ment sur les os, et une ligature ne se pratique pas seulement sur une
artère
ou une veine; car, si ces vaisseaux sont le but d
de fibreux, en se repliant sur lui-même au contour de l'aorte et de l'
artère
pulmonaire, sur lesquelles il remonte jusqu'à leu
ral, ou fascia superficialis, dans lequel nous savons que rampent les
artères
et les veines sous cutanées. A la face et au cou
et, au-devant, le larynx avec son canal de prolongement , la trachée
artère
. Ces deux systèmes, le larynx, le pharynx et l'œs
à sont situés la glande thyroïde et la cage du larynx avec la trachée
artère
, puis l'œsophage et les muscles constricteurs du
céphalo-ra-chidienne pour les nerfs, et la cavité thoracique pour les
artères
ctlcs veines. Toutefois, comme un tel ordre, par
veines étant suffisamment représentée, quant au trajet, par celui des
artères
, il nous suffira, pour donner une image de l'ense
s orifices du cœur, l'aorte représente l'extrémité céphalique par les
artères
carotides et les veines jugulaires, le membre tho
ères carotides et les veines jugulaires, le membre thoracique par les
artères
et veines sous-clavières, et toute la portion sou
arotide; et, à gauche, l'œsophago-tomie. A partir de la division de l'
artère
carotide dans ses deux troncs facial et crânien ,
'ensemble chacun par un faisceau vasculaire commun, à double courant,
artère
, veines lymphatiques et nerfs, d'où procèdent les
r le rétablissement de la circulation, dans lecas d'oblitération de l'
artère
principale au-dessous d'eux. Dans les deux prem
les deux faisceaux de l'occipito-frontal. 4° Vaisseaux sanguins. Les
artères
sont : en plan sous-cutané, h frontale, constitué
, les petits droits et obliques postérieurs. 4° Vaisseaux sanguins. L'
artère
de cette région est l'occipitale, d'un trajet trè
ent doubles, l'une superficielle, et l'autre profonde, accompagnant l'
artère
. 5° Vaisseaux lymphatiques. Ils forment un ou deu
s, et en maintient en position les fragmens. 4° Vaisseaux sanguins. L'
artère
principale de cette région est la temporale super
et s'y divise en ses deux branches frontale et pariétale. C'est cette
artère
, ou sa branche frontale, qui est le siège de l'ar
e siège de l'artériotomie. Les veines superficielles accompagnent les
artères
; il en est de même des deux ou trois rameaux lym
Sur la surface périostique rampent les vaisseaux temporaux profonds,
artères
et veines, fournis par les maxillaires internes.
s plans, comme à la région temporale à laquelle elle fait su ite. Les
artères
et veines superficielles sont les branches pariét
des auriculaires postérieures; sur le péricrâne, l'épanouissement des
artères
et veines temporales profondes, et à la face inte
orales profondes, et à la face interne du pariétal, les divisions des
artères
et veines méningées moyennes, encastrées avec la
it le petit muscle auriculaire postérieur. 3° Vaisseaux et Nerfs. Les
artères
et veines sont les auriculaires postérieures, ana
le pyramidal; en bas, le transverse du nez. ^Vaisseaux sanguins. Les
artères
, très nombreuses, sont fournies à l'extérieur, au
plus épaisse, est garnie de bulbes pileux. i° Vaisseaux sanguins. Les
artères
sont fournies par la sphéno-palatine, la branche
le et la palatine supérieure. Les principales veines accompagnent les
artères
; mais, en outre, elles forment un lacis très abon
du triangulaire et delà houppe du menton; 3° Vaisseaux sanguins. Les
artères
et veines sont les labiales supérieures et inféri
'homme, adhère aux muscles sous-jacens qui nous sont déjà connus. Les
artères
et les veines sont plus particulièrement les dent
lesquels sont disposées les glandules de Meibomius. 4° Vaisseaux. Les
artères
et veines, très nombreuses, sont données par les
zygomatiques et le canin. 4° Vaisseaux sanguins et lymphatiques. Les
artères
et veines sont fournies par les transversales de
sé horizontalement par le canal de Sténon. 3° Vaisseaux et nerfs. Les
artères
et veines sont fournies par les faciales et leurs
lon vertical sous-maxillaire, les gros vaisseaux temporo-maxillaires,
artère
et veine, qui traversent l'épaisseur de la paroti
hyoïdienne est bornée par le sillon dans lequel rampent l'origine des
artères
carotides interne et externe et les troncs veineu
qui les accompagnent. Les vaisseaux propres de cette région sont les
artères
et veine sub-mentales, l'origine des faciales et
s des scalènes, sont situés les sillons verticaux des gros vaisseaux,
artère
carotide primitive et veine jugulaire interne. Le
ine jugulaire interne. Les vaisseaux propres de cette région sont les
artères
et veines thyroïdiennes ; les supérieures se dist
cou ; au milieu, l'écartement des deux scalènes qui donne passage à l'
artère
sous-clavière et au plexus brachial ; en arrière,
d nombre d'opérations. Derrière le sterno-mastoïdien sont comprises l'
artère
carotide primitive et la veine jugulaire interne
et planche 6. de la clavicule et l'attache du scalène antérieur, l'
artère
située entre les scalènes, d'où elle ressort sur
des branches secondaires. En dedans du scalène antérieur naissent les
artères
vertébrale, intercostale supérieure, mammaire int
laire supérieure; ordinairement, entre les scalènes est l'origine des
artères
scapulaire postérieure et cervicale antérieure. T
es artères scapulaire postérieure et cervicale antérieure. Toutes ces
artères
sont accompagnées de veines, dont les terminaison
es paires cervicales composant le plexus brachial, qui sortent avec l'
artère
sous-clavière entre les scalènes, pour se diriger
assage aux vaisseaux sous-claviers et aux nerfs du plexus brachial. L'
artère
correspond au milieu de la convexité de la clavic
inaires et les plus graves que l'on y pratique sont les ligatures des
artères
dans le cas d'anévrisme ou de lésions traumatique
et des petits rameaux des vertébraux. Outre les veines satellites des
artères
, il existe, en veines surnuméraires, la jugulaire
ticalement, derrière les articulations chondro-sternalès, rampent les
artères
mammaires internes, flanquées de leurs deux veine
s'anastomosent de chaque côté entre elles et avec les extrémités des
artères
intercostales. Les nerfs sont également les extré
à des hémorrhagies graves. Les veines principales sont satellites des
artères
; mais dans les cas morbides les veinules cutanées
loïque, que son volume croissant rend irréductible. 4° Vaisseaux. Les
artères
et veines de cette double région sont les branche
u péritoine. Les vaisseaux sanguins sont les branches antérieures des
artères
et veines lombaires, qui parcourent en direction
uillets, monte verticalement l'ouraque, flanqué latéralement des deux
artères
ombilicales fœtales, tous trois convertis, après
les pubis par une expansion triangulaire. 4° Vaisseaux sanguins. Les
artères
et veines sous-cutanées sont fournies par les ing
guino-abdominales ou tégumentaires et par les honteuses externes; les
artères
et veines profondes sont les épigastriques, qui m
al et le péritoine de la paroi antérieure. 4° Vaisseaux sanguins. Les
artères
et veines superficielles sont les tégumenteuses o
dant. Dans la couche sous-cutanée du pénis rampent de chaque côté les
artères
dorsales, la grande veine dorsale de la verge, de
de cette partie sont les branches profondes, dites caverneuses, de l'
artère
et de la veine honteuses internes; en sorte que l
tractilité, qui peut donner lieu à des hémorrhagies consécutives. Les
artères
et les veines sont fournies par les honteuses int
spermatiques se compose de la juxta-position des différais canaux, l'
artère
, les veines nombreuses dont la dilatation donne l
lequel passe la portion membraneuse dej l'urèthre. 5° Vaisseaux. Les
artères
et veines sont des branches des honteuses interne
rficiellement clans l'épaisseur cle la couche sous-aponévrotique, les
artères
et veines inguino-abdominales et quelques rameaux
ment dans autant de loges ostéo-fibreuses. 4° Vaisseaux et nerfs. Les
artères
et veines sont : pour la moitié supérieure, les f
ue cette région est importante à étudier Les troncs principaux sont l'
artère
et la veine axillaires formant un faisceau commun
ires formant un faisceau commun avec les nerfs du plexus brachial ; l'
artère
, plus profonde, est placée dans le milieu, côtoyé
former l'axillaire. Les vaisseaux et nerfs de second ordre sont : les
artères
et veines acromio-thoraciques dont les branches p
égard aux lésions trauinatiques des vaisseaux et aux anévrismes de l'
artère
axillaire qu'elle offre le plus d'intérêt. Dans c
rapportent trois procédés différents d'incision pour la ligature de l'
artère
axillaire. La clavicule à elle seule est d'un gra
fs. Les vaisseaux et les nerfs particuliers à cette région sont : les
artères
, les veines et les nerfs thoraciques longs qui de
puis, le nerf radial, la veine axillaire et le nerf médian; enfin, l'
artère
numérale, la veine numérale externe, et, en derni
s de l'aisselle, se distingue celle qui a pour objet la ligature de l'
artère
numérale, par le procédé de M. Lisfranc; enfin, à
s sus-épineux, sous-épineux et petit rond. 4° Vaisseaux et nerfs. Les
artères
et veines sont : en avant et en haut, les branche
me, et par les intercostaux correspondans. 4° Vaisseaux et nerfs. Les
artères
et veines sont fournies: pour la fosse sus-épineu
rencontrent le nerf médian et la veine numérale interne, recouvrant l'
artère
et la veine numérale externe, plus rapprochées de
C'est sur ce trajet que se pratique l'incision pour la ligature de l'
artère
numérale, peut-être la plus fréquente de toutes d
mportante a rapport aux nerfs et aux vaisseaux. Le nerf radial et les
artères
et veines collatérales externes contournent en ar
l'incision, il faut se rappeler la position du nerf brachial et de l'
artère
collatérale externe à la naissance des supinateur
hial antérieur. L'ordre de juxta-position est celui-ci : au milieu, l'
artère
numérale entre ses deux veines, oblique de haut e
rieur et postérieur, et celles des extenseurs et des supinateurs. Les
artères
et veines sont les branches articulaires des coll
n grand nombre dans ce groupe. A partir du sillon médian supérieur, l'
artère
et les veines humé-raies se divisent en radiales
ironne la moitié supérieure du radius. A cette région appartiennent l'
artère
et les veines radiales, côtoyées en dehors par le
liquement en dehors pour contourner le radius. Les vaisseaux sont les
artères
et veines inter-osseuses postérieures qui descend
nes des deux masses charnues latérales; 3° sur le ligament palmaire l'
artère
cubitale, entre ses deux veines, côtoyée en dedan
ués sur la face postérieure du carpe. Les vaisseaux profonds sont les
artères
et veines sus-carpiennes, branches des radiales d
ranches digitales des nerfs médian et cubital, l'arcade palmaire de l'
artère
et des veines cubitales, contournant l'émincnce h
ème plan sur la surface métacarpienne, en haut, l'arcade profonde de [
artère
et des veines radicales et leurs branches in ter-
endons extenseurs et les vaisseaux profonds. Ces vaisseaux sont: i° l'
artère
et les veines radiales qui descendent dans le pre
re d'entrée des veines et des lymphatiques sortent, au contraire, les
artères
honteuses externes et inguino-abdominales. Ces di
ntermédiaire à ces muscles sont logés les gros vaisseaux, au milieu l'
artère
fémorale, renfermée dans une gaine commune avec s
e est l'un des points où se pratique l'incision pour la ligature de l'
artère
à sa sortie du bassin. RÉGION FÉMORALE ANTÉRIEU
cutanées , et en plan profond des vaisseaux propres des muscles ; les
artères
et veines musculaires antérieures pour le muscle
ux nourriciers des muscles dont, en haut, les branches terminales des
artères
et veines ischiatiques, et, dans le reste de l'ét
seaux profonds, écartée du trajet de l'incision pour la ligature de l'
artère
à la partie moyenne de la cuisse. Au plan vascula
mbre, pour devenir externe dans le canal fémoro-poplité. En dehors, l'
artère
est accompagnée par son filet nerveux satellite e
se pratiquent à diverses hauteurs les incisions pour la ligature de l'
artère
. RÉGION FÉMORALE EXTERNE '. Formée par la fac
oppe le squelette ou la face externe du fémur. Les vaisseaux sont les
artères
et veines collatérales externes et les branches e
ans le tronc tibio-péronier, après la ligature ou l'oblitération de l'
artère
principale. 3° Couche aponéurolique et tendineuse
s, et qui ferme, en avant, l'articulation. 4° Vaisseaux et nerfs. Les
artères
et veines sont : les articulaires supérieures et
té interne. Plus profondément appliquées sur le corps du fémur sont l'
artère
et la veine poplitées. Les rapports de ces vaisse
x poplité ; de manière que la veine externe, en haut, par rapport à l'
artère
, est postérieure au milieu et interne en bas. Out
aison de la veine saphène postérieure dans la veine poplitée; (h) les
artères
et veines jumelles; (c)la naissance des artères e
ine poplitée; (h) les artères et veines jumelles; (c)la naissance des
artères
et veines articulaires des deux côtés, supérieure
aisseaux. C'est donc par rapport aux anévrismes et à la ligature de l'
artère
poplitée qu'elle est recommandée en anatomie chir
. 5° Vaisseaux et nerfs. Au fond du sillon inter-osseux sont logées l'
artère
et les veines tibiales antérieures, dont les rami
; de sorte qu'externe à la partie supérieure, il passe au-devant de l'
artère
et des veines tibiales pour devenir interne à la
ers ; le même précepte s'applique aux incisions pour la ligature de l'
artère
tibiale antérieure à diverses hauteurs, la tensio
seaux sanguins sont en grand nombre : dans les jumeaux se rendent les
artères
et veines jumelles, branches des vaisseaux po-pli
terne. Au plan profond appartiennent les gros vaisseaux; en dedans, l'
artère
tibialc postérieure flanquée de ses deux veines,
e par le nerf du même nom ; en dehors, dans le sillon inter-osseux, l'
artère
et les veines péronières. Ces vaisseaux sont acco
x ou du soléaire dans l'extension brusque du pied. Sur le trajet de l'
artère
tibiale postérieure se pratiquent à diverses haut
teurs les incisions pour la ligature de ce vaisseau. La ligature de l'
artère
péronière n'existe encore, en chirurgie, que comm
ulpe des doigts le point d'appui de l'os, exercé à ne poser que sur l'
artère
seule dont il contient en diagonale les déplaceme
ent la compression, s'il est besoin d'indiquer par un jet de sang une
artère
que l'opérateur a de la peine à trouver. Le tro
ties et au pansement. h'hémorrhagie est arrêtée par la ligature des
artères
, dont on trouvera plus loin les détails, ainsi qu
se serve pour les ponctions, les ouvertures d'abcès, les ligatures d'
artères
, les excisions, etc. On doit toujours en avoir pl
ur sensiblement égale dans tous les points, et on évite au besoin les
artères
, nerfs, tendons, et même les muscles, qui suivent
che. Nous citerons en particulier les scarifications, les ligatures d'
artères
, les ouvertures de vastes foyers purulens dans le
s ceux où il s'agit de découvrir une partie sans la léser , comme une
artère
dont on doit faire la ligature, une tumeur enkyst
é, doit être substituée à la cinquième, lorsque, dans la ligature des
artères
, la gaine qui renferme les vaisseaux étant mise à
a Planche 15, fiy. 6. plus que d'inciser cette gaine et d'isoler l'
artère
elle-même. L'instrument , dans ce cas, présentant
ection des divers feuillets qui recouvrent une hernie, lisolement des
artères
, l'enlèvement des tumeurs enkystées , sont de ce
ue possible de porter le cautère sur le trajet connu des nerfs et des
artères
d'un certain volume et sur les saillies tendineus
s, un lambeau cutané traumatique, renfermant une petite tumeur ou une
artère
lésée, se trouve saisi entre deux doigts, les mor
i est le plus déclive que l'on fait sortir les fils des ligatures des
artères
, lorsqu'il a été besoin de lier de ces vaisseaux.
s de l'axe des vaisseaux , de manière à comprimer le nerf crural et l'
artère
à leur passage, en évitant, du moins autant que p
ant que possible, d'oblitérer la veine fémorale située en dedans de l'
artère
, de manière à intercepter la communication nerveu
on l'opère, quoique incomplètement, et sans y songer, en comprimant l'
artère
principale , eu égard aux troncs nerveux qui l'ac
rofondeur des tissus, et quant aux vaisseaux lésés, elle provient des
artères
, des veines ou des capillaires, et même, sans lés
sitent pour chaque cas des moyens différens. A. Lésions des grosses
artères
. Sous ce nom sont compris les troncs, branches, r
ones aux batte-mens du cœur. Les phénomènes qui suivent la lésion des
artères
diffèrent suivant que la section est plus ou moin
dehors ; mais il coule en moins grande quantité que dans les cas où l'
artère
n'a été coupée que clans la moitié cle son diamèt
l effet, voici les phénomènes qui ont été observés chez l'homme. Si l'
artère
lésée est d'un grand volume, telle que la carotid
ent par un flot considérable jusqu'à ce que mort s'ensuive. Mais si l'
artère
est d'un moindre volume, par exemple la radiale o
incipaux résultats : (a) Les plaies longitudinales et les piqûres des
artères
peuvent guérir par les seuls efforts de la nature
ssent la moitié de la circonférence. Le degré de la rétraction de l'
artère
donne la raison de ces différences. La piqûre qui
ens employés par la nature pour arrêter l'hémorrhagie fournie par les
artères
a été le sujet de nombreuses discussions. Ici, co
la cessation des hémorrhagies à la formation d'un caillot externe à l'
artère
et d'un autre caillot interne qui contracte des a
cependant (pie l'effet principal est produit par une contraction de l'
artère
, qui en diminue le diamètre, et par une rétractio
dont on sait aujourd'hui que la fibrine forme la base, est, pour les
artères
, comme pour les autres tissus, le premier rudimen
mmation s'en empare; elle isole les unes des autres les tuniques de l'
artère
, et s'interpose entre celle-ci et les caillots in
urs , assez de consistance pour fermer la blessure artérielle, unir l'
artère
aux parties environnantes, et l'isoler de la plai
lle-ci communique librement au-dehors. Dans les simples piqûres des
artères
, la réunion se fait par première intention ; et,
lus souvent la blessure guérit par adhérence des parois opposées de l'
artère
, ou, en d'autres termes, par l'oblitération ; mai
d'une part, entre les lèvres de la division, et, de l'autre, entre l'
artère
et les parties environnantes. Enfin, quand la ble
terons pas sur la manière dont se rétablit la circulation, lorsqu'une
artère
volumineuse présente une interruption dans sa con
e dilatent en plus ou moins grand nombre jusqu'au point de suppléer l'
artère
principale. Les plus petites artères sont suscept
mbre jusqu'au point de suppléer l'artère principale. Les plus petites
artères
sont susceptibles, dans ce cas, d'une dilatation
ui avait été opéré plusieurs années auparavant pour un anévrisme de l'
artère
poplitée, Boyer trouva , dans lépaisseur du nerf
e emprunté de la pratique de Sabatier. (Pl. 33.) Lésion des petites
artères
. Nous comprenons sous cette dénomination toutes l
s petites artères. Nous comprenons sous cette dénomination toutes les
artères
d'un assez petit volume pour que le sang en jaill
rsqu'elles ont été complètement divisées en travers. Le volume de ces
artères
est environ celui d'un gros fil. L'hémorrhagie qu
on amène le gonflement des parties divisées; mais si plusieurs de ces
artères
ont été ouvertes, le malade peut être épuisé par
au lieu de sortir par saccades ou par un jet continu, comme pour les
artères
, s'écoule lentement et en nappe. 3° Si l'on compr
difficiles à atteindre ; reste donc la compression. COMPRESSION DES
ARTÈRES
EN GÉNÉRAL. Nous avons vu que la compression ag
pération. D'après la théorie que nous avons donnée plus haut, toute
artère
, pour être convenablement comprimée, exige la ré
e la profondeur, de la direction et du plus ou moins de mobilité de l'
artère
, reconnaissable à ses battemens. 2° Déterminer,
direction relative du levier ou point d'appui osseux par rapport à l'
artère
, et, par quelques pressions lentes, ménagées avec
re que possible, et suffisante seulement pour accoler les parois de l'
artère
. Une compression efficace dépend moins de l'inten
t que possible, s'assurer de l'autre main, par le toucher d'une autre
artère
superficielle au-dessous, de l'affaiblissement gr
ompression, pour indiquer, dans l'intervalle, par un jet de sang, une
artère
difficile à trouver. i°. Compression avec les d
s particulièrement par la situation anato-mique du vaisseau. Ainsi, l'
artère
sous-clavière sur la première côte, située profon
plan, de manière à comprimer tous à-la-fois suivant la longueur de l'
artère
, tandis crue, la voûte de la main embrassant le m
il réservé pour certains cas spéciaux : telle est la compression de l'
artère
sous-clavière lorsqu'elle est très profonde et qu
appropriée à celle du lieu où elle doit agir : mince et alongéepour l'
artère
sous-clavière, large et plate pour l'aorte. Pour
sous la main. ( b) Son action com-pressive, efficace par rapport aux
artères
, aussi bien les collatérales que le tronc princip
de l'os ; (c) d'intercepter la circulation des veines comme celle des
artères
, et de faire pleuvoir le sang veineux à la surfac
illons ( Pl. 18-21), est commode pour la com- T. VI. pression des
artères
superficielles de médiocre calibre; au besoin, on
prenons tous les instru-mens de compression applicables à différentes
artères
, et plus ou moins imités dans leur principe du co
sert de modèle, sont les compresseurs de M. Charrière pour toutes les
artères
, de Dupuy-tren et de M. Colombat pour l'artère fé
rière pour toutes les artères, de Dupuy-tren et de M. Colombat pour l'
artère
fémorale, et ceux que nous avons nous-même imagin
ésirable par la solidarité des deux points d'appui. COMPRESSION DES
ARTÈRES
EN PARTICULIER. Artères de la face et du crâne.
des deux points d'appui. COMPRESSION DES ARTÈRES EN PARTICULIER.
Artères
de la face et du crâne. La compression de ces a
ARTICULIER. Artères de la face et du crâne. La compression de ces
artères
s'emploie le plus ordinairement dans des cas d'hé
r un lacs circulaire. (Pl. 19.) Autrefois, pour toute lésion de cette
artère
, on appliquait le bandage jlit nœud d'emballeur,
t le bandage jlit nœud d'emballeur, aujourd'hui presque inusité. 2°
Artères
frontale et sous-orbilaire. Ces deux branches de
bouclé. (Pl. 18.) La compresse graduée se pose verticalement, pour l'
artère
sous-orbitaire , au milieu d'une ligne oblique ét
; et, pour la frontale , au-dessus de l'échancrure sourcilière. 3°
Artère
faciale. Sous-cutanée au tiers externe du bord li
jet de sang en retour que fournissent fréquemment les anastomoses .
Artères
du cou. La compression ne pouvant atteindre les
ntaire , la compression seule du tronc principal peut être motivée.
Artère
carotide primitive. La compression du grand tronc
es deux grands troncs cérébraux, trop imparfaitement suppléés par les
artères
basi-laires, la pression devrait être ménagée ave
e diminuer l'abord du sang artériel sans l'interrompre entièrement.
Artères
du membre thoracique. i° Artère sous-clavière.
sans l'interrompre entièrement. Artères du membre thoracique. i°
Artère
sous-clavière. Elleest facile à comprimer au-dess
on temporaire , Camper a enseigné de la comprimer avec le pouce. Si l'
artère
est trop profonde ou l'écartement des scalènes tr
nt fixe une fois posé, et ne cause qu'une gêne très supportable. 20
Artère
axillaire. Le plan ostéo-fibreux, formé par la se
r la seconde et la troisième côte, est le seul point sur lequel cette
artère
puisse être comprimée. Mais, en raison de l'épais
sclés , on ne parvient pas à éteindre complètement les battemens de l'
artère
radiale , soit que l'on comprime avec les quatre
, ne remplit dans aucun cas le but pour lequel il a été inventé. 3°
Artère
humerak. (a) A sa partie supérieure , au-dessous
r au tiers inférieur du bras, où le tronc du nerf médian s'isole de l'
artère
en dedans. Toutefois, en comprimant l'artère humé
nerf médian s'isole de l'artère en dedans. Toutefois, en comprimant l'
artère
humérale, il n'est aucun moyen de ne point faire
sorte que la céphalique est le seul tronc veineux demeuré libre. 4°
Artères
de l'avant-bras et de la main. La radiale et la c
, doit être en rapport avec l'étroitesse du sillon inter-tendineux. L'
artère
radiale, dans sa portion dorsale à la main, se co
une pression perpendiculaire assez forte sur la phalange en regard.
Artères
du membre abdominal. i° Artère fémorale. (Pl. 2
forte sur la phalange en regard. Artères du membre abdominal. i°
Artère
fémorale. (Pl. 21.) (a) Sur le pubis. La compress
. La compression temporaire est très facile à l'arcade fémorale, où l'
artère
, peu profonde, appuie sur le pubis , au fond du t
r la saillie du psoas iliaque, arrête brusquement les batteincns de l'
artère
. La compression permanente, également facile à ex
oir posé perpendiculairement la pelote de pression dans la ligne de l'
artère
au fémur, on abat la charnière qui place en arriè
, quand on s'est de nouveau assuré que l'appareil est bien posé. 20
Artère
poplitée. Cette compression est possible, parla p
plètement inusitée et remplacée avec avantage par la compression de l'
artère
fémorale. 3° Artères de la jambe et du pied. \J
remplacée avec avantage par la compression de l'artère fémorale. 3°
Artères
de la jambe et du pied. \J artère tibiale postéri
ression de l'artère fémorale. 3° Artères de la jambe et du pied. \J
artère
tibiale postérieure est accessible en deux points
graduée. Cette même pelote s'applique également à la compression de Y
artère
pédieuse. (Pl. 21.) Artères du tronc. i° Artè
applique également à la compression de Y artère pédieuse. (Pl. 21.)
Artères
du tronc. i° Artère iliaque externe. Accessible
compression de Y artère pédieuse. (Pl. 21.) Artères du tronc. i°
Artère
iliaque externe. Accessible à travers la paroi mu
mps très court et en attendant la ligature dans un cas de lésion de l'
artère
près de l'arcade crurale. 20 Artère aorte. Les
ture dans un cas de lésion de l'artère près de l'arcade crurale. 20
Artère
aorte. Les muscles étant mis dans le relâchement
é ce mode de compression, comme moyen préventif, dans la ligature des
artères
iliaques, primitive, externe et interne. (Pl. 48.
par une pression très modérée, on interrompt tout battement clans les
artères
iliaques externes. Cette pression même peut être
ÉRATIONS. L'hémorrhagie, pendant les opérations, est causée par les
artères
, par les veines, ou par ces deux genres de vaiss
de la peau, à la circonférence de la tumeur, sur le trajet connu des
artères
principales. Ligature instantanée. La ligature,
on est terminée, pour être effectuée sans interruption sur toutes les
artères
. Dans certains cas cependant, où l'on aurait à cr
coxo-fémorale et scapulo-hu-mérale, on commence par la ligature de l'
artère
principale. Dans le cours des opérations, la liga
nt une opération sont terminées , avant d'enlever la compression de l'
artère
principale, le premier soin du chirurgien est d'o
ocre volume, si la ligature offre des difficultés, ou sur les petites
artères
, pour éviter de les lier, on emploie avec avantag
séton ne méritent pas la même confiance. Dans des cas spéciaux où une
artère
, encastrée profondément, ne peut être facilement
ucun effort mé-canique, et sur-tout dans les hémorrhagies des petites
artères
et des capillaires, sur des sujets faibles, où il
nt terminée, la compression latérale est maintenue sur le trajet de l'
artère
principale par une compresse longuette que serre
es, les grands progrès de la chirurgie dans l'art de lier les grosses
artères
ont fait tenter de nombreux essais sur la meilleu
pour saisir les vaisseaux coupés, ou des aiguilles pour embrasser les
artères
non lésées. Dans ces derniers temps , on a extrêm
ise Paré saisissait avec un bec à corbin tout le faisceau vasculaire,
artère
, veines et nerfs, plus ou moins environné de lamb
les tégumens. Desault a opéré une révolution en professant de lier l'
artère
seule, quoique dans la pratique il s'écartât souv
uvent lui-même de ce précepte en liant, pour plus de rapidité, avec l'
artère
, sa veine satellite. Enfin, aujourd'hui, le préce
re de nombreuses chances d'accidens suivant les tissus compris avec l'
artère
: l'irritation spasmodique pour les nerfs; la phl
issus; de sorte que l'anse de fil, devenant promptement trop lâche, l'
artère
, qui n'est plus assez comprimée, fournit du sang.
u'elle n'est plus employée que dans certains cas spéciaux, lorsqu'une
artère
elle-même étant enflammée et par conséquent plus
issus voisins : encore préfère-t-on, dans ce cas, dénuder plus haut l'
artère
pour la lier sur un point où elle est saine ; ou,
redoutable par ses acci-dens consécutifs comparativement à celle des
artères
, on est revenu de l'innocuité absolue de la secti
qui forme la transition de l'ancien procédé de ligature au nouveau, l'
artère
était liée isolément sur un petit cylindre de lin
a. Dans l'autre, qui établit le premier fait de ligature immédiate, l'
artère
était liée isolément, mais avec cet excès de préc
ment, mais avec cet excès de précaution que, le fil ayant environné l'
artère
, on lui faisait traverser diamétralement le vaiss
t au plus cinquante, suivant les cas, amènerait une oblitération de l'
artère
déjà assez solide pour permettre impunément de co
par une seconde ou une troisième ligature sur une portion saine de l'
artère
. Mais comme de fréquentes hémorrhagies survenaien
ait. L'application à distance de plusieurs fils obligeant à dénuder l'
artère
dans une certaine étendue1, et chaque fil irritan
les plans de section ; avec un ténaculum quand il faut aller saisir l'
artère
profondément dans les chairs ; avec une sonde can
nt dénudé le vaisseau dans l'étendue strictement nécessaire, pour les
artères
liées à plat dans leur continuité ; l'artère, ell
nt nécessaire, pour les artères liées à plat dans leur continuité ; l'
artère
, elle-même, embrassée seule dans ses trois tuniqu
t peuvent se rendre compte exactement des données qui ont rapport aux
artères
principales qu'ils vont chercher sans hésitation
quent leur orifice. L'erreur ou l'oubli ne pouvant porter que sur des
artères
d'un petit volume, les unes se sont signalées d'e
quel un aide a dû appliquer le doigt ; leur ligature étant faite, les
artères
non encore aperçues se trahiront par un jet de li
uspendre pour un instant la compression du tronc principal. Reste une
artère
connue, ne donnant pas de sang, et qui n'aurait p
quelques heures l'application de l'appareil. Enfin, reste aussi toute
artère
possible, inconnue et inaperçue, dont par conséqu
ment de l'autre côté, le contenant ainsi fixé entre deux pinces. Si l'
artère
est petite ou d'un volume médiocre , la pincer ob
lan des chairs, où il vient s'offrir à un aide. Celui-ci passe sous l'
artère
l'anse du fil, dont les extrémités sont solidemen
andis que les indicateurs font glisser l'anse du fil des pinces sur l'
artère
. Mais ici deux procédés de striction se présenten
e l'anse du second nœud, qu'il serre comme précédemment. Toutes les
artères
étant ainsi liées successivement, souvent il arri
de l'instrument, dont la pointe accroche et traverse les parois de l'
artère
seule, ou avec quelques tissus étrangers, suivant
t d'un plus grand ou d'un plus petit volume. Moyens applicables aux
artères
tCun médiocre ou d'un petit volume. Cautérisa
es cas où son emploi est le plus convenable sont les hémorrhagies des
artères
ranines, celles des vaisseaux situés à de grandes
des canaux osseux, comme sont, en particulier, nombre de rameaux de l'
artère
maxillaire interne dans les opérations qui se fon
osées, dont le ramollissement rendrait inutile la ligature. Quand les
artères
sont d'un certain volume, on doit par précaution
ès l'expérience acquise par les accidens traumatiques, on sait qu'une
artère
, même d'un gros calibre, rompue par arrachement,
ulement de sang. La cause de ce phénomène gît dans la rétraction de l'
artère
lésée, dont les deux tunicpies intérieures déchir
fisamment que toute lésion ou ciilacération physique des parois d'une
artère
de moyen volume doit en faciliter l'adhésion par
'idée d'imiter cet effet en froissant et dilacérant l'extrémité d'une
artère
avec les ongles ou des pinces, et réussit par ce
ou des pinces, et réussit par ce moyen à empêcher rhémorrhagie d'une
artère
testiculaire. Jones a prouvé expérimentalement qu
nt avec la pince à mors denticulés des mâcliures de l'extrémité d'une
artère
, et combinent l'emploi de ce moyen avec la torsio
t le refoulement. Refoulement. Après avoir saisi transversalement l'
artère
avec une pince ordinaire, M. Amussat, l'auteur de
s. Saisir de la main gauche, avec une pince, l'extrémité libre de l'
artère
; isoler de l'autre main, avec une seconde pince,
seconde pince par celle à torsion, (Pl. 34, fig- 26.) avec laquelle l'
artère
est serrée transversalement de la main droite, et
a pince à baguette. Enfin, ramener cette pince dans la direction de l'
artère
, et imprimer au vaisseau sept à huit tours comple
pince à baguette et refouler dans les chairs l'extrémité tordue de l'
artère
. 11 n'est pas rare que, par l'excès de la stricti
ui offre moins de sécurité, n'ait pas lieu. Procédé de M. Fricke. L'
artère
saisie de la mai 11 droite étant amenée en sailli
la formation d'un caillot, on a imaginé de dénuder l'extrémité d'une
artère
et de la replier circulairement sur elle-même. Ce
la replier circulairement sur elle-même. Ce procédé, proposé pour les
artères
intercostales, aurait, dit-on, réussi sur de peti
pour les artères intercostales, aurait, dit-on, réussi sur de petites
artères
: toutefois, nous ne le citons que pour le mentio
objet qui n'offre point d'obstacle réel, il est insuffisant pour les
artères
et inapplicable pour les artérioles, où, du reste
X. Bouchons mécaniques. Leur emploi est réservé pour les cas où une
artère
, encastrée dans un canal osseux ou ostéo-fibreux,
autant de procédés. i° Cire. Conseillée très anciennement pour les
artères
intercostales et celles des tissus ostéo-fibreux,
en et à M. Roux, comme point d'appui intérieur pour la ligature d'une
artère
ossifiée. Curieux de savoir comment s'opère alors
fisante. IIÉMORRHAGIE CAPILLAIRE. Après la ligature de toutes les
artères
qui fournissent le sang en saccades, il est assez
ce liquide continue de suinter pendant quelque temps des très petites
artères
et des capillaires. Cette espèce d'hémorrhagie, q
), cette ligne de section étant la plus éloignée des deux principales
artères
fournies, au-dessus, par l'auriculaire postérieur
ut, dans l'état de tension du muscle. La veine jugulaire interne et l'
artère
carotide primitive sont logées plus profondément,
, les muscles sourcilier, orbiculaire et frontal, et accompagné par l'
artère
et la veine frontales profondes. Procédé de M.
sit avec des pinces à disséquer et l'on en fait l'excision. Quant à l'
artère
, on la lie ou l'on en fait la torsion. Nerf sou
ë empêchant de pouvoir saisir l'extrémité du nerf. L'hémorragie, si l'
artère
est coupée, peut être arrêtée par compression dir
faciale, puis à trois lignes de l'aile du nez, dans les élévateurs, l'
artère
faciale, et, à trois ou quatre lignes plus en deh
de profondeur se rencontre ce trou, d'où sort le nerf accompagné de l'
artère
et de la veine. Rien de plus facile alors que de
s le bord de la glande parotide, faire immédiatement la ligature de l'
artère
transverse, si elle a été coupée, puis inciser ju
ical de l'aire du trou se rencontre le faisceau composé du nerf, de l'
artère
et de la veine dentaires inférieurs, qui, plus ba
lus bas l'excision de son bout inférieur. Dans le cas de M. Warren, l'
artère
, qui avait été coupée, fut liée immédiatement : l
gnes ses bords postérieur et inférieur, laissant, un peu en dedans, l'
artère
faciale, et remontant au-devant du masseter de ma
ur. Derrière le disque se trouve le faisceau des vaisseaux dentaires,
artère
, veine et nerf. Il est facile d'isoler ce dernier
e parotide. Parvenu sur le nerf, qui longe parallèlement en dessous l'
artère
faciale transverse, on peut isoler avec une égale
on intéresse le nerf eu entier ou seulement une de ses branches. Si l'
artère
transverse a été coupée, on en fait la ligature :
très profond qui renferme la parotide, la veine jugulaire externe, l'
artère
carotide externe avec ses divisions, l'occipitale
ère le faisceau des muscles styliens, la veine jugulaire interne et l'
artère
carotide interne. La simple énumération de ces pa
à la pointe de l'instrument tranchant. Le chirurgien écarte en haut l'
artère
auriculaire supérieure, en bas l'artère occipital
e chirurgien écarte en haut l'artère auriculaire supérieure, en bas l'
artère
occipitale, isole et refoule en avant la masse de
t pour effet de remédier aux maladies propres des vaisseaux, soit les
artères
, soit les veines. OPÉRATIONS SUR LES VAISSEAUX
rtificielle, constituant, sur les veines, la phlébotomie, et, sur les
artères
, l'artériotoinie. OPÉRATIONS QUI AGISSENT SUR L
doit les écarter avec soin : de ce nombre sont les trajets connus des
artères
, des veines et des nerfs d'un certain volume. M.
es et des nerfs d'un certain volume. M. Richerand a vu la lésion de l'
artère
temporale superficielle, et M. Dupuytren celle de
lles, volumineuses, peu mobiles, et qui ne sont pas trop voisines des
artères
et des nerfs. On s'assurera préalablement par le
blement par le toucher de la position relative et de la direction des
artères
re-connaissables à leurs battemens. Pour faire go
accidents sont : la douleur, la syncope, l'ecchymose, la lésion d'une
artère
, l'inflammation des veines et des lymphatiques.
tives, qui en quelques jours en amènent la résorption. Lésion d'une
artère
. C'est au bras et eu saignant la veine médiane ba
e médiane basilique, dont la direction croise en diagonale celle de l'
artère
brachiale, que cet accident est surtout à craindr
l tenions du cœur; à la cessation de ces phénomènes on comprimant l'
artère
au-dessus de la plaie et à leur continuation lors
l'accident, il faut placer le membre en demi-flexion et faire, sur l'
artère
,une compression provisoire qui permette d'attendr
rtie supérieure, au point de bifurcation, où l'on risque de blesser l'
artère
brachiale à sa terminaison ou la radiale à sa nai
ans des cas rares où la veine médiane serait portée plus en dedans, l'
artère
cubitale à son origine et le nerf médian. 3° La s
, la veine croise obliquement en diagonale, dans toute sa longueur, l'
artère
numérale entre ses deux veines profondes; plus ha
as disposé, reconnaître le tendon du biceps et, à son côté interne, l'
artère
facile à distinguer à ses battemens; s'assurer de
isinage des différentes veines pour s'assurer qu'il n'existe poi nt d'
artère
superficielle anormale, ou du moins en constater
IOTOMIE Cette opération consiste dans la section transversale d'une
artère
dans le but thérapeutique de produire une émissio
volume, et appuyée sur un os qui permette de la comprimer. Plusieurs
artères
sont dans ce cas : la temporale, la faciale sur l
sur la face dorsale de la main, et enfin la pêcheuse. Chacune de ces
artères
peut être coupée en cas d'urgente nécessité; tout
e nécessité; toutefois on ne pratique guère cette opération que sur l'
artère
temporale superficielle et spécialement pour une
le vivant, il est toujours facile de reconnaître la position de cette
artère
, dont les battemens, très sensibles au toucher, s
ler garni d'une alèse, on s'assure par le toucher de la position de l'
artère
et on marque au besoin le lieu de l'incision par
indicateur et le pouce de la main gauche, écartés de chaque côté de l'
artère
, tendent la peau et appuient le vaisseau sur l'os
clos de la lame, dirige l'instrument la pointe présentée du côté de l'
artère
: on abaisse le bistouri en appuyant jusqu'à l'os
i en appuyant jusqu'à l'os et en retirant à soi de manière à couper l'
artère
en travers. Un jet de sang rouge, saccadé et isoc
on préfère au besoin tordre, mâcher ou même lier les deux bouts de l'
artère
et réunir par suture comme l'a pratiqué M. Magist
supporter pour le malade. Appliquant le médius gauche en dehors de l'
artère
, à deux ou trois lignes du point où il veut pique
quement jusqu'à l'aponévrose, s'abaisse et glisse en diagonale sous l'
artère
de bas en haut, d'avant en arrière et cle dedans
le la division et dont chacun embrasse dans son anse l'extrémité de l'
artère
de son côté. OPERAÏIOMS QUI SE PRATIQUENT SUR L
u'on le peut, de nouvelles dilatations de se produire. LIGATURE DES
ARTÈRES
. Le mot de ligature, employé pour désigner une
Le mot de ligature, employé pour désigner une opération spéciale aux
artères
, représente l'ensemble des manœuvres par lesquel
nte l'ensemble des manœuvres par lesquelles on découvre et on lie une
artère
dans un lieu sain, à peu de distance d'un lieu ma
atique , son histoire se trouve confondue avec celle des maladies des
artères
et des grandes lésions traumatiques ou chirurgica
al-à-propos nommé de Hunter. Vers i63o M.-A. Severin, en osant lier l'
artère
fémorale anévrisma-tique à sa sortie du bassin, t
DES LIGATURES. Ces règles se rapportent à trois temps : découvrir l'
artère
, l'isoler et placer la ligature. Recherche et m
rcher, d'après les données anatomiques, la direction de la ligne de l'
artère
, et s'assurer, en faisant contracter les muscles,
usculaires sous-cutanés par lesquels on doit se frayer une voie. Si l'
artère
est assez superficielle pour que l'on puisse en s
à une profondeur convenable, s'assurer au toucher des battemeus de l'
artère
, car il ne faut jamais renoncer à ce signe aux di
her, avant et pendant l'opération, et de l'existence en leur lieu des
artères
voisines , et de la présence accidentelle d'une a
leur lieu des artères voisines , et de la présence accidentelle d'une
artère
anormale, pour l'éviter s'il s'en rencontre. 2°
re anormale, pour l'éviter s'il s'en rencontre. 2° La position de l'
artère
reconnue, avec les quatre doigts assemblés de la
omme à l'ordinaire, puis inciser suivant la ligne reconnue. 3° Si l'
artère
est superficielle, inciser parallèlement à sa dir
lume, au nombre, au caractère et à la situation relative des parties,
artère
, veines et nerfs, qui le composent. Isolement
parties, artère , veines et nerfs, qui le composent. Isolement de l'
artère
. i° Le faisceau vasculaire reconnu et mis à déc
complètement la surface des tissus, puis reconnaître la position de l'
artère
par rapport aux veines et aux nerfs. Si l'on épro
, faire suspendre momentanément la compression pour rendre évidente l'
artère
par ses battemens. Saisir alors avec des pinces u
ens. Saisir alors avec des pinces un point de la gaîne en regard de l'
artère
, soulever ce pli et l'inciser avec la pointe du b
îne par un mouvement de va et vient parallèlement à la direction de l'
artère
. 3° La gaîne divisée dans une longueur d'un cen
e divisée dans une longueur d'un centimètre au plus, l'isolement de l'
artère
consiste à la dénuder d'un côté dans une longueur
arties contenues dans la gaîne, s il 11 y a, comme pour les grosses
artères
, qu'une veine-satellite très volumineuse, et dont
erait grave (ex. numérale, fémorale), il vaut mieux dénuder d'abord l'
artère
de ce côté pour mettre immédiatement cette veine
même précepte s'applique aux troncs nerveux d'un fort volume, quand l'
artère
plus faible est flanquée de deux veines-satellite
d'un eôté , et de l'autre de gros nerfs qui peuvent en imposer pour l'
artère
( ex. axillaire ), il vaut mieux introduire d'abo
la veine de l'autre côté, pour ne pas la léser. 4° L'isolement des
artères
peu volumineuses et superficielles se pratique fa
c'est le cas où l'emploi des aiguilles courbes est préférable. 5° L'
artère
embrassée dans la courbure de la sonde ou de l'ai
onnaître s'il n'y a pas eu quelque erreur, en embrassant au lieu de l'
artère
soit une veine, soit un nerf. Une veine est facil
plexus brachial qui s'aplatit en le soulevant, et auquel ressemble l'
artère
épaissie si le sujet est un vieillard. Nous avons
cautions il faut procéder. Placement du fil et ligature. ¦ i° L'
artère
étant soulevée sur l'instrument, si elle est port
stylet, et, quand le fil est amené au dehors, dégager la sonde. Si l'
artère
, étant profonde, est portée dans la courbure d'un
t d'isolement est l'un des avantages des aiguilles à ligature. 2° L'
artère
placée dans l'anse du fil, soulever les deux bout
l'élasticité et les caractères anatomiques du tissu, que c'est bien l'
artère
elle-même qui est saisie. 3° Reste à lier. Un p
qui est saisie. 3° Reste à lier. Un premier nœud étant fait : si l'
artère
est superficielle, le second nœud peut être serré
poulie de renvoi pour chaque bout tenu dans la paume de la main. Si l'
artère
est profonde et le sillon étroit, il vaut mieux e
uides qui exsudent de la plaie trouvent une issue facile au dehors.
ARTÈRES
DU MEMBRE ABDOMINAL. On pratique la ligature de
DU MEMBRE ABDOMINAL. On pratique la ligature de presque toutes les
artères
un peu volumineuses du membre abdominal, de la pé
externe, suivant la hauteur de la lésion qui nécessite l'opération.
ARTÈRE
PÉDIEUSE (pl. 36) \ Situation et lieu d'électio
Vidal, ont consigné des faits d'hémorragie grave pour lésion de cette
artère
, et, du reste, beaucoup de chirurgiens ont pu ren
ng de son bord interne. La gaîne des vaisseaux pédieux se présente, l'
artère
au milieu entre ses deux veines et côtoyée en ded
er la gaîne des vaisseaux sur un pli soulevé avec la pince, dénuder l'
artère
et glisser dessous la sonde cannelée de dedans en
sion vers la tête du second os métatarsien. Cette plaie, qui laisse l'
artère
en dedans à sa partie antérieure, ne convient que
dedans à sa partie antérieure, ne convient que pour la ligature de l'
artère
à sa moitié postérieure, où sa direction est croi
de l'incision. 1 Voy. Anatonrie chirurgicale, pag. 5g et pl. 12.
Artère
tibiale antérieure (pl. 36) '. Situation. Appli
la pince , soulever une lamelle de la gaîne sur le bord externe de l'
artère
, l'inciser avec la pointe du bistouri, glisser de
ar la première ouverture. En raison de la situation profonde de cette
artère
, il est souvent utile de recourber préalablement
tion longitudinale de cette dernière devant se faire en deux temps.
ARTÈRE
t1riale POSTÉRIEURE (pl. d^, fig. i et 1 ) 1. S
ndance des graisses. Lieux d'élection. On pratique la ligature de l'
artère
tibiale postérieure à toute hauteur, depuis sa na
depuis sa naissance du tronc tibio-péronier jusqu'à sa bifurcation en
artères
plantaires. Il en résulte que les considérations
é. Manuel opératoire. i" Ligature derrière la malléole interne. L'
artère
cesse d'être verticale en regard de la saillie ma
rrière la malléole; ce précepte est peut-être le plus sûr pour lier l'
artère
au-dessus de l'articulation : afin d'atteindre pl
e nerf tibial postérieur; inciser alors la gaine, isoler et dénuder l'
artère
dans une longueur de cinq à six millimètres, d'ab
iles; le plus ou moins de volume des chairs rendant la situation de l'
artère
plus ou moins profonde, quoique sa direction soit
sculaires. Quelle que soit l'élévation dont les muscles proéminent, l'
artère
tibiale postérieure, au tiers moyen de la jambe,
iser de pointe, en dédolant, la gaine sur un pli, isoler et dénuder l'
artère
avec la sonde cannelée, d'abord sur son côté inte
Modification de M. Lisfranc. Dans quelque point qu'on veuille lier l'
artère
dans la longueur parcourue par le tendon d'Achill
elle ne permet pas, comme l'autre incision, de lier indifféremment l'
artère
sur tout point quelconque de la longueur de la pl
longueur de la plaie. 3° Ligature au tiers supérieur de la jambe. L'
artère
est encore ici plus éloignée de la surface, suiva
une légère courbure à concavité externe. En situation, l'origine de l'
artère
correspond un peu au-dessus du tiers supérieur de
nu dans toute la longueur de la plaie, inciser la gaîne et dénuder l'
artère
comme à l'ordinaire, puis glisser le fil avec l'a
à l'exemple de M. Guthrie qui a opéré de cette manière avec succès.
Artère
péronière (pl. 37, fig. 3) '. Situation. Logée
ous des jumeaux, entre les péroniers et le bord du soléaire, où cette
artère
, encore assez forte, est plus facilement accessib
u sillon inter - osseux se trouve la gaîne des vaisseaux renfermant l'
artère
entre ses deux veines. Isoler alors et dénuder co
ant ou vers soi. Procédé de M. Lisfranc. Comme pour les deux autres
artères
de la jambe, ce chirurgien prescrit de diriger l'
t suivant un angle de trente-cinq degrés avec la ligne verticale de l'
artère
; c'est-à-dire du bord externe du tendon d'Achill
e modification , qui a toujours pour but de croiser la direction de d'
artère
, n'est pas aussi utile dans ce cas que pour la li
on traumatique par un projectile, M. Guthrie, afin d'éviter de lier l'
artère
fémorale, n'a pas hésité à inciser directement au
llet pour faire, avec une aiguille à suture, la ligature médiate de l'
artère
péronière à sa partie supérieure. Artère poplit
, la ligature médiate de l'artère péronière à sa partie supérieure.
Artère
poplitée (pl. 38) '. Situation. Logée profondém
a veine poplitée, qui la contourne en diagonale, est, par rapport à l'
artère
, externe en haut, postérieure au milieu, et inter
. Outre les hémorragies traumatiques qui commandent la ligature cle l'
artère
poplitée, lorsqu'elle peut être faite au-dessus d
oint lésé, le cas le plus ordinaire est lanévrisme spontané cle cette
artère
1 elle - même, le plus commun de tous. Nous n'ent
hirurgicaux si nombreux qui infirment ou justifient la ligature cle l'
artère
poplitée cle préférence à celle de la fémorale, d
la poche anévrismale. Manuel opératoire. Incisions verticales. L'
artère
poplitée peut-être liée , à divers points de son
écartement des jumeaux, l'incision peut être moins longue pour lier l'
artère
entre les muscles, où sa profondeur n'est que de
au contraire, s'étendra davantage en haut, et sera plus longue, si l'
artère
doit être liée à sa partie supérieure, où sa prof
ique, comme on le décrit, mais offrant le tronc principal qui cache l'
artère
, et d'où se dégagent en dedans deux fortes branc
t s'offrir appliquée sur la face postérieure et un peu en dedans de l'
artère
; saisir avec la pince un pli de la gaîne vasculai
haut et en dedans vers l'opérateur. La gaîne étant ouverte, dénuder l'
artère
avec la sonde cannelée, clans une longueur d'un c
on pourrait, au besoin, lier le tronc tihio-péronier ou même une des
artères
jambières à son origine. Ligature à la pairie s
quart inférieur cle la cuisse, point correspondant à l'origine cle l'
artère
, à partir du bord interne des muscles demi-tendin
ngle supérieur, pour croiser, un peu en diagonale, la direction cle l'
artère
. La peau étant incisée , écarter d'abord la vei
ant postérieure et un peu externe , on l'écarté en dehors pour lier l'
artère
avec l'aiguille anglaise. 11 est inutile d'insi
saphènc cpii s'y jette. Les veines étant directement postérieures à l'
artère
, on les écarte indifféremment en dedans ou en deh
Incisions latérales. Le but de cette méthode est d'aller chercher l'
artère
sous le bord tibial du jumeau interne. On y parvi
sceau vasculaire, la veine en dedans et recouvrant pour l'opérateur l'
artère
placée en dehors, le nerf tibial situé au milieu
hors par un crochet mousse ou par les doigts d'un aide intelligent. L'
artère
se présente alors, appliquée sur le muscle poplit
la cuisse. (Procédé de M. Jobert.) L'objet de l'auteur est délier l'
artère
poplitée sur le fémur par une incision verticale
, dontla profondeur, terme moyen, est d'environ quatre centimètres.
Artère
fémorale (pl. 39 et 47) '. Situation. Logée dan
er, qui ne le recouvre que par sa face interne. Lieux d'élection. L'
artère
fémorale peut être liée dans quatre lieux détermi
g. 53-54, et pl. 7, 8 et 11. 41 Cas d'opération. La ligature de l'
artère
fémorale à divers points de sa hauteur répond à t
même genre qui ont leur siège à la jambe, quand la ligature d'une des
artères
locales n'offre pas assez de chances de succès? c
cette ligature est-elle la plus fréquente de toutes parmi les grandes
artères
. C'est de préférence à la partie moyenne, où elle
gauche de l'opérateur pour le membre droit et vice versa, comprime l'
artère
fémorale sur le pubis soit avec la pelote à manch
'interstice, y suppléer en se dirigeant, suivant la ligne connue de l'
artère
, au milieu du plan interne de la cuisse pour son
ulpe de l'indicateur pour s'assurer positivement de la direction de l'
artère
à ses battemens. La moitié supérieure du sillon,
xterne et un peu antérieur, la veine est postérieure et interne, et l'
artère
mitoyenne. Inciser alors avec beaucoup de précaut
ler par cela même le nerf en avant; dénuder avec le bec de la sonde l'
artère
sur son bord antérieur dans une longueur de six à
le bord opposé un autre pli avec la pince et recommencer à dénuder l'
artère
en l'isolant de la veine sur le bord postérieur ,
On considère comme une modification d'une même opération, de lier l'
artère
fémorale à la partie moyenne ou au tiers supérieu
ue parce qu'elles sont censées débattues concernant un même plan de l'
artère
, tandis que toutes les trois sont bonnes si on le
er en arrière. Plus profondément se présentent la gaine vasculaire, l'
artère
antérieure, la veine postérieure, le nerf externe
turier, le refouler en dehors, et, le faisceau vasculaire mis à nu, l'
artère
antérieure, la veine postérieure, se conduire com
section dans sa cannelure. La gaîne mise alors à découvert, dénuder l'
artère
qui est antérieure et interne, la veine étant pos
l'indicateur abaissé au milieu tombe précisément, dans l'homme, sur l'
artère
fémorale, reconnaissable à ses battemens. Chez la
s battemens. Chez la femme, où le bassin est un peu plus évasé, cette
artère
est située de quelques millimètres plus en dedans
lques millimètres plus en dedans. Quant aux rapports des vaisseaux, l'
artère
est externe et un peu antérieure, la veine intern
occuper du nerf crural placé en dehors et tout à fait en arrière de l'
artère
, mais étranger à la gaîne vasculaire dont le sépa
nde les flocons adipeux, les ganglions lymphatiques et les troncs des
artères
et veines inguinales. Parvenu sur le feuillet com
nnelée, puis, amenant le bord soulevé de la gaine vers soi, dénuder l'
artère
dans une longueur de dix à douze millimètres, d'a
r son côté externe; soulever la gaine de l'autre côté, puis séparer l'
artère
de la veine, la dénuder sur son côté interne, gli
la pulpe déprime le nerf crural sous son aponévrose de revêtement.
Artère
fessière. Situation. L'artère fessière sort du
sous son aponévrose de revêtement. Artère fessière. Situation. L'
artère
fessière sort du bassin parla partie supérieure d
essier, et se divise au delà entre ces deux derniers muscles. Cette
artère
a été liée quatre fois pour des lésions traumati-
r : c'est environ aux deux cinquièmes supérieurs de cette ligne que l'
artère
fessière sort du bassin. Inciser alors, suivant c
ter un peu en dehors; au-dessous de lui est le faisceau vasculaire, l'
artère
supérieure et plus profonde, la veine postérieure
ncore au-dessous. Ouvrir la gaine, écarter la veine en bas, dénuder l'
artère
et en faire la ligature. Dans cette opération i
opération il est important, vu la profondeur et le peu de volume de l'
artère
, d'éponger fréquemment et de procéder avec lenteu
et lymphatiques qui masquent'les vaisseaux chez les sujets obèses.
ARTÈRES
DU MEMBRE THORACIQUE. On pratique la ligature d
ARTÈRES DU MEMBRE THORACIQUE. On pratique la ligature de toutes les
artères
un peu volumineuses du membre thoracique depuis l
thoracique depuis les branches digitales jusqu'à la sous-clavière.
Artères
de la main et de l'avant-bras. Ces artères sont
qu'à la sous-clavière. Artères de la main et de l'avant-bras. Ces
artères
sont la radiale et la cubitale, dont la ligature,
gature des troncs artériels à l'avant bras. La ligature partielle des
artères
de la main n'est motivée que par les lésions trau
que la ligature des troncs à l'a-vant-bras est toujours préférable.
Artère
radiale (pl. 4o et 4* ) '• On pratique la ligat
e. Artère radiale (pl. 4o et 4* ) '• On pratique la ligature de l'
artère
radiale à trois hauteurs différentes, à la face d
découvert au-dessus du premier espace inter-osseux, dénuder et lier l'
artère
. Cette opération, qui figure dans les livres, est
face palmaire tournée en haut, reconnaître au toucher sur le radius l'
artère
sensible à ses battemens. Déprimer la peau dans l
ement au tendon long supinateur se présente le faisceau vasculaire, l'
artère
entre ses deux veines, et plus en dehors le nerf
Ligature au tiers supérieur de [avant-bras (pl. La bifurcation de l'
artère
numérale ayant lieu en regard et au-devant du bor
, et pl. 9. au-dessus de son insertion à la tubérosité du radius, l'
artère
radiale à son tiers supérieur descend presque ver
vingt à vingt-cinq millimètres. Ainsi, à l'extérieur, le trajet de l'
artère
à la région antibrachiale est assez exactement dé
s, toujours sensible sous la peau et auquel correspond l'origine de l'
artère
. Terminaison de l'opération. Quelle que soit la
pronateurs, au fond se présente le t. vi. faisceau vasculaire, l'
artère
entre ses deux veines, et, parallèlement à leur c
bec de la sonde cannelée sur un pli soulevé avec la pince; dénuder l'
artère
et glisser dessous linstrunient en amenant vers s
nuder l'artère et glisser dessous linstrunient en amenant vers soi.
Artère
curitale (pl. 4o et 40 '. La cubitale, comme la
aisceau vasculaire étant mis à nu, isoler, avec le bec de la sonde, l'
artère
de ses deux veines et en faire la ligature. 2°
uscle fléchisseur profond et côtoyée en dedans par le nerf cubital, l'
artère
est placée à quinze ou seize millimètres de profo
d du sillon est le faisceau vasculaire; diviser la capsule, dénuder l'
artère
dans quelques millimètres de longueur et insinuer
r de ses deux cinquièmes inférieurs à l'avant-bras, les rapports de l'
artère
sont ceux que nous avons indiqués plus haut ; au-
dessus de ce point, c'est-à-dire dans sa demi-longueur supérieure , l'
artère
cubitale est appliquée, avec ses deux veines sate
de huit à neuf centimètres, et, de ce point jusqu'à son origine de l'
artère
bumérale, par le lmsceau des quatre muscles super
ans de l'os pisiforme. Cette ligne indique la direction générale de l'
artère
, à part la courbure qu'elle forme à son origine.
ouvoir être relevé; il vaut donc mieux, si on doit lier un peu haut l'
artère
, inciser les fibres à plat, suivant la ligne indi
be exactement sur le bord externe du faisceau humerai du sublime où l'
artère
cubitale se présente obliquement en diagonale du
ée, et serait remplacée avec beaucoup d'avantage par la ligature de l'
artère
humérale avant sa bifurcation au pli du bras. A
ligature de l'artère humérale avant sa bifurcation au pli du bras.
Artère
humérale (pl. 4° ct 4 0 Situation. Logée profon
par l'aponévrose dans l'épaisseur de laquelle monte parallèlement à l'
artère
la veine basilique, recouverte elle-même par le p
e elle-même par le pannicule adipeux et la peau. Cas d'opération. L'
artère
humérale est de tous les troncs volumineux celui
tuation au centre du mouvement d'extension du membre le plus long , l'
artère
poplitée est le siège le plus ordinaire de l'anév
re poplitée est le siège le plus ordinaire de l'anévrisme spontané, l'
artère
humérale, qui appartient au membre le plus mobile
de l'anévrisme variqueux ou varice anévrismale. Lieux d'élection. L'
artère
humérale, étant facilement accessible dans toute
en même temps, ce qui est le point le plus essentiel, de comprimer l'
artère
soit avec les doigts assemblés, soit avec le tour
ie topographique, page et pl. 9. l'existence et de la position de L'
artère
le long du bord interne du biceps , et de la cour
remier plan le nerf médian appliqué au côté interne et antérieur de l'
artère
au haut de la plaie, et qui s'en éloigne d'un cen
ter préalablement ce nerf en dedans; la gaîne vasculaire mise à nu, l'
artère
se présente ou entre ses deux veines ou avec une
plat la capsule sur un pli soulevé, dénuder avec le bec de la sonde l'
artère
dans une longueur d'un centimètre, d'abord sur so
ie inférieure de l'aisselle, soit, ce qui offre plus de sécurité, à l'
artère
sous-clavière à sa sortie des sca-lènes et sur le
pe sent en profondeur la saillie du nerf médian et les battemens de l'
artère
, inciser verticalement à plat, le long du sillon,
l'on écarte également en dehors; au-dessous la gaîne s'offre à nu, l'
artère
entre ses deux veines, ou avec une seule veine in
dedans le nerf cutané interne. Inciser la gaîne sur un pli, dénuder l'
artère
, comme il a été dit, d'abord sur son côté externe
s appelons humérale, et non, comme tous les chirurgiens, axillaire, l'
artère
du membre tho-racique au - dessous du grand pecto
du muscle grand pectoral écarté et soulevé en dedans sous la peau , l'
artère
sous-clavière comprimée sur la première côte, le
t, à travers les tégu-mens, le cylindre formé par le nerf médian et l'
artère
sensible à ses battemens. La direction du faiscea
u la veine, puis l'écarter en dedans où elle est fixée par un aide. L'
artère
alors se découvre placée entre cette veine, eh de
lus profondément la veine humérale externe s'il y en a une. Dénuder l'
artère
avec la pince ou le bec de la sonde, d'abord sur
eau. 1 Vov. Anatomie topographique, région axillaire, pag. /17 et
Artère
axillaire (pl. 4 s, 43 et 45) '. L'artère axill
axillaire, pag. /17 et Artère axillaire (pl. 4 s, 43 et 45) '. L'
artère
axillaire, en raison Je sa profondeur, de la dire
édés. i° Ligature au-dessous du petit pectoral. On peut atteindre l'
artère
axillaire par l'incision de Desault intermédiaire
Mais cette opération n'est utile qu'autant que l'on veut découvrir l'
artère
dans une grande étendue, et alors elle rentre dan
, modifié par Delpecli. L'intention de ce procédé est d'atteindre l'
artère
par une incision verticale entre le deltoïde et l
et la faire fixer en ce sens par un aide. Derrière elle se présente l'
artère
que l'on dénude à son tour, et sous laquelle on g
ée dans les auteurs sous une double dénomination : soit ligature de l'
artère
sous-clavière au-dessous de la clavicule, soit li
l'artère sous-clavière au-dessous de la clavicule, soit ligature de l'
artère
axillaire au-dessus du petit pectoral. Cette dern
sillon deltoïdicn. Dans cette section liera mesure les branches de l'
artère
acromio-thoracique qui se trouvent divisées. Parv
rfs cutané interne et cubital et une portion de fartère: puis vient l'
artère
plus profonde et plus ou moins recouverte par la
eine avec la sonde cannelée dans le sillon externe qui la sépare de l'
artère
, la déjeter en bas et en dedans et l'y foire main
y foire maintenir par un aide avec un crochet mousse ; puis dénuder l'
artère
elle-même entre les cordons qui l'embrassent, ins
connue de prime abord, il est facile de s'égarer et de prendre pour l'
artère
l'un des nerfs qui la côtoient, les battement qui
riques et cesser, en tirant sur un nerf embrassé, comme quand c'est l'
artère
elle-même qui est soulevée par le bec de l'instru
aves, après avoir alternativement dénudé et amené à la surface soit l'
artère
, soit un cordon nerveux, qu'enfin l'artère elle-m
amené à la surface soit l'artère, soit un cordon nerveux, qu'enfin l'
artère
elle-même put être reconnue et liée. B. Incisio
ult, l'intention de l'auteur, pour une même incision, étant de lier l'
artère
axillaire au-dessus du petit pectoral en dépriman
guérison était complète. Appréciation des procédés de ligature de l'
artère
axillaire. Quand la ligature est indiquée seuleme
ons dessinés d'après Pcllctan et M. ,lobert (pl. 3a, fig. r et. 2).
Artère
sous-clavière (pl. /j3 , |5) '• Lieux d'électio
t. 2). Artère sous-clavière (pl. /j3 , |5) '• Lieux d'élection. L'
artère
sous-clavière peut être liée en trois points : 10
, l'opération est singulièrement compliquée et par la profondeur de l'
artère
elle-même et par le grand nombre de vaisseaux et
on à part, dont les préceptes, vu la situation et les connexions de l'
artère
, sont les mêmes que pour le tonc brachio-céphali
dont la hase est à la clavicule; c'est dans ce creux qu'est située l'
artère
, à une profondeur qui, depuis la surface cutanée
récis donnés dans l'anatomie topographique, rappelons seulement que l'
artère
, située dans l'intervalle des scalènes entre le t
cule et au - devant du tendon du scalène antérieur qui la sépare de l'
artère
. De la superficie vers la profondeur, les parties
brachial en arrière et en dehors, c'est-à-dire plus eu saillie que l'
artère
. 1 " Ligature sur la première côte. Lignes d'
re le tubercule de la première côte, au côté externe duquel on sent l'
artère
à ses battemens. Pour plus de précaution, quand c
mens. Pour plus de précaution, quand ce point est trouvé, comprimer l'
artère
sur la première côte et s'assurer que cette compr
eur et à la dureté de leurs cordons cylindriques. Enfin parvenu sur l'
artère
, la dénuder un peu de chaque côté dans sa gouttiè
utres. La vérité est que l'on peut se dispenser de léser ce muscle, l'
artère
se trouvant encore au moins à deux centimètres pl
it, précisément au milieu de sa convexité, derrière laquelle répond l'
artère
sous-clavière sur la première côte. Inciser l'apo
ter en dehors les nerfs du plexus brachial ; le doigt perçoit alors l'
artère
depuis le tubercule de la première côte jusqu'ent
, en avant cl au côté interne du muscle : nous y ajouterions aussi l'
artère
scapulaire supérieure, qui croise le tendon en av
ser. La rétraction du muscle en haut, après la section, laisse à nu l'
artère
oblique en haut et en dedans ; l'isolement et la
ut et en dedans ; l'isolement et la ligature en sont alors faciles.
ARTÈRES
DE LA TÊTE ET DU COU. ARTÈRES DE LA TÊTE. Nou
la ligature en sont alors faciles. ARTÈRES DE LA TÊTE ET DU COU.
ARTÈRES
DE LA TÊTE. Nous avons déjà parlé, en traitant
LA TÊTE. Nous avons déjà parlé, en traitant de l'artériotomie, de l'
artère
temporale. Les autres artères de la tête dont on
rlé, en traitant de l'artériotomie, de l'artère temporale. Les autres
artères
de la tête dont on fait la ligature sont la facia
e la tête dont on fait la ligature sont la faciale et l'occipitale.
ARTÈRE
FACIALE (pl. 4$ , fig- l- B et B2 ). Eacile à l
es, écarter puis diviser sur la sonde cannelée le muscle peaucier ; l'
artère
se présente alors dans le sens de la plaie, côtoy
, l'hémorragie tendant à récidiver par les nombreuses anastomoses des
artères
de la face : le mieux est de lier les vaisseaux d
ères de la face : le mieux est de lier les vaisseaux dans la plaie.
ARTÈRE
OCCIPITALE (pl. 44? %• 1 ^ et B 2). Cette opéra
de la peau et des libres aponévrotiques d'insertion superficielle, l'
artère
se présente dans un canal aponévrotique, la veine
cielle au-dessus, la veine profonde et le nerf au-dessous : dénuder l'
artère
et passer dessous le stylet aiguillé. ARTÈRES D
au-dessous : dénuder l'artère et passer dessous le stylet aiguillé.
ARTÈRES
DU COU '. Hors les cas d'opération spéciale sur
conques du cou , on est dans la nécessité de lier dans la plaie toute
artère
qui se trouve lésée et plus particulièrement les
à part la sous-clavière déjà indiquée, on ne lie guère au cou que les
artères
linguale, carotide externe, carotide primitive et
arotide externe, carotide primitive et le tronc brachio-céphalique.
ARTÈRE
LINGUALE (pl. 44, fig. 2). Situation. Dégagée d
et l'écarter en arrière et en haut; en bas et en dedans se présente l'
artère
surmontée par le nerf hypoglosse et par sa veine
ils s'insinuent sous le mylo-hyoïdien. Sur le cadavre on peut lier l'
artère
près du bord même du mylo-hyoïdien; mais sur le v
glissant dessous la sonde cannelée : il est facile alors de dénuder l'
artère
et de la lier. 1 Voy. Anatomie topographique, r
e de la mâchoire, de manière à croiser en diagonale la direction de l'
artère
correspondant au milieu de la plaie. Le reste de
e reste de l'opération suivi comme à l'ordinaire, il réussit à lier l'
artère
du côté droit. Procédé de M. Malgaigne. La gran
ué le nerf hypoglosse; à deux millimètres au-dessous de ce nerf est l'
artère
, qui s'enfonce sous le mylo-hyoïdien et l'hyoglos
f est l'artère, qui s'enfonce sous le mylo-hyoïdien et l'hyoglosse.
ARTÈRE
CAROTIDE EXTERNE (pl. 44i %• 0- Situation. Bran
vient plus bas le tronc veineux linguo-facial, et plus profondément l'
artère
, interne et postérieure, appliquée sur l'aponévro
cateur, avec le bec de l'aiguille anglaise armée de son fil dénuder l'
artère
et glisser dessous d'arrière en avant et de dedan
l'ongle du doigt : dégager le fil, soulever le vaisseau et le lier.
ARTÈRE
CAROTIDE PRIMITIVE (pl. l\1, fig. 2 ; et pl. 4$,
E PRIMITIVE (pl. l\1, fig. 2 ; et pl. 4$, fig. i). La ligature de l'
artère
carotide externe est l'un des faits les plus cons
acilite l'opération en permettant de négliger la ligature des petites
artères
, dans nombre de cas les hémorragies consécutives
re une opération peu sûre tient au nombre immense des anastomoses des
artères
de la tête entre les deux troncs carotidiens, qui
s et en avant, la veine jugulaire interne; en arrière eten dedans l'
artère
carotide, et au-devant de celle-ci la branche des
ors, et l'y faire fixer avec un crochet mousse par un aide. Dénuder l'
artère
sur son côté externe, reporter la pince de l'autr
reporter la pince de l'autre côté pour soulever la gaine et dénuder l'
artère
sur son côté interne ; puis glisser en dessous le
t (pl. fig. 2. G et G 2 ). L'objet de l'auteur est d'aller chercher l'
artère
à la partie inférieure clu cou, derrière le faisc
cpie l'on écarte en arrière et en dehors vers le scalène antérieur; l'
artère
alors se présente à son tour, recouvrant le pneum
braehio-céphalique. Alors, avec le bec de la sonde cannelée, isoler l'
artère
à droite en abaissant en dehors le tronc veineux
teur entre la trachée et les muscles sous-hyoïdiens, et arriver sur l'
artère
. Dans cette manœuvre on n'opère que sur une longu
ut prendre garde de léser en portant trop en bas. Enfin parvenu sur l'
artère
, l'isoler et passer dessous le bec de l'instrumen
tion en diagonale, le tronc artériel, qu'il embrasse dans son anse.
ARTÈRES
DU TRONC. Les artères du tronc dont on pratique
onc artériel, qu'il embrasse dans son anse. ARTÈRES DU TRONC. Les
artères
du tronc dont on pratique la ligature sont l'épig
ion traumatique on peut pratiquer dans la plaie la ligature de toutes
artères
quelconques du tronc , soit les thoraci-ques, la
aque, l'une des branches lombaires ou même l'une des intercostales.
ARTÈRE
ÉPIGASTRIQUE. Situation. Née, en dehors de l'il
érieure à celle du pubis, point auquel nous avons vu que correspond l'
artère
iliaque externe. Ce point reconnu, en faire le mi
viser avec précaution le fascia-superfîcialis en évitant de léser les
artères
inguino-abdominales; puis arrivé sur l'aponévrose
iques. On se trouve alors sur les gros vaisseaux iliaques externes, l'
artère
en dehors, la veine en dedans, et en premier plan
ière une mince aponévrose, cpie l'on ouvre sur un pli, l'origine de l'
artère
iliaque externe. Ce procédé nous paraît offrir tr
al-à-propos le canal inguinal. 11 ne saurait convenir qu'autant que l'
artère
aurait été lésée très bas: en toute autre circons
ions le suivant. Procédé nouveau. Si le cas se présentait de lier l'
artère
épi-gastrique pour une lésion à la paroi abdomina
peut-être mise à découvert facilement et sans danger. Le lieu de l'
artère
fémorale à l'arcade crurale étant reconnu, d'une
rcade crurale, suivant la ligne indiquée plus haut, est le point où l'
artère
épigastrique s'insinue sous le muscle droit. Abai
c la sonde cannelée: derrière lui se trouve, entre ses deux veines, l'
artère
, dont il ne reste plus qu'à faire la ligature.
eux veines, l'artère, dont il ne reste plus qu'à faire la ligature.
ARTÈRE
ILIAQUE EXTERNE (pl. 47, %• 2 ) '. La ligature
rfs et de vaisseaux secondaires situés au-devant, l'encastrement de l'
artère
entre les scalènes et les troncs nerveux, et enfi
du lieu de la lésion pour opérer sur un tissu véritablement sain. L'
artère
iliaque externe, au contraire, à part le voisinag
'arcade crurale. Dans la gaîne d'enveloppe commune se trouvent : i° l'
artère
, externe et un peu antérieure; 20 la veine, inter
un peu postérieure; 3° un filament nerveux parallèle et antérieur à l'
artère
. Au dehors de la gaîne, le faisceau vasculaire es
'incision, et n'influent que sur la hauteur à laquelle on peut lier l'
artère
. Procédé d Abernethy. Le malade couché sur le d
pée, diviser avec ménagement le fascia-super-licialisct reconnaître l'
artère
inguino-abdominalc. Comme cette artère gênerait
per-licialisct reconnaître l'artère inguino-abdominalc. Comme cette
artère
gênerait au travers de la plaie , il vaut mieux l
pération se trouvent coupées en travers les branches d'anastomose des
artères
épigastrique et circonflexe iliaque qu'il faut li
é pour aller reconnaître le faisceau vas-culaire, et en particulier l'
artère
à ses battemens. Enfin le poids de la masse viscé
avec le bec de la sonde sur un pli soulevé avec la pince , dénuder l'
artère
d'abord sur son côté externe, puis sur l'interne,
sinuer dans ce dernier sens l'aiguille de Deschamps et Grœfè, entre l'
artère
et la veine, et ressortir en dehors en prenant ga
r le fascia , puis la gaine vasculairc; on trouve alors à découvert l'
artère
iliaque externe, et de chaque côté les origines d
couvert l'artère iliaque externe, et de chaque côté les origines de l'
artère
épigastrique en dedans et de la circonflexe iliaq
a doit être, le même que nous avons déjà décrit pour la ligature de l'
artère
épigastrique; son indication essentielle est de f
foire tomber le milieu de son incision sur le point correspondant à l'
artère
iliaque externe, et , parvenu dans le canal ingui
un fait principal , c'est la hauteur à laquelle il convient de lier l'
artère
. Sous ce rapport le procédé original d'Abernethy
est demeuré supérieur à tous les autres, parce qu'il permet de lier l'
artère
à toutes les hauteurs quelconques. La modificatio
et d'Abernethy nous paraissent préférables suivant qu'on veut lier l'
artère
soit en bas, soit en haut, ou à une hauteur non d
ise clans le procédé de ligature des iliaques interne et primitive.
ARTÈRE
ILIAQUE INTERNE (pl. 48). Branche interne de la
ion de l'iliaque primitive, au niveau de la symphyse sacro-iliaque, l'
artère
iliaque interne ou hypogastrique forme un tronc t
l'exemple rapporté par Sandifort. C'est donc pour des anévrismes de l'
artère
fessière que la ligature de l'iliaque interne a é
inal externe, c'est-à-dire clans l'espace moyen entre cet anneau et l'
artère
sur l'arcade crurale, une incision cutanée de dou
. Cette direction nous paraît préférable à celle indiquée de suivre l'
artère
épigastrique qui s'incline trop en dedans et n'a
iser successivement la peau, le fascia superficialis en ménageant les
artères
, puis à petits coups les trois premières couches,
tion des vaisseaux; reconnaître avec l'indicateur la bifurcation de l'
artère
iliaque primitive, suivre en bas et en dedans l'h
, l'emploi de cet instrument, dont n'a point fait usage M. Stevens.
