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1 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
le volume, le poids, la structure de ces organes chez l'homme et les animaux vertébrés ; l'histoire du système ganglionaire de
mme et les animaux vertébrés ; l'histoire du système ganglionaire des animaux articulés et des mollusques, et l'exposé de la re
es familles, et même dans chacun des individus qui composent la série animale , l'état du système nerveux et celui de l'intellig
rection ; mais les uns sont bornés à un trop petit nombre d'espèces d' animaux , pour fournir des données générales ; les autres,
teurs qui m'ont devancé ; j'ai compris dans mes études toute la série animale , et j'ai procédé comme si rien encore n'avait été
le soin que j'ai rais à les préparer chez un grand nombre d'espèces d' animaux , m'a permis de les individualiser et de suivre le
i mises en regard les unes des autres, dans les différentes classes d' animaux . Cette première partie de la tâche que j'avais
se une fois terminée, je me suis occupé de l'état psychique de chaque animal et de celui de l'homme. Mettant à profit les obse
s facultés instinctives, intellectuelles et morales de l'homme et des animaux . Ayant ainsi réuni devant moi deux séries de fa
e, par parenthèse, qui a écrit sur « la folie, disait que les esprits animaux sont dans une agita-« tion perpétuelle, et qu'ils
loyait toutes à se procurer des éléments de recherches, à acheter des animaux souvent fort chers; l'excellent microscope qui fa
DANS SES RAPPORTS AVEC L'INTELLIGENCE. Il y a un certain nombre d' animaux chez lesquels on ne connaît pas de système nerveu
présent, n'aient pas été assez puissans pour le faire découvrir. Ces animaux désignés par M. de Blainville sous le nom-d'amorp
ple et qui touchent d'assez près aux végétaux. Parmi les zoophytes ou animaux rayonnes, les holoturies ont été indiquées par M*
ais Délie Chiaje (2), qui dit avoir disséqué plus d'un millier de ces animaux , n'a jamais pu y trouver de traces de substance n
pas encore, même pour M. de Blainville, un fait bien démontré. Les animaux privés de système nerveux sont-ils pour cela dépo
tance médullaire sensible, uniformément répartie dans les tissus de l' animal (6). Qu'il y ait une substance sensible, cela n'e
'il y ait une substance sensible, cela n'est pas douteux, puisque les animaux dont il s'agit montrent, par leurs mouvemens, qu'
. par Jourdan. Paris, 18 35, t. 3, p. 35. (7) Loc, cil. substance animale , dît M. Oken , a commencé par là masse nerveuse,
physiologistes ont considéré comme étant la dernière à se montrer. L' animal tire son origine du nerf, et tous les systèmes an
tomiques ne font que se dégager ou se séparer de la masse nerveuse. L' animal n'est que nerf : ce qu'il est de plus, ou lui vie
edans, ou fondues avec elle. La masse nerveuse désigne ce qui, chez l' animal , est dans l'état d'indifférence absolue, et peut,
des faits démontrés. Or, comment démontrer que la masse composant les animaux placés au plus bas degré de l'éclielle animale, s
la masse composant les animaux placés au plus bas degré de l'éclielle animale , soit une masse nerveuse? Par sa disposition orga
rachetqui adopte comme vraies les idées de M. Oken stir là nature des animaux inférieurs, après avoir cité le passage qu'on vie
leur massé pulpeuse n'est qu'une sorte à'albumine toute nerveuse; les animaux primaires ressemblent donc à la substance poncti-
r, in-8, p. 256* 1. forme qui constitue les premiers rudimens des animaux supérieurs. C'est une substance molle, nerveuse,
pas besoin d'un organe spécial, puisqu'elle constitue à elle seule l' animal tout entier ou son origine. A quoi eussent servi
, aucun appareil pour les recevoir? C'est celte origine première de l' animal qui a porté M. Virey à assimiler la substance enc
l'erreur. Je n'admets donc pas que la matière dont sont formés les animaux primaires ait une nature nerveuse : la faculté qu
maux primaires ait une nature nerveuse : la faculté que possèdent ces animaux de se contracter et de se montrer sensibles aux a
ration du fait dont il s'agit n'a pas même été entreprise. Dans les animaux qui par leur organisation s'élèvent au-dessus des
visible, et, d'après les recherches récentes de M. Ehrenberg (2), les animaux microscopiques eux-mêmes n'en sont pas dépourvus.
2), les animaux microscopiques eux-mêmes n'en sont pas dépourvus. Ces animaux étaient regardés, tout (1) Brachet, Recherches
ar M. Ehrenberg, ont été trouvés pourvus d'organes analogues à ceux d' animaux réputés plus élevés dans l'échelle animale. Ainsi
organes analogues à ceux d'animaux réputés plus élevés dans l'échelle animale . Ainsi, la monade, dont la dimension ne va pas au
s de la digestion, mais se rendant à des points opposés du corps de l' animal et ayant, l'une et l'autre, des fonctions bien di
sterait isolée aussi, ou plutôt elle n'exisle- (*) Cuvier, Le Règne animal , Paris, i83o, t. 3, p, 323. rail pas. Dès qu'il
nerveux. Le système nerveux existe donc nécessairement chez tous les animaux qui ont plusieurs organes destinés aux sensations
mme je n'ai aucun fait nouveau à présenter sur le système nerveux des animaux microscopiques, ni sur celui des rayonnes, je ne
es rayonnes, je ne m'y arrêterai pas plus long-temps : je passe à des animaux mieux étudiés et plus complets, et chez lesquels
dans toute l'étendue qu'il comporte ; les uns ont (t) Histoire des Animaux , (2) Bibtia naturœ, Amst. 1762, 2 vol. in—fol.
aux mollusques; d'autres ont fait avec détail l'anatomie d'un de ces animaux ; Cuvier et M. Garner ont seuls traité ce sujet da
ion du système nerveux des mollusques, je commencerai par ceux de ces animaux dont l'organisation est la plus simple, pour remo
ollusques, celle des cirrhopodes, pour servir de transition entre ces animaux et les articulés. § I. DESCRIPTION DU SYSTÈME N
. 1° Acéphales sans coquilles, Cuv. ; Tuniciers, Lam. Les ascidies, animaux placés par Cuvier dans la première fa- (i) Ce q
ganglion est oblong, placé dans l'épaisseur de la tunique propre de l' animal , entre la production qui donne entrée aux branchi
renflée latéralement, a été regardée comme formant l'encéphale de ces animaux . Cuvier qui a distingué et fait représenter le sy
ux des ascidies est en rapport avec le reste de l'organisation de ces animaux : en effet on ne découvre pas chez eux un système
ires, placés à l'orifice du sac branchial, et qui servent à avertir l' animal de la nature des objets qui se présentent à cet o
side à ces diverses fonctions, il réunit des propriétés qui, chez des animaux supérieurs, ont un siège distinct et semblent a
ffère presque dans chaque espèce. Quelquefois tous les ganglions de l' animal sont réunis par des anneaux, et groupés autour de
ions comparativement plus élevées qu'ils remplissent. Les oscabrions, animaux dépourvus de tentacules et d'yeux, feraient excep
chez la plupart des gastéropodes. (i) Lamarck, Hist, naturelle des animaux sans vertèbres. Paris, i836, t. vu, pag. 424, D
inq ganglions et quarante*et-un nerf (l). Malgré la forme spirée de l' animal , les parties centrales de son système nerveux ont
ng dans ses recherches sur le volume de l'encéphale de l'homme et des animaux vertébrés (1), comparé à celui des nerfs cérébrau
s nerfs cérébraux, et montrent que chez les mollusques comme chez les animaux les plus parfaits, la nature procède d'une manièr
un volume beaucoup plus considérable ; il consiste , chez ce dernier animal , en un ganglion bilobé, central, et se distinguan
esganglions à se spécialiser, au fur et à mesure que l'on examine des animaux plus parfaits. Chez la seiche', un cartilage pr
l, comme je l'ai déjà dit tout-à-l'heure, presque tous les nerfs de l' animal ; ces nerfs vont aux pieds, aux viscères, à l'ent
ous la lentille du microscope, avantage que l'on n'a, chez les grands animaux , que dans des circonstances exceptionnelles. Ains
solution des questions analogues qui se présenteront à l'occasion des animaux vertébrés. M. de Blainville (1) dit à l'occasio
nerfs des mollusques ont une organisation analogue à ceux des autres animaux , seulement ils sont dépourvus de ce qu'il appelle
le micrographe, le système nerveux serait composé dans toute la série animale , de fibres canaliculées ou de tubes. Ces tubes se
stème nerveux. Berlin, i836 (en allemand). ganesdes sensations; les animaux vertébrés auraient les deux ordres de tubes, et c
cela surtout que consisterait la perfection de leur organisation, les animaux articulés et les mollusques auraient seulement de
tparu homogènes. Leur diamètre est de 0,0025 mill.; tandis que chez l' animal dont il s'agit, chez l'escargot, le diamètre des
ne circulation sanguine; et n'est-il pas permis de croire que, chez l' animal vivant, on pourra voir celte nouvelle circulation
nd j'aurai exposé ce qui concerne la structure du système nerveux des animaux articulés et des animaux vertébrés. Toutefois, je
concerne la structure du système nerveux des animaux articulés et des animaux vertébrés. Toutefois, je dirai un mot des injecti
ransparens. Chez les phallusies, le ganglion nerveux, unique dans ces animaux , est jaunâtre; celui des conchifères ou acéphale
les autres, de l'organisation des parties analogues appartenant à des animaux plus élevés. Le ganglion céphalique est généralem
rop des autres mollusques et ont des analogies trop marquées avec les animaux articulés, pour qu'il n'en soit pas fait à part u
llusques (celui des cirrhopodes excepté) a-t-il son analogue dans les animaux vertébrés? Quelle est sa valeur, sa signification
fication dans le développement comparé du système nerveux de la série animale ? Ces questions importent beaucoup à mon sujet, ca
ération ; en effet, les mêmes organes peuvent , suivant les espèces d' animaux où on les observe, affecter des formes très diffé
onc pas les analogues du grand sympathique :représenlenl-ils chez ces animaux le système nerveux cérébro-spinal des vertébrés?
ion qu'il a donnée des ganglions nerveux du poulpe, indique, chez cet animal , non-seulement un cerveau, mais encore un cervele
r des différentes parties du système nerveux, considéré dans la série animale , et cette idée, si elle n'est pas mise au rang de
ée aux fonctions de la vie organique, l'autre aux fonctions de la vie animale ; toutes deux sont placées à des pôles différens
é opposé, au pôle lumineux ou solaire. Le grand sympathique, chez les animaux vertébrés , est au pôle terrestre, la moelle épin
, les autres aux fonctions de relation à ce qui constitue la vie de l' animal . Les mollusques, quoique privés d'un double systè
ritablement le pôle lumineux ; tandis que les autres ganglions de ces animaux , placés au-dessous du tube alimentaire, occupent
s'agit, est l'analogue du ganglion appartenant au nerf trijumeau des animaux vertébrés. Voici, en abrégé, quel a été,sur ce su
tilagineuses; or, rien de semblable n'existe autour des ganglions des animaux articulés. Les mollusques, les insectes , les cru
nerf olfactif du marsouin (2) ; M. Mayer de Bonn l'a vu chez le même animal . Je dois dire pourtant, à ce sujet, que grâce à l
in d'être contenu dans un crâne, et il n'existe pas de crâne chez les animaux articulés. » Il n'y a pas de crâne chez tous les
âne chez les animaux articulés. » Il n'y a pas de crâne chez tous les animaux articulés, mais il y en a chez plusieurs et notam
amoindri, est plus que centuplé, si on le compare à celui des autres animaux . Enfin, une objection dernière et décisive ; le n
ie de ganglions correspondant au volume et au nombre des cirrhes de l' animal ; supposez réunis tous les ganglions latéraux, en
régnent les ganglions, et vous aurez une moelle analogue à celle des animaux articulés , et de ces derniers à la moelle des ve
arez (2) l'anatife au (i) "Voy. Pl. ne où le système nerveux de cet animal est figuré d'après les dessins qu'en ont publiées
s cordons, ni dans les fdets nerveux des invertébrés, conclut que ces animaux sont dépourvus de cerveau et de moelle épinière.
ar la seule raison qu'on ne trouve pas dans le système nerveux de ces animaux de tubes articulés, il faudra également leur refu
e, par exemple, parce que le nerf qui va s'épanouir dans l'œil de cet animal et qui sert à le vivifier, n'est pas formé de tub
être conséquent, on devrait nier aussi que la vision s'opère chez cet animal , puisque, toujours d'après M. Ehrenberg, les nerf
tions et ses usages, représente, chez les mollusques, l'encéphale des animaux vertébrés ; ce que j'ai dit, en parlant de son vo
plus considérable proportionnellement aux nerfs qui en partent, que l' animal a des facultés plus développées. Cette loi, que S
cérébraux. S. Ce ganglion est toujours situé au côté lumineux de l' animal , tandis que les autres sont généralement du côté
ébrés. 5. Le ganglion céphalique des mollusques représente chez ces animaux l'encéphale des vertébrés; il a plus d'analogie a
ar sa forme, du système cérébro-spinal et du système ganglionaire des animaux vertébrés. | IV. Facultés des mollusques. La
t dans l'ovaire , et qui nagent liés les uns aux autres. Les agrégés, animaux appartenant, ainsi que les biphores, à la classe
ividu, se meut et nage dans la mer. A quoi servent-ils ? Il y a des animaux qui s'en nourrissent, et Ton voit quelques-uns d'
e la beauté qu'elle leur donne ; elle les réserve comme alimens à des animaux plus parfaits : c'est là tout ce que nous savons
e série de mollusques, se nourrit elle-même d'une autre espèce de ces animaux qui se trouvent én quantité innombrable dans les
stinct. Aristote en parle dans plusieurs passages de son Histoire des animaux . « Le plus rusé des mollusques, dit Aristote (1),
le a peur, comme font le polype et le calmar. Au reste, ces différens animaux ne jettent point en une seule fois tout ce qu'ils
hrodites, mais seuls ils ne peuvent procréer; il faut que deux de ces animaux se rencontrent et se réunissent : c'est le premie
ristote, qui se retrouve presque entièrement reproduite dans le Règne animal de Cuvier. M. Laurillard m'a donné, sur la natati
qu'il projette devant lui, éprouve une résistance qui se transmet à l' animal et le fait avancer à reculons. Les nudibranches
nudibranches offrent quelque chose d'analogue à ce (1) Histoire des animaux , I. ix. ch. i. (2) lbid. liv. ix. ch. xxxvn.
orat; quelques-uns jouissent aussi de l'audition. (i) Cuvier, Règne animal , t. 3. p. i6j, et Chamisso, Dissert, de Salpa, Be
1810,. CHAPITRE II. SYSTEMS N£RV2UX DES ANIMAUX ARTICULÉS, Les animaux articulés, bien inférieurs aux mollusques sous le
de leur système nerveux. On ne rencontre que très rarement, chez les animaux articulés, des ganglions épars, subordonnés en qu
glions. A la simple vue, on reconnaît que le cordon médullaire de ces animaux se rapproche de la moelle spinale des vertébrés.
ui dénotent une industrie supérieure à celle de la plupart des autres animaux ; parfois même, je ne crains pas de le dire, il s
à l'intelligence. Une opinion généralement reçue fait descendre les animaux invertébrés au-dessous des vertébrés : cette opin
les oiseaux et les mammifères. Les naturalistes qui ont coordonné les animaux dans une seule série, ont trouvé des embarras qu'
nt réalisé cette idée avec le plus de succès, a comparé et classé les animaux de la manière suivante (1) : Vertébrés. ire s
articulés offre cependant de notables différences suivant ceux de ces animaux chez lesquels on l'observe. Très simple et en que
'organisation des cirrhipèdes et sur leurs rapports naturels avec les animaux articulés, Paris, i835, in-4°, fig. p. 34» Je v
nides et les insectes. § I. DESCRIPTION DU SYSTÈME NERVEUX CHEZ LES ANIMAUX ARTICULÉS. 1° Enthelminthes. Les enthelminthes
ute; Laennec (3), Lamarck, M. Serres admettent son existence chez les animaux dont il s'agit; Rudolphi (4), au contraire, la ni
vec d'autant plus de raison que l'ascaride lombricoïde serait le seul animal , parmi les invertébrés, qui aurait une chaîne gan
et comme ces prétendus nerfs sont désunis dans toute la longueur de l' animal , car ils sont tout-à-fait sur les côtés, l'un à d
'existence d'un appareil nerveux complet pour chacun des anneaux de l' animal , c'est-à-dire un ganglion et des nerfs qui vont à
les côtés naissent les nerfs qui se portent à droite et à gauche de l' animal . Ces nerfs, qui sont toujours disposés par paires
naires, distantes l'une de l'autre et occupant toute la longueur de l' animal . Tantôt, au contraire, il se compose uniquement d
es modifications analogues se font remarquer suivant la longueur de l' animal . D'abord les nœuds ganglionaires sont également e
x que l'on trouve sur les ganglions thoraciques et abdominaux du même animal . J'aurais voulu le mesurer pour en connaître le v
parlerai de la structure microscopique de la chaîne ganglionaire des animaux articulés. Le dernier ganglion termine, sans au
nière de patte d'oie et vont se rendre à l'extrémité postérieure de l' animal . Le système nerveux du homard ne diffère pas se
pose sont plus distinctes, en raison du volume plus considérable de l' animal . Les ganglions nerveux des crustacés sont blanc
ssi les alimes et quelques autres. (1) 4° Arachnides. La forme d'un animal indique assez bien la disposition de son système
ngsue et le ver déterre, ont une longue chaîne ganglionaire; le maia, animal large et court, a seulement deux ganglions qui do
ée. Il n'en est pas autrement chez les arachnides (2). La tête de ces animaux n'est pas distinctement séparée de la poitrine, l
s, par de longs cordons nerveux? (i) F. Pl. (a) F. Cuvier, 'Règne animal ^.. 4, p. 268, par Lalreille. (3) Entwichlungses
une très grande différence dans la disposition du système nerveux des animaux articulés ; cette différence peut-elle être soumi
pris d'indiquer les lois auxquelles est soumis le système nerveux des animaux articulés et il en a posé huit qui sont applicabl
les ani-maux, Paris, i832-t836, 3 vol. in-8° avec atlas. (s) Règne animal de Cuvier, Système nerveux des insectes, t. 4»pag
x des insectes, t. 4»pag- 2t)3« résumé. 1. Le système nerveux des animaux articulés est presque toujours composé d'une chaî
s du nerf grand sympathique. § II. STRUCTURE DU SYSTÈME NERVEUX DES ANIMAUX ARTICULES. La conformation du système nerveux d
RVEUX DES ANIMAUX ARTICULES. La conformation du système nerveux des animaux articulés est aussi variable que la structure en
de fibres transverses. Nous retrouverons le même fait dans les autres animaux articulés dont il me reste à parler. Serait-ce là
s mollusques, comme les fibres composant tous les nerfs dans la série animale : si on les comprime on en fait sortir des globul
s fibres. Les faisceaux longitudinaux sont plus nombreux que dans les animaux précédons, j'en ai compté trois de chaque côté ;
système nerveux des insectes rappelle de tous points celle des autres animaux articulés. On y trouve des fibres longitudinales
est beaucoup plus considérable que tous les autres ganglions du même animal , n'a pas une forme assez régulière pour que j'aie
par la pression on en fait sortir des globules. Les ganglions de ces animaux sont opa- (i) Voyez pl, i*\ lins, les cordons
sert de ce dernier instrument. RÉSUMÉ. 1. Le système nerveux des animaux articulés est formé de deux séries de fibres ; le
sent pas avec celles du côté opposé. , 5° Les ganglions nerveux des animaux articulés sont formés de substance globuleuse et
pas d'entrecroisement. § III. SIGNIFICATION DU SYSTÈME NERVEUX DES ANIMAUX ARTICULÉS. Comparons la chaîne ganglionaire du
xtrémité antérieure, du. canal alimentaire-, slest. fermée chez les animaux pourvus d'un névro - squelette ; mais la trace de
haîne ganglionaire ne saurait être un prolongement rachidien chez les animaux dépourvus de rachis. Jetez un coup-d'œil sur la f
ulaires chez le grillon domestique, etc. ; ils diffèrent pour un même animal , dans le thorax et dans l'abdomen, quelquefois il
ns le fœtusf avec une exposition comparative de sa structure dans les animaux , traduite par M. Jourdain Paris, 1823, p. 189.
chaîne ganglionaire), beaucoup plus court que la longueur totale de l' animal ; les filets qui viennent aboutir à sa terminaiso
en nymphe, l'axe nerveux descend le long de la partie inférieure de l' animal ; à mesure que cette descente a lieu, l'angle d'in
que j'ai dit sur ce sujet. RÉSUMÉ. 1. Le ganglion céphalique des animaux articulés représente, pour ces animaux, l'encépha
1. Le ganglion céphalique des animaux articulés représente, pour ces animaux , l'encéphale des vertébrés. 2. Leur chaîne gang
rappelle la double origine des nerfs rachidiens. § IV. FACULTÉS DES ANIMAUX ARTICULÉS. Les facultés dont sont doués les ani
V. FACULTÉS DES ANIMAUX ARTICULÉS. Les facultés dont sont doués les animaux et surtout les insectes , si elles ont excité l'a
psychologie, la morale et les croyances religieuses. Peut-on dire des animaux qu'ils sentent, qu'ils comprennent, qu'ils combin
ils sentent, ils sont sujets à la douleur. Pourquoi de la douleur aux animaux ? Qu'ont-ils fait pour mériter de souffrir? Quel d
de plus? La forme... est-ce par là seulement que l'homme diffère de l' animal ? A ces difficultés, les uns ont répondu avec Mont
ivre tout exprès pour démontrer, non-seulement que les bêtes sont des animaux raisonnables, mais qu'elles se servent de la rais
naxagore. Plutarque a fait un traité tout exprès pour prouver que les animaux raisonnent. Pereira (7), Descartes (8), Regius,
bre de philosophes ont professé une doctrine entièrement opposée. Les animaux sont pour eux de simples automates, des machines
phénomènes intellectuels, au moins en apparence , que présentent les animaux , mais ils les interprétaient à leur manière. Voic
up, dit Gassendi, quoiqu'elle n'ait jamais expérimenté le mal que cet animal peut lui faire, parce qu'il sort du loup des corp
hypothèse, faite pour tout concilier. Avant sa naissance apparente, l' animal existait en germe depuis la création du monde, ap
telligence, passion, volonté, appliqués par moi à ce qui concerne les animaux articulés et particulièrement les arachnides et l
on est convenu de se servir pour désigner le mobile qui fait agir les animaux ne saurait leur être appliqué, à moins qu'on ne l
des hommes. (I) Dict. historique, art. « L'ensemble de la vie des animaux , dit Arislote (1), présente plusieurs actions qui
st le fruit de la réflexion, est encore plus sensible dans les petits animaux que dans les grands. Dans la classe des insectes,
ustrieux pour le travail, même comparaison faite avec tous les autres animaux , les fourmis et les abeilles. » (2) Faisons donc
uparavant, afin de procéder du simple au composé, parlons d'abord des animaux articulés inférieurs, c'est-à-dire des an- neli
tres sont hermaphrodites, la sangsue est dans ce cas. (1) Hist, des animaux , lib. ix, ch. vu. (2) Id., id, ch. xxxvin. (3
s organes des sens, ce qui rend presque nuls tous les rapports de ces animaux avec les choses qui leur sont extérieures. Les
rs. Ils sont armés de pinces qui les rendent redoutables à beaucoup d' animaux , ce On a vu, dit Latreille (1), des langoustes qu
ervées, il n'est rien de plus curieux que de voir des myriades de ces animaux s'agiter en tous sens, battre la vase de leurs gr
petits , les œufs des écrevisses sont comme collés aux pattes de ces animaux ; et au moment où elles viennent d'éclore, les pe
orté à croire que la coquille du bernard-l'hermite était propre à cet animal , mais en cela il s'est trompé. (2) V. Aristote,
pinces. Au-dessus des uns et des autres se trouvent les arachnides, animaux qui possèdent des facultés supérieures à celles d
res', et celui des trachéennes. Dans ce dernier sont rangés plusieurs animaux microscopiques dont jusqu'à présent la vie est fo
uralistes, le plus vif intérêt. Les arachnides pulmonaires sont des animaux domiciliés , et leur domicile diffère suivant leu
arachnides font des toiles et attendent, cachées dans un coin, qu'un animal vienne s'y embarrasser ; il en est dont les toile
éputés aussi venimeux que la tarentule, et les piqûres faites par ces animaux paraissent aussi avoir été suivies d'accidens trè
ignées conservent quelque chose de la cruauté qui est naturelle à ces animaux ; ce n'est pas sans crainte que le mâle s'approche
ns, chez les aranéï-des , ne saurait faire l'objet d'aucun doute, ces animaux sentent, ils entendent et ils voient; on ne sait
Quelque élevées que soient les facultés départies aux ara-néïdes, ces animaux n'ont cependant qu'une vie solitaire ; ils manque
ent ayant pour but une véritable jouissance. Tels sont la plupart des animaux destructeurs ou qui vivent de proie; leur vie se
vent de proie; leur vie se passe à tendre des pièges, à épier quelque animal , à manger et à digérer. Quelques-uns, il est vrai
la série des vertébrés, y compris le singe et même l'éléphant, aucun animal n'est au-dessus d'eux. Toutefois, il est des inse
hysiciens, qui vivaient au xvic siècle (1), l'homme est supérieur aux animaux , principalement en ce qu'il a inventé la magie; r
ent en ce qu'il a inventé la magie; rien ne prouve, en effet, que les animaux les plus intellîgens, comme sont les fourmis et l
Les fourmis se nourrissent de substances végétales et de substances animales ; elles sont très friandes de sucre et de miel ;
t trouvé de ces graines sur le dôme du nid de quelques espèces de ces animaux ; on s'est trompé, les fourmis ne mangent pas ces
les teignes, les souris et les reines étrangères ; pour empêcher ces animaux d'entrer dans la ruche, des abeilles font toujour
ir en lisant le commencement de cet article ; les uns ont donné à ces animaux une véritable intelligence, les autres la leur on
il s'est servi, et j'y répondrai. Dans son Discours sur la nature des animaux , Buffon s'exprime ainsi : « Y a-t-il rien de p
ne, elles ont moins de génie que le chien, le singe et la plupart des animaux ; on conviendra qu'elles ont moins de docilité, m
space qu'elle n'en tient de la nature, » c'est juger de la valeur des animaux d'après leur volume relatif; or , à ce compte, la
e, le chien au-dessous du bœuf, et l'homme, combien n'aurait-il pas d' animaux supérieurs à lui ? Buffon consent à ce que l'on e
dans un même lieu, je ne l'accorderai jamais. Pourquoi tant d'autres animaux qui naissent aussi à-la-fois et dans un même lieu
alités relatives aux nôtres, que le chien, le singe et la plupart des animaux . » Cela est vrai, l'homme ne peut pas se mettre e
a pensée, n'est que du plus au moins ; le moins dont sont pourvus les animaux , il s'appelle instinct ; le plus qui appartient à
tient à l'homme, il l'appelle raison, ce Ce qui man- (i) Traité des animaux , a" partie : Des facultés des animaux. que surt
ce Ce qui man- (i) Traité des animaux, a" partie : Des facultés des animaux . que surtout aux bêles, ajoute-t-il, c'est un m
rience particulière. » Le langage ne manque pas aussi entièrement aux animaux que le croyait Condillac, nous avons vu que les f
ègne dans leurs actions. Les unes et les autres, de même que tous les animaux , ont sans doute le langage qui convient à leur na
de l'homme. Les psychologistes qui refusent toute intelligence aux animaux , allèguent que chaque animal agit comme tous ceux
tes qui refusent toute intelligence aux animaux, allèguent que chaque animal agit comme tous ceux de son espèce, sans y rien a
ul a conscience de ses actions, que seul il est libre, tandis que les animaux ne savent en aucune manière comment ou pourquoi i
plus comme nous le saurions dans un rêve. Pour ce qui concerne les animaux , on ne saurait disconvenir que leurs actes ne soi
ssent être modifiés suivant une foule de circonstances imprévues. Les animaux attaquent et se défendent, ceux qui chassent empl
mme faisant usage de son intelligence n'agirait pas autrement que les animaux . L'éducation n'est pas nécessaire aux animaux,
pas autrement que les animaux. L'éducation n'est pas nécessaire aux animaux , qui en naissant, sont propres à toutes les actio
par la suite, il est éducable. Sous ce rapport, l'avantage serait aux animaux , puisque avec moins de peine, ils font dès le com
ue cela n'est pas aussi généralement vrai qu'on le dit, car plusieurs animaux ont besoin d'éducation, et la différence qui exis
cunement soutenir le paradoxe de ceux qui estiment l'intelligence des animaux à l'égal de celle de l'homme; je ne puis cependan
'empêcher de faire remarquer combien l'on a exagéré l'infériorité des animaux et la prééminence de notre espèce. Que l'on consi
est en lui. Autrement il obéit, moins fatalement, sans doute que les animaux , mais il obéit, et s'il ne s'agitait pas dans une
le lui enseigner, et d'autre part, comment nier que parfois certains animaux , les abeilles par exemple, ne réfléchissent aussi
éfléchissent aussi? La différence intellectuelle entre l'homme et les animaux n'est donc pas là; elle existe, sans aucun doute,
lle porte plutôt sur la quantité, que sur la qualité. Cependant les animaux ne perfectionnent pas leurs œuvres; ils agissent
ussi l'homme a-t-il une vie passée et une vie à venir, tandis que les animaux les plus parfaits n'ont qu'une vie présente, et l
s que les animaux les plus parfaits n'ont qu'une vie présente, et les animaux inférieurs, qu'un moment. RÉSUMÉ. 1. Les anne
r ardeur pour la génération est extrême. 3. Les arachnides sont des animaux carnassiers, cruels, astucieux; ils sont domicili
s voir la preuve d'une véritable intelligence. 6. Dans la série des animaux articulés, les facultés se développent en suivant
tudes, des instincts propres aux poissons, nous oblige à regarder ces animaux comme généralement inférieurs aux insectes, et à
es abeilles, tandis que leur système nerveux, comme celui de tous les animaux vertébrés, offre de nombreux caractères qui le ra
de physiologie comparées du système nerveux dans les quatre classes d' animaux vertébrés, etc. (Arch. gén. de Méd. Paris, 1824,
(11) Op. cit., t. 1, p. i84- (12) Anatomic des systèmes nerveux des animaux à vertèbres} etc., in-8", Paris, i8a5, ire partie
présider à toutes les fonctions de l'économie; en remontant parmi les animaux de cette classe, les ganglions se multiplient, et
ame analogue à la lame interventriculaire ou cloison transparente des animaux supérieurs. L'intérieur de ces ventricules offre
ses supérieures. Cette transi lion qui s'opère dans une même classe d' animaux , est un fait anatomique fort remarquable; j'indiq
grêles qu'on serait tenté de les dire imperceptibles chez les grands animaux , existent cependant chez les poissons, même les p
s pour l'adulte. Nous pouvons connaître l'âge de l'homme et celui des animaux que l'on élève sous nos yeux, celle circonstance
bstance grasse qui achève de remplir la cavité crânienne de plusieurs animaux appartenant à cette classe ? (2) On ne s'est pas
céphale des poissons avec le volume des nerfs encéphaliques des mêmes animaux . Par voie directe, on ne saurait obtenir la mesur
ature dissemblable. Toutefois, on peut comparer un même nerf dans les animaux de toutes les classes; on peut également comparer
e j'ai essayé de faire pour le squale-renard et pour le brochet, deux animaux très dissemblables pour l'encéphale est néanmoins
des poissons, qu'ayant à comparer cet organe chez l'homme et chez les animaux , j'ai créé un mot qui m'a paru nécessaire pour re
, il m'aurait fallu ajouter, si j'avais voulu la comparer à celle des animaux , que c'est chez ceux-ci, la face inférieure et po
eures dans l'espèce humaine, inférieures et supérieures dans tous ies animaux .C'était un embarras et des Ion* gueurs sans cesse
nière varie beaucoup chez les poissons, et dans aucune autre classe d' animaux , elle n'offre de différences aussi tranchées. Je
s (1) successifs qui l'ont fait comparer à la chaîne ganglionaire des animaux articulés. Si l'on s'en rapportait à la simple vu
puis oiseau, puis mammifère. D'après ce système, le germe de tous les animaux serait semblable et se développerait d'une manièr
de cheval, (iy V. l'encéphale de la baudroie, pl. 11. La tête de l' animal , qui a fourni ce très petit cerveau, était largo
le poisson-lune n'indique pas entre le prolongement rachidien de ces animaux et celui des autres poissons, une différence auss
nière manifeste, une disposition qui existe déjà chez tous les autres animaux de la même classe. (2) RÉSUMÉ. 1. L'encéphale
à dire touchan 1 le ganglions spinaux des poissons et ceux des autres animaux vurléb'és. il, voûte, des ventricules latérau
raison du poids de l'encéphale des poissons, au poids du corps de ces animaux a donné pour rapport 1 à 5668. 6. Les nerfs opt
e quant aux rapports de l'encéphale avec la moelle épinière des mêmes animaux . 7. La moelle épinière des poissons se compose
ubstance cérébrale avant de l'examiner, il s'est au contraire servi d' animaux récemment tués, et après avoir enlevé une tranche
ais qu'ayant répété cette expérience sur l'homme, le bœuf et d'autres animaux , il n'a pu apercevoir rien de semblable. Les fibr
mployer d'abord qu'un faible grossissement. Dans toutes les classes d' animaux , on trouve des encéphales assez petits pour cette
t ne pas borner là ses recherches, on doit, quand il s'agit de grands animaux , descendre jusqu'au fœtus, et même à l'embryon :
e chez la carpe, et que l'on retrouvera sans doute aussi sur d'autres animaux de leur classe. C'est un ganglion qui existe dans
ue des fibres longitudinales. Si on se rappelle ce que j'ai dit des animaux articulés, ces derniers seraient soms ce rapport
en admettre; ensuite, puisque les fibres de la moelle épinière de ces animaux sont longitudinales, ne peuvent-elles pas proveni
lettes et de goujons pour ce genre de recherches ; l'encéphale de ces animaux une fois enlevé avec précaution , je le séparais
ns maintenant les parties correspondantes à celles-ci dans les grands animaux . L'analogue du pédoncule est tout trouvé, c'est l
lier que j'y prenais , si l'on se rappelle que les filets nerveux des animaux articulés ont une double origine, l'une par des f
Qu'est-ce qui remplace, pour les poissons, les fibres transverses des animaux articulés ? Ce ne peut être que les fibres transv
, sont toujours très pe- don considérée dans l'ensemble de la série animale , in-8°. Paris 1837 p.567. (1) Op. cit. (a) Mull
eux. 0,01494 Carpe. Fibre du trifacial........... 0,01660 Le même animal . Fibre du même nerf......... 0,01992 Carpe. Fib
emblable dans la substance médullaire de l'homme, du bœuf ou d'autres animaux ; c'est pourquoi je suis en doute sur ce que conti
échapper une infinité de globules huileux. La moelle épinière du même animal m'a présenté, sous le compresseur, une multitude
seur, une multitude de fibres articulées. Je ferai observer ici que l' animal n'était pas mort tout récemment comme l'anguille
hlahle dans la substance médullaire de lhomme, du bœuf et a"autres animaux , je ne croirais pas devoir renoncer à cette opini
n bétail : les pêcheurs, sans doute par ironie, ont donné à ce vilain animal le nom de roi des harengs. Puisque la fonction
uvoir d'engourdir, par de véritables commotions électriques, tous les animaux qu'ils touchent. Quelques-uns, c'est le plus peti
est-il très développé. Les molécules odorantes exhalées du corps des animaux et combinées à l'eau ou seulement suspendues dans
'ouïe est pour les poissons un organe important, le bruit effraie ces animaux et les met en fuite. On peut cependant en apprivo
e qui les appelait par leur nom. Le goût n'est pas développé chez les animaux gloutons, aussi les poissons en sont-ils presque
artout ailleurs. Parlons des mœurs des poissons, et comme parmi les animaux qui vivent de proie, les plus féroces doivent mar
ateurs ne justifie que trop un pareil nom. Le requin attaque tous les animaux qu'il rencontre ; il s'attache à la suite des vai
des nègres armés de coutelas se sont précipités à la rencontre de cet animal et ont profité du moment où il se retournait, pou
chap. 43. la teinte des eaux de la mer, ne permet de distinguer cet animal que quand il n'est plus temps de fuir son approch
es des anciens, nous rappellent encore autre chose que la cruauté des animaux : autrefois, dans un siècle corrompu, quand l'emp
e plus une puissance électrique qui, au premier contact, stupéfie les animaux dont le corps touche le sien. Cette puissance éle
antôt deux mâles ou deux femelles réunis. Il ne craint pas les grands animaux , et pourtant il est quelquefois victime d'un inse
: placés par leur organisation entre les oiseaux et les poissons, ces animaux sont les plus malheureux de tous ; trop faibles p
que l'on sait d'essentiel sur ce sujet : la difficulté d'observer des animaux qui, pour la plupart, habitent des lieux où l'hom
la forme et du volume du ganglion céphalique, chez la plupart de ces animaux , ne m'a pas permis d'examiner alors la question d
l'encéphale d'un autre poisson. Ce sont les deux extrêmes. La morue, animal des plus stupides , est plus rapprochée du squale
n'en ont pas, il en est de même de la raie bâtis : ces trois derniers animaux présentent seulement de très légères dépressions
le des poissons, car la raie et la baudroie (v. pl. il) qui sont deux animaux doués de ruse, ont l'une et l'autre un encéphale
ries parallèles, les crustacés et les poissons ; les instincts de ces animaux sont en effet très analogues, pourtant il y a dan
'Europe, a donné des figures très exactes du sys*-tème nerveux de cet animal ; l'ouvrage déjà cité de M. Swan contient des figu
eindre, quelles transformations aura-t-il éprouvées dans une classe d' animaux réputée supérieure à la classe qui la précède? Ic
et qui sera probablement toujours infranchissable, sépare l'homme des animaux invertébrés ; entre eux et lui, pas de relation p
Tréviranus nie que le prolée en soit pourvu ; M. Carus croit que cet animal en présente au moins les rudimens ; je ne possède
eût pas donné un résultat comparable à celles que j'ai faites sur des animaux frais. M. Busconi (1) dit que ces nerfs sont tell
celle du lézard, est aussi beaucoup plus volumineuse que celle de cet animal ; elle ne se rétrécit que fort peu au-dessous de
., et pour l'encéphale 0,lgram. également; dans un autre cas, chez un animal de la même espèce, j'ai eu pour la moelle épinièr
ux, il n'est sillonné par des lamelles. U. Il existe, chez tous les animaux de cette classe, un corps strié, un commencement
raison du poids de l'encéphale des reptiles, au poids du corps de ces animaux , a donné pour rapport 1 à 1324. 8. Les nerfs op
, qu'il en existe également dans l'eau, où se trouvent des substances animales en putréfaction, je pensai que ces monades pouvai
vivantes. Ainsi, le liquide céphalo-rachidien n'est pas à l'abri des animaux parasites. Les monades se forment-elles dans le l
i trouvé à peine quelque trace dans la moelle épinière deces derniers animaux . En outre, des granules et des vaisseaux sanguins
tés des reptiles. L'analogie qui existe entre certaines actions des animaux et les nôtres est une des voies qui nous sont ouv
. Si l'homme résumait en lui toutes les manières de sentir dont les animaux sont pourvus, s'il n'y avait dans les phénomènes
es degrés d'une même échelle, l'homme, placé le premier dans la série animale , n'aurait qu'à regarder au-dessous de lui, et se
ons qui lui représenteraient successivement les différentes classes d' animaux . Mais quoique au-dessus de tous les êtres vivans,
es êtres possèdent. Certains sens sont très développés chez plusieurs animaux , qui, chez l'homme, le sont beaucoup moins : or,
autres. Nous pouvons présumer ce qu'il en est, à cet égard, chez les animaux , en comparant ce qui se passe relativement aux qu
Ce que je dis pour l'ouïe de l'homme, doit s'appliquer à l'odorat des animaux : d'après le volume et l'organisation du nerf aff
après le volume et l'organisation du nerf affecté à ce sens, chez les animaux , nous avons tout lieu de penser qu'il leur fourni
De là, pour nous, une cause d'ignorance de ce qui se passe dans les animaux , quant à leurs phénomènes psychiques. Une autre
sante que celle-ci, c'est la difficulté d'interpréter les actions des animaux , de comprendre la valeur des manifestations de le
rien. Cette difficulté que nous trouvons à étudier les actions des animaux et par leur interprétation, à remonter aux causes
oins disparaissent, et en même temps ses facultés et ses actions. Les animaux dont les organes sont le moins multipliés sont do
insi, l'espèce de mystère qui enveloppe les opérations psychiques des animaux , n'est pas aussi impénétrable qu'il le paraît au
verte, par exemple, qui se tiennent ordinairement sur les arbres. Ces animaux restent engourdis pendant la saison du froid, cac
dans les cas allégués, cette petite quantité n'ait pénétré jusqu'à l' animal par des pores ou des fissures qu'on n'a pas su dé
auds dans des boules déplâtre gâché qui s'est solidifié autour de ces animaux , et je les ai conservés vivans pendant plusieurs
même de souris et d'oiseaux, ne s'em-pareraienljamais d'aucun de ces animaux sans l'avoir vu remuer. Les serpens sont dans le
rts, leur agresseur les abandonne. Nons devons donc admettre chez ces animaux un sentiment de conservation assez prononcé. C'es
pour le placer sur une table où l'on avait soin d'apporter des petits animaux dont il faisait sa nourriture. Quoiqu'ils habit
ux dont il faisait sa nourriture. Quoiqu'ils habitent ensemble, les animaux dont il vient d'être question ne sauraient être r
dépourvue ni de ruse ni de courage. Quelquefois elle se jette sur ces animaux et les mutile avant de les manger. D'autres fois,
end avec une sorte de rage, et, différant en cela de presque tous les animaux , il ne l'abandonne pas tout de suite après la jou
rds, mais bien différens de tous les autres : ils ont toujours faim d' animaux , et la force dont ils sont doués, les ruses auxqu
peu au-dessus de la surface de ce liquide, pour guetter et saisir les animaux qui viennent s'y abreuver ou s'y baigner. Si l'un
el elle dépose ses œufs, qui servent alors de nourriture à beaucoup d' animaux . Parmi les reptiles, les crocodiles sont ceux d
, beaucoup mieux dans son rôle que le serpent d'Esculape. Parmi les animaux qui vivent de chair, souvent nous appelons doux c
ous appelons doux ceux qui ne s'attaquent pas à l'homme ou aux grands animaux , et nous appelons féroces ceux qui sont dans le c
malgré la plus vigoureuse résistance; ce serpent est mis au rang des animaux féroces : la couleuvre qui vit de grenouilles, le
ouches, les boas, les serpens à sonnettes seraient, au contraire, des animaux justes, laissant dans le repos les animaux inoffe
eraient, au contraire, des animaux justes, laissant dans le repos les animaux inoffensifs, et faisant la guerre seulement à ceu
rendre une proie vivante, c'est être cruel; choisir pour victime un animal égal ou supérieur à soi, c'est être féroce ; vivr
l ou supérieur à soi, c'est être féroce ; vivre d'herbes ou de petits animaux qui ne se défendent pas, ou de grands animaux que
e d'herbes ou de petits animaux qui ne se défendent pas, ou de grands animaux que l'on ne tue pas soi-même, c'est être doux et
res, toutes également dépourvues de venin, n'attaquent que les petits animaux tels que les grenouilles, les lézards, les petite
les jeunes oiseaux et les insectes. Elles s'adressent rarement à des animaux d'une force égale ou supérieure à la leur; aussi
ue l'amour, et comme elles trouvent presque toujours en abondance des animaux qui ne savent pas se défendre et dont elles font
oison est subtil. On dit même du boïquira que son regard stupéfie les animaux , au point qu'ils viennent d'eux ; mêmes se jeter
fois, il n'est pas rare que l'on en rencontre ayant dans la bouche un animal qui n'a pu y entrer qu'en partie. Engourdis par l
ente, et jusqu'à cinquante pieds de longueur. Pline parle d'un de ces animaux qui se présenta devant l'armée romaine, sur les c
ue non venimeux, ils n'en sont pas moins redoutables; ils avalent des animaux d'un grand volume, et du temps de l'empereur Clau
lgré tous les moyens de nuire que la nature a donnés aux serpens, ces animaux sont eux-mêmes victimes d'un grand nombre d'ennem
ces de tortues qui se nourrissent de végétaux, les autres mangent des animaux vivans. 2. Les crapauds, les grenouilles, les s
s reptiles, nombre de ganglions plus restreint, le même chez tous les animaux de celle classe, grande prédominance du ganglion
es tortues et le serpent boa diffèrent, sous ce rapport, autant qu'un animal puisse différer d'un autre animal. Si la compar
rent, sous ce rapport, autant qu'un animal puisse différer d'un autre animal . Si la comparaison du cerveau des reptiles, con
n : ce sont le penchant à détruire, la ruse et l'instinct qui porte l' animal à chercher le lieu qu'il doit habiter ou hahitati
r le lieu qu'il doit habiter ou hahitativité. Gall admettait pour les animaux qui recherchent les hauteurs, une faculté spécial
tortue de mer comme dans la tortue terrestre? Ce qui diffère chez ces animaux , ce sont moins les appétits et les besoins, que l
pour les eaux, un autre pour les profondeurs de la terre, et tous les animaux choisissant , pour l'habiter, le lieu qui leur
l'ha-bitativité. Il n'y aurait d'exception que pour un petit nombre d' animaux qui paraissent vivre partout ou presque partout,
se manifeste, quoique le cervelet soit plus petit dans cette classe d' animaux que dans aucun autre vertébré. 2. La forme géné
s non l'expliquer, ni le prouver. Nous voici arrivés à une classe d' animaux de beaucoup supérieure pour l'organisation et les
ectes : il y a en effet beaucoup de rapports entre ces deux classes d' animaux . Linné a dit du perroquet quïl est le singe des o
lé la non-existence de circonvolutions sur les lobes cérébraux de ces animaux , et le développement considérable du processus ve
int l'opinion de Linné. Voyez Histoire des mœurs et des instincts des animaux . 2 vol. in-8. Paris, 1722 . (2) Externarum et i
es arrondies, qui se voient mieux dans l'autruche que dans les autres animaux . Ces tubercules sont de petits renflemens placés
hez vingt oiseaux appartenant à toutes les familles de cette classe d' animaux , je n'en ai pas trouvé moins de 10 ni plus de 20
développement de leur encéphale que je ne l'ai fait pour ces derniers animaux . Ainsi je ne me bornerai pas à déterminer le poid
encéphale est au poids du corps dans la proportion suivante, chez les animaux ci-dessous désignés : Mésange à tête bleue, com
0,4 2,7^ 0,6 1,8 3 Moyenne........ 6,18 4,11 Dans ce tableau, les animaux sont classés d'après le Volume proportionnel de l
s oiseaux, que la longueur des diamètres de la moelle épinière de ces animaux , pris comme on le fait d'ordinaire, au-dessous du
la moelle épinière d'un pigeon comparativement à l'encéphale du même animal , a trouvé le rapport de 1 à 3, 4, c'est-à-dire, u
re des oiseaux, 8,87, ou environ le9edu poids de l'encéphale de ces animaux . Ce résultat est curieux, surtout si nous le ra
8 et suiv. (3) De l'organe phrénologique de la destruction chez les animaux , Paris, i838, in-8° de 90 pages. versai l'empor
u du]pigeon. à laquelle n'atteignent pas les lobes cérébraux de ces animaux . Dans la moelle allongée, il y aussi de la substa
seule différence importante à noter entre les fibres nerveuses de ces animaux et celles des oiseaux, car l'ordre suivant lequel
aison de ce fait dans la différence de température que présentent ces animaux . Une matière nerveuse trop fluide s'échapperait d
Une matière nerveuse trop fluide s'échapperait des tubes nerveux des animaux à sang chaud ; une matière nerveuse trop dense ne
e nerveuse trop dense ne serait pas appropriée à la température des animaux à sang froid. Pour que les nerfs des uns et des a
teur, est d'une acuité dont on ne retrouve d'exemple chez aucun autre animal * Quelques-uns de ces oiseaux, les plus gros surto
udre. Les oiseaux ont, en effet, moins d'odorat que beaucoup d'autres animaux , cependant quelques-uns d'entre eux, tels que le
divisés en plusieurs espèces dont la plus grande est celle du condor, animal dont le vol est plus élevé que celui de tous les
, plus faible à la vérité que le condor, ne s'attaque jamais qu'à des animaux beaucoup plus petits que lui y l'épervier fait la
ser une proie vivante. Tandis que l'aigle atlaque seul et hardiment l' animal qu'il veut manger, au risque même d'avoir long-te
heures entières perchée au même endroit, attendant (pie quelque petit animal vienne à portée de son bec; elle sait manger, mai
rt des oiseaux, dont il vient d'être parlé, mangent exclusivement des animaux mammifères, oiseaux, reptiles ou poissons, quelqu
'est pourquoi, lorsqu'il pleut, et qu'il se trouve fort peu de petits animaux dans l'air, elles descendent vers la terre pour c
is ou l'orage. longue que la supérieure est disposée en cuillère. L' animal décrit une courbe, rase la surface de l'eau et en
ou un morceau d'étoffe qui permettait de constater l'identité de ces animaux . On les voyait revenir tous les ans, après Une ab
, et dont les riches n'aient pu le dépouiller. Les oiseaux sont des animaux sociables, il faut en excepter cependant quelques
le canard, le pétrel, le pinguin, etc., etc., recherchent chacun les animaux de leur espèce, et ne sont jamais seuls. Il n'en
anchot à lunettes voyage sur l'eau. Voici ce que dit M. Lesson de cet animal : « La chasse des manchots ou pinguins se fait
à craindre pour eux'; aussi le distinguent-ils très bien de tous les animaux . Les chasseurs qui savent cela, se cachent quelqu
, se cachent quelquefois dans une espèce de boîte qui a la forme d'un animal paisible, la vache, par exemple, et ils approchen
s chevaux et se nourrit de la vermine qu'il trouve sur la peau de ces animaux , quand il n'a pas de proie plus substantielle, ce
chercher la nourriture; aux oiseaux de proie, de la chair, des jeunes animaux ; à près que tous les autres, des insectes. Une
) Lettres philosophiques surt l'intelligence et la perfectibilité des animaux ., etc., iii-S*. Paris, 1801; nouvelle édition, p.
plusieurs fois à Dupont de Nemours d'être trop prévenu en faveur des animaux , cet exemple, dis-je, serait encore plus remarqua
rs autres oiseaux, mais en très petit nombre; car dans celte classe d' animaux , les soins de la famille sont partagés presque ég
t partagés presque également entre le mâle et la femelle. Parmi les animaux , les oiseaux seuls savent chanter et parler; ils
'ortolan, quand il aperçoit un chasseur, pousse un cri que les autres animaux comprennent également, et qui les fait fuir ou se
e. Aristote, dans son livre si riche d'observations sur les mœurs des animaux , et sur celles des oiseaux en particulier, dit qu
endroits de son histoire des oiseaux, il vante l'intelligence de ces animaux et la place (i) Voy, précédemment, p. 212. au
et des théologiens qui ont pensé que ce serait avilir l'homme, si des animaux , des bêtes présentaient, sous le rapport intelle
intellectuel, quelques traits de ressemblance avec lui. Cependant les animaux , et en particulier les oiseaux, ont des idées; il
ment qu'ils aient une signification? « En observant soigneusement les animaux , répond l'observateur que je viens de citer, en r
endus appeler du rivage par les passagers. Ainsi que plusieurs autres animaux , les perroquets paraissent avoir des rêves, car o
ou corneilles noires ont les unes pour les autres : on fixe un de ces animaux de manière à ce qu'il ait les pattes en l'air ; i
és précédentes , chez les oiseaux; il est même un grand nombre de ces animaux qui n'en laissent pas apercevoir de traces, soit
st moins que tous les autres. (i) Ii n'y a d'exception que pour les animaux don' lliflainie a pris soifi I qu'il a perfection
mitié. 19. L'éducation que l'homme donne aux oiseaux, procure à ces animaux quelques-uns des attributs de la vie humaine : ma
és que présente l'encéphale des oiseaux, afin de construire, pour ces animaux , une échelle qui serve à les classer ; nous verro
ie depuis 12 jusqu'à 3600; la moyenne est de 212 , c'est-à-dire que l' animal entier est 212 fois plus pesant que son encéphale
rle. Mais il n'en est pas ainsi : l'oie el l'autruche ne sont pas des animaux stupides, el ce que nous savons d'elles nous obli
: car le perroquet se place le premier; le coq et le combattant, deux animaux très ardens. en amour et très jaloux, sont à côté
poule, du vanneau, de la perruche et de la pie (1). Les deux derniers animaux ont comparativement les plus petits nerfs, et par
s mâles. Que l'on me présente dans l'eau les encéphales frais de deux animaux adultes quelconques, l'un mâle, l'autre femelle,
ttant, le coq et la mésange, il est complètement faux de dire que les animaux courageux ont le cerveau plus large que les anima
x de dire que les animaux courageux ont le cerveau plus large que les animaux timides; car chez les premiers, le diamètre trans
j'en ai étudié un très grand nombre), l'inspection du cerveau de ces animaux suffit pour en donnerla preuve. Quant au développ
s a. seaux, est donc en rapport avec le degré d'intelligence de ces animaux ; quant à ce qui concerne la détermination spécia
que chose peut donner la raison de la différence qui existe entre les animaux , quant à l'étendue de leurs facultés psychiques,
Il sera ici peu question de l'homme, mais presque uniquement des., animaux que les naturalistes ont placé dans la même class
tion et sur leur structure. 1. Cerveau. On a dit que le cerveau des animaux mammifères est pourvu de circonvolutions; à quelq
on a dit aussi que les circonvolutions varient suivant les espèces d' animaux , cela est vrai aussi ; on a ajouté qu'elles sont
: Les circonvolutions sont plus nombreuses dans l'homme que dans les animaux , parce que l'homme l'emporte sur les animaux par
ans l'homme que dans les animaux, parce que l'homme l'emporte sur les animaux par l'esprit et par le raisonnement, et Galien lu
partage pas votre avis, car, d'après cette règle, les ânes étant des animaux abrutis et stupides, ils devraient avoir un cerve
à l'infidélité, à celles que M. Serres (3) a publiées depuis pour les animaux , el M. Vimont (4) pour l'homme. Soemmering a ét
lutions cérébrales, a été fécondée par Cuvier, en ce qui concerne les animaux . « Les singes, d'après Cuvier, ont beaucoup moins
rongeurs n'ont presque aucune circonvolution sensible, tandis que les animaux à sabots, et surtout les ruminans et les chevaux
nerfs et des organes des sens, dans les différentes classes du règne animal ; trad. par M. Breschet, dans les Archives généra
ès les planches et non pas d'après la nature ; ainsi il distingue les animaux en ceux qui ont des circonvolutions similaires d'
l'autre. Restait toujours la même ignorance des circonvolutions des animaux ; M. Cruveilhier qui a essayé de traiter ce sujet,
ositions. «Dans l'espèce humaine, dit-il (4), ainsi que dans la série animale , le développement des circonvolutions m'a toujour
us beaucoup d'autres, le fœtus humain représente les dispositions des animaux inférieurs. Les anfractuosilés d'un fœtus humain
disposition même des circonvolutions, qui le distinguent de tous les animaux inférieurs, et même de 1 tous les mammifères. Qua
és de la description des circonvolutions cérébrales de l'homme et des animaux , c'est à peine si j'ai eu à citer le nom de quelq
es circonvolutions cérébrales; celles qui représentent le cerveau des animaux et qui sont d'ailleurs en très petit nombre, se
semblables des deux côtés : pareille chose se rencontre dans tous les animaux à cerveau pourvu de circonvolutions». C'est là to
nvolutions de l'homme. Pour ce qui concerne les circonvolutions des animaux , il ajoute : « Chez les quadrumanes , la forme du
eau de s'attacher à bien connaître les circonvolutions cérébrales des animaux , de les individualiser, pour ainsi dire, afin de
s, car elle m'a mis à même de découvrir un moyen propre à grouper les animaux dont le cerveau est pourvu de circonvolutions, d'
et le nombre des circonvolutions cérébrales. On verra de suite si les animaux classés d'après leurs circonvolutions, sont égale
stinée à établir la valeur intellectuelle, ou la valeur cérébrale des animaux , les uns à l'égard des autres. Je commence, il es
gligé pour examiner le cerveau d'un aussi grand nombre que possible d' animaux , je m'en suis procuré beaucoup; j'ai visité les m
le classement que j'ai entrepris, Le premier groupe se compose des animaux dont le cerveau est dépourvu de circonvolutions,
s, et n'a que des dépressions nulles ou presque nulles; le second des animaux dont le cerveau a des dépressions plus ou moins p
pe. Makis. Singes. Premier groupe. Le premier groupe se compose d' animaux pris dans différentes familles : il s'y trouve de
rencontre dans ce groupe, mais des dépressions qui les annoncent. Les animaux dont il se compose sont des rongeurs, des insecti
res et des marsupiaux : je n'y ai pas trouvé de chéiroplère, l'un des animaux de cette dernière classe, la roussette, ayant de
variable et en proportion du volume du cerveau. 4e groupe. Tous les animaux du genre chat et l'hyène sont compris dans ce gro
semblance des circonvolutions entre tous les cerveaux appartenant aux animaux du genre chat. (2) Les cochons présentent une d
te des deux côtés, en examinant la face supérieure du cerveau du même animal (fig. lle). Il existe à peine d'antres exemples d
approcheraient davantage de celles de la genette. Mais dans aucun des animaux composant ce groupe, on ne rencontre le sillon cr
ées d'avant en arrière existent à la partie interne du cerveau de ces animaux , la première, celle qui circonscrit la scissure d
sure de Sylvius, au fond de laquelle on voit, sur l'un et sur l'autre animal , une petite circonvolution qui rappelle les circo
vreuil deux divisions, en a un plus grand nombre chez tous les autres animaux composant le même groupe. La division externe ni
encie le cerveau du cheval, du bœuf, du chameau, etc., du cerveau des animaux compris dans les groupes précédens, et même de la
pe. Les circonvolutions des cochons ressemblent beaucoup à celles des animaux classés dans le groupe des moutons, elles ont aus
phoque, n'est pas placé au-dessus du cerveau , comme chez les autres animaux dont il a été question jusqu'ici, mais à sa parti
llonnée chez la loutre, qu'elle donne à la scissure de Sylvius de cet animal une direction très oblique. La troisième circonvo
e simple anomalie, semblable à celle que l'on rencontre chez d'autres animaux , où l'on voit la bifurcation d'une circonvolution
s circonvolutions sus-orbi-taires, les circonvolutions du cerveau des animaux dont il a été question jusqu'à présent, se dirige
en arrière (pl. xm, +), et vous aurez un cerveau analogue à celui des animaux que je viens de nommer. Il y a donc, chez l'élé
sus du cervelet, comme chez la loutre, le marsouin et quelques autres animaux , dont le cervelet est en -grande partie recouvert
stent toujours; elles sont plus larges et mieux divisées que dans les animaux inférieurs, mais elles n'ont pas la même régulari
nvolutions cérébrales ne sont pas livrées au hasard; chaque famille d' animaux a le cerveau conformé d'une manière déterminée, e
'avait pas examiné attentivement le cerveau d'un assez grand nombre d' animaux . L'observation démontre qu'il en est ainsi, l'ind
lier. Dans son espèce, l'éléphant est au sommet ; je ne connais pas d' animal qui se placerait à l'extrémité opposée. Dans la s
itations très faibles, et une forme déjà apercevable, chez les petits animaux , et très visible chez les grands. La bandelette
nt s'unir à la commissure postérieure. Je n'ai jamais trouvé chez les animaux , un autre ordre de fibres que M. Cruveilhier a vu
., t. iv, p 07b. l'homme, je ne l'ai pas non plus observée chez les animaux . Quant à la voûte, elle est formée de deux pili
re spécifique qui puisse servir à diviser en familles distinctes, les animaux dont il s'agit. Les tubercules quadrijumeaux et
arque de Treviranus, plus grand chez les rongeurs que chez les autres animaux , et la corne d'Ammon qui n'est autre chose que la
auteur, est la voûte; on peut s'en assurer particulièrement dans les animaux inférieurs où les hippocampes et les corps frangé
elles les masses cérébrales super-ventriculaires du castor et autres animaux à développement placentaire, et qui est surajouté
e n'ai pas été assez heureux pour étudier le cerveau de chacun de ces animaux , mais j'ai étudié celui du grand kanguroo, et j'y
rais indiquer la différence qu'il y a, sous ce rapport entre ces deux animaux , parce qu'on ne peut éviter un peu d'arbitraire e
inges ont en outre des éminences ovalaires; mais les autres espèces d' animaux en sont presque entièrement dépourvues. A la fa
ant; ici je me bornerai à noter quelques-unes des différences que les animaux mammifères présentent sous ce rapport. Les nerf
des nerfs olfactifs, a cependant les trous nombreux qui chez tous les animaux sont destinés au passage de ces nerfs. On a con
qu'il nous est d'autant plus précieux de posséder, que plusieurs des animaux dont ils ont pesé l'encéphale, sont très difficil
iciles à se procurer, surtout à l'étal frais. Quoique le nombre des animaux inscrits au tableau qui va suivre, soit considéra
ds de l'encéphale du premier âge et celui de l'âge mûr, chez tous les animaux , aussi bien que chez l'homme, et si l'on compare
ue chez l'homme, et si l'on compare deux encéphales appartenant à des animaux d'espèces différentes, mais dont l'un soit jeune
bien remarquable que ce soient les singes, les rongeurs et les jeunes animaux appartenant à d'autres familles de mammifères qui
les uns des autres. Un éléphant est avec eux , mais c'était un jeune animal , qui, devenu adulte, se serait probablement placé
du loup ; iLn'est pas besoin de dire quel contraste il y a entre ces animaux . Ce serait donc à tort que l'on chercherait un ra
l'on chercherait un rapport direct entre le degré d'intelligence des animaux el le volume comparé de leur encéphale. Cependa
ndividus, ainsi que j'ai déjà eu l'occasion de le faire observer. Les animaux qui ont été l'objet des recherches entreprises po
n plus considérable au fur et à mesure que l'on s'élève dans la série animale . Mais on aurait tort d'induire de là que, dans un
ièvre est à côté du chat, le sanglier est à côté du singe papion. Les animaux d'une même famille, même ceux qui sont parvenus à
liste, et peu s'en faut qu'il ne soit aussi mal placé que la souris, animal dont le nom est le dernier du tableau. Quant à
résultats, ne pouvant multiplier mes recherches sur un grand nombre d' animaux , et ne sachant rien encore de l'influence que le
que le sexe peut apporter dans le développement du cervelet chez les animaux , j'ai senti la nécessité de faire des recherches
pas été entreprise. Si l'on examine, dit-il, les crânes d'hommes et d' animaux châtrés jeunes, la place du cervelet, elle paraît
des lapins coupés, de moutons, de chevaux hongres, avec les crânes d' animaux mâles entiers de la même espèce, la différence fr
es non-seulement chez les chevaux, mais aussi chez d'autres espèces d' animaux que l'on soumettrait à la castration? Je me rendr
les non-seulement à une série de faits et à une espèce particulière d' animaux , mais à tous les faits de nature identique, consi
à tous les faits de nature identique, considérés dans toute la série animale ; mais je répondrai que ni Gall ni ses partisans n
adulte......10,5 5,7 1,84 Ce qui donne pour rapport moyen, chez les animaux ci-dessus désignés : 5,12, Le poids relatif de
de l'encéphale, comparés au poids du corps, diminuent à mesure que l' animal grandit : ainsi, dans une famille de lapins, j'ai
ulte m'a donné 1 à 187 Un porc mâle d'un jour . . . : . 178 Un second animal du même âge. ; 226 Un rat............. 350 Un
. Lafargue, après avoir comparé entre eux un grand nombre de crânes d' animaux , est arrivé à cette conclusion, savoir: que la fo
vé à cette conclusion, savoir: que la forme des crânes, dans le règne animal , est liée à des conditions de station et à dej co
e cela m'a été possible. ( t) Op. cit., t, ii, p. i3 t. Parmi les animaux compris dans le tableau qui suit, l'éléphant est
que présente ce tableau, où se trouvent à côté les uns des autres des animaux très différens par leurs instincts et leurs mœurs
gistes ont commis une singulière méprise. Ils ont vu que le front des animaux fuit en arrière au point de s'abaisser presque au
ion de la partie antérieure du cerveau, sans considérer que, chez les animaux , la cavité crânienne n'est pas au-dessus, mais bi
erminer le volume relatif de la partie antérieure du cerveau chez les animaux , il faut non pas considérer la saillie du cerveau
e diamètre antéro-postérieur de cet organe étant pris pour unité. Les animaux portés dans le tableau suivant sont rangés d'aprè
encontrent chez le mou- ton, le cheval, le bœuf, et tous les autres animaux placés dans le même groupe, est très considérable
ppement de la masse cérébrale, en arrière du corps calleux, range les animaux portés au tableau qui précède dans l'ordre que vo
ueur de la masse céré brale, est d'autant plus considérable que les animaux sont plus élevés dans l'ordre intellectuel : nouv
rd, le chien, le loup, le chat, le lion, tiennent le milieu entre ces animaux . Les dimensions des os du crâne et leurs rapports
hant, qu'un lobe cérébral, et je n'ai vu de la moelle allongée de cet animal , et du cervelet, que des portions détachées. Plus
le ayant le type de celui du phoque existait, le phoque serait pour l' animal auquel il appartiendrait, ce que le renard est po
arsouin. Le pont de varole est large et aussi complet que celui des animaux précédens. Le volume des tubercules quadrijumeaux
écouvert, et que l'on aperçoit même chez quelques-uns de ces derniers animaux , la saillie des tubercules quadrijumeaux au fond
ns l'encéphale de l'homme. Il faudrait voir ce qu'elles sont chez les animaux et notamment dans la nombreuse famille des mouton
utions célébrales des mammifères sont toujours les mêmes chez le même animal . 5. On peut classer les mammifères d'après la s
formation des organes de la préhension des alimens ; il rapproche des animaux semblables par leurs facultés, tandis qu'il éloig
ables par leurs facultés, tandis qu'il éloigne les uns des autres des animaux à facultés différentes. 7. Les circonvolutions
sitions d'un type à l'autre par des degrés intermédiaires. 8. Trois animaux , l'éléphant, le maki et le singe ont des circonvo
plus ondulées. 10. Le renard, le loup, le chien, le chacal sont les animaux dont les circonvolutions cérébrales ont une grand
1 à 22 et comme 1 à 860. 23. Les singes, les rongeurs et les jeunes animaux appartenant à d'autres familles de mammifères son
lui de l'encéphale, comparé au poids du corps, diminue à mesure que l' animal grandit. 30. Le diamètre transverse du cerveau
différence qui se trouve dans le diamètre de ces fibres chez un même animal , suivant la partie du système nerveux cérébro-spi
. FACULTÉS DES MAMMIFÈRES. Aristote disait : a On découvre chez les animaux une faculté naturelle analogue aux différentes pa
es soient simples ou complexes, sonl instinctives. (i) Histoire des animaux , 1. ix, c. t. fa) Traité des animaux , 'ze part
stinctives. (i) Histoire des animaux, 1. ix, c. t. fa) Traité des animaux , 'ze part., conclusion. (3) Dict, des Se, natu
(1), font des actions instinctives. » ce Les autres (2) actions des animaux sont le résultat ma-nifeste d'une intelligence, p
ement et sans effort, continue Frédéric Cuvier, en admettant dans les animaux des facultés intellectuelles semblables à celles
. » Suivant l'auteur ce ce qui distingue surtout l'intelligence des animaux de celle de l'homme, c'est que les animaux sont d
surtout l'intelligence des animaux de celle de l'homme, c'est que les animaux sont dépourvus du sens intime, de la perception d
'exprime ainsi à ce sujet : « Si nous suivons de près les actions des animaux , nous voyons qu'il est impossible qu'ils ne se co
t de Marly, que remplissaient G. Leroy, l'obligeaient à pratiquer les animaux ,et les faits qu'il raconte ne sauraient être mis
convolutions du renard, du loup et du chien, m'a obligé de placer ces animaux à la suite de ceux qui n'ont sur le cerveau que d
ores a un type particulier qui le place en dehors de celui des autres animaux . Si donc, je change ici l'ordre établi dans le pr
rganisation les rend capable? de combattre et de vaincre les autres animaux ; ils sont doués d'une intelligence qui les rend a
hant n'existait pas, on les mettrait avec raison, au premier rang des animaux . 1er groupe.—Renard, loup, chien, chacal. Fin
le dispense de chasser toutes les fois qu'il a faim. Il se nourrit d' animaux vivans, tels que volaille, lièvre, rats, mulots,
sa peau: nous ne pouvons guère, en effet, retirer autre chose de cet animal , mais les facultés qu'il possède ne le rendent pa
louve d'attaquer une bête fauve? le loup se met en quête, poursuit l' animal et le met hors d'haleine ; la louve, qui d'avance
d, le loup fait des provisions, en cachant dans la terre les débris d' animaux qu'il n'a pu manger ; le chien sauvage a la même
11 y a une antipathie naturelle entre le loup et le chien ; ces deux animaux ne peuvent pas se rencontrer sans se fuir ou se b
ont beau être repris, ils n'en sont pas moins disposés à égorger les animaux plus faibles qu'eux. II y a une circonstance dans
s mœurs, presque l'opposé du loup; mais, à l'état de nature, ces deux animaux se comportent presque absolument de la même maniè
Dans les pays déserts, où se sont multipliés des chiens sauvages, ces animaux se réunissent en troupes qui se composent quelque
hargneux, voleurs et incorrigibles, se jetant sur l'homme et sur les animaux avec la férocité du loup (2). Ces chiens ont la p
, se transmettent, jusqu'à un certain point, par la génération. Aucun animal n'est aussi modifiable que le chien, aucun ne pré
que le chien, aucun ne présente plus de variétés. Il est de tous les animaux le meilleur élève de l'homme, et souvent il en es
nda au chien, par l'intermédiaire de son maître : Quel est le roi des animaux ? Le chien alla chercher la lettre o; je le crus e
appela Bianco, auquel il dit: on a demandé à Fido quel est le roi des animaux ; voilà sa réponse, regarde s'il n'y manque rien.
amatle, Mémoire sur le développement des facultés intellectuelles des animaux sauvages et domestiques. Lu à l'Institut, le 2 ma
appelât le chien qui s'était montré si rétif. L'ordre fut exécuté. L' animal , dont le refus avait été si obstiné, convaincu qu
u'on leur a imposée par des traitemens sévères. A la chasse, ils sont animaux carnassiers; dans les maisons, ils sont les compa
lité avec laquelle il se laisse approcher de l'homme; il vit avec les animaux de son espèce, et ne chasse jamais seul. A défaut
ard, chat-cervier, cura-cal, ocelot, chat, guépard, hyène. Tous ces animaux vivent de proie, et généralement il leur faut une
tive, et indigne de devenir la proie de celui qui commande aux autres animaux . » C'est sur des contes de cette nature qu'est fo
mence et de magnanimité que l'on a faite au lion. On attribue à cet animal deux faits qui, s'ils étaient vrais, obligeraient
u regard et du geste. C'est du reste ce que font aussi la plupart des animaux féroces envers leurs gardiens, lorsque ceux-ci so
és proprement, les gardiens sont moins souvent menacés, parce que les animaux dont il s'agit ne les reconnaissent plus. Les l
nfans lui ont fait lâcher prisej^ Ni le lion, ni le tigre, ni aucun animal sauvage ne sont bien connus tant qu'ils sont à l'
Pline assez crédule pour être riche en histoires sur les mœurs des animaux sauvages (1), parle, d'après le physicien Démétri
aisi d'effroi, le père de Philinus veut retourner sur ses pas, mais l' animal se roule devant lui, joignant aux caresses les pl
à être flattée. C'est au reste ce qui arrive à la plupart des autres animaux féroces. Des besoins vivement sentis donnent pris
ch. xvir. tient, dit-on, dans le voisinage des lieux où les autres animaux viennent s'abreuver ; là il les guette et saute d
le dresser à la chasse. Le cougouard ne s'attaque pas seulement aux animaux * sang chaud, comme font en général les individus
danger. Le lynx ou loup cervier est avide du sang et du cerveau des animaux dont il s'empare, il abandonne le reste du cadavr
Le caracal, faible quoique vorace, n'osant pas toujours attaquer les animaux capables de se défendre, s'attache aux pas du lio
, aime mieux le sang que la chair; aussi détruit-il un grand nombre d' animaux : on prit un jour deux petits servals et on les d
epoussant, celui du lion a de la majesté ; les historiens de ces deux animaux ont écrit d'après les impressions qu'ils en ont r
en a publiée M. Richard Owen (2). Le naturel du guépard est doux; cet animal devient facilement familier et reconnaissant. Une
putois, furet, mouffette, loutre, civette, genette, mangouste. Les animaux compris dans ce groupe ne sont pas exclusivement
s, mais cela tient à ce qu'ils sont friands du sang et du cerveau des animaux , et que, pour satisfaire cette friandise, il leu
qu'il n'en faut à un lion qui mange également toutes les chairs d'un animal , pour assouvir sa faim. Le lion mange un animal t
outes les chairs d'un animal, pour assouvir sa faim. Le lion mange un animal tout entier et il est rassasié; la fouine qui suc
urse et pourtant très vorace, il se perche sur un arbre, attend qu'un animal vienne à passer, il se jette dessus et le ronge v
surtout la nuit que le glouton est éveillé et qu'il se met en quête d' animaux à ronger. Le blaireau demeure caché dans un ter
de peine. La ménagerie du Musée possède maintenant un Uinkajou : cet animal dort la plus grande partie du jour, mais la nuit
ière, et se ronge la queue comme font aussi quelques autres espèces d' animaux et notamment les singes. Le raton se familiaris
est à sa portée, il la happe et la tue. Il fait de même avec d'autres animaux plus faibles que lui. On dislingue plusieurs so
nd ils n'ont pas faim, et quelques-uns même refusent toute nourriture animale . Ils vivent surtout de fruits, de racines, ils ai
au printemps. (1) L'ours ne fait pas de provisions comme les autres animaux que leur organisation rapproche de lui'; mais aus
r lors même qu'il est pressé par la faim, il passe souvent auprès des animaux , il vient jusque dans les villages, sans qu'on ai
ance de la demeure de l'homme, cependant le putois est loin d'être un animal domestique, c'est plutôt un animal parasite et un
ndant le putois est loin d'être un animal domestique, c'est plutôt un animal parasite et un voleur habile qui vit aux dépens d
. Il a pour le lapin une si grande antipathie, qu'il ne peut voir cet animal mort ou vivant, sans se jeter dessus. On profile
mour, et il lui est arrivé, dit Buffon, de se satisfaire sur un autre animal mort et empaillé. L'hermine ne diffère de la be
ysique ou psychique. La martre et la fouine viennent à la suite des animaux précédens; elles se ressemblent pour les instinct
des fleuves; du reste elle ressemble, sous le rapport psychique, aux animaux précédens. La mouffette a été appelée enfant du
ortable qu'elle répand. Cette odeur qui est d'autant plus forte que l' animal est effrayé, soustrait les mouffettes à la poursu
surtout la nuit, ce qui indiquerait qu'elle est destinée à épier les animaux et à les surprendre pendant leur sommeil; cependa
rer les végétaux, les insectes et quelques mollusques, à la chair des animaux à sang chaud. La mouffette habite les fentes des
pre à se tenir facilement sur l'eau; elle plonge bien, et quoique les animaux dont elle fait sa nourriture n'aient d'autre moye
uelles sortes de précautions on aurait voulu qu'elle prît. Tous les animaux mammifères dont il a été question jusqu'ici sont,
e les renards à entrer dans les basses-cours, qu'elle ressemble à cet animal , surtout par la tête, et qu'elle voit dans l'obsc
surtout par la tête, et qu'elle voit dans l'obscurité. C'est donc un animal de transition pour les instincts et la conformati
ferai dans l'article suivant. La civette vit de chasse, et à défaut d' animaux , elle inange des racines et des fruits. On peut l
L'hiver elle se tient dans un terrier, à la manière des lapins. Un animal qui est domestique en Egypte, comme le chat l'est
au furet, à la be lette, à la loutre. Elle a des rapports avec ces animaux ; mais ses habitudes ne l'identifient avec aucun d
s extérieurs, pas plus que son cerveau. Ici se termine la série des animaux carnivores. Ce ne sont pas les plus nombreux, ni
rition sur la terre est nécessairement postérieure à celle des autres animaux , et s'ils ne se faisaient pas la guerre entre eux
père et la mère eux-mêmes ne mangeaient pas leurs petits, les autres animaux , plus faibles qu'eux et souvent dépourvus de moy
e toujours avec avantage. Dans les groupes qui vont suivre, plusieurs animaux sont omnivores, aussi bien que l'ours, le coati,
es l'ont dit, il n'y a pas de démarcation absolue à établir entre les animaux : on trouve entre ceux dont l'organisation et les
re pour base de ma classification, j'éloignais les uns des autres des animaux d'une valeur psychique à-peu-près égale, et j'en
alistes? Non ; car les naturalistes ont réuni dans un même ordre, des animaux dissemblables par les instincts, surtout en ce qu
de diviser. J'ai cherché alors si quelque action commune à tous ces animaux ne m'offrirait pas une mesure de leur intelligenc
lement. Le vampire est une chauve-souris d'Amérique qui s'attache aux animaux et se nourrit de leur sang: la roussette, au cont
ssette : il sera curieux, en raison de la nature de l'instinct de cet animal , de comparer son cerveau avec celui de la chauve-
unau et l'aï. La nature en a fait les plus lents, les plus lourds des animaux , et elle leur a donné pour nourriture des feuille
e remettent de leur chute, ils se traînent vers un autre arbre. Ces animaux n'ont aucune défense; ils ont l'air morne, le reg
entent, dit Buffon, le dernier terme de l'existence, dans l'ordre des animaux qui ont de la chair et du sang. » Je dirai en q
cerveau de l'unau et de l'aï ressemble à celui du castor. Tous les animaux compris dans le groupe suivant, rongeurs, insecti
e facilement la marmotte ; elles devient presque aussi docile que nos animaux domestiques. Elle éprouve pour les chiens la même
même contre les chats. La fécondité des rats est extrême (1) : ces animaux multiplient en nombre infini partout où ils trouv
tout où ils trouvent une nourriture abondante, surtout une nourriture animale , et ils sont tellement féroces, qu'ils s'entre-dé
suite des dégâts souterrains causés par les rats, et que ceux de ces animaux qui ne peuvent se loger dans le voisinage de Mont
nol, le muscardin, le hamster ont des mœurs très analogues à ceux des animaux précédens ; on dit avoir trouvé jusqu'à deux bois
orc-épic était aussi méchant qu'il est bien armé, il pourrait être un animal dangereux, mais il ne se sert des pointes aiguës
vec le lapin sont, si nom breux que je n'ai pas dû séparer ces deux animaux l'un de l'autre. Il vit solitaire et toujours eff
loutre cl serait mieux placé, en raison de ses instincts, près de cet animal , que près des autres rongeurs : en cela il ressem
il ressemble au rat-d'eau, dont il a été question précédemment. Ces animaux exceptionnels méritent un examen spécial, précisé
desman, taupe, eondylure, scalope. Le hérisson est encore un des animaux qui avec une armure redoutable n'a que des habitu
s doute qu'il détruise moins, mais c'est qu'il ne s'adresse pas à des animaux dont la vie soit aussi complète que ceux auxquels
ens. De cette manière, l'entrée de sa demeure n'est accessible qu'aux animaux aquatiques , animaux dont il n'a rien à craindre;
, l'entrée de sa demeure n'est accessible qu'aux animaux aquatiques , animaux dont il n'a rien à craindre; et quand il veut tro
il ne sort qu'après la chute du jour. Il n'attaque jamais les grands animaux ; mais il se défend à l'aide du test écailleux qui
t de l'organisation et sous celui du soin des petits, réunit tous ces animaux dans -un même groupe, plus encore que leurs insti
formés, viennent se nicher et grandissent comme les fœtus des autres animaux grandissent dans le ventre de leur mère : les pet
e d'hisl. nat., e't Anthologie de Florence, t. xsiv, 1824. D'autres animaux , le dasyure (1), le péramèle, le phalau-ger, le p
destinée à loger les petits, diffèrent trop du sarigue et des autres animaux dont il vient d'être parlé, pour trouver place ic
très doux. E. Ecureuil, polatouche, mmcardin. Ces trois espèces d' animaux nichent sur les arbres, les muscardins sur les br
t le passage suivant sur le dasyure à pinceau : « Cet élégant petit animal était très franc, et ne cherchait point à mordre,
e place toujours derrière l'arbre, et une forêt serait remplie de ces animaux , chaque arbre en aurait un ou plusieurs, qu'il se
de la propreté, instinct qui, du reste, leur est commun avec tous les animaux qui ont un domicile. C'est pendant l'hiver que
vier lui-même (1) ordinairement si juste appréciateur des actions des animaux , s'exprime ainsi à leur sujet. « Les construction
er, nous, que nos ouvrages sont plus parfaits que les leurs; mais ces animaux seront-ils obligés de voir et de sentir comme nou
u une cause aveugle. Ne croyons pas élever l'homme en niant que les animaux aient de l'intelligence : chacun et chaque chose
s. Tous se nourrissent de végétaux; tous ont à se défendre contre les animaux carnassiers. De leur nature ils sont inoffensifs
autres en intelligence, et l'un d'eux, le cheval, est, pour tous les animaux solipèdes et ruminans, ce que le chien est pour l
et ruminans, ce que le chien est pour les carnassiers. Comparé aux animaux qui vivent de chasse , le groupe entier des rumin
domesticité des mammifères {Mémoires du Musée, t. Mit, p, 4»6), des animaux bruts, grossiers, qu'aucun bon traitement n'adouc
timent secret les porte à fuir et à traiter en ennemi totfte espèce d' animal étrangère à la leur. Il en est tout autrement, co
re à la leur. Il en est tout autrement, continue Fr. Cuvier, pour les animaux qui se nourrissent plus exclusivement de chair :
finesse et l'activité de la leur, tant il est vrai que, même chez les animaux , le développement de cette faculté est plus favor
s en intelligence. Parmi les ruminans et les solipèdes , il est des animaux qui s'attachent à l'homme , ou au moins qui lui o
Plantes a possédé un bison, que l'on a pu y étudier. La colère de cet animal n'était point aveugle; corrigé vigoureusement, ta
vers l'anneau de son nez. (1) Le moufflon et le mouton sont un même animal ; le premier vit en liberté, l'autre vit en servit
a fait sur les moufflons quelques expériences qui indiquent chez ces animaux une intelligence supérieure à celle des moutons,
rerai les facultés du chevreuil aux circonvolutions du cerveau de cet animal . « Le chevreuil a plus de vivacité, plus de cou
chez la plupart des mammifères et même chez le plus grand nombre des animaux de toutes les classes, une perfection dont l'odor
e n'est pas seulement l'instinct qui est le mobile des actions de ces animaux , car ils dirigent leurs courses d'après des faits
ms sont presque des cerfs ; ce- (i) Op. cit.. p, /{8. pendant ces animaux ne s'accouplent pas les uns avec les autres. On a
es, en ce qu'il est très susceptible d'apprivoisement ; on en fait un animal docile, et qui, dans certains pays, en Laponie, p
n malheur , mais un malheur mérité, L'onagga, le couagga et le zèbre, animaux qui ont une analogie très grande avec le cheval e
le montrent assujéti à l'homme, depuis un temps immémorial. C'est un animal tranquille, patient, laborieux, mais obstiné et i
nt entre eux que des motifs d'émulation, ils n'attaquent jamais aucun animal , et comme ils sont moins portés à l'amour que bea
aucun animal, et comme ils sont moins portés à l'amour que beaucoup d' animaux , ils ne se battent pas pour la possession des cav
les élever; mais le défaut de lait fait périr les poulains. » Peu d' animaux sont aussi facilement éducables que le cheval; on
nt aussi facilement éducables que le cheval; on fait comprendre à cet animal ce qu'on venl qu'il fasse, et il devient, quand o
iroussa, pécari, tapir, hippopotame, rhinocéros. Il faut placer ces animaux tous près des herbivores, car ils se nourrissent
plus ordinairement, le voisinage et le contact de l'homme donneut aux animaux une activité intellectuelle qu'ils n'auraient pas
ts ; il se montre parfois avide de chair, mais beaucoup moins que les animaux carnassiers. Le babiroussa ou cochon-cerf est p
4. d'une action de ce genre dontFr. Cuvier ait été témoin, chez les animaux . (1) Le même auteur, parlant du pécari et du co
; cependant, excepté un seul chien, que le pécari affectionnait, ces animaux ne prenaient part au repas que quand le pécari le
eur force musculaire , qui est prodigieuse , n'ont pas la cruauté des animaux carnassiers : ils sont même généralement assez do
de mal à personne. La ménagerie du Musée a possédé un rhinocéros. Cet animal était d'une extrême douceur: il obéissait à son m
sur la terre. Us se nourrissent de végétaux; cependant la nourriture animale n'est pas du tout incompatible avec leur goût, et
e plus édu-cable des cochons, peut s'étendre au point de donner à cet animal quelque ressemblance avec le chien, (i) (i) Fr.
e présentent presque en tous points un développement des facultés des animaux précédens. Us demeurent presque toujours dans l'e
dociles. Fr. Cuvier regarde le phoque commun comme étant de tous les animaux sauvages, celui qui s'habitue le mieux à l'homme
auphins étaient regardés par les anciens comme les plus familiers des animaux . Si l'on en croit Pline, un dauphin s'avançait ve
grand et le plus fort de la troupe. On a une sorte de preuve que. ces animaux vivent appariés un mâle avec une femelle, car sur
à craindre, et Buffon, pour donner une idée de l'intelligence de cet animal , le compare à un rhinocéros ou à un hippopotame.
nt autrefois. 11e groupe. — Eléphant. L'éléphant est, de tous les animaux , celui que la nature a fait le plus intelligent e
appellent Orang, c'est-à-dire être (i) L'éléphant surpasse tous les animaux , en compréhension. Aristote, 1. ix, ch, 7«, r
à tous trois. Le caractère de l'éléphant est doux, inoffensif; cet animal n'attaque jamais sans être provoqué, et comme il
ce, c'est qu'on n'a jamais vu l'accouplement des éléphans, et que ces animaux ne produisent pas, tant qu'ils sont en captivité.
franchir le défilé , on jetait du sucre à l'éléphant, et tandis que l' animal mangeait, la caravane se hâtait de continuer sa r
rt aise, car elle indiquait un jugement dont, à mon avis, aucun autre animal ne serait capable. Plusieurs fois on a fait int
u reste une i, tM chose admise par les gardiens d'éle'phans que ces animaux comprennent presque tout ce qu'on leur dit. Buf
c promet de lui donner de l'arak ou quelque chose qu'il aime, alors l' animal se prête à tout. Mais il est dangereux de lui man
onte, la musique exerce sur les éléphans une influence qu'aucun autre animal n'éprouve à un aussi haut degré que lui. Une expé
été dressé hors de la vue des éléphans. Aux premiers accords que ces animaux entendirent, ils cessèrent de manger pour courir
inges. Nous ne connaissons que très imparfaitement les rapports des animaux entre eux. Modifiés qu'ils sont par l'éducation q
dégradés par l'abondance des alimens dont nous les avons remplis, les animaux domestiques ne se présentent pas à nous aussi com
nous aussi complets qu'ils le seraient à l'état de nature. Quant aux animaux sauvages, retenus ordinairement dans des cages ét
auvages, retenus ordinairement dans des cages étroites et séparés des animaux de leur espèce, ils ne se présentent à nous qu'av
pour les éléphans (1), et l'on ne peut s'empêcher d'admettre que des animaux qui comprennent l'homme si facilement et si bien,
és données par l'homme â l'éléphant, ne se transmettent pas, chez cet animal , par voie de génération, puisque les éléphans dom
l primitif. une foule de détails très curieux sur les mœurs des ces animaux ; ils nous les ont montrés réunis en troupes, aya
ur eux des observations nouvelles et très étendues. Le gardien de ces animaux , le sieur Daboncourt, homme intelligent et qui s'
ins naturalistes, que les makis adorent le soleil. Je n'ai pas vu ces animaux prendre part aux jeux et aux espiègleries des sin
'ils ont trouvé le meilleur. À la différence de la plupart des autres animaux , ils n'ont pas de reconnaissance envers les perso
ng le suivit, et depuis il ne craignit plus d'y aller seul. Le même animal , quand il était fatigué par la visite des curieux
et se concertent pour agir. U. L'éducation ne développe, chez aucun animal , autant d'intelligence ni de meilleurs sentimens
s chassent en épiant leur proie plutôt qu'en la poursuivant. 6. Les animaux composant les familles des ours, des martes et de
C'est dans le groupe formé par ces trois familles que se trouvent les animaux les plus voraces et les plus destructeurs. En int
ociété et en famille, un mâle avec une femelle seulement. 18. Aucun animal n'est par sa nature aussi intelligent et aussi bo
ieux. 25. Le voisinage de l'homme développe chez presque tous les animaux l'étendue des facultés intellectuelles, soit par
s petits paraît être plus durable chez les singes que chez les autres animaux . 28. Les qualités que l'homme a développées che
animaux. 28. Les qualités que l'homme a développées chez plusieurs animaux ou l'abrutissement dans lequel il en a jeté quelq
pendant on apprivoise l'ours, le lion, le glouton, etc., qui sont des animaux solitaires, et l'on apprivoise pas le couagga qui
élevé et instruit par l'homme, est le plus in-« lelligenl de tous les animaux : viennent ensuite l'éléphant et le cheval. 38.
les mammifères, le résultat de la perfection de leurs sens. 39. Les animaux ont des idées, delà mémoire, du jugement; quelque
ayant de l'amitié les unes pour les autres. 40. L'intelligence des animaux , celle des mammifères en particulier, et des plus
u'elle s'élève jusqu'aux abstractions, jusqu'aux idées générales. Les animaux ne réfléchissent pas sur ce qui se passe au dedan
-antérieures du frontal (1) ». Il suit de là, que ce les cerveaux des animaux ne sont que des fragmens du cerveau humain. » (2)
n inexplicables; il a négligé, par exemple, de décrire le cerveau des animaux ; il n'a pas déterminé la valeur, l'identité des c
n'a pas déterminé la valeur, l'identité des circonvolutions, chez les animaux qui en sont pourvus; il n'a pas désigné sur les c
ient de nulle valeur. En effet : 1° Gall assure que le cervelet des animaux qui ont subi la castration, diminue de volume, ce
te pas plus de 12. Si on joint à ce nombre celui des têtes des autres animaux appartenant à la famille des chats qui font parti
développé chez les chiens, en formant une collection de crânes de ces animaux . Gall aurait dû ajou* (I) Op. cit., t. ni, p. •
. ter qu'il s'est assuré si l'organe était développé chez tous les animaux qui ont de l'attachement, s'il ne l'est jamais ch
incipes de Gall, le marsouin ayant le cerveau plus large que tous les animaux inscrits sur le tableau, et avec lui l'éléphant e
a admettre que l'aï, le plus timide, le plus lent, le plus hébété des animaux , est, pour le courage, ou la ruse, ou l'instinct
stes sont d'ordinaire assez peu au courant de la forme du cerveau des animaux , il m'est arrivé d'en faire tomber plusieurs dans
élargi sur les côtés, et je disais à mon tour : Que pensez-vous de l' animal porteur de ce cerveau? Il était de toute éviden
ane de la hauteur qui est en même temps celui de l'orgueil, porte les animaux à choisir leur habitation sur des lieux élevés, i
ouine, continue l'auteur (1), ont cette région très large. » Tous les animaux ont la partie correspondante aux bosses pariétale
re-inférieure de la faux, sont affectées à la perfectibilité (1). Les animaux les moins capables d'éducation, ont ces parties p
ins capables d'éducation, ont ces parties plus petites que les autres animaux ». Un animal qui a cette partie peu développée,
ducation, ont ces parties plus petites que les autres animaux ». Un animal qui a cette partie peu développée, et qui est en
complètement, la partie antérieure du cerveau. Gall cite les jeunes animaux comme étant plus éducables que les vieux, et il d
s que les vieux, et il dit, avec raison, que dans le premier âge, les animaux ont le front moins effacé que dans l'âge adulte o
hien de berger et un cerveau de mou-ion, en leur disant : ce Des deux animaux porteurs des cer- de la face chez le jeune sing
moins pousser des sons qui formaient une sorte de gamme, et ces deux animaux étaient des chiens, l'un observé par Bennati, l'a
cation qu'il en donne, est celle-ci : ce Les crânes de celte classe d' animaux sont beaucoup moins larges que celui de l'homme,
de ce genre, ont prétendu que l'on avait tort de mettre en regard des animaux d'espèces différentes, ils voudraient que l'on se
fférentes, ils voudraient que l'on se bornât à comparer entre eux des animaux de la même espèce ; ainsi, il faudrait se borner,
phrénologistes prétendent puiser leurs ar-gumens dans toute la série animale , puisqu'ils mettent en opposition les uns avec le
animale, puisqu'ils mettent en opposition les uns avec les autres des animaux d'espèces très différentes, par exemple, la marmo
immédiatement au-dessus et en avant de l'arcade zygomatique. Plus les animaux sont doués à un (i) Gall, op. cit., t. iv, p. 6
alogue à celle du cerveau du castor devra se rencontrer chez tous les animaux constructeurs, et ne pas se rencontrer chez d'aut
e l'organe de la construction des castors. Et, en revanche, l'aï, cet animal si bête qui vit accroché à des branches d'arbre,
sur son défaut de développement chez d'autres chiens ou chez quelque animal d'une espèce différente, rien; sur la relation de
s de la localité, avec la circonvolution correspondante chez d'autres animaux , rien. Ainsi, tout ce qu'a fait le fondateur de
all avait fait son système avant de se livrer à l'examen du crâne des animaux , et que ses travaux sur ce point se sont bornés à
étails de la conformation du crâne et du cerveau chez les plus petits animaux vertébrés; et rien n'était plus nécessaire, plus
nes, toujours des crânes, et si parfois l'on montre des cer veaux d' animaux , et que l'on y trace des lignes, que l'on y grave
l'existence, cessa d'être obligatoire. M. Vimont trouva que chez les animaux herbivores « dont le cerveau est allongé, l'organ
l est plus long» (1). A quoi sert donc l'organe de la destruction aux animaux qui vivent de substances végétales? Il sert à la
uction des végétaux fût comparée, par les phrénologistes, à celle des animaux . Pour moi, je ne vois pas de motif pour repousser
ir l'organe de la destruction. « En comparant assidûment les crânes d' animaux , je trouvai, c'est Gall qui parle (l), je trouvai
: « Les phrénologistes ont refusé le sentiment de la vénération aux animaux : moi, je ne suis pas de cet avis. Une certaine n
lus habile, le plus expérimenté qui conduit la troupe. Entre tous les animaux , le chien se fait remarquer par la vénération qu'
chien se fait remarquer par la vénération qu'il porte à l'homme, cet animal distingue parfaitement dans la maison qu'il habit
s encore qui ont ce qu'il appelle l'organe de la vénération. Mais les animaux qui ont aussi cet organe et qui n'ont pas la facu
dela raison, il a peu de conscience et d'imagination; chez les autres animaux qui manquent de front, on ne trouve en avant que
science; enfin, en descendant jusqu'aux plus bas degrés de l'échelle animale , il ne reste plus que les portions basilaire el o
portions basilaire el occipitale du crâne; aussi Pâme de ces derniers animaux manque-t-elle d'intelligence, de réflexion et d'i
oppé, comparativement que le pariétal et l'occipital, eût donné à ces animaux de la science, de la raison et une foi intelligen
tal, est regardé comme beaucoup plus étendu chez l'homme que chez les animaux : cet os diminu assure-t-on, au fur et à mesure qu
iminu assure-t-on, au fur et à mesure que l'on descend dans l'échelle animale , et avec lui les circonvolutions antérieures, siè
onctions intellectuelles. Le singe serait, à ce titre, le premier des animaux vertébrés, et les poissons seraient les derniers.
ortion du cerveau. Du peu de développement de l'os frontal chez les animaux , les phrénologistes ont conclu au petit volume de
admettant avec Gall que le frontal se rétrécisse réellement, chez les animaux , en proportion plus forte que les autres os du cr
ire celui qui a le plus d'intelligence : entre le cerveau de ces deux animaux , une différence énorme. Au plus gros cerveau, la
it, la plus bornée. Entre l'un et l'autre, nous pourrions trouver des animaux de transition tant pour le volume du cerveau, que
volume absolu ne peut donc pas suffire pour nous faire distinguer les animaux les plus intelligens de ceux qui le sont moins.
n'est pas assez prononcé pour que j'aie Heu d'en être satisfait. Les animaux les plus intelli- gens sont inégalement réparti
mément en descendant des mammifères aux poissons : voici, pour quinze animaux différens, quel est le rapport du volume du nerf
haliques ; ils indiquent une substance cérébrale plus grande chez les animaux les plus intelligens que chez ceux qui le sont pe
nce très notable dans le poids comparé du cerveau, de prononcer qu'un animal est plus intelligent qu'un autre, d'après le volu
hin, la baleine, le phoque, la loutre, que chez la plupart des autres animaux . Tous ceux qui ont la partie postérieure du cerve
u cerveau reposant sur le cervelet et recouvrant cet organe, sont des animaux intelligens. Par opposition, les rongeurs, la cha
; mais le chien, le renard, le singe seraient au-dessous de tous ces animaux . Autant que j'en ai pu juger, il en serait de mêm
t en arrière : c'est qu'elle est propre , mais non pas exclusive, aux animaux intelligens ; qu'elle indique une tendance, mais
art des conditions organiques dont il a été question jusqu'ici. Aux animaux inférieurs, jamais de circonvolutions; aux animau
n jusqu'ici. Aux animaux inférieurs, jamais de circonvolutions; aux animaux supérieurs, toujours des circonvolutions ; et à l
périeurs, toujours des circonvolutions ; et à l'éléphant, de tous les animaux le plus intelligent et le meilleur, les circonvol
me ; elles appartiennent à tous les solipèdes et à tous les ruminans, animaux qui vivent uniquement de substances végétales; el
nt herbivore; on les trouve aussi chez les cétacés et les amphibies , animaux dont quelques-uns se nourrissent de végétaux, mai
circonvolutions sinueuses et des circonvolutions non sinueuses. Les animaux du premier groupe, tous animaux de proie, agresse
circonvolutions non sinueuses. Les animaux du premier groupe, tous animaux de proie, agresseurs, astucieux , vivant de chass
de chasse, marchant le plus souvent seuls , font la guerre aux autres animaux , et sont rarement en paix les uns avec les autres
oupe, l'homme n'en obtient aucune obéissance, aucun service, c'est un animal sauvage; la chèvre au contraire s'apprivoise et s
s, ni même celle des circonvolutions, n'est liée à la sociabilité des animaux de telle manière qu'on puisse dire que l'une dépe
est moins intelligent que l'ours, et il a plus d'ondulations que cet animal ; le chevreuil, qui est de tous les ruminans et su
i le lieu de l'examiner. Suivant Desmoulins, ce 1° le dauphin est l' animal qui a le plus de circonvolutions; il en a même pl
l'homme de la moitié environ ( t) Anatomie des systèmes nerveux des animaux vertébrés, etc. Paris, f 8a: , ir.-S, 2e partie,
le cerveau de l'ours qui vit de substances végétales et de substances animales , a des circonvolutions dont les unes sont analogu
endue des sous-divisions, pour l'arrangement des circonvolutions, les animaux , les plus stupides, le mouton, par exemple, appro
e le sont jamais. Toutefois, il y a ce rapprochement à faire, que les animaux qui ont des circonvolutions intestinales les plus
d, puisqu'il assimile en quelque sorte, le cerveau de trois espèces d' animaux , au cerveau de l'homme; cette addition coïncidant
cultés et ces circonvolutions doivent toujours coexister chez le même animal , elles doivent être dépendantes l'une de l'autre,
, dans lequel on trouve les circonvolutions supérieures, sans que ces animaux aient des facultés qui les élèvent au niveau des
hien modifie en même temps l'état physique et l'état psychique de cet animal ; il imprime même à son cerveau quelques changeme
ature ne lui avait pas réservées, il n'a pas changé le cerveau de cet animal en un cerveau de singe ou d'éléphant. Plus on é
omparé du cervelet fournira-t-il des données plus positives? Chez les animaux inférieurs, le cervelet est moins développé, moin
férieurs, le cervelet est moins développé, moins complet que chez les animaux supérieurs; ainsi, dans la chauve-souris, on comp
ociles et dévoués; pourquoi, dans des classes diverses, il existe des animaux pourvus d'instincts semblables, tandis que, dans
ucture du cerveau, la cause qui fait varier à l'infini, dans la série animale , les penchans, les habitudes, les mœurs, les idée
grand problème nous reste, celui de l'homme. L'homme résume tous les animaux , il est au-dessus d'eux, et rien de ce qui l'ento
t jetant ensuite nos regards en arrière, nous comparerons l'homme aux animaux et les animaux entre eux, afin de savoir quels ra
e nos regards en arrière, nous comparerons l'homme aux animaux et les animaux entre eux, afin de savoir quels rapports existent
ntre eux, afin de savoir quels rapports existent, dans toute la série animale , entre le système nerveux et les facultés de l'in
l'intelligence. RÉSUMÉ. 1. Gall n'ayant pas décrit le cerveau des animaux n'a indiqué que sur les crânes la place qu'il ass
aux facultés morales. 2. Il s'est trompé quand il a avancé que les animaux auxquels on a fait subir la castration, ont le ce
els on a fait subir la castration, ont le cervelet plus petit que les animaux entiers, et cette assertion qu'il avait émise com
i par Gall, un organe de destruction pour les végétaux comme pour les animaux , et ayant attribué cet organe au mouton au castor
. 25. On trouve des cerveaux très différens pour la forme, chez des animaux semblables pour les mœurs. 26. L'étendue de la
s des mollusques......... 46 chapitre DEUXIÈME. système enrveux des animaux articulés.............. 53 § I. Description d
culés.............. 53 § I. Description du système nerveux chez les animaux articulés.......| . . . . 55 § II. Structure du
articulés.......| . . . . 55 § II. Structure du système nerveux des animaux articulés..............71 § III. Significatio
ticulés..............71 § III. Signification du système nerveux des animaux articulés..............79 § IV. Facultés des
nerveux des animaux articulés..............79 § IV. Facultés des animaux articulés......85 chapitre troisieme. système n
2 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
œuvre. Il se proposait, en effet, de couronner ses recherches sur les animaux par une étude approfondie de l'encéphale humain,
les du nerf optique et de leurs curieuses modifications dans la série animale , ont été les principales conséquences de cette no
des caractères précis, des facultés analogues qu'on observe dans les animaux . J'avais ici deux écueils à éviter, les uns en ef
avais ici deux écueils à éviter, les uns en effet font l'homme et les animaux trop semblables entre eux, les autres au contrair
r également exagérées-, en effet certaines facultés sont communes aux animaux et à l'homme ; ils ne diffèrent donc pas d'une ma
es Rapports avec l'Intelligence* INTRODUCTION. I. Il y a dans les animaux des nerfs ; je veux dire des conducteurs d'impres
fil de cristal. M. Dujardin a si bien décrit cet état des substances animales primitives, que je ne saurais mieux faire que d'e
nte, et date seulement des travaux de Fontana. Les fibres nerveuses animales se rangent, eu égard à leurs fonctions, en deux c
ème nerveux central coïncide avec le plan médian du corps. Dans les animaux vertébrés les centres nerveux principaux sont log
, sont à l'ensemble du squelette ce que les anneaux sont au corps des animaux articulés. Or, de même que la définition d'un cyl
le système nerveux central. Cette proposition est certaine dans les animaux inférieurs. Dans certains annelés placés très-bas
et, en effet, la sympathie des différents segments entre eux, dans un animal annelé, ne détruit point l'idée d'une vie propre
oyez aussi Duges, Mémoire sur la conformité orgatiique dans l'échelle animale . Montpellier, 1832, in-4". telligence pour prin
erveux particulier. Mais tous les segments s'enchaînent, et, chez les animaux vertébrés, leur individualité semble être absorbé
tte confusion doit avoir nécessairement lieu. Les lombrics, parmi les animaux annelés, présentent quelque chose d'analogue, par
, que les fonctions ont plus de rapports entre elles. Ainsi, dans les animaux qui offrent une masse centrale formée de ganglion
u moins très-distants. Ils se rapprochent les uns des autres dans les animaux qui sont plus élevés; dans la plupart des insecte
e signe ne saurait être méconnu dans la tige nerveuse rachidienne des animaux vertébrés. Un autre fait très-remarquable a été
rs n'est pas encore complètement résolue. On sait que dans tous les animaux inférieurs ce qui représente l'axe nerveux est un
u corps, et qui fait suite à un anneau entourant l'œsophage. Dans les animaux vertébrés, au contraire, la chaîne, ou plutôt la
chaîne, ou plutôt la tige nerveuse, occupe, dans le plan médian de l' animal , le côté dorsal du corps. Ainsi, dans les inverté
x est inférieur au tube digestif; il est supérieur à ce tube dans les animaux vertébrés. Plusieurs naturalistes ont essayé de
uralistes ont essayé de résoudre cette différence, en supposant que l' animal invertébré, mollusque ou articulé, comparé à un a
upposant que l'animal invertébré, mollusque ou articulé, comparé à un animal vertébré, marche sur le dos. En effet, la moelle
animal vertébré, marche sur le dos. En effet, la moelle épinière d'un animal vertébré, placé de la sorte, serait inférieure au
urs et le cerveau suivraient ce mouvement, ce qui n'a lieu dans aucun animal . Cette vue ne saurait donc être acceptée que comm
cette hypothèse, mais en la modifiant un peu. On admet qu'en effet, l' animal invertébré marche sur le dos; mais on ajoute, pou
moelle épinière est toujours à la « région dorsale ou supérieure des animaux à vertèbres. Cette « objection tombe, si l'on adm
lté « réelle qui subsiste, c'est d'expliquer comment l'œsophage « des animaux articulés et des mollusques traverse le collier «
ations et par sa forme ce qu'on a appelé le nerf sympathique dans les animaux vertébrés, me paraît avoir encore aujourd'hui tou
un pneumogastrique. J'en dirai autant du système stomatogastrique des animaux mollusques. VI. Je me rattache donc d'une maniè
mple de la disposition élémentaire du système nerveux central dans un animal vertébré (1). Nous prendrons pour type un segment
u. Si maintenant nous comparons cet anneau à l'anneau œsophagien d'un animal annelé, cette comparaison fera ressortir des ress
s sont semblables de part et d'autre. A chaque segment complet d'un animal vertébré, il y a donc un anneau nerveux, et le sy
vertébré, il y a donc un anneau nerveux, et le système nerveux de cet animal , considéré dans son ensemble, est composé d'une s
odilien la succession et l'enchaînement des segments. Dans quelques animaux privilégiés, les mammifères, les ganglions médull
autant plus aisément conçu, que la tête l'emportant fort peu chez les animaux articulés, sur les autres segments du corps, ceux
iquer la composition du système nerveux propre à un segment complet d' animal vertébré ; dans la région caudale, l'anneau est f
ans les vertébrés, la vésicule ombilicale répond au côté ventral de l' animal ; dans les invertébrés l'inverse a lieu, la vésic
onduits, en conséquence, à considérer le type du système nerveux {les animaux articulés comme modelé sur le type de la chaîne d
ux articulés comme modelé sur le type de la chaîne du sympathique des animaux vertébrés. Or, on démontre, en névrologie, que lo
son type. De là cette modification des pièces sternales qui, dans les animaux articulés, se transforment en une sorte de rachis
systèmes en un seul. VIL Nous n'avons point à nous occuper ici des animaux inférieurs. Nous n'aborderons pas non plus l'étud
aide, et ce qui n'est pas appréciable dans l'homme, apparaît chez les animaux avec la plus grande évidence. Je recommande surto
n epithelium à cylindres. Ce canal, très-grêle, est constant chez les animaux et chez l'enfant nouveau-né ; je l'ai souvent inj
ment médian, et toujours unique. Son existence est constante dans les animaux à tous les âges de la vie, et dans toutes les rég
vec l'arête centrale des cordons antérieurs ; mais qui, dans certains animaux tels que les ruminants, forment de chaque côté du
singulièrement variable, non-seulement quand on considère différents animaux ou même les différentes régions d'une même moelle
roissent d'une manière sensible, en raison composée de la taille de l' animal et du volume relatif de l'axe dans la région qu'o
s est le suivant : Une moelle extraite aussitôt après la mort chez un animal tué ad hoc, est immédiatement dépouillée et plong
f en particulier. Mais on peut observer les mêmes faits dans tous les animaux mammifères. Je suis heureux de voir que des obser
nous nions positivement que ces résultats puissent être appliqués aux animaux mammifères, et nous partageons complètement sur c
édullaire rappellent assez bien l'organisation des ganglions dans les animaux inférieurs, et ressemblent encore mieux aux plexu
la moelle dans ses différentes régions. La moelle épinière dans les animaux mammifères n'occupe pas toute la longueur du cana
du canal rachidien ; ses limites supérieures répondent dans tous ces animaux aux environs du trou occipital. Quant à ses limit
t être dit, il est vrai, d'un même renflement considéré dans tous les animaux d'un même groupe. On peut dire, par exemple, que
d'un même groupe. On peut dire, par exemple, que dans un même genre d' animaux plus le bras est grand, plus le renflement cervic
lombaire qu'au renflement cervical ; d'une manière générale dans les animaux , les faisceaux blancs s'atténuent d'autant plus à
ans les félis{\) et les mustela; elle est d'autant plus marquée que l' animal est plus long et plus élancé. C'est sur ces anima
plus marquée que l'animal est plus long et plus élancé. C'est sur ces animaux surtout, qu'est apparente la vérité de la proposi
ns le renflement cervical, et dans l'homme beaucoup plus que dans les animaux , mais en revanche les faisceaux blancs dans la ré
la main qui est l'organe élu parmi tous les appareils du toucher. Les animaux eux-mêmes sollicitent, interrogent, touchent avec
séparé du cervelet. » (Explication nouvelle et mécanique des actions animales . Paris, 1678, page 68.) C'était, comme on le voit
be du cabiai, dans les planches où il a représenté l'encéphale de cet animal et celui du chevrotain. Les détails anatomiques d
es; ces eminences sont doubles dans l'homme et dans un grand nombre d' animaux carnassiers, mais dans les singes et la plupart d
posent essentiellement Vécorce de la couche optique. temps dans les animaux . Ces corpuscules sont de nature calcaire et exist
comme la racine principale du nerf optique. Ce qui est vrai dans les animaux , mais ne l'est pas au même degré dans le groupe d
bules accessoires très-simples dans l'homme, très-compliqués dans les animaux , et qui, désignés, par les anthropotomistes, sous
ris dans Y homme que d'après l'étude du cervelet des singes. Dans ces animaux , il est formé de deux lobules juxtaposés et appli
s Y homme et dans les singes, et nous ajouterons encore dans tous les animaux mammifères, car les dispositions typiques de cet
plus. Ces propositions sont justifiées par l'examen de la plupart des animaux mammifères. Dans les carnassiers, dans les rumina
sparaissent, et il en est de même dans les marsupiaux. Mais, chez ces animaux , la réduction générale de l'encéphale est telle,
s optiques. Leurs relations avec les nerfs de la vision dans tous les animaux justifient cette dénomination. Ces lobes ne par
nt grises. On les désigne sous le nom de couches corticales. Dans les animaux supérieurs, elles sont, en général, plissées et c
(t. 1er, p. 359) a discutée avec un rare talent en ce qui touche les animaux . Je l'ai moi-même traitée fort au long dans mon o
n est d'ailleurs propre à l'homme et aux singes; dans tous les autres animaux l'hémisphère laisse à découvert le cervelet en to
ente. Cette disposition a été fort remarquée, et il n'est pas un seul animal mammifère qui ne la présente. Nous la décrirons p
nt-clles jamais produit rien d'harmonique, elles n'ont point fait des animaux ; car les animaux sont des accords dans l'harmonie
roduit rien d'harmonique, elles n'ont point fait des animaux; car les animaux sont des accords dans l'harmonie de la création,
Cuvier, qui a l'un des premiers pesé comparativement l'encéphale des animaux , a donné un mauvais exemple à cet égard. Cet exem
sse et polie dans le principe, comme elle Test dans un grand nombre d' animaux . Plus tard, elle est chargée de plis nombreux et
ception. 11 manque également dans le chimpanzé. En revanche, chez ces animaux le deuxième pli est très-grand, mais il est caché
11 est plus avantageux de comparer le cerveau de l'homme à celui des animaux qui lui ressemblent le plus, je veux dire des sin
taire en philosophie, que la perfection n'est point une pour tous les animaux , mais qu'il y a pour chacun d'eux une perfection
on qui s'excluent les unes les autres. De même, moins parfait que les animaux au point de vue d'une progression horizontale, l'
nt de vue de leurs rapports infiniment variés avec le monde, tous les animaux , les ver-missaux eux-mêmes sont des créatures par
celte thèse; et, en effet, on pourrait considérer l'homme et tous les animaux comme des harmonies dont les tons diffèrent; or l
eau du plus intelligent des ûlres? Et pour ne comparer l'homme qu'aux animaux qui lui ressemblent le plus, quel cerveau, eu éga
e. Les analogies singulières qu'on observe à cet égard entre tous les animaux feraient présumer en effet qu'ils sont les plus n
si M, Leuret dans 1$ descrip tion qu'il a donnée de l'encéphale des animaux , les a-t-il choisis avec beaucoup de raison, comm
très-marquée dans l'homme, n'existe point dans les singes. Dans les animaux où le lobe olfactif est grêle, sa base est très-d
lutôt très-cloignée de la tubérosité du pli unciforme. Mais, dans les animaux où ce lobe acquiert un plus grand volume, cette b
ec la corne frontale du ventricule latéral, et dans un grand nombre d' animaux , cette communication persiste pendant toute la vi
obes postérieurs dans l'homme et dans les singes, est dans les autres animaux , ceux surtout qui ont de grands lobes olfactifs,
orrespondent des lobes olfactifs rudimentaires; ajoutons que tous les animaux à petits lobes olfactifs, ont de grands hémisphèr
n jour quelques éléments à la question si, dans ces recherches où les animaux sont considérés eu égard à la capacité de leur cr
enkern; le premier, qu'ils n'ont point décrit, acquiert dans quelques animaux un assez grand volume. II est situé comme une bor
t bien saillante dans l'ours, dans l'éléphant et dans quelques autres animaux . Cette saillie le plus souvent n'est pas apparent
t et n'en font réellement qu'un seul. Mais dans la plupart des autres animaux , le plan superficiel mesuré d'avant en arrière es
tion devient bien apparente quand on compare l'homme à la plupart des animaux . Dans l'homme le plan superficiel de la protubéra
mammifères dans les Cétacés et dans les Éléphants. Or, dans tous ces animaux les parties latérales du cervelet l'emportent sur
des cervelets latéraux s'anéantissent les premiers. Dans les autres animaux mammifères, quels que soient d'ailleurs la famill
ait évidemment sortir de mon sujet. En comparant avec attention les animaux de tous les groupes naturels dans la classe des m
t pour lui un amas de petites glandes où étaient sécrétés les esprits animaux . Idée ingénieuse pour l'époque où écrivait Malpig
e. Les observations de M. Bail-larger ont porté sur un grand nombre d' animaux mammifères. Elles sont d'une exactitude parfaite.
nt fermé par la membrane propre du ventricule, en sorte que, chez ces animaux , la face profonde des couches corticales et la pa
e chose d'éminemment artificiel. J'ai répété, sur un grand nombre d' animaux , les préparations de Reil et d'Arnold, et je les
ication symbolique sera nécessairement admirée, la duplicité du corps animal n'en détruit point l'unité; distincte en apparenc
, pour parler le langage de Malpighi, n'est pas la même dans tous les animaux ; mais sa disposition générale est invariable pour
es animaux; mais sa disposition générale est invariable pour tous les animaux d'un même genre naturel; donc, lors même que la q
thèque. N'y a-t-il pas dans cette invariabilité du type dans tous les animaux d'un même genre, un fait du plus haut intérêt pou
érébrale du nerf optique est très-difficile à découvrir dans tous les animaux mammifères monodelphes qui sont au-dessous des si
us des singes, et l'on peut aisément en voir la raison. Dans tous ces animaux , sauf les Phoques et les Cétacés, l'extrémité pos
ai été plus heureux et j'ai pu étudier le cerveau de quelques-uns des animaux de ce groupe. J'ai disséqué le cerveau de deux
heureuse, qui a ouvert à mes pensées de nouveaux horizons. Dans ces animaux , mais plus particulièrement dans YHal-matarus ben
es Marsupiaux n'a point, avec le cerveau, de connexion directe. Ces animaux cependant ont des yeux ; ils voient, et se déterm
acine directe est au maximum, l'indirecte au minimum. Dans les autres animaux il y a entre ces deux racines un rapport inverse
ns physiologiques, nous penserions que dans l'homme, et dans quelques animaux privilégiés, la sensation est un effet immédiat d
effet immédiat de l'impression extérieure, tandis que dans les autres animaux elle serait comme un écho plus ou moins affaibli
erveau de l'homme recevrait des stimulations immédiates, tandis que l' animal n'apercevrait que son corps agissant, sorte d'éta
e (1). Une différence plus remarquable encore est observée dans les animaux . Dans l'homme et dans les singes, il est fort dou
e, mais au système des fibres du corps strié inférieur; mais dans les animaux qui ont un grand lobe olfactif il n'en est point
missure entre leurs extrémités occipitales seulement; dans les autres animaux c'est surtout une commissure entre les deux lobes
intelligences ? Je dis intelligences, car en dépit des cartésiens les animaux ont la leur 5 mais elle n'est pas semblable à cel
ussi réduits. On ne peut s'en faire une idée positive que d'après les animaux chez lesquels ces lobes sont très-développés, tel
nants, les Pachydermes, les Rongeurs et les Marsupiaux. Chez tous ces animaux , en effet, les lobes olfactifs présentent les mêm
périeure et sur leur bord interne, où elles présentent, chez quelques animaux , de véritables plis. Mais partout ailleurs ces co
possible dans l'homme et dans les singes, elle ne l'est pas dans les animaux chez lesquels, à un petit cerveau laissant le cer
ne permettent d'établir entre cette portion de la commissure chez ces animaux , et celle de l'homme et des singes, aucune simili
ire et n'existe, à l'état osseux du moins, que dans un petit nombre d' animaux . Un autre correspond aux sacs olfactifs. Il est
'ente sphenoidale dont il n'est point distinct dans un grand nombre d' animaux et en particulier dans les ruminants. (2) Celle
it aucune réalité. Nos recherches semblent établir au contraire que l' animal est d'autant plus élevé, que ce rapport entre les
riques qui s'y rattachent. Je parle ici de l'homme, car dans certains animaux très-inférieurs il faudrait peut-être admettre un
quadrupèdes, dans les oiseaux, parce que le volume des nerfs dans ces animaux est plus grand que dans les poissons et dans les
(1). Quoi qu'il en soit, la multiplication une fois admise dans les animaux qui ont un grand cerveau, comment s'accom-plira-t
e, si le cerveau ne pro- (1) Hial. nat., lom. VII, Discours sur les animaux carnassiers, page 17. duit point la moelle, la
grèle et par conséquent fort différente de l'énorme commissure de ces animaux ; disons ceci en passant, en nous réservant d'y r
t le « même mode de formation dans les hémisphères du cerveau « des animaux ; seulement ils s'arrêtent pendant toute la vie «
ls nous allons entrer à ce sujet. Rappelons, en premier lieu, qu'un animal quelconque peut et doit être envisagé sous deux p
et doit être envisagé sous deux points de vue différents. En tant qu' animal vertébré, par exemple, il peut être considéré sou
reptile, un mammifère, un homme ; ce qu'il y a de commun en tous ces animaux se tonnant ets'achevant par des voies pareilles s
action comme un individu; et sous le régime de ces deux lois tous les animaux vertébrés se ressemblent et diffèrent à la lois,
es analogies n'impliquent aucune identité actuelle ou virtuelle, un animal réel et défini, différant dès le début de la vie
encéphale de l'homme à l'état d'embryon, de celles que présentent les animaux inférieurs arrivés à leur terme définitif; elle c
t subsister l'unité du type, feront apparaître, entre l'homme et. les animaux , des différences perpétuelles. A. A partir de l
ques, les tubercules quadrijumeaux comparés dans le fœtus et dans les animaux mammifères offrent les moindres différences. Chez
ode de développement doit être le même dans le fœtus et dans la série animale . A cet égard, leur étude présente un faible intér
rveau d'un rongeur, d'un ruminant, d'un carnassier adulte. Chez ces animaux , le corps calleux et la voûte sont bien développé
de ce cerveau sont immenses et dilatés en ampoules; ils ont, dans les animaux dont nous parlons, les dimensions réduites de l'â
es. En un mot, l'homme, en tant que mammifère, présente avec tous les animaux mammifères des analogies perpétuelles; mais en ta
e adulte et n'ont plus cette apparence vésiculeuse qui, chez tous les animaux , est propre à l'état fœtal. Il en est de même, sa
Jamais les lobes olfactifs du fœtus humain ne ressemblent à ceux des animaux mammifères qui sont au-dessous des singes; à aucu
éphale du fœtus à ses différents âges, et de l'autre, l'encéphale des animaux mammifères parvenus à l'âge adulte. Prenons, pa
ultes, ses formes ne diffèrent pas moins de celles que présentent ces animaux en voie de développement. Prenons pour type du
certains égards lamarchedu développement du cerveau diffère dans les animaux carnassiers (chiens, chats, etc.). Au moment où,
bryon, est disposé, dès le commencement, en vue de l'état futur. Tout animal a, dès ses premiers linéaments, des caractères qu
ci ces réflexions que je résumerai ainsi. En tant que semblables, les animaux se développent en général d'une manière semblable
ses plus beaux titres de gloire. § S. S'il y a entre la taille de l' animal et la complication de ses plis cérébraux un rappo
plis du cerveau suit uniquement le développement de la taille dans un animal . A. Cette proposition spécieuse est fondée sur
éthode. Paris, 1855, et Journal des Suvants, 1840, page 717. grands animaux , on pourrait dire avec raison, qu'en général les
rands animaux, on pourrait dire avec raison, qu'en général les grands animaux ont un cerveau plus plissé que les petits. Il est
coup moins étendues que celles du Bœuf. En sorte que, bien que dans l' animal le plus grand il y ait plus de plis, eu égard au
Je vais essayer de rendre ma pensée plus claire. Supposons que deux animaux adultes étant donnés, l'un d'eux soit précisément
: : 1 : 4. Mais il est très-certainement établi que dans les grands animaux la masse du cerveau ne croît pas en raison de la
s en raison de la taille. Ainsi, la longueur du cerveau du plus petit animal étant 1, celle du cerveau du grand pourra être to
aient à celles du grand : : 1 : 2 1/4. Si bien qu'en réalité le petit animal aurait, eu égard à sa taille, deux fois plus (ou
icales que le plus grand. Ainsi, pour que la proposition que le grand animal a plus de circonvolutions que le plus petit fût r
nt que ce que l'on dit des grands cerveaux puisse être dit des grands animaux , au point de poser en principe que le développeme
s loin et dire que, si dans un même grand genre il y a de très-grands animaux et de fort petits, ceux-ci auront, quelle que soi
e surpasse celle d'un fort cheval, et d'autre part, ce gracieux petit animal , Y Antilope pygmœa, dont la hauteur égale à peine
quences rendent palpable. Si, dans un groupe naturel, les plus petits animaux n'ont pas de circonvolutions, on peut affirmer, p
que les plus grands en auront fort peu, et que ce groupe n'aura pas d' animaux remarquables par une grande taille. Ainsi l'absen
une grande taille. Ainsi l'absence de circonvolutions dans les petits animaux d'un groupe indique clans ce groupe peu de tendan
igues, les Péramêles n'ont point de circonvolutions, et le plus grand animal de ce groupe, le Thylacine, Thylacinus harrisii (
d'un jeune loup; or la division des Kanguroos contient avec de petits animaux , les Hypsy-primnus, qui ont déjà quelques circonv
elques circonvolutions, les plus grands des marsupiaux. Le plus grand animal parmi les rongeurs onguiculés, est le Porc-épic o
ngeurs onguiculés, est le Porc-épic ou le Castor ; or les plus petits animaux de ce groupe ont le cerveau complètement lisse, m
geurs ongulés ont quelques circonvolutions, et ce groupe comprend des animaux un peu plus grands que le premier, tels que l'est
râne, ont des circonvolutions assez compliquées. Eh bien, l'étude des animaux perdus a fait connaître des Bradypes gigantesques
adémie de médecine, Paris, 1855, 1. XX, p. 1155. compliqués que les animaux herbivores terrestres. Ceux-ci à cet égard dépass
r les insectivores. Or les premiers comprennent les colosses du règne animal . Les herbivores viennent ensuite, puis les carniv
es et les insectivores en dernier lieu. Ainsi, de ce qu'un très-petit animal a des circonvolutions, on peut conclure, sans auc
un autre indice avec une sorte de certitude, que le groupe auquel cet animal appartient peut contenir des animaux gigantesques
rtitude, que le groupe auquel cet animal appartient peut contenir des animaux gigantesques, que ces animaux d'ailleurs soient v
cet animal appartient peut contenir des animaux gigantesques, que ces animaux d'ailleurs soient vivants ou fossiles, l'époque n
ment faux de dire, soit qu'on étudie la série des formes de l'échelle animale , soit qu'on envisage les développements de l'embr
lle animale, soit qu'on envisage les développements de l'embryon d'un animal quelconque, que la complication des circonvolutio
es de géants (1). Vhomme, à cet égard, est une anomalie dans le règne animal . Dans les singes qui, au point de vue des choses
le cerveau d'un Gorille, supposerait, s'il s'agissait d'un singe, un animal de quinze pieds de haut. Or les plis du cerveau h
dans l'ordre des manifestations du système nerveux. Non-seulement les animaux qui ont beaucoup de circonvolutions croissent dav
petitesse relative de leur cerveau, et vivent plus longtemps que les animaux à cerveau lisse. Les Baleines, les Eléphants ont
à l'histoire de l'homme d'une part, et de l'autre à celle des espèces animales . Je me suis attaché surtout à démontrer que l'étu
'occipital et le bord supérieur des deux rochers, et souvent chez les animaux il est soutenu par des prolongements osseux du pa
la base de la faux du cervelet, (1) 11 est remarquable que dans les animaux la grandeur de la faux est toujours en raison dir
ollusques gastéropodes, dans les brachiopodes et dans quelques autres animaux inférieurs. Cette ressemblance entre les sinus
les décrivent avant de pénétrer dans le crâne. Dans un grand nombre d' animaux elles se décomposent en un faisceau d'artérioles
plusieurs volumes importants; car l'étude comparée du crâne dans les animaux en général, mais surtout dans les races humaines,
tant moins apparente que le cerveau s'est plus accru au dehors. Les animaux mammifères donnent de ce fait une démonstration é
ésentent l'arc supérieur. Ces choses sont surtout apparentes dans les animaux carnassiers, et en particulier dans ceux qui comp
des mâchoires est très-marquée, la vie nutritive l'emporte sur la vie animale ou nerveuse. D'ailleurs, le vomer et Y intermaxil
rage intitulé ; De l'organe pkrénolo-gique de la destruction dans les animaux . Paris, 1838. l'enfant eût pu aller (1). D'aill
s, hommes de carnage et de proie, prétendaient à l'allure de certains animaux dévorants. Ils s'aplatissaient le front. Leur têt
finiment plus de mémoire que l'homme ; mais, d'autre part, les autres animaux et même l'Éléphant qui sont dépourvus de cavités
la série, les lobes frontaux se réduisent plus que les pariétaux, les animaux inférieurs devraient avoir plus de raison que d'i
nces mystérieuses des intelligences? Parmi les bêtes elles-mêmes, des animaux d'une même espèce et presque en tout semblables,
rieures sont exclusivement motrices; en effet, quand on les irrite, l' animal donne quelques signes de douleur qui disparaissen
euses. Un jeu cruel a depuis longtemps résolu cette question pour les animaux inférieurs et même pour quelques vertébrés. Qui n
x étant détruits, les rapports du corps avec l'âme sont anéantis et l' animal n'est plus qu'un automate, capable d'excitation,
tions d'un centre restaient étrangères aux irritations de l'autre ; l' animal n'en percevait aucune. » Loc. cit., p. 13. Cf. De
tout autant et vaudrait peut-être mieux (3). Si l'on divise sur un animal vivant la moelle épinière en deux segments, la se
n est directe. Ainsi divise-t-on la moelle dans un plan médian sur un animal décapité, l'excitation des parties cutanées du cô
le est donc à certains égards semblable à la chaîne ganglionnaire des animaux articulés. Chez ces derniers, le petit ganglion q
si parfait dans certains cas que d'une seule zoonite peut renaître un animal entier. M. Moquin Tandon, auquel la science doi
a chaîne ganglionnaire en plusieurs points, on pouvait créer dans ces animaux plusieurs centres d'activité nerveuse indépendant
pothèse de l'âme immatérielle des bêtes (2). Dans l'état normal des animaux , la moelle est subordonnée au cerveau. Aussi les
e M. Yersin. Recherches sur les fonctions du système nerveux dans les animaux articulés (Bulletin de la Société vaudoise des sc
t sur ce fait en vingt lieux différents (1). Si on laissait reposer l' animal , après quelques heures, ta plus légère excitation
e excitation des parties postérieures suffisait pour faire donner à l' animal des signeâ de douleur du côté où la moelle avait
nisme entre ces deux sphères de la vie nerveuse. Lorsque, en effet, l' animal a été décapité à une certaine hauteur, le sentime
nce, c'est qu'on peut la déchirer, l'irriter, la détruire, sans que l' animal manifeste aucune douleur. Cet argument, il faut l
de quelques jours, mais ajoute Schilf, elle demeure obscure dans les animaux mammifères (2). Examinant enfin les propriétés
. 37, 40, 42, 44. Quand on laissait pendant quelques heures reposer l' animal , la plus légère irritation suffisait pour éveille
oncluantes, en apparence au moins quand elles sont pratiquées sur des animaux mammifères, ne donnent pas des résultats absolume
deuxième vertèbre et l'autre moitié dans la région de la cinquième, l' animal perd tout mouvement dans les pattes postérieures,
second. D'ailleurs, pour transmettre le sentiment, il suffit chez ces animaux d'un quart postérieur de la moelle (2). Dans ce
sensibilité. Il est évident que « dans les expériences faites sur les animaux , nous ne pouvons « guère constater que la modific
. «J'enlevai, dit M. Flourens, le lobe cérébral droit à un pigeon : l' animal perdit aussitôt la vue de l'œil opposé. Du reste
seconde proposition est démontrée de la manière la plus heureuse. Un animal décapité au-dessous du bulbe ne respire plus; mai
ide exclusivement dans la moelle allongée. On peut soustraire dans un animal le cerveau, les corps striés, les couches optique
postérieure du bulbe ; si un seul cordon restiforme a été tranché, l' animal , dit M. Longet, roule en cercle du côté de la lés
ns, c'est-à-dire l'une des extrémités latérales de la protubérance; l' animal se mit à tourner, suivant son axe, sur le côté lé
ndie répéta cette expérience sur les deux côtés du corps de plusieurs animaux , et il en conclut que les deux pédoncules cérébel
fèrent d'avec Magendie sur un seul point. Suivant ce physiologiste, l' animal tourne sur le côté lésé, suivant MM. Lafargue et
ffet équivaloir à l'ablation de l'une des deux moitiés du cervelet. L' animal ne perdrait rien de sa faculté générale d'agir, m
par les muscles coordonnés; tout conspirerait alors pour imprimer à l' animal un mouvement de rotation sur son axe, et ce mouve
on sur l'un des côtés du corps. Il coupa alors le pédoncule gauche. L' animal , au lieu de rester stationnaire, recommença à tou
e d'autres lésions déterminent. On sait qu'on peut amener aisément un animal sain d'ailleurs à se mouvoir ainsi. Il suffit d'a
à sa queue par un lien qui l'oblige à tenir son corps infléchi ; si l' animal est alors sollicité à marcher, il tourne en manèg
lquefois. Mais il n'est pas toujours facile de distinguer si, quand l' animal tourne, il agit spontanément en vertu d'une tenda
nstamment d'une lésion incomplète de l'un des pédoncules cérébraux. L' animal tourne alors sur le côté opposé à celui de la lés
sé à celui de la lésion. La section du pédoncule est-elle complète, l' animal tombe sur le côté et ne tourne plus, bien que les
que n'ont pas un trajet absolument semblable dans l'homme et dans les animaux ; chez ces derniers, elles se rendent, pour la pl
ez les mammifères. Mais si l'une des couches optiques est détruite, l' animal tombe sur le côté opposé, ce qui prouve qu'elles
comp. du cerveau. T. II, p. 718.) étaient-elles intéressées, que l' animal s'élançait, entraîné par une puissance irrésistib
n conclut que les corps striés sont le siège d'une force qui pousse l' animal à reculer. Après leur soustraction, une force con
ent; on a bien démontré combien peu cette proposition est exacte. Les animaux privés de cervelet éprouvent un grand trouble dan
ando n'est pas vraie. M. Magendie ayant vu dans ses expériences les animaux qu'il avait privés de leur cervelet reculer sans
leur cervelet reculer sans cesse, en conclut que cet organe pousse l' animal à se mouvoir en avant. 11 est donc l'antagoniste
ements que les corps striés déterminent. Ainsi par les corps striés l' animal recule; par le cervelet il avance. D'un autre côt
les pyramides antérieures (1). De ces faits, Magendie conclut que l' animal est soumis à six forces, qui dans l'état de santé
est point le principe du mouvement, mais il en est le régulateur; des animaux auxquels on a enlevé le cerveau en ménageant le c
uccessivement. Quelle fut sa surprise ! coupait-il l'un ou l'autre, l' animal roulait sur lui-même en un sens déterminé pour ch
nsi ces singuliers résultats. « Quand on coupe le canal horizontal, l' animal tourne sur lui-« même; quand on coupe le canal ve
tourne sur lui-« même; quand on coupe le canal vertical antérieur, l' animal « fait une suite de culbutes en avant; et quand o
ulbutes en avant; et quand on coupe le i canal vertical postérieur, l' animal fait une suite de culbutes « en arrière. » ....
