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1 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
ment sur les os, et une ligature ne se pratique pas seulement sur une artère ou une veine; car, si ces vaisseaux sont le but d
de fibreux, en se repliant sur lui-même au contour de l'aorte et de l' artère pulmonaire, sur lesquelles il remonte jusqu'à leu
ral, ou fascia superficialis, dans lequel nous savons que rampent les artères et les veines sous cutanées. A la face et au cou
et, au-devant, le larynx avec son canal de prolongement , la trachée artère . Ces deux systèmes, le larynx, le pharynx et l'œs
à sont situés la glande thyroïde et la cage du larynx avec la trachée artère , puis l'œsophage et les muscles constricteurs du
céphalo-ra-chidienne pour les nerfs, et la cavité thoracique pour les artères ctlcs veines. Toutefois, comme un tel ordre, par
veines étant suffisamment représentée, quant au trajet, par celui des artères , il nous suffira, pour donner une image de l'ense
s orifices du cœur, l'aorte représente l'extrémité céphalique par les artères carotides et les veines jugulaires, le membre tho
ères carotides et les veines jugulaires, le membre thoracique par les artères et veines sous-clavières, et toute la portion sou
arotide; et, à gauche, l'œsophago-tomie. A partir de la division de l' artère carotide dans ses deux troncs facial et crânien ,
'ensemble chacun par un faisceau vasculaire commun, à double courant, artère , veines lymphatiques et nerfs, d'où procèdent les
r le rétablissement de la circulation, dans lecas d'oblitération de l' artère principale au-dessous d'eux. Dans les deux prem
les deux faisceaux de l'occipito-frontal. 4° Vaisseaux sanguins. Les artères sont : en plan sous-cutané, h frontale, constitué
, les petits droits et obliques postérieurs. 4° Vaisseaux sanguins. L' artère de cette région est l'occipitale, d'un trajet trè
ent doubles, l'une superficielle, et l'autre profonde, accompagnant l' artère . 5° Vaisseaux lymphatiques. Ils forment un ou deu
s, et en maintient en position les fragmens. 4° Vaisseaux sanguins. L' artère principale de cette région est la temporale super
et s'y divise en ses deux branches frontale et pariétale. C'est cette artère , ou sa branche frontale, qui est le siège de l'ar
e siège de l'artériotomie. Les veines superficielles accompagnent les artères ; il en est de même des deux ou trois rameaux lym
Sur la surface périostique rampent les vaisseaux temporaux profonds, artères et veines, fournis par les maxillaires internes.
s plans, comme à la région temporale à laquelle elle fait su ite. Les artères et veines superficielles sont les branches pariét
des auriculaires postérieures; sur le péricrâne, l'épanouissement des artères et veines temporales profondes, et à la face inte
orales profondes, et à la face interne du pariétal, les divisions des artères et veines méningées moyennes, encastrées avec la
it le petit muscle auriculaire postérieur. 3° Vaisseaux et Nerfs. Les artères et veines sont les auriculaires postérieures, ana
le pyramidal; en bas, le transverse du nez. ^Vaisseaux sanguins. Les artères , très nombreuses, sont fournies à l'extérieur, au
plus épaisse, est garnie de bulbes pileux. i° Vaisseaux sanguins. Les artères sont fournies par la sphéno-palatine, la branche
le et la palatine supérieure. Les principales veines accompagnent les artères ; mais, en outre, elles forment un lacis très abon
du triangulaire et delà houppe du menton; 3° Vaisseaux sanguins. Les artères et veines sont les labiales supérieures et inféri
'homme, adhère aux muscles sous-jacens qui nous sont déjà connus. Les artères et les veines sont plus particulièrement les dent
lesquels sont disposées les glandules de Meibomius. 4° Vaisseaux. Les artères et veines, très nombreuses, sont données par les
zygomatiques et le canin. 4° Vaisseaux sanguins et lymphatiques. Les artères et veines sont fournies par les transversales de
sé horizontalement par le canal de Sténon. 3° Vaisseaux et nerfs. Les artères et veines sont fournies par les faciales et leurs
lon vertical sous-maxillaire, les gros vaisseaux temporo-maxillaires, artère et veine, qui traversent l'épaisseur de la paroti
hyoïdienne est bornée par le sillon dans lequel rampent l'origine des artères carotides interne et externe et les troncs veineu
qui les accompagnent. Les vaisseaux propres de cette région sont les artères et veine sub-mentales, l'origine des faciales et
s des scalènes, sont situés les sillons verticaux des gros vaisseaux, artère carotide primitive et veine jugulaire interne. Le
ine jugulaire interne. Les vaisseaux propres de cette région sont les artères et veines thyroïdiennes ; les supérieures se dist
cou ; au milieu, l'écartement des deux scalènes qui donne passage à l' artère sous-clavière et au plexus brachial ; en arrière,
d nombre d'opérations. Derrière le sterno-mastoïdien sont comprises l' artère carotide primitive et la veine jugulaire interne
et planche 6. de la clavicule et l'attache du scalène antérieur, l' artère située entre les scalènes, d'où elle ressort sur
des branches secondaires. En dedans du scalène antérieur naissent les artères vertébrale, intercostale supérieure, mammaire int
laire supérieure; ordinairement, entre les scalènes est l'origine des artères scapulaire postérieure et cervicale antérieure. T
es artères scapulaire postérieure et cervicale antérieure. Toutes ces artères sont accompagnées de veines, dont les terminaison
es paires cervicales composant le plexus brachial, qui sortent avec l' artère sous-clavière entre les scalènes, pour se diriger
assage aux vaisseaux sous-claviers et aux nerfs du plexus brachial. L' artère correspond au milieu de la convexité de la clavic
inaires et les plus graves que l'on y pratique sont les ligatures des artères dans le cas d'anévrisme ou de lésions traumatique
et des petits rameaux des vertébraux. Outre les veines satellites des artères , il existe, en veines surnuméraires, la jugulaire
ticalement, derrière les articulations chondro-sternalès, rampent les artères mammaires internes, flanquées de leurs deux veine
s'anastomosent de chaque côté entre elles et avec les extrémités des artères intercostales. Les nerfs sont également les extré
à des hémorrhagies graves. Les veines principales sont satellites des artères ; mais dans les cas morbides les veinules cutanées
loïque, que son volume croissant rend irréductible. 4° Vaisseaux. Les artères et veines de cette double région sont les branche
u péritoine. Les vaisseaux sanguins sont les branches antérieures des artères et veines lombaires, qui parcourent en direction
uillets, monte verticalement l'ouraque, flanqué latéralement des deux artères ombilicales fœtales, tous trois convertis, après
les pubis par une expansion triangulaire. 4° Vaisseaux sanguins. Les artères et veines sous-cutanées sont fournies par les ing
guino-abdominales ou tégumentaires et par les honteuses externes; les artères et veines profondes sont les épigastriques, qui m
al et le péritoine de la paroi antérieure. 4° Vaisseaux sanguins. Les artères et veines superficielles sont les tégumenteuses o
dant. Dans la couche sous-cutanée du pénis rampent de chaque côté les artères dorsales, la grande veine dorsale de la verge, de
de cette partie sont les branches profondes, dites caverneuses, de l' artère et de la veine honteuses internes; en sorte que l
tractilité, qui peut donner lieu à des hémorrhagies consécutives. Les artères et les veines sont fournies par les honteuses int
spermatiques se compose de la juxta-position des différais canaux, l' artère , les veines nombreuses dont la dilatation donne l
lequel passe la portion membraneuse dej l'urèthre. 5° Vaisseaux. Les artères et veines sont des branches des honteuses interne
rficiellement clans l'épaisseur cle la couche sous-aponévrotique, les artères et veines inguino-abdominales et quelques rameaux
ment dans autant de loges ostéo-fibreuses. 4° Vaisseaux et nerfs. Les artères et veines sont : pour la moitié supérieure, les f
ue cette région est importante à étudier Les troncs principaux sont l' artère et la veine axillaires formant un faisceau commun
ires formant un faisceau commun avec les nerfs du plexus brachial ; l' artère , plus profonde, est placée dans le milieu, côtoyé
former l'axillaire. Les vaisseaux et nerfs de second ordre sont : les artères et veines acromio-thoraciques dont les branches p
égard aux lésions trauinatiques des vaisseaux et aux anévrismes de l' artère axillaire qu'elle offre le plus d'intérêt. Dans c
rapportent trois procédés différents d'incision pour la ligature de l' artère axillaire. La clavicule à elle seule est d'un gra
fs. Les vaisseaux et les nerfs particuliers à cette région sont : les artères , les veines et les nerfs thoraciques longs qui de
puis, le nerf radial, la veine axillaire et le nerf médian; enfin, l' artère numérale, la veine numérale externe, et, en derni
s de l'aisselle, se distingue celle qui a pour objet la ligature de l' artère numérale, par le procédé de M. Lisfranc; enfin, à
s sus-épineux, sous-épineux et petit rond. 4° Vaisseaux et nerfs. Les artères et veines sont : en avant et en haut, les branche
me, et par les intercostaux correspondans. 4° Vaisseaux et nerfs. Les artères et veines sont fournies: pour la fosse sus-épineu
rencontrent le nerf médian et la veine numérale interne, recouvrant l' artère et la veine numérale externe, plus rapprochées de
C'est sur ce trajet que se pratique l'incision pour la ligature de l' artère numérale, peut-être la plus fréquente de toutes d
mportante a rapport aux nerfs et aux vaisseaux. Le nerf radial et les artères et veines collatérales externes contournent en ar
l'incision, il faut se rappeler la position du nerf brachial et de l' artère collatérale externe à la naissance des supinateur
hial antérieur. L'ordre de juxta-position est celui-ci : au milieu, l' artère numérale entre ses deux veines, oblique de haut e
rieur et postérieur, et celles des extenseurs et des supinateurs. Les artères et veines sont les branches articulaires des coll
n grand nombre dans ce groupe. A partir du sillon médian supérieur, l' artère et les veines humé-raies se divisent en radiales
ironne la moitié supérieure du radius. A cette région appartiennent l' artère et les veines radiales, côtoyées en dehors par le
liquement en dehors pour contourner le radius. Les vaisseaux sont les artères et veines inter-osseuses postérieures qui descend
nes des deux masses charnues latérales; 3° sur le ligament palmaire l' artère cubitale, entre ses deux veines, côtoyée en dedan
ués sur la face postérieure du carpe. Les vaisseaux profonds sont les artères et veines sus-carpiennes, branches des radiales d
ranches digitales des nerfs médian et cubital, l'arcade palmaire de l' artère et des veines cubitales, contournant l'émincnce h
ème plan sur la surface métacarpienne, en haut, l'arcade profonde de [ artère et des veines radicales et leurs branches in ter-
endons extenseurs et les vaisseaux profonds. Ces vaisseaux sont: i° l' artère et les veines radiales qui descendent dans le pre
re d'entrée des veines et des lymphatiques sortent, au contraire, les artères honteuses externes et inguino-abdominales. Ces di
ntermédiaire à ces muscles sont logés les gros vaisseaux, au milieu l' artère fémorale, renfermée dans une gaine commune avec s
e est l'un des points où se pratique l'incision pour la ligature de l' artère à sa sortie du bassin. RÉGION FÉMORALE ANTÉRIEU
cutanées , et en plan profond des vaisseaux propres des muscles ; les artères et veines musculaires antérieures pour le muscle
ux nourriciers des muscles dont, en haut, les branches terminales des artères et veines ischiatiques, et, dans le reste de l'ét
seaux profonds, écartée du trajet de l'incision pour la ligature de l' artère à la partie moyenne de la cuisse. Au plan vascula
mbre, pour devenir externe dans le canal fémoro-poplité. En dehors, l' artère est accompagnée par son filet nerveux satellite e
se pratiquent à diverses hauteurs les incisions pour la ligature de l' artère . RÉGION FÉMORALE EXTERNE '. Formée par la fac
oppe le squelette ou la face externe du fémur. Les vaisseaux sont les artères et veines collatérales externes et les branches e
ans le tronc tibio-péronier, après la ligature ou l'oblitération de l' artère principale. 3° Couche aponéurolique et tendineuse
s, et qui ferme, en avant, l'articulation. 4° Vaisseaux et nerfs. Les artères et veines sont : les articulaires supérieures et
té interne. Plus profondément appliquées sur le corps du fémur sont l' artère et la veine poplitées. Les rapports de ces vaisse
x poplité ; de manière que la veine externe, en haut, par rapport à l' artère , est postérieure au milieu et interne en bas. Out
aison de la veine saphène postérieure dans la veine poplitée; (h) les artères et veines jumelles; (c)la naissance des artères e
ine poplitée; (h) les artères et veines jumelles; (c)la naissance des artères et veines articulaires des deux côtés, supérieure
aisseaux. C'est donc par rapport aux anévrismes et à la ligature de l' artère poplitée qu'elle est recommandée en anatomie chir
. 5° Vaisseaux et nerfs. Au fond du sillon inter-osseux sont logées l' artère et les veines tibiales antérieures, dont les rami
; de sorte qu'externe à la partie supérieure, il passe au-devant de l' artère et des veines tibiales pour devenir interne à la
ers ; le même précepte s'applique aux incisions pour la ligature de l' artère tibiale antérieure à diverses hauteurs, la tensio
seaux sanguins sont en grand nombre : dans les jumeaux se rendent les artères et veines jumelles, branches des vaisseaux po-pli
terne. Au plan profond appartiennent les gros vaisseaux; en dedans, l' artère tibialc postérieure flanquée de ses deux veines,
e par le nerf du même nom ; en dehors, dans le sillon inter-osseux, l' artère et les veines péronières. Ces vaisseaux sont acco
x ou du soléaire dans l'extension brusque du pied. Sur le trajet de l' artère tibiale postérieure se pratiquent à diverses haut
teurs les incisions pour la ligature de ce vaisseau. La ligature de l' artère péronière n'existe encore, en chirurgie, que comm
ulpe des doigts le point d'appui de l'os, exercé à ne poser que sur l' artère seule dont il contient en diagonale les déplaceme
ent la compression, s'il est besoin d'indiquer par un jet de sang une artère que l'opérateur a de la peine à trouver. Le tro
ties et au pansement. h'hémorrhagie est arrêtée par la ligature des artères , dont on trouvera plus loin les détails, ainsi qu
se serve pour les ponctions, les ouvertures d'abcès, les ligatures d' artères , les excisions, etc. On doit toujours en avoir pl
ur sensiblement égale dans tous les points, et on évite au besoin les artères , nerfs, tendons, et même les muscles, qui suivent
che. Nous citerons en particulier les scarifications, les ligatures d' artères , les ouvertures de vastes foyers purulens dans le
s ceux où il s'agit de découvrir une partie sans la léser , comme une artère dont on doit faire la ligature, une tumeur enkyst
é, doit être substituée à la cinquième, lorsque, dans la ligature des artères , la gaine qui renferme les vaisseaux étant mise à
a Planche 15, fiy. 6. plus que d'inciser cette gaine et d'isoler l' artère elle-même. L'instrument , dans ce cas, présentant
ection des divers feuillets qui recouvrent une hernie, lisolement des artères , l'enlèvement des tumeurs enkystées , sont de ce
ue possible de porter le cautère sur le trajet connu des nerfs et des artères d'un certain volume et sur les saillies tendineus
s, un lambeau cutané traumatique, renfermant une petite tumeur ou une artère lésée, se trouve saisi entre deux doigts, les mor
i est le plus déclive que l'on fait sortir les fils des ligatures des artères , lorsqu'il a été besoin de lier de ces vaisseaux.
s de l'axe des vaisseaux , de manière à comprimer le nerf crural et l' artère à leur passage, en évitant, du moins autant que p
ant que possible, d'oblitérer la veine fémorale située en dedans de l' artère , de manière à intercepter la communication nerveu
on l'opère, quoique incomplètement, et sans y songer, en comprimant l' artère principale , eu égard aux troncs nerveux qui l'ac
rofondeur des tissus, et quant aux vaisseaux lésés, elle provient des artères , des veines ou des capillaires, et même, sans lés
sitent pour chaque cas des moyens différens. A. Lésions des grosses artères . Sous ce nom sont compris les troncs, branches, r
ones aux batte-mens du cœur. Les phénomènes qui suivent la lésion des artères diffèrent suivant que la section est plus ou moin
dehors ; mais il coule en moins grande quantité que dans les cas où l' artère n'a été coupée que clans la moitié cle son diamèt
l effet, voici les phénomènes qui ont été observés chez l'homme. Si l' artère lésée est d'un grand volume, telle que la carotid
ent par un flot considérable jusqu'à ce que mort s'ensuive. Mais si l' artère est d'un moindre volume, par exemple la radiale o
incipaux résultats : (a) Les plaies longitudinales et les piqûres des artères peuvent guérir par les seuls efforts de la nature
ssent la moitié de la circonférence. Le degré de la rétraction de l' artère donne la raison de ces différences. La piqûre qui
ens employés par la nature pour arrêter l'hémorrhagie fournie par les artères a été le sujet de nombreuses discussions. Ici, co
la cessation des hémorrhagies à la formation d'un caillot externe à l' artère et d'un autre caillot interne qui contracte des a
cependant (pie l'effet principal est produit par une contraction de l' artère , qui en diminue le diamètre, et par une rétractio
dont on sait aujourd'hui que la fibrine forme la base, est, pour les artères , comme pour les autres tissus, le premier rudimen
mmation s'en empare; elle isole les unes des autres les tuniques de l' artère , et s'interpose entre celle-ci et les caillots in
urs , assez de consistance pour fermer la blessure artérielle, unir l' artère aux parties environnantes, et l'isoler de la plai
lle-ci communique librement au-dehors. Dans les simples piqûres des artères , la réunion se fait par première intention ; et,
lus souvent la blessure guérit par adhérence des parois opposées de l' artère , ou, en d'autres termes, par l'oblitération ; mai
d'une part, entre les lèvres de la division, et, de l'autre, entre l' artère et les parties environnantes. Enfin, quand la ble
terons pas sur la manière dont se rétablit la circulation, lorsqu'une artère volumineuse présente une interruption dans sa con
e dilatent en plus ou moins grand nombre jusqu'au point de suppléer l' artère principale. Les plus petites artères sont suscept
mbre jusqu'au point de suppléer l'artère principale. Les plus petites artères sont susceptibles, dans ce cas, d'une dilatation
ui avait été opéré plusieurs années auparavant pour un anévrisme de l' artère poplitée, Boyer trouva , dans lépaisseur du nerf
e emprunté de la pratique de Sabatier. (Pl. 33.) Lésion des petites artères . Nous comprenons sous cette dénomination toutes l
s petites artères. Nous comprenons sous cette dénomination toutes les artères d'un assez petit volume pour que le sang en jaill
rsqu'elles ont été complètement divisées en travers. Le volume de ces artères est environ celui d'un gros fil. L'hémorrhagie qu
on amène le gonflement des parties divisées; mais si plusieurs de ces artères ont été ouvertes, le malade peut être épuisé par
au lieu de sortir par saccades ou par un jet continu, comme pour les artères , s'écoule lentement et en nappe. 3° Si l'on compr
difficiles à atteindre ; reste donc la compression. COMPRESSION DES ARTÈRES EN GÉNÉRAL. Nous avons vu que la compression ag
pération. D'après la théorie que nous avons donnée plus haut, toute artère , pour être convenablement comprimée, exige la ré
e la profondeur, de la direction et du plus ou moins de mobilité de l' artère , reconnaissable à ses battemens. 2° Déterminer,
direction relative du levier ou point d'appui osseux par rapport à l' artère , et, par quelques pressions lentes, ménagées avec
re que possible, et suffisante seulement pour accoler les parois de l' artère . Une compression efficace dépend moins de l'inten
t que possible, s'assurer de l'autre main, par le toucher d'une autre artère superficielle au-dessous, de l'affaiblissement gr
ompression, pour indiquer, dans l'intervalle, par un jet de sang, une artère difficile à trouver. i°. Compression avec les d
s particulièrement par la situation anato-mique du vaisseau. Ainsi, l' artère sous-clavière sur la première côte, située profon
plan, de manière à comprimer tous à-la-fois suivant la longueur de l' artère , tandis crue, la voûte de la main embrassant le m
il réservé pour certains cas spéciaux : telle est la compression de l' artère sous-clavière lorsqu'elle est très profonde et qu
appropriée à celle du lieu où elle doit agir : mince et alongéepour l' artère sous-clavière, large et plate pour l'aorte. Pour
sous la main. ( b) Son action com-pressive, efficace par rapport aux artères , aussi bien les collatérales que le tronc princip
de l'os ; (c) d'intercepter la circulation des veines comme celle des artères , et de faire pleuvoir le sang veineux à la surfac
illons ( Pl. 18-21), est commode pour la com- T. VI. pression des artères superficielles de médiocre calibre; au besoin, on
prenons tous les instru-mens de compression applicables à différentes artères , et plus ou moins imités dans leur principe du co
sert de modèle, sont les compresseurs de M. Charrière pour toutes les artères , de Dupuy-tren et de M. Colombat pour l'artère fé
rière pour toutes les artères, de Dupuy-tren et de M. Colombat pour l' artère fémorale, et ceux que nous avons nous-même imagin
ésirable par la solidarité des deux points d'appui. COMPRESSION DES ARTÈRES EN PARTICULIER. Artères de la face et du crâne.
des deux points d'appui. COMPRESSION DES ARTÈRES EN PARTICULIER. Artères de la face et du crâne. La compression de ces a
ARTICULIER. Artères de la face et du crâne. La compression de ces artères s'emploie le plus ordinairement dans des cas d'hé
r un lacs circulaire. (Pl. 19.) Autrefois, pour toute lésion de cette artère , on appliquait le bandage jlit nœud d'emballeur,
t le bandage jlit nœud d'emballeur, aujourd'hui presque inusité. 2° Artères frontale et sous-orbilaire. Ces deux branches de
bouclé. (Pl. 18.) La compresse graduée se pose verticalement, pour l' artère sous-orbitaire , au milieu d'une ligne oblique ét
; et, pour la frontale , au-dessus de l'échancrure sourcilière. 3° Artère faciale. Sous-cutanée au tiers externe du bord li
jet de sang en retour que fournissent fréquemment les anastomoses . Artères du cou. La compression ne pouvant atteindre les
ntaire , la compression seule du tronc principal peut être motivée. Artère carotide primitive. La compression du grand tronc
es deux grands troncs cérébraux, trop imparfaitement suppléés par les artères basi-laires, la pression devrait être ménagée ave
e diminuer l'abord du sang artériel sans l'interrompre entièrement. Artères du membre thoracique. i° Artère sous-clavière.
sans l'interrompre entièrement. Artères du membre thoracique. i° Artère sous-clavière. Elleest facile à comprimer au-dess
on temporaire , Camper a enseigné de la comprimer avec le pouce. Si l' artère est trop profonde ou l'écartement des scalènes tr
nt fixe une fois posé, et ne cause qu'une gêne très supportable. 20 Artère axillaire. Le plan ostéo-fibreux, formé par la se
r la seconde et la troisième côte, est le seul point sur lequel cette artère puisse être comprimée. Mais, en raison de l'épais
sclés , on ne parvient pas à éteindre complètement les battemens de l' artère radiale , soit que l'on comprime avec les quatre
, ne remplit dans aucun cas le but pour lequel il a été inventé. 3° Artère humerak. (a) A sa partie supérieure , au-dessous
r au tiers inférieur du bras, où le tronc du nerf médian s'isole de l' artère en dedans. Toutefois, en comprimant l'artère humé
nerf médian s'isole de l'artère en dedans. Toutefois, en comprimant l' artère humérale, il n'est aucun moyen de ne point faire
sorte que la céphalique est le seul tronc veineux demeuré libre. 4° Artères de l'avant-bras et de la main. La radiale et la c
, doit être en rapport avec l'étroitesse du sillon inter-tendineux. L' artère radiale, dans sa portion dorsale à la main, se co
une pression perpendiculaire assez forte sur la phalange en regard. Artères du membre abdominal. i° Artère fémorale. (Pl. 2
forte sur la phalange en regard. Artères du membre abdominal. i° Artère fémorale. (Pl. 21.) (a) Sur le pubis. La compress
. La compression temporaire est très facile à l'arcade fémorale, où l' artère , peu profonde, appuie sur le pubis , au fond du t
r la saillie du psoas iliaque, arrête brusquement les batteincns de l' artère . La compression permanente, également facile à ex
oir posé perpendiculairement la pelote de pression dans la ligne de l' artère au fémur, on abat la charnière qui place en arriè
, quand on s'est de nouveau assuré que l'appareil est bien posé. 20 Artère poplitée. Cette compression est possible, parla p
plètement inusitée et remplacée avec avantage par la compression de l' artère fémorale. 3° Artères de la jambe et du pied. \J
remplacée avec avantage par la compression de l'artère fémorale. 3° Artères de la jambe et du pied. \J artère tibiale postéri
ression de l'artère fémorale. 3° Artères de la jambe et du pied. \J artère tibiale postérieure est accessible en deux points
graduée. Cette même pelote s'applique également à la compression de Y artère pédieuse. (Pl. 21.) Artères du tronc. i° Artè
applique également à la compression de Y artère pédieuse. (Pl. 21.) Artères du tronc. i° Artère iliaque externe. Accessible
compression de Y artère pédieuse. (Pl. 21.) Artères du tronc. i° Artère iliaque externe. Accessible à travers la paroi mu
mps très court et en attendant la ligature dans un cas de lésion de l' artère près de l'arcade crurale. 20 Artère aorte. Les
ture dans un cas de lésion de l'artère près de l'arcade crurale. 20 Artère aorte. Les muscles étant mis dans le relâchement
é ce mode de compression, comme moyen préventif, dans la ligature des artères iliaques, primitive, externe et interne. (Pl. 48.
par une pression très modérée, on interrompt tout battement clans les artères iliaques externes. Cette pression même peut être
ÉRATIONS. L'hémorrhagie, pendant les opérations, est causée par les artères , par les veines, ou par ces deux genres de vaiss
de la peau, à la circonférence de la tumeur, sur le trajet connu des artères principales. Ligature instantanée. La ligature,
on est terminée, pour être effectuée sans interruption sur toutes les artères . Dans certains cas cependant, où l'on aurait à cr
coxo-fémorale et scapulo-hu-mérale, on commence par la ligature de l' artère principale. Dans le cours des opérations, la liga
nt une opération sont terminées , avant d'enlever la compression de l' artère principale, le premier soin du chirurgien est d'o
ocre volume, si la ligature offre des difficultés, ou sur les petites artères , pour éviter de les lier, on emploie avec avantag
séton ne méritent pas la même confiance. Dans des cas spéciaux où une artère , encastrée profondément, ne peut être facilement
ucun effort mé-canique, et sur-tout dans les hémorrhagies des petites artères et des capillaires, sur des sujets faibles, où il
nt terminée, la compression latérale est maintenue sur le trajet de l' artère principale par une compresse longuette que serre
es, les grands progrès de la chirurgie dans l'art de lier les grosses artères ont fait tenter de nombreux essais sur la meilleu
pour saisir les vaisseaux coupés, ou des aiguilles pour embrasser les artères non lésées. Dans ces derniers temps , on a extrêm
ise Paré saisissait avec un bec à corbin tout le faisceau vasculaire, artère , veines et nerfs, plus ou moins environné de lamb
les tégumens. Desault a opéré une révolution en professant de lier l' artère seule, quoique dans la pratique il s'écartât souv
uvent lui-même de ce précepte en liant, pour plus de rapidité, avec l' artère , sa veine satellite. Enfin, aujourd'hui, le préce
re de nombreuses chances d'accidens suivant les tissus compris avec l' artère : l'irritation spasmodique pour les nerfs; la phl
issus; de sorte que l'anse de fil, devenant promptement trop lâche, l' artère , qui n'est plus assez comprimée, fournit du sang.
u'elle n'est plus employée que dans certains cas spéciaux, lorsqu'une artère elle-même étant enflammée et par conséquent plus
issus voisins : encore préfère-t-on, dans ce cas, dénuder plus haut l' artère pour la lier sur un point où elle est saine ; ou,
redoutable par ses acci-dens consécutifs comparativement à celle des artères , on est revenu de l'innocuité absolue de la secti
qui forme la transition de l'ancien procédé de ligature au nouveau, l' artère était liée isolément sur un petit cylindre de lin
a. Dans l'autre, qui établit le premier fait de ligature immédiate, l' artère était liée isolément, mais avec cet excès de préc
ment, mais avec cet excès de précaution que, le fil ayant environné l' artère , on lui faisait traverser diamétralement le vaiss
t au plus cinquante, suivant les cas, amènerait une oblitération de l' artère déjà assez solide pour permettre impunément de co
par une seconde ou une troisième ligature sur une portion saine de l' artère . Mais comme de fréquentes hémorrhagies survenaien
ait. L'application à distance de plusieurs fils obligeant à dénuder l' artère dans une certaine étendue1, et chaque fil irritan
les plans de section ; avec un ténaculum quand il faut aller saisir l' artère profondément dans les chairs ; avec une sonde can
nt dénudé le vaisseau dans l'étendue strictement nécessaire, pour les artères liées à plat dans leur continuité ; l'artère, ell
nt nécessaire, pour les artères liées à plat dans leur continuité ; l' artère , elle-même, embrassée seule dans ses trois tuniqu
t peuvent se rendre compte exactement des données qui ont rapport aux artères principales qu'ils vont chercher sans hésitation
quent leur orifice. L'erreur ou l'oubli ne pouvant porter que sur des artères d'un petit volume, les unes se sont signalées d'e
quel un aide a dû appliquer le doigt ; leur ligature étant faite, les artères non encore aperçues se trahiront par un jet de li
uspendre pour un instant la compression du tronc principal. Reste une artère connue, ne donnant pas de sang, et qui n'aurait p
quelques heures l'application de l'appareil. Enfin, reste aussi toute artère possible, inconnue et inaperçue, dont par conséqu
ment de l'autre côté, le contenant ainsi fixé entre deux pinces. Si l' artère est petite ou d'un volume médiocre , la pincer ob
lan des chairs, où il vient s'offrir à un aide. Celui-ci passe sous l' artère l'anse du fil, dont les extrémités sont solidemen
andis que les indicateurs font glisser l'anse du fil des pinces sur l' artère . Mais ici deux procédés de striction se présenten
e l'anse du second nœud, qu'il serre comme précédemment. Toutes les artères étant ainsi liées successivement, souvent il arri
de l'instrument, dont la pointe accroche et traverse les parois de l' artère seule, ou avec quelques tissus étrangers, suivant
t d'un plus grand ou d'un plus petit volume. Moyens applicables aux artères tCun médiocre ou d'un petit volume. Cautérisa
es cas où son emploi est le plus convenable sont les hémorrhagies des artères ranines, celles des vaisseaux situés à de grandes
des canaux osseux, comme sont, en particulier, nombre de rameaux de l' artère maxillaire interne dans les opérations qui se fon
osées, dont le ramollissement rendrait inutile la ligature. Quand les artères sont d'un certain volume, on doit par précaution
ès l'expérience acquise par les accidens traumatiques, on sait qu'une artère , même d'un gros calibre, rompue par arrachement,
ulement de sang. La cause de ce phénomène gît dans la rétraction de l' artère lésée, dont les deux tunicpies intérieures déchir
fisamment que toute lésion ou ciilacération physique des parois d'une artère de moyen volume doit en faciliter l'adhésion par
'idée d'imiter cet effet en froissant et dilacérant l'extrémité d'une artère avec les ongles ou des pinces, et réussit par ce
ou des pinces, et réussit par ce moyen à empêcher rhémorrhagie d'une artère testiculaire. Jones a prouvé expérimentalement qu
nt avec la pince à mors denticulés des mâcliures de l'extrémité d'une artère , et combinent l'emploi de ce moyen avec la torsio
t le refoulement. Refoulement. Après avoir saisi transversalement l' artère avec une pince ordinaire, M. Amussat, l'auteur de
s. Saisir de la main gauche, avec une pince, l'extrémité libre de l' artère ; isoler de l'autre main, avec une seconde pince,
seconde pince par celle à torsion, (Pl. 34, fig- 26.) avec laquelle l' artère est serrée transversalement de la main droite, et
a pince à baguette. Enfin, ramener cette pince dans la direction de l' artère , et imprimer au vaisseau sept à huit tours comple
pince à baguette et refouler dans les chairs l'extrémité tordue de l' artère . 11 n'est pas rare que, par l'excès de la stricti
ui offre moins de sécurité, n'ait pas lieu. Procédé de M. Fricke. L' artère saisie de la mai 11 droite étant amenée en sailli
la formation d'un caillot, on a imaginé de dénuder l'extrémité d'une artère et de la replier circulairement sur elle-même. Ce
la replier circulairement sur elle-même. Ce procédé, proposé pour les artères intercostales, aurait, dit-on, réussi sur de peti
pour les artères intercostales, aurait, dit-on, réussi sur de petites artères : toutefois, nous ne le citons que pour le mentio
objet qui n'offre point d'obstacle réel, il est insuffisant pour les artères et inapplicable pour les artérioles, où, du reste
X. Bouchons mécaniques. Leur emploi est réservé pour les cas où une artère , encastrée dans un canal osseux ou ostéo-fibreux,
autant de procédés. i° Cire. Conseillée très anciennement pour les artères intercostales et celles des tissus ostéo-fibreux,
en et à M. Roux, comme point d'appui intérieur pour la ligature d'une artère ossifiée. Curieux de savoir comment s'opère alors
fisante. IIÉMORRHAGIE CAPILLAIRE. Après la ligature de toutes les artères qui fournissent le sang en saccades, il est assez
ce liquide continue de suinter pendant quelque temps des très petites artères et des capillaires. Cette espèce d'hémorrhagie, q
), cette ligne de section étant la plus éloignée des deux principales artères fournies, au-dessus, par l'auriculaire postérieur
ut, dans l'état de tension du muscle. La veine jugulaire interne et l' artère carotide primitive sont logées plus profondément,
, les muscles sourcilier, orbiculaire et frontal, et accompagné par l' artère et la veine frontales profondes. Procédé de M.
sit avec des pinces à disséquer et l'on en fait l'excision. Quant à l' artère , on la lie ou l'on en fait la torsion. Nerf sou
ë empêchant de pouvoir saisir l'extrémité du nerf. L'hémorragie, si l' artère est coupée, peut être arrêtée par compression dir
faciale, puis à trois lignes de l'aile du nez, dans les élévateurs, l' artère faciale, et, à trois ou quatre lignes plus en deh
de profondeur se rencontre ce trou, d'où sort le nerf accompagné de l' artère et de la veine. Rien de plus facile alors que de
s le bord de la glande parotide, faire immédiatement la ligature de l' artère transverse, si elle a été coupée, puis inciser ju
ical de l'aire du trou se rencontre le faisceau composé du nerf, de l' artère et de la veine dentaires inférieurs, qui, plus ba
lus bas l'excision de son bout inférieur. Dans le cas de M. Warren, l' artère , qui avait été coupée, fut liée immédiatement : l
gnes ses bords postérieur et inférieur, laissant, un peu en dedans, l' artère faciale, et remontant au-devant du masseter de ma
ur. Derrière le disque se trouve le faisceau des vaisseaux dentaires, artère , veine et nerf. Il est facile d'isoler ce dernier
e parotide. Parvenu sur le nerf, qui longe parallèlement en dessous l' artère faciale transverse, on peut isoler avec une égale
on intéresse le nerf eu entier ou seulement une de ses branches. Si l' artère transverse a été coupée, on en fait la ligature :
très profond qui renferme la parotide, la veine jugulaire externe, l' artère carotide externe avec ses divisions, l'occipitale
ère le faisceau des muscles styliens, la veine jugulaire interne et l' artère carotide interne. La simple énumération de ces pa
à la pointe de l'instrument tranchant. Le chirurgien écarte en haut l' artère auriculaire supérieure, en bas l'artère occipital
e chirurgien écarte en haut l'artère auriculaire supérieure, en bas l' artère occipitale, isole et refoule en avant la masse de
t pour effet de remédier aux maladies propres des vaisseaux, soit les artères , soit les veines. OPÉRATIONS SUR LES VAISSEAUX
rtificielle, constituant, sur les veines, la phlébotomie, et, sur les artères , l'artériotoinie. OPÉRATIONS QUI AGISSENT SUR L
doit les écarter avec soin : de ce nombre sont les trajets connus des artères , des veines et des nerfs d'un certain volume. M.
es et des nerfs d'un certain volume. M. Richerand a vu la lésion de l' artère temporale superficielle, et M. Dupuytren celle de
lles, volumineuses, peu mobiles, et qui ne sont pas trop voisines des artères et des nerfs. On s'assurera préalablement par le
blement par le toucher de la position relative et de la direction des artères re-connaissables à leurs battemens. Pour faire go
accidents sont : la douleur, la syncope, l'ecchymose, la lésion d'une artère , l'inflammation des veines et des lymphatiques.
tives, qui en quelques jours en amènent la résorption. Lésion d'une artère . C'est au bras et eu saignant la veine médiane ba
e médiane basilique, dont la direction croise en diagonale celle de l' artère brachiale, que cet accident est surtout à craindr
l tenions du cœur; à la cessation de ces phénomènes on comprimant l' artère au-dessus de la plaie et à leur continuation lors
l'accident, il faut placer le membre en demi-flexion et faire, sur l' artère ,une compression provisoire qui permette d'attendr
rtie supérieure, au point de bifurcation, où l'on risque de blesser l' artère brachiale à sa terminaison ou la radiale à sa nai
ans des cas rares où la veine médiane serait portée plus en dedans, l' artère cubitale à son origine et le nerf médian. 3° La s
, la veine croise obliquement en diagonale, dans toute sa longueur, l' artère numérale entre ses deux veines profondes; plus ha
as disposé, reconnaître le tendon du biceps et, à son côté interne, l' artère facile à distinguer à ses battemens; s'assurer de
isinage des différentes veines pour s'assurer qu'il n'existe poi nt d' artère superficielle anormale, ou du moins en constater
IOTOMIE Cette opération consiste dans la section transversale d'une artère dans le but thérapeutique de produire une émissio
volume, et appuyée sur un os qui permette de la comprimer. Plusieurs artères sont dans ce cas : la temporale, la faciale sur l
sur la face dorsale de la main, et enfin la pêcheuse. Chacune de ces artères peut être coupée en cas d'urgente nécessité; tout
e nécessité; toutefois on ne pratique guère cette opération que sur l' artère temporale superficielle et spécialement pour une
le vivant, il est toujours facile de reconnaître la position de cette artère , dont les battemens, très sensibles au toucher, s
ler garni d'une alèse, on s'assure par le toucher de la position de l' artère et on marque au besoin le lieu de l'incision par
indicateur et le pouce de la main gauche, écartés de chaque côté de l' artère , tendent la peau et appuient le vaisseau sur l'os
clos de la lame, dirige l'instrument la pointe présentée du côté de l' artère : on abaisse le bistouri en appuyant jusqu'à l'os
i en appuyant jusqu'à l'os et en retirant à soi de manière à couper l' artère en travers. Un jet de sang rouge, saccadé et isoc
on préfère au besoin tordre, mâcher ou même lier les deux bouts de l' artère et réunir par suture comme l'a pratiqué M. Magist
supporter pour le malade. Appliquant le médius gauche en dehors de l' artère , à deux ou trois lignes du point où il veut pique
quement jusqu'à l'aponévrose, s'abaisse et glisse en diagonale sous l' artère de bas en haut, d'avant en arrière et cle dedans
le la division et dont chacun embrasse dans son anse l'extrémité de l' artère de son côté. OPERAÏIOMS QUI SE PRATIQUENT SUR L
u'on le peut, de nouvelles dilatations de se produire. LIGATURE DES ARTÈRES . Le mot de ligature, employé pour désigner une
Le mot de ligature, employé pour désigner une opération spéciale aux artères , représente l'ensemble des manœuvres par lesquel
nte l'ensemble des manœuvres par lesquelles on découvre et on lie une artère dans un lieu sain, à peu de distance d'un lieu ma
atique , son histoire se trouve confondue avec celle des maladies des artères et des grandes lésions traumatiques ou chirurgica
al-à-propos nommé de Hunter. Vers i63o M.-A. Severin, en osant lier l' artère fémorale anévrisma-tique à sa sortie du bassin, t
DES LIGATURES. Ces règles se rapportent à trois temps : découvrir l' artère , l'isoler et placer la ligature. Recherche et m
rcher, d'après les données anatomiques, la direction de la ligne de l' artère , et s'assurer, en faisant contracter les muscles,
usculaires sous-cutanés par lesquels on doit se frayer une voie. Si l' artère est assez superficielle pour que l'on puisse en s
à une profondeur convenable, s'assurer au toucher des battemeus de l' artère , car il ne faut jamais renoncer à ce signe aux di
her, avant et pendant l'opération, et de l'existence en leur lieu des artères voisines , et de la présence accidentelle d'une a
leur lieu des artères voisines , et de la présence accidentelle d'une artère anormale, pour l'éviter s'il s'en rencontre. 2°
re anormale, pour l'éviter s'il s'en rencontre. 2° La position de l' artère reconnue, avec les quatre doigts assemblés de la
omme à l'ordinaire, puis inciser suivant la ligne reconnue. 3° Si l' artère est superficielle, inciser parallèlement à sa dir
lume, au nombre, au caractère et à la situation relative des parties, artère , veines et nerfs, qui le composent. Isolement
parties, artère , veines et nerfs, qui le composent. Isolement de l' artère . i° Le faisceau vasculaire reconnu et mis à déc
complètement la surface des tissus, puis reconnaître la position de l' artère par rapport aux veines et aux nerfs. Si l'on épro
, faire suspendre momentanément la compression pour rendre évidente l' artère par ses battemens. Saisir alors avec des pinces u
ens. Saisir alors avec des pinces un point de la gaîne en regard de l' artère , soulever ce pli et l'inciser avec la pointe du b
îne par un mouvement de va et vient parallèlement à la direction de l' artère . 3° La gaîne divisée dans une longueur d'un cen
e divisée dans une longueur d'un centimètre au plus, l'isolement de l' artère consiste à la dénuder d'un côté dans une longueur
arties contenues dans la gaîne, s il 11 y a, comme pour les grosses artères , qu'une veine-satellite très volumineuse, et dont
erait grave (ex. numérale, fémorale), il vaut mieux dénuder d'abord l' artère de ce côté pour mettre immédiatement cette veine
même précepte s'applique aux troncs nerveux d'un fort volume, quand l' artère plus faible est flanquée de deux veines-satellite
d'un eôté , et de l'autre de gros nerfs qui peuvent en imposer pour l' artère ( ex. axillaire ), il vaut mieux introduire d'abo
la veine de l'autre côté, pour ne pas la léser. 4° L'isolement des artères peu volumineuses et superficielles se pratique fa
c'est le cas où l'emploi des aiguilles courbes est préférable. 5° L' artère embrassée dans la courbure de la sonde ou de l'ai
onnaître s'il n'y a pas eu quelque erreur, en embrassant au lieu de l' artère soit une veine, soit un nerf. Une veine est facil
plexus brachial qui s'aplatit en le soulevant, et auquel ressemble l' artère épaissie si le sujet est un vieillard. Nous avons
cautions il faut procéder. Placement du fil et ligature. ¦ i° L' artère étant soulevée sur l'instrument, si elle est port
stylet, et, quand le fil est amené au dehors, dégager la sonde. Si l' artère , étant profonde, est portée dans la courbure d'un
t d'isolement est l'un des avantages des aiguilles à ligature. 2° L' artère placée dans l'anse du fil, soulever les deux bout
l'élasticité et les caractères anatomiques du tissu, que c'est bien l' artère elle-même qui est saisie. 3° Reste à lier. Un p
qui est saisie. 3° Reste à lier. Un premier nœud étant fait : si l' artère est superficielle, le second nœud peut être serré
poulie de renvoi pour chaque bout tenu dans la paume de la main. Si l' artère est profonde et le sillon étroit, il vaut mieux e
uides qui exsudent de la plaie trouvent une issue facile au dehors. ARTÈRES DU MEMBRE ABDOMINAL. On pratique la ligature de
DU MEMBRE ABDOMINAL. On pratique la ligature de presque toutes les artères un peu volumineuses du membre abdominal, de la pé
externe, suivant la hauteur de la lésion qui nécessite l'opération. ARTÈRE PÉDIEUSE (pl. 36) \ Situation et lieu d'électio
Vidal, ont consigné des faits d'hémorragie grave pour lésion de cette artère , et, du reste, beaucoup de chirurgiens ont pu ren
ng de son bord interne. La gaîne des vaisseaux pédieux se présente, l' artère au milieu entre ses deux veines et côtoyée en ded
er la gaîne des vaisseaux sur un pli soulevé avec la pince, dénuder l' artère et glisser dessous la sonde cannelée de dedans en
sion vers la tête du second os métatarsien. Cette plaie, qui laisse l' artère en dedans à sa partie antérieure, ne convient que
dedans à sa partie antérieure, ne convient que pour la ligature de l' artère à sa moitié postérieure, où sa direction est croi
de l'incision. 1 Voy. Anatonrie chirurgicale, pag. 5g et pl. 12. Artère tibiale antérieure (pl. 36) '. Situation. Appli
la pince , soulever une lamelle de la gaîne sur le bord externe de l' artère , l'inciser avec la pointe du bistouri, glisser de
ar la première ouverture. En raison de la situation profonde de cette artère , il est souvent utile de recourber préalablement
tion longitudinale de cette dernière devant se faire en deux temps. ARTÈRE t1riale POSTÉRIEURE (pl. d^, fig. i et 1 ) 1. S
ndance des graisses. Lieux d'élection. On pratique la ligature de l' artère tibiale postérieure à toute hauteur, depuis sa na
depuis sa naissance du tronc tibio-péronier jusqu'à sa bifurcation en artères plantaires. Il en résulte que les considérations
é. Manuel opératoire. i" Ligature derrière la malléole interne. L' artère cesse d'être verticale en regard de la saillie ma
rrière la malléole; ce précepte est peut-être le plus sûr pour lier l' artère au-dessus de l'articulation : afin d'atteindre pl
e nerf tibial postérieur; inciser alors la gaine, isoler et dénuder l' artère dans une longueur de cinq à six millimètres, d'ab
iles; le plus ou moins de volume des chairs rendant la situation de l' artère plus ou moins profonde, quoique sa direction soit
sculaires. Quelle que soit l'élévation dont les muscles proéminent, l' artère tibiale postérieure, au tiers moyen de la jambe,
iser de pointe, en dédolant, la gaine sur un pli, isoler et dénuder l' artère avec la sonde cannelée, d'abord sur son côté inte
Modification de M. Lisfranc. Dans quelque point qu'on veuille lier l' artère dans la longueur parcourue par le tendon d'Achill
elle ne permet pas, comme l'autre incision, de lier indifféremment l' artère sur tout point quelconque de la longueur de la pl
longueur de la plaie. 3° Ligature au tiers supérieur de la jambe. L' artère est encore ici plus éloignée de la surface, suiva
une légère courbure à concavité externe. En situation, l'origine de l' artère correspond un peu au-dessus du tiers supérieur de
nu dans toute la longueur de la plaie, inciser la gaîne et dénuder l' artère comme à l'ordinaire, puis glisser le fil avec l'a
à l'exemple de M. Guthrie qui a opéré de cette manière avec succès. Artère péronière (pl. 37, fig. 3) '. Situation. Logée
ous des jumeaux, entre les péroniers et le bord du soléaire, où cette artère , encore assez forte, est plus facilement accessib
u sillon inter - osseux se trouve la gaîne des vaisseaux renfermant l' artère entre ses deux veines. Isoler alors et dénuder co
ant ou vers soi. Procédé de M. Lisfranc. Comme pour les deux autres artères de la jambe, ce chirurgien prescrit de diriger l'
t suivant un angle de trente-cinq degrés avec la ligne verticale de l' artère ; c'est-à-dire du bord externe du tendon d'Achill
e modification , qui a toujours pour but de croiser la direction de d' artère , n'est pas aussi utile dans ce cas que pour la li
on traumatique par un projectile, M. Guthrie, afin d'éviter de lier l' artère fémorale, n'a pas hésité à inciser directement au
llet pour faire, avec une aiguille à suture, la ligature médiate de l' artère péronière à sa partie supérieure. Artère poplit
, la ligature médiate de l'artère péronière à sa partie supérieure. Artère poplitée (pl. 38) '. Situation. Logée profondém
a veine poplitée, qui la contourne en diagonale, est, par rapport à l' artère , externe en haut, postérieure au milieu, et inter
. Outre les hémorragies traumatiques qui commandent la ligature cle l' artère poplitée, lorsqu'elle peut être faite au-dessus d
oint lésé, le cas le plus ordinaire est lanévrisme spontané cle cette artère 1 elle - même, le plus commun de tous. Nous n'ent
hirurgicaux si nombreux qui infirment ou justifient la ligature cle l' artère poplitée cle préférence à celle de la fémorale, d
la poche anévrismale. Manuel opératoire. Incisions verticales. L' artère poplitée peut-être liée , à divers points de son
écartement des jumeaux, l'incision peut être moins longue pour lier l' artère entre les muscles, où sa profondeur n'est que de
au contraire, s'étendra davantage en haut, et sera plus longue, si l' artère doit être liée à sa partie supérieure, où sa prof
ique, comme on le décrit, mais offrant le tronc principal qui cache l' artère , et d'où se dégagent en dedans deux fortes branc
t s'offrir appliquée sur la face postérieure et un peu en dedans de l' artère ; saisir avec la pince un pli de la gaîne vasculai
haut et en dedans vers l'opérateur. La gaîne étant ouverte, dénuder l' artère avec la sonde cannelée, clans une longueur d'un c
on pourrait, au besoin, lier le tronc tihio-péronier ou même une des artères jambières à son origine. Ligature à la pairie s
quart inférieur cle la cuisse, point correspondant à l'origine cle l' artère , à partir du bord interne des muscles demi-tendin
ngle supérieur, pour croiser, un peu en diagonale, la direction cle l' artère . La peau étant incisée , écarter d'abord la vei
ant postérieure et un peu externe , on l'écarté en dehors pour lier l' artère avec l'aiguille anglaise. 11 est inutile d'insi
saphènc cpii s'y jette. Les veines étant directement postérieures à l' artère , on les écarte indifféremment en dedans ou en deh
Incisions latérales. Le but de cette méthode est d'aller chercher l' artère sous le bord tibial du jumeau interne. On y parvi
sceau vasculaire, la veine en dedans et recouvrant pour l'opérateur l' artère placée en dehors, le nerf tibial situé au milieu
hors par un crochet mousse ou par les doigts d'un aide intelligent. L' artère se présente alors, appliquée sur le muscle poplit
la cuisse. (Procédé de M. Jobert.) L'objet de l'auteur est délier l' artère poplitée sur le fémur par une incision verticale
, dontla profondeur, terme moyen, est d'environ quatre centimètres. Artère fémorale (pl. 39 et 47) '. Situation. Logée dan
er, qui ne le recouvre que par sa face interne. Lieux d'élection. L' artère fémorale peut être liée dans quatre lieux détermi
g. 53-54, et pl. 7, 8 et 11. 41 Cas d'opération. La ligature de l' artère fémorale à divers points de sa hauteur répond à t
même genre qui ont leur siège à la jambe, quand la ligature d'une des artères locales n'offre pas assez de chances de succès? c
cette ligature est-elle la plus fréquente de toutes parmi les grandes artères . C'est de préférence à la partie moyenne, où elle
gauche de l'opérateur pour le membre droit et vice versa, comprime l' artère fémorale sur le pubis soit avec la pelote à manch
'interstice, y suppléer en se dirigeant, suivant la ligne connue de l' artère , au milieu du plan interne de la cuisse pour son
ulpe de l'indicateur pour s'assurer positivement de la direction de l' artère à ses battemens. La moitié supérieure du sillon,
xterne et un peu antérieur, la veine est postérieure et interne, et l' artère mitoyenne. Inciser alors avec beaucoup de précaut
ler par cela même le nerf en avant; dénuder avec le bec de la sonde l' artère sur son bord antérieur dans une longueur de six à
le bord opposé un autre pli avec la pince et recommencer à dénuder l' artère en l'isolant de la veine sur le bord postérieur ,
On considère comme une modification d'une même opération, de lier l' artère fémorale à la partie moyenne ou au tiers supérieu
ue parce qu'elles sont censées débattues concernant un même plan de l' artère , tandis que toutes les trois sont bonnes si on le
er en arrière. Plus profondément se présentent la gaine vasculaire, l' artère antérieure, la veine postérieure, le nerf externe
turier, le refouler en dehors, et, le faisceau vasculaire mis à nu, l' artère antérieure, la veine postérieure, se conduire com
section dans sa cannelure. La gaîne mise alors à découvert, dénuder l' artère qui est antérieure et interne, la veine étant pos
l'indicateur abaissé au milieu tombe précisément, dans l'homme, sur l' artère fémorale, reconnaissable à ses battemens. Chez la
s battemens. Chez la femme, où le bassin est un peu plus évasé, cette artère est située de quelques millimètres plus en dedans
lques millimètres plus en dedans. Quant aux rapports des vaisseaux, l' artère est externe et un peu antérieure, la veine intern
occuper du nerf crural placé en dehors et tout à fait en arrière de l' artère , mais étranger à la gaîne vasculaire dont le sépa
nde les flocons adipeux, les ganglions lymphatiques et les troncs des artères et veines inguinales. Parvenu sur le feuillet com
nnelée, puis, amenant le bord soulevé de la gaine vers soi, dénuder l' artère dans une longueur de dix à douze millimètres, d'a
r son côté externe; soulever la gaine de l'autre côté, puis séparer l' artère de la veine, la dénuder sur son côté interne, gli
la pulpe déprime le nerf crural sous son aponévrose de revêtement. Artère fessière. Situation. L'artère fessière sort du
sous son aponévrose de revêtement. Artère fessière. Situation. L' artère fessière sort du bassin parla partie supérieure d
essier, et se divise au delà entre ces deux derniers muscles. Cette artère a été liée quatre fois pour des lésions traumati-
r : c'est environ aux deux cinquièmes supérieurs de cette ligne que l' artère fessière sort du bassin. Inciser alors, suivant c
ter un peu en dehors; au-dessous de lui est le faisceau vasculaire, l' artère supérieure et plus profonde, la veine postérieure
ncore au-dessous. Ouvrir la gaine, écarter la veine en bas, dénuder l' artère et en faire la ligature. Dans cette opération i
opération il est important, vu la profondeur et le peu de volume de l' artère , d'éponger fréquemment et de procéder avec lenteu
et lymphatiques qui masquent'les vaisseaux chez les sujets obèses. ARTÈRES DU MEMBRE THORACIQUE. On pratique la ligature d
ARTÈRES DU MEMBRE THORACIQUE. On pratique la ligature de toutes les artères un peu volumineuses du membre thoracique depuis l
thoracique depuis les branches digitales jusqu'à la sous-clavière. Artères de la main et de l'avant-bras. Ces artères sont
qu'à la sous-clavière. Artères de la main et de l'avant-bras. Ces artères sont la radiale et la cubitale, dont la ligature,
gature des troncs artériels à l'avant bras. La ligature partielle des artères de la main n'est motivée que par les lésions trau
que la ligature des troncs à l'a-vant-bras est toujours préférable. Artère radiale (pl. 4o et 4* ) '• On pratique la ligat
e. Artère radiale (pl. 4o et 4* ) '• On pratique la ligature de l' artère radiale à trois hauteurs différentes, à la face d
découvert au-dessus du premier espace inter-osseux, dénuder et lier l' artère . Cette opération, qui figure dans les livres, est
face palmaire tournée en haut, reconnaître au toucher sur le radius l' artère sensible à ses battemens. Déprimer la peau dans l
ement au tendon long supinateur se présente le faisceau vasculaire, l' artère entre ses deux veines, et plus en dehors le nerf
Ligature au tiers supérieur de [avant-bras (pl. La bifurcation de l' artère numérale ayant lieu en regard et au-devant du bor
, et pl. 9. au-dessus de son insertion à la tubérosité du radius, l' artère radiale à son tiers supérieur descend presque ver
vingt à vingt-cinq millimètres. Ainsi, à l'extérieur, le trajet de l' artère à la région antibrachiale est assez exactement dé
s, toujours sensible sous la peau et auquel correspond l'origine de l' artère . Terminaison de l'opération. Quelle que soit la
pronateurs, au fond se présente le t. vi. faisceau vasculaire, l' artère entre ses deux veines, et, parallèlement à leur c
bec de la sonde cannelée sur un pli soulevé avec la pince; dénuder l' artère et glisser dessous linstrunient en amenant vers s
nuder l'artère et glisser dessous linstrunient en amenant vers soi. Artère curitale (pl. 4o et 40 '. La cubitale, comme la
aisceau vasculaire étant mis à nu, isoler, avec le bec de la sonde, l' artère de ses deux veines et en faire la ligature. 2°
uscle fléchisseur profond et côtoyée en dedans par le nerf cubital, l' artère est placée à quinze ou seize millimètres de profo
d du sillon est le faisceau vasculaire; diviser la capsule, dénuder l' artère dans quelques millimètres de longueur et insinuer
r de ses deux cinquièmes inférieurs à l'avant-bras, les rapports de l' artère sont ceux que nous avons indiqués plus haut ; au-
dessus de ce point, c'est-à-dire dans sa demi-longueur supérieure , l' artère cubitale est appliquée, avec ses deux veines sate
de huit à neuf centimètres, et, de ce point jusqu'à son origine de l' artère bumérale, par le lmsceau des quatre muscles super
ans de l'os pisiforme. Cette ligne indique la direction générale de l' artère , à part la courbure qu'elle forme à son origine.
ouvoir être relevé; il vaut donc mieux, si on doit lier un peu haut l' artère , inciser les fibres à plat, suivant la ligne indi
be exactement sur le bord externe du faisceau humerai du sublime où l' artère cubitale se présente obliquement en diagonale du
ée, et serait remplacée avec beaucoup d'avantage par la ligature de l' artère humérale avant sa bifurcation au pli du bras. A
ligature de l'artère humérale avant sa bifurcation au pli du bras. Artère humérale (pl. 4° ct 4 0 Situation. Logée profon
par l'aponévrose dans l'épaisseur de laquelle monte parallèlement à l' artère la veine basilique, recouverte elle-même par le p
e elle-même par le pannicule adipeux et la peau. Cas d'opération. L' artère humérale est de tous les troncs volumineux celui
tuation au centre du mouvement d'extension du membre le plus long , l' artère poplitée est le siège le plus ordinaire de l'anév
re poplitée est le siège le plus ordinaire de l'anévrisme spontané, l' artère humérale, qui appartient au membre le plus mobile
de l'anévrisme variqueux ou varice anévrismale. Lieux d'élection. L' artère humérale, étant facilement accessible dans toute
en même temps, ce qui est le point le plus essentiel, de comprimer l' artère soit avec les doigts assemblés, soit avec le tour
ie topographique, page et pl. 9. l'existence et de la position de L' artère le long du bord interne du biceps , et de la cour
remier plan le nerf médian appliqué au côté interne et antérieur de l' artère au haut de la plaie, et qui s'en éloigne d'un cen
ter préalablement ce nerf en dedans; la gaîne vasculaire mise à nu, l' artère se présente ou entre ses deux veines ou avec une
plat la capsule sur un pli soulevé, dénuder avec le bec de la sonde l' artère dans une longueur d'un centimètre, d'abord sur so
ie inférieure de l'aisselle, soit, ce qui offre plus de sécurité, à l' artère sous-clavière à sa sortie des sca-lènes et sur le
pe sent en profondeur la saillie du nerf médian et les battemens de l' artère , inciser verticalement à plat, le long du sillon,
l'on écarte également en dehors; au-dessous la gaîne s'offre à nu, l' artère entre ses deux veines, ou avec une seule veine in
dedans le nerf cutané interne. Inciser la gaîne sur un pli, dénuder l' artère , comme il a été dit, d'abord sur son côté externe
s appelons humérale, et non, comme tous les chirurgiens, axillaire, l' artère du membre tho-racique au - dessous du grand pecto
du muscle grand pectoral écarté et soulevé en dedans sous la peau , l' artère sous-clavière comprimée sur la première côte, le
t, à travers les tégu-mens, le cylindre formé par le nerf médian et l' artère sensible à ses battemens. La direction du faiscea
u la veine, puis l'écarter en dedans où elle est fixée par un aide. L' artère alors se découvre placée entre cette veine, eh de
lus profondément la veine humérale externe s'il y en a une. Dénuder l' artère avec la pince ou le bec de la sonde, d'abord sur
eau. 1 Vov. Anatomie topographique, région axillaire, pag. /17 et Artère axillaire (pl. 4 s, 43 et 45) '. L'artère axill
axillaire, pag. /17 et Artère axillaire (pl. 4 s, 43 et 45) '. L' artère axillaire, en raison Je sa profondeur, de la dire
édés. i° Ligature au-dessous du petit pectoral. On peut atteindre l' artère axillaire par l'incision de Desault intermédiaire
Mais cette opération n'est utile qu'autant que l'on veut découvrir l' artère dans une grande étendue, et alors elle rentre dan
, modifié par Delpecli. L'intention de ce procédé est d'atteindre l' artère par une incision verticale entre le deltoïde et l
et la faire fixer en ce sens par un aide. Derrière elle se présente l' artère que l'on dénude à son tour, et sous laquelle on g
ée dans les auteurs sous une double dénomination : soit ligature de l' artère sous-clavière au-dessous de la clavicule, soit li
l'artère sous-clavière au-dessous de la clavicule, soit ligature de l' artère axillaire au-dessus du petit pectoral. Cette dern
sillon deltoïdicn. Dans cette section liera mesure les branches de l' artère acromio-thoracique qui se trouvent divisées. Parv
rfs cutané interne et cubital et une portion de fartère: puis vient l' artère plus profonde et plus ou moins recouverte par la
eine avec la sonde cannelée dans le sillon externe qui la sépare de l' artère , la déjeter en bas et en dedans et l'y foire main
y foire maintenir par un aide avec un crochet mousse ; puis dénuder l' artère elle-même entre les cordons qui l'embrassent, ins
connue de prime abord, il est facile de s'égarer et de prendre pour l' artère l'un des nerfs qui la côtoient, les battement qui
riques et cesser, en tirant sur un nerf embrassé, comme quand c'est l' artère elle-même qui est soulevée par le bec de l'instru
aves, après avoir alternativement dénudé et amené à la surface soit l' artère , soit un cordon nerveux, qu'enfin l'artère elle-m
amené à la surface soit l'artère, soit un cordon nerveux, qu'enfin l' artère elle-même put être reconnue et liée. B. Incisio
ult, l'intention de l'auteur, pour une même incision, étant de lier l' artère axillaire au-dessus du petit pectoral en dépriman
guérison était complète. Appréciation des procédés de ligature de l' artère axillaire. Quand la ligature est indiquée seuleme
ons dessinés d'après Pcllctan et M. ,lobert (pl. 3a, fig. r et. 2). Artère sous-clavière (pl. /j3 , |5) '• Lieux d'électio
t. 2). Artère sous-clavière (pl. /j3 , |5) '• Lieux d'élection. L' artère sous-clavière peut être liée en trois points : 10
, l'opération est singulièrement compliquée et par la profondeur de l' artère elle-même et par le grand nombre de vaisseaux et
on à part, dont les préceptes, vu la situation et les connexions de l' artère , sont les mêmes que pour le tonc brachio-céphali
dont la hase est à la clavicule; c'est dans ce creux qu'est située l' artère , à une profondeur qui, depuis la surface cutanée
récis donnés dans l'anatomie topographique, rappelons seulement que l' artère , située dans l'intervalle des scalènes entre le t
cule et au - devant du tendon du scalène antérieur qui la sépare de l' artère . De la superficie vers la profondeur, les parties
brachial en arrière et en dehors, c'est-à-dire plus eu saillie que l' artère . 1 " Ligature sur la première côte. Lignes d'
re le tubercule de la première côte, au côté externe duquel on sent l' artère à ses battemens. Pour plus de précaution, quand c
mens. Pour plus de précaution, quand ce point est trouvé, comprimer l' artère sur la première côte et s'assurer que cette compr
eur et à la dureté de leurs cordons cylindriques. Enfin parvenu sur l' artère , la dénuder un peu de chaque côté dans sa gouttiè
utres. La vérité est que l'on peut se dispenser de léser ce muscle, l' artère se trouvant encore au moins à deux centimètres pl
it, précisément au milieu de sa convexité, derrière laquelle répond l' artère sous-clavière sur la première côte. Inciser l'apo
ter en dehors les nerfs du plexus brachial ; le doigt perçoit alors l' artère depuis le tubercule de la première côte jusqu'ent
, en avant cl au côté interne du muscle : nous y ajouterions aussi l' artère scapulaire supérieure, qui croise le tendon en av
ser. La rétraction du muscle en haut, après la section, laisse à nu l' artère oblique en haut et en dedans ; l'isolement et la
ut et en dedans ; l'isolement et la ligature en sont alors faciles. ARTÈRES DE LA TÊTE ET DU COU. ARTÈRES DE LA TÊTE. Nou
la ligature en sont alors faciles. ARTÈRES DE LA TÊTE ET DU COU. ARTÈRES DE LA TÊTE. Nous avons déjà parlé, en traitant
LA TÊTE. Nous avons déjà parlé, en traitant de l'artériotomie, de l' artère temporale. Les autres artères de la tête dont on
rlé, en traitant de l'artériotomie, de l'artère temporale. Les autres artères de la tête dont on fait la ligature sont la facia
e la tête dont on fait la ligature sont la faciale et l'occipitale. ARTÈRE FACIALE (pl. 4$ , fig- l- B et B2 ). Eacile à l
es, écarter puis diviser sur la sonde cannelée le muscle peaucier ; l' artère se présente alors dans le sens de la plaie, côtoy
, l'hémorragie tendant à récidiver par les nombreuses anastomoses des artères de la face : le mieux est de lier les vaisseaux d
ères de la face : le mieux est de lier les vaisseaux dans la plaie. ARTÈRE OCCIPITALE (pl. 44? %• 1 ^ et B 2). Cette opéra
de la peau et des libres aponévrotiques d'insertion superficielle, l' artère se présente dans un canal aponévrotique, la veine
cielle au-dessus, la veine profonde et le nerf au-dessous : dénuder l' artère et passer dessous le stylet aiguillé. ARTÈRES D
au-dessous : dénuder l'artère et passer dessous le stylet aiguillé. ARTÈRES DU COU '. Hors les cas d'opération spéciale sur
conques du cou , on est dans la nécessité de lier dans la plaie toute artère qui se trouve lésée et plus particulièrement les
à part la sous-clavière déjà indiquée, on ne lie guère au cou que les artères linguale, carotide externe, carotide primitive et
arotide externe, carotide primitive et le tronc brachio-céphalique. ARTÈRE LINGUALE (pl. 44, fig. 2). Situation. Dégagée d
et l'écarter en arrière et en haut; en bas et en dedans se présente l' artère surmontée par le nerf hypoglosse et par sa veine
ils s'insinuent sous le mylo-hyoïdien. Sur le cadavre on peut lier l' artère près du bord même du mylo-hyoïdien; mais sur le v
glissant dessous la sonde cannelée : il est facile alors de dénuder l' artère et de la lier. 1 Voy. Anatomie topographique, r
e de la mâchoire, de manière à croiser en diagonale la direction de l' artère correspondant au milieu de la plaie. Le reste de
e reste de l'opération suivi comme à l'ordinaire, il réussit à lier l' artère du côté droit. Procédé de M. Malgaigne. La gran
ué le nerf hypoglosse; à deux millimètres au-dessous de ce nerf est l' artère , qui s'enfonce sous le mylo-hyoïdien et l'hyoglos
f est l'artère, qui s'enfonce sous le mylo-hyoïdien et l'hyoglosse. ARTÈRE CAROTIDE EXTERNE (pl. 44i %• 0- Situation. Bran
vient plus bas le tronc veineux linguo-facial, et plus profondément l' artère , interne et postérieure, appliquée sur l'aponévro
cateur, avec le bec de l'aiguille anglaise armée de son fil dénuder l' artère et glisser dessous d'arrière en avant et de dedan
l'ongle du doigt : dégager le fil, soulever le vaisseau et le lier. ARTÈRE CAROTIDE PRIMITIVE (pl. l\1, fig. 2 ; et pl. 4$,
E PRIMITIVE (pl. l\1, fig. 2 ; et pl. 4$, fig. i). La ligature de l' artère carotide externe est l'un des faits les plus cons
acilite l'opération en permettant de négliger la ligature des petites artères , dans nombre de cas les hémorragies consécutives
re une opération peu sûre tient au nombre immense des anastomoses des artères de la tête entre les deux troncs carotidiens, qui
s et en avant, la veine jugulaire interne; en arrière eten dedans l' artère carotide, et au-devant de celle-ci la branche des
ors, et l'y faire fixer avec un crochet mousse par un aide. Dénuder l' artère sur son côté externe, reporter la pince de l'autr
reporter la pince de l'autre côté pour soulever la gaine et dénuder l' artère sur son côté interne ; puis glisser en dessous le
t (pl. fig. 2. G et G 2 ). L'objet de l'auteur est d'aller chercher l' artère à la partie inférieure clu cou, derrière le faisc
cpie l'on écarte en arrière et en dehors vers le scalène antérieur; l' artère alors se présente à son tour, recouvrant le pneum
braehio-céphalique. Alors, avec le bec de la sonde cannelée, isoler l' artère à droite en abaissant en dehors le tronc veineux
teur entre la trachée et les muscles sous-hyoïdiens, et arriver sur l' artère . Dans cette manœuvre on n'opère que sur une longu
ut prendre garde de léser en portant trop en bas. Enfin parvenu sur l' artère , l'isoler et passer dessous le bec de l'instrumen
tion en diagonale, le tronc artériel, qu'il embrasse dans son anse. ARTÈRES DU TRONC. Les artères du tronc dont on pratique
onc artériel, qu'il embrasse dans son anse. ARTÈRES DU TRONC. Les artères du tronc dont on pratique la ligature sont l'épig
ion traumatique on peut pratiquer dans la plaie la ligature de toutes artères quelconques du tronc , soit les thoraci-ques, la
aque, l'une des branches lombaires ou même l'une des intercostales. ARTÈRE ÉPIGASTRIQUE. Situation. Née, en dehors de l'il
érieure à celle du pubis, point auquel nous avons vu que correspond l' artère iliaque externe. Ce point reconnu, en faire le mi
viser avec précaution le fascia-superfîcialis en évitant de léser les artères inguino-abdominales; puis arrivé sur l'aponévrose
iques. On se trouve alors sur les gros vaisseaux iliaques externes, l' artère en dehors, la veine en dedans, et en premier plan
ière une mince aponévrose, cpie l'on ouvre sur un pli, l'origine de l' artère iliaque externe. Ce procédé nous paraît offrir tr
al-à-propos le canal inguinal. 11 ne saurait convenir qu'autant que l' artère aurait été lésée très bas: en toute autre circons
ions le suivant. Procédé nouveau. Si le cas se présentait de lier l' artère épi-gastrique pour une lésion à la paroi abdomina
peut-être mise à découvert facilement et sans danger. Le lieu de l' artère fémorale à l'arcade crurale étant reconnu, d'une
rcade crurale, suivant la ligne indiquée plus haut, est le point où l' artère épigastrique s'insinue sous le muscle droit. Abai
c la sonde cannelée: derrière lui se trouve, entre ses deux veines, l' artère , dont il ne reste plus qu'à faire la ligature.
