscopiqtze : oeil droit : légère atrophie avec état vascularisé intense de la papille. De
e, groupées irrégulièrement, sinueuses et manifestement altérées; l' atrophie papillaire apparaît dans toute son évidence au
ne du malade B... 2° La papille présente peu d'altérations; pas d' atrophie des fibres optiques. Nous constatons que la qua
t à l'accommodation. Amaurose. L'examen ophtalmoscopique révéla une atrophie papil- laire blanche des deux côtés. L'évolut
paralysie générale a déjà atteint une période avancée, 5 fois de l' atrophie papil- laire blanche, une fois de l'atrophie gr
e avancée, 5 fois de l'atrophie papil- laire blanche, une fois de l' atrophie grise, une fois une sclé- rochoroïdite postérie
ec bord indécis. Ces deux aspects sont des états préliminaires de l' atrophie papillaire. V. Enfin, chez les paralytiques gén
is. Netv-Yoi,4- American Journal of insane, janvier 1895. Moxter. Atrophie des Opticus bei Tabès. D6HKMs<}'a<t'OK inz
onstatée, mais c'est à tort qu'on la désigne toujours sous le nom d' atrophie , si du moins on donne à ce mot un sens précis.
le nom d'atrophie, si du moins on donne à ce mot un sens précis. L' atrophie vraie, avec altération histologique de la fibre
hérapeutique ; l'exercice métho- dique et prudent, inutile en cas d' atrophie vraie, est au contraire tout indiqué contre l'a
sur le muscle lui-même par l'électricité ou par le massage en cas d' atrophie vraie, autant ces moyens deviennent insuffisant
es lésions classiques du tabès dorsalis, les auteurs ont trouvé une atrophie primitibe des grandes cellules radi- culaires d
tibe des grandes cellules radi- culaires de la substance grise avec atrophie des racines antérieures correspondantes et alté
résie, de fatigue précoce, plutôt que de paralysie; par l'absence d' atrophie , par la participation du facial supérieur, par
culaire est conservé ainsi que les réflexes. Pas de douleurs, pas d' atrophie . Devant ce tableau, M. Josserand songe à une pa
r fonction motrice et respectant leur fonction trophique, puisque l' atrophie musculaire fait défaut, ou bien comme le disent
énérescence habituelle. du faisceau pyramidal correspondant et de l' atrophie de l'hémisphère homolatéral du cervelet. Le par
que de la nature épithélioma- teuse de la tuméfaction pituitaire. Atrophie ponlo-cérébelleuse. M. Thomas présente les pièc
dont les centres nerveux ne portent aucune lésion. Il s'agit d'une atrophie ponto-céréhelleuse avec dégénérescence pres- qu
antérieure subaigue (diminution de nombre des cellules; processus d' atrophie simple et exceptionnellement d'atrophie dite pi
e des cellules; processus d'atrophie simple et exceptionnellement d' atrophie dite pigmentaire ; sclérose des vaisseaux ; scl
e de Dejerine, a pour caractères : ataxie des qua- tre membres avec atrophie musculaire et contractions fibrillaires ; troub
épuise rapidement et aboutit rapidement à une para- lysie totale; l' atrophie musculaire fait défaut et les réactions électri
arynx, du voile du palais, épuisement rapide des muscles, absence d' atrophie musculaire, résultats négatifs de l'examen élec
réfaction assez considérable des cellules nerveuses. Il existe de l' atrophie des fibres pyramidales dans leur trajet protubé
d'incoordination motrice et dont le signe le. plus marqué a été une atrophie musculaire à prédominance inférieure avec évo-
peut être très nettement arrêté et qui peut se résumer comme suit : atrophie musculaire progressive et très lente débutant p
on des réflexes tendineux et cutanés, réac- tion de dégénérescence, atrophie musculaire, etc. Il n'existait pas de troubles
e spinale perd de son importance comme signe de lésion organique. Atrophie des membres de nature mal déterminée. M. Marie
, A huit ans il put marcher de nouveau. Il présente aujourd'hui une atrophie énorme des membres; mais cette atrophie n'attei
Il présente aujourd'hui une atrophie énorme des membres; mais cette atrophie n'atteint pas le squelette. 296 SOCIÉTÉS SAVANT
blement d'une paralysie infantile. Ne serait-ce pas un de ces cas d' atrophie con- consécutive à une méningite cérébrospinale
ale comme Rendu en a publié. - M. Brissaud. C'est en tout cas une atrophie consécutive à une céphalo-myélite aiguë. 11 n'e
le périolivaire à celle du noyau rouge. A noter aussi dans ce cas l' atrophie du pédoncule cérébelleux supérieur. Un cas de Z
t sur- tout profondes de chaque côté de la scissure de S\ Ivius ; l' atrophie , elle ramollissement de la substance grise sont
rie mâle ayant débuté chez un vieillard de soixante-quatorze ans. Atrophie du pédoncule. 1111f. GoiLC,m et Marie dans un c
1902). 1;. 13. XXXVI. Nouvelle méthode de mensurations cérébrales. Atrophie relative du lobe pariétal par rapport au lobe f
moins dans la démence, le grand centre d'association postérieur, s' atrophie par rapport au centre antérieur (Revue neurolog
urs du cerveau; mais on ne peut nier ici (comme le fait Strumpet) l' atrophie primaire de certains sys- tèmes accessoires des
é. G. C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 835 LXX1X. Sclérodermie et atrophie musculaire; par M. Vacher (Société des Sciences
her on constate aux deux mains, mais plus marquée à gauche : 1° une atrophie musculaire des plus nettes des muscles des émin
ésentent une myopa- thie à symptômes très accentués et généralisés, atrophie scléreuse extrême avec rétraction des membres s
t à se surajouter, comme particularités atypiques, des phénomènes d' atrophie musculaire progressive dont le degré se montre
et de troubles de la déglutition attribuée, d'après l'auteur, à une atrophie ou une aplasie des noyaux bulbaires et prébulba
nte ans, qui fut pris en pleine santé d'un ictus auquel succéda une atrophie musculaire du type de Duchenne sans réaction de
e tous les muscles atrophiés. L'auteur crut pouvoir rattacher cette atrophie musculaire à une lésion d'origine musculaire de
e prodrome faible de celle de Saenger. Ces deux formes émanent de l' atrophie progressive et de la contracture du REVUE D'ANA
i lui est assurée par la gaine de myéline. Si la gaine de myéline s' atrophie et disparaît, le nerf devient facilement épuisa
la résistance ner- veuse, qui elle-même reconnaîtrait comme cause l' atrophie du cylindraxe et la disparition de la gaine de
entrale et d'origine périphérique, par Déjerme et Eg- ger, 474. Atrophie ponto-cérébelleuse, par Thomas, 198, des membre
t Chocreaux, 197. Mensurations cérébrales. Nouvelle méthode de -. Atrophie relative du lobe pariétal par rapport au lobe
Voir Diplégie. Tédoncule cérébral. Voir Dégéné- rescences. . Voir atrophie . PELLVCOE. Sur un cas de accom- pagna de la r
51 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
l'ombre. Pour n'en citer qu'un, l'état des muscles, en dehors de l' atrophie imputable à la névrite, n'est mentionné dans le
s. Une autre cause, et non des moins efficaces, con- siste dans l' atrophie des muscles du côté immobilisé. L'atrophie musc
ces, con- siste dans l'atrophie des muscles du côté immobilisé. L' atrophie musculaire à la suite de la sciatique, sur- tou
cence descendante, à savoir une lésion scléreuse caractérisée par l' atrophie considérable et la disparition du plus grand no
dans le même état ; en ce qui concerne les réflexes tendineux et l' atrophie musculaire, il. n'en est pas fait mention. L'
ampe. Enfin, dans le cas d'épilepsie chronique, où la sclérose et l' atrophie de la corne d'Ammon constituent une trouvaille
de pneumonie, amputé de la cuisse gauche onze ans aupa- ravant, une atrophie ascendante du cordon postérieur, de la corne pos-
ablation d'un membre. L'amputation est suivie, dans la moelle, de l' atrophie simple ascendante des voies sensitives, atrophi
ns la moelle, de l'atrophie simple ascendante des voies sensitives, atrophie s'étendant jusqu'à la statiun terminale, dans l
s la paralysie bulbaire, alors par exemple qu'il y a paralysie avec atrophie des muscles inner- vés par la branche buccale,
culaire restent indemnes, tandis que l'autopsie révèle une complète atrophie du noyau ventriculaire du facial. Or, si chez d
bres. Quand on a extirpé la sphère visuelle du cerveau on obtient l' atrophie non seulement du corps genouillé externe, mais
issement ultérieur des fibres du tronc central jusqu'au muscle, une atrophie lente maras- tique du tronc central et de ses o
on a détruit le trijumeau de l'in- térieur du crâne, on rencontre l' atrophie de la racine ascendante de ce nerf, mais les ce
t demie, considéré comme représentant le poids perdu par suite de l' atrophie du tissu cérébral, on obtiendra pour ce cerveau
s que d'offrir des contradictions. D'un autre côté, arguer du peu d' atrophie des fibres de la paroi ventriculaire des paraly
eur n'est pas altéré. Or nos alié- nés sont très souvent porteurs d' atrophie brune du muscle car- diaque, de dégénérescence
de, d'athéromedes SOCIÉTÉS SAVANTES. 135 artères coronairées avec atrophie consécutive de i'organe. Il n'est commode de di
ointe au lieu d'élec- tion, la tachycardie avec petitesse du pouls ( atrophie brune), la mollesse et la petitesse du jet sphy
que l'on rencontre se traduit par : désorganisation de la myéline, atrophie et disparition du cylindre-axe, avec hypergènesse
s de tumeur cérébrale par Mi. Holsti et Ruhnberg, ainsi qu'un cas d' atrophie partielle du cerveau chez une femme de 32 ans,
même de sa vie, de petits morceaux de muscles; il y a constaté de l' atrophie , une transformation granuleuse de la substance
e, la multiplication des noyaux. L'examen post mortem a révélé de l' atrophie des adducteurs, des grands droits de l'abdomen,
roits de l'abdomen, du biceps, des pectoraux, de l'éminence thénar, atrophie très avancée accompagnée de multiplication exag
complète l'histoire de la maladie à laquelle il a assigné le nom d' atrophie musculaire progressive névrotique par la descri
n'atteint en montant que les faisceaux de Goll. Il existe aussi une atrophie des cellules nerveuses multipo- laires des corn
la question de l'origine spinale et de l'origine non spinale d'une atrophie musculaire donnée. M. ERB demande à M. Hitzig s
pulvinar et du corps genouillé interne du côté de la lésion ; cette atrophie atteint la ban- odelette optique du côté gauche
diminution considérable du pulvinar et du corps genouillé externe ; atrophie du bras du tubercule quadrijumeau antérieur et
sur la substance blanche. Dilatation extrême du ventricule latéral. Atrophie secondaire de la pyramide gauche, du noyau moye
de tabès dorsal avancé caractérisé par une complète paralysie avec atrophie des 264 SOCIÉTÉS SAVANTES. muscles masticateu
pui; ces préparations proviennent du chiasma d'un homme affecté d' atrophie d'un des nerfs optiques; elles sont colorées par
s l'espèce, une action semblable, quoique plus faible, à celle de l' atrophie ; elle ralentit l'effet des purgatifs surtout quan
une tétanisat.ion formidable. Inté- grité de la sensibilité. Légère atrophie de toute la charpente musculaire au hras droit.
disparait cependant; la monoplégie elle-même s'amé- liore, moins l' atrophie ; quant à la diplopie monoculaire, elle subsiste
ges. - Nocera, 1889. Tipojrafia del111anicurnio. Sirut (A.). - De l' atrophie cérébrale partielle d'origine périphériques Bro
t douloureux à son passage dans la gout- tière épitrochléenne, de l' atrophie des muscles, des troubles trophiques du côté de
le pied est véritablement tombant. On ne constate cependant aucune atrophie musculaire bien nette aux membres inférieurs. I
elle ne tarde pas à s'arrêter. L'examen microscopique a démontré l' atrophie des fibres nerveuses des cordons postérieurs à la
edreich.) Sclérose des cordons postérieurs et des cordons latéraux. Atrophie des racines postérieures. Dans la moitié inféri
latéral, la lésion est plus avancée que dans la région supérieure. Atrophie des racines postérieures. Les co- lonnes de Cla
e demander jusqu'à un certain point s'il s'agit en l'espèce d'une atrophie à proprement parler, ou bien d'une simple rétra
ais il y a plus, et l'on peut légitimement conclure à une véritable atrophie , car dans les cas où la moelle est atteinte d'i
e le démontrent les mensura- tions que nous avons pratiquées, cette atrophie était considérable. 352 ANATOMIE PATHOLOGIQUE
table des fibres grosses, dont la consé- quence est de déterminer l' atrophie de la moelle elle- même. De plus, on peut invoq
de troubles vasculaires, troubles qui produisent non seulement l' atrophie et l'altération du tissu nerveux, mais corré- l
ui est 362 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. d'accord avec l'hypothèse d'une atrophie dégéné- rative, et que d'autre part, il existe
ns vas- culaires du genre de celles qu'on observe, ni surtout une atrophie semblable de l'organe. On a dit aussi (Ladame)
asculaire. L'atteinte cir- culatoire tiendrait sous sa dépendance l' atrophie de l'organe en même temps que la sclérose. L'at
dépendance l'atrophie de l'organe en même temps que la sclérose. L' atrophie se conçoit facilement, puisque l'organe est ins
cliniquement ni somatiquement. C'est pourquoi on ne constata pas d' atrophie des fibres nerveuses intracorticales. (Techniqu
(une tumeur existait à ce niveau) ; de parésie du facial gauche ; d' atrophie gauche de la langue ; depuis dix ans, elle souffr
la parole soit immédiatement voisin du centre de la voix. 2° De l' atrophie symétrique de la calotte crânienne sous l'influen
ue de la calotte crânienne sous l'influence du système nerveux. - L' atrophie de la calotte crânienne se ren- contre surtout
âgés ou dans le cas de tumeurs céré- brales. Ici on a affaire à une atrophie qui s'est montrée à l'âge de vingt-cinq ans ; l
h. f. Psychiatrie, XLVI, 4.) P. KERAVAL. BIBLIOGRAPHIE IV. De l' atrophie cérébrale partielle d'origine périphérique; par
e; par le Dr A. SI130T (J.-B. l3aillière et fils, Paris, 1890.) L' atrophie localisée de l'écorce cérébrale peut reconnaître
re l'époque de cette lésion et celle de l'examen nécros- copique. L' atrophie n'est pas la résultante d'un processus dégéné-
n organe : le centre moteur qui n'est plus sollicité à agir subit l' atrophie fonctionnelle. Il ressort de là que l'on peut, de
ce peuvent s'expliquer parla théorie de la dégéné- rescence et de l' atrophie des tissus qui ne fonctionnent plus depuis long
00). Plix : 3 fr. Pour nos abonnés 2 fr. PILLIET (A). - Sclérose et Atrophie des glandes gastriques. - Brochure in-8 de 26 p
ubles de la sensibilité et rapports avec 1' -), par Rumpf, 259. Atrophie musculaire progressive né- vrotique, par Hoffma
t, 146; rôle de l'hérédité dans l'alcoolisme, par Sollier, 147; - atrophie cé- rébrale partielle d'origine périphé- riqu
; des aliénistes Allemands, 405. 440 TABLE DES MATIÈRES Crâne ( atrophie symétrique du), par Rossbach, 405. Démence pa
s des nerfs périphériques, par Oppenheim et Siemerling, 245; avec atrophie et paralysie des muscles mastica, teurs, par
52 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
st complète. La paralysie du rectum et de la vessie s'y ajoute. L' atrophie musculaire est peu marquée; les réflexes rotulien
'associer -l'exercice volontaire au traitement électrique. Dans l' atrophie musculaire progressive, la syringomyélie, la sc
thèse était d'opposer la paralysie infantile vulgaire, fiasque avec atrophie musculaire à ces formes spasmodiques; la premiè
HOLOGIE NERVEUSE. ss Aux membres supérieurs parésie, contracture et atrophie mus- culaire sensible malgré l'adiposité; le de
mes donc en présence d'une paralysie labio.losso- laryngée et d'une atrophie musculaire du type Aran-Duchenne asso- ciées à
relations qui existent entre la paralysie labio-glosso- laryngée, l' atrophie musculaire progressive spinale du type Aran- Du
intéressants de nosologie. Au type Aran-Duchenne représentée par l' atrophie flasque, Charcot ajouta bientôt la sclérose lat
de sclérose latérale amyotrophique peut faire défaut dans les cas d' atrophie musculaire progressive. Toutefois, l'existence
contestée. Aux auteurs qni devant le démembrement successif de l' atrophie musculaire type Aran-Duchenne au profit de la scl
abord, puis de la pachyméningite cervicale, des formes familiales d' atrophie musculaire myopathique, de la syringomyélie et
la syringomyélie et même des polynévrites ont nié qu'il existât une atrophie mus- culaire progressive reconnaissant pour sub
discutée. Leyden ne voulait pas la reconnaître comme distincte de l' atrophie type Aran-Duchenne. En effet pour Charcot la lé
on de la substance grise des cornes antérieures rendant compte de l' atrophie musculaire était commune aux deux affec- tions
rose latérale amyotrophique n'en doit pas moins être séparée de l' atrophie musculaire progressive; elle doit l'être d'abord
as pu être fait. Mais la séparation de la sclérose latérale et de l' atrophie musculaire doit être faite sur- tout par le poi
e nouveau ; on remar- qua un abaissement de la paupière gauche, une atrophie symé- trique légère de la langue, une immobilit
lètement ; la mastication se fait avec difficulté. Une assez grande atrophie de la langue, plus marquée du côté droit ; le r
eux aussi une manifestation de la fatigue musculaire générale; 2° l' atrophie dégénérative des muscles de la langue et du pal
et du palais mou est une seconde particularité du cas décrit. Cette atrophie qui restait sta- tionnaire pendant le séjour de
M. le professeur RoTH partage l'avis du rapporteur et pense que l' atrophie désignée plus haut, fait ce cas très précieux ; i
és différents de lésion des centres nerveux sont possibles et que l' atrophie peut se manifester même, par les signes de dégé
; 2° les omoplates alaires semblables à ce qu'on observe pendant l' atrophie musculaire ou pendant la paralysie du grand den
: 1) les troubles psychi- ques ; 2) les mouvements impulsifs; 3) l' atrophie musculaire, et 4) le nystagmus. Le traitement e
gie inférieure spasmodique; spasme des muscles abdominaux obliques, atrophie partielle des membres inférieurs avec diminutio
ue du membre supérieur droit avec arrêt de développement du membre, atrophie musculaire, 84 BIBLIOGRAPHIE troubles vaso-mo
eints de syphilis cérébrale, présente une monoplégie brachiale avec atrophie , ayant débuté brusquement vers l'âge de huit an
la neuropathologie française. Ch. Muullié. II. Main succulente et atrophie musculaire ; par G. AInawESCO. Thèse de Paris,
rticu- liers ; dans la deuxième l'auteur étudie la topographie de l' atrophie musculaire de la syringomyélie. Le plus intér
te fracture a été prise antérieurement pour une hyperosto<e. L' atrophie musculaire de la syringomyélie revêt trois types
s, du poignet, de l'avant-bras, et même du bras sont épargnés par l' atrophie . Cette topographie de l'atrophie musculaire per
t même du bras sont épargnés par l'atrophie. Cette topographie de l' atrophie musculaire permet à l'auteur de résoudre certai
ique au plus haut point et crée l'ataxie locomotrice progressive, l' atrophie musculaire progressive, la paralysie atrophiquc
le amyotrophique, p. 647 : « Les causes sont des plus obscures. » - Atrophie musculaire progressive spinale, p. 683 : « Son
d a pris l'observation avec beaucoup de soin. Il a tout d'abord une atrophie de la main droite. Il y a cinq ans il s'aperçoi
UX. 105 s'allumer que de seconde main pour remplir les vides de l' atrophie parenchymateuse ; mais enfin ce n'en est pas mo
lis cérébrale. Oreillons. - Décembre 1893, Raymond (Lariboisière) : atrophie musculaire. Avril 1894, Lance- reaux (Hôtel-Die
tique l'arthritisme.et Fournier la syphilis, comme Ray- mond voit l' atrophie musculaire et Cornil la lésion d'encé- phalomyé
sans sclérose des faisceaux pyramidaux; c'est une autre espèce d' atrophie musculaire progressive. Au lieu de la sclé- ros
é- rose latérale amyotrophique, c'est la forme Aran-Duchenne de l' atrophie musculaire progressive. Le tableau de la scléro
une manifestation de la sclérose multiple disséminée. Dès lors, l' atrophie musculaire progressive 11 ran-Du- chenue peut,
nsité moyenne. Puis, en dix-huit mois se développe une parésie avec atrophie des muscles débutant par les membres supérieurs
e haut en bas; aucune altération notable des vaisseaux médullaires; atrophie partielle des fibres des nerfs périphériques; a
médullaires; atrophie partielle des fibres des nerfs périphériques; atrophie avancée des fibres musculaires avec multiplicat
i me paraissent établir nettement qu'au moins, dans certains cas, l' atrophie musculaire progressive peut être associée à d'a
er- vation III, p. 408) : 1° sclérose des cordons postérieurs; 2° atrophie du nerf optique gauche; 3° vaisseaux de la base
et non des maladies vraies, des espèces nosologiques. Le tabes, l' atrophie musculaire progressive, la sclérose latérale, a
su actif atrophié. Dans cet effet double également caractéristique, atrophie du tissu actif et hypertrophie du tissu inerte,
ouffe le tissu parenchymateux : c'est une variété de sclérose. Si l' atrophie parenchymateuse est primitive et provoque l'hyp
iques, affaiblis- sement progressif jusqu'à paralysie complète avec atrophie des épaules et des bras. Sueurs profuses, membr
rs profuses, membres postérieurs atteints ultérieurement, mais sans atrophie ; réactions électriques conservées. Difficulté
Homme 23 ans, pas d'antécédents, paralysie presque com- plète avec atrophie des bras; parésie et rigidité desjambes. Sueurs
xamen de la pièce : raréfaction des grandes cellules pyrami- dales, atrophie des cellules restantes, hémorragies punctiformes.
leur longueur. Les libres plus grosses ne subissent qu'une simple atrophie . La myéline est plus altérée que les cylindraxes.
s auraient bien dû expliquer par quel mécanisme elles déterminent l' atrophie des tubes nerveux. A ce propos, nous rappellero
e dans tous ses seg- ments ; cette réduction de volume résulte de l' atrophie considérable du tube nerveux. Le processus atro
nt cette coloration sur les gaines myéliniques tabéliques en voie d' atrophie . Elle ne tient pas à une imprégnation insuffisa
gènes ou endogènes). Là aussi, le processus tabétique évolue par atrophie simple : on assiste à un amincissement graduel
tendance à la contracture - diminution de la force musculaire sans atrophie - démarche aty- pique). Les troubles sensitifs,
- rescence est un signe sans valeur puisqu'on le rencontre dans l' atrophie musculaire purement hystérique. Séance du soir.
ux généraux subjectifs. OEdème de la papille avec transformation en atrophie des deux côtés. Hémiatropsie bitemporale. Paral
lui du côté droit. Papillite bilatérale avec commence- z ment d'une atrophie à la suite d'oedème, rétrécissement du champ vi
5, l'enfant pouvait saisir son pain et le porter à sa bouche. Pas d' atrophie du membre et pas de déformation. Le 30, la guér
e au bout de vingt- deux jours sans laisser de trace, sans marque d' atrophie ni de déformation, achève de fixer le diagnosti
re supérieur droit. Cette parahsie ne tarda pas à s'ac- compagner d' atrophie musculaire, mais la sensibilité resta toujours
la jambe, puis du bras paralysé commencèrent à se rétablir, mais l' atrophie persista plus longtemps surtout au niveau Archi
'hématomes récents, les auteurs appellent surtout l'attention sur l' atrophie cérébrale, qui est des plus accu- sée ; l'encép
lorsqu'elle n'avait que dix mois. Hémiplégie i latérale gauche avec atrophie musculaire et avec développement incomplet du s
endue plus vaste des dégénérescences consécutives ce qui mène par l' atrophie et la diminution des lobes centraux en- tiers e
s médian des circonvolutions centrales droites, qui a provoqué leur atrophie . La circonvolution centrale antérieure, ainsi que
e et sixième racines cervicales, le malade en question a encore une atrophie du muscle triceps. Ce muscle est innervé par le
pression du nerf médian et en partie du nerf cubital, ainsi qu'une atrophie de la main et des hémorrha- gies à l'avant-bras
suivants : paralysie du nerf facial droit; lagophthalmie médiocre, atrophie très marquée dans la région de la fosse canine so
gmente; tous les mouvements des muscles mentonniers se font bien. L' atrophie du peaucier est très marquée et on n'y voit que
nale atrophique à deux ans et demi et qui présente actuellement une atrophie considérable de la jambe droite avec pied bot.
t : 1896. Août. Garçon de huit ans. Paralysie à deux ans et demi, atrophie consécutive de la jambe droite, déformation du pi
u, les réflexes cutané plantaire et abdominal sont conservés. Pas d' atrophie marquée du côté des pieds, alors qu'on trouve u
dyna- momètre donne 5 à droite et si à gauche. Grâce à l'inégale atrophie des muscles interosseux, les doigts ont une alt
ervés jusqu'à la mort apparte- naient à la série syringomyélique; l' atrophie musculaire, extrê- mement marquée, marchait sen
cas il est impos- sible d'établir, suivant le tableau clinique de l' atrophie , une sépa- ration nette entre les formes spinal
thiques des atro- phies musculaires. A une période plus avancée d' atrophie myopathique primaire, on rencontre des dégénére
nérescence ascendante des faisceaux sensitifs, paraissent être de l' atrophie simple et correspondent aux modifi- cations des
s mains, des pieds, de la face, de la cyphose cervico-dorsale, de l' atrophie et de la flaccidité des seins, etc., etc. ? La
brusque- ment, sans cause, à l'âge de dix-neuf ans (photographie*). Atrophie progressive pendant plusieurs années de différe
l., XV, 18cJ6.) Trois séries de symptômes : 1° Troubles moteurs ; atrophie et parésie des muscles de la cein- ture scapula
ar Korsalioff, 347. Asystolie postépileptique, par Féré, 322. Atrophie . Main succulente et - musculaire, par larinesc
é- nation au Colorado, par llob- house, 165. Main succulente et atrophie mus- culaire, par Marinesco, 85. TABLE DES MA
53 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
e troubles de la sensibilité locale, générale ou sensorielle; pas d' atrophie des muscles. Réflexes rotuliens très exagérés :
athie : la paralysie pseudo-hypertrophique ; la forme juvénile de l' atrophie mus- culaire de Erb ; l'atrophie infantile héré
trophique ; la forme juvénile de l'atrophie mus- culaire de Erb ; l' atrophie infantile héréditaire de Duchenne de Boulo- gne
forme d'amyotrophie, connue communément aujour- d'hui sous le nom d' atrophie myopathicjue du type Landouzy-Déjérine, ou faci
primitive ; paralysie pseudo-hyperlrophique, forme juvénile de Br6, atrophie infantile héréditaire de Duchenne de Boulogne (Re
et la paralysie pseudo-hypertrophique. On connais- sait avant lui l' atrophie dans la paralysie pseudo-hypertrophique (myopa-
trophie) ; il a montré l'hyper- trophie dans la forme juvénile de l' atrophie musculaire (myopathie avec prédominance de l'at
juvénile de l'atrophie musculaire (myopathie avec prédominance de l' atrophie ). Il fallait faire de même pour la forme facio-
s du malade, envahissement de la face, localisations spéciales de l' atrophie , évolution. D'ailleurs ces mouvements fibrillaire
qu'ils le sont en général dans les amyotrophies myé- lopatiliques ( atrophie musculaire progressive de Duchenne-Aran, sclérose
érosique avait marché du côté de l'hypertrophie et non du côté de l' atrophie . En effet ces muscles avaient perdu leur force.
s malades, lorsqu'il décrivit la forme infantile héré- ditaire de l' atrophie musculaire progressive, qu'il rattachait à tort a
éplat latéral en arrière des lèvres très prononcé. Rire en travers. Atrophie des muscles de la houppe du menton. Rien à la l
l'appui de notre communication. Scapuloe alatce très accentuées. Atrophie considérable des pectoraux, du grand dorsal, du t
ndis qu'en 1889, le côté gauche était presque intact, aujourd'hui l' atrophie y est nettement prononcée. Mais.il est survenu en
M. le Dr P. Richer (us. 1). Ces noyaux contrastent vivement avec l' atrophie de tout le reste de la cuisse, dont presque tous
. Le mal'évolue soit du côté de l'hyper- trophie, soit du côté'de l' atrophie , lesquelles peuvent être tantôt isolées, comme
fantile ; crises convulsives, hémiplégie droite avec contracture et atrophie ; guérison complète. A. H. âgé de 3 ans 1/2. A
ture des membres du côté droit ne tarde pas à s'accompagner de leur atrophie musculaire ; cette atrophie, quoique généralisée,
it ne tarde pas à s'accompagner de leur atrophie musculaire ; cette atrophie , quoique généralisée, est plus marquée pour cer
tudes et les exercices de son âge ; l'hémiplégie, la contracture et l' atrophie du côté droit ne tardent pas à disparaître comp
? La contracture avait suivi la paralysie flasque des membres, el l' atrophie musculaire avait suivi la contracture. N'est-ce
tres ; mais dans presque tous ces cas, ce qui avait fait attribuer l' atrophie musculaire à l'hystérie, c'étaient les caractèr
et la pseudo-athétose, et dans l'observation II la contracture avec atrophie musculaire. Mais il existe des types moins comp
s qui ne cadrent qu'imparfaitement avec l'idée d'une hémiplégie par atrophie ou sclérose cérébrale. Ce n'est pas ainsi, nous
noplégies hystériques de constater les modifications des réflexes, l' atrophie musculaire et les troubles trophiques qui sont
n cas analogue observé aux Enfants-Malades : l'amaurose double avec atrophie papillaire était l'unique lésion qu'on pût consta
eau des doigts l environnant le médian, et enfin un certain degré d' atrophie de l'éminence, t thénar. Enfin l'exploration él
ltiples, s'ac- compagnant de douleurs rhumatoïdes avec faiblesse et atrophie du mem- bre. Il y a abolition complète de toute
atteintes, et alors s'ensuivront des troubles de la motilité, avec atrophie et paralysie des muscles; d'autres fois c'est s
ne s'agissait pas seulement d'une cicatrice fibreuse ayant amené l' atrophie des tubes nerveux, mais qu'il y avait eu produc
ont puncti- formes et présentent le signe d'Argyll Roberlson. Pas d' atrophie papil- laire. La malade a été soumise pendant
pilles sont blanchâtres, les artères diminuées, mais il n'y a pas l' atrophie papillaire classique. Pas de dyschromatopsie ni
ntérieures sont toutes dans un état de dégénérescence très avancé : atrophie , absence des prolongements, forme ar- rondie, c
opé- dique sur l'hémiplégie spasmodique infantile. La sclérose et l' atrophie cé- rébrales sont en effet des processus pathol
on note un hypospadias pénien et de l'hypoalgésie testiculaire sans atrophie ; urines et miction normales. Main droite. (PI
ses membres inférieurs des ulcères perforants plantaires, puis de l' atrophie musculaire des extrémités. Il avait, en outre, un
oite. Moindre résistance au mouvement d'extension à droite. 4 Pas d' atrophie musculaire. - Aux mains le dynamomètre donne 50
elle-même que nous devons chercher ces caractères spé- cifiques. L' atrophie pigmentaire des cellules, la production d'exsudat
re gauche. Il existe dans les deux cornes des stades plus avancés d' atrophie des grandes cellules ; mais alors elles sont mé
ammations du cerveau en foyer ou diffuses et qui se terminent par l' atrophie de cet organe. Les indices psychiques les plus
môme la disparition totale des fonctions psychiques, produite par l' atrophie de l'écorce cérébrale (Kraft-Ebing). L'expres
C'est grâce à cela que M. Erb a pu déterminer exactement le degré d' atrophie congénitale de certains muscles au moyen de cou
des fonctions psychiques, est caractérisée anatomil]lleml'lItpar l' atrophie systématisée de l'écorce céré- brale et mi1niqu
uche. Les avant-bras sont considérablement amaigris, en masse, sans atrophie mus- culaire localisée. Il y a une diminution d
simplement un peu plus forts qu'à l'état normal. Il n'existe pas d' atrophie musculaire, ni le moindre trouble de sensibilit
rra- diées dans les bras, les avant-bras et jusque dans les doigts. Atrophie muscu- laire des avant-bras et des petits muscl
auche faiblesse et douleurs dans les deux mem- bres supérieurs avec atrophie légère du côté gauche. Examen de la région du c
environ de leur étendue normale. Membres supérieurs. Il existe une atrophie musculaire évidente dans le bras, l'avant-bras
uvement de flexion complète. On peut donc conclure qu'il existe une atrophie des interosseux, marquée surtout pour les deux de
bras et à l'avant-bras gauche on ne saurait dire avec précision si l' atrophie l'emporte dans tel ou tel groupe des muscles.