ère vers la moelle épinière. Or, si l'on coupe le pont de varole, l' animal tourne sur lui-même suivant son axe. Ainsi le fai
u, et l'enfant nouveau-né ne marche pas encore. 11 en est de même des animaux carnassiers au moment de la naissance. Jl est bea
rs au moment de la naissance. Jl est beaucoup plus développé chez les animaux herbivores, qui marchent et courent en naissant;
nt décidé la question. Le cervelet ne se développe pas moins chez les animaux châtrés que chez ceux qui n'ont point subi cette
gie que cette proposition. L'ablation des deux hémisphères, chez un animal , ne trouble en rien la perfection de l'animal en
ux hémisphères, chez un animal, ne trouble en rien la perfection de l' animal en tant qu'automate; mais toutes les sensations,
ons, toutes les perceptions, toutes les idées sont alors anéanties. L' animal n'a plus alors ni volonté, ni désirs, ni jugement
ion d'un hémis- (1) Explication nouvelle et mécanique des fonctions animales . 1678, p. 27. phère, dans lesquels l'intelligen
és inférieurs, perdent une grande partie de cette importance dans les animaux les plus élevés de cette série, car leur développ
e le principe des mouvements de l'iris; et tant qu'ils persistent, un animal privé de son cerveau demeure impressionnable par
près l'ablation des hémisphères cérébraux. Nous ne disons point que l' animal réduit à la condition d'automate n'éprouve rien,
t-elle la cécité? Cela peut avoir lieu de deux manières : 1» chez les animaux quadrupèdes, en supprimant toutes les racines des
s résultats qu'amène l'ablation des tubercules quadrijumeaux chez les animaux dont les nerfs optiques se rendent en totalité à
attaque leurs couches profondes, il se produit des convulsions, et l' animal tourne du côté du tubercule enlevé. Ce fait, cons
la fonction olfactive de ces lobes (3). Il se fondait sur ce que des animaux (t) Recherches expérimentales. Première édition
ues parla muqueuse nasale ne sont pas nécessairement des odeurs? Si l' animal privé de ses lobes olfactifs sentait encore les e
jours en raison directe de l'énergie des facultés olfactives dans les animaux , et les raisons qu'il oppose à l'opinion de M. Ma
stion : l'esprit humain, dit-il, le Ndoç est seul immortel; l'âme des animaux et l'âme inférieure de l'homme Yv%y, sont matérie
it-il, est divisible ainsi que le principe de la vie, « même chez les animaux supérieurs et les plus haut placés, « sans except
une émanation continue. Les rayons de celte lumière sont les esprits animaux , qu'à la manière d'Empédocle, Willis considère co
aux choses visibles et l'air aux choses audibles, de même les esprits animaux reçoivent des impressions de ces choses, indépend
ncien adage des écoles, non tam agunt, quam aguntur. Mais quant à ces animaux plus parfaits, dont les actions sont corrélatives
corps calleux suivant Willis? un miroir? Soit, mais un grand nombre d' animaux fort élevés manquent de corps calleux. D'ailleurs
t d'Empédocle. En vain Willis affirme-t-il que toute science chez les animaux est automatique ; en vain fait-il de l'homme un ê
s éléments des choses. 11 y a, dit Leibnitz, un monde de créatures, d' animaux , de vivants, dans la moindre partie de la matière
les membres de ce corps vivant sont pleins d'autres vivants, plantes, animaux , dont chacun a son entéléchie ou son âme dominant
on entéléchie particulière. L'âme n'est dont point divisée dans les animaux inférieurs qu'on coupe en tronçons. Ce n'est là,
o « toutes les idées des diflérenles espèces de son, et l'idée d'un « animal est le genre des idées de toutes les espèces d'an
ani-« maux. Les idées générales de figure, mouvement, couleur, « son, animal , sont des puissances génériques de l'esprit, et «
elon les vers orphiques, vient de tout l'univers. Elle entre dans les animaux quand ils respirent, apportée par les vents. Cett
il en a fait un système nouveau. Suivant lui, l'âme de l'homme et des animaux , c'est l'idée que Dieu a de leurs corps, idée d'o
pensante, et ainsi l'âme cesse d'être avec le corps. A cet égard, les animaux sont du même rang que l'homme; et peut-être qu'en
in pour juger du plus ou moins de perfection des types dans l'échelle animale . Un corps entièrement mou, ne pouvant servir de m
n corps mobile mais formé de parties dures à sa surface convient à un animal dont les mouvements sont précis et rapides, mais
rédominer le sentiment du plaisir, etreçoiventle nom de caresses. Les animaux les recherchent singulièrement, mais surtout les
aresses. Les animaux les recherchent singulièrement, mais surtout les animaux carnassiers; il est impossible de méconnaître che
re le sentiment des caresses et celui de la volupté; les femelles des animaux les plus féroces, les lionnes, les panthères, les
s impressions douloureuses, se produisent par la moelle seule chez un animal décapité, alors que l'ablation du cerveau a fait
éveillent. De là ces expressions vulgaires : cette rose sent bon, cet animal sent mauvais, ce sucre est doux, ce fiel est amer
asser à bon droit pour les sens privilégiés de l'instinct; par eux, l' animal ignorant sait choisir ce qui convient ou non à sa
llents, et l'on sait assez de quels secours ils sont à l'homme et aux animaux . L'odorat, eu égard aux choses éloignées, l'empor
angoisses de la douleur ou aux douces langueurs de la volupté, et les animaux eux-mêmes ne seront pas soustraits à son empire.
ns admirable dans l'homme, mais par le parti qu'en tire l'esprit. Les animaux entendent aussi bien, sinon mieux que l'homme, ma
semble donner gain de cause à la théorie de Buffon, l'observation des animaux ne lui est pas favorable. Qui n'a vu de petits ch
eux vers un objet, n'est-ce pas le chercher hors de soi? » Trailé des animaux . Première partie, ch, vi. sont inhérentes à la
es sont fort différentes des autres. Dans celles-là on ne tue que des animaux ; dans celles-ci, on se tue soi-même et l'on y dev
le nom de passions. Les passions jouent un grand rôle dans la vie des animaux et de l'homme ; mais bien qu'ayant pour cause des
! Par quel artifice la pensée de tout homme, les consecutions de tout animal , sont-elles comme une sorte de résurrection perpé
passé, l'esprit humain, veux-je dire ; car est-il bien prouvé que les animaux aient une mémoire identique à celle de l'homme? L
une double action, une double science. 11 est hors de doute que les animaux imaginent. Les chimpanzés qui ont vécu au jardin
une sensation actuelle ne trahissait la présence. L'observation des animaux domestiques, et plus particulièrement du chien, n
mples si vulgaires qu'il serait superflu d'y insister. Mais, dans les animaux éveillés, l'imagination ne crée, pour ainsi dire,
e ici la remarque, parce qu'il n'est pas impossible que chez quelques animaux les choses ne se passent d'une manière un peu dif
eille, existe en un certain degré chez les chiens, et chez les autres animaux à lobe olfactif très-grand. Mais on s'aperçoit ai
finition du sommeil. Le sommeil est la condition première de la vie animale . Le fœtus dort dans le sein de sa mère. Naître c'
été, l'épuisement le ramènent par une tendance invincible. Ainsi tout animal veille et dort tour à tour, et sa vie s'achève da
sommeil, disait Avicenne (1), est un mouvement de retrait de l'esprit animal qui abandonne les organes du sentiment et du mouv
e peut revenir d'une manière (1) Deleuze. Hist. cril. du magnétisme animal . T. I, p. 176. Paris, 1813. Il ne faudrait pas pr
dan, !. V, p. 219. Paris 1839. fance, ce sont surtout des figures d' animaux , tels que des bœufs ou des chevaux. Dans l'âge mû
On a raconté la même chose du poëte Lessing. Suivant Aristote (Hist, animal . lib. X, cap. x), si quelques-uns de ceux qui n'y
er a donc été donnée par Dieu, comme condition du sommeil, à tous les animaux en commun, mais principalement à l'homme, parce q
u cerveau, j'en préparais un fort grand nombre, soit d'hommes, soit d' animaux . Je les dépouillais avec soin de leurs membranes,
des spécimens de toutes choses, des têtes, des queues, des membres d' animaux divers. Si nous agitions ce casier il s'y produir
ien d'harmonique et de conforme à l'idée générale que nous avons d'un animal , seraient inintelligibles, et par conséquent ne s
t en ceci, que les parties, constituant le composé, seraient tirées d' animaux différents, comme cela a lieu dans un Sphinx ou
ception confuse de son mal assiège, un instinct semblable à celui des animaux malades. Cet instinct était très-habilement explo
s spéciaux, établi selon l'ordre de la nature et des harmonies de l' animal avec le monde, n'a en soi rien d'essentiel et d'a
de St-Cloud. Quelques personnes passaient en ce moment sur le pont; l' animal se changea à leurs yeux en un cadavre d'homme; l'
praxi, cap. XXX vil, p. 66. dans la plante des pieds. Le magnétisme animal a rendu de nos jours ces choses vulgaires. Les
nsibilité absolue qui lui était propre. Les pratiques du magnétisme animal sont certainement capables de produire l'extase.
changés en loups, mais il l'est malheureusement qu'ils ont dévoré des animaux et même des enfants. Folie terrible qui depuis Ly
ose pesante : pour l'un, ce sera une montagne; pour un autre, quelque animal accroupi; tel» autre verra venir à lui quelque fa
s d'attention qui se produisent automatiquement dans les oreilles des animaux à propos d'une application attentive des yeux, en
vement est-il l'effet d'un courant d'électricité émané d'une source animale ? Rien ne le fait supposer à priori, et toutes les
dans un détail infini : elle régit à la fois les appareils de la vie animale et ceux de la vie organique, et par des correspon
ion du Mali) Hist. nat. suppl., t. IV, p. 578, édit. in-4. gnétisme animal , dont l'affinité avec la magie antique est aujour
orciers. — On s'y prenait parfois d'une autre sorte : On baptisait un animal du nom de son ennemi ; puis, tous les tourments q
om de son ennemi ; puis, tous les tourments qu'on faisait subir à cet animal étaient ressentis par le maléficié. Boissier, L
soit, nous arrivons, de proche en proche, aux procédés du magnétisme animal , et ce n'est pas sans quelque tremblement que je
lement que je vais toucher à cette question brûlante. Le magnétisme animal a évidemment ses principales racines dans les doc
ons du mouvement. Il est susceptible de flux et de « reflux. Le corps animal éprouve les effets de cet agent, et « c'est en s'
. Aph. 5, 6,13. (2) Thouret. Recherches et doutes sur le magnétisme animal . Paris, 1784. « le corps humain des propriétés
es également divers et opposés. L'ac-« tion et la vertu du magnétisme animal peuvent être cornet muniquées d'un corps à d'autr
s effets de ce fluide « dans les autres corps.....» « Le magnétisme animal peut guérir immédiatement les « maux de nerfs, et
quelque (1) Burdin el F. Dubois, Histoire académique du Magnétisme animal . Paris, 1841, p. 30. partie intérieure du corps
pport des commissaires chargés par le roi de l'examen du magné' iisme animal . Paris, 1784. — Burdin et F. Dubois, Hist, du Mag
de l'un des commissaires chargés par le roi de l'examen du magnétisme animal . Paris; Hérissant, 1784. - Burdin et F. Dubois, H
. Ainsi le fluide électrique est pour tous (1) Pétetin. Électricité animale . Paris et Lyon 1808, p. 8. Une curieuse observati
du magnétiseur domine absolument celle du (1) Pétetin. Electricité animale , p. 32. (2) Macario, Ouvr. cit., p. 205. (3)
stenet de Puységur. Mémoires pour servir à l'histoire du magné" tisme animal . sujet somnambule; l'esprit de l'un peut dicter
p. 164. — Cf. Burdin et F. Dubois, Histoire académique du magnétisme animal . Paris, 1841, p. 600. dans des livres fermés. C
'accord. Mais on n'a point eu l'idée de (1) Mesmer et le magnétisme animal . Paris, 1853. (2) Consulter la lettre si élégam
rait trop recommander aux personnes qui ont la curiosité d'élever des animaux féroces, de ne leur donner jamais qu'une nourritu
. Il faut donc, autant que possible, en faire perdre l'habitude à des animaux naturellement colères, qu'on veut apprivoiser.
faire de la toile. Ainsi, entre ces machines brutes et les machines animales , il n'y a qu'une différence. L'une agit et ignore
un principe fatalement entraîné, mais il se sent entraîné. Dès qu'un animal veut agir, sa volonté incline vers ses organes. N
ctif, conditionnel, variable. (Flourens, Instinct et intelligence des animaux , p. 47.) nous avons exposés dans le chapitre pr
t sans instincts. Réciproquement, bien que l'instinct domine chez les animaux , il y aurait de l'injustice à croire qu'ils sont
apprécier ces différences il faut appliquer ses sens, si pour cela l' animal doit voir et choisir, il faut supposer en lui une
dire la faculté d'abstraction. Ainsi nous refuserons la raison aux animaux , mais nous ne leur refuserons ni le jugement ni l
l'organisation. Ces choses semblent d'une évidence irrécusable. Les animaux dont l'encéphale est peu développé sont surtout g
ent surtout de l'action habituelle de certaines circonstances sur des animaux très-jeunes ; une preuve de cela, c'est que, l'ha
-jeunes ; une preuve de cela, c'est que, l'habitude une fois prise, l' animal une fois dressé, il n'est plus apte à en contract
est moins intelligent et plus voisin de l'animalité; mais il a sur l' animal un avantage incalculable, par la faculté qu'il po
le concours fatal des choses extérieures. Ainsi, par ses instincts, l' animal subit surtout l'influence du monde, mais l'homme
e individuels, tandis que le propre des actions et des industries des animaux d'une même espèce au milieu des mêmes circonstanc
e, sous le rapport des instincts, chaque individu humain, comparé aux animaux , est une espèce à lui tout seul. C'est ici le l
erfs du corps, exprime la suprématie de l'intelligence, mais chez les animaux l'inverse a lieu. La mauvaise définition que Spin
qu'avec elle. Maintenant, ce que nous savons de l'organisation des animaux éclaire-t-il dans ses détails presque infinis l'h
ce qui domine en elles, c'est l'automatisme. Mais s'ensuit-il que les animaux soient de purs automates n'ayant qu'une vaine app
tinct. Toute la différence est là. Mais comment distinguer dans les animaux ces deux parts de la vie de l'âme? Il y a une règ
ion, n'est pas propre à tel ou tel individu. Il est commun à tous les animaux d'une même race ; l'intelligence, au contraire, b
e personnelle et naturellement intransmissible dans l'état actuel des animaux . M. Chevreul a recueilli sur ce point des observa
s à la faculté du langage, que les anciens philosophes appelaient les animaux les muets. En effet, la pensée humaine est un lan
rde qu'il ait été, ne l'a contesté. Mais il n'est pas évident que les animaux ne parlent pas; et bien des gens affirment que ch
i loin à cet égard, qu'à leurs yeux l'homme ne diffère absolument des animaux que par la religion et la connaissance de Dieu. R
un langage, certains auteurs leur ont refusé jusqu'au sentiment. Les animaux ont beau témoigner qu'ils sentent, on n'a pas vou
amment ces glorieuses destinées. Il parait difficile denier que les animaux soient sensibles; dès lors, ils ont une âme, et t
es sophistes, parce que je m'étais « laissé persuader que de tous les animaux , l'homme était le « seul qui fût doué de raison e
holastiques, et entre autres Scot, le docteur subtil, accordèrent aux animaux une âme immatérielle (5). L'observation, en effet
a des rapports généraux avec l'univers, mais il y a entre lui et les animaux une société plus intime ; de là, un échange perpé
r ces créatures sensibles de Dieu, et fait des lois pour protéger les animaux . (1) Suivant Buffon, les animaux ont la conscie
et fait des lois pour protéger les animaux. (1) Suivant Buffon, les animaux ont la conscience de leur existence actuelle, mai
n'ont pas celle de leur existence passée. — (Disc, sur la nature des animaux ), t. IV, p. 41, édit., in-4. — L'âme, dit Charles
1) Lettres philosophiques sur l'intelligence el la perfectibilité des animaux , 2" édition. Paris, 1802, in-8. (2) Observation
802, in-8. (2) Observations physiques el morales sur l'instinct des animaux . Amst., 1770, 2 vol. in-12. Cette séparation de
laircit et l'on commence à distinguer la limite qui s'élève entre les animaux et l'homme. Dans les premiers, les actes les plus
néanti dans l'immensité de son intelligence. L'instinct est, pour les animaux , une chaîne plus ou moins longue, qui limite la s
ns laquelle (I) P. Flourens. De l'instinct et de l'intelligence des animaux . « on le tenait, était obligé, vu sa petite tai
ce moment (1856), un magnifique chimpanzé (Trogl. niger). J'ai vu cet animal se servir très-adroitement d'une baguette pour ch
Alix qui était présent, fut aussi étonné que moi. 4. Les exemples d' animaux qui apprennent d'eux-mêmes à ouvrir certaines por
et écrivain, m'a « raconté une anecdote qui prouve la sagacité de ces animaux , et dont il a « été lui-même témoin. Quelques-uns
p. 144. Il est bien difficile d'accepter ces faits et de refuser aux animaux une certaine intelligence. matisme auraient cer
et n'apprirent rien. Une remarque singulière, c'est que, ce que les animaux n'apprennent point de leurs pareils, ils le reçoi
n faire une idée bien claire. Chose remarquable! cette science, que l' animal ne communique point socialement, peut se transmet
ailleurs que ces éclairs de science qui étincellent çà et là chez les animaux n'embrassent pas tous les faits analogues, mais d
ce des bêtes a un caractère local, et, dans d'autres circonstances, l' animal devient impuissant et la perd. N'est-ce pas quelq
ne domine qu'un seul fait? Rien ne prouve mieux qu'il n'y a chez les animaux aucune idée générale des choses, mais seulement d
nt nécessairement un sentiment, il en résulte, suivant la nature de l' animal , une stimulation spéciale, ou, si l'on aime mieux
nommer langage d'expression. Ce langage étant commun à l'homme et aux animaux , il n'est peut-être pas inutile d'y insister ici,
ce cas, il se produit chez l'homme une moue très-marquée, et tous les animaux ferment instinctivement la bouche. Un son désagré
quelquefois des mouvements contraires s'associent. C'est ainsi qu'un animal qui a le soleil dans les yeux, regarde autrement
re. Pour se faire une idée claire des mouvements analogues dans les animaux , il suffira d'examiner les chiens qui saisissent
ge peut atteindre. Ce n'est pas tout. L'homme sait imaginer, et les animaux le peuvent aussi, puisqu'il est indubitable qu'il
ets, c'est-à-dire des images de choses distinctes et différentes de l' animal , ils sont nécessairement conçus comme choses exté
ts du poumon est un phénomène mixte qui participe à la fois de la vie animale et de celle des viscères. Toutes ses expression
ort. Si alors l'excès de la douleur a fait couler les larmes chez les animaux qui pleurent, l'obstruction des fosses nasales do
lus l'effort est grand, plus le cri est aigu. Tels sont les cris d'un animal qui lutte avec rage ou s'élance. Se concentre-t-i
aigu correspond à l'extension du corps, le grave à sa contraction. Un animal se ramasse-t-il sur lui-même? recule-t-il? sa voi
fications infinies, traduire toutes les nuances des sentiments dont l' animal est agité. Un chien qui attend qu'on lui ouvre un
x s'élève d'autant plus que l'impatience est plus vive ; mais ce même animal recule-t-il devant quelque étranger dont il soupç
un son véritable. Il gronde, sorte d'expression vocale qui, chez les animaux malades que le moindre contact effraye, précède p
me, ce roi de la nature vivante, exprime ainsi ses passions comme les animaux . Lactance dit fort bien, en parlant des bêtes : «
rope perpétuel. Le langage d'expression est riche, surtout chez les animaux qui vivent en société. 11 rend plus intime les li
es. Enfin, il est des cas, et nous en avons cité quelques-uns, où les animaux donnent des preuves non équivoques de jugement et
atique et spontané des cris et des gestes qui lui est commun avec les animaux , qu'il se développe, dans le sens prosbolique ou
cri se développent dans l'homme, suivant les mêmes lois que dans les animaux , mais ils se développent surtout dans le sens mét
s le savoir. A vrai dire, ce n'est là qu'une extension du langage des animaux . 2. L'homme exprime souvent ses idées en en dés
. 2. L'homme exprime souvent ses idées en en désignant l'objet. Les animaux ne sont pas absolument privés de cette faculté ;
implique déjà plus d'intelligence, il paraît fort en usage parmi les animaux qui vivent en société, et il semble leur suffire.
'homme seul possède les deux formes supérieures. 3. Il y a chez les animaux des vestiges évidents de la faculté d'imitation.
l'intelligence. Il n'en est pas de même quand l'acte simple dont l' animal est témoin, réalise un but instinctif ardemment d
de l'attention exaltée par les sollicitations de l'instinct. Mais les animaux ne paraissent pas s'instruire entre eux, quant à
sse aller cette faculté d'imitation, nullç part elle ne sert chez les animaux au développement du langage; l'homme seul a ce pr
s en indiquer l'objet, mais il sait de plus l'imiter et le peindre. L' animal , quel qu'il soit, ne peut, en aucun cas, désigner
phyre que l'homme ne diffère d'avec les bêtes que du plus au moins. L' animal a sans doute des idées, on n'en saurait douter pu
il le peindra parson geste, par certaines modifications de sa voix. L' animal n'a jamais que l'idée de ses sentiments actuels;
bruits par lesquelles elle s'annonce, une corrélation naturelle. Les animaux eux-mêmes écoutent les sons et les comprennent. O
tement un chien ou un mouton par des jappements ou des bêlements. Les animaux qui tirent leur nom vulgaire de leur cri sont inn
e une odeur mauvaise. Ainsi, l'homme ne se distingue point d'avec l' animal en tant qu'il a des sensations, des sentiments et
stence. Ces idées, il est vrai, ne sont pas absolument étrangères aux animaux . Us ont en effet un certain sentiment de l'étendu
ncrètes qui ne s'élèvent jamais au degré d'abstractions véritables. L' animal a bien l'idée de son repos, de son mouvement, de
eu d'esprit cette proposition de Lactance, que l'homme ne diffère des animaux que par la religion. La religion est sans doute p
rt des blancs vivre de vols et de calomnies, donner la préférence aux animaux ? Mais la faculté du langage algébrique, en déliv
de longues (.1) Lettres sur Vintelligence et la perfectibilité des animaux . périodes de sons, bien que l'esprit en ignore
e l'esprit en ignore le nombre (1). Ainsi, l'homme est distinct des animaux , il règne dans une sphère supérieure ; mais s'ens
e du corps. Ceci explique comment, dans un même type, les plus grands animaux ayant absolument un plus grand cerveau, sont en g
nous étonnent dans les caractères et les aptitudes des hommes et des animaux d'une même espèce. Je m'explique. Le lobe olfac
'autre qui n'agit sur elle que par l'intermédiaire de l'automate. Les animaux inférieurs n'ont que celle-ci, mais l'homme a sur
l'influence que la lumière exerce sur les mouvements automatiques des animaux privés de leurs hémisphères , par l'intermédiaire
peut expliquer les différences intellectuelles qui existent entre les animaux . L'analyse anatomique va ici de pair avec l'anal)
le peu que nous avons pu découvrir suffit pour faire admettre que les animaux diffèrent les uns des autres, non-seulement par l
vérité est soupçonnée dès l'origine de la philosophie : Neque unquam animal taie à nature factum est, ut formam alterius anim
pement...................... 256 § 8. S'il y a entre la taille de l' animal et la complication de ses plis cérébraux un rap
3 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ivité psychique, et qui peuvent être formulées ainsi 1. « Chez un animal jouissant de l'intégrité des cen- tres nerveux,
me, l'énergie, la inaiclie et l'effet; mais la moelle épinière d'un animal décapité ne peut posséder ces représentations,
ns cela : le naturaliste ne reconnaîtrait jamais une plante ou un animal au premier coup d'oeil, s'il devait chaque fois
ont les conditions d'évolution. « Voilà pour- quoi, dit Herzen, les animaux que nous nommons inférieurs restent au point où
. dei Lincei, 1880. Influenza del sistema nervoso sutla temperatura animale , - Arclov. per le scipiize mecliclie.'l'ormo, 1
, disent-ils, ont un équivalent mécanique, thermique, chimique; l' animal qui pense perd une partie de son énergie. - Voi
lement variable et transitoire de la pensée, la cons- cience : « L' animal qui pense, c'est l'organisme obser- vant lui-mê
on obtient seulement les mouvements de l'oreille, et quelquefois, l' animal essaie de bondir de la table, comme soudainemen
ons fonctionnelles de l'écorce humaine sont identiques à celles des animaux inférieurs. Par la méthode de l'excitation, nou
observation attentive des réactions dans les différents or- dres d' animaux , et ce fait que l'on peut obtenir des mouvements
o-angulaire chez les singes et de son homologue dans les différents animaux inférieurs. Les réactions, comme nous l'avons d
Je vous ai montré ici une photographie d'un cerveau de mes premieis animaux en expériences Les deux lobes occipitaux lurent
es objets qu'on lui tendait. A part ce léger défaut de la vision, l' animal ne présentait aucun autre trouble dans ces facu
orts des lobes fron- taux avec le sens de la vue. Vu que chez cet animal comme chez d'autres chez lesquels on observait
achevée à 3 h. 30 de l'après-midi. Voici les notes sur l'état de l' animal : lui 4 h. 10. - L'animal, après être resté dan
s-midi. Voici les notes sur l'état de l'animal : lui 4 h. 10. - L' animal , après être resté dans un état de stupeur ' Ë.\
gré la destruction étendue des deux lobes occipitaux dans ce cas, l' animal , un peu plus de deux heures après l'opération, a
six millimètres en arrière de la scissure pariétale occipi- tale l' animal , malgré l'ablation d'au moins les deux tiers des
eur G. F. Yeo, enleva les deux tiers des deux lobes occi- pitaux, l' animal , deux heures après l'opération, était capable de
cas, le pansement ayant été arraché, la plaie devint sceptique et l' animal mourut le cinquième jour. Le lendemain de l'opéra
e l'opéra- tion, aucun trouble de la vision ne put être noté, car l' animal pre- nait les choses qu'on lui présentait à dro
perte com- plète temporaire de la vision de luit opposé, tel que l' animal ne répondait à aucun excitant lumineux, et que,
avait rien qui indiquât qu'il était aveugle. Mais j'ai trouvé que l' animal aimait beaucoup le thé doux et aurait couru apr
lors la tasse et la plaçai devant lui à une petite distance, mais l' animal , malgré que ses gestes démontraient son désir d
'on entraîne la ta<se à moitié de la chambre. Le jour suivant, l' animal était toujours aveugle et n'ac- cordait aucune
que je suppose même permanente. Mais d'autres recher- ches sur des animaux qu'on a pu garder en vie pondant une période pl
ve, je vais'citer les détails des expériences sui- vantes. Sur un animal , on cautérisa, avec le thermo-cautère le pli cour
e thermo-cautère le pli courbe gauche. L'oeil gauche fut fermé et l' animal sortit de la stupeur. Au bout d'une demi-heure,
rouble de la vision, ni amblyopie ni hémiopie,. , » Chez un autre animal , le pli combe gauche fut cautérisé jusqu'à la s
2. « L'oeil gauche fut aussi soigneusement bouché, et on laissa l' animal se réveiller de la stupeur du narcotique. Au bout
resta. Pendant qu'il se reposait, nous rampâmes vers lui, mais l' animal , quoique les yeux grands ouverts et tournés vers
galement sans effet, mais si on faisait du bruit avec nos lèvres, l' animal semblait alarmé, regardait en avant, et quoiqu'il
, Op. cil. 86 ' PATHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE. étant toujours fermé, l' animal courait dans toutes les directions, baissant sa
tait entièrement guérie. Résultat. - Aucune paralysie musculaire. L' animal semble avoir un trouble de la conscience visuel
che qui dura, sans aucun signe d'amélioration, jusqu'à la mort de l' animal , tiois mois après. Les expériences de Ilorsley
t prendre en grande partie (comment déterminer la quantité chez des animaux ) les fonctions du tout. Ceci est aussi conforme
al, tout le reste de la zone visuelle était intact, cepen- dant cet animal était complètement hémiopique. La conclusion es
e devant l'extrémité inférieure de la scissure panéto-occipitale. L' animal mourut un mois après la première opération. Pen
uivit une cécité complète mais ils disent qu'après trois semaines l' animal recouvra la vision sur une certaine étendue ver
occipitales avaient été épaignées pendant la seconde opération. L' animal mourut de phthisie le deux cent trente-unième jou
vision, est démontré par le fait qu'ils rapportent eux-mêmes que l' animal pouvait toujours voir quoique imparfaite- ment,
oeil du côté opposé par la destruction du pli courbe gauche chez un animal qui a été dernièrement le sujetd expé- rience.
z un animal qui a été dernièrement le sujetd expé- rience. Chez cet animal j'ai d'abord énudé l'cril gauche, pour exclure
omplication de ce côté. Après avoir on levé le pli courbe gauche, l' animal , quoique en toute possession de tous ses sens et
n observation. Lejour suivant, il y a des marques de vision, mais 1 animal était devenu si prostré, le temps étant très fr
e le pli courbe a été détruit d'un côté et lait de ce côté fermé, l' animal manque les objets qu'on lui offre ou ceux qu'on
ent et avant peu elle fut assez bonne ponr les objets éloi- gnés. L' animal pouvait apparemment voir les petits objets, comme
t, la force musculaire conservée, mais pendant quatre jours enfin l' animal fut absolument aveugle. Quand poussé à bouger,
utre les mêmes essais avec les mêmes resultats. J'ai remarqué que l' animal quand il exami- nait un objet le tenait toujour
s le bras allongé, éloigné de ses yeux. Les faits observés chez cet animal auraient été mieux expliqués par un trouble ou
irectement vers eux. C'est précisément ce que l'on observe chez cet animal . La perte de la vision centrale rendait compte
sion centrale rendait compte de ce fait, noté par Sch¡pfer chez son animal , que les objets étaient^ mieux vus à distance que
, que les objets étaient^ mieux vus à distance que de près et que l' animal de Munk ne pouvait jamais placer ses doigts ave
on avis, non pas une cécité complète, mais une impossibilité pour l' animal à comprendre et à interpréter ce qu'il voyait.
ulement par une fixation anormale de l'oeil ou par l'habitude que l' animal peut éviter les troubles qui en résultent. Mu
e la perception visuelle semblable à celui déjà décrit par Goltz, L' animal n'est pas aveugle, puisqu'il peut éviter les obst
s dans ce lieu et autour et que c'est seulement par éducation que l' animal peut de nouveau réemmagasiner des figures visue
à boire, dans un autre, c'est le signe de donner la patte auquel l' animal à été habitué à obéir. Goltz a critiqué cette h
périmétriques exactes, qui sont naturellement impossibles chez les animaux inférieurs. La difficulté de pareilles recherch
animaux inférieurs. La difficulté de pareilles recherches chez les animaux , est démontrée par l'histoire des ex- périences
nouvelle expérience visuelle, car la guérison se pro- duit quand l' animal est placé absolument dans l'obscurité et ainsi
de l'hémisphère. Les limites exactes de la sphère visuelle chez ces animaux ne pa- raissent pas avoir été déterminées exact
la cécité tem- poraire de l'oeil opposé. On a supposé que chez cet animal , il y avait une décussation complète des tractu
croisées ou di- rectes existe aussi dans le tractus optique de cet animal , comme chez les vertébrés plus élevés. Singer e
et les oiseaux en général, la région homologue au centre \isuel des animaux supérieurs occupe la partie pari(·lo- posténeur
ètement ouvert. Ceci a eu pour résultat le retour de la vision de l' animal pour ce qui etait de l'oeil droit, mais aucune
. On enleva l'aeil droit. Alors il devint rapidement' évident que l' animal n'était pas entièrement aveugle mais il pouvait
avoir si, après la destruction de toute la sphère visuelle chez les animaux supérieurs, homme ou singe, aucune réaction des
e que des réactions sem- blables puissent être découveites chez les animaux supérieurs, même quoique à un moindre degré. 11
étudié en outre l'action de l'acétanilide sur l'homme sain et sur l' animal . Voici le résumé de son travail et de celui de
nsi que cela résulte des travaux de M. Aubert. Le sang artériel des animaux soumis à l'action d'une dose toxique d'acétanil
e du train postérieur; à dose double, l'inertie devient complète, l' animal ne bouge plus et ne réagit presque pas lorsqu'o
tenue par une névralgie frontale obsédante; cette femme se croit un animal dans la tête, le diable dans le corps. II Obser
n morphinomane, de l'excès de sulfonal, exacte- ment comme chez les animaux intoxiqués (karst). La suppression de sulfonal
bes optiques, etc. La partie antérieure du toit forme chez tous les animaux une lame transversale, creusée d'une gouttière
entre-croisées et des fibres entre- croisées varie selon les divers animaux . Près de la ligne médiane, de chaque côté, au m
pas loin où tout docteur en médecine qui osait parler de magnétisme animal était gourmandé par ses confrères. Déconsidéré
s le même sens : « Lorsque, dit M. Raymond, on détermine chez les animaux une myélite légère, superficielle, celle-ci gué
is complètement. Si au bout d'un an, dix-huit mois, on'sacrifie les animaux opérés l'examen histologique montre qu'il n'y a
useau à la jonction des piliers, disposition qui rappelle celle des animaux dite osmotiques. Voyons maintenant la substance
us grosse chez les marsupiaux et les rongeurs que chez les autres animaux de la même classe dont l'encéphale est plus perfe
remarquer que ce n'est que par analogie avec ce qui existe chez les animaux que Broca, a construit son centre antérieur.
leur mode de développement et leur manière de se comporter chez les animaux . » «... Si nous voulions employer le langage fi
ure du splénium du corps calleux, dans le cerveau de diffé- rents animaux , comme : chien, chat, renard, veau, agneau, etc
irconvolution se continue avec le fascia dentata qui, chez quelques animaux , présente une surface li- bre et non recouverte
i le même fait que chez l'homme, avec cette différence que chez les animaux il a pris des proportions plus grandes. . Gia
qu'il la fait abouter, à l'appareil optique. Il a bien vu chez les animaux , la circonvolution godronnée dans le ventricule
sorte que, après l'ablation du second hémisphère cérébral, le même animal continue à nager en cercle. J'ajoute, que d'apr
eux fonctions. Un'certain langage, qui se rencontre chez beaucoup d' animaux (langage par des mines, des signes, des attouch
d'un aphasique, de même que toute une série de mouve- ments, plutôt animaux , ne quitte pas l'individu atteint d'astasie- ab
es de médecine, XVII, 1861. 252 PHYSIOLOGIE. contraction. Quand l' animal est en mouvement, une partie des actions chimiq
nt maximum dans toute la longueur de la moelle : tout le corps de l' animal est vio- lemment soulevé, ne tenant que par les
ie, 14 mai 1887. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 22S ment du corps de l' animal , par l'effet de la contrac- tion tétanique des
tration de ce fait fut donnée par Corso, qui, expérimentant sur des animaux narco- tisés avec l'éther (chiens, chats), les
ons ou des émotions ? Les excitations auxquelles étaient soumis les animaux en expérience, étaient des menaces, des caresse
toires communs, sont bien mieux étendus chez l'homme que chez les animaux inférieurs : les centres fonctionnels du cer- L
sensibilité générale, retentiraient sur toute la vie psychique de l' animal et modifieraient profondé- ment son caractère (
1, p. 68. LES localisations cérébrales. 241 gue (fg. 14) chez les animaux dont la sécurité dépend habituelle- ment de l'a
ion et une ouverture de l'oreille du côté supposé du son. Parfois l' animal fait un écart et un mou- vement comme pour saut
ois que l'application des électrodes sur cette région fait bondir l' animal , dresser ses deux oreilles comme s'il était eff
eille n'est pas si facile que celle des troubles de la vue chez les animaux inférieurs. Il est difficile de discerner le sim-
e coïncidence, ni d'éviter entièrement d'atti- rer l'attention de l' animal par d'autres sens, comme la vue, l'odorat, ou l
tation, de l'air et ainsi de suite. La manière d'être actuelle de l' animal doit être comparée à sa manière d'être passée,
t être comparée à sa manière d'être passée, et avec la conduite des animaux normaux, lorsqu'on pro- duit des sons auprès d'
ver des conclusions différentes, et on peut prendre pour sourds des animaux qui ne le sont pas en réalité, simplement parce q
on de l'ouie, mais il ne fut pas facile d'i- maginer une épreuve, l' animal étant toujours en éveil et il ne fut pas commod
tention par la vue. On a essayé la méthode suivante : pendant que l' animal était assis tranquillement près du feu, je me r
regard ni obtenir une preuve qu'il ait entendu. Alors j'approchai l' animal avec précaution et jusqu'au moment où il me vit
aucune preuve qu'ils entendissent pendant la courte période que les animaux ont sur- vécu, quoiqu'ils puissent autrement êt
es expé- riences cependant, le temps entre la lésion et la mort des animaux fut trop court pour établir des données sérieus
t qu'on pouvait le déterminer en comparant sa conduite à celle d'un animal normal à l'explosion d'une capsule dans la sall
ES. 243 faire allusion, soulevèrent des questions sur l'état de cet animal avant et après l'opération, j'ai publié en enti
ement l'attention des autres singes normaux. Pendant que les autres animaux écoutaient avec soin les pas, cet animal ne prê
x. Pendant que les autres animaux écoutaient avec soin les pas, cet animal ne prêtait aucune attention jusqu'à ce qu'on ar
On observa aussi, au moins tout d'abord, que les oreilles de cet animal ne se contractaient pas comme elles le font chez
sence de réaction des oreilles persiste pendant tout le temps que l' animal survécut. Presque tous les jours on l'examina pen
s on l'examina pen- dant les treize mois qu'on le laissa vivre. Cet animal ne prêta aucune attention aux sons de différent
s de lui une capsule. Six semaines après l'opération, pendant que l' animal jouait devant l'assemblée des physiologistes au C
onstamment les mêmes et semblaient justifier cette conclusion que l' animal était essentiellement sourd et que les tressail
u simplement de la nature des réflexes qui peuvent arriver chez les animaux , même après l'ablation totale des hémisphères c
es 2 dans laquelle ils avaient enlevé le lobe temporo-sphénoïdal, l' animal ne semblait pas entendre les bruits légers quan
manente, mais elle ne fut pas atteinte d'une façon perceptible. Les animaux , même immédiatement après être sortis du sommei
iture, etc.) que pou- vaient faire naître le bruit ». Deux de ces animaux , dans lesquels la destruction de la circon- vol
pas publié les épreuves qu'ils ont employées, étaient d'avis que l' animal entendait; un autre pensa une fois qu'un des an
nt d'avis que l'animal entendait; un autre pensa une fois qu'un des animaux pouvait entendre, une autre fois qu'il paraissa
it pas réagir aux sons aussi rapidement et aussi complètement qu'un animal normale Comme pour montrer la difficulté d'arri
je n'ai pas douté de l'existence de la perception auditive chez ses animaux . Un examen tel que je l'ai fait ne donne lieu,
de Schaefer et ceux de Yeo et les miens paraît exister. Si chez ces animaux l'ouie n'était pas atteinte d'une façon évident
y avait pas de doute possible sur la très grande différence entre l' animal en expérience et l'animal sain, la seule questi
ble sur la très grande différence entre l'animal en expérience et l' animal sain, la seule question qu'on pouvait se poser
oral gauche, comprenant la circonvo- lution temporale supérieure. L' animal guérit rapidement de son opé- ration unilatéral
s après, on fit la même opération sur le côté droit, mais quoique l' animal ait vécu cinq jours, il resta tout le temps apa
attention. Il était plein de malice et à tous les points de vue un animal adapté pour déter- miner aucune altération qui
Elles cessèrent complètement après le pansement de la blessure et l' animal devint rapidement actif. Le deuxième jour, il t
tion fut presque entièrement épargnée (fig. 18). Le jour suivant, l' animal ne répondit pas aux sons produits dans son voisi-
présenta i'eau; il ne fit aucun attention aux cris des deux autres animaux placés dans la cage voisine, et en général ne r
d'aboyer, de siffler, etc., se produisaient en effrayant les autres animaux dans les cages voisines. Le dixième jour, même
t fermai la porte. Plusieurs fois, j'ai ouvert la porte et appelé l' animal par son nom. Un autre singe répondit et je n'ai
it l'escalier et se tenant derrière lui, l'appela plusieurs fois. L' animal ne fit au- cune attention et ne tourna pas la t
e (15 jours après l'opération), on a pris les notes suivantes : « L' animal est bien et actif, parfois il pousse des gro- g
t par un long tube de caoutchouc pour ne pas attirer le regard de l' animal , et à plusieurs reprises on siffla, mais il res
arente de ses réactions. Il devint évident que lorsqu'on laissait l' animal tout seul, il savait qu'on l'appelait, il était
ù il était; mais quand quelqu'un était dans le laboratoire et que l' animal fai- sait attention à lui, il ne montrait nulle
où venait le bruit, et cet état ne changea pas jusqu'à la mort de l' animal . Seulement, dans la direction de la porte du la
étaient si caractéristique auparavant. Je n'ai pas observé chez cet animal , au moins pendant la dernière période d'observa
érience précédente. On peut ainsi brièvement définir l'état de cet. animal . D'abord, il ne répond à aucune des épreuves qu
de le prouver avec un certain degré de cer- titude, n'eût été que l' animal pût donner un témoignage oral du fait. Je ne su
e n'ai pas encore pu avec succès continuer des observations sur des animaux chez lesquels les lobes temporaux avaient été d
enser avec Longet, Goltz, etc., que chez les singes, comme chez les animaux inférieurs, une sensation auditive simple et gr
l entendait. Cet état, cependant, dura quelques semaines au plus. L' animal a repris les sens des sons et revint à son état
troubles secondaires créés par la lésion primaire aient diminué, l' animal parait totalement sourd, il ne se montre aucune
té corticale (Rindentaubheit), comme il l'ap- pelle, mais aucun des animaux sur lesquels il a fait cette opéra- tion n'a vé
léger contactsur un membre attirait immédiatement l'attention de l' animal . Un autre singe, chez lequel j'avais sectionné
tanimal indi- quait, aussi loin qu'on peut juger de l'observation d' animaux infé- rieurs, qu'il avait entièrement perdu le
t que quand la vision était libre. Quand les yeux étaient fermés, l' animal était tout à fait incapable de tirer sa jambe d
avoisinant immédiatement la scissure mé- diane (fig. 26). Quoique l' animal fût pour quelques heures comme faible et maladr
hypothèse, mais je suis prêt à admettre que les expériences sur les animaux inférieurs, chez lesquels nous ne pouvons que s
s entreprises sur le système sympathique comparative- ment chez les animaux et sur l'homme. Dans le présent mémoire, l'aute
u virus rabique que l'adulte. On sait, comparativement, que, chez l' animal , Vincubatton est bien 21 : 2 REVUE de pathologi
cidents anatomiques consécutifs à l'ablation des globes oculaires d' animaux nouveau-nés - la section d'une des bandelettes op
par FRIEDUANN. (Neural. Centralbl., 1889 1.) Expériences sur les animaux . Planches à l'appui. 4 Voyez aussi XIV" congrès
a repris ces recherches sur le chat nouveau-né. Le cer- veau de cet animal est, quant au développement des masses de fibre
aphique, l'auteur signale qu'il a, dans le cerveau et la moelle des animaux précités, trouvé quantité vai iable de caryokin
urface du cerveau, affecte une épaisseur constante suivant l'espèce animale , variable avec les espèces diffé- rentes. Les t
oi le cervelet est si plissé et plissé plus tôt que le cerveau. Les animaux à cerveau lisse présentent les mêmes considérat
de fusil, puis ramasse quelque chose, comme s'il avait tué quelque animal . Ouïe. Sonnette. Il est agité, se fâche, fait d
son délire et constatons que celui-ci consiste surtout en visions d' animaux (des cafards) ethallu- cinations terrifiante» q
n de la portion inférieure de la région temporale. - Chez les trois animaux on créa d'une façon satisfaisante la lésion, ma
eds constamment avaient une tendance à glisser de laperche, quand l' animal fermait les yeux ou s'endormait. Dans aucune des
les yeux ou s'endormait. Dans aucune des premières expériences, les animaux ne furent laissés en vie long- temps, parce que
e l'hyppocampe et temporale inférieure. Malheureusement aucun des animaux chez lesquels la destruction était complète et l'
douleur, et une insensi- bilité totale du tact, quand on touchait l' animal , qu'on le piquait légèrement, qu'on le frottait
uchait l'animal, qu'on le piquait légèrement, qu'on le frottait). L' animal pouvait bouger ses mem- bres, mais avec une gra
bres, mais avec une grande maladresse et incertitude. Pendant que l' animal était au repos, les yeux fermés, j'ai tiré son br
te. Les symptômes furent les mêmes le second jour de l'opération, l' animal semblait être en bon état d'autre part; le troi
t les autres parties étaient parfaitement intactes. Chez un autre animal , on fit une semblable opération, produi- sant u
la région temporale inférieure du reste de l'hémis- phère. Chez cet animal , il y avait d'abord une analgésie presque, sino
fut intacte, mais la vue était quelque peu atteinte vers ce côté, l' animal sem- blant avoir un certain degré d'incertitude
qu'on lui offrait du côté droit. Même état le troisième jour, où l' animal a eu une légère attaque à droite indiquant quelqu
gauche produisait des grimaces et des signes évidents de malaise. L' animal pouvait bouger ses jambes librement et saisissait
urs expériences, qu'ils poursuivirent ensuite parfaitement. Chez un animal chez lequel la région de l'hippocampe fut enlevée
parer la marge de la scissure calcarine et l'hippocampus minor. Cet animal était très anesthésique du côté opposé, mais il
ables. Dans une de ces expé- riences auxquelles j'assistais, sur un animal chez lequel quelques semaines auparavant on ava
it pas améliorée, il ne percevait aucune des excitations légères. L' animal etait en parfaite santé et sans aucun trouble d
quoiqu'a un moindre degré pendant les semaines dans les cas où les animaux ont été aussi longtemps con- servés. Dans d'aut
s un cas où la diminution de la sensibilité était très frappante, l' animal répondait à une excitation assez forte pour êtr
e, suivie d'une anesthésie partielle durant dix semai- nes, alors l' animal est mort d'une opération sur l'hémisphère gauch
sur l'hémisphère gauche. - La figure 422 représente le cerveau d'un animal chez lequel les deux tiers antérieurs du gyrus
il y avait un manque de localisation du siège de ces impressions, l' animal se grattant une partie différente de celle tou-
es externes soient pratiquement oblitérées, cependant chez d'autres animaux chez lesquels le sens de l'odorat est très déve
Suivant le développement du sens de l'odorat chez les différents animaux varie la structure de la totalité ou d'une partie
d'une partie de la région ci-dessus déciile. Broca divise tous les animaux en deut classes, rZg. so. Surface interne de
en parti- culier des proportions [extraordinaires et chez quelques animaux il constitue la plus grande portion de l'hémisp
La largeur relativement grande de la racine iuterne chez quel- ques animaux , et son rapport apparent avec le gyrus fornicatus
hez le dauphin, est un certain degré atrophiée, comparativement aux animaux osmati- ques. Le rapport de la racine interne a
supérieure du corps calleux. Il décrit aussi comme particulier aux animaux osmatiques, un prolongement du lobe falciforme
hez le marsouin. Quoique l'hippocampe soit bien développée chez les animaux os- matiques, on ne peut pas dire qu'il soit at
l'hippocampe chez l'homme est relativement plus petit que celui des animaux inférieurs; mais quant à son volume absolu, sir W
mpe est cependant relativement plus petit chez l'homme que chez les animaux osmatiques et peut être aussi plus petit d'une
rdinairement grand et contient plus de circonvolutions que chez les animaux plus élevés. Ainsi donc chez les animaux osmati
rconvolutions que chez les animaux plus élevés. Ainsi donc chez les animaux osmatiques en général, le gyrus for- nicatus es
tus olfactifs sont mis en rapport. Ce rapport se voit bien chez les animaux qui ont de grands bulbes olactifs (voir fig. 33.
électrique du lobule de l'hippocampe chez les singes et les autres animaux , donne des résultats qui peuvent être inter- pi
dorat est perdu par l'a- blation de la même région. - Chez quelques animaux , c'est cepen- dant plus facile que chez d'autre
ez forme le principal organe de perception intellectuelle, sont des animaux plus adaptés aux expériences de ce genre que le
lusivement employé l'aloès pour vérifier le goût et l'odorat de ces animaux . Dans mes premières expériences, j'ai trouvé qu
ure des lobes temporaux des deux côtés. Ils disent page 324 : « Les animaux , avec la portion antéro-inférieure du lobe comp
re des lobes temporaux par des operations successives, mais un seul animal survécut à la double opération suffisamment lon
re détérioration du pédoncule cérébral se produisit, de sorte que l' animal devint complètement hémiopique vers la droite,
les autres nerfs crâniens et le reste du cerveau. On laissa vivre l' animal trois mois; alors on le tua avec du chloroforme
ide : ailleurs tout était nor- mal. Les symptômes observés chez cet animal sont d'un grand intérêt. Dans la semaine qui su
ement unilatéral, mais ils étaient assez intacts pour permettre à l' animal de distinguer et de rejeter les substances pour
on compagnon produisit une violente nausée. Le dix-huitième jour, l' animal qui était très apprivoisé, vous léchait les doi
substance que ses compagnons n'auraient pas touchée. Un troisième' animal , à qui on présenta l'assiette, prit une gorgée, e
distance après une première expérience. A la fin du premier mois, l' animal qui était en parfaite saule et très enjoué, con
er de ses lèvres et de sa langue la substance désagréable. Un aulre animal , qu'on n'avait pas auparavant expérimenté, vomi
urs morceaux de pomme saupoudrés de même, qu'aucun des trois autres animaux ne pouvait sentir. 11 lécha aussi du sucre méla
dont le goût et l'odorat provoquaient une répulsion chez les autres animaux et ne faisait aucune grimace quand on les plaçait
pas de manger des substances dont le goût et l'odeur répugnent aux animaux normaux et je ne pense pas qu'il soit possible
externe et d'une portion de la circonvolution de l'hippo- campe, l' animal semblait être moins sensible aux amers (digita-
vements, leur rapport avec les mouvements volontaires habituels aux animaux et surtout leur uniformité qu'on peut toujours
as droit incapable d'aucun mouvement volontaire. Parfois, lorsque l' animal se débattait on pouvait observer des mouvements a
action aussi vive que celle du côté sain. C'est dans cet état que l' animal fut montré au Congrès interna- tional de médeci
rébrale chez l'homme. Les recherches sur l'état du cerveau de cet animal furent entre- prises par un comité nommé par la
es muscles paralysés. Cet état per- sista huit mois; on tua alors l' animal . Dans ce cas aussi, on trouve une dégénérescenc
n de l'avant-bras. Les mouve- ments de l'épaule étaient intacts ; l' animal pouvait étendre son bras, mais ne pouvait pas s
membre paralysé ; le plus léger contact éveillait l'attention de l' animal et une exci- tation douloureuse, comme de pince
ations comme de l'autre côté. Cet état persista les deux mois que l' animal survécut à l'opération. De pareilles observatio
e s'asseoir droit, le dos un peu courbe comme les autres singes, un animal qui a subi l'opération reste courbé, les jambes
'extension et les mouvements des yeux et de la face sont normaux. L' animal sou- vent s'appuie sur les coudes, mais jamais
e, ou à un autre objet. Si on lui fait lâcher les mains, aussitôt l' animal manque de tomber. La marche n'est presque effec
pour rendre compte de la guérison apparente chez des chiens et les animaux inférieurs après une destruction unilatérale comp
'avons vu dans la première leçon, peuvent per- sister chez quelques animaux même après l'extirpation complète des deux hémi
hémisphère gauche fut détruit et qui survecut quinze mois. Chez cet animal , ,les mouve- ments des membres droits, en ce qu
'il fût très imparfait à ce point de vue. On n'avait pas appris à l' animal à donner la patte, de sorte qu'on ne put * Arch
gue dans le cas d'extirpation unilatérale se meuve normale- ment. L' animal peut, comme nous l'avons dit plus haut, tou- jo
is cela ne tient pas à un défaut de sensation, car l'attention de l' animal est attirée aussitôt par le plus léger contact
sibilité du côté opposé reste toujours intacte jusqu'à la mort de l' animal 2 ». Une des expériences de Goltz sur les chien
s auparavant, détruit les rentres moteurs de l'hémisphère gauche. L' animal répondait invariablement par des signes de méco
comme auparavant, et quelques gouttes d'eau faisaient tressaillir l' animal et il faisait les mêmes etiorts pour s'en débar
z ceux qui ne peuvent comprendre ni parler, et aussi applicable aux animaux . 412 -. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. Dans 28 de
e développés en cor- - respondance avec les capacités motrices de l' animal . Dans pareil cas, les centres moteurs de. la mo
parfaites, seraient dé- veloppés beaucoup plus que ceux des autres animaux , c'est préci- sément le contraire qui a lieu. C
eu. Car relativement au cerveau, et re- lativement à la taille de l' animal , les centres spinaux moteurs de l'homme sont mo
ntres spinaux moteurs de l'homme sont moins développés que ceux des animaux inférieurs, et le sont moins d'une façon absolu
toute la zone frontale excitable, de la face médiane et convexe; l' animal , qui présente d'abord une grande torsion de la tê
ision transverse immédiatement extérieure au sillon pré- central, l' animal vécut seulement 24 heures. Il n'y avait aucune
its déployaient un peu moins d'énergie que les gau- ches. Quoique l' animal pût étendre sa tête et son tronc, il ne pouvait
e la région frontale de l'hémisphère gauche (voir fig. 38). Quand l' animal commença à bouger, peu d'heures après l'opérati
ux vers la droite persista pendant toute la durée de la survie de l' animal . Il mourut subitement d'hémorragie cérébrale, l
dû à la déviation conjuguée des yeux du côté opposé, de sorte que l' animal , étant incapable de tourner ses yeux du côté oppo
étermine la mort à la dose de 0 gr. 45 par kilogramme du poids de l' animal . A doses moindres et non mortelles (0 gr. 25 pa
e fondant sur ses recherches expérimentales. En pratiquant chez les animaux des injections hypodermiques de l'alcool faible
4 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès
multanément que dans l'Homme et dans les Singes. Dans tous les autres animaux , le cervelet demeure à découvert; il y a, en outr
is, les Ours, les Felis, les Chiens, etc., dans toutes les familles d' animaux enfin. Chacune d'elles a son caractère, sa norme,
nce, celle de la détermination des plis cérébraux homologues dans des animaux appartenant à des familles différentes. L'ouvrage
bro à spirituum animalium dispensatione petitur : K cum enim spiritus animales , propter varios imaginationis et memorise actus,
a simplicité, de la pauvreté de ces plis, de leur uniformité dans les animaux inférieurs, résulte l'uniformité des actes intell
nférieurs, résulte l'uniformité des actes intellectuels dans tous les animaux d'une même espèce ; de leurs variations infinies
contraire, d ns ce qu'elle a de général, très-constante dans tous les animaux d'une même espèce; mais tantôt la feuille demeure
mes; on observe, à cet égard, des variétés nombreuses dans les divers animaux d'une même espèce. En général, ces variétés sont
espèce. En général, ces variétés sont d'autant plus apparentes, que l' animal est plus élevé dans son groupe. Dans les animau
s apparentes, que l'animal est plus élevé dans son groupe. Dans les animaux inférieurs de chaque famille, les feuilles sont,
e, procès entéroîdes, sont plus compliquées dans l'Homme que dans les animaux . Malgré cette complication, on peut déterminer le
sus du cervelet, comme chez la Loutre, le Marsouin et quelques autres animaux dont le cervelet est, en grande partie, recouvert
vi de base à certaines propositions de Buffou sur l'in-telligeuce des animaux ; mais nous reviendrons plus loin sur ce sujet.
mises, qui m'ont conduit à préférer, comme type de ma description, un animal moyen de la série des Singes. Or M. de Blainville
e. Cependant ils sont si constants, ils se reproduisent dans tous les animaux d'une même espèce avec une si grande analogie, qu
t un rapport nécessaire et rigoureux, du moins dans l'âge adulte de l' animal ; toutefois ces dénominations nous ont paru préfé
escription, bien comprise, conviendra, dans sa généralité, à tous les animaux de cette série, en sorte que, dans chaque genre,
profondeur des plis du lobe postérieur, qui, malgré le jeune âge de l' animal , est relativement plus réduit encore que dans VEn
p absolu et contraire aux principes que révèle l'observation du règne animal tout entier. L'animal enfant, qu'on me permette
x principes que révèle l'observation du règne animal tout entier. L' animal enfant, qu'on me permette cette expression, n'est
L'animal enfant, qu'on me permette cette expression, n'est point l' animal achevé ; il se développe, et dès lors, en modifia
ur : aussi l'enfance est-elle par excellence Tâge de l'éducation. L' animal enfant est faible et, par conséquent, il a besoin
de nos chats domestiques il devient caressant pour être caressé. L' animal enfant a une sorte de maladresse fondée sur l'imp
gentillesse ; de là cette grâce irrésistible de l'enfance. Ainsi l' animal enfant est plus éducable, plus caressant, plus ge
ence, l'homme adulte devient souvent grave, morose, allier, de même l' animal adulte, que l'habitude n'enchaîne pas, devient gr
ons à l'étude des plis cérébraux des Macaques et des Babouins, de ces animaux hideux, où, comme l'a remarqué Buf-fon, un reste
lus nombreuses, et nous dirons, en passant, que l'intelligence de ces animaux paraît aussi plus développée. Mais, à côté de c
s parce qu'ils sont équivalents, et les considérer à la tête du règne animal au-dessus du Siamang et des Gibbons, dans une cat
rtains actes et sur l'équivalence de la force intellectuelle dans ces animaux , m'a toujours paru douteux ; aussi n'ai-je point
rps tout entier les lois si complexes de l'évolution sériale du règne animal , décideront si mes conclusions sont exactes et me
ux de l'homme. Le pli du corps calleux, qu'on rencontre dans tous les animaux , est très-développé dans VOrang et, à coup sûr, é
et si clairs, qu'il est absolument impossible de « faire de ces deux animaux une même espèce. Mais je hasarderai une question
, il est vrai, tous les détails de la surface cérébrale, qui chez ces animaux , de même que dans VOrang-Outang et dans l'Homme,
le cerveau du Chimpanzé adulte serait, relativement à la taille de l' animal , beaucoup plus volumineux que celui du Gorilla.
, un lobe frontal très-développé. Ajoutons que, dans la jeunesse de l' animal et avant les métamorphoses de l'âge adulte, VOran
connaissances suffisantes et comparées, tant que l'observation de ces animaux sera l'œuvre presque exclusive d'Hommes sauvages
compagnons d'Hannon au grand Singe du Gabon, est le nom de quelque animal différent, mais analogue, auquel le comparaient l
espèces à queue plus ou moins longue, de même que l'on voit parmi les animaux le môme groupe contenir des espèces Anoures et de
uisse être, n'est point un développement arrêté. Arrivé à ce terme, l' animal est parfait ; un développement plus grand serait
ctes. Il n'y aurait aucun danger à soulever cette idée au sujet des animaux ; mais il s'agit de l'Homme, et on va crier au bla
à la parole. » ( Voyez Perrault, Mémoires pour servir à Vhistoire des animaux , description de deux Sapajous, etc. Paris, 1676.)
mpe et Tyson se trompe avec lui. Tyson ajoute encore en parlant des animaux : » What actuates them , are the Humours and Fl
s animaux : » What actuates them , are the Humours and Fluids : and Animal Life consists in their due and regular motion in
l'âme règne pour un temps au delà duquel l'histoire de l'Homme et des animaux échappe au domaine de la science? Quant aux con
ie des Singes se développe dans un plan inférieur. Ainsi les premiers animaux de cette série sont moins élevés que les premiers
ise, et devra être abandonnée dans les révisions ultérieures du règne animal . Le KriCoç d'Aristote n'est point un Sapajou, mai
n'avoir pu étudier le cerveau des íouaíes ( Mycetcs, lUig. ), que ces animaux paraissent occuper le premier rang parmi les Sing
, une conséquence importante. Dans le groupe le plus élevé du règne animal , dans le groupe le plus beau, puisque des transit
uisent jusqu'à la perfection de l'espèce humaine, il peut y avoir des animaux absolument dépourvus de plis cérébraux. De même
ces plis. 3* Parmi ces groupes il en est dans lesquels, du premier animal au dernier, s'opère une dégradation évidente et n
ommande on reproduirait le cerveau des premières. Donc, de ce qu'un animal a des plis cérébraux, on ne peut rigoureusement c
x peuvent enrichir un type inférieur; mais, en rendant plus parfait l' animal qui les présente, ils ne l'élèvent point au-dessu
'aperçoit immédiatement l'évidence de l'erreur ? C'est qu'en effet un animal quelconque n'est point une seule chose ; c'est un
oportions variables à l'infini, dans ces groupes divers dont le règne animal se compose. Plus l'observation des faits naturels
es d'un fœtus en voie de développement et l'état définitif d'un autre animal parfait et achevé. C'est qu'il y a dans un fœtus
parfait et achevé. De là des différences inévitables, entre tous les animaux , à toutes les époques de leur existence ; l'état
s animaux, à toutes les époques de leur existence ; l'état futur de l' animal est déjà écrit dans les premiers linéaments du ge
plis dominent dans l'Homme et quels autres plis l'emportent dans les animaux . L'Homme étant le sommet de cette série, nous att
le est d'autant moindre, eu égard à la hauteur du lobe frontal, que l' animal est plus élevé dans son groupe. On peut aisément
e. Tandis que le pli marginal paraît diminuer d'importance dans les animaux supérieurs de chaque groupe, le pli temporal moye
ant une marche inverse, se complique parallèlement à l'élévation de l' animal dans son groupe. Ainsi voyons-nous les Atèles, le
ses doigts sur les bosses occipitales supérieures d'un Homme et d'un animal (je suppose, pour un instant, ces bosses égalemen
ipitale, la pariétale, la frontale, enferment la cavité crânienne des animaux . Chacune d'elles est le foyer d'une activité dist
et de l'énergie d'une intelligence humaine ou même d'une intelligence animale ? Qui pourrait ne pas blâmer ces iiardiesses ou, s
tition des actes, l'âme, la nature intellectuelle, la dianoia de tout animal , (le tout individu, se développera, sous une form
phères et de l'étendue des couches corticales naus un groupe défini d' animaux , on pourra tirer des inductions relatives à l'éne
En observant attentivement les formes intellectuelles, les moeurs des animaux , et en mettant ces observations en parallèle avec
raisons justes et fécondes. Le même travail devrait être fait sur les animaux qui se rapprochent le plus de l'Homme, sur les Pr
de le connaître; ce moyen consiste à soumettre à ces expériences les animaux qui lui ressemblent le plus. C'est là une voie in
certitude, est-il nécessaire de choisir, relativement à l'Homme, des animaux où les points cérébraux homologues soient parfait
sibilité trop vive, l'extrême gravité des lésions cérébrales dans des animaux aussi élevés permettront-elles d'étudier assez lo
5 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
uelle il se fait comprendre et qu'il doit ménager, car il s'agit d'un animal qui n'obéit pas toujours servilement, mais consen
nomènes spirituels, et c'est la raison pour laquelle, considérant les animaux comme dépourvus de conscience, ils ne voyaient en
scartes a fait erreur, indépendamment de la question de savoir si les animaux réfléchissent, jugent et pensent au vrai sens de
uissent de certaines immunités : les morsures de serpents et d'autres animaux venimeux ne leur font aucun mal, ils peuvent rend
utres animaux venimeux ne leur font aucun mal, ils peuvent rendre ces animaux inoffensifs, ils devinent l'avenir, chassent les
rinaire, Professeur à l'Ecole de psychologie. L'hypnotisme chez les animaux n'est pas une question nouvelle, et, pendant que
mains, on constatait que les cas d'hypnose étaient fréquents chez les animaux de tous genres et de toutes races. Danilewsky fai
, les langoustes, les grenouilles. 11 lui suffisait d'immobiliser ces animaux pendant un certain temps en faisant sur une parti
y en arrivait d'ailleurs à considérer le sommeil hibernal de certains animaux comme un état hypnotique causé par le milieu et l
n état hypnotique causé par le milieu et la situation spéciale de ces animaux au moment des grands froids. Tous connaissent l
ains auteurs, la simulation de la mort employée par un grand nombre d' animaux , surtout en présence du danger, ne serait pas tou
ehors braves et décidés. Les cas de mise en état d'hypnose chez les animaux sont certainement plus fréquents qu'on ne pense e
en convaincu que nombre de personnes qui dressent ou qui soignent les animaux font de l'hypnose sans le savoir. J'ai fait dans
r mise de côté, il y a des personnes qui ne peuvent jamais aborder un animal ; elles n'ont pas, pour employer un ancien terme,
nt pas, pour employer un ancien terme, l'ascendant nécessaire sur les animaux ; il semblerait môme le contraire. Par contre, il
, des palefreniers, des infirmiers, auxquels il suffit de parler à un animal , quel que soit son caractère, pour que cet animal
ffit de parler à un animal, quel que soit son caractère, pour que cet animal soit rapidement dans un état tel que l'on peut, t
n degré de l'hypnose. J'ai remarqué que les personnes qui ont sur les animaux ce pouvoir de fascination que, autrefois, on avai
eaucoup de fermeté, mais aussi de beaucoup de douceur; en général les animaux les aiment et s'y attachent facilement. Ceci expl
es aiment et s'y attachent facilement. Ceci expliquerait que chez les animaux comme chez les gens, il faut d'abord que l'hypnot
ole de psychologie, je fis plusieurs leçons sur l'hypnotisme chez les animaux . L'un de mes auditeurs m'adressa l'observation su
st légendaire. Mais si l'hypnose a été observée chez la plupart des animaux jusque dans ces derniers temps, il ne semble pas
nt une influence particulière sur des chevaux au point d'utiliser les animaux les plus rétifs, mais on n'a pas cherché à interp
des observations d'hypnotisme, comme on a pu le faire chez les autres animaux , c'est que le cheval est un être moins maniable,
n dehors d'un service toujours à peu près le même : et puis, pour les animaux comme pour les gens, on est encore à vouloir qu'i
y a un sommeil profond. Il ne faudrait pas oublier, surtout pour les animaux , qu'il peut y avoir fascination, c'est-à-dire un
l veut bien se prêter à sa mise en état passif, on comprendra que les animaux , et surtout le cheval, s'hypnotiseront lentement
l'état hypnotique, quel que soit son degré, peut être obtenu chez les animaux par des moyens tout autre que le regard ou le poi
a un des moyens les plus précieux pour produire l'hypnotisme chez les animaux . Il nous en reste, d'ailleurs, beaucoup d'autres
as de les inventer rapidement, si nous voulons nous persuader que les animaux peuvent être mis dans un état d'hypnose ; si nous
établir que l'hypnotisme existe chez le cheval, comme chez les autres animaux , et que chez ce dernier, encore plus que chez les
sidérable qui peut nous permettre de mieux connaître la mentalité des animaux et aussi, peut-être, de jeter une lueur sur des p
sai sur les caractères distinctifs des actes psychiques dans la série animale . * par M. P. Hachet-Souplet. Directeur du labor
clair cependant que, pour la plupart d'entre eux, toutes les espèces animales sont intelligentes; ils croient fermement que les
damentale de l'évolution. Comment, sans organes de la pensée, des animaux pourraient-ils être déjà pensants? Il y a là une
devons d'estimables travaux. Uniquement préoccupés de rapprocher les animaux de l'homme au point de vue psychologique, ils ont
es chez les êtres vivants, pour en faire un tout indivisible, «l'âme» animale , matérielle et sœur de « l'âme d matérielle de l'
Romanes (qui semblait appelé, par ses études embrassant tout le règne animal , à établir une classification psychologique ratio
de raison. Une telle manière de voir a retardé la classification des animaux au point de vue psychologique, autant, peut-être,
tout à la lumière de la loi d'économie, les actes psychiques dont les animaux donnent le spectacle, pour comprendre qu'une clas
ssaire même. Elle montrerait qu'il existe actuellement, dans la série animale , des états psychiques gradués, suffisamment carac
vertu duquel certains scientistes prêtent arbitrairement, à tous les animaux , des facultés supérieures pour les rapprocher, en
que des preuves objectives de la conscience des autres hommes et des animaux supérieurs (car le langage humain lui-même est un
caractéristique de la raison est que cette faculté permet à certains animaux , comme à l'homme, de s'adapter immédiatement à un
t faite d'un grand nombre de souvenirs et d'abstractions combinées. L' animal instinctif ne peut, en une circonstance donnée, a
individu et de l'espèce : c'est l'instinct. Or, un certain nombre d' animaux sont doués d'intelligence et d'instinct ; tandis
à rendre compte du fonctionnement de l'instinct. En effet, pour qu'un animal purement instinctif puisse faire agir, dans des c
s aux espèces de l'instinct primitif. Elle coexiste avec lui chez les animaux supérieurs et les mouvements nouveaux qu'elle com
lement un grand rôle dans le perfectionnement de certaines industries animales . • Ainsi l'intelligence serait sortie, non du
du tableau que je voudrais dresser des actes psychiques dans la série animale . Les vues que j'ai acquises sur ces questions, pa
s que j'ai acquises sur ces questions, par une longue fréquentation d' animaux de toutes sortes, me laissent espérer que des tra
u dehors, sur la véranda un bruit qui lui fit penser que c'était deux animaux qui se battaient. II sortit pour voir de quoi il
perçut bien son chat — un chat blanc — qui était dans l'altitude d'un animal qui se tient sur la défensive ; mais l'antagonist
lus tard, ils mordent dans la chair, la dose de venin est faible et l' animal ne meurt point. Le poids du cerveau et l'intell
a Faculté de Genève (')· Avant-Propos La physiologie de l'hypnose animale a été étudiée surtout chez la grenouille. Les rés
ouille pendant les différentes époques de l'année. En effet, pour cet animal , l'année se décompose en deux>grandes périodes
nutritifs chez la grenouille varient d'une saison à l'autre et que l' animal fournit une somme d'énergie différente, en rappor
E PARTIE. — Historique èt critique On sait depuis longtemps que les animaux peuvent tomber subitement dans un état de torpeur
avant le père Kircher, et il est probable que de tels essais sur les animaux étaient connus du public depuis l'antiquité. Quoi
gie entre l'hypnose de l'homme et l'état de torpeur provoqué chez les animaux . Bientôt après la publication des recherches de
se véritable de ce phénomène. Les manipulations qu'on fait subir à un animal pour le maintenir immobile, la saisie subite et l
e subite et l'empêchement de fuite, sont les facteurs qui effraient l' animal au plus haut point et le jettent en torpeur. Il c
ements. Et, quoique nous ignorions quelles sensations éprouvent les animaux , Preyer croit, par analogie, pouvoir admettre dan
iv, Us",, Bd XIV.) nouille sur le dos et l'empêche de se lever. L' animal , après quelques essais de se retourner, se tranqu
gtemps, il faut éviter tout obstacle extérieur, tout ébranlement de l' animal , et surtout le bruit, même éloigné. Une tranquill
de fonctionner ; les mouvements volontaires n'apparaissent point ; l' animal perd la notion de sa position, ainsi que la facul
ar on peut toucher légèrement avec les doigts les parties molles de l' animal sans qu'il se réveille; de même, il ne réagit pas
sujet, Czermak déclare, en effet, que l'immobilité provoquée chez les animaux est un vrai état hypnotique, car on peut produire
bel, que la soi-disant « hypnose » réussit parfaitement bien chez les animaux aveuglés, chez les grenouilles avec les nerfs opt
autorisé à en tirer la conclusion que l'immobilité provoquée chez un animal n'est pas un phénomène de conscience, ni un acte
ces nombreuses m'ont démontré que l'état général de la nutrition de l' animal joue ici le rôle prépondérant, comme nous le verr
il considère cet état comme comparable à l'hypnose chez l'homme ; les animaux , il est vrai, échappent à la suggestion verbale,
par le fait même que nous mettons obstacle à tous leurs mouvements. L' animal éprouve une forte impression d'avoir été (1) B.
p. 189.) — Voir aussi Recherches physiologiques sur l'hypnotisme des animaux . {Compte-rendu du Congrès international de psycho
'hypnotisme prendrait des formes de plus en plus compliquées chez les animaux supérieurs et chez l'homme. Il a étudié l'hypnoti
chez les animaux supérieurs et chez l'homme. Il a étudié l'hypnotisme animal surtout chez la grenouille, et, d'accord avec Heu
mie ou d'une grenouille qui dort superficiellement, on constate que l' animal tombe aussitôt dans un sommeil hppno-tique profon
indrie et qu'il est nécessaire de stimuler son activité. L'âge de l' animal et l'état de santé ont aussi une grande influence
518). — Etude sur quelques conditions fivorisant thypnose eftffr les animaux . 'Année psychologiqae,1895, t. IL pp. 70-78.) (
re et décembre 1003. ressante contribution à l'étude de l'hypnose animale . Il a spécialement attaché son attention sur :
attaché son attention sur : 1° La position que prend le corps de l' animal pendant l'hypnose, et 2° Sur l'état des muscles
t l'hypnose, et 2° Sur l'état des muscles pendant l'immobilité de l' animal . Personne avant lui n'avait fait cette étude, qui
té des Naturalistes de Saratow (Russie)/' Le fœtus fécondé d'un des animaux supérieurs, soumis à toute une série de métamorph
Je vais en citer quelques-uns. Télégosie. — i. Observations sur les Animaux La jument de lord Morton, de couleur marron, n'
ducteur sur les portées ultérieures de cochons, de chiens et d'autres animaux domestiques. Par exemple, une pointer femelle,
ant de notre organisme capable de fonctionner, tout acte de mécanisme animal doit avoir sa représentation dans notre système n
: Les fonctions psychiques et l'expression des émotions dans la série animale . Les samedis à cinq heures et demie, à partir du
M. Lf.pinay, professeur. Objet du cours : Le cerveau dans la série animale . — Psychoses chez les animaux. La rage et les pse
jet du cours : Le cerveau dans la série animale. — Psychoses chez les animaux . La rage et les pseudo-rages. Les vendredis, à ci
étudié expérimentalement le terrible ennemi par des inoculations aux animaux ; enfin il a ramené en France trois malades congol
e des quantités variables de liquide céphalo-rachidien emprunté à des animaux réfractaires à la maladie du sommeil? Sera-ce en
tion de dormir pendant tout l'hiver. D'autre part, la marmotte et les animaux hibernants ne restent-ils pas des mois entiers sa
pent des graves problèmes relatifs à la psychologie de l'homme et des animaux . Les maîtres éminents, autant que d'éducation d
ces et superstitions populaires et même à l'étude de la mentalité des animaux . Voilà peu d'années encore, on n'eût point manqué
s sur le cobaye, il apparaît que la singulière attitude du corps de l' animal pendant la torpeur résulte de ce fait qu'il essai
tion est arrêté eu route. -Les différentes attitudes Bizarres que les animaux gardent pendant l'immobilité ne sont donc que leu
r à la position qu'il leur est habituelle. Pour atteindre ce but, les animaux doivent contracter certains muscles de leurs memb
ye. Pourquoi l'essai de se relever est-il subitement arrêté chez un animal ? Verworn s'est persuadé, à l'aide de la méthode g
Verworn s'est persuadé, à l'aide de la méthode graphique, que quand l' animal entre dans l'état d'immobilité, l'arrêt dans la p
ntraction tonique des muscles est surtout favorisée par ce fait que l' animal produit un grand effort pour combattre l'obstacle
opinion de Preyer, Heubel et Danilewsky, Verworn prétend que chez les animaux dits « hypnotisés », les réflexes ne sont point d
établi, tandis que dans l'hypnose profonde, l'état physiologique de l' animal est complètement changé. De plus, les signes cara
-halb motorischen Hirncenlren. Pftliger's Archiv, 1881, Bd XXVI.) animal comme objet de prédilection pour leur3 recherches
erprétation de ce phénomène. Pour lui, cet état d'immobilité chez les animaux ne peut être comparé à l'hypnose chez l'homme, av
; mais toute inhibition n'est pas nécessairement l'hypnose. Chez les animaux , le phénomène principal se réduirait simplement à
duirait simplement à un réflexe tonique de position, lequel prête à l' animal l'attitude extrêmement bizarre. Quant à la loca
es travaux que nous venons de passer en revue, que l'hypnose chez les animaux a été examinée à des points de vue variés, et par
érentes conditions expérimentales. Grâce à la vitalité extrême de cet animal , on a pu découvrir que, même chez les individus d
ose apparaît encore et presque avec les mêmes caractères que chez les animaux non lésés. Si le cerveau exerce une certaine infl
our la compréhension de ce phénomène énigmatique de neuro-physiologie animale ; car, par le fait même de cette localisation, no
ysiologistes ont contribué à éclaircir bien des points dans l'hypnose animale . Cependant un vaste champ reste encore complèteme
pport entre le sommeil hypnotique et les conditions de nutrition de l' animal . Cette lacune dans la littérature parait d'autant
ittérature parait d'autant plus frappante qu'on a étudié l'hypnotisme animal principalement chez la grenouille. Or nous avons
avons des preuves nombreuses que l'état physiologique général de cet animal varie énormément suivant les saisons de l'année,
baissée, mais cela peut provenir simplement de l'état de fatigue de l' animal , occasionné par les mouvements musculaires énergi
et placées dans plusieurs bocaux contenant un peu d'eau. Le corps des animaux n'était donc pas submergé. L'eau était changée ri
e excitation, par exemple si on ébranle la table surlaquelle repose l' animal , ou si on le remue légèrement. On peut donc dir
les mouvements respiratoires sont très forts, on a la certitude que l' animal ne dort pas. L'état des pupilles.— L'état des p
et le rétrécissement considérable des pupilles donnent au regard de l' animal l'aspect morne caractéristique. On dirait que la
ains toute sorte de gestes devant les yeux largement ouverts de l' animal , sans qu'il fasse un mouvement; on peut même touc
. On peut pincer et piquer les parties molles les plus sensibles de l' animal sans le réveiller. Il arrive souvent qu'on blesse
— Le sens kinesthésique est absent dans l'état de sommeil provoqué, l' animal n'a aucune notion de la position de son corps ; g
r la position de ses membres, on peut même soulever avec précaution l' animal et le transporter dans une autre salle, le placer
n dans laquelle on Ta endormie. Mais il arrive plus fréquemment que l' animal pendant le sommeil donne à son corps des attitude
uisés qu'ils se contractent avec difficulté et lentement, même chez l' animal éveillé; le sommeil hypnotique parcourt alors tra
ès longtemps. Il parait certain que les différentes attitudes que l' animal prend pendant le sommeil hypnotique ne sont que l
tent à mi-chemin, et le mouvement exécuté manque ainsi son but, car l' animal , au lieu de corriger sa position anormale, la ren
renouille continue à dormir. Pas de trace de respiration. On laisse l' animal dans cette eau pendant quelques minutes et puis o
. La respiration s'accélère aussitôt, mais pas de réveil. On laisse l' animal dans cette eau pendant quelques minutes, en y ajo
membres, médecins-vétérinaires, institueront des expériences sur les animaux . Un crédit de 100 francs est ouvert pour l'achat
iennent la prostration et l'insensibilité, si l'on ne soustrait pas l' animal à l'action de l'anesthésique. Le réveil produit
retournant vivement dans la position normale. Réveillé brusquement, l' animal recouvre aussitôt l'agilité des mouvements; il pa
y a qu'à la renverser sur le dos. De cette façon, on peut rendormir l' animal plusieurs fois de suite, et l'expérience peut se
teurs, entre autres Danilewsky, avaient déjà remarqué ce fait que les animaux montrent une tendance à s'endor- mir plus fac
es sont absolument défavorables à la production de l'hypnose chez ces animaux . En général, il est difficile de provoquer cette
longée est une condition excessivement favorable à V hypnose che% les animaux à sangfroid. A côté de l'inanition, facteur princ
de tout genre facilitent l'hypnose chez l'homme. L'hypnose chez les animaux et notamment chez les grenouil- (1) Voir ma com
damentaux restent les mêmes. L'absence de suggestion verbale chez les animaux n'est pas un obstacle pour faire ce rapprochement
par Braid de Manchester, Puel de Paris, Durand de Gros. Le magnétisme animal , avec ses mystiques croyances en un fluide mervei
, mais encore ceux où s'exerce l'activité humaine. Aux personnages, animaux , végétaux, fruits, fleurs, astres, etc., sont ven
s'il en était ainsi, il faudrait considérer les figures de cire, les animaux empaillés, les panoramas, qui font le plus l'illu
, p. 185. Caractères distinctifs des actes psychiques dans la série animale , par Hachet-Souplet, p. 153. Camphoromanie (La)
6 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
lace est rompue, la médecine ofilcielle ouvre ses rangs au magnétisme animal et à la biologie, et c'est un de leurs plus rudes
que de conforme aux traditions. L'histoire académique du ma* gnétisme animal est là pour nous dire que telle a été la règle un
on n’avait pu le faire jusqu’ici, la possibilité de produire chez les animaux la catalepsie artiii-cielle. Les expériences qui
iences qui ont pour but de produire l’état de sommeilnerveux chez les animaux présententsans doute moins d’intérêtque celles qu
’homme ; mais, d’un autre côté, le phénomène est plus constant chez l’ animal que dans notre espèce, il est plus facile à produ
ur un banc de bois peint en vert, delà longueur d'un mètre et demi. L’ animal , étant maintenu par un aide, qui avait aussi la p
sparaître presque instantanément l'état de sommeil nerveux, cliez les animaux comme chez l'homme, à l'aide d’un moyen qui parai
es essais de M. le docteur Michéa, car les expériences faites sur les animaux dans le but de constater la réalité d’un état phy
bililé nerveuse, étant naturellement exclues quand on s’adresse à des animaux . (Extnût de la Pres$e du 7 janvier 1860.) EXP
rêter leurs yeux sur quoi q«e ce soit; cette simple attention que les animaux les plus avancés en intelligence, possèdent à cer
ible que cc lluiite ait la vertu d'endormir ou plutôt d'eiigourdir un animal quelconque ; mais qu'il ait l'étrange vrrtu de no
croyant ou non à un fluide cosmique, n'admettent point Je magnétisme animal pour une raison bien simple : c’est qu’ils ont pa
’a pu nier, d'une manière certaine, les faits étonnants du magnétisme animal . Un grand nombre d’incrédules, tout en plaisantan
i un fluide pareil existe, pourquoi veut-on qu’il y ait un magnétisme animal ? Un magnétisme minéral ne suffit-il point?... Pau
èue expliquer, z-vous tant de plK'noniénes constatés dans l'organisme animal ? Dites-nous coin ment s'opèrent le mouvement de l
les sciences et les arts. Les étonnants phénomèoes de l’électricité animale avaient fixé son attention, pi, piiJgré les coQvu
pour attester que les Grecs non-seulement connaissaient le magnétisme animal , mais qu’ils l'ont étudié comme une science disti
e partie de whist a été ensuite organisée. Pas une fois l’intelligent animal ne s’est mépris sur les couleurs jouées, sur la c
agent que de magnétiser des êtres endormis, hommes, femmes, enfants, animaux mêmes : on troublera bientôt leur sommeil et on d
it. » La justesse de cet axiome s’applique parfaitement au magnétisme animal dont je vais vous entretenir un instant. Entrev
siècles derniers par un grand nombre de physiologistes, lemagnétisme animal ou plutôt la propriété qu’ont les corps organisés
vous seuls apprécierez les causes. Que ce soit pour moi le magnétisme animal ou le fluide nerveux qui soit l’agent de ces phén
par un agent tout k fait indépendant de l’imagination, de la chaleur animale et de l'é-réthisme de la peau, comme j’assure l’a
à vapeur, les chemina de fer, le télégraphe électrique, le magnétisme animal , les pluies de grenouilles, les crapauds vivant d
ènes de ’hypnotisme et de ce qui constitue le fait réel du magnétisme animal . Je reprends le travail de M. Guerry. Voici,
ctateurs. Je ne doute pas qu’elle ne dût réussir de même sur d’autres animaux . « Pour compléter sa description, le P. Kircher d
une cité bien réglée où chacun travaille au bien-être de tous. Et cet animal qui ne vit que pour manger et dormir, vous le l'e
as aaos importance. n Quant au magoétUme, et surtout au iDagaétisme animal , nom croyons que son action sur l’organisme s'est
nnées c[ui vinrent peu apnSs le c61t>bre rapport sur le magnétisme animal , que la coinraissiou nommée par le roi en 178A s’
ne médecin, M. Foissac, de soumettre à UD nouvel examen le magnétisme animal , que dans ta séance du 11 octobre 1826 «ne commis
de savoir s'il était possible que C Académie s'occupât du magnétisme animal ; que le 13 décembre suivant un rapport fut fait p
ale serait chargée d’examiner de nouveau les phénomènes du magnétisme animal , et le 28 février suivant une commission ad hoc d
ques passages (1). (I) Voir rapports et diKUSSIooisar le magnétisme animal par M. Fois uc, p. 191 el sulv. La commission a
p. 191 el sulv. La commission a constaté l'existence du magnétisme animal , du somnambulisme et de certains phénomènes qu'il
ois insuffisantes, faites antérieurement à !a pratique ilu magnétisme animal . Lst-ce une preuve d’une ignoi'ance incroyable de
ceux qui ont dit, redit sur tous les tons et publié que le magnétisme animal n'était que jonglerie et charlatanisme, el n'a sn
faveur des spiritualiates ; mais qu'on veuille faire attention que l’ animal en est doué tout comme nous ; et qu’alors on veui
races vivantes ont parcouru le monde, elles ae sont magnétisées. Les animaux , lorsqu’ils s’attaquent, cherchent tout d'abord à
se rationnelle, si l’on veut arriver à la vulgarisation du magnétisme animal , et à l’acceptation définitive de cette nouvelle
retiraient avec la ferme conviction que les phénomènes du magnétisme animal n’étaient pas une pure illusion, une jonglerie, n
r des faits de somnambulisme et d'extase. iet MyitèTU du magnéliimt animal et i» la magie divoilie, ou la Virili tur le metm
i y sont propres, et comparés avec celui qui sort de la mine du noble animal , dans lequel ils affirmiitit qu’il est une vertu
que de ceux que produit la mer, ce qui est la pierre carrée du noble animal , dont toutes les parties sont préservées de l’inf
savant de nos jours qui ail cru qu’une dissertation sur le magnétisme animal ne serait point déplacée dans une des plus savant
à son opinion. Il est vrai que la question, lantdébattue dn m^nétisme animal est trop ardue pour qu’il soit facile d’en parier
et de ses méditations l’hypnotisme, qui n est autre que le magnétisme animal sousun nom différent, nous n’avons iju’à le remer
rre manie de ne vouloir point adhérer à l’hypothèse d’une électricité animale , ils l’ont toujours repoussée comme une véritable
venir brûler de l'encens à leur autel. n en est ainsi du magnétisme animal . Jamais science n’eut à essuyer plus d'amères déc
pour repousser les corpuscules voisins. Toutes les sensa-u tions des animaux sont excitées, et leurs membres, quand (i leur vo
la lîevtie des Deux-Mondet : K Tout l’organisme des plantes et des animaux fonctionne » par l’électricité. « L’électricité
s, qui, à coup sùr, n’avaient jama'ii entendu dire qu’une électricité animale existait pour qu’elles aient pu songer à a’en ser
’antiquité, la magie ou science occulte était basée sur le magnétisme animal . Elle ne faisait point alors paitie, comme aujour
les épileptiques, les aliénés peuvent prédire leurs accès, et que les animaux possèdent aussi le même instinct ; mais que peut
es sens. Le phénomène de l'insensibilité provoquée par lemagnétisme animal , bien constaté aujourd'hui par l’hypnotisation, p
ion de discuter quelques-uns des principes fondamentaux du magnétisme animal . Et d’abord je poserai cette question : — Les
question : — Les faits qui sont désignés sous le nom de magnéllsine animal constituent-ils réellement une science exacte?
el qui engendre toutes les forces naturelles, physiques, chimiques et animales , ’ U. le docteur Reichenbach donne encore à cet
echerches de M. Phipson sur les causes de la phosphorescence chez les animaux , les plantes et les corps inertes; 3° les études
fournir un gi-and nombre de preuves matérielles tirées du magnétisme animal proprement dit, pour démontrer l'eccistence d’m f
rnes. 2” L’effet phosphorescent que produisent les yeux de certains animaux , principalement ceux de la race féline. 3° Le p
à le diriger avec méthode, tel est le but de la science du magnétisme animal . Cette science a sa place marquée entre la physiq
réer l’homme et la femme, elle avait, comme daos les autres espèces d' animaux ,' songé à créer le mAle et la femelle. Sa grande
éro. Puges 17 et suivaulcs. gH par le roi de C examen du magnétisme animal . Après avoir parcouru avec intérêt tout cet artic
on fait tant de bruit en ce moment, et le mesmérisme ou le magnétisme animal ne sont bien évidemment qu’une seule et mCme chos
aître, Disait un Ane savant. Savant, comme on en voit tant, Aux animaux du village. Qui, selon l'aotique usage. Se ra
bsnton, Cuvier, Dumas ou BufTon, D'Âteœbert ou Fontenelle ! Des animaux la séquelle Applaudit à ce discours Digne de poli
aux épreuves qui ne tarderont pas d’avoir lieu, pour étudier sur les animaux cette intéressante théorie, si longtemps repoussé
encore en vie. On se tromperait en opérantsurdes poissons ou autres animaux à sang froid i nous dirons un jour pourquoi i on
se tromperait également » opérant sur des chiens, des chats ou autres animaux domestiques, sur lesquels on a coutume d’expérime
sles deuxi car il y alamèmediffécenco «ntpe tesinfusoireaqu'eBtre les animaux susceptibles de reoenroir la catiüeptisation \ uu
e pas^r. Il ne suffirait pas cependant d’enfermer hermétiquement «n animal et de le laisser périr lentement dans l’air confi
des qui ne tarderaient pas à porter la destruction dans le corps do l’ animal étouffé et non cataleptisé i mais il suflirait de
ntendu parler des eiïets merveilleux qu'on obtenait par le magnétisme animal ; mais n'ayant point été initié à la science subU
? Est-ce que ces espèces de princes de la science médicale, molécules animales si nuisibles à rijumaoitô par leur préscoipiion,
osé dans sa défense à fl. 33 de peu valoir, attendu que le magnétisme animal dont il déclare se servir, comme moyen de guérir
e magnétique ; de sorte que l’appelant en ayant employé le magnétisme animal pour guérir les maladies sans présenter le diplôm
ucinations qui portent certains individus à se croire transforiaôs en animaux , ont été ilc tout temps assez fréquentes. Dans
t surtout le troisième volume qui vient de paraître sur le magnétisme animal , ne pouvait manquer d’attirer l'attention des mag
s et dignes de foi. Nous allons en emprunter àrhistoire du magnétisme animal de M. Figuier quelques-uns qui supposent ¡a lucid
nt historique (3). » Le volume est consacré à l’étude du magnétisme animal , et par conséquent de l’état magnétique qui en es
ogique pour ramener au «aturel les préte)\dns mys-hres (lu magnétisme animal . » Mais ces importantes lumières n’ont point fr
umières pour ramener au naturel les prétendiis mystères du magnétisme animal ), nous ne nous flattons pas d’avoir tout dit, ni
ent st des domainea. s ESSAI D’UNE NOUVELLE THÉORIE DU MAGNÉTISME ANIMAL , Par Léopold Warlomoni. « cm un devoir, une i
ur pour le bien commun. • Paul'Lools CovRiEiu Quand le magnétisme animal reposera sur des principes nettement conçus et dé
quant, avec raison.l'bjpnotisme comme une manirestation du magnétisme animal , on coodamoe de Tail la doctrine du fluide magnét
é de développer un système plus ou moins compliqué (cristal, végétal, animal ), et celles qui favorisent le perfectionnement su
s, dont la décomposition putride pounait compromettre l’existence des animaux supérieurs. Des attributs de la Divinité, oa do
e les astres et les corps organisés. (Docteur Âlpb. Teste, Magnétisme animal expliqué, p. ISl.) Ces données admises, il est
ubstance. Elle est l’apanage du règne végétal aussi bien que du règne animal , et c'est à tort que la plupart des auteurs, se l
ion de l’objet magnétisé. Quand uu tigre a été maté par un domptenr d’ animaux , il tremble dès qn’il s’aperçoit de son appi-ocbe
convaincre mes lecteurs de la possibilité de soumettre le magnétisme animal au raisonnement rationnel, en assimilant ses opér
eiîets si rapides, si sauveurs, chez les enfants et, dit-on, chez les animaux , que, nonobstant ia gravité, le péril, l'extrémit
que des forces tirées, autant que possible, des végétaux frais et des animaux vivants. Que rénonciation de Pahnemann semble r
tte négation absolue. Il repoussait la réalité du pré-undu magnétisme animal , et cependant, vilaliite de conviction, il déplor
. Il voit autour de lui des fantômes, des personnages effrayants, des animaux monstrueux. » — On était venu dans la soirée me p
ier, ayant pour titre : Essai Tune nouvelle théorie du magtiélisiiii' animal , par Léopold Warlomont, a, comme nous I'“ prei-ic
de mieux éludicr. M. AViU'lümoiit écrit : (1 Quaiid le magnétisme animal reposera sur des principes a netiemont conçus, ol
rlomont, qui se résume dans la possibilité de soumetU'e le magnétisme animal au rationalisme, en assimilant ses opérations à d
maître. Je viens de lire YE$sai(Cune nouvelle théorie du magnétisme animal , par M. Warlomont, ainsi que la lettre qui accomp
er tout particulièrement de ce qui a trait à la science du magnétisme animal . Avant d’aborder directement cette question, je
r une opposition systématique pour tout ce qtri a trait au magnétisme animal , les savants officiels s'étaient donné la peine d
, ce n’est poiot réfuter. D’autres écrivains traitent du magnétisme animal sans avoir jamais;jr/7/i9w'cette science; Ton sai
raît ignorer encore les notions les plus élémentaires du magnétisme animal : par exemple, il cite l’hypnotisme comme un ai g
omont. J'ai peu lu les divers auteurs qui ont écrit sur le magnétisme animal ; mais, en revanche, j’ai beaucoup pratiqué. Je n
es, pour leur plus grand profit, peuvent hypnotiser ou magnétiser des animaux et môme l’homme ; la peur, l’elTroi hypnotisent ;
e saine raison d'oser môme le penser? Qu’est-ce que l’homme, sinon un animal fol et malin, et plus misérable mille fois que to
us ne soyons pas accablés par tant de maux. a Ah ! s’il n’est pas d' animal plus excellent que l'homme, que serait l’auteur d
uoi ! un lieu si petit et si vil sera peuplé de poissons, d'hommes, d' animaux , d'oiseaux, de bètes féroces, etc., tandis que le
aux bêles, qui sont de si petits, de si misérables et de si ridictdes animaux ? Certes, le Tout-Puissant a su, a pu et a voulu
agent par la jonction vicieuse de la matière. « C'est ainsi que les animaux se sont multipliés; c'est de celte vertu créatric
éatrice que procèdent les cerfs, les renards, les lions el les autres animaux contenus dans notre tourbillon. « En un mot, to
e la vie universelle, et successivement de.lu vie végétale, de la vie animale et de la vie humaine. Après avoir posé ces vastes
s prête à se révéler aux investigations de l'homme. « Le mngnétlsme animal consiste dans l’art d’employer et de diriger la f
tance, pour avoir généré notre terre et tout son mobilier....hominal, animal ,végétaleiminéral,enrecélait inéluctablement les p
lle, n Charles Richard, (idon.) (2) On saitquc l'ètre humain et les animaux supérieiira dans l'existence embrvoniiaire, sr tr
i'encc lors de leur achèvenient parfait- a D'après ce principe, les animaux les )>lus inférieurs pmirraicnt être considéré
fforts salutaires. qu'on a pu avoir jusqu'à ce jour sur les espèces animales et sur leur« apparitions successives et toujours
sidérations qui pre-ci'Hcnt, l’on est conduit à conciureque les races animales , le plus en plu» pciTcclionnées dans leur organis
is le chemin suivi, pendant des milliers de sibcles, par la substance animale , pour arriver à produire notre espèce? « L’on t
dota 1 homme de deux privilèges au-dessus de toutes vaines choses des animaux , savoir : la pensée et la I»role, qui jouissent é
s questions scientifiques qui se débaltent chaque jour. Le magnétisme animal a surtout attiré mon attention comme formant la q
e doctrines qui, rapportant à l’âme tous les phénomènes de l’économie animale , semblent devoir rester le patrimoine des esprits
este pas que celle-ci ne soit supérieure à celui-là, puisque tous les animaux sentent et que l’homme seul est doué de véritable
ité, comment se ferait-il que l’tiomniu soit précisément, de tous les animaux , celui dont l’cnfance réclajne le plus les secour
is (édition Labé 1856), et vous lirez, p. 960 : n Quant au magnétisme animal et à ses prétendues merveilles, ce qu’il y a de p
rédulité humaine ! » Parce que la science n’accepte pas le magnétisme animal , cesse-t-il d'être une puissance formidable dans
signification de ces dernières expressions. D'après moi, la vitalité animale ou végétale, comme toutes les propriétés dc la ma
fera dans son esprit que lorsqu’il concevra que (a vie, le magnétisme animal ou minéral, Téleclricité, fa lumière, la chaleur
t par perte d’agitation) pour i-eprendre ses forces, aussi bien qu’un animal ponr retremper les siennes, et je n’apprendrai k
e eu tort d’énoncer que mon système permet de soumettre le magnétisme animal au rwsonnement rationnel ? Avec toute la bonne
. N’ayant jamais eu Voc-casion d’admirer les phénomènes du magnétisme animal , ne connaissant cette science que de nom seulemen
ez. Vous dites : tous les êtres de la création, minéiaux, végé-aux, animaux sont vivifiés par un agent vital, et la matière [
phes^ que ie minéral que vous détruisez, la plante que vous brûlez, l' animal qui meurt ne laissent point dans les sphères de l
oncüons detenues nécessaires (*). « Lorsque la volonté détennioe un animal à une action quekoncfue, les organes qui doivent
ture ; mais on en répandit à certaine dis-tonce. Lorsque la faim de l' animal fut asseï prononcée, la cage fut ouverte et, tand
plusieurs pas en arrière, etc. Le doctftur Sue a décapité quelques animaux , pour y rechercher la durée de persistance des mo
Paris. 1797.) De semblabli^s exemples sont surtout communs dans les animaux h. sang froid, parliculièrement dans les Insectes
de sa doctrine *e réduisent aux suivants : Les âmes des hommes et des animaux sont de même essence (•) ; elles (*) Quo l'orgT
imes, elles sont renvoyées sur la terre pour passer dans le corps des animaux immondes, dont les inclinations s'accordent avec
eurs anciens vices. Leur transmigration se fait ensuite des plus vils animaux aux plus nobles, jusqu'à ce qu’elles soient digne
tranchiez çl^s çjir les prétendus effets de Pi-magination, etc. Les animaux et les enfants présentent la plus belle chance au
on pour les rendre. Baron Du Potet. ÉTUDE RATIONNELLE DU MAGNÉTISME ANIMAL . Troisième IcUre (1). PRINCIPES rOHDAUENTAUÿ.
phénomènes physiologiques qui constituent cette branche du magnétisme animal que les savants de l’époque désignent sous le nom
s rapports. On doit donc se familiariser avec l'étude du magnétisme animal proprement dit avant d’aborder les expériences hy
ale, etc., joue unrClc important dans tous les phénoniüiies de la vie animale . ie principe nerveux o\i fluide vilal n'est rie
cèdent. APHomsiiB. — Il ressort de Vétude approfondie du magnétisme animal que toutes les crises nerveuses et tous Us phénom
cherchent à accréditer dès idées aussi peu fondées 1 Le magnétisme animal présente, suivant riwi, des phénomènes assez extr
une douzaine d’années que je m'occupe particulièrement du magnétisme animal . Je crois donc utilede prévenir les personnes qui
ront-ils franchement lesvérités que présente la science du magnétisme animal ? Ce jour viendra, j’en ai la ferme conviction.
e et se trouve encore dans cette catégorie, cest certes le magnétisme animal . Là les faits se présentent, ils sont constants
ndre palpable, par une théorie quelconque, les mystères du magnétisme animal . mais nous demandons à ceux qui nient sa puissanc
la science recueillir tous les faits qui se rattachent an magnétisme animal avec un esprit d’impartialité sérieuse, étudier l
ignage en notre faveur et une promesse pour l’avenir. ¡I Magnetismo animale considerato secondo ¡e kgqi della natura, e princ
. Ether-pantogène (l’). Essai d'une nou velle théorie du magnétisme animal , fondée sur l'existence hypo thétique d'un éther-
êtres; par M. Warlomont, 395, 539. Etude rationnelle du magnétisme animal , par M.d'Arbaud, 204, 256, 460, 533, 593. Exerc
. Ame.. Réviviscence. Indications de M. Jo bard sur les espèces d' animaux susceptibles de reprendre le mou vement, après un
sie hypnotique, 37, 41, 110; — magnétique, 176, 321, 470, 557, 620. Animaux hypnotisés, 41 ; — doués de lucidité, 82; — fasci
i Ma gnétisme mystiaue. Hallucination. Hommes se croyant changés en animaux et agissant comme si la métamorphose était réelle
etirent généra lement convaincus, 111. Effet plaisant du magnétisme animal sur l'Académie de médecine. Petite satire par M.