eux veines, l'artère, dont il ne reste plus qu'à faire la ligature. ARTÈRE ILIAQUE EXTERNE (pl. 47, %• 2 ) '. La ligature
rfs et de vaisseaux secondaires situés au-devant, l'encastrement de l' artère entre les scalènes et les troncs nerveux, et enfi
du lieu de la lésion pour opérer sur un tissu véritablement sain. L' artère iliaque externe, au contraire, à part le voisinag
'arcade crurale. Dans la gaîne d'enveloppe commune se trouvent : i° l' artère , externe et un peu antérieure; 20 la veine, inter
un peu postérieure; 3° un filament nerveux parallèle et antérieur à l' artère . Au dehors de la gaîne, le faisceau vasculaire es
'incision, et n'influent que sur la hauteur à laquelle on peut lier l' artère . Procédé d Abernethy. Le malade couché sur le d
pée, diviser avec ménagement le fascia-super-licialisct reconnaître l' artère inguino-abdominalc. Comme cette artère gênerait
per-licialisct reconnaître l'artère inguino-abdominalc. Comme cette artère gênerait au travers de la plaie , il vaut mieux l
pération se trouvent coupées en travers les branches d'anastomose des artères épigastrique et circonflexe iliaque qu'il faut li
é pour aller reconnaître le faisceau vas-culaire, et en particulier l' artère à ses battemens. Enfin le poids de la masse viscé
avec le bec de la sonde sur un pli soulevé avec la pince , dénuder l' artère d'abord sur son côté externe, puis sur l'interne,
sinuer dans ce dernier sens l'aiguille de Deschamps et Grœfè, entre l' artère et la veine, et ressortir en dehors en prenant ga
r le fascia , puis la gaine vasculairc; on trouve alors à découvert l' artère iliaque externe, et de chaque côté les origines d
couvert l'artère iliaque externe, et de chaque côté les origines de l' artère épigastrique en dedans et de la circonflexe iliaq
a doit être, le même que nous avons déjà décrit pour la ligature de l' artère épigastrique; son indication essentielle est de f
foire tomber le milieu de son incision sur le point correspondant à l' artère iliaque externe, et , parvenu dans le canal ingui
un fait principal , c'est la hauteur à laquelle il convient de lier l' artère . Sous ce rapport le procédé original d'Abernethy
est demeuré supérieur à tous les autres, parce qu'il permet de lier l' artère à toutes les hauteurs quelconques. La modificatio
et d'Abernethy nous paraissent préférables suivant qu'on veut lier l' artère soit en bas, soit en haut, ou à une hauteur non d
ise clans le procédé de ligature des iliaques interne et primitive. ARTÈRE ILIAQUE INTERNE (pl. 48). Branche interne de la
ion de l'iliaque primitive, au niveau de la symphyse sacro-iliaque, l' artère iliaque interne ou hypogastrique forme un tronc t
l'exemple rapporté par Sandifort. C'est donc pour des anévrismes de l' artère fessière que la ligature de l'iliaque interne a é
inal externe, c'est-à-dire clans l'espace moyen entre cet anneau et l' artère sur l'arcade crurale, une incision cutanée de dou
. Cette direction nous paraît préférable à celle indiquée de suivre l' artère épigastrique qui s'incline trop en dedans et n'a
iser successivement la peau, le fascia superficialis en ménageant les artères , puis à petits coups les trois premières couches,
tion des vaisseaux; reconnaître avec l'indicateur la bifurcation de l' artère iliaque primitive, suivre en bas et en dedans l'h
, l'emploi de cet instrument, dont n'a point fait usage M. Stevens. ARTÈRE ILIAQUE PRIMITIVE (pl. 48). Tronc commun pelvi-
vi-fémoral résultant de chaque côté de la bifurcation de l'aorte, les artères iliaques primitives, d'une longueur d'environ sep
r les circonstances ultérieures, déjà connues, pour les ligatures des artères iliaques externe et interne. Il est évident qu'on
séparent des ganglions et vaisseaux lymphatiques et les origines des artères et des veines lombaires, la portion sous-duodénal
s des artères et des veines lombaires, la portion sous-duodénale de l' artère aorte abdominale, dans l'état normal, n'a que cin
inale est une opération d'une haute 'gravité quant au volume de cette artère et à la double interposition du péritoine au-deva
u'ont dû faire naître ces faits que s'est fondée la ligature de cette artère . Malheureusement les résultats jusqu'à ce jour, a
ritoine d'arrière en avant, de l'autre côté, de manière à renfermer l' artère sur l'indicateur fléchi comme dans une anse. Sur
rures qui donneraient lieu aux accidens les plus graves. PLAIES DES ARTÈRES . Les lésions traumatiques des artères nous sont
les plus graves. PLAIES DES ARTÈRES. Les lésions traumatiques des artères nous sont déjà connues dans leurs accidens généra
t très oblique, on s'assure, en sondant avec un stylet, du point où l' artère est lésée, afin de la découvrir en regard par une
e, afin de la découvrir en regard par une incision directe. Dès que l' artère est mise à découvert, on la dénude, on l'isole, o
vrisme variqueux ou le kyste sanguin, intermédiaire d'une veine à une artère blessées en commun, donne passage au sang de l'un
rement dit, ou artériel, formé soit par la dilatation des parois de l' artère sous l'influence d'une cause organique, c'est Yan
uelquefois empêché le développement de la maladie. — i° Ligature de l' artère au-dessus de la tumeur. Ce procédé n'a eu aucun s
cès. Au bras, sur trois malades auxquels a été faite la ligature do l' artère humérale, la tumeur a reparu (Dupuytren, Breschet
ytren, Breschet). Au membre inférieur, dans deux cas de ligature de l' artère fémorale, il y a eu des escarres gangreneuses, de
ent par ses insuccès, Dupuytren avait songé à la ligature double de l' artère et de la veine ; mais ce procédé, qui, du reste,
e craindre une phlébite, n'a pas encore été essayé.— 3° Ligature de l' artère au-dessus et au-dessous de la tumeur. Ce procédé,
mpression nécessitant des manœuvres lentes et délicates pour isoler l' artère des veines et des nerfs qui l'accompagnent. ANÉ
un, en particulier, en offrait soixante-trois répandus sur toutes les artères d'un certain volume. Chez tous la disposition aux
faits de guérison spontanée. L'organisme procède à l'oblitération des artères anévris-matiques par trois procédés : i° la résor
verin, Guattani, Pomarest, MM. Marjolin et Guthric, se rapportent à l' artère fémorale. Le cas de guérison par gangrène observé
usqu'à Llunter. Aètius, pour la guérison de l'anévrisme, découvre l' artère au-dessus de la tumeur en deux endroits, et en fa
dénude et fait glisser les fils vers chaque extrémité, les lie sur l' artère au-dessus et au-dessous, ouvre la tumeur, la vide
— Guy de Chauliac ( i3/|o) découvre la tumeur, fait la ligature de l' artère à chaque bout, l'isole par une double section en
n partie non dangereuses; coupant le cuir au-dessus, le séparant de l' artère , puis on passera une aiguille à séton, enfilée d'
is on passera une aiguille à séton, enfilée d'un fort fil, par sous l' artère , aux deux côtés de la plaie, laissant tomber le f
ême, et ce faisant, nature engendre chair qui sera cause de boucher l' artère . »—Guillemeau(i G i o) lie également l'artère au-
sera cause de boucher l'artère. »—Guillemeau(i G i o) lie également l' artère au-dessus et au-dessous de la tumeur, mais sans l
ître, et va même plus loin, enseignant au chirurgien de « découvrir l' artère vers sa racine et partie supérieure, et la lier s
lcire(\-]l\/\) après avoir établi avec le garrot la compression sur l' artère , au-dessus de la tumeur, incise le sac anévrismal
ueur, en vide et en nettoie la cavité, cherche le bout supérieur de l' artère , y introduit le bec d'une sonde pour le soulever
à deux idées générales qui caractérisent la méthode ancienne : lier l' artère avec sous-section pour isoler l'anévrisme sans av
, en présence du célèbre anatomiste Lancisi, il se contenta de lier l' artère numérale au-dessus de la tumeur, sans toucher au
, constitue aujourd'hui la cure la plus rationnelle de l'anévrisme. L' artère étant liée au-dessus de la tumeur par une simple
(1785), qui a remis cette opération en honneur pour un anévrisme de l' artère poplitée. Il fit sa ligature au-dessus de la tume
ux deux membres; Acrel a obtenu le même succès pour un anévrisme de l' artère sous-clavière. Guattani compte quatre guérisons s
; la compression au-dessus de la tumeur se fait avec une bande sur l' artère et une plaque d'opposition, l'une et l'autre fixé
ns le sac, qui est un aperçu rétrograde. La compression établie sur l' artère , au-dessus de la tumeur, on incisa en regard de l
de la cuisse, Sabatier, ayant établi une compression préalable sur l' artère avec deux tourniquets au-dessus et au-dessous de
par un instrument. Surpris dans un cas d'urgence, Desault comprima l' artère avec une espèce de pince en bois serrée par un ru
e. Assalini affirme avoir guéri avec le sien plusieurs anévrismes des artères fémorale et poplitée après trois ou quatrejourset
Voici la méthode la plus nette et la plus efficace d'oblitérer les artères ; aussi est-ce, au point de vue particulier de l'a
s moyens. Le but de la ligature étant d'obtenir l'oblitération de l' artère par la pression circulaire d'un corps étranger de
ration brusque. Scarpa avait posé en théorie que pour oblitérer une artère il suffit de provoquer l'inflammation de son cyli
ous devons dire en quoi il consiste. Déjà Paré parle de comprimer une artère avec un petit rouleau de linge long de six lignes
la membrane interne en contact avec elle-même. Procédé de Scarpa. L' artère est mise à découvert comme pour la ligature, mais
six brins de fil rassemblés à plat, en un ruban, étant glissée sous l' artère , on applique dessus un petit cylindre de linge, e
grand nombre de praticiens. Deux cas de succès sont dus à M. Paletta ( artères fémorale et numérale), deux autres à M. Morigi (p
e persiste en arrière, dans le point opposé de l'anse appliquée sur l' artère , et remplit ses conditions de n'exercer qu'une pr
quelques minutes et assura néanmoins avoir obtenu l'oblitération de l' artère . Cette tentative a réussi à M. Hutchinson; mais M
avoir opéré sur des chevaux et des moutons, ont constaté que jamais l' artère n'a été oblitérée. M. Travers a modifié cette thé
ade a guéri après cinquante heures d'application d'une ligature sur l' artère humérale. Pareille réussite est duc à M. Roberts,
M. Levert, sur cette donnée, a expérimenté sur des chiens, en fait, l' artère s'est toujours trouvée oblitérée; le fil s'envelo
ntroduire dans la pratique. Double ligature avec piqûre à travers l' artère . Nous avons déjà mentionné ce moyen, indiqué par
ionis, décrit par Richter, et dont sir A. Cooper a fait l'essai sur l' artère fémorale pour un anévrisrne poplité. Serrer l'art
it l'essai sur l'artère fémorale pour un anévrisrne poplité. Serrer l' artère d'une ligature en deux points, poser dans l'inter
et difficiles, sans autre résultat réel que d'enflammer inutilement l' artère dans une plus grande étendue. Double ligature a
à leur exemple tout le moyen-âge, avaient recommandé la section de l' artère entre deux ligatures. Severin, Purman , Morand et
é au long par M. Maunoir, est d'annuler la force de rétractilité de l' artère , qui, déjà raccourcie par la striction, tirailler
rme, d'après des expériences sur les animaux, que la rétractilité des artères existe à peine. M. Vcl-peau se range à cette opin
lleur argument contre le procédé en question , c'est qu'en divisant l' artère il accomplit immédiatement un résultat qu'il s'ag
t celle qui se pratique avec un fil de chanvre ciré sur un point de l' artère dénudé. Nous avons traité au long des procédés op
é au long des procédés opératoires qui s'y rapportent pour toutes les artères , il nous reste à indiquer d'une manière générale,
on convenable, la compression temporaire bien assurée, le trajet de l' artère reconnu dans les formes énoncées pour chaque lieu
e, pour le soulever, le bout d'une sonde, algalie ou stylet. Isoler l' artère des veines, nerfs et tissus voisins, l'environner
efs du fil, s'assurer au toucher, par les battemens, que c'est bien l' artère qui est comprise dans l'anse. Serrer alors la lig
rincipe, comme l'essentiel est d'opérer sur un point ou le tissu de l' artère soit parfaitement sain, dans l'anévrisme spontané
t mieux se rapprocher de la tumeur pour bénéficier de la présence des artères collatérales les plus voisines. MOYENS EN ESSAI
en gangrène. M. Briquet établit, d'après Béclard, que cette portion d' artère étranglée continue de vivre par elle-même. Il est
océdé est de doubler inutilement la chance de section prématurée de l' artère ; mais cette objection est si forte qu'elle équiv
4° Torsion. M. Thierry a eu l'idée d'appliquer la torsion aux grosses artères non coupées, c'est-à-dire aux cas d'anévrismes, e
ismes, et en a fait l'essai sur la carotide des chevaux. 11 soulève l' artère sur la courbure de l'aiguille de Deschamps, et se
ures, rebroussement. Briot avait établi que, pour faire oblitérer une artère dénudée, il suffisait de la saisir entre les mors
temporaire le procédé de M. Davat pour les varices, c'est-à-dire, une artère étant dénudée comme pour la ligature, sans léser
'auteur, d'abandonner une expérience sur un chien, il se trouva que l' artère fémorale fut traversée par une épingle laissée à
ains de M. Amussat. L'auteur pense que si une épingle suffit pour une artère de médiocre volume, il faudrait, pour les gros tr
er un courant électrique. M. Liston l'a essayé pour un anévrisme de l' artère sous-clavière, mais, n'obtenant aucun résultat, i
par la situation et la direction de la plaie, on peut supposer qu'une artère a été lésée, de sorte qu'après l'extraction d'un
cher, avant chaque nouvelle incision, la position des divers organes, artères , nerfs, etc., que l'on doit éviter, et la directi
il vaut mieux, en procédant avec lenteur, comme dans les ligatures d' artères , écarter les espaces inter-organiques ou les fais
nflammatoire, Y étranglement, la ligature en masse et la ligature des artères . 2°Aux moyens de destruction se rapportent : la c
êcher le sang d'arriver à la tumeur par la section ou la ligature des artères qui s'y rendent. On y parvient par trois procédés
superficielle et périphérique n'est alimentéeque par de très petites artères , par exemple aux parois du crâne et sur toutes le
e auquel M. Hodgson avait déjà pratiqué sans résultat la ligature des artères radiale et cubitale. Dans un cas où la tumeur éta
n pratiquée sur la peau saine pénètre au delà du siège présumablc des artères de la région. A mesure qu'elles sont coupées on e
tenant la plaie écartée avec de la charpie. 2° Ligature des petites artères . S'il y avait un moyen assuré d'obtenir l'atrophi
s, il semble que ce devrait être par la ligature après dissection des artères qui leur fournissent des vaisseaux. Cependant cet
us avons vu que M. Hoclgson avait échoué à guérir par la ligature des artères radiale et cubitale une tumeur de la main. M. Ché
ù le danger est d'autant plus grand que souvent le sang coule par des artères coupées encastrées dans des canaux osseux, il fau
des parties molles à un pouce (vingt-sept millimètres) en dehors de l' artère fémorale, de manière à diriger l'aiguille sur le
t toujours parvenus à se rendre maîtres de l'hémorragie fournie par l' artère méningée moyenne. Du reste aujourd'hui la torsion
la trépanation des os du crâne. La division cle quelques branches des artères mammaires est le seul accident qu'on ait à redout
lées au même titre par exemple que les amputations ou les ligatures d' artères . Entièrement subordonnées aux conditions ana-tomi
sur les os; excepté vers l'extrémité du radius, pour ne pas blesser l' artère radiale dans le lieu de sa réflexion. La main éta
la limite de la maladie. L'opération terminée, si quelques petites artères ont été coupées il suffit de les tordre; on retir
du côté sain par un aide qui exerce en même temps la compression de l' artère sous-cla-vière sur la première côte. Le chirurgie
, le faisceau des tendons des muscles extenseurs et court péronier, l' artère , le nerf tibial antérieur, la veine saphène inter
iceps sural, des muscles profonds postérieurs et des péroniers, par l' artère , le nerf tibial postérieur et la veine saphène ex
n haut et en arrière. L'articulation étant mise à découvert, lier les artères qui fournissent du sang; puis, saisissant la cu
e ce nerf. Pareille observation s'applique au conduit cle Sténon, à l' artère faciale, et aux nerfs sous-orbitaire et mentonnie
si l'intégrité des filets du nerf facial, du canal de Sténon et cle l' artère faciale, qui, se trouvant contenus dans l'épaisse
s, et par le tissu adipeux de l'orbite. Pansement (pl. 64, fig- 4)- artères qui fournissent du sang ayant été tordues ou liée
ter pendant l'opération. Un aide, qui comprime en même temps les deux artères faciales à leur passage sous l'angle de la mâchoi
, sont détachés en rasant exactement la mâchoire, afin de ménager les artères coronaires; lorsqu'ils ont été disséqués au delà
t échappé. Les vaisseaux des parties molles sont tordus ou liés; si l' artère dentaire fournit du sang, on l'arrête avec une pe
n rasant soigneusement le bord de l'os; on évite ainsi la lésion de l' artère intercostale et de la plèvre. Les accidens à redo
el faudra totalement devestir de la membrane , lier ou cautériser les artères , et ramener le cuir doucement sur l'os, et le fix
e des vaisseaux rend ordinairement la cicatrisation très prompte; les artères collatérales n'ont pas, en général, besoin d'être
s avec succès l'amputation cle l'avant-bras le plus bas possible. L' artère radiale à la partie inférieure de l'avant-bras se
bord de son lit ou sur une chaise, un aide placé en dehors comprime l' artère numérale; l'avant-bras demi-iléchi est fixé entre
avant le cubitus. Cinquième temps. Retirer la compresse et lier les artères cubitale, radiale et inter-osseuses; réunir trans
donc bien de choisir cette position si l'état des forces le permet. L' artère humérale est comprimée par un aide si l'on ampute
imée par un aide si l'on ampute au tiers inférieur, plus haut c'est l' artère axillaire, enfin la sous-clavière si c'est à la r
rficiels, interne et externe, sans intéresser dans ce premier temps l' artère humérale, relever les lambeaux et diviser les cha
ns du bras à diverses hauteurs, la ligature principale est celle de l' artère fémorale placée en dedans, sur l'humérus, entre l
ée d'un grand nombre de tendons, est très rétractile. On a à lier les artères digitales in ter-osseuses, mais rarement la plant
, de ciseaux de Liston et de pinces. La jambe pendante hors du lit, l' artère comprimée par un aide au creux poplité, le pied e
bistouri droit. Le malade couché sur un lit, les jambes pendantes, l' artère est comprimée par un aide au pli de l'aîne ou au
s'occuper de l'angle du tibia, qui n'a aucun inconvénient. — Lier les artères tibiales antérieure et postérieure et la péronièr
tion fléchissait la jambe sur la cuisse pour diminuer l'impulsion des artères et la douleur réactionnelle. Louis nous apprend d
sur un lit, le tronc élevé, les jambes pendantes, un aide comprime l' artère sur le pubis, un autre soutient la jambe et relèv
irs et la peau, en avant par la peau et l'aponévrose seulement. Les artères ouvertes sont : i° la tibiale antérieure accolée
environ au-dessous de son passage par le ligament inter-osseux; cette artère est souvent difficile à saisir : MM. Ribes et Gen
iceps et du ligament externe de l'articulation. On n'a à lier que l' artère poplitée ; mais l'ouverture de larges canaux vein
de la seconde série entourent l'os de tous côtés. Les rapports de l' artère fémorale avec le fémur sont aussi importons dans
facilement, on est quelquefois obligé de l'inciser en manchette : les artères augmentent en nombre et en volume, l'inflammation
i de l'aine avec les deux mains, et d'appliquer alternativement sur l' artère le pouce de chaque main. Le malade couché le tr
liens. Les aides cle rigueur sont ainsi distribués : l'un comprime l' artère , l'autre soutient la jambe malade; un troisième e
is que le même procédé ne lui réussît pas aussi bien pour les petites artères . Quant au nombre des vaisseaux à la cuisse, au ti
Quant au nombre des vaisseaux à la cuisse, au tiers inférieur on a l' artère fémorale, les perforantes, et diverses musculaire
culairement les fibres profondes. Dans le lambeau interne se trouve l' artère fémorale ; c'est donc toujours celui qu'il faut t
sale sans tailler de lambeau en ce sens. Pansemens. La ligature des artères collatérales est rarement nécessaire, ordinaireme
aucoup plus facile par l'incision ovalaire. Réunion. La torsion des artères suffit quand il n'y a eu de coupées que les colla
royons devoir prémunir le chirurgien en ce qui concerne la lésion des artères qui doivent être liées. L'ablation de l'annulaire
e longueur. L'opération terminée, il reste à lier les deux troncs des artères cubitale et radiale: la réunion linéaire est des
ision très inférieur à la section circulaire. Réunion (fig. 4)- Les artères à lier sont les deux troncs des artères radiale e
aire. Réunion (fig. 4)- Les artères à lier sont les deux troncs des artères radiale et cubitale. Si pourtant ces artères rétr
sont les deux troncs des artères radiale et cubitale. Si pourtant ces artères rétractées ne pouvaient être trouvées, on procéde
par la section du tendon du triceps. Dans ce procédé il n'y a qu'une artère à lier, l'humérale; les chairs ont très peu d'épa
des chairs : ce qui rend la désarticulation plus facile et donne deux artères à lier. Méthode ovalaire. — Procédé de M. Baude
s deux cas. Réunion. Ordinairement, dans la méthode à lambeau, deux artères sont à lier, la radiale et la cubitale; mais quel
Alanson, qui l'a décrite en 1744- Procédé de Garengeot. Comprimer l' artère médiatement, faire relever fortement les chairs v
e pince, le côté interne de la section , pour comprimer médiatement l' artère : enfin achever en dedans et en arrière la sectio
ien placé en avant pour le membre droit, en arrière pour le gauche, l' artère sous-clavière comprimée par un aide avec le pouce
evé, la tête de l'os isolée et luxée, dénuder et lier immédiatement l' artère axillaire par le dedans de la plaie, puis tailler
ne d'une main, saisisse entre les doigts les chaire, pour comprimer l' artère au-dessus du couteau : enfin, terminer par la sec
au à la désarticulation. Il suffit de faire comprimer préalablement l' artère sous-clavière. C'est ainsi qu'il a été pratiqué n
les lambeaux pour terminer par la désarticulation. Il est clair que l' artère doit être préalablement comprimée. Ce procédé n'e
descendre sur le côté interne, faire saisir au-dessus du tranchant l' artère entre les chairs, et, rasant l'os en dedans, tail
ral depuis l'acromion jusqu'au creux de faisselle, chercher d'abord l' artère axillaire, la dénuder et la lier; écarter les lèv
en taillant un lambeau externe et postérieur. Procédé de Desaidt. L' artère préalablement comprimée entre lesscalènes, le mem
de M. Larrey. Pour éviter l'inconvénient du procédé de Desault, où l' artère axillaire se trouve coupée dans la première incis
aie et les faire relever par un aide qui applique deux doigts sur les artères circonflexes externe et interne. L'articulation m
ns l'angle où se sont arrêtées les incisions obliques, faire saisir l' artère axillaire par les doigts d'un aide entre les chai
rne vers l'interne. Réunion. Excepté la première inter-osseuse, les artères digitales sont toutes plus petites qu'à la main;
lière et bien plus facilement susceptible d'adhérence. Réunion. Les artères étant tordues ou liées, on rapproche les lambeaux
alléoles et le rebord postérieur articulaire du tibia. Enfin lier les artères tibiales postérieure et antérieure et réunir par
ppliquer l'un des trois autres. Pansement. La poplitée est la seule artère d'un grand volume qu'il y ait à lier, puis vienne
1 et 2). Le malade couché sur le côté sain, un tourniquet placé sur l' artère , dit Tliérould, ou mieux, comme on le fait aujour
ur l'artère, dit Tliérould, ou mieux, comme on le fait aujourd'hui, l' artère comprimée par le pouce d'un aide; enfin la jambe
procéder, avant la section des muscles, à la ligature préalable de l' artère fémorale. Procédé de Delpech (lambeau interne:
fig. i). Commençant par une incision pour procéder à la ligature de l' artère fémorale sur l'arcade pubienne, perforer avec un
ouis en 1760, de commencer l'opération par la ligature préalable de l' artère fémorale. Cette ligature étant pratiquée d'abord
ue l'interne. Procédé de Dupuylren (lambeaux externe et interne). L' artère fémorale est comprimée sur le pubis par un aide ;
. Ce lambeau étant relevé, l'opérateur va de suite à la recherche des artères fessière et ischia-tique pour en faire la ligatur
moyen usité par M. Baudens d'oblitérer préalablement chaque orifice d' artère par une pince fixe, de manière à ne point entra
chanter, faire saisir, aussitôt qu'on le peut, au-dessus du couteau,l' artère entre les chairs par un aide et achever la sectio
cédé de Béclard (lambeaux antérieur et postérieur: pl. 89, fig. 1). L' artère comprimée au pli de l'aine, les bourses maintenue
e par une incision verticale sur le trajet des vaisseaux, pour lier l' artère sur un corps étranger, et fait ensuite relever en
ité d'un lit; le chirurgien est placé en arrière: la compression de l' artère fémorale est exercée, sur le pubis, par un aide.
s, dès que le couteau est assez descendu , faire saisir par un aide l' artère fémorale médiate-ment au milieu des chairs : enfi
rocédés de désarticulation coxo-fémorale. L'opération terminée, les artères à lier sont, en avant et en dedans du fémur, le t
bon résultat. Enfin reste la question de la ligature préalable de l' artère fémorale. Cette ligature, recommandée anciennemen
r le pubis et, dans les procédés qui le permettent, de faire pincer l' artère entre les chairs, derrière le couteau. On ne peut
99. z=. Moyens et procédés hémostatiques préventifs. Compression des artères en général, 100, 101. — Compression des artères
fs. Compression des artères en général, 100, 101. — Compression des artères en particulier, 101—104. —Procédés hémostatiques
es, ses procédés et ses instrumens, 105—109. — Moyens applicables aux artères d'un médiocre ou d'un petit volume, 108, 109. — H
on, résection, incision, excision, cautérisation, 153. Ligature des artères , 154—179. Généralités, 154—156. = Artères du me
tion, 153. Ligature des artères, 154—179. Généralités, 154—156. = Artères du membre abdominal. Pédieuse, 156. —Tibiale anté
ère, 159. —Poplitée, 159—161. — Fémorale, 161—164. — Fessière, 164. = Artères du membre thoracique. Radiale, 164, 165.—Cubitale
mérale, J66— 167. — Axillaire, 168, 170. — Sous-clavière, 170, 171. = Artères de la tête et du cou. Faciale, occipitale, 171. —
Carotide primitive, 173, 174. — Tronc brachio-céphalique, 174, 175. = Artères du tronc. Épigastrique, 175. — Iliaque externe, 1
pingles, ligature en masse, 195. — Section circulaire, ligature des artères , 196. — Cautérisation, déchirure et arrachement,
G. Tête de l'humérus dans sa capsule. 4° VAISSEAUX ET NERFS. 1. Artère carotide primitive. 2. Veine jugulaire interne.
ines thyroïdiennes inférieures. 6. Veine jugulaire antérieure. 7. Artère carotide externe. 8. Tronc veineux linguo-facia
inférieurs. 17. Vaisseaux faciaux. 18. Vaisseaux temporaux. 19. Artère sous-clavière. 20. Veine sous-clavière. FIGUR
ppe du sterno-mastoïdien. 5, 6. Saillie de la veine jugulaire et de l' artère carotide, appliquées sur la face antérieure de l'
nterne, vue dans toute sa hauteur jusqu'à sa sortie du crâne. 13. Artère carotide primitive. 14. Grand sympathique. 15
A. Aponévrose superficielle du périnée. 1. Branches cutanées de l' artère honteuse interne. 2. Veines cutanées correspond
l'anus. E. Bulbo-caverneux. F. Ischio-caverneux. 4. Tronc de l' artère honteuse interne. 5. Tronc de la veine honteuse
entre le col et l'insertion de l'uretère gauche. C. Ouraque. D. Artère ombilicale droite, recouverte par le péritoine.
nde prostate. b. Vésicule séminale. c. Rectum. d. Uretère. e. Artère ombilicale oblitérée. f. Canal déférent. g. A
Uretère. e. Artère ombilicale oblitérée. f. Canal déférent. g. Artère aorte. h. Veine cave inférieure. i,k. Artère
Canal déférent. g. Artère aorte. h. Veine cave inférieure. i,k. Artère et veine iliaques externes. 1. Artère hypogastriq
. Veine cave inférieure. i,k. Artère et veine iliaques externes. 1. Artère hypogastrique. m. Vaisseaux spermatiques. n, n.
erfs lombaires. 9.9. Branches postérieures des vaisseaux lombaires, artères et veines. B. Extrémité postérieure de la loge
ier supérieur (abducteur de la jambe ). 16. Nerfs fessiers. 17. Artères et veines fessières. 18. Vaiseaux ischiatiques.
s-hyoïdienne. A. Glande parotide. B. Glande sous-maxillaire. 1. Artère et veine sous-mentales, accompagnées de ganglions
et derrière son feuillet postérieur se voient en transparence : 3. Artère carotide primitive. 4. Veine jugulaire interne.
us-jacens. Le deltoïde est coupé avant ses attaches scapulaires. 8. Artère axillaire. 9. Veine axillaire, un peu airignée
s cutanées internes des second et troisième nerfs intercostaux. 14. Artère brachiale. 15. Veine humérale interne. 16. Ve
de petites loges spéciales dans l'épaisseur des aponévroses. 15. Artères et veines inguino-abdominales. F. Surface inter
e du premier adducteur. 23. 23. Vaisseaux de nutrition dégagés de l' artère fémorale. 24. Rameau nerveux du même muscle fou
n du muscle grand pectoral. Creux axillaire. 1. Nerf médian. 2. Artère axillaire. 3. Veine axillaire. Bras. C. Log
. Dans le triangle derrière ce muscle se voient les gros vaisseaux, artère carotide, veine jugulaire interne et le nerf gran
périeure de la loge du brachial antérieur. 1. Vaisseaux numéraux, l' artère , les deux veines et le nerf médian. 2. Vaisseau
s deux veines et le nerf médian. 2. Vaisseaux collatéraux externes, artères , veines, et le nerf radial. F. Loge du biceps e
aux sanguins. 2. 2. Filets nerveux fournis par le nerf crural. 3. Artère et veine fémorales vues en transparence sous le f
Insertions fémorales des jumeaux. M. Tendon du demi-membraneux. 1. Artère poplitée. 2. Veine poplitée. 3. 4. Vaisseaux
n. 12. Loge du vaste interne et du crural. B. Vaisseaux fémoraux. Artères , veines et nerf satellites. 16. Vaisseaux fémor
ponévrose d'enveloppe de la jambe. C. Vaisseaux tibiaux antérieurs. Artère , veines et nerf tibial antérieur. D; Vaisseaux
urs. Auprès est le nerf tibial de même nom. E. Vaisseaux péroniers. Artère et veines. F. Vaisseaux propres du soléaire, ar
eaux péroniers. Artère et veines. F. Vaisseaux propres du soléaire, artère , veines et nerf. G. Vaisseaux propres des jumea
a Fabrique de Mr. Charrière. Imp. Becquet, Paris. COMPRESSION DES ARTÈRES . ADULTE, DEMI-NATURE. Cette figure représente
ar des bandages, dans le cas d'hémorrhagie de l'une des branches de l' artère faciale, de la sous-orbitaire et de la frontale d
e ; au cou, par un compresseur de la carotide, et, sur le trajet de l' artère axillaire, par la pression des doigts. COMPRESS
giné plusieurs bandages, plus ou moins compliqués, pour comprimer les artères de la face ; les inconvéniens des nombreux tours
entées sur une même tête. (A) Petite compresse graduée comprimant X artère faciale à son passage sous le bord de l'os maxill
t et au-dessous de la mâchoire , en fixant la compresse graduée sur l' artère . (B) Compression, par une compresse graduée, de
l'aide duquel on pût opérer à volonté la compression permanente de l' artère carotide primitive. Celui que nous offrons rempli
lignes, refoule en dehors le sterno-mastoïdien, et vient comprimer l' artère carotide au devant des attaches des scalènes et d
u reste, comme dans la plupart des cas de compression permanente de l' artère carotide, surtout pour les congestions brusques d
L'AXILLAIRE. Dans les sujets fortement musclés, la compression de l' artère axillaire, entre la clavicule et le bord inférieu
u pelotte à manche, sont insuffisans pour empêcher les battemens de l' artère radiale: c'est ce motif qui nous a porté à figure
nt fabrique par M. Cbarrière Imp. Becquet, Paris. COMPRESSION DES ARTÈRES . ADULTE, DEMI-NATURE. Cette figure représente
ADULTE, DEMI-NATURE. Cette figure représente la compression de deux artères : à la face, la temporale; et, au cou , la sous-c
face, la temporale; et, au cou , la sous-clavière. COMPRESSION DE L' ARTÈRE TEMPORALE. Au lieu du bandage dit le nœud d'emb
s veines sous-cutanées, nous donnons le modèle de la compression de l' artère temporale par la petite pelotte de M. Charnière (
u-devant de l'oreille et au-dessus de l'arcade zygomatique comprime l' artère temporale , dans le lieu de sa bifurcation, pour
COMPRESSION DE L'ARTERE SOUS-CLAVIÈRE. Comme nous l'avons dit de l' artère carotide dans la planche précédente, jusqu'à ce j
nt possédé aucun instrument qui opérât la compression permanente de l' artère sous-clavière. Sans insister ici sur l'utilité tr
titude ou de l'impossibilité absolue que présente la compression de l' artère axillaire, nous proposons ici aux chirurgiens un
conditions qu'il remplit, arrête immédiatement la circulation dans l' artère sous-clavière chez les divers sujets, les plus fo
ême instrument peut servir pour la compression de l'une ou de l'autre artère sous-clavière. 2° Une seconde plaque d'acier (B
ppuyant sur la première côte , se trouve perpendiculaire à l'axe de l' artère , c'est-à-dire, oblique de haut en bas, un peu de
r N.H. Jacob. Instrument fabriqué parMr Charrière COMPRESSION DES ARTÈRES DU MEMBRE THORACIQUE. ADULTE, DEMI-NATURE. Ce
sins des compresseurs le plus généralement usités. COMPRESSION DE L' ARTÈRE HUMÉRALE, FIGURES I, 2 ET 3. Figure 1. Compress
DE L'ARTÈRE HUMÉRALE, FIGURES I, 2 ET 3. Figure 1. Compression de l' artère numérale, à sa partie moyenne, par le tourniquet
otte de pression, gouvernée par la vis de rappel, est appliquée sur l' artère . (Voyez, pour les détails de l'instrument, la des
trument, la description commune fig. 4.) Figure 2. Compression de T artère numérale, ci sa partie moyenne, par le garrot. Ce
bande de linge roulée très serrée, appliquée longi-tudinalement sur l' artère qu'elle comprime contre l'humérus. (b) est une
la plaque. Figure 3. (A) Compression cle la partie inférieure de l' artère /minérale, par un petit compresseur modifié par M
'est-à-dire qu'il se compose d'une seule pelotte (a), appliquée sur l' artère , la vis de pression (b), qui commande la plaque d
et souvent impossible de faire revenir en arrière. COMPRESSION DES ARTÈRES RADIALE ET CUBITALE, FIGURE 5. (B) Compression
ION DES ARTÈRES RADIALE ET CUBITALE, FIGURE 5. (B) Compression de l' artère radiale, au tiers inférieur de l'avant-bras, par
- cutanées. Le même instrument s'appliquerait à la compression de l' artère cubitale. (A) Exemple de compression, par le mê
emple de compression, par le même procédé, de la portion dorsale de l' artère radiale. DESCRIPTION DES COMPRESSEURS. igure
l.,et vfancke 21,fjg. 1, où il est appliqué pour la compression de l' artère fémorale à son origine). Figure 5. Compresseur
e 6. Petite pelotte de M. Charrière, imaginée pour la compression des artères de moyen calibre. (Voyez, pour son apposition, fi
les applications que nous en avons faites, planches 18 et 19 pour les artères de la tête, et planche 21 pour celles du pied). C
la Fabrique de Mr. Charrière Imp. Becquet, Paris. COMPRESSION DES ARTÈRES DU MEMBRE ABDOMINAL. ADULTE, DEMI-NATURE. FIG
MEMBRE ABDOMINAL. ADULTE, DEMI-NATURE. FIGURE 1. COMPRESSION DE L' ARTÈRE FÉMORALE. La cuisse est placée demi-fléchie sur
emi-fléchie sur un oreiller. La figure représente la compression de l' artère en deux points : à sa partie supérieure et à sa p
partie supérieure et à sa partie moyenne. COMPRESSION PUBIENNE. L' artère fémorale en ce point est représentée comprimée su
e. COMPRESSION FÉMORALE. DÉTATLS DU COMPRESSEUR DE DUPUYTREN. L' artère , à sa partie moyenne, est comprimée sur le corps
nducteurs (H) de la pelotte mobile (I) qui sert à la compression de l' artère . FIGURE Z. COMPRESSION DES ARTÈRES PÉDIEUSE ET
. 6). appuyant elle-même sur une petite compresse graduée, comprime l' artère tibiale postérieure dans l'espace moyen entre la
tendons extenseurs. La pelotte (M), de même configuration, comprime l' artère pédieusc sur le tarse, le long de l'extenseur du
Filet cutané du nerf cubital. 4° Vaisseaux profonds. Fig. 3. (10) Artère numérale : (11) Veines humerales satellites; (12)
même sujet nous représentons, à la tète, la saignée par section de l' artère temporale; au cou, la saignée de la veine jugul
e la veine céphalique par deux procédés. OPERATIONS. SAIGNÉE DE L' ARTÈRE TEMPORALE. La section de l'artère temporale est
dés. OPERATIONS. SAIGNÉE DE L'ARTÈRE TEMPORALE. La section de l' artère temporale est représentée ici sur deux points .
osition, on a fait une incision nette, en travers, sur le trajet de l' artère . La situation variable du vaisseau fait que l'on
e cadavre ; rien, au contraire, n'est plus facile sur le vivant, où l' artère est toujours sensible au toucher, et le plus souv
, nous proposons le procédé suivant : 2° (b) Incision du tronc de l' artère temporale sur Varcade zygomatique. La position
onc de l'artère temporale sur Varcade zygomatique. La position de l' artère en ce lieu est toujours facile à reconnaître, mêm
OPÉRATIONS AUXILIAIRES DE LA LIGATURE POUR OBTENIR L'OBLITÉRATION DES ARTÈRES COUPÉES EN TRAVERS. Figure 3. Action de saisi
ON DES ARTÈRES COUPÉES EN TRAVERS. Figure 3. Action de saisir une artère au milieu des chairs avec le ténaculum. L'instrum
ature, qui permet, dans une opération, de courir successivement d'une artère à l'autre sans perdre de temps. Figure 4. Ligat
une artère à l'autre sans perdre de temps. Figure 4. Ligature d'une artère sur un corps étranger. Figure 5. Refoulement d'
ure d'une artère sur un corps étranger. Figure 5. Refoulement d'une artère avec la pince à baguette de M. Amussat, le vaisse
et maintenu avec la pince ordinaire. Figure 6. Torsion simple de l' artère , maintenue entre les doigts de l'autre main. Fi
ant le procédé de M. Ainussat. Figure 8. Torsion simple des petites artères . Figure 1). Séton formé par une lanière d'un ti
Séton formé par une lanière d'un tissu animal passée au travers d'une artère , suivant le procédé de M. Horatio Jameson. Figu
dé de M. Horatio Jameson. Figure 10. Enlacement des extrémités de l' artère dans deux petites plaies au-dessus, en manière de
Saint-Louis pour la tumeur anévrismale développée sur le trajet de l' artère axillaire. Ce malade ayant succombé, l'ohservatio
tait au-dessus des ressources de l'art. A partir de l'aorte jusqu'à l' artère brachiale du côté droit, les troncs artériels for
s long-temps, la même affection se serait étendue à un grand nombre d' artères , et d'abord à celles du membre thoracique droit.
. G. Artère sous-clavière anévrismatique. On y voit l'origine des artères vertébrale et thyroïdienne inférieure, d'un volum
e basilique. M. Dilatation commençante de la partie supérieure de l' artère brachiale au-dessous du collet d'étranglement.
asilique dans le point où sa bifurcation accidentelle, embrassant l' artère , forme un collet d'étranglement. d. Veine numér
. 1. Tendon humerai du grand pectoral. FIGURE 2. ANÉVRISME DE L' ARTÈRE AXILLAIRE, (Cas observé par Pelletan — Musée Du
causée par l'obstacle à la circulation au travers de la tumeur, et l' artère brachiale étant saine au-dessous. ÉNUMÉRATION D
bridée par le muscle petit pectoral. B. Extrémité supérieure de l' artère axillaire s'ouvrant dans la tumeur. a. Veine ax
s la tumeur. a. Veine axillaire. b. Nerf du plexus brachial. C. Artère brachiale à sa sortie de la tumeur. c. Nerf méd
poche anévrismale. B. Artère poplitée. C. Orifice supérieur de l' artère poplitée (ouvrant dans la tumeur). D. Portion d
ieur de l'artère poplitée (ouvrant dans la tumeur). D. Portion de l' artère poplitée dégénérée en une substance pul- peuse,
arsemée de petites concrétions crétacées. E. Orifice inférieur de l' artère poplitée (à sa sortie de la tumeur). F. Continu
l'artère poplitée (à sa sortie de la tumeur). F. Continuation de l' artère poplitée. G. Artère tibiale antérieure. H. Ar
G. Artère tibiale antérieure. H. Artère tibiale postérieure. I. Artère péronière. K. Condyle externe du fémur (sa surf
ce qu'il offre une type, facilement applicable à toutes les autres artères , du procédé employé par la nature pour rétablir l
igamen- teux. 2. Extrémité supérieure oblitérée delà portion de l' artère poplitée qui entrait dans la tumeur. 3. Extré
ans la tumeur. 3. Extrémité inférieure oblitérée de la portion de l' artère qui sor- tait de la tumeur. 4, 4. Petites bra
ches articulaires moyennes naissant de la portion anévrismatique de l' artère , et qui sont également oblitérées. 5,5. Branche
t inférieures qui remplacent les articulaires moyennes. 6. Tronc de l' artère poplitée avant la naissance des branches collatér
r, par deux embouchures, dans le tronc tibio-péronier (14), et dans l' artère tibiale postérieure (15). 16. Artère tibiale po
tibio-péronier (14), et dans l'artère tibiale postérieure (15). 16. Artère tibiale postérieure. 17. Artère péronière. 18
ère tibiale postérieure (15). 16. Artère tibiale postérieure. 17. Artère péronière. 18. Artère tibiale antérieure. FIG
(15). 16. Artère tibiale postérieure. 17. Artère péronière. 18. Artère tibiale antérieure. FIGURE 5. ANÉVRISME DE L'
onière. 18. Artère tibiale antérieure. FIGURE 5. ANÉVRISME DE L' ARTÈRE CAROTIDE PRIMITIVE GAUCHE. LE DESSIN ET SON EXP
de l'aorte. B. Tronc brachio-céphalique, d'où naît dans ce sujet l' artère ca- rotide gauche anévrismatique. C. Carotide
non ouverte. H. Orifice de l'ulcération, ouvrant de la cavité de l' artère dans celle de la poche anévrismale. I. Ulcéra
DEMI-NATU RE. FIGURES 1 , 2, 3, 4. résultat de la ligature de l' artère iliaque externe. Le cas qui se trouve ici repré
é communiqués par M. Marx. La ligature pratiquée avait été celle de l' artère iliaque externe. La mort n'ayant eu lieu qu'après
irement les voies par lesquelles le cours du sang s'est effectué de l' artère iliaque primitive dans la fémorale. Deux artères
g s'est effectué de l'artère iliaque primitive dans la fémorale. Deux artères servent en haut de point de départ : l'hypogastri
vaisseaux. A. Artère fémorale oblitérée. L'oblitération comprend l' artère iliaque externe et le tronc de la fémorale jusq
squ'à la partie moyenne de la cuisse. B. Artère hypogasirique. C. Artère fessier e. On en voit naître quatre branches, a,
avers d'une échancrure des adducteurs ( fig. 1 ) et se divise en deux artères dont l'une (g) va se jeter dans la fémorale profo
ale profonde, et dont l'autre (h) rétablit, avec une branche (i) de l' artère profondeva circulation dans le tronc même de la f
l'obturatrice vient rejoindre l'origine de la fémorale profonde. D. Artère fémorale profonde formée par la jonction des bran
astomose de l'obturatrice (g) et forme avec la branche (h) de la même artère , par une autre branche ( i ), une artère qui réta
ec la branche (h) de la même artère, par une autre branche ( i ), une artère qui rétablit la circulation dans la fémorale H.
circonflexe interne et envoie elle-même une autr,e branche (n) dans l' artère poplitée. L. Artère circonflexe interne anastom
envoie elle-même une autr,e branche (n) dans l'artère poplitée. L. Artère circonflexe interne anastomosée avec l'ischiatiqu
anche ( o, fig. 4 ). FIGURES 5 et 6. résultat de la ligature de l' artère humérale. Ce fait tout récent provient de l'hôp
e médiane basilique. C. Veine basilique. Il est remarquable que l' artère et la veine piquées, au moment de la saignée, sur
int (a, fig. 5), un stylet, glissé dans le permis encore visible de l' artère , pénètre dans la poche anévrismale. Il est éviden
vrisme en haut et en dehors. D. Point où a eu lieu la ligature de l' artère humérale. La circulation était déjà rétablie dans
qu'une forte anastomose se formait, au-dessous de l'anévrisme,avec l' artère cubitale. E. Nerf médian. F. Nerf cubital.
ISSEAUX SANGUINS. DEMI-GRANDEUR. INSTRUMENTS POUR LA LIGATURE DES ARTÈRES COUPÉES EN TRAVERS. 1° pinces a ligatures simpl
nstrument ouvert; la figure (b) le montre, au contraire, en action. L' artère étant saisie d'une main, par la pression sur la p
ar un curseur, (a) Pince ouverte; (b) pince faisant la ligature d'une artère . 14. Pince de M. Lacauchic.—L'instrument est re
e M. Lacauchic.—L'instrument est représenté serrant la ligature d'une artère . Son mécanisme se compose d'une tige centrale mob
son action, la pince étant chargée d'une anse à ligature, on saisit l' artère ; et, par le mouvement de la tige, les articulatio
idem. 26. Pince double à torsion et à refoulement. LIGATURES DES ARTÈRES NON LÉSÉES. 27. Sonde cannelée aigidllée.—Cet i
on bec, il peut suffire, à la rigueur, pour la ligature de toutes les artères . 28. Aiguille de Deschamps. (Modèle le plus usi
pirale. 30. Aiguille anglaise d'un usage très commode pour lier les artères d'un médiocre volume. 31. Aiguille de sir A. Co
Charrière. Imp. Becquet, Paris. TEMPS GÉNÉRAUX DE LA LIGATURE DES ARTÈRES . A DU LTE, DEMI - N AT 0 R E. DISPOSITION GÉNÉR
ons du chirurgien communes à toutes les opérations de la ligature des artères , sans distinction d'aucune en particulier. Ces te
'ouverture faite à la gaine vasculaire. FIGURE 5. Dénudation de l' artère sur le bord du vaisseau, du côté du chirurgien.
par la main gauche, qui n'a pas quitté la pince. b. Dénudation de l' artère par la sonde cannelée : on déchire longitu-dinale
ar de petits mouvemens de va-et-vient, le tissu cellulaire qui unit l' artère à sa gaine. Dans ce temps opératoire, le vaisseau
dessous, de la moitié de son diamètre. FIGURE 6. Dénudation de l' artère sur le bord du vaisseau opposé au chirurgien. a
gaine par la pince transportée de l'autre côté. b. Dénudation de l' artère par la sonde cannelée, de la manière indiquée plu
'agit de ne point blesser les parties voisines, veines ou nerfs, ni l' artère elle-même, en dessous, et que cette dernière doit
stylet aigidllé porte-jîL Ce temps n'est utile que dans le cas où l' artère a été soulevée par une sonde cannelée imperforée;
l'autre extrémité sur le bord opposé. FIGURE 8. Soulèvement de l' artère dans L'anse du fd. Cette action du chirurgien,
l, devant s'assurer, par une inspection circulaire du vaisseau, que l' artère seule est comprise dans l'anse du fil. FIGURE 9
6 Pl.35. Dessine d'après nature par N. H. Jacob LIGATURE DES ARTÈRES TIBIALE ANTÉRIEURE ET PÉDIEUSE. ADULTE, DEMI-NA
ure tournée en haut. L'aide de gauche doit être employé à comprimer l' artère fémorale, celui de droite faisant le service des
sente les détails anatomiques qui ont rapport aux deux ligatures de l' artère tibiale antérieure. OPERATIONS. LIGATURE DE L
gatures de l'artère tibiale antérieure. OPERATIONS. LIGATURE DE L' ARTÈRE TIBIALE ANTÉRIEURE. 1° (A et A2) Au tiers SUPÉR
aux antérieurs. 6. Nerftibial. 7. Veines tibiales satellites de l' artère . 8. Artère tibiale, sous laquelle est passée l'
s. 6. Nerftibial. 7. Veines tibiales satellites de l'artère. 8. Artère tibiale, sous laquelle est passée l'anse de l'aig
és en arrière. 6. Nerf tibial antérieur. 7. Veines tibiales. 8. Artère tibiale, soulevée par la sonde cannelée. (C) LI
. Artère tibiale, soulevée par la sonde cannelée. (C) LIGATURE DE L' ARTÈRE PÉDIEUSE. 1. Section de la peau. 2. Section d
en dehors. 4. Tendon du long extenseur propre du gros orteil. 5. Artère pédieuse, entre ses deux veines, et soulevée par
6 Pl.36. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. LIGATURE DES ARTÈRES TIBIALE POSTÉRIEURE ET PÉRONIÈRE ADULTE, DEMI-N
r, le pied étendu. Sur ce membre sont représentées les ligatures de l' artère tibiale postérieure, à trois hauteurs différentes
e chirurgicale des deux plaies supérieures. Figure 3. Ligature de l' artère péronière au milieu de la jambe droite, appuyée p
it l'aiguille de Deschamps ou le stylet aiguillé, est glissé sous l' artère . FIGURE 1. LIGATURES DE LA TIBIALE POSTÉRIEURE.
de l'aponévrose profonde de contention des tendons fléchisseurs. — 4. Artère tibiale postérieure, entre ses deux veines. 2°
. —3. Section de l'aponévrose profonde des muscles fléchisseurs. — 4. Artère tibiale postérieure, entre ses deux veines : sous
umeau interne. — 7. fig. 2. Nerf tibial postérieur. — 8. fig. 1 et 2. Artère tibiale postérieure , entre ses deux veines. Dans
eschamps, tenue par la main droite de l'opérateur, est engagée sous l' artère . Détails anatomiques supplémentaires des plaies
t l'autre sont vus en transparence sous l'aponévrose. LIGATURE DE L' ARTÈRE PÉRONIÈRE, FIGURE 3. 1. Section de la peau. — 2
se. — 4. Section des attaches péronières du fléchisseur sublime. — 5. Artère péronière, entre ses deux veines. Sous ce vaissea
6 Pl.37. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. LIGATURE DE L' ARTÈRE POPLITÉE. ADULTE, DEMI-NATURE. DISPOSITION GÉ
ÉRALE. Cette planche représente, sur deux figures, la ligature de l' artère poplitée par deux procédés différens. Le temps ch
l'instrument, aiguille à ligature ou sonde cannelée, est passé sous l' artère soulevée du fond de la plaie. OPÉRATIONS. FIG
cuisse, et en bas par les jumeaux. Deux instrumens sont placés sous l' artère , pour montrer la possibilité d'en faire la ligatu
té interne. 6. Veine saphène postérieure. 7. Veine poplitée. 8. Artère poplitée. 9. Aiguille anglaise, passée sous l'a
poplitée. 8. Artère poplitée. 9. Aiguille anglaise, passée sous l' artère à la partie supérieure de la plaie. 10. Sonde c
plaie. 10. Sonde cannelée, passée sous l'extrémité inférieure de l' artère , entre les jumeaux. FIGURE 2. LIGATURE DE L'ART
inférieure de l'artère, entre les jumeaux. FIGURE 2. LIGATURE DE L' ARTÈRE POPLITÉE ;B et B2). (Procédé de M. Marshal). Le
Veine poplitée. 8. Nerf sciatique poplité, écarté en arrière. 9. Artère poplitée, sur le muscle de même nom. 10. Aiguil
même nom. 10. Aiguille de Deschamps, dont l'anse est passée sous l' artère . Tome 6. Pl.38. Dessiné d'après nature par
rateur. L'aide de gauche comprime, avec le pouce de sa main gauche, l' artère fémorale sur le pubis ; la main, fuyante à gauche
ervice des instrumens et du pansement. Pour indiquer le trajet de l' artère , il suffit de tracer, parla pensée, une ligne pas
icateur delà main gauche, le bec de la sonde cannelée, glissée sous l' artère qu'elle amène au-dehors. A. Main droite de l'op
nterne du muscle couturier refouléen avant. — 7. Portion dénudée de l' artère fémorale, amenée sur la sonde cannelée en premier
ose. —10. Veine fémorale. —11. Nerf crural. — 12. Nerf satellite de l' artère . LIGATURE DE L'ARTÈRE FÉMORALE AU TIERS INFÉRIE
. —11. Nerf crural. — 12. Nerf satellite de l'artère. LIGATURE DE L' ARTÈRE FÉMORALE AU TIERS INFÉRIEUR DE LA CUISSE. L'opé
i porte le fil étant dégagé de la cannelure de la sonde qui soulève l' artère au dehors. On a négligé ici de représenter les ma
émoto-poplitée. — 11. Nerf crural. — 12. Filet nerveux satellite de l' artère . Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. LIGAT
l'artère. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. LIGATURES DES ARTÈRES CUBITALE, RADIALE ET HUMÉRALE. ADULTE, DEMI-NAT
haut. L'aide de gauche comprime, avec les doigts de la main gauche, l' artère numérale sur la partie moyenne du corps de l'humé
grandes figures : Figure 1. Elle représente cinq opérations: 1° (A) Artère numérale, au pli du coude ; 2° Artère cubitale, d
résente cinq opérations: 1° (A) Artère numérale, au pli du coude ; 2° Artère cubitale, dans trois points ; (B) à la partie sup
naison sur les branches de bifurcation de son arcade palmaire; 3° (E) Artère radiale, à la partie inférieure de sa portion ant
t commune à cette planche et à celle qui suit (41) : Le trajet de l' artère humérale s'indique de lui-même sur la fig. 1 par
ensée, des doigts qui compriment au centre de la plaie (A). Celui des artères cubitale et radiale est ponctué, dans les interva
celui où la sonde ou le stylet cannelé et aiguillé est glissé sous l' artère , soulevée du fond de la plaie à sa surface. L
'artère, soulevée du fond de la plaie à sa surface. LIGATURE DE L' ARTÈRE HUMÉRALEj, au pli du coude. (A) Figure 2 et A
onévrose superficielle. — 3. Section de l'aponévrose bicipitale. — 4. Artère humérale, au-dessus de sa bifurcation. — Détails
es. — 9. Nerf médian. — 10. Tendon du biceps humerai. LIGATURE DE L' ARTÈRE CUBITALE. 1° Portion supérieure antibrachiale.
uscle fléchisseur sublime, déprimé en dehors. — 6. Nerf cubital. — 7. Artère cubitale, entre ses deux veines (8, 8). 2° Port
arpe. — 3. (C2) Section du feuillet aponévro-tique de revêtement de l' artère sur le ligament palmaire. — 4. (C2) Ligament ou a
gament palmaire. — 4. (C2) Ligament ou arcade fibreuse palmaire. — 5. Artère cubitale, entre ses deux veines (6, 6). — 7. Nerf
itale: 2, la branche d'anastomose avec la fin de la radiale, et, 3, l' artère collatérale externe de l'indicateur. LTGATURE D
ur. — 4. (E2) Tendon du fléchisseur sublime.—5. (E2) Nerf radial.— 6. Artère radiale, entre ses deux veines (7, 7). Portion
— 5. Attaches radiales du fléchisseur sublime. — 6. Nerf radial. — 7. Artère radiale, entre ses deux veines (8, 8). Tome 6
par N.H. Jacob. Im. Lemercier r de Seine 57 Paris LIGATURE DES ARTÈRES CUBITALE, RADIALE, ET HUMÉRALE. ADULTE, DEMI-NA
n haut. L'aide de gauche comprime, avec le pouce de la main gauche, l' artère sous-clavière à son passage sur la première côte.
: Figure 1. Elle représente quatre opérations de ligature : 1° (G) Artère hurnérale, au milieu du bras : à cette plaie se j
plaie se joint, pour l'anatomie chirurgicale, la figure (G2). 2° (F) Artère radiale, à la partie supérieure de l'avant-bras.
2). 2° (F) Artère radiale, à la partie supérieure de l'avant-bras. 3° Artère cubitale, dans deux points : (C) à sa partie infé
issance de l'arcade palmaire superficielle. Figure 2. Ligature de l' artère radiale sur la face dorsale de la main. Les pet
iter le numérotage. OPÉRATIONS. (G) Fig. 1, et (G2) LIGATURE DE L' ARTÈRE HUMÉRALE, au milieu du bras. Le muscle biceps
isseaux numéraux. — 4. Nerf médian.— 5. Veine hurnérale interne. — 6. Artère humérale, sur la sonde cannelée.— 7. (G2) Muscle
tion interne du triceps. (F et F2) Fig. 1, et Pl. 40. LIGATURE DE L' ARTÈRE RADIALE, a sa portion supérieure antibrachiale.
Muscle fléchisseur sublime. — 6. Nerf radial. Fig. I, et pl. 40. 7. Artère radiale, sur la sonde cannelée.— 8. Ses (C et C
a sonde cannelée.— 8. Ses (C et C2) Fig. 1, et Pl.40. LIGATURE DE L' ARTÈRE CUBITALE, a sa partie inférieure antibrachiale.
rté avec un crochet mousse.— 4. Tendon du fléchisseur sublime. — 5. Artère cubitale, sur la sonde cannelée. —6. Veines cubit
1. Section de la peau. — 2. Section de l'aponévrose palmaire. — 3. Artère cubitale, entre ses deux veines. Un fil est passé
bitale, entre ses deux veines. Un fil est passé dessous le tronc de l' artère dans le point où elle apparaît dans la paume de l
dorsale. 1. Section de la peau. — 2. Section de l'aponévrose. — 3. Artère radiale, entre ses deux veines. Tome 6. Pl.41
6. Pl.41. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. LIGATURE DES ARTÈRES HUMÉRALE, SOUSCLAVIÈRE ET CAROTIDE. ADULTE, DEM
DISPOSITION GENERALE. Figure 1. Elle représente la ligature de l' artère axillo-brachiale, ou plus exactement de la partie
de droite de l'opérateur comprime, avec le pouce de sa main gauche, l' artère sous-clavière à son passage sur la première côte,
ltoïde; sa main droite tient l'aiguille de Deschamps engagée sous l' artère . (Voyez, pour les détails anatomi-ques, pl. 43, f
fond des plaies. OPÉRATIONS. FIGURE 1. (A et A2) LIGATURE DE L' ARTÈRE HUMÉRALE, a son extrémité superieure. [Procèd
isseaux huméraux. — 6. Veine humérale interne. — 7. Nerf médian. — 8. Artère humérale, soulevée par l'anse de l'aiguille à lig
céphalique. — 6. Veine axillaire. — 7. Nerfs du plexus brachial. — 8. Artère axillaire, soulevée avec l'aiguille d'Astley Coop
e, soulevée avec l'aiguille d'Astley Cooper. C et C2) LIGATURE DE L' ARTÈRE CAROTIDE. Procédé de M. Sédillot. FIGURE 2.
TIDE. Procédé de M. Sédillot. FIGURE 2. (Bet B'2) LIGATURE DE L' ARTÈRE SOUS-CLAVIÈRE. ( Procédé de Chamberlayne. ) 1.
hors. — 5. Nerf pneumo-gastrique. ¦— 6. Veine jugulaire interne. — 7. Artère carotide, sur l'aiguille anglaise modifiée d'aprè
6 Pl.42. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. LIGATURE DES ARTÈRES SOUS-CLAVIÈRE ET AXILLAIRE. ADULTE, DEMI-NATURE
TION GÉNÉRALE. Figure 1. Elle représente deux ligatures, celles des artères sous-cla-vière et axillaire, par les incisions tr
e planche-ci 43. OPERATIONS. FIGURE 1. (A et A*) LIGATURES DE L' ARTÈRE SOUS CLAVIÈRE. (Procédé ordinaire.) La lèvre
plaie. — 6. Bord du scalène antérieur, en dedans duquel est située l' artère . — 7. Nerfs du plexus brachial qui limitent en
— 7. Nerfs du plexus brachial qui limitent en dehors le sillon de l' artère . — 8. Artère sous-clavière, engagée dans l'anse d
du plexus brachial qui limitent en dehors le sillon de l'artère. — 8. Artère sous-clavière, engagée dans l'anse de l'aiguille
gée dans l'anse de l'aiguille de Deschamps. (B et B2) LIGATURE DE L' ARTÈRE AXILLAIRE. (Procédé ordinaire.) 1. Section de
rurgien. — 4. Veine cépha-lique, au contour externe de la plaie. — 5. Artère acromio-thoracique, dont une branche, qui se rend
e de la plaie. — 6. Nerfs du plexus brachial, situés en dehors de l' artère principale. — 7. Veine axillaire. — 8. Artère a
situés en dehors de l'artère principale. — 7. Veine axillaire. — 8. Artère axillaire, engagée dans l'anse de l'aiguille de D
FIGURE 2. DÉTAILS ANATOMIQUES Communs aux différentes ligatures des artères axillaire et sous-clavière. [Pl. 42, fig. 1 et 2
— 13. Anse nerveuse du grand hypoglosse , couchée en diagonale sur l' artère carotide. — 14. Artère carotide primitive. — 15.
grand hypoglosse , couchée en diagonale sur l'artère carotide. — 14. Artère carotide primitive. — 15. Tendon médian du scapul
erf inusculo-cutané. — 13. Nerf cubital. — 14. Veine axillaire. — 15. Artère axillaire. Tome 6 Pl.43. Dessiné d'après na
6 Pl.43. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. LIGATURE DES ARTÈRES CAROTIDE EXTERNE, LINGUALE, OCCIPITALE ET TEMPO
lement déjeté en haut et en arrière. 5. Nerf grand hypoglosse. 6. Artère carotide externe sous laquelle est passée une aig
uille à ligature. B et B2. LIGATURE DE L ARTÈRE OCCIPITALE. Cette artère est prise dans sa portion transversale sur les at
nius. 3. Nerf sous-occipital. ht. Veine occipitale profonde. 5. Artère occipitale sous laquelle est passé un stylet aigu
3. Nerfs temporaux superficiels. h. Veine temporale satellite de l' artère . 5. Artère temporale sous laquelle est passé un
poraux superficiels. h. Veine temporale satellite de l'artère. 5. Artère temporale sous laquelle est passé un fil à ligatu
sous laquelle est passé un fil à ligature. FIGURE 2. LIGATURE DE L' ARTÈRE LINGUALE. 1. Section de la peau et du peaucier.
du muscle hypoglosse. 3. Nerf hypoglosse. ht. Veine linguale. 5. Artère linguale sous laquelle est passé un stylet aiguil
6 Pl.44. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. LIGATURE DES ARTÈRES CAROTIDE SOUS-CLAVIÈRE ET AXILLAIRE ADULTE, DEM
DISPOSITION GÉNÉRALE. Figure 1. Elle représente la ligature de l' artère carotide à la partie moyenne du cou, et celle de
gature de l'artère carotide à la partie moyenne du cou, et celle de l' artère faciale à son passage sous Tangle de l'os maxilla
iculaires, pl. 43, fig. 2). OPÉRATIONS. FIGURE \. LIGATURE DE L' ARTÈRE CAROTIDE PRIMITIVE, (A et A2). Le temps choisi
nde cannelée, courbe et à œillet, garnie d'un fil, est glissée sous l' artère , qu'elle amène du fond de la plaie à la surface.
muscle sterno-mastoïdien.— 4. Bord externe du thyro-hyoïdien. — 5. Artère carotide, sur la sonde cannelée. LIGATURE DE L'
ïdien. — 5. Artère carotide, sur la sonde cannelée. LIGATURE DE L' ARTÈRE FACIALE. (B et B2). Cette artère est prise sous
la sonde cannelée. LIGATURE DE L'ARTÈRE FACIALE. (B et B2). Cette artère est prise sous le corps de la mâchoire, au-devant
au-devant de l'attache du masse ter. Ce procédé, outre qu'il prend l' artère plus près de son origine, ne donne lieu qu'à une
tion de la peau. — 2. Section du peaucier. — 3. Veine faciale. — 4. Artère faciale, sous laquelle est passée la ligature.
le, sous laquelle est passée la ligature. FIGURE 2. LIGATURE DE L' ARTÈRE SOUS-CLAVIÈRE (C et C2), (entre les scalènes).
scapulo-hyoïdien.— 7. Muscle scalène antérieur, placé en dedans de l' artère . — 8. Nerfs du plexus brachial, situés en dehors
ère. — 8. Nerfs du plexus brachial, situés en dehors deTar-tère. — 9. Artère sous-clavière, dans le moment de l'opération où T
cannelée, munie d'un fil qui glisse sous levais-seau. LIGATURE DE L' ARTÈRE AXILLAIRE. (D et D2). (Procédé de Desault). C
e incision, une ligature peut être placée très haut et très bas sur l' artère axillaire, au-dessous de la clavicule et près de
ire, au-dessous de la clavicule et près de l'aisselle, le milieu de l' artère étant également à nu. Cette opération, comme le p
sac anévrismal intermédiaire, se ménage la faculté de pouvoir lier l' artère au-dessus et au-dessous. 1. Section de la peau.
. Nerf cubital, aperçu dans l'enfoncement. — 8. Veine axillaire. — 9. Artère acromio-tboracique.— 10. Artère thoracique longue
foncement. — 8. Veine axillaire. — 9. Artère acromio-tboracique.— 10. Artère thoracique longue.— 11. Artère axillaire, portant
. — 9. Artère acromio-tboracique.— 10. Artère thoracique longue.— 11. Artère axillaire, portant trois ligatures : 1° supérieur
naissent, un fil est passé au-dessous de l'origine de chacune de ces artères , pour montrer la possibilité de les lier en cas d
de la sous-clavière, sous laquelle est passé un fil à ligature. 9. Artère vertébrale, amenée du fond de la plaie par un fil
menée du fond de la plaie par un fil à ligature qui l'embrasse. 10. Artère thyroïdienne inférieure. 11. Artère mammaire in
ligature qui l'embrasse. 10. Artère thyroïdienne inférieure. 11. Artère mammaire interne. 12. Artère cervicale transver
Artère thyroïdienne inférieure. 11. Artère mammaire interne. 12. Artère cervicale transverse. Chacune de ces trois artè
re interne. 12. Artère cervicale transverse. Chacune de ces trois artères est embrassée par un fil à ligature. FIGURE 2 (
Jacob direxit. Dessiné d'après nature par Léveillé LIGATURE DES ARTÈRES FÉMORALE ET ILIAQUE EXTERNE. ADULTE, DEMI-NATUR
ÉRALE. Cette planche représente, sur deux figures, la ligature de l' artère fémorale à sa naissance, au-dessous de l'arcade c
émorale à sa naissance, au-dessous de l'arcade crurale, et celle de l' artère iliacpie externe. La position du malade est la mê
cuisse légèrement fléchie. OPERATIONS. FIGURE \. LIGATURE DE L' ARTÈRE FÉMORALE, (A et A2). 1. Section de la peau. 2
int. 3. Ganglions lymphatiques, écartés du trajet du bistouri. 4. Artère tégumenteuse, coupée en travers, que l'on a liée
artie supérieure. 6. Veine fémorale. 7. Section de la gaîne sur l' artère . 8. Artère fémorale, sur l'aiguille anglaise mo
ure. 6. Veine fémorale. 7. Section de la gaîne sur l'artère. 8. Artère fémorale, sur l'aiguille anglaise modifiée d'aprè
aise modifiée d'après celle de Deschamps. FIGURE 2. LIGATURE DE L' ARTÈRE ILIAQUE EXTERNE, (B et B'1). (Procédé de M. Norma
seaux iliaques externes, renfermés dans leur gaîne. 7. Origine de l' artère épigastrique, sous laquelle est passé un fil, pou
cident. 8. Veine iliaque externe. 9. Filet nerveux satellite de l' artère , qu'il faut prendre garde de comprendre dans la l
rtère, qu'il faut prendre garde de comprendre dans la ligature. 10. Artère iliaque externe, isolée de sa gaîne et embrassée
d'après nature par N.H. Jacob. TOME VE PLANCHE 48. LIGATURE DES ARTÈRES ILIAQUE PRIMITIVE, EXTERNE ET INTERNE. ADULTE,
ment au tronc; la plaie représente Je moment du passage du fil sous l' artère iliaque primitive ; deux autres fils, passés sous
iaque primitive ; deux autres fils, passés sous les origines des deux artères iliaques externe et interne, montrent qu'elles pe
ue, sous laquelle se voient les branches des nerfs lombaires, 10. Artère iliaque interne, sous laquelle est passé un fil à
ère iliaque interne, sous laquelle est passé un fil à ligature. 11. Artère iliaque externe, sous laquelle est passé un fil à
uelle est passé un fil à ligature. 12. Veine iliaque externe. 13. Artère iliaque primitive, embrassée dans l'anse de l'aig
e l'aiguille est prête à être retirée de la plaie, en glissant sous l' artère le fil à ligature. 15. Filet nerveux satellite,
nt maintenu par la main gauche d'un aide qui comprime en même temps l' artère numérale, l'opération est supposée au moment de s
le vient d'être terminée. Un aide comprime avec le médius droit (A) l' artère sous-clavière , et, avec les doigts de l'autre ma
émité inférieure du bras. Un aide comprime avec le pouce gauche, I, l' artère sous-clavière sur la première côte; un second mai
a cuisse des deux mains , dont la droite (a) comprime en même temps l' artère fémorale, la gauche (b) soutenant le jarret en de
tale, en dessous du fragment ré- séqué. 9,10. Fils à ligature des artères thoraciques et intercostales. FIGURE 2. RÉSEC
oplate qui surmonte la fosse sous-épineuse. 12. Fils à ligature des artères scapulaires supérieure et posté- rieure. FIGU
des ptérygoïdiens (o). Entre ces muscles, on a pu lier le tronc de l' artère maxillaire interne, qui empêche l'hémorrhagie de
ément commun à tous, le tissu cellulaire fibreux. Ainsi, un nerf, une artère , un muscle, un os, etc., pour faire partie d'une
musculaires en tissu fibreux, pour faire corps avec le derme. 6. Artère poplitée. 7. Veine poplitée. 8. Nerf sciatiqu
opération précédente. La plaie n'offre point de fils à ligature , les artères inter-osseuses ou digitales, les seules coupées,
erminée. Le chirurgien, de sa main droite (d), tient avec une pince l' artère radiale, dont un aide fait la ligature avec le po
n terminée au moment oit le chirurgien vient de faire la ligature des artères principales, c , Main d'un aide qui supporte le m
n d'un aide qui supporte le moignon, d, Les trois fils à ligature des artères radiale, cubitale et interosseuse antérieure, ras
ction du tendon du triceps. i, Main droite d'un aide qui comprime l' artère numérale, k, Main gauche du chirurgien qui mainti
u triceps brachial. a, Main d'un aide qui opère la compression de l' artère brachiale. b, Main gauche du chirurgien qui mai
Section des chairs. d, Main d'un aide qui fait la compression de l' artère brachiale. e , Autre main du même aide qui sout
tion précédente, au moment où l'on vient de pratiquer la ligature des artères . Le dessin fait voir la forme conique de la cavit
soutient le membre et fronce les chairs en bas. 1,1, Ligatures des artères humérale et collatérale externe du bras et des br
u lambeau antérieur. a, Main d'un aide qui fait la compression de l' artère humérale. b, Main gauche du chirurgien qui soul
térieur de la même opération. d, Main gauche d'un aide comprimant l' artère humérale. e, Autre main du même aide qui mainti
l'amputation précédente, au moment où l'on praticpie la ligature de l' artère humérale. FIGURE 4. amputation a lambeaux de
m, Pelote tenue par la main d'un aide qui opère la compression de l' artère sous-clavière sur la première côte, n, Autre main
omio-coracoïdienne. a, Main d'un aide qui opère la compression de l' artère sous-cla- vière sur la première côte. b, Main
du membre. a , Main droite d'un aide qui comprime avec une pelote l' artère sous-clavière sur la première côte. b, Main de
en dehors en face de l'articulation. e, Pelote de compression de l' artère contenue par un aide , comme dans la figure 1.
on et la clavicule. a. Main d'un aide qui comprime avec le médius l' artère sous- clavière à son passage sur la première cô
aule. Le lambeau postérieur est constitué par le deltoïde. g, h, i. Artères liées : (g), la brachiale à sa naissance; (h), la
pération précédente. a. Main d'un aide qui comprime avec le pouce l' artère sous- clavière. b. Main gauche du chirurgien
aie de l'opération précédente, à. Cavité.'glénoïde. e. Branche de l' artère circonflexe postérieure. f. Artère axillaire à
ité.'glénoïde. e. Branche de l'artère circonflexe postérieure. f. Artère axillaire à sa partie inférieure, dont le chirurg
on de l'opération précédente au moment où on pratique la ligature des artères . g, Petit lambeau dorsal. h, Vaste lambeau pl
l'astragale et de l'apophyse du cal-canéum. 1, Lambeau plantaire, m, Artères plantaires externe et interne dont il faudra prat
emble les chairs et la peau de recouvrement. m, Fils à ligature des artères tibiale antérieure (o), tibiale postérieure (p),
térieur. g, Lambeau interne et postérieur. h, Fils à ligature des artères tibiale antérieure (i), tibiale postérieure et
eau postérieur destiné à recouvrir la plaie. t, Fils à ligature des artères tibiale antérieure, tibiale postérieure et péroni
ètre en plein dans l'articulation. a. Main d'un aide qui comprime l' artère fémorale sur le pubis à l'arcade crurale. Un au
our tailler le lambeau postérieur. a. Main d'un aide qui comprime l' artère fémorale sur le pubis. b. Main gauche du chirur
h. Main droite qui saisit avec une pince l'extrémité coupée de l' artère tibiale antérieure pour en faire la ligature. i
biale antérieure pour en faire la ligature. i. Extrémité coupée des artères tibiale postérieure et péronière, dont la ligat
ection des chairs autour du fémur. d. Main d'un aide qui comprime l' artère fémorale sur le pubis. La compression, dans cet
efoulent en bas les muscles et le contour de la peau. Extrémité des artères dont la ligature est effectuée. 1. La fémorale, m
le lambeau interne. a. Main d'un aide qui comprime avec le pouce l' artère fémorale, à sa naissance , sur le pubis. b. M
sente à l'opérateur. f. Lambeau externe. g. Lambeau interne. h. Artère fémorale liée. i. Artère musculaire antérieure,
ambeau externe. g. Lambeau interne. h. Artère fémorale liée. i. Artère musculaire antérieure, k. Artère musculaire exter
rne. h. Artère fémorale liée. i. Artère musculaire antérieure, k. Artère musculaire externe. 1. Artère perforante saisie
i. Artère musculaire antérieure, k. Artère musculaire externe. 1. Artère perforante saisie par une pince pour en faire la
lambeau maintenu par trois points de suture. f. Fils à ligature des artères fémorales superficielle et profonde, fessière et
incision longitudinale (g) étant faite sur le trajet des vaisseaux, l' artère et la veine fémorales (h) ont été liées préalable
biceps et demi-tendineux. m, n, o. Fils à ligature des principales artères : (m) la fémorale superficielle ; (n) la fémorale
le segment interne. d. Main droite d'un aide qui comprime encore l' artère fémorale sur le pubis pour empêcher l'écoulemen
ale sur le pubis pour empêcher l'écoulement du sang par les petites artères , les troncs principaux n'étant liés qu'à l'extrém
uche du même aide qui maintient le lambeau supé- rieur relevé. f. Artères fémorales, superficielle et profonde, dont la lig
lambeau externe de dedans en dehors, et fait de suite la ligature des artères fessière et ischiatique, le chirurgien,rentrant d
re, laissé sur le membre dans l'écartement des deux incisions. c. Artère ischiatique liée. d. Lambeau interne. e. Artè
x incisions. c. Artère ischiatique liée. d. Lambeau interne. e. Artères fémorales, superficielle et profonde, liées après
DE DELPECH, A UN LAMREAU INTERNE. (Membre droit.) La ligature de l' artère fémorale étant faite préalablement, le fil (a) re
a cavité coty-loïde. Sur la section se voient les orifices coupés des artères fémorale (i), fémorale profonde et eirconflexe ex
e.) Le chirurgien est placé en dedans du membre. — La ligature de l' artère fémorale étant faite comme dans l'opération précé
mées, laissées pendantes , oblitèrent provisoirement les orifices des artères fémorale et fémorale profonde. Cette disposition
du sang, après les sections terminées, va de suite à la recherche des artères qui fournissent un jet et les oblitère successive
e chaque coté parles doigts d'un aide, pour faciliter la ligature des artères . Au-dessus de la cavité cotyloïde se développe le
2 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
é de l'étude de la distribution des vaisseaux. — Aperçu extérieur des artères cérébrales. Messieurs, J'espère avoir été ass
t plus particulièrement dans le cerveau, c'est le système vasculaire ( artères , veines, capillaires) qui domine la situation J
céphale. — C,G, carotides internes.— GA, cérébrale antérieure. —S, S, Artères deSylvius. — V, V, vertébrales. — B, tronc basila
. — GP, CP, cérébrales postérieu-res. — 1,2, 3, 3, 4, 4, groupes des- artères nourricières. — La ligne ponctuée ---circonscrit
premiers centimètres de ces divers troncs artériels que naissent les artères nourricières des ganglions centraux : corps strié
ères des ganglions centraux : corps striés et couches optiques. Ces artères nourricières forment six groupes principaux : L
llis, et l'entourant complètement, limiterait la région d'origine des artères ganglionnaires. On décrirait ainsi un cercle gang
tions des deux hémis-phères cérébraux) sont irriguées par les grosses artères que nous avons vu former les angles et les côtés
ser en détail la distribution de chacune des quatre branches de cette artère importante et de décrire exactement leurs territo
urs territoires vasculaires. Telle est la distribution générale des artères qui se rendent sur les faces interne, externe et
rir à des coupes. Ainsi, sur une coupe pratiquée dans le domaine de l' artère sylvienne, la circulation des noyaux gris paraît
lle du cerveau. Sommaire. — Travaux de M. Duret et de M. Heubner. — Artères principales du cerveau. — Système des artères cor
ret et de M. Heubner. — Artères principales du cerveau. — Système des artères corticales; — vaisseaux nourriciers. — Système de
ystème des artères corticales; — vaisseaux nourriciers. — Système des artères centrales ou des ganglions centraux. Artère syl
riciers. — Système des artères centrales ou des ganglions centraux. Artère sylvienne ; ses branches : artères des noyaux gri
trales ou des ganglions centraux. Artère sylvienne ; ses branches : artères des noyaux gris centraux ; — bran-ches corticales
centraux ; — bran-ches corticales, ramifications et arborisations ; — artères nourricières de la pulpe encéphalique : elles son
— artères nourricières de la pulpe encéphalique : elles sont longues ( artères médullaires) ou courtes (ar-tères corticales).
tes (ar-tères corticales). Effets de l'oblitération de ces diverses artères . — Ramollissements superfi-ciels, plaques jaunes.
les territoires vagculaires : opinion de Heubner ; opinion de Duret. — Artères terminales (Cohnheim). Autonomie relative des t
orce. Branches de la sylvienne : frontale externe et inférieure ; — artère de la circonvolution frontale ascendante ; — artè
et inférieure ; — artère de la circonvolution frontale ascendante ; — artère de la circonvolution pariétale ascendante ; — art
e ascendante ; — artère de la circonvolution pariétale ascendante ; — artère du pli courbe ; — artères cérébrale antérieure et
e la circonvolution pariétale ascendante ; — artère du pli courbe ; — artères cérébrale antérieure et cé-rébrale postérieure :
, dans un ouvrage récent qui traite de l'altéra-tion syphilitique des artères cérébrales (1), M. Heubner émet la prétention d'a
ation des hémorrhagies et des ramollissements cérébraux. moyenne ou artère sylvienne, issues l'une et l'autre de la caro-tid
laire, provenant elle-même de la confluence en un seul tronc des deux artères vertébrales. A. Chacune de ces artères, dans ch
ce en un seul tronc des deux artères vertébrales. A. Chacune de ces artères , dans chaque hémisphère, règne pour ainsi dire, s
départements secondaires, correspondant à la distribution d'autant d' artères secondaires, émanant des troncs principaux. B.
vue d'ensemble et entrons de suite dans le détail. Chacune des trois artères principales donne naissance à deux système; très
isseaux qui entrent dans sa constitution partent de chacune des trois artères principales, tout près de leur origine, et s'enfo
ar-tère sylvienne, la plus importante et la plus compliquée des trois artères cérébrales. L'histoire des deux autres s'en trou-
des deux autres s'en trou-vera ensuite aisément simplifiée. II. L' artère sylvienne pénètre dans la scissure de Sylvius don
ans une région qu'on appelle V espace per foré antérieur, une série d' artères qui s'insinuent parallèlement les unes aux autres
e perforé lequel est formé par delà substance blanche. Ce sont là les artères des noyaux gris centraux ou, d'une façon plus spé
s artères des noyaux gris centraux ou, d'une façon plus spéciale, les artères du corps strié. Nous laisserons de côté, pour l'i
e la scissure de Sylvius, se voit l'insula de Reil au niveau duquel l' artère sylvienne se divise en quatre branches qui mérite
ution de Vartère sylvienne (Figure demi-schématique.) — S, tronc de l' artère sylvienne qui pénètre dans la scissure de Sylvius
. — P, branches perfo-rantes destinées aux noyaux gris centraux. — 1, artère de la circonvolution de Broca, ou frontale extern
e la circonvolution de Broca, ou frontale externe et inférieure. — 2, artère frontale ascendante. —3, artère pariétale ascenda
frontale externe et inférieure. — 2, artère frontale ascendante. —3, artère pariétale ascendant*5.—4 et 5, artères pariéto-sp
artère frontale ascendante. —3, artère pariétale ascendant*5.—4 et 5, artères pariéto-sphénoïdale et sphénoïdale. F1, F2, F3,
tion, et nous allons examiner plus à fond le mode sui-vant lequel les artères corticales se divisent et se ramifient dans l'épa
té de la face interne de cette mem-brane, elles donnent naissance aux artères nourricières de la pulpe encéphalique, lesquels p
antérieur) alors qu'ils ont encore les dimensions et la structure des artères . Le moment est venu d'observer déplus près, sur
s d'être examinées au microscope, les particu-larités relatives à ces artères nourricières. Sur des coupes d'ensemble d'une c
ion à sa voisine. Comment, sur de pareilles coupes, se comportent lès artères ? On y distingue aisément deux sortes d'artères n
es, se comportent lès artères ? On y distingue aisément deux sortes d' artères nour-ricières, ainsi que-l'ont reconnu, du reste,
longtemps plusieurs auteurs et en particulier Todd et Bowmann. De ces artères , les unes sont longues, les autres sont courtes.
ères, les unes sont longues, les autres sont courtes. Fig. 10. — V, artère principale. — B, arborisation primitive. — GC, ar
, arborisation primitive. — GC, arbori-sations secondaires. — 1,1, 1, artères médullaires. — 2, 2, artères corticales. —¦ 3, ré
C, arbori-sations secondaires. — 1,1, 1, artères médullaires. — 2, 2, artères corticales. —¦ 3, réseaux des artères corticales
1, artères médullaires. — 2, 2, artères corticales. —¦ 3, réseaux des artères corticales dans la pulpe cérébrale (1). 1° Les
réseaux des artères corticales dans la pulpe cérébrale (1). 1° Les artères longues ou autrement dit médullaires se détachent
istribuent sur les deux versants ou dans le sillon de séparation. Les artères du sommet sont verticales ; l'une d'elles occupe
d'elles occupe en général la partie médiane de la circonvolution; les artères du versant sont obliques ; celles qui occupent le
i occupent le fond des sillons se montrent de nouveau verticales. Ces artères pénètrent dans le centre ovale jusqu'à une profon
les s'approchent, par leur terminaison, de l'extrémité du système des artères centrales, mais qu'il ne s'établit aucune communi
ège de certains ramollissements lacunaires séniles centraux. 2° Les artères nourricières courtes ou corticales ont la même or
moins loin et se ter-minent dans l'épaisseur de la couche grise. Ces artères courtes donnent naissance à des vaisseaux capilla
des vaisseaux capillaires qui, conjointe-ment à ceux qui émanent des artères longues, forment les mailles d'un réseau. Dans
sont plus larges encore et allongées verticalement. Fig. 11. —1, 1, Artères médullaires. — 1' Groupe d'artères médullaires du
s verticalement. Fig. 11. —1, 1, Artères médullaires. — 1' Groupe d' artères médullaires du sillon situé entre deux circonvolu
médullaires du sillon situé entre deux circonvolutions voisines.— 1" Artères des fibres commis-surales de Gratiolet. — 2, 2, 2
sines.— 1" Artères des fibres commis-surales de Gratiolet. — 2, 2, 2, Artères corticales ou de la substance grise. a, Réseau
aires puisque les vaisseaux qu'elles reçoivent dérivent également des artères qui rampent dans la pie-mère. Ceux-ci sont-ils ob
ment épargnées si l'obli-tération siégeait au-dessus de l'origine des artères du corps strié. Chahgot. Œuvres Complètes, t. i
vérité, où une telle oblitération portant soit sur une bran-che de Y artère sylvienne, soit sur le tronc de cette artère, — j
it sur une bran-che de Y artère sylvienne, soit sur le tronc de cette artère , — je prends ici la sylvienne pour exemple, mais
t, ce qu'elles nous apprennent: On place une ligature sur les trois artères principales de la base de l'encéphale, des deux c
n côté, s'était livré à un certain nombre d'injections partielles des artères encéphaliques, avait conclu dans le même sens que
s encéphaliques, avait conclu dans le même sens que M. Du-ret. Si les artères de l'encéphale, a-t-il dit, ne sont pas abso-lume
i les artères de l'encéphale, a-t-il dit, ne sont pas abso-lument des artères finales ou terminales, — nous allons dire ce que
t — elles se rapprochent considérablement de ce type. Sous le nom d' artères terminales ou finales [Endarte-rien), M. Conheim
finales [Endarte-rien), M. Conheim (T) catégorise ingénieusement les artères ou les artérioles qui, dans leur trajet,depuis le
fournissent ou ne reçoivent aucun rameau anas-tomotique. Un exemple d' artères terminales, commode pour l'étude, est fourni par
ssins schématiques les conséquences diverses d'une oblitération d'une artère terminale. Ils se produisent d'une manière fatale
celles-ci peuvent être oblitérées à leur tour, et il s'ensuit qu'une artère qui, dans les conditions normales, n'est point un
suit qu'une artère qui, dans les conditions normales, n'est point une artère terminale, le devient accidentellement. La circ
La circulation de l'encéphale fournit un grand nombre d'exemples d' artères terminales. Ainsi, sans compter les rami- (1) U
ficalions qui existent dans la pie-mère, nous pouvons signa-ler les artères nourricières. Nous verrons encore que le système
-ler les artères nourricières. Nous verrons encore que le système des artères des ganglions centraux est construit tout entier
ère circonvolution occipitale. — o, sulcus occipitalis transversus. Artères . — 1° La ligne (...) circonscrit la distribution
uche de la figure, limite la distribution de l'ar-tère sylvienne, —I. Artère frontale externe et inférieure. — II. Artère pa-r
l'ar-tère sylvienne, —I. Artère frontale externe et inférieure. — II. Artère pa-riétale antérieure. — III. Artère pariétale po
ale externe et inférieure. — II. Artère pa-riétale antérieure. — III. Artère pariétale postérieure. — IV. Artère pariétale sph
ère pa-riétale antérieure. — III. Artère pariétale postérieure. — IV. Artère pariétale sphénoïdale ; 3° La ligue (.—.—.—.), du
us importe, par conséquent, de bien connaître chacune des principales artères émanées de la sylvienne et d'examiner de plus prè
distribution dans les circonvolutions fondamentales de la région. L' artère sylvienne se partage en quatre branches principal
nom de fron-tale externe et inférieure. C'est, à proprement parler, l' artère de la troisième circonvolution frontale (circonvo
calisation cérébrale (1). La deuxième branche de la sylvienne est Y artère pariétale antérieure de Duret; j'aimerais mieux l
st Y artère pariétale antérieure de Duret; j'aimerais mieux l'appeler artère de la circonvolution frontale ascendante. [Fig. 9
on frontale ascendante. [Fig. 9,2 elFig. 12,11). La troisième est Y artère pariétale postérieure qui serait (1) Nous avons
se.—S, S, scissure de Sy'vin« —T insula mieux nommée, suivant nous, artère de la circonvolution pariétale ascendante.(Fig 9,
is). — T 8, gyrus occipito-tcmporalis-medialis (lobulus lingualis). — Artères . — 1° Les régions circonscrites par la ligne (...
scrites par la ligne (...) représentent le champ de distribution de l' artère cérébrale an-térieure. — II. Artères frontales in
ent le champ de distribution de l'artère cérébrale an-térieure. — II. Artères frontales interne et antérieure. — II. Artères fr
ale an-térieure. — II. Artères frontales interne et antérieure. — II. Artères fronta-les, interne et postérieure. — 2° Les régi
postérieure. — II. Ar-tère temporale postérieure. — lit (inférieur). Artère occipitale. primée. La circonvolution frontale
a caudicantia. — KK, pediculi cerebri. — G, genou du corps calleux. Artères . — La ligne (.....) circonscrit la distribution d
gne (.....) circonscrit la distribution de la cérébrale antérieure { Artères frontales internes et inférieures). La ligne (.—.