ARTÈRE
ILIAQUE PRIMITIVE (pl. 48). Tronc commun pelvi-
vi-fémoral résultant de chaque côté de la bifurcation de l'aorte, les
artères
iliaques primitives, d'une longueur d'environ sep
r les circonstances ultérieures, déjà connues, pour les ligatures des
artères
iliaques externe et interne. Il est évident qu'on
séparent des ganglions et vaisseaux lymphatiques et les origines des
artères
et des veines lombaires, la portion sous-duodénal
s des artères et des veines lombaires, la portion sous-duodénale de l'
artère
aorte abdominale, dans l'état normal, n'a que cin
inale est une opération d'une haute 'gravité quant au volume de cette
artère
et à la double interposition du péritoine au-deva
u'ont dû faire naître ces faits que s'est fondée la ligature de cette
artère
. Malheureusement les résultats jusqu'à ce jour, a
ritoine d'arrière en avant, de l'autre côté, de manière à renfermer l'
artère
sur l'indicateur fléchi comme dans une anse. Sur
rures qui donneraient lieu aux accidens les plus graves. PLAIES DES
ARTÈRES
. Les lésions traumatiques des artères nous sont
les plus graves. PLAIES DES ARTÈRES. Les lésions traumatiques des
artères
nous sont déjà connues dans leurs accidens généra
t très oblique, on s'assure, en sondant avec un stylet, du point où l'
artère
est lésée, afin de la découvrir en regard par une
e, afin de la découvrir en regard par une incision directe. Dès que l'
artère
est mise à découvert, on la dénude, on l'isole, o
vrisme variqueux ou le kyste sanguin, intermédiaire d'une veine à une
artère
blessées en commun, donne passage au sang de l'un
rement dit, ou artériel, formé soit par la dilatation des parois de l'
artère
sous l'influence d'une cause organique, c'est Yan
uelquefois empêché le développement de la maladie. — i° Ligature de l'
artère
au-dessus de la tumeur. Ce procédé n'a eu aucun s
cès. Au bras, sur trois malades auxquels a été faite la ligature do l'
artère
humérale, la tumeur a reparu (Dupuytren, Breschet
ytren, Breschet). Au membre inférieur, dans deux cas de ligature de l'
artère
fémorale, il y a eu des escarres gangreneuses, de
ent par ses insuccès, Dupuytren avait songé à la ligature double de l'
artère
et de la veine ; mais ce procédé, qui, du reste,
e craindre une phlébite, n'a pas encore été essayé.— 3° Ligature de l'
artère
au-dessus et au-dessous de la tumeur. Ce procédé,
mpression nécessitant des manœuvres lentes et délicates pour isoler l'
artère
des veines et des nerfs qui l'accompagnent. ANÉ
un, en particulier, en offrait soixante-trois répandus sur toutes les
artères
d'un certain volume. Chez tous la disposition aux
faits de guérison spontanée. L'organisme procède à l'oblitération des
artères
anévris-matiques par trois procédés : i° la résor
verin, Guattani, Pomarest, MM. Marjolin et Guthric, se rapportent à l'
artère
fémorale. Le cas de guérison par gangrène observé
usqu'à Llunter. Aètius, pour la guérison de l'anévrisme, découvre l'
artère
au-dessus de la tumeur en deux endroits, et en fa
dénude et fait glisser les fils vers chaque extrémité, les lie sur l'
artère
au-dessus et au-dessous, ouvre la tumeur, la vide
— Guy de Chauliac ( i3/|o) découvre la tumeur, fait la ligature de l'
artère
à chaque bout, l'isole par une double section en
n partie non dangereuses; coupant le cuir au-dessus, le séparant de l'
artère
, puis on passera une aiguille à séton, enfilée d'
is on passera une aiguille à séton, enfilée d'un fort fil, par sous l'
artère
, aux deux côtés de la plaie, laissant tomber le f
ême, et ce faisant, nature engendre chair qui sera cause de boucher l'
artère
. »—Guillemeau(i G i o) lie également l'artère au-
sera cause de boucher l'artère. »—Guillemeau(i G i o) lie également l'
artère
au-dessus et au-dessous de la tumeur, mais sans l
ître, et va même plus loin, enseignant au chirurgien de « découvrir l'
artère
vers sa racine et partie supérieure, et la lier s
lcire(\-]l\/\) après avoir établi avec le garrot la compression sur l'
artère
, au-dessus de la tumeur, incise le sac anévrismal
ueur, en vide et en nettoie la cavité, cherche le bout supérieur de l'
artère
, y introduit le bec d'une sonde pour le soulever
à deux idées générales qui caractérisent la méthode ancienne : lier l'
artère
avec sous-section pour isoler l'anévrisme sans av
, en présence du célèbre anatomiste Lancisi, il se contenta de lier l'
artère
numérale au-dessus de la tumeur, sans toucher au
, constitue aujourd'hui la cure la plus rationnelle de l'anévrisme. L'
artère
étant liée au-dessus de la tumeur par une simple
(1785), qui a remis cette opération en honneur pour un anévrisme de l'
artère
poplitée. Il fit sa ligature au-dessus de la tume
ux deux membres; Acrel a obtenu le même succès pour un anévrisme de l'
artère
sous-clavière. Guattani compte quatre guérisons s
; la compression au-dessus de la tumeur se fait avec une bande sur l'
artère
et une plaque d'opposition, l'une et l'autre fixé
ns le sac, qui est un aperçu rétrograde. La compression établie sur l'
artère
, au-dessus de la tumeur, on incisa en regard de l
de la cuisse, Sabatier, ayant établi une compression préalable sur l'
artère
avec deux tourniquets au-dessus et au-dessous de
par un instrument. Surpris dans un cas d'urgence, Desault comprima l'
artère
avec une espèce de pince en bois serrée par un ru
e. Assalini affirme avoir guéri avec le sien plusieurs anévrismes des
artères
fémorale et poplitée après trois ou quatrejourset
Voici la méthode la plus nette et la plus efficace d'oblitérer les
artères
; aussi est-ce, au point de vue particulier de l'a
s moyens. Le but de la ligature étant d'obtenir l'oblitération de l'
artère
par la pression circulaire d'un corps étranger de
ration brusque. Scarpa avait posé en théorie que pour oblitérer une
artère
il suffit de provoquer l'inflammation de son cyli
ous devons dire en quoi il consiste. Déjà Paré parle de comprimer une
artère
avec un petit rouleau de linge long de six lignes
la membrane interne en contact avec elle-même. Procédé de Scarpa. L'
artère
est mise à découvert comme pour la ligature, mais
six brins de fil rassemblés à plat, en un ruban, étant glissée sous l'
artère
, on applique dessus un petit cylindre de linge, e
grand nombre de praticiens. Deux cas de succès sont dus à M. Paletta (
artères
fémorale et numérale), deux autres à M. Morigi (p
e persiste en arrière, dans le point opposé de l'anse appliquée sur l'
artère
, et remplit ses conditions de n'exercer qu'une pr
quelques minutes et assura néanmoins avoir obtenu l'oblitération de l'
artère
. Cette tentative a réussi à M. Hutchinson; mais M
avoir opéré sur des chevaux et des moutons, ont constaté que jamais l'
artère
n'a été oblitérée. M. Travers a modifié cette thé
ade a guéri après cinquante heures d'application d'une ligature sur l'
artère
humérale. Pareille réussite est duc à M. Roberts,
M. Levert, sur cette donnée, a expérimenté sur des chiens, en fait, l'
artère
s'est toujours trouvée oblitérée; le fil s'envelo
ntroduire dans la pratique. Double ligature avec piqûre à travers l'
artère
. Nous avons déjà mentionné ce moyen, indiqué par
ionis, décrit par Richter, et dont sir A. Cooper a fait l'essai sur l'
artère
fémorale pour un anévrisrne poplité. Serrer l'art
it l'essai sur l'artère fémorale pour un anévrisrne poplité. Serrer l'
artère
d'une ligature en deux points, poser dans l'inter
et difficiles, sans autre résultat réel que d'enflammer inutilement l'
artère
dans une plus grande étendue. Double ligature a
à leur exemple tout le moyen-âge, avaient recommandé la section de l'
artère
entre deux ligatures. Severin, Purman , Morand et
é au long par M. Maunoir, est d'annuler la force de rétractilité de l'
artère
, qui, déjà raccourcie par la striction, tirailler
rme, d'après des expériences sur les animaux, que la rétractilité des
artères
existe à peine. M. Vcl-peau se range à cette opin
lleur argument contre le procédé en question , c'est qu'en divisant l'
artère
il accomplit immédiatement un résultat qu'il s'ag
t celle qui se pratique avec un fil de chanvre ciré sur un point de l'
artère
dénudé. Nous avons traité au long des procédés op
é au long des procédés opératoires qui s'y rapportent pour toutes les
artères
, il nous reste à indiquer d'une manière générale,
on convenable, la compression temporaire bien assurée, le trajet de l'
artère
reconnu dans les formes énoncées pour chaque lieu
e, pour le soulever, le bout d'une sonde, algalie ou stylet. Isoler l'
artère
des veines, nerfs et tissus voisins, l'environner
efs du fil, s'assurer au toucher, par les battemens, que c'est bien l'
artère
qui est comprise dans l'anse. Serrer alors la lig
rincipe, comme l'essentiel est d'opérer sur un point ou le tissu de l'
artère
soit parfaitement sain, dans l'anévrisme spontané
t mieux se rapprocher de la tumeur pour bénéficier de la présence des
artères
collatérales les plus voisines. MOYENS EN ESSAI
en gangrène. M. Briquet établit, d'après Béclard, que cette portion d'
artère
étranglée continue de vivre par elle-même. Il est
océdé est de doubler inutilement la chance de section prématurée de l'
artère
; mais cette objection est si forte qu'elle équiv
4° Torsion. M. Thierry a eu l'idée d'appliquer la torsion aux grosses
artères
non coupées, c'est-à-dire aux cas d'anévrismes, e
ismes, et en a fait l'essai sur la carotide des chevaux. 11 soulève l'
artère
sur la courbure de l'aiguille de Deschamps, et se
ures, rebroussement. Briot avait établi que, pour faire oblitérer une
artère
dénudée, il suffisait de la saisir entre les mors
temporaire le procédé de M. Davat pour les varices, c'est-à-dire, une
artère
étant dénudée comme pour la ligature, sans léser
'auteur, d'abandonner une expérience sur un chien, il se trouva que l'
artère
fémorale fut traversée par une épingle laissée à
ains de M. Amussat. L'auteur pense que si une épingle suffit pour une
artère
de médiocre volume, il faudrait, pour les gros tr
er un courant électrique. M. Liston l'a essayé pour un anévrisme de l'
artère
sous-clavière, mais, n'obtenant aucun résultat, i
par la situation et la direction de la plaie, on peut supposer qu'une
artère
a été lésée, de sorte qu'après l'extraction d'un
cher, avant chaque nouvelle incision, la position des divers organes,
artères
, nerfs, etc., que l'on doit éviter, et la directi
il vaut mieux, en procédant avec lenteur, comme dans les ligatures d'
artères
, écarter les espaces inter-organiques ou les fais
nflammatoire, Y étranglement, la ligature en masse et la ligature des
artères
. 2°Aux moyens de destruction se rapportent : la c
êcher le sang d'arriver à la tumeur par la section ou la ligature des
artères
qui s'y rendent. On y parvient par trois procédés
superficielle et périphérique n'est alimentéeque par de très petites
artères
, par exemple aux parois du crâne et sur toutes le
e auquel M. Hodgson avait déjà pratiqué sans résultat la ligature des
artères
radiale et cubitale. Dans un cas où la tumeur éta
n pratiquée sur la peau saine pénètre au delà du siège présumablc des
artères
de la région. A mesure qu'elles sont coupées on e
tenant la plaie écartée avec de la charpie. 2° Ligature des petites
artères
. S'il y avait un moyen assuré d'obtenir l'atrophi
s, il semble que ce devrait être par la ligature après dissection des
artères
qui leur fournissent des vaisseaux. Cependant cet
us avons vu que M. Hoclgson avait échoué à guérir par la ligature des
artères
radiale et cubitale une tumeur de la main. M. Ché
ù le danger est d'autant plus grand que souvent le sang coule par des
artères
coupées encastrées dans des canaux osseux, il fau
des parties molles à un pouce (vingt-sept millimètres) en dehors de l'
artère
fémorale, de manière à diriger l'aiguille sur le
t toujours parvenus à se rendre maîtres de l'hémorragie fournie par l'
artère
méningée moyenne. Du reste aujourd'hui la torsion
la trépanation des os du crâne. La division cle quelques branches des
artères
mammaires est le seul accident qu'on ait à redout
lées au même titre par exemple que les amputations ou les ligatures d'
artères
. Entièrement subordonnées aux conditions ana-tomi
sur les os; excepté vers l'extrémité du radius, pour ne pas blesser l'
artère
radiale dans le lieu de sa réflexion. La main éta
la limite de la maladie. L'opération terminée, si quelques petites
artères
ont été coupées il suffit de les tordre; on retir
du côté sain par un aide qui exerce en même temps la compression de l'
artère
sous-cla-vière sur la première côte. Le chirurgie
, le faisceau des tendons des muscles extenseurs et court péronier, l'
artère
, le nerf tibial antérieur, la veine saphène inter
iceps sural, des muscles profonds postérieurs et des péroniers, par l'
artère
, le nerf tibial postérieur et la veine saphène ex
n haut et en arrière. L'articulation étant mise à découvert, lier les
artères
qui fournissent du sang; puis, saisissant la cu
e ce nerf. Pareille observation s'applique au conduit cle Sténon, à l'
artère
faciale, et aux nerfs sous-orbitaire et mentonnie
si l'intégrité des filets du nerf facial, du canal de Sténon et cle l'
artère
faciale, qui, se trouvant contenus dans l'épaisse
s, et par le tissu adipeux de l'orbite. Pansement (pl. 64, fig- 4)-
artères
qui fournissent du sang ayant été tordues ou liée
ter pendant l'opération. Un aide, qui comprime en même temps les deux
artères
faciales à leur passage sous l'angle de la mâchoi
, sont détachés en rasant exactement la mâchoire, afin de ménager les
artères
coronaires; lorsqu'ils ont été disséqués au delà
t échappé. Les vaisseaux des parties molles sont tordus ou liés; si l'
artère
dentaire fournit du sang, on l'arrête avec une pe
n rasant soigneusement le bord de l'os; on évite ainsi la lésion de l'
artère
intercostale et de la plèvre. Les accidens à redo
el faudra totalement devestir de la membrane , lier ou cautériser les
artères
, et ramener le cuir doucement sur l'os, et le fix
e des vaisseaux rend ordinairement la cicatrisation très prompte; les
artères
collatérales n'ont pas, en général, besoin d'être
s avec succès l'amputation cle l'avant-bras le plus bas possible. L'
artère
radiale à la partie inférieure de l'avant-bras se
bord de son lit ou sur une chaise, un aide placé en dehors comprime l'
artère
numérale; l'avant-bras demi-iléchi est fixé entre
avant le cubitus. Cinquième temps. Retirer la compresse et lier les
artères
cubitale, radiale et inter-osseuses; réunir trans
donc bien de choisir cette position si l'état des forces le permet. L'
artère
humérale est comprimée par un aide si l'on ampute
imée par un aide si l'on ampute au tiers inférieur, plus haut c'est l'
artère
axillaire, enfin la sous-clavière si c'est à la r
rficiels, interne et externe, sans intéresser dans ce premier temps l'
artère
humérale, relever les lambeaux et diviser les cha
ns du bras à diverses hauteurs, la ligature principale est celle de l'
artère
fémorale placée en dedans, sur l'humérus, entre l
ée d'un grand nombre de tendons, est très rétractile. On a à lier les
artères
digitales in ter-osseuses, mais rarement la plant
, de ciseaux de Liston et de pinces. La jambe pendante hors du lit, l'
artère
comprimée par un aide au creux poplité, le pied e
bistouri droit. Le malade couché sur un lit, les jambes pendantes, l'
artère
est comprimée par un aide au pli de l'aîne ou au
s'occuper de l'angle du tibia, qui n'a aucun inconvénient. — Lier les
artères
tibiales antérieure et postérieure et la péronièr
tion fléchissait la jambe sur la cuisse pour diminuer l'impulsion des
artères
et la douleur réactionnelle. Louis nous apprend d
sur un lit, le tronc élevé, les jambes pendantes, un aide comprime l'
artère
sur le pubis, un autre soutient la jambe et relèv
irs et la peau, en avant par la peau et l'aponévrose seulement. Les
artères
ouvertes sont : i° la tibiale antérieure accolée
environ au-dessous de son passage par le ligament inter-osseux; cette
artère
est souvent difficile à saisir : MM. Ribes et Gen
iceps et du ligament externe de l'articulation. On n'a à lier que l'
artère
poplitée ; mais l'ouverture de larges canaux vein
de la seconde série entourent l'os de tous côtés. Les rapports de l'
artère
fémorale avec le fémur sont aussi importons dans
facilement, on est quelquefois obligé de l'inciser en manchette : les
artères
augmentent en nombre et en volume, l'inflammation
i de l'aine avec les deux mains, et d'appliquer alternativement sur l'
artère
le pouce de chaque main. Le malade couché le tr
liens. Les aides cle rigueur sont ainsi distribués : l'un comprime l'
artère
, l'autre soutient la jambe malade; un troisième e
is que le même procédé ne lui réussît pas aussi bien pour les petites
artères
. Quant au nombre des vaisseaux à la cuisse, au ti
Quant au nombre des vaisseaux à la cuisse, au tiers inférieur on a l'
artère
fémorale, les perforantes, et diverses musculaire
culairement les fibres profondes. Dans le lambeau interne se trouve l'
artère
fémorale ; c'est donc toujours celui qu'il faut t
sale sans tailler de lambeau en ce sens. Pansemens. La ligature des
artères
collatérales est rarement nécessaire, ordinaireme
aucoup plus facile par l'incision ovalaire. Réunion. La torsion des
artères
suffit quand il n'y a eu de coupées que les colla
royons devoir prémunir le chirurgien en ce qui concerne la lésion des
artères
qui doivent être liées. L'ablation de l'annulaire
e longueur. L'opération terminée, il reste à lier les deux troncs des
artères
cubitale et radiale: la réunion linéaire est des
ision très inférieur à la section circulaire. Réunion (fig. 4)- Les
artères
à lier sont les deux troncs des artères radiale e
aire. Réunion (fig. 4)- Les artères à lier sont les deux troncs des
artères
radiale et cubitale. Si pourtant ces artères rétr
sont les deux troncs des artères radiale et cubitale. Si pourtant ces
artères
rétractées ne pouvaient être trouvées, on procéde
par la section du tendon du triceps. Dans ce procédé il n'y a qu'une
artère
à lier, l'humérale; les chairs ont très peu d'épa
des chairs : ce qui rend la désarticulation plus facile et donne deux
artères
à lier. Méthode ovalaire. — Procédé de M. Baude
s deux cas. Réunion. Ordinairement, dans la méthode à lambeau, deux
artères
sont à lier, la radiale et la cubitale; mais quel
Alanson, qui l'a décrite en 1744- Procédé de Garengeot. Comprimer l'
artère
médiatement, faire relever fortement les chairs v
e pince, le côté interne de la section , pour comprimer médiatement l'
artère
: enfin achever en dedans et en arrière la sectio
ien placé en avant pour le membre droit, en arrière pour le gauche, l'
artère
sous-clavière comprimée par un aide avec le pouce
evé, la tête de l'os isolée et luxée, dénuder et lier immédiatement l'
artère
axillaire par le dedans de la plaie, puis tailler
ne d'une main, saisisse entre les doigts les chaire, pour comprimer l'
artère
au-dessus du couteau : enfin, terminer par la sec
au à la désarticulation. Il suffit de faire comprimer préalablement l'
artère
sous-clavière. C'est ainsi qu'il a été pratiqué n
les lambeaux pour terminer par la désarticulation. Il est clair que l'
artère
doit être préalablement comprimée. Ce procédé n'e
descendre sur le côté interne, faire saisir au-dessus du tranchant l'
artère
entre les chairs, et, rasant l'os en dedans, tail
ral depuis l'acromion jusqu'au creux de faisselle, chercher d'abord l'
artère
axillaire, la dénuder et la lier; écarter les lèv
en taillant un lambeau externe et postérieur. Procédé de Desaidt. L'
artère
préalablement comprimée entre lesscalènes, le mem
de M. Larrey. Pour éviter l'inconvénient du procédé de Desault, où l'
artère
axillaire se trouve coupée dans la première incis
aie et les faire relever par un aide qui applique deux doigts sur les
artères
circonflexes externe et interne. L'articulation m
ns l'angle où se sont arrêtées les incisions obliques, faire saisir l'
artère
axillaire par les doigts d'un aide entre les chai
rne vers l'interne. Réunion. Excepté la première inter-osseuse, les
artères
digitales sont toutes plus petites qu'à la main;
lière et bien plus facilement susceptible d'adhérence. Réunion. Les
artères
étant tordues ou liées, on rapproche les lambeaux
alléoles et le rebord postérieur articulaire du tibia. Enfin lier les
artères
tibiales postérieure et antérieure et réunir par
ppliquer l'un des trois autres. Pansement. La poplitée est la seule
artère
d'un grand volume qu'il y ait à lier, puis vienne
1 et 2). Le malade couché sur le côté sain, un tourniquet placé sur l'
artère
, dit Tliérould, ou mieux, comme on le fait aujour
ur l'artère, dit Tliérould, ou mieux, comme on le fait aujourd'hui, l'
artère
comprimée par le pouce d'un aide; enfin la jambe
procéder, avant la section des muscles, à la ligature préalable de l'
artère
fémorale. Procédé de Delpech (lambeau interne:
fig. i). Commençant par une incision pour procéder à la ligature de l'
artère
fémorale sur l'arcade pubienne, perforer avec un
ouis en 1760, de commencer l'opération par la ligature préalable de l'
artère
fémorale. Cette ligature étant pratiquée d'abord
ue l'interne. Procédé de Dupuylren (lambeaux externe et interne). L'
artère
fémorale est comprimée sur le pubis par un aide ;
. Ce lambeau étant relevé, l'opérateur va de suite à la recherche des
artères
fessière et ischia-tique pour en faire la ligatur
moyen usité par M. Baudens d'oblitérer préalablement chaque orifice d'
artère
par une pince fixe, de manière à ne point entra
chanter, faire saisir, aussitôt qu'on le peut, au-dessus du couteau,l'
artère
entre les chairs par un aide et achever la sectio
cédé de Béclard (lambeaux antérieur et postérieur: pl. 89, fig. 1). L'
artère
comprimée au pli de l'aine, les bourses maintenue
e par une incision verticale sur le trajet des vaisseaux, pour lier l'
artère
sur un corps étranger, et fait ensuite relever en
ité d'un lit; le chirurgien est placé en arrière: la compression de l'
artère
fémorale est exercée, sur le pubis, par un aide.
s, dès que le couteau est assez descendu , faire saisir par un aide l'
artère
fémorale médiate-ment au milieu des chairs : enfi
rocédés de désarticulation coxo-fémorale. L'opération terminée, les
artères
à lier sont, en avant et en dedans du fémur, le t
bon résultat. Enfin reste la question de la ligature préalable de l'
artère
fémorale. Cette ligature, recommandée anciennemen
r le pubis et, dans les procédés qui le permettent, de faire pincer l'
artère
entre les chairs, derrière le couteau. On ne peut
99. z=. Moyens et procédés hémostatiques préventifs. Compression des
artères
en général, 100, 101. — Compression des artères
fs. Compression des artères en général, 100, 101. — Compression des
artères
en particulier, 101—104. —Procédés hémostatiques
es, ses procédés et ses instrumens, 105—109. — Moyens applicables aux
artères
d'un médiocre ou d'un petit volume, 108, 109. — H
on, résection, incision, excision, cautérisation, 153. Ligature des
artères
, 154—179. Généralités, 154—156. = Artères du me
tion, 153. Ligature des artères, 154—179. Généralités, 154—156. =
Artères
du membre abdominal. Pédieuse, 156. —Tibiale anté
ère, 159. —Poplitée, 159—161. — Fémorale, 161—164. — Fessière, 164. =
Artères
du membre thoracique. Radiale, 164, 165.—Cubitale
mérale, J66— 167. — Axillaire, 168, 170. — Sous-clavière, 170, 171. =
Artères
de la tête et du cou. Faciale, occipitale, 171. —
Carotide primitive, 173, 174. — Tronc brachio-céphalique, 174, 175. =
Artères
du tronc. Épigastrique, 175. — Iliaque externe, 1
pingles, ligature en masse, 195. — Section circulaire, ligature des
artères
, 196. — Cautérisation, déchirure et arrachement,
G. Tête de l'humérus dans sa capsule. 4° VAISSEAUX ET NERFS. 1.
Artère
carotide primitive. 2. Veine jugulaire interne.
ines thyroïdiennes inférieures. 6. Veine jugulaire antérieure. 7.
Artère
carotide externe. 8. Tronc veineux linguo-facia
inférieurs. 17. Vaisseaux faciaux. 18. Vaisseaux temporaux. 19.
Artère
sous-clavière. 20. Veine sous-clavière. FIGUR
ppe du sterno-mastoïdien. 5, 6. Saillie de la veine jugulaire et de l'
artère
carotide, appliquées sur la face antérieure de l'
nterne, vue dans toute sa hauteur jusqu'à sa sortie du crâne. 13.
Artère
carotide primitive. 14. Grand sympathique. 15
A. Aponévrose superficielle du périnée. 1. Branches cutanées de l'
artère
honteuse interne. 2. Veines cutanées correspond
l'anus. E. Bulbo-caverneux. F. Ischio-caverneux. 4. Tronc de l'
artère
honteuse interne. 5. Tronc de la veine honteuse
entre le col et l'insertion de l'uretère gauche. C. Ouraque. D.
Artère
ombilicale droite, recouverte par le péritoine.
nde prostate. b. Vésicule séminale. c. Rectum. d. Uretère. e.
Artère
ombilicale oblitérée. f. Canal déférent. g. A
Uretère. e. Artère ombilicale oblitérée. f. Canal déférent. g.
Artère
aorte. h. Veine cave inférieure. i,k. Artère
Canal déférent. g. Artère aorte. h. Veine cave inférieure. i,k.
Artère
et veine iliaques externes. 1. Artère hypogastriq
. Veine cave inférieure. i,k. Artère et veine iliaques externes. 1.
Artère
hypogastrique. m. Vaisseaux spermatiques. n, n.
erfs lombaires. 9.9. Branches postérieures des vaisseaux lombaires,
artères
et veines. B. Extrémité postérieure de la loge
ier supérieur (abducteur de la jambe ). 16. Nerfs fessiers. 17.
Artères
et veines fessières. 18. Vaiseaux ischiatiques.
s-hyoïdienne. A. Glande parotide. B. Glande sous-maxillaire. 1.
Artère
et veine sous-mentales, accompagnées de ganglions
et derrière son feuillet postérieur se voient en transparence : 3.
Artère
carotide primitive. 4. Veine jugulaire interne.
us-jacens. Le deltoïde est coupé avant ses attaches scapulaires. 8.
Artère
axillaire. 9. Veine axillaire, un peu airignée
s cutanées internes des second et troisième nerfs intercostaux. 14.
Artère
brachiale. 15. Veine humérale interne. 16. Ve
de petites loges spéciales dans l'épaisseur des aponévroses. 15.
Artères
et veines inguino-abdominales. F. Surface inter
e du premier adducteur. 23. 23. Vaisseaux de nutrition dégagés de l'
artère
fémorale. 24. Rameau nerveux du même muscle fou
n du muscle grand pectoral. Creux axillaire. 1. Nerf médian. 2.
Artère
axillaire. 3. Veine axillaire. Bras. C. Log
. Dans le triangle derrière ce muscle se voient les gros vaisseaux,
artère
carotide, veine jugulaire interne et le nerf gran
périeure de la loge du brachial antérieur. 1. Vaisseaux numéraux, l'
artère
, les deux veines et le nerf médian. 2. Vaisseau
s deux veines et le nerf médian. 2. Vaisseaux collatéraux externes,
artères
, veines, et le nerf radial. F. Loge du biceps e
aux sanguins. 2. 2. Filets nerveux fournis par le nerf crural. 3.
Artère
et veine fémorales vues en transparence sous le f
Insertions fémorales des jumeaux. M. Tendon du demi-membraneux. 1.
Artère
poplitée. 2. Veine poplitée. 3. 4. Vaisseaux
n. 12. Loge du vaste interne et du crural. B. Vaisseaux fémoraux.
Artères
, veines et nerf satellites. 16. Vaisseaux fémor
ponévrose d'enveloppe de la jambe. C. Vaisseaux tibiaux antérieurs.
Artère
, veines et nerf tibial antérieur. D; Vaisseaux
urs. Auprès est le nerf tibial de même nom. E. Vaisseaux péroniers.
Artère
et veines. F. Vaisseaux propres du soléaire, ar
eaux péroniers. Artère et veines. F. Vaisseaux propres du soléaire,
artère
, veines et nerf. G. Vaisseaux propres des jumea
a Fabrique de Mr. Charrière. Imp. Becquet, Paris. COMPRESSION DES
ARTÈRES
. ADULTE, DEMI-NATURE. Cette figure représente
ar des bandages, dans le cas d'hémorrhagie de l'une des branches de l'
artère
faciale, de la sous-orbitaire et de la frontale d
e ; au cou, par un compresseur de la carotide, et, sur le trajet de l'
artère
axillaire, par la pression des doigts. COMPRESS
giné plusieurs bandages, plus ou moins compliqués, pour comprimer les
artères
de la face ; les inconvéniens des nombreux tours
entées sur une même tête. (A) Petite compresse graduée comprimant X
artère
faciale à son passage sous le bord de l'os maxill
t et au-dessous de la mâchoire , en fixant la compresse graduée sur l'
artère
. (B) Compression, par une compresse graduée, de
l'aide duquel on pût opérer à volonté la compression permanente de l'
artère
carotide primitive. Celui que nous offrons rempli
lignes, refoule en dehors le sterno-mastoïdien, et vient comprimer l'
artère
carotide au devant des attaches des scalènes et d
u reste, comme dans la plupart des cas de compression permanente de l'
artère
carotide, surtout pour les congestions brusques d
L'AXILLAIRE. Dans les sujets fortement musclés, la compression de l'
artère
axillaire, entre la clavicule et le bord inférieu
u pelotte à manche, sont insuffisans pour empêcher les battemens de l'
artère
radiale: c'est ce motif qui nous a porté à figure
nt fabrique par M. Cbarrière Imp. Becquet, Paris. COMPRESSION DES
ARTÈRES
. ADULTE, DEMI-NATURE. Cette figure représente
ADULTE, DEMI-NATURE. Cette figure représente la compression de deux
artères
: à la face, la temporale; et, au cou , la sous-c
face, la temporale; et, au cou , la sous-clavière. COMPRESSION DE L'
ARTÈRE
TEMPORALE. Au lieu du bandage dit le nœud d'emb
s veines sous-cutanées, nous donnons le modèle de la compression de l'
artère
temporale par la petite pelotte de M. Charnière (
u-devant de l'oreille et au-dessus de l'arcade zygomatique comprime l'
artère
temporale , dans le lieu de sa bifurcation, pour
COMPRESSION DE L'ARTERE SOUS-CLAVIÈRE. Comme nous l'avons dit de l'
artère
carotide dans la planche précédente, jusqu'à ce j
nt possédé aucun instrument qui opérât la compression permanente de l'
artère
sous-clavière. Sans insister ici sur l'utilité tr
titude ou de l'impossibilité absolue que présente la compression de l'
artère
axillaire, nous proposons ici aux chirurgiens un
conditions qu'il remplit, arrête immédiatement la circulation dans l'
artère
sous-clavière chez les divers sujets, les plus fo
ême instrument peut servir pour la compression de l'une ou de l'autre
artère
sous-clavière. 2° Une seconde plaque d'acier (B
ppuyant sur la première côte , se trouve perpendiculaire à l'axe de l'
artère
, c'est-à-dire, oblique de haut en bas, un peu de
r N.H. Jacob. Instrument fabriqué parMr Charrière COMPRESSION DES
ARTÈRES
DU MEMBRE THORACIQUE. ADULTE, DEMI-NATURE. Ce
sins des compresseurs le plus généralement usités. COMPRESSION DE L'
ARTÈRE
HUMÉRALE, FIGURES I, 2 ET 3. Figure 1. Compress
DE L'ARTÈRE HUMÉRALE, FIGURES I, 2 ET 3. Figure 1. Compression de l'
artère
numérale, à sa partie moyenne, par le tourniquet
otte de pression, gouvernée par la vis de rappel, est appliquée sur l'
artère
. (Voyez, pour les détails de l'instrument, la des
trument, la description commune fig. 4.) Figure 2. Compression de T
artère
numérale, ci sa partie moyenne, par le garrot. Ce
bande de linge roulée très serrée, appliquée longi-tudinalement sur l'
artère
qu'elle comprime contre l'humérus. (b) est une
la plaque. Figure 3. (A) Compression cle la partie inférieure de l'
artère
/minérale, par un petit compresseur modifié par M
'est-à-dire qu'il se compose d'une seule pelotte (a), appliquée sur l'
artère
, la vis de pression (b), qui commande la plaque d
et souvent impossible de faire revenir en arrière. COMPRESSION DES
ARTÈRES
RADIALE ET CUBITALE, FIGURE 5. (B) Compression
ION DES ARTÈRES RADIALE ET CUBITALE, FIGURE 5. (B) Compression de l'
artère
radiale, au tiers inférieur de l'avant-bras, par
- cutanées. Le même instrument s'appliquerait à la compression de l'
artère
cubitale. (A) Exemple de compression, par le mê
emple de compression, par le même procédé, de la portion dorsale de l'
artère
radiale. DESCRIPTION DES COMPRESSEURS. igure
l.,et vfancke 21,fjg. 1, où il est appliqué pour la compression de l'
artère
fémorale à son origine). Figure 5. Compresseur
e 6. Petite pelotte de M. Charrière, imaginée pour la compression des
artères
de moyen calibre. (Voyez, pour son apposition, fi
les applications que nous en avons faites, planches 18 et 19 pour les
artères
de la tête, et planche 21 pour celles du pied). C
la Fabrique de Mr. Charrière Imp. Becquet, Paris. COMPRESSION DES
ARTÈRES
DU MEMBRE ABDOMINAL. ADULTE, DEMI-NATURE. FIG
MEMBRE ABDOMINAL. ADULTE, DEMI-NATURE. FIGURE 1. COMPRESSION DE L'
ARTÈRE
FÉMORALE. La cuisse est placée demi-fléchie sur
emi-fléchie sur un oreiller. La figure représente la compression de l'
artère
en deux points : à sa partie supérieure et à sa p
partie supérieure et à sa partie moyenne. COMPRESSION PUBIENNE. L'
artère
fémorale en ce point est représentée comprimée su
e. COMPRESSION FÉMORALE. DÉTATLS DU COMPRESSEUR DE DUPUYTREN. L'
artère
, à sa partie moyenne, est comprimée sur le corps
nducteurs (H) de la pelotte mobile (I) qui sert à la compression de l'
artère
. FIGURE Z. COMPRESSION DES ARTÈRES PÉDIEUSE ET
. 6). appuyant elle-même sur une petite compresse graduée, comprime l'
artère
tibiale postérieure dans l'espace moyen entre la
tendons extenseurs. La pelotte (M), de même configuration, comprime l'
artère
pédieusc sur le tarse, le long de l'extenseur du
Filet cutané du nerf cubital. 4° Vaisseaux profonds. Fig. 3. (10)
Artère
numérale : (11) Veines humerales satellites; (12)
même sujet nous représentons, à la tète, la saignée par section de l'
artère
temporale; au cou, la saignée de la veine jugul
e la veine céphalique par deux procédés. OPERATIONS. SAIGNÉE DE L'
ARTÈRE
TEMPORALE. La section de l'artère temporale est
dés. OPERATIONS. SAIGNÉE DE L'ARTÈRE TEMPORALE. La section de l'
artère
temporale est représentée ici sur deux points .
osition, on a fait une incision nette, en travers, sur le trajet de l'
artère
. La situation variable du vaisseau fait que l'on
e cadavre ; rien, au contraire, n'est plus facile sur le vivant, où l'
artère
est toujours sensible au toucher, et le plus souv
, nous proposons le procédé suivant : 2° (b) Incision du tronc de l'
artère
temporale sur Varcade zygomatique. La position
onc de l'artère temporale sur Varcade zygomatique. La position de l'
artère
en ce lieu est toujours facile à reconnaître, mêm
OPÉRATIONS AUXILIAIRES DE LA LIGATURE POUR OBTENIR L'OBLITÉRATION DES
ARTÈRES
COUPÉES EN TRAVERS. Figure 3. Action de saisi
ON DES ARTÈRES COUPÉES EN TRAVERS. Figure 3. Action de saisir une
artère
au milieu des chairs avec le ténaculum. L'instrum
ature, qui permet, dans une opération, de courir successivement d'une
artère
à l'autre sans perdre de temps. Figure 4. Ligat
une artère à l'autre sans perdre de temps. Figure 4. Ligature d'une
artère
sur un corps étranger. Figure 5. Refoulement d'
ure d'une artère sur un corps étranger. Figure 5. Refoulement d'une
artère
avec la pince à baguette de M. Amussat, le vaisse
et maintenu avec la pince ordinaire. Figure 6. Torsion simple de l'
artère
, maintenue entre les doigts de l'autre main. Fi
ant le procédé de M. Ainussat. Figure 8. Torsion simple des petites
artères
. Figure 1). Séton formé par une lanière d'un ti
Séton formé par une lanière d'un tissu animal passée au travers d'une
artère
, suivant le procédé de M. Horatio Jameson. Figu
dé de M. Horatio Jameson. Figure 10. Enlacement des extrémités de l'
artère
dans deux petites plaies au-dessus, en manière de
Saint-Louis pour la tumeur anévrismale développée sur le trajet de l'
artère
axillaire. Ce malade ayant succombé, l'ohservatio
tait au-dessus des ressources de l'art. A partir de l'aorte jusqu'à l'
artère
brachiale du côté droit, les troncs artériels for
s long-temps, la même affection se serait étendue à un grand nombre d'
artères
, et d'abord à celles du membre thoracique droit.
. G. Artère sous-clavière anévrismatique. On y voit l'origine des
artères
vertébrale et thyroïdienne inférieure, d'un volum
e basilique. M. Dilatation commençante de la partie supérieure de l'
artère
brachiale au-dessous du collet d'étranglement.
asilique dans le point où sa bifurcation accidentelle, embrassant l'
artère
, forme un collet d'étranglement. d. Veine numér
. 1. Tendon humerai du grand pectoral. FIGURE 2. ANÉVRISME DE L'
ARTÈRE
AXILLAIRE, (Cas observé par Pelletan — Musée Du
causée par l'obstacle à la circulation au travers de la tumeur, et l'
artère
brachiale étant saine au-dessous. ÉNUMÉRATION D
bridée par le muscle petit pectoral. B. Extrémité supérieure de l'
artère
axillaire s'ouvrant dans la tumeur. a. Veine ax
s la tumeur. a. Veine axillaire. b. Nerf du plexus brachial. C.
Artère
brachiale à sa sortie de la tumeur. c. Nerf méd
poche anévrismale. B. Artère poplitée. C. Orifice supérieur de l'
artère
poplitée (ouvrant dans la tumeur). D. Portion d
ieur de l'artère poplitée (ouvrant dans la tumeur). D. Portion de l'
artère
poplitée dégénérée en une substance pul- peuse,
arsemée de petites concrétions crétacées. E. Orifice inférieur de l'
artère
poplitée (à sa sortie de la tumeur). F. Continu
l'artère poplitée (à sa sortie de la tumeur). F. Continuation de l'
artère
poplitée. G. Artère tibiale antérieure. H. Ar
G. Artère tibiale antérieure. H. Artère tibiale postérieure. I.
Artère
péronière. K. Condyle externe du fémur (sa surf
ce qu'il offre une type, facilement applicable à toutes les autres
artères
, du procédé employé par la nature pour rétablir l
igamen- teux. 2. Extrémité supérieure oblitérée delà portion de l'
artère
poplitée qui entrait dans la tumeur. 3. Extré
ans la tumeur. 3. Extrémité inférieure oblitérée de la portion de l'
artère
qui sor- tait de la tumeur. 4, 4. Petites bra
ches articulaires moyennes naissant de la portion anévrismatique de l'
artère
, et qui sont également oblitérées. 5,5. Branche
t inférieures qui remplacent les articulaires moyennes. 6. Tronc de l'
artère
poplitée avant la naissance des branches collatér
r, par deux embouchures, dans le tronc tibio-péronier (14), et dans l'
artère
tibiale postérieure (15). 16. Artère tibiale po
tibio-péronier (14), et dans l'artère tibiale postérieure (15). 16.
Artère
tibiale postérieure. 17. Artère péronière. 18
ère tibiale postérieure (15). 16. Artère tibiale postérieure. 17.
Artère
péronière. 18. Artère tibiale antérieure. FIG
(15). 16. Artère tibiale postérieure. 17. Artère péronière. 18.
Artère
tibiale antérieure. FIGURE 5. ANÉVRISME DE L'
onière. 18. Artère tibiale antérieure. FIGURE 5. ANÉVRISME DE L'
ARTÈRE
CAROTIDE PRIMITIVE GAUCHE. LE DESSIN ET SON EXP
de l'aorte. B. Tronc brachio-céphalique, d'où naît dans ce sujet l'
artère
ca- rotide gauche anévrismatique. C. Carotide
non ouverte. H. Orifice de l'ulcération, ouvrant de la cavité de l'
artère
dans celle de la poche anévrismale. I. Ulcéra
DEMI-NATU RE. FIGURES 1 , 2, 3, 4. résultat de la ligature de l'
artère
iliaque externe. Le cas qui se trouve ici repré
é communiqués par M. Marx. La ligature pratiquée avait été celle de l'
artère
iliaque externe. La mort n'ayant eu lieu qu'après
irement les voies par lesquelles le cours du sang s'est effectué de l'
artère
iliaque primitive dans la fémorale. Deux artères
g s'est effectué de l'artère iliaque primitive dans la fémorale. Deux
artères
servent en haut de point de départ : l'hypogastri
vaisseaux. A. Artère fémorale oblitérée. L'oblitération comprend l'
artère
iliaque externe et le tronc de la fémorale jusq
squ'à la partie moyenne de la cuisse. B. Artère hypogasirique. C.
Artère
fessier e. On en voit naître quatre branches, a,
avers d'une échancrure des adducteurs ( fig. 1 ) et se divise en deux
artères
dont l'une (g) va se jeter dans la fémorale profo
ale profonde, et dont l'autre (h) rétablit, avec une branche (i) de l'
artère
profondeva circulation dans le tronc même de la f
l'obturatrice vient rejoindre l'origine de la fémorale profonde. D.
Artère
fémorale profonde formée par la jonction des bran
astomose de l'obturatrice (g) et forme avec la branche (h) de la même
artère
, par une autre branche ( i ), une artère qui réta
ec la branche (h) de la même artère, par une autre branche ( i ), une
artère
qui rétablit la circulation dans la fémorale H.
circonflexe interne et envoie elle-même une autr,e branche (n) dans l'
artère
poplitée. L. Artère circonflexe interne anastom
envoie elle-même une autr,e branche (n) dans l'artère poplitée. L.
Artère
circonflexe interne anastomosée avec l'ischiatiqu
anche ( o, fig. 4 ). FIGURES 5 et 6. résultat de la ligature de l'
artère
humérale. Ce fait tout récent provient de l'hôp
e médiane basilique. C. Veine basilique. Il est remarquable que l'
artère
et la veine piquées, au moment de la saignée, sur
int (a, fig. 5), un stylet, glissé dans le permis encore visible de l'
artère
, pénètre dans la poche anévrismale. Il est éviden
vrisme en haut et en dehors. D. Point où a eu lieu la ligature de l'
artère
humérale. La circulation était déjà rétablie dans
qu'une forte anastomose se formait, au-dessous de l'anévrisme,avec l'
artère
cubitale. E. Nerf médian. F. Nerf cubital.
ISSEAUX SANGUINS. DEMI-GRANDEUR. INSTRUMENTS POUR LA LIGATURE DES
ARTÈRES
COUPÉES EN TRAVERS. 1° pinces a ligatures simpl
nstrument ouvert; la figure (b) le montre, au contraire, en action. L'
artère
étant saisie d'une main, par la pression sur la p
ar un curseur, (a) Pince ouverte; (b) pince faisant la ligature d'une
artère
. 14. Pince de M. Lacauchic.—L'instrument est re
e M. Lacauchic.—L'instrument est représenté serrant la ligature d'une
artère
. Son mécanisme se compose d'une tige centrale mob
son action, la pince étant chargée d'une anse à ligature, on saisit l'
artère
; et, par le mouvement de la tige, les articulatio
idem. 26. Pince double à torsion et à refoulement. LIGATURES DES
ARTÈRES
NON LÉSÉES. 27. Sonde cannelée aigidllée.—Cet i
on bec, il peut suffire, à la rigueur, pour la ligature de toutes les
artères
. 28. Aiguille de Deschamps. (Modèle le plus usi
pirale. 30. Aiguille anglaise d'un usage très commode pour lier les
artères
d'un médiocre volume. 31. Aiguille de sir A. Co
Charrière. Imp. Becquet, Paris. TEMPS GÉNÉRAUX DE LA LIGATURE DES
ARTÈRES
. A DU LTE, DEMI - N AT 0 R E. DISPOSITION GÉNÉR
ons du chirurgien communes à toutes les opérations de la ligature des
artères
, sans distinction d'aucune en particulier. Ces te
'ouverture faite à la gaine vasculaire. FIGURE 5. Dénudation de l'
artère
sur le bord du vaisseau, du côté du chirurgien.
par la main gauche, qui n'a pas quitté la pince. b. Dénudation de l'
artère
par la sonde cannelée : on déchire longitu-dinale
ar de petits mouvemens de va-et-vient, le tissu cellulaire qui unit l'
artère
à sa gaine. Dans ce temps opératoire, le vaisseau
dessous, de la moitié de son diamètre. FIGURE 6. Dénudation de l'
artère
sur le bord du vaisseau opposé au chirurgien. a
gaine par la pince transportée de l'autre côté. b. Dénudation de l'
artère
par la sonde cannelée, de la manière indiquée plu
'agit de ne point blesser les parties voisines, veines ou nerfs, ni l'
artère
elle-même, en dessous, et que cette dernière doit
stylet aigidllé porte-jîL Ce temps n'est utile que dans le cas où l'
artère
a été soulevée par une sonde cannelée imperforée;
l'autre extrémité sur le bord opposé. FIGURE 8. Soulèvement de l'
artère
dans L'anse du fd. Cette action du chirurgien,
l, devant s'assurer, par une inspection circulaire du vaisseau, que l'
artère
seule est comprise dans l'anse du fil. FIGURE 9
6 Pl.35. Dessine d'après nature par N. H. Jacob LIGATURE DES
ARTÈRES
TIBIALE ANTÉRIEURE ET PÉDIEUSE. ADULTE, DEMI-NA
ure tournée en haut. L'aide de gauche doit être employé à comprimer l'
artère
fémorale, celui de droite faisant le service des
sente les détails anatomiques qui ont rapport aux deux ligatures de l'
artère
tibiale antérieure. OPERATIONS. LIGATURE DE L
gatures de l'artère tibiale antérieure. OPERATIONS. LIGATURE DE L'
ARTÈRE
TIBIALE ANTÉRIEURE. 1° (A et A2) Au tiers SUPÉR
aux antérieurs. 6. Nerftibial. 7. Veines tibiales satellites de l'
artère
. 8. Artère tibiale, sous laquelle est passée l'
s. 6. Nerftibial. 7. Veines tibiales satellites de l'artère. 8.
Artère
tibiale, sous laquelle est passée l'anse de l'aig
és en arrière. 6. Nerf tibial antérieur. 7. Veines tibiales. 8.
Artère
tibiale, soulevée par la sonde cannelée. (C) LI
. Artère tibiale, soulevée par la sonde cannelée. (C) LIGATURE DE L'
ARTÈRE
PÉDIEUSE. 1. Section de la peau. 2. Section d
en dehors. 4. Tendon du long extenseur propre du gros orteil. 5.
Artère
pédieuse, entre ses deux veines, et soulevée par
6 Pl.36. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. LIGATURE DES
ARTÈRES
TIBIALE POSTÉRIEURE ET PÉRONIÈRE ADULTE, DEMI-N
r, le pied étendu. Sur ce membre sont représentées les ligatures de l'
artère
tibiale postérieure, à trois hauteurs différentes
e chirurgicale des deux plaies supérieures. Figure 3. Ligature de l'
artère
péronière au milieu de la jambe droite, appuyée p
it l'aiguille de Deschamps ou le stylet aiguillé, est glissé sous l'
artère
. FIGURE 1. LIGATURES DE LA TIBIALE POSTÉRIEURE.
de l'aponévrose profonde de contention des tendons fléchisseurs. — 4.
Artère
tibiale postérieure, entre ses deux veines. 2°
. —3. Section de l'aponévrose profonde des muscles fléchisseurs. — 4.
Artère
tibiale postérieure, entre ses deux veines : sous
umeau interne. — 7. fig. 2. Nerf tibial postérieur. — 8. fig. 1 et 2.
Artère
tibiale postérieure , entre ses deux veines. Dans
eschamps, tenue par la main droite de l'opérateur, est engagée sous l'
artère
. Détails anatomiques supplémentaires des plaies
t l'autre sont vus en transparence sous l'aponévrose. LIGATURE DE L'
ARTÈRE
PÉRONIÈRE, FIGURE 3. 1. Section de la peau. — 2
se. — 4. Section des attaches péronières du fléchisseur sublime. — 5.
Artère
péronière, entre ses deux veines. Sous ce vaissea
6 Pl.37. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. LIGATURE DE L'
ARTÈRE
POPLITÉE. ADULTE, DEMI-NATURE. DISPOSITION GÉ
ÉRALE. Cette planche représente, sur deux figures, la ligature de l'
artère
poplitée par deux procédés différens. Le temps ch
l'instrument, aiguille à ligature ou sonde cannelée, est passé sous l'
artère
soulevée du fond de la plaie. OPÉRATIONS. FIG
cuisse, et en bas par les jumeaux. Deux instrumens sont placés sous l'
artère
, pour montrer la possibilité d'en faire la ligatu
té interne. 6. Veine saphène postérieure. 7. Veine poplitée. 8.
Artère
poplitée. 9. Aiguille anglaise, passée sous l'a
poplitée. 8. Artère poplitée. 9. Aiguille anglaise, passée sous l'
artère
à la partie supérieure de la plaie. 10. Sonde c
plaie. 10. Sonde cannelée, passée sous l'extrémité inférieure de l'
artère
, entre les jumeaux. FIGURE 2. LIGATURE DE L'ART
inférieure de l'artère, entre les jumeaux. FIGURE 2. LIGATURE DE L'
ARTÈRE
POPLITÉE ;B et B2). (Procédé de M. Marshal). Le
Veine poplitée. 8. Nerf sciatique poplité, écarté en arrière. 9.
Artère
poplitée, sur le muscle de même nom. 10. Aiguil
même nom. 10. Aiguille de Deschamps, dont l'anse est passée sous l'
artère
. Tome 6. Pl.38. Dessiné d'après nature par
rateur. L'aide de gauche comprime, avec le pouce de sa main gauche, l'
artère
fémorale sur le pubis ; la main, fuyante à gauche
ervice des instrumens et du pansement. Pour indiquer le trajet de l'
artère
, il suffit de tracer, parla pensée, une ligne pas
icateur delà main gauche, le bec de la sonde cannelée, glissée sous l'
artère
qu'elle amène au-dehors. A. Main droite de l'op
nterne du muscle couturier refouléen avant. — 7. Portion dénudée de l'
artère
fémorale, amenée sur la sonde cannelée en premier
ose. —10. Veine fémorale. —11. Nerf crural. — 12. Nerf satellite de l'
artère
. LIGATURE DE L'ARTÈRE FÉMORALE AU TIERS INFÉRIE
. —11. Nerf crural. — 12. Nerf satellite de l'artère. LIGATURE DE L'
ARTÈRE
FÉMORALE AU TIERS INFÉRIEUR DE LA CUISSE. L'opé
i porte le fil étant dégagé de la cannelure de la sonde qui soulève l'
artère
au dehors. On a négligé ici de représenter les ma
émoto-poplitée. — 11. Nerf crural. — 12. Filet nerveux satellite de l'
artère
. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. LIGAT
l'artère. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. LIGATURES DES
ARTÈRES
CUBITALE, RADIALE ET HUMÉRALE. ADULTE, DEMI-NAT
haut. L'aide de gauche comprime, avec les doigts de la main gauche, l'
artère
numérale sur la partie moyenne du corps de l'humé
grandes figures : Figure 1. Elle représente cinq opérations: 1° (A)
Artère
numérale, au pli du coude ; 2° Artère cubitale, d
résente cinq opérations: 1° (A) Artère numérale, au pli du coude ; 2°
Artère
cubitale, dans trois points ; (B) à la partie sup
naison sur les branches de bifurcation de son arcade palmaire; 3° (E)
Artère
radiale, à la partie inférieure de sa portion ant
t commune à cette planche et à celle qui suit (41) : Le trajet de l'
artère
humérale s'indique de lui-même sur la fig. 1 par
ensée, des doigts qui compriment au centre de la plaie (A). Celui des
artères
cubitale et radiale est ponctué, dans les interva
celui où la sonde ou le stylet cannelé et aiguillé est glissé sous l'
artère
, soulevée du fond de la plaie à sa surface. L
'artère, soulevée du fond de la plaie à sa surface. LIGATURE DE L'
ARTÈRE
HUMÉRALEj, au pli du coude. (A) Figure 2 et A
onévrose superficielle. — 3. Section de l'aponévrose bicipitale. — 4.
Artère
humérale, au-dessus de sa bifurcation. — Détails
es. — 9. Nerf médian. — 10. Tendon du biceps humerai. LIGATURE DE L'
ARTÈRE
CUBITALE. 1° Portion supérieure antibrachiale.
uscle fléchisseur sublime, déprimé en dehors. — 6. Nerf cubital. — 7.
Artère
cubitale, entre ses deux veines (8, 8). 2° Port
arpe. — 3. (C2) Section du feuillet aponévro-tique de revêtement de l'
artère
sur le ligament palmaire. — 4. (C2) Ligament ou a
gament palmaire. — 4. (C2) Ligament ou arcade fibreuse palmaire. — 5.
Artère
cubitale, entre ses deux veines (6, 6). — 7. Nerf
itale: 2, la branche d'anastomose avec la fin de la radiale, et, 3, l'
artère
collatérale externe de l'indicateur. LTGATURE D
ur. — 4. (E2) Tendon du fléchisseur sublime.—5. (E2) Nerf radial.— 6.
Artère
radiale, entre ses deux veines (7, 7). Portion
— 5. Attaches radiales du fléchisseur sublime. — 6. Nerf radial. — 7.
Artère
radiale, entre ses deux veines (8, 8). Tome 6
par N.H. Jacob. Im. Lemercier r de Seine 57 Paris LIGATURE DES
ARTÈRES
CUBITALE, RADIALE, ET HUMÉRALE. ADULTE, DEMI-NA
n haut. L'aide de gauche comprime, avec le pouce de la main gauche, l'
artère
sous-clavière à son passage sur la première côte.
: Figure 1. Elle représente quatre opérations de ligature : 1° (G)
Artère
hurnérale, au milieu du bras : à cette plaie se j
plaie se joint, pour l'anatomie chirurgicale, la figure (G2). 2° (F)
Artère
radiale, à la partie supérieure de l'avant-bras.
2). 2° (F) Artère radiale, à la partie supérieure de l'avant-bras. 3°
Artère
cubitale, dans deux points : (C) à sa partie infé
issance de l'arcade palmaire superficielle. Figure 2. Ligature de l'
artère
radiale sur la face dorsale de la main. Les pet
iter le numérotage. OPÉRATIONS. (G) Fig. 1, et (G2) LIGATURE DE L'
ARTÈRE
HUMÉRALE, au milieu du bras. Le muscle biceps
isseaux numéraux. — 4. Nerf médian.— 5. Veine hurnérale interne. — 6.
Artère
humérale, sur la sonde cannelée.— 7. (G2) Muscle
tion interne du triceps. (F et F2) Fig. 1, et Pl. 40. LIGATURE DE L'
ARTÈRE
RADIALE, a sa portion supérieure antibrachiale.
Muscle fléchisseur sublime. — 6. Nerf radial. Fig. I, et pl. 40. 7.
Artère
radiale, sur la sonde cannelée.— 8. Ses (C et C
a sonde cannelée.— 8. Ses (C et C2) Fig. 1, et Pl.40. LIGATURE DE L'
ARTÈRE
CUBITALE, a sa partie inférieure antibrachiale.
rté avec un crochet mousse.— 4. Tendon du fléchisseur sublime. — 5.
Artère
cubitale, sur la sonde cannelée. —6. Veines cubit
1. Section de la peau. — 2. Section de l'aponévrose palmaire. — 3.
Artère
cubitale, entre ses deux veines. Un fil est passé
bitale, entre ses deux veines. Un fil est passé dessous le tronc de l'
artère
dans le point où elle apparaît dans la paume de l
dorsale. 1. Section de la peau. — 2. Section de l'aponévrose. — 3.
Artère
radiale, entre ses deux veines. Tome 6. Pl.41
6. Pl.41. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. LIGATURE DES
ARTÈRES
HUMÉRALE, SOUSCLAVIÈRE ET CAROTIDE. ADULTE, DEM
DISPOSITION GENERALE. Figure 1. Elle représente la ligature de l'
artère
axillo-brachiale, ou plus exactement de la partie
de droite de l'opérateur comprime, avec le pouce de sa main gauche, l'
artère
sous-clavière à son passage sur la première côte,
ltoïde; sa main droite tient l'aiguille de Deschamps engagée sous l'
artère
. (Voyez, pour les détails anatomi-ques, pl. 43, f
fond des plaies. OPÉRATIONS. FIGURE 1. (A et A2) LIGATURE DE L'
ARTÈRE
HUMÉRALE, a son extrémité superieure. [Procèd
isseaux huméraux. — 6. Veine humérale interne. — 7. Nerf médian. — 8.
Artère
humérale, soulevée par l'anse de l'aiguille à lig
céphalique. — 6. Veine axillaire. — 7. Nerfs du plexus brachial. — 8.
Artère
axillaire, soulevée avec l'aiguille d'Astley Coop
e, soulevée avec l'aiguille d'Astley Cooper. C et C2) LIGATURE DE L'
ARTÈRE
CAROTIDE. Procédé de M. Sédillot. FIGURE 2.
TIDE. Procédé de M. Sédillot. FIGURE 2. (Bet B'2) LIGATURE DE L'
ARTÈRE
SOUS-CLAVIÈRE. ( Procédé de Chamberlayne. ) 1.
hors. — 5. Nerf pneumo-gastrique. ¦— 6. Veine jugulaire interne. — 7.
Artère
carotide, sur l'aiguille anglaise modifiée d'aprè
6 Pl.42. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. LIGATURE DES
ARTÈRES
SOUS-CLAVIÈRE ET AXILLAIRE. ADULTE, DEMI-NATURE
TION GÉNÉRALE. Figure 1. Elle représente deux ligatures, celles des
artères
sous-cla-vière et axillaire, par les incisions tr
e planche-ci 43. OPERATIONS. FIGURE 1. (A et A*) LIGATURES DE L'
ARTÈRE
SOUS CLAVIÈRE. (Procédé ordinaire.) La lèvre
plaie. — 6. Bord du scalène antérieur, en dedans duquel est située l'
artère
. — 7. Nerfs du plexus brachial qui limitent en
— 7. Nerfs du plexus brachial qui limitent en dehors le sillon de l'
artère
. — 8. Artère sous-clavière, engagée dans l'anse d
du plexus brachial qui limitent en dehors le sillon de l'artère. — 8.
Artère
sous-clavière, engagée dans l'anse de l'aiguille
gée dans l'anse de l'aiguille de Deschamps. (B et B2) LIGATURE DE L'
ARTÈRE
AXILLAIRE. (Procédé ordinaire.) 1. Section de
rurgien. — 4. Veine cépha-lique, au contour externe de la plaie. — 5.
Artère
acromio-thoracique, dont une branche, qui se rend
e de la plaie. — 6. Nerfs du plexus brachial, situés en dehors de l'
artère
principale. — 7. Veine axillaire. — 8. Artère a
situés en dehors de l'artère principale. — 7. Veine axillaire. — 8.
Artère
axillaire, engagée dans l'anse de l'aiguille de D
FIGURE 2. DÉTAILS ANATOMIQUES Communs aux différentes ligatures des
artères
axillaire et sous-clavière. [Pl. 42, fig. 1 et 2
— 13. Anse nerveuse du grand hypoglosse , couchée en diagonale sur l'
artère
carotide. — 14. Artère carotide primitive. — 15.
grand hypoglosse , couchée en diagonale sur l'artère carotide. — 14.
Artère
carotide primitive. — 15. Tendon médian du scapul
erf inusculo-cutané. — 13. Nerf cubital. — 14. Veine axillaire. — 15.
Artère
axillaire. Tome 6 Pl.43. Dessiné d'après na
6 Pl.43. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. LIGATURE DES
ARTÈRES
CAROTIDE EXTERNE, LINGUALE, OCCIPITALE ET TEMPO
lement déjeté en haut et en arrière. 5. Nerf grand hypoglosse. 6.
Artère
carotide externe sous laquelle est passée une aig
uille à ligature. B et B2. LIGATURE DE L ARTÈRE OCCIPITALE. Cette
artère
est prise dans sa portion transversale sur les at
nius. 3. Nerf sous-occipital. ht. Veine occipitale profonde. 5.
Artère
occipitale sous laquelle est passé un stylet aigu
3. Nerfs temporaux superficiels. h. Veine temporale satellite de l'
artère
. 5. Artère temporale sous laquelle est passé un
poraux superficiels. h. Veine temporale satellite de l'artère. 5.
Artère
temporale sous laquelle est passé un fil à ligatu
sous laquelle est passé un fil à ligature. FIGURE 2. LIGATURE DE L'
ARTÈRE
LINGUALE. 1. Section de la peau et du peaucier.
du muscle hypoglosse. 3. Nerf hypoglosse. ht. Veine linguale. 5.
Artère
linguale sous laquelle est passé un stylet aiguil
6 Pl.44. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. LIGATURE DES
ARTÈRES
CAROTIDE SOUS-CLAVIÈRE ET AXILLAIRE ADULTE, DEM
DISPOSITION GÉNÉRALE. Figure 1. Elle représente la ligature de l'
artère
carotide à la partie moyenne du cou, et celle de
gature de l'artère carotide à la partie moyenne du cou, et celle de l'
artère
faciale à son passage sous Tangle de l'os maxilla
iculaires, pl. 43, fig. 2). OPÉRATIONS. FIGURE \. LIGATURE DE L'
ARTÈRE
CAROTIDE PRIMITIVE, (A et A2). Le temps choisi
nde cannelée, courbe et à œillet, garnie d'un fil, est glissée sous l'
artère
, qu'elle amène du fond de la plaie à la surface.
muscle sterno-mastoïdien.— 4. Bord externe du thyro-hyoïdien. — 5.
Artère
carotide, sur la sonde cannelée. LIGATURE DE L'
ïdien. — 5. Artère carotide, sur la sonde cannelée. LIGATURE DE L'
ARTÈRE
FACIALE. (B et B2). Cette artère est prise sous
la sonde cannelée. LIGATURE DE L'ARTÈRE FACIALE. (B et B2). Cette
artère
est prise sous le corps de la mâchoire, au-devant
au-devant de l'attache du masse ter. Ce procédé, outre qu'il prend l'
artère
plus près de son origine, ne donne lieu qu'à une
tion de la peau. — 2. Section du peaucier. — 3. Veine faciale. — 4.
Artère
faciale, sous laquelle est passée la ligature.
le, sous laquelle est passée la ligature. FIGURE 2. LIGATURE DE L'
ARTÈRE
SOUS-CLAVIÈRE (C et C2), (entre les scalènes).
scapulo-hyoïdien.— 7. Muscle scalène antérieur, placé en dedans de l'
artère
. — 8. Nerfs du plexus brachial, situés en dehors
ère. — 8. Nerfs du plexus brachial, situés en dehors deTar-tère. — 9.
Artère
sous-clavière, dans le moment de l'opération où T
cannelée, munie d'un fil qui glisse sous levais-seau. LIGATURE DE L'
ARTÈRE
AXILLAIRE. (D et D2). (Procédé de Desault). C
e incision, une ligature peut être placée très haut et très bas sur l'
artère
axillaire, au-dessous de la clavicule et près de
ire, au-dessous de la clavicule et près de l'aisselle, le milieu de l'
artère
étant également à nu. Cette opération, comme le p
sac anévrismal intermédiaire, se ménage la faculté de pouvoir lier l'
artère
au-dessus et au-dessous. 1. Section de la peau.
. Nerf cubital, aperçu dans l'enfoncement. — 8. Veine axillaire. — 9.
Artère
acromio-tboracique.— 10. Artère thoracique longue
foncement. — 8. Veine axillaire. — 9. Artère acromio-tboracique.— 10.
Artère
thoracique longue.— 11. Artère axillaire, portant
. — 9. Artère acromio-tboracique.— 10. Artère thoracique longue.— 11.
Artère
axillaire, portant trois ligatures : 1° supérieur
naissent, un fil est passé au-dessous de l'origine de chacune de ces
artères
, pour montrer la possibilité de les lier en cas d
de la sous-clavière, sous laquelle est passé un fil à ligature. 9.
Artère
vertébrale, amenée du fond de la plaie par un fil
menée du fond de la plaie par un fil à ligature qui l'embrasse. 10.
Artère
thyroïdienne inférieure. 11. Artère mammaire in
ligature qui l'embrasse. 10. Artère thyroïdienne inférieure. 11.
Artère
mammaire interne. 12. Artère cervicale transver
Artère thyroïdienne inférieure. 11. Artère mammaire interne. 12.
Artère
cervicale transverse. Chacune de ces trois artè
re interne. 12. Artère cervicale transverse. Chacune de ces trois
artères
est embrassée par un fil à ligature. FIGURE 2 (
Jacob direxit. Dessiné d'après nature par Léveillé LIGATURE DES
ARTÈRES
FÉMORALE ET ILIAQUE EXTERNE. ADULTE, DEMI-NATUR
ÉRALE. Cette planche représente, sur deux figures, la ligature de l'
artère
fémorale à sa naissance, au-dessous de l'arcade c
émorale à sa naissance, au-dessous de l'arcade crurale, et celle de l'
artère
iliacpie externe. La position du malade est la mê
cuisse légèrement fléchie. OPERATIONS. FIGURE \. LIGATURE DE L'
ARTÈRE
FÉMORALE, (A et A2). 1. Section de la peau. 2
int. 3. Ganglions lymphatiques, écartés du trajet du bistouri. 4.
Artère
tégumenteuse, coupée en travers, que l'on a liée
artie supérieure. 6. Veine fémorale. 7. Section de la gaîne sur l'
artère
. 8. Artère fémorale, sur l'aiguille anglaise mo
ure. 6. Veine fémorale. 7. Section de la gaîne sur l'artère. 8.
Artère
fémorale, sur l'aiguille anglaise modifiée d'aprè
aise modifiée d'après celle de Deschamps. FIGURE 2. LIGATURE DE L'
ARTÈRE
ILIAQUE EXTERNE, (B et B'1). (Procédé de M. Norma
seaux iliaques externes, renfermés dans leur gaîne. 7. Origine de l'
artère
épigastrique, sous laquelle est passé un fil, pou
cident. 8. Veine iliaque externe. 9. Filet nerveux satellite de l'
artère
, qu'il faut prendre garde de comprendre dans la l
rtère, qu'il faut prendre garde de comprendre dans la ligature. 10.
Artère
iliaque externe, isolée de sa gaîne et embrassée
d'après nature par N.H. Jacob. TOME VE PLANCHE 48. LIGATURE DES
ARTÈRES
ILIAQUE PRIMITIVE, EXTERNE ET INTERNE. ADULTE,
ment au tronc; la plaie représente Je moment du passage du fil sous l'
artère
iliaque primitive ; deux autres fils, passés sous
iaque primitive ; deux autres fils, passés sous les origines des deux
artères
iliaques externe et interne, montrent qu'elles pe
ue, sous laquelle se voient les branches des nerfs lombaires, 10.
Artère
iliaque interne, sous laquelle est passé un fil à
ère iliaque interne, sous laquelle est passé un fil à ligature. 11.
Artère
iliaque externe, sous laquelle est passé un fil à
uelle est passé un fil à ligature. 12. Veine iliaque externe. 13.
Artère
iliaque primitive, embrassée dans l'anse de l'aig
e l'aiguille est prête à être retirée de la plaie, en glissant sous l'
artère
le fil à ligature. 15. Filet nerveux satellite,
nt maintenu par la main gauche d'un aide qui comprime en même temps l'
artère
numérale, l'opération est supposée au moment de s
le vient d'être terminée. Un aide comprime avec le médius droit (A) l'
artère
sous-clavière , et, avec les doigts de l'autre ma
émité inférieure du bras. Un aide comprime avec le pouce gauche, I, l'
artère
sous-clavière sur la première côte; un second mai
a cuisse des deux mains , dont la droite (a) comprime en même temps l'
artère
fémorale, la gauche (b) soutenant le jarret en de
tale, en dessous du fragment ré- séqué. 9,10. Fils à ligature des
artères
thoraciques et intercostales. FIGURE 2. RÉSEC
oplate qui surmonte la fosse sous-épineuse. 12. Fils à ligature des
artères
scapulaires supérieure et posté- rieure. FIGU
des ptérygoïdiens (o). Entre ces muscles, on a pu lier le tronc de l'
artère
maxillaire interne, qui empêche l'hémorrhagie de
ément commun à tous, le tissu cellulaire fibreux. Ainsi, un nerf, une
artère
, un muscle, un os, etc., pour faire partie d'une
musculaires en tissu fibreux, pour faire corps avec le derme. 6.
Artère
poplitée. 7. Veine poplitée. 8. Nerf sciatiqu
opération précédente. La plaie n'offre point de fils à ligature , les
artères
inter-osseuses ou digitales, les seules coupées,
erminée. Le chirurgien, de sa main droite (d), tient avec une pince l'
artère
radiale, dont un aide fait la ligature avec le po
n terminée au moment oit le chirurgien vient de faire la ligature des
artères
principales, c , Main d'un aide qui supporte le m
n d'un aide qui supporte le moignon, d, Les trois fils à ligature des
artères
radiale, cubitale et interosseuse antérieure, ras
ction du tendon du triceps. i, Main droite d'un aide qui comprime l'
artère
numérale, k, Main gauche du chirurgien qui mainti
u triceps brachial. a, Main d'un aide qui opère la compression de l'
artère
brachiale. b, Main gauche du chirurgien qui mai
Section des chairs. d, Main d'un aide qui fait la compression de l'
artère
brachiale. e , Autre main du même aide qui sout
tion précédente, au moment où l'on vient de pratiquer la ligature des
artères
. Le dessin fait voir la forme conique de la cavit
soutient le membre et fronce les chairs en bas. 1,1, Ligatures des
artères
humérale et collatérale externe du bras et des br
u lambeau antérieur. a, Main d'un aide qui fait la compression de l'
artère
humérale. b, Main gauche du chirurgien qui soul
térieur de la même opération. d, Main gauche d'un aide comprimant l'
artère
humérale. e, Autre main du même aide qui mainti
l'amputation précédente, au moment où l'on praticpie la ligature de l'
artère
humérale. FIGURE 4. amputation a lambeaux de
m, Pelote tenue par la main d'un aide qui opère la compression de l'
artère
sous-clavière sur la première côte, n, Autre main
omio-coracoïdienne. a, Main d'un aide qui opère la compression de l'
artère
sous-cla- vière sur la première côte. b, Main
du membre. a , Main droite d'un aide qui comprime avec une pelote l'
artère
sous-clavière sur la première côte. b, Main de
en dehors en face de l'articulation. e, Pelote de compression de l'
artère
contenue par un aide , comme dans la figure 1.
on et la clavicule. a. Main d'un aide qui comprime avec le médius l'
artère
sous- clavière à son passage sur la première cô
aule. Le lambeau postérieur est constitué par le deltoïde. g, h, i.
Artères
liées : (g), la brachiale à sa naissance; (h), la
pération précédente. a. Main d'un aide qui comprime avec le pouce l'
artère
sous- clavière. b. Main gauche du chirurgien
aie de l'opération précédente, à. Cavité.'glénoïde. e. Branche de l'
artère
circonflexe postérieure. f. Artère axillaire à
ité.'glénoïde. e. Branche de l'artère circonflexe postérieure. f.
Artère
axillaire à sa partie inférieure, dont le chirurg
on de l'opération précédente au moment où on pratique la ligature des
artères
. g, Petit lambeau dorsal. h, Vaste lambeau pl
l'astragale et de l'apophyse du cal-canéum. 1, Lambeau plantaire, m,
Artères
plantaires externe et interne dont il faudra prat
emble les chairs et la peau de recouvrement. m, Fils à ligature des
artères
tibiale antérieure (o), tibiale postérieure (p),
térieur. g, Lambeau interne et postérieur. h, Fils à ligature des
artères
tibiale antérieure (i), tibiale postérieure et
eau postérieur destiné à recouvrir la plaie. t, Fils à ligature des
artères
tibiale antérieure, tibiale postérieure et péroni
ètre en plein dans l'articulation. a. Main d'un aide qui comprime l'
artère
fémorale sur le pubis à l'arcade crurale. Un au
our tailler le lambeau postérieur. a. Main d'un aide qui comprime l'
artère
fémorale sur le pubis. b. Main gauche du chirur
h. Main droite qui saisit avec une pince l'extrémité coupée de l'
artère
tibiale antérieure pour en faire la ligature. i
biale antérieure pour en faire la ligature. i. Extrémité coupée des
artères
tibiale postérieure et péronière, dont la ligat
ection des chairs autour du fémur. d. Main d'un aide qui comprime l'
artère
fémorale sur le pubis. La compression, dans cet
efoulent en bas les muscles et le contour de la peau. Extrémité des
artères
dont la ligature est effectuée. 1. La fémorale, m
le lambeau interne. a. Main d'un aide qui comprime avec le pouce l'
artère
fémorale, à sa naissance , sur le pubis. b. M
sente à l'opérateur. f. Lambeau externe. g. Lambeau interne. h.
Artère
fémorale liée. i. Artère musculaire antérieure,
ambeau externe. g. Lambeau interne. h. Artère fémorale liée. i.
Artère
musculaire antérieure, k. Artère musculaire exter
rne. h. Artère fémorale liée. i. Artère musculaire antérieure, k.
Artère
musculaire externe. 1. Artère perforante saisie
i. Artère musculaire antérieure, k. Artère musculaire externe. 1.
Artère
perforante saisie par une pince pour en faire la
lambeau maintenu par trois points de suture. f. Fils à ligature des
artères
fémorales superficielle et profonde, fessière et
incision longitudinale (g) étant faite sur le trajet des vaisseaux, l'
artère
et la veine fémorales (h) ont été liées préalable
biceps et demi-tendineux. m, n, o. Fils à ligature des principales
artères
: (m) la fémorale superficielle ; (n) la fémorale
le segment interne. d. Main droite d'un aide qui comprime encore l'
artère
fémorale sur le pubis pour empêcher l'écoulemen
ale sur le pubis pour empêcher l'écoulement du sang par les petites
artères
, les troncs principaux n'étant liés qu'à l'extrém
uche du même aide qui maintient le lambeau supé- rieur relevé. f.
Artères
fémorales, superficielle et profonde, dont la lig
lambeau externe de dedans en dehors, et fait de suite la ligature des
artères
fessière et ischiatique, le chirurgien,rentrant d
re, laissé sur le membre dans l'écartement des deux incisions. c.
Artère
ischiatique liée. d. Lambeau interne. e. Artè
x incisions. c. Artère ischiatique liée. d. Lambeau interne. e.
Artères
fémorales, superficielle et profonde, liées après
DE DELPECH, A UN LAMREAU INTERNE. (Membre droit.) La ligature de l'
artère
fémorale étant faite préalablement, le fil (a) re
a cavité coty-loïde. Sur la section se voient les orifices coupés des
artères
fémorale (i), fémorale profonde et eirconflexe ex
e.) Le chirurgien est placé en dedans du membre. — La ligature de l'
artère
fémorale étant faite comme dans l'opération précé
mées, laissées pendantes , oblitèrent provisoirement les orifices des
artères
fémorale et fémorale profonde. Cette disposition
du sang, après les sections terminées, va de suite à la recherche des
artères
qui fournissent un jet et les oblitère successive
e chaque coté parles doigts d'un aide, pour faciliter la ligature des
artères
. Au-dessus de la cavité cotyloïde se développe le
é de l'étude de la distribution des vaisseaux. — Aperçu extérieur des
artères
cérébrales. Messieurs, J'espère avoir été ass
t plus particulièrement dans le cerveau, c'est le système vasculaire (
artères
, veines, capillaires) qui domine la situation J
céphale. — C,G, carotides internes.— GA, cérébrale antérieure. —S, S,
Artères
deSylvius. — V, V, vertébrales. — B, tronc basila
. — GP, CP, cérébrales postérieu-res. — 1,2, 3, 3, 4, 4, groupes des-
artères
nourricières. — La ligne ponctuée ---circonscrit
premiers centimètres de ces divers troncs artériels que naissent les
artères
nourricières des ganglions centraux : corps strié
ères des ganglions centraux : corps striés et couches optiques. Ces
artères
nourricières forment six groupes principaux : L
llis, et l'entourant complètement, limiterait la région d'origine des
artères
ganglionnaires. On décrirait ainsi un cercle gang
tions des deux hémis-phères cérébraux) sont irriguées par les grosses
artères
que nous avons vu former les angles et les côtés
ser en détail la distribution de chacune des quatre branches de cette
artère
importante et de décrire exactement leurs territo
urs territoires vasculaires. Telle est la distribution générale des
artères
qui se rendent sur les faces interne, externe et
rir à des coupes. Ainsi, sur une coupe pratiquée dans le domaine de l'
artère
sylvienne, la circulation des noyaux gris paraît
lle du cerveau. Sommaire. — Travaux de M. Duret et de M. Heubner. —
Artères
principales du cerveau. — Système des artères cor
ret et de M. Heubner. — Artères principales du cerveau. — Système des
artères
corticales; — vaisseaux nourriciers. — Système de
ystème des artères corticales; — vaisseaux nourriciers. — Système des
artères
centrales ou des ganglions centraux. Artère syl
riciers. — Système des artères centrales ou des ganglions centraux.
Artère
sylvienne ; ses branches : artères des noyaux gri
trales ou des ganglions centraux. Artère sylvienne ; ses branches :
artères
des noyaux gris centraux ; — bran-ches corticales
centraux ; — bran-ches corticales, ramifications et arborisations ; —
artères
nourricières de la pulpe encéphalique : elles son
— artères nourricières de la pulpe encéphalique : elles sont longues (
artères
médullaires) ou courtes (ar-tères corticales).
tes (ar-tères corticales). Effets de l'oblitération de ces diverses
artères
. — Ramollissements superfi-ciels, plaques jaunes.
les territoires vagculaires : opinion de Heubner ; opinion de Duret. —
Artères
terminales (Cohnheim). Autonomie relative des t
orce. Branches de la sylvienne : frontale externe et inférieure ; —
artère
de la circonvolution frontale ascendante ; — artè
et inférieure ; — artère de la circonvolution frontale ascendante ; —
artère
de la circonvolution pariétale ascendante ; — art
e ascendante ; — artère de la circonvolution pariétale ascendante ; —
artère
du pli courbe ; — artères cérébrale antérieure et
e la circonvolution pariétale ascendante ; — artère du pli courbe ; —
artères
cérébrale antérieure et cé-rébrale postérieure :
, dans un ouvrage récent qui traite de l'altéra-tion syphilitique des
artères
cérébrales (1), M. Heubner émet la prétention d'a
ation des hémorrhagies et des ramollissements cérébraux. moyenne ou
artère
sylvienne, issues l'une et l'autre de la caro-tid
laire, provenant elle-même de la confluence en un seul tronc des deux
artères
vertébrales. A. Chacune de ces artères, dans ch
ce en un seul tronc des deux artères vertébrales. A. Chacune de ces
artères
, dans chaque hémisphère, règne pour ainsi dire, s
départements secondaires, correspondant à la distribution d'autant d'
artères
secondaires, émanant des troncs principaux. B.
vue d'ensemble et entrons de suite dans le détail. Chacune des trois
artères
principales donne naissance à deux système; très
isseaux qui entrent dans sa constitution partent de chacune des trois
artères
principales, tout près de leur origine, et s'enfo
ar-tère sylvienne, la plus importante et la plus compliquée des trois
artères
cérébrales. L'histoire des deux autres s'en trou-
des deux autres s'en trou-vera ensuite aisément simplifiée. II. L'
artère
sylvienne pénètre dans la scissure de Sylvius don
ans une région qu'on appelle V espace per foré antérieur, une série d'
artères
qui s'insinuent parallèlement les unes aux autres
e perforé lequel est formé par delà substance blanche. Ce sont là les
artères
des noyaux gris centraux ou, d'une façon plus spé
s artères des noyaux gris centraux ou, d'une façon plus spéciale, les
artères
du corps strié. Nous laisserons de côté, pour l'i
e la scissure de Sylvius, se voit l'insula de Reil au niveau duquel l'
artère
sylvienne se divise en quatre branches qui mérite
ution de Vartère sylvienne (Figure demi-schématique.) — S, tronc de l'
artère
sylvienne qui pénètre dans la scissure de Sylvius
. — P, branches perfo-rantes destinées aux noyaux gris centraux. — 1,
artère
de la circonvolution de Broca, ou frontale extern
e la circonvolution de Broca, ou frontale externe et inférieure. — 2,
artère
frontale ascendante. —3, artère pariétale ascenda
frontale externe et inférieure. — 2, artère frontale ascendante. —3,
artère
pariétale ascendant*5.—4 et 5, artères pariéto-sp
artère frontale ascendante. —3, artère pariétale ascendant*5.—4 et 5,
artères
pariéto-sphénoïdale et sphénoïdale. F1, F2, F3,
tion, et nous allons examiner plus à fond le mode sui-vant lequel les
artères
corticales se divisent et se ramifient dans l'épa
té de la face interne de cette mem-brane, elles donnent naissance aux
artères
nourricières de la pulpe encéphalique, lesquels p
antérieur) alors qu'ils ont encore les dimensions et la structure des
artères
. Le moment est venu d'observer déplus près, sur
s d'être examinées au microscope, les particu-larités relatives à ces
artères
nourricières. Sur des coupes d'ensemble d'une c
ion à sa voisine. Comment, sur de pareilles coupes, se comportent lès
artères
? On y distingue aisément deux sortes d'artères n
es, se comportent lès artères ? On y distingue aisément deux sortes d'
artères
nour-ricières, ainsi que-l'ont reconnu, du reste,
longtemps plusieurs auteurs et en particulier Todd et Bowmann. De ces
artères
, les unes sont longues, les autres sont courtes.
ères, les unes sont longues, les autres sont courtes. Fig. 10. — V,
artère
principale. — B, arborisation primitive. — GC, ar
, arborisation primitive. — GC, arbori-sations secondaires. — 1,1, 1,
artères
médullaires. — 2, 2, artères corticales. —¦ 3, ré
C, arbori-sations secondaires. — 1,1, 1, artères médullaires. — 2, 2,
artères
corticales. —¦ 3, réseaux des artères corticales
1, artères médullaires. — 2, 2, artères corticales. —¦ 3, réseaux des
artères
corticales dans la pulpe cérébrale (1). 1° Les
réseaux des artères corticales dans la pulpe cérébrale (1). 1° Les
artères
longues ou autrement dit médullaires se détachent
istribuent sur les deux versants ou dans le sillon de séparation. Les
artères
du sommet sont verticales ; l'une d'elles occupe
d'elles occupe en général la partie médiane de la circonvolution; les
artères
du versant sont obliques ; celles qui occupent le
i occupent le fond des sillons se montrent de nouveau verticales. Ces
artères
pénètrent dans le centre ovale jusqu'à une profon
les s'approchent, par leur terminaison, de l'extrémité du système des
artères
centrales, mais qu'il ne s'établit aucune communi
ège de certains ramollissements lacunaires séniles centraux. 2° Les
artères
nourricières courtes ou corticales ont la même or
moins loin et se ter-minent dans l'épaisseur de la couche grise. Ces
artères
courtes donnent naissance à des vaisseaux capilla
des vaisseaux capillaires qui, conjointe-ment à ceux qui émanent des
artères
longues, forment les mailles d'un réseau. Dans
sont plus larges encore et allongées verticalement. Fig. 11. —1, 1,
Artères
médullaires. — 1' Groupe d'artères médullaires du
s verticalement. Fig. 11. —1, 1, Artères médullaires. — 1' Groupe d'
artères
médullaires du sillon situé entre deux circonvolu
médullaires du sillon situé entre deux circonvolutions voisines.— 1"
Artères
des fibres commis-surales de Gratiolet. — 2, 2, 2
sines.— 1" Artères des fibres commis-surales de Gratiolet. — 2, 2, 2,
Artères
corticales ou de la substance grise. a, Réseau
aires puisque les vaisseaux qu'elles reçoivent dérivent également des
artères
qui rampent dans la pie-mère. Ceux-ci sont-ils ob
ment épargnées si l'obli-tération siégeait au-dessus de l'origine des
artères
du corps strié. Chahgot. Œuvres Complètes, t. i
vérité, où une telle oblitération portant soit sur une bran-che de Y
artère
sylvienne, soit sur le tronc de cette artère, — j
it sur une bran-che de Y artère sylvienne, soit sur le tronc de cette
artère
, — je prends ici la sylvienne pour exemple, mais
t, ce qu'elles nous apprennent: On place une ligature sur les trois
artères
principales de la base de l'encéphale, des deux c
n côté, s'était livré à un certain nombre d'injections partielles des
artères
encéphaliques, avait conclu dans le même sens que
s encéphaliques, avait conclu dans le même sens que M. Du-ret. Si les
artères
de l'encéphale, a-t-il dit, ne sont pas abso-lume
i les artères de l'encéphale, a-t-il dit, ne sont pas abso-lument des
artères
finales ou terminales, — nous allons dire ce que
t — elles se rapprochent considérablement de ce type. Sous le nom d'
artères
terminales ou finales [Endarte-rien), M. Conheim
finales [Endarte-rien), M. Conheim (T) catégorise ingénieusement les
artères
ou les artérioles qui, dans leur trajet,depuis le
fournissent ou ne reçoivent aucun rameau anas-tomotique. Un exemple d'
artères
terminales, commode pour l'étude, est fourni par
ssins schématiques les conséquences diverses d'une oblitération d'une
artère
terminale. Ils se produisent d'une manière fatale
celles-ci peuvent être oblitérées à leur tour, et il s'ensuit qu'une
artère
qui, dans les conditions normales, n'est point un
suit qu'une artère qui, dans les conditions normales, n'est point une
artère
terminale, le devient accidentellement. La circ
La circulation de l'encéphale fournit un grand nombre d'exemples d'
artères
terminales. Ainsi, sans compter les rami- (1) U
ficalions qui existent dans la pie-mère, nous pouvons signa-ler les
artères
nourricières. Nous verrons encore que le système
-ler les artères nourricières. Nous verrons encore que le système des
artères
des ganglions centraux est construit tout entier
ère circonvolution occipitale. — o, sulcus occipitalis transversus.
Artères
. — 1° La ligne (...) circonscrit la distribution
uche de la figure, limite la distribution de l'ar-tère sylvienne, —I.
Artère
frontale externe et inférieure. — II. Artère pa-r
l'ar-tère sylvienne, —I. Artère frontale externe et inférieure. — II.
Artère
pa-riétale antérieure. — III. Artère pariétale po
ale externe et inférieure. — II. Artère pa-riétale antérieure. — III.
Artère
pariétale postérieure. — IV. Artère pariétale sph
ère pa-riétale antérieure. — III. Artère pariétale postérieure. — IV.
Artère
pariétale sphénoïdale ; 3° La ligue (.—.—.—.), du
us importe, par conséquent, de bien connaître chacune des principales
artères
émanées de la sylvienne et d'examiner de plus prè
distribution dans les circonvolutions fondamentales de la région. L'
artère
sylvienne se partage en quatre branches principal
nom de fron-tale externe et inférieure. C'est, à proprement parler, l'
artère
de la troisième circonvolution frontale (circonvo
calisation cérébrale (1). La deuxième branche de la sylvienne est Y
artère
pariétale antérieure de Duret; j'aimerais mieux l
st Y artère pariétale antérieure de Duret; j'aimerais mieux l'appeler
artère
de la circonvolution frontale ascendante. [Fig. 9
on frontale ascendante. [Fig. 9,2 elFig. 12,11). La troisième est Y
artère
pariétale postérieure qui serait (1) Nous avons
se.—S, S, scissure de Sy'vin« —T insula mieux nommée, suivant nous,
artère
de la circonvolution pariétale ascendante.(Fig 9,
is). — T 8, gyrus occipito-tcmporalis-medialis (lobulus lingualis). —
Artères
. — 1° Les régions circonscrites par la ligne (...
scrites par la ligne (...) représentent le champ de distribution de l'
artère
cérébrale an-térieure. — II. Artères frontales in
ent le champ de distribution de l'artère cérébrale an-térieure. — II.
Artères
frontales interne et antérieure. — II. Artères fr
ale an-térieure. — II. Artères frontales interne et antérieure. — II.