L’Académie de médecine de Rio-Janeiro, considérant que le magnétisme animal est une brandie de l’art de guérir, condamne M. M
G. i tous les amis du magnétisme, 266. Mytères (les) du magnétisme animal et de la magie dévoiles; ou la vérité sur le mesm
7 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
té doués de ce précieux instinct que possèdent à un si haut degré les animaux sauvages? (¡e discernement exquis entraînait néce
32, liv. II. (5) Élcm. de Médecine, t. Il, p. MO. (C) Électricité animale . Lu professeur Esquirol voyait dans le somnambu
ffinité avec cet admirable prédisposition intuitive de la plupart des animaux . Le fœtus vit comme les végétaux, par intus-sus
la domesticité annule en grande partie les facultés instinctives des animaux , pourquoi la civilisation ne produirait-elle pas
e là, soupçon que la tendue était creuse, et que, sans doute, quelque animal très-inolfensif était le grand terroriste de la c
sme, indique les analogies et les différences des deux magnétismes, l’ animal et le minéral ; puis, dans une exposition rapide,
découvrit ce dernier, l’inclina lentement, et nous montra le terrible animal enroulé dans le fond. A la vue de cette masse fla
me plusieurs le prétendent, une plante antipathique à ces redoutables animaux ? En considérant les diverses épreuves qu’il fit
dont elle était armée. Des frissons de colère agitèrent le corps de l’ animal , qu’Oléda frappa vigoureusement à plusieurs repri
le 25 juillet dernier, dans le but d’étudier les effets du magnétisme animal dans l’atmos-splière, M. Jules de Rovère n’a pu,
rée Congrégation de l’inquisition a déclaré que l’usage du magnétisme animal est illicite, spécialement à raison du danger qui
nts. Quant au point de vue médical et thérapeutique du mar gnétisme animal , et pour tout ce qui regarde les singuliers phéno
prussique et tous les poisons, et si, d’un autre côté, le magnétisme animal guérit des maux que la médecine ordinaire ne guér
Les trois points de vue sous lesquels l’auteur envisage le magnétisme animal y sont traités avec une science et une sagesse di
s phénomènes physiques qu’il a observés dans l’exercice du magnétisme animal . Comme dans mon premier envoi, l’un des exemplair
oulu m’envoyer le nouvel opuscule de M. Charpignon, sur le magnétisme animal . Quoique je sois très-occupé, je tâcherai de le p
t son auditoire a parfaitement compris qu’il s’agissait de magnétisme animal . — Un savant théologien allemand, M. C. Sholl,
u’il eu soit de cette théorie encore vague et mystique, le magnétisme animal n’a d’effet sur l’organisme qu’en agissant sur no
ser de bonne foi. « Dès le moment où il est avéré que le magnétisme animal peut avoir une action quelconque, il entre dans l
la possibilité d’agir, en certains cas, sur les sens et les fonctions animales , par la puissance de la volonté concentrée? « S
s applications de cette science encore au berceau, appelée magnétisme animal . « Sans entrer dans les illusions de ses adepte
qui furent faites par les assistants. F. SOEHNÉE. 2° VUE CHEZ DES ANIMAUX DÉCAPITÉS. Hérodien rapporte que des autruches,
tranchée sur un billot. Ce qu’il y a de plus singulier, c’est que cet animal , ainsi mutilé, se dirigea vers la cuisine d’où on
à douze ans au moins, je m’aperçois de plus en plus que le magnétisme animal est une occasion d’immoralité et de scandale. Je
aissiez ma profession de foi catholique et médicale sur le magnétisme animal ; ma manière de voir à ce sujet se trouve tout en
iocè.-e l’exercice de l’art du rebouteur et la pratique du magnétisme animal . Ces deux parties de l’art de guérir, non plus qu
bien longtemps, j’ai gémi des abus qui peuvent résulter du magnétisme animal , confié ou abandonné à des mains imprudentes ou
s, et qui semble parfaitement convaincu de la puissance du magnétisme animal , n’ait pas encore soumis cet agent thérapeutique
ut à fait illusoire dès qu’elle devient inexécutable. Le magnétisme animal , Monseigneur, est un fait avéré, et son existence
ur «le guérir ou de soulager, en employant à leur égard le magnétisme animal comme auxiliaire des eaux, je n’ai reconnu de pas
point aussi exclusifs que Votre Grandeur sur l’article du magnétisme animal , il me semble que leur manière de voir a bien que
depuis et malgré le decreto, autorisé la libre pratique du magnétisme animal à tout médecin offrant garantie de science et de
’on ne saurait raisonnablement refuser à la Divinité. Le magnétisme animal , Monseigneur, et les phénomènes qu’il détermine o
is Dieu, Monseigneur, s’y montre partout!!! En effet, le magnétisme animal est, à proprement parler, la médecine de la natur
ressources de l’art. Je dirai plus encore, Monseigneur, le magnétisme animal est la seide médecine qui soit sans danger pour l
ulsions, et toujours avec succès; lesquelles font ainsi du magnétisme animal sans le savoir. Quant au somnambulisme, c’est,
êt pour Votre Grandeur, quelle que soit son opinion sur le magnétisme animal . Veuillez en agréer l’hommage de la part dos aute
oser entre vous et moi une correspondance polémique sur le magnétisme animal . Ces lettres feront comprendre à Votre Grandeur q
réfléchissant bien, Votre Grandeur n’adopte bientôt sur le magnétisme animal une manière de voir plus conforme aux faits qui s
re, et que je résumerai comme suit : Io Ce qu’on appelle magnétisme animal existe réellement : 2° C’est un agent naturel e
elle peut l’entendre, auprès du gouvernement, au sujet du magnétisme animal , des mesures conservatrices des mœurs et de la re
age l’étude des admirables phénomènes qui se rattachent au magnétisme animal et au somnambulisme, phénomènes dont l’étude est
é sans réponse. A S. M. VICTOR-EMMANUEL II. Sire, Le magnétisme animal a subi le sort de toutes les grandes découvertes
onservation de la santé et pour la cure des maladies. Le magnétisme animal a donc un immense avenir, et le temps est désorma
mon courage et mon zèle dans l’étude et la propagation du magnétisme animal . J’ai été le premier parmi les Italiens qui ait o
ne, le lecteur peut se faire une idée précise et claire du magnétisme animal ; Traité dont j’eus l’honneur, au mois de juillet
donner à ceux qui en ont besoin. Il est donc clair que le magnétisme animal , employé au soulagement de l’humanité souffrante,
voulut donner à quelques gentilshommes du pays une idée du magnétisme animal . On lui amena pour cela une jeune villageoise, fr
— 23 Mans 1853. 6 tat; mais je craindrais que Yini/it/in/iiion de l’ animal ne fût affectée du transport ou préoccupée d’un n
i aucune part à ce succès, je u étais jamais parvenu qu’à engourdir l’ animal . « B. d'OURCIIES. » Bougival, octobre 1848.
e le nom du signataire de cette lettre; car sur la cage de beaucoup d’ animaux 011 lit : « Donné par M. le comte d’Ourdies. » ('
lle sent que je vois ses malices. » Au bout de quelques instants, l’ animal perdit sa contenance, et l’on vit apparaître les
rmi par le magnétisme un chat, des chiens, une poule et divers autres animaux domestiques. Le sommeil, chez eux, était-il réel,
ulisme, bien qu’il en diffère essentiellement. On se demande si les animaux , qui rêvent comme nous, ne sont pas aussi suscept
’entendre sur les recherches qu’il importait le plus de faire sur cet animal . HÉBERT (de Camay). 2° RÊVES ET PRESSENTIMENT
amment de l’agrégat matériel de l’homme, •■t sur lequel le magnétisme animal n’a aucune action directe, mais entre ces deux êt
elque chose que Dieu, dans sa providence, a donné à l’homme comme aux animaux , aux végétaux, peut-être même, selon leur destiné
evait se trouver ; c'est sur le principe de vie qu’agit le magnétisme animal . Ce principe produit l’instinct et tous les actes
iriger les actes, il ne s’éloigne jamais de la ligne des besoins de l’ animal , ni, par conséquent, de ce qui intéresse la conse
il sera toujours le meilleur guide, le meilleur des médecins, quand l’ animal se trouvera dans un état de souffrance. C’est aus
e souffrance. C’est aussi à cela que l’on doit attribuer que tous les animaux , plus ou moins, sont impressionnables au magnétis
l’âme enfin, ne se trouve pas sous l’influence directe du magnétisme animal . Vous avez pu voir, Monseigneur, dans les pièces
leterre, l’Allemagne et la France ont des journaux pour le magnétisme animal . Il est peut-être temps que l’on fasse paraître a
upent avec ardeur de l’étude des phénomènes merveilleux du magnétisme animal , pour qu’ils veuillent bien regarder ce recueil c
ne la confond pas facilement avec l’erreur. Les faits du magnétisme animal sont encore trop nouveaux et trop singuliers pour
es et arts de Milan, ont proposé des sujets de prix sur le magnétisme animal . Courage donc ! et ceux qui voudront s’amuser à j
1 résultera évidemment de ces citations, qu’en refusant au magnétisme animal une place parmi les choses existantes et dignes d
ur utilité un jour; car la persécution du moment contre le magnétisme animal finira certainement un jour, peut-être même bient
relever mon erreur, et vous feriez bien. Voilà le cas du magnétisme animal , dans l’état d’enfance où il se trouve en ce mome
ases positives, sur la vérité. Dans celle qu’on a nommée magnétisme animal , cependant, il faut observer que cette chose, cet
e, dis-je, n’a pu être étudié aussi facilement que les autres fluides animaux , plus grossiers et qui, à cause de cela, tombant
semble se diriger d’une manière toute spéciale sur cette portion de l’ animal qui le reud vivant et l’anime; et c’est là, sans
i vous paraissent si étrangers... 11 est de la croyance au magnétisme animal ce qu’il est de toutes les croyances. Souvent les
e la nature, et les sujets sur qui nous les employons, l’homme et les animaux ; mais, pour notre malheur, nous ne connaissons p
’habitude que j'ai acquise, Monseigneur, des phénomènes du magnétisme animal , par l’étude spéciale que j’ai faite des affectio
gés et des craintes mal fondées qu’on a allégués contre le magnétisme animal , à l’occasion de l’intervention prétendue de cert
de leur incorruptibilité, supérieure à celle de toute autre substance animale , de l’état d’horripilation qui les affecte dans c
encore que tout autre, parce que nous avons dû étudier l’homme et les animaux d’une manière plus spéciale. Et cette étude nous
spiration, la cessation complète ou une notable diminution des odeurs animales s’exhalant communément de certaines régions du co
t pra- tiquer soi-même, et c'est ce que n'a fait pour le magnétisme animal aucun des coryphées de la science; cependant, Mon
s et des pressentiments, etc., etc. ; c’est aussi celle du magnétisme animal et de ses merveilles : la pratique et les laits n
t, et se sont trouvés à portée d’étudier les phénomènes du magnétisme animal , comme j’ai pu le faire dans ma longue et pénible
nt une longue appréciation d’un travail de M. Arago sur le magnétisme animal . M. l’abbé Moigno, en commentant ce travail, s’am
nt une table, de forme ronde, sous l’action présumée de l'électricité animale . Voici le fait, tel que le rapporte le signataire
’expliquez-vous, ce singulier phénomène? Par un courant d’électricité animale polarisée? Polarisée, dis-je, car j’oubliais une
enant aux diverses sphères, l’heureux voyageur retrouve quelquefois l’ animal ou l’oiseau favori dont il a été aimé sur la terr
privilèges de l'immortalité. Ce fait paraît être rare, la plupart des animaux terrestres se trouvant résolus dans leurs élément
liquer autrement qu’en supposant que l’affection qui a existé entre l’ animal et son maître l’aurait doté d’une sorte d’âme sup
entateurs, ne se montre aucunement influencée. Est-ce le magnétisme animal , est-ce le diamagnétisme? La suite des expérience
e la véracité de ce que. j’avance. J'ai voulu étudier le magnétisme animal , et je l’ai fait sans prév ention, sans parti pri
rdinaire. Je ne sais si tu as entendu parler de l’efTet du magnétisme animal sur une table; d’après une lettre d’Allemagne que
homme qui, par la seule puissance du regard dompte le plus lier des animaux , qui d’un geste fait ramper à ses pieils 1* majes
Le professeur Mettermayer explique ce mystère en ces termes : « Les animaux ne diffèrent des corps inertes que par l’esprit d
d’abord du phénomène à la mode, la rotation magnétique, l’aimantation animale , comme vous voudrez l’appeler! C’est, pour le mom
ni au calorique, ni au magnétisme terrestre, ni surtout au magnétisme animal dont la lucidité mensongère des somnambules fait
, est le produit de la matière; il a des propriétés intrinsèques; les animaux le recèlent ; il est dans tout ce qui se meut, da
e de nos pas, par l’émanation qu’elle laisse, est saisie par certains animaux , le chien entre autres. Un signe quelconque, tr
depuis longtemps, non-seulement pour les hommes, mais aussi pour les animaux domestiques. Il n’est pas absolument nécessaire
e dose de l’émanation vitale appelée fluide magnétique ou électricité animale , se meuvent, obéissent, répondent, comme des somn
ut le premier qui développa scientifiquement la théorie du magnétisme animal , et qui expliqua les cures magnétiques par la com
e d’un mode particulier d’actions électriques inhérentes à la matière animale . « Etudions pratiquement le magnétisme, consult
sphère et en la surcomposant d’une nouvelle physique, d’une physique animale , le magnétisme animal fera disparaître une foule
posant d’une nouvelle physique, d’une physique animale, le magnétisme animal fera disparaître une foule de préjugés et d'erreu
ns de la nature, comme disaient les anciens. Chez l’homme et chez les animaux , la matière est gouvernée par l’intelligence et p
l’homme l’intelligence pour mobile et pour guide; aux végétaux et aux animaux l’instinct ; aux corps inorganiques l’affinité et
qu’à la connaissance de l’être qui a tout créé. Par leur instinct les animaux choisissent le terrain qui leur convient, ils.che
soumise aux lois d’une mécanique supérieure, cette admirable machine animale , dont les plus beaux monuments de l’art offrent à
fections se retrouvent. ttlEn effet,'matérialiser par l’électricité animale les phénomènes purement vitaux et les Teporter to
nc, sans déroger aux principes religieux, on peut admettre que la vie animale dépend de l’électricité vitale, comme la vie mora
y a trois cents ans. Eh bien, il en a été de même pour le magnétisme animal ; il a eu aussi ses temps fabuleux, mais ses dest
s touchons à l’époque ou il prendra sa place à la tête de la physique animale , et donnera physiquement la solution d’une foule
du mouvement de certains corps inertes sous l’influence du magnétisme animal , dans de certaines conditions, est donc un fait m
hénomènes les plus extraordinaires que puisse présenter le magnétisme animal , et dont toutes les Facultés du monde ont jusqu’i
ocument est inédit. CONSULTATION. (( Les phénomènes du magnétisme animal , dont quelques-uns sont évidemment surnaturels, e
sur de jeunes filles, ont donné lieu de soupçonner dans le magnétisme animal une source impure et tendant au vice, ainsi que l
bles, l’existence des phénomènes extraordinaires du susdit magnétisme animal , phénomènes tout à fait analogues à ceux du jansé
cl’en douter (1). « Un des effets les plus ordinaires du magnétisme animal , est de frapper d’inertie et d’insensibilité le c
ieu eu 1820. M. Rostan. Dictionnaire i.e Médecine, art. Magniilismo animal . Dcleuzc. Bibliothèque du Magnétisme, n° 13.
bulisme, ch. 5. Journal des Débats du 22 juin 1829. Du Magnétisme animal en franco, § 270. Delcuze. L’Iicrmès, t. IV.
elcuze. L’Iicrmès, t. IV. M. du Potet. Le Propagateur du magnétisme animal . » quefois d’un simple commandement donné, même
out en Allemagne, la puissance colossale et mystérieuse du magnétisme animal 11e résidant pas dans les forces occultes du magn
s aux somnambules, et moins encore dans celles des autres hommes, des animaux ou des êtres inanimés, il est hors de doute qu’on
eur santé. » « Dans le Dictionnaire de médecine, article magnétisme animal , le Dr llostan a dit encore : « La somnambule c
t secrcl sur le Magnétisme, dans sen ouvrage in!i'u!ê : Du Magnétisme animal et de scs /'artisans. Bajlc. Dictionnaire histori
ombre d’autres authentiques témoignages, que le soi-disant magnétisme animal est. immoral, on le prouve encore par l’effet qu’
et sur l’ordre moral par l’influence connue sous le nom de magnétisme animal , ne peuvent plus être révoqués en doute que par c
atique de la chose. Déjà la table craquait sous la pression du fluide animal . Tout à coup, à la 26° minute, une jeune dame tom
ui se produisent alors que l’on a désigné sous le nom de miif/nâtismc animal . Au point de vue le plus général, le magnétisme
du lluide magnétique en invoquant ses effets généraux sur l’économie animale . ¡1 est une foule de personnes malades ou bien po
a fenêtre se trouvait précisément à ce moment un chien de chasse. L’ animal a reçu la table sur le dos, et, saisi de vertige
ans l’œil frappé d’amau-rose, ainsi que dans l’œil de l’homme ou de l’ animal mort. Lors donc que nous disons que l’image const
à Toulouse la seconde édition d’un livre intitulé Étude du magnétisme animal , qui sera prochainement l’objet d’une analyse dét
ès-extraordi- naire, à la suite d’une expérimentation de magnétisme animal . Cette dame avait fait partie de la chaîne autour
fluides impondérables connus. « IK PIETRA SANTA. » 1“ Magnétisme animal . Enfin, plus hardie que les autres feuilles sav
té vitale, déjà et depuis longtemps étudiée sous le nom de magnétisme animal . Quelle que soit la destinée de cette découverte,
«lu xix' siècle discute la grande et délicate question du magnétisme animal .» On pourrait croire, d’après cela, que Cuvier, L
ques explications. Néanmoins il nous paraît certain que le magnétisme animal joue ici un grand rôle. En effet, la chaîne des o
les mettait en fuite seulement ou les faisait passer dans des corps d’ animaux . Lui-même, le fils de Dieu, fut transporté sur un
nements, au bureau du Journal. BIBLIOGRAPHIE. ÉTUDE DU MAGNÉTISME ANIMAL sous lo point do vue d'une exacte pratique, sui
. 1 vol. in-8. Prix : 5 fr.; par la poste, 6 fr. (1). Le magnétisme animal a fait éclore un très-grand nombre d’ouvrages; et
les temps passés.... Le globe bouleversé se fend par parties.... Des animaux , hauts comme les pyramides, sont engloutis dans l
e deux catégories très-distinctes : le somnambulisme et le magnétisme animal . « Le somnambulisme, faculté résultant d’une ma
e catégorie. Passons à la seconde, désignée sous le nom de magnétisme animal . « Tel est celui que nous rencontrons dans l’es
uels ils paissent sont ouverts, il faut savoir suivre les traces d’un animal et les distinguer au milieu de mille, savoir s’il
me. Expérience de magnétisme en ballon, par M. Jules de Rovère, 84. Animaux magnétisés. Singe amené au premier degré de somme
7. Vue à distance, 43, 392, 547, 570, 572, 607, 625. Vue chez des animaux décapités. Faits cités par M. de St-Agy, 111. Z
décapités. Faits cités par M. de St-Agy, 111. Zoo-magnétisme. Voy. Animaux magnétisés. Zoo-magnétoscope ou bio-électromètr
Lapasse. Extrait relatif au magnétisme, 101. Cronica del magnetismo animale . Recueil périodique publié à Milan, sous la direc
rin, 403. — Post-scriptum par M. du Potet, 416. Etude du magnétisme animal sous le point de vue d’une exacte pratique, suivi
8 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
du foie — pre-mier organe de la sanguification et foyer delà chaleur animale , — n'est à peu près que du sang desséché et épais
le grand axe du lobule, car le lobule tout entier, considéré chez les animaux où il est bien distinct, bien délimité, comme il
Quant aux lobules, chez le cochon qui, dans cette matière, est l' animal propre aux études préalables, chacun d'eux est ci
il nu ou armé seulement de la loupe, l'examen du foie. Le foie d'un animal vivant et sain est d'une couleur rouge-brun unifo
ivant et sain est d'une couleur rouge-brun uniforme. Sur le foie de l' animal mort, et surtout sur celui de l'homme, on observe
rt, à l'état de cadavre, pour ainsi dire. Aussi est-ce surLout chez l' animal qu'elle peut être convenablement étudiée. Lorsq
e les cellules hépatiques, prises par dis-sociation dans le foie de l' animal vivant, elles se présentent sous la forme de sphé
e. Ces granulations graisseuses se trouvent à un certain degré chez l' animal et chez l'homme dans une foule de conditions phys
athologique de l'homme. On sait que les cellules hépatiques, chez l' animal récem-ment tué, ont une coloration rouge acajou q
canique q\ie,posimortum, il est possible de produire sur le foie d'un animal cet aplatissement des cellules, en in-troduisant
. 3 injection, n'a pu, jusqu'ici, être rendue évidente que chez les animaux . Cependant, même chez l'homme, l'existence du ré-
èle dans les injections pratiquées sur le lapin, car c'est encore cet animal qui a été utilisé surtout pour ce genre d'étude.
ections, le réseau des canalicules biliaires injectés chez les divers animaux , et en particulier sur le lapin, objet actuel de
3, Bd. 27, p. 565. (2) L'injection dite physiologique se fait sur l' animal vivant. On introduit à plusieurs reprises dans la
la veine jugulaire une solution froide de carmin d'in-digo. On tue l' animal deux heures après et l'on aperçoit alors le liqui
dans le journal de M. Robin (1874). Legros faisait pénétrer chez des animaux dans les voies biliaires, suivant une méthode don
de ces canalicu-les biliaires capillaires, mise en évidence chez les animaux par l'injection, peut être régulièrement démontré
ontrer que l'exis-tence de ces canalicules, mise en évidence diez les animaux par l'injection, peut être régulièrement démontré
mme, dans les traits essen-tiels au moins, de ce qu'ils sont chez les animaux . Fig. 14. — D'après Thierfekler. Pré-paration m
iptions des anatomistes les plus au-torisés dans la matière. Chez les animaux inférieurs, d'après Eberth (1), on voit l'épith
sément qu'il ne s'agit pas là d'une oppo-sition radicale. Le foie des animaux vertébrés inférieurs éta-blit, en effet, entre le
l'existence de ces lacunes dans une expérience qui consiste, chez un animal récemment tué par hémorrhagie, à introduire dans
thorax, une solution de carmin d'indigo. Si Ton examine le foie d'un animal ainsi injecté, on constate que les gros vais-seau
es (3). Cette dispo-sition s'est montrée très accentuée chez quelques animaux dont le foie avait été, dans mon laboratoire, sou
a constaté, à la suite de ligatures de la veine porte faites chez les animaux , une hyperplasie de la capsule de Glisson dans le
nter plus haut, considérait le foie : 1° comme le foyer de la chaleur animale ; 2° comme le siège de la sanguification. Les vei
ssus de sanguification ; b) le proces-sus de génération de la chaleur animale . Ceci accomplit le sang reconstitué, régénéré, se
, ainsi que le croyait Galien, un des principaux foyers de la chaleur animale , un des prin-cipaux organes de l'hémopoèse et la
injectant dans le canal cholédoque du sulfate ferreux. Dans un cas, l' animal a vécu trois jours. Le foie était ratatiné et pré
ng de la carotide d'un chien et du sang de la veine jugulaire du même animal . Or, tandis que pour 1000 le sang de la carotide
ment nombreuses, on a pro-cédé par la méthode des injections chez les animaux . Entre les mains de MM. Pages, Chomjakow, les rés
périences, déjà anciennes, d'extirpation du foie, pratiquées chez les animaux inférieurs par Moleschott et Kunde, le pigment bi
ns de bilirubine, injectées dans le sang, n'occasionneraient chez les animaux aucun phénomène appréciable sur l'organisme. (1
it voir que les mêmes effets s'obtiennent expérimenta-lement chez les animaux par les injections de bile dans le sang. M. Roh
le sang, à dose concentrée, les acides biliaires déterminent chez les animaux des accidents nerveux plus ou moins graves. Nous
la bile, accumulée dans les voies biliaires, examinée au moment où l' animal venait d'être sacrifié, contenait des vibrions. N
faits d'ordres clinique et nécroscopique ; 2° faits observés chez les animaux et ap-partenant plutôt à Tordre expérimental. I
seuse diffuse), déterminée dans les con-ditions expérimentales chez l' animal par des injections répé-tées d'huile phosphorée e
recueillis dans les conditions expérimentales, c'est-à-dire chez les animaux , et qui plaident dans le même sens que les ob-ser
es oiseaux et qui lui avaient montré que l'acide urique qui, chez ces animaux , est le plus grand produit de désassimilalion azo
arenchyme hépatique lui-même et non pas du sang qui l'imbibe, car les animaux mis en expérience avaient été tués par hémorrhagi
ences, instituées par Cyon (Centralblatt, 1870, p. 380). Le foie d'un animal récemment tué est détaché du corps et rapidement
es conditions vitales. On fait passer par la veine porte le sang de l' animal qui a servi (1) M. Munk a avancé récemment que
proportion et d'une façon constante. C'est principalement chez les animaux comme les oiseaux où l'excrétion d'acide urique r
Si l'on injecte une solution de glycose dans la veine jugulaire d'un animal , le sucre passe dans les urines. Si, au contraire
diges-tion des matières sucrées, dans les conditions où se trouve un animal auquel du sucre est injecté dans la veine jugulai
ondre des diffé-rences dans les propriétés physiologiques. Chez les animaux , tandis que Magendie assure n'être jamais parvenu
de corps' étrangers dans celle du canal cholédoque, fait pousser aux animaux des cris déchirants. h) Tel est l'état des chos
animaux des cris déchirants. h) Tel est l'état des choses chez les animaux . L'occasion d'étudier expérimentalement l'influen
ains sujets, et aussi par les résultats des expé-riences faites sur l' animal vivant par quelques physiologistes, et, entre aut
re à cette altération du l'oie. Les expé-riences, instituées chez les animaux , et dont je vous ai déjà parlé, pouvaient faire p
chez l'homme, que les choses, à cet égard, se passent comme chez les animaux auxquels on a pratiqué la ligature. Je relèverai
e tableau. Notons en passant que dès cette première période, chez l' animal au moins, les altérations dont il s'agit suffisen
s recherches de M. W. Legg, le glycogène fait défaut dans le foie des animaux mis en expériences et tués peu de temps après la
il serait impossible, en provoquant des lésions bulbaires chez les animaux ayant subi depuis quelque temps la ligature du ch
d on pratique l'occlusion expéri-mentale du canal cholédoque chez les animaux , si l'on sacri-fie ceux-ci 12 ou 15 jours après l
s les cas où l'on a pratiqué la ligature du canal cholédoque chez les animaux . (Leyden, Charcot et Gom-bault.) L'accollement
qu'on voit se pro-duire dans l'expérimentation physiologique chez les animaux qui survivent à la ligature du canal cholédoque,
e le dire, dans des conditions analogues chez l'homme. Ainsi certains animaux , ceux sur-tout qui continuent à s'alimenter large
par le fait de cette occlusion, de même qu'ils se produisent chez les animaux , d'après Kolliker et Mûller, à la suite de la lig
te pour engendrer les accidents obtenus dans les expériences chez les animaux avec des doses très élevées , chez un chien auque
ne dilatation artificielle de la veine para-ombi-licale qui, chez cet animal , communique surtout avec l'épi-gastrique. Il im
cas où l'occlusion ayant été produite par une ligature peu serrée, l' animal a pu survivre un ou deux mois à l'opéra-tion, le
spéciale pour l'in-digo; en effet, si l'on injecte dans le sang d'un animal une solution très peu concentrée de sulfate d'ind
ion de la moelle épinière au-des-sus du bulbe (Eckhard). Si chez un animal auquel la section de la moelle cervicale a été pr
s quels éléments s'opère l'élimination de la matière colo-rante. Si l' animal a été sacrifié dix minutes après l'injection, on
n, ou, si vous aimez mieux, de l'élimination du bleu d'indigo. Si l' animal est sacrifié, au contraire, une heure ou plus lon
es ; mais cette coloration disparaît bientôt lorsqu'on laisse vivre l' animal , toute la matière colorante entraînée par l'eau p
les expériences de M. Heidenhain une variante fort élégante : chez l' animal vivant, on cautérise lé-gèrement avec le nitrate
nstances: 1° à l'état normal, suivant Klebs et Axel Key ; 2° Chez des animaux expérimentalement enduits de vernis et devenus, p
es biliaires sur le sang ; car Leyden les a observés dans l'urine des animaux dans le sang desquels il avait in-jecté des acide
ormales ; car vous n'avez pas oublié que, dans ces conditions, chez l' animal vivant comme chez l'homme sain, l'épithélium gran
hydraulique de Lud-wig fort ingénieuse et d'ailleurs célèbre. Sur un animal vi-vant, on extrait l'un des reins. Par l'artère
rieures du corps, et plus explicitement qui s'observe chez quelques animaux inférieurs, les reptiles et les amphibies. Si j'a
la circula-tion générale, Voilà pour le système veineux du rein des animaux infé-rieurs. Vous voyez que pour une part, contra
Vous voyez que pour une part, contrairement à ce qui a lieu chez les animaux supérieurs, il constitue un système afférent. Pou
lle je viens d'insister permettra donc d'aborder, à la vérité chez un animal inférieur, la solution expérimentale d'une questi
es sels du plasma. C'est aussi par cette même voie que, chez certains animaux , dans l'état physio-logique ; et chez l'homme, ph
nde quantité de blanc d'œuf non cuit, ou bien encore lorsque, chez un animal en expérience, on injecte cette substance dans le
gère en assez grande quantité ou qu'on l'injecte dans les veines d'un animal . 11 ne s'agit pas là, à proprement parler, d'un f
e s'agit pas là, à proprement parler, d'un fait pathologique, car les animaux , pas plus que l'homme, ne souffrent de cette albu
yrinthe jouit de toutes ses propriétés xutales, car, si, chez le même animal auquel, après la ligature de l'artère rénale, cet
clans les conditions que vous savez. Or, si les reins provenant d'un animal soumis à ce genre d'expériences sont, peu après l
écédents, offrent ce-pendant un grand intérêt, car ils concernent des animaux supérieurs. Je fais allusion aux observations réc
faites dans les cas d'al-buminurie artificiellement produite chez les animaux par l'injection du blanc d'œuf cru. Là encore, on
i démontrent que, dans l'état nor-mal, tant chez l'homme que chez les animaux , lorsqu'il n'existe pas d'albuminurie, le coagulu
owicz et Cornil sur les altérations que présentent les reins chez les animaux empoisonnés par la cantharide, peuvent être rappr
ques autres. Ces expériences consistaient à injecter dans le sang des animaux une certaine quantité d'eau, et, presque à coup s
une certaine quantité d'eau, et, presque à coup sûr les urines de ces animaux devenaient albumineuses. Le fait est exact, mais
it reçu une interprétation vicieuse. Les urines albuminuriques de ces animaux sont teintées en rouge, elles renferment générale
les qu'on ne les observe jamais chez l'homme. D'ailleurs, si, chez un animal , l'eau est injectée en petite quantité, par petit
à l'albumine de l'œuf, et, comme celle-ci, injectées dans le sang des animaux , elle devraient passer dans les urines. Voici l
ne d'un albuminurique est injectée dans le sang d'un certain nombre d' animaux ; et, précisément, dans l'un de ces cas, l'inject
; et, précisément, dans l'un de ces cas, l'injection est faite sur un animal qui avait été préala-blement rendu albuminurique
-des albuminuriques est injectée sans succès dans le sang de quelques animaux ; et il en est de même de la sérosité péri-tonéal
on gonfle la petite vessie par insufflation. Lorsque cela est fait, l' animal tombe dans un état syncopal et la pression artéri
(Schéma de), 16. Hippurique (Acide), 394 ; — (Taux de 1'), chez les animaux et chez l'homme. Hydropisibs dans la néphrite
9 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
vous a décidé à accepter la présidence de la Société d'assistance aux animaux ; enfin, le troisième c'est notre attrait commun
e. Partout, nous avons connu le même homme passionné pour l'étude des animaux . Qui pourra assez éloquemment retracer le bien ré
e est utilisée à l'intérieur du corps môme pour déterminer l'activité animale : respiration, digestion, élimination, etc. L'excé
les congrès, son œuvre de bonté et d'assistance qu'il étend jusqu'aux animaux , ces frères inférieurs trop souvent sacrifiés aux
ique. MM. Groult et Lépinay, médecins vétérinaires: Les tics chez les animaux . Empirisme et remèdes populaires. Dans une ex
émie royale des Sciences de Lisbonne. Dans l'histoire du magnétisme animal , ayant la moitié du siècle dernier, il y a entre
convient exactement au Dr James Braid, dans l'Histoire du Magnétisme Animal , ou quelle est la théorie, ou quels sont les prin
ssaire du côté des yeux (1) Les lettres publiées avaient pour litre Animal Ma/jnelism (nM du 12 et 28 Mors, 184$, et Xeuro-H
, par la condition physique Somnambulisme en 1823, et Du Magnétisme Animal en France en 1826. — Braid (1795-1860) : .Xeunjpn
ssi l'article de la « Médical Gazette» (de Londres) sur le Magnétisme Animal , pp. 856 et 1037, do vol. de 1838. (M Si Braid
rs dans la science magnétique ». An Historij o{ magie u-Ueh-crapt and animal matinctism, London, vol. II p. 188. et psycho
. MM. Grollet et Lépinay, médecins vétérinaires : Les tics chez les animaux . D" Pamart. et Bérillon : Un cas de tritichotil
blications en Angleterre seulement: (1) fiepori on the experiments on animal magnetism made by a commutée ol the medical secti
revelata : An enquiry into the origin, progress and present state of animal magnetism, by J. C. Colquhoun, l vol. in-S. Edinb
-S. Edinburgh 1836. (3) Leuze (J. P. F. de) : Pratical instruction in Animal Magnetism. Translated by T. C Hartshorn, 1 vol. 1
. 12 Providence, 1837. (4) Du Potet : An introduction to the study o¡ animal magnetism, with an appendix containing reports of
« odilique » de Reichenbach étant de la même nature que le magnétisme animal de Mesmer, et le magnétisme végétal de Puységur,
o-logy or the rationale of nervous sleep, considered in relation with animal magnetism. Illustrated by numerous cases of its s
able à tous les sujets, et procédait d'une loi générale de l'économie animale , et par la découverte de sa puissance curative, l
vait pas admettre que l'hypnotisme est une loi générale de l'économie animale , mais il affirme que les phénomènes, quand ils ex
epl. 1880 p. 470. , (2) Encyclopédia Britannica- Article Magnetism ( animal ).vol. VI,1S83. (3) Dictionary of :' Mai BioQrap
. MM- Grollet et Lépinay, médecins vétérinaires : Les tics chez les animaux . D" Pamart et Bérillon : Un cas de lie de l'épi
on sur la voie publique, dans les lieux publics, des véhicules et des animaux de transport, devient plus difficile; elle est mê
ux besoins ruraux. De môme pour la circulation des véhicules et des animaux de transport sur les ponts, routes, chemins et po
entier. La réglementation pour la circulation des véhicules et des animaux de transport sur terre estda droite chez la génér
ous le contrôle et les ordres de l'administration, les véhicules, les animaux de transport et les vélocipédlstes sur terre, les
ur autrui. La direction à droite, déjà imposée aux véhicules et aux animaux de transport, étant admise pour les piétons, sert
s dans leurs réflexions, ou qui prennent plaisir à faire souffrir les animaux . Chez ces malades il n'est pas rare de voir surve
l'on ne doit pas placer dans des fermes des enfants qui ont peur des animaux . D'un autre cûté, le caractère des nourriciers pe
. MM. Grollet et Lépinay, médecins vétérinaires : Les tics chez les animaux . D" Pamart et Bérillon : Un cas de tic de l'épi
mparées. M. Caustier, agrégé de l'Univ., professeur Psychologie des animaux ...... H. Lépikay, professeur. Psychologie music
réception du Malade imaginaire. Les Sommeils pathologiques chez les Animaux (') par le D' Paul Farez, professeur à l'Ecole
te son ampleur, je me suis demandé s'il n'existait pas aussi chez les animaux (et, en particulier, chez ceux qui nous approchen
r, ne pouvant plus trouver leur nourriture et souffrant du froid, les animaux hibernants, guidés par un sûr instinct, se replie
é d'échapper à la mort les a réduits à ce sommeil spécial. Certains animaux , non hibernants à l'état habituel, le deviennent
ctent pas non plus les blancs, exercent aussi leurs ravages parmi les animaux . Surra, Nagana, Dourine, Mal de Caderas, Soumaya,
es. Ce qui les différencie, ce n'est guère la symptomatologie, mais l' animal atteint, le parasite inoculé et la mouche qui jou
mouche qui joue le rôle d'agent vecteur. Or, dans la trypanosomiase animale , la somnolence ou le sommeil sont, si je suis bie
ler même la mort apparente? En outre, est-ce que, parfois, chez les animaux , certaines attaques hystériques ou, pour rester d
, difficile ou impossible à provoquer? Déplus, est-ce que, chez vos animaux , certains sommeils surviennent d'emblée, comme pa
Ce serait peut-être pousser trop loin l'analogie entre l'homme et les animaux que d'admettre chez ces derniers, des sommeils ra
ssante et fixera un point de fait. Tout comme l'espèce humaine, les animaux présentent des tumeurs cérébrales, très diverses
lles-mêmes, au moins à titre de syndromes. En est-il de même chez les animaux ? Les auteurs, autant que j'en puis juger, décrive
sommeils, ni même parfois qu'ils les signalent. Existent-ils chez les animaux , sont-ils fréquents, leur symptomatologie et leur
int; et peut-être qu'une fois encore la connaissance de la pathologie animale permettra de jeter un jour, sinon nouveau, au moi
d'hui, je propose, Messieurs, que les sommeils pathologiques chez les animaux soient maintenus à l'ordre du jour de notre Socié
ent leur rôle dans cet état. M. Lépinay, médecin-vétérinaire. — Les animaux se montrent particulièrement sensibles au mal de
ées. Il semblerait, à ce point de vue, que la résistance nerveuse des animaux soit de beaucoup inférieure à celle de l'homme. L
. MM. Lépixay et Grollet, médecins-vétérinaires : Les tics chez les animaux . Discussion : Dr Paul Magnin, M. Lionel Dauriac,
oni (de Genève). La séance est levée à 6 h. 45. Les tics chez les animaux !1} par MM. Lépixay et Grollet, médecin s-vétéri
ouvement produit sans aucun mouvement périphérique. Le tic chez les animaux revêt un certain nombre de formes différentes. Ch
l'écurie avec appui sur les mangeoires le bat-flanc, râtelier, etc. L' animal , dans ce tic, prend un point d'appui avec la mâch
uction de ce vice de liqueur. Xous devons en tout cas retenir que les animaux paraissent se transmettre ce (1) Travail du lab
Chez le cheval, on observe aussi fréquemment le « tic de l'ours ». L' animal , dans cette habitude, se balance d'un côté à l'au
aux voisins, comme le tic précédemment indiqué, il s'observe chez les animaux à système nerveux impressionnable. II se rapproch
dents incisives sur un objet, soit sans prendre un point d'appui. Les animaux atteints de ce vice présentent fréquemment des tr
gue. On observe aussi chez le cheval le tic en l'air, dans lequel l' animal porte le nez en haut sans rien saisir avec les de
rvé le tic avec appui chez le bœuf, chez le porc. Il semblait que ces animaux , comme le cheval, désiraient déglutir de l'air qu
t déglutir de l'air qu'ils rejetaient par éructation. Chez les gros animaux , on a appelé aussi tic ou plus exactement tic tes
taient atteints des chevaux entiers ou des juments. Dans ces cas, les animaux présentent des symptômes divers et très curieux,
r à la rage où à d'autres névroses du même genre. Chez les petits animaux , il existe un assez grand nombre de tics. Ce sont
mouvements spasmodiques d'un membre ou d'une partie d'un membre. Ces animaux , des chiens surtout, ont eu une maladie assez fré
se produire de façon intermittente. Nous nous sommes demandé si les animaux , et notamment les petits animaux, ne pouvaient pa
e. Nous nous sommes demandé si les animaux, et notamment les petits animaux , ne pouvaient pas présenter des tics ayant des an
eur propriétaire, mais leur cause une véritable peur. II semble que l' animal est toujours prêt à mordre. On pourrait peut-
encontre chez l'être humain, avec la même étiologie probablement. Ces animaux ont eu à un moment donné soit une plaie, soit une
rouver son origine dans la nécessité d'user ce bec. Certains autres animaux , chiens, chats notamment, sont atteints d'un tic
Peu d'auteurs se sont occupés d'une façon spéciale des tics chez les animaux , cependant M. Chaumel, vétérinaire, et le Dr Fern
encore comme des accidents ou des phénomènes insignifiants de la vie animale , à la fois sans gravité et sans grand intérêt sci
e de cette névrose peut être la préface de la pathologie nerveuse des animaux , chapitre intéressant entre tous si les nombreuse
ant de rechercher si le cheval et d'une façon générale la plupart des animaux peuvent avoir des tics cliniquement comparables e
er déjà que le tic de l'ours, du cheval et les tics de léchage de cet animal s'observent de préférence et presque exclusivemen
gue à celui qui est employé chez l'homme pourrait être applicable à l' animal . L'idée de soumettre un cheval à une discipline p
ertainement sourire. Et cependant que n'arrive-t-on pas à obtenir des animaux par une éducation patiente tendant à développer,
tinct, de la conscience ou subconsciencc, enfin de l'automatisme de l' animal . Par là, elles pourront dans l'avenir servir de d
t précédemment, l'étiologie des tics de l'homme et celle des tics des animaux . Quant au traitement, ils se demandent si celui q
ion et de discipline psycho-motrice ne pourrait pas être appliqué aux animaux . En principe, nous pensons qu'il aurait un certai
icile à appliquer que chez l'homme, surtout lorsqu'il s'agit des gros animaux qui ne sont pas très maniables, mais pour les pet
des gros animaux qui ne sont pas très maniables, mais pour les petits animaux , ceux dont on s'occupe avec une patience et une a
ient pas eu, dans certains cas, la faiblesse de laisser reprendre à l' animal le vice dont il avait été atteint. Cette éducatio
es essais de traitement dans l'une et l'autre médecine. PSYCHOLOGIE ANIMALE La division du travail chez les abeilles M. G
dis à cinq heures, à partir du mercredi 17 janvier. Psychologie dos animaux M. Lépinay, professeur. Objet du cours : Les
initiation sexuelle. 2° MM. Lépinay et Grollbt. — Les tics chez les animaux . Discussion : MM. Bérillon, Félix Regnault, Bah
mplacer son action par celle d'un agent physique et provoquer chez un animal , ou même chez un homme, des mouvements involontai
édatisme, du muluaiisme et de la vie sociale chez les végétaux et les animaux . C'est qu'en effet chaque page de ce livre fait m
pond : a Ce sont les cris, ou, si vous aimez mieux, les chants de l' animal qui m'ont révélé sa présence. Voulez-vous, ajoute
ute petite? « — Je ne crois pas, répond Mme R... J'ai dû avaler cet animal à l'état d'œuf ou d'embryon avec les aliments ou
rable, il a dû se développer peu à peu. Pendant les premiers temps, l' animal voyageait peu ; il est d'abord allé du côté du re
s une influence sur les mouvements et la manière de se comporter de l' animal ? « —Je vous demandepardon, répond Mme R..., to
e. Lorsque je prends des choses sucrées, du lait sucré par exemple, l' animal se gave, et je sens qu'il est content. Je suis sû
n m'enfonçant ses griffes dans l'intestin. De plus, la présence dudit animal rend en permanence les digestions longues et doul
llait essayer, à l'aide des rayons X, d'obtenir une photographie de l' animal et de déterminer le point précis où il se trouvai
premières ouvertures qui lui furent faites, car le squelette seul des animaux se profile sous l'influence des rayons X, et celu
tre et de bien le fixer à l'a;de d'un bandage de corps pour coincer l' animal et l'empêcher de se déplacer. Grâce à cet artific
t quelques jours à une série de médicaments dont l'action va tuer cet animal et le décomposer, puis nous vous radiographierons
oute la durée du traitement, il s'était passé des drames terribles; l' animal se sentant traqué et attaqué vivement se défendai
nnemi et, bien entendu, le nouveau cliché ne portait la trace d'aucun animal . Néanmoins, deux jours après, notre malade anno
elles, elle y trouverait fatalement des fragments du squelette de son animal . Un squelette de grenouille avec une série d'inst
on — et c'est en somme pour cela qu'il est créé. Dans la nature les animaux de combat ont toujours les indications extérieure
n, ne feront aucun doute pour lui. Dans la nature, le squelette des animaux indique nettement le mouvement probable. Ainsi ch
a vieillesse ce qu'on voit quand on descend la série hiérarchique des animaux ; les traits de l'individualité s'atténuent et s'
ervation externe, un grand progrès s'est accompli. La psychologie des animaux , des idiots, des imbéciles, des enfants, etc., es
— ou tout squelette — représente en construction, chez l'homme et les animaux , la partie la plus solide de tout l'édifice, nous
médecin vétérinaire : Psychologie comparée : L'infanticide chez les animaux . D' Paul Magnin : Rôle de Vexpectant attention da
ommeil hystérique, par Witry, p.92. Sommeils pathologiques chez les animaux , par Paul Farez, p. 195. Sommeil (Importance
hypnotique à distance (par lettre), par Joire p. 154. Tics chez les animaux , par Lépinay et Grollet, p. 212. Timidité chez
10 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
en psychothérapie. Barauuc (Paris) : Les vibrations de la vitalité animale et mentale mensurée par la biométrie. Bilhaut (
u à des foyers épidémiques et à des colonies comparables aux colonies animales . Si nous projetons par la pensée sur la surface
M. Decroix, vétérinaire principal. —- La Société protectrice des animaux a délégué M. Coutaud, secrétaire général. — La
isceau de preuves variées. Au polyzoïsrne qui démontre la pluralité animale de l’homme, se superpose le polypsychisme. D'ap
kirs de l'Inde : l’état, ainsi provoqué, parait semblable à celui des animaux qui hibernent : sommeil de la marmotte. L'extas
l’objet qui fascine. La fascination est très commune dans le monde animal : le type en est fourni par le serpent qui fascin
ieret Thibaultont d’abord faitdesexpériences très concluantes sur les animaux . Parexemple, des chiens systématiquement rendus a
l'utilisation d'une sorte de sérum iuventé par le prêtre Lostre. Les animaux qui n’ont pas été ainsi vaccinés sont moins propr
logiques et embryologiques, la thèse du Polyzoïsme ou de la pluralité animale des vertébrés. De là il s’élève au Polypsychisme
ns, ni sur la distance à laquelle ils se sont formés. Chez beaucoup d' animaux à longues oreilles, ces notions sont beaucoup plu
bruits ou sons de la nature, les instruments de musique, la voix des animaux , la voix des personnes les plus diverses. Lorsque
se trouvent hors d'état de les partager. Un enfant, un primitif, un animal , pensent que tous les objets de la nature sont an
es prophètes orientaux associent souvent leurs opérations au serpent, animal intimement relié aux morts par sa voix de ventril
gué M. Decroix, vétérinaire principal. — La Société protectrice des animaux a délégué M. Coutaud, secrétaire général. — La
à présider un Congrès consacré à l’étude des phénomènes du magnétisme animal ! A cette époque, il était presque nécessaire d
ouve, dans certains écrits consacrés à l’étude de l’ancien magnétisme animal , dans des livres qui datent de ly 10, la fameuse
colonnes des journaux de l'époque, consacrés à l’étude du magnétisme animal . Soyons éclectiques. Messieurs, et nous serons
conlirmcr. Il est vrai qu’autrefois les phénomènes du magnétisme dit animal étaient l’objet du même dédain de la part des sav
a- (1) Voy. Burdin et Kr. Dubois, Histoire académique du magnétisme animal , 1851, p. 333. (2) Tardieu, Etude mèdico-lègalc
llongée, la protubérance et les ganglions de la base du cerveau. Un animal , auquel on extirpe les hémisphères en conservant
oltz est parvenu à faire vivre, près d’un an, un chien décérébré. Cet animal arriva à manger, mais il ne cherchaitpas sa nourr
automate, une machine réflexe compliquée. Les actes produits par un animal décérébré sont, en effet, immuables, toujours les
ne sont jamais spontanés, il leur faut un excitant extérieur, sinon l’ animal garde l’immobilité. * • • 2° Il convient de
justesse par Condillac : des actes habituels transmis par hérédité. L’ animal en naissant apporte tout établis les contacts ent
étendu à tort que les actes instinctifs étaient infaillibles et que l’ animal ne se trompait jamais : si des objets différents
jamais : si des objets différents sont ressentis de même façon par l’ animal , ils excitent le même neurone et déterminent le m
uet, singer son semblable. L’imitation est surtout intense chez les animaux et les enfants ; elle peut en effet se produire s
st semblable à la léthargie spontanée que subissent un grand nombre d' animaux . (1) Voir pour pius de détails: D' Félix ReOXAü
la tête de la Méduse. La fascination est très commune dans le monde animal : le type en est fourni par le serpent qui fascin
s individus qui ont été entraînés, tels les fakirs ; 2° chez certains animaux , tels que la marmotte. Quant à la catalepsie, e
hystérique à la suite de manœuvres appropriées) mais encore chez des animaux qui hivernent. C’est donc une erreur de croire
valeur exacte du mot hystérie. Un autre point a été soulevé : « les animaux , a-t-on dit, sont soumis aux phénomènes hypnotiqu
les tics des chevaux, etc. Parmi les états hypnotiques auxquels les animaux peuvent être soumis de la part de l’homme ou des
s les animaux peuvent être soumis de la part de l’homme ou des autres animaux , il faut distinguer: 1° La fascination du serpent
imaux, il faut distinguer: 1° La fascination du serpent vis-à-vis des animaux , du charmeur de serpent vis-à-vis de cet animal ;
erpent vis-à-vis des animaux, du charmeur de serpent vis-à-vis de cet animal ; — 2° L’état cataleptiforme provoqué par une lum
le gibier, etc. ; la simulation de la mort que pratiquent de nombreux animaux est due à un état cataleptique causé par la fraye
s, hypnotiques et qu'alors on rangeait sous la rubrique de magnétisme animal . Ces nombreux faits, accaparés par la superstitio
s. Le chapitre consacré à l'écorce cérébrale chez l'homme et chez les animaux est des plus remarquables. J’en dirai autant de c
Ces candidatures sont adoptées à l’unanimité. La Léthargie chez les animaux par M. le Dr Félix Regnault Notre collègue, M
nts à considérer. Le premier intéresse spécialement le naturaliste. L' animal se protège contre la sécheresse en s’enfermant da
moyen d'un opercule temporaire. D’autres fois la sécheresse tue les animaux ; mais ils laissent des œufs protégés par une coq
voyée sèche en Europe a produit une faune abondante. Les soi-disant animaux réviviscents, rotifères. tardigrades, meurent en
tardigrades, meurent en réalité de la sécheresse. Mais comme tous les animaux , iis revivent en leurs descendants. Car ils conse
eur, ce sommeil, cette vie latente, cette léthargie que subissent les animaux . Elle se produit aux époques où ils ne peuvent tr
e : « qui dort dîne. » (1) L. Caénot: L'influence du milieu sur les animaux . — Bibliot. LéaulC—üassoa Deux causes princip
te aussi la léthargie des tanrecs, des échidnés, des grands serpents, animaux qui vivent dans les pays chauds et que la disette
eurs. La fonction léthargique n’appartient pas en propre à certains animaux à l’exclusion des autres. Certains animaux, qui n
t pas en propre à certains animaux à l’exclusion des autres. Certains animaux , qui ne sont pas sujets à la léthargie, peuvent y
léthargie. D’ailleurs, la léthargie vaxùe d'intensité même chez les animaux . L’accumulation des urines dans la vessie éveil
cale, la marmotte ne s’éveille plus. Enfin, pendant la léthargie, l’ animal serait capable d’exécuter quelques mouvements aut
homme, la léthargie profonde du fakir ne diffère en rien de celle des animaux . Pour y arriver, le fakir, hystérique avéré, se s
nné tous ces faits et rapproché la léthargie de l’homme (le celle des animaux , dans mon livre Hypnotisme et religion, Schleichc
M. leDr Bérillon fera une conférence sur : Psychologie comparée : Les animaux savants et l’art du dressage. (Cette conférence s
Université. Objet du cours : Les fonctions psychiques dans la série animale . Les jeudis à cinq heures, à partir du 28 févri
. le Dr Bérillon fera une conférence sur : Psychologie comparée : Les animaux savants et l'art du dressage. (Cette conférence s
jet du cours : Le neurone et les fonctions psychiques dans la série animale . Les samedis à cinq heures et demie, à partir d
. « L’utérus, lit-on dans Le Timée de Platon (427-348 av. J.), est un animal qui désire ardemment engendrer des enfants. Lorsq
t attribuait les phénomènes hystériques à la perturbation des esprits animaux . En 1682, Thomas Sydenhain révélait l’existence
cine, 4“* partie, Ch. 5S. ü ou mouvement irrégulier des esprits animaux , lesquels se portant impétueusement et en trop gr
gale des esprits qui est entièrement contraire aux lois de l’économie animale » (*). Si l'on remplace l’expression « esprits
e l’économie animale » (*). Si l'on remplace l’expression « esprits animaux » par l’expression ondulatiojis nerveuses, on voi
, ondulations électriques (électricité organique) thermiques (chaleur animale ) réactions chimiques (assimilation, désassimilati
homme par Robert Odier(7); 4° Pour les neurones olfactifs de divers animaux par Schulze, Frey, Ranvier, Jean Demoor (8) et Ma
s affectifs. Ace sujet, M. Ribot s’exprime ainsi : « L’homme, comme l’ animal , ne prête spontanément-son attention qu'à ce qui
a déjà refusé quarante mille francs à un riche amateur d'oiseaux et d’ animaux rares. L’archiduchesse Stéphanie d’Autriche pos
Henri de Parville dans la Revue des sciences des Débats, n'est pas un animal d’une intelligence en général bien développée. L’
ervit devant le sapajou. Puis il déposa, après avoir bourré de noix l' animal , au milieu de sa cage, une petite tige de fer cou
d'une tête humaine. Suivant les dires des employés de la ferme, cet animal , au moment de sa naissance, poussait des cris « c
e véritable créature humaine. D Croyant se trouver en présence d'un animal diabolique, les valets de ferme avaient mis le ch
out dort autour d’eux; les autres paysans suivent cette méthode ; les animaux eux-mêmes semblent comprendre la consigne et ne s
. le Dr Bérillon fera une conférence sur : Psychologie comparée : Les animaux savants et l'art du dressage. (Cette conférence s
ier a vu les cellules des cornes antérieures de la moelle deplusieurs animaux , et Manouélian les cellules mitrales du bulbe olf
ce fluide,frappant les parties corres- nom donné à une émanation animale , un fluide, une substance invisible, impalpable,
derniers siècles et qu’on composait avec l’urine et les excréments d’ animaux lascifs, avec la laitance du crapaud, le fiel des
s aiguillettes. Perversion de l'instinct de conservation chez les animaux Par M. L. LÉ Pl N'A Y, médecin-vétérinaire, S
ecin-vétérinaire, Secrétaire général de la Société d’assistance aux animaux . Dans la précédente séance, un de nos distingué
sur les scorpions ; il avait pu se procurer un certain nombre de ces animaux , les mettre au milieu d’un cercle de feu. d'huile
érerait se donner la mort, se suicider. Le mot suicide appliqué aux animaux estbien gros de conséquences; aussi a-t-il déjà é
éjà été bien discuté, surtout par ceux qui ne veulent reconnaître aux animaux que de l’instinct, que cette impulsion aveugle, f
et à des sentiments auxquels notre raison est étrangère, qui porte l’ animal à faire parfaitement, du premier coup et toujours
pourtant des faits nombreux, bien rapportés, semblent établir que des animaux se sont suicidés. Il m'a donc paru intéressant
Dans nos hôpitaux vétérinaires, il n'est pas rare de voir un petit animal se prendre de chagrin, refuser toute nourriture,
t de ses maîtres. Et peur celui qui vit en contact continuel avec les animaux , qui sait les observer, qui par métier ou amitié
des faits mécaniques, irréfléchis: on voit brillerdans les yeux de l’ animal une colère qui l’aveugle, une rage qui quelqu
lus de 25 kilomètres : ce déplacement parait diminuer le chagrin de l' animal , mais ne l'empêche pas de revenir chaque quinzain
La première résidedans ce fait que nous ne retrouvons pas chez les animaux les variétés des suicides de l’homme. Il faut réf
imaux les variétés des suicides de l’homme. Il faut réfléchir que les animaux ne peuvent, pour la plupart, tout au moins, se fa
uhaitée empêchera l'acte de s’accomplir. Nous pouvons attribuer aux animaux de l’intelligence, mais il ne faut pas les gratif
e conservation ; et l’idée de suicide ne vient à ces êtres, hommes ou animaux , que lorsqu’il y a inhibition des centres qui pré
sans apparat, sans manifestation bruyante; ce parait être le cas des animaux , mais cela n’en constitue pas moins un suicide.
nte pour eux que pour nous ; on peut même admettre que la plupart des animaux n’en comprennent pas le sens; il serait peut-
ement. Ne sont-ce pas d’ailleurs les religions, avec lesquelles les animaux n’ont rien à faire, qui nous ont donné l’explicat
mort, nous irions plus simplement, plus naturellement à la façon des animaux . Je disais plus haut que si les animaux n’expri
aturellement à la façon des animaux. Je disais plus haut que si les animaux n’expriment pas leurs craintes, comme nous le fai
êmes symptômes. J’ai pris intentionnellement des exemples parmi des animaux ne passant pas pour les plus intelligents. Chez
relle de l’esprit de conservation; comme ce doit être le cas chez les animaux . Les êtres humains sont poussés au suicide par
és de suicides que nous ne pouvons évidemment pas rencontrer chez les animaux . Je n'entends pas, comme je le disais au début,
ds pas, comme je le disais au début, démontrer surabondamment que les animaux se suicident; je crois simplement qu’après mes ob
amp visuel. Le pallium de l’hystérique est comparable à une colonie animale qui se désagrège. Aussi bien n’est-ce pas une col
colonie animale qui se désagrège. Aussi bien n’est-ce pas une colonie animale ? Elle résulte, nous le savons, du tassement et de
e la suggestion avec la), par Paul Joire, p. 50. Léthargie chez les animaux , par Félix Regnault, p. 208. Maladies nerveuses
ant (Un), p. 282. Perversion de l'instinct de conservation chez les animaux , par Lépinay, p. 346. Peur comme cause de mor
11 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
grand public que l'hypnotisme a sa source dans une loi de l'économie animale . « Il faut lui apprendre, disait-il, que le sujet
let et Lépixay, médecins vétérinaires : L'inversion sexuelle chez les animaux . Dr Fociseai : L'homosexualité dans les établis
elle héréditaire. Chevalier cite la bisexualité originaire chez les animaux et la bisexualité du fœ'us humain pendant les pre
ature, commise entre personnes du sexe masculin ou entre personnes et animaux , est punie de prison et peut entraîner la déchéan
ment scolaire des devoirs de protection et d'assistance à l'égard des animaux ; Rapporteurs : M. André Petit, médecin-vétérinai
profond attachement. La rédaction. L'inversion sexuelle chez les animaux par MM. Grollet et Lépinay, médecins-vétérinair
seurs à l'Ecole de psychologie, chefs du laboratoire de psychologie animale . Si nous venons vous entretenir de l'inversion
le. Si nous venons vous entretenir de l'inversion sexuelle chez les animaux , ce n'est pas que nous ayons résolu la question,
e que cet instinct est infiniment répandu chez les hommes et chez les animaux . Nous allons examiner ce que nous avons observé
Nous allons examiner ce que nous avons observé à ce sujet chez les animaux . Animaux mâles. — Nous voyons des animaux mâles
ons examiner ce que nous avons observé à ce sujet chez les animaux. Animaux mâles. — Nous voyons des animaux mâles, vivant en
servé à ce sujet chez les animaux. Animaux mâles. — Nous voyons des animaux mâles, vivant ensemble, et auprès desquels ne se
tion, on sépare les mâles des femelles, nous voyons, disons-nous, ces animaux mâles jouer, s'exciter, se Irotter, arriver q
a est dû bien plus à la difficulté physique, surtout chez les .grands animaux , qu'à une répugnance des individus qui paraissent
ait s'observe couramment dans nos jardins zoologiques ; mais .ici ces animaux ne sont pas dans les conditions normales ; ils so
as encore eu le temps d'observer ce chien, une personne voyant ce bel animal l'adopte, l'emmène et entre dans un grand magasin
eut-on, cependant, en tenant compte du perfectionnement successif des animaux dont l'homme évidemment n'est que le plus haut de
t bien embarrassante, étudier d'abord la psychologie particulière des animaux hermaphrodites et successivement continuer celle
z les femmes de certaines catégories sociales. L'inversion sexuelle animale , à laquelle nous avons fait allusion, parait se m
e, à laquelle nous avons fait allusion, parait se manifester chez des animaux vivant, eux aussi, dans des conditions spéciales.
ont été mal venus en déclarant que cet instinct est répandu chez les animaux . Jusqu'à preuve du contraire nous sommes obligés
dans l'espèce humaine, aussi bien que dans un grand nombre d'espèces animales , le choix des femelles est surtout déterminé par
de ressentir dans l'abdomen des douleurs causées par la présence d'un animal vivant. Une laparotomie exploratrice indiqua qu'e
s qui s'ouvrent devant les fils de la démocratie contemporaine. Les animaux en Justice, procédure et excommunications, par
Paris. 1908). Les ravages causés aux campagnes par les insectese*, animaux nuisibles étaient beaucoup plus fréquents au Moye
état de choses prit-on au XIe siècle l'étrange habitude de citer les animaux en justice. Cet usage s'est conservé jusqu'au XVI
e-éditeur, 96-98, rue Blanche. Prix: 3 fr. 50. De Keroaniel : Les animaux en justice. Procédures et excommunication, 44 pag
ment scolaire des devoirs de protection et d'assistance à l'égard des animaux ; une bonne voie est celle de l'action par les So
ne bonne voie est celle de l'action par les Sociétés d'assistance aux animaux , mais il faudrait que tous ceux qui enseignent, l
illon fait alors un tableau suggestif de la sollicitude à l'égard des animaux et de la valeur des rapports entre l'homme et l'a
à l'égard des animaux et de la valeur des rapports entre l'homme et l' animal : dans l'armée, par exemple, on a — et le simple
NAUX Psychologie de l'olfaction : La fascination olfactive chez les animaux et chez l'homme par M. le D1 Bcaiixos, professe
uissance d'attention. Par analogie avec ce qui a été observé chez des animaux qui subissent d'une façon irrésistible l'influenc
aux qui subissent d'une façon irrésistible l'influence fascinatrice d' animaux d'espèces différentes, je désignerai cet état son
d'une fascination auditive intense. I. LE ????GG,??ß?? olfactif des animaux . La vue et l'ouïe no sont pas les seules foncti
s prédominant. Ces conditions se rencontrent dans un certain nombre d' animaux , en particulier chez le chien, le chat, le cheval
le cheval, l'âne, l'éléphant, ainsi que chez les carnivores. Chez ces animaux , dont la sensibilité olfactive est extrême, l'odo
tion que se réalisent cette fascination, ce monoïdéisme qui placent l' animal dans des conditions absolument comparables à l'ét
l'état d'hypnotisme. Certains faits observés journellement chez les animaux dont le sens de l'odorat est extrêmement développ
ence intense que certaines odeurs exercent sur le système nerveux des animaux pourraient être rapprochés du fait que signale Vi
. La fascination s'effectue parfois si brusquement qu'elle surprend l' animal dans une attitude déterminée et l'immobilise dans
une autre piste. . Bans son livre sur YEcolution mentale citez les animaux . Romanes insiste sur l'intensité de l'olfaction q
fait de ronger ses ongles qui constitue un signe de dégénérescence. L' animal qui se trouve géné par la longueur de ses griffes
les pays du monde, le paysan -s'inquiète plus vite de la santé de ses animaux que de la sienne propre, voire même que de celle
re). Psychologie de l'olfaction : La fascination olfactive chez les animaux et chez l'homme (l) par M. le D' Bkbillox, prof
ments. U. L'ÉLECTIVITÉ OLFACTIVE. L'électivité olfactive chez les animaux , et en particulier chez le chien peut être le rés
ne touffe de poils situés sous les aiselles et en frotter le nez de l' animal . On peut arriver au même résultat en passant fort
Par ces deux moyens, ajoute-t-il, on peut s'attacher toutes sortes d' animaux . » i TJn de mes amis, M. Rodolphe Burgues, gran
xpérimentale, par des études qu'il a faites sur l'hypnotisme chez les animaux , M. le Professeur Gley démontre qu'il ue séparait
ieu. Psychologie de l'olfaction : La fascination olfactive chez les animaux et chez l'homme (2) par M. le D' Bekillox, prof
'opinion que certaines impressions olfactives peuvent exercer sur les animaux et sur l'homme de véritables effets de fascinatio
smes, indique que le moyen de capter des mâles de certaines espèces d' animaux consiste à s'imprégner de l'odeur de leur femelle
'une atmosphère parfumée. Souvent aussi le même effet a lieu chez les animaux . Ollina (1) LUtré : Dictionnaire de médecine ;
ler une odeur forte et spéciale aux organes sexuels de la plupart des animaux .., Dans le temps des amours, les mâles et les fem
l'excitation indispensable pour accomplir l'acte sexuel. « Chez les animaux , la liaison entre les fonctions olfactives et gén
chives fur psychiatrie. ??- H. I). après avoir fait ressortir que les animaux de sexe différent sont attirés l'un vers l'antre
écité artificielle n'apportait aucun obstacle à l'accouplement de ces animaux . Cette expérience montre quelle importance paraît
lle importance paraît avoir le sens olfactif dans la vie sexuelle des animaux . On trouve dans les œuvres de Buffon, de Cuvier
servations analogues. Dans son traité sur la Physiologie comparée des animaux , Colin, professeur à l'Ecole d'Alfort, rappelle l
de chevreaux blancs. Excités, les sectateurs buvaient le sang de ces animaux . Mais la fête n'était complète que s'il était l
gestions hypnotiques ; 2° Quelques phénomènes de l'olfaction chez les animaux . 14° M. A.vaetat |de Marseille): Les rapports b
NAUX Psychologie de l'olfaction : La fascination olfactive chez les animaux et chez l'homme (1) par m. le D' Bebillox, prof
) m. L'Olfaction comparée chez l'homme et chez la femme. Chez les animaux , les sensations olfactives et gustatives sont les
le cadre de nos observations et en nous adressant, de préférence, aux animaux comme à des précurseurs de l'homme, parce qu'on d
a suivre à la trace en fouillant dans le passé lointain de la vie animale et en comparant ces traces avec ce que nous avons
ctionnement ont surtout porté tears effets sur te système nerveux des animaux (leur partie ta plus délicate) qui, par le jeu de
, à se garer des périls qui entouraient l'homme primitif et surtout l' animal des époques antérieures. ? peut dormir « à poings
apaches » de tous les temps. Il n'en était pas de même autrefois : l' animal avait à se préserver de multiples dangers ; il lu
la garde qui devait être vigilante pour assurer son salut immédiat, l' animal considéré laissait dormir ses principales fonctio
port » musculaire amenant une posture utile à une défense rapide de l' animal en cas de danger pendant le sommeil,ou bien, enco
ttente en vue d'une proie possible, tout en ménageant les forces de l' animal (chat qui attend patiemment les souris pendant do
e et la nature en fait un très large emploi, non pas en fatiguant les animaux , mais, au contraire, pour aider à la-restauration
ssi fréquemment que la catalepsie pour la sauvegarde et le salut de l' animal . On sait qu'il suffit de « bousculer » un peu un
le salut de l'animal. On sait qu'il suffit de « bousculer » un peu un animal de petite taille : insecte, grenouille, cobaye, e
L'Ecole de la Salpêtrière n'a donc rien créé et. bien avant elle, les animaux savaient se servir de l'hypnose pour le bien comm
e côté nuisible n'a pas non plus été dédaigné par eux, car beaucoup d' animaux savent se servir du trouble amené par leur présen
aux savent se servir du trouble amené par leur présence chez un autre animal , pour le faire tomber sous leur dent, en créant e
à parer aux dangers auxquels un sommeil trop complet aurait exposé l' animal , lors des époques primitives. Ils ne sont donc qu
gestions hypnotiques ; 2° Quelques phénomènes de l'olfaction chez les animaux . Eloge de M. Liégeois à la rentrée de l'Univers
dis à cinq heures, A partir du vendredi 15 janvier. Psychologie des animaux , it. Lépinay médecin-vétérinaire, professseur.
. Objet du cours : Les erreurs dans l'observation psychologique des animaux . Lés mardis a cinq heures et demie, h partir du m
t du cours : Le cerveau, organe de la pensée chez l'homme et chez les animaux . Les mardis à cinq heures, à partir du mardi 12
rer les végétaux dont ils voulaient se nourrir, surs d'avance que ces animaux refuseraient toute substance vénéneuse. En effe
es Indiens de l'Amérique méridionale sont aussi bien partagés que les animaux sous le rapport de l'olfaction. Ces Indiens, en
gestions hypnotiques ; 3* Quelques phénomènes de l'olfaction chez les animaux . Pratiques médicales populaires de la Guadeloup
contre les coliques utérines de la menstruation. Le rat est donc un animal précieux : ses productions n'ont pas seules d'heu
NAUX Psychologie de l'olfaction : La fascination olfactive chez les animaux et chez l'homme (1) par M. le Dr Bsrillos, prof
olfactive joue encore un grand rêle et qui possèdent encore le flair animal , si l'on peut aller jusqu'à cette expression. S
qu'il se trouve toujours comme enveloppé d'une atmosphère de vapeurs animales sans cesse renouvelées par le jen de la vie. «
de lieues. Xous pouvons nous rendre raison de la manière dont ce même animal , en courant dans un espace où se trouvent plusieu
d'opposer a cet instinct si sur et si dangereux pour elle. » Cnaque animal a donc une odeur qui lui est propre, une odeur qu
peaux peuvent se reformer, lorsqu'ils ont été mélangés à des masses d' animaux de la même espèce. C'est ce qui permet égalemen
animaux de la même espèce. C'est ce qui permet également aux petits animaux de retrouver leurs mères au -uilieu d'un grand no
NAUX Psychologie de l'olfaction : La fascination olfactive chez les animaux et chez l'homme (1) par M. le D' Bebillos;, pro
ste pas seulement chez l'homme, il existe au plus haut degré chez les animaux . Il en résulte une aversion qui éloigne les races
iques. 6. M. Lépixay. — Quelques phénomènes de l'olfaction chez les animaux . 7. Dr Witry (de Trèves-sur-Moselle). — TJn gra
habituels. (A suivre). Quelques phénomènes de l'olfaction chez les animaux uar M. L, Lriusaï, médecin vétérinaire, profess
le docteur Bèrillon, nous a exposé sa fascination olfactive chez les animaux . Sans cela je vous aurais évité ces quelques lign
ai tout spécialement de ce qui avait été écrit sur l'éducabilité de l' animal si intéressant qu'est l'éléphant : l'affirmation
ent en donne un exemple frappant, mais il ne faut pas oublier que cet animal est excité par toutes les sécrétions des organes
oit.il était intéressant de connaître l'influence des odeurs «hez les animaux , c'est ce que notre maître, le Dr Bérillon, nous
pas sans difficultés. Ou ces odeurs sont fortes, pénétrantes, et les animaux , dont là muqueuse nasale est toujours sensible, é
ut, et ce que nous allons nous appliquer à faire, laisser évoluer les animaux au milieu des choses odorantes, voir celles qu'il
ors en liberté. ? n'y a aucune Comparaison a établir entre ces jeunes animaux et de vieux éléphants depuis longtemps capturés o
l'enfant à la vie réelle (l). ? faut doue faire voir aux élèves les animaux , les plantes, les roches qu'on étudie, ou des ima
e. Nous ne sommes plus au temps où Buffon lui-même décrivait certains animaux sans les avoir vus. Avec les sciences naturelle
vec la plus grande facilité. inteiTompre le sommeil de l'homme et des animaux . Les excitations périphériques qui permettent d
re rayon de lumière venant frapper les yeux, suffit pour réveiller un animal profondément endormi. Lorsque le jour commence à
r son visage. Il se comporte exactement a ce sujet, comme le font les animaux . Les bruits exercent la même action. Un bruit, mê
e médiane. Les expériences de-Raphael Dubois snr les marmottes et les animaux hivernants ont démontré que c'est par l'intoxicat
pnotisme, "'¦i.vii.i.r.' 1907 : — Les sommeils pathologiques chez les animaux , terne de Pathologie comparée, novembre 1906 et R
n, présentent des psychoses plus ou moins accusées, comme la peur des animaux , et de telles enfants, placées dans une ferme, s'
sie chirurgicale sur une influence hypnotique, par Cour-jon. p. 59. Animaux en justice, p. 63. Assistance aux aliénés (Le c
nation mentale, par Paul Farez. p. 204. Inversion sexuelle chez les animaux , par Grollet et Lépinay, p. 34. Inversion sexue
r Bérillon, p. 98, 135. 165, 196, 235, 263, 303. Olfaction chez les animaux (Quelques phénomènes de l'), par Lé-pinay, p. 312
12 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
, on s'est souvenu des services que la connaissance de la physiologie animale avait déjà rendus à la physiologie de l'homme, et
comme il l'écrivait au P. Mersenne, « anatomiser les têtes de divers animaux , pour expliquer en « quoi consistent l'imaginatio
e et sépare de la presse des autres « créatures, taille les parts aux animaux ses confrères et « compagnons..................
«......comment connaît-il les bransles internes et secrets « des animaux ? par quelle comparaison d'eux à nous conclut-il «
et propres à avancer le bonheur de l'humanité. L'hypnose chez les animaux Par M. le Dr Wynaendts Francken, de la Haye.
manifestent les phénomènes de l'hypnose et de la suggestion. Chez les animaux aussi se manifestent parfois des états analogues,
re le phénomène bien connu de l'hivernation, auquel un grand nombre d' animaux sont sujets. Par exemple, le Protoptère, curieux
e les chauves-souris, les hérissons, beaucoup de rongeurs et d'autres animaux encore, entrent en hiver, sous l'influence du fro
rtance plus grande même s'il s'agit du problème de l'hypnose chez les animaux . Citons la célèbre expérience de la poule. Si l'o
pleine de crainte ». On voit qu'il attribuait l'étrange conduite de l' animal à un sentiment de détresse angoissée, produit par
ner avait tracé une raie sur la table et y avait appliqué le bec de l' animal , et il pensait avoir ainsi fait naître chez sa po
éno-mènes-du même genre se produisaient chez un grand nombre d'autres animaux , le lapin, l'écureuil et le cochon d'Inde, le léz
rait n'être pas étrangère à la chose; on sait, en effet, que certains animaux simulent à merveille la mort ou le sommeil et res
reçues par l'organe des sens, qui se produisent d'elles-mêmes quand l' animal est saisi rudement et que ses mouvements spontané
l n'y a rien d'étonnant à ce que dans ces conditions l'attention de l' animal soit rivée sur un objet unique, que l'association
ceux qui ont été hypnotisés. Cependant les expériences faites sur les animaux peuvent présenter une véritable utilité pour l'ét
que nous ne savons pour ainsi dire rien de l'état de conscience de l' animal et que nous connaissons moins encore la nature de
ssent les verrues non seulement chez les humains, mais aussi chez les animaux par des prières spéciales, des attouchements, des
. Paracelse s'empare de ce mot et t'applique aux phénomènes de la vie animale . Van Helmont le reprend pour lui donner plus de v
s une caserne il exhibe des sujets de bataille et dans un village des animaux et des contes de Perrault. Suivant l'habileté du
la rage varie d'une province à l'autre. Dans le nord, les poils de l' animal tué sont réduits en cendres et appliqués sur la p
délire, avec illusions sensorielles et réactions violentes contre des animaux pris pour des ennemis, dans lequel seulement c'es
de carnage, il se frappe la tête, crie et s'étend sur les restes des animaux qu'il a égorgés, en s'arra-chant désespérément le
es M. Caustier, agrégé de l'Université, professeur. Psychologie des animaux .....M. Lépinay, professeur. Psychologie religie
te du temps pendant lequel la température a agi. Si l'on inocule à un animal du sang charbonneux chauffé à 50° pendant 8 minut
uit presque à coup sûr. Tandis qu'après un chauffage de 18 minutes, l' animal survit et est vacciné, ce qui prouve d'ailleurs q
e. La zoologie, comme l'embryologie, montre que plusieurs classes d' animaux comme certains stades du développement, sont cara
processus segmentaire. Quant à la moelle, elle présente chez certains animaux une apparence moniliforme très significative. Che
t phylogénique ; elle s'accuse à la fois dans l'évolution de la série animale , et à une certaine période de la vie embryonnaire
es M. Caustier, agrégé de l'Université, professeur. Psychologie des animaux .....M. Lépinay, professeur. Psychologie religie
, sinon diagnostiquer, l'affection. Les mêmes faits existent chez les animaux et notamment chez les vaches. Les perturbations p
e ne sache pas que pareille observation ait été faite pour les petits animaux . Toutefois, j'ai remarqué un certain nombre de pe
'évolution des sentiments et des fonctions psychiques dans la série animale . Les samedis à cinq heures et demie, à partir d
inq heures et demie, à partir du samedi 17 janvier. Psychologie des animaux . m. Lepinay, professeur. Objet du cours : L'é
epinay, professeur. Objet du cours : L'éducation et le dressage des animaux . Les mercredis, à cinq heures, à partir du mercre
Helsingfors, M. Coutaud, président de la Société protectrice des animaux , M. Lemaire, professeur de philosophie au lycée d
La psychologie zoologique pourrait se définir l'étude de l'esprit des animaux . C'est dire que son domaine est vaste, car il s'é
er, les zoologistes ne sont pas seuls à s'intéresser à la psychologie animale . Ils sont nombreux tous les observateurs, tous le
eux de la nature » qui cherchent à mieux connaître l'intelligence des animaux , et qui peuvent, quelles que soient leurs opinion
sa hardiesse, il pénètre jusqu'aux troublantes profondeurs où la vie animale et la vie végétale se confondent. Pourquoi d'aill
outefois, parmi les œuvres littéraires qui traitent de la psychologie animale , il nous semble juste de laire une exception pour
es d'observations. C'est surtout en Angleterre que la psychologie animale fut étudiée par des philosophes et des naturalist
ur la psychologie comparée. Dans son premier livre sur l'Intelligence animale , il résume une enquête très approfondie sur les f
il résume une enquête très approfondie sur les facultés mentales des animaux ; dans son second livre, il interprète ces faits,
t transmis de seconde main. De plus, les observations portant sur des animaux que l'on possède (chiens, chats, chevaux, oiseaux
priétaires de bêtes prennent plaisir à vanter l'intelligence de leurs animaux , ce qui les entraine presque toujours dans d'étra
Hachet-Souplet, dans son intéressant livre l'Examen psychologique des animaux .» Un astronome belge, observateur assidu des étoi
nous est bien difficile de savoir ce qui se passe dans la conscience animale . Et puis pour pénétrer la nature des animaux, nou
passe dans la conscience animale. Et puis pour pénétrer la nature des animaux , nous cherchons leurs ressemblances avec l'homme,
t surtout s'appliquer à chercher non pas ce qu'il y a d'humain dans l' animal , mais ce qui s'y trouve de spécifiquement animal;
y a d'humain dans l'animal, mais ce qui s'y trouve de spécifiquement animal ; et c'est ainsi que l'on arriverait à mieux compr
et c'est ainsi que l'on arriverait à mieux comprendre ce qu'il y a d' animal dans l'homme, bien mieux en tout cas que par l'ét
ressant. » II est incontestable que pour observer et comprendre les animaux , il faut vivre avec eux. Aussi les voyageurs, les
es éleveurs et les paysans, doués d'esprit critique, jugent mieux les animaux que ne le fait la spéculation métaphysique, qui s
types imaginés, ou que le psychologue de laboratoire qui observe des animaux captifs déviés de leur véritable nature. Un fai
blier que le premier qui transporta la question de l'intelligence des animaux sur le terrain scientifique, fut un inspecteur de
e les bêtes parla pratique et qui fut dans ses belles Lettres sur les animaux , l'adversaire le plus décidé de la théorie cartés
orges Leroy dans ses observations. Vivant journellement au milieu des animaux , et se trouvant, par ses occupations même, en coo
s leurs actes. Dès sa première lettre, il montre que la psychologie animale est une science auxiliaire de la psychologie huma
De même, dit-il, qu'en observant la structure intérieure du corps des animaux , nous apercevons des rapports d'organes qui serve
mberg a fait son cours de philosophie, et la connaissance qu'il a des animaux est basée non pas sur des faits isolés, particuli
s, dit Georges Leroy, pour que nous eussions l'histoire complète d'un animal , qu'après avoir rendu compte de son caractère ess
sa marche, et le force à inventer de nouveaux moyens. « Si c'est un animal carnassier dont on écrit l'histoire, ce n'est pas
nassier dont on écrit l'histoire, ce n'est pas assez d indiquer quels animaux lui servent de proie, ni comment il s'en saisit;
observer tout ce que l'activité des différentes passions auxquelles l' animal est sujet, comme la crainte, l'amour, apporte de
balance en lui le sentiment du besoin. Ce n'est qu'en suivant ainsi l' animal dans ses différents âges et dans les événe- m
dans tout ce que l'on rapporte de l'intelligence et du sens moral des animaux . » Voilà donc un fait observé par un homme de h
r, mais qui n'en reste pas moins un problème troublant de psychologie animale . Et il faut reconnaître que toutes les belles
esse pourraient tenter au printemps prochain. * » • Jusqu'ici les animaux qui ont attiré le plus l'attention des psychologu
'être exploré avec le même zèle que celui qui nous est offert par les animaux supérieurs. Souvent même les manifestations psych
ssage rationnel permet, en effet, de mettre en jeu, au moins chez les animaux supérieurs, certaines facultés intellectuelles do
mécanisme. Les expériences psychologiques de dressage faites sur des animaux pourraient être un moyen d'investigation correspo
ge, dit M. Hachet-Souplet, est la pierre de touche de la, psychologie animale . » Parmi les expériences faites par ce dernier
e patte. M. Hachet-Souplet fait subir la la même épreuve à différents animaux de même espèce sans qu'ils puissent s'observer mu
périences de stimulation. Dans les expériences de M. Thorndike, les animaux ont à découvrir le moyen, non pas d'entrer dans u
ortir d'une boite fermée par des systèmes variés. On note pour chaque animal le temps au bout duquel il réussit à découvrir le
on exclut ainsi cette équation personnelle à laquelle la psychologie animale doit tant d'erreurs. Voici comment les choses s
de suite pendant plusieurs jours. Invariablement, le temps mis par l' animal à découvrir le secret diminue. 11 vient un jour o
, il pose la patte sur le levier et sort, Cela ne veut pas dire que l' animal a compris le mécanisme. Il a remarqué que tel act
diverses avec des mécanismes de plus en plus compliqués, et quand un animal a appris à sortir de l'une, on l'éprouve avec une
es épreuves exercent une réelle influence sur l'intelligence de l' animal . A tel point qu'après avoir passé par une dizaine
vite qu'au début des expériences. On a répété ces exercices sur des animaux d'une autre espèce, sur des chiens, par exemple.
l place une tortue, dans un endroit ensoleillé qui ne plaît pas à cet animal ; il note ensuite combien de temps la tortue mettr
e le long d'un plan incliné, chute qui lui économisait de la route, l' animal , désormais, ne manqua pas de faire cette chute de
n'est pas le seul procédé expérimental que l'on puisse appliquer aux animaux . Prenons un exemple : On sait que si une fourmi
se dégagera par suite de cette partie de la psychologie : c'est que l' animal n'est pas plus séparé de l'homme par son esprit q
berceau mais déjà si pleine de promesses, la psychologie comparée des animaux , dont votre savant conférencier vous entretenait,
à chercher dans les forces de la matière et dans la vie psychique des animaux les origines de la psychologie humaine. Les deux
les naturalistes et les géographes se plaisaient à supposer tous les animaux ou les plantes bizarres qu'on ne retrouvait pas a
plante. Il y a là une loi très analogue à loi des réflexes chez les animaux . Dans la même feuille et sur le même rameau, le
nsi une propension au sommeil que nous retrouverons chez les cellules animales jeunes, chez le petit de l'animal et chez l'enfan
us retrouverons chez les cellules animales jeunes, chez le petit de l' animal et chez l'enfant. SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PS
es journées à conduire une voiture à âne, se montrait brutal avec les animaux comme avec ses camarades. J'eus une certaine
ns de répulsion pour certaines personnes et traita plus doucement les animaux qui lui étaient confiés. Bientôt on put lui faire
'évolution des sentiments et des fonctions psychiques dans la série animale . Les samedis à cinq heures et demie. Psychologi
série animale. Les samedis à cinq heures et demie. Psychologie des animaux . — M. Lépinay, professeur. Objet du cours : L'édu
Lépinay, professeur. Objet du cours : L'éducation et le dressage des animaux . Les mercredis, à cinq heures. Varia Conféren
au fond, n'est que le besoin de trouver une explication aux faits. L' animal peut éprouver de la curiosité et s'étonner au mêm
abdominal. Cette section amène, au bout d'un certain temps, chez les animaux auxquels on la pratique, l'atrophie de la moitié
glé, p. 282. Hypnotisme fortuit (Un cas d'), p. 350. Hypnose chez les animaux (L'), par Wijnaendts Francken, p. 74. Hypnotism
13 (1857) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Atlas
3 le nerf émanant du ganglion. Colimaçon. Le système nerveux de cet animal se compose d'un anneau ganglionaire entourant l'œ
chez tous les autres rongeurs, et même que chez la plupart des autres animaux ; la partie moyenne ou ver supérieur, n. 1, est, a
ils manquent dans les figures 1 et 2. Agouti. Sur le cerveau de cet animal on voit des dépressions plus marquées que chez le
sont pas symétriques. La fig. 2 représente la base du cerveau du même animal . e. INerf ethmoïdal. o. Nerf optique. p. Nerf
sente un élargissement latéral plus considérable que chez aucun autre animal . A la surface de chaque lobe, se voient des dépre
ulement ont une certaine régularité. Le cervelet, comme chez tous les animaux , est divisé en trois parties. 1. Lobe médian ou
renard, le loup et le chien. J'ai choisi pour type le premier de ces animaux , parce que c'est lui qui présente, avec le plus d
l'éléphant et du singe. Fig. 2. Face latérale de l'encéphale du même animal . S. Une ligne ponctuée partant de cette lettre,
ENCÉPHALE DE LA FAMILLE DES CHATS. Cette famille comprend tous les animaux que Cuvier y a placés, tels que le lion, le tigre
dans la figure suivante, au point marqué + . . 2. Encéphale du même animal , vu par son côté externe. S. Scissure de Sylviu
existe pas, mais qui est seulement indiqué sur le lobe gauche du même animal , et que l'on trouve très marqué sur le lobe corre
rds et celui de la famille des moutons. Panthère. Le cerveau de cet animal est semblable à celui du chat : les circonvolutio
rs encéphales de lion, j'ai vu aussi la figure de l'encéphale du même animal publié par M. Tiedemann, et j'ai constamment retr
nt entre les renards et les moutons, c'est-à-dire entre une famille d' animaux carnassiers, et une famille d'animaux herbivores.
'est-à-dire entre une famille d'animaux carnassiers, et une famille d' animaux herbivores. Furet. Trois circonvolutions. La tr
z le furet, chez le coati, et l'on en trouve des traces chez tous les animaux dont le cerveau est pourvu de circonvolutions.
cé- ENCÉPHALE DE LA FAMILLE DES OURS ET DES MARTES. phale du même animal , vu par sa face supérieure. Loutre. L'encéphale
La scissure de Sylvius est très oblique; elle l'est plus que chez les animaux précédemment étudiés, et au moins autant que chez
e ce genre que je connaisse, car j'ai vu généralement chez les autres animaux , les circonvolutions 2 et 3 distinctes l'une de l
taire , elles sont les mêmes chez les ours et les martes que chez les animaux de la famille des renards, et ceux de la famille
ière du cerveau, on voit le cervelet qui, comme chez presque tous les animaux , est en grande partie découvert ; et plus en arri
e des nerfs spinaux. Fig. 2. Face inférieure de l'encéphale du même animal . Les mêmes lettres désignent les mêmes objets q
objets que dans les planches précédentes. Fig. 3. Encéphale du même animal vu du côté externe et contenu dans le crâne que j
ité du sillon qui se trouve entre elles, n'est interrompue chez aucun animal Carnivore ou herbivore, excepté toutefois chez le
l'homme, et l'on y distingue à peine quelque analogie avec celles des animaux carnivores. Une étude attentive ne tardera pas à
arrière la moitié postérieure des circonvolutions longitudinales des animaux , circonvolutions qui vont alors recouvrir le cerv
épinière. Fig. 2. Face externe du lobe droit de l'encéphale du même animal . C'est la répétition des mêmes parties que nous
ion supérieure (fig. j ). Cheval. Côté gauche de l'encéphale de cet animal . La disposition générale des circonvolutions es
que son volume ne peut être reconnu par l'inspection de la tête sur l' animal vivant. e. Lobe ethmoïdal, fournissant les nerf
rvelet. 2. Lobe latéral du même organe. Fig. 2. Encéphale du même animal , vu par sa base. Tout-à-fait en avant, est un s
le volume du cerveau de l'éléphant, à celui de l'homme et à celui des animaux . Aucun animal, pas même la baleine, n'a le cervea
rveau de l'éléphant, à celui de l'homme et à celui des animaux. Aucun animal , pas même la baleine, n'a le cerveau aussi gros q
veau aussi gros que l'éléphant ; l'homme lui-même est inférieur à cet animal non-seulement pour le volume total du cerveau , m
les circonvolutions supérieures , celles qui n'existent pas chez les animaux , à l'exception de l'éléphant et du singe. I. A.
hat (pl. V), et du renard (pl. IV), et vous verrez que, chez tous les animaux , la moelle allongée, les tubercules quadriju-meau
14 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e jaune de la rétine, abolit, en ce point, les images mentales de l' animal , ainsi que la possibilité de nouvelles percepti
en rapporf avec le reste de la rétine, ex- pliquent assez et que l' animal continue à voir et qu'il ¡ acquière de nouvelle
ologues, touchant les différents modes d'examen de ce sens chez les animaux . Nous ne mentionnerons, en passant, que la meil
., p. 88. 40 PHYSIOLOGIE essentielle de la sphère visuelle de ces animaux . » Voilà donc une nouvelle confirmation de la d
on du singe dans l'écorce des lobes pariétaux n'ont point, pour ces animaux , une plus grande im- portance que les irradiati
peu varié. Il localise toujours, d'une manière géné- rale, chez les animaux , le centre cortical de la vision dans la région
déterminerait qu'une cécité psychique, jamais une cécité absolue. L' animal perdrait ainsi la mémoire des images perçues ;
ter que les sensations de la vue étaient redevenues parfaites : ces animaux distinguaient les plus petits objets, mais n'en
sations subjectives de la vue, de l'ouïe, etc., que manifestent les animaux par des mouvements correspondants ? Dans les de
onnement et de surprise qui ressemblent à ceux que provoque, chez l' animal , un bruit violent ou insolite, Ferrier les inte
S FONCTIONS DU CERVEAU. 67 Encore ceux-ci vont-ils s'atténuant si l' animal survit assez longtemps. Mais les sensations bru
comparable à ceux que Luciani a réalisés expérimentalement sur les animaux par la destruction des sphères auditives, alors
r les animaux par la destruction des sphères auditives, alors que l' animal , qui entend les moindres bruits, les sons qui c
l'insuffisance des moyens de diagnostic des lésions du goût chez l' animal , en sont, suivant Luciani, la principale cause.
ns du goût par la sec- tion et la dégénération des nerfs du goût, l' animal continue à manger avec un appétit visible, ce q
intes- tinaux qu'ils franchissent très facilement. Même chez les animaux morts, en mettant un tube bien appliqué à la pa
e inférieure du canal digestif, on voit qu'au sur et à mesure que l' animal est soumis à une pression de moins en moins for
cardia formant une barrière qui ne peut être franchie que chez les animaux vivants où les réflexes existent. 4° Théorie
1, qui, dans ses notes relatives aux phénomènes présentés par un animal soumis au vide, interprétant les causes de la m
à et là des obstructions. De là, sécrétion mal ordonnée des esprits animaux , dans le cerveau, et de là leur inégale influen
siècle dans les recherches remarquables qu'il avait faites sur les animaux soumis à l'action du vide avait aussi constaté
int au défaut de respiration, pouvait contribuer à faire mourir les animaux dans le vide de la machine pneuma- tique ; en e
e dans l'hu- meur aqueuse de l'oeil d'une vipère à l'instant où cet animal pa- raissait violemment tourmenté dans le récip
l'air comprimé est arrivé à la conclusion, que voici : « Chez les animaux à sang chaud, il se dégage du gaz dans l'intéri
oment où cette bulle d'air pénètre dans la circulation cérébrale, l' animal en expérience tombe comme sidéré. Cette sidérat
tères, même dans les vaisseaux du placenta et des foetus, lorsque l' animal est en gestation, il dé- clare : DES ACCIDENT
cité remar- quable, car ils consistent tout simplement à mettre l' animal en expérience dans le scaphandre après avoir an
, une minute de décompression. c A 9 h. 51, enlèvement du casque, l' animal tombe foudroyé, ayant la langue mordue et les p
r; 40 secondes de décompression. A 9 h. 32, enlèvement du casque, l' animal saute seul du scaphandre et cherche à s'enfuir
scale et anale. Température, 39°,2. 8 juillet, 7 heures du matin, l' animal est dans le même état. Contractilité faradique
ans le même état. Contractilité faradique un peu diminuée, je tue l' animal en lui ouvrant le thorax. Autopsie. - Moelle.
: 50 secondes de décompression. A 11 h. 7, enlèvement du casque, l' animal saute du scaphandre et il s'enfuit. Ail h. 20
issue facile par les deux orifices du canal digestif. A. midi, l' animal commence à récupérer la motilité de sa patte. L
sensibilité commence à revenir à celle du côté droit. A midi 20, l' animal a récupéré presque complètement la motilité de
e complètement la motilité de sa patte gauche. A ce moment je tue l' animal par l'ouverture' du thorax, dont la cavité est
ue. Aucun accident jusqu'à 7 h. 30 du soir. A ce moment, je tue l' animal . Je constate à l'aide de la loupe de fines bullet
te de décompression. A H h. 32, enlèvement du casque. A 11 h. 45, l' animal est paralysé de ses paltes postérieures qu'il t
ltes postérieures qu'il traîne. Sensibilité abolie. Amidi, je tue l' animal par l'ouverture du thorax. Sang mousseux aussi
ne demi-heure de séjour; une minute de décompression. A 10 h. 32, l' animal paraît bien portant. A 10 h. 37. Raideur et imm
. A 10 h. 37. Raideur et immobilité soudaine du train postérieur. L' animal ne voit pas. Ventre énormément distendu de gaz.
partie du gaz libre est constituée par de l'azote, si on soumet des animaux à des pressions élevées d'un air très pauvre en
en azote et qu'on décomprime ensuite brusquement, le sang de ces animaux ne doit contenir que peu ou pas de gaz et, par
'état libre dans les vaisseaux, parce que l'air que respiraient les animaux était très pauvre en azote. On préférerait de b
taux dans LEURS rapports avec LES fonctions 0CUL0-M0TR1CES CHEZ LES ANIMAUX NOUVL.%U-NS OU TRÈS JEUNES ; i Fig. 7. Montrant
r et d'autres sur la région de la sphère optique de Munk chez les animaux adultes. M. Danillo a entrepris une série d'expér
s de un à cinq . mois. La première expérience portait sur un de ces animaux avant le troisième mois de la vie extra-utérine
régions psychomotrice et occipitale, mais plus bas. Enfin, chez les animaux âgés de moins de cinq mois, la région psychomot
x observations en particulier et à un parallèle entre le magnétisme animal et la métaitothérapie, ils contiennent un trop
ences fort importantes, en effet, qui ont été constatées chez les animaux de différentes espèces, soumis à de fortes pres
dès six atmosphères (exp. DXXX); la mort a frappé presque tous les animaux ramenés de huit atmosphères et tous ceux qui l'
Vu donc ces différences considérables qui sont pré- sentées par les animaux des différentes espèces soumis à de hautes pres
h. 1 m. à 10 h. 31 m., décompression 40 secondes. A 10 h. 42 m., l' animal commence a traîner ses pattes posté- rieures ;
ension complètement paralytiques et insensi- bles ; à 11 h. 15 m. l' animal excité se met à marcher en traînant ses pattes
3 lui. 3 m. à 4 h. 48 m., Décompression 1 minute. A 4 h. 33 ni.. l' animal tombe en convulsions suivies bientôt de coma. M
. 9 : i m. cris, titubation. Angoisse respiratoire; à 12 h. 40 m. l' animal com- mence à se remettre, à t heure guérison.
sceptibilité aux accidents qui ont été observés chez les différents animaux de la même espèce, on aurait peut-être le droit
orme d'im- bécillité. L'état de ces malades est proche de celui des animaux à sang froid' dont la circulation est soumise à
ée par les expériences de Horsley' qui fit sur des chiens et autres animaux infé- rieurs et enfin sur des singes. Les expér
les singes. L'extirpation de la glande thyroïde provoquait chez ces animaux primates une maladie qu'on pourrait diviser en
ulsions et une altération des fonctions des organes en général. Les animaux jeunes ne survivaient guère à cette période. La
ni- maux cet état n'apparaît clairement que chez les singes. Si l' animal survitàcette période, il passe au troisième, à l'
ance indispensable à la nutrition du système nerveux central. Les animaux survivent à l'extirpation de l'une des glandes, m
ation de toutes les deux a pour suite la mort. Mais en maintenant l' animal dans un milieu porté artificiellement à une tem
. MYXOEDIm : OU CACHEXIE PACHYDERM1QUE. 59 durée et même sauver l' animal opéré, c'est-à-dire qu'il conti- nuera de vivre
lle n'est pas seule et unique à l'a- voir et à la remplir, car si l' animal opéré survit un certain espace de temps après l
anisme s'y conforme. Deux raisons peuvent être cause de la mort des animaux opérés : ou bien la glande thyroïde produit une
tanos général. La sensibilité cutanée était toujours affaiblie. Les animaux qui avaient survécu à cet état passaient à un é
aralytique qui finissait par la mort. La transfusion du sang de ces animaux malades à d'autres, donna des résultats négatif
uleuses recher- ches et explorations du système nerveux central des animaux opérés démontrèrent que le plus de changements
par les alcalis faibles, par les sels alcalins et par les liquides animaux alcalins tels que le sang. Il l'est également par
qu'il prenait plaisir à couper la gorge à un cheval ou à d'autres animaux . Condamné à être pendu pour crime de viol, il vit
ommunique les résultats de ses recherches sur l'hypnotisme CHFZ les animaux . Il a réussi à hypno- tiser les espèces les plu
de la volonté, et plus celle-ci est développée, c'est-à-dire plus l' animal est haut placé dans l'é- chelle des êtres au po
ncerne la transmission par l'hérédité de tendances acquises chez un animal et contraires aux instincts et aux habitudes de
res moteurs, montre qu'en cas d'ablation d'un centre moteur chez un animal nouveau-né, ce n'est pas le centre du côté oppo
eim quel rôle peut bien jouer la suggestion dans l'hypnose chez les animaux et dans les cas d'hypnose subite par coup de to
nnés et plus maltraités que ne le sont, quand ils sont malades, des animaux domestiques. Ces deux cabanons sont situés derr
les effets du traumatisme opératoire disparus, empêcherait-elle cet animal de courir, de nager, d'exécuter tous les mouvem
de telles ou telles catégories de mouvements volontaires. Si donc l' animal opéré n'exécute plus certains mouvements, ou ne
générale et spéciale, bref, si ces prétendus moteurs de la machine animale doivent, pour agir, être actionnés par le reste
er, n'a jamais révélé- aucune altération de cette fonction chez les animaux . opérés de la zone motrice. Ainsi, les aires ex
té qui suivent les mêmes lésions de la zone motrice corticale. Si l' animal survit assez longtemps au traumatisme opératoir
incipaux troubles, - avec une excitation psychique très vive de l' animal , qui est pris de peur, d'angoisse, et cherche à
ce de réponse aux irritations électriques du gyrussig- moïde chez l' animal profondément narcotisé, sur la longue durée du
t d'être familier avec la nature- des mouvements que présentent les animaux après la- perte de la sensibilité tactile par s
cordons- postérieurs de la moelle, pour les reconnaître chér- les animaux dont les lobes antérieurs du cerveau ont été ex
nt parudiminuéducôté opposé à la lésion, alors qu'aucun muscle de l' animal n'était paralysé \ Goltz a donc résumé et conci
aux dans leurs rapports avec les fonctions oculo-ntotrices chez les animaux ? ioiit,eau-71cs ou très jeunes (Laboratoire de
itabilité des différents territoires de l'écorce cérébrale chez les animaux nouveau-nés 1. i. Ainsi l'excitation des points
manifeste souvent par l'indifférence absolue ou rela-' tive de l' animal dont on place les membres dans des' positions a
ils sont hémiplégiques. Or, il suffit de suspendre par le tronc l' animal pour qu'apparaisse l'hémiplégie avec tous ses c
(de Francfort). Du développement du manteau cérébral dans la série animale . Comment se comportent l'ensemble des cir- conv
convolutions cérébrales et les ganglions de la base chez les divers animaux ? Où commencent à apparaître l'écorce du cerveau
gane n'est pas comparable au cerveau antérieur définitif des autres animaux . liais chez le requin, ce cylindre épais déroul
ntent un véritable cerveau antérieur secondaire. Aucune des espèces animales mentionnées ne possède rien qu'on puisse désign
stituée par des fibres et de la névroglie. La place qui, - chez les animaux supérieurs, est occupée par la circonvolution de
produit qu'à une période relativement avancée du développement de l' animal , et non dans la phase embryonnaire. Cette fusée
eur au premier déter- mine une brutale et impétueuse agilalion de l' animal , qui se met à exécuter des mouvements de course
x du même côté (lapin C) ; - le vermis cérébelleux (la- pin D). Les animaux ont survécu trois semaines (lapins A et B), six
rielles. L'auteur a essayé de produire les mêmes accidents sur des animaux nourris d'hydrate de chloral ; il n'a jusqu'à ce
interdiction des séances d'), par Ladame, 171, 287, 316; chez les animaux , par Danilevski, 284;- (terminologie dansl'-),
15 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
uelles il se proposait de montrer les effets miraculeux du magnétisme animal . Ses deux premières soirées furent très-suivies
gnétiseur ne me l’eût pas dit plus tôt, lorsque je lui avais montré l’ animal innocent. Je fis magnétiser la fille de nouveau
e. — Accidents. — Utilité. — Comparaison avec les faits du magnétisme animal . Le premier chapitre constate ce que tout le mo
volonté, ce qui rentre, du reste, dans les lois connues du magnétisme animal . « Comme il s’agit, dans ces sortes d’expérienc
translation de certains objets inertes soumis à l’action d’une chaîne animale dans des conditions déterminées ; les expériences
s. Cette opinion est appuyée par tout ce que la science du magnétisme animal nous a dévoilé jusqu’ici.......» Il passe en re
fs ne sont pas des tubes creux. n Ilippocrate admettait des esprits animaux , séparés par le cerveau et conduits à l’aide des
doctrine, admirent la solidité des nerfs et proscrivirent les esprits animaux , mais ils remplacèrent la théorie reçue par des h
Stahl seulement admit, avec son maître, l’âme à la place des esprits animaux . « Les médecins allemands Prochaska, Reil, Ritt
gne avait entrevu déjà : l’existence de l’électricité dans l’économie animale . « Béclar et après lui M. Prévost, de Genève, t
lement pour déterminer le rôle que joue l’électricité dans l’économie animale , mais il se trompa aussi de pôle, et-ses essais n
tte ligature agissait comme celle que l’on pratique sur les nerfs des animaux vivants et qui arrête tout passage de l’influx ne
tomac ou par le bout des doigts, dans l’état qu’on appelle magnétisme animal . Quand bien même la peau de la région épigastriqu
gy, or the ralionale of ner-votts t\eep, considered in relation u'ilh animal magnelism. vu des preuves incontestables que l’
que l’odorat avait été porté à une acuité égalant au moins celle des animaux ruminants ou carnivores qui ont le meilleur nez;
et morale que l’homme exerce sur son semblable, sur lui-même, sur les animaux , les végétaux, et en général sur toute la matière
appants du galvanisme, les phénomènes physio-« logiques du magnétisme animal , n’ont jamais été des mira-(' des qu’aux yeux des
— Jamais ; mais mon frère aperçut un jour, dans le salon, une forme d’ animal que nos parents ne voyaient pas. Vous savez que l
par expérience, que la soie n’arrête, ni les phénomènes du magnétisme animal , ni ceux des tables. Et quand même certains corps
N DE FOI D’EN MÉDECIN MAGNÊTISTE (1). Aujourd’hui que le magnétisme animal est bien connu dans son essence, ainsi que les ph
. M. COUPRY. BIBLIOGRAPHIE. THÉORIE PSYCHOLOGIQUE DU MAGNÉTISME ANIMAL , article de M. Am. Jacques, publié par la Revue n
t-ce que la physiologie? C’est la science des principes de l’économie animale , de l’usage et du jeu des organes, la science, en
le, vint asseoir sur des bases plus sérieuses l’existence des esprits animaux . Ce savant renverse tout ce que les théories anci
théories anciennes avaient d’hypothétique, et à la place des esprits animaux il met le /hiidus nervosus. a Ce fluide, dit-il
chaleur des corps et qui, dans l’obscurité, guide et éclaire certains animaux noctures ou fouilleurs, tels que le hibou, la tau
CONVULSIONS. —AMÉNORRHÉE. —ENCÉPHALITE, ETC., ETC. Le magnétisme animal gagnant journellement du terrain, nous paraît mér
, de jongleries et d’exploitation dans lequel est tombé le magnétisme animal , et tâcher d’y démêler la vérité. Mais le berceau
e courageux à expérimenter et à observer les phénomènes du magnétisme animal . Ce n’est pas un initié aux mystères du magnétism
et qui en est à sa seconde année. A Milan, la Cronica del Magnetismo animale existe depuis beaucoup plus longtemps, et les pet
ou moins acceptables induisirent Mesmer à donner le nom de magnétisme animal aux faits dont il venait de faire la découverte.
a mission providentielle quand il formula la grande loi du magnétisme animal , quand il affirma que tous les êtres animés exerc
sa mort dans un miroir magique; Où le maître, évoquant les esprits animaux , Les contraint d'obéir h de certains signaux,
sa théorie sur le miroir magique, où il parle effectivement d'esprits animaux etd esprits ambiants, mais dans on sens auquel no
émontré que Mesmer c'est le mal, Puisque mal sous-entend magnétisme animal : Or le mal c'est Satan ; donc Mesmer c’est le
par les traitements appropriés qu’elle m’indiqua, des chevaux et des animaux domestiques sur lesquels l’art vétérinaire restai
nvenables d’un livre de M. Bersot, intitulé : Mesmer et le Magnétisme animal , ouvrage qûi est parvenu à sa seconde édition, et
ie positive des phénomènes étudiés sous la dénomination de Magnétisme animal , tables tournantes, esprits frappeurs, etc. Nos
n prix aussi : Le mémoire de Mesmer sur la découverte du magnétisme animal et le mémorable rapport de Bailly furent pendant
mi, sur l’enfant au berceau, sur le malade privé de ses sens, sur les animaux eux-mêmes, on vit se reproduire des phénomènes pa
encore, on sait l’anatomie sau . avoir jamais touché le cadavre d’un animal , et la médecine sans avoir observé un malade ; et
se, et de faire de l’anatomie même sans avo 'r touché le cadavre d’an animal . Et ce sens nouveau, innoMmé, indescriptible, qui
onvaincre, en lisant un ouvrage du Dr Teste, intitulé : le Magnétisme animal expliqué, que Jésus-Christ avait employé le même
es plus hauts problèmes, sur la formation des astres, la création des animaux , la santé, la maladie? Il faudrait recommencer ic
rons au moins déterminer la vraie nature des phénomènes du magnétisme animal , et leur Oter tout le prestige métaphysique qui l
prétend analyser et réduire à néant tous les phénomènes du magnétisme animal . Mais toutes ces divisions, subdivisions, catégor
hons enfin à l’interprétation des singuliers phénomènes du magnétisme animal , >> et qui va nous rendre compte, à sa faço
J. GRAVÉ. ÉTUDES ET THÉORIES. QUESTIONS RELATIVES AU MAGNÉTISME ANIMAL (1). L’Ame, les songes, la folie, dis-moi, Gr
indiquer de quel point de vue nous envisageons l’étucle du magnétisme animal , dont les phénomènes ont été et sont encore ;i pr
ux habituels ; mais, malheur! une parole indiscrète lui apprend que l’ animal dont il fut mordu a, dans le même jour, inoculé l
dont il fut mordu a, dans le même jour, inoculé le virus à d’autres animaux qui sont morts enragés. L’infortuné rentre cljcz
n résulte certains phénomènes dont l’ensemble constitue le magnétisme animal ? Certes, à priori, je ne vois rien là qui répu
t pour grouper en faisceaux distincts es faits relatifs au magnétisme animal , nous poserons les qu -lions suivantes : Existe
eptionnels pour avoir mérité un ¡111 particulier, celui de magnétisme animal ? 2“ Ces phénomènes sont-ils produits par un ho
indiquer les remèdes qui doivent être appliqués ? 6° Le magnétisme animal est-il, entre les mains du médecin qui sait le di
int de vue de M. Segond : « du degré d’utilité pratique du magnétisme animal , * qu’il divise en deux questions techniques : l’
spondance de la Société royale de médecine relativement au magnétisme animal , donné par Thouret. « On sait que la méthode ma
nes compagnies de médecine qui aient adopté la doctrine du magnétisme animal ; qu’elles ont fait, au contraire, tous leurs effo
e des êtres que, depuis Mesmer, 011 désigne sous le nom de Magnétisme animal . II. — Le magnétisme dans ht tradition. Rien
t pas susceptibles de comprendre. Si ce que vous appelez Magnétisme animal n’est autre chose que ce qui a toujours été compr
à connues. — Eh bien ! non, Mesmer n’a pas plus inventé le magnétisme animal que Newton n’a inventé l’attraction, que Franklin
ou dans les traditions religieuses, les éléments épars du magnétisme animal . Le chef de l’initiation grecque, qui était des
e égard que ce soit, considérer comme un art constitué, le magnétisme animal , lorsque l’on voit les plus habiles (comme cela a
rumeur publique, la femme aurait été soumise à l’action du magnétisme animal , et le premier essai donnerait lieu de penser que
nées de marche ordinaire. Je passais alors en route sur le dos de mon animal trois nuits et deux jours au lieu de cinq nuits e
deviennent autant de gros rochers ou de3 édifices; la trace des gros animaux , les ornières donnent la route l’apparence d’une
omplète, qu’il est arrivé quelquefois à des Arabes de faire feu sur l’ animal imaginaire. « Sous l’influence du ragle, j’ai d
sommeil impossible. « 11 est aujourd’hui hors de doute que certains animaux ne connaissent que le demi-sommeil. Nous savons q
n dehors du sommeil sans que l’éréthisme normal des organes de la vie animale soit suspendu entièrement et sans que la raison p
de peur; et comme la frayeur trouble la vue, chacun croit voir... des animaux fantastiques... dont il aurait au moins fallu don
ion; et il aurait été bon aussi de s’assurer si chacun a vu les mêmes animaux , si au contraire (ce qui est plus probable) chacu
nte ce dernier phénomène, qu’il lui attri-tribue la même cause qu’aux animaux fantastiques de Ci-deville, et que c’est aussi un
oir vu, à la suite de la foudre, se produire de chat ni aucun autre animal , mais un globe lumineux ; et pour rendre compte d
dmission de ce fait n’autorise aucunement à conclure la possibilité d’ animaux éclos d’un fluide. Ou voit par ces exemples (et
ose qu’on put voir, c’est que le charmeur avait enlevé la sangle de l’ animal , et y avait fait un nœud trois fois. En quelques
aboie, il roucoule, etc.; eu un mot, il imite les bruits que font les animaux qu’il a entendus à la campagne. Pour peu qu’il en
t de monstruosité ridicule. A. S. MORIX. MESMER ET I.E MAGNÉTISME ANIMAL , par E. Bersot. I vol. in-12. i'' (Kliliun. Paiis
aits et. gestes magnétiques, sous le titre de Mesmer et le Magnétisme animal , et nous n’arrivons aujourd’hui que pour en const
e la vraie cause de ce phénomène, il répond : « C’est le magnétisme animal , nous dit le vulgaire, qui se développe lorsque v
i se développe lorsque vous formez la chaîne. « C’est le magnétisme animal , hélas! oui ; et dans l’innocence de vos cœurs, v
soumis à son action. » « ...Je ne nie pas l’existence du magnétisme animal ; mais je ne puis me contenter de ce mot quand je
d je veux connaître la cause des mouvements rotatoires. Le magnétisme animal se dégage-t-il de mon organisme et de celui de me
e se penche-t-elle plutôt; pourquoi ne se renverse-t-elle? Magnétisme animal !... Cela ne m’éclaire pas mieux sur les causes de
peu hasardé et ne me fait pas mieux comprendre que le mot magnétisme animal la rotation des objets. » Ici le narrateur décr
résultat. Après quoi il conclut : « Ce n’est donc ni le magnétisme animal , ni les vibrations musculaires qui sont en jeu ic
tre ce fluide supposé et celui qu’on est convenu d’appeler magnétisme animal ? Aucune, assurément ; et mieux eût valu peut-êtr
s attirer le reproche de nous payer de mots en rejetant le magnétisme animal comme promoteur du phénomène en question. Mais le
e animal comme promoteur du phénomène en question. Mais le magnétisme animal est l’action à distance ou par le contact d’un or
nt et gardent une émanation motrice, c’est qu’ils la transmettent aux animaux , qui les touchent. On peut donc raisonnablement s
courageux à observer et à expérimenter les phénomènes « du magnétisme animal . » Un pareil dévouement mérite d’être apprécié, e
s corps organisés les uns sur les autre«. Les pratiques du magnétisme animal ont souvent des résultats incontestables dans cer
ailleurs les faits que l’on nons présente sous le titre de magnétisme animal , s’ils sont, en partie du moins, réels et accessi
des autres? Nous avons voulu pénétrer dans les mystères du magnétisme animal ; nous ne dirons point ici tout ce que nous y avon
l qui déjà s’est fait dans l’esprit des masses au sujet du magnétisme animal , qui semble maintenant adopté, le même travail, l
tant que les particules dont ils étaient composés conservaient la vie animale . Dès qu’elle est éteinte, cette matière sublimée
rait la frayeur, les cris, la lutte qu’elle semblait soutenir avec un animal dans son délire nerveux. Mais auparavant, cette m
e professeur Bostan. Je le cite : a On doit entendre par magnétisme animal , d’abord un état particulier du système nerveux,
mploient cette force, dit-il, elle affecte leur sang et leurs esprits animaux , qui, par une évaporation poussée au dehors, prod
t de l’homme peut déterminer quelques mouvements appartenant à la vie animale , il ne peut produire des actes intelligents, des
ommer dans leur sein des commissaires chargés d’étudier le magnétisme animal sous le contrôle de médecins ei autres notables,
On y remarque plusieurs articles fort intéressants sur le magnétisme animal et sur les manifestations des esprits. Le numéro
obéissance aurait eu pour conséquence de le faire dévorer par quelque animal . Mais dès que son absence fut signalée, le comman
circonstance, la fascination avait été réciproque entre l’homme et l’ animal . Chacun d’eux était immobile et comme paralysé pa
faire avancer la question. 11 est évident que si le fluide magnétique animal existe, il peut suffire à la tâche attribuée à Yo
ait quand on a voulu prouver rigoureusement l’existence du magnétisme animal , comme a l'ait M. du Potet à l’Hôtel-Dieu en prés
tration?... Ceux qui prétendent pouvoir à leur volonté maléficier les animaux , pourraient s’exercer à un moment donné sur un an
maléficier les animaux, pourraient s’exercer à un moment donné sur un animal qui leur serait désigné, et chercher à produire l
é à me donner un échantillon de son pouvoir, soit en faisant périr un animal que je me serais procuré tout exprès et qui aurai
célèbre médecin allemand, à qui l’on dôit la découverte du Magnétisme animal , auteur de divers ouvrages; né à Mersebourg (en S
terre elle-même, et les immondices mêmes de la terre ; il dompte les animaux les plus féroces, et sait dire les mots qui engou
appréciation raisonnée, par M. E. de Malherbe, 213. Magnétisme (le) animal en présence de l’association médicale des Etats s
et critique par M. Hébert (de Garnay), 98. Mesmer et le Magnétisme animal , par E. Bersot. — Appréciation par M. F. Normand,
positive des phénomènes étudiés sous la dénomination de ma gnétisme animal , etc ; article publié dans la Gazette de médecine
E. de Malherbe, 309, 337, 365. Théorie psychologique du magnétisme animal ; article de M. Amédée Jacques, publié par la Rev
e M. le Dr Segond, 309, 337, 365. Questions relatives au magnétisme animal . Mémoire par M. le Dr Ri dart, 357. Ragle (du)
évocations et de migrations d’esprits, 242. FAITS ET EXPÉRIENCES. Animaux magnétisés, 481. Apparition d'esprits et de fan
16 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
s pourquoi n’avoir point évoqué des mânes de plantes, ou le spectre d’ animaux célèbres, bien plus élevés dans l’échelle des êtr
, malgré vos beaux mémoires sur ces impossibilités. Et ce magnétisme animal , qu’en dites-vous, nos maîtres? Ne s’avance-t-il
De cette Palingénésie des plantes, on est venu à la Palingénésie des animaux . M. Digby, d’animaux morts, pilés et broyés, en a
e des plantes, on est venu à la Palingénésie des animaux. M. Digby, d’ animaux morts, pilés et broyés, en a tiré de vivants de l
tait à faire passer une maladie d’un homme dans un autre , ou dans un animal , quelquefois même dans un végétal (i). Paracels
ansmettre la santé et la maladie. Le médecin faisait coucher certains animaux auprès de quelques-uns de scs malades; il pensait
Traité du règne végétal, les moyens de communiquer ses infirmités aux animaux . On a , dans un temps , ajouté une grande confi
eur de la Philosophie corpusculaire, des nodo.«ités1aux pattes de ces animaux , lorsque la maladie avait cessé. Nous lisons da
ur brillante santé et leur teint fleuri qu'aux émanations des fluides animaux au milieu desquels iis vivent constamment ! Nous
1), quel (l) Art de prolonger la Vie, p. (i. effet l’exhalaison d’ animaux que l’on vient d'ouvrir produit sur les membres p
bien 011 diminue la douleur d’un mal violent en appliquant dessus des animaux vivants, onjne peut s’empêcher d’approuver cette
Lyon , nous apprend qu’il faisait le plus fréquent usage des peaux d’ animaux nouvellement écorchés, ainsi que des animaux eux-
équent usage des peaux d’animaux nouvellement écorchés, ainsi que des animaux eux-mêmes. Il les ouvrait tout vivants, et les ap
tisme. (2) Annales du Magnétisme, tome III, p. 215. l'artoiv do l' animal : des luxations du pied ont cédé bien promptement
vr. cité. (5) Vertus magnétiques du Sang, p. 22. proviennent d’un animal sain et rempli d'émanations lucides. Il y a des
. Après avoir étudié l’influence morbide ou curative des émanations animales , nous sommes instinctivement entraînés vers cette
ejette-l elle tout ce qui est placé en dehors de l’action des sens. L’ animal qui, a plusieurs lieues de distance, est averti d
poiut ¡voulu traiter un sujet aussi en litige que l’est le magnétisme animal . Le principe d’après lequel agit ce dernier (et s
ration du fluide qui vivifie l’homme, et que nous appelons magnétique animal ou humain, serait facile à acquérir. Déjà le Dr
nsible au fluide magnétique du globe, alors la physique du magnétisme animal révélera des secrets encore incompréhensibles par
i II vient de paraître ici (Berlin) des recherches sur l’électricité animale , par M. Emile Du Boîb-Reymond. « M. Du Bois est
e : c’est de fondation. BIBLIOGRAPHIE. LETTRES SUIt LE MAGNÉTISME ANIMAL , etc.; par le D' DE la Salzèdb. i vol. in-12. Par
la démonstration des phénomènes les plus transcendants du magnétisme animal . Le style, toujours net et engageant, revêt des f
l, nous dit la préface, examine aujourd’hui la question du magnétisme animal avec une infatigable persévérance, et promet de d
la lumière, le calorique , l’électricité, ne sont avec le magnétisme animal que des parties connexes d’un seul tout, que des
teur pour en faire jaillir les lois secondaires propres au magnétisme animal considéré comme science naturelle. M. de la Sal
lequel ces misérables histrions ont voulu le déguiser, le magnétisme animal rentre dans l’ordre des faits que la nature offre
ins êtres sur d’autres; enfin, l’action magnétique de l'homme sur les animaux , et de ceux-ci entre eux. Résumant son argument
ion se bornant à essayer de démontrer comment l'élude du magnétisme animal peut être assimilée à celle des autres sciences n
créerait la vi-aie physiologie des passions humaines et des instincts animaux . Envisagée sous ce point de vue, dit avec raiso
rivé à ce point de sa thèse , il définit judicieusement le magnétisme animal : la transition nécessaire des sciences purement
humain : la volonté. 11 démontre ainsi qu’effectivement le magnétisme animal tient de la physique par son action évidente sur
logie première, et qu’on doit reconnaître dans le fluide magnétique animal un élément sui generis, dont les effets sont cons
r examine leurs résultats, et le parti qu’on peut tirer du magnétisme animal comme agent thérapeutique. Le fluide humain agiss
nt de sa thèse, l’auteur arrive à conclure : « i" Que le magnétisme animal , au point de vue thérapeutique, est applicable à
que, suivie de réaction quelque temps après. L’emploi du magnétisme animal sera donc ou pourra donc être utile dans toutes l
me la conviction, fondée sur l’expérience, que l’emploi du magnétisme animal est éminemment utile dans ces sortes d’affections
es épileptiques. M. de la Salzède pense également que le magnétisme animal n’est pas moins utile dans beaucoup de cas d’affe
d’idées cet ouvrage est conçu. Ce n’est point un traité du magnétisme animal , c'est un simple plaidoyer en faveur des immortel
ntifique sur l’application combinée de l’électricité et du magnétisme animal au traitement de diverses maladies, telles que le
u point qu’aujourd’hui les médecins souffrent qu’on leur parle de cet animal de magnétisme (j’entends les médecins de l’École
es effets simplement comme les analogues de ce qu’on observe chez les animaux ; c’est-à-dire, et comme l’a si bien énoncé M. Aug
i? Avez-vous découvert l’agent de ces terreurs soudaines? J’ai vu des animaux sortir tout à coup de leur tranquillité habituell
appréciables de la présence de l’agent que Mesmer appelait Magnétisme animal , ils en conclurent que le prétendu agent n’était
ntrôle de leur savante analyse. Mais heureusement que le magnétisme animal n’est ni l’électricité, ni le magnétisme de l’aim
est faute d’avoir connu (1) Mémoire sur la découverte du Magnétisme animal , 1784. 20 Proposition : «.....Le principe du magn
étisme animal, 1784. 20 Proposition : «.....Le principe du magnétisme animal diffère essentiellement de celui du minéral. »
x yeux éblouis de ses ennemis déclarés. Non, messieurs, le magnétisme animal n’est aucune de vos forces plus ou moins connues,
sur la substance qu’on désigne sons ce nom, tandis que le magnétisme animal pénètre plus avant dans l’organisation des corps
moraux, et qui font, 011 peut le dire, toute la science du magnétisme animal (si nous en exceptons les actions thérapeutiques,
couverte de M. Du Bois-Reymond : « Mais de là surtout au magnétisme animal , à ces influences mystérieuses et extra-lunaires
re rejeter toute idée d’un semblable rapprochement. Le magnétisme dit animal sembla d’abord répandre quelque jour sur ce sujet
cumuler à l’aide de certains appareils; mais l’histoire du magnétisme animal est devenue un déplorable tissu de mensonges et d
rnit non plus aucun fait conciliable avecles merveilles du magnétisme animal , si ce n’est qu’on a souvent répété, sans cependa
es avaient été guéris par l’immersion de leurs membres dans le sang d’ animaux égorgés depuis peu, à quoi on peut ajouter les co
rique ne put pas fonctionner. Dans ses Recherches sur l'Électricité animale , publiées en 1807, à Paris, le D' Coudret définit
à l’un et à l’autre est la perturbation des actions de l’électricité animale . 11 semble donc que lorsque l’épidémie du cholé
tement, la passion la plus furieuse.... On eût dit une bête fauve, un animal féroce qui fond sur sa proie. La colère, la fur
ésithérapie est quelquefois la cause d’elfets attribués au magnétisme animal . C’est d’ailleurs l’opinion de M. Georgii, et le
dans la Faculté de Paris. — Bailty , /apport secret sur le Magnétisme animal . — Virey, Dictionnaire des Sciences médicales, ar
Burdin jeune el Dubois (d’Amiens), Histoire académique du. Magnétisme animal , pag. S et G. (2) Premier Mémoire de Mesmer, pr
Mémoires et Aphorismes de Mesmer. Germer-Baillère, 1842. Magnétisme animal (i). Rassembler une porlion du fluide universel,
qui tendait à (1) Foissac, Rapport et discussions sur le Magnétisme animal , note 1, p. 220. (2) Premier Mémoire de Mesmer,
(1) tiurdin jeune el Dubois (d’Amiens), Ilisl. acaclém. du Magnétisme animal , p. 15, 14, et 15.— Foissac, Rapports el discussi
orts el discussions de CAcadémie royale de médecine sur le Magnétisme animal , lióle 1, p. 221. (2) Kurl-Sprengel, Ilisl. de
(i) Burdin jeune el Dubois (d’Amiens), Hist. académique du Magnétisme animal , p. 25. ont appelé cent sotiscsipteurs à lui ac
2) Burdin jeune et Dubois (d’Amiens), llist. académique du Magnétisme animal , p, 20. — Kurl-Sprengel, l/isl. de la médecine ,
licables phénomènes, que (1) Dcleuze, llist. critique du Magnétisme animal , I. I, p. 20. Paris, 1819. fallait-il? M. do Pu
, Mémoires pour servir à tHistoire el à l'établissement du Magnétisme animal : épigraphe. (2) Kurl-Sprengel, Illst. de la mé
ident s’est produit à ¡'Académie des sciences, à propos du magnétisme animal . Il s’agissait encore de la démonstration de sa m
Rapport des commissaires chargés par le roi de l’examen du magnétisme animal . Paris, 17Si. ln-4, page 5 : « Les commissaires
Exposé des Expériences qui ont été faites pour l'examen du magnétisme animal , dans lequel on remarque les passages suivants; p
« l’existence «le l’agent ou fluide auquel il attribue le magnétisme animal » comme un principe dont il émane. » (I) Entre
luide universel non démontré, appar-« lient certainement à la chaleur animale existante dans les corps, « qui émane d’eux conti
ssieu, le 12 septembre 1784. M. Jumelin regardait aussi le magnétisme animal comme de la chaleur qui tendait à se mettre en éq
catalepsie el le somnambulisme, etc. Lyon, 1787, in-8. — Électricité animale prouvée par la découverte des phénomènes physique
e : Prospectus d’un nouveau Cours théorique et pratique du Magnétisme animal , etc., etc., que : « Quelqu’un voulant dé-« montr
magnétisme reBte inactif devant le système nerveux de l’homme et des animaux ; qu’il est de la chaleur, si la chaleur ne peut v
» fications totalement différentes. * Ilisloire critique du SiagnéUmr animal , t. I", p. 88 (édit. de 1819). — Voy. encore Mesm
1819). — Voy. encore Mesmer, Mémoire sur la découverte du Magnétisme animal , Proposition XX : * Le principe du magnétisme a
du Magnétisme animal, Proposition XX : * Le principe du magnétisme animal diffère essentiellement de celui du maéfül, 'i
es de MM. Thilorier et Lafontaine. (2) Névrurgie , ou le Magnétisme animal devenant une science physico-mathématique, par M.