ger l'électrisation des muscles, étant donné le peu de gravité de l' atrophie , et l'absence de réaction de dégénérescence; déte
ête seulement, la malade accuse une légère douleur il la nuque. L' atrophie des muscles de la main gauche a disparu entièreme
s elle n'a at- teint 38°. Pas le moindre trouble trophique, pas d' atrophie musculaire aux membres inférieurs. L'excitabili
, de Boulogne, son rival en génie, décrit l'a- taxie locomotrice, l' atrophie musculaire sous toutes ses formes. Charcot marc
ns l'articulation tibia- tarsienne en particulier. Pas la moindre atrophie musculaire ; les réactions électriques dos muscle
tement libres. La puissance musculaire est conservée. Il n'y a pas d' atrophie des muscles ; les réactions électriques sont no
tendons. Les muscles périscapulaires du côté gauche présentent une atrophie évidente (sus et sous-épineux, grand pectoral pri
membres inférieurs cependant ; elle est égale des deux côtés. Pas d' atrophie . Les muscles répondent normale- ment aux excita
atérale amyotrophiquola mieux confirmée. Il n'existe pas la moindre atrophie ni la moindre perversion de la sensibilité obje
cédente : tels, les eschares profondes de dé- cubitus, voire même l' atrophie musculaire dans les membres paralysés, la perte
droite la résistance et les mouvements sont bien conservés. - Pas d' atrophie musculaire appréciable. Examen dynamométrique :
rin- cipalement les eczémas et les diverses poussées herpétiques, l' atrophie des ongles, leur fendillement et leur friabilit
ie, crachements de sang; les modifications des muscles sous forme d' atrophie ou de tumeur sanguine, le ramollisse- ment ou l
54 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
arcot, de M. Babinski, de MM. Gilles de la Tourette et Dutil, sur l' atrophie musculaire chez les hystériques. Ce sont là des
tes. Nombreuses hémorrhagies de toutes dimensions dans l'encéphale. Atrophie très accusée d'une des cornes antérieures de la
e très accusée d'une des cornes antérieures de la moelle cervicale; atrophie des grandes cellules ou formation de vacuoles d
s méninges, adhé- rence, par places, de la pie-mère et de l'écorce, atrophie cérébrale, surtout des lobes frontaux, vaisseau
ulaires, cirrhose hépatique, tuméfac- tion splénique. Histologie. Atrophie des fibres à myéline, surtout des fibres tangen
res à myéline, surtout des fibres tangentielles des lobes frontaux, atrophie des cellules pyramidales. Epaississement de la
nt donc en rapport avec les centres ther- miques. J.-B. C. XVIII. Atrophie musculaire idiopathique COMPLIQUÉE DE NÉVRITE MUL
'agit d'une malade présentant une hérédité bien nette et atteinte d' atrophie musculaire compliquée d'anesthésie complète des
avoir discuté les différents diagnostics, arrive à admettre celui d' atrophie musculaire idiopa- thique compliqué de névrite
ses détails. OBSERVATION. - Syringomyélie à forme spasmodique, avec atrophie musculaire prédominant dans les muscles péri-sc
ri-scapulaires sont considérablement atrophiés, surtout à droite. L' atrophie porte plus particulièrement sur les muscles sus
pulaire et le triceps fémoral contiennent quelques fibres en voie d' atrophie , avec prolifération des noyaux, ces fibres sont d
enseurs; quelques muscles de la ceinture scapulaire subis- sent une atrophie évidente, mais qui ne devient jamais très 124 P
int qui aurait dû attirer mon atten- tion, c'est l'absence de'cette atrophie des muscles de la main qui se rencontre dans la
les^ malades atteints de pacha- f. méningite, la distribution de l' atrophie dans le membre supé-' rieur est toute spéciale
aux. Ces mêmes- foyers occupent les ,, espaces péricellu ? laires;. atrophie des grandes cellules de Betz. Dégénérescence des
x des fissures; l'absence des por- tions centrales du cerveau, et l' atrophie des lobes, spécialement le frontal et l'occipit
ollaboration avec Pitres, 1883) ; - Sur une forme par- ticcaliére d' atrophie musculaire progressive (en collaboration avec M
i de la face interne du lobe frontal gauche. Compression cérébrale; atrophie par com- pression des fibres tangentielles de l
Enfin en arrivant dans le lobe occipital, on retrouve encore une atrophie très marquée des deux premières couches à la fa
on moyenne; dessin pris dans la portion située au fond d'un sillon. Atrophie considérable des fibres tangentielles dans toutes
e j'ai observés.1 Dans ces deux cas, en effet, la distribution de l' atrophie était exactement comparable, ainsi qu'on pourra
diots ou des aliénés. Ces Fig. ` ? S. Schéma de la disposition de l' atrophie des libres iL myéline tangentielles de l'écorce
e l'altération. (Loc. cit.) Fig. 29. Schéma, de la disposition de l' atrophie des fibres à myéline tangentielles de l'écorce
sphère gauche. (Loc. cit.) . Fiy. 31. Schéma de la disposition de l' atrophie des fibres à myéline tangentielles de l'écorce
nts. Son premier argument est d'ordre histologique. Les processus d' atrophie , de sclérose, de dégénérescence à forme de cell
tissu intersti- tiel. Intégrité des cellules et ganglions spinaux. Atrophie du cor- don postérieur correspondant, sans alté
de la colonne de Clarke droite. Dans le renflement cervical il y a atrophie de la corne latérale droite surtout au niveau du
ie de la corne latérale droite surtout au niveau du groupe latéral. Atrophie des racines postérieures dans toute leur étendue
ure. La seconde observation concerne l'amputation du bras gauche, Atrophie à la corne latérale gauche dans le renflement cer
région dorsale. Dimi- nution des cellules de la colonne de Clarke, atrophie du cordon pos- térieur gauche, mais limitée au
puis longtemps connues. En 1872, M. Pierret' a publié un cas type d' atrophie cérébelleuse, accompagné d'un examen microscopi
es antérieures de la protubé- rance. Dans son premier article sur l' atrophie cérébelleuse, et 1 Pierret. Note sur un cas d'a
rticle sur l'atrophie cérébelleuse, et 1 Pierret. Note sur un cas d' atrophie périphérique du cervelet avec lésion concomitan
raphé. Or, précisément, cette intégrité, mise en opposition avec l' atrophie des pédoncules cérébelleux moyens, la dispariti
diagnostic des maladies de l'encéphale, où sont colligés les cas d' atrophie jusqu'en 1883, Nothnagel * s'attache à montrer
eurs n'y sont pas suffisamment mis en relief. Quatre observations d' atrophie , celles d'Otto 2, de Fischer de Verdelle '* et
coordination figurent au rang des symptômes les plus constants de l' atrophie cérébelleuse. Il n'y a là rien qui ne cadre ave
n particulier, sa rareté dans les lésions de déficit pures, comme l' atrophie , où sont si marqués les troubles de la coordi-
. Appendice, p. 37. Menzel,. - Loc. cit. 8 Brosse ! . Sclérose et atrophie du cervelet. (Lyon médical, 20 avril 1890.) S
e scandée; ce n'était pas non plus la parole qu'on observe dans l' atrophie du noyau de l'hypoglosse D ; ' Parmi les affect
du noyau de l'hypoglosse D ; ' Parmi les affections du cervelet, l' atrophie ne paraît pas être la seule qui ait le privilèg
et de Verdelli, on note les troubles de la parole coexistant avec l' atrophie du cervelet, du bulbe et de la protubérance, et
de la parole, comme celui de Vulpian, cité par Laborde 2, ou une atrophie des pyramides antérieures s'accompagnait d'une sc
légitimée par l'étude des lésions secondaires de la protubérance. L' atrophie des pédoncules céré- belleux moyens, la dispari
e vomissement, les troubles de la vue et de l'ouïe, manquent dans l' atrophie , qui ne s'accompagne d'aucun retentissement à d
thologique des lésions bulbo-protubéran- tielles qui accompagnent l' atrophie cérébelleuse, d'insister sur les difficultés de
interne, la couche optique, de diamètres variés, surtout à gauche. Atrophie des pyramides correspondant aux gros ganglions du
ces formes aiguës de folie, on ne s'attendrait guère à y observer l' atrophie ou l'infiltration séreuse : la première pourtan
de l'anémie qui paraît s'accentuer parallèlement à la chronicité. L' atrophie du tissu cérébral existe dans les deux tiers des
ravail, c'est elle qui a donné le moins d'hémorrhagies méningées. L' atrophie , la diminution de consistance du tissu cérébral m
bonne, son niveau intellectuel très bas. 11 présente à droite de l' atrophie générale et de la contracture musculaire des me
lle. Il con- vient de ranger dans la même catégorie d'altérations l' atrophie du nerf optique, à évolution lente, des gens âg
atrophiées en étaient, les fibres. M. Bernhardt. Qu'esl-ce que l' atrophie du nerf optique de Fuchs ? `t M. OTTO. Je n'a
ophie du nerf optique de Fuchs ? `t M. OTTO. Je n'ai pas trouvé d' atrophie du nerf optique dans le voisinage des vaisseaux
ormée, fraîcheur du teint que la maladie n'avait pas altérée. Pas d' atrophie des muscles de la face. L'orbiculaire des paupi
près l'avoir dépouillée de ses vête- ments, que remarque-t-on ? Une atrophie complète des muscles de l'épaule et de la hanch
on ? Une atrophie complète des muscles de l'épaule et de la hanche, atrophie telle que les têtes humérales et fémorales peuv
es ont conservé leur volume normal. Pas d'hyper- trophie mais pas d' atrophie , les éminences thénar et hypothénar 468 CLINIQU
sans fausse honte, que ce cas tout d'abord me troubla. C'était de l' atrophie musculaire mais quel genre d'atrophie ? Ce n'ét
bord me troubla. C'était de l'atrophie musculaire mais quel genre d' atrophie ? Ce n'était pas l'atrophie musculaire progress
l'atrophie musculaire mais quel genre d'atrophie ? Ce n'était pas l' atrophie musculaire progressive de Duchonne. L'intégrité
remblements fibrillaires écartaient ce diagnostic. Ce n'était pas l' atrophie mus- culaire héréditaire de Duchenne, l'orbicul
aupières étant parfaitement conservé. Ce ne pouvait donc être que l' atrophie juvénile décrite par Erb où la ceinture scapulair
arke., Les deux premiers faits permet-, tent aussi de constater une atrophie des cornes antérieures portant principalement s
ôté amputéine sonti pas eo41)pletementintacts. Mentionnonsf aussi l' atrophie des 'racines antérieures dans' leur trajet intr
ors de la moelle, intégrité de la commissure1 antérieure'; 'légère' atrophie de la commissure1 postés r 16 à r 'è /s «'.ji.i
uses des ganglions spinaux envoient à la moelle. Ainsi s'explique l' atrophie dans les régions qui président à la sensibilité
e postéro- latéral des cornes antérieures sont de nature motrice. L' atrophie de ces cellules doit démontrer qu'elles possède
llules des ganglions spinaux; 10" dans le cordon postérieur, il y a atrophie de groupes de fibres différents au point de vue
canal; puis, secondement, sous cette influence, s'est produite une atrophie simple, non'inflamma- toire du noyau qui a alor
faible teneur en fibres. C'est là qu'à l'avenir on devra étudier l' atrophie des fibres intra-corticales. La'largeur'de l'éc
e sur les téuménts`dû trôné indique la syrinomyélie; en revanche, l' atrophie précocerdu nerf f optique et l'immobilité réfle
notée une fois ! Dans'iës'observaUons typiques il'ÿ avaitavec' de l' atrophie musculaire ? un troublé très élendu''dé'la'r' s
ations fruste's,' il' fallut cliércliër`éédèrniëisÿinpt6më; c'est l' atrophie " musculaire spinale e,, qui prédominait. L'une
ce e eonvuls 0 i' e - l"iéaction"'dé ? é èii iinpo- sait pour une atrophie musculaire spinale progressive;, enfin on s exp
Ainsi, dans un cas de paralysie saturnine des péroniers, il y avait atrophie muscu- Igire, excessive, etq l'on ' constatait'
oolique; l'intégrité de la moelle et des nerfs contraste ici avec l' atrophie considérable des muscles, atrophie avec multipl
t des nerfs contraste ici avec l'atrophie considérable des muscles, atrophie avec multiplication- de3 noyaux; abondance de noy
bservation \ est empruntée à une sclérose lâtëralë arpÿotropliique; atrophie des bourgeons musculaires, intégrité, de la gai
e; dégénérescence des cornes) antérieures dans la moelle cervicale; atrophie dégénérative de la plupart des fibres du cubital,
tain nombre i de fibres. du médian, .du radial, du musculo- cutané; atrophie dégénérative des «muscles de l'éminence hypothé-
ion\est puissante (eliiei.is1pai ? exemple), c'est ce. que montre l' atrophie , des mêmes orâanésl,chezl'homme.`sUne portion, de
avec maladie des jointures dp Charcot" par lleilhronner, 132.' Atrophie musculaire idiopathique compliquée de névrite m
térie dégénéra- tive, par, Griedenbel'g,¡3Dl.¡, ,. , ,p, ÉVIiITE, atrophie musculaire, idio- ,, pathique compliquée de mul
55 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
re gyécogène. — Altérations de la cellule hépatique : compression ; — atrophie ; — hypertrophie : — infiltration et dégénération
rophie ; — hypertrophie : — infiltration et dégénération graisseuses ( atrophie jaune aiguë du foie, atrophie jaune consécutive,
filtration et dégénération graisseuses (atrophie jaune aiguë du foie, atrophie jaune consécutive, ictère grave;; — altérations a
émontrent les recherches de M. L. Mayer (1). Quoiqu'il en soit, une atrophie complète, allant parfois jusqu'à la disparition t
e une con-séquence de celte compression. Mais il est d'autres modes d' atrophie cellulaire, ceux, par exemple, qui succèdent à un
remière période de l'altération diabétique du foie, car, plus Lard, l' atrophie succède souvent à l'hypertrophie, et, simultanéme
forme nous est donné par l'altération hépatique connue sous le nom d' atrophie jaune aiguë du foie. Sur certains points de l'org
paraît être un phé-nomène vital. En effet, pendant la vie, les cas d' atrophie jaune aiguë du foie, il est de règle que la leuci
nnaît, à l'autop-sie, quelques-uns des caractères microscopiques de l' atrophie jaune sur lesquels nous insisterons prochainement
u sein du tissu hépatique a été plusieurs fois recon-nue dans ces cas atrophie j aune consécutive et que là aussi, comme dans l'
ans ces cas atrophie j aune consécutive et que là aussi, comme dans l' atrophie aiguë, on observe des phénomènes cliniques se rap
pour expliquer la destruc-tion des cellules hépatiques dans les cas d' atrophie jaune aiguë du foie. Il n'a pas été difficile de
d,) (2) Klebs. — Path. Anatom., p. 406. mènes rappelant ceux de l' atrophie jaune aiguë du foie. A l'autopsie on retira du fo
antes ob-servations de Frericbs sur les altérations de l'urine dans l' atrophie jaune aiguë du foie, qu'on s'est occupé avec un p
es de physiologie, 1876. son étendue le parenchyme du foie, comme l' atrophie jaune aiguë, la cirrhose vulgaire ou 2° des altér
du taux de l'urée ; — apparition de la leucine et de la tyrosine. — Atrophie jaune aiguë du foie. Fièvres intermittentes s
ence de la leucine et de la tyrosine. cl) Mais c'est surtout dans Y atrophie jaune aiguë du foie, comme j'ai eu l'occasion de
la sécrétion urinaire, accompagnement néces-saire, suivant lui, de l' atrophie jaune aiguë du foie, Cette mo-dification, d'après
intéressante relatée par M. Murchison (4) : Elle montre que dans l' atrophie jaune aiguë du foie, la leucine et la tyrosine pe
l'urine qui vient d'être indiqué, comme parti-culièrement propre à l' atrophie jaune aiguë du foie. C'est évi-demment une erreur
ces faits cependant n'appar-tiennent pas plus que les précédents à l' atrophie jaune aiguë du foie. 11 s'agit ici d'une forme
frisson. En même temps, le foie a commencé à subir un certain degré d' atrophie . Or, voici ce qu'apprend l'étude de l'excrétion d
e sont les mêmes que celles qui succèdent à la ligature de ce canal. — Atrophie consécutive du foie. I. Messieurs, Je vous
eprend d'abord son volume normal, pour devenir ensuite petit. Cette atrophie du foie, consécutive à l'enclavement des calculs
vec fonte granulo-graisseuse, comparable à celle qu'on observe dans l' atrophie jaune aiguë du foie. Le fait a été reconnu pour l
'être relevées de celles qui se montrent d'une façon constante dans l' atrophie jaune aiguë du foie. Il y aura lieu de recher-che
stite suppurative). —Inflammation chronique (cholécystite scléreuse ; atrophie de la vésicule). — Inflammation ulcéreuse (perfor
qui, alors, sont pour ainsi dire enkystées. [Cholécystite sclé-reuse, atrophie de la vésicule (l)"j. C'est là, en somme, un mode
dans l'exposé général des lésions anatomiques du foie, à propos de l' atrophie jaune aiguë où s'observent des altérations du mêm
plasie conjonctive, dans la cirrhose de Laennec, est d'entraî-ner une atrophie progressive du foie. Le volume, ainsi que le poid
hie du foie qui, dans le cours de la mala-die, avait fait place à une atrophie plus ou moins accentuée. Budd, qui incline quelqu
tait en contact avec les parties dont il s'est éloigné par suite de l' atrophie qu'il a subie. Quoi qu'il en soit, vous n'ignorez
dans la 22e livraison de son Atlas et celle qui accompagne l'article Atrophie de l'Atlas de Carswell : ce sont les deux meilleu
sidérable que joue dans la cirrhose l'interruption plus (1) Article Atrophie , pl. n, fig. 1. Charcot. Œuvres complètes, t. vi,
ues de très petites dimensions. En somme, c'est par le mécanisme de l' atrophie simple que les cellules semblent disparaître sous
en outre, çà et là, de petits kystes. A la coupe, on reconnaît que l' atrophie porte sur la substance corticale, qui peut être r
oloration est d'un rouge plus ou moins vif. Les coupes montrent que l' atrophie porte principalement sur la substance corticale e
pighi qui marquent les limites des lobules paraissent, en raison de l' atrophie subie par les tubes contournés, beaucoup plus rap
lques personnes qui pensent que, en dehors de la maladie de Bright, l' atrophie du rein combinée à l'athérome artériel, et peut-ê
t. vi, Maladies des reins. 23 le rein présentait un certain degré d' atrophie , et, remarquez-le bien, il s'agissait ici de l'at
rtain degré d'atrophie, et, remarquez-le bien, il s'agissait ici de l' atrophie sénile, banale chez les vieillards, et jamais de
éveloppement de ces ané-vrysmes n'est pas lié nécessairement soit à l' atrophie rénale soit à l'hypertrophie du cœur, soit à l'al
s, rares à la vérité, le gros rein blanc peut, à la longue, subir une atrophie plus ou moins prononcée, et pré-senter, en conséq
ein, consécutive à la néphrite parenchymateuse et bien distincte de l' atrophie produite par la néphrite interstitielle (rein con
la néphrite interstitielle (rein contracté, petit rein granuleux). L' atrophie consécutive, dans le cas de la néphrite parenchym
tière glycogène. —Altérations de la cellule hépatique: compression; — atrophie ; — hypertrophie; infiltration et dégénération g
atrophie; — hypertrophie; infiltration et dégénération graisseuses ( atrophie jaune aiguë du foie, atrophie jaune consécutive,
filtration et dégénération graisseuses (atrophie jaune aiguë du foie, atrophie jaune consécutive, ictère grave;: — altérations a
du taux de, l'urée ; — apparition de la leucine et de la tyrosine. — Atrophie jaune aiguë du foie. Fièvres intermittentes sym
sont les mêmes que celles qui succèdent à la ligature de ce canal. — Atrophie consécutive du foie..... 171 DIX-SEPTIÈME LEÇON
tite suppurative). — Inflammation chronique (cholécystite scléreuse ; atrophie de la vésicule). — Inflammation ulcéreuse (perfor
erstitielle, 339. Ascite. 193, 223, 238, 242, 255, 256, 277, 279. Atrophie du foie dans la cirrhose vul-gaire, 246. — Conséc
l-tération amyloïde des —, 28; — graisseuse, 25; —pigmentaire, 29; —? Atrophie des —, 24. — Décou-verte, 20- — Disposition dans
ra-ombi-licales (Dilatation des), 254, 256, 265. Vésicule biliaire ( Atrophie de la,) 199; — distension de la —, 165, 176; — ra
56 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e la sensibilité à la cha- leur. Pas de troubles sphinctériens. Atrophie très légère des muscles du memhre inférieur droit
lagent dans les cordons latéraux. Dans la substance grise on note l' atrophie avec, pigmentation des cellules de la corne ant
ce de lésions en foyer mais atropliie élec- tive d'un hémisphère. L' atrophie prédominante d'un hémisphère est fonction de la
tomatique d'une affection du système nerveux. Cependant un début d' atrophie de la langue laisserait penser àunesclérose lat
Par Cl. bonne Médecin adjoint à l'asile de Braquevine. Les cas d' atrophie d'un des hémisphères cérébelleux sont relativem
lobule du pneumogastrique, la postérieure à l'amyg- dale ». Outre l' atrophie secondaire du noyau rouge et de l'olive bulbair
ouge et de l'olive bulbaire du côté opposé, il existait encore de t' atrophie croisée du corps strié. , Dans le cas de Ilil
isphère gaucho, en arrière de l'amygdale. Il existait en outre de l' atrophie de l'olive bulbaire du côté opposé et des racin
os que normale- ment. » Dans lecas de Neuburger et Edinger (t), l' atrophie presque to- tale d'une moitié du cervelet ne se
ssables mais con- sidérablement atrophiés. 11 y avait en outre de l' atrophie de l'o- live bulbaire gaucho, et un amincisseme
du cerveau postérieur et des pédoncules cérébraux, dénota de plus l' atrophie (les noyaux et des racines de plusieurs nerfs c
est recou- vert en grande partie par des lamelles cérébelleuses; l' atrophie (1) Einseitiger fast totaler Mangel des Cerebel
rtée par Thomas, 1. c, p. 185 à 190) intéressante par ce fait que l' atrophie a peu près généralisée à tout le cerve- let éta
de la coordination, surtout du côté droit. On a vu plus haut que l' atrophie portait ex- clusivement sur l'hémisphère cérébe
rès long le fonctionnement normal du névraxe. Mais dans les cas d' atrophie acquise (sclérose, etc.), unilatérale, et d'ail
res pyramidales coupés transversalement. On sait d'ailleurs que l' atrophie croisée de la protubérance est de règle dans le
p. 100). » De même que celle de l'olive et de la protubérance, l' atrophie croisée du noyau rouge se présentait avec ses c
ajeure partie indé- pendantes de celles du cervelet : telles sont l' atrophie du corps calleux, les nombreuses anomalies des
que les lésions éten- dues d'un hémisphère cérébral entraînent une atrophie croisée du cervelet, mais la réciproque ne se r
s les observations de lésion unilatérale de ce dernier organe une atrophie même légère des régions corticales eu rap- port
n t¡'oltble passager intermittent ; depe1'mett1'e de pronostiquer l' atrophie prochaine. D'ordinaire, le champ visuel est nor
se trouve en présence de l'évolution de la névrite optique et de l' atrophie papillaire. Les caractères de l'atrophie papill
la névrite optique et de l'atrophie papillaire. Les caractères de l' atrophie papillaire du paralyti- que général sont d'être
arquée. Les vaisseaux conservent leur calibre normal. En somme, l' atrophie du nerf optique est moins étendue ; 3° Elle est
bles de la vision ne sont pas parallèles au développe- ment de l' atrophie . C'est là le symptôme le plus essen- tiel pour
roubles visuels dans l'alcoo- lisme chronique . En même temps que l' atrophie évolue, il y a conservation de la vue. (Jean Ga
olue, il y a conservation de la vue. (Jean Gazelowski.) Lorsque l' atrophie s'accompagne, ce qui est rare, de rétrécissemen
ment n'est pas concentrique (3) . Lorsqu'il y a, en même temps qu' atrophie , dyschromatopsie, le rétrécissement pour les co
ues ou seulement microscopiques , sans foyer. Elles consistent en : atrophie , simple oudégénéra- tive, des éléments parenchy
eau petit et atrophié, son poids et son volume sonttrès diminués. L' atrophie ne porte pas de façon uniforme sur tout le cerv
méninge est souvent épaissie, mais, d'autres fois, par- ticipe à l' atrophie du cerveau. Les cavités ventriculaires sont trè
rveau. Les cavités ventriculaires sont très dilatées par suite de l' atrophie de la substance cérébrale, les parois ventricul
. La couronne rayonnante et les noyaux centraux parti- cipent à l' atrophie . D'une façon générale, la substance blanche de
autour des gaines vasculaires. Le cervelet prend parfois part à l' atrophie du cerveau, mais son atrophie n'atteint pas le
Le cervelet prend parfois part à l'atrophie du cerveau, mais son atrophie n'atteint pas le même degré. B) Etude histologi
e très souvent des cellules saines chez les sujets les plus âgés. L' atrophie cellulaire peut être simple, avec raréfaction d
La dégéné- rescence des fibres myéliniques se faitgénéralementpar atrophie simple, quelquefois avec colorabilité anormale,
ueux. La disparition des fibres myéliniques explique pour- quoi l' atrophie de la substance blanche paraît beaucoup plus co
un simple tassement du tissu dans les espaces laissés vides par l' atrophie des cellules nerveuses. b) La prolifération des
ers multiples de « ramollissement incomplet », tel que ceux de 1' « atrophie artério-scléreuse du cerveau »,de l' « encéphal
de façon indépen- dante, produisent l'altération des vaisseaux. L' atrophie des cellules,et des fibres nerveuses en par- ti
ssus anatomique commun, d'ori- gine toxique, de désintégration et d' atrophie des cellules et des fibres nerveuses. ' 2° Le
s délirantes vagues et isolées, paraissent devoir s'expliquer par l' atrophie et la dégénérescence des cellu- les cérébrales
é considérablement le rôle des lésions vasculaires. En réa- lité, l' atrophie sénile, les formations lacunaires ne sont pas l
mie pathologique des maladies nerveuses et mentales. J. Séglas. - Atrophie cérébrale expérimentale et atrophie cra- nienne
ses et mentales. J. Séglas. - Atrophie cérébrale expérimentale et atrophie cra- nienne concomitante ; par D'ABUNDO. (In Ri
on corticale est profonde et atteint la substance blanche, on a une atrophie de l'hémisphère cérébral correspondant, plus ou
escu/. - VI. Origine arLlwopatlriyuu (Gilles de la Tourelle). 1'll. Atrophie musculaire par lésion d'un point du faisceau pyra
naître les tics quand ils n'existaient pas. G. U. II. Sur un cas d' atrophie musculaire progressive ; par MM. de t3UCK et De
ue nombre d'auteurs mettent en doute l'autonomie des divers types d' atrophie musculaire progressive et se rallient à l'idée
apports entre les formes myopathique, neurale et neuro-spinale de l' atrophie musculaire progressive, les auteurs croient pou
ée de Iltintin,,Loii..1. SEra.As, V. Nosographie et pathogénie de l' atrophie muscu- laire progressive ; par Valobra. (In Riv
delà question. Puis il rapporte deux observations de cas typiques d' atrophie musculaire progressive, et qui ont pré- sente c
tologique des coupes de l'hémisphère gauche permit de constater une atrophie considérable des fibres tangentielles d'Exner,
es glandes sécrétion interne. 1. T. VIII. - Sclérose en plaques ; atrophie cérébelleuse et sclé- rose pseudo-systématique
on- naire et ne manifeste aucune tendance à se transformer en une atrophie musculaire progressive. Une infection et une vuln
membres chez l'un, en deux fois distante de trois ans chez l'autre, atrophie musculaire sans hypertrophie préa- lable, - lor
ger rapportent une observation très intéressante. L, W AH ? XXII. Atrophie musculaire du type Aran-Duchenne d'origine syph
et du mouvement dans le bras droit remontât à près de trois mois, l' atrophie du membre était encore bien marquée au mois d'a
es signes physiques constatés sont un hémispasme facial gauche, une atrophie du bras droit des adhé- rences fibro-tendineuse
ute parce que Menzel était gaucher. Ces observations prouvent que l' atrophie sénile n'est pas synonyme de démence sénile. Le
la colonne; le rhomboïde et l'angulaire paraissent sous-cuta- nés ; atrophie du stemo- mastoidien. La posi tion des deux omopl
ll. nerv. et de leurs pro- longements dans le S.N.C., dans un cas d' atrophie cong. du cervelet) ; par ERNST ? TRAUSSLrR, de
, fas, ',) et 10, 1905) dans l'idiotie amaurotique de Tay- Sachs. Atrophie considérable de toute l'écorce du cervelet, sauf
de toute l'écorce du cervelet, sauf du no- dule et des flocculus ; atrophie de la protubérance, du bulbe et de la moelle (c
èrement sensibles à la pres- sion. Abolition du réflexe hatcllaire. Atrophie considérable du quadriceps et des adducteurs, l
dans ses éléments; en outre de deux petits kystes, il y avait une atrophie notable avec sclérose du lobe glandulaire. Les au
opsie, syphilis héréditaire probable, par Cres- pin, p. 191. 1. Atrophie cérébrale expérimen- tale et crânienne concomi-
ses et de leurs prolon- gements dans le S. IvT. C., dans un cas d' atrophie cong. du cervelet, par Straussler, p. 393. Ce
ose latérale amyotrophi- que, par Kojesvmhoff, p. 48. en plaques, atrophie céré- belleuse et pseudo-systéma- tique de la
57 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tes consécutives au traumatisme, on note d'après M. Paul Berbez une atrophie plus ou moins considérable du membre, un change
binski et M. Berbez lui-même avaient déjà insisté sur l'existence d' atrophie musculaire assez accusée dans les paralysies hy
es fibres nerveuses de la substance blan- che et grise, ainsi que l' atrophie et la vacuolisation avec tuméfac- tion des cell
es membres inférieurs de cette malade ne présentent, en effet, ni atrophie ni contracture. Les réflexes tendineux sont conse
fs différaient fort sur les deux côtés du corps. Du côté opposé à l' atrophie cérébrale, laquelle occupait les parties postér
onc y participaient pleine- ment, ce qui s'accorde avec l'absence d' atrophie corticale, chez ce malade, du tiers inférieur d
ccident qu'il se développa une paralysie périphé- rique isolée avec atrophie des muscles sus et sous-épineux. Les observatio
. la raideur du membre. Bientôt la main droite s'affaiblit puis s' atrophie . Le quatrième mois, à l'occasion d'une blessure
e pour celle-là; des dépressions intermétacar- piennes trahissent l' atrophie des interosseux. Le volume de l'avant-bras est,
l'avant-bras, les extenseurs. La physionomie des lésions rappelle l' atrophie musculaire du type Duchesne-Aran. Ajoutons que
non seulement les trou- bles sensitifs, mais encore la parésie et l' atrophie qui intéressent les muscles de l'éminence théna
s de la vue, liées à une lésion intra-crânienne et s'accompagnant d' atrophie des nerfs optiques. Malade, soixante-deux ans,
, soixante-deux ans, sans alcoolisme, ni syphilis, présen- tant une atrophie des deux nerfs optiques, s'accompagnant d'hal-
hallucinations dont l'intensité a suivi la marche progressive de l' atrophie de la rétine. Ce dernier fait tendrait à démont
re de viande. La sonde peut servir à faire des lavages d'estomac. Atrophie partielle symétrique des hémisphères et porencéph
M. Salgo, médecin en chef de l'asile d'aliénés de Budapest, sur l' atrophie partielle des hémisphères cérébraux. Neurasthén
nce. Fillette de quinze ans présentant les symp- tômes suivants : ' atrophie bilatérale du nerf optique, immobilité fixe des
des pyramides, jusque dans la moitié supérieure de la protubérance. Atrophie presque complète de la vaccine descendante de l
, dans un cas pathologique, on en a trouvé vingt-cinq atrophiées; l' atrophie du groupe entier était complète en un cas d'atrop
atrophiées; l'atrophie du groupe entier était complète en un cas d' atrophie du noyau de l'oculomoteur commun, les deux autr
a moelle cervicale et de la partie supérieure de la moelle dorsale, atrophie des cellules dans les noyaux moteurs du bulbe,
ontal des deux yeux. Diminution évidente de la force motrice brûle. Atrophie manifeste du deltoide gauche, des deux sterno-
rural) sont, jusque dans leurs rameaux intramusculaires, affectés d' atrophie des fibres avec multi- plication des noyaux du
qui affecte parfois le grand et le petit pectoral ? S'agit-il d'une atrophie due à une atrophie musculaire juvénile ? Nous a
le grand et le petit pectoral ? S'agit-il d'une atrophie due à une atrophie musculaire juvénile ? Nous adopterions plus vol
par l'angle de la mâchoire; il a réussi nombre de fois à produire l' atrophie des racines postérieures de l'acoustique. L'ori-
nakow, Forel, Onufrovicz. On peut aussi constater chez le lapin une atrophie du corps trapé- zoïde et de l'olive supérieure
légie bilatérale; trou- bles de la motilité du voile du palais sans atrophie musculaire ni altérations électriques; dysarthr
que le condyle droit fuit en dehors. Puisqu'il n'est pas survenu d' atrophie musculaire, les noyaux d'origine des nerfs sont
et que le kyste a pu se développer dans l'espace vide laissé par l' atrophie . Le Congrès se réunira au mois de novembre proc
891. - Rockwell and Churchill. MORDRET (A.-E.). Deux observations d' atrophie cérébrale. Brochure in-8° de' 24 pages. Le Mans
et la barbe noirs, C... parait fortement constitué ; mais il a une atrophie marquée des muscles de la jambe droite, provena
s siens, de con- vulsions survenues à l'âge de dix-huit mois. Cette atrophie muscu- laire ne s'accompagne pas de raccourciss
bientôt abandonnée. Actuellement, toutes les opinions concernant l' atrophie faciale progressive peuvent être divisées en de
ix mois auparavant, m'a communiqué n'avoir pas constaté chez elle d' atrophie du cucullaire. Ce fait-ci, ainsi que l'évolutio
système qu'il faut considérer tous les cas que je viens de citer. L' atrophie faciale, ne déterminant point le caractère de l
coulée depuis cet epouvante, que la famille remarqua chez elle de l' atrophie dans le territoire de la troisième branche du n
d'anesthésie, accompagnées de dilatation de la pupille droite et d' atrophie de la moitié droite de la face.-Le même auteur
Friedenthal a publié le cas d'une fille de quatorze ans, atteinte d' atrophie faciale droite où il constata ce qui suit : pup
que nous venons de citer prouvent, d'une manière concluante, que l' atrophie de la face peut dépendre d'une affection du ner
écède ne nous autorise pas à conclure que tous les cas concernant l' atrophie progressive de la face puissent sans exception
ropathologie contemporaine ne connaît plus de maladies telles que l' atrophie d'un membre, l'atrophie de la langue, etc., et
ne ne connaît plus de maladies telles que l'atrophie d'un membre, l' atrophie de la langue, etc., et traite les tableaux clin
e la Société physico-médicale à Moscou, 1884) (Russe). GowsEIEFF. Atrophie de la face partiale unilatérale. Arch. de Psych
ale di Freniatria, 1888. LowENFELD. - Weber einen Fall halbseitiger Atrophie der Gesicht und Kccumusculatur, Jlùnch, med. Wo
889, n° 10. 11ALT. - Le Progrès médical, 1889. ' BLUME.\AU. Cas d' atrophie faciale unilatérale. (Messager de Psychiatrie,
ente une légère orchile traumatique. 25 juillet. - On constate de l' atrophie musculaire de J'éminence thénar droite, et du p
portant : « Epilepsie( perversion des instincts, débilité mentale; atrophie musculaire de la main droite.» 0 Envoyé en cell
qu'on observe dans l'état de mal épileptique. V. Relevons enfin l' atrophie musculaire de l'éminence thénar droite et du pr
le : des adhé- rences de la pie-mère avec le cerveau antérieur, une atrophie indé- niable des circonvolutions principalement
t dans les deux moyens lenticulaires. On trouve, au microscope, une atrophie des cellules de la deuxième couche (ascendants
Intégrité de la moelle. Cirrhose hépatique fréquente à la période d' atrophie (épaississement des parois vascu- laires) ; mac
its. C'est une encéphalite interstitielle diffuse terminée par de l' atrophie cérébrale. ' P. K. XVIII. QUELQUES MOTS sur l
el n'étaient relativement que peu altérés, tandis qu'il y avait une atrophie considérable et étendue des fibres SOCIÉTÉS SAV
de paralysie générale ayant pour substratum anatomique primitif.une atrophie des fibres myé- liniques. Discussion. - M. He
dans les autres vis- cères contredit à cette idée. Et d'ailleurs, l' atrophie des fibres myéli- niques du cerveau n'a, jusqu'
ance du 16 mars 4891'. Présidence DE M. LOEHR aîné. M. Cramer. De l' atrophie du cervelet. Il s'agit d'un épileptique mort à
s points, on trouve, selon le degré de la sclérose, divers degrés d' atrophie des cellules de Purkinje. Suivant l'intensité d
s d'atrophie des cellules de Purkinje. Suivant l'intensité de cette atrophie , les grosses fibres myéliniques de l'écorce et
mbre 1890. SOCIÉTÉS SAVANTES. 419 cellules à tous les stades de l' atrophie pigmentaire, dans son bile, on trouve une légèr
'un tiers, de même que le noyau rouge de la calotte du côté opposé; atrophie également prononcée du pulvinar de la couche op
s, comme il n'y a pas eu inflam- mation des parties atteintes par l' atrophie , on est autorisé à croire qu'il existe une conn
é malade et la substance grise de la protubérance du côté opposé. Atrophie macroscopique et microscopique (atrophie des fibr
otubérance du côté opposé. Atrophie macroscopique et microscopique ( atrophie des fibres) du corps restiforme du côté gauche.
e (atrophie des fibres) du corps restiforme du côté gauche. De là : atrophie du cordon latéral du même côté et du noyau d'or
système des fibres arciformes externes antérieures du côté malade; atrophie encore plus prononcée des fibres arciformes int
plus prononcée des fibres arciformes internes à droite ou à gauche. Atrophie partielle des noyaux d'ori- gine des cordons po
elle des noyaux d'ori- gine des cordons postérieurs des deux côtés. Atrophie excessive du noyau d'origine du faisceau grêle
phie excessive du noyau d'origine du faisceau grêle du côté opposé; atrophie marquée de la grosse olive du côté opposé, dimi
ions du -, par Bechterew, 137 ; cellules du , par Renaut, 256 ; - atrophie du , par Cramer. 418. Chorée, sénile hérédita
58 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
és. M. Hardy justifie de cette manière DES HOPITAUX Planche IX. ATROPHIE MUSCU LAI RE le nom de lichen hypertrophique qu
ue la guérison se manifeste sous l'influence de ce traitement. De l' atrophie musculaire progressive de l'enfance, et de son di
la planche IX, représentent le thorax et la face de sujets atteints d' atrophie musculaire progressive de l'enfance. — L'atrophie
e sujets atteints d'atrophie musculaire progressive de l'enfance. — L' atrophie musculaire progressive, lorsqu'elle fut décrite p
le de troubles dans les mouvements de la face nous donna l'idée d'une atrophie musculaire progressive de l'enfance, car nous l'a
du tronc et des membres inférieurs; entre six et sept ans début de l' atrophie aux membres supérieurs. Nous n'entrerons pas dans
s du rachis et de la jambe sur la cuisse sont presque détruits. Cette atrophie n'a été précédée ni de fièvre, ni de paralysie en
le ne s'en est pas préoccupée. Aujourd'hui, on constate chez elle une atrophie à des degrés divers, dans un assez grand nombre d
lever son marteau. Nous avons aussi constaté chez le jeune garçon une atrophie assez avancée du grand dentelé, du deltoïde droit
la ressemblance physionomique. La figure 5 représente également une atrophie musculaire graisseuse qui, dans l'enfance, a atte
d'mère maternelle. Nous pourrions citer encore une dizaine de cas d' atrophie de l'enfance héréditaires ou non héréditaires ; o
aladie pour en bien résumer la description d'après lui. En somme, l' atrophie musculaire progressive débute dans la seconde enf
la striation est altérée. L'affection de l'enfance, avec laquelle l' atrophie musculaire progressive qui survient dans le jeune
vre, avec ou sans convulsions, à un âge en général moins avancé que l' atrophie musculaire de l'enfance (de 15 jours à 2 et 3 ans
, a été confondue par un pathologiste anglais, M. Edw. Mergon, avec l' atrophie musculaire de l'enfance. Sans entrer dans les dét
de la fibre musculaire dans les deux maladies est différente ; dans l' atrophie musculaire de l'enfance la fibre musculaire subit
pour bien faire connaître l'affection curieuse décrite sous le nom d' atrophie musculaire progressive de l'enfance, dont le [dia
scles propres du bras, se rendant à l'avant-bras, sont le siège d'une atrophie partielle : l'humérus garde une configuration nor
que le tout se terminera dans un temps plus ou moins éloigné par l' atrophie de la rétine et de la papille optique. Ed. Meye
s et ses ventouses, il se colle à la muqueuse, perd son ampoule qui s' atrophie , il devient transparent, s'allonge, se rubane, dé
à s'ulcérer, et s'accompagnant à la fin d'un affaiblissement et d'une atrophie générale progressive. On a déjà eu dans le cour
taches, s'épaissit de plus en plus, devient plus lisse ; l'épiderme s' atrophie et laisse voir très facilement par points le rése
5. Les pustules se dessèchent et semblent entraîner un commencement d' atrophie des tubercules, excepté sur les membres où la des
u de chose à signaler à la paume de la main, où il y a commencement d' atrophie des muscles de l'éminence thénar. BULLETIN De
chés jusqu'au soir. des HOpitaux PLANCHE XXVIII RAMOLLISSEMENT ET ATROPHIE DU CERVEAU dre ; épuisons les moyens de le comb
dans une mesure restreinte, à sauvegarder la vie de nos semblables. Atrophie cérébrale, — Hémiplégie à droite, — Attaques épi-
ard de Clichy, 62. REVUE PHOTOGRAPHIQUE des nOPITAIX »E PARIS Atrophie cérébrale. — Hémiplégie à droite. — Attaques épi-
ce grise. Lorsque la pie-mère est enlevée en totalité, on observe une atrophie considérable des circonvolutions des lobes occipi
e considérable des circonvolutions des lobes occipital et sphénoïdal, atrophie qui se traduit par une différence (en moins) de c
ssements anciens. (La planche XXVII1 donne une idée exacte du degré d' atrophie des circonvolutions.) Si maintenant on examine
re les lésions précédentes, on note encore les suivantes (fig. i) : L' atrophie du nerf ci de la bandelette optiques gauches [a,
à l'enfance. II. — La face n'offrait aucune trace de paralysie ni d' atrophie . Il n'en était pas de même des membres. Bien que
is un peu la jambe. Ces phénomènes s'expliquent sans difficulté par l' atrophie qui portait en même temps sur le volume et la lon
Observations de lichen hypertrophique..................... 38 De l' atrophie musculaire progressive de l'enfance........... 41
ement des blessés............................................ !42 Atrophie cérébrale.................................... 153
59 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la malade la tire correc- tement ; elle ne présente ni déviation ni atrophie . Je remarque du côté de la musculature du cou u
la clinique du professeur Fehige, à Jourieff (Derpt), démontra une atrophie de tout le cerveau. Il est à regretter que l'ex
éral dans les formes de démence terminale, se sont achevées par une atrophie . Ainsi donc, la « catatonie » satisfait parfait
ts variqueux des dendrites correspondent à leur état pathologique d' atrophie dégénérative. P. KERAVAL. XI. Du réflexe hypo
tres nerveux. 2. Les fibres des nerfs et des muscles présentent une atrophie sim- ple et une dégénérescence primitive. Celle
trière, n° 6, 1902). Trois observations : 1. Syndrome cérébelleux, atrophie du cerve- let apparemment limitée à la base ; 2
psie à crises très fré- quentes avec aura sensitive du côté gauche, atrophie du lobe gauche du cervelet ; 3. hémiplégie spas
elet ; 3. hémiplégie spasmodique infantile droite avec épi- lepsie. Atrophie croisée du cervelet. Conclusions : 1° il n'y a pa
le d'un cervelet atrophié secondaire- ment ; 2" dans ce processus d' atrophie , il s'isole constamment une couche qui répond p
olue et précède toutes les autres modifications dans ce processus d' atrophie ; 3° la nature fréquemment secondaire de l'atro
ce processus d'atrophie ; 3° la nature fréquemment secondaire de l' atrophie démontre qu'on ne doit pas considérer le syndro
e gigantisme infantile dans lequel la taille élevée coexiste avec l' atrophie génitale ou, tout au moins, avec l'impuissance
Nouv. Icono ! J1'. de la Salpêtrière, n° 3. 1902). Eunuchoïde par atrophie testiculaire dont les ascendants pré- sentent d
ions sont de degré très variable; chromatolyse légère ou accentuée, atrophie plus ou moins complète du proto- plasma avec pe
par suite, peuvent induire en erreur. KEIIA VAL. P. Keraval. III. Atrophie musculaire du membre inférieur gauche ; par le Do
e douze ans et demi qui est atteint depuis trois ans au moins d'une atrophie musculaire du membre inférieur gauche sans trou
s réflexes, ni phénomènes de parésie. La lente évolu- tion de cette atrophie musculaire et son état pour ainsi dire sta-' ti
e cette astasie-abasie ne semble pas douteuse. G. D. VI. Un cas d' atrophie du membre inférieur gauche et d'hypertro- phie
ui, quatre années après une chute sur le genou gauche, présenta une atrophie du membre inférieur correspondant accompagnée d
triques consécutives avec signe d'Argyll Roberstson intermittent. Atrophie musculaire type Charcot-Marie. MM. DÊJEMNE et A
ussi. Les lésions des nerfs périphériques sont plutôt des lésions d' atrophie simple que de dégénération; il n'y a pas de név
pourrait appeler « les troubles secondaires de l'hypnose » comme l' atrophie musculaire est quel- quefois nn trouble seconda
nces encore. On serait tenté de supposer que la dégénérescence et l' atrophie finale du tissu nerveux est simplement due à une
es alcooliques et qui ont été atteintes de parésie des membres avec atrophie musculaire accompagnée de troubles intellectuels
classification est la suivante : Troubles trophiques muscu- laires ( atrophie musculaire); -Troubles trophiques osseux (frac-
n, du foie et du rein) ; Troubles trophiques des organes du sens ( atrophie blanche de la pupille) ; Troubles trophiques géné
et idiotie chez deux frères; l'autopsie de l'aine fit constater une atrophie manifeste du cervelet et du pont de Varole. Le se
Le second frère a succombé et l'autopsie a fait,aussi découvrir une atrophie cérébelleuse. Relevons uue observation très i
oisième groupe. - Paralytiques générales présentant les signes de l' atrophie papillaire en voie d'évolution des deux côtés o
oite est floue, la papille gauche présente les signes certains de l' atrophie blanche en voie d'évolution. te Observation XXV
pas reproduit. A l'ophthalmoscope, on constate la physionomie de l' atrophie blanche surtout à gauche, la papille droite éta
oubles de la parole. A l'ophthalmoscope, la papille gauche tend à l' atrophie blanche et le bord inférieur en est im- précis.
invisible. Le bord externe de la papille gauche également en voie d' atrophie blanche est un peu imprécis. - IV. Enfin, sept
t eu dans son enfance une fracture du poignet qui est atteint d'une atrophie des muscles de l'épaule et du bras gauche ainsi
on de la jambe au tiers supérieur. Dans les cinq cas, il existe une atrophie de la moelle, du côté correspondant à l'ampu- t
de la moelle, du côté correspondant à l'ampu- tation ! ' A : cette atrophie , participent aussi bien la substance blan- che
sont atteints. La' substance' grise est, in loto', le siège d'une- atrophie ; cepen; dant,' les cornes postérieures semblent
a pas seule- ment.atrophie simple, mais sclérose, et, tandis que l' atrophie ala tendance'à' diminuer' de bas en haut, la sc
de sclérose latérale amyotrophique à cause des symptômes diffus d' atrophie musculaire observés qui prédominaient aux éminenc
femme ayant présenté une névrite spontanée du plexus brachial, avec atrophie et rétrac- tion musculaires du membre, hypérest
hes nerveuses hypertrophiées. - La névrite motrice s'accompagne d' atrophie et de DR très pro- noncés pour la partie antibr
trente ans tout à fait infantile mais extrêmement grand et avec une atrophie génitale très apparente. Il a cessé de grandir
constatations objectives, l'impotence fonctionnelle des membres, l' atrophie musculaire, les vives douleurs à la pression de
contact et à la douleur, et on remarque de plus qu'il existe une atrophie évidente de l'éminence thénar. Le premier espace
t. Quant aux autres espaces, ils sont plus légèrement atteints et l' atrophie est moins perceptible. Nous attirons l'attent
est moins perceptible. Nous attirons l'attention du malade sur l' atrophie ainsi consta- tée. Il répond l'avoir lui-même d
erdons le malade de vue pendant quelque temps,mais les phénomènes d' atrophie et de paralysie ne faisant qu'augmenter nous le
ectifs de la sensibilité ont alors à peu près dis- paru, et c'est l' atrophie musculaire qui inquiète le patient qui res- sen
an-Duchenne complet, l'aspect de la main est celui du syndrome de l' atrophie musculaire progressive qu'on ren- contre dans u
oujours sur la coexis- tence, dans le saturnisme, de paralysie et d' atrophie pour peu que la durée excède une semaine; tandi
ophie pour peu que la durée excède une semaine; tandis que dans l' atrophie musculaire progressive, l'atrophie est le phéno-
e une semaine; tandis que dans l'atrophie musculaire progressive, l' atrophie est le phéno- mène primitif et primordial. En o
pe Aran-Duchenne les mouvements sont sou- vent longs à revenir et l' atrophie persiste plus longtemps encore. ' Duchenne (d
at physique est le suivant : membres supérieurs : impotence totale, atrophie mus- culaire prédominant à droite masquée par l
tence moins marquée prédominant aux fléchisseurs, réflexes faibles, atrophie peu considérable. Cpho-scoliose extrêmement a
ital à Beyrouth une jeune femme de vingt-quatre ans, présentant une atrophie musculaire 318 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
de nombreux-troubles de la sensibilité font rejeter - l'hypothèse d' atrophie musculaire progressive type Aran-Du- chenne.
ssus marchant de la moelle aux ganglions. La lésion consiste en une atrophie lente qui frappe de préférence certaines espèce
elle présente une parésie manifeste des membres inférieurs et une atrophie marquée des muscles des cuisses et des jambes. El
osée par l'auteur. Ce phénomène est probablement dû, d'une part à l' atrophie du quadriceps fémoral incapable de répondre suf
x ou en état d'hyperexcitabilité à côté d'autres qui sont en pleine atrophie . G. C. XXIX. Syndrome basedowien avec enophtalm
e un cas de cyphose avec ankylose partielle du rachis, accompagné d' atrophie des muscles spinaux. L'émission des rayons N'da
ropose d'explorer. Leur examen a porté sur un myopatbique atteint d' atrophie complète du deltoïde, incomplète des muscles de
N paraît donc, dans ce cas, directement proportionnelle au degré d' atrophie , musculaire. Dans trois cas de névrite (polynév
ies dans la diphtérie. G. Durante. Du processus histolo- gique de l' atrophie musculaire. E. Maurel. Contribution à l'étude e
ésions artérielles du fond de l'oeil, de l'oedème et sur- tout de l' atrophie papillaire. . C'est bien en effet cette dernièr
lésions du fond de l'oeil. : » atrophies blanches de la pupille, 1 atrophie grise, 1 scléro- ellOrOÏdiLe postérieure sans m
le facial à sa sortie du trou osseux, en arrière de la parotide, l' atrophie qui n'existait pas dans la section en avant de
re étaient sains; 3- La couche optique gauche était atrophiée, et l' atrophie intéressait les noyaux latéral médian et ventra
res étaient intacts. La radiation optique gauche était atrophiée, L' atrophie de la couche optique était entièrement sous la
deux hémisphères dont le droit présentait aussi un certain degré d' atrophie générale. Ceci semble être indépendant de la lé
encontrent dans ce trajet sont dues à la dégénération rétrograde. L' atrophie musculaire dans les cas aigus dépend vrai- semb
malade, dont les symptômes s'étaient aggravés ; elle présentait une atrophie du nerf optique à droite; à gauche une légère d
e dans le quadriceps, le couturier et le carré pronateur. Outre une atrophie très marquée il rencon- tra des altérations mus
tions ou auto-intoxi- cations chroniques. Elle se caractérise par l' atrophie simple ou pseudo-pigmentaire des cellules attei
iproque est vraie : l'absence d'influx du stimulus amène. une lente atrophie régressive, d'abord du protagone dans la gaine
ribuée n'a été que le prélude des manifestations les plus graves. Atrophie cérébelleuse cérébrale. lliV. Boasrrenrr,LE et
ntile. L'un des deux frères était mort son autopsieavait révélé une atrophie cérébelleuse. Les auteurs avaient émis en 1900
Société, l'encé- phale de ce deuxième enfant, atteint lui aussi, d' atrophie cérébel- leuse. Il s'agit donc là d'une maladie
diotie et la diplégie cérébrale infantile et ana- tomiquement par l' atrophie cérébelleuse. ' Scléroses combinées médullaires
rvation des extenseurs des pieds. Musculature de la cuisse intacte. Atrophie et paralysie des fessiers. Tremble- ments fibri
iguë d'origine organique compli- quée d'hystérie, par Popow, 321. Atrophie . Voir Cervelet. - muscu- laire du membre inféri
60 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de paralysies musculaires, de perte d'un organe (oeil, nez, etc.) d' atrophie , etc., suivant qu'un nerf a été coupé, que le c
e du haut d'un trapèze : il lui resta une paralysie incomplète avec atrophie des muscles du côté gauche de la face. Vie acci
Hitzig l'observa en 1874, et que la perte d'un oeil détermine une atrophie ascendante des tubercules quadrijumeaux antérie
action à distance, d'une dégénération secondaire descendante, d'une atrophie des ganglions du mésocéphale consécutive à une
e mois qu'elle a vécu, ces circonvo- lutions ont dû s'atrophier » , atrophie résultant de l'inactivité fonctionnelle de ces
tés et une partie du lobe pariétal. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 3 atrophie descendantedégénérative bilatérale des tuber- c
on, et Monakow, 1 avait cons- taté que le corps genouillé interne s' atrophie secondai- rement après extirpation du lobe temp
mporaux au regard des autres régions cérébrales, en particulier une atrophie marquée, sur l'un de ces cerveaux, de la T i ga
italiens de Pavie, de 1887, Frigerio a rapporté une observation d' atrophie de la corne d'Ammon gauche dans un cas d'halluc
e Dr Darier 2, qui aurait obtenu de bons résul- tats dans des cas d' atrophie du nerf optique, par la suspension. On ne peut
ons. Depuis l'âge de deux ans, ces jeunes gar- çons sont atteints d' atrophie du nerf optique, avec nystagmus, mouvements eho
les-ci, des plus accentuées, telles que la méningo-encéphalite ou l' atrophie des circonvolu- tions. Et parmi celles-ci nous
ot; car ces lésions peuvent servir à établir une transition entre l' atrophie de la substance grise que nous étudions et les
UE. sur les extrémités des nerfs, ce qui donne comme résultat une atrophie de toutes ces parties. L'auteur rapporte la pares
altération de l'humeur, taciturnité, douleurs à la tête et au dos, atrophie et absence de la glande thyroïde, anémie généra
t circulatoire. D'autre part, on constate chez les deux malades une atrophie blanche de la pupille. On peut se demander jusq
chez la première, l'aspect de la papille faisait plutôt penser une atrophie primitive des nerfs optiques. Toutefois, plus d
s produits inflammatoires s'étant résorbés, il ne soit resté qu'une atrophie progressive. En sup- posant l'atrophie primitiv
bés, il ne soit resté qu'une atrophie progressive. En sup- posant l' atrophie primitive, on peut se demander si elle doit êtr
t en ce cas quelque chose d'ana- logue à ce que l'on observe dans l' atrophie musculaire pro- gressive où l'on voit se dévelo
des cellules multipolaires des cornes antérieures de la moelle, une atrophie des fibres du nerf moteur et des muscles auxquels
mois. Les symptômes constatés furent les suivants : Paralysie avec atrophie des muscles des lèvres et diminution considérab
constata au microscope des altérations scléreuses ayant déterminé l' atrophie des cellules du noyau de l'hypoglosse, du facia
s de l'oesophage, de l'accélération du pouls. L'autopsie révéla : Atrophie des racines ascendantes du trijumeau des deux côt
intégrité, par contre, des noyaux du nerf vague et de l'accessoire. Atrophie des fais- ceaux radiculaires intra-bulbaires du
du pneumo-gastrique, de l'ac- cessoire, du glosso-pharyngien. Cette atrophie se poursuit sur les racines émergentes de ces n
s; dansla moelle, le même processus parait plus avancé encore, et l' atrophie des élé- ments nerveux portée très loin. Ces lé
Arch. de Neurologie, n° J3, p. 177. 334 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. L' atrophie des circonvolutions et de la moelle résulte donc
e la moelle résulte donc de la condensation de la névroglie et de l' atrophie des éléments nerveux eux-mêmes et est masquée e
e avec la prédomidance de quelques symptômes à gauche. - Malgré l' atrophie plus marquée du côté gauche du corps, il n'y a
ion qui nous est expliquée par les différents états aboutissant à l' atrophie que l'on peut observer sur les coupes. Sur une
n a dit que les vaisseaux paraissaient plus nom- breux à cause de l' atrophie du cerveau. C'est pour la paralysie générale qu
a paralysie générale que cette opinion a été émise, quoique cette atrophie soit réelle; et il suffit de com- parer le cône
sur les coupes prises dans l'hémisphère gauche, on ne voit que de l' atrophie simple, sans les taches de désintégration que n
on que nous avons si souvent retrouvées. C'est donc un exemple de l' atrophie simple, ou -plutôt du non-développement, sans t
rescence; soit qu'elles n'existent plus, soit que le .processus d' atrophie ait été différent, ce que nous ne (pouvons savo
les retrouvons, coïncidant il est vrai, avec les mêmes lésions d' atrophie et d'état chagriné à l'oeil nu. L'atrophie et l
ec les mêmes lésions d'atrophie et d'état chagriné à l'oeil nu. L' atrophie et l'état chagriné des circonvolutions se retro
A l'autopsie, on constate que l'épilepsie est symptomatique d'une atrophie considérable de l'hémisphère droit du cerveau et
'hémisphère droit du cerveau et de l'hémisphère cérébelleux gauche, atrophie caractérisée par un amaigrissement profond des
parenchymateux normaux. Il détruit l'harmonie des couches et les atrophie d'une façon inégale, puisque ses prolonge- ment
A l'autopsie, aspect foetal du cerveau; arrêt de développe- raient, atrophie et état chagriné de la partie postérieure de l'aé
rvation XI. Le malade suivant était aussi un épileptique, atteint d' atrophie cérébrale, mais cette atrophie n'était point la
tait aussi un épileptique, atteint d'atrophie cérébrale, mais cette atrophie n'était point la LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE.
ONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 347 grande sclérose lobaire, c'était une atrophie partielle et que l'on peut, jusqu'à un certain
stinguer trois étapes : 1° prolifération vasculaire; 2° sclérose et atrophie des cellules nerveuses ; 3° formation des cavit
posés ; enfin les cellules pyramidales présentent tous les degrés d' atrophie . Nous n'avons pas insisté sur leur vacuolisatio
rêter. Du côté de la substance blanche, il est facile de voir son atrophie ; la multiplication des noyaux des petites cellu
n française, p. 449, 1865. Magnan. Thèse, p. 323, 1866. Cotard. Atrophie partielle du cerveau. Thèse, 1868. 17' ANATOMIE
en. - Maladies de la moelle, p. 56, 1879. Magnan. Idiotie, mutisme, atrophie scléreuse gauche. Soc. biologie, 1881. Bourne
phale, p. 155, 1883. . Danillo. Encéphalite parenchymateuse avec atrophie partielle. - Archives de Neurologie , t. Il, p.
es de la couronne rayonnante (distinct du faisceau pyramidal), et s' atrophie secondairement aux lésions destructives de la z
ons une prolifération et une division des cellules, et non pas leur atrophie , donc nous avons dans ce cas non pas un process
second cas, comme dans le premier, il existait un cer- tain degré d' atrophie cérébrale, ayant, selon tarègle, comme siège un
. Enll (d'Heidelberg). De la dystrophie musculaire progressive. - L' atrophie musculaire progressive se décompose en deux for
ique (dystrophie musculaire progressive). Cette dernière comprend l' atrophie musculaire juvénile (Erb), la pseu- dohypertrop
musculaire juvénile (Erb), la pseu- dohypertrophie de l'enfance, l' atrophie musculaire héréditaire (Leyden), l'atrophie mus
trophie de l'enfance, l'atrophie musculaire héréditaire (Leyden), l' atrophie musculaire progressive infantile de Du- chenne
par de l'hypertrophie ; en même temps les fibres s'altèrent et l' atrophie graduelle s'accompagne bientôt d'hyperplasie du t
s affaires de la Société. M. HOFFMANN (privat-docent). Sur un cas d' atrophie musculaire progressive. - L'orateur le désigne
L'orateur le désigne sous le nom de forme tenant le milieu entre l' atrophie musculaire spinale et l'atrophie muscu- laire m
de forme tenant le milieu entre l'atrophie musculaire spinale et l' atrophie muscu- laire myopathique, à l'exemple des obser
e, d'une dégénérescence nerveuse multiloculaire et propose le nom d' atrophie musculaire progressive neurolique bien que, ain
s travaux de COTARD ; qu'il nous suffise de signaler sa thèse sur l' Atrophie partielle du cerveau (1866) et quelques communica
61 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
SCENCES SPINALES. 35 contournement flexueux du cylindraxe en voie d' atrophie et se présentant comme une ligne izzcuroée, au
n résultat de l'emploi, l'extrait thyroïdien dans un têt cas. II. Atrophie primitive des muscles du tronc et des membres ; p
Psyc)ciut., XXVI, 2.) Sorte de cirrhose cérébelleuse, c'est-à-dire atrophie des éléments nerveux par multiplication des élé
accusait depuis longtemps une faiblesse de la vue consécutive à une atrophie du nerf optique, mais qui ne l'empêchait pas de p
ire et du niveau intellectuel. Pas de cécité psychique. Autopsie. Atrophie du cerveau généralisée. Petits foyers sans impo
. pas ramollie sur les coupes antérieures, mais elle présente une atrophie de ses faisceaux. Le fornix gauche présente des s
de constituer un. nouveau type indépendant de la polynévrite, de l' atrophie musculaire névropathique progressive, de l'atro
lynévrite, de l'atrophie musculaire névropathique progressive, de l' atrophie musculaire Duchenne-Aran, de la sclérose latérale
. 56 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. symptômes infectieux, par de l' atrophie avec parésie de la région qui englobe le bassin
'apprend pas à marcher et ne peut se tenir debout sans aide. Puis l' atrophie avec la paralysie ^ gagne supra et infra, frapp
s. La paralysie, toujours flasque, progresse parallèlement avec l' atrophie . Jamais il n'y a d'hypertrophie ou de pseudo-hype
éflexes cutanés, intégrité de la sensibilité et des sphincters. L' atrophie de la substance musculaire est excessive; il y a
souffre aucune exception. Anatomie pathologique : disparition par atrophie des cellules des cornes antérieures dans toute la
nérescence des troncs nerveux antérieurs. Les muscles subissent : l' atrophie simple, la dégénérescence homogène, et fragment
aux phénomènes parétiques ou paralytiques; il en est de même pour l' atrophie des muscles et ponr divers troubles cutanés, se
résultats de l'autopsie, en choisissant les plus saillants : légère atrophie des régions frontale et pariétale; sur le bord
l'opinion de ce dernier auteur, ces changements con- sistent dans l' atrophie et la vacuolisation des cellules, dans les chan
rtie. Schaffer aussi rencontra dans la polynévrite alcoolique une atrophie des cellules des cornes antérieures et des cordon
rveaux séniles d'aliénés que l'auteur a examinés pré- sentaient une atrophie plus ou moins marquée et une diminution de poid
sa strialion manque de netteté. La substance blanche participe à l' atrophie superficielle; elle est de consistance ferme. On
pathogénie des lésions qui viennent d'être signalées. R. M. C. VU. Atrophie ET sclérose du CERVELET; par C. HUBERT-Bo\D. (T
eur ensemble sous le nom d' « astasie » et que Ferrier rattache à l' atrophie du cervelet. Ce cas nous montre aussi que l'exi
troncs nerveux avec sensibilité à la pression, d'un certain degré d' atrophie avec diminution de l'irritabilité faradique, avec
multiple. L'abolition du réflexe du genou, avec paralysie flasque, atrophie , et perte de la sensibilité faradiqne du muscle
HÉMIPLÉGIE gauche : PERTE DES réflexes superficiels ET PRO- FONDS ; ATROPHIE musculaire considérable; anesthésie marquée de
squelles on puisse légitimement baser une théorie de l'origine de l' atrophie musculaire dans l'hémiplégie. R. M. C. XIV. L
re la part de l'état des parties molles qui recouvrent les os, leur atrophie étant en rapport avec une perception plus nette
raire obnubilant le son dans cette région. P. Keraval. XXII. DE l' atrophie musculaire dégénérative dans la paralysie PROGR
rophies, de par leur siège et leur répartition, se distinguent de l' atrophie ordi- naire de la paralysie générale, et, par l
eté des altérations qualitatives de l'excitabilité galvanique, de l' atrophie lente tabé- tique. M. Hoche discute à ce sujet
uisent l'acromégalie, de même que le myxoedème est le résultat de l' atrophie de la glande thyroïde. La lésion dépénérative a
initivement, les contrac- tures gagnent les membres supérieurs où l' atrophie est très mar- quée, tandis qu'elle est légère s
u groupe antéro-interne des cellules de la corne anté- rieure ; g). Atrophie du noyau de la douzième paire. Après une discus
s d'eux, on rencontre fréquemment des caractères : névrite optique, atrophie papillaire, troubles de la vessie, inexcitabili
alors le plus souvent le type de la paralysie spinale aiguë ou de l' atrophie musculaire progressive. Ce travail se termine par
complètement oblitérés, avec disparition complète de la lumière et atrophie des parois. Sur quelques préparations de la pea
moindre dans les cas spasmodiques que dans les cas tabétiques. - L' atrophie de la moelle est la règle dans la paralysie gén
ytiques généraux de rencontrer des lésions trophiques, telles que l' atrophie de la peau, des muscles et des os, des destruct
E MENTALE. .XLVII. Observation DE paralysie générale associée A une atrophie musculaire progressive; par P. SCHUSTEIt. (Neur
oalgésie dans les jambes (moindre à la parlie supérieure du corps); atrophie musculaire extrême. Il s'agit évidemment de deux
git évidemment de deux maladies, car l'un des complexus morbides (l' atrophie ) précédait l'autre (la démence paralytique) de
ar exemple du tabes dorsal, d'avec la névrite mulliloculaire avec atrophie , d'avec la syringomyélie. Conviendrait-il d'admet
ctuel et un autre dans lequel - la paralysie générale précéderait l' atrophie ? On ne sait. Y aurait-il lieu de tenir pour ac
pour accidentelle la coexistence de la paralysie géné- rale et de l' atrophie , ou de considérer cette coexistence comme due à
ES. 383 puisse s'exercer de fonction minima. Ceci dit, l'étude de l' atrophie du lobe optique des oiseaux prouve, d'après M.
nt placées il la périphérie anté- rieure de la corne postérieure. L' atrophie de la rétine et du nerf optique des tabétiques
arasme, mort. On constate à l'autopsie : de l'artério-sclérose; une atrophie générale du cerveau ; un foyer de ramollissemen
existe des formes intermédiaires, entre la maladie de Friedreich, l' atrophie du cer- velet, l'ataxie cérébelleuse héréditair
agit pas, dans ces cas, comme on l'a souvent prétendu, d'une simple atrophie d'une moitié de la moelle. La lésion pre- mière
dégénération bien localisée d'un segment du cordon de Burdach et l' atrophie ne vient que consécutivement. Les cellules scns
bre de cellules dans les cornes antérieures du renflement lombaire. Atrophie musculaire dans la région de l'éminence thénar
re. Atrophie musculaire dans la région de l'éminence thénar droite. Atrophie et disparition totale des libres dans les extré
e paralysie complète de l'oculo-moteur commun du côté gauche et une atrophie du nerf optique; du côté droit on note la perte d
urs et les nôtres, comme caractérisant la dégénérescence ou mieux l' atrophie rétrograde dans sa forme typique. ' Revue de Mé
es auteurs qui ont établi ce fait. 426 1N1T0911li PATHOLOGIQUE. l' atrophie que nous appelons rétrograde est plus obscur. M
Wallérienne ; à celle du bout central le nom de dégénérescence ou d' atrophie rétrograde , tout en acceptant d'ailleurs certa
dans les maladies du neurone précédent ; ce tableau est celui de l' atrophie musculaire progressive. Les muscles s'atrophien
nt ; les paralysies ne se produisent qu'en raison du degré de cette atrophie qui n'est jamais absolue ; les réflexes diminue
nés les mani- festations des deux variétés précédentes. 11 y aura l' atrophie musculaire, ce caractère principal des dégénére
acture va se compli- 430 0 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. quer d'un peu d' atrophie musculaire impliquant la partici- pation du neu
ue dans la variété du télétabès. Ainsi, par exemple, il n'y a pas d' atrophie de la papille dans les formes spinales tabétiqu
albatl, 1er avril 1895, p. 290. 1 Les malades qui ont le tabes avec atrophie de la papille délirent souvent, mais ils ne son
s, malgré cette différence, se dessinent nettement : aucun indice d' atrophie . L'aisselle droite est le siège de troubles troph
res doigts n'offrent qu'une hypertrophie de la peau. Il n'y a pas d' atrophie des éminences thénar et hypothénar (fig. 28). b
des doigts. Signalons aussi l'attitude des mains en crochet et une atrophie , à droite, des éminences thénar et hypothénar.
t. Sans doute, une lésion hémi-cérébrale est parfois suivie d'une atrophie de l'hémisphère cérébelleux du côté opposé, mais
du corps des cellules nerveuses en fines granulations, suivie d'une atrophie homogène progressive du noyau. Quelquefois il y
Les symptômes consistaient en : hémianopsie et plus tard amblyopie, atrophie du nerf optique du côté droit, alexie, agraphie
die de Morvan, mais y est plus fugace. Comme troubles trophiques, l' atrophie mus- culaire prime dans la syringomyélie les pa
ns latéraux de la moelle; une observation d'ataxie locomotrice avec atrophie musculaire et ataxie du tonus, par le Dr Sacaze
ouvements involon- taires au repos chez les - par Grasset, 493. Atrophie primitive des muscles du tronc et des membres p
u- par Belmondo, 480. Cervelet. Pathologie du -, par Arndt, 51. Atrophie et sclérose du -, par Hubert Boud, 213. Diagn
Hémiplégie gauche, perte des ré- flexes superficiels et profonds, atrophie musculaire, etc., par Es- kridge et Peterson, 2
Campbell, 134. - chez une fillette de neuf ans, parDunn 137. De l' atrophie musculaire dé- générativedans la -, par Hoche,
cliniques et pathologiques de la-, pai-Fari-ar. - associée à une atrophie mus- culaire, par Schuter, 354. Quelques prob
62 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rtante doit être faite aux lésions cons- tatées du côté du coeur. L' atrophie du muscle, cardiaque a été observée chez un cer
és à des formications pas- sagères, évolution apyrétique, absence d' atrophie ; réaction normale des muscles et des nerfs à l'
Cette affection, que Duchenne (de Boulogne) a décrite sous le nom d' atrophie musculaire progressive de l'enfance"est une malad
enfance"est une maladie spéciale qui n'est pas de même nature que l' atrophie musculaire progressive de l'adulte; car, tandis
nale, le système nerveux ne prend aucune part dans l'évolution de l' atrophie de l'enfance qui est exclusivement myopathiqzte
erveuse. 79 (rire en travers, immobilité des traits). De la face, l' atrophie se généralise aux membres, en étant toujours pl
nerfs n'offrent aucune altération. Au point de vue diagnostique, l' atrophie des muscles de la face a une valeur absolue qui
une valeur absolue qui permettra de repousser d'emblée l'idée d'une atrophie musculaire myélopathiqne. Si les muscles de la
e la « forme .juvénile » de Erb par la participation de la face à l' atrophie , l'absence de pseudo-hypertrophie, et la fréque
irréparables du système nerveux (fixité, immobilité de la pupille, atrophie des deux nerfs optiques, complexus symptomatiqu
ral. Enlevez un hémisphère cérébral à un lapin, vous obtiendrez l' atrophie du faisceau de l'hémisphère qui se rend au tuberc
en rapport avec le lobe pariéto-occipital; vous obtiendrez encore l' atrophie du groupe de cellules nerveuses du tubercule an
d'un hémis- phère, disait M. de Gudden, le faisceau de la calotte s' atrophie aussi, il n'en reste qu'un élément. Cela est en
il n'en reste qu'un élément. Cela est encore vrai. Seulement, cette atrophie partielle est uniquement la conséquence d'un arrê
li, sur laquelle se renverse l'hémisphère cérébral normal ; de là l' atrophie partielle du nerf lui-même. Le ganglion ventral
est comprimé et demeure en retard dans son accroissement, de là une atrophie parallèle des trous- seaux de fibres correspond
avec ou sans la partie antérieure de la couche optique, détermine l' atrophie des tractus du faisceau de la calotte situés in
le plan ventral du faisceau longitudinal postérieur. (Voyez supra l' atrophie par compression de la portion ventrale du gangl
s et des mains, bientôt remplacées par des contractures vives, de l' atrophie mus- culaire, de la diminution de l'excitabilit
t celui du facial ; on a vu en plusieurs cas du strabisme. Jamais d' atrophie musculaire dégénératrice à proprement par- ler,
compagner d'immobilité ou d'irrégularité pupillaire, par névrose ou atrophie du nerf optique, et leur diagnostic est facilit
. . L'hémianopsie latérale avec immobilité pupillaire, névrite ou atrophie du nerf optique, surtout s'il s'y joint des sym
nique d'ori- gine rhumatismale, il s'est produit un certain degré d' atrophie du triceps crural (amyotrophie d'origine articu
de fibres qui doit être en rapport avec le noyau du cordon latéral ( atrophie de ce noyau). Où se termine le corps restiforme
n tout cas l'extirpation totale de la moitié du cervelet entraîne l' atrophie d'un corps restiforme et toujours du corps rest
t interne du pédoncule cérébelleux in- férieur qui contraste avec l' atrophie notable du corps restiforme : on peut également
s corticales du cervelet. Quant à son trajet extra-cérébelleux, son atrophie est en rapport le plus intime avec. 236 REVUE D
ouge de la calotte (de Stilling) du côté opposé, mais ce noyau ne s' atrophie simultanément que partiellement.-d. Pédon- cule
rement dans les cellules protubérantielles qui empêchent tout autre atrophie au sein de ce pédoncule. B. Trajet du faisceau
tal, mais il est impossible de dire pourquoi l'on ne perçoit plus d' atrophie de la couche intermédiaire des olives dès qu'on
t en connexion avec les deux faisceaux d'une manière assez égale. L' atrophie des centres optiques primaires présente à peu prè
les ner- veuses de la couche grise superficielle qui commandent à l' atrophie . 1 Voy. Archives de Neurologie, t. X, p. 104 et
e, l'ablation de la partie médiane de la sphère visuelle entraîne l' atrophie de toute l'étendue des faisceaux conducteurs jusq
res au-dessus du filum terminal. L'examen histologique révèle : une atrophie extrême de tout le cône médullaire au point d'é
nt la mort en quatorze jours. Autopsie. Aucune lésion syphilitique. Atrophie simple, mais générale des nerfs optiques. Lésio
région lombaire, de larges segments périphériques du même système : atrophie des racines'postérieures de la moelle lombaire.
es égaux; intégrité du cervelet, des nerfs et vaisseaux de la base, atrophie extrême du corps calleux, de la voûte à trois p
ue de ce genre, on a trouvé à l'autopsie de la pachyméningite, de l' atrophie cérébrale, de la périhépatile et de la périsplé
les évidents de forme relatives aux §§ a et sont constitués par l' atrophie et l'hypertrophie faciales unilatérales, formes c
es membres inférieurs. Excitabilité électiiqup normale; absence d' atrophie en masse des muscles paralysés : pas de convulsio
e poliomyélite de la forme la plus légère, c'est-à-dire dépourvue d' atrophie et de réaction dégénérative des muscles paralys
èse de la compression pathogénétique, qui généralement provoque une atrophie du système musculaire avec altération de la réa
dix jours dans la liqueur de lltueller, décorti- quer les organes); atrophie considérable mais non uniforme du cerveau antér
ne possède pas d'état anatomo-pathotogique spécifique. En effet, l' atrophie du cerveau antérieur, les traces et résidus d'h
erturbations de la paralysie générale, auxquels se joignent alors l' atrophie des nerfs optiques etjla dégénérescence grise des
ie, un ensemble morbide rappelant la paralysie générale, enfin de l' atrophie des nerfs optiques avee du tabès . L'associatio
Com- munication provisoire sur un cas de paralysie saturnine avec atrophie , chez un homme de vingt-six ans, ayant souflert a
ravant pendant quatre ans de l'intoxication par le plomb. Mort par atrophie granuleuse des reins. L'examen n'est pas encore
recueil ? . M. Zacher (de SLepliansfeld). Sur la disparition par atrophie des fibres nerveuses à myéline de l'écorce du c
décelé d'autres traces d'anêts de développement. En tout cas, si l' atrophie des fibres intracorticales du cerveau du paraly
dans tous ses modes; ralen- tissement des impressions douloureuses. Atrophie des interosseux des deux mains et des muscles d
tructure du tube nerveux une série de modifications aboutissant à l' atrophie plus ou moins complète. Dans l'immense majori
l'homme, et M. Gombault a pu l'observer chez des sujets atteints d' atrophie mus- culaire protopathique, de sclérose latéral
. Enfin, au degré ultime, toute trace de myéline ayant disparu, l' atrophie est complète. La gaîne de Schwann se présente sou
Schwann affaissée ou plissée. Quelque soit d'ailleurs le degré de l' atrophie , jamais on ne constate dans la gaîne de Schwann
lisée. Enfin la physionomie de ces accidents est com- plétée par l' atrophie et la diminution de l'excitabilité faradique de
ment; au sur et à mesure de leur élimination, la fibre s'amincit, s' atrophie , d'abord en quelques 'points, puis sur toute so
Soelbrig, de Munich) de l'inégalité des cornes d'Ammon et de leur atrophie ou sclérose (Meynert, Kéraval), de l'asymétrie de
CUEIL DE FAITS. ventricules. Pas d'inégalité des cornes d'Ammon, ni atrophie ni ramollissement. Cervelet : Les deux lobes
Rien à noter la coupe. Pas de ramollissement, ni d'induration, ni d' atrophie de la corne d'Ammon. Hémisphère gauche : poids
hésies, exagération des réflexes tendineux , immobilité pupillaire, atrophie musculaire et cutanée, cv-tite, in-omnie, accid
vins généreux. Trois observations. . II. Traitement galvanique de l' atrophie musculaire progressive. - On prend souvent pend
par l'hydrothérapie; par H. DUPI1É. (Thèse de Paris, 1885.) De l' atrophie du triceps crural dans les fractures de la rotule
63 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
e de la vie animale, se traduisant par une impuissance motrice et une atrophie plus ou moins accusées, sont, ainsi que je vous l
, en pareille circonstance, semble être proportionnelle au degré de l' atrophie subie par le muscle. Ce sont là deux cas extrêm
ile dans les cadres classiques, la paralysie glosso labio-laryngée, Y atrophie musculaire progressive. J'espère vous démontrer q
ga-lement arquées des deux côtés à cause de la scoliose. Bassin : l' atrophie est manifeste. Il est plus petit que ne le com-po
es molles. Celles-ci n'exis-tent presque point pour ainsi dire, car l' atrophie musculaire semble complète. A peine voit-on quelq
peau. Mouvements en partie détruits, en partie conservés, suivant l' atrophie musculaire plus ou moins complète. L'action des m
a voix revint, mais la paralysie des membres augmenta, et avec elle l' atrophie musculaire. Le sang fut examiné quatre fois aux
enne ou aux intumescences dues au tubercule, au carci-nome, etc. 2° Atrophie du foie. L'atrophie du foie peut dépendre, comme
ences dues au tubercule, au carci-nome, etc. 2° Atrophie du foie. L' atrophie du foie peut dépendre, comme pour la rate, d'une
e pour la rate, d'une inflammation chronique interstitielle, ou d'une atrophie pure et simple du parenchyme du foie, on d'une at
lle, ou d'une atrophie pure et simple du parenchyme du foie, on d'une atrophie jaune aiguë. La première de ces affections a quel
écarter l'hypéré-mie chronique du foie, l'infiltration graisseuse, l' atrophie jaune et la pyléphlébite. 5° Altération morphol
ulation géné-rale. Si à l'hyperplasie de la rate vient se joindre une atrophie du foie, celui-ci détruira moins de microcytes, d
tient en grande partie à l'ad-hérence de la peau au maxillaire et à l' atrophie de la peau, condi-tions qui mettent obstacle au j
aru. On ne se rend pas toujours un compte exact de l'étendue de cette atrophie , parce qu'elle est souvent masquée, ne l'oublions
fait ressortir : c'est l'arrêt de développement du système osseux. L' atrophie qui affecte les os n'est nullement en rap-port né
rt nécessaire avec le degré ou avec l'étendue de la paralysie et de l' atrophie musculaires. Ainsi, suivant une remarque de Duc
s-prononcé que présente tôt ou tard le membre paralysé. De même que l' atrophie , ce phénomène paraît s'accentuer plus dans la par
membres3. C'est peut-être le lieu de faire remarquer qu'en outre de l' atrophie des muscles et des os, on trouve à l'autopsie, da
génie de ces déformations n'offre pas d'obscurités. Nous savons que l' atrophie n'est pas répan-due uniformément sur tous les mus
artie des faisceaux primitifs subirait dans celte première période, l' atrophie simple, sans dégénération graisseuse. L'examen mi
l'opinion généralement répandue, le même caractère se retrouve dans l' atrophie musculaire progressive de cause spinale. Les lé
e la moins impor-tante. Ainsi, nous avions constaté l'existence d'une atrophie des cor-dons antérieurs de la substance grise et
fait, rapporté en 1869 par MM. L. Clarke et Z. Johnson, sous le nom d' atrophie musculaire, doit être, croyons-nous, rapproché du
brusquerie de l'invasion des accidents, le mode de localisation de l' atrophie des muscles ne laissent guère subsister de doute
; or, dans ce cas encore, l'examen microscopique a fait reconnaître l' atrophie des cornes antérieures, la disparition ou l'atrop
it reconnaître l'atrophie des cornes antérieures, la disparition ou l' atrophie granuleuse d'un certain nombre de cel-lules nerve
ructure normale. Enfin nous signalerons dans notre observation, une atrophie avec sclérose partielle des cordons antéro-latéra
e atrophie avec sclérose partielle des cordons antéro-latéraux et une atrophie très-prononcèe des racines antérieures, remarquab
paux symptômes de la maladie, en particulier la paralysie ainsi que l' atrophie des muscles ; nous avons en outre émis l'opinion
est là le fait anatomique initial ; les lé-sions de la névroglie et l' atrophie des racines nerveuses devant être considérées com
relative du cerveau gauche de notre malade est bien en rapport avec l' atrophie de cette moitié de la tête. L'exploration des o
rationnel que nous puissions invoquer pour expliquer les phénomènes d' atrophie dont le torticolis est le point de départ. REVU
ation au bord libre des ongles des deux der-niers doigts. Peut-être l' atrophie du filet sous-unguéal des rameaux digitaux du cub
), m'ayant appris qu'il avait démontré par l'exploration électrique l' atrophie de la portion interne du court fléchisseur du pou
ges quand on veut examiner la conlractilité des muscles et le degré d' atrophie , surtout lorsqu'on fait ces recherches chez des e
d'ajouter qu'il ne se rapporte qu'au cas où le muscle n'a pas subi d' atrophie bien considérable. On ne peut guère comprendre qu
aciales, dans les paralysies infantiles, dans certains cas hybrides d' atrophie musculaire pro-gressive, et à une certaine périod
II. La troisième partie est consacrée aux Lésions de nutrition : Io atrophie : par lésion de la texture de la rate (échine-coq
ion de la rate; on la rencontre soit avec l'hypertrophie, soit avec l' atrophie de l'organe; 5° Gangrène de la rate. IV. Dégéné
Académie des sciences. Eh bien, dans aucun des cas, ni dans des cas d' atrophie , de rhumatisme articulaire chronique ou de contra
ans la circulation intra-oculaire sont moins prononcés dans les cas d' atrophie de la pupille, mais ils existent cependant cl ain
si peut s'expliquer comment, dans quelques cas, on peut arrêter celte atrophie et même obtenir une amélioration. Dans trois cas
ter celte atrophie et même obtenir une amélioration. Dans trois cas d' atrophie de la pupille, nous avons incontestable-ment obte
en est d'autres enfin où nous n'avons pu obtenir aucun résultat, et l' atrophie a continué à envahir le nerf optique. Chez deux
ontinus est celui que nous avons obtenu chez une malade qui avait une atrophie musculaire généralisée à la suite d'une fièvre ty
bras et de sa main ni pour manger, ni pour s'habiller; il y avait une atrophie visible à l'œil nu dans tous les muscles du bras
nous ayons observé ces phénomènes. Chez une autre malade atteinte d' atrophie musculaire progres-sive, le résultat ne paraît pa
rite du genou gauche, épaississement unilatéral du tissu sous-cutané, atrophie simultanée des muscles, intumescence de la mamell
utané, atrophie simultanée des muscles, intumescence de la mamelle et atrophie du testicule correspondant. Cette relation entre
correspondant. Cette relation entre l'intumescence de la mamelle et l' atrophie du testicule correspon-dant étudiée, d'abord, par
-gien doit toujours prévoir la possibilité : nous voulons parler de l' atrophie de l'utérus. Celle-ci peut devenir une cause d'er
4 centimètres. Par le toucher rectal, il fut facile de constater une atrophie de la ma-trice. Celle-ci présentait, en outre, un
e élongation congénitale du col, compliquée d'antéversion légère avec atrophie de l'utérus. Telles sont les diverses complicat
également se mon-trer comme conséquence de l'altération médullaire : atrophie mus-culaire, arthropathies, zona, eschare sacrée,
ngite cervicale, les douleurs précoces dans les membres supérieurs, l' atrophie musculaire rapide qui leur succède, la paralysie
e temporale superficielle; liga-ture, 213. — rénale; anomalie, 182. Atrophie musculaire progressive traitée par les courants c
64 (1934) Oeuvre scientifique
de méningo-encéphalite diffuse, le tabes étant caractérisé par de l' atrophie papillaire du côté droit, le signe de Robertson,
rs ful- gurantes, des crises gastriques, des crises laryngées, de l' atrophie papil- laire, etc., les réflexes tendineux n'ét
is ; néanmoins, l'irréflectivité s'établit généralement avant que l' atrophie des muscles soit complète. Dans la poliomyélite
ans le tissu inflammatoire et que les lésions eussent déterminé une atrophie considérable des muscles. RÉFLEXES TENDINEUX ET
ent et finissent par disparaître au sur et à mesure que progresse l' atrophie . Cependant Landouzy et Dejerine, Erb, Marie, Guin
t d'autant plus frappante qu'elle s'associe le plus sou- vent à une atrophie musculaire. Bien plus, l'amyotrophie sans réactio
n est toujours plus marqué du côté du membre atrophié, même quand l' atrophie relève d'une paralysie hystérique. J'appelle
ramollissement plus ou moins anciens. Mais on note aussi des cas d' atrophie ou plutôt d'agénésie partielle s'étendant parfo
les cérébelleux. André Thomas, traitant ce sujet, rapporte un cas d' atrophie olivo- ponto-cérébelleuse où l'examen anatomiqu
tte particularité qu'il a observée chez quelques malades atteints d' atrophie musculaire progres- sive, de poliomyélite antér
ë, de paralysie saturnine des exten- R LECTROLO CI E 225 seurs, d' atrophie musculaire ab-articulaire ('). D'après Huet, ce f
ner des troubles des organes génitaux, la suppression des règles, l' atrophie de l'utérus ; il est donc bien naturel qu'une s
oisin de la surdité, et une décoloration papillaire bilatérale avec atrophie des vais- seaux, sans affaiblissement de l'acui
mastoïdien droit, mais il est difficile de savoir s'il s'agit d'une atrophie du côté gauche ou d'une hypertrophie du côté dr
ement réduites, puisque nous ne constatons chez cette malade aucune atrophie musculaire, et qu'il existe une inté- grité par
'esprit qu'il souffre de la même maladie que son conjoint atteint d' atrophie papillaire ou d'incoordination motrice. J'ai no
emment, une femme atteinte de paralysie spasmodique associée à de l' atrophie papillaire, dont le mari présentait des signes
ire bilatérale, plus prononcée à gauche, qui a le même aspect que l' atrophie tabétique ; le Dr Dehenne, qui est très compétent
à F ? C'A C/A 77M DU CHAMP VISUEL ET DE LA VISION CENTRALE DANS L' ATROPHIE TABÉTIQUE DES NERFS OPTIQUES [J. Babinski et J.
s ayant envoyé, à l'hôpital de la Pitié, un tabétique atteint d'une atrophie des deux nerfs optiques, dont les symptômes lui p
son champ visuel, et suivre jusqu'au bout l'évolution fatale de son atrophie . Il nous a semblé qu'à cette observation, il se
e. Nous l'en remercions bien vivement. L'étude du champ visuel de l' atrophie tabétique semble à priori banale. Nous espérons
a recherche du champ visuel et l'étude de la vision centrale dans l' atrophie tabétique peuvent être parfois de la plus grand
cliniques que peut revêtir le rétrécissement du champ visuel dans l' atrophie tabétique. Ce fait, c'est l'extrême variété ave
être d'accord sur la forme du rétrécissement du champ visuel dans l' atrophie tabétique : « Leber parle d'un rétrécissement c
t-quatre observa- tions, ou plutôt de vingt-quatre champs visuels d' atrophie tabétique. Pour ne pas allonger inutilement ce
irrégularité, la varia- bilité des contours des champs visuels de l' atrophie tabétique. Chez deux malades, on constate un ré
'agissait de tabétiques avérés, présentant d'autres symptômes que l' atrophie des nerfs optiques. Sauf exception, le champ
cette forme n'est pas exceptionnelle. ' Il existe donc des cas d' atrophie tabétique des nerfs optiques où l'on constate,
mportance, au point de vue du pro- nostic, de la constatation d'une atrophie tabétique des nerfs optiques évoluant d'une faç
uellement fatale de cette affection. 3" Du scotome central dans l' atrophie tabétique. Si de Wecker, Parinaud, Rouffinet, K
ecker, Parinaud, Rouffinet, Kahler donnaient du champ visuel dans l' atrophie tabétique une description différente, ils étaient
qu'on peut obser- ver le scotome central dans 2 pour 100 des cas d' atrophie tabétique. D'après M. J. Galezowski, ce pourcen
gretter que la grande majorité de ces cas de scotome central dans l' atrophie tabétique ait été simplement énoncée sans schéma
ome central : i° chez un tabétique atteint d'amblyopie toxique sans atrophie tabétique ; 2° chez un tabétique atteint d'ambl
e tabétique ; 2° chez un tabétique atteint d'amblyopie toxique avec atrophie tabétique. On peut aussi obser- ver un pseudo-s
nt avancé quelques auteurs, que, dans certains cas, il s'ajoute à l' atrophie tabétique une névrite rétrobulbaire d'origine s
ite rétrobulbaire d'origine syphilitique. Le scotome central dans l' atrophie tabétique sans lésion surajoutée semble excessive
semble encore plus significative si l'on songe à la fréquence de l' atrophie tabétique des nerfs optiques. Conclusions. i°
tique des nerfs optiques. Conclusions. i° Il n'existe pas, dans l' atrophie tabétique du nerf optique, une forme de rétréci
ision centrale intacte : 4° Le scotome central est très rare dans l' atrophie tabétique. Quand il existe, il est le plus souv
ù nous examinons ce malade, il existe au membre supérieur droit une atrophie et une faiblesse très marquée des muscles de l'ép
a main, sont contractures à des degrés divers. Les mêmes troubles : atrophie et contracture, existent aussi au membre supérieu
a force musculaire est assez bien conservée. Il n'y a ni hypotonie ni atrophie musculaire. Les réflexes tendineux des membre
contact des urines et il existe de profondes escarres; il n'y a pas d' atrophie musculaire. Les membres supérieurs sont allon
degré d'oedème au niveau de la paume. On est frappé de suite par une atrophie marquée localisée aux muscles de la ceinture sc
s signes nous montraient que la lésion devait s'étendre en haut ; l' atrophie des deltoïdes et celle COMPRESSIONS MÉDULLAIRES
artie postérieure du bras, prédo- minent dans cette région ; légère atrophie et diminution de la contracti- lité électrique
aque jour une importance de plus en plus grande, dans JL laquelle l' atrophie musculaire est indépendante de toute lésion des
coup à la précédente. Dans une autre forme, la forme infantile de l' atrophie musculaire progres- sive de Duchenne, dont la n
le rhomboïde ; au bras : le biceps et le brachial antérieur, mais l' atrophie du triceps suit de près celle des muscles précé
il paraît vraisemblable que l'inégale participation des muscles à l' atrophie est en relation avec les différences dans le déve
écute ce mouvement les omoplates se détachent du tronc; il y a de l' atrophie des deltoïdes. Les muscles du bras et les longs s
mais il faut ajouter à ces trou- bles l'épithète de secondaires. L' atrophie musculaire dans l'hystérie (') est le type du g
s qui sont l'objet de discussions, j'es- (') Voir à ce sujet : De l' atrophie musculaire dans les paralysies hystériques, par J
otrophie liée à la para- lysie hystérique, malgré l'apparition de l' atrophie musculaire très peu de temps après le début de
s il faut alors ajouter à ces troubles l'épithète de secondaires. L' atrophie mus- culaire, dans l'hystérie ('), serait le ty
laire est redevenue normale ; il est donc permis de rattacher cette atrophie à l'hystérie. Toutefois, je reconnais qu'on pourr
illeurs ce que je pense actuellement moi-même de la nature de cette atrophie que nous avons été les premiers à décrire, mon
agi d'une autosuggestion. Mais vous auriez (1) Voir ce sujet : De l' atrophie musculaire dans les paralysies hystériques, par J
es associations hvstéro-organiques étant chose très commune. Si l' atrophie musculaire simple, sans D. R. peut dépendre de l'
ents du membre, on constate, lorsque le syndrome est complet : de l' atrophie musculaire; de l'exagé- ration des réflexes ten
Hunter (') appela le premier l'attention sur l'affaiblissement et l' atrophie des muscles qui se produisent à la suite des lési
drons seulement parmi ceux-ci le mémoire où Gosselin (') décrivit l' atrophie musculaire consécutive aux fractures des os lon
recherches d'Erb et de Rümpf); cette amyotrophie se distingue de l' atrophie dégénérative. Elle est généralement localisée a
est de la persistance des accidents deuthéropathiques (paralysie et atrophie ) après la cessation de l'affection protopathiqu
s atrophies musculaires, Thèse d'agrégation, 1869. (3) Valtat, De l' atrophie musculaire consécutive aux maladies des articulat
les plaies qui se forment accidentellement sur le membre atteint d' atrophie musculaire peuvent ne se cicatriser qu'avec une
es éléments fondamentaux du syndrome clinique que nous étudions : l' atrophie musculaire avec l'absence de R. D., la parésie et
ses Leçons cliniques sur l'hystérie à propos d'un malade atteint d' atrophie musculaire consécutive à un traumatisme. « Ces
nt d'atrophie musculaire consécutive à un traumatisme. « Ces mots d' atrophie réflexe ne correspondent à aucune conception no
n sera sans doute de même pour une grande partie des observations d' atrophie . » Cette manière de voir était la conséquence d
marquée, comme elle l'est souvent, ne pouvait être confondue avec l' atrophie musculaire hystérique qui est discrète et légèr
plus marquées avec rotation du pied en dehors. Nous constatons de l' atrophie musculaire de la cuisse, sans trouble appréciab
eurs et une hypothermie locale très manifeste. Il existait un peu d' atrophie diffuse et non systématisée des masses musculai
te de traumatismes portant sur le genou ou à la suite d'arthrite, l' atrophie peut être accentuée sans que les troubles parét
serve, tout particulièrement lorsque la lésion siège à la main, une atrophie globale nettement appréciable aux doigts qui, alo
exten- sion de la jambe avec contracture du pied en varus équin et atrophie du mollet. Cet homme était incapable de marcher
dication motrice ». Retrouve-t-on ces trois facteurs dans les cas d' atrophie musculaire, dite réflexe ? L'excitation produit
tôt affaiblie, tantôt exagérée, des trou- bles vaso-moteurs et de l' atrophie musculaire. Ces analogies entre les contracture
er des résultats satisfaisants, je crois devoir signaler deux cas d' atrophie papillaire tabétique. Ol3SErtVA1'r0\ I. Homme d
schromatopsie. A l'examen ophtalmosco- pique on constate une double atrophie papillaire bien plus marquée à gauche qu'à droi
'une manière progressive. Le Dr Parinaud constate l'existence d'une atrophie de la papille du côté gauche ; l'acuité visuell
x cas particulièrement heureux et que l'arrêt dans l'évolution de l' atrophie papillaire a simple- ment coïncidé avec la mise
pour éviter les troubles dus à la compression, et en particulier l' atrophie des nerfs optiques qui peut être la suite des n
a date de ma communication, une observa- tion de syringomyélie avec atrophie traitée par la radiothérapie ; chez ces deux ma
vec atrophie traitée par la radiothérapie ; chez ces deux malades l' atrophie s'est atténuée à la suite du traitement ('). Ce
sur la sclérose en plaques (Thèse, Paris, 1885, chez Masson). 14. Atrophie musculaire d'origine cérébrale avec intégrité des
des nerfs moteurs (Société de Biologie, 20 février 1886). ib. De l' atrophie musculaire dans les paralysies hystériques (Archi
janvier 1907). t3z. Du champ visuel et de la vision centrale dans l' atrophie tabétique des nerfs . optiques (en collaboratio
udo-tabes 349 VIII. Du champ visuel et de la vision centrale dans l' atrophie labétiquc des nerfs optiques 353 Compressions
65 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de folie systématisée non originaire, dans lequel il y avait une atrophie de l'hémisphère droit du cerveau. Leidesdorf 2
d'examiner son cerveau et sa moelle. On voit à l'oeil nu : 1" une atrophie de la moitié correspondante du crâne ; 2° l'hémis
symétrique des deux lobes occipitaux chez un foetus de huit mois : atrophie totale des deux nerfs optiques. Lacunes étendue
et destruction des deux temporales supérieures; à droite, en outre, atrophie dégénérative du pulvinar, du corps penouillé ex
s en nageoires, présentent parallèlement un raccourcissement et une atrophie de leur moelle lombaire. L'extrémité du cône te
quand un seul de ces organesa subi cette altération ; dans le cas d' atrophie bilatérale, la dimi- nution des cellules est pl
u lobe occipital demeurent intactes. On ne peut, en supposant que l' atrophie du nerf optique concerne un adulte, suivre touj
e du nerf optique concerne un adulte, suivre toujours à l'oeil nu l' atrophie de l'organe en question au-delà des bandelettes
en question au-delà des bandelettes optiques, qu'il s'agisse d'une atrophie du même côté ou du côté opposé, même après dix
un lapin nouveau-né se traduit par un arrêt de développement ou une atrophie de la bandelette optique du côté opposé, .à l'e
s que ce trousseau, il se conduit comme s'il était aveugle. A cette atrophie de la bandelette se rattache l'atrophie du corp
s'il était aveugle. A cette atrophie de la bandelette se rattache l' atrophie du corps genouillé externe ; il se présente alors
qui est probablement l'analogue du pulvinar. On ren- contre enfin l' atrophie de la couche la plus supérieure du tubercule qu
est le vrai centre visuel. Le faisceau pédonculaire transverse 1 s' atrophie quand le nerf optique s'atro- phie, mais son ce
né, à leur émergence du bulbe, sans autre mutilation, entraine l' atrophie désirable '. On sait que l'acoustique se compose
e ou racine descendante est-elle coupée, son centre correspondant s' atrophie . Je crois avoir trouvé une voie qui de ce centr
. La cinquième paire est, chez le lapin, un nerf puissant, mais son atrophie ne se tra- duit par rien sur l'écorce. Nerf o
ques points de suture, des adhérences dans la plaie, vous aurez une atrophie très modérée de la couche glomérulaire et de la
ppléance du trijumeau à l'âge de sept à huit jours), on assiste à l' atrophie totale des deux bandelettes les deux lobes rest
e, peuvent être enlevés chez le nouveau-né sans qu'il se produise d' atrophie de l'écorce ultérieure. Si l'on prend un nouvea
plus difficile; en tout cas, l'écorce ne subit en pareil cas aucune atrophie . Centres des animaux nouveau-nés, et, avant tou
aire, il faut donc se montrer très circonspect quand il s'agit de l' atrophie d'une bande- lette optique consécutive à une de
uer un rapport de cause à effet avant d'avoir sûrement constaté une atrophie anatomique depuis J'écorce jusqu'à la bandelett
2° L'ablation du lobe frontal, et cette ablation seule, entraîne l' atrophie complète des faisceaux pyramidaux. L'ablation d
blation de tout un hémisphère, y compris le corps strié, entraîne l' atrophie de tout le pédoncule du côtédroit. Chez le lapi
t reste des faisceaux pyra- midaux, l'écorce cérébrale révélait une atrophie presque complète, des grandes cellules pyramida
en revue six groupes de névropathies; les unes à lésion classée,1; atrophie musculaire progressive ( observation) ataxie lo
que : Constitution vigoureuse, muscles bien développés, pas trace d' atrophie , nutrition satisfaisante. L'intelligence et la
s membres inférieurs, considéra- blement affaiblis, présentent de l' atrophie dans le domaine du nerf crural (absence du phén
'autopsie permet de constater : une néphrite interstitielle double ( atrophie granuleuse) ; une hypertrophie du coeur ; un fo
; on y rencontre d'ailleurs peu de granulations grais- seuses, et l' atrophie des fibres est particulièrement prononcée dans
substance grise et de ses cellules. Hyperplasie interstitielle avec atrophie des tubes nerveux des cordons grêles et cunéifo
in la démence terminale est sous la dépendance d'un certain degré d' atrophie du cerveau. Comme le patient était tubercu- leu
mise en rapport qu'avec des lésions périphériques des nerfs ; 2° l' atrophie musculaire avec les déformations détermi- nées
ions détermi- nées par les rétractions fibreuses, et tendineuses; l' atrophie des muscles de la face, outre qu'elle entraîne
les titres des leçons contenues dans le présent volume : Leçon II. Atrophie ! musculaire qui succède à certaines lésions ar
tturnatique. Tic non douloureux de la face chez une hystérique. IV. Atrophie mus- culaire consécutive au rhumatisme articula
ypertrophie des circonvolutions rolandiques et du lobe paracentral. Atrophie des circonvolu- Baillarner. Annales médico-psyc
ont une certaine lenteur et beaucoup de raideur. En somme, pas d' atrophie des membres inférieurs ; tout au plus un léger
rtant la sphère visuelle a entraîné secondairement des deux côtés l' atrophie du pulvinar, du corps genouillé externe, du tub
struction des faisceaux blancs émanés du lobe temporal a provoqué l' atrophie secondaire d'un département » Voy. Archives de
ratiolet sont partiellement remplies de produits de dégénérescence; atrophie extrême- ment faible à son début, de la substan
D'abord une légère attaque apoplectiforme dénature inconnue; puis, atrophie progressive du nerf optique et choroidorétinite
s altérations des centres optiques pri- maires sont postérieurs à l' atrophie des deux nerfs optiques l'intensité de cette at
stérieurs à l'atrophie des deux nerfs optiques l'intensité de cette atrophie etlalocalisationdelésions dégéné- ratives en de
nt demeurées intactes n'ont rien à voir avec le nerf optique. Or, l' atrophie secondaire est manifeste pour les tubercules bi
insignifiantes de toute autre nature, n'ayant rien à faire avec l' atrophie des nerfs optiques. Après avoir rapproché les d
meau antérieur n'est pas absolument clair, mais le caractère de l' atrophie descendante paraît prouver que les fibres zonifor
synostoses, état trouble de la pie-mère avec adhérences au cerveau. Atrophie cé- rébrale, surtout du cerveau antérieur, des
tance spongieuse environnante de la corne postérieure participe à l' atrophie . La colonne de Clarke reçoit des trousseaux de
Les stigmates physiques se traduisent chez l'un des malades par l' atrophie des testicules; chez le second, par de la cryptor
ie des testicules; chez le second, par de la cryptor- chidie et une atrophie considérable de la verge ; le troisième est un
délirant mais non de sa déséquilibration mentale. 11 présente une atrophie considérable des testicules qui sont réduits au
ation de la papille et émer- gence anormale des vaisseaux centraux; atrophie de la verge, cryptorchidie ; scrotum réduit ci
NTRS. H9 9 Ce fait sert, en quelque sorte, de trait d'union entre l' atrophie simple des organes génitaux et l'atrophie avec
de trait d'union entre l'atrophie simple des organes génitaux et l' atrophie avec division scrotale donnant les apparences d
ons de Golf étaient plus ou moins lésés. 0-ii-a constaté une fois l' atrophie portant sur presque toute la moelle, comme le f
sées par la congestion de la substance mé- dullaire etsurtout par l' atrophie des cellules de la substance grise. Cette atrop
etsurtout par l'atrophie des cellules de la substance grise. Cette atrophie cellulaire s'accompagne en outre de pigmentation.