Artères
fronta-les, interne et postérieure. — 2° Les régi
postérieure. — II. Ar-tère temporale postérieure. — lit (inférieur).
Artère
occipitale. primée. La circonvolution frontale
a caudicantia. — KK, pediculi cerebri. — G, genou du corps calleux.
Artères
. — La ligne (.....) circonscrit la distribution d
gne (.....) circonscrit la distribution de la cérébrale antérieure {
Artères
frontales internes et inférieures). La ligne (.—.
—.—.—) circons-crit la distribution de la cérébrale postérieure. — 1,
artère
temporale anté-rieure. — II, artère temporale pos
de la cérébrale postérieure. — 1, artère temporale anté-rieure. — II,
artère
temporale postérieure. — III, artère occipitale.
ère temporale anté-rieure. — II, artère temporale postérieure. — III,
artère
occipitale. nés —cette intégrité est mentionnée
Après les développements dans lesquels je suis entré au su-jet de l'
artère
sylvienne, je crois devoir être bref dans l'ex-po
ection par rapporta la carotide in terne {Fig. 12, 16 et 17,) Cette
artère
fournit trois branches principales : la première
n plus communs que ceux des lobes antérieurs. Le terri-toire de cette
artère
se partage en trois départements secon-daires rép
rtère se partage en trois départements secon-daires répondant à trois
artères
de second ordre : La, première de ces artères se
aires répondant à trois artères de second ordre : La, première de ces
artères
se rend à la circonvolution du crochet ; la deuxi
nce des systèmes artériels cortical et central. — Analogies entre les
artères
de la protubérance, du bulbe et des ganglions cen
nière main, à la description anatomo-médicale du système cortical des
artères
du cerveau. Aujourd'hui, je me propose d'appeler
, au voisinage immédiat de leur origine dans le cercle de Willis. Les
artères
qui for-ment ce système sont, en général, des vai
les d'un millimètre et demi à un demi-millimètn de diamètre, pour les
artères
du corps strié, d'après M. Du-ret. Leur mode d'
e, est assez juste; mais il ne faut pas la pousser trop loin, car les
artères
du système central, dès leur point de départ, se
rpendiculaire nous remet en mémoire ce que nous avons vu à propos des
artères
nourricières de l'é-corce de l'encéphale. Toutefo
, il convient de ne pas oublier qu'il existe une différence entre les
artères
nourricières corti-cales et les artères des noyau
iste une différence entre les artères nourricières corti-cales et les
artères
des noyaux gris centraux : les premières, en effe
ue, selon l'acception donnée à ce mot par M. Colinheim, ce sont des
artères
terminales par excellence. Si une discugwsvîi pu
laires de l'écorce, il n'en est plu* ftp môme pour ce qui regarde les
artères
centrales. Celles-ci soxt tOflfc à fait indépenda
ointe du trocart est émoussée, injecter une à une chacune des petites
artères
qui se rendent aux di-verses parties du corps str
convient d'ajouter que, dans aucune circons-tance, par cette voie des
artères
centrales, on ne fait pénétrer Vinjection dans le
artères centrales, on ne fait pénétrer Vinjection dans le domaine des
artères
corticales. La réciproque, je le rappelle, est ég
e, c'est-à-dire qu'aucune injection, poussée dans Tune quelconque des
artères
du système cortical, ne se répand- dans le domain
ue des artères du système cortical, ne se répand- dans le domaine des
artères
centrales. Il n'est peut-être pas sans intérêt
le bulbe. Dans la protubérance, la ressemblance est frappante, les
artères
médianes naissent à angle droit de l'artère basil
lance est frappante, les artères médianes naissent à angle droit de l'
artère
basilaire qui est un tronc volumineux, et elles p
ocalisations. 6 s'anastomoser, reproduisant de la sorte le type des
artères
terminales. Dans le bulbe, la même disposition
le est, en quelque sorte, atténuée par une modification spéciale. Les
artères
médianes du bulbe ne naissent pas directement des
es médianes du bulbe ne naissent pas directement des gros troncs de l'
artère
vertébrale; elles prennent leur origine dans les
s troncs de l'artère vertébrale; elles prennent leur origine dans les
artères
spinales. Il est possible déjà, si je ne me tro
me trompe, de trouver, dans ce mode d'origine et de distribution des
artères
de la protu-bérance et des ganglions centraux, un
e vous l'ai annoncé, les hémorrhagies sont comparativement rares, les
artères
, ne s'introduisent dans la pulpe qu'après avoir f
ement les différences que j'ai à vous signaler en ce qui concerne les
artères
cen-trales. 1° Le chemin du cœur aux gros gangl
1° Le chemin du cœur aux gros ganglions de la base est rès court. Les
artères
qui se rendent à ses ganglions émanent en qn3lqu3
i se rendent à ses ganglions émanent en qn3lqu3 sorte directement des
artères
du "erele de Willis, c'est-à-dire d'artères de tr
qu3 sorte directement des artères du "erele de Willis, c'est-à-dire d'
artères
de troisième ordre, en partant du cœur. C'est là
i par la différence considérable de calibre. 2° Mises en regard des
artères
corticales, les artères cen-trales sont volumineu
idérable de calibre. 2° Mises en regard des artères corticales, les
artères
cen-trales sont volumineuses, je fais allusion su
es artères cen-trales sont volumineuses, je fais allusion surfout aux
artères
du corps strié puisqu'elles ont un diamètre d'u
ablement, c'est, ici encore de même que pour le système cortical, les
artères
sylviennes qui jouent le rôle prépondérant. Ces a
cortical, les artères sylviennes qui jouent le rôle prépondérant. Ces
artères
donnent toutes les branches qui se rendent au noy
noyau lenticulaire. Nous prendrons en conséquence les branches de l'
artère
sylvienne pour type de nos descriptions. Il nous
positions que nous venons d'étu-dier. HUITIÈME ET NEUVIÈME LEÇONS
Artères
centrales. — Lésions isolées des noyaux gris So
entrales — Participation, dans des proportions variables, des grandes
artères
du cer-veau, à la constitution de ce système. — D
tères du cer-veau, à la constitution de ce système. — Description des
artères
striées : artères striées internes ; — artères st
à la constitution de ce système. — Description des artères striées :
artères
striées internes ; — artères striées externes ; (
ème. — Description des artères striées : artères striées internes ; —
artères
striées externes ; (lcnticulo-striées ; —lcn-ticu
tères striées externes ; (lcnticulo-striées ; —lcn-ticulo-optiques).—
Artères
terminales. Conséquences de l'oblitération des
-optiques).— Artères terminales. Conséquences de l'oblitération des
artères
centrales émanant de la syl-vienne.— Ramollisseme
); — 2° par l'expérimentation. I. Messieurs, Les trois grandes,
artères
du cerveau prennent part, vous ne l'avez pas oubl
elles y prennent une part inégale, a) Ainsi, c'est de beaucoup à Y
artère
sylvienne que revient la prédominance. Elle fourn
x, faite à un centimè-tre en arrière du chiasma des nerfs optiques. —
Artères
du corps strié. — Ch, chiasma des nerfs optiques
ue en arrière avec la couche optique. Territoires vascalaires. — I,
artère
cérébrale antérieure ; II, artère sylvienne ; — I
ue. Territoires vascalaires. — I, artère cérébrale antérieure ; II,
artère
sylvienne ; — III, artère cérébrale postérieure.
res. — I, artère cérébrale antérieure ; II, artère sylvienne ; — III,
artère
cérébrale postérieure. — I, artère carotide inter
re ; II, artère sylvienne ; — III, artère cérébrale postérieure. — I,
artère
carotide interne ; —2, artère sylvienne ;— 3, art
III, artère cérébrale postérieure. — I, artère carotide interne ; —2,
artère
sylvienne ;— 3, artère cérébrale antérieure; — 4,
ostérieure. — I, artère carotide interne ; —2, artère sylvienne ;— 3,
artère
cérébrale antérieure; — 4, 4, artères externes du
rne ; —2, artère sylvienne ;— 3, artère cérébrale antérieure; — 4, 4,
artères
externes du corps strié (lenticulo-striées) ; —5,
— 4, 4, artères externes du corps strié (lenticulo-striées) ; —5, 5,
artères
internes du corps strié (artères lenti-culaires).
s strié (lenticulo-striées) ; —5, 5, artères internes du corps strié (
artères
lenti-culaires). Les artères lenticulo-striées ne
—5, 5, artères internes du corps strié (artères lenti-culaires). Les
artères
lenticulo-striées ne sont pas représentées ici. (
érieure, son rôle est plus im-portant et assez caractéristique. Cette
artère
dont la distribu- Fig. 21. — Coupe verticale et
isième ventricule;— A, corne d'Ammon. Territoires vasculaires. — I,
artère
cérébrale antérieure; — II, artère syl-vienne ; —
n. Territoires vasculaires. — I, artère cérébrale antérieure; — II,
artère
syl-vienne ; —III, artère cérébrale postérieure.
es. — I, artère cérébrale antérieure; — II, artère syl-vienne ; —III,
artère
cérébrale postérieure. tion est très étendue, p
le la compré-hension de tous ces détails. Seule, la description des
artères
striées nécessite quelques développements. Quand
èvement les notions qu'il est essentiel de connaître relativement aux
artères
centrales issues soit de la cérébrale antérieure,
rébrale postérieure. Emanées du bord supérieur de la sylvienne, les
artères
striées pénètrent dans les trous de l'espace perf
coupes transversales qu'il faut suivre la distribution ultérieure des
artères
striées. Une première coupe, pratiquée en arriè
eure. On retrouve sur cette coupe, dans leur trajet plus profond, les
artères
que nous avions tout à l'heure sous les yeux. En
attenantes de la capsule interne. D'un intérêt plus grand sont les
artères
striées externes, celles qui, dans la première pa
remier groupe est antérieur et les ar-tères qui le composent sont les
artères
lenticulo-striées ; le second groupe est postérie
les artères lenticulo-striées ; le second groupe est postérieur ; les
artères
qui le constituent sont les artères lenticulo-opt
econd groupe est postérieur ; les artères qui le constituent sont les
artères
lenticulo-optiques. L'une des artères du groupe
s qui le constituent sont les artères lenticulo-optiques. L'une des
artères
du groupe antérieur est surtout importante à caus
phalique : on serait, en quelque sorte, autorisé à lui imposer le nom
artère
de l'hémorrhagie céré-brale. Après avoir pénétré
oyau, en se diri-geant d'arrière en avant. La distribution de cette
artère
striée, ainsi que celle des ar-tères lenticulo-st
en avant de celle qui a jusqu'ici servi à notre démons-tration. Les
artères
lenticulo-optiques sont disposées sur le même mod
lles se répandent. Je vous rappellerai, Messieurs, qu'il s'agit là ^
artères
ter-ninales, et que, si les injections sont pouss
rête plus minutieusement. Toutefois, je ne veux m'occuper ici que des
artères
qu'elle en-voie à la couche optique. Ces artère
ccuper ici que des artères qu'elle en-voie à la couche optique. Ces
artères
sont de deux ordres : 1° Vartère optique posté-ri
masses ganglionnaires centrales. A. — a) Le système tout entier des
artères
centrales, éma-nant de la sylvienne, peut être ob
re ou peu s'en faut, — les districts répondant à la distri-bution des
artères
cérébrales antérieures et des artères opti-ques p
épondant à la distri-bution des artères cérébrales antérieures et des
artères
opti-ques postérieures étant seuls épargnés. C'es
ment affecte toute ou presque toute l'éten-due soit du territoire des
artères
lenticulo-striées, soit du terri-toire des artère
du territoire des artères lenticulo-striées, soit du terri-toire des
artères
lenticulo-optiques. Nous verrons, en effet, que l
-ci est, vous le savez, fréquente, prédominante dans ces régions; les
artères
striées sont, en effet, très sujettes à la forme
liaires. On extrait communément, d'un foyer hémorrhagique récent, une
artère
striée ou optique dont les prolongements portent
noyau eau-dé, et qui appartient, comme vous le savez, au domaine de l'
artère
lenticulo-striée, la paralysie portera exclusivem
ieure du noyau caudé. Si, au contraire, ayant envahi le domaine des
artères
lenti-culo-optiques, la lésion porte sur le tiers
rtie antérieure de la capsule interne. (Hémiplégies.) — Rupture d'e l'
artère
lenticulo-striée. — G, noyau caudé du corps strié
postérieure de la capsule interne. (Hémianesthésies). — Rupture de l'
artère
lenticulo-optique. — 0, couche optique. —I, capsu
u aux deux tiers antérieurs de ce corps, c'est-à-dire au domaine de l'
artère
lenticulo-striée. En conséquence, la partie antér
que. Ces hémorrhagies se développent en conséquence de larapture de l'
artère
optique externe antérieure ou lenticulo-optique.
ns ce cas, d'une compression produite sur les points indiqués par les
artères
cérébrale antérieure et communicante posté-rieure
ésultant par exemple de l'oblitération d'une branche volumineuse de l'
artère
sylvienne (voir la Fig. 37), ces lé-sions-là, dis
très habituelle des descriptions. circonvolutions desservies par l'
artère
sylvienne, et en parti-culier les circonvolutions
ficile à comprendre. A cette même région appartiennent, en effet, les
artères
nourricières, dont les lésions préparent en quelq
idés par les importants travaux de M. Duret, les disposi- tions des
artères
nourricières des masses centrales, vous rele-vez
ant à la structure et à leur calibre, des capil-laires, mais bien des
artères
véritables . La disposition que présentent les
git d'une coupe faite un peu en avant du chiasma. Là, se voit une des
artères
striées les plus volumineuses et les plus impor-
tres artérioles sont disposées à peu près d'après le même plan. Ces
artères
sont des artères terminales, c'est-à-dire qu'elle
ont disposées à peu près d'après le même plan. Ces artères sont des
artères
terminales, c'est-à-dire qu'elles ne communiquent
-à-dire qu'elles ne communiquent pas entre elles, nonplus qu'avec les
artères
corticales. Une injection poussée un peu fort les
évrysmes miliaires. Lorsque l'hémorrhagie se fait aux dépens de ces
artères
ainsi altérées, — et ce cas est très fréquent, —
é de l'étude de la distribution des vaisseaux. — Aperçu extérieur des
artères
cérébrales. M CINQUIÈME ET SIXIÈME LEÇONS, Ci
lle du cerveau. Sommaire. — Travaux de M. Durel et de M. Heubner. —
Artères
principales du cerveau. — Système des artères cor
rel et de M. Heubner. — Artères principales du cerveau. — Système des
artères
corticales; — vaisseaux nourriciers. — Système de
ystème des artères corticales; — vaisseaux nourriciers. — Système des
artères
centrales ou des ganglions centraux. Artère syl
riciers. — Système des artères centrales ou des ganglions centraux.
Artère
sylvienne: ses branches : artères des noyaux gris
ntrales ou des ganglions centraux. Artère sylvienne: ses branches :
artères
des noyaux gris centraux; — bran-ches corticales,
centraux; — bran-ches corticales, ramifications et arborisations ; —
artères
nourricières de la pulpe encéphalique : elles son
— artères nourricières de la pulpe encéphalique : elles sont longues (
artères
médullaires) ou courtes (ar-tères corticales).
tes (ar-tères corticales). Effets de l'oblitération de ces diverses
artères
. — Ramollissements superfi-ciels, plaques jaunes.
e les territoires vasculaires . opinion dcHeubner; opinion de Duret. —
Artères
terminales (Gohnheim). Autonomie relative des t
orce. Branches de la sylvienne : frontale externe et inférieure ; —
artère
de la circonvolution frontale ascendante ; — artè
et inférieure ; — artère de la circonvolution frontale ascendante ; —
artère
de la circonvolution pariétale ascendante ; — art
e ascendante ; — artère de la circonvolution pariétale ascendante ; —
artère
du pli courbe ; — artères cérébrale antérieure et
e la circonvolution pariétale ascendante ; — artère du pli courbe ; —
artères
cérébrale antérieure et cé-rébrale postérieure :
périphériques; sa fréquence dans les parties centrales. Origine des
artères
du système central. —Artères terminales ; leurs c
ans les parties centrales. Origine des artères du système central. —
Artères
terminales ; leurs carac-tères.— Indépendance des
nce des systèmes artériels cortical et central. — Analogies entre les
artères
de la protubérance, du bulbe et des ganglions cen
; faisceaux rayonnants).......... 78 HUITIÈME ET NEUVIÈME LEÇONS.
Artères
centrales. — Lésions isolées des noyaux gris. S
ntrales. — Participation, dans des proportions variables, des grandes
artères
du cer-veau, à la constitution de ce système. — D
tères du cer-veau, à la constitution de ce système. — Description des
artères
striées artères striées internes ; — artères stri
u, à la constitution de ce système. — Description des artères striées
artères
striées internes ; — artères striées externes ; (
stème. — Description des artères striées artères striées internes ; —
artères
striées externes ; (lenticulo-striées : — len-tic
res striées externes ; (lenticulo-striées : — len-ticulo-optiques). —
Artères
terminales. Conséquences de l'oblitération des
optiques). — Artères terminales. Conséquences de l'oblitération des
artères
centrales émanant de la syl-vienne.— Ramollisseme
taltiques, 342. — Indé-pendance des —, musculaire et cu-tanée, 344.
Artères
du cerveau, 49 ; — de la base de l'encéphale, 50
t longues, 63 ; — terminales, 67, 299 ; — Anatomie descriptive de ces
artères
corticales, 70, 76 ; — Anatomie descriptive des a
iptive de ces artères corticales, 70, 76 ; — Anatomie descriptive des
artères
centrales, ou ganglionnaires, 80, 81, 82,83, 92,
le, 79 : — sa rareté relative dans les parties pé-riphériques, 79 ; —
Artères
de 1'—, 96 ; — Siège, mode de formation et extens
a pro-fondeur du lobule, les ramifications bronchiques et celles de l'
artère
pulmonaire. Imitant les auteurs, j'ai comparé p
nt composé, au moins par un rameau bronchique et par une branche de l'
artère
pulmonaire, lesquels sont accollés l'un à l'autre
e foie par Kiernan. La relation constante qui unit dans ces espaces l'
artère
pulmonaire et la bronchiole est un fait qui mérit
Schéma montrant les principaux traits de l'anatomie des poumons, —x,
artère
pulmonaire. — y, bronche avec ses rameaux. — m, t
nfin, que ces derniers vaisseaux ne se réunissent aux bronches et aux
artères
pulmonaires 1 Heale. — Physiolog. Anit, ofthe L
le centre du lobule est occupé par une bronchiole accompagnée de son
artère
sa-tellite, branche de l'artère pulmonaire, et ce
par une bronchiole accompagnée de son artère sa-tellite, branche de l'
artère
pulmonaire, et ces deux canaux sont enveloppés pa
e la veine porte, à des vaisseaux lymphatiques et à des branches de l'
artère
hépatique. — Dans le poumon, ce sont surtout des
mités de celui-ci. Nous fai-sons abstraction du rameau satellite de l'
artère
pulmonaire et de ses divisions intra-lobulaires a
tion à la cire. Enfant nouveau-né. —H, Bron-chiole. — V, branche de l'
artère
pul-monaire. — K, K, conduits alvéolai-res. — A,
rinifères, tantôt dans le voisinage d'un glomérule, tantôt près d'une
artère
. Tubes contournés (A, A.). — Au premier abord, qu
eur structure de modifications bien profondes, les parois des grosses
artères
en particu-lier paraissent saines. Quant aux gl
épandus dans tout Fig. 32. — Coupe d'un nodule péribronchique. — A,
artère
. — B, bronche contenant du pus et dont l'épithéli
y a de lapéribronchite, quelquefois de la dilatation des bronches. L'
artère
qui accompagne la bronchiole est saine et ne s'
n jeu dans la pneumonie fibrineuse lobaire; ce réseau, émanation de l'
artère
pulmonaire, fournit des rameaux à la plèvre, ains
opos de la plèvre, tenir compte non seulement des vaisseaux issus des
artères
bronchiques et des veines pulmonaires, mais aussi
ronchiques et des veines pulmonaires, mais aussi de ces branches de l'
artère
pulmonaire qui établissent une relation vasculair
de la formation du tubercule. — (D'après un dessin île M. Charcot). L'
artère
est à peine oblitérée. On voit que la tunique muq
pithélioïdes. —? j, magma de pus (?) ; granulations graisseuses. — D,
artère
. — N, N, alvéoles. de guérison, avec des modes
duits, comme les cellules d'une prison sur le corridor central. Les
artères
suivent les ramifications bronchiques, et on pour
s suivent les ramifications bronchiques, et on pourrait les appeler :
artères
lobaires, lobulaires, acineuses, infundibulaires
obulaires, acineuses, infundibulaires ou alvéolaires. On sait que l'
artère
pulmonaire qui accompagne la bronche dans le lobu
l'artère pulmonaire qui accompagne la bronche dans le lobule est une
artère
terminale (Cohnheim), c'est à-dire qu'elle n'a pa
hnheim), c'est à-dire qu'elle n'a pas d'anastomoses directes avec les
artères
des lo-bules voisins. Il en est de même de la bro
des lo-bules voisins. Il en est de même de la bronche lobulaire. L'
artère
lobulaire pénètre dans le lobule en suivant la di
a-lobulaire est formé essentiellement d'une bronche accompagnée d'une
artère
; une gangue de tissu conjonctif les unit, et dan
ante du lobule est la périphérie; on y trouve les canaux biliaires, l'
artère
hépatique et la veine porte ; tandis que le centr
e, qui contient les parties importantes, c'est-à-dire la bronche et l'
artère
. Dans toute la partie du trajet des divisions b
le lobule, celles-ci sont en rapport plus ou moins immédiat avec les
artères
bronchiques, l'artère pulmonaire et la veine pulm
ont en rapport plus ou moins immédiat avec les artères bronchiques, l'
artère
pulmonaire et la veine pulmonaire, et tous ces co
grands espaces péri-bronchiques se dissocient. En effet, tandis que l'
artère
bronchique et l'artère pulmonaire pénètrent accol
nchiques se dissocient. En effet, tandis que l'artère bronchique et l'
artère
pulmonaire pénètrent accolées à la bronche, dans
ui ont résisté à la néoplasie, c'est-à-dire les fibres élastiques des
artères
de calibre, des travées alvéolaires. Mais ces élé
inus, dont il ne reste d'abord que des débris et bientôt plus rien. L'
artère
satellite, oblitérée par les végétations de l'end
du tissu con-jonctif qui accompagnent les divisions des bronches, les
artères
pulmonaires et les veines pulmonaires réunies, ju
e centrale également fibreuse, mais où se dessinent les vestiges de l'
artère
, de la bronche et aussi des parois al- véolaire
pes transversales de lobules pulmonai-res.— B. B', bronches. — E, E',
Artères
. — D' D" D"' D"" cellules géantes. —C, C, zone ca
mes, atteintes de cancer utérin, l'oblitéra-tion absolue de l'une des
artères
sylviennes par un caillot fibri-neux, a produit l
ratifiées. Il se prolongeait dans les ramifications prin-cipales de l'
artère
; au delà et en deçà, la lumière des vais-seaux é
ore chez un sujet atteint de cancer utérin, Xoblitération de lune des
artères
fémorales par un thrombus a produit une paralysie
stence d'un thrombus qui occupait l'extrémité inférieure de l'une des
artères
humerales et se prolongeait à une certaine distan
merales et se prolongeait à une certaine distance, dans la cavité des
artères
cubitale et radiale correspondantes. Les cavité
ayant pu donner lieu à une embolie. D'un autre côté, les tuniques des
artères
oblitérées parles caillots étaient tout à fait sa
cylindres ramifiés. On remonte, par la disection, jusqu'au tronc de l'
artère
pulmonaire, qui est elle-même remplie par une con
leurs est lisse et offre sa coloration habituelle ; elles sont dans l'
artère
pulmonaire et dans ses branches principales, ento
ncrétion se divise par en haut en deux parties : l'une pénètre dans l'
artère
pulmonaire, l'autre passe en-tre les valvules tri
s veines caves inférieure et supérieure. Au moment de pénétrer dans l'
artère
pulmonaire, la branche an-térieure de la concréti
même, et se retrouvait jusque dans ses ramifications très-ténues de l'
artère
pulmonaire. Dans le ventricule droit, comme dan
t complètement sain; il en était de même de la membrane in-terne de l'
artère
pulmonaire. En portant sous le microscope une g
caves supérieure et inférieure, la ju-gulaire interne, la fémorale, l'
artère
pulmonaire jusque dans ses ramifications les plus
riés de l'ataxie, nous ferons cependant une remarque à ce sujet : les
artères
humérale et axillaire du membre contracture ont é
e conséquence de la formation, pen-dant la vie, d'un caillot dans les
artères
, on a observé, en pareil cas, des douleurs vives,
athéromateuses, elle n'est nullement dilatée. Le ventricule droit, l'
artère
pulmonaire, les deux oreillettes sont complètemen
de l'aorte, pouvait être suivi à droite et dans toute l'étendue de l'
artère
axillaire et numérale, mais, à mesure qu'il s'élo
it aux parois vascu-laires qui ne présentaient aucune altération. Les
artères
corres-pondantes du côté gauche ne contenaient pa
t en proie à une vive anxiété. La peau n'est pas chaude. Le pouls des
artères
radiales est complètement insensible. La main app
ie inférieure du pou-mon persiste et s'étend. 4. Les battements des
artères
humerales elles-mêmes ne sont plus perceptibles.
ume considérable. Il pèse 960 gr., avec les caillots et l'origine des
artères
. L'augmentation de volume paraît appartenir exc
e des deux ventricules, et en versant de l'eau dans l'aorte et dans l'
artère
pulmonaire, on constate que les val-vules sigmoïd
L'endocarde du ventricule et de l'oreil-lette est sain. Valvules de l'
artère
pulmonaire normales. La valve antérieure de la va
e à la pression du doigt, sans crépitation appréciable. Le tronc de l'
artère
pulmonaire et les premières branches de chaque cô
s canaux sont ramifiés et nous ont semblé ap-partenir au système de l'
artère
pulmonaire. La malière qui les emplit et les dist
ncré-tions fîbrino-purulentes siégeant dans plusieurs ramuscules de l'
artère
pulmonaire. Les résultats de la nécroscopie ont
ait plus sur le trajet de l'aorte. Sur le trajet de l'aorte, dans les
artères
du cou, on n'entendait plus qu'un bruit de souffl
les débris moins ténus se sont arrêtés dans plusieurs ramuscules de l'
artère
pulmonaire où on les are-trouvés, lors de la nécr
ur la mort subite et la mort rapide, à la suite de l'obtu-ration de l'
artère
pulmonaire, par des caillots san-guins, dans les
oblitérante en gé-néral L'oblitération plus ou moins complète de l'
artère
pulmonaire par des concrétions sanguines a été de
ir, l'existence de caillots san-guins dans les troncs principaux de l'
artère
pulmonaire, et la mort subite ou plus ou moins ra
t incriminé. Quelques auteurs1, ayant remarqué que l'obtura-tion de l'
artère
pulmonaire se rencontre assez fréquemment chez de
s à titre de cause principale, lorsqu'il s'agit d'un vaisseau comme l'
artère
pulmonaire, situé très près du cœur et soumis, en
rquer que, chez la plupart des sujets oùla coagulation du sang dans l'
artère
pulmonaire ne dépend pas d'une lésion du parenchy
cause. Or, dans tous ces cas, suivant M. Virchow, l'obstruction de l'
artère
pulmonaire serait une conséquence de l'oblitérati
ation, traverseraient les cavités du cœur droit, pénétreraient dans l'
artère
aussi loin que le permettrait leur volume et vien
lques points de l'his-toire clinique des obturations fîbrineuses de l'
artère
pul-monaire, considérées principalement dans leur
gmatia alba dolens post-puerpérale.— Mort ra-pide. — Obstruction de l'
artère
pulmonaire par des caillots san-guins. La nommé
t porta le diagnostic suivant : obturation des troncs principaux de l'
artère
pulmonaire par des caillots détachés des concréti
eure et dans l'oreillette droite, et qui, par en haut, pénètre dans l'
artère
pulmonaire. A mesure qu'il s'élève dans le tronc
e dans l'artère pulmonaire. A mesure qu'il s'élève dans le tronc de Y
artère
pulmonaire, ce caillot augmente rapidement de vol
tôt. Ce coagulum ramifié qui obture ainsi dans sa presque totalité l'
artère
pulmonaire, pré-sente dans la plus grande partie
ères sont très marqués, en particulier dans les branches droites de l'
artère
pulmonaire, au moment où elles pénètrent dans le
coagulum volu-mineux, au point de distendre fortement les parois de l'
artère
dans laquelle il est comme enclavé, placé à cheva
s les points oh il est de formation ancienne, le caillot qui obture l'
artère
pulmonaire n'est adhérent aux parois du vaisseau.
t abondants dans les parties ramollies du caillot. Le coagulum de l'
artère
pulmonaire, examiné dans les points où, décoloré,
nnoncer qu'on trouverait, à l'autopsie, les branches principales de l'
artère
pulmonaire obli-térées par des coagulums fibrineu
e de l'accouchement: elle a été la conséquence de l'oblitération de l'
artère
pulmonaire par des concrétions fîbrineuses, sans
ots qui peuvent être suivis jusque dans les plus petits ra-meaux de l'
artère
pulmonaire où ils adhéraient. Dans l'analyse qu
il publié en Allemagne, par le docteur Hecker, Sur l'obtura-tion de l'
artère
pulmonaire, comme cause des morts subites après l
complètement leur lumière. On cessa alors les sections pour ouvrir l'
artère
pulmonaire dans toute sa longueur; les deux branc
iliaque commune. Cœur normal. Pou-mon un peu œdémateux. Le tronc de l'
artère
pulmonaire est bouché par un thrombus qui s'étend
rt survient au bout de quelques minutes. Autopsie. Poumons sains. L'
artère
pulmonaire dont les parois sont seulement imbibée
on Atlas d anatomie pathologique , sous ce litre : Inflamma-tion de l'
artère
pulmonaire, suite de phlébite. Il est, entre autr
s moins compactes, adhérents, mais évidemment de date plus récente. L'
artère
pulmonaire, disséquée avec soin, offre une concré
adhérente aux parois, concrétion qui va se divisant à la manière de l'
artère
, et pénètre jusque dans un certain nombre de rami
veineuse a été l'origine et le point de départ de l'oblitération de l'
artère
pulmonaire, on sera naturellement porté à penser
doutables sur lesquels nous appelons l'attention. L'oblitération de l'
artère
pulmonaire par des caillots fibrineux, sans altér
ns son intéressant mémoire sur les morts subites par obstruction de l'
artère
pulmonaire, M. le docteur Baron rap-porte, d'aprè
éral très épaissies, et le tissu cellulaire ambiant très con-densé; l'
artère
pulmonaire était également remplie par des caillo
lendemain de son entrée, le malade meurt subitement. Autopsie. Les
artères
pulmonaires sont remplies de caillots en partie d
u dernier moment. Autopsie. Poumons anémiques, sains, d'ailleurs. L'
artère
pul-monaire est, dans toute son étendue, remplie
t, dyspnée et orlhopnée ; le 27 août, la malade meurt subitement. Les
artères
pulmonaires des deux côtés sont complètement obli
uelquefois, en outre de l'oblitération veineuse une oblitération de l'
artère
pulmonaire par des caillots. Les deux observation
sur lui-même et long de cinq pouces et demi. Le tronc principal de l'
artère
pulmonaire du côté di'oit est rempli par un caill
val sur les éperons des anastomoses. Pas d'altération des parois de l'
artère
. Dans les der-niers pieds de l'iléon, ulcération
iques, surtout au voisinage du cœcum. Dans la branche principale de l'
artère
pulmonaire qui conduit au lobe inférieur du poumo
correspondant par l'aspect et la forme avec le caillot contenu dans l'
artère
pulmonaire; au-dessous de lui, la mem-brane inter
établir que la mort subite ou rapide par oblitération fibrineuse de T
artère
pulmonairen est pas un élément insolite, non-seul
ow, à savoir, que, dans tous les cas où la coagulation du sang dans l'
artère
pulmonaire ne dépend pas d'une lésion du parenchy
manière positive : en effet, dans tous les cas où l'obstruction de l'
artère
pulmonaire par des con-crétions fîbrineuses est i
. Ce ventricule contenait un peu de sang noir. Les deux branches de l'
artère
pulmonaire contenaient des caillots de sang qui r
ement adhérents à la paroi vasculaire. En sui-vant les divisions de l'
artère
pulmonaire, d'autres caillots en grand nombre, et
n ; cepen-dant le tissu musculaire de ses parois est un peu pâle. Les
artères
pulmonaires sont distendues par des caillots cyli
nférieure est vicie, et ses parois sont revenues sur elles-mêmes. Les
artères
pulmonaires sont saines ; les caillots qu'elle re
au moins, ces cail-lots n'adhéraient point à la membrane interne de l'
artère
, qui était tout à fait exempte d'altération ; enf
catégorie de faits, tout comme dans la première, l'oblitération de l'
artère
pulmo-noire par des concrétions fîbrineuses libre
que l'observation démon-tre exister entre certaines obstructions de l'
artère
pulmonaire et l'oblitération des veines par un ca
s appréciables, et enfin venir se fixer dans un point quelconque de l'
artère
pulmonaire ; il a démontré, en outre, que si, dan
neux que nous avons trouvés remplissant les branches principales de l'
artère
pulmonaire étaient évi-demment, au moins en grand
e. séjourné pendant plusieurs jours dans les troncs principaux de l'
artère
pulmonaire sans que leur présence ait été révélée
nt pu rester aussi longtemps en contact avec la membrane interne de l'
artère
sans y produire quelque altération, et sans contr
ysiologie et de l'ana-tomie pathologiques. Ce n'est donc pas dans l'
artère
pulmonaire elle-même que se sont formés, au moins
ots détachés seront venus se fixer dans les branches principales de l'
artère
pulmonaire; l'un d'entre eux, le plus volumineux,
out à coup les premiers symptômes dysp-néiques. Mais l'occlusion de l'
artère
était encore incomplète et la circulation pouvait
qu'à la périphérie des caillots primitivement en-gagés, et bientôt l'
artère
pulmonaire s'est trouvée littérale-ment oblitérée
libre et flottant dans un point du trajet vasculaire qui sépare de l'
artère
pulmonaire la veine primitivement affectée, un cy
pante de l'origine veineuse de certaines concrétions fibrineuses de l'
artère
pulmonaire est donnée par l'observation IX. Dans
. Dans ce cas, en effet, l'une des extrémités du caillot extrait de l'
artère
a pu s'ajuster exactement à l'extrémité supérieur
c'est que les symp-tômes redoutables produits par l'oblitération de l'
artère
pul-monaire, apparaissent, en général, à une époq
porté un fait très intéressant d'oblitération des petits rameaux de l'
artère
pulmonaire par des caillots sanguins, dans lequel
t évidemment de forma-tion très récente. (Obturation métastatique des
artères
pulmonaires, Union médicale, 5 mars 1857.) 2 Su
V. Sur les douze faits d'oblitération des branches principales de l'
artère
pulmonaire consécutive à une oblitération veineus
e: le caillot que l'on trouve enclavé dans les troncs principaux de l'
artère
pulmonaire, ne présente habituelle-ment pas une t
de caoutchouc employés dans ces expériences étaient entraînés dans l'
artère
pulmonaire et s'y enclavaient sans provoquer tout
extrêmement rapide, les accidents déterminés par l'oblitération de l'
artère
pulmonaire présentent une physionomie très remarq
rience (Virchow, loc. cit., p. 302), au moment où l'oblitération de l'
artère
pulmonaire est devenue complète: 1° extension du
rait se propager par action réflexe à toute l'étendue du système de l'
artère
pulmonaire. On comprendrait d'ailleurs, à l'aide
surtout vers la face interne de la membrane ou tunique élastique des
artères
, mais seu-lement dans les artères plus petites qu
a membrane ou tunique élastique des artères, mais seu-lement dans les
artères
plus petites que les carotides et les iliaques pr
). D'après Kœlliker, on trouve même dans l'aorte et sur le tronc de l'
artère
pulmonaire des fibres-cellules: mais elles sont s
ît douteux qu'elles possèdent un certain degré de contrac-tilité. Les
artères
carotides, sous-clavières, iliaques, axillaires,
es spéciales aient été faites pour les divisions et subdivisions de l'
artère
pul-monaire ; mais il est probable que les rameau
an-noncer qu'il existe une oblitération des branches principales de l'
artère
pulmonaire par un caillot sanguin ; il faut remar
on, pourraient en particulier conduire à penser que l'obturation de l'
artère
est consécutive à la migra-tion d'un caillot vein
espèce, on sera conduit à admettre que l'obturation des branches de l'
artère
pulmonaire par des caillots fibri-neux, consécuti
en outre, des caillots sanguins dans quelques-unes des divisions le l'
artère
pulmonaire. Voici quel était, dans ces cas, le ra
ération veineuse : Thrombus dans la veine cave inférieure. 1 Dans l'
artère
pulmonaire. 0 — dans la veine iliaque ... 1 — 1
plus menaçants, et annonçant une occlusion des troncs principaux de l'
artère
, cesseraient plus ou moins brusque-ment, contre t
dans un sinus longitudinal su- Une seule fois, l'oblitération de l'
artère
pulmonaire a produit des acci-dents graves, bient
22'•, 354.) périeur...... — dans un sinus Iransverse. 3 Dans l'
artère
pulmonaire. 3 3 — 1 18 il dans sa convers
à l'idée de la présence d'un coagulum sanguin dans le cœur ou dans l'
artère
pulmonaire. Bien que la respiration fût encore fo
rla présence d'un caillot sanguin dans les branches princi-pales de l'
artère
pulmonaire, on se demandera si ce caillot s'était
nt à les rattacher à une obturation des bran- ches principales de l'
artère
pulmonaire par des caillots fibri-neux. Reste à s
de la mort, dans les cas d'oblitération des brandies principales de l
artère
pulmonaire par des caillots fibrineux ? Suivant V
lus qu'une quantité extrême-ment faible de sang chargé d'oxygène; les
artères
coronaires en particulier ne fournissent plus au
s caillots sanguins, un exsudât particulier déposé sur les parois des
artères
malades fut signalé par Bizot qui le considérait
l'inflammation dans les cas où la rougeur de la membrane interne des
artères
est accompagnée de gonfle-ment, d'épaississement,
si, dépourvue de vaisseaux, à l'état normal, la membrane interne des
artères
était susceptible de s'enflammer à la façon des s
e. Il réserve le nom d1endartérite aux altérations athéromateuses des
artères
. On comprend, en effet, que si leur membrane in
lte doctrine, ne considère les produits développés à l'intérieur de l'
artère
que comme desimpies concrétions fi-brineuses. S
l était logé entre les tuniques ex-terne et moyenne, à l'origine de l'
artère
; il s'ouvrit à l'inté-rieur, et le malade mourut
chow, la présence d'un caillot spontanément formé à l'intérieur d'une
artère
a pour conséquence d'en enflammer les parois sur
rosse aortique ; 2° terminaison de l'aorte ; 3° aorte thoraci-que; 4°
artère
splénique; S0 aorte abdominale, etc. Rokitansky m
nnent ensuite la crosse aortique, l'aorte thoracique et abdominale; l'
artère
splé-nique est placée immédiatement après. La f
cation la plus complèle. C'est surtout à l'in-térieur de cette grande
artère
qu'on rencontre ces plaques os-siformes si bien o
u vaisseau (Barth.) Celte dernière lésion est plus fréquente pour les
artères
périphériques qui naissent du point altéré : on l
déterminer des obstructions emboliques : on voit alors survenir, si l'
artère
intéressée est volumineuse, une gangrène localisé
e sang même, à une distance très considéra-ble du point malade dans l'
artère
crurale par exemple; ces substances passent donc
mais les saignées pratiquées pendant la vie, même sur le trajet de l'
artère
temporale, n'ont point fourni, jusqu'à présent, u
ion semblable dans le tronc principal ; aussi toutes les fois que les
artères
acces-sibles à l'exploration, la radiale, la temp
donc un anévrisme vrai. Lorsque le sac se développe tout autour de l'
artère
, il prend le nom d'anévrysme périphérique. B. L
gale densité, ils prennent, au voisi-nage de la membrane interne de l'
artère
, une texture fibroïde. Leur consistance s'accroît
son origine, est le siège de la maladie, la veine cave su-périeure, l'
artère
pulmonaire et sa branche droite, les pou-mons, le
dans le ventricule gauche ; dans l'une ou l'autre oreillette ; dans l'
artère
pulmonaire ou l'une de ses branches : dans la vei
ent un double orifice et communiquent ainsi deux fois de suite avec l'
artère
dont ils émanent (Cruveilhier). Un anévrisme diff
1 Péricarde.................................................... 8
Artère
pulmonaire.......................................
-ques des anévrismes de l'aorte, nous signalerons l'oblitéra-tion des
artères
qui naissent d'un point voisin de la tumeur, ou d
ences. Cependant, quand l'anévrisme est très voisin de l'origine de l'
artère
, il peut donner lieu à une insuffisance aortique
ce d'une tumeur pulsatile, sur un point qui correspond au trajet de l'
artère
, est le signe palhognomonique des ané-vrismes de
ours ; mais quand la lésion occupe la partie sus-diaphragmatique de l'
artère
, on voit souvent manquer ce phénomène (Stokes). Q
nant est le défaut de symétrie que présentent les pulsations des deux
artères
radiales, dont les battements à l'état normal son
tinguer des anévrismes de l'aorte ceux qui siègent sur le trajet de l'
artère
innommée, de la carotide ou de la sous-clavière g
ent aussi les malades sont tourmentés par des battements violents des
artères
périphériques. Lebert a vu un cas où le visage of
la trachée, des bronches, du pneumogastrique, du nerf récurrent, de l'
artère
pulmonaire, du cœur, des poumons eux-mêmes; enfin
n temps, avant la terminaison. Quand le sac vient à s'ouvrir dans l'
artère
pulmonaire, la veine cave inférieure ou supérieur
e fût occasionné par une cause traumatique agissant directement sur l'
artère
; en effet, les plaies de ce vaisseau, presque to
nce habituelle d'un souffle bien caractérisé. m) La dilatation de C
artère
pulmonaire produit une tumeur impulsive avec frém
vent, par leur juxtaposition à l'aorte, simuler un anévrisme de cette
artère
. On a vu quelquefois un lobe hypertrophié du foie
a nature dans la guérison spontanée des anévrismes. Mais si, dans les
artères
d'un calibre inférieur, ce phénomène peuî quelque
urs ainsi pour des vaisseaux d'un calibre inférieur, il semble qu'une
artère
aussi volumi-neuse que l'aorte ne saurait revenir
s procédés qui ont parfois amené l'oblitération du sac sur de petites
artères
, ils ne sau-raient être employés dans ce but lors
inale a été quelquefois prati-quée dans les cas d'anévrismes de cette
artère
; mais il ne nous appartient pas d'apprécier ici
pa. Sull'aneurysma. Pavia, 1804. — Hodgson. Traité des maladies des
artères
et des veines. Trad. Breschet. Paris, 1819.—Bouil
plus tard, Rokitansky a exposé, dans son Mémoire sur les maladies des
artères
, le résultat de ses recherches ultérieures. On
royale de Londres, que lorsque les tuniques interne et moyenne d'une
artère
, sont divisées et que de l'air ou de l'eau sont i
seule à l'effort du sang. Les liquides injectés avec force, dans une
artère
dont les deux tuniques internes ont été incisées,
l distinct, qui souvent vient s'ouvrir de nouveau dans la cavité de l'
artère
. C'est le cas le plus fréquent; il a été ob-servé
il est tapissé d'une membrane qui ressemble à la tunique interne des
artères
; il communique souvent avec les branches émanées
la tunique externe décollée aux membranes sous-jacentes. Néanmoins, l'
artère
continue à présenter en cet en-droit une dilatati
l. LU, p: 269. — Maunoir. Mémoire sur l'ané-vrisme et la ligature des
artères
Genève, 1802.,— Hodgson. Maladies des artè-res et
tomistes sur ce point. L'ouverture des anévrismes de l'aorte dans l'
artère
pulmo-naire avait été signalée par Laënnec et par
llette, le travail de Wade, sur les communica-tions de l'aorte avec l'
artère
pulmonaire, et le diagnostic de cette lésion; enf
llette droite, une fois dans le ventricule droit, et onze fois dans l'
artère
pulmonaire. Depuis cette époque, des lésions de c
l'aorte, Sibson en a compté dix-sept où la perforation intéressait l'
artère
pulmonaire, et sept où la veine cave inférieure e
à l'oblitération partielle. Toute la portion de la veine cave ou de l'
artère
pulmonaire qui correspond à l'ouverture est telle
l'aorte, elle peut communiquer avec la veine cave supérieure, avec l'
artère
pulmonaire, ou avec les cavités du cœur. Ces troi
quelques cas, ainsi que le frémissement ca-taire. Dans les cas ou Y
artère
pulmonaire est intéressée, les symp-tômes sont à
ces données pour diagnostiquer une communica-tion entre l'aorte et l'
artère
pulmonaire. Plus tard, il se déve-loppa un souffl
ie, un anévrisme de l'aorte, qui s'était successivement ouvert dans l'
artère
pulmonaire et le ventri-cule droit. Quand l'aor
a circulation sont encore plus caractérisés que lorsqu'il s'agit de l'
artère
pulmonaire, le bruit de souffle est plus rude et
e cavité entièrement distincte et séparée par un collet du canal de l'
artère
. Les dilatations de l'aorte ont été signalées p
paragraphe. La crosse de l'aorte et la portion descendante de cette
artère
sont les points les plus spécialement prédisposés
sités évidentes se joindre à une dilatation manifeste, de sorte que l'
artère
s'était accrue en longueur aussi bien qu'en large
e la circon-férence du vaisseau, ou proéminer sur l'un des côtés. Les
artères
qui naissent du point dilaté, les intercostales a
ent du point dilaté, les intercostales aorliques le tronc cœliaque, l'
artère
innommée, participent, en général à cette amplial
nce aune dilatation aortique; et réciproquement, les dilatations de l'
artère
portées à un certain degré, peuvent occasionner u
ne distribue de branches qu'à la tête et aux membres supérieurs, et l'
artère
pulmonaire s'inflé-chit dans l'aorte abdominale p
sous de la sous-clavière gauche et vient se jeter dans la crosse de l'
artère
pulmonaire, à une hauteur variable. Plus tard, l'
1, 2, 3, points d'insertion de l'isthme de l'aorte sur la crosse de l'
artère
pulmonaire. Quand l'insertion de l'isthme aorti
t fait admettre aux anatomistes que l'aorte naissait quelquefois de l'
artère
pulmonaire. La science possède aujourd'hui 55 o
ts congénitaux; il semblerait que, dans quelques cas, les parois de l'
artère
ont pu subir un travail inflammatoire plus ou moi
lisser une sonde étroite à travers le cordon fibreux qui a remplacé l'
artère
, l'occlusion du vaisseau n'est donc jamais absolu
un pont, au-dessus de ces dépressions (Dumonlpallier). La cavité de l'
artère
est souvent remplie de caillots adhérents. Parm
a dilatation de l'aorte ascendante au-devant de la coarctation. Les
artères
intercostales, qui naissent les unes de la portio
'état de la circulation. On constatera un dé-veloppement insolite des
artères
périphériques sur plusieurs points à la fois; et
ériphériques sur plusieurs points à la fois; et le volume énorme de l'
artère
mammaire interne, de la thyroïdienne, de vaisseau
ement l'attention de l'observateur. En même temps les pulsations de l'
artère
crurale, tantôt fai-bles, tantôt complètement abo
es. L'existence d'une circulation supplémentaire et la dilatation des
artères
périphériques feront soupçonner une sténose aorti
econd cas, ne s'observe guère dans le premier. Une oblitéra-tion de l'
artère
axillaire (Bamberger) pourrait, à quelques égards
aible étendue, elle peut quelquefois occuper une portion notable de l'
artère
, et pénétrer dans les branches principales qu'ell
obturateur occupait toute la portion de l'aorte située au-dessous des
artères
rénales, et se prolongeait jusque dans les vaisse
plupart de ces branches étaient oblitérées ; il en était de même des
artères
mésentériques. L'adhérence du caillot aux paroi
n caillot obturateur, qui a subi plus tard une résorption complète, l'
artère
est demeu-rée plus ou moins étroite au niveau de
espèce, qui, développées au voisi-nage de l'aorte, exercent sur cette
artère
une compression toujours croissante, finissent qu
rte elle-même sont capables de provoquer ce résultat. On voit alors l'
artère
et ses branches collatérales se dilater au-dessus
les symptômes correspondants. Il s'a-gissait d'une oblitération de l'
artère
iliaque primitive droite, avec claudication int
intermittente obser-vée dans un cas d'oblitération complète a'une des
artères
iliaques primitives. In Gaz. méd. de Paris, 1859.
étation, appliqué aux concrétions fîbri-neuses du cœur et des grosses
artères
. Cet opuscule ayant été souvent cité d'une mani
i-gine delà sous-clavière gauche, et occupait le côté postérieur de l'
artère
, qui était saine à ce niveau. Ces dépôts fibrin
parois étaient parsemées de pla-ques athéromateuses ; et le sang de l'
artère
fémorale ren-fermait des gouttelettes graisseuses
n que le siège de ces concrétions, placées au dehors de l'origine des
artères
carotides, ne permit point de leur attri-buer les
Moissenet, à l'hôpital Lariboisière, une oblitération embolique de l'
artère
iliaque primitive, immédiatement au-dessous de so
xante ans plus tard, Schulze découvrit un anévrisme ver-mineux dans l'
artère
mésocolique d'une vieille jument. Dans l'espèce c
tuellement des poches anévrismaliques dévelop-pées sur le trajet de l'
artère
mésentérique supérieure : on peut cependant les r
p-pement de ces anévrismes, presque toujours situés sur le trajet des
artères
intestinales, aux tiraillements que ces vais-seau
ecousse plus violente est nécessaire pour séparer les tu-niques d'une
artère
que pour les déchirer. Dans la majorité des cas
par un épithélioma de l'œsophage : l'ouverture faisait communiquer l'
artère
avec la bronche gauche, qui était elle-même perfo
es se déclarer avant la mort. XI. Cancer de l'aorte. Bien que les
artères
ne soient jamais primitivement affec-tées de canc
st elle-même un fait exceptionnel, car les vais-seaux, et surtout les
artères
, résistent en général à la marche envahissante de
termittente observée dans un cas d'oblitération complète de l'une des
artères
iliaques primitives 1. L'observation intéressan
acés dans la flexion ou dans l'extension forcée : les bat-tements des
artères
n'y sont point perçus ; la température s'y abaiss
ins complète des troncs artériels principaux du membre af- fecté. L'
artère
, dont les diverses tuniques peuvent être à peu pr
s à ceux qu'on observe en pareil cas, chez le cheval. Observation.—
Artère
iliaque primitive droite en partie trans-formée e
plus grand diamètre), qui tient lieu de l'orifice d'abouchement de l'
artère
iliaque droite, et dont les bords sont incrustés
au reparaît un instant, mais il donne nais-sance presque aussitôt aux
artères
iliaque externe et iliaque interne droites. Cel
e, sous ce rapport, aux caractères correspondants du côté opposé. L'
artère
iliaque primitive gauche est assez fortement comp
opérait, tant dans les veines du membre inférieur gauche que dans les
artères
du membre inférieur droit, elles n'ont malheureus
iées avec soin. Tout ce que nous pouvons dire, c'est qu'à droite, les
artères
lombaires étaient très dilatées et tortueuses, et
névrismale s'est développée aux dépens des deux tiers supérieurs de Y
artère
iliaque primitive droite, très vraisemblablement
t et s'est transformé en une sorte de ligament fibreux. Cependant les
artères
iliaque interne, iliaque externe, crurale, etc.,
les cas qui nous occupent, par suite de la di-minution de calibre des
artères
au-dessous du point d'oblité-ration, et de l'impe
ez nombreux, de paralysie permanente produite par l'oblitéra-tion des
artères
principales d'un membre, pour rechercher si la cl
cidents qui surviennent chez l'homme à la suite de l'oblitération des
artères
principales d'un membre. Mais quelles sont les co
rte. — Rigidité cadavérique pendant la vie. — Cas d'oblitération de l'
artère
sous-clavière : gangrène de l'avant-bras. — Cas d
e sous-clavière : gangrène de l'avant-bras. — Cas d'oblitération de l'
artère
iliaque primitive: claudi-cation intermittente. —
ce du 9 juin 1886). La dissection du membre amputé lui montra que les
artères
de la jambe étaient considérablement diminuées de
anches qu'elle donne, ou bien encore de l'o-blitération du tronc de l'
artère
principale d'un seul membre ; c'est dans le 1er c
successivement, on voit que la température du membre s'a-baisse, les
artères
cessent de battre, les mouvements devien-nent dif
nce de Stenson, ou encore chez l'homme à la suite de la ligature de l'
artère
principale d'un membre. (Pour plus de détails voi
, une perte soudaine de la vision de l'œil gau-che par thrombose de l'
artère
centrale de la rétine, circons-tance, dans l'espè
n : la coloration dont je viens de parler s'exagère, si on comprime l'
artère
fé- morale et la veine dans le triangle de Scar
embrane verdâtre qui enve-loppe de toutes parts les ramifications des
artères
cérébrales cor-respondantes. Après avoir enlevé c
très irrégulier, et présente des intermittences nombreuses. Les deux
artères
fémorales, examinées dans l'espace inguinal, para
nt, pji conserve à peine l'impression du doigt. Les battements de l'
artère
crurale gauche sont devenus moins sensibles que c
de l'artère crurale gauche sont devenus moins sensibles que ceux de l'
artère
correspondante du côté droit, les-quels ont cepen
voiement. La langue est sèche et recouverte d'un enduit fuligineux. L'
artère
crurale gauche ne présente plus que des bat-temen
ant, osseux, moniliforme; sa cavité ne con-tient pas de caillots. Les
artères
iliaques primitives ne contiennent pas de caillot
ndue de 4 centimètres au-dessus de l'ar-cade crurale. Plus bas, cette
artère
, dont les parois sont simple-ment épaissies et op
rne, qui présente une couleur violacée, mais qui est peu friable. L'
artère
tibiale gauche, dans ses deux tiers supérieurs, p
t tout à coup moitié moins grosse. Dans sa partie supérieure, cette
artère
est remplie de caillots d'une coloration rosée, c
ation rosée, consistants et adhérant assez intimement aux parois de l'
artère
, qui paraît fortement distendue. En certains poin
st telle qu'il est difficile de le détacher. La membrane interne de l'
artère
présente une einte rouge foncée, et dans les poin
friables, mais pas autrement altérées. Plus bas, dans la portion de l'
artère
qui a conservé son calibre, on rencon-tre un cail
peu consistant, et n'adhérant nullement aux parois artérielles. — Les
artères
tibiale postérieure et péronière présentent des a
s, en particulier, ont une teinte pâle et leur tissu est ramolli. L'
artère
crurale du côté droit est remplie par un caillot
t est remplie par un caillot ana-logue à celui qu'on rencontre dans l'
artère
correspondante du côté gauche. Les poumons sont
e nous-même dans un assez bon nombre de cas. — 2° L'oblitéra-tion des
artères
volumineuses avec ou sans gangrène des mem-bres e
ulaires man-quent et que les dépôts fibrineux et l'oblitération d'une
artère
?volumineuse, suivie de gangrène d'un membre, exi
une cause quelconque et ont déterminé la coagulation du sang dans les
artères
de la jambe gauche et aussi la production des hé-
ettent pas de croire que l'inflammation, ou toute autre affection des
artères
du membre inférieur gauche, aient existé primitiv
pillaires qui traversent ces noyaux, les veines qui en partent et les
artères
qui s'y rendent sont habituellement gorgés de san
i que l'a démontré M. Cruveilhier, dans celles des ramifications de l'
artère
pulmonaire qui se rendent au noyau hémoptoïque, s
t hors de doute l'existence de l'inflammation des ra-mifications de l'
artère
pulmonaire et des capillaires auxquels elles abou
utes ces modifications que subissent les cail-lots fibrineux dans les
artères
, comme aussi dans les cavités du cœur et quelquef
centre des caillots, n'est généralement pas du pus, au moins dans les
artères
et dans les cavités cardiaques; elle consiste en
existe dans les poumons des indurations hémoptoïques, les parois des
artères
pulmonaires présentent très fréquemment, à un deg
Sur la mort subite et la mort rapide, à la suite de l'obturation de l'
artère
pulmonaire, par des caillots sanguins, dans les c
ittente observée dans un cas d'oblité- ration complète de l'une des
artères
iliaques primitives....... 572 VIII. Leçon sur
— Rigidité cadavérique pendant la vie. — Cas d'oblitéra- tion de l'
artère
sous-clavière: gangrène de l'avant-bras. — Cas d'
e sous-clavière: gangrène de l'avant-bras. — Cas d'oblitéra-tion de l'
artère
iliaque primitive : claudication intermittente. —
anes voisins, 489, 491 ; — ouverture du sac, 489; — ouver-ture dans l'
artère
pulmonaire, 538 ; — mort par hématémèse, 490; — s
es, 540 ; — bruit de souffle, d'ailes, S'il ; — communi-cation avec l'
artère
pulmonaire, 541; — pronostic, 543; — traite-temen
594 ; — Communication de 1' — avec la veine cave inférieure, 538, — l'
artère
pulmonaire, 531, — avec le cœur droit, 543; — rét
aire, 613, 626. Appendice, 623. AResénile dans l'athérôme, 477.
Artère
pulmonaire, 13, 106; ^— terminale, ¿'37; — oblité
gi- ques chez le cheval, 593; — cail-lots fibrineux oblitérants des
artères
dans la — , 575; — obser-vation de — par compress
dans la phlé-bite, la pneumonie, 318. Concrétions fibrineuses de l'
artère
pulmonaire, 4 '.8; — métamor-phose régressive, 44
xiques, 382; — contractures, 382; — de la sous-clavière, 561 ; — de l'
artère
pul-monaire, 625. l Labyrinthe rénal, 77. Lar
intermittente, 5'3. Oblitération (de l'aorte), 546, 568; — d'une
artère
fémorale, 313; des artères voisines d'un ané-vris
itération (de l'aorte), 546, 568; — d'une artère fémorale, 313; des
artères
voisines d'un ané-vrisme. 493; — de la carotide,
, 503, 596; — de l'iliaque primitive, 557, 564, 5"i6;— permanente des
artères
d'un membre, 585. Oblitération de l'artère pulm
, 5"i6;— permanente des artères d'un membre, 585. Oblitération de l'
artère
pulmonaire 421 ; — lésions des tuniques arté-riel
Thrombose artérielle, 312, 313; — oblitérante de l'aorte, 560; — de l'
artère
centrale de la rétine, 599 ; — de l'artère numéra
te de l'aorte, 560; — de l'artère centrale de la rétine, 599 ; — de l'
artère
numérale, 313 ; pathogénie, 314. Thrombose vein
er l'influence du raccourcissement de la cuisse sur la direction de l'
artère
fémorale. Cette artère était extrêmement flexueus
urcissement de la cuisse sur la direction de l'artère fémorale. Cette
artère
était extrêmement flexueuse au niveau et au desso
u fémur, un pour les deux tiers postérieurs et (1) Chez ce sujet, l'
artère
fémorale était bifurquée au niveau de l'arcade fé
héroïdale, beaucoup plus volumineuse que de coutume. Flexuosités de l'
artère
fémorale sensibles à l'aine : l'existence de ces
e, 39e jour de la fracture. Ouverture du cadavre. — Flexuosité de l'
artère
crurale au-dessous de l'arcade fémorale. Par une
au-dessous de l'arcade fémorale. Par une anomalie assez fréquente, l'
artère
fémorale était bifurquée sous l'arcade fémorale,
uée sous l'arcade fémorale, a six lignes au dessous de l'origine de l'
artère
épigastrique. Les deux branches de division étaie
l'aide d'une airigne, a une couleur jaune comme la tunique propre des
artères
, dont pourtant il ne présente ni l'extensibilité
rétacées, qui lui donnaient beaucoup d'analogie avec l'altération des
artères
altérées. Le sommet de l'apophyse odontoide éta
dans ses leçons, et qui avait pour sujet un individu dont toutes les
artères
du cuir ^chevelu étaient anévrysmatiques, se prés
urs étaient effectivement sur le trajet des divisions principales des
artères
temporales et occipitales. La tumeur de la région
ite en particulier semblait appartenir à une division principale de l'
artère
temporale. Au côté interne de la cuisse gauche, i
r la bosse droite du coronal. Cette tumeur, placée sur le trajet de l'
artère
temporale, avait eu d'abord le volume d'une aveli
éaires, nécessitèrent l'amputation de la jambe, et qui présentèrent l'
artère
tibiale grossie et rompue, les chairs du mollet d
JR , que je considère comme le vestige des muscles jumeaux. Les deux
artères
tibiales postérieures sont confondues en une seul
. Les deux artères tibiales postérieures sont confondues en une seule
artère
ATP, qui apparaît entre les tibias, et se bifurqu
rs, en un seul tronc , qui se bifurque comme le tronc commun des deux
artères
tibiales postérieures, pour fournir aux deux pied
ce d'une couleur bleue, jaunâtre et assez analogue au tissu jaune des
artères
. « Le péritoine conserve sa couleur blanche ; l
ils ne différent en rien de ceux d'un enfant qui vient de naître. Les
artères
, veines et nerfs présentent tous leurs caractères
uant aux petits cordons ligamenteux qui représentent l'ouraque et les
artères
ombilicales, je n'en ai trouvé de vestige autre q
r que, chez les femmes qui ont eu beaucoup d'enfans, l'ouraque et les
artères
ombilicales sont atrophiées à tel point qu'on ne
t effectuée la hernie; car l'ouverture de sortie était située entre l'
artère
ombilicale, qui était en dedans, et les vaisseaux
égale- ment entre ces deux membranes que marchaient la veine et les
artères
ombilicales pour £e rendre chacune à leur destina
dans la tumeur arrivait de suite au point d'insertion du cordon. Les
artères
ombilicales parcouraient un trajet plus long. Les
ration ardoisée foncée. Cette couleur ardoisée est commune dans les
artères
, lorsqu'il existe une irritation chronique sur qu
e; le pouls plein, dur, variable pour la fréquence, le ronflement des
artères
connu sous le nom très expressif de bruit de roue
aillots adhérens et décolorés occupant les principales divisions de l'
artère
pulmonaire, qui correspondent aux lobes œdémateux
ur cause un obstacle au cours du sang déterminé par l'obturation de l'
artère
pulmonaire, je suis fondé à regarder l'œdème séro
ions à un tissu érectile, à un réseau veineux, dans lequel une grosse
artère
est chargée de verser le sang que rapporte au foi
en quelque sorte typique du passage des injections, poussées par les
artères
dans les veines rénales et dans les conduits excr
oyait pas de prolongemens derrière le sternum. Derrière elle, était l'
artère
carotide; la trachée était aplatie d'un côté à l'
iagnostic. On sait combien souvent un goitre latéral, que soulevait l'
artère
carotide primitive, a été pris pour un anévrisme
it l'artère carotide primitive, a été pris pour un anévrisme de cette
artère
. Dans le cas suivant, je crus non à un goitre lat
Le nerf pneumo-gastrique gauche était accollé à son côté externe ; l'
artère
carotide primitive répondait en arrière et en ded
ière encéphaloïde. Il m'a été impossible de déterminer si c'était une
artère
ou une veine; mais mes observations établissent a
né ce fait dans la xie livraison, à l'occasion de l'inflammation de l'
artère
pulmonaire. Lambeau de poumon non gangrené, péd
été facile de voir que ces concrétions occupaient les divisions de l'
artère
pulmonaire, que les divisions pulmonaires gauches
, si je puis m'exprimer ainsi, sur l'état général. La phlébite de l'
artère
pulmonaire, coïncidant avec la pneumonie, est un
remarquable qu'on observe constamment dans ce cas l'inflammation de l'
artère
pulmonaire et non l'inflammation des veines pulmo
ochrones aux mouvemens du cœur, et qui sont évidemment produits par l'
artère
mammaire interne. Cette circonstance me fait crai
veine iliaque primitive gauche, dans son point d'intersection avec l'
artère
iliaque primitive droite était aplatie et singuli
mon. Catarrhe pulmonaire chronique. Point de phlébite pulmonaire. Les
artères
pulmonaires, qui représentent les veines des autr
fois elle est rouge, c'est par teinture comme la membrane interne des
artères
dans le cas d'artérite. La structure de la membra
trophie du système capillaire veineux, et la preuve qu'il n'y a pas d'
artères
dans les capillaires, c'est qu'il n'existe pas de
s variqueuses sont veineuses : elles communiquent sans doute avec les
artères
, par lesquelles on parvient souvent à les injecte
tion passe immédiatement dans les veines et ne revient jamais par les
artères
. Il y a plus d'analogie qu'on ne le croit, au m
deux veines fémorales VF, VF, la veine iliaque externe gauche VI E, l'
artère
fémorale droite A F, les veines saphènes internes
leur calibre, qui ne dépassait pas, s'il l'atteignait, le calibre des
artères
correspondantes. Les coupes des veines représen
nière articulation commencement d'usure du cartilage. Les veines et
artères
du membre étaient sains; les viscères thoraciques
t C. (PLANCHE V, XXVIIe LIVRAISON.) Gangrène par oblitération des
artères
. première observation. — Gangrène spontanée de
toute la région antérieure et externe delà jambe. L'exploration de l'
artère
fémorale me fait reconnaître des battemens au niv
niveau de l'arcade fémorale et à deux pouces au-dessous : plus bas, l'
artère
est transformée en un cordon dur et douloureux.
r, extenseur commun des orteils et extenseur propre du gros orteil, l'
artère
tibiale antérieure et le nerf tibial antérieur le
e la jambe aurait été complète. Les figures 2 et 3 représentent les
artères
du membre inférieur depuis l'arcade fémorale jusq
bre inférieur depuis l'arcade fémorale jusqu'à la plante du pied. Les
artères
fémorale et poplitée et leurs divisions sont en p
ervalles, ce qui leur donne l'aspect de petites trachées-artères. L'
artère
fémorale A F (fig. 2), à partir de l'origine de l
artères. L'artère fémorale A F (fig. 2), à partir de l'origine de l'
artère
profonde APR, est remplie d'un caillot adhérent p
t présentant diverses teintes de coloration. Il en était de même de l'
artère
poplitée AP, fig. 2et 3, de l'artère tibiale anté
ration. Il en était de même de l'artère poplitée AP, fig. 2et 3, de l'
artère
tibiale antérieure ATA, fig. 3, et du tronc tibio
le antérieure ATA, fig. 3, et du tronc tibio-péronier A TP, fig. 3; l'
artère
tibiale postérieure ATP, est extrêmement grêle, b
tibiale postérieure ATP, est extrêmement grêle, bien plus grêle que l'
artère
péronière AP, fig. 3. L'obturation par des cail
n par des caillots sanguins avait lieu non-seulement dans les grosses
artères
, mais encore dans leurs divisions. Les veines s
rtères, mais encore dans leurs divisions. Les veines satellites des
artères
VF, VP, étaient également remplies par des caillo
ngrène spontanée chez une femme de 81 ans.— Oblitération complète des
artères
tibiale, postérieure et péronière. — Liberté de l
jambe, siège principal de la douleur. Du reste, les battemens de l'
artère
fémorale peuvent être sentis dans toute la longue
le peuvent être sentis dans toute la longueur de la cuisse. Ceux de l'
artère
poplitée ne sont pas perçus. Le 9 février, déjà
bilité complète, râle, pouls filiforme, mort. Ouverture du corps. —
Artère
fémorale libre dans toute sa longueur. Caillots n
te sa longueur. Caillots non adhérens à la partie inférieure de cette
artère
, au moment de son passage à travers le troisième
a décoloration, le caillot était canaliculé dans quelques points. L'
artère
tibiale antérieure était parfaitement libre. Les
parties du système artériel étaient parfaitement sains. Pourquoi l'
artère
tibiale antérieure n'a-t-elle pas suppléé les aut
ourquoi l'artère tibiale antérieure n'a-t-elle pas suppléé les autres
artères
? Réflexions.—Malgré le jour tout nouveau que l
sujet soit épuisé. Le fait fondamental, c'est crue l'oblitération des
artères
, assez complète pour qu'il y ait interruption du
et même de gangrène spontanée, celle de gangrène par oblitération des
artères
. Déjà, dans mon premier ouvrage fi), j'avais cons
ge fi), j'avais considéré l'ossification ou pétrification des petites
artères
, comme une cause de gangrène sénile. Il résulta
ernières divisions artérielles, et que, tandis que l'ossification des
artères
principales ne se révèle par aucun symptôme, ne d
a gangrène dite sénile. Or l'artérite, de même que l'ossification des
artères
, ne produit la gangrène que lorsqu'elle intercept
'ai injecté des corps irritans, de l'encre, de l'alcool étendu dans l'
artère
fémorale de plusieurs chiens : quelques instans a
ans mes notes. « Le w 10 juillet 1826, j'ai injecté de l'encre dans l'
artère
crurale d'un chien. Vive douleur immé-« diatement
Le 17 juillet 1826, j'ai injecté, sans impulsion, du mercure dans l'
artère
fémorale d'une chienne de moyenne taille; au mome
uption du cours du sang artériel a été partielle. La ligature d'une
artère
ne détermine si rarement la gangrène, que parce q
vérité dans tout son jour : une tige de bois a été introduite dans l'
artère
fémorale, de haut en bas, jusqu'à ce que j'aie re
pondant à la surface interne enflammée du vaisseau : dans les grosses
artères
, dans l'aorte en particulier, on rencontre quelqu
rte que la circulation n'est pas sensiblement troublée; mais dans les
artères
de moyen et de petit calibre, l'artérite occupe e
énile, il y avait oblitération, par des caillots de sang, des petites
artères
qui naissent des tibiales et péronières. Dans l'a
vaisseau; quelques-uns de ces caillots répondaient à des parties de l'
artère
dilatées et pétrifiées. Une matière puriforme occ
é anatomique par M. Maisonneuve, la partie inférieure de l'aorte, les
artères
iliaques primitives, iliaques interne et externe,
ième observation rapportée plus haut, l'oblitération était bornée aux
artères
tibiale postérieure et péronière, la tibiale anté
ibiale antérieure était parfaitement libre. Comment se fait-il que, l'
artère
tibiale antérieure étant libre, la circulation ne
térieure étant libre, la circulation ne se soit pas rétablie dans les
artères
tibiale postérieure et péronière? Par une raison
tion entre ces différens ordres de vaisseaux étaient interceptés. Les
artères
tibiale postérieure et péronière auraient été lib
d'inhérent à la gangrène spontanée, c'est l'oblitération des petites
artères
; l'oblitération des grosses artères n'est qu'acce
c'est l'oblitération des petites artères; l'oblitération des grosses
artères
n'est qu'accessoire; aussi lisez les observations
essemblent sous le rapport de l'étendue de l'oblitération des grosses
artères
: ainsi dans le cas cité plus haut, la fin de l'a
tères : ainsi dans le cas cité plus haut, la fin de l'aorte, les deux
artères
iliaques primitives, étaient obturées par des cai
'un seul membre. Dans d'autres cas, on trouve les grosses et moyennes
artères
parfaitement libres; mais comme l'oblitération oc
s attestent leur ancienneté; d'autres fois on trouve dans les grosses
artères
des caillots si récens qu'on ne saurait les consi
le caillot a précédé la gangrène, la douleur vive que fait éprouver l'
artère
quelque temps avant l'apparition de cette gangrèn
m'a été expliquée par les douleurs atroces qu'éprouva le chien dans l'
artère
fémorale duquel j'avais injecté du mercure. Or, l
cté du mercure. Or, lorsque, dans mes expériences, j'injectais dans l'
artère
principale un corps irritant qui arrêtait immédia
flammation était consécutive à la formation du caillot qui irritait l'
artère
par sa présence. On se fonde sur ce que les paroi
tait l'artère par sa présence. On se fonde sur ce que les parois de l'
artère
, d'abord incolores, se colorent bientôt, puis s'é
mentateur de cette thèse, je fis observer que la membrane interne des
artères
est ininjectable, au moins quant au sang, et qu'o
le sang ne puisse être le véhicule de la cause de l'inflammation des
artères
, je suis même porté à le croire, mes expériences
des parois artérielles. Si l'inflammation de la membrane interne des
artères
est quelquefois produite par un sang irritant, il
écessaire de la gangrène par oblitération des XXVIIe LIVRAISON. 2
artères
, bien que cette terminaison soit en quelque sorte
ent la moitié du pied. Le malade mourut cachectique, A l'ouverture,
artère
iliaque primitive et hypogastrique droite oblitér
e oblitérée par un caillot sanguin très ferme , d'un rouge-brique ; l'
artère
crurale était libre : les artères poplitée gauche
n très ferme , d'un rouge-brique ; l'artère crurale était libre : les
artères
poplitée gauche, tibiales antérieure et postérieu
la surface de la plaie. Ainsi, tandis que la phlébite adhésive des
artères
grosses et petites n'a d'autre inconvénient qu'un
adhésive a pour résultat la mort des parties, lorsqu'elle envahit les
artères
capillaires; je n'ai pas étudié l'artérite suppur
ns la paralysie nerveuse; en outre, dans la paralysie artérielle, les
artères
ont cessé de battre dans le membre; la pression e
prononcée est déterminée par une pression exercée sur le trajet de l'
artère
fémorale. Cette artère ressemble à une corde dure
ée par une pression exercée sur le trajet de l'artère fémorale. Cette
artère
ressemble à une corde dure. Ses battemens ne peuv
rieure de la cuisse. 80 sangsues ont été appliquées sur la ligne de l'
artère
, 4o le matin et 4o le soir. — Sachets de sable ch
ins comme ceux d'un cadavre assez frais. Point d'odeur de gangrène.
Artère
fémorale obstruée par un caillot, à un pouce au-d
pu se faire en partie entre le caillot et les parois artérielles. Les
artères
collatérales de la cuisse n'ont pas été examinées
collatérales de la cuisse n'ont pas été examinées. A la jambe, les
artères
tibiales et péronières étaient considérablement r
tances m'auraient-elles échappé ? Je le crains. Le rétrécissement des
artères
par des concrétions ossiformes suffit-il pour exp
t donc être rapporté.aux cas de gangrène par ossification des petites
artères
. Le mode de putréfaction des membres gangrenés
ependant, attendu que le pouls était insensible du côté malade, que l'
artère
brachiale était petite, avec battement filiform
puis le bout des doigts jusqu'au coude ; en outre, les battemens de l'
artère
humérale ne pouvaient plus être sentis. Le trajet
ns de l'artère humérale ne pouvaient plus être sentis. Le trajet de l'
artère
est douloureux. Les mouvemens du membre sont égal
emande à manger : délire tranquille. Le pouls est insensible aux deux
artères
brachiales. L'auscultation donne une crépitation
érisé par de vastes cellules séparées seulement par des brides. Les
artères
et les veines des membres supérieurs ont été inje
le retirer sans déchirure. Le tissu propre du cœur m'a paru intact.
