ointe à la constatation, au niveau où siègent les dou- leurs, d'une
anesthésie
à type radiculaire, et du signe des orteils a per
teils. Le sujet que voici est atteint d'hémiparaplégie spinale avec
anesthésie
croisée, consécutive à une blessure de la moell
taté du côté de la paralysie, dans un cas d'hémiplégie spinale avec
anesthésie
croisée due à une hémisection traumatique de la
s racines pos- térieures de la région lombo-sacrée. Afin d'éviter l'
anesthésie
qui serait la conséquence de la section d'une s
ctriser ? Je ne suis pourtant pas paralysée. » Chez cette malade, l'
anesthésie
était profonde ; elle ne paraissait pas percevoir
s troubles moteurs ('). Parfois on les voit apparaître du côté de l'
anesthésie
quand on excite le côté opposé (*). Enfin, la sur
lier des compressions de la moelle. On sait que la topographie de l'
anesthésie
permet généralement de déterminer le siège d'un
t quand il s'agit d'une tumeur susceptible d'être extraite ; mais l'
anesthésie
donne seulement le moyen de connaître la place
les compressions de la moelle ayant déterminé de la paraplégie avec
anesthésie
, les réflexes de défense, exagérés, comme il a
la limite supérieure de cette région. Ces deux données, limité de l'
anesthésie
et limite des réflexes de défense, outre qu'ell
un syndrome de compression, lorsque l'écart entre la frontière de l'
anesthésie
et celle des réflexes de défense est considérable
émiplégie cérébrale. J'ai rapporté un cas d'hémiplégie spinale avec
anesthésie
croisée due à une hémisection traumatique de la
ense reste semblable à ce qu'il était précédemment à un moment où l'
anesthésie
, semblant complète, se traduit par l'abolition du
e, séance du 12 janvier 1911.) ÉTUDE COMPARATIVE DES LIMITES DE L'
ANESTHÉSIE
ORGANIQUE ET DE L'ANESTHÉSIE PSYCHIQUE (<)
) ÉTUDE COMPARATIVE DES LIMITES DE L'ANESTHÉSIE ORGANIQUE ET DE L'
ANESTHÉSIE
PSYCHIQUE (<) La distinction de l'hypoesthés
NESTHÉSIE PSYCHIQUE (<) La distinction de l'hypoesthésie ou de l'
anesthésie
organique d'avec l'hypoesthésie ou l'anesthésie
ypoesthésie ou de l'anesthésie organique d'avec l'hypoesthésie ou l'
anesthésie
psychique (simulée ou suggérée) est souvent dif
t, en procédant ainsi, on s'expose à commettre des erreurs, car une
anesthésie
psychique s'associe quelquefois à une affection
tères intrinsèques pouvant servir à différencier ces deux espèces d'
anesthésies
. On conçoit, d'ail- leurs, que cette distinctio
artifices qui, amenant par exemple une disparition immédiate d'une
anesthésie
(guérison instantanée par électrisation), condu
nnaître sa nature psychique. Nous nous proposons de démontrer que l'
anesthésie
organique dans la zone limitrophe possède, au m
, au moins dans certains cas, un caractère qui fait défaut dans les
anesthésies
psychiques et qui, par conséquent, est distinct
arkowski, Société de neurologie de Paris, séance du n juillet 1912.
ANESTHÉSIE
ORGANIQUE ET . ANESTHÉSIE PSYCHIQUE 165 Pour l'
logie de Paris, séance du n juillet 1912. ANESTHÉSIE ORGANIQUE ET .
ANESTHÉSIE
PSYCHIQUE 165 Pour l'accoutumer aux expériences
lateur qui chercherait à feindre une anesthé- sie ; la limite d'une
anesthésie
simulée est donc inconstante. Nous en dirons au
anesthésie simulée est donc inconstante. Nous en dirons autant des
anesthésies
suggérées ; l'inconstance des limites de l'anes
s autant des anesthésies suggérées ; l'inconstance des limites de l'
anesthésie
hystérique est un fait que nous avons maintes foi
maintes fois observé. Il n'en va pas de même d'habitude dans les
anesthésies
organiques : parfois cependant la limite semble
ques : parfois cependant la limite semble inconstante, comme dans l'
anesthésie
psychique, ce qui, à vrai dire, est assez diffi
s la résoudre. Mais, nous le répétons, d'habitude la frontière de l'
anesthésie
organique est relativement fixe. Remarquons,
Remarquons, pour éviter toute confusion, qu'en particulier dans les
anesthésies
d'origine spinale on observe fréquemment des fluc
inale on observe fréquemment des fluctuations dans l'intensité de l'
anesthésie
, surtout dans la zone limitrophe ; mais la fron
excitants sur la zone normale. Conclusions. 1° Le territoire d'une
anesthésie
psychique peut varier d'un instant à l'autre d'
au cours d'un examen quelque peu prolongé. 2° Le territoire de l'
anesthésie
organique qui, il est vrai, paraît parfois soum
un demi à un centi- mètre. 3° Si l'inconstance de la limite d'une
anesthésie
ne permet pas d'exclure le diagnostic d'anesthé
la limite d'une anesthésie ne permet pas d'exclure le diagnostic d'
anesthésie
organique, sa fixité nous autorise à l'affirmer.
e de C 7 jusqu'en bas, y compris les racines sacrées, il existe une
anesthésie
à la température et à la douleur. A droite, le mê
us forts à gauche. 170 SEMIOLOGIE De ce même côté (où prédomine l'
anesthésie
), le pincement du dos du pied pro- voque parfoi
ont exa- gérés ; elle a des réflexes de défense assez forts, et une
anesthésie
qui occupe les membres inférieurs et le tronc j
paralysie du facial et du moteur oculaire externe gauches, sur une
anesthésie
de la cornée et une surdité du côté gauche ; enfi
e contusion légère du nerf sciatique par projectile. Il n'y a pas d'
anesthésie
. Les troubles de la motilité volontaire ne sont
une paralysie faciale du côté droit et une paralysie complète avec
anesthésie
du membre inférieur et du membre supérieur du c
un affaiblissement de la sensibilité au tact et à la température ; l'
anesthésie
est surtout très accusée à la jambe et à la par
ment relative au sens thermique et au sens de la dou- leur, comme l'
anesthésie
syringomyélique ; 3° Une lésion unilatérale du
u'on observe dans la myélite circonscrite destructive (paralysie et
anesthésie
des membres inférieurs, troubles dans les fonctio
asmodique dont je viens de décrire les signes les plus saillants, l'
anesthésie
peut faire complètement défaut ; elle existe ch
les faits que j'ai observés jusqu'à présent, c'est dans le cas où l'
anesthésie
manque que la contracture en flexion parait att
ture en flexion est très intense, ce qui a lieu seulement lorsque l'
anesthésie
fait défaut ou est très minime, les faisceaux p
s, l'amyotrophie, les secousses fibrillaires, la topo- graphie de l'
anesthésie
et la dissociation spéciale des divers modes de l
ement horizontale. Si nous la comparons à la limite supérieure de l'
anesthésie
, nous voyons que ces deux lignes, qui se (') L'
Chez un premier malade (Observation I), atteint de paraplégie avec
anesthésie
remontant jusqu'à la région mamelonnaire, nous av
é, chez deux autres malades atteints égale- ment de paraplégie avec
anesthésie
, s'il existait une semblable disposi- tion, et
, et à la région plantaire. En même temps. le niveau supérieur de l'
anesthésie
s'abaisse jusqu'à une horizontale passant à quatr
abolie au-dessous d'une horizontale passant par les mamelons; mais, l'
anesthésie
épargne un territoire, restreint pour le tact (
cette sensibilité est abolie. Dans ces deux cas, il existe donc une
anesthésie
étendue qui intéresse , Fig. 31. - Obs. I. Temp
FECTIONS DE LA MOELLE presque également les différents modes. Cette
anesthésie
, à type nettement radiculaire, peut être, à l'h
membre inférieur gauche. Au membre inférieur droit, il existe de l'
anesthésie
sur une grande étendue, mais, à la face postérieu
en igo6, puisqu'il est noté dans l'obser- vation de la malade : « L'
anesthésie
semble intéresser le domaine des cinq racines l
de la sensibilité, et ne pas admettre implicitement, en face d'une
anesthésie
étendue (thoracique, dorsale et des racines lom
nesthésie étendue (thoracique, dorsale et des racines lombaires), l'
anesthésie
des racines sacrées ; 7° Enfin, l'existence de
taines paraplégies médul- laires avec troubles de la sensibilité, l'
anesthésie
respectait parfois un certain nombre de territo
s (D" n'est cependant pas absolu- ment épargné ; voir le schéma). L'
anesthésie
est presque totale sur le territoire des D'2, L
énéralement ce but en explorant la sensibilité et en délimi- tant l'
anesthésie
. Cependant, ce signe n'a pas une valeur absolue ;
use de l'oedème qui se développe au-dessus de la tumeur. De plus, l'
anesthésie
permet seulement de reconnaître la place occupée
portance. Pour ces motifs, il est bon de rechercher, en dehors de l'
anesthésie
, des éléments de localisation. L'état des réf
pratique. Nous avons vu que dans certains cas, rares il est vrai, l'
anesthésie
donnait, au point de vue de la localisation de
tirer les conclusions suivantes : i" Tandis que la topographie de l'
anesthésie
donne ordinairement le moyen de reconnaitre la
un syndrome de compression, lorsque l'écart entre la frontière de l'
anesthésie
et celle des réflexes de défense est considérable
iennent les douleurs lombaires avec irradiations. On constate une
anesthésie
des membres inférieurs et de la portion du tronc
y est extrêmement affaiblie ; toute- fois la limite supérieure de l'
anesthésie
thermique remonte un peu moins .haut et le terr
les à topographie radiculaire dans les paraplégies médullaires avec
anesthésie
, par J. Babinski, A. Barré et J. Jarkowski (Socié
ril 19 to, in Revue Neurologique, 1910). Fig. 4 t. Topographie de l'
anesthésie
. a) Anesthésie complète, tact, douleur, tem-
ue Neurologique, 1910). Fig. 4 t. Topographie de l'anesthésie. a)
Anesthésie
complète, tact, douleur, tem- pérature. · b)
c) Bande d'hypoesthésie. d) Point douloureux. « Fig. (¡2. a)
Anesthésie
complète. , e) Régions où la sensibilité ost co
rvention chirurgicale est décidée. Opération, le 17 mars 19 II. -
Anesthésie
générale au chloroforme. La malade est placée s
e. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 31g XIV CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'
ANESTHÉSIE
DANS LES COMPRESSIONS DE LA MOELLE DORSALE [J
n'a pas établi jusqu'à présent une distinction suffi- sante entre l'
anesthésie
qui dépend d'une compression spinale et celle q
posons dans cette note d'étudier quelques-uns des carac- tères de l'
anesthésie
par compression qui, probablement entrevus par la
our établir un terme de comparaison, voyons com- ment se présente l'
anesthésie
dans les lésions transversales destructives de
tendineux, troubles sphinctériens, apparition rapide des escarres,
anesthésie
complète dans une grande partie du tronc sous-j
rsale destructive très profonde de la moelle dorsale. L'examen de l'
anesthésie
nous montre la disposition suivante de ces trou
sant à IOlt centimètres au-dessus de l'ombilic, sont le siège d'une
anesthésie
totale pour tous les modes ; aucune excitation
on n'est perçue dans ce territoire. On a beau répéter l'exa- men, l'
anesthésie
reste toujours absolue. Cette zone d'anesthésie t
péter l'exa- men, l'anesthésie reste toujours absolue. Cette zone d'
anesthésie
totale est nettement séparée du territoire sus-
LAIRES 3g r redevient pas tout de suite normale : le domaine de l'
anesthésie
totale est surmonté d'une zone d'hypoesthésie q
. Mais dans la plupart des cas de compression y compris ceux où l'
anesthésie
est déjà très ancienne il n'en est pas ainsi ; on
lésions destructives ; mais dans le reste du territoire atteint, l'
anesthésie
présente d'habitude les caractères qui paraisse
ppartenir plus particu- lièrement aux compressions médullaires. L'
anesthésie
, à proprement parler, c'est-à-dire l'abolition co
et voici ce qu'on observe : un territoire qui paraissait atteint d'
anesthésie
complète peut, si l'on prolonge l'examen, recou
re vague et confuse, soit même avec netteté. Ainsi, à la place de l'
anesthésie
complète, durable, on trouve ici une modalité p
s par leur inconstance, leur variabilité, et que nous appellerons «
anesthésie
ins- table ». A quoi tient ce phénomène ? On
emble qu'il nous serait permis de rapprocher cette variabilité de l'
anesthésie
de la variabilité que présentent certains phénomè
s de défense, en particulier dans les cas de tumeur de la moelle. L'
anesthésie
instable occupe souvent dans les compressions spi
t 58). Ainsi la zone intermédiaire entre l'hypoesthésie légère et l'
anesthésie
maxima (zone d'hypoesthésie marquée) est parfoi
re progressive de haut en bas, elle se fond avec le territoire de l'
anesthésie
maxima (voir fig. 56). Si, en plus, il y a une
Head antérieurs à nos recherches, la zone relativement réduite de l'
anesthésie
maxima, située vers le milieu du territoire attei
omène suivant : les excita- tions appliquées sur le territoire de l'
anesthésie
maxima, s'il ne s'agit pas d'anesthésie complèt
uées sur le territoire de l'anesthésie maxima, s'il ne s'agit pas d'
anesthésie
complète, perçues vaguement, ne sont pas localisé
e la même disposition des troubles sensitifs peut s'observer, que l'
anesthésie
atteigne tous les modes de la sensibilité ou qu'i
lieu dans le cas correspondant à la figure 58. L'éloignement de l'
anesthésie
maxima rappelle ce que Head, dont les études su
ilité font époque, a signalé dans le syndrome de Brown Séquard où l'
anesthésie
croisée s'arrête souvent bien loin au- dessous
eur intra-duremé- rienne au niveau de la 2-4 apo- physe épineuse;
anesthésie
ther- mique et douloureuse (cas publié par MM
55) elle en diffère dans la plupart des cas par l'éloignement de l'
anesthésie
maxima et par l'étendue considérable de la zone
ncordantes, on risque de fixer trop bas la limite supé- rieure de l'
anesthésie
. C'est là peut-être l'erreur commise le plus ordi
de ce genre, on a dû prendre pour repère la limite supérieure de l'
anesthésie
complète ou maxima située parfois, comme nous l
ion de la moelle sus-jacente à la lésion. D'ailleurs la limite de l'
anesthésie
maxima ne peut même pas toujours être déterminé
ession à un ou deux segments au-dessus de la limite supérieure de l'
anesthésie
. Mais 3g6 PARAPLÉGIES - AFFECTIONS DE LA MOELLE
OELLE nous venons précisément de faire ressortir que la limite de l'
anesthésie
est souvent tracée d'une manière arbitraire à u
s, ils sont peu prononcés au-dessus du pli de l'aine. Il existe une
anesthésie
presque totale aux membres inférieurs et sur une
continuels fort gênants pour la malade et le personnel. Quant à l'
anesthésie
, elle présente les mêmes limites qu'au premier
et que de ce fait l'opération lui a déjà rendu service. En outre, l'
anesthésie
a presque complètement rétrocédé et enfin l'incon
déterminer le siège de la lésion en nous fondant sur le niveau de l'
anesthésie
et des réflexes de défense, localisation qui fut
sibilité sont très légers à gauche, bien plus prononcés à droite; l'
anesthésie
porte sur la sensibilité à la température et à la
tomie fut pratiquée par le Dr de Martel. En voici le compte rendu :
anesthésie
à l'éther. La malade est placée en décubitus la
gauche où les troubles sensitifs étaient très légers, on trouve une
anesthésie
à tous les modes. Pendant quelques jours l'ét
; il y a un syndrome de Brown-Séquard droit net ; du côté gauche l'
anesthésie
n'est plus complète, la sensibilité tactile a rep
entre les données fournies par l'exploration clinique (niveau de l'
anesthésie
, niveau de la zone des réflexes de défense) et
qui faisaient défaut avant l'opération (paralysie du côté droit et
anesthésie
du côté gauche), ne sont pas liés au moins en p
lorsqu'on lui applique sur les cuisses un tube rempli de glace. L'
anesthésie
devient un peu moins profonde au-dessus des plis
uoique encore très rarement, le chaud, le froid et la piqûre. Cette
anesthésie
incomplète a des limites différentes pour les dif
l à 7 travers de doigts ; un peu plus haut se trouve la limite de l'
anesthésie
au froid. Au-dessus de cette ligne, qui passa à p
ligne horizon- Fig 61. 1. Limite de l'hypoesthésie. Limite de l'
anesthésie
au froid. 3. Limite de l'anesthésie à la piqûre
e l'hypoesthésie. Limite de l'anesthésie au froid. 3. Limite de l'
anesthésie
à la piqûre. 4. Limite de l'anesthésie au chaud
e au froid. 3. Limite de l'anesthésie à la piqûre. 4. Limite de l'
anesthésie
au chaud. Entre 3 et 4, on aperçoit une bande g
ur est, au contraire, fortement atteinte. La limite supérieure de l'
anesthésie
« instable » passe à 3 centimètres et demi au-des
e 1 centimètre et demi à 2 centimètres de la limite supérieure de l'
anesthésie
('). Epreuve du lipiodol, pratiquée en utilisan
compte rendu de l'opération : « 22 juillet ig26. Laminectomie sous
anesthésie
locale entre 7e cervicale et 4e dor- sale. Tume
e fait que le niveau de l'arrêt du lipiodol cadrait avec celui de l'
anesthésie
et des réflexes de défense. Un autre point dign
ces fibres dans la moelle ; il pourrait résulter aussi de ce que l'
anesthésie
serait due ici à une lésion de la corne postéri
pareillement à ce que l'on voit dans la syringomyélie cervicale, l'
anesthésie
doit siéger du même côté que la lésion. Autre s
e crurale hypertonique, sans signes pyramidaux homolatéraux et avec
anesthésie
homolatérale ». Il est très vraisemblable que c
LÉGIES - AFFECTIONS DE LA MOELLE gère (type extension-flexion) avec
anesthésie
nous semble presque patho- gnomonique d'une com
presque patho- gnomonique d'une compression spinale. En outre, l'
anesthésie
liée à une compression, parfois semblable à celle
une de ces particularités : un territoire qui paraissait atteint d'
anesthésie
complète peut, si l'on prolonge l'examen, recou
sans que la perception redevienne normale. Dans les compressions, l'
anesthésie
complète, permanente, n'occupe d'habitude qu'un
e pas du tout ; elle est rem- placée sur une grande étendue par « l'
anesthésie
instable ». La persis- tance des cylindraxes, q
mpressions médullaires, permet de comprendre cette fluctuation de l'
anesthésie
. Un autre caractère qui donne sa marque à cette
ion de l'anesthésie. Un autre caractère qui donne sa marque à cette
anesthésie
, c'est que le maximum de ce trouble ne se trouv
e mise en doute. Il faut tenir grand compte des particularités de l'
anesthésie
que nous venons de signaler lorsqu'on veut util
e la compression. C'est probablement pour ne pas avoir attribué à l'
anesthésie
instable sa valeur et pour avoir pris comme rep
sa valeur et pour avoir pris comme repère la limite supérieure de l'
anesthésie
maxima que, dans un certain nombre de cas, on a
rmale. (') J. Babinski et J. Jarkowski. Contribution à l'étude de l'
anesthésie
dans les compressions de la moelle dorsale (Rev
il nous est arrivé de constater au niveau de la lésion une bande d'
anesthésie
ou d'hypoesthésie nette, tranchant par sa moda-
itifs portent surtout sur la sensibilité au froid ; le maximum de l'
anesthésie
se cantonne à la partie inférieure de l'abdomen
ure de l'abdomen et à la face antérieure des cuisses ; au-dessus, l'
anesthésie
instable au froid s'étend jusqu'à D 5. La sensi
. Paraplégie presque complète. Troubles sensitifs (voir fig. 68). L'
anesthésie
est presque complète et à tous les modes aux me
ouvent perçues. Or, du côté gauche, en D5 D6, on trouve une bande d'
anesthésie
complète à la température et à la douleur, avec
érie, les crises ner- veuses, les paralysies, les contractures, les
anesthésies
. Quels en sont les attributs communs ? On peut
hystériques, toutes les variétés de paralysies, de contractures, d'
anesthésies
, toutes les formes d'attaques peuvent être reprod
j'appelle primitifs, de beaucoup les plus importants, du reste, les
anesthésies
, les paralysies, les contractures, les crises,
fixité, de se développer d'habitude à l'insu du malade ; ce sont l'
anesthésie
du fond de la gorge, l'hémia- nesthésie sensiti
ration succincte. Ce sont d'abord, sans compter les attaques et les
anesthésies
dont il a été déjà question, les paralysies qui
but que je visais. Lorsque j'ai devant moi un hystérique atteint d'
anesthésie
générale ou d'hémianesthésie, quelque complète
nce en leur affirmant que mon procédé est infaillible pour guérir l'
anesthésie
et, comme je l'ai dit, j'arrive presque toujour
nts que j'appelle primitifs, de beau- coup les plus importants, les
anesthésies
, les paralysies, les contractures, les crises,
; nous avons vu, en effet, que certains troubles, tels que l'hémi-
anesthésie
et le rétrécissement du champ visuel sont la cons
ques, tantôt accompagnées de contractures ; elle peut engendrer des
anesthésies
généralisées à toute l'étendue du corps, limitées
lure que toutes les for- mes d'attaques nerveuses, de paralysies, d'
anesthésies
, d'hyperesthésies, d'aphonie, d'incontinence d'
estion. On a l'habitude de dire que l'hystérie provoque souvent une
anesthésie
complète de la cornée et des conjonctives ; c'e
uggestion, la sensibilité de l'oeil de façon à amener, comme dans l'
anesthésie
cocaïni- que, ou dans celle qui est due à la se
pé certains troubles nerveux, des paralysies, des contractures, des
anesthésies
que l'on peut ensuite, au commandement, faire dis
idents tels que certaines espèces de paralysies, de contractures, d'
anesthésies
, etc., rangés, de l'avis unanime, dans l'hystérie
respiration, des troubles de la sensibilité se manifestant par de l'
anesthésie
ou de l'hyperes- thésie, des troubles sensoriel
associés à ceux du premier (pithiatiques), en particulier à l'hémi-
anesthésie
sensitivo-sensorielle. De pareilles observations
n alcoolique halluciné, des actes dangereux pour lui; atteint d'une
anesthésie
thermique en apparence très profonde, il ne ser
. Il ne me paraît pas nécessaire de faire la description de l'hémi-
anesthésie
hystérique qui a été donnée dans les Traités de m
retrouvé de ces rétrécisse- ments concentriques du champ visuel par
anesthésie
rétinienne, relevant d'un état névropathique.
avec anes- thésie sensitivo- sensorielle partielle ou généralisée,
anesthésie
pharyngée, rétrécisse- ment concentrique du cha
d'être l'origine d'une suggestion. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ.
Anesthésies
hystériques. Les anesthésies hystériques se prése
gestion. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ. Anesthésies hystériques. Les
anesthésies
hystériques se présentent sous des aspects vari
tôt la forme en îlots irréguliers : assez souvent elles imitent les
anesthésies
du type périphérique que l'on observe si fréquem-
ion ne reproduit du reste que d'une manière approximative celle des
anesthésies
liées aux lésions des troncs nerveux. , ". , '
ons prises que nous n'avons pas rencontré en neurologie de guerre d'
anesthésie
hystérique nettement caractérisé et stable, pas
cutives aux éclatements d'obus (Froment). Si l'on considé- rait les
anesthésies
répondant à ces types comme étant toujours de nat
nre qui ont sans doute amené quelques neurologistes à attribuer à l'
anesthésie
hystérique le pouvoir de modifier ou d'abolir l
en concluant, me parais- sent démontrer d'une manière absolue que l'
anesthésie
fonctionnelle de cause hystéro-traumatique ou a
contracture des orteils fait défaut et qui s'accompagne cependant d'
anesthésie
hystérique, le mouvement réflexe peut être pro-
pro- voqué. « Ces faits ne peuvent donc servir à démontrer que l'
anesthésie
hysté- L'HYSTÉRIE PENDANT LA 11 GUERRE o 1 1
des nerfs ; des troubles de la sensibilité objective et subjective (
anesthésie
et douleurs) ; des troubles de la régulation ther
ns de la réflec- tivité tendineuse, les troubles de la sensibilité (
anesthésie
, névralgies, douleurs à la pression des troncs
nce. De plus, chez certains sujets, l'effort de réduction en pleine
anesthésie
et après disparition de toute réaction consciente
à l'étude des troubles nerveux d'origine réflexe. Examen pendant l'
anesthésie
chloroformique. Société de Neurologie, 4 novembre
sme, était considérée récemment encore comme pouvant dépendre d'une
anesthésie
hystérique. Notre opinion, confirmée déjà par S
eurs avec Déjerine, Sollier, Paulhian, Lhermitte l'expliquent par l'
anesthésie
hys- térique troublant la voie réflexe ; d'autr
pparaître les réflexes cutanés plan- taires sans modifier en rien l'
anesthésie
psychique. » Troubles de la sensibilité. Les ma
tténuaient. Dans quelques cas d'acro-myotonie, Sicard a observé une
anesthésie
très profonde à la main et à l'avant-bras. Il a
ses musculaires, voire même une intervention opératoire sans aucune
anesthésie
, locale ou générale ne provo- quaient aucune ma
tériques et que l'hystérie à elle seule est capable de provoquer une
anesthésie
super- ficielle et profonde réelle, ce qui ne c
ique Charcot qui présentaient une hémi-anesthésie classique, ou une
anesthésie
du type segmentaire, n'ont jamais pu endurer, s
te conception, que, dans les cas soumis aux épreuves précédentes, l'
anesthésie
est bien réelle, indépendante de la volonté du
f périphérique ni être assimilée aux configurations classiques de l'
anesthésie
hystérique, mais affectait, ainsi que le montrent
ar tiraillement ou élon- gation. Est-il besoin de rappeler qu'une
anesthésie
hystérique peut s'associer à des phénomènes phy
à l'étude des troubles nerveux d'origine réflexe. Examen pendant l'
anesthésie
chloroformique. Société de Neurologie, 4 novemb
dans les réflexes tendi- neux, douleurs radiculaires, limites de l'
anesthésie
, limites du territoire cutané dont l'excitation
réflexe du radius à droite, le signe des orteils du même côté, une
anesthésie
de la moitié gauche du corps à partir de DI. Aprè
bilic et aux membres inférieurs sauf à la région sacrée, il y a une
anesthésie
presque complète et permanente pour les divers
is très variables quant à leur intensité, tantôt se rapprochant d'une
anesthésie
complète, tantôt beaucoup moins marqués. Au-des
nt le siège de douleurs très vives. Vers la fin de cette période, l'
anesthésie
toutefois subit une légère atténuation. La malade
type extension-flexion. A cause du grand écart entre le niveau de l'
anesthésie
et la limite des réflexes de défense, nous port
nférieurs, sauf dans le terri- toire des dernières racines sacrées,
anesthésie
aux différents modes à peu près complète. Cette
sacrées, anesthésie aux différents modes à peu près complète. Cette
anesthésie
occupe aussi le tronc jusqu'à Dg. Dans le territo
réflexes de défense n'était séparé que d'un segment du niveau de l'
anesthésie
. 6o2 THÉRAPEUTIQUE partie du territoire anest
est très rapide ; avant même la guérison de la plaie opératoire, l'
anesthésie
et les troubles vésicaux ont disparu ; la malad
et, à la cuisse, sont plus accentués en avant qu'en arrière. Cette
anesthésie
n'est, du reste, complète en aucun point ; elle
bles à topograpgie radiculaire dans les paralysies médullaires avec
anesthésie
(en collaboration avec Barré et Jar- kowski. So
des Hôpitaux, 3 mai 1912). 196. Étude comparative des limites de l'
anesthésie
organique et de l'anesthésie psy- chique (eu co
196. Étude comparative des limites de l'anesthésie organique et de l'
anesthésie
psy- chique (eu collaboration avec Jarkoswski.