à la teinture d'iode, qui produit la transformation fibreuse, et l' atrophie , et oblitère par accolement des parois, la cavi
ez des buveurs ha- bituels. Cu. F. XXIII. De l'anesthésié et de l' atrophie testiculuires dans l'ataxie loeo- motrice progr
; elle existait à un certain degré chez seize malades sur vingt. L' atrophie du testicule, déjà observée par M. Fourmer, coï
observée par M. Fourmer, coïncide quelquefois avec l'anesthésie. L' atrophie et J'anesthésie du testicule ne sont pas en rap
des escharres chez les aliénés, parFoisard, 462. Anesthésie et atrophie testiculaires dans l'ataxie locomotrice, par Ri
66 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e cuir chevelu n'est pas soigné », la teinte brunâtre des ongles, l' atrophie musculaire des interosseux palmaires et des mus
contrer : le zona, le vitiligo, l'aspect ichthyosique de la peau, l' atrophie muscu- laire, la diminution de l'excitation éle
des recherches faites à la Salpêtrière, avait indiqué l'anémie et l' atrophie progres- sive de la pupille chaque fois que la
ne altération du fond de l'oeil ». Duterque 1 a remarqué qu'avant l' atrophie la pupille subit une congestion intense avec di
de C. Westphal (Charité Annalen, l. XI, 1896) caractérisée par de l' atrophie musculaire avec atteinte des muscles de la face
es. La dégénérescence de la cellule ne conduit pas toujours à son atrophie ; dans un grand nombre de cas, une phase de répar
membre supérieur consécutif A un- traumatisme datant DE l'enfance. Atrophie IUSCUL11BE NULLE- RIQUE ; par M. J. KLIPPEL. (R
s, de la moelle et des nerfs a démontré qu'il s'agissait d'un cas d' atrophie numérique affection caractérisée par le seul défa
de ces éléments, ni altération de leur structure (diagnostic avec l' atrophie simple et l'atrophie dégénérative). L'atrophie
ltération de leur structure (diagnostic avec l'atrophie simple et l' atrophie dégénérative). L'atrophie numérique, localisée
(diagnostic avec l'atrophie simple et l'atrophie dégénérative). L' atrophie numérique, localisée ou généralisée ne s'observe
est porté à croire qu'il en est de même pour les autres organes ; l' atrophie numérique n'est donc pas due à un arrêt de déve
sujets n'ayant pas atteint leur complet développement produisant l' atrophie numérique déterminent chez l'adulte, des atroph
hies véritables. M. Klippel fait observer que les sujets atteints d' atrophie numérique semblent prédisposés à la tuberculose
tait une amputation con- génitale des trois doigts du milieu et une atrophie notable du pouce et de l'auriculaire de la main
au niveau du centre moteur du membre supérieur, ne présentait pas d' atrophie visible à lit nu. Le maximum des lésions de l
ion de nombre des collatérales du centre de la corne posté- rieure. Atrophie de la substance gélalineus de Rolando. Atrophie
orne posté- rieure. Atrophie de la substance gélalineus de Rolando. Atrophie des racines antérieures (sans prolifération int
oelle une situation correspondante à celle de la coloune de Clarke. Atrophie du cordon postérieur droit : la zone postérieur
s dans les centres nerveux. En faveur de cette supposition plaide l' atrophie dégénérative de certains muscles avec réaction
électrique devint presque normale. Cette observation indique que l' atrophie des muscles, qui dépend des modifications dans
le en pain à cacheter, sans stade inflammatoire prémonitoire. Cette atrophie doit être considérée aujourd'hui comme une dégé
ille était saine ; que dans la syphilis méningée on avait soit de l' atrophie simple, soit de la névrite optique avec phénomè
point de vue pathologique qu'au point de vue symptomatologique. L' atrophie cérébrale chronique est le type le plus important
les bras et de plier les coudes. Mais déjà à cette mène époque, l' atrophie des petits muscles de la main était bien prononcé
etits muscles de la main était bien prononcée des deux côtés. Cette atrophie ne fit que progresser dans la suite. A l'examen
des poignets sont faibles et limités des deux côtés ; il existe une atrophie dégénérative des petits muscles de la main, des e
maladies nerveuses, on a constaté : paraplégie inférieure complète; atrophie des muscles correspondants avec abolition de l'
bles peuvent aller de la simple coloration brune ou jaune jusqu'à l' atrophie , la dystrophie et la chute. Dans la majorité
lpe est à nu sur les incisives infé- rieures. Observation XXVIII. Atrophie et déformation des ongles. Alo- pécie. OEdème d
rasion des dents assez accentuée, deuxième degré. Observation XXIX. Atrophie et chiite des ongles. Alopécie. Ichthyose. V.
âge de quatre ans une coxalgie gauche. 11 a depuis cette époque une atrophie de la jambe gauche et claudi- cation. Anesthési
et plus particulièrement les cordons antérieurs. L'association de l' atrophie musculaire et de la paralysie générale trouve s
. Journal of mental science, octobre 1872. ' Grellière. Etude sur l' atrophie musculaire dans lapai al. gêner. (Th. de Paris,
ies d'abord ; mais il a vu un cas où l'affection a commencé par une atrophie considérable de la cuisse. Il importe de dist
ectrique. L'examen microscopique de l'un de ces deux cas montre une atrophie dégénérative des muscles, les cornes antérieure
peut revêtir deux formes principales : la maladie d'Arau- Duchenne ( atrophie musculaire progressive) ou celle de Charcot (sc
la malade dont nous rapportons l'observation. Dans l'autre forme, l' atrophie est générale. Les réflexes sont exagérés, et le
elle se déclara d'abord une éruption de pem- phigus, et plus tard l' atrophie des muscles de la main gauche. ' Joflroy. Sur
urnal de méd. et de chir. pratiques, 1894, p. 280.) ' Hoche. De l' atrophie musculaire dans la paralysie générale. (Be-liîi
MENTALE. Observation LXVII. Eruption de phlyctènes. Déformation, atrophie et chute des ongles. Amyatrophie de la main gauch
taient déjà. Les métacarpiens paraissaient décharnés par suite de l' atrophie des interosseux et des lombricaux. L'abduction
isse. Les ongles du pouce et de l'index cessaient de pousser. Pas d' atrophie ni des muscles du bras et de l'épaule gauche, n
premier lieu par une éruption trophique, et cinq mois après, par l' atrophie des petits muscles de la main, se localisant à
e (obs. VIII), l'ichthyose et la déformation unguéale (obs. XIX), l' atrophie et déformation des ongles, l'alopécie, l'oedème
ce de peu de temps. Nous avons observé 2 fois le purpura ; 1 fois l' atrophie musculaire localisée à une main et précédée d'u
organes génitaux. Un caractère qui paraîtrait plus corrélatif de l' atrophie de son système génital, c'est l'absence de poil
e non goitreux acquis ou myxoedème juvénile qui est produit par une atrophie de la REVUE 'DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 227 7 gl
rthago du très distingué M. Escu- der. F. BOISSIER. XVI. UN cas d' atrophie musculaire PROGRESSIVE d'origine trauma- TIQUE
ire. On est donc conduit à penser qu'il s'est agi dans ce cas d'une atrophie .musculaire progressive plus ou moins aiguë con
inuant sans exagération pendant les mouvements intentionnels. Pas d' atrophie . Réflexe patellaire exagéré, clonus des deux pi
e gauche. Couche optique gauche beaucoup plus petite que la droite. Atrophie scléreuse des deux noyaux dentelés à la partie
l'hérédo-ataxie cérébel- leuse de Marie la lésion importante est l' atrophie du cervelet avec simple diminution de volume de
diagnostic entre une paralysie brachiale radiculaire et une forme d' atrophie musculaire du type juvénile d'Erb, il s'agit d'
men de l'enfant, qui est bien portant et vigoureux, on constate une atrophie très marquée des muscles de l'épaule et du thor
que l'enfant n'a accusé aucune douleur lors de l'accident et que l' atrophie n'a été constatée que deux à trois mois après.
e sont venus : la difficulté de la déglutition, le ptosis gauche, l' atrophie tle là langue, la parésie des muscles masticate
en plus grand, le goût s'en ressentait de la même façon ; 2° Une atrophie très nette avec signe de dégénérescence peut êt
c ce traitement (entre autres une diminution très considérable de l' atrophie ). E. i\L1RGOUL1ES. LIV. DES symptômes précoce
n observait fréquemment dans le muscle paralysé; 3° sur l'absence d' atrophie après deux mois de paralysie persistante. E. MA
rte uniquement sur les tissus nerveux du lapin. R. Charon. LVIII. Atrophie unilatérale DU CERVELET ET SYMPATHICOTOMIE pour
atre jours après en état de mal. Autopsie. Congestion des méninges. Atrophie du lobe gauche du ce ? -velet, réduit au volume
lètement atrophiée, la substance blanche est mieux conservée. Cette atrophie ne s'est caractérisée par aucune lésion permett
n'y avait de lésion certaine des racines posté- rieures : un peu d' atrophie des cellules de la corne antérieure. C'est vrai
s'agissait d'une névrite traumatique du plexus brachial suivie de l' atrophie de quelques muscles. Le deltoïde surtout était
ues est bien indiquée. C'est d'abord le pied bot tabétique dû à une atrophie des muscles de la jambe et aux troubles trophique
scles du cou, troubles légers de la phonation et de la déglutition, atrophie dégénérative des muscles paralysés et anesthési
du trijumeau du même côté, paralysie des membres du côté droit avec atrophie musculaire. A l'état de repos la main et la pla
les de la sensibilité objective. Pas de troubles tro- phiques, ni d' atrophie musculaire. Aux membres supérieurs, il paraît y
coordination, ni de tremblement. Pas de troubles tro- phiques, ni d' atrophie musculaire. Les sphincters ont fonctionné norma
ase de développement. P. KERAvaL. XCVI. CONTRIBUTION A l'étude DE l' atrophie UNIL1TLR.1LE isolée (CON- génitale ? ) DES musc
u'il existe une paralysie faciale unilaté- rale isolée congénitale ( atrophie faciale infantile). Voici une obser- vation dan
vrites dites apoplectiques. Marinesco (Georges). Main succulente et atrophie musculaire dans la syringomyélie. Marion (Abel)
nski, 09. Assistance des aliénés en Belgique, par Peeters, 339. Atrophie musculaire progressive d'o- rigine traumatique,
férteure, par de Sofider, 495. Cervelet. Abcès du - par Rist, 67. Atrophie unilatérale du, par Lauuois, 397. occulo-mole
67 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
ni affaissement dans la région des del- toïdes, en rapport avec une atrophie de ces muscles. Les denxbras étaient pendants d
ens à insis- ter, il existe du côté des deltoïdes, un léger degré d' atrophie musculaire. L'examen électrique, récemment prat
s éclaircissements. Duchenne de Boulogne (1) a fait remarquer que l' atrophie ou la paralysie du grand dentelé n'occasionne a
effet, la paralysie n'a été ici ni de- vancée ni accompagnée par l' atrophie musculaire, comme c'est la règle dans les faits
es plus favorables. La paralysie est déjà en voie de résolution ; l' atrophie muscu- laire est fort peu accusée, et les signe
, les cellules sont également très rares et manifestement en voie d' atrophie . Les racines antérieures ont conservé des tubes
t presque disparu, celles qui per- sistent présentent des lésions d' atrophie . Dans la corne antérieure droite, au contraire,
droit du cerveau. Les cellules nerveuses sont altérées et en voie d' atrophie dans le lobe frontal et dans la région temporo-
ns pigmentaires. Leurs parois sont épaissies. Sous l'influence de l' atrophie cérébrale les noyaux de la substance blanche pa
région intéressée n'est pas visiblement changée. On n'y constate ni atrophie apparente ni secousses fibrillaires. Les deux bra
n retrouve d'abord plusieurs des ca- ractères de l'infantilisme : l' atrophie des organes génitaux, la voix grêle, l'envelopp
e infé- rieur droit, le membre inférieur gauche est atrophié. Celte atrophie est plus prononcée au niveau de la région antér
e façon très prononcée. Indépendamment de cette parésie et de cette atrophie circonscrite a cer- tains groupes de muscles du
extenseurs du pied, des adducteurs et abducteurs de la cuisse ; une atrophie des mus- cles de la jambe et du pied, prédomina
de large; elle empié- tait sur la fesse droite. Il exislait de Y atrophie de la fesse droite. A cause de la violence des
mbre inférieur innervés par des branches nerveuses détermi- nées, l' atrophie musculaire, les troubles vésico-anaux, t'eschareu
itatératc. Dans le premier cas, vous avez remarqué, en outre, que l' atrophie exis- tait surtout dans le domaine du nerf scia
re vue, ce qui domine la scène morbide, ce sont les dou- leurs ou l' atrophie musculaire, ou les deux réunies. L'eschare au siè
affections dans lesquelles vous voyez dominer des douleurs ou de l' atrophie musculaire ayant pour siège le membre inférieur
ctère de celle-ci (douleur' sourde avec paroxysmes), la marche de l' atrophie musculaire consécutive, qui s'attaque en masse
ue poplité externe. Or, vous vous rappelez que chez notre malade, l' atrophie musculaire prédomine précisément dans la région
peut se poser a propos de cas pathologiques dans lesquels domine l' atrophie mus- culaire. Vous pouvez, par exemple, vous tr
ion de phénomènes doulou- reux, d'anesthésie ou d'hypoesthésie et d' atrophie . Seulement, cette der- nière évolue d'une façon
e, qui se caractérise par- une paraplégie atrophique spasmodique, l' atrophie étant peu accusée comparativement à l'élément c
de l'a- trophie musculaire, ou par les deux à la fois, douleurs et atrophie occu- 78 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
mb dans l'obscurité). Parfois la parésie motrice se complique d'une atrophie plus ou moins SUR LES AFFECTIONS DE LA QUEUE DE
s-uns des muscles paralysés, ,c'est le cas chez notre malade. Cette atrophie est, le plus souvent, irréparable. , Troubles d
constatation de la réaction de dégénérescence, coexistant avec de l' atrophie musculaire, a une grande signification pro- nos
santes à connaître. Troubles trophiques. Je vous ai déjà dit qu'une atrophie plus ou moins prononcée envahit quelquefois les
lysie totale des membres inférieurs, avec suppression des réflexes, atrophie des muscles paralysés; l'exploration électrique d
aura à se préoccuper des troubles trophiques, en parti- culier de l' atrophie musculaire. Messieurs, dans ce qui précède, j'a
t subitement frappée de paraplégie avec anesthésie s'accompagnant d' atrophie musculaire. En effet, au bout de huit mois, « s
section du cubital dans la gouttière épitrochléenne, a provoqué une atrophie rapide des muscles dépendant de ce nerf, atrophie
e, a provoqué une atrophie rapide des muscles dépendant de ce nerf, atrophie sur laquelle nous reviendrons dans un instant.
t surtout le petit doigt fléchis sur le méta- carpe. Il y avait une atrophie manifeste des muscles de la partie antéro- inte
cutanés ont complètement disparu. Il ne persiste somme toute que l' atrophie musculaire et l'anesthésie dues aux opérations qu
sement. Il n'y a, chez ce malade, ni affaiblissement musculaire, ni atrophie , ni incoordination motrice, ni si- gne de Rombe
tater enfin : 2° une paralysie complète avec déviation il gauche et atrophie de toute la moitié gaucho de la langue. Cette atr
il gauche et atrophie de toute la moitié gaucho de la langue. Cette atrophie indiquait que la lésion siégeait au noyau ou au
rer en cause pour expliquer la déviation (spasme glosso-labié) ou l' atrophie 'de la langue. Il ne restait donc que l'hypothè
coloration du reste delà substance médullaire. Ici il existait une atrophie notable des tubes nerveux et même une absence c
de la névroglie par contre étaient augmentées en nombre. Cet état d' atrophie nerveuse et d'hypertrophie névroglique était su
ous l'avons dit plus haut, le bulbe présentait déjà à l'oeil nu une atrophie de la pyramide gauche dont l'extrémité supérieure
nom- bre de fibres fines, résultat, pensons-nous, d'un processus d' atrophie de ces fibres nerveuses. Quant aux nerfs que,
arrêt dans son évolution. · L'infantilisme est congénital, quand l' atrophie des organes génitaux re- monte à la période foe
issance, par accident, mutilation ou maladie. Comme corollaire de l' atrophie génitale apparaît le syndrome morpho- logique s
antisme (Capitan, Reichlin), au rachitisme, à l'obésité (Féré), à l' atrophie musculaire, etc. Les affections osseuses inflam
H67 participation du facial inférieur, se compliquait d'une légère atrophie de la main. Il s'agissait là d'amyotrophie simp
ophie de la main paralysée ? Vous n'ignorez point, Messieurs, que l' atrophie mus- culaire est assez fréquente chez les hémip
u'ailleurs. Les muscles des membres inférieurs ne présentent aucune atrophie apprécia- ble : ils sont bien colorés, mais n'o
ion. A l'autre extrémité de la série nous placerons l'observation d' atrophie mus- culaire syphilitique publiée par notre maî
ces divers titres il nous a paru mériter d'être publié. Résumé : Atrophie musculaire chez un homme de 44 ans avec déformati
servés aussi bien les mouvements d'extension que ceux de flexion. L' atrophie des masses musculaires de la jambe semble porter
l s'agit d'un individu manifestement hystérique et présen- tant une atrophie musculaire touchant très légèrement les muscles d
ion, équinisme et aplatissement de la voûte plantaire, montre que l' atrophie a surtout porté sur les muscles de la région anté
thie atrophique pro- gressive, c'est-à-dire d'une de ces variétés d' atrophie musculaire où les recherches les plus minutieus
68 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de sclérose combinée. » · l " j. " ,l' ; i f JI. . Paralysie avec atrophie généralisée aux qitatî-e-ext2-émités. - Diplopie,
cuisse sont flasques et ont considérablement maigri. 1 , 1 ' ' L' atrophie est très prononcée, bien que la forme des membres
i s'y accu- ' mulent. De plus, cette paralysie s'accompagne d'une atrophie très prononcée des quatre extrémités des membre
constipation, douleur en allant à la selle, miction incomplète;, atrophie musculaire des triceps fémoraux, sacrum extrêmeme
tôt les flé- chisseurs de la main et le triceps brachial sont pris ( atrophie ), ainsi que les muscles du facial inférieur gau
servation de Sceligmulkes), sur le tabes, la sclérose en plaques, l' atrophie mus- culaire progressive, la paralysie progress
bservation de poliomyélite chro- nique. - Le malade a quarante ans. Atrophie musculaire et fai- blesse des membres supérieur
iaphragme. Examen microsco- pique : substance grise : diminution et atrophie des cellules gan- glionnaires des cornes antéri
de Deiters, hémorrhagies capillaires notables. Substance blanche : atrophie très nette des fibres de la partie fondamentale
férencier nettement la poliomyélite de la sclérose amyotrophique. L' atrophie partielle des fibres des cordons latéraux ne su
ne suffit pas pour invalider le dia- gnostic de poliomyélite, cette atrophie n'impliquant pas nécessai- rement une atrophie
poliomyélite, cette atrophie n'impliquant pas nécessai- rement une atrophie des faisceaux pyramidaux. Or, une lésion de ceu
la sclérose amyotrophique. Quant au défaut de parallélisme entre l' atrophie des fibres des racines antérieures et celle des
M. le Dr W. Roxa présente une fille de vingt-trois ans atteinte d' atrophie musculaire progressive, type périphérique (péroné
érescence complète des muscles à partir des genoux, divers degrés d' atrophie des muscles des cuisses. L'atrophie des muscles
tir des genoux, divers degrés d'atrophie des muscles des cuisses. L' atrophie des muscles des membres supé- rieurs, atteints
homme de vingt-trois ans. Chez celui-ci existait dès l'enfance une atrophie de la région du nerf péronéen et à un degré moind
ultérieur de cette maladie. De l'avis du rapporteur. cette forme d' atrophie musculaire doit être rangée avec la maladie de
Déjerine (bled. mod., 1891) ne sont que des exemples de cette même atrophie musculaire progressive (type périphé- rique), m
Elles tiennent à la fois de la maladie de Friedreich classique avec atrophie de la plante des pieds (pieds creux et griffe d
jour à être constatés où si l'examen microscopique démontrait une « atrophie en longueur des fibres musculaires D (Rora, Soc
887) caracté- ristique pour les myopathies, il serait évident que l' atrophie mus- culaire progressive à type périphérique vi
articulier dans le cas de M. Duchesneau, c'est qu'on constatait une atrophie musculaire des membres supérieurs et inférieurs
ntraînait une attitude pseudo-paralytique du pied en varus équin. L' atrophie musculaire était survenue d'assez bonne heure.
'oedème bleu des hystériques, l'analyse de la sciatique double avec atrophie musculaire, l'ophtalmoplégie externe, la syring
sensibilité. L'aphasie, dans ce cas, était le symptôme unique et l' atrophie de la troisième circonvolution a été aussi la s
, au point de vue qui nous occupe. A. Dans la substance grise. - 1° Atrophie du noyau principal de 260 REVUE d'anatomie ET D
REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. l'hypoglose avec atrophie , soit complète (2 observations), soit par- tiel
s la troisième observation). Le ra- meau d'émergence présentait une atrophie partielle, le genou du facial, et les fibres qu
ui environnent le noyau de l'oculomoteur externe étaient atteints d' atrophie complète ; - 40 atrophie faible du noyau moteur
e l'oculomoteur externe étaient atteints d'atrophie complète ; - 40 atrophie faible du noyau moteur du trijumeau (1 observat
che. 1° Sclérose du faisceau pyra- midal dans toute son étendue; 2° atrophie , peu nette, du fais- ceau longitudinal postérie
stérieur du bulbe, mais extrêmement nette dans le cas où il y avait atrophie complète du noyau de l'hypo- glosse, ce qui pro
n inférieure (ventrale), à la hauteur de l'hypoglosse; - 5° zones d' atrophie disséminées dans la région ven- trale (inférieu
en proie à cette affection. L'autopsie révéla : dans la moelle une atrophie complète des cellules des cornes antérieures av
latéraux presque totale des racines antérieures. Dans le cerveau, atrophie des noyaux de l'hypoglosse, du pneumogastrique, d
ve être rattaché à une lésion du noyau lenticulaire. XX. UN cas d' atrophie musculaire spinale PROGRESSIVE COMPLIQUÉE DE LÉ
ychiat., XXIII, 2.) Homme de trente-trois ans, sans tares. En 1879, atrophie de t'éminence thénar gauche. En 1881, syphilis.
omissements. En février 1890, psychose aiguë (délire). Actuellement atrophie des muscles des deux bras et des épaules; convu
aississement de la pie-mère et des vaisseaux cérébraux; épendymite. Atrophie des cornes antérieures de la moelle, du plexus
uméfaction de la rate et des ganglions lymphatiques. Au microscope, atrophie simple des cornes grises antérieures de la moel
es et des sutures avec les différentes régions du crâne (étude de l' atrophie cérébrale des paralytiques généraux) l'auteur p
t les rapports que vous cherchez'. J. P. E;ERAVAL. XXIV. UN cas d' atrophie musculaire précoce CHEZ UN hémiplégique ; par L
disparu, mais le deltoïde, le sus et le sous-épineux présentent une atrophie évi- dente, arthrite de l'épaule; l'atrophie ga
épineux présentent une atrophie évi- dente, arthrite de l'épaule; l' atrophie gagne l'avant-bras, la main. Nouvel ictus. Mort
es vaisseaux englobés dans la région, a déterminé en même temps une atrophie de la moitié gauche du crâne. P. K. XVIII. SU
res, hypérémie excessive du cerveau, surtout au niveau de l'écorce. Atrophie considérable et étendue des fibres, dans le gyrus
nstituant une chorée héré- ditaire atypique. P. K. XXII. UN cas d' atrophie musculaire par lésion articulaire (ATRO- PHIE M
ticulation de l'épaule gauche. Pas d'altération du système nerveux. Atrophie musculaire simple (étude micros- copique). P. K
ion rougeâtre de la lumière surtout à gauche. Ce n'est donc pas une atrophie tabético- paralytique ; c'est une amblyopie alc
cule latéral gauche, état granuleux et épaississementdel'épendyme, atrophie des couches optiques, ramollissement du corps str
syphi- litique atteinte de paralysie générale, ayant présenté de l' atrophie musculaire, et venant à ce point de vue s'ajout
itions de netteté qui ne laissent aucun doute sur le mécanisme de l' atrophie musculaire. Elle se développe suivant le procéd
ment disparaitre. D'autre part, j'ai signalé autrefois des points d' atrophie (encéphalite scléreuse) sur le cortex de tabéti
L'autopsie montre, outre les lésions de la paralysie générale, une atrophie extrême du segment supérieur de la pariétale as
a pachyméningite hél11orrhagique, une leptoméningite chronique, une atrophie modérée du cerveau, une dilatation des ventricu
atation des ventricules latéraux, avec granulations épeudy- maires. Atrophie remarquable de la première temporale gauche. Le
marquable de la première temporale gauche. Le microscope révèle une atrophie considérable des fibresnerveuses avec multiplic
JOLLY présente une malade chez laquelle le tabès existe combiné à l' atrophie musculaire. - Il s'agit d'une femme de cinquante-
ate de l'ataxie statique et locomotrice, le signe de Westphal, de l' atrophie de certains muscles dans les jambes et dans les
s. M. Jolly pense que les cornes antérieures ne sontpas en cause; l' atrophie dépend d'une névrite périphérique en rapport avec
moteur externe. Dans la région du noyau de l'oculo-moteur commun, l' atrophie portait sur les groupes de cellules supérieurs,
e pleurésie. L'au- SOCIÉTÉS SAVANTES. 507 topsie ne révéla qu'une atrophie du corps restiforme et du faisceau solitaire dr
en soit dans l'espèce, j'ai quelquefois rencontré dans le tabès une atrophie du faisceau solitaire, quelquefois aussi l'atroph
ns le tabès une atrophie du faisceau solitaire, quelquefois aussi l' atrophie du corps restiforme. Mais il n'y avait pas en c
petitesse du faisceau solitaire d'un côté ne prouve pas qu'il y ait atrophie . En effet, ce faisceau se compose de substance
e différence au fond. Ces trois formes sont de la sclérose. C'est l' atrophie des fibres ner- veuses à myéhne qui est le phén
fections systématiques de la moelle. - Ce sont : a le tabès; .6 l' atrophie musculaire spinale progressive et la paralysie
muette. Certains points de l'écorce étaient nota- blement frappés d' atrophie , ils correspondent aux centres admis pour les s
iste entre le développement des muscles et leur envahissement par l' atrophie myopathique (en collaboration avec M. BABINSKI; l
es épileptiques, 364; des aliénés en france, par Iluberty, 495. Atrophie musculaire, progressive, par Both, 129;- spinal
dorsal, anatomie patholo- gique du - par Mayer, 99; - combiné à l' atrophie musculaire, par Jolly, 498; Bernhardt,-503;-
69 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e. - Examen des yeux par le Dr Péchin : 0. G. perception lumineuse, atrophie blanche. 0. D. pas de percep- tion lumineuse. A
n lumineuse, atrophie blanche. 0. D. pas de percep- tion lumineuse. Atrophie blanche. Des deux côtés, les vaisseaux sont rét
nance des lésions de ce côté et partant à une compres- sion et une atrophie plus intenses de cet hémisphère. Observation Il
tionnant : « est atteint d'idiotie avec para- lysie et contracture, atrophie papillaire ». DESCRIPTION DU MALADE. 19 Fac
uvent spinale que radiculaire. Dans la plupart des cas, en effet, l' atrophie ainsi que la paralysie n'intéressent pas tous l
trices de la moelle ce cas offre également un certain intérêt : à l' atrophie de tous les muscles de la jambe et du pied droi
44 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. VU. - Un cas d' atrophie abarticulaire ; par le Dr Deroubaix [Journ. de
int à 12 ans d'une arthrite du genou droit suivie d'ankylose et d' atrophie du membre correspondant. A l'autopsie on ne tro
ont abolis. Le réflexe cutané abdominal est conservé. Il existe une atrophie musculaire dif- fuse des membres inférieurs, qu
gique extrême. Autopsie. - Kyste delà dure-mère à parois ossifiées. Atrophie par compression de l'hémisphère droit. Atrophie
à parois ossifiées. Atrophie par compression de l'hémisphère droit. Atrophie croisée du cer- v clet. Cadavre émacié il l'e
paissies. Lus deux lobes sont très inégaux; ils sont le siège d'une atrophie croisée avec celle des hémisphère» cérébraux et
coupe delà protubérance montre que la région pyramidale a subi une atrophie très accusée ; à droite, celte atrophie se tra-
égion pyramidale a subi une atrophie très accusée ; à droite, celte atrophie se tra- duit l'extérieur par une différence de
volume. Il s'est développé ensuite de façon considérable causant l' atrophie de l'hémisphère droit et occupant près d'un cin
onze observa- lions-de paralysie faciale, de maladie de Thomsen, d' atrophie avancée du l'éminence thénar droite, dans lesqu
postérieu- res ou du nerf vague au-dessus du ganglion jugulaire. L' atrophie des cellules des ganglions spinaux ne commence
ssagers : souvent pendant la nuit. Parfois on observe une véritable atrophie de la langue : la sensibilité reste normale ; d
ltéromasie. Si on pratique les coupes de Flechsig, on observe de, l' atrophie des noyaux gris centraux avec des saillies anor
psichiatrii, X, 1905.1 Elude clinique et anatomique du tabès, de l' atrophie muscu- laire progressive spinale, de la sy ring
de la sy ringomyélie, de la sclérose la- luraluamyotrophidue, de l' atrophie musculaire atypique Duchenne- Aran. de la polio
décrite en 1887 par Wagner, qui la considé- rait comme une forme d' atrophie musculaire progressive; elle a été étudiée de r
douleurs en 10 minutes. La galvanisation calme, tout en arrêtant l' atrophie musculaire, seulement le malade ne sup- porte p
tion des exercices. P. KERAVAL, \\'1.-Contribution a l'étude de l' atrophie musculaire pro- gressive ; par P.A PREOBRAJENSK
P.A PREOBRAJENSK[.(0&f);r<.'ittC ysicltiatrü.,\'lll,) Type d' atrophie musculaire progressive chez un homme de 3lî ans
érieures de la moelle el du bulbe trahissent toutes les phases de l' atrophie . L'auteur croit cependant qu'il s'agit d'une form
auteur croit cependant qu'il s'agit d'une forme inter- médiaire à l' atrophie musculaire progressive et à la sclérose laté- r
rnie pulmonaire sus-claviculaire dans la toux, abaissement du foie, atrophie du testicule, hypertrophie mammaire, large repl
. Déjerine et LEI : NH1RDT montrent un malade atteint de Tabès avec atrophie des muscles abdominaux et des gouttières ver- t
de la moelle dans la démence précoce. JDI. KLiPPELet LnERMiTTE.A l' atrophie avec élat granuleux, et, pigmenlaire des cullul
erl-Pal. Il trouva dans la substance corticale des altérations avec atrophie légère plus ou moins'accenluée dans un petit no
ophié. Le reste du la face est, respecte. La peau, au niveau de l' atrophie jtigale et des deux tiers anté- rieurs de la fo
cule adipeux liers postérieur de la fosse temporale, large plaque d' atrophie cutanée, montant dans les cheveux. La peau, à e
e un trou- Mtitrophique d'origine nerveuse. Il fait remarquer que l' atrophie des tissus profonds se fait en même temps que l
lésions débutent aussi, en l'espèce, dans le 3° segment lom- baire ( atrophie commençante d es cellules-) Le 4c segment lom-
l'apparition de porencephalie et microgyrie en même temps. L\l1. Atrophie lamellaire des cellules de Purkinje ; par André
que du cervelet permet de constater des lésions caractérisées par l' atrophie et la dispa- rition d'un certain nombre de cell
que, mais l'examen histologique n'a pas confirmé ce diagnostic. L' atrophie de la corne antérieure a joué sans doute un Tôle
une dégénéra- lion quelconque du faisceau pyramidal,; d'ailleurs, l' atrophie de la corne antérieure ne s'est pas faite exclu
Quand la lésion du neurone périphérique est plus ancienne, avec, l' atrophie musculaire, avec la disparition de l'excitabilité
gressive, les réflexes muscu- laires diminuèrent, tandis que dans l' atrophie musculaire spinale, il existe ordinairement non
ons classiques des amyotrophies spinales : absence de chromatolyse, atrophie pro- gressive de tous les éléments de la cellul
ux, parésie des membres, mouvements de manège de gau- che à droite, atrophie du lobe cérébelleux gauche, méningo-en- céphali
ints de vue physio- logique, psychologique et-clinique comparés : l' atrophie . très loca- lisée du lobule pneumogastrique gau
EJONNE présentent deux adultes atteints de para- lysie flasque avec atrophie reliquat de poliomyélite antérieure aiguë récen
r l'application de courants continus de : 30 à 60 mil- liamperes. Atrophie musculaire et osseuse chez des nègres. M. J3RUM
hez des nègres. M. J3RUMPT a observé chez des nègres, en outre de l' atrophie musculaire progressive, l'atrophie des phalange
é chez des nègres, en outre de l'atrophie musculaire progressive, l' atrophie des phalanges. M. EGGER relate un cas de troubl
urtout à gauche où le deltoïde et les pectoraux sontcomme fondus. L' atrophie des deux membres est diffuse, plus considéra- b
set qui indique une atteinte du larynx et des cor- des vocales. L' atrophie n'a pas épargné les muscles thoraciques et il exi
Pavant-bras et à la main, qui est légèrement déformée en griffe. L' atrophie est moins pronon- cée à gauche. Tendance à la r
assez bien et n'a pas l'habitude de s'engouer. ' On constate de l' atrophie musculaire en différentes régions, principaleme
e et d'un centi- mètre à la jambe gauche. Aux membres supérieurs, l' atrophie , surtout prononcée à gauche, atteint la ceintur
, maladroite,avec raideur prédominant dans la jambe gauche. Pas d' atrophie musculaire apparente aux membres inférieurs. Le
es muscles périscapulaires du même côté sont nettement touchés; l' atrophie est aussi très nette à l'éminencethénar,moindre à
ité pupillaire. Les réflexes irions sont normaux. Des symptômes d' atrophie musculaire existent en de nombreux points, surt
à la contracture des fléchisseurs et à la main en griffe à droite. Atrophie de la ceinture scapulaire très marquée à droite
de la peine à se détacher du sol. L'embonpoint mas- que en partie l' atrophie musculaire, cependant elle est très nette aux m
; celle de la gauche de 3 1/2. Les cuisses sont égales. En somme, l' atrophie atteint surtout le bras et la jambe gauches. Au
les éminences thénar et hypothénar ne pa- raissent pas avoir subi d' atrophie ; toutefois, l'opposition dupouce aux autres doi
ns la deuxième zone : des fibres myéli- niques abondantes en voie d' atrophie , des cylindraxes (1; Handbuch der Pathulogisc5e
en réaction placées au-dessous de la section et les condamne à une atrophie probablement définitive suivje de- leur dispari
t au- cune particularité rare, par Cer- litti et Perusini, 213. Atrophie abarticulaire. Un cas d' par Deroubaix, 4f¡.
é- rique, Sommeil. Puerpéralité. Voir Grossesse. Purkinje. Voir Atrophie lamel- laire. Queue de cheval. oir Laminec-
70 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vasserie, quelquefois excitabilité, agitation, angoisse, loquacité; atrophie bilatérale des interosseux sans lésion périphériq
de 1 à 2 millimètres d'épaisseur limitant une cavité celluleuse. Atrophie considérable des racines. Amincissement de la dur
chronique, avec réduction des fibres tangentielles de l'écorce, et atrophie des cellules de la seconde couche. Je me réserve
issure de Sylvius. Lannois et Paviot, en 1898, ont aussi trouvé une atrophie très prononcée des circonvolutions rolandiques
de anormale, avec rigidité, de la tête en avant et à gauche; 3° une atrophie hémilatérale de la langue ; 1 4° le malade en s
g de la l'artère interfuniculaire ; 4° A côté de la déchéance, de l' atrophie , de la tuméfaction bour- souflée et de la trans
'acuité visuelle petit elle-même rétrocéder. P. KERAVAL. VI. De l' atrophie musculaire dans la sclérose multiloculaire; par
(Neurolog. Cenluulbl., XVII, 1898.) Observation tout entière dans l' atrophie musculaire précoce de plus en plus prononcée ul
ique des jambes survient bien après l'installation primordiale de l' atrophie musculaire bilatérale, non compliquée, des bras
surtout des petits muscles des mains. On croit successivement à une atrophie musculaire progressive et à une sclérose latéra
ules destinés aux muscles) ; en certains endroits seulement, il y a atrophie vraie. Il faut remarquer que le processus est d
nt absente. Il s'agit évidemment de dégénérescences secondaires par atrophie des cellules nerveuses correspondant aux systèm
de continuité. D'autres cellules sont atrophiées et sombres; il y a atrophie du corps et des prolongements de la cellule, le
\f. Brunet; Secrétaires annuels : MM. SEMELAIGNE et SOLFIER. De l' atrophie du cerveau dans la paralysie générale. M. Brune
u liquide céphalo-rachidien destiné à combler le vide produit par l' atrophie , quantité qu'il a vu s'élever, dans quelques ca
. Il est d'ailleurs impossible que les statistiques, concernant l' atrophie du cerveau, puissent concorder complètement entre
s et de 16 à G7 grammes dans 93 cas. , Elle permet de constater l' atrophie du cerveau là où l'on aurait pu ne pas en soupç
, le blanc 30, le vert 40. L'ophthalmoscope montre d'autre part une atrophie double des nerfs optiques. CONVULSIONS POST-T
de sensation de boule. Pas de trouble des sphincters ; pas trace d' atrophie musculaire; le malade est au con- traire fortem
lformations typiques hérédi- Déformations accidentelles par taires. atrophie Caractères psychiques de per- Caractères psychi
ides différents affectant le cerveau, et aboutissant finalement à l' atrophie et à la destruction des éléments cérébraux, sur
euxième, troisième, quatrième dorsale avec cyphose en ligne brisée, atrophie musculaire avec contractions fibril- laires de
nférieurs. A ceci s'ajoute de la dissociation de la sensibilité ; l' atrophie musculaire revêt la forme syringomyélique et au
he les pieds croisent à chaque pas l'axe de direction. On note de l' atrophie simple des muscles grands pectoraux et grands f
tant les symptômes d'Argyll-Robertson, de Westphal, de Romberg, une atrophie du nerf optique gauche, et des douleurs fulgura
phérique, sensibilité des trones nerveux et des muscles et certaine atrophie musculaire. Les réflexes patellaires sont exa-
raphie (le cliché est présenté à la Société). Mains en griffes avec atrophie intense. Exagération des réflexes rotuliens. Cl
s chez différents auteurs, à savoir : état variqueux des dendrites, atrophie variqueuse, état perlé, état moniliforme, atrop
x des dendrites, atrophie variqueuse, état perlé, état moniliforme, atrophie moniliforme, etc. Le processus morbide se manif
logique des éléments nerveux, nous devons le considé- rer comme une atrophie particulière, comme dégénérescence suigeneris.
la région qui nous intéresse nous rencontrons les termes suivants : atrophie variqueuse, dégé- nérescence variqueuse, etc...
ence variqueuse, etc... De notre côté nous trouvons, que le terme « atrophie variqueuse des prolongements pro- toplasmatique
s dans les prolongements protoplasmatiques, c'est- à-dire, avec une atrophie variqueuse de ces derniers, et l'écorce cérébra
L'anatomie pathologique de la cellule ner- veuse en rapport avec l' atrophie variqueuse des dendrites de l'écorce cérébrale.
avec asymétrie faciale. Proé- minence de la bosse frontale droite, atrophie relative du même côté de la face; voûte palatin
s encéphaliques aigus ou chroniques, avec processus secondaires d' atrophie , de ramollissement, de dégénérescence, d'hyperpla
région de l'écorce où prédominent les lésions de ramollissement, d' atrophie , d'oedème, d'anémie persis- tante des éléments
bonne réaction pupillaire à la lumière. Chez un tabétique aveugle ( atrophie des nerfs optiques), dont les pupilles étaient
ésions déterminées par ce corps étranger sont-elles considérables : atrophie de la main et de l'avant-bras, rétraction tendi
paralysies pseudo-bulbaires, les tabès spamodiques, les chorées, l' atrophie musculaire progressive avec ses phénomènes oculai
use ; paresthésie auditive, olfactive, gus- tative ; vue affaiblie, atrophie papillaire commençante. Au point de vue psychiq
a coaptation des mâchoires avec quelque force est impossible. Pas d' atrophie , ni secousses fibrillaires. Organes de la par
de la déglutition. - Langue épaisse et molasse, sans dentelures, ni atrophie , ni tremblement. Pas de mou- vements de latéral
paralysie pseudo-bulbaire est plus difficile à cause de l'absence d' atrophie dans les deux cas. Le diagnostic de paralysie b
i n'est pas atrophiée, et sans contractions fibrillaires. Absence d' atrophie dans tous les muscles. Caractère transitoire de
adique ne s'épuise pas comme l'ont observé Jolly et d'autres. Pas d' atrophie de la langue ni d'aucun muscle ; pas de tremble
est-à-dire atteigne le tissu glandulaire dans son entier. P. XXX. Atrophie musculaire progressive atypique ; par le Dr Pearc
nis au rectum dans 2 cas. Fréquence relative des divers symptômes : Atrophie optique : dans 11 cas parmi lesquels deux furen
d'ataxie légère ; 1 cas fut sans ataxie. Dans la plupart des cas d' atrophie optique l'ataxie fut donc légère. Dans deux de ce
d'atrophie optique l'ataxie fut donc légère. Dans deux de ces cas d' atrophie optique le signe de Romberg existait en dépit de
extrémités droites, ainsi que de la moitié droite de la face; de l' atrophie musculaire; un arrêt de développement du squele
a réunion des symp- tômes généraux d'une tumeur encéphalique avec l' atrophie optique, et la perte du champ visuel temporal r
nnes (troubles de sensibilité objective et subjective, faiblesse et atrophie musculaires). Dans les trois observations de Ze
'esprit qu'il souffre de la même maladie que son conjoint atteint d' atrophie papillaire ou d'incoordination motrice. J'ai no
cemment une femme atteinte de paralysie spasmodique associée à de l' atrophie papil- laire et dont le mari présentait des sig
es géantes). Les éléments nerveux (tubes et cellules) subissent une atrophie lente jusqu'à la destruction complète. Il n'y a
ns tel qu'il se présente dans la paralysie générale vraie. Enfin, l' atrophie avec consistance (oetrtle se rencontre dans un
SIONS DE L'INSULA, ETC. 499 notablement plus petite que la gauche. ( Atrophie du lobe frontal correspondant.) L'apophyse cris
tre les deux hémisphères qui est de 135 grammes donne une idée de l' atrophie de l'hémisphère droit dont toutes les circonvol
aque côté la 500 RECUEIL DE FAITS. partie postérieure de Se. p. L' atrophie continue sur la face interne de l'hémisphère, i
e nor- male quant à leur structure. - Normaux aussi dans un cas d' atrophie musculaire progressive et dans un cas de névrite
ment dans un grand nombre d'affections médullaires accompagnées d' atrophie musculaire, cette atrophie peut se localiser plus
d'affections médullaires accompagnées d'atrophie musculaire, cette atrophie peut se localiser plus ou moins nettement dans
multiple s'exclut par le début lent, l'ataxie marquée, l'absence d' atrophie musculaire et de douleur, l'apparition de troub
lusieurs particularités in- téressantes : 1° D'abord la marche de l' atrophie qui au lieu d'être ascendante était descendante
on du cunéus; le pli courbe parait intact. L'auteur signale aussi l' atrophie du tubercule mamillaire du même côté, qui serai
dans le domaine du nerf cubital, puis de l'affaiblissement et de l' atrophie des muscles. Celle-ci s'étend non seulement à t
qui avait présenté aux quatre extrémités des panaris multiples avec atrophie musculaire et mutilation de phalanges, le diagn
atérale avec quelques symptômes inaccoutumes, par CumpheH, 338. Atrophie . De 1' musculaire dans la sclérose multicolore,
, 53. La - au point de vue médico-légal, par Kovalewsky, 59. De l' atrophie du cerveau dans la -, par Bru- net, 167. Pupi
ommunications avec les centres, par Doellken, 322. Sclérose. De l' atrophie musculaire TABLE DES MATIERES. 56S i dans l
71 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n examinant les membres inférieurs, on cons- tate qu'il n'y a pas d' atrophie ; la force musculaire est conservée, et les mouv
opsie on trouva une hypérostose concentrique des os du crâne et une atrophie d'une partie des circonvolu- tions de la base d
les organes périphériques sont, dit l'auteur, devenus malades et l' atrophie s'est développée, s'opposant à la persistance des
l par exemple, dans les cas de tabes avec paralysie générale, celte atrophie des fibres corticales dont parle Tuczek et prés
é droite du corps. Mort à l'âge de trois ans. L'autopsie révèle une atrophie très accusée d'un hémisphère cérébral sans autre
isons). Une des quatre moelles décèle (préparations à l'appui), une atrophie presque complète des réseaux de fibres nerveuse
son le 23 août. Guérison complète, mais cécité de l'oeil gauche par atrophie blanche de la papille. Diagnostic : éruption de
e ans panaris. - Depuis rage de dix-neuf ans, scoliose parétique et atrophie progressive des mus- cles, surtout des scapulai
sont aussi considérablement atrophiés. Les deltoïdes présentent une atrophie marquée des portions pos- térieures ; les parti
- tants des muscles de la ceinture scapulaire ne présentent pas d' atrophie notable et le muscle pectoral droit paraît même h
son du gauche. Les muscles du bras présen- tent le degré moyen de l' atrophie . Elle est plus accusée à droite qu'à gauche. Le
- sidérablement plus gros et le long supinateur seul présente une atrophie marquée, appréciable au palper. Le biceps et le l
olides mollement réunis entre eux. Sur les mains on n'observe que l' atrophie du premier espace interosseux et un léger amai-
u tronc, à l'exception de ceux cités plus haut, ne présentent pas d' atrophie notable. Les muscles situés le long de la colon
scles de la face, autant qu'on puisse en juger, ne présentent pas d' atrophie . Mouvements. -Le bras droit ne peut être soulev
alade passa à l'hôpital, ils ne présentèrent pas de changements : l' atrophie des muscles demeura station- naire, le sens de
e et se limitant par la partie supé- rieure du corps ; faiblesse et atrophie musculaire nettement accusée dans la sphère de
enteux et d'altérations notables des extrémités articulaires. Pas d' atrophie musculaire ni à l'épaule gauche, ni dans d'autres
cou, après quoi elle partit pour la campagne. Tous les symptômes ( atrophie musculaire, anes- Archives, t. XV. , 12 178 p
elle généralisée. - Anesthésie limitée de la main. - Pareslliésies. Atrophie musculaire progressive de la main. Phelgmon, pa
cou. DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 179 Il n'y a jamais eu de cas d' atrophie musculaire, de para- lysies, de psychoses, etc.