Artère
du membre supérieur gauche ( Côté du membre gangr
ieur gauche ( Côté du membre gangrené).—Un caillot sanguin occupait l'
artère
sous-clavière gauche, près de son origine. Ce cai
eure et cervicale transverse. La portion de caillot qui répondait à l'
artère
sous-clavière, contenait à son centre un pus anal
pus analogue au pus trouvé dans le caillot du cœur. — Le caillot de l'
artère
axillaire était tubulé, et dans la cavité du tube
par conséquent d'une date bien plus récente que le tube lui-même. L'
artère
radiale était pleine de la matière à injection ju
usqu'au moment où elle se contourne sur le côté externe de la main. L'
artère
cubitale était également injectée jusqu'à l'arcad
xtrémités des doigts, les caillots commençaient à la bifurcation de l'
artère
humérale. Un caillot avait arrêté la matière à in
humérale. Un caillot avait arrêté la matière à injection du côté de l'
artère
radiale. L'artère cubitale contenait un petit cai
ot avait arrêté la matière à injection du côté de l'artère radiale. L'
artère
cubitale contenait un petit caillot de sang ; les
iale. L'artère cubitale contenait un petit caillot de sang ; les deux
artères
étaient d'ailleurs libres dans presque toute leur
ccation des parties frappées de mort. On conçoit que, d'une part, les
artères
ne portant plus de sang dans les membres, et, d'u
ication. L'artérite, chez cette malade, occupait principalement les
artères
sous-clavière et axil-laire. Les artères de l'ava
occupait principalement les artères sous-clavière et axil-laire. Les
artères
de l'avant-bras étaient libres, et une injection
encore quelque chose d'obscur dans la gangrène, suite de maladie des
artères
, ce qui tient à l'imperfection de l'anatomie path
conçoit encore combien la rapidité ou la lenteur de l'obturation des
artères
doit apporter de différence dans les résultats. J
ant libres ou à-peu-près: l'oblitération peut occuper les troncs ou l'
artère
principale des membres dans une étendue plus ou m
fâcheuse quant à la circulation dans les grosses et dans les moyennes
artères
, peut devenir une cause directe d'obturation dans
bien évidente que si, dans un certain nombre de cas, l'altération des
artères
est sous la dépendance de l'hypertrophie du ventr
L'aorte, à partir de son origine (fig. 1 et 2) jusqu'au dessous des
artères
rénales, est notablement dilatée ; elle présente
sselures que nous verrons répondre à des anévrysmes latéraux de cette
artère
. Les sinus aortiques sont très dilatés, mais pr
le, et refoulait au dedans d'elle-même la portion correspondante de l'
artère
pulmonaire. Cette artère pulmonaire AP a été renv
s d'elle-même la portion correspondante de l'artère pulmonaire. Cette
artère
pulmonaire AP a été renversée en bas sur la figur
e artère pulmonaire AP a été renversée en bas sur la figure. Les deux
artères
coronaires, droite ACD, et gauche ACG, naissaient
ffre 3 appartient à une 3e tumeur anévrysmale située à l'origine de l'
artère
rénale droite ARD. Le tronc cœliaque TC est rem
e tronc cœliaque TC est remarquable par sa longueur inaccoutumée. L'
artère
mésentérique supérieure AMS est le siège d'une di
e dilatation anévrysmale conoïde de laquelle partent, d'une part, les
artères
coliques ; d'une autre part, les artères de l'int
lle partent, d'une part, les artères coliques ; d'une autre part, les
artères
de l'intestin grêle. La planche 3 (fig. 1) repr
les artères de l'intestin grêle. La planche 3 (fig. 1) représente l'
artère
aorte vue à l'intérieur : elle a été divisée par
ce. On voit la profondeur des sinus aortiques desquels naissent les
artères
cardiaques, l'ampleur des valvules sygmoïdes VS,V
is que, dans les cavités droites du cœur, les valvules sygmoïdes de l'
artère
pulmonaire sont tout-à-fait indépendantes de la v
ochement des trois orifices : du tronc brachio-céphalique OTBC ; de l'
artère
carotide primitive gauche OAC et de l'artère sous
o-céphalique OTBC ; de l'artère carotide primitive gauche OAC et de l'
artère
sous-clavière OASC, lesquels orifices nesont sépa
esont séparés les uns des autres que par une bride. La section de l'
artère
a été faite de manière à diviser dans toute leur
e chiffre a' corres-P«od au chiffre 1 . XXVIIIe LIVRAISON. 1 de l'
artère
au niveau de ces bosselures, on voit que le calib
d'inégale consistance ne débordent nullement la surface interne de l'
artère
; une couche d'apparence organisée , parcourue de
surface interne de l'aorte,on aurait pu croire au premier abord que l'
artère
n'était pas malade. Je n'ai jamais été plus frapp
eau. C'est à peine si j'ai pu reconnaître par la surface interne de l'
artère
, les points correspondans aux tumeurs ou bosselur
vaisseau ; le n° 5 répond à un caillot situé à côté de l'orifice de l'
artère
mésentérique inférieure : la dilatation correspon
je ne l'ai pas mentionnée dans les planches 1 et 2. L'incision de l'
artère
mésentérique supérieure AMS, a montré la perméabi
artère mésentérique supérieure AMS, a montré la perméabilité de cette
artère
jusqu'au renflement terminal, lequel est rempli d
ne dilatation morbide. La plupart des vaisseaux qui naissaient de l'
artère
mésentérique supérieure étaient oblitérés à leur
collatérales. La fig. 2 présente un cas danévrysme sphéroidal de l'
artère
vertébrale droite AAV, au niveau des pyramides an
vrysmale de l'aorte et de quelques-unes de ses divisions : les autres
artères
n'ayant pas été examinées, il m'est impossible de
t du cœur chez ce sujet, qu'on ne saurait considérer l'altération des
artères
comme le résultat d'une hypertrophie du ventricul
e d'une manière très indirecte à la formation des anévrysmes de cette
artère
, car tous les jours on rencontre des altérations
dilatation. » Il y a donc autre chose que l'altération crétacée des
artères
dans la formation des anévrysmes: l'ulcération de
étacée des artères dans la formation des anévrysmes: l'ulcération des
artères
elle-même n'est pas une cause constante d'anévrys
d'anévrysme , bien qu'elle affaiblisse considérablement la portion d'
artère
qui en est le siège; on ne comprend pas pourquo
Je dois signaler comme le siège le plus habituel des altérations des
artères
chez les vieillards, non-seulement la crosse de l
rosse de l'aorte, mais encore la portion abdominale de l'aorte et les
artères
iliaques primitives; c'est dans cette dernière ré
tions ou concrétions calcaires. On voit que la matière pultacée des
artères
offre beaucoup de variétés, i°sous le rapport de
ode de cicatrisation consiste dans un amincissement considérable de l'
artère
qui présente une sorte de bosselure à ce niveau.
sorte de bosselure à ce niveau. J'ai rencontré dernièrement dans les
artères
iliaques primitives d'une femme de 80 ans ce dern
de de cicatrisation. La cicatrisation était complète sur l'une de ces
artères
, incomplète sur l'autre : la membrane interne par
Je le répète, l'influence des altérations plâtreuses, crétacées des
artères
sur la production des anévrysmes a besoin d'être
e la destruction ou de la rupture des tuniques interne et moyenne des
artères
, et que le sac anévrysmal est formé par la tuniqu
usque sur le sac, on enlève une « membrane celluleuse continue de l'
artère
au sac et l'éperon ( c'est-à-dire le collet) se t
s deux membranes n'est pas parfaitement identique. La « membrane de l'
artère
est épaisse; médiocrement dense et jaune; la memb
ésente des « plaques jaunes, tandis que, d'une autre part, celle de l'
artère
est, dans plusieurs endroits, « décolorée et amin
« de l'éperon, en sorte que, dans ce point, la membrane moyenne de l'
artère
se continue « sensiblement avec la membrane moyen
distinguer la partie qui appartient au « sac de celle qui dépend de 1
artère
. « En résumé, il est hors de doute pour la comm
seule « offre quelques différences d'organisation sur le sac et sur l'
artère
. (i) Voyez 5' Bulletin, nouvelle série, rédigé
anévrysmes de l'aorte, comme d'ailleurs les anévrysmes de toutes les
artères
, se présentent , A. sous l'aspect d'ampoules occu
talité de cette circonférence; B. de poches à collet, surajoutées à l'
artère
dans laquelle elles s'ouvrent par un orifice plus
lvules syg-moïdes de l'aorte et cessent immédiatement au-dessous de l'
artère
sous-clavière gauche; et par conséquent, les troi
ux, aréolaire. Une circonstance remarquable de ce fait, c'est que l'
artère
pulmonaire adhérait fortement à l'ampoule aortiqu
lique la possibilité de la perforation de l'anévrysme aortique dans l'
artère
pulmonaire. Une autre circonstance non moins re
ullaire occupe une partie moins considérable de la circonférence de l'
artère
, il prend la forme des bosselures représentées pl
collet, dont ils sont souvent le premier degré. Si les parois de l'
artère
(je prends toujours l'aorte pour exemple) ne prés
été refoulée, tandis que la poche anévrysmale, s'appliquant contre l'
artère
, au pourtour de l'orifice de communication , conc
e appartenant à la tunique interne, i° de l'adossement du sac et de l'
artère
. Il s'efface et est réduit à l'épaisseur des paro
de l'artère. Il s'efface et est réduit à l'épaisseur des parois de l'
artère
, lorsqu'on sépare la poche anévrysmale de l'aorte
offrant au premier abord quelque rapport avec la membrane interne des
artères
, mais qui m'a paru n'être autre chose qu'un caill
nçait à un pouce de l'origine de l'aorte et finissait au-dessous de l'
artère
sous-clavière gauche,de telle sorte que les trois
eux anneaux ou collets ; dont le supérieur répondait à l'orifice de l'
artère
sous-clavière gauche : la moitié gauche de cet or
atation des trois tuniques, vraie pour l'aorte, ne s'applique pas aux
artères
d^un moindre calibre ; mais je répondrai par des
oindre calibre ; mais je répondrai par des exemples d'anévrysmes de l'
artère
splénique, qui se dilate si souvent en ampoule ov
le on ne saurait méconnaître les trois tuniques; par l'anévrysme de l'
artère
mésentérique, et par celui de l'artère vertébral
tuniques; par l'anévrysme de l'artère mésentérique, et par celui de l'
artère
vertébral représentés planche 3. L'anévrysme de
celui de l'artère vertébral représentés planche 3. L'anévrysme de l'
artère
vertébrale de même que l'anévrysme du tronc basil
lJ. Anévrismes A Chazal del. Lilh.deX/nariU Fry. MALADIES DES
ARTÈRES
. ANÉVRYSME. (PLANCHES II ET III, XLe LIVRAISO
trême ténuité. Froid des extrémités: je me suis assuré que toutes les
artères
accessibles au toucher, les carotides et les crur
Il vit encore le Ier novembre. Le pouls est nul : je sens à peine les
artères
crurales; les carotides sont filiformes et donnen
Sur cette tumeur, on voit la grande veine azygos GVA et les veines et
artères
intercostales droites et gauches VI, VI, AI, AI,
is correspondantes de la poche anévrysmale. La surface interne de l'
artère
SI A, dans sa portion altérée, était tapissée par
rence de l'aorte; d'autres fois il occupe toute la circonférence de l'
artère
; dans d'autres cas, la tumeur n'appuie que sur u
névrysmes qui occupent une certaine étendue de la circonférence d'une
artère
sont d'abord formés aux dépens de toutes les tuni
avait été formée aux dépens de la moitié postérieure du calibre de l'
artère
, et qu'elle présentait des débris du tissu artéri
ANCHE III , XLe LIVRAISON. ) Fig. 2 et 2'. — Anévrysme latéral de l'
artère
carotide primitive. La figure 2 représente le t
mitive. La figure 2 représente le tronc brachio-céphalique TBC et l'
artère
carotide droite ouverte par son côté antérieur,pe
smale, ovoïde, oblongue, appliquée contre le côté postérieur de cette
artère
, le côté postérieur des artères carotides interne
uée contre le côté postérieur de cette artère, le côté postérieur des
artères
carotides interne et externe ACI, A CE, et des br
séparer complètement. Le nerf pneumo-gastrique N P intermédiaire à l'
artère
carotide primitive et à la veine jugulaire intern
t celluleux, sans présenter le moindre vestige de tissu artériel. Les
artères
carotides externe et interne ACE, A CI avaient co
jours est-il que la circulation devait se faire parfaitement dans les
artères
carotides interne et externe et dans toutes leurs
t dit qu'un des signes diagnostiques fondamentaux des anévrysmes de l'
artère
carotide primitive était la cessation des batteme
s de l'artère carotide primitive était la cessation des battemens des
artères
temporale et faciale du côté de la tumeur, ont co
e, c'est une tumeur pulsatile circonscrite, placée sur le trajet de l'
artère
carotide primitive, tumeur pulsatile que l'on rec
posé, il me parut évident que la tumeur était formée aux dépens de l'
artère
carotide primitive. Je n'eus pas l'idée qu'elle p
sait de la crosse de l'aorte, au niveau et en avant de l'origine de l'
artère
carotide primitive et de l'artère sous-clavière g
iveau et en avant de l'origine de l'artère carotide primitive et de l'
artère
sous-clavière gauches. Le kyste anévrysmal était
eur, entre le cœur et les extrémités. On conçoit que la ligature de l'
artère
carotide primitive au-dessus de la tumeur aurait
3' présentent un très beau cas de rétrécissement par froncement de l'
artère
aorte presque immédiatement au dessous de l'origi
de l'artère aorte presque immédiatement au dessous de l'origine de l'
artère
sous-clavière, au niveau de l'insertion du canal
e du calibre du vaisseau, qui admettait à peine un stylet très fin. L'
artère
aorte n'avait ni augmenté, ni diminué de volume a
t pas de même du tronc brachio-céphalique, de ses deux divisions, des
artères
carotide primitive et sous-clavière gauches, et n
avière gauche, qui avaient acquis un très gros calibre. Les premières
artères
intercostales aortiques AIA étaient également trè
aient rien de particulier. Les rétrécis s emens par froncement de V
artère
aorte ont été observés un assez grand nombre de f
ion, on remarqua, sur les côtés de la poitrine, que les divisions des
artères
thoraciques étaient beaucoup plus grosses et plus
ent. Les carotides primitives n'offraient rien de particulier; mais l'
artère
innominée, la sous-clavière droite et la sous-cla
t considérable avant de s'aboucher avec les branches postérieures des
artères
intercostales. Ces branches intercostales postéri
es uns à la suite des autres. Les diaphragmatiques inférieures et les
artères
épigastriques étaient très considérables ; les au
son origine son calibre ordinaire : le tronc brachio-céphalique et l'
artère
sous-clavière gauche étaient très dilatés. Au-des
lavière gauche étaient très dilatés. Au-dessous de l'origine de cette
artère
, l'aorte offrait un rétrécissement circulaire trè
e l'aorte, à un pouce de son origine, était de dix lignes et demie. L'
artère
sous-clavière droite, remarquable par l'augmentat
on de son volume, donnait naissance, vers sa terminaison, à plusieurs
artères
d'un gros calibre. La cervicale transverse et la
ale transverse et la cervicale profonde, ayant chacune le volume de l'
artère
humorale, se faisaient remarquer par l'épaisseur
s parois et le grand nombre de leurs flexuo-sités. La première de ces
artères
, après être parvenue, sans diminuer de volume, ve
se confondre avec le tronc de la deuxième intercostale aortique. Les
artères
mammaires internes droite et gauche offraient un
te de la ligne médiane, un tronc, dont le volume dépassait celui de l'
artère
iliaque externe, et qui établissait une très larg
aque externe, et qui établissait une très large communication entre l'
artère
sous-clavière et l'artère crurale. Reflexions.
issait une très large communication entre l'artère sous-clavière et l'
artère
crurale. Reflexions. Une réflexion qui se prése
é observés. C'est toujours immédiatement au-dessous de l'origine de l'
artère
sous-clavière droite, au niveau du canal artériel
e transformation fibreuse des tissus. 3° Quant au développement des
artères
collatérales, et surtout des sous-clavières et de
lation des caillots* tout-à-fait semblable à celle des anévrysmes des
artères
» Sac formé par les parois du cœur amincies et alt
développement de vaisseaux. Comme dans les poches anévrysmales des
artères
, les concrétions sanguines du cœur offraient dive
e formation ancienne. De même que, dans les poches anévrysmales des
artères
, on voit souvent la surface adhérente du caillot
de ce travail morbide ? L'anévrysme vrai partiel ou circonscrit des
artères
me paraît jeter un grand jour sur cette question
tion : lorsqu'une partie circonscrite du cylindre crue représente une
artère
devient le siège d'une inflammation aiguë ou chro
résistance des parois artérielles et la force d'impulsion du sang) l'
artère
dont la résistance est encore diminuée de beaucou
up par le fait de l'inflammation ou du travail morbide qui la suit, l'
artère
, dis-je, se dilate dans ce point en tumeur conoïd
sang coagulé forme quelquefois une digue suffisante pour préserver l'
artère
d'une impulsion trop vive et trop soutenue, et al
erver l'artère d'une impulsion trop vive et trop soutenue, et alors l'
artère
présente sur une partie de sa circonférence une e
ot sanguin cohérent. Si, dans cet état de choses, l'inflammation de l'
artère
se dissipe, la brèche est réparée par le caillot
u'à l'autopsie. Mais le plus souvent l'inflammation continuant dans l'
artère
sous un mode ou sous un autre, le caillot salutai
re sous un mode ou sous un autre, le caillot salutaire est décollé, l'
artère
, violemment et brusquement perforée ou bien pro
e à structure complexe constituée par les débris du tissu propre de l'
artère
et par les parties nouvelles accidentellement app
furcation de la base du ventricule droit, les valvules sygmoïdes de l'
artère
pulmonaire et les valvules tricuspides, sont comp
e, mais dépressible ; il est parfaitement régulier. L'exploration des
artères
me donne les résultats suivans : Le doigt, plon
etits chaînons qui glissent rapidement sous le doigt. Auscultées, les
artères
carotides et sous-clavières donnent un bruit de s
st complètement dissipée au bout de huit jours: le pouls reparaît aux
artères
radiales; la malade se croit guérie, et en effet,
avantages qu'on peut retirer de l'exploration du cœur par les grosses
artères
. Les bruits doubles du cœur s'entendent souvent s
reconnaissent beaucoup mieux à l'aide du stéthoscope appliqué sur un
artère
que par l'oreille appliquée sur le sternum, MAL
écanisme est tout-à-fait semblable à celui de l'anévrysme latéral des
artères
. Anévrysme faux partiel du cœur consistant en u
semblable en partie à du lait de chaux, en partie à du pus concret. L'
artère
aorte était parsemée de concrétions phosphatiques
ne couche plus épaisse, qui s'étend en diminuant jusqu'au-devant de l'
artère
pulmonaire. . La figure i présente deux perfora
g. i ne semble l'indiquer ; qu'elle s'est prolongée jusque derrière l'
artère
pulmonaire, de manière à former, entre cette artè
jusque derrière l'artère pulmonaire, de manière à former, entre cette
artère
et l'aorte, un foyer sanguin FS, que le renversem
ette artère et l'aorte, un foyer sanguin FS, que le renversement de l'
artère
pulmonaire a mis en évidence. Du reste, aucune
à quatre et cinq lignes au-dessus du point où elle est croisée par l'
artère
pulmonaire, l'aorte présentait une rupture occupa
part, autour de la crosse aortique, du tronc brachio-céphalique, de l'
artère
sous-clavière droite jusqu'aux premières branches
ite jusqu'aux premières branches collatérales qui en émanent, et de l'
artère
carotide primitive droite dans toute sa longueur;
u côté de son origine. Le décollement s'était en outre continué sur l'
artère
pulmonaire et ses divisions, jusquà la racine d
du poumon et sur l'oreillette droite ; il est à remarquer que, sur l'
artère
pulmonaire et sur l'oreillette, le décollement s'
reste , la quantité de sang épanchée entre la tunique celluleuse des
artères
et les tuniques internes, était très considérable
d'équilibre entre la force d'impulsion du cœur et la résistance de l'
artère
. 11 suit de ce qui précède que l'obliquité du t
présentaient dans leur épaisseur plusieurs points d'ossification; les
artères
sous-clavières, les carotides, les crurales, et l
quel l'influence de l'ossification et par suite du rétrécissement des
artères
, puisse être considérée comme favorisant la ruptu
uée par celle de la formation des caillots purulens des veines et des
artères
. Dans celles-ci comme dans le cœur, c'est toujour
cule droit. — Il était occupé par une masse qui se prolongeait dans l'
artère
pulmonaire : cette masse adhérait mécaniquement
enir aucun renseignement. La figure 2 représente l'orifice OAP de l'
artère
pulmonaire. On voit que cet orifice est singulièr
La fig. 2' représente ce diaphragme étendu horizontalement entre l'
artère
pulmonaire et le ventricule droit ouverts. Il rem
remière idée qui se présente à la vue du diaphragme de l'orifice de l'
artère
pulmonaire, c'est qu'il est le résultat d'un vice
ation entre les ventricules à l'aide d'un trou situé à l'origine de l'
artère
pulmonaire; que dans d'autres cas, comme dans cel
dentiquement les caractères de la fig. i, pl. 4 '• a L'orifice a de l'
artère
pulmonaire, dit Bertin, offrait une cloison horiz
e « comme trois feuillets de papier au moins, présentant du côté de l'
artère
une convexité « que l'on ne peut effacer par la p
la société anatomique (1) un cas de rétrécissement de l'orifice de l'
artère
pulmonaire dans lequel les trois valvules sygmoïd
t trou au milieu de sa hauteur. Le rétrécissement de l'orifice de l'
artère
pulmonaire, lors même quil serait congénial, est
ce nécessaire des efforts redoublés du ventricule pour chasser dans l'
artère
pulmonaire le sang qu'il a reçu : dans tous les c
ar M. Philouze nous avons noté une ampleur considérable, énorme, de l'
artère
pulmonaire et de ses divisions, avec amincissemen
onnel de ses parois; cette dilatation était telle que les coupes de l'
artère
pulmonaire présentaient, dans les incisions faite
comment interpréter cette dilatation ; car, théoriquement parlant, l'
artère
pulmonaire devrait revenir sur elle-même par suit
able dans la circulation pulmonaire, obstacle au passage du sang de l'
artère
dans les veines pulmonaires, dilatation des cavit
evant peu de sang et en transmettant une quantité proportionnelle à l'
artère
aorte, celle-ci est notablement diminuée de calib
idérable qui sépare la valvule tricuspide des valvules sygmoïdes de l'
artère
pulmonaire. MALADIES DU CŒUR 28e Livraison
de toutes XXIXe LIVRAISON. 1 parts par les parties dégénérées. L'
artère
axillaire était saine. La veine axillaire, ouvert
les oreillettes et même avec la portion péricardique de l'aorte, de l'
artère
pulmonaire et de la veine cave supérieure ; non-s
le n'existait en quelque sorte que par sa membrane interne. Quant aux
artères
pulmonaire et aortique, la matière tuberculeuse l
Toute la surface du cœur, la portion péricardique de l'aorte et de l'
artère
pulmonaire étaient recouvertes par une couche pse
ltat d'une inflammation avec oblitération des divisions principales l'
artère
pulmonaire ; mais , dans d'autres cas, l'œdème pa
ces beaucoup plus prononcées que de coutume. Le sillon principal de l'
artère
méningée moyenne était très profond, si bien qu'a
dans son empreinte crânienne et animée du mouvement qu'impriment les
artères
à la masse encéphalique puisse agir sur les os à
u cerveau avec le sang contenu dans l'épaisseur de la protubérance. L'
artère
basilaire et ses rameaux principaux sont sains. N
dans la cavité artérielle par une très large ouverture. La portion d'
artère
dilatée est rugueuse, chagrinée et même ulcérée d
e çà et là des plaques calcaires. Ce cas d'anévrysme vrai partiel des
artères
me paraît devoir être comparé à l'anévrysme vrai
diploé. La table externe avait seule été respectée; les sillons de l'
artère
méningée, moyenne, étaient énormes. Ramollissemen
orps occupe presque la surface du cervelet. Le tronc basilaire, les
artères
vertébrales et cérébelleuses inférieures, présent
nce d'une grande quantité de matières fécales, me paraît normale. Les
artères
utérines étaient ossifiées. Aucune lésion ni dans
e. Un grand nombre de tumeurs mélaniques se rencontraient le long des
artères
et veines iliaques primitives, le long des artère
raient le long des artères et veines iliaques primitives, le long des
artères
et veines hypogastriques. Dans l'excavation du ba
re Hfde l'humérus, lequel se terminait par un renflement spongieux. L'
artère
humérale A , la veine humérale V avaient singuliè
rculation générale et qui ne s'injectent ni parles veines, ni par les
artères
. Jamais on ne rencontre d'artères de nouvelle for
ectent ni parles veines, ni par les artères. Jamais on ne rencontre d'
artères
de nouvelle formation dans les tissus accidentels
rmation dans les tissus accidentels. Les changemens que subissent les
artères
ont lieu en dehors de l'altération organique. Ils
lardacée, parsemé de points jaunâtres qui ne sont autre chose que les
artères
, dont les orifices béans décèlent la perméabilité
ndamment de leur disposition qui diffère essentiellement de celle des
artères
et même de celles des vaisseaux lymphatiques, je
dicule, de telle façon que la tumeur semblait sous-péritonéale. Les
artères
utérines étaient complètement ossifiées. Je cro
térisée par une rougeur légère, des fongosités et du pus concret. L'
artère
iliaque interne et plusieurs de ses divisions son
ien d'autres cas la gangrène est-elle indépendante de Fobturation des
artères
? Les symptômes qu'a présentés cette maladie so
s ganglions lymphatiques situés dans le mésentère, ceux qui longent l'
artère
splénique, étaient petits, pénétrés de suc cancér
t facile de prévenir toute hémorrhagie par une ligature jetée sur les
artères
utérines proprement dites et sur les artères utér
e ligature jetée sur les artères utérines proprement dites et sur les
artères
utéro-ovariennes; mais le véritable écueil tient
et l'auricule inférieure gauche OT. On voit encore sur cette figure l'
artère
aorte A du côté droit, l'artère aorte A' du côté
OT. On voit encore sur cette figure l'artère aorte A du côté droit, l'
artère
aorte A' du côté gauche, les veines - caves supér
tricule terminé en cul-de-sac a gauche et duquel partent, à droite, l'
artère
aorte munie de ses trois valvules, et l'artère pu
l partent, à droite, l'artère aorte munie de ses trois valvules, et l'
artère
pulmonaire AP qui n'en avait que deux : cette der
s, et l'artère pulmonaire AP qui n'en avait que deux : cette dernière
artère
est cachée par l'aorte dans la figure. Une cloiso
: i° l'orifice de l'aorte pourvu de trois valvules; 2° l'orifice de l'
artère
pulmonaire qui n'en présente que deux. On peut vo
présentait cette anomalie si commune qui consiste dans l'origine de l'
artère
sous-clavière droite au dessous de la crosse de l
droite au dessous de la crosse de l'aorte et dans le passage de cette
artère
derrière la trachée et l'œsophage. Cavité commu
ent les vestiges de deux cœurs. Un fait curieux, c'est que les deux
artères
pulmonaires n'étaient pourvues que de deux valvul
ION. Sa valeur dans le traitement de la gangrène par oblitération des
artères
. 27* liv., pl. v, p. 6. ANASARQUE. 3e liv., pl.
du cœur chez un fœtus, par suite de l'oblitération de l'orifice de l'
artère
pulmonaire. Mort le cinquième jour de la naissanc
llation des caillots tout-à-fait semblable à celle des anévrysmes des
artères
. Sac formé par les parois du cœur amincies et alt
r et l'anévrysme faux partiel. 22e liv., pl. ni, p. 6.—Anévrysmes des
artères
. 28e liv., pl. 1, n, m, p. — Il y a autre chose q
., pl. 1, n, m, p. — Il y a autre chose que l'altération crétacée des
artères
dans la formation des anévrysmes. 28e liv., pl. 1
lexie pulmonaire. 40e liv., pl. n, ni, p. 4. — Anévrysme latéral de l'
artère
carotide primitive. 40e liv., pl. m, p. G. — Véri
imminente dans la trachée, par suite d'altération des parois de cette
artère
sans dilatation préalable, 3e liv., pl. m et iv,
28e liv., pl. 1, 11, ni, p. 2. — L'aorte, comme d'ailleurs toutes les
artères
, échappe constamment à la dégénération cancéreuse
arsenic el de ceux du choléra. 14e liv., pl. 1,11, m, iv, v, p. 42.
ARTÈRES
. L'arlérile est la cause la plus commune de la ga
imminente dans la trachée par suite d'altération des parois de cette
artère
sans dilatation préalable. 3e liv., pl. m et iv,
cette artère sans dilatation préalable. 3e liv., pl. m et iv, p. 6. —
Artère
pul- monaireàl'étatdevestige. lro liv. pl. vi,
àl'étatdevestige. lro liv. pl. vi, p. /.—Hémorrhagie par érosion de l'
artère
coronaire stomachique. 10e liv., pl. v, vi,p. G.
e coronaire stomachique. 10e liv., pl. v, vi,p. G. — Perforation de l'
artère
splénique, suite d'ulcère simple chronique de l'e
hronique de l'estomac. 10e Ii v., pl. v, vi, p. y.— Inflammation de l'
artère
pulmonaire (veine arlérieuse) ; pneumonie lobulai
ire, suivie de phlébite. 11e liv., pl. 1, 11, m, p. Inflammation de l'
artère
iliaqne interne et de ses divisions. 24e liv., pl
divisions. 24e liv., pl. 1, 11, p. g. —Gangrène par oblitération des
artères
. Observations. Gangrène spontanée de la jambe che
angrène spontanée chez une femme de 81 ans. Oblitération complète des
artères
tibiale, postérieure et pé-ronière. Liberté de la
a d'inhérent à la gangrène spontanée c'est l'oblitération des petites
artères
. 27e liv., pl. v, p. 4. — Dans la gangrène sponta
st pas une conséquence nécessaire de la gangrène par oblitération des
artères
. 27e liv., pl. v, p. 5. — Marche de la maladie; t
digitales de la main gauche. 27e liv., pl. v, p. 8.— Ané-vrysmes des
artères
. 28e liv., pl. 1,11, m, p. — Il y a autre chose q
., pl. 1,11, m, p. — Il y a autre chose que l'altération crétacée des
artères
dans la formation des anévrysmes. 28e liv., pl. r
. 1,11, ni, p. 7.— Avantages de l'exploration du cœur par les grosses
artères
. 39e liv., pl. vi, p. 8. — Ané-vrysme de l'aorte
lexie pulmonaire. 40e liv., pl. n, ni, p. 4. — Anévrysme latéral de l'
artère
carotide primitive. 40e liv., pl. ni, p. 6.— Véri
uppression du pouls. Gangrène des parties envahies. Inflammation de l'
artère
iliaque interne et de ses divisions. Apoplexie ca
mellation des caillots lout-à-fail semblable à celle desanévrysmesdes
artères
.Sac formé par les parois du cœur amincies et alté
., pl. vi, p. 7.— Avantages de l'exploration du cœur- par les grosses
artères
. 39e liv., pl. iv, p. 8. — Hydropéricardite. 40e
mière hémalémèse guérie; deuxième hémalémèse mortelle. Ouverture de l'
artère
coronaire stomachique. 10e liv., pl. v, vi, p. 6.
., pl. v, p.3. — Avantages de l'exploration du cœur par les grosses
artères
. 39e liv., pl. vi, p. 8. EXTIRPATION. Sur l'ext
du cœur, chez un fœtus, par suite de l'oblitération de l'orifice de l'
artère
pulmonaire. Mort le cinquième jour de la naissanc
et organe. 24e liv., pl. 1, n, p. i2. — Gangrène par oblitération des
artères
. = Observations. Gangrène spontanée de la jambe c
angrène spontanée chez une femme de 81 ans. Oblitération complète des
artères
tibiale, postérieure et péronière. Liberté de la
d'inhérent à la gangrène spontanée, c'est l'oblitération des petites
artères
. 27e liv., pl. v, p. 4- — Dans la gangrène sponta
est pas la conséquence nécessaire de la gangrène par oblitération des
artères
. 27e liv., pl. v. p. S. — — Marche de la maladi
v., pl. VI, p. ; 37e liv., pl. n, p 4 ; 39e liv., pl. i, p. i ; — des
artères
. 3e liv., pl. m, iv, p. 4 ; 27eliv., pl. v, p. i;
s cas de prolapsus ulérin. 16p liv., pl. v, p. 4-— L'oblitération des
artères
, assez complète pour qu'il y ait interruption du
loi de l'opium dans le traitement de la gangrène par oblitération des
artères
. 27cliv., pl. v,p. 6. OREILLONS.Terminaison de
. 1,11, p. 6 ; 16e liv., pl. 1 , p. 2. — L'ossiiication des petites
artères
est une cause de gangrène sénile. 27e liv., pl.
nces entre la paralysie nerveuse.et la paralysie par oblitération des
artères
. 27e liv., pl. v, p. 7, io. — Paralysie avec doul
tion du fœtus. 18e liv., pl. vi, ». 4. — La pétrification des petites
artères
est une cause de gangrène sénile. 27e liv., pl. v
edevienne perméable. 11^ liv., pl. 1, n, m, p. 18.— Inflammation de l'
artère
pulmonaire(veine arlérieuse). Pneumonie lobulaire
te vésicale. 30e liv., pl. i, p. i. — Coïncidence de la phlébite de l'
artère
pulmonaire avec la pneumonie. 32e liv., pl. v, p.
Pneumonie avec concrétion sanguine adhérente dans les divisions de l'
artère
pulmonaire. Concrétions sanguines adhérentes dans
eumonie avec concrétions sanguines adhérentes dans les divisions de l'
artère
pulmonaire. Concrétions sanguines adhérentes dans
de la rareté des abcès pulmonaires. = Coïncidence de la phlébite de l'
artère
pulmonaire avec la pneumonie. = Fistule pulmonair
mminente de l'aorte dans la trachée par suite d'altération de celle
artère
sans dilatation préalable. 3e liv., pl. m, iv,
mière hématémèse guérie; deuxième hématémèse mortelle. Ouverture de l'
artère
coronaire stomachique. 10eliv., pl. v, vi, p. 6.
rieure de l'estomac. Hématémèse et déjections sanglantes. Lésion de l'
artère
splénique. = Cicatrices des ulcères de l'estomac.
e des vieillards, est rapportée à la rupture d'anévrysmes des petites
artères
de la substance cérébrale. Ces anévrysmes, dont l
vrysmes qui font l'objet principal de ce travail siègent tous sur des
artères
visibles à l'œil nu, et ont un volume qui peut at
res de M. Cliarcot, i883,p» 69. Note sur une altération des petites
artères
de l'encéphale qui peut être considérée comme la
onstamment défaut sur les parties dilatées et ne reparaissent sur les
artères
qui portent les anévrysmes qu'à une certaine dist
n deçà, soit au delà de la dilatation. Cette altération scléreuse des
artères
de l'encéphale paraît être indépendante de l'athé
tériel ; elle peut, en tous cas, se montrer très accusée sans que les
artères
de la base ou des méninges présentent aucune plaq
smes siégeant sur les petits vaisseaux de la pie-mère ou même sur les
artères
volumineuses de la base et des méninges. Plusieur
usieurs reprises de 1. Gougucnlicim. — Des Tumeurs anévrysmales des
artères
du cerveau. Paris, 1866. 2. Leberl. — Ueber die
uefois considérable, indépendamment de toute lésion athéromateuse des
artères
de la base ou des branches qui se distribuent dan
'accompagne quelquefois d'une sorte d'atrophie des parois des grosses
artères
de la base et de celles des méninges, ce qui leur
apport avec cette altération des parties les plus superficielles de l'
artère
, on observe une altération de la tunique musculeu
beaucoup plus volumineux, disséminés sur des branches importantes des
artères
des méninges, compliquer les anévrysmes miliaires
qui recouvre la préparation, ce sang s'écoule parles deux bouts de l'
artère
ou s'échappe brusquement par une rupture de l'ané
les sont latérales et n'interrompent pas complètement le calibre de l'
artère
. Ces expansions latérales peuvent être pédiciiiée
jaunâtres assez étendues, résultat de ramollissements anciens. Les
artères
de la base sont par places un peu athéroma-teuses
s. Les artères de la base sont par places un peu athéroma-teuses. L'
artère
basilairo est tortueuse et présente sur le côlo g
uche de la protubérance une dilatation de la grosseur d'un haricot. L'
artère
sylvienne gauche est également dilatée à son orig
miliaires dans la protubérance et dans la couche optique droite. Les
artères
de la base de l'encéphale sont fortement athéroma
encontre également plusieurs dans l'épaisseur de la protubérance. Les
artères
de la base sont légèrement athéromateuses. Le c
aussi deux petits anévrysmes miliaires sur les circonvolutions. — Les
artères
de la base de l'encéphale n'étaient nullement ath
trouve quelques autres dans les parties saines du tissu cérébral. Les
artères
de la base sont athéromateuses. Le cœur un peu su
ce, les circonvolutions, le centre ovale et fes couches optiques. Les
artères
de la base sont très athéromateuses. Le cœur es
res; on en a coiupté plus de vingt, dont queiques-uns ruptures. — Les
artères
de la base étaient athéromateuses. Obs. XII. Ma
ules; le caillot se poursuit jusque dans le quatrième ventricule. Les
artères
de la base présentent quelques plaques molles, bl
ues anévrysmes miliaires sont constatés dans les circonvolutions. Les
artères
de la base sont très athéromateuses. Le cœur es
ysmes miliaires dans la protubérance et dans les circonvolutions. Les
artères
de la base sont notablement athéromateuses. Le cœ
s anciennes de l'encéphale ; anévrysmes miliaires clans le foyer. Les
artères
de la base sont assez athéromateuses. Le cœur e
ure et supérieure. On ne trouve pas d'anévrysmes dans le cerveau. Les
artères
de la base et les sylviennes sont légèrement athé
res de la base et les sylviennes sont légèrement athéromateuses ; les
artères
cérébelleuses ne le sont pas. Le cœur est hypertr
e très-abondante sur les parois vasculaires proprement dites. — Les
artères
de la base de l'encéphale ne sont nullement athér
pie-mère, nombreux anévrysmes miliaires dans les circonvolutions. Les
artères
de la base et des méninges sont minces, transpare
s duquel se rencontrent un grand nombre d'anévrysmes miliaires. — Les
artères
de la base ne sont nullement athéromateuses. — Le
térieur droit, quatre jours après l'attaque. — Anévrysmes des petites
artères
clans le foyer et dans les corps striés. Pas d'an
foyer et dans les corps striés. Pas d'ancienne lésion encéphalique. —
Artères
de la base très peu altérées. Obs. XXI. Maison
trouve dans les parois du foyer cinq à six anévrysmes miliaires. Les
artères
de la base étaient modérément athéromateuses. O
tres avec la plus grande netteté dans les parois même du foyer. — Les
artères
de la base étaient athéromateuses. Le cœur volu
rotubérance, dans les corps striés et dans les circonvolutions. — Les
artères
de la base sont assez athéromateuses. — Le cœur p
a protubérance et l'on en trouve cinq dans les parois du foyer. — Les
artères
de la base ne sont nullement athéromateuses. Le c
ombreux dont plusieurs ouvertures clans les parois du foyer récent. —
Artères
de la base athéromateuses par points. Le cœur e
plusieurs anévrysmes miliaires dans les parois du foyer récent. — Les
artères
de la base de l'encéphale présentent à peine quel
la gaine, et se trouve en continuité avec le caillot principal. Les
artères
de la base de l'encéphale sont athéromateuses par
rand nombre dans les corps striés au voisinage des deux foyers. — Les
artères
de la base sont minces et transparentes, nullemen
du foyer, soit dans le corps strié, plusieurs anévrysmes des petites
artères
. Les artères de la base offrent de nombreuses pla
it dans le corps strié, plusieurs anévrysmes des petites artères. Les
artères
de la base offrent de nombreuses plaques scléreus
convolutions est parsemée d'anévrysmes miliaires très abondants ; les
artères
de la base sont athéromateuses. Le cœur a son v
ysmes miliaires dans la protubérance et dans les circonvolutions. Les
artères
de la base sont athéromateuses. Le cœur est éno
urs autres points de est hémisphère. Anévrysmes miliaires des petites
artères
. Vaisseaux de la base peu altérés. Obs. XXXIV.
émorrhagie ancienne. Anévrysmes miliaires clans les corps striés. Les
artères
cle la base ne sont nullement athéromateuses. L
tre également dans les deux corps striés et dans la protubérance. Les
artères
de la base de l'encéphale, sont peu athéromateuse
re dans la paroi même du foyer récent du cervelet. Pas d'athérome des
artères
cle la base cle l'encéphale mais épaississement a
la base cle l'encéphale mais épaississement athéromateux notable des
artères
sylviennes et de leurs branches. Une circonvoluti
e centre ovale, dans la protubérance et dans les circonvolutions. Les
artères
de la base sont peu athéromateuses. Les reins s
et et dans les hémisphères, et notamment au voisinage des foyers. Les
artères
de la base sont très peu athéromateuses. Le cœu
res dans le reste de l'encéphale et notamment dans le cervelet. — Les
artères
de la base sont athéromateuses. Le cœur est vol
les circonvolutions, dans la protubérance et dans le cervelet. — Les
artères
delà base ne sont-pas athéromateuses. Le cœur,
s leur épaisseur de nombreux anévrysmes miliaires. Pas d'athérome des
artères
de la base ni de celles de la pie-mère. Le cœur
nvolution du lobe antérieur gauche un petit anévrysme miliaire. Les
artères
de la base sont fortement athéromateuses. L'artèr
e miliaire. Les artères de la base sont fortement athéromateuses. L'
artère
cérébrale postérieure droite est complètement obl
Hémorragie cérébrale. 4 L'autopsie, indépendamment des lésions des
artères
qui se rapportent à la gangrène, montre un foyer
t rencontrés dans les circonvolutions et dans les corps striés. — Les
artères
de la base de l'encéphale sont peu athéromateuses
riés, il y en a aussi dans la protubérance et dans le cervelet. Les
artères
de la base sont peu athéromateuses : la sylvienne
névrysmes dans les deux couches optiques et dans la protubérance. Les
artères
de la base sont minces et ne présentent que quelq
es ; on en rencontre un certain nombre au voisinage des foyers. Les
artères
de la base sont dilatées, flexueuses, à peine mar
aires en nombre considérable disséminés clans tout l'encéphale. Les
artères
cle la base sont très notablement athéromateuses.
iaires clans le cervelet et clans les circonvolutions cérébrales. Les
artères
de la base sont très notablement athéromateuses.
eurs anévrysmes miliaires se rencontrent sur les circonvolutions. Les
artères
de la base sont peu athéromateuses. Le cœur est
noyau blanc du lobe occipital du même côté. — Anévrysmes des petites
artères
, on en trouve une douzaine dont les plus gros son
aine dont les plus gros sont situés dans la protubérance annulaire. —
Artères
cle la base fortement scléreuses et athéromateuse
optique du côté droit. Quantité considérable d'anévrysmes des petites
artères
dans tous les points du cerveau. De plus, nombr
et là. Il n'y a que quelques épaisis-sements scléreux des parois des
artères
de la base de l'encéphale. Obs. LIV. Salpêtrièr
rps strié gauche. Dans le foyer, on trouve trois petits anévrysmes. —
Artères
de la base, basi-laire, carotides et leurs branch
séminés à la surface des circonvolutions et dans leur épaisseur. —Les
artères
de la base étaient athéromateuses, le cœur normal
ans lésions nouvelles le 8 octobre 1867. A Vautopsie, on trouve les
artères
de la base de l'encéphale médiocrement athéromate
sez notable, beaucoup plus que la gauche. La branche postérieure de l'
artère
sylvienne droite est oblitérée, et, en rapport av
du pédoncule cérébral gauche et de la pyramide antérieure gauche. Les
artères
de la base ne sont pas athéromateuses. On trouve
amide antérieure droite et du cordon latéral gauche de la moelle. Les
artères
de la base du cerveau ne sont pas athéromateuses.
anévrysme semblable dans le plexus choroïde du ventricule gauche. Les
artères
de la base ne sont presque pas athéromateuses. Le
e. On trouve quelques anévrysmes miliaires des circonvolutions. Les
artères
de la base sont peu athéromateuses; le cœur est v
le malade fait une chute, s'ouvre un rameau de la temporale droite, l'
artère
est liée mais un érysipèle se déclare, et il meur
t dures, cassantes et offrent les mêmes dilatations anévrysmales. Les
artères
de la base présentent quelques plaques d'athérome
parties du cerveau et du cervelet plusieurs anévrysmes miliaires. Les
artères
de la base sont athéromateuses, le ventricule gau
oit, en rapport avec une obstruction par thrombose d'une branche de l'
artère
ciliaire athéromateuse. On a rencontré au voisina
contré au voisinage du foyer hémorrhagique un anévrysme miliaire. Les
artères
de la base étaient très athéromateuses. Le cœur
ires dans la protubérance et dans les circonvolutions cérébrales. Les
artères
de la base sont très peu athéromateuses. Le cœu
ysmes sont également trouvés dans l'épaisseur de la protubérance. Les
artères
de la base sont fortement athéromateuses. Il y
sme miliaire; on en trouve un autre dans une des circonvolutions. Les
artères
de la base présentaient à peine quelques taches a
émisphère droit, et plus de soixante dix sur l'hémisphère gauche. Les
artères
de la base sont très athéromateuses, le cœur est
de ce foyer. On découvre deux autres anévrysmes dans le cervelet. Les
artères
de la base sont légèrement athéromateuses. Le c
M. Decornièrcs, interne du service. Encéphale : poids, 1290 gr. Les
artères
de la base sont athéromateuses. Le côté droit del
ns les deux hémisphères; dans le foyer, plusieurs étaient rompus. Les
artères
de la base sont très légèrement athéromateuses.
brale. A Vautopsie, on a trouvé de nombreux anévrysmes miliaires. Les
artères
de la base n'étaient nullement athéromateuses.
g. — La substance cérébrate autour du foyer n'était point ramolfie. L'
artère
basilaire était çà et là couverte de plaques blan
chl a trait à un homme de 47 ans, mort le 7 juillet 1862. Les petites
artères
de la protubérance présentaient des dilatations a
a protubérance ayant fait irruption dans le quatrième ventricule. Les
artères
cérébrales étaient très athéromateuses. Le cœur é
icules latéraux et une hérnorrhagie du corps strié droit. Les grosses
artères
étaient athéromateuses ; le cœur jaunâtre, friabl
orrhagie?) dans les lobes frontaux. — Nombreux anévrysmes des petites
artères
(couches corticales et noyaux blancs des hémisphè
rance). — Altération scléreuse et athéromateuse très considérable des
artères
de la base et de leurs branches. Qu'elles résul
ale d'un sujet qui présentait des anévrysmes assez volumineux sur les
artères
méningées, et des néo-membranes épaisses et très
s'y rencontrer, mais en bien moindre fréquence. Ainsi Yathrérome des
artères
de l'encéphale auquel on a accordé une importance
e, n'occupe plus le premier rang dans notre statistique. L'état des
artères
de la base a été noté 69 fois. Sur ce nombre,les
L'état des artères de la base a été noté 69 fois. Sur ce nombre,les
artères
n'étaient nullement athéromateuses 15 fois, soit
is de dire que les sujets qui meurent d'hémorrhagie cérébrale ont les
artères
de l'encéphale non athéromateuse dans plus du qua
es trois quarts des cas. Cette fréquence de l'intégrité apparente des
artères
de l'encéphale chez les sujets qui offrent des fo
qui avait réuni 32 observations d'hémorrhagie cérébrale où l'état des
artères
de la base était indiqué, a trouvé qu'elles étaie
'avaient pas été recherchés, nous avions trouvé autrefois (2) que les
artères
paraissaient saines 18 fois pour 100. La proporti
18 fois pour 100. La proportion des cas ou l'athérome manque dans les
artères
cérébrales des sujets qui ont été frappés d'hémor
rveau n'est pas malade. Chez les individus âgés de plus de 60 ans,les
artères
seraient exemptes d'athérome 28 fois sur 100, d'a
. Chez les gens qui succombent à l'apoplexie sanguine, l'athérome des
artères
cérébrales manque 22 fois sur 100. La différence,
circonvolution sphénoïdale du côté droit. Thrombose cachectique de Y
artère
sylvienne sans athérome; cancer utérin. Début a
obe occipital droit. — Oblitération fibrineuse et athéroma-teuse de l'
artère
cérébrale postérieure correspondante. Hémiplégie
llissement récent de l'hémisphère droit. — Thrombose et athérome de l'
artère
sylvienne. — Hémiplégie ancienne incomplète à dro
produites par l'embolie artérielle, par l'athérome, la thrombose des
artères
, ou par la thrombose des sinus, dans tous les cas
matin; le soir, 11°,8. La mort survient dans la nuit. Autopsie. Les
artères
qui forment l'hexagone présentent de nombreuses p
et d'une coloration plus rosée qu'à l'état normal. — Le calibre de l'
artère
sylvienne droite, déjà singulièrement ré tréci
un thrombus décoloré et adhérent.Deux brandies postérieures de cette
artère
, qui se dirigent vers le foyer de ramollissement,
a donc à la fois hypertrophie et anémie de l'hémisphère droit. — Les
artères
de la base sont remarquablement saines et exempte
te gauche, et se prolongent dans les gros vaisseaux. Encéphale. Les
artères
de la base présentent à un haut degré les altérat
et consistant qui s'est formé au niveau d'un point où le calibre de l'
artère
est rétréci déjà par un noyau athéromateux. Sur l
é du lobe pariétal. Hémisphère du côté opposé tout à fait normal. Les
artères
de la base de l'encéphale et leurs principales di
HES PLANCHE I. Fig. 1. — Lésions de la périartérite diffuse. A,
Artère
dont les fibres musculaires sont raréfiées sans s
iées sans substitution graisseuse B, Une des branches de cette môme
artère
qui a pris l'apparence fibroïde. C, Gaîne lymph
l'adventice se multiplient et que le vaisseau se dilate. Fig. 2. —
Artère
cérébrale moyenne. B, Artère de la couche optiq
que le vaisseau se dilate. Fig. 2. — Artère cérébrale moyenne. B,
Artère
de la couche optique. C, Un anévrysme miliaire
issement du cerveau. Pages I. Note sur une altération des petites
artères
de l'encéphale qui peut être considérée comme l
étiologie, p. 206, — physiologie pathologique, p. 208. Athérome des
artères
cérébrales cause d'hémorrhagie cérébrale, p. 70;
ntra-méningée, p. 102. HÉMOimHAGiE cérébrale, altération des petits
artères
de l'encéphale comme cause de 1' —, p. 3; — pa-tl
ens sans — récente, p. 48; — cas anciens d' —, p. 65, — alliérome des
artères
cérébrales, cause de r —, p. 70: —? hypertrophie
blottement qu'éprouve dans la main, par le seul fait du battement des
artères
, une masse de liquide, et d'une autre part n'ait
l'interception du cours du sang, soit dans les veines, soit dans les
artères
, a pour résultat leur obturation complète. Il fau
he de son extrémité supérieure quelques filets qui se dirigent vers l'
artère
carotide AC, et d'autres qui vont se rendre à la
avec la tumeur 3G, ganglion cervical inférieur en partie masqué par l'
artère
vertébrale AV et l'artère sous-clavière ASC. Fi
n cervical inférieur en partie masqué par l'artère vertébrale AV et l'
artère
sous-clavière ASC. Fig. 2 et 3. La figure 1, qu
paire elle-même, par cinq ou six filets qui passaient au-devant de l'
artère
vertébrale. Cette disposition n'a pu être figurée
s de manière à ce qu'on aperçoive sa face postérieure tout entière, l'
artère
vertébrale et la sous-clavière étant alors rejeté
inaire3 des nerfs cardiaques très-volumineux ne, ne, qui embrassent l'
artère
sous-clavière, et les nombreux rameaux de communi
. 6. VICES DE CONFORMATION. Planche I. VICES DE CONFORMATION.
Artère
pulmonaire a l'état de vestige. — Plusieurs artèr
DE CONFORMATION. Artère pulmonaire a l'état de vestige. — Plusieurs
artères
se rendent de l'aorte aux poumons. — Système vein
bien difficile de deviner ce qui était : une injection poussée par l'
artère
carotide gauche a rempli tout le système circulat
e par l'artère carotide gauche a rempli tout le système circulatoire,
artères
et veines; elle est revenue par la bouche et les
C (fig. i ), examiné à l'extérieur, paraissait dans l'état normal. L'
artère
aorte A A présente sa crosse à droite au lieu de
r la recevoir. Le tronc brachio-céphalique BC la remplace à gauche. L'
artère
pulmonaire AP existe seulement à l'état de vestig
être chez les fœtus à terme. Fig. 3. Le défaut de développement des
artères
et des veines pulmonaires coïncidait avec une aut
naires coïncidait avec une autre disposition bien remarquable : trois
artères
naissaient de divers points de l'aorte pour se re
e même que sur les autres figures, est renversé. On voit une première
artère
AA naître de l'aorte immédiatement au-dessous de
rendre dans l'épaisseur du poumon, près de son sommet ; une deuxième
artère
AOE naître du milieu de l'aorte thoracique, monte
meaux, et venir se rendre au lobe inférieur du poumon ; une troisième
artère
AD naître de la partie supérieure de l'aorte abdo
dans tout son jour O, fig. S". Dans ces deux figures, on voit aussi l'
artère
pulmonaire AP au moment où elle contourne l'aorte
u'une imperforation du rectum avec trajet fistuleux congénial, et une
artère
pulmonaire atrophiée avec un nouveau système de v
ent d'un conduit nouveau, de même le rétrécissement considérable de l'
artère
pulmonaire a nécessité des vaisseaux supplémentai
oins admettre qu'une cause quelconque ait rétréci, presque oblitéré l'
artère
pulmonaire, supprimé le canal artériel ; que l'ao
mammifères, homme), ne reçoit qu'un petit filet de sang veineux par l'
artère
pulmonaire rétrécie, analogue sous ce rapport au
circulation générale. Enfin l'aorte fournissait aux poumons plusieurs
artères
qu'on peut considérer comme des artères branchial
nissait aux poumons plusieurs artères qu'on peut considérer comme des
artères
branchiales, avec cette différence que les branch
sang de toutes les parties du corps ; tandis qu'ici les très-petites
artères
aorti eo-pu 1 mon aires ne portaient au poumon qu
régulariser la circulation pulmonaire. Du reste, on peut regarder les
artères
nées de l'aorte et se rendant aux poumons comme d
arder les artères nées de l'aorte et se rendant aux poumons comme des
artères
pulmonaires accessoires, dont Meckel a rapporté p
i-tatey page i55. Il est vrai que, dans les cas cités par Meckel, les
artères
qui de l'aorte se portaient aux poumons, naissaie
hn ne lui parut être autre chose que le tissu cellulaire qui unit les
artères
, les veines et les nerfs. Suivant Mascagni, les v
r droit était également atrophié d'une manière notable ; aussi bien l'
artère
iliaque primitive droite à peine était-elle la mo
n l'artère iliaque primitive droite à peine était-elle la moitié de l'
artère
iliaque primitive gauche. La main droite MD, re
he; il n'y avait que vestige du rein droit. La capsule surrénale et l'
artère
capsulaire moyenne étaient plus développées que l
l'artère capsulaire moyenne étaient plus développées que le rein et l'
artère
rénale. La figure 7 représente l'extrémité supé
'état des parties molles. Une injection assez ténue fut poussée par l'
artère
poplitée : toutes les parties molles et dures, ar
t poussée par l'artère poplitée : toutes les parties molles et dures,
artères
, veines, nerfs, aponévroses, muscles, ligamens, c
ement grêles, on eût dit qu'ils étaient réduits à leur névrilème. Les
artères
jambières n'avaient pas la moitié du calibre qu'e
aient pas la moitié du calibre qu'elles ont habituellement, et aucune
artère
musculaire ne se trouva injectée. Les veines avai
'ordre de vaisseaux affecté dans l'apoplexie pulmonaire ? Sont-ce les
artères
, sont-cc les veines ? Ici se présente une difficu
lus que dans les foyers apoplectiques des autres organes, le rôle des
artères
et des veines étant changé, sous le rapport de la
cation d'une des lois qui président à la formation des anévrysmes des
artères
. Un petit foyer purulent s'établit dans l'épaisse
. Un petit foyer purulent s'établit dans l'épaisseur des parois d'une
artère
; ce petit foyer s'ouvre au dedans du vaisseau, le
tériels qui seuls avaient échappé à la putréfaction ; trois ou quatre
artères
rameuses servaient de pédicule au lambeau princip
re à laquelle lé malade avait succombé, et un stylet introduit dans l'
artère
AR (fig. 2) a pénétré sans aucun obstacle dans le
s'échappait par les orifices des bronches divisés ( fig. 1 et 2 ). L'
artère
pulmonaire présentait dans son tronc et dans tout
s de petites plaques saillantes, qui ont été exactement rendues sur l'
artère
ouverte AO (fig. 3 ). Ces petites plaques étaient
nglement, une constriction quel-conqu es ; soit par l'obstruction des
artères
principales et collatérales ; soit enfin par cell
écouler par les veines. L'artérite ou bien l'oblitération des petites
artères
par des concrétions phosphatiques est la cause la
: A juvantibus et lœdentibus. 3e. Livraison. Pl. 3. MALADIES DES
ARTÈRES
. (Anévrisme de la Crosse de l'Aorte.) MALADIES
DIES DES ARTÈRES. (Anévrisme de la Crosse de l'Aorte.) MALADIES DES
ARTÈRES
. Anévrysme de la crosse de r aorte saillant au
ternale de la tumeur TA, du bas de laquelle naissaient à gauche trois
artères
, la sous-clavière, la vertébrale et la carotide,
a tumeur anévrysmale TA, on voyait naître au-dessous de l'origine des
artères
sous-clavière, vertébrale et carotide gauches, un
ent remplies de concrétions sanguines. Au-dessous de l'origine de l'
artère
sous-clavière gauche, l'aorte se dilatait en ampo
poule AT), entre l'origine du tronc brachio-céphalique et celle des
artères
carotide primitive, vertébrale et sous-clavière g
lle-même. Elles avaient la couleur jaunâtre de la membrane propre des
artères
, d'où L'opinion de la reproduction du tissu artér
erin et brun-jaunâtre qui est le propre des foyers apoplectiques. L'
artère
carotide primitive gauche naissait de la poche an
très-dense, intimement unie aux parois artérielles : les orifices des
artères
vertébrale, sous-clavière gauches, et brachio-cép
oitié, du double, alors à chaque contraction du ventricule gauche les
artères
sont portées au-delà de leur extensibilité nature
un anévrysme de la carotide : la dilatation s'étend plus rarement aux
artères
carotide primitive et sous-clavière gauches. Le p
rielle sans hypertrophie du cœur; 3e. Livraison, Pl. maladies des
artères
Anévrisme de la crosse de l'aorte. - Erosion et
r ainsi dire sur ce point ou sur ces points; alors les membranes de l'
artère
sont attaquées; elles le sont de deux manières, o
illent entre deux plaques ossiformes. Tout le temps que le tissu de l'
artère
n'est pas entamé, il n'y a pas de caillots ; mais
de la crosse entre l'origine du tronc brachio-céphalique et celle des
artères
carotide primitive et sous-clavière gauches ; 3°
quefois au milieu d'elles à une assez grande distance des parois de l'
artère
, voilà bien des circonstances qui ont pu faire pe
tivement à l'inflammation des parois. Il arrive assez souvent que les
artères
et l'aorte en particulier se rompent sans dilatat
concavité, et qu'il a été impossible de figurer ici, naissaient d'une
artère
non dilatée, mais parsemée de plaques ossiformes
mminente dans la trachée par suite d'altération des parois de cette
artère
sans dilatation préalable (*). (planche iv, iii
ammation ; ce n'est en aucune manière une déchirure toute mécanique d'
artères
altérées dans leur texture, comme dans beaucoup d
er à la loupe, sont oblitérés par une matière blanchâtre. Sont-ce des
artères
, sont-ce des veines? L'analogie déduite des cance
eur couleur et leur épaisseur , me portent à admettre que ce sont des
artères
; les veines m'ont paru l'élément organique qui e
. La malade succomba au bout de six jours. A l'ouverture, on trouva l'
artère
iliaque primitive et ses divisions (du côté du me
crétions sanguines à la manière de ce qui a lieu dans l'artérite. Les
artères
radiales n'existaient point ; elles étaient rempl
coagulation du sang comme le premier effet de Vinflammation dans les
artères
de même que dans les veines, dans les capillaires
formé par un certain nombre de kystes d'inégal volume. On y voit une
artère
, une veine rénale et un uretère. Pas le moindre v
er par un cordon fibreux dans le renflement considérable GN. AA est l'
artère
axiilaire qui se termine dans le même renflement
xemple remarquable. On trouve la raison de cette hémorrhagie dans une
artère
plus ou moins volumineuse ouverte au fond d'une u
c herniaire SO. La fig. 2' représente les rapports de la veine et des
artères
ombilicales avec le sac herniaire. L'enfant éta
eulement du brachial antérieur, mais encore du tendon du biceps, de l'
artère
brachiale, des veines brachiales, du nerf médian,
la malade, une hémorrhagie foudroyante, causée par la déchirure de l'
artère
humérale, venait de cesser spontanément à la suit
les cavités gauches comme dans les cavités droites du cœur, dans les
artères
comme dans les veines ; en un mot, tous les carac
parmi les faits que j'ai pu recueillir à cet égard, je ne vois que l'
artère
coronaire stoma-ch ique et l'artère splénique qui
lir à cet égard, je ne vois que l'artère coronaire stoma-ch ique et l'
artère
splénique qui aient donné lieu à une hémorrhagie
qui aient donné lieu à une hémorrhagie mortelle. Les connexions de l'
artère
splénique avec la paroi postérieure de l'estomac,
t après, Xe LIVRAISON. 2 région expliquent comment cette dernière
artère
peut être envahie par l'ulcération, bien qu'elle
s partie du cercle artériel gastrique; et tel est le calibre de cette
artère
, que sa lésion ne peut pas ne pas être suivie d'u
peut-être même toujours mortelle. Le calibre moins considérable de l'
artère
coronaire stomachique doit souvent permettre son
es exemples d'ulcères chroniques de l'estomac avec lésion tantôt de l'
artère
coronaire stomachique et tantôt de l'artère splén
c avec lésion tantôt de l'artère coronaire stomachique et tantôt de l'
artère
splénique. Ulcère occupant la petite courbure d
hématémèse guérie ; deuxième héma-témèse mortelle (*). Ouverture de l'
artère
coronaire stomachique. Petit, âgé de vingt-neuf
levait un caillot de sang en forme de mamelon; un stylet porté dans l'
artère
coronaire stomachique et dirigé de l'origine vers
e le centre de la cicatrice s étant ulcéré à la suite d'un malaise, l'
artère
coronaire stomachique qui n'avait pas été oblitér
ettre que la première hémorrhagie a été produite par une branche de l'
artère
coronaire stomachique, tandis que la seconde est
nde est due à la lésion du tronc lui-même. Il est singulier de voir l'
artère
seule intéressée par une ulcération nouvelle (*
faite. Dans l'observation suivante, l'hémorrhagie a été fournie par l'
artère
splénique. Ulcère occupant la paroi postérieure
ieure de Vestomac. Hématémèse et déjections sanglantes. Lésion de U
artère
splénique. Un portier, âgé de cinquante-six ans
cet ulcère ; on y voyait l'orifice béant d'un vaisseau AP ; c'était l'
artère
splénique. Cicatrices des ulcères de F estomac.
etit foyer d'inflammation. Le mercure occupait les ramifications de l'
artère
pulmonaire qui, comme on sait, remplit les foncti
e la circulation : i° l'injection directe dans les veines ou dans les
artères
; i° l'attraction exercée par une veine béante; 3°
rni par un hasard assez singulier. Voulant découvrir sur un cadavre l'
artère
fémorale au tiers moyen de la cuisse, et soulevan
ccupait le tiers moyen de la cuisse. Voulant étudier la position de l'
artère
et de la veine fémorales par rapport au foyer, je
l'artère et de la veine fémorales par rapport au foyer, je vis que l'
artère
était peu volumineuse à ce niveau, mais saine; ne
raverser le grand adducteur. Le tissu cellulaire qui l'unissait à l'
artère
était dense et fragile, et ces deux caractères se
re n'existait que dans la portion de ses parois qui est accolée à l'
artère
. Plus bas, au milieu d'un autre foyer, la veine p
e), des inflammations des principales divisions et du tronc même de l'
artère
pulmonaire, qui, comme on le sait, charrie du san
. i, pl. 2, xie livr., fournira un exemple de cette inflammation de l'
artère
pulmonaire. 11e. Livraison. Pl. 2. MALADIES D
je rencontre des concrétions dures qui remplissent les divisions de l'
artère
pulmonaire AP. Cette artère, disséquée avec soin,
dures qui remplissent les divisions de l'artère pulmonaire AP. Cette
artère
, disséquée avec soin, m'a offert une concrétion s
adhérente aux parois, concrétion qui va se divisant à la manière de l'
artère
, et pénètre jusque dans un certain nombre de rami
es foyers inflammatoires de la base du poumon, et l'inflammation de l'
artère
pulmonaire et de ses divisions. Je suis fondé, d'
hlébite capillaire du poumon ne se fût pas jointe l'inflammation de l'
artère
pulmonaire L'œdème aigu que présentait la moitié
emière fois que j'observe des concrétions dans les ramifications de l'
artère
pulmonaire. Je les ai rencontrées dans un certain
itié ou les deux tiers du poumon. Plus souvent ces inflammations de l'
artère
coïncident avec l'inflammation lobulaire. Le fa
de concrétions fibrineuses : ces vaisseaux étaient les divisions de l'
artère
pulmonaire droite. Les concrétions blanches et pl
de pus à leur centre allaient se divisant et se subdivisant comme ces
artères
, jusqu'à ce qu'enfin elles devinssent rouges et à
écolorée qui remplit en y adhérant une division considérable BAP de l'
artère
pulmonaire. Ces lésions viscérales constatées,
que la vascularité; on ignore complètement si ce sont des veines, des
artères
, des vaisseaux lymphatiques, ou bien des vaisseau
cer à la région cervicale antérieure : l'injection, poussée par les
artères
, colora la tumeur cancéreuse; l'injection, poussé
outes les fois qu'une irritation chronique a lieu dans un organe, les
artères
prennent un arrangement proportionnel. J'ai vu, d
cquérir le calibre de la radiale : mais de ce grand développement des
artères
s'ensuit-il que les veines ne soient pas l'élémen
énétrer dans des veines malades et pleines de matière cancéreuse; les
artères
étant dans leur état d'intégrité, ont dû être per
plus las au lever qu'au coucher ; le malade entend battre toutes les
artères
de la tête, et croit que c'est ce battement qui s
ïdes, qui donnaient à cette succession de canaux un aspect bosselé. L'
artère
hépatique AH embrasse le canal cholédoque par que
ecouvre les organes circonvoisins : le développement considérable des
artères
, le développement plus considérable encore des v
able, doit redevenir ce qu'il était primitivement, et que ses grosses
artères
,ses énormes vaisseaux lymphatiques et veineux doi
reins, les veines rénales VR, VR, l'aorte A A, la veine cave VC, les
artères
iliaques primitives AIP, l'artère mésentérique in
l'aorte A A, la veine cave VC, les artères iliaques primitives AIP, l'
artère
mésentérique inférieure AMI, le rectum R*qui sont
outtes de sang contenues dans le vaisseau; bien plus, la section de l'
artère
brachiale, pratiquée par plusieurs chirurgiens, n
sont très petits; vessie contractée; tous les vaisseaux abdominaux*
artères
et veines, sont remplis d'un sang noir. Les autre
s haut degré, car il y a effacement complet de la cavité. Les grosses
artères
sont pleines de sang liquide, les petites artères
cavité. Les grosses artères sont pleines de sang liquide, les petites
artères
n'en contiennent pas du tout ; le système veineux
é de l'artériotomie ; mais j'ai connaissance de faits dans lesquels l'
artère
brachiale , coupée en travers , n'a donné que que
u cœur, chez un foetus, par suite de V oblitération de V orifice de 1
artère
pulmonaire. Mort le cinquième jour de la naissanc
s flottantes occupaient le bord libre de la valvule. L'orifice de l'
artère
pulmonaire était complètement oblitéré; l'artère
le. L'orifice de l'artère pulmonaire était complètement oblitéré; l'
artère
pulmonaire et ses divisions étaient d'ailleurs da
te, l'origine des autres paires de nerfs n'a pas été déterminée). Les
artères
vertébrales exis-)) taient : la moelle épinière n
exclusivement propre aux veines; on l'observe encore dans les petites
artères
hypertrophiées. Lorsque la dilatation a lieu un
rt,en avant, un prolongement infundibuliforme qui donne naissance à l'
artère
pulmonaire. (1) La crosse de l'aorte présente d
poches anévrysmales. Cette même tumeur proémine dans l'intérieur de l'
artère
pulmonaire A P, immédiatement au-dessus des valvu
lmonaire A P, immédiatement au-dessus des valvules sigmoïdes de cette
artère
V S, V S. D'après cette disposition, on conçoit l
ssibilité de l'ouverture de la tumeur anévrysmale dans la cavité de l'
artère
pulmonaire. La fig. 2 représente la partie asce
trop impétueux du sang contre les parois artérielles, attendu que les
artères
n'augmentent pas de résistance en proportion de l
ne crosse aortique dilatée communiquent largement avec la cavité de l'
artère
; le mécanisme de leur formation ne présente aucun
ne présente aucune difficulté. Supposons que, sur les parois de cette
artère
dilatée, il se rencontre un, deux points moins ré
ie. Les calices et le bassinet étaient remplis par la même matière. L'
artère
rénale et ses divisions étaient vides et dans l'é
t le pavillon P T répond à l'extrémité interne de ce kyste et par les
artères
ovariques A O, qui sont très flexueuses. L'utér
La fig. 4 représente les ganglions inguinaux profonds qui entourent l'
artère
crurale AC et la veine crurale VC. Ces ganglions
'au premier abord je pus le prendre pour le duodénum. La veine et l'
artère
spléniques étaient situées immédiatement au desso
léniques étaient situées immédiatement au dessous de la cicatrice ; l'
artère
splénique avait été érodée et c'est à cette érosi
détacher, avait prévenu toute hémorrhagie nouvelle. Sur la figure, l'
artère
splénique AO, est représentée ouverte dans toute
ncer mélanique. Considérations et observations........ Maladies des
artères
. Anévrysme de la crosse de l'aorte saillant au de
l'aorte. Observations et réflexions...... --Vices de conformation.
Artère
pulmonaire à l'état de vestige; plusieurs artèr
s de conformation. Artère pulmonaire à l'état de vestige; plusieurs
artères
sí rendent de l'aorte aux poumons ; système veine
oids total de l'encéphale : 770 gr. Pas d'injection de la pie-mère.
Artères
de la base, chiasma, tubercules mamillaires, pé
tômes excluent toute conclusion. M. Reinhardt, vu l'athéromasie des
artères
cérébrales, pense qu'une série de poussées exsu
elir, la coloration était partout homogène excepté au pourtour de l'
artère
sylvienne où l'on trouvait un début de suppurat
cte nucléaire. L'ophthalmoscope lui mon traies vaisseaux, veines et
artères
d'une teinte fort claire, différant fort peu de
elle du fond de l'oeil, si bien que l'on pouvait à peine suivre les
artères
, et un peu mieux les veines larges, mais non flex
o-rachidien. Dans notre mémoire sur le bulbe, nous avons divisé les
artères
nourricières en artères médianes ou artères des
mémoire sur le bulbe, nous avons divisé les artères nourricières en
artères
médianes ou artères des noyaux bulbaires, et en
, nous avons divisé les artères nourricières en artères médianes ou
artères
des noyaux bulbaires, et en artères radiculaire
ricières en artères médianes ou artères des noyaux bulbaires, et en
artères
radiculaires. Les premières occupent le sillon
: elles arrivent ainsi jusqu'aux noyaux. Il en est de même pour les
artères
nourricières de la moelle : les unes sont média
sont médianes, les autres radiculaires... Il y a dans la moelle des
artères
médianes antérieures et postérieures et des art
la moelle des artères médianes antérieures et postérieures et des
artères
radiculaires antérieures et postérieures. » M.
de la moelle épinière. Il y a bientôt neuf ans. (Voy.,yVo/e' les
artères
nourricières et sur les vaisseaux capillaires de
succincte, mais pourtant complète, l'origine et la distribution des
artères
nourricières de la moelle épinière c'est-à-dire
la première fois, croyons-nous, le trajet et les ramifications des
artères
médianes antérieures et postérieures, des artèr
ramifications des artères médianes antérieures et postérieures, des
artères
radiculaires, des artères périphériques ; nous
médianes antérieures et postérieures, des artères radiculaires, des
artères
périphériques ; nous indiquions la configuratio
e. On sait que ce réseau est alimenté en avant et en dedans par les
artères
médianes ; en avant, par les artères radiculair
n avant et en dedans par les artères médianes ; en avant, par les
artères
radiculaires ; en dehors par des artères périphér
dianes ; en avant, par les artères radiculaires ; en dehors par des
artères
périphériques ; et en arrière par les artères r
s ; en dehors par des artères périphériques ; et en arrière par les
artères
radiculaires postérieures. La corne postérieure
tance grise des cornes postérieures on voit facilement la série des
artères
qui entrent dans la corne pos- térieure ; elles
seaux de la moelle épinière, M. Adamkiewicz s'occupe de l'étude des
artères
qui contribuent à sa formation. Il distingue da
tèmes vasculaires : 1° Le système des vaisseaux centrifuges ou de l'
artère
du sillon, 2° le système des vaisseaux centripè
lon, 2° le système des vaisseaux centripètes dans lequel il place l'
artère
médiane pos- térieure ou (artère de la scissure
centripètes dans lequel il place l'artère médiane pos- térieure ou (
artère
de la scissure, arteraa fissurai, comme il l'ap
eaux périphériques. Pour justifier cette division, il suppose que l'
artère
du sillon antérieur, quand elle a atteint le vo
distribution anatomique un peu trop schématique : les rameaux de l'
artère
du sillon n'irradient pas autour de l'axe central
nc principal est centripète comme revue d'anatomie. 361 celui des
artères
périphériques. Enfin, on devrait comprendre aus
evrait comprendre aussi dans ce système centrifuge les rameaux de l'
artère
de la fissure (artère médiane postérieure) qui,
i dans ce système centrifuge les rameaux de l'artère de la fissure (
artère
médiane postérieure) qui, quoique ténus quand i
l'auteur à une nomen- clature spéciale et difficultueuse : ainsi l'
artère
du sillon médian antérieur s'appelle pour lui a
euse : ainsi l'artère du sillon médian antérieur s'appelle pour lui
artère
du sillon (arteria sulci) ; tandis que l'artère
s'appelle pour lui artère du sillon (arteria sulci) ; tandis que l'
artère
du sillon médian postérieur porte le nom d'artè
; tandis que l'artère du sillon médian postérieur porte le nom d'
artère
de la fissure (arteria fissuroe). Ces deux noms d
sont inutiles : nos dénominations d'ancré médiane antérieure .et X
artère
médiane postérieure sont plus simples, plus en ra
vons adoptée pour le cerveau et pour le bulbe où existent aussi des
artères
médianes ayant une dis- tribution géographique
de le faire remarquer déjà, dans nos travaux, cette disposition des
artères
médianes répond à une loi générale. L'artère du
tte disposition des artères médianes répond à une loi générale. L'
artère
du sillon (ai,leza stilci), selon l'auteur allema
ur des coupes sag ittates, passant par les commissures, on voit les
artères
- après avoir abandonné l'artère spinale s'éche
par les commissures, on voit les artères - après avoir abandonné l'
artère
spinale s'échelonner les unes au- dessus des au
unes au- dessus des autres. (Cette disposition en échelon pour les
artères
médianes a déjà été signalée par nous et figuré
x cent soixante. La description de la distribution des rameaux de l'
artère
du sillon ne diffère pas essentiellement de la
trer dans des détails plus nombreux. Nous disions, en effet : « Les
artères
médianes antérieures parcourent un tra z jet as
leur formation et leur distribution périphérique les branches de l'
artère
du sillon. Il donne le nom aux deux 362 revue d
ux 362 revue d'anatomie. branches qui en naissent immédiatement d'
artères
sulco-commr's- surales. Au moment où les vaisse
semble se bifurquer. Parmi les branches collatérales fournies par l'
artère
sulco-commissurale, deux surtout sont intéres-
'artère sulco-commissurale, deux surtout sont intéres- santes : les
artères
de la colonne de Clarlce, et les branches ascen
longitudinales centrales (ou plus simple- ment, proposons-nous, les
artères
longues anastomotiques cen- li,ales.) Les artèr
oposons-nous, les artères longues anastomotiques cen- li,ales.) Les
artères
de la colonne de Clarke ne se voient que dans l
a colonne de Clarke. Ces branches se détachent de chaque côté des
artères
commissurales et vont par le trajet le plus court
iche réseau anastomotique. Les branches longues anastomotiques de l'
artère
sulco-commissurale montent et des- cendent vert
irement à leur direction. (Voy. 1%ig. IV.) Quelque- fois même, si l'
artère
sulco-commissurale a aussi été coupée perpendic
aires au voisinage du canal central, deux de chaque côté. Par les
artères
longues anastomotiques découvertes par l'auteur a
s entre elles. Après avoir fourni les longues anastomotiques et les
artères
de Clarke, les artères sulco-commissurales se d
oir fourni les longues anastomotiques et les artères de Clarke, les
artères
sulco-commissurales se divisent en branches termi
mé, dit M. Adamkiewicz, voici quel est le champ de distribution des
artères
commissurales : elles fournissent du sang à la
de distribution que nous avions assigné d'une façon sommaire à l'
artère
médiane. La distribution des veines est semblab
rtère médiane. La distribution des veines est semblable à celle des
artères
: les veines du sillon ou veines médianes sont
: les veines du sillon ou veines médianes sont en nombre égal aux
artères
. Elles sont formées par la confluence de veines
omenclature différente. C'est ainsi qu'il décrit : 1° sous le nom d'
artère
de la fissure (arieîia fissurai), notre artère
t : 1° sous le nom d'artère de la fissure (arieîia fissurai), notre
artère
médiane postérieure ; 2° d'arlerl z·ada'cum î)o
sieî,io2,u)2z, d'arlez·i commun postica OS ? 0/'MM ! latérales, nos
artères
radiculaires postérieures : 3o il ne paraît pas c
es postérieures : 3o il ne paraît pas com- prendre l'importance des
artères
radiculaires antérieures, car il ne les dénomme
es dénomme pas, et il les englobe sous la dénomina- tion générale :
artères
périphériques. Quoique d'une brièveté sommaire,
phériques. Quoique d'une brièveté sommaire, notre description des
artères
radiculaires, comparée à celle de l'auteur allema
lle de l'auteur allemand, paraîtra d'ze7e plus grande clarté : «Les
artères
radiculaires an- térieures accompagnent chacun
vent en mailles capillaires. » Et pour la corne postérieure : « Les
artères
radiculaires postérieures sont situées les unes
res en de- dans, les autres en dehors de la racine postérieure. Les
artères
moyennes sont surtout destinées à la corno post
destinées à la corno postérieure et à la substance gélatineuse. Les
artères
externes passent entre les 3C I· REVUE d'anatom
ans. la partie postérieure et externe de la corne antérieure. Les
artères
internes, plus importantes, accompagnent constamm
sous le nom de faisceau radiculaire interne. » C'est à ces trois
artères
(moyenne, interne et externe A.) de la corne post
eure entre le cordon de Goll et le cordon de Burdach, qu'il appelle
artère
121te2,11111é'cizlaiî,e. Ce nom est à conserver
Goll et le faisceau externe des cordons postérieurs. c Parmi les
artères
périphériques des faisceaux blancs, nous distin
des faisceaux blancs, nous distinguions comme l'auteur allemand des
artères
courtes et des artères longues, lorsque nous di
s distinguions comme l'auteur allemand des artères courtes et des
artères
longues, lorsque nous disions : « Les artères pér
rtères courtes et des artères longues, lorsque nous disions : « Les
artères
péri- phériques sont nombreuses, elles pénètren
: deux branches artérielles seules ont échappé à notre examen, les
artères
de la colonne de Clarke, et les artères longues
échappé à notre examen, les artères de la colonne de Clarke, et les
artères
longues anastomotiques internes ; mais, il conv
cette lésion. La présence de vaisseaux abondants dans la ré- gion (
artères
radiculaires internes) vient apporter un nouveau
gie mortelle par perforation du canal carotidien, avec érosion de l'
artère
carotide, de la méningée moyenne, des grands si
triangu-laires contiennent : 1° une ou deux artérioles provenant de l'
artère
hépatique : 2° un ou plusieurs canalicules biliai
n d'après nature; foie du cochon). — e, espace. — i, interstice. — a,
artère
. — v, veine porte. — c, branche du canal hépatiqu
rface de section de la veine porte, celle des rameaux satellites de l'
artère
hépati-que et des canalicules biliaires. En réuni
lisson, une branche de la veine porte, une ou plusieurs branches de l'
artère
hépatique, un canalicule biliaire, des ramificati
r des parois des arterioles (Rindfleiscli), branches termi-nales de l'
artère
hépatique. Les syphilomes miliaires seraient prim
orte, ses bran-ches principales, branches vaginales, canaux portes. —
Artère
hépatique; ra-meaux artériels. — Canaux biliaires
ques qui logent les vais-seaux portes principaux et leurs satellites (
artères
hépatiques, canaux biliaires). On désigne ces gra
ivent être considérées, par rapport aux lobules hépatiques, comme des
artères
terminales en ce sens que, si la circulation étai
on est remarquable quand on se souvient que dans les autres organes à
artères
terminales, — je compare ici la veine porte à une
s organes à artères terminales, — je compare ici la veine porte à une
artère
dont elle remplit pour ainsi dire les fonctions,
le sur ces dernières est tellement riche que, quand une injection des
artères
,, faite, avec une substance rouge, a bien réussi,
es vaisseaux artériels; — c) Le troisième ordre est constitué par des
artères
interlobulaires très petites qui arrivent dans le
injections de Frerichs, faites par les veines sus-hépatiques et par l'
artère
hépatique, dont le tronc est quelquefois dilaté j
um émanant: a) de la veine porte, b) des conduits biliaires, c) des
artères
hépatiques ; 2° par un troncule ; 3° par des capi
, les dernières avec des branches de la veine porte qui répondent aux
artères
dites capsulaires (1). D'où il résulte que, si la
le système lacunaire paraît être en communication très large avec les
artères
hépatiques. Nous avons fait ressortir déjà que, d
ous avons fait ressortir déjà que, d'après M. Frerichs, le tronc de l'
artère
hépatique est, dans la cirrhose vulgaire, parfois
, en poussant les injections à la fois par les veines portes, par les
artères
et les veines sus-hépatiques, on voit : 1° que le
t : 1° que le nombre des vaisseaux du système lacunaire injecté par l'
artère
est souvent plus grand que celui de ces mêmes vai
mêmes vaisseaux injecté par la veine porte : 2° que, par la voie des
artères
, il est possible d'injecter les capillaires dés l
oïde offrant un système vasculaire dans lequel le sang afflue par les
artères
et sort par les voies supplémen-taires qui font c
nètre dans les capillaires intra-lobulaires en partie par la voie des
artères
, en partie par la veine porte, et s'écoule, comme
ntante de Henle.—b) La région du labyrinthe contient à son centre les
artères
interlo-bulaires dont les ramifications latérales
spect de figu-res polygonales. — b, Une des branches principales de l'
artère
rénale séparant les couches mé-dullaire et cortic
ion la plus récente et, à beaucoup d'égards, la plus autorisée. Les
artères
rénales, dans leur parcours entre la substance mé
subs-tance corticale, les autres à la substance médullaire. 1° Les
artères
de la substance corticale naissent perpendi-culai
substance corticale naissent perpendi-culairement à la direction des
artères
rénales et forment les branches interlobulaires ;
ramènent le sang dans les veines interlobulaires qui, parallèles aux
artères
de même nom, vont se jeter dans les veines rénale
artères de même nom, vont se jeter dans les veines rénales. 2° Les
artères
de la substance médullaire proviennent des vasa r
y a deux espèces de vasa recta : les uns prennent leur origine dans l'
artère
rénale elle-même, ainsi que l'ont démontré, après
tations, les travaux de Virchow et de Ludwig; ce sont de véritables
artères
. Les autres (qui, d'après Ludwig, n'au-raient pas
éjà traversé le glomérule. 3° Il existe en outre, dans le rein, des
artères
capsulaires, provenant de celles des artères inte
outre, dans le rein, des artères capsulaires, provenant de celles des
artères
interlobulaires qui ne se sont pas résolues en va
bulaires qui ne se sont pas résolues en vasa afferentia, et enfin des
artères
de prove-nance extra-rénale (phréniques, lombaire
ésions des capsules de Bowmann et des glomérules; — altérations des
artères
. Messieurs, Avant de pénétrer plus avant dans
es 'dia thèse fibroïde]. — Altérations des vaisseaux ; — athérome des
artères
; hémorragies — Lésions de la rétine. 1. Me
oduction de ces hémorragies inlra-encéphaliques . à la friabilité des
artères
et à l'exagération de la tension arté-rielle. Je
amais de la néphrite interstitielle avec albumi-nurie. L'alhérome des
artères
de l'encéphale, au moins des artères d'un certain
vec albumi-nurie. L'alhérome des artères de l'encéphale, au moins des
artères
d'un certain calibre, n'est pas la règle non plus
sans plus de critique, on a rattaché à l'altération athéromaleuse des
artères
les lésions de la rétine, fréquentes dans cette f
s la substance tubuleuse sous le non de vaisseaux droits ; enfin, les
artères
interlobulaires et d'un autre côté les capillaire
le système des glomé-rules, les vaisseaux afférents et efférents, les
artères
inter-lobulaires, modifiés par la dégénération am
use et sans douleurs, diarrhée relevant d'une altération amyloïde des
artères
de l'intestin grêle ; dans ces conditions, il est
uses ou interstitielles du rein relèvent de l'altération amyloïde des
artères
, non plus qu'à établir la physiologie des symptôm
qui proviennent du réseau capillaire reproduisent la disposition des
artères
afférentes du glomérule ; elles vont s'aboucher d
er dans des vei-nes qui, à leur tour, reproduisent la disposition des
artères
intralobulaires. Ces dernières veinules se jetten
t des pinceaux vasculaires qui reproduisent encore la disposition des
artères
droites et occupent dans le lobule la même région
eurs célèbre. Sur un animal vi-vant, on extrait l'un des reins. Par l'
artère
émulgente on in-jecte sous une certaine pression
pareil sécréteur de l'urine chez la couleuvre (d'après Bowmann). — A,
artère
lobulairc ; — a f, artcriole afférente ; — artéri
tème artériel, il est représenté là par des artérioles provenant de l'
artère
ré-nale, véritable artère afférente portant un gl
ésenté là par des artérioles provenant de l'artère ré-nale, véritable
artère
afférente portant un glomérule d'où part, comme c
érente portant un glomérule d'où part, comme chez les mammifères, une
artère
afférente. Celui-ci va se jeter soit dans le syst
ne de l'autre. Si, en effet, chez la grenouille, on lie ou comprime l'
artère
rénale, le sang ne pénètre plus dans le glomérule
le ne sera pas le siège d'une circula-tion en retour par la voie de l'
artère
afférente, le sang trou-vant un écoulement plus f
. Si, sur un chien vivant, on enlève un des reins, et si, à travers l'
artère
principale de ce rein, on fait passer du sang con
pé-riences, due à Overbeck, consiste dans la ligature temporaire de l'
artère
rénale. Les choses sont disposées de telle sorte
résultats analogues ; mais si, avant de faire l'injec-tion, on lie l'
artère
conformément à l'expérience de Nuss-baum, par sui
chez les mammifères. Mais, si, avant l'injection, on a soin de lier l'
artère
rénale, dans ces conditions nouvelles, l'albumine
xutales, car, si, chez le même animal auquel, après la ligature de l'
artère
rénale, cette albumine a été injectée, on vient à
se expérience d'Overbeck, où il s'agit de la ligature temporaire de l'
artère
rénale. La ligature ayant duré quelques minutes s
olue expérimentalement encore chez la grenouille. Après avoir lié l'
artère
rénale, on injecte dans le sang une certaine quan
des canaux du labyrinthe, lesquels cependant, malgré la ligature de l'
artère
, fonctionnent à leur façon, c'est-à-dire en élimi
l'expérience d'Overbeck, consistant dans la ligature temporaire de l'
artère
rénale, l'albuminurie se produit clans les condit
e temporaire, mais complète, on produit un simple rétrécissement de l'
artère
, qu'on augmente ou qu'on diminue à loisir au moye
le système veineux du rein ; très certainement elle diminue dans les
artères
, de telle sorte qu'on peut hésiter sur la ques-ti
e de Gull, où il s'agit de la ligature d'un certain nombre de grosses
artères
, les ré-nales exceptées, ou plus simplement dans
er la compression de l'aorte ab-dominale immédiatement au-dessous des
artères
rénales, la lituation en ce qui concerne les cond
s'élève dans les veines, mais non pas autant qu'elle descend dans les
artères
. Vous savez du reste que, grâce à leur dispositoi
l-les y pénètrent très facilement lorsqu'elles sont poussées dans les
artères
. On peut donc, en pareil cas, se représenter la s
porte, ses branches principales, branches vaginales, canaux portes. —
Artère
hépatique; rameaux artériels. — Canaux biliaires.
lésions des capsules de Bowmann et des glomérules ; — altérations des
artères
.............. 325 CINQUIÈME LEÇON lé rein con
nes [diathèse fibroïde . — Altérations des vaisseaux ; — athérome des
artères
; hémorragies — Lésions de la rétine...........
imentale, 399, 400. Appendice vermiforme (Perforation de F), 212.