—.—.—) circons-crit la distribution de la cérébrale postérieure. — 1, artère temporale anté-rieure. — II, artère temporale pos
de la cérébrale postérieure. — 1, artère temporale anté-rieure. — II, artère temporale postérieure. — III, artère occipitale.
ère temporale anté-rieure. — II, artère temporale postérieure. — III, artère occipitale. nés —cette intégrité est mentionnée
Après les développements dans lesquels je suis entré au su-jet de l' artère sylvienne, je crois devoir être bref dans l'ex-po
ection par rapporta la carotide in terne {Fig. 12, 16 et 17,) Cette artère fournit trois branches principales : la première
n plus communs que ceux des lobes antérieurs. Le terri-toire de cette artère se partage en trois départements secon-daires rép
rtère se partage en trois départements secon-daires répondant à trois artères de second ordre : La, première de ces artères se
aires répondant à trois artères de second ordre : La, première de ces artères se rend à la circonvolution du crochet ; la deuxi
nce des systèmes artériels cortical et central. — Analogies entre les artères de la protubérance, du bulbe et des ganglions cen
nière main, à la description anatomo-médicale du système cortical des artères du cerveau. Aujourd'hui, je me propose d'appeler
, au voisinage immédiat de leur origine dans le cercle de Willis. Les artères qui for-ment ce système sont, en général, des vai
les d'un millimètre et demi à un demi-millimètn de diamètre, pour les artères du corps strié, d'après M. Du-ret. Leur mode d'
e, est assez juste; mais il ne faut pas la pousser trop loin, car les artères du système central, dès leur point de départ, se
rpendiculaire nous remet en mémoire ce que nous avons vu à propos des artères nourricières de l'é-corce de l'encéphale. Toutefo
, il convient de ne pas oublier qu'il existe une différence entre les artères nourricières corti-cales et les artères des noyau
iste une différence entre les artères nourricières corti-cales et les artères des noyaux gris centraux : les premières, en effe
ue, selon l'acception donnée à ce mot par M. Colinheim, ce sont des artères terminales par excellence. Si une discugwsvîi pu
laires de l'écorce, il n'en est plu* ftp môme pour ce qui regarde les artères centrales. Celles-ci soxt tOflfc à fait indépenda
ointe du trocart est émoussée, injecter une à une chacune des petites artères qui se rendent aux di-verses parties du corps str
convient d'ajouter que, dans aucune circons-tance, par cette voie des artères centrales, on ne fait pénétrer Vinjection dans le
artères centrales, on ne fait pénétrer Vinjection dans le domaine des artères corticales. La réciproque, je le rappelle, est ég
e, c'est-à-dire qu'aucune injection, poussée dans Tune quelconque des artères du système cortical, ne se répand- dans le domain
ue des artères du système cortical, ne se répand- dans le domaine des artères centrales. Il n'est peut-être pas sans intérêt
le bulbe. Dans la protubérance, la ressemblance est frappante, les artères médianes naissent à angle droit de l'artère basil
lance est frappante, les artères médianes naissent à angle droit de l' artère basilaire qui est un tronc volumineux, et elles p
ocalisations. 6 s'anastomoser, reproduisant de la sorte le type des artères terminales. Dans le bulbe, la même disposition
le est, en quelque sorte, atténuée par une modification spéciale. Les artères médianes du bulbe ne naissent pas directement des
es médianes du bulbe ne naissent pas directement des gros troncs de l' artère vertébrale; elles prennent leur origine dans les
s troncs de l'artère vertébrale; elles prennent leur origine dans les artères spinales. Il est possible déjà, si je ne me tro
me trompe, de trouver, dans ce mode d'origine et de distribution des artères de la protu-bérance et des ganglions centraux, un
e vous l'ai annoncé, les hémorrhagies sont comparativement rares, les artères , ne s'introduisent dans la pulpe qu'après avoir f
ement les différences que j'ai à vous signaler en ce qui concerne les artères cen-trales. 1° Le chemin du cœur aux gros gangl
1° Le chemin du cœur aux gros ganglions de la base est rès court. Les artères qui se rendent à ses ganglions émanent en qn3lqu3
i se rendent à ses ganglions émanent en qn3lqu3 sorte directement des artères du "erele de Willis, c'est-à-dire d'artères de tr
qu3 sorte directement des artères du "erele de Willis, c'est-à-dire d' artères de troisième ordre, en partant du cœur. C'est là
i par la différence considérable de calibre. 2° Mises en regard des artères corticales, les artères cen-trales sont volumineu
idérable de calibre. 2° Mises en regard des artères corticales, les artères cen-trales sont volumineuses, je fais allusion su
es artères cen-trales sont volumineuses, je fais allusion surfout aux artères du corps strié puisqu'elles ont un diamètre d'u
ablement, c'est, ici encore de même que pour le système cortical, les artères sylviennes qui jouent le rôle prépondérant. Ces a
cortical, les artères sylviennes qui jouent le rôle prépondérant. Ces artères donnent toutes les branches qui se rendent au noy
noyau lenticulaire. Nous prendrons en conséquence les branches de l' artère sylvienne pour type de nos descriptions. Il nous
positions que nous venons d'étu-dier. HUITIÈME ET NEUVIÈME LEÇONS Artères centrales. — Lésions isolées des noyaux gris So
entrales — Participation, dans des proportions variables, des grandes artères du cer-veau, à la constitution de ce système. — D
tères du cer-veau, à la constitution de ce système. — Description des artères striées : artères striées internes ; — artères st
à la constitution de ce système. — Description des artères striées : artères striées internes ; — artères striées externes ; (
ème. — Description des artères striées : artères striées internes ; — artères striées externes ; (lcnticulo-striées ; —lcn-ticu
tères striées externes ; (lcnticulo-striées ; —lcn-ticulo-optiques).— Artères terminales. Conséquences de l'oblitération des
-optiques).— Artères terminales. Conséquences de l'oblitération des artères centrales émanant de la syl-vienne.— Ramollisseme
); — 2° par l'expérimentation. I. Messieurs, Les trois grandes, artères du cerveau prennent part, vous ne l'avez pas oubl
elles y prennent une part inégale, a) Ainsi, c'est de beaucoup à Y artère sylvienne que revient la prédominance. Elle fourn
x, faite à un centimè-tre en arrière du chiasma des nerfs optiques. — Artères du corps strié. — Ch, chiasma des nerfs optiques
ue en arrière avec la couche optique. Territoires vascalaires. — I, artère cérébrale antérieure ; II, artère sylvienne ; — I
ue. Territoires vascalaires. — I, artère cérébrale antérieure ; II, artère sylvienne ; — III, artère cérébrale postérieure.
res. — I, artère cérébrale antérieure ; II, artère sylvienne ; — III, artère cérébrale postérieure. — I, artère carotide inter
re ; II, artère sylvienne ; — III, artère cérébrale postérieure. — I, artère carotide interne ; —2, artère sylvienne ;— 3, art
III, artère cérébrale postérieure. — I, artère carotide interne ; —2, artère sylvienne ;— 3, artère cérébrale antérieure; — 4,
ostérieure. — I, artère carotide interne ; —2, artère sylvienne ;— 3, artère cérébrale antérieure; — 4, 4, artères externes du
rne ; —2, artère sylvienne ;— 3, artère cérébrale antérieure; — 4, 4, artères externes du corps strié (lenticulo-striées) ; —5,
— 4, 4, artères externes du corps strié (lenticulo-striées) ; —5, 5, artères internes du corps strié (artères lenti-culaires).
s strié (lenticulo-striées) ; —5, 5, artères internes du corps strié ( artères lenti-culaires). Les artères lenticulo-striées ne
—5, 5, artères internes du corps strié (artères lenti-culaires). Les artères lenticulo-striées ne sont pas représentées ici. (
érieure, son rôle est plus im-portant et assez caractéristique. Cette artère dont la distribu- Fig. 21. — Coupe verticale et
isième ventricule;— A, corne d'Ammon. Territoires vasculaires. — I, artère cérébrale antérieure; — II, artère syl-vienne ; —
n. Territoires vasculaires. — I, artère cérébrale antérieure; — II, artère syl-vienne ; —III, artère cérébrale postérieure.
es. — I, artère cérébrale antérieure; — II, artère syl-vienne ; —III, artère cérébrale postérieure. tion est très étendue, p
le la compré-hension de tous ces détails. Seule, la description des artères striées nécessite quelques développements. Quand
èvement les notions qu'il est essentiel de connaître relativement aux artères centrales issues soit de la cérébrale antérieure,
rébrale postérieure. Emanées du bord supérieur de la sylvienne, les artères striées pénètrent dans les trous de l'espace perf
coupes transversales qu'il faut suivre la distribution ultérieure des artères striées. Une première coupe, pratiquée en arriè
eure. On retrouve sur cette coupe, dans leur trajet plus profond, les artères que nous avions tout à l'heure sous les yeux. En
attenantes de la capsule interne. D'un intérêt plus grand sont les artères striées externes, celles qui, dans la première pa
remier groupe est antérieur et les ar-tères qui le composent sont les artères lenticulo-striées ; le second groupe est postérie
les artères lenticulo-striées ; le second groupe est postérieur ; les artères qui le constituent sont les artères lenticulo-opt
econd groupe est postérieur ; les artères qui le constituent sont les artères lenticulo-optiques. L'une des artères du groupe
s qui le constituent sont les artères lenticulo-optiques. L'une des artères du groupe antérieur est surtout importante à caus
phalique : on serait, en quelque sorte, autorisé à lui imposer le nom artère de l'hémorrhagie céré-brale. Après avoir pénétré
oyau, en se diri-geant d'arrière en avant. La distribution de cette artère striée, ainsi que celle des ar-tères lenticulo-st
en avant de celle qui a jusqu'ici servi à notre démons-tration. Les artères lenticulo-optiques sont disposées sur le même mod
lles se répandent. Je vous rappellerai, Messieurs, qu'il s'agit là ^ artères ter-ninales, et que, si les injections sont pouss
rête plus minutieusement. Toutefois, je ne veux m'occuper ici que des artères qu'elle en-voie à la couche optique. Ces artère
ccuper ici que des artères qu'elle en-voie à la couche optique. Ces artères sont de deux ordres : 1° Vartère optique posté-ri
masses ganglionnaires centrales. A. — a) Le système tout entier des artères centrales, éma-nant de la sylvienne, peut être ob
re ou peu s'en faut, — les districts répondant à la distri-bution des artères cérébrales antérieures et des artères opti-ques p
épondant à la distri-bution des artères cérébrales antérieures et des artères opti-ques postérieures étant seuls épargnés. C'es
ment affecte toute ou presque toute l'éten-due soit du territoire des artères lenticulo-striées, soit du terri-toire des artère
du territoire des artères lenticulo-striées, soit du terri-toire des artères lenticulo-optiques. Nous verrons, en effet, que l
-ci est, vous le savez, fréquente, prédominante dans ces régions; les artères striées sont, en effet, très sujettes à la forme
liaires. On extrait communément, d'un foyer hémorrhagique récent, une artère striée ou optique dont les prolongements portent
noyau eau-dé, et qui appartient, comme vous le savez, au domaine de l' artère lenticulo-striée, la paralysie portera exclusivem
ieure du noyau caudé. Si, au contraire, ayant envahi le domaine des artères lenti-culo-optiques, la lésion porte sur le tiers
rtie antérieure de la capsule interne. (Hémiplégies.) — Rupture d'e l' artère lenticulo-striée. — G, noyau caudé du corps strié
postérieure de la capsule interne. (Hémianesthésies). — Rupture de l' artère lenticulo-optique. — 0, couche optique. —I, capsu
u aux deux tiers antérieurs de ce corps, c'est-à-dire au domaine de l' artère lenticulo-striée. En conséquence, la partie antér
que. Ces hémorrhagies se développent en conséquence de larapture de l' artère optique externe antérieure ou lenticulo-optique.
ns ce cas, d'une compression produite sur les points indiqués par les artères cérébrale antérieure et communicante posté-rieure
ésultant par exemple de l'oblitération d'une branche volumineuse de l' artère sylvienne (voir la Fig. 37), ces lé-sions-là, dis
très habituelle des descriptions. circonvolutions desservies par l' artère sylvienne, et en parti-culier les circonvolutions
ficile à comprendre. A cette même région appartiennent, en effet, les artères nourricières, dont les lésions préparent en quelq
idés par les importants travaux de M. Duret, les disposi- tions des artères nourricières des masses centrales, vous rele-vez
ant à la structure et à leur calibre, des capil-laires, mais bien des artères véritables . La disposition que présentent les
git d'une coupe faite un peu en avant du chiasma. Là, se voit une des artères striées les plus volumineuses et les plus impor-
tres artérioles sont disposées à peu près d'après le même plan. Ces artères sont des artères terminales, c'est-à-dire qu'elle
ont disposées à peu près d'après le même plan. Ces artères sont des artères terminales, c'est-à-dire qu'elles ne communiquent
-à-dire qu'elles ne communiquent pas entre elles, nonplus qu'avec les artères corticales. Une injection poussée un peu fort les
évrysmes miliaires. Lorsque l'hémorrhagie se fait aux dépens de ces artères ainsi altérées, — et ce cas est très fréquent, —
é de l'étude de la distribution des vaisseaux. — Aperçu extérieur des artères cérébrales. M CINQUIÈME ET SIXIÈME LEÇONS, Ci
lle du cerveau. Sommaire. — Travaux de M. Durel et de M. Heubner. — Artères principales du cerveau. — Système des artères cor
rel et de M. Heubner. — Artères principales du cerveau. — Système des artères corticales; — vaisseaux nourriciers. — Système de
ystème des artères corticales; — vaisseaux nourriciers. — Système des artères centrales ou des ganglions centraux. Artère syl
riciers. — Système des artères centrales ou des ganglions centraux. Artère sylvienne: ses branches : artères des noyaux gris
ntrales ou des ganglions centraux. Artère sylvienne: ses branches : artères des noyaux gris centraux; — bran-ches corticales,
centraux; — bran-ches corticales, ramifications et arborisations ; — artères nourricières de la pulpe encéphalique : elles son
— artères nourricières de la pulpe encéphalique : elles sont longues ( artères médullaires) ou courtes (ar-tères corticales).
tes (ar-tères corticales). Effets de l'oblitération de ces diverses artères . — Ramollissements superfi-ciels, plaques jaunes.
e les territoires vasculaires . opinion dcHeubner; opinion de Duret. — Artères terminales (Gohnheim). Autonomie relative des t
orce. Branches de la sylvienne : frontale externe et inférieure ; — artère de la circonvolution frontale ascendante ; — artè
et inférieure ; — artère de la circonvolution frontale ascendante ; — artère de la circonvolution pariétale ascendante ; — art
e ascendante ; — artère de la circonvolution pariétale ascendante ; — artère du pli courbe ; — artères cérébrale antérieure et
e la circonvolution pariétale ascendante ; — artère du pli courbe ; — artères cérébrale antérieure et cé-rébrale postérieure :
périphériques; sa fréquence dans les parties centrales. Origine des artères du système central. —Artères terminales ; leurs c
ans les parties centrales. Origine des artères du système central. — Artères terminales ; leurs carac-tères.— Indépendance des
nce des systèmes artériels cortical et central. — Analogies entre les artères de la protubérance, du bulbe et des ganglions cen
; faisceaux rayonnants).......... 78 HUITIÈME ET NEUVIÈME LEÇONS. Artères centrales. — Lésions isolées des noyaux gris. S
ntrales. — Participation, dans des proportions variables, des grandes artères du cer-veau, à la constitution de ce système. — D
tères du cer-veau, à la constitution de ce système. — Description des artères striées artères striées internes ; — artères stri
u, à la constitution de ce système. — Description des artères striées artères striées internes ; — artères striées externes ; (
stème. — Description des artères striées artères striées internes ; — artères striées externes ; (lenticulo-striées : — len-tic
res striées externes ; (lenticulo-striées : — len-ticulo-optiques). — Artères terminales. Conséquences de l'oblitération des
optiques). — Artères terminales. Conséquences de l'oblitération des artères centrales émanant de la syl-vienne.— Ramollisseme
taltiques, 342. — Indé-pendance des —, musculaire et cu-tanée, 344. Artères du cerveau, 49 ; — de la base de l'encéphale, 50
t longues, 63 ; — terminales, 67, 299 ; — Anatomie descriptive de ces artères corticales, 70, 76 ; — Anatomie descriptive des a
iptive de ces artères corticales, 70, 76 ; — Anatomie descriptive des artères centrales, ou ganglionnaires, 80, 81, 82,83, 92,
le, 79 : — sa rareté relative dans les parties pé-riphériques, 79 ; — Artères de 1'—, 96 ; — Siège, mode de formation et extens
3 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
a pro-fondeur du lobule, les ramifications bronchiques et celles de l' artère pulmonaire. Imitant les auteurs, j'ai comparé p
nt composé, au moins par un rameau bronchique et par une branche de l' artère pulmonaire, lesquels sont accollés l'un à l'autre
e foie par Kiernan. La relation constante qui unit dans ces espaces l' artère pulmonaire et la bronchiole est un fait qui mérit
Schéma montrant les principaux traits de l'anatomie des poumons, —x, artère pulmonaire. — y, bronche avec ses rameaux. — m, t
nfin, que ces derniers vaisseaux ne se réunissent aux bronches et aux artères pulmonaires 1 Heale. — Physiolog. Anit, ofthe L
le centre du lobule est occupé par une bronchiole accompagnée de son artère sa-tellite, branche de l'artère pulmonaire, et ce
par une bronchiole accompagnée de son artère sa-tellite, branche de l' artère pulmonaire, et ces deux canaux sont enveloppés pa
e la veine porte, à des vaisseaux lymphatiques et à des branches de l' artère hépatique. — Dans le poumon, ce sont surtout des
mités de celui-ci. Nous fai-sons abstraction du rameau satellite de l' artère pulmonaire et de ses divisions intra-lobulaires a
tion à la cire. Enfant nouveau-né. —H, Bron-chiole. — V, branche de l' artère pul-monaire. — K, K, conduits alvéolai-res. — A,
rinifères, tantôt dans le voisinage d'un glomérule, tantôt près d'une artère . Tubes contournés (A, A.). — Au premier abord, qu
eur structure de modifications bien profondes, les parois des grosses artères en particu-lier paraissent saines. Quant aux gl
épandus dans tout Fig. 32. — Coupe d'un nodule péribronchique. — A, artère . — B, bronche contenant du pus et dont l'épithéli
y a de lapéribronchite, quelquefois de la dilatation des bronches. L' artère qui accompagne la bronchiole est saine et ne s'
n jeu dans la pneumonie fibrineuse lobaire; ce réseau, émanation de l' artère pulmonaire, fournit des rameaux à la plèvre, ains
opos de la plèvre, tenir compte non seulement des vaisseaux issus des artères bronchiques et des veines pulmonaires, mais aussi
ronchiques et des veines pulmonaires, mais aussi de ces branches de l' artère pulmonaire qui établissent une relation vasculair
de la formation du tubercule. — (D'après un dessin île M. Charcot). L' artère est à peine oblitérée. On voit que la tunique muq
pithélioïdes. —? j, magma de pus (?) ; granulations graisseuses. — D, artère . — N, N, alvéoles. de guérison, avec des modes
duits, comme les cellules d'une prison sur le corridor central. Les artères suivent les ramifications bronchiques, et on pour
s suivent les ramifications bronchiques, et on pourrait les appeler : artères lobaires, lobulaires, acineuses, infundibulaires
obulaires, acineuses, infundibulaires ou alvéolaires. On sait que l' artère pulmonaire qui accompagne la bronche dans le lobu
l'artère pulmonaire qui accompagne la bronche dans le lobule est une artère terminale (Cohnheim), c'est à-dire qu'elle n'a pa
hnheim), c'est à-dire qu'elle n'a pas d'anastomoses directes avec les artères des lo-bules voisins. Il en est de même de la bro
des lo-bules voisins. Il en est de même de la bronche lobulaire. L' artère lobulaire pénètre dans le lobule en suivant la di
a-lobulaire est formé essentiellement d'une bronche accompagnée d'une artère ; une gangue de tissu conjonctif les unit, et dan
ante du lobule est la périphérie; on y trouve les canaux biliaires, l' artère hépatique et la veine porte ; tandis que le centr
e, qui contient les parties importantes, c'est-à-dire la bronche et l' artère . Dans toute la partie du trajet des divisions b
le lobule, celles-ci sont en rapport plus ou moins immédiat avec les artères bronchiques, l'artère pulmonaire et la veine pulm
ont en rapport plus ou moins immédiat avec les artères bronchiques, l' artère pulmonaire et la veine pulmonaire, et tous ces co
grands espaces péri-bronchiques se dissocient. En effet, tandis que l' artère bronchique et l'artère pulmonaire pénètrent accol
nchiques se dissocient. En effet, tandis que l'artère bronchique et l' artère pulmonaire pénètrent accolées à la bronche, dans
ui ont résisté à la néoplasie, c'est-à-dire les fibres élastiques des artères de calibre, des travées alvéolaires. Mais ces élé
inus, dont il ne reste d'abord que des débris et bientôt plus rien. L' artère satellite, oblitérée par les végétations de l'end
du tissu con-jonctif qui accompagnent les divisions des bronches, les artères pulmonaires et les veines pulmonaires réunies, ju
e centrale également fibreuse, mais où se dessinent les vestiges de l' artère , de la bronche et aussi des parois al- véolaire
pes transversales de lobules pulmonai-res.— B. B', bronches. — E, E', Artères . — D' D" D"' D"" cellules géantes. —C, C, zone ca
mes, atteintes de cancer utérin, l'oblitéra-tion absolue de l'une des artères sylviennes par un caillot fibri-neux, a produit l
ratifiées. Il se prolongeait dans les ramifications prin-cipales de l' artère ; au delà et en deçà, la lumière des vais-seaux é
ore chez un sujet atteint de cancer utérin, Xoblitération de lune des artères fémorales par un thrombus a produit une paralysie
stence d'un thrombus qui occupait l'extrémité inférieure de l'une des artères humerales et se prolongeait à une certaine distan
merales et se prolongeait à une certaine distance, dans la cavité des artères cubitale et radiale correspondantes. Les cavité
ayant pu donner lieu à une embolie. D'un autre côté, les tuniques des artères oblitérées parles caillots étaient tout à fait sa
cylindres ramifiés. On remonte, par la disection, jusqu'au tronc de l' artère pulmonaire, qui est elle-même remplie par une con
leurs est lisse et offre sa coloration habituelle ; elles sont dans l' artère pulmonaire et dans ses branches principales, ento
ncrétion se divise par en haut en deux parties : l'une pénètre dans l' artère pulmonaire, l'autre passe en-tre les valvules tri
s veines caves inférieure et supérieure. Au moment de pénétrer dans l' artère pulmonaire, la branche an-térieure de la concréti
même, et se retrouvait jusque dans ses ramifications très-ténues de l' artère pulmonaire. Dans le ventricule droit, comme dan
t complètement sain; il en était de même de la membrane in-terne de l' artère pulmonaire. En portant sous le microscope une g
caves supérieure et inférieure, la ju-gulaire interne, la fémorale, l' artère pulmonaire jusque dans ses ramifications les plus
riés de l'ataxie, nous ferons cependant une remarque à ce sujet : les artères humérale et axillaire du membre contracture ont é
e conséquence de la formation, pen-dant la vie, d'un caillot dans les artères , on a observé, en pareil cas, des douleurs vives,
athéromateuses, elle n'est nullement dilatée. Le ventricule droit, l' artère pulmonaire, les deux oreillettes sont complètemen
de l'aorte, pouvait être suivi à droite et dans toute l'étendue de l' artère axillaire et numérale, mais, à mesure qu'il s'élo
it aux parois vascu-laires qui ne présentaient aucune altération. Les artères corres-pondantes du côté gauche ne contenaient pa
t en proie à une vive anxiété. La peau n'est pas chaude. Le pouls des artères radiales est complètement insensible. La main app
ie inférieure du pou-mon persiste et s'étend. 4. Les battements des artères humerales elles-mêmes ne sont plus perceptibles.
ume considérable. Il pèse 960 gr., avec les caillots et l'origine des artères . L'augmentation de volume paraît appartenir exc
e des deux ventricules, et en versant de l'eau dans l'aorte et dans l' artère pulmonaire, on constate que les val-vules sigmoïd
L'endocarde du ventricule et de l'oreil-lette est sain. Valvules de l' artère pulmonaire normales. La valve antérieure de la va
e à la pression du doigt, sans crépitation appréciable. Le tronc de l' artère pulmonaire et les premières branches de chaque cô
s canaux sont ramifiés et nous ont semblé ap-partenir au système de l' artère pulmonaire. La malière qui les emplit et les dist
ncré-tions fîbrino-purulentes siégeant dans plusieurs ramuscules de l' artère pulmonaire. Les résultats de la nécroscopie ont
ait plus sur le trajet de l'aorte. Sur le trajet de l'aorte, dans les artères du cou, on n'entendait plus qu'un bruit de souffl
les débris moins ténus se sont arrêtés dans plusieurs ramuscules de l' artère pulmonaire où on les are-trouvés, lors de la nécr
ur la mort subite et la mort rapide, à la suite de l'obtu-ration de l' artère pulmonaire, par des caillots san-guins, dans les
oblitérante en gé-néral L'oblitération plus ou moins complète de l' artère pulmonaire par des concrétions sanguines a été de
ir, l'existence de caillots san-guins dans les troncs principaux de l' artère pulmonaire, et la mort subite ou plus ou moins ra
t incriminé. Quelques auteurs1, ayant remarqué que l'obtura-tion de l' artère pulmonaire se rencontre assez fréquemment chez de
s à titre de cause principale, lorsqu'il s'agit d'un vaisseau comme l' artère pulmonaire, situé très près du cœur et soumis, en
rquer que, chez la plupart des sujets oùla coagulation du sang dans l' artère pulmonaire ne dépend pas d'une lésion du parenchy
cause. Or, dans tous ces cas, suivant M. Virchow, l'obstruction de l' artère pulmonaire serait une conséquence de l'oblitérati
ation, traverseraient les cavités du cœur droit, pénétreraient dans l' artère aussi loin que le permettrait leur volume et vien
lques points de l'his-toire clinique des obturations fîbrineuses de l' artère pul-monaire, considérées principalement dans leur
gmatia alba dolens post-puerpérale.— Mort ra-pide. — Obstruction de l' artère pulmonaire par des caillots san-guins. La nommé
t porta le diagnostic suivant : obturation des troncs principaux de l' artère pulmonaire par des caillots détachés des concréti
eure et dans l'oreillette droite, et qui, par en haut, pénètre dans l' artère pulmonaire. A mesure qu'il s'élève dans le tronc
e dans l'artère pulmonaire. A mesure qu'il s'élève dans le tronc de Y artère pulmonaire, ce caillot augmente rapidement de vol
tôt. Ce coagulum ramifié qui obture ainsi dans sa presque totalité l' artère pulmonaire, pré-sente dans la plus grande partie
ères sont très marqués, en particulier dans les branches droites de l' artère pulmonaire, au moment où elles pénètrent dans le
coagulum volu-mineux, au point de distendre fortement les parois de l' artère dans laquelle il est comme enclavé, placé à cheva
s les points oh il est de formation ancienne, le caillot qui obture l' artère pulmonaire n'est adhérent aux parois du vaisseau.
t abondants dans les parties ramollies du caillot. Le coagulum de l' artère pulmonaire, examiné dans les points où, décoloré,
nnoncer qu'on trouverait, à l'autopsie, les branches principales de l' artère pulmonaire obli-térées par des coagulums fibrineu
e de l'accouchement: elle a été la conséquence de l'oblitération de l' artère pulmonaire par des concrétions fîbrineuses, sans
ots qui peuvent être suivis jusque dans les plus petits ra-meaux de l' artère pulmonaire où ils adhéraient. Dans l'analyse qu
il publié en Allemagne, par le docteur Hecker, Sur l'obtura-tion de l' artère pulmonaire, comme cause des morts subites après l
complètement leur lumière. On cessa alors les sections pour ouvrir l' artère pulmonaire dans toute sa longueur; les deux branc
iliaque commune. Cœur normal. Pou-mon un peu œdémateux. Le tronc de l' artère pulmonaire est bouché par un thrombus qui s'étend
rt survient au bout de quelques minutes. Autopsie. Poumons sains. L' artère pulmonaire dont les parois sont seulement imbibée
on Atlas d anatomie pathologique , sous ce litre : Inflamma-tion de l' artère pulmonaire, suite de phlébite. Il est, entre autr
s moins compactes, adhérents, mais évidemment de date plus récente. L' artère pulmonaire, disséquée avec soin, offre une concré
adhérente aux parois, concrétion qui va se divisant à la manière de l' artère , et pénètre jusque dans un certain nombre de rami
veineuse a été l'origine et le point de départ de l'oblitération de l' artère pulmonaire, on sera naturellement porté à penser
doutables sur lesquels nous appelons l'attention. L'oblitération de l' artère pulmonaire par des caillots fibrineux, sans altér
ns son intéressant mémoire sur les morts subites par obstruction de l' artère pulmonaire, M. le docteur Baron rap-porte, d'aprè
éral très épaissies, et le tissu cellulaire ambiant très con-densé; l' artère pulmonaire était également remplie par des caillo
lendemain de son entrée, le malade meurt subitement. Autopsie. Les artères pulmonaires sont remplies de caillots en partie d
u dernier moment. Autopsie. Poumons anémiques, sains, d'ailleurs. L' artère pul-monaire est, dans toute son étendue, remplie
t, dyspnée et orlhopnée ; le 27 août, la malade meurt subitement. Les artères pulmonaires des deux côtés sont complètement obli
uelquefois, en outre de l'oblitération veineuse une oblitération de l' artère pulmonaire par des caillots. Les deux observation
sur lui-même et long de cinq pouces et demi. Le tronc principal de l' artère pulmonaire du côté di'oit est rempli par un caill
val sur les éperons des anastomoses. Pas d'altération des parois de l' artère . Dans les der-niers pieds de l'iléon, ulcération
iques, surtout au voisinage du cœcum. Dans la branche principale de l' artère pulmonaire qui conduit au lobe inférieur du poumo
correspondant par l'aspect et la forme avec le caillot contenu dans l' artère pulmonaire; au-dessous de lui, la mem-brane inter
établir que la mort subite ou rapide par oblitération fibrineuse de T artère pulmonairen est pas un élément insolite, non-seul
ow, à savoir, que, dans tous les cas où la coagulation du sang dans l' artère pulmonaire ne dépend pas d'une lésion du parenchy
manière positive : en effet, dans tous les cas où l'obstruction de l' artère pulmonaire par des con-crétions fîbrineuses est i
. Ce ventricule contenait un peu de sang noir. Les deux branches de l' artère pulmonaire contenaient des caillots de sang qui r
ement adhérents à la paroi vasculaire. En sui-vant les divisions de l' artère pulmonaire, d'autres caillots en grand nombre, et
n ; cepen-dant le tissu musculaire de ses parois est un peu pâle. Les artères pulmonaires sont distendues par des caillots cyli
nférieure est vicie, et ses parois sont revenues sur elles-mêmes. Les artères pulmonaires sont saines ; les caillots qu'elle re
au moins, ces cail-lots n'adhéraient point à la membrane interne de l' artère , qui était tout à fait exempte d'altération ; enf
catégorie de faits, tout comme dans la première, l'oblitération de l' artère pulmo-noire par des concrétions fîbrineuses libre
que l'observation démon-tre exister entre certaines obstructions de l' artère pulmonaire et l'oblitération des veines par un ca
s appréciables, et enfin venir se fixer dans un point quelconque de l' artère pulmonaire ; il a démontré, en outre, que si, dan
neux que nous avons trouvés remplissant les branches principales de l' artère pulmonaire étaient évi-demment, au moins en grand
e. séjourné pendant plusieurs jours dans les troncs principaux de l' artère pulmonaire sans que leur présence ait été révélée
nt pu rester aussi longtemps en contact avec la membrane interne de l' artère sans y produire quelque altération, et sans contr
ysiologie et de l'ana-tomie pathologiques. Ce n'est donc pas dans l' artère pulmonaire elle-même que se sont formés, au moins
ots détachés seront venus se fixer dans les branches principales de l' artère pulmonaire; l'un d'entre eux, le plus volumineux,
out à coup les premiers symptômes dysp-néiques. Mais l'occlusion de l' artère était encore incomplète et la circulation pouvait
qu'à la périphérie des caillots primitivement en-gagés, et bientôt l' artère pulmonaire s'est trouvée littérale-ment oblitérée
libre et flottant dans un point du trajet vasculaire qui sépare de l' artère pulmonaire la veine primitivement affectée, un cy
pante de l'origine veineuse de certaines concrétions fibrineuses de l' artère pulmonaire est donnée par l'observation IX. Dans
. Dans ce cas, en effet, l'une des extrémités du caillot extrait de l' artère a pu s'ajuster exactement à l'extrémité supérieur
c'est que les symp-tômes redoutables produits par l'oblitération de l' artère pul-monaire, apparaissent, en général, à une époq
porté un fait très intéressant d'oblitération des petits rameaux de l' artère pulmonaire par des caillots sanguins, dans lequel
t évidemment de forma-tion très récente. (Obturation métastatique des artères pulmonaires, Union médicale, 5 mars 1857.) 2 Su
V. Sur les douze faits d'oblitération des branches principales de l' artère pulmonaire consécutive à une oblitération veineus
e: le caillot que l'on trouve enclavé dans les troncs principaux de l' artère pulmonaire, ne présente habituelle-ment pas une t
de caoutchouc employés dans ces expériences étaient entraînés dans l' artère pulmonaire et s'y enclavaient sans provoquer tout
extrêmement rapide, les accidents déterminés par l'oblitération de l' artère pulmonaire présentent une physionomie très remarq
rience (Virchow, loc. cit., p. 302), au moment où l'oblitération de l' artère pulmonaire est devenue complète: 1° extension du
rait se propager par action réflexe à toute l'étendue du système de l' artère pulmonaire. On comprendrait d'ailleurs, à l'aide
surtout vers la face interne de la membrane ou tunique élastique des artères , mais seu-lement dans les artères plus petites qu
a membrane ou tunique élastique des artères, mais seu-lement dans les artères plus petites que les carotides et les iliaques pr
). D'après Kœlliker, on trouve même dans l'aorte et sur le tronc de l' artère pulmonaire des fibres-cellules: mais elles sont s
ît douteux qu'elles possèdent un certain degré de contrac-tilité. Les artères carotides, sous-clavières, iliaques, axillaires,
es spéciales aient été faites pour les divisions et subdivisions de l' artère pul-monaire ; mais il est probable que les rameau
an-noncer qu'il existe une oblitération des branches principales de l' artère pulmonaire par un caillot sanguin ; il faut remar
on, pourraient en particulier conduire à penser que l'obturation de l' artère est consécutive à la migra-tion d'un caillot vein
espèce, on sera conduit à admettre que l'obturation des branches de l' artère pulmonaire par des caillots fibri-neux, consécuti
en outre, des caillots sanguins dans quelques-unes des divisions le l' artère pulmonaire. Voici quel était, dans ces cas, le ra
ération veineuse : Thrombus dans la veine cave inférieure. 1 Dans l' artère pulmonaire. 0 — dans la veine iliaque ... 1 — 1
plus menaçants, et annonçant une occlusion des troncs principaux de l' artère , cesseraient plus ou moins brusque-ment, contre t
dans un sinus longitudinal su- Une seule fois, l'oblitération de l' artère pulmonaire a produit des acci-dents graves, bient
22'•, 354.) périeur...... — dans un sinus Iransverse. 3 Dans l' artère pulmonaire. 3 3 — 1 18 il dans sa convers
à l'idée de la présence d'un coagulum sanguin dans le cœur ou dans l' artère pulmonaire. Bien que la respiration fût encore fo
rla présence d'un caillot sanguin dans les branches princi-pales de l' artère pulmonaire, on se demandera si ce caillot s'était
nt à les rattacher à une obturation des bran- ches principales de l' artère pulmonaire par des caillots fibri-neux. Reste à s
de la mort, dans les cas d'oblitération des brandies principales de l artère pulmonaire par des caillots fibrineux ? Suivant V
lus qu'une quantité extrême-ment faible de sang chargé d'oxygène; les artères coronaires en particulier ne fournissent plus au
s caillots sanguins, un exsudât particulier déposé sur les parois des artères malades fut signalé par Bizot qui le considérait
l'inflammation dans les cas où la rougeur de la membrane interne des artères est accompagnée de gonfle-ment, d'épaississement,
si, dépourvue de vaisseaux, à l'état normal, la membrane interne des artères était susceptible de s'enflammer à la façon des s
e. Il réserve le nom d1endartérite aux altérations athéromateuses des artères . On comprend, en effet, que si leur membrane in
lte doctrine, ne considère les produits développés à l'intérieur de l' artère que comme desimpies concrétions fi-brineuses. S
l était logé entre les tuniques ex-terne et moyenne, à l'origine de l' artère ; il s'ouvrit à l'inté-rieur, et le malade mourut
chow, la présence d'un caillot spontanément formé à l'intérieur d'une artère a pour conséquence d'en enflammer les parois sur
rosse aortique ; 2° terminaison de l'aorte ; 3° aorte thoraci-que; 4° artère splénique; S0 aorte abdominale, etc. Rokitansky m
nnent ensuite la crosse aortique, l'aorte thoracique et abdominale; l' artère splé-nique est placée immédiatement après. La f
cation la plus complèle. C'est surtout à l'in-térieur de cette grande artère qu'on rencontre ces plaques os-siformes si bien o
u vaisseau (Barth.) Celte dernière lésion est plus fréquente pour les artères périphériques qui naissent du point altéré : on l
déterminer des obstructions emboliques : on voit alors survenir, si l' artère intéressée est volumineuse, une gangrène localisé
e sang même, à une distance très considéra-ble du point malade dans l' artère crurale par exemple; ces substances passent donc
mais les saignées pratiquées pendant la vie, même sur le trajet de l' artère temporale, n'ont point fourni, jusqu'à présent, u
ion semblable dans le tronc principal ; aussi toutes les fois que les artères acces-sibles à l'exploration, la radiale, la temp
donc un anévrisme vrai. Lorsque le sac se développe tout autour de l' artère , il prend le nom d'anévrysme périphérique. B. L
gale densité, ils prennent, au voisi-nage de la membrane interne de l' artère , une texture fibroïde. Leur consistance s'accroît
son origine, est le siège de la maladie, la veine cave su-périeure, l' artère pulmonaire et sa branche droite, les pou-mons, le
dans le ventricule gauche ; dans l'une ou l'autre oreillette ; dans l' artère pulmonaire ou l'une de ses branches : dans la vei
ent un double orifice et communiquent ainsi deux fois de suite avec l' artère dont ils émanent (Cruveilhier). Un anévrisme diff
1 Péricarde.................................................... 8 Artère pulmonaire.......................................
-ques des anévrismes de l'aorte, nous signalerons l'oblitéra-tion des artères qui naissent d'un point voisin de la tumeur, ou d
ences. Cependant, quand l'anévrisme est très voisin de l'origine de l' artère , il peut donner lieu à une insuffisance aortique
ce d'une tumeur pulsatile, sur un point qui correspond au trajet de l' artère , est le signe palhognomonique des ané-vrismes de
ours ; mais quand la lésion occupe la partie sus-diaphragmatique de l' artère , on voit souvent manquer ce phénomène (Stokes). Q
nant est le défaut de symétrie que présentent les pulsations des deux artères radiales, dont les battements à l'état normal son
tinguer des anévrismes de l'aorte ceux qui siègent sur le trajet de l' artère innommée, de la carotide ou de la sous-clavière g
ent aussi les malades sont tourmentés par des battements violents des artères périphériques. Lebert a vu un cas où le visage of
la trachée, des bronches, du pneumogastrique, du nerf récurrent, de l' artère pulmonaire, du cœur, des poumons eux-mêmes; enfin
n temps, avant la terminaison. Quand le sac vient à s'ouvrir dans l' artère pulmonaire, la veine cave inférieure ou supérieur
e fût occasionné par une cause traumatique agissant directement sur l' artère ; en effet, les plaies de ce vaisseau, presque to
nce habituelle d'un souffle bien caractérisé. m) La dilatation de C artère pulmonaire produit une tumeur impulsive avec frém
vent, par leur juxtaposition à l'aorte, simuler un anévrisme de cette artère . On a vu quelquefois un lobe hypertrophié du foie
a nature dans la guérison spontanée des anévrismes. Mais si, dans les artères d'un calibre inférieur, ce phénomène peuî quelque
urs ainsi pour des vaisseaux d'un calibre inférieur, il semble qu'une artère aussi volumi-neuse que l'aorte ne saurait revenir
s procédés qui ont parfois amené l'oblitération du sac sur de petites artères , ils ne sau-raient être employés dans ce but lors
inale a été quelquefois prati-quée dans les cas d'anévrismes de cette artère ; mais il ne nous appartient pas d'apprécier ici
pa. Sull'aneurysma. Pavia, 1804. — Hodgson. Traité des maladies des artères et des veines. Trad. Breschet. Paris, 1819.—Bouil
plus tard, Rokitansky a exposé, dans son Mémoire sur les maladies des artères , le résultat de ses recherches ultérieures. On
royale de Londres, que lorsque les tuniques interne et moyenne d'une artère , sont divisées et que de l'air ou de l'eau sont i
seule à l'effort du sang. Les liquides injectés avec force, dans une artère dont les deux tuniques internes ont été incisées,
l distinct, qui souvent vient s'ouvrir de nouveau dans la cavité de l' artère . C'est le cas le plus fréquent; il a été ob-servé
il est tapissé d'une membrane qui ressemble à la tunique interne des artères ; il communique souvent avec les branches émanées
la tunique externe décollée aux membranes sous-jacentes. Néanmoins, l' artère continue à présenter en cet en-droit une dilatati
l. LU, p: 269. — Maunoir. Mémoire sur l'ané-vrisme et la ligature des artères Genève, 1802.,— Hodgson. Maladies des artè-res et
tomistes sur ce point. L'ouverture des anévrismes de l'aorte dans l' artère pulmo-naire avait été signalée par Laënnec et par
llette, le travail de Wade, sur les communica-tions de l'aorte avec l' artère pulmonaire, et le diagnostic de cette lésion; enf
llette droite, une fois dans le ventricule droit, et onze fois dans l' artère pulmonaire. Depuis cette époque, des lésions de c
l'aorte, Sibson en a compté dix-sept où la perforation intéressait l' artère pulmonaire, et sept où la veine cave inférieure e
à l'oblitération partielle. Toute la portion de la veine cave ou de l' artère pulmonaire qui correspond à l'ouverture est telle
l'aorte, elle peut communiquer avec la veine cave supérieure, avec l' artère pulmonaire, ou avec les cavités du cœur. Ces troi
quelques cas, ainsi que le frémissement ca-taire. Dans les cas ou Y artère pulmonaire est intéressée, les symp-tômes sont à
ces données pour diagnostiquer une communica-tion entre l'aorte et l' artère pulmonaire. Plus tard, il se déve-loppa un souffl
ie, un anévrisme de l'aorte, qui s'était successivement ouvert dans l' artère pulmonaire et le ventri-cule droit. Quand l'aor
a circulation sont encore plus caractérisés que lorsqu'il s'agit de l' artère pulmonaire, le bruit de souffle est plus rude et
e cavité entièrement distincte et séparée par un collet du canal de l' artère . Les dilatations de l'aorte ont été signalées p
paragraphe. La crosse de l'aorte et la portion descendante de cette artère sont les points les plus spécialement prédisposés
sités évidentes se joindre à une dilatation manifeste, de sorte que l' artère s'était accrue en longueur aussi bien qu'en large
e la circon-férence du vaisseau, ou proéminer sur l'un des côtés. Les artères qui naissent du point dilaté, les intercostales a
ent du point dilaté, les intercostales aorliques le tronc cœliaque, l' artère innommée, participent, en général à cette amplial
nce aune dilatation aortique; et réciproquement, les dilatations de l' artère portées à un certain degré, peuvent occasionner u
ne distribue de branches qu'à la tête et aux membres supérieurs, et l' artère pulmonaire s'inflé-chit dans l'aorte abdominale p
sous de la sous-clavière gauche et vient se jeter dans la crosse de l' artère pulmonaire, à une hauteur variable. Plus tard, l'
1, 2, 3, points d'insertion de l'isthme de l'aorte sur la crosse de l' artère pulmonaire. Quand l'insertion de l'isthme aorti
t fait admettre aux anatomistes que l'aorte naissait quelquefois de l' artère pulmonaire. La science possède aujourd'hui 55 o
ts congénitaux; il semblerait que, dans quelques cas, les parois de l' artère ont pu subir un travail inflammatoire plus ou moi
lisser une sonde étroite à travers le cordon fibreux qui a remplacé l' artère , l'occlusion du vaisseau n'est donc jamais absolu
un pont, au-dessus de ces dépressions (Dumonlpallier). La cavité de l' artère est souvent remplie de caillots adhérents. Parm
a dilatation de l'aorte ascendante au-devant de la coarctation. Les artères intercostales, qui naissent les unes de la portio
'état de la circulation. On constatera un dé-veloppement insolite des artères périphériques sur plusieurs points à la fois; et
ériphériques sur plusieurs points à la fois; et le volume énorme de l' artère mammaire interne, de la thyroïdienne, de vaisseau
ement l'attention de l'observateur. En même temps les pulsations de l' artère crurale, tantôt fai-bles, tantôt complètement abo
es. L'existence d'une circulation supplémentaire et la dilatation des artères périphériques feront soupçonner une sténose aorti
econd cas, ne s'observe guère dans le premier. Une oblitéra-tion de l' artère axillaire (Bamberger) pourrait, à quelques égards
aible étendue, elle peut quelquefois occuper une portion notable de l' artère , et pénétrer dans les branches principales qu'ell
obturateur occupait toute la portion de l'aorte située au-dessous des artères rénales, et se prolongeait jusque dans les vaisse
plupart de ces branches étaient oblitérées ; il en était de même des artères mésentériques. L'adhérence du caillot aux paroi
n caillot obturateur, qui a subi plus tard une résorption complète, l' artère est demeu-rée plus ou moins étroite au niveau de
espèce, qui, développées au voisi-nage de l'aorte, exercent sur cette artère une compression toujours croissante, finissent qu
rte elle-même sont capables de provoquer ce résultat. On voit alors l' artère et ses branches collatérales se dilater au-dessus
les symptômes correspondants. Il s'a-gissait d'une oblitération de l' artère iliaque primitive droite, avec claudication int
intermittente obser-vée dans un cas d'oblitération complète a'une des artères iliaques primitives. In Gaz. méd. de Paris, 1859.
étation, appliqué aux concrétions fîbri-neuses du cœur et des grosses artères . Cet opuscule ayant été souvent cité d'une mani
i-gine delà sous-clavière gauche, et occupait le côté postérieur de l' artère , qui était saine à ce niveau. Ces dépôts fibrin
parois étaient parsemées de pla-ques athéromateuses ; et le sang de l' artère fémorale ren-fermait des gouttelettes graisseuses
n que le siège de ces concrétions, placées au dehors de l'origine des artères carotides, ne permit point de leur attri-buer les
Moissenet, à l'hôpital Lariboisière, une oblitération embolique de l' artère iliaque primitive, immédiatement au-dessous de so
xante ans plus tard, Schulze découvrit un anévrisme ver-mineux dans l' artère mésocolique d'une vieille jument. Dans l'espèce c
tuellement des poches anévrismaliques dévelop-pées sur le trajet de l' artère mésentérique supérieure : on peut cependant les r
p-pement de ces anévrismes, presque toujours situés sur le trajet des artères intestinales, aux tiraillements que ces vais-seau
ecousse plus violente est nécessaire pour séparer les tu-niques d'une artère que pour les déchirer. Dans la majorité des cas
par un épithélioma de l'œsophage : l'ouverture faisait communiquer l' artère avec la bronche gauche, qui était elle-même perfo
es se déclarer avant la mort. XI. Cancer de l'aorte. Bien que les artères ne soient jamais primitivement affec-tées de canc
st elle-même un fait exceptionnel, car les vais-seaux, et surtout les artères , résistent en général à la marche envahissante de
termittente observée dans un cas d'oblitération complète de l'une des artères iliaques primitives 1. L'observation intéressan
acés dans la flexion ou dans l'extension forcée : les bat-tements des artères n'y sont point perçus ; la température s'y abaiss
ins complète des troncs artériels principaux du membre af- fecté. L' artère , dont les diverses tuniques peuvent être à peu pr
s à ceux qu'on observe en pareil cas, chez le cheval. Observation.— Artère iliaque primitive droite en partie trans-formée e
plus grand diamètre), qui tient lieu de l'orifice d'abouchement de l' artère iliaque droite, et dont les bords sont incrustés
au reparaît un instant, mais il donne nais-sance presque aussitôt aux artères iliaque externe et iliaque interne droites. Cel
e, sous ce rapport, aux caractères correspondants du côté opposé. L' artère iliaque primitive gauche est assez fortement comp
opérait, tant dans les veines du membre inférieur gauche que dans les artères du membre inférieur droit, elles n'ont malheureus
iées avec soin. Tout ce que nous pouvons dire, c'est qu'à droite, les artères lombaires étaient très dilatées et tortueuses, et
névrismale s'est développée aux dépens des deux tiers supérieurs de Y artère iliaque primitive droite, très vraisemblablement
t et s'est transformé en une sorte de ligament fibreux. Cependant les artères iliaque interne, iliaque externe, crurale, etc.,
les cas qui nous occupent, par suite de la di-minution de calibre des artères au-dessous du point d'oblité-ration, et de l'impe
ez nombreux, de paralysie permanente produite par l'oblitéra-tion des artères principales d'un membre, pour rechercher si la cl
cidents qui surviennent chez l'homme à la suite de l'oblitération des artères principales d'un membre. Mais quelles sont les co
rte. — Rigidité cadavérique pendant la vie. — Cas d'oblitération de l' artère sous-clavière : gangrène de l'avant-bras. — Cas d
e sous-clavière : gangrène de l'avant-bras. — Cas d'oblitération de l' artère iliaque primitive: claudi-cation intermittente. —
ce du 9 juin 1886). La dissection du membre amputé lui montra que les artères de la jambe étaient considérablement diminuées de
anches qu'elle donne, ou bien encore de l'o-blitération du tronc de l' artère principale d'un seul membre ; c'est dans le 1er c
successivement, on voit que la température du membre s'a-baisse, les artères cessent de battre, les mouvements devien-nent dif
nce de Stenson, ou encore chez l'homme à la suite de la ligature de l' artère principale d'un membre. (Pour plus de détails voi
, une perte soudaine de la vision de l'œil gau-che par thrombose de l' artère centrale de la rétine, circons-tance, dans l'espè
n : la coloration dont je viens de parler s'exagère, si on comprime l' artère fé- morale et la veine dans le triangle de Scar
embrane verdâtre qui enve-loppe de toutes parts les ramifications des artères cérébrales cor-respondantes. Après avoir enlevé c
très irrégulier, et présente des intermittences nombreuses. Les deux artères fémorales, examinées dans l'espace inguinal, para
nt, pji conserve à peine l'impression du doigt. Les battements de l' artère crurale gauche sont devenus moins sensibles que c
de l'artère crurale gauche sont devenus moins sensibles que ceux de l' artère correspondante du côté droit, les-quels ont cepen
voiement. La langue est sèche et recouverte d'un enduit fuligineux. L' artère crurale gauche ne présente plus que des bat-temen
ant, osseux, moniliforme; sa cavité ne con-tient pas de caillots. Les artères iliaques primitives ne contiennent pas de caillot
ndue de 4 centimètres au-dessus de l'ar-cade crurale. Plus bas, cette artère , dont les parois sont simple-ment épaissies et op
rne, qui présente une couleur violacée, mais qui est peu friable. L' artère tibiale gauche, dans ses deux tiers supérieurs, p
t tout à coup moitié moins grosse. Dans sa partie supérieure, cette artère est remplie de caillots d'une coloration rosée, c
ation rosée, consistants et adhérant assez intimement aux parois de l' artère , qui paraît fortement distendue. En certains poin
st telle qu'il est difficile de le détacher. La membrane interne de l' artère présente une einte rouge foncée, et dans les poin
friables, mais pas autrement altérées. Plus bas, dans la portion de l' artère qui a conservé son calibre, on rencon-tre un cail
peu consistant, et n'adhérant nullement aux parois artérielles. — Les artères tibiale postérieure et péronière présentent des a
s, en particulier, ont une teinte pâle et leur tissu est ramolli. L' artère crurale du côté droit est remplie par un caillot
t est remplie par un caillot ana-logue à celui qu'on rencontre dans l' artère correspondante du côté gauche. Les poumons sont
e nous-même dans un assez bon nombre de cas. — 2° L'oblitéra-tion des artères volumineuses avec ou sans gangrène des mem-bres e
ulaires man-quent et que les dépôts fibrineux et l'oblitération d'une artère ?volumineuse, suivie de gangrène d'un membre, exi
une cause quelconque et ont déterminé la coagulation du sang dans les artères de la jambe gauche et aussi la production des hé-
ettent pas de croire que l'inflammation, ou toute autre affection des artères du membre inférieur gauche, aient existé primitiv
pillaires qui traversent ces noyaux, les veines qui en partent et les artères qui s'y rendent sont habituellement gorgés de san
i que l'a démontré M. Cruveilhier, dans celles des ramifications de l' artère pulmonaire qui se rendent au noyau hémoptoïque, s
t hors de doute l'existence de l'inflammation des ra-mifications de l' artère pulmonaire et des capillaires auxquels elles abou
utes ces modifications que subissent les cail-lots fibrineux dans les artères , comme aussi dans les cavités du cœur et quelquef
centre des caillots, n'est généralement pas du pus, au moins dans les artères et dans les cavités cardiaques; elle consiste en
existe dans les poumons des indurations hémoptoïques, les parois des artères pulmonaires présentent très fréquemment, à un deg
Sur la mort subite et la mort rapide, à la suite de l'obturation de l' artère pulmonaire, par des caillots sanguins, dans les c
ittente observée dans un cas d'oblité- ration complète de l'une des artères iliaques primitives....... 572 VIII. Leçon sur
— Rigidité cadavérique pendant la vie. — Cas d'oblitéra- tion de l' artère sous-clavière: gangrène de l'avant-bras. — Cas d'
e sous-clavière: gangrène de l'avant-bras. — Cas d'oblitéra-tion de l' artère iliaque primitive : claudication intermittente. —
anes voisins, 489, 491 ; — ouverture du sac, 489; — ouver-ture dans l' artère pulmonaire, 538 ; — mort par hématémèse, 490; — s
es, 540 ; — bruit de souffle, d'ailes, S'il ; — communi-cation avec l' artère pulmonaire, 541; — pronostic, 543; — traite-temen
594 ; — Communication de 1' — avec la veine cave inférieure, 538, — l' artère pulmonaire, 531, — avec le cœur droit, 543; — rét
aire, 613, 626. Appendice, 623. AResénile dans l'athérôme, 477. Artère pulmonaire, 13, 106; ^— terminale, ¿'37; — oblité
gi- ques chez le cheval, 593; — cail-lots fibrineux oblitérants des artères dans la — , 575; — obser-vation de — par compress
dans la phlé-bite, la pneumonie, 318. Concrétions fibrineuses de l' artère pulmonaire, 4 '.8; — métamor-phose régressive, 44
xiques, 382; — contractures, 382; — de la sous-clavière, 561 ; — de l' artère pul-monaire, 625. l Labyrinthe rénal, 77. Lar
intermittente, 5'3. Oblitération (de l'aorte), 546, 568; — d'une artère fémorale, 313; des artères voisines d'un ané-vris
itération (de l'aorte), 546, 568; — d'une artère fémorale, 313; des artères voisines d'un ané-vrisme. 493; — de la carotide,
, 503, 596; — de l'iliaque primitive, 557, 564, 5"i6;— permanente des artères d'un membre, 585. Oblitération de l'artère pulm
, 5"i6;— permanente des artères d'un membre, 585. Oblitération de l' artère pulmonaire 421 ; — lésions des tuniques arté-riel
Thrombose artérielle, 312, 313; — oblitérante de l'aorte, 560; — de l' artère centrale de la rétine, 599 ; — de l'artère numéra
te de l'aorte, 560; — de l'artère centrale de la rétine, 599 ; — de l' artère numérale, 313 ; pathogénie, 314. Thrombose vein
4 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
er l'influence du raccourcissement de la cuisse sur la direction de l' artère fémorale. Cette artère était extrêmement flexueus
urcissement de la cuisse sur la direction de l'artère fémorale. Cette artère était extrêmement flexueuse au niveau et au desso
u fémur, un pour les deux tiers postérieurs et (1) Chez ce sujet, l' artère fémorale était bifurquée au niveau de l'arcade fé
héroïdale, beaucoup plus volumineuse que de coutume. Flexuosités de l' artère fémorale sensibles à l'aine : l'existence de ces
e, 39e jour de la fracture. Ouverture du cadavre. — Flexuosité de l' artère crurale au-dessous de l'arcade fémorale. Par une
au-dessous de l'arcade fémorale. Par une anomalie assez fréquente, l' artère fémorale était bifurquée sous l'arcade fémorale,
uée sous l'arcade fémorale, a six lignes au dessous de l'origine de l' artère épigastrique. Les deux branches de division étaie
l'aide d'une airigne, a une couleur jaune comme la tunique propre des artères , dont pourtant il ne présente ni l'extensibilité
rétacées, qui lui donnaient beaucoup d'analogie avec l'altération des artères altérées. Le sommet de l'apophyse odontoide éta
dans ses leçons, et qui avait pour sujet un individu dont toutes les artères du cuir ^chevelu étaient anévrysmatiques, se prés
urs étaient effectivement sur le trajet des divisions principales des artères temporales et occipitales. La tumeur de la région
ite en particulier semblait appartenir à une division principale de l' artère temporale. Au côté interne de la cuisse gauche, i
r la bosse droite du coronal. Cette tumeur, placée sur le trajet de l' artère temporale, avait eu d'abord le volume d'une aveli
éaires, nécessitèrent l'amputation de la jambe, et qui présentèrent l' artère tibiale grossie et rompue, les chairs du mollet d
JR , que je considère comme le vestige des muscles jumeaux. Les deux artères tibiales postérieures sont confondues en une seul
. Les deux artères tibiales postérieures sont confondues en une seule artère ATP, qui apparaît entre les tibias, et se bifurqu
rs, en un seul tronc , qui se bifurque comme le tronc commun des deux artères tibiales postérieures, pour fournir aux deux pied
ce d'une couleur bleue, jaunâtre et assez analogue au tissu jaune des artères . « Le péritoine conserve sa couleur blanche ; l
ils ne différent en rien de ceux d'un enfant qui vient de naître. Les artères , veines et nerfs présentent tous leurs caractères
uant aux petits cordons ligamenteux qui représentent l'ouraque et les artères ombilicales, je n'en ai trouvé de vestige autre q
r que, chez les femmes qui ont eu beaucoup d'enfans, l'ouraque et les artères ombilicales sont atrophiées à tel point qu'on ne
t effectuée la hernie; car l'ouverture de sortie était située entre l' artère ombilicale, qui était en dedans, et les vaisseaux
égale- ment entre ces deux membranes que marchaient la veine et les artères ombilicales pour £e rendre chacune à leur destina
dans la tumeur arrivait de suite au point d'insertion du cordon. Les artères ombilicales parcouraient un trajet plus long. Les
ration ardoisée foncée. Cette couleur ardoisée est commune dans les artères , lorsqu'il existe une irritation chronique sur qu
e; le pouls plein, dur, variable pour la fréquence, le ronflement des artères connu sous le nom très expressif de bruit de roue
aillots adhérens et décolorés occupant les principales divisions de l' artère pulmonaire, qui correspondent aux lobes œdémateux
ur cause un obstacle au cours du sang déterminé par l'obturation de l' artère pulmonaire, je suis fondé à regarder l'œdème séro
ions à un tissu érectile, à un réseau veineux, dans lequel une grosse artère est chargée de verser le sang que rapporte au foi
en quelque sorte typique du passage des injections, poussées par les artères dans les veines rénales et dans les conduits excr
oyait pas de prolongemens derrière le sternum. Derrière elle, était l' artère carotide; la trachée était aplatie d'un côté à l'
iagnostic. On sait combien souvent un goitre latéral, que soulevait l' artère carotide primitive, a été pris pour un anévrisme
it l'artère carotide primitive, a été pris pour un anévrisme de cette artère . Dans le cas suivant, je crus non à un goitre lat
Le nerf pneumo-gastrique gauche était accollé à son côté externe ; l' artère carotide primitive répondait en arrière et en ded
ière encéphaloïde. Il m'a été impossible de déterminer si c'était une artère ou une veine; mais mes observations établissent a
né ce fait dans la xie livraison, à l'occasion de l'inflammation de l' artère pulmonaire. Lambeau de poumon non gangrené, péd
été facile de voir que ces concrétions occupaient les divisions de l' artère pulmonaire, que les divisions pulmonaires gauches
, si je puis m'exprimer ainsi, sur l'état général. La phlébite de l' artère pulmonaire, coïncidant avec la pneumonie, est un
remarquable qu'on observe constamment dans ce cas l'inflammation de l' artère pulmonaire et non l'inflammation des veines pulmo
ochrones aux mouvemens du cœur, et qui sont évidemment produits par l' artère mammaire interne. Cette circonstance me fait crai
veine iliaque primitive gauche, dans son point d'intersection avec l' artère iliaque primitive droite était aplatie et singuli
mon. Catarrhe pulmonaire chronique. Point de phlébite pulmonaire. Les artères pulmonaires, qui représentent les veines des autr
fois elle est rouge, c'est par teinture comme la membrane interne des artères dans le cas d'artérite. La structure de la membra
trophie du système capillaire veineux, et la preuve qu'il n'y a pas d' artères dans les capillaires, c'est qu'il n'existe pas de
s variqueuses sont veineuses : elles communiquent sans doute avec les artères , par lesquelles on parvient souvent à les injecte
tion passe immédiatement dans les veines et ne revient jamais par les artères . Il y a plus d'analogie qu'on ne le croit, au m
deux veines fémorales VF, VF, la veine iliaque externe gauche VI E, l' artère fémorale droite A F, les veines saphènes internes
leur calibre, qui ne dépassait pas, s'il l'atteignait, le calibre des artères correspondantes. Les coupes des veines représen
nière articulation commencement d'usure du cartilage. Les veines et artères du membre étaient sains; les viscères thoraciques
t C. (PLANCHE V, XXVIIe LIVRAISON.) Gangrène par oblitération des artères . première observation. — Gangrène spontanée de
toute la région antérieure et externe delà jambe. L'exploration de l' artère fémorale me fait reconnaître des battemens au niv
niveau de l'arcade fémorale et à deux pouces au-dessous : plus bas, l' artère est transformée en un cordon dur et douloureux.
r, extenseur commun des orteils et extenseur propre du gros orteil, l' artère tibiale antérieure et le nerf tibial antérieur le
e la jambe aurait été complète. Les figures 2 et 3 représentent les artères du membre inférieur depuis l'arcade fémorale jusq
bre inférieur depuis l'arcade fémorale jusqu'à la plante du pied. Les artères fémorale et poplitée et leurs divisions sont en p
ervalles, ce qui leur donne l'aspect de petites trachées-artères. L' artère fémorale A F (fig. 2), à partir de l'origine de l
artères. L'artère fémorale A F (fig. 2), à partir de l'origine de l' artère profonde APR, est remplie d'un caillot adhérent p
t présentant diverses teintes de coloration. Il en était de même de l' artère poplitée AP, fig. 2et 3, de l'artère tibiale anté
ration. Il en était de même de l'artère poplitée AP, fig. 2et 3, de l' artère tibiale antérieure ATA, fig. 3, et du tronc tibio
le antérieure ATA, fig. 3, et du tronc tibio-péronier A TP, fig. 3; l' artère tibiale postérieure ATP, est extrêmement grêle, b
tibiale postérieure ATP, est extrêmement grêle, bien plus grêle que l' artère péronière AP, fig. 3. L'obturation par des cail
n par des caillots sanguins avait lieu non-seulement dans les grosses artères , mais encore dans leurs divisions. Les veines s
rtères, mais encore dans leurs divisions. Les veines satellites des artères VF, VP, étaient également remplies par des caillo
ngrène spontanée chez une femme de 81 ans.— Oblitération complète des artères tibiale, postérieure et péronière. — Liberté de l
jambe, siège principal de la douleur. Du reste, les battemens de l' artère fémorale peuvent être sentis dans toute la longue
le peuvent être sentis dans toute la longueur de la cuisse. Ceux de l' artère poplitée ne sont pas perçus. Le 9 février, déjà
bilité complète, râle, pouls filiforme, mort. Ouverture du corps. — Artère fémorale libre dans toute sa longueur. Caillots n
te sa longueur. Caillots non adhérens à la partie inférieure de cette artère , au moment de son passage à travers le troisième
a décoloration, le caillot était canaliculé dans quelques points. L' artère tibiale antérieure était parfaitement libre. Les
parties du système artériel étaient parfaitement sains. Pourquoi l' artère tibiale antérieure n'a-t-elle pas suppléé les aut
ourquoi l'artère tibiale antérieure n'a-t-elle pas suppléé les autres artères ? Réflexions.—Malgré le jour tout nouveau que l
sujet soit épuisé. Le fait fondamental, c'est crue l'oblitération des artères , assez complète pour qu'il y ait interruption du
et même de gangrène spontanée, celle de gangrène par oblitération des artères . Déjà, dans mon premier ouvrage fi), j'avais cons
ge fi), j'avais considéré l'ossification ou pétrification des petites artères , comme une cause de gangrène sénile. Il résulta
ernières divisions artérielles, et que, tandis que l'ossification des artères principales ne se révèle par aucun symptôme, ne d
a gangrène dite sénile. Or l'artérite, de même que l'ossification des artères , ne produit la gangrène que lorsqu'elle intercept
'ai injecté des corps irritans, de l'encre, de l'alcool étendu dans l' artère fémorale de plusieurs chiens : quelques instans a
ans mes notes. « Le w 10 juillet 1826, j'ai injecté de l'encre dans l' artère crurale d'un chien. Vive douleur immé-« diatement
Le 17 juillet 1826, j'ai injecté, sans impulsion, du mercure dans l' artère fémorale d'une chienne de moyenne taille; au mome
uption du cours du sang artériel a été partielle. La ligature d'une artère ne détermine si rarement la gangrène, que parce q
vérité dans tout son jour : une tige de bois a été introduite dans l' artère fémorale, de haut en bas, jusqu'à ce que j'aie re
pondant à la surface interne enflammée du vaisseau : dans les grosses artères , dans l'aorte en particulier, on rencontre quelqu
rte que la circulation n'est pas sensiblement troublée; mais dans les artères de moyen et de petit calibre, l'artérite occupe e
énile, il y avait oblitération, par des caillots de sang, des petites artères qui naissent des tibiales et péronières. Dans l'a
vaisseau; quelques-uns de ces caillots répondaient à des parties de l' artère dilatées et pétrifiées. Une matière puriforme occ
é anatomique par M. Maisonneuve, la partie inférieure de l'aorte, les artères iliaques primitives, iliaques interne et externe,
ième observation rapportée plus haut, l'oblitération était bornée aux artères tibiale postérieure et péronière, la tibiale anté
ibiale antérieure était parfaitement libre. Comment se fait-il que, l' artère tibiale antérieure étant libre, la circulation ne
térieure étant libre, la circulation ne se soit pas rétablie dans les artères tibiale postérieure et péronière? Par une raison
tion entre ces différens ordres de vaisseaux étaient interceptés. Les artères tibiale postérieure et péronière auraient été lib
d'inhérent à la gangrène spontanée, c'est l'oblitération des petites artères ; l'oblitération des grosses artères n'est qu'acce
c'est l'oblitération des petites artères; l'oblitération des grosses artères n'est qu'accessoire; aussi lisez les observations
essemblent sous le rapport de l'étendue de l'oblitération des grosses artères : ainsi dans le cas cité plus haut, la fin de l'a
tères : ainsi dans le cas cité plus haut, la fin de l'aorte, les deux artères iliaques primitives, étaient obturées par des cai
'un seul membre. Dans d'autres cas, on trouve les grosses et moyennes artères parfaitement libres; mais comme l'oblitération oc
s attestent leur ancienneté; d'autres fois on trouve dans les grosses artères des caillots si récens qu'on ne saurait les consi
le caillot a précédé la gangrène, la douleur vive que fait éprouver l' artère quelque temps avant l'apparition de cette gangrèn
m'a été expliquée par les douleurs atroces qu'éprouva le chien dans l' artère fémorale duquel j'avais injecté du mercure. Or, l
cté du mercure. Or, lorsque, dans mes expériences, j'injectais dans l' artère principale un corps irritant qui arrêtait immédia
flammation était consécutive à la formation du caillot qui irritait l' artère par sa présence. On se fonde sur ce que les paroi
tait l'artère par sa présence. On se fonde sur ce que les parois de l' artère , d'abord incolores, se colorent bientôt, puis s'é
mentateur de cette thèse, je fis observer que la membrane interne des artères est ininjectable, au moins quant au sang, et qu'o
le sang ne puisse être le véhicule de la cause de l'inflammation des artères , je suis même porté à le croire, mes expériences
des parois artérielles. Si l'inflammation de la membrane interne des artères est quelquefois produite par un sang irritant, il
écessaire de la gangrène par oblitération des XXVIIe LIVRAISON. 2 artères , bien que cette terminaison soit en quelque sorte
ent la moitié du pied. Le malade mourut cachectique, A l'ouverture, artère iliaque primitive et hypogastrique droite oblitér
e oblitérée par un caillot sanguin très ferme , d'un rouge-brique ; l' artère crurale était libre : les artères poplitée gauche
n très ferme , d'un rouge-brique ; l'artère crurale était libre : les artères poplitée gauche, tibiales antérieure et postérieu
la surface de la plaie. Ainsi, tandis que la phlébite adhésive des artères grosses et petites n'a d'autre inconvénient qu'un
adhésive a pour résultat la mort des parties, lorsqu'elle envahit les artères capillaires; je n'ai pas étudié l'artérite suppur
ns la paralysie nerveuse; en outre, dans la paralysie artérielle, les artères ont cessé de battre dans le membre; la pression e
prononcée est déterminée par une pression exercée sur le trajet de l' artère fémorale. Cette artère ressemble à une corde dure
ée par une pression exercée sur le trajet de l'artère fémorale. Cette artère ressemble à une corde dure. Ses battemens ne peuv
rieure de la cuisse. 80 sangsues ont été appliquées sur la ligne de l' artère , 4o le matin et 4o le soir. — Sachets de sable ch
ins comme ceux d'un cadavre assez frais. Point d'odeur de gangrène. Artère fémorale obstruée par un caillot, à un pouce au-d
pu se faire en partie entre le caillot et les parois artérielles. Les artères collatérales de la cuisse n'ont pas été examinées
collatérales de la cuisse n'ont pas été examinées. A la jambe, les artères tibiales et péronières étaient considérablement r
tances m'auraient-elles échappé ? Je le crains. Le rétrécissement des artères par des concrétions ossiformes suffit-il pour exp
t donc être rapporté.aux cas de gangrène par ossification des petites artères . Le mode de putréfaction des membres gangrenés
ependant, attendu que le pouls était insensible du côté malade, que l' artère brachiale était petite, avec battement filiform
puis le bout des doigts jusqu'au coude ; en outre, les battemens de l' artère humérale ne pouvaient plus être sentis. Le trajet
ns de l'artère humérale ne pouvaient plus être sentis. Le trajet de l' artère est douloureux. Les mouvemens du membre sont égal
emande à manger : délire tranquille. Le pouls est insensible aux deux artères brachiales. L'auscultation donne une crépitation
érisé par de vastes cellules séparées seulement par des brides. Les artères et les veines des membres supérieurs ont été inje
le retirer sans déchirure. Le tissu propre du cœur m'a paru intact. Artère du membre supérieur gauche ( Côté du membre gangr
ieur gauche ( Côté du membre gangrené).—Un caillot sanguin occupait l' artère sous-clavière gauche, près de son origine. Ce cai
eure et cervicale transverse. La portion de caillot qui répondait à l' artère sous-clavière, contenait à son centre un pus anal
pus analogue au pus trouvé dans le caillot du cœur. — Le caillot de l' artère axillaire était tubulé, et dans la cavité du tube
par conséquent d'une date bien plus récente que le tube lui-même. L' artère radiale était pleine de la matière à injection ju
usqu'au moment où elle se contourne sur le côté externe de la main. L' artère cubitale était également injectée jusqu'à l'arcad
xtrémités des doigts, les caillots commençaient à la bifurcation de l' artère humérale. Un caillot avait arrêté la matière à in
humérale. Un caillot avait arrêté la matière à injection du côté de l' artère radiale. L'artère cubitale contenait un petit cai
ot avait arrêté la matière à injection du côté de l'artère radiale. L' artère cubitale contenait un petit caillot de sang ; les
iale. L'artère cubitale contenait un petit caillot de sang ; les deux artères étaient d'ailleurs libres dans presque toute leur
ccation des parties frappées de mort. On conçoit que, d'une part, les artères ne portant plus de sang dans les membres, et, d'u
ication. L'artérite, chez cette malade, occupait principalement les artères sous-clavière et axil-laire. Les artères de l'ava
occupait principalement les artères sous-clavière et axil-laire. Les artères de l'avant-bras étaient libres, et une injection
encore quelque chose d'obscur dans la gangrène, suite de maladie des artères , ce qui tient à l'imperfection de l'anatomie path
conçoit encore combien la rapidité ou la lenteur de l'obturation des artères doit apporter de différence dans les résultats. J
ant libres ou à-peu-près: l'oblitération peut occuper les troncs ou l' artère principale des membres dans une étendue plus ou m
fâcheuse quant à la circulation dans les grosses et dans les moyennes artères , peut devenir une cause directe d'obturation dans
bien évidente que si, dans un certain nombre de cas, l'altération des artères est sous la dépendance de l'hypertrophie du ventr
L'aorte, à partir de son origine (fig. 1 et 2) jusqu'au dessous des artères rénales, est notablement dilatée ; elle présente
sselures que nous verrons répondre à des anévrysmes latéraux de cette artère . Les sinus aortiques sont très dilatés, mais pr
le, et refoulait au dedans d'elle-même la portion correspondante de l' artère pulmonaire. Cette artère pulmonaire AP a été renv
s d'elle-même la portion correspondante de l'artère pulmonaire. Cette artère pulmonaire AP a été renversée en bas sur la figur
e artère pulmonaire AP a été renversée en bas sur la figure. Les deux artères coronaires, droite ACD, et gauche ACG, naissaient
ffre 3 appartient à une 3e tumeur anévrysmale située à l'origine de l' artère rénale droite ARD. Le tronc cœliaque TC est rem
e tronc cœliaque TC est remarquable par sa longueur inaccoutumée. L' artère mésentérique supérieure AMS est le siège d'une di
e dilatation anévrysmale conoïde de laquelle partent, d'une part, les artères coliques ; d'une autre part, les artères de l'int
lle partent, d'une part, les artères coliques ; d'une autre part, les artères de l'intestin grêle. La planche 3 (fig. 1) repr
les artères de l'intestin grêle. La planche 3 (fig. 1) représente l' artère aorte vue à l'intérieur : elle a été divisée par
ce. On voit la profondeur des sinus aortiques desquels naissent les artères cardiaques, l'ampleur des valvules sygmoïdes VS,V
is que, dans les cavités droites du cœur, les valvules sygmoïdes de l' artère pulmonaire sont tout-à-fait indépendantes de la v
ochement des trois orifices : du tronc brachio-céphalique OTBC ; de l' artère carotide primitive gauche OAC et de l'artère sous
o-céphalique OTBC ; de l'artère carotide primitive gauche OAC et de l' artère sous-clavière OASC, lesquels orifices nesont sépa
esont séparés les uns des autres que par une bride. La section de l' artère a été faite de manière à diviser dans toute leur
e chiffre a' corres-P«od au chiffre 1 . XXVIIIe LIVRAISON. 1 de l' artère au niveau de ces bosselures, on voit que le calib
d'inégale consistance ne débordent nullement la surface interne de l' artère ; une couche d'apparence organisée , parcourue de
surface interne de l'aorte,on aurait pu croire au premier abord que l' artère n'était pas malade. Je n'ai jamais été plus frapp
eau. C'est à peine si j'ai pu reconnaître par la surface interne de l' artère , les points correspondans aux tumeurs ou bosselur
vaisseau ; le n° 5 répond à un caillot situé à côté de l'orifice de l' artère mésentérique inférieure : la dilatation correspon
je ne l'ai pas mentionnée dans les planches 1 et 2. L'incision de l' artère mésentérique supérieure AMS, a montré la perméabi
artère mésentérique supérieure AMS, a montré la perméabilité de cette artère jusqu'au renflement terminal, lequel est rempli d
ne dilatation morbide. La plupart des vaisseaux qui naissaient de l' artère mésentérique supérieure étaient oblitérés à leur
collatérales. La fig. 2 présente un cas danévrysme sphéroidal de l' artère vertébrale droite AAV, au niveau des pyramides an
vrysmale de l'aorte et de quelques-unes de ses divisions : les autres artères n'ayant pas été examinées, il m'est impossible de
t du cœur chez ce sujet, qu'on ne saurait considérer l'altération des artères comme le résultat d'une hypertrophie du ventricul
e d'une manière très indirecte à la formation des anévrysmes de cette artère , car tous les jours on rencontre des altérations
dilatation. » Il y a donc autre chose que l'altération crétacée des artères dans la formation des anévrysmes: l'ulcération de
étacée des artères dans la formation des anévrysmes: l'ulcération des artères elle-même n'est pas une cause constante d'anévrys
d'anévrysme , bien qu'elle affaiblisse considérablement la portion d' artère qui en est le siège; on ne comprend pas pourquo
Je dois signaler comme le siège le plus habituel des altérations des artères chez les vieillards, non-seulement la crosse de l
rosse de l'aorte, mais encore la portion abdominale de l'aorte et les artères iliaques primitives; c'est dans cette dernière ré
tions ou concrétions calcaires. On voit que la matière pultacée des artères offre beaucoup de variétés, i°sous le rapport de
ode de cicatrisation consiste dans un amincissement considérable de l' artère qui présente une sorte de bosselure à ce niveau.