uent pas de contraction. Main droite. Il n'existe nulle part de l' atrophie musculaire, le petit doigt est fléchi dans l'ar
truits, sur les mains et les doigts dans les limites antérieures. L' atrophie et la faiblesse de la main gauche sont restées
esse de la main gauche sont restées stationnaires. A la main droite atrophie partielle des muscles du thénar, surtout dans l
thénar, surtout dans la partie inféro-externe, et un commencement d' atrophie du premier muscle interosseux ; tous les mouvem
eux sont considérablement affaiblis et présentent un commencement d' atrophie . Le thénar et l'hypothénar sont atrophiés, le p
ques qu'elles par- tent de la bouche d'un ouvrier. last nos least atrophie musculaire ayant le caractère de l'atrophie mus
ouvrier. last nos least atrophie musculaire ayant le caractère de l' atrophie musculaire progressive protopathique spinale, p
nt un espace considérable dans d'autres observations également. L' atrophie musculaire associée à l'anesthésie par- tielle
ion avec sclérose, altérations cellulaires consistant tantôt en une atrophie simple ou 1 Vu'pian. - C. il. Académie des scie
es gan- glions cervicaux une dilatation marquée de vais- seaux, l' atrophie des cellules nerveuses avec accu- mulation de g
bre 1884). - Automatisme. - Mort en état de mal (1SSG). Autopsie. Atrophie et aspect chagriné de différentes circonvolutio
topsie. Atrophie et aspect chagriné de différentes circonvolutions. Atrophie cérébelleuse. - Anomalies des circonvolutions e
tions des lobes pariétaux et temporal offrent un cer- tain degré d' atrophie et un aspect chagriné. L'hémisphère cérébelleux
ronches remplis de boudin; esto- 7zt«r; plein; thymus persistant. - Atrophie des lobes occipitaux. - Hémisphère droit 20 gr.
qui, débutant par l'hypé- rémie, l'exsudation, sont terminés par l' atrophie l'hydro- pisie et la formation de nouveaux tiss
et faible dans la première partie du processus; la rétraction et l' atrophie arrivent très tardive- ment, ce qui empêche l'a
chyméningite hé- morrhagique au niveau de tout l'hémisphère gauche; atrophie corticale des deux hémisphères. M. KNECHT insis
sclérose systématique des cordons pos- térieurs de la moelle, avec atrophie des racines posté- rieures des nerfs rachidiens
eurésie tuberculeuse. Autopsie. Pas de sclérose de la moelle. Pas d' atrophie des racines postérieures. Intégrité des nerfs p
ent etserait incapable de faire une longue course. Il n'y a pas d' atrophie musculaire, ni d'adipose sous-cutanée, ni de tr
est très affaiblie. Le malade ignore à quelle époque a débuté cette atrophie testiculaire, mais il assure très catégorique-
ffaibli à droite. Pas de dystrophie de la peau ou des ongles. Pas d' atrophie mus- culaire. Le goût, l'ouïe, l'odorat sont no
'cMepu/mo ? ! 0 ! ? 'ec)'acee. Quelques adhérences pie-méi,ienizes atrophie et sclérose du lobe cérébelleux gauche;-inégali
, cystite), les troubles 12-oplti*- ques (arthropathies, fractures, atrophie musculaire, eschares) qui compliquent si souven
ques; lésions de la folie systéma- tique (Ieptoméningite chronique, atrophie de l'écorce, hydrocé- 1 Charcot. - Leçons sur l
s de coeur sur cent aliénés. L'hypertrophie du ventricule gauche, l' atrophie du ven- tricule droit, la surcharge et la dégén
du même côté que la paralysie. Dans le troisième cas, les plaques d' atrophie pigmentaire apparurent en même temps qu'une mal
ons. Le Dr Yiuaur a montré que, chez les aliénés, on trouvait une atrophie du bulbe pileux des cheveux, fait qui explique bi
, troubles considérables de la sensi- bilité et du sens musculaire. Atrophie de la jambe gauche dans les régions de la cuiss
phie de la jambe gauche dans les régions de la cuisse et du mollet; atrophie moindre à droite. iné- galité pupillaire (mydri
de six tailleurs de limes. On constata, en effet, la paralysie et l' atrophie des muscles de l'éminence thénar et du premier
branches musculaires sont très affectées. La lésion consiste en une atrophie dégénérative avec multiplication des noyaux, hy
au-dessus, intégrité parfaite. On avait constaté, pendant la vie, l' atrophie de la partie antéro-latérale de la moitié gauche
et de la déglutition, aggravation graduelle de la paralysie ; pas d' atrophie ; intégrité de la vie mentale, de la sensibilité
ues semaines, a vu se développer graduellement de la paralysie avec atrophie musculaire de l'érni- nence thénar droite due c
de vingt ans ayant graduellement et progressive- ment présenté une atrophie des petits muscles de la main du côté droit, de
mbreuses années sont toujours caractérisés par la co-existence de l' atrophie musculaire et d'une paralysie partielle de la s
es de la moelle Archives, t. XV. 31 482 sociétés savantes. et l' atrophie des cellules multipolaires, ici presque totale, q
72 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
Souffle au i9t temps et à la base du cœur. Pas do paralysie, pas d' atrophie musculaire. Pas de troubles trophiques ou vaso-mo
du champ visuel d'origine tabétique chez un diabétique. prononcée. Atrophie nacrée des papilles. Amblyopie encore peu accusée
ions oculaires ont pris une intensité remarquable. En quelques mois l' atrophie est devenue complète, la cécité absolue. Dans c
ertscn, rétrécissement irrégulier du champ visuel, dyschromatopsie et atrophie nacrée des papilles. Ce sont là incontestablement
u corps vitré; 4° des rétinites et des hémorrhagies rétiniennes; 5° l' atrophie du nerf optique. Les quatre premiers n'existent
ue. Les quatre premiers n'existent pas chez notre malade. Quant à l' atrophie du nerf optique, inutile de faire remarquer qu'el
il chez Lem... est catégorique sur l'existence, dans noire cas, d'une atrophie tabétique. Il n'est, du reste, pas éloigné de cro
e atrophie tabétique. Il n'est, du reste, pas éloigné de croire que l' atrophie de la papille n'appartient jamais au diabète. Quo
la papille n'appartient jamais au diabète. Quoi qu'il en soit, cette atrophie relève ici du tabès. En outre, le myosis bilaté
erne de la Salpêtrière, le 21 août 1890. (1) Martin-Joannès. — De l' atrophie du nerf optique et de sa valeur pronostique dans
avec quelques plaques blanches, sans contractions fibrillaires, sans atrophie appréciable. Pas de troubles de la sensibilité
ou, mais sans steppage véritable, à cause d'un degré assez accentué d' atrophie des muscles des jambes avec prédominance sur les
la démarche. Mais celie-ci reste encore, assez ataxique pour que l' atrophie des extenseurs ne donne pas iieu à la démarche fr
sont par essence mobiles et passagères. Quant à l'amblyopie et à l' atrophie du nerf optique dans le diabète, nous avons vu pl
commentaires de l'observation III, ce qu'il fallait en penser. Cette atrophie diffère, si toutefois elle existe (Parinaud), de
er. Cette atrophie diffère, si toutefois elle existe (Parinaud), de l' atrophie nacrée du tabès. M. Gale-zowsky1 déclare que l'am
opie diabétique grave est due tantôt à des hémorrhagies, tantôt à une atrophie simple, générale ou partielle du nerf optique ou
, générale ou partielle du nerf optique ou de la rétine, tantôt à une atrophie avec iridochoroïdite (Liebreich). Sur ce même suj
vec rétrécissement plus ou moins considérable du champ visuel et avec atrophie du nerf optique. Les auteurs signalent à peu près
c atrophie du nerf optique. Les auteurs signalent à peu près tous une atrophie simple, sans trouble bien manifeste de la papille
ous une atrophie simple, sans trouble bien manifeste de la papille. L' atrophie était assez avancée dans quelques cas, au point q
vé des troubles de l'achromatopsie en somme de même nature que dans l' atrophie du nerf optique en général. » Pour Althaus « le r
zowski. — Traité des maladies des yeux, 1875. distingue néanmoins l' atrophie optique du tabès de l'amblyopie de ces deux derni
e du tabès de l'amblyopie de ces deux dernières maladies, en ce que l' atrophie commence toujours dans un seul œil, et dans le co
ent aveugle, tandis que, dans le diabète et l'alcoolisme chronique, l' atrophie optique est toujours bilatérale d'emblée. » Et Dr
e en ces termes : « Plus exceptionnellement on voit se développer une atrophie progressive de la papille'qui n'a guère le temps
rps vitré, des rétinites, des hémorrhagies rétiniennes et peut-être l' atrophie du nerf optique. Or l'œil tabétique se présente a
perçu depuis longtemps qu'il traînait un peu la jambe gauche. Pas d' atrophie musculaire. Pas de tremblement spontané, ni int
pathie : la paralysie pseudo-hypertro-phique ; la forme juvénile de l' atrophie musculaire de Erb ; l'atrophie infantile hérédita
pertro-phique ; la forme juvénile de l'atrophie musculaire de Erb ; l' atrophie infantile héréditaire de Duchenne (de Boulogne) s
e primitive ; paralysie pseudo-hypertrophique, forme juvénile de Erb, atrophie infantile héréditaire de Duchenne de Boulogne. (R
tte forme d'amyotrophie, connue communément aujourd'hui sous le nom d' atrophie myopathique du type Landouzy-Dejerine, ou facio-s
ile et la paralysie pseudo-hypertrophique. On connaissait avant lui l' atrophie dans la paralysie pseudo-hypertrophique (myopathi
ypertrophie) ; il a montré l'hypertrophie dans la forme juvénile de l' atrophie musculaire (myopathie avec prédominance de l'atro
e juvénile de l'atrophie musculaire (myopathie avec prédominance de l' atrophie ). Il fallait faire de même pour la forme facio-sc
itus du malade, envahissement delà face, localisations spéciales de l' atrophie , évolution. D'ailleurs ces mouvements fibrillaire
ntués qu'ils le sont en général dans les amyotrophies myélopathiques ( atrophie musculaire progressive de Duchenne-Aran, sclérose
clérosique avait marché du côté de l'hypertrophie et non du côté de l' atrophie . En effet, ces muscles avaient perdu leur force,
ez ses malades lorsqu'il décrivit la forme infantile héréditaire de l' atrophie musculaire progressive, qu'il rattachait à tort a
Méplat latéral en arrière des lèvres très prononcé. Rire en travers. Atrophie des muscles de la houppe du menton. Rien à la lan
e à l'appui de notre communication. Scapulse alatœ très accentuées. Atrophie considérable des pectoraux, du grand dorsal, du t
tandis qu'en 1889 le côté gauche était presque intact, aujourd'hui l' atrophie y est nettement prononcée. Mais il est survenu en
yaux de pseudo-hypertro Fig. 20. — Pseudo-hypertrophie associée à l' atrophie myopathique. \ phie, du volume d'une grosse man
igeance de M. le Dr P. Richer. Ces noyaux contrastent vivement avec l' atrophie de tout le reste de la cuisse, dont presque tous
tout. Le mal évolue soit du côté de l'hypertrophie, soit du côté de l' atrophie , lesquelles peuvent être tantôt isolées, comme cl
en ce qui concerne l'examen des centres nerveux. Pendant la vie, l' atrophie prédominait au niveau du cou et présentait son dé
ceinture scapulaire, du tronc et des membres. En conséquence de cette atrophie et des rétractions tendineuses qui étaient très a
térale amyotrophique........ 3 Maladie de Friedreich........... 1 Atrophie musculaire du type Duchenne-Aran ... 6 Paralysi
type Duchenne-Aran ... 6 Paralysie spinale infantile.......... 19 Atrophie musculaire d'origine articulaire et abarti- cul
mais pas d'ictère ; hémiplégie incomplète du côté droit, sans trace d' atrophie . Il y a faiblesse de tout le côté et diminution d
érique, 277; — et hypnotisme, 285. Arthritisme : — et tahes, 307. Atrophie musculaire, 369 ; — et pseudo-hypertrophie, 369 ;
Pseudo-hypertrophie musculaire : — dans la myopathie, 367 ; — et atrophie , 369. R Réflexes rotuliens : dans le diabète
73 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
atteinte. Intégrité de la couche optique entière et du noyau coudé. Atrophie de la cornée antérieure gauche de la moelle, de-
phie des cellules est surtout marquée au niveau des renflements. Atrophie et dégénérescence des cordons latéraux. C'est, po
ion permet de distinguer cet état du morcellement en écale, ou de l' atrophie des fibres. Le cylindraxe participe à la rétrac
on n'explique pas, en effet, les troubles sphinctériens, on parle d' atrophie des mem- bres inférieurs sans en chercher la ca
rouble sensitif ailleurs : Trou- bles trophiques : Peut-être légère atrophie musculaire diffuse. Pas de troubles trophiques
ueue de cheval et de la moelle est normal. Cerveau normal. Aucune atrophie apparente des muscles des différents segments d
u dopérinévritc ainsi que la très faible intensité des phénomènes d' atrophie simple qu'ils présentent, suf- fisent à écarter
pébrale. Il n'y a en tout cas ni paralysie de l'accom- modation, ni atrophie des nerfs optiques ; réflexes patellaires norma
rti- ges intenses. Puis s'installaient : une légère démence ; une atrophie de la langue àgauche, une paralysie du voile du
u voile du palais du même côté, des troubles de la déglutition, une atrophie bilatérale du nerf optique, de l'hémianopsie ga
te optique droite, de l'hypoglosse et du vago-accessoire gauches. L' atrophie de la langue, l'hémi-paralysie du voile du pala
érale se complique de l'engourdissement réflexe de A, notamment par atrophie du nerf optique ; si la pupille B ne réa- git p
communication avec le système nerveux central, ex. : destruction et atrophie des centres etconducteurs cérébro-spinaux moteu
ce du muscle dépendant ou non du système nerveux, ex : myosi- tes, atrophie musculaire par inaction des ankyloses, 6° Chez le
ires des 5° lombaires et 1 rc sacrées. 132 SOCIÉTÉS SAVANTES. / Atrophie musculaire avec réactions électriques de la malad
MM. Lortat-Jacob et l ? l'unoN présentent un malade afl'ecté d'une atrophie musculaire portant sur la face, la langue, la cei
c'est là une forme exception- nelle de cette affection, soit que l' atrophie musculaire ait évolué parallèlement, soit qu'el
ssait d'un épithélioma de la moelle. , Anomalies congénitales par atrophie numérique. M. Klippel présente une malade de 24
sent de les avoir mal soignés ou d'être la cause de leur infirmité ( atrophie testiculaire à la suite des interventions chiru
rtains groupes mus- culaires, et extrêmement faible pour d'autres ; atrophie mus- culaire très marquée. Réflexes tendineux a
lobule paracentral droit; adhéren- ces de ces méninges au cortex ; atrophie du cerveau. A l'exa- men histologique : lésions
ntérieure des bords su- périeurs des hémisphères cérébraux avec une atrophie des lobes frontaux très accentuée. Les méninges
u'une dissociation syringomyélique très nette du côté gauche. Une atrophie très prononcée se localisa de même, surtout de ce
ment la sclérose en plaques et la syringomyélie. La pathogénie de l' atrophie doit se rapprocher, dans de pa- reils cas, de c
es de la moelle. Dans l'une ou l'autre de ces deux circonstances, l' atrophie est surtout la conséquence de deux facteurs : 1
doit mettre en action des mécanismes semblables pour pro- duire l' atrophie musculaire. Note anatomo-clinique sur un cas d'
ES ET NEUROLOGISTES. l'homme celles du Dr Dore,qui avait remarqué l' atrophie du llocculus chez les lapins énucléés. Nous v
- termédiaire, et à l'arrière est le siège de la mémoire qui con- ATROPHIE MUSCULAIRE DU TYPE ARAN-DUCHENNE. 213 serve les
rait matière à une étude beaucoup plus dé- veloppée que la nôtre. Atrophie musculaire du type Aran-Duchenne d'origine syph
au point de vue anatomique, cette maladie est caractérisée par une atrophie généralisée du cerveau. L'écorce est amincie, l
ions moins nettes, et des auteurs tels que Meynert confessent que l' atrophie des zones corticales chez les déments n'est que
édical, p. 594). h. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Myotonie avec atrophie musculaire ; par Lannois. (11'o2sv. Icon. de la
n du réflexe rotulien) quien réalité reconnaissaient pour cause une atrophie musculaire à distribu- tion segmentaire occupan
écialau point de vue clinique et ca- ractérisé anatomiquement par l' atrophie du cervelet ; or il y a des cas mixtes, et le P
ci ne sont pas l'exception. En effet, dans plusieurs cas publiés, l' atrophie du cervelet s'associe à des lésions médullaires
dans d'autres, classés comme héré- do-ataxies cérébelleuses, cette atrophie manque ; bien plus une même observation est pub
ie ; caractérisée par des paralysies musculaires avec asthénie sans atrophie , sans réactions électriques anormales, sans troub
anatomiques, Léri combat la théorie de l'origine rétinienne de l' atrophie tabétique admise par Popull', Moxter, de Grosz, e
elle n'est pas hypertrophiée : celle de la main droite présente une atrophie marquée. Les par- ties molles sont très forteme
iques les plus accusés et des lésions avancées de la sensibilité, l' atrophie musculaire est ex- trêmement faible. (Schlesing
ent progressif et expansif des membres, puis progressi- vement de l' atrophie non cantonnée aux territoires des nerfs péri- p
318 REVUE de pathologie NERVEUSE. plupart des autres ont subi une atrophie plus ou moins pronon- cée : il y a atrophie des
des autres ont subi une atrophie plus ou moins pronon- cée : il y a atrophie des racines antérieures, du réseau des fibres d
d'apparence et de consistance fibreuses, ils sont atro- phiés et l' atrophie est plus prononcée à la racine des membres 324
e division longitudinale ; les noyaux en sont partout multipliés. L' atrophie semble bien débuter au niveau de l'inser- tion
asse ; cette hypertrophie doit être considérée, au même litre que l' atrophie d'emblée, comme une réaction pri- mitive du pro
mps, on e vite le : Pln· graves nom- plications. C. 1;. : \ \\'1. - Atrophie musculaire et bradycardie ; pal' .\1.'1. lî. Lk
(Soc. de mèd. des hôpitau.r de Lyon Hte\rierl"0.j.) Observation d' atrophie musculaire progressive nnélopalhique avec aboli
Iacie·nwn- pathilille - Sculiosc professionnelle, prédominance de l' atrophie sur le pectoral gauche. Le traumatisme profes
19Uô.) - ()I\SIW\'ATIOK 1. - Ilnllllilc de iVl ans, présentant une atrophie douloureuse de la cuisse rlrnilc vl'oriinc fruu
mènes paralytiques sont plus étendus que le domaine du radial, L' atrophie musculaire est difluso tous les ligaments du bras
nt très fragi- les et présentent les lésions de l'ostéoporose, de l' atrophie osseuse simple, liée àl'involulion sénile régre
n bibliographie. de conjugaison , mode de croissance gigantesque et atrophie génitale. Les examens du squelette montrent la
nettes, avec nucléole peu visible. Les cellules qui présentent de l' atrophie proprement dite sont assez rares. Dégénérescenc
és : phénomène des orteils en extension nette des deux côtés. Pas d' atrophie musculaire. Signe d'Argill flohertson à la pupi
vident. Beaucoup de cellules sonL très riches en pig-- ment : pas d' atrophie vraie cellulaire. Au niveau du 2e segm. lombair
ayant perdu près de la moitié de leur poids. L'autopsie montra une atrophie remarquable de la rate et de la vésicule biliai
à une affection plus ou moins prononcée de la glande ! thyroïde, atrophie , kystes, tubercules, etc. (2). j L'idiotie mong
normaux, les troubles delà sensibilité ont com- plètement disparu. Atrophie persistante au niveau du dellollle, de l'avant-
sme et castration ; Les modifications du squelette consécutives à l' atrophie testiculaire et à la cast¡ ation; Des relations
isme et castration. Les modifl- tions du squelette consécutives à l' atrophie testiculaire et à la castration. (Soc de path.
centres nerveux. Syphilis des centres nerveux. Paralysie générale. Atrophie musculaire progressive ; Atrophies musculaires
1111 ? ment, par Faure, p. 235. ' Atiiéromateux. Voir Parésie,. Atrophie musculaire. Vo;r Thomsrl1. - numérique. Voir
rayons et Charpentier, par Kiki- tine, p. 39. Bradycardie. Voir Atrophie musculaire. Bromure. Voir Epilepsie. Bulbe.
Immobilité pu- pillaire, Myotonie. Voir Onde muscu- laire. avec atrophie mus- culaire, par Lannois, p. 312. MYSTIQUE.
74 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
notait la proéminence des trois premières vertèbres thoraciques, l' atrophie des jambes avec paralysie la contmc- ture des t
n'y ait pas de paralysie proprement dite. Pas de signe de Romberg. Atrophie des masses musculaires des membres inférieurs.
ssification simplement arbitraire. Le cas en question présente de l' atrophie progressive débutant dans le tout jeune âge aux
sclérose s'étendant à toute l'étendue du faisceau pyramidal avec atrophie des cellules ganglionnaires; sans lésion vasculai
étudié. Les lésions les plus manifestes sont'macrosco- piquement l' atrophie des circonvolutions frontales, pariétales et te
, sauf l'éminence thénar droite néanmoins touchée. En même temps, atrophie prononcée des muscles paralysés les plus atteints
exogène. Pour la plupart des savants l'altération procède par une atrophie dégénérative des éléments nerveux, qui, une fois
, le début a été beaucoup plus rapide, la paralysie plus intense, l' atrophie consécutive prédominante à la cuisse. Donc, i
aussi par l'hypertrophie. De plus, on a signalé, conjointement à l' atrophie musculaire, la pro- lifération du tissu cellulo
SOCIETES SAVANTES. plitude, celle-ci étant en rapport avec l'état d' atrophie des muscles. Il est naturel que les contraction
la vue périphérique et centrale, en arrêtant le développement de l' atrophie et en éloignant la marche progressive de l'affe
nt les suivantes : dans les'circonvolutions directement comprimées, atrophie cellulaire; dans les circonvolutions indirectem
gie le plus de progrès. SillON. XXV. De la mise en évidence par l' atrophie dite parenchymateuse du cervelet, d'une couche
. Leur constatation soulève une question importante, à savoir : l' atrophie parenchymateuse primitive du cervelet existe-t-el
t existe-t-elle vrai- ment ? Ils se demandent, en effet, pourquoi l' atrophie , ou l'arrêt de développement, sur trois variété
ehors des atrophies par ramollissement ou par méningite, ne subit d' atrophie que secondairement, soit par lésions des parties
phalie interne. Légère épendymite granulée du quatrième ventricule. Atrophie du coeur, du foie, de la rate et des reins. ,
la colonne vertébrale (Wirbelsteifigheit); 2° 5 malades, atteints d' atrophie musculaire progressive d'origine myopatleiq2ce.
oties, elle peut être acquise. Elle est quelquefois consécutive à l' atrophie ou à la destruction des centres dans lesquels dev
0 grammes. Il parait y avoir eu, dans les trois cas, en dehors de l' atrophie , arrêt de développement ou exiguïté congénitale
euse, avec l'étude de tous les modes de dégénérescence cellulaire : atrophie simple, etc. ; 3° la patho- logie des artères e
s sur les rapports de la structure et des fonctions cérébrales. L' atrophie musculaire progressive du type Oran. Duchenne et
s. 2't3 stigmates d'hystérie, sans troubles de la sensibilité, sans atrophie , sans troubles des réactions électriques, il ex
éflexes rotuhens, Phéno- mène du pied. Démarche spastique. Certaine atrophie des muscles de la jambe droite sans raideur, ma
et à la station debout, puis sensation de froid à la jambe droite, atrophie des muscles de la jambe droite et les phéno- mè
. M. RoTO attire l'attention sur l'existence de transitions entre l' atrophie et la dégénération de sorte que sou- vent on es
ion subjective passagère, diminution de la réaction myoto- nique. L' atrophie artificielle constatée n'a que très incomplètemen
intervention chirurgicale n'étant pas capable de doser exactement l' atrophie dégénérative qu'elle désire produire, ni les co
sse d'une dégénérescence wallérienne : c'est un stade plus étendu d' atrophie secondaire produite par la perte de la fonction
ne voit pas à quoi elle répond. 330 SOCIÉTÉS -SAVANTES. - '. Atrophie cérébrale. M. Dorai : montre le moulage du cerv
u liséré. La sensibilité tactile est peu modifiée. Pas de douleurs. Atrophie manifeste du premier espace interosseux et de l
oncerne la sclérodermie, la sclérodactylie, la maladie de Rayuau, l' atrophie musculaire progressive. Dans la symptomatologie
s peut-être aussi par les fibres du médian associées à ce nerf. L' atrophie des muscles atteints est considérable : elle donn
n a noté parésies et paralysies, allant à l'impotence totale et à l' atrophie , de l'affai- blissement du sens musculaire, une
uleux. Il semble que le complexus symptomatique de la myotonie et l' atrophie manifestement progressive des muscles aient pri
res observations, également résumées, témoignent de l'idiotie, avec atrophie des nerfs optiques, dues à la syphilis hérédita
sie, point d'attaques d'apo- plexie. On trouve, à l'autopsie, une atrophie typique du cerveau et principalement à gauche,
surtout des première et seconde tem- porale gauches (figures). A l' atrophie du lobe temporal gauche se rattache la perte de
er- cutés. Une presque complète séparation du lobe temporal par l' atrophie n'est pas possible sans que d'autres parties de l
influence du cerveau. P. KERAVAL.. LXXIV. Observation originale d' atrophie musculaire étendue, à début aigu et devenue sta
erminée ? ); par J. Eveusmann. (Neurolog. CenI1'albl" XIX, 1900.) Atrophie étendue des muscles du tronc et des extrémités, s
e diagnostic entre la dystrophie muscu- laire progressive de ERB, l' atrophie musculaire progressive spinale de Duchenne-Aran
son début subaigu, sa longue durée et le caractère progressif de l' atrophie pendant six à huit années, indiquent un process
nte simul- tanée de tant de régions; le choix des muscles frappés d' atrophie , incapable, en aucune des affections en questio
ts cornéens. Persistance des troubles pupil- laires et patellaires. Atrophie commençante du nerf optique à droite. C'est une
e 21 juillet 1899, il existe une paralysie dégénérative grave, avec atrophie musculaire, troubles sensitifs, trophiques et vas
atrophiés; la faiblesse relative du bras droit tient en somme à une atrophie par inaction, le patient se servant depuis long
ervés. On n'a pas cherché le phénomène de Babinski. Il n'y avait ni atrophie des membres, ni modification des réactions élec
s étaient anesthésiés. La guérison a été complète en deux mois sans atrophie . L'auteur rappelle ensuite les explications ou
st jamais négligeable dans ces régions et atteint même la moelle. Atrophie consécutive à une ligature artérielle. M. TOUCH
té est notablement diminuée. La face est devenue asymétrique sans atrophie véritable, la pupille est rétrécie et la langue d
ade plus avancé : méningite, encé- phalite et myélite ; souvent une atrophie du cerveau et des cellules des cornes antérieur
uche pas, en marchant. Nulle part on ne découvre la moindre trace d' atrophie musculaire. Par contre, à droite, on constate u
e lésions destructives de la zone corticale visuelle. Peut-être l' atrophie de la papille, plus marquée du côté droit, que no
t du champ visuel chez les paralytiques généraux est le signe d'une atrophie commençante du nerf oplique; 10° les symptômes
and on a assigné à ces derniers une proportion de a0 p. 100, et à l' atrophie du nerf opti- que celle de 4 à 4,5 p. 100, on n
trophie du nerf opti- que celle de 4 à 4,5 p. 100, on n'admettait l' atrophie que lorsqu'on voyait une image ophtalmoscopique
ent si l'on accorde que la campiinétrie suffit pour diagnosliquer l' atrophie au début; en ce cas, les données périmétriques pr
l est le processus patholo- gique qui préside au développement de l' atrophie du nerf optique. A son avis, dans la papille du
rface et entraine la multiplication du tissu conjonctif ainsi que l' atrophie des fibres nerveuses périphériques. C'est pourquo
ste à l'état de pâleur de la papille et de formation d'un segment d' atrophie autour d'elle, marche avec une extrême lenteur.
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE. gressive, qui aboutit inévitablement à l' atrophie de la papille. Du moins c'est ce qu'indique la
'hystérie associée au tabes. . M. LAMY présente un malade atteint d' atrophie totale radicu- laire du membre supérieur à la s
une portion du plexus cervical sont intéressés. 11 s'agit là d'une atrophie organique et non réflexe. , III. Souques présen
ue et idiotie. L'un des frères a succombé : l'autopsie a montré une atrophie cérébelleuse très accentuée. - Un cas d'¡di9- t
e la parole normalement cons- titués ; 4° Absence de paralysie ou d' atrophie du tronc et des membres. Dans ce mutisme de n
des ataxi- ques, 175. Ataxie spinale aiguë, par Ch, Dana, 398. Atrophie parenchymateuse du cer- Nelet, par Lannois et l
336. LI : PI;osE, par dom Sauton, 343. Ligature artérielle. Voir Atrophie . Liseur DE pensée, par Farez, 91.. z )1,CIIOD
75 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
me chronique avec démence et à l'autopsie de laquelle on trouva une atrophie symétrique de toutes les circonvolutions frontale
diffuse et à la folie systématisée chro- nique, anatomiquement, à l' atrophie générale du cerveau. Dans les observations 4 et
céphalie interne idiopathique. Moindre est-elle dans les exemples d' atrophie du cerveau. L'examen, dans tous ces types, du c
endance des excès alcooliques. R. de Musgrave-Clay. XII. Un cas d' atrophie musculaire progressive et un cas de para- lysie
DTEII. (The Aew-Yo ? ,Ii médical Journal, 5 juillet 1902). Cas. L Atrophie musculaire progressive juvénile, (forme d'Er6).
a moelle correspondant au côté de l'amputation. 5° L'étendue de l' atrophie , en hauteur et en largeur, dépend surtout de l'
ans le tabes au contraire, la surdi-cécité est caractérisée par une atrophie des nerfs optiques et acoustiques. Cette double m
8 RECUEIL DE FAITS. ment bornés à apprécier à vue d'oeil le degré d' atrophie ou d'hy- pertrophie de telle ou telle partie. D
s branches contiguës des V osseux signa- lés à l'instant. Face. L' atrophie du massif facial e,t considérable : minceur des
'étude de l'état du fond de l'oeil chez les paralytiques généraux. « Atrophie papillaire et décollement de la rétine ; PAR
portons aujourd'hui l'observation d'un paralyti- que qui, outre une atrophie papillaire bi-latérale, présen- tait un vaste d
demain de l'entrée 11 donne les résultats suivants : (EU gauche : atrophie papdluire blanche. (Mit d,oit : décollement de
névrogliques. Ce sont là en somme les lésions du dernier stade de l' atrophie papillaire des paralytiques généraux : nous les a
de volume, infil- trée de pigments, présente bien les lésions de l' atrophie pig- mentaire consécutive au décollement. A ce
toutes les lésions étudiés et représentées figure 2 mais bientôt l' atrophie si marquée de la couche intergranuleuse dispara
en ophthalmoseopique fut pratiqué on cons- ' tata l'existence d'une atrophie papillaire blanche du côté gauche, d'un vaste d
le diagnostic clinique et nous a décelé les lésions ordinaires de l' atrophie papillaire et rétinienne, dans les deux yeux, s
séreux de la grosseur d'une petite noix. A la coupe, on constate l' atrophie de la substance corticale. L'examen histologi(l
d'autre part l'existence d'une double néphrite interstitielle avec atrophie portant surtout sur le rein droit, qui pesait 60
palatin est faible ou absent : le réflexe pharyngien existe. Aucune atrophie de la langue, des lèvres, des muscles quelconqu
cHivM,2'SKne,t.XVI. H '162 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. manque l' atrophie musculaire progressive, les modifications qua-
té trop brusque et l'évolu- tion trop rapide En raison de la double atrophie papillaire, on peut penser à une lésion localis
(partie moyenne de la première temporale) a permis de constater une atrophie notable des cellules de l'écorce. Cette atrophi
s de constater une atrophie notable des cellules de l'écorce. Cette atrophie des cellules du cerveau sous l'influence de la lé
ccourcissement du cou, avec scoliose du dos. Dès l'âge de cinq ans, atrophie considérable de la langue, surtout à gauche, de
de l'épaule dans le domaine du radial supérieur, sans paralysie ni atrophie , mais avec abolition du réflexe du triceps brac
condité. On avait multiplié, comme à plaisir, les formes ou types d' atrophie musculaire progressive. Le meilleur moyen de fa
» On avait eu la prétention d'ériger un certain nombre de types d' atrophie musculaire progressive en véritables espèces morb
une valeur qui leur fait défaut. Elle a démontré que ces types d' atrophie musculaire, érigés en espèces morbides autonome
graphie générale, il existe une maladie de dégénérescence qui e,t T' atrophie musculaire progressive, celle- ci comportant de
agir contre cette tendance à multiplier indéfiniment les variétés d' atrophie musculaire progressive; il propose de les ramen
es espèces : une forme spinale qu'on dési- gna encore sous le nom d' atrophie musculaire progressive du type Aran-Duchenue; u
ligne de démarcation absolue entre les formes spinale myopathique d' atrophie musculaire progressive, entre les formes famili
iliale et non familiale. Nous connaissons au- jourd'hui une forme d' atrophie musculaire progressive (type We)'</M.'y-/7oy
rine ont eu tort de prétendre que dans le type qu'ils ont décrit l' atrophie commençait par les muscles des mains, comme dans
rit l'atrophie commençait par les muscles des mains, comme dans l' atrophie Aron-Duchenne, l'atrophie myétopathique, alors qu
t par les muscles des mains, comme dans l'atrophie Aron-Duchenne, l' atrophie myétopathique, alors qu'ils ont établi, les pre
tions inédites. La question des rapports de cette maladie avec l' atrophie musculaire progressive de Duchenne est discutée à
qu'ils soient ou non paralytiques, présente des lésions spéciales : atrophie et dégé- nérescence granulo-graisseuse et pigme
ctives, qui sont l'aboutissant des précédentes, sont marquées par l' atrophie du neurone en toutes ses parties, le corps de l
ganglions. Ce qui parait ressortir de ces observations, c'est que l' atrophie -de l'élément noble est secondaire a la scléros
uccède à l'in- flammation du tissu conjonctivo-vasculaire, et que l' atrophie des fibres nerveuses à myéline est due, quand o
, chez l'homme sain, le neurasthénique, le myopa- litique et dans l' atrophie mMS<;t ? )'6H6'u)'t<tue. MM. Gilbert Ball
ls se succèdent. Chez les myopathiques, chez les malades affectés d' atrophie névritique, les choses se passent très dillérem-
AI)rès 'e trace d'épuisement (dont le niveau général, à cause de l' atrophie musculaire, est moins élevé, cela se conçoit, q
ostérieure. Celles qui persistent présentent l'aspect évident d'une atrophie à évolution lente. il n'y a pas de lésions marq
e et la persistance des cartilages de conjugaison en rapport avec l' atrophie testiculaire (Soc. de Bio- logie, 10 janvier 19
e Boulogne) a pro- posé, en 1872, d'isoler des multiples variétés d' atrophie musculaire 332 SOCIÉTÉS SAVANTES. qui peuvent
ies spinales ante- rieures aiguës de l'adulte et les attribua à une atrophie aiguë des cellules antérieures de la moelle.
d'une séparation : l'existence de douleurs, la parésie précédant l' atrophie , la plus courte évolution. Mais de nouveaux cas n
ssible d'apprendre d'un malade si la parésie a réellement précédé l' atrophie , car, presque toujours la gêne fonctionnelle pr
près de trente ans plus tard présentait la plupart des symptômes : Atrophie musculaire localisée aux membres supérieurs, at
mière ni à l'accom- modation. L'examen oculaire constate une légère atrophie de la pupille, probablement consécutive à d'anc
a besoin d'être surveillée, même apprise; la langue (hypertrophie, atrophie , perlèche, fissure-comme chez les idiots Mongol
la papille. Toutefois, il existe des exceptions, et nous avons vu l' atrophie 422 ) ANATOMIE PATHOLOGIQUE. papillaire se pr
la papille décolorée, mieux encore de la papille présen- tant de l' atrophie blanche. Nous avons pu dans cinq cas pratiquer
la vie sexuelle disparaît, les organes de l'économie subissent une atrophie de la substance active et la multiplication du
tion du tissu inteistitiel (hypertrophie de la prostate par ex.). L' atrophie rapide du cerveau sénile détermine la tlémei2ce
sénile détermine la tlémei2ce sénile; il peut aussi se produire une atrophie cérébrale prématurée, qui entraîne la démence j
l'utaxie spinale héréditaire, la paralysie bullaire progressive, l' atrophie musculaire progressive, laissent supposer que d
spasmodiquc, à la myélite chronique de la femme. à quelques faits d' atrophie du nerf auditif et du nerf optique. Seulement o
nts cas de sclérose de l'oreille moyenne, d'emphysème pulmonaire, d' atrophie de la muqueuse gastrique et intestinale, de scl
(sauf quelquefois dans les phases terminales, où l'on rencontre une atrophie vraie avec ses conséquences réactionnelles élec
d'un rêve. Il existe assez souvent un degré plus ou moins avancé d' atrophie du nerf optique ; la diminution de la vision, e
ylindres-axes nettement reconnais- sables malgré un certain degré d' atrophie . La substance grise n'est représentée que par u
hez l'homme sain, le nemastlléniyue, le myo- llatlllque et dans l' atrophie mus- culalre névritique, par Ballet et Philip
aplégie. Voit- YéVI-08C. Paralysie trseudo-hypertrophique. Voir Atrophie musculaire. as- sociée des globes oculaires pou
76 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
défauts de prononciation ont une cause physio- logique, paralysie, atrophie de tel ou tel élément d'organe. La langue, trop
besoin d'être surveillée, même apprise ; - la langue (hypertrophie, atrophie , fis- sures, brièveté du. frein); le palais (dé
tion des molaires, dont les unes sont gâtées etles autres absentes. Atrophie cuspidienne, émail jaunâtre. - Menton rond ; la
er (Edm.) pratiquent l'examen de la dentition : Erosions dentaires, atrophie cuspidienne qu'ils mettent sur le compte de l'h
est jaune noirâtre. Les canines et les incisives présentent de l' atrophie cuspidienne. Le con est très court. Les membres
sont par contre moindres. A côté de nombreuses cellules en voie d' atrophie ou d'homogénéisation,on renconte quel- ques cel
nt autour des cellules nerveuses que dans le centre ovale, dont l' atrophie scléreuse est encore plus accusée que précé- de
técédents héréditaires. 199 de tout l'hémisphère cérébral gauche. - Atrophie croisée du cerveau et du cervelet.. -, Tard..
ment, sans aucune adhérence. - Tout l'hémisphère est le siège d'une atrophie très notable des circonvolutions; l'atrophie pr
ère est le siège d'une atrophie très notable des circonvolutions; l' atrophie prédonime au niveau du lobe frontal et du lobe
est d'environ un tiers moindre à gauche qu'à droite. Par suite de l' atrophie des circonvolutions à gauche, de la dilation du
, sont blanchâtres, indurées, moitié plus denses qu'à droite ; leur atrophie , très-notable, prédomine sur le lobe frontal et
ienne au niveau de la loge frontale. Le cerveau de Vey... avait une atrophie double de la partie antérieure des lobes fronta
a-galli sur ses deux faces est iden- tique. Qu'un des hémisphères s' atrophie et cesse de se déve- lopper, qu'arrive-t-il ? L
on trophique directe sur l'os qui le recouvre (ce qui dans le cas d' atrophie de cet organe , entraînerait une atrophie des c
vre (ce qui dans le cas d'atrophie de cet organe , entraînerait une atrophie des crêtes osseuses observées normalement) que
s hémisphères cérébelleux sont égaux ; d'autres fois, plus rares, l' atrophie cérébelleuse existe du même côté que l'atrophie
fois, plus rares, l'atrophie cérébelleuse existe du même côté que l' atrophie cérébrale. Enfin, souvent, tandis que les hémis
action est hors de doute, par exemple le cas de R.... chez lequel l' atrophie des lobes frontaux a laissé un large Fit. 62.
ement d'origine inflammatoire. Sur les fig. (je,61 et 62, on voit l' atrophie de la partie antérieure du cerveau; sur la fig.