Artère
hépatique, 60. — Du rein, 302. — Atherome des —,
icalionsintlam-matoires, 351.— diathèse libro'ide, 352 ; athérome dos
artères
, hémor-ragies, 352 ; —retinite, 354. Rein goutt
i est plus simple, de la pelote qui sert à la compression des petites
artères
de la face. La compression a de bons effets, comb
on en fait l'extraction. Pour arrêter l'hémorragie, la ligature de l'
artère
ophthalmique serait presque toujours impossible;
fendre le voile du palais à quelques millimètres de la luette, où les
artères
ont le moindre volume. Cette section facile à pra
ire de manière à pouvoir comprimer sous la branche de la mâchoire les
artères
maxillaires externes avec les doigts tandis que l
a poitrine d'un aide debout derrière lui et dont un doigt com-prime l'
artère
faciale à son passage sous la mâchoire : de quelq
ies molles, il est nécessaire de faire immédiatement la ligature de l'
artère
faciale qui a été coupée deux fois ; mais plus ba
il s'agit d'abord de se rendre maître de l'hémorragie fournie par les
artères
coronaires, mentonnières et sous-maxillaires; pui
ranches de nerfs qui le côtoient, et de le lier comme on ferait d'une
artère
. Essayé sur des che-vaux sans accidens consécutif
de parotide est traversée : t° dans son grand diamètre vertical par l'
artère
carotide et la veine jugulaire externes qui fourn
l, Eckstrum , Widmcr, ont pris la précaution de lier préala-blement l'
artère
carotide externe; les autres ont pris seulement l
e précaution à prendre est-elle de lier dans une première opération l'
artère
carotide externe, ou au inoins de la mettre à dé-
stoïde on évite ainsi de blesser d'abord le conduit de l'oreille et l'
artère
carotide située plus en dedans. Dès que le bistou
a mâchoire, il faut re-doubler de précautions pour ne point blesser l'
artère
carotide ou ses deux grosses divisions. Quant aux
nt coupées. Dans cette dissec-tion laborieuse , c'est sur les grosses
artères
et sur le nerf facial que doit toujours porter l'
réoccupé ou que l'on a trouvé plus difficile d'éviter le nerf que les
artères
, puisque la paralysie est survenue plus fréquemme
lon antérieur de l'apophyse mas-foïde vers l'angle de la mâchoire ; l'
artère
, et la veine montant parallèlement à cette branch
etit nombre d'hémorragies formidables qui sont survenues, les grosses
artères
étant sen-sibles à leurs hattemens. Par prudence
chirurgien dans la nécessité de pratiquer un fort tamponnement. Les
artères
qui, à part le tronc de la carotide, peuvent être
la langue; le même phénomène supprima l'hémorrhagie fournie par deux
artères
que l'on avait cherchées impunément sans pouvoir
croyons que l'opé-ration devrait être commencée par la ligature de l'
artère
linguale de chaque côté. Avec cette mesure de sûr
par plusieurs chirurgiens (fig. G), de même que pour la ligature des
artères
; mais comme cette manœuvre, à la profondeur du vo
l'amygdale est une condition importante pour éloigner la tumeur de l'
artère
carotide. L'airigne, passant ensuite dans la main
cas, comme dans les hémorrhagies saccadées produites par les petites
artères
, est d'appliquer immédiatement le cautère rougi à
heureux où un chirurgien inexpérimenté ou inattentif au-rait blessé l'
artère
carotide, comme on en a vu des cas cités par Teno
Ce sont : la cautérisation, le séton, la ligature, l'oblitération des
artères
, les incisions et l'extirpation. Cautérisation.
me long-temps encore après leur entière cicatrisation. Ligature des
artères
thyroïdiennes. W. Blizard , au rapport de Burns,
premier l'idée de déterminer l'atrophie du goitre par la ligature des
artères
du corps thyroïde. Les hémor-rhagies réitérées et
té d'opérer, le chirurgien est en droit d'essayer de la liga-ture des
artères
thyroïdiennes, mais en liant pour plus de sécu-ri
artères thyroïdiennes, mais en liant pour plus de sécu-rité, les deux
artères
de chaque côté. Nous ne pouvons que nous rangera
aque côté. Nous ne pouvons que nous rangera cet avis, la ligature des
artères
étant une chance der-nière pour éviter l'extirpat
l était tombé sur une tumeur très vasculaire, reposant sur la trachée
artère
, et se vit contraint de renoncer à l'extirpation,
re de filets du plexus cervical superficiel. Dès que les origines des
artères
thy-roïdiennes peuvent être reconnues, il faut en
t le plexus veineux, on lie en masse ce plexus qui parfois renferme l'
artère
thyroïdienne de Neubauér, et on achève l'ablation
i liquides, les incisions seules pour l'hypertrophie, la ligature des
artères
thyroïdiennes dans l'hypertrophie et les tumeurs
confluent en réseau des fortes veines thyroïdiennes inférieures et l'
artère
thyroïdienne de Neu-bauer, quand elle existe. La
émorrhagie. Nous avons dit qu'en principe, il faut lier les veines et
artères
coupées avant l'incision de la tra-chée. Les nomb
ert, recon-naître au toucher, avec la pulpe de l'indicateur gauche, l'
artère
du même nom, la refouler en haut avec l'ongle, et
s'assurer au toucher, avec l'indicateur gauche, de la situation de l'
artère
crico-thyroïdienne, et la refouler avec l'on-gle
mple , de la trachée (Dupuytren), de l'aorte (Laurencin, Léger), de l'
artère
pulmonaire (Bernest), de la carotide primitive (D
remonter plus haut que l'hyoïde, où le nerf laryngé supérieur et les
artères
linguale et faciale pour-raient être lésés. Quant
er d'attention : en ar-rière se trouve la gaîne des gros vaisseaux, l'
artère
carotide et la veine jugulaire interne, que l'on
nnent : l'ablation du sein, l'arrêt de l'hémorrhagie produite par une
artère
intercos-tale , les ponctions des épanchemens dan
alade. Un aide, placé vers la tête, est chargé de la compression de l'
artère
sous-clavière entre les scalènes. A la rigueur, l
oral. A mesure que l'opération avance, des branches nombreuses, des
artères
thoraciques sont coupées. Il est rare que la comp
régulière de l'opération. Dès que la tumeur est enlevée, on lie les
artères
coupées, puis on procède à l'examen de la surface
éférables. HÉMORRHAGIE D'UNE ARTÈRE INTERCOSTALE. La lésion d'une
artère
intercostale dans les plaies pénétrantes de poitr
e ces derniers à une simple valeur théorique. Les cas de lésion d'une
artère
intercostale les mieux constatés sont ceux rappor
g par la plaie prouve bien que le poumon est lésé, mais non pas que l'
artère
intercostale soit intacte; et, d'un autre côté, l
té, l'absence du même signe ne suffit pas pour prouver la lésion de l'
artère
intercostale et l'intégrité du poumon. Les autres
ressortant au-dessus de la côte, insinuait une tente au-dessous de l'
artère
qu'il s'efforçait de comprimer en étranglant le c
que citer les noms de Theden et de Lœjfler, la section complète de l'
artère
, suivie du tamponnement qu'ils proposent ne mérit
gé. Un pa-reil oubli a été justifiable, tant que la ligature de toute
artère
quelconque a été considérée comme une opération g
cas. Si la plaie est large, et que, par une exception peu probable, l'
artère
étant lésée, la plèvre pariétale néanmoins ne le
ensuite dans le point lésé, ou un peu au-dessus, à la recherche de l'
artère
, dans sa gouttière, sous le bord inférieur de la
e, le faisceau vasculaire en masse, et lier au besoin la veine avec l'
artère
, en se contentant d'écarter le nerf : telles sont
pas, comme on l'a fait, la torsion , qui, vu la difficulté d'isoler l'
artère
, ne nous paraîtrait pas devoir offrir une assez g
hirure spontanée, la situation profonde ou superficielle du vaisseau,
artère
ou veine, qui a donné lieu à l'hémorrhagie intern
che effilée, des pinces et des fils à ligature en cas de lésion d'une
artère
. Méthode par incision. Procédé ordinaire. Le
ouchant auparavant à chaque fois pour s'assurer qu' il n'existe pas d'
artère
d'un certain volume sur le trajet de l'instru-men
t du petit pectoral, en bas du grand oblique et du sterno-pubien. Les
artères
qui s'y trouvent sont : i° verticale-ment à un ce
intercostal et s'anastomose avec l'un des rameaux de terminaison des
artères
intercostales. A l'intérieur de la cavité thoraci
Nous avouons ne rien comprendre à ce procédé, qui expose à blesser l'
artère
mammaire interne et les attaches chondro-xyphoïdi
à gauche , l'S iliacpie du colon ; à droite le ccecum et de plus les
artères
épigastriques. Ainsi, par voie d'exclusion , le l
é en haut par l'ombilic, en bas par la vessie et latéralement par les
artères
épigastriques. Cepen-dant il faut choisir la part
érieure gauche à l'om-bilic. On évite ainsi la vessie et l'utérus , l'
artère
épigastrique qui est en dedans, l'artère iliaque
si la vessie et l'utérus , l'artère épigastrique qui est en dedans, l'
artère
iliaque antérieure et le colon qui sont en dehors
rieure et le colon qui sont en dehors. La crainte de la lésion de l'
artère
épigastrique fait préférer la ligne blanche par l
rhagie, à moins que l'on ait opéré imprudemment dans le voisinage des
artères
, est ordinairement causée par des veines. Il arri
ondeur d'un angle à l'autre comme on le pratique pour la ligature des
artères
. Il remplit alors la plaie de charpie, pour déter
omac, en évitant de trop se rapprocher de la portion splénique où les
artères
d'anastomose de l'un à l'autre bord sont volumine
ui pourtant, avec les nou-veaux procédés de mâchure et de torsion des
artères
, il semble qu'on pourrait, sans trop de danger,
ulaire, ou si l'on veut à une sorte de ligature semblable à celle des
artères
. Cependant, comme ce procédé embrasse une surface
ia transversalis ; 3° qu'il est avoisiné par des vais-seaux, savoir l'
artère
épigastrique et l'ombilicale oblitérée chez l'adu
fice supérieur du canal, et est limitée en dedans par la saillie de l'
artère
épigastrique; c'est par elle que s'enga-gent les
le oblique ou externe; une autre, moyenne, est bornée en dehors par l'
artère
épigas-trique, en dedans par le cordon de l'artèr
ée en dehors par l'artère épigas-trique, en dedans par le cordon de l'
artère
ombilicale; elle donne entrée aux viscères dans l
ns la hernie interne ; la troisième, ou interne, est comprise entre l'
artère
ombilicale et le bord ex-terne du muscle droit de
don testiculaire avec ses élé-mens, c'est-à-dire le canal déférent, l'
artère
et les veines sper-matiques, des vaisseaux lympha
ordon. En outre, le même canal contient encore un rameau envoyé par l'
artère
épigastrique au cordon , un autre fourni par 1 li
endant une telle connaissance est utile pour assigner le rapport de l'
artère
épigastrique avec le collet du sac ; on sait, en
rurgien qui cherche, avant l'opération, à déterminer la position de l'
artère
relativement au collet. Si l'on envisage les en
rit sous le nom d'entonnoir. L'angle externe de l'anneau contient l'
artère
et la veine fémo-rales , la première en dehors et
neau cru-ral doivent être étudiés avec soin. Nous avons déjà vu que l'
artère
et la veine fémorales sont situées dans son angle
liaque par le fascia iliaca. La veine, qui est pla-cée en dedans de l'
artère
, limite en dehors l'ouverture par la-quelle se fo
légèrement en arrière, on diviserait infailli-blement ce vaisseau. L'
artère
épigastrique côtoie de bas en haut la partie exte
s, pour descendre derrière le liga-ment de Gimbernat. Chez l'homme, l'
artère
testiculaire croise obliquement l'épigastrique à
oints du pour-tour de l'anneau crural ; chez la femme, l'absence de l'
artère
tes-ticulaire fait que l'on pourrait débrider en
distribution normale des vaisseaux; mais il n'est pas rare de voir l'
artère
obturatrice, née de l'épigastrique, se porter dan
laquelle pas-senties trois gros troncs sanguins, la veine et les deux
artères
epii servent de communication entre le fœtus et l
le sac et le tégument, la veine située en haut et à gauche, les deux
artères
sur les côtés et en bas; quelquefois disposés rég
nt ils donnent à la tu-meur la forme trilobée; d'autres fois les deux
artères
ombilicales sont réunies d'un même côté, et la ve
n garde contre l'hémorrhagie qui pourrait résulter de l'ouverture des
artères
cpii se rendent à cette partie. Sans doute il n'e
ombreux proposés contre les plaies des intestins. — La blessure d'une
artère
est un accident qui, t. vii. aujourd'hui, est
moins à craindre l'inflammation du péritoine, et si, par malheur, une
artère
était ouverte, le sang versé au dehors, ou tout a
vant du sac. Mais le principal soin du chirurgien consiste à éviter l'
artère
épigastri- M que, et c'est surtout ce précept
s spéciales qui caractérisent, ici l'opération. En se rappelant que l'
artère
en question est tantôt placée sur le côté interne
Boyer ont rapporté des cas d'hémor-rhagie due à la blessure de cette
artère
. Avertis déjà de ce danger, les chirurgiens du de
idement. Mais n'ayant aucune idée fixe sur les rapports nor-maux de l'
artère
avec le col de la hernie, ils n'ont pu raisonner
es, ayant appris que , dans la hernie inguinale oblique ou externe, l'
artère
se trouve en dedans , et qu'elle est au contraire
urs le tranchant du bistouri en haut ; car, en agissant ainsi , que l'
artère
soit placée en dedans ou en dehors, ou même que p
nous dissimu-lons pas cependant qu'il peut se rencontrer des cas où l'
artère
épi-gastrique, offrant une anomalie dans sa direc
idement qui siège dansle scrotum, il n'y a point à se préoccuper de l'
artère
épigastrique. Si la constriction est causée par l
rique. Si la constriction est causée par l'anneau inguinal externe, l'
artère
étant située plus haut et en arrière, on peut, sa
rieur, on pourra encore, en abaissant le sac, être assez éloigné de l'
artère
pour que celle-ci soit préservée. Le seul cas r
s les fois que le chirurgien conserve des doutes sur la position de l'
artère
, il doit éviter de faire une seule incision éten
inale ordinaire. Le débridement exposant à la blessure de plusieurs
artères
, on a beaucoup discuté sur la direction à donner
férer le bistouri aux ciseaux pour faire ces-ser la constriction. Les
artères
à éviter sont en dehors et en haut, l'épigastriqu
dehors, les vaisseaux iliaques, en haut et en dedans chez l'homme, l'
artère
testiculaire. On com-prend par conséquent pourquo
en divisant les tissus de l'intérieur à l'extérieur. La ra-cine de l'
artère
épigastrique est assez profonde pour qu'il n'y ai
mort arriva par suite d'une hémorrhagie cau-sée par la blessure de l'
artère
testiculaire , il fit voir qu'il est fort diffici
est fort difficile de diviser en haut et en dedans sans couper cette
artère
. Néanmoins A. Cooper croit possible d'écarter le
rnat; il est certain qu'on évite sûrement parce procédé le tronc de l'
artère
épigastrique et la testiculaire , et s'il existe
gion, on ne court aucun dan-ger d'hémorrhagie. Mais malheureusement l'
artère
obturatrice, qui, comme nous l'avons dit, est ass
M. Demeaux à la So-ciété anatomique (année i/f, i83g, pag. 20), que l'
artère
, la veine et le nerf obturateur, contournent le c
lett. c.) On peut avoir à craindre dans cette opération de léser l'
artère
épigastrique , de comprendre le cordon dans l'ans
ère le doigt indicateur placée dans l'anneau , etque, d'autre part, l'
artère
épigastrique est aussi placée profondément au-dev
décoller le péritoine de la fosse iliaque comme pour la ligature de l'
artère
iliaque, afin d'inciser l'in-testin hors du périt
ins, parce qu'il forme un canal lié aux parois de l'abdomen comme une
artère
à sa gaîne. Si, après avoir ouvert le colon, on a
r des craintes après l'opération delà fistule à l'anus. Si une petite
artère
a été lésée on peut toujours ou la lier ou la tor
ection tout d'un trait, mais s'arrête chaque fois qu'il rencontre une
artère
pour la lier. De cette façon, il ne coupe rien qu
ournies au scrotum parles ai tères honteuses internes et exter-nes, l'
artère
épigastriquc, ou enfin l'artère sper ma tique, et
es honteuses internes et exter-nes, l'artère épigastriquc, ou enfin l'
artère
sper ma tique, et peut ainsi donner lieu à des hê
reuses expériences sur des chiens dont il voulait faire oblitérer les
artères
. Voilà du reste comment opère M. Frick : On fait
ite suivant sa longueur et près du canal, puis, en isolant toutes les
artères
et artério-les et les coupant entre deux ligature
stouri pour les couper, sans toucher au conduit spermatique, délier l'
artère
ou les artères faciles à reconnaître à leur jet d
s couper, sans toucher au conduit spermatique, délier l'artère ou les
artères
faciles à reconnaître à leur jet de sang, et de t
ligature, et d'un autre côté comme la liga-ture immédiate de chacpie
artère
du cordon n'a jamais eu de suites fâcheuses, nous
ne doit se déterminer à lier le cordon en totalité qu'autant que les
artères
qu'il renferme sont telle-ment cachées et enfoncé
peut alors facilement opérer la ligature en masse ou la ligature des
artères
séparées. Comme on le voit par ce procédé, il n'y
arcade crurale. On divise la peau et lefascia superficialis, on lie l'
artère
tégumenteuse abdominale, si elle est coupée, et l
che, sur une sonde cannelée. Lorsqu'on arrive près du péritoine, de l'
artère
épigastrique et des vaisseaux iliaques, il faut u
fondant sur ce que ces substances ont une ac-tion remarquable sur les
artères
, dont elles affaissent l'éré-thisme , et sur les
ne quantité de sang plus ou moins considérable. 3° La disposition des
artères
caverneuses renfermées dans leur intérieur et qui
t amputée, il faut procéder à la ligature des vaisseaux : ce sont les
artères
dorsales qui rampent sur le dos de la verge et le
iron i5 à 20 millimètres, rempli par des veines considérables, et les
artères
correspondantes qui se rendent sur le dos de la v
où elle a ses dimen-sions ordinaires. 3° Vaisseaux du périnée. Les
artères
de cette région ont une grande importance. A part
ure du rectum, elles proviennent toutes de la honteuse interne. Cette
artère
se trouve accolée à la face interne de la tubéros
mmédiatement au-dessus de la couche musculaire, et derrière les os, l'
artère
hon-teuse est immobile et à l'abride l'action des
voisinage duquel elle se divise en un grand nombre de rameaux ; 2° l'
artère
superficielle du périnée abandonne la honteuse à
rameau important ; 3" l'ar' tère transverse du périnée, appelée aussi
artère
bulbeuse, se dè. tache presque toujours du tronc
plus de 27 millimètres au-devant de l'anus. Mais la position de cette
artère
n'est pas si constante qu'elle ne naisse souvent
lie qui, par cela même qu'elle est imprévue, ne permet pas d'éviter l'
artère
. Veines. Elles sont généralement très développé
p profondément situés. Les grandes veines du périnée accompagnent les
artères
et, par cette raison, ne méritent pas une descrip
. Les nerfs principaux sontleshonteux internes qui accompagnent les
artères
du même nom, et se distribuent de la même manière
rieures. Si on le portait trop en dehors on s'ex-poserait à diviser l'
artère
transverse du périnée, ou tout autre branche nais
me caché de cette ma-te nière, il ne m'est jamais arrivé d'ouvrir une
artère
qui ail « donné lieu à une hémorrhagie un peu con
; enfin, qu'il était sujetàdiviser les vaisseaux honteux et surtout l'
artère
transverse du [périnée. Mais, ainsi que le dit Bo
st dirigé transversa-lement vers la branche ischiatique; ce qui met l'
artère
honteuse et la transverse du périnée à l'abri de
rs avec le lithotome, et cela dans le but de ménager le rectum et les
artères
périnéales.Mais cette modification qui sort tout-
le exposait plus que l'incision oblique postérieure à la division des
artères
du périnée. D'un autre côté, Dupujtren avait pens
des accidens sus-énoncés, mais en outre, exposerait à la division des
artères
principales du périnée, la direction et la longue
ur les côtés, ou qu'il ne faille faire de très grandes incisions. Les
artères
aussi ne peuvent inquiéter, car l'artère transver
très grandes incisions. Les artères aussi ne peuvent inquiéter, car l'
artère
transverse, qui est la plus importante et qui va
ision inévitable des canaux éjacula-teurs, et le danger de couper les
artères
transverses du périnée en faisant les incisions o
pagner la taille, ou lui succéder. Elle dépend de la lésion d'une des
artères
du périnée, soit de la superficielle ou de la tra
dis-position anormale, parce que, dans sa disposition normale, cette
artère
est suffisamment garantie de l'action des instrum
des plexus artériels et veineux de la prostate ; celle de toutes les
artères
qui en est la cause la plus fréquente, est la bra
Si le sang est fourni par la division des plexus « veineux, ou d'une
artère
placée autour de la prostate, on le « distingue d
nnement est le seul moyen propre à l'arrêter. Si le sang venait d'une
artère
profonde, et qu'on ne pût la lier , on pourrait,
irait. Immédiatement après l'opération , on essayerait de découvrir l'
artère
ouverte, et si l'on y parvenait, on la saisirait
énaculum, et on l'étreindrait dans une li-gature. Si par exception, l'
artère
honteuse était blessée, et qu'on ne pût l'atteind
r de la plaie de dedans en dehors, jusqu'au-delà du côté externe de l'
artère
, et en arrière du point lésé, la ramena dans la p
la branche ischiatique, dégagea le fil de sa pointe, puis étran-gla l'
artère
et les tissus intermédiaires par un nœud. Rappro-
aiguille à travers le trou obturateur, pour étreindre en même temps l'
artère
et la branche ischiatique dans le même fil. M. Tr
vait prévenir l'épanchement interne, on pratiquerait la ligature de l'
artère
honteuse par l'un des procédés indiqués plus haut
plus de sécurité, celui de M. Gaignon qui comprend dans le même fil l'
artère
et la branche ascendante des ischions. Dans quelq
puis sur la supérieure, dont elle est écartée par l'ouraque et les
artères
ombilicales obli-térées , jusqu'auprès de la face
r de l'aponé-vrose en ce point. En deux mots, la lésion probable de l'
artère
épigastrique et l'incision latérale de la vessie,
emble avec quel-que probabilité, que le sang a pu être fourni par les
artères
qui remontent sur les côtés delà poche urinaire,
u'il exposait à diviser le vagin, les vaisseaux du périnée, et même l'
artère
honteuse interne, lorsque l'incision était portée
perait d'un seul trait l'organe dégénéré. Comme il ne contient aucune
artère
volu-mineuse , on ne doit avoir aucune crainte du
é, dans une anse, le tiers inférieur du ligament large qui renferme l'
artère
utérine; on en fait la ligature et on achève la s
parcourue par de nombreuses ramifi-cations vasculaires dépendant de l'
artère
ovarique qui a acquis un développement considérab
nt du sang, car il n'est pas sup-posable qu'on atteigne la veine et l'
artère
iliaques. Le kyste étant mis à nu, détruire ses a
rnaient pas dans le ventre; mais, d'un autre côté, on pouvait léser l'
artère
épigastrique ou la récurrente abdominale; on en t
dolentes, minces, faciles à reconnaître, et entiè-rement dépourvues d'
artères
qu'il serait dangereux de blesser; enfin il agit
, et permettaient aux viscères de sortir ; i" que le soin d'é-viter l'
artère
épigastrique ne suffisait pas, puisqu'il coupait
ce, tous les tissus depuis la peau jusqu'au péritoine, en ménageant l'
artère
épigastrique, l'auteur s'était proposé de décolle
R LE COU. Pages 7 1— 86. Goitre. Cautérisation, séton, ligature des
artères
thyroïdiennes, 72; ligature en masse, 73; extirpa
RAX. Pages 86—97. Extirpation du sein, 86-88. — Hémorrhagie d'une
artère
intercos-tale. Compression ligature, 88, 89. = Em
du muscle petit oblique, qui n'est entourée d'aucun nerf et d'aucune
artère
, et que l'on peut diviser si facilement par la mé
e couper les uns sans les autres, et d'un autre côté, la présence des
artères
linguales, des nerfs linguaux, grands hypo-glosse
t des deux blessures latérales comme s'il fût sorti d'un gros tronc d'
artère
, et la langue se tuméfia bientôt par la masse du
on intermédiaire, les deux nerfs linguaux et grands-hypoglosses , les
artères
et veines linguales et une masse assez considérab
'il attribue au soin minutieux qu'il a mis d'éviter les veines et les
artères
qui se présentent sur les parties latérales des d
rès avoir éprouvé plusieurs hémor-rhagies résultant d'une lésion de l'
artère
submentale prouvée par l'autopsie. Enfin, M. Baud
n-sertion rapprochés ; au repos ils s'ossifient. » Vaisseaux. « Les
artères
au lieu de s'adapter comme les mus-cles au degré
Un autre fait plus important a rapporta la diminution de calibre des
artères
qui, dans les an-ciennes difformités, va quelquef
quant à leurs trajets, suivent en général la même disposition que les
artères
; mais quant au vo-lume et au nombre, le phénomène
pplications , il n'est pas nécessaire ici, comme pour les ligatures d'
artères
, où les condi-tions locales sont si exigeantes, d
s les fois que l'on n'a point à craindre, en appuyant, de blesser une
artère
ou un nerf, et c'est pour en rendre les applicati
cutanées des tendons, des ligamens, des muscles, des aponévroses, des
artères
de petit calibre, des veines et des nerfs, de que
Portion du masseter. 28. Portion de l'orbiculaire labial. 29, 30.
Artère
et veine faciales. Elles sont interrompues au-dev
ans l'intérieur du rocher, au-dessous et en avant de la courbure de l'
artère
carotide dans le trou dé-chiré antérieur. Une ouv
un angle très obtus à leur point de jonction (fig. 3). G. Fig. 2,3.
Artère
carotide à son entrée et à sa sortie de Los tem-p
s qui environnent l'extrémité buccale du conduit de Sténon. 5 et 6.
Artère
et veine faciales. 7. Plexus-nerveux de la sept
e. d. Muscle scapulo-hyoïdien. e. Muscle sterno-inastoïdien. f.
Artère
carotide primitive. Toutes ces parties sont dép
e le cours du sang; avec le pouce de la main gauche (a) il comprime l'
artère
sous-clavière à son passage sur la première côte,
sur les orifices des vaisseaux divisés, le pouce sur une branche de l'
artère
thoracique courte, l'indicateur et le médius sur
ice xiphoïde. Ce lieu d'élection a pour but d'éviter la rencontre des
artères
situées dans la paroi abdominale, et, comme rense
a ponctué leur trajet à la surface de la peau, (g) est le trajet de l'
artère
épigastrique et de ses branches, et (h) celui de
ns le canal inguinal dont l'aponévrose de revêtement est enlevée, (d)
Artère
et veine fémorales à l'arcade crurale, (e) Ar-tèr
n spermatique qui rampe, aplati, dans la gouttière aponévrotique. (d)
Artère
et veine fémorales à l'arcade crurale, (e) Artère
aponévrotique. (d) Artère et veine fémorales à l'arcade crurale, (e)
Artère
et veine épigastriques détournées de leur directi
erne accidentel, orifice dilaté de la veine saphène interne. i k.
Artère
et veine fémorales vues en transparence sous le p
arence sous le péritoine, dans le canal inguinal, avec l'origine de l'
artère
épiga-strique. HERNIE INGUINALE INTERNE RÉDUCTI
ques, situé en bas et en dehors, se trouve masqué par les viscères. L'
artère
épigastrique (a), qui passe en dessous, remonte d
es (c). Ce pilier, au bord externe de l'orifice herniaire, renferme l'
artère
épigastrique, située par conséquent en dehors et
uinal dilaté, (b) bord ou pilier interne de l'orifice péritonéal; (c)
artère
épigastrique, que l'on voit naître sous le périto
ne de l'iliaque externe; (d) cordon des vaisseaux sperma-tiques, (f )
artère
et veine iliaques externes. FIGURE 5. Canal cru
Parties accessoires vues en transparence sous le péritoine. ( d )
Artère
et veine iliaques externes. Au contour de l'annea
olongement testiculaire du péritoine, ( h ) Canal déférent. ( i )
Artère
ombilicale oblitérée. (k) Vessie. Tome 7. P
a section au-dessous. Figure 5. Procédé de M. Maunoir. Ligature des
artères
du cordon comme moyen d'atrophie du sarcocèle com
sie se voit l'enveloppe péritonéale (D) coupée latérale-ment, sur les
artères
ombilicales, et entre ces vaisseaux, au-dessus de
uscle sterno-pubien, de manière à tomber à dis-tance moyenne, entre l'
artère
épigastrique et les branches abdominales Cette
ent, en sur-face ou en profondeur, les vaisseaux et les nerfs.— 1, 2.
Artères
et veines linguales. — 3. Nerf lingual. — 4- Nerf
avec les trois derniers doigts sur les parties molles pour déprimer l'
artère
avec les deux veines et le nerf médian; avec le d
eau, nulle trace de rigidité ca- davérique. Cerveau. Poids 1030 L'
artère
communicante anté- rieure est double. Les autre
oids 1030 L'artère communicante anté- rieure est double. Les autres
artères
de la base sont normales ainsi que le chiasma,
re, on Xifl. f. - V. tr valvicie - V. dr. ventricule droit. .1. p p
artère
pulmonuire. - B. 0)'illce itl/ëJ'ÙJUi'de ? t;fn
rture du ventricule droit y montre l'absence de l'infundibulum de l'
artère
pulmonaire. Les parois de ce ventricule sont ép
ne, tandis que dans le ventricule gauche les parois, Fig. c. - A. P
artère
pulnaonaire. - Br. g. la branche gauche . P. 9'.
e. Ajoutons qu'à un centimètre environ au- dessus de son orifice, l'
artère
pulmonaire se partage en 3 branches, deux à gau
mal ou rétréci, est peut-être encore plus commune : la sténose de l'
artère
pulmonaire est plus rare et cette anomalie coïn
naire peut avoir lieu dans divers points : 1° à l'origine même de l'
artère
pulmo- naire ; 2° à la base de l'infundibulum ;
ation peut être complète. » Ajoutons que. dans une observation, l'
artère
pulmonaire a été trouvée normale (2), et dans u
lies re- latées dans notre observation. I. - Rétrécissements de l'
artère
pulmonaire ou de son orifice. Olis. 11 Cas ci
son orifice. Olis. 11 Cas cie Holst (de Christiania) (4). Aorte et
artère
pulmonaire retrécies et naissant du ventricule
deux oreillettes. Cas. III. Cas de Stenson (5). Rétrécissement de l'
artère
pulmonaire avec, absence du canal artériel. Per
orte naissant des deux ventricules. OBs. IV. Cas de Cailliot (G).
Artère
pulmonaire très ré- trécie. - Aorte provenant d
ès développée, ventricule droit volumineux. OBS. V. Cas d'Obet (7).
Artère
pulmonaire rétrécie. Canal artériel offrant enc
404. MALADIE BLEUE. 9 Cas. VI. (Hogdson) (1). Rétrécissement de l'
artère
pul- monaire qui ne présente que deux valvules.
, la gauche rétrécie. Ons. VII. (Cooper) (2,. Rétrécissement de l'
artère
pulmo- naire avec oblitération du canal artérie
et aorte naissant des deux ven- tricules. Cas. VIII. (Haase) (3).
Artère
pulmonaire très rétrécie, valvules adhérentes,
nt des deux ventricules, mais plutôt du droit. Wus. IX (Farre) (4).
Artère
pulmonaire rétrécie, aorte volumineuse naissant
développés surtout le droit. Oiis. X. (Sandifort) (5). Orifice de l'
artère
pulmonaire ne laissant passer qu'un stylet très
de deux valvules très petites, presque adhérentes entre elles. L'
artère
pulmonaire est rétrécie jusqu'à la bifurcation.
. Oiss. XI. (Cailliot) (6). Enfant de 11 ans, rétrécissement de l'
artère
pulmonaire et de son orifice qui ne présente qu
ulmonaire à la base de l'infundibulum. Ons. XIII. (Lawrence) (1).
Artère
pulmonaire normale naissant d'une espèce de tro
(2). La base de l'infundibulum, à 13 millimètres de l'origine de l'
artère
pulmonaire, pré- sentait un pertuis capable de
seulement une plume de corbeau. Entre ce pertuis et l'orifice de l'
artère
pulmonaire, l'infundibulum constituait une sort
e ou de ventricule surnuméraire, de 2 cc ntimè- tres de diamètre^ L'
artère
pulmonaire, ne présentant que deux valvules, ét
saine. Pas de canal artériel. Cas. XV. (Rey) (3). Fille de 9 ans. L'
artère
pulmonaire, née du ventricule droit, est très d
ill.de diam.qui conduit. après un trajet d'environ 3 centim. dans l'
artère
pulmonaire. Celle-ci, quatre fois plus volumine
arnieà son origine de deux valvules sigmoïdes. Entre l'origine de l'
artère
pulmonaire et de l'aorte,onteouve une ouverture
Ventricule gauche petit. Orls. XVII. (Palois) (1). Enfant de ans.
Artère
pulmonaire beaucoup plus petite qu'à l'état norma
verture beaucoup plus petite, à lèvres calleuses, conduisant dans l'
artère
pulmo- naire qui présente seulement deux valvul
ses valvules et plus volumi- neuse qu'à l'état normal. En avant, l'
artère
pulmonaire pré- sente un calibre moitié moindre
- tercepte toute communication avec la cavité de ce ventricule. L'
artère
pulmonaire communique avec l'aorte par un orifi
d'une manière plus sensible que le côté droit et les pulsations des
artères
du bras gauche disparaître jusqu'au coude (4).
sont très épaissies et ont une teinte blanchâtre opales- cente.
Artères
de la base. Les vertébrales présententune grande
n'a- vait pas été faite. A part quelques artérioles, telles que l'
artère
du nerf médian, de plus gros calibre et de diss
nches artérielles voi- sines, et si les troncs sont volumineux, une
artère
spé- ciale leur est destinée, ainsi que le médi
l'opinion que la circulation collatérale ne se fait que peu par les
artères
musculaires, mais qu'elle prend surtout la voie
end surtout la voie des vasa nervorum ? Chaque nerf pos- sède une
artère
propre, qui reçoit, de place en place, une séri
te importance des vasa nervorum, lors d'oblitéra- tion d'une grosse
artère
. Aussi de ces observations et - de son expérien
a circulation collatérale est assurée par une triple voie : par les
artères
musculaires, par les artères cuta- nées, par le
assurée par une triple voie : par les artères musculaires, par les
artères
cuta- nées, par les vasa nervorum. . D'autre
en appuyant d'exemples et de figures tout ce que nous décrivions.
Artères
des NERFS. - La circulation artérielle des nerf
s une artériole satellite, et l'on peut tout aussi bien décrire l'
artère
du musculo-cutané ou du saphène interne que cel
ue, on peut poser une double loi : 1° chaque tronc nerveux tire ses
artères
d'une origine constante; 2° elles ne lui vienne
figure I en dira plus, à elle seule, qu'une longue description. L'
artère
thyroïdienne inférieure se détache de la sous-c
s, la longue artériole, qui est devenue classique sous le nom d'
artère
du nerf mé- dian, se détache, d'ordi- naire,
on segment antibrachial; -, d'autres ramuscules lui viennent de l'
artère
ra- diale ; à la paume de la » ? ™ ? « ? ? r-
tcrecollnlér,lcinté- Iliaiti, u Ubb 1 ai-cauu pal- tere radiale. C,
artère
collatérale inté- ' * rieure. C\ artèrecubitalc
tinés aux nerfs. fournit un ramuscule as- hnes aux ncrfs. Fig. 3.
Artères
du nerf médian. ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUIN
e : sur le plexus lombaire, par exemple (Feg. 4), des rameaux des
artères
lombaires, de l'iléo-lombaire, de l'iliaque ext
rales. Ces faits anatomiques ont une double importance : Figez. -
Artères
du nerf crural. 1t, nerf crural. - 0, nerf obtu
Artères du nerf crural. 1t, nerf crural. - 0, nerf obturateur. - F,
artère
fémorale. - C, couturier. - L, L, artères lomba
- 0, nerf obturateur. - F, artère fémorale. - C, couturier. - L, L,
artères
lombaires. - II, artère hypogastrique. - K, artèr
, artère fémorale. - C, couturier. - L, L, artères lombaires. - II,
artère
hypogastrique. - K, artère iléo-lombaire. -- I, a
turier. - L, L, artères lombaires. - II, artère hypogastrique. - K,
artère
iléo-lombaire. -- I, artère circonflexe iliaque
mbaires. - II, artère hypogastrique. - K, artère iléo-lombaire. -- I,
artère
circonflexe iliaque.-h1, petite musculaire supé
ui règne encore sur lui; et dans les cas d'oblitération des grosses
artères
, après une ligature, par exemple, il serait for
ec la circulation artérielle des centres nerveux. On sait que les
artères
cérébrales se coudent et s'in- fléchissent à pl
rises. Lorsqu'un tronc nerveux reçoit ses arté- rioles d'une grosse
artère
dont il est satellite, les vaisseaux ne l'abord
à la suite 'des' oblitérations voulues ou accidentelles des grosses
artères
. ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES NERFS. 11
u système artériel sous-cutané ; 2° Chaque tronc nerveux reçoit ses
artères
d'ori- gines constantes, et il en résulte souve
athique au cou) ; 3° Un tronc nerveux ne reçoit jamais toutes ses
artères
d'un seul tronc artériel : la multiplicité des
se retrouvent pour les nerfs. a. Quand un tronc nerveux reçoit ses
artères
du tronc artériel satellite, ces vaisseaux ne l
nce oblique, ou après avoir décrit un trajet récurrent ; " b. Une
artère
ne plonge jamais d'emblée dans l'épaisseur d'un
ons décrits ; c. Les branchioles, nées de cette bifurcation des
artères
afférentes, rampent, à la surface du nerf, se p
ire, comme on le fait partout, que les veines suivent le trajet des
artères
. 16 U ANATOMIE. Nous étudierons successivemen
biaux postérieurs, et qui con- tournent le bord interne du tibia. L'
artère
grande anastomotique se prolonge derrière les t
ées, mais qu'on retrouve constam- ment, après injection, à côté des
artères
collatérales (fi ! }. 9). Au cou, la veine ju
dien est d'une richesse inouïe; bien rempli, il dessine autour de l'
artère
un lacis de mailles des plus élégants ; d'ordin
'ordinaire, un ramuscule longitudinal chemine de chaque côté de l'
artère
, et reçoit toute la série de ces branchioles tr
s la jugulaire interne. Nous retrou- verons, sur toutes les grosses
artères
, ce rete mirabile des vasa vasorum, dont l'étud
ndent, pour une part, les veines des nerfs satellites des grosses
artères
, de là d'étroites connexions sur lesquelles il
le bien jeter les yeux. sur la figure 11, qui représente le nerf, l'
artère
, et l'une des veines Fig. il. - Veines du nerf
'une des veines Fig. il. - Veines du nerf tibial postérieur. A,
artère
tibiale postérieure. B, B, nffiucul musculaires
e tibiale postérieure; ils passent au-devant d'elle, au-devant de l'
artère
, et ils vont rejoindre les rameaux veineux d'or
t aux veines des nerfs; il en est un second : les vasa vasorum de l'
artère
voi- sine. La circulation des parois artériel
rôle pathologique. Une bonne injection dessine, autour des grosses
artères
, de l'humérale, de la fémorale, des carotides,
es veinules, celles- ci surtout sont abondantes. Sur les côtés de l'
artère
, on voit, de place en place, se détacher de pet
o-musculaire nais- sant de la convergence de ces deux afflucnts. C,
artère
profonde et ses dcw veines, l'une reçoit la vei
une dépendance étroite entre la circulation du nerf et celle de l'
artère
elle-même. Mais ce réseau veineux péri-arté-
rne, dont il se détache au Pig. 13. - Réseau de vasa vasorum de l'
artère
numérale (au bras) rece- vant les veines d'un t
SEAUX SANGUINS DES NERFS. 29 niveau de l'anneau, pour s'accoler à l'
artère
. A la même hauteur, le nerf saphène interne sat
artère. A la même hauteur, le nerf saphène interne satellite de l'
artère
suit sa face externe, et les veinules qui eu pa
al de Hunier. ,\'1nerf saphène interne. M, muscle vaste interne. A,
artère
fémorale. Il, réseau des vasa vasorum de l'artè
vaste interne. A, artère fémorale. Il, réseau des vasa vasorum de l'
artère
. - V, V, veines du nerf se jetant dans Je réseau
ux, qui s'insinuent entre les cordons voisins, devant ou derrière l'
artère
, et plus loin, s'unissent à d'autres ramuscules
se veine voisine, soit au réseau des vasa vasorum qui entourent l'
artère
soit aux collatérales musculaires près de leur
tra-troncu- laire, des veines des nerfs est le même que celui des
artères
. L'étude qui vient d'être faite nous a révélé t
rer de nom- ' On peut admettre, d'autre part, que la dilatation des
artères
à chaque systole cardiaque exerce une action év
le pneumogastrique et le sympathique au cou reçoivent toutes leurs
artères
du système des thyroïdiennes : n'est-il pas lég
troites qui relient les vaisseaux des nerfs aux vasa vasorum de l'
artère
voisine : la nutrition des parois vasculaires et
(Centralbl. f. Nervenheilk . , 1890.) - L'obturation subite d'une
artère
cérébrale produit-elle, par suite des modificat
erveux qu'en ce qui a trait aux autres organes. Les altérations des
artères
et des méninges jouent le rôle principal dans l
précipita sur le malheureux et, le frappant au cou, lui trancha l'
artère
carotide. Ce gardien mort, le fou en appela un au
L'atrophie était assez avancée dans quelques cas, au point que les
artères
rétiniennes étaient filiformes. Dans les cas de
cide. Pas d'hallucinations de la vue ni de l'ouïe. Rien au coeur;
artères
souples. Antécédents personnels. - Réglée à qui
u'à la mort qui a lieu le 13 janvier. - Autopsie. Pas d'embolie des
artères
cérébrales ;, nulle cause orga- nique d'hémiplé
3 lentilles). M. I\hNZ. Examen anatomiques d'un cas d'embolie de l'
artère
cen- trale de larétine. -Il s'agit d'une dame â
e quelques altérations tenant à une myopie ancienne, la vacuité des
artères
, la pâleur de la papille, un très léger trouble
ation profonde et irrégulière de la papille ; derrière elle, dans l'
artère
centrale ou- verte existe un bouchon rond. Il p
tout la lumière du vaisseau, sans toutefois adhérer à ses parois. L'
artère
présente en arrière de l'embolus un rétrécis- s
hon, un thrombus hyalin allongé très délicat. De chaque côté de l'
artère
obturée et de la veine affaissée, le nerf optiq
choroïde laissant à nu la sclérotique, l'émergence irrégulière de l'
artère
centrale de la ré- tine, unnoevus, quelques tic
. Ce n'est pas non plus une aire vasculaire irriguée par une même
artère
, ainsi que l'avait autrefois supposé Briquet, pou
prolongements vont s'unir aux cellules de la tunique adventice des
artères
ou à des cellules de la névroglie accolées aux pa
XV. Hémorrhagie cérébrale CONSÉCUTIVE A UNE EMBOLIE hydatique des
artères
cérébrales; par DOEHNHARDT. (Neurol. CM<;'a/6
hydatiqueobli- térantl'artère cérébrale postérieure gauche, et les
artères
sylviennes du même côté sont, ainsi que la basi
ement moindre que celui des parties symétriques du côté opposé. Les
artères
de la base étaient athéromateuses, et la cérébr
droite, ainsi que ses branches, étaient infé- rieures en volume aux
artères
similaires du côté gauche. Par contraste, les m
ssocié. A droite, il y avait sim- plement contact avec le nerf et l'
artère
, et non continuité orga- nique comme à gauche.
érés par la quinine, par l : rlenmeyer, 112. Rétine, embolie de l'
artère
centrale de la par Manz, 251. Sensibilité, tr
fond de l'oeil. La papille optique est décolorée à chaque oeil. Les
artères
sont petites. Les veines sont au contraire assez
plus loin sous quel aspect se présentent les vaisseaux de calibre,
artères
et veines spinales ; l'engaînement embryonnaire e
go-vasculaire" qui présente ici son plus parfait développement. '
Artères
et veines sont également atteintes, d'une façon g
ers points con- sidérés.Sur toutes nos coupes nous avons trouvé les
artères
remarquablement, envahiesparle processus infect
détail de ces lésions, nous consta- tons les faits suivants : ' L'
artère
spinale antérieure présente, dans tous les points
moins élevée, c'est-. à-dire au-dessous de la gomme droite,' celle
artère
est déjà très altérée : FiG. la. - Lésions hist
Lésions histologiques : A. Artère'et veine spinales antérieures : l'
artère
est envahie par l'infiltration embryon- naire e
inale voisine et la pie-mère sous-jacente ; la tunique moyenne de l'
artère
paraît en général respectée par l'infiltration nu
s en plusieurs zones concentriques. Au niveau même des tumeurs, l'
artère
spinale antérieure présente en- core les mêmes
s. - Dans les régions supérieures, situées au-dessus de la gomme, l'
artère
a retrouvé sa lumière ; mais on constate encore
encore des amas cellulaires d'inflammation périartéritique. 1 Les
artères
spinales postérieures, moins malades que la précé
ltérations manifestes : - Au-dessous de la tumeur, à un niveau où l'
artère
spinale antérieure est déjà oblitérée par l'endar
spinale antérieure est déjà oblitérée par l'endar- térite, les deux
artères
postérieures ne présentent qu'une légère infiltra
progressif des lésions : à la hauteur de la gomme droite, les deux
artères
sont totalement envahies, l'une d'elles, même, pr
ncereaux, de dehors en dedans. A la hauteur de la gomme gauche, les
artères
spinales posté- rieures sont à ce point rétréci
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE altérations parallèles à celles de l'
artère
spinale, sa voisine. Les parois, très épaissies
mêmes coupes, et dans le voisinage, la pie-mère et l'adventice de l'
artère
spinale antérieure soient encore remarquablemen
les sont pour ainsi dire généralisées à tous les ca- naux sanguins,
artères
et veines, et ne diffèrent pas des lésions que no
su de la substance grise ; on sait d'ailleurs que la thrombose de l'
artère
spinale antérieure a pour conséquence (Lan- cer
participation simultanée au processus des deux ordres de vaisseaux,
artères
, et veines; nous avons vu combien étaient prono
eines; nous avons vu combien étaient prononcées les altérations des
artères
de calibre, puisqu'elles aboutissaient à l'oblité
is tout l'axe cérébro-spi- nal. Le cerveau gauche est atrophié, les
artères
basilaires sont altérées. La moelle est rigide
ons de sclérose cérébrale uni et bilatérale, avec oblitération de l'
artère
basilaire dans une étendue de 13 millimètres po
s une étendue de 13 millimètres pour le premier cas, et lésions des
artères
de la base et des vertébrales dans Ie2e, accomp
fs crâniens. Les nerfs optiques étaient complètement dégénérés. Les
artères
cérébrales présentaient de l'endo- périartérite
r étendue. Les vaisseaux de la pie-mère et de la substance blanche,
artères
et veines, étaient altérés ; il y avait de la p
eines, étaient altérés ; il y avait de la phlébite oblitérante. Les
artères
médul- laires étaient moins envahies que les ar
litérante. Les artères médul- laires étaient moins envahies que les
artères
cérébrales. La substance grise était saine, sur
ois tout l'axe cérébro- spinal. Le cerveau gauche est atrophié, les
artères
basilaires sont altérées. La moelle est rigide
lus grands de la pie-mère, comme l'ar- tère spinale antérieure, les
artères
spinales postérieures et les veines y atte- nan
aux différentes hauteurs, c'est chose très manifeste surtout sur l'
artère
et la veine spinales antérieures. L'artère spin
anifeste surtout sur l'artère et la veine spinales antérieures. L'
artère
spinale antérieure présente au niveau de la régio
e les couleurs d'anyline. « Les vaisseaux plus gros des méninges,
artères
comme veines, sont moins altérés, et l'étendue
pas toujours à l'aspect massif des processus méningitiques. » « L'
artère
spinale antérieure est à certaines places normale
embrane élastique. L'aspect est le même sur les grosses et moyennes
artères
. Mais il est remarquable que fréquemment des va
ont restés totalement ou pres- que intacts. ' J'ai vu une foule d'
artères
dont la tunique adventice était malade sans qu'en
TAIRE 297 Les vaisseaux de la moelle proprement dite sont, pour les
artères
épen- dymaires, variables dans leur aspect mais
veines à parois très minces et à calibre régulier. Latéralement les
artères
spinales posté- rieures sont très variables dan
s d'autre part. Les vaisseaux. Examinons d'abord les gros troncs, l'
artère
et la veine spinales antérieures. Lorsque la lé
ont altérées de telle sorte qu'il est impossible de re- connaître l'
artère
de la veine; complètement infiltrées de noyaux el
s atteints. 4 Le contenu des vaisseaux est intéressant à noter. Les
artères
contiennent assez souvent du sang, les veines p
dégénérescence primitive. Car il faut remarquer que dans ce cas les
artères
sont absolument transformées, méconnaissables e
la nécrose par compression et surtout par lésions vasculaires. Les
artères
de l'épendyme, les vaisseaux spinaux antérieurs
es muscles voisins une gomme miliaire typique dans les parois d'une
artère
, tantôt un léger degré de lepto-méningite, tantôt
s irréguliers et suppor- tant de fins capillaires. - Vaissseaux :
artères
et veines spinales antérieures très distinctes, a
Vaissseaux : artères et veines spinales antérieures très distinctes,
artères
et veines des racines, vaisseaux de calibre moi
t irrégulier, déformé, si- nueux, encore perméable cependant. Les
artères
et les veines du système postéro-latéral sont le
du système postéro-latéral sont le siège d'altérations marquées ; l'
artère
contient du sang comme la veine; leur lumière est
ns forment des taches rosées caractéristiques. Les vaisseaux, les
artères
surtout, bien que les veines ne soient pas indem-
econnaître facilement au milieu du tissu fibreux qui les entoure, l'
artère
est aplatie, elle contient'du sang, les limites
nt creusées des veines distendues à parois épaisses, tandis que les
artères
restent peu développées. Moelle : Région ce
nt le même aspect que plus haut, ceux de la moelle proprement dite,
artères
épendymaires, sont le centre des tractus conjon
les gros vaisseaux spinaux antérieurs qui sont le plus atteints, l'
artère
très grosse, gorgée de sang montré des tuniques
bres, nous trouvons des lésions absolument t caractéristiques : une
artère
infiltrée dans sa tunique adventice présente dans
s le tissu conjonctif épaissi de la pie-mère. On ne peut distinguer l'
artère
de la veine, un des vaisseaux présente un épais
la moelle, manchons leucocytiques entourant les capil- laires, les
artères
épendymaires sont remplies par la prolifération e
Toute circulation est nettement interrompue dans ces vaisseaux. L'
artère
spinale antérieure est entièrement transformée en
su fibreux très serré dans lequel on distingue encore net- tement l'
artère
aplatie, vide. La veine par contre est transformé
la pie-mère qui est mince, mais contient beaucoup de noyaux. , L'
artère
spinale antérieure est absolument aplatie, la lum
onjonctives voisines se sont tassées en stratifications épaisses. L'
artère
et la veine spinales antérieures ont perdu leur s
rienne du septum médian antérieur on reconnaît très distinctement l'
artère
spinale antérieure et la veine, de nombreux noy
très ré- gulier. Vaisseaux à parois distinctes, minces, étroites,
artère
aplatie, veine spinale antérieure double, bien
eur est très large. Les vaisseaux sont très altérés. On reconnaît l'
artère
spinale antérieure aplatie, irrégulière, à lumi
re, si altéré dans ses parois qu'il est impossible de dire si c'est l'
artère
ou la veine, soit au niveau des racines où les
re si c'est l'artère ou la veine, soit au niveau des racines où les
artères
déformées, parois mons- trueuses, à calibre irr
toutes les parties que comportent les coupes sont saines excepté les
artères
dont les tuniques adventices surtout sont très
ù les processus semblent encore moins marqués, il n'y a guère que l'
artère
spi- nale antérieure qui montre ici une périart
u microscope, on trouve dans la ré- gion de la voûte vasculaire une
artère
centre d'un amas nucléaire considérable dont le
les rondes. Celles-ci du reste ne pénètrent pas dans les racines.
Artère
spinale antérieure déformée, circonférence irrégu
e l'endo- vascularite, les veines sont atteintes aussi bien que les
artères
. On peut considérer comme le premier stade pass
ire ; 2° l'apoplexie pulmonai: e ; 5° les obstructions sanguines de l'
artère
pulmonaire; 4° les infarctus du poumon ; 5° la ga
papille ; les veines du fond de l'œil sont très-volumineuses, et les
artères
relativement petites. L'examen des signes fonctio
ne, nous trouvons en al-lant de dedans en dehors : le nerf cubital, l'
artère
cubitale, le nerf médian, et, sur un plan plus su
e fibreuse, pâle : entre ses deux insertions aux métacarpiens passe l'
artère
radiale. Les autres, quoique considérablement atr
ment contre la phalange, Enfin, au ni-veau des angles de flexion, les
artères
et les nerfs collatéraux sont flexueux et injecté
rneux (sinus carotidien). « 7° Sur les rapports de la veine et de l'
artère
vertébrales ; comme la carotide dans le sinus cav
e l'artère vertébrales ; comme la carotide dans le sinus caverneux, l'
artère
vertébrale, dans son canal vertébral, est presque
x et les nerfs principaux ne semblent avoir subi aucune altération. L'
artère
tibiale antérieure et le nerf du même nom ont con
ple des plus remarquables d'anomalie des reins, des bas-sinets et des
artères
rénales. L'affection générale n'avait pas paru
UE DES HOPITAUX REIN UNIQUE colonne vertébrale, et recouvrant l'
artère
aorte et la veine cave in-férieure. De leur jon
q ou six sillons assez profonds. L'aorte fournit à chaque rein deux
artères
: Lune pénétrant dans le rein à 6 centimètres de
périence sur le ca-davre, et avoir éloigné l'idée d'un anévrysme de l'
artère
ophlhal-mique qui aurait amené une arnaurose par
ne et du sinus caverneux consiste soit en une simple perforation de l'
artère
, soit en une di-vision complète ou à peu près com
, le dia-gnostic ne peut hésiter qu'entre la dilatation cirsoïde de l'
artère
ophthalmique et l'anévrysme artério-veineux. Dans
t avoir méconnu la lé-sion et l'avoir confondue avec l'anévrysme de l'
artère
ophthalmique. Les principaux moyens cbirurgicaux
hille Dron. EXPLICATION DE LA PLANCHE XVII (p. 182) A. Aorte. AI.
Artères
iliaques primitives. VG. Veine cave inférieure.
liaques primitives. VG. Veine cave inférieure. U. Uretères. ar.
Artères
rénales. vr. Veines rénales. Sur l'extrémité
triques dans tous les tissus, dans les tendons, dans les os, dans les
artères
, aussi bien que dans les muscles et les nerfs, et
rps caverneux et spongieux sont coupés un peu en avant du bulbe ; les
artères
sont liées, et elles sont en grand nombre, car ou
ap.,février 1872.) F. Villard. BIBLIOGRAPHIE De la dénudation des
artères
, par le docteur Albert Délbarre, ancien interne d
p. 184) parle des inconvénients de la dénudation dans la ligature des
artères
. Son travail est divisé en plusieurs chapitres. I
é en plusieurs chapitres. Il étudie successiveineut la dénudation des
artères
dans les opérations, dans les cas de sup-puration
ablation de tumeurs du cou, de l'aine, de l'aisselle, etc., etc., les
artères
se trouvent souvent mises à nu ; on les voit très
espectant les tuniques. Enfin, si dans une partie de l'épaisseur de l'
artère
, les tuniques moyenne et externe ont été enlevées
prudent, à la suite de l'extirpation d'une tu-meur au voisinage d'une
artère
, de se tenir en garde contre la pos-sibilité d'un
chaque caustique lorsqu'il s'agira de l'appliquer au voisinage d'une
artère
. Un des caustiques qui agit le plus pro-fondément
cancer, les ca-vernes tuberculeuses sont une cause de dènudalion des
artères
, mais ces affections produisent rarement la perfo
ples une observation de M. Dolbeau1 qui constata une perforation de l'
artère
linguale à la suite d'un abcès sous-maxillaire. L
es faits de Leudet, Giraldès, Dionis, relatifs à des ulcérations de l'
artère
poplitée plongeant dans de vastes abcès du creux
du travail de M. Delbarre concerne la dénudation dans les ligatures d'
artères
. — Là, il ne s'agissait le plus souvent que d'une
ail, de montrer les conséquences de la dénudation sur la ligature des
artères
. Il cite des passages d'un mémoire de M. Notta, d
n résumé, lorqu'une ligature simple est appliquée sur le trajet d'une
artère
, plus cette artère aura été dénudée, plus ses deu
ligature simple est appliquée sur le trajet d'une artère, plus cette
artère
aura été dénudée, plus ses deux ex-trémités se ré
ures mé-diates, d'attente, par écrasement, etc.), forçant à dénuder l'
artère
dans une étendue plus considérable que dans la li
ATION PAR LE GALVANO-CAUSTIQUE ET l'ÉCRASEUR LINÉAIRE LIGATURE DE L'
ARTÈRE
TEMPORALE SUPERFICIELLE - ABSENCE d'ACCIDENTS C
e des vaisseaux carotidiens en bas, et plus haut, la bifurcation de l'
artère
carotide externe en maxil-laire interne et tempor
. Autopsie le 30 janvier. Tête. L'encéphale pèse 1 270 grammes. Les
artères
de la base sont à peine athéromateuses. L'hémisph
hère gauche. Lorsqu'on enlève les membranes en suivant le trajet de l'
artère
sylvienne, on découvre un foyer de ramollisse-men
à sa périphérie, la pie-mère est un peu injectée. La terminaison de l'
artère
carotide est légèrement opaque. L'artère sylvienn
njectée. La terminaison de l'artère carotide est légèrement opaque. L'
artère
sylvienne n'est pas athéromateuse; sur l'une de s
ôt athéromateux ne correspond à ce caillot. Les autres divisions de l'
artère
sylvienne sont libres. Cervelet, isthme (170 gr
s (Revue). VI. Maladies des vaisseaux de la rate : lu maladies de l'
artère
splé-nique : lésions traumatiques, spontanées (ul
t du doigt très-manifes-tement les inflexions et les dilatations de l'
artère
qui forme cette partie de la tumeur totale. Le
r des produits hématiques et qui se reproduisent très-rapidement. Les
artères
qui se rendent dans le tissu morbide et qui l'ali
la terminaison de l'hélix et de l'anlhélix, point où l'on trouve une
artère
volumineuse qui seule entretient les battements e
r ce procédé rejoindre la carotide interne et suivre do là toutes les
artères
qui arrivent dans le pavillon de l'oreille, ou da
st également rétractée et rem-placée par un cordon fibrineux dur. L'
artère
temporale est volumineuse à son origine, mais sa
conduit auditif externe et se termine dans l'origine de l'hélix. L'
artère
auriculaire postérieure, au moins quadruplée de v
st en rapport avec la richesse muscu-laire de la tunique moyenne. L'
artère
prise au même point sur un sujet sain offrait aus
e gonflent, puis, pendant tout le temps que dure l'électrisation, les
artères
sont plus grandes et plus apparentes, et les vein
veines. Quelques minutes après l'électrisation, on trouve encore les
artères
plus pleines et pur conséquent une circulation pl
surtout de jeunes cellules se colorant facile-ment par le carmin. — L'
artère
et la veine rénales, ainsi que leurs principales
t aux membres inférieurs. La veine iliaque gauche passe en avant de l'
artère
correspondante, la droite passe en arrière. Le
bord supérieur du bassin en deux iliaques qui fournissent chacune une
artère
om-bilicale. Les deux artères ombilicales se réun
eux iliaques qui fournissent chacune une artère om-bilicale. Les deux
artères
ombilicales se réunissent à angle aigu au niveau
sent à angle aigu au niveau de l'ombilic, de sorte qu'il n'y a qu'une
artère
dans le cordon. Les deux testicules, longs de-2
t à l'anneau inguinal interne ; l'épididyme en est un peu séparé. Les
artères
spermatiques naissent de l'aorte, immédiatement a
rtères spermatiques naissent de l'aorte, immédiatement au-dessous des
artères
rénales. De chaque côté, le gubernaculum testis s
es parties profon-des du tissu utérin. M. Huguier, qui a disséqué ces
artères
profondes, leur a trouvé jusqu'à 1 millimètre 1/2
petits vaisseaux à tunique musculaire; 2° la contraction des petites
artères
fait aug-menter la pression artérielle dans les g
tion a pour effet de faire baisser momentanément la pression dans les
artères
. Reste la quatrième partie, l'emploi de l'ergot
4. Anévbysme cirsoïde de l'oreille gau-che, etc., par Coyne, 522.
Artère
temporale superficielle; liga-ture, 213. — rénale
sur le molluscum pen-dulum, par Malassez, 240. — De la dénudation des
artères
, par A. Delbarre (Anal. G. Bouteillier), 272. — P
humaine (De la), par Loomans, (An. Teinturier), 312. Ligature de l'
artère
temporale superfi-cielle, 263. Liouville (II.),
ructure du), par Muron, 517. Anomalie des reins, des bassinets, des
artères
rénales, etc., par II. Lion-ville, 182. Reuquet,
rive du premier coup jusque sur l'os. Il faut avoir soin d'explorer l'
artère
axillaire, c'est le seul reproche qu'on puisse fa
il est dans le voisinage des gros vaisseaux. Il faut donc explo¬rer l'
artère
axillaire pour voir si elle n'a pas subi de dévia
elques cas où il y a de la suppuration dans le creux de l'aisselle, l'
artère
peyt avoir été entraînée à la partie inférieure.
raînée à la partie inférieure. Ici il n'y a rien ; j'ai exploré celte
artère
; elle est à sa place ; nous l'aurons à la partie
r dans la plaie, il ne faut pas de pointe qui fasse des blessures à l'
artère
; avec le tranchant, le doigt conduisant, on cir¬
os vaisseaux. J'ai toujours fait cette opération sans en lier, même l'
artère
circon¬flexe, qu'on ménage toujours. En effet, el
icule droit, et quelques petits points athéroma-teux à l'origine de l'
artère
pulmonaire. A l'ouverture de la poitrine, on ap
canal qui la porte, on arrive à la bronche gauche de bifurcation de l'
artère
pulmonaire. Enfin, la partie inférieure restant
ecouvré connaissance. L'autopsie montre les lésions suivantes : les
artères
des ménin¬ges et du cerveau sont un peu athéromat
toute la portion de ma¬xillaire comprise entre ces deux points. Les
artères
coupées pendant l'opération ayant été liées, un f
e la plaie, excepté seulement au niveau des fils de la langue et de l'
artère
faciale. 12 octobre. On enlève les dernières ép
savoir : A. Les battements du cœur, du pouls, des fontanelles, des
artères
les plus délicates ; B. La respiration, la toux
la circulation. Pour obtenir les battements du cœur, du pouls, des
artères
ou le tremblement fibrillaire des muscles, on app
mé et trans¬formé en hauteur. Ce tube de verre constitue en outre une
artère
transparente où les mouvements du sang ou de l'or
re pour disposer l'appareil convenablement et pour savoir comprimer l'
artère
au point où elle donne toute l'ampleur de son dév
on du long abducteur du pouce. G Nerf cubital. H Nerf médian. I
Artère
cubitale. 3 Artère radiale. M Game interne ou
du pouce. G Nerf cubital. H Nerf médian. I Artère cubitale. 3
Artère
radiale. M Game interne ou des fléchisseurs.
veau du ten¬don d'Achille. Le pied étant refroidi, les battements des
artères
furent recherchés : ceux de la tibiale postérieur
rprété diversement. On peut penser à une coagulation du sang dans les
artères
, par l'action directe du feu, ou bien on peut cro
n apparence, que le cœur communique au sang, lequel vient remplir les
artères
en dilatant leurs parois qui produi¬sent un choc
ste surtout dans le jeune âge et dans le plus avancé, du moins pour l'
artère
radiale ; il est d'autres artères comme la caroti
dans le plus avancé, du moins pour l'artère radiale ; il est d'autres
artères
comme la carotide primitive, où la bifidité est h
ut, et, en particulier, des tracés cardiaques. Et d'abord, pour les
artères
, un élément de plus est à considérer, c'est Yélas
e. (Diastole.\ )Quand la tension du cœur est forte j ou celle des
artères
faible. (Quand la tension du cœur est faible 1° P
. (Quand la tension du cœur est faible 1° Période / ' •{ 01 celle des
artères
forte, d'ascension. 1 ç;0M„/^ (Quand l'impulsio
- Suivant la tension plus ou moins gran-uée. . . .( de du cœur et des
artères
. [Présentant une éminence produite par le choc
en retour du mercure. 2° Si l'on presse un peu trop les parois de l'
artère
avec l'ampoule, on peut bien augmenter la hauteur
M. Marey, mais ci la diminution de ta tension du cœur, la tension des
artères
prenant alors le dessus. Entre ces deux système
ceptions. Voici l'énoncé des pressions dynamométriques exercées sur l'
artère
radiale, par la systole du cœur. 1 an..........
état normal. Chacune d'elles émane d'une source différente ; pour les
artères
ce sont les nervivasorum, fournis par le grand
er est sur le point de se confondre avec elle. XII. Les différentes
artères
et ledrs pulsations. Les fontanel¬les. — Quoique
ifférentes artères et ledrs pulsations. Les fontanel¬les. — Quoique l'
artère
radiale soit par sa position l'une des plus facil
ne, il ne sera pas sans intérêt de jeter un coup d'œil sur les autres
artères
et leurs battements, en particulier sur : L'art
sur les autres artères et leurs battements, en particulier sur : L'
artère
carotide primitive où l'on voit bien nettement le
l'on voit bien nettement le dichro-tisme du sommet de la systole; L'
artère
sous-clavière avec la dépression causée par l'act
ous-clavière avec la dépression causée par l'acte respi¬ratoire ; L'
artère
temporale; l'artère collatérale du petit doigt;
dépression causée par l'acte respi¬ratoire ; L'artère temporale; l'
artère
collatérale du petit doigt; La fontanelle antér
irculation des fontanelles, circulation toute différente de celle des
artères
, puisque l'impulsion de ces veines est due au sou
tion tout particulier, intermé¬diaire entre la circulation active des
artères
, et la circulation pas¬sive des veines, qui ne dé
njugués, c'est l'évaluation du temps que le sang met à par¬courir les
artères
du corps humain. Pour résoudre ce problème, nou
L'une des ampoules appuyait sur le cœur, l'autre était placée sur l'
artère
radiale droite ; or, entre le sommet de la pulsat
u pouls est importante pour le diagnostic des anévrysmes des gros¬ses
artères
; car, ainsi que l'a constaté expérimentalement l
l'on observe un ralentissement immédiat de la circulation dans cette
artère
, ralentissement qui, dans ce cas, peut devenir un
e voilure, qui a produit une plaie fortement contuse du pied droit. L'
artère
pédieuse et la plantaire externe sont écrasées, e
he des saillies osseuses, des bords musculaires, des ten- dons, des
artères
. Connaissant ces éléments sains, il les reconnaît
ilatérale et symétrique, dé- truisant une partie du territoire de l'
artère
cérébrale antérieure, notam- ment la face inter
inflammatoires est en rapport étroit avec celui de distribution des
artères
centrales ou des artères radiculaires antérieures
port étroit avec celui de distribution des artères centrales ou des
artères
radiculaires antérieures à l'intérieur de la mo
transversales du pont. \ remarquer ici, pour les vaisseaux, que les
artères
an voisinage et au sein du foyer, présentent de
prend en outre difficile- ment qu'une hémorragie due à la rupture d'
artères
de petit calibre, comme celle de la bandelette
lle peut être due à l'oblitération d'un tronc vasculaire unique : l'
artère
cérébrale postérieure. On sait en effet que cet
ique : l'artère cérébrale postérieure. On sait en effet que cette
artère
dans sa première portion directe ou ascendante-
cérébral, et surtout à la partie antérieure et interne de celui-ci (
artère
de l'oculo-moteur commun, artères pédonculaires i
antérieure et interne de celui-ci (artère de l'oculo-moteur commun,
artères
pédonculaires inter- nes). Au delà du point d'a
. Au delà du point d'anastomose avec la communicante postérieure, l'
artère
cérébrale postérieure donne des artères collatéra
communicante postérieure, l'artère cérébrale postérieure donne des
artères
collatérales et terminales qui se rendent entr'
ation sera donc aussi interrompue dans les branches terminales de l'
artère
cérébrale postérieure et on aura dans ces condi
u même côté siégeant dans le domaine des branches termi- nales de l'
artère
cérébrale postérieure (un foyer à l'extrémité de
l'affec- tion. A l'autopsie, purement macroscopique, on constate :
artère
cérébrale postérieure oblitérée, pédoncule peti
ssi, comme la paralysie alterne supérieure, à l'oblité- ration de l'
artère
cérébrale postérieure. Pour lui, le complexus sym
ure plus hémianopsie - est caracté- ristique de l'oblitération de l'
artère
cérébrale postérieure. Une observation clinique
localiser le point précis où doit s'être produit la thrombose de l'
artère
cérébrale postérieure droite. A cause de l'amél
uivent l'ictus, l'auteur rejette l'hy- pothèse d'une thrombose de l'
artère
cérébrale postérieure sur la plus grande partie
tait très vraisemblablement sous la dépendance d'une affection de l'
artère
cérébrale postérieure, n'est pas soutenable, selo
utenable, selon d'Astros. En effet, pour cet auteur, la plupart des
artères
de la bande- lette optique proviennent non pas
donculaire ne correspond pas au district d'irrigation de toutes les
artères
collatérales de la cérébrale postérieure se renda
(4) sur la circulation du pédoncule, nous ont montré que parmi les
artères
collatérales issues de la première portion de l
eure, celles qui se rendent aux parties antéro-internes de celui-ci(
artère
de l'oculo-moteur commun, ar- tères pédonculair
e l'oculo-moteur commun, ar- tères pédonculaires internes) sont des
artères
terminales, tenant sous leur- dépendance presqu
circulation dans une collatérale issue de la cérébrale postérieure (
artère
des corps genouillés qui vient de la partie réf
ion d'origine spécifique de certaines collatéra- les de différentes
artères
(cérébralepostérieure, communicante postérieure,
oses plus ou moins nettement cir- conscrites, dans les domaines des
artères
embolisées. Le siège de prédi- lection des nécr
cordons postérieurs et puis les cordons latéraux. Il paraît que les
artères
nourricières (Van Ge- huchten) des cordons post
es (Van Ge- huchten) des cordons postérotatéraux que Colmheim nomme
artères
termi- nales (parce qu'elles ne s'anastomosent
sent plus facilement ou du moins plus souvent que les branches de l'
artère
spinale an- térieure, que Kadji nomme artères c
que les branches de l'artère spinale an- térieure, que Kadji nomme
artères
centrales et Adamkiewicz artères du (1) Revue d
nale an- térieure, que Kadji nomme artères centrales et Adamkiewicz
artères
du (1) Revue de Médecine, 1907. - Au Congrès pa
TffoLOGIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 211 sillon. On sait bien que les
artères
des cordons postéro-tatéraux qui nais- sent du
néiforme, à base méningée répondant exactement à la topographie des
artères
. Voici les résultats de l'examen histologique :
urs de la région cervicale on voit des nécroses dans le domaine des
artères
postérolalérales. Le champ ventral (zone cornic
aute aux yeux qu'une embolie gazeuse des branches nourricières de l'
artère
spi- nale antérieure nourrissait les territoire
ATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 279 de pie-mère, dans lequel sont abritées
artère
et veine; à un stade plus avancé le vaisseau es
aux étaient également touchés par l'infection syphilitique et que l'
artère
de la F. S. était englobée dans le néoplasme.
e du bras, au niveau de la section osseuse, du nerf médian et d'une
artère
, petite, accolée à lui ; injection faite avec len
n faite avec lenteur d'une masse de suif coloré en rouge, par cette
artère
; l'avant-bras et le bour- geon représentant la
sse. Sur le bord interne de ce muscle cheminent le nerf mé- dian, l'
artère
humérale et les veines satellites. L'artère et le
ent le nerf mé- dian, l'artère humérale et les veines satellites. L'
artère
et les veines passent, au niveau de la partie m
quée ; de ce réseau émerge seulement la veine basilique du bras. L'
artère
fin- mérale ne passe pas à la face profonde de
tendon du brachial antérieur, et sur l'angle interne du cubitus. L'
artère
radiale qui est d'abord très superfi- cielle, a
euxième radial externe ; d, Faisceau profond du rond pronateur ; e,
Artère
radiale ; ? Tendon du long supinateur ; g, Tend
supinateur ; g, Tendon du brachial antérieur ; h, Nerf médian ; i,
Artère
radiale ; j, Artère cubitale ; k, Rond pronateu
endon du brachial antérieur ; h, Nerf médian ; i, Artère radiale ; j,
Artère
cubitale ; k, Rond pronateur ; l, Formation mus
anormale; m, Portion ten- dineuse du rond pronateur perforée par l'
artère
radiale ; n, Expansion tendineuse de l, s'uniss
e être l'interosseuse antérieure. Fig. 3. a, Biceps brachial ; b,
Artère
radiale sectionnée ; c, Rond pronateur ; d, Tendo
rf médian et ses divisions ; g, Tendon du bra- chial antérieur ; h,
Artère
cubitale ; i, Court supinateur ; j, Muscle anorma
parpillent en faisceaux ténus ; leurs troncs cessent d'exister. L'
artère
humérale,au pli du coude, donne en dehors une bra
se perd dans l'anconé près de son insertion épicondylienne ; cette
artère
a un trajet descendant dans son ensem- ble. Peu
jet descendant dans son ensem- ble. Peu après; l'humérale donne une
artère
radiale qui est très superficielle d'emblée jus
uscles superficiels et profonds de la région interne, puis les deux
artères
interosseuses, toutes deux grêles ; l'interosse
le tissu fibreux dense de la région ; entre ces deux tendons passe l'
artère
radiale. Sur la face postérieure de l'avant-bra
ertions inférieures avec celles des muscles de la région externe. L'
artère
humérale se divise, au niveau du pli du coude, en
y aboutissant. Plexus brachial et ses branches terminales grêles. L'
artère
au contraire avait le même volume des deux côté
près un court trajet. La cubitale à partir de ce point, constitue l'
artère
unique ; elle se bifurque au poignet et donne d
rameau externe de la branche externe. Membre supérieur droit.- Les
artères
de l'avant-bras arrivent jusqu'au poi- gnet, av
et nerfs satellites ordinaires. Les veines répondent au trajet des
artères
. Membres inférieurs. - Arrivée au creux poplité
e et inférieure de ces moignons. Les veines fémorales répondent aux
artères
; il n'y a pas de veine saphène et, d'une façon
eux de la partie inférieure du biceps. 316 KLIPPEL ET BOUCUET L'
artère
sous-clavière était plus petite que dans l'état o
- seur de la sous-clavière droite. Les six branches que donne cette
artère
avant son passage par l'écartement des scalènes
ulaire de l'omo- plate, en parcourant à peu près le même trajet des
artères
sous-scapulaires, et la cinquième enfin, qui pa
donnait quelques rameaux qui accompagnaient les distributions de l'
artère
. Le plexus brachial, quoique plus petit que cel
changé dans les dispo- sitions normales jusqu'au pli du coude. L'
artère
humérale, un peu grêle, se bifurque et donne deux
e bifurque et donne deux petits rameaux très fins correspondant aux
artères
radiale et cubitale et allant se perdre dans le
pement. Du côté du membre supérieur droit, le bras est nor- mal ; l'
artère
numérale, après avoir fourni l'humérale profonde,
s n'avons pas remarqué d'anomalie. Il n'y en a ordinairement pas.
Artères
. L'humérale, à sa bifurcation, est petite et prés
rnu mal diffé- rencié, longé à sa partie externe par le médian et l'
artère
humérale que bordent en dehors les faisceaux te
ent ; le grand pal- maire et le cubital antérieur sont normaux. L'
artère
du nerf médian a un volume considérable. De l'é
uentes dans le cervelet et l'angle que les vaisseaux forment avec l'
artère
basilaire rend difficile leur embolie.» Cependant
L'absence du coraco-brachial a été signalée par Barkow. Cependant l'
artère
humérale n'est pas signalée par les auteurs comme
rès superficielle et se perd à la hau- teur de la styloïde ; mais l'
artère
radiale passe entre les deux insertions différe
ant quelque cinquante ans auparavant, son livre sur la ligature des
artères
avait joui d'un grand renom, en France aussi bi
us destiné à la nutrition de la glande hypertrophiée. Deux ou trois
artères
qui donnaient une grande abondance de sang ont ét
x dépens de la face inférieure du pé- dicule. Après la ligature des
artères
divisées, les lambeaux ont été rappro- chés et
tance du lobe pariélo-occiplial droit, due à l'oblitération de deux
artères
, et de celui de Marcel Labhé (2) qui trouva une
omprenant la couche optique et le corps strié. (1) Voir Système des
artères
corticales, loco citato, page 7. a. Couche opti
millimètres d'épaisseur et de 7 centimètres environ de longueur. Une
artère
contourne cette grande commissure et distribue se
c à la région pos-térieure, les pyramides postérieures (19). a. — L'
artère
cérébrale antérieure, branche de la carotide inte
troisième se distribue au lobule quadrilatère (prsecuneus). b. — L'
artère
vertébrale constitue, avec sa congénère du côté o
— L'artère vertébrale constitue, avec sa congénère du côté opposé, l'
artère
basilaire (?) qui se divise, au niveau du bord su
u niveau du bord supérieur de la protubérance, en deux branches : les
artères
cérébrales postérieures. d. — Branche de l'artè
x branches : les artères cérébrales postérieures. d. — Branche de l'
artère
cérébrale postérieure. — L'artère cérébrale posté
s postérieures. d. — Branche de l'artère cérébrale postérieure. — L'
artère
cérébrale postérieure se partage en trois artères
ale postérieure. — L'artère cérébrale postérieure se partage en trois
artères
: la première se rend à la circonvolution du croc
conservant la forme d'une bandelette circulaire. 13. — Section des
artères
lenticulo-striées. 14. — La substance grise du
est réduite au segment externe du noyau lenticulaire, le putamen. Les
artères
lenticulo-striées s'étalent en éventail dans l'ép
noyau lenticulaire, où elles se divisent en ramuscules terminaux. Ces
artères
sont fournies par l'artère sylvienne, branche de
se divisent en ramuscules terminaux. Ces artères sont fournies par l'
artère
sylvienne, branche de la carotide interne, et pén
et la veine de Galien, formée par les deux veines du corps strié. L'
artère
choroïdienne, quatrième branche de la carotide in
rveuses présentant un grand nombre de petits trous que traversent les
artères
lenticulo-striées et lenticulo-optiques. La coupe
es. Il occupe la cavité de la scissure olfactive. 2. — Section de l'
artère
carotide interne au niveau du trou optique, avant
eau du trou optique, avant sa ter-minaison en quatre branches : (3) L'
artère
cérébrale antérieure, unie à celle du côté opposé
ieure, unie à celle du côté opposé par la communicante antérieure ; l'
artère
cérébrale moyenne ou sylvienne qui s'engage dans
lvius et va se ramifier sur la face convexe de l'hémi-sphère ; (10) l'
artère
communicante postérieure ; enfin l'artère choroïd
e de l'hémi-sphère ; (10) l'artère communicante postérieure ; enfin l'
artère
choroïdienne qui se porte dans les plexus choroïd
par les lobes cérébelleux, se prolonge vers le bas ; d'un côté est l'
artère
vertébrale droite, de l'autre est le nerf spinal.
la moelle vers la portion inférieure de la région cervicale. 18. —
Artère
vertébrale du côté droit. 19. — Nerf spinal du
r sont les fibres radiculaires des nerfs moteurs oculaires communs. L'
artère
basilaire, résultant delà réunion des deux artère
culaires communs. L'artère basilaire, résultant delà réunion des deux
artères
vertébrales, gagne sa face antérieure; sur les cô
x artères vertébrales, gagne sa face antérieure; sur les côtés sont l'
artère
cérébelleuse inférieure et antérieure, caractéris
ncs nerveux sont en rapport avec la série d'artérioles fournies par l'
artère
cérébrale antérieure, qui irrigue la tête du corp
le antérieure, qui irrigue la tête du corps strié, et celle qu'émet l'
artère
sylvienne, que l'on aperçoit dans la scissure de
Genève à l'Université de Zurich. La plupart des cas d'anévrysme des
artères
de la base du cerveau n'ont point d'histoire cl
l'anévrysme (1). C'est pourquoi, bien que les cas d'anévrysmes des
artères
cérébralessoientrelati- vement assez fréquents
s membres se font aussi bien à droite qu'à gauche et anévrysme de l'
artère
vertébrale GAUCHE 3 la force musculaire est par
4,p. 418) de diagnostiqueur pendant la vie un anévrysme de la base (
artère
vertébrale gauche), chez un homme de 61 ans, qu
voûte du crâne ; la dure-mère n'offre rien de particulier. Toutes les
artères
intra-crâniennes sont fortement athéromateuses.
très marqué; les vaisseaux sont remplis de sang noir, liquide. Les
artères
tortueuses, béantes et 6 P. LADAME ET C. MONAKO
uve un anévrysme de la grosseur d'un oeuf de pigeon qui siège sur l'
artère
vertébrale gauche à l'endroit où elle se jette
sables. Par une anoma- lie de la distribution artérielle, on voit l'
artère
cérébelleuse moyenne, qui naît habituellement d
er de l'extrémité antérieure de ce tronc, à droite et à gauche de l'
artère
cérébelleuse supé- rieure. La cérébelleuse moye
mesure 6 centimètres depuis l'origine de l'anévrysme au sommet de l'
artère
vertébrale jusqu'à sa terminaison dans la basilai
le jusqu'à sa terminaison dans la basilaire. Fig. 1. Anévrysme de l'
artère
vertébrale gauche. ANÉVRYSME DE L'ARTÈRE VERTÉB
AUCHE 7 Le sillon bulbo-protubérantiel n'est pas effacé à gauche.