sorte de bosselure à ce niveau. J'ai rencontré dernièrement dans les artères iliaques primitives d'une femme de 80 ans ce dern
de de cicatrisation. La cicatrisation était complète sur l'une de ces artères , incomplète sur l'autre : la membrane interne par
Je le répète, l'influence des altérations plâtreuses, crétacées des artères sur la production des anévrysmes a besoin d'être
e la destruction ou de la rupture des tuniques interne et moyenne des artères , et que le sac anévrysmal est formé par la tuniqu
usque sur le sac, on enlève une « membrane celluleuse continue de l' artère au sac et l'éperon ( c'est-à-dire le collet) se t
s deux membranes n'est pas parfaitement identique. La « membrane de l' artère est épaisse; médiocrement dense et jaune; la memb
ésente des « plaques jaunes, tandis que, d'une autre part, celle de l' artère est, dans plusieurs endroits, « décolorée et amin
« de l'éperon, en sorte que, dans ce point, la membrane moyenne de l' artère se continue « sensiblement avec la membrane moyen
distinguer la partie qui appartient au « sac de celle qui dépend de 1 artère . « En résumé, il est hors de doute pour la comm
seule « offre quelques différences d'organisation sur le sac et sur l' artère . (i) Voyez 5' Bulletin, nouvelle série, rédigé
anévrysmes de l'aorte, comme d'ailleurs les anévrysmes de toutes les artères , se présentent , A. sous l'aspect d'ampoules occu
talité de cette circonférence; B. de poches à collet, surajoutées à l' artère dans laquelle elles s'ouvrent par un orifice plus
lvules syg-moïdes de l'aorte et cessent immédiatement au-dessous de l' artère sous-clavière gauche; et par conséquent, les troi
ux, aréolaire. Une circonstance remarquable de ce fait, c'est que l' artère pulmonaire adhérait fortement à l'ampoule aortiqu
lique la possibilité de la perforation de l'anévrysme aortique dans l' artère pulmonaire. Une autre circonstance non moins re
ullaire occupe une partie moins considérable de la circonférence de l' artère , il prend la forme des bosselures représentées pl
collet, dont ils sont souvent le premier degré. Si les parois de l' artère (je prends toujours l'aorte pour exemple) ne prés
été refoulée, tandis que la poche anévrysmale, s'appliquant contre l' artère , au pourtour de l'orifice de communication , conc
e appartenant à la tunique interne, i° de l'adossement du sac et de l' artère . Il s'efface et est réduit à l'épaisseur des paro
de l'artère. Il s'efface et est réduit à l'épaisseur des parois de l' artère , lorsqu'on sépare la poche anévrysmale de l'aorte
offrant au premier abord quelque rapport avec la membrane interne des artères , mais qui m'a paru n'être autre chose qu'un caill
nçait à un pouce de l'origine de l'aorte et finissait au-dessous de l' artère sous-clavière gauche,de telle sorte que les trois
eux anneaux ou collets ; dont le supérieur répondait à l'orifice de l' artère sous-clavière gauche : la moitié gauche de cet or
atation des trois tuniques, vraie pour l'aorte, ne s'applique pas aux artères d^un moindre calibre ; mais je répondrai par des
oindre calibre ; mais je répondrai par des exemples d'anévrysmes de l' artère splénique, qui se dilate si souvent en ampoule ov
le on ne saurait méconnaître les trois tuniques; par l'anévrysme de l' artère mésentérique, et par celui de l'artère vertébral
tuniques; par l'anévrysme de l'artère mésentérique, et par celui de l' artère vertébral représentés planche 3. L'anévrysme de
celui de l'artère vertébral représentés planche 3. L'anévrysme de l' artère vertébrale de même que l'anévrysme du tronc basil
lJ. Anévrismes A Chazal del. Lilh.deX/nariU Fry. MALADIES DES ARTÈRES . ANÉVRYSME. (PLANCHES II ET III, XLe LIVRAISO
trême ténuité. Froid des extrémités: je me suis assuré que toutes les artères accessibles au toucher, les carotides et les crur
Il vit encore le Ier novembre. Le pouls est nul : je sens à peine les artères crurales; les carotides sont filiformes et donnen
Sur cette tumeur, on voit la grande veine azygos GVA et les veines et artères intercostales droites et gauches VI, VI, AI, AI,
is correspondantes de la poche anévrysmale. La surface interne de l' artère SI A, dans sa portion altérée, était tapissée par
rence de l'aorte; d'autres fois il occupe toute la circonférence de l' artère ; dans d'autres cas, la tumeur n'appuie que sur u
névrysmes qui occupent une certaine étendue de la circonférence d'une artère sont d'abord formés aux dépens de toutes les tuni
avait été formée aux dépens de la moitié postérieure du calibre de l' artère , et qu'elle présentait des débris du tissu artéri
ANCHE III , XLe LIVRAISON. ) Fig. 2 et 2'. — Anévrysme latéral de l' artère carotide primitive. La figure 2 représente le t
mitive. La figure 2 représente le tronc brachio-céphalique TBC et l' artère carotide droite ouverte par son côté antérieur,pe
smale, ovoïde, oblongue, appliquée contre le côté postérieur de cette artère , le côté postérieur des artères carotides interne
uée contre le côté postérieur de cette artère, le côté postérieur des artères carotides interne et externe ACI, A CE, et des br
séparer complètement. Le nerf pneumo-gastrique N P intermédiaire à l' artère carotide primitive et à la veine jugulaire intern
t celluleux, sans présenter le moindre vestige de tissu artériel. Les artères carotides externe et interne ACE, A CI avaient co
jours est-il que la circulation devait se faire parfaitement dans les artères carotides interne et externe et dans toutes leurs
t dit qu'un des signes diagnostiques fondamentaux des anévrysmes de l' artère carotide primitive était la cessation des batteme
s de l'artère carotide primitive était la cessation des battemens des artères temporale et faciale du côté de la tumeur, ont co
e, c'est une tumeur pulsatile circonscrite, placée sur le trajet de l' artère carotide primitive, tumeur pulsatile que l'on rec
posé, il me parut évident que la tumeur était formée aux dépens de l' artère carotide primitive. Je n'eus pas l'idée qu'elle p
sait de la crosse de l'aorte, au niveau et en avant de l'origine de l' artère carotide primitive et de l'artère sous-clavière g
iveau et en avant de l'origine de l'artère carotide primitive et de l' artère sous-clavière gauches. Le kyste anévrysmal était
eur, entre le cœur et les extrémités. On conçoit que la ligature de l' artère carotide primitive au-dessus de la tumeur aurait
3' présentent un très beau cas de rétrécissement par froncement de l' artère aorte presque immédiatement au dessous de l'origi
de l'artère aorte presque immédiatement au dessous de l'origine de l' artère sous-clavière, au niveau de l'insertion du canal
e du calibre du vaisseau, qui admettait à peine un stylet très fin. L' artère aorte n'avait ni augmenté, ni diminué de volume a
t pas de même du tronc brachio-céphalique, de ses deux divisions, des artères carotide primitive et sous-clavière gauches, et n
avière gauche, qui avaient acquis un très gros calibre. Les premières artères intercostales aortiques AIA étaient également trè
aient rien de particulier. Les rétrécis s emens par froncement de V artère aorte ont été observés un assez grand nombre de f
ion, on remarqua, sur les côtés de la poitrine, que les divisions des artères thoraciques étaient beaucoup plus grosses et plus
ent. Les carotides primitives n'offraient rien de particulier; mais l' artère innominée, la sous-clavière droite et la sous-cla
t considérable avant de s'aboucher avec les branches postérieures des artères intercostales. Ces branches intercostales postéri
es uns à la suite des autres. Les diaphragmatiques inférieures et les artères épigastriques étaient très considérables ; les au
son origine son calibre ordinaire : le tronc brachio-céphalique et l' artère sous-clavière gauche étaient très dilatés. Au-des
lavière gauche étaient très dilatés. Au-dessous de l'origine de cette artère , l'aorte offrait un rétrécissement circulaire trè
e l'aorte, à un pouce de son origine, était de dix lignes et demie. L' artère sous-clavière droite, remarquable par l'augmentat
on de son volume, donnait naissance, vers sa terminaison, à plusieurs artères d'un gros calibre. La cervicale transverse et la
ale transverse et la cervicale profonde, ayant chacune le volume de l' artère humorale, se faisaient remarquer par l'épaisseur
s parois et le grand nombre de leurs flexuo-sités. La première de ces artères , après être parvenue, sans diminuer de volume, ve
se confondre avec le tronc de la deuxième intercostale aortique. Les artères mammaires internes droite et gauche offraient un
te de la ligne médiane, un tronc, dont le volume dépassait celui de l' artère iliaque externe, et qui établissait une très larg
aque externe, et qui établissait une très large communication entre l' artère sous-clavière et l'artère crurale. Reflexions.
issait une très large communication entre l'artère sous-clavière et l' artère crurale. Reflexions. Une réflexion qui se prése
é observés. C'est toujours immédiatement au-dessous de l'origine de l' artère sous-clavière droite, au niveau du canal artériel
e transformation fibreuse des tissus. 3° Quant au développement des artères collatérales, et surtout des sous-clavières et de
lation des caillots* tout-à-fait semblable à celle des anévrysmes des artères » Sac formé par les parois du cœur amincies et alt
développement de vaisseaux. Comme dans les poches anévrysmales des artères , les concrétions sanguines du cœur offraient dive
e formation ancienne. De même que, dans les poches anévrysmales des artères , on voit souvent la surface adhérente du caillot
de ce travail morbide ? L'anévrysme vrai partiel ou circonscrit des artères me paraît jeter un grand jour sur cette question
tion : lorsqu'une partie circonscrite du cylindre crue représente une artère devient le siège d'une inflammation aiguë ou chro
résistance des parois artérielles et la force d'impulsion du sang) l' artère dont la résistance est encore diminuée de beaucou
up par le fait de l'inflammation ou du travail morbide qui la suit, l' artère , dis-je, se dilate dans ce point en tumeur conoïd
sang coagulé forme quelquefois une digue suffisante pour préserver l' artère d'une impulsion trop vive et trop soutenue, et al
erver l'artère d'une impulsion trop vive et trop soutenue, et alors l' artère présente sur une partie de sa circonférence une e
ot sanguin cohérent. Si, dans cet état de choses, l'inflammation de l' artère se dissipe, la brèche est réparée par le caillot
u'à l'autopsie. Mais le plus souvent l'inflammation continuant dans l' artère sous un mode ou sous un autre, le caillot salutai
re sous un mode ou sous un autre, le caillot salutaire est décollé, l' artère , violemment et brusquement perforée ou bien pro
e à structure complexe constituée par les débris du tissu propre de l' artère et par les parties nouvelles accidentellement app
furcation de la base du ventricule droit, les valvules sygmoïdes de l' artère pulmonaire et les valvules tricuspides, sont comp
e, mais dépressible ; il est parfaitement régulier. L'exploration des artères me donne les résultats suivans : Le doigt, plon
etits chaînons qui glissent rapidement sous le doigt. Auscultées, les artères carotides et sous-clavières donnent un bruit de s
st complètement dissipée au bout de huit jours: le pouls reparaît aux artères radiales; la malade se croit guérie, et en effet,
avantages qu'on peut retirer de l'exploration du cœur par les grosses artères . Les bruits doubles du cœur s'entendent souvent s
reconnaissent beaucoup mieux à l'aide du stéthoscope appliqué sur un artère que par l'oreille appliquée sur le sternum, MAL
écanisme est tout-à-fait semblable à celui de l'anévrysme latéral des artères . Anévrysme faux partiel du cœur consistant en u
semblable en partie à du lait de chaux, en partie à du pus concret. L' artère aorte était parsemée de concrétions phosphatiques
ne couche plus épaisse, qui s'étend en diminuant jusqu'au-devant de l' artère pulmonaire. . La figure i présente deux perfora
g. i ne semble l'indiquer ; qu'elle s'est prolongée jusque derrière l' artère pulmonaire, de manière à former, entre cette artè
jusque derrière l'artère pulmonaire, de manière à former, entre cette artère et l'aorte, un foyer sanguin FS, que le renversem
ette artère et l'aorte, un foyer sanguin FS, que le renversement de l' artère pulmonaire a mis en évidence. Du reste, aucune
à quatre et cinq lignes au-dessus du point où elle est croisée par l' artère pulmonaire, l'aorte présentait une rupture occupa
part, autour de la crosse aortique, du tronc brachio-céphalique, de l' artère sous-clavière droite jusqu'aux premières branches
ite jusqu'aux premières branches collatérales qui en émanent, et de l' artère carotide primitive droite dans toute sa longueur;
u côté de son origine. Le décollement s'était en outre continué sur l' artère pulmonaire et ses divisions, jusquà la racine d
du poumon et sur l'oreillette droite ; il est à remarquer que, sur l' artère pulmonaire et sur l'oreillette, le décollement s'
reste , la quantité de sang épanchée entre la tunique celluleuse des artères et les tuniques internes, était très considérable
d'équilibre entre la force d'impulsion du cœur et la résistance de l' artère . 11 suit de ce qui précède que l'obliquité du t
présentaient dans leur épaisseur plusieurs points d'ossification; les artères sous-clavières, les carotides, les crurales, et l
quel l'influence de l'ossification et par suite du rétrécissement des artères , puisse être considérée comme favorisant la ruptu
uée par celle de la formation des caillots purulens des veines et des artères . Dans celles-ci comme dans le cœur, c'est toujour
cule droit. — Il était occupé par une masse qui se prolongeait dans l' artère pulmonaire : cette masse adhérait mécaniquement
enir aucun renseignement. La figure 2 représente l'orifice OAP de l' artère pulmonaire. On voit que cet orifice est singulièr
La fig. 2' représente ce diaphragme étendu horizontalement entre l' artère pulmonaire et le ventricule droit ouverts. Il rem
remière idée qui se présente à la vue du diaphragme de l'orifice de l' artère pulmonaire, c'est qu'il est le résultat d'un vice
ation entre les ventricules à l'aide d'un trou situé à l'origine de l' artère pulmonaire; que dans d'autres cas, comme dans cel
dentiquement les caractères de la fig. i, pl. 4 '• a L'orifice a de l' artère pulmonaire, dit Bertin, offrait une cloison horiz
e « comme trois feuillets de papier au moins, présentant du côté de l' artère une convexité « que l'on ne peut effacer par la p
la société anatomique (1) un cas de rétrécissement de l'orifice de l' artère pulmonaire dans lequel les trois valvules sygmoïd
t trou au milieu de sa hauteur. Le rétrécissement de l'orifice de l' artère pulmonaire, lors même quil serait congénial, est
ce nécessaire des efforts redoublés du ventricule pour chasser dans l' artère pulmonaire le sang qu'il a reçu : dans tous les c
ar M. Philouze nous avons noté une ampleur considérable, énorme, de l' artère pulmonaire et de ses divisions, avec amincissemen
onnel de ses parois; cette dilatation était telle que les coupes de l' artère pulmonaire présentaient, dans les incisions faite
comment interpréter cette dilatation ; car, théoriquement parlant, l' artère pulmonaire devrait revenir sur elle-même par suit
able dans la circulation pulmonaire, obstacle au passage du sang de l' artère dans les veines pulmonaires, dilatation des cavit
evant peu de sang et en transmettant une quantité proportionnelle à l' artère aorte, celle-ci est notablement diminuée de calib
idérable qui sépare la valvule tricuspide des valvules sygmoïdes de l' artère pulmonaire. MALADIES DU CŒUR 28e Livraison
de toutes XXIXe LIVRAISON. 1 parts par les parties dégénérées. L' artère axillaire était saine. La veine axillaire, ouvert
les oreillettes et même avec la portion péricardique de l'aorte, de l' artère pulmonaire et de la veine cave supérieure ; non-s
le n'existait en quelque sorte que par sa membrane interne. Quant aux artères pulmonaire et aortique, la matière tuberculeuse l
Toute la surface du cœur, la portion péricardique de l'aorte et de l' artère pulmonaire étaient recouvertes par une couche pse
ltat d'une inflammation avec oblitération des divisions principales l' artère pulmonaire ; mais , dans d'autres cas, l'œdème pa
ces beaucoup plus prononcées que de coutume. Le sillon principal de l' artère méningée moyenne était très profond, si bien qu'a
dans son empreinte crânienne et animée du mouvement qu'impriment les artères à la masse encéphalique puisse agir sur les os à
u cerveau avec le sang contenu dans l'épaisseur de la protubérance. L' artère basilaire et ses rameaux principaux sont sains. N
dans la cavité artérielle par une très large ouverture. La portion d' artère dilatée est rugueuse, chagrinée et même ulcérée d
e çà et là des plaques calcaires. Ce cas d'anévrysme vrai partiel des artères me paraît devoir être comparé à l'anévrysme vrai
diploé. La table externe avait seule été respectée; les sillons de l' artère méningée, moyenne, étaient énormes. Ramollissemen
orps occupe presque la surface du cervelet. Le tronc basilaire, les artères vertébrales et cérébelleuses inférieures, présent
nce d'une grande quantité de matières fécales, me paraît normale. Les artères utérines étaient ossifiées. Aucune lésion ni dans
e. Un grand nombre de tumeurs mélaniques se rencontraient le long des artères et veines iliaques primitives, le long des artère
raient le long des artères et veines iliaques primitives, le long des artères et veines hypogastriques. Dans l'excavation du ba
re Hfde l'humérus, lequel se terminait par un renflement spongieux. L' artère humérale A , la veine humérale V avaient singuliè
rculation générale et qui ne s'injectent ni parles veines, ni par les artères . Jamais on ne rencontre d'artères de nouvelle for
ectent ni parles veines, ni par les artères. Jamais on ne rencontre d' artères de nouvelle formation dans les tissus accidentels
rmation dans les tissus accidentels. Les changemens que subissent les artères ont lieu en dehors de l'altération organique. Ils
lardacée, parsemé de points jaunâtres qui ne sont autre chose que les artères , dont les orifices béans décèlent la perméabilité
ndamment de leur disposition qui diffère essentiellement de celle des artères et même de celles des vaisseaux lymphatiques, je
dicule, de telle façon que la tumeur semblait sous-péritonéale. Les artères utérines étaient complètement ossifiées. Je cro
térisée par une rougeur légère, des fongosités et du pus concret. L' artère iliaque interne et plusieurs de ses divisions son
ien d'autres cas la gangrène est-elle indépendante de Fobturation des artères ? Les symptômes qu'a présentés cette maladie so
s ganglions lymphatiques situés dans le mésentère, ceux qui longent l' artère splénique, étaient petits, pénétrés de suc cancér
t facile de prévenir toute hémorrhagie par une ligature jetée sur les artères utérines proprement dites et sur les artères utér
e ligature jetée sur les artères utérines proprement dites et sur les artères utéro-ovariennes; mais le véritable écueil tient
et l'auricule inférieure gauche OT. On voit encore sur cette figure l' artère aorte A du côté droit, l'artère aorte A' du côté
OT. On voit encore sur cette figure l'artère aorte A du côté droit, l' artère aorte A' du côté gauche, les veines - caves supér
tricule terminé en cul-de-sac a gauche et duquel partent, à droite, l' artère aorte munie de ses trois valvules, et l'artère pu
l partent, à droite, l'artère aorte munie de ses trois valvules, et l' artère pulmonaire AP qui n'en avait que deux : cette der
s, et l'artère pulmonaire AP qui n'en avait que deux : cette dernière artère est cachée par l'aorte dans la figure. Une cloiso
: i° l'orifice de l'aorte pourvu de trois valvules; 2° l'orifice de l' artère pulmonaire qui n'en présente que deux. On peut vo
présentait cette anomalie si commune qui consiste dans l'origine de l' artère sous-clavière droite au dessous de la crosse de l
droite au dessous de la crosse de l'aorte et dans le passage de cette artère derrière la trachée et l'œsophage. Cavité commu
ent les vestiges de deux cœurs. Un fait curieux, c'est que les deux artères pulmonaires n'étaient pourvues que de deux valvul
ION. Sa valeur dans le traitement de la gangrène par oblitération des artères . 27* liv., pl. v, p. 6. ANASARQUE. 3e liv., pl.
du cœur chez un fœtus, par suite de l'oblitération de l'orifice de l' artère pulmonaire. Mort le cinquième jour de la naissanc
llation des caillots tout-à-fait semblable à celle des anévrysmes des artères . Sac formé par les parois du cœur amincies et alt
r et l'anévrysme faux partiel. 22e liv., pl. ni, p. 6.—Anévrysmes des artères . 28e liv., pl. 1, n, m, p. — Il y a autre chose q
., pl. 1, n, m, p. — Il y a autre chose que l'altération crétacée des artères dans la formation des anévrysmes. 28e liv., pl. 1
lexie pulmonaire. 40e liv., pl. n, ni, p. 4. — Anévrysme latéral de l' artère carotide primitive. 40e liv., pl. m, p. G. — Véri
imminente dans la trachée, par suite d'altération des parois de cette artère sans dilatation préalable, 3e liv., pl. m et iv,
28e liv., pl. 1, 11, ni, p. 2. — L'aorte, comme d'ailleurs toutes les artères , échappe constamment à la dégénération cancéreuse
arsenic el de ceux du choléra. 14e liv., pl. 1,11, m, iv, v, p. 42. ARTÈRES . L'arlérile est la cause la plus commune de la ga
imminente dans la trachée par suite d'altération des parois de cette artère sans dilatation préalable. 3e liv., pl. m et iv,
cette artère sans dilatation préalable. 3e liv., pl. m et iv, p. 6. — Artère pul- monaireàl'étatdevestige. lro liv. pl. vi,
àl'étatdevestige. lro liv. pl. vi, p. /.—Hémorrhagie par érosion de l' artère coronaire stomachique. 10e liv., pl. v, vi,p. G.
e coronaire stomachique. 10e liv., pl. v, vi,p. G. — Perforation de l' artère splénique, suite d'ulcère simple chronique de l'e
hronique de l'estomac. 10e Ii v., pl. v, vi, p. y.— Inflammation de l' artère pulmonaire (veine arlérieuse) ; pneumonie lobulai
ire, suivie de phlébite. 11e liv., pl. 1, 11, m, p. Inflammation de l' artère iliaqne interne et de ses divisions. 24e liv., pl
divisions. 24e liv., pl. 1, 11, p. g. —Gangrène par oblitération des artères . Observations. Gangrène spontanée de la jambe che
angrène spontanée chez une femme de 81 ans. Oblitération complète des artères tibiale, postérieure et pé-ronière. Liberté de la
a d'inhérent à la gangrène spontanée c'est l'oblitération des petites artères . 27e liv., pl. v, p. 4. — Dans la gangrène sponta
st pas une conséquence nécessaire de la gangrène par oblitération des artères . 27e liv., pl. v, p. 5. — Marche de la maladie; t
digitales de la main gauche. 27e liv., pl. v, p. 8.— Ané-vrysmes des artères . 28e liv., pl. 1,11, m, p. — Il y a autre chose q
., pl. 1,11, m, p. — Il y a autre chose que l'altération crétacée des artères dans la formation des anévrysmes. 28e liv., pl. r
. 1,11, ni, p. 7.— Avantages de l'exploration du cœur par les grosses artères . 39e liv., pl. vi, p. 8. — Ané-vrysme de l'aorte
lexie pulmonaire. 40e liv., pl. n, ni, p. 4. — Anévrysme latéral de l' artère carotide primitive. 40e liv., pl. ni, p. 6.— Véri
uppression du pouls. Gangrène des parties envahies. Inflammation de l' artère iliaque interne et de ses divisions. Apoplexie ca
mellation des caillots lout-à-fail semblable à celle desanévrysmesdes artères .Sac formé par les parois du cœur amincies et alté
., pl. vi, p. 7.— Avantages de l'exploration du cœur- par les grosses artères . 39e liv., pl. iv, p. 8. — Hydropéricardite. 40e
mière hémalémèse guérie; deuxième hémalémèse mortelle. Ouverture de l' artère coronaire stomachique. 10e liv., pl. v, vi, p. 6.
., pl. v, p.3. — Avantages de l'exploration du cœur par les grosses artères . 39e liv., pl. vi, p. 8. EXTIRPATION. Sur l'ext
du cœur, chez un fœtus, par suite de l'oblitération de l'orifice de l' artère pulmonaire. Mort le cinquième jour de la naissanc
et organe. 24e liv., pl. 1, n, p. i2. — Gangrène par oblitération des artères . = Observations. Gangrène spontanée de la jambe c
angrène spontanée chez une femme de 81 ans. Oblitération complète des artères tibiale, postérieure et péronière. Liberté de la
d'inhérent à la gangrène spontanée, c'est l'oblitération des petites artères . 27e liv., pl. v, p. 4- — Dans la gangrène sponta
est pas la conséquence nécessaire de la gangrène par oblitération des artères . 27e liv., pl. v. p. S. — — Marche de la maladi
v., pl. VI, p. ; 37e liv., pl. n, p 4 ; 39e liv., pl. i, p. i ; — des artères . 3e liv., pl. m, iv, p. 4 ; 27eliv., pl. v, p. i;
s cas de prolapsus ulérin. 16p liv., pl. v, p. 4-— L'oblitération des artères , assez complète pour qu'il y ait interruption du
loi de l'opium dans le traitement de la gangrène par oblitération des artères . 27cliv., pl. v,p. 6. OREILLONS.Terminaison de
. 1,11, p. 6 ; 16e liv., pl. 1 , p. 2. — L'ossiiication des petites artères est une cause de gangrène sénile. 27e liv., pl.
nces entre la paralysie nerveuse.et la paralysie par oblitération des artères . 27e liv., pl. v, p. 7, io. — Paralysie avec doul
tion du fœtus. 18e liv., pl. vi, ». 4. — La pétrification des petites artères est une cause de gangrène sénile. 27e liv., pl. v
edevienne perméable. 11^ liv., pl. 1, n, m, p. 18.— Inflammation de l' artère pulmonaire(veine arlérieuse). Pneumonie lobulaire
te vésicale. 30e liv., pl. i, p. i. — Coïncidence de la phlébite de l' artère pulmonaire avec la pneumonie. 32e liv., pl. v, p.
Pneumonie avec concrétion sanguine adhérente dans les divisions de l' artère pulmonaire. Concrétions sanguines adhérentes dans
eumonie avec concrétions sanguines adhérentes dans les divisions de l' artère pulmonaire. Concrétions sanguines adhérentes dans
de la rareté des abcès pulmonaires. = Coïncidence de la phlébite de l' artère pulmonaire avec la pneumonie. = Fistule pulmonair
mminente de l'aorte dans la trachée par suite d'altération de celle artère sans dilatation préalable. 3e liv., pl. m, iv,
mière hématémèse guérie; deuxième hématémèse mortelle. Ouverture de l' artère coronaire stomachique. 10eliv., pl. v, vi, p. 6.
rieure de l'estomac. Hématémèse et déjections sanglantes. Lésion de l' artère splénique. = Cicatrices des ulcères de l'estomac.
5 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
e des vieillards, est rapportée à la rupture d'anévrysmes des petites artères de la substance cérébrale. Ces anévrysmes, dont l
vrysmes qui font l'objet principal de ce travail siègent tous sur des artères visibles à l'œil nu, et ont un volume qui peut at
res de M. Cliarcot, i883,p» 69. Note sur une altération des petites artères de l'encéphale qui peut être considérée comme la
onstamment défaut sur les parties dilatées et ne reparaissent sur les artères qui portent les anévrysmes qu'à une certaine dist
n deçà, soit au delà de la dilatation. Cette altération scléreuse des artères de l'encéphale paraît être indépendante de l'athé
tériel ; elle peut, en tous cas, se montrer très accusée sans que les artères de la base ou des méninges présentent aucune plaq
smes siégeant sur les petits vaisseaux de la pie-mère ou même sur les artères volumineuses de la base et des méninges. Plusieur
usieurs reprises de 1. Gougucnlicim. — Des Tumeurs anévrysmales des artères du cerveau. Paris, 1866. 2. Leberl. — Ueber die
uefois considérable, indépendamment de toute lésion athéromateuse des artères de la base ou des branches qui se distribuent dan
'accompagne quelquefois d'une sorte d'atrophie des parois des grosses artères de la base et de celles des méninges, ce qui leur
apport avec cette altération des parties les plus superficielles de l' artère , on observe une altération de la tunique musculeu
beaucoup plus volumineux, disséminés sur des branches importantes des artères des méninges, compliquer les anévrysmes miliaires
qui recouvre la préparation, ce sang s'écoule parles deux bouts de l' artère ou s'échappe brusquement par une rupture de l'ané
les sont latérales et n'interrompent pas complètement le calibre de l' artère . Ces expansions latérales peuvent être pédiciiiée
jaunâtres assez étendues, résultat de ramollissements anciens. Les artères de la base sont par places un peu athéroma-teuses
s. Les artères de la base sont par places un peu athéroma-teuses. L' artère basilairo est tortueuse et présente sur le côlo g
uche de la protubérance une dilatation de la grosseur d'un haricot. L' artère sylvienne gauche est également dilatée à son orig
miliaires dans la protubérance et dans la couche optique droite. Les artères de la base de l'encéphale sont fortement athéroma
encontre également plusieurs dans l'épaisseur de la protubérance. Les artères de la base sont légèrement athéromateuses. Le c
aussi deux petits anévrysmes miliaires sur les circonvolutions. — Les artères de la base de l'encéphale n'étaient nullement ath
trouve quelques autres dans les parties saines du tissu cérébral. Les artères de la base sont athéromateuses. Le cœur un peu su
ce, les circonvolutions, le centre ovale et fes couches optiques. Les artères de la base sont très athéromateuses. Le cœur es
res; on en a coiupté plus de vingt, dont queiques-uns ruptures. — Les artères de la base étaient athéromateuses. Obs. XII. Ma
ules; le caillot se poursuit jusque dans le quatrième ventricule. Les artères de la base présentent quelques plaques molles, bl
ues anévrysmes miliaires sont constatés dans les circonvolutions. Les artères de la base sont très athéromateuses. Le cœur es
ysmes miliaires dans la protubérance et dans les circonvolutions. Les artères de la base sont notablement athéromateuses. Le cœ
s anciennes de l'encéphale ; anévrysmes miliaires clans le foyer. Les artères de la base sont assez athéromateuses. Le cœur e
ure et supérieure. On ne trouve pas d'anévrysmes dans le cerveau. Les artères de la base et les sylviennes sont légèrement athé
res de la base et les sylviennes sont légèrement athéromateuses ; les artères cérébelleuses ne le sont pas. Le cœur est hypertr
e très-abondante sur les parois vasculaires proprement dites. — Les artères de la base de l'encéphale ne sont nullement athér
pie-mère, nombreux anévrysmes miliaires dans les circonvolutions. Les artères de la base et des méninges sont minces, transpare
s duquel se rencontrent un grand nombre d'anévrysmes miliaires. — Les artères de la base ne sont nullement athéromateuses. — Le
térieur droit, quatre jours après l'attaque. — Anévrysmes des petites artères clans le foyer et dans les corps striés. Pas d'an
foyer et dans les corps striés. Pas d'ancienne lésion encéphalique. — Artères de la base très peu altérées. Obs. XXI. Maison
trouve dans les parois du foyer cinq à six anévrysmes miliaires. Les artères de la base étaient modérément athéromateuses. O
tres avec la plus grande netteté dans les parois même du foyer. — Les artères de la base étaient athéromateuses. Le cœur volu
rotubérance, dans les corps striés et dans les circonvolutions. — Les artères de la base sont assez athéromateuses. — Le cœur p
a protubérance et l'on en trouve cinq dans les parois du foyer. — Les artères de la base ne sont nullement athéromateuses. Le c
ombreux dont plusieurs ouvertures clans les parois du foyer récent. — Artères de la base athéromateuses par points. Le cœur e
plusieurs anévrysmes miliaires dans les parois du foyer récent. — Les artères de la base de l'encéphale présentent à peine quel
la gaine, et se trouve en continuité avec le caillot principal. Les artères de la base de l'encéphale sont athéromateuses par
rand nombre dans les corps striés au voisinage des deux foyers. — Les artères de la base sont minces et transparentes, nullemen
du foyer, soit dans le corps strié, plusieurs anévrysmes des petites artères . Les artères de la base offrent de nombreuses pla
it dans le corps strié, plusieurs anévrysmes des petites artères. Les artères de la base offrent de nombreuses plaques scléreus
convolutions est parsemée d'anévrysmes miliaires très abondants ; les artères de la base sont athéromateuses. Le cœur a son v
ysmes miliaires dans la protubérance et dans les circonvolutions. Les artères de la base sont athéromateuses. Le cœur est éno
urs autres points de est hémisphère. Anévrysmes miliaires des petites artères . Vaisseaux de la base peu altérés. Obs. XXXIV.
émorrhagie ancienne. Anévrysmes miliaires clans les corps striés. Les artères cle la base ne sont nullement athéromateuses. L
tre également dans les deux corps striés et dans la protubérance. Les artères de la base de l'encéphale, sont peu athéromateuse
re dans la paroi même du foyer récent du cervelet. Pas d'athérome des artères cle la base cle l'encéphale mais épaississement a
la base cle l'encéphale mais épaississement athéromateux notable des artères sylviennes et de leurs branches. Une circonvoluti
e centre ovale, dans la protubérance et dans les circonvolutions. Les artères de la base sont peu athéromateuses. Les reins s
et et dans les hémisphères, et notamment au voisinage des foyers. Les artères de la base sont très peu athéromateuses. Le cœu
res dans le reste de l'encéphale et notamment dans le cervelet. — Les artères de la base sont athéromateuses. Le cœur est vol
les circonvolutions, dans la protubérance et dans le cervelet. — Les artères delà base ne sont-pas athéromateuses. Le cœur,
s leur épaisseur de nombreux anévrysmes miliaires. Pas d'athérome des artères de la base ni de celles de la pie-mère. Le cœur
nvolution du lobe antérieur gauche un petit anévrysme miliaire. Les artères de la base sont fortement athéromateuses. L'artèr
e miliaire. Les artères de la base sont fortement athéromateuses. L' artère cérébrale postérieure droite est complètement obl
Hémorragie cérébrale. 4 L'autopsie, indépendamment des lésions des artères qui se rapportent à la gangrène, montre un foyer
t rencontrés dans les circonvolutions et dans les corps striés. — Les artères de la base de l'encéphale sont peu athéromateuses
riés, il y en a aussi dans la protubérance et dans le cervelet. Les artères de la base sont peu athéromateuses : la sylvienne
névrysmes dans les deux couches optiques et dans la protubérance. Les artères de la base sont minces et ne présentent que quelq
es ; on en rencontre un certain nombre au voisinage des foyers. Les artères de la base sont dilatées, flexueuses, à peine mar
aires en nombre considérable disséminés clans tout l'encéphale. Les artères cle la base sont très notablement athéromateuses.
iaires clans le cervelet et clans les circonvolutions cérébrales. Les artères de la base sont très notablement athéromateuses.
eurs anévrysmes miliaires se rencontrent sur les circonvolutions. Les artères de la base sont peu athéromateuses. Le cœur est
noyau blanc du lobe occipital du même côté. — Anévrysmes des petites artères , on en trouve une douzaine dont les plus gros son
aine dont les plus gros sont situés dans la protubérance annulaire. — Artères cle la base fortement scléreuses et athéromateuse
optique du côté droit. Quantité considérable d'anévrysmes des petites artères dans tous les points du cerveau. De plus, nombr
et là. Il n'y a que quelques épaisis-sements scléreux des parois des artères de la base de l'encéphale. Obs. LIV. Salpêtrièr
rps strié gauche. Dans le foyer, on trouve trois petits anévrysmes. — Artères de la base, basi-laire, carotides et leurs branch
séminés à la surface des circonvolutions et dans leur épaisseur. —Les artères de la base étaient athéromateuses, le cœur normal
ans lésions nouvelles le 8 octobre 1867. A Vautopsie, on trouve les artères de la base de l'encéphale médiocrement athéromate
sez notable, beaucoup plus que la gauche. La branche postérieure de l' artère sylvienne droite est oblitérée, et, en rapport av
du pédoncule cérébral gauche et de la pyramide antérieure gauche. Les artères de la base ne sont pas athéromateuses. On trouve
amide antérieure droite et du cordon latéral gauche de la moelle. Les artères de la base du cerveau ne sont pas athéromateuses.
anévrysme semblable dans le plexus choroïde du ventricule gauche. Les artères de la base ne sont presque pas athéromateuses. Le
e. On trouve quelques anévrysmes miliaires des circonvolutions. Les artères de la base sont peu athéromateuses; le cœur est v
le malade fait une chute, s'ouvre un rameau de la temporale droite, l' artère est liée mais un érysipèle se déclare, et il meur
t dures, cassantes et offrent les mêmes dilatations anévrysmales. Les artères de la base présentent quelques plaques d'athérome
parties du cerveau et du cervelet plusieurs anévrysmes miliaires. Les artères de la base sont athéromateuses, le ventricule gau
oit, en rapport avec une obstruction par thrombose d'une branche de l' artère ciliaire athéromateuse. On a rencontré au voisina
contré au voisinage du foyer hémorrhagique un anévrysme miliaire. Les artères de la base étaient très athéromateuses. Le cœur
ires dans la protubérance et dans les circonvolutions cérébrales. Les artères de la base sont très peu athéromateuses. Le cœu
ysmes sont également trouvés dans l'épaisseur de la protubérance. Les artères de la base sont fortement athéromateuses. Il y
sme miliaire; on en trouve un autre dans une des circonvolutions. Les artères de la base présentaient à peine quelques taches a
émisphère droit, et plus de soixante dix sur l'hémisphère gauche. Les artères de la base sont très athéromateuses, le cœur est
de ce foyer. On découvre deux autres anévrysmes dans le cervelet. Les artères de la base sont légèrement athéromateuses. Le c
M. Decornièrcs, interne du service. Encéphale : poids, 1290 gr. Les artères de la base sont athéromateuses. Le côté droit del
ns les deux hémisphères; dans le foyer, plusieurs étaient rompus. Les artères de la base sont très légèrement athéromateuses.
brale. A Vautopsie, on a trouvé de nombreux anévrysmes miliaires. Les artères de la base n'étaient nullement athéromateuses.
g. — La substance cérébrate autour du foyer n'était point ramolfie. L' artère basilaire était çà et là couverte de plaques blan
chl a trait à un homme de 47 ans, mort le 7 juillet 1862. Les petites artères de la protubérance présentaient des dilatations a
a protubérance ayant fait irruption dans le quatrième ventricule. Les artères cérébrales étaient très athéromateuses. Le cœur é
icules latéraux et une hérnorrhagie du corps strié droit. Les grosses artères étaient athéromateuses ; le cœur jaunâtre, friabl
orrhagie?) dans les lobes frontaux. — Nombreux anévrysmes des petites artères (couches corticales et noyaux blancs des hémisphè
rance). — Altération scléreuse et athéromateuse très considérable des artères de la base et de leurs branches. Qu'elles résul
ale d'un sujet qui présentait des anévrysmes assez volumineux sur les artères méningées, et des néo-membranes épaisses et très
s'y rencontrer, mais en bien moindre fréquence. Ainsi Yathrérome des artères de l'encéphale auquel on a accordé une importance
e, n'occupe plus le premier rang dans notre statistique. L'état des artères de la base a été noté 69 fois. Sur ce nombre,les
L'état des artères de la base a été noté 69 fois. Sur ce nombre,les artères n'étaient nullement athéromateuses 15 fois, soit
is de dire que les sujets qui meurent d'hémorrhagie cérébrale ont les artères de l'encéphale non athéromateuse dans plus du qua
es trois quarts des cas. Cette fréquence de l'intégrité apparente des artères de l'encéphale chez les sujets qui offrent des fo
qui avait réuni 32 observations d'hémorrhagie cérébrale où l'état des artères de la base était indiqué, a trouvé qu'elles étaie
'avaient pas été recherchés, nous avions trouvé autrefois (2) que les artères paraissaient saines 18 fois pour 100. La proporti
18 fois pour 100. La proportion des cas ou l'athérome manque dans les artères cérébrales des sujets qui ont été frappés d'hémor
rveau n'est pas malade. Chez les individus âgés de plus de 60 ans,les artères seraient exemptes d'athérome 28 fois sur 100, d'a
. Chez les gens qui succombent à l'apoplexie sanguine, l'athérome des artères cérébrales manque 22 fois sur 100. La différence,
circonvolution sphénoïdale du côté droit. Thrombose cachectique de Y artère sylvienne sans athérome; cancer utérin. Début a
obe occipital droit. — Oblitération fibrineuse et athéroma-teuse de l' artère cérébrale postérieure correspondante. Hémiplégie
llissement récent de l'hémisphère droit. — Thrombose et athérome de l' artère sylvienne. — Hémiplégie ancienne incomplète à dro
produites par l'embolie artérielle, par l'athérome, la thrombose des artères , ou par la thrombose des sinus, dans tous les cas
matin; le soir, 11°,8. La mort survient dans la nuit. Autopsie. Les artères qui forment l'hexagone présentent de nombreuses p
et d'une coloration plus rosée qu'à l'état normal. — Le calibre de l' artère sylvienne droite, déjà singulièrement ré tréci
un thrombus décoloré et adhérent.Deux brandies postérieures de cette artère , qui se dirigent vers le foyer de ramollissement,
a donc à la fois hypertrophie et anémie de l'hémisphère droit. — Les artères de la base sont remarquablement saines et exempte
te gauche, et se prolongent dans les gros vaisseaux. Encéphale. Les artères de la base présentent à un haut degré les altérat
et consistant qui s'est formé au niveau d'un point où le calibre de l' artère est rétréci déjà par un noyau athéromateux. Sur l
é du lobe pariétal. Hémisphère du côté opposé tout à fait normal. Les artères de la base de l'encéphale et leurs principales di
HES PLANCHE I. Fig. 1. — Lésions de la périartérite diffuse. A, Artère dont les fibres musculaires sont raréfiées sans s
iées sans substitution graisseuse B, Une des branches de cette môme artère qui a pris l'apparence fibroïde. C, Gaîne lymph
l'adventice se multiplient et que le vaisseau se dilate. Fig. 2. — Artère cérébrale moyenne. B, Artère de la couche optiq
que le vaisseau se dilate. Fig. 2. — Artère cérébrale moyenne. B, Artère de la couche optique. C, Un anévrysme miliaire
issement du cerveau. Pages I. Note sur une altération des petites artères de l'encéphale qui peut être considérée comme l
étiologie, p. 206, — physiologie pathologique, p. 208. Athérome des artères cérébrales cause d'hémorrhagie cérébrale, p. 70;
ntra-méningée, p. 102. HÉMOimHAGiE cérébrale, altération des petits artères de l'encéphale comme cause de 1' —, p. 3; — pa-tl
ens sans — récente, p. 48; — cas anciens d' —, p. 65, — alliérome des artères cérébrales, cause de r —, p. 70: —? hypertrophie
6 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
blottement qu'éprouve dans la main, par le seul fait du battement des artères , une masse de liquide, et d'une autre part n'ait
l'interception du cours du sang, soit dans les veines, soit dans les artères , a pour résultat leur obturation complète. Il fau
he de son extrémité supérieure quelques filets qui se dirigent vers l' artère carotide AC, et d'autres qui vont se rendre à la
avec la tumeur 3G, ganglion cervical inférieur en partie masqué par l' artère vertébrale AV et l'artère sous-clavière ASC. Fi
n cervical inférieur en partie masqué par l'artère vertébrale AV et l' artère sous-clavière ASC. Fig. 2 et 3. La figure 1, qu
paire elle-même, par cinq ou six filets qui passaient au-devant de l' artère vertébrale. Cette disposition n'a pu être figurée
s de manière à ce qu'on aperçoive sa face postérieure tout entière, l' artère vertébrale et la sous-clavière étant alors rejeté
inaire3 des nerfs cardiaques très-volumineux ne, ne, qui embrassent l' artère sous-clavière, et les nombreux rameaux de communi
. 6. VICES DE CONFORMATION. Planche I. VICES DE CONFORMATION. Artère pulmonaire a l'état de vestige. — Plusieurs artèr
DE CONFORMATION. Artère pulmonaire a l'état de vestige. — Plusieurs artères se rendent de l'aorte aux poumons. — Système vein
bien difficile de deviner ce qui était : une injection poussée par l' artère carotide gauche a rempli tout le système circulat
e par l'artère carotide gauche a rempli tout le système circulatoire, artères et veines; elle est revenue par la bouche et les
C (fig. i ), examiné à l'extérieur, paraissait dans l'état normal. L' artère aorte A A présente sa crosse à droite au lieu de
r la recevoir. Le tronc brachio-céphalique BC la remplace à gauche. L' artère pulmonaire AP existe seulement à l'état de vestig
être chez les fœtus à terme. Fig. 3. Le défaut de développement des artères et des veines pulmonaires coïncidait avec une aut
naires coïncidait avec une autre disposition bien remarquable : trois artères naissaient de divers points de l'aorte pour se re
e même que sur les autres figures, est renversé. On voit une première artère AA naître de l'aorte immédiatement au-dessous de
rendre dans l'épaisseur du poumon, près de son sommet ; une deuxième artère AOE naître du milieu de l'aorte thoracique, monte
meaux, et venir se rendre au lobe inférieur du poumon ; une troisième artère AD naître de la partie supérieure de l'aorte abdo
dans tout son jour O, fig. S". Dans ces deux figures, on voit aussi l' artère pulmonaire AP au moment où elle contourne l'aorte
u'une imperforation du rectum avec trajet fistuleux congénial, et une artère pulmonaire atrophiée avec un nouveau système de v
ent d'un conduit nouveau, de même le rétrécissement considérable de l' artère pulmonaire a nécessité des vaisseaux supplémentai
oins admettre qu'une cause quelconque ait rétréci, presque oblitéré l' artère pulmonaire, supprimé le canal artériel ; que l'ao
mammifères, homme), ne reçoit qu'un petit filet de sang veineux par l' artère pulmonaire rétrécie, analogue sous ce rapport au
circulation générale. Enfin l'aorte fournissait aux poumons plusieurs artères qu'on peut considérer comme des artères branchial
nissait aux poumons plusieurs artères qu'on peut considérer comme des artères branchiales, avec cette différence que les branch
sang de toutes les parties du corps ; tandis qu'ici les très-petites artères aorti eo-pu 1 mon aires ne portaient au poumon qu
régulariser la circulation pulmonaire. Du reste, on peut regarder les artères nées de l'aorte et se rendant aux poumons comme d
arder les artères nées de l'aorte et se rendant aux poumons comme des artères pulmonaires accessoires, dont Meckel a rapporté p
i-tatey page i55. Il est vrai que, dans les cas cités par Meckel, les artères qui de l'aorte se portaient aux poumons, naissaie
hn ne lui parut être autre chose que le tissu cellulaire qui unit les artères , les veines et les nerfs. Suivant Mascagni, les v
r droit était également atrophié d'une manière notable ; aussi bien l' artère iliaque primitive droite à peine était-elle la mo
n l'artère iliaque primitive droite à peine était-elle la moitié de l' artère iliaque primitive gauche. La main droite MD, re
he; il n'y avait que vestige du rein droit. La capsule surrénale et l' artère capsulaire moyenne étaient plus développées que l
l'artère capsulaire moyenne étaient plus développées que le rein et l' artère rénale. La figure 7 représente l'extrémité supé
'état des parties molles. Une injection assez ténue fut poussée par l' artère poplitée : toutes les parties molles et dures, ar
t poussée par l'artère poplitée : toutes les parties molles et dures, artères , veines, nerfs, aponévroses, muscles, ligamens, c
ement grêles, on eût dit qu'ils étaient réduits à leur névrilème. Les artères jambières n'avaient pas la moitié du calibre qu'e
aient pas la moitié du calibre qu'elles ont habituellement, et aucune artère musculaire ne se trouva injectée. Les veines avai
'ordre de vaisseaux affecté dans l'apoplexie pulmonaire ? Sont-ce les artères , sont-cc les veines ? Ici se présente une difficu
lus que dans les foyers apoplectiques des autres organes, le rôle des artères et des veines étant changé, sous le rapport de la
cation d'une des lois qui président à la formation des anévrysmes des artères . Un petit foyer purulent s'établit dans l'épaisse
. Un petit foyer purulent s'établit dans l'épaisseur des parois d'une artère ; ce petit foyer s'ouvre au dedans du vaisseau, le
tériels qui seuls avaient échappé à la putréfaction ; trois ou quatre artères rameuses servaient de pédicule au lambeau princip
re à laquelle lé malade avait succombé, et un stylet introduit dans l' artère AR (fig. 2) a pénétré sans aucun obstacle dans le
s'échappait par les orifices des bronches divisés ( fig. 1 et 2 ). L' artère pulmonaire présentait dans son tronc et dans tout
s de petites plaques saillantes, qui ont été exactement rendues sur l' artère ouverte AO (fig. 3 ). Ces petites plaques étaient
nglement, une constriction quel-conqu es ; soit par l'obstruction des artères principales et collatérales ; soit enfin par cell
écouler par les veines. L'artérite ou bien l'oblitération des petites artères par des concrétions phosphatiques est la cause la
: A juvantibus et lœdentibus. 3e. Livraison. Pl. 3. MALADIES DES ARTÈRES . (Anévrisme de la Crosse de l'Aorte.) MALADIES
DIES DES ARTÈRES. (Anévrisme de la Crosse de l'Aorte.) MALADIES DES ARTÈRES . Anévrysme de la crosse de r aorte saillant au
ternale de la tumeur TA, du bas de laquelle naissaient à gauche trois artères , la sous-clavière, la vertébrale et la carotide,
a tumeur anévrysmale TA, on voyait naître au-dessous de l'origine des artères sous-clavière, vertébrale et carotide gauches, un
ent remplies de concrétions sanguines. Au-dessous de l'origine de l' artère sous-clavière gauche, l'aorte se dilatait en ampo
poule AT), entre l'origine du tronc brachio-céphalique et celle des artères carotide primitive, vertébrale et sous-clavière g
lle-même. Elles avaient la couleur jaunâtre de la membrane propre des artères , d'où L'opinion de la reproduction du tissu artér
erin et brun-jaunâtre qui est le propre des foyers apoplectiques. L' artère carotide primitive gauche naissait de la poche an
très-dense, intimement unie aux parois artérielles : les orifices des artères vertébrale, sous-clavière gauches, et brachio-cép
oitié, du double, alors à chaque contraction du ventricule gauche les artères sont portées au-delà de leur extensibilité nature
un anévrysme de la carotide : la dilatation s'étend plus rarement aux artères carotide primitive et sous-clavière gauches. Le p
rielle sans hypertrophie du cœur; 3e. Livraison, Pl. maladies des artères Anévrisme de la crosse de l'aorte. - Erosion et
r ainsi dire sur ce point ou sur ces points; alors les membranes de l' artère sont attaquées; elles le sont de deux manières, o
illent entre deux plaques ossiformes. Tout le temps que le tissu de l' artère n'est pas entamé, il n'y a pas de caillots ; mais
de la crosse entre l'origine du tronc brachio-céphalique et celle des artères carotide primitive et sous-clavière gauches ; 3°
quefois au milieu d'elles à une assez grande distance des parois de l' artère , voilà bien des circonstances qui ont pu faire pe
tivement à l'inflammation des parois. Il arrive assez souvent que les artères et l'aorte en particulier se rompent sans dilatat
concavité, et qu'il a été impossible de figurer ici, naissaient d'une artère non dilatée, mais parsemée de plaques ossiformes
mminente dans la trachée par suite d'altération des parois de cette artère sans dilatation préalable (*). (planche iv, iii
ammation ; ce n'est en aucune manière une déchirure toute mécanique d' artères altérées dans leur texture, comme dans beaucoup d
er à la loupe, sont oblitérés par une matière blanchâtre. Sont-ce des artères , sont-ce des veines? L'analogie déduite des cance
eur couleur et leur épaisseur , me portent à admettre que ce sont des artères ; les veines m'ont paru l'élément organique qui e
. La malade succomba au bout de six jours. A l'ouverture, on trouva l' artère iliaque primitive et ses divisions (du côté du me
crétions sanguines à la manière de ce qui a lieu dans l'artérite. Les artères radiales n'existaient point ; elles étaient rempl
coagulation du sang comme le premier effet de Vinflammation dans les artères de même que dans les veines, dans les capillaires
formé par un certain nombre de kystes d'inégal volume. On y voit une artère , une veine rénale et un uretère. Pas le moindre v
er par un cordon fibreux dans le renflement considérable GN. AA est l' artère axiilaire qui se termine dans le même renflement
xemple remarquable. On trouve la raison de cette hémorrhagie dans une artère plus ou moins volumineuse ouverte au fond d'une u
c herniaire SO. La fig. 2' représente les rapports de la veine et des artères ombilicales avec le sac herniaire. L'enfant éta
eulement du brachial antérieur, mais encore du tendon du biceps, de l' artère brachiale, des veines brachiales, du nerf médian,
la malade, une hémorrhagie foudroyante, causée par la déchirure de l' artère humérale, venait de cesser spontanément à la suit
les cavités gauches comme dans les cavités droites du cœur, dans les artères comme dans les veines ; en un mot, tous les carac
parmi les faits que j'ai pu recueillir à cet égard, je ne vois que l' artère coronaire stoma-ch ique et l'artère splénique qui
lir à cet égard, je ne vois que l'artère coronaire stoma-ch ique et l' artère splénique qui aient donné lieu à une hémorrhagie
qui aient donné lieu à une hémorrhagie mortelle. Les connexions de l' artère splénique avec la paroi postérieure de l'estomac,
t après, Xe LIVRAISON. 2 région expliquent comment cette dernière artère peut être envahie par l'ulcération, bien qu'elle
s partie du cercle artériel gastrique; et tel est le calibre de cette artère , que sa lésion ne peut pas ne pas être suivie d'u
peut-être même toujours mortelle. Le calibre moins considérable de l' artère coronaire stomachique doit souvent permettre son
es exemples d'ulcères chroniques de l'estomac avec lésion tantôt de l' artère coronaire stomachique et tantôt de l'artère splén
c avec lésion tantôt de l'artère coronaire stomachique et tantôt de l' artère splénique. Ulcère occupant la petite courbure d
hématémèse guérie ; deuxième héma-témèse mortelle (*). Ouverture de l' artère coronaire stomachique. Petit, âgé de vingt-neuf
levait un caillot de sang en forme de mamelon; un stylet porté dans l' artère coronaire stomachique et dirigé de l'origine vers
e le centre de la cicatrice s étant ulcéré à la suite d'un malaise, l' artère coronaire stomachique qui n'avait pas été oblitér
ettre que la première hémorrhagie a été produite par une branche de l' artère coronaire stomachique, tandis que la seconde est
nde est due à la lésion du tronc lui-même. Il est singulier de voir l' artère seule intéressée par une ulcération nouvelle (*
faite. Dans l'observation suivante, l'hémorrhagie a été fournie par l' artère splénique. Ulcère occupant la paroi postérieure
ieure de Vestomac. Hématémèse et déjections sanglantes. Lésion de U artère splénique. Un portier, âgé de cinquante-six ans
cet ulcère ; on y voyait l'orifice béant d'un vaisseau AP ; c'était l' artère splénique. Cicatrices des ulcères de F estomac.
etit foyer d'inflammation. Le mercure occupait les ramifications de l' artère pulmonaire qui, comme on sait, remplit les foncti
e la circulation : i° l'injection directe dans les veines ou dans les artères ; i° l'attraction exercée par une veine béante; 3°
rni par un hasard assez singulier. Voulant découvrir sur un cadavre l' artère fémorale au tiers moyen de la cuisse, et soulevan
ccupait le tiers moyen de la cuisse. Voulant étudier la position de l' artère et de la veine fémorales par rapport au foyer, je
l'artère et de la veine fémorales par rapport au foyer, je vis que l' artère était peu volumineuse à ce niveau, mais saine; ne
raverser le grand adducteur. Le tissu cellulaire qui l'unissait à l' artère était dense et fragile, et ces deux caractères se
re n'existait que dans la portion de ses parois qui est accolée à l' artère . Plus bas, au milieu d'un autre foyer, la veine p
e), des inflammations des principales divisions et du tronc même de l' artère pulmonaire, qui, comme on le sait, charrie du san
. i, pl. 2, xie livr., fournira un exemple de cette inflammation de l' artère pulmonaire. 11e. Livraison. Pl. 2. MALADIES D
je rencontre des concrétions dures qui remplissent les divisions de l' artère pulmonaire AP. Cette artère, disséquée avec soin,
dures qui remplissent les divisions de l'artère pulmonaire AP. Cette artère , disséquée avec soin, m'a offert une concrétion s
adhérente aux parois, concrétion qui va se divisant à la manière de l' artère , et pénètre jusque dans un certain nombre de rami
es foyers inflammatoires de la base du poumon, et l'inflammation de l' artère pulmonaire et de ses divisions. Je suis fondé, d'
hlébite capillaire du poumon ne se fût pas jointe l'inflammation de l' artère pulmonaire L'œdème aigu que présentait la moitié
emière fois que j'observe des concrétions dans les ramifications de l' artère pulmonaire. Je les ai rencontrées dans un certain
itié ou les deux tiers du poumon. Plus souvent ces inflammations de l' artère coïncident avec l'inflammation lobulaire. Le fa
de concrétions fibrineuses : ces vaisseaux étaient les divisions de l' artère pulmonaire droite. Les concrétions blanches et pl
de pus à leur centre allaient se divisant et se subdivisant comme ces artères , jusqu'à ce qu'enfin elles devinssent rouges et à
écolorée qui remplit en y adhérant une division considérable BAP de l' artère pulmonaire. Ces lésions viscérales constatées,
que la vascularité; on ignore complètement si ce sont des veines, des artères , des vaisseaux lymphatiques, ou bien des vaisseau
cer à la région cervicale antérieure : l'injection, poussée par les artères , colora la tumeur cancéreuse; l'injection, poussé
outes les fois qu'une irritation chronique a lieu dans un organe, les artères prennent un arrangement proportionnel. J'ai vu, d
cquérir le calibre de la radiale : mais de ce grand développement des artères s'ensuit-il que les veines ne soient pas l'élémen
énétrer dans des veines malades et pleines de matière cancéreuse; les artères étant dans leur état d'intégrité, ont dû être per
plus las au lever qu'au coucher ; le malade entend battre toutes les artères de la tête, et croit que c'est ce battement qui s
ïdes, qui donnaient à cette succession de canaux un aspect bosselé. L' artère hépatique AH embrasse le canal cholédoque par que
ecouvre les organes circonvoisins : le développement considérable des artères , le développement plus considérable encore des v
able, doit redevenir ce qu'il était primitivement, et que ses grosses artères ,ses énormes vaisseaux lymphatiques et veineux doi
reins, les veines rénales VR, VR, l'aorte A A, la veine cave VC, les artères iliaques primitives AIP, l'artère mésentérique in
l'aorte A A, la veine cave VC, les artères iliaques primitives AIP, l' artère mésentérique inférieure AMI, le rectum R*qui sont
outtes de sang contenues dans le vaisseau; bien plus, la section de l' artère brachiale, pratiquée par plusieurs chirurgiens, n
sont très petits; vessie contractée; tous les vaisseaux abdominaux* artères et veines, sont remplis d'un sang noir. Les autre
s haut degré, car il y a effacement complet de la cavité. Les grosses artères sont pleines de sang liquide, les petites artères
cavité. Les grosses artères sont pleines de sang liquide, les petites artères n'en contiennent pas du tout ; le système veineux
é de l'artériotomie ; mais j'ai connaissance de faits dans lesquels l' artère brachiale , coupée en travers , n'a donné que que
u cœur, chez un foetus, par suite de V oblitération de V orifice de 1 artère pulmonaire. Mort le cinquième jour de la naissanc
s flottantes occupaient le bord libre de la valvule. L'orifice de l' artère pulmonaire était complètement oblitéré; l'artère
le. L'orifice de l'artère pulmonaire était complètement oblitéré; l' artère pulmonaire et ses divisions étaient d'ailleurs da
te, l'origine des autres paires de nerfs n'a pas été déterminée). Les artères vertébrales exis-)) taient : la moelle épinière n
exclusivement propre aux veines; on l'observe encore dans les petites artères hypertrophiées. Lorsque la dilatation a lieu un
rt,en avant, un prolongement infundibuliforme qui donne naissance à l' artère pulmonaire. (1) La crosse de l'aorte présente d
poches anévrysmales. Cette même tumeur proémine dans l'intérieur de l' artère pulmonaire A P, immédiatement au-dessus des valvu
lmonaire A P, immédiatement au-dessus des valvules sigmoïdes de cette artère V S, V S. D'après cette disposition, on conçoit l
ssibilité de l'ouverture de la tumeur anévrysmale dans la cavité de l' artère pulmonaire. La fig. 2 représente la partie asce
trop impétueux du sang contre les parois artérielles, attendu que les artères n'augmentent pas de résistance en proportion de l
ne crosse aortique dilatée communiquent largement avec la cavité de l' artère ; le mécanisme de leur formation ne présente aucun
ne présente aucune difficulté. Supposons que, sur les parois de cette artère dilatée, il se rencontre un, deux points moins ré
ie. Les calices et le bassinet étaient remplis par la même matière. L' artère rénale et ses divisions étaient vides et dans l'é
t le pavillon P T répond à l'extrémité interne de ce kyste et par les artères ovariques A O, qui sont très flexueuses. L'utér
La fig. 4 représente les ganglions inguinaux profonds qui entourent l' artère crurale AC et la veine crurale VC. Ces ganglions
'au premier abord je pus le prendre pour le duodénum. La veine et l' artère spléniques étaient situées immédiatement au desso
léniques étaient situées immédiatement au dessous de la cicatrice ; l' artère splénique avait été érodée et c'est à cette érosi
détacher, avait prévenu toute hémorrhagie nouvelle. Sur la figure, l' artère splénique AO, est représentée ouverte dans toute
ncer mélanique. Considérations et observations........ Maladies des artères . Anévrysme de la crosse de l'aorte saillant au de
l'aorte. Observations et réflexions...... --Vices de conformation. Artère pulmonaire à l'état de vestige; plusieurs artèr
s de conformation. Artère pulmonaire à l'état de vestige; plusieurs artères sí rendent de l'aorte aux poumons ; système veine
7 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
oids total de l'encéphale : 770 gr. Pas d'injection de la pie-mère. Artères de la base, chiasma, tubercules mamillaires, pé
tômes excluent toute conclusion. M. Reinhardt, vu l'athéromasie des artères cérébrales, pense qu'une série de poussées exsu
elir, la coloration était partout homogène excepté au pourtour de l' artère sylvienne où l'on trouvait un début de suppurat
cte nucléaire. L'ophthalmoscope lui mon traies vaisseaux, veines et artères d'une teinte fort claire, différant fort peu de
elle du fond de l'oeil, si bien que l'on pouvait à peine suivre les artères , et un peu mieux les veines larges, mais non flex
o-rachidien. Dans notre mémoire sur le bulbe, nous avons divisé les artères nourricières en artères médianes ou artères des
mémoire sur le bulbe, nous avons divisé les artères nourricières en artères médianes ou artères des noyaux bulbaires, et en
, nous avons divisé les artères nourricières en artères médianes ou artères des noyaux bulbaires, et en artères radiculaire
ricières en artères médianes ou artères des noyaux bulbaires, et en artères radiculaires. Les premières occupent le sillon
: elles arrivent ainsi jusqu'aux noyaux. Il en est de même pour les artères nourricières de la moelle : les unes sont média
sont médianes, les autres radiculaires... Il y a dans la moelle des artères médianes antérieures et postérieures et des art
la moelle des artères médianes antérieures et postérieures et des artères radiculaires antérieures et postérieures. » M.
de la moelle épinière. Il y a bientôt neuf ans. (Voy.,yVo/e' les artères nourricières et sur les vaisseaux capillaires de
succincte, mais pourtant complète, l'origine et la distribution des artères nourricières de la moelle épinière c'est-à-dire
la première fois, croyons-nous, le trajet et les ramifications des artères médianes antérieures et postérieures, des artèr
ramifications des artères médianes antérieures et postérieures, des artères radiculaires, des artères périphériques ; nous
médianes antérieures et postérieures, des artères radiculaires, des artères périphériques ; nous indiquions la configuratio
e. On sait que ce réseau est alimenté en avant et en dedans par les artères médianes ; en avant, par les artères radiculair
n avant et en dedans par les artères médianes ; en avant, par les artères radiculaires ; en dehors par des artères périphér
dianes ; en avant, par les artères radiculaires ; en dehors par des artères périphériques ; et en arrière par les artères r
s ; en dehors par des artères périphériques ; et en arrière par les artères radiculaires postérieures. La corne postérieure
tance grise des cornes postérieures on voit facilement la série des artères qui entrent dans la corne pos- térieure ; elles
seaux de la moelle épinière, M. Adamkiewicz s'occupe de l'étude des artères qui contribuent à sa formation. Il distingue da
tèmes vasculaires : 1° Le système des vaisseaux centrifuges ou de l' artère du sillon, 2° le système des vaisseaux centripè
lon, 2° le système des vaisseaux centripètes dans lequel il place l' artère médiane pos- térieure ou (artère de la scissure
centripètes dans lequel il place l'artère médiane pos- térieure ou ( artère de la scissure, arteraa fissurai, comme il l'ap
eaux périphériques. Pour justifier cette division, il suppose que l' artère du sillon antérieur, quand elle a atteint le vo
distribution anatomique un peu trop schématique : les rameaux de l' artère du sillon n'irradient pas autour de l'axe central
nc principal est centripète comme revue d'anatomie. 361 celui des artères périphériques. Enfin, on devrait comprendre aus
evrait comprendre aussi dans ce système centrifuge les rameaux de l' artère de la fissure (artère médiane postérieure) qui,
i dans ce système centrifuge les rameaux de l'artère de la fissure ( artère médiane postérieure) qui, quoique ténus quand i
l'auteur à une nomen- clature spéciale et difficultueuse : ainsi l' artère du sillon médian antérieur s'appelle pour lui a
euse : ainsi l'artère du sillon médian antérieur s'appelle pour lui artère du sillon (arteria sulci) ; tandis que l'artère
s'appelle pour lui artère du sillon (arteria sulci) ; tandis que l' artère du sillon médian postérieur porte le nom d'artè
; tandis que l'artère du sillon médian postérieur porte le nom d' artère de la fissure (arteria fissuroe). Ces deux noms d
sont inutiles : nos dénominations d'ancré médiane antérieure .et X artère médiane postérieure sont plus simples, plus en ra
vons adoptée pour le cerveau et pour le bulbe où existent aussi des artères médianes ayant une dis- tribution géographique
de le faire remarquer déjà, dans nos travaux, cette disposition des artères médianes répond à une loi générale. L'artère du
tte disposition des artères médianes répond à une loi générale. L' artère du sillon (ai,leza stilci), selon l'auteur allema
ur des coupes sag ittates, passant par les commissures, on voit les artères - après avoir abandonné l'artère spinale s'éche
par les commissures, on voit les artères - après avoir abandonné l' artère spinale s'échelonner les unes au- dessus des au
unes au- dessus des autres. (Cette disposition en échelon pour les artères médianes a déjà été signalée par nous et figuré
x cent soixante. La description de la distribution des rameaux de l' artère du sillon ne diffère pas essentiellement de la
trer dans des détails plus nombreux. Nous disions, en effet : « Les artères médianes antérieures parcourent un tra z jet as
leur formation et leur distribution périphérique les branches de l' artère du sillon. Il donne le nom aux deux 362 revue d
ux 362 revue d'anatomie. branches qui en naissent immédiatement d' artères sulco-commr's- surales. Au moment où les vaisse
semble se bifurquer. Parmi les branches collatérales fournies par l' artère sulco-commissurale, deux surtout sont intéres-
'artère sulco-commissurale, deux surtout sont intéres- santes : les artères de la colonne de Clarlce, et les branches ascen
longitudinales centrales (ou plus simple- ment, proposons-nous, les artères longues anastomotiques cen- li,ales.) Les artèr
oposons-nous, les artères longues anastomotiques cen- li,ales.) Les artères de la colonne de Clarke ne se voient que dans l
a colonne de Clarke. Ces branches se détachent de chaque côté des artères commissurales et vont par le trajet le plus court
iche réseau anastomotique. Les branches longues anastomotiques de l' artère sulco-commissurale montent et des- cendent vert
irement à leur direction. (Voy. 1%ig. IV.) Quelque- fois même, si l' artère sulco-commissurale a aussi été coupée perpendic
aires au voisinage du canal central, deux de chaque côté. Par les artères longues anastomotiques découvertes par l'auteur a
s entre elles. Après avoir fourni les longues anastomotiques et les artères de Clarke, les artères sulco-commissurales se d
oir fourni les longues anastomotiques et les artères de Clarke, les artères sulco-commissurales se divisent en branches termi
mé, dit M. Adamkiewicz, voici quel est le champ de distribution des artères commissurales : elles fournissent du sang à la
de distribution que nous avions assigné d'une façon sommaire à l' artère médiane. La distribution des veines est semblab
rtère médiane. La distribution des veines est semblable à celle des artères : les veines du sillon ou veines médianes sont
: les veines du sillon ou veines médianes sont en nombre égal aux artères . Elles sont formées par la confluence de veines
omenclature différente. C'est ainsi qu'il décrit : 1° sous le nom d' artère de la fissure (arieîia fissurai), notre artère
t : 1° sous le nom d'artère de la fissure (arieîia fissurai), notre artère médiane postérieure ; 2° d'arlerl z·ada'cum î)o
sieî,io2,u)2z, d'arlez·i commun postica OS ? 0/'MM ! latérales, nos artères radiculaires postérieures : 3o il ne paraît pas c
es postérieures : 3o il ne paraît pas com- prendre l'importance des artères radiculaires antérieures, car il ne les dénomme
es dénomme pas, et il les englobe sous la dénomina- tion générale : artères périphériques. Quoique d'une brièveté sommaire,
phériques. Quoique d'une brièveté sommaire, notre description des artères radiculaires, comparée à celle de l'auteur allema
lle de l'auteur allemand, paraîtra d'ze7e plus grande clarté : «Les artères radiculaires an- térieures accompagnent chacun
vent en mailles capillaires. » Et pour la corne postérieure : « Les artères radiculaires postérieures sont situées les unes
res en de- dans, les autres en dehors de la racine postérieure. Les artères moyennes sont surtout destinées à la corno post
destinées à la corno postérieure et à la substance gélatineuse. Les artères externes passent entre les 3C I· REVUE d'anatom
ans. la partie postérieure et externe de la corne antérieure. Les artères internes, plus importantes, accompagnent constamm
sous le nom de faisceau radiculaire interne. » C'est à ces trois artères (moyenne, interne et externe A.) de la corne post
eure entre le cordon de Goll et le cordon de Burdach, qu'il appelle artère 121te2,11111é'cizlaiî,e. Ce nom est à conserver
Goll et le faisceau externe des cordons postérieurs. c Parmi les artères périphériques des faisceaux blancs, nous distin
des faisceaux blancs, nous distinguions comme l'auteur allemand des artères courtes et des artères longues, lorsque nous di
s distinguions comme l'auteur allemand des artères courtes et des artères longues, lorsque nous disions : « Les artères pér
rtères courtes et des artères longues, lorsque nous disions : « Les artères péri- phériques sont nombreuses, elles pénètren
: deux branches artérielles seules ont échappé à notre examen, les artères de la colonne de Clarke, et les artères longues
échappé à notre examen, les artères de la colonne de Clarke, et les artères longues anastomotiques internes ; mais, il conv
cette lésion. La présence de vaisseaux abondants dans la ré- gion ( artères radiculaires internes) vient apporter un nouveau
gie mortelle par perforation du canal carotidien, avec érosion de l' artère carotide, de la méningée moyenne, des grands si
8 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
triangu-laires contiennent : 1° une ou deux artérioles provenant de l' artère hépatique : 2° un ou plusieurs canalicules biliai
n d'après nature; foie du cochon). — e, espace. — i, interstice. — a, artère . — v, veine porte. — c, branche du canal hépatiqu
rface de section de la veine porte, celle des rameaux satellites de l' artère hépati-que et des canalicules biliaires. En réuni
lisson, une branche de la veine porte, une ou plusieurs branches de l' artère hépatique, un canalicule biliaire, des ramificati
r des parois des arterioles (Rindfleiscli), branches termi-nales de l' artère hépatique. Les syphilomes miliaires seraient prim
orte, ses bran-ches principales, branches vaginales, canaux portes. — Artère hépatique; ra-meaux artériels. — Canaux biliaires
ques qui logent les vais-seaux portes principaux et leurs satellites ( artères hépatiques, canaux biliaires). On désigne ces gra
ivent être considérées, par rapport aux lobules hépatiques, comme des artères terminales en ce sens que, si la circulation étai
on est remarquable quand on se souvient que dans les autres organes à artères terminales, — je compare ici la veine porte à une
s organes à artères terminales, — je compare ici la veine porte à une artère dont elle remplit pour ainsi dire les fonctions,
le sur ces dernières est tellement riche que, quand une injection des artères ,, faite, avec une substance rouge, a bien réussi,
es vaisseaux artériels; — c) Le troisième ordre est constitué par des artères interlobulaires très petites qui arrivent dans le
injections de Frerichs, faites par les veines sus-hépatiques et par l' artère hépatique, dont le tronc est quelquefois dilaté j
um émanant: a) de la veine porte, b) des conduits biliaires, c) des artères hépatiques ; 2° par un troncule ; 3° par des capi
, les dernières avec des branches de la veine porte qui répondent aux artères dites capsulaires (1). D'où il résulte que, si la
le système lacunaire paraît être en communication très large avec les artères hépatiques. Nous avons fait ressortir déjà que, d
ous avons fait ressortir déjà que, d'après M. Frerichs, le tronc de l' artère hépatique est, dans la cirrhose vulgaire, parfois
, en poussant les injections à la fois par les veines portes, par les artères et les veines sus-hépatiques, on voit : 1° que le
t : 1° que le nombre des vaisseaux du système lacunaire injecté par l' artère est souvent plus grand que celui de ces mêmes vai
mêmes vaisseaux injecté par la veine porte : 2° que, par la voie des artères , il est possible d'injecter les capillaires dés l
oïde offrant un système vasculaire dans lequel le sang afflue par les artères et sort par les voies supplémen-taires qui font c
nètre dans les capillaires intra-lobulaires en partie par la voie des artères , en partie par la veine porte, et s'écoule, comme
ntante de Henle.—b) La région du labyrinthe contient à son centre les artères interlo-bulaires dont les ramifications latérales
spect de figu-res polygonales. — b, Une des branches principales de l' artère rénale séparant les couches mé-dullaire et cortic
ion la plus récente et, à beaucoup d'égards, la plus autorisée. Les artères rénales, dans leur parcours entre la substance mé
subs-tance corticale, les autres à la substance médullaire. 1° Les artères de la substance corticale naissent perpendi-culai
substance corticale naissent perpendi-culairement à la direction des artères rénales et forment les branches interlobulaires ;
ramènent le sang dans les veines interlobulaires qui, parallèles aux artères de même nom, vont se jeter dans les veines rénale
artères de même nom, vont se jeter dans les veines rénales. 2° Les artères de la substance médullaire proviennent des vasa r
y a deux espèces de vasa recta : les uns prennent leur origine dans l' artère rénale elle-même, ainsi que l'ont démontré, après
tations, les travaux de Virchow et de Ludwig; ce sont de véritables artères . Les autres (qui, d'après Ludwig, n'au-raient pas
éjà traversé le glomérule. 3° Il existe en outre, dans le rein, des artères capsulaires, provenant de celles des artères inte
outre, dans le rein, des artères capsulaires, provenant de celles des artères interlobulaires qui ne se sont pas résolues en va
bulaires qui ne se sont pas résolues en vasa afferentia, et enfin des artères de prove-nance extra-rénale (phréniques, lombaire
ésions des capsules de Bowmann et des glomérules; — altérations des artères . Messieurs, Avant de pénétrer plus avant dans
es 'dia thèse fibroïde]. — Altérations des vaisseaux ; — athérome des artères ; hémorragies — Lésions de la rétine. 1. Me
oduction de ces hémorragies inlra-encéphaliques . à la friabilité des artères et à l'exagération de la tension arté-rielle. Je
amais de la néphrite interstitielle avec albumi-nurie. L'alhérome des artères de l'encéphale, au moins des artères d'un certain
vec albumi-nurie. L'alhérome des artères de l'encéphale, au moins des artères d'un certain calibre, n'est pas la règle non plus
sans plus de critique, on a rattaché à l'altération athéromaleuse des artères les lésions de la rétine, fréquentes dans cette f
s la substance tubuleuse sous le non de vaisseaux droits ; enfin, les artères interlobulaires et d'un autre côté les capillaire
le système des glomé-rules, les vaisseaux afférents et efférents, les artères inter-lobulaires, modifiés par la dégénération am
use et sans douleurs, diarrhée relevant d'une altération amyloïde des artères de l'intestin grêle ; dans ces conditions, il est
uses ou interstitielles du rein relèvent de l'altération amyloïde des artères , non plus qu'à établir la physiologie des symptôm
qui proviennent du réseau capillaire reproduisent la disposition des artères afférentes du glomérule ; elles vont s'aboucher d
er dans des vei-nes qui, à leur tour, reproduisent la disposition des artères intralobulaires. Ces dernières veinules se jetten
t des pinceaux vasculaires qui reproduisent encore la disposition des artères droites et occupent dans le lobule la même région
eurs célèbre. Sur un animal vi-vant, on extrait l'un des reins. Par l' artère émulgente on in-jecte sous une certaine pression
pareil sécréteur de l'urine chez la couleuvre (d'après Bowmann). — A, artère lobulairc ; — a f, artcriole afférente ; — artéri
tème artériel, il est représenté là par des artérioles provenant de l' artère ré-nale, véritable artère afférente portant un gl
ésenté là par des artérioles provenant de l'artère ré-nale, véritable artère afférente portant un glomérule d'où part, comme c
érente portant un glomérule d'où part, comme chez les mammifères, une artère afférente. Celui-ci va se jeter soit dans le syst
ne de l'autre. Si, en effet, chez la grenouille, on lie ou comprime l' artère rénale, le sang ne pénètre plus dans le glomérule
le ne sera pas le siège d'une circula-tion en retour par la voie de l' artère afférente, le sang trou-vant un écoulement plus f
. Si, sur un chien vivant, on enlève un des reins, et si, à travers l' artère principale de ce rein, on fait passer du sang con
pé-riences, due à Overbeck, consiste dans la ligature temporaire de l' artère rénale. Les choses sont disposées de telle sorte
résultats analogues ; mais si, avant de faire l'injec-tion, on lie l' artère conformément à l'expérience de Nuss-baum, par sui
chez les mammifères. Mais, si, avant l'injection, on a soin de lier l' artère rénale, dans ces conditions nouvelles, l'albumine
xutales, car, si, chez le même animal auquel, après la ligature de l' artère rénale, cette albumine a été injectée, on vient à
se expérience d'Overbeck, où il s'agit de la ligature temporaire de l' artère rénale. La ligature ayant duré quelques minutes s
olue expérimentalement encore chez la grenouille. Après avoir lié l' artère rénale, on injecte dans le sang une certaine quan
des canaux du labyrinthe, lesquels cependant, malgré la ligature de l' artère , fonctionnent à leur façon, c'est-à-dire en élimi
l'expérience d'Overbeck, consistant dans la ligature temporaire de l' artère rénale, l'albuminurie se produit clans les condit
e temporaire, mais complète, on produit un simple rétrécissement de l' artère , qu'on augmente ou qu'on diminue à loisir au moye
le système veineux du rein ; très certainement elle diminue dans les artères , de telle sorte qu'on peut hésiter sur la ques-ti
e de Gull, où il s'agit de la ligature d'un certain nombre de grosses artères , les ré-nales exceptées, ou plus simplement dans
er la compression de l'aorte ab-dominale immédiatement au-dessous des artères rénales, la lituation en ce qui concerne les cond
s'élève dans les veines, mais non pas autant qu'elle descend dans les artères . Vous savez du reste que, grâce à leur dispositoi
l-les y pénètrent très facilement lorsqu'elles sont poussées dans les artères . On peut donc, en pareil cas, se représenter la s
porte, ses branches principales, branches vaginales, canaux portes. — Artère hépatique; rameaux artériels. — Canaux biliaires.
lésions des capsules de Bowmann et des glomérules ; — altérations des artères .............. 325 CINQUIÈME LEÇON lé rein con
nes [diathèse fibroïde . — Altérations des vaisseaux ; — athérome des artères ; hémorragies — Lésions de la rétine...........
imentale, 399, 400. Appendice vermiforme (Perforation de F), 212. Artère hépatique, 60. — Du rein, 302. — Atherome des —,
icalionsintlam-matoires, 351.— diathèse libro'ide, 352 ; athérome dos artères , hémor-ragies, 352 ; —retinite, 354. Rein goutt
9 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
i est plus simple, de la pelote qui sert à la compression des petites artères de la face. La compression a de bons effets, comb
on en fait l'extraction. Pour arrêter l'hémorragie, la ligature de l' artère ophthalmique serait presque toujours impossible;
fendre le voile du palais à quelques millimètres de la luette, où les artères ont le moindre volume. Cette section facile à pra
ire de manière à pouvoir comprimer sous la branche de la mâchoire les artères maxillaires externes avec les doigts tandis que l
a poitrine d'un aide debout derrière lui et dont un doigt com-prime l' artère faciale à son passage sous la mâchoire : de quelq
ies molles, il est nécessaire de faire immédiatement la ligature de l' artère faciale qui a été coupée deux fois ; mais plus ba
il s'agit d'abord de se rendre maître de l'hémorragie fournie par les artères coronaires, mentonnières et sous-maxillaires; pui
ranches de nerfs qui le côtoient, et de le lier comme on ferait d'une artère . Essayé sur des che-vaux sans accidens consécutif
de parotide est traversée : t° dans son grand diamètre vertical par l' artère carotide et la veine jugulaire externes qui fourn
l, Eckstrum , Widmcr, ont pris la précaution de lier préala-blement l' artère carotide externe; les autres ont pris seulement l
e précaution à prendre est-elle de lier dans une première opération l' artère carotide externe, ou au inoins de la mettre à dé-
stoïde on évite ainsi de blesser d'abord le conduit de l'oreille et l' artère carotide située plus en dedans. Dès que le bistou
a mâchoire, il faut re-doubler de précautions pour ne point blesser l' artère carotide ou ses deux grosses divisions. Quant aux
nt coupées. Dans cette dissec-tion laborieuse , c'est sur les grosses artères et sur le nerf facial que doit toujours porter l'
réoccupé ou que l'on a trouvé plus difficile d'éviter le nerf que les artères , puisque la paralysie est survenue plus fréquemme
lon antérieur de l'apophyse mas-foïde vers l'angle de la mâchoire ; l' artère , et la veine montant parallèlement à cette branch
etit nombre d'hémorragies formidables qui sont survenues, les grosses artères étant sen-sibles à leurs hattemens. Par prudence
chirurgien dans la nécessité de pratiquer un fort tamponnement. Les artères qui, à part le tronc de la carotide, peuvent être
la langue; le même phénomène supprima l'hémorrhagie fournie par deux artères que l'on avait cherchées impunément sans pouvoir
croyons que l'opé-ration devrait être commencée par la ligature de l' artère linguale de chaque côté. Avec cette mesure de sûr
par plusieurs chirurgiens (fig. G), de même que pour la ligature des artères ; mais comme cette manœuvre, à la profondeur du vo
l'amygdale est une condition importante pour éloigner la tumeur de l' artère carotide. L'airigne, passant ensuite dans la main
cas, comme dans les hémorrhagies saccadées produites par les petites artères , est d'appliquer immédiatement le cautère rougi à
heureux où un chirurgien inexpérimenté ou inattentif au-rait blessé l' artère carotide, comme on en a vu des cas cités par Teno
Ce sont : la cautérisation, le séton, la ligature, l'oblitération des artères , les incisions et l'extirpation. Cautérisation.