VI. Imbécillité; hémiplégie gauche; épilepsie; état de mal; mort; atrophie très considérable de l'hémis- phère cérébral dr
; accès sériels. ' Etat du malade à l'entrée : . Hémiplégie gauche, atrophie et con- fracture. - Marche des accès. Etat de m
droite ; épaississement notable du frontal et du pariétal droits. - Atrophie considérable de l'hémisphère cérébral droit; -
au. - A l'examen du cerveau, ce qui frappe immédiate- ment, c'est l' atrophie très considérable de l'hémisphère droit. Nerf o
re que le droit est d'au moins un quart plus petit que le gauche. L' atrophie porte sur la largeur et davantage sur la hauteu
e : elle tient à l'ABSENCE du CORPS calleux. Poids des organes. Atrophie CROISÉE : cerveau ET CERVELET. 263 autre sce2tr
est de même de la sensibilité dans ses divers modes. Notons enfin l' atrophie ou mieux l'arrêt de développement du système mu
alogue : Hypertrophie compensatrice des os du crâne répondant à une atrophie considérable des lobes frontaux; - voir aussi p
ophiqzteintéressaiitl,resque tout l'hémisphère cérébral droit, avec atrophie croisée du cervelet et compliqué, lésion rare,
ayant eu de nombreux accès. XV. Hydrocéphalie congénitale avec atrophie croisée de - l'hémisphère cérebral droit et de
. Autopsie : Fracture de L'avant-bras droit et du radius gauche. Atrophie de l'hémisphère cérébral droit et de l'hémisphère
érébral droit et de l'hémisphère cérébelleux gauche. Hydrocéphalie. Atrophie , de la partie inférieure du lobe pariétal droit
de contracture musculaire. Pas de contractions fibrillaires. l'as d' atrophie , ni d'épilepsie spi- nale. Réflexes rotuliens é
entir la lésion atrophique de l'hémisphère céré- bral droit. Mais l' atrophie de l'hémisphère cérébelleux gauche no correspon
ervation, riche déjà en lésions anatomiques peu fréquentes, est l' atrophie décrite à la région inférieure du lobe parié- t
phie décrite à la région inférieure du lobe parié- tal droit. Cette atrophie détermine laformation d'une dépression dont le
Base de l'encéphale de (Voir p. 248, 259, etc.). - Elle montre l' atrophie de l'hémisphère cérébral droit et de l'hémisphè
x que la précédente, cette planche montre très nettement le degré d' atrophie de l'hémisphère cérébral droit. BOURNEVILLE,
VI. Imbécillité;' hémiplégie gauche; épilepsie; état de mal, mort, atrophie considéra- ble de l'hémisphère cérébral droit;
E et IZOU................... 300 XV. Hydrocéphalie congénitale avec atrophie croisée de l'hémisphère cérébral droit et l'h
77 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sensations mus- culaires. Il y a des états pathologiques du muscle, atrophie , etc., mais, dans ces états, bien qu'il puisse
ec M. Bonnier et M. Péchin. Ce dernier a trouvé chez le patient une atrophie papillaire bi-latérale intense. M. Bonnier, inv
ction du faisceau supérieur (claviculaire) du muscle par suite de l' atrophie des fais- ceaux inférieurs. Le cou ressemble
ique. MM. DFJERINP et Thomas. Les symptômes ont été : ataxie avec atrophie musculaire et scoliose. La moelle épinière avait
ner le signe d'Argyll sans syphilis. M. Meunier communique un cas d' atrophie musculaire progres- sive, avec contractures tra
: état ataxospa- smodique ; 4° le syndrome des cornes antérieures : atrophie musculaire; 5° le syndrome associé des cordons
e syndrome associé des cordons latéraux et des cornes antérieures : atrophie musculaire spasmodique ; 6° le syn- drome de la
oumons, le tube digestif, fonctionnent bien. Elle ne présente pas d' atrophie musculaire, pas de déviation de la colonne verté-
irée à gauche sans qu'il manque de dents de ce côté. Il n'y a pas d' atrophie , pas de modifications du thorax, aucun signe de
J. Ch... n'a pas fait de service militaire, ayant été réformé pour atrophie du médius de la main gauche. Cest à l'âge de vi
cles de la masse sacro-lombaire du même côté étaient le siège d'une atrophie manifeste. En outre, il existait une scoliose c
rent bientôt suivies d'une paralysie radiculaii e du type Erb, avec atrophie des muscles de la ceinture scapulaire. Quelque
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. VIII. Paralysie labio-glosso-laryngée ( Atrophie chronique des noyaux moteurs de la protubérance
ellectuel ; 3° une exhaustibilité des fonctions psychiques ; 4° une atrophie avec diminution de la con- tractilité faradique
té affligée d'une névralgie du trijumeau à gauche ; elle entraîna l' atrophie de la moitié correspondante de la face; c'est e
nérescence du trijumeau. Moebius regarde cette maladie comme une atrophie primitive de la peau, causée par des processus
et SIC.1RD présentent deux malades, le frère et la soeur atteints d' atrophie distribuée selon la forme de l'hémiplégie c'est
supérieur, au tronc et à la face. Il y a donc là un type nouveau d' atrophie à forme hémiplégique, et une notion nouvelle fa
formation dite thorax en entonnoir. L'un des malades présente de l' atrophie des pectoraux et de la cyanose des mains, ni l'un
r le groupe radiculaire supérieur. On constate chez ce ma- lade une atrophie osseuse très apparente de l'omoplate, de l'humé-
dans un trouble de l'innervation sympathique vasculaire. Quant à l' atrophie osseuse, rarement signalée dans les paralvsies
n trouvait cinq atrophies papillaires blanches, une seule fois de l' atrophie grise, une sclérochoroïdite postérieure bilatér
-deux malades, ces deux aspects sont des ' états préliminaires de l' atrophie papillaire. Chez les neuf paralytiques en rémis
ervelet. 111111. LANNOIS et Paviot (de Lyon) rapportent 3 6bserv. d' atrophie du cervelet. Dans la 1 ? il s'agissait d'un enf
éningile généralisée avec un pseudo-kyste sous-céré- belleux et une atrophie qui semblait limitée à la face inférieure du ce
cervelet, mais en réalité était diffuse. La seconde est une hémi- atrophie du cervelet apparemment primitive, et la troisièm
ondairement. Le syndrome clinique cérébelleux en rapport avec cette atrophie ne doit donc pas-tou- jours être considéré comm
s ; on y remarque seulement un certain degré de chroma- tolyse et d' atrophie . C'est seulement à un degré plus avancé qu'elle
t seulement à un degré plus avancé qu'elles disparaissent, soit par atrophie , soit par complet envahis- sement. Malgré un en
nérale et par conséquent empêcher ou atténuer l'amaigrissement ou J' atrophie musculaire chez les tabétiques comme chez d'aut
1 Les cellules du; cortex présentaient les différents degrés de l' atrophie ; celles de la moelle étaient intactes, sauf une l
doivent être soigneusement évités. Dît processus histologique de l' atrophie musculaire. M. G. Durante. L'auteur élimine les
oxiques analogues à celles des autres organes, pour n'étudier que l' atrophie simple telle qu'elle s'observedans les affectio
moindre état pathologique et prolifère. Le processus conduisant à l' atrophie simple peut être divisé en trois périodes : 1
bres hypertrophiées qui marquent la première phase inconstante de l' atrophie . SOCIÉTÉS savantes. 389 Au niveau des amas de
des fibres très grêles, mais ne saurait, à elle seule, entraîner l' atrophie du muscle, puisque la diminution de volume des
reconnaissables les éléments musculaires dans les amyotrophies. L' atrophie musculaire est donc l'aboutissant non pas d'une
e la sclérose en plaques (35 cas), de la polynévrite (30 cas), de l' atrophie musculaire Charcot-Marie (6 cas), de la syringo
ies affectées. P. Keraval. XVIII. Un cas d'herpès zoster, suivi d' atrophie musculaire; par \\'ilUelul Mlacus. (Norsk 111ga
d'un herpès zoster limité au bord ulnaire de l'avant-bras droit, l' atrophie se déclara dans les muscles suivants : infraspi
réaction de la dégénérescence. Après quelques mois de traitement, l' atrophie disparut, sauf dans les petits muscles de la ma
l existe donc, conclut l'auteur, une série morbide constituée par l' atrophie musculaire myélopathique pro- gressive, la para
res. Dans l'observation que rapporte l'auteur, il parait bien qne l' atrophie musculaire double scapulo-humérale ne reconnaît p
permettait 430 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de mettre en doute l' atrophie du nerf optique, et, d'autre part, le réflexe l
que, novembre 1899.) Observation de syringomyélie avec paralysie et atrophie des muscles de la main gauche, paralysie du mus
e la huitième racine cervicale, rend compte de la paralysie et de l' atrophie des muscles de la main et des fléchisseurs de l
à gauche de la parésie spas- modique, puis du myosis gauche et une atrophie , sans caractères radiculaires bien nets, portan
ériphérique; qu'il est possible, et même vraisem- blable, que cette atrophie s'accompagne des mêmes aspects mor- phologiques
t être utile, non seulement pour le diagnostic différentiel entre l' atrophie scapulo- humérale d'origine cérébrale et l'atro
rentiel entre l'atrophie scapulo- humérale d'origine cérébrale et l' atrophie scapulo-humérale .d'ori- REVUE D'ANATOMIE ET DE
heurte à quelques difficultés, mais parfois aussi pour distinguer l' atrophie musculaire juvénile au début d'autres processus a
i s'annoncent par une crise de mélancolie; 5° il est démontré que l' atrophie symétrique que l'on observe fréquemment dans les
s inférieurs. Ces douleurs furent suivies quelque temps après d'une atrophie avec parésie des quatre membres, exagéra- tion
rapports existant entre l'état de la glande pituitaire et l'état d' atrophie ou l'absence des testicules (animaux châtrés et
ocalisation bulbaire directe du névritique en raison de l'absence d' atrophie musculaire et de troubles des réactions électri
e d'atrophie musculaire et de troubles des réactions électriques. Atrophie musculaire et poliomyélite. 1111. . Raymond et
apportent un nouveau document pour l'histoire anatomo-clinique de l' atrophie musculaire progres- sive spinale, due à une pol
ue. L'affection avait commencé à faire de cinquante- deux ans par l' atrophie graduelle des muscles antéro-externes de la jam
moelle épinière, avec prédominance pour la région lombo-sacrée, une atrophie considérable, en nombre et en volume, au niveau
trebente, 340. Asynergie cérébelleuse, par Ba- binsl,i, 435. Atrophie du cervelet, voir llislolo- gie. Du processus l
Hérédité. Théories sur 1' , par Reid, 505. Herpès ZOSTER, suivi d' atrophie mus- culaire, par Wilhelm Magnus, 42 ? Hist
u crâne par coup de feu. par D. S. Latnll. 57. Poliomyélite. Voir Atrophie mus- calcuire. Pglynévrue wcc psychose, par
78 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
e de Weigert. La zone dégénérée est colorée en jaune. - Remarquer l' atrophie extrême des régions non dégénérées du pied du p
agnent toujours d'une dégénérescence très intense, voire même d'une atrophie complète de cette pyramide. Les fibres pyramidale
rs accompagnées d'une dégénérescence très intense, voire même d'une atrophie complète de la pyramide bulbaire (voy. cas Scheul
yers hémorrhagiques du cerveau entraînent du côté correspondant une atrophie du pédoncule cérébral, de la protubérance et du b
protubérance et du bulbe rachidien, et Rokitansky montra que cette atrophie peut être suivie dans le 'côté opposé de la moell
corps striés, pratiquée sur des animaux nouveau-nés, entraînait une atrophie totale de la pyramide, atrophie qui peut être sui
animaux nouveau-nés, entraînait une atrophie totale de la pyramide, atrophie qui peut être suivie (jusque dans le cordon lat
sont anciennes (voy. cas Pradel, p. 100 et suiv.) - enlraînent une atrophie des neurones de 2° el de 3° ordre. Ces atrophie
même fréquent de constater, suivant le siège de la lésion, soit une atrophie de la bandelette optique, ou du ruban de Reil m
atrophies indirectes ou secondaires, s'accompagnent toujours d'une atrophie en masse plus ou moins prononcée de la moitié cor
; Fig. 157, 158, 159, cas Rivaud). A topographie de lésion égale, l' atrophie en masse est d'autant plus Considérations gé-
tation de la corne occipitale et du carrefour ventriculaire, et une atrophie des circonvolutions des régions pariéto- occipi
u bulbe. ^Dégénérescence de la pyramide anté- rieure du bulbe (Py), atrophie indirecte de la couche interolivaire (im(a) et hé
e du bulbe. Fig. 58 ? Coupe transversale delà VU3 i- icnepi 1 Il. Atrophie indirecte du ruban do Reil tnëdian et lieiiii
re du bulbe. Dégénérescence de la pyramide antérieure droite (l'y), atrophie indirecte de l'entre-croisement piniforme (xpin),
e coloration. (Méthode de Weigert et Carmin.) Fig. 61. FiG. 60. Atrophie en masse de la calolte du pédoncule cérébral et d
pédoncule cérébral. (Cas Bizaguet, voy. Fig. 39, p. 55.) FiG. Gi. Atrophie en masse du pilier antérieur du trigone dans un c
rébrale infantile. (Cas Rivaud, Fig. 142 à 162, p. l : il et suiv.) L' atrophie porte non sur le nombre mais sur le volume des
rophié et le trigone sain ont été dessinés à un même grossissement. atrophie indirecte du ruban do Reil médian dans un cas d'h
méthode de Marchi pour cette étude. pouvant s'accompagner d'une atrophie complète des cellules pyramidales de l'écorce c
de de Marchi), participent néanmoins dans les lésions anciennes à l' atrophie en masse de la moitié du tronc encéphalique corre
Th). - Dégénérescence incomplète de la commissure antérieure (coa). Atrophie indirecte de la partie ventrale du noyau extern
té du noyau lenticulaire (NLi, NL2, NL3) qui n'a subi qu'une simple atrophie en masse. - Méthode de Weigert 2/1 grandeur nat
olume marquée de l'hémisphère gauche dans tous ses diamètres et une atrophie très prononcée de la couche optique, ainsi qu'u
(Th). Dégénérescence incomplète de la commissure antérieure (coa). Atrophie indirecte de la partie ventrale du tha- lamus e
recte de la partie ventrale du tha- lamus et du centre médian (Nm). Atrophie en masse du corps de Luys (CL), du noyau lentic
et interne (Cge, Cgi) (Fig. 69-72), de la zone de Werniche (W) et une atrophie con- sidérable de la zone réticulée (Zr) et des
a capsule du noyau rouge (CNR,), de la commissure antérieure (coa). Atrophie indirecte de la région du mban de Reil médian (
du tubercule quadrijumeau antérieur. Dégénérescence du noyau rouge. Atrophie légère de la bandelette optique. Atrophie indirec
érescence du noyau rouge. Atrophie légère de la bandelette optique. Atrophie indirecte du ruban de Reil médian. - Méthode de
arez avec coupe normale Fig. 36). Remarquez sur toutes ces coupes l' atrophie en masse de la moitié gauche du tronc encéphali
longitudinales de la protubérance et des noyaux pontiques gauches. Atrophie indirecte des pédoncules cérébelleux supérieur et
FIG. 76. - Cas Pradel. Dégénérescence totale de la pyramide gauche. Atrophie de la couche inter-olivaire gauche. Atrophie en
de la pyramide gauche. Atrophie de la couche inter-olivaire gauche. Atrophie en masse de la moitié gauche du bulbe. Biblioth
sé droit. Di- minution de volume de la corne antérieure droite, atrophie en masse de la moitié droite de la moelle. Mé
e avec contracture et arrêt de développement du membre inférieur. L' atrophie musculaire du membre supérieur était portée à u
ssiné à la même échelle). Intégrité du taenia semicircularis. Atrophie indirecte des piliers antérieur (Tga) et post
du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (13r Qlp) (fig. 149). Atrophie secondaire très évidente du faisceau rétroflexe d
par la lé- sion primitive. Intégrité du fais- ceau de Turck (FT). Atrophie se- condaire du ruban de Reil médian droit (R
erne de cet étage ne contient pas de fibres longitudinales (Py (d). Atrophie des noyaux pontiques. Atropine indirecte du rub
de la protubérance, aucune ne descend dans la pyra- mide bulbaire. Atrophie en masse de toute la moitié droite du bulbe, en p
nquièmes internes du pied du pédoncule cérébral (P) (Fig. 150), une atrophie très accusée de la substance grise antérieure d
petit amas névroglique situé en avant de la couche interolivaire. L' atrophie complète de la pyramide (Py) démontre que les fib
nt une véritable expérience de Gudden chez le jeune enfant. Comme atrophie secondaire indirecte, il faut citer : Y atrophie
eune enfant. Comme atrophie secondaire indirecte, il faut citer : Y atrophie du trigone cérébral (Tg) (Fig. 61, p. 94) et du
ence de ces dernières; l'hémiall'ophic cérébelleuse croisée, due il atrophie secondaire des pédoncules cérébelleux supérieur (
ncules cérébelleux supérieur (l'cs) et moyen (Fig. 150 à 9 : ;1); l' atrophie du ruban de Reil (Rm) dans son trajet pédoncu-
urdach (\C13) du côté opposé iL la lésion cérébrale (Fig. 153). Cette atrophie est en tout comparable celle du trigone (Fig. 6
ophie est en tout comparable celle du trigone (Fig. 61, p. 91). L' atrophie de ces différents faisceaux est cause de la dimin
ile. Ce qui frappe encore dans le cas Rivaud, c'est la petitesse, l' atrophie extrême de la partie supérieure de la couche op
bulbaire droite, dans son trajet bulbaire et médullaire. Hyper- atrophie compensa- trice de la pyramide gauche, faisce
res troubles de la sensi- bilité. Dysarthrie, paralysie linguale et atrophie de la moitié gauche de la langue remontant à tr
thalamus a lieu de surprendre de prime abord, lorsqu'on songe il l' atrophie extrême que subit parfois ce ganglion à la suit
s sur les mala- dies du système nerveux, 1874. - Charcot et Turnkr. Atrophie cérébrale avec atrophie el dégénémtion dans une
u système nerveux, 1874. - Charcot et Turnkr. Atrophie cérébrale avec atrophie el dégénémtion dans une moitié du corps. Compte
ali. du corps humain, livr. 28-32. - J. Dejerine. Noie sur un cas d' atrophie d'un lobe cérébral observé chez un chien, avec
ur un cas d'atrophie d'un lobe cérébral observé chez un chien, avec atrophie secondaire du pédoncule et de la pyramide corresp
l., 1897, p. 199. - Scuroe- DER VA : \' DER Kola, lYameming von ene Atrophie van het linker halfratzd der hersenen met gelij
ne Atrophie van het linker halfratzd der hersenen met gelijklijdige atrophie van het ligelcaccuetz. Verhandelingen d. eerste C
ais. Acad. d. Wissensch, Wien, Bd. 36, f859, p. 191. - Turner. De l' atrophie partielle ou unilatérale du cervelet et de la moe
llongée et de la moelle épinière consécutive li la destruction avec atrophie , d'un des hémisphères du cerveau. Th. de Paris,
on temporale (Fig. 247). Fletcher Beach et lluguenin ont constaté l' atrophie de la première circon- volution temporale dans
sensibilité générale observé chez un hémiplégique et relevant d'une atrophie du faisceau rubannè de Reil. Arch. de Phys. norm.
l'étude des dégénérescences secondaires. Le tubercule mamillaire s' atrophie et diminue considérablement de volume à la suite
ation de la masse blanche sous-jacente. Dans l'un et l'autre cas, l' atrophie porte sur tout le tubercule mamil- laire, sur l
umm, 0. Vogt, et chez l'homme par V. Monakow. Gudden a montré que l' atrophie même totale du pilier antérieur s'accompagne d'un
elette optique. GANGLIONS INFIIACOITTICAUX : CORPS STRIE. 311 une atrophie légère du corps strié à la suite d'ablalion du gy
s neurones corticaux lésés, ne sont tou- tefois pas comparables à l' atrophie souvent extrême que subit la couche optique dan
sion primitive et à sa section par cette dernière. Dans ce cas, l' atrophie du thalamus atteint un degré extrême et tel qu'on
no retentissent pas sur le corps strié ou no déterminent qu'une atrophie en masse. 312 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
ubir aucune espèce de modification; on n'y rencontre pas de zones d' atrophie limitée avec disparition, soit des fibres radié
e visuelle, mais encore dans les cas d'ablation, d'énucléation ou d' atrophie du globe oculaire. A côté de ces fibres terminale
s Pradel, p. 100, cas Rivaud, p. 151), il s'agit dans ces cas d'une atrophie indirecte, rétrograde et diminuant de haut en b
une dégénérescence au-dessous et au-dessus de la lésion, à savoir une atrophie plus ou moins étendue du thalamus et une atroph
ion, à savoir une atrophie plus ou moins étendue du thalamus et une atrophie des fibres et des cellules dans la partie corre
de de Marchi que la destruction du ruban de Reil n'entraine pas une atrophie ou une dégénérescence du corps de Luys, et que
lement que la commissure de Meynert persiste intacte dans les cas d' atrophie de la bandelette optique et qu'elle n'affecte,
tres ganglionnaires de la vision et n'entraînent qu'à la longue une atrophie du segment antérieur, extra-cérébral de l'ap- p
es nerfs optiques. Chez l'homme, nous avons toujours constaté que l' atrophie bilatérale des nerfs op- tiques entraine une dé
. Comme d'autre part, ainsi que nous avons pu nous en convaincre, l' atrophie complète des deux nerfs optiques entraîne une atr
convaincre, l'atrophie complète des deux nerfs optiques entraîne une atrophie com- pléte des deux bandelettes, c'est donc dan
ngénitale. Quant à nous, dans nos cas d'énucléation bilatérale ou d' atrophie optique bilatérale, nous avons toujours constaté
tre homologué avec la commissure de Gudden du lapin. Dans les cas d' atrophie optique uni ou bilatérale, rapportés par v. Monak
n est en général passée sous silence. Schlagenhaufer dans son cas d' atrophie bilatérale des nerfs optiques, avec faisceau ab
en und Balmen in Ficlletz von congénitale)' Anophthalmie und Bulbus atrophie bei neugeborenen Kindem. Arch. f. Psych. XXVIII,
ersales de la protubérance font défaut (Fig. 373). C'est FiG. 3n. - Atrophie complète des fibres du pédoncule cérébelleux moye
l'obs. et le protocole d'autopsie, voy. J. Dejerine et A. Thomas, l' Atrophie olivo-ponto-cerébelleusc. Nouvelle iconographie
avec disparition plus ou moins complète des cellules de Purkinje et atrophie de la substance grise antérieure de la protubéran
je et atrophie de la substance grise antérieure de la protubérance ( Atrophie olivo-Jo7to-cééb·llezcse de Dejerine et Thomas)
es el moyennes. Leur trajet est particulièrement manifeste dans les Atrophie des libres traii,%ei-,ziles protubéran tielle
ciennes, ou remontent à la première enfance, on observe souvent une atrophie simple, indirecte, des fibres sag Ut aies du raph
79 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
tabli; et la liste est déjà longue des affections dans lesquelles l' atrophie dégénérative des tubes nerveux périphériques a
es phénomènes qui conduisent le tube nerveux de l'état normal à l' atrophie complète, à celle qui s'observe dans l'extrémit
Charcot, avec notre collaboration 1. Il s'agissait ici d'un cas d' atrophie musculaire protopathique. Dans la figure 3, pla
mpant brusquement pour se 1 Charcot et Gombault. Arote sur un cas d' atrophie musculaire p·oto- pathique. (A,'ch. de Physiolo
enre et que, jusqu'à nouvel ordre, nous désignerons sous le nom d' atrophie cérébrale. OBSERVATION II ATROPHIE CEREBRALE
us désignerons sous le nom d'atrophie cérébrale. OBSERVATION II ATROPHIE CEREBRALE : IDIOTIE PROFONDE. SounAiRE. Antécéd
ngite : marche de la température centrale; - Pneumonie. -Autopsie : atrophie des lobes frontaux. (Obs. pers.) - Oud... J. Cé
ue; de là, jusqu'à la crête de la première circonvolution frontale, atrophie et indu- ration, de la lésion des trois circonv
partie postérieure, de la lésion de la frontale ascendante et de l' atrophie de la pariétale ascendante résulte un sillon qui
nerveux et qu'on ne saurait invoquer l'alcoolisme. Au lieu d'une atrophie partielle des -circoW tions, sur la nature de l
Guilde'n ayant arraché les yeux à de jeunes animaux, ne - trouva d' atrophie que dans les tubercules antérieurs. - Ces tuber
titude de l'enfant à suivre les instructions du médecin, le degré d' atrophie des muscles. 156 BIBLIOGRAPHIE. L'auteur a un
ar sa méthode, chez un enfant atteint de paralysie du deltoïde avec atrophie muscu- laire complète; or, cette paralysie atro
ppuie sur cette circons- tance, que dans un certain nombre de cas d' atrophie musculaire, les lésions des tubes nerveux ont p
sses sont AHs 11 ;¡td4uctlOp,r la gauche plus que) la droite. Pas d' atrophie , ni de. troubles deila sensibilité. n Le réflex
t; -n mi 15 9-"ioni Jrt, muq en 'ip ™ sa I XXXVIII : 7SIUn UN cas d' atrophie du cervelet ; RarG.SEPP;LL;.(Jtt)) ! S<a'U s
xte, répondent aux circonvolutions centrales. Ainsi, dans ce cas, l' atrophie et la sclérose des circonvolu- tions centrales
grand soin par M. Leuba. 392 CLINIQUE MENTALE. Observation IV. ATROPHIE CEREBRALE : IDIOTIE PROFONDE. SOJIDIJ.1RB. - An
mphysème sous-cutané. Affaiblissement progressif : mort. Autopsie : Atrophie d'un grand nombre de circonvolutions des deux hém
e réunissent à l'extrémité postérieure de la scissure de Sylvius. L' atrophie intéresse surtout le pli courbe, la partie post
es lésions des circonvolutions de la face interne. Face interne : atrophie de la partie postérieure de la première circonv
yenne et postérieure de la circonvolu- tion du corps calleux; enfin atrophie des première et deuxième circonvolutions occipi
vations de sclérose du cervelet qui correspondent bien plutôt à une atrophie simple ou à un arrêt de dé- veloppement qu'à un
ltération de celui-ci et non à un simple affaissement produit par l' atrophie du tubercule quadrijumeau antérieur sous-jacent
i avait porté sur sa jambe para- lysée. L'auteur signale encore l' atrophie musculaire des membres du côté malade, et il co
fait rare. Ici encore nous nous permettrons d'objecter que, si l' atrophie totale des muscles contracturés est relativement
hie totale des muscles contracturés est relativement peu commune, l' atrophie de certains groupes est au contraire une conséq
s que l'absence d'anesthésie, de troubles vésicaux et gé- nitaux, d' atrophie , d'eschares et de symptômes cérébraux.- Les obs
l'avant-bras gau- che et les doigts. Dès la fin du premier mois, l' atrophie com- mença. Il n'y eut pas le plus léger troubl
ez lequel les lésions avaient débuté par la base de l'encéphale ; l' atrophie des nerfs optiques devança de plu- sieurs année
ns l'ostéite chronique des extré- mités articulaires, il existe une atrophie musculaire spécifique, due à la lésion ; un spa
uscles ainsi atteints. La contraction émotive détermine seulement l' atrophie par défaut d'usage, une rigidité musculaire var
'ostéite chronique par l'action de l'éther, mais il n'existe qu'une atrophie purement fonctionnelle, et la réaction faradiqu
stériques; enfin, 10° des maladies organiques de la moelle (ataxie, atrophie musculaire, méningite spinale), et 1 1° certain
les à la convexité. Adhérence du lobe postérieur droit. Sclérose et atrophie de l'hémisphère droit du cervelet. Corps rhom-
e de la sclérose latérale bibliographie. 499 amyotrophique. Cette atrophie porterait surtout sur les cellules du groupe an
contracture faisant place à la flacidité dans les cas où survient l' atrophie musculaire qu'il a décrite dans la première par
aire qu'il a décrite dans la première partie de son travail ; cette atrophie serait surtout apparente aux muscles de l'épaul
; dans un cas qui a évolué sous les yeux de l'auteur, le début de l' atrophie s'est manifesté quatre mois après l'attaque d'h
n-dêi' irâiidds "cellules"" motrices des'cornes antérieu- res, avec atrophie des racines nerveuses qui partaient du point ma
cellulaire néôformé est apte à conduire les incitations. C'est à l' atrophie des,, élé- ments musculaires qu'il rattache l'e
ssous de la normale à raison de la persistance d'un certain degré d' atrophie simple. P. K. XIII. SUR L'EMPLOI DE l'appareil
E D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 579 rappelant cependant les lésions de l' atrophie musculaire progres- sive3 La localisation des p
aire des cellules, celle-ci appartenant, pour l'auteur, surtout à l' atrophie musculaire progressive et à la sclérose latéral
riques témoignant des dégénérescences névro- musculaires'. Notons l' atrophie simple de la gaine et du cylin- draxe comme rel
'inutilité de la sur la réparation médullaire ni sur la marche de l' atrophie et de la dégénérescence névro-musculaire. P. K.
s, strabisme de l'oeil droit, immobilité et dilatation pupillaires, atrophie des muscles masticateurs du même côté, parésies
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 589 pagnées d'accès épileptiformes, atrophie musculaire très pro- noncée bientôt suivie d'hé
ertains troubles d'ans les disques optiques (névrité"o'p ? tique et atrophie papillaire); 2° Céphalalgie;- 3° Vomisse- ments
1., - 1 1 Il, i £ -1 , - - A. côté de la névrite il faut' ranger -l' atrophie papillaire et l'hypérémie des disques optiques
té, elles sont encore moins connues. A côté des cas de M. Luys avec atrophie des circonvolutions de la face interne des lobe
quelle valeur faudrait-il leur attribuer ? Devrait-on considérer l' atrophie comme primitive, due à un arrêt de développement,
éments possédant la propriété de conduire toutes les impressions; l' atrophie partielle des racines postérieures peut aussi c
cordons latéraux dans le cervelet intégrité des cornes antérieures atrophie des cellules dans les pyramides de Clarke). ,
s faisceaux pyramidaux (moelle dorsolombaire). Méningite chronique, atrophie des nerfs optique et acoustique. P- K. LXXXIV
des cas. Parmi les trente-sept cas de myosis, il y avait huit fois atrophie du nerf optique. Sur les soixante et onze cas,
normal. A l'avant-bras gau- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 601 che atrophie et paralysie complètes des muscles animés par le
sie du pouce et de l'index gauches ; un peu plus tard, paralysie et atrophie de la partie antérieure du deltoïde à gauche et
Bien que Duchenne (de Boulogne), puis Lewinski aient prétendu que l' atrophie isolée du grand dentelé ne s'accom- pagne pas d
te dans le cas en question. L'auteur pense que ces paralysies, avec atrophie , ont été plus probablement de cause centrale qu
de démence). L'autopsie fit découvrir de l'oedème pie-mérien, de l' atrophie des circonvolutions, de l'hydrocéphalie interne
lvsie avec contractures, il faut' encore noter les arthralgies et l' atrophie des membres. Les douleurs, quelque*- fois avec
(On a trouvé les lésions de l'arthrite dans' quelques autopsies.) L' atrophie , ou plutôt l'arrèt' de développement', porte à
" ' ` , ' , ' eti 1 1 f1l j > ' Tous ces sujets sont atteints d' atrophie cérébrale ; mais l'hémi- plégic, chez les, mala
ophie cérébrale ; mais l'hémi- plégic, chez les, malades atteints d' atrophie cérébrale, avec athétosc ou hémichoréo, diffère
hémichoréo, diffère de l'hémiplégie 'des "autres malades atteints d' atrophie cérébrale sans phénomènes choréi- formes ; chez
dans le service de M. Gaujot, suppléé par M. Charvot. On sait que l' atrophie musculaire consécutive 1 Archives de Neurologie
nesthésies limitées ; aux troubles de nutrition il faut rattacher l' atrophie musculaire, l'hypertrophie du tissu cellulo-adi
musculaire, l'hypertrophie du tissu cellulo-adipeux sous-cutané, l' atrophie de la peau, les lésions des poils et des glande
le interne et de la couronne rayonnante, par Bitot, 524. Ccnelet ( atrophie du), par Seppilli, 313. Cervelet (sclérose du
80 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
les-ci, des plus accentuées, telles que la méningo-encéphalite ou l' atrophie des circonvolu- tions. Et parmi celles-ci nous
ot; car ces lésions peuvent servir à établir une transition entre l' atrophie de la substance grise que nous étudions et les
s; dansla moelle. ,e même processus parait plus avancé encore, et l' atrophie des élé- ments nerveux portée très loin. Ces lé
riode de tuméfaction des cellules dans la para- lysie générale. L' atrophie des circonvolutions et de la moelle résulte donc
e la moelle résulte donc de la condensation de la névroglie et de l' atrophie des éléments nerveux eux-mêmes et est masquée e
ide avec laprédoiiiidance de quelques symptômes il gauche, Malgré l' atrophie plus marquée du côté gauche du corps, il n'y a
ion qui nous est expliquée par les différents états aboutissant à l' atrophie que l'on peut observer sur les coupes. Sur une
n a dit que les vaisseaux paraissaient plus nom- breux à cause de l' atrophie du cerveau. C'est pour la paralysie générale qu
a paralysie générale que cette opinion a été émise, quoique cette atrophie soit réelle; et il suffit de corn. LÉSIONS HIST
sur les coupes prises dans l'hémisphère gauche, on ne voit que de l' atrophie simple, sans les taches de désintégration que n
on que nous avons si souvent retrouvées. C'est donc un exemple de l' atrophie simple, ou plutôt du non-développement, sans ta
rescence ; soit qu'elles n'existent plus, soit que le processus d' atrophie ait été différent, ce que nous ne pouvons savoi
les retrouvons, coïncidant il est vrai, avec les mêmes lésions d' atrophie et d'état chagriné à l'oeil nu. L'atrophie et l
ec les mêmes lésions d'atrophie et d'état chagriné à l'oeil nu. L' atrophie et l'état chagriné des circonvolutions se retro
A l'autopsie, on constate que l'épilepsie est symptomatique d'une atrophie considérable de l'hémisphère droit du cerveau et
'hémisphère droit du cerveau et de l'hémisphère cérébelleux gauche, atrophie caractérisée par un amaigrissement profond des
parenchymateux normaux. Il détruit l'harmonie des couches et les atrophie d'une façon inégale, puisque ses prolonge- ment
. A l'autopsie, aspect foetal du cerveau; arrêt de développe- ment, atrophie et état chagriné de la partie postérieure de l'hé
ation XI. - Le malade suivant était aussi un épileptique, atteint d' atrophie cérébrale, mais celle atrophie n'était point la
tait aussi un épileptique, atteint d'atrophie cérébrale, mais celle atrophie n'était point la 136 ENCÉPHALITES CHRONIQUES.
136 ENCÉPHALITES CHRONIQUES. grande sclérose lobaire, c'était une atrophie partielle et que l'on peut, jusqu'à un certain
stinguer trois étapes : 10 prolifération vasculaire; 2° sclérose et atrophie des cellules nerveuses ; 3° formation des cavit
posés ; enfin les cellules pyramidales présentent tous les degrés d' atrophie . Nous n'avons pas insisté sur leur vacuolisatio
rêter. Du côté de la substance blanche, il est facile de voir son atrophie ; la multiplication des noyaux des petites cellu
. 449, 1868. BIBLIOGRAPHIE 147 ï Thèse, p. 323, dBGG. Cotard. - Atrophie partielle du cerveau. Thèse, <86S. Ilayem. -
. - Maladies de la moelle, p. 56, 1879. Magnan. - Idiotie, mutisme, atrophie scléreuse gauche. - Soc. biologie, 1881. Bour
é- phale, p. 155, 1883. Uanillo. Encéphalite parenchymateuse avec atrophie partielle. - Archives de Neurologie , t. Il, p.
81 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ndroits il l'écorce cérébrale, laquelle présente un certain degré d' atrophie . Les vaisseaux pré- sentent des lésions accentu
parle comme s'il avait une blessure de Ja langue. La paralysie avec atrophie est des plus nettes. Ea R ; Ka SZ = An SZ. Ce q
puis longtemps de son angine, ce malade pré- senta une parésie avec atrophie des membres inférieurs, une para- lysie du voil
idité plus prononcée avec exagérations des réflexes et parésie sans atrophie des membres inférieurs; parésie atrophique avec
. Observation DE paralysie facule datant DE la première EN- Fange ; atrophie unilatérale des muscles DE la face ; par 11.1RTOS
Epileptique aliéné alcoolique de trente-trois ans. Il présente une atrophie complète, perceptible à la palpation, des muscles
ssent d'ailleurs au courant électrique direct. L'auteur croit cette atrophie d'origine périphérique, malgré l'atro- phie ; i
modification dans la constitution des muscles en question sinon une atrophie , au moins une diminution de leur tonicité, qui
dans le noyau de la couche réticulaire de la moelle cervicale ; une atrophie simple dans le noyau rouge de la calotte, dans
ues se montrent : peau sèche, froide, mince, squa- meuse, exsangue; atrophie musculaire en masse mais non dégéné- rative (ex
s cas, le train postérieur s'amaigrit rapidement sans qu'il y ait d' atrophie musculaire ; cet amaigrissement contraste avec l'
ité cadavériques. Autopsie. Liquide céphalo-rachidien abondant. - Atrophie totale de l'hémisphère cérébral gauche. Atrophi
hidien abondant. - Atrophie totale de l'hémisphère cérébral gauche. Atrophie du pédoncule cérébral, du tubercule mamillaire
paralysie, à de l'idiotie, ou à d'autres symptômes cérébraux, avec atrophie cérébrale, sclérose ou kystes consécutifs à la lé
nt probablement donné lieu à un épaissisemeut des méninges et à une atrophie lente de la substance corticale. Dans le premier
ne cécité absolue (altérations de la tache jaune, et ultérieurement atrophie du nerf optique); - 5° marasme, et, règle général
liquait de troubles du côté des nerfs. optiques et en particulier d' atrophie . Weiss et Brugger ont publié 16 cas de crâne en
. Weiss et Brugger ont publié 16 cas de crâne en forme de tour avec atrophie des nerfs optiques ; entre autres chez deux frè
expliqué le rapport qui existe entre le crâne en forme de tour et l' atrophie optique ; cependant, étant donné l'ar- rêt de d
unes, généralement groupées par trois ou quatre, pré- sentaient une atrophie avancée. Elles étaient petites, apparais- sant
et gustatifs ? ), a mon- tré des lésions banales, mais accusées, d' atrophie et de dégé- nérescence des éléments nerveux, su
ées, surtout à gauche, avec perte de l'exci- tabilité faradique, et atrophie . Pendant les deux premiers mois il avait des sy
a région affectée, symptôme qui est tout à fait exceptionnel dans l' atrophie circulaire de la face. - L'auteur rappelle les
e du tractus pyramidal (paralysie avec rigidité spas- modique, sans atrophie marquée). Dans quelques cas la corne anté- rieu
ept ans, présente des symptômes analogues ; le visage participe à l' atrophie , de même les fléchis- seurs de la cuisse ; il e
rire impulsif. L'autre offre les mêmes symp- tômes et en outre une atrophie musculaire progressive des deux mains, à caract
ique spécial ; combinai- son d'un état de débilité mentale avec une atrophie musculaire progressive (et fréquemment aussi av
sions héréditaires des voies motrices; paralysie spinale spastique, atrophie musculaire familiale par névrites, dystrophie pro
uer, à l'âge adulte, d'une façon lente et progressive, sous forme d' atrophie musculaire spi- nale, ou d'une façon aiguë, sou
du centre trophique, car la destruction de la cellule provoque l' atrophie de la fibre, qui est en continuité avec elle. Les
PTIQUES PRIMITIFS DANS LES CAS D'ANOPHTHALMIE CONGÉNITALE ET DANS L' ATROPHIE DU GLOBE OCULAIRE CHEZ LES EN- FANTS NOUVEAU-NÉ
les centres nerveux dans quatre cas d'anopllthalmie et trois cas d' atrophie du globe oculaire. Les tubercules quadrijumeaux
nerfs étant purement moteurs. Dans l'écorce, l'auteur constate une atrophie de la quatrième couche (couche des noyaux) dans
muscles et des ligaments, la diminution du volume des muscles et l' atrophie simple. Ces modifications des cellules de la
rale. A l'autopsie, lésions habituelles de la méningo- encéphalite, atrophie des ganglions de la base. 3° Fille de vingt-six
yphilis probable. A vingt-un ans dimi- nution de l'acuité visuelle. Atrophie optique. Céphalée, douleurs fulgurantes, perte
ont fait défaut dans 7 cas; ils étaient exagérés chez 15 malades. L' atrophie optique a été rencon- trée dans 12 cas pour 100
re, et, fréquemment, les adhérences de cette membrane à l'écorce, l' atrophie des circonvolutions surtout au niveau du lobe f
s, devinrent plus tard con- tinuelles. Deux ans plus lard parut une atrophie de la glande mammaire droite et un an après s'e
membre supérieur droit. 410 SOCIÉTÉS savantes. Etat actuel.- Une atrophie très marquée des tissus cutanés, sous- cutanés
tie droite du tronc et dans le membre inférieur droit. De ce côté l' atrophie atteignit le sein, les muscles sterno-huméral,
sensibilité des muscles est un peu exagérée, dans les endroits où l' atrophie cutanée est plus marquée. Les réflexes tendineu
SOCIÉTÉS SAVANTES. 411 1 Vers la fin de la vie, au bout d'un mois, atrophie musculaire surtout dans la région des grandes a
fibres musculaires à savoir : vacuolisation, gonflement, troubleet atrophie , infiltration cellulaire et prolifération du ti
es phénomènes d'une tumeur du cervelet : céphalalgie, vomissements, atrophie des nerfs optiques secondaire, accès épileptifo
es membres inférieurs complètement paralysés étaient le siège d'une atrophie mus- culaire considérable avec rétraction telle
escence cellulaire généralisée. Il. DE MUSGRAVE-CLAY. LVI. UN cas d' atrophie musculaire A DÉBUT BRUSQUE; par Théodore DITTER
x mois après, paralysie brusque de la main droite, bientôt suivie d' atrophie progressive de l'avant-bras et de l'épaule. L'a
tôt suivie d'atrophie progressive de l'avant-bras et de l'épaule. L' atrophie et la paralysie persistent sans changement pend
gravent progressivement pendant deux ans; puis ensuite paralysie et atrophie du deltoïde, des muscles de la région radiale e
iques sont normales. Les muscles, - peu développés ne présentent ni atrophie , ni hypertrophie. La malade ne parle pas ; il y
ux cornes anté- rieures, on observe de la paralysie motrice et de l' atrophie muscu- laire, tandis que la lésion des cornes p
s postérieurs en dehors de la substance grise. Paralysie motrice, atrophie musculaire, anesthésies diverses se rattachent
e résulte de la dégénérescence des cylindraxes, due elle-même à l' atrophie de leurs cellules d'origine. Dans la myélite tr
ysie est d'ordinaire complète au-dessous du siège de la lésion. L' atrophie musculaire accompagne la paralysie motrice quand
qu'un phénomène particu- lier de la vie cellulaire - Canstatt et l' atrophie résultant de la prépondérance de la désassimila
céphale (p. 200). Cette planche montre à quel degré est prononcée l' atrophie de l'hémisphère cérébral gauche. EXPLICATION
Même remarque. - Sur cette planche on se rend compte, en outre de l' atrophie du pédoncule cérébral gauche, P, de la moitié gau
aliénés, par Zlehen, 137. t1T wE et syphilis, par Drennen, 47. Atrophie atuscuLUnE, à début brus- que, par Dicter, 458.