Artères
de la base. - L'artère basilaire est très forteme
o-protubérantiel n'est pas effacé à gauche. Artères de la base. - L'
artère
basilaire est très fortement dilatée et sort gr
névrysme. A l'endroit où elle se divise pour donner nais- sance aux
artères
cérébrales postérieures on remarque à gauche une
une forte dila- tation cylindrique de toutes les branches de cette
artère
qui vont en serpen- tant jusqu'aux extrémités d
t aussi très largement dilatée ; de même la carotide interne avec l'
artère
sylvienne et la cérébrale antérieure ; cette de
ère est encore plus tortueuse que la pos- térieure. A droite, les
artères
sont aussi dilatées, mais à un moindre degré qu'à
rmaux. Hémisphères cérébraux. Malgré la sclérose si généralisée des
artères
les hémisphères cérébraux ne présentaient aucun
du côté interne. Dans les noyaux internes des couches optiques les
artères
sont dilatées et les capillaires gorgés de sang
sent normaux. Le faisceau Bath de Forel est diminué à droite. Les
artères
des parties postérieures du thalamus sont dilatée
sclé- rosée ; les vaisseaux sanguins sont variqueux. Du même côté l'
artère
choroïde est extrêmement dilatée, ses parois so
ons anatomo- pathologiques. Les cas bien observés d'anévrysmes de l'
artère
vertébrale de grande dimension sont assez rares
e de l'affection. On ne pensa pas à l'existence d'un anévrysme de l'
artère
vertébrale ; or, à l'autopsie, on fit la découv
rouvait l'anévrysme, gros comme un oeuf de pigeon, au som- met de l'
artère
vertébrale, profondément encaissé dans le pont de
le acoustique. La pathogénie de la formation de ces anévrysmes de l'
artère
vertébrale est loin d'être encore suffisamment
ie ANÉVRYSME DE L'ARTÈRE VERTÉBRALE GAUCHE 17 de l'anévrysme de l'
artère
vertébrale peut être absolument semblable à cel
ù la circulation était fortement entravée dans tout le domaine de l'
artère
vertébrale gauche. La lésion n'était toutefois pa
moelle allongée par une thrombose consécutive à l'obstruction de l'
artère
vertébrale. Cette dernière était di- latée, fus
nq millimètres ; c'était donc aussi une dilatation anévrysmale de l'
artère
vertébrale. Toute la moi- tié inférieure droite
4, p. 351. 20 P. MADAME ET C. MONAKOW dilatation anévrysmale de l'
artère
vertébrale s'étendait aussi en partie à la basi
rtie à la basilaire, à la communicante gauche, à la carotide et à l'
artère
de la fosse de Sylvius du même côté. Ce qu'il
a pas de lésions tuberculeuses. Le coenr a son volume normal ; les
artères
coronaires sont très athéromateu- ses, légèreme
uls ; sa muqueuse est normale. Le pancréas est un peu scléreux, l'
artère
spléuique est très sclérosée. La rate de volume
clérose des cordons postérieurs . Thrombus fibroides oblitérant les
artères
poplitée et tibiale postérieure . Examen du s
9 juin. Autopsie. - Rien à noter dans les grands viscères. Les
artères
tibiale postérieure et poplite du côté gauche son
t volumineuse ; elle repousse pn avant les muscles sus-jacents et l'
artère
fémorale bat très superficiellement sous la peau.
n remarquable de l'appétit. L'appareil respiratoire est sain. Les
artères
sont dures, volumineuses. L'aorte est dilatée et
de calibre exagéré, aux parois d'une dureté remarquable. Toutes les
artères
de la base, et des circonvolutions sont énormes
ntendre aucun souffle. Il n'existe aucune vibration anor- male. Les
artères
du membre ne paraissent avoir subi aucune modific
tion puisqu'on perçoit le pouls'avec ses caractères habituels sur l'
artère
axillaire, l'artère humérale, sur la radiale. L
it le pouls'avec ses caractères habituels sur l'artère axillaire, l'
artère
humérale, sur la radiale. La pression artérielle
auche est 'il peu près' normal (PI. XVII, C). .Enfin l'examen des
artères
cérébrales montre deux foyers d'artérite nodula
tre deux foyers d'artérite nodulaire, situés symétriquement sur les
artères
cérébrales postérieures, entre la bifurcation d
furcation dû tronc' basilaire et la communicante postérieure. Sur l'
artère
du côté droit, il s'agit d'artérite oblitérante t
DOUBLE SYNDROME DE WÉBER SUIVI D'AUTOPSIE 175 localisés aux deux
artères
cérébrales postérieures, en un point très- limité
. Or c'est précisément de ce point que naissent un certain nombre d'
artères
du pédoncule. Celles-ci se trouvant comprises d
tam- ment le coeur et les-poumons ne présentent rien d'anormal. Les
artères
? sont souples, le pouls est un peu petit, mais r
ée. Le sens stéréognostique est perdu du côté gauche. Pouls : 82,
artères
dures. Etat psychique, l'intelligence et la mém
s directement par le coup. Mais cette influence est réelle pour les
artères
centrales, leurs parois sont beaucoup plus minc
au. Au même mo- ment, il se fait une hémorrbagie assez abondante, l'
artère
, qui parait être une branche de la méningite mo
é. La respiration est un peu rude, bronchitique. Rien au coeur, les
artères
sont un peu athéromateuses. Les urines n'ont
enig). Fig. 6. - Obs. VII (Kroenig). 272 JEAN ABADIE che, bat l'
artère
hypogastrique. La palpation de la colonne lombair
leur intégrité. Les grands organes splanchniques sont sains. Les
artères
sont cependant un peu athéromateuses. Pas de
niveau de l'écorce cérébrale, de l'encéphale ou de la moelle. Les
artères
de l'encéphale ne sont ni épaisses ni athéromateu
ondants élargis. La pie-mère est épaissie au niveau de la base; les
artères
de la base et de la scissure de Sylvius sont asse
portante. C'est l'hémor- rhagie et l'hématome dus à une lésion de l'
artère
méningée moyenne. Cette artère est très exposée
et l'hématome dus à une lésion de l'artère méningée moyenne. Cette
artère
est très exposée aux chocs : elle est relativemen
a région fronto-temporale. En tout cas il résulte de la lésion de l'
artère
méningée moyenne ou de ses branches une collect
e lucidité peut être considéré comme un signe de l'hémorrhagie de l'
artère
méningée moyenne ou d'une de ses branches. Cet
oint de vue de l'intervention, il est un autre signe de lésion de l'
artère
méningée moyenne que Schloffer dit n'être pas rar
it n'être pas rare : c'est la dilatation de la pupille du côté de l'
artère
blessée. D'après Schlôffer, Wiesmann l'avait tr
ou une dépression en nappe du bloc de paraffine. La proximité de l'
artère
méningée moyenne de la paroi peut donc explique
New-York, entreprises dans le but de dé- terminer la résistance des
artères
de la dure-mère, n'ont pas donné de résultat po
a- tion gagne les parties profondes et rencontre les vaisseaux. Les
artères
cen- trales sont moins pourvues de fibres muscu
les carotides auraient portées et la tête sont interceptées par les
artères
de la bouche et du ne ? Louis Ferrant, profes
des masses irrégulières, qui masquent au doigt les battements de l'
artère
; à droite la palpation reconnaît, sur la ligne
facilement des secousses, muscles sur les masses de l'avant-bras.
Artères
dures. Réflexes tendineux, patellaire exagéré à
ligature de l'aorte abdominale, des oblitérations pathologiques des
artères
cérébrales, des injections de pou- dres inertes
m'ont décelé l'existence d'aucun FIG. 1. Section longitudinale de l'
artère
sulco-commissurale provenant d'un cas de méning
t l'infiltration considérable de la pie-mère et de ses vaisseaux. L'
artère
du sillon an- térieur est moins touchée. Les ce
ui- vant le trajet des artérioles radiculaires postérieures et de l'
artère
du sillon antérieur. celui-ci se colorant d'une
a forme de myélite aiguë. Ainsi la pénétration des microbes par les
artères
de la moelle donne surtout naissance à des poli
ive dans la paralysie infantile, se cantonnent dans le domaine de l'
artère
sulco-commissurale. A ce point de vue je suis tou
e de la localisation des microbes dans le* domaine des branches des
artères
spinales antérieures, l'altération ne s'é- tend
E et G. GUILLA1 ? (2 pl, en photocollogr.), 169. Anévrysme de l'
artère
vertébrale gauche suivi d'autopsie, par LADAME
5. LA DAME et VoN Monakow. Anévrysme de TABLE DES AUTEURS 683 l'
artère
vertébrale gauche suivi d'autop- sie (1 photoco
6 photograv.), 411. Monakow (VON) et C. Ladame. Anévrysme de l'
artère
vertébrale gauche suivi d'au- topsie (9 photogr
on de dégénérescence (ABADIE et DENOYÉS), LX111. Anévrysme de l'
artère
vertébrale (P. LADA- ME et C. VOX Monakow), I,
menclature qu'il adopte, très justifiable cette fois, deux ordres d'
artères
de la moelle épinière : les ver- téhro-spinales
tre ces deux ordres de vaisseaux. 1°. Vertébro-spinales. a) Les
artères
vertébro-spinales antérieures naissent des ver-
V, p. 357. Archives, t. V. C 82 revue d'anatomie. sont : 1° Les
artères
du sillon (art. M/cz), c'est-à-dire nos artères
ie. sont : 1° Les artères du sillon (art. M/cz), c'est-à-dire nos
artères
médianes antérieures (Voy. in Arch. de Phys. 1874
1874, le dessin si démonstratif que nous en avons donné). 2° Les
artères
des racines (art. 2adiriîtw.) Ce sont nos artères
ns donné). 2° Les artères des racines (art. 2adiriîtw.) Ce sont nos
artères
radiculaires antérieures ; mais l'auteur, cette
deux racines pour s'anastomoser avec une branche voisine venue de l'
artère
radiculaire de la vertébrale postérieure corres
re correspondante (anas- tomose M : <e ? 'ra6cM/6[H'e). b) Les
artères
vertébro-spinales postérieures sont au nombre d
icale, elles passent entre deux racines pour s'anastomoser avec les
artères
spinales. Les branches principales sont : 1 les
avec les artères spinales. Les branches principales sont : 1 les
Artères
pénétrantes (A ? '<e ? ec pénétrantes). Ce son
rieurs, et qui s'anastomosent avec des rameaux correspondants des
artères
spinales. Ce sont les anastomoses postérieures
ales à celles du côté opposé [Anastomoses transversales). C'est des
artères
pénétrantes et de leurs anastomoses verti- cale
de leurs anastomoses verti- cales et horizontales que naissent les
artères
des racines (a2-tei ? x radiante ; et radicum p
rum) et enfin les branches des anastomoses inter-radiculaires. 2°
Artères
spinales. Elles reproduisent le type des vertèbro
les reproduisent le type des vertèbro- spinales. Elles naissent des
artères
intercostales, lombaires et sacrées, pénètrent
en, et se divisent en branches qui suivent les racines antérieures (
artères
spinales antérieures) et en branches qui suiven
antérieures) et en branches qui suivent les racines postérieures [
artères
spinales postérieures) . Nous ne suivrons pas l
ssignalerons seulement les particulari- tés intéressantes. a) Les
artères
spinales antérieures, en suivant les racines anté
a moelle. Toutes les racines antérieures ne sont pas pourvues d'une
artère
spinale; on en trouve tantôt d'un côté ou de l'au
rémité du cône médullaire terminal, au niveau des paires sacrées, l'
artère
grande spinale fournit de chaque côté deux rame
pour contourner la moelle et s'anastomoser avec les branches des
artères
spinales postérieures- Ce sont les rameaux crucia
ont les rameaux cruciaux (ranzi ciitct'a2ztes). De la présence de l'
artère
grande spinale au niveau du plexus lombaire, et
pinales antérieurs naissent les petites branches déjà connues : les
artères
du sillon (artères médianes anté- rieures), les
naissent les petites branches déjà connues : les artères du sillon (
artères
médianes anté- rieures), les artères radiculair
nnues : les artères du sillon (artères médianes anté- rieures), les
artères
radiculaires, et les branches anastomotiques in
ulaires, et les branches anastomotiques interradiculaires. b) Les
artères
spinales postérieures occupent toute la partie
ieures occupent toute la partie de la moelle qui est au dessous des
artères
vertébro-spinales pos- térieures. Elles sont pl
ertébro-spinales pos- térieures. Elles sont plus nombreuses que les
artères
spinales antérieures, et il n'est pas rare de v
st pas rare de voir chaque paire spinale postérieure pourvue de son
artère
. Elles acquièrent un volume plus considérable a
le au niveau des renflements brachial et lom- baire. Tandis que les
artères
spinales antérieures forment une seule anastomo
ment une seule anastomose médiane, qui suit le sillon médian, les
artères
spinales postérieures en forment deux de chaque
régions cellulaires. On s'explique aussi comment par le tronc d'une
artère
basilaire, ou par une des artères grandes spina
e aussi comment par le tronc d'une artère basilaire, ou par une des
artères
grandes spinales antérieures, on peut injecter
injecter la moelle entière. Ajoutons enfin pour terminer que de ces
artères
anastomotiques naissent les artères médianes et
enfin pour terminer que de ces artères anastomotiques naissent les
artères
médianes et les artères radiculaires posté- rie
de ces artères anastomotiques naissent les artères médianes et les
artères
radiculaires posté- rieures. Veines, a) - Nou
ricières qui la traversent et qu'on observe dans toute sa hauteur :
artères
REVUE d'anatomie. 85 médianes et artères radi
dans toute sa hauteur : artères REVUE d'anatomie. 85 médianes et
artères
radiculaires de chaque côté. Trois veinules les
de la moelle en montrant qu'à la surface de cet organe, entre les
artères
et les veines visibles à l'oeil nu et que nous ve
ent d'une façon indiscutable, en ce qui concerne la disposition des
artères
infra-médullaires, des artères nourricières de
ce qui concerne la disposition des artères infra-médullaires, des
artères
nourricières de la moelle. II. NOUVELLES RECHER
lence de la santé anté- rieure, de l'état d'induration de certaines
artères
périphériques, M. S. formule ainsi la nature de
ontra la réalité de ces assertions : il existait une thrombose de ï
artère
vertébrale gauche, thrombose autochtone. L'alté
. . Mort le 28 mai dans la nuit. Autopsie le 30. Dure-mère saine.
Artères
de la base non athéromateuses. Cervelet mou, fo
e, un énorme caillot hémorrha- gique provenant d'une déchirure de l'
artère
méningée moyenne et placé au-dessus de la dure-
sphénoïdales, et des granulations tuberculeuses sur le trajet de l'
artère
méningée moyenne, plus nombreuses à gauche, à l
des dépôts purulents et quelques granulations tuberculeuses sur les
artères
de l'hexagone. Rien à signaler dans l'épaisseur
lle, il dispose des ligatures d'attente sur les sous-clavières et l'
artère
pulmonaire. La respiration artificielle est alo
hère gauche, ,4.5Ggr. flaques, athéromateuses dissémi- nées sur les
artères
de la base de l'encéphale. ( , L'hémisphère gau
aussi bien à la périphérie que dans la pro- fondeur. A droite,' l'
artère
. cérébrale antérieure, vers, Impartie posté- ri
de plus; d'une heure, observé un- rétrécissement con- sidérable des
artères
.et, des, veines et de 1,'ohnulilation,ayfqnd de
anches., f 41.1 z.. , . "r. ,.u ? t . , "" .I et anastomoses dé l'
artère
wertébrale - 1 artère carotide, lu i-* ? .tu -.
, . "r. ,.u ? t . , "" .I et anastomoses dé l'artère wertébrale - 1
artère
carotide, lu i-* ? .tu -. 1lit ill. < ,... ,
sse- ments localisés de la convexité cérébrale. Les branches de l'
artère
cérébrale antérieure : artère frontale interne et
onvexité cérébrale. Les branches de l'artère cérébrale antérieure :
artère
frontale interne et anté- rieure (Fia), artère
rébrale antérieure : artère frontale interne et anté- rieure (Fia),
artère
frontale interne et moyenne (Fim), artère frontal
ne et anté- rieure (Fia), artère frontale interne et moyenne (Fim),
artère
frontale interne et postérieure (Fip) sont colo
rne et postérieure (Fip) sont colorées en rose. - Les branches de l'
artère
sylvienne ou cérébrale moyenne : artère frontal
n rose. - Les branches de l'artère sylvienne ou cérébrale moyenne :
artère
frontale inférieure (Fi), artère frontale ascenda
e sylvienne ou cérébrale moyenne : artère frontale inférieure (Fi),
artère
frontale ascendante (Fa), artère pariétale asce
: artère frontale inférieure (Fi), artère frontale ascendante (Fa),
artère
pariétale ascendante (Pa), artère pariétale infér
artère frontale ascendante (Fa), artère pariétale ascendante (Pa),
artère
pariétale inférieure (Pi), artère du pli courbe
artère pariétale ascendante (Pa), artère pariétale inférieure (Pi),
artère
du pli courbe (Pc), artères temporales antérieu
(Pa), artère pariétale inférieure (Pi), artère du pli courbe (Pc),
artères
temporales antérieure (Ta), moyenne (Tm) et posté
(Tm) et postérieure (Tp) sont colorées en bleu. - Les branches de l'
artère
cérébrale postérieure : artère occipito-tempora
colorées en bleu. - Les branches de l'artère cérébrale postérieure :
artère
occipito-temporale antérieure (OTa), artère occ
cérébrale postérieure : artère occipito-temporale antérieure (OTa),
artère
occipito-temporale moyenne (OTm), artère calcar
emporale antérieure (OTa), artère occipito-temporale moyenne (OTm),
artère
calcarine (K) sont colorées en vert. Des fibres
u pédonculo cérébral. (C'est-à-dire le territoire vasculaire de l'
artère
sylvienne et des branches antérieure et moyenne
re de l'artère sylvienne et des branches antérieure et moyenne de l'
artère
cérébrale antérieure (Fig. 65 et 79). La plaque j
e de l'hémisphère et dans les masses centrales. - Les branches de l'
artère
cérébrale antérieure : artère frontale interne
masses centrales. - Les branches de l'artère cérébrale antérieure :
artère
frontale interne et antérieure (Fia), artère fr
cérébrale antérieure : artère frontale interne et antérieure (Fia),
artère
frontale interne et moyenne (Fim), artère fron-
nterne et antérieure (Fia), artère frontale interne et moyenne (Fim),
artère
fron- tale interne et postérieure (Fip) sont co
terne et postérieure (Fip) sont colorées en rose. - Les branches de l'
artère
cérébrale postérieure : artère temporo-occipita
olorées en rose. - Les branches de l'artère cérébrale postérieure :
artère
temporo-occipitale antérieure (OTa), artère tempo
cérébrale postérieure : artère temporo-occipitale antérieure (OTa),
artère
temporo- occipitale moyenne (OTm), artère calca
ipitale antérieure (OTa), artère temporo- occipitale moyenne (OTm),
artère
calcarine (K), ou Lemporo-occipitale postérieure
mporo-occipitale postérieure sont colorées en vert. Le tronc de l'
artère
cérébrale antérieure (rose) irrigue la tête du no
rose) irrigue la tête du noyau caudé et l'espace perforé antérieur (
artères
striées antérieures), le tronc de l'artère sylvie
espace perforé antérieur (artères striées antérieures), le tronc de l'
artère
sylvienne (bleu) irrigue le tronc du noyau caud
tronc de l'artère sylvienne (bleu) irrigue le tronc du noyau caudé (
artères
lenticulo-striées et lenticulo-opLiques), le tr
dé (artères lenticulo-striées et lenticulo-opLiques), le tronc de l'
artère
cérébrale postérieure (vert) irrigue l'espace per
ricule, le pédoncule cérébral et la partie postérieure du thalamus (
artères
optiques). L'artère choroïdienne antérieure (brun
cérébral et la partie postérieure du thalamus (artères optiques). L'
artère
choroïdienne antérieure (brun) il l'igue la circo
nnée, le pilier postérieur du trigone et la queue du noyau caudé. L'
artère
communicante postérieure (jaune) irrigue l'extrém
ce lobe et relè\enl de troubles circulatoires dans le domaine de l'
artère
cérébrale postérieure (Fig. 65, p. 99). Les lésio
rébrale postérieure (Fig. 65, p. 99). Les lésions du lobe pariétal (
artère
cérébrale moyenne), lorsqu'elles atteignent le lo
es circonvolu- tions antérieures de l'insula sont irriguées par les
artères
frontale inférieure, fron- tale ascendante et p
riétale ascendante; la circonvolution postérieure de l'insula par l'
artère
pariétale inférieure, la région rétro-insulaire p
par l'artère pariétale inférieure, la région rétro-insulaire par l'
artère
du pli courbe. Le territoire vasculaire de l'ar
insulaire par l'artère du pli courbe. Le territoire vasculaire de l'
artère
sylvienne est coloré en bleu, celui de l'artère c
toire vasculaire de l'artère sylvienne est coloré en bleu, celui de l'
artère
céré- brale antérieure en rose, celui de l'artè
bleu, celui de l'artère céré- brale antérieure en rose, celui de l'
artère
cérébrale postérieure en vert. Fig. 124. - Cas
) et rétro-lenticulaire (Cirl) de la capsule interne. Le tronc de l'
artère
cérébrale antérieure (artères striées antérieures
) de la capsule interne. Le tronc de l'artère cérébrale antérieure (
artères
striées antérieures, co- lorées en rose) irrigu
érieurs du segment antérieur de la capsule interne. - Le tronc de l'
artère
sylvienne (artères lenticulo- slriées et lentic
antérieur de la capsule interne. - Le tronc de l'artère sylvienne (
artères
lenticulo- slriées et lenticule-optiques, color
érieure du segment posléi ieur de la capsule interne. Le tronc de l'
artère
cérébrale postérieure (artères optiques colorée
de la capsule interne. Le tronc de l'artère cérébrale postérieure (
artères
optiques colorées en vert) irrigue l'espace perfo
he optique, de la légion sous-optique et du pédoncule cérébral. - L'
artère
communicante postérieure et le tronc carotidien
de la partie adjacente du putamen (Fig. 169 et 170), irriguée par l'
artère
cérébrale antérieure, la région du faisceau gén
au géniculé et de l'extrémité antérieure du thalamus irriguée par l'
artère
communicante postérieure. Elle n'affleure la co
bles de la sensibilité et relevant d'une lésion dans le domaine des
artères
lenticulo- striées (Fig. iG5-1G7), qui atteint
z Il. 176. - uas Cogery. 1° Lésion destructive dans le domaine de l'
artère
choroï- dienne antérieure, lésant le segment so
gauche. L'hémisphère droit présente deux lésions dans le domaine de l'
artère
choroïdienne antérieure qui bien que petites on
gauche datant de deux ans. Lésions capsulaires dans le domaine de l'
artère
choroïdienne antérieure : 1° lésion du globus pal
ianopsie liomonyme gauche. Lésions capsulaires dans le domaine de l'
artère
choroidiennt antérieure. Coupes horizontales pa
o latérale gauche relevant de deux lésions dans le domaine de l'
artère
choroïdienne anté- rieure. L'une sec- tionn
ianop sie homonyme gauche. Lésions capsulaires dans le domaine de l'
artère
choroidienne antérieure. Dégénérescence du corp
rale, les arborisations vasculaires des différentes bran- ches de l'
artère
sylvienne (Fig. 199). A la base du cerveau (Fig
ux territoires irrigués par les deuxième et troisième branches de l'
artère
sylvienne (Fig. 65).(artère frontale ascendante
les deuxième et troisième branches de l'artère sylvienne (Fig. 65).(
artère
frontale ascendante et artère pariétale ascenda
ches de l'artère sylvienne (Fig. 65).(artère frontale ascendante et
artère
pariétale ascendante) et par la branche paracentr
et artère pariétale ascendante) et par la branche paracentrale de l'
artère
céré- brale antérieure, c'est-à-dire à ce terri
composent la zone du langage sont irrigués par un même vaisseau, l'
artère
sylvienne. Le centre des images motrices d'articu
n vasculaire de ce noyau, le corps strié recevant ses vaisseaux des
artères
striées antérieures qui se déta- chent de l'art
s vaisseaux des artères striées antérieures qui se déta- chent de l'
artère
cérébrale antérieure; des artères lenticulo-strié
ntérieures qui se déta- chent de l'artère cérébrale antérieure; des
artères
lenticulo-striées et len- ticulo-optiyzces, bra
s artères lenticulo-striées et len- ticulo-optiyzces, branches de l'
artère
sylvienne, et de l'artère choroïdienne antérieu
s et len- ticulo-optiyzces, branches de l'artère sylvienne, et de l'
artère
choroïdienne antérieure. (Fig. 163 et 1G ? p. 1
la partie supérieure et moyenne du noyau lenticulaire (domaine des
artères
lenticulo-striées et lenticule-optiques) détermin
yau caudé et de l'e.x'6' ? ? ? e antérieure du putamen (domaine des
artères
lenticulo-striées) épargnent en général l'anse
us. Les lésions de cette région dont l'irrigation esl assurée par l'
artère
communicante postérieure sont rares. Dans un ca
en un très grand nombre de fascicules (près de 800) qui entourent l'
artère
centrale du nerf optique, présentent une surface
cules. Au voisinage immédiat de la gaine piemérienne et autour de l'
artère
centrale du nerf optique, les fibres réti- nien
que sont souvent vides. A 15 ou 20 millimètres du globe oculaire, l'
artère
centrale, en se portant obliquement en bas et e
chen) et semble donc être indépendante du point de pénétration de l'
artère
centrale du nerf optique (Henschen). Quant au
O), simple (lépres- sion qui loge une des branches principales de l'
artère
cérébelleuse anté- rieure. Comme les lamelles c
et section du bulbe au-dessous du sillon bulbo-prolubéranliel. Aci,
artère
cérébelleuse inférieure. - B, bulbe rachidien. -
naire a fait comparer aux valvules semi-lunaires de l'aorte ou de l'
artère
pul- monaire ; ce sont les valvules de Tarin (V
repose sur la gouttière basilaire de l'occipital dont la séparent l'
artère
basilaire et un vaste con- fluent sous-arachnoï
tiel supérieur, au niveau du trou borgne supérieur (tb'). Il loge l'
artère
basilaire, et on le désigne encore de ce fait s
on basilaire, mais sa dépression tient moins à la présence de cette
artère
qu'au relief des bourrelets pyramidaux et à l'e
irriga- tion de l'écorce dans ces parties se fait par le canal de l'
artère
sylvienne et de ses branches.- - . Considéron
de ses branches.- - . Considérons en effet la distribution de cette
artère
; du troncse détache successivement : l'arlériol
'expliquer assez bien par t'attrition simultanée des vaisseaux de l'
artère
svivienne. MIGRAINE OPUTnAMHOUE ET APHASIE 11
suite d'un accès. Dans ce cas, il s'était formé une thrombose de l'
artère
centrale de la rétine. Je n'attache pas bien
st des nerfs cependant qui décrivent des zig-zags, à la manière des
artères
. Il me semble que nous avons maintenant, grâce
re. 11 en est d'autres qui dérivent des zig- zags, à la manière des
artères
, mais ces llexuosités s'effacent dans certaines a
mporaux et pariétaux. ' Les gros troncs artériels de la base, les
artères
sylviennes et leurs bran- ches ne présentent au
chromoblastes abondants. Les parois des veines sont épaissies. Les
artères
présentent de la périartérite et de l'endartérite
ériartérite et de l'endartérite très marquée surtout au niveau de l'
artère
spinale antérieure. Coupe faite au niveau de la
épaississemenl fibreux très accusé, avec lésions des veines et des
artères
(l'l. IV, 6). Coupe faite au niveau de la ^régi
ninges sont épaissies avec altérations des parois des veines et des
artères
. On trouve de la sclérose au niveau de la prolo
ut;'¡ fail nlrophié (voir plus loin son examen nicroscopi(lue). Les
artères
de la base du (-ci-- ; can, de même que les art
scopi(lue). Les artères de la base du (-ci-- ; can, de même que les
artères
sylviellnes,présl'Ilo cut par place une colorat
e (voir Fis. 51). Ces lésions s'observent surtout dans quelques
artères
, situées entre l'olive et la pyramide, artères
tout dans quelques artères, situées entre l'olive et la pyramide,
artères
dont la lumière est obli- térée par l'épaississ
mbroise Paré conseille, encore d'après Paul d'Egine, l'incision des
artères
temporales dans la maladie nommée scotomise ou ve
e la veiie, causée d'un esprit vaporeux et chaud, qui monte par les
artères
carotides à la teste, et remplit le cerveau, fais
es oreilles, combien qu'il semblerait meilleur faire l'incision des
artères
qui sont aux temples; mais si elle vient d'autr
roise Paré a également conseillé contre la migraine l'incision de l'
artère
temporale du côté où siège la douleur. Ayant expé
région mas- toïdienne. Paul d'Egine y coupait et cautérisait les
artères
. « Les incisions des veines derrière les oreill
a protubérance reçoit ses vaisseaux du tronc ba- silaire el que ses
artères
se divisent en médianes et en latérales (Fig. 5G)
s artères se divisent en médianes et en latérales (Fig. 5G). Or les
artères
protubérantielles médianes, qui correspondent aux
ssent par conséquent aux noyaux des nerfs pathétiques Fic.. 56. Les
artères
médianes antérieures et postérieures du bulbe et
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE et oculo-moteurs communs. Les
artères
protubérantielles latérales (Fig. 57) se perden
e, dans l'épaisseur du pont. Une lésion por- tant à la fois sur les
artères
latérales gauches et sur les artères médianes d
on por- tant à la fois sur les artères latérales gauches et sur les
artères
médianes donnera lieu à des altérations du fais
érieurs et des centres postérieurs du nerf moteur ocu- Fic. 5 ? Les
artères
de la face antérieure de la moelle allongée et de
moelle allongée et de la protubérance annulaire (d'après Duret). 1,
artères
radiculaires du nerf accessoire de Willis. 2, a
ès Duret). 1, artères radiculaires du nerf accessoire de Willis. 2,
artères
spinales antérieures.- 3, artères radiculaires du
du nerf accessoire de Willis. 2, artères spinales antérieures.- 3,
artères
radiculaires du nerf pneumogastrique. 4, artère
s antérieures.- 3, artères radiculaires du nerf pneumogastrique. 4,
artères
radiculaires du nerf glosso-pharyngien. 5, artère
umogastrique. 4, artères radiculaires du nerf glosso-pharyngien. 5,
artères
radiculaires du nerf oculo-moteur externe. 6, a
haryngien. 5, artères radiculaires du nerf oculo-moteur externe. 6,
artères
radiculaires du nerf facial et du nerf acoustique
e. 6, artères radiculaires du nerf facial et du nerf acoustique. 7,
artères
radiculaires du -trijumeau. - 8, artères radicula
et du nerf acoustique. 7, artères radiculaires du -trijumeau. - 8,
artères
radiculaires du nerf hypoglosse. OPHTALMOPLÉGIE
compression d'un membre : peau, muscles, filets nerveux, veines ou
artères
, est suscep- tible de faire disparaître des con
t le siège d'une diapédèse dont on peut suivre tous les stades. Les
artères
ne sont pas lésées. Dans l'intérieur du parench
iers de la moelle ont leur calibre parfaitement libre, aussi bien l'
artère
et la veine du sillon antérieur que les vaisseaux
eur que les vaisseaux radiculaires anté- rieurs et postérieurs. Les
artères
sont même indemnes de toutes lésions de leurs p
eur des radicules, en suivant les tractus conjonctifs. Enfin si les
artères
nourricières sont partout intactes, il n'en est p
ie-mère du bulbe présente à peine quelques traces de méningite. Les
artères
sont saines ; par contre quelques veines présente
c infiltration des parois des veines qui traversent cet espace. Les
artères
échappent à la lésion. Tous les nerfs dont il v
pente du 4° ventricule est moins prononcée que la nor- male. Les
artères
méningées moyennes sont volumineuses ; par contre
roit. L'oculo-moteur com- mun droit est plus petit que le gauche. L'
artère
vertébrale, le trijumeau et le nerf optique son
rophile, et communiquent en avant par le sinus coronaire. Quant aux
artères
, la sylvienne et la cérébrale antérieure sont trè
oit possible de dire si elle en est la cause ou la conséquence. Les
artères
méningées moyennes, dont l'empreinte est si mar
it que des études ont été faites sur la pression et la ligature des
artères
carotides aussi bien chez l'homme que chez les an
mme que chez les animaux. De même la pression et la ligature de ces
artères
ont été faites chez les épileptiques dans un bu
ocalisée sans doute en dedans du tendon du biceps. Comme là passe l'
artère
humera le, comme il existe sur le médian un volum
me il existe sur le médian un volumineux névrome qui peut irriter l'
artère
, comme les troubles vaso-moteurs, sudoraux et t
leur ma- trice épaissie et débordante. Or, lors de la blessure, l'
artère
humérale aurait été coupée, une très abondante
isse rien affirmer, il est du moins tout à fait vraisemblable que l'
artère
radiale a été lésée. Ce qui rend ce cas particu
négative : nombreux sont nos cas où, par exemple, une section de l'
artère
humé- raie ou radiale associée à une lésion du
les fragments des zones d'infiltration oedémateuse. La majorité des
artères
ont souffert de la dégénérescence hyaline. Il y
ale, on ne trouve pas d'altérations. Dans le rameau descendant de l'
artère
coronaire, il y a quelques parties épaisses. La
nsuration donne les chiffres suivants : 264 ' LÉRI soulevant. Les
artères
pédieuses se sentent faiblement des deux côtés, m
e. Les caillots de sang entourent complètement le commencement de l'
artère
cérébrale moyenne droite, la communicante postéri
oagulations se sont révélées très fermes et fixées. Au sondage de l'
artère
cérébrale moyenne avec une sonde fine, on n'a pas
seule fissure d'aucun des vaisseaux, et à l'injection de l'eau dans l'
artère
, ou n'a pas non plus vu l'eau sortir d'aucun cô
ou n'a pas non plus vu l'eau sortir d'aucun côté. Sur la paroi de l'
artère
«asilaire on trouve une plaque artériosclérotique
ention spéciale a été donnée aux petits vaisseaux, qui partent de l'
artère
cérébrale moyenne et postérieure, et qui 'se pe
l'examen microscopique du cerveau, on a observé dans la plupart des
artères
sur une grande étendue un fort épaississement de
partout sans rien à signaler. , 1 Dans une coupe longitudinale de l'
artère
cérébrale moyenne droite, on a constaté sur un
é trouvée. Mais ce fait est compensé par l'observation faite dans l'
artère
cérébrale moyenne droite de la cicatrisation de l
é. Mais le processus arlérioscléreux a continué son action dans les
artères
cérébrales de la patiente,' et une nou- velle i
Diagnostic pathologique anatomique : Artériosclérose. Auévrisme de l'
artère
cérébrale moyenne gauche avec hémorragie méning
est lixé dans du formol. On dissèque avec beaucoup de précautions l'
artère
cérébrale moyenne gauche. Alors on a trouvé que l
cérébrale moyenne gauche. Alors on a trouvé que la partie de cette
artère
la plus voisine de la carotide était de largeur e
sac est plus épaisse que la paroi de la partie la plus voisme de l'
artère
. La paroi est grisâtre avec sur la surface inté
agie cérébrale. Diagnostic pathologique anatomique : Anévrisme de l'
artère
cérébrale moyenne droite avec perforation et hé
ur. La musculature mesure à sa base 15 millimètres d'épaisseur. Les
artères
coronaires comme l'endartère de l'aorte ne mont
ssu on ne peut observer aucune dé- chirure ou autre altération. Les
artères
de la base du crâne du cerveau sans sclérose. L
est un peu plus humide. De plus, on trouve l'une des branches de l'
artère
cérébrale moyenne droite, qui monte vers les ga
celle d'un pois. L'anévrisme, que l'on peut facilement sonder par l'
artère
elle-même, est rempli de masses sombres, sèches e
mentionné. Du reste, on n'a pu découvrir aucune altération dans les
artères
cérébraies. Non plus d'épanche- ment sanguin da
ci on le trouve à l'endroit ordinaire... dans une des branches de l'
artère
cérébrale moyenne. Il donne un épanchement cons
ités que troiscas semblables. Dans deux d'entre eux,il s'agissait d'
artères
athéroma- teuses rupturées ; dans le troisième,
n même temps une barrière contre les ruptures. · Les anévrismes des
artères
cérébrales ne sont plus en général regardés com
nt au contraire dus à des altérations athéromateuses des parois des
artères
. Ainsi l'artério- sclérose est le facteur prima
on a trouvé à l'au- topsie des altérations athéromateuses dans les
artères
cérébrales. Une rup- ture de l'endartère guérie
. En considération de cela, la trouvaille d'une artériosclérose des
artères
cérébrales était assez inattendue à t'age de la
tre autres, Wegelin a trouvé des ruptures spontanées fréquentes des
artères
cérébrales. Les hémorragies méningées qui se
que cette attrition est moins im- portante dans les hémorragies des
artères
basales, parce que le jet de sang peut ici s'éc
e, mais qui, en réalité, n'est qu'un ganglion lymphatique, auquel l'
artère
carotide communique ses battements. La radiogra
vocal à une lésion du récurrent ou à une compression de nerf par l'
artère
ou par une cicatrice. A. l'hôpital Régin, dans
ntégrité de la carotide s'explique par l'élasticité bien connue des
artères
. Le petit ganglion en avant de l'artère, dont il
élasticité bien connue des artères. Le petit ganglion en avant de l'
artère
, dont il rend plus visibles les battements, peu
n cervical supérieur se réfléchit autour de la face inférieure de l'
artère
thyroïdienne supérieure, remonte appli- quée à
Sur une anse nerveuse sympathique non encore dé- crite autour de l'
artère
thyroïdienne supérieure, Journal d'anatomie et de
e dans la circulation. La contraction musculaire chasse le sang des
artères
et quand cette contrac- tion cesse, les artères
chasse le sang des artères et quand cette contrac- tion cesse, les
artères
se remplissent de sang. Pendant la suspension, le
inférieurs sont relativement flasques et l'afflux du sang dans les
artères
y est facilité, tandis que le reflux du sang vein
e, dur, arrondi, terminé par une surface plane.au côté duquel bat l'
artère
hypogastrique. C'est, suivant toute vraisemblan
les gros troncs artériels et nerveux des bras (nerfs médians et les
artères
brachiales par exemple). La fréquence des accès
a pie- mère au niveau de la circonvolution des nerfs olfactifs, les
artères
sont symé- triques ainsi que les nerfs olfactif
s. Les veines du cerveau et du cervelet sont gorgées de sang. Les
artères
de la base sont symétriques. SOi NOUVELLE ICONO
d sympathique ne peut provoquer autre chose que le resserrement des
artères
auxquelles il envoie des fibres, tandis que Remak
pile galvani- que. J'ai eu l'idée de provoquer le resserrement des
artères
des membres au moyen delà faradisation modérée
res des membres au moyen delà faradisation modérée et prolongée des
artères
dans diverses affections où ce procédé prometta
dé promettait un succès d'après des lois physiologi- ques. Chaque
artère
est ccompagnée de fibres vaso-motrices. De là, re
lammé ou hype- rémié. On peut môme espérer agir sur les muscles des
artères
presque direc- tement parce qu'il ne s'agit ici
des artères presque direc- tement parce qu'il ne s'agit ici que des
artères
superficielles. Dans les cas où il y inflammati
ion d'une partie du membre inférieur c'est à la faradisa- tion de l'
artère
fémorale qu'on peut recourir. Je place pour la pr
ine traumatique, rhumatismale ou syphilitique, la faradisation de l'
artère
fémorale est suivie immédiatement d'un soulagem
rsienne qui sont le siège d'un travail inflammatoire, c'est la même
artère
qu'il faut faradiser. On verra ici les mouvemen
loureux et la tempé- rature locale s'abaisser. La faradisation de l'
artère
fémorale est enfin encore indiquée dans la névr
r, il faut ajouter encore qu'on peut faradiser les ramifications de l'
artère
fémorale et même ses branches terminales dans l
te impossibilité est à regretter quoique rien ne prouve que c'est l'
artère
fémorale qui nourrit principalement le nerf cru
s fâcheuse et qui remontaient jusqu'au bassin. La faradisation de l'
artère
fémorale donnait dans ces cas un résultat des p
ntre comme vers la périphérie. Mais l'effet de la faradisation de l'
artère
fémorale qui surpassait ce que j'attendais étai
upérieur d'o- rigine quelconque on peut tenter la faradisation de l'
artère
brachiale et de ses ramifications, comme je le
mêmes résultats qu'aux membres inférieurs par la faradisation de l'
artère
fémorale. Mais quant à la névrite du membre sup
est en général impossiblede le traiter par la faradisation cle son
artère
prin- cipale parce que celle-ci est accompagnée
des conséquences fâcheuses. Il n'est pas même permis de faradiser l'
artère
sous- LA FARADISATION TIIÉIt"F]UTIQUE e '-173
fibres vaso-constrictrices de cet organe. Ces fibres se rendent à l'
artère
sous-clavière dont elles accompagnent les ramific
clavière dont elles accompagnent les ramifications, entre autres, l'
artère
vertébrale qui nourrit la moelle épinière, le bul
es en vue de l'excitation des nerfs vaso-moteurs qui se rendent à l'
artère
vertébrale. On peut poser le rhéophore actif à la
, on excitera da- vantage les nerfs vaso-moteurs qui accompagnent l'
artère
vertébrale. L'origine des nerfs vaso-constricte
res vaso-motrices des ramifications de l'aorte abdominale, même des
artères
iliaques primitives, sont des continuations imméd
e du cou qui contient le troisième ganglion du grand sympathique, l'
artère
sous- claviére et l'artère vertébrale qui est d
oisième ganglion du grand sympathique, l'artère sous- claviére et l'
artère
vertébrale qui est destinée il la moelle épinière
. J'ai dit déjà plus haut que le courant faradique peut atteindre l'
artère
sous-cla- vière : le pouls radial est dur et ra
aire doit exciter aussi les fibres vaso-motrices qui accompagnent l'
artère
sous-clavière et son rameau, l'artère vertébral
o-motrices qui accompagnent l'artère sous-clavière et son rameau, l'
artère
vertébrale qui est destinée à la moelle épinière.
u grand sympathique, les fibres vaso- motrices qui accompagnent les
artères
sous-el a, ière et vertébrale. Delà l'ex- citat
de la région malade et, il en doit résulter un resserrement de ces
artères
lorsque leur tunique moyenne n'est pas encore alt
que leur tunique moyenne n'est pas encore altérée profon- dément. L'
artère
vertébrale n'est pas la seule artère qui nourriss
core altérée profon- dément. L'artère vertébrale n'est pas la seule
artère
qui nourrisse la moelle ; les artères intercost
vertébrale n'est pas la seule artère qui nourrisse la moelle ; les
artères
intercostales lui envoient aussi des rameaux. Ces
rt accessibles pour le courant induit et les nerfs vaso-moteurs des
artères
ilia- ques primitives venant du plexus de l'aor
cles des artérioles doit céder à la haute pression du sang dans les
artères
et l'on ne constate aucun effet encourageant de
de la faradisation de la région supérieure du cou. Le pouls de ces
artères
devient plus ample et ralenti en raison du resser
de z à droite et de à à gauche. Les papilles sont blanchâtres, les
artères
diminuées, mais il n'y a pas l'atrophie papilla
se, péri-endophlé- bite oblitérante, intégrité presque complète des
artères
spinales. Envahissement de la moelle dans la ré
onnaîtrait pas la structure de la veine, si l'on ne voyait à côté l'
artère
spinale antérieure intacte. Toutefois, à l'aide
ble forme un contraste assez frappant avec l'intégrité absolue de l'
artère
correspondante. La méningite a peu d'importance
e sous-arachnoïdien. FiG. 4. COUPE transversale DE la VEINE ET DE l'
artère
spinales antérieures, au NI- veau DE la région
ur, à quelque distance de la néoformation précédente, on aperçoit l'
artère
spinale antérieure aussi intacte que dans les a
contraste maintes fois signalé entre l'état des veines et celui des
artères
. Il est juste d'ajouter cependant qu'au voisinage
ous trouvons la même opposition que partout ailleurs entre l'état des
artères
et celui des veines : intégrité des unes, infil
s pas pu examiner malheureusement la protubérance elle-même, ni les
artères
basilaires, qui n'ont pas été conservées. (A
es; pas de contractions fibrillaires. Les seins sont saillants; les
artères
ne sont pas athéromateuses. Les deux nerfs cubi
uée de toutes les veines à l'infiltration et l'intégrité complète des
artères
, sauf un très léger degré de périartéri te sur
d'un foyer occupant la moelle dorsale une inflammation intense des
artères
et des veines, qui sont presque complètement ob
ntérieurs; mais tandis que la veine était complètement oblitérée, l'
artère
présentait seulement, une infiltration embryonnai
elève le contraste remarquable entre l'état des veines et celui des
artères
. Ajoutons que les altérations méningo-vas- cula
ontra des lésions consi- dérables des vaisseaux méningés, veines et
artères
, et des altérations dé- génératives dans la sub
ssus débutait constamment dans la tunique interne des veines et des
artères
. On pouvait constater tous les degrés, depuis un
saine (colorée en noir. d) Corne antérieure gauche atro- phiée. e)
Artère
spinale antérieur dont les parois sont hypertroph
eures de cette série qui a 2 ou 3 millimètres de hauteur, on voit l'
artère
spinale antérieure présenter tout à coup un épais
e envahit légèrement le tissu médullaire sous-jacent. L'examen de l'
artère
spinale antérieure il ce nivean montre que le rét
ique musculaire est certainement beaucoup plus épaisse que dans une
artère
spinale normale, mais sans traces d'inflammation
cessus. Fait a noter : il quelques millimètres de distance, la même
artère
présente une épaisseur normale de ses tuniques.
mère, sont plus altérées que les Fig. 16. - Coupe transversale de l'
artère
spinale antérieure. Périartérite ancienne : rétré
ue du calibre du vaisseau. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 169
artères
. Les unes ont leurs parois épaissies et couvertes
en et organisé. On ne saurait dire avec certitude s'il s'agit d'une
artère
ou d'une veine. Il existe une dégénérescence py
al gauche. Ajoutons que ici, comme dans le cas précédent, veines et
artères
sont intéressées et que la périphlébite, la pér
deux nerfs oculo-moteurs sont englobés dans cet épaississement. Les
artères
de l'hexagone, ainsi que les vertébrales et le
ont touchées. Ainsi en avant, au niveau du sillon médian antérieur, l'
artère
et la veine spinales se montrent normales sur l
dans tous les vaisseaux de calibre. En outre; sur presque toutes les
artères
, l'adventice est épaissie, plus ou moins confon
t ne décrit pas de sinuosités comme on en voit sur les coupes d'une
artère
saine. A plus d'un litre, cette observation dif
les points correspondant à la méningite elle-même. En particulier l'
artère
et la veine spinales antérieures offraient une
O-MYÉLITE SYPHILITIQUE 215 formation, très vascularisé. Les grosses
artères
de la base (tronc basilaire, vertébrale) ont le
t restent généralement dans la suite plus in- tenses que celles des
artères
. Le début de la lésion, dans les cas les plus f
normale. Les vaisseaux ne sont pas en général altérés : cependant l'
artère
sylvienne gauche est plus dure, plus rigide que
l'artère sylvienne gauche est plus dure, plus rigide que les autres
artères
de l'encéphale, et a subi dans une certaine mes
avec la voûte crânienne; pas d'altération des méninges. Toutes les
artères
de l'encéphale sont envahies par t'athérôme, depu
rt la dégénérescence n'est aussi complète que dans les tuniques des
artères
sylvienne et cérébrale antérieure droites, qui
d'ailleurs, envahi la presque totalité du système artériel : les
artères
cérébrales postérieures, vertébrales, basilaire,
Le lobe frontal a seul souffert des altéialions constatées sur les
artères
frontales externe et infé- rieure et sylvienne
maladie a présentées jusqu'alors traduit l'obturation de l'une des
artères
déformées et athéro- mateuses, et, par la persi
au : conséquence nécessaire de l'accroissement de pression dans les
artères
profondément dégénérées et dont les parois, rug
ur siège, ces alté- rations, qui existent au plus haut degré dans l'
artère
sylvienne droite, ont nui directement à la nutr
onc basilaire et la cérébrale postérieure étaient, comme les autres
artères
, le siège d'obstructions ! Userait inopportun d
E DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 85 X. Noie SUR un cas d'oblitération de l'
artère
basilaire ET SUR QUELQUES POINTS DE LA PHYSIOLO
z une femme qui mourut après trente-six heures de coma, on trouva l'
artère
basilaire oblitérée en arrière de l'origine des
ques ecchymoses récentes sous l'épen- dyme du troisième ventricule.
Artères
vertébrales extrêmement atheromateuses. Dure-mè
e). Les autres questions restées dans l'urne étaient : nerf facial,
artères
du cerveau (ana- tomie et physiologie). Les q
ique. Le diagnostic de Haab pendant la vie avait été : embolie de l'
artère
irriguant la partie postérieure delà couche optiq
us, C. R. Agnew ». Mondiagnostic était : Embolie de la branche de l'
artère
cérébrale postérieure irriguant la face postéro
Le cerveau en général était anémié ; les vaisseaux delà base et les
artères
cérébrales moyennes exemptes d'embolie et de thro
issement était produit par une embolie de la troisième branche de l'
artère
cérébrale postérieure, artère occipitale de Dur
embolie de la troisième branche de l'artère cérébrale postérieure,
artère
occipitale de Duret. Les objections que peut
ement due, une lésion superficielle étendue à l'aire irriguée par l'
artère
cérébrale moyenne. On devra s'attendre à trouve
ra-marginale, et le gyrus angularis. L'embolie ou la thrombose de l'
artère
sylvienne sera la cause la plus probable du ram
plus blanche, plus nette que du côté droit, quoique la papille, les
artères
, les veines, ne pré- sentent aucune anomalie re
égénérescence interstitielle du tissu conjonctif qui accompagne les
artères
des cordons postérieurs. L'autre ré- sulte d'un
sa paroi mince, lisse, régulière est parcourue par une branche de l'
artère
pulmonaire égalant à peu près en diamètre celui
e droit très diminué de volume et de capacité. Léger athérome des
artères
coronaires. Toutes les autres parties du coeur so
éninges : décortication facile. OEdème de la pie-mère. Athérome des
artères
de la base. - Cerveau : l'hémisphère gauche pès
ieur de l'aorte. Circonférence de-l'aorte : 8 centim. 2, celle de l'
artère
pulmo- naire mesure cenlim. 2. La longueur du v
fficile. il. M. C. XXV. 11CU0111tU.IG1E CÉRÉnEH.EUSE; ANOMALIES DES
ARTÈRES
CÉDÉ- .; orales ; par JAUNIES SU.W. (The' Journ
). Puis coma et mort. - A l'autopsie, on constate de l'alhérôme des
artères
cérébrales; mais, en outre, ces artères pré- se
constate de l'alhérôme des artères cérébrales; mais, en outre, ces
artères
pré- senteutles anomalies suivantes : la cérébr
ure droite est fournie par la carotide interne ; du côté droit de l'
artère
basilaire, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 433
qui rejoint en avant la cérébrale postérieure droite. A gauche les
artères
fournies par le tronc basilaire sont normales q
'hystérie et les troubles nerveux, 445. Apoplexie séreuse, 421.
Artère
basilaire (oblitération de la), 85. Asiles, p
lu) ; 85 ; (masses risestlu), parJley- nert,1 15 ? (auomalies des
artères
du), 422; - lésion du lobe tem- poral gauche
es anciens pensaient que la vallée médiane était destinée à loger une
artère
médiane connue sous le nom d'artère basi-laire. M
édiane était destinée à loger une artère médiane connue sous le nom d'
artère
basi-laire. M. Cruveilher a critiqué, avec beauco
critiqué, avec beaucoup de raison, cette manière de voir. En effet, l'
artère
basilaire est souvent flexueuse, irrégulière ou d
ibres traversent en partie l'olive pour se porter au delà. Une petite
artère
pénètre avec elles dans l'intérieur de l'olive et
égaux. Leur superficie est recouverte de la pie-mère et des veines et
artères
qui pénètrent profondément leur substance : il so
sentiellement formée d'un lacis de vaisseaux, d'où naissent les fines
artères
qui pénètrent dans la substance de la moelle ou d
rneux. Ces sinus sont fort remarquables, car ils sont traversés par l'
artère
carotide et par plusieurs nerfs, savoir : le mote
à son feuillet périostique. Ils accompagnent assez régulièrement les
artères
méningées et sont composés de fibres grises. M. L
orment des réseaux très-riches dont les prolongements enveloppent les
artères
qui sont à la base du cerveau, et les accompagnen
position des vaisseaux propres au système nerveux encéphalique. Les
artères
de l'encéphale proviennent : 1° des vertébrales;
ale proviennent : 1° des vertébrales; 2° des; carotides internes. Ces
artères
sont remarquables par les flexuosités qu'elles dé
yr a parfaitement décrit et figuré dans son bel ouvrage, Pl. XIX, les
artères
de l'encéphale. Elles forment deux systèmes disti
deux carotides, après avoir traversé les sinus caverneux, donnent les
artères
ophthalmiques, se recourbent l'une vers l'autre,
recourbent autour du corps calleux pour se distribuer, sous le nom d'
artères
calleuses, à la face interne des hémisphères. Ava
bue à la face externe des hémisphères. Elles fournissent en outre les
artères
de l'espace perforé. Vicq-d'Azyr les nomme fort é
es artères de l'espace perforé. Vicq-d'Azyr les nomme fort élégamment
artères
Sijl-viennes. Les carotides, en conséquence de le
otides, en conséquence de leur distribution, sont essentiellement les
artères
des hémisphères cérébraux. — Les deux vertébral
iveau de la protubérance en un seul tronc médian, connu sous le nom d'
artère
ba silairc. Ce tronc se divise au-devant de la
t se distribue aux parties postérieures des hémisphères sous le nom d'
artères
cérébrales postérieures ou profondes. Une divisio
oïdes des ventricules latéraux. Sur les côtés, les vertébrales et l'
artère
basilaire fournissent d'arrière en avant : 1° Un
d'arrière en avant : 1° Un centimètre environ avant leur réunion, les
artères
cérébelleuses profondes. Ces artères se recourben
environ avant leur réunion, les artères cérébelleuses profondes. Ces
artères
se recourbent autour du bulbe et donnent au plexu
fort loin la description de ces détails. Elles fournissent encore les
artères
spinales antérieures. 2° Au-devant de la réunio
la réunion des deux vertébrales, le tronc basilaire donne les petites
artères
cérébelleuses latérales que loge le sillon horizo
ustique. Elles croisent la direction de ces nerfs, et fournissent les
artères
auditives. Plus en avant, il donne les artères
, et fournissent les artères auditives. Plus en avant, il donne les
artères
supérieures du cervelet. Ces artères, parallèles
s. Plus en avant, il donne les artères supérieures du cervelet. Ces
artères
, parallèles aux fibres de la protubérance, passen
elui des vertébrales, communiquent l'un avec l'autre au moyen de deux
artères
parallèles qui passent à droite et à gauche de l'
s qui passent à droite et à gauche de l'espace interpédonculaire. Ces
artères
, désignées sous le nom de communicantes, unisse
aire. Ce cercle entoure l'infundibulum. C'est de lui que naissent les
artères
des pédoncules et du triangle interpédonculaire.
en fournit de petits rameaux que Vicq-d'Azyr a désignés sous le nom d'
artères
choroïdiennes antérieures. Ces artères, pour la
zyr a désignés sous le nom d'artères choroïdiennes antérieures. Ces
artères
, pour la plupart, se divisent à l'infini dans la
ns inférieurs des pédoncules et se ramifient dans le locus niger. Les
artères
de la protubérance, et en général toutes celles q
ance grise, sont dans le même cas. Nous signalerons encore une petite
artère
qui, de l'artère cérébelleuse supérieure, se port
dans le même cas. Nous signalerons encore une petite artère qui, de l'
artère
cérébelleuse supérieure, se porte à la surface du
rieur du cervelet, dans l'intérieur du corps rhom-boïdal. Quant aux
artères
qui pénètrent dans les couches corticales, elles
thiques, appartiennent essentiellement aux enveloppes du cerveau. Les
artères
et les veines de la substance cérébrale naissent
dent détermine la perception d'un certain bruit; que le mouvement des
artères
et du sang soit perçu sous forme de bourdonnement
ée pour une gomme, serait parfaitement inutile dans la syphilis des
artères
. Sans doute ce diagnostic est extrêmement délic
De toutes les formes de syphilis cérébrale, celle qui frappe les
artères
est certainement la mieux connue au point de vue
Le caractère le plus général est le suivant : dans la syphilis des
artères
cérébrales comme dans presque toutes les affect
ruptures artérielles que nous étudierons 'à part, la syphilis des
artères
agit presque uniquement en ischémiant ou ané- m
en pleine santé, sont presque caractéristiques de la syphilis des
artères
. - Rarement on observe des paralysies spasmodiq
s plus loin. , L'épilepsie partielle se voit dans la syphilis des
artères
comme dans les autres formes; mais elle est plu
s la syphilis méningée et gommeuse, sont rares dans la syphilis des
artères
. Cependant elles ont été signalées quelquefois
u, à l'ophtalmoscope, diagnostiquer des lésions syphi- litiques des
artères
de la rétine : c'est là un signe trop rare pour
existent guère2 que dans les cas de compression d'un nerf par une
artère
dilatée comme dans le cas rapporté plus loin. Loi
encéphale. - On peut distinguer dans l'évolution de la syphilis des
artères
cérébrales, deux périodes assez distinctes : l'
e de paralysie de la sixième paire pro- duite par un anévrisme de l'
artère
cérébelleuse intérieure. La troisième paire, pa
cérébelleuse intérieure. La troisième paire, par son voisinage de l'
artère
cérébrale postérieure, paraît tout particulière
. Dans un cas de Knapp ' il y avait une dilatation bilatérale des
artères
cérébrales antérieures, et une hémianopsie bilaté
er en faisant songer à une méningite de la base. Les anévrismes des
artères
cérébrales ont été bien décrits par Spillmanu=.
ement de la substance cérébrale. Ou bien les parois infiltrées de l'
artère
ont cédé à la pression sanguine, se sont déchir
outes ses localisations peut reconnaître pour cause la syphilis des
artères
. Nous dirons la môme chose de l'hémorragie céré
u'on obtiendrait aussi des résultais positifs dans la rupture d'une
artère
syphilitique. Cette inter- vention est d'ailleu
alysie générale ne nous ont pas paru se rattacher à la syphilis des
artères
plutôt qu'aux autres formes; le plus souvent il
'encéphale étantretiré, on examine d'abord l'état des vaisseaux : l'
artère
basilaire présente un aspect irrégulier, un peu m
sur la cérébelleuse antéro-inférieure; le moyen sur une des petites
artères
protubérantielles. Plusieurs de ces petites art
une des petites artères protubérantielles. Plusieurs de ces petites
artères
protubérantiellesprésenfent en outre des dilatati
u côté opposé. Le facial du -même côté : sf1 : i intact. Les autres
artères
de la base présentent de l'artérite mans- feste
nne gauche, au niveau du point où elle^' donner le tronc commun des
artères
frontale inférieure et frontale ascendante, on
tre de long. 11 ne parait pas obstruer complètement le calibre de l'
artère
, car les parois sont facilement sectionnées sur
envoie pas de prolongements dans le tronc com- mun des frontales. L'
artère
est perméable en deçà et au delà. Nulle part ai
xième paire seule était comprimée ; le facial était assez loin de l'
artère
dilatée, et macroscopiquement paraissait sain.
thique cervical ou de leurs noyaux d'origine. La turgescence des
artères
thyroïdiennes, résultant de la vaso-dilatation de
ence des artères thyroïdiennes, résultant de la vaso-dilatation des
artères
de la tête et du cou, a pour conséquence l'hype
g de la grandeur d'un noyau de citron dans la partie basilaire de l'
artère
de la fosse de Sylvius droite. Sur la paroi ant
'artère de la fosse de Sylvius droite. Sur la paroi antérieure de l'
artère
carotide interne gauche s'apercevait encore un
eur d'une cerise. Dans les sacs anévrismatiques, ainsi que dans les
artères
, il y avait des thrombus rouge foncé. Deuxième
de la grandeur d'un oeuf de poule, qui occupait tout le long de- l'
artère
basilaire. Dans la partie postérieure de la tum
basilaire. Dans la partie postérieure de la tumeur entrent les deux
artères
vertébrales et de sa partie anté- neutre sorte
les deux artères vertébrales et de sa partie anté- neutre sorte les
artères
cérébrales postérieures'. La tumeur a l'aspect
eux. A l'autopsie on trouva une tumeur qui sortait de la paroi de l'
artère
carotide interne et occupait une partie de la b
attaque foudroyante due à la thrombose ou à la rupture d'une grosse
artère
, doit toujours faire penser à l'envahisse- ment
ntent un double contour très net et sont très sinueuses. Anémie des
artères
qui sont rectilignes, filiformes, et se perdent
e important et est probablement dû aux conditions athéromateusesdes
artères
n'assurant plus que d'une façon irrégu- lière l
et les reins une périartérite intéressant de préférence les petites
artères
, semblable à celle qui se rencontre dans les diff
on pri- mordiale consiste en une prolifération nucléaire autour des
artères
. Les cellules ne s'altèrent que postérieurement
ne congestion cérébrale tempo- raire par diminution de l'action des
artères
des autres parties du corps; de là l'attaque d'
uite des hémorrhagies violentes, ou quand on a lié, soit les quatre
artères
cérébrales, soit les veines encépha- liques, mê
par le liquide céphalo-rachidien, sous forme de pseudo-kyste. Les
artères
de la base paraissent égales. - Les nerfs olfacti
s, mais surtout à droite, il y a du sang épanché sur le trajet de l'
artère
sylvienne. Encéphale : 1430 gr. Cervelet et ist
D., veine rénale droite ; V. R. G., veine ré- n ale gauche ; A. R.,
artère
rénale ; A. R. S., artère rénale supplémen- tai
V. R. G., veine ré- n ale gauche ; A. R., artère rénale ; A. R. S.,
artère
rénale supplémen- taire ; A. R. M. S., artère r
re rénale ; A. R. S., artère rénale supplémen- taire ; A. R. M. S.,
artère
rénale médiane supplémentaire ; 13., bassi- net
médiane supplémentaire ; 13., bassi- net ; u., uretère; A I. P.D.,
artère
iliaque primitive droite ; A. I. P. G., artère
uretère; A I. P.D., artère iliaque primitive droite ; A. I. P. G.,
artère
iliaque primitive gauchi. REIN UNIQUE. 137 '
cheval vu en arrière. - R. rein; C. S., capsule surrénale ; A. R.,
artère
rénale ; V. C ? veine cave ; A. R. S , artère r
le surrénale ; A. R., artère rénale ; V. C ? veine cave ; A. R. S ,
artère
rénale supplémentaire ; U., uretère ; A, I. P.
A. R. S , artère rénale supplémentaire ; U., uretère ; A, I. P. D.,
artère
iliaque primi- tive droite ; A. I. P. Go artère
tère ; A, I. P. D., artère iliaque primi- tive droite ; A. I. P. Go
artère
iliaque primitive gauche ; A. I. E., ar- tère i
e primitive gauche ; A. I. E., ar- tère iliaque externe ; A. I. I.,
artère
iliaque interne. 138 APPAREIL URINAIRE. thyro
ueur de 4 centimètres et le droit de 3 centimètres. Description DES
artères
ET VEINES. - RAPPORTS. - Les artères diaphragma
centimètres. Description DES artères ET VEINES. - RAPPORTS. - Les
artères
diaphragmatiques inférieures, le tronc coeliaque,
r situation normale ordinaire et n'offrent aucune anomalie. - Les
artères
rénales, ainsi que les veines, sont au nombre d
à 1 et 2 centimètres au-dessous de la mésentérique inférieure. Les
artères
rénales supé- rieures entrent dans le rein à la
s passent en arrière ou pénètrent dans le rein au-dessus du hile. L'
artère
rénale inférieure gauche pénètre par plusieurs
rière du bassinet à 3 centimètres 1/2 au-dessus de la supérieure. L'
artère
rénale inférieure droite s'enfonce directement
ctement dans le rein à 1 centimètre environ en arrière du hile. Ces
artères
sont accompagnées par des veines rénales assez
agnées par des veines rénales assez grêles. Enfin nous trouvons une
artère
mé- diane venant de l'iliaque primitive droite
pl. III lig. 5), est presque identique au notre, uretères en avant,
artères
médianes provenant de l'aorte un peu avant sa b
la circulation cérébrale (Duret, Heubner) sur la distribution de l'
artère
syl- vienne aux r3, FA, PA et Tl. On comprend a
égion en rapport avec l'odorat. Cela résulte des cas d'embolie de l'
artère
sylvienne gauche dans les- quels, en même temps
es sur la décompression brusque et sur l'iiijec- lion d'air dans le
artères
. Nancy, 1879. 88 CLINIQUE NERVEUSE. brisant l
hanger notablement la rapidité de la circula- tion du sang dans les
artères
capillaires et les veines. Que par cetle altéra
présence du sang mousseux dans les veines, le système porte, les
artères
, même dans les vaisseaux du placenta et des foe
e, les autres ne sont guère moindres. Dans le système artériel, l'
artère
qu'on pique, quelle qu'elle soit, laisse sourdr
g mousseux, mais la quantité de bullettes est moindre que celle des
artères
. Cerveau. - L'enlèvement de la boite crânienne
en bien moindre quantité. On rencontre ça et là aussi bien dans les
artères
que dans les veines de fines bullettes d'air.
ture du thorax. Sang mousseux aussi bien dans le coeur que dans les
artères
et dans les veines. Moelle. - Oblitérations gaz
énorme quantité d'air; pas de thrombus. Il en est de même pour les
artères
et les veines. Nous enlevons ensuite avec beauc
aussi des bulles d'air, on trouve aussi des perles gazeuses dans l'
artère
centrale qui en est oblitérée, Moelle. - Il y
ns ici, et de considérer au contraire le dégagement de gaz dans les
artères
comme le seul facteur qui peut engendrer ces ac
se immédiate des accidents, l'injection artificielle d'air dans les
artères
doit nécessairement donner lieu à des accidents
alogues. Plusieurs auteurs ont fait des injections d'air dans les
artères
. Ainsi M. Petit ' est arrivé à la conclusion su
circulation, et celui-ci n'est pas dû à la présence de l'air dans l'
artère
pulmo- naire car les branches de ce vaisseau ne
énumère les conditions. « Dans ce dernier ordre, l'air passe des
artères
dans les veines, s'accumule dans le coeur droit
t établi positi- vement que l'injection artificielle d'air dans les
artères
produit toujours des accidents comparables, aut
tifs. J. RoumnoYiTcn. ]V. MÉMOIRE sur l'arrêt DES hémorrhagies DE l'
artère
cérébrale MOYENNE ET DE SES BRANCHES PAR LA COM
artère cérébrale MOYENNE ET DE SES BRANCHES PAR LA COMPRESSION DE L'
ARTÈRE
carotide primitive; par WALTEII G. Spencer, chi
HOLOGIQUE. 147 Au point de vue anatomiqne, ils font remarquer que l'
artère
sylvienne et ses branches, principalement l'art
remarquer que l'artère sylvienne et ses branches, principalement l'
artère
de l'hémor- rhagie cérébrale de Charcot, sont s
de Charcot, sont sous la dépendance directe du courant sanguin de l'
artère
carotide. Et ils ont entrepris des expé- rience
Après avoir éthérisé un singe, ils mettent à nu le territoire de l'
artère
cérébrale moyenne et noient J'état de la circulat
côté contre les vertèbres et aussitôt les pulsations cessent dans l'
artère
sylvienne; l'écorce de ce territoire devient pl
M. Spencer et Horsley ont vu les hémorrhagies de la sylvienne, de l'
artère
lenticulo-striée, s'arrêter complètement après
glande thyroïde est de 7 p. z100 plus considérable que celle de l'
artère
. Kocher dit la même chose. Sous l'influence de ce
sociétés savantes. endroits des vaisseaux, elles affectent, sur les
artères
, la forme d'artério-sclérose noueuse, sur les v
, il n'y en avait que deux qui ne présentassent pas de sclérose des
artères
du corps, et, en particulier de la radiale ou d
gnostic de maladies des vaisseaux de l'économie etnolamment des d'
artères
cérébrales. M. 1l.tuz (de Fribourg). De la névr
dix à vingt secondes avant chaque accès une brusque contraction des
artères
de la rétine; ces vaisseaux demeurèrent rétréci
rmales. Evidemment ces accidents, qui tiennent à la contraction des
artères
rétiniennes, sont l'image de ce qui se passe da
ymétrique des doigts; bien qu'il existe une affection organique des
artères
(le malade a 60 ans), c'estbien une gangrène sy
moteurs, par Herzen, 284. Cérébrale ,arrêt des hémorrhagies de l'
artère
--moyenne par la com- pression de la carotide p
moelle sont fortement congestionnés. A l'examen microscopique, les
artères
de la base présentent de l'endartérite oblitéra
ères de la base présentent de l'endartérite oblitérante. Dans les
artères
des méninges, la tunique intel ne n'est pas alté-
vroglie sont nombreuses autour des vaisseaux. Quant à ces derniers,
artères
et veines, ils présentent des altérations inten-
ires sont tordus et épais- sis. En certains points, la lumière de l'
artère
est oblitérée ; les ter- ritoires irrigués par
ringomyélie. AI. Brissaud montre qu'en raison de la disposition des
artères
médullaires et radiculaires il n'y a pas lieu d
un cas, où la sclérose se développait certainement le long de la l'
artère
interfuniculaire ; 4° A côté de la déchéance, d
clérose 148 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. des
artères
du fond de l'oeil, des tempes, des extrémités sup
hilitique, car il faudrait pour cela une lésion trop élec- tive des
artères
destinées aux noyaux moteurs du bulbe et de la
t pas des vertébrales, il ne coule pas de haut en bas, il vient des
artères
lombaires et coule de bas en haut à la moelle c
ères lombaires et coule de bas en haut à la moelle cervicale. Les
artères
lombaires fournissent un grand canal, la grande a
vicale. Les artères lombaires fournissent un grand canal, la grande
artère
spinale d'Adamkiewicz, qui, avec les racines an
médiane de la moelle. C'est dans celte direction que le sang va aux
artères
spinales laté- rales d'Adamkiewicz, lesquelles
. 420 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. La grande
artère
spinale est, à cause de son volume, la porte d'
qui continue à grimper le long du sillon de la moelle, et donne les
artères
du sillon. Celles-ci pénètrent dans la profondeur
, s'enfoncent dans la commissure antérieure, et se divisent en deux
artères
sulco- commissurales par l'intermédiaire desque
ise. Ainsi s'expliquent les paralysies par endartérite de la grande
artère
spinale et leur marche. Les nerfs crâniens le
s à la parésie syphilitique sont ceux qui sont les plus voisins des
artères
affectées par le poison. Les uns sont affectés
circulatoire même ; les autres par les exsudats gommeux venant des
artères
malades dans les points où il existe un tissu l
ouvent près du cercle artériel de Willis (oculomoteur commun), de l'
artère
basilaire (oculomoteur externe, facial), des ar
r commun), de l'artère basilaire (oculomoteur externe, facial), des
artères
vertébrales (grand hypoglosse). Le bulbe n'est
circulation diffé- rente. Une injection de la moelle par la grande
artère
spinale gagne le long de la face antérieure de
icale. Là finit la chaîne anastomotique antérieure avec la première
artère
du sillon qui irrigue les cornes grises antérie
imite du quatrième ventricule. Une injection de haut en bas par l'
artère
basilaire fait pénétrer la matière injectée par
as par l'artère basilaire fait pénétrer la matière injectée par les
artères
vertébro-cérébelleuses dans le cervelet, mais n
ourants principaux. La circulation du bulbe l'isole du courant de l'
artère
basilaire et de celui de la grande artère spina
e l'isole du courant de l'artère basilaire et de celui de la grande
artère
spinale. La circulation du bulbe est assurée
nt au niveau du segment inférieur des deux pyramides. Ce sont les
artères
vertébro-spinales (Adamkiewicz) qui ne vont REV
iguer toute la moelle (on les avait appelées à tort à cause de cela
artères
spinales), mais qui finissent exactement à la l
mière paire cervicale. Une injection conduite de haut en bas, par l'
artère
basi- laire, remplit ces vaisseaux sans injecte
t la précaution de lier tous les autres vais- seaux qui partent des
artères
vertébrales, on obtient, par l'injection de l'a
i partent des artères vertébrales, on obtient, par l'injection de l'
artère
basilaire, l'injection du bulbe (Mémoires de l'ac
riale des sciences de Vienne, t. LVII, 1882). On voit alors que les
artères
vertébro-spinales sont d'un calibre bien inférieu
rtébro-spinales sont d'un calibre bien inférieur à celui des autres
artères
vertébrales et que le genre et la distribution de
Le courant sanguin qui s'y rend est donc doublement brisé : par les
artères
vertébro-spinales fines qui vien- nent des larg
: par les artères vertébro-spinales fines qui vien- nent des larges
artères
vertébrales par la résolution immédiate en capi
artères vertébrales par la résolution immédiate en capillaires des
artères
vertébrospinales. Ainsi est défendu ce ter- rit
be traité avec succès par distension des filets nerveux entourant l'
artère
fémorale ; - Roncali.Un cas d'abcès traumatique
s fausses membranes, est peu vascula- risée au niveau de la base. L'
artère
sylvienne droite est moitié ohM petite que la g
L'artère sylvienne droite est moitié ohM petite que la gauche. Les
artères
cérébrales antérieures paraissent égales, il en
ébrales antérieures paraissent égales, il en est de même des autres
artères
. Les nerfs optiques et le chiasma sont égaux. L
ques du côté gauche. A l'ophtalmoscope, congestion de la papille :
artères
et veines notablement dilatées, mais pas de névri
t très oppressée. Elle tousse. Les bruits du coeur sont sourds. Les
artères
sont dures et flexiieuses. Pas d'albumine. Le 1
le. Les sous-clavières sont un peu surélevées à la base du cou. Les
artères
accessi- bles à la palpation sont scléreuses ;
points. Le système vasculaire intra-parenchymateux est normal. Les
artères
et les nerfs de la capsule sont sains. Surrénal
dilatée sont à peine séparés. Sur la gouttière basilaire, les deux
artères
spinales postérieures, très athéromateuses, ont
mbre 1904). DE LA CYANOSE DES RÉTINES DANS LE RÉTRÉCISSEMENT DE L'
ARTÈRE
PULMONAIRE. - PAR J. BABINSKI et Mlle S. TOUF
du 2e espace intercostal gau- che, indiquant un rétrécissement de l'
artère
pulmonaire. Tension au sphygmomanomètre de Pota
nviron, on note au niveau d'un entrecroisement d'une veine et d'une
artère
un mouvement de progression du sang dans la vei
veineux. Ce mouvement de progression du sang se voit aussi dans les
artères
. La papille présente au centre une excavation p
T-XVOE. PI.XXVI1 Cyanose des Rétines dans le rétrécissement de l'
artère
pulmonaire DE LA CYANOSE DES RÉTINES 197 étan
cette convalescence qu'on pose le diagnostic de rétrécissement de l'
artère
pulmonaire. Depuis sa fièvre typhoïde, le malad
et. D'après M. le Docteur Vaquez il s'agit d'un rétrécissement de l'
artère
pul- monaire acquis. La tension artérielle au
, légère, mais nette, chez un malade atteint de rétrécissement de l'
artère
pulmonaire, sans cyanose généralisée. Dans leur
ation des veines chez un malade atteint de sténose congénitale de l'
artère
pulmonaire. Cet auteur emploie l'expression de «
rétines appartient à Knapp qui en 1870 relate les faits suivants :
artères
et veines rétiniennes très dilatées, les bords
les bords de la papille cachés par les vaisseaux, les veines et les
artères
vont jusqu'à la fovea ; acuité normale, champ v
hé- morragies rétiniennes. L'autopsie montre une oblitération de l'
artère
pulmonaire. Plaçons ici l'observation de M. l
schberg observe encore deux cas qu'il publie et ligure en 1904. Les
artères
rétiniennes sont normales, les veines sinueuses,
de cyanose généralisée paroxystique,une hémorragie par lésion de l'
artère
méningée moyenne et le cas de vascularisation rem
s qu'à la face interne du lobe sphénoïdal et du lobe orbitaire. Les
artères
cérébrales ne présentent pas de grosses lésions d
hauteur de la moelle on trouve une méningo- myélite discrète ; les
artères
ont leur paroi dégénérée sur le mode hyalin et au
oïde des deux pieds. Réflexes plantaires en flexion. Athérome des
artères
. Bruits cardiaques normaux. Foie. - Gros. Alter
tes cellules rondes, qui est maxima dans les sillons. Les grosses
artères
sont en dégénérescence hyaline. Les capillaires s
anés ; insuffisance aortique ; agi- tation très vive ; embolie de l'
artère
humérale ; lésions de tabès incipiens et méning
nant un liquide séro-purulent. Un peu au-dessous de son origine l'
artère
humérale droite a été trouvée dis- tendue et ob
. La substance médullaire est également enflammée ; on y trouve des
artères
SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUE
ure, dans l'espace compris entre les deux racines postérieures. Les
artères
spinales postérieures et les artérioles méningées
du liquide céphalo-rachidien et l'atrophie des nerfs optiques. Les
artères
de la base sont athéromateuses. La sclérose des c
es vaisseaux qui pénètrent dans le parenchyme sont enflam- més, les
artères
très altérées sont en dégénérescence hyaline très
e de larges plaques de substance grise ramollie. Pas d'athérome des
artères
de la base. Le foie, les reins, les poumons ne
atteinte de méningite ; la pie-mère est épaissie et infiltrée, les
artères
et surtout les veines ont leurs parois infil- t
la méninge-céré- brale, de petites cellules rondes. Vaisseaux. L'
artère
spinale antérieure ne présente ni dégénérescence
elle cervicale : méningite aiguë avec périphlé- bite nodulaire. Les
artères
à ce niveau ne présentent pas de péri-vascularite
es ont leurs vaisseaux très congestionnés, les veines surtout ; les
artères
sont également dégénérées. Ces racines sont infil
, l'infiltration de cellules rondes souvent réunies en nodules. L'
artère
spinale antérieure est atteinte d'une énorme enda
'on voit des traînées de cellules rondes autour des vaisseaux ; les
artères
de la subs- tance médullaire sont atteintes de
mmation méningée prédomine de beaucoup dans la partie antérieure. L'
artère
médiane antérieure est atteinte d'endartérite m
ue et l'on voit des corps granuleux dans l'espace périvasculaire de l'
artère
spinale postérieure. 11'issl.- Les cellules n
t au niveau de la substance grise. Il existe de la périartérite des
artères
centrales avec légère endartérite. Les racines
s une de ces cornes on trouve un petit foyer lacunaire autour d'une
artère
enflammée ; dans l'autre un petit foyer de ramo
, ont de la périartérite et de la périphlébite très accentuées. Les
artères
sont en dégénérescence hyaline. Dans l'écorce,
andes cellules pleines de corps réfringents et du pigment ocre. Les
artères
sont en dégénérescence hyaline. Les cellules ne
5. La pie-mère est peu épaissie, mais très adhérente au cortex. Les
artères
de la base sont saines en apparence. Pas de pac
existe une méningite légère diffuse avec dégénérescence hyaline des
artères
et épaississement chronique des veines du sillo
de l'urticaire a sa base anatomique dans une dilatation des petites
artères
capillaires de la peau suivie par une transsudati
nte pas de souffle orificiel, mais le second bruit est exagéré. Les
artères
frontales sont très saillantes et très sinueuses,
uite on sent les diffé- rents reliefs osseux et les battements de l'
artère
sous-clavière qui est ex- posée spécialement au
'arrêter pour combattre la théorie de Serres (4) des anomalies de l'
artère
nourricière du membre. Cette théorie qui fut po
émité supérieure du fémur, dans l'angle externe du pli de l'aîne, l'
artère
fémorale soulever la peau par ses battements. L
la base ne sont pas thromboses. Pie-mère mince et peu injectée.Les
artères
de la base non sclérosées, paraissent vides de
.), par DUPRÉ, 88. Rétines. Cyanose dans le rétrécissement de l'
artère
pulmonaire (1 pi.), par BA- BINSKI et 119LLE TO
E TouFEsCO. De la cyanose des rétines dans le rétrécissement de l'
artère
pulmonaire (1 pl. lithog.), 194. Ballet et Laig
Babinski. De la cya- nose des rétines dans le rétrécissement de l'
artère
pulmonaire (4 pl.), 94. Trémolières et Launois.
molli se trouve, au point de vue vasculaire sous la dépendance de l'
artère
cérébrale postérieure, mais il ne porte pas sur
mettre que l'oblitération a porté non sur le tronc prin- cipal de l'
artère
, mais sur une de ses branches plus importantes.
edémateuse. Les ventricules du cer- veau sont dilatés. Sclérose des
artères
de la base du cerveau. - Cavité du thorax et ce
, mais légèrement atrophiées au niveau du lobe frontal. Les grosses
artères
sont saines : la communiquante antérieure est d
nérescence artérielle est démontrée par la saillie et la dureté des
artères
; il n'est pas rare non plus de rencontrer chez eu
t d'indices de troubles de la nutrition dus à la dégénérescence des
artères
. Les altéra- tions viscérales indiquent ordinai
ts ne sont nullement indispensables pour qu'elle se produise. Les
artères
de la base du crâne offrent presque toujours des
ail- leurs comme relativement rare. Les petites ramifications des
artères
du cerveau, examinées sur une coupe micrographi
e et fibreux, ou bien encore s'infiltrer de graisse, comme dans les
artères
plus grosses. Les tissus qui constituent le vai
ainsi l'illusion d'un état granuleux. Les états signalés dans les
artères
de moyenne taille se ren- contrent chez les ali
ans un certain cas et dans une certaine mesure, les altérations des
artères
peuvent être secondaires, mais qu'il y a des ra
à l'interruption de la distribution sanguine mal accomplie par des
artères
obstruées ou malades. A cette lé- sion, à cette
res obstruées ou malades. A cette lé- sion, à cette obstruction des
artères
, on peut trouver bien des causes, mais la plus
eubiier pour le cerveau. L'auteur étudie successivement les grosses
artères
des régions pé- donculaires et protubérantielle
ligne médiane sont alimentées par les branches qui proviennent des
artères
à direction antéro- postérieure, longeant la li
les quadrijumeaux antérieurs. A la base du cerveau, du point où les
artères
céré- brales postérieures s'abouchent dans la b
perpendiculairement de la base en arrière et ces vaisseaux sont des
artères
terminales ; le noyau de l'oculo-moteur commun ne
l'épilepsie essentielle. On a employé la ligature d'une ou des deux
artères
vertébrales, l'excision du gan- glion cervical
s plaques athéromateuses épaisses est rétrécie et insuffisante. Les
artères
aorte et pulmo- naire sont dilatées, gorgées de
iron 00 grammes 260 CLINIQUE MENTALE. de sang rouge provenant des
artères
carotides et vertébrales béantes et dures. Les
des-hé- misphères cérébraux ne s'écartent point de la moyenne. Les
artères
sont indurées et béantes. Les coupes ne laissen
ns sont surtout accen- tuées à la base du crâne, en particulier aux
artères
hasilaire et vertébrale du côté droit. Les artè
particulier aux artères hasilaire et vertébrale du côté droit. Les
artères
cérébelleuses oblitérées dès leur origine n'app
- et pour le champ visuel droit 20/100, avec légère rétraction des
artères
et papille de coloration normale, mais il bords
syphi- litique, à une combinaison de lésions relevant à la fois des
artères
radiculaires postérieures et de la spinale anté
ifférence du calibre des vaisseaux des membres gauche et droit; les
artères
du membre gauche sont notablement plus étroites
veines, au contraire, sont légè- rement dilatées. En examinant les
artères
du membre atteint depuis la main jusqu'à la sou
vre est infiltré par place, quoique à un léger degré. Les grosses
artères
: humérale, radiale, cubitale, ont un calibre b
. Ainsi, par exemple, l'hu- mérale présente à peine le calibre de l'
artère
radiale normale. A l'examen microscopique on n'
culation par suite du rétré- cissement de la lumière aussi bien des
artères
que des veines, mais aussi une diminution de la
res que des veines, mais aussi une diminution de la vis a lergo des
artères
qui chassent le sang dans les veines. La stase
caractères constants : les veines se dilatent de plus en plus ; les
artères
, qui ne se trou- vaient que dans un spasme temp
février 1896. EXPLICATION DE LA PLANCHE II. 1'ig, 1. - Coupe de l'
artère
cubitale avec les deux veines qui l'accom- pagn
- pagnent. On peut y voir le décollement de la tunique interne de l'
artère
, des hémorragies dans l'épaisseur de la tunique
icroscopique. A ne considérer d'ailleurs que l'épaississe- ment des
artères
de la pie-mère et l'accroissement de la tension
risé à conclure qu'il s'agissait chez son malade d'une embolie de l'
artère
cérébelleuse postérieure et inférieure gauche.
ide et les carrés à un lobe. Planche II. 1'ill. 1. - Coupe de l'
artère
cubitale avec les deux veines qui l'accom pagne
m pagnent. On peut y voir le décollement de la tunique interne de l'
artère
, des hémorragies dans l'épaisseur de la tunique
e, en contournant en dessous la base de la verge. Trois ligatures d'
artères
seulement ont été faites. Mais il s'est écoulé un
1 , à dix heures du matin, on instituait la compression digitale de l'
artère
fémorale, dans le triangle de Scarpa.— La compres
, les trois doigts suivants sous le bord postérieur du même muscle, l'
artère
étant suivie et comprimée ainsi comme par une pin
chan tenta le premier de traiter l'éléphantiasis par la ligature de l'
artère
fémorale. Il fit cette opération cinq fois; son e
le docteur Stneter. On possède actuellement neuf cas de ligature de l'
artère
fémorale, trois cas de ligature de l'iliaque exte
accumulation dans les tissus des matériaux nutritifs apportés par les
artères
, non résorbés par les lymphatiques obstrués, deva
, et enfin la gangrène, toujours possible à la suite d'une ligature d'
artère
? Vous voyez, messieurs, mes hésitations, et vou
plus tard. Autopsie le 16 juin. — Tête : Os, péricrâne, rien. — Les
artères
de la base offrent quelques plaques graisseuses.
oint d'émergence et 18 millim. un peu au-dessus de sa division. — Les
artères
iliaques externes et internes sont également dila
ecroisés en divers sens. Au milieu du tissu fibreux, on distingue des
artères
et des veines d'un gros calibre, constituant des
as à une incision profonde, mais elle expose à la lésion de la petite
artère
crico-thyroïdienne dont l'hémorrhagie n'est pas s
grande quantité de sérosité. La pie-mère est légèrement injectée. Les
artères
sylviennes ainsi que les autres artères de la bas
est légèrement injectée. Les artères sylviennes ainsi que les autres
artères
de la base, sont souples, nullement athéromateuse
s hôpitaux, M. Gosselin a fait commencer la compression digitale de l'
artère
crurale gauche. Cette compression a été faite qua
ormale. Elle présente à la base du ventricule, le long du trajet de l'
artère
coronaire gauche, un infarctus du volume d'une pe
gauche, un infarctus volumineux, à la face antérieure. L'examen de l'
artère
correspondante ne fit rien reconnaître. — Le rein
in. Les ovaires et les ligaments larges n'offrent rien à noter. Les
artères
tibiales postérieures et pédieuses ont été suivie
e faut pas interrompre l'avivement pour arrêter l'hémorrhagie par les
artères
, parce que la suture suffira pour la faire cesser
ans le tissu cellulaire extra-vaginal. Bien qu'il n'ait pas atteint l'
artère
utérine en opérant de la sorte sur le cadavre, on
ce, à la condition toutefois que la chaîne soit un peu biseautée. Les
artères
n'offrent pas beaucoup de résistance; la manière
second mode de fermeture du vaisseau. Si après avoir ainsi di-visé l'
artère
avec l'écraseur, on y introduit un tube et qu'on
ac,, que l'écrasement linéaire com-mence par clore hermétiquement les
artères
avant de les cou-per. Pour les veines et pour les
e n'est pas identique, mais l'occlusion est aussi exacte que pour les
artères
. Quand on veut obtenir d'une façon certaine les
on de l'ar-tère spermatique dans l'opération du sarcocèle, contre les
artères
thyroïdiennes dans l'extirpation du goitre, quelq
roïdiennes dans l'extirpation du goitre, quelque-fois même contre les
artères
linguales et presque toujours contre la section d
ontre les artères linguales et presque toujours contre la section des
artères
principales des membres. Comme pour l'écrasemen
une hy-pertrophie dont la base est volumineuse, ou parcourue par des
artères
dont on sent les battements, ou encore lorsqu'on
portion sus-vaginale, sauf l'augmentation de volume des veines et des
artères
, mais la portion sous-vaginale est souvent le siè
tation fournit souvent une grande quantité de sang ; on doit lier les
artères
au fur et à mesure qu'on les ouvre. Si on voulait
seux, ce qui donne une grande sécurité pour la ligature des dernières
artères
. Les ligatures ordinaires donnent souvent des déc
ont la tête est munie d'un fil, il transperce l'extrémité béante de l'
artère
et les tissus circonvoisins avec cette épingle, p
ns le cas de col très-volumineux et dans lequel on sentait battre des
artères
. L'amputation par l'écraseur est plus longue, plu
s, inflammation qu'on a vue se propager aux veines qui accompagnent l'
artère
utérine, aux veines ilia-ques et crurales. Il en
ement sur la ligne mé-diane, les cordons fibreux qui représentent les
artères
ombi-licales ; enfin le péritoine. Une erreur ass
es porte-épingks, etc. 3" Des flls de soie cirés pour les ligatures d'
artères
; des fds d'argent fin pour les sutures superfici
tés, mit le pédicule en liberté, saisit dans une pince à pansements l'
artère
ovarique qui fournissait le sang, et serra cette
résente le ligateur monté sur sa pince, qui saisit l'ex-trémité d'une
artère
; l'anse est passée autour de cette artère, on n'
saisit l'ex-trémité d'une artère ; l'anse est passée autour de cette
artère
, on n'a plus qu'à tirer sur le coulant. Figure x.
coulant. Figure x. Pince à pression continue, servant à comprimer les
artères
, ou les adhérences très-vasculaires. On y a ajout
eur de cette ouverture était épais et constitué en partie par une des
artères
mésocoliques ; l'intestia était presque gangrené.
nt au ligament de Fallope, un peu au-dessus de lui, et en dehors de l'
artère
épigastrique. Cette incision peut avoir 7 centimè
ntré dans l'hémisphère droit un ramollissement dans le domaine de l'
artère
cérébrale postérieure, qui avait détruit la régio
rencontre de nombreux corps granuleux. Les vaisseaux (branches de l'
artère
cérébrale postérieure) sont athéromateux. 3° Su
on avait atteint la substance grise de bulbe ; on trouva autour des
artères
de petits foyers d'inflammation. Le même travai
eau et d'autres auteurs signalent des hydatides siégeant autour des
artères
temporales. Lancisi (1709) rapporte des cas de
es kystes, ils peuvent se trou- ( ver groupés deux par deux sur les
artères
sylviennes à la façon des l' haltères ; nous av
parois de la calotte crânienne qui est dure et très épaisse. Les
artères
de la base sont très athéromateuses. En décortica
D'UN ECTROMÉLIEN DÉMIMÈLE '137 Vaisseaux. - Le système vasculaire,
artères
et veines, semble assez peu développé dans le s
upérieurs ; nous n'avons pas réussi à percevoir les pulsations de l'
artère
radiale au poignet, ni à droite, ni à gauche. A
ome I, p. 234. 140 HUET ET INFROIT du coeur manque. Anomalies des
artères
. - Les poumons manquent. - Le cordon ombilical
lobule de l'insula aplati et repoussé en dedans et en haut. De l'
artère
sylvienne se détache, vers le néoplasme, deux à t
ce intercostal droit. NOEVUS VEINEUX ET HYSTÉRIE 219 Vaisseaux. -
Artères
facilement dépressibles, non indurées, ni sinueus
ères facilement dépressibles, non indurées, ni sinueuses. Pouls à l'
artère
radiale : dicrote, lent. Nombre de pulsations : m
et à la compression qu'il faut exercer de ce côté pour atteindre l'
artère
. Très légères varices aux membres inférieurs. -
es doigts ; elle n'existe, paraît-il, que depuis un an et demi. Les
artères
radiales droite et gauche battent de même. En s
smarch enlevée, le sang s'écoula, comme d'une main normale, par les
artères
collatérales. Six ou sept ligatures au catgut. Su
oit conduire sur la collatérale de ce doigt. On ne peut trouver cette
artère
, pas plus que le filet nerveux qui l'accompagne
e jusqu'à sa bi- furcation et au delà. En effet, les fémorales, les
artères
des jambes des deux côtés sont indurées, inégal
tement incrustées de sels calcairès. ' Nous n'avons pas examiné les
artères
des membres supérieurs, mais il est probable qu
la protubérance et le bulbe ne présentent rien de particulier. Les
artères
de la base sont relativement souples. La moelle n
es lésions du foie artérioscléreux. Epaississement des pa- rois des
artères
, pas d'épaississement des veines. Renforcement de
appe le plus,c'est un épaississement général du stroma conjonctif.Les
artères
s'y dessinent par des anneaux très renforcés et
ïdes, ni dans la substance grise, ni dans la substance blanche. Les
artères
sont épaissies considérablement sous la pin-mère
- culaire. C'est une moelle sénile, artérioscléreuse, lésée par ses
artères
, tandis 426 ' HUDELO ET HEITZ que, les artère
use, lésée par ses artères, tandis 426 ' HUDELO ET HEITZ que, les
artères
du cerveau étant restées saines, celui-ci se trou
r contre, l'aorte abdominale était extrêmement lésée, ainsi que les
artères
des membres. Les vaisseaux de l'encéphale, des
tous ces viscères doivent être expli- quées par l'athérome de leurs
artères
. Cela est, surtout évident pour les reins, si l
Le malade de Thibierge (1) avait le 2e bruit aortique exagéré, les
artères
dures, le pouls brusque. Marie (2) note chez sa
use dans tout son trajet, mais surtout à la portion abdominale; les
artères
des membres épaissies, tortueuses, irré- gulièr
s épaissies, tortueuses, irré- gulières ; les reins kystiques ; les
artères
encéphaliques épaissies, la pie- mère du cervea
, 19 juillet 1901. 428 HUDELO ET HEITZ met en évidence toutes les
artères
des membres, jusqu'aux arcades plan- taires et
sont profondément touchés. 3° Hypothèse de l'état athéromateux de l'
artère
nourricière de l'os. M. Béclère (5), après avoi
rès avoir montré à la Société médicale des hôpitaux les différentes
artères
des membres sur les radiographies du malade de Ga
nutrition de l'os, sous la dépendance de l'état athéromateux de son
artère
nourricière. Par là s'expliquait très facilemen
l'évolution du tissu osseux. En effet, si l'état athéromateux de l'
artère
nourricière, rend parfaitement compte de l'osté
autopsies de maladie de Paget, prélever pour chacun des grands os l'
artère
et le nerf, et étudier ce der- nier, tant sur c
déborde le gauche un peu en avant et davantage en arrière. - Les
artères
, nerfs, tubercules mamillaires, pédoncules, sont
o-pariétales sur un espace d'environ un centimètre de lar- geur ; l'
artère
méningée moyenne s'y est creusée des sillons pr
à droite. Myocarde pâle, d'épaisseur normale. Le cône formé par l'
artère
pulmonaire présente un épaississement. circonscri
s avec quelques taches graisseuses et des épaississements scléreux.