d’ici-bas l’homme remonte jusqu’à Dieu; sans toi, il n’est qu’un vil animal grouillant dans la fange. Le magnétisme, ce rayon
ses extases; * (1) Théâtre sacré des Cévennes. —Traité du Magnét. animal , par le D' Bertrand, p. 351 et suiv. (2) Lettre
faire, ce qu’elle vaut, à quoi elle peut être utile. Le magnétisme animal est, à nos yeux, dans ce cas; courant lé monde sa
aucun procédé qui pût lui faire croire qu'il se servait du magnétisme animal . « Mon expérience, dit-il (1), m’avait appris dès
par l’intercession de M. de l'àris. 5 vol. in-4. (2) Du Magnétisme animal en France, par le D' Bertrand, p. 317. attiré l
consciencieux. « Il y a vingt-quatre ans, j’étudiais le magnétisme animal avec goût, et j’ose dire avec succès. Rentré au s
on intelligence, qui d’abord en avait reçu l’empreinte. Supérieur aux animaux , plus malheureux peut-être, il laisse de côté so
ll as from body to body. Fr. Bicox. Un document sur le magnétisme animal adressé, le 19 juin 1787, par la Société exégétiq
Voilà la médecine de la nature. Dieu donna à l’hortitoié plus qu’aux animaux ; ceux-ci n’ont que l’instinct; l’homme reçut la
l n’y a donc rien de nouveau sous le soleil, pas même le magnétisme animal ! « Cet ouvrage, curieux et rare, se trouve à la
toire. Maladies passant du corps d’un homme dans un autre, ou dans un animal , 168. — La gérocomie, contact d’un corps usé avec
eflexions par M. Hébert (de Garnay), 415. Lettres sur le Magnétisme animal , par le Dr de La Salzède. Analyse et examen , pa
traduit de l’allemand par M. Jourdan. Négation absolue du magnétisme animal , 383. Mesmer et Swedenborg, par G. Bush. Analys
17 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
ns lès discussions de l’Académie royale de médecine sur le magnétisme animal , on ne prononça jamais son nom sans l'accompagner
e les chevaux jusqu’alors indomptés; seulement il restait seul avec l’ animal , et quand on rentrait, le cheval fougueux était d
e leur volonté bonne ou mauvaise , ils subissent l’influence des âmes animales réunies sous leur direction et qui deviennent com
leur libre arbitre peuvent résister à ia volonté humaine, niais les animaux n’y résistent pas longtemps. -i Voyons maintena
es conjurations et à des prières, on faisait bénir les étables et les animaux , on faisait dire des messes afin de repousser par
ar les instincts de la brute ne sont pas même dignes de commander aux animaux . Les Pères du désert étaient servis par les lions
rs. « Daniel dans la fosse aux lions ne fut touché par aucun de ces animaux affamés, et en effet, disent les maîtres dans le
s, et ne se jettent sur eux que lorsqu’ils les prennent pour d’autres animaux hostiles ou inférieurs à eux. Les animaux, en eff
les prennent pour d’autres animaux hostiles ou inférieurs à eux. Les animaux , en effet, communiquent par leur âme physique ave
certaines rivières qui se jettent dans ce gouffre immense, le plus d’ animaux doués de cette force, à un tel degré, qu’ils peuv
portance : nous voulons parler de l'égale « répartition de la chaleur animale . Les pieds, les mains, « presque toujours glacés
ns la commune de Digex (Yonne), élevait un jeune chien de chasse. Cet animal fit ses dents et parut beaucoup souffrir. Touché
les demeurèrent .“ans résultat, et l’on n’entendit plus parler de l' animal . Tout était oublié, le chien et la morsure, lor
ancfort donne sur ses derniers moments de curieux détails. Le roi des animaux s’était, dit-il, énergiquement refusé à toute esp
lion demandait, c’était non des pilules, mais la liberté ; ce roi des animaux savait sans doute l’histoire de cet orang-outang
omber. Pour conserver la mémoire d’un si beau succès, on a empaillé l’ animal : ce n’est qu’ainsi qu’il jouit de l’immortalité.
qu’aujourd’hui des hommes éminents en Europe s’occupant de magnétisme animal et de sciences occultes, pénètrent bien des mystè
rs été du domaine des connaissances de l’homme, surtout le magnétisme animal , véritable cause de tous les miracles de l’antiqu
n, ainsi que toutes celles dont l'action est de nuire aux hommes, aux animaux par des opérations magiques, s’est répandue dans
qui, à la volonté de l’homme, peut amener un trouble dans l’économie animale (3). (1) Les Vêdas de l’antique Hindouslani et
in ou génie. Ces hnmaïls vides sonl aussi usités pour préserver les animaux gras et bien portants de l’influence du nazar; ma
rtants de l’influence du nazar; mais il y a particulièrement pour les animaux des prophylactiques très-curieux, comme par exemp
sprit frappeur, disent-ils. Les Orientaux vénèrent les fontaines, les animaux ; ce sont lh des restes du fétichisme. Je ferai
voit là, chez les Orientaux, une notion, non-seulement de magnétisme animal , mais encore de magnétisme minéral. (I) Co qui
peuvent être expliqués que par cette belle science appelée magnétisme animal (1), science qui, s’étant transmise à nous d’âge
rès que nous les avons vus dans l’homme et dans la plante. Dans les animaux , en effet, la lumière odique n’est point égale su
ni, dans les individus du môme genre et dans les différentes familles animales . Quel curieux spectacle une ménagerie doit prés
nomènes odiques deviennent extraordinaires. Mais si l’on irrite les animaux , la lumière odique s’échappe avec impétuosité de
rient aussi selon le naturel plus ou moins sauvage et indomptable des animaux . Certes tous ces faits provoquent bien des réfl
état normal il serait incapable de faire et de dire? Le magnétisme animal pur et simple produit l’accélération du pouls che
l'élaboration continuelle des globes, et de toutes leurs productions animales et végétales, il doit nécessairement sc composer
41). « En ce qui louche leurs éléments organiques, les plantes, les animaux dérivent de l’air, ne sont que de l’air condensé.
ivent de l’air, ne sont que de l’air condensé. « Les plantes et les animaux viennent de l'air et y retournent ; ce sont de vé
n simple , jointe à la con science du moi, ou à la réflexion dont les animaux sont privés. » — On sait pertinemment , désormais
s animaux sont privés. » — On sait pertinemment , désormais, que. les animaux ne sont pas dépourvus de cette faculté; mais qu’e
ans les grandes, dans les petites, dans les choses réunies, et dans l' animal lui-même, le plus puissant, le plus grand de tous
nt un pouvoir singulier : il a la faculté d’attracter, de charmer les animaux dontilveut faire sa proie Nous donnons aujourd’
orsure était faite, que tout était fini, car la tête et les yeux de l’ animal exécré de l’homme depuis le premier jour de la cr
rté, sans conscience et par conséquent sans mémoire. Pour concevoir l’ animal , il suffit à l’homme de faire abstraction de sa v
lité et à l'imagination. Tout ce qui n’est pas volontaire en nous est animal ; et l’homme retombe & l’état d’animalilé lot
ommes sommeillent pendant la veille ordinaire ; ainsi nous sommes des animaux pendant une très-grande partie de notre vie. » (V
de la force par laquelle il agit.... « La suspension des fonctions animales et intellectuelles n’est, au reste, jamais complè
durée ! » J.-J.-A. Ricard. (Cours théorique et pratique de magnétisme animal , Toulouse, 1839.) (•) Je n'invente pas le mol.
» Chardei.. Esquisse do la Nature humaine expliquée par le magnétisme animal (p. 174, l’aris 1826). L'éminent et consciencie
terrer vivant pendant plusieurs mois. N’est-ce pas aussi le cas des animaux hivernants? Mais l'àme humaine a-t-elle vraimen
faits qui n'existent nulle part (*). » (Dr Alph. Teste, le Magnétisme animal expliqué.) Je ne désespère pas de voir ce magnéti
u lui-même. » Ch. La-fontaine. (L'art de magnétiser, ou le magnétisme animal , p. (52 et 63; 2' édition, Paris, 1852.) Eh bie
. «Je ne comprends pas que ceux qui ont la conviction du magnétisme animal , des tables tournantes, etc., consentent à jamais
tes classes de la société. - • Annonce de la découverte du Magnétisme animal , par le Journal de Paris (31 mars). — Louis XVI s
8.) — Invitation de venir à Cretcil constater l'utilité du Magnétisme animal appliqué au traitement des affections nerveuses.
e Dr Desion. — Publication du Mémoire sur la découverte du Magnétisme animal . — D'Eslon invite douze de ses confrères à dîner.
septembre 1780). VI. Publication des observations sur le Magnétisme animal , par d’Eslon. — La Brochure du sieur Dehorne. —
une commission, et publie son Mémoire sur la découverte du Magnétisme animal . — Description et formule du baquet données par l
1784, les membres de la double commission pour l’examen du Magnétisme animal . — Noms des commis- “•aires et des délégués de
autes classes de la société. — Annonce de la découverte du Magnétisme animal , par le Journal de Paris (31 mars). — Louis XVI s
si prodigue. Cet homme était Mesmer, et sa doctrine, le Magnétisme animal . « Spirituel (1), » distingué de manières, Mesm
ce d’un « principe qui agit sur les nerfs et qu'il nomme magnétisme « animal . Ce principe mis en action par une méthode qui es
que contemporain de Mesmer, s'élanl occupé sérieusement du Magnétisme animal nous avons cru pouvoir le citer, malgré lc3 repro
étaient pas nécessaires et qu’il agissait seulement par le Magnétisme animal . Ses premiers essais ne furent pas heureux. Criti
toute attaque de la part des esprits maudits, des reptiles et autres animaux chargés d’accomplir les vengeances divines sur le
• & Je n’essayerai pas de hasarder la moindre conjecture sur l’ animal mythologique auquel est adressée cette curieuse i
comprendre. Ce qu’elle demande généralement c’est de la puissance : l’ animal qui a froid recherche le calorique, et l’homme ma
nétisme végétal, ou influence des végétaux entre eux; k° Magnétisme animal , ou influence des animaux entre eux; 5° Enfin,
ence des végétaux entre eux; k° Magnétisme animal, ou influence des animaux entre eux; 5° Enfin, magnétisme humain, ou infl
rier d’engager P Académie à venir « constater l’utilité du magnétisme animal appliqué aux maladies les plus invétérées. Le tra
Azyr, commis-« saire pour faire l'examen des procédés du magnétisme « animal mis en usage par M. Mesmer, qui avait alors une «
urs avant que d'Eslon fit paraître ses Observations sur le magnétisme animal (1780), le sieur Dehorne publiait un brochure con
Médecin de Paris ù un Médecin de province sur le prétendu magnétisme animal , dans laquelle il traite Mesmer de thaumaturge, d
t encore répudier l’honneur d’avoir connu, la première, le Magnétisme animal , lorsqu’une auguste influence, celle de la reine
our ne laisser aucun doute sur l’utilité et F existence du magnétisme animal . » « Si le rapport des commissaires était favor
l, Théo- rie à ce sujet, par M. Constant, 401. Education physique animale , ou moyen d'obtenir de bons chiens de chasse, 45
Potet, sur la manière de magnétiser les malades. 3, 29. Magnétisme animal . Ses rapports avec les sciences et la philosophie
nstant , 400. Psychologie. Voy. Ame. Rapports (des) du magnétisme animal avec les sciences et la philosophie; étude pur M.
les médiums, voy. Mé-diums et Somnambules. FAITS ET EXPÉRIENCES. Animaux donnant des preuves de sagacité el d’intelligence
ar des somnambules et des sensitifs , 65 , 179 , 584, 407 ; — par des animaux , 102 ; — son passage alternatif d'un sujet dans u
y. Somnambulisme naturel. Palingénésie, ou régénération apparente d' animaux et de plantes. 93. Passage alternatif du fluide
par des somnambules et des sensitifs, 65, 179, 384, 407; — par des animaux , 102. Pharmaco-magnétisme. Magnétisation à trav
t d'Ormoy, avec observations par M. Du Potet, 19. Cures effected by animal magne-tism, by the somnambule Adolphe Didier. Sim
18 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
. « Tel a été le sort de la magie, de la sorcellerie, du magnétisme animal et des tables parlantes, phénomènes qui dérivent
e remarque dans le rapport des commissaires royaux, sur le magnétisme animal , en 178h. n Dans un discours prononcé au congrè
orique de 1838, quelques-unes des phases traversées par le magnétisme animal pour arriver jusqu’à nous se trouvent assez curie
s. n Ces effets sont produits par des courants d’otl, ou magnétisme animal , qui se dégagent des doigts des expérimentateurs.
is non moins réel, non moins manifeste dans ses effets, le magnétisme animal est une force de ce genre, applicable par 1 homme
s êtres, même inertes, par extension du pouvoir qu’ont 1 homme et les animaux d’agir sur ceux de leurs propres organes qui sont
ère physiologique, il n’est pas étonnant que les effets du magnétisme animal ou vital, comme tous les phénomènes vitaux, soien
c. » L’instinct est une force aveugle que la nature a mise dans les animaux , et qui les pousse à faire les actes nécessaires
sant en elle-même par le travail, par la jl) Journal ilu Magnétisme animal , ISIS, n° I. ; 2) Ouvrage c ité, t. 1 p ISS.
ndistinctement esprits ri-taux, fluide nerveux ou spiritueux, esprits animaux . Ces fluides, suivant lui, ne consistent qu’à ent
s, l'autre à la surabondance et à l'évaporation excessive des esprits animaux . L’abbé Faria rattache la disposition au sommei
us de l’àme, et c’est « par lui que vous avez l'instinct; par lui les animaux ont « un instinct qui ressemble presque à des imp
ent « végétal est l’àme des plantes, de môme celui-ci est l'àme n des animaux . (Vous comprendrez que je ne \eux pas dire « que
x. (Vous comprendrez que je ne \eux pas dire « que les plantes et les animaux ont des âmes organisées, « individualisées, qui e
in-« dividualisé et toujours existant. Il est supérieur à l'élément « animal , et par conséquent il existe indépendamment du n
antes est positive à l'égard des plante?, et « négative à l'égard des animaux ; n l.’àme des animaux est positive quant aux an
gard des plante?, et « négative à l'égard des animaux; n l.’àme des animaux est positive quant aux animaux, et « négative à l
à l'égard des animaux; n l.’àme des animaux est positive quant aux animaux , et « négative à l'égard do l'homme; n 1,’Ame h
nt supérieur de celle-ci est son principe n inférieur. Le positif des animaux est le négatif de l’homme. n Ces trois qualités
comme les végétaux sont nécessai-.i rement à la croissance, comme les animaux sont au pou-« voir moteur qui les fait agir ; seu
ait roi de la terre, ei qu’à ne litre il a reçu l’empire sur tous les animaux créés pour sou usage; mais nous ne voyons nulle p
connaître si un individu est apte à éprouver les effets du magnétisme animal . Ce moyen consiste appliquer des plaques de cuivr
idicule, et ont vu là un miracle de mauvais goût. Quand le magnétisme animal a fait son apparition, rien ne semblait plus mira
ou de loin , tient aux phénomènes de ce que l’on a appelé magnétisme animal . Leur résistance va très-loin, personnellement no
ts développés par l’administration intempestive, l’abus du magnétisme animal ou quelque chose de semblable, nous avons presque
e, a déjà donné à l’homme la faculté merveilleuse de suspendre la vie animale , de rendre le corps insensible et inerte, de déga
Nous signalerons particulièrement cette science funeste du magnétisme animal , dont la seule dénomination caractérise si bien Y
vel ouvrage. 11 est intitulé : Traltato teorico-pratico de Magnelismo animale , etc. Nous ferons bientôt l’analyse de cette prod
u les succès les plus satisfaisants : j’ai guéri des personnes et des animaux . 1° ACTION SUR LES PERSONNES. Plaie. — Une fe
été renversée par sa vache, avait eu la main écrasée par le pied de l' animal , la chair était enlevée ; je fis couper quelques
s règles ont reparu et elle s’est trouvée guérie. 2° ACTION SUR LES ANIMAUX . Refroidissement. — J’ai exercé mon action magn
ra se développer au point de contact l'effet de l’électro-magné-tisme animal , el bientôt la table craquera, vacillera et se me
apier, dont le premier est le nom « d'une plante, l'autre le nom d’un animal . » Le calife ouvrant aussitôt le papier, trouva,
tant le pouvoir du mouvement volontaire et la circulation des fluides animaux , faisant baisser la température des membres et de
TET. BIBLIOGRAPHIE. MÉMOIRE SUR LE SOMNAMBULISME ET LE MAGNÉTISME ANIMAL , ■adressé en 1820 à l'Académie royale île Berlin,
s académies de France, mit au concours un mémoire sur le magnetisme animal . M. Noizet, et l'eu le docteur Bertrand, connu pa
le I)r llamon Comellas, et ayant pour titre : Revue sur /e magnétisme animal (Ilesena sobre el magne-tismo animal). L’ouvrag
titre : Revue sur /e magnétisme animal (Ilesena sobre el magne-tismo animal ). L’ouvrage de M. de Lima est également un peti
ition. Mais il est à craindre qu’il nuise à la Cronica del magnetismo animale , rédigée dans la même langue et publiée à Milan ;
D’ailleurs ne parlons plus des actes qui nous sont communs avec les animaux . Pour produire une œuvre d’art, la main qui dir
al ou naturel. Ceux qui se sont occupés plus ou moins de magnétisme animal , et c’est surtout pour eux que nous écrivons, sav
our d’autres. Tous les corps sont lumineux à des degrés divers, les animaux nocturnes les voient dans la nuit la plus obscure
il dévora la carrière En guidant la souplo crinière Du plus noble des animaux ; Dès qu’à tout être il a pu dire : L'homme (c d
liumaino L'homme porta son action Et concentra toute sa force, Les animaux firent divorça Avec son sceplre de maudit i Chacu
de médecine a décidé que toute communication concernant lo magnétisme animal serait jetéo au panier. Voy. t. IX, p. 278, et, s
a croyance. Cet ouvrage, intitulé : Lelters lo a Ctmdid inr/ui-rcr on animal mugnetism, est un des plus remarquables qu’on ait
x humaines ou de quelque instrument de musique ; « 4° Les fonctions animales se trouvent quelquefois interrompues subitement,
arte entièrement de l’application faite jusqu’à ce jour du magnétisme animal comme agent curatif; qu’il ne provoque pas le som
peau sur laquelle sont dessinées des images d’idoles, d’astres et d' animaux ; sous cette peau sont attachées de petites cloch
our la science et l’art de guérir, à ce que la question du magnétisme animal soit élucidée par les médecins? « Selon nous, d
haque jour interrogé par ses clients sur ce qu’il pense du magnétisme animal , et surtout du somnambulisme lucide? « Combien
ons d’un confrère impartial sur la nature et les effets du magnétisme animal ? « Aucun journal de médecine n’a encore publié
gagée à puiser son butin à toutes les sources fécondes. Le magnétisme animal , considéré sous certains rapports, peut fournir d
stoire analytique, critique, philosophique et médicale' du magnétisme animal , parle D' Bellanger. Ce Mémoire, d’une assez gran
r, Mesmer ignorant cet état, dans lequel se résume tout le magnétisme animal , le baquet, les passes, n’étaient que des prestig
la magnétisation des hommes endormis, «les enfants au berceau et des animaux ne met point en jeu i’actiou morale, puisque c’es
u tle grand cœur à l’accomplissement de cette étude sur le magnétisme animal ; mais nous pensons que notre collaborateur a don
me rattache la volonté à la myotilité. — La torpille et l’électricité animale . — Bains de torpilles. — Médecine de transplantat
(1) Chapitre d'un ouvrage inédit, intitulé: Du Mesmérisme chez les animaux . Tome XIII. — Nü *»*• — 10 icilult 185t. 15 i
du Potet...... à moins que cette influence n’ait été de l’électricité animale ... ? Mais alors, comment se fait-il que l’aiguill
à un degré de chaleur ? C’est que s’il est un point où l’électricité animale et le mesmérisme se touchent à se confondre, ils
doute. Jlsepourrait néanmoins que le pelage, muuvttisconducleur, des animaux employés, fût la cause des effets négatifs observ
t : «Use pourrait cependant que le pelage, mauvais conducteur, de ces animaux , fût cause de ces effets négatifs. ...» C’est sup
se refuser aux croyances mesmériennes, quand on fait de l’électricité animale , tant les analogies sont frappantes. Matteuci,
s du fluide nerveux, comme corollaire de ses études sur l'électricité animale , a fait un acte d’homme conséquent et logi- que
s; car elle ne saurait avoir de limites matérielles. Ah I mes chers animaux , que je vous sais gré de m’amener ainsi au milieu
lern (to pyu',, n-Hj/M.) Les viscères élaborent et préparent l’esprit animal pour le cerveau. » Si 011 lui eût objecté : Mai
e le cerveau de l’idiotne reçoive pas la quantité nécessaire d’esprit animal , ses facultés péricliteront d’autant; mais si nou
pas des faits accidentels, qui auraient tout ii coup ouvert chez ces animaux une porte aux facultés de la manifestation intell
de la torpille est là pour établir une transition entre l’électricité animale et le mesmérisme, autre espèce d’électricité qu’o
e, autre espèce d’électricité qu’on pourrait séparer de l’électricité animale par le nom d'électricité humaine. Cuvier était-
agissent (1). » Et d’autre part : « Les effets que présentent les animaux ne permettent (1) Longet, Physiologie du systèm
ui s’établit entre les systhnes nerveux. Le rayonnement de la chaleur animale étant admis physiquement, si on eût démontré à Cu
démontré à Cuv ier que le mesmérisme rayonne à l’instar de la chaleur animale et que la chaleur animale est inévitablement ines
mesmérisme rayonne à l’instar de la chaleur animale et que la chaleur animale est inévitablement inesmérique, il eût compris le
e la volonté que ces organes sont électriques; le gymnote est donc uu animal produisant de l’électricité à volonté, comme l’ho
à volonté, comme l’homme produit du mesmérisme, et quand on voit cet animal frapper à distance son ennemi ou sa proie, 011 es
sculaire, on sent que les nombreuses expériences de cet homme sur les animaux électriques l’avaient placé à l'avance dans un ch
filatteuci, qui a le plus précisé ses expériences sur l’électricité animale , et qui, plus que personne, est à même d’apprécie
l se fait sur le panicule charnu qui constitue les peauciers chez les animaux , des ondées de contraction qui ressemblent aux on
fe les corps. Toutes les sensations sont excitées, et les membres des animaux sont mus, quand leur volonté l’ordonne, par les v
origine, au point de vue psychologique, La volonté divine, humaine ou animale ; au point de vue matériel, une impulsion catalyti
les ne purent m'expliquer l’échec de l’électricité et de la dépouille animale . C’est qu’elles étaient habituées à courir les ch
ollectivement ou séparément aux parties dissidentes. Les dépouilles animales ne pourraient donc être avantageuses que dans la
dans ce cas, peut réussir, mais à un titre moindre que l’électricité animale , si l’on admet le principe que je viens d’émettre
en entier, ce qui prouverait qu’il pensait à la vertu fluidique de l’ animal , sans s’en rendre bien exactement compte. De no
coride. Quant à la guérison de la chute du rectum par l’électricité animale , elle a au moins une raison d'acceptation aujourd
me est parti dans le golfe de Gènes tenter la chance de l’électricité animale , et à cheval sur son projet de lac et de baignoir
la première assise de la médecine de transplantation ; l’électricité animale , chez ces animaux, étant manifeste, on comprend l
e de la médecine de transplantation ; l’électricité animale, chez ces animaux , étant manifeste, on comprend le rétablissement d
tant à l’état d’émanation tiède et vivifiante dans les dépouilles des animaux , peut restaurer des virilités perdues ou combattr
ve à cette idée toute théorique, et si maintenant 011 prouve que tout animal est électrique , il s’ensuivra que toute la médec
nsacrée à un chien, et la maladie abandonne l'enfant pour passer à un animal ou à un esprit impur. h Vers minuit, tout le mo
ire analytique, critique, philosophique el ynédicale (lu magnétisme animal , par le D' Bellanger (extrait de Y Abeille médiat
.-S. MORIN. LA DANSE DES TABLES DÉVOILÉE, Expériences de Magnétisme animal , pour s’amuser en société. Brochure in-18. Paris,
les. M. Strauss les connaissait; il avait constaté, en outre, que ces animaux n’ont aucun organe qui puisse être considéré comm
gnées, lui fit penser que la fonction auditive était remplie chez ces animaux par toutes les parties du corps à la fois ; d’où
ertes il n’en est rien. Resterait la supposition du fluide magnétique animal qui, émis par la chaîne des opérants, agirait sur
qu’à, l’aide de cette science, encoie si imparfaite, dite magnétisme animal ; etc. » On comprend que, dans un journal non sc
répandait sur Vienne, avait mis au concours la question du magnétisme animal . » Or, à cette date. (1820), il y avait quarant
ans vouloir décider une question de priorité, — admet une électricité animale propre, qui, sans être identique à l’électricité
me a cessé d’exister. La religion est morte, l’homme n'est plus qu’un animal mû par une sorte d’électricité; les croyances de
rouver la leur dans l'influence d’un fluide mystérieux, du magnétisme animal . Malade, voilà la nôtre ! Nous considérerons la
ù elle fut écrite, elle avait un intérêt de spécialité; le magnétisme animal cherchait beaucoup l’éclat. Mon but fut de signal
tiquité. Le coudrier, au contraire, la démagnétisait. L’élan est un animal sujet à l’épilepsie, et les anciens employaient s
et les remèdes à leur appliquer. Au fond de l’œil droit de plusieurs animaux , elle a vu une flamme bleue qui lui a paru être u
de la quantité de liquide évacué pendant la maladie. Celte chaleur animale surabondante me semblait favorable au succès de m
semblait favorable au succès de mon expérience. l'homme et sur les animaux par MM. tes D” Rayer cl Bouchut, qu’à la fin de l
différence que les membres d’un cadavre conservant encore la chaleur animale doivent, par leur organisation , se laisser pénét
istoire analytique, critique, philosophique et médicale du magnétisme animal , une série d’articles où la question du magnétism
s personnes endormies, sur des individus ivres-morts, et même sur des animaux ; et à l’égard de ces derniers du moins, on ne di
re notre pensée sur ce Protée. — Pourquoi l’appelle-t-on magnétisme animal ? — Parce qu’il détermine des phénomènes qui on
istoire ancienne du magnétisme envisagé comme influence naturelle des animaux et de l’homme. Arrivé aux temps modernes, il divi
nt nombreux, démontre surabondamment l’existence du fluide magnétique animal et ses merveilleux effets. « 11 ne s’agit plus
hent. Et puis, est-il bien agréable d’avoir sous le nez un chapelet d’ animaux exhalant l’odeur de marée? Tout cela n’est pas
r ici l’opinion particulière de notre S. P. le pape sur le magnétisme animal . « Ce sont ses propres paroles que je vais cite
des tables, 55, 83,152, 235, 257, 531, 754. FAITS ET EXPÉRIENCES. Animaux magnétisés, 194. | Apparition d'esprits et de f
rin, 60. Danse (la) des tables dévoilée ; expériences de magnétisme animal , pour s'amuser en société. (Ecrit anonyme.) — Sim
, examen raisonné et citations, par M. A. S. Morin, 617. Magnetismo animal , o fluido uni-versal, por el caballero don Juan G
f au mesmérisme, 363. Mémoire sur le somnambulisme et le magnétisme animal , par M. le général Noizet. Analyse raison-née, pa
19 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
tembre 1824, n" 25058-1852, concernant ce que l’on appelle Magnétisme animal ou biotique, et a jugé à propos d’établir les rég
suivantes sur ce mode de guérison : 1° L’application du magnétisme animal à l’homme n’est accordée qu’aux docteurs-médecins
e, en revanche, des dangers bien plus grands. Les expériences sur les animaux prouvent qu’il amène plus promptement l'asphyxie;
ouquérir pourtant que quelques brins d’herbes, des insectes, quelques animaux inconnus ; celui-ci explore un sol que les flots
u prochain. A Turin, il va être publié un ouvrage sur le magnétisme animal de mon renommé confrère, le docteur Maurice Pocti
t bien le roi de la création , car non-seulement il a, comme tous les animaux , ses instincts conservateurs, mais scs connaissan
eau qui leur tombait sur le corps nu. Les adversaires du magnétisme animal croiront probablement tout ceci sans peine, parce
pour enchanteurs, magi- ciens, astrologues, charmeurs d’hommes et d' animaux ; ce sont les émirs à Constantinople, les santons
nt font partie la plupart de ceux qui ont pour métier de détruire les animaux venimeux dans les maisons. Cette même race porte
re; puis, ayant fait entendre un léger sifflement, cinq ou six de ces animaux s’élancèrent du sac et se dressèrent autour de lu
té, pouvoir acquis sans doute par une étude patiente des mœurs de ces animaux . Au reste, moyennant une certaine somme, on peut
ans un chapitre intitulé Ens spiritale, il s’exprime ainsi : « Chaque animal a un esprit parli-» culier. Vous avez le vôtre, j
magnétisme peut agir sur les végétaux de la même manière que sur les animaux ; c’est-à-dire en augmenter la vitalité et en comb
s’en occuper. M.Paycn (chimiste). — Sans doute, si c’est magnétisme animal , c’est inutile; si c’était de l’électricité, enco
ciété; ils m’ont appris qu’un auteur classique rangeait le magnétisme animal au nombre des stimulants de la végétation. J’ai c
, a publié une petite brochure sur ce cas d’application du magnétisme animal à’ la chirurgie ; nous en extrayons, pour complét
spondance de la Société royale de médecine relativement au magnétisme animal , rédigé par M. Thouret et imprimé par ordre du ro
res, les différentes com- pagnies du royaume ont, sur le magnétisme animal , la même opinion que la Société royale; mais sur
maladies, nous ferons ensuite un pareil nombre d’expériences sur des animaux qui seront ouverts en présence des mêmes personne
t de sentir qu'il sent; en un mot, il en est réduit aux facultés de l’ animal de Flourcns; il ne réfléchit plus, et il finit pa
avant médecin lyonnais, Petetin, a écrit, sous le titre d'Electricité animale , un livre que les magnétiseurs chérissent, parce
ir le môme résultat. Les faits qu’il décrit sous le nom d'électricité animale ont une parenté si évidente avec ceux du magnétis
ectricité animale ont une parenté si évidente avec ceux du magnétisme animal que l’œil le moins exercé l’aperçoit de prime abo
par- lies. La première a pour titre. Observations sur l’électricité animale ; c’est la seule que nous puissions analyser. La
. Beckeinsteiner rien ne serait plus facile' que d’obtenir, de divers animaux domestiques, une commotion pareille à celle des p
is leurs chats; au bout de quelque temps j’ai toujours appris que ces animaux avaient péri sans cause apparente. » On pourrai
e : « Il parait que les décharges répétées que l'on obtient sur les animaux , leur enlèvent une trop grande quantité d’électri
parité d’action ni de résultats entre les poissons électriques et les animaux soumis aux expériences précitées. Chez les uns c’
sait que les secousses sont l’effet ordinaire de la magnétisation des animaux aussi bien que des hom- mes? Il suffit d’ailleu
tudieux, par l’extrait d’une lettre qui concerne la magnétisation des animaux . L’auteur du livre en question n’y devra voir qu’
atique du mesmérisme comme qualificatif de magnétisme et succédané de animal . Il a pour racine pîo«, vie. Nous ne le croyons p
oist, les motifs de leur préférence pour cet équivalent de magnétisme animal . Ce sont : 1° parce qu’il n’y a qu un mot au lieu
ti. Son œuvre sur l’histoire, la théorie et la pratique du magnétisme animal et sur plusieurs autres thèmes relatifs au même s
ifférentes opinions qui se sont produites sur l’origine du magnétisme animal jusqu’à Mesmer.ll en arrive ainsi à parler des cr
étruisissent tour à tour, il demeura enfin démontré que le magnétisme animal était une chose réelle, vraiment existant. Jusq
plus en plus difficile dans lesdi- vers étals de maladie. Si la vie animale esl soumise à l’action de la volonté, la vie orga
— Nous avons déjà cité plusieurs faits d’influence de l’homme sur les animaux (voyez t. m, p. 46 et 91), de nature à faire croi
t mes mains sur ses yeux, aussitôt il devenait, comme par miracle, un animal domestique; il se mettait à me suivre partout; sa
ans les minéraux, comme l’aimant, mais plus particulièrement dans les animaux , entre autres dans la torpille qui a la propriété
peut produire en nous celle insensibilité passagère par contact d’un animal et communication d’un fluide ou arôme dont cet an
ar contact d’un animal et communication d’un fluide ou arôme dont cet animal est conducteur, n’a-t-elle pas des moyens de nous
. Cet agent fluidique, qui est plus parfait chez l’homme que chez les animaux , l’homme étant supérieur à ces derniers, plus pos
absolument liés que sont les deux individus par le fluide électrique animal , qui part du cerveau du magnétiseur par ses canau
13. Agent magnétique (l'). — Description (le ses propriétés, 209. Animaux magnétisés, 250, 334. — Charmés, 169. Appel a
de Fourier. — Analyse et extraits, 337,368. Omeopatia e magnetismo_ animale — ouvrage mentionné, 33, 192. Onguent (l’) des
tifiée, 281. Vue à distance, 57, 199. Z. Zoo magnétisme. — Voy. Animaux magnétisés et charmés. FIN DE LA TABLE. Le Gé
puissance de son action sur le désordre des organes et de l’économie animale . Sachant que, depuis longtemps, vous vous occupez
taire et de brillante expérimentation suivant ses amis, le magnétisme animal se montre de nouveau, avec de nouvelles prétentio
s de la science européenne. Qu’est-ce aujourd’hui que le magnétisme animal ? Quelles sont ses nouvelles phases et ses nouve
s’évanouir nécessairement à la lumière de la critique? Le magnétisme animal est jugé. » Cela est très-vrai ; il y a eu juge
eillir avec courtoisie, sinon les nouvelles prétentions du magnétisme animal , du moins son désir d’être de nouveau passé en re
disent-ils, faire justice de la nouvelle recrudescence de magnétisme animal , comme M. Flourens et M. Lélut ont fait justice d
son procès. Rappelons d’abord les faits. Cequ’on appelle magnétisme animal , qu’on le considère comme une force de la nature,
le comité ne veut pas se prononcer sur l’existence même du magnétisme animal , encore moins sur l’ancienne théorie qu’on présen
e, mais ce que nous connaissons le mieux de sa vie. Que le magnétisme animal fût donc une puissance mixte, difficile à observe
et si indéfinissable qu’il eût paru. Dès son origine, le magnétisme animal a prétendu se montrer, a voulu agir de la manière
s? Selon les partisans éclairés du célèbre phénomène, le magnétisme animal n’est plus ce qu’il s’était dit à son début, un f
meurée mystère. En effet, pour nos mystagogues aussi, le magnétisme animal n’estplusqu’une puissance, morale ou physique, pe
ntipathie etd"inaf- frnité morale ou physique.....Que le magnétisme animal montre sa puissance dans les conditions qui, se
hose pareille à l’autre. Accepté dans ses conditions, le magnétisme animal se donne pour très-puissant. S'il n’est plus en p
gie du magnétisme minéral est en faveur des prétentions du magnétisme animal . L’aimant promène à son gré le corps qui s’y pren
traire aux inductions qu’on voudrait en tirer en faveur du magnétisme animal . En effet, c’est précisément pour éviter une ab
moral, c’est pour que soit impossible ce que vous dites du magnétisme animal , que la loi de la Providence a tracé à chaque hom
t de la moralité de tous. Ainsi le pouvoir absolu que le magnétisme animal livrerait à une individualité sur une autre est o
anière conforme à la loi. En troisième lieu, l’action du magnétisme animal n’est qu’une intervention exceptionnelle dans le
d’analogie ou d’assimilation, et cela d'autant plus que le magnétisme animal se dit une puissance à laquelle rien ne doit se c
is nos faits défient votre science. Nous avons montré le magnétisme animal dans ses phases modernes, avec ses prétentions no
l prouvé désormais à tout homme de science, non pas que le magnétisme animal est une illusion, ce que le rapport se garde bien
testable; la clairvoyance de cet état et l’intervention du magnétisme animal , pour le prouver, sont des faits contestables. Au
ôles, ne prenne pas sur elle de constater les faits que le magnétisme animal , parvenu à une phase nouvelle, expose sous tous l
à une phase nouvelle, expose sous tous les yeux. Mais le magnétisme animal présente-t-il une phase nouvelle? Si je disais
s’en tenir. Même après cela, on en n’aura pas fini avec le magnétisme animal , car il ne faut pas avoir la prétention de juger
est dans un petit Etat d’Allemagne, le W urtemberg, que le magnétisme animal montre les tendances les plus élevées et sa phase
fluence se fera sentir, qu’ils auront des imitations. Le magnétisme animal y gagnera-t-il ? Oui sans doute, il aura des part
. Cela n’est que juste. Les partisans et les pontifes du magnétisme animal possèdent une science occulte ou une science, pub
dies de l’homme comme Linné ou Jussieuont faitpour les plantes et les animaux , et qui prétend traiter ces désordres de la vie c
rir souvent ceux qui étaient atteints de diverses (1) Le magnétisme animal considéré comme moyen thérapeutique ; son applica
xprime ainsi sur l’objet qui nous occupe : « On a appelé magnétisme animal cette influence qu’un homme peut exercer sur un a
né à la vie présente. » Ceux qui nient les phénomènes du magnétisme animal seraient forlembarrassés pour expliquer les phéno
Admis à l’honneur de vous exposer la théorie naturelle du magnétisme animal , je dois, Messieurs, réclamer avant tout votre in
raverse, acquiert ainsi des qualités diverses, en sorte que le lluide animal diffère du végétal et du minéral, autant que le p
oissons, nos aliments contiennent. Suivant M. Raspeil, ces myriades d’ animaux se logent dans nos organes, s’y développent et vi
omposé sa médication avec les substances qui sont destructrices des animaux parasites de l’homme. Ainsi le camphre, l’alcool,
fin, à la vie instinctive succède la vie de relation. Semblable aux animaux sauvages, dont l’instinct s’émousse sous l’influe
ait l’intuition médicale comme un phénomène irrécusable ( Électricité animale ). M. Rostan, professeur de médecine à la l'acu
s variées, qu’il emprunte tantôt à l’espèce humaine tantôt à l’espèce animale ; que ces formes , quoique impalpables et immatér
s ce Journal, de l’applicabilité du magnétisme à la domestication des animaux ; nous avons même cité des faits probants, et cha
ait qui confirme l’opinion qu’un jour l’homme domptera la plupart des animaux . L’auteur du livre en question , parlant d’un d
laissé de si curieuses recherches sur les cataleptiques (Electricité animale ), a presque toujours observé la transposition des
s d’un mérite incontestable reconnaître que chaque individu rlu règne animal répand autour de lui certaines émanations qui peu
is isolément l’instinct des remèdes chez des malades et chez tous les animaux . Quel est le médecin qui n’a pas remarqué les pen
le de l’action de cette force sur les êtres organiques : l’homme, les animaux et les végétaux, et sur les êtres inorganiques.
à l’imagination, 011 peut montrer que non seulement l’homme, mais les animaux , mais même les plantes, sont influencés par cet a
ailler ces faits; mais il recommande aux antagonistes du magnétisme animal la lecture des livres qui les contiennent. « L’
, si ce n’est qu’on peut produire un état comateux dont le magnétisme animal ne lui paraît point être la cause. « M. Rumball
de la Chine et de la Turquie, pour prouver qu’en Orient le magnétisme animal est depuis longtemps connu et appliqué à la guéri
une vaine fumée devant cet argument sans réplique : que le magnétisme animal guérit des maladies de long cours contre lesquell
crit. Le chapitre Ie' a pour titre : Qu est-ce i/ue le magnétisme animal ? Sa définition est la même que celle donnée pa
20 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
(3) a fait également allusion à ces événements dans son Histoire des animaux . A ce sujet, il s'exprime ainsi : « La femme n'a
v. p. 68 et 412 (édition Firmin-Didot). (3) Aristote : Histoire des animaux , L. III, Ch. x. rition de la barbe coïncida a
du musée Guimet, M.Cou-taud. président de la Société protectrice des animaux . M. Valentino, chef de bureau au minitère des
ce est levée à 6 h. 1/2. L'Hypnotisme et le prétendu « Magnétisme animal ». par il. Louis Favre. L'hypnotiseur se sert
tuelles de l'homme considéré comme le terme le plus élevé d'une série animale graduellement perfectionnée. Les lois de l'imit
ulement sur tous les hommes, ou à peu près, mais aussi sur beaucoup d' animaux , et c'est une de celles qui rencontrent le moins
nous (1) On a observé plus d'une fois des faits analogues chez les animaux . Il serait à désirer qu'on les enregistrât, toute
uelqu'un a l'imprudence de parler, à un point de vue quelconque, de l' animal désigné sous le nom de lapin, personne ne veut pl
t nous avouèrent qu'ils partageaient l'idée que le lapin était un animal dont le seul nom suffirait pour porter malheur au
tique dans l'éducation scientifique. M. Lépinay : Les tics chez les animaux . MM. Grollet et Lépinay ; L'hypnotisme chez les a
tics chez les animaux. MM. Grollet et Lépinay ; L'hypnotisme chez les animaux . Dr Farez : Quelques cas récents de sommeil patho
Bouley, que les maladies contagieuses sont communes à l'homme et aux animaux , la médecine humaine et la médecine vétérinaire n
yeux avaient un aspect effrayant, elle imitait les cris de différents animaux . La présence des prêtres, d'une croix, d'une imag
ique dans l'éducation scientifique. M. Lépin \i : Les tics chez les animaux . MM. Grollet et Lépinay : L'hypnotisme chez les
cs chez les animaux. MM. Grollet et Lépinay : L'hypnotisme chez les animaux . Dr Fariz : Mensonge et intimidation chez un ly
mparées. M. Caustier, agrégé de l'Unir.,professeur. Psyohologie des animaux ....... M. Lépikay, professeur. Psychologie du c
des vétérinaires, pour l'étude des maladies communes à l'homme et aux animaux , peut seule permettre de résoudre des problèmes f
grandes dans l'espèce humaine que dans la plupart des autres espèces animales . Cependant, à la naissance, les différences des o
des guérisons obtenues par l'hypnotisme. De rhypnotisme chez les animaux par MM. Lépinay et Grollet, médecins-vétérinair
nous venons exposer devant vous la question de l'hypnotisme chez les animaux . C'est en effet une question neuve, très controve
eu à nous poser les questions suivantes : Ia Peut-on hypnotiser les animaux ? 2a Dans quel but provoquer l'hypnose ? 3* L
tiser les animaux ? 2a Dans quel but provoquer l'hypnose ? 3* Les animaux sont-ils suggestibles ? ¥ L'hypnose peut-elle f
et se complètent comme chez les humains. Io Peut-on hypnotiser les animaux ? A priori quand on se pose celte question ou q
se celte question ou qu'on la pose à des personnes qui s'occupent des animaux : dresseurs, vétérinaires, éleveurs, etc., la rép
es, parce que les expériences auxquelles on se livre pour endormir un animal , avec les moyens appliqués habituellement chez l'
homme, ne réussissent pas ; en somme si l'on veut fixer les yeux d'un animal , comme on les fixe chez l'homme pour produire l'é
ttent pas la fixation simultanée des deux globes oculaires, de plus l' animal , ou ne se laisse pas du tout fixer les yeux, ou a
et se soustrait immédiatement à son regard. Il y a là de la part des animaux une méfiance que l'on doit certainement retrouver
nce s'accroit encore et elle se complète d'une peur, qui fait que les animaux se dérobent à votre contact. Nous verrons plus
oin que la musique a cependant paru produire quelques effets chez les animaux et notamment chez le cheval. Mais jusqu'alors nou
nt dans un état passif. Mais ces états passifs sont nombreux chez les animaux , quand on veut s'en rendre compte et qu'on les ob
réussi, est cependant hypnotisé dans une certaine mesure, de môme des animaux , qui bien entendu ne dorment pas, sont dans un ét
sédons une certaine action dans des circonstances déterminées sur des animaux et par conséquent nous les hypnotisons dans une c
ans que nous nous en doutions. Passons donc en revue les différents animaux que nous avons pu observer et voyons la question
acun d'entr'eux et particulièrement pour le cheval. Chez les grands animaux les fonctions psychiques ont été peu étudiées, le
x sont, en effet, d'ordre exclusivement matériel. Chez les uns, les animaux de boucherie et de laiterie, on recherche le maxi
omme moteurs on recherche le maximum de contraction musculaire. Les animaux sont, en effet, des machines à transformation d'é
gie au détriment de la production recherchée, lait, viande, etc.. Ces animaux sont donc maintenus dans des conditions éminemmen
nt propres à diminuer leur intelligence. Le fait est que chez les animaux producteurs de viande et de lait, bœuf, mouton, p
, le développement intellectuel est complètement enrayé. Le cheval, animal producteur de mouvement dans des conditions varié
'est plutôt le jugement que la mémoire qui le fait agir. Nos grands animaux sont donc intelligents dans une mesure plus ou mo
Non, assurément, et, dès lors pourquoi ne s'exercerait-il pas sur les animaux dont nous parlons ? Chez le mouton, le porc, il
l se trouverait immédiatement en présence d'une force invincible. Tel animal qui, par exemple, mordait, a été corrigé quand il
éléments nous les observons tous les jours dans nos rapports avec les animaux pour obtenir d'eux la passivité nécessaire. Par e
faire lever la première fois le pied d'un cheval, l'homme caressera l' animal et lui fera comprendre au moyen de ses attoucheme
état d'hypnose et alors il pourra facilement lever le pied, ferrer l' animal et même quelquefois dans certaines circonstances,
ples ouvriers que chez des personnes qui font le métier de dresseur d' animaux , c'est que les premiers ont compris qu'en s'y pre
açon que nous venons de décrire, on obtient tout ce que l'on veut des animaux , les seconds, au contraire, ont la prétention, qu
pas préparés. En ce qui concerne le cheval, comme beaucoup d'autres animaux , tous les hommes ne sont pas également capables d
u moins. En résumé dans bien des circonstances nous hypnotisons les animaux sans le savoir, nous avons vaincu les résistances
e nous disons pour le cheval, nous pourrions le répéter pour tous les animaux sans exception, même pour les animaux sauvages.
rrions le répéter pour tous les animaux sans exception, même pour les animaux sauvages. Il se passe pour tous un fait curieux
ir vos suggestions. Mais Bostock ne nous dit pas autre chose pour les animaux qu'il essaie dompter et il ne cesse de recommande
er et il ne cesse de recommander d'avoir constamment dans la main les animaux en dressage, de ne pas les perdre de vue, de chaq
nation et le ployer à vos exigences. En résumé nous hypnotisons les animaux et lorsque dans une séance ultérieure nous aurons
ypnose et en faire un état propice au dressage et à l'utilisation des animaux , qui de plus en plus deviennent des collaborateur
stieh, agrégé de l'Université, professeur. Objet du cours : L'énergie animale : ses sources, ses modificaiions. Education de l'
edis à cinq heures à partir du mercredi 11 janvier. Psychologie des animaux M. Lbpinay, professeur. Objet du cours : Les mé
de tout être vivant capable de penser. Il suffit d'avoir observé des animaux d'une façon suivie pour voir combien ils se suggè
uns les autres. Grande est la suggestion qui s'exerce de l'homme aux animaux et réciproquement des animaux à l'homme. Il y a l
suggestion qui s'exerce de l'homme aux animaux et réciproquement des animaux à l'homme. Il y a là un chapitre de pathologie co
» permettant à un malade alité de prendre la fuite, l'apparition d'un animal oa d'un individu redouté donnant à un être faible
bv (d'Alger) : Considérations sur le fantôme Bien-Hoat. Suicide des animaux Le suicide chez les animaux n'est pas d'observa
sur le fantôme Bien-Hoat. Suicide des animaux Le suicide chez les animaux n'est pas d'observation fréquente. Aussi est-il d
si lourde voiture. Afin d'élucider la question du suicide chez les animaux , nous serions reconnaissants à nos lecteurs et à
ique universelle, M. Coutaud, président de la Société protectrice des animaux , M. Paul Mounet, de la Comédie française, M. Jule
ment populaire (par M. Carpin, président). La Société protectrice des animaux (par M. Coutaud, président). La Société franco -J
fique universelle (par M. Léon de Rosny, président). L'Assistance aux animaux (par M. Lépinay, secrétaire général). La Mutualit
t ce n'est pas seulement l'homme qui entre ainsi dans le sommeil, les animaux à sang chaud s'isolent de même, les oiseaux se me
Dormeuse de San Remo. M. Minette (de Compiègne). — Intelligence des animaux . M. le Président met aux voix la candidature de
e fonction normale produit des états anormaux ! Alors le sommeil de l' animal qui digère est aussi un état neurasthénique ? Nou
ation prouve une fois de plus que l'intelligence chez certains petits animaux domestiques, s'accuse d'une façon tangible dans l
de l'instinct ; car, pour ouvrir une porte fermée à clef, il faut à l' animal une faculté intellectuelle qui le guide dans le m
et. toujours au commandement de ce dernier. L'obéissance de ce jeune animal est un phénomène réfléchi, qui nécessite de la pa
e les fonctions intellectuelles sont plus développées chez les petits animaux de l'espèce canine que chez aucun animal d'une au
développées chez les petits animaux de l'espèce canine que chez aucun animal d'une autre espèce ; j'en ai eu maintes fois la p
e charmantes petites bêtes. Les exemples de l'intelligence chez les animaux de l'espèce canine ne sont pas rares à observ
ue, du sens génital et du tact. Elle entendait des voix, voyait des animaux courir autour d'elle, etc. Sur ces hallucinations
ique de la race nègre (Susceptibilité), p. 350. Hypnotisme chez les animaux , par Lé-pinay et Grollet, p. 217. Hypnotisme et
r Lé-pinay et Grollet, p. 217. Hypnotisme et le prétendu magnétisme animal (L'), par Louis Favre, p. 62. Hypnotisme dans l
tion musicale, par Pamart, p. S5 Suicide en Annam, p. I. Suicides des animaux , p. 256. Suggestion (Définition de la), p. 348. S
21 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
nions, sur l’existence d'un nouvel agent, que l’on a nommé magnétisme animal , sur l'action du magnétisme ordinaire, sur l’infl
onsidérés comme dt>s modifications de ¡'électricité. Le magnétisme animal , quoiqiié frappé d’un ostracisme général pat- les
ique du sang. H.-C. Agrippa faisait résider dans l’eau le germe des animaux , et dans l’air le fluide vital qui s'unissait au
s (3) indique par quel moyen on peut diriger le fluide sur l’économie animale . Le père Cabée (4) prétend que le fluide magnét
e l’aimant, et ses vertus sont d'autant plus grandes, qu’il sort d’un animal robuste et bien portant; il devient alors le vrai
— Action sjmpalhique sur le terreau. — Imitation du cri do différents animaux . Monrose, nègre âgé d’environ quarante-cinq ans
t il imite si bien le jappement du chien, qu’on croirait entendre cet animal . Après avoir jappé, il lape, puis il lèche ses lè
l il était très-attaché, et peu de jours après la mort de sa femme, l’ animal disparut, perte qui ne fil qu’accroître son chagr
a pintade et le coq. Pendant qu’il contre-lait le chaut de ce dernier animal , il se soulève sur son lit et agite ses bras en
affaiblissent graduellement, le malade n'imite plus que deux ou trois animaux . Le 20 et le ai, il tombe encore en lipothymie, r
uit à dix minutes dans cet état, mais sans contrefaire le cri d’aucun animal . Néanmoins, l’intelligence est lente, et la mémoi
cères abdominaux. Enfin cette imitation successive du cri de divers animaux n’est pas dépourvue d’intérêt sous le point de vu
(2) Deuxième Mémoire, an VII. (3) Mémoire sur la découv. du Magnél. animal , p. 0 et 7, tomk ix. —¡V" 110. — 25 janvier 1850.
utes les idées émises plus tard par Mesmer, sous le nom de magnétisme animal . Rob.Boyle (4), fondateur de l’Académie de Lond
posséder la faculté de le mettre en mouvement. Cependant, quelques animaux sont doués de propriétés électriques, qui nous pr
este immobile. Hunter et Geoffroy Saint-Eilaire, ont publié sur oes animaux singuliers des travaux fort intéressants. M. Jobe
’aimantation a lieu au moment où, en irritant la moelle épinière de l’ animal , on détermine une contraction musculaire. 11 conc
banis, qui prétend qu’après avoir étudié les phénomènes du magnétisme animal , 011 parviendra, en les comparant avec ceux du ga
peut aussi obtenir l’excitabilité nerveuse par le contact de parties animales . « Je suis parvenu plusieurs fois, dit M. de Hu
point d’un nerf et un autre point d’un même nerf, au moyen de parties animales , et sans employer d’armatures. Je saisis doucemen
a volonté, avec une éner- (1) Onvr. cité , p. 22. (2) Electricité animale . Lyon, 1808. (5) Modes accident, de nos percept
ance cérébrale (2). M. Azaïs (3) affecte au corps de l’homme et des animaux un concert d'organes disposés et constitués de ma
tions, les répulsions, les combinaisons spontanées et la vie dans les animaux , comme l'out pensé Newton et Euler. Cet élément a
ntatives récentes de M. du Bois-Ilcymond pour constater l’électricité animale sont encore insuffisantes pour nous convaincre de
1819 : « Il vient de paraître ici des Recherches sur l’électricité animale , par M. Emile Du Bois-Reymond. M. Du Bois e»( l’h
r bien me dire si un projet que j’ai formé, par rapport au magnétisme animal , serait réalisable ou non. Je. viens au fait. J
ris dans le but de développer cette idée, car à Lohdres le magnétisme animal n’est pas de loin aussi avancé et aussi répandu q
ra bien autrement, par la suite, en alliance avec celui du magnétisme animal . Je me promets bien des jouissances par l’étude
euses expériences (1) Exposition physiol. des Phénomènes du Magoét. animal , p. S. (2) Recherches physiolog. sur l’Homme, p
ure dans sa marche est toujours régulière : elle n’innove jamais. Les animaux obéissent à sa loi et sont immuables dans leur de
Voyez, que d’innovations déjà! L’homme a com-i mencé par détruire les animaux cruels qui infestaient la terre; c’est ainsi qu’i
it vrai, la Médecine serait une absurdité. La science du magnétisme animal est toute palpitante d’actualité. L'existence du
, visite les déserts pour y recueillir des minéraux, des plantes, des animaux auxquels elle demande des forces médicatrices. No
sert au chien à reconnaître les traces de son maître, le passage d’un animal ; mais nous ne sentons pas que cette émanation nou
tre chapeau comme de vos doigts, n’est autre que. l’émanation vitale, animale , appartenant à tous les êtres animés; elle ne me
ntané obtenu par la volonté. Le fluide vital, ou plutôt l’émanation animale qui s’échappe de tout corps vivant, agit dans la
pas s’inquiéter à leur sujet. C’est alors que l’on a égorgé les trois animaux , que Soulouque a bu de leur sang, et qu’il a fait
res immatérielles; car de même que le polype tient à la plante et ù l’ animal , de même la cri9Îaque tient à l’humaine espèce et
une action sur un être inférieur ; nous connaissons l’influence d'un animal sur un autre : l’influence du chien de chasse sur
asse sur la perdrix ; nous connaissons l'influence de l’homme sur les animaux ; l’influence de l’homme sur l’homme : nous ignoro
norons encore l’influence des esprits , des anges, sur l’homme et les animaux . L’influence des esprits ou anges sur l'homme s
architecte. Les âme9 nuiraient simples, et restent simples chez les animaux , parce que leur seule fin est de servir à l’harmo
é-« chapper de vos doigts, de votre chapeau ; une « émanation vitale, animale , appartenant à tous les tome iv. — Hf" 11C. — 2'J
de la vie intellectuelle. Alors cette première peut s’élever à la vie animale , et la seconde s’élever au-dessus du maximum habi
au comme de V06 « doigts, n’est autre chose que l’émanation vitale, * animale , appartenant à tous les êtres animés; elle « ne m
, et lui aide à rétablir l’harmonie dans * son domaine. L’émanation animale , vitale, de la « matière, modifie l'émanation mor
né obtenu prtr la volonté. « Le fluide vital, ou plutôt l’émanation animale « qui s’échappe de tout corps vivant, agit, suiva
u fluide nerveux, ou fluide vital, ou fluide magnétique, ou émanation animale , comme tous voudrez l’appeler, et qui me semble l
es. « Nous avons souvent exprimé le vœu qu’une chaire de magnétisme animal fût créée au collège médical; mais nous n’avons j
louse, vient de mourir. Il est auteur d’un petit Traité du Magnétisme animal , considéré sous le rapport de l’hygiène, de la mé
le, décision d’après laquelle toute com. munication sur le magnétisme animal serait considérée comme non avenue , ainsi que ce
le par une dissection minutieuse, comme quand la moelle épinière de l’ animal sur lequel on expérimente a été détruite par ua f
posant entre le nerf de la patte galvanos-copique et les muscles de l’ animal , une feuille d’or ou une légère couche de mica, l
ns la grenouille peut ne pas être pour l’homme; mais si les nerfs des animaux sont reconnus comme renfermant une force, un flui
prépare la bile el les reins l’urine (i). Dans l’homme comme dans l’ animal de haute série* toutes les fonctions sont solidai
HÉBERT (de Garnay). THEORIES. CONSIDÉRATIONS SUR LE MAGNÉTISME ANIMAL ET LE SOMNAMBULISME. Le magnétisme animal n’a e
TIONS SUR LE MAGNÉTISME ANIMAL ET LE SOMNAMBULISME. Le magnétisme animal n’a eu, depuis son origine jusqu’à nos jours, qu’
m de la cupidité, tribut à l’ignorance. Les rudiments du.magnétisme animal se perdent dans la nuit des premiers temps de l’h
inguliers effets, et en a créé une doctrine sous le nom de magnétisme animal . Malgré des efforts persévérants et des succès éc
jours justice du mensonge, n’a pas grandi les destinées du magnétisme animal . Semblable à ces êtres incomplets , à ces produit
es périodes de leur existence sans sortir de l’enfance, le magnétisme animal a continué d’être, jusqu’à nos jours comme au tem
ents que les autres savants, se moquent le plus souvent du magnétisme animal ; et, répudiant une solidarité qui les humilie, i
dicule, à d’avides empiriques. Dans des mains indignes, le magnétisme animal perd tout caractère scientifique et devient une m
ger la nature des choses. Il serait plus sage d’étudier le magnétisme animal que de s’en moquer. Il serait digne des médecins
inaires. Soumis à l’influence du fluide en mouvement, les organes des animaux éprouvent dans leur sensibilité et dans leur acti
rtes pas tant de merveilles. Observons les phénomènes du magnétisme animal et du somnambulisme, comme tous les autres, avec
ts et de ses devoirs. Si l’on eût suivi, dans l’étude du magnétisme animal , ces méthodes auxquelles nous devons toutes les s
es; nous pensions que la boîte merveilleuse des adeptes du magnétisme animal ne renfermait que des chimères et des mensonges,
les soins les plus empressés. Vous voyez, madame, que le magnétisme animal nous a montré autre chose que des extravagances e
doutes, les contradictions, les artifices même. Et, si le magnétisme animal n’avait pas découvert le somnambulisme et la clai
i pas d’ailleurs entrepris d’écrire l’histoire complète du magnétisme animal ; il suffit, pour l’objet qui nous occupe, que vo
s, étudieront sérieusement et sévèrement les phénomènes du magnétisme animal et du somnambulisme, et nous délivreront de toute
us, ce qu’on a dit de plus fondé et de plus sensé sur le magnéiisme animal . Nous laissons parler noire auteur avec l'autorit
r l’existence d’un nouvel agent curatif qu’il nomma fluide magnétique animal , d’après ses rapports intimes avec l’aimant. En
22 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
pnologr. Or the ratlonalo of nervous sleep comidered in relation with animal magnetism. Illustrated by numerous cases of its s
oi, tous les attributs essentiels, tous les caractères primitifs de l' animal individuel » (2). Or c'est précisément cette co
Dr M. lêpinay: Les agonis provocateurs de l'hystérie chez quelques animaux . Dr Manfrûxi (de Turin): Analgésie suggérée dan
tées; elles réagissaient paresseusement. On se décida à sacrifier l' animal , afin do pouvoir procéder à l'examen de son cerve
sommeil et le réveil. Un cas de jeûne prolongé chez la vacne. Les animaux à sang chaud peuvent digérer on quelque sorte, le
chaud peuvent digérer on quelque sorte, leurs différents organes. Les animaux hibernants ont cette heureuse faculté de ne pas ê
, car on fait lever plusieurs fois de suite les mains en énonçant des animaux qui volent réellement, puis on en dit un qui no v
travaux de psychologie comparée, a pour but l'étude expérimentale des Animaux du Muséum d'Histoire Naturelle. Les Membres fon
uer le principe de l'expérience à l'étude des facultés psychiques des animaux . En effet, si la simple observation des animaux
ltés psychiques des animaux. En effet, si la simple observation des animaux sauvages vivant en liberté ou en captivité et des
rvation des animaux sauvages vivant en liberté ou en captivité et des animaux domestiques, nous a fourni quelques informations
dans un coin de jardi n — il est extrêmement diffìcile d'examiner les animaux à l'état de liberté et de les suivre dans leurs p
s leurs pérégrinations sans troubler leur quiétude. D'autre part, les animaux en cage ne peuvent faire preuve d'aucune initiati
tiative puisque aucun événement ne traverse leur existence. Quant aux animaux domestiques, ils donnent quelquefois le spectacle
mpétents. Or, pour combler la lacune qui existe dans la psychologie animale quelles expériences seiait-:l désirable de pratiq
eront à faire naître des circonstances particulières dans la vie de l' animal pour pouvoir constater comment il se comporte en
des facultés psychiques dontellesont fait preuve? Si, par exemple, un animal comprend la mimique et, dans une mesure, la voix
persuasion peut donc être prise comme le critérium de l'intelligence animale , . . . mais nous ne pouvons entrer ici dans la dé
sage par les dresseurs professionnels pour instruire toutes espèces d' animaux . Nous voulons parler de M. P. Ilachel-Souplet, qu
ré les moyens efficaces d'éducation comme des criteria en psychologie animale et a exposé, daus plusieurs ouvrages, les résulta
'ont rien de cruel; il s'agit; d'éveiller les facultés psychiques des animaux et non d'abrutir nos frères; inférieurs avec des
qui comprendront que démontrer l'existence de l'intelligence chez les animaux supérieurs c'est donner de nouvelles raisons de l
pas loin où tout docteur en médecine, qui osait parler de magnétisme animal , était gourmande par ses confrères. Déconsidéré p
te de distinguer ces divers modes de suicide, qu'on l'étudié chez les animaux ou chez l'homme : la psychogénic en est entièreme
ers illusoires. Les agents provocateurs de l'hystérie chez quelques animaux par M. Lépinay, médecin-vétérinaire Cette com
communication aurait dû être précédée d'une étude de la mentalité des animaux , de leur degré d'intelligence et de suggestibilit
r à un milieu connaissant la question et bien évidemment d'avis que l' animal ne possède pas que de l'instinct,, mais aussi de
r le corps que pour le cerveau. En somme l'hystérie existe chez les animaux ; Eleti, Olver et notre grand maître Charcot l'ont
dies nerveuses que nous sommes appelés à constater, le plus souvent l' animal atteint de troubles aussi graves que ceux provoqu
s provocateurs de l'hystérie. Les agents provocateurs sont chez les animaux presque aussi nombreux que chez l'homme. Nous all
. — Les émotions morales ne sont pas généralement très vives chez les animaux , dont la compréhension est bien un peu obtuse, à
rigine est passée inaperçue. La peur de la correction chez les petits animaux , la joie de revoir le maitre bien aimé ont donné
, la jeta à terre. Le Docteur accourut à temps pour mettre en fuite l' animal avant que l'oiseau eût été blessé ou même touché,
dents nerveux des juments soumises constamment à ia reproduction, les animaux et surtout chiens et chiennes, chats et chattes,
causes d'ordre moral des troubles nerveux très accentués. Un de ces animaux , qui avait déjà dans ses antécédents une maladie
administration de noix vomique détermina des convulsions cloniques. L' animal ayant été sacrifié, on ne constata, à l'autopsie,
casion d'une vigoureuse réprimande de son maître. Depuis ce jour, cet animal était repris de semblables accès chaque fois que
de noix vomique provoqua également des convulsions cloniques chez cet animal , qui guérit très rapidement dès qu'il fut séparé
es principaux agents provocateurs de ces troubles psychiques chez les animaux ; je n'ai point entendu épuiser la question; elle
resser à cette étude si alléchante des phénomènes psychiques chez les animaux et venir prendre part aux travaux de cette sociét
ne autrefois, la lycanthro-pie : les sujets se croient transformés en animaux sauvages. Ceux de l'évangile habitaient des tombe
a résoudre. D'autre part, nous devons mentionner que, dans la série animale , des fausses grossesses ont été observées qui h,
ire à Hippocratès et à Jean Fernel que la matrice se mouvait comme un animal . D'ailleurs il peut exister en même temps des con
l'Université. Objet du cours : Les fonctions psychiques dans la série animale .. Les samedis à cinq heures et demie, à partir du
inq heures et demie, à partir du samedi 18 janvier. Psychologie des animaux . M. le D* Lépinay, professeur. Objet du cours : N
Lépinay, professeur. Objet du cours : Névroses et psychoses chez les animaux . Les mercredis, à cinq heures, à partir du mercre
réé la thermo-chimie, base de la chimie moderne et de la thermogenèse animale , étudié avec une science profonde les origines de
l'adjonction de nouveaux cours. La chaire nouvelle de Psychologie des animaux a été confiée à M. Lépinay, secrétaire général de
utre part, nous avons rendu service La lecture de pensée chez les animaux . par M. Lépinay, professeur à l'Ecole de Psycho
ppelle, » était un liseur de pensée recevant moult corrections. Les animaux interprètent nos gestes, aussi petits soient-ils,
llons sortir, leur donner à manger, etc., etc. On a exposé nombre d' animaux liseurs de pensée et toujours les observateurs on
avis, si Ton peut avec raison dire que tous les hommes — et même les animaux —ont une conscience subliminale tout jusqu'à prés
cussion M. Lépinay. — La grossesse nerveuse existe dans les espèces animales , moins cependant le développement du ventre, que
ifestations sont tellement ressemblantes à celles existantes chez les animaux qui ont réellement mis bas que, le plus souvent,
n enfant, un phénomène suggestif? C'est douteux. En somme, chez ces animaux , l'utérus et les organes de la reproduction sont
x ?..... Quand nous constatons une faculté chez l'homme ou chez les animaux , nous nous demandons ordinairement de quels ancê-
anière inconnue? .... C'est un fait général que dans l'homme et les animaux supérieurs, l'accroissement dans le pouvoir de mo
ence d'une conscience subliminale chez tous les hommes, même chez les animaux (du moins ceux qui rêvent), mais, c'est tout. Mai
uccesseur de l'homme aussi supérieur à l'homme que celui-ci l'est aux animaux . .....Mais laissons là ces rêves de grandeur et
s : La plupart des somnambules, dit Deleuze (Histoire du magnétisme animal , 1813) voient un fluide lumineux et brillant envi
le résultat logique du positivisme, qui a étudié les faits de la vie animale et humaine. Mais ceux qui se font conduire par la
est que le résultat le plus brillant et le plus récent de l'évolution animale . Dans les sciences qui étudient les sentiments
e refusant à étudier dans la chair palpitante le système nerveux de l' animal et de l'homme, ceux qui ont la prétention d'étudi
ne consultent que les faits. Les uns vous diront que la terre et les animaux fossiles ne sont que le résultat des créations sé
mbre de personnes chloroformées. Je l'ai observé aussi sur des petits animaux soumis à l'influence du chloroforme, et, tout réc
nt d'employer l'acide carbonique pour l'abattage, à la fourrière, des animaux qui doivent être mis à mort, et j'examine à quel
es animaux qui doivent être mis à mort, et j'examine à quel degré ces animaux sont anesthésiés par l'acide carbonique avant d'ê
ochtone du Louvre. Il y voit une application de l'hypnotisme chez les animaux et propose de substituer au qualificatif saurocht
alisée avec l'aide ,dc la méthode hypno-s u gg es live. PSYCHOLOGIE ANIMALE L'intelligence des ours blancs. M. le docteur
naçait. Tandis que les chasseurs, ne soupçonnant pas la manœuvre de l' animal , continuent à suivro ses traces ; ils arrivent al
ontinuent à suivro ses traces ; ils arrivent alors au trou fait par l' animal dans la glace et ils comprennent que l'ours les a
rte période de calme. Enfin se déroule un délire émotif: elle voitdes animaux , surtout des rats, des chiens, des serpents qui l
'exceptionnel-lementqu'il signifie lutte. Sans doute, dans le règle animal , les individus d'espèces différentes sont tous en
et ù se supprimer réciproquement. Au contraire, chacun des organismes animaux offre un ensemble de parties composantes qui ne s
19. Léthargie (Un nouveau cas de), p. 31. Lecture de pensée chez les animaux (La), par Lépinay, p. 218. Liseur de pensée (Un
mond, p. 157. Hystérie on Chine (L'), p. 96. Hystérie chez quelques animaux (Les agents provocateurs de l'), par Lépinay,
23 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
de tomber dans la langueur lorsqu’on ténia les procédés du magnétisme animal . T.a malade, qui se trouvait alors dans l’état ca
, etc.). Enfin, poursuivant son parallèle entre la force attractive animale et la force attractive générale, cette force, dit
l. in-IS, 1647, chei Labbé. Prix : 2 fr. 50 c. doute, le magnétisme animal et tous les phénomènes qui s’y rattachent rentren
a découverte, à son système. Mesmérisme devint synonyme d* magnétisme animal , et l’homme fut ainsi inséparable de la chose. Le
ec un enthousiasme irréfléchi la réalité des phénomènes du magnétisme animal , dit : « On ne peut nier qu’il y ait au fond quel
ignorer l’existence de ces inlluen-« ces. 11 en est de cela comme des animaux qui peuvent « suivre un son ou une odeur qui écha
nent cet état que l’on comprend par le terme géné-« ral de magnétisme animal . « Il a examiné en premier lieu l’effet des dyn
ministre? On voudrait, de la sorte, ramener les hommes au régime des animaux , qui se portent bien et ▼¡vent sans médecins; c’e
lumière, ils veulent vivre daus l’obscurité. La même loi régit les animaux et l’homme; ils ont en eux-mêmes le principe de l
e vitalité puissante apparaître, chasser la faiblesse, comme quand un animal , un instant plongé dans le vide, rentre dans l’at
on finira par où l’on aurait dù commencer : l’expérimentation sur les animaux . Sursensibilité. — Il y a en ce moment, salle S
il ajoute : « Pauvres expériences!!! L’homœopathie et le « magnétisme animal se donnent la main aussi bien à « Londres qu’à Pa
ne saurait dégénérer. Ainsi les plantes broyées, donnent la chair des animaux . — Virtuel. (1) Van Helmonl, Disc, sur la magie
a fougère dans les roseaux? Pourquoi le loup est-il si terrible aux animaux de nos campagnes, que le jeune poulain à la premi
, nous puisons chez l’homme un fluide plus grand encore, le magnétime animal ; et un jour viendra où tous se fondant dans un s
es, aucune hésitation dans nos pensées ; nous voulons que les esprits animaux soient fixés d$ns ce petit espace et y demeurent
si, par de longs détours, les savants s'acheminent vers le magnétisme animal ; l’analogie les y conduit tout doucement; ils n’
ientifique dans lequel on doit examiner les prétentions du magnétisme animal et de la phrénologie. C’est bien pensé et bien di
formant les pierres, les ciments, indispensable à l’alimentation des animaux qui nous engrais- sent, avait quelque chose de
la main qui l’attire, tremble de froid, verse des sueurs : magnétisme animal . Et ne croyez pas qu’ainsi je m’éloigne de l’un
es médicaments, connaissance des lois du ciel, science de l'organisme animal et universel, science de l’avenir... extase des s
Lien plus belle dès lors, puisque l'on pouvait ainsi faire des cartes animales comme des caries géographiques, dont les délimita
est, dit Platon. Ce même auteur appelle encore cet astre: Sempilernum animal . Albumazar fait émaner toute vertu du soleil et d
rs d£ toute école, avec un nom particulier : mesmérisme ou magnétisme animal . Et voyez dans ce rapide exposé la vérité de ce q
Bouvard. C’est aujourd’hui le patriarche de la doctrine du magnétisme animal . Je suis un fils pour ce bonhomme, je lui dois mo
la volonté ramassée sur nn point et arrivée à des quantités de force animale incalculables, comme le sont toutes les différent
cette voie à la révélation des mystères les plus admirables de la vie animale . » Or, moi qui admets l’existence d’un fluide dan
dominant, puis la vie, puis la matière. B + A + C représentant les animaux , c’est-à-dire la vie dominant, puis l’intelligenc
les faire monter à cheval, ou encore de leur faire des applications d’ animaux tués à l’instant de les employer (2). Enfin, la
al de location; car il y aurait alors action des trois principes de l' animal sur les trois principes du malade. (3) Ce derni
un jeune élève du service proposa à M. Piorry d’essayer le magnétisme animal sur cette malade. A peine avait-il fait quelques
es organisés, à une réciprocité d’influence entre les végétaux et les animaux . Mais, malgré de louables efforts pour déterminer
us paraissent devoir faire abandonner les épithètes restrictives de : animal , humain, etc., qui circonscrivent la sphère d’inf
s que les plantes s’éthérisent aussi facilement que les hommes et les animaux . On ne peut guère se faire une idée de la précisi
essamment mettre au jour un ouvrage en deux volumes sur le magnétisme animal , considéré comme principe physique. — On édite
efforts et de vains frais d’érudition pour prouver que le magnétisme animal vient d’une source détestable, c’est-à-dire satan
cité médicinale. 336 Ether ei le magnétisme (I’) 319 Ethérisation des animaux . 55, 89, 154, 159 — des plantes, 375 Extase é
s. » Art. II. — Elle a pour but: 1° La connaissance du magnétisme animal ou mesmérisme pur et appliqué; 2° La propagatio
environ quarante-cinq ans qu’enfant, j’appelais cela de l’éleclricilé animale , ce qui m'avait fait surnommer par mes camarades,
de l’emploi de ces divers moyens, nous aurions recours au magnétisme animal , dont nous osons croire qu’on obtiendrait de bous
ans les opérations ne devrait être qu’une exception, et le magnétisme animal la règle, non que ce dernier soit d’un emploi plu
pourraient voir avec regret quelques mots en fa- veur du magnétisme animal insérés dans notre recueil. » M. Lebouclier croit
prend en commençant son livre qu’il s’est fait l’apôtre du magnétisme animal dans ce pays par ennui de la vie qu’on y mène. Ma
nous empruntons au Portique du XIX' siècle : L’homme n’est, pas un animal aussi crédule qu’on le pense. La libre de l’orgue
forte commotion de l’esprit, tel autre en regardant fixement comme un animal qui veut, saisir sa proie, un Iroisième au moyen
religieuses, politiques, sociales, scientifiques même ; le magnétisme animal y recrute beaucoup d’enthousiastes et autant de d
genoux à la suite d'une chute qu’elle (it dans ta rue.) Guérison d' animaux . 1. Pierre Tabarlet, dit Pbré, deSiros. (La p
ion que j’ai faite souvent : il a été donné aux oiseaux et à certains animaux de prévoir et d’annoncer l’orage, les inondations
, pour examiner contradictoirement avec lui le système du magnétisme animal ; s’il reçoit l’approbation du jury, Mesmer propo
’occupent de cette science si merveilleuse qui se nomme le magnétisme animal . Une séance a déjà eu lieu, et les quelques élus
puter absurdes plusieurs d’entre les prodiges attribués au magnétisme animal , il croit devoir prendre un juste milieu dans l'e
que cela est possible, d’exposer brièvement l’histoire du magnélisme animal , les différents moyens employés pour magnétiser,
nous paraîtra la plus conforme au vrai. » 1" Histoire du Magnétisme animal . Ici le compilateur nous montre Mesmer reçu foi
iü, il se dirigea vers Paris; mais malheureusement pour le magnétisme animal Mesmer arriva dans la capitale en môme temps que
orables... el non nécessaires. 3° Effets produits pur le Magnétisme animal . o. On prétend que ces individus éprouvent un s
, pas même d’avoir rêvé. 4° Application thérapeutique du Magnétisme animal . « Etant admise la réalité de toutes les choses
nsidérations résulte clairement ce que l’on doit penser du magnétisme animal considéré comme remède. » En premier lieu, on n
ette auparavant. En outro, les écrivains qui ont Irnilé du magnélisme animal , assurent que les personnes qui y ont élé assujet
ibilité maladive. » En second lieu, on pourra essayer le magnélisme animal sur les personnes affectées de maladies nerveuses
e n’existait pas; que l’on abandonnât la ter-minologie ele matjhélhme animal , se restreignant à dire avec les paroles ce que l
admettons, mais non sans preuves, l’existence d’un fluide galvanique animal analogue au fluide magnétique mi- lierai. Les c
chanls, n’exprime-l-il pas tous ses besoins, toules ses passions; les animaux ont leur langage toujours vrai, mais l’homme seul
, de la faculté de Paris, vient de publier un écrit sur le magnélisme animal , où la rigueur du raisonnement le dispute à la pr
sidant à l'évolution des phénomènes physiques el moraux dans le règne animal , comme président, dans l'ordre purement matériel,
entité de phénomènes qui éclatent dans tous les degrés de l’échelle animale et qui paraissent être produits par l’action de m
au composé. Si l’on dispute encore sur le point où commence le règne animal , du moins est-il parfaitement entendu que l’homme
ses organes, toutes Ie3 facultés réparties dans l’infinie variété des animaux . Il est l’harmonieuse combinaison d’éléments épar
é. Gratifié d’organes analogues à ceux qui furent départis eux autres animaux , l’homme jouit en commun avec tux des propriétés
dans l’homme, à une intelligence incomparable relativement aux autres animaux , s’unit une faculté divine, la conscience de sa s
raison répugne à l'admeltie, et, pour compléter le tableau des forces animales , dans l’énumération des caractères de l’humanité,
is avec plus ou moins de profusion aux espèces qui composent le règne animal . 11 a tout ensemble, la contractilité, l’instinct
t le type auquel on peut rapporter le degré d’intelligence des autres animaux , el les insectes en étant un autre qui peut servi
at purement rudimentaire. Or, il est démontré que ce sont de tous les animaux les plus surprenanls pour les exercices de l’inst
re détourné de son objet sans qu’il s’ensuive un désordre funeste à l’ animal qui lui est soumis. Dans le nombre des fonction
uite, tous (1) C'est-à-dire un acte conforme à la raison sans que l' animal en lit la conscience; un acte tel que le lui dict
s actes extérieurs qui ne se rapportent à aucun des organes de la vie animale . Ainsi, quand un pigeon est transporté de Bruxell
lle recueille les vibrations. Sans ces relations indescriptibles, les animaux s'égareraient à chaque instant ; ils seraient le
faites que celles qu’ils doivent à l’intermédiaire des sens de la vie animale . Ces sens sont des sources d’erreurs que l’intell
, tels que nous les connaissons, u’onl pu être affectés chez le petit animal dont je viens de raconter les exploits : seulemen
i la digestion dans l’homme, parce qu’elle est incontestable dans les animaux . Cependant, dans le cas cité, il faut se résigner
enfant, un rapport analogue à celui qu’établissent les sens de la vie animale , mais pourtant différent dans ses moyens et sa fi
mme et les objets extérieurs, sans l’intermédiaire des sens de la vie animale . (1) Il y a peu d’hommes à qui il ne soit arr
z lui l’intelligence domine l’instinct ; c’esl le contraire chez, les animaux ; el si par accidenl cet ordre se trouve intervert
hénomènes qui, semblables dans leur nalure à ce qui se passe chez les animaux , ne nous surprennenl davantage que par la raison
également émerveillés des perceptions instinctives et habituelles des animaux , dont une grande partie doit nous échapper si, au
ne donne et l'autre reçoit. Dans l’ôlre passif, les organes de la vie animale sont ou totalement ou partiellement assoupis, leu
dans le domaine duquel les cinq autres, limités au service de la vie animale et occupés à fournir des matériaux à l’intelligen
l8 Tous les organes corporels qui concourent à composer la série des animaux se retrouvent dans l’homme, soil à l’état de cont
ou moins de développement, l’ensemble des facultés départies au règne animal . On ne saurait faire d’exception en faveur de [’i
n ne saurait faire d’exception en faveur de [’instinct. 3° Chez les animaux inférieurs, l’instinct prévaut sur l’intelligence
braire, rue des Mathurins-Jacque, Le nom de Mesmer et le magnétisme animal réveillent à la fois toutes les idées d’incréduli
des courants du fluide universel, du feu de la nature, du magnétisme animal . en un mot à l’organisation intérieure de la fib
la raison qu’à l’instinct, puisqu’elle nous est-commune avec tous les animaux . Aussi celle sensation est-elle moins sujelle à e
veau du lion, et que c’est là ce qui avait déterminé la clémence de l' animal ; celte doctrine mène droit à la découverte de la
l avec fruit. TABLE DES MATIÈRES. Attraction magnétique, 281, 310 Animaux . — Magnétisés et gué-tis, par M. Laforgue. 208
24 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
u'un cas particulier d'une faculté qui appartient à un grand nombre d' animaux et en particulier aux oiseaux migrateurs. Celle
es bêtes ne sont pas si bêtes que l'on pense ! III. chez les AUTRES ANIMAUX . 11 ne faut pas voir dans celte faculté un priv
mmune a tous les oiseaux, et même dans une certaine mesure à tous les animaux . Car enfin l'abeille qui va butiner au loin sai
lomètres du port de départ. La position du navire étant critique, les animaux furent lancés à la mer, dans l'espoir qu'ils pour
s à l'influence du haschisch est double, il réalise l'homo duplex des animaux : mais cet homo duplex est plus ou moins tranché.
portée sur un être, un objet quelconque. Prenons, si vous voulez, uu animal , un lion, par exemple ; sous l'influence de celte
qu'il n'est plus lui, c'est-à-dire Pierre, Paul ou André, mais bien l' animal dont la pensée hante son cerveau. Il lutte d'abor
tion soit prolongée, a imiter les mouvements et les rugissements de l' animal . Parvenu à ce paroxysme du transformisme vital, l
et l'on verra que l'instinct de la direction aura disparu, et que ces animaux seront aussi incapables de retrouver leur chemin,
ketinner-vation und der Vontellungen von Verhalten in Raume (1871). animaux pour vérifier si, en dépit de l'opinion générale,
usqu'à la mode, est réductible à cette propriété. Définir l'homme, un animal raisonnable, c'est ne pas dire grand'chose; car q
ocina lions, prétexte a développements oratoires. Définir l'homme, un animal suggestible, voire hypnotisable, ce serait, quoi
ante ans, chasse au collet ou a l'affût, à la nuit tombante, voit les animaux mêmes dont il est le fléau prendre, dans le crépu
nations terrifiantes, dans lesquelles elle voyait des monstres ou des animaux . Il fut encore facile, par la suggestion, de fair
ons personnelles des sens. Cependant l'enfant peut, comme plus d'un animal , apprécier et compter les objets sans connaissanc
difications très étendues et compliquées dans les fonctions de la vie animale et végétative. Les impressions psychiques ont une
qui en augmente la force pathétique. Dans sou beau livre Des Sociétés animales (1). Alfred Espinas a fait une intéressante tenta
herche à rendre les accidents ; aux passions qu'on éprouve, et au cri animal qu'elles arracheraient; à la nature, au caractère
quarante ans, je me suis tenu an courant de l'histoire du magnétisme animal , et en 1869 déjà, j'expliquais comme dus à la sug
autrefois et comme on aurait dû continuer à l'appeler, le magnétisme animal (1), a mis en lumière la puissance de l'esprit su
ement des maux de leurs semblables? Dans mon volume sur le Magnétisme animal (1), j'ai raconté l'impression que m'a faite la v
. Ces candidatures sont adoptées a l'unanimité. (1) Le Magnétisme animal , à propos d'une visite à l'Êcole de Nancy. — Pari
froides, hallucinations terrifiantes représentant en particulier des animaux féroces, loups ou autres, enfin perle de connaiss
rganiques, l'oxydation du sang et des tissus, la fabrication du sucre animal , tout le travail de la nutrition s'opère dans not
ue l'analyse extrait du corps humain sont les scories de celte chimie animale qui doivent être éliminées ou transformées ; leur
entent, ils pensent, ils ont une vie psychique. Nous les appelons des animaux . Sommes-nous des animaux comme eux? Des savants
ont une vie psychique. Nous les appelons des animaux. Sommes-nous des animaux comme eux? Des savants l'ont dit avec modestie
milles des bimanes s. « L'homme, dit Charles Richet, est le roi des animaux . » Est-il vrai que l'homme n'est qu'un animal a
chet, est le roi des animaux. » Est-il vrai que l'homme n'est qu'un animal au sommet de l'échelle et que c'est vanité humain
inition. Sans doute, notre organisme matériel ressemble à celui des animaux ; notre vie végétative et en partie notre vie psyc
psychologues de cotre fin de siècle ; je doute que jamais aucune bête animale ait scruté avec autant de sagacité l'Ame d'un de
atérielle de la machine qui établit la prééminence de l'homme sur tes animaux , ou. si l'on veut, sur les autres animaux; ce n'e
éminence de l'homme sur tes animaux, ou. si l'on veut, sur les autres animaux ; ce n'est pas l'existence d'une âme consciente et
qualité de celte ame, c'est la qualité de celle pensée ! Celle de l' animal reste éternellement embryonnaire, comme celle de
de l'entant nouveau-né : elle n'évolue pas, elle ne développe pas. L' animal sent, souffre, manifeste de 1a joie, de la douleu
l sent, souffre, manifeste de 1a joie, de la douleur, de la colère; l' animal pense, mais sa pensée est asservie à ses sensatio
« Oui, trop modestes savants, vous n'êtes pas seulement les rois des animaux , tous n'êtes pas seulement des mammifères de l'or
zoologiques, le squelette de l'homme figure parmi les objets du lègue animal , je le concède : notre être matériel est un anima
es objets du lègue animal, je le concède : notre être matériel est un animal . Mais, parmi les animaux de La nature rivante, l'
l, je le concède : notre être matériel est un animal. Mais, parmi les animaux de La nature rivante, l'homme avec son esprit réc
ve. Ce n'est plus une machine humaine ; ce n'est même pas une machine animale : c'est une plante qui continue a évoluer, incons
sante pour déterminer La spontanéité de la vie de relation, de la rie animale . L'homme manifeste son activité, se démène et s'a
es respectables. La définition de Guy-Patin m'est montée aux lèvres : Animal four-bissimum bene faciens miracula, atque lucran
EXPÉRIMENTAL,ET THÉRAPEUTIQUE LA FOLIE COMMUNIQUÉE DE L'HOMME AUX ANIMAUX (1) Par M. Dr Cs. FÊRÉ. médecin de Bicêtre. L
UX (1) Par M. Dr Cs. FÊRÉ. médecin de Bicêtre. L'intelligence des animaux ne se distingue de celle de l'homme que par des d
passions humaines (3) II n'y a donc rien d'étonnant de voir chez les animaux les anomalies et les maladies intellectuelles qui
livrance (4). Si les maladies mentales sont moins fréquentes chez les animaux , c'est que la civilisation les pénètre moins et n
riée chez eux par de mauvaises lois. La rareté de la folie chez les animaux rend compte de La pénurie des documents scientifi
de la psychologie humaine (5). L'imbécillité n'est pas rare parmi les animaux domestiques, en particulier chez le chien et (1
te de Biologie, le 25 fevrier 1893. (2) Romanes. L'Intelligence des animaux , 1887. (3) E. P. Thompson. The passions of animat
rescyn der Thiere (ibid., p. 170). — Pienquin. Traité de la folie des animaux , 2 vol. in-8, 1839. — Lindsay. Madness In animals
ralytique (1). Les troubles psychiques qui ont été étudiés chez les animaux sont les perversions instinctives, que l'on a fai
es, que l'on a fait entrer dans l'histoire de la criminalité chez les animaux (2), et les épidémies mentales se rapportant surt
sants en ce qu'ils montrent bien l'influence de l'imitation parmi les animaux d'une même espèce, et c'est justement sur l'imita
. Il est à remarquer d'ailleurs que des faits d'imitation entre des animaux d'espèces différentes ont été quelquefois observé
tc. (4). L'existence à l'état physiologique de l'imitation chez des animaux de même espèce ou d'espèce différente nous condui
beaucoup fixé l'attention : à la contagion de la folie de l'homme aux animaux . Depuis le mémoire de Lasègue et Jules Falret,
homme criminel, 1887, ch. I. — Lacassagne. De la criminalité chez les animaux . (Revue scientifique, 1882, 3e série, t III, p. 3
Goubaux. Des aberrations du sens génesique et de Phybridité chez les animaux : les jumars. (.Nous. Arch. d'Obttétrique et de g
logie, 1888, t. III, p. 455, 492.) (3) Decroix. La Panique chez les animaux . (Bull de la Société imp. et centrale de méd. vét
870, p. 101.) — P. Delorme. Études sur les terreurs paniques chez les animaux . (Recueil île médecine vétérinaire. 1871, p. 753.
rn. of mental Science, 1871-1872, p. 425.) — Abadié. Panique chez les animaux . 'Revue vétérinaire de Toulouse, 1887, t. II, p.
se, 1887, t. II, p. 496.) (4) Romanes. L'évolution mentale chez les animaux , p. 223. communiquée est plus fréquente chez le
contagion des intolérances sensorielles n'est pas rare de l'homme aux animaux qui vivent en communauté avec lui. et en particul
ses ou systématiques (2) s'effectue d'autant plus facilement chez les animaux qu'ils y sont spontanément sujets : les peurs mor
ou certains bruits sans réagir par des manifestations bruyantes : ces animaux en arrivent rapidement à réagir de la même manièr
elle ne disparaît pas toujours par le seul fait de la séparation de l' animal de son maître. Les faits d'émotivité morbide in
portait dans son bras (et il la soutenait, suivant son expression). l' animal paraissait parfaitement normal. Mais lorsqu'il so
ntative a été renouvelée en ma présence, et j'ai pu observer chez cet animal tous les phénomènes caractéristiques de la terreu
ui se manifeste chez quelques chiens à la moindre contrariété. Chez l' animal en question, le phénomène était très marqué dès l
abitudes morbides, suivant sur les talons. En somme, il s'agit d'un animal qui est devenu agoraphobe au contact d'une agorap
es émotions. 1877, p. 132 n'est pas sans intérêt de remarquer que l' animal qui fait l'objet de cette observation avait une a
renseignements très incomplets, n'ayant vu la malade que deux fois. L' animal , entré sain dans la maison, était devenu agorapho
aussi très ancienne chez la vieille fille propriétaire du chien; et l' animal présente une particularité qui mérite d'être sign
sa maltresse est obligée de l'emporter. Ces faits montrent que les animaux sont capables de contracter certaines émotions mo
, etc. J. Delebœuf. ÉLOGE DU CHOLERA « L'homme est, de tous les animaux , le plus ingrat, sans conteste. Insensible aux
iste sommairement dans l'aptitude qu'acquièrent les muscles de la vie animale à entrer en contracture sous l'influence d'une si
tion psychologique, par Pierre Janet, 83. Amour lesbien (l'), 224 Animaux | la folie communiquée de l'homme aux|, par Féré,
éré devant la Justice (un), 128. Folie communiquée de l'homme aux animaux (la), par Féré, 257. Folie passagère par imitat
25 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
e èpithéliale. — Réalité de son exis-tence. — Sa disposition chez les animaux (triton, grenouille, reptiles, chat, etc.) ; — ch
des relativement aux conditions physiologiques ? 1. Chez tous les animaux , pourvus d'organes pulmonaires, il existe, à la s
onnaître, d'une manière sommaire, la disposition qu'il offre chez les animaux Fig. 10. — Epithelium pulmonaire du triton, (tr
mais on y observe une particularité qui se retrouve souvent chez les animaux d'un ordre plus élevé. Ici, les parois alvéolaire
ontimi et polymor-phe. C. Arrivons rapidement, sans transition, aux animaux supé- rieurs, car l'anatomie comparée n'est pas
r nous, le but, elle n'est que le moyen. Or, nous retrouvons chez les animaux mammifères adultes, chez le chat entre autres, le
nous décrivons tout à l'heure. À l'état fœtal, au contraire, chez cet animal , comme chez tous les mammifères, l'épithélium est
r les résultats de l'examen des poumons de dix-neuf fœtus (hom-mes et animaux ), M. Rûttner poussait une injection de géla- Vi
et qui me paraît mieux démontré que le précédent, c'est que, chez les animaux adultes, le chien entre autres, les épithé-liums,
ement de ce que les méthodes qui sont appliquées avec succès chez les animaux , celle de l'imprégnation d'argent, par exemple, s
éthodes'en question n'est suivi de résultats satisfaisants que chez l' animal frais, alors que les tissus ont conservé un certa
les résultats de l'inflammation expérimentale de l'épi-ploon chez les animaux adultes, par l'introduction, dans le péritoine, d
d'abord le cas où la maladie est provoquée expérimentalement chez les animaux , circonstance dans la-quelle l'analyse des phénom
ion des pneumogastriques, ou mieux des nerfs récurrents chez certains animaux , le lapin par exemple. Vous n'ignorez pas que la
ection des pneumogastri-ques, offre l'avantage de laisser souvent les animaux vivre pendant un temps relativement fort long. Ai
a peumonie ainsi produite est en quelque sorte toute traumatique. Les animaux sont devenus incapables de fermer la glotte, circ
l'autopsie, et, dans les cas où, après la sec-tion des récurrents, l' animal a été soumis à la trachéotomie, le liquide qui s'
ire des principaux résultats obtenus dans ces recherches. — Lorsque l' animal succombe avant l'accomplissement des six première
vements amiboïdes. Le tableau change lorsque l'examen porte sur des animaux qui ont succombé vers le deuxième ou le troisième
tion, le cas de la pneumonie chronique primi-tive, provoquée chez les animaux par l'introduction dans les voies aériennes de po
es entreprises dans mon laboratoire sur le cochon d'Inde. La tête des animaux est plongée dans un sac rempli de poudre d'oxyde
elui-ci contient se mêle, nécessairement, à l'air qu'ils aspi-rent. L' animal est délivré seulement à l'heure des repas et pend
la nuit. Notre but, dans ces expériences, a été de re-produire chez l' animal la forme de pneumonokonioses qu'on désigne chez l
tervention, même accessoire, des phénomènes d'exsudation. Lorsque l' animal a été sacrifié environ deux mois après le début d
se ; et, cependant remarquez-le bien, il s'agit du cochon d'Inde, cet animal émi-nemment propre à subir les lésions de l'infla
la broncho-pneumonie vulgaire. J'aurais pu ajouter que, chez ceux des animaux soumis à la section des récurrents qui ont survéc
espèces suivantes : 1° Cirrhose expérimentalement déterminée chez les animaux par la liga-ture du canal cholédoque ; et, à ce p
ature de l'uretère du côté droit chez un cochon d'Inde mâle adulte. L' animal se rétablit promptement et le 25 avril, 23 jours
représente les parties homologues du rein gauche, non altéré, du même animal . Les pyramides de Ferrein présentent, d'une façon
monies chroniques, dans l'épaisseur des parois bron-chiques, chez les animaux où l'on a réusssi à produire expé-rimentalement l
es. Il y a longtemps que la broncho-pneumonie qui se produit chez les animaux à la suite de la section du pneumogastrique, a ét
voquées. On a produit souvent aussi des broncho-pneumonies chez les animaux en injectant dans les bronches divers liquides ir
rents ; cette section laisse une survie d'une vingtaine de jours. Les animaux , d'abord assez incommodés, s'habituent dans une c
nique aussi bien que celles de la broncho-pneumonie aiguë. Chez les animaux , l'introduction de corps étrangers dans les voies
'ils renferment (Gairdner) 1 ; et les expériences entreprises sur les animaux démontrent que cette théorie toute mécanique peut
es mêmes lésions peuvent être expéri-mentalement reproduites chez les animaux , circonstance qui doit, on le comprend, faciliter
aires. Comme complément de sa théorie, Pearson fait remarquer que les animaux domestiques n'ont pas les poumons noirs, ce qui t
, d'après Knauff2, et d'après Klein 3 chez un certain nombre d'autres animaux . Les plus volumineux d'entre eux contiennent un g
ut avoir démontré directement, par des expériences instituées sur les animaux que les poussières en suspension dans l'atmosphèr
un sac contenant de la poussière de charbon, et, lorsqu'on sacrifia l' animal , on trouva du charbon dans les fosses nasales, ma
uteur sont loin d'être irréprochables. Et, par exemple, le séjour des animaux dans l'atmosphère charbonneuse n'a évidemment pas
les expériences que M. Charcot a instituées sur le cochon d'Inde. Les animaux étaient enfermés dans des sacs contenant soit de
l'épithélium pulmonaire desquamé 2. Ces expériences ont porté sur six animaux : quatre d'entre eux ont respiré de la poudre d'o
Vir-chow's Arch., 1878.) pour la sidérose de l'homme. Chez un autre animal sacrifié au bout d'un mois, on rencontrait, outre
ier les résultats de l'expérience1. Quoi qu'il en soit, chez tous ces animaux , c'est dans le poumon et dans le poumon seul que
es des particules de charbon 1 II est très remarquable que chez ces animaux les lésions tuberculeuses ne se sont développées
ser-vation clinique et sur les résultats d'expériences faites sur les animaux , et développée avec un talent si remarquable par
how a démontré que si l'on introduit dans la veine sous-clavière d'un animal des fragments de caillots fibrineux, de tissu mus
manière à y produire une occlusion complète, on voit survenir chez l' animal des accidents formidables sem-blables à ceux qui
M. Virchow dans quelques-unes des expériences qu'il a faites sur des animaux . Le plus souvent, les fragments de muscle ou les
er ces symp-tômes de ceux qu'a notés il. Virchow sur quelques-uns des animaux soumis à ses expériences. Voici quels ont été, pa
les pieds de derrière viennent à manquer sur un terrain glis-sant; l' animal tombe alors à plat ventre, et l'extension forcée
s, on n'observe que des phénomè-nes de claudication intermittente ; l' animal marche bien quand il n'est pas fatigué, mais il c
dis. Au bout de vingt ou trente minutes, les symptômes s'amendent ; l' animal se relève, et reprend toutes les apparences de la
orrespondent aux données de l'expérimenta-tion physiologique chez les animaux , et aux effets bien connus de la ligature de l'ao
i peuvent existera l'é-tat libre dans le sang, on rencontre, chez les animaux , des helminthes, d'une nature spéciale, logés à l
aux tiraillements que ces vais-seaux éprouvent pendant le travail des animaux ; mais M. Rayer fait observer, avec raison, que l
., t. I, p. 519. — Chabert. Traité des maladies vermijieuses dans les animaux . Paris, 1782, p. 19. — Ilodgson. On the Disease o
Trente des entozoaires et des maladies vermineuses de l'homme et des animaux domestiques, p. 389. Paris 1860. IX. Hypertroph
avaux des observateurs distingués que nous venons de nommer. I. L' animal qui, jusque-là, avait fait un bon service et qui
s seule-ment, la boiterie se reproduit. Qu'on frappe, en ce moment, l' animal pour le forcer à accélérer son allure, et on le v
es attitudes particulières et incessamment variées que leur imprime l' animal ; ils sont roides, comme contractu-res, placés da
e la température et la sensibilité y redeviennent normales, Bientôt l' animal a repris toutes les apparences de la santé. A le
atal des accès constitue une sorte d'in-firmité incurable ; aussi les animaux atteints de ce genre de boiterie sont-ils en géné
auraient être reproduites chez l'homme, qu'on voit surve-nir chez les animaux les accidents graves, tels que respiration précip
urviennent, dans les belles expériences de M. Brown-Séquard. Chez les animaux auxquels on a pratiqué la ligature de l'aorte abd
eints de claudication, de même que l'ablation de la ligature chez les animaux mis en expérience, en rétablissant les condi-tion
mbres postérieurs ou un seul des membres antérieurs. On accorde à l' animal un temps de repos, et tout renlre dans l'ordre
e peut-être, la boiterie recommence. Alors, je suppose, on frappe l' animal , et c'est ici que l'expé-rience sur l'animal, qui
je suppose, on frappe l'animal, et c'est ici que l'expé-rience sur l' animal , qui chez l'homme, tout naturellement, ne saurait
qu'ils ne le sont chez ce dernier. Je suppose, dis-je, qu'on frappe l' animal , alors deux ordres de phénomènes sont observés pe
que sorte, et relatifs au membre atteint de claudication. Le pauvre animal qui fait, sous l'excitation du fouet, tous ses ef
Enfin, il tombe sur le sol, se roulant et se débattant comme font les animaux atteints de coliques violentes. Pour ce qui est m
t être l'objet d'une attention spé-ciale : 1° d'abord la façon dont l' animal fait des efforts pour agiter ses membres indique
res, en un mot. Tels sont, Messieurs, les phénomènes de la crise. L' animal est tombé à terre, il s'est roulé comme on l'a di
la douleur, l'anesthésie et la contracture ont dis-paru. Le pauvre animal se dresse et son allure redevient normale : « à l
ent après un temps de repos, pour reparaître 1 /4 d'heure après que l' animal est remis au trot et ainsi de suite indéfini-ment
que l'animal est remis au trot et ainsi de suite indéfini-ment. Ces animaux -là, reconnus incurables, sont généralement sa-cri
Brown-Séquard 2 et Stannius 3, et qui consiste à lier l'aorte chez un animal et à ob-server ce qui se produit dans les membres
, quand on enlève la ligature, ou quand on injecte du sang d'un autre animal . D'après llermann (Die Regulirund der Zufuhr arte
ien-nent difficiles, la paralysie est complète au bout d'une heure, l' animal souffre ; la peau du membre est cependant anesthé
suivie delà cadavérisation du membre, et, chose importante, lorsque l' animal succombe, au moment où le temps de la rigidité ca
e épithéliale. — Réalité de son exis-tence. — Sa disposition chez les animaux (triton, grenouille, reptiles, chat, etc.) ; — ch
26 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
rs, l’autruche et ses œufs rangés en bataille sur le sable , tous les animaux du désert lui apparaissent successivement dans sa
ocède de l’un et de l’autre, et forme leur trait d’union. Notre corps animal et corruptible doit disparaître un jour pour fair
ent) long de quatorze pouces, et qui se trouvait dans l’estomac ; cet animal était plat, vert foncé, et chaque fo que le jeune
Girard consacre un chapitre particulier à la discussion du magnétisme animal , du somnambulisme, de la magie, de de la sorcelle
ique, suite des privations qu’il s'imposait et de l’absence du régime animal , avait nécessairement exalté, exaspéré son moral,
ougueux était dû à la magie de quelques paroles dites à l’oreille des animaux qu’il voulait soumettre, si bien qu’on le désigna
érait. Il ne reculait devant aucune difficulté. Il s’enfermait avec l’ animal , et une heure suffisait ordinairement pour que la
c lui comme 1111 enfant avec un petit chien. A partir de ce moment, l’ animal montrait une docilité à toute épreuve ; il se sou
sait d’un cheval qu’on n’avait jamais pu ferrer. Sullivan vint, vit l’ animal rétif, s’enferma avec lui, et au bout d’une demi-
aduellement jusqu’à ce o qu’il puisse poser sa main sur les yeux de l' animal et qu’il , soit parvenu à lui souiller dans les n
est inexplicable. On a rattaché la fécondation humaine à celle des animaux de tous les règnes, sans être plus avancé, car le
audissements. M. Rarey a battu ensuite le tambour aux oreilles de cet animal jusque-là si ombrageux ; monté sur Stafford, il a
un parapluie qu’il a ensuite refermé, et Stafford n’a pas bronché ; l’ animal suivait M. Rarey comme un chien suit son maître,
ueux coursier Stafford : « A l’ouverture de la porte de l’écurie, l’ animal se jeta si violemment sur M. Rarey, que le palefr
a ensuite du cheval, et fit alors... ce qui est son secret. Bientôt l’ animal , obéissant et tremblant, se couchait à ses pieds.