82 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re, MIGRAINE OPHTHALMIQUE. 57 l'axe médullaire subit une espèce d' atrophie en masse, déformé par un nombre de plaques tell
a vie, du côté des membres par de la rai- deur d'abord, et par de l' atrophie musculaire ensuite ; du côté de l'encéphale par
z des sujets sains. Dans certains autres cas, il est question d'une atrophie générale d'un hémisphère, qui n'a plus rien à f
postérieure du pharynx). L'absence congénitale de nerf olfactif, l' atrophie scléreuse sénile de ses racines, la perte de pi
e la région visuelle de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 95 -) Munk ( atrophie secondaire du corps genouillé externe, aussi co
le noyau externe de la couche optique droite, puisque ce noyau ne s' atrophie ni après l'énu- cléation du globe de l'mil, ni
'immobilité, l'absence de cellules granuleuses (avant-coureurs de l' atrophie des éléments nerveux) témoigneraient que, dès l
de second ordre se compose le domaine des cordons pos- térieurs ? L' atrophie générale de la région dorso-lombaire qui est lo
o- noncée n'a fait que s,'accentuer pendant l'ataxie locomotrice ( atrophie par inactivité ou par les processus atrophiques).
t indemne tandis que le biceps et le brachial ne sont qu'affaiblis. Atrophie des muscles affectés; atrophie des muscles des
et le brachial ne sont qu'affaiblis. Atrophie des muscles affectés; atrophie des muscles des mains, surtout du côté droit qu
ar ce moyen l'anesthésie quelle que soit son origine, la névrite, l' atrophie musculaire pro- gressive, l'angine de poitrine,
l'imagination du malade. M. Hammond .cite cependant quelques cas d' atrophie où l'on 'pouvait obtenir des contractions avec
juguée latérale droite. Nystagmus. Paralysie de l'hypoglosse avec atrophie de la langue du côté droit. M-1 Rob.... cinquan
a langue à gauche en rapport avec la paralysie de l'hypoglosse et l' atrophie de l'organe du côté droit. Le facial n'est pas
. 3e Type. Fragmentation de la myéline en fines granulations avec atrophie discontinue de la fibre nerveuse. Etat variqueu
res ainsi altérées on ne découvre trace du cylindre axe. je Type. Atrophie des tubes avec granulations ambrées dans l'inté
ment et paraît absolument vide. 200 PATHOLOGIE NERVEUSE. 5e Type. Atrophie complète des tubes nerveux ; vacuité des g aîné
détachent en rose pâle les noyaux propres à chaque tube ; ce sera l' atrophie complète avec colo- ration jaune des gaines. D'
e des faisceaux conjonctifs; aussi peut-on dénommer cette variété : atrophie coin- plète avec aspect conjozacti f des cM.
té. Jamais elle ne provoque eu un aussi petit nombre de jours une atrophie complète des tubes nerveux.. Notons incidemment
d'une varicosité ; d'autres sont très petites et semblent en voie d' atrophie . La trame conjonctive et les cellules nerveuses
1 et 3) ; plus commune est sa fragmentation en granulations avec atrophie partielle et varicosités (type 3). Mais l'altérat
osités (type 3). Mais l'altération domi- nante est constituée par l' atrophie complète des tubes ; les uns renferment encore
venant du nerf mentonnier (Obs. V). planche III. Fig. il, 12, 13. Atrophie avec granulations ambrées fibres provenant du 1
rovenant du 1 le nerf intercostal (Obs. IV). Fig. 14, 15, 16, 17. Atrophie complète des tubes nerveux. Fig. 14 et 15, atro
14, 15, 16, 17. Atrophie complète des tubes nerveux. Fig. 14 et 15, atrophie avec coloration jaune provenant du Me nerf interc
on jaune provenant du Me nerf intercostal (Obs. IV); fig. 16 et 17, atrophie avec aspect conjonctif provenant des nerfs du v
. P. K. XII. Blessure par arme A FEU DES GROS nerfs DU bras, avec atrophie consécutive DE l'extrémité ; par ISRAEL. (A ? 'Ch
ial cutané interne, après avoir perforé l'aponévrose brachiale. L' atrophie du bras gauche est générale, quoique de valeur
s de l'avant-bras, paralysie absolue des flé- chisseurs des doigts, atrophie considérable de l'avant-bras, de l'éminence thé
ble, ne présente pas REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 3') non plus d' atrophie . L'anesthésie, totale dans l'extrémité infé- ri
tes maladies (paralysie faciale de Bell, section nerveuse ancienne, atrophie musculaire progressive). Dans toutes ces affect
rme des fibres en rapport avec le sciatique. Dans une observation d' atrophie complète de la moelle cervicale inférieure, il
rpente du névrilemne en est revêtue. 11 est enfin des endroits où l' atrophie ayant détruit les cloisons conjonctives, on obs
certains cas le zona est précédé'ou accompagné 'de 'paralysie 'et d' atrophie musculaires, qui''sont`difficilement explicable
réquemment dans le cours- de la paralysie spinale infantile ou de l' atrophie musculaire progressive, dont les, lésions initi
s. çette .hypothèse,encore, comment expliquer une arthropathien'snr atrophie musculaire concomitante, quand on sait pertinem
- phiques, dont Jajdestructtqnjjentraîne constamment à sa suite l' atrophie de ces muscles ? L'hypothèse de l'ori- gme cqnt
galement, mais bien plus marquée que n'aurait permis de le penser l' atrophie , s'accompagnant d'une contrac- ture légère, exa
llulaires ; 3° l'état vacuolaire ; 4° l'altération pigmentaire et l' atrophie pigmentaire. ' ' 1° Hpertroplué.'=Aprèsavoirrap
cellules nerveuses ? 1, ' ' " ' ' ' 1 4° Altération pigmentaire et atrophie pigmentaire. L auteur pense que le pigment des
pe d'altérations rénales comprend la dégénérescence kys- tique avec atrophie des deux organes,' l'hydronéphrose'et l'atrophi
kys- tique avec atrophie des deux organes,' l'hydronéphrose'et l' atrophie granuleuse, l'atrophie par malformation congénita
phie des deux organes,' l'hydronéphrose'et l'atrophie granuleuse, l' atrophie par malformation congénitale; ' les pesées four
réduction du pédoncule cérébral à gauche. M. Kirchhoff estime que l' atrophie scléreuse du lobtile lingual a succédé à l'alté
'athéromasie artérielle, de l'hydrocéphalie interne et externe, une atrophie modérée des circonvolutions, de la caséification
ioii (les), 1 19. Nerfs du bras (blessure par arme à feu des avec atrophie consécu- tive de l'extrémité), par Isi-aèl, 3
V). EXPLICATION DES PLANCHES. 435 PLANCHE III Fig. il, 12, 13. Atrophie avec granulations ambrées fibres provenant du l
provenant du lie nerf intercostal (Obs. IV). Fig. 14, 15, 16, 17. Atrophie complète des tubes nerveux. - Fig. 14 et 15, at
, 15, 16, 17. Atrophie complète des tubes nerveux. - Fig. 14 et 15, atrophie avec coloration jaune provenant du lie nerf inter
n jaune provenant du lie nerf intercostal (Obs. IV); fig. 16 et 17, atrophie avec aspect conjonctif provenant des nerfs du v
83 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aux de couture exagérés, est atteinte depuis plus de dix ans, d'une atrophie avec déformation en griffe des deux mains. Cett
ns, d'une atrophie avec déformation en griffe des deux mains. Cette atrophie est exactement limitée aux muscles des mains et n
adulte, mais se caractérise- rait par ce fait que l'altération ou l' atrophie du corps thyroïde, est survenue à une époque qu
incriminer, comme on le fait généralement, une thyroïdite survie d' atrophie du corps thyroïde; en effet, d'ordinaire, cette
- tal de Nancy, elle présentait une hémiplégie gauche totale avec atrophie musculaire et contractures particulièrement accus
il gauche ; constatation à l'ophtalmoscope, de neuro- rétinite avec atrophie de la papille; puis les mêmes symptômes apparur
cinatoires à forme zoophique, paraplégie symétrique bilatérale avec atrophie des muscles des jambes et des cuisses, avec pie
Nocuia (E.) et SIHOL (J.). Maladie de Thomsen il. forme fruste avec atrophie musculaire. Brochure in-8° de 7 pages, avec une p
'infanterie entre à l'hôpital Desgenettes le 15 mars 1898, pour une atrophie du hras gauche. Il est envoyé de Montmélian pour
nalée déjà. Il s'agit plutôt d'un développement incomplet que d'une atrophie car les réactions électriques sont les mêmes à
ncert avec deux autres ouvriers, à la suite d'une débauche commune. Atrophie congénitale du médius, de l'annulaire, et de l'
e à évolu- tion progressive de tous les quatre membres avec ataxie, atrophie SOCIÉTÉS SAVANTES. 147 musculaire, secousses
u premier jour. Au niveau du membre atteint, on constate une légère atrophie musculaire. M. Brissaud pense qu'il s'agit d'un
d combien de temps après le début de la claudication est survenue l' atrophie . ' M. Brissaud répond que l'atrophie est surven
claudication est survenue l'atrophie. ' M. Brissaud répond que l' atrophie est survenue quinze mois après. Suites éloign
cérébrale antérieure. III. Ces causes auraient leur source dans l' atrophie des rameaux : \ : artériels qui portent le sang
sang dans l'extrémité céphalique de l'embryon, d'autant plus que l' atrophie de la vésicule cérébrale antérieure est toujour
e de la vésicule cérébrale antérieure est toujours accompagnée de l' atrophie plus ou moins profonde des arcs branchiaux et d
rement intactes, qui exclut toute explication péripliréique, ; 3° l' atrophie si complète du corps calleux, constituée par quel
t en avant et en hauteur très restreint. Diminution de la force par atrophie muscu- laire. Sur la plaque centrifuge, la mala
ogénique du syndrome de l3use ! toiu. - Brasiano (Ohm). Etude sur l' atrophie musculaire dans l'hémiplégie. Brun gruger). Con
utations, la castration, l'opération du varicocèle ayant entraîné l' atrophie du testicule, la taille hypogastrique, l'établi
ement sur la possibilité chez lui d'érection et de copu- lation : l' atrophie de la verge et des corps caverneux devait rendr
iotie semble tenir principalement à une dysgénésie fonctionnelle; l' atrophie des circonvolutions, la malformation crânienne,
récédée de douleurs et accompagnée de troubles de la sensibilité, d' atrophie musculaire et de réaction de dégénérescence. To
tuméfaction légère du cylindre-axe jus- qu'à la fragmentation et l' atrophie de ce filament). Au-dessus de la zone d'infecti
tuméfaction légère du cytoplasma avec migration du noyau jusqu'à l' atrophie de la cellule. Parmi les cellules altérées, les
existe des lésions manifestes dans les nerfs. A. Fenayrou. XXIV. Atrophie musculaire et osseuse du membre supérieur droit,
n destruc- tive chronique des poumons, dans l'observation Il il y a atrophie du nerf optique. L'ataxie et la simultanéité de
t, ni de préciser la localisation patliolo- logique de la moelle. L' atrophie du nerf optique de l'observation Il bien que pa
'une maladie de Frie- dreich ; c'est une maladie de Friedreich avec atrophie du nerf optique, voilà tout. C'est vraiment i
) est restée intacte ainsi que celle des extenseurs du pouce. Pas d' atrophie visible des longs extenseurs des doigts. Les tend
encore sous l'influence de forts courants électriques. Il n'y a ni atrophie , ni impossibilité fonctionnelle des éminences t
lles du tabes sous deux aspects : 1° celui d'un pro- cessus ancien ( atrophie et disparition des fibres, multiplication du ti
s présentées par deux des malades de M. J. Voisin. Sans parler de l' atrophie du cerveau, qui pour lui n'a aucun caractère pa
OULOUSE s'étonne que 11. Nageotte n'attache aucune impor- tance à l' atrophie du cerveau comme signe de la paralysie générale.
'entendre soutenir une opinion contraire. Il n'a jamais rencontré d' atrophie du cerveau dans les nombreuses autopsies qu'il
gauche vers la colonne vertébrale. En même temps, on constate de l' atrophie musculaire et de l'abaissement de l'excitabilit
: chromatolyse partielle ou généralisée, formation de vacuoles avec atrophie con- sécutive de certaines cellules, etc., phén
onservés; aboli- tion des réflexes crémastérien et abdominal. Pas d' atrophie des masses musculaires. Pas de troubles vaso-mo
scence et REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 401 l' atrophie des cellules pyramidales sont avancées. Le protop
ette réaction de la cellule nerveuse pyramidale, allant jusqu'à son atrophie à la suite des lésions du faisceau pyramidal da
on constate, au même niveau, la déchéance des libres myéliniques, l' atrophie et la destruction des cellules nerveuses; abond
interstitielle, la cirrhose du foie, des reins et du testi- cule, l' atrophie du nerf auditif et'surtout du nerf optique, le ta
clinique est, dans ces cas, celui de l'imbécillité progressive avec atrophie et agitation périodique passagère, causée par d
ble. Un mois après, le médecin constate une cécité double complète ( atrophie des nerfs optiques), et un affaiblissement psyc
ents ataxiques et du tremblement des extrémités. Cécité complète ( atrophie papillaire). État hallucinatoire terrifiant. Di
officier chez qui, après des - attaques de choléra est survenue une atrophie du membre supé- rieur droit en même temps que s
celui de la sclérose en plaques. 11 est difficile desavoir si cette atrophie du membre supérieur est due à la présence d'une
ion arsenicale (Henschen, Elitzky et Rybalkin) il faut craindre une atrophie des grandes cellules motrices, un kyste hémorra
l est le ré- sumé du complexus symptomatique. Il y faut ajouter une atrophie progressive de tous les muscles insensibles au
roisième sacrée. Cet accident, rare, expliquerait le début subit, l' atrophie et la réaction dégénérative. Il s'agit, en somm
rs le bras. Conservation des mouvements de la main et des doigts. Atrophie des muscles paralysés qui poursuit son évolution
de la nutrition des cellules a nui aux fibres subordonnées. D'où l' atrophie prédominante des faisceaux d'association supéri
de. A noter enfin tremble- ments de la main gauche, paresthésies et atrophie des muscles du côté gauche. Il s'agit donc d'un
dix-sept ans) ne s'est aperçue de la paralysie qu'alors que déjà l' atrophie de la langue était considérable, parce qu'enfin
comporte des variétés indivi- duelles. D'ailleurs quand progresse l' atrophie , la pointe propre- ment dite de la langue c'est
complète d'un oeil avec hémianopsie de l'autre à la même époque; atrophie bilatérale des papilles à une période plus avancé
grand symptôme des tumeurs de cette région. Elle se termine par une atrophie des nerfs optiques (Bath); mais elle peut manqu
Colin, 319. Athétose. Un cas d' bilatérale, par Campbell, 510. Atrophie . Musculaire et osseuse du TABLE DES MATIERES.
84 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, leur ressemblance avec les allures des muscles dans le cours de l' atrophie musculaire spinale progressive et de la syringo
que générale, et non du tabès paternel. Son cas est un hybride. L' atrophie héréditaire de la papille est une affection héréd
ette arthrite est due simplement à l'immobilisation et entraîne une atrophie musculaire dans le territoire trophique de l'arti
contracture, et éviter complètement l'arthrite si douloureuse et l' atrophie presque obligatoire qui l'accompagne par la mob
galvanique dans les myé- lites spasmodiques surtout, accompagnées d' atrophie . BIBLIOGRAPHIE. 89 DixOEEn.çoN. Diagnostic
trice; puis les troubles trophiques : mal perforant, arthropathies, atrophie musculaire. Il insiste ensuite sur le diagnostic
ouve un épaississement considérable des os frontaux (pl. I), et une atrophie complète des lobes frontaux. (PI. 11, III, IV e
Leur fait-on absorber continuellement de ce phosphate, on produit l' atrophie de ce qui leur reste de glande; il cachexie, qu
goitreuse, elle ne se trouve jamais dans des conditions normales. Atrophie , absence, extirpation sont physiologiquement équi
iblesse dans 'les muscles de l'épaule, puis de la paralysie et de l' atrophie de ces mêmes muscles; ensuite apparurent la the
leur, traumatisme; passe en revue certains symptômes ocu- laires, l' atrophie tabétique, etc., et insiste sur la fréquence des
érieurs présen- taient le tableaude la myosite interstitielle, avec atrophie et désa- grégation partielle des éléments muscu
irent particulièrement par le strabisme interne avec nystag- mus, l' atrophie optique et l'imbécillité. D' Marie. XXIV. Un ca
it émoussée au niveau des membres paralysés. 11 n'exis- .tait pas d' atrophie . La mort survint dix jours après le début des p
(Revue neurologique, oct. 1898.) ' E. Blin. XXVIII. Sur un cas d' atrophie unilatérale du cervelet ; par les Drs Laxkois-
et ; par les Drs Laxkois- et PAVIOT. . Observation intéressante d' atrophie du lobe gauche du cervelet chez un malade épile
la sympathec- tomie. L'épilepsie paraît avoir été en rapport avec l' atrophie céré- belleuse, mais, au point de vue clinique
de la conscience pendant l'attaque épileptique. Il existe enfin une atrophie croisée du cerveau très appréciable puisque l'h
es contre 5GO grammes pour l'hémisphère gauche. Histologiquement, l' atrophie cérébel- leuse est caractérisée par la disparit
eau gris cérébelleux, couche des grains et cellules de l'ur- kinje, atrophie sans lésion vasculaire. (Revue neurologique, oc
s thrombus et légères hémorragies interstitielles. Dans les nerfs atrophie marquée des fibres fines se rendant aux vaisseaux
s troubles de la parole et de la déglutition. A noter l'absence d' atrophie et de contractions fibrillaires. Depuis le débu
en histologique la coexistence d'une myélite centrale aiguë et de l' atrophie des cornes anté- rieures avec destruction de gr
rticulation de l'épaule gauche est augmentée de volume et déformée. Atrophie des mus- cles des deux membres supérieurs, avec
externe de l'oeil gauche, parésie faciale inférieure du même côté. Atrophie dés muscles du thénar et de l'hypothénar et de
augmenté ; on ne provoqué pas le clonus du pied. 11 n'existe pas d' atrophie pro- noncée dans aucun des membres inférieurs.
aucun phéno- mène trophique ni vaso-moteur. Pour ce qui concerne l' atrophie , à peine si elle se note et on peut l'attribuer
c antécédents personnels et héréditaires tuberculeux. Est atteint d' atrophie musculaire parvenue à un degré extrême et ayant
rême et ayant débuté à l'âge de vingt ans, par le bras droit. Cette atrophie a gagné successivement et lentement, le bras ga
tants. R. Ciiaron. L1V1. Maladie de Thomsen à forme fruste et avec atrophie muscu- laire ; par E. 1\'ocuia et SIROL. (Nouv.
a guérison d'une maladie de Basedow, parait avoir coïncidé avec une atrophie fibreuse de la glande thyroïde. On s'explique a
t donc parésie du muscle et non paralysie. Bien entendu, il y eut atrophie musculaire ; la main se présentait sous le même a
e musculaire ; la main se présentait sous le même aspect que dans l' atrophie musculaire progressive, type Aran-Duchenue. Mm0
des symptômes que nous avons signalés chez notre malade, tels que l' atrophie des éminences thénaret hypothénar, la griffe Ar
qu'à droite) et surtout une diminution de la force musculaire avec atrophie de certains muscles; en outre, attitude du pied
gauche, la persistance et la marche progressive du trem- blement, l' atrophie musculaire, le pied en équin, la diminution de
couches de l'écorce cérébrale dans les zones psycho- motrices, une atrophie dégénérative plus ou moins avancée de la plupar
'écorce et principalement autour des cellules pyramidales en voie d' atrophie . L'existence de lésions à la fois parenchymateu
ans, sans ictus, ayant res- pecté la face, ne s'accompagnant pas d' atrophie : réflexes exagérés et trépidation épileptoïdes
scles pectoraux sont atrophiés, de même qu'on remarque une certaine atrophie des épaules et des bras, surtout en ce qui conc
es affections. a Discussion. M. Rossolimo affirme que dans un cas d' atrophie musculaire progressive de type de Landouzy-Uéje
fibres du muscle cardiaque, on constate en partie les phénomènes d' atrophie ou de dégénération graisseuse. Le foie et les r
ème musculaire à la diathèse graisseuse généralisée. D'autre part l' atrophie musculaire progressive peut être due à une auto
erne du même oeil ; la pupille gauche est plus large que la droite. Atrophie des muscles du mollet. Abolition des réflexes c
de la Se. de Sylvius, déformation du lobe frontal qui parait accru, atrophie droite du cervelet. L'auteur fait remonter la p
eurs vagues dans le membre inférieur gauche, puis de paralysie avec atrophie en masse et hypoesthésie à tous les modes ; tro
ois plus tard le membre inférieur droit se paralyse à son tour et s' atrophie , mais plus rapidement (15 jours environ). A ce
égie flaccide est complète, l'abolition des réflexes est absolue, l' atrophie muscu- laire considérable. L'examen électrique
laires des cuisses et des jambes douloureuses à la pression ; pas d' atrophie , pas de troubles trophiques ; intégrité des sph
symétrique et les muscles correspondants sont le siège d'une légère atrophie . Quelques séances d'hypnotisme et de suggestion
oxo-fémorale est toujours très douloureuse, la bouche est tuméfiée. Atrophie considérable des deux membres inférieurs, parap
jours tuméfiée, douloureuse, les mouvements sont fort difficiles. L' atrophie des membres inférieurs a encore aug- menté. Héb
EXPLICATION DES PLANCHES. Planche I Coupe du crâne dans un cas d' atrophie considérable des lobes frontaux du cerveau. P
frontaux du cerveau. Planches II, III, IV, V Elles représentent l' atrophie scléreuse, à un très haut degré, des lobes fron
- ties supérieurs du -, par l'aton, 418. Cervelet. Sur un cas d' atrophie uni- latérale du -, par Lannuls et l'aviot, 3
laire 1897-1898, 172. Tiiomsen. ttatadiedeàforme fruste et avec atrophie musculaire par Noguès et Sirol, 361. Thyroïdi
85 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
son opi- nion, il est difficile de préciser la date du début de l' atrophie de la glande thyroïde; toutefois, il lui paraît
ns précédentes que chez tous les idiots crétinoïdes, l'absence ou l' atrophie de la glande thyroïde paraît constante. Les que
UE. 79 à l'âge de quatorze ou quinze ans. A l'autopsie, outre une atrophie glomérulaire des reins, il fut constaté que la
était dégénérée= dans les cas de Ord, Greenfield, Cushier 3. 3. L' atrophie de la glande thyroïde est de même signa- lée da
s, Hamilton6, Oliver', Abbott8, Hadden9, etc.; dans quelques cas, l' atrophie était si accusée que la glande ne pouvait être
3.) a glande thyroïde, plus petite qu'à l'ordinaire, présentait une atrophie avec sclérose; absence de follicules clos; vais
yroïdienne; il en résulterait, en tout cas, que si l'ab- sence ou l' atrophie de la glande thyroïde n'existe pas, ce qui est di
tion évi- dente entre la cachexie pachydermique et l'absence ou l' atrophie de la glande thyroïde '. Nous sommes donc condu
ncontrées dans les autopsies des myxoedémateux idiopathiques. 1 L' atrophie du corps thyroïde, accompagnée de la destruction
2, 9, 16, et 23 janvier l8tG,. 94 IDIOTIE CRÉTINOÏDE. suivie de l' atrophie du lobe droit '; toutefois 11. Pon- cet dit ne
du lobe droit '; toutefois 11. Pon- cet dit ne pas avoir constaté l' atrophie de la glande chez son opéré. Sur 24 cas d'ext
ses jusqu'à ce jour sur l'étiologie de la cachexie pachydermique, l' atrophie ou l'absence de la glande thyroïde était celle
plus considérable de la glande thyroïde dans le jeune âge et de son atrophie et de sa dégéné- rescence chez le vieillard, qu
é- flexe rotulien conservé à droite, moins accusé à gauche. Pas d' atrophie . Excitabilité musculaire. normale. Rien de pathol
Le pli courbe, assez volumineux en avant,est atrophié en arrière. L' atrophie porte aussi sur tout le lobe occipital et sur l
lando. Le lobule quadrilatère est peu développé dans son ensemble ATROPHIE CONSÉCUTIVE DES CIRCONVOLUTIONS. HO 9 et surtou
ion qui nous est expliquée par les différents états aboutissant à l' atrophie que l'on peut observer sur les coupes. Sur un
15 i IDIOTIE COMPLÈTE. V. Idiotie complète symptomatique d'une atrophie cérébrale double; Par bourneville et BRICON.
ons exposer, d'une ma- ladie nerveuse assez commune de l'enfance, l' atrophie cérébrale. Elle est, ici, consécutive à des lés
55 frontaux. Isp/meh'ze et inégalité do poids des hémis- phères ; atrophie de certaines circonvolutions. Sots : - sure tra
, vési- cule biliaire, intestins, ganglions mésentériques et pan- ATROPHIE CÉRÉBRALE; PSEUDO-KYSTE. 161 créas (25 gr.), ri
quart de la deuxième frontale. Le lobule orbitaire est assez bien ATROPHIE CÉRÉBRALE. 163 développé et sinueux dans sa par
e et au-dessus présente,sur une hauteur d'un demi- centimètre, de l' atrophie avec coloration grise un peu ardoisée. Le lobul
t sinueuse, présente la même scissure transversale que nous avons ATROPHIE CÉRÉBRALE. 165 signalée sur l'autre hémisphère;
rons prochainement une note sur les premiers signes de l'idiotie. ATROPHIE CÉRÉBRALE CONGÉNITALE. 167 bes frontaux ; - que
- rébelleux gauche était un peu atrophié; qu'enfin il y avait une atrophie de la bandelette optique droite. La multipli- c
tielle et parenchymateuse diffuse subaiguë des deux hémisphères ; atrophie prononcée des cellules motrices des cornes anté
esdel'écorce. On les retrouve dans la plupart descerveaux en voie d' atrophie ; ils nous paraissent constitueruneébauche, un
encéphalite. 177 le même processus paraît plus avancé encore, et l' atrophie des éléments nerveux portée très loin. Ces lési
riode de tuméfaction des cellules dans la paralysie générale. ' L' atrophie des circonvolutions et de la moelle résulte don
L'atrophie des circonvolutions et de la moelle résulte donc de l' atrophie des éléments nerveux eux-mêmes et est masquée e
ncide avec la prédominance de quelques symptômes à gauche. Malgré l' atrophie plus marquée du côté gauche du corps, il n'y a
86 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
YPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 3 luer sous les allures cliniques d'une atrophie musculaire pro- gressive : c'est un fait de ce
t aboli ; le droit persiste encore, quoique diminué. 11 n'y a pas d' atrophie musculaire ni de para- lysie des membres. Les d
ptômes psychiques. Autopsie. Cadavre amaigri, pas d'escliarres ni d' atrophie mus- culaire. La calotte crânienne est normale
pporté plusieurs cas de troubles mentaux et nerveux consécutifs à l' atrophie ou à l'ex- a, 1` ? « * Tl . 1 -. 9r'Lr : 11, ?
ation.d'imbécillité avec hémiplégie et . atliétose.symptomatiques d' atrophie .cérébrale, avec tableaux de. las taille, du po
a condition efficiente du processus résiderait d'après lui dans une atrophie dégénérative des fibres nerveuses. La dispariti
leur forme. Il se produit enfin, dans certaines circonstances, une atrophie relative des fibres nerveuses corticales par su
ction nocive va même parfois jusqu'à déterminer un 'Certain degré d' atrophie dans les tubes nerveux en rapport avec le foyer
Les fibres renfermées dans ce faisceau ont subi un certain degré d' atrophie , et l'endoneurium s'y montre surchargé de noyau
t longtemps a s épuiser. ? a"<j-< ? o Il n y a aucune trace d atrophie musculaire localisée, les muscles ont simplemen
pulmonaire et intestinale, dégénérescence des nerfs périphériques, atrophie dégénératrice des muscles, vacuoles dans les gr
es''membres sont restées identiques à celles des enfants atteints d' atrophie des faisceaux pyramidaux (contrac- tures spasmo
s avec léger empiétement sur lès colonnes de Clarke. Observation V. Atrophie ayant atteint la substance grise pos- térieure
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Autopsie. Dégénérescence partielle et atrophie des cellules des cornes antérieures, surtout da
terstitielle etparenchy- mateuse. Surcharge graisseuse des muscles; atrophie et hypertro- phie, souvent dans le même muscle,
-ne r Il 1 n. 'Ir l - n,. - ,. v cellules inhibitrices, oit'pal, 1 atrophie des fibres qui, relient les centres d'inhibitiô
cette toxin e le parenchyme spécial. Les dégénérations, y compris l' atrophie musculaire et'les sclérosés primitives : sont d
e ans; syphilis en 1870 (sansitraces); en 1872, 'paresthésie 'avec; atrophie de)amain'droite;'en 1870, douleurs névralgiques
erg, myosis, immobilité réflexe 'des 'pupilles ? signe de Westpbal, atrophie des nerfs optiques, atrophie et' analgésie ? de
xe 'des 'pupilles ? signe de Westpbal, atrophie des nerfs optiques, atrophie et' analgésie ? de' l'avant=bras ' daris le dom
e complète; ou partielle des petits muscles de l'éminence thénar. L' atrophie date de,plusieurs années; elle' nè^s'est" pas' am
f' Mf 8[iR'7 .L-.t-a;bfj ,ic'.y d5 tu ^ Malade ayant, présenté. une atrophie spéciale progressive et une dystrophie ,,muscül
'ab'6rdu'une.simp)epara)ysie radiale. (Quelques moisaprès,ily avait atrophie des autres muscles du bras et de,lla main paraiss
urs, c'est d'admettre que les dystrophies musculaires progressives ( atrophie juvénile ici) sont une sorte de trophonévrose (
utition).' Observation 11-Par«ésie des extrémités -gauches',j pas d' atrophie inàr4uée.llé 'miatieslhésie du bras'à la doulëù
,deflapartie, supé- rieure de la moelle dorsale a pour symptômes ^l' atrophie , muscu- laire progressive (type^Azan-DucJiejine
n ait affaire dans l'observa- tion en question à une syringomyélie. Atrophie musculaire des extrémités-supérieures - paralys
névroglie centrale. Mais en réfléchissant, le professeur voit que l' atrophie musculaire est celle de la dystrophie et non de l
? J. SÉGLas. 11. ,1 ,uun 1 T * t - X ' ' ' et -- ? t, XHY. SUR l' atrophie musculaire précoce DES hémiplégiques ET sur 1 l
e antérieure du côté paralysé. Dans le cas recueilli par l'auteur l' atrophie muscu- laire était de nature dégénérative et su
t REVUE DE ' PATHOLOGIE NERVEUSE. '*19 ? ' Il y a d'autres cas d' atrophie musculaire tardive chez les hémiplé- giques dép
ne'sont si légères qu'elles peuvent échapper et laisser croire' une atrophie d'origine cérébrale. Dans son observation de
e depuis l'âge de'- trois a semaines^ hémiplégique" àdr61te*'avec atrophie et contrâcture'·du"31râs;' morté'â cinqûanté-deàâ
oteur commun gauche englobé dans un néoplasme , d'origine méningée; atrophie du nerf, mais limitée à son trajet extramédul-
quantitative gdemeurant intacte.-Au delà') d'uni certain jdepré, l' atrophie reste stationnaire ou ne progresse,plus que cleli
le sans les ananmes- tiques. Cela ne veut du reste point dire que l' atrophie ,' musculaire , des hémiplégiques soit d'origine
on articulaire des hémiplégiques influe sur le développe- ment de l' atrophie musculaire. En effet, c'est,I l'articulation; de
lus souvent prise, c'est aussi dans les muscles de l'épaule i que l' atrophie ^ musculaire se développe, chez eux, le plus tôt
`, M .1.'i ·Inq . : ? u'U .il Nous proposons la dénomination de : , atrophie musculaire , des leémiplégiqzLespi·écôëe'(d'ôi·
iculations prises (synovite)'et l'extrémité "paralysée.' De plus, l' atrophie musculaire -'des1 muscles"1 qui entourent l'artic
, un objet quel-' conque et semblait ne rien voir ;- il y avait une atrophie double du nerf optique. Plusieurs fois par jour
essif d'émacia- tion'des maldes., On;3 peût noter. aussi. l'extrême atrophie du cer- veau. Quant à l'étiologie, ,rhéréditéi.
que l'intervention de ce facteur physique puisse être attribuée à l' atrophie : ,celle-ci' en 'effet n'est jamais assez soudain
'cètte' diminution^ pouf être"soudaine (spasme vasculaire ou lente ( atrophie du cerveau) et que naturellement son maximum de
glie, etc.), les autres sont des altérations de dégénérescence et d' atrophie . 31ri( ).u ? jt,i. j z En' résumé, si la compre
danstla paralysie générale : ils'favorisent, la dégénérescence et l' atrophie démêle- ments nerveux dont les'* échanges nutri
ut 29'IiAT J .sa ! 1" '1M> aux LXXX. Idiotie symptomatique d'une atrophie DE l'hémisphère gauche; 9.) 9)m.b sL 3B.H par M
nt les cas de scléroses combinées, ceux de scié- rose latérale avec atrophie -musculaire, de sclérose, multilocu- laire port
s courants faradiques produit un surmenage qui a pour conséquence l' atrophie des niuscles;-50 l'étincelle statique ne pro- d
dans les maladies à lésions,, spinales; polyo- myélite antérieure, atrophie musculaire progressive, tabes, para- lysies bul
inférieure de l'apophyse mastoïde du côté droit,'est atteint d'une. atrophie , de la langue ; cet organe qui ne réagit plust
courants faradiques forts; l'excitabilité galvanique est meilleure. Atrophie très accen- tuée de la partie snpérieure du tra
. paraplégie spinale spasmodique, sclérose latérale amyotropluque, atrophie musculaire progressive, paralysies consécutives
Les fibres renfermées dans ce faisceau ont subi un certain degré d' atrophie et l'endoneurium s'y montre surchargé de noyaux
on'de l'a- baissement sur les aliénés, par Iirypiahiewicz, 141. Atrophie 'musculaire' combinée, ' ayant une étiologie to
de vue mosographique'5 par Sol- lier, 33; ' symptomatiqué* d'une atrophie de l'hémisphère 'gauche, par lllenereul,' 380.
VAROLE, un cas d'hémorra- gie du -, par Rorie, 196. Pouls, sur l' atrophie précoce des hémiplégiques et sur le lent perm
87 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
te intact, sans état chromopliiliclue nettement appréciable, sans atrophie ni déplacement bien marqué. De même, l'espace p
la racine de F2 et F3. Après décortication, ce qui frappe, c'est l' atrophie des circonvolutions périsylviennes et périrolan
artie anté- rieure du lobule de l'insula. Cet écartement est dû à l' atrophie de la moitié antérieure de la circonvolution d'
son bord supérieur jusques et y compris le bord inférieur de F3. L' atrophie s'étend sur F3 en arrière et sur le cinquième i
rapport aux parties environnantes, saines. En ce qui concerne PA, l' atrophie porte sur son épaisseur et non sur sa hauteur,
ralement, en dehors, sur la phalange, Pas de saillies musculaires ; atrophie très accentuée de l'éminence thénard, Les tendo
TIE myxoedémateuse. ment bornés à apprécier à vue d'oeil le degré d' atrophie ou d'hy- pertrophie de telle ou telle .partie.
branches contiguës des V osseux signa- lés à l'instant. Face. - L' atrophie du massif facial est considérable : minceur des
une absence de pigmenta- tion et une réfringence très marquée, sans atrophie des par- ties constituantes. Mme V... a des c
lite disséminées sur les trois faces du lobe frontal. Il existe une atrophie très prononcée du bord supérieur du lobe carré
antérieur. A l'angle de ces deux bords il y a un foyer ocreux avec atrophie des circonvolutions environnantes. Le foyer ocr
e spasmodique infantile et idiotie chez deux frères ; hypothermie ; Atrophie du cervelet ; PAR BOURNEVILLE et CROUZON (1).
res viscères sont normaux. Aspect général de l'encé- phale arrondi. Atrophie du cervelet et du pont de Varole. Dans la moell
tête et des membres dans le Compte-rendu de 1900, p, 11 15 et 10. Atrophie du cervelet'. 215 sont assez volumineuses ; e
iétales et frontales. Fig. 30. - Lecl... (René) en juin 1899. 246 Atrophie DU cervelet. Hémisphère gauche. Sur la face int
cérébelleux. - Réflexions. - I. La juxtaposition des deux obser- Atrophie DU cervelet.. · 247 vations des frères Lecl.. a
L'intérêt, anatomique de l'autopsie- de René Lecl... réside dans Y atrophie cérébelleuse que nous avons constatée. L'atroph
... réside dans Y atrophie cérébelleuse que nous avons constatée. L' atrophie cérébelleuse est rare. Tous les cas observés so
les au- tres ont été révélés cliniquement par l'apparition de 248 Atrophie DU cervelet. symptômes cérébelleux plus ou moin
ieurs et des troubles de la parole. II. Nous ne croyons pas que l' atrophie cérébelleuse dans notre cas suffise à expliquer
Nous ne sommes point autorisés à affirmer que nous trouverons une atrophie cérébelleuse il l'autopsie d'André Lecl... et d
gauche. Bronchite généralisée. Cerceau macroscopiquement normal; atrophie , ponta-cérébelleuse identique à celle de son fr
nte. Poids après décès 9 k. Tableau du poids et de la taille. 258 Atrophie CÉRÉBELLEUSE. cerveau de son frère. La longueur
r examen. Les circonvolutions sont de volume normal, il n'y a pas d' atrophie , ni de lésions. La décortication se fait facile
nc pas la davantage de méningo-encéphalite. CERVELET.-Il existe une atrophie régulière et uniforme portant sur les deux hémi
il est de 44 ? chez Lecl.. (André). ' Le bulbe semble atteint par l' atrophie . Le pont de Varole Atrophie cérébelleuse. 259
dré). ' Le bulbe semble atteint par l'atrophie. Le pont de Varole Atrophie cérébelleuse. 259 est lui-même manifestement at
'on l'a vu plus haut, vérifier noire diagnostic : il s'agit d'une atrophie cérébelleuse familiale. Nous ne connaissons, pa
statistique méritait enfin d'être placée après les deux beaux cas d' atrophie cérébelleuse qui précé- dent. Travaux scienti
. (Obs. de Lecl... René, p. 2'r6). Base de l'encéphale montrant l' atrophie considérable du cervelet. l3oamevu.r,s, Bicêt
. (Obs. de Lecl.. (André, p. 258). Base de l'encéphale montrant l' atrophie considérable du cervelet. Bourneville, Bicêtr
88 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
dans le service de M. Raymond. Pendant un moment il a présenté de l' atrophie des deltoïdes, mais celle-ci n'a pas persisté,
expression d'un état d'irri- tation des fibres nerveuses et de leur atrophie ou compression par la né- vroglie trop abondant
rime, diminue leur pouvoir fonctionnel et les tue lentement par une atrophie progressive. Ce n'est qu'à ces indica- tions qu
ion à faire; dans des dégénérescences secondaires, il y a également atrophie des fibres et sclérose consécutive. En se resserr
fois à la compression des fibres, à leur état d'irritation, à leur atrophie . Dans ces cas, l'action de la suspension varier
ie) sont déterminés par la compression des fibres nerveuses et leur atrophie , les phénomènes spasmodiques, par l'état d'irri
inlaiicy. (Brain, 1882). (3) Delhomme, Contribution à l'étude de l' atrophie cérébrale infantile. (Thèse de Pa- ris, 1882).
thèse de Paris, 1892, 78 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Atrophie et hypertrophie. Clay Schaw fut le premier à sign
ler ont prétendu que l'on ne rencontrait clans l'athétose double ni atrophie , ni hypertrophie. On n'a pas encore signalé d'a
se double ni atrophie, ni hypertrophie. On n'a pas encore signalé d' atrophie dépendant de l'athétose double; mais il existe
; mais il existe un certain nombre d'observations dans lesquelles l' atrophie dépend d'une autre maladie et en particulier de
ins cas, d'hémiplégie spastique bilatérale el qu'on peul observer l' atrophie des membres au cours de cette dernière. Massa
ur maximum.. Pas de paralysie des membres. Pas d'hypertrophie, ni d' atrophie . Pas do dé- formation aux pieds. Pas de déviati
ressif de la vue : à l'examen ophtalmos- copique vous constatez une atrophie grise de la papille (papille nacrée). Vous n'hé
émités osseuses dans l'ar- thropathie tabétique, c'est le fait de l' atrophie ou mieux de l'usure. On di- rait que les extrém
tribue la scoliose a l'a- trophie musculaire des muscles spinaux. L' atrophie a envahi successive- ment la main, le membre su
droit. A gauche il n'y a que de la thermo-anesthésie, nulle part d' atrophie . Dans une observation de Kahler (Prager medicin
c ; nous la décrirons plus loin. 1 lllotilité. Membres supérieurs ; atrophie très notable, plus marquée M droite, sauf pour
ce, ni une extension absolument complète, ni une flexion normale. L' atrophie musculaire est peu appréciable ; il existe tout
ué que les muscles transversales épi- neux présentaient souvent une atrophie précoce, attribue a la scoliose une origine mus
des troubles dits trophiques : elle est favorisée sans doute par l' atrophie musculaire et peut-être par la contracture, à l
as chez une petite fille que nous avons eu l'occasion d'examiner. L' atrophie frappait le membre supérieur droit et la jambe
uscles du tronc, et qu'elle « n'y entraîne point les phé- nomènes d' atrophie el de rétraction consécutives si fréquents dans d
répondant il la sciatique névrite et s'ac- compagnant volontiers d' atrophie du membre. Brunelli fait remarquer (1) Schiidel
ucider ce dernier point. Peut être faut-il faire intervenir aussi l' atrophie des muscles latéraux du rachis lombaire du côté
muscles latéraux du rachis lombaire du côté de la sciatique, car l' atrophie peut s'étendre au delà de la sphère de distribu
Tel est le type habituel. Cependant, chez deux sujets frappés d'une atrophie très manifeste d'un membre supérieur, de l'épaule
rable; on peut invoquer dans ce cas une participation du rachis à l' atrophie osseuse unilatérale. En somme, ce qui nous para
ions latérales du rachis. Chez deux malades de ce genre, atteints d' atrophie très marquée des muscles des gouttières vertébr
offrant avec quelques légères variantes la forme décrite par Erb. L' atrophie musculaire était à peu près générale; toutefois
pontanée. Chez deux autres myopathiques, nous avons trouvé, outre l' atrophie des muscles spinaux et la lordose consécutive,
station debout prolongée. Conclusion : les myopathiques atteints d' atrophie des muscles des gout- tières vertébrales et de
plan médian. Elles ont été observées dans les cas de paralysie ou d' atrophie symétrique 1° des muscles abdominaux, fléchisse
e affection autre que la pa- ralysie infantile et cela du fait de l' atrophie , de l'arrêt de développement des membres, de l'
ment. Du côté des mains, rien de saillant n'est survenu, sauf que l' atrophie a progressé, que les doigts se sont de plus en pl
as encore fixée, qui paraît souvent liée, comme l'hémiathétose, à l' atrophie cérébrale, mais qui peut aussi se développer sa
e dans le cas de Kurella l'auteur signale de la pachyméningite et l' atrophie cérébrale ; 294 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL
ticle de M. Marie. La prédominance des lésions corticales et de l' atrophie partielle du cer- veau (Cotard, 1868) n'est pas
gnaler l'attaque convulsive du début, l'arrêt de développement avec atrophie des os et des muscles du côté pa- ralysé, la co
pinion de Todd reste encore vraie pour la majorité des cas (2). L' atrophie des membres peut faire complètement défaut dans l
commune dans les paralysies hystériques. Mais au cas môme où celle atrophie existerait, sans raccour- cissement des membres
graves des résultats satisfaisants après une série de séances. ,' L' atrophie musculaire décrite par Duchenne est une affection
89 (1913) Exposé des travaux scientifiques
les fibres musculaires en voie de développement. On voit donc que l' atrophie de la substance contractile marche de pair avec
ît bien être, en effet, le pro- cessus primordial et essentiel de l' atrophie dite simple, mais ne saurait entrainer qu'indir
'atrophie dite simple, mais ne saurait entrainer qu'indirectement l' atrophie . » A. Prenant et P. Bouin (Traité d'Ilistologie
lé (voir p. 58), soit associé à une hémiplégie, une paraplégie, une atrophie musculaire progressive, une atrophie papil- lai
émiplégie, une paraplégie, une atrophie musculaire progressive, une atrophie papil- laire ayant l'aspect de l'atrophie tabét
sculaire progressive, une atrophie papil- laire ayant l'aspect de l' atrophie tabétique. Et il faut remarquer que dans aucun
partie postérieure du bras, prédominent dans cetle région ; légère atrophie et diminution de la contractilité électrique du
e » (p. 34). C. - Du champ visuel et de la vision centrale dans l' atrophie tabétique des nerfs optiques. J'ai fait avec
n voici les conclusions : TABES 93 « i° Il n'existe pas, dans l' atrophie tabétique du nerf optique, une forme de rétréci
e la vision centrale. « Il' Le scotome central est très rare dans l' atrophie tabétique. Quand il existe, il est dù le plus s
se qu'on observe. 2° On constate, ce qui n'a jamais été noté dans l' atrophie tabétique du nerf optique, une acuité visuelle
Dans l'hémiplégie d'origine cérébrale il se développe parfois une atrophie des muscles paralysés qui, d'après les idées autr
é- HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 127 ration descendante peut provoquer une atrophie musculaire très pro- noncée et ayant les caract
use une perturbation centrale. Mes obser- vations ont montré qu'une atrophie musculaire peut résulter d'une modification dan
umen- tié un malade qui rappelait cliniquement les cas antérieurs d' atrophie olivo-ponto- cérébelleuse, a fait une analyse s
lpétrière, 1907, p. 66) mentionne l'adiadoco- sinésie dans un cas d' atrophie parenchymateuse du cervelet à localisation cortic
ysé l'adiadococi- nésie chez un malade atteint -vraisemblablement d' atrophie cérébelleuse, où le trouble était très net au m
d chez un enfant de 5 ans, atteint vraisemblablement d'aplasie ou d' atrophie du cervelet. Rothmann (loco citato) signale l'a
rorru. Icon. de la Salpêtrière, 190, p. 66), dans le fait précité d' atrophie parenchymateuse, a constaté la catalepsie cérébel
cas analogue. A ce propos, j'attire l'attention sur ce fait qu'à l' atrophie du sterno- mastoïdien et du trapèze, consécutiv
ner des troubles des organes génitaux, la suppression des règles, l' atrophie de l'utérus ; il est donc bien naturel qu'une s
ur la sclérose en plaques (Thèse, Paris, )885, chez Masson). Il¡. Atrophie musculaire d'origine cérébrale avec intégrité des
e Biologie, 20 février issu). 220 INDEX RIRLIOGRAPIIIQUE r5. De l' atrophie musculaire dans les paralysies hystériques (Archi
nvier '907). 132. Du champ visuel et de la vision centrale dans l' atrophie tabétique'des nerfs optiques (en collaboration
bres supérieurs 1)2 Du champ visuel et de la vision centrale dans l' atrophie tabétique des nerfs optiques 92 Cytodiagnosti
90 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
re inférieur. Les muscles de ce dernier sont en plus le siège d'une atrophie très-marquée, étudiée déjà par M. Babinski ' da
intéressant. La face ne participe en rien à la paralysie. 1. Dz l' atrophie musculaire dans las paralysies hystériques. Archi
e monte à 00, adroite il n'atteint que la vingtième division. Pas d' atrophie apparente; intégrité de la face. Aboli- tion co
iellement. En même temps que la position vicieuse, on constate de l' atrophie de la jambe gauche : les circonférences de la j
s ce temps des troubles divers : douleurs, phénomènes vaso-moteurs, atrophie mus- culaire : altérations de la peau, rétracti
ecin qui y découvre, de la façon la plus évidente, les marques de l' atrophie musculaire. On sait que l'atrophie musculaire q
plus évidente, les marques de l'atrophie musculaire. On sait que l' atrophie musculaire qui se montre chez cer- tains lépreu
ent clinicien de notre époque, Duchenne, de Boulogne, sous le nom d' atrophie musculaire progressive. Il a défini et classé c
bres supérieurs. L'impuissance motrice s'accroît avec le degré de l' atrophie qui, suivant sa localisation, laisse persister ce
avancée. L'attitude de la main nous révèle l'invasion inégale de l' atrophie qui a porté surtout sur les muscles interosseux
'a décrite avec soin, et s démontré qu'elle est la conséquence de l' atrophie des petits muscles logés dans les espaces inter
5° Les couches optiques et'le noyau caitelé présentent un degré d' atrophie notable; les autres parties des hémisphères sont
eptum lucidum et la voûte à trois piliers. Il existait en outre une atrophie des corps striés. Antérieurement, Tiedeman avai
iforme. , On voit que ce lentigo s'est développé du côté opposé à l' atrophie faciale et à la localisation prédominante des c
e, l'avant-bras seul découvert paraît bien musclé; ici, pas-trace d' atrophie musculaire. Mais on remarque une flexion du poi
début des acci- dents, alors que l'incoordination motrice et même l' atrophie des muscles étaient déjà très avancées. M. Ba
rieurs, pas plus du reste qu'aux membres inférieurs, on ne trouve d' atrophie musculaire, mais les chairs sont en général assez
ons déjà dit, que dans les cas les plus anciens et les plus graves ( atrophie papillaire, atrophie du globe de l'oeil tout en
s les cas les plus anciens et les plus graves (atrophie papillaire, atrophie du globe de l'oeil tout entier^ alors que toute p
nt de sept ans. - Signes d'hémilésions de la moelle. - Paralysie et atrophie du membre inférieur droit. - Signes de myé- lit
dans les premiers mois, et à plusieurs reprises le malade tomba. L' atrophie restait stationnaire; pas de troubles trophique
; apparence de bonne santé. Ce qui frappe tout d'abord, c'est une atrophie très considérable du membre inférieur droit.