me long-temps encore après leur entière cicatrisation. Ligature des artères thyroïdiennes. W. Blizard , au rapport de Burns,
premier l'idée de déterminer l'atrophie du goitre par la ligature des artères du corps thyroïde. Les hémor-rhagies réitérées et
té d'opérer, le chirurgien est en droit d'essayer de la liga-ture des artères thyroïdiennes, mais en liant pour plus de sécu-ri
artères thyroïdiennes, mais en liant pour plus de sécu-rité, les deux artères de chaque côté. Nous ne pouvons que nous rangera
aque côté. Nous ne pouvons que nous rangera cet avis, la ligature des artères étant une chance der-nière pour éviter l'extirpat
l était tombé sur une tumeur très vasculaire, reposant sur la trachée artère , et se vit contraint de renoncer à l'extirpation,
re de filets du plexus cervical superficiel. Dès que les origines des artères thy-roïdiennes peuvent être reconnues, il faut en
t le plexus veineux, on lie en masse ce plexus qui parfois renferme l' artère thyroïdienne de Neubauér, et on achève l'ablation
i liquides, les incisions seules pour l'hypertrophie, la ligature des artères thyroïdiennes dans l'hypertrophie et les tumeurs
confluent en réseau des fortes veines thyroïdiennes inférieures et l' artère thyroïdienne de Neu-bauer, quand elle existe. La
émorrhagie. Nous avons dit qu'en principe, il faut lier les veines et artères coupées avant l'incision de la tra-chée. Les nomb
ert, recon-naître au toucher, avec la pulpe de l'indicateur gauche, l' artère du même nom, la refouler en haut avec l'ongle, et
s'assurer au toucher, avec l'indicateur gauche, de la situation de l' artère crico-thyroïdienne, et la refouler avec l'on-gle
mple , de la trachée (Dupuytren), de l'aorte (Laurencin, Léger), de l' artère pulmonaire (Bernest), de la carotide primitive (D
remonter plus haut que l'hyoïde, où le nerf laryngé supérieur et les artères linguale et faciale pour-raient être lésés. Quant
er d'attention : en ar-rière se trouve la gaîne des gros vaisseaux, l' artère carotide et la veine jugulaire interne, que l'on
nnent : l'ablation du sein, l'arrêt de l'hémorrhagie produite par une artère intercos-tale , les ponctions des épanchemens dan
alade. Un aide, placé vers la tête, est chargé de la compression de l' artère sous-clavière entre les scalènes. A la rigueur, l
oral. A mesure que l'opération avance, des branches nombreuses, des artères thoraciques sont coupées. Il est rare que la comp
régulière de l'opération. Dès que la tumeur est enlevée, on lie les artères coupées, puis on procède à l'examen de la surface
éférables. HÉMORRHAGIE D'UNE ARTÈRE INTERCOSTALE. La lésion d'une artère intercostale dans les plaies pénétrantes de poitr
e ces derniers à une simple valeur théorique. Les cas de lésion d'une artère intercostale les mieux constatés sont ceux rappor
g par la plaie prouve bien que le poumon est lésé, mais non pas que l' artère intercostale soit intacte; et, d'un autre côté, l
té, l'absence du même signe ne suffit pas pour prouver la lésion de l' artère intercostale et l'intégrité du poumon. Les autres
ressortant au-dessus de la côte, insinuait une tente au-dessous de l' artère qu'il s'efforçait de comprimer en étranglant le c
que citer les noms de Theden et de Lœjfler, la section complète de l' artère , suivie du tamponnement qu'ils proposent ne mérit
gé. Un pa-reil oubli a été justifiable, tant que la ligature de toute artère quelconque a été considérée comme une opération g
cas. Si la plaie est large, et que, par une exception peu probable, l' artère étant lésée, la plèvre pariétale néanmoins ne le
ensuite dans le point lésé, ou un peu au-dessus, à la recherche de l' artère , dans sa gouttière, sous le bord inférieur de la
e, le faisceau vasculaire en masse, et lier au besoin la veine avec l' artère , en se contentant d'écarter le nerf : telles sont
pas, comme on l'a fait, la torsion , qui, vu la difficulté d'isoler l' artère , ne nous paraîtrait pas devoir offrir une assez g
hirure spontanée, la situation profonde ou superficielle du vaisseau, artère ou veine, qui a donné lieu à l'hémorrhagie intern
che effilée, des pinces et des fils à ligature en cas de lésion d'une artère . Méthode par incision. Procédé ordinaire. Le
ouchant auparavant à chaque fois pour s'assurer qu' il n'existe pas d' artère d'un certain volume sur le trajet de l'instru-men
t du petit pectoral, en bas du grand oblique et du sterno-pubien. Les artères qui s'y trouvent sont : i° verticale-ment à un ce
intercostal et s'anastomose avec l'un des rameaux de terminaison des artères intercostales. A l'intérieur de la cavité thoraci
Nous avouons ne rien comprendre à ce procédé, qui expose à blesser l' artère mammaire interne et les attaches chondro-xyphoïdi
à gauche , l'S iliacpie du colon ; à droite le ccecum et de plus les artères épigastriques. Ainsi, par voie d'exclusion , le l
é en haut par l'ombilic, en bas par la vessie et latéralement par les artères épigastriques. Cepen-dant il faut choisir la part
érieure gauche à l'om-bilic. On évite ainsi la vessie et l'utérus , l' artère épigastrique qui est en dedans, l'artère iliaque
si la vessie et l'utérus , l'artère épigastrique qui est en dedans, l' artère iliaque antérieure et le colon qui sont en dehors
rieure et le colon qui sont en dehors. La crainte de la lésion de l' artère épigastrique fait préférer la ligne blanche par l
rhagie, à moins que l'on ait opéré imprudemment dans le voisinage des artères , est ordinairement causée par des veines. Il arri
ondeur d'un angle à l'autre comme on le pratique pour la ligature des artères . Il remplit alors la plaie de charpie, pour déter
omac, en évitant de trop se rapprocher de la portion splénique où les artères d'anastomose de l'un à l'autre bord sont volumine
ui pourtant, avec les nou-veaux procédés de mâchure et de torsion des artères , il semble qu'on pourrait, sans trop de danger,
ulaire, ou si l'on veut à une sorte de ligature semblable à celle des artères . Cependant, comme ce procédé embrasse une surface
ia transversalis ; 3° qu'il est avoisiné par des vais-seaux, savoir l' artère épigastrique et l'ombilicale oblitérée chez l'adu
fice supérieur du canal, et est limitée en dedans par la saillie de l' artère épigastrique; c'est par elle que s'enga-gent les
le oblique ou externe; une autre, moyenne, est bornée en dehors par l' artère épigas-trique, en dedans par le cordon de l'artèr
ée en dehors par l'artère épigas-trique, en dedans par le cordon de l' artère ombilicale; elle donne entrée aux viscères dans l
ns la hernie interne ; la troisième, ou interne, est comprise entre l' artère ombilicale et le bord ex-terne du muscle droit de
don testiculaire avec ses élé-mens, c'est-à-dire le canal déférent, l' artère et les veines sper-matiques, des vaisseaux lympha
ordon. En outre, le même canal contient encore un rameau envoyé par l' artère épigastrique au cordon , un autre fourni par 1 li
endant une telle connaissance est utile pour assigner le rapport de l' artère épigastrique avec le collet du sac ; on sait, en
rurgien qui cherche, avant l'opération, à déterminer la position de l' artère relativement au collet. Si l'on envisage les en
rit sous le nom d'entonnoir. L'angle externe de l'anneau contient l' artère et la veine fémo-rales , la première en dehors et
neau cru-ral doivent être étudiés avec soin. Nous avons déjà vu que l' artère et la veine fémorales sont situées dans son angle
liaque par le fascia iliaca. La veine, qui est pla-cée en dedans de l' artère , limite en dehors l'ouverture par la-quelle se fo
légèrement en arrière, on diviserait infailli-blement ce vaisseau. L' artère épigastrique côtoie de bas en haut la partie exte
s, pour descendre derrière le liga-ment de Gimbernat. Chez l'homme, l' artère testiculaire croise obliquement l'épigastrique à
oints du pour-tour de l'anneau crural ; chez la femme, l'absence de l' artère tes-ticulaire fait que l'on pourrait débrider en
distribution normale des vaisseaux; mais il n'est pas rare de voir l' artère obturatrice, née de l'épigastrique, se porter dan
laquelle pas-senties trois gros troncs sanguins, la veine et les deux artères epii servent de communication entre le fœtus et l
le sac et le tégument, la veine située en haut et à gauche, les deux artères sur les côtés et en bas; quelquefois disposés rég
nt ils donnent à la tu-meur la forme trilobée; d'autres fois les deux artères ombilicales sont réunies d'un même côté, et la ve
n garde contre l'hémorrhagie qui pourrait résulter de l'ouverture des artères cpii se rendent à cette partie. Sans doute il n'e
ombreux proposés contre les plaies des intestins. — La blessure d'une artère est un accident qui, t. vii. aujourd'hui, est
moins à craindre l'inflammation du péritoine, et si, par malheur, une artère était ouverte, le sang versé au dehors, ou tout a
vant du sac. Mais le principal soin du chirurgien consiste à éviter l' artère épigastri- M que, et c'est surtout ce précept
s spéciales qui caractérisent, ici l'opération. En se rappelant que l' artère en question est tantôt placée sur le côté interne
Boyer ont rapporté des cas d'hémor-rhagie due à la blessure de cette artère . Avertis déjà de ce danger, les chirurgiens du de
idement. Mais n'ayant aucune idée fixe sur les rapports nor-maux de l' artère avec le col de la hernie, ils n'ont pu raisonner
es, ayant appris que , dans la hernie inguinale oblique ou externe, l' artère se trouve en dedans , et qu'elle est au contraire
urs le tranchant du bistouri en haut ; car, en agissant ainsi , que l' artère soit placée en dedans ou en dehors, ou même que p
nous dissimu-lons pas cependant qu'il peut se rencontrer des cas où l' artère épi-gastrique, offrant une anomalie dans sa direc
idement qui siège dansle scrotum, il n'y a point à se préoccuper de l' artère épigastrique. Si la constriction est causée par l
rique. Si la constriction est causée par l'anneau inguinal externe, l' artère étant située plus haut et en arrière, on peut, sa
rieur, on pourra encore, en abaissant le sac, être assez éloigné de l' artère pour que celle-ci soit préservée. Le seul cas r
s les fois que le chirurgien conserve des doutes sur la position de l' artère , il doit éviter de faire une seule incision éten
inale ordinaire. Le débridement exposant à la blessure de plusieurs artères , on a beaucoup discuté sur la direction à donner
férer le bistouri aux ciseaux pour faire ces-ser la constriction. Les artères à éviter sont en dehors et en haut, l'épigastriqu
dehors, les vaisseaux iliaques, en haut et en dedans chez l'homme, l' artère testiculaire. On com-prend par conséquent pourquo
en divisant les tissus de l'intérieur à l'extérieur. La ra-cine de l' artère épigastrique est assez profonde pour qu'il n'y ai
mort arriva par suite d'une hémorrhagie cau-sée par la blessure de l' artère testiculaire , il fit voir qu'il est fort diffici
est fort difficile de diviser en haut et en dedans sans couper cette artère . Néanmoins A. Cooper croit possible d'écarter le
rnat; il est certain qu'on évite sûrement parce procédé le tronc de l' artère épigastrique et la testiculaire , et s'il existe
gion, on ne court aucun dan-ger d'hémorrhagie. Mais malheureusement l' artère obturatrice, qui, comme nous l'avons dit, est ass
M. Demeaux à la So-ciété anatomique (année i/f, i83g, pag. 20), que l' artère , la veine et le nerf obturateur, contournent le c
lett. c.) On peut avoir à craindre dans cette opération de léser l' artère épigastrique , de comprendre le cordon dans l'ans
ère le doigt indicateur placée dans l'anneau , etque, d'autre part, l' artère épigastrique est aussi placée profondément au-dev
décoller le péritoine de la fosse iliaque comme pour la ligature de l' artère iliaque, afin d'inciser l'in-testin hors du périt
ins, parce qu'il forme un canal lié aux parois de l'abdomen comme une artère à sa gaîne. Si, après avoir ouvert le colon, on a
r des craintes après l'opération delà fistule à l'anus. Si une petite artère a été lésée on peut toujours ou la lier ou la tor
ection tout d'un trait, mais s'arrête chaque fois qu'il rencontre une artère pour la lier. De cette façon, il ne coupe rien qu
ournies au scrotum parles ai tères honteuses internes et exter-nes, l' artère épigastriquc, ou enfin l'artère sper ma tique, et
es honteuses internes et exter-nes, l'artère épigastriquc, ou enfin l' artère sper ma tique, et peut ainsi donner lieu à des hê
reuses expériences sur des chiens dont il voulait faire oblitérer les artères . Voilà du reste comment opère M. Frick : On fait
ite suivant sa longueur et près du canal, puis, en isolant toutes les artères et artério-les et les coupant entre deux ligature
stouri pour les couper, sans toucher au conduit spermatique, délier l' artère ou les artères faciles à reconnaître à leur jet d
s couper, sans toucher au conduit spermatique, délier l'artère ou les artères faciles à reconnaître à leur jet de sang, et de t
ligature, et d'un autre côté comme la liga-ture immédiate de chacpie artère du cordon n'a jamais eu de suites fâcheuses, nous
ne doit se déterminer à lier le cordon en totalité qu'autant que les artères qu'il renferme sont telle-ment cachées et enfoncé
peut alors facilement opérer la ligature en masse ou la ligature des artères séparées. Comme on le voit par ce procédé, il n'y
arcade crurale. On divise la peau et lefascia superficialis, on lie l' artère tégumenteuse abdominale, si elle est coupée, et l
che, sur une sonde cannelée. Lorsqu'on arrive près du péritoine, de l' artère épigastrique et des vaisseaux iliaques, il faut u
fondant sur ce que ces substances ont une ac-tion remarquable sur les artères , dont elles affaissent l'éré-thisme , et sur les
ne quantité de sang plus ou moins considérable. 3° La disposition des artères caverneuses renfermées dans leur intérieur et qui
t amputée, il faut procéder à la ligature des vaisseaux : ce sont les artères dorsales qui rampent sur le dos de la verge et le
iron i5 à 20 millimètres, rempli par des veines considérables, et les artères correspondantes qui se rendent sur le dos de la v
où elle a ses dimen-sions ordinaires. 3° Vaisseaux du périnée. Les artères de cette région ont une grande importance. A part
ure du rectum, elles proviennent toutes de la honteuse interne. Cette artère se trouve accolée à la face interne de la tubéros
mmédiatement au-dessus de la couche musculaire, et derrière les os, l' artère hon-teuse est immobile et à l'abride l'action des
voisinage duquel elle se divise en un grand nombre de rameaux ; 2° l' artère superficielle du périnée abandonne la honteuse à
rameau important ; 3" l'ar' tère transverse du périnée, appelée aussi artère bulbeuse, se dè. tache presque toujours du tronc
plus de 27 millimètres au-devant de l'anus. Mais la position de cette artère n'est pas si constante qu'elle ne naisse souvent
lie qui, par cela même qu'elle est imprévue, ne permet pas d'éviter l' artère . Veines. Elles sont généralement très développé
p profondément situés. Les grandes veines du périnée accompagnent les artères et, par cette raison, ne méritent pas une descrip
. Les nerfs principaux sontleshonteux internes qui accompagnent les artères du même nom, et se distribuent de la même manière
rieures. Si on le portait trop en dehors on s'ex-poserait à diviser l' artère transverse du périnée, ou tout autre branche nais
me caché de cette ma-te nière, il ne m'est jamais arrivé d'ouvrir une artère qui ail « donné lieu à une hémorrhagie un peu con
; enfin, qu'il était sujetàdiviser les vaisseaux honteux et surtout l' artère transverse du [périnée. Mais, ainsi que le dit Bo
st dirigé transversa-lement vers la branche ischiatique; ce qui met l' artère honteuse et la transverse du périnée à l'abri de
rs avec le lithotome, et cela dans le but de ménager le rectum et les artères périnéales.Mais cette modification qui sort tout-
le exposait plus que l'incision oblique postérieure à la division des artères du périnée. D'un autre côté, Dupujtren avait pens
des accidens sus-énoncés, mais en outre, exposerait à la division des artères principales du périnée, la direction et la longue
ur les côtés, ou qu'il ne faille faire de très grandes incisions. Les artères aussi ne peuvent inquiéter, car l'artère transver
très grandes incisions. Les artères aussi ne peuvent inquiéter, car l' artère transverse, qui est la plus importante et qui va
ision inévitable des canaux éjacula-teurs, et le danger de couper les artères transverses du périnée en faisant les incisions o
pagner la taille, ou lui succéder. Elle dépend de la lésion d'une des artères du périnée, soit de la superficielle ou de la tra
dis-position anormale, parce que, dans sa disposition normale, cette artère est suffisamment garantie de l'action des instrum
des plexus artériels et veineux de la prostate ; celle de toutes les artères qui en est la cause la plus fréquente, est la bra
Si le sang est fourni par la division des plexus « veineux, ou d'une artère placée autour de la prostate, on le « distingue d
nnement est le seul moyen propre à l'arrêter. Si le sang venait d'une artère profonde, et qu'on ne pût la lier , on pourrait,
irait. Immédiatement après l'opération , on essayerait de découvrir l' artère ouverte, et si l'on y parvenait, on la saisirait
énaculum, et on l'étreindrait dans une li-gature. Si par exception, l' artère honteuse était blessée, et qu'on ne pût l'atteind
r de la plaie de dedans en dehors, jusqu'au-delà du côté externe de l' artère , et en arrière du point lésé, la ramena dans la p
la branche ischiatique, dégagea le fil de sa pointe, puis étran-gla l' artère et les tissus intermédiaires par un nœud. Rappro-
aiguille à travers le trou obturateur, pour étreindre en même temps l' artère et la branche ischiatique dans le même fil. M. Tr
vait prévenir l'épanchement interne, on pratiquerait la ligature de l' artère honteuse par l'un des procédés indiqués plus haut
plus de sécurité, celui de M. Gaignon qui comprend dans le même fil l' artère et la branche ascendante des ischions. Dans quelq
puis sur la supérieure, dont elle est écartée par l'ouraque et les artères ombilicales obli-térées , jusqu'auprès de la face
r de l'aponé-vrose en ce point. En deux mots, la lésion probable de l' artère épigastrique et l'incision latérale de la vessie,
emble avec quel-que probabilité, que le sang a pu être fourni par les artères qui remontent sur les côtés delà poche urinaire,
u'il exposait à diviser le vagin, les vaisseaux du périnée, et même l' artère honteuse interne, lorsque l'incision était portée
perait d'un seul trait l'organe dégénéré. Comme il ne contient aucune artère volu-mineuse , on ne doit avoir aucune crainte du
é, dans une anse, le tiers inférieur du ligament large qui renferme l' artère utérine; on en fait la ligature et on achève la s
parcourue par de nombreuses ramifi-cations vasculaires dépendant de l' artère ovarique qui a acquis un développement considérab
nt du sang, car il n'est pas sup-posable qu'on atteigne la veine et l' artère iliaques. Le kyste étant mis à nu, détruire ses a
rnaient pas dans le ventre; mais, d'un autre côté, on pouvait léser l' artère épigastrique ou la récurrente abdominale; on en t
dolentes, minces, faciles à reconnaître, et entiè-rement dépourvues d' artères qu'il serait dangereux de blesser; enfin il agit
, et permettaient aux viscères de sortir ; i" que le soin d'é-viter l' artère épigastrique ne suffisait pas, puisqu'il coupait
ce, tous les tissus depuis la peau jusqu'au péritoine, en ménageant l' artère épigastrique, l'auteur s'était proposé de décolle
R LE COU. Pages 7 1— 86. Goitre. Cautérisation, séton, ligature des artères thyroïdiennes, 72; ligature en masse, 73; extirpa
RAX. Pages 86—97. Extirpation du sein, 86-88. — Hémorrhagie d'une artère intercos-tale. Compression ligature, 88, 89. = Em
du muscle petit oblique, qui n'est entourée d'aucun nerf et d'aucune artère , et que l'on peut diviser si facilement par la mé
e couper les uns sans les autres, et d'un autre côté, la présence des artères linguales, des nerfs linguaux, grands hypo-glosse
t des deux blessures latérales comme s'il fût sorti d'un gros tronc d' artère , et la langue se tuméfia bientôt par la masse du
on intermédiaire, les deux nerfs linguaux et grands-hypoglosses , les artères et veines linguales et une masse assez considérab
'il attribue au soin minutieux qu'il a mis d'éviter les veines et les artères qui se présentent sur les parties latérales des d
rès avoir éprouvé plusieurs hémor-rhagies résultant d'une lésion de l' artère submentale prouvée par l'autopsie. Enfin, M. Baud
n-sertion rapprochés ; au repos ils s'ossifient. » Vaisseaux. « Les artères au lieu de s'adapter comme les mus-cles au degré
Un autre fait plus important a rapporta la diminution de calibre des artères qui, dans les an-ciennes difformités, va quelquef
quant à leurs trajets, suivent en général la même disposition que les artères ; mais quant au vo-lume et au nombre, le phénomène
pplications , il n'est pas nécessaire ici, comme pour les ligatures d' artères , où les condi-tions locales sont si exigeantes, d
s les fois que l'on n'a point à craindre, en appuyant, de blesser une artère ou un nerf, et c'est pour en rendre les applicati
cutanées des tendons, des ligamens, des muscles, des aponévroses, des artères de petit calibre, des veines et des nerfs, de que
Portion du masseter. 28. Portion de l'orbiculaire labial. 29, 30. Artère et veine faciales. Elles sont interrompues au-dev
ans l'intérieur du rocher, au-dessous et en avant de la courbure de l' artère carotide dans le trou dé-chiré antérieur. Une ouv
un angle très obtus à leur point de jonction (fig. 3). G. Fig. 2,3. Artère carotide à son entrée et à sa sortie de Los tem-p
s qui environnent l'extrémité buccale du conduit de Sténon. 5 et 6. Artère et veine faciales. 7. Plexus-nerveux de la sept
e. d. Muscle scapulo-hyoïdien. e. Muscle sterno-inastoïdien. f. Artère carotide primitive. Toutes ces parties sont dép
e le cours du sang; avec le pouce de la main gauche (a) il comprime l' artère sous-clavière à son passage sur la première côte,
sur les orifices des vaisseaux divisés, le pouce sur une branche de l' artère thoracique courte, l'indicateur et le médius sur
ice xiphoïde. Ce lieu d'élection a pour but d'éviter la rencontre des artères situées dans la paroi abdominale, et, comme rense
a ponctué leur trajet à la surface de la peau, (g) est le trajet de l' artère épigastrique et de ses branches, et (h) celui de
ns le canal inguinal dont l'aponévrose de revêtement est enlevée, (d) Artère et veine fémorales à l'arcade crurale, (e) Ar-tèr
n spermatique qui rampe, aplati, dans la gouttière aponévrotique. (d) Artère et veine fémorales à l'arcade crurale, (e) Artère
aponévrotique. (d) Artère et veine fémorales à l'arcade crurale, (e) Artère et veine épigastriques détournées de leur directi
erne accidentel, orifice dilaté de la veine saphène interne. i k. Artère et veine fémorales vues en transparence sous le p
arence sous le péritoine, dans le canal inguinal, avec l'origine de l' artère épiga-strique. HERNIE INGUINALE INTERNE RÉDUCTI
ques, situé en bas et en dehors, se trouve masqué par les viscères. L' artère épigastrique (a), qui passe en dessous, remonte d
es (c). Ce pilier, au bord externe de l'orifice herniaire, renferme l' artère épigastrique, située par conséquent en dehors et
uinal dilaté, (b) bord ou pilier interne de l'orifice péritonéal; (c) artère épigastrique, que l'on voit naître sous le périto
ne de l'iliaque externe; (d) cordon des vaisseaux sperma-tiques, (f ) artère et veine iliaques externes. FIGURE 5. Canal cru
Parties accessoires vues en transparence sous le péritoine. ( d ) Artère et veine iliaques externes. Au contour de l'annea
olongement testiculaire du péritoine, ( h ) Canal déférent. ( i ) Artère ombilicale oblitérée. (k) Vessie. Tome 7. P
a section au-dessous. Figure 5. Procédé de M. Maunoir. Ligature des artères du cordon comme moyen d'atrophie du sarcocèle com
sie se voit l'enveloppe péritonéale (D) coupée latérale-ment, sur les artères ombilicales, et entre ces vaisseaux, au-dessus de
uscle sterno-pubien, de manière à tomber à dis-tance moyenne, entre l' artère épigastrique et les branches abdominales Cette
ent, en sur-face ou en profondeur, les vaisseaux et les nerfs.— 1, 2. Artères et veines linguales. — 3. Nerf lingual. — 4- Nerf
avec les trois derniers doigts sur les parties molles pour déprimer l' artère avec les deux veines et le nerf médian; avec le d
10 (1881) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1880
eau, nulle trace de rigidité ca- davérique. Cerveau. Poids 1030 L' artère communicante anté- rieure est double. Les autre
oids 1030 L'artère communicante anté- rieure est double. Les autres artères de la base sont normales ainsi que le chiasma,
re, on Xifl. f. - V. tr valvicie - V. dr. ventricule droit. .1. p p artère pulmonuire. - B. 0)'illce itl/ëJ'ÙJUi'de ? t;fn
rture du ventricule droit y montre l'absence de l'infundibulum de l' artère pulmonaire. Les parois de ce ventricule sont ép
ne, tandis que dans le ventricule gauche les parois, Fig. c. - A. P artère pulnaonaire. - Br. g. la branche gauche . P. 9'.
e. Ajoutons qu'à un centimètre environ au- dessus de son orifice, l' artère pulmonaire se partage en 3 branches, deux à gau
mal ou rétréci, est peut-être encore plus commune : la sténose de l' artère pulmonaire est plus rare et cette anomalie coïn
naire peut avoir lieu dans divers points : 1° à l'origine même de l' artère pulmo- naire ; 2° à la base de l'infundibulum ;
ation peut être complète. » Ajoutons que. dans une observation, l' artère pulmonaire a été trouvée normale (2), et dans u
lies re- latées dans notre observation. I. - Rétrécissements de l' artère pulmonaire ou de son orifice. Olis. 11 Cas ci
son orifice. Olis. 11 Cas cie Holst (de Christiania) (4). Aorte et artère pulmonaire retrécies et naissant du ventricule
deux oreillettes. Cas. III. Cas de Stenson (5). Rétrécissement de l' artère pulmonaire avec, absence du canal artériel. Per
orte naissant des deux ventricules. OBs. IV. Cas de Cailliot (G). Artère pulmonaire très ré- trécie. - Aorte provenant d
ès développée, ventricule droit volumineux. OBS. V. Cas d'Obet (7). Artère pulmonaire rétrécie. Canal artériel offrant enc
404. MALADIE BLEUE. 9 Cas. VI. (Hogdson) (1). Rétrécissement de l' artère pul- monaire qui ne présente que deux valvules.
, la gauche rétrécie. Ons. VII. (Cooper) (2,. Rétrécissement de l' artère pulmo- naire avec oblitération du canal artérie
et aorte naissant des deux ven- tricules. Cas. VIII. (Haase) (3). Artère pulmonaire très rétrécie, valvules adhérentes,
nt des deux ventricules, mais plutôt du droit. Wus. IX (Farre) (4). Artère pulmonaire rétrécie, aorte volumineuse naissant
développés surtout le droit. Oiis. X. (Sandifort) (5). Orifice de l' artère pulmonaire ne laissant passer qu'un stylet très
de deux valvules très petites, presque adhérentes entre elles. L' artère pulmonaire est rétrécie jusqu'à la bifurcation.
. Oiss. XI. (Cailliot) (6). Enfant de 11 ans, rétrécissement de l' artère pulmonaire et de son orifice qui ne présente qu
ulmonaire à la base de l'infundibulum. Ons. XIII. (Lawrence) (1). Artère pulmonaire normale naissant d'une espèce de tro
(2). La base de l'infundibulum, à 13 millimètres de l'origine de l' artère pulmonaire, pré- sentait un pertuis capable de
seulement une plume de corbeau. Entre ce pertuis et l'orifice de l' artère pulmonaire, l'infundibulum constituait une sort
e ou de ventricule surnuméraire, de 2 cc ntimè- tres de diamètre^ L' artère pulmonaire, ne présentant que deux valvules, ét
saine. Pas de canal artériel. Cas. XV. (Rey) (3). Fille de 9 ans. L' artère pulmonaire, née du ventricule droit, est très d
ill.de diam.qui conduit. après un trajet d'environ 3 centim. dans l' artère pulmonaire. Celle-ci, quatre fois plus volumine
arnieà son origine de deux valvules sigmoïdes. Entre l'origine de l' artère pulmonaire et de l'aorte,onteouve une ouverture
Ventricule gauche petit. Orls. XVII. (Palois) (1). Enfant de ans. Artère pulmonaire beaucoup plus petite qu'à l'état norma
verture beaucoup plus petite, à lèvres calleuses, conduisant dans l' artère pulmo- naire qui présente seulement deux valvul
ses valvules et plus volumi- neuse qu'à l'état normal. En avant, l' artère pulmonaire pré- sente un calibre moitié moindre
- tercepte toute communication avec la cavité de ce ventricule. L' artère pulmonaire communique avec l'aorte par un orifi
d'une manière plus sensible que le côté droit et les pulsations des artères du bras gauche disparaître jusqu'au coude (4).
sont très épaissies et ont une teinte blanchâtre opales- cente. Artères de la base. Les vertébrales présententune grande
11 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n'a- vait pas été faite. A part quelques artérioles, telles que l' artère du nerf médian, de plus gros calibre et de diss
nches artérielles voi- sines, et si les troncs sont volumineux, une artère spé- ciale leur est destinée, ainsi que le médi
l'opinion que la circulation collatérale ne se fait que peu par les artères musculaires, mais qu'elle prend surtout la voie
end surtout la voie des vasa nervorum ? Chaque nerf pos- sède une artère propre, qui reçoit, de place en place, une séri
te importance des vasa nervorum, lors d'oblitéra- tion d'une grosse artère . Aussi de ces observations et - de son expérien
a circulation collatérale est assurée par une triple voie : par les artères musculaires, par les artères cuta- nées, par le
assurée par une triple voie : par les artères musculaires, par les artères cuta- nées, par les vasa nervorum. . D'autre
en appuyant d'exemples et de figures tout ce que nous décrivions. Artères des NERFS. - La circulation artérielle des nerf
s une artériole satellite, et l'on peut tout aussi bien décrire l' artère du musculo-cutané ou du saphène interne que cel
ue, on peut poser une double loi : 1° chaque tronc nerveux tire ses artères d'une origine constante; 2° elles ne lui vienne
figure I en dira plus, à elle seule, qu'une longue description. L' artère thyroïdienne inférieure se détache de la sous-c
s, la longue artériole, qui est devenue classique sous le nom d' artère du nerf mé- dian, se détache, d'ordi- naire,
on segment antibrachial; -, d'autres ramuscules lui viennent de l' artère ra- diale ; à la paume de la » ? ™ ? « ? ? r-
tcrecollnlér,lcinté- Iliaiti, u Ubb 1 ai-cauu pal- tere radiale. C, artère collatérale inté- ' * rieure. C\ artèrecubitalc
tinés aux nerfs. fournit un ramuscule as- hnes aux ncrfs. Fig. 3. Artères du nerf médian. ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUIN
e : sur le plexus lombaire, par exemple (Feg. 4), des rameaux des artères lombaires, de l'iléo-lombaire, de l'iliaque ext
rales. Ces faits anatomiques ont une double importance : Figez. - Artères du nerf crural. 1t, nerf crural. - 0, nerf obtu
Artères du nerf crural. 1t, nerf crural. - 0, nerf obturateur. - F, artère fémorale. - C, couturier. - L, L, artères lomba
- 0, nerf obturateur. - F, artère fémorale. - C, couturier. - L, L, artères lombaires. - II, artère hypogastrique. - K, artèr
, artère fémorale. - C, couturier. - L, L, artères lombaires. - II, artère hypogastrique. - K, artère iléo-lombaire. -- I, a
turier. - L, L, artères lombaires. - II, artère hypogastrique. - K, artère iléo-lombaire. -- I, artère circonflexe iliaque
mbaires. - II, artère hypogastrique. - K, artère iléo-lombaire. -- I, artère circonflexe iliaque.-h1, petite musculaire supé
ui règne encore sur lui; et dans les cas d'oblitération des grosses artères , après une ligature, par exemple, il serait for
ec la circulation artérielle des centres nerveux. On sait que les artères cérébrales se coudent et s'in- fléchissent à pl
rises. Lorsqu'un tronc nerveux reçoit ses arté- rioles d'une grosse artère dont il est satellite, les vaisseaux ne l'abord
à la suite 'des' oblitérations voulues ou accidentelles des grosses artères . ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES NERFS. 11
u système artériel sous-cutané ; 2° Chaque tronc nerveux reçoit ses artères d'ori- gines constantes, et il en résulte souve
athique au cou) ; 3° Un tronc nerveux ne reçoit jamais toutes ses artères d'un seul tronc artériel : la multiplicité des
se retrouvent pour les nerfs. a. Quand un tronc nerveux reçoit ses artères du tronc artériel satellite, ces vaisseaux ne l
nce oblique, ou après avoir décrit un trajet récurrent ; " b. Une artère ne plonge jamais d'emblée dans l'épaisseur d'un
ons décrits ; c. Les branchioles, nées de cette bifurcation des artères afférentes, rampent, à la surface du nerf, se p
ire, comme on le fait partout, que les veines suivent le trajet des artères . 16 U ANATOMIE. Nous étudierons successivemen
biaux postérieurs, et qui con- tournent le bord interne du tibia. L' artère grande anastomotique se prolonge derrière les t
ées, mais qu'on retrouve constam- ment, après injection, à côté des artères collatérales (fi ! }. 9). Au cou, la veine ju
dien est d'une richesse inouïe; bien rempli, il dessine autour de l' artère un lacis de mailles des plus élégants ; d'ordin
'ordinaire, un ramuscule longitudinal chemine de chaque côté de l' artère , et reçoit toute la série de ces branchioles tr
s la jugulaire interne. Nous retrou- verons, sur toutes les grosses artères , ce rete mirabile des vasa vasorum, dont l'étud
ndent, pour une part, les veines des nerfs satellites des grosses artères , de là d'étroites connexions sur lesquelles il
le bien jeter les yeux. sur la figure 11, qui représente le nerf, l' artère , et l'une des veines Fig. il. - Veines du nerf
'une des veines Fig. il. - Veines du nerf tibial postérieur. A, artère tibiale postérieure. B, B, nffiucul musculaires
e tibiale postérieure; ils passent au-devant d'elle, au-devant de l' artère , et ils vont rejoindre les rameaux veineux d'or
t aux veines des nerfs; il en est un second : les vasa vasorum de l' artère voi- sine. La circulation des parois artériel
rôle pathologique. Une bonne injection dessine, autour des grosses artères , de l'humérale, de la fémorale, des carotides,
es veinules, celles- ci surtout sont abondantes. Sur les côtés de l' artère , on voit, de place en place, se détacher de pet
o-musculaire nais- sant de la convergence de ces deux afflucnts. C, artère profonde et ses dcw veines, l'une reçoit la vei
une dépendance étroite entre la circulation du nerf et celle de l' artère elle-même. Mais ce réseau veineux péri-arté-
rne, dont il se détache au Pig. 13. - Réseau de vasa vasorum de l' artère numérale (au bras) rece- vant les veines d'un t
SEAUX SANGUINS DES NERFS. 29 niveau de l'anneau, pour s'accoler à l' artère . A la même hauteur, le nerf saphène interne sat
artère. A la même hauteur, le nerf saphène interne satellite de l' artère suit sa face externe, et les veinules qui eu pa
al de Hunier. ,\'1nerf saphène interne. M, muscle vaste interne. A, artère fémorale. Il, réseau des vasa vasorum de l'artè
vaste interne. A, artère fémorale. Il, réseau des vasa vasorum de l' artère . - V, V, veines du nerf se jetant dans Je réseau
ux, qui s'insinuent entre les cordons voisins, devant ou derrière l' artère , et plus loin, s'unissent à d'autres ramuscules
se veine voisine, soit au réseau des vasa vasorum qui entourent l' artère soit aux collatérales musculaires près de leur
tra-troncu- laire, des veines des nerfs est le même que celui des artères . L'étude qui vient d'être faite nous a révélé t
rer de nom- ' On peut admettre, d'autre part, que la dilatation des artères à chaque systole cardiaque exerce une action év
le pneumogastrique et le sympathique au cou reçoivent toutes leurs artères du système des thyroïdiennes : n'est-il pas lég
troites qui relient les vaisseaux des nerfs aux vasa vasorum de l' artère voisine : la nutrition des parois vasculaires et
(Centralbl. f. Nervenheilk . , 1890.) - L'obturation subite d'une artère cérébrale produit-elle, par suite des modificat
erveux qu'en ce qui a trait aux autres organes. Les altérations des artères et des méninges jouent le rôle principal dans l
précipita sur le malheureux et, le frappant au cou, lui trancha l' artère carotide. Ce gardien mort, le fou en appela un au
L'atrophie était assez avancée dans quelques cas, au point que les artères rétiniennes étaient filiformes. Dans les cas de
cide. Pas d'hallucinations de la vue ni de l'ouïe. Rien au coeur; artères souples. Antécédents personnels. - Réglée à qui
u'à la mort qui a lieu le 13 janvier. - Autopsie. Pas d'embolie des artères cérébrales ;, nulle cause orga- nique d'hémiplé
3 lentilles). M. I\hNZ. Examen anatomiques d'un cas d'embolie de l' artère cen- trale de larétine. -Il s'agit d'une dame â
e quelques altérations tenant à une myopie ancienne, la vacuité des artères , la pâleur de la papille, un très léger trouble
ation profonde et irrégulière de la papille ; derrière elle, dans l' artère centrale ou- verte existe un bouchon rond. Il p
tout la lumière du vaisseau, sans toutefois adhérer à ses parois. L' artère présente en arrière de l'embolus un rétrécis- s
hon, un thrombus hyalin allongé très délicat. De chaque côté de l' artère obturée et de la veine affaissée, le nerf optiq
choroïde laissant à nu la sclérotique, l'émergence irrégulière de l' artère centrale de la ré- tine, unnoevus, quelques tic
. Ce n'est pas non plus une aire vasculaire irriguée par une même artère , ainsi que l'avait autrefois supposé Briquet, pou
prolongements vont s'unir aux cellules de la tunique adventice des artères ou à des cellules de la névroglie accolées aux pa
XV. Hémorrhagie cérébrale CONSÉCUTIVE A UNE EMBOLIE hydatique des artères cérébrales; par DOEHNHARDT. (Neurol. CM<;'a/6
hydatiqueobli- térantl'artère cérébrale postérieure gauche, et les artères sylviennes du même côté sont, ainsi que la basi
ement moindre que celui des parties symétriques du côté opposé. Les artères de la base étaient athéromateuses, et la cérébr
droite, ainsi que ses branches, étaient infé- rieures en volume aux artères similaires du côté gauche. Par contraste, les m
ssocié. A droite, il y avait sim- plement contact avec le nerf et l' artère , et non continuité orga- nique comme à gauche.
érés par la quinine, par l : rlenmeyer, 112. Rétine, embolie de l' artère centrale de la par Manz, 251. Sensibilité, tr
12 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
fond de l'oeil. La papille optique est décolorée à chaque oeil. Les artères sont petites. Les veines sont au contraire assez
plus loin sous quel aspect se présentent les vaisseaux de calibre, artères et veines spinales ; l'engaînement embryonnaire e
go-vasculaire" qui présente ici son plus parfait développement. ' Artères et veines sont également atteintes, d'une façon g
ers points con- sidérés.Sur toutes nos coupes nous avons trouvé les artères remarquablement, envahiesparle processus infect
détail de ces lésions, nous consta- tons les faits suivants : ' L' artère spinale antérieure présente, dans tous les points
moins élevée, c'est-. à-dire au-dessous de la gomme droite,' celle artère est déjà très altérée : FiG. la. - Lésions hist
Lésions histologiques : A. Artère'et veine spinales antérieures : l' artère est envahie par l'infiltration embryon- naire e
inale voisine et la pie-mère sous-jacente ; la tunique moyenne de l' artère paraît en général respectée par l'infiltration nu
s en plusieurs zones concentriques. Au niveau même des tumeurs, l' artère spinale antérieure présente en- core les mêmes
s. - Dans les régions supérieures, situées au-dessus de la gomme, l' artère a retrouvé sa lumière ; mais on constate encore
encore des amas cellulaires d'inflammation périartéritique. 1 Les artères spinales postérieures, moins malades que la précé
ltérations manifestes : - Au-dessous de la tumeur, à un niveau où l' artère spinale antérieure est déjà oblitérée par l'endar
spinale antérieure est déjà oblitérée par l'endar- térite, les deux artères postérieures ne présentent qu'une légère infiltra
progressif des lésions : à la hauteur de la gomme droite, les deux artères sont totalement envahies, l'une d'elles, même, pr
ncereaux, de dehors en dedans. A la hauteur de la gomme gauche, les artères spinales posté- rieures sont à ce point rétréci
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE altérations parallèles à celles de l' artère spinale, sa voisine. Les parois, très épaissies
mêmes coupes, et dans le voisinage, la pie-mère et l'adventice de l' artère spinale antérieure soient encore remarquablemen
les sont pour ainsi dire généralisées à tous les ca- naux sanguins, artères et veines, et ne diffèrent pas des lésions que no
su de la substance grise ; on sait d'ailleurs que la thrombose de l' artère spinale antérieure a pour conséquence (Lan- cer
participation simultanée au processus des deux ordres de vaisseaux, artères , et veines; nous avons vu combien étaient prono
eines; nous avons vu combien étaient prononcées les altérations des artères de calibre, puisqu'elles aboutissaient à l'oblité
is tout l'axe cérébro-spi- nal. Le cerveau gauche est atrophié, les artères basilaires sont altérées. La moelle est rigide
ons de sclérose cérébrale uni et bilatérale, avec oblitération de l' artère basilaire dans une étendue de 13 millimètres po
s une étendue de 13 millimètres pour le premier cas, et lésions des artères de la base et des vertébrales dans Ie2e, accomp
fs crâniens. Les nerfs optiques étaient complètement dégénérés. Les artères cérébrales présentaient de l'endo- périartérite
r étendue. Les vaisseaux de la pie-mère et de la substance blanche, artères et veines, étaient altérés ; il y avait de la p
eines, étaient altérés ; il y avait de la phlébite oblitérante. Les artères médul- laires étaient moins envahies que les ar
litérante. Les artères médul- laires étaient moins envahies que les artères cérébrales. La substance grise était saine, sur
ois tout l'axe cérébro- spinal. Le cerveau gauche est atrophié, les artères basilaires sont altérées. La moelle est rigide
lus grands de la pie-mère, comme l'ar- tère spinale antérieure, les artères spinales postérieures et les veines y atte- nan
aux différentes hauteurs, c'est chose très manifeste surtout sur l' artère et la veine spinales antérieures. L'artère spin
anifeste surtout sur l'artère et la veine spinales antérieures. L' artère spinale antérieure présente au niveau de la régio
e les couleurs d'anyline. « Les vaisseaux plus gros des méninges, artères comme veines, sont moins altérés, et l'étendue
pas toujours à l'aspect massif des processus méningitiques. » « L' artère spinale antérieure est à certaines places normale
embrane élastique. L'aspect est le même sur les grosses et moyennes artères . Mais il est remarquable que fréquemment des va
ont restés totalement ou pres- que intacts. ' J'ai vu une foule d' artères dont la tunique adventice était malade sans qu'en
TAIRE 297 Les vaisseaux de la moelle proprement dite sont, pour les artères épen- dymaires, variables dans leur aspect mais
veines à parois très minces et à calibre régulier. Latéralement les artères spinales posté- rieures sont très variables dan
s d'autre part. Les vaisseaux. Examinons d'abord les gros troncs, l' artère et la veine spinales antérieures. Lorsque la lé
ont altérées de telle sorte qu'il est impossible de re- connaître l' artère de la veine; complètement infiltrées de noyaux el
s atteints. 4 Le contenu des vaisseaux est intéressant à noter. Les artères contiennent assez souvent du sang, les veines p
dégénérescence primitive. Car il faut remarquer que dans ce cas les artères sont absolument transformées, méconnaissables e
la nécrose par compression et surtout par lésions vasculaires. Les artères de l'épendyme, les vaisseaux spinaux antérieurs
es muscles voisins une gomme miliaire typique dans les parois d'une artère , tantôt un léger degré de lepto-méningite, tantôt
s irréguliers et suppor- tant de fins capillaires. - Vaissseaux : artères et veines spinales antérieures très distinctes, a
Vaissseaux : artères et veines spinales antérieures très distinctes, artères et veines des racines, vaisseaux de calibre moi
t irrégulier, déformé, si- nueux, encore perméable cependant. Les artères et les veines du système postéro-latéral sont le
du système postéro-latéral sont le siège d'altérations marquées ; l' artère contient du sang comme la veine; leur lumière est
ns forment des taches rosées caractéristiques. Les vaisseaux, les artères surtout, bien que les veines ne soient pas indem-
econnaître facilement au milieu du tissu fibreux qui les entoure, l' artère est aplatie, elle contient'du sang, les limites
nt creusées des veines distendues à parois épaisses, tandis que les artères restent peu développées. Moelle : Région ce
nt le même aspect que plus haut, ceux de la moelle proprement dite, artères épendymaires, sont le centre des tractus conjon
les gros vaisseaux spinaux antérieurs qui sont le plus atteints, l' artère très grosse, gorgée de sang montré des tuniques
bres, nous trouvons des lésions absolument t caractéristiques : une artère infiltrée dans sa tunique adventice présente dans
s le tissu conjonctif épaissi de la pie-mère. On ne peut distinguer l' artère de la veine, un des vaisseaux présente un épais
la moelle, manchons leucocytiques entourant les capil- laires, les artères épendymaires sont remplies par la prolifération e
Toute circulation est nettement interrompue dans ces vaisseaux. L' artère spinale antérieure est entièrement transformée en
su fibreux très serré dans lequel on distingue encore net- tement l' artère aplatie, vide. La veine par contre est transformé
la pie-mère qui est mince, mais contient beaucoup de noyaux. , L' artère spinale antérieure est absolument aplatie, la lum
onjonctives voisines se sont tassées en stratifications épaisses. L' artère et la veine spinales antérieures ont perdu leur s
rienne du septum médian antérieur on reconnaît très distinctement l' artère spinale antérieure et la veine, de nombreux noy
très ré- gulier. Vaisseaux à parois distinctes, minces, étroites, artère aplatie, veine spinale antérieure double, bien
eur est très large. Les vaisseaux sont très altérés. On reconnaît l' artère spinale antérieure aplatie, irrégulière, à lumi
re, si altéré dans ses parois qu'il est impossible de dire si c'est l' artère ou la veine, soit au niveau des racines où les
re si c'est l'artère ou la veine, soit au niveau des racines où les artères déformées, parois mons- trueuses, à calibre irr
toutes les parties que comportent les coupes sont saines excepté les artères dont les tuniques adventices surtout sont très
ù les processus semblent encore moins marqués, il n'y a guère que l' artère spi- nale antérieure qui montre ici une périart
u microscope, on trouve dans la ré- gion de la voûte vasculaire une artère centre d'un amas nucléaire considérable dont le
les rondes. Celles-ci du reste ne pénètrent pas dans les racines. Artère spinale antérieure déformée, circonférence irrégu
e l'endo- vascularite, les veines sont atteintes aussi bien que les artères . On peut considérer comme le premier stade pass
13 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
ire ; 2° l'apoplexie pulmonai: e ; 5° les obstructions sanguines de l' artère pulmonaire; 4° les infarctus du poumon ; 5° la ga
papille ; les veines du fond de l'œil sont très-volumineuses, et les artères relativement petites. L'examen des signes fonctio
ne, nous trouvons en al-lant de dedans en dehors : le nerf cubital, l' artère cubitale, le nerf médian, et, sur un plan plus su
e fibreuse, pâle : entre ses deux insertions aux métacarpiens passe l' artère radiale. Les autres, quoique considérablement atr
ment contre la phalange, Enfin, au ni-veau des angles de flexion, les artères et les nerfs collatéraux sont flexueux et injecté
rneux (sinus carotidien). « 7° Sur les rapports de la veine et de l' artère vertébrales ; comme la carotide dans le sinus cav
e l'artère vertébrales ; comme la carotide dans le sinus caverneux, l' artère vertébrale, dans son canal vertébral, est presque
x et les nerfs principaux ne semblent avoir subi aucune altération. L' artère tibiale antérieure et le nerf du même nom ont con
ple des plus remarquables d'anomalie des reins, des bas-sinets et des artères rénales. L'affection générale n'avait pas paru
UE DES HOPITAUX REIN UNIQUE colonne vertébrale, et recouvrant l' artère aorte et la veine cave in-férieure. De leur jon
q ou six sillons assez profonds. L'aorte fournit à chaque rein deux artères : Lune pénétrant dans le rein à 6 centimètres de
périence sur le ca-davre, et avoir éloigné l'idée d'un anévrysme de l' artère ophlhal-mique qui aurait amené une arnaurose par
ne et du sinus caverneux consiste soit en une simple perforation de l' artère , soit en une di-vision complète ou à peu près com
, le dia-gnostic ne peut hésiter qu'entre la dilatation cirsoïde de l' artère ophthalmique et l'anévrysme artério-veineux. Dans
t avoir méconnu la lé-sion et l'avoir confondue avec l'anévrysme de l' artère ophthalmique. Les principaux moyens cbirurgicaux
hille Dron. EXPLICATION DE LA PLANCHE XVII (p. 182) A. Aorte. AI. Artères iliaques primitives. VG. Veine cave inférieure.
liaques primitives. VG. Veine cave inférieure. U. Uretères. ar. Artères rénales. vr. Veines rénales. Sur l'extrémité
triques dans tous les tissus, dans les tendons, dans les os, dans les artères , aussi bien que dans les muscles et les nerfs, et
rps caverneux et spongieux sont coupés un peu en avant du bulbe ; les artères sont liées, et elles sont en grand nombre, car ou
ap.,février 1872.) F. Villard. BIBLIOGRAPHIE De la dénudation des artères , par le docteur Albert Délbarre, ancien interne d
p. 184) parle des inconvénients de la dénudation dans la ligature des artères . Son travail est divisé en plusieurs chapitres. I
é en plusieurs chapitres. Il étudie successiveineut la dénudation des artères dans les opérations, dans les cas de sup-puration
ablation de tumeurs du cou, de l'aine, de l'aisselle, etc., etc., les artères se trouvent souvent mises à nu ; on les voit très
espectant les tuniques. Enfin, si dans une partie de l'épaisseur de l' artère , les tuniques moyenne et externe ont été enlevées
prudent, à la suite de l'extirpation d'une tu-meur au voisinage d'une artère , de se tenir en garde contre la pos-sibilité d'un
chaque caustique lorsqu'il s'agira de l'appliquer au voisinage d'une artère . Un des caustiques qui agit le plus pro-fondément
cancer, les ca-vernes tuberculeuses sont une cause de dènudalion des artères , mais ces affections produisent rarement la perfo
ples une observation de M. Dolbeau1 qui constata une perforation de l' artère linguale à la suite d'un abcès sous-maxillaire. L
es faits de Leudet, Giraldès, Dionis, relatifs à des ulcérations de l' artère poplitée plongeant dans de vastes abcès du creux
du travail de M. Delbarre concerne la dénudation dans les ligatures d' artères . — Là, il ne s'agissait le plus souvent que d'une
ail, de montrer les conséquences de la dénudation sur la ligature des artères . Il cite des passages d'un mémoire de M. Notta, d
n résumé, lorqu'une ligature simple est appliquée sur le trajet d'une artère , plus cette artère aura été dénudée, plus ses deu
ligature simple est appliquée sur le trajet d'une artère, plus cette artère aura été dénudée, plus ses deux ex-trémités se ré
ures mé-diates, d'attente, par écrasement, etc.), forçant à dénuder l' artère dans une étendue plus considérable que dans la li
ATION PAR LE GALVANO-CAUSTIQUE ET l'ÉCRASEUR LINÉAIRE LIGATURE DE L' ARTÈRE TEMPORALE SUPERFICIELLE - ABSENCE d'ACCIDENTS C
e des vaisseaux carotidiens en bas, et plus haut, la bifurcation de l' artère carotide externe en maxil-laire interne et tempor
. Autopsie le 30 janvier. Tête. L'encéphale pèse 1 270 grammes. Les artères de la base sont à peine athéromateuses. L'hémisph
hère gauche. Lorsqu'on enlève les membranes en suivant le trajet de l' artère sylvienne, on découvre un foyer de ramollisse-men
à sa périphérie, la pie-mère est un peu injectée. La terminaison de l' artère carotide est légèrement opaque. L'artère sylvienn
njectée. La terminaison de l'artère carotide est légèrement opaque. L' artère sylvienne n'est pas athéromateuse; sur l'une de s
ôt athéromateux ne correspond à ce caillot. Les autres divisions de l' artère sylvienne sont libres. Cervelet, isthme (170 gr
s (Revue). VI. Maladies des vaisseaux de la rate : lu maladies de l' artère splé-nique : lésions traumatiques, spontanées (ul
t du doigt très-manifes-tement les inflexions et les dilatations de l' artère qui forme cette partie de la tumeur totale. Le
r des produits hématiques et qui se reproduisent très-rapidement. Les artères qui se rendent dans le tissu morbide et qui l'ali
la terminaison de l'hélix et de l'anlhélix, point où l'on trouve une artère volumineuse qui seule entretient les battements e
r ce procédé rejoindre la carotide interne et suivre do là toutes les artères qui arrivent dans le pavillon de l'oreille, ou da
st également rétractée et rem-placée par un cordon fibrineux dur. L' artère temporale est volumineuse à son origine, mais sa
conduit auditif externe et se termine dans l'origine de l'hélix. L' artère auriculaire postérieure, au moins quadruplée de v
st en rapport avec la richesse muscu-laire de la tunique moyenne. L' artère prise au même point sur un sujet sain offrait aus
e gonflent, puis, pendant tout le temps que dure l'électrisation, les artères sont plus grandes et plus apparentes, et les vein
veines. Quelques minutes après l'électrisation, on trouve encore les artères plus pleines et pur conséquent une circulation pl
surtout de jeunes cellules se colorant facile-ment par le carmin. — L' artère et la veine rénales, ainsi que leurs principales
t aux membres inférieurs. La veine iliaque gauche passe en avant de l' artère correspondante, la droite passe en arrière. Le
bord supérieur du bassin en deux iliaques qui fournissent chacune une artère om-bilicale. Les deux artères ombilicales se réun
eux iliaques qui fournissent chacune une artère om-bilicale. Les deux artères ombilicales se réunissent à angle aigu au niveau
sent à angle aigu au niveau de l'ombilic, de sorte qu'il n'y a qu'une artère dans le cordon. Les deux testicules, longs de-2
t à l'anneau inguinal interne ; l'épididyme en est un peu séparé. Les artères spermatiques naissent de l'aorte, immédiatement a
rtères spermatiques naissent de l'aorte, immédiatement au-dessous des artères rénales. De chaque côté, le gubernaculum testis s
es parties profon-des du tissu utérin. M. Huguier, qui a disséqué ces artères profondes, leur a trouvé jusqu'à 1 millimètre 1/2
petits vaisseaux à tunique musculaire; 2° la contraction des petites artères fait aug-menter la pression artérielle dans les g
tion a pour effet de faire baisser momentanément la pression dans les artères . Reste la quatrième partie, l'emploi de l'ergot
4. Anévbysme cirsoïde de l'oreille gau-che, etc., par Coyne, 522. Artère temporale superficielle; liga-ture, 213. — rénale
sur le molluscum pen-dulum, par Malassez, 240. — De la dénudation des artères , par A. Delbarre (Anal. G. Bouteillier), 272. — P
humaine (De la), par Loomans, (An. Teinturier), 312. Ligature de l' artère temporale superfi-cielle, 263. Liouville (II.),
ructure du), par Muron, 517. Anomalie des reins, des bassinets, des artères rénales, etc., par II. Lion-ville, 182. Reuquet,
14 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
rive du premier coup jusque sur l'os. Il faut avoir soin d'explorer l' artère axillaire, c'est le seul reproche qu'on puisse fa
il est dans le voisinage des gros vaisseaux. Il faut donc explo¬rer l' artère axillaire pour voir si elle n'a pas subi de dévia
elques cas où il y a de la suppuration dans le creux de l'aisselle, l' artère peyt avoir été entraînée à la partie inférieure.
raînée à la partie inférieure. Ici il n'y a rien ; j'ai exploré celte artère ; elle est à sa place ; nous l'aurons à la partie
r dans la plaie, il ne faut pas de pointe qui fasse des blessures à l' artère ; avec le tranchant, le doigt conduisant, on cir¬
os vaisseaux. J'ai toujours fait cette opération sans en lier, même l' artère circon¬flexe, qu'on ménage toujours. En effet, el
icule droit, et quelques petits points athéroma-teux à l'origine de l' artère pulmonaire. A l'ouverture de la poitrine, on ap
canal qui la porte, on arrive à la bronche gauche de bifurcation de l' artère pulmonaire. Enfin, la partie inférieure restant
ecouvré connaissance. L'autopsie montre les lésions suivantes : les artères des ménin¬ges et du cerveau sont un peu athéromat
toute la portion de ma¬xillaire comprise entre ces deux points. Les artères coupées pendant l'opération ayant été liées, un f
e la plaie, excepté seulement au niveau des fils de la langue et de l' artère faciale. 12 octobre. On enlève les dernières ép
savoir : A. Les battements du cœur, du pouls, des fontanelles, des artères les plus délicates ; B. La respiration, la toux
la circulation. Pour obtenir les battements du cœur, du pouls, des artères ou le tremblement fibrillaire des muscles, on app
mé et trans¬formé en hauteur. Ce tube de verre constitue en outre une artère transparente où les mouvements du sang ou de l'or
re pour disposer l'appareil convenablement et pour savoir comprimer l' artère au point où elle donne toute l'ampleur de son dév
on du long abducteur du pouce. G Nerf cubital. H Nerf médian. I Artère cubitale. 3 Artère radiale. M Game interne ou
du pouce. G Nerf cubital. H Nerf médian. I Artère cubitale. 3 Artère radiale. M Game interne ou des fléchisseurs.
veau du ten¬don d'Achille. Le pied étant refroidi, les battements des artères furent recherchés : ceux de la tibiale postérieur
rprété diversement. On peut penser à une coagulation du sang dans les artères , par l'action directe du feu, ou bien on peut cro
n apparence, que le cœur communique au sang, lequel vient remplir les artères en dilatant leurs parois qui produi¬sent un choc
ste surtout dans le jeune âge et dans le plus avancé, du moins pour l' artère radiale ; il est d'autres artères comme la caroti
dans le plus avancé, du moins pour l'artère radiale ; il est d'autres artères comme la carotide primitive, où la bifidité est h
ut, et, en particulier, des tracés cardiaques. Et d'abord, pour les artères , un élément de plus est à considérer, c'est Yélas
e. (Diastole.\ )Quand la tension du cœur est forte j ou celle des artères faible. (Quand la tension du cœur est faible 1° P
. (Quand la tension du cœur est faible 1° Période / ' •{ 01 celle des artères forte, d'ascension. 1 ç;0M„/^ (Quand l'impulsio
- Suivant la tension plus ou moins gran-uée. . . .( de du cœur et des artères . [Présentant une éminence produite par le choc
en retour du mercure. 2° Si l'on presse un peu trop les parois de l' artère avec l'ampoule, on peut bien augmenter la hauteur
M. Marey, mais ci la diminution de ta tension du cœur, la tension des artères prenant alors le dessus. Entre ces deux système
ceptions. Voici l'énoncé des pressions dynamométriques exercées sur l' artère radiale, par la systole du cœur. 1 an..........
état normal. Chacune d'elles émane d'une source différente ; pour les artères ce sont les nervivasorum, fournis par le grand
er est sur le point de se confondre avec elle. XII. Les différentes artères et ledrs pulsations. Les fontanel¬les. — Quoique
ifférentes artères et ledrs pulsations. Les fontanel¬les. — Quoique l' artère radiale soit par sa position l'une des plus facil
ne, il ne sera pas sans intérêt de jeter un coup d'œil sur les autres artères et leurs battements, en particulier sur : L'art
sur les autres artères et leurs battements, en particulier sur : L' artère carotide primitive où l'on voit bien nettement le
l'on voit bien nettement le dichro-tisme du sommet de la systole; L' artère sous-clavière avec la dépression causée par l'act
ous-clavière avec la dépression causée par l'acte respi¬ratoire ; L' artère temporale; l'artère collatérale du petit doigt;
dépression causée par l'acte respi¬ratoire ; L'artère temporale; l' artère collatérale du petit doigt; La fontanelle antér
irculation des fontanelles, circulation toute différente de celle des artères , puisque l'impulsion de ces veines est due au sou
tion tout particulier, intermé¬diaire entre la circulation active des artères , et la circulation pas¬sive des veines, qui ne dé
njugués, c'est l'évaluation du temps que le sang met à par¬courir les artères du corps humain. Pour résoudre ce problème, nou
L'une des ampoules appuyait sur le cœur, l'autre était placée sur l' artère radiale droite ; or, entre le sommet de la pulsat
u pouls est importante pour le diagnostic des anévrysmes des gros¬ses artères ; car, ainsi que l'a constaté expérimentalement l
l'on observe un ralentissement immédiat de la circulation dans cette artère , ralentissement qui, dans ce cas, peut devenir un
e voilure, qui a produit une plaie fortement contuse du pied droit. L' artère pédieuse et la plantaire externe sont écrasées, e
15 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
he des saillies osseuses, des bords musculaires, des ten- dons, des artères . Connaissant ces éléments sains, il les reconnaît
ilatérale et symétrique, dé- truisant une partie du territoire de l' artère cérébrale antérieure, notam- ment la face inter
inflammatoires est en rapport étroit avec celui de distribution des artères centrales ou des artères radiculaires antérieures
port étroit avec celui de distribution des artères centrales ou des artères radiculaires antérieures à l'intérieur de la mo
transversales du pont. \ remarquer ici, pour les vaisseaux, que les artères an voisinage et au sein du foyer, présentent de
prend en outre difficile- ment qu'une hémorragie due à la rupture d' artères de petit calibre, comme celle de la bandelette
lle peut être due à l'oblitération d'un tronc vasculaire unique : l' artère cérébrale postérieure. On sait en effet que cet
ique : l'artère cérébrale postérieure. On sait en effet que cette artère dans sa première portion directe ou ascendante-
cérébral, et surtout à la partie antérieure et interne de celui-ci ( artère de l'oculo-moteur commun, artères pédonculaires i
antérieure et interne de celui-ci (artère de l'oculo-moteur commun, artères pédonculaires inter- nes). Au delà du point d'a
. Au delà du point d'anastomose avec la communicante postérieure, l' artère cérébrale postérieure donne des artères collatéra
communicante postérieure, l'artère cérébrale postérieure donne des artères collatérales et terminales qui se rendent entr'
ation sera donc aussi interrompue dans les branches terminales de l' artère cérébrale postérieure et on aura dans ces condi
u même côté siégeant dans le domaine des branches termi- nales de l' artère cérébrale postérieure (un foyer à l'extrémité de
l'affec- tion. A l'autopsie, purement macroscopique, on constate : artère cérébrale postérieure oblitérée, pédoncule peti
ssi, comme la paralysie alterne supérieure, à l'oblité- ration de l' artère cérébrale postérieure. Pour lui, le complexus sym
ure plus hémianopsie - est caracté- ristique de l'oblitération de l' artère cérébrale postérieure. Une observation clinique
localiser le point précis où doit s'être produit la thrombose de l' artère cérébrale postérieure droite. A cause de l'amél
uivent l'ictus, l'auteur rejette l'hy- pothèse d'une thrombose de l' artère cérébrale postérieure sur la plus grande partie
tait très vraisemblablement sous la dépendance d'une affection de l' artère cérébrale postérieure, n'est pas soutenable, selo
utenable, selon d'Astros. En effet, pour cet auteur, la plupart des artères de la bande- lette optique proviennent non pas
donculaire ne correspond pas au district d'irrigation de toutes les artères collatérales de la cérébrale postérieure se renda
(4) sur la circulation du pédoncule, nous ont montré que parmi les artères collatérales issues de la première portion de l
eure, celles qui se rendent aux parties antéro-internes de celui-ci( artère de l'oculo-moteur commun, ar- tères pédonculair
e l'oculo-moteur commun, ar- tères pédonculaires internes) sont des artères terminales, tenant sous leur- dépendance presqu
circulation dans une collatérale issue de la cérébrale postérieure ( artère des corps genouillés qui vient de la partie réf
ion d'origine spécifique de certaines collatéra- les de différentes artères (cérébralepostérieure, communicante postérieure,
oses plus ou moins nettement cir- conscrites, dans les domaines des artères embolisées. Le siège de prédi- lection des nécr
cordons postérieurs et puis les cordons latéraux. Il paraît que les artères nourricières (Van Ge- huchten) des cordons post
es (Van Ge- huchten) des cordons postérotatéraux que Colmheim nomme artères termi- nales (parce qu'elles ne s'anastomosent
sent plus facilement ou du moins plus souvent que les branches de l' artère spinale an- térieure, que Kadji nomme artères c
que les branches de l'artère spinale an- térieure, que Kadji nomme artères centrales et Adamkiewicz artères du (1) Revue d
nale an- térieure, que Kadji nomme artères centrales et Adamkiewicz artères du (1) Revue de Médecine, 1907. - Au Congrès pa
TffoLOGIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 211 sillon. On sait bien que les artères des cordons postéro-tatéraux qui nais- sent du
néiforme, à base méningée répondant exactement à la topographie des artères . Voici les résultats de l'examen histologique :
urs de la région cervicale on voit des nécroses dans le domaine des artères postérolalérales. Le champ ventral (zone cornic
aute aux yeux qu'une embolie gazeuse des branches nourricières de l' artère spi- nale antérieure nourrissait les territoire
ATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 279 de pie-mère, dans lequel sont abritées artère et veine; à un stade plus avancé le vaisseau es
aux étaient également touchés par l'infection syphilitique et que l' artère de la F. S. était englobée dans le néoplasme.
e du bras, au niveau de la section osseuse, du nerf médian et d'une artère , petite, accolée à lui ; injection faite avec len
n faite avec lenteur d'une masse de suif coloré en rouge, par cette artère ; l'avant-bras et le bour- geon représentant la
sse. Sur le bord interne de ce muscle cheminent le nerf mé- dian, l' artère humérale et les veines satellites. L'artère et le
ent le nerf mé- dian, l'artère humérale et les veines satellites. L' artère et les veines passent, au niveau de la partie m
quée ; de ce réseau émerge seulement la veine basilique du bras. L' artère fin- mérale ne passe pas à la face profonde de
tendon du brachial antérieur, et sur l'angle interne du cubitus. L' artère radiale qui est d'abord très superfi- cielle, a
euxième radial externe ; d, Faisceau profond du rond pronateur ; e, Artère radiale ; ? Tendon du long supinateur ; g, Tend
supinateur ; g, Tendon du brachial antérieur ; h, Nerf médian ; i, Artère radiale ; j, Artère cubitale ; k, Rond pronateu
endon du brachial antérieur ; h, Nerf médian ; i, Artère radiale ; j, Artère cubitale ; k, Rond pronateur ; l, Formation mus
anormale; m, Portion ten- dineuse du rond pronateur perforée par l' artère radiale ; n, Expansion tendineuse de l, s'uniss
e être l'interosseuse antérieure. Fig. 3. a, Biceps brachial ; b, Artère radiale sectionnée ; c, Rond pronateur ; d, Tendo
rf médian et ses divisions ; g, Tendon du bra- chial antérieur ; h, Artère cubitale ; i, Court supinateur ; j, Muscle anorma
parpillent en faisceaux ténus ; leurs troncs cessent d'exister. L' artère humérale,au pli du coude, donne en dehors une bra
se perd dans l'anconé près de son insertion épicondylienne ; cette artère a un trajet descendant dans son ensem- ble. Peu
jet descendant dans son ensem- ble. Peu après; l'humérale donne une artère radiale qui est très superficielle d'emblée jus
uscles superficiels et profonds de la région interne, puis les deux artères interosseuses, toutes deux grêles ; l'interosse
le tissu fibreux dense de la région ; entre ces deux tendons passe l' artère radiale. Sur la face postérieure de l'avant-bra
ertions inférieures avec celles des muscles de la région externe. L' artère humérale se divise, au niveau du pli du coude, en
y aboutissant. Plexus brachial et ses branches terminales grêles. L' artère au contraire avait le même volume des deux côté
près un court trajet. La cubitale à partir de ce point, constitue l' artère unique ; elle se bifurque au poignet et donne d
rameau externe de la branche externe. Membre supérieur droit.- Les artères de l'avant-bras arrivent jusqu'au poi- gnet, av
et nerfs satellites ordinaires. Les veines répondent au trajet des artères . Membres inférieurs. - Arrivée au creux poplité
e et inférieure de ces moignons. Les veines fémorales répondent aux artères ; il n'y a pas de veine saphène et, d'une façon
eux de la partie inférieure du biceps. 316 KLIPPEL ET BOUCUET L' artère sous-clavière était plus petite que dans l'état o
- seur de la sous-clavière droite. Les six branches que donne cette artère avant son passage par l'écartement des scalènes
ulaire de l'omo- plate, en parcourant à peu près le même trajet des artères sous-scapulaires, et la cinquième enfin, qui pa
donnait quelques rameaux qui accompagnaient les distributions de l' artère . Le plexus brachial, quoique plus petit que cel
changé dans les dispo- sitions normales jusqu'au pli du coude. L' artère humérale, un peu grêle, se bifurque et donne deux
e bifurque et donne deux petits rameaux très fins correspondant aux artères radiale et cubitale et allant se perdre dans le
pement. Du côté du membre supérieur droit, le bras est nor- mal ; l' artère numérale, après avoir fourni l'humérale profonde,
s n'avons pas remarqué d'anomalie. Il n'y en a ordinairement pas. Artères . L'humérale, à sa bifurcation, est petite et prés
rnu mal diffé- rencié, longé à sa partie externe par le médian et l' artère humérale que bordent en dehors les faisceaux te
ent ; le grand pal- maire et le cubital antérieur sont normaux. L' artère du nerf médian a un volume considérable. De l'é
uentes dans le cervelet et l'angle que les vaisseaux forment avec l' artère basilaire rend difficile leur embolie.» Cependant
L'absence du coraco-brachial a été signalée par Barkow. Cependant l' artère humérale n'est pas signalée par les auteurs comme
rès superficielle et se perd à la hau- teur de la styloïde ; mais l' artère radiale passe entre les deux insertions différe
ant quelque cinquante ans auparavant, son livre sur la ligature des artères avait joui d'un grand renom, en France aussi bi
us destiné à la nutrition de la glande hypertrophiée. Deux ou trois artères qui donnaient une grande abondance de sang ont ét
x dépens de la face inférieure du pé- dicule. Après la ligature des artères divisées, les lambeaux ont été rappro- chés et
tance du lobe pariélo-occiplial droit, due à l'oblitération de deux artères , et de celui de Marcel Labhé (2) qui trouva une
16 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
omprenant la couche optique et le corps strié. (1) Voir Système des artères corticales, loco citato, page 7. a. Couche opti
millimètres d'épaisseur et de 7 centimètres environ de longueur. Une artère contourne cette grande commissure et distribue se
c à la région pos-térieure, les pyramides postérieures (19). a. — L' artère cérébrale antérieure, branche de la carotide inte
troisième se distribue au lobule quadrilatère (prsecuneus). b. — L' artère vertébrale constitue, avec sa congénère du côté o
— L'artère vertébrale constitue, avec sa congénère du côté opposé, l' artère basilaire (?) qui se divise, au niveau du bord su
u niveau du bord supérieur de la protubérance, en deux branches : les artères cérébrales postérieures. d. — Branche de l'artè
x branches : les artères cérébrales postérieures. d. — Branche de l' artère cérébrale postérieure. — L'artère cérébrale posté
s postérieures. d. — Branche de l'artère cérébrale postérieure. — L' artère cérébrale postérieure se partage en trois artères
ale postérieure. — L'artère cérébrale postérieure se partage en trois artères : la première se rend à la circonvolution du croc
conservant la forme d'une bandelette circulaire. 13. — Section des artères lenticulo-striées. 14. — La substance grise du
est réduite au segment externe du noyau lenticulaire, le putamen. Les artères lenticulo-striées s'étalent en éventail dans l'ép
noyau lenticulaire, où elles se divisent en ramuscules terminaux. Ces artères sont fournies par l'artère sylvienne, branche de
se divisent en ramuscules terminaux. Ces artères sont fournies par l' artère sylvienne, branche de la carotide interne, et pén
et la veine de Galien, formée par les deux veines du corps strié. L' artère choroïdienne, quatrième branche de la carotide in
rveuses présentant un grand nombre de petits trous que traversent les artères lenticulo-striées et lenticulo-optiques. La coupe
es. Il occupe la cavité de la scissure olfactive. 2. — Section de l' artère carotide interne au niveau du trou optique, avant
eau du trou optique, avant sa ter-minaison en quatre branches : (3) L' artère cérébrale antérieure, unie à celle du côté opposé
ieure, unie à celle du côté opposé par la communicante antérieure ; l' artère cérébrale moyenne ou sylvienne qui s'engage dans
lvius et va se ramifier sur la face convexe de l'hémi-sphère ; (10) l' artère communicante postérieure ; enfin l'artère choroïd
e de l'hémi-sphère ; (10) l'artère communicante postérieure ; enfin l' artère choroïdienne qui se porte dans les plexus choroïd
par les lobes cérébelleux, se prolonge vers le bas ; d'un côté est l' artère vertébrale droite, de l'autre est le nerf spinal.
la moelle vers la portion inférieure de la région cervicale. 18. — Artère vertébrale du côté droit. 19. — Nerf spinal du
r sont les fibres radiculaires des nerfs moteurs oculaires communs. L' artère basilaire, résultant delà réunion des deux artère
culaires communs. L'artère basilaire, résultant delà réunion des deux artères vertébrales, gagne sa face antérieure; sur les cô
x artères vertébrales, gagne sa face antérieure; sur les côtés sont l' artère cérébelleuse inférieure et antérieure, caractéris
ncs nerveux sont en rapport avec la série d'artérioles fournies par l' artère cérébrale antérieure, qui irrigue la tête du corp
le antérieure, qui irrigue la tête du corps strié, et celle qu'émet l' artère sylvienne, que l'on aperçoit dans la scissure de
17 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
Genève à l'Université de Zurich. La plupart des cas d'anévrysme des artères de la base du cerveau n'ont point d'histoire cl
l'anévrysme (1). C'est pourquoi, bien que les cas d'anévrysmes des artères cérébralessoientrelati- vement assez fréquents
s membres se font aussi bien à droite qu'à gauche et anévrysme de l' artère vertébrale GAUCHE 3 la force musculaire est par
4,p. 418) de diagnostiqueur pendant la vie un anévrysme de la base ( artère vertébrale gauche), chez un homme de 61 ans, qu
voûte du crâne ; la dure-mère n'offre rien de particulier. Toutes les artères intra-crâniennes sont fortement athéromateuses.
très marqué; les vaisseaux sont remplis de sang noir, liquide. Les artères tortueuses, béantes et 6 P. LADAME ET C. MONAKO
uve un anévrysme de la grosseur d'un oeuf de pigeon qui siège sur l' artère vertébrale gauche à l'endroit où elle se jette
sables. Par une anoma- lie de la distribution artérielle, on voit l' artère cérébelleuse moyenne, qui naît habituellement d
er de l'extrémité antérieure de ce tronc, à droite et à gauche de l' artère cérébelleuse supé- rieure. La cérébelleuse moye
mesure 6 centimètres depuis l'origine de l'anévrysme au sommet de l' artère vertébrale jusqu'à sa terminaison dans la basilai
le jusqu'à sa terminaison dans la basilaire. Fig. 1. Anévrysme de l' artère vertébrale gauche. ANÉVRYSME DE L'ARTÈRE VERTÉB
AUCHE 7 Le sillon bulbo-protubérantiel n'est pas effacé à gauche. Artères de la base. - L'artère basilaire est très forteme
o-protubérantiel n'est pas effacé à gauche. Artères de la base. - L' artère basilaire est très fortement dilatée et sort gr
névrysme. A l'endroit où elle se divise pour donner nais- sance aux artères cérébrales postérieures on remarque à gauche une
une forte dila- tation cylindrique de toutes les branches de cette artère qui vont en serpen- tant jusqu'aux extrémités d
t aussi très largement dilatée ; de même la carotide interne avec l' artère sylvienne et la cérébrale antérieure ; cette de
ère est encore plus tortueuse que la pos- térieure. A droite, les artères sont aussi dilatées, mais à un moindre degré qu'à
rmaux. Hémisphères cérébraux. Malgré la sclérose si généralisée des artères les hémisphères cérébraux ne présentaient aucun
du côté interne. Dans les noyaux internes des couches optiques les artères sont dilatées et les capillaires gorgés de sang
sent normaux. Le faisceau Bath de Forel est diminué à droite. Les artères des parties postérieures du thalamus sont dilatée
sclé- rosée ; les vaisseaux sanguins sont variqueux. Du même côté l' artère choroïde est extrêmement dilatée, ses parois so
ons anatomo- pathologiques. Les cas bien observés d'anévrysmes de l' artère vertébrale de grande dimension sont assez rares
e de l'affection. On ne pensa pas à l'existence d'un anévrysme de l' artère vertébrale ; or, à l'autopsie, on fit la découv
rouvait l'anévrysme, gros comme un oeuf de pigeon, au som- met de l' artère vertébrale, profondément encaissé dans le pont de
le acoustique. La pathogénie de la formation de ces anévrysmes de l' artère vertébrale est loin d'être encore suffisamment
ie ANÉVRYSME DE L'ARTÈRE VERTÉBRALE GAUCHE 17 de l'anévrysme de l' artère vertébrale peut être absolument semblable à cel
ù la circulation était fortement entravée dans tout le domaine de l' artère vertébrale gauche. La lésion n'était toutefois pa
moelle allongée par une thrombose consécutive à l'obstruction de l' artère vertébrale. Cette dernière était di- latée, fus
nq millimètres ; c'était donc aussi une dilatation anévrysmale de l' artère vertébrale. Toute la moi- tié inférieure droite
4, p. 351. 20 P. MADAME ET C. MONAKOW dilatation anévrysmale de l' artère vertébrale s'étendait aussi en partie à la basi
rtie à la basilaire, à la communicante gauche, à la carotide et à l' artère de la fosse de Sylvius du même côté. Ce qu'il
a pas de lésions tuberculeuses. Le coenr a son volume normal ; les artères coronaires sont très athéromateu- ses, légèreme
uls ; sa muqueuse est normale. Le pancréas est un peu scléreux, l' artère spléuique est très sclérosée. La rate de volume
clérose des cordons postérieurs . Thrombus fibroides oblitérant les artères poplitée et tibiale postérieure . Examen du s
9 juin. Autopsie. - Rien à noter dans les grands viscères. Les artères tibiale postérieure et poplite du côté gauche son
t volumineuse ; elle repousse pn avant les muscles sus-jacents et l' artère fémorale bat très superficiellement sous la peau.
n remarquable de l'appétit. L'appareil respiratoire est sain. Les artères sont dures, volumineuses. L'aorte est dilatée et
de calibre exagéré, aux parois d'une dureté remarquable. Toutes les artères de la base, et des circonvolutions sont énormes
ntendre aucun souffle. Il n'existe aucune vibration anor- male. Les artères du membre ne paraissent avoir subi aucune modific
tion puisqu'on perçoit le pouls'avec ses caractères habituels sur l' artère axillaire, l'artère humérale, sur la radiale. L
it le pouls'avec ses caractères habituels sur l'artère axillaire, l' artère humérale, sur la radiale. La pression artérielle
auche est 'il peu près' normal (PI. XVII, C). .Enfin l'examen des artères cérébrales montre deux foyers d'artérite nodula
tre deux foyers d'artérite nodulaire, situés symétriquement sur les artères cérébrales postérieures, entre la bifurcation d
furcation dû tronc' basilaire et la communicante postérieure. Sur l' artère du côté droit, il s'agit d'artérite oblitérante t
DOUBLE SYNDROME DE WÉBER SUIVI D'AUTOPSIE 175 localisés aux deux artères cérébrales postérieures, en un point très- limité
. Or c'est précisément de ce point que naissent un certain nombre d' artères du pédoncule. Celles-ci se trouvant comprises d
tam- ment le coeur et les-poumons ne présentent rien d'anormal. Les artères ? sont souples, le pouls est un peu petit, mais r
ée. Le sens stéréognostique est perdu du côté gauche. Pouls : 82, artères dures. Etat psychique, l'intelligence et la mém
s directement par le coup. Mais cette influence est réelle pour les artères centrales, leurs parois sont beaucoup plus minc
au. Au même mo- ment, il se fait une hémorrbagie assez abondante, l' artère , qui parait être une branche de la méningite mo
é. La respiration est un peu rude, bronchitique. Rien au coeur, les artères sont un peu athéromateuses. Les urines n'ont
enig). Fig. 6. - Obs. VII (Kroenig). 272 JEAN ABADIE che, bat l' artère hypogastrique. La palpation de la colonne lombair
leur intégrité. Les grands organes splanchniques sont sains. Les artères sont cependant un peu athéromateuses. Pas de
niveau de l'écorce cérébrale, de l'encéphale ou de la moelle. Les artères de l'encéphale ne sont ni épaisses ni athéromateu
ondants élargis. La pie-mère est épaissie au niveau de la base; les artères de la base et de la scissure de Sylvius sont asse
portante. C'est l'hémor- rhagie et l'hématome dus à une lésion de l' artère méningée moyenne. Cette artère est très exposée
et l'hématome dus à une lésion de l'artère méningée moyenne. Cette artère est très exposée aux chocs : elle est relativemen
a région fronto-temporale. En tout cas il résulte de la lésion de l' artère méningée moyenne ou de ses branches une collect
e lucidité peut être considéré comme un signe de l'hémorrhagie de l' artère méningée moyenne ou d'une de ses branches. Cet
oint de vue de l'intervention, il est un autre signe de lésion de l' artère méningée moyenne que Schloffer dit n'être pas rar
it n'être pas rare : c'est la dilatation de la pupille du côté de l' artère blessée. D'après Schlôffer, Wiesmann l'avait tr
ou une dépression en nappe du bloc de paraffine. La proximité de l' artère méningée moyenne de la paroi peut donc explique
New-York, entreprises dans le but de dé- terminer la résistance des artères de la dure-mère, n'ont pas donné de résultat po
a- tion gagne les parties profondes et rencontre les vaisseaux. Les artères cen- trales sont moins pourvues de fibres muscu
les carotides auraient portées et la tête sont interceptées par les artères de la bouche et du ne ? Louis Ferrant, profes
des masses irrégulières, qui masquent au doigt les battements de l' artère ; à droite la palpation reconnaît, sur la ligne
facilement des secousses, muscles sur les masses de l'avant-bras. Artères dures. Réflexes tendineux, patellaire exagéré à
ligature de l'aorte abdominale, des oblitérations pathologiques des artères cérébrales, des injections de pou- dres inertes
m'ont décelé l'existence d'aucun FIG. 1. Section longitudinale de l' artère sulco-commissurale provenant d'un cas de méning
t l'infiltration considérable de la pie-mère et de ses vaisseaux. L' artère du sillon an- térieur est moins touchée. Les ce
ui- vant le trajet des artérioles radiculaires postérieures et de l' artère du sillon antérieur. celui-ci se colorant d'une
a forme de myélite aiguë. Ainsi la pénétration des microbes par les artères de la moelle donne surtout naissance à des poli
ive dans la paralysie infantile, se cantonnent dans le domaine de l' artère sulco-commissurale. A ce point de vue je suis tou
e de la localisation des microbes dans le* domaine des branches des artères spinales antérieures, l'altération ne s'é- tend
E et G. GUILLA1 ? (2 pl, en photocollogr.), 169. Anévrysme de l' artère vertébrale gauche suivi d'autopsie, par LADAME
5. LA DAME et VoN Monakow. Anévrysme de TABLE DES AUTEURS 683 l' artère vertébrale gauche suivi d'autop- sie (1 photoco
6 photograv.), 411. Monakow (VON) et C. Ladame. Anévrysme de l' artère vertébrale gauche suivi d'au- topsie (9 photogr
on de dégénérescence (ABADIE et DENOYÉS), LX111. Anévrysme de l' artère vertébrale (P. LADA- ME et C. VOX Monakow), I,
18 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
menclature qu'il adopte, très justifiable cette fois, deux ordres d' artères de la moelle épinière : les ver- téhro-spinales
tre ces deux ordres de vaisseaux. 1°. Vertébro-spinales. a) Les artères vertébro-spinales antérieures naissent des ver-
V, p. 357. Archives, t. V. C 82 revue d'anatomie. sont : 1° Les artères du sillon (art. M/cz), c'est-à-dire nos artères
ie. sont : 1° Les artères du sillon (art. M/cz), c'est-à-dire nos artères médianes antérieures (Voy. in Arch. de Phys. 1874
1874, le dessin si démonstratif que nous en avons donné). 2° Les artères des racines (art. 2adiriîtw.) Ce sont nos artères
ns donné). 2° Les artères des racines (art. 2adiriîtw.) Ce sont nos artères radiculaires antérieures ; mais l'auteur, cette
deux racines pour s'anastomoser avec une branche voisine venue de l' artère radiculaire de la vertébrale postérieure corres
re correspondante (anas- tomose M : <e ? 'ra6cM/6[H'e). b) Les artères vertébro-spinales postérieures sont au nombre d
icale, elles passent entre deux racines pour s'anastomoser avec les artères spinales. Les branches principales sont : 1 les
avec les artères spinales. Les branches principales sont : 1 les Artères pénétrantes (A ? '<e ? ec pénétrantes). Ce son
rieurs, et qui s'anastomosent avec des rameaux correspondants des artères spinales. Ce sont les anastomoses postérieures
ales à celles du côté opposé [Anastomoses transversales). C'est des artères pénétrantes et de leurs anastomoses verti- cale
de leurs anastomoses verti- cales et horizontales que naissent les artères des racines (a2-tei ? x radiante ; et radicum p
rum) et enfin les branches des anastomoses inter-radiculaires. 2° Artères spinales. Elles reproduisent le type des vertèbro
les reproduisent le type des vertèbro- spinales. Elles naissent des artères intercostales, lombaires et sacrées, pénètrent
en, et se divisent en branches qui suivent les racines antérieures ( artères spinales antérieures) et en branches qui suiven
antérieures) et en branches qui suivent les racines postérieures [ artères spinales postérieures) . Nous ne suivrons pas l
ssignalerons seulement les particulari- tés intéressantes. a) Les artères spinales antérieures, en suivant les racines anté
a moelle. Toutes les racines antérieures ne sont pas pourvues d'une artère spinale; on en trouve tantôt d'un côté ou de l'au
rémité du cône médullaire terminal, au niveau des paires sacrées, l' artère grande spinale fournit de chaque côté deux rame
pour contourner la moelle et s'anastomoser avec les branches des artères spinales postérieures- Ce sont les rameaux crucia
ont les rameaux cruciaux (ranzi ciitct'a2ztes). De la présence de l' artère grande spinale au niveau du plexus lombaire, et
pinales antérieurs naissent les petites branches déjà connues : les artères du sillon (artères médianes anté- rieures), les
naissent les petites branches déjà connues : les artères du sillon ( artères médianes anté- rieures), les artères radiculair
nnues : les artères du sillon (artères médianes anté- rieures), les artères radiculaires, et les branches anastomotiques in
ulaires, et les branches anastomotiques interradiculaires. b) Les artères spinales postérieures occupent toute la partie
ieures occupent toute la partie de la moelle qui est au dessous des artères vertébro-spinales pos- térieures. Elles sont pl
ertébro-spinales pos- térieures. Elles sont plus nombreuses que les artères spinales antérieures, et il n'est pas rare de v
st pas rare de voir chaque paire spinale postérieure pourvue de son artère . Elles acquièrent un volume plus considérable a
le au niveau des renflements brachial et lom- baire. Tandis que les artères spinales antérieures forment une seule anastomo
ment une seule anastomose médiane, qui suit le sillon médian, les artères spinales postérieures en forment deux de chaque
régions cellulaires. On s'explique aussi comment par le tronc d'une artère basilaire, ou par une des artères grandes spina
e aussi comment par le tronc d'une artère basilaire, ou par une des artères grandes spinales antérieures, on peut injecter
injecter la moelle entière. Ajoutons enfin pour terminer que de ces artères anastomotiques naissent les artères médianes et
enfin pour terminer que de ces artères anastomotiques naissent les artères médianes et les artères radiculaires posté- rie
de ces artères anastomotiques naissent les artères médianes et les artères radiculaires posté- rieures. Veines, a) - Nou
ricières qui la traversent et qu'on observe dans toute sa hauteur : artères REVUE d'anatomie. 85 médianes et artères radi
dans toute sa hauteur : artères REVUE d'anatomie. 85 médianes et artères radiculaires de chaque côté. Trois veinules les
de la moelle en montrant qu'à la surface de cet organe, entre les artères et les veines visibles à l'oeil nu et que nous ve
ent d'une façon indiscutable, en ce qui concerne la disposition des artères infra-médullaires, des artères nourricières de
ce qui concerne la disposition des artères infra-médullaires, des artères nourricières de la moelle. II. NOUVELLES RECHER
lence de la santé anté- rieure, de l'état d'induration de certaines artères périphériques, M. S. formule ainsi la nature de
ontra la réalité de ces assertions : il existait une thrombose de ï artère vertébrale gauche, thrombose autochtone. L'alté
. . Mort le 28 mai dans la nuit. Autopsie le 30. Dure-mère saine. Artères de la base non athéromateuses. Cervelet mou, fo
e, un énorme caillot hémorrha- gique provenant d'une déchirure de l' artère méningée moyenne et placé au-dessus de la dure-
sphénoïdales, et des granulations tuberculeuses sur le trajet de l' artère méningée moyenne, plus nombreuses à gauche, à l
des dépôts purulents et quelques granulations tuberculeuses sur les artères de l'hexagone. Rien à signaler dans l'épaisseur
lle, il dispose des ligatures d'attente sur les sous-clavières et l' artère pulmonaire. La respiration artificielle est alo
hère gauche, ,4.5Ggr. flaques, athéromateuses dissémi- nées sur les artères de la base de l'encéphale. ( , L'hémisphère gau
aussi bien à la périphérie que dans la pro- fondeur. A droite,' l' artère . cérébrale antérieure, vers, Impartie posté- ri
de plus; d'une heure, observé un- rétrécissement con- sidérable des artères .et, des, veines et de 1,'ohnulilation,ayfqnd de
anches., f 41.1 z.. , . "r. ,.u ? t . , "" .I et anastomoses dé l' artère wertébrale - 1 artère carotide, lu i-* ? .tu -.