t fut rejeté au dehors ; 3 > était vivant et se mit à ramper,; cet animal vécut encore dix minutes. I^e malade rendit ensui
s plusieurs années, et je n’avais jamais entendu parler du magnétisme animal que dans nos classes de physique , où l’on n’en a
eprésentations de toute espèce d’objets inanimés , quelquefois môme d' animaux . 11 me semble entendre des paroles qui offrent so
-né ne pense pas ; que ses mouvements sont déterminés, comme ceux des animaux et ceux de quelques plantes , par une puissance v
qui ne vit que, faiblement, la retient plus fortement qu’aucun autre animal plus parfait, d’une classe plus élevée- Elle do
e la fleur restent intactes jusqu’à ce que la vie cesse. Beaucoup d’ animaux passent tout l’hiver dans un état d'engourdisseme
que ses lois seront mieux connues, tous les phénomènes du magnétisme animal seront expliqués; car ils se rattachent aux lois
ples, nous indiquent la transmission du fluide vital ou du magnétisme animal entre les divers individus. - Deux organisation
de l’esprit. (Soirées de Saint-Pétersbourg.) Lorsque le magnétisme animal sera élevé à l’étatde science, la parole prophéti
ure, par des liens et muscles qui, se contractant par la volonté de l’ animal , relèvent ou abaissent la tête. Or, un léger frôl
s réciproques des êtres de la création : magnétisme sidéral, minéral, animal , humain et spirituel. Le magnétisme est donc un
o - ill' MANUEL HISTORIQUE, ÉLÉMENTAIRE ET PRATIQUE DE MAGNÉTISME ANIMAL , par li. Bkkjot: suivi d'une Dissertation sur le
AL, par li. Bkkjot: suivi d'une Dissertation sur le fluide magnétique animal , par A. Bûche. 1 petit vol. in-lâ, IS:>8 , che
Que ¡es chiens d'aujourd'hui n’auront pas peine à croire. Un de ces animaux , petit, niais vigilant, Aboyait don Bazile avec
, sur la statique chimique des êtres organisés : « Les plantos et les animaux dérivent de l'air, no « sont que de l’air condens
gs malheurs et l’activité de sa vie, il ne le devait qu’au magnétisme animal , it l’exercice qu’il faisait sur lui-même de cett
C’est, dit-il, un instinct naturel de conservation tpie possèdent les animaux et les sauvages, et qui, inactif ou négligé dans
ement lui-même. La dernière édition du Traité complet du Magnétisme animal a été enrichie d’un résumé sur les faits spiritua
t ou la puissance du diable puisse changer un corps humain en forme d’ animaux , ni que la matière des choses visibles fléchisse
s conjurations on puisse fixer momentanément un esprit sur un corps d’ animal : ce serait un acte 'du môme genre que l’évocatio
titre de punition, dégénérer et habiter pour un temps donné une forme animale inférieure? Porphyre, qui admet, conformément aux
a forme humaine, efles puissent dégénérer et descendre dans celui des animaux . 'Il y a donc chez Bodin crédulité extrême, lorsq
relation? M. Cantagrel aura raison de dire alors que la terre est un animal vivant, quand il ressentira les piqûres qu’on lui
nt que quand elle s’occupera avaw. tout des nerfs et de l’électricité animale intelligente qui les parcourt, sous la direction
usieurs personnes avaient espéré et espèrent encore que le magnétisme animal pourrait nous donner quelques lumières sur ces in
te encore, ils peuvent aller jusqu'à ébranler toutes les parties de l' animal . M. Flourens dit : A partir du milieu de l’espa
à un pigeon les hémisphères cérébraux, le cerveau proprement dit; (l’ animal ne meurt pas .pour cela.) (Voyez Académie des Sci
sa tète et la jouissance de sa volonté. M. Flourens pince la queue, l' animal agite sa queue. Voilà donc un même phénomène qu
férents, en partant de deux points opposés. Vous irritez la moelle, l’ animal agite le membre qui y correspond, sans que vous a
que le calorique, que le nerf agit sur la « fibre... tous les fluides animaux étant tirés du sang par sé-« crétion, il n’y a pa
, et l’arrêtent comme le verre arrête l’électricité. » (Cuvier, Règne animal . Introduction,) L’analogie que Cuvier établit i
t pas été obtenu avant lui, M. Matteucci a démontré que l’électricité animale est parfaitement identique avec les autres électr
de l’électricité de la torpille est dans un des lobes du cerveau de l’ animal , il «a démontré qu’il existait entre l’agent nerv
ue, démontre que les phénomènes d’apparence électrique, dont certains animaux sont le siège, ont pour cause réelle l’électricit
le rapporteur de la commission instituée pour l’examsn du magnétisme animal dont le premier promoteur, il faut le dire, fut M
e. La réserve est surtout un devoir quand il s’agit de l’organisation animale . « Nos sens, malgré plus de vingt-quatre siècle
ent des systèmes norveux q“' président à la vie organique et à la vie animale (pages 569 à 573). soin d’un agent fourni par
a publié récemment un petit livre intitulé : La Vérité du magnétisme animal , et l'utilité de ta médecine magnétique et somnam
estimés sur le magnétisme, notamment Lcttcrs to a candid inquirer on animal magnetism, Le tiers on mesmerism and clairvoyance
entre l’âme animante et l’être animé? cpii confondent l'homme avec l’ animal , et qui, dans leur système immoral et absurde, ve
cause de la vie? Ils sont obligés logiquement, ou de nier la vie des animaux , ou de leur supposer une âme comme la nôtre. La
l ; et elle augmente depuis peu aussi ses connaissances dans le règne animal , par la chimie organique. Mais les rapports ent
je retournai à mon feu pour prendre ma torche et me débarrasser de l’ animal dont le chant me fatiguait sans m’effrayer. La lu
coup. Je voulus saisir ma torche, mais elle était humide, entourée d’ animaux visqueux, et, au même instant, elle s’éteignit au
co et pcriovÉrance. (Suite.) Regarde autour de toi, tu verras les animaux , les plantes même avoir tes maladies; toutes les
s pour lesquelles les organes de l’homme n’étaient point faits. Les animaux se lustrent, se nettoient, se lèchent, l’homme co
sans examen. Venons au fait. L'action appelée jusqu'ici Magnétisme animal ou Mesmérisme, nous l'appelons électrisation huma
et morale quel’homme exerce sur son semblable, sur lui-même, sur les animaux , les végétaux, et en général sur toute la matière
tif d’inuocence, si riche de lumières qui permit à Adam d’appeler les animaux , les plantes et leurs propriétés, par des noms si
que connu et qui répond directement à notre question. « Le magnétisme animal , dit l’abbé Guillois, est-il quelque chose de nat
frappants de galvanisme, les phénomènes physiologiques du magnétisme animal , n’on t jamais été des miracles qu’aux yeux des i
e. La circulation, les sécrétions, la digestion et autres fonctions animales , actions purement chimiques, feraient-elles excep
dis que nous reconnaissons cette propriété dans huit ou dix espèces d’ animaux , tels que la torpille, le gymnote électrique ou a
us habiles physiologistes. Tous reconnaissent que, dans l’électricité animale , non moins que dans le calorique, dans l’électric
e plus de cent fois cette curieuse expérience; j’ai également sur des animaux obtenu les mêmes résultats ; la partie où je diri
ter le point choisi, et on voyait bientôt les muscles de la tête de l’ animal et surtout ceux des lèvres et des mâchoires prése
aculté individuelle caractérisant l’homme et le plaçant au-dessus des animaux , elle est aussi un organe de la puissance supérie
e. La réserve est surtout un devoir quand il s’agit de l’organisation animale . « Nos sens, malgré plus de vingt-quatre siècle
... M'apercevez-vous pur l’épigastre?... Croyez-vous au magnétisme... animal ? Au Collège de France môme, où M. Magendie occu
us considérables de la ville, dans le but de s’enquérir du magnétisme animal . On y nomma une commission composée des docteurs
ts qui ont produit chez lui la conviction de la réalité du magnétisme animal . Il raconta que trois jours auparavant, alors qu’
ugement formel et décisif sur la science et le principe du magnétisme animal , elle reconnaissait que, dans les expériences de
uvement ; il prétend établir une étroite analogie entre le magnétisme animal (qu’il appelle mesmérisme pour éviter toute équiv
és d’aller les chercher au loin dans un lac de sang corrompu d'où les animaux les plus immondes n’osent point approcher? Oui, s
découvrir une force voisine de l’électricité inhérente à l’organisme animal . L’expérience démontra que le galvanisme, à qui
la connaissance positive de la production d’électricité chez certains animaux , malgré certaines analogies plus vagues entre les
rganisme sont-elles sans relation avec les autres? Si l’organisme animal est une source de force mécanique de chaleur, un
gestes apparents exercée par derrière sur do petiîs enfants, sur des animaux ; la magnétisation par des substances magnétisées,
llaient mal : il imaginait, dit-on, que l'odorat et l'instinct de ces animaux pouvaient leur faire sentir si ceux qui l'approch
des instruments inconnus, des livres de conjuration, des squelettes d’ animaux , des têtes de mort, une foule d’herbes de toutes
olure par des liens et muscles qui se contractent par la volonté de l’ animal , relèvent ou abaissent la tête. Or, un léger frôl
ique, 133; — noc-tambulique, 132, 404; — causés par la foudre, 555. Animaux magnétisés, 113, 141, 160. Annonces de mort par d
80. Extase magnétique, 81, 308 ; — religieuse, 501. Fascination d' animaux par d’autres, 160. Guérison miraculeuse attri
orin, 193. Manuel historique, élémentaire et pratique de magnétisme animal , par E. Berjot ; suivi d’une Dissertation sur le
al, par E. Berjot ; suivi d’une Dissertation sur le fluide magnétique animal , par A. Bauche. Examen et appréciation, par M. Mo
s père. Réfutation, par M. La-mothe, 105. Vérité (la) du magnétisme animal , et l'utilité de la médecine magnétique et somnam
27 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
u d’abord, ensuite sur les organes intérieurs et sur toute l’économie animale . Les frictions rudes sont beaucoup plus excitante
! Mais je ne vois point les poissons du ruisseau aller à l’école, les animaux des prairies n’ont point de précepteurs, les oise
monde, je remuais des machines humaines, j’agissais également sur des animaux endormis; je profilais de tou- tes les occasion
’homme ou l’enfant endormi, subir mon influence, et, plus encore, les animaux placés dans la même condition de sommeil naturel
dit-il, ne pouvait être le sommeil ordinaire, commun à tout le règne animal ; car l’homme, en cet état, ne pourrait supporter
ent trois cas fort remarquables d’elfets magnétiques produits sur des animaux par les procédés ordinaires de passes et d’attouc
moyen de salut, s’approcha résolument de la barrière, en fixant sur l’ animal irrité un long regard qui l’arrêta tout à coup.
minutes après, les yeux du taureau se fermèrent insensiblement, el l’ animal endormi demeura complètement immobile, comme s’il
s sur l'Homme, chap. 3, p. 67 el 68. (2; Le lires sur le Magnétisme animal , parCalard deMontjoie, p. 8 et 9. (3) Archives
soumettre, Messieurs, quelques simples observations sur le magnétisme animal , qui joue un si grand rôle dans ce procès. « No
là de ce Mesmer, inventeur problématique et importateur du magnétisme animal en France. « A cette époque de frivolité et de
784, parles commissaires chargés par le roi de l’examen du magnétisme animal . « Parmi ces commissaires, choisis dans la Facu
s des expériences qui avaient été faites pour l’examen du ma-gnélisme animal , termina son nouveau rapport ainsi qu’il suit :
nt eu lieu au sein de l’Académie royale de médecine sur le magnétisme animal . « Là, on a entendu des docteurs renommés, dont
en ¡S5y, a nommé de nouveaux commissaires pour l’examen du magnétisme animal , dont le travail, s’il faut en croire les appelan
l donc permis de conclure ? « C’est tout au moins que le magnétisme animal en est encore à l’état de controverse. « 11 a s
1815 le savant et vertueux Deleuze publia son Histoire du Magnétisme animal , l’opinion était déjà préparée à recevoir favorab
la personne de l'honorable directeur et des employés, car une foule d’ animaux féroces et pacifiques étaient morts de consomptio
li depuis un mois, au boulevard du Temple, une magnifique ménagerie d’ animaux vivants venant des quatre parties du monde, et do
in des Plantes , où il se mit en communication avec la collection des animaux que le gouvernement y possède. « Le pari suivan
qu’il n’aurait pas, lui Huguet, la même puissance magnétique sur les animaux de la République que sur les siens propres- toc
oc « M. Iluguet accepta le pari cl sc mil en communication avec les animaux . Il commença d’abord ses passes magnétiques, à tr
s cette expérience, M. Iluguet visita scrupuleusement tous les autres animaux , donnant quelques conseils sur la manière dont il
M. Iluguet possédait, au boulevard du Temple, la contre-partie de ces animaux , tant en mâles que femelles; et par son contact m
nts de tendresse sympathique qui se trouvent tout aussi bien chez les animaux que chez les hommes. « Ce fut la lionne qui, la
et comprit que le maître a tous avait exercé ses ravages sur le règne animal , et se promit de ne plus revenir au Jardin des Pl
ne point faire planer l'ange de la mort sur notre belle collection d' animaux ; mais, le lendemain , les journaux lui apprenaie
apprenaient que la belle lionne du Sahara succombait, en compagnie d’ animaux plus vulgaires, à une épidémie qui semblait incon
t à fait étrangères à leurs développement : l'imagination, la chaleur animale , l'érètisme de la peau, l’imitation. Déjà j’avais
ndres, en i858, un ouvrage intitulé: An introduction to the sltidy of animal magnetism. Le magnétisme s’étend dans ce pays,
manquait jusqu’à présent d’un ouvrage scientifique sur le magnétisme animal . Deux livres seulement sur ce sujet, l’un de MM.
en Afrique (côte des Esclaves), qui poussent la superstition pour cet animal à un point qu’il est difficile de croire. Dans le
s; or, pour eux, cet être est une espèce de serpent non venimeux. Cet animal , qui reçoit leurs adorations, a la connaissance d
ses facultés. M. Ilen-nequin dit qu’il 11e croyait pas au magnétisme animal , traita de dupes les partisans du magnétisme, et
après des épreuves judicieusement dirigées, ont reconnu le magnétisme animal . Tels ont été l’uységur, Deleuze, Bertrand, etc.
faits remarquable», dans son Iwtruction pra-tique tur lt JMagnétiimc animal » chap. 8 et 9. 2° On prétend que M"" Rose pres
se unique, Gallien au vice des humeurs, d’autres au sang, Raspail aux animaux parasites dont noire corps est peuplé. D’une caus
que celte eau imprégnée d’arùmes soit sans aucun effet sur l’économie animale ? Et si l’on vent rire de l’action que pourront ex
ître systématiquement hostiles, et tuer encore une fois ce magnétitme animal si souvent abattu, et qui cependant se porte mieu
i85i, qui aura lieu en mai à Charleston, un Mémoire sur le magnétisme animal et la phrénologie. — Notre ami Ordinaire a ¿lé
a communication entre le fluide vital du magnéti- (1) Du Magnétisme animal , p. 48. (1) Recherches physiolog. sur l’homme ,
it et point a s’expliquer sur le mérite et les effets du « magnétisme animal , il en résulterait l’obligation, « pour constitue
’exerce la musique sur les êtres vivants de la création, même sur les animaux . Yous savez tous à quel point la mélodie exalte l
rtige, rappelle avec horreur ce qu’011 voudrait oublier, el fait d’un animal pensant ou un objet d’admiration ou un sujet de p
lles disent est le complément harmonieux des plantes qui germent, des animaux qui naissent, des pierres qui grossissent, des ea
e toutes les mystifications q'ie le magnétisme, très-justement appelé animal , fait éprouver au pauvre public. Mais rien n’y fa
la leçon du magnétisme, qu’il divisa en deux parties : le magnétisme animal , el le magnétisme minéral. « C’est de ce dernie
e, mais il en est le révélateur moderne. « On obtient le magnétisme animal à l’aide d’une attraction sympathique entre deux
VOrganon : «Je crois nécessaire de parler encore ici du magnétisme animal , dont la nature diffère tant de celle des autres
s données élémentaires sur lesquelles repose le système du magnétisme animal . M. le Dr Gregory a entrepris de combler cette la
nié» ihorte distincte, ce sont seulement des synonymes de magnétisme animal . dère cet effort que comme produisant une ébauc
trois systèmes étant idenliques enlrc eux et avec ceux duma-gnélisme animal , ils sont produits par la même cause, quoique dif
e que je propage comme si vous la supposiez identique au magnétisme animal . Plusieurs autres esprits éclairés se sont pénétr
u’ils ne soient ni plus ni moins que des manifestations du magnétisme animal , c’est ce dont il importe moins de s’occuper. L
ilité qui en peut résulter, que l’électro-biologic soit du magnétisme animal , ou quelque chose sut generis, ses phénomènes mer
un de l’autre quand nous pourrons dire ce que c’est que le magnétisme animal . Mais nous ne pouvons pas plus mettre en doute la
tableau trouvera son complément dans la phénoménologie du magnétisme animal , -qu’on pourra parler de ce dernier comme remède;
à lui l’oiseau, l’écureuil perchésau sommet d’un arbre; que d’autres animaux , tous peut-être, sont doués d’une faculté analogu
à l’esprit d’admettre que l’homme, qui occupe le sommet de l’échelle animale , a été, lui aussi, doté par son Créateur d’une fa
é par son Créateur d’une faculté, non pas seulement égale à celle des animaux , mais supérieure. La raison dit que l’homme doit
devions en étudier les effets les plus évidents. Or, le magnétisme animal , nous le répétons, est un des éléments de la vie
re et de sentir, mais dans tous les corps en général. Le magnétisme animal , considéré comme agent de la vie, c'est-à-dire de
s les corps du monde. Par cette der-t nière partie l’homme tenait aux animaux , par la pre-i mière il tenait aux dieux. i On p
verselle du grand Tout, qu’il sous-divise en trois parties, la partie animale , la partie sensitive et la partie intelligente. I
ouler avec elle les principes du mouvement et de la vie dans tous les animaux . C’était le fluide étliéré qui circule dans les a
étliéré qui circule dans les astres et dans le ciel, et dont tous les animaux tiraient les principes de la vie, qui se manifest
incipes de la vie, qui se manifeste par la chaleur et le souille de l’ animal . Ainsi le feu principe, éternel et Dieu , renferm
iscours formel, en partie « entremêlé de je ne sais quelles figures d’ animaux , « en partie des accents noués et entrelacés en f
’aimant et autres agents dont la nature paraît analogue au magnétisme animal . Ce livre, que nos lecteurs connaissent seulement
’y a dans le crétin que le corps et le principe vital avec l'instinct animal , qui appartient à ce principe ; il manque au crét
me principe constitutif de l’homme, l’âme. Le crétin n’est donc qu’un animal , encore des moins intelligents. Le système nerv
able jusqu’à un certain point, mais bien supérieure , à Yinstinct des animaux . Si le propre de l’instinct est d’établir un rapp
rapport entre un besoin cl l’objet qui doit le satisfaire, et que les animaux se guérissent ainsi de leurs maladies, il ne sera
a magnétisation intermédiaire. « L’action et la vertu du magnétisme animal , avance Mesmer (i), peuvent être communiquées â d
nfluence magnétique, suivant leurs propriétés moléculaires. Quant aux animaux , nous savons qu’ils ressentent, ainsi que l’espèc
magnétiseur. » « Je me suis assuré, disait Mesmer, que quelques corps animaux ont une propriété tellement opposée à mon princip
rincipe, queleur seule présence détruit tous les effets du magnétisme animal (3). » Bruno (4) et le Dr Despine (5) appuient ce
appuient cette allégation, en déclarant que le chai est, de tous les animaux , celui qui contrarie le plus l’action magnétique.
moins défavorable. Sans vouloir apprécier ici l’action du fluide des animaux sur l’homme, nous agirons avec une sage réserve e
gnétiseurs qui ont eu recours à celte méthode. « Après l’homme et les animaux , dit Mesmer (i), ce sont les végétaux et surtout
ux et surtout les arbres qui sont les plus susceptibles au magnétisme animal . » Deleuze (2) regarde ce procédé comme le plus p
venimeux. Lucrèce (2) lui attribuait la propriété de faire périr ces animaux . Pline assure (3) que l’homme porte le contre-poi
qu’où cela irait, le musicien insista si longtemps sur ce ton , que l’ animal trop sensible périt au milieu des convulsions. »
. (Incessamment la Médecine somnambulique.) (1) Do l'Élcctricit«? animale , par le Dr Petelin, p. 351. (2) Traité pratique
Chaque jour lui apportera du soulagement dans cette volonté de tuer l’ animal qui doit le guérir.... Mais cet animal fuira deva
t dans cette volonté de tuer l’animal qui doit le guérir.... Mais cet animal fuira devant lui et se cachera bien des jours, et
inaire de facultés intellectuelles dans l'état extatique, 174, 285. Animaux magnétisés, 55, 405. Arbres magnétisés, 707.
opaques et à distance, 244, 251, 615, 620, 732, 749. Zoomagnétisme. Animaux domptés, endormis ou guéris par l'emploi du magné
men critique, par M. Chocarne, 172. Letters to a candid inquirer on animal magnetism, by W. Gregory, D.M. Exposé de cet ou
uction de cet ouvrage, 638. Trattato teorico pratico delmagne-tismo animale , del conde de Nani. Analyse de cet ouvrage par M.
28 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
e , rendant justice à toutes les découvertes, a signalé le magnétisme animal comme une force curative sur lu réalité de laquel
culière ; il se forme, autour de lui, comme une atmosphère de vapeurs animales toujours renouvelées par le jeu de la vie. Chez l
sur son passage des particules qui le font suivre avec sûreté par les animaux de son espèce ou d’espèce différente doués d'un o
. (T. II, p. 418, éd. de 1805.J Qu est-ce donc que cette atmosphère animale toujours entretenue par le jeu de la vie, si ce n
a également reproduit ce passage dans son Cours complet de Magnétisme animal (9e leçon) : « Les signes qui se montrent dans
le dernier terme est le cauchemar, résultat de la gêne des fonctions animales et principalement de l’état embarrassé de l’estom
t entrer un des replis dans sa bouche ; ensuite il rendit à son gré l’ animal mde comme un bâton, puis souple comme un fil. On
UE. u Monsieur le baron, « Votre amour pour l’étude du magnétisme animal , et vos profondes connaissances dans cette scieuc
lés dans aucun des écrits publiés jusqu’ici. « Le fluide magnétique animal qui est considéré comme invisible dans l’état de
IYSICO-PnVSIOr.OGIQÜE TOUCHANT LES PHÉNOMÈNES ATTRIBUÉS AU MAGNÉTISME ANIMAL . Introduction. « Quand 011 considère les prog
’avais entendu parler des phé- nomènes produits par le magnétisme animal ; mais ceux mêmes qui m’en avaient parlé me l’ava
soumise à des lois mécaniques incon-« nues jusqu’à présent. —Le corps animal éprouve les effets « alternatifs de cet agent; il
e de corps élémentaires, des métaux, des minéraux , des plantes , des animaux , ainsi que celle des astres. Je'découvris, p
t restée positive. i (.J’allai plus loin, j’impressionnai la nature animale , etj’ob-tins des résultats inattendus, surprenant
agents curatifs» ce que nous sommes convenus d’appeler le magnétisme animal . « Après avoir repassé le Caucase: pour la sixi
me de l’Académie de médecine, qui traite maintenant le magnétisme animal comme l’Académie (les sciences la quadrature du c
C’est sur notre invitation qu’il s’est mis à l’œuvre... Le magnétisme animal actuel, dit l’auteur, consiste dans une sorte d’i
tant soit d’une cause accidentelle, soit de Y influence du magnétisme animal , ne doivent, sous aucun rapport, être pris pour l
que , nous nous sommes assurés qu’on peut, au moyen du magnétisme dit animal , produire surtout chez les jeunes gens et les jeu
nir les imprudents qui jouent, pour ainsi dire, avec le .ma? gnétisme animal , taudisqu’une-expérience convenable n’a pas encor
uxelles, édition encyclographique, 1842) recommande le magnétisme animal comme traitement de l'agrypnie (absence morbide d
d’un jurisconsulte de Vienne de son insomnie, à l'aide du magnétisme animal . » — A l’article des frayeurs nocturnes (traiteme
article des frayeurs nocturnes (traitement), il dit : u Le magnétisme animal mérite ici de plus en plus qu'on l’essaye. » Il e
: Programme de» leçon» que je me propose de faire sur le magnétisme animal « PREMIÈRE LEÇON. 1° Ce qu'on entend par magné
vie comportent, selon ce philosophe, trois divisions : ceux de la vie animale , ceux de la vie propre à l'homme, ceux de la vie
e produit cet effet. Par l’excès des boissons fermentées, les esprits animaux s’accumulent nu cerveau avec le sang, au point qu
rain. On les trouvera en feuilletant les procès-verbaux du magnétisme animal . « Dès le xvui' siècle, la nécromancie jouait u
tisme terrestre. Plusieurs de ses travaux se rattachent au magnétisme animal et à diverses branches des sciences occultes. C’e
en question... Comment ne pas comprendre que l’émanation fluidique animale que nous produisons agit ou peut agir sur l'organ
dans une dissertation très-intéressante sur la question du magnétisme animal , et tendant à démontrer l’absurdité de l’incrédul
phytico-phytiologique touchant les phénomènes attribués au magnétisme animal . Nous donnerons sous peu, dans une série d'articl
clairer en même temps ceux qui se livrent à la pratique du magnétisme animal . « Je traitais une dame pour une glande au sein
arurent, les poissons, les oiseaux peuplèrent l'onde et les airs, les animaux couvrirent le globe , et enfin l’homme, le roi de
ont loin d’être d’accord sur ce phénomène important de la physiologie animale . Hans Sloane, P. Kalm, Linné, Lewson, de Catesby,
nches de la mâchoire inférieure sont soudées, peuvent tous avaler des animaux plus gros que leur propre corps. Il avait Iul
ours plus bas, arriva jusqu’à la partie nue du tronc. Alors le pauvre animal ne tenta même plus de fuir le danger. Attiré par
es planètes), commandant les lieutenants (les hommes), commandant les animaux , soldats plus ou moins disciplinés, plus ou moins
n’en est pas moins vrai que l’homme est officiellement le maître des animaux et de toutes les créatures inférieures, visibles
ne qui les sépare des animalcules d’autant que l’homme est séparé des animaux proprement dits. L’homme, ayant une mission et
use pas. Il sait, il est vrai, que d’ungeste il éloigne ou appelle un animal visible ; mais il ne sait pas que sa seule volont
d’un haut intérêt à tous ceux qui, comme vous, à l’aide du magnétisme animal , cherchent à pénétrer de plus en plus dans les se
sont venus corroborer notre foi pleine et entière dans le magnétisme animal , et que bien des choses merveilleuses que l’on ra
des Mémoires de Saint-Simon, p. 31 ; l'autre, Mesmer et le Magnétisme animal , par M. E. Beisot, p. Í16. Pour des faits pas
je n'apprendrais rien de nouveau à ceux qui connaissent le magnétisme animal , si je me bornais à relater les principales cures
c’est la loi suprême de l’ordre et de l'arrangement ; sans elle, les animaux périraient, la végétation n’aurait plus de sève,
philosophes et de véritables savants. C’est par eux que le magnétisme animal triomphe de jour en jour, eux seuls réveilleront,
ie tout, et que si, par des causes quelconques, il vient à manquer, l’ animal cesse de vivre. La surabondance, au contraire, fa
dre « futur devant lequel le nôtre n’est que néant. » Le magnétisme animal existe, il est basé aujourd’hui sur l’existence ;
enir le contraire est un homme à connaissances bornées. Le magnétisme animal est une vérité éternelle , il écrase par son mépr
rsque Arago , le patriarche de l’astronomie, en parlant du magnétisme animal , disait avec une sincère conviction qu'on ne doit
que leur suscite continuellement leur entêtement. Si le magnétisme animal est une erreur, si réellement rien n’existe de ce
ès un temps calculé pour que son corps se soit emprégné de sa chaleur animale , il lui infiltre peu à peu, sous forme de fluide
s. ci On s’est toujours intéressé à ce qui pouvait dénoter chez les animaux quelque chose de supérieur à l’instinct que la pl
voile de l’anonyme, s’il ne serait pas possible de constater que les animaux se communiquent, sinon des pensées, au moins des
ampagne, à la chasse et toujours à portée J'éiudier les mœurs des animaux à l'état domestique on à l'état sauvage, Alphonse
des détails curieux sur les relations des prétendus sorciers avec les animaux et sur le rôle que ceux-ci jouaient, en Orient, d
énomènes en les rattachant scientifiquement à ceux dont le magnétisme animal constate l’existence. Les esprits habitués depu
e l'âme humaine. « Preuve de l'existence de l’âme par le magnétisme animal . » « La plupart des médecins et des physiologis
tre une âme différente pour chacun des différents règnes : l’âme de l’ animal ne pouvant être entièrement identique à celle de
pendant chacun de nous connaît le pouvoir magnétique de l’homme sur l’ animal , sur la plante et même sur le minéral. « On nou
ement les feuilles du buisson tout en prenant son bain. Le calme de l’ animal me rend le mien, et je me mets à rire. —Oui, c’es
d’embarras, et je sus bientôt ce que j’avais à faire. Nous forçâmes l’ animal à quitter son poste, et, moitié nageant, moitié m
eaux, dont l’agitation était extrême? Comprenaient-ils le danger de l' animal , et s’étonnaient-ils qu'il ne cherchât pas à s’en
d énergique, est vaincu d'avance. d Ç|iez l’hommei et dans certains animaux , la puissance roagiy-tique de l’œil est incontes
: L'homme, dans de certaines limites, peut-il imposer sa volonté aux animaux ? chacun de nous sera forcé de conclure affirmativ
comment d'ailleurs ne pas arriver à cette conclu- sion, quant aux animaux , lorsqu'on sait que ce pouvoir s'étend jusque sur
er à un très-haut degré ce qu’on croit devoir appeler instinct dans l' animal , il pourrait fort bien se faire aussi que l’expér
à plus ample informé, que l’homme, après avoir imposé sa volonté à un animal quelconque, à un oiseau surtout, peut réaliser, e
re de choses, en produisant des phénomènes assez remarquables sur les animaux les plus rebelles en apparence à la magnétisation
rdre n’est pas plutôt donné qu’il est exécuté par l’intelligent petit animal , qui, alors, regarde son maître d’un air qui semb
n tendent pas moius à prouver, selon moi, que nous plaçons trop bas l’ animal sur l’échelle des êtres, et que nous nous plaçons
i avancent cette proposition se sont-ils donné la peine d’étudier les animaux ? Si, comme nous l'assure un naturaliste distingué
rmi connaît la loi du levier, que n’aurait-on pas lieu d’attendre des animaux d'un ordre supérieur s'ils étaient observés plus
u magnétisme, mais à un magnétisme bien raisonné, qui sait alors si l’ animal ne fera pas quelquefois honte à l'homme ? « Rec
oi (1). Bien qu’étranger depuis longtemps aux questions de magnétisme animal , je n'en lis pas moins avec un vif intérêt tout c
élucidées. Il n’existe donc point pour le monde savant de magnétisme animal . Cependant suit-il delà que les pratiques des mag
11 prétend « qu’il n’existe pas, pour le monde savant, de magnétisme animal . » Nous ne savons pas au juste ce qu’il entend pa
présente l’ensemble des êtres organisés du règne végétal et du règne animal ; mais comme ces phénomènes diffèrent en bien des
estation de l’od dans les végétaux, et ne traiterons ici que du règne animal , et même spécialement de l’homme; car c’est en lu
cun est soumis à une polarité opposée : l’encéphale, centre de la vie animale ou relative, est essentiellement négatif, tandis
ore quelques heures après qu’il avait été arraché de la poitrine d’un animal : au contraire toute fonction du cerveau cesse au
té. C’est la question de savoir pourquoi le cœur séparé du corps de l’ animal continue à battre spontanément pendant quelque te
entre la composition du sang et les battements du cœur, (. Tuez un animal à sang chaud; attendez que les mouvements respira
é, par un vote solennel, qu’elle ne s’occuperait jamais de magnétisme animal et de somnambulisme artificiel, elle a jeté les m
PRETENDU INSECTE DANS LE CRANE , GUÉRIE PAR DES PASSES DE MAGNÉTISME ANIMAL . « Le magnétisme auimal, gagnant journellementd
atanisme , de jongleries et d’exploitation où est tombé le magnétisme animal , et tâcher d’y démêler la vérité. Mais le berceau
s courageux à expérimenter et à observer le3 phénomènes du magnétisme animal . Ce n’est pas un initié aux mystères du magnétism
touchent à tout ce qui, de près ou de loin, se rattache au magnétisme animal , et je crains que vous ne nous refusiez votre con
us, elle ne paraisse pasconsacrée spécialement à la magnétisation des animaux . Quel que soit le titre, cette société dont l’éta
t oc méthode distincte, ce sont seulement dos synonymes de magnétisme animal . Elle est fondée sur la fausse théorie que 11
trois systèmes ôtant identiques entre eux et avec ceux du magnétisme animal , ils sont produits par la même cause, quoique dif
hysico-physiologique, touchant les phénomènes attribués au magnétisme animal , par M. Dubourg, 121, 256, 536. Psychologie. Un
que. 28, 280, 447; — magnétique, 44, 506; — noctambulique, 50, 510. Animaux magnétisés, 385, 450 ; — fascinateurs, 224, 277.
05, 377, 555. Extase magnétique, 245. Fascination humaine, 445; — animale . 224, 277. Guéiisons spiritualistes, 297, 411,
29 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
111R A KIEV LE SIÈGE DES PROCESSUS PSYCHIQUES CONSCIENTS CHEZ LES ANIMAUX PAR R M. S. TCHIRIEV « S'il n'est pas permi
a Peyronkie, 1741. Les processus qui se produisent dans l'organisme animal sont d'ordre chimique, physique et biologique o
iques. Considérons d'abord les processus biologiques de l'organisme animal ; nous nous ell'orcerons de reconnaître : a)
des hémisphères. Par conséquent, en enle- vant les hémisphères d'un animal , nous supprimons chez lui l'organe de la foncti
t tous les processus inconscients qui s'effectuent dans l'organisme animal vivant privé de l'écorce du cerveau, naturellem
sécrétion de la salive consécutive à l'excitation de la langue d'un animal privé de l'écorce cérébrale. Ici nous trouvons
d'un certain temps pour son accomplissement. Prenons maintenant un animal complètement sain, se trouvant en pleine posses
en lui des processus psy- chiques. Nous montrons par exemple à un animal ou à un homme un morceau appétissant quelconque
es centres de LE SIÈGE DES PROCESSUS PSYCHIQUES CONSCIENTS CHEZ LES ANIMAUX 3 l'écorce jusqu'à ce que se produise la percep
469, London. LE SIÈGE DES PROCESSUS PSYCHIQUES CONSCIENTS CHEZ LES ANIMAUX 7 son did not know, that he had done a few hour
os chez des chiens et des chats. Dans le cas le plus favorable les animaux mouraient au bout de 10-46 jours sous des phéno
cinereum, soit d'en dessus, en sou- levant les lobi frontales de l' animal , soit d'en dessous, en trépanant la sella turci
eipzig, 1896. LE SIÈGE DES PROCESSUS PSYCHIQUES CONSCIENTS CHEZ LES ANIMAUX 11 faits de la neuropathologie bien observés et
cit., p. 245. LE SIÈGE DES PROCESSUS PSYCHIQUES CONSCIENTS CHEZ LES ANIMAUX 13 ganisme, peut être reconnue comme parfaiteme
onction en physiques et en spirituels. Les êtres vivants : plantes, animaux , hommes se composent de mona- des spirituels de
ellucida, les LE SIÈGE DES PROCESSUS PSYCHIQUES CONSCIENTS CHEZ LES ANIMAUX 15 grandes apophyses supérieures coniques, diri
ts de grands ganglions du cerveau, sa paroi inférieure de devant, l' animal perd toute sa volonté et la perception consciente
lonté et la perception consciente des irritations extérieures. Si l' animal n'est pas influencé par des excitations externes
pendant un laps de temps d'une durée indéfinie. Mais si on expose l' animal à une excitation, il montre les mêmes mouvement
l à une excitation, il montre les mêmes mouvements compliqués que l' animal auquel on aurait enlevé les hémi- sphères du ce
ésultat la perte complète de la connaissance et la prostration de l' animal . reste dans cet état 3-24 heures, et il meurt s
3-24 heures, et il meurt sans avoir repris connaissance. Chez des animaux narcotisés, des lapins et des chiens, j'ai trépan
ntion de léser le fornix et ses crura du côté opposé. De tous les animaux soumis à ces opérations, je n'en veux mentionner,
es disparurent, alors que les autres restaient station- naires. Les animaux furent tués trois mois après l'opération, leurs c
s. Fig. a. LE SIÈGE DES PROCESSUS PSYCHIQUES -CONSCIENTS CHEZ LES ANIMAUX 17 7 Le premier animal est un lapin qui fut tré
S PROCESSUS PSYCHIQUES -CONSCIENTS CHEZ LES ANIMAUX 17 7 Le premier animal est un lapin qui fut trépané après narcotisation
du côté droit opposé, ainsi que ses embranchements. ' Après que l' animal eut perdu connaissance et après prostration com-
chée au dos. De l'examen plus approfondi du lapin, il résulta que l' animal avait une cécité psychique de l'oeil gauche. De
, en couvrant l'oeil droit, ne provoquaient aucune impression sur l' animal et il semblait que l'intelligence, pour ce qu'il
e, ne provoquait aucun mouvement de cette oreille; en second lieu l' animal entendait évidemment très bien tesonetdevenaite
u de l'oleille droite, im- médiatement un mouvement de l'oreille, l' animal tournait vite la tête vers la source du son pou
qui concerne le sens olfactif on pouvait seulement constater que l' animal ne réagissait pas aux objets odorants offerts du
tions tactiles ; pour les irritations douloureuses du côté gauche l' animal sentait visiblement delà douleur, devenait inquie
de dou leur du côté droit attiraient immédiatement l'attention de l' animal , qui cherchait à les éviter. Avec le temps les
uche et la surdité psychique de l'oreille gauche. Chaque fois que l' animal prêtait attention à des sons quelconques et à des
actif du côté gauche étaient seulement di- minuée. Quant au reste l' animal paraissait complètement normal. L'étude anatomi
intact et les ventricules du cerveau absolument libres. Le second animal est un chien auquel on avait fait une injection d
de léser le fornix du côté gauche. , Une prostration complète de l' animal avec perte de la connaissance eut lieu. Le troi
'animal avec perte de la connaissance eut lieu. Le troisième jour l' animal commençait à lamper du lait et tournait autour
ou de pain devant l'oeil droit, on n'obtenait aucune réaction de l' animal , bien que l'animal vit sans doule l'objet prése
l'oeil droit, on n'obtenait aucune réaction de l'animal, bien que l' animal vit sans doule l'objet présenté; mais si on décou
sans doule l'objet présenté; mais si on découvrait l'oeil gauche, l' animal saisissait immédiatement le morceau. En deuxième
ait immédiatement le morceau. En deuxième lieu on constatait chez l' animal la surdité psychique de l'oreille droite. Le so
devant l'oreille droite, parvenait vi- siblement à sa perception, l' animal devenait inquiet, mais il ne savait pas où il d
n le tenait devant l'oreille gauche, immédiatement l'attention de l' animal . En troisième NOUVELLE Iconographie DE la SALPE
aphie DE la SALPETRILRE. LE SIÈGE DES PROCESSUS CONSCIENTS CHEZ LES ANIMAUX (Trhiriew) NOUVELLLE Iconographie DE la Salpê
(Tchiriew) LE SIÈGE DES PROCESSUS PSYCHIQUES CONSCIENTS CHEZ LES ANIMAUX 19 lieu le sens olfactif de la narine droite et
t aussi presque tota- lement perdus, toujours chez le même chien. L' animal s'apercevait, des irritations de douleur du côt
actile du côté droit re- vinrent dans une mesure considérable, et l' animal cessa d'exécuter des mouvements de manège en ce
e la chienne faisait vers la fin du deuxième mois l'impression d'un animal complètement sain et éveillé ; elle fit des pet
n devant plusieurs collègues de noire Université : les cerveaux des animaux furent conservés dans le laboratoire physiologi
uent à obtenir par un lapin et un chien pro- duisant l'impression d' animaux , auxquels on aurait enlevé les centres d'é- cor
ue, de l'ouïe, en partie de l'odorat et les centres dans lesquels l' animal reçoit le sentiment de son propre corps (sentim
, la volonté, la mémoire, le sentiment conscient corporel etc. de l' animal ; étaient interrompues également les voies vers
comme étant le seul organe de la conscience chez l'homme et chez l' animal Les crura et taeniae fornicis seraient les voie
citerai l'expérience suivante, imparfaite il est vrai en ceci que l' animal survécut à l'opération seulement 5 jours. Les r
r les petits ca- nifs et on releva l'instrument un peu en haut. L' animal resta couché après l'opération environ 48 heures
a sonde d'estomac par la bouche un peu de lait. Lorsqu'on mettait l' animal sur les pieds, il LE SIÈGE DES PROCESSUS CONSCI
- k lk < ? LE SIÈGE DES PROCESSUS PSYCHIQUES CONSCIENTS CHEZ LES ANIMAUX 21 restait debout et faisait, quand on le pouss
avait réussi, dans ce cas, à léser le corpus du fornix lui-même. L' animal se trouvait en état de perte complète de la con
onscience, de laquelle il ne revenait plus jusqu'à sa mort. Comme l' animal n'a vécu que 3 jours, on peut supposer que le cor
lus élevées, lesquelles sont naturellement peu développées chez les animaux inférieurs, qui n'ont pas de centres d'associatio
, consistent en ce qui suit : ' Toutes les fonctions psychiques des animaux et de l'homme se laissent diviser en consciente
es centres de LE SIÈGE DES PROCESSUS PSYCHIQUES CONSCIENTS CHEZ LES ANIMAUX 23 l l'écorce des hémisphères et avec le conari
ent. Mais lorsque j'ai détruit le fornix même (fig. b, x z) chez un animal qui survécut 5 jours à l'opération, on pouvait
oyons qu'il existe encore des mouvements asso- ciés, comme chez les animaux ; d'où il suit que l'homme doit aussi avoir des
. Voilà ce qu'il dit à ce sujet (1) : « Par les expériences sur les animaux , où l'on a dénudé les muscles sur de grandes su
auquel il adresse l'oeuvre, il écrit : 'C Tu verras là une quantité d' animaux d'une signification énigmatique. Tu y verras au
étation de ces faits est facile. L'ablation de la thyroïde chez les animaux , comme son agénésie ou sa lésion chez l'homme, le
atiques, mais la constance des lésions rénales. Si déjà, chez les animaux , l'expérimentation ne permet pas de conclu- sio
u Congrès de Limoges, Crocq s'est efforcé de montrer que si, chez l' animal , ou chez l'enfant nouveau-né, les centres réflexe
et cutanés. »'Plus on envisage des êtres haut placés dans l'échelle animale , plus leurs centres réflexes semblent haut situ
symptômes causés par l'a- blation de l'hypophyse pratiquée chez les animaux . Mais si nous essayons de tirer de tout ce maté
les fèces, chaque période était dé- limitée par le moyen du charbon animal qu'on donnait au malade, leplus exactement poss
fil une sorte de délire avec hal- lucinations visuelles (personnes, animaux ) et auditives. Dans l'observation de Bel-Air il
atière vivante humaine. Elle subit, au même, titre que les matières animales ou végétales, les assauts des élé- ments et, ap
aladi- vement ou mortellement sur l'ensemble de l'organisme, homme, animal ou plante et tout sera dit. Un état aura succéd
pas une. Ainsi, pour ne prendre des exem- ples que dans les espèces animales , nous connaissons les tissus musculai- res, gla
lles que lui assignent les excitations inaccoutumées. L'organisme animal réagit en présence d'une toxine microbienne et
de soi-même les raisonnements que l'on applique aux plantes et aux animaux . Les effets pathologiques produits sur l'organi
dans la matière. La peur, ce sentiment si répandu dans les espèces animales ,n'est qu'une forme de l'énergie extérieure qui
r dont la matière vivante n'est ainsi que le reflet. Aux pôles, les animaux sont généralement blancs comme la neige qui les
le cependant que lorsqu'on qualifie l'homme de mouton de Panurge, d' animal grégaire, lorsqu'on remarque l'imitation dans t
ique, le cubitus étant un os fréquemment rudimentaire dans la série animale ; dans la théorie nucléaire de Français et d'Eg
montré quelle influence exerce sur l'accroissement du squelette des animaux l'ablation de cette glande. Henderson a observé
à la suite de la castration et d'ailleurs Paton a noté que chez les animaux l'ablation du thymus avant son involution a pou
et Fichera ont observé l'arrêt du développement somatique chez les animaux à qui on a pratiqué l'ablation de l'hypophyse.
'augmen- tation du poids, soit du développement du squelette de ces animaux ; les résul- tats furent surtout évidents chez
ec le suc hypophysaire étaient de beaucoup plus courts que ceux des animaux té- moins, mais leurs épiphyses étaient au cont
ob- serve un développement plus énergique du squelette que chez les animaux té- moins. Quelque chose d'analogue se vérifie
méd., 1847. 1 CmoRoNI. - Sur l'hypertrophie de l'hypophyse chez les animaux castrés el' éthy>-Oï. dés. Acad. de méd. de
l'ciiinifv. Le siège des processus psvchi- ques conscients chez les animaux (3 pl.), 1. Thibierge. Une femme homard, main
30 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
mie et l'astrologie, l'hypnotisme a eu comme précurseur le magnétisme animal . Il esl toujours plus difficile de déraciner une
llant suffit pour déterminer la production du phénomène du magnétisme animal . Pour leur prouver la réalité de sa théorie, il
lé du sommeil nerveux, considéré dans ses rapports avec le magnétisme animal et relatant de nombreux succès dsns ses applicati
être irréductible, chaque être est une agglomération d'individualités animales distinctes se prêtant concours dans la lutte pour
tour. Je répondis avec netteté : — La foule et l'assemblée sont deux animaux tout à fait différents. — Totalement, mais c'est
chute et de décoloration consécutives ou combinées, signalés chez les animaux comme chez l'homme par divers auteurs (Yong et To
te, l'enfant désarçonné fut précipité et piétiné plusieurs fois par l' animal qui faisait des efforts pour ne pas s'abattre et
ervait partout, autour de lui, dans la plante, dans la pierre, dans l' animal . Et lorsque la famille voulut faire de lui un prê
vant Liébeault, on connaissait l'hypnotisme sous le nom de magnétisme animal . On croyait qu'il était un fluide qui, émané de l
de la généralité essentielle des phénomènes de la vie, de l'homme à l' animal et de l'animal à la plante ». Il est ainsi « l'
é essentielle des phénomènes de la vie, de l'homme à l'animal et de l' animal à la plante ». Il est ainsi « l'inventeur et le
pour preuve que le fait bien connu de l'engraissement plus rapide des animaux élevés au repos, dans l'obscurité. On sait égalem
animaux élevés au repos, dans l'obscurité. On sait également que les animaux hibernants, grace à une sorte de -léthargie prolo
isme respiratoire est accru par la lumière, alors même qu'il s'agit d' animaux hibernants, comme ceux sur lesquels ont expérimen
e déterminée ou à l'appréciation du temps par les sauvages et par les animaux . Ilexiste d'ailleurs des relations entre la pério
pent (Birmanie, états Shans), parce qu'elle ressemble au crâne de cet animal avec ses deux crochets courbes. La noix à serpe
auvages portent comme fétiche une image grossière d'un dieu humain ou animal .Ce fétiche est efficace contre toutes sortes de m
étiches portent, sur l'endroit du corps qu'ils sont censés guérir, un animal sacré. Voici une amulette des Giliaks contre les
roie à une crise nerveuse des plus violentes. M. Mabboux lit ouvrir l' animal et constata la présence de lait dans l'estomac. D
rétée./page> page n="209"> Des Émotions gaies chez quelques animaux . Par M. Albert Coutadd, docteur ca droit. Le
dée à l'homme et si, par extraordinaire, il n'y aurait pas, parmi les animaux supérieurs, de ceux dont on dit qu'ils sont des c
imité la plus... intime. Ce théoricien du Rire ne croit pas que les animaux jouissent de cette faculté de manifester leur gai
iaphragme. « Or, dit-il, la cause pourquoi le seul homme entre tous animaux soit ¦ chatouillé est la minceté de sa peau et qu
i Il est vrai qu'un peu plus loin, il semble se contredire : « nul animal ne rit sinon par aventure d'uu ris bâtard, que no
Mais celte façon de rire, par aventure, n'est pas particulière à l' animal à quatre pattes ! Ou a beau l'appeler le «: rire-
Cela fait au moins une espèce de rire à la portée de l'homme et de l' animal î Si celui-ci n'a pas toute la gamme du rire, il
ropre à t l'homme, qui le fait évidemment différer de tous les autres animaux , c soit logé en la partie qui est particulière à
anatomistc, n'accepterait à la lettre cette définition du visage de l' animal . Si le rire ne convenait qu'à des êtres ayant u
la forme, soit pour la couleur de leur face. Il est exact que peu d' animaux arrivent à copier le visage humain. Par contre, —
sissants, — combien de visages d'hommes se rapprochent du faciès d'un animal , chien, cheval, bœuf, mouton, porc, singe, comme
amille d'hommes des types oubliés, des ancêtres méconnus de la lignée animale ! C'est la revanche indiscrète du parent pauvre!
docteur Laurent Joubert se croit encore autorisé à dénier le rire aux animaux , même â ceux de laséric où l'homme prend ses util
, écrivait dans son Traite De Anima, et Vita (1. Ill) : c de tous les animaux , l'homme eut le seul qui rit, parce « que seul il
Vives sont des équivalents non du rire mais du sourire. Beaucoup ß d' animaux ont ious les organes nécessaires pour rire : ils
chercher la cause plus loin, ? dans des différences plus intimes. Les animaux n'ont pas plus le rire « intérieur que ie rire ex
ai fait mon texte. Depuis Aristote jusqu'aux plus modernes amis des animaux , en passant par les plus savants qui no voient qu
nt écrit sur les caractères différentiels entre l'instinct dévolu â l' animal et la raison apanage de l'homme. J'nnalyse rapide
énipotentiaire. (2) Dos Seelenlebe-x der Tiiiere (l'une vivante des animaux ), V. Bulletin -le I» société protectrice des anim
'une vivante des animaux), V. Bulletin -le I» société protectrice des animaux , mai 1S99, p. 44./page> page n="213"> a
ge> page n="213"> aucun point de coniact entre l'homme et l' animal . Leur sentiment conduit quelques ouirancicrs à cr
ve, a la conclusion que nous cherchons dans la thèse du rire chez les animaux supérieurs ? « Si chacun se donnait la peine de
, comme la psychologie à priori, démontre, ce semble, que la vie de l' animal n'est pas constituée par une série de mouvements
onnes et pleine possession de lui-même: il existe, entre l'homme et l' animal , ce trait commun, un certain a état de conscience
me dans certaines conditions de milieu, de culture, de climat. Pour l' animal devenu l'auxiliaire, le commensal de rhomme,qui,
ieure, une conscience moins tâtonnante et moins confuse. En fait, l' animal n'a pas seulement de la gaieté à sa manière par d
de ses lézards malade d'une ophtalmie passée à l'élat chronique? L' animal placé au contact de l'homme, dans sa sphère d'inf
storique, mais transformé, ennobli! Sous cette réserve prudente que l' animal ne possède encore qu'à l'état rudi-mentaire ie se
iration ou lo ridicule (c'est quelquefois heureux pour !e maître de l' animal ! J on doit admettre qu'il participe â noire gaie
il y a intérêt;. !>?s Jiudier comme une des formes du langage de l' animal , enfin quo nos compagnons à quatre pattes ne sont
dans quel sens cette proposition trop exclusive doitètre acceptée. L' animal , domesli- (lj Revue Scientifique, 1895; IX, p.
de mieux, à la conclusion à la fois utilitaire et sentimentale, que l' animal , être complexe, capable d'actes spontanés et réfl
t plus que le ' moi supérieur de l'homme dans la familiarité de qui l' animal vit est doué d'une influence plus énergique, plus
ien qu'en psychologie et en pédagogie. » L'Htpnotisme ou Magnétisme animal devant la Science, par M. le Dr Jean Foustanos. (
sur : Psychologie comparée : L'hypnotisme et la fascination chez les animaux . (Cette conférence sera accompagnée de projection
ge : les procès de sorcellerie et les procédures intentées contre les animaux . La plupart des Conférences seront accompagnées
e sur : Psychologie comparée : L'hypnotisme et la fascination chez Us animaux . (Cette conférence sera accompagnée de projection
e : les procès de sorcellerie ci fe.s procédures intentées contre les animaux . La plupart de* Conférences seront accompagnée:
ge : les procès de sorcellerie et les procédures intentées contre les animaux . La plupart des Conférences seront accompagnées
le chat de la maison. Une nuit, il remarque quelqu'inquiétude chez l' animal ; il crut apercevoir de la bave lui coulant de la
nter des symptômes rabiques résultant de l'infection par la bave de l' animal enragé, car le chat, d'après les symptômes présen
e autre femme plus gravement atteinte et bouleversée par la mort d'un animal semblable, fut guérie lorsqu'on l'eut décidée à r
e du 10 avril 1900. — Présidence de M. Jules Voisin. Les Procès aux animaux . Par m. le Dr Henry Lemesle, avocat à la Cour d
t ils sont revêtus. Je veux parler des procédures dirigées contre des animaux pendant le Moyen-Age et même pendant les temps mo
isante pour établir l'existence indiscutable de procédures contre les animaux . Malgré le ridicule des pareils actes, pouvons-no
des progrès accomplis ? Si l'aberration qui consistait à punir des animaux a disparu, n'est-il pas décevant de songer qu'au
mmeil de l'), par E. Périer, p. 116. Emotions gaies chez quelques animaux par Albert Coutaud, page 207. Enseignement de l
ypnotisme, par Albert Charpentier, p. 204. Hypnotisme ou magnétisme animal de-vent la Science, par Jean Foustanos, p. 216.
des sujets réfractaires, par Albert Charpentier, p. 236. Procès aux animaux (Les), par Henry Lemesle, p. 364. Pseudo-rabies
31 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
sont conservés, et nemontre pas de mauvais instincts à l'égard des animaux , excepté des chats qu'il ne peut supporter. Cepen
epuis les expériences bien connues de Wagner, qui remarqua chez les animaux une augmentation de croissance des os avec sclé
ète et l'influence remarquable que la castration de l'homme et de l' animal peut exercer sur l'état physique et psychique, vo
es altérations de cette glande sans acromégalie. L'expérience sur l' animal vivant, qui souvent nous a fait découvrir tant de
é- quences de l'extirpation de la glande eomme telle. Du reste, les animaux meurent presque tous peu de temps après l'opéra
nce glandulaire soit par la bouche, soit sous la peau dans le corps animal ont donné peu de résultats. V. Cyon observa une a
ation clinique nous ont appris cela. Si on détruit ou enlève chez l' animal le pancréas ou particulièrement les îlots de Lang
es recherches sur le faiscean longitudinal chez l'homme et chez les animaux . Le faisceau longitudinal inférieur représente
lit pas une fonction de suppléance ce qui arrive sou- vent chez les animaux (par exemple les poissons), chez lesquels le cris
e ; en dépit de son excessive rareté, on la rencontre dans la série animale , notamment chez le chien. Chez les solipèdes, «
servation de M. Cadiot : . Observation résumée de neuro-fibromatose animale (communiquée par M. le Pr CADIOT, de l'Ecole vé
sympôme n'a été relevé pendant le cours de la maladie chez les deux animaux . Anatomiquement, ces lésions sont à rapprocher
Recklinghausen et des cas plus ou moins similaires observés chez l' animal , il semble intéressant, du moins, de rapprocher
ritable expérience de laboratoire et les faits de neuro-fibromatose animale sur lesquels l'attention se trouve ainsi attiré
, de Toulouse. A l'avenir, les cas très rares de neuro- fibromatose animale seront sans, doute observés et étudiés dans leurs
re de fibres altérées que décèle la méthode de Marchi chez tous les animaux , même ceux qui sont en parfaite santé. S'agit-i
; pourtant l'augmentation notable du nombre de ces fibres chez les animaux âgés ou moins bien portants laisserait croire qu'
ent dans les ganglions rachidiens et sympathiques de l'homme et des animaux , même jeunes (fibres terminées par des boules enc
la résection expérimentale, lorsqu'on laisse survivre longtemps les animaux opérés. Dans un article publié en 1903 (1), en
dans ce cadre trop réduit. , Nous avons noté tout d'abord, chez les animaux sacrifiés au ajour après l'opération, des lésio
re hypothèse. Mais en prolongeant de quelques mois la survie de nos animaux , nous avons vu que les lésions, si manifestes a
ique expérimentale. Nous avons choisi pour ces expériences le chat, animal qui supporte admira- blement les opérations lon
RIEURES 299 en temps utile. Dans tous les cas, nous avons opéré des animaux adultes, con- trairement à la manière de certai
t à la manière de certains auteurs qui ont expérimenté sur déjeunes animaux , et nous pensons que là doit être cherchée peut-ê
hloralose dans les aliments, à la dose de 2 centigrammes par kilo d' animal . Il nous a fallu, le plus souvent, compléter l'an
ganglion spinal. Les sutures ont été faites sur trois plans, et nos animaux (à l'exception de deux chiens), ont guéri sans
suppuration, laquelle n'a pas dépassé les plans superficiels. Ces animaux ont été conservés un temps plus ou moins long, se
our laisser se pro- duire les premières dégénérescences. Les autres animaux ont été conservés un temps beaucoup plus long e
i- 300 ROUX ET HEITZ bles. Pour éviter tout risque de confusion d' animal , et aussi tout risque de fuite. nous avons dû l
, 2S2" (chat III), 338" (chat V)et 382" jour (chat IV). Deux de ces animaux ont présenté très passagèrement de légères parési
dans cette voie de recherches avaient décrit chez certains de leurs animaux des empâtements sous-dermiques, des alopécies o
es troubles tropbiques s'étaient produits très rapidement, chez des animaux conservés bien moins longtemps que les nôtres r
jours. A l'autopsie, nous avons été surpris de rencontrer, chez les animaux opé- rés depuis longtemps, un canal rachidien r
osseuse pratiquée 8 à 12 mois aupara- vant n'existait plus chez les animaux I, III et IV. Chez les chats II et V, il subsis
ique du ganglion, le trouva atrophié. Dans un cas seulement sur 6 animaux opérés, Bonne (3) examina au bout de 106 jours,
252 jours (soit une moyenne de 8 mois). Nous décrivions chez ces 3 animaux des dégénérescences à type wal- lérien, dans le
be et de la cuisse présentaient des lésions analogues à celles de l' animal précédent. Les nerfs symétriques .étaient sains
or- maux, de même que les nerfs symétriques. Chez ces deux derniers animaux les troncs mixtes n'ont pas été examinés. ' S
ompte que ces examens ont été pratiqués dans 16 cas. Quatre de, ces animaux ayant subi simultanément la section des racines a
rares petites boules au milieu des fibres saines. Chez l'un de ces animaux Koster notait l'existence de gaines vides. Du c
de Koster de celles fournies par l'autop- sie de nos trois premiers animaux , nous voyons que l'accord est facile à établir
lles n'existaient pas sur les nerfs du côté opposé. Chez le dernier animal enfin, il n'existait aucune dégénéres- cence ni
vés par l'auteur alle- mand et les nôtres.Koster n'a conservé aucun animal aussi longtemps que nous. Si nous faisons abstr
amens ont été pratiqués au bout de 77 et de 97 jours. Chez ces deux animaux , la section avait porté sur les 2 premières rac
sa thèse de 1897, dissocia le cordon sympathique chez un seul des 6 animaux qui constituaient son matériel de re- cherches
ui dégénéraient après la section des racines postérieu- res. Chez 5 animaux (4 chats adultes, et un jeune de 4 mois), J.-Ch.
e de racines postérieures la région thoracique, du côté gauche. Les animaux furent sacrifiés au bout de 18 à 24 jours, et dan
antes dans le sympathique ? L'examen des splanchniques chez le même animal les a montrés normaux, avec un nombre de fibres
e dégénérée (1). Les ganglions semilunaires, examinés chez les deux animaux I et V présen- taient des deux côtés un aspect
ez le chat la deuxième racine cer- vicale postérieure, sacrifiant l' animal au bout de 10, 30 et 60 jours, concluait que lo
e de toute altération. Mêmes constatations de Bidder, 1865, sur des animaux sacrifiés au 5° mois. En 1883, Vegas (3), opéra
u bout de 6 à 8 semaines. En 1890, Singer et Münzer, chez de jeunes animaux , arrivèrent à des con- clusions identiques aprè
vé les cellules ganglionnaires intactes dans 5 cas. Chez le sixième animal , il existait de légères lésions d'origine in- f
presque sur tous les points les faits avancés par Bumm. Chez quatre animaux , Kleist a étudié l'histologie fine des cellules
observé par Bumm s'expliquait, selon Kleist, par le jeune âge de l' animal opéré par lui. La même année, Koster (6) repren
lus prononcées au pôle médullaire. Il existait d'ailleurs, chez les animaux de Koster, d'importantes différences individuel
un degré identique de lésion dans les différents ganglions du même animal . Au sujet des lésions des fibres nerveuses, Kus
s des autres auteurs s'expliquent par la faible durée de survie des animaux dans toutes les expériences antérieures. Dans u
des cellules, et des ganglions spinaux, lorsqu'on laissait vivre les animaux assez longtemps. Les méthodes de Nissl et de Ca
été tout à fait différents, et cependant la durée de survie de nos animaux a été plus longue que dans les séries que nous
s de Küster, sans que le ganglion ait été approché. Chez les autres animaux , nous avons sectionné les racines dans leur tra
e de Nissl pour l'étude des cellules ganglion- naires chez quelques animaux sacrifiés au 9e mois. Pour ce qui est des corpus-
es ganglions du côté opéré et de ceux du côté sain, a été, chez les animaux ayant t survécu plus de 7 mois, la présence de
SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES 313 Chez deux autres animaux (VII et IX), la survie avait été de 77 et de 97
ul Retzius parvint à les retrouver chez l'embryon du chat. Chez l' animal adulte, les expérimentateurs s'essayèrent à les r
ilement. Comme contre-épreuve, le bout ganglionnaire chez les mêmes animaux contenait un nombre comparable de fibres dégénéré
me que cette névrite peut apparaître avant le 8e mois, car chez des animaux sacrifiés par Koster au 90s 318 ROUX ET HEITZ
nstatées au 250e jour. A cette même époque où apparaissait chez nos animaux le processus de névrite périphérique, le bout g
nous ne trouvons plus que des gaînes vides. Rappelons que chez les animaux autopsiés par Koster au 287° et au 330° jour, il
es cellules ganglionnaires, nous n'avons retrouvé chez aucun de nos animaux les lésions décrites chez les tabétiques par de n
ait à aucun degré le caractère seg- mentaire. Ajoutons que chez nos animaux , il existait au 11" mois des phénomè- nes de ré
des différences importantes et nombreuses. C'est ainsi que chez les animaux opérés par nous, il n'existait pas de lésions g
dégénérescences fies nerfs périphériques (à type wallé- rien chez l' animal ) différaient au point de vue histologique des név
PÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES 325 Dans le milieu de l'été, l' animal est pris de dysenterie, l'appétit cependant con
remière intention sans suppuration. Aucune paralysie consécutive. L' animal se porte très bien jusqu'au 21 avril 1905, où il
union sans suppuration. Pas de troubles consécutifs de la marche. L' animal reste en bonne santé jusqu'au 15 mars 1905, où il
érieure au voisinage du ganglion nous avons pu vérifier que sur cet animal comme chez l'animal IV, il existait des altératio
du ganglion nous avons pu vérifier que sur cet animal comme chez l' animal IV, il existait des altérations ' de dégénéresc
lades sur les coupes du ganglion droit, moins facilement que chez l' animal IV, vu l'orientation trans- versale des coupes.
essous du niveau d'origine dès racines sectionnées, a provoqué chez l' animal une paraplégie du train postérieur. . Il ne m
sacrées. Réunion sans suppuration, pas de paralysie consécutive. L' animal reste en bonne santé jusqu'au 6 août 1905, où il
rrespondent aux 2 premières racines sacrées postérieures gauches. L' animal meurt le 27 décembre de méningite suppurée, après
tion, parésie des membres postérieurs très légère et transitoire. L' animal reste en bonne santé jusqu'au 30 août, où il es
. Réunion par première intention. Pas de paralysie consécutive. L' animal est sacrifié le 24 mai. Pas de troubles trophique
n nombre de filets nerveux cutanés de la croupe et de la queue de l' animal . Examens HISTOLOGIQUES. - L' extrémité médullai
nes dorsales postérieures gauches, entre la moelle et le ganglion. L' animal se rétablit sans paralysie. Autopsie le 8 aoû
marqua- ble de la croissance des os : chez les eunuques et chez les animaux castrés les os des extrémités deviennent plus l
on (ainsi s'expliquerait l'allongement des os chez les individus et animaux castrés) ; finalement l'excès de la fonction de
du lapin adulte entre la région dorsale et la région lombaire. Les animaux ont été sacrifiés de 1 à 45 jours après l'opéra
escence de la moelle chez le chat. Dans la première, il s'agit d'un animal âgé d'une semaine auquel on a sectionné presque c
e chat, Cajal a pratiqué une hémisection de la moelle lombaire et l' animal a été sacrifié 20 jours après l'opération. Au niv
ions qui se divisent et pénètrent dans la cicatrice. Le troisième animal a subi une hémisection de la moelle et sacrifié
oiques. Section de la moelle chez un petit chien âgé d'un mois. - L' animal a été sacrifié 7 jours après l'opération. Les d
rès quelques efforts. Les paupières restent constamment closes et l' animal n'évite pas les obstacles ; lorsqu'il rencontre
able déformation de dispositions normales rencontrées chez certains animaux . Chez quelques mammifères, les ruminants, les c
ntaire et le radius est parfaitement développé. Enfin chez d'autres animaux tels que le cachalot, l'hippopotame, le cubitus e
otame, le cubitus et le radius sont soudés entre eux. Mais tous les animaux dont la conformation des membres est comparable
32 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
ffection musculaire est, dans celles-ci, bornée aux muscles de la vie animale , en particulier aux muscles des membres; le tronc
s. En somme, Messieurs, les lésions du système musculaire de la vie animale , se traduisant par une impuissance motrice et une
des muscles fléchisseurs paraît pré-dominante (Moreau, de Tours). Les animaux eux-mêmes sont susceptibles de présenter ces phén
ien de par-ticulier : il n'y a ni diarrhée, ni constipation. Chez les animaux , l'appétit se perd ; ils restent plusieurs jours
active appliquée à la surface d'une plaie au niveau de la cuisse de l' animal n'était pas absorbée et se trouvait précipitée pa
ussitôt après l'injec-tion, après plusieurs contractions violentes, l' animal s'affaissait tout à coup. La membrane interdigita
ériences, nous avons injecté 2 gout-tes d'essence de chanvre à chaque animal , quelquefois 3 ou 4 ; voici les résultats que nou
vons obtenus. Aussitôt après l'injection, contractions violentes de l' animal , arrêt brusque de la circulation capillaire; aprè
auraient besoin d'être va-riées et surtout d'être reproduites sur des animaux d'un ordre plus élevé, tels que des lapins, des c
a fait, avec les deux alcaloïdes, de nom-breuses expériences sur les animaux , dont il rapporte quelques-unes avec tracés sphyg
: « Dans l'état physiologique, dans l'espèce hu-maine, comme chez les animaux , le cerveau est le siège d'une stéa-tose diffuse
sés, mais ces deux derniers viscères, à un degré moindre que chez les animaux ; enfin que cette stéatose viscérale, après avoir
haud, jusqu'à l'abaisser à 15 ou 18 centimètres de mercure, on voit l' animal bondir, être pris de convulsions et succomber rap
ontenu du vaisseau le plus volumineux ; — 5° Que le sang artériel des animaux à température constante contient plus d'O. en été
charge électrique de la torpille et la secousse d'un muscle de la vie animale , tant au point de vue du retard de ces phénomènes
et de leur étude au point de vue commercial. « Les produits du règne animal , dit-il, sont souvent falsifiés ; je n'ai qu'à ci
(A suivre.) PATHOLOGIE COMPARÉE Des maladies de la rate chez les animaux . — Les affections de la rate sont fréquentes chez
hez les animaux. — Les affections de la rate sont fréquentes chez les animaux . Cet organe, dont le rôle physiologique est assez
hysiologique de la rate, ou du moins sur ce qui en est connu chez les animaux , et sur la pathologie gé-nérale de cet organe, pe
ng veineux. Dans les cas pathologiques comme dans le sang de rate des animaux ruminants, il en est très-souvent ainsi. C'est mê
estomac du cheval absorbe très-peu, et lorsqu'on ouvre l'abdomen d'un animal vivant, la rate comme l'estomac, comme le foie, e
plus ferme que celle du bœuf et du mouton ; aussi, chez ces derniers animaux , cet organe résiste-t-il moins longtemps à la déc
ncontrent. — En lisant, soit les ouvrages spéciaux de la médecine des animaux , soit les recueils ou écrits périodiques con-sacr
t chez le cheval, le porc, le bœuf, le mouton, etc. ; chez ce dernier animal , le charbon prend plus spécialement le nom de san
e-même et considérablement décolorée. Le mouton, plus souvent que les animaux des espèces chevaline et bovine, est atteint de l
tteint de la cachexie aqueuse. Les fièvres intermittentes, chez les animaux , niées par les uns, ad-mise ; par les autres, exi
ien : elles peuvent affecter le même type que chez l'homme. Quand les animaux succombent aux suites de l'empoi-sonnement du san
erminerons par l'étude des tumeurs signalées dans cet organe chez les animaux . I. Traumatisme. — Les altérations traumatiques
vec une abondance relative à leur arrivée au dépôt. Chez ces jeunes animaux , souvent la mort était presque subite. On a obser
lus ou moins exacte de quel-ques-uns des phénomènes observés chez les animaux dans les cas de néphrotomie ou d'oblitération des
unck). Quoi qu'il en soit, tant que s'effectue cette élimination, les animaux ne paraissent guère souffrir, et c'est seulement
névitables, à un mo-ment donné, dans les cas d'expérimentation chez l' animal , tandis que chez l'hystérique, le balancement ent
soit, de même que lorsqu'il s'est agi de l'expérimen-tation chez les animaux , ici encore, le contraste est frappant entre Yisc
s'observe chez l'homme ou Yanurie expérimentalement produite chez les animaux d'une part, et Yischurie des hystériques de l'aut
prie, en tout cas, de ne prendre que pour ce qu'elle vaut. Que les animaux succombent constamment à la suite de la né-phroto
P. BlJDIN. PATHOLOGIE COMPARÉE Des maladies de la rate chez les animaux . (Suite et pin.) — III. Inflammation. — On ne tro
III. Inflammation. — On ne trouve à l'égard de la splénite, chez les animaux , aucun renseignement certain. Professée pendant q
s de la rate de nombreux renseignements ; cependant la pathologie des animaux possède quelques faits bien observés. La rate p
ituelle-ment dans la phthisie pulmonaire de l'espèce bovine. Chez ces animaux , l'évolution du tubercule présente deux types cla
être rattachée à la tuberculose, car le tubercule, dans cette espèce animale , est encore à démontrer. Dans la morve, dans le
ns une région limitée, et en électrisant le membre antérieur cbez des animaux , nous avons constaté des déviations de l'aiguille
nous amène à examiner les di-verses théories émises sur l'électricité animale , dont nous ne pouvons dans ce moment que vous esq
espèce de tissu organique, aussi bien dans les végétaux que dans les animaux . Plus récemment même, Malteucci, avec un fil de p
substances organiques coagulables. On oublie trop facilement que des animaux possèdent des appareils spéciaux qui produisent d
Étudier plus complètement que cela n'avait encore été fait la chaleur animale , rechercher ses sources multiples, les causes de
rte de bien connaître tout ce qui se rapporte à lui. II. La chaleur animale . — 1° La chaleur est une condilion vitale nécessa
érales ne suffisent pas à expliquer tous les phénomènes de la chaleur animale . « Nous aurons d'abord à constater, pour chaque
la chaleur animale. « Nous aurons d'abord à constater, pour chaque animal , les limites dans lesquelles se maintient sa temp
intenue. » Le professeur établit la distinction classique entre les animaux à sang chaud et ceux à sang froid; il préfère les
id; il préfère les expressions : ani-maux à température constante, et animaux à température variable. Chez ces derniers, la tem
ant : « Comme toutes les questions scientifiques, celle de la chaleur animale a traversé deux phases ; 1° la phase des hypothès
de CCf2 est fort différente dans les sangs artériel et veineux chez l' animal vivant, et que c'est le sang veineux qui renferme
le professeur ajoute : « Je n'admets pas comme prouvé que la chaleur animale s'engendre par un procédé de combustion directe,
et les atteignant dans les centres nerveux eux-mêmes. VIL Lorsqu'un animal est sous l'influence de l'opium ou de la morphine
n, le péricarde est libre d'adhérence inférieurement, et en mettant l' animal dans des positions diverses, on devrait faire var
ées dans cette leçon « étabiissenf'claire-ment que la température des animaux à sang chaud n'est pas abso-lument fixe comme on
ssement. — Néanmoins, dans les conditions ordinaires ou normales, les animaux à sang chaud maintiennent la fixité relative de l
ns, par le système nerveux , l'agent de la conservation de la chaleur animale . » XIV. Les équilibres calorifiques. — Quelles
ulation, et utilisée de cette manière pour l'équi-libre de la chaleur animale . » XV. Rôle du Sang dans le phénomène calorifiq
u système musculaire, on com-prend qu'une grande partie de la chaleur animale doit provenir de cette source. — L'expérience dém
s dans des relations réciproques, harmonisés, afin de réaliser pour l' animal des condi-tions déterminées, indispensables à l'a
mation de la rate; Ruptures de la rate; Maladies de la rate chez, les animaux . Après avoir indiqué dans une courte préface le
les notions principales concernant les mala-dies de la rate chez les animaux . Nous n'insistons pas sur ce cha-pitre qui, après
lémentaire. Elle a un bon caractère, est inoffensive, elle aime les animaux ; elle reconnaît ses parents, elle rit quand elle
i guérissent, par Bourneville, 297. r Rate (Maladie de la) chez les animaux , revue par F. Raymond, 152, 199, 404. Raymond (
33 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
ait en vain aux corps savants d’examiner les phénomènes du magnétisme animal vient d’être renouvelé par M. P. Hedde devant l’A
bli à Naumbourg. Il y exerce la médecine par le procédé du magnétisme animal . Ses cures heureuses lui ont valu le titre du doc
l’on appelle vulgairement la matière. Le cerveau est le matras où l' animal transporte ce que, suivant la force de l’appareil
mo du baut ma!. Comme d’un p*tlt rbumatUte; *fa «• nomm» magnélisse animal , . Ou tout court magnèiissc. Pour donner co r
sse. — La défense faite en 1824, en Prusse, d’appliquer le magnétisme animal comme moyen de traitement médical, a été révoquée
nd édifice. Electricité, galvanisme, magnétisme minéral, magnétisme animal , calorique, lumière, toutes ces manifestations in
our nous, laissant de côté tout ce qui i. n. 5 n’est pas magnétisme animal , nous étudions cette force avec persévérance, aba
eune Cottin, chercher dans l'étude de ses propriétés si le magnétisme animal y entrait pour quelque chose, le dire, justifier
re opinion. Non, la jeune Cottin n'exerce point une action magnétique animale sur les corps quelle approche ou quelle touche. E
vos préventions ; je vous le répète, il ne s’agit point de magnétisme animal ! Mais qu’entends-je? L’Olympe est en rumeur, la
r dans les recherches auxquelles je me livre tou. chant le magnétisme animal , mais néanmoins ne dois- je pas dire (¡«’il est
e de leurs os ; il constate ce fait immense ; c’est que les os de ces animaux contiennent beaucoup de phosphate de chaux, et qu
Société , le mot de mesmérisme et ses dérivées, au lieu do magnétisme animal et dérivés. Séance du 26 février. — La nécessit
tière. S’appuyant sur cette base, M. Viancin ajoute que le magnétisme animal , dont on retrouve la trace dans les âges les plus
u appliquée mal à propos. « Que l’homme qui a étudié l’organisation animale pratique le magnétisme, et il obtiendra des résul
e qu'il n’avait pas faim, mais parce qu’il a senti ce que sentent les animaux qu’on magnétise : la puissance d’une volonté qui
et des nègres, rappellent beaucoup ceux qu’on attribue au magnétisme animal . Il s est passé hier, à Alger, à une deurdeba q
livrent, absolument comme on explique ' en Europe, par le magnétisme animal , les choses merveilleuses que font certains somna
elez l’ascendant d’un homme « sur ses semblables, la fascination de l’ animal car-« nassier sur sa proie, le trouble, l’accable
turel d’éiendre son existence individuelle. L’homme, ainsi que tout animal , se plaît à jouir des moyens par lesquels il se s
té les hommes à s’occuper des moyens d’ennoblir les races de certains animaux en perfectionnant leur génération et leur premièr
antement naturel et sans accident; 3" Que la mère, en observant les animaux doués des organes semblables, s'instruise sur la
es principes qui forment le système des influences ou du magnétisme animal , combien il est important, pour l’harmonie physiq
Vous me faites frémir ¡ Qui êtes-vous donc? LE DOCTEUR. Stupide animal , juge-le à nos œuvres. LE MALADE. Où fuir?
quemment observés par des médecins qui ne croient point au magnétisme animal , on au moins ne s’en occupent pas. Ces faits, bie
e dompter, dresser les chevaux, possède le secret dé charmer le noble animal qui a rendu son grand-père si célèbre. Nous avo
eures le rend si docile, si obéissant, sans le battre pourtant, que l’ animal à son commandement se couche sous lui, feignant l
nous a semblé) et de légères manipulations sur le système nerveux. L’ animal alors, à un signal donné, lèche la ligure do l’op
ensuite Church se couche sur le dos, se place un pied de devant de l' animal sur le creux de l’estomac et un de derrière entre
onner la clef de bien des actions occultes que l’homme exerce sur des animaux . L’éducation de ces derniers n’est peut-être qu’u
rminé, et le secret des Martin, des Van-Amburgh et autres dompteurs d’ animaux féroces, n'est probablement autre que celui qui s
au moins illogique. BIBLIOGRAPHIE. NÉvr.L'nciE,' ou le Magnétisme animal devenant une science physico-malhéinatique, par M
mot, si cette aiguille pouvait ou non obéir à l’actipn du magnétisme animal . «Celte question leur parait résolue affirmativ
a en son nom seul la lettre suivante sur le même sujet, l’aimantation animale : « Dans la lettre que j'ai adressée en commun
e, s’ils veulent, en un mot; condescendre aux pratiques du magnétisme animal . « Si l’on place à quelque dislance d’une aigui
st la surface intérieure delà plume (le côté qui touche le corps de l’ animal ) qui se tournera vers votre doigt, vers vos yeux,
à ses adorateurs le pouvoir d’envoyer des maladies aux hommes et aux animaux , de nuire aux fruits de la terre, de lire dans l'
à opérer le déplacement excentrique de ses sens. Dans le magnétisme animal , c’esl encore un principe extérieur, quoique plus
on et la respiration de son âme. El il n’a été créé plus faible que l’ animal qui se suffît à peu près à lui-même, que pour que
on de son être. BIBLIOGRAPHIE. .\i>vni:nciE, on If Magni'lismc animal devenant une science physico-inalhi:>iinli|ue,
de vingt pieds, la môme grenouille immobile; il siffla, et aussitôt l' animal se tourna vers lui, nagea avec rapidité, et vint
i a sauvé la vie. La prend-il sur sa mnin en lui grattant le dos, l' animal se met à coasser; entre-t-il quelque étranger ou
agnétiseurs exercent sur les êtres des degrés supérieurs de l’échelle animale , connue chiens , chats, oiseaux, poissons, ainsi
et toutefois sans l’atteindre, on remarquera presque toujours dans l' animal un frisson léger de la peau et des oreilles, une
du dix-huitième siècle, cette contagion se perdit dans le magnétisme animal . Les doctrines de Mesmer durent aussi une parti
é des fluides impondérables, et particulièrement du fluide magnétique animal , ainsi que de ses effets relativement aux maladie
fluides analogues, et peut-être identiques avec le fluide magnétique animal . Les travaux de l’honorable et savant docteur B
tres fluides connus, pour que ceux qui admettent un fluide magnétique animal soient disposés à croire qu’il est régi par les m
parent. Mon but étant de démontrer la polarité du fluide magnétique animal , j’ai dû indiquer celle des autres fluides, recon
tres fluides impondérables et leur analogie avea le fluide magnétique animal . Pour la première démonstration, je prierai MM.
as la volonté d’agir. En admettant la polarité du fluide magnétique animal , c’est admettre un point de ressemblance de plus
de électrique, et même sa production dans le corps humain et dans los animaux , et même que ce fluide était, dans les corps anim
déjà que l’on a reconnu la polarité dans la torpille et dans d’autres animaux électriques. En étudiant attentivement ce qui a é
n’avons, pour démontrer complètement la polarité du fluide magnétique animal dans l’ensemble ou les diverses parties du corps
entité ou seulement l’analogie des fluides électriques et [magnétique animal . Or, si l’identité n’est pas reconnue, l’analogie
de ces lois est la polarité; elle est appliquée au fluide magnétique animal comme aux autres fluides. 11 existe dans le corps
éclara que lorsqu’on la consultait sur les maladies des hommes et des animaux ou sur la manière de recouvrer les objets volés,
nt, «et avec elles ma santé... Le sang me gêna... c’est n alors qu’un animal de médecin me lit des saignées réi-« térées. Il a
ment important de lui faire exercer cette même sensibilité envers les animaux qui l’environnent, On lui fera observer qu’ils so
u’un pas de l’insensibilité ou de la barbarie qu’on exerce envers les animaux et celle qu’on se permet contre les hommes. En ef
ités qui n’avaient que des citernes et des mares, auxquelles môme les animaux refusent souvent de boire. On cria au miracle.
leur destruction ; que les plantes sont les enfants de l’air; que les animaux dérivent tous des plantes; que toutes les matière
résenter toutes celles que la vie utilise. La force nerveuse dans les animaux supérieurs, des forces plus obtuses encore dans l
dans les animaux supérieurs, des forces plus obtuses encore dans les animaux inférieurs et dans les plantes se dérobent à tout
Lapoute. VARIÉTÉS. Le magnétisme à Saint-Quentin.— Le magnétisme animal a de chauds partisans et il a aussi des ennemis a
la Faculté lc iiudccme ; l vol. Chez Lahbé. Paris, 18i(i. Chaque animal a son ennemi, chaque savant son antagoniste : la
omber du haut delà chaire catholique un bill d’adhésion au magnétisme animal . «M. Lacordaire, à l’exemple de beaucoup de gra
34 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
x ? 2° On s'appuie encore sur ce fait que certains tissus, chez les animaux supérieurs môme, sont totalement privés de nerfs
ectuer là d'une façon très énergique (1). 1. « La vie organique des animaux tout entière, ou en d'autres termes, tout ce qui
maux tout entière, ou en d'autres termes, tout ce qui se passe chez l' animal , sans l'intervention d'une sensation ou d'un acte
ent avec une égale perfection dans les classes les plus inférieures d' animaux , chez lesquels on ne découvre pas de systèmes ner
on pour-rait dire que le système nerveux vit et se développe chez un animal , à la ma-nière d'un parasite vivant aux dépens d'
rition est donc une propriété générale des éléments anatomiques, tant animaux que végétaux. La sécrétion elle-même est une prop
miques, ainsi que l'avaient déjà vu de Blainville, A. Comte. Chez les animaux inférieurs, et dans le cas de greffe animale, il
ille, A. Comte. Chez les animaux inférieurs, et dans le cas de greffe animale , il est évident que la nutrition des tissus est i
, perte des ongles, etc., ne se montrent, en réalité, que parce que l' animal est devenu incapable de soustraire à l'action des
iatique. Vous savez que les lésions de l'œil qni se montrent chez les animaux à la suite de cette opération, après avoir été au
ques ; la sécrétion des poils et des ongles se produisit comme chez l' animal sain (I). Chez des mammifères ou chez des greno
rs semaines ou même pendant plusieurs mois (2). En résumé, chez les animaux qui ont subi la section transver-sale complète ou
e de l'anesthésie et de la paralysie motrice, par suite des-quelles l' animal reste constamment souillé par le contact des urin
es peuvent éclater soit spontanément — du moins en apparence — chez l' animal ma-lade, soit à la suite de causes d'excitation r
e, soit à la suite de causes d'excitation relativement légères chez l' animal sain. Mais ces lésions dénutrition d'origine neur
plus rarement à invoquer les résultats de l'expérimen-tation sur les animaux . La raison en est surtout, sans aucun doute, dans
u de la moelle, pro-duisent, assez difficilement, chez la plupart des animaux , une myélite ou une névrite quelque peu durables
e peut s'élever à un tel degré qu'au moindre attouchement de l'œil, l' animal est pris de convulsions générales. Il se produit
e supposer qu'il en est de même du moins à un certain degré, chez les animaux (3). 1. G. Meissner. — Ueber die nach der Dursc
ques liés à l'inflammation traumatique de la moelle épinière chez les animaux , mais il sera plus opportun d'y revenir à propos
qui sur-viennent quelquefois dans la nutrition de l'œil, chez divers animaux , à la suite de évidente encore. Ceprincipe sera
é comparables à celles des lésions expérimentales instituées chez les animaux . A. J'établirai, dès l'abord, parmi ces lésions
ien. fCommunication orale.) Elles ne se développent pas chez tous les animaux opérés de cette façon, et il est au moins fort vr
e de la section ou de l'excision des nerfs moteurs et mixtes chez les animaux . — Faits pathologiques : Diminution ou abolition
ultats obtenus par les physiologistes dans l'expérimentation chez les animaux . Quelle est la raison de ce désaccord? Dans que
que je m'essayais dansunedirec-tion que ma sensibilité à l'égard des animaux devait me faire abandonner bientôt, j'ai pu const
eu plus loin 'Voir la note, p. 42.) expériences instituées chez les animaux , il importe de bien pré-ciser les conditions dans
ues physiologistes à la per-sistance de cette môme propriété chez les animaux , après la section des nerfs, la distance est gran
récemment signalées par des observateurs très compétents, chez divers animaux , à la suite de la section et de l'excision des ne
mployé dans les expériences relatives aux sec-tions de nerfs chez les animaux , tandis qu'en clinique, suivant la méthode de M.
auteurs semblent le croire, aux sections des nerfs pratiquées chez l' animal . En réalité, Messieurs, il n'en est rien, et, si
de ces recher-ches où de nombreuses expériences, instituées chez les animaux , sont mises en parallèle avec les faits pathologi
n autre côté, les résultats obtenus par MM. Erb et Ziemssen, chez les animaux , à la suite de l'écrasement ou de la ligature des
iss à propos des effets de l'exci-sion du nerf scinl'que : « Chez les animaux » « auxquels celte opération avait été pratiquée
uard, qu'à la suite des blessures de ce genre, il se produit chez les animaux une paralysie du mouvement dans le membre inférie
e dans des circonstances analogues. Et chez lui, de même que chez les animaux , on peut voir survenir encore, dans les membres d
onformité avec les résultats expérimentaux qui montrent que, chez les animaux , le développement d'ulcérations gangreneuses au s
, conformes àcellesdeM. Cl. Bernard, on ne voit point chez les jeunes animaux , après la sec-tion du grand sympathique au cou, s
ard, les choses semblent ne pas diffé-rer de ce qu'elle sont chez les animaux , du moins, on a vu 1. Schiff. — Physiologie de
soumis à l'influence de causes puissantes de débilitation. Ainsi, un animal vigoureux a depuis longtemps subi, d'un côté, la
parties qui répondent à la distribution périphérique du nerf coupé. L' animal tombe ma-lade ou on le prive de nourriture: alors
trentrapidement en suppuration (1). Il est permis de supposer que les animaux chez lesquels M. Schiff a vu des lésions trophiqu
cessairement déterminer des effets analogues à ceux observés chez les animaux et l'on peut se demander si quelques-uns de nos t
core après la ligature des artères qui se rendent à la glande, sur un animal tué d'hémorragie ou même sur une tête détachée du
connaître de plus, que la plupart des expériences insti-tuées sur les animaux par M. Samuel, dans le but de mettre en lumière l
plus ou moins exacte de quelques-uns des phénomènes observés chez les animaux dans les cas de néphrotomie et d'oblitération des
Monck). Quoiqu'il en soit, tant que s'effectue cette élimination, les animaux ne paraissent guère souffrir, et c'est seulement
l en soit, de même lorsqu'il s'est agi de l'expéri-mentation chez les animaux , ici encore, le contraste est frap-pant entre Y i
'observe chez l'homme ou Yanurie expérimentale-ment produite chez les animaux d'une part, et Yischurie des 1. Etch.... a offe
prie, en tout cas, de ne prendre que pour ce qu'elle vaut. Que les animaux succombent constamment à la suite de la néphrotom
bservation clinique et celles fournies par l'expérimentation chez les animaux , veut que les lésions cérébrales en foyer qui aff
n sen-sations ne serait pas dans le cerveau proprement dit, puisqu'un animal auquel le cerveau, y compris la couche optique et
ogrès médical, 1873, p. 244), et dans les expériences faites chez les animaux par M. Veyssièrc. (Recherches cliniques el expéri
e générale ; 1° des hallucinations de la vne ; la ma- lade voit des animaux effrayants, des squelettes, des spectres; 2° une
e ces mouvements im-prévus, elles racontent qu'elles ont cru voir des animaux , sur-tout des rats et des chats, d'autres fois de
açantes qui a été cause de l'ef- froi. On apprend, de plus, que les animaux imaginaires, géné-ralement de couleur noire ou gr
nesthésie siège à droite,c'est toujours à droite de la malade que les animaux imaginaires apparaissent; inver-sement, c'est tou
le dire dans le service, la malade est gauchère. —Habituellement les animaux passent en série et courent rapidement, venant de
nt en rouge vif sur le mur blanc de la salle où elle est couchée. Ces animaux apparaissent toujours sur le côté gauche de la ma
ont plus fréquentes; elles consistent d'ailleurs surtout en visions d' animaux , chats,rats,vipères, corbeaux, etc..La zone hysté
sou-vent mélancolique, troublé par des hallucinations. Elle voit des animaux , des rats, des chats noirs, des vipères, des cor-
e de la section ou de l'excision des nerfs moteurs et mixtes chez les animaux . — Faits pathologiques : Diminution ou abolition
35 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ité ner- veuse et cérébrale. Mais X... n'a jamais eu de visions d' animaux ; il n'est pas atteint d'alcoolisme chronique. I
et des organes génitaux. Le malade a des hallucinations visuelles ( animaux , figures gri- marantes), tremblement alcoolique
AnCtcnct)efdccHniqnea) : t5a)pctr)c''c. L'histoire du magnétisme animal et do l'hypnotisme a subi des fortunes diverses
doute, repoussé et ridiculisé par les Corps savants, le magnétisme animal finit par s'imposer sous le nom d'hypnotisme, e
iété consiste en ce que, sous 1 Consulter l'ouvrage : Le magnétisme animal , par Binet et Fere. (Alcan éditeur, 1887), auqu
106 . REVUE CRITIQUE. dans le monde médical à l'égard du magnétisme animal et qui a permis à l'hypnotisme, si longtemps re
ciences se rattachent les nombreuses expé- riences, tentées sur les animaux par M. Loye et grâce auxquelles il a pu étudier
hez ce dernier, il est nécessaire de frapper 134 BIBLIOGRAPHIE. l' animal en un point du bulbe qui est le noeud vital. La r
après la décapitation et le tronc après la déca- pitation chez les animaux ; 2o La mort par la décapitation (phénomènes da
manente, niais n'était pas atteinte d'une façon appré- ciable. Les animaux , même immédiatement après le réveil chloroformi
e un trouble appréciable, ni' dans les perceptions visuelles de l' animal , ni dans ses mouvements oculaires, ou dans la s
ouvements oculaires, ou dans la sensibilité du globe de l'ceil. Cet animal fut gardé pendant plusieurs mois, et soumis à u
issée au fond de ces sillons, il fut décidé de faire sur un autre animal , une ablation complète du pli courbe, dans tout
répandues sur le plan- cher n'étaient prises que du côté gauche, l' animal tournant autour dans cette direction. Chez un
courbes intacts; il en résulta une cécité totale et persistante. L' animal ne pouvait trouver ses aliments qu'en se servan
décise. En vérité, on peut presque dire que les expériences sur les animaux sont entière- ment inutiles pour élucider la th
uel lui- même, les résultats obtenus par les observations sur les animaux peuvent à peine être considérées comme rigoureu
vation n'a jamais été présent à des expé- riences sur le magnétisme animal . Le nombre des magnétiseurs de profession est g
tive des circonvolutions homologues chez l'homme et chez différents animaux , est arrivé à ce résultat que les circonvolutio
êmes fonctions physio- logiques ont la même structure dans la série animale . Pour REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 271 chacu
olisation des cellules. Les va- cuoles se forment dans les cellules animales et végétales dans des conditions physiologiques
que très rarement des cellules vacuolisées ; suivant lui, si ces animaux ne présentaient aucun phénomène morbide apparent,
s lésions du tabes. Or, la conservation du sens musculaire chez les animaux après ablation totale du cervelet prouve que ce
ieux. Excitabilité des différents faisceaux de la moelle chez les animaux nouveau-nés. L'excitabilité des différentes parti
jamais vu se faire la régénération des fibres coupées, bien que les animaux eussent survécu assez long- temps. Il a constat
lle privée de ses hémis- phères, un morceau de papier qui empêche l' animal de res- pirer, on voit la grenouille enlever le
-pathologiste tel que Seppilli. Ici aussi l'expérimentation sur les animaux et la clinique de l'homme marchent du même pas.
cessairement cette loi : chaque région déterminée du cerveau d'un animal quelconque possède des fonctions identiques che
seconds : il suffit donc de com- parer les effets positifs chez les animaux de la même espèce, opérés dans les mêmes condit
complexus des fonctions du cerveau chez les différentes espèces d' animaux n'est pas réparti de la même manière entre l'éc
udition par lésion corticale, sont plus ou moins accusés, selon les animaux mis en expérience. Pour décider si, dans un cas
Nier que les faits généraux acquis par l'expérimentation sur les animaux supérieurs, sur les singes en parti- culier, ne
n des fonctions cérébrales diffère chez l'homme de celle des autres animaux supérieurs : elles servent à éclairer le côté s
ent à éclairer le côté subjectif des phénomènes observés chez les animaux , et donnent un plus solide fonde- ment à leur i
et Magendie ont été induits en erreur pour avoir étendu à tous les animaux supérieurs les résul- tats d'expériences pratiq
ées par Luciani pour arriver, au moyen de l'expérimentation sur les animaux , à déterminer la nature et le siège des fonctio
ticaux avec autant de précision que cela pourrait être fait sur les animaux par la méthode des ' Charcot et Pitres, Etudes
terprétation des phénomènes sub- jectifs qui accompagnent, chez les animaux , les lésions de l'écorce cérébrale. En outre, l
ents physiologi- ques d'une fonction. L'observation exclusive des animaux en expérience est incapable de révêler de pa- r
CERVEAU 361 1 du clinicien. Il est difficile de reconnaître chez l' animal la cécité absolue, plus difficile de distinguer
de cécité chromatique ont échappé jusqu'ici à l'observa- tion des animaux . Certains troubles de la vision que Goltz avait
avec raison, à la cécité psychique, état dans lequel, on le sait, l' animal continue à voir sans pou- voir reconnaître ce q
prendre. » De même pour ces trou- bles de l'ouïe, observés chez les animaux , que Munk a décrits sous le nom de surdité psyc
ant l'entourage d'une façon dégoûtante. Le malade voit rarement des animaux qui l'effrayent et qui lui inspirent des injure
des muscles à l'état de repos et dans une diminution de la chaleur animale , ainsi que dans un ralentissement des sécrétion
ière série, la décharge portait sur les centres nerveux mis à nu; l' animal était tué par la décharge et on trouvait les lé
agissait sur les centres à travers la boite crânienne intacte. Les animaux n'é- taient pas tués par la décharge et n'étaie
certain temps ; elle explique les attaques épileptiformes chez les animaux in- toxiqués par la nicotine. L'intoxication pa
à la douleur sont diminués; comme ces réflexes persistent chez les animaux décapités, on doit en conclure que leur diminut
la mort, au bout d'un temps qui varie de 4 jours à 4 se- maines. L' animal devient triste, apathique, il est pris de trem-
épileptiformes. La mort survient parfois à la première crise ; si l' animal survit quelque temps, il meurt dans une cachexi
e se désagrège, puis le noyau disparait. La transfusion du sang des animaux cachée - tisés ainsi à des animaux sains ne pro
rait. La transfusion du sang des animaux cachée - tisés ainsi à des animaux sains ne produit aucun de ces symp- tômes. L'ex
t aucun de ces symp- tômes. L'examen de la glande pituitaire de ces animaux a montré la prolifératien de ses éléments et mê
fimoff tendent à légi- mer l'hypothèse d'après laquelle la mort des animaux vernis est due à une action périphérique contin
ach). ' VI. NÉVROSÉS. Etudes comparées sur l'hypnotisme chez .les animaux . ' Le professeur Danilewsky (de Karkofi) a entr
difications de la sen- sibilité et du mouvement volontaire chez les animaux hypno- tisés. Il soutient que l'hypnotisme, che
ient que l'hypnotisme, chez l'homme, est plus complexe que chez les animaux et que cette différence est en rapport avec le
développement cérébral. Le premier, il a com- paré-1'hypnotisme des animaux auxquels il avait enlevé diffé- rentes^ parties
mammifères. Il est arrivé à cette conclusion qu'il existe chez les animaux un état spécial, com- parable, sinon analogue à
'dée ; ces excitations doivent être beaucoup plus fortes pour que l' animal hypnotisé y réponde. Sous l'influence du courant
même par la parole, ne diffère pas de celle qu'on obtient chez les animaux , - lorsque, par des moyens coercitifs, on veut
rofesseur Mierjiewsky, nous a montré des préparations de cerveaux d' animaux morts d'inanition. Le premier, il a fait conait
atoff, concernant les altérations des cel- lules nerveuses chez les animaux privés de leur glande thy- roïde. Les lésions r
witch l'exactitude de sa description des lésions nerveuses chez les animaux privés de la glande thyroïde, description ré- s
xcitabilité des diflérenls faisceaux de la moelle épinière chez les animaux nouveau-nés Le Médecin, n° 22, 1887. Hémiatro
Médecin. n° 48, 1860. Etudes comparées de l'hypnotisme, chez les animaux . Recueil physiologique de Danilewsky, Karlioli,
i s'émousse et finit par être remplacé par des impulsions égoïstes, animales et ordurières, puis par les facultés intellectu
isme qui triomphe. Et il ne servira de rien d'ajouter que, pour les animaux supérieurs, la complexité de leur milieu est un
36 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
est un autre moi qui est ici en action; car l'homme est une pluralité animale , et partant une pluralité psychique. Et c'est l
nstar de son père, d'une même répugnance invincible pour tout aliment animal . Dix-huit mois passés sous les drapeaux ne purent
s de tendances sans actes. De plus, H suffit d'étudier la psychologie animale , surtout celle des insectes, pour voir des actes
es œufs d'une manière complexe sans jamais l'avoir vu faire. Chez les animaux domestiques (abeilles, chiens, etc.), certains ac
iste sommairement dans l'aptitude qu'acquièrent les muscles de la vie animale à entrer en contraction sous l'influence d'une si
utes les apparences de la santé. Il est infiniment probable que ces animaux n'auraient pas résisté s'ils n'avaient été placés
est recouvert joue un grand rôle dans la résistance que présente cet animal au froid et au jeûne prolongé. Après ces jeûnes
e paraître. Comme nous l'avons montré ailleurs, dans toute la série animale , il n'est pas d'organe plus approprié à la mesure
sans trop de paradoxe, que l'illusion suprême de l'homme, en tant qu' animal sociable, est de n'avoir que des idées suggérées
nouveau dans la série indéfinie des existences, en recommençant par l' animal le plus infime, le ver de terre. Pour vous do
ologiques. La vie psychique des enfants. Les fonctions psychiques des animaux . La psychologie des peuples et la psychologie a
ion ou un mouve- -ment, celui qui réve voit une autre personne (ou un animal ) dans la position ou le mouvement en question. Vo
n ce cas-là, on associe le membre perçu à une autre personne (ou à un animal ) qui n'est représentée dans la conscience de celu
le membre en question comme appartenant à une autre personne (ou à un animal ). Lorsque la fatigue est faible, le sommeil super
on ? Les partisans du sommeil post prandium invoquent l'exemple des animaux qui s'endorment après avoir mangé. Les adversaire
s. (Voir mon article sur Louise Lateau, reproduit dans mon Magnétisme animal , p. 118. Paris, Félix Alcan). D'ailleurs, puisq
ace. On a obtenu ainsi des images sur la rétine de lapins et d'autres animaux . Or voici .qui, dans un ordre d'idées voisin, est
ihilée; la sensibilité consciente est abolie, mais non la sensibilité animale . Ainsi l'individu qui est plongé dans cette sorte
eil de ces circonvolutions. Dans la narcose, la sensibilité d'ordre animal est abolie à son tour ; la motilité réflexe dispa
ord sur le bulbe, et agissant primitivement sur les centres de la vie animale , sur les réflexes communs, par la suspension de.
ment les corps organisés. Le système nerveux en particulier, chez les animaux , n'est qu'une délicate machine d'où des courants
bien ! il se rencontre chez l'homme et il existe normalement chez les animaux des états de sommeil relatif où la conscience est
e rat et l'homme. Les pseudopodes sont d'autant plus développés que l' animal est plus intelligent. Grâce à la nouvelle méthode
ée, inco*ctét'd,eau douce appelé leptodera hyalind, a vu que chez cet animal les cellules nerveuses présentèrent des mouvement
de la formation d'un potentiel trop élevé, qui secoue tout l'appareil animal . — Ce petit garçon de 10 ans urinait au lit génér
les guérir. PSYCHOLOGIE COMPARÉE La léthargie chez l'homme et les animaux . Bien des faits, obscurs dans l'étude psycholog
qne de l'homme, s'éclairent admirablement par la comparaison avec les animaux . La léthargie, notamment, n'étonne plus, si, au l
la considérer chez l'homme seul, on l'étudié dans l'ensemble du règne animal . L'état léthargique, en effet, qu'on peut provoqu
sés aux phénomènes vitaux. Il en existe pourtant d'analogues chez les animaux p). {D ?' F. Regsault. Rôle de l'hypnotisme dan
de l'Equateur. Cela ne survient pas spontanément. Pour y parvenir, l' animal se soumettrait à un jeûne volontaire. La respirat
se refroidit, la sensibilité disparaît au point qu'on peut agiter les animaux , les disséquer même sans les tirer de leur torpeu
les animaux, les disséquer même sans les tirer de leur torpeur. Les animaux sont pris de léthargie plus souvent que les homme
de tout sommeil cérébral, par lequel il est voilé d'ordinaire chez l' animal normal . Le sommeil n'est donc pas fonction du
ien auquel il avait enlevé les a hémisphères cérébraux. Comme chez un animal intact, on observait sur ce chien * des périodes
i mémoire, ni intelligence, u — (E. RrrrcnEn. Anatomic et physiologie animales , 2· édition, Paris. 1896). le faire que par l
le. On fait le procès aux fous, aux inconscients, aux cadavres, aux animaux ; ceux ci n'échappent pas au supplice ; la ïîible
priétaire du bœuf sera indemne. » En application de cette maxime, des animaux furent pendus et brûlés après les formalités d'un
optées. PSYCHOLOGIE COMPARÉE Sur les affections mentales chez les animaux Par M. Cadiot. Les troubles des facultés inte
Par M. Cadiot. Les troubles des facultés intellectuelles chez les animaux forment l'un des chapitres les moins étudiés et l
des mêmes facultés et sujets aux mêmes passions que les humains, les animaux sont évidemment susceptibles aussi d'éprouver des
rsions, ces désordres sont beaucoup plus rares chez les premiers. Les animaux , en effet, sont soustraits à l'action des causes
urs. Dans un travail intitulé : La folie communiquée de l'homme aux animaux , le Dr Féré insiste sur ce point que si les malad
ce point que si les maladies mentales sont moins fréquentes chez les animaux , « c'est que la civilisation les pénètre moins et
z eux par de mauvaises lois('). » Nul doute cependant que, chez les animaux , les facultés intellectuelles ne puissent subir d
riété de « mélancolie ? que Pon a signalée maintes fois déjà chez les animaux (*) : Un terre-neuve, âgé de 8 ans, appartenait
Gynécologie, -1886, ?. III, p. 455. (4) Pibrquin : De la folie des animaux , Paris, 1838, 1. 1. p. 478. se couchait, tant
lques mois, il mourut dans le marasme. L'action de la peur chez les animaux ne produit pas seulement des troubles passagers d
disparaître ni* s'atténuer. Pierquin, dans son livre sur la Folie oes animaux , au chapitre consacré à la démence accidentelle,
raire à la mort; mais le coup fatal avait frappé l'intelligence, et l' animal traîna dans l'imbécillité absolue le reste d'une
aurait dit qu' il craignait que le plus léger bruit ramenât l'énorme animal ; il reculait une patte et regardait autour de lui
ta suite d'un long trajet en chemin de fer. Oublié dans un fourgon, l' animal avait voyagé soixante-dix-neuf heures. Au moment
t soumis révélèrent les particularités suivantes : Si l'on approche l' animal enfermé dans sa niche, il se blottit au fond de c
gressive ; il s'accroupit ensuite sur le sol et prend l'attitude de l' animal qui a peur. Il n'a ni la physionomie, ni la vivac
a peur. Il n'a ni la physionomie, ni la vivacité, ni les allures d'un animal en pleine possession de son intelligence ; les or
autres régions. Pas de troubles de la miction; l'urine est normale. L' animal est observé et promené tous les jours ; les mômes
rappeler, ont donné lieu à un procès intenté par le propriétaire de l' animal à la Compagnie qui avait effectué le transport. C
transaction. 11 y a quelques semaines, j'ai eu des nouvelles de cet animal . Il présente toujours des signes d'imbécillité :
attaques d'épilepsie. par Tissié, 129. Affections mentales chez les animaux (sur les), par Cadiot, 363. Alcoolisme en Suiss
eptomanie, présentation de malade, 347. Léthargie chez l'homme et les animaux (la), 281. Léthargie (un cas de), 287. Léthargi
37 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
os en injectant des parcelles prises sur la plaie d'origine chez un animal tétanique. - Le tétanos est donc produit par un
DU SEIGLE ERGOTÉ ET DE SES PRINCIPES constitutifs SUR la MOELLE DES animaux ; par A. GRUENDFELD. (Arch. f. Psych., XXI, 2.)
ue de Kobert-l'acide sphacélinique de ICohert- Une espèce de chaque animal fut soumise à une alimentation nor- male afin d
motrice (conservation des autres fonctions et des facultés chez les animaux mutilés). P. Keraval. II. Contribution .1 LA
/&itl.) - Excitabilité DE divers districts, du cerveau chez LES animaux NOUVEAU-NÉS ; par W. 13ECnTEREw. (Ibid.) La p
tabilité électrique des diverses zones du cerveau selon les espèces animales , M. Bechterew divise les mammifères supérieurs
state l'excitabilité de presqne toutes les mêmes parties que chez l' animal adulte. Ces animaux sont nés avec des organes d
é de presqne toutes les mêmes parties que chez l'animal adulte. Ces animaux sont nés avec des organes des sens et du mouvem
d'une logique presque indiscu- table. Ce sont d'abord les sociétés animales , dans lesquelles on trouve des habitudes social
des effets des vapeurs méphi- tiques sur le corps de l'homme et des animaux . Bour- don', en 1843, a écrit le premier ouvrag
ainsi. P. K. IX. ETUDE expérimentale SUR la polarisation DES TISSUS animaux par L. Danion. (Centralbl. f. Nervenheilk., 188
riences pleines d'intérêt, il n'existe ni polari- sation des tissus animaux , ni courants secondaires qui seraient produits
respondantes ; cette atrophie s'accentue surtout chez les jeunes animaux et dans les cas de désarticulation de la hanche.
par ceux qui pensent que les diffé- rents appareils de l'organisme animal , pour être com- plexes chez les animaux dits su
nts appareils de l'organisme animal, pour être com- plexes chez les animaux dits supérieurs, sont loin d'être compliqués et
etrouver chez l'homme les observations rele- , vées chez les autres animaux . Je dois dire cependant qu'une fois mon travail
tte façon se poursuivre en même temps que l'ex- périmentation sur l' animal . Ce n'est pas sans une grande appréhension, san
rsistance de la cavité foetale, ainsi que cela a lieu chez certains animaux , on aura alors une véritable rétine étalée sur
externe. Les circonvolutions existent réellement chez beaucoup d' animaux , mais chez l'homme il n'y a bien certainement pas
l'ablation des hémisphères cérébraux dans les différentes classes d' animaux . Une bonne interprétation de ces phénomènes com
ertébrés, il y a peu de choses, sinon rien, qui les distinguent des animaux normaux. Ils conservent leur attitude naturelle
ations, sur un gardon par exemple, non seulement on peut, lorsque l' animal est tranquille daus le bassin où on l'a remis,
la digestion, la nutrition se font normalement et on peut garder l' animal indéfiniment. Flourens pensait que l'ablation d
t que l'ablation des hémisphères annihile tous les sens et rend les animaux aveugles, sourds, dénués d'odorat, de goût, de
r et en particulier par Longet et Vul- pian.. Longet trouva que les animaux paraissaient voir assez pour suivre les mouveme
l trouva qu'on ne pouvait arriver une conclusion définitive sur les animaux de cet ordre, et considérant les affirmations d
ir non pas si la simple impression à la lumière existe, mais si les animaux voient, c'est-à-dire sont capables de diriger l
ères cérébraux, la vision n'était pas entièrement abolie et que les animaux pouvaient éviler les obstacles placés sur leur
ace des hémisphères, la cécité n'était pas complète ni absolue. Ces animaux , dans leur attitude et dans leurs réactions aux
ait pas d'autre phé- nomène que la contraction de la pupille. - Les animaux excités à marcher se précipitaient contre tous
sens de l'audition, Schroedel' a vérifié chez quelques- uns de ces animaux les observations de Longet, que les sons écla-
rats. Quand on enlève les hémisphères à un lapin ou à un cobaye, l' animal , d'abord très abattu, commence, après un temps
reprend son attitude première. Si on pince son pied ou sa queue, l' animal bondit en avant suivant son mode caractéristiqu
oût nauséeux. Lorsqu'on place de l'ammoniaque sous ses narines, l' animal retire bruspuemcnt la tète en arrière ou frotte s
laintif. - Toute spontanéité semble abolie; mais habituellement ces animaux , la période de calme passée, font quelques course
s meurent rapidement après l'opération. Cependant les centres des animaux inférieurs n'ont pas le temps de se remettre du c
ême, il est à souhaiter qu'on découvre une méthode par laquelle les animaux puissent être conservés plus longtemps en vie q
52 grammes au lieu de 360 grammes, poids normal du cerveau chez un animal de même taille. Ce chien a une figure sans expr
ronger un os. Il ne faisait pas attention aux étrangers, hommes ou animaux ; il ne regimbait pas lorsqu'on plaçait une forte
semblable- ment opéré étaient ainsi résumés par Goltz : « Les deux animaux étaient essentiellement des machines réflexes e
buvant. Tous deux étaient entièrement indifférents à l'homme et aux animaux . Tous deux avaient leurs sens obtus. Tous deux av
but, qui survivent à l'ablation des hémisphères cérébraux chez les animaux infé- rieurs. Il parait donc que, malgré l'ex
ait donc que, malgré l'extirpation des hémisphères céré- braux, les animaux proportionellement à leur infériorité dans l'éc
x, les animaux proportionellement à leur infériorité dans l'échelle animale , en plus des fonctions organiques qu'ils conser-
d'ordre exclusivement cérébral, et conscients se trouvent chez ces animaux avec une absence complète des hémisphères céréb
onction des hémisphères cérébraux, fasse défaut entièrementchez les animaux sans cerveau; car nous les voyons, sans aucun c
se mouvoir spontanément et ne pas se comporter autrement que les animaux normaux. Nous pouvons cependant dans beaucoup de
ements soi-disant spontanés aux impressions périphériques; chez les animaux normaux, quoi- que leur soi-disante spontanéité
science chez d'autres que nous-mêmes et encore moins dans les cas d' animaux inférieurs à l'homme. Mais nous sommes autorisé
lement produisait les symptômes d'une profonde démence. Quoique les animaux étaient capables de percevoir, de voir, d'enten
mes, et en général ils avaient perdu toute faculté de raisonner. Un animal , dil-il, chez lequel les lobes antérieurs avaie
roduire les réactions caraclériques des centres corticaux. Quand un animal est suffisamment endormi pour abolir tous les m
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. le mouvement exact qui se produira chez les animaux de la même espèce. C'est un fait indiscutable q
usion ci-dessus; mais comme ses expériences ont été faites chez des animaux non endormis, il est probable que l'irrégularit
des effets de l'excitation était due aux mouvements spontanés de l' animal . Il peut se présenter quelques variations dues
qu'on peut, démontrer dans le cerveau comme dans les autres tissus animaux , comme une insurmontable objection à la théorie
ilité de certains trousseaux DE FIBRES NERVEUSES dans la moelle DES animaux NOUVEAU-NÉS; par W. BECHTEREW. (Neurol. Central
Toutes les parties du système nerveux central excitables chez les animaux adultes sont inexcitables chez les animaux nouvea
tral excitables chez les animaux adultes sont inexcitables chez les animaux nouveau-nés, tant qu'elles n'ont pas encore acq
e de la -, par Francotte, 46; action du seigle ergoté sur la- des animaux , par Gl'nenfeld, 7-Í; trajet profond des fibres
- auatolnie de la par Darksjhewitsch, 93. Polarisation dos tissus animaux , par Danion, 263. Poltl : \CÉl'lIALI(i et pse
38 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
ttaquable l'existence de l’agent qu’on appelle communément magnétisme animal . Première expérience. Me prenant moi-même pou
, la même chose. Cela ne suffit pas encore, suivons. ACTION SUR DES ANIMAUX . Lo chat,le chien, le singe, le cheval même, qu
nguliers phénomènes: l'imagination, £ érotisme de la peau, la chaleur animale ai l’imitation. Dans ce cas aucune de ces causes
ligentes ; elles s’allient pour marcher en commun. AinsiJe magnétisme animal ne s’enfuit pas du corps où vous l’avez déposé
e la vie, capable de rectifier toutes les aberrations dans l’œconomie animal . La réalité de l’existance et l’utilité de ce m
ialement les phénomènes, qu'aujourd'hui on confond avec le magnétisme animal et don les abus multipliés de mes imitateurs ont
lieu récemment à l’hospice Saint-Jacques, à l’occasion du magnétisme animal . Je m’empresse de répondre à votre invitation; ma
tissant la science la plus honorable. -Créez une chaire de magnétisme animal à la Faculté de Médecine pour qu’on y enseigne co
aimant, l’électricilé, le phénomène du flux et reflux, sur l’œconomie animale et plus encore ma triste conviction de 1 imperfec
in le principe de cette action, considéré comme un agent sur le corps animal , peut devenir un mojen de guérir et de préseiver
s annoncées depuis vingt-trois ans sous la dénomination de magnétisme animal , dénomination pleinement justifiée par la nature
usement tircbouchonnées. Un autre croquis portant celte légende, — un animal de l'avenir, — re- présente une locomotive viva
e de pattes est accompagnée d’une paire d’ailes, et sur la queue de l’ animal , — on voit le Mercure antique qui s’avoue vaincu
ême une quantité suffisante pour agir sur dos hommes faits cl sur des animaux . La nature n’a point accordé de privilège : c'e
mmé Mesmer, vient de faire uno très-grande découverte : lo magnétisme animal . 11 en a instruit un certain nombre d’élèves parm
son qu’après qu’elles sont propagées et communiquées à un organe de l’ animal disposé à les recevoir. L’air, dans ce cas, n’est
squelles l’univers est gouverné sont les mêmes qui règlent l’économie animale . La vie du monde n’est qu’une, et celle de l’homm
fluide ainsi défini, si elle est considérée comme appliquée au corps animal , elle y devient le principe du mouvement et des s
sensations. La nature et la qualité de toutes les humeurs du corps animal dépendant uniquement de l'action des solides, des
la cause de la circulai ion des humeurs et conséquemment do la vie animale . Le défaut de l’une de ces deux actions ou do cet
doctrine que l’on peut concevoir les effets surprenants du magnétisme animal . (1) Son» ce titre il y aura toujour», dans not
e les apercevait pas. A l'homme qui a celte croyance, le magnétisme animal , loin de lui paraître un phénomène incompréhensib
uetonne n° 10, a pour objet: 1° de rechercher la nature du magnétisme animal ; 2° ses rapports avec les autres sciences; 3° de
xqui magnétisent « ou qui se font magnétiser? Il s'agit du magnétisme animal , « dont les effets, plus ou moins surprenants, ex
e magné-« tisé sont de bonne foi; 2° qu’ils regardent le magnétisme « animal comme un remède naturel et utile; 5“ qu’ils ne se
s cet organe qu’est duc la puissance qu’il, exerce sur l’homme et les animaux ? L’abbé Faria ne magnétisait que du regard , et
taient à ses expériences. Tous ceux qui sont parvenus à dompter des animaux féroces doivent leur puissance à l’énergie de leu
féroces doivent leur puissance à l’énergie de leur regard. Plusieurs animaux dits fascinateurs ont aussi cette faculté. Et il
est pas aussi facile de démontrer qu’il est le principe de la chaleur animale ; pour cela il faut que j'invoque le secours de la
e par laquelle vous m’avez exprimé le vœu qu’une chaire de magnétisme animal fût créée à la Faculté de Médecine de Paris. J’
regrette de ne pouvoir y donner suite. Il m’a paru que le magnétisme animal , n’étant pas encore parvenu à l’état de science,
ritablement utiles, avec une sagacité que l’on n’observe que chez les animaux ... » Quel jeu singulier des forces vives!... Il
ques produits par les différents agents de la nature et le magnétisme animal , nous donnons un exemple rie l’action que le vin
reux mouvements de sa tête, non plus que des autres agitations de cet animal lorsqu’il est en fureur. Sur cela je pris honnête
(1) Mémoire pour servir à l’histoire de l'établissement du magnétisme animal . 1786. page 50. (2) Dénomination primitive du s
inconnue dus phénomènes auxquels Mesmer a donné le nom de magnétisme animal est-elle une propriété dus (0 II est maintenant
lumière, aimant)? Mesmer croyait que c’éiaii une propriété du corps animal , et par magnétisme animal il entendait, non la ca
croyait que c’éiaii une propriété du corps animal, et par magnétisme animal il entendait, non la cause, maisl'en-semfr/eîles
ont donné les noms de fluide magnétique, nerveux, vital, électricité animale , etc. D’autres, au contraire, nient que ce soit
D’autres, au contraire, nient que ce soit ou nue propriété du corps animal ou un agent spécial. Ils regardent l'électricité
, la lumière et la cause encore inconnue des phénomènes du magnétisme animal , comme autant de modifications d'un fluide unique
es : magnétique terrestre, électrique, galvanique, avec le magnétique animal , qui, quoiqu'ayant plusieurs liens de parenté, di
nt comme eux; ils sont placés dans l’échelle des êtres plus bas que l’ animal , car celui-ci, en avançant en âge, se perfectionn
e l’erreur, de l’ignorance ou de l’envie. Si la science du magnétisme animal n’était qu’un système, je sentirais toute mon ins
de le dire, une outrecuidance à nulle autre pareille. Le magnétisme animal , tel que l'expérimentation journalière le constat
sible. Ensuite, il vit un cheval, un lion, une levrette et différents animaux exactement désignés par l’indication de M. le pré
indigènes, qui lui avaient fait apparaître dans sa propre maison des animaux et des monstres de toutes espèces. Les deux sorci
le cl poltisie; le verre de table, ■ haux el loude. duits immédiats animaux ; ainsi que quelques produits végétaux : les rési
és à l’état d'extase, je résolus de faire l'application du magnétisme animal sur les végétaux et d'étudier ses effets. « Quo
aissé. La respiration n’est plus la même, et par suite la chaleur animale subit des modifications profondes. Les paupière
pas nous dispenser de dire un mot de la divination par le magnétisme animal ; divination qui confond les esprits forts et qui
l'état de science positive. Il esl hors de doute que le magnétisme animal n’ait été connu des anciens ; les pylhonisses n’é
sme sur les enfants endormis. 23, 280 — — hommes endormis. 24 — — animaux . 25 — — magnétisés. 26 — — organes en particu
39 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
ens de soulager les maux de l’humanité? Ce sera l’instinct, guide des animaux et de l’homme primitif, et dont les lumières se t
a donc là qu’une vue du passé, qui pourrait comprendre aussi bien des animaux et des corps bruts. L’immortalité de l’âme es
les visions, la lucidité magnétique ou somnambulique, l’instinct des animaux , les phénomènes des tables et du crayon. île
ssi, peu de martes s'aventurent-ils sur mer. dbns un vaisseau que ces animaux ont abandonné. Les fourmis ne manquent jamais d'a
e sais rien. Nous avons une faculté que Dieu n’a point accordée aux animaux autant qu’à nous, c’est un privilège inestimable
e serait-il pas intéressant, au point de vue de l’étude du magnétisme animal , d’examiner si les races qui ont servi de sujets
extraordinaires , surnaturels , et de leur application au magnétisme animal , aux tables tournantes, etc., est sans contredit
, et il n’y avait pas trop à attendre. J’ai commencé par magnétiser l’ animal , disant à mon compagnon de faire comme moi des pa
heval, avec la même fermeté. Au bout de vingt-cinq minutes au plus, l’ animal a commencé à relever la tête et à se trouver mieu
On sait que plusieurs hommes ont exercé l’action magnétique sur des animaux et ont «tenu des résnlats d’autant plus remarquab
puissance en agissant sur des hommes, n’ont pu rien produire sur des animaux . Il est impossible, dans l’état actuel de nos con
e public parisien a admiré l’empire des dompteurs de monstres sur les animaux de leur ménagerie; les Martin, les Carter, les Va
. Quelques personnes possèdent une influence extraordinaire sur les animaux , qui se-manifeste spontanément, sans aucun art et
et même sans la volonté de ces personnes. Il semble qu’à leur vue les animaux reconnaissent tout à la fois un maître et un
Barri, et dit à celui-ci : « Vous essayez, je vois, de magnétiser les animaux ; mais il vient ici, de temps en temps, un homme q
me qui n’a besoin ni de gestes, ni d’efforts quelconques. Dès que les animaux l’aperçoivent, ils bondissent rie joie , les yeux
et quel sera très-certainement un jour le pouvoir de l’homme sur les animaux delà création. En attendant, tout le monde a pu v
nanimée. 11 est de tradition que, dans le paradis terrestre, tous les animaux étaient soumis à l’homme, et plusieurs prophéties
ète du magnifique domaine que le Créateur a mis à sa disposition. Les animaux les plus féroces, par la facilité avec laquelle i
nt quand nous aurons accompli de nouveaux progrès ; le ralliement des animaux se fera quand nous aurons su nous en rendre digne
era quand nous aurons su nous en rendre dignes. • En attendant, les animaux guidés par l’instinct montrent parfois un discern
lique, de supérieur à l’humanité actuelle , ou au moins c’est que les animaux ont senti la prédominance de quelque qualité à la
que qualité à laquelle ils ajoutent plus de prix. Ainsi l’attrait des animaux pour la touchante héroïne de Domrémy était bien j
andra, il permettra de rallier à nous un plus grand nombre de races d’ animaux ; mais je suis convaincu que nous ne réussirons l
quand nous aurons cessé, non seulement de maltraiter cruellement les animaux , comme on le fait trop souvent, mais aussi de no
à propos d’un ouvrage publié à Ferrait; sur la pratique du magnétisme animal , prouvent,' en dépit de leur conclusion inadmissi
les appelle à accomplir ce qui, on doit le dire , est un devoir. Les animaux , éloignés de leurs petits, sont poussés, par un
urs grossiers instincts. Il s’est séparé de la pure animalité, et les animaux sont restés ce qu’ils étaient. 11 arrive aujour
age la science et l’humanité en ont-ils retiré ? Aucun. Le magnétisme animal a marché , parce que rien ne saurait l’arrêter, m
militante, en un mot, qui rend le plus de services. Nous voyons les animaux combattre pour atteindre un but spécial et déterm
our accomplir sa mission. Mais que l’homme se rappelle que beaucoup d’ animaux lui sont supérieurs au point de vue physique, et
sser une longue voilure Qui, sans chevaux, allait grand train ; Les animaux de la prairie S'enfuyaient en cabriolant Devant u
) La chimie moderne tient d«nouveau ce langage : « Les plantes et les animaux dérivent de l'air, n«sont que de l'air condensé;
et que se nourriraient les colères et les brutalités de nos instincts animaux ; c’est aux sublimations splendides que le poète,
e plus ou moins volontaire , la mise en jeu d’une sorte d’électricité animale ; mais je ne raillai plus, et j’éprouvai, au cont
ence pouvait rendre malades et jusqu’à faire périr les plantes et les animaux . Ces gens étaient maîtres de modifier ou d’arrête
inement, affirment C'else et d’autres auteurs, et même vis-à-vis d’un animal enragé. ■ Noslrœ igitur culpœ et imbecillitaiis
sentait aux végétaux, aux métaux, aux corps bruts, une âme comme aux animaux . La parole écrite lui projetait des esprits qui l
le chant et le vol des oiseaux. Les chiens, les chevaux et d’autres animaux sont pluséducables encore que l'on ne le présume
ière aux mondes. . — Définissez-nous Magnétisme. Douze mots : Force animale , enchat-« ne ment des êtres entre eux, lien de la
partie ce système, pourvu que l’on en respecte l’axe incitateur. Des animaux ont vécu très-longtemps après qu’on leur eut enle
: seulement il fallait leur placer la nourriture au fond du gosier; l’ animal avalait alors, et le reste de la nutrition s’effe
erreur moderne, « qui fait de nous un genre particulier dans le règne animal ; mais, après « avoir terminé tout ce qu'il voula
sur le règne élémentaire, et n sur le règne végétal, et sur le règne animal , il passe à un règne distinct « et plus élevé, qu
ES D’ÉLECTRICITÉ, DE CHALEUR ET DE FROID DÉVELOPPÉS PAR LE MAGNÉTISME ANIMAL . A la lecture de l’article inséré au tome viii
roûte solide a subi de nombreuses révolutions, que diverses classes d’ animaux se sont succédé et ont précédé l’apparition de l’
que n’ont pas eu un système sur les créations successives des espèces animales , qui se serait trouvé juste sur quelques points.
pas encore une magnétisation ? On raconte que dans les savanes, les animaux sauvages se trouvent pris de Yestampada, c’est-à-
ot et des biches en crinoline, et voilà tout. La nature de tous les animaux reste la même , pourquoi relie de l’homme changer
frères en croyance, qui, se cramponnant à la queue et aux jambes de l’ animal , seraient arrivés au ciel par la même occasion, m
avec plaisir que M. Ma-nent est partisan très-prononcé du magnétisme animal , auquel il fait une large part dans sa théorie, e
égresse, l'esprit, l’ivresse, la stupeur, etc., de même le magnétisme animal communiqué au patient, même à distance, par la pu
ergie, et pour ainsi dire la masse de son électro-magnétisme vital et animal , transporte dans son cerveau l’image, les idées,
tro-magnétique , sanguine, lymphatique , le rayonnement de la chaleur animale , la nutrition, les sécrétions et les excrétions a
et dans l’électro-magnétisme peu intense du magnétisé. Le magnétisme animal au service de 1 ame spirituelle, qui le dirige à
bre des livres prohibés le Traite théorique et pratique de magnétisme animal , de M. Guidi, avec la clause donec corrigatur.
ire paraître en français un Cours théorique et pratique de magnétisme animal (brochure in-12). C’est un petit résumé clair et
théâtre et dans les romans. 8° L’Histoire académique du magnétisme animal , publiée en 1841 par MM. Burdin jeune et Dubois d
es les ruses les plus raffinées; il revêt la forme de toutes sortes d’ animaux ou même d’objets inanimés; un jour, s’étant métam
le curer. Je vois des atomes infinis , des substances végétales et animales , qui en s’attrayant, en se repoussant, tendent à
sés, comme j’ai dit, par de grands courants, l’homme qui sur tous les animaux possède dans le dernier degré la force d’attracti
comment s’exprime le docteur Richard : « Les phénomènes du magnétisme animal , sagement interprétés et rattachés aux lois génér
ais embrasser d’un coup d’œil toute la contrée. Je vis apparaître des animaux de toute sorte de forme, dont quelques-uns étaien
I! roch. in-3. Paris, Don tu et G. liaillière. — COURS DE MAGNÉTISME ANIMAL en douze leçons, par M. Millet. Un petit vol. in-
agnétisme. Aperçu concernant l'influence naturelle de l'homme sut les animaux , par M. Morin, 184. Somnambulisme (le) devant l
ouleur à l’aide du magnétisme. Rapport de M. le docteur Léger. 239. Animaux magnétisés, ou attirés spontanément par une influ
es d'électricité, de chaleur et de froid développés par le magnétisme animal . Observations de M. le docteur Vandoni, 439. Po
chicanes de la part de divers académiciens, à l'endroit du magnétisme animal et du spiritualisme, 443, 459, 547. Aïssaouas (
charmes, talismans, etc., par M. Lamothe, 102. Cours de magnétisme animal , par M. Millet. Compte-rendu de cet ouvrage, par
vrage, par M. Morin, 660. Cours théorique et pratique du magnétisme animal , par M. E. Allix. Annonce de cet ouvrage, 560.