Artères
coronaires minces. Poumon gauche, rougeur légèr
consécutive au rétrécissement de la trachée, etc. (liga- ture des
artères
thyroïdiennes inférieures , Kocher), à l'anémie
A l'ouverture du crâne, il ne s'écoule que très peu de liquide. Les
artères
, les nerfs et les autres parties de la base de
s adhérente. Sa surface est lisse, elle n'est pas transparente. Ses
artères
sont pleines et ses vei- nes à moitié vides. Da
ié gaucho est très proéminente et forme une tumeur .que contourne l'
artère
basilaire. L'artère cérébelleuse supérieure gau
roéminente et forme une tumeur .que contourne l'artère basilaire. L'
artère
cérébelleuse supérieure gauche pénètre très pro
profondément dans le pont de Varole. .Les origines nerveuses et les
artères
de la base de l'encéphale n'offrent rien d'anor
tiques) est infiltrée de pseudo-pus fibrineux. Le dégage- ment des
artères
et des veines de la pie-mère est difficile à ca
u'on peut le voir par suite de l'épaississement de la pie-mère, les
artères
de la base et les nerfs seraient symétriques. L
e de l'encéphale sont symétriques (nerfs, pédoncules, protubérance,
artères
, sauf la commu- nicante postérieure droite qui
ononcée à la convexité. La décortication s'opère facilement. -- Les
artères
de la base sont symétriques, sauf que la commun
e (1.190 gr.). Les différentes parties de la base de l'encéphale (
artères
, nerfs, etc.) sont symétriques. Sur la convexit
on : e. Fracture double et symétrique des 7es cartilages costaux. -
Artère
vertébrale droite moitié plus petite que la gau
al, on trouve seule- ment un peu d'athérome autour des orifices des
artères
coronaires. Endocarde un peu épaissi dans la ca
es latéraux et. la corne d'Ammoo n'offrent rien de particulier. Les
artères
de la base sont symétri- ques, mais l'artère ve
n de particulier. Les artères de la base sont symétri- ques, mais l'
artère
vertébrale droite est au moins de moitié plus p
temporal gauche, sur le lobe occipital droit et le cervelet. - Les
artères
et les nerfs de la base ainsi que les tubercule
s difficilement au niveau de l'angle antérieur des parié- taux. Les
artères
de la base sont symétriques. La pie-mère cérébr
écoulé 75 grammes de liquide céphalo-rachidien mêlé de sang. Les
artères
de la base, les nerfs olfactifs, optiques, les ba
- Coeur : 58 gr. Quatre tubercules gélatiniformes à la pointe. Les
artères
aorte et pulmonaire ont leur calibre normal. Le
il est relié par un méso triangulaire dont le bord libre contient l'
artère
de l'organe. Celle-ci émet des branches par sa
un peu épaissie, blanchâtre, et cela sur chaque hémisphère. - Les
artères
, les nerfs de la base paraissent tout,il,fait sym
éche osseuse. clic. Liquide céphalo-rachidien assez abondant. Les
artères
de la base ne présentent pas d'anomalies de dispo
ite du crâne. , absence de synostose. - Diminution de calibre des
artères
de la moitié gauche du cerveau. - Atrophie de la
ces qui l'unissent à la pic-mère et cèdent faci- lement. Toutes les
artères
de la base qui correspondent à l'hé- misphère g
de poids de deux cents grammes; - 2° un arrêt de développement des
artères
cérébra- les ; - 3° une atrophie de la bandelet
s de Sylvius et au niveau des pédoncules en arrière du chiasma. Les
artères
de la base n'offrent aucune anomalie apparente.
e. Les nerfs olfactifs, optiques, les tubercules mamillaires, les
artères
, les pédoncules cérébraux sont symétriques. Corps
petit, ferme, avec ses vaisseaux saillants à la surface. L'aorte, l'
artère
pulmo- naire et leurs valvules n'ont rien de pa
e. - Les nerfs olfuctifs, optiques, les tubercules mamillaires, les
artères
et la protubérance, sont symétri- AUTOPSIE ; MÉ
hymotiques à droite et à gauche. Les veines de la co ivexité et les
artères
de la base sont distendues par du sang fluide.
tre sur deux de large : elle est tapissée par une mince membrane. L'
artère
méningée moyenne se creuse le long du bord anté
e de l'aorte est normal ; ses parois sont souples. Les orifices des
artères
coronaires sont situés au point d'affleurement
ince et constituée par l'adossement des doux endocardes. - Rien à l'
artère
pulmonaire. Abdomen. - Rein droit et gauche (39
sym"ll'ique. Il en est de même des nerfs olfactifs et optiques, des
artères
, etc. Le tubercule mamillaire gauche parait plu
es circonvolutions frontales droi.e et de celles du territoire de l'
artère
sylvienne à gauches IlepatLaliou rouge des lobe
ssure de Sylvius; elle parait surtout porter sur le territoire de l'
artère
sylvienne. - Le lobe occipital est indemne. - L
s. Les autres nerfs de la base paraissent à peu près normaux. - Les
artères
sont symétriques. - La protubérance est un peu
i de long sur un demi centimètre de large. Le sil- lon creusé par l'
artère
méningée moyenne est profond et bien dessiné su
e sur deux de large : elle est tapissée par une mince membrane. L'
artère
méningée moyenne se creuse le long du bord anté-
leurs vaisseaux artériels des gros troncs de la base du cerveau. L'
artère
cérébrale antérieure envoie les artères striées
ncs de la base du cerveau. L'artère cérébrale antérieure envoie les
artères
striées antérieures qui vont se perdre dans la tê
ce groupe se trouve la branche connue depuis Charcot sous le nom d'
artère
de l'hémorragie céré- brale. Le groupe postér
la partie externe et antérieure delà couche optique. - . Enfin l'
artère
cérébrale postérieure envoie à la couche optique
postérieure envoie à la couche optique plusieurs branches : ' Les
artères
optiques inférieures; L'artère optique postérie
ique plusieurs branches : ' Les artères optiques inférieures; L'
artère
optique postérieure et interne; L'artère optiqu
optiques inférieures; L'artère optique postérieure et interne; L'
artère
optique postérieure et externe. De l'origine mê
qui pour nous a une grande importance : c'est la verticalité de ces
artères
. Elles naissent en effet à la base du cerveau e
ris environ à leur 'partie moyenne nous sommes perpendiculaires aux
artères
striées et optiques, per- pendiculaires par con
au lieu d'élec- tion, ou celles qui sont parallèles sectionnent les
artères
des noyaux centraux perpendiculairement à leur
e grande quantité de cellules embryon- naires. Malgré ces lésions l'
artère
est toujours perméable. Autour d'elle dans un r
e de distinguer au microscope un espace suffisamment étendu entre l'
artère
centrale .de la lacune et le tissu cérébral même
ales du foyer. Il n'y a plus ici comme dans le 1°= degré union de l'
artère
avec le tissu céré- bral altéré. Cette union a
artère avec le tissu céré- bral altéré. Cette union a été rompue, l'
artère
est séparée du tissu qui la soute- nait ; elle
ription particulière. La première partie ou centre estoccupée par l'
artère
, la deuxième ou périphé- rique est constituée p
t distinguer aux artérioles les trois tuniques caractéristiques des
artères
il l'état de grande simplicité c·est-é-dire : u
state déjà des transformations qui tiennent uniquement à l'âge de l'
artère
. Les modifications portent alors principalement
matoire quelconque. Ce phénomène qui n'est du reste pas spécial aux
artères
cérébrales mais qui est commun à toutes les art
pas spécial aux artères cérébrales mais qui est commun à toutes les
artères
séniles a été bien étudié par Léger (1) et Boy-
désigné sous le nom de xérose ou évolution conjonctive mar- quant l'
artère
qui vieillit normalement. Ces auteurs eux-mêmes m
que moyenne devenue fibreuse. (1) LÉGER, Contribution à l'élude des
artères
séniles normales thèse de lllontpellier, 1894-1
re. Sur une de nos photographies en particulier on voit très bien l'
artère
située presque an centre de la lacune. Ses parois
sant peu de traces au mo- ment où il nous a été permis d'examiner l'
artère
, mais elles sont bien moins accentuées que les
es que l'on rencontre dans les noyaux gris comme les bran- ches des
artères
lenticulaires par exemple, et non pas des volumin
es des artères lenticulaires par exemple, et non pas des volumineuses
artères
de la base du cerveau.) Les lésions de ces tu
pas toujours également ré- parties sur toute la circonférence de l'
artère
. Il en résulte qu'elle est souvent déformée. El
vaisseaux et la cavité s'augmentant inégale- ment on ne voit plus d'
artère
centrale. On observe alors de préférence au voi
n- tent tous les caractères que nous avons décrits précédemment à l'
artère
centrale. Elles sont toutes perméables et si el
les soutient : or on sait à quelle grande pression sont soumises les
artères
cé- rébrales. Quoi d'étonnant que ces artériole
de cinq jours, présentant une absence des muscles pectoraux. Or les
artères
étaient normalement développées et les nerfs, m
B). A première vue il est indubitable que c'est l'oblitération de l'
artère
calcarine qui a entraîné la nécrobiose, car le
ollissement du splenium ne peut être le fait de l'oblitération de l'
artère
calcarine, puisque cette partie du corps calleu
s cellulaires, surtout au voisinage des vais- seaux de la pie-mère.
Artères
saines, sauf épaississement de la tunique externe
ésions du tronc basilaire méritent une description spéciale ; cette
artère
, ainsi que la terminaison de la vertébrale gauche
gées de sang, mais elles n'offrent ni endo-, ni périphlébite. Les
artères
de la pie-mère n'offrent pas non plus d'inflammat
on voit que la nécrose n'a atteint qu'une partie du territoire de l'
artère
frontale interne et postérieure ; il n'y a donc e
lui des PORR\'CÉPHALI1 : CONGÉNITALE o3 branches ascendantes de l'
artère
sylvienne artères frontale inférieure, frontale
ÉPHALI1 : CONGÉNITALE o3 branches ascendantes de l'artère sylvienne
artères
frontale inférieure, frontale ascendante, parié
re -. Les corps opto-striés et la capsule interne, irrigués par les
artères
centrales provenant du tronc de la sylvienne, n
nomètre de Potain est de 93 cm . 5 ; le pal- per sur le trajet de l'
artère
ne révèle rien. Les troncs nerveux au bras parais
. La tension artérielle est de 13 à 14 centimètres à la cubitale. L'
artère
radiale qui ne bat plus se sent mal, les troncs
litérations vasculaires nous est ici donnée par l'oblitération de l'
artère
radiale droite,permanente depuis 1905, et l'obl
e droite,permanente depuis 1905, et l'oblitération transitoire de l'
artère
radiale gauche. En même temps que les artères,
ation transitoire de l'artère radiale gauche. En même temps que les
artères
, les nerfs ont-ils été touchés ? est difficile de
sky a cité un cas d'atrophie des fibres nerveuses avec sclérose des
artères
. On peut conclure ici que l'endartérite est cer
érations ne sont pas précédées de syncopes ni d'asphyxie locales, l'
artère
radiale droite est oblitérée, le pouls radial gau
Il n'existe aucun trouble dans le reste du corps ; la malade a les
artères
de son âge, sans présenter désignes de petite uré
raphie de la jambe gauche se dessine très nettement une des grosses
artères
du membre, stigmate radiographique d'athérome.
ÉANCE DU 9 JANVIER 1908 , ANÉVRYSME VOLUMINEUX D'UNE BRANCHE DE L'
ARTÈRE
CÉRÉBRALE MOYENNE OU SYLVIENNE , SIGNES CLASS
. Le lieu de prédilection de ces der- niers est incontestablement l'
artère
cérébrale moyenne ou sylvienne. L'histoire clin
, à bords à coloration blanchâtre (atrophie, suite de névrite). Les
artères
temporales et irrégulières, nasales supérieures
meur anévrysmale qui s'est développée aux dépens d'uue branche de l'
artère
sylvienne.Pleine de sang et de caillots strati-
santes qui feront l'objet d'une communication spéciale. Enfin, les
artères
cérébrales présentent des lésions très nettes et
es altérations vasculaires, dégénérescence hyaline et endartérite d'
artères
interfasciculaires, périphlébite de quelques vein
ltramus- culaires ont perdu toutes leurs fibres. ' Vaisseau : Les
artères
intra-musculaires présentent : parois très épaiss
ons étaient clairs et complètement libres de bruits surajoutés. Les
artères
périphériques qui oedème PERSISTANT HEREDITAIRE
palpées étaient normales ; le maximum de la pression du sang dans l'
artère
brachiale prise en différentes occasions par l'ap
ètre assez réduit, mais proportionnellement aux autres organes. Les
artères
périphériques ne montrent aucune anomalie. Le pou
culier l' au tronc et aux membres. , Examen ophtalmoscopique. Les
artères
sont très grêles. La papille est atteinte d'atr
iminution porte surtout sur le lobe occipital droit. Les parois des
artères
de la base sont fortement épaissies. Co ? I)es.
ation de l'esto- mac ou du duodénum (ictère) ou bien l'embolie de l'
artère
hépatique. » Je ne crois pas que cetle hypolhôs
e. Reste l'embolie de la peau; c'est bien : mais embolie de quelles
artères
? La plaque était unique, égale, large de plusi
usieurs centimètres. Il ne s'agit pas du territoire dépendant d'une
artère
unique : il faudrait songer à une quantité de p
qui arrivaient dans le même endroit et qui se déversaient dans les
artères
capillaires de la région. Est-ce possible ? Les
t, la nutrition du tégument souffre, comme on l'observe lorsque les
artères
d'un membre sont bouchées par des embo- 496 VAL
nes vasculaires de la peau,ouvre,dans la sphère de distribution de l'
artère
, une aire de pleine circulation, d'où diapédèse
el (1 pl.), 249. Souques. Anévrysme volumineux d'une branche de l'
artère
cérébrale moyenne ou sylvienne. Signes classiqu
pl.), par CATOLA, 129. Anévrysme volumineux d'une branche de l'
artère
cérébrale moyenne ou sylvienne : signes de tume
manifestations d' -) chez deux aliénés (2 pl.), par Pailhas, 162.
Artère
cérébrale moyenne(Anévrysme'volu- mineux d'une
A, 129. Tumeur cérébrale (Anévrysme volumineux d'une branche de l'
artère
cérébrale moyenne ou sylvienne ; signes de-; du
in lorsque la lésion des gros vaisseaux nourriciers de la moelle,
artères
ou veines, prend une importance prépondérante, il
escendante de toutes les fibres de ce nerf. Lésions spécifiques des
artères
de la base du cerveau. Gommes microscopiques de
se du cerveau et des méninges rachidiennes sont le siège, veines et
artères
, de lésions nodulaires caractéristiques de la s
s l'état actuel de nos connais- sances. Ces lésions portent sur les
artères
, et plus encore sur les veines, de la base du c
es, de la base du cerveau et de la pie-mère rachidienne. Toutes les
artères
de la base du cerveau présentent des plaques d'
ellules rondes ; elles ne contiennent pas de capillaires. Fig. 8. -
Artère
cérébrale postérieure. Péri-artérite nodulaire ;
de la tunique nourricière ; elle est encore peu avan- cée. Dans les
artères
de la pie-mère rachidienne, la périartérite est
de la veine; au-dessous on voit la racine postérieure, à gauche une
artère
saine. Ilémaloxylizze de Delalifld, éosine. (Obj.
lésion des veines l'emporte de beaucoup en intensité sur celle des
artères
, à la base du cerveau comme à la surface de la
e ventricule est très finement et très régulièrement granuleux. Les
artères
de la base sont saines. On ne trouve aucune lés
flement lombaire, mais dès la partie,, moyenne, de, ce renflement l'
artère
antérieure et les artères .postérieures sont le
la partie,, moyenne, de, ce renflement l'artère antérieure et les
artères
.postérieures sont le( siège d'une endartérite fi
régions supérieures de la moelle. Les, veines, qui accompagnent les
artères
, portent également dans leur paroi la trace d'u
. , t.{u , ? i, il ').t't((t. > 1 IIW. Cerveau., .- Les grosses
artères
de la base sont- saines, à i'excep ? u tion de
e la carotide interne des deux côtés et'de là" syrienne gauche. Ces
artères
présentent une endartérite trôs'mar-'1' ' ` Fig
'T)n i^, -wi -m ^unrii s < ? iuu .r,i.... 'iy. : 24 ? Coupe de l'
artère
sylvienne gauche; légère endartérite obli ? 1 t
un seul' et'même processus ? De^plus, les gros vaisseaux, veines'et
artères
? de a bas'e"d ? et, de. la vaisseaux,, veines
eines'et artères ? de a bas'e"d ? et, de. la vaisseaux,, veines et,
artères
, de la base du, cerveau et, de, la pie-mère'rac
ulaire, ainsi qu'il il était facile de le constater, sur beaucoup d'
artères
de la malade de- l'observation I. Quant à l'end
u point de vue de l'évolu- tion ultérieure des accidents : dans les
artères
, au moins dans les petites artères, la syphilis
érieure des accidents : dans les artères, au moins dans les petites
artères
, la syphilis amène l'oblitération, dans les vei
beaucoup plus bas dans l'arbre vasculaire et atteindre les grosses
artères
et les grosses veines de l'encéphale ; dans ce
VII., Un cas, de .paralysie ISCHËMIQUE CONSECUTIVE UNE EMBOLIE de l'
artère
fémorale ; par ,F. CIIVOSTEIi.. (JcziarLÜch. f. P
rrTlFr% srtih s,r,r.'l, -j » XXXIIL' Recherches anatomiques sur les
artères
cérébrales (Etude , sur la non-terminalité des
ques sur les artères cérébrales (Etude , sur la non-terminalité des
artères
de la parle Dr Biscorrs. - (Nouveau Mo ? ztîiel
-rtn.i.sr. p·) r : ? c')ttat,Jf ! 9m9 ) r ' 4r t Injectant dans une
artère
cérébrale de 'l'alcool tenant en sus- pension '
é, laHcire" à' cacheter,3 l'auteur'' a'- vu 'le territoire de cette
artère
.s'injecter' d'abord et l'injection'' ressortir e
hes nourricières ou pulpeuses, elles' partent à' angle 'droit,, des
artères
,de, la pie-mère, mais ne communiquent@%pas -ent
%pas -entre elles. L'existence, constante d'anasto- moses entre les
artères
cérébrales dans leur trajet pie-mérien, ne suff
rrompue par un caillot/grâce'sans'doute à<un'état<anormal des
artères
, et grâce peut-être aussi à' des phénomènes d'e
la tête. Cette incision etat etend eau péiiéranium Deux petites, il
artères
ayant été garanties, un disque d os de 1 12. pouc
iI-((rlil "lJ'' it- 1 -t' ? " £ * -»'... .A1'autopsie on trouve les
artères
athéromateuses puis, au devant du. sillon de Ro
Bleuler, 147. .- ? 03 <*. ,f · - 1 .,·t,··,, '<t.f\ n 1
ARTÈRES
cérébrales, recherches ana- toniques sur les -,
le ' consécutive à la diphtérie, par , Seifert, 192 ; lésions des
artères
et des muscles dans les cérébrales, par Dai-h
, 186; un cas de is- chémique consécutive^ une em ? . bolie" de l'
artère
fémorale, par ' Chvosteck, 196.,ri , . Paraly
autre côté, mais on remarque en plus que la branche supérieure de l'
artère
centrale de la rétine présente un volume anorma
grâce à la tension très forte des muscles, qui empêche de palper l'
artère
. L'examen sphygmographique est aussi impossible;
cyanosées ; il a l'aspect d'un vieillard : d'un vieillard par ses
artères
. Les radiales sont dures et flexueuses ; le tracé
ortique, manifeste surtout au niveau du trépied de Ilaller, sur les
artères
splénique et pancréatique ; cirrhose du pancréa
s mince et peu injectée »; 9° des plaques de sclérose rares sur les
artères
cérébrales de la base ; 10° du côté des poumons
cléroses viscérales d'em- blée, sans lésion initiale et causale des
artères
, n'admet pas que « des lésions artérielles soie
chapitres, la question de savoirs'il existe une relation entre les
artères
et les inflammations aiguës, puis entre les art
ion entre les artères et les inflammations aiguës, puis entre les
artères
et les inflammations nodulaires, puis entre les l
artères et les inflammations nodulaires, puis entre les lésions des
artères
et les inflammations chroniques (sclérose). Et il
hui deux espèces : variétés anatomo- pathologiques, suivant que les
artères
jouent ou non un rôle; variétés pathogéniques,
orte est légèrement athéromateuse. Dégénérescence athéromateuse des
artères
de l'encéphale. Hémisphère cérébral gauche. -
rO. (Neurolog. Ce71tralbl., XV, 1896.) Les branches terminales de l'
artère
basilaire servent à alimenter - les appareils o
inguale, le pulvinar, les tubercules quadrijumeaux supérieurs par l'
artère
profonde du cerveau, l'artère optique interne p
rcules quadrijumeaux supérieurs par l'artère profonde du cerveau, l'
artère
optique interne postérieure, l'artère pédiculo-
artère profonde du cerveau, l'artère optique interne postérieure, l'
artère
pédiculo- géminée); -puis, les noyaux et racine
- géminée); -puis, les noyaux et racines de l'oculomoteur commun (
artère
du noyau de l'oculomoteur, artère pédonculaire in
racines de l'oculomoteur commun (artère du noyau de l'oculomoteur,
artère
pédonculaire interne). (Alezius etd'Astros 1894
approchée d'un cas plus simple, M. Rossolimo conclut ainsi : la L'
artère
cérébrale postérieure alimente l'appareil central
re brandies qui se détachent tout près du point de la division de l'
artère
basilaire alimen- tent le centre optique du pul
internes et médians du noyau et des libres radiculaires. - 3° Les
artères
: pédonculaire interne ; du noyau de l'oculomoteu
oyau de l'oculomoteur commun ; optique interne postérieure sont des
artères
terminales. L'artère pédon- culogéminée s'anast
commun ; optique interne postérieure sont des artères terminales. L'
artère
pédon- culogéminée s'anastomose avec d'autres s
sible et un oedème des parois de toutes les veines médullaires; les
artères
ne sont presque pas du tout atteintes. Le dia
calculs disséminés dans les veines. La courbe sphymographique de l'
artère
radiale était située plus. haut du côté droit q
ité cutanée, et probablement ils sont séparés des vaso- moteurs des
artères
.- Dans la discussion M. MooRaTOFF et M. le prof
. La moitié caudale de la moelle allongée reçoit son sang par des
artères
spino-bulbaires, tandis que la région ventrale de
la région ventrale de la moitié antérieure est vascularisée par des
artères
tertéb1'o-bulbai1'es ; le domaine de l'entrecro
par deux à quatre ramuscules qui partent du lieu de la réunion des
artères
vertébrales (arteria foraminis coeci). Dans la
e épinière est en liaison avec les modifications dans la région des
artères
spinales antérieures. M. ORLOWSKY remarqua que
itz, d'après lesquelles cette directiou est rapportée à celle des
artères
, en' désaccord avec beaucoup de faits, sont surto
la sclérose a envahi simultanément d'autres organes que la moelle (
artères
, veines, coeur...), le régime sera plus sévère et
ser des convulsions qui indiqueraient qu'il y a eu hémorrhagie de l'
artère
auditive interne, peut-être une méningite. Qu
partent les filets vaso-constricteurs du territoire carotidien des
artères
encé- phaliques, mais aussi lâcher d'enlever le
ussi lâcher d'enlever le sympathique intra-verté- bral qui enlace l'
artère
vertébrale et va avec elle innerver le terri- t
t va avec elle innerver le terri- toire postérieur ou vertébral des
artères
encéphaliques. C'est SOCIÉTÉS SAVANTES. 525 p
uche. On sectionne également le reste desnerfs de la base, les deux
artères
vertébrales etenlin, aussi bas que possible, la
dienne. La moitié antérieure de cette gouttière est parcourue par l'
artère
centrale de la rétine et sa branche hyaloïdienn
t demie, mesurant 12,5 mm. de longueur. (D'après W. His.) ,1<,
artère
du sillon. - Aspa, artère spinale antérieure. -
de longueur. (D'après W. His.) ,1<, artère du sillon. - Aspa,
artère
spinale antérieure. - Cal, corne antérieure. -
maines mesurant 13, 8 mm. de longueur. (D'après W. His.) Aspa,
artère
spinale antérieure. CA, corne antérieure. - Ca,
sept semaines et demie, mesu- rant 18,5 mm. (D'après W. His.) As,
Artère
du sillon. - Aspa, artère spinale anté- rieure.
su- rant 18,5 mm. (D'après W. His.) As, Artère du sillon. - Aspa,
artère
spinale anté- rieure. - CA, corne antérieure. -
demie, mesurant 24 millim. de lon- gueur. (D'après \\'. His.) As,
artère
du sillon. - Aspa, artère spinale antérieure. -
de lon- gueur. (D'après \\'. His.) As, artère du sillon. - Aspa,
artère
spinale antérieure. - CA, corne antérieure. - C
lets. Puis apparaissent,de chaque côte de la ligne mé- diane, des
artères
anastomoti- ques longitudinales : ce sont d'a
rtères anastomoti- ques longitudinales : ce sont d'abord les deux
artères
spi- nales antérieures (fig. 26, 27) ; réunie
à l'autre par de nombreuses anastomoses trans- versales puis les
artères
spi- nales postérieures. Ces deux systèmes ar
nt dans l'intérieur de la moelle. Les branches qui naissent des
artères
spinales antérieu- res, et qui constituent les
artères spinales antérieu- res, et qui constituent les fu- tures
artères
du sillon médian antérieur de la moelle, abor-
ligne de pénétration des racines postérieures (iig. soj. . Les deux
artères
spinales antérieures et les deux artères du sillo
ures (iig. soj. . Les deux artères spinales antérieures et les deux
artères
du sillon médian antérieur, se rapprochent de l
me ou la septième semaine (l11s), pour donner naissance à une seule
artère
spinale antérieure, impaire et médiane, et a une
seule artère spinale antérieure, impaire et médiane, et a une seule
artère
du sillon médian antérieur (fig. 28, 29, 30). L
tère du sillon médian antérieur (fig. 28, 29, 30). L'apparition des
artères
spinales postérieures est plus tardive que celle
des intercostales et . de l'aorte. Apparition ulté- rieure des
artères
spinales antérieures et postérieures ou sys
et postérieures ou systèmes artériels longitudinaux. Fusion des
artères
spinales antérieures eu une seule. FiG. 30.
le supérieure d'un foetus humain de 3 mois. (D'après W. His.) As,
artère
du sillon. - Aspa, artère 'spinale antérieure.
humain de 3 mois. (D'après W. His.) As, artère du sillon. - Aspa,
artère
'spinale antérieure. CA, corne antérieure. - Ca
nal. 84 Il ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Apparition tardive des
artères
des ra- cines antérieures et des artères radi
Apparition tardive des artères des ra- cines antérieures et des
artères
radiées. 1111 Vésicule du qua- trième ventr
cines postérieures, et se portent vers l'extrémité postérieure de l'
artère
du sillon médian antérieur. Les artères qui pén
extrémité postérieure de l'artère du sillon médian antérieur. Les
artères
qui pénètrent dans la moelle par les racines anté
antérieures, apparaissent encore plus tardivement, de même que les
artères
radiées, destinées aux parties latérales et pos
on- trent guère avant le troisième mois de la vie embryonnaire. Les
artères
cérébro-spinales s'entourent de bonne heure de
ariétale, qui se transforme en sinus du corps calleux et qui loge l'
artère
cérébrale antérieure. Dans la région temporale, l
s et demie et mesurant 10mm,9. de longueur. (D'après W. His.) As,
artère
du sillon.-tlspa, artère spinale antérieure. - ls
10mm,9. de longueur. (D'après W. His.) As, artère du sillon.-tlspa,
artère
spinale antérieure. - lspp, artère spinale post
s.) As, artère du sillon.-tlspa, artère spinale antérieure. - lspp,
artère
spinale postérieure. - CL, corne- latérale. - p
bre longitudinale. - o, fibre longitudinale s'arborisant autour d'une
artère
. HISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX. 149 mesure q
réseau capillaire, dans lequel la racine postérieure représentait l'
artère
et la racine antérieure la veine. La constatati
ment de la circulation collatérale lors d'oblitération d'une grosse
artère
(Hyrtl, Zuckerkandl, Quénu et Lejars); ils abor
, capillaire et veineux (Ranvier). Les veines suivent le trajet des
artères
. Les veines des nerfs superficiels se jettent d
osse veine voisine, soit au réseau des vasa-vasorum qui entourent l'
artère
, soit aux veines col- latérales musculaires prè
st, dans la majorité des cas, qu'une dépression creusée par une
artère
, sillon par lequel la scissure de Sylvius sem
infé- rieure du cerveau avec incisure prima (ip) de His. Il loge l'
artère
céré- brale antérieure, et sépare la face profo
rs à son niveau une légère dépression constante, destinée à loger l'
artère
cérébrale antérieure, au moment où elle quitte l'
o- externe, de larges orifices vasculaires, qui livrent passage aux
artères
lenticzclo-stoiées, branches de la ca ? tfCt1rÍ
om d'espace per- foré postérieur. Ces orifices livrent passages aux
artères
lenticulo-optiques branches du tronc basilaire
corps calleux même en arrière; elle est encore en rapport avec les
artères
calleuses ou cérébrales antérieures, enfin avec l
ésulte de cette disposition anatomique que dans les hémorragies des
artères
lenticulo-caudées et lenticulo-optiques, le sang
upes des orifices vasculaires nombreux et volumineux, répondant aux
artères
lcnticulo-optiques. La capside externe (Ce) est s
atéral et du troisième sillon tem- poral. ov, orifices vasculaires (
artères
lenticulo-cauclues). - pri, sillon prérolandique
, on trouve de nombreux orifices vasculaires (ov) qui répondent aux
artères
lenticulo-striées, et à la partie externe de la s
ssez grand nombre d'orifices vasculaires, qui livrent pas- sage aux
artères
lel1liculo-sll'iées. La couche optique est rédu
parée par des orifices vasculaires volumineux qui livrent passage aux
artères
lei7li'cu,lo-ol)fiques; elle se porte en arrièr
amygdalien (NA) et de nombreux orifices vasculaires appartenant aux
artères
lenticulo-caudées. En avant de ces organes on t
de substance grise, limités en avant par les orifices vasculaires des
artères
lenli- culo-slriées. Ces amas gris appartiennen
au voisinage de nombreux trous vascu- laires, qui correspondent aux
artères
lenticulo-opliques. La commissure antérieure (c
te linéaire ni aucune cavité virtuelle, mais de nombreux vaisseaux (
artères
lenticulo-caudées et lenticule-striées), qui so
infé- rieure de la protubérance, congestion assez prononcée. Les
artères
de la base sont normales. Les nerfs crâniens so
dure-mère, rien. Liquide céphalo-rachidien en quantité normale. -
Artères
de la base et nerfs crâniens, symétriques.L'MMteH
te, de la présence des veines dans la région frontale, de celle des
artères
dans la région temporale. Dans tous les cas, il
cerveau, autour du chiasma et dans l'es- pace interpédonculaire. L'
artère
cérébrale moyenne droite était oblitérée à son
oyenne droite était oblitérée à son origine. Le territoire de cette
artère
était complète- ment ramolli. Après durcissemen
la tête. Le crâne, les méninges, le liquide céphalo-rachidien, les
artères
de,la\base, ne; présentaient rien de particulie
..., .... ''j' 9eTi x , ? )(t')-1 -,).Il : ) ? 1 '¡,"),r r'1Jr ? .
Artères
. Les deux communicantes antérieures ,sont reunies
ié supérie'ure'de la face convexe du cerveau. Pas d'anomalies des
artères
, de la base. , Cerveau : 1,220 gr. Cervelet et
de la face ? Mort. Autopsie : asymétrie crHMHMe ? ano ? Ma//M des
artères
de la base; inégalité des hémisphères cérébraux ?
ont très épaissies et offrent une teinte blanchâtre, opalescente.
Artères
de la base. Les vertébrales présentent une grande
eur exagérée du cuir chevelu et de la dure-mère ; les anomalies des
artères
de la base de l'encéphale ; enfin l'inégalité d
mlmt ? 1 ? " .I ? int m fft Hl ...qp 11 ? i Il 1rÏ ? ques petites
artères
munies de leurs trois tuniques. - 1 \ '1. ? i "
suffire au travail exagéré subitement imposé par la paralysie - des
artères
.^De plus, la paralysie des gros vaisseauXt abdomi
t atteintes de la dégénérescence cireuse. Examinées sous l'eau, les
artères
de la pie-mère ne présentaient aucune altératio
le, pèse 735 gr. Les différentes parties de la base de l'encéphale,
artères
, nerfs, chiasma, etc., n'offrent pas d'ano- mal
nulle trace de rigidité cadavé- rique. Cerveau. Poids, 1030 gr. L'
artère
communicante anté- rieure est double. Les autre
1030 gr. L'artère communicante anté- rieure est double. Les autres
artères
de la base sont normales ainsi que le chiasma,
e, en général, facilement, si ce n'est au niveau du lobe frontal. L'
artère
communicante antérieure est double; les autres
be frontal. L'artère communicante antérieure est double; les autres
artères
sont 400 CLINIQUE MENTALE. normales, ainsi qu
21. V. Ir., valvule triscuspide. V. dr., ventricule droit. - A. p.,
artère
pulmonaire. T., trou de Botal. 0. dr., oreillette
pulmonaire. T., trou de Botal. 0. dr., oreillette droite. - A. o.,
artère
aorte. étude SUR L'IDIOTIE. 403 ovale, un ori
ure du ventricule droit y montre l'absence de l'in- fundibulum de l'
artère
pulmonaire. Les parois de ce ventri- cule sont
libre et la face supérieure des trois valves de la tricuspide. L'
artère
pulmonaire est notablement rétrécie ainsi que son
re. Ajoutons qu'à un centimètre environ au-dessus de son orifice, l'
artère
pulmonaire se par- tage en 3 branches, deux gau
u être poursuivie jusqu'à l'aorte. Au niveau de son insertion sur l'
artère
pulmonaire, on trouve dans la cavité du vaissea
normale, mais ses bords et sa face supérieure sont Fig. 22. A, P.,
artère
pulmonaire. Br. g., la branche gauche. P. P., p
e interne, l'autre externe. L'externe restait placée en dehors de l'
artère
tibiale antérieure jusqu'au cou-de-pied ; l'int
jusqu'au cou-de-pied ; l'interne, un peu plus petite, croisait l'
artère
pour se placer en dedans et l'accompagner jusqu'a
ccompagner jusqu'au cou-de-pied ; là, elle repassait au devant de l'
artère
pour s'unir à la branche externe sur le dos du
dans lequel deux branches du nerf tibial antérieur accompagnaient l'
artère
de chaque côté ; au cou-de-pied la branche exte
est amincie mais non usée. Dégénérescence athéromateuse étendue des
artères
de la base et particulièrement du tronc basilai
onstata au microscope un épaississement très notable des parois des
artères
cérébrales. M. Mackensie ajoute, en commentant
e ramollissement n'ait pour cause une altération syphilitique des
artères
ayant amené leur oblitération. On sait que c'est
re .sous la dépendance de deux processus différents, altération des
artères
d'une part, productions gommeuses de l'autre, c
almoscopique que la pupille était encore pâle, rétractée et que les
artère
du fond de l'oeil n'avaient pas complètement repr
e étaient ainsi conçues : Moelle épinière. Anatomie et physiologie.
Artères
du cerveau. Ci),- culation cérébrale. La questi
is- tance. -Enfin, pour Brown-Séquard, lacontraction exagérée des
artères
et des veines amènerait la stase du sang dans les
du phénomène, qui est dû à l'oblitération ou à lacons- triction des
artères
dans le membre affecté ; en effet, dansl'artério-
membre affecté ; en effet, dansl'artério- sclérose généralisée, les
artères
sont suffisamment pourvues de sang à l'état de
a sténose artérielle ne se rencontrant que chez les sujets âgés à
artères
athéromateuses ou syphilitiques. Un second symp
ntérieures de la moelle. Est-ce une embolie d'une des branches de l'
artère
spinale antérieure ? On ne trouve ni dans les c
ns suivantes dans le domaine de la circulation céré- brale : 1° les
artères
cérébrales se rétrécissent; 2° la pression arté
. L'excitation du centre vaso-moteur provoque un rétrécissement des
artères
et par conséquent une éléva- AIICHIVES, 2' séri
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. I. Plaie de l'
artère
vertébrale gauche. Hématorrachis. Compres-. sio
la forcipressure de l'aorte abdominale immédiatement au-dessus de l'
artère
, rénale droite pendant une heure. On constata u
récente. A la hau- teur du septième segment dorsal de la moelle, l'
artère
centrale, qui côtoie le canal central, présente
bres obliques ou transverses, les autres à fibres longitudinales. L'
artère
du sillon antérieur est également atteinte de p
emblables, indé- pendantes et beaucoup plus petites que celles de l'
artère
centrale. On en voit aussi sur une branche laté
vaincre, de sectionner ce nerf à 2 ou 3 centimètres au-dessous de l'
artère
sous-clavière, au-dessous de l'origine du laryngé
de l'aorte abdominale, immédiate- ment au-dessous de l'origine des
artères
rénales, chez des lapins. Toutes les précaution
escence cellulaire : atrophie simple, etc. ; 3° la patho- logie des
artères
et veines cérébrales, en particulier les lésions
les cas autopsiés ont présenté une lésion profonde des tuniques des
artères
(grandes et petites) bibliographie. 253 et da
blanches, pulsatiles. Il s'agirait de contractions vasculaires de l'
artère
centrale de la rétine anémiant le centre de la
omiques du glaucome. Le mécanisme en est connu. La contraction de l'
artère
centrale de la rétine produirait de l'amblyopie
épaississe- ment et une disposilion tortueuse de la radiale et des
artères
du pied qui peut, si le sujet a moins de quaran
ésultat soit de la syphilis spinale, soit d'altérations séniles des
artères
et se manifeste par l'apparition brusque de fai
t abondamment d'un vaisseau profond (qui fut ensuite reconnu pour l'
artère
vertébrale); l'hémorragie fut arrêtée par lacom
che jaune, est 456 clinique nerveuse. alimenté à la fois par deux
artères
distinctes, par ta. céré- brale postérieure et
, par ta. céré- brale postérieure et par la branche occipitale de l'
artère
, sylvienne - ce qui est encore à démontrer. - -
cérébrales sont ali- mentées par trois vaisseaux artériels, par les
artères
céré- brales antérieure, moyenne etpostérieure.
ré- brales antérieure, moyenne etpostérieure. Rappelez-vous que l'
artère
cérébrale moyenne ou sylvienne (fig. 29) irrigue
l. Donc, une ischémie, survenue dans le territoire ali- menté par l'
artère
sylvienne ou cérébrale moyenne, est à même de n
lle soit également la conséquence d'une obstruction de cette même
artère
sylvienne. En effet, chez notre troisième malad
due. L'hypothèse d'un foyer unique, consécutif à une rupture de l'
artère
sylvienne, peut donc nous rendre compte égale-
er de ramollissement, développé à la suite d'une hémorrhagie de l'
artère
sylvienne, a entamé le faisceau des radiations
Les parties ombrées représentent le territoire de distribution de l'
artère
cérébrale postérieure. SUR TROIS cas d'hémianop
e, à la face externe du cerveau. On peut donc la considérer comme l'
artère
de la zone visuelle corticale. En fin de comp
oisième malade : foyer hémorrhagique, consécutif à une rupture de l'
artère
sylvienne, de l'artère cérébrale moyenne, ayant
hémorrhagique, consécutif à une rupture de l'artère sylvienne, de l'
artère
cérébrale moyenne, ayant retenti sur le faiscea
29. - Les parties ombrées représentent la zone de distribution de l'
artère
cérébrale moyenne. 468 CLINIQUE NERVEUSE. l'h
, les tubercules mamillaires, les pedon- cules, etc., ainsi que les
artères
de la base sont symétriques et sans lésions. -
Les nerfs olfactifs et optiques, les tubercules mamillaires, les
artères
et les nerfs de la base sont symétriques. La 11,1
eur, 5 cent. d'épaisseur. Le hile absolument normal donne issue à l'
artère
; la veine et l'artère gardent leurs rapports r
Le hile absolument normal donne issue à l'artère ; la veine et l'
artère
gardent leurs rapports respectifs habituels. - L'
. R. D., veine rénale droite; V. R. G., veine rénale gauche; A. R.,
artère
rénale; A. R. S., artère rénale supplémentaire;
ite; V. R. G., veine rénale gauche; A. R., artère rénale; A. R. S.,
artère
rénale supplémentaire; A. R. M. S., artère réna
artère rénale; A. R. S., artère rénale supplémentaire; A. R. M. S.,
artère
rénale médiane supplémentaire; B., bassinet ; u.,
médiane supplémentaire; B., bassinet ; u., ure- tère ; A. I. P. D.,
artère
iliaque primitive droite; A. I. P. G., artère ili
- tère ; A. I. P. D., artère iliaque primitive droite; A. I. P. G.,
artère
ilia- que primitive gauche. REIN UNIQUE. 163
à cheval vu en arrière. R. rein; C. S., capsule surrénale ; A. R.,
artère
rénale; V. C., veine cave; A. R. S., artère rénal
sule surrénale ; A. R., artère rénale; V. C., veine cave; A. R. S.,
artère
rénale supplémentaire; U., uretère ; A. I. P. D
A. R. S., artère rénale supplémentaire; U., uretère ; A. I. P. D.,
artère
iliaque primitive droite; A. I. P. G., artère i
retère ; A. I. P. D., artère iliaque primitive droite; A. I. P. G.,
artère
iliaque primitive gauche ; A. I. E., artère iliaq
ve droite; A. I. P. G., artère iliaque primitive gauche ; A. I. E.,
artère
iliaque ex- terne ; A. I. I., artère iliaque in
e primitive gauche ; A. I. E., artère iliaque ex- terne ; A. I. I.,
artère
iliaque interne. 164 IDIOTIE : malformations co
pital. Cela étant établi, et en nous reportant à la disposition des
artères
de la base de l'encéphale, il nous sera facile
rieure de l'hexagone do Willis est formée par la bifurca- tion de l'
artère
basilaire qui donne ainsi naissance aux artères c
a bifurca- tion de l'artère basilaire qui donne ainsi naissance aux
artères
cérébrales postérieures. vA 1 centimètre envi
brales postérieures. vA 1 centimètre environ de leur origine, les
artères
cérébrales postérieu- res reçoivent la communic
a cérébrale postérieure sur une longueur de 5 à 12 millimé- tres, l'
artère
postérieure donne naissance à 10 collatérales d'a
près Duret. Parmi elles, il convient de mentionner spécialement les
artères
des racines et des noyaux d'origine des fibres
ur oculaire commun destinés aux muscles extrinsèques, ainsi que les
artères
pédonculaires internes qui se rendent plus part
iculièrement à l'étage inférieur du pédoncule céré- bral (1). Les
artères
qui se rendent aux noyaux d'origine des muscles a
n soit complètement suspendue dans les branches terminales de cette
artère
, et très ralentie, mais non interrompue, dans l
ance aux 10 collatérales de Duret, parmi lesquelles se trouvent les
artères
des noyaux du moteur oculaire commun. La circulat
e, a produit dans la partie directe ou ascendante de cette dernière
artère
un ralentissement considérable de la circulation,
re un ralentissement considérable de la circulation, et comme cette
artère
envoie des collatérales dans la partie antérieure
, dans l'hypothèse que nous formulons, celle d'une throm- bose de l'
artère
cérébrale postérieure droite au niveau de l'embou
ez notre malade, l'oblitération, respectant la première partie de l'
artère
(celle qui donne naissance aux collatérales de
la suppression de la circulation dans les branches terminales de l'
artère
céré- brale postérieure, et en particulier l'hé
siéger non plus sur le tronc, mais sur lès collatérales ou sur les
artères
terminales, et même détermi- ner de la sorte pl
articulations et muscles, avec accessoirement celle des vaisseaux,
artères
et veines, qui assure sa nutrition et, par suite,
me pas de calculs. La bile est colorée. On note de la sclérose de l'
artère
hépa- tique. -- La rate est très volumineuse,
seg- ments du membre et immobilisant l'article. Les battements de l'
artère
poplitée se perçoivent sur son côté exerne. (Fi
n- sions. Les méninges rachidiennes sont absolument normales. Les
artères
extra- médullaires sont intactes, les artères i
olument normales. Les artères extra- médullaires sont intactes, les
artères
intra-médullaires dans les parties scléro- sées
eurs bords étaient le siège d'une suffusion séreuse très nette; les
artères
étaient rétrécies ; les veines dilatées, tortue
observa- tion qu'avec la langue on ne peut pas sentir le pouls de l'
artère
radiale. Ce n'est pas juste : je sens très bien
rtère radiale. Ce n'est pas juste : je sens très bien le pouls de l'
artère
radiale avec la lan- gue, si je presse suffisam
qu'il s'agisse d'une sclérose conjonctive par atrophie simple. Les
artères
volumineu- ses des nerfs présentent un degré mo
tué par des fibres fines, pauvres en cel- lules et traversé par des
artères
et des veines très dilatées. Les éléments adi-
autres facteurs interviennent-ils, comme le calibre plus grand de l'
artère
nourricière. Le fait suivant mérite, à ce point d
ans le cas que je viens de citer, dit Isid. Geoffroy St-Ifilaire, l'
artère
rénale droite et l'artère capsulaire du même côté
citer, dit Isid. Geoffroy St-Ifilaire, l'artère rénale droite et l'
artère
capsulaire du même côté étaient, comme les orga
ls donnent au loucher la sensation des lymphatiques cancéreux, ou d'
artères
très athéromateuses. ; Pas d'ossification sur l
x faisceaux de libres dont le plus important est celui de la bulle. L'
artère
occipitale, branche de la carotide externe, creus
loge rétro-stylienne de .Ionesco. Il pourra enfin, par le trajet de l'
artère
occipitale, se propager à la loge cervicale posté
ent les nerfs labyrinthiques, facial et intermédiaire de Wris-berg, l'
artère
et les veines auditives internes. Plus en dehors,
dien. — Le canal carotidien est parcouru dans toute sa longueur par 1
artère
carotide interne, entourée par le plexus ou sinus
nes examinés par Kôrner elles étaient si larges, que la blessure de l'
artère
devenait possible au cours d'une paracentèse de l
e tympanique et en dehors par la couche épidermique du conduit. Les
artères
de la membrane émanent de l'auriculaire profonde
Les artères de la membrane émanent de l'auriculaire profonde et de l'
artère
stylo-mastoïdienne. Les veines gagnent la jugulai
al, le nerf intermédiaire de Wrisberg avec le ganglion géniculé, et l'
artère
stylo-mastoïdienne. Il mesure 2 5 millimètres de
é inférieure du sinus sigmoïde. Chemin faisant, on a récliné ou lié J'
artère
occipitale qui passe en longeant le bord inférieu
portants sont rencontrés. En allant de bas en haut, on voit d'abord l'
artère
occipitale qui croise la face externe de la veine
en descendant, la face profonde du digastrique, passe au-dessous de l'
artère
occipitale, croise la jugulaire immédiatement en
dure-mère. Thèse de Paris, 1888. Launay (P.), Veines jugulaires et
artères
carotides chez l'homme et les animaux supérieurs.
utopsies de maladies de Paget, prélever pour chacun des grands os l'
artère
et le nerf, et étudier ce dernier tant sur des co
e dues par exemple à des troubles vasculaires dans 1 le domaine des
artères
spinales postérieures. En résumé, des lésions d
ces faits : il radiographie le malade de M. Gail- lard (2) dont les
artères
périphériques étaient très indurées et voit nette
s indurées et voit nette- ment dessinées, (lexueuses, annelées, les
artères
des membres, incrustées de sels calcaires. «
des lésions secondaires, consécutives à l'incrustation calcaire des
artères
nourricières des os. » Or l'artério-sclérose
ombre d'observations : le malade de Ménétrier et Gauckler avait des
artères
tellement infiltrées de sels calcaires qu'il fa
décalcifier avant de pouvoir les couper ; sur les radiographies, l'
artère
fémorale apparaissait nettement dessinée, ainsi
rapporte trois observations personnelles de pagétiques : l'un a les
artères
« indurées, athéromateuses » ; chez l'autre « l'a
un malade de Thibierge(S) avait le 2° bruit aortique claqué, et les
artères
dures ; un malade de Marie (6) était artério-sclé
e peut rien préjuger dans un sens ou dans un autre. De l'état des
artères
il faut rapprocher celui des veines : on sait la
ique mieux par l'hypo- thèse d'une lésion artérielle, intéressant l'
artère
nourricière de tel ou tel métacarpien, de telle
es, consécutives à l'ai lé- ration et à l'incrustation calcaire des
artères
nourricières des os » (Bé- colère). La théori
urrait être également de la même ma- nière, par l'intermédiaire des
artères
, qu'agiraient les acides minéraux, dont le pouv
mencèrent chez le malade de Moizard et Bourges. « On a l'âge de ses
artères
», certes, mais ce n'est pourtant pas à 10, 15,
les cas de claudication intermittente une diminution du calibre des
artères
correspondantes au territoire atteint, due la plu
précoce, CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DU SYNDROME PÉDONCULAIRE 115 ses
artères
sont souples. Pas de tabagisme. Aucune intoxicati
... ? .... 178 LEFÈVRE récissant ou en.élargissaut le calibre des
artères
ou en agissant sur la circula- tion cardiaque ;
mple, section traumatique du nerf médian ou cubital, anévrysme de l'
artère
axillaire comprimant le paquet vasculo-nerveux
ffle. On note un léger souffle systolique à l'orifice valvulaire de l'
artère
pulmonaire ; l'aorte et les vaisseaux du cou on
i, on avait constaté une insuffisance mitrale et une induration des
artères
, de même que dans nombre d'autres observa- tion
Rocci. De même en regardant la sinuosité et J'en chevé tremeii des
artères
teiri- SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET
s par Beclère qui avait réussi à suivre sur le cliché le trajet des
artères
cal- cifiées dans quelques cas d'ostéite déform
doigt ne détermine pas de godet. On n'observe aucune altération des
artères
, des veines, des capillaires, des os ; aucune vei
e pièce de cinquante centimes, accolé à la branche postérieure de l'
artère
méningée moyenne, correspondant à une empreinte
s, d'un ictns apoplectiforme qui est attribué à, une embolie dans l'
artère
sylvienne gauche que l'on rapporte à un caillot d
oisette, séparée de la tumeur principale par un sillon occupé par l'
artère
communicante posté- rieure gauche. Ce prolongem
inférieure du pédoncule cérébral droit sur lequel on voit passer l'
artère
cérébrale pos- térieure. Cette tumeur située
roubles circulatoires, invoquant, soit la diminution du calibre des
artères
ou des veines, par infiltration ou. épaississemen
croscopique de l'encéphale, ni en surface, ni sur les sections. Les
artères
et les méninges sont saines d'as- pect, on ne t
an postérieur, de nombreuses coupes montrent (fig. 18), autour de l'
artère
, un manchon lymphocytique discontinu, de 2-3 él
la cavité thoracique, nous constatons, au devant de l'aorte et de l'
artère
pulmonaire, la présence d'uue tumeur. Eu bas, cet
faits de myocardite et un degré modique d'emphysème pulmonaire. Ces
artères
pé- riphériques sont légèrement athéromateuses
épaissie et infiltrée. On trouve de l'endartérite dans les grandes
artères
, en particulier dans l'artère spinale antérieur
ve de l'endartérite dans les grandes artères, en particulier dans l'
artère
spinale antérieure. Dans la zone supérieure, la
rythmique. Radiales rigides apparemment pas calcifiées. Aux autres
artères
périphériques palpables, on perçoit aussi une p
ographies de Béclère (Bull, Soc. méd. h6p. Paris, 19. VI. 1901) les
artères
calcifiées, les lésions cardio-vasculaires sont à
t béantes, avec dans leur lumière d'assez nombreux leucocytes ; les
artères
,surtout celles d'un certain calibre,ont leur pa
ne inter- ruption, ne peut être expliquée par une infection par les
artères
, mais que tout parle en faveur d'une voie lymph
es tendineuses. On prenait le cerveau pour une glande. On croyait les
artères
pleines d'air, et la dis-tribution réelle du syst
mble, un état pa-thologique consécutif à l'altération dite sénile des
artères
. De son côté, le réseau des vaisseaux capillaires
out évi-dent pour ce qui concerne l'altération dite athéromateuse des
artères
, et la calcification qui l'accompagne si fréquem-
ive des élé-ments qui constituent normalement la membrane interne des
artères
. La dégénération graisseuse s'empare, à un mo-men
d'abcès athéromateux. On les voit parfois s'ouvrir dans la cavité des
artères
dont elles occupent les parois; et leur contenu,
terminer le rétrécissement et plus tard, l'oblitération complète de l'
artère
où elle siège. C'est alors que se produisent, sur
ns, en effet, qu'il faut rattacher à l'oblitération athéromateuse des
artères
la plupart des cas de ramollissement cérébral et
de 35 ans, et acquiert son maximum de 65 à 75 ans (2). mateusc des
artères
cérébrales. Nous aurons plus tard l'occasion de n
le cœur chez les vieillards est plus puissant que jamais, et que les
artères
présentent des pulsations énergiques ? Il pa-raît
constatée soit dans le cerveau, soit dans les méninges, soit dans les
artères
encéphaliques. E. Nous allons maintenant passer
nant la crise cardiaque. Ajoutons enfin que l'état athéromateux des
artères
, qui souvent coïncide avec les lésions du cœur, p
e se rencontrent pas au même degré dans d'autres maladies fébriles. L'
artère
est volumineuse comme dans certains cas d'anémie,
de la pré-sence d'un caillot volumineux parti du cœur. Lorsque les
artères
des membres se trouvent ainsi oblité-rées, il en
égies chez les sujets non encore parvenus à un âge avancé. Lors-que l'
artère
oblitérée est d'un calibre important, il se produ
efois se développer des accidents analogues, bien que les principales
artères
du cerveau se trouvent entiè-rement perméables ap
vaisseaux d'un calibre important ; mais le caillot s'étant résorbé, l'
artère
est redevenue perméable, bien que le ramollisseme
la valvule mitrale ; mais on ne trouvait aucune oblitération dans les
artères
de la base (1). 1. Trousseau. — Clinique médica
rmina la mort dans l'espace de dix minutes. A l'autopsie, on trouva l'
artère
pulmonaire oblitérée par un caillot volumineux, p
pé de gangrène, et que des caillots se sont formés à la fois dans les
artères
et dans les veines, les parties sphacélées peuven
e de plaques. — Le cerveau parait sain, dans toute son étendue. Les
artères
de l'encéphale sont à peine un peu indurées. 20
plies par des caillots adhérents, décolorés, qui se continuent dans l'
artère
pulmonaire. Dans cette artère, ils ne sont pas ad
ts, décolorés, qui se continuent dans l'artère pulmonaire. Dans cette
artère
, ils ne sont pas adhérents et paraissent partout
nfiltré de pus, aucune altération de l'encéphale ou des méninges. Les
artères
de la base du cerveau ne sont pas athéromateuses.
te vingt-quatre heures après la mort. - Cerveau. Pas d'athérome des
artères
de la base. Hémisphère droit : 1 Foyer de ramol
risation. Rien à la protubérance, ni aux pédoncules, ni au bulbe. L'
artère
sylvienne gauche, non athéromateuse, renferme u
être formé par thrombose. Ce caillot siège au point de division des
artères
pariétales. Cavité abdominale (résumé) : Ascite
oit. Observation IV. Aphasie avec hémiplégie gauche. Embolie de l'
artère
sylvienne droite, avec ramollissement de la 3° fr
de jaunâtre. Partie antérieure de la cap- sule interne, jaunâtre.
Artère
sylvienne oblitérée par un caillot. Pas d'athérom
netteté, une coloration rouge livide, une légère dilatation de l'
artère
centrale avant sa division en des ramifications e
ve peut être, pratiquée avec succès pour arrêter l'hémorrhagie de l'
artère
méningée moyenne. Ce traitement a réussi dans d
inière ; 2° concours : Moelle épinière (anato- mie et physiologie);
Artères
du cerveau. Circulation cérébrale. Questions or
Questions orales. 1er concours (1880) : De l'épilepsie. Plaies des
artères
; 2° concours (1880) : Signes et diagnostic de la
ez abondant. Encéphale, 1,1 GO gr. La surface est un peu lavée; les
artères
, les nerfs de la base sont sains. Le tubercule
est venu pro- duire l'obstruction vasculaire près de l'origine de l'
artère
sylvienne. Cette localisation est rendue manife
ocalisation est rendue manifeste par ce fait que le territoire de l'
artère
de la troisième circonvolution fron- tale, laqu
ement du canal carotidien détermine une diminution de cali- bre des
artères
contenues et entraîne une insuffisance de circu-
ongation de nerfs céphaliques et deux observations de ligature de l'
artère
carotide dans i ! 'M ! Op/t</t(tb7Ke pulsatile
ur l'auteur à des efforts exagérés, fut guérie par la ligature de l'
artère
carotide ; il semblait évident à M. H... qu'il
sité de l'attention. En même temps, il existe une dilata- tion de l'
artère
carotide et un dicrotisme plus marqué du pouls
e dans le petit bas- sin, au voisinage du point où on sent battre l'
artère
iliaque. Eu somme, nous avons pu constater deux
rière, vers la partie externe de l'excavation où l'on sent battre l'
artère
iliaque. Du reste, on jugera mieux Ftg. 24. Com
ne est régulière et symétrique. L'encéphale pèse 1210 grammes ; les
artères
de la base, les nerfs, le chiasma, les pédoncul
e l'hémianop- sie dans la partie postéro-inférieure du domaine de l'
artère
sylvienue pourrait encore s'appuyer sur certain
s ces trois dis- tricts que je viens de décrire est nourrie par les
artères
terminales auxquelles les branches de la convex
ales auxquelles les branches de la convexité donnent naissance. Ces
artères
terminales sont perpen- diculaires à la courbe
laires frontaux extra-nucléaires) est nourrie par des rameaux de l'
artère
de l'hémorrhagie centrale (Charcot), venant ell
moyenne. La direc- DES IRRADIATIONS CAPSULAIRES. ! ) tion de ces
artères
terminales est donc perpendiculaire à celle des
tion de ces artères terminales est donc perpendiculaire à celle des
artères
terminales de la portion latente. La cérébrale
adiations capsulaires frontales extra-nucléaires possèdent donc des
artères
spéciales qui méritent par cela même une mentio
éritent par cela même une mention à part. Je propose de les appeler
artères
de la parole ou DE L'A- PHASIE. On devine que l
criblée. - Enfin, il n'est pas superflu de faire remarquer que l'
artère
de l'hémorrhagie centrale prenant son origine a
, sem- blent correspondre au groupe des vaisseaux constitué par l'
artère
aphasique et ses rameaux. On comprend que l'éta
- Ir-r-tr' 9r'll,tn^ uA rl9 Sn'1 : `1R0 rameaux que leur, fournit 1
artère
cérébrale antérieure, on aurait, pu^avancer, qu
oux, on peut affirmer la chose clinique- ment ? en ajoutant que les
artères
nourricières delà pa- role ont une double origi
l. On notera, d'ailleurs, que les rejetons de la cérébrale moyenne,
artères
lenticulo-striées, dont la distribution est dém
is, contenant ' unej, substance, blanche, cireuse, colloïde. : Les"
artères
et' les. plexus veineuxuspnt;, volumineux. |La
nnaissant prob'ablemdnttpour'càuse l'état atheromateùx (goutte) des
artères
'de.1,1bas«é. An'ti'oub)0bdeia circulation à su
par le liquide céphalo-rachidien, sous forme de pseudo-kyste. Les
artères
de la base paraissent égales. Les nerfs olfactifs
A la suite d'une blessure dans la région de la joue, ayant ouvert l'
artère
sous-orbitaire, blessure guérie en huit jours san
ltérations importantes occupent les deux carotides internes, et les
artères
de la base, qui sont transformées en tuyaux rigid
e; elles sont épaissies dans les plis et au niveau des lacunes. Les
artères
cérébelleuses sont manifestement plus étroites
ans un premier cas, un allléi-ôme très prononcé et très étendu de l'
artère
sylvienne gauche, mais la substance cérébrale ne
lbuminurie peut dépendre de l'excitation des vaso-constricteurs des
artères
rénales et que l'ischémie opiniâtre et répétée
de la pie-mère. Les vaisseaux de la base sont scléreux, surtout les
artères
sylviennes. Pas de lésions dans les hémisphères
ique du cerveau, si l'on ne constate pas de lésion dégénérative des
artères
. On sera très réservé sur le pronostic des bles
so-moteurs. L'auteur a constaté un rétrécissement (spasmodique) des
artères
rétiniennes; il doit donc y avoir ischémie de l
M. Voisin. Peut-être faut-il aussi faire intervenir la sclérose des
artères
du cerveau ? - De la valeur respective de la pr
te et elle pénètre toutes les couches de ces mêmes parois. Dans l'
artère
spinale antérieure, on observe une petite agglomé
rhumatismes subaigu chronique articulaire et musculaire, dyspepsie,
artères
scléreuses et athéro- mateuse, affection vésica
on doive recourir : la thyroïdectomie partielle et la ligature des
artères
thyroïdiennes. Kocher, partisan de la ligature,
ndyme est gra- nuleux, surtout au voisinage des trous de Monro. Les
artères
céré- brales sont saines. De nombreux points
oins épaisse de fibres conjonctives longi- tudinales. Les grosses
artères
présentent un revêtement extérieur assez épais
om de dégénérescence hyaline en raison de son aspect. Les petites
artères
présentent une endartérite énorme, en plus de l
ement appartient bien plutôt à l'arachnoïde qu'à la pie-mère. Les
artères
qui entourent la moelle sont absolument saines.
aperçoit même au centre du nodule un début de casélfication. Les
artères
, par contre, sont à peu près saines; le tronc bas
répondent aux points les plus malades de la tunique externe. ' Les
artères
de l'espace perforé postérieur ont leur tunique e
s. L'épendyme du quatrième ven- tricule est finement granuleut, Les
artères
cérébrales sont saines. Le cerveau ne présente'
que cette appa- rence ne répond pas à la réalité des choses. Les
artères
spinales sont complètement saines. Les veines s
le cas précédent, mais moins marquées. Les grosses et les petites
artères
du bulbe sont saines. Les veinules Fi ? I. 'O
sale supérieure. Les veines participent largement au processus; les
artères
présentent de l'endartérite fibreuse. En somme
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 391 XXXIV. DE la structure DES
artères
cérébrales; par les Drs 111,,CER et de 13OEK. (
es organes à fonctionnement intermittent, le mode de ramescence des
artères
se trouve être tel que des voies multiples sont
re tel que des voies multiples sont offertes au sang arrivant par l'
artère
; la résistance au passage du sang par ces diffé
e disposition anatomique est surtout manifeste dans le cerveau; les
artères
cérébrales ne fournissent pas de branches corti
dans le mésocéphale. La structure et le mode de distribution des
artères
cérébrales ont pour conséquence d'assurer une c
ur causes l'abaissement de la pression du sang et la dilatation des
artères
dans tout le système vasculaire. ' Il n'exist
ers ou de disposition histologique spéciale dans la musculature des
artères
cérébrales; l'allure spéciale de la circulation
ile de démontrer qu'ils débutent par une perle du tonus nerveux des
artères
. (Amer. joum. of insanity, janv. 1895.) E. B. X
écité. Autopsie. Hémisphère gauche. Oblitération par embolie de l'
artère
cérébrale postérieure, au niveau des tubercules q
He- bold, 312. Apocodeïne. Du 'chlorhydrate d' par Toy, 328.
Artères
. Structure des- cérébrales par Heger et Boek, 3
s, mais ne présentent aucune anomalie d'aspect ni de consistance.
Artères
paraissent normales. Pas d'hémorragies. Cervele
partie antérieure du cunéum. Il n'a pas été possible de retrouver l'
artère
oblitérée. Une coupe hori- zontale montre un se
le IVe segment cervical de la moelle. On voit : dans la méninge, l'
artère
spinale antérieure remplie de sang ; dans la subs
paraît résulter d'une rupture d'une des branches horizontales de l'
artère
spinale antérieure. L'autre, qui occupe, dans l
e appréciables à la réunion de quelques cellules rondes autour de l'
artère
spinale antérieure au niveau du II° segment, so
e latéral et semblant partir de la queue du noyau lenticulaire. Les
artères
de la base du cerveau étaient manifestement att
présentaient des petites lacunes autour d'un grand nombre de leurs
artères
: ces lacunes étaient particulièrement évidentes
relation, au moins apparente, avec l'élément vasculaire. Autour des
artères
les boules cal- caires et les masses cylindrifo
lus bizarres sous le rapport de la forme (PI. XL1X, A). Outre les
artères
, les capillaires aussi sont plus ou moins profond
du tissu périvas- culaire dans la sclérose et l'épaississement des
artères
doivent être repor- tées surtout à l'altération
côté de la veine (nerf de Bout..., par exemple), le quadrant dont l'
artère
forme le sommet est sensiblement moins sclérosé
ne trace de prolifération névroglique. L une des deux branches de l'
artère
du sillon médian antérieur, se portant vers la co
st loin d'être normal. Les artérioles des septa sont épaisses ; les
artères
du sillon médian antérieur , surtout à la régio
cornes antérieures offre un foyer bémorrhagique sur le trajet de l'
artère
centrale ; sur les coupes de la 6e dor- sale la
ajet et la direction des artérioles de la corne postérieure et de l'
artère
centrale ; son point de départ périphérique est
vons vu, au trajet des gros vaisseaux de la moelle et notamment des
artères
des cornes postérieures ? 2 Il faut bien dire
i l'hyperplasie de la tunique externe des vaisseaux, notamment de l'
artère
du billon antérieur et de sa branche centrale.
s de la corne postérieure, artérioles qui entourent le canal central,
artère
du sillon antérieur qui se ramifie dans la corn
artère du sillon antérieur qui se ramifie dans la corne antérieure,
artère
du sillon médian postérieur, etc.). Les fentes,
tion destructive rappelant, toutes proportions gar- dées, celle des
artères
atteintes d'anévrysme cirsoïde ; et il n'est pas
eux. Les dilatations vasculaires ayant pour origine les veines, les
artères
et les capillaires, les auteurs admettent qu'il s
re infectieuse, peut-être toxique, prédominante dans le domaine des
artères
centrales, avec foyers localisés dus peut-être à
peut-être à des thromboses ou à des embolies dans le domaine de ces
artères
. . Quoi qu'il en soit, cette observation nous p
roupes ou en séries paraissant répondre à des fibres disparues. Les
artères
et artérioles offrent de l'hyperplasie de la tu
es plus profonds. Les troncs artériels de la base, non plus que les
artères
sylviennes, ne présentent pas'de lésions appare
n soit complètement suspendue dans les branches terminales de cette
artère
et très ralentie dans la pre- mière partie de l
nce aux dix collatérales de Duret, parmi lesquelles se trouvent les
artères
des noyaux du moteur oculaire commun ». R. C.
rganiques susceptibles de la produire; selon lui, c'est du côté des
artères
de l'oculo-moteur (artères terminales, éma- nan
a produire; selon lui, c'est du côté des artères de l'oculo-moteur (
artères
terminales, éma- nant de la cérébrale postérieu
les dans la région des noyaux, on à des lésions endartéritiques des
artères
oculu-molrices. Cer- tains faits suivis d'autop
accessoirement par des troubles circulatoires dans le réseau des
artères
piales courles. Quant à la catalepsie, elle est a
dant, de voir des vaisseaux spinaux antérieurs très malades. Les
artères
sont le siège tantôt d'une endartérite, tantôt
lepto-méningite em- bryonnaire. La névroglie a proliféré. Dans les
artères
, on note de l'endopériartérite; dans les veines
endance à la traiter chirurgicalement (thyroïdectomie, ligature des
artères
thyroï- diennes, etc.). La marche de la malad
ébrale. L'autopsie montre : athérome diffus, plus accentué pour les
artères
cérébrales; petit foyer de ramollissement dans la
s vascu- laires décrites plus haut, nous voyons à cette hauteur des
artères
présentant les indices d'un processus inflammat
rale (Westphal,), à une tumeurdu cervelet (Busch),àune embolie de l'
artère
sylvienne (Schataloff etNikiforoff), à une myél
n'agis- sent le plus souvent qu'en amoindrissant la résistance des
artères
vis-à-vis des causes ultérieures dont le proces
capillaires et des artérioles des lésions d'artérite au niveau des
artères
d'un certain volume dans les affections inflammat
ique. Lorsqu'une cause quelconque vient à rétrécir le calibre des
artères
ou de leurs branches, l'organe pourra avoir encor
Si le calibre du vaisseau arrive jusqu'à l'oblitération, comme les
artères
des centres nerveux peuvent être considérées, pou
ramollissements lacunaires multiples peut avoir sur une des grosse
artères
de la base du cer- veau un nodule d'endartérite
ie, indice de .la lésion du moteur oculaire commun. ligature de l'
artère
humérale au pli du coude. Troubles paralytiques
l'intéressante observation d'un ouvrier de vingt-six ans, qui eut l'
artère
humérale sectionnée, au niveau du pli du coude
organe révéla un épais- sissement notable du tissu conjonctif. Les
artères
, atteintes d'endar- térite et de périartérite,
saines, arachnoïde transparente; un peu de sérosité ventriculaire.
Artères
de la base légèrement athéroma- teuses. Hémisph
e en plus grand nombre ici que dans l'écorce cérébrale normale. Les
artères
présentent des modi- fications intéressant surt
é des ganglions de la base. En certains endroits des destructions d'
artères
ont pro- duit des foyers de ramollissement. L
orant : le premier est que, à cause de la position du coeur, et des
artères
qui nourrissent le cerveau, le sang arrive à l'
des capillaires artériels, car si l'on pousse une injection dans l'
artère
vertébrale, on obser- ve une notable dilatation
dans les maladies indemnes de toute toxine telles qu'anévrysme des
artères
cérébrales, hématome de la 121 REVUE D'ANATOMIE
'autopsie : Dilatationdes ventricules latéraux, pasd'athé- rome des
artères
cérébrales, plaques jaunâtres sur les ménin- gi
lus ou moins notable, les veines sont dilatées et tor- tueuses. Les
artères
ne nous ont pas paru présenter de modi- ficatio
c le reste du fond de l'oeil et traînées exsudatives le le long des
artères
. Nous devons insister d'une part sur la bilatér
dure-mère n'offre rien de particulier. Encéphale. Les nerfs et les
artères
de la base de l'en- céphale sont symétriques ai
artères de la base de l'en- céphale sont symétriques ainsi que les
artères
vertébrales (1). Des deux côtés, les ventricule
rien à noter. (I) Cwtains auteurs unt ill\IIIIUé l'illég'alité des
artères
verté- brales connue une cause tic répilepsie.