, . "r. ,.u ? t . , "" .I et anastomoses dé l'artère wertébrale - 1 artère carotide, lu i-* ? .tu -. 1lit ill. < ,... ,
19 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
sse- ments localisés de la convexité cérébrale. Les branches de l' artère cérébrale antérieure : artère frontale interne et
onvexité cérébrale. Les branches de l'artère cérébrale antérieure : artère frontale interne et anté- rieure (Fia), artère
rébrale antérieure : artère frontale interne et anté- rieure (Fia), artère frontale interne et moyenne (Fim), artère frontal
ne et anté- rieure (Fia), artère frontale interne et moyenne (Fim), artère frontale interne et postérieure (Fip) sont colo
rne et postérieure (Fip) sont colorées en rose. - Les branches de l' artère sylvienne ou cérébrale moyenne : artère frontal
n rose. - Les branches de l'artère sylvienne ou cérébrale moyenne : artère frontale inférieure (Fi), artère frontale ascenda
e sylvienne ou cérébrale moyenne : artère frontale inférieure (Fi), artère frontale ascendante (Fa), artère pariétale asce
: artère frontale inférieure (Fi), artère frontale ascendante (Fa), artère pariétale ascendante (Pa), artère pariétale infér
artère frontale ascendante (Fa), artère pariétale ascendante (Pa), artère pariétale inférieure (Pi), artère du pli courbe
artère pariétale ascendante (Pa), artère pariétale inférieure (Pi), artère du pli courbe (Pc), artères temporales antérieu
(Pa), artère pariétale inférieure (Pi), artère du pli courbe (Pc), artères temporales antérieure (Ta), moyenne (Tm) et posté
(Tm) et postérieure (Tp) sont colorées en bleu. - Les branches de l' artère cérébrale postérieure : artère occipito-tempora
colorées en bleu. - Les branches de l'artère cérébrale postérieure : artère occipito-temporale antérieure (OTa), artère occ
cérébrale postérieure : artère occipito-temporale antérieure (OTa), artère occipito-temporale moyenne (OTm), artère calcar
emporale antérieure (OTa), artère occipito-temporale moyenne (OTm), artère calcarine (K) sont colorées en vert. Des fibres
u pédonculo cérébral. (C'est-à-dire le territoire vasculaire de l' artère sylvienne et des branches antérieure et moyenne
re de l'artère sylvienne et des branches antérieure et moyenne de l' artère cérébrale antérieure (Fig. 65 et 79). La plaque j
e de l'hémisphère et dans les masses centrales. - Les branches de l' artère cérébrale antérieure : artère frontale interne
masses centrales. - Les branches de l'artère cérébrale antérieure : artère frontale interne et antérieure (Fia), artère fr
cérébrale antérieure : artère frontale interne et antérieure (Fia), artère frontale interne et moyenne (Fim), artère fron-
nterne et antérieure (Fia), artère frontale interne et moyenne (Fim), artère fron- tale interne et postérieure (Fip) sont co
terne et postérieure (Fip) sont colorées en rose. - Les branches de l' artère cérébrale postérieure : artère temporo-occipita
olorées en rose. - Les branches de l'artère cérébrale postérieure : artère temporo-occipitale antérieure (OTa), artère tempo
cérébrale postérieure : artère temporo-occipitale antérieure (OTa), artère temporo- occipitale moyenne (OTm), artère calca
ipitale antérieure (OTa), artère temporo- occipitale moyenne (OTm), artère calcarine (K), ou Lemporo-occipitale postérieure
mporo-occipitale postérieure sont colorées en vert. Le tronc de l' artère cérébrale antérieure (rose) irrigue la tête du no
rose) irrigue la tête du noyau caudé et l'espace perforé antérieur ( artères striées antérieures), le tronc de l'artère sylvie
espace perforé antérieur (artères striées antérieures), le tronc de l' artère sylvienne (bleu) irrigue le tronc du noyau caud
tronc de l'artère sylvienne (bleu) irrigue le tronc du noyau caudé ( artères lenticulo-striées et lenticulo-opLiques), le tr
dé (artères lenticulo-striées et lenticulo-opLiques), le tronc de l' artère cérébrale postérieure (vert) irrigue l'espace per
ricule, le pédoncule cérébral et la partie postérieure du thalamus ( artères optiques). L'artère choroïdienne antérieure (brun
cérébral et la partie postérieure du thalamus (artères optiques). L' artère choroïdienne antérieure (brun) il l'igue la circo
nnée, le pilier postérieur du trigone et la queue du noyau caudé. L' artère communicante postérieure (jaune) irrigue l'extrém
ce lobe et relè\enl de troubles circulatoires dans le domaine de l' artère cérébrale postérieure (Fig. 65, p. 99). Les lésio
rébrale postérieure (Fig. 65, p. 99). Les lésions du lobe pariétal ( artère cérébrale moyenne), lorsqu'elles atteignent le lo
es circonvolu- tions antérieures de l'insula sont irriguées par les artères frontale inférieure, fron- tale ascendante et p
riétale ascendante; la circonvolution postérieure de l'insula par l' artère pariétale inférieure, la région rétro-insulaire p
par l'artère pariétale inférieure, la région rétro-insulaire par l' artère du pli courbe. Le territoire vasculaire de l'ar
insulaire par l'artère du pli courbe. Le territoire vasculaire de l' artère sylvienne est coloré en bleu, celui de l'artère c
toire vasculaire de l'artère sylvienne est coloré en bleu, celui de l' artère céré- brale antérieure en rose, celui de l'artè
bleu, celui de l'artère céré- brale antérieure en rose, celui de l' artère cérébrale postérieure en vert. Fig. 124. - Cas
) et rétro-lenticulaire (Cirl) de la capsule interne. Le tronc de l' artère cérébrale antérieure (artères striées antérieures
) de la capsule interne. Le tronc de l'artère cérébrale antérieure ( artères striées antérieures, co- lorées en rose) irrigu
érieurs du segment antérieur de la capsule interne. - Le tronc de l' artère sylvienne (artères lenticulo- slriées et lentic
antérieur de la capsule interne. - Le tronc de l'artère sylvienne ( artères lenticulo- slriées et lenticule-optiques, color
érieure du segment posléi ieur de la capsule interne. Le tronc de l' artère cérébrale postérieure (artères optiques colorée
de la capsule interne. Le tronc de l'artère cérébrale postérieure ( artères optiques colorées en vert) irrigue l'espace perfo
he optique, de la légion sous-optique et du pédoncule cérébral. - L' artère communicante postérieure et le tronc carotidien
de la partie adjacente du putamen (Fig. 169 et 170), irriguée par l' artère cérébrale antérieure, la région du faisceau gén
au géniculé et de l'extrémité antérieure du thalamus irriguée par l' artère communicante postérieure. Elle n'affleure la co
bles de la sensibilité et relevant d'une lésion dans le domaine des artères lenticulo- striées (Fig. iG5-1G7), qui atteint
z Il. 176. - uas Cogery. 1° Lésion destructive dans le domaine de l' artère choroï- dienne antérieure, lésant le segment so
gauche. L'hémisphère droit présente deux lésions dans le domaine de l' artère choroïdienne antérieure qui bien que petites on
gauche datant de deux ans. Lésions capsulaires dans le domaine de l' artère choroïdienne antérieure : 1° lésion du globus pal
ianopsie liomonyme gauche. Lésions capsulaires dans le domaine de l' artère choroidiennt antérieure. Coupes horizontales pa
o latérale gauche relevant de deux lésions dans le domaine de l' artère choroïdienne anté- rieure. L'une sec- tionn
ianop sie homonyme gauche. Lésions capsulaires dans le domaine de l' artère choroidienne antérieure. Dégénérescence du corp
rale, les arborisations vasculaires des différentes bran- ches de l' artère sylvienne (Fig. 199). A la base du cerveau (Fig
ux territoires irrigués par les deuxième et troisième branches de l' artère sylvienne (Fig. 65).(artère frontale ascendante
les deuxième et troisième branches de l'artère sylvienne (Fig. 65).( artère frontale ascendante et artère pariétale ascenda
ches de l'artère sylvienne (Fig. 65).(artère frontale ascendante et artère pariétale ascendante) et par la branche paracentr
et artère pariétale ascendante) et par la branche paracentrale de l' artère céré- brale antérieure, c'est-à-dire à ce terri
composent la zone du langage sont irrigués par un même vaisseau, l' artère sylvienne. Le centre des images motrices d'articu
n vasculaire de ce noyau, le corps strié recevant ses vaisseaux des artères striées antérieures qui se déta- chent de l'art
s vaisseaux des artères striées antérieures qui se déta- chent de l' artère cérébrale antérieure; des artères lenticulo-strié
ntérieures qui se déta- chent de l'artère cérébrale antérieure; des artères lenticulo-striées et len- ticulo-optiyzces, bra
s artères lenticulo-striées et len- ticulo-optiyzces, branches de l' artère sylvienne, et de l'artère choroïdienne antérieu
s et len- ticulo-optiyzces, branches de l'artère sylvienne, et de l' artère choroïdienne antérieure. (Fig. 163 et 1G ? p. 1
la partie supérieure et moyenne du noyau lenticulaire (domaine des artères lenticulo-striées et lenticule-optiques) détermin
yau caudé et de l'e.x'6' ? ? ? e antérieure du putamen (domaine des artères lenticulo-striées) épargnent en général l'anse
us. Les lésions de cette région dont l'irrigation esl assurée par l' artère communicante postérieure sont rares. Dans un ca
en un très grand nombre de fascicules (près de 800) qui entourent l' artère centrale du nerf optique, présentent une surface
cules. Au voisinage immédiat de la gaine piemérienne et autour de l' artère centrale du nerf optique, les fibres réti- nien
que sont souvent vides. A 15 ou 20 millimètres du globe oculaire, l' artère centrale, en se portant obliquement en bas et e
chen) et semble donc être indépendante du point de pénétration de l' artère centrale du nerf optique (Henschen). Quant au
O), simple (lépres- sion qui loge une des branches principales de l' artère cérébelleuse anté- rieure. Comme les lamelles c
et section du bulbe au-dessous du sillon bulbo-prolubéranliel. Aci, artère cérébelleuse inférieure. - B, bulbe rachidien. -
naire a fait comparer aux valvules semi-lunaires de l'aorte ou de l' artère pul- monaire ; ce sont les valvules de Tarin (V
repose sur la gouttière basilaire de l'occipital dont la séparent l' artère basilaire et un vaste con- fluent sous-arachnoï
tiel supérieur, au niveau du trou borgne supérieur (tb'). Il loge l' artère basilaire, et on le désigne encore de ce fait s
on basilaire, mais sa dépression tient moins à la présence de cette artère qu'au relief des bourrelets pyramidaux et à l'e
20 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
irriga- tion de l'écorce dans ces parties se fait par le canal de l' artère sylvienne et de ses branches.- - . Considéron
de ses branches.- - . Considérons en effet la distribution de cette artère ; du troncse détache successivement : l'arlériol
'expliquer assez bien par t'attrition simultanée des vaisseaux de l' artère svivienne. MIGRAINE OPUTnAMHOUE ET APHASIE 11
suite d'un accès. Dans ce cas, il s'était formé une thrombose de l' artère centrale de la rétine. Je n'attache pas bien
st des nerfs cependant qui décrivent des zig-zags, à la manière des artères . Il me semble que nous avons maintenant, grâce
re. 11 en est d'autres qui dérivent des zig- zags, à la manière des artères , mais ces llexuosités s'effacent dans certaines a
mporaux et pariétaux. ' Les gros troncs artériels de la base, les artères sylviennes et leurs bran- ches ne présentent au
chromoblastes abondants. Les parois des veines sont épaissies. Les artères présentent de la périartérite et de l'endartérite
ériartérite et de l'endartérite très marquée surtout au niveau de l' artère spinale antérieure. Coupe faite au niveau de la
épaississemenl fibreux très accusé, avec lésions des veines et des artères (l'l. IV, 6). Coupe faite au niveau de la ^régi
ninges sont épaissies avec altérations des parois des veines et des artères . On trouve de la sclérose au niveau de la prolo
ut;'¡ fail nlrophié (voir plus loin son examen nicroscopi(lue). Les artères de la base du (-ci-- ; can, de même que les art
scopi(lue). Les artères de la base du (-ci-- ; can, de même que les artères sylviellnes,présl'Ilo cut par place une colorat
e (voir Fis. 51). Ces lésions s'observent surtout dans quelques artères , situées entre l'olive et la pyramide, artères
tout dans quelques artères, situées entre l'olive et la pyramide, artères dont la lumière est obli- térée par l'épaississ
mbroise Paré conseille, encore d'après Paul d'Egine, l'incision des artères temporales dans la maladie nommée scotomise ou ve
e la veiie, causée d'un esprit vaporeux et chaud, qui monte par les artères carotides à la teste, et remplit le cerveau, fais
es oreilles, combien qu'il semblerait meilleur faire l'incision des artères qui sont aux temples; mais si elle vient d'autr
roise Paré a également conseillé contre la migraine l'incision de l' artère temporale du côté où siège la douleur. Ayant expé
région mas- toïdienne. Paul d'Egine y coupait et cautérisait les artères . « Les incisions des veines derrière les oreill
a protubérance reçoit ses vaisseaux du tronc ba- silaire el que ses artères se divisent en médianes et en latérales (Fig. 5G)
s artères se divisent en médianes et en latérales (Fig. 5G). Or les artères protubérantielles médianes, qui correspondent aux
ssent par conséquent aux noyaux des nerfs pathétiques Fic.. 56. Les artères médianes antérieures et postérieures du bulbe et
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE et oculo-moteurs communs. Les artères protubérantielles latérales (Fig. 57) se perden
e, dans l'épaisseur du pont. Une lésion por- tant à la fois sur les artères latérales gauches et sur les artères médianes d
on por- tant à la fois sur les artères latérales gauches et sur les artères médianes donnera lieu à des altérations du fais
érieurs et des centres postérieurs du nerf moteur ocu- Fic. 5 ? Les artères de la face antérieure de la moelle allongée et de
moelle allongée et de la protubérance annulaire (d'après Duret). 1, artères radiculaires du nerf accessoire de Willis. 2, a
ès Duret). 1, artères radiculaires du nerf accessoire de Willis. 2, artères spinales antérieures.- 3, artères radiculaires du
du nerf accessoire de Willis. 2, artères spinales antérieures.- 3, artères radiculaires du nerf pneumogastrique. 4, artère
s antérieures.- 3, artères radiculaires du nerf pneumogastrique. 4, artères radiculaires du nerf glosso-pharyngien. 5, artère
umogastrique. 4, artères radiculaires du nerf glosso-pharyngien. 5, artères radiculaires du nerf oculo-moteur externe. 6, a
haryngien. 5, artères radiculaires du nerf oculo-moteur externe. 6, artères radiculaires du nerf facial et du nerf acoustique
e. 6, artères radiculaires du nerf facial et du nerf acoustique. 7, artères radiculaires du -trijumeau. - 8, artères radicula
et du nerf acoustique. 7, artères radiculaires du -trijumeau. - 8, artères radiculaires du nerf hypoglosse. OPHTALMOPLÉGIE
compression d'un membre : peau, muscles, filets nerveux, veines ou artères , est suscep- tible de faire disparaître des con
t le siège d'une diapédèse dont on peut suivre tous les stades. Les artères ne sont pas lésées. Dans l'intérieur du parench
iers de la moelle ont leur calibre parfaitement libre, aussi bien l' artère et la veine du sillon antérieur que les vaisseaux
eur que les vaisseaux radiculaires anté- rieurs et postérieurs. Les artères sont même indemnes de toutes lésions de leurs p
eur des radicules, en suivant les tractus conjonctifs. Enfin si les artères nourricières sont partout intactes, il n'en est p
ie-mère du bulbe présente à peine quelques traces de méningite. Les artères sont saines ; par contre quelques veines présente
c infiltration des parois des veines qui traversent cet espace. Les artères échappent à la lésion. Tous les nerfs dont il v
21 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
pente du 4° ventricule est moins prononcée que la nor- male. Les artères méningées moyennes sont volumineuses ; par contre
roit. L'oculo-moteur com- mun droit est plus petit que le gauche. L' artère vertébrale, le trijumeau et le nerf optique son
rophile, et communiquent en avant par le sinus coronaire. Quant aux artères , la sylvienne et la cérébrale antérieure sont trè
oit possible de dire si elle en est la cause ou la conséquence. Les artères méningées moyennes, dont l'empreinte est si mar
it que des études ont été faites sur la pression et la ligature des artères carotides aussi bien chez l'homme que chez les an
mme que chez les animaux. De même la pression et la ligature de ces artères ont été faites chez les épileptiques dans un bu
ocalisée sans doute en dedans du tendon du biceps. Comme là passe l' artère humera le, comme il existe sur le médian un volum
me il existe sur le médian un volumineux névrome qui peut irriter l' artère , comme les troubles vaso-moteurs, sudoraux et t
leur ma- trice épaissie et débordante. Or, lors de la blessure, l' artère humérale aurait été coupée, une très abondante
isse rien affirmer, il est du moins tout à fait vraisemblable que l' artère radiale a été lésée. Ce qui rend ce cas particu
négative : nombreux sont nos cas où, par exemple, une section de l' artère humé- raie ou radiale associée à une lésion du
les fragments des zones d'infiltration oedémateuse. La majorité des artères ont souffert de la dégénérescence hyaline. Il y
ale, on ne trouve pas d'altérations. Dans le rameau descendant de l' artère coronaire, il y a quelques parties épaisses. La
nsuration donne les chiffres suivants : 264 ' LÉRI soulevant. Les artères pédieuses se sentent faiblement des deux côtés, m
e. Les caillots de sang entourent complètement le commencement de l' artère cérébrale moyenne droite, la communicante postéri
oagulations se sont révélées très fermes et fixées. Au sondage de l' artère cérébrale moyenne avec une sonde fine, on n'a pas
seule fissure d'aucun des vaisseaux, et à l'injection de l'eau dans l' artère , ou n'a pas non plus vu l'eau sortir d'aucun cô
ou n'a pas non plus vu l'eau sortir d'aucun côté. Sur la paroi de l' artère «asilaire on trouve une plaque artériosclérotique
ention spéciale a été donnée aux petits vaisseaux, qui partent de l' artère cérébrale moyenne et postérieure, et qui 'se pe
l'examen microscopique du cerveau, on a observé dans la plupart des artères sur une grande étendue un fort épaississement de
partout sans rien à signaler. , 1 Dans une coupe longitudinale de l' artère cérébrale moyenne droite, on a constaté sur un
é trouvée. Mais ce fait est compensé par l'observation faite dans l' artère cérébrale moyenne droite de la cicatrisation de l
é. Mais le processus arlérioscléreux a continué son action dans les artères cérébrales de la patiente,' et une nou- velle i
Diagnostic pathologique anatomique : Artériosclérose. Auévrisme de l' artère cérébrale moyenne gauche avec hémorragie méning
est lixé dans du formol. On dissèque avec beaucoup de précautions l' artère cérébrale moyenne gauche. Alors on a trouvé que l
cérébrale moyenne gauche. Alors on a trouvé que la partie de cette artère la plus voisine de la carotide était de largeur e
sac est plus épaisse que la paroi de la partie la plus voisme de l' artère . La paroi est grisâtre avec sur la surface inté
agie cérébrale. Diagnostic pathologique anatomique : Anévrisme de l' artère cérébrale moyenne droite avec perforation et hé
ur. La musculature mesure à sa base 15 millimètres d'épaisseur. Les artères coronaires comme l'endartère de l'aorte ne mont
ssu on ne peut observer aucune dé- chirure ou autre altération. Les artères de la base du crâne du cerveau sans sclérose. L
est un peu plus humide. De plus, on trouve l'une des branches de l' artère cérébrale moyenne droite, qui monte vers les ga
celle d'un pois. L'anévrisme, que l'on peut facilement sonder par l' artère elle-même, est rempli de masses sombres, sèches e
mentionné. Du reste, on n'a pu découvrir aucune altération dans les artères cérébraies. Non plus d'épanche- ment sanguin da
ci on le trouve à l'endroit ordinaire... dans une des branches de l' artère cérébrale moyenne. Il donne un épanchement cons
ités que troiscas semblables. Dans deux d'entre eux,il s'agissait d' artères athéroma- teuses rupturées ; dans le troisième,
n même temps une barrière contre les ruptures. · Les anévrismes des artères cérébrales ne sont plus en général regardés com
nt au contraire dus à des altérations athéromateuses des parois des artères . Ainsi l'artério- sclérose est le facteur prima
on a trouvé à l'au- topsie des altérations athéromateuses dans les artères cérébrales. Une rup- ture de l'endartère guérie
. En considération de cela, la trouvaille d'une artériosclérose des artères cérébrales était assez inattendue à t'age de la
tre autres, Wegelin a trouvé des ruptures spontanées fréquentes des artères cérébrales. Les hémorragies méningées qui se
que cette attrition est moins im- portante dans les hémorragies des artères basales, parce que le jet de sang peut ici s'éc
e, mais qui, en réalité, n'est qu'un ganglion lymphatique, auquel l' artère carotide communique ses battements. La radiogra
vocal à une lésion du récurrent ou à une compression de nerf par l' artère ou par une cicatrice. A. l'hôpital Régin, dans
ntégrité de la carotide s'explique par l'élasticité bien connue des artères . Le petit ganglion en avant de l'artère, dont il
élasticité bien connue des artères. Le petit ganglion en avant de l' artère , dont il rend plus visibles les battements, peu
n cervical supérieur se réfléchit autour de la face inférieure de l' artère thyroïdienne supérieure, remonte appli- quée à
Sur une anse nerveuse sympathique non encore dé- crite autour de l' artère thyroïdienne supérieure, Journal d'anatomie et de
22 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
e dans la circulation. La contraction musculaire chasse le sang des artères et quand cette contrac- tion cesse, les artères
chasse le sang des artères et quand cette contrac- tion cesse, les artères se remplissent de sang. Pendant la suspension, le
inférieurs sont relativement flasques et l'afflux du sang dans les artères y est facilité, tandis que le reflux du sang vein
e, dur, arrondi, terminé par une surface plane.au côté duquel bat l' artère hypogastrique. C'est, suivant toute vraisemblan
les gros troncs artériels et nerveux des bras (nerfs médians et les artères brachiales par exemple). La fréquence des accès
a pie- mère au niveau de la circonvolution des nerfs olfactifs, les artères sont symé- triques ainsi que les nerfs olfactif
s. Les veines du cerveau et du cervelet sont gorgées de sang. Les artères de la base sont symétriques. SOi NOUVELLE ICONO
d sympathique ne peut provoquer autre chose que le resserrement des artères auxquelles il envoie des fibres, tandis que Remak
pile galvani- que. J'ai eu l'idée de provoquer le resserrement des artères des membres au moyen delà faradisation modérée
res des membres au moyen delà faradisation modérée et prolongée des artères dans diverses affections où ce procédé prometta
dé promettait un succès d'après des lois physiologi- ques. Chaque artère est ccompagnée de fibres vaso-motrices. De là, re
lammé ou hype- rémié. On peut môme espérer agir sur les muscles des artères presque direc- tement parce qu'il ne s'agit ici
des artères presque direc- tement parce qu'il ne s'agit ici que des artères superficielles. Dans les cas où il y inflammati
ion d'une partie du membre inférieur c'est à la faradisa- tion de l' artère fémorale qu'on peut recourir. Je place pour la pr
ine traumatique, rhumatismale ou syphilitique, la faradisation de l' artère fémorale est suivie immédiatement d'un soulagem
rsienne qui sont le siège d'un travail inflammatoire, c'est la même artère qu'il faut faradiser. On verra ici les mouvemen
loureux et la tempé- rature locale s'abaisser. La faradisation de l' artère fémorale est enfin encore indiquée dans la névr
r, il faut ajouter encore qu'on peut faradiser les ramifications de l' artère fémorale et même ses branches terminales dans l
te impossibilité est à regretter quoique rien ne prouve que c'est l' artère fémorale qui nourrit principalement le nerf cru
s fâcheuse et qui remontaient jusqu'au bassin. La faradisation de l' artère fémorale donnait dans ces cas un résultat des p
ntre comme vers la périphérie. Mais l'effet de la faradisation de l' artère fémorale qui surpassait ce que j'attendais étai
upérieur d'o- rigine quelconque on peut tenter la faradisation de l' artère brachiale et de ses ramifications, comme je le
mêmes résultats qu'aux membres inférieurs par la faradisation de l' artère fémorale. Mais quant à la névrite du membre sup
est en général impossiblede le traiter par la faradisation cle son artère prin- cipale parce que celle-ci est accompagnée
des conséquences fâcheuses. Il n'est pas même permis de faradiser l' artère sous- LA FARADISATION TIIÉIt"F]UTIQUE e '-173
fibres vaso-constrictrices de cet organe. Ces fibres se rendent à l' artère sous-clavière dont elles accompagnent les ramific
clavière dont elles accompagnent les ramifications, entre autres, l' artère vertébrale qui nourrit la moelle épinière, le bul
es en vue de l'excitation des nerfs vaso-moteurs qui se rendent à l' artère vertébrale. On peut poser le rhéophore actif à la
, on excitera da- vantage les nerfs vaso-moteurs qui accompagnent l' artère vertébrale. L'origine des nerfs vaso-constricte
res vaso-motrices des ramifications de l'aorte abdominale, même des artères iliaques primitives, sont des continuations imméd
e du cou qui contient le troisième ganglion du grand sympathique, l' artère sous- claviére et l'artère vertébrale qui est d
oisième ganglion du grand sympathique, l'artère sous- claviére et l' artère vertébrale qui est destinée il la moelle épinière
. J'ai dit déjà plus haut que le courant faradique peut atteindre l' artère sous-cla- vière : le pouls radial est dur et ra
aire doit exciter aussi les fibres vaso-motrices qui accompagnent l' artère sous-clavière et son rameau, l'artère vertébral
o-motrices qui accompagnent l'artère sous-clavière et son rameau, l' artère vertébrale qui est destinée à la moelle épinière.
u grand sympathique, les fibres vaso- motrices qui accompagnent les artères sous-el a, ière et vertébrale. Delà l'ex- citat
de la région malade et, il en doit résulter un resserrement de ces artères lorsque leur tunique moyenne n'est pas encore alt
que leur tunique moyenne n'est pas encore altérée profon- dément. L' artère vertébrale n'est pas la seule artère qui nourriss
core altérée profon- dément. L'artère vertébrale n'est pas la seule artère qui nourrisse la moelle ; les artères intercost
vertébrale n'est pas la seule artère qui nourrisse la moelle ; les artères intercostales lui envoient aussi des rameaux. Ces
23 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
rt accessibles pour le courant induit et les nerfs vaso-moteurs des artères ilia- ques primitives venant du plexus de l'aor
cles des artérioles doit céder à la haute pression du sang dans les artères et l'on ne constate aucun effet encourageant de
de la faradisation de la région supérieure du cou. Le pouls de ces artères devient plus ample et ralenti en raison du resser
de z à droite et de à à gauche. Les papilles sont blanchâtres, les artères diminuées, mais il n'y a pas l'atrophie papilla
se, péri-endophlé- bite oblitérante, intégrité presque complète des artères spinales. Envahissement de la moelle dans la ré
onnaîtrait pas la structure de la veine, si l'on ne voyait à côté l' artère spinale antérieure intacte. Toutefois, à l'aide
ble forme un contraste assez frappant avec l'intégrité absolue de l' artère correspondante. La méningite a peu d'importance
e sous-arachnoïdien. FiG. 4. COUPE transversale DE la VEINE ET DE l' artère spinales antérieures, au NI- veau DE la région
ur, à quelque distance de la néoformation précédente, on aperçoit l' artère spinale antérieure aussi intacte que dans les a
contraste maintes fois signalé entre l'état des veines et celui des artères . Il est juste d'ajouter cependant qu'au voisinage
ous trouvons la même opposition que partout ailleurs entre l'état des artères et celui des veines : intégrité des unes, infil
s pas pu examiner malheureusement la protubérance elle-même, ni les artères basilaires, qui n'ont pas été conservées. (A
es; pas de contractions fibrillaires. Les seins sont saillants; les artères ne sont pas athéromateuses. Les deux nerfs cubi
uée de toutes les veines à l'infiltration et l'intégrité complète des artères , sauf un très léger degré de périartéri te sur
d'un foyer occupant la moelle dorsale une inflammation intense des artères et des veines, qui sont presque complètement ob
ntérieurs; mais tandis que la veine était complètement oblitérée, l' artère présentait seulement, une infiltration embryonnai
elève le contraste remarquable entre l'état des veines et celui des artères . Ajoutons que les altérations méningo-vas- cula
ontra des lésions consi- dérables des vaisseaux méningés, veines et artères , et des altérations dé- génératives dans la sub
ssus débutait constamment dans la tunique interne des veines et des artères . On pouvait constater tous les degrés, depuis un
saine (colorée en noir. d) Corne antérieure gauche atro- phiée. e) Artère spinale antérieur dont les parois sont hypertroph
eures de cette série qui a 2 ou 3 millimètres de hauteur, on voit l' artère spinale antérieure présenter tout à coup un épais
e envahit légèrement le tissu médullaire sous-jacent. L'examen de l' artère spinale antérieure il ce nivean montre que le rét
ique musculaire est certainement beaucoup plus épaisse que dans une artère spinale normale, mais sans traces d'inflammation
cessus. Fait a noter : il quelques millimètres de distance, la même artère présente une épaisseur normale de ses tuniques.
mère, sont plus altérées que les Fig. 16. - Coupe transversale de l' artère spinale antérieure. Périartérite ancienne : rétré
ue du calibre du vaisseau. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 169 artères . Les unes ont leurs parois épaissies et couvertes
en et organisé. On ne saurait dire avec certitude s'il s'agit d'une artère ou d'une veine. Il existe une dégénérescence py
al gauche. Ajoutons que ici, comme dans le cas précédent, veines et artères sont intéressées et que la périphlébite, la pér
deux nerfs oculo-moteurs sont englobés dans cet épaississement. Les artères de l'hexagone, ainsi que les vertébrales et le
ont touchées. Ainsi en avant, au niveau du sillon médian antérieur, l' artère et la veine spinales se montrent normales sur l
dans tous les vaisseaux de calibre. En outre; sur presque toutes les artères , l'adventice est épaissie, plus ou moins confon
t ne décrit pas de sinuosités comme on en voit sur les coupes d'une artère saine. A plus d'un litre, cette observation dif
les points correspondant à la méningite elle-même. En particulier l' artère et la veine spinales antérieures offraient une
O-MYÉLITE SYPHILITIQUE 215 formation, très vascularisé. Les grosses artères de la base (tronc basilaire, vertébrale) ont le
t restent généralement dans la suite plus in- tenses que celles des artères . Le début de la lésion, dans les cas les plus f
24 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
normale. Les vaisseaux ne sont pas en général altérés : cependant l' artère sylvienne gauche est plus dure, plus rigide que
l'artère sylvienne gauche est plus dure, plus rigide que les autres artères de l'encéphale, et a subi dans une certaine mes
avec la voûte crânienne; pas d'altération des méninges. Toutes les artères de l'encéphale sont envahies par t'athérôme, depu
rt la dégénérescence n'est aussi complète que dans les tuniques des artères sylvienne et cérébrale antérieure droites, qui
d'ailleurs, envahi la presque totalité du système artériel : les artères cérébrales postérieures, vertébrales, basilaire,
Le lobe frontal a seul souffert des altéialions constatées sur les artères frontales externe et infé- rieure et sylvienne
maladie a présentées jusqu'alors traduit l'obturation de l'une des artères déformées et athéro- mateuses, et, par la persi
au : conséquence nécessaire de l'accroissement de pression dans les artères profondément dégénérées et dont les parois, rug
ur siège, ces alté- rations, qui existent au plus haut degré dans l' artère sylvienne droite, ont nui directement à la nutr
onc basilaire et la cérébrale postérieure étaient, comme les autres artères , le siège d'obstructions ! Userait inopportun d
E DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 85 X. Noie SUR un cas d'oblitération de l' artère basilaire ET SUR QUELQUES POINTS DE LA PHYSIOLO
z une femme qui mourut après trente-six heures de coma, on trouva l' artère basilaire oblitérée en arrière de l'origine des
ques ecchymoses récentes sous l'épen- dyme du troisième ventricule. Artères vertébrales extrêmement atheromateuses. Dure-mè
e). Les autres questions restées dans l'urne étaient : nerf facial, artères du cerveau (ana- tomie et physiologie). Les q
ique. Le diagnostic de Haab pendant la vie avait été : embolie de l' artère irriguant la partie postérieure delà couche optiq
us, C. R. Agnew ». Mondiagnostic était : Embolie de la branche de l' artère cérébrale postérieure irriguant la face postéro
Le cerveau en général était anémié ; les vaisseaux delà base et les artères cérébrales moyennes exemptes d'embolie et de thro
issement était produit par une embolie de la troisième branche de l' artère cérébrale postérieure, artère occipitale de Dur
embolie de la troisième branche de l'artère cérébrale postérieure, artère occipitale de Duret. Les objections que peut
ement due, une lésion superficielle étendue à l'aire irriguée par l' artère cérébrale moyenne. On devra s'attendre à trouve
ra-marginale, et le gyrus angularis. L'embolie ou la thrombose de l' artère sylvienne sera la cause la plus probable du ram
plus blanche, plus nette que du côté droit, quoique la papille, les artères , les veines, ne pré- sentent aucune anomalie re
égénérescence interstitielle du tissu conjonctif qui accompagne les artères des cordons postérieurs. L'autre ré- sulte d'un
sa paroi mince, lisse, régulière est parcourue par une branche de l' artère pulmonaire égalant à peu près en diamètre celui
e droit très diminué de volume et de capacité. Léger athérome des artères coronaires. Toutes les autres parties du coeur so
éninges : décortication facile. OEdème de la pie-mère. Athérome des artères de la base. - Cerveau : l'hémisphère gauche pès
ieur de l'aorte. Circonférence de-l'aorte : 8 centim. 2, celle de l' artère pulmo- naire mesure cenlim. 2. La longueur du v
fficile. il. M. C. XXV. 11CU0111tU.IG1E CÉRÉnEH.EUSE; ANOMALIES DES ARTÈRES CÉDÉ- .; orales ; par JAUNIES SU.W. (The' Journ
). Puis coma et mort. - A l'autopsie, on constate de l'alhérôme des artères cérébrales; mais, en outre, ces artères pré- se
constate de l'alhérôme des artères cérébrales; mais, en outre, ces artères pré- senteutles anomalies suivantes : la cérébr
ure droite est fournie par la carotide interne ; du côté droit de l' artère basilaire, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 433
qui rejoint en avant la cérébrale postérieure droite. A gauche les artères fournies par le tronc basilaire sont normales q
'hystérie et les troubles nerveux, 445. Apoplexie séreuse, 421. Artère basilaire (oblitération de la), 85. Asiles, p
lu) ; 85 ; (masses risestlu), parJley- nert,1 15 ? (auomalies des artères du), 422; - lésion du lobe tem- poral gauche
25 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
es anciens pensaient que la vallée médiane était destinée à loger une artère médiane connue sous le nom d'artère basi-laire. M
édiane était destinée à loger une artère médiane connue sous le nom d' artère basi-laire. M. Cruveilher a critiqué, avec beauco
critiqué, avec beaucoup de raison, cette manière de voir. En effet, l' artère basilaire est souvent flexueuse, irrégulière ou d
ibres traversent en partie l'olive pour se porter au delà. Une petite artère pénètre avec elles dans l'intérieur de l'olive et
égaux. Leur superficie est recouverte de la pie-mère et des veines et artères qui pénètrent profondément leur substance : il so
sentiellement formée d'un lacis de vaisseaux, d'où naissent les fines artères qui pénètrent dans la substance de la moelle ou d
rneux. Ces sinus sont fort remarquables, car ils sont traversés par l' artère carotide et par plusieurs nerfs, savoir : le mote
à son feuillet périostique. Ils accompagnent assez régulièrement les artères méningées et sont composés de fibres grises. M. L
orment des réseaux très-riches dont les prolongements enveloppent les artères qui sont à la base du cerveau, et les accompagnen
position des vaisseaux propres au système nerveux encéphalique. Les artères de l'encéphale proviennent : 1° des vertébrales;
ale proviennent : 1° des vertébrales; 2° des; carotides internes. Ces artères sont remarquables par les flexuosités qu'elles dé
yr a parfaitement décrit et figuré dans son bel ouvrage, Pl. XIX, les artères de l'encéphale. Elles forment deux systèmes disti
deux carotides, après avoir traversé les sinus caverneux, donnent les artères ophthalmiques, se recourbent l'une vers l'autre,
recourbent autour du corps calleux pour se distribuer, sous le nom d' artères calleuses, à la face interne des hémisphères. Ava
bue à la face externe des hémisphères. Elles fournissent en outre les artères de l'espace perforé. Vicq-d'Azyr les nomme fort é
es artères de l'espace perforé. Vicq-d'Azyr les nomme fort élégamment artères Sijl-viennes. Les carotides, en conséquence de le
otides, en conséquence de leur distribution, sont essentiellement les artères des hémisphères cérébraux. — Les deux vertébral
iveau de la protubérance en un seul tronc médian, connu sous le nom d' artère ba silairc. Ce tronc se divise au-devant de la
t se distribue aux parties postérieures des hémisphères sous le nom d' artères cérébrales postérieures ou profondes. Une divisio
oïdes des ventricules latéraux. Sur les côtés, les vertébrales et l' artère basilaire fournissent d'arrière en avant : 1° Un
d'arrière en avant : 1° Un centimètre environ avant leur réunion, les artères cérébelleuses profondes. Ces artères se recourben
environ avant leur réunion, les artères cérébelleuses profondes. Ces artères se recourbent autour du bulbe et donnent au plexu
fort loin la description de ces détails. Elles fournissent encore les artères spinales antérieures. 2° Au-devant de la réunio
la réunion des deux vertébrales, le tronc basilaire donne les petites artères cérébelleuses latérales que loge le sillon horizo
ustique. Elles croisent la direction de ces nerfs, et fournissent les artères auditives. Plus en avant, il donne les artères
, et fournissent les artères auditives. Plus en avant, il donne les artères supérieures du cervelet. Ces artères, parallèles
s. Plus en avant, il donne les artères supérieures du cervelet. Ces artères , parallèles aux fibres de la protubérance, passen
elui des vertébrales, communiquent l'un avec l'autre au moyen de deux artères parallèles qui passent à droite et à gauche de l'
s qui passent à droite et à gauche de l'espace interpédonculaire. Ces artères , désignées sous le nom de communicantes, unisse
aire. Ce cercle entoure l'infundibulum. C'est de lui que naissent les artères des pédoncules et du triangle interpédonculaire.
en fournit de petits rameaux que Vicq-d'Azyr a désignés sous le nom d' artères choroïdiennes antérieures. Ces artères, pour la
zyr a désignés sous le nom d'artères choroïdiennes antérieures. Ces artères , pour la plupart, se divisent à l'infini dans la
ns inférieurs des pédoncules et se ramifient dans le locus niger. Les artères de la protubérance, et en général toutes celles q
ance grise, sont dans le même cas. Nous signalerons encore une petite artère qui, de l'artère cérébelleuse supérieure, se port
dans le même cas. Nous signalerons encore une petite artère qui, de l' artère cérébelleuse supérieure, se porte à la surface du
rieur du cervelet, dans l'intérieur du corps rhom-boïdal. Quant aux artères qui pénètrent dans les couches corticales, elles
thiques, appartiennent essentiellement aux enveloppes du cerveau. Les artères et les veines de la substance cérébrale naissent
dent détermine la perception d'un certain bruit; que le mouvement des artères et du sang soit perçu sous forme de bourdonnement
26 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ée pour une gomme, serait parfaitement inutile dans la syphilis des artères . Sans doute ce diagnostic est extrêmement délic
De toutes les formes de syphilis cérébrale, celle qui frappe les artères est certainement la mieux connue au point de vue
Le caractère le plus général est le suivant : dans la syphilis des artères cérébrales comme dans presque toutes les affect
ruptures artérielles que nous étudierons 'à part, la syphilis des artères agit presque uniquement en ischémiant ou ané- m
en pleine santé, sont presque caractéristiques de la syphilis des artères . - Rarement on observe des paralysies spasmodiq
s plus loin. , L'épilepsie partielle se voit dans la syphilis des artères comme dans les autres formes; mais elle est plu
s la syphilis méningée et gommeuse, sont rares dans la syphilis des artères . Cependant elles ont été signalées quelquefois
u, à l'ophtalmoscope, diagnostiquer des lésions syphi- litiques des artères de la rétine : c'est là un signe trop rare pour
existent guère2 que dans les cas de compression d'un nerf par une artère dilatée comme dans le cas rapporté plus loin. Loi
encéphale. - On peut distinguer dans l'évolution de la syphilis des artères cérébrales, deux périodes assez distinctes : l'
e de paralysie de la sixième paire pro- duite par un anévrisme de l' artère cérébelleuse intérieure. La troisième paire, pa
cérébelleuse intérieure. La troisième paire, par son voisinage de l' artère cérébrale postérieure, paraît tout particulière
. Dans un cas de Knapp ' il y avait une dilatation bilatérale des artères cérébrales antérieures, et une hémianopsie bilaté
er en faisant songer à une méningite de la base. Les anévrismes des artères cérébrales ont été bien décrits par Spillmanu=.
ement de la substance cérébrale. Ou bien les parois infiltrées de l' artère ont cédé à la pression sanguine, se sont déchir
outes ses localisations peut reconnaître pour cause la syphilis des artères . Nous dirons la môme chose de l'hémorragie céré
u'on obtiendrait aussi des résultais positifs dans la rupture d'une artère syphilitique. Cette inter- vention est d'ailleu
alysie générale ne nous ont pas paru se rattacher à la syphilis des artères plutôt qu'aux autres formes; le plus souvent il
'encéphale étantretiré, on examine d'abord l'état des vaisseaux : l' artère basilaire présente un aspect irrégulier, un peu m
sur la cérébelleuse antéro-inférieure; le moyen sur une des petites artères protubérantielles. Plusieurs de ces petites art
une des petites artères protubérantielles. Plusieurs de ces petites artères protubérantiellesprésenfent en outre des dilatati
u côté opposé. Le facial du -même côté : sf1 : i intact. Les autres artères de la base présentent de l'artérite mans- feste
nne gauche, au niveau du point où elle^' donner le tronc commun des artères frontale inférieure et frontale ascendante, on
tre de long. 11 ne parait pas obstruer complètement le calibre de l' artère , car les parois sont facilement sectionnées sur
envoie pas de prolongements dans le tronc com- mun des frontales. L' artère est perméable en deçà et au delà. Nulle part ai
xième paire seule était comprimée ; le facial était assez loin de l' artère dilatée, et macroscopiquement paraissait sain.
thique cervical ou de leurs noyaux d'origine. La turgescence des artères thyroïdiennes, résultant de la vaso-dilatation de
ence des artères thyroïdiennes, résultant de la vaso-dilatation des artères de la tête et du cou, a pour conséquence l'hype
g de la grandeur d'un noyau de citron dans la partie basilaire de l' artère de la fosse de Sylvius droite. Sur la paroi ant
'artère de la fosse de Sylvius droite. Sur la paroi antérieure de l' artère carotide interne gauche s'apercevait encore un
eur d'une cerise. Dans les sacs anévrismatiques, ainsi que dans les artères , il y avait des thrombus rouge foncé. Deuxième
de la grandeur d'un oeuf de poule, qui occupait tout le long de- l' artère basilaire. Dans la partie postérieure de la tum
basilaire. Dans la partie postérieure de la tumeur entrent les deux artères vertébrales et de sa partie anté- neutre sorte
les deux artères vertébrales et de sa partie anté- neutre sorte les artères cérébrales postérieures'. La tumeur a l'aspect
eux. A l'autopsie on trouva une tumeur qui sortait de la paroi de l' artère carotide interne et occupait une partie de la b
attaque foudroyante due à la thrombose ou à la rupture d'une grosse artère , doit toujours faire penser à l'envahisse- ment
ntent un double contour très net et sont très sinueuses. Anémie des artères qui sont rectilignes, filiformes, et se perdent
e important et est probablement dû aux conditions athéromateusesdes artères n'assurant plus que d'une façon irrégu- lière l
et les reins une périartérite intéressant de préférence les petites artères , semblable à celle qui se rencontre dans les diff
on pri- mordiale consiste en une prolifération nucléaire autour des artères . Les cellules ne s'altèrent que postérieurement
ne congestion cérébrale tempo- raire par diminution de l'action des artères des autres parties du corps; de là l'attaque d'
uite des hémorrhagies violentes, ou quand on a lié, soit les quatre artères cérébrales, soit les veines encépha- liques, mê
27 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
par le liquide céphalo-rachidien, sous forme de pseudo-kyste. Les artères de la base paraissent égales. - Les nerfs olfacti
s, mais surtout à droite, il y a du sang épanché sur le trajet de l' artère sylvienne. Encéphale : 1430 gr. Cervelet et ist
D., veine rénale droite ; V. R. G., veine ré- n ale gauche ; A. R., artère rénale ; A. R. S., artère rénale supplémen- tai
V. R. G., veine ré- n ale gauche ; A. R., artère rénale ; A. R. S., artère rénale supplémen- taire ; A. R. M. S., artère r
re rénale ; A. R. S., artère rénale supplémen- taire ; A. R. M. S., artère rénale médiane supplémentaire ; 13., bassi- net
médiane supplémentaire ; 13., bassi- net ; u., uretère; A I. P.D., artère iliaque primitive droite ; A. I. P. G., artère
uretère; A I. P.D., artère iliaque primitive droite ; A. I. P. G., artère iliaque primitive gauchi. REIN UNIQUE. 137 '
cheval vu en arrière. - R. rein; C. S., capsule surrénale ; A. R., artère rénale ; V. C ? veine cave ; A. R. S , artère r
le surrénale ; A. R., artère rénale ; V. C ? veine cave ; A. R. S , artère rénale supplémentaire ; U., uretère ; A, I. P.
A. R. S , artère rénale supplémentaire ; U., uretère ; A, I. P. D., artère iliaque primi- tive droite ; A. I. P. Go artère
tère ; A, I. P. D., artère iliaque primi- tive droite ; A. I. P. Go artère iliaque primitive gauche ; A. I. E., ar- tère i
e primitive gauche ; A. I. E., ar- tère iliaque externe ; A. I. I., artère iliaque interne. 138 APPAREIL URINAIRE. thyro
ueur de 4 centimètres et le droit de 3 centimètres. Description DES artères ET VEINES. - RAPPORTS. - Les artères diaphragma
centimètres. Description DES artères ET VEINES. - RAPPORTS. - Les artères diaphragmatiques inférieures, le tronc coeliaque,
r situation normale ordinaire et n'offrent aucune anomalie. - Les artères rénales, ainsi que les veines, sont au nombre d
à 1 et 2 centimètres au-dessous de la mésentérique inférieure. Les artères rénales supé- rieures entrent dans le rein à la
s passent en arrière ou pénètrent dans le rein au-dessus du hile. L' artère rénale inférieure gauche pénètre par plusieurs
rière du bassinet à 3 centimètres 1/2 au-dessus de la supérieure. L' artère rénale inférieure droite s'enfonce directement
ctement dans le rein à 1 centimètre environ en arrière du hile. Ces artères sont accompagnées par des veines rénales assez
agnées par des veines rénales assez grêles. Enfin nous trouvons une artère mé- diane venant de l'iliaque primitive droite
pl. III lig. 5), est presque identique au notre, uretères en avant, artères médianes provenant de l'aorte un peu avant sa b
28 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la circulation cérébrale (Duret, Heubner) sur la distribution de l' artère syl- vienne aux r3, FA, PA et Tl. On comprend a
égion en rapport avec l'odorat. Cela résulte des cas d'embolie de l' artère sylvienne gauche dans les- quels, en même temps
es sur la décompression brusque et sur l'iiijec- lion d'air dans le artères . Nancy, 1879. 88 CLINIQUE NERVEUSE. brisant l
hanger notablement la rapidité de la circula- tion du sang dans les artères capillaires et les veines. Que par cetle altéra
présence du sang mousseux dans les veines, le système porte, les artères , même dans les vaisseaux du placenta et des foe
e, les autres ne sont guère moindres. Dans le système artériel, l' artère qu'on pique, quelle qu'elle soit, laisse sourdr
g mousseux, mais la quantité de bullettes est moindre que celle des artères . Cerveau. - L'enlèvement de la boite crânienne
en bien moindre quantité. On rencontre ça et là aussi bien dans les artères que dans les veines de fines bullettes d'air.
ture du thorax. Sang mousseux aussi bien dans le coeur que dans les artères et dans les veines. Moelle. - Oblitérations gaz
énorme quantité d'air; pas de thrombus. Il en est de même pour les artères et les veines. Nous enlevons ensuite avec beauc
aussi des bulles d'air, on trouve aussi des perles gazeuses dans l' artère centrale qui en est oblitérée, Moelle. - Il y
ns ici, et de considérer au contraire le dégagement de gaz dans les artères comme le seul facteur qui peut engendrer ces ac
se immédiate des accidents, l'injection artificielle d'air dans les artères doit nécessairement donner lieu à des accidents
alogues. Plusieurs auteurs ont fait des injections d'air dans les artères . Ainsi M. Petit ' est arrivé à la conclusion su
circulation, et celui-ci n'est pas dû à la présence de l'air dans l' artère pulmo- naire car les branches de ce vaisseau ne
énumère les conditions. « Dans ce dernier ordre, l'air passe des artères dans les veines, s'accumule dans le coeur droit
t établi positi- vement que l'injection artificielle d'air dans les artères produit toujours des accidents comparables, aut
tifs. J. RoumnoYiTcn. ]V. MÉMOIRE sur l'arrêt DES hémorrhagies DE l' artère cérébrale MOYENNE ET DE SES BRANCHES PAR LA COM
artère cérébrale MOYENNE ET DE SES BRANCHES PAR LA COMPRESSION DE L' ARTÈRE carotide primitive; par WALTEII G. Spencer, chi
HOLOGIQUE. 147 Au point de vue anatomiqne, ils font remarquer que l' artère sylvienne et ses branches, principalement l'art
remarquer que l'artère sylvienne et ses branches, principalement l' artère de l'hémor- rhagie cérébrale de Charcot, sont s
de Charcot, sont sous la dépendance directe du courant sanguin de l' artère carotide. Et ils ont entrepris des expé- rience
Après avoir éthérisé un singe, ils mettent à nu le territoire de l' artère cérébrale moyenne et noient J'état de la circulat
côté contre les vertèbres et aussitôt les pulsations cessent dans l' artère sylvienne; l'écorce de ce territoire devient pl
M. Spencer et Horsley ont vu les hémorrhagies de la sylvienne, de l' artère lenticulo-striée, s'arrêter complètement après
glande thyroïde est de 7 p. z100 plus considérable que celle de l' artère . Kocher dit la même chose. Sous l'influence de ce
sociétés savantes. endroits des vaisseaux, elles affectent, sur les artères , la forme d'artério-sclérose noueuse, sur les v
, il n'y en avait que deux qui ne présentassent pas de sclérose des artères du corps, et, en particulier de la radiale ou d
gnostic de maladies des vaisseaux de l'économie etnolamment des d' artères cérébrales. M. 1l.tuz (de Fribourg). De la névr
dix à vingt secondes avant chaque accès une brusque contraction des artères de la rétine; ces vaisseaux demeurèrent rétréci
rmales. Evidemment ces accidents, qui tiennent à la contraction des artères rétiniennes, sont l'image de ce qui se passe da
ymétrique des doigts; bien qu'il existe une affection organique des artères (le malade a 60 ans), c'estbien une gangrène sy
moteurs, par Herzen, 284. Cérébrale ,arrêt des hémorrhagies de l' artère --moyenne par la com- pression de la carotide p
29 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
moelle sont fortement congestionnés. A l'examen microscopique, les artères de la base présentent de l'endartérite oblitéra
ères de la base présentent de l'endartérite oblitérante. Dans les artères des méninges, la tunique intel ne n'est pas alté-
vroglie sont nombreuses autour des vaisseaux. Quant à ces derniers, artères et veines, ils présentent des altérations inten-
ires sont tordus et épais- sis. En certains points, la lumière de l' artère est oblitérée ; les ter- ritoires irrigués par
ringomyélie. AI. Brissaud montre qu'en raison de la disposition des artères médullaires et radiculaires il n'y a pas lieu d
un cas, où la sclérose se développait certainement le long de la l' artère interfuniculaire ; 4° A côté de la déchéance, d
clérose 148 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. des artères du fond de l'oeil, des tempes, des extrémités sup
hilitique, car il faudrait pour cela une lésion trop élec- tive des artères destinées aux noyaux moteurs du bulbe et de la
t pas des vertébrales, il ne coule pas de haut en bas, il vient des artères lombaires et coule de bas en haut à la moelle c
ères lombaires et coule de bas en haut à la moelle cervicale. Les artères lombaires fournissent un grand canal, la grande a
vicale. Les artères lombaires fournissent un grand canal, la grande artère spinale d'Adamkiewicz, qui, avec les racines an
médiane de la moelle. C'est dans celte direction que le sang va aux artères spinales laté- rales d'Adamkiewicz, lesquelles
. 420 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. La grande artère spinale est, à cause de son volume, la porte d'
qui continue à grimper le long du sillon de la moelle, et donne les artères du sillon. Celles-ci pénètrent dans la profondeur
, s'enfoncent dans la commissure antérieure, et se divisent en deux artères sulco- commissurales par l'intermédiaire desque
ise. Ainsi s'expliquent les paralysies par endartérite de la grande artère spinale et leur marche. Les nerfs crâniens le
s à la parésie syphilitique sont ceux qui sont les plus voisins des artères affectées par le poison. Les uns sont affectés
circulatoire même ; les autres par les exsudats gommeux venant des artères malades dans les points où il existe un tissu l
ouvent près du cercle artériel de Willis (oculomoteur commun), de l' artère basilaire (oculomoteur externe, facial), des ar
r commun), de l'artère basilaire (oculomoteur externe, facial), des artères vertébrales (grand hypoglosse). Le bulbe n'est
circulation diffé- rente. Une injection de la moelle par la grande artère spinale gagne le long de la face antérieure de
icale. Là finit la chaîne anastomotique antérieure avec la première artère du sillon qui irrigue les cornes grises antérie
imite du quatrième ventricule. Une injection de haut en bas par l' artère basilaire fait pénétrer la matière injectée par
as par l'artère basilaire fait pénétrer la matière injectée par les artères vertébro-cérébelleuses dans le cervelet, mais n
ourants principaux. La circulation du bulbe l'isole du courant de l' artère basilaire et de celui de la grande artère spina
e l'isole du courant de l'artère basilaire et de celui de la grande artère spinale. La circulation du bulbe est assurée
nt au niveau du segment inférieur des deux pyramides. Ce sont les artères vertébro-spinales (Adamkiewicz) qui ne vont REV
iguer toute la moelle (on les avait appelées à tort à cause de cela artères spinales), mais qui finissent exactement à la l
mière paire cervicale. Une injection conduite de haut en bas, par l' artère basi- laire, remplit ces vaisseaux sans injecte
t la précaution de lier tous les autres vais- seaux qui partent des artères vertébrales, on obtient, par l'injection de l'a
i partent des artères vertébrales, on obtient, par l'injection de l' artère basilaire, l'injection du bulbe (Mémoires de l'ac
riale des sciences de Vienne, t. LVII, 1882). On voit alors que les artères vertébro-spinales sont d'un calibre bien inférieu
rtébro-spinales sont d'un calibre bien inférieur à celui des autres artères vertébrales et que le genre et la distribution de
Le courant sanguin qui s'y rend est donc doublement brisé : par les artères vertébro-spinales fines qui vien- nent des larg
: par les artères vertébro-spinales fines qui vien- nent des larges artères vertébrales par la résolution immédiate en capi
artères vertébrales par la résolution immédiate en capillaires des artères vertébrospinales. Ainsi est défendu ce ter- rit
be traité avec succès par distension des filets nerveux entourant l' artère fémorale ; - Roncali.Un cas d'abcès traumatique
s fausses membranes, est peu vascula- risée au niveau de la base. L' artère sylvienne droite est moitié ohM petite que la g
L'artère sylvienne droite est moitié ohM petite que la gauche. Les artères cérébrales antérieures paraissent égales, il en
ébrales antérieures paraissent égales, il en est de même des autres artères . Les nerfs optiques et le chiasma sont égaux. L
ques du côté gauche. A l'ophtalmoscope, congestion de la papille : artères et veines notablement dilatées, mais pas de névri
30 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
t très oppressée. Elle tousse. Les bruits du coeur sont sourds. Les artères sont dures et flexiieuses. Pas d'albumine. Le 1
le. Les sous-clavières sont un peu surélevées à la base du cou. Les artères accessi- bles à la palpation sont scléreuses ;
points. Le système vasculaire intra-parenchymateux est normal. Les artères et les nerfs de la capsule sont sains. Surrénal
dilatée sont à peine séparés. Sur la gouttière basilaire, les deux artères spinales postérieures, très athéromateuses, ont
mbre 1904). DE LA CYANOSE DES RÉTINES DANS LE RÉTRÉCISSEMENT DE L' ARTÈRE PULMONAIRE. - PAR J. BABINSKI et Mlle S. TOUF
du 2e espace intercostal gau- che, indiquant un rétrécissement de l' artère pulmonaire. Tension au sphygmomanomètre de Pota
nviron, on note au niveau d'un entrecroisement d'une veine et d'une artère un mouvement de progression du sang dans la vei
veineux. Ce mouvement de progression du sang se voit aussi dans les artères . La papille présente au centre une excavation p
T-XVOE. PI.XXVI1 Cyanose des Rétines dans le rétrécissement de l' artère pulmonaire DE LA CYANOSE DES RÉTINES 197 étan
cette convalescence qu'on pose le diagnostic de rétrécissement de l' artère pulmonaire. Depuis sa fièvre typhoïde, le malad
et. D'après M. le Docteur Vaquez il s'agit d'un rétrécissement de l' artère pul- monaire acquis. La tension artérielle au
, légère, mais nette, chez un malade atteint de rétrécissement de l' artère pulmonaire, sans cyanose généralisée. Dans leur
ation des veines chez un malade atteint de sténose congénitale de l' artère pulmonaire. Cet auteur emploie l'expression de «
rétines appartient à Knapp qui en 1870 relate les faits suivants : artères et veines rétiniennes très dilatées, les bords
les bords de la papille cachés par les vaisseaux, les veines et les artères vont jusqu'à la fovea ; acuité normale, champ v
hé- morragies rétiniennes. L'autopsie montre une oblitération de l' artère pulmonaire. Plaçons ici l'observation de M. l
schberg observe encore deux cas qu'il publie et ligure en 1904. Les artères rétiniennes sont normales, les veines sinueuses,
de cyanose généralisée paroxystique,une hémorragie par lésion de l' artère méningée moyenne et le cas de vascularisation rem
s qu'à la face interne du lobe sphénoïdal et du lobe orbitaire. Les artères cérébrales ne présentent pas de grosses lésions d
hauteur de la moelle on trouve une méningo- myélite discrète ; les artères ont leur paroi dégénérée sur le mode hyalin et au
oïde des deux pieds. Réflexes plantaires en flexion. Athérome des artères . Bruits cardiaques normaux. Foie. - Gros. Alter
tes cellules rondes, qui est maxima dans les sillons. Les grosses artères sont en dégénérescence hyaline. Les capillaires s
anés ; insuffisance aortique ; agi- tation très vive ; embolie de l' artère humérale ; lésions de tabès incipiens et méning
nant un liquide séro-purulent. Un peu au-dessous de son origine l' artère humérale droite a été trouvée dis- tendue et ob
. La substance médullaire est également enflammée ; on y trouve des artères SCLÉROSES COMBINÉES MÉDULLAIRES DES PARALYTIQUE
ure, dans l'espace compris entre les deux racines postérieures. Les artères spinales postérieures et les artérioles méningées
du liquide céphalo-rachidien et l'atrophie des nerfs optiques. Les artères de la base sont athéromateuses. La sclérose des c
es vaisseaux qui pénètrent dans le parenchyme sont enflam- més, les artères très altérées sont en dégénérescence hyaline très
e de larges plaques de substance grise ramollie. Pas d'athérome des artères de la base. Le foie, les reins, les poumons ne
atteinte de méningite ; la pie-mère est épaissie et infiltrée, les artères et surtout les veines ont leurs parois infil- t
la méninge-céré- brale, de petites cellules rondes. Vaisseaux. L' artère spinale antérieure ne présente ni dégénérescence
elle cervicale : méningite aiguë avec périphlé- bite nodulaire. Les artères à ce niveau ne présentent pas de péri-vascularite
es ont leurs vaisseaux très congestionnés, les veines surtout ; les artères sont également dégénérées. Ces racines sont infil
, l'infiltration de cellules rondes souvent réunies en nodules. L' artère spinale antérieure est atteinte d'une énorme enda
'on voit des traînées de cellules rondes autour des vaisseaux ; les artères de la subs- tance médullaire sont atteintes de
mmation méningée prédomine de beaucoup dans la partie antérieure. L' artère médiane antérieure est atteinte d'endartérite m
ue et l'on voit des corps granuleux dans l'espace périvasculaire de l' artère spinale postérieure. 11'issl.- Les cellules n
t au niveau de la substance grise. Il existe de la périartérite des artères centrales avec légère endartérite. Les racines
s une de ces cornes on trouve un petit foyer lacunaire autour d'une artère enflammée ; dans l'autre un petit foyer de ramo
, ont de la périartérite et de la périphlébite très accentuées. Les artères sont en dégénérescence hyaline. Dans l'écorce,
andes cellules pleines de corps réfringents et du pigment ocre. Les artères sont en dégénérescence hyaline. Les cellules ne
5. La pie-mère est peu épaissie, mais très adhérente au cortex. Les artères de la base sont saines en apparence. Pas de pac
existe une méningite légère diffuse avec dégénérescence hyaline des artères et épaississement chronique des veines du sillo
de l'urticaire a sa base anatomique dans une dilatation des petites artères capillaires de la peau suivie par une transsudati
nte pas de souffle orificiel, mais le second bruit est exagéré. Les artères frontales sont très saillantes et très sinueuses,
uite on sent les diffé- rents reliefs osseux et les battements de l' artère sous-clavière qui est ex- posée spécialement au
'arrêter pour combattre la théorie de Serres (4) des anomalies de l' artère nourricière du membre. Cette théorie qui fut po
émité supérieure du fémur, dans l'angle externe du pli de l'aîne, l' artère fémorale soulever la peau par ses battements. L
la base ne sont pas thromboses. Pie-mère mince et peu injectée.Les artères de la base non sclérosées, paraissent vides de
.), par DUPRÉ, 88. Rétines. Cyanose dans le rétrécissement de l' artère pulmonaire (1 pi.), par BA- BINSKI et 119LLE TO
E TouFEsCO. De la cyanose des rétines dans le rétrécissement de l' artère pulmonaire (1 pl. lithog.), 194. Ballet et Laig
Babinski. De la cya- nose des rétines dans le rétrécissement de l' artère pulmonaire (4 pl.), 94. Trémolières et Launois.