à l'étude des troubles nerveux d'origine réflexe. Examen pendant l'
anesthésie
chloroformique (en collaboration avec Froment. So
ologie, Il mai 1916). 234. Abolition du réflexe cutané plantaire et
anesthésie
associée à des troubles vaso- moteurs et à de l
seaux et du sang, décembre 19 19). 259. Contribution à l'étude de l'
anesthésie
dans les compressions de la moelle dor- sale (e
gie crurale hypertonique, sans signes pyramidaux homo-latéraux avec
anesthésie
homolatérale. Tumeur intramédullaire lombo-sacrée
les à topographie radiculaire dans les paraplégies médullaires avec
anesthésie
3G1 1 XI. Sur la localisation des lésions compr
ingite cervicale hypertrophique 3g XIV. Contribution à l'étude de l'
anesthésie
dans les compressions de la moelle dorsale. 3go
ie crurale hypertonique sans signes pyramidaux homolatéraux et avec
anesthésie
homolatérale. Tumeur intramédullaire de la région
s nécrose des os; masque sclé-rodermique); lèpre mutilante (plaques d'
anesthésie
, chute des phalanges, macules de morphea rubra ou
on, nécrose des phalanges, déformations consécutives; caractères de l'
anesthésie
. Différences avec la syringomyelic au point de vu
cas type de maladie de Morvan compliqué d'hystérie. Superposition des
anesthésies
hystériques et do Morvan chez le même individu.
adie (je connais cette femme depuis bien des années), il n'a existé d'
anesthésie
ni d'analgésie, et que toujours le tact a été par
osseuse, lésions le plus souvent symétriques. Mais, de plus, il y a l'
anesthésie
qui est caractéristique et porte uniformément sur
à d'autres parties du corps. C'est en même temps une analgésie et une
anesthésie
, portant sur le tact, la douleur et la températur
ères leçons, en quoi consiste cette dissociation syringomyélique de l'
anesthésie
. Les sensations de tact sont conservées, la doule
perçue autrement que comme contact, mais, en revanche, il existe une
anesthésie
plus ou moins complète et plus ou moins absolue p
e chaud et de froid. En un mot, dans la syringomyélie, il n'y a pas d'
anesthésie
, mais seulement analgésie relative et surtout the
s doigts. De plus, il n'y a, au niveau des extrémités, aucune trace d'
anesthésie
ni de parésie. Enfin, le masque sclérodermique es
e qui est de la lèpre, les mutilations par gangrène, l'analgésie et l'
anesthésie
, dont la présence est constante, en pareil cas, p
z-vous, que vient faire cette hémi-anesthésie complète et surtout ces
anesthésies
sensorielles qui ne font point partie du tableau
chagrin de se voir incapable de subvenir à ses besoins. A ce moment l'
anesthésie
hystérique est survenue, se superposant à l'anest
A ce moment l'anesthésie hystérique est survenue, se superposant à l'
anesthésie
limitée de la maladie de Morvan et, lorsque pour
ain. La flexion de l'avant-bras sur le bras est peu vigoureuse. « L'
anesthésie
à la piqûre se prolonge sur tout le membre, sans
sain. Les reliefs musculaires sont normaux. Pas d'atrophie. « Pas d'
anesthésie
sur aucun autre point du corps. Les réflexes phar
Vincennes le 1er avril. La gué- rison de la plaie est parfaite ; l'
anesthésie
n'a pas reparu. On ne recherche pas la motilité a
malade. De plus, le membre supérieur tout entier est le siège d'une
anesthésie
complète au contact, à la douleur, au froid et au
r ou de rire après ces étourdissemenfcs. Il n'existe aucune trace d'
anesthésie
sur tout le reste du corps. Il existe en revanc
ieurs années que j'ai insisté sur le genre spécial de limitation de l'
anesthésie
dans les paralysies hystériques. Ici, dans une
alysies hystériques. Ici, dans une monoplégïe brachiale, nous avons l'
anesthésie
classique en manche de veste. Je ne reviendrais
te. Je ne reviendrais donc pas sur ce sujet de la délimitation de l'
anesthésie
dans les monoplégies hystériques, s'il n'existait
t facilement de les reconnaître. Dans la syringomyélie, en effet, l'
anesthésie
, qui occupe un ou plusieurs segments du membre, l
lgésie et thermoanesthésie, tels sont les caractères distinctifs de l'
anesthésie
syringomyélique. L'hystérie peut présenter, mai
ne présente pas, en général, cette dissociation si particulière de l'
anesthésie
. Chez notre malade, vous voyez que la sensibilité
à la région de la main et du poignet. Cependant même en ces points l'
anesthésie
n'était pas en rapport avec la distribution du ne
n singulier dans l'hypothèse d'une lésion du médian au poignet, que l'
anesthésie
remontait tout le long de l'avant-bras et du bras
té par la guérison presque immédiate de la monoplégie, ainsi que de l'
anesthésie
qui l'accompagnait. En un mot, ce qu'une auto-sug
s 1890, le malade est encore porteur de sa mono-plégie brachiale avec
anesthésie
en manche de veste. L'impotence motrice est cepen
tin de Necker (service de M. Rendu) fait défaut (1). Etat actuel. —
Anesthésie
pour le tact, la douleur et la température dans l
de la ville, combinée tantôt avec des altérations de la sensibilité (
anesthésie
ou hyperesthésie), tantôt avec des troubles du mo
it à ce moment, les souvenirs de la malade sont précis à ce sujet, ni
anesthésie
, ni raideur. On appela un médecin. Celui-ci aur
est impossible à exécuter avec cette main. . De plus, il existe une
anesthésie
pour tous les modes de la sensibilité, contact, d
quemment aussi mêlé à d'autres symptômes d'hystérie locale tels que l'
anesthésie
, la paralysie ou la contracture. Dans ce dernier
'agit d'hystérie, vous trouvez chez votre malade la dissociation de l'
anesthésie
, qui paraît être un des carac- (1) J.-M. Charco
de la main et du poignet. Il y avait, paraît-il, à cette époque, une
anesthésie
complète des parties malades. Cet accident guérit
velle paralysie de la même main, et cette fois avec dissociation de l'
anesthésie
. Mais déjà nous affirmions qu'il ne s'agissait pa
tion du goût sur un des côtés de la langue. La dissociation même de l'
anesthésie
n'était point pour nous éloigner de notre idée, c
ppés et quelques analogies, telles que la coloration des téguments, l'
anesthésie
, l'abaissement de la température. Mais le siège d
entation considérable de la résistance dans la région anesthésique.
Anesthésie
complète pour le tact, la douleur, la chaleur dan
nt hypoesthc-sique. Aujourd'hui il existe dans tout le côté droit une
anesthésie
complète pour tous les modes de la sensibilité, t
es anesthésiques, en particulier à la partie postérieure du bras. L'
anesthésie
a disparu à la jambe; à la cuisse elle s'est tran
ubles sensitifs peuvent s'y rencontrer, tels que l'hyperesthésie et l'
anesthésie
et enfin que l'atrophie des muscles du membre inf
oration de la sensibilité, à l'aide du pinceau électrique, dénote une
anesthésie
presque complète, surtout au niveau du gros ortei
non "persistante, car trois ans plus tard la malade avait encore son
anesthésie
et une atrophie des muscles de la région antéro-e
rophie musculaire manifeste à la région antéro-externe de la jambe et
anesthésie
dans la même région. Egalement anesthésie sur le
téro-externe de la jambe et anesthésie dans la même région. Egalement
anesthésie
sur le dos du pied, moins une bande étroite longe
sur tout le corps, sauf au niveau de la jambe gauche où il existe une
anesthésie
sur laquelle nous reviendrons plus loin. — Pas de
. — Elle est conservée dans une étendue beaucoup plus considérable. L'
anesthésie
ne commence que vers le milieu de la jambe. Elle
ie, à tout le domaine du sciatique poplité externe en ce qui touche l'
anesthésie
. Quant à l'étiologie de la maladie, elle nous éch
la précédente quant aux troubles moteurs, elle en diffère en ce que l'
anesthésie
, au lieu de porter sur tout le domaine du sciatiq
pendant de longues années. Dans I'Observation VII, nous avons vu l'
anesthésie
et la paralysie musculaire prendre à peu de chose
ène. Arrivons maintenant à la description de deux cas dans lesquels l'
anesthésie
, qui existe à un haut degré, n'est plus exactemen
au moins en ce qui concerne l'analgésie. Dans I'Observa-tion VIII, l'
anesthésie
est moins régulière et d'une localisation moins é
la lésion au domaine de telle ou telle branche nerveuse, exiger que l'
anesthésie
soit exactement superposable à la zone de distrib
n normal, un peu fort, des deux côtés. Sensibilité. — Il existe une
anesthésie
incomplète au tact, avec analgésie, au niveau du
es simples indiquent l'hypoesthésie ; les stries croisées indiquent l'
anesthésie
et l'analgésie dans le domaine du sciatique popli
xcitable seulement avec l'anode faradique au maxi- Fig. 29 et 30. —
Anesthésie
pour le chaud et le froid chez la malade de l'Obs
froid perçus comme simples contacts. Les stries croisées indiquent l'
anesthésie
absolue dans le domaine du sciatique po-plité ext
rrière par la ligne médiane et la face postérieure de la jambe il y a
anesthésie
complète; — et au pied, dans un espace limité en
xterne de la jambe et à la plus grande partie du pied, est atteinte d'
anesthésie
complète et absolue. Cette dernière nous est déjà
ière nous est déjà connue. Comme dans les précédentes observations, l'
anesthésie
totale est causée par une névrite des filets cuta
er pourquoi nous concluons chez cet homme à la nature hystérique de l'
anesthésie
qui occupe comme une jambe de pantalon tout le me
évidemment chez cette femme à l'hystérie en voyant les limites de son
anesthésie
qui ne répondent à aucune distribution nerveuse.
non pas brusque comme dans l'hystérie. De plus il ne s'agit pas d'une
anesthésie
, mais d'une simple diminution, fort légère, à vra
ien était tout autrement chez M... et considérant les caractères de l'
anesthésie
en jambe de pantalon du membre,inférieur droit,an
la face antéro-externe de la cuisse droite, où il existe une plaque d'
anesthésie
remontant jusqu'au pli inguinal et au bord supéri
ilité au chaud et au froid est partout conservée, sauf dans la zone d'
anesthésie
. La malade ne présente aucun trouble de la visi
15 — — — — 44 c. 45 c. 25 — — — — 30 c. 50 c. Fig. 33. — Plaque d'
anesthésie
cutanée dans le domaine du crural. PIED. Le pér
eportant à l'observation, on voit que la malade présente une plaque d'
anesthésie
qui occupe la face antéro-externe du membre, remo
s ou moins analogues; mais, dans notre cas, au siège particulier de l'
anesthésie
sont venus s'ajouter d'autres phénomènes qui prou
notre malade ne présente ni troubles de la vessie et du rectum, ni
anesthésie
dans le domaine du plexus sacré, ni gibbosité, ni
). Rien à noter du côté des sens spéciaux (ouïe, goût, odorat). Pas d'
anesthésie
de la face. Les muscles de la mâchoire (masséte
Voici le résultat de l'examen laryngoscopique fait par M. Cartaz :
Anesthésie
du voile et du pharynx, ainsi que de la base de
ctions peuvent être distinguées l'une de l'autre par l'existence de l'
anesthésie
totale dans un cas et la dissociation dite syring
ffet, il y a parfois, dans la syringomyélie typique, des plaques où l'
anesthésie
se montre totale, non dissociée, et, d'un autre c
s accusées. On ne saurait donc faire de la présence ou de l'absence d'
anesthésie
totale une marque caractéristique absolue. Le c
, ayant déformé 3 doigts d'une des mains et 2 de l'autre. Chez elle l'
anesthésie
portait sur tous les modes, sans dissociation. L'
rnissait un appoint de plus au diagnostic. Tout d'abord il existe une
anesthésie
absolue pour le tact, la température et la douleu
calisée à droite dans celte portion du domaine du facial Fig. 36. —
Anesthésie
dans le domaine du facial inférieur. inférieur
tre singulière au premier abord. Il n'existe point d'autre plaque d'
anesthésie
, mais dans l'hypocondre du côté gauche on note la
l'odorat sont affaiblis à gauche. Le réflexe pharyngien Fig. 37. —
Anesthésie
de la face et zone liystérogène de Chypocondre ga
ns tous ces cas, la paralysie est peu accentuée et qu'il y a toujours
anesthésie
marquée et quelquefois prédominante de la face et
éral très peu accentuée. De plus elle paraît toujours s'accompagner d'
anesthésie
des parties paralysées, ainsi que M. Gilles de la
pés et dans leur voisinage, fait apparaître la paralysie faciale et l'
anesthésie
qui s'y superpose. Mais l'intoxication alcoolique
é de la face qu'elle respecte. Messieurs, quand vous rencontrerez une
anesthésie
de ce genre, méfiez-vous, elle ne relève très pro
alpébral. mation, je puis encore vous faire valoir l'existence de l'
anesthésie
de la cornée du côté intéressé. C'est là un carac
tous les modes de sensibilité (contact, douleur, température). Pas d'
anesthésie
pharyngée. La sensibilité conjonctivale et cornée
Les premiers occupent la face interne du membre, et consistent en une
anesthésie
dissociée suivant le mode syringomyélique; le sen
faisant dans tous ses détails. Et d'abord, réexaminons cette zone d'
anesthésie
partielle avec dissociation syringomyélique qui e
t se montrer en diverses circonstances. Concédez -morqu'ici la zone d'
anesthésie
partielle se rat dans l'hystérie. C'est assez d
r Duchenne lui-même (1). Il admettait que parfois, par exception, une
anesthésie
cutanée, plus ou moins prononcée, se montrait com
ins prononcée. D'autre part, les troubles vésicaux, les douleurs, les
anesthésies
qui n'appartiennent pas davantage au cadre vulgai
ur la figure 53. Il existe des stigmates permanents de l'hystérie :
anesthésie
totale du bras droit; anesthésie de la moitié dro
stigmates permanents de l'hystérie : anesthésie totale du bras droit;
anesthésie
de la moitié droite du tronc, en arrière seulemen
nécrose des os ; masque sclérodermique) ; lèvre mutilante (plaques d'
anesthésie
, chute des phalanges ; macules de morphœa rubra o
on, nécrose des phalanges, déformations consécutives; caractères de l'
anesthésie
. Différences avec la syrin-gomyélie au point de v
cas type de maladie de Morvan compliqué d'hystérie. Superposition des
anesthésies
hystériques et de Morvan chez le même individu...
ur les muscles buccinateur et grand zygomatique. — Superposition de l'
anesthésie
et de la paralysie. — Diversité des opinions conc
e syndrome de Weber. —Importance des stigmates et en particulier de l'
anesthésie
superposée aux troubles du mouvement. —¦ Dans le
ant la disposition dite syndrome de Brown-Séquard. —Dissociation de l'
anesthésie
(analgésie avecthermo-anesthésie et conservation
t hystérie, 291, 303. Amblyopie dans la sclérose en plaques, 400.
Anesthésie
névritique et syringomyélique, 341 ; — dans la sc
a paralysie du nerf moteur oculaire externe, 422. Dissociation de l'
anesthésie
dans l'œdème bleu des hystériques, 107. Doigts
s du cerveau, 390. L Lèpre, 7; Dissociation syringo-myélique de l'
anesthésie
dans la —, 341. Lésions vertébrales, conséquenc
omyélie, 248, 254, 357. Paralysie alterne, 313, 317. Paralysie et
anesthésie
dans le syndrome de Brown-Séquard, 346. Paralys
roubles vésicaux dans la —, 400 ; Douleurs fulgurantes dans la—,400 ;
Anesthésies
dans la —, 400 ; Troubles oculaires dans la —, 40
aractères analogues. Les troubles sensitifs : douleurs, névralgies,
anesthésie
, hyperesthésie, fourmillement, perte du sens mu
sthésie droite complète et totale. Le sens musculaire est conservé.
Anesthésie
pharyngée. Deux zones hystérogènes dans la foss
dorat sont abolis à droite; le champ visuel rétréci à 00 environ; 1
anesthésie
pharyngée. Le sens musculaire et articulaire est
existent pas ici. M... est hystérique : l'hémianesthésie cutanée, l'
anesthésie
pha- ryngée, les zones hystérogènes, etc.. en s
iiiiaiiesthésie gauche complète pour tous les modes de sensibilité.
Anesthésie
de la conjonctive gauche. Les sens sont touchés.
fois qu'elle a essayé de marcher, elle est tombée sur les genoux. L'
anesthésie
existait déjà. Trois mois après, elle est entré
t 1888). État général excellent. Polysarcie. Para- plégie complète.
Anesthésie
sur toute l'étendue des membres inférieurs et g
s. Au niveau de la face, elle est plus marquée du côté droit. Cette
anesthésie
esl étendue aux muqueuses. Abolition des réflex
ésultats suivants : réactions électriques normales. Pas d'atrophie.
Anesthésie
plus marquée à droite. Réflexes rotuliens exagéré
ntrique pour les deux yeux 10. - Le goût et l'odorat sont abolis.
Anesthésie
totale. La malade ne sent aucun contact, ni le pl
iâtre. La malade souffre toujours de l'estomac. 4 14 mars 1889. L'
anesthésie
est toujours totale, avec perte complète du sen
ours totale, avec perte complète du sens musculaire et articulaire.
Anesthésie
des muqueuses. Perte du réflexe pharyngé. L'ouï
n. On commence à électriser la malade avec les courants continus. L'
anesthésie
reste complète. 3 juin. La malade sent les piqûre
ccadée. Troubles de la sensibilité. Il n'existe sur le corps aucune
anesthésie
, aucune hyperesthésie, ni Ù la douleur, ni au c
ni il la température. A la face, cependant, on trouve une plaque d'
anesthésie
, commençant à l'aile gauche du nez, intéressant
is ne s'étend pas vers la branche montante du maxillaire inférieur.
Anesthésie
pharyngée. Les sens spéciaux sont intéressés. L
lade est un hystérique; comme stigmates, il pré- sente une plaque d'
anesthésie
faciale, de l'anesthésie pharyngée, de la polyo
omme stigmates, il pré- sente une plaque d'anesthésie faciale, de l'
anesthésie
pharyngée, de la polyopie, du rétrécissement du
plus intense à mesure que ceux-ci se com- plétaient. Il avait de l'
anesthésie
diffuse et des Iroubles de la vue. Au bout de t
in conservé. Voici le résultat de l'examen fait par M. Cartaz : z
Anesthésie
du voile et du pharynx, ainsi que de la base de l
violacée. Rétraction de l'aponévrose palmaire ( ? ). Main raide. -
Anesthésie
de la main et des doigts sauf le pouce. Anesthé
). Main raide. - Anesthésie de la main et des doigts sauf le pouce.
Anesthésie
pharyngée; pas d'autres troubles de la sensibilit
de la main droite 32°,G; dos de la main gauche : i0°, l. Pendant l'
anesthésie
, on constate que la raideur de la main et des doi
ît infirmer en rien l'interprétation que nous venons de donner de l'
anesthésie
et des troubles trophiques. Ces causes de l'abais
nous venons d'analyser. Nous ferons remarquer en premier lieu que l'
anesthésie
hystérique suffit, chez certains malades, à abais
uffit, chez certains malades, à abaisser la tem- pérature du membre
anesthésie
. La main est parésiée, immobile, et dans ces co
lets fibreux qui entravaient le libre fonctionnement des tendons; l'
anesthésie
et la parésie sont supprimées. Le malade nous dit
ne, repris de son oedème en quarante-huit henres. On constate que l'
anesthésie
de la main comprend maintenant le pouce, et qu'el
ensibilité à la douleur et à la tempéra- ture très diminuée. Zone d'
anesthésie
plus marquée au niveau du scapulum droit; cette
scapulum droit; cette zone dessine à peu près l'os sous-jacent. L
Anesthésie
absolue de la main malade (voir plus loin). "11
Anesthésie absolue de la main malade (voir plus loin). "11uqueuses.
Anesthésie
pharyngée absolue. Anesthésie de la moitié droi
malade (voir plus loin). "11uqueuses. Anesthésie pharyngée absolue.
Anesthésie
de la moitié droite de la langue, de la narine
est venu montrer sa main à un mé- decin, aucun autre stigmate que l'
anesthésie
pharyngée. Il est vrai qu'il 1 a uriné dans son
ux. Au deuxième examen fait à Saint-Antoine, on constate déjà que l'
anesthésie
s'est étendue jusqu'au milieu de l'avant-bras.
le fait de la disparition subite non seulement de l'oedème et de l'
anesthésie
, mais encore des brides fibreuses et des nodosi
de quelconque tel que la dyschro- matopsie, l'anosmie, l'agustie, l'
anesthésie
, etc. Le verre rouge colorait en rouge les obje
nous ne nous étions pas trompés. Notre malade présente en effet une
anesthésie
pharyngienne absolue. Il l'a du reste exploitée
segments du membre supérieur et du membre inférieur du même côté.
Anesthésie
pharyngienne totale. ' 2° Sensibilité sensoriel
istribution des nerfs, aucun rapport avec une lésion spinale. Cette
anesthésie
est limitée en avant par le pli de l'aine, en arr
la crête iliaque. Le membre est anesthésié morphologiquement. Cette
anesthésie
est complète, superficielle et profonde. Les sens
et l'événement vint lui donner raison. La distribution seule de l'
anesthésie
suffirait, à défaut d'autres signes, pour pei m
ire des paraplégies analogues, avec une distribution identique de l'
anesthésie
cutanée. Nous avons fait, suivant le procédé de
lle n'avait pas de jambes, dit- elle, et elle tombe paraplégique. L'
anesthésie
cutanée, qui ne siégeait avant l'expérience que
MULATEURS ». )i3 hémianesthésique droite, durant ces expériences, l'
anesthésie
se concentre dans les deux membres inférieurs e
ara- plégie. Les troubles moteurs sont identiques aux précédents. L'
anesthésie
cutanée est encore délimitée de la même manière
r un pied bot hystérique guéri actuellement. Elle ne présente pas d'
anesthésie
cutanée. Plongée dans la période somnambulique
s moteurs sont analogues à ceux des deux expériences précédentes. L'
anesthésie
est délimitée comme dans les deux cas précédents;
rimentale. FIGURES 33 A 45 (d'après Thornburn)' Distribution de l'
anesthésie
dans diverses lésions des nerfs de la queue de ch
tuliens, par la perte des sens mus- culaire et articulaire, par une
anesthésie
cutanée complète et totale, exclusivement limit
n se convaincra de l'identité de ces deux variétés de paralysies. L'
anesthésie
respecte les organes géni- taux : c'est là un c
it pour en ré\éler l'origine hysté- rique. Bref, les limites de l'
anesthésie
dans les paraplégies hystériques ne répondent n
sont nor- maux. Absence des réflexes tendineux et crémastérien. - L'
anesthésie
C1l- tanée est complète un peu au-dessous du li
hient. Les réflexes sont toujours abolis. La limite supérieure de l'
anesthésie
correspond à peu près à la limite iniérieure de l
aleur, c'est la délimitation supérieure, c'est la distribution de l'
anesthésie
cu- tanée. Ces caractères sont tels qu'il est i
re ces deux groupes de paraplégies. Fixe. 46. - Distribution de l'
anesthésie
(plaie de la moelle au niveau de la dixième vertè
de l'hystérie ou d'une lésion spinale : c'est la distribution de l'
anesthésie
cutanée. Dans la névrose, l'anesthésie a des li
c'est la distribution de l'anesthésie cutanée. Dans la névrose, l'
anesthésie
a des limites nettes, segmentaires, « mor- phol
1, 33). Dans les paraplégies spinales, les limites supérieures de l'
anesthésie
cutanée sont en rapport avec la hauteur de la l
par une ligne droite, plus ou Fin. 17. Pic. 4R. Distribution de l'
anesthésie
dans un cas de myélite transverse. ETUDE DES SY
acrée et lombaire, dans une hauteur variable (fin. 46, au, 48). L'
anesthésie
consécutive aux lésions des nerfs a une distribut
, cystite purulente; 3" Des signes de certitude : distribution de l'
anesthésie
cutanée. Si, dans ces conditions, on ne trouve
(traitement antisyphilitique, galvanisation). Au bout de ce temps,
anesthésie
dans le domaine du trijumeau droit, contracture
ssus de la hanche gauche. Au reste, les troubles de la sensibilité (
anesthésie
, paresthésie) ont cons- tamment fait défaut.
, plus logique de rattacher ces faits à la névrose hystérique ? Des
anesthésies
cutanées, des anesthésies sensorielles, le rétréc
r ces faits à la névrose hystérique ? Des anesthésies cutanées, des
anesthésies
sensorielles, le rétrécissement du champ visuel
ômes paraplégiques. Accidents actuels (10 août). - Ovarie à droite,
anesthésie
complète et totale. Seule la cornée est respect
et totale. Seule la cornée est respectée. Depuis un an, périodes d'
anesthésie
vési- cale avec incontinence d'urine. Paraplégi
s prononcée des membres du côté droit. Sensibilité. On constate une
anesthésie
absolue de toute la moitié droite du corps pour
droite du corps. Mais le membre supérieur droit est le siège d'une
anesthésie
absolue, superficielle et profonde pour tous le
es modes de la sensibilité, y compris le sens muscu- laire. Cette
anesthésie
complète s'interrompt brusquement sur une ligne q
, en avant, sur la région antéro-latéralc droite du thorax. Pas d'
anesthésie
pharyngienne. Sens. Le goût est aboli à droite.
urs céphaliques accompagnées de perte de connaissance), l'absence d'
anesthésie
et de zones liysléro- gènes, le diagnostic de t
bétique à la dernière période : im- possibilité de se tenir debout,
anesthésie
complète, cécité presque absolue, crises gastri
, mais des tissus péri-articulaires épaissis et indurés. Dès lors l'
anesthésie
était évidemment indiquée. Enfin le le septembr
ppliquée; l'extension complète avait été préalablement obtenue sans
anesthésie
. Cet appareil resta en place jusqu'au 20 septem
main et surtout aux doigts. Le fait principal, au point de vue de l'
anesthésie
douloureuse, c'est l'indolence complète de ces pa
ce, membres supérieur et inférieur avec hémianesthésie pharyngée et
anesthésie
de la muqueuse anale. L'acuité visuelle était n
ertie de ce côté; un corps froid réveille une sensation de chaleur.
Anesthésie
pharyngée du côté droit. Le goût est amoindri d
est abolie dans les régions symétriques des coudes et des genoux; l'
anesthésie
forme autour de ces régions un manchon très all
aturnine due à une lésion des nerfs périphériques ou des muscles. L'
anesthésie
cutanée l'embarrasse cependant. Nous ne nous at
elle est plus sensible à gauche qu'à droite, bien qu'il n'y ait pas
anesthésie
et que la piqûre soit bien perçue, mieux pourta
iation du rachis ; elle voit les cou- leurs de l'oeil gauche. Pas d'
anesthésie
faciale. Elle mange très bien depuis cinq ou si
c des points douloureux à la percussion des vertèbres cariées, sans
anesthésie
cutanée en segments, etc. C'est sur tous ces ca
ire légèrement affaibli dans la position des membres du côté droit.
Anesthésie
pharyngée. La percussion de la colonne vertébra
du vertex ; de plus, quelques plaques sur les bras et dans le dos.