'anémie ; cette anémie peut être causée soit par la compression des
artères
intercostales dans les trous de conjugaison ou
n de l'irrigation sanguine par la thrombose et » l'oblitération des
artères
ràdiculaires provoquée par la pachyméningite tu
uée par la pachyméningite tuberculeuse, ou par la compression des
artères
des méninges et de la moelle même, qui se peut
cas se présente rarement d'une façon durable, et l'oblitération des
artères
ràdiculaires seules ne peut pas apporter une di
foyers de ramollissement, à l'oblitération de quelques pc - 1 tites
artères
de la pie-mère ou de la moelle due àla throm- I
moelle due àla throm- I bose ou à des masses emboliques provenant d'
artères
ra- diculaires .thrombosées. Très rarement, on
icule capillaire beaucoup plus riche que la blanche et parce quelcs
artères
spinales antérieures ne dépendent pas, pour leu
es antérieures ne dépendent pas, pour leur irrigation sanguine, des
artères
interver- tébrales comme les artères spinales p
leur irrigation sanguine, des artères interver- tébrales comme les
artères
spinales postérieures qui, elles principalement
mère ou de la moelle par thrombose ou masses emboliques provenant d'
artères
radiculaires thrombosées par le pro- cessus d'a
s les cordons et cornes postérieures secondaires àl'embolie d'une
artère
spinale postérieure. Quant à la myélite, la plu
ation intense pie-mérienne ; l'infiltration entoure les vaisseaux
artères
et veines indifféremment, créant ainsi des péri-
es, mais, comme 11'5 arlt"rl's, "ans inliltmtion einbrvonnaire. Les
artères
de la pie-mère sonl pour la plupart vides, il p
ne perte discrète diffuse en libres nerveuses. soit par- ce que les
artères
méningées,radiculaires et médullaires, se sont
selon lui, par des troubles circulatoires dus à la compression des
artères
spinales antérieures et posté- (1) 13 \TI'l'r.I
uvent que l'autre ; l'angine apparaît générale- ment à l'âge où les
artères
deviennent athéromateuses, ce qui provoque une
al, ces lésions dimi- nuent la tension artérielle et permettent aux
artères
coronaires de se remplir plus facilement. La te
e remplir plus facilement. La tension moins grande du sang dans les
artères
excite moins les nerfs du coeur. Si l'organisme
e du coeur, produisent la dégénérescence graisseuse et sclérose des
artères
qui au commencement bienfaisantes, peuvent enva
du côté gauche, de la thrombose de la sylvienne, au niveau où cette
artère
fournit les perforantes antérieures et un foyer
L'arrêt de développement porte aussi sur le système vasculaire, l'
artère
radiale est plus fine à gauche, le pouls plus fai
ule interne. L'hé- morragie se faisant ordinairement au niveau de l'
artère
de Charcot, c'est-à-dire à la face externe du n
se fait sur le parcours de vaisseaux volu- mineux, en particulier l'
artère
de 1 hémorragie de Charcot, qui longent la face
gressive, toutes les hémorragies se faisant dans le territoire de l'
artère
de Charcot, devraient posséder une symptomatolo
Centralblatt. XVIII, 1899). Le pincement de l'aorte au-dessus de l'
artère
mésentérique supé- rieure pendant une heure dét
1 et II). La même opération effectuée immédiatement au-dessus de l'
artère
rénale droite (exp. III à V) produit des troubl
anifestement plus grande que lorsqu'on pince l'aorte au-dessous des
artères
rénales. Toutefois il se produit une circulatio
énales. Toutefois il se produit une circulation collatérale par les
artères
spinales situées plus haut; c'est pourquoi les
s mêmes que celles qui se pro- duisent après une forcipressure de l'
artère
rénale même (Litten). Dans les huit premiers jo
sont revenus à la normale. Le pincement de l'aorte au-dessous de l'
artère
mésentérique supérieure donne les mêmes résulta
s mêmes résultats (exp. VI et VII) que le pincement au-dessus des
artères
rénales, mais l'intestin est plus atteint, et, pa
granulations de Nissl autour du noyau. Les vaisseaux sanguins, les
artères
surtout, ont les parois épaissies et sont dilatée
rter ici le cas sui- vant : Observation. Sommaire : Ligature de l'
artère
axillaire chez un sujet prédisposé à la folie p
'hôpital de Limoges. Là, il fut reconnu atteint d'un anévrysme de l'
artère
axillaire, et la ligature de ce vaisseau fut jugé
légère exagération du retentissement du second bruit à la base. Les
artères
radiales et fémorales ne sem- blent pas scléros
non un intoxiqué actuel. C'est huit jours après la ligature de l'
artère
axillaire pour un anévrysme de ce vaisseau, que
mais tout de même « voix imaginaire ». Tremblement des mains. Les
artères
radiales sont sinueuses, dures; les battements
et rempli de caillots. La malade a succombé à une hémor- ragie de l'
artère
striée externe qui a fait irruption dans la cavit
aucun symptôme morbide, sauf des bruits sourds et mal frappés. Les
artères
radiales sont atliéromateuses ; les pulsations
les orifices sont normaux. Aorte, légèrement dépolie, non dilatée ;
artères
coronaires saines. Estomac : Tumeur cancéreuse
geur, sensation de chaleur exagérée la tête, battements forts des
artères
. Quelquefois, mais rarement, palpitations cardiaq
n. P. X... sent alors son coeur battre avec violence, ainsi que les
artères
de la tête et du cou. Il ne se souvient pas d
e frontal droit, par thrombose probable de la première branche de l'
artère
sylvienne. Ce foyer a à peu près la forme d'une
pe la base du cerveau, notamment au niveau du chiasma, le long de l'
artère
sylvienne et au-dessous de la protubé- rance ;
symptomatologie ET A L4 pathologie D'AF- fections SYPHILITIQUES DES
ARTÈRES
ET DU TISSU DU CERVEAU, par Ablecoff. (iVell1'o
es nerfs crâniens moteurs, crises tétanoïdes. -Autopsie. Lésion des
artères
de la base et surtout delà cérébrale moyenne (p
st à remarquer que la lésion 6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE." des
artères
s'attaque surtout à la tunique interne, la tuniqu
uche, entre autres, paraît de même mesure que le droit. A gauche, l'
artère
fémorale est plus large, ses parois sont plus é
ide et caillots noirs. Imbibilion des val- vules de l'aorte et de l'
artère
pulmonaire. Le trou de Botal est oblitéré. Valv
épaissie etoedématiée à gauche, mince et oedématiée à droite. - Les
artères
et les nerfs de la base, sauf le nerf optique,
cérébraux manquent de nerfs et de fibres musculaires lisses, et les
artères
relativement grosses de la pie-mère, pourvues d
l'existence de deux systèmes de vaisseaux dans la moelle : 10 les
artères
centrales qui, du sillon antérieur, pénètrent dan
dans la substance blanche limitant les cornes antérieures ; 1° les
artères
périphériques, plus petites, qui pénètrent dans l
entrale de la paralysie de Landry est une maladie du territoire des
artères
centrales qui s'étend rapidement à toute la subst
plus de probabilités pour qu'un poison quelconque intéresse par les
artères
centrales une partie des cornes antérieures (po
'il aille agir sur toute la périphérie de la moelle par les petites
artères
périphériques, et cela sans léser les cornes an
e infantile spinale n'est pas strictement limitée au territoire des
artères
centrales, et par- fois le cerveau est lui auss
de l'augmentation de calibre et des troubles de la circulation des
artères
thyroïdiennes inférieures dont les rapports ave
on et de la circulation. Ses pulsations lui sont transmises par les
artères
de la base. Elles augmentent si la tension sang
e déterminé que l'on rapporte d'ordinaire à la sclérose des petites
artères
. Elles étaient surtout accentuées chez les para
e artériosclérose très étendue : celle-ci prédominait au niveau des
artères
de la scissure de Sylvius et de la convexité; e
de la branche cen- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 457 Î traie de l'
artère
spinale antérieure, avec infiltration cellulaire
a été consécutif à une oblitération par thrombose de certaines des
artères
du pied du pédoncule. (Revue neurologique, nove
u moteur oculaire externe et des autres nerfs du sinus caverneux. L'
artère
ophtalmique gauche, ectasiée elle aussi, compri
es os de la région temporale sont très minces et trans- parents ; l'
artère
méningée est logée dans des sillons profonds, mai
unité cellulaire, que les indications du bout périphé- rique d'une
artère
liée ne signifie que ce vaisseau est constitué pa
sus morbide s'était exprimé. préférenciellement dans la région de l'
artère
latérale antérieure. Dans beaucoup d'endroits d
s les uns des autres par du tissu conjonctif servant de support aux
artères
et aux veines mais qui est moins abondant que dan
emesse et Marie en décrivent deux groupes en' rapport avec les deux
artères
thyroïdiennes supérieure et inférieure. En géné
Examen d'un fragment de sciatique et de poplité externe, et de deux
artères
(fé- morale et tibiale postérieure). Résultat n
dème, veines congestionnées tor- . tueuses, quelquefois trombosées,
artères
filiformes, quelquefois suffisions hémorrhagiqu
tubérance, reçoivent leur sang exclusivement du système postérieur (
artères
basilaires, vertébrales, cérébelleuses) abondam
) abondamment pourvu en toute cette région d'anastomoses. 2. Chaque
artère
corticale constitue une région individualisée p
mment importantes : il s'en suit qu'une anomalie de formation d'une
artère
cérébrale ne peut être équi- librée par la comp
ne artère cérébrale ne peut être équi- librée par la compensation d'
artères
voisines. 3. On peu diviser en deux groupes les
s. 3. On peu diviser en deux groupes les anomalies de formation des
artères
qui nourrissent les hémisphères cérébraux avec
5. Ces ano- malies s'observent au premier chef dans la région de l'
artère
cérébrale antérieure qui irrigue la province si
es du côté gauche : 24,9. 7. Les anomalies particulières à chaque
artère
se peuvent résumer ainsi. A. Les cérébrales antér
iaires caractérisés par la division prématurée, l'anasto- mose de l'
artère
du côté opposé. B. Une des cérébrales antérieures
férences essentielles entre le côté droit et le côté gauche. 9. Les
artères
du système postérieur, artères basilaire, verté
côté droit et le côté gauche. 9. Les artères du système postérieur,
artères
basilaire, vertébrales, cérébelleuses, présente
peu plus souvent plus large à gauche qu'à droite. B. Ce sont les
artères
cérébelleuses, notamment les artères cérébelleuse
he qu'à droite. B. Ce sont les artères cérébelleuses, notamment les
artères
cérébelleuses moyenne et postérieure, qui sont
thique, et l'expansion de ses pro- longements peut-être le long des
artères
des membres et qui expli- querait l'angoisse d'
ophie considérable de l'hémisphère cérébral droit; des nerfs et des
artères
de la base de l'encéphale; Dégénéra- tions seco
roit, gris et aplati, trois fois au moins plus petit que le gauche.
Artère
communicante droite beaucoup plus petite que la
e qu'ils doivent être attribués à une embolie siégeant dans une des
artères
, qui se distribuent aux tubercules quadrijumeaux
une petite branche invisible auparavant, il en était de même de l'
artère
centrale de la rétine ; donc les deux carotides é
constatait une dilatation des vaisseaux de la pie-mère, veines et
artères
; le cerveau augmentait de volume au point de fai
faire saillie par l'orifice ; on constatait des pulsations dans les
artères
; dans un cas. on a pu les voir même dans les v
aussi augmentation de la quantité de liquide céphaloracbidien. Les
artères
de la pie- mère deviennent de plus en plus volu
boîte crâniene produit une diminution de pression du sang dans les
artères
, et nécessite une impulsion cardiaque plus éner
ion des sécrétions des muqueuses oculaires, nasales, battements des
artères
de la tête, s'observaient toujours. Une fols, o
ntresvaso-moteurs sont touchés; le pouls augmente de fréquence, les
artères
se dilatent, la tension artérielle baisse (dicr
ruit diastolique. La rate a légèrement augmenté de volume. Dans les
artères
périphé- riques, au toucher on constate une rem
rovoquées sans doute par certains troubles de la circulation dans l'
artère
syl- vienne gauche ou dans quelques-unes de ses
e traînée de ramollissement dûe à l'oblitération complète d'une des
artères
terminales par l'ensemble du néoplasme ; en un
it déborde le gauche un peu en avant et davantage en arrière. Les
artères
, nerfs, tubercules mamillaires, pédoncules, sont
o-pariétales sur un espace d'environ un centimètre de lar- geur ; l'
artère
méningée moyenne s'y est creusée des sillons pr
à droite. Myocarde pâle, d'épaisseur normale. Le cône formé par l'
artère
pulmonaire présente un épaississement circonscrit
s avec quelques taches graisseuses et des épaississements scléreux.
Artères
coronaires minces. Poumon gauche, rougeur légèr
consécutive au rétrécissement de la trachée, etc. (liga- ture des
artères
thyroïdiennes inférieures, Kocher), à l'anémie
t dire ici qu'il est nécessaire d'avoir une exacte connaissance des
artères
et des veines du cerveau, parce qu'il est très
a morphine. Peut-être qu'en considérant le caractère ter- minal des
artères
du cerveau, il est à peine nécessaire de dire q
n totale de l'afflux sanguin du territoire organique alimenté par l'
artère
où l'em- bolus est arrêté, c'est-à-dire l'isché
ice, l'afflux sanguin se rétablit au territoire cor- respondant à l'
artère
embolisée, l'ischémie disparait et l'embolie n'
pension du processus nutritif dans les parties alimen- tées par l'
artère
oblitérée. Est-il nécessaire d'affirmer que ces
poudres très fines sont parvenus à oblitérer un certain nombre d'
artères
spinales et à priver ainsi de sang artériel tou
issement central de la moelle dorsale et au milieu de la lésion une
artère
oblitérée. Les faits de Leyden sont relatifs à
tré la division en territoires artériels dis- tincts, la présence d'
artères
terminales, dont l'obtu- ~ration est fatalement
spécialisations fonctionnelles sont irriguées par les branches de l'
artère
sylvienne. Rappelons bien de l'autre côté que l
? Assurément non. Ainsi une obstruction gazeuse de la branche de l'
artère
sylvienne qui se porte en 62 CLINIQUE NERVEUSE.
ice d'articulation ? Une embolie gazeuse d'une autre branche de l'
artère
sylvienne qui se distribue à la première circon
ocalisation de grosses perles de gaz ayant obs- trué complètement l'
artère
de la circonvolution de Broca et celle qui se d
e la vision et des perceptions visuelles des mots, incomplètement l'
artère
de la pre- mière temporo-sphénoïdale, a produit
DENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 63 branches susmentionnées de l'
artère
eylvienne, qui comprend, on le sait bien, dans
cécité. Nous croyons pouvoir la rattacher à l'embolie gazeuse de l'
artère
centrale de la rétine. C'est elle qui seule peu
qui fait le sujet de ['Expérience VI une oblitération gazeuse de l'
artère
centrale de la rétine. C'est à la présence de
ence graisseuse du myocarde, d'athéromedes SOCIÉTÉS SAVANTES. 135
artères
coronairées avec atrophie consécutive de i'organe
), l'irrégularité et la petitesse de l'onde pulsatile (athérome des
artères
coronaires); mais ce ne sontlàque que des sympt
resque immédiatement t après rougeur cervico-faciale, battement des
artères
, anxiété pré- cordiale extrême, pleurs, gémisse
ons des vaisseaux de la base de l'encéphale. L'auteur a examiné les
artères
basilaires et carotides de 31 malades y compris
loration est blanchâtre, les veines sont dilatées, sinueuses et les
artères
minces. Avec cette atrophie, l'acuité visuelle
e complètement supprimée. Le malade est congestionné à la face, les
artères
temporales sont dilatées et pul- satiles. On lu
ort subite. La surface médiane de l'hémisphère est irri- guée par l'
artère
centrale postérieure, et la convexité par l'artèr
irri- guée par l'artère centrale postérieure, et la convexité par l'
artère
centrale antérieure. Les effets de compression
t diastolique à l'aorte ; coeur fortement frappé, pouls hypertendu,
artères
dures roulant sous le doigt. Pas de modifications
éjà tous remarquez ; Et quant à ce que j'ay dit de la façon que les
artères
apportent les esprits au dedans de la teste, et
preuve que sa situation ; car n'estant soutenue que par de petites
artères
qui l'environnent, il est certain qu'il faut tr
.. se vont rendre dans les concavitez du cerveau ; d'autant que les
artères
qui les y portent, sont celles qui'viennent, du c
pure, qu'on nomme les Esprits Animaux. Car il faut sçavolr que les
artères
qui les apportent du coeur, après s'estre divis
t peu de temps auparavant démontré l'existence dans le coeur et les
artères
. En effet, une fois sortis de la glande, les es-
au contraire, on assiste progres- sivementà leur réunion (1). Les
artères
, le coeur montrent parfois des anomalies qui sont
l vertébral. Ce canal transversaire destiné sans doute à contenir l'
artère
vertébrale est situé au dessus de l'origine des
ses par- ties latérales un canal transversale où devait se loger l'
artère
vertébrale ; ce canal communique, comme nous l'
res ; les bruits du coeur étaient purs et vigoureux, les parois des
artères
souples et élastiques. Le corps thyroïde n'étai
allant jusqu'à la transformation en tissu scléreux et adipeux. Les
artères
intramusculaires présentent fies lésions d'endo-p
eine à l'intérieur de laquelle on voit des caillots organisés ; les
artères
sont épaissies. Dans les parois vasculaires pas
la substance grise s'anastomoser avec les artérioles provenant de l'
artère
centrale, sont malades également. Autour de cha
d'une part, par les branches centrales ou sulco-commissurales de l'
artère
spinale antérieure qui, parvenue au fond du sil
te donc deux territoires médullaires ; l'un central, dépendant de l'
artère
sutco-conmissuraie,. l'attire périphérique dépend
nous montrent déjà qu'il ne saurait s'agir d'une oblitération de l'
artère
spinale antérieure dont la distribution est bilat
rtère spinale antérieure dont la distribution est bilatérale (cette
artère
est d'ailleurs perméable sur les coupes).Pour la
nicule adipeux atteint à la face antérieure de la cuisse 3 cm. 5. L'
artère
fémorale contient de nombreuses plaques d'athérom
par leur convexité. Fiv. 3. Lobe, nerf olfactif déployé, narine, et
artère
caverneuse nasale du murena congcr.c. plexus de
. - 3 et 4- Muscle droit externe. 1 / ' 5. Nerf optique. - - 6.
Artère
opthalmique coupée, venant de l'artère carot. int
' 5. Nerf optique. - - 6. Artère opthalmique coupée, venant de l'
artère
carot. int. i o. 7. Artères ciliaires. S. Vei
. Artère opthalmique coupée, venant de l'artère carot. int. i o. 7.
Artères
ciliaires. S. Veine opthalmique. 9. Pie-mère
opthalmique. 9. Pie-mère naissant de la carotide 10. " ' , . 10.
Artère
carotide. , n et 12. Rameaux de la carotide qui
aisseaux fragiles massés parfois autour de veines oblitérées, enfin
artères
et veines de plus gros calibre. Ceux-ci sont ento
, accompagnée de vaisseaux flexueux, dilatés, à parois modifiées. L'
artère
est peu atteinte et en quelques régions absolum
e en lobules. Au pôle libre le cordon devient normal, il n'a qu'une
artère
ombilicale, droite, - Cette hernie * contient u
e côté de cette hypophyse sont les terminaisons flottantes des deux
artères
carotides internes ; elles sont longues de 1 cent
e. nerf moteur oculaire externe. G. P. glande pituitaire. - AC.A.
artères
cérébrales antérieures. - N.C. racines cervical
avant par les vaisseaux centraux, arlères et veines, ra- meaux des
artères
et veines du sillon antérieur. Ces vaisseaux sont
hélium et la lumière des capillaires de la substance corticale. Les
artères
, en collapsus, ne montrent pas de lésions. Le
st 255 mm. La glande thyroïde n'est pas agrandie ; la pulsation des
artères
n'est pas visible. - Le thorax est symétrique,
e remarque aucune particularité squelettique ou musculaire. Seule l'
artère
radiale est pro- bablement d'un calibre très ré
ns la flexion de la phalange unguéale sur la deuxième phalange. L'
artère
radiale prend part à l'anomalie : si elle ne fait
immédiatement voisins de la variation osseuse, mais non point de l'
artère
radiale elle-même dans la majeure partie desa l
ue nous observons : lapalpa- tion nous a révélé que le calibre de l'
artère
radiale étaitextrêmementpetit t et cette consta
pas le seul caractère de la variation qui atteint le membre droit. L'
artère
radiale de ce côté est atrophiée et l'atrophie
mme il convient, l'atrophie de l'éminence thénar à l'ab- sence de l'
artère
radiale, il ne semble pas inexact de penser que l
grave des processus formateurs. Il est entendu que l'absence d'une
artère
ou d'un faisceau musculaire se produit à l'état
nce de l'atrophie simultanée de tout un massif muscu- laire et de l'
artère
du même côté, coïncidant avec une hémimélie du cô
n général et celle des types dits ectroméliques en particulier. L'
artère
radiale ne prend, en ce qui la concerne, aucune p
tives du carpe et du radius, ni de l'arrêt de croissance subi par l'
artère
radiale ; qu'elle ne saurait surtout expliquer
ale, un assourdissement et une prolongation du premier bruit. Les
artères
sont nettement athéromaleuses. Les urines recueil
s hémorrhagiqut doit être réservé pour un examen plus approfondi. L'
artère
basi- laire est dilatée, indurée, grosse comme
ylvienne droite avec soin et nous avons examiné la branche de cette
artère
présentant à sa surface un caillot noirâtre qui
l'adventice. A l'examen macroscopique de la partie moyenne de cette
artère
ainsi munie d'un caillot périphérique en croissan
dilaté, présentant de nombreux globules sanguins. La paroi de cette
artère
offre elle aussi une épaisseur et une structure
sylvienne (point de départ de l'infiltration sanguine), lésions des
artères
cérébrales, léger degré de sclérose rénale. Voi
ach- noïdiennes, du moins des hémorrhagies liées aux ruptures des
artères
méningées. L'existence d'un épanchement très li
s méningées, du moins pour celles qui sont liées à la rupture d'une
artère
ou d'un petit anévrysme. Goodhart a bien insist
près le mode de cette effraction sanguine. C'est évidemment sur une
artère
malade que dans les deux cas se produit la rupt
d'autre part dilatation anévrysmale portant sur une branche d'une
artère
ou d'une artériole pie-mérienne. M. le professeur
ois par exemple comme dans notre cas où la lésion portait sur une
artère
de moyen calibre, ou bien qu'il s'agisse d'un ané
ascularisation assez prononcée sur les deux tiers antérieurs. Les
artères
de la base sont symétriques, sauf les communi-
agie méningée). A l'autopsie : athéromasie aortique, athérome des
artères
périphériques, des rénales (le malade avait de l'
es, des rénales (le malade avait de l'albumi- nurie) ; athérome des
artères
cérébrales et piemériennes. Pas la moindre lési
u- teur conclut ainsi : Endartérite et dégénérescence hyaline des
artères
de la moelle et des méninges, méningite légère, i
de divers autres tissus 1) inpliadénoïdes. et un rétrécissement des
artères
: cet ensemble de lésions représente bien au po
de la lésion, qui bien qu'au niveau de la zone de distribution de l'
artère
sylvienne n'accom-. pagne ni toute l'artère, ni
ne de distribution de l'artère sylvienne n'accom-. pagne ni toute l'
artère
, ni l'une quelconque de ses branches, l'abc sen
peu modifiés. Le malade vit encore. P. KERAVAL. XIX. Thrombose de l'
artère
cérébrale antérieure; par G. L31KELES. (Neurolo
ppocampe, occupant le domaine des lobules lingual et fusi- forme. L'
artère
cérébrale postérieure était obstruée par un throm
Médication glandulaire, par le -, par Parker, 17. Thrombose de l'
artère
cérébrale an- térieure, par Bllceles, 156. Th
mes. Il supporte volontiers le séjour au lit. La face est pâle, les
artères
temporales sont sinueuses, les paupières inféri
ioroïfcfcre à paroi épaissie ; 22, veine fortement congestionnée; 23,
artère
dont la lumière est oblitérée. if 134 PHYSIOL
mais il n'en est pas de même de la couche des gros vais- seaux; les
artères
ont leurs parois généralement épaissies, Si. le
l digestif ne parai-sent pas atteints de troubles appréciables. Les
artères
sont dures, athéromateuses, le pouls est petit,
ndes ; elle est le siège de nombreuses petites hémorra- gies. Les
artères
méningées ont leurs parois épaissies ; et celles-
nche se trouvent des espaces lacunaires au centre desquels sont des
artères
à parois hyalines, remplies de sang et autour d
ment énorme des parois artérielles qui sont devenues fibreuses. Des
artères
de l'arc vasculaire, partent des bandes de sclé
présentent ne s'obtient qu'à la condition de relever la tension des
artères
. Neurasthénie à hypertension. Régime lacté abso
une certaine instabilité. L'appareil respiratoire est normal. Les
artères
sont dures et flexueuses, mais l'auscultation d
oins intenses, sont associées à des alté- rations dégénératives des
artères
. Les deux lésions capitales sont la dégénéresce
ères. Les deux lésions capitales sont la dégénérescence hyaline des
artères
et l'infiltration pigmentaire. Suivant que l'un
ttement au niveau de la fissure médiane antérieure où, à côté d'une
artère
du sillon, normale, on trouve une veine profond
de ramollissement superficiel de tout le terri- toire irrigué par l'
artère
sylvienne, par G. BIBLES. (Neurolog. Cf : Nfn.X
e la cloison ventriculaire. avec rétrécis- sement de l'orifice de l'
artère
pulmonaire, phtisie pulmonaire, thrombose veine
ciles à détacher. On les retrouve dans la scissure de Sylvius. où l'
artère
est bouchée en grande partie par un caillot bla
riétal inférieur, eu un mot dans tout le ter- ritoire irrigué par l'
artère
sylvie2tite droite. Ces foyers pénètrent de 3 c
gulier qui lui est propre. 2° Ce rythme persiste quand on lie les
artères
spléniques. 3° Il existe certainement une relatio
quelque temps à la cessation de l'attaque, qu'on ait ou non lié les
artères
spléniques. 18° Quand on a complètement coupé l
ndes à gros noyau, et des vaisseaux altérés de diverses façons. Les
artères
présentent, comme dans la moelle, lIEhII5EC1'lU
s expérimentaux ob- tenus par les physiologistes qui respectent les
artères
et ar- rêtent les épanchements sanguins. Les ca
ules, propagation aux corps vertébraux, embolie cancéreuse dans une
artère
dure-mérienne antérieure à la hauteur du 7e seg
ote cinq fois l'atrophie de la papille, il remarque, cinq fois, les
artères
ou leurs branches dilatées ou flexueuses; altér
ou flexueuses; altérations, ajoute-t-il, en rapport avec celles des
artères
de l'encéphale. La même année, Magnan se livrait
au début de la paralysie générale, la papille est hyperhémiée, les
artères
et les veines AliCIIIVES, 2* séi@ie, t. XV. 1
peu précise, n'ayant pas la teinte rosée de la papille normale, les
artères
n'étaient pas filiformes. Les malades avaient e
ues importantes de la substance cérébrale. Vaisseaux : Athérome des
artères
basilaire et sylviennes. Les yeux ont été fix
sur une coupe longitudinale du nerf et de la papille passant par l'
artère
centrale (voir fig. 2) exister en quantité moin
venir surtout des parois des vaisseaux de la papille. En effet, l'
artère
et la veine centrales de la papille (a, v, fig. 3
jeunes, que l'on voit se détacher en quelque sorte des parois de l'
artère
mais surtout de la veine pour pénétrer entre le
es de soutien, comme ceux de l'oeil droit, sont très apparents. L'
artère
et la veine centrales ont, il est vrai, une paroi
uvons pas ici d'hypertrophie intense des parois de la veine ni de l'
artère
; néanmoins de très nombreuses cellules conjonct
lement au méridien horizontal de 1, £ Pil droit du malade V... ; a,
artère
centrale ; v, veine; c, petit vaisseau entouré de
infiltration allant du degré le plus faible jusqu'à la sclérose. L'
artère
et la veine centrales pré- sentaient elles auss
médullaire; lésion d'une glande vasculaire sanguine, athérome de l'
artère
nourricière de l'os, et concluent que la lésion
une mince lame scléreuse, déprimée, simulant une porencéphalie. Les
artères
sylviennes droite et gauche sont atrophiées, sc
nes étendues à toutes les régions antéro-latérales des hémisphères.
Artères
saines, non épaissies, à part quelques points t
rose des petits vaisseaux avoisinants, l'inflammation chronique des
artères
du système pos- térieur, notamment de l'artère
ation chronique des artères du système pos- térieur, notamment de l'
artère
du septum médian postérieur et de celles qui pé
rébrale ou de plaques scléro- gommeuses des méninges comprimant une
artère
; il ne s'arrête à aucun diagnostic et ne fait
ellulaires explique que dans les cas de thrombose ou d'embolie de l'
artère
centrale, ils ne puissent, comme les groupes ce
rier, s'acharnant sur elle, lui aura coupé le cou avec un rasoir. L'
artère
carotide s'est ouverte. Puis, retournant son arme
oscopique montra d'une façon indécise des phénomènes de spasme de l'
artère
de la rétine. Parfois elle éprouvait des sueurs
lie appréciable, comme couleur, sensibilité, force musculaire. Les.
artères
battent norma- lement. Le réflexe rotulien est
la force musculaire elle-même n'est pas notable- ment diminuée. Les
artères
, en particulier la pédieuse, battent normalemen
ent indurées, un peu flexueuses. Battements normaux dans toutes les
artères
superfi- cielles. Urines. Pas de sucre, ni d'
sme, les néphrites chroniques, la glycosurie, l'état sclé- reux des
artères
, et enfin certaines affections cardiaques. Il m
e l'oeil à l'ophtalmoscope. Les vaisseaux de la rétine, surtout les
artères
étaient très sensiblement rétrécis. Dans l'inte
pales, mort; hématome de la dure-mère. P. S. XXII. THROMBOSE DE l'
artère
CÉRÉBELLEUSE INFÉRIEURE ; par MENZIES. (Bi,ain,
l'autopsie, lésions vulgaires de paralysie générale. Sclérose de l'
artère
cérébelleuse inférieure gauche avec oblitératio
tion des symptômes nerveux avec des altérations très mar- quées des
artères
. Il y avait dégénération parenchymateuse des ne
nt de coloration rosée très prononcée. La malade sentait battre ses
artères
fortement. A partir de ce moment, tandis que la
égèrement et prend une colo- ration rouge vif. Elle est chaude. Les
artères
battent. La position déclive, la pression provo
appuyait pour prouver cette localisation sur la constric- tion de l'
artère
centrale de la rétine qu'il avait constatée chez
e moyenne de la deuxième phalange. L'amputation fut nécessaire, les
artères
ne donnaient pas pen- dant l'opération. Mais,
ion était faite dans la .veine marginale de l'oreille,tantôt dans l'
artère
. médiane, tantôt dans l'artère jugulaire, etc.
arginale de l'oreille,tantôt dans l'artère . médiane, tantôt dans l'
artère
jugulaire, etc. La pression et la rapidité d'in
s muscles et des réflexes tendineux. Autopsie. Pie-mère épaissie. L'
artère
de la frontale ascendante droite est sclérosée
ur la ten- sionwasculaire. Enfin, noiis'éavons toujours opéré sur l'
artère
a'I' . it)'' .... i «l'i'-i'oq'ni ' J " sur les
is un siècle, telles que la trachéotomie, le séton, la ligature des
artères
vertébrales, la trépanation, l'oopho- 470 REVUE
391. Thermique, étude du sens, par ltilley, 39. Thrombose de l'
artère
cérébelleuse inférieure, par Menzies, 127. Th
formé; il a l'apparence d'une vigueur peu commune pour son âge. Ses
artères
temporales sont très visibles, serpigineuses et
oppée chez un individu très vigoureux, exempt de syphilis, avec des
artères
saines, absent de tout symptôme de tumeur céréb
t des méninges et des parties corticales voisines, oblité- rant les
artères
, ou occupant la base, lésant la bandelette et le
que, gagnant l'écorce et déterminant, soit par l'oblitéra- tion des
artères
, soit par la destruction de la région motrice, l'
insi que, pendant l'attaque d'épilepsie, la pression monte dans les
artères
cérébrales, tandis qu'elle diminue dans les ext
e épanchement sanguin INTRA-CR.\NIEN, consécutif A UNE RUPTURE DE L'
ARTÈRE
MÉNINGÉE MOYENNE. HÉMIPLÉGIE COMPLÈTE DU côté O
arachnoïdite gom- meuse, de l'arthrite gommeuse des basilaires, des
artères
spinales sociétés savantes. 27S et cérébrales
u'il s'agit d'un hydrocéphale avec rétrécis- sement congénital de l'
artère
pulmonaire et dystrophie musculaire progressive
e lésion de la tibiale, car, outre l'oedème bleu, on constate que l'
artère
dor- sale du pied ne bat presque plus. Le tremb
ulte une sorte de reflux du sang vers le coeur, la circulation de l'
artère
étant morcelée et comme forcée ; de là la sensa
en d'anormal dans le creux axillaire, pas de points loulou- reux. L'
artère
sus-claviculaire est sentie dans le creux, l'artè
loulou- reux. L'artère sus-claviculaire est sentie dans le creux, l'
artère
axillaire, l'artère humérale, les artères radia
re sus-claviculaire est sentie dans le creux, l'artère axillaire, l'
artère
humérale, les artères radiales et cubitales abso-
st sentie dans le creux, l'artère axillaire, l'artère humérale, les
artères
radiales et cubitales abso- lument comme du côt
892.) E. B. VI. Observation D'UN cas d'épilepsie avec ligature DE l'
artère
vertébrale; par Telford-Smitu. (The Journal of
e 1890.) On se souvient qu'il y a quelques années, la ligature de l'
artère
vertébrale fut préconisée dans le traitement de
ar Pick, 260; - procursive, par Buttner, 260 ; avec ligature de l'
artère
vertébrale, par 'l'elforcl Smith, 1·JJ. Equil
s augmenté de volume, la pression artérielle varie de 17 à 14 ; les
artères
périphériques dans deux cas ne présentaient auc
aibles dimensions et calcaires. Il en est ainsi parfois des grosses
artères
des membres inférieurs qui sont presque indemne
x pyramidaux sont toujours respectés. Comme les gros vaisseaux, les
artères
spinales peuvent être manifeste- ment athéromat
nes d'entre elles sont isolées et noyées dans du tissu adipeux. Les
artères
musculaires plongées au sein de cette gangue conj
. La mésartère est épaissie à un degré moindre-que l'endartère. Ces
artères
peuvent parfois prendre un dévelop- pement cons
ombre de noyaux. Toutefois, nous devons ajouter que dans un cas les
artères
musculaires enveloppées par le tissu conjonctif
tration adipeu'se est d'intensité variable, plus marquée autour des
artères
d'un certain calibre qu'en aucun autre endroit.
ns dans son intensité. Dans quelques cas, les veines et surtout les
artères
des muscles présentent des altérations extrêmemen
fications des fibres musculaires étaient plus développés autour des
artères
que nulle part ailleurs. Toutefois, le fait qu'
rare de voir de petits îlots scléreux contenant en leur centre une
artère
ou une veine altérée ou thrombosée. ' Pour le
vu la sclérose localisée dans tout le territoire d'irrigation d'une
artère
, et l'occupant tout entier. Cela dit au sujet d
ement récent du terri- toire de la cérébrale antérieure à droite. L'
artère
était complètement t thrombosée. Au niveau de
on de la moelle par luxation de la première lombaire. On y voit des
artères
et des veines (v, v', v", v"') dilatés. Dans le
t leur palpation donne la sensation que l'on éprouve en palpant les
artères
d'un cadavre préalablement injectées à la gélat
hémie, notamment celle produite par compression et oblitération des
artères
radiculaires (Ziegler), peut expliquer certaines
ragies ou ramollissements : on peut admettre, avec Schmaus, que des
artères
thrombosées se détachent des embolies capables de
eux côtés. A l'autopsie, le cerveau et la moelle étaient sains. Les
artères
encépha- liques étaient très athéromateuses.
mmédiatement sous la moitié droite du plancher du 4e ventricule une
artère
assez volumineuse thrombosée. Sa lumière est au
istingue des leucocytes plongés dans une substance rouge amorphe. L'
artère
est entourée d'un mince manchon de cellules mig
rrique et le Van Gieson. La lésion la plus importante est celle des
artères
: partout on voit des lésions péri-endoartériques
mer l'altération du fonctionnement de l'organe par la sclérose des
artères
. Mais quand la lésion a fait des progrès, on tr
p profondé- ment, afin de pouvoir surveiller ce qu'elle* appelait l'
artère
du sommeil une des carotides les battements pou
ration des vaisseaux), la claudication procède à l'oblitération des
artères
des autres extrémités. P. K. VIII. DE la comp
symptôme de dé- ficit émané d'un territoire cérébral irrigué par l'
artère
choroi- dienne. Les troubles de l'odorat sont é
s de l'odorat sont également à ranger dans la même catégorie, car l'
artère
en question irrigue aussi les parois du prolong
es. (P. K.) z SOCIÉTÉS SAVANTES. 99 d'Ammon. Le territoire de l'
artère
qui nous occupe commande donc à la transmission
n de la veine humérale est assez facile, mais l'aiguille traverse l'
artère
humérale qui doit être liée. Dénudation à gauch
de la veine est assez facile, mais la poinfe de l'aiguille touche l'
artère
qui saigne notablement. Une pince hémostatique
téristique. La pupille gauche était dilatée, les muqueuses pâles, l'
artère
temporale gauche rigide, le pouls dur (68 pul-
almoscope, on constatait la pulsation des branches principales de l'
artère
centrale, visible jusqu'au delà du disque optiq
seur Charcot dit avoir vu plusieurs fois l'oblitération de la seule
artère
frontale extérieure et antérieure produire un r
itement la nuit en se plaçant sur le bassin. - Autopsie. Cerveau.
Artère
basilaire non athéromateuse, artère sylvienne g
bassin. - Autopsie. Cerveau. Artère basilaire non athéromateuse,
artère
sylvienne gauche normale. ' ' . Hémisphère gauc
- due, ne se rétracte pas ni ne se contracte pas comme les autres
artères
et le sang cesse de couler facilement et spontané
quart de pouce de largeur. On voit une branche assez grande de l'
artère
moyenne de la mé- ningée qui traverse l'ouvertu
ster Peake), suivi plus tard par la dilatation des mêmes vaisseaux (
artère
temporale, carotide et artères rétiniennes).
la dilatation des mêmes vaisseaux (artère temporale, carotide et
artères
rétiniennes). e). En considérant à un point de
de spasme observés dans d'autres vais- seaux de la tète, tels que l'
artère
temporale, la carotide, les vaisseaux du fond d
stifier l'observation de M. Galézowski, montrant une thrombose de l'
artère
cen- trale de la rétine survenue à la suite d'a
parties du cerveau en rapport avec l'organe visuel (territoire de l'
artère
sylvienne) sont encore très peu connues. L'AM
tres ; au-dessous d'elle on palpe avec la plus extrême facilité les
artères
, les veines et les nerfs. Le biceps, le brachia
artérioles des sillons antérieurs, postérieurs et surtout dans les'
artères
radiculaires est plus marquée que dans les coup
mètres plus en dedans est à cheval par ses branches d'origine sur l'
artère
axillaire. Le nerf cubital est plus en dedans enc
l'oreille moyenne et de l'oreille interne, et d'autre part sur les
artères
flexueuses et glomérulaires de l'oreille intern
saines : le tissu interfasciculaire est certainement augmenté. Les
artères
présentent des altérations : il existe autour d'e
nstruel ne s'écoule, à cause que les vaisseaux, à scavoir veines et
artères
sont angus- tes et estroicts et encor non desto
t avec la mé- lancolie utérine, due à une obstruction des veines ou
artères
péri-utérines amenant la suppression des règles
accentuée, qui tend à oblitérer dans certains cas leur lumière. Les
artères
intra-vasculaires présentent aussi une augmentati
este dans l'ampleur de la respiration. Au coeur rien d'anormal, les
artères
sont souples. Le pouls bat 76 à la minute. Le
présente des battements sourds et précipités, le rythme foetal. Les
artères
ne sont pas dures; le pouls est mou, parfois irré
que la jambe saine, dont la température ne se modifie pas, dont les
artères
semblent normales est, en réalité, raidie par des
e. Léger éclat diastolique à la base; pas d'hypertrophie cardiaque,
artères
un peu dures. Le malade quitte le service, mais
ement, le deuxième temps à la base est éclatant, le pouls bat 96, l'
artère
radiale est un peu dure. Quelques trou- bles va
encore quoique moins régulières depuis deux mois ; rien au coeur, l'
artère
radiale est souple, le pouls bat 90 à la mi- nu
on de 3" à la face supérieure, de 4" à la face plantaire, de 2" aux
artères
. III. Température. A. Face antérieure. A la cha
ncter. Rien au larynx ni aux poumons. Pas de troubles cardiaques, l'
artère
radiale n'est pas dure; le pouls est petit, il
L'auscultation des poumons et du coeur ne révèle rien d'anormal ; l'
artère
radiale est un peu dure, l'artère temporale sinue
oeur ne révèle rien d'anormal ; l'artère radiale est un peu dure, l'
artère
temporale sinueuse. Pas de troubles urinaires.
t normale. Les différentes parties delà base de l'encéphale, nerfs,
artères
, etc., sont symétriques. La glande pinéale n'of
is de ce côté, dilatation du ventricule latéral, corres- pondant,
artère
communicante postérieure plus petite, étc. La m
ALADIE DE BASEDOW. 29 s'endormir, inquiétée par le battement de ses
artères
temporales. Elle signalait parfois de véritable
qui sont la caractéristique macroscopique de la lésion. Autour des
artères
au voisinage desquelles on rencontre fré- quemm
. Puis, le premier segment dorsal est insuffisamment irrigué parles
artères
radiculaire ; les artères radiculaires antérieure
dorsal est insuffisamment irrigué parles artères radiculaire ; les
artères
radiculaires antérieures y manquent ; les radic
manquent ; les radiculaires postérieures y sont, très rares. Et les
artères
centrales ne viennent pas compenser pareille insu
tre, el n'est pas mieux irrigué. Si lus recherches de Kadyi sur les
artères
radiculaires antérieures s'arrêtent au troisième
antérieures s'arrêtent au troisième seg- ment lombaire, et, sur les
artères
radiculaires postérieures, au quatrième, son ta
. Ceci indique j ustemenL un rétrécissement ou une oblitération des
artères
affè- rentes des jambes, un trouble fonctionnel
sot. XXXIX. De la cyanose des rétines dans le rétrécissement de l'
artère
pulmonaire ; par Rabinski et Toufesco. (Nouv. T
us à un processus morbide artériel, qui attaque le plus sou- vent l'
artère
de Sylvius, sur le terrain de laquelle cette micr
comme appareils organiques de même formule analomo-physiologique, l'
artère
glomérulairesineuuse et dilatée du rein, l'artè
-physiologique, l'artère glomérulairesineuuse et dilatée du rein, l'
artère
glomémlairc sinueuse, dilatée et anastomo tique d
glomémlairc sinueuse, dilatée et anastomo tique du labyrinthe et l'
artère
sinueuse et terminale de la pie-mère. Les .vari
te les signes d'une légère lésion ou malformation de l'origine de l'
artère
pul-, monaire (souffle systolique à la base, à
- tactile, par Raymond et Egger, 422. Aphasique. Voir Dyslalie.
Artère
pulmonaire. Voir Rétines. Arthropathie. Voir Ta
phale : 1,230 gr. Les différentes régions de la base, ainsi que les
artères
, sont normales. Cervelet et isthme : 170 gr. La
est régulière et symétrique. L'encéphale pèse 1210 gram- mes ; les
artères
de la base, les nerfs. le chiasma, les pé- donc
E. 33 l'encéphale : 770 grammes.- Pas d'injection delà joie-mère.
Artères
de la base, chiasma, tubercules mamillaires, pé
gestives, res- piratoires et circulatoires ne sont pas troublées. L'
artère
radiale est athéromateuse. Nous n'avons pas eu
abondant. Encéphale : 11GO gr. La surface est un peu lavée ; les
artères
, les nerfs de la base sont sains. Le tubercule ma
ocalisation est rendue manifeste par ce fait que le territoire de l'
artère
de la troisième circonvo- lution frontale, laqu
s volumineuse que la droite, ce qui tient à ce que le sillon de l'
artère
vertébrale se trouve déjeté vers la droite. Au ni
qui constituent ou avoisinent la base de l'encéphale sont normaux (
artères
, nerfs, etc.) Hémisphère droit. Il est plus l
gère teinte bleuâtre, sans vascularisation; les vaisseaux centraux,
artères
et veines, étaient grêles, il tout autre égard le
tache de pigment sur la choroïde un peu au-dessus de la papille. Les
artères
sont normales. Il n'y a pas d'autres apparences
rapport de causa- lité avec l'insuffisance des sigmoïdes tant de l'
artère
pulmonaire que de l'aorte; insuffisance qui, po
t l'impul- sion du coeur se faisait particulièrement sentir sur les
artères
qui se distri- buent aux parties supérieures du
ri- buent aux parties supérieures du tronc (cou et tête), aussi ces
artères
devaient- elles s'agrandir d'une façon consécut
es sur le péricarde, et particulièrement le long de l'aorte et de l'
artère
pulmonaire. Les parois du ventricule droit sont t
trou placé à la base de l'apophyse transverse pour le passage de l'
artère
vertébrale, ce qui, à la vérité, n'est pas rare;
n outre on voit que le sillon supérieur destiné au passage de cette
artère
est converti en un trou osseux. Toutes les au
s latéraux, un peu élargis; contiennent un sérum clair. Les grosses
artères
de la base du cerveau se montrent notablement lar
la lriscupiùe 11 cent. Longueur du coeur de sa pointe l'issue de l'
artère
pulmonaire = 13 cent. 3. Ses cavités sont très
ulature vigoureuse, les muscles papillaires fortement allongés. Les
artères
ont un diamètre très augmenté (les auteurs insist
de la 4° dorsale, 32 mill. Trou rachidien : normal. Le trou de l'
artère
vertébrale est élargi; les trous de conjugaison
arésié ; douleurs moins violentes dans le membre inférieur droit. L'
artère
radiale droite est souple ; le pouls est bien fra
ures sont très peu visibles et l'on a peine à voir les sillons de l'
artère
méningée moyenne. Les sinus frontal, maxillaire
large, au vertex. La branche pariétale et la branche frontale de l'
artère
temporale superficielle sont très saillantes, tor
leur sur- face interne. Aucun signe de rhumatisme aux pieds. Les
artères
périphériques des membres supérieurs et inférieur
deuxième, il s'agirait surtout (Bé- clère) de l'artériosclérose des
artères
nourricières des os. Evidemment, si dans notre
considère que l'os maxillaire inférieur est desservi surtout par l'
artère
dentaire inférieure,c'est-à-dire par un rameau pr
'artère dentaire inférieure,c'est-à-dire par un rameau provenant de l'
artère
maxillaire interne (l'autre branche terminale d
ustique. L'autopsie montra l'épaississement et l'oblitéra- tion des
artères
basales du cerveau, le ramollissement du lobe par
interne droite, une endo-artérite oblité- rante dans la région de l'
artère
de Sylvius de droite et une méningite gommeuse
utopsie, on trouva une endo-artérite et une thrombose partielle des
artères
vertébrales, basilaires, et de l'artère de la fos
ne thrombose partielle des artères vertébrales, basilaires, et de l'
artère
de la fosse de Sylvius de gau- che, ainsi qu'un
des ganglions de la base de gauche et une endoartérite de plusieurs
artères
cérébrales, de la fosse de Sylvius, des vertébral
, vomissement et la mort. A l'autopsie on trouva une thrombose de l'
artère
vertébrale et des cérébelleuses de droite avec, c
ujet mourut. A l'autopsie, on trouva des altérations ' étendues des
artères
du cerveau et de la moelle épinière, sous forme d
mes parties en correspondance avec les circonvolutions cérébrales ;
artères
de la hase fortement épaissies ; les tubercules
nterne droite, à la suite d'une endoartérite du rameau central de l'
artère
de la fosse de Sylvius. 3° (Beob. V).Homme de 2
en que de l'alcool pour déterminer les altérations sclérotiques des
artères
. Or, si l'agent syphili- tique pénètre dans l'o
s. Or, si l'agent syphili- tique pénètre dans l'organisme quand les
artères
cérébrales sont déjà affai- blies par l'âge et
tion complète s'il est déjà formé. Un emplacement vicieux soit de l'
artère
cérébrale antérieure (Sairder),soit de la faux
ganglion on distingue un petit filet nerveux qui se dirige vers les
artères
ciliaires et qui est vraisemblablement la racin
ajorité des cas, par les rameaux relativement gros .qui terminent l'
artère
, radiale à la main, la pédieuse aux extrémités in
ÉSIE DU CORPS CALLEUX 657 tion, tels que l'emplacement vicieux de l'
artère
cérébrale antérieure (San- der) ou de la faux d
eur. Aucune lésion ni 28 CONCEPTION durant la folie. anomalie des
artères
et des divers organes situés à la face inférieu
vaisseaux sont gorgés de sang. Les différentes parties de la base (
artères
, nerfs, chiasma, etc.) n'offrent pas d'ano- mal
s ccchymotiques. Les différentes parties de la base de l'encéphale (
artères
, nerfs, chiasma, etc.) n'offrent pas d'anomalie
nsidérable du lobe occipital gauche et du lobe frontal droit. Les
artères
de la base sont symétriques.- L'espace perforé,
ccupe presque tou- jours la région périsylvicnne ou territoire de l'
artère
cérébrale moyenne (1). - (1) Ce travail a été
e considérable, sorte de circulation de suppléance ou collatérale :
artères
et veinules se sont anormalement développées en
s le voisinage du corps calleux où elle est très adhérente. - Les
artères
, les nerfs de la base, les tubercules mamillaires
ipital ]ior)nal. Liquide céphalo- rachidien en petite quantité. Les
artères
, les nerfs de la base n'offrent rien de particu
est permis de se demander quelle est l'influence de la ligature des
artères
cérébrales sur l'excitabilité des cen- tres mot
pendant toute la durée des convulsions, Knies a noté un spasme des
artères
rétiniennes et une pâleur extrême de la papille
anémie cérebrale, la perte subite de conscience. Mais ce spasme des
artères
cérébrales peut résulter de l'excitation réflex
upés, la plaie nettoyée, on aperçoit nette- ment le battement d'une
artère
, qu'on sent facilement avec le doigt. Cette art
battement d'une artère, qu'on sent facilement avec le doigt. Cette
artère
, qui donné énormément de sang, continue il coul
Elle n'a pas saigné, et dans le fond, on apercoit toujours battre l'
artère
dont on a parlé plus haut. On n'a pas retiré d'
s sous-ofllciers de Postdam, a été trouvé mort dans sa chambre; ses
artères
radiales étaient ouvertes et il était en outre
s de ramollissement intraprotnhérantiels, dus à des thromboses de l'
artère
basilaire. Delà la forme apopleclique. ' M. Gol
al. Dans les cas de migraine, elles seraient dues à des spasmes des
artères
qui nourrissent ce lobe, et à l'anémie consécutiv
depuis le début du mal, il étonna le malade lui-même. Le pouls de l'
artère
temporale gauche devint presque imperceptible,
uence diminuée du sang à la région affectée, et comme les grandes
artères
ne présentent point de changements visibles, il e
angements visibles, il est disposé d'admettre un spasme des petites
artères
qui possèdent plus d'éléments contractiles et,
la bandelette optique. M. Moeli fait à ce propos remar- quer que l'
artère
cérébrale postérieure irrigue non seulement les
aisceaux de la cou- ronne rayonnante. Endartérite circonscrite de l'
artère
basilaire et de la sylvienne gauche. Intégrité
issement des parois vascu- laires) ; macrosplénie (endartérite de l'
artère
splénique). P. K. XVII. L'anatomie pathologique
En septembre 1846, même opération sur Anne Lemarchand. Dissection à l’
artère
carotide adhérente à une glande; dissection de co
ombée il rentra dans un repos semblable à la mort. Lorsque toutes les
artères
furent liées et toutes les traces de l’opération
, il poussa des cris aigus, et il tressaillit pendant la ligature des
artères
. Je dis à l’élève de continuer à le mesmériser, e
nes ( rapport exact des contraclions du cœur avec les vibrations de l’
artère
de l’avant-bras ), et plus forts que faibles. La
, et plus forts que faibles. La respiration est calme et régulière. L’
artère
aorte ventrale bat avec violence. Les sécrétions
e. » Un léger mouve- nient se manifesta seulement à la ligature des
artères
. Ou le laissa dormir. Au bout d’une demi-heure,
on devint seulement inégale vers la fin , et surtout quand on lia les
artères
. Il s’éveilla seul, au bout d’un quart d’heure en
léger mouvement eut lieu dans les jambes au moment de la ligature des
artères
. Eveillé au bout d’une heure, il n’avait connai
avait disparu, je le fis éveiller immédiatement après la ligature des
artères
, pour lui administrer un cordial. Il ouvrit les y
e fit sans la moindre apparence de sensibilité. Après la ligature des
artères
, on cessa la magnétisation , et le patient s’évei
chant à rapprocher ses genoux; mais il ne put y parvenir. Lorsque les
artères
furent liées, il cessa de s’agiter, mais non de s
ssais. Il s’éveilla de lui-hiême Une demi-heure après la ligature des
artères
, ne soupçonnant même pas qu’on l’eût opéré; quand
nt devenu imperceptible, je le réveillai aussitôt que les principales
artères
Furent liées. Il recouvra immédiatement àes sens,
es yeux ni gémir. 11 s’éveilla spontanément peu après la ligature des
artères
, et dit qu’il ne souffrait nulle part, que rien n
truit, surtout à gauche, la protubérance sans atteindre le bulbe. L'
artère
cérébelleuse postérieure gauche présente une di
i elle est récente et aiguë donne une systole cardiaque faible avec
artères
incomplètement remplies ; si cependant la dépre
énergique et le tracé indique une léère tension artérielle. 4° Les
artères
des épileptiques sont relâchées et la faiblesse d
ues, rénales et pulmonaires (hypertrophie du coeur - altération des
artères
coronaires altérations valvulaires - néphrite c
ement récent, datant de l'as- phyxie, et cause de l'hémiplégie. Les
artères
du cer- veau étaient perméables. Comment expl
ulement, déterminer une lésion organique du muscle cardiaque ou des
artères
du coeur. En effet, l'étiologie des affections
ment total du corps calleux par embolie issue d'un anévrysme de l'
artère
du corps calleux droit. P. K. XXXVIII. DESSIN E
après trois ans de traitement, et un cas d'athérome généralisé aux
artères
et artérioles de l'encéphale, commençant juste
it substitué correspondaient exactement au territoire irrigué par l'
artère
sylvienne gauche. Il y a donc lieu de supposer
es circonvolutions exci- tables mécaniquement après la ligature des
artères
cérébrales. Que nous acceptions ces résultats c
siologiquement identiques. P. K XLV. DE la NON-TER311NALIT); DES
artères
corticales DU cerveau; par M. Bissons. Il rés
ales DU cerveau; par M. Bissons. Il résulte de ce travail que les
artères
cérébrales, au moins les corticales, appartienn
lle permet de comprendre comment il peut y avoir oblitération d'une
artère
sous le moindre ramollissement. 430 REVUE d'ana
la division du en sillons, par Seitz, 429 : non terminalité des
artères
du -, par Biscons, 429; pesées du -, par Meyner
ure-mère n'offre rien de particulier. Encéphale. — Les nerfs et les
artères
de la base de l'en- céphalc sont symétriques ai
artères de la base de l'en- céphalc sont symétriques ainsi que les
artères
vertébrales (1). Des deux côtés, les ventricules
iquent facilement. (1) Certains auteurs ont invoqué l'inégalité des
artères
verté-brales comme une cause de l'épilepsie. Po
ait normale. Les différentes parties delà base de l'encéphale, nerfs,
artères
, etc.. sont symétriques. La glande pinéalc n'offr
sont symétriques. Glande pituitaire d'apparence normale. Cerveau. L'
artère
communicante postérieure gauche est un peu plus p
us épais de ce côté, dilatation du ventricule latéral corres-pondant,
artère
communicante postérieure plus petite, etc. La mén
térieurement. Pas de synostose. Encéphale. — Il est volumineux. Les
artères
et les nerfs paraissent symétriques. Hémisphère
nt symétriques. — Peu de liquide céphalo-rachidien. — Les nerfset les
artères
de la base de l'encéphale sont symétriques. — Lég
quadrangulaire profonde, l'espace perforé antérieur où pénètrent les
artères
lenticulo-striées. La vallée de Sylvius (S) about
ramide de Sœmmering (GS), une postérieure innominée, où pénètrent les
artères
lenticulo-striées. L'espace perforé antérieur a
ntiel), est parcourue d'arrière en avant, sur la ligne médiane, par l'
artère
basilaire. Si l'on relève d'arrière en avant et d
i nette que possible, il faut préalablement couper avec des ciseaux l'
artère
basilaire et en relever les deux bouts sans les a
valle. Si l'on ne prend pas cette précaution, il arrive souvent que l'
artère
, surtout si elle est athéromateuse, fait dévier l
qui entame les tubercules quadrijumeaux. Il ne faut jamais arracher l'
artère
basilaire, particulièrement son bout supérieur; e
misphère. Ceux-ci ne sont plus reliés entre eux que par le tronc de l'
artère
communicante antérieure : un coup de ciseaux sur
encoche d'une constance à peu près absolue*, destinée au passage de l'
artère
cérébrale antérieure au moment où cette artère qu
stinée au passage de l'artère cérébrale antérieure au moment où cette
artère
quitte l'espace perforé antérieur (EPA). C. La
ampe (Hip, fig. 120), la coupe a entamé les branches perforantes de l'
artère
lenticulo-striée. Cavité ventriculaire. La co
alité du triangle postérieur de l'espace perforé où les branches de l'
artère
lenticulo-striées sont coupées obliquement. Le no
eau adulte, et réelle sur le cerveau embryonnaire, est une gaine de l'
artère
lenticulo-striéc. Or, la commissure antérieure re
re repose sur l'espace perforé, juste au-dessus de la pénétration des
artères
lenticulo-striées dans la substance cérébrale. A
pace perforé antérieur où l'on reconnaît les trous vasculaires de l'
artère
lenticulo-striée. Mais elle n'arrive pas jusqu'à
s'infléchit en dedans et en haut et, s'insinuant dans le sillon de l'
artère
cérébrale antérieure, va mourir à la face interne
ond de la plaie, qui était large de huit centimètres, on apercevait l'
artère
numé-rale, la veine basilique déchirée et plusieu
amollissement, déterminé lui-même par l'oblitération em-bolique d'une
artère
cérébrale postérieure. Quant au zona, voici, je p
produit : un rameau artériel spinal (3), issu, sans doute, d'une des
artères
sacrées latérales, fut trouvé, à l'autopsie, obst
parties ramollies un épanchement sanguin du volume d'une amande. — L'
artère
cérébrale postérieure du même côté est complèteme
t origine au plexus sacré, une artériole 'rameau spinal, branche de l'
artère
sacrée latérale;, distendue par un caillot sangui
che de l'artère sacrée latérale;, distendue par un caillot sanguin. L'
artère
oblitérée, dont le volume égale celui d'une plume
andulaire qui a, vous le savez, pour effet d'amener la dilatation des
artères
, détermine-t-elle la sécrétion, par ce seul fait
ation de la corde du tympan se manifeste encore après la ligature des
artères
qui se rendent à la glande, sur un animal tué d'h
ngement sérieux, à moins de compli-cation, par exemple Y embolie de l'
artère
centrale de la rétine, il s'agit d'un ramollissem
sur la rétine le long des vaisseaux: — 3° la branche principale de l'
artère
centrale qui se distribue dans la partie inférieu
oser que tous ces désordres sont dus a la contraction spsamodique des
artères
, par places, et à leur dilatation dans d'autres e
on san-guine sur la face convexe des hémisphères, surtout à droite. —
Artères
de la base saines. — Encéphale, 1,360 gr. La pie-
minant de l'irritation dont les effets ont porté sur la paroi des
artères
d'abord, puis sur la gangue conjonctive diffuse
d'une coupe de la moelle il la région cervi- cale inférieure. a,
Artère
. Nombreux noyaux dans la paroi de l'artère et dan
i- cale inférieure. a, Artère. Nombreux noyaux dans la paroi de l'
artère
et dans la gaine lymphatique. Fig. l ? Coupe
n vei- neuse modérée de lapt'e-mf))'c. Encéphale : i,14 : i gr. Les
artères
de la buse sont symétriques : la bandelette opt
inges saines, se décortiquant facilement. Athérome peu prononcé des
artères
de la base de l'encéphale. Le bulbe parait enti
s la cavité du sinus caverneux le développement d'un anévrisme de l'
artère
carotide interne gauche qui en avait complèteme
achnoïdien, on trouve une quan- tité notable de liquide séreux. Les
artères
de la base du cerveau sont scléreuses ; on sent
de la base du cerveau sont scléreuses ; on sent un thrombus dans l'
artère
sylvienne droite. La substance du cerveau est f
avait affaire à la rétraction convulsive des fibres musculaires des
artères
examinées. Résultat nul des hautes doses de quini
ude sur les souffles du rétrécissement et de l'i7tsuffi- sance de l'
artère
pulmonaire. Volume in-so de 200 pages. Paris, lib
e d'une coupe de la moelle à la région cervi- cale inférieure. a,
Artère
. Nombreux noyaux dans la paroi de l'artère et dan
i- cale inférieure. a, Artère. Nombreux noyaux dans la paroi de l'
artère
et dans la gaine lymphatique. Fig. 14. Coupe
ong delà courbure dorsale, plus bas flexueuse jusqu'à sa terminaison.
Artère
iliaque primitive gauche très flexueuse. OEsoph
ie supérieure de la courbure lombaire, qu'elle croise inférieurement.
Artère
iliaque primitive gauche fortement repliée. Vei
oisant de façon à se rapprocher de la concavité des deux courbures. L'
artère
iliaque primitive droite, née de l'aorte fort loi
écarté de l'aorte pectorale vis-à-vis la plus forte courbure de cette
artère
et figure assez bien la corde de l'incurvation su
énéralement unique, quelquefois double et plus ou moins volumineux, l'
artère
nourricière de l'os. Enfin aux épiphyses, dans le
ie ne s'est point renouvelée : on sent, du reste, les battements de l'
artère
pédieuse. Le genou est tuméfié et douloureux, m
dyle à la facette triangulaire de la face postérieure du cubitus. L'
artère
humérale se divise au pli du coude en cinq ou six
à dure-mère, il s'é-coule une assez grande quantité de sérosité. —Les
artères
sont saines.—L'hémisphère gauche pèse 10 grammes
ande quantité de li-quide céphalorachidien. La pie-mère est pâle; les
artères
delà base ne sont pas athéromateuses. — L'encépha
un blanc jaunâtre, assez fermes, n'adhérant pas aux parois, et dans l'
artère
cen-trale un caillot ferme, de couleur foncée; le
eau obturé par un bouchon fibri-neux jaune. En plusieurs endroits des
artères
coronaires, on trouve de petits amas de fibrine.
d'un mucus visqueux ; pas de caillots dans les grosses branches de l'
artère
pul-monaire. — Le larynx et la trachée contiennen
sont crépitants, souples, dans toute leur étendue. On a injecté par l'
artère
pulmonaire gauche de l'eau : un tube fermé à une
t la colonne dans les flexuosilés qu'elle décrit. Sur cette figure, l'
artère
principale du corps offre une convexité droite tr
ait l'incision trop loin du bord tendineux. On peut aussi atteindre l'
artère
tibiale et le nerf, en portant le ténolome trop a
prendra garde, dans ces cas, de blesser la veine saphène externe ou l'
artère
pé-dieuse. Les tendons des péroniers latéraux,
s le long fléchisseur commun ; on a aussi à redouter la blessure de l'
artère
tibiale postérieure, qui n'est pas loin. M. Bonne
er ces résultats. J'en dirai autant de l'augmentation de volume des
artères
carotides et des veines jugulaires observée par G
les muscles, suivent plus ou moins exactement la courbure des os. Les
artères
, en particulier, décrivent, en outre, des flexuos
ous voyez cette disposition sur cette préparation du squelette et des
artères
d'un enfant rachitique de deux à trois ans. III
rapports de l'aorte avec la colonne vertébrale. Vous voyez que cette
artère
correspond exactement au côté gauche des Vertèbre
la courbure latérale normale. Cette déformation des os âu contact des
artères
n'est point un fait extraordinaire ; on l'observe
st point un fait extraordinaire ; on l'observe presque partout où les
artères
sont en rapport immédiat avec les os. Cette actio
e l'aorte abdominale et thoracique qui constitue V ex cep lion. Cette
artère
décrit, dans ce cas, de petites courbures qui ne
sins; mais il est probable qu'ils s'effaçaient par la distension de l'
artère
. L'œsophage, plus rétractile, moins adhérent au
l'alnaurose par troubles cir- culatoires cérébraux. L'embolie de l'
artère
centrale de la rétine, certaines formes de névr
s venant du pli courbé, ce. n'est pas une lésion du territoire de l'
artère
sylvienne. La lésion productrice siège dans le te
naires, d'une manière passagère et peu accentuée ; t'anévrysme de l'
artère
basilairc, maladie exceptionnelle accompagnée de
aires liés à l'athérome, à l'artério-sclérose et aux anévrysmes des
artères
vertébrales ou du tronc basilaire, aux hémorrag
eurs cérébrales. Les modifications de la pression sanguine dans les
artères
labyrinlhi- ques, et peut-être aussi les altéra
ction et les Illodili- . cations de pression et de perméabilité des
artères
labyrilllhiques (P. Bon- nier) et les scléroses
, la pachyméningite cervicale hyper- trophique, les anévrismes de l'
artère
vertébrale, les adénopathies cervi- cales, les
meurs cervicales, les compressions par anévrisme de l'aorte ou de l'
artère
sous-clavière, par cals vicieux de l'humérus, les
gion crurale, les affections osseuses du bassin, les anévrismes des
artères
iliaques, les hernies crurales, etc. La névralg
ant du trou ovale. Pour éviter la blessure des organes dan- gereux (
artère
transverse de la face, artère maxillaire interne,
la blessure des organes dan- gereux (artère transverse de la face,
artère
maxillaire interne, artère méningée moyenne) le
n- gereux (artère transverse de la face, artère maxillaire interne,
artère
méningée moyenne) les auteurs ont conseillé dan
sphéno-axillaire A, au-dessus du ganglion sphéno- palatin C et de l'
artère
maxillaire interne D. (D'après Sicard.) - Fig.
à des lacunes dans les noyaux gris centraux ou dans le domaine de l'
artère
cérébrale' postérieure. Les malades perdent incon
vieillards; l'artérite. la périartéritc chroniques, l'athérome des
artères
du cerveau déterminent soit l'hémorragie céré-
il la plisse transversalement en l'attirant en dehors. Il protège l'
artère
et le nerf cubital quand on serre, le poing fer
ns la mastoïdite de Bézold que le pus vient fuser par la gaine de l'
artère
occipitale de l'a face interne de la mastoïde j
evant de l'apophyse transverse de l'atlas, point de croisement de l'
artère
et du nerf (Leroux, La névrite spinale d'origin
on inférieure, curvi- ligne, qui embrasse dans son anse, à droite l'
artère
sous-clavière, à gauche la crosse de l'aorte; q
t Kalindero ont constaté plusieurs fois des lésions importantes des
artères
et des veines musculaires de plusieurs myopathi
on sait la fréquente influence sur la détermination des lésions des
artères
ou des veines (cas de Lesage, Berger, Cerné, Ba
: l'appareil le plus courant est celui de Potain qui s'applique à l'
artère
radiale ; le manomètre doit être amorcé à une pre
le manomètre, on l'applique par sa partie mince sur le trajet de l'
artère
radiale, on applique un doigt de la main gauche,
urrence de l'arcade palmaire et l'index de la main gauche explore l'
artère
radiale au-dessous de l'am- poule. On comprime
vec les doigts de la main droite jusqu'à ce que les battements de l'
artère
radiale cessent d'être perçus par l'index de la
la femme. Il peut s'agir d'un rétrécissement mitral, d'atrésie de l'
artère
pulmonaire. P. Marie a vu, chez un infantile de
ez un infantile de sexe masculin, l'aorte se rétrécir au niveau des
artères
spermatiques. On a rencontré parfois un défaut
ma du fond de l'oeil. Décoloration de la choroïde. Persistance de l'
artère
centrale de la rétine. - Oreille. Les stigmates
11 manquerait dans les méningites. Chez l'adulte, les anéuismes des
artères
de la base de l'encéphale, les tumeurs richemen
ertain nombre de cas au moins, d'une calcification très étendue des
artères
des membres atteints, calcification décelable par
e s'améliora et l'examen ophthalmoscopiquc montra des veines et des
artères
papillaires revenues à peu près à l'état normal.
ont étudiées et décrites sous le nom de mouvements rhythmiques des
artères
, et dont Schiff le premier a signalé l'existenc
e, les palpitations, des mur- mures liquidiens dans le coeur et les
artères
, l'oppression pré- ÎSIBLIOGRAPHIE. lit t cord
Fuckel pense qu'il s'agit d'une embolie cardiaque parve- nue dans l'
artère
sylvienne ayant déterminé des lésions dans le n
de l'endartérite oblitérante aiguë,1 portant'hon seulement sur les-
artères
et les veines ? mais'encore sur les petits'vaisse
re soit la lésion, primitive, et,il'athérome des artérioles.et des,
artères
seulementf·une lésion secondaire, produitei par l
t [par les- capillaires, pour n'apparaître que plus tard sur, les,,
artères
; : et,r f même,, il suppose que, l'hémorrhagie
écent dans le corps strié droit en rapport avec l'oblitération de l'
artère
sylvienne, ces, altérations expliquant l'hémiplég
iquedues'à ? la dégénérescence athéromateuse et'à l'obstruction des
artères
/ Les' sinus- et les veines du cerveau/1 et prin
ifiés. Le cœur, à l’aide de ses contractions, chasse le sang dans les
artères
. Celles-ci, en se ramifiant de plus en plus, le d
etite circulation ou circulation pulmonaire. La direction du sang des
artères
est centrifuge, celle du sang des veines est cent
es physiques et chimiques. Le sang qui va du cœur aux organes par les
artères
est rouge vermeil, celui qui revient des organes
projeté de l’oreillette dans le ventricule et du ventricule dans les
artères
à l’aide de mouvements alternatifs de contraction
’aorte se répand par suite de cette impulsion primitive, à l’aide des
artères
, dans toutes les parties du corps et parvient jus
inspiration, ni de celle que M. Tigri attribue aux battements des
artères
dans leur gaines communes avec les veines; ces ca
. D’un autre côlé, si nous l’avons suivi dans sou cours t travers les
artères
, nous avons vu. que jusqu’alors contenu dans les
que la section des filets cervicaux du grand sympathique destinés aux
artères
de la face, les capillaires, privés de leurcontra
distendre par le sang : les parties dans lesquelles se répandent ces
artères
offrent bientôt une congestion sanguine accompagn
galvanique est supprimée. Ainsi dans l’appareil circulatoire les
artères
et les veines forment les deux branches de celle
ù se trouve chacun des ventricules avec le sang qu il chasse dans les
artères
qui lui servent de débouché. Les parois du ventri
d’autres causes; comme aussi lacontractilité qui se manifeste sur une
artère
qu’on a mise à découvert. 11 serait facile, en
la pesanteur, ii une supériorité manifeste, puisqu’il soutient dans l’
artère
crurale une colonne de 23 millimètres. Une autre
altération manifeste de la substance cérébrale, mais en revanche, l'
artère
sylvienne gauche et celle-là seule, était athér
source, quel qu'en ait été le mode d'évolution ultérieur, dans les
artères
cérébrales. M. le Dr von HOFF3fAIN (de Bade). S
nt unies aux fibres irido-di- latatrices remonteraient le long de l'
artère
vertébrale, tandis que les fibres irido-dilatat
s descendantes seulement, puisque les fibres qui accom- pagnent l'
artère
vertébrale ne contiennent pas de filets irido-d
ar les parties intactes ne sont justement pas irri- guées par cette
artère
. M. MUFLLER. Les formes initiales de la paralys
drait admettre encore qu'il y avait eu oblitération simultanée de l'
artère
cérébrale postérieure et de l'artère du corps c
u oblitération simultanée de l'artère cérébrale postérieure et de l'
artère
du corps calleux, car le ramollissement dépassa
e qu'il y ait une légère périartérite diffuse. faut ajouter que les
artères
ainsi altérées ne forment pas des centres d'où
e il s'écoule une grande quantité de liquide céphalo-rachidien. Les
artères
de la base sont symétriques; toutefois, la cérébr
ues augmente- beau- coup la vitesse du sang et la pression dans les
artères
, car la section des pneumo-gastriques augmente
ement des vaisseaux et l'on rend plus faible le passage du sang des
artères
aux veines. - M. Brown-Sequard enseignait derni
dimensions, vertical, présente quelques rides trans- versales. Les
artères
temporales sineuses s'observent de loin. Les or
t de 3 1/2 m. a. Les pouls, 102 par minute. La tension sanguine à l'
artère
radiale 16, au spbygmo-manomètre de Potain. L
cavité de laquelle on trouve des caillots anciens. Les valvules des
artères
pulmonaires sont normales. Les valvules aortiques
'aorte, on trouve quelques pla- ques blanchâtres dont une près de l'
artère
coronaire antérieure, plus grande, dure et calc
. Le volume des ventricules latéraux est normal. Pas d'athérome des
artères
de la base. Sur les coupes vertico-transversale
ts symétriques appartiennent au terri- toire de vascularisation des
artères
cérébrales antérieures dont la circu- lalion au
du pulvinar, amenées depuis la base et déposées dans les parois des
artères
terminales de ce noyau gris. Quoi qu'il en soit
Par sa malice occulte et invisible Allait chercher les veines et
artères
Et leur causait si estranges mistères, Dangie
indemnes. Pas de foyer intra-médullaire. Athérome très notable des
artères
de l'hexagone de Willis, et assez nom- breuses
es lésions vascuiaires type de Heubner et portant à la fois sur les
artères
et sur les veines. Un grand foyer occupait la p
r une infection ou une intoxication; telle est une oblitération des
artères
spinales qui supprime l'apport nutritif; dans l
Au coeur, on note un bruit de galop, sans souffles orificiels ; les
artères
ne sont ni dures, ni flexueuses, la tension art
s ne trouvions ici nul motif d'incriminer la fonction du coeur. Les
artères
étaient souples ; une lésion méningitique de natu
s accentué de la valvule tricuspide. Pas de lésions apparentes de l'
artère
pulmonaire. L'aorte est dilatée à son origine e
ne façon assez irrégulière a perdu d'autre part son élasticité. Les
artères
des membres sont épaisses, tor- tueuses, irrégu
traux. Le cervelet n'est porteur d'aucune altération grossière. Les
artères
de l'encéphale sont épaisses, sinueuses, à lumi
des viscè- res : foie, rate, rein, corps thyroïde, au niveau d'une
artère
moyenne d'un mem- bre, d'un muscle du mollet. L
tre de lésions notables des cel- lules ou des fibres à myéline. Les
artères
sont le siège d'altérations portant surtout sur
nette- ment épaissie surtout il sa face postérieure. Les vaisseaux,
artères
particuliè- rement sont le siège de périartérit
ont leurs tractus conjonctifs épaissis d'une façon irrégulière. Les
artères
qu'elles contiennent sont le siège d'une périarté
(battements artériels spasmo- diques, en particulier au niveau de l'
artère
centrale de la' rétine, engour- dissements, fou
gère : on entend dans les poumons quelques râles secs. Sclérose des
artères
. Pas de sucre, ni d'albumine dans l'urine. Faib
Fig. 8. 'tracés pris sur le olncn en repu ? biii, ul.u ,.upareil. L'
artère
fémorale est découverte. La courbure supérieure i
avons réussi à prendre simultanément les deux pressions, celle de l'
artère
carotide et celle de la fémo- rale, tant en rep
vons pratiqué la trachéotomie; ensuite nous avons mis à nu les deux
artères
. Alors le chien étant atta- Fig. 16. Tracés de
ères. Alors le chien étant atta- Fig. 16. Tracés de la pression des
artères
carotide et fémorale. Les tracés doivent être l
nons les deux pressions au début des mouvements. Les tracés de deux
artères
ont été les mêmes en marchant d'accord. Tous le
nguine large, rouge sombre, deviennent graduellement très tortueux.
Artères
peu dilatées, finissant par présenter sur le bo
e étroitesse marquée des vaisseaux du fond de l'oeil, notamment des
artères
. Intégrité des mouvements associés des yeux, pa
ons. Par suite de la déviation du tronc basilaire vers la gauche, l'
artère
cérébrale postérieure droite est plus longue que
à découvert sur la partie médiane. La pie-mère est oedématiée, l'
artère
communicante postérieure et l'ar- tère cérébral
utes les glandes; des plaques d'athérome à tous les degrés dans les
artères
, la pachyméningite et la périencéplialile. La r
r la rougeole. Se basant enfin sur les dispositions anatomiques des
artères
venues du tronc basilaire et destinées aux noya
n recoquillement partiel des trousseaux nerveux dégénérés. Dans les
artères
, il y a épaississement de trois tuniques, rétré
e- mère opaque, ses vaisseaux sont rigides, pas d'adhérences. Les
artères
du cerveau sont le siège d'altérations profondes
n droit normal. En résumé, sclérose généralisée et très intense des
artères
du cerveau. Cette artério-sclérose est-elle une
émorragie aux vaisseaux chroniquement atteints de la pie- mère. Les
artères
malades des centres nerveux étaient en effet '
Le spasme des vaisseaux produit une gêne de la circulation dans les
artères
comme dans les veines, et la transsudation suit
n à la radiale. Tandis que, du côté sain, l'écrasement complet de l'
artère
est obtenu avec une pression de 12e de mercure,
durables, au contraire, les veines se dilatent de plus en plus, les
artères
sont dans un état de spasme permanent et la lés
t pas sous l'influence de la lumière. La papille est décolorée, les
artères
y sont petites et les veines très volumi- neuse
x noyaux moteurs du bulbe. Cette zone du langage est irriguée par l'
artère
sylvienne et ses branches. Les aphasies vraies
emêlent aux mailles d'un lacis ner- veux inextricable situé entre l'
artère
et la veine rénales et que là ils envoient des
une dilatation des vaisseaux veineux et, par contre une atrésie des
artères
de la rétine. La papille est normale comme colo
tement abolie. Les battements cardiaques exagérés, mais courts, les
artères
sclé- reuses. Les autres organes normaux. Eta
rébrale où nous notons des recherches inédites sur la structure des
artères
cérébrales, suivi d'un tableau clinique de l'at
rale aura surtout pour but d'empêcher nn excès de pression dans les
artères
lésées ; éviter le travail intellectuel, les ém
e la mélancolie avec stupeur. Les veines dilatées, engorgées, les
artères
rétrécies. Dans 3 p. 100 environ des cas, nous
- cortical, comprimer le centre des mouvements du bras ou une des
artères
qui l'alimentent el déterminer une paralysie ptss
de la rétine. Les vaisseaux veineux de la pupille sont dilatés, les
artères
peut-être un REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 35
. 1. Hémorragie sus-clure-mérienne par rupture li-ait- matique de l'
artère
méningée moyenne. M..., cinquante ans, amaigri,
out le côté gauche. Cette hémorragie provenait de la déchirure de l'
artère
méningée moyenne par le bord tranchant d'un fra
tionné nettement les trois quarts de la circonférence du tronc de l'
artère
méningée moyenne. Le trait de fracture se continu
ubérance. Quelques plaques d'athérome sur les sylviennes et sur les
artères
de la base du cerveau. Coeur volumineux ; pou-
e optiques. — Modifications de la papille dans les cas d'embolie de l'
artère
centrale de la rétine, dans la glycosurie, la rét
aux de la papille, vous savez qu'ils consistent en deux veines et une
artère
, celle-ci beaucoup moins volumineuse que celles-l
par exemple, qui accompagne la sclérose en plaques. L'embolie de l'
artère
centrale de la rétine donne lieu, à la longue, à
émiées, mais non encore ramollies, à la suite de l'oblitération d'une
artère
de l'encéphale par un thrombus. La tuméfaction
sthme de rencéphale ne présentent aucune altération appréciable ; les
artères
de la base sont saines. Le bulbe rachidien offre
On n'y .peut reconnaître aucune trace d'atrophie ou d'induration. Les
artères
de la base sont à peine athéromateuses. La moelle
optiques. — Modifications de la papille dans les cas d'embo-lie de l'
artère
centrale de la rétine, dans li glycosurie, la rét
. — Dans la paralysie glosso-laryngée, 463, 474. E Embolie de l'
artère
centrale de la rétine, 51. Epilepsie dans la co
llissement est représenté par les parties courbes où se rendent des
artères
exsangues. 228 RECUEIL DE FAITS. droite, offr
trou trois branches vasculaires principales de la sylvienne : 1° l'
artère
de la deuxième frontale (front, externe et infé
artère de la deuxième frontale (front, externe et inférieure); 2° l'
artère
de la froii taie ascendante (ceutraleaulérierel
; 2° l'artère de la froii taie ascendante (ceutraleaulérierel; 3° l'
artère
delà parié- tale ascendante (centrale postérieu
nerf médian paraît plus gris et plus petit à gauche qu'adroite. Les
artères
fémorales ne présentent pas de ditlérence de volu
hi- dien est en. quantité normale. L'encéphale pèse 4,070 gr. Les
artères
de la base paraissent égales. Le tubercule mami
iction des liens. Son crâne est régulier, la face est injectée, les
artères
carotides et temporales sont gonflées' les pupi
nétiques à signaler sont : les maladies de l'orbite, l'embolie de l'
artère
centrale, l'intoxication saturnine, les hémor-
ricules ; elles sont symétriquement placées dans le territoire de l'
artère
cérébrale postérieure, à peu près à la limite qui
dessus du coude et surtout dans un point correspondant exactement à l'
artère
humérale, un peu au-dessus du pli du coude, sous
écautions vou-luespour s'assurer que l'instrument ne comprimait pas l'
artère
. Les modifications observées indiquaient qu'il y
pression sanguine ne pouvant être attribuée qu'au rétrécissement de l'
artère
. Le 16 Décembre, le thermomètre était de 30° à
ra-phique. Ce simple fait tend a démontrer que le rétrécissement de l'
artère
est le premier phénomène et que le refroidissemen
te et 18°3 à gauche. Les tracés indiquent encore un effacement de l'
artère
; le pouls est petit et serré ; l'amplitude de l'
je venais de prendre des tracés qui m'indiquaient la compression de l'
artère
. A un moment donné j'obtins un tracé présentant n
né j'obtins un tracé présentant nne amplitude beaucoup plus grande. L'
artère
s'était décomprimée sous l'influence d'un massage
massage prolongé, au niveau du pli du coude dans le but d'explorer l'
artère
humérale et peut-être aussi par le fait de l'appl
ion. C'est donc à une action vaso-motrice qu'est dû le phénomène. L'
artère
est rétrécie ; l'apport du sang est moins considé
sser couler le sang d'un blessé,lorsqu'il peut faire la ligature de l'
artère
, qu'il n'a celui de le laisser en proie à une att
ndantes autour des capillaires et dans- les parois des veines,' les
artères
de- calibre en sont dépour- vues ! - En certain
dans le ma- rasme. - - - Autopsie (6 avril 1894). Encéphale. Les
artères
de la base ne sont pas athéromateuses. LÉSION
n général lentes. On ne constate pas d'athérome appréciable sur les
artères
que l'on peut explorer. La respiration est supe
des expansions rythmées de ce tissu, en rapport avec celles de ses
artères
; 20 physi- quement, l'expansion pulsatile des a
celles de ses artères; 20 physi- quement, l'expansion pulsatile des
artères
encéphaliques néces- saires au mouvement réguli
re. Fait de la plus grande importance, les vaisseaux nourriciers (
artères
et veines spinales) sont altérés d'une façon cons
Périartérite ancienne dans un cas de lel)toin3,lito$-pliili- tique (
artère
spinale antérieure). LA. MÉNINGO-MYELITE SYPHIL
que, d'être infiniment plus accentuées dans les veines que dans les
artères
(fait déjà constaté dans la syphilis médullaire
upe transversale de Tarière et de la veine spinales antérieures. A,
artère
absolument saine; B, veine dont les parois sont c
e but de déterminer la part exacte qui revient à l'oblitération des
artères
spinales dans le mécanisme des lésions précédente
tré dans les ar- térioles, en suivant principalement le trajet de l'
artère
spinale antérieure, mais non exclusivement. On
de myélite siégeaient toujours sur le trajet de ramifications de l'
artère
du sillon antérieur; parfois toutes ces ramific
térieure dans sa presque totalité. D'autres fois, c'est seulement l'
artère
qui irrigue le groupe antéro-externe, le groupe
te, ou bien elle n'est pas très accusée. La même injection dans les
artères
de la moelle donne surtout naissance à des poli
pédoncules cérébelleux et le 4° ventricule sont plutôt grêles. Les
artères
vertébrales et sont régulières. Les 'obères cér
on intense des méninges rachidiennes et du bulbe, sans sclérose des
artères
. A l'ouverture du 4° ventricule, liquide encéph
de quatre orteils : actuellement, le pouls était intermittent, les
artères
athéromateuses, il y avait de la stupeur, des n
la moelle allongée et le cer- velet provenant d'une occlusion de l'
artère
cérébelleuse pos- térieure inférieure gauche; é
ù il sort à la surface du cerveau. Influence de l'oblitération de l'
artère
basi- laire sur la mort. P. IEIIAYAL. 394 REV
sonnien qui per- sistent toujours '. * F. B. XXXV. Anévrysme de l'
artère
vertébrale gauche ; par LADAME et Von lO4,lOW.
l'encéphale : a) hémorragie cérébrale, b) embolie et trombose de l'
artère
s3,lvieiine, c) méninge-encéphalite, d) encépha
psychologie cérébrale, par Stewait flatou. 312. - Ani.ve5sw de l'
artère
vertébrale, par \on Ioual.ow. 400. Angiome se
âtre de sclérose périvas- culaire, portant plus fréquemment sur les
artères
que sur les veines ; dans quelques cas nous avo
jours, en même temps que lui, nous avons noté le rétrécissement des
artères
de la rétine. Aussi pourrait-on peut-être expli
, l'image du voile qui borde la papille dans les cas d'embolie de l'
artère
céré- brale. Nous avons noté le rétrécissemen
ie de l'artère céré- brale. Nous avons noté le rétrécissement des
artères
chez 30 % de nos hallucinés, encore n'avons-nou
des, présentant en même temps qu'un rétrécisse- sement très net des
artères
, des papilles absolument nor- males et une visi
généralement flexueux et abondants, ja- mais de rétrécissement des
artères
, une seule fois nous avons trouvé de la périvas
e sa soeur qui venait de se met- tre au lit : la pauvre fille eut l'
artère
carotide tranchée net; il essaya ensuite d'asso
ment, reste comme une impasse, comme un cul-de-sac dans les grandes
artères
par où laVie ira semant ses créations successiv
se rencontrent dans le développement des gros vaisseaux. : des deux
artères
omphalomésentériques, l'une disparaît toujours
fréquence du pouls, et une augmentation de tension de la paroi des
artères
. On peut conclure à une hypertension des parois
iologie du système nerveux. Les onze can- didats ont eu à traiter :
Artères
cérébrales. Les questions restées dans l'urne é
▲