31 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
molli se trouve, au point de vue vasculaire sous la dépendance de l' artère cérébrale postérieure, mais il ne porte pas sur
mettre que l'oblitération a porté non sur le tronc prin- cipal de l' artère , mais sur une de ses branches plus importantes.
edémateuse. Les ventricules du cer- veau sont dilatés. Sclérose des artères de la base du cerveau. - Cavité du thorax et ce
, mais légèrement atrophiées au niveau du lobe frontal. Les grosses artères sont saines : la communiquante antérieure est d
nérescence artérielle est démontrée par la saillie et la dureté des artères ; il n'est pas rare non plus de rencontrer chez eu
t d'indices de troubles de la nutrition dus à la dégénérescence des artères . Les altéra- tions viscérales indiquent ordinai
ts ne sont nullement indispensables pour qu'elle se produise. Les artères de la base du crâne offrent presque toujours des
ail- leurs comme relativement rare. Les petites ramifications des artères du cerveau, examinées sur une coupe micrographi
e et fibreux, ou bien encore s'infiltrer de graisse, comme dans les artères plus grosses. Les tissus qui constituent le vai
ainsi l'illusion d'un état granuleux. Les états signalés dans les artères de moyenne taille se ren- contrent chez les ali
ans un certain cas et dans une certaine mesure, les altérations des artères peuvent être secondaires, mais qu'il y a des ra
à l'interruption de la distribution sanguine mal accomplie par des artères obstruées ou malades. A cette lé- sion, à cette
res obstruées ou malades. A cette lé- sion, à cette obstruction des artères , on peut trouver bien des causes, mais la plus
eubiier pour le cerveau. L'auteur étudie successivement les grosses artères des régions pé- donculaires et protubérantielle
ligne médiane sont alimentées par les branches qui proviennent des artères à direction antéro- postérieure, longeant la li
les quadrijumeaux antérieurs. A la base du cerveau, du point où les artères céré- brales postérieures s'abouchent dans la b
perpendiculairement de la base en arrière et ces vaisseaux sont des artères terminales ; le noyau de l'oculo-moteur commun ne
l'épilepsie essentielle. On a employé la ligature d'une ou des deux artères vertébrales, l'excision du gan- glion cervical
s plaques athéromateuses épaisses est rétrécie et insuffisante. Les artères aorte et pulmo- naire sont dilatées, gorgées de
iron 00 grammes 260 CLINIQUE MENTALE. de sang rouge provenant des artères carotides et vertébrales béantes et dures. Les
des-hé- misphères cérébraux ne s'écartent point de la moyenne. Les artères sont indurées et béantes. Les coupes ne laissen
ns sont surtout accen- tuées à la base du crâne, en particulier aux artères hasilaire et vertébrale du côté droit. Les artè
particulier aux artères hasilaire et vertébrale du côté droit. Les artères cérébelleuses oblitérées dès leur origine n'app
- et pour le champ visuel droit 20/100, avec légère rétraction des artères et papille de coloration normale, mais il bords
syphi- litique, à une combinaison de lésions relevant à la fois des artères radiculaires postérieures et de la spinale anté
ifférence du calibre des vaisseaux des membres gauche et droit; les artères du membre gauche sont notablement plus étroites
veines, au contraire, sont légè- rement dilatées. En examinant les artères du membre atteint depuis la main jusqu'à la sou
vre est infiltré par place, quoique à un léger degré. Les grosses artères : humérale, radiale, cubitale, ont un calibre b
. Ainsi, par exemple, l'hu- mérale présente à peine le calibre de l' artère radiale normale. A l'examen microscopique on n'
culation par suite du rétré- cissement de la lumière aussi bien des artères que des veines, mais aussi une diminution de la
res que des veines, mais aussi une diminution de la vis a lergo des artères qui chassent le sang dans les veines. La stase
caractères constants : les veines se dilatent de plus en plus ; les artères , qui ne se trou- vaient que dans un spasme temp
février 1896. EXPLICATION DE LA PLANCHE II. 1'ig, 1. - Coupe de l' artère cubitale avec les deux veines qui l'accom- pagn
- pagnent. On peut y voir le décollement de la tunique interne de l' artère , des hémorragies dans l'épaisseur de la tunique
icroscopique. A ne considérer d'ailleurs que l'épaississe- ment des artères de la pie-mère et l'accroissement de la tension
risé à conclure qu'il s'agissait chez son malade d'une embolie de l' artère cérébelleuse postérieure et inférieure gauche.
ide et les carrés à un lobe. Planche II. 1'ill. 1. - Coupe de l' artère cubitale avec les deux veines qui l'accom pagne
m pagnent. On peut y voir le décollement de la tunique interne de l' artère , des hémorragies dans l'épaisseur de la tunique
32 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
e, en contournant en dessous la base de la verge. Trois ligatures d' artères seulement ont été faites. Mais il s'est écoulé un
1 , à dix heures du matin, on instituait la compression digitale de l' artère fémorale, dans le triangle de Scarpa.— La compres
, les trois doigts suivants sous le bord postérieur du même muscle, l' artère étant suivie et comprimée ainsi comme par une pin
chan tenta le premier de traiter l'éléphantiasis par la ligature de l' artère fémorale. Il fit cette opération cinq fois; son e
le docteur Stneter. On possède actuellement neuf cas de ligature de l' artère fémorale, trois cas de ligature de l'iliaque exte
accumulation dans les tissus des matériaux nutritifs apportés par les artères , non résorbés par les lymphatiques obstrués, deva
, et enfin la gangrène, toujours possible à la suite d'une ligature d' artère ? Vous voyez, messieurs, mes hésitations, et vou
plus tard. Autopsie le 16 juin. — Tête : Os, péricrâne, rien. — Les artères de la base offrent quelques plaques graisseuses.
oint d'émergence et 18 millim. un peu au-dessus de sa division. — Les artères iliaques externes et internes sont également dila
ecroisés en divers sens. Au milieu du tissu fibreux, on distingue des artères et des veines d'un gros calibre, constituant des
as à une incision profonde, mais elle expose à la lésion de la petite artère crico-thyroïdienne dont l'hémorrhagie n'est pas s
grande quantité de sérosité. La pie-mère est légèrement injectée. Les artères sylviennes ainsi que les autres artères de la bas
est légèrement injectée. Les artères sylviennes ainsi que les autres artères de la base, sont souples, nullement athéromateuse
s hôpitaux, M. Gosselin a fait commencer la compression digitale de l' artère crurale gauche. Cette compression a été faite qua
ormale. Elle présente à la base du ventricule, le long du trajet de l' artère coronaire gauche, un infarctus du volume d'une pe
gauche, un infarctus volumineux, à la face antérieure. L'examen de l' artère correspondante ne fit rien reconnaître. — Le rein
in. Les ovaires et les ligaments larges n'offrent rien à noter. Les artères tibiales postérieures et pédieuses ont été suivie
33 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
e faut pas interrompre l'avivement pour arrêter l'hémorrhagie par les artères , parce que la suture suffira pour la faire cesser
ans le tissu cellulaire extra-vaginal. Bien qu'il n'ait pas atteint l' artère utérine en opérant de la sorte sur le cadavre, on
ce, à la condition toutefois que la chaîne soit un peu biseautée. Les artères n'offrent pas beaucoup de résistance; la manière
second mode de fermeture du vaisseau. Si après avoir ainsi di-visé l' artère avec l'écraseur, on y introduit un tube et qu'on
ac,, que l'écrasement linéaire com-mence par clore hermétiquement les artères avant de les cou-per. Pour les veines et pour les
e n'est pas identique, mais l'occlusion est aussi exacte que pour les artères . Quand on veut obtenir d'une façon certaine les
on de l'ar-tère spermatique dans l'opération du sarcocèle, contre les artères thyroïdiennes dans l'extirpation du goitre, quelq
roïdiennes dans l'extirpation du goitre, quelque-fois même contre les artères linguales et presque toujours contre la section d
ontre les artères linguales et presque toujours contre la section des artères principales des membres. Comme pour l'écrasemen
une hy-pertrophie dont la base est volumineuse, ou parcourue par des artères dont on sent les battements, ou encore lorsqu'on
portion sus-vaginale, sauf l'augmentation de volume des veines et des artères , mais la portion sous-vaginale est souvent le siè
tation fournit souvent une grande quantité de sang ; on doit lier les artères au fur et à mesure qu'on les ouvre. Si on voulait
seux, ce qui donne une grande sécurité pour la ligature des dernières artères . Les ligatures ordinaires donnent souvent des déc
ont la tête est munie d'un fil, il transperce l'extrémité béante de l' artère et les tissus circonvoisins avec cette épingle, p
ns le cas de col très-volumineux et dans lequel on sentait battre des artères . L'amputation par l'écraseur est plus longue, plu
s, inflammation qu'on a vue se propager aux veines qui accompagnent l' artère utérine, aux veines ilia-ques et crurales. Il en
ement sur la ligne mé-diane, les cordons fibreux qui représentent les artères ombi-licales ; enfin le péritoine. Une erreur ass
es porte-épingks, etc. 3" Des flls de soie cirés pour les ligatures d' artères ; des fds d'argent fin pour les sutures superfici
tés, mit le pédicule en liberté, saisit dans une pince à pansements l' artère ovarique qui fournissait le sang, et serra cette
résente le ligateur monté sur sa pince, qui saisit l'ex-trémité d'une artère ; l'anse est passée autour de cette artère, on n'
saisit l'ex-trémité d'une artère ; l'anse est passée autour de cette artère , on n'a plus qu'à tirer sur le coulant. Figure x.
coulant. Figure x. Pince à pression continue, servant à comprimer les artères , ou les adhérences très-vasculaires. On y a ajout
eur de cette ouverture était épais et constitué en partie par une des artères mésocoliques ; l'intestia était presque gangrené.
nt au ligament de Fallope, un peu au-dessus de lui, et en dehors de l' artère épigastrique. Cette incision peut avoir 7 centimè
34 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
ntré dans l'hémisphère droit un ramollissement dans le domaine de l' artère cérébrale postérieure, qui avait détruit la régio
rencontre de nombreux corps granuleux. Les vaisseaux (branches de l' artère cérébrale postérieure) sont athéromateux. 3° Su
on avait atteint la substance grise de bulbe ; on trouva autour des artères de petits foyers d'inflammation. Le même travai
eau et d'autres auteurs signalent des hydatides siégeant autour des artères temporales. Lancisi (1709) rapporte des cas de
es kystes, ils peuvent se trou- ( ver groupés deux par deux sur les artères sylviennes à la façon des l' haltères ; nous av
parois de la calotte crânienne qui est dure et très épaisse. Les artères de la base sont très athéromateuses. En décortica
D'UN ECTROMÉLIEN DÉMIMÈLE '137 Vaisseaux. - Le système vasculaire, artères et veines, semble assez peu développé dans le s
upérieurs ; nous n'avons pas réussi à percevoir les pulsations de l' artère radiale au poignet, ni à droite, ni à gauche. A
ome I, p. 234. 140 HUET ET INFROIT du coeur manque. Anomalies des artères . - Les poumons manquent. - Le cordon ombilical
lobule de l'insula aplati et repoussé en dedans et en haut. De l' artère sylvienne se détache, vers le néoplasme, deux à t
ce intercostal droit. NOEVUS VEINEUX ET HYSTÉRIE 219 Vaisseaux. - Artères facilement dépressibles, non indurées, ni sinueus
ères facilement dépressibles, non indurées, ni sinueuses. Pouls à l' artère radiale : dicrote, lent. Nombre de pulsations : m
et à la compression qu'il faut exercer de ce côté pour atteindre l' artère . Très légères varices aux membres inférieurs. -
es doigts ; elle n'existe, paraît-il, que depuis un an et demi. Les artères radiales droite et gauche battent de même. En s
smarch enlevée, le sang s'écoula, comme d'une main normale, par les artères collatérales. Six ou sept ligatures au catgut. Su
oit conduire sur la collatérale de ce doigt. On ne peut trouver cette artère , pas plus que le filet nerveux qui l'accompagne
e jusqu'à sa bi- furcation et au delà. En effet, les fémorales, les artères des jambes des deux côtés sont indurées, inégal
tement incrustées de sels calcairès. ' Nous n'avons pas examiné les artères des membres supérieurs, mais il est probable qu
la protubérance et le bulbe ne présentent rien de particulier. Les artères de la base sont relativement souples. La moelle n
es lésions du foie artérioscléreux. Epaississement des pa- rois des artères , pas d'épaississement des veines. Renforcement de
appe le plus,c'est un épaississement général du stroma conjonctif.Les artères s'y dessinent par des anneaux très renforcés et
ïdes, ni dans la substance grise, ni dans la substance blanche. Les artères sont épaissies considérablement sous la pin-mère
- culaire. C'est une moelle sénile, artérioscléreuse, lésée par ses artères , tandis 426 ' HUDELO ET HEITZ que, les artère
use, lésée par ses artères, tandis 426 ' HUDELO ET HEITZ que, les artères du cerveau étant restées saines, celui-ci se trou
r contre, l'aorte abdominale était extrêmement lésée, ainsi que les artères des membres. Les vaisseaux de l'encéphale, des
tous ces viscères doivent être expli- quées par l'athérome de leurs artères . Cela est, surtout évident pour les reins, si l
Le malade de Thibierge (1) avait le 2e bruit aortique exagéré, les artères dures, le pouls brusque. Marie (2) note chez sa
use dans tout son trajet, mais surtout à la portion abdominale; les artères des membres épaissies, tortueuses, irré- gulièr
s épaissies, tortueuses, irré- gulières ; les reins kystiques ; les artères encéphaliques épaissies, la pie- mère du cervea
, 19 juillet 1901. 428 HUDELO ET HEITZ met en évidence toutes les artères des membres, jusqu'aux arcades plan- taires et
sont profondément touchés. 3° Hypothèse de l'état athéromateux de l' artère nourricière de l'os. M. Béclère (5), après avoi
rès avoir montré à la Société médicale des hôpitaux les différentes artères des membres sur les radiographies du malade de Ga
nutrition de l'os, sous la dépendance de l'état athéromateux de son artère nourricière. Par là s'expliquait très facilemen
l'évolution du tissu osseux. En effet, si l'état athéromateux de l' artère nourricière, rend parfaitement compte de l'osté
autopsies de maladie de Paget, prélever pour chacun des grands os l' artère et le nerf, et étudier ce der- nier, tant sur c
35 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
déborde le gauche un peu en avant et davantage en arrière. - Les artères , nerfs, tubercules mamillaires, pédoncules, sont
o-pariétales sur un espace d'environ un centimètre de lar- geur ; l' artère méningée moyenne s'y est creusée des sillons pr
à droite. Myocarde pâle, d'épaisseur normale. Le cône formé par l' artère pulmonaire présente un épaississement. circonscri
s avec quelques taches graisseuses et des épaississements scléreux. Artères coronaires minces. Poumon gauche, rougeur légèr
consécutive au rétrécissement de la trachée, etc. (liga- ture des artères thyroïdiennes inférieures , Kocher), à l'anémie
A l'ouverture du crâne, il ne s'écoule que très peu de liquide. Les artères , les nerfs et les autres parties de la base de
s adhérente. Sa surface est lisse, elle n'est pas transparente. Ses artères sont pleines et ses vei- nes à moitié vides. Da
ié gaucho est très proéminente et forme une tumeur .que contourne l' artère basilaire. L'artère cérébelleuse supérieure gau
roéminente et forme une tumeur .que contourne l'artère basilaire. L' artère cérébelleuse supérieure gauche pénètre très pro
profondément dans le pont de Varole. .Les origines nerveuses et les artères de la base de l'encéphale n'offrent rien d'anor
tiques) est infiltrée de pseudo-pus fibrineux. Le dégage- ment des artères et des veines de la pie-mère est difficile à ca
u'on peut le voir par suite de l'épaississement de la pie-mère, les artères de la base et les nerfs seraient symétriques. L
e de l'encéphale sont symétriques (nerfs, pédoncules, protubérance, artères , sauf la commu- nicante postérieure droite qui
ononcée à la convexité. La décortication s'opère facilement. -- Les artères de la base sont symétriques, sauf que la commun
e (1.190 gr.). Les différentes parties de la base de l'encéphale ( artères , nerfs, etc.) sont symétriques. Sur la convexit
on : e. Fracture double et symétrique des 7es cartilages costaux. - Artère vertébrale droite moitié plus petite que la gau
al, on trouve seule- ment un peu d'athérome autour des orifices des artères coronaires. Endocarde un peu épaissi dans la ca
es latéraux et. la corne d'Ammoo n'offrent rien de particulier. Les artères de la base sont symétri- ques, mais l'artère ve
n de particulier. Les artères de la base sont symétri- ques, mais l' artère vertébrale droite est au moins de moitié plus p
temporal gauche, sur le lobe occipital droit et le cervelet. - Les artères et les nerfs de la base ainsi que les tubercule
36 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
s difficilement au niveau de l'angle antérieur des parié- taux. Les artères de la base sont symétriques. La pie-mère cérébr
écoulé 75 grammes de liquide céphalo-rachidien mêlé de sang. Les artères de la base, les nerfs olfactifs, optiques, les ba
- Coeur : 58 gr. Quatre tubercules gélatiniformes à la pointe. Les artères aorte et pulmonaire ont leur calibre normal. Le
il est relié par un méso triangulaire dont le bord libre contient l' artère de l'organe. Celle-ci émet des branches par sa
un peu épaissie, blanchâtre, et cela sur chaque hémisphère. - Les artères , les nerfs de la base paraissent tout,il,fait sym
éche osseuse. clic. Liquide céphalo-rachidien assez abondant. Les artères de la base ne présentent pas d'anomalies de dispo
ite du crâne. , absence de synostose. - Diminution de calibre des artères de la moitié gauche du cerveau. - Atrophie de la
ces qui l'unissent à la pic-mère et cèdent faci- lement. Toutes les artères de la base qui correspondent à l'hé- misphère g
de poids de deux cents grammes; - 2° un arrêt de développement des artères cérébra- les ; - 3° une atrophie de la bandelet
s de Sylvius et au niveau des pédoncules en arrière du chiasma. Les artères de la base n'offrent aucune anomalie apparente.
e. Les nerfs olfactifs, optiques, les tubercules mamillaires, les artères , les pédoncules cérébraux sont symétriques. Corps
petit, ferme, avec ses vaisseaux saillants à la surface. L'aorte, l' artère pulmo- naire et leurs valvules n'ont rien de pa
e. - Les nerfs olfuctifs, optiques, les tubercules mamillaires, les artères et la protubérance, sont symétri- AUTOPSIE ; MÉ
hymotiques à droite et à gauche. Les veines de la co ivexité et les artères de la base sont distendues par du sang fluide.
tre sur deux de large : elle est tapissée par une mince membrane. L' artère méningée moyenne se creuse le long du bord anté
e de l'aorte est normal ; ses parois sont souples. Les orifices des artères coronaires sont situés au point d'affleurement
ince et constituée par l'adossement des doux endocardes. - Rien à l' artère pulmonaire. Abdomen. - Rein droit et gauche (39
sym"ll'ique. Il en est de même des nerfs olfactifs et optiques, des artères , etc. Le tubercule mamillaire gauche parait plu
es circonvolutions frontales droi.e et de celles du territoire de l' artère sylvienne à gauches IlepatLaliou rouge des lobe
ssure de Sylvius; elle parait surtout porter sur le territoire de l' artère sylvienne. - Le lobe occipital est indemne. - L
s. Les autres nerfs de la base paraissent à peu près normaux. - Les artères sont symétriques. - La protubérance est un peu
i de long sur un demi centimètre de large. Le sil- lon creusé par l' artère méningée moyenne est profond et bien dessiné su
e sur deux de large : elle est tapissée par une mince membrane. L' artère méningée moyenne se creuse le long du bord anté-
37 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
leurs vaisseaux artériels des gros troncs de la base du cerveau. L' artère cérébrale antérieure envoie les artères striées
ncs de la base du cerveau. L'artère cérébrale antérieure envoie les artères striées antérieures qui vont se perdre dans la tê
ce groupe se trouve la branche connue depuis Charcot sous le nom d' artère de l'hémorragie céré- brale. Le groupe postér
la partie externe et antérieure delà couche optique. - . Enfin l' artère cérébrale postérieure envoie à la couche optique
postérieure envoie à la couche optique plusieurs branches : ' Les artères optiques inférieures; L'artère optique postérie
ique plusieurs branches : ' Les artères optiques inférieures; L' artère optique postérieure et interne; L'artère optiqu
optiques inférieures; L'artère optique postérieure et interne; L' artère optique postérieure et externe. De l'origine mê
qui pour nous a une grande importance : c'est la verticalité de ces artères . Elles naissent en effet à la base du cerveau e
ris environ à leur 'partie moyenne nous sommes perpendiculaires aux artères striées et optiques, per- pendiculaires par con
au lieu d'élec- tion, ou celles qui sont parallèles sectionnent les artères des noyaux centraux perpendiculairement à leur
e grande quantité de cellules embryon- naires. Malgré ces lésions l' artère est toujours perméable. Autour d'elle dans un r
e de distinguer au microscope un espace suffisamment étendu entre l' artère centrale .de la lacune et le tissu cérébral même
ales du foyer. Il n'y a plus ici comme dans le 1°= degré union de l' artère avec le tissu céré- bral altéré. Cette union a
artère avec le tissu céré- bral altéré. Cette union a été rompue, l' artère est séparée du tissu qui la soute- nait ; elle
ription particulière. La première partie ou centre estoccupée par l' artère , la deuxième ou périphé- rique est constituée p
t distinguer aux artérioles les trois tuniques caractéristiques des artères il l'état de grande simplicité c·est-é-dire : u
state déjà des transformations qui tiennent uniquement à l'âge de l' artère . Les modifications portent alors principalement
matoire quelconque. Ce phénomène qui n'est du reste pas spécial aux artères cérébrales mais qui est commun à toutes les art
pas spécial aux artères cérébrales mais qui est commun à toutes les artères séniles a été bien étudié par Léger (1) et Boy-
désigné sous le nom de xérose ou évolution conjonctive mar- quant l' artère qui vieillit normalement. Ces auteurs eux-mêmes m
que moyenne devenue fibreuse. (1) LÉGER, Contribution à l'élude des artères séniles normales thèse de lllontpellier, 1894-1
re. Sur une de nos photographies en particulier on voit très bien l' artère située presque an centre de la lacune. Ses parois
sant peu de traces au mo- ment où il nous a été permis d'examiner l' artère , mais elles sont bien moins accentuées que les
es que l'on rencontre dans les noyaux gris comme les bran- ches des artères lenticulaires par exemple, et non pas des volumin
es des artères lenticulaires par exemple, et non pas des volumineuses artères de la base du cerveau.) Les lésions de ces tu
pas toujours également ré- parties sur toute la circonférence de l' artère . Il en résulte qu'elle est souvent déformée. El
vaisseaux et la cavité s'augmentant inégale- ment on ne voit plus d' artère centrale. On observe alors de préférence au voi
n- tent tous les caractères que nous avons décrits précédemment à l' artère centrale. Elles sont toutes perméables et si el
les soutient : or on sait à quelle grande pression sont soumises les artères cé- rébrales. Quoi d'étonnant que ces artériole
de cinq jours, présentant une absence des muscles pectoraux. Or les artères étaient normalement développées et les nerfs, m
B). A première vue il est indubitable que c'est l'oblitération de l' artère calcarine qui a entraîné la nécrobiose, car le
ollissement du splenium ne peut être le fait de l'oblitération de l' artère calcarine, puisque cette partie du corps calleu
s cellulaires, surtout au voisinage des vais- seaux de la pie-mère. Artères saines, sauf épaississement de la tunique externe
ésions du tronc basilaire méritent une description spéciale ; cette artère , ainsi que la terminaison de la vertébrale gauche
gées de sang, mais elles n'offrent ni endo-, ni périphlébite. Les artères de la pie-mère n'offrent pas non plus d'inflammat
38 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
on voit que la nécrose n'a atteint qu'une partie du territoire de l' artère frontale interne et postérieure ; il n'y a donc e
lui des PORR\'CÉPHALI1 : CONGÉNITALE o3 branches ascendantes de l' artère sylvienne artères frontale inférieure, frontale
ÉPHALI1 : CONGÉNITALE o3 branches ascendantes de l'artère sylvienne artères frontale inférieure, frontale ascendante, parié
re -. Les corps opto-striés et la capsule interne, irrigués par les artères centrales provenant du tronc de la sylvienne, n
nomètre de Potain est de 93 cm . 5 ; le pal- per sur le trajet de l' artère ne révèle rien. Les troncs nerveux au bras parais
. La tension artérielle est de 13 à 14 centimètres à la cubitale. L' artère radiale qui ne bat plus se sent mal, les troncs
litérations vasculaires nous est ici donnée par l'oblitération de l' artère radiale droite,permanente depuis 1905, et l'obl
e droite,permanente depuis 1905, et l'oblitération transitoire de l' artère radiale gauche. En même temps que les artères,
ation transitoire de l'artère radiale gauche. En même temps que les artères , les nerfs ont-ils été touchés ? est difficile de
sky a cité un cas d'atrophie des fibres nerveuses avec sclérose des artères . On peut conclure ici que l'endartérite est cer
érations ne sont pas précédées de syncopes ni d'asphyxie locales, l' artère radiale droite est oblitérée, le pouls radial gau
Il n'existe aucun trouble dans le reste du corps ; la malade a les artères de son âge, sans présenter désignes de petite uré
raphie de la jambe gauche se dessine très nettement une des grosses artères du membre, stigmate radiographique d'athérome.
ÉANCE DU 9 JANVIER 1908 , ANÉVRYSME VOLUMINEUX D'UNE BRANCHE DE L' ARTÈRE CÉRÉBRALE MOYENNE OU SYLVIENNE , SIGNES CLASS
. Le lieu de prédilection de ces der- niers est incontestablement l' artère cérébrale moyenne ou sylvienne. L'histoire clin
, à bords à coloration blanchâtre (atrophie, suite de névrite). Les artères temporales et irrégulières, nasales supérieures
meur anévrysmale qui s'est développée aux dépens d'uue branche de l' artère sylvienne.Pleine de sang et de caillots strati-
santes qui feront l'objet d'une communication spéciale. Enfin, les artères cérébrales présentent des lésions très nettes et
es altérations vasculaires, dégénérescence hyaline et endartérite d' artères interfasciculaires, périphlébite de quelques vein
ltramus- culaires ont perdu toutes leurs fibres. ' Vaisseau : Les artères intra-musculaires présentent : parois très épaiss
ons étaient clairs et complètement libres de bruits surajoutés. Les artères périphériques qui oedème PERSISTANT HEREDITAIRE
palpées étaient normales ; le maximum de la pression du sang dans l' artère brachiale prise en différentes occasions par l'ap
ètre assez réduit, mais proportionnellement aux autres organes. Les artères périphériques ne montrent aucune anomalie. Le pou
culier l' au tronc et aux membres. , Examen ophtalmoscopique. Les artères sont très grêles. La papille est atteinte d'atr
iminution porte surtout sur le lobe occipital droit. Les parois des artères de la base sont fortement épaissies. Co ? I)es.
ation de l'esto- mac ou du duodénum (ictère) ou bien l'embolie de l' artère hépatique. » Je ne crois pas que cetle hypolhôs
e. Reste l'embolie de la peau; c'est bien : mais embolie de quelles artères ? La plaque était unique, égale, large de plusi
usieurs centimètres. Il ne s'agit pas du territoire dépendant d'une artère unique : il faudrait songer à une quantité de p
qui arrivaient dans le même endroit et qui se déversaient dans les artères capillaires de la région. Est-ce possible ? Les
t, la nutrition du tégument souffre, comme on l'observe lorsque les artères d'un membre sont bouchées par des embo- 496 VAL
nes vasculaires de la peau,ouvre,dans la sphère de distribution de l' artère , une aire de pleine circulation, d'où diapédèse
el (1 pl.), 249. Souques. Anévrysme volumineux d'une branche de l' artère cérébrale moyenne ou sylvienne. Signes classiqu
pl.), par CATOLA, 129. Anévrysme volumineux d'une branche de l' artère cérébrale moyenne ou sylvienne : signes de tume
manifestations d' -) chez deux aliénés (2 pl.), par Pailhas, 162. Artère cérébrale moyenne(Anévrysme'volu- mineux d'une
A, 129. Tumeur cérébrale (Anévrysme volumineux d'une branche de l' artère cérébrale moyenne ou sylvienne ; signes de-; du
39 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
in lorsque la lésion des gros vaisseaux nourriciers de la moelle, artères ou veines, prend une importance prépondérante, il
escendante de toutes les fibres de ce nerf. Lésions spécifiques des artères de la base du cerveau. Gommes microscopiques de
se du cerveau et des méninges rachidiennes sont le siège, veines et artères , de lésions nodulaires caractéristiques de la s
s l'état actuel de nos connais- sances. Ces lésions portent sur les artères , et plus encore sur les veines, de la base du c
es, de la base du cerveau et de la pie-mère rachidienne. Toutes les artères de la base du cerveau présentent des plaques d'
ellules rondes ; elles ne contiennent pas de capillaires. Fig. 8. - Artère cérébrale postérieure. Péri-artérite nodulaire ;
de la tunique nourricière ; elle est encore peu avan- cée. Dans les artères de la pie-mère rachidienne, la périartérite est
de la veine; au-dessous on voit la racine postérieure, à gauche une artère saine. Ilémaloxylizze de Delalifld, éosine. (Obj.
lésion des veines l'emporte de beaucoup en intensité sur celle des artères , à la base du cerveau comme à la surface de la
e ventricule est très finement et très régulièrement granuleux. Les artères de la base sont saines. On ne trouve aucune lés
flement lombaire, mais dès la partie,, moyenne, de, ce renflement l' artère antérieure et les artères .postérieures sont le
la partie,, moyenne, de, ce renflement l'artère antérieure et les artères .postérieures sont le( siège d'une endartérite fi
régions supérieures de la moelle. Les, veines, qui accompagnent les artères , portent également dans leur paroi la trace d'u
. , t.{u , ? i, il ').t't((t. > 1 IIW. Cerveau., .- Les grosses artères de la base sont- saines, à i'excep ? u tion de
e la carotide interne des deux côtés et'de là" syrienne gauche. Ces artères présentent une endartérite trôs'mar-'1' ' ` Fig
'T)n i^, -wi -m ^unrii s < ? iuu .r,i.... 'iy. : 24 ? Coupe de l' artère sylvienne gauche; légère endartérite obli ? 1 t
un seul' et'même processus ? De^plus, les gros vaisseaux, veines'et artères ? de a bas'e"d ? et, de. la vaisseaux,, veines
eines'et artères ? de a bas'e"d ? et, de. la vaisseaux,, veines et, artères , de la base du, cerveau et, de, la pie-mère'rac
ulaire, ainsi qu'il il était facile de le constater, sur beaucoup d' artères de la malade de- l'observation I. Quant à l'end
u point de vue de l'évolu- tion ultérieure des accidents : dans les artères , au moins dans les petites artères, la syphilis
érieure des accidents : dans les artères, au moins dans les petites artères , la syphilis amène l'oblitération, dans les vei
beaucoup plus bas dans l'arbre vasculaire et atteindre les grosses artères et les grosses veines de l'encéphale ; dans ce
VII., Un cas, de .paralysie ISCHËMIQUE CONSECUTIVE UNE EMBOLIE de l' artère fémorale ; par ,F. CIIVOSTEIi.. (JcziarLÜch. f. P
rrTlFr% srtih s,r,r.'l, -j » XXXIIL' Recherches anatomiques sur les artères cérébrales (Etude , sur la non-terminalité des
ques sur les artères cérébrales (Etude , sur la non-terminalité des artères de la parle Dr Biscorrs. - (Nouveau Mo ? ztîiel
-rtn.i.sr. p·) r : ? c')ttat,Jf ! 9m9 ) r ' 4r t Injectant dans une artère cérébrale de 'l'alcool tenant en sus- pension '
é, laHcire" à' cacheter,3 l'auteur'' a'- vu 'le territoire de cette artère .s'injecter' d'abord et l'injection'' ressortir e
hes nourricières ou pulpeuses, elles' partent à' angle 'droit,, des artères ,de, la pie-mère, mais ne communiquent@%pas -ent
%pas -entre elles. L'existence, constante d'anasto- moses entre les artères cérébrales dans leur trajet pie-mérien, ne suff
rrompue par un caillot/grâce'sans'doute à<un'état<anormal des artères , et grâce peut-être aussi à' des phénomènes d'e
la tête. Cette incision etat etend eau péiiéranium Deux petites, il artères ayant été garanties, un disque d os de 1 12. pouc
iI-((rlil "lJ'' it- 1 -t' ? " £ * -»'... .A1'autopsie on trouve les artères athéromateuses puis, au devant du. sillon de Ro
Bleuler, 147. .- ? 03 <*. ,f · - 1 .,·t,··,, '<t.f\ n 1 ARTÈRES cérébrales, recherches ana- toniques sur les -,
le ' consécutive à la diphtérie, par , Seifert, 192 ; lésions des artères et des muscles dans les cérébrales, par Dai-h
, 186; un cas de is- chémique consécutive^ une em ? . bolie" de l' artère fémorale, par ' Chvosteck, 196.,ri , . Paraly
40 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
autre côté, mais on remarque en plus que la branche supérieure de l' artère centrale de la rétine présente un volume anorma
grâce à la tension très forte des muscles, qui empêche de palper l' artère . L'examen sphygmographique est aussi impossible;
cyanosées ; il a l'aspect d'un vieillard : d'un vieillard par ses artères . Les radiales sont dures et flexueuses ; le tracé
ortique, manifeste surtout au niveau du trépied de Ilaller, sur les artères splénique et pancréatique ; cirrhose du pancréa
s mince et peu injectée »; 9° des plaques de sclérose rares sur les artères cérébrales de la base ; 10° du côté des poumons
cléroses viscérales d'em- blée, sans lésion initiale et causale des artères , n'admet pas que « des lésions artérielles soie
chapitres, la question de savoirs'il existe une relation entre les artères et les inflammations aiguës, puis entre les art
ion entre les artères et les inflammations aiguës, puis entre les artères et les inflammations nodulaires, puis entre les l
artères et les inflammations nodulaires, puis entre les lésions des artères et les inflammations chroniques (sclérose). Et il
hui deux espèces : variétés anatomo- pathologiques, suivant que les artères jouent ou non un rôle; variétés pathogéniques,
orte est légèrement athéromateuse. Dégénérescence athéromateuse des artères de l'encéphale. Hémisphère cérébral gauche. -
rO. (Neurolog. Ce71tralbl., XV, 1896.) Les branches terminales de l' artère basilaire servent à alimenter - les appareils o
inguale, le pulvinar, les tubercules quadrijumeaux supérieurs par l' artère profonde du cerveau, l'artère optique interne p
rcules quadrijumeaux supérieurs par l'artère profonde du cerveau, l' artère optique interne postérieure, l'artère pédiculo-
artère profonde du cerveau, l'artère optique interne postérieure, l' artère pédiculo- géminée); -puis, les noyaux et racine
- géminée); -puis, les noyaux et racines de l'oculomoteur commun ( artère du noyau de l'oculomoteur, artère pédonculaire in
racines de l'oculomoteur commun (artère du noyau de l'oculomoteur, artère pédonculaire interne). (Alezius etd'Astros 1894
approchée d'un cas plus simple, M. Rossolimo conclut ainsi : la L' artère cérébrale postérieure alimente l'appareil central
re brandies qui se détachent tout près du point de la division de l' artère basilaire alimen- tent le centre optique du pul
internes et médians du noyau et des libres radiculaires. - 3° Les artères : pédonculaire interne ; du noyau de l'oculomoteu
oyau de l'oculomoteur commun ; optique interne postérieure sont des artères terminales. L'artère pédon- culogéminée s'anast
commun ; optique interne postérieure sont des artères terminales. L' artère pédon- culogéminée s'anastomose avec d'autres s
sible et un oedème des parois de toutes les veines médullaires; les artères ne sont presque pas du tout atteintes. Le dia
calculs disséminés dans les veines. La courbe sphymographique de l' artère radiale était située plus. haut du côté droit q
ité cutanée, et probablement ils sont séparés des vaso- moteurs des artères .- Dans la discussion M. MooRaTOFF et M. le prof
. La moitié caudale de la moelle allongée reçoit son sang par des artères spino-bulbaires, tandis que la région ventrale de
la région ventrale de la moitié antérieure est vascularisée par des artères tertéb1'o-bulbai1'es ; le domaine de l'entrecro
par deux à quatre ramuscules qui partent du lieu de la réunion des artères vertébrales (arteria foraminis coeci). Dans la
e épinière est en liaison avec les modifications dans la région des artères spinales antérieures. M. ORLOWSKY remarqua que
itz, d'après lesquelles cette directiou est rapportée à celle des artères , en' désaccord avec beaucoup de faits, sont surto
la sclérose a envahi simultanément d'autres organes que la moelle ( artères , veines, coeur...), le régime sera plus sévère et
ser des convulsions qui indiqueraient qu'il y a eu hémorrhagie de l' artère auditive interne, peut-être une méningite. Qu
partent les filets vaso-constricteurs du territoire carotidien des artères encé- phaliques, mais aussi lâcher d'enlever le
ussi lâcher d'enlever le sympathique intra-verté- bral qui enlace l' artère vertébrale et va avec elle innerver le terri- t
t va avec elle innerver le terri- toire postérieur ou vertébral des artères encéphaliques. C'est SOCIÉTÉS SAVANTES. 525 p
41 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
uche. On sectionne également le reste desnerfs de la base, les deux artères vertébrales etenlin, aussi bas que possible, la
dienne. La moitié antérieure de cette gouttière est parcourue par l' artère centrale de la rétine et sa branche hyaloïdienn
t demie, mesurant 12,5 mm. de longueur. (D'après W. His.) ,1<, artère du sillon. - Aspa, artère spinale antérieure. -
de longueur. (D'après W. His.) ,1<, artère du sillon. - Aspa, artère spinale antérieure. - Cal, corne antérieure. -
maines mesurant 13, 8 mm. de longueur. (D'après W. His.) Aspa, artère spinale antérieure. CA, corne antérieure. - Ca,
sept semaines et demie, mesu- rant 18,5 mm. (D'après W. His.) As, Artère du sillon. - Aspa, artère spinale anté- rieure.
su- rant 18,5 mm. (D'après W. His.) As, Artère du sillon. - Aspa, artère spinale anté- rieure. - CA, corne antérieure. -
demie, mesurant 24 millim. de lon- gueur. (D'après \\'. His.) As, artère du sillon. - Aspa, artère spinale antérieure. -
de lon- gueur. (D'après \\'. His.) As, artère du sillon. - Aspa, artère spinale antérieure. - CA, corne antérieure. - C
lets. Puis apparaissent,de chaque côte de la ligne mé- diane, des artères anastomoti- ques longitudinales : ce sont d'a
rtères anastomoti- ques longitudinales : ce sont d'abord les deux artères spi- nales antérieures (fig. 26, 27) ; réunie
à l'autre par de nombreuses anastomoses trans- versales puis les artères spi- nales postérieures. Ces deux systèmes ar
nt dans l'intérieur de la moelle. Les branches qui naissent des artères spinales antérieu- res, et qui constituent les
artères spinales antérieu- res, et qui constituent les fu- tures artères du sillon médian antérieur de la moelle, abor-
ligne de pénétration des racines postérieures (iig. soj. . Les deux artères spinales antérieures et les deux artères du sillo
ures (iig. soj. . Les deux artères spinales antérieures et les deux artères du sillon médian antérieur, se rapprochent de l
me ou la septième semaine (l11s), pour donner naissance à une seule artère spinale antérieure, impaire et médiane, et a une
seule artère spinale antérieure, impaire et médiane, et a une seule artère du sillon médian antérieur (fig. 28, 29, 30). L
tère du sillon médian antérieur (fig. 28, 29, 30). L'apparition des artères spinales postérieures est plus tardive que celle
des intercostales et . de l'aorte. Apparition ulté- rieure des artères spinales antérieures et postérieures ou sys
et postérieures ou systèmes artériels longitudinaux. Fusion des artères spinales antérieures eu une seule. FiG. 30.
le supérieure d'un foetus humain de 3 mois. (D'après W. His.) As, artère du sillon. - Aspa, artère 'spinale antérieure.
humain de 3 mois. (D'après W. His.) As, artère du sillon. - Aspa, artère 'spinale antérieure. CA, corne antérieure. - Ca
nal. 84 Il ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Apparition tardive des artères des ra- cines antérieures et des artères radi
Apparition tardive des artères des ra- cines antérieures et des artères radiées. 1111 Vésicule du qua- trième ventr
cines postérieures, et se portent vers l'extrémité postérieure de l' artère du sillon médian antérieur. Les artères qui pén
extrémité postérieure de l'artère du sillon médian antérieur. Les artères qui pénètrent dans la moelle par les racines anté
antérieures, apparaissent encore plus tardivement, de même que les artères radiées, destinées aux parties latérales et pos
on- trent guère avant le troisième mois de la vie embryonnaire. Les artères cérébro-spinales s'entourent de bonne heure de
ariétale, qui se transforme en sinus du corps calleux et qui loge l' artère cérébrale antérieure. Dans la région temporale, l
s et demie et mesurant 10mm,9. de longueur. (D'après W. His.) As, artère du sillon.-tlspa, artère spinale antérieure. - ls
10mm,9. de longueur. (D'après W. His.) As, artère du sillon.-tlspa, artère spinale antérieure. - lspp, artère spinale post
s.) As, artère du sillon.-tlspa, artère spinale antérieure. - lspp, artère spinale postérieure. - CL, corne- latérale. - p
bre longitudinale. - o, fibre longitudinale s'arborisant autour d'une artère . HISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX. 149 mesure q
réseau capillaire, dans lequel la racine postérieure représentait l' artère et la racine antérieure la veine. La constatati
ment de la circulation collatérale lors d'oblitération d'une grosse artère (Hyrtl, Zuckerkandl, Quénu et Lejars); ils abor
, capillaire et veineux (Ranvier). Les veines suivent le trajet des artères . Les veines des nerfs superficiels se jettent d
osse veine voisine, soit au réseau des vasa-vasorum qui entourent l' artère , soit aux veines col- latérales musculaires prè
st, dans la majorité des cas, qu'une dépression creusée par une artère , sillon par lequel la scissure de Sylvius sem
infé- rieure du cerveau avec incisure prima (ip) de His. Il loge l' artère céré- brale antérieure, et sépare la face profo
rs à son niveau une légère dépression constante, destinée à loger l' artère cérébrale antérieure, au moment où elle quitte l'
o- externe, de larges orifices vasculaires, qui livrent passage aux artères lenticzclo-stoiées, branches de la ca ? tfCt1rÍ
om d'espace per- foré postérieur. Ces orifices livrent passages aux artères lenticulo-optiques branches du tronc basilaire
corps calleux même en arrière; elle est encore en rapport avec les artères calleuses ou cérébrales antérieures, enfin avec l
ésulte de cette disposition anatomique que dans les hémorragies des artères lenticulo-caudées et lenticulo-optiques, le sang
upes des orifices vasculaires nombreux et volumineux, répondant aux artères lcnticulo-optiques. La capside externe (Ce) est s
atéral et du troisième sillon tem- poral. ov, orifices vasculaires ( artères lenticulo-cauclues). - pri, sillon prérolandique
, on trouve de nombreux orifices vasculaires (ov) qui répondent aux artères lenticulo-striées, et à la partie externe de la s
ssez grand nombre d'orifices vasculaires, qui livrent pas- sage aux artères lel1liculo-sll'iées. La couche optique est rédu
parée par des orifices vasculaires volumineux qui livrent passage aux artères lei7li'cu,lo-ol)fiques; elle se porte en arrièr
amygdalien (NA) et de nombreux orifices vasculaires appartenant aux artères lenticulo-caudées. En avant de ces organes on t
de substance grise, limités en avant par les orifices vasculaires des artères lenli- culo-slriées. Ces amas gris appartiennen
au voisinage de nombreux trous vascu- laires, qui correspondent aux artères lenticulo-opliques. La commissure antérieure (c
te linéaire ni aucune cavité virtuelle, mais de nombreux vaisseaux ( artères lenticulo-caudées et lenticule-striées), qui so
42 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
infé- rieure de la protubérance, congestion assez prononcée. Les artères de la base sont normales. Les nerfs crâniens so
dure-mère, rien. Liquide céphalo-rachidien en quantité normale. - Artères de la base et nerfs crâniens, symétriques.L'MMteH
te, de la présence des veines dans la région frontale, de celle des artères dans la région temporale. Dans tous les cas, il
cerveau, autour du chiasma et dans l'es- pace interpédonculaire. L' artère cérébrale moyenne droite était oblitérée à son
oyenne droite était oblitérée à son origine. Le territoire de cette artère était complète- ment ramolli. Après durcissemen
la tête. Le crâne, les méninges, le liquide céphalo-rachidien, les artères de,la\base, ne; présentaient rien de particulie
..., .... ''j' 9eTi x , ? )(t')-1 -,).Il : ) ? 1 '¡,"),r r'1Jr ? . Artères . Les deux communicantes antérieures ,sont reunies
ié supérie'ure'de la face convexe du cerveau. Pas d'anomalies des artères , de la base. , Cerveau : 1,220 gr. Cervelet et
de la face ? Mort. Autopsie : asymétrie crHMHMe ? ano ? Ma//M des artères de la base; inégalité des hémisphères cérébraux ?
ont très épaissies et offrent une teinte blanchâtre, opalescente. Artères de la base. Les vertébrales présentent une grande
eur exagérée du cuir chevelu et de la dure-mère ; les anomalies des artères de la base de l'encéphale ; enfin l'inégalité d
mlmt ? 1 ? " .I ? int m fft Hl ...qp 11 ? i Il 1rÏ ? ques petites artères munies de leurs trois tuniques. - 1 \ '1. ? i "
suffire au travail exagéré subitement imposé par la paralysie - des artères .^De plus, la paralysie des gros vaisseauXt abdomi
t atteintes de la dégénérescence cireuse. Examinées sous l'eau, les artères de la pie-mère ne présentaient aucune altératio
le, pèse 735 gr. Les différentes parties de la base de l'encéphale, artères , nerfs, chiasma, etc., n'offrent pas d'ano- mal
nulle trace de rigidité cadavé- rique. Cerveau. Poids, 1030 gr. L' artère communicante anté- rieure est double. Les autre
1030 gr. L'artère communicante anté- rieure est double. Les autres artères de la base sont normales ainsi que le chiasma,
e, en général, facilement, si ce n'est au niveau du lobe frontal. L' artère communicante antérieure est double; les autres
be frontal. L'artère communicante antérieure est double; les autres artères sont 400 CLINIQUE MENTALE. normales, ainsi qu
21. V. Ir., valvule triscuspide. V. dr., ventricule droit. - A. p., artère pulmonaire. T., trou de Botal. 0. dr., oreillette
pulmonaire. T., trou de Botal. 0. dr., oreillette droite. - A. o., artère aorte. étude SUR L'IDIOTIE. 403 ovale, un ori
ure du ventricule droit y montre l'absence de l'in- fundibulum de l' artère pulmonaire. Les parois de ce ventri- cule sont
libre et la face supérieure des trois valves de la tricuspide. L' artère pulmonaire est notablement rétrécie ainsi que son
re. Ajoutons qu'à un centimètre environ au-dessus de son orifice, l' artère pulmonaire se par- tage en 3 branches, deux gau
u être poursuivie jusqu'à l'aorte. Au niveau de son insertion sur l' artère pulmonaire, on trouve dans la cavité du vaissea
normale, mais ses bords et sa face supérieure sont Fig. 22. A, P., artère pulmonaire. Br. g., la branche gauche. P. P., p
e interne, l'autre externe. L'externe restait placée en dehors de l' artère tibiale antérieure jusqu'au cou-de-pied ; l'int
jusqu'au cou-de-pied ; l'interne, un peu plus petite, croisait l' artère pour se placer en dedans et l'accompagner jusqu'a
ccompagner jusqu'au cou-de-pied ; là, elle repassait au devant de l' artère pour s'unir à la branche externe sur le dos du
dans lequel deux branches du nerf tibial antérieur accompagnaient l' artère de chaque côté ; au cou-de-pied la branche exte
est amincie mais non usée. Dégénérescence athéromateuse étendue des artères de la base et particulièrement du tronc basilai
onstata au microscope un épaississement très notable des parois des artères cérébrales. M. Mackensie ajoute, en commentant
e ramollissement n'ait pour cause une altération syphilitique des artères ayant amené leur oblitération. On sait que c'est
re .sous la dépendance de deux processus différents, altération des artères d'une part, productions gommeuses de l'autre, c
almoscopique que la pupille était encore pâle, rétractée et que les artère du fond de l'oeil n'avaient pas complètement repr
e étaient ainsi conçues : Moelle épinière. Anatomie et physiologie. Artères du cerveau. Ci),- culation cérébrale. La questi
is- tance. -Enfin, pour Brown-Séquard, lacontraction exagérée des artères et des veines amènerait la stase du sang dans les
43 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
du phénomène, qui est dû à l'oblitération ou à lacons- triction des artères dans le membre affecté ; en effet, dansl'artério-
membre affecté ; en effet, dansl'artério- sclérose généralisée, les artères sont suffisamment pourvues de sang à l'état de
a sténose artérielle ne se rencontrant que chez les sujets âgés à artères athéromateuses ou syphilitiques. Un second symp
ntérieures de la moelle. Est-ce une embolie d'une des branches de l' artère spinale antérieure ? On ne trouve ni dans les c
ns suivantes dans le domaine de la circulation céré- brale : 1° les artères cérébrales se rétrécissent; 2° la pression arté
. L'excitation du centre vaso-moteur provoque un rétrécissement des artères et par conséquent une éléva- AIICHIVES, 2' séri
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. I. Plaie de l' artère vertébrale gauche. Hématorrachis. Compres-. sio
la forcipressure de l'aorte abdominale immédiatement au-dessus de l' artère , rénale droite pendant une heure. On constata u
récente. A la hau- teur du septième segment dorsal de la moelle, l' artère centrale, qui côtoie le canal central, présente
bres obliques ou transverses, les autres à fibres longitudinales. L' artère du sillon antérieur est également atteinte de p
emblables, indé- pendantes et beaucoup plus petites que celles de l' artère centrale. On en voit aussi sur une branche laté
vaincre, de sectionner ce nerf à 2 ou 3 centimètres au-dessous de l' artère sous-clavière, au-dessous de l'origine du laryngé
de l'aorte abdominale, immédiate- ment au-dessous de l'origine des artères rénales, chez des lapins. Toutes les précaution
escence cellulaire : atrophie simple, etc. ; 3° la patho- logie des artères et veines cérébrales, en particulier les lésions
les cas autopsiés ont présenté une lésion profonde des tuniques des artères (grandes et petites) bibliographie. 253 et da
blanches, pulsatiles. Il s'agirait de contractions vasculaires de l' artère centrale de la rétine anémiant le centre de la
omiques du glaucome. Le mécanisme en est connu. La contraction de l' artère centrale de la rétine produirait de l'amblyopie
épaississe- ment et une disposilion tortueuse de la radiale et des artères du pied qui peut, si le sujet a moins de quaran
ésultat soit de la syphilis spinale, soit d'altérations séniles des artères et se manifeste par l'apparition brusque de fai
t abondamment d'un vaisseau profond (qui fut ensuite reconnu pour l' artère vertébrale); l'hémorragie fut arrêtée par lacom
che jaune, est 456 clinique nerveuse. alimenté à la fois par deux artères distinctes, par ta. céré- brale postérieure et
, par ta. céré- brale postérieure et par la branche occipitale de l' artère , sylvienne - ce qui est encore à démontrer. - -
cérébrales sont ali- mentées par trois vaisseaux artériels, par les artères céré- brales antérieure, moyenne etpostérieure.
ré- brales antérieure, moyenne etpostérieure. Rappelez-vous que l' artère cérébrale moyenne ou sylvienne (fig. 29) irrigue
l. Donc, une ischémie, survenue dans le territoire ali- menté par l' artère sylvienne ou cérébrale moyenne, est à même de n
lle soit également la conséquence d'une obstruction de cette même artère sylvienne. En effet, chez notre troisième malad
due. L'hypothèse d'un foyer unique, consécutif à une rupture de l' artère sylvienne, peut donc nous rendre compte égale-
er de ramollissement, développé à la suite d'une hémorrhagie de l' artère sylvienne, a entamé le faisceau des radiations
Les parties ombrées représentent le territoire de distribution de l' artère cérébrale postérieure. SUR TROIS cas d'hémianop
e, à la face externe du cerveau. On peut donc la considérer comme l' artère de la zone visuelle corticale. En fin de comp
oisième malade : foyer hémorrhagique, consécutif à une rupture de l' artère sylvienne, de l'artère cérébrale moyenne, ayant
hémorrhagique, consécutif à une rupture de l'artère sylvienne, de l' artère cérébrale moyenne, ayant retenti sur le faiscea
29. - Les parties ombrées représentent la zone de distribution de l' artère cérébrale moyenne. 468 CLINIQUE NERVEUSE. l'h
44 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
, les tubercules mamillaires, les pedon- cules, etc., ainsi que les artères de la base sont symétriques et sans lésions. -
Les nerfs olfactifs et optiques, les tubercules mamillaires, les artères et les nerfs de la base sont symétriques. La 11,1
eur, 5 cent. d'épaisseur. Le hile absolument normal donne issue à l' artère ; la veine et l'artère gardent leurs rapports r
Le hile absolument normal donne issue à l'artère ; la veine et l' artère gardent leurs rapports respectifs habituels. - L'
. R. D., veine rénale droite; V. R. G., veine rénale gauche; A. R., artère rénale; A. R. S., artère rénale supplémentaire;
ite; V. R. G., veine rénale gauche; A. R., artère rénale; A. R. S., artère rénale supplémentaire; A. R. M. S., artère réna
artère rénale; A. R. S., artère rénale supplémentaire; A. R. M. S., artère rénale médiane supplémentaire; B., bassinet ; u.,
médiane supplémentaire; B., bassinet ; u., ure- tère ; A. I. P. D., artère iliaque primitive droite; A. I. P. G., artère ili
- tère ; A. I. P. D., artère iliaque primitive droite; A. I. P. G., artère ilia- que primitive gauche. REIN UNIQUE. 163
à cheval vu en arrière. R. rein; C. S., capsule surrénale ; A. R., artère rénale; V. C., veine cave; A. R. S., artère rénal
sule surrénale ; A. R., artère rénale; V. C., veine cave; A. R. S., artère rénale supplémentaire; U., uretère ; A. I. P. D
A. R. S., artère rénale supplémentaire; U., uretère ; A. I. P. D., artère iliaque primitive droite; A. I. P. G., artère i
retère ; A. I. P. D., artère iliaque primitive droite; A. I. P. G., artère iliaque primitive gauche ; A. I. E., artère iliaq
ve droite; A. I. P. G., artère iliaque primitive gauche ; A. I. E., artère iliaque ex- terne ; A. I. I., artère iliaque in
e primitive gauche ; A. I. E., artère iliaque ex- terne ; A. I. I., artère iliaque interne. 164 IDIOTIE : malformations co
45 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
pital. Cela étant établi, et en nous reportant à la disposition des artères de la base de l'encéphale, il nous sera facile
rieure de l'hexagone do Willis est formée par la bifurca- tion de l' artère basilaire qui donne ainsi naissance aux artères c
a bifurca- tion de l'artère basilaire qui donne ainsi naissance aux artères cérébrales postérieures. vA 1 centimètre envi
brales postérieures. vA 1 centimètre environ de leur origine, les artères cérébrales postérieu- res reçoivent la communic
a cérébrale postérieure sur une longueur de 5 à 12 millimé- tres, l' artère postérieure donne naissance à 10 collatérales d'a
près Duret. Parmi elles, il convient de mentionner spécialement les artères des racines et des noyaux d'origine des fibres
ur oculaire commun destinés aux muscles extrinsèques, ainsi que les artères pédonculaires internes qui se rendent plus part
iculièrement à l'étage inférieur du pédoncule céré- bral (1). Les artères qui se rendent aux noyaux d'origine des muscles a
n soit complètement suspendue dans les branches terminales de cette artère , et très ralentie, mais non interrompue, dans l
ance aux 10 collatérales de Duret, parmi lesquelles se trouvent les artères des noyaux du moteur oculaire commun. La circulat
e, a produit dans la partie directe ou ascendante de cette dernière artère un ralentissement considérable de la circulation,
re un ralentissement considérable de la circulation, et comme cette artère envoie des collatérales dans la partie antérieure
, dans l'hypothèse que nous formulons, celle d'une throm- bose de l' artère cérébrale postérieure droite au niveau de l'embou
ez notre malade, l'oblitération, respectant la première partie de l' artère (celle qui donne naissance aux collatérales de
la suppression de la circulation dans les branches terminales de l' artère céré- brale postérieure, et en particulier l'hé
siéger non plus sur le tronc, mais sur lès collatérales ou sur les artères terminales, et même détermi- ner de la sorte pl
articulations et muscles, avec accessoirement celle des vaisseaux, artères et veines, qui assure sa nutrition et, par suite,
me pas de calculs. La bile est colorée. On note de la sclérose de l' artère hépa- tique. -- La rate est très volumineuse,
seg- ments du membre et immobilisant l'article. Les battements de l' artère poplitée se perçoivent sur son côté exerne. (Fi
n- sions. Les méninges rachidiennes sont absolument normales. Les artères extra- médullaires sont intactes, les artères i
olument normales. Les artères extra- médullaires sont intactes, les artères intra-médullaires dans les parties scléro- sées
eurs bords étaient le siège d'une suffusion séreuse très nette; les artères étaient rétrécies ; les veines dilatées, tortue
observa- tion qu'avec la langue on ne peut pas sentir le pouls de l' artère radiale. Ce n'est pas juste : je sens très bien
rtère radiale. Ce n'est pas juste : je sens très bien le pouls de l' artère radiale avec la lan- gue, si je presse suffisam
qu'il s'agisse d'une sclérose conjonctive par atrophie simple. Les artères volumineu- ses des nerfs présentent un degré mo
tué par des fibres fines, pauvres en cel- lules et traversé par des artères et des veines très dilatées. Les éléments adi-
autres facteurs interviennent-ils, comme le calibre plus grand de l' artère nourricière. Le fait suivant mérite, à ce point d
ans le cas que je viens de citer, dit Isid. Geoffroy St-Ifilaire, l' artère rénale droite et l'artère capsulaire du même côté
citer, dit Isid. Geoffroy St-Ifilaire, l'artère rénale droite et l' artère capsulaire du même côté étaient, comme les orga
ls donnent au loucher la sensation des lymphatiques cancéreux, ou d' artères très athéromateuses. ; Pas d'ossification sur l
46 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
x faisceaux de libres dont le plus important est celui de la bulle. L' artère occipitale, branche de la carotide externe, creus
loge rétro-stylienne de .Ionesco. Il pourra enfin, par le trajet de l' artère occipitale, se propager à la loge cervicale posté
ent les nerfs labyrinthiques, facial et intermédiaire de Wris-berg, l' artère et les veines auditives internes. Plus en dehors,
dien. — Le canal carotidien est parcouru dans toute sa longueur par 1 artère carotide interne, entourée par le plexus ou sinus
nes examinés par Kôrner elles étaient si larges, que la blessure de l' artère devenait possible au cours d'une paracentèse de l
e tympanique et en dehors par la couche épidermique du conduit. Les artères de la membrane émanent de l'auriculaire profonde
Les artères de la membrane émanent de l'auriculaire profonde et de l' artère stylo-mastoïdienne. Les veines gagnent la jugulai
al, le nerf intermédiaire de Wrisberg avec le ganglion géniculé, et l' artère stylo-mastoïdienne. Il mesure 2 5 millimètres de
é inférieure du sinus sigmoïde. Chemin faisant, on a récliné ou lié J' artère occipitale qui passe en longeant le bord inférieu
portants sont rencontrés. En allant de bas en haut, on voit d'abord l' artère occipitale qui croise la face externe de la veine
en descendant, la face profonde du digastrique, passe au-dessous de l' artère occipitale, croise la jugulaire immédiatement en
dure-mère. Thèse de Paris, 1888. Launay (P.), Veines jugulaires et artères carotides chez l'homme et les animaux supérieurs.
47 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
utopsies de maladies de Paget, prélever pour chacun des grands os l' artère et le nerf, et étudier ce dernier tant sur des co
e dues par exemple à des troubles vasculaires dans 1 le domaine des artères spinales postérieures. En résumé, des lésions d
ces faits : il radiographie le malade de M. Gail- lard (2) dont les artères périphériques étaient très indurées et voit nette
s indurées et voit nette- ment dessinées, (lexueuses, annelées, les artères des membres, incrustées de sels calcaires. «
des lésions secondaires, consécutives à l'incrustation calcaire des artères nourricières des os. » Or l'artério-sclérose
ombre d'observations : le malade de Ménétrier et Gauckler avait des artères tellement infiltrées de sels calcaires qu'il fa
décalcifier avant de pouvoir les couper ; sur les radiographies, l' artère fémorale apparaissait nettement dessinée, ainsi
rapporte trois observations personnelles de pagétiques : l'un a les artères « indurées, athéromateuses » ; chez l'autre « l'a
un malade de Thibierge(S) avait le 2° bruit aortique claqué, et les artères dures ; un malade de Marie (6) était artério-sclé
e peut rien préjuger dans un sens ou dans un autre. De l'état des artères il faut rapprocher celui des veines : on sait la
ique mieux par l'hypo- thèse d'une lésion artérielle, intéressant l' artère nourricière de tel ou tel métacarpien, de telle
es, consécutives à l'ai lé- ration et à l'incrustation calcaire des artères nourricières des os » (Bé- colère). La théori
urrait être également de la même ma- nière, par l'intermédiaire des artères , qu'agiraient les acides minéraux, dont le pouv
mencèrent chez le malade de Moizard et Bourges. « On a l'âge de ses artères », certes, mais ce n'est pourtant pas à 10, 15,
les cas de claudication intermittente une diminution du calibre des artères correspondantes au territoire atteint, due la plu
précoce, CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DU SYNDROME PÉDONCULAIRE 115 ses artères sont souples. Pas de tabagisme. Aucune intoxicati
... ? .... 178 LEFÈVRE récissant ou en.élargissaut le calibre des artères ou en agissant sur la circula- tion cardiaque ;
mple, section traumatique du nerf médian ou cubital, anévrysme de l' artère axillaire comprimant le paquet vasculo-nerveux
ffle. On note un léger souffle systolique à l'orifice valvulaire de l' artère pulmonaire ; l'aorte et les vaisseaux du cou on
i, on avait constaté une insuffisance mitrale et une induration des artères , de même que dans nombre d'autres observa- tion
Rocci. De même en regardant la sinuosité et J'en chevé tremeii des artères teiri- SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET
s par Beclère qui avait réussi à suivre sur le cliché le trajet des artères cal- cifiées dans quelques cas d'ostéite déform
doigt ne détermine pas de godet. On n'observe aucune altération des artères , des veines, des capillaires, des os ; aucune vei
e pièce de cinquante centimes, accolé à la branche postérieure de l' artère méningée moyenne, correspondant à une empreinte
s, d'un ictns apoplectiforme qui est attribué à, une embolie dans l' artère sylvienne gauche que l'on rapporte à un caillot d
oisette, séparée de la tumeur principale par un sillon occupé par l' artère communicante posté- rieure gauche. Ce prolongem
inférieure du pédoncule cérébral droit sur lequel on voit passer l' artère cérébrale pos- térieure. Cette tumeur située
roubles circulatoires, invoquant, soit la diminution du calibre des artères ou des veines, par infiltration ou. épaississemen
croscopique de l'encéphale, ni en surface, ni sur les sections. Les artères et les méninges sont saines d'as- pect, on ne t
an postérieur, de nombreuses coupes montrent (fig. 18), autour de l' artère , un manchon lymphocytique discontinu, de 2-3 él
la cavité thoracique, nous constatons, au devant de l'aorte et de l' artère pulmonaire, la présence d'uue tumeur. Eu bas, cet
faits de myocardite et un degré modique d'emphysème pulmonaire. Ces artères pé- riphériques sont légèrement athéromateuses
épaissie et infiltrée. On trouve de l'endartérite dans les grandes artères , en particulier dans l'artère spinale antérieur
ve de l'endartérite dans les grandes artères, en particulier dans l' artère spinale antérieure. Dans la zone supérieure, la
rythmique. Radiales rigides apparemment pas calcifiées. Aux autres artères périphériques palpables, on perçoit aussi une p
ographies de Béclère (Bull, Soc. méd. h6p. Paris, 19. VI. 1901) les artères calcifiées, les lésions cardio-vasculaires sont à
t béantes, avec dans leur lumière d'assez nombreux leucocytes ; les artères ,surtout celles d'un certain calibre,ont leur pa
ne inter- ruption, ne peut être expliquée par une infection par les artères , mais que tout parle en faveur d'une voie lymph
48 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
es tendineuses. On prenait le cerveau pour une glande. On croyait les artères pleines d'air, et la dis-tribution réelle du syst
mble, un état pa-thologique consécutif à l'altération dite sénile des artères . De son côté, le réseau des vaisseaux capillaires
out évi-dent pour ce qui concerne l'altération dite athéromateuse des artères , et la calcification qui l'accompagne si fréquem-
ive des élé-ments qui constituent normalement la membrane interne des artères . La dégénération graisseuse s'empare, à un mo-men
d'abcès athéromateux. On les voit parfois s'ouvrir dans la cavité des artères dont elles occupent les parois; et leur contenu,
terminer le rétrécissement et plus tard, l'oblitération complète de l' artère où elle siège. C'est alors que se produisent, sur
ns, en effet, qu'il faut rattacher à l'oblitération athéromateuse des artères la plupart des cas de ramollissement cérébral et
de 35 ans, et acquiert son maximum de 65 à 75 ans (2). mateusc des artères cérébrales. Nous aurons plus tard l'occasion de n
le cœur chez les vieillards est plus puissant que jamais, et que les artères présentent des pulsations énergiques ? Il pa-raît
constatée soit dans le cerveau, soit dans les méninges, soit dans les artères encéphaliques. E. Nous allons maintenant passer
nant la crise cardiaque. Ajoutons enfin que l'état athéromateux des artères , qui souvent coïncide avec les lésions du cœur, p
e se rencontrent pas au même degré dans d'autres maladies fébriles. L' artère est volumineuse comme dans certains cas d'anémie,
de la pré-sence d'un caillot volumineux parti du cœur. Lorsque les artères des membres se trouvent ainsi oblité-rées, il en
égies chez les sujets non encore parvenus à un âge avancé. Lors-que l' artère oblitérée est d'un calibre important, il se produ
efois se développer des accidents analogues, bien que les principales artères du cerveau se trouvent entiè-rement perméables ap
vaisseaux d'un calibre important ; mais le caillot s'étant résorbé, l' artère est redevenue perméable, bien que le ramollisseme
la valvule mitrale ; mais on ne trouvait aucune oblitération dans les artères de la base (1). 1. Trousseau. — Clinique médica
rmina la mort dans l'espace de dix minutes. A l'autopsie, on trouva l' artère pulmonaire oblitérée par un caillot volumineux, p
pé de gangrène, et que des caillots se sont formés à la fois dans les artères et dans les veines, les parties sphacélées peuven
e de plaques. — Le cerveau parait sain, dans toute son étendue. Les artères de l'encéphale sont à peine un peu indurées. 20
plies par des caillots adhérents, décolorés, qui se continuent dans l' artère pulmonaire. Dans cette artère, ils ne sont pas ad
ts, décolorés, qui se continuent dans l'artère pulmonaire. Dans cette artère , ils ne sont pas adhérents et paraissent partout
nfiltré de pus, aucune altération de l'encéphale ou des méninges. Les artères de la base du cerveau ne sont pas athéromateuses.
49 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
te vingt-quatre heures après la mort. - Cerveau. Pas d'athérome des artères de la base. Hémisphère droit : 1 Foyer de ramol
risation. Rien à la protubérance, ni aux pédoncules, ni au bulbe. L' artère sylvienne gauche, non athéromateuse, renferme u
être formé par thrombose. Ce caillot siège au point de division des artères pariétales. Cavité abdominale (résumé) : Ascite
oit. Observation IV. Aphasie avec hémiplégie gauche. Embolie de l' artère sylvienne droite, avec ramollissement de la 3° fr
de jaunâtre. Partie antérieure de la cap- sule interne, jaunâtre. Artère sylvienne oblitérée par un caillot. Pas d'athérom
netteté, une coloration rouge livide, une légère dilatation de l' artère centrale avant sa division en des ramifications e
ve peut être, pratiquée avec succès pour arrêter l'hémorrhagie de l' artère méningée moyenne. Ce traitement a réussi dans d
inière ; 2° concours : Moelle épinière (anato- mie et physiologie); Artères du cerveau. Circulation cérébrale. Questions or
Questions orales. 1er concours (1880) : De l'épilepsie. Plaies des artères ; 2° concours (1880) : Signes et diagnostic de la
ez abondant. Encéphale, 1,1 GO gr. La surface est un peu lavée; les artères , les nerfs de la base sont sains. Le tubercule
est venu pro- duire l'obstruction vasculaire près de l'origine de l' artère sylvienne. Cette localisation est rendue manife
ocalisation est rendue manifeste par ce fait que le territoire de l' artère de la troisième circonvolution fron- tale, laqu
ement du canal carotidien détermine une diminution de cali- bre des artères contenues et entraîne une insuffisance de circu-
ongation de nerfs céphaliques et deux observations de ligature de l' artère carotide dans i ! 'M ! Op/t</t(tb7Ke pulsatile
ur l'auteur à des efforts exagérés, fut guérie par la ligature de l' artère carotide ; il semblait évident à M. H... qu'il
sité de l'attention. En même temps, il existe une dilata- tion de l' artère carotide et un dicrotisme plus marqué du pouls
e dans le petit bas- sin, au voisinage du point où on sent battre l' artère iliaque. Eu somme, nous avons pu constater deux
rière, vers la partie externe de l'excavation où l'on sent battre l' artère iliaque. Du reste, on jugera mieux Ftg. 24. Com
ne est régulière et symétrique. L'encéphale pèse 1210 grammes ; les artères de la base, les nerfs, le chiasma, les pédoncul
e l'hémianop- sie dans la partie postéro-inférieure du domaine de l' artère sylvienue pourrait encore s'appuyer sur certain
50 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
s ces trois dis- tricts que je viens de décrire est nourrie par les artères terminales auxquelles les branches de la convex
ales auxquelles les branches de la convexité donnent naissance. Ces artères terminales sont perpen- diculaires à la courbe
laires frontaux extra-nucléaires) est nourrie par des rameaux de l' artère de l'hémorrhagie centrale (Charcot), venant ell
moyenne. La direc- DES IRRADIATIONS CAPSULAIRES. ! ) tion de ces artères terminales est donc perpendiculaire à celle des
tion de ces artères terminales est donc perpendiculaire à celle des artères terminales de la portion latente. La cérébrale
adiations capsulaires frontales extra-nucléaires possèdent donc des artères spéciales qui méritent par cela même une mentio
éritent par cela même une mention à part. Je propose de les appeler artères de la parole ou DE L'A- PHASIE. On devine que l
criblée. - Enfin, il n'est pas superflu de faire remarquer que l' artère de l'hémorrhagie centrale prenant son origine a
, sem- blent correspondre au groupe des vaisseaux constitué par l' artère aphasique et ses rameaux. On comprend que l'éta
- Ir-r-tr' 9r'll,tn^ uA rl9 Sn'1 : `1R0 rameaux que leur, fournit 1 artère cérébrale antérieure, on aurait, pu^avancer, qu
oux, on peut affirmer la chose clinique- ment ? en ajoutant que les artères nourricières delà pa- role ont une double origi
l. On notera, d'ailleurs, que les rejetons de la cérébrale moyenne, artères lenticulo-striées, dont la distribution est dém
is, contenant ' unej, substance, blanche, cireuse, colloïde. : Les" artères et' les. plexus veineuxuspnt;, volumineux. |La
nnaissant prob'ablemdnttpour'càuse l'état atheromateùx (goutte) des artères 'de.1,1bas«é. An'ti'oub)0bdeia circulation à su
par le liquide céphalo-rachidien, sous forme de pseudo-kyste. Les artères de la base paraissent égales. Les nerfs olfactifs
A la suite d'une blessure dans la région de la joue, ayant ouvert l' artère sous-orbitaire, blessure guérie en huit jours san
ltérations importantes occupent les deux carotides internes, et les artères de la base, qui sont transformées en tuyaux rigid
e; elles sont épaissies dans les plis et au niveau des lacunes. Les artères cérébelleuses sont manifestement plus étroites
ans un premier cas, un allléi-ôme très prononcé et très étendu de l' artère sylvienne gauche, mais la substance cérébrale ne
lbuminurie peut dépendre de l'excitation des vaso-constricteurs des artères rénales et que l'ischémie opiniâtre et répétée
de la pie-mère. Les vaisseaux de la base sont scléreux, surtout les artères sylviennes. Pas de lésions dans les hémisphères
51 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ique du cerveau, si l'on ne constate pas de lésion dégénérative des artères . On sera très réservé sur le pronostic des bles
so-moteurs. L'auteur a constaté un rétrécissement (spasmodique) des artères rétiniennes; il doit donc y avoir ischémie de l
M. Voisin. Peut-être faut-il aussi faire intervenir la sclérose des artères du cerveau ? - De la valeur respective de la pr
te et elle pénètre toutes les couches de ces mêmes parois. Dans l' artère spinale antérieure, on observe une petite agglomé
rhumatismes subaigu chronique articulaire et musculaire, dyspepsie, artères scléreuses et athéro- mateuse, affection vésica
on doive recourir : la thyroïdectomie partielle et la ligature des artères thyroïdiennes. Kocher, partisan de la ligature,
ndyme est gra- nuleux, surtout au voisinage des trous de Monro. Les artères céré- brales sont saines. De nombreux points
oins épaisse de fibres conjonctives longi- tudinales. Les grosses artères présentent un revêtement extérieur assez épais
om de dégénérescence hyaline en raison de son aspect. Les petites artères présentent une endartérite énorme, en plus de l
ement appartient bien plutôt à l'arachnoïde qu'à la pie-mère. Les artères qui entourent la moelle sont absolument saines.
aperçoit même au centre du nodule un début de casélfication. Les artères , par contre, sont à peu près saines; le tronc bas
répondent aux points les plus malades de la tunique externe. ' Les artères de l'espace perforé postérieur ont leur tunique e
s. L'épendyme du quatrième ven- tricule est finement granuleut, Les artères cérébrales sont saines. Le cerveau ne présente'
que cette appa- rence ne répond pas à la réalité des choses. Les artères spinales sont complètement saines. Les veines s
le cas précédent, mais moins marquées. Les grosses et les petites artères du bulbe sont saines. Les veinules Fi ? I. 'O
sale supérieure. Les veines participent largement au processus; les artères présentent de l'endartérite fibreuse. En somme
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 391 XXXIV. DE la structure DES artères cérébrales; par les Drs 111,,CER et de 13OEK. (
es organes à fonctionnement intermittent, le mode de ramescence des artères se trouve être tel que des voies multiples sont
re tel que des voies multiples sont offertes au sang arrivant par l' artère ; la résistance au passage du sang par ces diffé
e disposition anatomique est surtout manifeste dans le cerveau; les artères cérébrales ne fournissent pas de branches corti
dans le mésocéphale. La structure et le mode de distribution des artères cérébrales ont pour conséquence d'assurer une c
ur causes l'abaissement de la pression du sang et la dilatation des artères dans tout le système vasculaire. ' Il n'exist
ers ou de disposition histologique spéciale dans la musculature des artères cérébrales; l'allure spéciale de la circulation
ile de démontrer qu'ils débutent par une perle du tonus nerveux des artères . (Amer. joum. of insanity, janv. 1895.) E. B. X
écité. Autopsie. Hémisphère gauche. Oblitération par embolie de l' artère cérébrale postérieure, au niveau des tubercules q
He- bold, 312. Apocodeïne. Du 'chlorhydrate d' par Toy, 328. Artères . Structure des- cérébrales par Heger et Boek, 3
52 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
s, mais ne présentent aucune anomalie d'aspect ni de consistance. Artères paraissent normales. Pas d'hémorragies. Cervele
partie antérieure du cunéum. Il n'a pas été possible de retrouver l' artère oblitérée. Une coupe hori- zontale montre un se
le IVe segment cervical de la moelle. On voit : dans la méninge, l' artère spinale antérieure remplie de sang ; dans la subs
paraît résulter d'une rupture d'une des branches horizontales de l' artère spinale antérieure. L'autre, qui occupe, dans l
e appréciables à la réunion de quelques cellules rondes autour de l' artère spinale antérieure au niveau du II° segment, so
e latéral et semblant partir de la queue du noyau lenticulaire. Les artères de la base du cerveau étaient manifestement att
présentaient des petites lacunes autour d'un grand nombre de leurs artères : ces lacunes étaient particulièrement évidentes
relation, au moins apparente, avec l'élément vasculaire. Autour des artères les boules cal- caires et les masses cylindrifo
lus bizarres sous le rapport de la forme (PI. XL1X, A). Outre les artères , les capillaires aussi sont plus ou moins profond
du tissu périvas- culaire dans la sclérose et l'épaississement des artères doivent être repor- tées surtout à l'altération
côté de la veine (nerf de Bout..., par exemple), le quadrant dont l' artère forme le sommet est sensiblement moins sclérosé
ne trace de prolifération névroglique. L une des deux branches de l' artère du sillon médian antérieur, se portant vers la co
st loin d'être normal. Les artérioles des septa sont épaisses ; les artères du sillon médian antérieur , surtout à la régio
cornes antérieures offre un foyer bémorrhagique sur le trajet de l' artère centrale ; sur les coupes de la 6e dor- sale la
ajet et la direction des artérioles de la corne postérieure et de l' artère centrale ; son point de départ périphérique est
vons vu, au trajet des gros vaisseaux de la moelle et notamment des artères des cornes postérieures ? 2 Il faut bien dire
i l'hyperplasie de la tunique externe des vaisseaux, notamment de l' artère du billon antérieur et de sa branche centrale.
s de la corne postérieure, artérioles qui entourent le canal central, artère du sillon antérieur qui se ramifie dans la corn
artère du sillon antérieur qui se ramifie dans la corne antérieure, artère du sillon médian postérieur, etc.). Les fentes,
tion destructive rappelant, toutes proportions gar- dées, celle des artères atteintes d'anévrysme cirsoïde ; et il n'est pas
eux. Les dilatations vasculaires ayant pour origine les veines, les artères et les capillaires, les auteurs admettent qu'il s
re infectieuse, peut-être toxique, prédominante dans le domaine des artères centrales, avec foyers localisés dus peut-être à
peut-être à des thromboses ou à des embolies dans le domaine de ces artères . . Quoi qu'il en soit, cette observation nous p
roupes ou en séries paraissant répondre à des fibres disparues. Les artères et artérioles offrent de l'hyperplasie de la tu
53 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es plus profonds. Les troncs artériels de la base, non plus que les artères sylviennes, ne présentent pas'de lésions appare
n soit complètement suspendue dans les branches terminales de cette artère et très ralentie dans la pre- mière partie de l
nce aux dix collatérales de Duret, parmi lesquelles se trouvent les artères des noyaux du moteur oculaire commun ». R. C.
rganiques susceptibles de la produire; selon lui, c'est du côté des artères de l'oculo-moteur (artères terminales, éma- nan
a produire; selon lui, c'est du côté des artères de l'oculo-moteur ( artères terminales, éma- nant de la cérébrale postérieu
les dans la région des noyaux, on à des lésions endartéritiques des artères oculu-molrices. Cer- tains faits suivis d'autop
accessoirement par des troubles circulatoires dans le réseau des artères piales courles. Quant à la catalepsie, elle est a
dant, de voir des vaisseaux spinaux antérieurs très malades. Les artères sont le siège tantôt d'une endartérite, tantôt
lepto-méningite em- bryonnaire. La névroglie a proliféré. Dans les artères , on note de l'endopériartérite; dans les veines
endance à la traiter chirurgicalement (thyroïdectomie, ligature des artères thyroï- diennes, etc.). La marche de la malad
ébrale. L'autopsie montre : athérome diffus, plus accentué pour les artères cérébrales; petit foyer de ramollissement dans la
s vascu- laires décrites plus haut, nous voyons à cette hauteur des artères présentant les indices d'un processus inflammat
rale (Westphal,), à une tumeurdu cervelet (Busch),àune embolie de l' artère sylvienne (Schataloff etNikiforoff), à une myél
n'agis- sent le plus souvent qu'en amoindrissant la résistance des artères vis-à-vis des causes ultérieures dont le proces
capillaires et des artérioles des lésions d'artérite au niveau des artères d'un certain volume dans les affections inflammat
ique. Lorsqu'une cause quelconque vient à rétrécir le calibre des artères ou de leurs branches, l'organe pourra avoir encor
Si le calibre du vaisseau arrive jusqu'à l'oblitération, comme les artères des centres nerveux peuvent être considérées, pou
ramollissements lacunaires multiples peut avoir sur une des grosse artères de la base du cer- veau un nodule d'endartérite
ie, indice de .la lésion du moteur oculaire commun. ligature de l' artère humérale au pli du coude. Troubles paralytiques
l'intéressante observation d'un ouvrier de vingt-six ans, qui eut l' artère humérale sectionnée, au niveau du pli du coude
organe révéla un épais- sissement notable du tissu conjonctif. Les artères , atteintes d'endar- térite et de périartérite,
saines, arachnoïde transparente; un peu de sérosité ventriculaire. Artères de la base légèrement athéroma- teuses. Hémisph
e en plus grand nombre ici que dans l'écorce cérébrale normale. Les artères présentent des modi- fications intéressant surt
é des ganglions de la base. En certains endroits des destructions d' artères ont pro- duit des foyers de ramollissement. L
54 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
orant : le premier est que, à cause de la position du coeur, et des artères qui nourrissent le cerveau, le sang arrive à l'
des capillaires artériels, car si l'on pousse une injection dans l' artère vertébrale, on obser- ve une notable dilatation
dans les maladies indemnes de toute toxine telles qu'anévrysme des artères cérébrales, hématome de la 121 REVUE D'ANATOMIE
'autopsie : Dilatationdes ventricules latéraux, pasd'athé- rome des artères cérébrales, plaques jaunâtres sur les ménin- gi
lus ou moins notable, les veines sont dilatées et tor- tueuses. Les artères ne nous ont pas paru présenter de modi- ficatio
c le reste du fond de l'oeil et traînées exsudatives le le long des artères . Nous devons insister d'une part sur la bilatér
dure-mère n'offre rien de particulier. Encéphale. Les nerfs et les artères de la base de l'en- céphale sont symétriques ai
artères de la base de l'en- céphale sont symétriques ainsi que les artères vertébrales (1). Des deux côtés, les ventricule
rien à noter. (I) Cwtains auteurs unt ill\IIIIUé l'illég'alité des artères verté- brales connue une cause tic répilepsie.