40 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
, qu'on donne une publicité plus étendue à ce renouveau du magnétisme animal .— d'autant plus qu'on le fait pénétrer inconsidér
sse et de mesure; il appartient au baron J. Cloquet : « Le magnétisme animal , comme pratique, ne pour-» rait avoir que peu d'i
alement désagréables, notamment celles qui proviennent du contact des animaux . Interrogé sur la nature de la souffrance qu'il e
. Les méfaits de ces voleur» se rattachent a la théorie du magnétisme animal , par le fait que les brigands, pour commettre leu
estion et de nature a pouvoir être inséré dans l'Archiv du Magnétisme animal . Dr Cahl du Pbel, à Munich. • NOUVELLES Soc
aravant, M. de Lausanne (Des principes et des pro-cédés du magnétisme animal ) divisait les phénomènes du magnétisme en demi-cr
t de tout ce qui n'est point magnétisé, et particulièrement celui des animaux , lui cause une sensation désagréable qui peut all
ique du nerf sciatique est suivie du refroidissement de la patte de l' animal , quand celle-ci était préalablement assez chaude
suivant l'orientation du système nerveux. L'expérimentation sur les animaux et même sur l'homme sain ne peut faire soupçonner
e humain et qui lui donnent sa caractéristique en le distinguant de l' animal , de la brute. ( Les forces périphériques ou org
ntrons des différences analogues lorsque nous étudions, dans le règne animal , l'évolution des facultés intellectuelles et inst
des facultés intellectuelles et instinctives. Nous trouvons chez les animaux supérieurs de* traces d'intelligence et de libert
ansition insensible de l'animalité à l'humanité ; tandis que chez les animaux tout à fait inférieurs, l'action extérieure domin
rveux central, voyons en quoi consistent les phénomènes du magnétisme animal ou de l'hypnotisme, car il est évident que ces de
ante ans, et il y a également un siècle, on appelait le nu- -gnétisme animal . Ce sont choses absolument identiques. Que sont l
A cette manière de voir, on a bien objecté qu'on peut hypnotiser les animaux . Effectivement, on sait que des chiens, des cheva
admettre ou ne pas admettre un certain degré d'intelligence chez les animaux . Peu importe, d'ailleurs, pour la question qui no
ieur. On comprend fort bien que ce résultat puisse être obtenu chez l' animal tout aussi bien que chez l'homme, sans qu'il soit
l'impressionnabilité est d'autant plus marquée qu'on a affaire à des animaux dont le système nerveux est plus développé et qui
onséquent, se rapprochent davantage de l'homme; ce n'est pas chez des animaux tout a fait inférieurs, dont le système nerveux e
seaux doués d'un ccr-uia développement cérébral... Quand je parle d' animaux inférieurs, je ne veux pas dire inférieurs au poi
ystème nerveux et des centres nerveux en particulier, il y a bien des animaux considérés comme inférieurs et qui mériteraient d
abeilles et des araignées est supérieur â l'instinct de bien d'autres animaux qui sont classés par les zoologistes bien au-dess
arfaitement, par conséquent, que le système nerveux instinctif de ces animaux soit susceptible d'exaltation, peut-être beaucoup
susceptible d'exaltation, peut-être beaucoup plus que celui d'autres animaux que la classification met bien au-dessus d'eux, p
i facilement le même phénomène sur des lapins, des poules et d'autres animaux . Evidemment, ce sommeil, que nous désignons sous
hxí; jtxr»ÍTieiw;. Syra, iSSS; in-S% 133 p. (Hypnotisme et magnétisme animal .) gonzalez : El hipnotismo verdadero: Estudios
c. Psychic. Res., t. V, p. 216-;259. London 1888. , hischfelder : Animal magnetism. Pacif. med. et surg. Journ., t. XXIV,
-8°, 27 p. (Introduction k l'étude de l'hypnotisme et du magnétisme animal .) Marcel et marinescu: Un cas de mutisme hystér
tiques par le moyen de l'hypnose.) spiro: Le problême du magnétisme animal et de l'hypnotisme. Odessa. 1883; in-8°, 211 p. a
er; participation à quelque scène poignante ou horrible : rencontré d' animaux féroces ou furieux : bruits insolites ; simple re
entifique ! Celle-là ne va pas à l'aventure ; elle pose a l'organisme animal ou humain des questions précises et n'accepte que
calme la douleur et provoque le sommeil; aussitôt on administre a des animaux , à des hommes sains, à des malades du chloral, à
rent la substance annoncée et l'administrent, a leur tour, à d'autres animaux , à d'autres hommes, a d'autres malades. Ils varie
Ampère était alors ¦ échec et mat ». II fut un adepte du magnétisme animal . Il lut conduit h admettre que, dans certaines co
que., Odessa, 1881. spiro: [Quelques observations sur le magnétisme animal .,] Odessa. 1884. swlatlowsky :[Magnétisme animal.
ns sur le magnétisme animal.,] Odessa. 1884. swlatlowsky :[Magnétisme animal .] Saint-Pétersbourg, 1881. telnichin: [L'hypnotis
[Arch, de neurologie, novembre iS8î>).— Birci e: Férk, Magnétisme [ animal , 1SS7. (a) Gilles de la Toubette, L'Hypnotisme,
e Turin, dit. dans le traité qu'il vient de publier sur le magnétisme animal , qu'il a vu fréquemment chez les hystéro-épilepti
un avertissement solennel et une retentissante leçon. Le magnétisme animal a passé par cette phase de charlatanisme qui se r
nts .faomœopathiqucs. Ils sont empruntés au monde minéral, végétal ou animal , mais ils sont toujours dépourvus de vie. L'arsen
dans mon laboratoire les merveilleux phénomènes du développement des animaux , nous pourrons discuter utilement, ou plutôt nous
en quelque sorte officielle, de ce qu'on appelait alors le magnétisme animal . Le souvenir Je l'éloquent et véhément rapport de
ide, dans l'autre le ralentissement de la nutrition et un statu quo d' animal hibernant. Une seule fois une hystérique en sér
ntes qui démontrent Taction éminemment diurétique du massage chez ces animaux . M. Bum massait seulement les pattes postérieur
spécialiste était garço- boucher; ses observations spontanées sur les animaux , notamment sur leurs muscles, l'ont amené aux con
Des Changements anatomo-pathologiques du système nerveux central des animaux sous l'influence de l'électricité statique, par R
pnotism or Mesmerism. Boston, 1888. iii 1 1:1 i:t 1 : Le magnétisme animal . V-VIII. A propos d'une visite a l'école de Nancy
re, N. S., t. XLVI, p. 334- London. 1888. HBiDEXHAix : Hypnotism or animal magnetism, physiological observations. Transi, fr
. Valladolid, in-S*. 1889, 60 p. E. Masoin. — Dangers du magnétisme animal au pointdevuede la morale et de la santé. F. Hare
ne grande réputation de mystère. Dès qu'il est question de magnétisme animal , les personnages les plus indifférents, à l'ordin
ne donne nullement le droit de négliger sa puissance dans l'économie animale . La suggestion vient nous révéler avec queile pui
ore (1) La Grande Hystérie, 2« édition, p. 72a. (2) Le Magnétisme animal , 1887, p. 238. (3) L'Anestkisie systématisée (R
isie systématisée (Revuephilosophique, mai 18S7J. (4) Le Magnétisme animal , loc. cit. controversée pour quelques auteurs
nthousiasme irréfléchi des foules. Telle est la période du magnétisme animal , celle du mesmérisme, etc. Il n'y avait dans ces
5) au moment même où l'Académie condamne solennellement le magnétisme animal , jette sur la question le voile de la chose jugée
instant apparemment ; quelques-unes de ces figures représentaient des animaux ayant des articles pairs ; mais il pouvait aussi
comme des centaines de personnes le lui ont vu faire, la figure d'un animal , la partie antérieure d'une main et la postérieur
41 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
raisonné, entre deux fractions d'un même système musculaire de la vie animale , constitue un paradoxe physio-psychologique singu
s Vertébrés est, de même que celui des Annelés, une véritable ruche d' animaux élémentaires dont chacun reste pourvu — quels que
l'organisation collective — de tous les éléments essentiels de la vie animale , et principalement d'un centre cérébral ou quasi-
musculaire : ainsi une sensation peut déterminer un mouvement chez un animal décapité. Toutes les lois de Pflüger sur les réfl
ablis dès la naissance, d'où la possibilité d'actes compliqués dont l' animal ne peut pourtant saisir l'utilité. L'acte habit
e est reproduit directement et machinalement : tel le bâillement. Les animaux (moutons de Panurge) et l'enfant sont très portés
49 et suiv.) ; non pas seulement sur des jeunes enfants, mais sur des animaux , et, qui plus est, sur des végétaux. Qui oserait
e. Cet agent, que Mesmer a appelé, après Athanase Kircher, magnétisme animal , et sur l'hypothèse duquel il a bâti sa doctrine
il n'avait voulu monter à cheval et ne pouvait pas même supporter cet animal en peinture. Il détournait les yeux en voyant un
ous à la salle de police. » Gomment expliquer cette horreur pour un animal ? — L'aversion de Pivot pour le cheval est partag
chimiques et physiologiques du suc gastrique chez l'homme et chez les animaux , publié dans le Journal de l'anatomie et de la ph
physiologie générale. Ceux sur les modifications de température des animaux l'ont conduit à la découverte du mécanisme de la
uteur a démontré : « que la quantité d'oxygène consommé est, pour les animaux de même espèce, absolument proportionnelle à leur
alins, sur la toxicité comparée des différents métaux, sur la chaleur animale , la psychologie physiologique. Ses dernières leço
l qu'en ait été l'auteur, un homme sain d'esprit, un aliéné, voire un animal . En quoi diffère, selon Troplong, le but du méd
ra une conférence sur : L'évolution de l'amour maternel dans la série animale . [Psychologie comparée). Jeudi 18 Février, à ci
ra une conférence sur : L'évolution de l'amour maternel dans la série animale . [Psychologie comparée). Jeudi 18 Février, &
ystème de Darwin. « Une cause constante de variation (dans une espèce animale ) si faible qu'elle soit, transforme peu à peu l'u
loi énoncée par Delbœuf d'exemples pris dans tous les ordres du règne animal . Il revint sur le même sujet dans la leçon par la
nous voyons les fonctions intellectuelles se développer dans la série animale et dans l'individu, etc. Enfin, le septième et de
ique : 1° 3 janvier t886 : Sur la psychologie et l'intelligence des animaux ; 2° 19 septembre 1886 : Lettre sur les caractè
ant l'endroit touché, comme si elle raisonnait. Il en est de même des animaux à sang chaud, si on a la précaution de leur lier
s le jeune âge, les contacts étant plus faciles à établir : ainsi les animaux et les enfants. Les aveugles-nés ne sont éducable
e pas le déterminisme du mouvement réfléchi. La plupart des actes des animaux seraient le résultat d'associations de sensations
ir pousser trop loin la ressemblance, les faits de mimétisme chez les animaux des actes d'imitation. Par action nerveuse, l'ani
étisme chez les animaux des actes d'imitation. Par action nerveuse, l' animal adapte sa couleur à celle du milieu (caméléon...)
ra une conférence sur : L'évolution de l'amour maternel dans la série animale . (Psychologie comparée). Jeudi 18 Février, à ci
rsqu'il lui tomba sous la main un petit livre, traitant du Magnétisme animal . Intéressé par cette lecture, il se procura les d
me d'Alexandre Bertrand (1823) et l'Histoire académique du magnétisme animal , du Dr Dubois (d'Amiens ; 1841). Depuis ce mome
le Journal de Liège du 22 décembre 1869, reproduit dans le Magnétisme animal , du môme auteur, dont nous parlons plus loin 2.
ons qu'il en rapporta qui fait l'objet de sa brochure : Le magnétisme animal , à propos d'une visite à l'Ecole de Nancy1. J'a
ruxelles, il faut se reporter à la brochure intitulée : Le magnétisme animal , dont l'orateur ne fait que reprendre et développ
que je viens de consulter, me dit avoir rêvé plu- 1. Le Magnétisme animal , p. 9- sieurs fois qu'il commettait un meurtr
ra une conférence sur : L'évolution de l'amour maternel dans la série animale . [Psychologie comparée). Jeudi 18 Février, à ci
vaise, en vue du mal que l'on désire attirer sur une personne, sur un animal ou sur une chose dont l'usage peut devenir danger
'espèce humaine dans le sommeil. C'est.le decubitus sur le dos. Aucun animal ne prend de lui-même celte position pour dormir.
de l'attention, car, en parlant d'un article paru, sur le magnétisme animal , dans la Gazette médicale de 1833, il dit : « L'o
réplique à la critique du Dr YValter Leaf : a Hypothèse du Magnétisme Animal », associe Braid à l'Ecole de Paris (Hypnotisme),
dominantes. Il dit encore que, lorsque l'attention d'un homme ou d'un animal est absorbée par une idée associée au mouvement,
psycho-physiologique L'Evolution de l'amour maternel dans la série animale par M. Eugène Gaustier, agrégé de l'Université.
psychologie comparée : l'Evolution de l'amour maternel dans la série animale , sujet qu'il a traité avec une rare érudition.
ant de résumer la partie documentaire de cette conférence. Chez les animaux tout à fait Inférieurs, l'amour maternel ne parai
urs jours, sans prendre de nourriture. Toujours au bas de l'échelle animale , il est intéressant de constater, à certains fait
emarquable : ces Insectes, qui se nourrissent des cadavres des autres animaux , sont de véritable fossoyeurs. Viennent-ils à tro
n'y paraisse rien ; la femelle pond alors ses œufs dans le corps de l' animal dont la chair servira à la nourriture et au dével
e ù venir une chair plus fraîche et. dans ce but, ils s'attaquent aux animaux vivants : ainsi le sphex, insecte voisin de la gu
ommence à prendre ce caractère noble et élevé qu'on remarque chez les animaux supérieurs. Un fait général, qui se trouve chez p
xemples si instructifs, qui s'observent à tous les degrés de la série animale , et qui s'offrent à nos méditations comme le plus
l sera dans l'obscurité, tel autre ne l'éprouvera qu'en présence d'un animal quelconque. Tandis que les uns auront peur des ch
s. Braid arrêtait qu'ils étaient ordinairement justes avec l'instinct animal , tandis qu'ils étaient généralement faux avec les
imaginaire et lui demandait alors gaiement de quelle couleur était l' animal , ce ton enjoué amenait généralement celte réponse
notisme attribuaient à ces derniers le pouvoir d'exciter les passions animales , et ils affirmaient que les femmes les plus vertu
le D' Lloyd- Tuckey, de Londres, 207. Amour maternel dans la série animale (l'évolution de l'), par M. Caustier, 314.
42 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
à projections pour la lecture. La vue lumineuse d'un mot coloré, d'un animal dont il lira le nom, tirera l'élève de la somnole
tés et devenus scientifiques, l'auteur passe en revue : le magnétisme animal et l'hypnotisme, les mouvements involontaires inc
ouvons nous-mêmes les constater par l'impression exercée sur certains animaux . La vue du sang produit le même effet. L'excitati
eut donc aller jusqu'à déterminer chez l'homme, aussi bien que chez l' animal , des fureurs et des violences. Le rouge a été le
CHOLOGIE COMPARÉE Considérations psychologiques sur le dressage des animaux rétifs, par le Dr Bérillon, professeur à l'Ecol
es pius instructifs sur les procédés employés pour le dressage de ces animaux dont la réciveté et l'indocilité sont proverbiale
rtugais signalaient que les Galans (Gallas) excellaient à dresser cet animal et que les écuries de « Habessinia » en comptaien
ités du Roi des Rois, le troupeau comptait sept bêtes. Et comme ces animaux se vendent communément de 25.000 à 30.000 francs,
ébarquer du steamer. En quelques minutes, le capitaine obtenait que l' animal , qui ruait et mordait dès qu'on s'en approchait,
op. Mais ce procédé est des plus cruels, et longtemps après le pauvre animal , à la vue d'une lanière, tremble devant son dress
er son équilibre, il est inutile de recommencer l'expérience : le bel animal restera toujours indomptable. La transformation
urs indomptable. La transformation obtenue dans le caractère de cet animal indocile et essentiellement rétif qu'est le zèbre
er en animai. (9) Mauvais esprit d'une personne morte. (10) Ogre, animal fabuleux, gorgone ou dragon énorme et terrible.
cin-vétérinaire : Psycho-pathologie comparée : l'infanticide chez les animaux . M. Clark-Bell, secrétaire de la Médico-légal S
cin-vétérinaire : Psycho-pathologie comparée : l'infanticide chez les animaux . Dr Lingbeek (de La Haye) : Les superstitions des
omparées. M. Grollet, médecin-vétérln., professeur. Psychologie des animaux ...... M. Lèpinay, médecin-vétérin., professeur.
« La première condition du succès dans ce monde, c'est d'être un bon animal , et la première condition de la prospérité nation
n de la prospérité nationale, c'est que la nation soit formée de bons animaux .. » Il conclut en ces termes : « ... Notre éd
cette appréciation. Il y aurait encore quelques mots à dire sur les animaux pleureurs. A. Ceylan, l'éléphant en captivité tom
se. On a vu qu'ils versaient d'abondantes larmes. Certaines espèces d' animaux ont le larmoiement très facile. Les cerfs et les
apanage de l'espèce humaine. Les mêmes sensations produisent chez les animaux et chez l'homme les mêmes réactions réflexes *
nq heures et demie, à partir du mercredi 22 janvier. Pychologie des animaux . M. LÉPINAY, médecin vétérinaire, professeur.
naire, professeur. Objet du cours : L'Observation psychologique des animaux . Les mercredis à cinq heures et demie, à partir
t du cours : Le cerveau, organe de la pensée chez l'homme et chez les animaux . Les mercredis à cinq heures, à partir du mercr
ections, le Df Bérillon traitera la question de l'hypnotisme chez les animaux . * M. le Dr Jules Voisin, médecin de.la Salpè
eul groupement les deux médecines, la médecine humaine et la médecine animale . Actuellement, grâce à la Société de pathologie,
n. M. Lépinay. — Psychopathologie comparée : l'infanticide chez les animaux . Discussion. — MM. les DM Bérillon et Demonchy,
sé la guérison complète peut être obtenue. L'infanticide chez les animaux , par M. Lépinay, médecin-vétérinaire, professeu
s y appliquer maintenant et dans des travaux ultérieurs. Pourquoi les animaux pris en général, dont l'instinct maternel est au
illeux de supériorité dans la défense de la progéniture, pourquoi ces animaux n'hésitent-ils pas à détruire leurs petits dans c
nt a examiné les causes les plus fréquentes de l'infanticide chez les animaux . Il indique : 1° la perte de l'instinct maternel.
it absorber aux nouvelles accouchées. On pourrait donc penser que des animaux qui dévorent leurs petits le font parce que souve
n présence d'un danger qui menace ses petits. Dans nombre d'espèces l' animal , après avoir essayé de soustraire sa progéniture
aille • pour lui enlever le cadavre. Il semble bien que là encore cet animal ait eu l'intention de soustraire sa progéniture à
d*y revenir. Aujourd'hui nous cherchons à conclure. II semble que les animaux , en détruisant leurs petits : 1' Assurent de me
de la psychologie des humains si ces causes de l'infanticide chez les animaux ne pourraient pas éclairer et être éclairés par t
t des circonstances aux mêmes causes que nous avons étudiées chez les animaux ? N'est-ce pas fréquemment chez la femme sinon un
ns ce milieu psychologique les observations que nous faisons chez les animaux , les conclusions que l'on peut en tirer pour eux
ette dernière les conclusions qu'il nous est possible d'appliquer aux animaux en pareille circonstance, nous serons bien obligé
'Académie des Sciences. — Psychologie comparée; l'hypnotisme chéz les animaux et chez l'homme, par M. le Dr Bérillon, professeu
lui qui le porte est préservé du diable, car celui-ci a peur d'un tel animal . Puis le Kaloeng, Koctivening, simao ingkang,pe
nt se passer, dit Ulpianus, comme si ce danger avait été le fait d'un animal , ou s'il était dû à la chute d'une tuile ou au ha
ombre d'années, elle s'imagine avoir dans le gosier un crapaud, ou un animal du même genre ; il suffit qu'elle y pense pour qu
animal du même genre ; il suffit qu'elle y pense pour qu'elle sente l' animal remuer, remonter le long de l'œsophage, et elle l
ficultés qu'il éprouva à arracher cet os, et par les souffrances de l' animal , il lui fut impossible de reprendre son repas mom
ogie, de philologie et de religions orientales. L'étude du magnétisme animal l'attira spécialement et lui fit reconnaître le r
ment scolaire des devoirs de protection et d'assistance à l'égard des animaux . « Je vous invite à prendre part à ces discussi
ne fonctionactivede défense, un instinct qui a pour but en frappant l' animal d'inertie de l'empêcher d'arriver au stade d'épui
omme tout acte instinctif soumise à la loi fondamentale de l'activité animale , la « loi de l'intérêt momentané ». Ce n'est pas
e ou d'expérience. C'est ce qui s'observe encore aujourd'hui chez les animaux vivant en troupeau, à l'état de liberté. Tant q
miraculeux. P.Saintyves a suivi chacun de ces thèmes : adoration des animaux , chants célestes des anges ou des divas, étoile d
oit-on avertir un malade de sa fin prochaine ? p. 321. Dressage des animaux rétifs (considérations psychologiques sur le) par
e des matières fécales, par Wiazemsky, p. 206. Infanticide chez les animaux , par Lépinay, p. 210. Influence des états psy
43 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ntes régions du névraxe, du cerveau en par- ticulier, dans la série animale , forment, selon nous, le plus sûr fondement de
cience immanente à la matière, et qui progresserait avec la série animale , manque d'autant plus de fondement que rien, su
ien, suivant lui, ne prouve que les manifestations psychiques des animaux inférieurs impliquent l'existence d'une cons- c
blable, du fait de certaines manifestations vitales déterminées des animaux qui pos- sèdent une écorce cérébrale, et que la
quel point peut-on expliquer la nature générale et les actions d'un animal par la connaissance de sa structure anatomique
us, son rôle est uniquement d'essayer de comprendre les actions des animaux , consi- dérés comme de pures automates. Si, che
34 REVUE CRITIQUE. certainement, chez les végétaux comme chez les animaux , de la nature et de l'intensité des stimuli pu
ion et un multiplicateur d'énergie ; sa destruction n'empêche pas l' animal de réagir d'une ma- nière appropriée aux fins d
persister, si bien que ces larves ne seraient comparables qu'à des animaux décé- rébrés *. L'acuité, la rare pénétration d
de Bethe, de Preyer, d'Uexliüll, qui ont montré comment, chez les animaux inférieurs, des réactions d'apparence volon- ta
ce sens contre Edinger et la nouvelle école de l'automatisme des animaux . Il est constant pour Edinger que le système ne
animaux. Il est constant pour Edinger que le système nerveux des animaux inférieurs représente essentiellement une' coloni
ment. Il ne manque point, affirme-t-il, d'actes accomplis par les animaux inférieurs encore irréductibles à des facteurs co
ouilles. Telles encore les causes de migration et d'orientation des animaux . Il faut bien prendre garde que l'hérédité,' no
s auteurs ont recherché dans leurs expériences. Toute réaction de l' animal doit pouvoir être attribuée, soit à ces réflexe
oit rétrocéder. A considérer la structure du système nerveux d'un animal , il est toujours possible de conclure à la foncti
possible de conclure à la fonction dès qu'on connaît chez un autre animal une structure et une fonction analogues. On sai
. Pour les bien connaître, il faudrait étu- dier les réactions d'un animal décortiqué : l'activité des centres inférieurs
s peuvent être artificiellement modi- fiées au cours de la vie de l' animal : ils peuvent encore, du fait de la répétition
des fonctions d'adaptation nécessaires à la vie de relation d'un animal , partant à la persistance dans l'être de l'indivi
au sens où, pour la première fois, l'a postulé Flechsig quant aux animaux supérieurs, - est bien, considérée dans l'en- s
ils devaient échouer. Pour les mêmes raisons, la psychologie des animaux n'a point fait de progrès : ici encore on ne s'
ne admirable simplicité. L'observation de la vie psychique de ces animaux , à l'aide de méthode plus précises, ne pré- sen
roie zip. 23). C'est un fait d'observation vu que la plupart de ces animaux ne s'emparent que de ; mouvantes, que le mouvem
tout exagéré, surfait, l'intensité et l'extensité de l'activité des animaux inférieurs parce qu'on les a presque toujours o
es a presque toujours observés dans un état où le train de vie de l' animal était troublé, et surtout parce qu'on n'a pris
n. » Cette commune façon d'observer les phé- nomènes psychiques des animaux , Edinger la déclare con- traire il toute méthod
ède et dépasse les images conscientes. De même pour la douleur. Les animaux inférieurs connaissent-ils la douleur ? Edinger
s : les mouvements de fuite ou de défense qui, chez l'homme» et les animaux supérieurs, accompagnent les lésions douloureus
tude de la psychologie des ANATOMIE CÉRÉBRALE ET PSYCHOLOGIE. 107 animaux dont les actes, aussi bien que l'encéphale, sont
rreur où l'on tombe en attribuant aux manifestations psychiques des animaux des procédés de conscience que l'homme peut seu
termes, il faut, en psychologie, non plus descendre de l'homme à l' animal , mais remonter des animaux à l'homme. L'anatomi
ologie, non plus descendre de l'homme à l'animal, mais remonter des animaux à l'homme. L'anatomie du système nerveux centra
ie stériles. La méthode qui consiste à étudier la psychologie des animaux est naturellement passible des mêmes objections e
es les plus élevées de structure et d'activité le long de l'échelle animale ascendante ; et ensuite à observer directement
logne. L. U. XXII. Des effets du suc de capsules surrénales sur les animaux décapsulés; par Fauazzi. (Il 1900, mars.) L'a
e avec la vie ; l'autre s'hypertrophiant a une action vicariante. L' animal décapsulé survit plus longtemps s'il ne reçoit
omposition chimique et les mêmes propriétés digestives que chez les animaux nourris. L : D. XXV. Les glandules parathyroïdi
s des cellules mitrales qu'on peut observer dans le bulbe d'un même animal . Parmi ces cellules il en est qui envoient deux
urolog Cetatralbl. 188r). La section de la queue de cheval chez les animaux Archives, 2e série, t. XII. la 226 revue d'an
s bacilles disposés en chaîne formant de longs filaments. Le sang d' animaux (chien-lapin) inoculés avec ces cultures reprod
délire aigu. Or, dans aucune des expériences que j'ai tentées sur l' animal , je ne suis arrivé à obte- nir un état maladif
ité mortelle de l'hédonal semble être de un gramme par kilogramme d' animal ; mais il faut tenir grand compte du mode d'int
t dans l'intervalle des accès. La toxicité fut expérimentée sur des animaux , et les résultats furent intéressants en ce qui
et 302 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. des cobayes, amena chez ces animaux une paralysie, qui disparut graduellement en qu
t absorbé par une chose demeure insensible à une autre) et chez les animaux hiber- nants. Mais ce n'est pas seulement l'exc
es des lobes cérébraux donnent des résultats différents suivant les animaux sur lesquels on opère. De l'examen attentif de
courtes, mais l'influence corticale est plus marquée que chez les animaux ; 5° chez le nouveau-ne, le faisceau pyramidal n'e
ns destructives de l'écorce cérébrale don- nent lieu, chez tous les animaux , à une exagération plus ou moins marquée des ré
M. Pitres. - Les expérimentations faites sur le système nerveux des animaux et en particulier celles que M. Crocq relate dans
itives de physiolo- gie nerveuse chez l'homme. Conclure de la série animale à ce der- nier est une tendance bien naturelle,
s recherches expé- rimentales sur tel ou tel appareil de tel ou tel animal , mais omettre complètement les données que nous
à une -localisation cérébrale exclusive des réflexes chez certains animaux et chez l'homme ne me parait être conforme ni a
tre. Dans un ciel orageux, les nuages figurent de vagues formes d' animaux , de monstres,' de fantômes. Dans les voyages noc-
ir, desobjets du réfec- toire, de la classe ; la reconnaissance des animaux domestiques, des personnes de l'entourage, etc.
t guérie de ce trac. Les agents provocateurs de l'hystérie chez les animaux . M. Lépinay rapporte de nombreux faits desquels
e, convulsions, dysphagie, po- lyurie, peuvent être causés chez les animaux comme chez les humains par diverses causes, tel
es générales, castration, réprimandes vigoureuses, etc. De nombreux animaux sont abattus comme inutilisables ou dangereux,
Les effets de l'alcool ne sont pas plus heureux sur le travail des animaux que sur celui de l'homme*. Les différences rela
leur dire, sur quelques faits rappelant les phénomènes propres aux animaux , aux sauvages, aux enfants (attitude, dandinement
ent tenté d'appliquer à l'homme les cons- tatations faites chez les animaux soumis à des intoxications subaiguës. Examino
ule nerveuse et de la névroglie. C'est chez l'homme et non chez les animaux qu'il faut faire des. travaux pré- paratoires.
n se produisant brusquement dans le creux du jar- ret, etc.) Chez l' animal , dont l'équilibre est infiniment plus stable qu
ontradic- tion avec le fait que, chez l'homme aussi bien que chez l' animal , le pouvoir réflexe de la moelle peut être cons
II. Les effets de la ligature de la moelle cervico-dorsale chez les animaux ; par CROCQ. (Journ. de Neurologie, 1901, n° 14.)
ns les leucocytes, staphylocoques). Des expériences faites chez les animaux (injections de différents microbes dans le cana
par Lannols et Pau- tet, 352. Moelle. Ligature de la chez les ' animaux , par Crocq, 528. Morphine. Traitement de l'habi
44 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
es comme des êtres concrets, comme des individus, au même titre qu'un animal ou une plante. On est arrivé à reconnaître que
resque aussitôt à une putréfaction rapide. Il en est de même chez les animaux surmenés et ces mêmes phénomènes se produisent, a
és par la patho-logie. Il nous est donné, en effet, de créer chez les animaux des états morbides variés, soit en leur faisant s
serve chez l'homme. Elle est parvenue récemment à dévelop-per chez un animal les phénomènes de la fièvre traumatique, en injec
matique, en injectant dans le sang le liquide recueilli chez un autre animal , à la surface d'une plaie récente ; et ainsi se t
, l'al-coolisme chronique, que l'on est parvenu à reproduire chez les animaux à l'imitation des affections correspondantes de l
progrès de l'âge, dans les faisceaux musculaires primitifs de la vie animale et cette altération peut atteindre un degré tel,
té reconnu et proclamé de toutes parts que l'exaltation de la chaleur animale est bien le fait fondamental de l'état fébrile. P
qui nous échappe ; toujours est-il que l'accroissement de la chaleur animale domine dans la fièvre tous les autres symptômes,
à l'aide de la thermométrie, les moindres oscillations de la chaleur animale ; car dans la majorité des cas, elles corresponde
terstitielle. Altérations analogues à celles de la goutte, chez les animaux . — Elles n'existent point chez les mammifères. —
es de Zalesky. — Conséquences de la ligature des uretères chez divers animaux . Messieurs, Si la goutte était une affection
nous aborderons par la suite. La goutte peut-elle exister chez les animaux ? Et en suppo-sant qu'elle existe chez eux, produ
tisme chronique. Il est incontestable, en tous cas, que chez certains animaux il se développe une affection fort analogue à la
s, On sera moins étonné de trouver, chez ces deux grandes classes d' animaux , une affection qui présente quelque ressem-blance
ons articulaires et rénales. Il est curieux de rencontrer, chez des animaux aussi peu voisins de l'homme des lésions aussi an
aut que l'expérimentation physiologique réussit à pro-duire, chez les animaux , des phénomènes analogues à ceux de ladiathèse ur
s accoutumés à une nourriture moins abon-dante et moins exclusivement animale , et à des repas moins 1. Hecker. —Rede uber die
e Zalesky. Recherches empiriques. — Effets du jeûne. — Alimentation animale . — Exercice. — Résultats contradictoires sous ce
e produit rien de semblable. Zalesky en con-clut que l'urée (chez les animaux qui en sécrètent) et l'acide urique se forment da
git dans le même sens. Quant aux effets d'une alimentation purement animale , tous les auteurs , depuis Lehmann, s'accordent s
y; elles nous ont prouvé que la ligature des uretères chez plu-sieurs animaux , provoque la formation des dépôts d'urate de soud
alo-gues peuvent sans doute se produire sur d'autres points. Chez les animaux qu'il avait mis en expérience, Zalesky a trouvé d
a trouvé des lésions articulaires et des affections du cœur chez ces animaux . Mais ses expériences ont été répétées en Allemag
fièvre peuvent faire défaut et que seule, l'exultation de la chaleur animale est le fait constant, obligatoire. Telle est la
l'expéri-mentation. On peut, vous le savez, chez l'homme comme chez l' animal , élever artificiellement la température centrale,
grande prostration des forces ; et si, dans le cas où il s'agit d'un animal , l'expérience est poussée très loin, il survient
poussée jusqu'à la dernière limite. Il s'agitici naturel-lement de l' animal . Or, Messieurs, toujours la morta lieu, en pareil
empérature centrale a dépassé de 4 ou 5 degrés le taux normal, chez l' animal mis en expérience, soit 45 degrés pour les mammif
nière presque subite. H y a donc, vous le voyez, pour chaque espèce d' animal un chiffre fatidique cpii ne peut être atteint sa
ès vraisemblable que, dans ce dernier cas, comme lorsqu'il s'agit des animaux soumis à l'ex-périence, l'élévation extrême de la
s, on ne saurait guère douter qu'il en soit réellement ainsi. Qu'un animal soit soumis, dans de certaines conditions, à l'ac
u'arrive-t-il dans ces circonstances si va-riées ? On peut dire que l' animal meurt de froid (Brown-Sé-quard, Soc. de Biologie,
is ou quatre substances, pos-sédant la propriété d'exalter la chaleur animale . Tels sont : le café noir et fort, le thé (Lichte
tes par l'action sur l'organisme des poisons morbides, des substances animales ou végétales en voie de putréfaction. La plupart
'expérimentation a également démontré qu'injecté dans les veines d'un animal sain, le sang provenant d'un animal fébricitant d
é qu'injecté dans les veines d'un animal sain, le sang provenant d'un animal fébricitant détermine la fièvre. Et il n'est pas
ns les expériences de Weber et de Billroth, l'injection de substances animales putréfiées, d'eau putride, a plusieurs fois dét
assibles d'objections. A Londres, en effet, la prédominance du régime animal , l'usage habituel et trop souvent, l'excès de cer
tique présentait la composition suivante : acide urique, 14 ; matière animale , 6 ; phosphate de chaux, 62; carbonate de chaux,
ne faut pas oublier toutefois qu'à Londres, la prédominance du régime animal , l'usage des bières fortes, placent les ouvriers
t pris de la goutte après avoir été saigné au bras. Goutte chez les animaux . — La goutte peut-elle exister chez les animaux ?
as. Goutte chez les animaux. — La goutte peut-elle exister chez les animaux ? Dans un traité récent de pathologie comparée (L
qui distinguent l'urate de soude. On rencontrait, en outre, chez ces animaux , des concrétions de même nature dans les diverses
aiblatt, 1865, 4 feb., n° 6). II est curieux de rencontrer chez ces animaux aussi peu voi-sins de l'homme, des lésions assez
s. 8° En règle géné-rale, on ne rencontre dans les muscles de, la vie animale aucune trace de concrétions uratiquos, mais tou
la possibilité de mêler, pendant plusieurs mois, à la nourriture des animaux , des quantité considérables de sels de soude, san
dents graves, les sels de potas-se injectés dans le sang de ces mêmes animaux se montrent, au contraire, éminement toxiques, de
ois déjà invoqué les résultats (p. 339, note), les mus-cles de la vie animale ne renferment, à la vérité, jamais de con-crétion
teux. On n'a pas oublié que dans les expériences de Zalesky, chez les animaux dont les uretères ont été liés, la bile est charg
terstitielle. Altérations analogues à celles de la gouttp, chez les animaux . — N'exis-tent point chez les mammifères. — Se re
ces de Zalesky. — Conséquences de la ligature des uretères chez les animaux ...... 64 SIXIÈME LEÇON sémèiologie de la gout
e Zalesky. Recherches empiriques. — Effets du jeûne. — Alimentation animale . — Exercice. — Résultats contradictoires sous c
cœur, 6(3 ; — dégénérescence graisseuse du cœur, 66, 545 ; — chez ies animaux , 69, 532 ; — forme fine pri-mitive de la —, 83 ;
— asthme, 87. Gravelle biliaire, 20. 64, 42, 99 ; — Goutte chez les animaux ; 532. rénale, 69 ; — urique, 117 ; — et goutt
45 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
la dose est considérable, sans être mortelle, on observe chez les animaux : 1° une diminution du nombre des batte- ments
soin. l0 heures 22, Inhalation de 12 gouttes de nitrite d'amyle. L' animal est en quelque sorte saisi. La respiration s'af
secondes, ne fait percevoir aucun bruit cardiaque ou pulmonaire. L' animal , à ce moment, est immobile; les pupilles sont l
utes avec retrait de la compresse do temps en temps. Aussitôt que l' animal a fait quelques inspirations, il se débat, miaule
. 20 : l'. IGO; R. 96. a h. 2/j. P. 134, régulier, fort; R. 88. L' animal est calme. - 5 h. 30. T. li . 37°, 2. La cyanos
ion des pupilles persistent. - : li. 45. P. 180 ; T. R. 36", 9. - L' animal qui, jusque-là, se laissait examiner, s'agite,
ue la congestion des lèvres, de la muqueuse buccale, etc., chez les animaux , - de la face, du cou et du tronc chez l'homme.
du nitrite d'amyle se- fait cependant sentir sur les extrémités des animaux . M. Amez Droz a bien étudié les phénomènes de d
ans le crâne, est encore prouvée par des expériences faites sur des animaux et par l'examen ophthal- moscopique. a) Après
l'aide de fortes loupes, les vaisseaux des méninges. Puis, quand l' animal fut entièrement remis, ils lui firent respirer
, de 3S°,6 à 36°,8. Dans une autre expérience pratiquée sur le même animal , l'inhalation de DU NITRITE D'AMYLE. 77 dix g
. 40 m. Inhalation d'une quinzaine de gouttes de nitrite d'amyle. L' animal se débat, puis les pattes de devant seroidissent
lques secous- ses convulsives. R. 12U; T. R. 38°, 5. - 4 h. 47. L' animal qui était demeuré tranquille durant quelques inst
fraîches. 4 Jz. 55. Respiration plus calme, à 142; bouche formée. L' animal miaule, essaie de mordre. 4 h. SA'. Oreilles
très-dilatées.. 4 h. 59. Respiration 80; T. R. 35", 4. 5 h. 50. L' animal est tranquille. La dilatation des pupilles a dimi
RECHERCHES THÉRAPEUTIQUES. 6 Il. -15. T. R. 30°, f. -A 9 heures, l' animal est mis en liberté; une fois libre, il marche e
re descendre jusqu'à 28°,8 et, malgré cet énorme refroidissement, l' animal a survécu. Les lapins nous ont paru être moins
ns, surtout lors- qu'on opère sur des chats. Souvent, en effet, ces animaux , miaulant vigoureusement, introduisent en quelq
. Il. 38°, 9 k. 50. Inhalation de dix gouttes de nitrite d'amyle. L' animal se débat, crie : puis la respiration se ralenti
sible. Les pupilles se sont dilatées assez largement. 40 la. 5. L' animal est tranquille. P. 192; R. 92; T. R. 3 ? 3 : 40
11. 20, 25. La décoloration persiste encore. T. Ri 34°. Midi 45. L' animal semble être tout-à-fait revenu à l'état normal. P
sortait durant l'expiration. - sY.Nme.J}.e.r : 1 ? r;wp. - Chez les animaux auxquels on fait respiren du nitrite d'âril'1`e
fonctions digestives ne sont pas sérieusement affec- tées. Chez les animaux , nous n'avons remarqué ni vomis- sements ni sel
tion salivaire, qui ne nous a présenté aucune modification chez les animaux , aété assurément augmentée chez Geneviève et ch
les observateurs n'ont pas toujours fait leurs expériences sur des animaux de même espèce et dans des conditions identique
rap- port, les effets du nitrite d'amyle sont les mêmes chez les animaux que dans l'espèce humaine. - ' 3° A partir du d
ige jaune, des milliers d'étincelles ; ou encore elles voient des animaux tout noirs, ayant des figures hideuses, des cercl
... crie qu'on lui tire la jambe, le bras ou la tête, qu'elle a des animaux dans les yeux, la tète ou le ventre. Ses idées
it à l'élimination de l'urée. Il se passait là ce qu'on voit chez l' animal à qui l'on a pra- tiqué la ligature de l'uretèr
46 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
la guérison ne s'est pas démentie. REVUE CRITIQUE Le magnétisme animal , étudié sous le nom de force neurique, rayonnante
ar le Dr L. Thomas. Delahaye et Lecrosnier, 1887. 2 fr. Le Magnétisme animal étudié sous le nom de force neurique. par le Dr
dans le texte. Oct. Doin et Le-chevallier, 1887. 14 fr- Magnétisme animal , suggestion hypnotique et post-hypnotique, par
ne façon bien nette, l'existence d'un courant propre dans l'organisme animal . D'après Claude Bernard, l'électricité se produit
nimal. D'après Claude Bernard, l'électricité se produit chez tous les animaux et dans tous les muscles. On connaît plusieurs es
il suffit que je le mette en étal de rapport avec les personnes, les animaux et les objets qui l'entourent pour qu'il les voie
us le nom de force neurique dans mon récent ouvrage sur le Magnétisme animal (i), et je crois avoir prouvé surabondamment dans
dans le corps du sujet qui sert d'intermédiaire, qu'il soit homme ou animal . Nous la voyons s.-propager le long de certains o
orps du sujet neurisateur dans celui du sujet intermédiaire (homme ou animal ) ou dans la substance d'un objet quelconque. Ce
ont été figurés sur certaines images religieuses. (1) Le.Magnétisme animal étudié sous le nom de force neurique rayonnante e
istence de la force neurique. (i) Voyez mon livre sur le Magnétisme animal , déjà cité. REVUE CRITIQUE Essais de Psycho
arée, où sont analysés les phénomènes intellectuels observés chez les animaux et rapprochés de ceux que présente l'homme même:
s, tantôt par l'expérimentation, la psychologie générale s'étend de l' animal le plus infime jusqu'à l'homme. M. Richet ne crai
fouet sur lui, le tremblement est un réflexe psychique. Est-ce que l' animal tremblerait, si le fouet n'éveillait en lui la no
enterghem. Cet auteur y expose en abrégé l'historique du magnétisme animal , définit la transmutation du mesmérisme en hypnot
qu'en 1852. Il s était spécialisé dans les questions de mécanique animale et d'oph-thalmologie. Parmi ses principales publi
ses principales publications, nous citerons : Principes de mécanique animale , ou étude de la locomotion chez l'homme et les an
s de mécanique animale, ou étude de la locomotion chez l'homme et les animaux vértèbres, Paris, 1858; — Physiologie et patholog
trouve à quelques cent mètres sous le vent d'un daim ou de tout autre animal , il perçoit sa présence. Les particules odorantes
ième de grain ; les nerfs n'en transmettent pas moins au cerveau de l' animal une impression qui se traduit par des actes extér
nous avons saisi de nombreuses analogies. Nous avons rappelé que les animaux , l'homme lui-même, étaient parfois l'instrument d
nt frappant entre les appareils d'électricité et certains organes des animaux supérieurs : le muscle, véritable pile par sa con
métalloscopie, la magnétothérapie, l'élec-trothérapie, le magnétisme animal , mettra au grand jour cette énergie nouvelle de l
tif, et ont un rayonnement négatif. Les êtres vivants, l'homme, les animaux et les végétaux possèdent les deux modes du rayon
ce (nous l'avons déjà dit pour l'homme) et négatifs par d'autres. Les animaux , comme 1 homme, sont positifs sur la moitié gauch
m tremens. Vomissements répétés. Hallucinations nocturnes enrayantes. Animaux nombreux qui l'épouvantent. Gendarmes qui viennen
celui que Mesmer produisait et auquel il donnait le nom de magnétisme animal . Braid appliqua l'hypnotisme à la thérapeutique e
uteur, après avoir étudié la littérature si étendue sur le magnétisme animal , s'est rendu à Nancy pour profiter des leçons cli
ur l'équilibre de l'organisme? Première remarque : l'évolution de l' animal , — de même que celle du végétal, d'ailleurs, — su
aim et le froid. REVUE CRITIQUE Un livre italien. Le Magnétisme animal la fascination et les états hypnotiques, tel est
à une sorte de synthèse de toutes les données relatives au magnétisme animal ; c'est l'explication pure et simple des phéno-
hystériques qui dorment sont jusqu'à un certain point semblables aux animaux hibernants. C'est contraire aux lois de la natu
pour déterminer la production [des phénomènes habituels du magnétisme animal . Pour leur prouver la réalité de sa théorie, il
té du sommeil nerveux, considéré dans ses rapports avec le magnétisme animal et relatant de nombreux succès dans ses applicati
nté sur tous les sujets qui se présentaient. Bien que le magnétisme animal doive sa sanction scientifique a Charcot, la psyc
om-ment : on presse avec l'autre main sur la mâchoire inférieure de l' animal , de façon à faire sortir les yeux hors de l'orbit
imple : ils pressent fortement avec deux doigts, près de la tête de l' animal , et il s'endort immédiatement: j'en ai fait l'exp
ité, par leurs actes obscènes et contre nature, par leur gloutonnerie animale qui les porte à se satisfaire par les moyens les
De l'opportunité d'Interdire les séances publiques de magnétisme animal . Rapport de la Commission à laquelle a été renv
es maîtres, le malade pour le médecin, le criminel pour les juges, un animal pour le zoologiste. Mais tout le monde ne sait pa
e comparée qui se font suite et se complètent : l'un sur les colonies animales , l'autre sur les sociétés animales. Avant de qu
complètent : l'un sur les colonies animales, l'autre sur les sociétés animales . Avant de quitter la France, il me reste à parl
e correction à une époque où l'on a promulgué une loi protectrice des animaux ! L'écolier n'aurait-il pas droit à la protection
x ! L'écolier n'aurait-il pas droit à la protection qu'on accorde à l' animal ? Ajoutons que le châtiment corporel est tout à
ui nous entend et nous comprend : pourquoi agir avec lui comme avec l' animal qui ne nous comprend que très imparfaitement et q
lligence, a volonté, à la sensibilité, .Que sert d'avoir affaire à un animal raison-nable, si l'on n en utilise pas la raison
raison-nable, si l'on n en utilise pas la raison ? Traiter l'homme en animal , c'est « priver du précieux concours de ses facul
ue l'on hypnotise dans le seul but de les montrer au public comme des animaux . 11 m'a paru intéressant d'appliquer la suggest
UE De l'opportunité d'interdire les séances publiques de magnétisme animal . — Rapport de M. Masoin (Suite et fin). A notre
s climats, plongés dans un sommeil léthargique comparable à celui des animaux hibernants. A l'appui de sa communication, M. L
anie avec hallucinations, guérie par la suggestion. 327. Magnétisme animal (le), étudié sous le nom de force neurique. par
), étudié sous le nom de force neurique. par Baréty, 22. Magnétisme animal (le), la fascination et les états hypnotiques,
Opportunité (de l') d'interdire les séances publiques de magnétisme animal , par Masoin. 342. 368. Orthopédie morale, 180.
. Santé (la) et l'éducation, 318. Séances publiques de magnétisme animal (de l'opportunité d'interdire les), 342. Sédent
47 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
la guérison ne s'est pas démentie. REVUE CRITIQUE Le magnétisme animal , étudié sous le nom de force neurique, rayonnante
ar le Dr L. Thomas. Delahaye et Lecrosnier, 1887. 2 fr. Le Magnétisme animal étudié sous le nom de force neurique. par le Dr
dans le texte. Oct. Doin et Le-chevallier, 1887. 14 fr- Magnétisme animal , suggestion hypnotique et post-hypnotique, par
ne façon bien nette, l'existence d'un courant propre dans l'organisme animal . D'après Claude Bernard, l'électricité se produit
nimal. D'après Claude Bernard, l'électricité se produit chez tous les animaux et dans tous les muscles. On connaît plusieurs es
il suffit que je le mette en étal de rapport avec les personnes, les animaux et les objets qui l'entourent pour qu'il les voie
us le nom de force neurique dans mon récent ouvrage sur le Magnétisme animal (i), et je crois avoir prouvé surabondamment dans
dans le corps du sujet qui sert d'intermédiaire, qu'il soit homme ou animal . Nous la voyons s.-propager le long de certains o
orps du sujet neurisateur dans celui du sujet intermédiaire (homme ou animal ) ou dans la substance d'un objet quelconque. Ce
ont été figurés sur certaines images religieuses. (1) Le.Magnétisme animal étudié sous le nom de force neurique rayonnante e
istence de la force neurique. (i) Voyez mon livre sur le Magnétisme animal , déjà cité. REVUE CRITIQUE Essais de Psycho
arée, où sont analysés les phénomènes intellectuels observés chez les animaux et rapprochés de ceux que présente l'homme même:
s, tantôt par l'expérimentation, la psychologie générale s'étend de l' animal le plus infime jusqu'à l'homme. M. Richet ne crai
fouet sur lui, le tremblement est un réflexe psychique. Est-ce que l' animal tremblerait, si le fouet n'éveillait en lui la no
enterghem. Cet auteur y expose en abrégé l'historique du magnétisme animal , définit la transmutation du mesmérisme en hypnot
qu'en 1852. Il s était spécialisé dans les questions de mécanique animale et d'oph-thalmologie. Parmi ses principales publi
ses principales publications, nous citerons : Principes de mécanique animale , ou étude de la locomotion chez l'homme et les an
s de mécanique animale, ou étude de la locomotion chez l'homme et les animaux vértèbres, Paris, 1858; — Physiologie et patholog
trouve à quelques cent mètres sous le vent d'un daim ou de tout autre animal , il perçoit sa présence. Les particules odorantes
ième de grain ; les nerfs n'en transmettent pas moins au cerveau de l' animal une impression qui se traduit par des actes extér
nous avons saisi de nombreuses analogies. Nous avons rappelé que les animaux , l'homme lui-même, étaient parfois l'instrument d
nt frappant entre les appareils d'électricité et certains organes des animaux supérieurs : le muscle, véritable pile par sa con
métalloscopie, la magnétothérapie, l'élec-trothérapie, le magnétisme animal , mettra au grand jour cette énergie nouvelle de l
tif, et ont un rayonnement négatif. Les êtres vivants, l'homme, les animaux et les végétaux possèdent les deux modes du rayon
ce (nous l'avons déjà dit pour l'homme) et négatifs par d'autres. Les animaux , comme 1 homme, sont positifs sur la moitié gauch
m tremens. Vomissements répétés. Hallucinations nocturnes enrayantes. Animaux nombreux qui l'épouvantent. Gendarmes qui viennen
celui que Mesmer produisait et auquel il donnait le nom de magnétisme animal . Braid appliqua l'hypnotisme à la thérapeutique e
uteur, après avoir étudié la littérature si étendue sur le magnétisme animal , s'est rendu à Nancy pour profiter des leçons cli
ur l'équilibre de l'organisme? Première remarque : l'évolution de l' animal , — de même que celle du végétal, d'ailleurs, — su
aim et le froid. REVUE CRITIQUE Un livre italien. Le Magnétisme animal la fascination et les états hypnotiques, tel est
à une sorte de synthèse de toutes les données relatives au magnétisme animal ; c'est l'explication pure et simple des phéno-
hystériques qui dorment sont jusqu'à un certain point semblables aux animaux hibernants. C'est contraire aux lois de la natu
pour déterminer la production [des phénomènes habituels du magnétisme animal . Pour leur prouver la réalité de sa théorie, il
té du sommeil nerveux, considéré dans ses rapports avec le magnétisme animal et relatant de nombreux succès dans ses applicati
nté sur tous les sujets qui se présentaient. Bien que le magnétisme animal doive sa sanction scientifique a Charcot, la psyc
om-ment : on presse avec l'autre main sur la mâchoire inférieure de l' animal , de façon à faire sortir les yeux hors de l'orbit
imple : ils pressent fortement avec deux doigts, près de la tête de l' animal , et il s'endort immédiatement: j'en ai fait l'exp
ité, par leurs actes obscènes et contre nature, par leur gloutonnerie animale qui les porte à se satisfaire par les moyens les
De l'opportunité d'Interdire les séances publiques de magnétisme animal . Rapport de la Commission à laquelle a été renv
es maîtres, le malade pour le médecin, le criminel pour les juges, un animal pour le zoologiste. Mais tout le monde ne sait pa
e comparée qui se font suite et se complètent : l'un sur les colonies animales , l'autre sur les sociétés animales. Avant de qu
complètent : l'un sur les colonies animales, l'autre sur les sociétés animales . Avant de quitter la France, il me reste à parl
e correction à une époque où l'on a promulgué une loi protectrice des animaux ! L'écolier n'aurait-il pas droit à la protection
x ! L'écolier n'aurait-il pas droit à la protection qu'on accorde à l' animal ? Ajoutons que le châtiment corporel est tout à
ui nous entend et nous comprend : pourquoi agir avec lui comme avec l' animal qui ne nous comprend que très imparfaitement et q
lligence, a volonté, à la sensibilité, .Que sert d'avoir affaire à un animal raison-nable, si l'on n en utilise pas la raison
raison-nable, si l'on n en utilise pas la raison ? Traiter l'homme en animal , c'est « priver du précieux concours de ses facul
ue l'on hypnotise dans le seul but de les montrer au public comme des animaux . 11 m'a paru intéressant d'appliquer la suggest
UE De l'opportunité d'interdire les séances publiques de magnétisme animal . — Rapport de M. Masoin (Suite et fin). A notre
s climats, plongés dans un sommeil léthargique comparable à celui des animaux hibernants. A l'appui de sa communication, M. L
anie avec hallucinations, guérie par la suggestion. 327. Magnétisme animal (le), étudié sous le nom de force neurique. par
), étudié sous le nom de force neurique. par Baréty, 22. Magnétisme animal (le), la fascination et les états hypnotiques,
Opportunité (de l') d'interdire les séances publiques de magnétisme animal , par Masoin. 342. 368. Orthopédie morale, 180.
. Santé (la) et l'éducation, 318. Séances publiques de magnétisme animal (de l'opportunité d'interdire les), 342. Sédent
48 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
es règnes minéral et végétal, de l’instinct quand il procède du règne animal , et de l’intelligence quand il part du cerveau de
ents de la pile qui les produit ? pile minérale , pile végétale, pile animale ; car il vient d’être démontré par M. Becquerel ,
étal devait différer de celle que produisent des éléments végétaux ou animaux , et que l'électricité cérébrale humaine pouvait p
par la publication d’une brochure remarquable intitulée : Magnétisme animal et somnambulisme magnétique. Membre correspondant
qui convient aux sujets qu’il doit traiter. La Théorie du magnétisme animal , qu’il publie par articles successifs dans chaque
e sa portée. Les êtres qui occupent le plus haut degré de l’échelle animale sont ceux dont la vie fœtale est la plus longue r
aire (action dite encore aujourd’hui des impondérables sur l’économie animale , — le feu des alchimistes) ; avec les mystères re
je déguiserai l’emprunt par une épithète ; je dirai fluide magnétique animal , ou bien électricité vitale. Toi physiologie, ma
’il est possible de savoir enfin à quoi s’en tenir sur le 'magnétisme animal , si depuis soixante-douze ans il a fourni à scs n
ce pour nous qu’il nous offre les moyens de réhabiliter le magnétisme animal ... s’il existe. Ce défi a excité, comme on deva
ès-variés, ont opéré non seulement sur des hommes, mais aussi sur des animaux ; et, certes , quant à ceux-là, on ne pouvait ni
M. Mabru termine son prétendu résultat de l’enquête sur le magnétisme animal : — « Un membre de la Société mesmérienne , env
umanité, nous constatons aujourd'hui la nullité absolue du magnétisme animal . » Rectifions quelques inexactitudes, pour ne r
. Auzoux et Mabru , maintenant convaincus de la nullité du magnétisme animal , se retirent d’une enquête pour eux désormais san
rcle complet, elle disparut. C'étaient des châteaux, des maisons, des animaux , des chevaux avec leurs cavaliers, des prairies,
actif I » (Esquisse de la mature humaine, expliquée par le magnétisme animal . Paris, 1S26.) dérobent au commun des hommes. »
, devoir diviser l’électricité en trois sortes, minérale, végétale et animale ; c’était trop, il me rappelle à l'ordre et n’en
modernes de l’Egypte et de l’Inde? Quel est le secret des dompteurs d’ animaux féroces que nous voyons chaque jour sur nos théât
outes les merveilles des charmeurs anciens et modernes. Le serpent, animal essentiellement magnétiseur lui-même, serait-il d
nous savons construire, de nos arts et de nos sciences d’école : les animaux savent mieux construire que nous leur demeure ; i
de se développer dans chacune d’elles? Supposons que le magnétisme animal soit cette nouvelle influence. En ce cas, je m’at
J’ai donné aussi, il y a un mois un autre discours sur le magnétisme animal à une réunion des ouvriers et des maîtres de la p
u haut mal, Comm’ d'un p'til rhumatisse : Ça s’ noram1 magnélisse animal , Ou lout court magnétUse. Pour donner c’ remè
s les savants de la science officielle ; le Propagateur du Magnétisme animal d’abord, et le Journal du Magnétisme ensuite et j
es les plus étroites où ils se nourrissent de substances végétales et animales , trouva toutes ces conditions favorables dans l
lui seul suffirait, il me semble, pour prouver que dans le magnétisme animal il y a un agent physique qui est le fluide. La
as au fond la prétention de s’occuper d’autre chose que du magnétisme animal ou mesmérisme. 11 a soin de le dire lui-même en
I N’EST AUTRE QUE’ L ÉLECTRICITÉ VITALE Se « dégageant du corps des animaux , soit par émanation spon-« tanée, soit par expres
dit pas pourquoi il a préféré cette appellation à celle de magnétisme animal , qui pourrait, ainsi qu'elle, être considérée com
et nous n’approuvons en principe ni électricité vitale, ni magnétisme animal . Nous subissons l'usage, parce qu’il y a toujours
ent pas familiers. L’appareil nerveux dans l’homme et dans tous les animaux supérieurs se compose de deux grands systèmes, le
forme avec l'arsenic un composé insoluble, sans action sur l’économie animale , votre sujet homœopathiquement traité mourra bel
roduction des parties devient plus absolue. Nous reconnaîtrions que l’ animal , dépourvu de centro nerveux, chez qui chaque file
es peuvent se reformer par une espèce de végétation ; enfin, dans les animaux supérieurs où les ganglions se différencient de p
avoir recours au dédoublement de 1 être, —sans admettre la mort de l’ animal intégral et la survie d’âmes inférieures ayant pe
omen fuit en s’éloignant du corselet, par un mouve-«ssent qui, pour l’ animal complet, serait un mouvement rétrograde. Si l’on
non pas de l'encéphale. (Floues, Hscherc. sur le système nerveux des animaux vertébrés■) lière et qui se prolonge normalemen
Mais allons plus loin que M. Philips, et descendons encore l’échelle animale . Prenons un ver de terre , lombric commun , de gr
nerveuse entre les deux parties de ranimai, sans cependant trancher l’ animal en deux. L’unité d’action a disparu : la volonté
ens que ce soit, un polype d’eau douce, et chaque fragment formera un animal complet que vous ne pourrez bientôt plus reconnaî
me divisible. Si l’on refuse d’admettre le principe animique dans les animaux de degré inférieur, à quel degré commencera le pr
Les facultés que l’on attribuerait à l’âme humaine appartiennent aux animaux et ne diffèrent que par le degré. On voit donc
alade d’étendre ou de contracter volontairement les muscles de la vie animale , tandis qu’une personne étrangère peut à son gré
à l’extase, aux visions, à la lucidité magnétique , à l’instinct des animaux , aux phénomènes des tables , à ceux du crayon, e
aordinaires, telles que des villes , des édifices, des campagnes, des animaux , et surtout des hommes avec lesquels l’opérateur
plus de dupes en France par sa doctrine et sa pratique du magnétisme animal . L'engouement public fut tel que, quand il fut à
nière la plus indubitable que tous les effets attribués au magnétisme animal résultaient uniquement de cette influence qui fai
chattes, se suspendre aux branches, u imiter les cris des différents animaux , divulguer ce qu'on « doit taire, et prédire l’a
ur saison, pour reparaître ensuite sous d’autres formes, végétales et animales , et plus tard, sans doute, en la forme humaine. E
différentes formes de la vie, dans les minéraux , les végétaux , les animaux et l’homme, que l’on ne précise la séparation des
ritique observateur de la cristallisation, ¿ans les règnes végétai et animal , regarde la combinaison de certains éléments comm
trou\ent dans cha- cnne d’elles dans les règnes minéral, végétal et animal , tandis que tons se combinent harmonieusement dan
de magnétique. — Voici la définition de M. Auguez ; « Le magnétisme animal est une manifestation passagère de la domination
ictionnaire de Théologie, de Borgier, nouvelle édition, v" Magnétisme animal . fort estimable, enchanté de la superbe relatio
t chargé, il sut trouver assez de loisir pour s’occuper du magnétisme animal ; il apporta dans cette étude l’esprit d’observat
uve d’un côté que de l’autre. La magnétisation d’un guéridon , d’un animal ou d’une personne , est absolument la même chose
e consiste à dire que le langage des tables est un fait de magnétisme animal et même de somnambulisme ; que tout ce qui émane
ssède pour communiquer avec les hommes, c’est le magnétisme. Certains animaux comme certains hommes sont doués d’un fluide qui
o et délie lu vole dan-tanti e parlanti. (La Vérité sur lo magnétisme animal , ou ojpllootiuns rationnelles des phénomènes du m
ns. Dans le chapitre 111, il définit ce qu’il entend par magnétisme animal , et il s'explique sur la cause qui le produit. Ce
as les plus ordinaires. 11 s’occupe ensuite de la magnétisation des animaux et des végétaux. Nous remarquons cette expérience
haumaturges, 50, 165, 231,360, 540, 609. Imitation du cri de divers animaux dans l'état somnambulique, 505. Jeux de mots de
ait, 157. — Observation par M. Max, 524. Verita (la) sul Magnetismo animale . Compte-rendu de cet ou-vrage, par M. A. S. Morin
49 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
es nocives chez les . ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 29 animaux bien portants que chez les sujets mal nourris. Il
es quadri- jumeaux sous l'influence de l'intoxication prolongée des animaux (souris) par l'éther ; elle ne s'est pas préocc
s, tués par décapitation ; immédiatement nous ouvrions le crâne des animaux ; les tubercules quadrijumeaux postérieurs et anté
e l'idiote est tout à faitrudimentaire; inférieure même à celle des animaux les plus intelli- gents, et réduite aux instinc
vés de leurs glandes sexuelles ; on la retrouve chez la plupart des animaux châtrés ; elle était particulièrement évidente
plus récemmentsur cette destruction des cellules nerveuses chez les animaux âgés, et on a prétendu trouver dans les ganglio
e la destruction des cellules nerveuses par les leucocytes chez les animaux âgés, Soc. de biologie, 1898. , (2) Mahisuro, Z
-; Gehuchten et NELIS, Les lésions histologiqtles de la rage chez les animaux et chez l'homme, Le Névraxe, Bd. I. Ileft. (2
nts que la section brusque de la racine postérieure pratiquée sur l' animal et la dégénération lente de celle-ci évoluant p
la racine pos- térieure, c'est qu'ils n'ont pas laissé vivre leurs animaux suffisamment ..longtemps. En.effet, Kôster a
chez l'homme démontre une fois de plus que l'expérimentation chez l' animal ne peut faire con- naître toutes les conditions
es sortes de débordements; les uns avalent du verre, des clous, des animaux repoussants ou des matières im- mondes, 'les au
HYSIQUES, PHYSIOLOGIQUES ET PSYCHIQUES "DE LA DÉGÉNÉRESCENCE CHEZ L' ANIMAL , EN PARTICULIER CHEZ LE CHEVAL (1). ÉTUDE CLI
fait partie d'un travail d'ensemble sur la « Dégénérescence chez l' animal » qui comprend d'autres cha- pitres sur l'Be;'ë
ltés intellectuelles et la dégénères'- cence expérimentale chez les animaux . (Répertoire de Police sanitaire vétérin., juill.
enter une étude d'ensemble des stigmates de l'hérédité morbide de l' animal , et plus spécialement du cheval. Nous n'envisag
étérinaire de M. Cadéac sur la séméiologie du sys- tème nerveux des animaux (4). I Signes morphologiques OU stigmates phy
ment défectueux de l'organisme » (Magnan). Il en est de même pour l' animal , en parliculier pour le cheval. La médecine vét
ariés pour l'étude des malformations physiques et de la physionomie animale (Ouvrages d'Extérieur et traités d'Hippologie). I
(4) Cadéac, Encyclop. Séméiol., t. IL DE LA DÉGÉNÉRESCENCE CHEZ L' ANIMAL -4" 3 sager avec M. J. Séglas, dans l'examen mo
es sur l'anatomie de la mesure. Les premiers principes d'esthétique animale , dont l'origine parait re- monter à l'école de
hes sur les formes extérieures du cheval et l'étude de la mécanique animale se sont multipliées et perfectionnées. Dans le
ces faits, que la difficulté de pratiquer des mensura- tions sur l' animal ne peut gêner que la recherche des anomalies de v
904. (4) Cornevin, loc. cil., p. 487. DE LA DÉGÉNÉRESCENCE CHEZ L' ANIMAL 475 visage » (1). Le prognathisme existe chez c
HEZ L'ANIMAL 475 visage » (1). Le prognathisme existe chez certains animaux , en particulier chez le chien ; nous avons noté
rrégularités de forme de l'oreille externe ne sont pas rares chez l' animal , l'asymétrie s'observe dans toutes les espèces. C
ngénitales. 3. Nez. La mesure de l'indice nasal est pratiquée sur l' animal ; la classi- fication en platy, méso et leptorh
es dents ; ce fait, connu en médecine humaine, a été observé chez l' animal par Cornevin (1) qui « a suivi sur une famille
r trop de divisions dans cette élude. DE LA DÉGÉNÉRESCENCE CHEZ L' ANIMAL 7117 du crâne ou de la face, des malformations
riés (chevaux épilepliques, chevaux tiqueurs), représentent, chez l' animal aussi bien que chez l'homme, des stigmates anatom
ns de chats (in Cori : vemN, p. 363). DE LA DÉGÉNÉRESCENCE CHEZ L' ANIMAL 479 signalées par Cadéac (1) sont : les imperfo
ion des organes génitaux de la femelle ont été peu étudiés chez les animaux ; ils n'ont d'ailleurs, pour ellepas plus que p
toujours le résultat d'une mauvaise éducation ou du surmenage de l' animal , de la vitesse excessive qu'on exige de lui ; e
res, convulsions, tremblements... «Décrits très complètement chez l' animal par Cadéac (3), ils reconnaissent les cau- ses
e. - L'étude de l'activité réflexe paraît peu avancée en pathologie animale . Des recherches récentes (5) sur des chevaux atte
RCDLER et Ciiomel, Eludes sur les tics. DE la DÉGÉNÉRESCENCE chez l' animal 481 de troubles psychomoteurs laissent supposer
Troubles trophiques et vaso-moteurs. Bien peu étudiés encore chez l' animal , ils ne peuvent être mis en parallèle avec les gr
tics ou stéréotypies. B. Fonctions génésiques. Il existe, chez l' animal , des troubles de=. fonctions génitales qui, dans
mme et chez le cheval, ce qu'il faut entendre par le psychisme de l' animal . Le cheval possède, avons-nous dit, une écorce cé
déac, Séméiol., t. I, p. 54-55 et suiv. DE la dégénérescence cuez l' animal 483 purement réflexes d'origine bulbo-médullair
s et très peu connus en mé- decine vétérinaire, et l'hypnotisme des animaux (1), état psychique artifi- ciel provoqué par d
au mépris de tout danger. Ils s'affo- (1) C. Ciiomel, Le Magnétisme animal , Répert. de Méd. Vét.,oct., nov., déc. 1903. 48
d'indifférence et de len- teur qui est assez commun chez les grands animaux . Le défaut de courage qui fait dire que le chev
s'appuie en marchant sur ses pinces, ' DE LA DÉGÉNÉRESCENCE CHEZ L' ANIMAL 487 5. Phobies. Hallucinations. - Les phobies v
tes expérimentalement par Cadéac et Meunier par l'alcoolisation des animaux , le cheval emballé offre la variété psychomotrice
transmises. A ce titre et grâce à la sélection qui se fait chez les animaux , la race animale est moins dégénérée que la race
titre et grâce à la sélection qui se fait chez les animaux, la race animale est moins dégénérée que la race humaine. Les st
rons les stigmates des équidés épileptiques, mais il n'existe pas d' animaux idiots pour représenter le dernier degré de la
diots pour représenter le dernier degré de la dégénérescence chez l' animal ; on ne saurait même, suivant la remarque judic
la remarque judicieuse de M. J. Voisin, comparer l'intelligence des animaux , car l'animal a ordinairement un développement
icieuse de M. J. Voisin, comparer l'intelligence des animaux, car l' animal a ordinairement un développement intellectuel nor
remier essai synthétique qui est tenté sur la dégénérescence chez l' animal , de nous exposer au reproche de Bail qui estime
(1) J. Séglas, in G. B\LLEI'¡ p. 103. DE LA DÉGÉNÉRESCENCE CHEZ L' ANIMAL 489 d'observations, la fréquence de stigmates v
cherches, il sera possible de dresser l'échelle des dégénérescences animales , bien autrement instructive que l'échelle intel
imales, bien autrement instructive que l'échelle intellectuelle des animaux , et la liste des états dégénél'ati{s de l'anima
ntellectuelle des animaux, et la liste des états dégénél'ati{s de l' animal comprendra alors des visuels, des audi- tifs, d
sera ce fait important que l'accumulation de ces symptômes place l' animal dans un état d'infériorité réel, diminuant à la f
e apporte des faits nouveaux de pathologie nerveuse et mentale de l' animal et la zoo- technie à laquelle elle fournit les
ant les dents, un petit collier entoure son cou et, en arrière de l' animal , est déposée à terre une gourde de pèlerin. E
dique ; guérison (3 pl ? par A. CANGE, 283. Dégénérescence chez l' animal , en particu- lier le cheval (Des stigmates phys
i- ques, physiologiques et psychiques de la dégénérescence chez l' animal , en parti- culier chez le cheval ; étude cliniq
siques, physiologiques et psychiques de la dégénérescence chez l' animal , en par- ticulier chez le cheval ; étude cliniq
50 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ien qu'il parle comme sa langue (.maternelle. / Les tics chez les animaux . h MM. Depinay et GMt.LET. Le tic chez les anim
es tics chez les animaux. h MM. Depinay et GMt.LET. Le tic chez les animaux revêt un certain nombre de formes différentes.
à l'écurie, avec appui sur les mangeoires, le bat-flanc, etc. Les animaux paraissent se transmettre ce vice par hérédité et
tion. Un autre tic est le « tic de l'ours » : il s'observe chez les animaux à syslème nerveux impressionnable et parait aus
par la voie buccale. 11 y a aussi « le tic en l'air» dans lequel l' animal porte le nez en haut sans rien saisir avec les
le nez en haut sans rien saisir avec les dents. Chez certains gros animaux on a appelé tic testiculaire ou tic ovarique ce
re ou tic ovarique certaines habitudes vicieuses. Chez les petits animaux il existe un grand nombre de tics qui peuvent ê
gie entre certains tics que l'on rencontre chez l'homme et chez les animaux . Quant au traitement, on peut se demander si ce
maux. Il serait plus délicat à appliquer lorsqu'il s'agit des gros animaux qui sont peu maniables, mais pour les petits anim
'agit des gros animaux qui sont peu maniables, mais pour les petits animaux on pourrait ainsi arriver à leur faire perdre l
st entraîné à se décider et à agir énergiquement. Le dressage des animaux n'est qu'un art de cultiver les tirs,tel,par exem
des organes pairs, la moitié des organes impairs etc. Chez tous les animaux , chez l'enfant,chez l'hypnotisé dans certains c
ain stade, à l'unité primitive de l'amibe ... » (n. 7.) Les seuls animaux simples seraient donc ceux qui man- quent de to
te symétrie : sans remarquer que chacun des « individus », chaque « animal particulier » (p. 52) com- posant un Rayonné pr
t tout par la fonction dont dérivent toutes celles par lesquelles l' animal agit sur le milieu : la locomotion. Chez les fo
ure... De plus, la locomotion se fait toujours de telle sorte que l' animal a toujours le même région tournée vers le bas..
liers et irréguliers). 2° Dans le même embranchement, au-dessus des animaux (As- téries) dont la locomotion est lente et pe
onjugaison d'exis- tence de deux êtres simples tels que le sont les animaux inférieurs. » (p. 7). De plus, pour préparer so
tion n'ait pas, à travers les âges et les évolutions de la sé- rie animale , abouti... à la disparition graduelle... de ce
e telle sorte que la pro- gression devienne possible comme chez les animaux à sy- métrie bilatérale, c'est-à-dire formés, d
nsorielles différenciées, destinées origi- nellement à renseigner l' animal à distance sur les modifications du milieu exté
dissemblance anatomique et fonctionnelle des deux moitiés de chaque animal , dissemblance originelle, antérieure à l'appari
ILI : DU CORPS. 189 Pour fixer la « place du co-être dans l'échelle animale » » (p. 51), l'Auteur étudie l'organisation nerv
. 51), l'Auteur étudie l'organisation nerveuse « synthèse de tout l' animal » (p. 50). Après avoir remarqué que « chacun de
oir remarqué que « chacun de nos co-êtres... serait placé parmi les animaux à système nerveux continu)-, et par conséquent
able inconséquence, parmi les Artiozoaires,c'est-à- dire, parmi des animaux qui, pour lui, sont tous formés de deux individ
individus conjugués, il cherche, et s'étonne de ne pas trouver, un animal à système nerveux simple : « A en croire les cl
successif des deux yeux, de leurs centres et de leurs muscles, des animaux à vision unioculaire ou panoramique, s'est subs
supporte, autour d'un centre situé derrière lui dans le corps de l' animal . » (Wundt). Cet oeil réalise à merveille la vis
nt distincts, peut-être même pas toujours contigus ; mais, chez les animaux plus élevés, les yeux se placent t de plus en p
côté interne devenant externe, et serait ainsi inutilisable pour l' animal s'il n'y avait pas entrecroisement com- plet. C
s dans l'espace. 3° L'existence des circonvolutions chez beaucoup d' animaux : rend cette hypothèse déjà bien invraisemblabl
te de3 deux images rétiniennes dans la vision binoculaire. Chez les animaux il vision panoramique, pour que les deux moitié
ion stéréoscopique, les voies optiques sont directes. Mais tous les animaux à vision stéréoscopique possèdent aussi la visi
ridien, accusant ainsi la symétrie binaire, et précisément chez des animaux à symétrie défi- nie pentaradiée,avant qu'appar
if et l'hémisphère ani- mal i . 108 , PSYCHOLOGIE Chez fous les animaux ,dès le stade où un même paral- lèle à l'équateu
connaît d'ailleurs que l'expérience ne réussit pas tou- jours : « l' animal se développe double mais plus petit de volume »
me seulement divise cha- cun des quatre blastomètres en une cellule animale et une cellule végétative, celle-ci reconnaissa
ce d'un anneau pigmenté. La quatrième segmentation donne 8 cellules animales et 8 végétatives dont quatre,très petites et dé-
s à la théorie de la pluriindividualité (il s'agit d'ailleurs ici d' animaux rayonnes dont beaucoup présentent aussi la symé
ent donc pas d'une façon rigoureusement tranchée entre les cellules animales et végé- tatives ; les unes et les autres conse
malement. Au contraire, les blastulas provenant des quatre cellules animales vivent plus longtemps et en plus grand nombre,
onc pas absolue : chez les unes, tendance plus marquée à l'activité animale (forma- tion des cils) ; chez les autres, à l'a
GIE. tion la colonne vertébrale ..\ , a été constatée chez divers animaux » (p. 8). J'ajoute que,chez beaucoup d'autres,
uvoir vital et pathogène de la spore aspergillaire dans l'organisme animal . Contribution expérimen- tale à la récidive de
1905, vol. XXXI, fasc. III, IV.) Les expériences, faites sur des animaux , ont permis de constater que pendant les 24 pre
rovisoirement que, si la conscience d'un co-être, c'est-à-dire d'un animal simple idéal, est possible, l'Auteur n'a pas su
t possible, l'Auteur n'a pas su démontrer cette conscience chez l' animal conjugué, ce qui revenait uniquement à montrer
supériorité intellectuelle, mais, à la rigueur, admissible pour les animaux chez lesquels les co- êtres se contentent d'une
ais le rôle de l'Auteur était justement de considérer les actes des animaux qui dépassent la vie purement instinctive et d'
ont d'autant plus sévèrement subordon- nés les uns aux autres que l' animal est plus élevé. Du reste, pour que son raisonne
par analogie eût quelque valeur, l'Auteur aurait dû,ou partir d'un animal à système nerveux simple, qu'il a vainement che
aduisaient la conscience des excitations. En des- cendant jusqu'aux animaux inférieurs aux Artiozoaires, il a condamné lui-
e et thermogenèse. -Les observations calorimétriques faites sur des animaux (lapin) avec des doses graduées d'alcool ont tr
étrie, les nuances de la peau, etc. Elles démontrent que les Cormes animales se ren- conlrenl plus nu moins pures dans l'esp
e se fait à grands ren- forts de purin constitué par des déjections animales et par les matières fécales des malades et du p
u'il vaille la peine de reproduire ces éléments de défense chez des animaux inférieurs appropriés et de les em- ployer comm
as de neuro-fibromatose généralisée. Note sur laneu- ro-fibromatose animale ; par Rudler. (Nouv. Icon. de la Salpê- trière,
bservations publiées de neuro-fibromatose généralisée dans la série animale : cette affection y est rare, mais les cas décrit
e », à la « l'é- généresoence et à la criminalilé » au,« Magnétisme animal »,à à 1' Evolution et à la dissolution de l'inst
dans les familles (3e édition), i vol., 1\J0 : >; Le magnétisme animal (4 édition), traduction anglai- se, Londres et
ntrale ; par Houx, p. 441. Un cas de généra- lisée. Note sur la - animale ; par Hudler, p. 496. Neuronophagie. La ; par
r vital et pathogène de la spore aspcrgillairc dans l'or- ganisme animal . Contribution expérimentale à la récidive de
Du- pureux, p. 494. Tétanos. Voir Réactions. Tics. Les chez les animaux ; par Depinay et Grollet, p. 78. Iconographie
51 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
ffections possibles du fond de l'oeil. Enfin, on a décrit, chez des animaux , des ostéites déformantes compa- rables à celle
cas,r6ntgénisation de la région thyroïdienne, sérum, sang ou lait d' animaux éthyroïdés) ne serait indiquée pour le trai- te
tro- phie partielle du chef claviculaire du trapèze (2). Chez les animaux les expériences de laboratoire auraient tendance
u pharynx, troubles parfaitement analogues à ceux produits chez les animaux de la- boratoire, par la lésion des racines int
ès des phénomènes de parésie, d'ataxie et des convulsions, tous les animaux meurent, la souris plus rapidement que les autres
uris plus rapidement que les autres (l'auteur fait observer que les animaux jeunes résistent moins que les vieux, peut-être
en histologique). Obersteiner (1) expérimente sur 36 souris. Chaque animal est presque im- mobilisé dans une petite boîte
uris, dont on connaît la fragilité), la résistance moins grande des animaux jeunes (lapereaux), peut-être aussi, comme l'a in
a dose du sel radifère a été considérablement augmentée chez un des animaux . Les appareils ont été mis à notre disposition
épilepti- ques. Or l'expérimentation vient nous montrer que, chez l' animal , de semblables lésions peuvent, ou bien, comme
fficile d'admettre qu'elle le soit au même titre que chez les races animales , moutons ancôns et boeufs natos, qui ont été co
sélection était faite dans l'espèce humaine comme dans les espèces animales domes- tiques, ou si les circonstances ne défav
as que l'identité absolue entre les achon- droplases humains et les animaux domestiques apparemment achondro- plasiques (mo
r invoquer une étude histologique complète du système osseux de ces animaux ; seulement la démonstration de l'i- dentité des
ti, Sandri) une réduction notable de la taille et du poids chez les animaux en expérience. Voilà donc l'action hypophysaire
iment pas lieu de se préoccuper plus longtemps. - Si vous voyiez un animal (simple supposition) attribuer ses qualités remar
s une supériorité égale à celle que ceux-ci possèdent vis-à-vis des animaux , ne vous semblerait-il pas puéril de voir des ê
issu de formes ayant une structure moins compliquée, comme tous les animaux et les végétaux d'ailleurs et probablement comm
tard cette cellule furent la première ébauche de l'homme, du règne animal et végétal. Je ne me propose pas de retracer to
ubstance vivante, cette cellule qui n'appartient encore ni au règne animal , ui au règne végétal, mais qui est déjà un homme
pas, l'évolution des précurseurs de l'homme à tra- vers les espèces animales , nous arrivons aux mammifères inférieurs, c'est-à
'ontjamais fait autre chose que de se livrer à ces occupations tout animales sans s'être même trouvés dans l'obligation de l
es d'expression autres que la parole, on est amené à penser que nos animaux communiqueraient entre eux au moyen de sons arti-
d que l'on puisse déjà parler d'opérations intellectuelles chez les animaux inférieurs et que le mécanisme réflexe suffise
existe donc déjà bien certaine- ment, à l'état d'ébauche, chez les animaux , mais atteint sa plus grande étendue chez l'hom
, on sera forcé de re- connaître la supériorité intellectuelle de l' animal sur certains hommes, sur les idiots par exemple
e formé d'une impression flottante, imprécise. C'est une conscience animale . Eu résumé et c'est le premier point, l'homme sub
oleil sans procéder à aucun raisonnement conscient. Le dressage des animaux est le fruit d'une série d'ex- périences succes
ne, qu'elle fait déchoir l'homme et le place sur le même rang que l' animal . Une telle objection étant d'ordre exclusivement
rampe ne se manifeste d'ailleurs que lorsqu'il s'agit de traire les animaux . Remak, Siépliiti out, nous l'avons déjà dit, obs
toutefois loin de présenter l'intensité qui le carac- térise chez l' animal sain normal ou après section simple chez l'homme
ésions musculaires sont identiques à celles que l'on observe chez l' animal après section d'un nerf moteur : atrophie muscula
i, 1906-1908. GISIOnONI. Sur l'hypertrophie de l'hypophyse chez les animaux castrés et éthyroidés. Réf. Il Policlinico, 190
ment d'un mouton l'emplit de joie. Dans les chantiers éloignés où les animaux de boucherie sont abattus près du camp, il s'ap
animaux de boucherie sont abattus près du camp, il s'approche de l' animal au moment où on le saigne, recueille le sang da
ation entre la glande pituitaire et les glandes génitales. Chez les animaux châtrés l'hypophyse est plus grande, et au micr
s éosi- nophiles. Quelques injections de suc orchitique faites à un animal châtré font que l'hypophyse reprend son aspect
p. 699. DEUX CAS D'HYDROCÉPHALIE AVEC ADIPOSE GÉNÉRALISÉE 647 des animaux mâles châtrés on trouve le plus souvent une prédo
te éven-, tualité peut être assez prononcée surtout chez les jeunes animaux . , Yntaka Kon (1) a trouvé les hypophyses plus
ganique, c'est-à-dire de la transforma lion progressive des espèces animales et végétales, a conquis cependant l'universalité
nt conservés et restaurés, des tableaux indiquant la généalogie des animaux préhistoriques auxquels ils appar- tenaient. L'
à-vis de lui les raisonnements que l'on applique aux plantes et aux animaux les plus infimes. Il devient dès lors immédiateme
èdent pas et que la science actuelle la refuse aux protistes et aux animaux inférieurs. En relevant d'éléments matériels, la
e, intellectuel et moral. De l'homme le mieux doué à l'organisation animale la plus rudimen- taire, en passant notamment pa
er que les facul- tés humaines se retrouvent déjà en germe chez les animaux inférieurs, parler par exemple de l'âme des pro
je suis du reste un grand admirateurs pour résultat d'humaniser les animaux en ramenant leurs propriétés aux fa- cultés hum
mmes et de faire voir que leurs facultés ne sont que des propriétés animales , mais plus compli- quées et perfectionnées. Ne
la série des êtres. Au lieu de montrer que l'homme est déjà dans l' animal , proclamons que tout est animal en ramenant les
montrer que l'homme est déjà dans l'animal, proclamons que tout est animal en ramenant les facultés humaines aux propriétés
pressions différentes pour caractériser le développement mental des animaux et des hommes, et comme les termes biologiques
plissement de ses fins naturelles. I La matière vivante, homme, animal ou plante, est formée par des com- binaisons ch
ces qui entrent dans la composi- tion de tout représentant du règne animal sonl réunies en groupements atomiques caractéri
c- INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET REFLEXE 701 tionné du règne animal . qu'une sorte de registre sur lequel vont s'inscr
ait dou- ter que les forces évolutionnaires ne tendent à rendre les animaux et les hommes déplus en plus intelligents en ac
réhistoriques qui ne pos- sédaient qu'un rudiment de cerveau et ces animaux inférieurs qui n'en ont pas, l'intelligence et
s propriétés spécifiques. Le plus infime des représentants du règne animal jusqu'à l'homme inclusivement nous apparaît com
ent qui fait agir ceux-ci n'est pas également perfectionné chez les animaux supérieurs et inférieurs et que le mécanisme réfl
la matière vivante. Tel est le représentant le plus infime du règne animal ; tels sont probablement les animaux supérieurs ;
sentant le plus infime du règne animal ; tels sont probablement les animaux supérieurs ; tel est, en tous cas, l'enfant qui
lacer dans la par- tie du cerveau qui en est le siège, car certains animaux sont pourvus d'ins- tinct sans posséder de cerv
science. Le sentiment de la faim est la perception de cet état. Les animaux dépourvus de conscience et les nou- veau-nés qu
férences nombreuses dans le mode de vie et de reproduction chez les animaux sautent immédiatement aux yeux. Dans l'accompli
varie comme ses manifes- tations elles-mêmes. Il est évident que l' animal chez lequel l'odeur ou la vue (excitation mécan
és pour l'atteindre sans cesse se modifient et se transforment. Les animaux en s'adaptant à des milieux nouveaux acquièrent
réflexe. INSTINCT, HABITUDE, AUTOMATISME ET RÉFLEXE 717 Chez les animaux inférieurs, la réalisation des mouvements instinc
rapprocher ou d'éloi- gner de la source excitante des organisations animales et végétales très- simples, comme si elles étai
ues, parce qu'on ne les rencontre pas seulement au bas de l'échelle animale , mais aussi chez l'homme et les animaux supérie
ulement au bas de l'échelle animale, mais aussi chez l'homme et les animaux supérieurs dont les leucocytes par exemple subi
rs le neuvième mois. La différence essentielle entre l'homme et les animaux consistant en un développement beaucoup plus co
caractère saisissant qui permette de le classer au-dessus du règne animal . Entre lui et les animaux, il n'y a plus qu'une
permette de le classer au-dessus du règne animal. Entre lui et les animaux , il n'y a plus qu'une différence analogue à cel
eaucoup de pareilles que l'on se place non seulement au-dessus de l' animal , mais au-dessus de l'homme. Celui qui n'en a pas
as encore rem- porté et ne comprend pas est bien plus près du règne animal qu'il ne se l'imagine, l'inconscient qui se leu
et se reproduire ; il se suffit à lui-même aussi bien dans le règne animal que dans le règne végétal 'et l'élément « idée »
ps déjà, on ne trouve plus de démarcation entre les végétaux et les animaux . La vie n'est qu'une ma- nifestation de l'énerg
ait mouvoir, qui lui est particulier et ne se rencontre ni chez les animaux ni surtout dans le règne végétal. Nous voyons c
in, bien qu'elles ne possèdent pas d'esprit. Nous voyons encore des animaux employer des moyens ingénieux pour capturer leu
anisée, puisqu'ils. n'ont pas d'esprit. L'homme est supérieur aux animaux , c'est entendu. Il parle, il pos- sède deux pie
a un abîme entre le lion et la baleine et ce sont cepen- dant deux animaux et même deux mammifères. Pour connaître l'anatomi
ans l'espèce humaine et la phy- siologie nerveuse, on opère sur des animaux , des embryons de vache, des souris, des pigeons
matière et même les organes étant sen- siblement les mêmes chez les animaux supérieurs et chez l'homme, qui oserait prétend
ant chez le second ? Qui oserait soutenir que l'homme supérieur à l' animal par l'intelligence lui est cependant inférieur pa
52 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
ment. C'est au premier chapitre une histoire complète du magnétisme animal , à propos duquel l'auteur évoque les énigmatiques
mer, de Puységur. de l'abbé Faria. de Xoizet. de Berna. Au magnétisme animal succèdent l'hypnotisme et la suggestion depuis Br
, je suis souvent tenté de lui appliquer : L'homme est avant tout, un animal hypnotisable ». En effet, quand il ne rencontre p
ient en cela à quelque instinct obscur analogue a celui qui porte les animaux de certaines espèces à faire des provisions. Les
ed avant l'entorse. M. Moret. médecin-rétérlnalre : Du dressage des animaux envisagé an point de vue psychologique. SI Quin
et de la nature saura réaliser plus tard. Nous ne disons guère d'un animal qu'il espère telle ou telle satisfaction ; ce ser
des fleurs offre aux insectes un point de repère qui permet à chaque animal de retrouver l'espèce qui lui convient, et d'effe
e, M. Bergson écrit que les-fonctions végétatives et celles de la vie animale , bien qu'issues d'une même origine, opèrent des m
p. II : « Les directions divergentes de l'évolution... La plante et l' animal . » ments de régression, relativement au rythm
anté sans en savoir les conditions biologiques. Passant de l'érotisme animal au mysticisme le plus exalté, il oscille entre de
un érotisme déprimant, mais en observant que pour s'élever de l'étape animale que l'on nomme « l'égolsme à deux » à l'étape hum
d contre l'entorse. M. MOBET. médecin-vétérinaire : Du dressage des animaux envisagé au point de vae psychologique. M LEPIXAY
redis à cinq heures, à partir du vendredi 14 janvier. Psychologie des animaux . M. Lépinay, médecin-vétérinaire, professeur.
rofesseur. Objet du cours : Les diverses formes du langage chez les animaux . Les mardis à cinq heures et demie, à partir du m
ofesseur. Objet dn cours : Le cerveau, orgine de la pensée chez les animaux supérieure. Les mardis à cinq heures, a partir du
chez les hystériques pendant l'hypnose. M. ?????. — Du dressage des animaux envisagé an point de vue psychologique. M. le P
ux de pouvoir soutenir l'opinion de M. Podiapolsky. Du dressage des animaux , envisagé au point de vue psychologique par M
abituellement étudiés dans votre Compagnie. Je vais vous parler des animaux et de leur dressage ; si vous jugez que ma commun
regretterai pas d'avoir négligé mes hésitations. Dans la série des animaux domestiques, je fais, pour les besoins de ma thès
voi à son article. Première catégorie : Celle comprenant tous les animaux qui vivent près de l'homme, en une liberté relati
je ne vous parlerai pas aujourd'hui. Deuxième catégorie : Celle des animaux vivants en domesticité absolue sans liberté matér
rs vécu et vivant toujours — ou presque toujours — à l'attache. Ces animaux sont incapables de raisonnement, leurs actes prop
tres allures que ceux compatibles avec le jeu normal des muscles de l' animal . Le cheval ne raisonne pas, mais son cerveau es
la vie sexuelle des femmes. Moret, méd.-vétérinaire : Le dressage des animaux suite de discussion). Les mémoires extraordinai
urée du long hiver, celui de dépenser le moins possible de sa chaleur animale ; pour cela il tache de moins manger, de moins bo
se répercuter dans son organisme par une dépense superflue de chaleur animale , ce qui à son tour appellera nécessairement une r
re et les fonctions cérébrales à l'état normal, ou si, comme chez les animaux ayant les mêmes habitudes, ils sont dans un certa
on congrue. En cela, Us présentent la plus complète analogie avec les animaux hivernants dont tonte l'activité se trouve à l'ac
ations moléculaires qui animent les corps agissent sur la sensibilité animale , lorsque leur rythme a une affinité avec les mouv
s ont été depuis longtemps contredits par les faits. L'homme est un animal raisonnable, mais bien souvent il est moins guidé
par M. le professeur Edmond Perrier, dans son livre sur les Colonies animales et et la formation des organismes, ont jeté de vi
n intérêt capital en groupant dans son livre VAnaiomie et physiologie animales tous les faits acquis qui servent actuellement de
e l'hypnotisme. 4° La communication de M. Moret sur le dressage des animaux au point de vue psychologique, maintenue à l'ordr
ominer chez nous & tour de rôle la forme mécanique, végétative ou animale de la motilité biologique. Or l'hypothèse fondame
ies et tous les temps sont solidaires. Sans le concours des fonctions animales , végétatives et minérales qui ont organisé l'éche
rolongent, l'attitude et l'allure individuelles prennent un caractère animal et rétrograde. L'homme essoufflé n'est plus un ho
l est considéré surtout an point de vue de la satisfaction égoïste et animale et il peut s'accomplir avec différentes partenair
i par la suggestion narcotique. 4. M. Ismael ?????. Du dressage des animaux et, en particulier, du cheval monté. Discussion
seur h l'Ecole de psychologie Chez l'homme, aussi bien que chez les animaux , l'audition sans cesse en éveil, s'intéresse mome
ement qu'on considère l'ouïe comme l'organe de la protection chez les animaux et qu'on l'a appelée le sens de la vigilance. Son
ent aux suggestions comme s'ils étaient hypnotisés. Du dressage des animaux et. en particulier, du cheval monté par M. Isma
ent également de très loin la présence d'un cadavre on d'un autre animal . Son ouïe, est très fine et son oreille très mobi
es par le patin à roues, comme les végétariens ont remplacé la viande animale proscrite par une viande végétale. Avant, on gl
ement sur la pression générale). D'ailleurs les expériences sur les animaux chiens, lapins, etc., et spécialement celles entr
pour désigner des phénomènes adaptatifs rencontrés très tôt chez les animaux , phénomènes h partir desquels se différencie l'in
hiérarchique et fonctionnelle des minéraux, des plantes et du groupe animal sans admettre qu'un rapport homologue subsiste en
d'en élargir les termes supérieurs en admettant an dessus des formes animales un cinquième règne où s'ordonneront les formes sc
s élémentaires que la vie du malade et de l'ignorant recule à l'étape animale dont la rage et la peur sont l'expression brutale
ar Bridou, p. 260. Distinctions honorifiques, p. 33. Dressage des animaux , par Moret, p. 188. Dressage des animaux, par I
ues, p. 33. Dressage des animaux, par Moret, p. 188. Dressage des animaux , par Ismaël Hamet. p. 333. Ecole de psychologie
53 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ujours rappelé à son équilibre normal ; ensuite, tout le poids de l' animal est supporté par la traction des tubes en caout
Ces résultats des expériences sur notre appareil prouvent que les animaux soumis à des mouvements finissent par avoir les
les symptômes du vertige expéri- mental. Il est à remarquer que les animaux ne vo- missaient pas. Mais nous savons aussi pa
us savons aussi par les marins, qu'à des rares exceptions près, les animaux ne vomis- sent non plus, quand ils ont le verti
Mais le résultat le plus important de ces expériences c'est que l' animal se met, quant à sa respi- ration, au rythme d
ousse que le ba- teau ressent en brisant les flots, indispose l' animal plus que tout autre mouvement. Ainsi, il comm
uvements qu'on donne a l'appareil. Apres la un de l'expérience, l' animal était abattu, étendu sur place , refusant de
rande saignée, nous n'avons pas observé pendant le balancement de l' animal ni la salivation, ni les autres signes caractér
au moyen de cette canule sont à peine de quel- ques millimètres, l' animal étant au repos. Nous avons essayé plusieurs mét
armi les causes réelles. Résumé de nos expériences faites sur des animaux placés sur notre appareil en mouvement. a). Lap
comme le signe le plus important du vertige marin expérimental des animaux . Si l'expérience se prolonge, alors ils ont une
r l'appareil des secousses pendant la chute de la tête, l'état de l' animal s'aggrave, il ravale alors presque à chaque sec
symptômes du vertige marin de l'homme se sont manifestés chez les animaux pendant nos expériences, sauf les vomis- sement
rs ne se produisent pas ordinai- rement chez les chiens et d'autres animaux montés sur le bateau « la mer sur la terre ou s
e co- loration, et que nous faisons enfin des expériences sur les animaux par l'inoculation du sang, tissu cellu- laire,
e 1877), John Lulbock, Gray, ont relaté des cas semblables chez des animaux . Certains faits sont attribués par les auteurs
la gauche; ce ne sont pas là des mouvements irrésistibles, car l' animal peut parfaitement parcourir un chemin étendu en l
hez lequel on avait sectionné le pédoncule cérébral du même côté. L' animal qui n'a plus d'hémisphère gauche ne présente no
tuées, en soumettant pendant un temps assez prolongé le cerveau des animaux à la force centrifuge par une rotation forcée,
emps, il y a inégalité pupillaire, la pupille du côté vers lequel l' animal tourne, demeurant plus large. Plus tard, le rappo
ÉTÉS SAVANTES. 91 d'altération de la moelle épinière chez les mêmes animaux . On y voit que la névroglie est tuméfiée, qu'il
. Soluble en toutes proportions dans l'alcool. Expérimenté chez les animaux à sang chaud et froid avant d'être administré à
sa juste valeur. Mais en dehors des expé- riences de Valtat sur les animaux , il n'existe pas de documents anatomiques sur l
matoires. Les deux professeurs ont pratiqué des expériences sur des animaux (lapins) soit pour con- trôler celles de Valtat
nteau ne contient que très peu de fibres à myéline. Chez ces divers animaux , la partie principale du cerveau antérieur se c
orment le manteau des circonvolutions où elles se rendent. Chez ces animaux il manque ce qui complique l'anatomie des mammi
Le système des fibres en question ne s'entoure dans toute la série animale que très tard de myéline. Il n'a encore pas com
éline. Il n'a encore pas commencé son développement chez les larves animales qui ont une existence autonome, bien SOCIÉTÉS S
s la région des manchons de myéline (séries de coupes relatives aux animaux cités). C'est pour compléter la communication p
des cellules nerveuses de la moelle épinière du lapin. On injecte l' animal récemment tué avec une solution tiède d'acide c
u n'a, au surplus, aucune influence sur ce fait. Toutes les espèces animales présen- tent de ces granulations, même l'homme
'interprétation de quelques obser- vations et d'expériences sur les animaux , la raison d'être de ces divergences anatomique
nsisté en divers traumatismes : élongation, écrasement du nerf. Les animaux étaient sacrifiés à diverses périodes de temps
e malade a des frayeurs la nuit ; voit des têtes grimaçantes et des animaux de diverses espèces ; enfin il est tourmenté d'
ser nos réflexions d'après les résultats de nos expériences sur les animaux . Parmi toutes les théories qui ont été émises j
-rachidien, en faisant une ponction aux membranes de la moelle d'un animal vivant, les DU VERTIGE MARIN. 22S vaisseaux d
trouble des fonctions locomotrices. Ma- gendie, a remarqué que les animaux , après cette opé- ration, chancelaient sur leur
s par con- séquent les muscles de la nuque, alors la démarche des animaux ne présente aucune incoordination; l'animal épr
lors la démarche des animaux ne présente aucune incoordination; l' animal éprouve seulement un grand affaiblissement; il
e montrent surtout quand la respiration s'exagère et aussitôt que l' animal fait effort. Au moment de l'aspiration détermin
les centres nerveux, A la suite de la suppression de ce liquide, l' animal éprouve un grand affaiblissement; il a de la pe
u vertige marin. Nous savons déjà que quand on abaisse la tête d'un animal , le liquide céphalo-rachidien s'élève à la régi
- logique incomparable, supérieure la vivisection et à Hypnotisme animal , puisque l'animal ne peut parler. La France nous
arable, supérieure la vivisection et à Hypnotisme animal, puisque l' animal ne peut parler. La France nous menace sur ce su
it répé- ter, et même, si cela était possible, l'expérience sur l' animal ne pourrait amener à aucun résultat. Des re- ch
ulsions procursives variées, provo- quées artificiellement chez les animaux , lorsqu'on vient à inté- resser un point quelco
nège du côté opposé à la lésion. « Dans ce mouve- ment de manège, l' animal décrit un cercle de rayon variable, et le cercl
s les corps striés un centre dont l'excitation déterminait chez les animaux un mouvement de recul ; après leur ablation, il
pplication, et du volume, etdu degré d'excitabilité des régionsde l' animal . En ce qui concerne la transmission des convulsio
rentes phases de son évolution formatrice, aussi bien dans la série animale que chez l'embryon humain. Ce point en partic
e l'homme seul possède le langage articulé. Trouverait-on, chez l' animal , quelque chose d'analogue à ce qu'il y a chez l'h
es frontaux, et la circonvolution de Broca n'apparaît dans la série animale qu'à partir des anthropoïdes, en même temps que
sans avoir été alcoolisée a deux chiens et une chienne, le premier animal est chétif, le second meurt après quelques jour
54 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mènes d'excitation, puis de stupeur des centres mo- teurs, chez les animaux en expérience. L'influence purement nocive du p
venue tout à fait bien portante. Des émotions gaies chez quelques animaux . M. Albert Coutald lit une étude critique de ps
nius Rudolphus, Laurent Joubert, Louis Vives, Léon Dumont, etc. Les animaux supérieurs manifes- tent leur gaieté non seulem
et des modifi- cations de la physionomie; au contact de l'homme, l' animal a affiné son émotivité et perfectionné ses moye
droit correspondant en l'enlevant à la curette. Il laisse ensuite l' animal vivre vingt ou trente jours, puis il l'autop- s
raval. XVI. Maturité des faisceaux conducteurs de l'encéphale des animaux ; par DOELLKEK. (Neurolog. Centralbt., XVII, 1898.
ns et de chats. Colora- tion de Weigert et Pal. Etude comparative d' animaux âgés de trente-cinq jours, deux mois, trois moi
ve d'animaux âgés de trente-cinq jours, deux mois, trois mois, et d' animaux adultes. Voici quel est dans ces conditions le
exactement les zones corticales. La myélinisation du cerveau des animaux dépourvus de circon- volutions s'effectue en d'
erminés n'a pas non plus lieu exactement le même jour chez tous les animaux d'une même espèce ; tel chien, par exemple, éta
ie d'une mor- phinomane. SOCIÉTÉS SAVANTES. '1%Î Les procès aux animaux . M. Henri LEMESLE lit une étude médico-légale s
Henri LEMESLE lit une étude médico-légale sur les procès faits aux animaux pendant le moyen âge. Des sangsues, des rats, des
le de l'écorce céré- brale et la psychologie comparée dans la série animale ; puis les centres sensitivo et sensori-moteurs,
97. Massachusetts school for llze fee6le mizzclecl (Piftysecon<i animal report of the trustées of the) at Watham for th
p; elle ne dort plus, en proie à des rêves terrifiants, des rêves d' animaux surtout. Dans la journée, elle ne peut fixer un
les rides du front et des mains, le front bas, rappelant celui d'un animal , l'épaisseur des lèvres, la macroglossie, la ru-
point la dé- chéance mentale rabaisse alors l'homme au niveau de l' animal . On se demande souvent, en faisant une autopsie
tte prédisposition spéciale individuelle se retrouve aussi chez les animaux . Pour l'alcool éthylique, sur 113 lapins : 1 a
ues ou dendrites des cel- lules nerveuses de l'écorce cérébrale des animaux vertébrés adultes, traitée par la méthode de Go
ollatéraux, mais il faut remarquer, que dans l'écorce cérébrale des animaux adultes bien por- tants on rencontre parfois de
s normaux et bien développés. Dans l'écorce céré- brale de certains animaux nouveau-nés il existe un grand nombre d'appendi
t sur les recherches personnelles de l'écorce cérébrale de quelques animaux vertébrés nouveau-nés, nous pensons que chez le
e quelques animaux vertébrés nouveau-nés, nous pensons que chez les animaux nouveau-nés qui viennent au monde en état de fa
la structure de l'écorce cérébrale diffère de beaucoup de celle des animaux adultes ou de ceux qui, dès qu'il sviennent au
nt pauvres en appendices collatéraux. Dans l'écorce cérébrale des animaux adultes normaux quelques-unes des dendrites ter
rotoplasmatiques des cellules ner- veuses de l'écorce cérébrale des animaux adultes normaux sont couverts d'une masse d'app
ent dans quelques jours; c'est seulement dans les intoxications des animaux par le trional qu'il survenait comparativementv
ce eérébrale, comme phénomène post-mortem, se développe chez divers animaux normaux avec une vitesse inégale, ce qui dépend
ous nous sommes assuré, en faisant nos expériences sur dif- férents animaux (souris, cobayes, lapins). La température basse
veuses avec trouble de nutrition quelques heures après la mort de l' animal se modifient comparativement vite, donnant le t
lasmatiques des cellules nerveuses de l'écorce céré- brale chez les animaux adultes sert à démontrer l'état pathologique de
mes venu à cette combinaison à cause de ce fait que chez les jeunes animaux , qui les premiers jours de leur vie se trouvent
nséquent, l'insuffisance de développement psy- chique chez certains animaux nouveau-nés peut être mise en dépendance direct
t l'écorce cérébrale traitée par la méthode de Golgi, prise chez un animal adulte avec des modifications régressives dans
une atrophie variqueuse de ces derniers, et l'écorce cérébrale des animaux nouveau-nés qui viennent au monde dans un état
del'état perlé des prolongements protomasplatiques chez certains animaux nouveau-nés. Ainsi donc, la supposition que l'atr
ulaires et le cervelet. La gravité des phénomènes présentés par les animaux privés des canaux semi-circulaires est en rappo
des neurones, peut se résumer ainsi. Chaque segment du corps de cet animal est armé d'un ganglion divisé en deux parties,
érentes au protoplasma. Généralisant son assertion à toute la série animale , il. Bethe ajoute que la cellule, organe pureme
unes des autres, dans les collections de cellules de même sorte des animaux vertébrés. Dans les préparations au bleu de mét
ATOJIIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. lution coronaire du chien ( animal de dix jours) ; il occupe sur des coupes horizo
croit, avec M. Durand (de Gros), que le mesmé- risme ou magnétisme animal et la suggestion sont deux agents distincts, ég
ations le réveillent, le malade ressent des morsures, des piqûres d' animaux , « la reptation d'une couleuvre » (Magnan), c'e
C'est la virgule de Schultze, dégénérée, comme elle l'est chez les animaux , chez lesquels on a comprimé la moelle dans les
die les déviations et perver- sions sexuelles élémentaires chez les animaux , leurs conséquences, familiales ainsi que le cr
nséquences, familiales ainsi que le crime et la folie dans la série animale , questions neuves et du plus haut intérêt. Al
llucina- tions très pénibles de la vue et de l'ouïe : il voyait des animaux fantastiques et entendait des injures grossière
le soir, et même dans la journée, il a vu du feu, des flammes, des animaux , de petits bonshommes qui dansaient et se moquaie
PATHOLOGIQUES. LXXI. De l'excitabilité de l'écorce du cerveau des animaux nou- veau-nés ; par W. de BECHTEREV. (Neurolog.
chien et même chez le chat, parfois tout aussi excitable que chez l' animal adulte, Telle est la raison des nouvelles études
Bechterew sur le développement des centres moteurs de l'écorce des animaux nouveau-nés. Chez les jeunes chiens de zéro à vin
rès nombreux souvent accidentels ; à côté du degré de maturité de l' animal en expérience, il y a des variations individuel
es résultats obtenus par les auteurs, pour une seule et même espèce animale . Bary a vu aussi les contractions lentes et tra
uscle est, chez le nouveau-né, notablement plus lon- gue que chez l' animal adulte. Il n'y a pour ainsi dire pas de diffé-
ition de l'oeIl ou du nerf optique. Il faut se défier des espèces animales , des dispositions anato- miques spéciales qui l
hterew). La première muti- lation entraine une cécité incomplète; l' animal voit et évite certains objets, présente quelque
On peut distinguer dans le noyau du facial, chez presque tous les animaux , trois groupes de cellules : un groupe interne ou
nces observées dans les cons- tatations recueillies chez ces divers animaux , que le noyau du facial supérieur est situé à l
rait différente, au premier examen, de celle du même noyau chez les animaux qui ont servi aux recherches précé- demment exp
s du 25 mars 1900.) COURTADE (D.). - L'irritabilité dans la série animale . - Volume in-8., cartonné de ZiG pages. - l'IIX
par Onoflio, 311. Cérébrale. Excitabilité de l'écorce - citez les animaux nouveau- nés, par Bechterew, 505. CÉRe.13ROPL
bral, par Sciam- mana, 310. Pmx Aubanel, 439. Procès. Les - aux animaux . par Lemesle, 177. Protubérance. Tuberculose
55 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des cellules des cornes antérieures de la moelle de l'homme ou des animaux , ont une disposition concentrique autour du noy
physiologique évidente, par exemple celle du lobe olfactif chez les animaux osmatiques, et celle du langage articulé chet H
ltante phénoménale d'innombrables fonctions d'unités cellulaires, l' animal s'apparaît à lui-même comme ne faisant qu'un se
araît être pour l'homme la seule sensible, quoique nous voyions des animaux sans écorce cérébrale encore capables de beauco
MPORAINES.. 109 « le siège principal de l'intelligence ». « Chez un animal pu- rement spinal, tel que l'amphioxus, il ne p
étermine une hémianopsie corticale qui ne s'amende jamais. Chez les animaux nouveau-nés, avant tout exercice notable des se
ou du sens articulaire, on doit pouvoir les détruire impunément : l' animal verra avec les éléments d'autres régions cérébr
qu'on réussit à enlever entièrement les cen- tres de la vision de l' animal peu après sa naissance, il est et demeure aveug
le cerveau. « Mais l'es- sentiel, c'est que les expériences sur les animaux nouveau-nés con- tredisent la doctrine de Wundt
cipales : 1° Etudes faites sur les cerveaux des différentes espèces animales ; 2° faits anatomopathotogiques. La première p
ssaires pour l'intelli- gence de ce qui va suivre. Chez de nombreux animaux jeunes, l'auteur enlève tantôt un hémisphère, t
au ». Dans la couche optique, chaque noyau possède comme chez les animaux un centre trophique qui se trouve dans une région
draxile ou nerveux. La couche externe de l'écorce du cerveau de ces animaux et de l'homme ne lui a pas présenté les cellule
dans la commissure antérieure de la moelle, en particulier chez les animaux inférieurs, et dans les cellules apo- laires :
men). Des- cription très détaillée des phénomènes présentés par ces animaux ; nous ne pouvons que les résumer. Ce sont : par
rattement, c'est-à-dire que lorsqu'on frotte la peau du thorax de l' animal , la patte postérieure du même côté se fléchit d
ire ; cet amaigrissement contraste avec l'em- bonpoint général de l' animal vivisecté. Chez un des chiens (section de la mo
se rapprochent de cer- taines pseudo-grossesses observées chez les animaux . VII. LES rêves CHEZ LES HYSTÉRIQUES; par ESCAN
tait pas vindicatif, partageait avec ses camarades, jouait avec les animaux . Une rêvait que de travailler pour avoir de l'arg
t peu à peu celui de prolongements protoplas- miques. Chez d'autres animaux , cette différenciation entre le prolonge- ment
nt du physiolo- giste agirait sur le même point que la volonté de l' animal ». La préoccupation constante des anatomistes e
. III. On peut admettre, avec quelque réserve, que, dans la série animale , les fonctions psychiques sont liées aux cellules
longements protoplas- miques. - V. - Plus on s'élève dansla série animale , plus la « cellule psy- chique grandit et se co
8 REVUE CRITIQUE. 1 cellules semble être en rapport avec celui de l' animal : la poule et le lézard ont des cellules pyrami
organes fussent plongés dans l'état de repos au moment de la mort ( animaux sacrifiés après un long 302 REVUE CRITIQUE. s
REVUE CRITIQUE. séjour dans l'obscurité) ou qu'ils fussent excités ( animaux exposés plusieurs heures au soleil). Toutefoi
aux cellules pigmentaires et chromatophores de la peau de certains animaux : ces cellules, contractiles, étendent leurs ex
est des intoxications, on a constaté le rôle étiologique de poisons animaux , végétaux, métalliques, gazeux des auto-intoxic
une façon chronique un chien, à l'aide d'injections de morphine : l' animal a présenté le tableau clinique du tabès; à l'au
temps à autre une nouvelle intoxication. L'expérimentation sur les animaux apprend aussi qu'une nouvelle intoxication prod
animaux apprend aussi qu'une nouvelle intoxication produit chez un animal déjà empoi- sonné une accélération du processus
, son hypothèse sur l'étiologie toxique des accès, remarque que les animaux empoi- sonnés par des toxines bactériennes prés
mand, M. VViedersheim, a réussi à observer la cellule nerveuse d'un animal inférieur pendant son activité, et il put const
vec l'activité psychique. Il est à remarquer que le nerf visuel des animaux inférieurs est beaucoup plus pauvre en conducte
d'images visuelles est plus considérable chez l'homme que chez les animaux . 346 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Puisque les voies
e développent avec la plus grande régularité, en même temps que l' animal approche graduellement de l'époque à laquelle il
larges cellules motrices. Quant au stratum granuleux interne, que l' animal ait ou n'ait pas à sa naissance la faculté de s
plus nettement possible de voir s'établir au sur et à mesure que l' animal arrive à l'époque où il pourra marcher sont celle
ce procédé on peut durcir et colorer en bloc des cerveaux de petits animaux et des morceaux de cerveaux d'animaux de moyenn
n bloc des cerveaux de petits animaux et des morceaux de cerveaux d' animaux de moyenne grosseur. Pour les gros animaux on p
s morceaux de cerveaux d'animaux de moyenne grosseur. Pour les gros animaux on pratique des sec- tions perpendiculaires à l
ctionnelle DES CENTRES MOTEURS corticaux DU CERVEAU CHEZ DIFFÉRENTS ANIMAUX ; par WeSLEY-MILLS. (New- Yo2·lcDlediccdJourlzcc
dans lesquels se trouvent les centres de la tête et des membres, l' animal marche à peu près dès que les effets de l'anest
on très différente, suivant que l'on parle de telle ou telle espèce animale , et surtout s'il s'agit des oiseaux. Il est évi
x. Il est évident pour lui, après de nombreuses expériences sur des animaux très divers, que la loca- lisation atteint chez
maux très divers, que la loca- lisation atteint chez les différents animaux des degrés très varia- bles et que les centres
rvus des centres corticaux moteurs ordinaires. Chez tous les autres animaux dont il a été question dans ce mémoire, l'auteu
nt une distribution diffé- rente, bien qu'analogue, chez différents animaux ; 3° les mouve- ments sont plus facilement prov
élaborés et leurs cen- tres s'épuisent moins aisément chez certains animaux que chez certains autres; 4° la'situation exact
ation exacte des centres moteurs est d'au- tant mieux définie que l' animal est situé plus haut dans l'échelle des êtres :
ns individuelles. En somme, on doit reconnaître chez les différents animaux (et, jusqu'à un certain point chez les différen
onnement cortical : on peut démon- trer, en outre, que chez un même animal tous les centres ne sont pas également bien org
eurs et les centres inférieurs chez l'homme aussi bien que chez les animaux . Evidemment les centres corticaux sont relative
out se résout par une question de degré pour l'homme comme pour les animaux inférieurs, et c'est ce que l'auteur a voulu dé
ur les poissons, de Christiani sur les lézards; on sait que sur ces animaux la thyroï- dectomie amène une cachexie particul
duisent directement des poisons dans le tube digestif. La chair des animaux , le bouillon sont toxiques à un degré plus ou m
t réussi que dans un nombre res- treint de cas à provoquer chez des animaux normaux, par la seule irritation des vaso-moteu
pelé à un grand développement que l'étude empi- rique des instincts animaux ; 4* des études de physiologie générale avec exp
56 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
connue, S... a eu une attaque convulsive : vertiges, cris " comme un animal , » projection en avant, perte de connais¬sance, c
France, on a déjà vu des essais ana¬logues, ayant trait à l'anatomie animale et végétale, mais ces publi¬cations sont loin de
J'ai cru convenable de faire un certain nombre d'expériences sur les animaux . Si la figure de l'assassin, ou seulement un déta
e¬vant de leurs yeux, dans les derniers moments de l'existence de ces animaux . Avant d'agir, et pour me bien renseigner sur l
e-deux heures après sa mort. J'ai fait dix-sept expériences sur des animaux , au moment de les sacrifier, soit par la pendaiso
être examinés que vingt-quatre ou quarante heures après la mort des animaux . Je praliquais alors tantôt une section circulair
es formes bizarres imitant plus ou moins bien l'apparence d'hommes, d' animaux ou de plantes! Je dois ici pousser plus loin l'ex
t à la même espèce que le taenia de Mayotle. Parmi les ces-toïdes des animaux , le lœnia cucumerina du chien (ou le tœnia el-lip
riser. Ce traitement trouvé par Bertolus dans ses expériences sur les animaux a, paraît-il, une efficacité réelle. " Un jour, é
s trouver au moins " plusieurs tœnias dans son intestin, car tous ces animaux en ont. » Le chien mort, nous faisons l'entérotom
ivement. La suture des os, après avoir été tentée avec succès sur les animaux , a réussi également chez l'homme. 11 n'en est pas
alentissement dans la marche des accidents. II. Expériences sur les animaux . Extrait de fève de Calabar Alcool..........