Anesthésie
des conjonctives et du pharynx. Rétrécissement
ésiée pour le plus léger frôlement. Elle porte encore des plaques d'
anesthésie
sous les deux clavicules et il l'avant- 322 NOU
DE LA SALPÊTRIÈRE. bras du côté gauche. Elle dit que ces plaques d'
anesthésie
et d'hyperesthésie varient assez souvent de siè
i dure depuis dix-sept ans. Le goût et l'odorat sont normaux. Pas d'
anesthésie
pharyngée. Le champ visuel est rétréci concentr
lement. Souvent elle frappe un seul côté du corps et accom- pagne l'
anesthésie
cutanée avec laquelle elle présente des relations
'autres fois, il est vrai, la diathèse de con- tracture existe sans
anesthésie
ou en dépasse les limites. Ainsi, chez une de n
générale et on observales coïncidences suivantes : lorsque l'hémi-
anesthésie
disparut, la diathèse de contracture de générale
conscience du procédé employé. Nous avons observé plusieurs cas d'
anesthésie
généralisée et absolue, dans lesquels les deux
La diathèse de contracture, au même titre que l'amyosthénie et l'
anesthésie
, mérite de prendre rang parmi les symptômes perma
excellent chef de clinique, M. Oulmont, n'avons trouvé de plaque d'
anesthésie
, si limitée soit-elle. Je sais qu'en ce moment il
règle. Les douleurs subjectives sont plus rares dans l'hystérie. L'
anesthésie
cutanée, au contraire, accompagne fréquemment l
accompagne fréquemment les troubles moteurs de la névrose. Or cette
anesthésie
se présente avec des caractères et une délimita
ait pas justifiée. B. Paraplégies hystériques monosymptomatiques. L'
anesthésie
, comme on l'a cru longtemps, sur la foi de Gend
ontre cette indissolubilité et même contre la grande fréquence de l'
anesthésie
cutanée. Il est incontestable que l'anesthésie pe
rande fréquence de l'anesthésie cutanée. Il est incontestable que l'
anesthésie
peut manquer dans les paralysies hystériques, q
se surtout la paraplégie hys- térique, c'est qu'elle s'accompagne d'
anesthésie
. » Les exemples de paraplégies monosymptomatiqu
d'anesthésie. » Les exemples de paraplégies monosymptomatiques sans
anesthésie
ne sont pas absolument exceptionnels, surtout c
te également trois observations convaincantes, etc. Non seulement l'
anesthésie
peut manquer, mais encore toutes les autres man
riquet, Traité de l'hystérie, Paris, 1859, p. 477. 3. Lasègue, De l'
anesthésie
el de l'ataxie hystérique (Irch. gén. de méd., 18
oins que divers autres troubles de la sensibilité : hyperesthésies,
anesthésies
, perte du sens musculaire, etc. ; qu'enfin les
lade présente des troubles de la sensibilité caractéristiques : une
anesthésie
complète distribuée ainsi qu'il suit. Aux membr
sie complète distribuée ainsi qu'il suit. Aux membres inférieurs, l'
anesthésie
est totale (contact, douleur, tem- pérature à 1
our tous les modes est très affaiblie, et en particulier aux mains.
Anesthésie
pharyngée. Il existe en outre une zone douloureus
été porté à diverses reprises. Or, cette malade est hysté- rique. L'
anesthésie
complète des membres inférieurs, l'hypoesthésie
embres inférieurs, l'hypoesthésie très accusée du reste du corps, l'
anesthésie
pharyngée, la microméga- lopsie, les troubles o
oeil, tous phéno- mènes qui font ici défaut. La paraplégie avec son
anesthésie
si typique dans ses caractères et sa distributi
lières. Les troubles de la sensibilité sont très caractéristiques L'
anesthésie
cu- tannée est répartie de la manière suivante
ement très affaiblie, presque abolie sur toute la surface du corps.
Anesthésie
pharyngée. -Il existe deux zones hystérogènes : l
lis, ainsi du reste que les réflexes plantaires et olécraniens. L'
anesthésie
cutanée est complète et totale. Le contact, la do
montrée par la zone douloureuse du rachis, par la distribution de l'
anesthésie
cutanée, de telle sorte qu'il pourrait bien s'a
te toxique; mais celle-ci ne saurait expliquer la distribution de l'
anesthésie
, l'absence ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SI
e amène une chute et consécutivement se déclare une paraplégie avec
anesthésie
cutanée singulière, fugace, mobile, étendue des
10 avril 1886, p. 691). L'auteur fit le diagnostic de tabes avec
anesthésie
hystérique. D'après lui, cette observation démo
stence du tabès dans ce cas ne peut faire de doute. D'autre part, l'
anesthésie
cutanée était plus étendue et plus complète qu'el
le ne l'est d'habitude dans le tabès. La nature hystérique de cette
anesthésie
est du reste prouvée par sa disparition subite
ière dans la névrose, mais ici nous touchons à l'évolution. (c) L'
anesthésie
cutanée présente dans les deux cas des différence
plaques de peau saine. Aux membres inférieurs, la distribution de l'
anesthésie
obéit à des règles analogues : la plante du pie
thésie obéit à des règles analogues : la plante du pied est prise :
anesthésie
au talon et aux orteils, hyperesthésie il la vo
ien particulière au tabes dorsal. On ne saurait la confondre avec l'
anesthésie
hystérique qui, généralement, est distribuée sa
pendant un certain nombre de cas d'hystérie où la distribution de l'
anesthésie
rappelle, de primeabord, celle de l'anes- thési
il n'y a même là qu'une ressemblance assez grossière. Du reste, les
anesthésies
plus ou moins étendues des muqueuses et des org
ses et des organes des sens qui coexistent d'ordinaire avec cette a
anesthésie
en îlots » suffiraient, à défaut de tout autre st
ant dans la sclérose des cordons postérieurs. Fié. 70. Fig. 71.
Anesthésie
en îlots (d'"près Pitres). 406 NOUVELLE ICONO
courant électrique est aussi très vivement perçu de ce même côté.
Anesthésie
pharyngée. L'odorat est aboli à droite; le goût e
rs marquée surtout à la main, au bras droit et à la jambe droite. L'
anesthésie
généralisée n'est com- plète que pendant les pé
L'un décrit par M. le professeur Titres sous le nom de </terme-
anesthésie
hystérique dans les termes suivants. «Voici, dit-
la dissociation syringomyélique spontanée dans le dixième des cas d'
anesthésie
hystérique. Ce n'est pas seulement la dissociatio
e; elle peut encore en simuler la distribution. Règle générale, les
anesthésies
dans la glioma- tose se disposent, comme dans l
des troubles vaso-moteurs, des oedèmes, la scoliose, 1. Pitres, Des
anesthésies
hystériques, Rordcatix, 1887, p. 12. 2. Charcot
igine et la localisation de ces douleurs. Pour lui, la douleur et l'
anesthésie
s'expliquent naturellement par la localisation
ce mode de début soit possible, dit Roth, dans la gliomatose) de l'
anesthésie
sans cause appréciable, nous semblent plaider h
e est en résumé l'observation XII du mémoire de Roth, qui, malgré l'
anesthésie
tactile, rejette le diagnostic de maladie de Morv
inférieurs, diminution aux membres supérieurs. Secousses. Scoliose.
Anesthésie
étendue en partie dissociée, en partie complète
en partie dissociée, en partie complète. Hémianesthésie incomplète.
Anesthésie
pharyngée. Rétré- cissement du champ visuel. Ul
ain nombre de caractères spéciaux. Les limites supérieures de cette
anesthésie
seraient mal tranchées et se continueraient gra
ce de zone de transition graduelle qu'on ne retrouverait pas dans l'
anesthésie
des hystériques. En outre, les limites supérieure
nsibilité ne seraient pas exactement supcrposables. D'autre part, l'
anesthésie
syringomyélique ne procéderait pas par segments
sont inconstants, d'autres enfin se retrouvent clans l'hystérie. L'
anesthésie
syringomyé- lique procède par grands segments ;
la marche ne vient qu'après les névralgies. Quant aux paresthésie,
anesthésie
, impuissance, elles ne disparaissent que dans l
rocéphale (Cerveau de -), ), 10. Moelle épinière (Distribution de l'
anesthésie
dans une plaie de la -), 46. Musculaires (Sch
schéma du pavillon de l ? 50. Queue de cheval (Distribution de l'
anesthésie
dans diverses lésions des nerfs de la-), 3,1,
s limites la sensibilité ther- mique est abolie. La limitation de l'
anesthésie
n'est pas brusque et il existe entre la partie
rqués. (Fig. 2, 3.) A gauche on constate les mêmes troubles, mais l'
anesthésie
aux divers modes n'est pas aussi prononcée. L
x derniers doigts des mains; sur la main elle-même les limites de l'
anesthésie
sont d'à peu près la moitié de celte extrémité.
NOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. deux derniers doigts. Les limites de l'
anesthésie
ne sont pas tranchées, mais l'insensibilité va
es de la sensibilité sont constants, mais plus ou moins profonds. L'
anesthésie
occupe à la face palmaire de la main le petit d
oignet le tiers interne de l'avant-bras dans son quart inférieur. L'
anesthésie
existe au contact, à la piqûre, à la températur
un : cas fort intéressant et fort complet, avec crises convulsives,
anesthésie
, dyschromatopsie, rétrécissement du champ \isue
palpitations. Du côté des membres inférieurs, paralysie complète et
anesthésie
telle que la malade a été, sans s'en apercevoir,
u lit, la situation des jambes est nettement perçue. Il existe de l'
anesthésie
à la piqûre dans les points suivants : face pos
rmée en. cet endroit, les jours suivants. Ainsi donc, paraplégie,
anesthésie
, douleurs, atrophie musculaire, troubles trophi
ns notés à la suite d'une fracture du sacrum. On remarquera que l'
anesthésie
n'occupe aucune des régions innervées par des b
ieurs avec insensibilité complète au froid, à la piqûre, etc. Cette
anesthésie
remontait en ceinture et envahissait tout le tron
ralysé est le siège d'une hyperesthésie bien nette, quoique légère.
Anesthésie
assez marquée du côté gauche. Coeur normal. O
bilité cutanée est souvent altérée. Dans un cas (observa- tion I) l'
anesthésie
paraissait nettement limitée aux filets descendan
re lombaire). Dans deux autres cas il existait des zones étendues d'
anesthésie
. La délimitation scrupuleuse des régions anesth
rique. Tandis que la fracture ancienne du sacrum avait entraîné une
anesthésie
qui ne débordait pas le domaine des nerfs grand
et le pouls étaient nor- maux. Le réflexe rotulien existait. Pas d'
anesthésie
de la peau. Urine nor- male il tous les points
tériques : là malade, qui, à aucun moment, n'a pris de bromure, a l'
anesthésie
pha- ringée complète et persistante; la sensibi
r, cette existence de l'hystérie nous semble mise en évidence par l'
anesthésie
pharyngée, les troubles de la sensibilité génér
des pieds s'atténue ou disparaît; chez deux malades, des plaques d'
anesthésie
plantaire redevinrent sen- sibles. Enfin, l'éta
sauf une diminution très marquée pour la main droite : cette zone d'
anesthésie
et d'analgésie, qui occupe toute celte main, remo
ue le cùté droit(hémiliypoestfusie gauche). 11 existe une zone où l'
anesthésie
et l'analgésie sont complètes : cette zone occupe
, on constate une certaine modification dans la distri- bution de l'
anesthésie
et de l'analgésie à la surface du tégument extern
: il y a toujours hémianesthésie et hémianalgésic du côté gauche; l'
anesthésie
et l'analgésie sont complètes pour l'hémicalotte
nferme une bibliographie très complète de la question. 2. Parinaud,
Anesthésie
de la rétine. Contribution à l'élude de la sensib
r. Il existait en effet une amaurose complète de l'oeil gauche, une
anesthésie
comprenant la presque totalité de la cornée et de
e comprenant la presque totalité de la cornée et de la conjonctive,
anesthésie
qui envahissait également, en cercle, toute la
es com- plètement insensibles. Autour de l'oeil existe une zone d'
anesthésie
tégumentaire; elle com- prend les paupières sup
anes- thésie et analgésie de la cornée et delà conjonctive, zone d'
anesthésie
tégumentaire périphérique. Nous avons donc re
uvait être considérée comme non suscep- tible de retour, tant que l'
anesthésie
cornéenne conjonctivale et péri- orbitaire exis
ale et péri- orbitaire existait encore. Et, de fait, tant que cette
anesthésie
a existé, nos efforts aidés surtout par la sugg
ènes hystériques localisés. Cette fois l'hyperesthésie a remplacé l'
anesthésie
, ce qui n'a pas lieu de nous surprendre, car l'hy
la suite de la destruction du tronc ner- veux il s'est produit une
anesthésie
il la piqûre, le blépharospasme a légère- ment
La motilité et la sensibilité ne sonl pas altérées ; on ne trouve ni
anesthésie
ni hyporesthésie. Aucun trouble du coté des o
it être considéré comme totalement amaurotique.Mais l'amaurose et l'
anesthésie
de la cornée et de la conjonctive s'observent p
ous était donc permis, encore une fois, de conclure que là encore l'
anesthésie
s'était nettement superposée au spasme. L'exame
onner des résultats encore plus intéressants. Chez lui, en effet, l'
anesthésie
semblait atteindre seulement le segment inférieur
vants qui, à notre avis, sont de la plus haute importance. Il y a
anesthésie
et analgésie complète de toute la moitié gauche d
moitié gauche de la face, respectant toutefois l'aile du nez; cette
anesthésie
envahit non seulement la face mais encore la mo
t normales ; la langue est insensible dans sa totalité, alors que l'
anesthésie
de la mu- queuse : I)Liccale est limitée a la p
ir : dans un cas de .spasme glosso-labié hystérique il existait une
anesthésie
et une analgésie très marquées dans le domaine
rquées dans le domaine des muscles contracturés. A la vérité, cette
anesthésie
s'irradiait au delà de la zone d'action de ces
nous dit avoir noté une dis- position assez semblable à celle de l'
anesthésie
. observée sur Lelog... chez une jeune Russe adm
sur certains rameaux du nerf facial. Plus tard, il se développa une
anesthésie
du visage du celé droit qui aug- menta peu à pe
int de vue particulier qui nous occupe ? Que dire en effet de cette
anesthésie
du côté droit du visage - siège du spasme qui aug
tracturée. Or, en exami- nant la figure 56, on verra que la ligne d'
anesthésie
se termine en bas au niveau de la ligne d'inser
du peaucier. Chez Leiog..., comme chez la malade de M. P. Richer, l'
anesthésie
et le spasme se superposaient, chez tous les de
ez Lelog... Toutefois, on voudra bien remarquer que chez celui-ci l'
anesthésie
envahit la totalité de la face ainsi que la rég
che XXX. L'ob- servation n'avait pas été recueillie en détails et l'
anesthésie
n'avait pas été notée. Le 11 mars 1888, Clés.
ntale gauche. L'examen minutieux de la sensibilité montre qu'il y a
anesthésie
complète de la moitié gauche de la face (la moi
ace (la moitié droite étant normale- ment insensible), et que cette
anesthésie
se limite à gauche : en bas, au niveau de l'ins
a vue et l'odorat à gauche ont disparu. Rappelons à propos de cette
anesthésie
sensorielle, que M. Féré a a très nettement sig
n réveil, nous pouvons con- stater que le spasme est disparu avec l'
anesthésie
que nous avons signalée; la vue, d'odorat, l'ou
e, et enfin réaliser le type du spasme, glosso-facio-peaucier, et l'
anesthésie
se superposer immédiatement au spasme des muscl
assisté à la disparition du spasme et à l'effacement spontané de l'
anesthésie
. Ors. Vit Blanch..., 27 ans, lingère, hystéro-é
où elle siège habituellement, mais le spasme lingual persiste avec
anesthésie
tolale de la langue. Le 31 juillet, attaque hys
a sen- sibilité montre, outre une hémianesthésie gauche, une zone d'
anesthésie
comprenant toute la moitié droite de la face si
du cou. Au réveil, là contracture a disparu et avec elle la zone d'
anesthésie
circonscrite qui l'ac- compagnait. Le spasme et
zone d'anesthésie circonscrite qui l'ac- compagnait. Le spasme et l'
anesthésie
de la langue persistent; la suggestion plusieur
-épilep- tiques; il plusieurs reprises il se fait un transfert de l'
anesthésie
de gauche à droite, cette anesthésie revenant t
s il se fait un transfert de l'anesthésie de gauche à droite, cette
anesthésie
revenant toujours en fin de compte se fixer il ga
aucier sans participation de la langue et avec super- position de l'
anesthésie
au spasme. OBs. VII. Mlle Desg..., 22 ans, est
angue n'est pas déviée. L'oeil droit est amaurotique. Il existe une
anesthésie
complète de toute la moitié droite de la face e
rigine hystérique, un spasme total de la langue coïncidant avec une
anesthésie
totale de l'organe superposée au spasme. Ons.
spèce. Or dans ces deux cas (fig. 57 et 58) il existait une bande d'
anesthésie
se superposant exactement au muscle sous-jaccnt
celles de la bande d'anesthé- sie superposée à la contracture. L'
anesthésie
limitée était bien sous la dépendauce du spasme p
en bas jusqu'à la clavicule et un peu au-dessous, existe une zone d'
anesthésie
totale à la piqûre (fig. 57). Dans une même zon
forme une, corde rigide sous la peau. Il existe à gauche une zone d'
anesthésie
cutanée à base triangu- laire se limitant en av
avril, mêmes phénomènes survenus après une attaque; outre la zone d'
anesthésie
gauche, il s'est fait un transfert de la sensibil
sographe, pourra tirer des indications diagnostiques fournies par l'
anesthésie
localisée (ou l'hyperesthésie, phénomène de même
ils suivent bien plutôt la fonction qui est dévolue à celui-ci. L'
anesthésie
et l'hyperesthésie sont corticales et non médulla
cales et non médullaires. Dans la monoplégie brachiale hystérique l'
anesthésie
se limite en manchon à la racine du membre, ell
brachial par exemple, réa- lisant le même symptôme monoplégie". L'
anesthésie
ou l'hyperesthésie au niveau d'une articulation i
miquc. Sensibilité (fig. 77, 78). Côté droit normal. Côté gauche.
Anesthésie
à la douleur, au froid, à la chaleur, dans tout
a- main paralysée; donc paralysie absolue de la main et des doigts,
anesthésie
complète, gonflement oedématenx et cyanose. Il
qu'elle est au- jourd'hui (25 mars 1889) complète et flasque; avec
anesthésie
; mais le tact était conservé. La chaleur n'étai
ont reparu le matin. Le lendemain, le malade peut à peine écrire. L'
anesthésie
avec dissociation remonte jusqu'au tiers inférieu
n. = 60 kilos; elle est seulement plus froide et un peu cyanosée. L'
anesthésie
(dissociée) re- monte jusqu'à deux travers de d
deux ou trois jours, le soir, toujours vers sept ou huit heures. L'
anesthésie
remonte jusqu'à In partie moyenne du bras. Les
tout il gauche, y compris la con- jonctive et la cornée. De plus,
anesthésie
complète du pharynx, de la langue des deux côtés
thésie complète du pharynx, de la langue des deux côtés ; plaques d'
anesthésie
complète il gauche dans la région sous-mammaire d
bles le sont moins ; mais il existe au niveau de la joue gauche une
anesthésie
qui n'existait pas hier. Jeudi 26. Etai moins s
rs, contracture du membre inférieur gauche : paraplégie complète; l'
anesthésie
est remplacée par de l'hyperesthésie : rétentio
I. Femme vingt-six ans, hystérique à attaques, hémiparésie et hémi-
anesthésie
gauche. OEdème des deux jambes, surtout de la jam
é droit, côté sain. Nous savonsquc presque toujours la paralysie, l'
anesthésie
et l'oedème se superposent; il existe de plus,
r, empêchent la formation des élevures ortiées ; mais il faut que l'
anesthésie
locale soit complète. Après avoir répété ces ex
riences, voici les conclusions auxquelles nous sommes arrivés. Si l'
anesthésie
est incomplète (application de chloroforme, de gl
mais' simplement retard, période latente d'autant plus longue que l'
anesthésie
a été plus parfaite. Le phénomène semble d'aill
mon examen, à 120. L'état de contracture est toujours le même, avec
anesthésie
géné- rale. L'amaigrissement de la malade ne m'
la sym- ptomatologie de « l'atrophie musculaire de l'adulte ». « L'
anesthésie
est quelquefois si grande que les malades ne pe
ar la vue, que ces parties se trouvaient en contact avec eux. Cette
anesthésie
s'observe en général au membre supérieur, et n'
ent abolie jusqu'à 2 travers de doigt au-dessous du coude. Plaque d'
anesthésie
comprenant l'espace interscapulairc, la nuque et
uvassiez pas dans ces circonstances quelque trace d'hyperes-thésie, d'
anesthésie
, ou bien une douleur ovarienne, ou quel-qu'autre
la répétition des crises épileptiques. L'une de ces malades offre une
anesthésie
par plaques et une ovarie gauche; elle a des cont
tions les plus intenses, sans accuser la moindre souffrance, et que l'
anesthésie
occupe non seulement la peau, mais encore les par
seule affectée ; les appareils sensoriels du côté du corps où siège l'
anesthésie
sont aussi atteints ; en général, on note une dim
étrécissement souvent très prononcé du champ visuel. Souvent, quand l'
anesthésie
est double, ou quand il y a analgésie d'un côté e
quand l'anesthésie est double, ou quand il y a analgésie d'un côté et
anesthésie
de l'autre, on observe un rétrécissement du champ
nt le creux poplité était considérable. Appareil ouaté. 20 juillet.
Anesthésie
par le chloroforme. Tentatives violentes d'extens
nsoriels, pas de modifications de la sensibilité autres qu'une légère
anesthésie
âu froid du côté gauche; un point ovarien existe
en effet des stigmates hystériques permanents ; bien qu'elle n'ait ni
anesthésie
cutanée, ni ovarie, elle a de nombreuses zones hy
'est ainsi que le lendemain de son entrée, on constatait une plaque d'
anesthésie
comprenant toute la face : cette plaque est, du r
jours pas d'ovarie, mais, en revanche, on constate quelques plaques d'
anesthésie
irrégulièrement disséminées à gauche. L'amblyopie
ande étendue, pour la douleur (pincement, piqûre) et pour le froid. L'
anesthésie
sensorielle n'existe, en général, qu'à un très fa
jourd'hui, quoique nous ayons pu faire, et les stigmates hystériques,
anesthésie
sensorielle et sen-sitive, n'ont pas varié sensib
e du malade à la clinique de la Salpêtrière, on constate ce qui suit:
anesthésie
cutanée disposée en plaques disséminées ; diminut
main, l'examen méthodique du malade nous fait constater ce qui suit :
anesthésie
généralisée, disposée par plaques disséminées; ré
istait déjà, à cette époque, une hémianalgésie gauche généralisée ; l'
anesthésie
était complète, au membre supérieur exclusivement
ensibilité moins obtuse sur le tronc, la face, le membre inférieur. L'
anesthésie
et la paralysie restèrent telles quelles au membr
du membre, main, avant-bras, bras et épaule. Du côté du tronc, cette
anesthésie
est limitée par une ligne circulaire déterminant
absolue du membre conservée plusieurs mois après le début du mal ; l'
anesthésie
cutanée et profonde, portée au plus haut degré su
z...: Antécédents, rhumatisme articulaire. — Chute. — Monoplégie avec
anesthésie
du bras et de l'épaule. — Examen du malade : impu
e l'épaule. — Examen du malade : impuissance motrice avec flaccidité,
anesthésie
pour tous les modes de sensibilité, suivant une d
ial ; caractères des symptômes qui s'observent dans celle-ci : zone d'
anesthésie
correspondant au territoire des nerfs atteints ;
érieur droit ; il s'agissait donc là d'une monoplégie brachiale, avec
anesthésie
, dans l'acception la plus rigoureuse du terme. Le
a douleur, au froid est abolie complète ment, absolument ; et cette
anesthésie
cutanée, qui occupe d'ailleurs exclusivement les
r. Vous voyez, en effet, que, sur le dos de la main, la limite de l'
anesthésie
est marquée, du côté des doigts, par une ligne pe
défaut les notions du sens musculaire. Mais, pour ne parler que de l'
anesthésie
cutanée, partout où elle existe elle se montre au
s de ce plexus !, vous voyez, dis-je, que la disposition de la zone d'
anesthésie
cutanée est exactement la même que celle que nous
n grave, étendue à la totalité du plexus. Ce mode de répartition de l'
anesthésie
cutanée sur laquelle j'insiste, paraît donc être,
or..., nous reconnaissons que, chez lui, la distribution de la zone d'
anesthésie
est tout autre : par en haut, du côté du tronc, e
lexus cervical. D'un autre côté, nous savons que chez P..., la zone d'
anesthésie
s'arrête, par en bas, à la main (Fig. 5i et 55).
Or, la disposition de la ligne qui, de ce côté, marque la limite de l'
anesthésie
, est en contradiction formelle avec l'hypothèse d
-participation des doigts et de la main à la paralysie motrice et à l'
anesthésie
, si fortement accentués cependant dans toutes les
nt du champ visuel avec transposition du rouge, polyopie monoculaire,
anesthésie
de l'arrière-gorge, plaques hysté-rogènes, attaqu
t G. Guinon, interne du service. et sur le mode de répartition de l'
anesthésie
cutanée et profonde, ainsi que sur l'absence de t
éflexes tendineux seraient dès l'origine abolis. Enfin, toute trace d'
anesthésie
cutanée ou de paralysie du sens musculaire ferait
, avait envahi les parties médianes de la colonne grise, cette fois l'
anesthésie
porterait non plus seulement sur le côté correspo
on les preuves abondent. Oui, dans notre cas, la paralysie motrice, l'
anesthésie
et le reste se rapportent à l'hystérie : telle se
rare cases the neck is distinctly affected. » (Loc. cit., p. 25.) l'
anesthésie
profonde et cutanée, le mode si particulier de ré
représente vraisemblablement, du moins pour les membres, le type des
anesthésies
de cause corticale quelle que soit la lésion qui
, bien que le début de la maladie remontât alors à près de 10 mois. L'
anesthésie
cutanée et profonde Fig. 60 et 61. — Observatio
u dans toute l'étendue du membre ; vous pouvez même reconnaître que l'
anesthésie
a envahi le moignon de l'épaule et gagné une part
e voir, de considérer d'un peu près l'étendue et les limites de cette
anesthésie
dont nous venons de constater l'existence. (Fig.
de l'extrémité supérieure de l'olécrâne *. Tel est le territoire d'
anesthésie
qui répond à la paralysie isolée de l'épaule. Nou
l'impuissance motrice est devenue complète, vous voyez que la zone d'
anesthésie
s'est immédiatement étendue par en bas ; elle occ
meuvent librement. En conséquence, la limite inférieure de la zone d'
anesthésie
se trouve déplacée une fois de plus (fig. 64 et 6
ux cas également, partout où existe la paralysie du mouvement, il y a
anesthésie
cutanée et profonde, perte des notions du sens mu
cer sous vos yeux, comparer la disposition qu'affecte le territoire d'
anesthésie
chez notre sujet hypnotisé, à celle qu'il affecte
n vous pouvez constater une fois de plus le mode de distribution de l'
anesthésie
qui correspond, pour chaque segment, à la paralys
rs, chez les sujets de ce genre, la paralysie du membre non atteint d'
anesthésie
, déterminée par suggestion, s'est accompagnée d'a
atteint d'anesthésie, déterminée par suggestion, s'est accompagnée d'
anesthésie
cutanée et profonde, de la perte du sens musculai
ité des parties, insensibilité cutanée et profonde, délimitation de l'
anesthésie
par des plans circulaires perpendiculaires au gra
ures, la nommée Hab...l. Elle est atteinte depuis de longues années d'
anesthésie
généralisée, complète, permanente, et chez elle,
iffre moyen a varié entre 54k et 55k. On sait que, chez Porcz..., l'
anesthésie
cutanée était absolue, au début du traitement (5
bras, la tendance que, chez les sujets de ce genre, ont les plaques d'
anesthésie
à se limiter par une ligne circulaire déterminant
e paralysé revinrent immédiatement, mais il n'en fut pas de même de l'
anesthésie
, qui persiste encore aujourd'hui (20 février 1886
rganique. — Caractères distinctifs : signe de Brodie, hémianesthésie,
anesthésie
pharyngée, etc. — Nécessité de l'examen pendant F
uche du corps —quelques zones sont restées indemnes, —il existe une
anesthésie
complète pour la piqûre et pour la température. P
te époque, dans le membre soumis au traumatisme ont consisté dans une
anesthésie
superficielle et profonde, avec impuissance motri
suspension de la circulation, de la calorification, de l'innervation (
anesthésie
et paralysie motrices) avec menace de sphacèle. T
sans douleur, mais que, de plus, le membre paraît avoir été frappé d'
anesthésie
complète dans toute son étendue, en même temps qu
e pendant quelques heures après le réveil. C'est ainsi, encore, que l'
anesthésie
, en général très peu prononcée ou tout à fait nul
s douleurs assez vives, au niveau de la face palmaire des doigts où l'
anesthésie
n'était pas complète ; mais elle avait été suivie
visuel, hémianes-thesie simple ou double, troubles sensoriels divers,
anesthésie
pharyngée, voilà les phénomènes dont vous devrez
ure que la-simulation en est impossible; aneslhésie totale, complète;
anesthésie
du pharynx ; rétrécissement du champ visuel, etc.