'anémie ; cette anémie peut être causée soit par la compression des artères intercostales dans les trous de conjugaison ou
n de l'irrigation sanguine par la thrombose et » l'oblitération des artères ràdiculaires provoquée par la pachyméningite tu
uée par la pachyméningite tuberculeuse, ou par la compression des artères des méninges et de la moelle même, qui se peut
cas se présente rarement d'une façon durable, et l'oblitération des artères ràdiculaires seules ne peut pas apporter une di
foyers de ramollissement, à l'oblitération de quelques pc - 1 tites artères de la pie-mère ou de la moelle due àla throm- I
moelle due àla throm- I bose ou à des masses emboliques provenant d' artères ra- diculaires .thrombosées. Très rarement, on
icule capillaire beaucoup plus riche que la blanche et parce quelcs artères spinales antérieures ne dépendent pas, pour leu
es antérieures ne dépendent pas, pour leur irrigation sanguine, des artères interver- tébrales comme les artères spinales p
leur irrigation sanguine, des artères interver- tébrales comme les artères spinales postérieures qui, elles principalement
mère ou de la moelle par thrombose ou masses emboliques provenant d' artères radiculaires thrombosées par le pro- cessus d'a
s les cordons et cornes postérieures secondaires àl'embolie d'une artère spinale postérieure. Quant à la myélite, la plu
ation intense pie-mérienne ; l'infiltration entoure les vaisseaux artères et veines indifféremment, créant ainsi des péri-
es, mais, comme 11'5 arlt"rl's, "ans inliltmtion einbrvonnaire. Les artères de la pie-mère sonl pour la plupart vides, il p
ne perte discrète diffuse en libres nerveuses. soit par- ce que les artères méningées,radiculaires et médullaires, se sont
selon lui, par des troubles circulatoires dus à la compression des artères spinales antérieures et posté- (1) 13 \TI'l'r.I
55 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uvent que l'autre ; l'angine apparaît générale- ment à l'âge où les artères deviennent athéromateuses, ce qui provoque une
al, ces lésions dimi- nuent la tension artérielle et permettent aux artères coronaires de se remplir plus facilement. La te
e remplir plus facilement. La tension moins grande du sang dans les artères excite moins les nerfs du coeur. Si l'organisme
e du coeur, produisent la dégénérescence graisseuse et sclérose des artères qui au commencement bienfaisantes, peuvent enva
du côté gauche, de la thrombose de la sylvienne, au niveau où cette artère fournit les perforantes antérieures et un foyer
L'arrêt de développement porte aussi sur le système vasculaire, l' artère radiale est plus fine à gauche, le pouls plus fai
ule interne. L'hé- morragie se faisant ordinairement au niveau de l' artère de Charcot, c'est-à-dire à la face externe du n
se fait sur le parcours de vaisseaux volu- mineux, en particulier l' artère de 1 hémorragie de Charcot, qui longent la face
gressive, toutes les hémorragies se faisant dans le territoire de l' artère de Charcot, devraient posséder une symptomatolo
Centralblatt. XVIII, 1899). Le pincement de l'aorte au-dessus de l' artère mésentérique supé- rieure pendant une heure dét
1 et II). La même opération effectuée immédiatement au-dessus de l' artère rénale droite (exp. III à V) produit des troubl
anifestement plus grande que lorsqu'on pince l'aorte au-dessous des artères rénales. Toutefois il se produit une circulatio
énales. Toutefois il se produit une circulation collatérale par les artères spinales situées plus haut; c'est pourquoi les
s mêmes que celles qui se pro- duisent après une forcipressure de l' artère rénale même (Litten). Dans les huit premiers jo
sont revenus à la normale. Le pincement de l'aorte au-dessous de l' artère mésentérique supérieure donne les mêmes résulta
s mêmes résultats (exp. VI et VII) que le pincement au-dessus des artères rénales, mais l'intestin est plus atteint, et, pa
granulations de Nissl autour du noyau. Les vaisseaux sanguins, les artères surtout, ont les parois épaissies et sont dilatée
rter ici le cas sui- vant : Observation. Sommaire : Ligature de l' artère axillaire chez un sujet prédisposé à la folie p
'hôpital de Limoges. Là, il fut reconnu atteint d'un anévrysme de l' artère axillaire, et la ligature de ce vaisseau fut jugé
légère exagération du retentissement du second bruit à la base. Les artères radiales et fémorales ne sem- blent pas scléros
non un intoxiqué actuel. C'est huit jours après la ligature de l' artère axillaire pour un anévrysme de ce vaisseau, que
mais tout de même « voix imaginaire ». Tremblement des mains. Les artères radiales sont sinueuses, dures; les battements
et rempli de caillots. La malade a succombé à une hémor- ragie de l' artère striée externe qui a fait irruption dans la cavit
aucun symptôme morbide, sauf des bruits sourds et mal frappés. Les artères radiales sont atliéromateuses ; les pulsations
les orifices sont normaux. Aorte, légèrement dépolie, non dilatée ; artères coronaires saines. Estomac : Tumeur cancéreuse
56 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
geur, sensation de chaleur exagérée la tête, battements forts des artères . Quelquefois, mais rarement, palpitations cardiaq
n. P. X... sent alors son coeur battre avec violence, ainsi que les artères de la tête et du cou. Il ne se souvient pas d
e frontal droit, par thrombose probable de la première branche de l' artère sylvienne. Ce foyer a à peu près la forme d'une
pe la base du cerveau, notamment au niveau du chiasma, le long de l' artère sylvienne et au-dessous de la protubé- rance ;
symptomatologie ET A L4 pathologie D'AF- fections SYPHILITIQUES DES ARTÈRES ET DU TISSU DU CERVEAU, par Ablecoff. (iVell1'o
es nerfs crâniens moteurs, crises tétanoïdes. -Autopsie. Lésion des artères de la base et surtout delà cérébrale moyenne (p
st à remarquer que la lésion 6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE." des artères s'attaque surtout à la tunique interne, la tuniqu
uche, entre autres, paraît de même mesure que le droit. A gauche, l' artère fémorale est plus large, ses parois sont plus é
ide et caillots noirs. Imbibilion des val- vules de l'aorte et de l' artère pulmonaire. Le trou de Botal est oblitéré. Valv
épaissie etoedématiée à gauche, mince et oedématiée à droite. - Les artères et les nerfs de la base, sauf le nerf optique,
cérébraux manquent de nerfs et de fibres musculaires lisses, et les artères relativement grosses de la pie-mère, pourvues d
l'existence de deux systèmes de vaisseaux dans la moelle : 10 les artères centrales qui, du sillon antérieur, pénètrent dan
dans la substance blanche limitant les cornes antérieures ; 1° les artères périphériques, plus petites, qui pénètrent dans l
entrale de la paralysie de Landry est une maladie du territoire des artères centrales qui s'étend rapidement à toute la subst
plus de probabilités pour qu'un poison quelconque intéresse par les artères centrales une partie des cornes antérieures (po
'il aille agir sur toute la périphérie de la moelle par les petites artères périphériques, et cela sans léser les cornes an
e infantile spinale n'est pas strictement limitée au territoire des artères centrales, et par- fois le cerveau est lui auss
de l'augmentation de calibre et des troubles de la circulation des artères thyroïdiennes inférieures dont les rapports ave
on et de la circulation. Ses pulsations lui sont transmises par les artères de la base. Elles augmentent si la tension sang
e déterminé que l'on rapporte d'ordinaire à la sclérose des petites artères . Elles étaient surtout accentuées chez les para
e artériosclérose très étendue : celle-ci prédominait au niveau des artères de la scissure de Sylvius et de la convexité; e
de la branche cen- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 457 Î traie de l' artère spinale antérieure, avec infiltration cellulaire
a été consécutif à une oblitération par thrombose de certaines des artères du pied du pédoncule. (Revue neurologique, nove
57 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
u moteur oculaire externe et des autres nerfs du sinus caverneux. L' artère ophtalmique gauche, ectasiée elle aussi, compri
es os de la région temporale sont très minces et trans- parents ; l' artère méningée est logée dans des sillons profonds, mai
unité cellulaire, que les indications du bout périphé- rique d'une artère liée ne signifie que ce vaisseau est constitué pa
sus morbide s'était exprimé. préférenciellement dans la région de l' artère latérale antérieure. Dans beaucoup d'endroits d
s les uns des autres par du tissu conjonctif servant de support aux artères et aux veines mais qui est moins abondant que dan
emesse et Marie en décrivent deux groupes en' rapport avec les deux artères thyroïdiennes supérieure et inférieure. En géné
Examen d'un fragment de sciatique et de poplité externe, et de deux artères (fé- morale et tibiale postérieure). Résultat n
dème, veines congestionnées tor- . tueuses, quelquefois trombosées, artères filiformes, quelquefois suffisions hémorrhagiqu
tubérance, reçoivent leur sang exclusivement du système postérieur ( artères basilaires, vertébrales, cérébelleuses) abondam
) abondamment pourvu en toute cette région d'anastomoses. 2. Chaque artère corticale constitue une région individualisée p
mment importantes : il s'en suit qu'une anomalie de formation d'une artère cérébrale ne peut être équi- librée par la comp
ne artère cérébrale ne peut être équi- librée par la compensation d' artères voisines. 3. On peu diviser en deux groupes les
s. 3. On peu diviser en deux groupes les anomalies de formation des artères qui nourrissent les hémisphères cérébraux avec
5. Ces ano- malies s'observent au premier chef dans la région de l' artère cérébrale antérieure qui irrigue la province si
es du côté gauche : 24,9. 7. Les anomalies particulières à chaque artère se peuvent résumer ainsi. A. Les cérébrales antér
iaires caractérisés par la division prématurée, l'anasto- mose de l' artère du côté opposé. B. Une des cérébrales antérieures
férences essentielles entre le côté droit et le côté gauche. 9. Les artères du système postérieur, artères basilaire, verté
côté droit et le côté gauche. 9. Les artères du système postérieur, artères basilaire, vertébrales, cérébelleuses, présente
peu plus souvent plus large à gauche qu'à droite. B. Ce sont les artères cérébelleuses, notamment les artères cérébelleuse
he qu'à droite. B. Ce sont les artères cérébelleuses, notamment les artères cérébelleuses moyenne et postérieure, qui sont
thique, et l'expansion de ses pro- longements peut-être le long des artères des membres et qui expli- querait l'angoisse d'
ophie considérable de l'hémisphère cérébral droit; des nerfs et des artères de la base de l'encéphale; Dégénéra- tions seco
roit, gris et aplati, trois fois au moins plus petit que le gauche. Artère communicante droite beaucoup plus petite que la
58 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e qu'ils doivent être attribués à une embolie siégeant dans une des artères , qui se distribuent aux tubercules quadrijumeaux
une petite branche invisible auparavant, il en était de même de l' artère centrale de la rétine ; donc les deux carotides é
constatait une dilatation des vaisseaux de la pie-mère, veines et artères ; le cerveau augmentait de volume au point de fai
faire saillie par l'orifice ; on constatait des pulsations dans les artères ; dans un cas. on a pu les voir même dans les v
aussi augmentation de la quantité de liquide céphaloracbidien. Les artères de la pie- mère deviennent de plus en plus volu
boîte crâniene produit une diminution de pression du sang dans les artères , et nécessite une impulsion cardiaque plus éner
ion des sécrétions des muqueuses oculaires, nasales, battements des artères de la tête, s'observaient toujours. Une fols, o
ntresvaso-moteurs sont touchés; le pouls augmente de fréquence, les artères se dilatent, la tension artérielle baisse (dicr
ruit diastolique. La rate a légèrement augmenté de volume. Dans les artères périphé- riques, au toucher on constate une rem
rovoquées sans doute par certains troubles de la circulation dans l' artère syl- vienne gauche ou dans quelques-unes de ses
e traînée de ramollissement dûe à l'oblitération complète d'une des artères terminales par l'ensemble du néoplasme ; en un
it déborde le gauche un peu en avant et davantage en arrière. Les artères , nerfs, tubercules mamillaires, pédoncules, sont
o-pariétales sur un espace d'environ un centimètre de lar- geur ; l' artère méningée moyenne s'y est creusée des sillons pr
à droite. Myocarde pâle, d'épaisseur normale. Le cône formé par l' artère pulmonaire présente un épaississement circonscrit
s avec quelques taches graisseuses et des épaississements scléreux. Artères coronaires minces. Poumon gauche, rougeur légèr
consécutive au rétrécissement de la trachée, etc. (liga- ture des artères thyroïdiennes inférieures, Kocher), à l'anémie
t dire ici qu'il est nécessaire d'avoir une exacte connaissance des artères et des veines du cerveau, parce qu'il est très
a morphine. Peut-être qu'en considérant le caractère ter- minal des artères du cerveau, il est à peine nécessaire de dire q
59 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
n totale de l'afflux sanguin du territoire organique alimenté par l' artère où l'em- bolus est arrêté, c'est-à-dire l'isché
ice, l'afflux sanguin se rétablit au territoire cor- respondant à l' artère embolisée, l'ischémie disparait et l'embolie n'
pension du processus nutritif dans les parties alimen- tées par l' artère oblitérée. Est-il nécessaire d'affirmer que ces
poudres très fines sont parvenus à oblitérer un certain nombre d' artères spinales et à priver ainsi de sang artériel tou
issement central de la moelle dorsale et au milieu de la lésion une artère oblitérée. Les faits de Leyden sont relatifs à
tré la division en territoires artériels dis- tincts, la présence d' artères terminales, dont l'obtu- ~ration est fatalement
spécialisations fonctionnelles sont irriguées par les branches de l' artère sylvienne. Rappelons bien de l'autre côté que l
? Assurément non. Ainsi une obstruction gazeuse de la branche de l' artère sylvienne qui se porte en 62 CLINIQUE NERVEUSE.
ice d'articulation ? Une embolie gazeuse d'une autre branche de l' artère sylvienne qui se distribue à la première circon
ocalisation de grosses perles de gaz ayant obs- trué complètement l' artère de la circonvolution de Broca et celle qui se d
e la vision et des perceptions visuelles des mots, incomplètement l' artère de la pre- mière temporo-sphénoïdale, a produit
DENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 63 branches susmentionnées de l' artère eylvienne, qui comprend, on le sait bien, dans
cécité. Nous croyons pouvoir la rattacher à l'embolie gazeuse de l' artère centrale de la rétine. C'est elle qui seule peu
qui fait le sujet de ['Expérience VI une oblitération gazeuse de l' artère centrale de la rétine. C'est à la présence de
ence graisseuse du myocarde, d'athéromedes SOCIÉTÉS SAVANTES. 135 artères coronairées avec atrophie consécutive de i'organe
), l'irrégularité et la petitesse de l'onde pulsatile (athérome des artères coronaires); mais ce ne sontlàque que des sympt
resque immédiatement t après rougeur cervico-faciale, battement des artères , anxiété pré- cordiale extrême, pleurs, gémisse
ons des vaisseaux de la base de l'encéphale. L'auteur a examiné les artères basilaires et carotides de 31 malades y compris
60 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
loration est blanchâtre, les veines sont dilatées, sinueuses et les artères minces. Avec cette atrophie, l'acuité visuelle
e complètement supprimée. Le malade est congestionné à la face, les artères temporales sont dilatées et pul- satiles. On lu
ort subite. La surface médiane de l'hémisphère est irri- guée par l' artère centrale postérieure, et la convexité par l'artèr
irri- guée par l'artère centrale postérieure, et la convexité par l' artère centrale antérieure. Les effets de compression
t diastolique à l'aorte ; coeur fortement frappé, pouls hypertendu, artères dures roulant sous le doigt. Pas de modifications
éjà tous remarquez ; Et quant à ce que j'ay dit de la façon que les artères apportent les esprits au dedans de la teste, et
preuve que sa situation ; car n'estant soutenue que par de petites artères qui l'environnent, il est certain qu'il faut tr
.. se vont rendre dans les concavitez du cerveau ; d'autant que les artères qui les y portent, sont celles qui'viennent, du c
pure, qu'on nomme les Esprits Animaux. Car il faut sçavolr que les artères qui les apportent du coeur, après s'estre divis
t peu de temps auparavant démontré l'existence dans le coeur et les artères . En effet, une fois sortis de la glande, les es-
au contraire, on assiste progres- sivementà leur réunion (1). Les artères , le coeur montrent parfois des anomalies qui sont
l vertébral. Ce canal transversaire destiné sans doute à contenir l' artère vertébrale est situé au dessus de l'origine des
ses par- ties latérales un canal transversale où devait se loger l' artère vertébrale ; ce canal communique, comme nous l'
res ; les bruits du coeur étaient purs et vigoureux, les parois des artères souples et élastiques. Le corps thyroïde n'étai
allant jusqu'à la transformation en tissu scléreux et adipeux. Les artères intramusculaires présentent fies lésions d'endo-p
eine à l'intérieur de laquelle on voit des caillots organisés ; les artères sont épaissies. Dans les parois vasculaires pas
la substance grise s'anastomoser avec les artérioles provenant de l' artère centrale, sont malades également. Autour de cha
d'une part, par les branches centrales ou sulco-commissurales de l' artère spinale antérieure qui, parvenue au fond du sil
te donc deux territoires médullaires ; l'un central, dépendant de l' artère sutco-conmissuraie,. l'attire périphérique dépend
nous montrent déjà qu'il ne saurait s'agir d'une oblitération de l' artère spinale antérieure dont la distribution est bilat
rtère spinale antérieure dont la distribution est bilatérale (cette artère est d'ailleurs perméable sur les coupes).Pour la
nicule adipeux atteint à la face antérieure de la cuisse 3 cm. 5. L' artère fémorale contient de nombreuses plaques d'athérom
61 (1825) Anatomie des systèmes nerveux des animaux à vertèbres, appliquée à la physiologie et à la zoologie : Atlas
par leur convexité. Fiv. 3. Lobe, nerf olfactif déployé, narine, et artère caverneuse nasale du murena congcr.c. plexus de
. - 3 et 4- Muscle droit externe. 1 / ' 5. Nerf optique. - - 6. Artère opthalmique coupée, venant de l'artère carot. int
' 5. Nerf optique. - - 6. Artère opthalmique coupée, venant de l' artère carot. int. i o. 7. Artères ciliaires. S. Vei
. Artère opthalmique coupée, venant de l'artère carot. int. i o. 7. Artères ciliaires. S. Veine opthalmique. 9. Pie-mère
opthalmique. 9. Pie-mère naissant de la carotide 10. " ' , . 10. Artère carotide. , n et 12. Rameaux de la carotide qui
62 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
aisseaux fragiles massés parfois autour de veines oblitérées, enfin artères et veines de plus gros calibre. Ceux-ci sont ento
, accompagnée de vaisseaux flexueux, dilatés, à parois modifiées. L' artère est peu atteinte et en quelques régions absolum
e en lobules. Au pôle libre le cordon devient normal, il n'a qu'une artère ombilicale, droite, - Cette hernie * contient u
e côté de cette hypophyse sont les terminaisons flottantes des deux artères carotides internes ; elles sont longues de 1 cent
e. nerf moteur oculaire externe. G. P. glande pituitaire. - AC.A. artères cérébrales antérieures. - N.C. racines cervical
avant par les vaisseaux centraux, arlères et veines, ra- meaux des artères et veines du sillon antérieur. Ces vaisseaux sont
hélium et la lumière des capillaires de la substance corticale. Les artères , en collapsus, ne montrent pas de lésions. Le
st 255 mm. La glande thyroïde n'est pas agrandie ; la pulsation des artères n'est pas visible. - Le thorax est symétrique,
e remarque aucune particularité squelettique ou musculaire. Seule l' artère radiale est pro- bablement d'un calibre très ré
ns la flexion de la phalange unguéale sur la deuxième phalange. L' artère radiale prend part à l'anomalie : si elle ne fait
immédiatement voisins de la variation osseuse, mais non point de l' artère radiale elle-même dans la majeure partie desa l
ue nous observons : lapalpa- tion nous a révélé que le calibre de l' artère radiale étaitextrêmementpetit t et cette consta
pas le seul caractère de la variation qui atteint le membre droit. L' artère radiale de ce côté est atrophiée et l'atrophie
mme il convient, l'atrophie de l'éminence thénar à l'ab- sence de l' artère radiale, il ne semble pas inexact de penser que l
grave des processus formateurs. Il est entendu que l'absence d'une artère ou d'un faisceau musculaire se produit à l'état
nce de l'atrophie simultanée de tout un massif muscu- laire et de l' artère du même côté, coïncidant avec une hémimélie du cô
n général et celle des types dits ectroméliques en particulier. L' artère radiale ne prend, en ce qui la concerne, aucune p
tives du carpe et du radius, ni de l'arrêt de croissance subi par l' artère radiale ; qu'elle ne saurait surtout expliquer
63 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ale, un assourdissement et une prolongation du premier bruit. Les artères sont nettement athéromaleuses. Les urines recueil
s hémorrhagiqut doit être réservé pour un examen plus approfondi. L' artère basi- laire est dilatée, indurée, grosse comme
ylvienne droite avec soin et nous avons examiné la branche de cette artère présentant à sa surface un caillot noirâtre qui
l'adventice. A l'examen macroscopique de la partie moyenne de cette artère ainsi munie d'un caillot périphérique en croissan
dilaté, présentant de nombreux globules sanguins. La paroi de cette artère offre elle aussi une épaisseur et une structure
sylvienne (point de départ de l'infiltration sanguine), lésions des artères cérébrales, léger degré de sclérose rénale. Voi
ach- noïdiennes, du moins des hémorrhagies liées aux ruptures des artères méningées. L'existence d'un épanchement très li
s méningées, du moins pour celles qui sont liées à la rupture d'une artère ou d'un petit anévrysme. Goodhart a bien insist
près le mode de cette effraction sanguine. C'est évidemment sur une artère malade que dans les deux cas se produit la rupt
d'autre part dilatation anévrysmale portant sur une branche d'une artère ou d'une artériole pie-mérienne. M. le professeur
ois par exemple comme dans notre cas où la lésion portait sur une artère de moyen calibre, ou bien qu'il s'agisse d'un ané
ascularisation assez prononcée sur les deux tiers antérieurs. Les artères de la base sont symétriques, sauf les communi-
agie méningée). A l'autopsie : athéromasie aortique, athérome des artères périphériques, des rénales (le malade avait de l'
es, des rénales (le malade avait de l'albumi- nurie) ; athérome des artères cérébrales et piemériennes. Pas la moindre lési
u- teur conclut ainsi : Endartérite et dégénérescence hyaline des artères de la moelle et des méninges, méningite légère, i
de divers autres tissus 1) inpliadénoïdes. et un rétrécissement des artères : cet ensemble de lésions représente bien au po
de la lésion, qui bien qu'au niveau de la zone de distribution de l' artère sylvienne n'accom-. pagne ni toute l'artère, ni
ne de distribution de l'artère sylvienne n'accom-. pagne ni toute l' artère , ni l'une quelconque de ses branches, l'abc sen
peu modifiés. Le malade vit encore. P. KERAVAL. XIX. Thrombose de l' artère cérébrale antérieure; par G. L31KELES. (Neurolo
ppocampe, occupant le domaine des lobules lingual et fusi- forme. L' artère cérébrale postérieure était obstruée par un throm
Médication glandulaire, par le -, par Parker, 17. Thrombose de l' artère cérébrale an- térieure, par Bllceles, 156. Th
64 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mes. Il supporte volontiers le séjour au lit. La face est pâle, les artères temporales sont sinueuses, les paupières inféri
ioroïfcfcre à paroi épaissie ; 22, veine fortement congestionnée; 23, artère dont la lumière est oblitérée. if 134 PHYSIOL
mais il n'en est pas de même de la couche des gros vais- seaux; les artères ont leurs parois généralement épaissies, Si. le
l digestif ne parai-sent pas atteints de troubles appréciables. Les artères sont dures, athéromateuses, le pouls est petit,
ndes ; elle est le siège de nombreuses petites hémorra- gies. Les artères méningées ont leurs parois épaissies ; et celles-
nche se trouvent des espaces lacunaires au centre desquels sont des artères à parois hyalines, remplies de sang et autour d
ment énorme des parois artérielles qui sont devenues fibreuses. Des artères de l'arc vasculaire, partent des bandes de sclé
présentent ne s'obtient qu'à la condition de relever la tension des artères . Neurasthénie à hypertension. Régime lacté abso
une certaine instabilité. L'appareil respiratoire est normal. Les artères sont dures et flexueuses, mais l'auscultation d
oins intenses, sont associées à des alté- rations dégénératives des artères . Les deux lésions capitales sont la dégénéresce
ères. Les deux lésions capitales sont la dégénérescence hyaline des artères et l'infiltration pigmentaire. Suivant que l'un
ttement au niveau de la fissure médiane antérieure où, à côté d'une artère du sillon, normale, on trouve une veine profond
de ramollissement superficiel de tout le terri- toire irrigué par l' artère sylvienne, par G. BIBLES. (Neurolog. Cf : Nfn.X
e la cloison ventriculaire. avec rétrécis- sement de l'orifice de l' artère pulmonaire, phtisie pulmonaire, thrombose veine
ciles à détacher. On les retrouve dans la scissure de Sylvius. où l' artère est bouchée en grande partie par un caillot bla
riétal inférieur, eu un mot dans tout le ter- ritoire irrigué par l' artère sylvie2tite droite. Ces foyers pénètrent de 3 c
gulier qui lui est propre. 2° Ce rythme persiste quand on lie les artères spléniques. 3° Il existe certainement une relatio
quelque temps à la cessation de l'attaque, qu'on ait ou non lié les artères spléniques. 18° Quand on a complètement coupé l
ndes à gros noyau, et des vaisseaux altérés de diverses façons. Les artères présentent, comme dans la moelle, lIEhII5EC1'lU
s expérimentaux ob- tenus par les physiologistes qui respectent les artères et ar- rêtent les épanchements sanguins. Les ca
ules, propagation aux corps vertébraux, embolie cancéreuse dans une artère dure-mérienne antérieure à la hauteur du 7e seg
65 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ote cinq fois l'atrophie de la papille, il remarque, cinq fois, les artères ou leurs branches dilatées ou flexueuses; altér
ou flexueuses; altérations, ajoute-t-il, en rapport avec celles des artères de l'encéphale. La même année, Magnan se livrait
au début de la paralysie générale, la papille est hyperhémiée, les artères et les veines AliCIIIVES, 2* séi@ie, t. XV. 1
peu précise, n'ayant pas la teinte rosée de la papille normale, les artères n'étaient pas filiformes. Les malades avaient e
ues importantes de la substance cérébrale. Vaisseaux : Athérome des artères basilaire et sylviennes. Les yeux ont été fix
sur une coupe longitudinale du nerf et de la papille passant par l' artère centrale (voir fig. 2) exister en quantité moin
venir surtout des parois des vaisseaux de la papille. En effet, l' artère et la veine centrales de la papille (a, v, fig. 3
jeunes, que l'on voit se détacher en quelque sorte des parois de l' artère mais surtout de la veine pour pénétrer entre le
es de soutien, comme ceux de l'oeil droit, sont très apparents. L' artère et la veine centrales ont, il est vrai, une paroi
uvons pas ici d'hypertrophie intense des parois de la veine ni de l' artère ; néanmoins de très nombreuses cellules conjonct
lement au méridien horizontal de 1, £ Pil droit du malade V... ; a, artère centrale ; v, veine; c, petit vaisseau entouré de
infiltration allant du degré le plus faible jusqu'à la sclérose. L' artère et la veine centrales pré- sentaient elles auss
médullaire; lésion d'une glande vasculaire sanguine, athérome de l' artère nourricière de l'os, et concluent que la lésion
une mince lame scléreuse, déprimée, simulant une porencéphalie. Les artères sylviennes droite et gauche sont atrophiées, sc
nes étendues à toutes les régions antéro-latérales des hémisphères. Artères saines, non épaissies, à part quelques points t
rose des petits vaisseaux avoisinants, l'inflammation chronique des artères du système pos- térieur, notamment de l'artère
ation chronique des artères du système pos- térieur, notamment de l' artère du septum médian postérieur et de celles qui pé
rébrale ou de plaques scléro- gommeuses des méninges comprimant une artère ; il ne s'arrête à aucun diagnostic et ne fait
ellulaires explique que dans les cas de thrombose ou d'embolie de l' artère centrale, ils ne puissent, comme les groupes ce
rier, s'acharnant sur elle, lui aura coupé le cou avec un rasoir. L' artère carotide s'est ouverte. Puis, retournant son arme
66 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
oscopique montra d'une façon indécise des phénomènes de spasme de l' artère de la rétine. Parfois elle éprouvait des sueurs
lie appréciable, comme couleur, sensibilité, force musculaire. Les. artères battent norma- lement. Le réflexe rotulien est
la force musculaire elle-même n'est pas notable- ment diminuée. Les artères , en particulier la pédieuse, battent normalemen
ent indurées, un peu flexueuses. Battements normaux dans toutes les artères superfi- cielles. Urines. Pas de sucre, ni d'
sme, les néphrites chroniques, la glycosurie, l'état sclé- reux des artères , et enfin certaines affections cardiaques. Il m
e l'oeil à l'ophtalmoscope. Les vaisseaux de la rétine, surtout les artères étaient très sensiblement rétrécis. Dans l'inte
pales, mort; hématome de la dure-mère. P. S. XXII. THROMBOSE DE l' artère CÉRÉBELLEUSE INFÉRIEURE ; par MENZIES. (Bi,ain,
l'autopsie, lésions vulgaires de paralysie générale. Sclérose de l' artère cérébelleuse inférieure gauche avec oblitératio
tion des symptômes nerveux avec des altérations très mar- quées des artères . Il y avait dégénération parenchymateuse des ne
nt de coloration rosée très prononcée. La malade sentait battre ses artères fortement. A partir de ce moment, tandis que la
égèrement et prend une colo- ration rouge vif. Elle est chaude. Les artères battent. La position déclive, la pression provo
appuyait pour prouver cette localisation sur la constric- tion de l' artère centrale de la rétine qu'il avait constatée chez
e moyenne de la deuxième phalange. L'amputation fut nécessaire, les artères ne donnaient pas pen- dant l'opération. Mais,
ion était faite dans la .veine marginale de l'oreille,tantôt dans l' artère . médiane, tantôt dans l'artère jugulaire, etc.
arginale de l'oreille,tantôt dans l'artère . médiane, tantôt dans l' artère jugulaire, etc. La pression et la rapidité d'in
s muscles et des réflexes tendineux. Autopsie. Pie-mère épaissie. L' artère de la frontale ascendante droite est sclérosée
ur la ten- sionwasculaire. Enfin, noiis'éavons toujours opéré sur l' artère a'I' . it)'' .... i «l'i'-i'oq'ni ' J " sur les
is un siècle, telles que la trachéotomie, le séton, la ligature des artères vertébrales, la trépanation, l'oopho- 470 REVUE
391. Thermique, étude du sens, par ltilley, 39. Thrombose de l' artère cérébelleuse inférieure, par Menzies, 127. Th
67 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
formé; il a l'apparence d'une vigueur peu commune pour son âge. Ses artères temporales sont très visibles, serpigineuses et
oppée chez un individu très vigoureux, exempt de syphilis, avec des artères saines, absent de tout symptôme de tumeur céréb
t des méninges et des parties corticales voisines, oblité- rant les artères , ou occupant la base, lésant la bandelette et le
que, gagnant l'écorce et déterminant, soit par l'oblitéra- tion des artères , soit par la destruction de la région motrice, l'
insi que, pendant l'attaque d'épilepsie, la pression monte dans les artères cérébrales, tandis qu'elle diminue dans les ext
e épanchement sanguin INTRA-CR.\NIEN, consécutif A UNE RUPTURE DE L' ARTÈRE MÉNINGÉE MOYENNE. HÉMIPLÉGIE COMPLÈTE DU côté O
arachnoïdite gom- meuse, de l'arthrite gommeuse des basilaires, des artères spinales sociétés savantes. 27S et cérébrales
u'il s'agit d'un hydrocéphale avec rétrécis- sement congénital de l' artère pulmonaire et dystrophie musculaire progressive
e lésion de la tibiale, car, outre l'oedème bleu, on constate que l' artère dor- sale du pied ne bat presque plus. Le tremb
ulte une sorte de reflux du sang vers le coeur, la circulation de l' artère étant morcelée et comme forcée ; de là la sensa
en d'anormal dans le creux axillaire, pas de points loulou- reux. L' artère sus-claviculaire est sentie dans le creux, l'artè
loulou- reux. L'artère sus-claviculaire est sentie dans le creux, l' artère axillaire, l'artère humérale, les artères radia
re sus-claviculaire est sentie dans le creux, l'artère axillaire, l' artère humérale, les artères radiales et cubitales abso-
st sentie dans le creux, l'artère axillaire, l'artère humérale, les artères radiales et cubitales abso- lument comme du côt
892.) E. B. VI. Observation D'UN cas d'épilepsie avec ligature DE l' artère vertébrale; par Telford-Smitu. (The Journal of
e 1890.) On se souvient qu'il y a quelques années, la ligature de l' artère vertébrale fut préconisée dans le traitement de
ar Pick, 260; - procursive, par Buttner, 260 ; avec ligature de l' artère vertébrale, par 'l'elforcl Smith, 1·JJ. Equil
68 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
s augmenté de volume, la pression artérielle varie de 17 à 14 ; les artères périphériques dans deux cas ne présentaient auc
aibles dimensions et calcaires. Il en est ainsi parfois des grosses artères des membres inférieurs qui sont presque indemne
x pyramidaux sont toujours respectés. Comme les gros vaisseaux, les artères spinales peuvent être manifeste- ment athéromat
nes d'entre elles sont isolées et noyées dans du tissu adipeux. Les artères musculaires plongées au sein de cette gangue conj
. La mésartère est épaissie à un degré moindre-que l'endartère. Ces artères peuvent parfois prendre un dévelop- pement cons
ombre de noyaux. Toutefois, nous devons ajouter que dans un cas les artères musculaires enveloppées par le tissu conjonctif
tration adipeu'se est d'intensité variable, plus marquée autour des artères d'un certain calibre qu'en aucun autre endroit.
ns dans son intensité. Dans quelques cas, les veines et surtout les artères des muscles présentent des altérations extrêmemen
fications des fibres musculaires étaient plus développés autour des artères que nulle part ailleurs. Toutefois, le fait qu'
rare de voir de petits îlots scléreux contenant en leur centre une artère ou une veine altérée ou thrombosée. ' Pour le
vu la sclérose localisée dans tout le territoire d'irrigation d'une artère , et l'occupant tout entier. Cela dit au sujet d
ement récent du terri- toire de la cérébrale antérieure à droite. L' artère était complètement t thrombosée. Au niveau de
on de la moelle par luxation de la première lombaire. On y voit des artères et des veines (v, v', v", v"') dilatés. Dans le
t leur palpation donne la sensation que l'on éprouve en palpant les artères d'un cadavre préalablement injectées à la gélat
hémie, notamment celle produite par compression et oblitération des artères radiculaires (Ziegler), peut expliquer certaines
ragies ou ramollissements : on peut admettre, avec Schmaus, que des artères thrombosées se détachent des embolies capables de
eux côtés. A l'autopsie, le cerveau et la moelle étaient sains. Les artères encépha- liques étaient très athéromateuses.
mmédiatement sous la moitié droite du plancher du 4e ventricule une artère assez volumineuse thrombosée. Sa lumière est au
istingue des leucocytes plongés dans une substance rouge amorphe. L' artère est entourée d'un mince manchon de cellules mig
rrique et le Van Gieson. La lésion la plus importante est celle des artères : partout on voit des lésions péri-endoartériques
mer l'altération du fonctionnement de l'organe par la sclérose des artères . Mais quand la lésion a fait des progrès, on tr
69 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
p profondé- ment, afin de pouvoir surveiller ce qu'elle* appelait l' artère du sommeil une des carotides les battements pou
ration des vaisseaux), la claudication procède à l'oblitération des artères des autres extrémités. P. K. VIII. DE la comp
symptôme de dé- ficit émané d'un territoire cérébral irrigué par l' artère choroi- dienne. Les troubles de l'odorat sont é
s de l'odorat sont également à ranger dans la même catégorie, car l' artère en question irrigue aussi les parois du prolong
es. (P. K.) z SOCIÉTÉS SAVANTES. 99 d'Ammon. Le territoire de l' artère qui nous occupe commande donc à la transmission
n de la veine humérale est assez facile, mais l'aiguille traverse l' artère humérale qui doit être liée. Dénudation à gauch
de la veine est assez facile, mais la poinfe de l'aiguille touche l' artère qui saigne notablement. Une pince hémostatique
téristique. La pupille gauche était dilatée, les muqueuses pâles, l' artère temporale gauche rigide, le pouls dur (68 pul-
almoscope, on constatait la pulsation des branches principales de l' artère centrale, visible jusqu'au delà du disque optiq
seur Charcot dit avoir vu plusieurs fois l'oblitération de la seule artère frontale extérieure et antérieure produire un r
itement la nuit en se plaçant sur le bassin. - Autopsie. Cerveau. Artère basilaire non athéromateuse, artère sylvienne g
bassin. - Autopsie. Cerveau. Artère basilaire non athéromateuse, artère sylvienne gauche normale. ' ' . Hémisphère gauc
- due, ne se rétracte pas ni ne se contracte pas comme les autres artères et le sang cesse de couler facilement et spontané
quart de pouce de largeur. On voit une branche assez grande de l' artère moyenne de la mé- ningée qui traverse l'ouvertu
ster Peake), suivi plus tard par la dilatation des mêmes vaisseaux ( artère temporale, carotide et artères rétiniennes).
la dilatation des mêmes vaisseaux (artère temporale, carotide et artères rétiniennes). e). En considérant à un point de
de spasme observés dans d'autres vais- seaux de la tète, tels que l' artère temporale, la carotide, les vaisseaux du fond d
stifier l'observation de M. Galézowski, montrant une thrombose de l' artère cen- trale de la rétine survenue à la suite d'a
parties du cerveau en rapport avec l'organe visuel (territoire de l' artère sylvienne) sont encore très peu connues. L'AM
70 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
tres ; au-dessous d'elle on palpe avec la plus extrême facilité les artères , les veines et les nerfs. Le biceps, le brachia
artérioles des sillons antérieurs, postérieurs et surtout dans les' artères radiculaires est plus marquée que dans les coup
mètres plus en dedans est à cheval par ses branches d'origine sur l' artère axillaire. Le nerf cubital est plus en dedans enc
l'oreille moyenne et de l'oreille interne, et d'autre part sur les artères flexueuses et glomérulaires de l'oreille intern
saines : le tissu interfasciculaire est certainement augmenté. Les artères présentent des altérations : il existe autour d'e
nstruel ne s'écoule, à cause que les vaisseaux, à scavoir veines et artères sont angus- tes et estroicts et encor non desto
t avec la mé- lancolie utérine, due à une obstruction des veines ou artères péri-utérines amenant la suppression des règles
accentuée, qui tend à oblitérer dans certains cas leur lumière. Les artères intra-vasculaires présentent aussi une augmentati
este dans l'ampleur de la respiration. Au coeur rien d'anormal, les artères sont souples. Le pouls bat 76 à la minute. Le
présente des battements sourds et précipités, le rythme foetal. Les artères ne sont pas dures; le pouls est mou, parfois irré
que la jambe saine, dont la température ne se modifie pas, dont les artères semblent normales est, en réalité, raidie par des
e. Léger éclat diastolique à la base; pas d'hypertrophie cardiaque, artères un peu dures. Le malade quitte le service, mais
ement, le deuxième temps à la base est éclatant, le pouls bat 96, l' artère radiale est un peu dure. Quelques trou- bles va
encore quoique moins régulières depuis deux mois ; rien au coeur, l' artère radiale est souple, le pouls bat 90 à la mi- nu
on de 3" à la face supérieure, de 4" à la face plantaire, de 2" aux artères . III. Température. A. Face antérieure. A la cha
ncter. Rien au larynx ni aux poumons. Pas de troubles cardiaques, l' artère radiale n'est pas dure; le pouls est petit, il
L'auscultation des poumons et du coeur ne révèle rien d'anormal ; l' artère radiale est un peu dure, l'artère temporale sinue
oeur ne révèle rien d'anormal ; l'artère radiale est un peu dure, l' artère temporale sinueuse. Pas de troubles urinaires.
71 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t normale. Les différentes parties delà base de l'encéphale, nerfs, artères , etc., sont symétriques. La glande pinéale n'of
is de ce côté, dilatation du ventricule latéral, corres- pondant, artère communicante postérieure plus petite, étc. La m
ALADIE DE BASEDOW. 29 s'endormir, inquiétée par le battement de ses artères temporales. Elle signalait parfois de véritable
qui sont la caractéristique macroscopique de la lésion. Autour des artères au voisinage desquelles on rencontre fré- quemm
. Puis, le premier segment dorsal est insuffisamment irrigué parles artères radiculaire ; les artères radiculaires antérieure
dorsal est insuffisamment irrigué parles artères radiculaire ; les artères radiculaires antérieures y manquent ; les radic
manquent ; les radiculaires postérieures y sont, très rares. Et les artères centrales ne viennent pas compenser pareille insu
tre, el n'est pas mieux irrigué. Si lus recherches de Kadyi sur les artères radiculaires antérieures s'arrêtent au troisième
antérieures s'arrêtent au troisième seg- ment lombaire, et, sur les artères radiculaires postérieures, au quatrième, son ta
. Ceci indique j ustemenL un rétrécissement ou une oblitération des artères affè- rentes des jambes, un trouble fonctionnel
sot. XXXIX. De la cyanose des rétines dans le rétrécissement de l' artère pulmonaire ; par Rabinski et Toufesco. (Nouv. T
us à un processus morbide artériel, qui attaque le plus sou- vent l' artère de Sylvius, sur le terrain de laquelle cette micr
comme appareils organiques de même formule analomo-physiologique, l' artère glomérulairesineuuse et dilatée du rein, l'artè
-physiologique, l'artère glomérulairesineuuse et dilatée du rein, l' artère glomémlairc sinueuse, dilatée et anastomo tique d
glomémlairc sinueuse, dilatée et anastomo tique du labyrinthe et l' artère sinueuse et terminale de la pie-mère. Les .vari
te les signes d'une légère lésion ou malformation de l'origine de l' artère pul-, monaire (souffle systolique à la base, à
- tactile, par Raymond et Egger, 422. Aphasique. Voir Dyslalie. Artère pulmonaire. Voir Rétines. Arthropathie. Voir Ta
72 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
phale : 1,230 gr. Les différentes régions de la base, ainsi que les artères , sont normales. Cervelet et isthme : 170 gr. La
est régulière et symétrique. L'encéphale pèse 1210 gram- mes ; les artères de la base, les nerfs. le chiasma, les pé- donc
E. 33 l'encéphale : 770 grammes.- Pas d'injection delà joie-mère. Artères de la base, chiasma, tubercules mamillaires, pé
gestives, res- piratoires et circulatoires ne sont pas troublées. L' artère radiale est athéromateuse. Nous n'avons pas eu
abondant. Encéphale : 11GO gr. La surface est un peu lavée ; les artères , les nerfs de la base sont sains. Le tubercule ma
ocalisation est rendue manifeste par ce fait que le territoire de l' artère de la troisième circonvo- lution frontale, laqu
s volumineuse que la droite, ce qui tient à ce que le sillon de l' artère vertébrale se trouve déjeté vers la droite. Au ni
qui constituent ou avoisinent la base de l'encéphale sont normaux ( artères , nerfs, etc.) Hémisphère droit. Il est plus l
73 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
gère teinte bleuâtre, sans vascularisation; les vaisseaux centraux, artères et veines, étaient grêles, il tout autre égard le
tache de pigment sur la choroïde un peu au-dessus de la papille. Les artères sont normales. Il n'y a pas d'autres apparences
rapport de causa- lité avec l'insuffisance des sigmoïdes tant de l' artère pulmonaire que de l'aorte; insuffisance qui, po
t l'impul- sion du coeur se faisait particulièrement sentir sur les artères qui se distri- buent aux parties supérieures du
ri- buent aux parties supérieures du tronc (cou et tête), aussi ces artères devaient- elles s'agrandir d'une façon consécut
es sur le péricarde, et particulièrement le long de l'aorte et de l' artère pulmonaire. Les parois du ventricule droit sont t
trou placé à la base de l'apophyse transverse pour le passage de l' artère vertébrale, ce qui, à la vérité, n'est pas rare;
n outre on voit que le sillon supérieur destiné au passage de cette artère est converti en un trou osseux. Toutes les au
s latéraux, un peu élargis; contiennent un sérum clair. Les grosses artères de la base du cerveau se montrent notablement lar
la lriscupiùe 11 cent. Longueur du coeur de sa pointe l'issue de l' artère pulmonaire = 13 cent. 3. Ses cavités sont très
ulature vigoureuse, les muscles papillaires fortement allongés. Les artères ont un diamètre très augmenté (les auteurs insist
de la 4° dorsale, 32 mill. Trou rachidien : normal. Le trou de l' artère vertébrale est élargi; les trous de conjugaison
74 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
arésié ; douleurs moins violentes dans le membre inférieur droit. L' artère radiale droite est souple ; le pouls est bien fra
ures sont très peu visibles et l'on a peine à voir les sillons de l' artère méningée moyenne. Les sinus frontal, maxillaire
large, au vertex. La branche pariétale et la branche frontale de l' artère temporale superficielle sont très saillantes, tor
leur sur- face interne. Aucun signe de rhumatisme aux pieds. Les artères périphériques des membres supérieurs et inférieur
deuxième, il s'agirait surtout (Bé- clère) de l'artériosclérose des artères nourricières des os. Evidemment, si dans notre
considère que l'os maxillaire inférieur est desservi surtout par l' artère dentaire inférieure,c'est-à-dire par un rameau pr
'artère dentaire inférieure,c'est-à-dire par un rameau provenant de l' artère maxillaire interne (l'autre branche terminale d
ustique. L'autopsie montra l'épaississement et l'oblitéra- tion des artères basales du cerveau, le ramollissement du lobe par
interne droite, une endo-artérite oblité- rante dans la région de l' artère de Sylvius de droite et une méningite gommeuse
utopsie, on trouva une endo-artérite et une thrombose partielle des artères vertébrales, basilaires, et de l'artère de la fos
ne thrombose partielle des artères vertébrales, basilaires, et de l' artère de la fosse de Sylvius de gau- che, ainsi qu'un
des ganglions de la base de gauche et une endoartérite de plusieurs artères cérébrales, de la fosse de Sylvius, des vertébral
, vomissement et la mort. A l'autopsie on trouva une thrombose de l' artère vertébrale et des cérébelleuses de droite avec, c
ujet mourut. A l'autopsie, on trouva des altérations ' étendues des artères du cerveau et de la moelle épinière, sous forme d
mes parties en correspondance avec les circonvolutions cérébrales ; artères de la hase fortement épaissies ; les tubercules
nterne droite, à la suite d'une endoartérite du rameau central de l' artère de la fosse de Sylvius. 3° (Beob. V).Homme de 2
en que de l'alcool pour déterminer les altérations sclérotiques des artères . Or, si l'agent syphili- tique pénètre dans l'o
s. Or, si l'agent syphili- tique pénètre dans l'organisme quand les artères cérébrales sont déjà affai- blies par l'âge et
tion complète s'il est déjà formé. Un emplacement vicieux soit de l' artère cérébrale antérieure (Sairder),soit de la faux
ganglion on distingue un petit filet nerveux qui se dirige vers les artères ciliaires et qui est vraisemblablement la racin
ajorité des cas, par les rameaux relativement gros .qui terminent l' artère , radiale à la main, la pédieuse aux extrémités in
ÉSIE DU CORPS CALLEUX 657 tion, tels que l'emplacement vicieux de l' artère cérébrale antérieure (San- der) ou de la faux d
75 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
eur. Aucune lésion ni 28 CONCEPTION durant la folie. anomalie des artères et des divers organes situés à la face inférieu
vaisseaux sont gorgés de sang. Les différentes parties de la base ( artères , nerfs, chiasma, etc.) n'offrent pas d'ano- mal
s ccchymotiques. Les différentes parties de la base de l'encéphale ( artères , nerfs, chiasma, etc.) n'offrent pas d'anomalie
nsidérable du lobe occipital gauche et du lobe frontal droit. Les artères de la base sont symétriques.- L'espace perforé,
ccupe presque tou- jours la région périsylvicnne ou territoire de l' artère cérébrale moyenne (1). - (1) Ce travail a été
e considérable, sorte de circulation de suppléance ou collatérale : artères et veinules se sont anormalement développées en
s le voisinage du corps calleux où elle est très adhérente. - Les artères , les nerfs de la base, les tubercules mamillaires
ipital ]ior)nal. Liquide céphalo- rachidien en petite quantité. Les artères , les nerfs de la base n'offrent rien de particu
76 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
est permis de se demander quelle est l'influence de la ligature des artères cérébrales sur l'excitabilité des cen- tres mot
pendant toute la durée des convulsions, Knies a noté un spasme des artères rétiniennes et une pâleur extrême de la papille
anémie cérebrale, la perte subite de conscience. Mais ce spasme des artères cérébrales peut résulter de l'excitation réflex
upés, la plaie nettoyée, on aperçoit nette- ment le battement d'une artère , qu'on sent facilement avec le doigt. Cette art
battement d'une artère, qu'on sent facilement avec le doigt. Cette artère , qui donné énormément de sang, continue il coul
Elle n'a pas saigné, et dans le fond, on apercoit toujours battre l' artère dont on a parlé plus haut. On n'a pas retiré d'
s sous-ofllciers de Postdam, a été trouvé mort dans sa chambre; ses artères radiales étaient ouvertes et il était en outre
s de ramollissement intraprotnhérantiels, dus à des thromboses de l' artère basilaire. Delà la forme apopleclique. ' M. Gol
al. Dans les cas de migraine, elles seraient dues à des spasmes des artères qui nourrissent ce lobe, et à l'anémie consécutiv
depuis le début du mal, il étonna le malade lui-même. Le pouls de l' artère temporale gauche devint presque imperceptible,
uence diminuée du sang à la région affectée, et comme les grandes artères ne présentent point de changements visibles, il e
angements visibles, il est disposé d'admettre un spasme des petites artères qui possèdent plus d'éléments contractiles et,
la bandelette optique. M. Moeli fait à ce propos remar- quer que l' artère cérébrale postérieure irrigue non seulement les
aisceaux de la cou- ronne rayonnante. Endartérite circonscrite de l' artère basilaire et de la sylvienne gauche. Intégrité
issement des parois vascu- laires) ; macrosplénie (endartérite de l' artère splénique). P. K. XVII. L'anatomie pathologique
77 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
En septembre 1846, même opération sur Anne Lemarchand. Dissection à l’ artère carotide adhérente à une glande; dissection de co
ombée il rentra dans un repos semblable à la mort. Lorsque toutes les artères furent liées et toutes les traces de l’opération
, il poussa des cris aigus, et il tressaillit pendant la ligature des artères . Je dis à l’élève de continuer à le mesmériser, e
nes ( rapport exact des contraclions du cœur avec les vibrations de l’ artère de l’avant-bras ), et plus forts que faibles. La
, et plus forts que faibles. La respiration est calme et régulière. L’ artère aorte ventrale bat avec violence. Les sécrétions
e. » Un léger mouve- nient se manifesta seulement à la ligature des artères . Ou le laissa dormir. Au bout d’une demi-heure,
on devint seulement inégale vers la fin , et surtout quand on lia les artères . Il s’éveilla seul, au bout d’un quart d’heure en
léger mouvement eut lieu dans les jambes au moment de la ligature des artères . Eveillé au bout d’une heure, il n’avait connai
avait disparu, je le fis éveiller immédiatement après la ligature des artères , pour lui administrer un cordial. Il ouvrit les y
e fit sans la moindre apparence de sensibilité. Après la ligature des artères , on cessa la magnétisation , et le patient s’évei
chant à rapprocher ses genoux; mais il ne put y parvenir. Lorsque les artères furent liées, il cessa de s’agiter, mais non de s
ssais. Il s’éveilla de lui-hiême Une demi-heure après la ligature des artères , ne soupçonnant même pas qu’on l’eût opéré; quand
nt devenu imperceptible, je le réveillai aussitôt que les principales artères Furent liées. Il recouvra immédiatement àes sens,
es yeux ni gémir. 11 s’éveilla spontanément peu après la ligature des artères , et dit qu’il ne souffrait nulle part, que rien n
78 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
truit, surtout à gauche, la protubérance sans atteindre le bulbe. L' artère cérébelleuse postérieure gauche présente une di
i elle est récente et aiguë donne une systole cardiaque faible avec artères incomplètement remplies ; si cependant la dépre
énergique et le tracé indique une léère tension artérielle. 4° Les artères des épileptiques sont relâchées et la faiblesse d
ues, rénales et pulmonaires (hypertrophie du coeur - altération des artères coronaires altérations valvulaires - néphrite c
ement récent, datant de l'as- phyxie, et cause de l'hémiplégie. Les artères du cer- veau étaient perméables. Comment expl
ulement, déterminer une lésion organique du muscle cardiaque ou des artères du coeur. En effet, l'étiologie des affections
ment total du corps calleux par embolie issue d'un anévrysme de l' artère du corps calleux droit. P. K. XXXVIII. DESSIN E
après trois ans de traitement, et un cas d'athérome généralisé aux artères et artérioles de l'encéphale, commençant juste
it substitué correspondaient exactement au territoire irrigué par l' artère sylvienne gauche. Il y a donc lieu de supposer
es circonvolutions exci- tables mécaniquement après la ligature des artères cérébrales. Que nous acceptions ces résultats c
siologiquement identiques. P. K XLV. DE la NON-TER311NALIT); DES artères corticales DU cerveau; par M. Bissons. Il rés
ales DU cerveau; par M. Bissons. Il résulte de ce travail que les artères cérébrales, au moins les corticales, appartienn
lle permet de comprendre comment il peut y avoir oblitération d'une artère sous le moindre ramollissement. 430 REVUE d'ana
la division du en sillons, par Seitz, 429 : non terminalité des artères du -, par Biscons, 429; pesées du -, par Meyner
79 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
ure-mère n'offre rien de particulier. Encéphale. — Les nerfs et les artères de la base de l'en- céphalc sont symétriques ai
artères de la base de l'en- céphalc sont symétriques ainsi que les artères vertébrales (1). Des deux côtés, les ventricules
iquent facilement. (1) Certains auteurs ont invoqué l'inégalité des artères verté-brales comme une cause de l'épilepsie. Po
ait normale. Les différentes parties delà base de l'encéphale, nerfs, artères , etc.. sont symétriques. La glande pinéalc n'offr
sont symétriques. Glande pituitaire d'apparence normale. Cerveau. L' artère communicante postérieure gauche est un peu plus p
us épais de ce côté, dilatation du ventricule latéral corres-pondant, artère communicante postérieure plus petite, etc. La mén
térieurement. Pas de synostose. Encéphale. — Il est volumineux. Les artères et les nerfs paraissent symétriques. Hémisphère
nt symétriques. — Peu de liquide céphalo-rachidien. — Les nerfset les artères de la base de l'encéphale sont symétriques. — Lég
80 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
quadrangulaire profonde, l'espace perforé antérieur où pénètrent les artères lenticulo-striées. La vallée de Sylvius (S) about
ramide de Sœmmering (GS), une postérieure innominée, où pénètrent les artères lenticulo-striées. L'espace perforé antérieur a
ntiel), est parcourue d'arrière en avant, sur la ligne médiane, par l' artère basilaire. Si l'on relève d'arrière en avant et d
i nette que possible, il faut préalablement couper avec des ciseaux l' artère basilaire et en relever les deux bouts sans les a
valle. Si l'on ne prend pas cette précaution, il arrive souvent que l' artère , surtout si elle est athéromateuse, fait dévier l
qui entame les tubercules quadrijumeaux. Il ne faut jamais arracher l' artère basilaire, particulièrement son bout supérieur; e
misphère. Ceux-ci ne sont plus reliés entre eux que par le tronc de l' artère communicante antérieure : un coup de ciseaux sur
encoche d'une constance à peu près absolue*, destinée au passage de l' artère cérébrale antérieure au moment où cette artère qu
stinée au passage de l'artère cérébrale antérieure au moment où cette artère quitte l'espace perforé antérieur (EPA). C. La
ampe (Hip, fig. 120), la coupe a entamé les branches perforantes de l' artère lenticulo-striée. Cavité ventriculaire. La co
alité du triangle postérieur de l'espace perforé où les branches de l' artère lenticulo-striées sont coupées obliquement. Le no
eau adulte, et réelle sur le cerveau embryonnaire, est une gaine de l' artère lenticulo-striéc. Or, la commissure antérieure re
re repose sur l'espace perforé, juste au-dessus de la pénétration des artères lenticulo-striées dans la substance cérébrale. A
pace perforé antérieur où l'on reconnaît les trous vasculaires de l' artère lenticulo-striée. Mais elle n'arrive pas jusqu'à
s'infléchit en dedans et en haut et, s'insinuant dans le sillon de l' artère cérébrale antérieure, va mourir à la face interne
81 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
ond de la plaie, qui était large de huit centimètres, on apercevait l' artère numé-rale, la veine basilique déchirée et plusieu
amollissement, déterminé lui-même par l'oblitération em-bolique d'une artère cérébrale postérieure. Quant au zona, voici, je p
produit : un rameau artériel spinal (3), issu, sans doute, d'une des artères sacrées latérales, fut trouvé, à l'autopsie, obst
parties ramollies un épanchement sanguin du volume d'une amande. — L' artère cérébrale postérieure du même côté est complèteme
t origine au plexus sacré, une artériole 'rameau spinal, branche de l' artère sacrée latérale;, distendue par un caillot sangui
che de l'artère sacrée latérale;, distendue par un caillot sanguin. L' artère oblitérée, dont le volume égale celui d'une plume
andulaire qui a, vous le savez, pour effet d'amener la dilatation des artères , détermine-t-elle la sécrétion, par ce seul fait
ation de la corde du tympan se manifeste encore après la ligature des artères qui se rendent à la glande, sur un animal tué d'h
ngement sérieux, à moins de compli-cation, par exemple Y embolie de l' artère centrale de la rétine, il s'agit d'un ramollissem
sur la rétine le long des vaisseaux: — 3° la branche principale de l' artère centrale qui se distribue dans la partie inférieu
oser que tous ces désordres sont dus a la contraction spsamodique des artères , par places, et à leur dilatation dans d'autres e
on san-guine sur la face convexe des hémisphères, surtout à droite. — Artères de la base saines. — Encéphale, 1,360 gr. La pie-
82 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
minant de l'irritation dont les effets ont porté sur la paroi des artères d'abord, puis sur la gangue conjonctive diffuse
d'une coupe de la moelle il la région cervi- cale inférieure. a, Artère . Nombreux noyaux dans la paroi de l'artère et dan
i- cale inférieure. a, Artère. Nombreux noyaux dans la paroi de l' artère et dans la gaine lymphatique. Fig. l ? Coupe
n vei- neuse modérée de lapt'e-mf))'c. Encéphale : i,14 : i gr. Les artères de la buse sont symétriques : la bandelette opt
inges saines, se décortiquant facilement. Athérome peu prononcé des artères de la base de l'encéphale. Le bulbe parait enti
s la cavité du sinus caverneux le développement d'un anévrisme de l' artère carotide interne gauche qui en avait complèteme
achnoïdien, on trouve une quan- tité notable de liquide séreux. Les artères de la base du cerveau sont scléreuses ; on sent
de la base du cerveau sont scléreuses ; on sent un thrombus dans l' artère sylvienne droite. La substance du cerveau est f
avait affaire à la rétraction convulsive des fibres musculaires des artères examinées. Résultat nul des hautes doses de quini
ude sur les souffles du rétrécissement et de l'i7tsuffi- sance de l' artère pulmonaire. Volume in-so de 200 pages. Paris, lib
e d'une coupe de la moelle à la région cervi- cale inférieure. a, Artère . Nombreux noyaux dans la paroi de l'artère et dan
i- cale inférieure. a, Artère. Nombreux noyaux dans la paroi de l' artère et dans la gaine lymphatique. Fig. 14. Coupe
83 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857. Déviations de la colonne vertébrale. Atlas de XX planches
ong delà courbure dorsale, plus bas flexueuse jusqu'à sa terminaison. Artère iliaque primitive gauche très flexueuse. OEsoph
ie supérieure de la courbure lombaire, qu'elle croise inférieurement. Artère iliaque primitive gauche fortement repliée. Vei
oisant de façon à se rapprocher de la concavité des deux courbures. L' artère iliaque primitive droite, née de l'aorte fort loi
écarté de l'aorte pectorale vis-à-vis la plus forte courbure de cette artère et figure assez bien la corde de l'incurvation su
84 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
énéralement unique, quelquefois double et plus ou moins volumineux, l' artère nourricière de l'os. Enfin aux épiphyses, dans le
ie ne s'est point renouvelée : on sent, du reste, les battements de l' artère pédieuse. Le genou est tuméfié et douloureux, m
dyle à la facette triangulaire de la face postérieure du cubitus. L' artère humérale se divise au pli du coude en cinq ou six
à dure-mère, il s'é-coule une assez grande quantité de sérosité. —Les artères sont saines.—L'hémisphère gauche pèse 10 grammes
ande quantité de li-quide céphalorachidien. La pie-mère est pâle; les artères delà base ne sont pas athéromateuses. — L'encépha
un blanc jaunâtre, assez fermes, n'adhérant pas aux parois, et dans l' artère cen-trale un caillot ferme, de couleur foncée; le
eau obturé par un bouchon fibri-neux jaune. En plusieurs endroits des artères coronaires, on trouve de petits amas de fibrine.
d'un mucus visqueux ; pas de caillots dans les grosses branches de l' artère pul-monaire. — Le larynx et la trachée contiennen
sont crépitants, souples, dans toute leur étendue. On a injecté par l' artère pulmonaire gauche de l'eau : un tube fermé à une
85 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
t la colonne dans les flexuosilés qu'elle décrit. Sur cette figure, l' artère principale du corps offre une convexité droite tr
ait l'incision trop loin du bord tendineux. On peut aussi atteindre l' artère tibiale et le nerf, en portant le ténolome trop a
prendra garde, dans ces cas, de blesser la veine saphène externe ou l' artère pé-dieuse. Les tendons des péroniers latéraux,
s le long fléchisseur commun ; on a aussi à redouter la blessure de l' artère tibiale postérieure, qui n'est pas loin. M. Bonne
er ces résultats. J'en dirai autant de l'augmentation de volume des artères carotides et des veines jugulaires observée par G
les muscles, suivent plus ou moins exactement la courbure des os. Les artères , en particulier, décrivent, en outre, des flexuos
ous voyez cette disposition sur cette préparation du squelette et des artères d'un enfant rachitique de deux à trois ans. III
rapports de l'aorte avec la colonne vertébrale. Vous voyez que cette artère correspond exactement au côté gauche des Vertèbre
la courbure latérale normale. Cette déformation des os âu contact des artères n'est point un fait extraordinaire ; on l'observe
st point un fait extraordinaire ; on l'observe presque partout où les artères sont en rapport immédiat avec les os. Cette actio
e l'aorte abdominale et thoracique qui constitue V ex cep lion. Cette artère décrit, dans ce cas, de petites courbures qui ne
sins; mais il est probable qu'ils s'effaçaient par la distension de l' artère . L'œsophage, plus rétractile, moins adhérent au
86 (1911) La pratique neurologique
l'alnaurose par troubles cir- culatoires cérébraux. L'embolie de l' artère centrale de la rétine, certaines formes de névr
s venant du pli courbé, ce. n'est pas une lésion du territoire de l' artère sylvienne. La lésion productrice siège dans le te
naires, d'une manière passagère et peu accentuée ; t'anévrysme de l' artère basilairc, maladie exceptionnelle accompagnée de
aires liés à l'athérome, à l'artério-sclérose et aux anévrysmes des artères vertébrales ou du tronc basilaire, aux hémorrag
eurs cérébrales. Les modifications de la pression sanguine dans les artères labyrinlhi- ques, et peut-être aussi les altéra
ction et les Illodili- . cations de pression et de perméabilité des artères labyrilllhiques (P. Bon- nier) et les scléroses
, la pachyméningite cervicale hyper- trophique, les anévrismes de l' artère vertébrale, les adénopathies cervi- cales, les
meurs cervicales, les compressions par anévrisme de l'aorte ou de l' artère sous-clavière, par cals vicieux de l'humérus, les
gion crurale, les affections osseuses du bassin, les anévrismes des artères iliaques, les hernies crurales, etc. La névralg
ant du trou ovale. Pour éviter la blessure des organes dan- gereux ( artère transverse de la face, artère maxillaire interne,
la blessure des organes dan- gereux (artère transverse de la face, artère maxillaire interne, artère méningée moyenne) le
n- gereux (artère transverse de la face, artère maxillaire interne, artère méningée moyenne) les auteurs ont conseillé dan
sphéno-axillaire A, au-dessus du ganglion sphéno- palatin C et de l' artère maxillaire interne D. (D'après Sicard.) - Fig.
à des lacunes dans les noyaux gris centraux ou dans le domaine de l' artère cérébrale' postérieure. Les malades perdent incon
vieillards; l'artérite. la périartéritc chroniques, l'athérome des artères du cerveau déterminent soit l'hémorragie céré-
il la plisse transversalement en l'attirant en dehors. Il protège l' artère et le nerf cubital quand on serre, le poing fer
ns la mastoïdite de Bézold que le pus vient fuser par la gaine de l' artère occipitale de l'a face interne de la mastoïde j
evant de l'apophyse transverse de l'atlas, point de croisement de l' artère et du nerf (Leroux, La névrite spinale d'origin
on inférieure, curvi- ligne, qui embrasse dans son anse, à droite l' artère sous-clavière, à gauche la crosse de l'aorte; q
t Kalindero ont constaté plusieurs fois des lésions importantes des artères et des veines musculaires de plusieurs myopathi
on sait la fréquente influence sur la détermination des lésions des artères ou des veines (cas de Lesage, Berger, Cerné, Ba
: l'appareil le plus courant est celui de Potain qui s'applique à l' artère radiale ; le manomètre doit être amorcé à une pre
le manomètre, on l'applique par sa partie mince sur le trajet de l' artère radiale, on applique un doigt de la main gauche,
urrence de l'arcade palmaire et l'index de la main gauche explore l' artère radiale au-dessous de l'am- poule. On comprime
vec les doigts de la main droite jusqu'à ce que les battements de l' artère radiale cessent d'être perçus par l'index de la
la femme. Il peut s'agir d'un rétrécissement mitral, d'atrésie de l' artère pulmonaire. P. Marie a vu, chez un infantile de
ez un infantile de sexe masculin, l'aorte se rétrécir au niveau des artères spermatiques. On a rencontré parfois un défaut
ma du fond de l'oeil. Décoloration de la choroïde. Persistance de l' artère centrale de la rétine. - Oreille. Les stigmates
11 manquerait dans les méningites. Chez l'adulte, les anéuismes des artères de la base de l'encéphale, les tumeurs richemen
ertain nombre de cas au moins, d'une calcification très étendue des artères des membres atteints, calcification décelable par
e s'améliora et l'examen ophthalmoscopiquc montra des veines et des artères papillaires revenues à peu près à l'état normal.
87 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
ont étudiées et décrites sous le nom de mouvements rhythmiques des artères , et dont Schiff le premier a signalé l'existenc
e, les palpitations, des mur- mures liquidiens dans le coeur et les artères , l'oppression pré- ÎSIBLIOGRAPHIE. lit t cord
Fuckel pense qu'il s'agit d'une embolie cardiaque parve- nue dans l' artère sylvienne ayant déterminé des lésions dans le n
de l'endartérite oblitérante aiguë,1 portant'hon seulement sur les- artères et les veines ? mais'encore sur les petits'vaisse
re soit la lésion, primitive, et,il'athérome des artérioles.et des, artères seulementf·une lésion secondaire, produitei par l
t [par les- capillaires, pour n'apparaître que plus tard sur, les,, artères ; : et,r f même,, il suppose que, l'hémorrhagie
écent dans le corps strié droit en rapport avec l'oblitération de l' artère sylvienne, ces, altérations expliquant l'hémiplég
iquedues'à ? la dégénérescence athéromateuse et'à l'obstruction des artères / Les' sinus- et les veines du cerveau/1 et prin
88 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
ifiés. Le cœur, à l’aide de ses contractions, chasse le sang dans les artères . Celles-ci, en se ramifiant de plus en plus, le d
etite circulation ou circulation pulmonaire. La direction du sang des artères est centrifuge, celle du sang des veines est cent
es physiques et chimiques. Le sang qui va du cœur aux organes par les artères est rouge vermeil, celui qui revient des organes
projeté de l’oreillette dans le ventricule et du ventricule dans les artères à l’aide de mouvements alternatifs de contraction
’aorte se répand par suite de cette impulsion primitive, à l’aide des artères , dans toutes les parties du corps et parvient jus
inspiration, ni de celle que M. Tigri attribue aux battements des artères dans leur gaines communes avec les veines; ces ca
. D’un autre côlé, si nous l’avons suivi dans sou cours t travers les artères , nous avons vu. que jusqu’alors contenu dans les
que la section des filets cervicaux du grand sympathique destinés aux artères de la face, les capillaires, privés de leurcontra
distendre par le sang : les parties dans lesquelles se répandent ces artères offrent bientôt une congestion sanguine accompagn
galvanique est supprimée. Ainsi dans l’appareil circulatoire les artères et les veines forment les deux branches de celle
ù se trouve chacun des ventricules avec le sang qu il chasse dans les artères qui lui servent de débouché. Les parois du ventri
d’autres causes; comme aussi lacontractilité qui se manifeste sur une artère qu’on a mise à découvert. 11 serait facile, en
la pesanteur, ii une supériorité manifeste, puisqu’il soutient dans l’ artère crurale une colonne de 23 millimètres. Une autre
89 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
altération manifeste de la substance cérébrale, mais en revanche, l' artère sylvienne gauche et celle-là seule, était athér
source, quel qu'en ait été le mode d'évolution ultérieur, dans les artères cérébrales. M. le Dr von HOFF3fAIN (de Bade). S
nt unies aux fibres irido-di- latatrices remonteraient le long de l' artère vertébrale, tandis que les fibres irido-dilatat
s descendantes seulement, puisque les fibres qui accom- pagnent l' artère vertébrale ne contiennent pas de filets irido-d
ar les parties intactes ne sont justement pas irri- guées par cette artère . M. MUFLLER. Les formes initiales de la paralys
drait admettre encore qu'il y avait eu oblitération simultanée de l' artère cérébrale postérieure et de l'artère du corps c
u oblitération simultanée de l'artère cérébrale postérieure et de l' artère du corps calleux, car le ramollissement dépassa
e qu'il y ait une légère périartérite diffuse. faut ajouter que les artères ainsi altérées ne forment pas des centres d'où
e il s'écoule une grande quantité de liquide céphalo-rachidien. Les artères de la base sont symétriques; toutefois, la cérébr
ues augmente- beau- coup la vitesse du sang et la pression dans les artères , car la section des pneumo-gastriques augmente
ement des vaisseaux et l'on rend plus faible le passage du sang des artères aux veines. - M. Brown-Sequard enseignait derni
90 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
dimensions, vertical, présente quelques rides trans- versales. Les artères temporales sineuses s'observent de loin. Les or
t de 3 1/2 m. a. Les pouls, 102 par minute. La tension sanguine à l' artère radiale 16, au spbygmo-manomètre de Potain. L
cavité de laquelle on trouve des caillots anciens. Les valvules des artères pulmonaires sont normales. Les valvules aortiques
'aorte, on trouve quelques pla- ques blanchâtres dont une près de l' artère coronaire antérieure, plus grande, dure et calc
. Le volume des ventricules latéraux est normal. Pas d'athérome des artères de la base. Sur les coupes vertico-transversale
ts symétriques appartiennent au terri- toire de vascularisation des artères cérébrales antérieures dont la circu- lalion au
du pulvinar, amenées depuis la base et déposées dans les parois des artères terminales de ce noyau gris. Quoi qu'il en soit
Par sa malice occulte et invisible Allait chercher les veines et artères Et leur causait si estranges mistères, Dangie
indemnes. Pas de foyer intra-médullaire. Athérome très notable des artères de l'hexagone de Willis, et assez nom- breuses
es lésions vascuiaires type de Heubner et portant à la fois sur les artères et sur les veines. Un grand foyer occupait la p
r une infection ou une intoxication; telle est une oblitération des artères spinales qui supprime l'apport nutritif; dans l
Au coeur, on note un bruit de galop, sans souffles orificiels ; les artères ne sont ni dures, ni flexueuses, la tension art
91 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
s ne trouvions ici nul motif d'incriminer la fonction du coeur. Les artères étaient souples ; une lésion méningitique de natu
s accentué de la valvule tricuspide. Pas de lésions apparentes de l' artère pulmonaire. L'aorte est dilatée à son origine e
ne façon assez irrégulière a perdu d'autre part son élasticité. Les artères des membres sont épaisses, tor- tueuses, irrégu
traux. Le cervelet n'est porteur d'aucune altération grossière. Les artères de l'encéphale sont épaisses, sinueuses, à lumi
des viscè- res : foie, rate, rein, corps thyroïde, au niveau d'une artère moyenne d'un mem- bre, d'un muscle du mollet. L
tre de lésions notables des cel- lules ou des fibres à myéline. Les artères sont le siège d'altérations portant surtout sur
nette- ment épaissie surtout il sa face postérieure. Les vaisseaux, artères particuliè- rement sont le siège de périartérit
ont leurs tractus conjonctifs épaissis d'une façon irrégulière. Les artères qu'elles contiennent sont le siège d'une périarté
(battements artériels spasmo- diques, en particulier au niveau de l' artère centrale de la' rétine, engour- dissements, fou
gère : on entend dans les poumons quelques râles secs. Sclérose des artères . Pas de sucre, ni d'albumine dans l'urine. Faib
92 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Fig. 8. 'tracés pris sur le olncn en repu ? biii, ul.u ,.upareil. L' artère fémorale est découverte. La courbure supérieure i
avons réussi à prendre simultanément les deux pressions, celle de l' artère carotide et celle de la fémo- rale, tant en rep
vons pratiqué la trachéotomie; ensuite nous avons mis à nu les deux artères . Alors le chien étant atta- Fig. 16. Tracés de
ères. Alors le chien étant atta- Fig. 16. Tracés de la pression des artères carotide et fémorale. Les tracés doivent être l
nons les deux pressions au début des mouvements. Les tracés de deux artères ont été les mêmes en marchant d'accord. Tous le
nguine large, rouge sombre, deviennent graduellement très tortueux. Artères peu dilatées, finissant par présenter sur le bo
e étroitesse marquée des vaisseaux du fond de l'oeil, notamment des artères . Intégrité des mouvements associés des yeux, pa
ons. Par suite de la déviation du tronc basilaire vers la gauche, l' artère cérébrale postérieure droite est plus longue que
à découvert sur la partie médiane. La pie-mère est oedématiée, l' artère communicante postérieure et l'ar- tère cérébral
utes les glandes; des plaques d'athérome à tous les degrés dans les artères , la pachyméningite et la périencéplialile. La r
93 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r la rougeole. Se basant enfin sur les dispositions anatomiques des artères venues du tronc basilaire et destinées aux noya
n recoquillement partiel des trousseaux nerveux dégénérés. Dans les artères , il y a épaississement de trois tuniques, rétré
e- mère opaque, ses vaisseaux sont rigides, pas d'adhérences. Les artères du cerveau sont le siège d'altérations profondes
n droit normal. En résumé, sclérose généralisée et très intense des artères du cerveau. Cette artério-sclérose est-elle une
émorragie aux vaisseaux chroniquement atteints de la pie- mère. Les artères malades des centres nerveux étaient en effet '
Le spasme des vaisseaux produit une gêne de la circulation dans les artères comme dans les veines, et la transsudation suit
n à la radiale. Tandis que, du côté sain, l'écrasement complet de l' artère est obtenu avec une pression de 12e de mercure,
durables, au contraire, les veines se dilatent de plus en plus, les artères sont dans un état de spasme permanent et la lés
t pas sous l'influence de la lumière. La papille est décolorée, les artères y sont petites et les veines très volumi- neuse
x noyaux moteurs du bulbe. Cette zone du langage est irriguée par l' artère sylvienne et ses branches. Les aphasies vraies
emêlent aux mailles d'un lacis ner- veux inextricable situé entre l' artère et la veine rénales et que là ils envoient des
94 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
une dilatation des vaisseaux veineux et, par contre une atrésie des artères de la rétine. La papille est normale comme colo
tement abolie. Les battements cardiaques exagérés, mais courts, les artères sclé- reuses. Les autres organes normaux. Eta
rébrale où nous notons des recherches inédites sur la structure des artères cérébrales, suivi d'un tableau clinique de l'at
rale aura surtout pour but d'empêcher nn excès de pression dans les artères lésées ; éviter le travail intellectuel, les ém
e la mélancolie avec stupeur. Les veines dilatées, engorgées, les artères rétrécies. Dans 3 p. 100 environ des cas, nous
- cortical, comprimer le centre des mouvements du bras ou une des artères qui l'alimentent el déterminer une paralysie ptss
de la rétine. Les vaisseaux veineux de la pupille sont dilatés, les artères peut-être un REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 35
. 1. Hémorragie sus-clure-mérienne par rupture li-ait- matique de l' artère méningée moyenne. M..., cinquante ans, amaigri,
out le côté gauche. Cette hémorragie provenait de la déchirure de l' artère méningée moyenne par le bord tranchant d'un fra
tionné nettement les trois quarts de la circonférence du tronc de l' artère méningée moyenne. Le trait de fracture se continu
ubérance. Quelques plaques d'athérome sur les sylviennes et sur les artères de la base du cerveau. Coeur volumineux ; pou-
95 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
e optiques. — Modifications de la papille dans les cas d'embolie de l' artère centrale de la rétine, dans la glycosurie, la rét
aux de la papille, vous savez qu'ils consistent en deux veines et une artère , celle-ci beaucoup moins volumineuse que celles-l
par exemple, qui accompagne la sclérose en plaques. L'embolie de l' artère centrale de la rétine donne lieu, à la longue, à
émiées, mais non encore ramollies, à la suite de l'oblitération d'une artère de l'encéphale par un thrombus. La tuméfaction
sthme de rencéphale ne présentent aucune altération appréciable ; les artères de la base sont saines. Le bulbe rachidien offre
On n'y .peut reconnaître aucune trace d'atrophie ou d'induration. Les artères de la base sont à peine athéromateuses. La moelle
optiques. — Modifications de la papille dans les cas d'embo-lie de l' artère centrale de la rétine, dans li glycosurie, la rét
. — Dans la paralysie glosso-laryngée, 463, 474. E Embolie de l' artère centrale de la rétine, 51. Epilepsie dans la co
96 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
llissement est représenté par les parties courbes où se rendent des artères exsangues. 228 RECUEIL DE FAITS. droite, offr
trou trois branches vasculaires principales de la sylvienne : 1° l' artère de la deuxième frontale (front, externe et infé
artère de la deuxième frontale (front, externe et inférieure); 2° l' artère de la froii taie ascendante (ceutraleaulérierel
; 2° l'artère de la froii taie ascendante (ceutraleaulérierel; 3° l' artère delà parié- tale ascendante (centrale postérieu
nerf médian paraît plus gris et plus petit à gauche qu'adroite. Les artères fémorales ne présentent pas de ditlérence de volu
hi- dien est en. quantité normale. L'encéphale pèse 4,070 gr. Les artères de la base paraissent égales. Le tubercule mami
iction des liens. Son crâne est régulier, la face est injectée, les artères carotides et temporales sont gonflées' les pupi
nétiques à signaler sont : les maladies de l'orbite, l'embolie de l' artère centrale, l'intoxication saturnine, les hémor-
ricules ; elles sont symétriquement placées dans le territoire de l' artère cérébrale postérieure, à peu près à la limite qui
97 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
dessus du coude et surtout dans un point correspondant exactement à l' artère humérale, un peu au-dessus du pli du coude, sous
écautions vou-luespour s'assurer que l'instrument ne comprimait pas l' artère . Les modifications observées indiquaient qu'il y
pression sanguine ne pouvant être attribuée qu'au rétrécissement de l' artère . Le 16 Décembre, le thermomètre était de 30° à
ra-phique. Ce simple fait tend a démontrer que le rétrécissement de l' artère est le premier phénomène et que le refroidissemen
te et 18°3 à gauche. Les tracés indiquent encore un effacement de l' artère ; le pouls est petit et serré ; l'amplitude de l'
je venais de prendre des tracés qui m'indiquaient la compression de l' artère . A un moment donné j'obtins un tracé présentant n
né j'obtins un tracé présentant nne amplitude beaucoup plus grande. L' artère s'était décomprimée sous l'influence d'un massage
massage prolongé, au niveau du pli du coude dans le but d'explorer l' artère humérale et peut-être aussi par le fait de l'appl
ion. C'est donc à une action vaso-motrice qu'est dû le phénomène. L' artère est rétrécie ; l'apport du sang est moins considé
sser couler le sang d'un blessé,lorsqu'il peut faire la ligature de l' artère , qu'il n'a celui de le laisser en proie à une att
98 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ndantes autour des capillaires et dans- les parois des veines,' les artères de- calibre en sont dépour- vues ! - En certain
dans le ma- rasme. - - - Autopsie (6 avril 1894). Encéphale. Les artères de la base ne sont pas athéromateuses. LÉSION
n général lentes. On ne constate pas d'athérome appréciable sur les artères que l'on peut explorer. La respiration est supe
des expansions rythmées de ce tissu, en rapport avec celles de ses artères ; 20 physi- quement, l'expansion pulsatile des a
celles de ses artères; 20 physi- quement, l'expansion pulsatile des artères encéphaliques néces- saires au mouvement réguli
re. Fait de la plus grande importance, les vaisseaux nourriciers ( artères et veines spinales) sont altérés d'une façon cons
Périartérite ancienne dans un cas de lel)toin3,lito$-pliili- tique ( artère spinale antérieure). LA. MÉNINGO-MYELITE SYPHIL
que, d'être infiniment plus accentuées dans les veines que dans les artères (fait déjà constaté dans la syphilis médullaire
upe transversale de Tarière et de la veine spinales antérieures. A, artère absolument saine; B, veine dont les parois sont c
e but de déterminer la part exacte qui revient à l'oblitération des artères spinales dans le mécanisme des lésions précédente
tré dans les ar- térioles, en suivant principalement le trajet de l' artère spinale antérieure, mais non exclusivement. On
99 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de myélite siégeaient toujours sur le trajet de ramifications de l' artère du sillon antérieur; parfois toutes ces ramific
térieure dans sa presque totalité. D'autres fois, c'est seulement l' artère qui irrigue le groupe antéro-externe, le groupe
te, ou bien elle n'est pas très accusée. La même injection dans les artères de la moelle donne surtout naissance à des poli
pédoncules cérébelleux et le 4° ventricule sont plutôt grêles. Les artères vertébrales et sont régulières. Les 'obères cér
on intense des méninges rachidiennes et du bulbe, sans sclérose des artères . A l'ouverture du 4° ventricule, liquide encéph
de quatre orteils : actuellement, le pouls était intermittent, les artères athéromateuses, il y avait de la stupeur, des n
la moelle allongée et le cer- velet provenant d'une occlusion de l' artère cérébelleuse pos- térieure inférieure gauche; é
ù il sort à la surface du cerveau. Influence de l'oblitération de l' artère basi- laire sur la mort. P. IEIIAYAL. 394 REV
sonnien qui per- sistent toujours '. * F. B. XXXV. Anévrysme de l' artère vertébrale gauche ; par LADAME et Von lO4,lOW.
l'encéphale : a) hémorragie cérébrale, b) embolie et trombose de l' artère s3,lvieiine, c) méninge-encéphalite, d) encépha
psychologie cérébrale, par Stewait flatou. 312. - Ani.ve5sw de l' artère vertébrale, par \on Ioual.ow. 400. Angiome se
100 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
âtre de sclérose périvas- culaire, portant plus fréquemment sur les artères que sur les veines ; dans quelques cas nous avo
jours, en même temps que lui, nous avons noté le rétrécissement des artères de la rétine. Aussi pourrait-on peut-être expli
, l'image du voile qui borde la papille dans les cas d'embolie de l' artère céré- brale. Nous avons noté le rétrécissemen
ie de l'artère céré- brale. Nous avons noté le rétrécissement des artères chez 30 % de nos hallucinés, encore n'avons-nou
des, présentant en même temps qu'un rétrécisse- sement très net des artères , des papilles absolument nor- males et une visi
généralement flexueux et abondants, ja- mais de rétrécissement des artères , une seule fois nous avons trouvé de la périvas
e sa soeur qui venait de se met- tre au lit : la pauvre fille eut l' artère carotide tranchée net; il essaya ensuite d'asso
ment, reste comme une impasse, comme un cul-de-sac dans les grandes artères par où laVie ira semant ses créations successiv
se rencontrent dans le développement des gros vaisseaux. : des deux artères omphalomésentériques, l'une disparaît toujours
fréquence du pouls, et une augmentation de tension de la paroi des artères . On peut conclure à une hypertension des parois
iologie du système nerveux. Les onze can- didats ont eu à traiter : Artères cérébrales. Les questions restées dans l'urne é
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