0*',30 50 grammes. plus régulière ; les convulsions diminuent. L' animal urine. — 10M5-55: les convulsions persistent. Le
on. — 10h55 à 11M5 : la paralysie du mouvement a diminué peu à peu, l' animal essaye démarcher. Parfois de petites convulsions.
demi à 1 heure : selle solide peu abondante. A partir de ce moment, l' animal s'est re¬mis progressivement, et à trois heures,
onvulsions généralisées ; urines abon¬dantes, blanchâtres ;jetage ; l' animal se tient couché sur les quatre pattes; oreilles f
vulsions paraissent avoir leur maxi¬mum. Larmoiement très-prononcé: l' animal ne paraît plus voir. — 10h35-40 : l'animal est co
rmoiement très-prononcé: l'animal ne paraît plus voir. — 10h35-40 : l' animal est couché sur le côté gauche. Bésolution com¬plè
diminuent. Mort à 10h45. Dans la première partie de l'expérience, l' animal a reçu 16 milli¬grammes d'extrait de fève de Cala
t trois minu¬tes plus lard de 40 gouttes de la solution d'atropine. L' animal a éprouvé les mêmes symptômes que le précédent. I
on d'atropine (8 milligr.). — 10bl5-20 : nul phénomène particulier. L' animal se gratte le nez, le frotte par terre, lèche sa p
h35 : tremblement généralisé; parésie du train postérieur. — 9h40 : l' animal est couché sur le ventre; convulsions cloniques f
, ni urines, ni salivation, etc. — 10M5 : amendement des accidents. L' animal se traîne un peu sur les pattes de devant.— 10h30
.—5hl 2 : convulsions; selles, urines.—5M5 : convulsions générales; l' animal tombe sur le côté. —5h20-25 : même situation grav
10b20 : après avoir eu des convulsions dans les pattes de derrière, l' animal est tombé sur le côté droit, puis s'est relevé su
r. Après avoir éprouvé des accidents plus intenses que le 25 avril, l' animal s'est parfaitement remis. 6 mai. 5h45: injectio
ile ; nul mouvement spontané ou pro¬voqué. — 7b20: lorsqu'on excite l' animal , les convulsions augmen¬tent. — 7h35 ; se soulève
cause interne et de. cause externe ou parasitaires. La découverte des animaux et des végétaux parasites sur la peau de l'homme
st évident que ces circonstances physiques doivent nuire aux yeux des animaux sur lesquels elles exercent leur action. » — Clot
un utérus bicorne, analogue à celui qui existe chez diverses espèces animales . Mais de plus, la cloison, dans ce cas, se prolon
être dans beau¬coup de cas, le moyen de transmission du charbon d'un animal à un autre, et d'après ces auteurs, la pustule ma
s cependant une confirmation nouvelle dans cette circonstance que les animaux eux-mêmes sont aptes à contracter l'ophthalmie, q
57 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
chez l'homme les régions dites psycho-motrices, découvertes chez les animaux par les recherches de Fritsch, Hitzig et Ferrier,
sques qu'on ne retrouve nulle part ail-leurs, dans l'écorce, chez ces animaux . Mon insistance est justifiée, je l'espère, par l
nsi que, guidée dans ses premiers pas par l'expéri-mentation chez les animaux et éclairée par la clinique, l'ana-tomie patholog
l'homme ; ce sont vraisemblablement les seules chez un grand nombre d' animaux . C'est ce que sem- (1) Gratiolet, loc. cit., p.
ée chez de très jeunes lapins. Lorsque, au bout d( quelques mois, les animaux ainsi opérés sont sacrifiés, on reconnaît que l'a
l'appa-reil des nerfs optiques, comme ils paraissent l'être chez le? animaux . Cela n'est pas en contradiction avec ce qu'ensei
pour effet l'amblyopie ou l'amau-rose croisée. Mais il s'est agi là d' animaux dont les axes ocu-laires sont dirigés en dehors e
longtemps (1) que les troubles moteurs pro-duits chez la plupart des animaux par la destruction méthodique des diverses partie
entre autres circonstances, de l'espèce plus ou moins inférieure de l' animal , de son âge plus ou moins avancé. Ainsi, l'ablati
lesse à peine accentuée dans les membres d'un côté du corps, chez cet animal , est la seule conséquence d'une pareille lésion;
e M. Vulpian, par MM. Carville et Duret, les accidents, qui, chez cet animal , succèdent à l'ablation méthodique des diverses p
de ces mêmes parties. (Fig. 35.) Tenu suspendu par la peau du dos, l' animal ainsi opéré peut encore reposer sur ses mem-bres
oqués encore en faveur de l'existence de telles fibres, même chez des animaux placés assez bas dans l'échelle, le lapin, par ex
hiatrie, Bd. II. 1870, pl. VIII. nous le savons,chez de très jeunes animaux , on voit, huit mois iaprès l'ablation des parties
otrices de l'écorce du cerveau. Or, ces régions elles-mêmes, chez les animaux qui, de même que l'homme, ne possèdent à l'époque
au spinal dans toute sa longueur, opération à laquelle, d'ailleurs, l' animal ne survivrait pas. Il ne lui est guère possible,
éflexes. — Observations de Soltmann et Tarchanoff sur es cerveaux des animaux nouveau-nés doués de mouvements volontaires. — Ch
ées par MM. Bouget et Tarchanoff plaident dans le même sens. Chez les animaux adultes, contrairement aux enseignements de h p
citables de l'écorce du cerveau n'existent pas encore chez les petits animaux qui naissent aveugles et, comme ceux de l'homme,
teurs existent déjà, d'après les observations de ïarchanoff, chez les animaux qui naissent les yeux ouverts et doués de mouveme
aires. En même temps, d'après ces mêmes recherches, le cerveau de ces animaux présente un développement histologique et une con
rf, de manière à le séparer de son centre, ce nerf s'altère, chez les animaux supérieurs, suivant une direction déterminée. Ain
de cause spinale, peuvent être reproduites expérimentalement chez les animaux . Considérons, d'abord, les dégénérations secondai
moins nombreuses et moins multipliées qu'elles ne l'ont été chez les animaux , dans le travail de M. Schiefferdecker. 1° Pour
ppeler ce que nous avons déjà dit des circonvolutions motrices de cet animal . Quelles sont les parties homologues des régions
cerne l'homme; il est également-vrai que l'expérivh mentation sur les animaux fournit, dans l'espèce,- dies données!) important
transmission absolument directe. On sait aujour-d'hui (il s'agit des animaux ), qu'elle est en partie directe et en partie croi
5° Dans le cas de section des faisceaux latéraux et posté-rieurs, l' animal ne se sert que de ses membres antérieurs. Le trai
l est épargné, le membre obéit encore à la volonté ; si on l'étend, l' animal le retire (Fig. 81). C'est donc bien par les fais
nomène d'arrêt, ana-logue à ceux qu'on détermine quelquefois chez les animaux sur lesquels on étudie les diverses conditions de
lexes tendineux et, en particu-lier, celui du genou existent chez les animaux , chez le lapin par exemple, à l'état normal, tout
de même, à un moin-dre degré toutefois, de tous les muscles delà vie animale . Ceux-ci, dans les conditions dites du repos, s
rcha à vérifier ces observations sur les chiens opérés par Goltz. Ces animaux étaient en nombre et quelques-uns d'entre eux ava
tion des muscles n'est nullement affectée, 2° Les muscles de la vie animale seront seuls intéressés, ou tout au moins les mus
flexes. — Observations de Soltmann et Tarchanoff sur les cerveaux des animaux nouveau-nés doués de mouvements volontaires. — Ch
58 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
avec de grandes inquiétudes : je sentois à toute heure comme si un animal eût couru dans mon lit et m'eust touchée en div
umons paraissent suspendues ; le pouls est insensible et la chaleur animale semble entièrement éteinte; les malades sont fr
e la nuit. Pendant l'ivresse il avait des hallucinations de la vue ( animaux ) et de l'ouïe, il dor- mait très peu, avait des
gr. La proportion générale entre l'albumine végétale et l'albumine animale est de 1 : 3. Gardons-nous de leur faire ingére
ellente qualité, très soigneusement préparés, une nourriture mixte ( animale et végétale) convenablement alternée dont on es
s géométriques, du lettres, de clJill'res, d'ornements, d'hommes, d' animaux , la France doit rewucliyuer la méthode. Visitez p
s régions, la plus grande partie de l'écorce du lobe occipital. Cet animal pouvait encore fléchir la colonne vertébrale à dr
uches; l'hémiplégie, très complète, n'avait été que passa- gère ; l' animal récupéra très vite et tout à fait l'usage de ses
anmoins, la théorie des localisations n'est pas nulle, car tous les animaux qui ont survécu à des destructions symétriques
e ascendante de l'acoustique ; il est extrêmement puissant chez les animaux inférieurs, notamment t chez les poissons. Somm
d un certain nombre d'expériences qui démontrent que, chez certains animaux , le centre des mouvements coordonnés pour la ma
rque, trancher la tête à des autruches à l'aide de faulx et que ces animaux continuaient à courir pendant un certain temps.
s. Ces phénomènes se mon- trent d'une façon très accentuée chez les animaux et l'on sait, entre autres, que le singe terrif
athique abdominal, la sueur ne se produit plus dans les pattes de l' animal en expérience. Mais la faradisation du bout pér
rveuse, d'une volonté puissante qui commandait à toutes les actions animales et organiques de cette illuminée. La première f
pierres précieuses, gra- vures, etc..., spécimens de collections d' animaux , de végétaux et de minéraux. On voit combien d'
in, il fallait essayer de le reproduire par des expériences sur des animaux . Alors cette question s'impose immédiatement :
sur des animaux. Alors cette question s'impose immédiatement : les animaux sont-ils sus- ceptibles de vertige marin ? Si o
maladie ? C'est ce que nous allons étudier. I. Vertige marin des animaux . D'après les divers renseignements que nous'avo
vons obtenus des marins hellènes, il est prouvé que. la plupart des animaux sont susceptibles de vertige marin, mais ils s'
que pour les hommes il faut plus d'un an en moyenne; de plus, les animaux ne ressentent que des symptômes lé- gers. Eu
887 . Ce que nous venons de relater à propos du vertige marin des animaux ne provient que de renseignements. Pour mieux n
ible, surtout dans ceux des cuisses. Le trem- blement augmentant, l' animal ne pouvait plus se tenir sur ses pattes postéri
ons constaté que le tremblement a sensiblement diminué pour que l' animal puisse se tenir debout en soulevant les pattes po
le quelques morceaux. Mais les mouvements du bateau aug- mentant, l' animal renonce à manger, de sorte que vers la deuxième
s à la cale. Aussitôt que les mouvements de la barque commençant, l' animal prend la même posi- tion que le petit chien. Le
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. aboyait; au second, son regard change, l' animal devient furieux et se jette sur un monsieur qu'
mirent deux minutes à se remettre. Avec les premiers mouvements, l' animal commence à perdre son équilibre; son regard dev
xpériences dans ces bateaux. III. - Expériences faites sur divers animaux au la- boratoire physiologique de la Sorbonne.
expériences qui précèdent était de nous persuader qu'en effet les animaux sont également susceptibles au vertige marin. L
elques expé- riences sur la table à vivisection, en y attachant l' animal et en imprimant des mouvements antéro- postérie
DU VERTIGE MARIN. 401 brusque de la table du côté de la tète de l' animal , la respiration s'arrête en expiration; l'anima
té de la tète de l'animal, la respiration s'arrête en expiration; l' animal commence à inspirer après la montée de la table
d'un chien, ayant les deux carotides et vei tébrales comprimés. L' animal est en repos sur la table '. Fig. ? }. Tracé
res s'accommodent aux mouvements de la table, sur laquelle repose l' animal , pendant le balancement. Là où le tracé commenc
nt. Enfin, nous avons fini l'expérience en balançant de nouveau l' animal et en prenant le tracé suivant. l'ig. 33. - Lc
de l'expérience était de 37° 8. Mais durant ces quatre heures, l' animal n'a été balancé que pendant quinze minutes seul
RTIGE MARIN. 413 tout à fait irrégulières à cause des efforts que l' animal faisait; ensuite, les deux courbures, dont la d
la peau. A gauche du tracé, on voit une courbure de respiration, l' animal étant en repos. Ensuite, par l'excitation farad
MARIN. 410 l'on constate la fin du courant et les secousses que l' animal ressent après l'excitation. Après cette faradis
on simple et l'arrêt complet des respirations, nous avons balancé l' animal , en con- tinuant aussi la fara- disation. Par
tion du dia- phragme prise direc- tement. Le tracé a été pris l' animal étant en repos.. Le tracé suivant, n" 44, lep
- Respiration diaphrag- matique directe et resp. thora- cique, l' animal étant en repos. 416 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.
des pneumo- gastriques, et qu'en même temps nous ba- lançons l' animal , alors le diaphragme, la fa- radisation conti
l'arrêt de la respiration par la faradisation, nous avons balancé l' animal , et alors nous nous Fzy. Vi. Respiration diaphr
un seul nerf optique, unique sur toute l'étendue de son parcours. L' animal possédait un oeil avec ses paupières supérieure
artie supérieure du maxillaire inférieur arquée en forme de croc. L' animal , autrement normal, avait été artificiellement n
chez les singes et l'homme à la région rolandique, chez les autres animaux à la région sigmoïdienne; la seconde (zone inac
oteurs consécutifs aux lésions expérimentales produites chez divers animaux sur la substance blanche et sur la substance co
es, au diabète et aux maladies épidémiques. Burquisme et magnétisme animal (grand et petit hypno- tisme). Volume in- 18 de
59 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
aux cabiais sur lesquels il a jusqu'à présent expérimenté. Ces mêmes animaux , survivant à l'opération, sont très-souvent pris
dents épileptiformes très caractéristiques ont été provoqués chez ces animaux , comme ont pu le constater tous les médecins prés
La pustule maligne est fréquente chez les hommes en contact avec les animaux ; et quoique le sang des animaux morts ne contien
chez les hommes en contact avec les animaux ; et quoique le sang des animaux morts ne contienne pas de bactéries il n'en est p
plus simples. M. Sanson l'a donné à la dose de 10 grammes aux grands animaux de l'espèce bovine, et de 3 grammes à ceux de l'e
au de la cuisse d'un chien, d'un lapin et d'une grenouille. Les trois animaux sont morts. « Une pouvait rester de doute sur l
de soie, avec la matière colorante retirée des poumons et du foie des animaux empoisonnés. La coralline, qui avait donné lieu à
en juger par les effets rapidement mortels qu'elle a produits sur les animaux , qu'elle ne puisse, dans certaines circonstances,
s séparées, comme dans ce cas, doit être plus rare encore. — Chez les animaux , les chiens, par exemple, qui naissent les yeux f
Vésicule interne ou petite vésicule renfermant la tête et le cou de l' animal . particulière, sa couleur est celle du reste de
par M. Hayem, il fut constaté que nous étions en présence d'un petit animal se terminant du côté opposé, à son insertion vési
us de ces ventouses se trouvait le pédicule, c'est-à-dire le cou de l' animal se continuant avec la petite vésicule contenue da
olex ou larve de ce ver qui, suivant qu'il est absorbé par tel ou tel animal , produit chez lui les taenias spéciaux qu'on y a
tc. Après s'être assuré de ces différentes transformations chez les animaux dont je viens de parler en dernier lieu, on expér
res de co-chets, dont deux paires serviront à diviser les tissus de l' animal dans lequel le parasite vivra. Alors, par voie ag
dit, se terminant par une ampoule remplie de sérosité dans laquelle l' animal s'abrite. Dans cet état, il occupe le tissu cellu
le mode d'introduction et de formation dans l'économie des parasites animaux que pour celui des végétaux, tels que ceux qui se
; puis elle abordera successivement : La question de la vaccination animale ; La question de la mortalité des nouveau-nés ;
rimental du même ordre. C'est sur un cochon d'Inde qu'il a opéré. L' animal , bien portant jusque-là, mange à quatre reprises
ur et les reins exceptés. Or, il vivait au milieu de plusieurs autres animaux , dont trois de la même portée, qui n'ont présenté
très concluantes. M. Liebreich a vu l'anesthésie se produire chez les animaux après une période de sommeil, puis la mort succéd
Demarquay, n'ont pas donné les mêmes résultats. Le chloral, chez les animaux auxquels il a été administré, a bien produit une
provoquait des mouvements désordonnés et des cris de douleur chez les animaux endormis. Il en fut de même chez les malades auxq
: i° Le chloral introduit en suffisante quantité dans le sang d'un animal , produit Y anesthésie chez ce dernier, et cela sa
économie. La deuxième partie est consacrée aux forces, à la chaleur animale et aux mouvements ; La troisième traite du syst
60 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
y a-t-il là rien autre chose qu'une modalité spécifique de l'économie animale , comme dans le scrofulisme, par exemple, ou dans
utrifiés, les fatigues successives qui rendent l'homme comparable aux animaux surmenés, reste à savoir si toutes ces causes, po
la dégénération granuleuse, et, en même temps, les muscles de la vie animale , ceux des bras et des mollets, en particulier, pr
ales, Paris 1744.) T. III, p. 253 et suiv. Expériences faites sur des animaux vivants avec la bile des pestiférés ; curieux rés
u'on voit pour les affections gangreneuses cutanées communi-quées des animaux à l'homme, se développent, en général, sur les pa
entre la peste et les affections charbon-neuses considérées chez les animaux et chez l'homme. Chez les bêtes bovines, car c'es
smatique multiplie ses effets et étend sa sphère d'activité. Tantôt l' animal succombe dans l'espace d'un jour, de quelques heu
n'a pas lieu; la maladie revêt décidément le caractère typhoïde, et l' animal succombe le plus souvent. Alors même que la un
idi, le SLe degré de latitude boréale; à l'est, on ne la proche les animaux malades, ou qui ont manié leurs dépouil-les. On p
nemment propres à entretenir, à activer la décomposition des matières animales et végétales, et à accroître les propriétés délét
et égard. La pratique si originale de l'embaumement des hommes et des animaux , et quelques autres coutumes de l'antique civilis
contrées basses ou marécageuses ; là où la décomposition des matières animales ou végétales s'opère sur une grande échelle. Elle
, un nou- 1. Extrait du Journal de la physiologie de l'homme et des animaux , t. IJ, 1859, p. 108. veau phlegmon siégeant ce
pporter ici des exemples de faits si communs. Les expériences sur les animaux montrent aussi la même absence d'altération de nu
i produit celte altération. J'ai vu, au moins, plu-sieurs centaines d' animaux , survivre des mois entiers, à la sec-tion de la m
d'iclilyose cornée que M. Gurlt ait eu l'occasion d'observer chez les animaux ; mais il indique que, dans le journal de médecin
les s'observent sans doute rarement, soit chez l'homme, soit chez les animaux . Nous n'en connaissons pas, pour notre compte, d'
ors de celui que nous rapportons. Mais l'on a rencontré, sur quelques animaux , des vers appartenant à un autre genre que les hy
: les hydatides libres qui existent soit chez l'homme, soit chez les animaux , dans la cavité des membranes séreuses, et qui pa
cré-tion ; ils répondent à des phases successives de l'évolution d'un animal . Les hydatides du cœur, à l'exception de deux o
e? Non, sans doute. L'observation journalière démontre que l'économie animale se suffit très souvent à elle-même pour réparer l
constater les effets que produisent les sels d'argent dans l'économie animale . La première consiste à les injecter direc-tement
lus que, chez le cheval, les choses ne se passent pas ainsi. Chez cet animal , en effet, la mort paraît résulter, non d'une asp
rétion énorme de mucus bronchique éeu-meux, qui finit par suffoquer l' animal , sans amener d'autres accidents nerveux que ceux
errière, qui deviennent inca-pables de supporter le poids du corps; l' animal se traîne encore sur les pattes de devant, sans p
signe de douleur. Bientôt, l'asphyxie faisant des progrès rapides, l' animal tombe sur le côté, rend des tor-rents d'écume, et
hyposulfite d'ar-gent dans les veines d'un chien de taille moyenne. L' animal , qui ne semble alors éprouver qu'un malaise passa
précau-tion, l'ont conduit à des résultats fort différents. Chez les animaux qui peuvent vomir, tels que les chiens, il a pu d
c-tion de ce poison est loin d'être la même dans les diverses espèces animales . Nous avons eu nous-mêmes l'occasion de vérifier
e, dans ces conditions, deux jours de repos suffisaient pour rendre l' animal à la santé. Lorsqu'on sacrifiait ces sujets pou
s, ni même de traces profondes d'un travail inflammatoire. Chez les animaux qui ne vomissent pas, comme les chevaux, on parvi
la. Mais il est probable qu'il faut ici tenir compte de la taille des animaux mis en expérience, et c'est ce que l'expérimentat
sul-tats de ces expériences ont varié suivant les individus. Tantôt l' animal , après avoir résisté fort longtemps à l'administr
e trouvât mis directement en contact avec la muqueuse de l'estomac, l' animal se portait à merveille et manifestait une grande
s aucun cas, nous n'avons observé de vomissements. Chez deux de ces animaux , qui ont été emportés par une affection intercurr
ls se composent dans toute la longueur du tube intestinal. Chez les animaux qui ont résisté plus longtemps à l'action du nitr
attribué au dépôt de quelques parcelles d'argent dans la bouche de l' animal , au moment où l'on ingère de force les pilules qu
le foie, plusieurs mois après l'ingestion du sel caustique. Chez les animaux soumis à nos expériences, et qui avaient pris de
61 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
ts de l'égagropile se rencontrent dans les végétaux dont se nourrit l' animal . Ces espèces de calculs se trouvent surtout dan
hez le porc, chez le chat. C'est de l'appareil digestif de ce dernier animal que provient celui qui est représenté dans la Pla
de circonférence et était composé de poils agglutinés par le mucus. L' animal est mort d'accidents dyspnéiques qui, parfois, pr
accidents dyspnéiques qui, parfois, prenaient la forme d'accès. Les animaux atteints de maladies de peau avec prurit, forcés
ropile, dans certaines maladies de peau. On trouve également chez cet animal des égagropiles végétaux; habi-tuellement, le cen
déposent, par couches concentriques, les poils végétaux ou les poils animaux . Les chèvres ont des égagropiles, comme nous l'
ué des propriétés malfaisantes, sont formées, en partie, de ma-tières animales et, en partie, de matières végétales; on les trou
ux. Sur le mouton au râtelier s'attachent des plantes que mangent les animaux voisins, entraînant en même temps un peu de laine
nérale, on voit que les uns sont exclusivement composés de substances animales , d'autres de substances végétales, et que d'autre
1° Egagropiles simples : ils sont formés par des poils venant de l' animal ou par des plantes, et ils sont simplement agglut
os intestin. Mentionnons encore les gobbes du mouton formées de poils animaux et de poils végétaux. Les symptômes qui décèlen
d'une manière générale. Il y a des variantes qui tiennent à l'espèce animale , mais les symptômes sont toujours ceux de l'oc-cl
pense qu'ils ont pour cause un instinct analogue à celui de certains animaux . Très-souvent les chattes pleines se suicident en
s sur Vaction de l'acide phénique su?' la moelle, sur ^resistance des animaux nouveau-nés à l'action de certains poisons ; sur
ns ; sur l'in-fluence de certains rayons lumineux sur Vétiolement des animaux ; nous lui devons également des recherches sur la
effets de l'esérine, et sur ceux de l'acide carbonique sur différents animaux . M. Rabuteau a fait diverses communications, pr
tions thérapeutiques. — Des expériences nombreuses pratiquées sur les animaux et des observations clini- ques qui ont été rec
ble et remplaçant le sang vicié par du sang sain. IV. — Le sang des animaux peut révivifier, mais seulement d'une façon passa
es animaux peut révivifier, mais seulement d'une façon passagère, les animaux d'une autre espèce; il se décompose promptement,
la Société de chirurgie, le 20 décembre 1865, pense que le sang d'un animal peut être transfusé à un animal d'une espèce ou d
décembre 1865, pense que le sang d'un animal peut être transfusé à un animal d'une espèce ou d'une classe différentes; il ajou
Brown-Sôquard pense également qu'on peut faire la transfu-sion à des animaux de différentes espèces. A propos d'un cas de tran
869), ce professeur a rappelé qu'il avait démontré que le sang d'un animal de la même espèce n'est pas né-cessaire pour le s
nguille, d'oiseau, etc. Sans doute il vaut mieux ne pas injecter à un animal des globules d'un diamètre supérieure celui de se
il n'en est pas moins vrai qu'on peut réussir en employant le sang d' animaux d'espèces fort éloignées ; à l'homme, il est inu-
t il n'admet pas l'innocuité dans la transfusion du sang pro-venant d' animaux de différentes espèces; pour un moment, on peut r
transfusé est un peu considérable, elle amène rapidement la mort de l' animal . — Le travail de Panum est très-soigné; ses expé-
ée 1852.) Livois. — Recherches sur Véchinocoque chez l'homme et les animaux . (Thèse de Paris, 1843.) B au vais. — Kystes hy
ectées sous la peau d'une grenouille ont suffi pour déterminer chez l' animal une résolution complète durant plusieurs jours, n
tion. — La fin au prochain numéro. — BIBLIOGRAPHIE Anatomîe des animaux domestiques, par Frédéric Leyiî, professeur et di
pathologique est presque tout entière à faire pour les maladies des animaux . Quelques jeunes chefs de service l'étudient avec
e, etc. On dit souvent : A quoi bon dans une anatomie descriptive des animaux domestiques, faire des points de comparaison? Mai
ner à l'étude de l'anatomie des ani-maux, par contre l'anatomiste des animaux a beaucoup à apprendre de l'étude de l'anatomie d
, et pouvant aplanir les difficultés de l'étude de l'organisation des animaux . F. Raymond. TABLE DES MATIÈRES Accouchements
ues de chlorhy-drate de narcéine, par P. Pétrini, 288. — Anatomie des animaux do-mestiques,par Leyb (anal. Raymond), 515. Bou
62 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
, il est vrai, tirés principalement de l'expérimenta- tion chez les animaux . Mais, à côté de ces faits, nous en mentionnero
dre de temps à autre l'administration , on arrive à conserver les animaux pendant un temps assez long, six mois et 1 Vuy.
ication saturnine chronique chez l'homme. En fait, à l'autopsie des animaux en expérience , on ob- serve des lésions dans u
s, nous ferons remarquer qu'à aucun moment de leur existence, les animaux , examinés cependant à ce point de vue avec quel
vaient une attitude naturelle. Si donc il a pu se produire chez ces animaux un certain degré de parésie, il ne s'est produi
que possible. Dans un cas, le nerf sciatique a été réséqué' sur' l' animal vivant et soumis immédiatement à l'action de l'
le temps perdu du muscle, temps qui. variera.' suivant les, espèces animales , ^ le muscle excité, son état de tension. ou de
croire qu'il est facile de produire de l'in- coordination chez les animaux , en lésant les racines pos- térieures : il n'en
rfs d'un membre,,on remarque une certaine gêne dans la marche 'de l' animal : ' Les 'musclés d'un côté sont tonifiés, ceux
objecter à Tschirjew, que si sa théorie était vraie, on rendrait un animal incoordonné en lui sectionnant les racines post
il entend, comme la veille, des menaces, des in- jures, il voit des animaux , il aperçoit des incendies, il s'excite encore
par moments à étrangler les personnes qui l'approchent ou même les animaux ; il contracte plus tard l'habitude de boire et
bre, des têtes s'élèvent du plancher au plafond ; elle aperçoit des animaux , des chats, des rats. On l'injurie, on la menac
e Davy (cité par Carpenter), aurait été frappé de trouver, chez les animaux décapités, la température du cerveau inférieure
ation de température. » M. Schiff a contrôlé ces résultats chez les animaux , au moyen de plusieurs procédés : pour ce qui e
il des Archives de Physio- logie que nous citions plus haut. Sur un animal alcoolisé ou curarisé, et dont on entretient la
veau les dispositions anatomiques qu'ils avaient entrevues sur un animal (le chat) évidemment doué de la vision binoculair
L'auteur fait remarquer la difficulté de ces expériences sur les animaux inférieurs et avec Flint, il pense que l'on doit
comme identiques les tubercules quadriju- meaux chez l'homme et les animaux supérieurs d'une part, et les lobes optiques ch
e une étude embryologique comparée de ces corps chez l'homme et les animaux . La façon dont se développent ces tubercules, é
ganglions postérieurs avaient même forme et même structure chez ces animaux que chez les mammifères et qu'ils n'avaient auc
128 . REVUE d'anatomie. Guilde'n ayant arraché les yeux à de jeunes animaux , ne - trouva d'atrophie que dans les tubercules
ercules ' sont atrophiés chez la taupe, la chauve-souris, et autres animaux à la vue courte, et volumineux au contraire chez
es de la moelle; 4° La paire postérieure est hypertrophiée chez les animaux à vue courte qui suppléent à ce sens par le sen
e la liqueur de Mûl- ler, pour durcir le système nerveux des petits animaux . La colora- tion se fait au carmin ammoniacal.
analogues à ceux des parties de la femelle; 5° la grenouille est un animal de laboratoire commode, et sur lequel on démont
t eu recours : on choisit des chats de forte taille, car chez ces animaux les contractions sont plus évidentes à la suite d
quelques heures les résultats de l'expérience, puis on sacrifiait l' animal et l'on vérifiait sur le névraxe suffisamment d
s se manifesteraient surtout dans les membres pelviens ; 2° Chez un animal ayant subi une hémisection de la protu- bérance
la patte droite accomplit la plupart des mouvements volontaires. L' animal se tient sur ses quatre pattes, marche, court,
te l'aboli- tion absolue de la motilité et de la sensibilité, tue l' animal , et constate que la substance grise était parfa
e la motilité et la sensibilité n'ont subi aucune modifi- cation, l' animal est mis à mort et l'autopsie confirme l'intégrité
e ces centres. Les recherches ont porté exclusivement sur de jeunes animaux , de six semaines à six mois. La région motrice
le voisinage du siège de la pre- mière opération. Généralement les animaux survivaient peu de temps à cette troisième expé
bilité. (Hitzig, Goltz, Munk, etc.) et des facultés psychiques; les animaux opé- rés semblent stupides. Les troubles de la
érieure du dos du côté opposé, qui guérit rapidement. Chez ces deux animaux , quatre mois plus tard, le bras et la cuisse du
dans le liquide de Müller, donna un résultat négatif pour tous les animaux qui avaient survécu longtemps à plusieurs opéra-
logues chez l'homme, conduisent seulement à ad- mettre que dans les animaux tout à fait supérieurs et l'homme, la voie déri
ques de l'homme, les données fournies par l'expérimentation sur les animaux . (Centralblatt f. Nerw., etc., etc.). R. VicouR
s tendon *si des muscles antérieurs et postérieurs de la patte de l' animal sur le levier d'un myographe direct, et de chaq
entre lè `'P : Iell''ét Mesmer que prit ' naissance' le magnétisme animal ^'dont le'nom indique assez l'origine. Âh-, dry
ue tous ont été l'objet de quelques essais chez l'homme ou chez les animaux . Dans un fascicule du Deutsch Klinik de Billrot
ur le protoplasma des cel- lules de tous les tissus. Le- coeur d'un animal placé dans les vapeurs du chloroforme perd d'ab
ionnés par la diminution de la sensibilité sont identiques chez les animaux et chez l'homme, qu'ils consistent seulement da
sait par envahir le tronc et les membres antérieurs, de sorte que l' animal se trouvait transformé en une masse rigide et ine
renouvelé les phénomènes ci-dessus in- diqués se manifestèrent et l' animal mourut le 12° jour. E.ramenélectl,¡'que, Il rés
déplacé par l'acide carbonique prove- nant soit de l'air, soit de l' animal lui-même, et ainsi mis en liberté il agit comme
'.1 l'lJL'1.-JI -t.q ? I' t<'dJ"f" '1 ? 1"1 fit" "'t' magnétisme animal . Le docteur Mossdorf employa 1 électricité e pe
Anstie et Magnan sur l'action de l'alcool longtemps administré aux animaux . Puis il défend non sans quelque vivacité les s
OLOGIE. 437 XXVIII. SUR LES phénomènes ET la nature DU magnétisme animal ; par le professeur BERGER. (Journal de médecine d
perte des fonctions est instan- tanée, et cela, aussi bien pour les animaux morts lentement que pour ceux qui meurent brusq
aux morts lentement que pour ceux qui meurent brusquement; pour les animaux qu'on tue à l'abattoir, comme pour l'homme déca
un peu plus longtemps pour la moelle que pour le cerveau : chez un animal à sang chaud, immédiatement après la mort, on o
traction dure tant que le courant passe. On peut affirmer que tout animal qui ne se contracte plus sous l'influence des e
des fibres moyennes et supérieures du glosso-pharyngien chez cet animal , exactement aux même conclusions que chez l'homme
usions suivantes : D'après les recherches les plus récentes sur les animaux , la circonvolution pariétale inférieure se trou
uard, qui a pu déterminer des convulsions épilepti- formes chez les animaux , en produisant l'anémie des centres nerveux, et
teur résulter de ce que l'expéri- mentateur n'a pu réaliser chez, l' animal l'état de tension, nécessaire,'dans-les régions
ère fois que je vois ainsi une chaise. J'avais vu des rocliers, des animaux de toutes sortes, mais, mais, mais,... ». Ici s
camp médical que le rôle du système nerveux domine toute l'économie animale , aussi bien .appoint de,vue de la physiologie q
logie comparée que M. Lander Lindsay a consacré à l'Esprit chez les animaux inférieurs ci l'état' de santé et de maladie. C'é
pémanie, par illabille, 321. Magnétisme (phénomènes et nature du) animal , par Berger, 437. Maladies mentales, par Pick,
is que possible. Dans un cas, le nerf sciatique a été réséqué sur l' animal vivant et soumis immédiatement à l'action de l'
63 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ier l'assertion qu'elle renferme. Ces recherches ont porté sur' les animaux et sur l'homme sain ou en état d'insomnie et so
t : , 1° L'acétophénone administrée à dose thérapeutique chez les animaux et l'homme sain ou malade n'ayant pas d'insomni
aliénation mentale. 3 des sens. -Pour produire le sommeil chez les animaux , il faut employer des doses toxiques (Laborde).
e des sciences* soit sur- tout au Montpellier médical 3. Chez les animaux et l'homme sain, l'acétophénone, employée à dos
t parfois ,un peu d'abattement et de parésie musculaire. Chez les animaux , à doses plus élevées, mais non toxiques, en mê
on et les battements cardiaques se précipitent de plus en plus et l' animal succombe. A l'autopsie, à côté de lésions con
en ce qui concerne l'action somnifère de cette subs- tance chez les animaux et l'homme sain, nous ne pouvons conclure à une
u d'effet immédiat, on voit cependant, si on exa- mine le sang de l' animal , le chiffre de l'hémoglobine baisser, et, si on
nous révèlent nos recherches physiologiques, action qui, chez les animaux , peut aller suivant les doses, depuis la simple
d dans le ventre, ce qu'il faisait en se retournant et, comme les animaux , en décochant une ruade. Il y a une dizaine d'ann
it analogues à ceux que l'on obtient par l'expérimentation chez les animaux . On constate encore une dégénérescence de la ra
es. N. SKWORTZOFF. X. SUR la FONCTION DES COUCHES OPTIQUES CHEZ LES animaux ET chez l'homme; par le professeur BECHTEREFF (
'auteur, appuyé sur un grand nombre d'expériences faites sur divers animaux (oiseaux, rats, chiens, etc.), ainsi que sur un
moteur aux mouvements coordonnés, dits expressifs, par lesquels les animaux expriment leurs senti- ments agréables ou désag
evant les hémisphères sans toucher aux couches optiques, on prive l' animal de la faculté des mouvements spon- tanés et exp
truction simultanée des hémisphères et des couches optiques prive l' animal non seulement de tous les mouvements sponta- né
es de muscles servant à l'expression des sentiments. IV. Enfin, les animaux dont on a détruit les couches opti- ques, mais
me, bien, plus' semblables, quant à leur répartition, à ceux de ces animaux qu'à ceux des genres congénères. La différence
uable des faisceaux pyra- midaux, tandis que chez le verrat de mer, animal à sang chaud remarquable par le développement d
ou l'oblitération locale des artères et ne fait que croître; chez l' animal tué, la réaction est toujours trouvée acide. Si
provoqué le parfait rétablissement de la réaction alcaline chez des animaux qui avaient subi une asphyxie céré- brale absol
r l'alimen- tation gastrique. M. PnEyEn. Les expériences chez les animaux ' n'autorisent pas à transporter ces faits chez
tion opératoire avec les atrophies secondaires, si nettes lorsque l' animal a longtemps survécu à une mutilation et qu'après
.à l'exclusion de son faisceau non entre-croisé. Du reste, chez cet animal , le faisceau non entre-croisé est si petit et s
chose ou rien. Si on enlève les deux renflements olfaclifs chez des animaux tout jeunes, mais n'en ayant plus abso- lument
urés, si on le condamne à une ré- clusion parfaite, on voit, chez l' animal adulte, que l'organe olfac- tif s'est hypertrop
cas, l'écorce ne subit en pareil cas aucune atrophie. Centres des animaux nouveau-nés, et, avant tout, du lapin. On ouvre
compris le corps strié, mais on respecte la bandelette optique. Les animaux semblent continuer à se développer, à voir, ent
squ'à une distance de 1 millimètre en avant de la suture choisie, l' animal abruti reprend quelques jours plus tard toutes
s deux côtés, en respectant le lobe olfactif, entraîne l'idiotie. L' animal , privé dès sa naissance de cet organe, est un p
passe eu revue tout l'examen anatomique des pièces empruntées aux animaux mutilés (méthode des coupes, colorations soignées
lèle entre les mutilations physiologiques exécutées chez les divers animaux nouveau-nés ou adultes, et insiste sur les caus
halique, exsudats, etc.,) qui en ont imposé lorsqu'il s'est agi des animaux adultes. En ce qui concerne la zone motrice c
r n'exerce pas le plus petit trouble sur les mouvements. Prenons un animal adulte (lapin ou chat) enlevons-lui son lobe fr
de la capsule interne ou l'irradiation de la couche optique. Si les animaux ainsi mutilés vivent encore (et j'en ai des spé
ibre et se renversent au moment où ils se redressent, mais plus les animaux avancent en âge, plus ces troubles rétrogradent
si ai-je essayé par la base. Après avoir énucléé un oeil à un jeune animal , j'ai essayé de pénétrer par le trou optique da
ments volontaires jouent un rôle infiniment plus grand que chez les animaux . Discussion : M. Mendel. L'an dernier, à Leipzi
ur de la localisation que je necroispas que les expériences sur les animaux puissent seule- ment effleurer la théorie. M.
choléra, dont plusieurs moururent; on avait tué quelques-uns de ces animaux , sur des tables venant de l'enclos ou les autre
1.-B. Baillière, éditeurs. Barrer (A.) et Féré (Ch.). Le Magnétisme animal Volume in-8- car- tonne de 284 pages, avec 15 f
ue cas. Je pense que, lorsqu'il n'y a pas d'appétit, l'alimentation animale est surtout utile. On se demande toujours si l'
dans un coin abject de la maison ; quelquefois même on déménage un animal domestique pour loger l'aliéné dans une place o
ie scientifique ce que les profanes décorent du titre de magnétisme animal , les racontars les plus étranges ont été dits e
ysiques on les reconnaît. Etablir la norme matérielle du magnétisme animal et la vulgariser, telle est la tâche que se son
dans ses rapports avec la responsabilité. En un mot, le magnétisme animal de Binet et Féré, écrit dans l'atmosphère de la
ide dans le délire de persécution, par Meithou, 449. Magnétisme animal , par Binet et Feré, 456. Goitres et médication
chterewet L leclisir, 81. Optiques (couches), fonction chez les animaux et chez l'homme, par Bechtereif, 84. Optiques
64 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
emps et en pleurant. On nous a signalé son amour, excessif pour les animaux et fréquemment il prend des chiens pour compagn
oolechnistes elles horticulteurs, pour former de nouvelles variétés animales ou végé- tales. » Mais M. Apert sépare nettem
a physiologie du temps il emprunta la notion des courants d'esprits animaux qui parcourent les nerfs. Ces esprits constitue
y en a de tout semblables tant en nous que mesme aussi en plusieurs animaux sans raison. Car pour ceux qui peuvent estre cl
ù elle devoit estre, comme ayant accoustumé de la trouver, dans les animaux tous fraischement tuez, sans aucune diffi- cult
s de son temps dont Des- cartes adopta les conceptions, les esprits animaux sont formés par les par- (1) Des Passions en gé
ne droi te » (1). Quelle va être l'action de ce sang et des esprits animaux dans le cerveau ? Une partie servira à le nourrir
u plutost une flame très vive et très pure, qu'on nomme les Esprits Animaux . Car il faut sçavolr que les artères qui les ap
. Après s'être pour ainsi dire filtrés dans la glande, les [esprits animaux n'y restent pas. Ils sont en effet constamment
les artères. En effet, une fois sortis de la glande, les es- prits animaux trouvent devant eux les pores du cerveau, plus ou
ue le passage, variable en direction et en in- tensité, des esprits animaux imprime sur eux (5). En effet, ces petits (1) T
« mailles » qui « sont autant de petits tuyaux, par où les esprits animaux peuvent entrer, et qui re- gardant toujours ver
ts de cette lande » (1 ). Donc, en sortant de la glande les esprits animaux se dirigent vers ceux de ces pores qui leur son
son application à la physiologie pen- dant le sommeil, les esprits animaux sontplus faibles, mais, « du moins ils ont la f
ible pour le remplir ». Après la mort, comme le courant des esprits animaux s'est arrêté, « la substance du cerveau étant m
tion anatomique et la nolion physiologique d'un courant t d'esprits animaux vont permettreà Descartes d'expliquer le mécanism
n cons- titue le nerf optique. D'autre part, le courant des esprits animaux qui de chaque point de la glande pinéale se dir
nommons maintenant l'association des idées. Si en effet les esprits animaux ou- vrent quelques-uns des pores qui ont été ou
pour l'incliner en différents sens : il en résulte que les esprits animaux qui sortent d'elle sont dirigés tantôt vers certa
xcite un autre mouvement en notre cerveau qui con- duit les esprits animaux dans les muscles qui font abaisser les paupiè-
s divers engins et ressorts qui servent à les mouvoir ; ses Esprits Animaux à l'eau qui les remue, dont le coeur est la sou
al, et l'hypothèse qu'elle imposait d'un courant matériel d'esprits animaux nous semblent aujourd'hui assez grossière, il n'e
qui remplit les circonvolutions du cerveau, la théorie des esprits animaux peut valoir la théorie des excréments du cer- v
s des ganglions nerveux et sympathiques de tous les mammifères et d' animaux inférieurs contient un nombre plus ou moins con
ns dont le volume et la densité varient avec l'âge et l'espèce de l' animal . Cette constatation peut être faite sur toutes
t gris bleu. Les cellules des ganglions sympathiques prélevés sur l' animal vivant et dissociés dans le sérum n'of- frent p
différence que je tiens pour importante. 202 MARINESCO Chez les animaux à sang froid, et j'ai en vue surtout la grenouill
uses une luminosité variable avec t'age et l'espèce cellulaire de l' animal . Chez les petites grenouilles, ce qui domine da
existent probablement à tous les âges et dans toutes les es- pèces animales ; j'ai dit probablement, car je n'ai examiné le f
-ci varient avec les différents centres nerveux chez les différents animaux . En effet, même dans les ganglions spinaux de jeu
lions spi- naux et sympathiques de chiens et chats nouveau-nés et d' animaux adultes prélevés sur l'animal vivant, et de l'h
de chiens et chats nouveau-nés et d'animaux adultes prélevés sur l' animal vivant, et de l'homme, immédiatement après la mor
spinaux examinés à la température de la chambre dans le sérum de l' animal ou bien dans la lymphe lorsqu'il s'agit de gang
athiques et des centres nerveux contiennent chez toutes les espèces animales observées jusqu'à présent, des granulations, tant
cellules vivantes ou encore vivantes, ou les cellules fraîches des animaux nouveau-nés, par certaines substances colorantes.
e de suspension des cellules,de gan- glions spinaux dans du sérum d' animal à une goutte d'une solution aqueuse, desséchée
de rouge neutre et de bleu de méthylène dissous dans le sérum de l' animal , il n'y a pas de précipi- tations sous forme de
s les résultats de ces expériences. Ici, les ganglions extra ils de l' animal 1 Nouvelle Iconographie DI, la SALPhI1U¡'RI '1'
ico- chimiques employées, suivant l'espèce cellulaire et l'âge de l' animal . La composition chimique des granulations collo
les du ganglion sympathique d'un petit chien, examinè d.ms le sérum animal à l'obj. no 6. Les granulations paraissent assez
venant d'un ganglion de petit chien examinées dans le sérum du même animal . Les modifications de luminosité se sont produite
neux, symétriques à la périphérie du noyau. Fig. 11. Chien, sérum animal , eau distillée, examen après 5 minutes. Planche
n ganglion spinal ayant séjourné 4 heures dans du sérum propre de l' animal , mis ensuite dans une solution de soude caustique
touchent au pro- blème si. complexe des rapports de l'homme et des animaux . Il est peu de sujets aussi passionnants que ce
fois des anomalies qui sont des dispo- sitions habituelles chez des animaux inférieurs. Enfin, le squelette lui-même, celle
état d'ébauche une disposition qu'on retrouve chez quelques espèces animales . Voici, d'ailleurs, ce que nous écrit le Dr Led
s n'aviez plus que deux courbures, ce qui constitue une disposition animale , justifiée au point de vue mécanique, et une sé
s est encore confirmée par les recherches poursuivies dans la série animale . De toutes les régions du rachis, la région cer
le est celle dont le nombre des vertèbres est le plus fixe chez les animaux appartenant à la classe des mammifères, à part
e manquant ou étant à l'état tout à fait rudimentaire chez certains animaux . Mais cela n'expliquerait pas encore le mécanis
oelle à la compression est fournie par les expériences faites sur les animaux d'une part, et de l'autre les cas de tumeurs mé
ocosmique et microcos- mique c'est-à-dire dans l'homme. et dans les animaux . Il y en a trois caté- gories : dans les yeux,
plantes, que l'électricité augmente la transpiration naturelle des animaux . Dans le If chapitre, 4e', l'auteur traite la t
65 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
on du problème qui m'intéressait; c'est qu'on observe chez certains animaux auxquels a été faite une lésion unilatérale de
oelle épinière. Pour atteindre ce but, il fallait laisser vivre les animaux opérés et soumettre - dans les premiers temps j
épinière, j'ai toujours choisi des cobayes assez gros; j'étendais l' animal e7 ' ANATOMIE. ' sur le ventre, sur une petit
iens, on ne re- marque point de dérangements. L'état général de l' animal est satis- faisant. 21 mars. - Le matin on tr
organes pelviens sont en bon état. 17 avril. - L'état général de l' animal , en comparaison de la veille, est moins satisfa
s tous les sens, sans changements jus- qu'au moment de la mort de l' animal . - Pendant ces deux mois, les altérations suiva
8.) DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 67 mêmes pour les âges différents des animaux , ou celui d'une faute de l'observation clinique
sensibilité et sur la motilité des extrémités postérieures chez des animaux soumis à une section complète de la moelle épin
par les auteurs qui se servaient pour de pareilles observations, d' animaux nouveau-nés, c'est que chez ces derniers, les r
f. Cette connexité saute aux yeux quand on examine la voûte chez un animal osma- tique, chez le chien ou chez le porc, par
mis que par par analogie - les relations qui existent chez certains animaux entre la commissure blanche et les nerfs olfact
cas d'anosmie croisée. Et même cette commissure, évidente chez les animaux à flair développé - osmatiques de Broca n'est a
Si nous cherchons les fais- ceaux antérieurs analogues (à ceux des animaux ) dans le cer- veau de l'homme, nous voyons que
u corps. Quelques années après, Hitzig constatait que plusieurs des animaux qui avaient sur- vécu aux opérations pratiquées
étudié l'épilepsie par- tielle déterminée artificiellement chez les animaux par l'exci- tation du cerveau et établi que, lo
t subi des pertes de substance de l'écorce cérébrale. Chez d'autres animaux (chats), l'épilepsie corticale elle-même, et no
mes de sulfate de cinchonidine pour chaque kilogramme du poids de l' animal , en injection hypodermique, ces auteurs ont pu
érents états consécutifs aux accès d'épilepsie corti- cale chez les animaux . Tantôt, pris d'un violent état d'agi- tation,
a synergie fonctionnelle des appareils et des organes de la machine animale . Parlant des fibres nerveuses d'association, Ed
excite mécaniquement la peau des joues, des oreilles ou du dos dé l' animal , des convul- sions éclatent dans le membre supé
les signes caractéristiques qui accompagnent et sui- vent, chez les animaux , les accès provoqués d'épilepsie cor- ticale, r
e avec celle que la physiologie expérimentale a pro- posée pour les animaux ? L'épilepsie jacksonienne est-elle d'une autre
ique de l'épilepsie avec l'ex- tirpation du manteau. Ainsi, chez un animal dont la région corticale d'une. extrémité a été
idien avec les lésions classiques; ex- périences à l'appui chez les animaux .- Inversement, M.Bernhardt prouve que sur soixa
tème intellectuel et les centres du bulbe. Elle suit, dans la série animale , un développement parallèle à celui de l'encéphal
nne santé, l'examen est remis au lendemain. 29. L'état général de l' animal opéré est satisfaisant. Mou- vements ; Pendant
dans l'hémisphère droite du cerveau par ana- logie avec les autres animaux ), mais sans entre-croisement vers le bas du côt
que opération, j'arrive aux conclusions suivantes : lorsque chez un animal soumis à l'hémisection de la moelle épinière, l
agonale. BROCA. a ... Le point vers lequel elle se dirige, chez les animaux , est celui où l'origine du lobe du corps calleu
des corps ; d'une autre part, à la détermination des actes que l' animal , ainsi averti, peut éprouver le be- soin d'exéc
ou moins nettement certaines odeurs, certains fumets comme chez les animaux . Ce qui distingue ce sens chez lui, c'est la fa
a clinique et l'anatomie patholo- gique. Cependant, même chez les animaux où l'intoxication n'attein pas généralement un
te affection. » M. Combemale rend compte de ses expériences sur les animaux alcoolisés : « Recherches expérimentales sur l'
ennent des symptômes d'affaiblissement céré- bral et musculaire ; l' animal a des frayeurs fréquentes et des para- lysies d
nts cboréiformes de la tête et du cou; changement de caractère de l' animal . L'auteur voit dans les cas aigus quelque chose d
bjecte aux conclusions du précédent rapport que les conditions de l' animal en expérience sont toutes différentes de celles
essantes à l'appui de préparations histologiques faites d'après des animaux intoxiqués. Avec M. A. Meunier il a fait ingére
papillaires, en même temps que d'hypérémie encépha- lique. Sur des animaux en expériences avec attaques convulsives SOCIÉT
ulsions passagères, 30 ce. d'urine normale tuent, et elles tuent un animal qui a résisté quelques jours avant à une injectio
ble d'en avoir à sa disposition 125 heures après l'inoculation de l' animal vaccinifère. La fraîcheur du vaccin qui est une
iscutant la validité des troubles net- tement paralytiques chez les animaux observés, et reconnaissant cependant que les tr
es, doux et tranquille dans les lésions postérieures du cerveau des animaux . Nous relevons une assez bonne définition de l'
is dans les membres antérieurs, et au bout d'un temps variable, l' animal s'endort. Le professeur Lépine a étudié l'action
lution aqueuse de sulfonal à la dose de 0 gr. 078 par kilogramme; l' animal n'a présenté aucun symptôme spécial, et bien qu
vation réside principalement dans la longue durée de la survie de l' animal (plus de deux ans et demi). L'autopsie a démont
immédiatement postérieur au tubercule quadrijumeau inférieur. Les animaux ont survécu six mois à l'intervention. .REVUE D
ain point la ques- tion encore si obscure de la génération chez les animaux supérieurs. c. - Qu'est-ce qu'une image intense
66 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es de ce genre plus ou ' Despine (d'Aix). De l'emploi du magnétisme animal dans le trai- tement des maladies nerveuses, 18
dant elle se sauve en poussant des cris de terreur dès qu'un de ces animaux s'approche d'elle. Mme D... me disait elle- mêm
ncipale du virus en question dans le bulbe et sa trans- mission aux animaux par l'inoculation de moelles allongées em- prun
de lui faire croire qu'il change de personnalité, qu'il devient un animal . Néanmoins, n'ou- blions point que la puissance
ais laissés à eux-mêmes, ils ne sont que les esclaves d'instincts d' animal . C'est là une peinture bien faite de la catégor
urines recueillies ne sont pas en assez grande quantité pour tuer l' animal , comme cela nous est arrivé dans nos expérience
ille du lapin ou dans la veine humérale ou fémorale du cobaye ; ces animaux étant préalablement attachés sur une planchette
parce que je n'ai plus d'urines proe-paroxys- tiques. On détache l' animal à 3 heures moins le quart après un pansement au
ures moins le quart après un pansement au collodion. T. 32°,fi. L' animal une fois libre est agité de frissons, le poil est
'oeil terne, il ne cherche pas à fuir. Pas de convulsions nettes. L' animal meurt à 7 heures du soir, quatre heures et demie
la conclusion suivante : Etant données les différences de poids des animaux , les diffé- rences de poids des urines injectée
fin le temps relativement assez long qui a amené la mort du premier animal , la toxicité des urines de Sep ? proe ou post-p
Injections en un quart d'heure de 47 c. c. d'urines. A 42 c. c., l' animal se raidit en arrière, tout le corps est raide s
ite. Pendant ces huit mi- nutes d'interruption, la respiration de l' animal , qui est très calme, sans un mouvement, est pro
sans un mouvement, est profonde, lente et irrégulière. A 72 ce, l' animal se raidit brusquement. On peut le soulever d'un
l'injection est impossible. Ligature. Pansement collodionné. ' L' animal détaché est assez vif. Il a guéri complètement.
i complètement. Si on cherche le coefficient urotoxique, bien que l' animal ne soit pas mort, on trouve 0,27. Mais il est c
ialité des mouvements respiratoires. A 12, agitation, cris. A 18, l' animal se rejette violemment en arrière. Il est raide ;
minés. Peu de congestion rénale. Vessie pleine d'urines troubles. L' animal n'a pas uriné, n'a pas dé- féqué pendant la dur
s 70, myosis intense; - à 110, cris violents sans secousses, puis l' animal retombe dans la somnolence; - vers 160, les res
sque, perte immédiate du réflexe cornéen. L'in- jection continue, l' animal reprend son calme en apparence. La respiration
, profonde, le réflexe cornéen est paresseux. . " , A 72 c. c., l' animal se tend brusquement en arc. La nuque en épistot
s 80. L'accélération respiratoire est d'ailleurs peu accen- tuée. L' animal est somnolent pendant la durée de l'expérience.
nouveaux cris, l'e1ophlaJmie s'accentue brusquement. On abandonne l' animal qui a une convulsion tonique nette mais peu int
ce. que la pupille ferme légèrement. Ac- célération respiratoire. L' animal est somnolent. A 175 c. c., infiltration légère
arrêt de l'injection pour changer l'aiguille d'oreille. Reprise : l' animal est toujours somnolent. - Nouvel arrêt à 235, p
train sans caractère précis à 430. A 580, on arrête l'injection. L' animal dont les réflexes cornéens sont lents et paresseu
ération des mouvements respiratoires. On monte progressivement; l' animal sans secousses est somno- lent, la respiration
rait. La mort n'est pas sur- venue à l'occasion d'une convulsion. L' animal a eu une miction abondante d'urines claires dan
c. c. La mort sur- vient après de nombreuses secousses cloniques. L' animal ne se détend pas brusquement en opistothonos, m
oque. Non seulement ils ont sauvé d'innombrables vies humaines ou animales , et ajouté au bien-être de l'espèce humaine par d
e la médecine clinique et des faits expé- rimentaux obtenus sur des animaux d'ordre inférieur, résultats qui embarrassèrent
dit Bouillaud, qu'après l'ablation des hémisphères céré- braux, un animal peut marcher, courir, etc., et il est non moins
'étude de la physiologie comparée nous enseigne qu'à mesure que les animaux s'élèvent dans l'échelle évolutive, leurs actions
ères de la substance grise de l'écorce cérébrale. Chez beaucoup d' animaux , et chez certains, beaucoup plus faci- lement q
a cause de produc- tion de foyers d'excitation épileptiques, chez l' animal lui-même, mais encore transmetlre aux descendan
l'objet, son état, son siège. P. il III. Etat SOMNIFORME CHEZ LES animaux auxquels ON A enlevé LE CERVELET; par A. 130RGE
que, le cervelet ayant été enlevé, la privation de la vue empêche l' animal de corriger son ataxie ; ayant conscience de son
s; par 0. Snell. (Archiv. f. Psychiat., XXIII, 2.) Etant donné deux animaux ayant une valeur intellectuelle à peu près égal
a surface du corps et que la sur- face du corps est chez les petits animaux relativement plus grande. Formule h = Iiy p.
; il exprime le rapport du poids encéphalique avec celui d'un autre animal , en tant que ce poids cérébral dépend des fonct
facteur psychique; il exprime le degré des aptitudes mentales de l' animal correspondant. Snell a déterminé s et p pour un
e l'animal correspondant. Snell a déterminé s et p pour une série d' animaux . 266 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
n abus. 11 montre que l'homme a une tendance toute naturelle, toute animale si l'on peut dire, à rechercher partout son bie
e (appareils de chauffage ; aliments de mauvaise qualité, piqûres d' animaux , etc.); enfin, empoisonnements d'ori- gine huma
nfectes à 328 SOCIÉTÉS SAVANTES. une condition pire que celle des animaux , quand ils n'étaient pas brûlés comme sorciers
Un jour, voyant passer un chien, le désir de copulation avec cet animal s'empare de son esprit; honteuse, très émue, elle
e venue persiste et ne disparait que lorsqu'elle a pu voir un autre animal , un cheval, dont l'image superposée à la premiè
prise d'angoisse jusqu'à ce qu'elle ait pu lire le nom d'un autre animal , boeuf, cheval, mouton, etc.; elle a, du reste, l
de la crainte du toucher, de la craintedu chien en- ragé et de tout animal . Elle ne veut pas loucher la main de son médeci
un chien. Elle ne peut plus voir ni un chien, ni un chat, ni aucun animal à quatre pattes, sauf le cheval, qui ne lui ins
e-chameau, parce qu'elle a été impres- sionnée, en Algérie, par cet animal , et qu'elle parait repro- duire son cri pendant
in, le professeur Lloyd Morgan montre les limites de l'intelligence animale , bornée aux opérations mécaniques et inférieure
onstate par la suite aucun trouble appréciable dans l'attitude de l' animal . Le D'' II. Doneldson présente la description d
meil HYSTÉRIQUE, par Loewenfeld, 279. Sominforme (état), chez les animaux après l'ablation du cervelet, par Borgherini,
67 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
nnaître les particu- larités et le signalement d'une plante ou d'un animal s'il ne peut les ran- MALADIE DE FRIEDREICH ET
». Puis les expérimentateurs ne nous parlent guère de l'avenir des animaux traumatisés, énervés en vue de leurs recherches s
ciani, expérimentalement, a bien mis en relief ce symptôme chez les animaux privés de cervelet. Enfin, en regard de tous ce
agit alors d'une contraction (1) Giraud-Teulon, Traité de mécanique animale . (2) CARLET, Ann. des sciences naturelles, 1872
licorne. Il reconnaît qu'on n'est pas d'accord sur la forme de cet animal , sur le pays qu'il habite, mais il 106 DEBOVE
e toutes les épo- ques et qui ont trouvé asile dans son Livre des animaux , ou dans celui des Monstres. Ils vous montreron
. XV), le Poisson volant fort monstrueux (Fig. 2), etc., etc. Les animaux , d'après Paré, nous donnent des exemples de relig
gognes nourrissent leur père et leur mère dans leur vieillesse. Ces animaux sont humains entre eux. Il y a quelquefois d'un
urait être accordé. C'est le comble du désaccord..... Jo Certains animaux auraient précédé l'homme dans la voie des décou-
n'y avait aucune apparence d'ouverture et m'émerveillais comme cet animal avait pu naître, croître et avoir vie. Lors le
veiller, parce que plusieurs fois il avait trouvé de tels et autres animaux au profond des pierres, sans apparence d'aucune
). , Masson et CI-, Éditeurs. A111BROISR PARÉ 109 et vie de ces animaux : c'est qu'ils sont engendrés de quelque substanc
t différentes causes, la colère de Dieu, la cohabita- tion avec les animaux ... ? mais la cohabitation avec le diable est stér
une série d'hallucinations de la vue. En décembre 1900 ce sont des animaux dont elle ne peut définir exactement la forme,
OT Professeurs à l'Ecole d'Alfort. Les lésions bien observées des animaux domestiques peuvent jeter une vive lumière sur
la tête étant rapprochée de la queue, le nez rasant le sol. Quand l' animal s'arrête, il (1) Le terme démence est employé i
tection, mais non différenciés ; ainsi, quand on pique la face de l' animal , il ne fait aucun mouve- ment pour mordre ; il
bilités spéciales ont été examinées. Toutes paraissent abolies. L' animal ne voit pas. Un obstacle placé devant lui n'arrêt
il droit. Les bruits les plus violents ne paraissent pas perçus ; l' animal continue à tourner en cercle sans prêter la moi
sont également abolis. Un morceau de viande placé sous le nez de l' animal ne détermine aucune sensation appréciable. Introd
détermine aucune sensation appréciable. Introduit dans sa gueule, l' animal l'avale sans manifester aucune satisfaction. Le
le. Les principaux commémoratifs que nous avons pu recueillir sur l' animal sont les suivants : il a eu la « maladie du jeu
e gauche à droite. Ces troubles s'accentuèrent progressivement et l' animal commença à tourner franchement de gauche à droi
n faisant de grands cercles, puis ceux-ci diminuèrent de rayon et l' animal tourna sur place ; il était alors incapable de
'appétit a toujours été conservé ; mais, dans les derniers temps, l' animal mangeait en happant les aliments et il ne parvena
ssible d'observer depuis son début jus- qu'à la mort provoquée de l' animal . Ce fut d'abord une tendance à tourner de gauch
ge dont le rayon se fit de plus en plus petit, jusqu'au moment où l' animal en vint à MÉNINGO-ENCÉPHALITE DIFFUSE ET HÉMIAT
protubérance. La méningo-encéphalite diffuse a provoqué chez notre animal un état démentiel comparable à celui décrit par
ar les sensations présentes. Que la perception soit abolie chez cet animal et immédiatement il entre dans un état d'hébétude
après l'ingestion d'écre- visses, fit un extrait des muscles de ces animaux et en fit une injection dans le sang. Il observ
tte expérience après avoir donné une faible quantité d'atropine à l' animal et il a vu que les vaisseaux se dilatent, la pr
é porte en grande par- tie sur l'aplasie claviculaire dans la série animale ; mais ces travaux sont fort incomplets, ne por
ue les diffé- rents aclaviculés de la nature et montre que chez les animaux domestiques l'os est à l'état rudimentaire [Cha
rocéphalie vulgaire (3). Dans leur deuxième (1) Chauveau, Anal, des animaux domestiques. Paris, Baillière, 18 : i7, p. 68.
s dispositions diverses se rencontrent dans l'es- pèce humaine. Les animaux , cependant, n'en sont pas exempts. Dareste a dé
ndividus de l'espèce humaine entre eux, mais aussi avec les espèces animales . C'est du moins ce que permet de croire l'observa
i D'une façon assez générale, aussi bien chez l'homme que chez les animaux , la colonne vertébrale présente, dans la région
on d'un nerf moteur ; je ne sache pas qu'expérimenta- lement chez l' animal on soit en mesure d'obtenir un fait de ce genre.
e l'évêque de Sion, se font un jeu et un profit d'exorciser gens et animaux malades. Tout ce clergé est hostile à un vieux
ue les dix-huit coups de couteau qui avaient atteint le foie de cet animal ne laissaient à C... que dix-huit jours à vivre.
ez les bestiaux et de nouveau la population réclama l'exorcisme des animaux . Un vétérinaire, envoyé sur les lieux, reconnut
éditaire, rapproche les déformations analogues obser- vées chez les animaux et signale l'antiquité de ce trouble de développe
enfant, de Péloquin (1902) sur l'achondroplasie chez l'homme et les animaux , de Caruette (1904) ; les revues générales de K
et les mé- moires de Leblanc (1902), sur l'achondroplasie chez les animaux , de Collmann (1901), Lannois (1902), Kassowitz
droplasie se montre non seulement chez l'homme, mais aussi chez les animaux . Porak a attiré l'attention sur la grande analo
hon- droplasie dans l'espèce humaine à la race des bassets chez les animaux . Chez les chiens, où elle est commune et où il
us ne parvenions à élucider ces différences en recher- chant chez l' animal les éléments de diagnostic histologique que nous
elative du cartilage de conjugaison et une réduction de la taille des animaux en expérience. Mais rien ne démontre que ces ex
des se. vétérinaires de Lyon, 1902). Sur l'achondroplasie chez les animaux domestiques (Lyon méd., 1902). LEcADnE. - Un ca
kych, 1903). PELOQtIIN. - De l'achondroplasie chez l'homme et les animaux (Th. Lyon, 1902). PipscHE. Thèse Lyon, 1902.
, LEBLANC et Doit. - Discussion au sujet de l'achondroplasie chez les animaux (Province méd., 1902). Poncet et LERtCHE. Les
ionnelle si l'on pense qu'en sens inverse on peut produire chez les animaux (Poncet, Pirche (32), etc.), et chez l'homme, p
nnent de démontrer que la castration expérimentale produit chez les animaux une véritable dolicocéphalie. Et à côté de ces fa
puis longtemps établi que la castration dans le jeune âge, chez les animaux , a pour conséquence un hyperaccroissement du sq
e, dans la mesure où l'on peut par- ler de dolicocéphalie, chez les animaux comme les lapins ou les chats, les castrés ont
moins. Ces faits ont été véri- fiés par Briau, par Guinard chez les animaux , par Matignon, Lortet, Hik- met et Regnault, ch
du cartilage de conjugaison et une réduction de la taille chez les animaux en expérience. « En présence de ces faits, on e
irurgie, 1903. 40. PBLOQUOE. - Achondroplasie chez l'homme et les animaux . Thèse de Lyon, 1902- 1903. N" 22. 41. J. MAi
de lJ1aysel' (92), de ll9ozzaltow (93), sur le système nerveux des animaux amputés à la naissance, et des re- cherches sur
te anomalie comme un caractère d'atavisme. Il trouve dans l'échelle animale des icthyosauriens et des pois- sons qui porten
rguments en faveur de cette hypothèse ne font pas défaut : Chez les animaux qui occupent dans l'échelle zoologique une place
larves urodèles. Ces résultats sont la conséquence du fait que ces animaux conservent la puissance reproductive par germin
de grandes variations dans la morphologie de cet os dans l'échelle animale , les partisans de la théorie atavique ne saurai
e. Si nous en croyons Legroux, elle se rencontrerait aussi chez les animaux . Bail lui (i) H. LAISNEY, Contribution à l'étud
squelette sur lequel existent de nom- breuses exostoses. Les os des animaux , des fauves en particulier, nés en captivité, p
t avec les conditions d'alimentation, le genre de vie imposés à des animaux nés et retenus en captivité. Ces conditions vic
a marche des processus. C'est peut-être ainsi qu'il en est chez les animaux à développement libre, tels que les batraciens.
as moins que la pseudencéphalie existe incon- testablement chez les animaux , qu'elle a été étudiée chez le chien, chez le vea
été étudiée chez le chien, chez le veau, chez le chat, que chez ces animaux elle présente identiquement les mêmes caractère
68 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
sez rares chez l'homme, tandis qu'ils jouent un rôle important chez l' animal . Il est impossible de supprimer la conscience dan
t l'activité dirigée par des perceptions nettement consciente* chez l' animal et for- (1) Maine de Biran, Journal intime, 242
s probablement diffé- (l) Cf. Espinas, L'évolution mentale chez les animaux . Revue philosophique, 1888, I, 30. (3) Ct. Cols
remier qui touche, qui voit, c'est lui qui dirige toutes les facultés animales , son objet est de conduire le corps, de le garant
rps des mouvements correspondants nécessaires a la conservation «le l' animal . Celui-ci est excité par toutes choses qui, en no
aux besoins qui sont absolument nécessaires à la conservation de l' animal .....La mesure de reflexion que nous avons au de
il en nous mettant au niveau des fous. La (l) Condillac. Traité des animaux (Œuvres complètes, 1778, III. 553). passion pro
force neurique rayonnante; c'était revenir à la théorie du magnétisme animal . Quoíqu'il en soit des théories physiques, l'expé
voqué dû à une influence ou a une volonté individuelles. Magnétisme animal . — Mot vague employé dans les sens les plus diver
ction dont ils paraissent atteints. (Adopté). L'hypnotisme chez les animaux M. Danilewski (de Karkoff). J'ai obtenu l'hypno
animaux M. Danilewski (de Karkoff). J'ai obtenu l'hypnose chez les animaux les plus variés : poules, cobaye, serpent, crocod
e, langouste, grenouille. Pour y arriver, il suffit d'immobiliser l' animal pendant un certain temps par une pression douce,
dure une demi-heure. Chez la langouste, vingt minutes Chez les autres animaux (serpent, jeune crocodille), de dix à quinze minu
maux (serpent, jeune crocodille), de dix à quinze minutes. Chez les animaux sur lesquels on a obtenu les mouvements de manège
ires, ces mouvements disparaissent dans l'hypnose. L'hypnotisme des animaux consiste donc en une sorte de paralysie de la vol
l'homme le rôle de la violence extérieure, douce et continue chez les animaux . De l'hérédité M. Galton (de Londres). Je pro
que. Des expériences pourraient être instituées dans ce but sur les animaux domestiques, sur les insectes. On se rappelle c
ous les mystères de la vie par la mécanique, la physique et la chimie animale . Cepen.lant, l'esprit est aussi quelque chose dan
ible d'admettre la suggestion lorsque l'hypnose est produite chez les animaux , lorsqu'elle est obtenue cher les poulpes, les se
ocodiles, les serpents et les cobayes; l'hypno-tisation de ces divers animaux est un fait aequis. Nous venons d'en avoir une pr
suggestion. Quand à ce qui est de l'hypnose expérimentale chez les animaux , c'est une question trop vaste et encore trop obs
tel bruit, de ne plus voir des choses extraordinaires telles que des animaux , des ombres, de ne plus sentir telle odeur ; de n
estudo). Lisbon. 1888. In-8°. 266 p. 5 pl. MORAND : Le magnétisme animal (hypnotisme et suggsetion.). Étude historique et
des autres hommes. A la fois le plus puissant et le plus asservi des animaux , il peut tenir dans sa main un sceptre qui règle
plus. Peu importe qu'on fasse venir cette force dans l'esprit appelé animal répandu dans les nerfs, ou qu'on pense qu'elle es
ent, ou au moins autant que le sont les muscles, lorsque le mouvement animal est poussé à l'excès; et les lésions - qu'elle ép
ctions sont ensuite lésées. « Ajoutez â cela les vices du mouvement animal négligé, et la vie sédentaire ou de cabinet, si f
dans une inertie oisive. « Mais, au reste, pourvu que le mouvement animal ait toujours lieu, cette négligence n'est pas s
t les meilleurs travaux sur l'hypnotisme. Nous adressons donc A cet animal , malgré l'humiliation qu'il aura infligée au corp
duit, en toutes lettres, les citations de son livre sur le Magnétisme animal , dont je me suis borné à indiquer les pages, il é
scientifique. Dans ma réplique, j'indiquais les pages du Magnétisme animal , où se trouvaient mot pour mot ce que j'avais dit
. Je rétablis ici les vraies citations : A la page 55 du Magnétisme animal , on peut déjà lire (l'auteur parle de toutes les
a cette discussion. Je renvoyais encore a la page 65 du Magnétisme animal , où on lit : « Les hystériques de la Salpêtrièr
ne œuvre de vulgarisation, sortie des conferences sur le « Magnétisme animal qui m'avaient été demandées par M. le Directeur d
crets.» (3)Magnétiseur et Médecins p.70, la note (4)Le Magnétisme animal , au haut de la page 66. était alors pharmacien
e la psycho-thérapie. (1) Voir dans le fameux passage du Magnétisme animal , P.104 (reproduite en note dans la réponse à mon
une sorte d'aboiement et se jetaient sur la nourriture à la façon des animaux . On nous permettra de douter sur ce point; au fai
Mesmer et Braid jusqu' à nos jours. Il rappelle la théorie du fluide animal , le fameux baquet magnétique et la condamnation d
émie de médecine déclarant qu'elle ne s'occuperait plus du magnétisme animal . Nous arrivons ensuite à Braid à qui découvre r
à la suggestion hypnotiquc.Commc on peut restituer le squelette d'un animal fossile au moyen de quelques-uns des os dont il é
tard il a le scrupule de manger de la viande parce qu'elle provient d' animaux vivants ; mais au moment des repas, sous l'influe
Mais s'il en est ainsi pour l'homme, il en est tout autrement pour l' animal , et. comme on peut avoir un grand intérêt à procr
genèse de la vie, l'organisation et l'évolution du règne « végétal et animal , la genèse de la conscience, In différenciation e
t pas moins. Je veux parler de l'étude de M. Espinas sur les sociétés animales . Tout esprit, disait-il, est une société d'esprit
ion à son œuvrer Et d'autre part ne croirait-on pas lire les Sociétés animales en rencontrant dans l'ouvrage que nous analysons
re de M. Espinas. L'un part des formes les plus inférieures de la vie animale ; il en décrit les complications et les perfection
. Amnésie rétroactive dans le sommeil provoqué, par Bernheim, 12. Animaux l'hypnotisme chez les., par Danilewski, 92. Ant
69 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
le voit des rats noirs et des chats auxquels elle fait la chasse. Ces animaux se-montrent à la tête de son lit et du côté droit
llucinations de la vue les plus com-munes consistent en des visions d' animaux , chats noirs, rats gris ou de couleurs variées, a
s gris ou de couleurs variées, araignées, corbeaux, vipères, etc., ou animaux fabuleux. La vision n'est pas immobile, elle appa
e son lit, la regardent fixement et lui font peur. Elle ne voit pas d' animaux . An g..., qui est aveugle, voit aussi des figur
nt tous et y disparaissent au retour de leur course. Quel-quefois ces animaux viennent dans la salle. Ils passent alors à gauch
nne évidemment spasmodique2. La perte de la voix, les cris variés d' animaux , l'engastrimy-thisrne qui s'observent le plus sou
atique, déter-minent, chez les cochons d'Inde et même chez les autres animaux , chez le lapin, le chat et le chien, la productio
un certain nombre de jours après le trauma-tisme expérimental. Les animaux ainsi rendus épileptiques sont pris de temps en t
'une demi-heure. .Vers la fin, elle est interrompue par des visions d' animaux qui ramènent l'effroi et la terreur. Ce sont habi
uivie Fig. 77 et 78. —¦ Attitudes passionnelles. parles visions d' animaux , Mais la troisième période de l'attaque est finie
nt des ailes immenses, des griffes énormes et un gros bec crochu. Ces animaux sont toujours à sa gauche et se précipitent sur e
e en prend souvent le sujet dans la nature; elle récite des vers. Les animaux qu'elle voit sont des singes. Suz. N... 28 juin
rents. Les plaintes sont troublées de temps à autre par des visions d' animaux . La malade a recouvré en partie connaissance, et
nations de la fin, c'est la fréquence et la persistance des visions d' animaux . Gen... est assaillie par des vipères et des co
emps, elle a des hallucinations de l'ouïe et de la vue, elle voit des animaux ; elle a recouvré en partie connaissance, elle se
suivant son expres-sion. Puis elle a, de temps à autre, des visions d' animaux : ce sont des arai-gnées, des rats, des singes qu
r des hallucinations qu'elle raconte fort bien ensuite. Elle voit des animaux , des singes principalement. Elle a des mouvements
la quatrième période, retour in-complet de la connaissance, visions d' animaux , etc. Les observations que nous venons de rappo
ères paraissent être les plus fréquentes, chaque ma-lade conserve ses animaux de prédilection. Gen... voit des cor-beaux, Ler..
du soir principalement, l'agitation commençait. La malade voyait des animaux , des chiens et des chats; elle devenait irri-tabl
de la maladie, le jeune X... avait des hallucinations, il voyait des animaux , chiens, chats, etc. Il eut même deux accès de so
ois par jour; anorexie; douleurs cardiaques très violentes; visions d' animaux , délire vers la fin des crises; somnambulisme. Le
on frère; elle s'agenouillait, joignait les mains; elle parlait à des animaux . Pendant tout le temps elle accusait une violente
demeurant tout près d'une église. Elle voyait par instants de petits animaux , des insectes du Brésil gros comme de petits hann
période des hallucinations; la malade a de la zoopsie, elle voit des animaux , des perroquets, et principalement des singes, to
lle. Elle a vu des personnages imaginaires, elle a entendu des cris d' animaux , mais elle ne les désigne pas. Enfin la scène fin
e et des hallucinations commence. ¦4° Le petit malade ne voit pas d' animaux , mais il entend des bruits de pas, et voit des so
Des crapauds! » L... a peur; elle pleure; demande qu'on retire ces animaux , se débat. Nous comprimons la région ovarienne dr
sonnes de sa connaissance auxquelles elle adresse la parole, voit des animaux courir dans sa chambre. Elle a des moments de pro
iption. Cette question confine de très près aux faits du magnétisme animal . Je n'ai point l'intention d'aborder ici un sujet
de hystérie. Nous avons 1. Voyez VEistoire académique du magnétisme animal par Currlin jeune et Dubois (d'Amiens), Paris ISi
et 1858. 2. Cerise s'exprime ainsi au sujet de fétude du magnétisme animal . « Il ne s'agit que de discerner ce qui peut êt
aordinaires, dans leurs rap-ports avec ce qu'on appelle le magnétisme animal . H y a des faits pathologiques,? mes yeux réels,
et état cataleptiforme a été reproduit par divers procédés sur divers animaux , tels que le pi-geon, le lapin, le moineau, le co
sans nom d'auteur, par un Français. Sur l'état cataleptique chez les animaux , voy., en outre des travaux du D'' Michea, Czerma
seules tendances de son organisme ébranlé. logie de l'homme et des animaux , Bonn, 1873; Preyer, die Kataplexie und der Thier
in dans cette tentative d'examen scientifique des faits du magnétisme animal . (Voyez Thie-rische Magnetismus und Hypnotismus S
sur la tour Saint-Jacques, a le vertige. Elle voit toutes sortes d' animaux , des chats, des chevaux, des éléphants; le tout,
Un prêtre fut tué par la foudre pendant qu'il était à cheval, mais l' animal continua sa roule et rapporta le corps im-mobile
., t. 11, p. 417). » Les mêmes phénomènes ont été observés chez les animaux . Le 11 juillet 1819, la foudre tomba sur une égli
omment nous ferons pour redescendre et tu veux te charger de ces gros animaux -là ». Il disait cela très sérieusement et se fâch
ns illusoires des alcooliques, c'est leur mobilité. Hommes, choses ou animaux , tout ce qui fait l'objet des hallucinations se m
is, 1874, p. 37. 4° Enfin nous signalons la fréquence des visions d' animaux , rats, chats, araignées, insectes, bêtes fabuleus
couraient sur les draps, le lit, les murailles. Les représentations d' animaux étaient seules ou associées à des figures d'homme
, ses pieds sont sans cesse en mouvement pour saisir ou repousser des animaux , des objets de toute sorte. » Le visage est cou
stériques ^. § 2. — action de l'absinthe i. expérimentation sur les animaux L'action de l'absinthe sur les animaux est fort
e i. expérimentation sur les animaux L'action de l'absinthe sur les animaux est fort intéressante au point de vue qui nous oc
aque se pro-duit suivie d'une légère hébétude; revenu bientôtà lui, l' animal reste cares-sant, répond àl'appel, marche,court f
ture rectale; elle est de 39°8. Au bout détruis à quatre minutes, l' animal paraît inquiet, agité; il gémit, se plaint un peu
-Dieu à la clinique de M. le professeur Béhier.j nutes, el, comme l' animal n'a encore que de petites secousses, on injecte d
secondes, et sont suivies de convulsions cloniques très prolongées. L' animal est toujours couché sur le côté, mais non plus so
ons cessent et on voit apparaître les petites convulsions du début. L' animal paraît revenir un peu à lui. Il a toujours les pu
ant il est encore faible sur les jambes, le regard est vague. Í L' animal est revenu complètementà lui dans la journée; il
s accidents semblables à ceux que l'expérimentation a révélé chez les animaux : vertiges, se-cousses musculaires, accès épilept
e a conservé une vive empreinte, les mêmes visions de feux colorés, d' animaux variés, fabuleux et autres, de jardins, de perspe
troisième cheveu à gauche de mon front : après un travail pénible, l' animal mit au monde sept petites créatures. Je parlai de
une analogie singulière entre ces maladies convulsives et l'état des animaux furieux, mais qui, chez ces frénétiques, était pr
é de Clèves, sous la figure de chat^.... » On voit que les formes d' animaux n'étaient pas rares parmi les hallucina-tions de
ions lumineuses, flambeaux, boules de feu, soleil,., en apparitions d' animaux fantastiques, ou de personnages imaginaires. Parf
uvenir des hallucinations persistait après la crise, et des visions d' animaux (serpents) en marquaient la fin. « Elles restai
.................................. 514 1. — Expérimentation sur les animaux ............................. 514 2. — Action de
70 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
ption de la Cathédrale de Strasbourg, publiée en 1617; dix planches d' animaux , Animalium euadrupedum variorum typi (IS89) ; et
hibée du matin jusqu'au soir à des gens qui la-considéraient comme un animal et ne lui ménageaient pas les quolibets. Les femm
e dans la récente promotion. Président de la Société l'Assistance aux animaux ; qu'il a fondée en collaboration avec M. Lépinay,
ers services de la fourrière h Paris. La Société l'Assistance aux animaux a pris également l'initiative de concours d'ani
'Assistance aux animaux a pris également l'initiative de concours d' animaux domestiques qui ont eu un grand succès et qui s
les lignes qu'il lui a consacrées dans son livre sur la Variation des animaux ('). « M. Wallace m'a signalé un autre c3s, sur
c3s, sur l'autorité du d' Purland, (t) Darwin : De la variation des animaux et des plantes, trad. Moulinié., T. II., IS6S, p.
i ce phénomène prétendu atavique allait me montrer le pelage d'un des animaux qui figurent dans la généalogie phylogénique de l
ante du mal de mer. 11 est, en effet, d'observation constante que les animaux placés sur le pont sont plus malades que ceux que
bles. L'observation en est usuelle dans toutes les espèces du règne animal , de celles au moins que nous tenons sous noire dé
mparées. M. Cacstier, agrégé de l'Unir,,professeur. Psychologie des animaux .......M. Lépikay, professeur. Psychothérapie (c
oèmes d'Homère, considérait son cheval comme un oracle. Si le matin l' animal acceptait de bonne grâce les caresses de son maît
rofesseur. Objet du cours : L'évolution des instincts dans la série animale . Les mercredis à cinq heures, à partir du mercr
edis à cinq heures, à partir du mercredi H janvier. Psychologie des animaux M. Lépinay, professeur. Objet du cours : Les
rofesseur. Objet du cours : Les variétés de l'intelligence chez les animaux . Les mercredis à 5 heures, à partir du mercredi t
pathologie comparée, Coutaud, président de la Société protectrice des animaux , Blech, docteur en droit, général Colonne, comman
nant ainsi une base nouvelle à la chimie moderne et à la thermogenese animale . L'étendue de sa science nous étonne encore à l
nductrice consciente de nos actes et de l'émotion, d'origine purement animale ou réilexe. La volonté peut donc triompher des
, avec un peu d'industrie, changer les mouvements du cerveau dans les animaux dépourvus de raison, II est évident qu'on le peut
e lout être vivant capable de penser. 11 suffit d'avoir observé des animaux d'une façon suivie, des chiens, par exemple, pour
uns les autres. Grande est la suggestion qui s'exerce de l'homme aux animaux et réciproquement des animaux à l'homme. Il y a l
suggestion qui s'exerce de l'homme aux animaux et réciproquement des animaux à l'homme. Il y a là tout un chapitre de psycholo
nnuelle de la Société d'hypnologie et de psychologie. — Le concours d' animaux « intelligents ».— Un chirurgien gaucher. — Les m
nnuelle do la Société d'Hypnologie et de Psychologie. — Le concours d' animaux • intelligents ». — Un chirurgien gaucher. — Les
nt naturellement Invités. Chaque année, la Société l'Assistance aux animaux , dont le siège est 36, rue Vaneau, Il Paris, orga
, dont le siège est 36, rue Vaneau, Il Paris, organise des concours d' animaux domestiques destinés a vulgariser et â propager l
vulgariser et â propager la notion des bons traitements à l'égard des animaux . Cette année, IeDr Bérlllon, président de la So
nt de la Société, a eu l'Idée d'ajouter à ces concours, un concours d' animaux « Intelligents >. Ce concours aura lieu le dim
lligents >. Ce concours aura lieu le dimanche de la Pentecôte. Les animaux présentés seront l'objet d'une étude minutieuse d
é de psychologues et de vétérinaires. Il est peu de propriétaires d' animaux qui ne racontent des laits qui témoignent chez le
ntellectuelles. Ces faits n'apportent pas seulement la preuve que les animaux supérieurs observent, comparent, se souviennent,
t comprennent ce qu'on attend d'eux, ils tendraient à démontrer que l' animal est souvent capable d'initiative. Les animaux no
raient à démontrer que l'animal est souvent capable d'initiative. Les animaux no seraient donc pas seulement de purs automates,
ent ne les ont pas quelque peu dénaturés ou exagérés. Le concours d' animaux Intelligents aura donc pour but, non seulement de
ut, non seulement de mettre en lumière les résultats obtenus chez les animaux par une éducation savante ët particulière, mais a
cientifiquement les actes Intelligents spontanément accomplis par les animaux . L'Idée du h- Bérillon, malgré sa nouveauté, a
llie avec une grande faveur. Un assez grand nombre de propriétaires d' animaux ont adressé des observations très intéressantes e
e chat de la maison en train de manger leur viande. L'un d'eux prit l' animal et le lança brutalement dans une bassine remplie
calier jusqu'à la chambre où était la mère. Terrifiée à la vue de son animal favori si cruellement traité, elle porta la main
parties recouvertes de poils, figureraient la région de la peau de l' animal qui avait échappé & l'immersion dans l'eau
MM. Lépinay e; Ghollet. médecins vétérinaires : L'hypnotisme chez les animaux . — Inscrits : MM. Guenon, Bérillon, Caustier, Lou
ons mécaniques faibles et répétées sur l'), par Paul Magnin, p. 90. Animaux Intelligents (Concours d'),p. 353. Anorexie pse
es, par Stumpt, p. 362. Chirurgien gaucher (Un), p. 354. Concours d' animaux intelligents, p. 353. Conférences de 1905, p. 223
71 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
; cet éminent auteur anglais avait observé en effet que chez les» 1 animaux où l'on avait pratiqué l'ablation de l'hypophyse,
ulaire de cet organe augmentait la température, tandis que dans les animaux intacts on n'obtenait jamais une augmentation the
es anthropolo- ques, constitue un caractère de races chez quelques' animaux (poulet do- mestiqueletpourrait dans quelques c
itent de ce sujet proviennent pour la plupart d'expériences sur les animaux , un plus petit nombre de la pathologie humaine. A
e le ma- lade se soutienne en équilibre. Si les expériences sur des animaux infé- rieurs chez qui le vestibule a été détrui
ré la stabilité, d'autres expériences semblables pratiquées sur des animaux d'ordre su- périeur ont produit un(réaction pos
us sectionnons, chez un lapin, le nerf sciatique poplilé externe, l' animal pourra vivre dans son milieu habituel sans qu'on
ulement une simple section, si elle futpratiquée au printemps, si l' animal est jeune et si on préserve de l'hu- midité et
frottements elles variations thermiques habituelles auxquelles les animaux elles personnes sont tous sujets dans leur vie
périphérique des bords qui apparaissent morcelés ou mutilés par un animal rongeur, comme cela se voit sur le bord inlernede
n partie ,ur des recherches expérimentales pratiquées chez certains animaux tels que le chien, le chai et le singe, en partie
principal, ou le nucleus parvocellularis de Hatschek. Dans la série animale , le noyau principal augmente de volume proporti
injectant du liquide céphalo- rachidien de cheval (concentré) à des animaux ayant subi l'ablation de l'hypophyse, ils produ
se à une chienne, .de glycose au taux de 2 gr. ai0 par kilogramme d' animal , injection suivie d'une très discrète et très t
une glycosurie de 1 gramme 49 en 24 heures. Enfin, après repos de l' animal et après l'assurance que les recherches précéde
ractions musculaires de caractère tonique ou clonique chez certains animaux . J'essaierai de donner une description détaillé
Sacchi, par l'extirpation de l'hypophyse, ont déterminé chez « les animaux en voie de développement un arrêt fonctionnel ame
e en même temps que la polyurie l'arrêt de dévelop- pement chez les animaux hypophyseclomisés. Cushing obtient un retard de
albumoses, on dut priver les malades de tous les albuminoïdes, tant animaux que végétaux, ce qui est facile pour les premie
cons- tant de la glande thyroïde est loin d'être prouvée : chez des animaux qui viennent de naître et dont la glande thyroï
tion de cet organe a précisément les mêmes suites que chez d'autres animaux dont la thyroïde contient beaucoup d'iode. De P
t encore en excitant le système sympathique, de sorte que, chez les animaux privés de glande thyroïde, se produit une diminu-
génération des nerfs lésés se fait beaucoup plus lentement chez les animaux privés de la glande thyroïde que chez les sujet
présente dans tous les organes et dans de nombreux tissus du règne animal et végétal ; elle joue véritablement un rôle im
teneur en nucléase s'abaisse d'une façon importante; chez quelques animaux , la diminution n'est pas si grande que chez d'a
, la teneur en nuéclase tomba même jusqu'au cinquième de celle d'un animal normal (chien) ; dans d'autres cas elle tomba a
tablement dépendante delà thyroïdectomie ; si l'on administrait aux animaux des préparations de glande thyroïde (le plus so
la teneur en catalase remontait tout de suite à la normale chez des animaux sans glande thyroïde. On put aussi ramener à la
par exemple, par une grande fatigue, une alimentation exclusivement animale , la gra- vidité et toutes sortes de poisons app
quelque fonds de vérité. C'est ainsi qu'Erdheim pense que chez les animaux privés des glandes paralhy- roïdes se molliraie
yréoprive est une toxémie. Il recueil- lit, dans ce but, le sérum d' animaux qui, à la suite de l'ablalion des glandes parat
ient depuis quelque temps de tétanie et injecta ce sérum à d'autres animaux auxquels ces organes venaient d'être enlevés ;
auxquels ces organes venaient d'être enlevés ; il vit que chez ces animaux injectés, les phénomènes tétaniques ne se dével
par le fait que les antitoxines furent suffisantes pour soulager l' animal dans la période la plus dangereuse, à savoir quan
g ; ensuite il s'était formé assez d'antitoxines pour permettre à l' animal de neutraliser toutes les autres toxines tétani
z indiquent, par exemple, que les résultats des expériences sur des animaux montrent qu'en cas de parathyroïdectomie se pré
s auteurs et après description de ses propres expérien- ces sur des animaux (parathyroidectomie), Redlich finit par conclure
ie ; si l'on enlève expérimenta- lement ces petits organes chez des animaux (chats, chiens, rais), on endommage souvent aus
immédiatement après l'attaque est très toxique et produit chez des animaux (lapins, marmottes) de violents spasmes ; on pe
ssent être pour les PATHOGÉNIE DE QUELQUES'FORMES D'ÉPILEPSIE 397 animaux en expérience moins toxiques ou même inoffensives
72 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
latérales. La variété d'aspects de ces cellules suivant les divers animaux , leur forme dont la comple- xité et les particu
l'élévation et aux dé- r tails d'organisation ainsi qu'à l'âge des animaux , trahissent des modifications philogénéliques e
étiques. Les cellules en panier et les cellules de Golgi des jeunes animaux régressent à mesure que croît l'organisme. ? Po
orme extérieure des cellules cortico- cérébelleuses chez les divers animaux et aux différents âges. Dans l'écorcedu cervele
et aux différents âges. Dans l'écorcedu cervelet de n'importe quel animal les cellules de Purkinje se distingue nettement
te écorce. Puis les cellules de Purkinje varient de forme selon les animaux ; plus un animal esl élevé en organisation, plus
es cellules de Purkinje varient de forme selon les animaux; plus un animal esl élevé en organisation, plus complexe est la
ant les particularités fonctionnelles impu- tables au cervelet de l' animal (ainsi chez les vertébrés ailés, chez les oisea
la fonction de ces cellules pendant le développement de l'organisme animal d'un individu ou d'une espèce. Par contre, les
ET de physiologie pathologiques. leur forme avec la croissance de l' animal , ressemblant en cela aux cellules de la corne a
ès probable . que les cellules de la moelle possèdent chez le jeune animal une fonction plus intense que chez l'animal adu
possèdent chez le jeune animal une fonction plus intense que chez l' animal adulte. Il se peut que les cellules en corbeilles
épileptiques, un régime dépourvu de tout élément azoté d'o- rigine animale , et très pauvre en éléments azotés d'origine végé
to-intoxication. On admet, en effet, généralement que la nourriture animale est cause,bien plus que la nourriture végétale,
ont remarquer que cette toxicité plus grande delà nourriture azotée animale n'est pas démontrée. Lapicque et Ma- relti ont
mmunique deux observations de perversion . sexuelle sadisme sur les animaux attentats ci la pudeur sur une . fillette en ra
e nerveux et le fonctionnement mental dans l'échelle ascendante des animaux , l'auteur con- clut. Actuellement prédomine p
humain et en particulier del'antisérum pré- paré par injection à l' animal du sérum sanguin des épileptiques.' Le sérum hy
s symptômes spécifi- ques de l'épilepsie. 7. Les diverses espèces d' animaux , (chien, chat, lapin, cobaye, souris blanche, p
rtient, comme les réflexes à tous les muscles striés de l'organisme animal ; seulement, pour qu'il se produise, il n'est p
ation la rend très générale et elles'exer- . ce même sur beaucoup d' animaux . Des modifications que subit la force nerveuse
'adversaire. 11JI, Lt : mrr.t Ct GaOLt.tiT. - L'hypnotisme chez les animaux . . 142 bibliographie. M. Caustier. La métho
corps, de la vèture, des objets du ré- fectoire, les personnes, les animaux , etc. On l'exerce en même temps à reconnaître l
rches sur le Neuronal et le résultat d'expé- riences faites sur les animaux par M. le D Viollet. A dose toxique, le Bromdié
calquée sur celle que Chemin a décrite chezlesingegibbon; chez cet animal , Chemin apusui- vre l'accolement des fibres de
e humain, comme ils se poursuivent parallèlement dans la hiérarchie animale . Folies intermittentes et épilepsie. DI' F. D
met l'existence de trois âmes : Végétative (plantes) , Sensitive ( animaux ) Raisonnable (homme) C'est à l'âme raisonnabl
cette femme vaillante, qui la première imagina de réduire la nature animale en général, et la nature humaine en particulier
ts la transformation corporelle est absolue : il se croit changé en animal (zoanthropie), en loup (lycan- tlwopic (1) ». C
ium tremens et caractérisé comme lui par des visions terrifiantes d' animaux , de fantômes, de démons, d'assassins, des actes
ui conditionnent les fonctions. Certains refusent la conscience aux animaux , la réser- vant à l'homme seul ; d'autres pense
apparition dans l'évolution ontogénique. IL Lorsqu'on enlève à un animal les parties supérieu- res de son cerveau (1), i
vec son propre corps. Les objets sont provoca- teurs de réflexes, l' animal les voit puisqu'il se dirige parmi eux, puisqu'
s de la base. En résumé, la cons- cience se développe dans la série animale , en fonction du cortex et des voies directes qu
s singes, aussi pauvre soit-il, est uti- lisable. Le cerveau de cet animal est, histologiquement, en état de fonctionner ;
de la zone corticale motrice ou après section des pyramidales, les animaux ne perdent pas définitivement la faculté de mar
que Brow n-Séquard avait J'l'ncon1rées dans des expériences sur les animaux dont il avait traumatisé l'encéphale (Cf. Thèse
n- directe de la toxicité par l'étude des échanges organiques des animaux injectés. En attendant le résultat de celte nouve
e» voies courtes qui cons- liluenl l'arc médullaire rullme chez les animaux inférieurs, che/. l'enfant pl qui persistent ch
epiphysesà la diaphyse au niveau des os longs s'observent chez les animaux comme chez l'homme après la castrai ion. Chez l
n évidence, comme on le constate également chez les eunuques et les animaux châtrés. Enlin la grande majorilé de ces indivi
t auteur chercha, en injectant de la cire dans le canal vertébral d' animaux jeunes, à déterminer siilyavaitetquelles ctaien
des altérations di- verses selon l'époque a laquelle on sacrifia l' animal \ùe G heures à (j mois). Au début (Ci heures -1
us a cherché à donner il sa théo- rie en portant sur'la dure-mère d' animaux de la culture stérilisée de staphylocoque ou un
ut est dé- passé et les convulsions se terminent par la mort de l' animal . On se rapproche alors beaucoup plus de l'épi-
ffet, beaucoup plus grande qu'a- vant l'inoculation et que chez les animaux témoins. Contrairement à mes précédentes conclu
rain dans les expériences cl ? par Delins, p. 141. Il chez les animaux , pnr Lépi- nay et (' .1-011et. ' 1-lypoCHo ?
73 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
minutes de séjour; une demi-minute de décompression. - A 3 h. 5, l' animal commence à traîner sa patte postérieure gauche.
ésicale; pas de distension gazeuse de l'estomac ou de l'intestin; l' animal ne rend pas de gaz par les orifices du canal di
nnement très fort. Réflexes très exaltés. Vers le troisième mois, l' animal commence à récupérer la motilité de sa patte. Dès
e moment, l'amélioration faisant des progrès remarquables, je tue l' animal par l'ouverture du thorax et procède à l'autopsie
sies des cordes vocales du )ar\nx et n'invoque plus, comme pour les animaux , de suppléance des centres corticaux par des cent
aussi complètement que possible, et en opérant de telle sorte que l' animal pût survivre assez longtemps pour être observé,
acture du train antérieur et l'im- potence du train postérieur de l' animal ne semblent pas résulter directement de l'ablat
cicatrisation de la plaie a été complète, et que la nutrition de l' animal est redevenue normale. C'est donc uniquement da
cervelet. Ce qui frappe alors dans les mouvements volontaires de l' animal , c'est le manque de mesure, de suite et d'énerg
els mouvements cloniques, les muscles se relâchent tout à coup et l' animal tombe en marchant. Mais aucune investigation ob
llulaires qui par leur association constituent les indivi- dualités animales . Après avoir défini la notion d'espèce et la no
olo- gique évidente, par exemple celles du lobe olfactif chez les animaux osmatiques, et celles du langage chez l'homme;
x corticaux. Cependant l'ablation des deux sphères visuelles d'un animal le rend pour toujours aveugle, et la destruction
suelle détermine une hémianopsie qui ne s'amende jamais. Chez les animaux nouveau-nés, avant tout exercice notable des se
ou du sens musculaire, on doit pouvoir les détruire impunément : l' animal verra avec les éléments d'autres régions cérébr
and livre de Lombroso, 1 'Homme criminel, ayant étudié des crânes d' animaux chez lesquels la suture frontale persiste à l'é
xe dans la cavité abdominale d'autres glandes thyroïdes tirées d'un animal de la même espèce. » Le Dr Eiselsberg décrit un
lsberg décrit un certain nombre d'expériences semblables. Chez neuf animaux , l'extirpation d'une glande 236 REVUE DE THÉRAP
ois semaines après l'autre moitié fut extraite du cou. Sur les neuf animaux , huit moururent des symptômes typiques de la pe
lacée ne s'était pas greffée in situ ou avait dégénéré; le neuvième animal , cependant, survécut, et son poids augmenta. On
pas, cela tenait à la nécrose de la greffe et par conséquent les animaux succombèrent. Dans le quatrième cas, l'animal se
t par conséquent les animaux succombèrent. Dans le quatrième cas, l' animal se portait parfaitement bien (et avait grandi).
si elle se trouvait dans le cou, et conséquemment sauve la vie à l' animal . Il me semble que ces observations du professeu
ettent pas la vie en danger. La transplantation d'une thyroïde, des animaux plus petits dans la cavité péritonéale ou dans
ue anatomique, à celle de l'homme, et que le mouton, parmi tous les animaux pris jus- qu'ici pour des essais, ressemble le
séances réséqué à l'aide de ciseaux les deux moitiés du cerveau. L' animal survécut à la seconde opération pendant cin- qu
a pre- mière résection.avait porté sur l'hémisphère gauche et que l' animal avait à cette opération survécu deux cent soixa
erveau pendant les cin- quante et un derniers jours de sa vie. Or l' animal remplissait en- core les fonctions que bien des
; on le voyait alors ouvrir les yeux et s'étirer comme tout autre animal normal. Si on essayait de lui imposer une situati
- parée, on voit que ce phénomène d'enroulement correspond chez l' animal à une rétrogradation de la partie fondamentale du
La capsule interne a subi une com- plète solution de continuité. L' animal est mort à huit mois et demi. On constate : une
pièces montrent les relations qui existent dans l'ensemble du règne animal (lapins -chiens - hommes) entre certaines régions
es faites par l'orateur ont eu pour principe d'ouvrir le ventre des animaux dans un bain à la température du sang et conten
eaux de l'intestin ne révèlent aucune modification notable chez les animaux ainsi empoisonnés, et, comme toute, l'action va
s meilleurs tra- vaux sur l'hypnotisme. Nous adresserons donc à cet animal , malgré l'humiliation qu'il aura infligée au co
toxication morphinique ; il permet encore de conserver à la vie des animaux » auxquels on a fait absorber des doses mortelles
elle et reproductive, ' déjà physiologiquement commencée. 30. Les animaux inférieurs, chez lesquels on observe pourtant d
74 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
une ataxie apparaît, variable avec le genre de locomotion de ces animaux et, quoiqu'elle doive son origine à la même cause
ant entre les résultats anatomo-pathologiques observés, et chez les animaux après la section des racines posté- rieures, et
a des « pseudo-antagonistes », et que, chez l'homme comme dans les animaux , « les antago- nistes se relâchent, dans l'exéc
singe, Hering observa, comme l'avait vu Mott et Sherrington, que l' animal nepou- ' Cf. Margulies. On sectionna à un singe
e ; elle traînait dans l'exécution des mouvements un peu rapides; l' animal ne s'en servait que d'une façon mal assurée pou
, il en était autrement de l'extrémité droite : de la main gauche l' animal sai- sissait un quartier de pomme d'une manière
e de la main droite, IIering lui lia-t-il les autres extrémités : l' animal ne le fit point. Comme ce singe devait servir à
nerveux sympathiques et cérébro-spinaux. A un moment de la vie de l' animal ou de ses as- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 49
xe et plus plastique, pendant quelque temps après la naissance de l' animal (mammifères, enfant) ; 8° Dans le cerveau de
s M. Homen, je puis donner le résultat d'expériences faites sur les animaux pour voir les relations existant entre la cir-
ieures. L'injection dans le sciatique du liquide de Girota chez des animaux sacrifiés quelques minutes auparavant permet de
émellité est une tare paternelle et maternelle, aussi bien chez les animaux que chez l'homme. Elle est fréquente dans la sy
t au cours de nombre d'années. « Il faudrait donc laisser vivre les animaux longtemps pour voir si les altérations ainsi pr
brés, et augmentent d'étendue à mesure qu'on s'élève dans l'échelle animale ; l'exception tirée des quadrumanes est spé- ci
euves Urées,du développement. Chez l'individu, comme dans l'échelle animale , les lobes occipitaux apparaissent tardivement,
s vapeurs d'éther. Toutes les parties de l'écorce du cerveau de ces animaux , tous les noyaux sous-corticaux ainsi que la moel
ux, tous les noyaux sous-corticaux ainsi que la moelle allongée des animaux éthérisés ont été étudiés par la méthode de Gol
risation la majeure partie de l'écorce reste inaltérée ; Chez les animaux profondément éthérisés, la plus grande destruct
pouls. 2° L'intensité du phénomène dépend de l'indivi- dualité de l' animal . 3° Les doses plus fortes présentent l'effet plus
emander plus qu'elle ne peut donner ? > Le suicide chez quelques animaux . M. CAUSTIER reprend la question très controver
tout récemment et rapproche ce suicide de celui de quelques autres animaux : cheval, chien, serpent à sonnette, etc. Parac
eux central périphérique. L'aspect du ganglion nerveux du vague des animaux morts delà rage des rues est si spécial, que l'
tout cas une grande analogie avec celles que l'on observe chez les animaux que l'on fait mourir en les privant de sommeil. I
ordeurs, suspects de rage comme on le fait encore trop souvent, ces animaux devraient être tenus en observation afin qu'en
eau-né. Petit à petit l'enfant monte pour ainsi dire dans l'ééhelle animale ; des. relations s'établissent entre le tractus
on avec les modalités de structure que l'on rencontre dans la série animale . L'anatomie et la psychologie comparées ont enr
e présente une grande analogie avec celle que l'on observe chez les animaux inférieurs que l'on a soumis à l'influence des
demander plus qu'elle ne peut donner., c Le suicide chez quelques animaux . M. Causiez reprend' la question très controver
tout récemment et rapproche ce suicide de celui de quelques autres animaux : cheval, chien, serpent à sonnette, etc. Parac
es cam- pagnes. Perversion de l'instinct de conservation chez les animaux . M. Lépinay rapporte plusieurs observations de
ir de chagrin ; il traite à nouveau la question du suicide chez les animaux . , Les exercices des derviches Rouscdy expliqué
te voie d'étude expéri- mentale, on a pris d'abord pour sujets, des animaux supé- rieurs et en particulier celui qui, dans
des animaux supé- rieurs et en particulier celui qui, dans la série animale , se tient le plus près de l'homme, le singe. Vo
déterminer la topo- graphie des centres moteurs corticaux, chez les animaux supérieurs tels que le singe, puis chez l'homme
innervation volontaire du centre extirpé. Il y a plus ; prenons un animal , chez lequel on a créé un centre épileptogène, en
menta- teurs nous ont démontré son exactitude, en opérant sur des animaux . Les chirurgiens n'ont pas manqué d'en faire l'ap
ne inévitablement la tétanie ou la cachexie strumiprive; les jeunes animaux en subissent plus de dommage que les adultes. I
ituent pas les seuls produits de la glande. La thyroïde de nombreux animaux contient de l'iode qui, peut-être, exerce une a
xpériences du physiologiste finlan- dais Homen qui en infectant des animaux avec des bactéries strep- tococciques et leurs
éprouvait un plaisir sexuel aux courses de taureaux, à la vue de l' animal poursuivi et en danger de mort. Cette perversion
état rudi- mentaire lorsque nous le comparons à celui de différents animaux : l'auteur en étudie avec soin et compétence le
ur en étudie avec soin et compétence le développement dans la série animale , puis il examine quel en est le siège chez l'homm
suite les différences que l'on observe entre le cerveau de certains animaux puissamment doués au point de vue de l'olfaction
ieuses sur la pudeur, son évolution, ses ori- gines, la physiologie animale comparée à celle de l'homme pri- mitif, ancien
es lunaires, c'est une alternative qu'on retrouve toujours chez les animaux comme chez l'homme, chez le mâle comme chez la
sticisme surtout. Il étudie d'abord la masturbation comparée chez l' animal et les différentes races humaines, les phallies
et partant avec clarté. ' P. B. XVIII. Irritabilité dans la série animale ; par le De DENIS COURTADE. (Scientia, n° 7. Car
rritabilité : il indique clairement comment il faut la concevoir. L' animal n'a pas des propriétés absolument séparées du m
Inhibition. Sur 1' , par Mellzer, 396. Irritabilité dans la série animale , par Cuurtacle, 442. Langue. Hématrophie de l
75 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
II. Recherches expérimentales sur l'élon- gation des nerfs chez les animaux sans examen de la moelle épinière. M. Duvault
n-Séquard2 fit un grand nombre d'expériences physiologiques sur des animaux , relativement à l'in- fluence qu'exerce la trac
thésie était remplacée par l'hyperesthésie. Chez presque tous les animaux soumise une hémisection de la moelle dorsale, l
s l'élongation du nerf sciatique de l'autre membre. Chez tous les animaux soumis à ces expériences, il y a eu, dans le me
ible quand la force déployée ne dépasse pas la moitié du poids de l' animal , (p. 113-114); que 1 Zederbaum Ad. Ne,veîideh7t
IV. Recherches expérimentales sur l'élon- gation des nerfs chez les animaux avec examen mi- croscopique de la moelle épiniè
het sous le nerf. Les supports f f sont maintenus sur le corps de l' animal par un aide; l'opérateur passe l'index de la ma
che attentivement examinée ; selon la puis- sance de la traction, l' animal présentait plus ou moins deparésie et quelquefo
nerfs, ce qui constitue le principal objet de notre travail. Les animaux furent sacrifiés à différents intervalles, vari
nstata une forte injection du cordon nerveux, toutes les fois que l' animal fut sacrifié peu de jours après l'opération. Le
apparaît sous une forme moins nette et moins distincte, lorsque l' animal survit trois mois et davantage à l'opération ;
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. bout de dix à trente jours; quelques animaux se rétablissent totalement ; on les tue alors d
positions, l'encéphale des reptiles divers comparé à celui d'autres animaux . 11 les résume toutes dans la onzième que voici
aux. 11 les résume toutes dans la onzième que voici : chez tous les animaux munis d'un amnios, les ganglions des deux paire
; chez l'iguane, elle fait saillie extérieurement, de sorte que cet animal possède trois paires de tubercules quadrijumeau
n sans la suppression de boissons. Durée moyenne de la vie chez ces animaux : 10 à 31 jours; déchéance pondérale moyenne :
e l'absence de graisse dans le canal vertébral; tandis que chez ces animaux bien portants il existe une quantité considérable
de l'expérience. Etat de l'excitabilité électrique de l'écorce des animaux inanités, Un animal bien nourri est trépané d'un
t de l'excitabilité électrique de l'écorce des animaux inanités, Un animal bien nourri est trépané d'un côté; ou dispose l
ur la convulsion la plus faible du membre opposé correspondant. Cet animal est soigné et guéri, puis on l'inanitie. C'est
convulsions épileptiformes généralisées. - Symptomatologie, Chez l' animal , l'inanitiation ne se traduit par aucun phénomène
r. Le caractère est assez doux et affectueux, il est bon pour les animaux , quelquefois il est méchant avec les autres enfan
me manière, et rien de semblable ne se présente dans l'écorce des animaux . ' ' -mu' '" r. ',»> ... t..i-- · ... La . v
'existence d'un autre centre, qui est celui de la coordination. Les animaux , chez lesquels les lamis- AIICIIIVES, t. X. 18
en outre s'assurer maintes fois que les mou- vements coordonnés des animaux , chez lesquels on a enlevé les hémisphères céré
centre de coordination du troisième ventricule n'est pas lésé. Ces animaux sont non seulement doués d'une faculté de locom
ux sont non seulement doués d'une faculté de locomolion propre à un animal normal, mais aussi ils évitent et franchissent
rop grande. M. Christiani insiste en manière de conclusion, que les animaux , chez lesquels on a extirpé les hémisphères cér
iés; dans ce cas là, M. Christiani n'a jamais pu constater chez les animaux la cécité complète attribuée par M. Munk à l'abla
usqu'à présent t ni les données de la physiologie expérimentale des animaux ni celle de la clinique de l'homme ne parlent p
ats contradictoires, que l'expé- rience physiologique faite sur les animaux fournit entre les mains de physiologistes même
epaire affreux où l'on « se ferait scrupule de placer les plus vils animaux . « Les aliénés que l'on jetait dans ces cloaque
e du matin, on en trouvait dont les pieds étaient dévorés « par ces animaux , elles succombaient souvent. Aussi, blessées de
, lui dit-il, es-tu fou toi-même, de vouloir « déchaîner de pareils animaux ? « Citoyen, lui répond celui-ci, j'ai la convi
échant, ni taquin; il est docile, doux pour ses camarades, pour les animaux ; il n'a pas de mauvais instincts, n'est ni vole
fants, et préfère rester seul dans un coin; il ne peut souffrir les animaux . - Le sommeil est généralement très agité; il a
s : calme et inoffensif. Gâteux. Santé physique bonne; vie purement animale . Le 10 avril 1872, l'enfant est atteint de bron
facultés nécessaires à la vie de relation, ne vivant que de la vie animale , et même inaptes à se reproduire. Un autre, qui
de de délire très longue et hallu- cinations (corbillard, échafaud, animaux fantastiques). DE LA THERAPEUTIQUE SUGGESTIVE.