La recherche des stigmates hystériques donne les résultats suivants :
Anesthésie
absolue du pharynx, on peut enfoncer le doigt jus
ts dans les tempes. Le plus sou- Fig. 84 et 85. — Distribution de l'
anesthésie
chez Le Log.. ; sur la tête une large plaque d'hy
e mode de limitation que présente du côté de l'abdomen et du tronc, l'
anesthésie
des membres inférieurs chez notre malade. En avan
ne lésion organique de la Fig. 86 et 87. — Distribution des zones d'
anesthésie
dans les cas de paralysie partie des divers segme
s ou moins profondément la substance grise centrale. En pareil cas, l'
anesthésie
des membres inférieurs s'étendrait sur la région
et passant au voisinage de l'ombilic. — Le mode de délimitation de l'
anesthésie
, chez Le Log..., reproduit, au contraire, exactem
se, il convient de rappeler tout d'abord le mode de délimitation de l'
anesthésie
des membres inférieurs du côté de l'abdomen. En a
inale est bien différente, on le voit, de celle qui s'observe quand l'
anesthésie
des membres inférieurs est la conséquence d'une l
ou moins profondément la substance grise centrale. Alors, en effet, l'
anesthésie
des membres inférieurs s'étendrait sur la partie
voisinage de l'ombilic. D'un autre côté, le mode de limitation de l'
anesthésie
, chez notre malade, reproduit, au contraire, exac
ajouter que chez Lelog..., comme chez les hystériques en question, l'
anesthésie
s'étend jusqu'aux parties profondes, que toutes l
le mécanisme de la production, tant de l'impuissance motrice que de l'
anesthésie
, est le même, Or, quand chez le sujet somnambulis
nécessairement — ainsi que cela a lieu dans le membre supérieur, — l'
anesthésie
cutanée et profonde d'un segment correspondant du
orrespondant du membre. Les limites qui séparent les diverses zones d'
anesthésie
ainsi produites, sont représentées également par
est absolument éteinte, dans tous ses modes, froid, pincement, etc. L'
anesthésie
cutanée occupe le moignon de l'épaule dans toute
axe du membre, celui-ci étant supposé étendu (fig. 86 A et B) ; 2° L'
anesthésie
s'étend aux parties profondes. Les torsions, les
t général est excellent, Fig. 88 et 89. — Mode de distribution de l'
anesthésie
chez le nommé Mouil... on reconnaît que l'appli
lepti-formes ou apoplectiformes ; cette monoplégie s'accompagne d'une
anesthésie
absolue limitée au bras du même côté que la paral
associée, sans participation aucune de la face ; de plus, il y a une
anesthésie
concordant absolument comme siège et comme degré
de nature spinale, car, dans ce cas, vous le savez, la paralysie et l'
anesthésie
devraient être croisées, tandis qu'elles sont non
laryngoscopique, très facile par le fait d'un degré assez prononcé d'
anesthésie
du pharynx, permet de constater les lésions suiva
ce complète de réflexe du voile du palais, du pharynx et du larynx; l'
anesthésie
est absolue. On peut toucher, avec le doigt, le f
égaiement ni le mutisme ne s'étaient jamais montrés avant cette peur.
Anesthésie
à gauche; ovaire gauche. Pas d'examen laryngosco-
flexes du voiie du palais sont peu prononcés ; degré assez prononcé d'
anesthésie
du pharynx. A l'examen du larynx, on constate une
endon d'Achille pour un pied bot chez une petite fille de 6 ans, sans
anesthésie
. L'enfant était, avant l'opération, gaie, jouant
lliod, comment il interprète la pathogénie de ce cas particulier: « L'
anesthésie
du domaine du laryngé supérieur concourt, de son
n observe souvent le mutisme sans anes- thésie et réciproquement, l'
anesthésie
sans mutisme.....Quoi qu'il en soit, cette tria
hésie plus ou moins complète du pharynx et même du larynx. Mais cette
anesthésie
n'a rien de spécial à l'aphonie ou au mutisme. On
'autres manifestations de l'hystérie. Souvent le malade présente de l'
anesthésie
, des zones hystérogènes ; l'un avait des vomissem
du champ visuel avec transposition du rouge, polyopie monoculaire,
anesthésie
de l'arrière-gorge, plaques hys-térogènes, plaque
organique. — Caractères distinctifs: signe de Brodie, hémianesthésie,
anesthésie
pharyngée, etc. — Nécessité de l'examen pendant l
ique, 441, 443; — état delà sensibilité; limitation particulière de l'
anesthésie
, 446. Physiologie (Intervention de la — ) en pa
restbésie qui l'oblige parfois à enlever ses couver- tures. Pas d'
anesthésie
. Il n'a pas do douleurs fulgurantes bien nettes
e les engourdissements et les crises de douleurs fulgurantes. Pas d'
anesthésie
, plutôt un peu d'hypéresthésie et un peu de ret
s sensations sont purement subjectives et ne correspondent à aucune
anesthésie
ou hypéresthésie objectives. Sa bouche n'est ni
gauche sensitive et sensorielle avec perte du sens musculaire ; 2°
anesthésie
pharyngée à droite. Il n'y a pas de rétrécissem
e, lombaire, sans déterminer de sensation à distance. Il existe une
anesthésie
au contact et à la douleur sur les deux pieds e
me de quarante-deux ans. Paralysie de la motilité avec ? contracture,
anesthésie
, mais conservation partielle de la sensibi- lit
ais conservation partielle de la sensibi- lité à la douleur. Zone d'
anesthésie
nettement délimitée, rétré- cissement concentri
six semaines plus tard, kératite neuro-paralytique de l'oeil droit,
anesthésie
des trois branches de trijumeau de ce côté, dé-
es chapitres très nourris de faits sur les stigmates per- manents :
anesthésie
, hyperesthésie, zones hystérogènes, sur la diat
mais c'est là un caractère différentiel de peu de valeur. 2° Les
anesthésies
, hyperesthésies, dysesthésies de toute sorte :
abétique. Les phénomènes bulbaires observés jusqu'ici sont : 1° L'
anesthésie
dans le domaine du trijumeau ; 2° la fréquence
change- ront en quasi-certitude si on constate en même temps : l'
anesthésie
dans la sphère du trijumeau, la fréquence du po
s urines oontiennent du sucre. Si cette glycosurie s'accompagne d'
anesthésie
dans le domaine du trijumeau, de fré- quence du
tal antérieur à l'opéra- tion. On peut accuser, - et on a accusé, l'
anesthésie
de jouer un rôle dans l'apparition des troubles
alysie générale, et Spitzka cite un cas dans lequel une remarquable
anesthésie
du larynx existait plu- sieurs années avant la
la découverte de la paralysie générale ; chez les alcooliques, les
anesthésies
sont fréquentes ; on peut constater de ''l'anes
elle est relativement rare chez les déments. Dans certains cas, l'
anesthésie
est évidemment liée à des lésions nerveuses pér
ersion de la sensibilité sans lésion nerveuse. Le diagnostic de l'
anesthésie
n'est pas ordinairement difficile ; souvent, du
'inexactitude des indications fournies, car nous n'avons constaté d'
anesthésie
qu'en un seul cas. En revanche, la méthode d'in
ode d'investigation pe ut suggérer au patient l l'idée de certaines
anesthésies
ou inversement. Le public s'imagine par exemple
ce qui s'est passé pendant la crise de sommeil. Nous constatons une
anesthésie
presque complète, de tout le côté droit 240 SOC
ptômes précédents, la para- lysie des dilatateurs de la glotte, les
anesthésies
. Finalement hémiatrophie faciale gauche, enfonc
ar exemple, un malade présen- tant dans la jambe blessée une zone d'
anesthésie
circonscrite; il en fait son cheval de bataille
ouleurs. On con- naît ce malade de Berlin qui savait tout' simuler,
anesthésie
, transfert, épilepsie, etc., à son gré, mais il
devient tout à fait immobile le lendemain. Ce jour-là il existe une
anesthésie
complète des membres paralysés. Il se produit d
ions du goût, la voracité si fréquente chez ces malades. Pour lui l'
anesthésie
tactile plus ou moins profonde que l'on observe
ence sur lequel nous voyons, dès l'âge de six ans, surgir l'ob- l'
anesthésie
hystérique. 323 session bizarre de mordre et de
NERVEUSE. Clinique DES Maladies DU système NERVEUX. M. CHARCOT. L'
ANESTHÉSIE
HYSTÉRIQUE; CONFÉRENCE FAITE A LA SALPÊTRIÈRE L
tère et sur la conduite. On disait par exemple, en parlant des l'
anesthésie
hystérique. 35 hystériques, qu'elles rient et q
e point de départ de notre étude des hystériques, l'analyse de leur
anesthésie
: ce choix se justifie à la fois par des motifs
s opérations faciles si un membre est sensible ou ne l'est pas et l'
anesthésie
est le fait psychologique le plus com- mode à é
ues, tel est le plan que nous ' suivrons ensemble dans l'étude de l'
anesthésie
hystérique. Soyez certains, messieurs, que je n
a prétention de vous décrire tous les caractères cliniques de cette
anesthésie
que vous connaissez parfaitement; je me content
s dont nous aurons peut-être à nous servir. Ainsi, vous savez que l'
anesthésie
est très fréquente chez les hystériques et qu'i
re. Peut-être aurons-nous à faire allusion à ces hystériques sans
anesthésie
et à vous montrer qu'elles ont cependant un symp-
qué, les.médecins verront le lendemain qu'il existait une forme d'
anesthésie
hystérique non soupçonnée. Le sens tactile avec
ffectés. Je n'ai pas besoin non plus de vous rappeler que certaines
anesthésies
, celles de la vue par exemple, peu- vent amener
A. Pitres. - Lefolts climqueasur l'hystérie, 1891, t. 1, j). 125. L'
ANESTHÉSIE
HYSTÉRIQUE. 327 mènes visuels qui peuvent, pend
eut- être l'emblème de l'esprit tout entier des hystériques , Ces
anesthésies
, quelles qu'elles soient, peuvent se présenter
e faire sur chaque catégorie quelques remarques psychologiques. Les
anesthésies
peuvent être systé- matisées, localisées ou gén
hésies peuvent être systé- matisées, localisées ou générales. Les
anesthésies
systématisées sont, à mon avis, plus fréquentes
se de ce phénomène a été pour moi le point de départ de l'étude des
anesthésies
hysté- riques, mais il n'y a pas lieu d'y insis
montrer des phénomènes produits naturellement par la maladie. Cette
anesthésie
systématisée se rencontre aussi et naturellemen
nes 2. Une somnambule, que j'ai décrite, voyait fort bien 1 Sur les
anesthésies
systématisées, consulter deux études précédentes
systématisées, consulter deux études précédentes : Pierre Janet. L'
Anesthésie
systématisée et la dissociation des phénomènes
minent le choix des impressions senties ou non senties. Parmi les
anesthésies
localisées, nous insisterons surtout sur celles
celles qui ont été autrefois décrites par M. Charcot, sous le nom d'
anesthésies
en segments géométriques 3. Des organes entiers
- laires le plus souvent à l'axe du membre. Ces répartitions de l'
anesthésie
ne correspondent évidemment pas à des régions a
ite d'une monoplégie hystérique envoie de guérison, un bra- celet d'
anesthésie
occupant exactement la région du poignet, tandi
ons sur les maladies du système nerveux, 1887, t. III, p. 3411, . L'
ANESTHÉSIE
HYSTÉRIQUE. 329 9 Ce n'est pas là évidemment le
t autrefois supposé Briquet, pour expli- quer ces répartitions de l'
anesthésie
. Non, la localisation n'est pas anatomique, ell
e fonctionnent pas, c'est- à-dire sur l'avant-bras. Et cependant, l'
anesthésie
est presque I toujours limitée à la main elle-m
e à la main elle-même et au poignet. Dans la ¡ cécité hystérique, l'
anesthésie
ne porte pas seulement' sur la/ rétine, mais su
t même sur les paupières : l'hystérique amaurotique a une lunette d'
anesthésie
sur la face. Elle a perdu l'oeil, non pas seule
important et déterminent ces répartitions. En troisième lieu, les
anesthésies
peuvent être générales, envahir toute la surfac
ts précédents, mais qui maintenant devient bien plus frappante. Les
anesthésies
hystériques ne sont ni dange- reuses, ni gênant
lus souvent, et c'est un point capital, le sujet ignore ses propres
anesthésies
'. Peut-être ne vous rendez-vous pas bien compt
utrefois, qu'elles portent sans s'en douter et sans en souffrir les
anesthésies
les plus profondes et les plus étendues. Il est
profondes et les plus étendues. Il est loin d'enêtre ainsi pour les
anesthésies
de cause organique, et il suffit de vous rappel
impres- sion horrible. Demandez donc aux hystériques qui ont de l'
anesthésie
de la face et qui sont légion, si elles éprouvent
e cette différence entre les sensations subjectives produites par l'
anesthésie
hystérique et celles qui accom- pagnent l'anest
roduites par l'anesthésie hystérique et celles qui accom- pagnent l'
anesthésie
de cause organique, permettez-moi de vous racon
istante et des plus gênantes siégeant à la paume de la main : cette
anesthésie
faible aux doigts était en effet complète au ni
i- nence thénar. Il s'agissait évidemment d'une section plus ou L'
ANESTHÉSIE
HYSTÉRIQUE. 331 moins complète du médian et sur
ystérique et elle avait surtout le côté gauche, du haut en bas, une
anesthésie
complète dont elle n'avait pas dit un mot. Le m
ématisation, la répar- tition intelligente et le peu de gravité des
anesthésies
hysté- 'riques nous montre déjà que nous avons
le- ment savoir comment cette malade qui avait toute la peau du L'
ANESTHÉSIE
HYSTÉRIQUE. 333 corps absolument insensible pou
etait sur la partie anesthésique de la rétine. , Cette étude de l'
anesthésie
oculaire chez les hystériques peut se faire d'u
cette perte d'un oeil semble les gêner si peu, comme d'ailleurs L'
ANESTHÉSIE
HYSTÉRIQUE.. 335 les autres insensibilités, que
Des localisations dans les maladies nerveuses, 1886; M. Parinaud :
Anesthésie
de la rétine, etc., bulle- tins de l'Académie r
n. Mais ne nous figurons pas que ce caractère n'existe que dans les
anesthésies
oculaires et doive s'expliquer par la différenc
ractère contradictoire, nous l'avons déjà rencontré dans toutes les
anesthésies
hystériques ; c'est là un problème général et n
isséminées. Elle est 1 Automatisme psychologique, p. 295. · . ' L'
ANESTHÉSIE
HYSTÉRIQUE. 337 -1 anesthésique du côté gauche,
ns lui proposer une petite convention, pour vérifier rapidement son
anesthésie
. Nous la prions de répondre « oui » toutes les
tion imaginaire. Je lui donne dans la main droite 1 Nous étudions l'
anesthésie
banale des hystériques, telle qu'on la cons- ta
btenu ici par une suggestion dont l'exécution est intéressante. l'
anesthésie
HYSTÉRIQUE. 339 dangers; elles sont inévitables
les à des hommes. Il nous faut donc une hypothèse pour comprendre l'
anesthésie
hysté- rique. Ce besoin est si réel que depui
eur sont tendus ? Enfin est-ce qu'ils sont venus se vanter de leurs
anesthésies
? Mais je vous ai dit que ces malades les igno-
chapitre excellent sur la conscience et la personnalité, p. 197. L'
ANESTHÉSIE
HYSTÉRIQUE. 341 petit fait psychologique nouvea
onne a je » dira donc : « Je sens » à propos des phéno- Fig. 2. l'
anesthésie
HYSTÉRIQUE. 343 mènes V ou A qu'il saisit et pe
. Vous voyez donc que, dans ce cas, il n'y aura pas de véritables
anesthésies
; si on examine successivement chaque sens en atti
psychologiques dans l'Automatisme psychologique, 1889, p. 30b. L'
ANESTHÉSIE
HYSTÉRIQUE. 345 nombre de choses importantes do
es, des sen- sations subconscientes, malgré les distractions et les
anesthésies
hystériques. Si de telles sensations existent,
ous n'ignorez pas que la plupart des réflexes sont conservés dans l'
anesthésie
hystérique. M. Charcot nous a montré dernièreme
èrement le petit doigt de la main Cf. Pures, cil., 1. 1, p. 73. L'
ANESTHÉSIE
HYSTÉRIQUE. 347 gauche, la main anesthésique, n
ce que les deux jeunes filles que je vous ai présentées n'ont pas d'
anesthésie
musculaire assez pro- fonde pour que les expéri
. Nous n'avons qu'à faire venir une autre malade qui présente une
anesthésie
musculaire plus indiscutable. Voici Marguerite, u
essants, je me contente de vous faire remarquer qu'ils démontrent l'
anesthésie
musculaire absolue de son bras droit. Eh bien
senti du tout. Nous savons ce que cela veut dire, elle n'a eu la l'
anesthésie
HYSTÉRIQUE. 349 perception personnelle de rien;
; mais alors, me direz-vous, l'attention doit pouvoir modifier les
anesthésies
hystériques. Parfaitement, messieurs, je suis d
roduire momentané- ment des insensibilités nouvelles, analogues aux
anesthésies
hystériques. Cela ést encore exact. Je prends B
é de généralité faut-il accorder aux hypo- thèses précédentes sur l'
anesthésie
hystérique ? Je vous dirai très sincèrement que
res pensées du sujet subsistent toutes, dans certains cas, malgré l'
anesthésie
; il est possible, par exemple, de provoquer dan
uvelle preuve de l'existence des sensations subconscientes dans les
anesthésies
hystériques. Les mêmes études sont encore résumée
'èmeiologie et diagnostic des maladies nerveuses, 1892, p. 199. l'
anesthésie
hystérique. 351 phénomènes avec plus de précisi
t absolument de cette façon. Ce sont pour moi les cas typiques de l'
anesthésie
hystérique, comme je la comprends. Dans un deux
qu'ils sont absolument différents des précédents et que chez eux l'
anesthésie
n'est plus un trouble de la perception personne
ut à fait différentes des précédentes, vous allez leur imaginer une
anesthésie
analogue à l'anesthésie organique et alors je v
s précédentes, vous allez leur imaginer une anesthésie analogue à l'
anesthésie
organique et alors je vous demanderai de m'expl
ous demanderai de m'expliquer, la répartition intelligente de cette
anesthésie
, l'indifférence complète avec laquelle le sujet
araissent en effet avoir de sérieux avantages. Elles expliquent les
anesthésies
systématisées, la répartition des anesthésies l
Elles expliquent les anesthésies systématisées, la répartition des
anesthésies
localisées, l'indifférence des malades, puisque
avait constatées depuis longtemps dans l'étude des amauroses et des
anesthésies
, elles nous permettent d'éliminer cette supposi
uer ce que l'on ne comprenait pas. Nous pouvons donc conclure : l'
anesthésie
hystérique n'est pas pour nous une maladie orga
byperesthésies, de paresthésies, de dysesthésies, d'hypesthésies, d'
anesthésies
) qui, naturellement, ressortit aux centres du c
e fami- liale des -, par Wahrendorf, 426 ; les en liberté, 452.
Anesthésie
HYSTÉRIQUE, par Janet, 323. Anomalie crânienn
ains individus. Nous l'observons plus rarement aujourd'hui que l'on
anesthésie
tous les sujets qui doivent subir des opération
t degré. Il semble même pour quelques-uns qu'ils aient passé de l'
anesthésie
à l'hypéresthésie. J'ai vu la terreur produire
lques années, un médecin américain fai- sait connaître un procédé d'
anesthésie
générale assez z singulier qui consiste à faire
et précipitées ; au bout de quelques instants, le sujet subit une
anesthésie
générale très passagère qui permet de lui faire
pour obtenir une excitation nerveuse détermi- née, favorable à une
anesthésie
relative; 2° cette expérience se fait sur des r
ieurs reprises une manoeuvre qui m'a paru être propre à ajouter à l'
anesthésie
. L'ac- teur expose sa tête au-dessus des fourne
v. de Virclanio., t. XLVII, p. 330), il a montré que dans des cas d'
anesthésie
cutanée, si le trouble de la sensibilité est bo
nes précédents. Ce fut ainsi qu'on s'aperçut qu'elle présentait une
anesthésie
complète du bras droit. Soignée sans succès.
ième phalange du médius, Traces de brûlure sur le dos de la main.
Anesthésie
complète de la peau au toucher, à la pression, à
on très légère dans le creux de l'aisselle et au bout des doigts. L'
anesthésie
occupe la face antérieure et postérieure du bras,
r ou délicat; elle coud, tricote, écrit, etc... Diagnostic. - Les
anesthésies
reconnaissent deux causes princi- pales : 1° ou
organes terminaux sensitifs de la peau, car, dans ce cas, ou bien l'
anesthésie
est durable, et alors il y a destruction nécess
lontiers à une parésie des centres sensoriels de l'écorce, et à une
anesthésie
hystérique. La diffusion de l'anesthésie qui n'
iels de l'écorce, et à une anesthésie hystérique. La diffusion de l'
anesthésie
qui n'est pas limitée à un département nerveux
spécial, mais s'étend à une large surface cutanée (caractère de l'
anesthésie
hystérique d'aprèsCharcot) semble plaider en fave
'il y apour ainsi diredes îlots de sensibilité dans un territoire d'
anesthésie
. Mais notre malade ne présente aucun phénomène
té des ulcérations cutanées. D'autre part, certains caractères de l'
anesthésie
fonctionnelle REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 103
eau avait rougi, s'était enflammée et couverte de vésicules, mais l'
anesthésie
ne s'était pas modifiée. M. Adamkiewicz écarte,
e maladie des nerfs périphériques; d'autant plus que dans ce cas, l'
anesthésie
n'aurait pas une élen- due aussi considérable.