iculier les parois abdominales, ne présentent t aucune paralysie ni atrophie musculaire. Enfin l'examen de l'oeil montra les
e du membre inférieur droit avait notablement augmenté. Cependant l' atrophie était demeurée absolument stationnaire et la me
sur les cornes antérieures de la substance grise, ce qui explique l' atrophie étendue à toutle membre inférieur droit; 2° sur
onstances et par un mécanisme presque identiques, la paralysie et l' atrophie musculaire prédominantes dans le membre inférieur
embres inférieurs plus accentuée à gauche. Anesthésie incomplète. - Atrophie musculaire à gauche. zig..., âge de cinquante-d
re. Une aiguille traversant le mollet ne provoquait aucune douleur. Atrophie musculaire très prononcée du membre inférieur g
tion des membres éprouva un ralentissement qui se traduisit par une atrophie très considérable. « Mes jambes étaient comme d
ment, et l'on peut se demander s'il n'existe pas un certain degré d' atrophie des interosseux. Les éminences thénar et hypolh
uque est massive et ferme. La force musculaire est très abaissée. L' atrophie des muscles est surtout marquée aux bras, aux m
91 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
petit , n'offre aucune lésion appa- rente. Constatpns encore une atrophie notable de la circonvolu- tion du corps calleux
e que sur l'hémisphère gauche. Le lobe frontal présente une bande d' atrophie obli- que d'avant en arrière, largo de 2 centim
do et à la petite branche de la scissure de Sylvius. Cette zone d' atrophie comprend donc le pied des trois premières circon-
sous du pli courbe, le lobule pariétal inférieur est le siège d'une atrophie considérable qui se prolonge sur la 2we circonv
rière des 32 Tuberculose viscérale. adhérences pie-mériennes avec atrophie se prolongeant sur la partie postérieure et inf
semble saine. La circonvolution du corps calleux est le siège d'une atrophie scléreuse intense surtout à son bord inférieur
, chez l'enfant Sal..., il y avait à ce point, des deux' côtés, une atrophie de la région tout-à-fait postérieure du lobule
. - Inégalité de poids de 75 gr. des deux hémis- phères cérébraux.- Atrophie de l'hémisphère cérébral, du nerf optique et du
de 38°, 8; - 2 heures après de 36°, 2. Tête. 46 Hémiplégie ET atrophie . de piété, que ses parents ou le vicaire lui do
stpas augmenté. ' - BOURNEVILLE, Bicêtre, 1892. 4 50 MÉNINGITE; ATROPHIE DE L'HÉMISPHÈRE GAUCHE. RÉFLEXIONS. 51 Hémisp
n éral dans les cas d'hémiplégie avec contracture permanente et l' atrophie musculaire était peu prononcée. Nous de- vons n
gauche. Est-ce à cette méningo- encéphalite qu'il faut attribuer l' atrophie notable de l'hémisphère gauche ? Nous serions t
résente des tra- ces d'adhérences dans ses deux tiers inférieurs. - Atrophie et aspect chagriné au niveau du pli courbe. Sci
vrais des deux hémisphères cérébraux Méningo-encéphalite chronique; atrophie de la protu- bérance. Lestons pulmonaires. Ro
aminé par M. VIOLET, interne des hôpi- taux, a montré à gauche, une atrophie du nerf optique. La Description du malade.- 93
Diminution de calibre des artères de la moitié gauche du cerveau. - Atrophie de la bandelette optique, du pédoncule cérébral
re au moment où elle se perd dans le lobule paracentral une sorte d' atrophie kystique, lésion que nous retrouverons plus acc
Les lésions de cet hémisphère, peuvent se résumer dans ces mots : atrophie , induration, blancheur. (PL. XIII). Hémisphère
- 2° un arrêt de développement des artères cérébra- les ; - 3° une atrophie de la bandelette optique, du tubercule mamillai
ts ; gâtisme persistant, etc. L'autopsie a confirmé le diagnostic d' atrophie céré- brale ou mieux d'arrêt de développement d
total adhérent, et de plus, à droite, une occlusion pupillaire et l' atrophie de l'iris. Ne ? petit, bien conformé, droit. Na
presque sans plis a droite. Il y a lieu de noter un certain degré d' atrophie portant sur les circonvolutions qui bordent la sc
u tubercule mamillaire et du pédoncule céré- bral du côté gauche, l' atrophie de la pyramide anté- rieure et de la moitié cle
partir de 13 ans. - Parole et marche nulles; - gâtisme incomplet Atrophie des membres du côté droit. Autopsie : Synostose
ttacher durant la vie l'idiotie à la sclé- rose atrophique. II. L' atrophie musculaire des membres droits accompagnée de co
intervention chirur- gicale, les lésions anciennes de sclérose et l' atrophie des circonvolutions nous en donnent la raison;
s convulsives probables ( ? ). - Nystag- mus ; strabisme divergent; atrophie blanche des deu2 pa- pilles. - Paraplégie spasm
ue, qui commençait à baisser, disparut complètement. Il y avait une atrophie totale des papilles. Aux Enfants-Malades, une p
ou cornéennes. Il y a du nystagmus et un léger strabisme divergent. Atrophie blanche des deux papilles, L'en fantasme percep
e. 238 DESCRIPTION DE la malade. Cou arrondi, pas de saillie ou d' atrophie du corps thyroïde. Circonférence, 26 centimètre
moyenne de T2 et de T3 est le siège sur un centimètre environ d'une atrophie notable. La face interne laisse voir une énor
plus haut en montre le vif intérêt. XXI. Idiotie congénitale; - Atrophie cérébrale; - Tics nombreux : PAR BOURXEVILLE
de poser le diagnostic d'arrêt de deuetop- pement céréb l'al. Cette atrophie , d'origine congénitale, doit même poser tout pa
i des deux hémisphères cérébraux. Iléningo-encéphalite chronique. - Atrophie de la protu- bérance. -Lésions pulmonaires. R
92 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
) Le tronc du facial, après sa traversée parotidienne, présente une atrophie considérable de se* faisceaux, qui, sur une coupe
iés à gauche, par comparaison avec ceux du côté droit : il s'agit d' atrophie simple sans sclérose. 5° Le bulbe ne présente d
tre altération que les suivantes : dans le noyau du facial gauche : atrophie simple de nombreuses cellules, quelques-unes ay
ervé leur aspect normal. Dans le noyau de la VI" paire gauche, même atrophie do nombreuses cellules, la partie centrale et e
bres nerveuses,qui, après avoir traversé la tumeur, sont frappées d' atrophie . Mais, c'est ce qui fait l'intérêt principal de
euse. - Sclérose atrophique 1 de tout l'hémisphère cérébral gauche. Atrophie croisée du cerveau et du cervelet. Tard.. (Ma
lement, sans aucune adhérence. Tout l'hémisphère est le siège d'une atrophie très notable des circonvolutions; l'atrophie pr
ère est le siège d'une atrophie très notable des circonvolutions; l' atrophie prédomine au Archives, 2, série, 1905, l. XIX.
st d'environ un tiers moindre iL gauche qu'à droite. Par suite do l' atrophie des circonvolutions à gauche, de la dilation du
, sont hlanchâtres, indurées, moitié plus denses qu'à droite ; leur atrophie , très-notable, prédomine sur le lohe frontal et
il ne s'était pas encore manifesté de symptômes de déficit : pas d' atrophie des muscles de la main et du bras. P. KERAVAL.
le ; la kératite s'ins- talle. P. Keraval. - XIV. S'agit-il d'une atrophie musculaire d'origine né- vritico-spinale ou d'o
faibles. GO REVUE D'ANAI OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. L' atrophie musculaire progressive est indubitable. La déma
r Il. HiGiEp. (Nenrolog. Centralùl. XX, 1901.) Caractérisée par l' atrophie des nerfs optiques, et surtout de la macula lut
la fin de la 22 ou dans le cours de la 3e année de la v ie. Outre l' atrophie pure du nerf optique, la tache jaune est tranb-
légie cérébrale, assez rare, affection familiale qui s'accompagne d' atrophie des nerfs optiques. Seulement ici la période la
PATHOLOGIE MENTALE. les malades atteignent l'âge de 17 et 24 ans, l' atrophie des nerfs optiques ne s'accompagne pas de dégén
muscles du mollet. L'une des observations (OITS.I), trahit quelque atrophie des mains notamment 1 de l'éminence thénar. Dan
ins notamment 1 de l'éminence thénar. Dans l'obs. 11, on relève une atrophie nette des muscles des jambes el des cuisses rét
SY. - Les auteurs insistent sur ce fait qu'ici la distribution de l' atrophie affecte une topographie l'adit'II- lail'p, co q
ilité du côté tlroil. Ce qui frappe surtout, c'esL, d'une pari, une atrophie du membre inférieur avec pied en varus érittin,
,de diminution des renexesrotutiens, d'impotence fonctionnelle avec atrophie des divers muscles de la main et du pied et ave
s, des dettoides, (te la ceinture scapulaire, des pecio- raux, avec atrophie rapide, amaigrissement des quadriceps et marche
ercibles, une asthénie 1res profonde avec amaigrissement général el atrophie musculaire diffuse. Comme cette femme a présent
sse à une véritable papille étranglée. Le plus souvent on observe l' atrophie descendante simple Au nerf optique par vous- su
-\'1.) \\\V.- Les centres optiques primaires après énucléation ou atrophie du globe oculaire; par Guu.r.t : nrnrrz. (Policli
ndes dans sa forme. Par suite do résorption de parties détruites et atrophie secondaire de libres, il est devenu étroit (Gau
s et où la co- loration au carmin a donné de meilleurs résultats, l' atrophie des cellules nerveuses de c. g. e. (non compris
fférents territoires ou entre les diverses cellules de l'écorcc par atrophie des prolon- gemcnts qui les mettent en communic
tivité psychique, dû en grande partie à un manque d'exercice, à une atrophie e.x non usu, si bien qu'au point de vue psycholog
La malade pré- seule l'écriture spéculaire spontanée. Tabès avec atrophie dans le domaine moteur clac trijuntroar. ' MM.
tômes les plus divers du labes dorsal caractérisé. Il a en plus une atrophie très marquée des masticateurs du côté gauche ;
s une atrophie très marquée des masticateurs du côté gauche ; cette atrophie frappe à première vue pour le masséter et le te
\'le paire d'abord, puis de la Ille et de la lVr) et une cécité par atrophie papillaire. La concomitance de lésions importan
olition des réflexes achilléens eL rotuliens persiste, ainsi qu'une atrophie papillaire bilatérale et l'immobilité des pupil
près les auteurs ('tableau d'Edinger), s'attendre il rencontrer une atrophie des cellules depuis le VIe segment cervical, ju
icile d'apprécier le rôle qu'elles jouent dans la patboge- nie de l' atrophie des racines postérieures et des dégénérescen- c
E. (Noue. Iconogr. de 10 SrdlJét,'i,;re, n , I ! 101.) Nanisme avec atrophie squeletlique des membres supérieurs et inférieu
Pnrcsthésies, suivies de douleurs et finalement de paralysies avec atrophie . Début paralytique pres- que apopjectiforme, do
, même à l'impression lumi- neuse. L'ophtalmoscope reveieà droite : atrophie blanche du nerf optique ; grande quanti lé de p
sie de l'oculumoteu ! 'commun, de l'auditif, du glossopharyngien, atrophie de celles des libres du nerf optique gauche qui p
de même du réflexe pharyngien. Du côté de la motilité, on ne note d' atrophie musculaire dans aucun des points du corps ; tou
e par une lral.ie lalio ? losco-larygée. Un autre t\po débute par l' atrophie musculaire progressive ; un quatrième par des s
se en plaques, par Rodolico, 239. ATHÉIIO)lATEUX. Voir Troubles Atrophie . S'agit-il d'une mus- culaire d'origine névriti
Agadjaniantz, 131. Les - optiques primaires après énucléation ou atrophie du globe oculaire, par Guille- maetz, 139. De
dal. Voir Réflexes. Tabès. La genèse du -, par Pandy, 243. avec atrophie dans le domaine moteur du trijumeau, par P. M
93 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
naux : diplégie spasmodique infantile et idiotie chez deux frères ; Atrophie du cervelet ; Par BOURNEVILLE et CIIOUZON (1).
s viscères sont normaux. - Aspect général de l'encé- phale arrondi. Atrophie du cervelet et du pont de Varole. Dans la moell
RNEVILLE, Bicêtre, 1900. 3 Fig. 3. Lee).. (René) en juin 1899. 18 Atrophie DU cervelet. grand axe fronto-occipital est de
lan- tes, leur longueur est a peu près normale, 14 millimètres au Atrophie du cervelet. 19 lieu de 16 millimètres. La larg
2° L'intérêt anatomique de l'autopsie de René Lecl... réside dans l' atrophie cérébelleuse que nous avons constatée. L'atroph
... réside dans l'atrophie cérébelleuse que nous avons constatée. L' atrophie cérébelleuse est rare : Tous les cas observés s
ement des troubles de la parole, et dont une soeur était idiote ; Atrophie du cervelet. 21 c'est le cas de Spiller chez un
ieurs et des troubles de la parole. II. Nous ne croyons pas que l' atrophie cérébelleuse dans notre cas suffise à expliquer
. Nous ne voulons donc pas établir un lien nécessaire entre cette atrophie cérébelleuse et l'affection familiale. Nous ne
Nous ne sommes point autorisés à affirmer que nous trouverons une atrophie cérébelleuse à l'autopsie d'André Lecl... et da
'un coup, chancelle et tombe. Réflexes rotuliens réguliers; pas d' atrophie ni de contractures. Thorax normal. Rien à l'aus
é. - Les tuber- cules mamillaires font défaut. Fig. 10. - Crâne : atrophie du frontal ; persistance des sutures. 92 Idioti
onction de macrophages. Il faut mentionner, en outre, dans ce cas l' atrophie extrême des cellules nerveuses. Elles sont arro
pas été justifiée ; pachyménin- gite très accusée de la dure-mère, atrophie de la faux, méningo-encéphalite, destruction de
un fort grossissement, par la méthode de Nisl, on observe surtout l' atrophie simple de ces cellules avec perte de leurs prol
trouve de leucocytes polynucléaires. S V. -Idiotie symptomatique d' atrophie cérébrale ; pachyméningite; kyste de la dure-mè
un certain degré de dilatation des ventricules, causé surtout par l' atrophie considérable du corps calleux et des noyaux gri
altérations fines des éléments nerveux consistent sur- tout en une atrophie des cellules et des fibres nerveuses : cellules
u- laires sont analogues Ù celles que nous signalions plus haut : atrophie simple, disparition (l'un grand nombre d'élé- m
de l'écorce absolument sain : partout, nous avons noté une certaine atrophie des éléments nobles, des lésions cellulaires im
xie ; mort. Sclérose spéciale des deux hémisphères céré- braux auec atrophie de ces hémisphères. Pougeo... (Réné), né le 4 a
faut pas généra- liser, car la déformation peut manquer alors que l' atrophie est considérable. Le fait se retrouve encore pl
encéphale. (Obs. de Lecl... p. 3.) Cette PL. met bien en relief l' atrophie considérable du cervelet. Bournevilliî, Bicêt
94 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ts héréditaires, qui présentait du côté gauche une paralysie avec atrophie des muscles deltoïde, biceps, brachial antérieur,
nté est impossible seulement dans les cas où il y a une trop grande atrophie musculaire. Les anatomo-pathologistes divisent
lescence dépend de la gravité du cas et sur- tout de l'étendue de l' atrophie musculaire. Pour le traitement, il y a d'abord
de dégénérescence. Il semble cependant qu'il y ait un léger degré d' atrophie musculaire au niveau des muscles de l'éminence
taché d'hypochondrie et. atteint d'une paralysie fonctionnelle sans atrophie musculaire et sans lésions évidentes de la moel
'une névrite radicu- laire du plexus brachial, car il y aurait de l' atrophie muscu- laire, une paralysie motrice complète, u
précisément la conséquence de la pachyménin- gite est d'amener une atrophie musculaire bilatérale avec réaction de dégénére
t paresseuse. Les muscles de la cuisse subissent un certain degré d' atrophie , et les réflexes tendineux s'exagèrent. Cette p
ative de la nature de la maladie. Nous savons qu'un certain degré d' atrophie muscu- laire n'est pas incompatible avec la par
n de l'anesthésie à la jambe droite, parésie motrice à gauche, puis atrophie musculaire et troubles vési- 204 PATHOLOGIE NER
les racines spinales antérieures correspondantes, et déterminé l' atrophie des muscles de la cuisse. Il ne se demande pas si
pille étranglée. Puis, des deux côtés, dévelop- pementgraduel d'une atrophie du nerf optique, avec cécité absolue, inertie d
raitement. Après avoir rappelé que l'honneur de la découverte d'une atrophie musculaire spéciale revient à M. Charcot qui l'a
dernières con- sistent dans une sclérose du faisceau pyramidal avec atrophie des cellules de la substance grise des cornes a
rcot. - C'est ainsi que l'un des symptômes fondamentaux, paralysie, atrophie musculaire, contracture, pourra faire défaut. L
BLIOGRAPHIE. être fait d'avec l'hystérie, la sclérose en plaques, l' atrophie mus- claire progressive myélopathique, la myopa
intelligence ? - Réponse affirmative, tirée de l'examen des faits d' atrophie cérébel- leuse. Brochure in-8° de 32 pages, Bor
emble de symptômes cliniques, qui encore aujourd'hui porte le nom d' atrophie mus- culaire progressive, soit-disant type Aran
vons présenté à la Société des Médecins russes, un malade atteint d' atrophie musculaire pro- gressive de la main, et d'anest
on voit se développer en quatre années, une faiblesse accompagnée d' atrophie muscu- laire des membres supérieurs, une suppre
tteinte. Dans la moelle allongée se trouvèrent des fissures, et une atrophie de l'olive gauche. L'année suivante, rürstner
r, l'élève d'Eu]), dans ses études de la réaction électrique dans l' atrophie musculaire « typique », ad- met qu'un cas de ce
rature étaient le plus atteints, en même temps qu'on constatait une atrophie des muscles de la main gauche, des bulles sur l
spondante, qui était en outre le siège de troubles locomoteurs, d' atrophie musculaire, de troubles trophiques de la peau e
degré très insigni- fiant. Enfin Freud décrivit en 1885 un cas « d' atrophie musculaire avec des troubles de sensibilité éte
a peau et du tissu cellulaire sous- cutané, de la faiblesse et de l' atrophie musculaire dans les extrémités. Toutes ces ob
, Balmer ', l3eard 2, Leloir '\ etc., l'attention est attirée sur l' atrophie musculaire compliquée de rares symptômes d'anes
indolente, ou bien une appari- ' lion de troubles locomoteurs avec atrophie muscu- laire, ne vint forcer le médecin d'étudi
. 380 PATHOLOGIE NERVEUSE. Observation I Troubles trophiques et atrophie musculaire du côté droit. -Scoliose. - Ilémiane
t y observer des mouvements fibrillaires, mais on ne remarque pas d' atrophie . Les muscles extérieurs des yeux n'ont pas été at
énérale satisfaisante; caractère pué- ril, mémoire bonne. Onanisme; atrophie du testicule gauche. Dévotion. -Pèlerin age à L
e et l'ataxie héréditaire. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XI. Cas d' atrophie musculaire PROGRESSIVE DU A une HYDROMYÉLir; pa
main droite était en forme de griffe («in Krallenstellung »), avec atrophie des muscles inlerusseux, ainsi que des éminence
ne. A l'autopsie, il fut découvert, outre l'empyème à droite, une atrophie assez marquée des muscles de la main droite, qui
nces faisceaux d'un rouge jaune pâle, englobés dans de la graisse ; atrophie moins considérable de la main gau- che. La même
graisse ; atrophie moins considérable de la main gau- che. La même atrophie et les mêmes altérations évidentes aux deux ava
cales, il atteignait un diamètre de près de cinq centi- mètres. Une atrophie excessive des cornes antérieures saute im- médi
vicale; passé cette partie, elle commence à diminuer, de même que l' atrophie des cornes anté- rieures ; mais ce n'est qu'au
'évolution nor- male du tabes, et en rapport avec l'apparition de l' atrophie musculaire. D'autre part, les faits dans lesq
ici rapportée, plusieurs ont trait à des idiots présentant soit une atrophie cérébrale double, soit une sclérose céré- brale
95 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
et les réflexions nécessaires viendront ensuite. Observation i. — Atrophie cérébrale infantile. — Hémiplégie droite; ses car
appelle la personne la plus voisine. Elle s'affaisse Planche [. ATROPHIE CÉRÉBRALE : ÉPILEPSIE PARTIELLE hémiplégie droi
émité du 3e orteil........ 16e 16e Il suit de ces indications que l' atrophie est beaucoup moins prononcée au membre inférieur
tères des accès complets. Ceux-ci n'ont pas modifié Planche II. ATROPHIE CÉRÉBRALE : EPILEPSIE PARTIELLE hémiplégie gauc
mparatives des membres ont permis de s'assurer qu'il y avait bien une atrophie relative des membres du côté gauche, mais que les
conception, son père avait 29 ans et sa mère 22 ans. Planche m. ATROPHIE CÉRÉBRALE : ÉPILEPSIE PARTIELLE hémiplégie droi
se surajoutent à la paralysie, nous signalerons les arthralgies et Y atrophie des membres. Arthralgies. Les jointures des mem
t, à l'autopsie, on trouve quelques-unes des lésions de l'arthrite. Atrophie du mieux arrêt de développement. L'arrêt de dével
tte apophyse à l'extrémité du médius ... 17,5- 17,5 Planche IV. ATROPHIE CÉRÉBRALE : EPILEPSIE PARTIELLE athétose Me
ons annoncé l'existence chez un certain nombre de malades atteintes d' atrophie cérébrale, sont mis en évidence par la descriptio
tre malade sont dus à une lésion particulière, désignée sous le nom d' atrophie cérébrale et possédant une localisation particuli
s exagérer outre mesure. L'hémiplégie, chez les malades atteintes d' atrophie cérébrale avec athétose ou hémichorée, diffère de
ou hémichorée, diffère de l'hémiplégie des autres malades atteintes d' atrophie cérébrale sans phénomènes choréiques. Chez les pr
e et à dire un mot des facultés intellectuelles des malades frappés d' atrophie cérébrale. C'est ce que nous ferons après avoir r
ntre le thorax,l'avant-bras fléchi à angle droit sur Planche Y, ATROPHIE CEREBRALE : EPILEPSIE PARTIELLE Hü VHP CJK DROI
malade plie, allonge, soulève la jambe avec une certaine force. Pas d' atrophie musculaire, ni de trépidation provoquée. Droit.
Parmi les autres particularités de ce fait, nous avons à mentionner l' atrophie assez prononcée des membres avec prédominance rel
pileptiques du groupe que nous étudions : chez celles-ci, en effet, l' atrophie était plus prononcée au membre supérieur. Ajouton
mement contractures. La malade, qui tient d'ordi- Planche VI. ATROPHIE CÉRÉBRALE : EPILEPSIE PARTIELLE hémiplégie droi
Comme il n'y a aucune cicatrice sur les membres non paralysés, que l' atrophie des membres paralysés est assez prononcée, nous p
e, 165. Arthralgie, 30. Ataxie hystérique, 136. Athétose, 29, 32, 37. Atrophie , 30. Attaques (Description des) d'hystérie, 96.
Charcot, 7. — E P. hémiplégique, 5, 7; Accès, 43, 46, 48, 55, 60; — Atrophie des membres, 45,57,etc. ;—Aura, 8, 10, 17, 26, 32
96 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Chez les quatre autres, la paralysie s'établit définitivement avec atrophie musculaire et abaissement de la température du me
lade, aucun signe de lésion organique en dehors d'un commencement d' atrophie de la papille gauche, l'auteur pense que cette
constituent la queue de cheval; l'affection a été à la fin suivie d' atrophie . ' - Arthropathie dans l'amyotrophie. M. Etie
urologie, 1891, n° 8.) Observation d'un malade qui présentait une atrophie muscu- laire très marquée 'de la totalité des d
n processus pathologique circonscrit, qui produit graduellement une atrophie complète des deux nerfs optiques sans symptômes
incters, et hypoalgésie sans hyperesthésie. Plus tard, il y eut une atrophie musculaire mar- quée, et la guérison se fit inc
Pas de troubles marqués de la sensibilité. Il y eut plus tard de l' atrophie musculaire avec guérison complete. Discussion
paralysie de Landry. Dans les deux cas qui guérirent il y eut une atrophie musculaire considérable et dans le cas fatal, une
la majorité des auteurs, est l'existence de paralysie complète sans atrophie mus- culaire et sans changements dans les réact
es résultats de l'au- topsie ne sont pas négatifs. La question de l' atrophie et des modifications électriques restent à éluc
tions nerveuses sont justes, qu'il doit résulter de ces lésions une atrophie musculaire et une modification dans les réactio
ire et une modification dans les réactions électriques. Cependant l' atrophie musculaire et les modifications électriques dem
facilement de légers changements dans les réactions électriques. L' atrophie musculaire et les modifications électriques se
ns modifications électriques. Dans les cas graves qui guérissent, l' atrophie et les modifications électriques doivent être r
recherchées, mais dans beaucoup de cas la mort survient avant que l' atrophie atteigne un degré appréciable. Poulard. CI 1
une ressemi blance très marquée, les symptômes de la synngomyélie, atrophie et paralysie des muscles de l'épaule, avec des
des contractions fibril- laires, et une paraplégie spasmodique sans atrophie des muscles de la jambe, et sans aucun trouble
me, présentait des symptômes analogues. à ceux de la syringomyélie. Atrophie avancée des muscles des; deux épaules, comprena
ées. Exagération du réflxe rotulien. Trépidation épileptoïde. Pas d' atrophie musculaire aux membres inférieurs, pas de lésions
hémitrophie de la langue ; celle-ci tirée est déviée du côté de l' atrophie , au repos dans la bouche elle est déviée du côté
ehors de l'émaciation des muscles qui est générale, on constate une atrophie des muscles de la jambe, prédominant dans les e
membre supérieur gauche est également bien conformé; il n'y a pas d' atrophie ; la mensuration, effectuée dans les mêmes points
érée. · Le membre inférieur gauche n'offre aucune malformation ni atrophie ; la mensuration faite dans des points symétrique
u corps cellulaire, cbromatol3·se, perte et déplacement des noyaux, atrophie et absence d'un certain nombre de deutrites ».
siège de. névrite interstitielle. Il y avait diminution marquée et atrophie des fibres nerveuses, eu même temps qu'une gran
périeures. Le fuie présente de la dégénérescence graisseuse, et une atrophie pigmentaire dla cellule hépatique. La rate quel
rticulation tibio-tarsienne qui dure trois ans - et qui laisse de l' atrophie du membre gauche - Education facile - bonne mé-
uve de l'hyper- trophie des muscles hypertoniques, et, à côté, de l' atrophie des os 298 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. et d
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. et des muscles non hypertoniques due à une atrophie parétique précoce du malade hémiplégique. Ce
avec le degré de la maladie, l'hygiène et la thérapeutique. Puis l' atrophie s'empare graduellement du nerf optique. La pupi
p. 100 de la rigidité réflexe des pupilles ; et dans 50 p. 100 de l' atrophie du nerf optique. Dans 6 cas sur 10, on a noté
es motrices individuelles ne sont pas atteintes, car il n'y a pas d' atrophie consécutive : ce ne sont pas les muscles qui sont
Le début par douleurs sourdes puis aiguës, suivies de parésie et d' atrophie des membres avec présence de zônes d'anesthésie
e professeur ag. Gilbert Ballet). Revue neurologique, octobre 1897. Atrophie des grandes cellules pyra- midales dans la zone
uvements athétoïdes des muscles de la bouche et des orteils et de l' atrophie optique post-névritique. L'observation du malad
es à cytoplasme abondant, états qui sont communément asso- ciés à l' atrophie chronique du cerveau et à l'excès de liquide dans
1900) la motilité des muscles de la face ne s'est pas améliorée. L' atrophie du nerf optique est très avancée, et la vision
qui serait irri- guée avant tout par l'aorte abdominale. LXXIX. L' atrophie olivo-ponto-cérébelleuse; par Dejerine et Thoma
existe une affection cérébelleuse caractérisée anatomiquement par l' atrophie de l'écorce, des olives bulbaires et de la subs
ormé, par l'intégrité relative des noyaux gris centraux ; c'est une atrophie primitive dégénérative systéma- tique, ni sclér
s atrophies cellulaires primitives. Nous la désignons sous le nom d' atrophie olivo-ponto cérébelleuse. » R. C. LXXX. Contr
die de Basedow, de l'épilepsie, et tout à fait dernière- ment, de l' atrophie simple du nerf optique. Les cas sont peu nom- b
la douleur, de contracter la pupille, d'augmenter la vision quand l' atrophie de la papille n'est pas complète, de réduire la
thiques cervicaux supérieurs constitue dans le cas de glaucome, d' atrophie simple du nerf optique, de maladie de Basedow, et
omotrice. Symptômes oculaires dans 1 ? par Turner Vaughan, 304. Atrophie olivo-ponto-cérébelleuse. par Déjerine et Thoma
97 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
avation ; le début de la contracture ; le début de l'athutose. de l' atrophie . Lorsque ces renseignements ont été donnés par
s. Etat des mus- cles : a) 1 contractilité, b) amaigrissement, c) atrophie musculaire. Go IIémicliorée, athétose. 7° Epi
observations, photogra- phies, mensurations, etc.). Les causes de l' atrophie (I) Compte-rendu du service des enfants de Bicê
résoudre le problème ainsi posé : Étant donné d'une part le degré d' atrophie d'un os correspondant à un membre hémiplégie; é
qu'on les rencontre généralement. Il ne suffit pas de signaler l' atrophie ou la gracilité de l'os, de donner sa circon- f
ère fois, car nous y revien- drons encore, cette opposition entre l' atrophie osseuse accompagnée d'un moindre développement
est augmentée, et com- me ce léger agrandissement coïncide avec une atrophie de l'épaisseur de l'os, on obtient un indice de
terne est étroit ; la surface loin d'être lisse est ridée (stries d' atrophie ). Sur l'exemple représenté sur la Planche XI, i
ter l'importance de l,y,oit clu muscle dans la détermination de l' atrophie osseuse. On peut même ajouter que par la seule
est plus ? P Mais il faut préciser le rôle du muscle, car le mot atrophie est impropre : l'os du membre hémiplégie est at
professeur Brissaud (1), ce qu'on appelle dans le langage courant atrophie « n'est pas un phénomène régressif. » La maladie
e assimilation entre les formes que nous signalons et une véritable atrophie La direction du traitement doit s'inspirer de c
un cas bénin. En examinant la Pal. II, on remarquera d'abord que l' atrophie est difficile à constater. A la vue, le volume
- Os du crâne peu durs, moyennement épais. Plaques transparentes. - Atrophie de tout le coin de BOURNEVILLE, Bicêtre, 1901.
es, et forment un contraste avec les circonvolutions pariétales : l' atrophie commence au niveau des plis de passage. Face
plis de passage. Face interne. - Ce qui frappe avant tout, c'est l' atrophie du coin et de la partie postérieure du lobe occ
erne. - Au niveau du coin et des circonvolutions Toi, To2, un peu d' atrophie , mais sans qu'il y ait rien de sem- blable à l'
2, un peu d'atrophie, mais sans qu'il y ait rien de sem- blable à l' atrophie du coin de l'hémisphère gauche. Les lobes front
ses. En résumé, on se trouve en présence de lésions des méninges, d' atrophie des circonvolutions et de sclé1'ose de la subst
cellules encore plus considérable qu'il ne paraît, étant donnée l' atrophie de celles-ci. En effet, les cellules sont petites
o-kys- tes, sont irrégulières, anfractueuses, sans sclérose, sans atrophie à l'oeil nu. Il s'agit la d'une lésion acquise,
, avec prédominance des lésions d'un côté, nous relevons une légère atrophie du nerf optique, de la bandelette optique, du t
le système muscu- lairc 1(;galclllCnt SUI' l'os malade) ; 3°) Une atrophie de l'os malade très peu marquée. La dif- férenc
lanche 111. Sujet chez lequel l'hémiplégie (''[ait 1res accentuée : atrophie consiclor.cblc, ulninismc,clc. L;mnarclnt (·I;i
anches. Planche IV. Fémurs du malade précédent. On voit 1°) L' atrophie de l'os malade ; ? °) L'ouverture plus grande de
iation des angles du col ; 2° La différence des courbures : : ;)0 L' atrophie de l'os malade ; 4° Par comparaison avec la I'l
98 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et de la tête. Comme troubles fonction- nets le malade présentait l' atrophie des papilles ? ' symptôme rare, et une dyspnée'
chement sanguin dans l'espace subarachhoïdien. Dans tous il y avait atrophie marquée du cerveau, lésion évidente de la,pie-m
;>"»0'i'ii i(J ' ' hn,'31·,1·... ? C- '«'" ? ) ? <-.q t7ri V. Atrophie musculaire progressive; par ZENNER (d8, CIIIC : I
s noms de : paralysie, pseudo-hyperlro- phique, forme juvénile de l' atrophie musculaire deErb, atrophie myopathique de Lando
do-hyperlro- phique, forme juvénile de l'atrophie musculaire deErb, atrophie myopathique de Landouzy-Déjerine, ne sont, en r
directement et parla clinique, que ce - type 1 Landouzy-Déjeritie ( atrophie myopathique à forme facio-scapulo-humérale) est
, dans les deux cas qu'il relate on voit qu'il y a coexistence de l' atrophie et' de laipseudo- hypertrophie, celle-ci entraî
aire. Dans certains muscles, l'affection a évolué dans'le sens de l' atrophie ; dans d'autres dans-le sens- de l'hypertrophie. 1
e ' Landouzy (impossibilité- de clore complètement les paupières) ? Atrophie de'tous lès muscles'pris ordinairement dans la'
Cette"obsérvationiest concluante,' on y voit la coexistence'de l' atrophie et'de la pseudo-hypertrophie, d'où'résulte parfoi
phie, d'où'résulte parfois''un aspect étrange des membres,' ainsi l' atrophie du'bras très pro- iioâeée' tranche avec l'hyper
rtrophies'et non''de'* cas de muscles1' conservés 1 et échappés à l' atrophie ; on a vu ? dans le service, les pseudo-hyper- t
tie. La vue est diminuée, les pupilles ; sont puncti- formes, pas d' atrophie papillaire. - ,'i»,i(, 4V) -0 . . Troubles. tro
érodés.- Craquements pendant'.les mouvements. Mouvements anormaux. Atrophie du fémur. et hy- pertrophie du tibia - Arthrite
trale ; la réaction pupillaire était conservée ; il n'y avait pas d' atrophie des nerfs optiques. Comme il n'y, avait pas de
- taires. 1 Les cellules rondes de l'écorce sont plutôt en voie d' atrophie qu'en état de prolifération. Il serait difficil
, on constate des atrophies dégé- nératives des tubes nerveux, de l' atrophie simple et çà et là des boules hyalines dont l'o
iriforme du fait de houles irrégulières de protoplasma; enfin, en l' atrophie plus ou moins avancée du panache de la tige, de
plasmiques irréguliers sur ces derniers et sur le corps cellulaire; atrophie du panache périphérique, des expansions protoplas
rocédés habituels, nous constatons des traits com- muns, à savoir l' atrophie des protoplasmas cellulaires, les changements d
est cet état moni- liforme des prolongements protoplasmiques, cette atrophie et cette rareté des expansions du corps de la c
qui à l'état normal hérissent les prolongements cellulaires, cette atrophie du panache périphé- rique et, en un mot, l'ense
a paralysie générale la cellule nerveuse s'amoindrit, s'étiole et s' atrophie . Il nous a semblé que dans cette maladie, les l
Ce qu'elle nous montre surtout d'intéressant et de nouveau, c'est l' atrophie et la disparition des nombreuses épines, des sa
RASTHÉNIE PALUSTRE. 91 branches ramifiées du protoplasma et la même atrophie des organes de terminaison de ces prolongements
blement conclure que dans tout processus destructif aboutissant à l' atrophie de ces organes terminaux, il doit nécessairemen
é six fois des paralysies et dans trois cas, il a pu constater de l' atrophie dégénérative des nerfs et des muscles. Schaffer
il est constitué par une contusion chronique, comme dans les cas d' atrophie avec parésie des membres supérieurs, à la suite
ion des fonctions psychiques, est caractérisée anatomiquement par l' atrophie systéma- tisée de l'écorce cérébrale, et rnimiq
rapport avec une distension excessive et rapide et mériter le nom d' atrophie cutanée progressive. Dans deux cas observés à l
la région sacrée, la corne antérieure du côté droit présentait une atrophie considérable. Tout l'intérêt de l'observation s
rveuses motrices dans le bulbe et la moelle d'une malade atteinte d' atrophie mus- culaire et de sclérose latérale. Plus tard
ures, altérations de la subs- tance grise de la moelle ou du bulbe, atrophie des nerfs optiques et enfin des névrites (Pierr
oelle épinière, ce sont les altérations des vaisseaux, tandis que l' atrophie des cellules nerveuses apparaît tardivement et
urs vaisseaux, la sclérose de l'ensemble des cordons postérieurs, l' atrophie des cellules de la corne antérieure et de la co
squelles les auteurs appellent l'attention, elles consistent dans l' atrophie du faisceau solitaire et dans l'atrophie très p
n, elles consistent dans l'atrophie du faisceau solitaire et dans l' atrophie très prononcée de la racine ascendante du Lriju-
es (D'' Hamburry).. A. Marie. LVII. Paralysie DU grand DENTELÉ avec atrophie DES muscles DE l'épaule. Deux cas DE déformatio
25 et 1720 suivant, observatioli de paralysie du grand dentelé avec atrophie des muscles de l'épaule. Guérison par massage,
° parésie des muscles du corps, du cou, des extrémités, avec légère atrophie des muscles du dos et du scapulum; 4° diminutio
ux et dorsaux qui, progressive- ment, entraînent'de la parésie avec atrophie légère des muscles correspondants. Simultanémen
ritation des racines, la parésie des muscles dorso- cervicaux, leur atrophie et, parfois également, la parésie des extré- mi
ance. La diplégie cérébrale est constituée, suivant lui, par : 1° l' atrophie des nerfs optiques avec nystagmus horizontal et
e ébauche du type précédent : un vestige de paralysie oculaire, une atrophie papillaire, des cé- phalées nocturnes à l'origi
nglais, 520. Athétose, sur un cas d'- double, par Moussous, il. Atrophie musculaire progressive, par Zenner. 37. Atten
07; pseudohypertro- phique, par Coley, 208; du grand dentelé avec atrophie des muscles de l'épaule, par Moor- house, 395
99 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
i contient de la mucine. Cette infiltration de la peau entraîne l' atrophie des bulbes pileux, des glandes sébacées et sudo
crânienne où l'oedème est peu marqué. D'ailleurs il n'existe pas d' atrophie musculaire. Ce fait de la diminution de la cont
on excessive de la sensibilité, des hémiparésies passagères, de l' atrophie progressive de l'ensemble du système musculaire
à l'affection après vingt mois de durée. L'autopsie révèle : uno atrophie de la région thoracique et lombaire de la moell
sion maxima des ventricules latéraux d'où sourd un liquide clair; l' atrophie des ganglions de la base, des tubercules qua- d
l'épendyme. Nombreuses granulations sur le plancher ventriculaire. Atrophie de la substance grise oedé- matiée, brunâtre; c
parois vasculaires, feutrage épais de fines fibrilles conjonctives, atrophie des cellules nerveuses un travail identique dans
gauche,; pLosis ran- ,sitôiré'àJplusieürs''r'éprisës ? paraplébie; atrophie des nerfs opti- ' crues consécutive' à' la' név
< FQii ? ). OBSEIIVATION. 111 ? ( Névrite optique terminée par l' atrophie du nerf, optique droit ? sans autre phénomène*
TJON,,V., ^Paralysiejj du. droit inférieur droit;.ptosis à droite;, atrophie , dunerf,oplicfue,drolt' surdité, complète d'un cô
e Galezowski, tendent à prouver que l'amaurose est due soit à une atrophie de la papille, relovant elle-même d'une lésion pl
ài,l'amaurose consécutive aux lésions du sourcil et aboutissant à l' atrophie do la papille, elle est incurable ; tf , 6° Dan
ente plus.'ou moins''prolongée, la santé générale se détériorer," l' atrophie et les contractures tendineuses survenir dans l
rs intra-cràniennes, de l'inflammation du ventricule lui-même, de l' atrophie et'du ramollissement du cerveau, (ainsi;que des
Mort. Autopsie : Destruction du lobule de l'insula du colé droit; Atrophie de la couche optique et du corps strié correspond
espondante de l'hémisphère gauche. Nous devons signaler aussi cette atrophie , ou si l'on préfère,- cet amaigrissement gé- né
ans. Quel est le rôle de la lésion du lobule de l'insula dans cette atrophie ? 2 . V. La dégénération secondaire partie du f
lier de la frontale et de la pariétale ascendantes), et produit une atrophie considérable de la couche optique et du corps s
e, clavicule, pieds, aponévrose crânienne). Enfin complication de l' atrophie musculaire qui fixe les mains dans l'abduction,
se dilatant dès qu'on force I'oeil à se mettre au punctum remoturn. Atrophie bilatérale des N. 0 ; elle est tout à fait au d
trémités inférieures; on observe l'absence du phénomène du genou, l' atrophie des deux N. 0. avec rétrécissement du champ vis
ation du tissu interstitiel (grandes cellules araignées en nombre), atrophie desfibres nerveuses, développement de cellules
rouble tro- phique qu'il nous a été permis de constater, à part l' atrophie du membre inférieur gauche qui était légère enc
n droite et quarante-cinq pour la gauche. Il s'est produit un peu d' atrophie de la main droite, l'éminence thénar est moins
y en a qui reconnaissent pour cause tantôt une sclérose atrophzque ( atrophie cérébrale), tantôt une sclérose 328 RECUEIL DE
nt. Séquestra- tion dans une maison de santé. E. C. XVI. UN cas d' atrophie DU cervelet; par le Dl SEPPILI. {Bulletin de la
1° les altérations microscopiques qui consti- tuent généralement l' atrophie du cervelet sont : le développe- ment considéra
développe- ment considérable du tissu conjonctif interstitiel et l' atrophie des cellules de Purkinje. Celles-ci disparaisse
activité fonctionnelle de ces parties du cervelet, non sujettes à l' atrophie , ou bien par l'intégrité des veines, ou enfin p
Il ne se présente pas de désordres delà sensibilité cutanée dans l' atrophie du cervelet; 5° C'est une erreur de localiser l
Lllnnntcox; thèse 1881. t. Essai sur la diminution de l'urée dans l' atrophie musculaire progres- sive ; conséquences qu'on p
l',watomie et de la physiologie du), har Bauney, 3r"i. Cervelet ( atrophie du), 360. Chaire de clinique des maladies du
100 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
e du côté de l'omoplate. Ces explora- tions sont faciles, grâce à l' atrophie complète du deltoïde et à l'atrophie moins pron
tions sont faciles, grâce à l'atrophie complète du deltoïde et à l' atrophie moins prononcée des autres muscles de l'épaule.
est facile de reconnaître que le muscle deltoïde a déjà subi une atrophie manifeste. Le liquide que nous avons évacué par
e malade dont l'épaule droite est si facile à explo- rer, grâce à l' atrophie des muscles, quoique les lésions remontent à un
iquides de l'économie et par l'augmentation de la paralysie et de l' atrophie musculaires. Le béribéri peut quelquefois offri
1 8 . RECUEIL DE FAITS Observations pour SERVIR A L'HISTOIRE DE l' atrophie MUSCU- 1 LAIRE.. Accès CONVULSIFS ET comateux.
que, depuis dix ou douze ans, les notions que nous possédons sur. l' atrophie , musculaire sont devenues atrophie musculaire.
ions que nous possédons sur. l'atrophie, musculaire sont devenues atrophie musculaire. 233 3 plus nombreuses etplus précis
culier sur les symp- tômes cérébraux qui se montrent parfois dans l' atrophie mus- culaire, que nous publions l'observation s
, suivis de paralysies partielles'; crises gastriques; paraplégie ; atrophie musculaire. ^ r ; ' rt . Il n'y a aucun antéc
Au bout de quinze jours, survint une crise (la cinquième environ) atrophie MUSCULAIRE. 235' analogue aux précédentes, mais
ible. Il n'y a, en somme, qu'un affaiblissement assez accusé et une atrophie peu considérable des'' deux deltoïdes. Les musc
lier à noter. t -( ? ' t . A l'avant-bras, au contraire, il y a une atrophie peu marquée des fléchisseurs et des radiaux ; m
nts, la contractilité faradique étant à peu près nulle. Du reste, l' atrophie de l'éminence thénar est tellement marquée, que
in de Bourgogne, chaque jour il dînait en ville et ne rentrait à la atrophie musculaire. 237 maison qu'à une heure avancée d
e dans les mains et dans les jambes, mais sans nouvelle'1 poussée d' atrophie . En somme, ces derniers accès, très violents, n
ts, les muscles atteints diminuaient de volume et subis- saient une atrophie dégénérative. On assiste ensuite à une améliora
e des accidents, et surtout montrer l'association peu vulgaire de l' atrophie musculaire d'une part, des accès comateux et de
gauche de la face était plus petit que le droit. Avec l'âge, cette atrophie faciale devint de plus en plus marquée, plusieu
ce. Il ne peut s'agir non plus ici d'une paralysie faciale ni d'une atrophie musculaire de l'enfance au début. On ne peut so
hémzatrophie faciale progressive, trophonévrose faciale de Romberg, atrophie unilatérale de la face deMoore, aplasie la ? ni-
- neuse de Lande, prosopodismorphie de Bergson. Localisation de l' atrophie du côté gauche de la face, déve- loppement à la
phiques du facial (Hammond) ; névrite du nerf facial (Rosc-nthal) ; atrophie pri- mitive du tissu cellulo-adipeux (Lande et
normales. Soixante-seize d'entre les faits colligés concernent une atrophie avec induration calleuse ou cartilagineuse de l
les nerveuses pyra- midales (Obs. n° 90 du tableau); concurremment, atrophie et sclérose des fibres nerveuses correspondante
t de la congestion ou de l'oedème péri papillaire ; plus tard, de l' atrophie du nerf optique. Les pupilles,- qui, au moment
internes), 157. Association médico-psychologique anglaise, 139. Atrophie musculaire (observations pour servir à l'histoi
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