THÉRAPEUTIQUE VIII. DE la caféine dans SES rapports avec la chaleur animale , et envisagée par opposition A l'alcool; par W.
rapeutique et médico-légal, avec un résumé historique du magnétisme animal . Volume in-f8 de 381 pages, avec 21 figures. Pr
76 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
exagérée par rapport à la hauteur du tronc; et, enfin, que chez les animaux châtrés, le chapon et le boeuf spécialement, ra
des membres postérieurs est aussi notoire, arrivant à donner à ces animaux une apparence particulière. Or, tous ces faits
nuques (châtrés avant la puberté), l'accroissement du squelette des animaux châtrés jeunes semblent indiquer l'existence d'un
ts qui existent entre les glandes génitales et l'hypophyse.Chez les animaux châtrés, l'hypophyse est augmentée de volume et
de cellules éosinophiles. Mais, chose impor- tante, si on fait à l' animal opéré quelques injections de liquide orchitique,
ont observé que les fractures gué- rissent plus lentement chez les animaux éthyroïdés que chez les témoins. Pour Pizzolini
e consolidation ne se produit après la thyroïdeclomie que lorsque l' animal est arrivé à l'état de cachexie. D'après Veillo
dien accélère la consolidation des fractures non seulement chez les animaux éthyroïdés, mais aussi chez les témoins. Carr
tion sédative des sels de calcium sur les phénomènes convulsifs des animaux thyro-parathyroï- dectomisés et ont trouvé en o
sés et ont trouvé en outre que le sang et le système nerveux de ces animaux est plus pauvre en calcium que celui des témoins.
es auteurs américains. Ces deux auteurs ont trouvé encore que les animaux thyroparathyroï- dectomisés perdent le calcium
uantité plus grande que les témoins. Mais Léopold et Reuss, chez un animal avec parathyroïdectomie partielle, ont trouvé u
lus pauvres en calcium que ceux des témoins. Mais quand il s'agit d' animaux adultes, il arrive plutôt le contraire. Pourtant
rquer que la quantité plus grande de calcium trouvé dans les os des animaux parathyroïdectomisés n'exclut pas la pos- sibil
drale. Quand on pratique cette opération dans le jeune âge chez les animaux comme chez l'homme, on observe la persistance p
l,i (123) ont observé un ralentissement de la crois- sance chez des animaux traités par des injections de suc hypophysaire,
sur le métabolisme de l'azote, du phosphore et du calcium chez les animaux trai- tés par des injections de suc hypophysair
ose et Vogt (133) ont ob- servé un retard de développement chez les animaux éthymisés. Ces derniers auteurs ont observé en
auteurs ont observé en outre un état ostéoporotique chez ces mêmes animaux et ont noté encore la difficulté de consolidation
fficulté de consolidation des frac- tures pratiquées chez ces mêmes animaux . Par contre, Langerhans et Saveliew (134), ains
galement le rachitisme par l'injection de ce microbe à des jeu- nes animaux et considère les deux affections comme équivalent
étiologique. Charin et Moussu (143) réussirent à rendre malades des animaux par 62 MARINESCO, PARHON ET MINEA la cohabita
x par 62 MARINESCO, PARHON ET MINEA la cohabitation avec d'autres animaux osléomalaciques ou par l'inocula- tion de la mo
ontré que les phénomènes tétaniques sont moins pro- noncés chez les animaux thyruparathyroïdectomisés que chez ceux qui ont
ar l'un de nous avecUrechie (159) dans la tétanie expérimentale des animaux tlly- ro-parathyroïdectomisés. D'autres auteu
s faits, et le dernier auteur prétend même que le traitement de ces animaux par les sel de cal- cium ou de magnésium suffit
ium n'ont pu obtenir qu'une légère prolongation de la survie de ces animaux . Nous devons ajouter encore que dans un cas de
cerveau dans d'autres étals, l'inanition par exemple, sans que les animaux présentent de phénomènes convulsifs. On peut
vue nous rappelerons que Mac Callum et Voegtelin ont trouvé que les animaux ihyroparathyroïdectomisés éliminenl plus d'ammo-
oïdectomisés éliminenl plus d'ammo- niaque-par leurs urines que les animaux normaux et, que Isac Ott (163) est d'avis que l
. de physiol., 1874; HOULE)', De l'OStiOM. chez l'homme et chez les animaux . Thèse de Paris, 1874. 151. IInnoT et GASTOU. -
e comparée. Cette science enseigne que, dans des espèces vivantes d' animaux inférieurs, le nombre des doigts est varia- ble
des espèces fossiles ayant plus de doigts que n'en ont les espèces animales vivantes correspondantes. Ainsi l'anchitel'ium
3 mois, l'état s'est aggravé : hallucina- tions nocturnes (voit des animaux , assiste à des scènes de meurtre). A l'infirmer
n point ce que Slierrington avait réalisé expérimentalement sur des animaux , c'est-à-dire un territoire ra- diculaire sain
s semble qu'on doit con- tinuer ces recherches avec quelques autres animaux et surtout aussi avec des animaux adultes. Un
s recherches avec quelques autres animaux et surtout aussi avec des animaux adultes. Une autre méthode qui doit être essayé
ée est celle des injections de pilo- carpine, atropine etc. sur les animaux . Nous avons fait une injection de pilocarpine s
e l'appareil nucléolaire- ont étudié ce phénomène chez les oiseaux, animaux chez lesquels on trouve, à côté d'un nucléole a
elis (1899) retrouve ces cellules dans les ganglions rachidiens des animaux atteints de rage et croit qu'il s'agit d'un état
bservé l'augmentation de nom- bre des cellules vacuolaires chez les animaux (lapins, chiens), qui on a sec- tionné les nerf
décrit les cellu- laires vacuolaires dans les ganglions spinaux des animaux normaux (chiens, chats, cobayes, lapins, canard
(3) Athias, La vacuole des cellules des ganglions spinaux chez les animaux à l'état normal, Anat. Anzeiger Centralblatt, 1
ce de ces nodules a été constatée dans les ganglions rachidiens des animaux inoculés avec le virus polio- myélique (Flexner
bue à une frayeur subite et violente due à la rencontre d'un chien, animal particulièrement redouté par la malade. Ensuite,
galement à désirer que de pareils examens soient pratiqués chez les animaux « bas sur pattes » comme les chiens bassets, le
asiques sont évidentes. L'absence de lésion des cartilages chez ces animaux et chez les achondroplasiques fournirait un argum
ement qu'en réséquant les cordons postérieurs de la moelle chez les animaux , ceux-ci présentaient ensuite des phénomènes d'
77 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
ermomètre jusqu'au point correspondant à la température présumée de l' animal . Avant de commencer l'expérience, nous,attendions
obine de Ruhmkorff mise en communication avec un élément de Bunsen. L' animal est immédiatement tétanisé, la température s'élèv
rature redescend en trois minutes, à 40°. On interrompt le courant. L' animal meurt. La température se maintient à 49° pendant
troduit les réophores dans le canal rachidien sans léser la moelle. L' animal est immédiatement tétanisé. La température monte
mmédiatement tétanisé. La température monte en une minute à 39°, 5. L' animal ne respirant pas, on interrompt le courant, la re
et en trois minutes et demie, la température est revenue à 39°, 2. L' animal meurt. Ces expériences tendent à démontrer que
ui produit celte altération. » J'ai vu au moins plusieurs centaines d' animaux survivre des mois entiers à la section de la moel
s qui surviennent quelquefois dans la nutrition de l'œil, chez divers animaux , à la suite delà section d'une moitié latérale de
ypérémie neuro-paralytique comparable à celle qu'on observe, chez les animaux , à l'une des extrémités inférieures après la sect
il est démontré que la paralysie vasculo-motrice, déterminée chez les animaux par une lésion expérimentale, peut persister pend
et état cataleptiforme a été reproduit par divers procédés sur divers animaux , tels que le pigeon, le lapin, le moineau, le cob
sans nom d'auteur, par un Français. Sur l'état cataleptique chez les animaux voir, en outre, des travaux du I)r Michéa, de Cre
du I)r Michéa, de Crermak. (Archives de physiologie de l'homme et des animaux , Bonn, 1873; de Preyer, die Kata-plexîe unit de.r
es. 11 nous raconte lui-même [Mémoire sur la découverte du magnétisme animal . Genève, 1779) comment il fut conduit à sa découv
e animé et auquel il donne, encore par analogie, le nom de magnénisme animal . Et c'est alors que commence sa lutte avac Ingenh
Faction du principe mystérieux. C'est ainsi que naquit le magnétisme animal , et c'est sur ces entrefaites qu'Andry et Thouret
des nouveaux de l'hystéro-épilepsie. — Zoopsie. — Catalepsie chez les animaux (1). I. Contracture hystérique; disparition sub
ène intéressant des troubles visuels; je veux parler de la vision des animaux , que l'on pourrait appeler la zoopsie. En effet,
de calme, nos hystériques sont parfois épouvantées par des visions d' animaux . Elles voient des rats, des chats, des animaux, n
tées par des visions d'animaux. Elles voient des rats, des chats, des animaux , noirs en général, qui se présentent toujours du
rat, du goût, provoque les mêmes phénomènes. V. Catalepsie chez les animaux . — On a pu provoquer la catalepsie chez les anima
talepsie chez les animaux. — On a pu provoquer la catalepsie chez les animaux . C'est un fait reconnu depuis longtemps. En 1636,
, plus complètement qu'aujourd'hui. On peut la répéter sur d'autres animaux , moineaux, salamandres, écrevisses, lapins, etc.
ut-être générale, c'est-à-dire s'étendre à tous les muscles de la vie animale , face, tronc, membres, ou, au contraire, partiell
ci-après, p. 310. ?. Il s'agit seulement ici des muscles de la vie animale . Charcot. (Euvr. compl. r. in, Hypnotisme. 20
ts qui, de près ou de loin, touchent à ce qu'on appelle le magnétisme animal . La difficulté même du sujet impose à quiconque
Ancien chef de clinique à la Salpêtrière. L'histoire du magnétisme animal et de l'hypnotisme a subi des fortunes diverses.
en doute, repoussé et ridiculisé par les Corps savants, le magnétisme animal finit par s'imposer sous le nom d'hypnotisme, en
en ce que, sous l'influence 1. Consulter l'ouvrage : Le magnétisme animal , par Binct et Foré. (Alcan éditeur, 1887), auquel
e qui régnait autrefois dans le monde médical à l'égard du magnétisme animal , et qui a permis à l'hypnotisme, si longtemps rep
bservation n'a jamais été présent à des expériences sur le magnétisme animal ? Le nombre des magnétiseurs de profession est gr
s nouveaux de l'hystéro-épilepsie. — Zoopsie. — Catalepsie chez les animaux ............................................ 289
s de production,p.262, 800,510; artificielle, p. 285, 293: — chez les animaux , p. 294; — caractères de la . —hypnotique, p. 3
78 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
, 96 pages, 1890. Stork, Lyon. E. Masoin. — Étude sur le Magnétisme animal : in-8°, 120 pages 1890. Bruxelles, 35, rue des
nt. D'après certaines expériences physiologiques, il paraîtrait que l' animal sur lequel fond un carnassier ne soufle pas beauc
. Paris, J.B Baillière et fils. e. Masoin. — Etudes sur le Magnétisme animal : in-8, 120 pages, 1890. Bruxelles, 35, rue des
CIÉTÉ DE MÉDECINE VÉTÉRINAIRE DE PARIS L'hypnotisme étudié chez les animaux M. Joiy. — Apre» avoir fait l'historique de la
on. M. Joly cite de nombreuses observation» qu> démontrent que les animaux divers pttsentent, dans certaines condition* déte
Un bruit subit peut causer une attaque de catalepsie chez certains animaux . Ainsi daprfc» M. Trastot, les jours de tir au ca
ns delà vue. La lumière intense exerce une fascination sur beaucoup d' animaux : sur les poissons, les ècrevisses. les papillons
s avoir énumére un grand nombre de cas de fascination exercée par les animaux sur leur proie, il conclut que la même fascinatio
es chiens, par Hering sur le cheval et par Lcisering sur le loup. Les animaux demeurent immobiles cl incapables de mouvement, s
un lien les picJs d'un coq et on le placs sur un plan quelconque ; l' animal cherchera d'abord par des coups d'ailes et des mo
'on laissera après l'enlèvement de ligature des pieds, on verra que l' animal , bien que non lié. ne cherchera pas à s'envoler m
e si on l'y incite. L'auteur rappelle les expériences de magnétisme animal de F.schcmcycr, de Kicsscr et de Vasse, et qui co
iquer ses pouces sur la tète ou dans la région de l'estomac de divers animaux placés sur une table. Ils purent obtenir, de cett
nc pas nécessaire- Pour obtenir l'état hypnotique et le maintien de l' animal dans une position antinaturelle, il suffit d'allo
graduellement. Preyer fit un grand nombre d'expériences sur divers animaux et reconnut l'exactitude des rese. tais annonces
que deux choses sont necessaires pour produire la cataplexie chez les animaux : 1° la fermé. volonté, chez l'expérmentiteur. de
imaux : 1° la fermé. volonté, chez l'expérmentiteur. de subjuguer les animaux et de leur faire sentir toute sa puissance ; 4° l
, verdiers, etc., les grenouilles, les crapauds Il a constaté que les animaux affaiblis sont plus licitement plongés en cataple
le rat. L'auteur a cherché à produire la cataplexie chez le chien, animal qui, d'après Preyer, est réiractalrc a l'hypnotis
atiques en chirurgie vétérinaire, au moins chez les petites espèces animales . Leçons sur l'Hypnotisme a Gènes M. le profes
de ses leçons : 1re Leçon. — Aperçus historiques sur le magnétisme animal et l'hypnotisme. Récents travaux scientifiques de
mprendre les phrases simples quoiqu'ils ne parlent pas. Cher quelques animaux 'même, la faculté Je langage existe, quoique les
t pas loin où tout docteur en médecine qui osait parler de magnétisme animal était gourmande par ses confrères. Déconsidéré pa
rveux cérébro-spiral ; li se produisent dans les exer-cices de la vie animale des modifications très appréciables et caractéris
and elle repassa à l'état de condition première, et qu'elle aperçut l' animal dans ses appartements, elle le chassa comme un ch
a-violets qui ne sont vus que par certaines personnes et par certains animaux , ainsi que cela résulte des expériences de M. de
.. avec un de nos amis qui, se faisant passer (I) Bonn. U Uar.iUtmt animal , étude critique et taptrimttvalt »ur ChypnMiime.
me est un bœuf qu'il faut assommer. (Voir mon livre sur le Magnétisme animal , p. 113.) Mais ui voit la différence qu'il y a
ueurs odiques émises par des aimants, des cristaux, des végétaux, des animaux et des sources diverses de lumière. L'auteur de
oire sur la Catalepsie, et son fils publia en 1808 : De l'Électricité animale . M. Bertrand prouve par des citations du docteu
ort sur l'Opportunité d'interdire les séances publiques de Magnétisme animal , citait le fait suivant, qui est peut-être un des
oin. ÏH T opportunité d'interdire les séances pu/digues de Magnétisme animal , rapport communiqué a l'Académie royale de Médeci
ière de l'ombre, ou les contours vagues d'un ennemi ou d'une proie, l' animal qui s'est laissé guider par ces imparfaites indic
social qui s'éveille; elle est aux sociétés ce que la vision est aux animaux , et, par la netteté, par la célérité, par la mull
7 fr. 50. Damlkwsky (?.). — L't'nité de (Hypnotisme de l'homme et des animaux (en russe), discours fait au Congrès des médecins
l, à la pointe de ses nombreuses aiguilles, seulement 2 lignes. VIE ANIMALE Elle donne lieu aux observations les plus varié
cela à la loi générale qui régit le dualisme odique dans le corps des animaux . Les cavités des deux oreilles donnèrent lieu à l
iénés et le asiles d'aliénés (les), 254. Amnésie rétrograde, 347. Animaux (l'hypnotisme étudié chez les), 155. Anthropolo
, 118. Hypnotisme roi du monde (1'), 94. Hypnotisme étudié chez les animaux (l'), 155. Hypnotisme à la conférence des avoca
79 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
éhensibles maux. Même de nos jours, l'idée que des corps étrangers, animaux ou miné- raux, peuvent être inclus dans la boît
fardeau, de violents efforts pour at- traper le hibou. Ce hibou, animal toujours présent dans les scènes chirurgicales, e
arbon, de la terre, de la suye, etc. ' » Elle disait que tous ces animaux étaient bien plus gros, quand elle les jettait,
bacille de Koch et de ses toxines, la possibilité de créer chez les animaux des lésions névritiques par l'injection de tube
us ignorons, le principe infectieux et qui n'est pas inoculable aux animaux ; ainsi l'expérimentation, seule base LA POLYNÉ
ni bacilles ; l'inoculation à des cobayes ne provoqua pas chez ces animaux de manifestations tuberculeuses. Peut-être a-t-
s barhiers de village, dans un entassement pittoresque de fioles, d' animaux , de plantes desséchées, de marmots et de squele
ter à nos recherches, nous avons eu à notre disposition une série d' animaux auxquels nous avons réséqué le nerf pneumogastr
: 1° Le mode opératoire suivi ; 2° Les conditions concernant les animaux pris comme objets d'expé- rience ; 3° La tech
ns les neu- rones sensitifs. Elle n'est pas la même chez tous les animaux , variant suivant t'age et suivant l'espèce. E
ortée. QUATRIÈME PARTIE EXPÉRIENCES PERSONNELLES. Trois espèces animales ont été utilisées pour nos expériences : deux l
os expériences : deux lapins, deux chiens et deux chais. Tous nos animaux ont été opérés de la même façon : après les avoir
raché le sympathique. ' Nous avons eu soin de .nous assurer que les animaux étaient parfaite- ment sains et vigoureux avant
us ou moins long, variant du 7c au 195° jour après l'opération, nos animaux ont tous été invariablement tués par le chlorof
r d'un centimètre; du même côté ou arrache le nerf sympathique. L' animal se porte parfaitement bien, il n'y a pas de suppu
'oeil et l'oreille présentaient des symptômes très manifestes). L' animal se porte bien, il n'y a pas de suppuration ; il e
rap- pelle la disposition du faisceau cérébelleux descendant chez l' animal (Thomas) : mais il est impossible de poursuivre
xpériences d'Ewald(2) et de l'un de nous (3) qui ont observé chez l' animal privé de ses deux labyrinthes la même impuissan
ssance à se diriger et à s'orienter dans l'eau, tandis que chez les animaux privés de leur cervelet la nage est encore poss
st géné- rale, et d'après Luciani la destruction du cervelet chez l' animal n'entraîne nullement une perturbation du sens d
mbo- lique de la médecine ; presque toujours deux ou trois crânes d' animaux ; et inévitablement, pendu au plafond, un crocod
un flacon bouché de papier ; des chapelets de grai- nes, un crâne d' animal , et, pendu au plafond, l'inoubliable poisson des-
de cendres, de poix, d'a- xonge et même d'excréments d'hommes ou d' animaux . L'odorat est soumis aux mêmes appétits absurde
de deux centimètres entre une double ligature à chaque extrémité. L' animal se porte bien et ne suppure pas.' Il est tué
ympathique droit a été ti- raillé et plus ou moins contusionné. L' animal se porte très bien après l'opération et il n'y a
e a été arraché (symptômes auriculaires et - oculaires connus). L' animal se porte parfaitement bien et ne suppure pas. I
à un tournant un peu brusque, il ne put maîtriser complète- ment l' animal et la voiture versa. B... fut précipité la tête l
le cheval pendant trois cents pieds pour l'arrêter. En saisissant l' animal , il éprouve une douleur dans la région occipi-
s : 1° l'intensité du virus fixe, 2° la courti durée de survie de l' animal trépané, 3° la voie de transmission de ce virus
arachnoidienne. L'absence de lésions manifestes chez ce : derniers animaux montrerait que ce n'est pas à la lésion des gangl
s semblables, dans la névrite as- cendante chez l'homme et chez les animaux , dans un cas de diabète insipide, etc. Je con-
répétés de la colonne vertébrale, on constate qu'assez souvent ces animaux sont plus sujets à l'action des microbes inject
s les veines de l'oreille, ou bien dans le canal rachidien, que les animaux témoins. Mais ni le froid, ni le traumatisme ne
s avons constaté parfois de vraies paralysies, mais jamais chez ces animaux ainsi paralysés, nous» n'avons trouvé de réacti
causes efficientes pour la production de la myélite aiguë chez les animaux . Il y a cependant à ce point de vue, une différ
y a cependant à ce point de vue, une différence entre l'homme et l' animal soumis à l'expé- rience, c'est que chez le prem
ion d'une culture de streptocoque virulent dans le canal rachidien. L' animal est mort six jours après. A droite de la figure
atiqué une injection intra-rachidienne du bacille de l'influenza. L' animal a vécu 9 jours. Poliomyélite avec participation
- Injection de coli-bacille dans le canal rachidien chez un lapin. L' animal a vécu 12 heures. L'infiltration de la pie-mère
te suraiguë, avec méningo-myélite très accusée ; 3° l'es- pèce de l' animal , un animal étant plus résistant que l'autre à l'a
, avec méningo-myélite très accusée ; 3° l'es- pèce de l'animal, un animal étant plus résistant que l'autre à l'action de
yélite aiguë. J'ai fait un assez grand nombre d'expériences sur les animaux avec le sérum de Marmorek elles résultats que j
dues aux streptocoques. Toute- fois je crois avoir remarqué que les animaux auxquels on administre du sérum en même temps q
érum en même temps que le streptocoque succombent plus tard que les animaux témoins. D'autre part,l'action phagocytaire des l
ssante expérience que j'ai faite sur le lapin : si on injecte à cet animal une assez forte quantité de culture de streptoc
m artificiel dans la cavité arachnoïdienne chez l'homme et chez les animaux atteints de méningo-myélite, mais sans succès. Pa
ce sujet : « J'avais commencé tout d'abord par sectionner chez ces animaux les nerfs principaux du membre antérieur... Apr
x les nerfs principaux du membre antérieur... Après avoir gardé les animaux de dix à vingt jours, je les ai sacrifiés... j'
-elles de ce que les ob- servateurs ont expérimenté sur des espèces animales différentes, avec des procédés opératoires diff
ons concernant le phénomène de la réparation ont été faites sur des animaux sacrifiés beaucoup plus tardi- vement que ceux
éléments en comparant les noyaux opposés entre eux. L'autopsie des animaux n'avait cependant révélé aucune coalescence des
i donc faut-il attribuer une telle différence de réaction selon les animaux ? Nous nous bornons à poser cette question qu'il
lapin au 195e jour apr'ès la résection du vague. Chez les autres animaux elle n'existait pas, à l'exception d'un chat (1
s sur le lapin de l'expérience VI. Les ganglions plexiformes de cet animal ont été traités simultanément et dans des condi
80 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
jet sont fort restreintes. Elles concernent surtout le cerveau de l' animal . Meynert qui a étudié la structure de la substa
si la difficulté est. plus grande à résoudre pour le cerveau de l' animal . Il est bon de se rappeler : 1° qu'après une im
qui, de près ou de loin, touchent à ce qu'on appelle le magnétisme animal . La difficulté même du sujet impose à quiconque
e de l'étrangeté ; il pro- nonce des phrases comme celle-ci : « Les animaux sauvages sont avec moi, les animaux domestiques
phrases comme celle-ci : « Les animaux sauvages sont avec moi, les animaux domestiques sont contre moi » ; il se rend comp
énomènes oesthésiogéniques, c'est qu'ils ont été constatés chez les animaux (Vierordt, Maggiorani) et sur l'homme sain (Rum
me auteur attestent l'action de l'aimant sur un très grand nombre d' animaux de tous les degrés. 100 REVUE CRITIQUE. saire
Prog. méd. 1881). ). COUDRET.-R8eh. méd. physiol. sur l'électricité animale . Paris, 4 837. RUSSELL REYPIOLDS, Mortimer GILL
metalloscopia, Homa, 1878. - Influenza del magizetismo su lia vita animale . Roma, l 880. SEPPILI E Maragliano. Studi eliii
s tard on détruisait cette circonvolution sur l'autre hémisphère, l' animal ainsi mutilé n'ayant presque aucun trouble visu
îne l'hémiopie des deux yeux, du côté opposé à la lésion. Ainsi, un animal auquel on enlève d'abord le pli courbe gauche e
es sur l'homme : la comparaison avec les résultats obte- nus chez l' animal ne laissera pas que d'offrir le plus vif intérêt.
ns et des expériences originales recueillies sur l'homme et sur des animaux inférieurs; 3° les mémoires doivent être écrits
e spéciale, caractéristique de cette circonvolution dans la série animale , et formée de noyaux ou petites cellules rondes
er.venk., 1880 : )' z31S3 seb a91d jijsnnoo rr9 no ,siipi,tYk'i £ q animal La statistique sur laquelle argumente le Mendel
de l'énergie,' sont les suivantes : lq jll.y a dans, toute la série animale une centralisation graduel- lement'croissante d
it à des lésions .cérébrales qu> médullaires provoquées chez des animaux , et rentrent à ce titre dans le cadre de la neu
irlq 298 bibliographie. les moyens à l'aide' desquels l'organisme animal établit l'équi- libre entre 'l'accroissement' e
, IL résulte de ces faits que,, le ,plus ordinairement ? chez,\un^ animal , vigoureux, r la température s'élève après la s
s vaso-moteurs,l,sont )accompagnées'd'un abaissement de la chaleur, animale ; ^ les blessures, du, bulbe, au niveau de son p
ccrus en raison.même de l'accroissement .anormal de la. température animale . M.'Wood paraît disposé à .admettretun.centre m
oduites à une certaine distance de ce centre abaissent la ( chaleur animale ; on-peut donc s'imposer qu'elles excitent le '
centre modérateur, c'est-à-dire modérer directement la température animale par l'excitation de la zone de Hitzig. M. Wood
de calorification est accompa- gnée'd'une diminution de la chaleur animale produite (p. 143). » BIBLIOGRAPHIE. 303 , Les
la fièvre et de la production artificielle de la fièvre chez les animaux , au moyen d'injections intra-vasculaires, de, pro
es centres nerveux qui président tant à la production de la chaleur animale qu'aux moyens que l'or- ganisme emploie pour se
la moelle,, au bulbe,, au cerveau, dans, la production de chaleur animale et dans le développement des influences vaso-motr
81 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
ysell, selon Barbarin, existe avec une netteté parfaite chez certains animaux . Les cellules pétreuscs sont plus grandes que les
erons cette étude par une description de la bulle chez les différents animaux . Si on examine la base du crâne de presque tous
onnexions de la bulle tympanique varient avec les différentes espèces animales . Il s'agit d'un os le plus souvent ovoïde, bulleu
cavité tympanique. Si, maintenant, on s'élève encore dans la série animale , on voit que chez les macaques (catarrhiniens), l
eine jugulaire interne. Entre ces deux groupes définis, il existe des animaux , tels que le lapin, le chien... dont la veine jug
e des modifications corrélatives de l'os temporal. En effet, chez les animaux à veine jugulaire interne prépondérante, le canal
ie externe du globe jugulaire ». C'est la scissure pétro-bulleuse des animaux , qu'on doit nommer, chez 1 ho rame, pé tro - tymp
ânes de certains mammifères comme le cheval, le mouton, etc. Chez ces animaux , en effet, la face exocrànienne antérieure du roc
imentale. Jamais l'excitation intra-crânienne du nerf facial chez les animaux n'a pu provoquer les moindres mouvements du voile
nstate pendant la nage et qui prouve bien la réalité de l'asthénie. L' animal ne peut tenir le tronc dans la position horizonta
culaire, comme effet de déficit du cervelet, on doit examiner ce même animal pendant qu'il mange, « debout, les membres écarté
e le manque d'équilibre et la chute vers ce côté se produiraient si l' animal ne s'apercevait à temps de ce qui va arriver, et,
nt le segment du cervelet qui a été enlevé. Après hémi-extirpation, l' animal roule autour de l'axe longitudinal, entraîné du c
ongitudinal, entraîné du côté opéré vers le côté sain (en regardant l' animal par la surface ventrale). Thomas dit que le chien
le chien tombe sur le côté opéré. Ce mouvement de rotation terminé, l' animal reste couché, toujours sur le côté opéré, tout co
ertébrale à concavité tournée du coté opéré (pleurosthotonos). Si l' animal essaye de marcher, il oscille tantôt à droite, ta
otale n'amène pas la perte irréparable de cette fonction. En effet, l' animal privé du cervelet apprend de nouveau, pour le mai
unay (P.), Veines jugulaires et artères carotides chez l'homme et les animaux supérieurs. Thèse de Paris, 189G. Laurens (I'.)
82 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
étiquettes?... Là-bas ! dis... cette femme toute nue! » Elle voit des animaux qui sortent d'une boîte : « Ote-moi ces serpents!
n lit, et, une fois debout, s'aperçoit qu'elle a rêvé ; ne rêve pas d' animaux . D'autrefois, elle revoit ses amoureux, a des sen
affaibli. » Le même magnétiseur n'est pas fier et traite aussi les animaux : « La magnétisation des animaux malades se fai
n'est pas fier et traite aussi les animaux : « La magnétisation des animaux malades se fait aussi comme celle de l'homme. Le
e fait aussi comme celle de l'homme. Le magnétiseur se place devant l' animal dans la position qu'il lui est la plus convenable
de sa petitesse. Il commence par exercer sa puissance fluidique sur l' animal malade par des passes répulsives faites à distanc
pieds avec l'intention de maintenir l'équilibre dans l'organisme de l' animal .» Le magnétisme est encore applicable à l'horti
es diffère, dans son application générale, de celle de l'homme ou des animaux en ce sens qu'elle se fait de la base du végétal
asqués, on pourrait reprendre avec fruit les études sur le magnétisme animal : si la mesure n'était pas d'un grand libéralisme
s agents physiques. On sait, depuis le livre du P. Kircher, que des animaux , des coqs en particulier, peuvent être facilement
point brillant : on prétend même que les yeux brillants la nuit des animaux félins leur servent à fasciner, à endormir leur p
, à endormir leur proie. Preyer a fait sur cette fascination chez les animaux un travail que l'on aura avantage à consulter.
vec ce manuel opératoire, dire quelques mots de l'hypnotisme chez les animaux . Mais ce sujet ne rentre pas dans les expériences
xpérimenta-teur primitif. e) L'expérimentateur simule le geste d'un animal qui court : X... cherche en riant, bouscule tout,
bouscule tout, se jette sous le lit; elle parait essayer d'attraper l' animal imaginaire. f) On lui montre le ciel en lui joi
aussitôt la physionomie de X... exprime l'effroi, elle veut écraser l' animal qui l'épouvante, saisit une chaise pour l'écraser
sister à un concert imaginaire, sentir des odeurs supposées, voir des animaux , etc. Aphasie provoquée. — Suzanne est toujours
11... fixe son regard et fait un geste d'effroi, comme s'il voyait un animal effrayant, l'attitude et la physionomie de S... t
gnétisation, 158. — Par le regard, 161 ; — par la tête, 4 60; — des animaux , 171; — à distance 170. Magnétisme, 150. Manie hy
83 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e la théorie de la concrescence pour identifier le plan médian de l' animal avec le premier plan, le plan méridien de la se
), ayant été tué, Il est resté dans la ou les cellules vivantes, un animal ascidie susceptible de se développer en propre.
mais on ne concevrait pas qu'elles eussent pu donner naissance à un animal organisé. Et maintenant voici les passages impo
us rapproché du droit. Si on considère que le flanc gauche d'un tel animal correspond morphologiquement au plan médian d'u
primitifs existe en germe un individu susceptible. dans les espèces animales d'or- ganisation peu complexe, de se développer
O. Hertwig, Hanbd. etc., 1906, I, 1, p. 568 à 688.) C'est chez les animaux de cette dernière catégorie que réussis- sent l
arait l'une de l'autre la moitié ventrale et la moitié dorsale de l' animal . Duplicité organique. A mes remarques sur la ph
s les deux symétries se superposent et les faits de production d'un animal complet par un seul blastomère me parurent z -
ture de la dure-mère ; dans tous les cas, réunion per primat, Les animaux furent tués un mois après l'opération. La secti
au moyen de la main anesthésique sont d'abord impossibles, mais l' animal peut exécuter avec le bras, l'avant-bras, et même
nt sur la face dorsale de la main anesthésique. Le S. N. C. des 4 animaux opérés fut examiné par l'A. au Marchi et au Pal
entrifuges diminue régulièrement à mesure que l'on remonte la série animale , je tiens pour plausible jusqu'à plus ample inf
phénomènes convulsifs. 1° Ligature des artères cérébrales chez les animaux . Astley Cooper lie les deux carotides chez un l
iqué sur le cerveau, procédé qui a l'avantage de ne pas sacrifier l' animal en expérience. Il résulte de ces ex- périences
toniques.La durée des convul- sions est variable selon les espèces animales , et selon l'éner- gie du courant et la durée du
t. Il est inadmissible qu'on veuille assimiler un malade nocif à un animal nuisible et qu'on écrive, comme on l'a récemmen
- mes suivantes : 1° Hyperthyroïdie nerveuse. L'expérimen- tation animale , le thyroïdisme alimentaire chez l'homme, la cl
trales dont l'utilité biolo- gique ne se laisse saisir que chez les animaux qui les pratiquent. Le propre de l'hystérie app
t à travers la fe- nêtre d'une lame de plomb destinée à préserver l' animal des irradiations locales. Or nous n'avons jam
- cutions expérimentales. Il est possible de ramener à la vie les animaux électrocutés par l'application ultérieure non de
vrai. En général, la différenciation est d'autant plus lente que l' animal est plus élévé et le segment à forme plus complex
certaines notions acquises par l'étude du cortex de l'homme et des animaux supérieurs ; par exemple, le balancement entre
s que, le lais- sant venir, elle pense à se défendre. Elle saisit l' animal par ses parties sexuelles qu'elle lui arrache.
lhyroïdien chez 20 chiens, nous avons injecté à quelques-uns de ces animaux des sels de sodium ou de calcium. Il résulte
exacerbation des phénomènes con- vulsifs ; en outre, la plupart des animaux injectés ont survécu moins longtemps que les té
aut incriminer à ce qu'il semble la dose employée (1 gramme),car un animal qui n'avait reçu que 0 gr. 50 centigr. a survéc
it l'épilepsie électrique en faisant passer à travers le corps de l' animal un courant de 55 volts (pour un lapin) ou de 110
M. le Docteur CIIASTENET de Géry, de Nantes, pour avoir trépané les animaux . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 31 Expérimenta
sur- tout l'excitaient énormément. Dans les rues, même la vue des animaux ligotés provoquait chez lui une émotion. Parfois
alade) pouvait bien l'exciter, comme l'excitait même l'aspect des animaux garrottés. La justesse de notre interpréta- tio
it chez les 300 REVUE D'ANATOMIE ET de PHYSIOLOGIE pathologiques. animaux (botulisme expérimental chez le singe), qu'il y a
Il semble que la benzine ne soit pas toxique à faible dose pour les animaux supérieurs (8 gr. par jour absorbés sans inconv
cité de l'acétone est assez faible ; 6 à 8 grammes par kilogramme d' animal seraientune dose à peine nuisible (voir Lailler
ement rares, toujours courtes et peu distinctes. Ce sont des cris d' animaux égorgés, des injures comme « vache, sorcière, c
n passive, que Voltaire considère comme commune aux hommes et aux animaux , joua un grand rôle dans l'influence des sorciers
e 120 mains d'hommes et 32 extrémités antérieures de diffé- rents animaux , le Dr Saposchkof décrit et représente par des
ple), tantôt se repré- sentent comme une substance sécrétée par les animaux malades, vivant dans des conditions de vie anor
n et la vaccination, qui punit la cruauté envers les enfants et les animaux et où l'on trouve des refuges pour les chat ? ;\.
ènes cos- miques ; plus étroitement limitée aux fonctions de la vie animale est l'alternance réglant au sein des organismes
nt se passer, dit Hpien, comme si ce dommage avait été le fait d'un animal , ou s'il était dû à la chute d'une tuile ou au
aux. L'infanticide chez les animau.c. - l. LÉPINAY. - Lorsque les animaux détruisent leurs petits, ou bien ils assurent de
danger quelconque. Le plus grand nombre des infan- ticides chez les animaux ne sont le résultat, ni d'un esprit cri- minet,
84 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
agisse là d'une notion innée, ce qui peut être le cas pour certains animaux - qu'un sens puisse nous renseigner immédiate-
avec l'index de la main gauche. La partie inférieure est un corps d' animal fantaisiste, avec des ailes d'oiseau, une queue
ppemondes, les pots cassés, les vieux grimoires et les squelettes d' animaux (PI. XI). Pour le moment, cel alchimiste fait d
(4.), Friedmann et Maass (5) n'ont trouvé aucun changement chez les animaux auxquels fut extirpée la glande hypophysaire, e
des faites sur l'hypophyse ne contredisent pas cette assertion. Les animaux qui ont été examinés à ce sujet ne présentent au-
organes génitaux dans la formation des os. Chez les hommes et les animaux castrés, les os s'allongent fortement, sans que
... Celui sorti le premier était roux et tout velu comme une peau d' animal et il fut nommé Esaii, c'est-à-dire « homme fait
ères de Belenus, Taranus et Mithra, dansant sous diverses figures d' animaux , et obligés, eux aussi, devant les persécutions,
pères attribuaient à leurs prêtresses, de revêtir diverses formes d' animaux , de circuler invisibles dans les rivières ou de v
s transversales rappelant, dans quelques cas, les poils de certains animaux . La caractéristique de ces fibres est la sépara
Ballance et Stewart, Henriksen ont obtenu expérimentalement chez l' animal une régénération autogène du bout périphérique in
Cadéac (1) décrit, chez les équidés, des tics actifs de la langue ( animal qui double la langue en dessous, la replie au-des
les en- tourent. t. Il est d'observation courante que beaucoup d' animaux sont lécheurs. « Sous l'influence de l'ennui, d
exclusivement les poils; elle disparaît au pâturage pendant que les animaux prennent leur repas ; quand ils ruminent, on les
faut par un état spécial de déséquilibre nerveux. Exis- te-t-il des animaux , en particulier des chevaux, qui présentent de se
G. Joly, 1898, p. 33 : « de même que cer- tains tiqueurs, d'autres animaux lèchent les objets qui les entourent et les endui
le pas, à la suite d'observations déjà nombreuses et variées, que l' animal , et en particulier le cheval, soit capable de tic
ravaux ultérieurs, si le psy- chisme évidemment très inférieur de l' animal n'est pas la raison, chez lui,de ses manifestat
tre connaissance , que des troubles de ce genre sont décrits chez l' animal , il importait donc de rechercher si chez les su
nécessaire de rappeler ce qu'il faut entendre par le psychisme de l' animal : nous voulons dire par là que l'animal, et en
endre par le psychisme de l'animal : nous voulons dire par là que l' animal , et en particulier le cheval, possède une écorc
ce fait sourire. Et cependant, quen'ar- rive-t-on pas à obtenir des animaux par une éducation patiente tendant à développer
iqué le premier, la discipline psychomotrice au traitement d'un tic animal . 3. TROUBLES DE RÉFLECTIVITÉ, DE sensibilité. -
e F.- ARN.1UD, p. 634 et suiv. (2) Bassi, in Cadéac, Path. int. des animaux domestiques. Système nerveux, Paris, 1899, p. 4
ique. Cette opinion repose sur le fait d'observation que beaucoup d' animaux et en particu- lier de chevaux sont lécheurs, e
s l'espèce ? Un acte moteur déformé en vitesse peut-être, puisque l' animal passe plus rapidement qu'à l'ordinaire sa lan-
caractères d'automatisme et de subconscience des actes moteurs des animaux , l'observation clinique autorise du moins cette
sont légion et n'offrent aucun symptôme psychique. Au contraire, l' animal atteint de stéréotypie du léchage est un sujet ne
s, mêmes causes provocatrices, mêmes phé- nomènes objectifs. Chez l' animal comme chez l'homme, tics et stéréo- typies sont
bien entendu, du faible déve- loppement des actes psychiques chez l' animal . C'est ainsi que nous nous croyons autorisé à c
ou de la stéréotypie du léchage ; ou d'une façon générale, tous les animaux ti- queurs, comme présentant des anomalies de l
udes de pathologie comparée. Les recher- ches sur les psychopathies animales paraîtront peut-être prématurées alors que nous
sommes encore si peu édifiés sur l'intelligence et le caractère des animaux normaux ? Mais il ne faut pas oublier qu'en plus
des manifestations objectives qui présentent chez l'homme et chez l' animal de réelles analogies et qui semblent bien relev
hez l'homme. Tics et stéréotypies se rencontrent également chez des animaux pré- sentant à la fois des troubles psychopathi
son, dit Pline, qu'on lui - donne de nouvelles entraves; ce roi des animaux , pieds et mains liés, pleure, gémit, et sa vie
monuments funèbres où sont représentés ces pauvres petits rois des animaux ligottés et empaquetés ; on peut les voir en se
85 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e d'avoir commis des actes bestiaux, des attentats génitaux sur les animaux , des choses qui ne sont pas per- mises aux homm
n garçon, puis qu'elle est accusée d'avoir eu des rapports avec les animaux et que c'est à cause de cela qu'elle est tombée
nocturnes avec caractère terrifiant; elle voit des ours et d'autres animaux qui l'attaquent. Des hallucinations auditives a
Déjà Anaxagore avait dit que si l'homme est plus intelligent que l' animal , c'est que son esprit emploie des organes plus dé
à nos jours, avoir relaté les expériences nombreuses faites sur les animaux et les observations cliniques; l'auteur arrive
ns cliniques; l'auteur arrive aux conclusions suivantes : 1° chez l' animal après la castra- tion complète, des spermatozoï
laps de temps variable ; 2° cette période varie chez les différents animaux , six jours pour le chien, sept pour le chat, qu
ar C.-F. de TRACZENSKI. (Neurolog. Cent·nlbl., XVI, 1897.) Chez les animaux thyroïdectomisés la viande crue, le bouillon et
entraîne toujours la cachexie, toutes les fois qu'on le donne aux animaux thyroïdectomisés qui n'ont conservé de la glande
jours après l'accouchement elles sont libres de tout trouble ; ces animaux sont toujours rachitiques. Dans la maladie de B
de 9à pages. Paris, 189S. Imprimerie Mare- theux. 7'' ? /'</t Animal Report of the Board, of Managers of Craig Colony
e heures afin d'obtenir du sérum, que nous injec- tions à de jeunes animaux . - Nous avons en premier lieu choisi la souris
es (comme nous le verrons plus loin) suffisent pour tuer un kilog d' animal . Expérience I. 21 août, lapin de 525 gr., sérum
que le coefficient toxique pour déterminer la mort d'un lcilog. d' animal avec du sérum sanguin d'homme sain est de 15 ce.
e, mais nous ignorons encore à quelle dose il peut tuer un kilog. d' animal . III. La toxicité du sang immédiatement avant
t à peine une minute; les membres postérieurs sont anesthésiés. L' animal ferme les yeux; ralentissement de la respiration
avril. L'autopsie ne nous a rien donné. D'ailleurs l'exiguïté de l' animal rendait difficile toute recherche cadavérique.
mpérature est descendue à 3G°6'. Pas de convulsions. Le lendemain l' animal se porte bien. Nous n'avons que ces deux cas, e
lus tard la respiration ralentit, les pupilles se coin- tractent, l' animal ne semble pas à son aise, il ne bouge plus. A 5
idérablement, la tempé- rature atteint en ce moment 36°5. Myosis. L' animal s'affaisse tout à fait, et soudain les quatre m
ns une toxicité bien plus élevée, puisqu'il faut 4 ce. pour tuer un animal de 782 grammes (exp. XIV), 5 ce. pour 902 (exp.
25 (exp. XVI), 3 ce. pour 495. Il faut donc pour tuer un kilog. d' animal : LA TOXICITÉ DU SANG DANS L'ÉPILEPSIE. 187
oit transporté au sabbat et assiste à un grouillement fantastique d' animaux monstrueux. Suivant M. P. Regnard 3 les sucs
ation se fait, d'une façon générale, d'autant plus rapidement que l' animal est plus jeune ; elle varie aussi suivant l'esp
ue l'animal est plus jeune ; elle varie aussi suivant l'espèce de l' animal . Enfin, elle est influencée par la précocité pl
et celles d'Apathy. Held admet que chez l'embryon et chez le jeune animal , les neurones sont entièrement indépendants les
'adresse aux branches d'origine les plus inférieures. Chez tous les animaux , les racines médullaires du spinal n'ont aucune
si elle avait devant elle quelque tableau effrayant ; elle voit des animaux , parle de cra- pauds, de poissons, de serpents
est un assaut de troubles sensoriels multiples, visions de feu, d' animaux , d'anges, hallucinations de l'ouïe ; coups de ton
du cervelet (recherches expérimett- tales), avec présentations des animaux , des pièces anatomiques et des dessins. Dans
s répond aux deux côtés; 7° Le cervelet n'a pas de rapport chez les animaux avec la sensibilité cutanée; 8° L'ablation du c
ablation du cervelet a une grande influence sur l'état général de l' animal et entraîne une cachexie rapide qui amène souve
on du cervelet amène des troubles graves de la sphère psychique ; l' animal opéré devient très excitable, très peut eux, ca
n'avait plus qu'à crever de faim sur le bord d'une route, comme un animal . Elle trouva une providence dans l'institutrice
ent l'attention que du chien de garde de la maison. L'intelligent animal vint alors se placer devant l'orifice du puits,
4îl 1 REVUE D ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. puisque les animaux inoculés à l'aide des cultures de ce ba- cille,
une susceptibilité nerveuse, une impressionnabilité remarquables. L' animal est inquiet, triste ; il écoute, se tient aux a
la lumière ; la clarté l'apaise et le tranquillise. De même que l' animal , l'homme, au bout de peu de temps. change de ca
es, des provocations; puis il voit des voleurs, des gens armés, des animaux ; ou bien il entend la voix de ses parents, de s
es fonctions du - recherches expérimentales avec présentation des animaux , des piè- ces anatomiques et des dessins, par
86 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s ou peut dire que sous ce rapport il n'est pas bien supérieur à un animal dressé. Existe-t-il encore chez lui quelques re
- sions suivantes : ' 1. Les préparations de cerveau emprunté aux animaux à l'état de veille montrent les prolongements p
épartition, relativement claire chez l'homme, est impossible chez l' animal . La texture des fibres nerveuses comporte, chez
uit chez le chien, la perte de toutes les modalités de l'odorat : l' animal ne perçoit ni les ali- ments, ni aucune substan
male. A cet égard, l'examen de l'hypophyse chez les eunuqués et les animaux castrés précocement pourra peut-être fournir d'
E MENTALE. die s'est propagée à tout l'univers, aux végétaux et aux animaux de la création ; tout le monde en est malade. L
ère par Nôthnagel et bien connu des physiologistes, que, chez les animaux en expérience, les pertes de sang favorisent la p
ans que, le laissant venir, elle pense à se défendre, elle saisit l' animal par les parties sexuelles, qu'elle lui arrache.
IE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. extirpation emportent souvent l' animal avant que les symptômes de la thyroïdectomie n'
es ne fut non plus cons- tatée.11 n'y a donc pas dans le sérum de l' animal traité par l'injec- tion soit thyroïdienne soit
ulaires in situ. Cepen- dant, il ne semble pas que l'émaciation des animaux en expérience puisse s'expliquer par la simple
ectomie avait des résultats varia- bles : que tantôt elle tuait les animaux avec des symptômes très aigus; que tantôt au co
celle-ci se rétablit gra- duellement, les membres se relâchent et l' animal reprend sa marche. Mais d'ordinaire, l'état tét
ls dus à un poison circulant dans le sang, poison neutralisé chez l' animal normal par les cel- lules parathyroïdiennes ou
yroïdienne encore présente dans le sang et les sucs des tissus de l' animal parathyroïdectomisé. En tont cas, l'expérience
t à une jeune chatte l'ablation des deux glandes thyroïdes ont vu l' animal rester trois ans bien portante puis présenter des
composée de médecins et de vétérinaires, laquelle étudiera sur des animaux , les effets physio- logiques des anesthésiques
eux,les lésions cellulaires,observées dans la moelle d'hommes ou d' animaux tétaniques, sont banales et n'ont aucun rapport n
leurs recherches, MM. Courmont, Doyon et Paviot s'adressèrent à un animal très sensible au tétanos, le cheval. Dans l'obs
on ne peut déceler de semblable forma- tion dans le névraxe du même animal . Il s'agit évidemment, dit l'auteur, d'une part
dans toutes les grandes cellules nerveuses chez l'homme et chez les animaux ; il est plus que probable que cette substance p
. J. SEGLAS. LXXI. Rotation autour de l'axe longitudinal chez les animaux avec lésions unilatérales du cervelet; par le D
La direction de la rotation autour de l'axe longitudinal chez les animaux avec lésions unilatérales du cervelet se fait tan
corps de Nissl existent réellement dans la cellule ner- veuse sur l' animal vivant comme sur le cadavre. Ils semblent être
oupeau d ms les champs. Pendant qu'elle fallait de l'herbe pour ses animaux une vipère cachée derrière les fagots s'élança
a lumière. Les expériences d'Ambron et de Held et Berger, sur les animaux nés aveugles, ont montré que si l'on coud la paup
'injection de poisons, tels que la pyridine, détermi- nait chez les animaux qui l'avaient subie, un degré considérable d'an
ré considérable d'anémie, mais sans dégénérescence ; tandis que des animaux . (rats) ayant subi les mêmes injections, mais p
e l'homme, mais seulement autour des cellules nerveuses de quelques animaux inférieurs (cobaye et lapin) lorsque ces animau
veuses de quelques animaux inférieurs (cobaye et lapin) lorsque ces animaux ont été soumis pendant la vie à l'injection de
démontré jusqu'ici ni dans le cerveau de l'homme ni dans celui des animaux . L'auteur décrit ensuite la méthode de colorati
n matière de psychologie nerveuse, si les recherches faites sur les animaux inférieurs peuvent être des guides utiles, on n
xpérimentale de ce que l'on désigne sous le nom de centres chez les animaux supérieurs et chez l'homme. M. Kingsford rap- p
, sa solution devant aider à résoudre la première. L'attitude des animaux inférieurs après l'ablation, la destruction et l'
i en résulte est purement volitionnelle. Les faits observés sur ces animaux semblent indiquer que le grand ressort qui met
contrôle ou volitionnels prennent une place prépondérante chez les animaux de l'organisation la plus élevée et chez l'homme,
, exagéra- tion due à l'absence de contrôle ; on sait aussi que les animaux privés de leurs hémisphères perdent non seuleme
estruction soit de l'écorce Rolandique, soit des pyramides, prive l' animal de toutes les actions résultant de l'éducation.
morbide, et les micrococcus se multiplièrent dans le sang de ces animaux , sans produire d'influence marquée sur leur santé
écessaire de poursuivre par tous les moyens, chez l'homme, chez les animaux , chez les plantes, par l'observation et par l'exp
s et Paxiot, 58. Rotation autour de l'axe longitu- dinal chez les animaux avec lé- sions unilatérales, du -, parSergi,
lité pilaire. Voir Calvitie Tentative de recherche de la chez les animaux attemts de tabes dorsal, par OSoipowetNoiscbews
87 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
, car les Protozoaires en sont dépourvus ainsi que les embryons des animaux supérieurs, dans les pre- mières phases de leur
n- plètement indépendant du système ou Système nerveux ifaela vie animale , présente de nombreuses connexions avec ce dernie
u ou méthode de Flechsig; l'Anatomie comparée, comparaison chez des animaux différents de P¡F ? dwJP.88'S du système nerveu
tions secondaires sont analogues, à celles que l'on obtient sur les animaux à l'aide de la mé- thode de Gudden. MÉTHODES
t j ( Importance de la péthode de Gudden. Ii dans la série animale tout entière, il existe un rapport constant entre
rf olfactif, on comparera le cerveau de divers mammifères. Chez les animaux à odorat très subtil, chez le chien par exemple
e lobe olfactif; ce lobe sera rudimentaire chez l'homme et chez les animaux il odorat peu développé, il fera défaut chez le d
odes expérimentales. Méthode de Gudden. L'expérimenta- tion sur les animaux , a été appliquée avec succès, pour étudier au moy
autres méthodes expérimentales, en ce que, au lieu d'opérer sur des animaux adultes, on opère sur des animaux nouveau-nés,
ce que, au lieu d'opérer sur des animaux adultes, on opère sur des animaux nouveau-nés, à une époque par conséquent où le
aucoup plus prononcées, et à marche beaucoup plus rapide que chez l' animal adulte, ce qui tient il une activité plus grande,
technique relativement facile, car, ainsi que l'a montré Gudden, l' animal nouveau-né se laisse opérer facilement, les hémor
e à redouter et les plaies guérissent rapidement. Une fois opéré, l' animal est remis à la mamelle, on le laisse vivre un tem
bleu de méthylène. Dans cette méthode, les nerfs sont colorés sur l' animal vivant, en injectant le bleu de méthylène dans
l'emploient de la manière suivante : On injecte dans une veine de l' animal vivant une grande quantité de la solution suiva
ure de sodium, 0 ? 6; Eau distillée, 100 grammes. Le plus souvent l' animal succombe après l'injection; dans le cas contraire
près l'injection; dans le cas contraire, on le sacrifie aussitôt. L' animal est rapidement ouvert et on expose à l'air les or
ux en enlevant les enveloppes. Il opère sur un assez grand nombre d' animaux à la fois, et les place dans un cristal- lisoir
nsversaux, qui sont d'autant plus développés et plus nombreux que l' animal est meilleur nageur (Edinger). Chez les oiseaux
factives interne et externe, repré- sentent chez la plupart des animaux dits osmatiques deux circonvolutions céré- br
trou de Monro, et elle conserve ces rapports chez un grand nombre d' animaux , tels que les ruminants, les rongeurs, etc. Che
les tamia tecta et les nerfs de Lancisi s'épaisissent chez quelques animaux , pour former la circonvolution géniculée de Zac
ÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 133 sillons, ni circonvolutions; l' animal est dit lissencéphale. Mais chez la plu- part d
misphères des sillons et circonvolutions plus ou moins nombreux : l' animal est dit gyrencéphale. La richesse plus ou moins
nt des fibres blanches, etc., etc. On trouvera donc chez les petits animaux un cerveau en général lisse, et cependant on peut
Em- bryologie ou Traite complet du développement de l'homme et des animaux supérieurs. Tra- duction française sur la deuxi
el, v. Monakow, Mayser, etc., etc. (Voy. p. 12). Lorsque chez des animaux nouveau-nés on arrache un nerf moteur, ou 12
ns les deux sens. Travaux de Forel sur les nerfs moteurs de l' animal adulte. Travaux de Hayem sur l'arrachement de
e des dégénérescences secondaires. Forel, par ses expériences sur l' animal adulte, a montré que le bout central et la cell
idal entre autres (Sottas). Mais cette atrophie n'est jamais chez l' animal adulte, ni aussi rapide, ni surtout aussi compl
des parties nécrosées est en effet extrêmement rapide chez le jeune animal , elle est en outre complète et ne laisse pas de
t, dans quelques cas, surtout chez les jeunes enfants et les jeunes animaux , on voit l'atrophie se propager au delà des noy
trophies excessi- vement lentes et qui ne s'observent que lorsque l' animal , le jeune enfant ou l'adulte a survécu longtemp
qu'avait déjà faite antérieurement Ranvier, sur les nerfs de jeunes animaux comparés à ceux des ani- maux adultes. Les ne
détails. 0"0, sait du reste que chez l'homme adulte comme chez les animaux , on trouve des tubes nerveux en voie de dégénér
Feist, Kolliker et Retzius l'ont montré, lorsqu'on pratique chez l' animal vivant une injection intra-veineusc de bleu de
Ranvier (1880), les décrivirent ensuite dans le museau de certains animaux (taupe, lapin, hérisson, chauve-souris), dans l
sinus caverneux, et se terminent par de nom- Poils tactiles des 1 animaux . * Fic.131. - Terminaisons nerveuses sensitives
différemment, 'suivant qu'il s'agit de muscles appartenant à la vie animale ou à la vie Terminaisons ner- veuses dans le
zjns. organique. Les nerfs des fibres musculaires lisses de la vie animale des Mollusques et des Annélides, dépourvus de m
Ri/roN-BAs'nAN, Le cerveau, organe de la pensée chez l'homme et les animaux . Paris, 1882. - Broca (Paul), Sur la mel1- SU1'
ur le rapport du poids du cerveau ci celui du corps chez différents animaux . Moscou, 1868 (Extrait du Bull. de la Soc. impé
s- pace perforé antérieur; cette séparation est très nette chez les animaux dits osmatiques par Broca. C'est au niveau du p
e cheval le ventricule olfactif persiste. Désert olfactif des animaux anosma- tiques. là le nom de pédoncules du se
t de l'extré- mité antérieure de la tète du noyau caudé. Chez les animaux dits anosmaliques par Broca, en particulier chez
ux yeux, surtout lorsque celle- ci est pratiquée chez de jeunes animaux , les fibres visuelles s'atrophient rapide-
st le tubercule mamillaire latéral (Tml, fig. 193), décrit chez les animaux par Gudden. Ce tubercule, que nous croyons être
faisceau représente une variété ana- tomique assez rare. Chez les animaux tels que le lapin, où le mouvement de torsion du
e tubercule quadrijumeau antérieur, car il ne s'atrophie pas chez l' animal nouveau-né après l'ablation de ce tubercule (Gudd
sys- tèmo auditif. Tubercules quadri- Jumeaux dans la sé- rie animale . ♦ de frein de la valvule de Vieussens (fVV);
Ses limites. Sa voûte. lobe occipital est rudimentaire. Chez ces animaux , la partie fronto-pariétale du ventricule latér
décrites par Zuckerkandl, et qui prennent chez un certain nombre d' animaux , tels que les ruminants et les solipèdes, un tr
e, car il garde toujours une certaine proportion avec le corps de l' animal , et les dendrites du tronc principal et de la bas
ifie dans la zone moléculaire, particulièrement développée chez ces animaux ; les dendrites collatérales du tronc principal
olume de ces cellules est en général en rapport avec la taille de l' animal , leur degré d'évolution, la richesse de leurs r
dans l'épaisseur même de l'épendyme venlriculaire. Chez les jeunes animaux , les prolongements radiaires des cellules épend
petite chez l'homme, la corne d'Ammon est très développée chez les animaux osmatiques, où elle se recourbe en avant, au- d
en avant, au- dessous du bourrelet du corps calleux. Chez ces mêmes animaux osmatilues, z STRUCTURE DE L'ÉCORCE CI : ItI :
i- cation de la méthode de Golgi à l'étude de ce lobe. Chez les animaux osmatiques, la cavité ventriculairc se prolonge
gger l'a montré, chez le veau, le mouton, le cheval. Sur d'autres animaux tels que la souris, le lapin, le cochon, le chat,
ment difficile, et ne peut être entreprise d'après Cajal, que sur l' animal nouveau-né. Cet auteur, qui les a spéciale- men
est par elles que l'excitation d'un point limité de l'écorce chez l' animal peut pro- duire une excitation non seulement de
tans) et n'a constaté aucune espèce de paralysie ou d'anesthésie. L' animal fut sacrifié deux mois après l'opération, et à
méthode expé- rimentale de Gudden, où les extirpations chez les animaux nouveau- nés entraînent la dis- parition comp
et dans le corps genouillé externe, extrêmement développé chez cet animal (fig. 388). Mais en examinant les choses de plu
petite chez l'homme, mais atteint un grand développe- ment chez les animaux osmatiques. Elle appartient à la partie moyenne d
GET. Anato- mie et physiologie du système nerveux de l'homme et des animaux vertébrés. 2 vol. Paris, 1842. Luys. Recherches
88 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
ie des personnages entiers ou en buste, des fleurs, sujets erotiques, animaux , objets inanimés, emblèmes et certaines inscripti
de crises d'hydrophobie ; on substitua au chien qui l'avait mordu un animal sain en tout point semblable, et les accidents di
double qualité, grand contemplateur devant la nature et grand ami des animaux , — son cas devait être un de ces cas de paralysie
e système de la vie végétative, et l'autre, dans le système.de la vie animale , ont pour destination non seulement de développer
emment de l'attention spontanée, son action dans le domaine de la vie animale , celle-ci prête, avec plus de conscience, son ass
rdonnée des phénomènes réflexes qui surviennent dans toute l'économie animale , dés que cet organe modérateur fonctionne mal ou
le boulevard du Médoc. Dans les environs, on tire un coup de fusil; l' animal prend peur, se cabre et s'emballe, entraînant, au
(1) Voyez : Du sommeil provoqué, p. 30. Paris, O. Doin, 1889. d'un animal dangereux quelconque ; bref, d'un danger imminent
titude des botes féroces vis-à-vis des martyrs. Souvent au cirque les animaux n'osaient les toucher. Ainsi la même sainte Tatie
i a publié un traité sur ce sujet en 1866, prétend qu'on agit sur les animaux en leur donnant un excès de nourriture à laquelle
ontrer l'importance que l'auteur attache à ne pas quitter du regard l' animal dompté. On prétend même que certains se dilatent
regard plus étrange. Il y a donc là un véritable fait d'hypnotisme; l' animal bravé a peur. Il faut en rapprocher l'histoire ci
n spectacle, dit-il, qui fut donné au cirque, on vit la férocité de l' animal tomber comme par miracle quand on lui couvrit la
ns résistance, toute son énergie étant dans l'œil. » Sans doute les animaux féroces auxquels on livrait les martyrs étaient s
et les genoux et imitent les mouvements de la béte. Ils dépècent les animaux vivants et en mangent les morceaux palpitants, co
ec épouvante défiler devant lui des figures imaginaires d'hommes et d' animaux qu'il prend pour des apparitions d'esprits. Cer
arateur: Tout d'abord, il faut éloigner de la chambre à coucher les animaux et enlever les fleurs dont la présence vicie l'ai
ffets physiologiques de la compression et de la décomposition sur les animaux . , Faculté de Paris. — M. le Dr Luys vient d'of
l'échelle des êtres organisés, d'une part, et, d'autre part, dans un animal donné, a mesure qu'on s'éloigne des tissus embryo
re plus clairement dans la nature vivante : les différentes espèces d' animaux ont leur caractère propre, ce sont des faits que
ogie, l'anatomie, la psychologie du système nerveux de l'homme et des animaux , la pathologie mentale et nerveuse, la psychologi
es passèrent inaperçues. Alors le monde ne croyait plus au magnétisme animal , comme on disait encore dans ce temps-là (1). (
céenne a trouvé en moi d'abord un adepte, puis un adversaire. tisme animal en France, 1826) proposait celui d'extase, qui ét
ns le jeûne hivernal, augmente de 0 ce. 42 à 0 ce. 71 environ quand l' animal tombe en torpeur. L'acide carbonique s'accumule
de l'eau est éliminée par le poumon, les urines et les fèces ; puis l' animal s'endort et, pendant le sommeil, il s'accumule un
e que dans le réveil. Cela n'a rien de surprenant, puisqu'il s'agit d' animaux en état déjeune absolu et d'autopha-gie prolongée
te me faire faire bien des choses; mais—j'en suis sûr— maltraiter des animaux , surtout les souffre-douleur, crapauds, couleuvre
e vipère, un grillon pour un scorpion? Peut-être alors tuerais-je ces animaux , non toutefois sans une violente révolte de ma se
tamment ne pouvaient avoir le privilège de l'élonner. De même que les animaux , le sauvage fut frappé de terreur par l'inusité.
les et par affirmation verbale, de la direction absolue des fonctions animales et végétatives d'un sujet quelconque, pour les ca
ée des sentiments compatissants de son maitre pour les humbles et les animaux souffre-douleurs ? Je défierais bien M. Delbœuf d
89 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
ême remarque dans l'ouvrage curieux du D' Pétetin sur l'électricité animale , p. 110. 3 V. Fouré. De la chrornhlldrose, thès
LOGIQUES. 49 dégénérescence des nerfs périphériques. Chez ces douze animaux il y avait vacuolisation des cornes antérieures
nfluence du milieu, la matière animée se différencie en végétaux et animaux ; le genre humain étant lui-même classé parmi l
gétaux et animaux ; le genre humain étant lui-même classé parmi les animaux . Chaque individu hérite de ses ancêtres, de leu
on opératoire. La destruction partielle de l'hypophyse est chez ces animaux compatible pour un long temps avec la vie. On a
hères cérébraux; sur un crâne parisien déformé ; sur l'homme et les animaux ; ,' sur le siège des phénomènes intellectuels
ts ne portent pas seulement sur les per- sonnes, mais aussi sur les animaux . LES drames DE la folie. Pris d'un subit accès
(1874) a montré que l'on obtient des résultats positifs lorsque les animaux , sont très jeunes (lapins et cobayes de trois à
tendance à se régé- nérer que l'on descend plus bas dans l'échelle animale , ou que l'on s'adresse à des animaux plus jeune
escend plus bas dans l'échelle animale, ou que l'on s'adresse à des animaux plus jeunes. A côté de tous ces résultats expér
btenait, en effet, une cavité dans la cicatrice de la moelle de ses animaux toutes les fois qu'il avait pratiqué l'écraseme
on"sên sorielle concrète,"qui, par exemple;, désignent'les cris des animaux ? 1 l'action' de- certaines professions, l'effe
nir compte et du temps écoulé pendant l'injection, et du poids de l' animal en expérience par rapport à la quantité injecté
ues et celle des mélancoliques aurait des effets différents sur les animaux injectés; la première produi- rait surtout de l
soumis ce malade, du degré de résistance difficile à apprécier de l' animal servant à l'expérimentation. Si l'on veut s'ass
ce qui permet de comparer entre eux les résultats z obtenus sur des animaux différents'. Il' serait à désirer qu'un mode op
r une pression constante et des es-, 246 sociétés savantes. pèces animales identiques. Les veines de l'oreille du lapin pa-
té de l'urine normale; la dose nécessaire pour tuer un kilogramme d' animal et la quantité de poison rejeté dans un nycthém
se borner à fixer le degré de toxicité de l'urine pour un kilo.. d' animal sous- peine d'erreur, mais calculer le coefficien
e peut remédier, c'est la différence de résistance individuelle des animaux en expérience, fussent-ils de même espèce. Il
jours injecter d'une façon continue jusqu'à la mort immédiate de l' animal . Le procédé de la mort médiate ne peut°servir à u
ce de l'urobiline et d'un pro- duit toxique déterminant la mort des animaux en expérience. La toxicité du sérum est normale
té de faire l'essai des urines et l'étude de leur- toxicité sur les animaux . M.DENY(de Paris) rapporte des expériences nouv
expériences nouvelles de M.Brown- Séquard. On enlève les reins à un animal à qui on injecte du suc rénal. On obtient ainsi
s, précédemment occupés dans l'intérieur de l'établissement par les animaux et l'exploitation agricole, ont été transformés
dans l'organisme humain, ont pour effet, quand on 'les injecte aux animaux , de déterminer des convulsions ou de la stupeur
ère ». ' ' ' ' ' 1 Le docteur se jeta courageusement à la tête de l' animal , et au moment où'la jardinière allait s'effondr
quarts démantelée, buta contre'un arbre de la route et arrêta net l' animal . La mère et l'enfant étaient aussitôt dégagés p
tourmenté par une incompréhen- sible envie de s'accoupler avec des animaux : à neuf ans, se trou- vant seul à l'étable, il
ence de cette habitude se réveiller son ancien penchant relatif aux animaux . Il repousse encore faiblement les premières at
t il peut, étant en puissance de femme céder à ce penchant pour les animaux . Il ne sait pourquoi. Cette fatale envie le sai
rticale chez le chien. Au bout de deux à trois semaines, on tue les animaux et on examine au microscope. On avait constaté
ane duquel elles se confondent. Donc, chez l'homme comme chez les animaux , les cellules nerveuses qui occupent l'extrémit
de la peau du crâne sont, en effet, très fré- quents chez certains animaux . R. M.-C. XLIV. La CELLULE NERVEUSE CONSIDÉRÉE
abord suggéré par P. I. Arkhan- gelski dont les expériences sur des animaux démontrèrent que l'alcaloïde^11 H13 NO') posséd
ral. Leur inten- sité dépend de l'espècelietjsurtout )do l'âge de l' animal . eni expérience,' ainsi, que, du | temps pendan
l'animal. eni expérience,' ainsi, que, du | temps pendant lequel l' animal a survécu à, là lésion; 2° le processus anatomi
de la vésicule oculaire, exactement comme lorsqu on détruit chez 1 animal nouveau-ne la bandelette et le nerf optique, 1 ap
l'appareil olfattif (encéphale'du, elieloile midas). C'est chez cet animal la première manifestation de l'écorce dans le r
chez cet animal la première manifestation de l'écorce dans le règne animal ; or t'écorce' est'tout entière.consacrée à la f
90 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n du cerveau se rap- proche jusqu'à un certain point d'un cerveau d' animal . La parié- tale ascendante*participe un peu à c
reille gauche d'un lapin (injection lente) ; pendan- l'opération, l' animal est pris d'une oppression très vive. Après l'int
y-hitit., L, 3, 4.) La première expression signifie que le coït des animaux entre eux provoque chez l'homme le désir de coï
érastie qui est une perversité, témoin la bestialité, coït avec des animaux , généralement faute de mieux. Voici maintenant
ixièmes du poids initial, la mort est certaine (expériences sur les animaux ), il est probable qu'il en est de même chez l'hom
sur cette observation, il nous est souvent arrivé de désigner un animal sous la forme d'un redoublement rappelant le plus
la forme d'un redoublement rappelant le plus pos- sible le cri de l' animal . L'enfant répétait après nous sans tarder, surt
après nous sans tarder, surtout s'il avait entendu lui-même crier l' animal . Oua- oua voulait dire chien, bé bê voulait dir
e langage primitif, et nos ancêtres désignaient-ils autrement les animaux dont ils voulaient parler ? A mesure que les prog
ns ainsi en revue tous les objets, toutes les per- sonnes, tous les animaux même qui entourent quotidienne- ment l'enfant.
nt il est friand. Puis ses jouets et parmi ces derniers, les divers animaux qu'il peut aimer à caresser, enfin le nom des p
let, à faire gonfler un ballon de caoutchouc ou une simple vessie d' animal , à faire tourner un moulin à vent, à gonfler un
s appareils ont une double fonction : 1° ils servent à renseigner l' animal sur les atti- tudes et variations d'attitude de
lel1 RUSSEL et AIL CAMPELL. Ces auteurs par des expériences sur les animaux d'une part, cor- roborées par cinq observations
es années des rêves bizarres, où elle voit un homme avec une tête d' animal . Elle a des pressentiments chaque fois qu'il do
Peut-être répondraient-ils que jamais l'injection à l'homme ou à l' animal de suc thyroïdien, quels que fussent la dose et l
prolongée pen- dant plusieurs mois, n'a pas provoqué chez tous nos animaux des phénomènes toxiques ; quelques-uns semblaie
ion sous-cutanée d'extrait thyroïdien du mouton a provoqué chez nos animaux et cela d'une façon cons- tante, un tableau sym
'apparition, suivant la dose injectée et surtout suivant l'âge de l' animal en expérience; les animaux jeunes se montrent b
se injectée et surtout suivant l'âge de l'animal en expérience; les animaux jeunes se montrent beaucoup plus sensibles à l'in
ntoxication, l'amaigrissement survient très rapide (certains de nos animaux , les plus jeunes, ont perdu le tiers de leur po
e diarrhée et de malaise ; l'agitation fait place à la torpeur, les animaux se meuvent difficilement, quel- ques-uns ne peu
atiquées en général dans la paroi abdominale, ont provoqué chez nos animaux des mo- ldifications importantes du corps thyro
al qui devrait servir à des expériences d'hyperthyroïdisation sur l' animal . Mais ce poison thyroïdien agit en retour sur l
rcher à formuler une théorie, il était intéressant d'étudier chez l' animal les effets de l'hyperthyroïdisation. La communica
raves et même mortels. Du reste les résultats de l'ingestion chez l' animal sont variables. Les doses massives provo- quent
ue nous venons de décrire, mais avec plus d'in- tensité. L'âge de l' animal importe beaucoup plus que la dose employée. Q
par des faits d'expérimentation physiologique. Des chiens et autres animaux thyroidectomisés présentent parfois les mêmes s
l'appliquer au cas particulier des alcools. Le lapin n'est point un animal très sensible lorsque le manuel expérimental n'es
expérimentées, le plus toxique; 24 centigrammes pour 1 kilogramme d' animal tuent. ' M. Jolfroy décrit ensuite la physionom
es réflexes pupillaires est un symptôme de lésion en foyer. Chez -l' animal ces réflexes peuvent être localisés au niveau des
t qu'après leur avoir appliqué le genre d'éducation auquel tous les animaux sont- plus ou moins accessibles, qu'il recherch
concordent de tous points avec ceux obtenus par M. Guinard chez les animaux . Myxoedème et goitre simple traités par la médi
léments qui se développent gra- duellement au sur et à mesure que l' animal commence à marcher, sont les cellules de Purkin
r degré de développement est déjà très avancé à la naissance, que l' animal marche ou ne marche pas en naissant. (The alien
action indirecte. La cerveau. de l'homme l'emporte sur celui de l' animal par l'extrême développement des centres d'assoc
t différentes, entre autres certaines dans lesquelles les visions d' animaux , le tremblement, et d'autres symptômes caractér
caniques et de la chromophilie. L'examen des éléments nerveux des animaux pourra fournir d'utiles indications. M. DEiIlO
91 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dans le sang des épileptiques. Son aggluti- nation par le sérum des animaux infectés et par le sérum des épileptiques; par
principale n'était pas suivie des mêmes accidents que chez d'autres animaux (chiens, chats, etc.) C'est alors que Gley, en
yroïdes, rarement chez l'homme, mais d'une façon constante chez les animaux : a) des produits thymi- ques, des grains ou no
unâtre qui les fait confondre avecle tissu adipeux voisin. Chez les animaux , M. Jouty n'a fait que reproduire les données a
ral, la situation des parathyroïdes est variable pour chaque espèce animale , mais affecte pour une espèce donnée un type pr
. Jouty on ! été faites sur les oiseaux. L'expérimentation chez ces animaux donne des résultats insconstants à cause de la
ifs à la parathyroïdectomie, en particulier l'age ; chez les jeunes animaux , les accidents sont beaucoup plus rapides et pl
Comparant les troubles consécutifs à la parathyroïdectomie chez les animaux avec ceux produits par l'ablation de la thyroïde
ultiver le bacille de Hansen, tant que nous ne disposerons pas d'un animal d'expérience, la solu- tion de ce problème deme
m sanguin des épileptiques est capable d'engendrer dans l'organisme animal des produits d'un activité assi- milable à cell
ation aiguë obser- vés chez les épileptiques traités par le sérum d' animaux inoculés au sérum d'épileptiques, ces phénomène
la suite de l'injection de séiuni, tant d'autres épileptiques que d' animaux inoculés au sérum d'épileptiques, ces phénomènes
stances exo- gènes équivalentes. M. ALTER a commencé l'étude chez l' animal , chez le paralytique, chez le non paralytique,
M. ALTEU attendrait également beaucoup des sérums empruntés àdes animaux infectés par des inoculations progressives de san
supérieur de la fissure calcarone. La quatrième, commune à ces deux animaux , fort limitée, se trouve dans la circonvolution
les mouvements passifs ou au moyen de l'immobilité permanente de l' animal . Si l'un sectionne la moelle à la partie dorsal
à la moitié supérieure de la jambe. L'immobilité permanente de l' animal normal, qui n'a pas subi les vibration*, ne pro
ivent les vibrations mais bien plus faibles. La mise en charge de l' animal par les vibrations n'exerce pas d'influence ess
s la fin du coït, la pression du sang générale tombe notablement, l' animal est moins vivant. l'hyperémie cérébrale est moi
à 37 suivant l'espèce ani- male et, en particulier, chez les divers animaux de laboratoire (30 chez le cobaye, 34 chez le l
omiqucs, physiologiques et psychiques de la dégé- nérescence chez l' animal , en particulier chez le cheval (étude clinique.
nand RUDLER et C. CHOMEL. La dégénérescence est caractérisée chez l' animal comme chez l'homme, par un ensemble de stigmate
et pronostique. Ils témoignent d'une infériorité individuelle de l' animal considéré en soi et au point de vue de la repro
chez l'homme, Mari- nesco, M. et Mme Parhon et nous-même, chez les animaux , plaçons la localisation des muscles de ce segm
surtout à la suite d'une seconde atta- que d'épilepsie chez le même animal que l'on voit baisser l'excita- bilité de l'éco
impétueux, ils troublaient par leurs incessants déplace- ments, les animaux de leur cage. Sauvages et agressifs pour qui s'
ion corticale; par H. HITZIG. (Neurolog. Cent1'albl., XXI, 1902.) Animaux ayant subi des lésions expérimentales de la sphèr
, pour provoquer la multi- plication des mâles, il faut nourrir les animaux modérément et faire procéder à la fécondation.
be chez les chiens nouveau-nés. L'auteur montre que le coeur de ces animaux contient dès la naissance des éléments nerveux
déjà apte à fonctionner. Pourquoi, quand cesse la respiration de l' animal , le coeur continue-t-il, long- temps à battre s
avec arrachement du bout central, les auteurs estiment que chez les animaux adultes la régénération et la néoformation de l
bles de la rage expérimentale doivent être attribuées au fait que l' animal meurt sidéré avant que ces alternatives aient e
des impulsions verbales de diverses natures : onomalo- pées, cris d' animaux , écholalie, coprolalie, etc. Par un effort de v
peine à qui que ce soit et ne se mon- trait pas brutale envers les animaux ; elle manifeste d'excellents sentiments à l'ég
peu développées : il a quel- ques notions sur les couleurs, sur les animaux les plus communs, sur les métiers, sur les légu
hez l'homme. Tics et stéréotypies se rencontrant également chez des animaux présentant à la fois des troubles psychopatique
tigmates anatomiques, phy- siologiques et psychiques de la chez l' animal , en particulier chez le cheval, par Rudler et C
dans le - des épilepiidues. Son agglutina- tion par le sérum des animaux infectés et par le sérum des épi- leptiques,
92 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t dans la décomposition u,vlaW ûtlm; : ceci a lictt chez beaucoup d' animaux très Aile, par exemple, dans les trois première
scles des yeux. Puis on enlève ces zones et 14 jours après on tue l' animal : on traite le cerveau par la méthode do Marcbi
REVUE DE THERAPEUTIQUE I. De l'action de l'hédonal sur l'organisme animal ; har 13. S. Lvmpsakovv. (.Veto.olog. Centralbl
ent; parA. Adamkievvicz. (Xeurolog. Centralblatt, XXH1, l'JU4.) L' animal privéde son écorce cérébrale conserve le mécanism
tion avec les mêmes noyaux des nerfs abducteurs parle moyen, chez l' animal , du faisceau longitu- dinal prédorsal, et, chez
cérébraux. De la de nouvelles recherches physiologiques sur divers animaux ; M. flechterew en détaille les particularités
'ir de l'extirpation partielle, et même totale, des lumislthèros; l' animal évile sans difficulté les obstacles; il semble
t adultes. Le reste de l'axe cérébro-spinal ne peut donner chez ces animaux que des cumul- sions Ioniques. Chez les mammifè
l- sions Ioniques. Chez les mammifères moins élevés dans la série animale (lapins et cobayesi, de même que chez le chien et
ntre convulsif clonique remonte pro- greSSi\ClIll'nl dans l'échelle animale , de la moelle jusqu'à l'écorce cérébrale ; bulb
ar le facial supérieur, il suffit de l'exciter d'un côté pour que l' animal élève les deux sourcils, ferme les deux paupiè-
l'étu- de de lésions chez l'homme et d'expériences faites sur des animaux . Starokotlitzki (Thèse de Brcslau, 1903), après
ement tout caractère humain pour se rapprocher du cri de certains animaux . Ce langage baroque qui s'accompagne d'un tic f
: cependant, il y a prédominance des lésions du côté sur lequel l' animal se couche. L. W. XL1V. Nouvelles études sur le
présence. L'opinion classique en Italie est celle de Luciani : les animaux privés de cervelet pré- sentent do l'astasie, d
le de la sensibilité résultent l'astasie, l'atonie, l'asymétrie des animaux en expérience : cet étal serait pour Lewandowsky
IES. (.Veu-ol. Centralbl., XX. 1901.) .) Trouvaille accidentelle, l' animal n'ayant, pendant la vie, rien présenté de parti
omac, de l'oeso- phage, de la trachée, des glandes sali\ aires de l' animal adulte. Dieu plus, le mésoderme, dans la glande
se ; mais c'est une répulsion qui se montre chez nombre de femelles animales ; on peut la considérer comme un moyen de défen
l..(;r·.IIaIIncinalion·sunL foules rapportées au, côté gauche ; les animaux qu'elle \o\ait grimpaient toujours du côté gauc
duelle, de la viande au lait, et conservent vie et santé. Or, les animaux dont la vie se piolon-e, soit à raison du régim
ablement traités au lait. Ce sont des hallucinations qui poussent l' animal à des actes immo- livrés, par exemple à se teni
celles des êtres vivants. La forme étant, pour les végétaux et les animaux comme pour les minéraux, fonction de la composi
ourri que par de petits vaisseaux san- guins ; mais, en revanche, l' animal se servant pour sa propulsion des muscles qui e
uisit certainement, bien qu'à un très faible degré, chez le premier animal du genre baleine qui adopta la vie aquatique, e
mbrassait les trois règnes, que la reproduction des végétaux et des animaux était iden- tique à la reproduction des cristau
qui, en se développant, reproduisent le minéral, la plante, ou l' animal entier, il n'y a aucune différence au point de vu
placement, par suite des influences de milieu, d'un végétal ou d'un animal , c'est-il-dire Hune LA PSYCHOLOGIE LES DÉGÉNÉRÉ
cartilagineux ou nerveux se déve- loppent, il est nécessaire que l' animal absorbe des subs- tances capables de donner nai
en ont formé un élément de leur chlorophylle, est devenu chez les animaux un élément de l'hémoglobine, où il joue un rôle
er au mot dégénéré un sens péjoratif. Le cheval pur sang anglais, animal dégénéré, et qui supporterait difficilement la vi
té de loi dans la reproduc- tion des minéraux, des végétaux, et des animaux . La réflexion est d'autant plus aisée, plus éte
n sexuelle, ce qui semble confirmer 1(' jJJ'OH'l'be « post cuitul1l animal 1 rite. » 11. 'lcouooux a dans son service un u
libres myéljniques de la couche optique dont l'aspect est celui des animaux plus âgés. Ilary a montré que chez beauconp de
. 1 vol. In-8" de 1C pages. Urhan et Schwnrxeoherg. Berlin. First animal report of')hel[en ! 'y l'hipps inslilule. 1 vol.
urnev ille, 941. 11 ,r)o ? T,. De l'action de l'- sur l'organisme animal , par Lamp- sakov, 68. III ? 1 \TlnlV ¡; : LIE
93 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
Mérycisme Par BOURNEVILLE et REGLAS I. DE LA RUMINATION CHEZ LES ANIMAUX . « Certains animaux ont la faculté de ramener d
EVILLE et REGLAS I. DE LA RUMINATION CHEZ LES ANIMAUX. « Certains animaux ont la faculté de ramener dans la bouche pour l
voir de ruminer a été attribué par quelques naturalistes à d'autres animaux tels que la taupe-grillon et la sauterelle parm
donnerons pas ici une description détaillée du tube digestif de ces animaux . Nous rappellerons seulement que leur estomac s
e s'en- tassent les aliments incomplètement mâchés. Chez quelques animaux , le chameau en particulier, la panse présente des
'indique, présente des lames plus ou moins développées, suivant les animaux ; entre ces lames se rassemble la bouillie alime
u feuillet, lequel commu- nique à son tour avec la caillette. Les animaux chez lesquels on remarque cette conformation pa
angées avec une forte propor- tion de liquide qui est dégluti par l' animal en une ou plusieurs gorgées. Cette théorie es
'oeso- phage, on remarque un mouvement brusque dans le flanc de l' animal ; le mouvement se compose d'une inspiration brusqu
succinctement que possible, le mécanisme de la rumination chez les animaux . Nous allons maintenant aborder l'étude de ce p
e on le voit, se rapproche beaucoup de celui qu'on désigne chez les animaux sous le nom de rumina- tion. Aussi, le plus sou
similant complètement le phénomène du mérycisme à la rumination des animaux , ont cherché à pousser plus loin le rapprocheme
tion, l'influence de l'imitation se manifesterait non seulement des animaux à l'homme ; mais encore de l'homme à l'homme. (
e, qui s'accoutuma it ruminer après avoir passé des années avec des animaux ruminants. (Dictionnaire en soixante volumes, a
ée l'identité presque complète du mérycisme et de la rumination des animaux , la première idée qui vient à l'esprit est de p
uoi d'étonnant à cela ? Nous savons, en effet, que si on donne à un animal , dans un même repas, de la viande et des végéta
leur durée : ce qui est une analogie de plus avec la rumination des animaux qui ruminent moins bien ou cessent même de rumi
94 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ux de l'oeil. Les expériences sur le cerveau ont été faites sur des animaux trépanés ; de plus Mosso a eu l'occasion d'obse
t un malade qui avait une fracture du crâne. Expériences avec des animaux trépanés. a. Expérience du Dr Maximilien Schull
atation des pupilles ; température rec- tale 39°,8. Pour sauver l' animal , on eut recours à la respiration artifi- cielle
centimètres. Les résultats sont donc les mêmes chez l'homme et les animaux ; cette hyperémie dans la boîte crâniene produit
t la cause des attaques épileptoïdes que l'on observe chez tous les animaux à la suite d'expériences pro- longées. Ces at
'expériences pro- longées. Ces attaques sont plus fortes chez les animaux qui n'ont pas subi l'opération du trépan. Ces e
tance. Cette expé- rience se rapproche de celles qu'on fait sur les animaux . 8 a et 8 6, sont identiques à la précédente.
uction atteignait-elle le' noyau des faisceaux de Burdach. Chez les animaux en expé- rience, on n'a pu constater sûrement l
amaigrisse- ment ; rien du côté de la vessie et du rectum. On tue l' animal par narcose prolongée. Atrophie portant uniform
une sorte d'inflexion en avant,avec rotation constante à droite (l' animal auquel on a extirpé le lobe frontal gauche tien
arition de globes lumineux ascendants et descendants, de montagnes, animaux , fantasmagories bizarres de toute espèce; un br
siologique pratiquée sur l'homme. Des expériences faites sur les animaux , les plus concluantes et les mieux conduites no
nous paraissent être celles de M. Horsley, tant à cause de l'espèce animale à laquelle il s'est adressé que par la façon do
thyroïde est d'autant plus nécessaire au fonctionnement normal de l' animal , que celui-ci est plus jeune; c'est ce que l'an
liens n'auraient observé aucune influence de l'âge et du sexe des animaux opérés dont la survie aurait atteint 1 M. Nieha
es de M. Schiff en ce qui concerne les résul- tats opératoires, les animaux succomberaient avec des symptômes rappelant l'e
avoir montré, dans ses dernières expériences 2, que la santé des animaux est conservée si on laisse un petit morceau de
e glande thyroïde aortique, accessoire fréquemment observé chez cet animal ' AIlara. Sulla estil'¡J(¡ ? IOI1C della ti1'ol
pécimens pris sur les malades que vous voyez devant vous et sur les animaux infé, rieurs qui ont servi de sujet aux expérie
uccès. Comme j'aurai à citer souvent les expériences faites sur les animaux inférieurs, je désire faire ici une brève appré
ceux qui croient que le processus de réparation des tissus chez les animaux inférieurs diffère REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
s être tirée de l'un à l'autre. Quoiqu'admettant que les tissus des animaux inférieurs ne sont pas si souvent le siège de l
En effet, pour obtenir la réunion par première intention chez les animaux , le cheval par exemple, il est nécessaire de pr
tumeur. Je n'ai jamais observé une telle saillie immédiate sur les animaux sains, et récipro- quement elle n'a jamais fait
expérience sur l'homme avant de l'avoir trouvée sans danger sur les animaux inférieurs, je regrette que la législation actu
non entrecroisé on fait pénétrer à travers la suture sagittale d'un animal nouveau-né un petit couteau fin et l'on va sur
f. Ophthal- molog., XXV, 4) 1. L'entrecroisement s'exécute chez cet animal sur toute l'épaisseur de la coupe transverse du
hère du sentiment, que la zone de la vue. En comparant l'allure des animaux mutilés aux lacunes encéphaliques corres- ponda
des animaux mutilés aux lacunes encéphaliques corres- pondantes(les animaux sont sacrifiés ultérieurement), on peut voir qu
95 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
est caractéristique de la circonvolution godronnée chez tous les animaux dont nous avons étudié l'encéphale : on ne trou
nous, sa conception du lobe limbique devait être modifiée chez les animaux . Il se proposait de reprendre cette étude au po
s situées au-dessous du corps calleux du mouton. Or, chez lesautres animaux que nous allons étudier, on voit la formation a
nous aurons à revenir. Quant à la disposition des parties chez l' animal adulte, Kupffer les décrit d'une manière singul
i- demment l'homologue de la circonvolution de l'hippo- campe des animaux à circonvolutions externes. Enfin l'encéphale d
présenter sur l'épiploon ou les» lames mésentériques de certains animaux . Pour ce qui est en particulier des plexus chor
tats obtenus par H. Quincke sont démonstratifs à ce sujet : sur des animaux vivants, cet expérimentateur injectait du vermi
nditions circulatoires de ces malades, que l'on peut comparer à des animaux à sang-froid. Une lésion du grand sympathique e
73.) P. K. IL Sur les nouvelles expériences relatives au magnétisme animal ; par le De P. Grutzner (de Breslau). (Ccntralb
d'individualités/qui sont : t° le cadavre humain;; l'homme; 3° les animaux : z REVUE DE pathologie NERVEUSE. 97 L'allong
en pratiqué peu de temps après l'opération de l'élon- gation chez l' animal (lapin, cobaye) décèle les mêmes lésions et que
s expériences de graduer la force de traction, par comparaison de l' animal à l'homme, et con- formément aux recommandation
ier; ils ' sont l'objet d'uni trafic infâme et considérés comme des animaux de basse-cour ; on négocie leur placement comme
n unilatérale du bulbe. Les quinze expériences prati- quées sur des animaux qui ont survécu jusqu'à un an et demi après la
riations dans la structure du cerveau chez une seule et même espèce animale . Chez la rana esculenta, l'auteur ren- contra d
s'agit là d'une blessure de la rétine. Des expériences faites sur l' animal nous apprennent, en effet, que l'on rencontre t
tères micrographiques. Des expériences en ce moment entrain sur les animaux avec le seigle ergoté, l'ergotine et l'acide sc
t en répandant du poifon, foit en enuoyant les diables on corps des animaux . Auffi à perdre les moiffons & les fruifts
s questions proposées. Physiologie : Relations de la calorification animale avec le système nerveux. Electrothérapie. Farad
humain (force neurique rayonnante) connue sous le nom de magnétisme animal . Une brochure m-8" de 40 pages. Paris, 1882, chez
IILTON Bastias. Le cerveau, organe de la pensée chez l'homme et les animaux . Deux vol. in-8" avec 184 figures dans le texte.
II'. ' Brown-Séquard. Journal de la Physiologie de l'homme et des animaux , vol. Yt. Archives de Physiologie normale et path
compte de la difficulté qu'on doit éprouver pour constater chez un animal l'étendue d'un défaut visuel, déjà si difficile
<a7)M<'sse. Chicago Janvier 1880.) On observe chez certains animaux paraplégiques une con- traction rhythmique du s
x humains peuvent se retrouver comme en germe dans les cerveaux des animaux . Dans l'état actuel de nos connaissances, il es
ns et des expériences originales recueillies sur l'homme et sur des animaux inférieurs; 3° les mémoires doivent être écrits
onctions du cerveau, par Seguin, 105 par Exner, 368. Magnétisme animal (nouvelles exl)é- riences sur le), par Grutzuet
96 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
ans ; mais il ne peut atteindre énergiquement ce nouvel individu, cet animal parasite qui est comme greffé sur un autre indivi
êtés au premier pas. Je ne sache pas en effet qu'il existe une espèce animale dans laquelle le rectum présente un trajet sembla
rapport des organes de la respiration et de la circulation, comme un animal vertébré à sang froid, et présentait le singulier
'ailleurs aucun sentiment de son état et de ses besoins. On dirait un animal dont le cerveau est fortement comprimé, ou mieux
grise. Ainsi de ce qu'il y a paralysie dans le train postérieur d'un animal immédiatement après la ligature de l'aorte abdomi
résultat, sur 11 parties: eau enlevée parla dessiccation, i ; matière animale , i ; acide urique, i ; soude combinée à cet acide
e filtre avec très-peu d'eau : il est resté sur le filtre une matière animale , comme cartilagineuse , contenant du phosphate d
le qu'elle doit être attribuée à l'altération spontanée de la matière animale qui adhérait encore aux os plutôt qu'à l'existenc
es des cadavres et avant que la décomposition spontanée de la matière animale n'ait eu lieu. Ces expériences ont été faites s
torrent de la circulation m'a conduit à faire des expériences sur les animaux vivans. Or l'injection dans les veines d'une cert
qui, lorsque la quantité de mercure a été peu considérable, lorsque l' animal survit assez long-temps à ces expériences, devien
lus ou moins complet. L'individu se trouvait dans le même cas que les animaux auxquels on a coupé les nerfs de la huitième pair
tre en opposition avec les vérités métaphysiques et morales. Le règne animal tout entier, les lésions physiques et organiques
sang en circulation m'a conduit à faire quelques expériences sur les animaux vivans. Il fallait trouver un corps irritant susc
e la quantité de mercure introduite a été peu considérable, lorsque l' animal survit assez long-temps, deviennent de véritables
s parvenu à oblitérer complètement le sinus longitudinal supérieur, l' animal n'a éprouvé aucun accident. IX. L'oblitération
tuméfie énormément au bout de quelques heures; et, si l'on sacrifie l' animal plus ou moins long-temps après l'expérience, on t
oplectiques dans l'épaisseur des muscles et du tissu cellulaire. Si l' animal survit, ces foyers apoplectiques passent à traver
des fatigues excessives produisent si souvent l'usure tant, chez les animaux que chez l'homme, c'est parce que ces fatigues so
la grosse tubérosité. Toutes les fois qu'on fait mourir violemment un animal pendant le travail de la digestion stomacale, on
omac a des parois si ténues et si peu résistantes. La suspension de l' animal par les pieds de derrière, ainsi que l'a fait M.
riences n'est pas heureux , car les parois du canal intestinal de cet animal sont tellement ténues, tellement peu résistantes,
ent avec la plus grande facilité. Joignez à cela que l'abdomen de cet animal est extrêmement humide et que les altérations cad
; au bout de trente-six heures, le membre malade se tuméfie, et si l' animal meurt ou est sacrifié, on trouve une multitude in
que les veinules correspondantes aux parties saines sont libres. Si l' animal survit à l'expérience, des foyers de pus remplace
e autre tige, de bas en haut, jusque dans la veine cave ascendante. L' animal mourut le sixième jour avec beaucoup d'oppression
53, 1826. XV. Dans Jes cas précédens, le désordre était local. Si l' animal avait vécu plus longtemps, il est probable que de
veine fémorale, vous verrez, si le mercure est en grande quantité , l' animal devenir extrêmement oppressé et succomber en douz
e vous exprimerez par flots. Si la quantité de mercure est moindre, l' animal survivra plus long-temps à l'expérience, et vous
plutôt un mélange de pus et de matière tuberculeuse; enfin, lorsque l' animal survit deux à trois mois, vous trouverez des tube
étruit la moelle du fémur, à la moelle j'ai substitué du mercure. Les animaux (c'est sur des chiens que j'ai pratiqué toutes ce
oujours jusqu'aux veines capillaires; XIe LIVRAISON. 2 une fois l' animal ayant survécu six jours à l'injection, la branche
dans l'une des veinules qui rampent dans l'épaisseur de l'épiploon. L' animal ne dépérit sensiblement qu'au bout d'un mois; pen
la conversion du petit foyer purulent en foyer tuberculeux, lorsque l' animal survivait assez long-temps à l'expérience. Mais j
ntroduisons une tige de bois de bas en haut de la veine fémorale d'un animal dans la veine iliaque externe, puis primitive. Du
ien entendu que je n'ai point tenu compte des matières fécales, car l' animal léchait sans cesse la surface de sa peau. XXIX.
s les observateurs, et cependant lorsque dans les expériences sur les animaux vivans, l'injection de substances putrides dans l
s l'action desquelles cette altération puisse être provoquée chez les animaux ; 3° Dans l'impuissance absolue de toutes les méth
vainement essayé de produire des tumeurs cancéreuses dans le foie des animaux par l'injection de divers corps irritants dans le
biliaires ne conservant plus une goutte de bile, on peut dire que les animaux ont vécu sans sécrétion biliaire. Au reste, à un
ns sécrétion biliaire. Au reste, à un degré avancé de l'altération, l' animal succombe dans le marasme le plus complet; je n'ai
u différente. Enfin, des expériences physiologiques tentées sur les animaux vivants, avec le sang des cholériques, ont donné
et résiste à la pénétration du calorique, à la manière de celle d'un animal à sang-froid. Si on insiste, l'oppression et l'an
it mois avec une tête extrêmement petite, qui représentait celle d'un animal : l'angle facial était extrêmement aigu comme che
crête transversale très saillante, analogue à la crête occipitale des animaux ; le diamètre vertical du crâne était d'un pouce.
bson dans les ophidiens, les sauriens et les batraciens (2). Chez ces animaux , en effet, les veines des extrémités postérieures
à l'aide d'injections irritantes faites dans les veines de plusieurs animaux . Voici le résumé de quelques-unes de ces expérien
ré les valvules qui s'opposaient à l'injection dans ce sens: chez les animaux qui ont succombé dans les premiers jours, j'ai tr
comparée a permis de voir que les kystes analogues observés chez les animaux , contiennent de la laine chez la brebis, des plum
les étaient tellement vives, qu'elles lui donnaient la sensation d'un animal qui rongerait l'estomac. Ces douleurs rongeante
97 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ultanément les tracés graphiques de plusieurs muscles, de plusieurs animaux en expérience, d'où la dénomination de « polymi
elgique, décembre 1900.) L'étude comparée delà cellule nerveuse des animaux des divers, embranchements conduit à cette conc
ire des vertébrés ; mais on peut dire cependant que chez les divers animaux , les prolongements des cellules nerveuses se te
n de 0,03 (le chlorhydrate de morphine par kilogramme.de poids.de l' animal (injections sous-cutanées). Il ouvre par derriè
s de platine) sont entourées de tubes de verre. Ceci fait, on tue l' animal en sectionnant. la moelle cervicale ; le segment
t ou colorée à l'état mourant est un fait acquis. Qu'on galvanise l' animal soumis au bleu de méthylène ou à l'azotate d'ar
s ramène inutilement aux « esprits vitaux », au « fluide magnétique animal », au spiritisme et autres fables des époque» do
il s'agit ont d'abord fait des expériences très concluantes sur les animaux ; tous les chiens auxquels ils ont injecté du s
ol. M. LÉPINAY. - Le dégoût pour l'alcool est instinctif chez les animaux . Quand on veut faire prendre aux chiens malades u
enfant; et enfin que tant qu'il y a dans l'écorce cel ébrale de ces animaux des régions non myélinisées, il y en a de même
es identité complète dans le processus de la myélinisation chez les animaux et chez l'homme. Les régions tard myélinisées d
èvre ne cause des dégâts dans la propriété de son maitre, détache l' animal et va le parquer plus loin. D... bêchait la terre
et des mouvements physiques et chimiques d'un autre ordre (chaleur animale , électricité organique, trophisme). En un mot,
moniliforme n'a pas été observé dans les neurones corticaux d'un animal sacrifié pendant le sommeil naturel. S'il était v
s d'Eberth, ont réussi à provoquer dans les glandes thy- roïdes des animaux mis en expérience, les lésions d'excitation séc
ent qu'il est capable de mouvoir un poids égal à 50 fois celui de l' animal . Rosenthal et Gréhant pensent être arrivés à l'
t Weiss laissent le muscle en place en conservant sa circulation. L' animal étant fixé à un myographe de Marey, un fil atta
rapport du mnscle curarisé. Le. seuil de dépression varie suivant l' animal . Les nerfs sensitifs, les centres nerveux, le coe
fibrillaires que produit l'électrisation du coeur manquent chez les animaux à sang froid. Chez le chien elles sont ordinair
es' tractions rythmées : de la langue ne. peuvent faire revenir les animaux à la vie. Les altérations du système nerveux, c
ie des sciences, sur l'action des courants aller- natifs sur divers animaux et.'avaient constaté qu'ils tuent' les animaux
natifs sur divers animaux et.'avaient constaté qu'ils tuent' les animaux en mettant le coeur en état de trémulation libril
alternatifs cependant il y a quelques différences. Chez tous les animaux la sensibilité et la respiration semblent plus fo
omme ; mais on a tout droit de conclure, de cette observation sur l' animal , à leur'existence chez l'homme, niée par -fl1.
niée par -fl1. Flechsig; .13° Aussi bien que chez l'homme, chez les animaux , la structure fixe des différentes régions cort
t différente ? mais, contrairement à ce que dit 11. Flech- sig, les animaux non plus que l'homme ne montrent une structure
entes directions, des cerveaux normaux de l'homme et des principaux animaux . Ces dessins pourront alors servir de base à la
directement appli- qués à l'homme. La structure constatée chez les animaux ne doit pas seulement être retrouvée chez l'hom
e complète d'intelligence, il est à ce point de vue inférieur aux animaux même, il n'a généralement même pas l'instinct de
xe spinal le plus facile à obtenir dans les membres postérieurs des animaux par l'excitalion du membre lui-même est la flex
an n'est pas non plus contredite par les expériences faites sur les animaux . Chez le singe, par exemple, la section transve
apin, le réflexe, dès le début, est exagéré. 11 semble que chez les animaux les réflexes dépendent en grande partie des inf
ressemblance avec les expériences faites par M. Sherrington sur les animaux et qui montrent aussi bien que celles-ci la dépen
e opposée. L'auteur pense que ces expériences, dont 75,6 p. 100 des animaux frappés et infectés simultanément, 56 p. 100 de
es animaux frappés et infectés simultanément, 56 p. 100 de tous les animaux frappés et infectés, ont eu une infiltration mi
ont eu une infiltration microbienne de l'encéphale, tandis que les animaux uniquement infectés sont atteints de la maladie e
ontre pas seulement chez les hibernants, mais, en général, chez les animaux auxquels la nourriture vient à faire défaut, ch
outant que leur courage, les deux agents se jetèrent à la tète de l' animal et, après avoir été trainés sur un parcours d'une
98 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
8 mai 1895.) L'auteur, s'aidant des recherches expérimentales sur l' animal et passant en revue les travaux sur la question
xcito-moteurs en rapport avec le membre en question, et on laisse l' animal au repos. Il demeure incomplètement paralysé de
une contraction mus- culaire ; un courant à peine suffisant chez l' animal sain pour provoquer une très faible contraction
du visage, les mouve- ments du corps et des extrémités, comme si l' animal voulait, par .un ensemble de gestes, imiter l'h
e traitement diffère en un point important du principe des extraits animaux , des antitoxines; celles-ci en effet sont détruit
iques. La vie psychique des enfants. Les fonc- tions psychiques des animaux . La psychologie des peuples et la psychologie a
es hallucinations consistaient en la vision d'ombres, de figures, d' animaux , par exemple des marmottes qui dan- saient. P
connaît ; et, lorsqu'il a des visions fantastiques, par exemple un animal ayant la tête d'un chat et la queue d'un serpen
s se distinguent des visions spontanées, en ce que : 1° la vision d' animaux est très rare ; 2° l'élément terrifiant manque
hérentes, en général de couleur pénible. Us voient des flammes, des animaux , ils sont entourés d'ennemis, puis la confusion
nts suivants : 1° greffe directe du corps thyroïde provenant d'un animal vvant; 2° injections sous-cutanées de suc ou d'ex
é que si l'on n'enlève pas entièrement la glande thy- roïde chez un animal et que si on en laisse subsister un mor- ceau,
succès plus définitif et plus durable. Examinons d'abord de quel animal on doit faire choix pour recueillir les glandes
ar M. le Dur Roux. ' Les corps thyroïdes doivent être enlevés sur l' animal le plus rapidement possible après qu'il a été s
orielles) des cellules nerveuses avec leur organe terminal, chez un animal adulte ou demi-adulte; il en résultera une altéra
de quelques mois ; 3° après l'ablation complète du cervelet, chez l' animal , les mouvements des extrémités infé- rieures so
sus. Gries, en administrant de l'arsenic et du phosphore aux jeunes animaux , a produit du gigantisme artificiel. Nous publi
vi deux principes. Le premier était de chercher dans la série des animaux les scissures complètes. Il a reconnu alors que c
que de l'arc rélrosplénique de la scissure calleuse mar- ginale des animaux . La scissure rliiuale est très bien représentée
qui existe comme partie occipitale de la scissure rliiuale chez les animaux . La première scissure de Leuret, comme on la tr
rtie frontale de cette première scissure de Leuret; chez beaucoup d' animaux elle existe comme scissure coronaire (supérieur
sure de Leuret et sa continuation occipitale qui se trouve chez les animaux comme scissure médio-latérale (première scissur
cipitale. La scissure temporo-occipitale apparaît chez beau- coup d' animaux et y est désignée souvent comme scissure ecto-
rale; c'est une scissure rétro- centrale interne. Chez beaucoup d' animaux il y a au contraire un arc trans- versal - la s
la précunéenne et qui existe souvent-quoique rudimentaire -chez les animaux . Les scissures transversales de la région centr
orticaux du cerveau jeu REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. peut, chez l' animal adulte, provoquer des accès d'épilepsie. Les ré
dereich, etc., en s'appuyant 1 L'expérimentation sur le cerveau des animaux a démontré la possi- bilité de ces lésions desc
ruction, sans que cela puisse être attribué à la respiration de ces animaux . D'après Onodi et Bechterew, il existe à. la ba
térieur. 472 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Un^ animal dont on a radicalement détruit le tubercule quadr
ètre, ou 1 centimètre et demi de distance du calamus scriptorius, l' animal se met à tourner autour de l'axe de son corps, de
t dans les centres supérieurs avec le développement de ceux-ci. L' animal nouveau-né parcourt, pendant son développement,
dégénérés. Ainsi le corps strié est inexcitable parce que chez les animaux auxquels on a préalablement extirpé la zone mot
udé ne produisent plus d'effet moteur, alors que cela a lieu chez l' animal auquel on n'a pas préalablement enlevé la zone mo
'étude du déve- loppement successif des systèmes et trousseaux de l' animal nou- veau-né. En voici un exemple : L'enroule
nimal nou- veau-né. En voici un exemple : L'enroulement forcé des animaux autour de l'axe du corps et leur propension à t
ans la région du vermis, et à l'extrémité centrale de la moelle des animaux nouveau-nés, produit la rotation du tronc et de
99 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re cortical des membres, localisé dans les ascendants, n'a chez ces animaux aucun rapport avec les muscles du tronc ; 2° le
imètres cubes ; chaque séance consomme 20 à 25 centimètres cubes. L' animal ayant été ainsi empoisonné pendant plusieurs he
ment après la mort et les pièces ont été comparées à celles de deux animaux de la même portée. Toutes les fois que l'ivress
tact brusque, un mot prononcé (géné- ralement en ce cas le nom d'un animal féroce, et surtout du tigre, qui est très redou
nombre des cellules corticales colorables en totalité progresse des animaux inférieurs à l'homme. La même méthode rend très
e. 220 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Chez les animaux (macaques, chiens, chats, lapins, cobayes, boeu
î2ti,albl., XV, 1896.) Les cellules de la moelle et du bulbe de ces animaux sont com- plètement intactes. Ce fait s'expliqu
telle qu'on l'entend chez l'homme ne peut pas être prouvée chez les animaux ; il n'est guère douteux que les conditions dif
les conditions différentes de la sélection chez l'homme et chez les animaux soit capable d'expliquer cette différence, d'au
férence, d'autant qu'en fait des perversions sexuelles acquises les animaux se laissent rarement dépasser par l'homme . L
96, t. XLI, p. 400.) Ch. Féré. Les perversions sexuelles chez les animaux . (Revue phi- osophique, 189î, t. XLIII, p. 494.
t aux suggestions criminelles; elle y ajoute celui de l'hypnose des animaux (écrevisse, alligator, cobaye) qui n'est qu'une
arfois chez l'homme des convulsions épilepliformes et, injectée aux animaux , leur donne aussi des convulsions. Mais on n'a
frustes et à l'état faible correspondent les malades hantés par des animaux : même dans ces cas on peut découvrir des troub
on progressive de la personnalité les conduit seulement de l'idée d' animaux , contenus dans leurs viscères à la zoanthropie.
s leurs viscères à la zoanthropie. Ils finissent par personnifier l' animal qu'ils sentaient antérieurement coexister dans
sentir des diables, par exemple, dans son corps ou simple- ment des animaux , comme les malades de Calmeil (l'un entendait c
it été autori-é à admettre que toutes les cellules centrales de ces animaux étaient de nature motrice. On aurait ainsi pu s
us incline à admettre, par analogie avec ce qu'on observe, chez les animaux supérieurs, que les libres teimi- naisons nerve
off dans son cas, s'observe égale- 'ment expérimentalement chez les animaux . - 11111. 110BHILOFF, Orlowski, Mouratow et Koj
moelle par les dernières cervicales et la première dor- sale chez l' animal , par la première dorsale chez l'homme (11 ? Déj
raignée à travers la peau de son bras. Elle comprend, dit-elle, ces animaux et l'être surnaturel qui la travaille dans la t
ce des hémisphères cé- rébraux distingue l'homme de tous les autres animaux . A. FENAYROU. LXXXIII. DES LÉSIONS histologiq
rmé chez l'homme la présence de ces lé- sions cellulaires. Chez les animaux qui ont reçu simultanément de la toxine et de l
et d'un volume réduit; un nu- cléole plus volumineux que celui des animaux qui, ayant vécu la même durée, n'ont pas reçu d
ne chez le chien ne produit pas le même résultat parce que chez les animaux supérieurs, le cerveau ayant un gros volume, la
tion, qui commande à l'activité associée des quatre extrémités de l' animal , qu'il s'agisse d'une grenouille ou d'un animal
tre extrémités de l'animal, qu'il s'agisse d'une grenouille ou d'un animal supérieur. L'excitation indépen- dante de ce ce
artères cérébrales, soit les veines encépha- liques, même chez les animaux auxquels préalablement on a enlevé toutes les r
n les constate notamment dans la commotion cérébrale, même chez les animaux privés de leurs zones corticales motrices ; on
istoires D'IVROGNES. Il serait temps que la Société protectrice des animaux s'entendit avec la Ligue antialcoolique pour av
Ligue antialcoolique pour aviser aux moyens de « proté- "ger » les animaux contre eux-mêmes et d'enrayer en eux un pen- ch
le moment où, depuis le poisson jusqu'au singe, toutes les espèces animales se trouveront amenées à l'état de dégénérescenc
encore, je crois, les progrès de l'ivrognerie chez les VARIA. 62 animaux n'ont été plus clairement ni plus vigoureusement
us clairement ni plus vigoureusement indi- qués. « La plupart des animaux supérieurs, nous dit 11. Walsh, singes, éléphan
l nous décrit les progrès les plus récents de l'alcoolisme chez les animaux . Il nous apprend, par exemple, qu'un grand nombre
e cette étude, et d'appeler sur le progrès de l'alcoolisme chez les animaux l'attention des moralistes, hygiénistes et autr
100 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
période, tout en riant et pleurant elle nous dit qu'elle ne voit ni animaux ni rien d'ef- frayant. Donc, le désordre et l
que qui, tantôt se calme spontanément, tantôt entraîne la mort de l' animal . Deux formes peuvent être distinguées. A. Dans
l'on doit rapporter un certain degré de sommolence produit chez les animaux par le bromure de zinc, ce qui n'a pas lieu avec
qu'au tiers postérieur des lobes optiques desdeux côtés; donnez à l' animal vingt-quatre heures pour qu'il se rétablisse, e
me qui offrait un fauteuil à ses invités en leur disant : « Cochon, animal , fichue bête ». Mais, ajoute-t-il, bien que les
logr. à la dose de 4 milligr., la dose limite était donc pour cet animal de 23 milligr., soit de 36 centigr. pour un adult
le et la cli- nique ne sont pas d'accord. L'expérimentation sur les animaux tend à établir que les lésions du cerveau ne pe
anopsie se combinent '. L'absence d'examen campimétrique chez les animaux nous permet de rester dans le doute en ce qui l
elles que j'ai faites moi-même, etc., démontrent que, soit chez les animaux , soit chez l'homme, la suppression de l'ali- me
vée par les recherches de Bischoff', Zuelzer " et Sievert 3 sur les animaux et sur l'homme. Plus l'alimen- tation se rappro
ation se rapproche par sa nature de l'alimentation ordi- naire de l' animal en expérience ou de l'homme, plus se ré- gulari
e élimination se régularise lorsque l'alimentation devient mixte ou animale . On peut donc se demander si ce n'est pas simpl
non seulement avec un régime mixte, mais encore avec un ré- gime animal ou végétal convenablement préparé, à une con- d
u, soumis pendant trois jours consécutifs à un régime exclusivement animal , rend par 2t heures les chiffres sui- r I : yef
e des résections de la zone A. Au bout de quelques mois, on tue les animaux , et l'on procède à un examen histologique atten
ctement unies à la sphère visuelle (zone A). Le nerf optique de cet animal est, par l'intermédiaire des centres infra-cortic
allucinations de la vue et de l'ouïe (le malade voit martyriser des animaux et les entend crier), un état de dépres- sion p
ternes, la ressemblance de l'encéphale de ces sujets avec celui des animaux a été exagérée, mais on rencontre fréquemment u
nt expérimentales sur les élongations des nerfs entreprises sur des animaux , sans examen de la moelle épinière. - Groupe IV
régions du cerveau correspondant aux circonvolutions centrales des animaux supérieurs. Plus tard, Hitzig étudiant l'influe
culaires normales. Or, Salathé a déjà montré que si l'on fixe un animal sur une table, en lui assujettissant la tête sur
et que si l'on fait tourner le tout, au bout d'un certain temps, l' animal meurt. La force centrifuge a provoqué de l'liype-
t, voici les symptômes permanents que l'on note : Indifférence de l' animal qui demeure au repos dans sa niche, troubles de
nc, des muscles innervés par le facial. Le pre- mier était jadis un animal très éveillé, fringant, d'un tempéra- ment sang
s'inquiéter des gens qui entrent. Dans toutes les autopsies de ces animaux , le tableau anatomo-pathologi- ques est uniform
cipes humains et recommandables présidaient aux expériences sur des animaux . Pour obvier à des abus possibles, le ministre a
jusqu'à ce jour. Voici l'ordonnance : 1° Des expériences sur des animaux vivants ne doivent être faites que dans le but
st pas incompatible avec le but à atteindre par la vivisection, les animaux serontendormis complètement et pendant un certain
ancs environ. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE BOTTE% (F.). Le Magnétisme animal , étude critique et expérimentale sur l'hypnotis
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