e dans le cas d'arrachement du plexus brachial, Ross a montré que l'
anesthésie
n'intéresse pas le bras tout entier, mais seule
doit pas admettre non plus de lésion médullaire, car dans ce cas l'
anesthésie
se réduit à une parésie, à des paralysies parti
et s'accompagnant de troubles de la motilité. Ainsi, dans le cas d'
anesthésie
alterne, l'autre bras ne serait pas épargné; il
e la lésion ? La malade n'a pas de para- lysie motrice; elle a de l'
anesthésie
, des anomalies delà sécrétion sudorale, des tro
our très passager de la sensibilité ; puis retour du- rable, mais l'
anesthésie
reparaissait d'une façon transitoire avec les c
arquer M. Adamkiewicz lui-même, à des brûlures qui résultaient de l'
anesthésie
du membre et n'étaient pas par conséquent de vé
les vaso-moteurs et sécrétoires, le refroi- dissement (r'tin membre
anesthésie
, la sudation excessive, ce sont là des phénomèn
sont là des phénomènes vulgaires dans l'hystérie. Arrivons enfin J'
anesthésie
, Les caractères sont à tous les 106 REVUE DE PA
e hystéro-traumatiques qu'il a publiées'. La limite supérieure de l'
anesthésie
est en particulier digne d'être relevée, car da
rs la même disposition. Parfois, lorsque la monoplégie disparait, l'
anesthésie
persiste et se présente en- core sous le même a
n peut voir sur la figure 1 un schéma représen- tant l'étendue de l'
anesthésie
dans ce cas, et on peut consta- ter que ses lim
stance de la sensibilité à l'extrémité des doigts, l'intensité de l'
anesthésie
, la disparition de la sensibilité dans 1 Charco
ulaire sont aussi des caractères que l'on note fréquem- ment dans l'
anesthésie
hystérique. Enfin, le retour de la sensi- bilit
nfluence du traitement électrique appartient aussi à cette espèce d'
anesthésie
. Nous croyons avoir démontré par ce qui précède
on occupant le siège présumé par M. Adamkiewicz puisse produire une
anesthésie
occupant les limites sus-indiquées, et poursuiv
t superficielle, il est impossible de com- prendre l'intensité de l'
anesthésie
, et'en supposant qu'elle soit profonde, on ne
s. Fin- 2. 108 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. D'après nous cette
anesthésie
ne peut être due qu'à une modification dynamiqu
atérielle, d'admettre qu'il s'agit là d'une névrose, produisant une
anesthésie
analo- gue à l'anesthésie hystérique, mais indé
l s'agit là d'une névrose, produisant une anesthésie analo- gue à l'
anesthésie
hystérique, mais indépendante de l'hystérie ? S
s résumerons notre argumentation de la façon suivante : 1° le cas d'
anesthésie
du membre supérieur observé par M. Adamkiewicz
érieur observé par M. Adamkiewicz présente tous les caractères de l'
anesthésie
hystérique; 20 aucune lésion organique ne pourr
rique; 20 aucune lésion organique ne pourrait produire une pareille
anesthésie
; 3° à moins de créer, ce qui nous parait illog
ique, une espèce nouvelle de névrose qui se mani- festerait par une
anesthésie
identique, à tous les points de vue, à l'anesth
sterait par une anesthésie identique, à tous les points de vue, à l'
anesthésie
hystérique, il faut reconnaître que ce cas d'ânes
ail de M. Adamkiewicz, et il est aussi d'avis qu'il s'agit la d'une
anesthésie
hystél iyue. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 10
Prix : 2 fr. Paris, 1887. Librairie F. Alcan. LICHTIVITZ (L.). Les
anesthésies
hystériques des muqueuses et des organes des se
alade atteint de monoplégie du membre supérieur droit, avec hémi-
anesthésie
sensitive et sensorielle, consécutive à une com
est frappée d'insensibilité, ou bien encore présente des plaques d'
anesthésie
disséminées. Ailleurs, ce seront des zones hypé
Ailleurs, ce seront des zones hypéresthé- siques, alternant avec l'
anesthésie
, qui décèleront la nature de la névrose, Enfin,
ciation de la grandeur des objets (ma- cropie ou micropie), enfin l'
anesthésie
pharyngienne constituent des signes confirmatif
s cette dimi- nution de la sensibilité n'est pas com- parable à l'
anesthésie
absolue de la main et du poignet. L'odorat et l
nuque à l'avant- bras ; disparition rapide de la paralysie et de l'
anesthésie
, per- sistance de l'hypéresthésie et des troubl
e les symptômes suivants : Amnésie très accusée, faiblesse extrême,
anesthésie
complète des membres inférieurs ' Nous résumons
du champ visuel, abolition de l'odorat du côté droit et du goût,
anesthésie
pharyngienne et cornéenne. Accès de suffocation
sont conservés, mais très affaiblis ; de môme pour Fig. 11. r. A,
anesthésie
totale ; - B, aneslhé- sie incomplète;- C, sens
ressants s'observent au poignet et à la main. Celle-ci présente une
anesthésie
absolue qui remonte à 2 ou 3 centi- mètres sur
il n'y a aucune différence entre le côté gauche et le droit. Pas d'
anesthésie
du pha- rynx, pas de rétrécissement du champ vi
e pression un peu soutenue par exemple : mais il est possible que l'
anesthésie
joue le principal rôle dans ce phénomène. La
La distribution de ces troubles sensitifs est très particulière. L'
anesthésie
occupe toute la main droite, la région du poi-
bilité générale du côté droit et du côté gauche de la face, point d'
anesthésie
pharyngienne ni de points hys- térogènes ; aucu
e jours; ils se mon- trèrent aussi peu efficaces que les autres ; l'
anesthésie
et l'anal- gésie semblèrent cependant un peu di
de la contractilité électrique et à la perte du sens musculaire : l'
anesthésie
absolue, portant sur toutes les modalités de la
alités de la sensibilité arti- culaire. Or cette dernière variété d'
anesthésie
(qui peut manquer dans certaines paralysies hys
ors de l'état névropathique. Ajoutons que la circonscription de l'
anesthésie
offrait ce caractère typique qui à lui seul suf
tent en faveur de l'origine purement nerveuse de cette paralysie. L'
anesthésie
qui pendant près d'un mois avait résisté aux ré
aumatisme éveille une hystérie grave, avec perte de connaissance,
anesthésie
diffuse, paralysie plus ou moins générali- sée
la paralysie motrice est en général beaucoup moins prononcée que l'
anesthésie
sensitive, ce qui est le con- traire de ce qui
rt, DES MONOPLÉGIES PARTIELLES DU MEMBRE SUPÉRIEUR. 199 que cette
anesthésie
se circonscrit à un segment de membre, sans sui
elle du bras droit, sans paralysie motrice véritable, mais avec une
anesthésie
et une analgésie complètes. Observation V. mule
t succédé à l'éruption vésiculeuse. Le symptôme prédominant est une
anesthésie
absolue à tous les modes de la sensibilité : co
, température, sensibi- lité faradique, tout est aboli : il y a une
anesthésie
et une anal- gésie complète. Cette anesthésie o
st aboli : il y a une anesthésie et une anal- gésie complète. Cette
anesthésie
occupe le membre supérieur droit Fig. 16. Fig
un certain degré d'impotence fonctionnelle tenant exclusivement à l'
anesthésie
. Quand la malade a les yeux fermés, elle est in
uis des troubles de sensibilité très' prononcés, coïncidant avecune
anesthésie
du sens musculaire. La seule différence tient à
ait de l'atrophie muscu- laire, une paralysie motrice complète, une
anesthésie
moin- dre, des réactions électriques différente
ue nous avons publiés. La brusquerie du début, la limi- tation de l'
anesthésie
à un seul membre, sa circonscription très spéci
de laquelle militeraient les raisons sui- vantes : Limitation de l'
anesthésie
à la jambe droite, parésie motrice à gauche, pu
la cuisse. Il ne se demande pas si la distribution segmentaire de l'
anesthésie
est bien en rapport avec l'origine réelle des r
rarement un peu excitée; affaiblissement psychique; nulle part d'
anesthésie
; force égale des deux côtés ; réflexes tendineux
jambe gauche est croisée sur la droite, les pieds sont en équin; l'
anesthésie
est généralisée et complète. Tous les sens sont
é est cyanosée; la malade ressemble à une véritable barre rigide. L'
anesthésie
est absolue et généralisée. On peut traverser l
ù elle se frotte les yeux. Pendant ces diverses phases du réveil, l'
anesthésie
persiste et ne disparait que lorsqu'elle ouvre
e paralysie n'est pas simple, elle s'accompagne de contracture et d'
anesthésie
limitées à ce membre, et souvent aussi de doule
le type hé- miplégique et s'accompagne toujours de contracture et d'
anesthésie
. HISTOIRE D'UNE HYSTERIQUE HYPNOTISABLE. 329
nne une paralysie du membre supérieur gau- che, avec contracture et
anesthésie
, suivie de l'apparition du Dr Bringuier qui la
lysie brachiale droite, laquelle s'accompa- gne de contracture et d'
anesthésie
étendue à tout le côté. Pendant qu'elle est enc
réveil et s'accompagne pour chacun des membres de contracture et d'
anesthésie
. Nous lui ordon- nons ensuite d'aller au fond d
Au bout de quelques instants, on constate qu'il s'est produit une
anesthésie
complète de ce doigt s'étendant à toute la main e
(à un moindre degré du reste que dans la léthargie provoquée). L'
anesthésie
généralisée, que présente ensuite notre malade,
u premier type », F... en présente d'autres un peu différentes. L'
anesthésie
et les contractures sont les mêmes; l'attitude
types. Dans les deux, il y a sommeil, contractures généralisées et
anesthésie
sur tout le corps. A côté de ces caractères com
il spontané que nous avons décrit. Elle dort l'oeil fermé, avec une
anesthésie
de tout le corps et des contractures généralisé
malade atteint d'atrophie musculaire pro- gressive de la main, et d'
anesthésie
partielle du sens thermique sur toute la surfac
ec tous les segments de la moelle épinière situés plus bas ; mais l'
anesthésie
thermique dans la sphère du trijumeau restait i
a région anesthésiée, et le sens musculaire n'avait pas souffert. L'
anesthésie
s'étendait par zones; plus tard elle envahit au
un ma- lade âgé de trente-deux ans, présentant les phénomè- nes d'
anesthésie
des'membres supérieurs, du thorax, du cou et de
était souvent dans les observations citées plus haut, savoir : de l'
anesthésie
thermique et analgésie partielles, de la dystro
t unilatéral ou symétrique des muscles des membres supérieurs, avec
anesthésie
ou analgésie par- 376 PATHOLOGIE NERVEUSE. ti
orvan, au moins la plupart d'entre elles. Ayant vu plusieurs fois l'
anesthésie
s'associer aux panaris, gerçures, engelures, et
attirée sur l'atrophie musculaire compliquée de rares symptômes d'
anesthésie
partielle, ou bien de distro- phies cutanées. N
ces cas, des symptômes fondamentaux plus précoces l'analgésie et l'
anesthésie
thermique, avaient été décrites jusqu'à ce dern
as plus rares de la gliomatose centrale, marchant sans phénomènes d'
anesthésie
par- tielle et, je laisserai de côté la symptom
stiques : une masse de troubles subjectifs de la sensibilité et une
anesthésie
partielle dans la sphère du trijumeau, indiquan
t;f< ! o ? : considérable de cette dernière. Généralisation de l'
anesthésie
termique. Douleurs, pal-esthésies, etc. - Abcès
et la sensibilité électro-musculaire restèrent sans change- ment. L'
anesthésie
thermique occupa peu à peu une région plus gran
ie diminua au membre inférieur droit, mais ensuite parut une zone d'
anesthésie
ther- mique plus profonde dans la moitié inféri
mier interosseux fonc- tionne mieux qu'auparavant. Sensibilité. L'
anesthésie
thermique occupe main- tenant presque la totali
tures de 10°. L'.analgésie est venue se surajouter par places à l'
anesthésie
thermique. Elle est le plus accusée du côté gau
ne provoque pas de sensation douloureuse. Point d'analgésie, ni d'
anesthésie
thermique sur la langue. La malade se plaint dé
aisselles. Dans ce cas aussi, une localisation préliminaire de l'
anesthésie
dans un seul membre et ensuite sous forme d'hém
dents de la malade. Observation VII. Homme de vingt-sept ans. -
Anesthésie
partielle du sens de la tem- pérature dans le m
e. La neurasthénie avait considérablement diminué. La sphère de l'
anesthésie
thermique ne. changeait point, mais le degré de
de l'anesthésie thermique ne. changeait point, mais le degré de l'
anesthésie
devenait moindre : le malade commença à percevoir
ce de 1 l°/2-2°. Aux membres supérieurs et à la poitrine il y a une
anesthésie
plus nette du sons thermique. Son degré n'est p
rchée ; c'est à peine si on men- tionne vaguement la recherche de l'
anesthésie
sensitive. Le caractère des attaques est toujou
iser des personnages imaginaires qui seraient assis dessus. Pas d'
anesthésie
sensitivo-sensorielle évidente; l'examen delà v
faire place à la paralysie et à la l'atrophie. La distribution de l'
anesthésie
cutanée correspond, à très peu de chose près, à
t complète, de paralysie flasque des jambes, de parésie des bras, d'
anesthésie
, d'absence des réflexes cutanés et des phénomèn
eue tout à fait symétriques. Donc aucune espèce de paralysie. Pas d'
anesthésie
; le tact est simplement un peu émoussé à droit
gauche ne présente non plus ni paralysie ni parésie musculaire, ni
anesthésie
. Qu'on lui serre et comprime violemment les pat
les plus divers (du radial, du cubital, du médian, des péroniers).
Anesthésie
, mais moins prononcée. Peu de phénomènes vasomo-
ence, émotion, volonté, produisent tantôt l'hyperesthésie, tantôt l'
anesthésie
, tantôt des perversions ou de la douleur; leurs r
u malade, le 20 juillet 1884. Syndrome de la paraplégie spastique ;
anesthésie
en plaques; troubles vaso-moteurs et urinaires.
nuit. La sensibilité examinée sous tous ses modes a démontré une
anesthésie
par plaques étendues. Sens musculaire parfaitemen
yeux; bourdonnements d'oreilles ; vertiges yyraloires. Paralysie et
anesthésie
des mcm- bres inférieurs; l'extrémité supérieur
minuit, sommeil calme. Au réveil, 7 heures du matin, paraplégie et
anesthésie
com- plète des membres inférieurs. -A 10 heures
pparition au bout de cinq minutes. 23 avril, paraplégie complète et
anesthésie
des quatre extrémités. Le 7 mai, la malade a re
. Au bout de ce temps, paraplégie complète des membres inférieurs ;
anesthésie
; rétention d'urines et de selles. Le 48 juizz,
ants 26, 27 et 28 mai était ce qui suit : immobilisation complète ;
anesthésie
. On le sondait régulière- ment. Lavements purga
bleau caractéristique; nous nous en occuperons peu en passant. I.
Anesthésies
. J'ai observé l'anesthésie thermique, avec cons
nous en occuperons peu en passant. I. Anesthésies. J'ai observé l'
anesthésie
thermique, avec conservation du sens du tact et
vec conservation du sens du tact et du lieu dans tous les dix cas à
anesthésie
partielle, qui se rapportaient à la gliomatose
nombre d'années, vint s'ajouter une analgésie très limitée et une
anesthésie
tactile sur une main à la thermanes- thésie de
ccompagnée d'une analgésie plus étendue ; deux fois les régions d'
anesthésies
partielles de ces deux espèces de sensi- bilité
e de l'analgésie; mais en gé- 1 Dans ce cas (observ. VI), après une
anesthésie
du sens thermique, ayant existé durant lf ans,
à l'exa- men de la sensibilité, aucun n'a noté l'existence de, l'
anesthésie
thermique seule et, sous ce rapport, nos trois
elle en même temps qu'il existait des troubles du sens thermique. L'
anesthésie
se limi- tait à cela ou bien l'on observait des
ute la région à limites caractéristiques, atteinte d'analgésie et d'
anesthésie
thermique ; mais le trouble des deux dernières
ion de la thermanesthésie. Dans le pre- mier temps de la maladie, l'
anesthésie
thermique peut être limitée à un très petit esp
e soit aussi atteinte ; les Observations II et III ne donnent pas d'
anesthésie
marquée du sens thermique à la langue et la sur
s l'OB- SERVATION I l'examen de ces parties. La localisation de l'
anesthésie
est très caractéris- tique : sa disposition se
lui convient le plus d'être rangée. En effet, la disposition de l'
anesthésie
thermique est complètement originale : on peut
itié du cou, de la tête et de la face sont atteints, tantôt que l'
anesthésie
n'arrive qu'à la région du nerf trijumeau et pa
qui est inner- vée par le renflement cervical, nous voyons que l'
anesthésie
ne se distribue pas suivant les nerfs, mais sui
ière. Dans le cas où cette région n'est pas atteinte tout entière l'
anesthésie
ne se localise pas selon les ré- gions des rami
net- tement délimitées et ne différant peut-être que par degrés d'
anesthésie
, tantôt se séparant par des seg- ments à sensib
r des seg- ments à sensibilité normale, A un degré considérable d'
anesthésie
thermique dans toute la moitié du corps, ce tro
aine région du thorax du côté opposé. Nous n'avons jamais observé d'
anesthésie
des deux membres DE LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE. 2
thésie ; dans les deux cas où il y avait une cer- taine symétrie, l'
anesthésie
occupait la région des troisième et quatrième r
à ce que la totalité de la surface de la peau ne soit envahie par l'
anesthésie
. Le degré de la thermanesthésie varie beaucoup.
de température à 20°-30°. 204 PATHOLOGIE NERVEUSE. Les degrés d'
anesthésie
à un certain moment sont ordinairement très dif
ition en zones, en segments, s'observe pour des différents degrés d'
anesthésie
, comme il en est de la thermanesthésie en génér
ons vu sur un endroit limité de l'épaule gauche, à un degré moyen d'
anesthésie
, une diminution relativement plus grande du sen
its où elle s'observe, suit dans sa disposition la même règle que l'
anesthésie
thermique, c'est-à-dire qu'elle se caractérise
constitue pas la règle. La relation existant entre les régions des
anesthésies
partielles parle en faveur de cela. Il n'arrive
utres au- teurs, n'avons observé de l'analgésie isolée sans ther-
anesthésie
. M. Morvan, qui signale dans toutes ses observa
auteurs (OBs ? 11) ; mais en général on la voit très rarement. L'
anesthésie
du sens du tact et du lieu, tantôt ne s'observe
ervait à côté d'une thermanesthésie de la totalité de la peau une
anesthésie
incomplète des autres espèces de sensi- bilité,
re premier cas et surtout chez le malade d'Oppenheim, chez lequel l'
anesthésie
tac- tile incomplète coïncidait avec analgésie
thésie tac- tile incomplète coïncidait avec analgésie complète et
anesthésie
du sens thermique avec distribution carac- téri
n, dans la troisième série des cas les nôtres n'en présentent pas l'
anesthésie
peut se manifester sous la forme habituelle qu'
tableau caractéristique de la maladie. Schup- pel a décrit un cas d'
anesthésie
générale, dans lequel on trouva à l'autopsie le
nous reconnaissons comme typiques de la gliomatose médullaire. Une
anesthésie
de ce genre doit être rangée dans le nombre de
ce dernier. Il avait été excessivement abaissé dans la région de l'
anesthésie
générale de notre neuvième cas. A juger d'après
nées. Les sueurs sont plus souvent augmentées dans la sphère de l'
anesthésie
et parfois à un degré consi- dérable : elles so
médullaire avec atrophie musculaire du type Aron-Duchenne liée a l'
anesthésie
termique avec analgésie. DE LA GLIOMATOSE MEDUL
usculaire et la faiblesse se localisent dans la même région que l'
anesthésie
(OBS. II, III, IV, VI, VIII, IX, X). Plus tard,
en même temps en dehors et en dedans de la bandelette scléreuse. L'
anesthésie
annonce 270 O REVUE critique. autres symptoma
est très marquée (Cas. V et VIII), très souvent au contraire en une
anesthésie
complète (OBS. I, II, III, IV, VI, VII, IX, X,
sie soit incomplète, diminu- tion de la sensibilité, soit complète,
anesthésie
. L'anes- thésie est tantôt uniformément altérée
lité sous AIICIIIVES, t. XVI. 21 370 CLINIQUE NERVEUSE. forme d'
anesthésie
et troubles de la vessie et du rec- tum. Finale
gie des membres inférieurs un peu moins prononcée au membre gauche,
anesthésie
, légère rétention d'urines. Le 4 novembre, il D
leurs en ceinture, chatouillement très fort si la plante des pieds,
anesthésie
en plaques, signe de Romberg. Traitement : trav
eaucoup. Il y a au niveau des membres, çà et là, quelques plaques d'
anesthésie
. Si l'on dit au malade de fermer les yeux, il o
A 6 heures, paralysie des membres inférieurs et du supérieur droit.
Anesthésie
, rétention d'urines. A 11 heures du soir, dispa
d'urines. A 11 heures du soir, disparition de la paralysie, de ~~ l'
anesthésie
et de la rétention d'urines. Auréveil, 3 mai, 7 h
sthésiques. Rétention d'urines. - An bout de 24 heures, paraplégie,
anesthésie
, rétention d'urines ont disparu subitement. Le
tout entier, le gauche étant tout à fait intègre. Rien à la face ;
anesthésie
complète, rétention d'urines. A 10 heures, une
odes, est anesthésique dans toute son étendue. On peut suivre cette
anesthésie
au-dessus du membre droit jusqu'à la moitié dro
de la base du thorax. Au membre gauche, on découvre trois plaques d'
anesthésie
dont l'une siège presque au milieu de la partie
n des membres paralysés. Impossibilité de marcher dans l'obscurité.
Anesthésie
en plaques. Exaltation des réflexes rotuliens,
orps tout entier. L'examen de la sensibilité a relevé des plaques d'
anesthésie
à diverses régions des membres paralysés. Le se
r d'estomac, des doideurs aux articulations des coudes. Paraplégie,
anesthésie
, rétention d'urines et de selles, pouls petit,
t qu'il était impossible au malade de faire le moindre mouvement. L'
anesthésie
était complète dans tous ses modes : rétention
e au genou gauche, dyspnée d'une demi-heure de durée. - Paraplégie,
anesthésie
, rétention d'urines et de selles suivie d'incon-
très prononcée au point que le malade ne pouvait se tenir debout;
anesthésie
, incontinence d'urines et de selles, secousses, c
bite et complète des deux membres inférieurs et du supérieur droit,
anesthésie
, rétention d'urines pendant deux jours. Dans la
ise pour trouver une explication toute prête des phéno- mènes des
anesthésies
partielles, des symptômes tro- phiquesetvasomot
erplastique. Des faits cliniques nous obligent aussi de rattacher l'
anesthésie
à une lésion des cornes postérieures : la répar
trijumeau ont été trouvées alté- rées chaque fois qu'il y avait une
anesthésie
partielle des parties correspondantes. Mais que
e ce symptôme et les lésions anatomiques ? L'intensité variable des
anesthésies
par- tielles souvent peu prononcées, malgré leu
tomiques, qui paraissent parler en sa faveur. Dans certains cas d'
anesthésie
partielle, on voit une destruction en ap- 404 P
ur qua- lité servira à déterminer le caractère de ces troubles, l'
anesthésie
thermique ou l'analgésie, ou bien l'une -ou l'a
nférieure du renflement cervical, serait celle de l'OBSERVATION V à
anesthésie
générale de la moitié externe de la main. La
e le plus caractéristique et le plus constant de la maladie est l'
anesthésie
partielle du sens de la température, plus souve
men delà sensibilité du ma- lade. Leur existence en elle-même, sans
anesthésie
partielle concomitante, n'a pas de significatio
ptômes indubitables de tabès et l'ab- sence de la distribution de l'
anesthésie
caractéristique de la gliomatose lèvent la diff
es névrites périphériques, per- sonne n'a observé jusqu'à présent d'
anesthésie
ther- mique partielle, quoique l'attention ait
xtension du processus sur la région du nerf trijumeau; ou bien si t'
anesthésie
partielle est limitée par la ligue médiane du c
ée de tabès dorsalis. L'existence de l'analgésie partielle, ou de l'
anesthésie
tactile est assez souvent observée dans cette m
. M. Bolko Stern =3) fait remarquer que dans cinq cas de tabes, l'
anesthésie
avait débuté par le sens de la tempéra- ture av
e de la moelle épinière; DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 4J5 J 3). L'
anesthésie
thermique dans les membres infé- rieurs sans au
uelques cas de lèpre anesthétique, grâce à l'atrophie musculaire, l'
anesthésie
thermique et l'analgésie (Ro- senbach 3') surto
s cas de lèpre dans lesquels elle se voit. L'analgésie et surtout l'
anesthésie
ther- mique n'arrêtent pas pour la plupart du t
ceinture scapulaire etc., accompagnée d'analgésie partielle ou d'
anesthésie
thermique, comme nous l'avons dit plu- sieurs f
ale; mais l'ab- sence de ce dernier symptôme ou l'existence d'une
anesthésie
plus ou moins étendue de tousses modes de sensi
e même. Si notre hypothèse un peu compliquée sur l'o- rigine de l'
anesthésie
partielle est juste, nous avons peu d'espoir de
iques par la voie de l'étude anato- mique de cas de gliomatose avec
anesthésie
partielle. Mais, indépendamment de cela, nous p
et d'examiner avec pré- cision le caractère et la localisation de l'
anesthésie
et d'autres symptômes cliniques. 11 faut être t
a déglutition. Paralysie totale de la moitié gauche du larynx, avec
anesthésie
et perte de l'excitabilité réflexe. Nystagmus rot
diabète sucré. - Ilamaide : Contribution ci l'étude clinique des
anesthésies
dépendant de lésions en foyer de l'écorce cérébra
des malades y surajoute ? C'est ainsi que, prenant pour exemples « l'
anesthésie
», « l'achro-matopsie », « le transfert », C( les
moments de secousses générales qui la font sauter sur sa chaise. L'
anesthésie
est complète et totale1. Elle existe des deux côt
a des hallucinations. Elle voit des rats et des chats courir les 1.
Anesthésie
totale, avec prédominance à gauche. 2. Hémianes
ssement appréciable que nous avons signalé, elle faisait place à de l'
anesthésie
, avec sensation d'engourdissement dans les doigts
me symptôme permanent de Fhystéro-épilepsie, et accompagne toujours l'
anesthésie
, dont elle semble partager le sort, apparaissant
clatent les grandes attaques. § 4. — TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ L'
anesthésie
totale, ou le plus souvent d'une moitié du corps
euse; c'est l'analgésie. Pendant les jours qui précèdent l'attaque, l'
anesthésie
survient si elle n'existe pas et remplace l'analg
l'hyperesthésie précédait les attaques, elle était remplacée par de l'
anesthésie
quand celles-ci devenaient imminentes. La sensi
ce qui ne veut pas dire que l'une ne saurait exister sans l'autre. L'
anesthésie
cutanée peut exister sans que les sens soient att
le début de ce travail. Après une guérison temporaire de huit mois, l'
anesthésie
revient précédant de huit jours une rechute. La v
s la tentative faite peu de temps avant l'apparition des at-taques, l'
anesthésie
ne s'est trouvée modifiée en aucune façon. se m
end le « bour-don » et les « cloches qui sonnent à toute volée ». L'
anesthésie
cutanée est complète à droite, la main droite peu
chaque côté du sternum. Le point hystérogène situé du même côté que l'
anesthésie
est également insensible à la piqûre. Par contre
, n'a qu'un seul point hystérogène antérieur situé du même côté que l'
anesthésie
, près du bord gauche du sternum, et sur ce point
e qu'une malade ne saurait in-venter, je rappellerai la présence de l'
anesthésie
cutanée et senso-rielle, et les effets delà compr
stant, je veux ne me servir de ce fait que pour montrer jusqu'où va l'
anesthésie
sensorielle pendant l'attaque. Pendant tout le te
vé quelques-uns des troubles qui rentrent dans la quatrième période :
anesthésie
, contracture de la main gauche, amaurose passagèr
ôté gauche, de la contracture, suivie le lende-main de paralysie avec
anesthésie
. 14 avril. — On constate de la contracture de l
e rapprochement : contractures partielles, paralysies partielles avec
anesthésie
, contractions choréiformes, hallucinations variée
re douleur. A ce moment (12 novembre) nous avons constaté que cette
anesthésie
existait également dans les intervalles qui sépar
coup trois attaques, et est rentré chez lui plus sombre que jamais. L'
anesthésie
persiste toujours, totale et complète. Nous avo
and ouvert fixé sur la lumière, la conjonc-tive injectée et humide. L'
anesthésie
est complète. Si la malade ^était hémianesthésiqu
es globes oculaires dans diverses direc-tionsS et la persistance de l'
anesthésie
totale et absolue. Tel est ce qu'on pourrait ap
t ainsi caractérisés : État cataleptique. — L'œil est grand ouvert;
anesthésie
totale et absolue; aptitude des membres et des di
sistant de la paupière supérieure ; convulsion des globes oculaires ;
anesthésie
totale et absolue ; hyperexcitabilité mus-culaire
, sont conservés du côté non hémianesthésique à l'état de veille. L'
anesthésie
à la piqûre est complète. La malade répond aux qu
lus constants de l'état hypnotique. « Il peut exister, dit-il, avec l'
anesthésie
comme avec l'hyperesthésie... Il est le premier (
e premier (phénomène) qui se produise et peut se montrer avant môme l'
anesthésie
. » Enfin nouveau rapprochement avec l'état cata
ment étendu ^ J'en résumerai ainsi les principaux caractères : 1°
Anesthésie
totale à la douleur de la peau et des muqueuses.
peau et des muqueuses '\ 1. Lasègue, loc. cit., p. 493. 2. Celle
anesthésie
a été signalée par la plupart des auteurs qui se
sait. Pour nous, nous avons toujours rencontré chez nos hystériques l'
anesthésie
complète . et absolue, nous l'avons toujours vue
Des malades en proie a de vives douleurs ont pu bénéficier de cette
anesthésie
artificielle. D'après Demarquay et Giraud-Teulo
une manière irréfragable. (Loc cit., p. 10). « Pendant la période d'
anesthésie
survient celle d'hyperesthésie; je m'aperçois de
rien n'y fit, la malade semblait plongée dans un sommeil profond avec
anesthésie
générale et résolution musculaire. Voyant durer c
solution musculaire. Voyant durer cet état qui ressemblait (n'était l'
anesthésie
absolue) à un sommeil naturel, nous retirâmes l'a
estant ainsi pendant dix minutes sans que rien survint, ni sommeil ni
anesthésie
, nous mîmes (toujours sans rien faire savoir àia
retomba de la même manière, dans un état de sommeil com- plet avec
anesthésie
générale. Cette fois, au lieu de retirer l'aimant
ardy, soit devant les élèves de la clinique, toujours le sommeil avec
anesthésie
, véritable état léthargique, se produisit dans le
ait com- 1. Landouzy, Prog. méd. 25 janv. 1879. p. 01. plète et l'
anesthésie
totale et absolue. Il ne s'accompagnait pas de rê
nservent, au milieu de toutes les apparences du som-meil, et malgré l'
anesthésie
générale la plus complète, l'usage d'un ou de plu
ne de l'autre, les pieds en pied bot équin. Perte de connaissance. —
Anesthésie
. On peut lui transpercer les bras sans provoquer
s écoulé. Dans l'intervalle des accès, il n'y a pas d'ovarie, pas d'
anesthésie
, les points d'hyperesthésie persistent. Elle supp
alade conserve pendant longtemps des attitudes pénibles à garder. L'
anesthésie
est générale et complète, elle intéresse la sensi
s la contracture permanente du muscle sur lequel elle est portée. L'
anesthésie
cutanée est totale. La conjonctive oculaire con
examinant la ma-lade peu de temps après l'attaque, on constatait une
anesthésie
et une anal-gésie complètes de toute la surface d
nd embarras quand on lui'répétait tout ce qu'elle venait de dire. L'
anesthésie
et l'analgésie persistaient pendant une demi-jour
sion est plus faible de ce côté. ... En janvier 1875, en outre de l'
anesthésie
, l'état hystérique de Marie Lecomte se traduisait
ond aux questions qu'on lui adresse par un léger mouvement de tête. L'
anesthésie
est absolue ; le pouls est calme et régulier...
e et régulier... Le 7. Somnolence. Parle peu, mais raisonnablement.
Anesthésie
. Le 8. Assoupissement. On ne parvient pas à rév
immobiles; les pupilles normalement dilatées et normalement mobiles.
Anesthésie
absolue de la peau et des mu-queuses. L'attouchem
is elle n'a pas sa connaissance. — La déglutition est impossible. — L'
anesthésie
persiste. — Les paupières sont mobiles, mais comm
e 10. Au matin la malade a paru se réveiller. La somnolence persiste.
Anesthésie
sans catalepsie. Le 17. Pas de retour de la con
a sa connaissance, mais parle peu et avec difficulté. — Amblyopie. —
Anesthésie
sans catalepsie. Le 20. La somnolence qui persi
détails suivants. Il existait dans tout le côté droit du corps une
anesthésie
très profonde, allant jusqu'à la perte du sens mu
des aliments (elle ne vit que de crudités et de vinaigre) et de plus
anesthésie
profonde de la peau, perte de la sensibilité tact
de la peau, perte de la sensibilité tactile, thermique et musculaire,
anesthésie
complète de l'odorat et du gotit. Voici quelque
a bouche, ronflement, puis résolution et retour au somnambulisme avec
anesthésie
complète et géné-rale..... En résumé, il ressor
de montre.très nettement une douleur ovarienne gauche. Il n'y a pas d'
anesthésie
nette de ce coté. Elle est assez bien réglée. Les
s crises convulsives épileptiformes, même en l'absence de symptômes d'
anesthésie
ou d'hyperesthésie, indiquent suffisamment que la
uestion de vomissements, de paralysie du membre inférieur droit, avec
anesthésie
, tympanite, hématémèse, hypéresthésie de la régio
permanents. Ils consistent en des troubles divers de la sensibilité (
anesthésie
,hyperesthésie...), delà motilité (paralysie, cont
bles de la motilité. CHAPITRE PREMIER QUELQUES FAITS RELATIFS A l'
ANESTHÉSIE
HYSTÉRIQUE Uanesthésiehysténqiie,hien connue de
u son extension paraît en rapport avec la gravité de l'affection. L'
anesthésie
peut être distribuée à la surface du corps assez
(hémianeslhésie) ou s'étend à la totahté de l'enveloppe cutanée. L'
anesthésie
hystérique peut porter également sur les organes
ment atteints. Le plus souvent l'a-nesthésie sensorielle accompagne l'
anesthésie
sensitive; mais, de même qu'il existe des cas dan
hésie sensitive; mais, de même qu'il existe des cas dans lesquels une
anesthésie
cutanée profonde ne s'accompagne d'aucun trouble
trouble du côté des organes des sens, de même on a vu des exemples d'
anesthésie
sensorielle prononcée ne s'accompagner que d'un l
pagner que d'un léger affaiblissement de la sensibilité générale. L'
anesthésie
sensitive en effet peut exister à des degrés très
st debout, n'est plus capable de conserver son équilibre. Lorsque l'
anesthésie
est complète, les membres peuvent être transfixés
ues obser-vateurs à établir entre la constrictiondes capillaires et l'
anesthésie
une relation de cause à effet. De plus les piqûre
les faits eux-mêmes plaident contre la théorie qui ferait dépendre l'
anesthésie
d'une action vaso-motrice, car dans bien des expé
cune façon la marche de la sensibilité. Quel que soit le degré de l'
anesthésie
, les malades en sont rare-ment gênés. Beaucoup so
ent l'attention du médecin. Au point de vue de la distribution de l'
anesthésie
hystérique, une des formes les plus fréquentes da
e grave et des plus intéressantes à cause de ses ressemblances avec l'
anesthésie
cérébrale de cause organique, est l'hémianesthési
. Les organes des sens sont également intéressés du même côté, et l'
anesthésie
porte à la fois sur tous les sens, sur la vue et
compte par l'emploi du dynamo-mètre. Ces deux phénomènes, parésie et
anesthésie
, semblent liés l'un à l'autre et M. Burq a montré
e par M. Charcot. M. Bourneville en cite un exemple : chez Besch... l'
anesthésie
existe à droite et l'hyperesthésie ovarienne, ave
tivement le côté gauche 23 fois et le côté droit 11 fois. Souvent l'
anesthésie
après avoir été circonscrite plus ou moins longte
ngue pas le violet est, dans la règle, une hystérique déjà atteinte d'
anesthésie
. Ce trouble de la sensibi-lité oculaire peut, dan
lpeut devenir alors d'une ressource précieuse pour le diagnostic. L'
anesthésie
hystérique subit spontanément certaines variation
ous le nom d'agents a3sthé-siogènes, et sur leur mode d'action dans l'
anesthésie
hystérique- AGENTS ^STHÉSIO GÈNES Nous toucho
la sensibilité, peuvent dans des circon-stances spéciales produire l'
anesthésie
: de plus, ils ne se bornent pas à agir sur la se
re les mains de M. Vulpian, ramené la sensibilité dans certains cas d'
anesthésie
d'origine cérébrale. M. Vigouroux considère Y é
, le graphite, le fluorure de calcium, etc.. (Parona), etc., etc. l'
anesthésie
hystérique peut DISJ'araitre momentanément tou-te
ous disons momentanément, car, en prolongant l'expé-rience, on voit l'
anesthésie
reparaître en commençant par les parties qui lui
ant par les parties qui lui étaient devenues sensibles les dernières (
anesthésie
de retour, de Burq), après quoi la malade se retr
tif. La durée totale de l'expérience, comprenant la dis-parition de l'
anesthésie
et son rétablissement, varie dans d'aussi grandes
t de trente kilogrammes. DANS L'iIÉMIANESTHÉSIE LA DISPARITION DE L'
ANESTHÉSIE
EST LIÉE AU PHÉNOMÈNE DU TRANSFERT. Ce phénomèn
plication des métaux. Voici en quoi il consiste : la disparition de l'
anesthésie
sensorielle ou sensitive dans un point du corps
t le côté droit est devenu insensible. Au bout de quelques instants l'
anesthésie
revient au côté gauche, laissant le côté droit re
phénomènes métalloscopiques (Vigouroux). Le même fait a lieu pour l'
anesthésie
provoquée dont nous par-lerons dans un instant. L
emple, on fait l'application sur le côté sain, on voit se pro-duire l'
anesthésie
au lieu de l'application, et la sensibilité revie
différence qu'on 1' obtenu en commençant par produire directement l'
anesthésie
. De môme que le phénomène du transfert, les oscil
ue précédemment. Chez une malade qui ne présente pas actuellement d'
anesthésie
, mais chez laquelle la diathèse hystérique existe
lle la diathèse hystérique existe en quelque sorte à l'état latent, l'
anesthésie
provoquée peut être obtenue par les diverses appl
e les travaux de la Commission ont justement mise en lumière. Cette
anesthésie
, désignée également sous le nom d'anesthésie méta
mise en lumière. Cette anesthésie, désignée également sous le nom d'
anesthésie
métallique ou port-métallique, débute simultanéme
u corps et cela dans un ordre inverse à celui de l'envahissement de l'
anesthésie
provoquée. M. Charcot a fait remarquer que la f
arcot a fait remarquer que la facilité avec laquelle se pro-duisait l'
anesthésie
provoquée diminuait chez les malades à mesure que
de cette diathèse chez une hystérique qui ne présenterait pas trace d'
anesthésie
, et aussi de constater la so-lidité de la guériso
our devenir sensibles à un autre métal jusque-là demeuré inactif. L'
ANESTHÉSIE
HYSTÉRIQUE EST d'ORIGINE CÉRÉBRALE Cette propos
a vue et l'odorat. Je ne ferai que rappeler ici que, dans les cas d'
anesthésie
due à à une lésion organique cérébrale ou à une i
ts œsthésiogènes ramènent la sensibilité delà même façon que dans les
anesthésies
hystériques. La différence consiste en ceci que d
lité sous leur action plaident en faveur de l'origine cé-rébrale de l'
anesthésie
hystérique. Je rappellerai l'éclosion simul-tanée
server chez les hystériques il en est un qui accompagne constamment l'
anesthésie
et se traduit par un affaiblissement marqué de la
té. Le plus souvent, le membre contracture est en même temps frappé d'
anesthésie
. Nous verrons que, chez les hystériques hémianest
ment obtenus sur la jambe droite, mais à un degré beaucoup moindre. L'
anesthésie
cutanée est complète et totale. Le sens musculair
l, que l'hyperesthésie et les douleurs font place, tôt ou tard, à une
anesthésie
plus ou moins absolue; cependant la contracture m
DES CENTRES MÉDULLAIRES. Nous avons vu que le siège anatomique de l'
anesthésie
hysté-rique ne résidait pas dans les extrémités n
s aux explorations de ce genre pour être convaincu de la réalité de l'
anesthésie
. Je n'ajouterai qu'un mot, mais qui me paraît déc
our de la sensibilité, le transfert, les oscillations consécutives, l'
anesthésie
provoquée, le retour ou la disparition de la visi
am-tam impressionnait le plus en dehors des crises. Ceci prouve que l'
anesthésie
générale qui survient à ce moment et dure tout le
e clinique sur la mctalloscopie et la métallotliérapie externe dans l'
anesthésie
.Varh, 1879. Macqret, De Vaimantation au point d
cqret, De Vaimantation au point de vue médical et en particulier dans
anesthésies
. Paris,1880. Des observateurs distingués du siè
eux le procédé d'électrisation qui nous a paru le plus efficace. 1"
Anesthésie
cutanée et sensorielle. — La perte de la sensibil
s plus impor-tants de l'hystérie; de l'existence et de la fixité de l'
anesthésie
semblent dé-pendre, en général, les manifestation
tions accessoires de circulation et de température qui accompagnent l'
anesthésie
. L'achromatopsie est transférée en même temps, ai
électrique sur un point quelconque du côté sain. On produit ainsi une
anesthésie
qui par transfert ou pour mieux dire par compensa
ualifier d'analogue. Exemple : chez une hémianesthésique une plaque d'
anesthésie
est produite soit directement soit par transfert
duire des applications thérapeutiques importantes. Revenons à notre
anesthésie
tenace : on peut se contenter du simple bain élec
suivant l'état de la sensibiHté. 1° Simple diathèse hystérique sans
anesthésie
présente. Production de l'anes-thésie (anesthésie
èse hystérique sans anesthésie présente. Production de l'anes-thésie (
anesthésie
provoquée, voy. pag. 5-i7) au point de l'appHcati
lise en suivant exactement la marche indiquée pour la production de l'
anesthésie
provoquée générale. 3» Hémianesthésie. A. L'app
t pas de mêni signe dans les deux côtés du corps. Ainsi aux plaques d'
anesthésie
qui apparais sent du côté de l'application, corre
elle qu'on pourrait supposer n'intervenir que comme rubéfiant. Si l'
anesthésie
est totale, le procédé est exactement le même. Le
suivi par l'autre, généra-lement sans transfert ni oscillations. L'
anesthésie
partielle d'un membre par exemple est ordinaireme
larité utile à connaître, l'action électrique, au lieu de supprimer l'
anesthésie
, commence par en augmenter l'étendue et ce n'est
tilisée pour le diagnostic dont nous parlerons plus loin. Quand cette
anesthésie
limitée est concomitante d'une paralysie ou d'une
électrisation. Restent à indiquer les variétés que peut présenter l'
anesthésie
au point de vue de sa mobilité. Ainsi qu'il vient
séances que cette mobilité se prononce. Nous observions récemment une
anesthésie
totale qui semblait résister à l'électrisation pr
le seul résultat persistant que donnent les premières séances dans l'
anesthésie
totale. de signe différent des deux côtés du co
le retour de la sensibilité qui est le phénomène primitif et c'est l'
anesthésie
qui est produite dans les points symétriques. C'e
btenus et le transfert. C'est surtout, mais nen exclusivement, dans l'
anesthésie
partielle que l'on voit manquer le transfert, ou
ervalles. Chez un jeune homme fran-chement hystérique nous avons vu l'
anesthésie
totale disparaître graduelle-ment et uniformément
paraître. En un mot dans les cas réguliers on peut dire que traiter l'
anesthésie
, c'est traiter la maladie elle-même. Nous ne voul
précédentes. S'ils sont isolés on leur appli-quera le traitement de l'
anesthésie
partielle, qui les accompagne du reste le plus so
e phénomène morbide. Le mécanisme étant absolument le même que pour l'
anesthésie
simple nous ne répéterons pas ce qui a été dit pl
Mais celle-ci n'a jamais été définitive qu'après la disparition de l'
anesthésie
. A propos de ce transfert des contractures, rap
bien par l'électrisation statique, mais plus facilement quand il y a
anesthésie
que dans le cas contraire. Nous n'avons échoué qu
ésultat est plus facile à obtenir lorsqu'il existe en même temps de l'
anesthésie
. C'est alors cette dernière qu'il faut modifier.
ostic. — M. Charcot a au-trefois signalé la possibilité de produire l'
anesthésie
par les sesthésiogènes, comme un signe diagnostic
e l'évolution naturelle de la maladie et par suite sa terminaison. (L'
anesthésie
provoquée s'observe aussi chez l'homme.) ,En ré
ontracture de l'œsophage, attaques convulsives) et de la sensibilité (
anesthésie
, hyperesthésie). Au sujet de ce qui advint aux
ables purent être notées sur la plupart des nonnes du couvent^. » L'
anesthésie
est signalée chez les moinesses de Kintrop, qui,
tous les signes que nous avions constatés chez elle, les attaques, l'
anesthésie
, les contractures et le reste, n'étaient que le r
u près nor-mal dans l'intervalle des crises; mais, pendant l'accès, l'
anesthésie
ne faisait jamais défaut. Elle offrait ceci de pa
firmer notre manière de voir. Le premier réside dans la présence de l'
anesthésie
hystérique qui devait aider singulièrement les pa
pirer. Pour nous, notre étonnement sera moindre, si nous songeons à l'
anesthésie
profonde qui est un des symptômes les plus fréque
OU GRANDE HYSTÉRIE Chapitre premier. — Quelques faits relatifs à l'
anesthésie
hystérique.. 528 Agents sesthésiogènes.........
sesthésiogènes.............................................. 533 L'
anesthésie
hystérique peut disparaître momentanément toutefo
iations...................................................... 548 L'
anesthésie
hystérique est d'origine cérébrale...............
e fobservateur à fabri de la simulation.... A. En ce qui concerne l'
anesthésie
hystérique et l'influence qu'exercent sur elle
, en l'espèce, ont une importance de premier ordre ; ce sont : de l'
anesthésie
du périnée ; de l'hypoesthésie à la face intern
ous vos yeux vous permettra de vous rendre un compte exact de cette
anesthésie
(ou hypoesthésie) qui intéresse la sensibilité so
e ces troubles de la sensibilité, nous avons acquis la preuve que l'
anesthésie
n'était pas limitée au tégu- ment externe, qu'e
relevons chez cette femme peut se résumer dans ces quelques mots :
anesthésie
dou- loureuse, à distribution bien définie. J'i
s l'ordre dans lequel je viens de les relever : C'est d'ahord une
anesthésie
du bord inférieur du pied gauche, du périnée, d
l'2crètlcre, de la vessie et du rectum, avec incontinence d'urine;
anesthésie
coïncidant avec de l'hy- peresthésie et des dou
olonne vertébrale; c'estpourquoi,j'ai qualifié tout à l'heure cette
anesthésie
de douloureuse. 1 . Je vous ai fait constater e
nféro-externe de la jambe et sur le dos du pied, quelques plaques d'
anesthésie
. ' Voilà un tableau assez net, et dont il vous
de l'incontinence des matières fécales. Je constatai, en outre, une
anesthésie
très nette du périnée et de la vulve, de la fes
ans un seul membre inférieur-et dans la région sacro-coccygienne; l'
anesthésie
du périnée, et de certains terri- toires du mem
peu- vent passer facilement inaperçus. Cela s'applique surtout à l'
anesthésie
et à l'hypoesthésie. C'est ainsi que l'anesthés
lique surtout à l'anesthésie et à l'hypoesthésie. C'est ainsi que l'
anesthésie
a été méconnue chez la ma- lade ici présente, p
er, de même que les troubles du côté de la vessie ou du rec- tum, l'
anesthésie
peut passer inaperçue. Quelles sont donc les af
ts de différenciation dans la recherche des troubles vésicaux, de l'
anesthésie
du périnée, de l'eschare fessière, toutes manif
us pouvons trouver là une association de phénomènes doulou- reux, d'
anesthésie
ou d'hypoesthésie et d'atrophie. Seulement, cette
GRAPHIE DE ,LA SALPÊTR1ÈRE Paraplégie douloureuse, compliquée d'une
anesthésie
cutanée, assez nettement circonscrite, n'affect
n rapport, à la fois, avec une paralysie des sphincters et avec une
anesthésie
de la vessie et du rectum. Ajoutez, à ces sym
, chez quelques malades, l'existence de zones d'hyperesthésie. b)
Anesthésie
. L'anesthésie est une manifestation constante dan
ues malades, l'existence de zones d'hyperesthésie. b) Anesthésie. L'
anesthésie
est une manifestation constante dans les cas d'
tions, on trouve mentionnée la prédominance de l'analgésie. Cette
anesthésie
est toujours circonscrite, et sa distribution, su
assez grande régularité. Et, d'abord, il est extrêmement rare que l'
anesthésie
occupe toute l'é- tendue des membres inférieurs
néale du hon- teux interne, etc., etc. Cette circonscription de l'
anesthésie
se trouvait réalisée dans des cas où l'autopsie
ention spéciale à cette par- tie de notre sujet. Habituellement l'
anesthésie
envahit les membres inférieurs, et alors elle e
ubles ne manquent jamais. Voici leurs caractères : Par suite de l'
anesthésie
et de la paralysie motrice de la vessie, les ma-
DE LA SALPETRIÈRE laxatifs. Cette coprostase reconnaît pour cause l'
anesthésie
dû rectum, compliquée ou non d'une parésie motr
ez, parce que je vous en ai dit précédemment. La parésie motrice, l'
anesthésie
, les troubles de la miction,' de la défécation et
une aggravation progressive. La paralysie motrice aussi bien que l'
anesthésie
peuvent perdre en étendue et en intensité ; les t
onné de bons résultats : atténuation des douleurs ; diminution de l'
anesthésie
et de la paralysie motrice aux membres inférieu
ales, et-il n'a plus conscience de ses évacuations involontaires. L'
anesthésie
cutanée dépasse, en haut, la racine des membres
membres inférieurs, la paralysie sensitivo-motrice est complète : l'
anesthésie
occupe toute l'étendue des membres inférieurs, et
des troubles de la miction et de la défécation, en rapport avec une
anesthésie
et une paralysie de la vessie et du rectum, et
ysie de la vessie et du rectum, il l'impuissance génitale et à de l'
anesthésie
cutanée ayant la distribution que je vous rappe
tumeur du FILUM terminale). . b) Ces mêmes symptômes associés à une
anesthésie
à distribution bien . nette : scrotum ou grande
ine, d'inconti- nence des matières fécales et de constipation, avec
anesthésie
de la zone génito-périnéo-ano-fessi8re, et, en
térieure de la cuisse, de tous les muscles de la jambe et du pied ;
anesthésie
de la face postérieure de la cuisse et de la ja
sensitivo-motrice complète de la totalité des membres inférieurs, l'
anesthésie
remontant jusqu'à la partie inférieure du ventr
ibilité est abolie dans toute l'étendue des membres inférieurs et l'
anesthésie
re- monte jusqu'au-dessus du pubis. Elle se con
niveau de la 12° vertè- bre dorsale, l'hyperesthésie fait place à l'
anesthésie
dans cette même zone. Il n'y a pas lieu de comp
DE CHEVAL 105 tie postéro-latérale de la jambe ; enfin, au pied, l'
anesthésie
ne respecte qu'une zone contiguë au bord intern
dducteurs et des muscles de la région antérieure de la cuisse, avec
anesthésie
incomplète, dans cette même région (catégorie f
ngt-cinq ans, Anne Augier est subitement frappée de paraplégie avec
anesthésie
s'accompagnant d'atrophie musculaire. En effet,
autre part le malade nous délimita sur son membre malade une zone d'
anesthésie
tac- tile occupant : du côté dorsal, le petit d
ypo- esthésie située du côté dorsal se transforme en zo- ne d'
anesthésie
. NÉVRALGIE DE LA Ville RACINE POSTÉRIEURE CERVI
obliques. Les lignes horizontales rappellent la dis- tribution des
anesthésies
antérieures à l'opération. Fic. 21 et 25. Bande
disparu. Il ne persiste somme toute que l'atrophie musculaire et l'
anesthésie
dues aux opérations qui avaient précédé la notr
0 et 31). Les limites de ce territoire anes- thésié il s'agit ici d'
anesthésie
sont nettes et régulières. Elles encla- vent sy
etit sciatique et des nerfs sacrés. Vous voyez, d'autre part, que l'
anesthésie
se prolonge sur la face interne des deux cuisse
t anesthésiques. Il y a toutefois une différence dans le degré de l'
anesthésie
. Tandis que dans le territoire cruro-fessier l'
egré de l'anesthésie. Tandis que dans le territoire cruro-fessier l'
anesthésie
est absolue et les sensations tactiles, doulour
loir bien retenir la symétrie et' la localisation étroite de celle
anesthésie
cutanée, car j'invoquerai tout il l'heure ces d
causale. 152 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Avec celte
anesthésie
cutanée coexiste une anesthésie complète desmn-
RAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Avec celte anesthésie cutanée coexiste une
anesthésie
complète desmn- qneuses an-reclale et lll'l;Ill
une tumeur du filmn terminale. 2° Mêmes symptômes associés ci une
anesthésie
localisée nettement il la verge, au scrotum (au
rs ont conservé leur motilité et leur trupliicité normales et que l'
anesthésie
est exactement limitée aux domai- nes cruro-fes
ro-fessier et ano-périnéo-génitaL Vous savez pareillement que cetle
anesthésie
est bilatérale et presque absolument symétrique.
e l'urine et des matières, de la perte de l'érection et enfin d'une
anesthésie
cutanée localisée aux régions cruro- fessière e
re connais- sance. l '. DU RAPPORT DE L'ECZÉMA CHRONIQUE AVEC L'
ANESTHÉSIE
DE LA PEAU PAR le Professeur STOUKOVENKOFF (d
g. 43 - Fin. 44 Fie. 45 DU RAPPORT DE L'ECZÉMA CHRONIQUE AVEC L'
ANESTHÉSIE
DE LA PEAU 169 Je commencerai par un bref résum
us du pied gauche et de la surface antérieure de la jambe gauche. L'
anesthésie
de la peau comprend toutes les variétés de la sen
t affecté depuis 2 ans d'un eczéma récidivant des doigts des mains.
Anesthésie
à la douleur des extrémités gauches. Faiblesse
de la jambe gauche. Grâce il un traitement fortifiant, l'eczéma, l'
anesthésie
et la faiblesse ont disparu. (Fig. 33) III. U
s ans d'un eczéma de la face, du cou et des extrémités supérieures.
Anesthésie
des membres supérieurs et du dos par zones : de
32 ans, est affecté depuis 19 mis d'un eczéma du dessus des mains.
Anesthésie
à la douleur des extrémités supérieures. Un , .
e goudron et d'onguent diachylon ont fait disparaître l'eczéma et l'
anesthésie
. (Fig. 38) V. Une blanchisseuse de 30 ans est a
n eczéma récidivant du dessus des mains, des cuisses et des jambes.
Anesthésie
il la la douleur des extrémités supérieures et
rce, âge de 45 ans, est arrecté d'un eczéma ré- cidivant des mains.
Anesthésie
il la douleur des extrémités supérieures. Irrita-
affecté depuis 6 ans d'un eczéma récidivant de la paume des mains.
Anesthésie
il la douleur des mains et'des avant-bras ; de
depuis plusieurs années d'un eczéma récidivant du dessus des mains.
Anesthésie
à la douleur et anes- thésie tactile des extrém
eures. Au bout de 3 ans, l'eczéma était resté au même point, mais l'
anesthésie
n'occupait plus que les parties inférieures de
s d'un an d'une érup- tion récidivante des mains et des avant bras.
Anesthésie
de toutes les variétés do la sensibilité dans l
es plus tard a montré certaines variations dans la répartition de l'
anesthésie
. (Fig. 43) X. Un cordonnier, âgé de 31 ans, est
ffecté depuis 4 ans d'un eczéma récidivant de la paume des mains.
Anesthésie
il la douleur des mains, des bras, de la poitri
uis 5 ans d'un eczéma chronique des mains, des bras et des pieds.
Anesthésie
il la douleur du tronc et des extrémités. (Fig.
3 ans, est affecté depuis 14 ans d'un eczéma de la paume dos mains.
Anesthésie
de toutes les variétés de sensibilité, particul
EC L'ANESTHÉSIE DE LA PEAU 171 Le caractère de la réparti lion de l'
anesthésie
a été le plus souvent régio- nal (par membres o
aractères n'étaient pas sévèrement soutenus. Pour les varioles de l'
anesthésie
, dans la majorité des cas, 7, on a ob- servé l'
oles de l'anesthésie, dans la majorité des cas, 7, on a ob- servé l'
anesthésie
à la douleur; dans le plus petit nombre, 4, l'ane
b- servé l'anesthésie à la douleur; dans le plus petit nombre, 4, l'
anesthésie
a toutes les variétés de sensibilité; enfin dan
selon les parties du corps atteintes (III et IX). L'intensité de l'
anesthésie
variait depuis un affaiblissement insignifiant
té, ce qui s'observait parfois chez un même malade. Le cours de l'
anesthésie
a été lent dans certains cas (jusqu'à 3 ans) et
'hysté- rie et le syringomyélie, auxquelles on pourrait attribuer l'
anesthésie
ob- servée dans les 12 cas cités, il faut tirer
APLIIE DE LA SALPÉTRIÈHE tracture des deux avant-bras accompagnée d'
anesthésie
: « Pourrait-on voir, dans cette contracture lo
nution de la sensibilité dans les régions symétri- ques aux zones d'
anesthésie
du côté gauche. Enfin larges plaques anesthésiq
pitale. Pas de zones hystérogènes. Point douloureux épigastrique.
Anesthésie
bucco-pharyngienne complète. Le malade avalait de
orizontale passant par l'épi- gastre ; au membre inférieur gauche l'
anesthésie
à la piqûre ne remonte pas au delà d'une ligne
Il s'agit donc de troubles dissociés de la sensibilité et non d'une
anesthésie
complète. Ces troubles sensitifs persistent jus
on de mar- cher sur un corps mou, par conséquent un certain degré d'
anesthésie
. Elle fut alors soignée à la consultation exter
antérieures, nous permettent d'affirmer l'hystérie chez Sat... L'
anesthésie
cutanée occupe une superficie considérable, ainsi
it d'autant plus frappante que toute la région était le siège d'une
anesthésie
totale. , . Avant d'aborder l'étude des trouble
sonde sur les parois vésicales n'est pas senti da- vantage. Cette
anesthésie
au tact, se retrouvait à un degré égal pour la se
tracture du corps de la vessie mais d'une paralysie du sphincter, l'
anesthésie
de cette région superposée à la paralysie, le fai
ltoïde, 53. Stoukovenkoff. Rapport de l'eczéma chro- nique avec l'
anesthésie
de la peau, 164. VEULLLOT. Gangrène d'origine h
bilité générale et spéciale. a. Sensibilité générale. Il existe une
anesthésie
dilfuse, presque complète au tact et à la chale
agnostic primitif et. à admettre l'hystérie. On releva en effet une
anesthésie
du côté parésie, un rétrécissement du champ vis
ibrillaires très marqués. 13. L'examen de la sensibilité montre une
anesthésie
complète du membre supérieur droit. La zone ins
cule. Elle entoure l'épaule et forme un véritable gigot. A la face,
anesthésie
du côté droit. Aux membres inférieurs, même éta
aires du côté gauche. 30 septembre. - La jambe est plus forte, et l'
anesthésie
y est moins complète, le bégaiement persiste.
ENT HYSTÉRIQUE. 15 motilité du voile du palais, pas de nasonnement.
Anesthésie
pha- ryngée et laryngée; cordes vocales normale
is bien moins marqué. Voici l'état de sensibilité le 15 novembre.
Anesthésie
complète Fig. 6. 16 PATHOLOGIE NERVEUSE. du
., nous trouvons : 1° des troubles de la sensibilité générale : une
anesthésie
diffuse presque complète au tact et à la chaleu
x. A l'examen laryngoscopique nous avons constaté chez Bon... une
anesthésie
de toute la partie supé- rieure du larynx et un
riques. Nous n'avons constaté ni rétrécissement du champ visuel, ni
anesthésie
pharyngée, ni troubles sensitifs quel- conques.
ongestion sont les seuls signes pathognomoniques. Dans les cas où l'
anesthésie
, les examens prolongés, les antécédents, etc. n
oteur externe gauche et paré- sie du droit interne de l'oeil droit;
anesthésie
cornéenne et conjonc- tivale, surtout à gauche,
le malade se plaint d'une impuissance absolue des quatre membres :
anesthésie
légère et passagère ; pas d'atrophie musculaire
rticulières, toujours d'ordre subjectif. Réflexes normaux ; - pas d'
anesthésie
: - pas d'atrophie musculaire ; tonicité des sp
sence du réflexe du genou ; conservation des réflexes superficiels;
anesthésie
partielle; absence de douleurs fulgurantes marc
rée et une paralysie du plexus brachial. Mais la topo- graphie de l'
anesthésie
et l'atteinte des organes des sens imposent la
jo : - gluant plusieurs observations personnelles. P. B. 1V. De l'
anesthésie
sous ses divers modes dans la ptréso-analgésie.
dant aux cordons postérieurs, l'anal- gésie et les autres espèces d'
anesthésies
. P. B. 1 V. L'automatisme psychologique; essa
urs. Les symptômes polymyélitiques antérieurs sont : 1° la thermo
anesthésie
généralisée, hémiplégique, partielle (en bas, en
re et l'atrophie musculaire suivant la disposition et la marche des
anesthésies
, et débutant de préférence par les membres supé
s sensitifs peuvent s'y rencontrer, tels que l'hypéresthésie et l'
anesthésie
et enfin que l'atrophie des muscles du membre i
ation de la sensibilité, à l'aide du pinceau électrique, dénote une
anesthésie
presque complète, surtout au niveau du gros ort
non persistante, car trois ans plus tard la malade avait encore son
anesthésie
et une atrophie des muscles de la région antéro-
phie musculaire manifeste à la région antéro-externe de la jambe et
anesthésie
dans la même région. Egalement anesthésie sur l
ro-externe de la jambe et anesthésie dans la même région. Egalement
anesthésie
sur le dos du pied, moins une bande étroite lon
: e et atrophie dégénérative des muscles extenseurs de la jambe, et
anesthésie
dans le domaine du nerf sciatique poplité exter
r tout le corps. sauf au niveau de la jambe gauche où il existe une
anesthésie
sur laquelle nous re- viendrons plus loin. - Pa
e même façon pour le chaud et le froid. Les limites de la thermo-
anesthésie
sont à peu près les mêmes que celles de l'analgés
Il. - Zone d'analgésie chez le malade de l'Observation VII. Fi. 12.
Anesthésie
il la chaleur et au froid chez le malade de l'o
UNE COMPLICATION DE LA SCIATIQUE. 165 beaucoup plus considérable. L'
anesthésie
ne commence que vers le .milieu de la jambe. El
, à tout ce domaine du sciatique poplité externe en ce qui touche l'
anesthésie
. Quant à' l'étiologie de la maladie, elle nous
t presque calquée sur la précédente quant aux troubles Fiy. 13. -
Anesthésie
au contact chez le malade de l'Observation VII.
. 166 . PATHOLOGIE NERVEUSE. moteurs, elle en diffère en ce que l'
anesthésie
, au lieu de porter sur tout le domaine du sciaf
TION DE LA SCIATIQUE. 1 -Il Dans ['Observation VII, nous avons vu l'
anesthésie
et la paralysie musculaire prendre à peu de cho
vons maintenant- à la descrip- tion de deux cas dans lesquels l'
anesthésie
, qui existe à un haut degré, n'est plus exacte-
aux schémas joints à l'OBSERVA- TION VU, on verra que la zone d'
anesthésie
correspond exac- tement à la zone de distributi
moins en ce qui concerne l'analgésie. Dans l'OBSERVATION VIII, l'
anesthésie
est moins ré- gulière et d'une localisation moi
ésion au domaine de telle ou telle branche ner- veuse, exiger que l'
anesthésie
soit exactement super- posable à la zone de dis
n normal, un peu fort, des deux côtés. Sensibilité. Il existe une
anesthésie
incomplète au tact avec analgésie, au niveau du
e porte en avant, moitié en steppant, moitié en fau- Fig. 17 et 18.
Anesthésie
au tact et 3 la douleur chez la malade de l'Obs
s simples indiquent 1'liypoe-lhésie ; les stries croisées indiquent l'
anesthésie
et l'analgésie absolues dans le domaine du scia
l antérieur, néant; - extenseur commun des orteils Fig. 19 et 20. -
Anesthésie
pour le chaud et le froid chez la malade de l'o
ière par la ligne médiane et la face postérieure de la jambe il y a
anesthésie
com- plète ; - et au pied, dans un espace limit
s grande partie du pied, est atteinte- 184 PATHOLOGIE NERVEUSE. d'
anesthésie
complète et absolue. Cette dernière nous est dé
ous est déjà connue. Comme dans les précédentes obser- vations, l'
anesthésie
totale est causée par une névrite des filets cu
pourquoi nous concluons chez cet homme à la nature hystérique de l'
anesthésie
qui occupe comme une jambe de pantalon tout le
out le membre inférieur du côté droit, lorsque, en présence d'une
anesthésie
presque identique chez la femme de l'OBSERVATIO
idemment chez cette femme à l'hystérie en voyant les limites de son
anesthésie
qui ne répondent à aucune distribution nerveuse
pas brusque comme dans l'hys- térie. De plus il ne s'agit pas d'une
anesthésie
, mais d'une simple diminution, fort légère, à v
était tout autrement chez M... et considé- rant les caractères de l'
anesthésie
en jambe de pan- talon du membre inférieur droi
elle est égale des deux côtés. On note seulement un degré notable d'
anesthésie
pharyngée, alors que la malade a abandonné depuis
vons pu trouver ni rétrécissement con- centrique du champ visuel ni
anesthésie
cutanée. - L'anes.. MALADIE DES TICS ET TREMBLE
um est supprimé depuis plusieurs mois déjà. En cet état de cause, l'
anesthésie
pharyngée acquiert une certaine valeur. De plus
rmes du syndrome que je viens de détailler en y ajoutant même cette
anesthésie
pharyngée que. nous interprétions naguère en fa
es sont bien différents d'un sujet à l'autre. Chez l'un il y a de l'
anesthésie
, chez l'autre la sensi- bilité est respectée; d
jambe et d'une partie de la face du même côté; tantôt, il y a de l'
anesthésie
limitée à une moi- tié du corps, la face n'est
lè charbon (Faure, Valentin). Le trouble le plus fré- quent est l'
anesthésie
localisée à une moitié du corps pu à un segment
LYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 2'17 'i n'a pas été noté. L'
anesthésie
est le symptôme le plus ordinaire. Notons, avec
c une paralysie des extenseurs de l'avant-bras et de la jambe, de l'
anesthésie
à la face dorsale de la main et sur tout le pie
ES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 221 ment touchée; quelquefois l'
anesthésie
subsistait après la disparition 'des troubles p
que l'on puisse soupçonner l'hystérie; une obser- vation de Baur' d'
anesthésie
et de paralysie d'un côté du corps succéda au c
au cou et à la face. Au bout de six jours il ne restait plus qu'une
anesthésie
légère en plaques. Ailleurs, nous trouvons l'ob
spension de la circulation, de la calorification, de l'innervation (
anesthésie
et paralysie motrice) avec menace de sphacèle '
la courte note qu'il a consacrée à ce sujet', il signale que cette
anesthésie
n'est pas chose rare, qu'elle persiste chez les p
l'extrémité lésée, mais, presque dans tous les cas, il s'agit d'une
anesthésie
incomplète dans le territoire cutané innervé pa
ensibilité et du mouvement, tels que sensation de lourdeur, parfois
anesthésie
réelle et parésie motrice plus ou moins accentu
plus complet nous permet de délimiter avec exactitude le territoire
anesthésie
. Il s'étend à la face dorsale et à la face palm
es à la partie supérieure des phalanges. Dans toute cette région, l'
anesthésie
est complète pour tous les modes de sensibilité
tion analogue ne devienne nécessaire. Pas d'hémia- nesthésie, pas d'
anesthésie
pharyngée. Le lendemain, 16 mars, la malade--Se
nesthésié se sont complètement modifiées. La limite supérieure de l'
anesthésie
, gagnant du terrain, s'est reportée du poignet
poignet à une ligne circulaire située au niveau du pli du coude.. L'
anesthésie
a en outre gagné le pouce, l'index, le médius, la
almaire) ont récupéré leur sensibilité. La limite supérieure de l'
anesthésie
est reportée au niveau du pli du coude. Sur le
nesthésie est reportée au niveau du pli du coude. Sur le territoire
anesthésie
on constate comme la veille la disparition de l
sont normale- ment perçus, - pas de plaques d'hyperesthésie, pas d'
anesthésie
pharyngée ni gustative. Pas de rétrécissement d
as sur ce diagnostic différentiel, le mode de distri- ' bution de l'
anesthésie
nous en dispense. Notre cas doit au contraire p
des paralysies psychiques dues au traumatisme : répartition de l'
anesthésie
sans rapport avec-la distribution des nerfs, limi
apport avec-la distribution des nerfs, limi- tation des territoires
anesthésies
par des cercles perpendicu- laires à l'axe du m
été amoindrie par une névrose ou une intoxication, la parésie et l'
anesthésie
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 237 transitoire
in. - 06s. IV. Tabétique ayant eu jadis la syphilis. Paresthésie et
anesthésie
du trijumeau; accéléra- tion du coeur. Glycosur
s'agit d'une zone épileplogène nette sans cause périphérique avec
anesthésie
correspondante ; le champ d'irritation correspond
du courant continu à l'anode) avec le chloroforme pour produire l'
anesthésie
cutanée. Une électrode spéciale contient un réser
inutes deux à trois centimètres cubes de chloroforme, détermine une
anesthésie
absolue au froid, à la cha- leur, au contact, à
ct, à la piqûre, même, profonde, chez des jeunes gens vigoureux ; l'
anesthésie
persiste pendant trois à cinq minutes, le voisi
t donc pas la pénétration du chloroforme dans la peau qui produit l'
anesthésie
. Le même phénomène se passe quand on applique s
araplégies passagères, con- lraclures fugaces, douleurs localisées,
anesthésies
), ou sur le cer- veau (hémiparésie, amnésie, fa
e médecins environ. Le but était de montrer que l'on peut obtenir l'
anesthésie
, même complète, par l'hypnotisme, dans des opér
ée rythmée, le mutisme, les paralysies et les contrac- tures, les
anesthésies
et hypéresthésies hystériques se manifestent pa
thésie sensitivo-sensorielle, le rétrécissement du champ visuel,. l'
anesthésie
du pharynx, etc. Il faut pourtant remarquer qu'
e ophthal- mique. - Stigmates hystériques : hémianesthésieà droite,
anesthésie
du voile du palais et du pharynx, amblyopie, di
tes hysté- riques : hémianesthésie sensitivo-senso1'ielle à droite,
anesthésie
du fond de la gorge, rétrécissement bilatéral d
ment : une hémianesthésie sensitivo-sensorielle du calé droit; de l'
anesthésie
complète du fond de la gorge; on peut cha- toui
hommes. Tous les malades étaient des hystériques à crise avec des ^
anesthésies
et des points hystérogènes. Quelques-uns ont ét
t suffisamment endormi pour abolir tous les mouvements spontanés, l'
anesthésie
ne doit pas être poussée trop loin, car toutes
sive, par Bourguet, 121; paralysie de la chorée, par Roudot, 121;
anesthésie
dans la maladie de Morvan, par Morvan, 121 ; -
a même eu, à ce sujet, des confusions telles qu'on a comparé les
anesthésies
cérébrales aux anesthésies spinales. Le siège p
es confusions telles qu'on a comparé les anesthésies cérébrales aux
anesthésies
spinales. Le siège primitif de la lésion ou tro
eule reste peut-être légère- ment contournée. Il restait un peu d'
anesthésie
plantaire que l'application d'un aimant pendant
e de faits semblables que, dans les paralysies motrices liées aux
anesthésies
, la paralysie motrice est à son maximum dans le
elle diminue un peu, mais persiste néanmoins tant que subsiste l'
anesthésie
. La restauration du mouvement et de la sensibil
urable, et, quelques minutes après qu'on a cessé l'électrisation, l'
anesthésie
et l'analgésie reparaissent au même degré. 8
n rapport avec un flacon de Wolff, contenant de l'éther, et quand l'
anesthésie
est complète, on fait la trépanation. On fait e
. de B. 132 REVUE DE PHYSIOLOGIE. III. EXPÉRIENCES montrant QUE l'
anesthésie
DUE A certaines LÉSIONS DU CENTRE CÉRÉBRO-RACHI
ie plus ou moins marquée du côté de la lésion, en même temps qu'une
anesthésie
du côté opposé. Ces deux effets se manifesterai
gauche a produit le remplacement de l'hyperesthésie droite par de l'
anesthésie
, et réciproquement pour le côté opposé; . 3°
sur des points plus élevés de l'axe encéphalo-médullaire : ainsi, l'
anesthésie
gauche plus ou moins complète produite par la s
arcot, Dumontpallier, Debove, etc., M. Brown- Séquard conclut que l'
anesthésie
ou l'hyperesthésie ne dépen- dent évidemment pa
3 cien : « On n'a plus le droit de se servir de l'apparition de l'
anesthésie
après une lésion de l'encéphale, pour en conclure
dessus de la première, et, à partir de ce moment, la paralysie et l'
anesthésie
sont complètes et définitives dans les deux mem
ticulaire ; il y eut hémiplégie droite avec contracture précoce, et
anesthésie
d'abord, puis retour de la sensibilité dans le
ciale à gauche ; un peu de monoplégie brachiale du même côté. Pas d'
anesthésie
. La malade est gâteuse. Deux fois, jusqu'à la
terroge et de tirer la langue, mais elle ne peut y arriver. - Le 2,
anesthésie
presque absolue; la piqûre d'une aiguille n'est
r., - pour nos abonnés 4 fr. DURET (H.) -Des contre-indications à l'
anesthésie
chirurgicale; un vol. in-8° de 280 pages, prix
ages, prix 5 fr., - Pour nos abonnés, 4 fr. BLANCHARD (fit.) - De l'
anesthésie
par le protoxyde d'azote, par la mé- thode du p
mmode pour faire une application exacte et en même temps celle où l'
anesthésie
est le plus prononcée. On attend quelques minut
premier a deux symptômes très-fréquents dans les névroses : ' : l'
anesthésie
cutanée et l'amyosthém"e, Il en fait à la fois le
usage, chez quelques hystériques du service de M. Charcot, et que l'
anesthésie
de ces malades 'n'avait' pas été modifiée ? Enf
- La transmission de vibrations suffisamment rapides produit sur l'
anesthésie
et les phénomènes congénères les mêmes effets q
e partie de ce travail. (A suivre.) LES NOUVEAUX ANESTHÉSIQUES ET L'
ANESTHÉSIE
La physiologie des anesthésiques et le choix du
yle a surtout été employé par Spencer Wells, qui a pratiqué, sous l'
anesthésie
produite par cet agent, 180 opérations d'ovario
de syncope car- diaque. Le visage est rouge, vultueux, et, quand l'
anesthésie
est profonde, le front, la face, ont de la tend
ssion et mélangé d'oxygène en parties déter- minées, on obtient une
anesthésie
des plus rapides, permet- tant des opérations d
généralisation plus rapide de cette impor- tante découverte. DE l'
anesthésie
. 275 A côté de l'anesthésie par l'inhalation de
cette impor- tante découverte. DE l'anesthésie. 275 A côté de l'
anesthésie
par l'inhalation des vapeurs et des gaz, il exi
gne et Cl. Bernard en France ont les premiers indiqué sous le nom d'
anesthésie
mixte que, si à un malade ayant respiré du chlo
74, faisait connaître à la Société de chirurgie une autre méthode d'
anesthésie
mixte, consistant en la com- binaison du chlora
ns sur la bouche, qui a conduit M. Trélat à rechercher un procédé d'
anesthésie
qui, tout en prévenant les sensations douloureu
êcbe le sang chlo- roformé de pénétrer au contact de l'encéphale, l'
anesthésie
est impossible. Ce savant physiologiste a indiq
dans notre thèse d'agrégation, sur les Coî12,e-i7îdz*- cations il l'
anesthésie
chirurgicale (1880). Dans ce travail, on trouve
nter une explication rationnelle des accidents observés pen- dant l'
anesthésie
. La mort peut survenir par arrêt du coeur ou pa
ion réllexe ; soit plus lard, lorsque les vapeurs ayant impré- de l'
anesthésie
. 2ï7 gné le milieu sanguin ont pénétré jusqu'au
onstitutionnels qu'il convient de puiser les contre-indications à l'
anesthésie
chirurgicale. C'est par leur connaissance que l
r le choix du meilleur anesthé- sique. L'idéal serait d'obtenir une
anesthésie
durable par un gaz qui, étant d'une facile élim
cHi (de Naples), sans date. XXI. Historique de la découverte de l'
anesthésie
; par M. J. Mouton. (The Vii-ginia médical ilioz
ue quelles mouvements 'de' la lfacel recommençaient, ! bien' que' l'
anesthésie
de la' région sourcilière' témoignât de la sect
douloureux ^classiques. Perte ! duRgoût et-de : : <LdÆL.d ? r.oj'1
Anesthésie
,, et. analgésie complètes ! dé la ! joue. .»umw
les malades, mais semble être une combinaison de pico- tements et d'
anesthésie
, analogue à la sensation qui suit une « crampe
r le pian résistant du lit, ni le contact irritant de l'urine, ni l'
anesthésie
qu'il faut "1 mettre en'cause, mais' la paralys
ilité chez les lypémaniaques. L'auteur s'est limité'à l'étude de, l'
anesthésie
du,, tube digestif, par/ les diffé- rents procé
rigueur désirable. M. Mabille. conclut , de ses observations que l'
anesthésie
du tube, digestif; est, j, chez- les sitiophobe
von,, d'aliments, n'a.eu aucune influence sur la produc- tion.de l'
anesthésie
,, puisque, la sonde fut,'(dans,.ces deux cas, '
s,. et. dans, bien d'autres, on doit ( rattacher la .sitiophobie, l'
anesthésie
ultérieure, et ? les troubles de nutrition, con
aines après, la cicatrisation de la blessure étant incomplète, et l'
anesthésie
des doigts inner- vés par le médian persistant,
ilton, l'action du médicament ne doit pas être poussée plus loin, l'
anesthésie
ne doit pas être atteinte. La disposition à la
ue l'on se trouvait en présence du même état qu'avant l'expérience (
anesthésie
de retour, Burq). C'est en effet ce qui résulta
pouvait faire soupçonner qu'il y avait quelque chose de plus que l'
anesthésie
de retour : suivant l'observation de M. Burq lu
gulière. Or, on peut se demander comment, dans ces cas, a disparu l'
anesthésie
de re- tour. La réponse à cette question se tro
ence métallique. On sait que M. Charcot a insisté sur ce fait que l'
anesthésie
hystérique atteint très fréquem- ment les sensi
mal, elle avait baissé de nouveau, suivant une phase analogue à l'
anesthésie
de retour ; 2° que ( et voici l'inattendu ) du cô
eur. Puis, celui-ci se rétablissait graduellement (par l'effet de l'
anesthésie
de retour), suivant une marche analogue. En rés
première fois, il était parlé de trans- fert, nous trouvâmes que l'
anesthésie
s'était reproduite sauf à la phalan- gette du m
té dans une certaine étendue de la peau d'un mem- bre, une plaque d'
anesthésie
de dimension et de configuration égales se mont
ensible; et sur l'autre jambe dans le point symétrique une plaque d'
anesthésie
. En un mot, les membres inférieurs, bien qu'ils
s'étendre graduellement et se rencontrer sur le tronc; tandis que l'
anesthésie
envahit, sui- vant une marche semblable le côté
détriment de l'autre main, puis la perdant à mesure que s'établit l'
anesthésie
de retour. Le transfert du goût et de l'odorat
tenant à notre malade hémianesthésique et achromatrope du côté de l'
anesthésie
. L'approche d'un aimant a produit à la fois le
le bleu, le jaune, le rouge, le vert et le violet. Puis survient l'
anesthésie
de retour, et l'on assiste à une évolution en s
us avons vu l'action de l'aesthesiogene avoir pour résultat final l'
anesthésie
de retour ou le rétablissement spontané de l'ét
; que cet état, rela- tivement définitif, soit la reproduction de l'
anesthésie
telle qu'elle existait avant l'expérience, ou q
effectué, la malade peut, pendant une minute de plus, présenter une
anesthésie
totale ou bien une 422 REVUE CRITIQUE. sensib
néité de l'évolution dans les deux moitiés du corps est la règle.
Anesthésie
provoquée. Ceci est un autre phénomène des plus
et un transfert. Seulement ce qui est produit directement, c'est l'
anesthésie
, et ce qui est transféré, c'est la sensibilité.
ue la malade, sujet de l'expérience, ne présente pas actuellement d'
anesthésie
, bien qu'elle en ait été affectée antérieuremen
plication du métal auquel elle était autrefois sensible détermine l'
anesthésie
, comme dans le cas précédent. Mais on se demand
ement par l'apparition sur le point symétrique d'une autre plaque d'
anesthésie
pareille à celle du côté de l'application. L'
plaque d'anesthésie pareille à celle du côté de l'application. L'
anesthésie
provoquée, avons-nous dit, offre quelques par-
es mêmes applications sur le côté sain, on y détermine une plaque d'
anesthésie
, et en même temps apparaît sur l'autre côté une
côté anesthésique, réussissent au contraire très bien à produire l'
anesthésie
dans le côté sensible, et par transfert la sens
même différence s'observe avec les agents ordinaires pour peu que l'
anesthésie
soit tenace. Il résulte de cette remarque un pr
re ébranlée par une exception. M. Charcot avait d'abord donné à l'
anesthésie
provoquée le nom d'anesthésie métallique ou pos
M. Charcot avait d'abord donné à l'anesthésie provoquée le nom d'
anesthésie
métallique ou post-métallique. C'était à l'époq
tte dénomination est maintenant trop restreinte. Mais ce fait que l'
anesthésie
, et d'une manière plus générale divers symptôme
l'on fasse une application sesthésiogénique ; s'il en résulte de l'
anesthésie
sensitive ou sensorielle, ou de la contracture, l
ut être que soupçonnée d'après les autres données. On a donc dans l'
anesthésie
provo- quée, ou plus généralement dans la propr
qu'en puissance, une véritable pierre de touche de l'hystérie. L'
anesthésie
provoquée est intéressante à suivre dans la man
e (points analogues). A partir de ce moment, ces quatre plaques d'
anesthésie
, semblables en forme et en étendue, se déve- lo
la pièce de métal, dont le contour doit d'abord être débordé par l'
anesthésie
. Elles s'étendent ensuite progressivement, mais
e sorte que, au bout de quelques minutes, les plaques elliptiques d'
anesthésie
sont devenues des bandes qui occupent toute la
hoses se sont passées d'une façon analogue et seulement après que l'
anesthésie
a gagné une certaine étendue de l'abdomen, elle
men, elles sont complètement anesthésiques vers les extrémités. L'
anesthésie
générale résulte de la. fusion sur la ligne méd
la poitrine, le bassin ou la face d'autres centres d'ori- gine de l'
anesthésie
provoquée. Mais les plus évidents se trou- vent
. Dans les observations auxquelles nous venons de faire allusion, l'
anesthésie
n'était générale qu'après vingt ou trente minut
rait intéressant de voir comment et sur quels points se développe l'
anesthésie
, l'application étant faite ailleurs que sur l'a
-bras. On n'a pas vérifié non plus ce qui, après la production de l'
anesthésie
générale, représente les oscilla- tions. Nous
nte les oscilla- tions. Nous venons à propos du transfert et de l'
anesthésie
provo- quée d'indiquer les différents cas, rela
. Pour que cette énumération soit complète, il reste à considérer l'
anesthésie
généralisée ou plus exacte- ment l'hémianesthés
rnier cas correspond exactement, mais en sens inverse, à celui de l'
anesthésie
pro- voquée bilatéralement. On remarquera sans
apparition avant la sensibilité à la douleur, de telle sorte qu'à l'
anesthésie
complète succède une période d'analgésie. De mê
Le même auteur a constaté que la réaction électrique manque dans l'
anesthésie
sensorielle de l'ouïe, de l'odorat et du goût.
t 428 revue D'ANATOMIE. manquer. Chez un jeune hommehystérique, l'
anesthésie
totale disparut graduellement après une vingtai
es, mais des deux côtés à la fois. Reproduite dans deux rechutes, l'
anesthésie
disparut de la même manière à chaque reprise du
quelques signes négatifs importants à no- ter tels que l'absence d'
anesthésie
, de troubles vésicaux et gé- nitaux, d'atrophie
E DE PATHOLOGIE NERVEUSE. intellectuel, affaiblissement progressif,
anesthésie
du côté droit de la face et du bras gauche. Mor
ral et d'opium, mais disparaît complètement sous l'in- fluence de l'
anesthésie
provoquée par l'éther et le chloroforme. On con
e purement fonctionnelle, et la réaction faradique est normale. L'
anesthésie
par l'éther ou le chloroforme, appliquée au dia
s une grande créance. Cette malade présente de nombreuses plaques d'
anesthésie
. Son délire la rap- proche de quelques autres l
nférieures depuis quinze"ans ; incoordination motrice très accusée;
anesthésie
plantaire. Incontinence noc- turMiLd^urine^uidy
à revenue autour de la plaque d'or, cette sensibilité persiste et l'
anesthésie
de retour ne se produit pas tant que le second
ardé à reconnaître que la fixation des phénomènes (sensibilité ou
anesthésie
, etc.) au moyen d'une plaque neutre est efficace,
soit le procédé qui les"a produits. Après avoir fait disparaître l'
anesthésie
générale ou partielle avec l'aimant, ou le diap
-bras, siège de l'application. Ce qui précède ne se rapporte qu'à l'
anesthésie
hystérique et aux modifications concomitantes;
aines malades de la Salpêtrière, lors des premières expé- riences d'
anesthésie
provoquée. En y réfléchissant, on s'aperçoit qu
nuée de l'attaque ; celle-ci même peut être le résultat ultime de l'
anesthésie
provoquée. Le terrain est tou- jours le même; o
fondamentaux de l'hystérie, à un degré élevé, se comporter comme l'
anesthésie
, etc. Et nous retrouvons en effet, pour ces div
la même action des wsthésiogènes que nous avons constatée pour l'
anesthésie
, c'est-à-dire le transfert, la possibilité de pro
érique local, quel qu'il soit, devra être traité exactement comme l'
anesthésie
qui, du reste, l'accompagne ordinairement. On p
mités inférieures, ataxie et parésie des extrémités supérieures.
Anesthésie
presque complète des jambes et du tronc. Cécité,
tendineux était mèmeplus prononcé qu'à l'état normal; cepen- dant l'
anesthésie
intense persistait. Le retour du réflexe concor
jusqu'à l'incapacité presque entière pour tout effort musculaire.-
Anesthésie
, hyperesthésie, tremblements, modifications de
rois fois et le droit bibliographie. - " 631 onze fois. Souvent l'
anesthésie
après avoir été circonscrite à une moitié du co
ne moitié du corps gagne tout ou partie de l'autre moitié : alors l'
anesthésie
est ordinairement plus accusée sur la moitié du
accom- gne fréquemment d'une diminution de la force musculaire. L'
anesthésie
est sujette à de nombreuses^ variations; quelque-
, ce sont des troubles de nutrition, des paralysies partielles, des
anesthésies
limitées ; aux troubles de nutrition il faut ra
es et peuvent être de l'hyperesthésie, de l'hyperalgésie, ou de l'
anesthésie
et de l'analgésie, la névralgie et la douleur p
en chirurgie, par Pl(;qué, l¡75. Anesthésiques, par Duret, 273.
Anesthésie
produite par lésions des circonvolutions cérébr
, par R. Tripier, 281; -(Historique de l'), par 1·Iorton, ? S4.
Anesthésie
(1') due il une lésion centrale peut être rempl
pie, oesthésiogènes, 257, 413, 564; nouveaux anes- thésiques et l'
anesthésie
, 273. Sciatique ( névralgie, syphilitique du
ées, à moins, dit-on, que la portion du tégument excitée ne soit en
anesthésie
. -- Ce qu'il faut retenir de tout cela, c'est l
) et des troubles très marqués de la sensibilité (fourmillements,
anesthésie
cutanée, anesthésie articu- laire, perte du sen
ès marqués de la sensibilité (fourmillements, anesthésie cutanée,
anesthésie
articu- laire, perte du sens stéréognostique),
tilisé en diverses circonstances, par exemple pour distin- guer une
anesthésie
organique d'une anesthésie hystérique. Réflexe
ances, par exemple pour distin- guer une anesthésie organique d'une
anesthésie
hystérique. Réflexe pupillaire psychique (réfle
ière li pression qu'il peut perdre dans certaines conditions. Cette
anesthésie
du globe à la compression est très comparable a
Cette anesthésie du globe à la compression est très comparable a l'
anesthésie
testiculaire fréquemment constatée au cours du
au cours du tabès et d'autres affections nerveuses. Cependant, par
anesthésie
de l'oeil, on entend, en général, la perte de l
et particulièrement dans sa portion la plus sensible, la cornée. L'
anesthésie
cornéenne peut avoir une origine oculaire comme c
e substances anesthésiques (cocaïne, stovaïne, etc.). Dans ce cas l'
anesthésie
est limitée au globe oculaire. L'anesthésie c
etc.). Dans ce cas l'anesthésie est limitée au globe oculaire. L'
anesthésie
cornéenne peut être d'origine cérébrale et accomp
pagner les hémianesthésies organiques ou hystériques. Dans ce cas l'
anesthésie
s'étend très loin, aux paupières, à la face, à
considérée comme un signe d'hystérie. Enfin une troisième variété d'
anesthésie
cornéenne est celle qui accom- pagne les lésion
EIL OCULAIRE. Par opposition aux précédentes, on pourrait l'appeler
anesthésie
d'origine névritique. Toutes les lésions du tri
ssement), atteignant les origines du nerf trijumeau. Dans ce cas, l'
anesthésie
peut être ou isolée ou associée a la lésion d'a
otuberantieis. On observe aussi des paralysies alternes sensitives (
anesthésie
faciale d'un côté et anesthésie des membres du
des paralysies alternes sensitives (anesthésie faciale d'un côté et
anesthésie
des membres du côté opposé). Il peut t y avoir an
ysie faciale d'un cote avec paralysie des membres du côté opposé, l'
anesthésie
faciale constituant une adjonction au syndrome
ce et d'une paralysie alterne sensitive. C'est dans cette variété d'
anesthésie
, par altération du nerf trijumeau, qu'on observ
, M. 0. E. ; Pathétique (paralysies) (p. 00); Trijumeau (névralgie,
anesthésie
) (p. 115); Compressions vasculaires; Thrombose
hémi-anesthésie cutanée, pro- voquée ou non, on peut constater de l'
anesthésie
du conduit et de la membrane tympanique, mais s
hyperesthésie (irra- diations douloureuses diverses, céphalée) et d'
anesthésie
(diminution de la sensibilité du conduit et du
so- rielle de l'hystérie. Chez les hystériques, on voit parfois les
anesthésies
olfactives généralisées ou limitées à certaines
la suspension de l'activité cérébrale volontaire. Il n'existe pas d'
anesthésie
pendant sa durée. Le réveil est facile et ne s'
thésié du léguaient est complète; il existe même un certain degré d'
anesthésie
ou mieux d'inhibition sensorielle : le somnambu
de l'intelligence, d'une altération motrice et d'un certain degré d'
anesthésie
. Il en est ainsi notamment chez les hémiplégiqu
expliquer le phénomène du syndrome de Brown-Séquard (paralysie avec
anesthésie
croisée dans les lésions unilatérales de la moell
non seulement l'existence d'une altération delà perception tactile (
anesthésie
ou hyperesthésie), mais encore : ' 1° le degr
orceau de papier, par exemple; on recon- naît par ce moyen s'il y a
anesthésie
, hypo- ou hyperesthésie. On appelle seuil inten
peut même être employé comme moyen thérapeu- tique pour traiter des
anesthésies
organiques ou fonctionnelles. Le phénomène inve
exagé- ration très marquée de la sensibilité à la-douleur, c'est l'
anesthésie
Ir y- pe1'esthésique; - .. A l'état normal, l
lors de la paresthésie. Ce qu'on observe le plus souvent, lorsque l'
anesthésie
au chaud ou au froid n'est pas complète, c'est
La perte de la sensibilité thermique peut coïncider dans les cas d'
anesthésie
étendue, d'origine corticale par exemple, avec la
, dite dissociation syringomyélique, coiiiine on la vu ci-dessus, l'
anesthésie
il la température accompagne t'anesthésie doulo
ine on la vu ci-dessus, l'anesthésie il la température accompagne t'
anesthésie
douloureuse. Comme pour le tact et la douleur,
ique. Ces roubles de la sensibilité à la pres- ,ion, associés à l'
anesthésie
vibra- oirc, peuvent, dans le tabès, exister
temps que les autres ibrmes de sensibilité ou, au con- traire, l'
anesthésie
à la pression et m diapason peut exister seule,
du sens stéréo- gnostique. On les observe enfin [laits les cas d'
anesthésie
hysté- rique très prononcée. E) Sensibilité o
nction des nerfs de la peau, car elle peut persister dans les cas d'
anesthésie
cutanée; elle est une modalité de la sensibilit
individus dont la sensibilité cutanée est normale. Habituellement l'
anesthésie
vibratoire accompagne la perte du sens musculaire
rte du sens musculaire et la perte de la sensation de pression. L'
anesthésie
vibratoire peut quelquefois revêtir la topographi
e). ' . Fig. 12. - Défaut de parallélisme entre la topographie de l'
anesthésie
cutanée et de l'anesthésie osseuse dans un cas
de parallélisme entre la topographie de l'anesthésie cutanée et de l'
anesthésie
osseuse dans un cas de compression, médullaire
sitifs sont en voie d'améiiu- lei ? 13. - Hémianesthésie cérébrale.
Anesthésie
au.tacl, it la pirplre, avec erreur de loca- li
ellement enfin, à la suite d'une lésion cérébrale bilaté- rale, l'
anesthésie
peut envahir toute la surface du corps. Carac
oncevait Charcot, nous verrons dans un instant, à propos de l'hémi-
anesthésie
thalamique, qu'elle doit être considérée aujourd'
alisation corticale; on peut également la rencontrer dans les hémi-
anesthésies
par lésion sous-corticale et centrale thalamique.
localisation, uniquement basé sur les caractères différentiels des
anesthésies
corticales. Les caractères mêmes de l'hémianest
s cercles de Weber. Parfois, mais plus rare- ment, il existe de l'
anesthésie
com- plète. Les sensibilités profondes, par c
lement et défi- nitivement abolis. La lésion qui provoque cette
anesthésie
siège presque toujours au même endroit, c'est-à
ient de voir que si, pour certains auteurs (Wernicke, Bonhâffer), l'
anesthésie
corticale pouvait se présenter parfois avec des c
art, la persistance des troubles sensitifs, caractère important des
anesthésies
thalamiques ou thalamo-capsulaires, n'est pas l
es hémianesthésies d'origine protubérantielle, on peut observer des
anesthésies
alternes, clans lesquelles les troubles sensiti
issement). Caractères. Suivant le siège, de la lésion en hauteur, l'
anesthésie
peul intéresser soit les deux membres et le tro
e peut intéresser les premiers nerfs cervi- caux et déterminer de l'
anesthésie
du cou; la face, par contre, reste toujours ind
a face, soit plus souvent le type hémi-paraplégique. Comme dans les
anesthésies
de cause cérébrale, les troubles sensitifs ne s
ome de Bî,oivii-S(;qîi(ii(1 » : « hémiplégie ou hémiparaplégie avec
anesthésie
croisée. » On note dans ce syndrome, aux région
sie pour tous les modes de sensibilité superficielle; b) une zone d'
anesthésie
étroite, transversale, faisant suite aux ré- gi
e dans la région cervicale. 2° Du côté opposé à la lésion : y une
anesthésie
superficielle totale (tact, douleur, température)
habituellement, on observe, dans le syndrome de Brown-Séquard, de l'
anesthésie
d'un côté avec paralysie du côté opposé, avec o
nférieur, avec hyperesthésie pendant les premiers jours. A gauche, -
anesthésie
très nette jusqu'au niveau de l'aine, zone d'hy
re, mal de Pott, etc.). Caractères. Dans la paraplégie sensitive, l'
anesthésie
occupe les membres inférieurs et remonte plus o
t par un des membres. Une fois la paraplégie sensitive installée, l'
anesthésie
se montrera le plus marquée dans le membre sur
e grave. Lorsque la paralysie est flasque, totale et persistante, l'
anesthésie
dans les régions homologues est ordinai- rement
thésie dans les régions homologues est ordinai- rement absolue. L'
anesthésie
peut être complète ou incomplète, et présenter to
gré de compression médullaire (VanGehuchten)('). . L'étendue de l'
anesthésie
dépend du siège de la lésion médullaire; sa lim
uvent exister sans troubles moteurs, ce qui ne se voit pas dans les
anesthésies
para- plégiques organiques, si ce n'est dans la
stérieure. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 525 riciirc de l'
anesthésie
prend une disposition topographique qui repré-
e domaine des 2 ? 5e, 4°, 5e, 6" racines dorsales. Souvent aussi, l'
anesthésie
envahit égale- ment les faces antérieures et po
u tabès, les troubles sensitifs apparaissent aux membres Fig. 27. -
Anesthésie
du bord cubital des deux bras (Cvl11 et Dol) ch
ganes génitaux (5e et 4e sacrées). Dans le tabès à début cervical l'
anesthésie
siège au cou et à la nuque,- dans le domaine des
et articulaires peuvent se rencontrer isolément ou associées à de l'
anesthésie
ou de l'analgésie tactiles. Cette association des
ie tactiles. Cette association des troubles sensitifs superficiels (
anesthésie
et analgésie plus ou moins marquées sans thermo
hésie), et. des troubles sensitifs profonds très prononcés Fig. 50.
Anesthésie
tactile, douloureuse et dissociation de la sensib
ent, qui peut également servir pour le diagnostic du tabes, c'est l'
anesthésie
du nerf cubital à la pression (signe de Biernac
segmentaire (limitée à des segments de membre) ; aussi parlait-on d'
anesthésie
en gant, en veste, en caleçon, etc.. (voir plus
leur, température) chez un syrih- gomyéliqne à l'orme spasmodique. (
Anesthésie
, en grisé foncé; hypoesthésie, en grisé clair).
vec laquelle ils sont notés. Cette topogra- phie très spéciale de l'
anesthésie
cérébrale ne s'observe, semble-t-il, que dans l
a fois radiculaire (rhizomérique) et segmentaire (myélomérique) ; l'
anesthésie
en tranche sur les membres, se prolonge à sa li
erficielles et les sensibilités pro- fondes; on observe tantôt de l'
anesthésie
complète ou incomplète, tantôt de l'hypercsthes
suivant des types différents : A) Type supérieur (Duchenne, Erb). L'
anesthésie
occupe les régions d'innervation cutanée des 5e
empiétant sur ses faces anté- rieure et postérieure. lluelduefois l'
anesthésie
s'avance jusqu'à la ligne médiane (6''et 7" cer
22 [ROUSSY.] 558 ' SENSIBILITE. C) Type total. Dans ce type, l'
anesthésie
s'étend à tout le membre supérieur; elle occupe
re. Les paralysies com- plexes sont très fréquentes en clinique ; l'
anesthésie
, de même que la paralysie motrice, occupe des r
ivement. Cette lésion siège au niveau de la 2e vertèbre lombaire. L'
anesthésie
occupe les membres inférieurs en entier, les ré
s troubles sphinctériens (vésicaux et rec- taux) et génitaux. . L'
anesthésie
n'est donc ici qu'une composante du tableau sympt
la queue de cheval. Examinons quelle est la topographie des zones d'
anesthésie
pour cha- - C.111-le des racines de la queue de
TIVE. 541 scrotum ou des grandes lèvres, et enfin du pénis. C'est l'
anesthésie
en selle ou en fer à cheval, typique du syndrom
syndrome radiculo- ségmentaire de la moelle sacrée : dans ce cas l'
anesthésie
comprend, en plus des régions ci-dessus mention
ie aussi des rameaux importants à cette région, ce qui explique - l'
anesthésie
de la cuisse par lésion de cette dernière racine.
SY.] Fig. 56. Lésion de la queue de cheval par chute sur le sacrum.
Anesthésie
(en grisé foncé) cl hypoesthésie (en grisé clai
ompression de la moelle siège au niveau du ;le segment lombaire), l'
anesthésie
occupe, en plus des zones aneslhési- ques précé
que les racines sont touchées. C'est dans ce cas qu'on observe « l'
anesthésie
douloureuse ». Mais ces caractères différentiel
térations de la sensibilité des plus diverses. On peut noter de l'
anesthésie
complète ou incomplète, de l'hy- peresthésie,
lète, de l'hy- peresthésie, de la dissociation de la sensibilité (
anesthésie
au tact ou à la douleur, conservation de la t
58. Névrite du nerf médian. Topo- graphie des troubles sensitifs ;
anesthésie
com- plète au tact; hypoesthésie à la piqûre. (
membres. ' Fig. '39. Paralysie du cubital par luxation du coude.
Anesthésie
du petit doigt; hypo- esthésie de l'éminence hy
.] Vigo 40. Lèpre mutilante. Distribution des troubles sensitifs. L'
anesthésie
complète pour le tact, la douleur, la températu
encontre, et encore rarement, que. dans la névrite lépreuse.. Ici l'
anesthésie
peut envahir le pied, la jambe, etc., et s'arrête
n peut encore rencontrer des plaques isolées d'hyper- esthésie ou d'
anesthésie
, c'est la topographie insulaire. [ROUSSY.] Fi
actères sont particulièrement nets dans l'hystérie. I. HYSTÉRIE
Anesthésies
. Les troubles sensitifs ont toujours paru si fré-
généraux. -La sensibilité objective peut être dimi- nuée ou abolie (
anesthésie
), exaltée (hyperesthésie) ou pervertie (paresthé-
spéciaux. Leur intensité. Elle est variable. On a prétendu que l'
anesthésie
hystérique pouvait être complète. Elle ne l'est
re complète. Elle ne l'est, en réalité, jamais autant que certaines
anesthésies
organiques (syringomyélie, etc.). On arrive pre
nt compte de leur existence qu'au cours de l'examen du médecin. Les
anesthésies
névropatbiqncs ne gênent nullement les mouvements
ne gênent nullement les mouvements et ne déterminent pas, comme les
anesthésies
organiques, des phénomènes d'incoordination mot
prennent les objets avec leurs mains aneslhésiques, comme si cette
anesthésie
n'existait pas; jamais on ne les voit, contrair
utre, et on utilisait jadis ce phénomène de transfert pour guérir l'
anesthésie
hystérique. On conçoit du reste combien ce pro-
durée. Leur durée est des plus variables. Comme nous l'avons dit, l'
anesthésie
hystérique est, en général, fugace. Quelquefois c
s téguments et les muqueuses; ils sont généralisés ou partiels. Les
anesthésies
généra- lisées sont rares. Plus souvent partiel
anesthésique ou monoesthésique. - C'est le type le plus fréquent. L'
anesthésie
prend la peau et les muqueuses de toute une moi
t de soirée, pour le membre supérieur. Au membre intérieur, c'est l'
anesthésie
en chaussette, en bas, en caleçon, etc. 5° Type
ie en chaussette, en bas, en caleçon, etc. 5° Type insulaire. Ici l'
anesthésie
est disposée en îlots uniques ou multiples, dis
conçoit, d'après ce que nous avons dit, combien la topographie de l'
anesthésie
peut. varier. Ce qu'il y a d'important à reteni
épilepsie, la sensibilité est fréquemment émoussée; on observe de l'
anesthésie
ou de l'analgésie. On a signalé l'anesthésie du n
ussée; on observe de l'anesthésie ou de l'analgésie. On a signalé l'
anesthésie
du nerf cubital à la pression (signe de Biernac
ouvent des manifestations hystériques surajoutées. DIAGNOSTIC DES
ANESTHÉSIES
FONCTIONNELLES HÉMIANESTHÉSIE ORGANIQUE ET HÉMI
aussi combien il importe de faire le diagnostic étiologique de ces
anesthésies
fonctionnelles. Les troubles sensitifs hystérique
eresthésie viscérale), elle est le plus souvent diminuée ou abolie (
anesthésie
viscérale). Ces troubles TROUBLES DE LA SENSIBI
euses organiques. Dans l'hystérie on peut observer quelquefois de l'
anesthésie
ou de l'hyperesthésie viscérale. Au début du ta
hyperesthésies viscérales, aux- quelles succèdent, tôt ou lard, les
anesthésies
plus ou moins complètes. Pour rechercher les al
ques semaines ou quelques mois. Fréquemment elle coïncide avec de l'
anesthésie
des bourses et de la verge, et de l'anaphro- di
modifications de la sensibilité gas- trique se manifestent par une
anesthésie
à la pression du creux epigas- iriquc (moitié d
rfois le malade au suicide (Edinger). Elles s'accompagnent tantôt d'
anesthésie
ou mieux d'hypoesthésie, tantôt d'hyperesthésie q
u au lobule de l'oreille. Aux dysesthésies se joignent la pâleur, l'
anesthésie
et l'analgésie des téguments. Dans les stades s
, observés dans les névralgies, sont très variables : paresthésies,
anesthésies
, hypoesthésies, hyperes- thésies. D'après Notlm
s, de ],hYP('J'('slh('sie et, dans les névral- gies anciennes, de l'
anesthésie
. En réalité, je crois que les troubles de la se
erf est presque totalement détruit, NÉVRALGIES ET ALGIES. ' 385 l'
anesthésie
en sera la conséquence, tandis que tel autre nerf
eresthésie persistante. Dans certaines névral- cries on observe une
anesthésie
absolue au tact, à la douleur, à la tem- pératu
rature, bien que les douleurs spontanées soient très vives, c'est l'
anesthésie
dite douloureuse. Les troubles trophiques accom
enhardt et Norero). Les troubles de la sensibilité (hyperesthesics,
anesthésies
) pré- sentent la topographie en bande de la dis
one d'innervation de la branche crurale du fémoro-cutané et par une
anesthésie
en forme de raquette à la face antr"ro-cxteI'l1
xteI'l1e de la cuisse : parfois l'hyperesthésie s'observe au lieu d'
anesthésie
. L'étiologic de la méralgic parestbésiquc n'est p
es troubles de la sensibilité sont très variables : hyperesthesics.
anesthésies
. La topographie des troubles de la sensibilité es
guille recourbée, de même l'orifice du canal palatin postérieur. On
anesthésie
superficiellement la peau et le trajet sous-cutan
constaté également l'abolition du réflexe patellaire au cours de l'
anesthésie
chloroformique. Horsley a vu, dans le sommeil pro
i, troubles des fonctions des sphincters et quelquefois eschares et
anesthésie
: nous avons alors le tableau de la paraplégie
directe a l'intoxication hépatique. RÉFLEXES -CUTANES. 447 Dans l'
anesthésie
par l'éther, M. Lenoble (Société de Biologie, d
aralysie motrice, de l'hyperes- - lhésie avec une zonesus-jacente d'
anesthésie
et une zone d'hyperesthésie supérieure à la pré
lexe crémastérien a été considéré comme un indicateur précieux de l'
anesthésie
chloroj'ol'lllique ; la disparition indique l'ane
cieux de l'anesthésie chloroj'ol'lllique ; la disparition indique l'
anesthésie
com- plète au même titre épie l'abolition du ré
st pas suivie du réflexe quand elle porte sur une région atteinte d'
anesthésie
par cause organique. Au contraire, ce réflexe s
contraire, ce réflexe se produit normalement quand il s'agit d'une
anesthésie
hystérique. Il peut se manifester d'une façon v
xe IItnll1dlairc est généralement liée il une anes- thésie el cette
anesthésie
est due à une lésion des nerfs périphériques. S
nage, ce qui donnera des symptômes de paralysie, ou plus rarement d'
anesthésie
dans le domaine du nerf atteint, mais celle foi
472 in HÉMIPLÉGIE. - plus une paralysie que l'on observe mais une
anesthésie
localisée à la zone de distribution de la Ve pa
tre paralysie faciale. Hémianesthésie alterne (Raymond) : d'un côté
anesthésie
des mem- bres avec ou sans paralysie, de l'autr
un côté anesthésie des mem- bres avec ou sans paralysie, de l'autre
anesthésie
de la face avec on sans paralysie. ' Syndrome
ns ce cas elles demeurent généralement flasques et s'accompagnent d'
anesthésie
à type radiculaire, de relâchement des sphincte
sensibilité enfin' des paraplégies flasques avec réflexes abolis et
anesthésie
complète. Ajoutons que l'on a vu des paraplégie
-dessus de cette zone d'hypcresthésie se décèle une bande étroite d'
anesthésie
. Sur tout le membre d'ailleurs, il y a abolitio
ncées dans l'étendue et l'intensité des troubles sensitifs. Cette «
anesthésie
oscillante » ne s'est rencontrée que dans les c
oisées par adduction forcée, le clonus existe au plus haut degré; l'
anesthésie
s'étend aux membres inférieurs et aux régions l
totale. Les troubles trophiques, les altérations de la sensibilité (
anesthésie
, dissociation s'I'IIrOrrIV'('111111C), les troubl
réflexes sont rapidement abolis cl l'immobilisation des membres, l'
anesthésie
sont bientôt complètes. Il existe ordinairement
ts selon l'étiologie du syndrome. Dans la para- plégie organique, l'
anesthésie
remonte plus ou moins haut sur le tronc : la li
nsversale il peu près horizontale. Au contraire, dans l'hystérie. l'
anesthésie
affecte un contour particulier, en chaussettes,
titude : escarres, cystite purulente. Certitude : distribution de l'
anesthésie
cutanée. On aura parfois l'occasion de surpendr
plégiques sont typiques, classiques, et la limite supé- rieure de l'
anesthésie
permettra de préciser la hauteur de la compressio
paraplégie que ses compressions déter- minent « est complète, avec
anesthésie
remontant Ù la partie inférieure du ventre, tro
ion des réflexes achilléen et rotulien. En revanche, il existe de l'
anesthésie
en selle ou en garniture des régions sacrée, ano-
res- thésié. A la racine Z2, sectionnée, corres- pond une bande d'
anesthésie
du côté de la lésion. A la racine S', sectionné
ant le pli inguinal, en arrière la limite supérieure du sacrum avec
anesthésie
tout particulièrement intense au niveau du péri
d'action qu'autant que ses antagonistes ne sont pas paralysés. L
anesthésie
, qui existe dans la paralysie radiculaire supérie
, limitée ta par une ligne plus ou moins irrégulière (De- jcrme). L
anesthésie
peut remonter plus haut sur la région externe et
para- lysies radiculaires inférieures. Raymond pense qu'au début l'
anesthésie
ne fait jamais défaut si on se donne la peine d
après l'accident, on trouve toujours une bande d'hypoesthésie ou d'
anesthésie
à type radiculaire correspondant à [G. Gt7l.LL.
oncernant une paralysie radiculaire de la première paire dorsale, l'
anesthésie
présentait la dissociation syringomyeliqnc. La
IES DU LARYNX. I. TROUBLES SENSITIFS Nous indiquerons ici : 1 u l'
anesthésie
du larynx; 2° l'hperesllrésie; 5" les paresthés
4° la névralgie; 5" les troubles réflexes d'origine laryngée. 1"
Anesthésie
du larynx. On admet généralement que l'hystérie
hystérie s'accompagne facilement (une fois sur six d'après Thaon) d'
anesthésie
du larynx. Mais on a fait remarquer, avec Thaon e
phtérie : dans ce dernier cas elle coexiste presque toujours avec l'
anesthésie
du pharynx et du voile el, comme elle est la co
(paralysie générale), certains troubles démentiels s'accompagnent d'
anesthésie
du larynx : la mort des paralytiques généraux ou
- cal i té produit aussi la porte de sensibilité du larynx dans les
anesthésies
chirurgicales. ' . Les svniplôincs subjectifs
constater qu'il est insensible en totalité ou en partie. Lorsque l'
anesthésie
est partielle elle est le plus souvent limitée
. L'hyperesthésie du larynx intéresse moins les neurologistes que l'
anesthésie
, car si elle se rencontre parfois au début de l
blié d'un malade qui croyait avoir un os de lapin dans le larynx, l'
anesthésie
et la section d'une bride musculo-fibreuse anor
la sensibilité objective sont plus rares encore : ils consistent en
anesthésie
peu pro- noncée, parfois dissociée, localisée a
et par des symptômes qui lui sont propres, tels que plan- ques d'
anesthésie
, épaississement des troncs nerveux, entre autre
des nerfs ou des muscles. Les troubles objectifs de la sensibilité (
anesthésies
ou parfois hyperesthésies totales ou disso- cié
ue des muscles de la main, de l'avant-bras, du bras et de l'épaule,
anesthésie
de la main, de l'avant-bras et généralement du
s, paroxystiques ou continues; la sensibilité objective s'altère, l'
anesthésie
s'installe dans le domaine du nerf; en même tem
gique, par la dissociation syringomyélique de la sensibilité, par l'
anesthésie
en plaques, par l'importance des troubles trophiq
AKoFF. Th. Paris, 1905. TRAITEMENT DES ATROPHIES MUSCULAIRES. 727
anesthésie
, anesthésie en manchon, anesthésie cornéenne et p
aris, 1905. TRAITEMENT DES ATROPHIES MUSCULAIRES. 727 anesthésie,
anesthésie
en manchon, anesthésie cornéenne et pharyngée,
T DES ATROPHIES MUSCULAIRES. 727 anesthésie, anesthésie en manchon,
anesthésie
cornéenne et pharyngée, rétrécissement du champ
Parfois spasmodiques, généralement flasques : .' , Syringomyélie :
anesthésie
dissociée, troubles trophiques (panaris , anest
0-40 ans). Lèpre nerveuse : étiologie ; symptômes syringomyéliques (
anesthésie
dissociée, troubles trophiques); symptômes" pro
e dissociée, troubles trophiques); symptômes" propres : plaques d'
anesthésie
, épaississement des troncs nerveux, nodules lépre
s sensitifs subjectifs constants (dou- leurs), objectifs fréquents (
anesthésies
, etc.); troubles vaso-moteurs, secré- toires et
s, chute des ongles et des dents, hyperesthésies, paresthé- sies et
anesthésies
, perte du sens musculaire, enfin incoordination,
moteurs et de symptômes sensitifs, parésies, douleurs fulgurantes,
anesthésies
diverses, superfi- INCOORDINATION ATAXIQUE. 763
- INCOORDINATION ATAXIQUE. 763 cielles ou profondes, entre autres
anesthésie
plantaire, incoordination parfois très prononcé
ensibilité restante que l'on utilise et que l'on développe; moins l'
anesthésie
sera prononcée, plus la rééducation aura de cha
cation aura de chances d'être rapide et complète. " Il faut que l'
anesthésie
ne soit pas trop rapidement progressive, car un
des cas bien déterminés. Par exemple, quand le malade présente de l'
anesthésie
plantaire avec une grosse incoordi- nation, il
ubles de la préhension sont sou- vent dus, chez les tabétiques, à l'
anesthésie
cutanée autant ou plus qu'à l'incoordination, o
rouble donné de la préhen- sion, il y aura plus d'ataxie et moins d'
anesthésie
cutanée. Nous avons exposé un peu longuement ce
ts, picotements), par- l'ois de Ihyperesthesic et plus souvent de l'
anesthésie
cutanée dans les domaines du médian, du radial
érien a été touché, tantôt de mictions incon- scientes quand il y a
anesthésie
du col et de l'urètre. Quand la para- plégie es
paraplégie. Elle doit être cherchée, car elle est souvent liée aune
anesthésie
de la muqueuse et peut durer plusieurs jours sans
2° Incontinence par atonie. Celle atonie paraissant résulter d'une
anesthésie
du col, on a conseillé de réveiller la sensibilit
nnel, sous l'in- fluence d'une affection psychique ou nerveuse. L'
anesthésie
des organes génitaux peut retarder indéfiniment l
e trijumeau est bien probablement en cause en telle occurrence. L'
anesthésie
totale de la cavité buccale est exceptionnelle et
dans les grandes lésions de l'encéphale. Plus fréquente est l'hémi-
anesthésie
; elle demeure rarement localisée à la seule muque
té géné- raie, les autres la sensibilité spéciale de la langue. L'
anesthésie
est généralement une béntianestbésie. Elle dépend
tes de la face, etc., peuvent, par lésion du trijumeau, provoquer l'
anesthésie
. Dans tous ces cas, on doit lutter contre la caus
ibilité liés à des mala- dies infectieuses, s'observe fréquemment l'
anesthésie
du pharynx. La sensibilité est facile à explore
langue permet de constater l'absence du réflexe au vomissement et l'
anesthésie
. Celle-ci est fréquente chez les pnralliques gé
yperesthésies accompagnées ou non de points hystérogènes. Quant aux
anesthésies
de l'épigastre, elles peuvent être superficielles
tion intestinale. Il saint tantôt de troubles sécrétoires, tantôt d'
anesthésies
ou de paralysies musculaires. Diarrhées paroxys
nd les racines s'atrophient. Ces différents états dépendent et de l'
anesthésie
du rectum et des troubles du sphincter. C.-P. M
-P. Martin a constaté chez tous les tabétiques observés par lui une
anesthésie
totale du sphincter externe de l'anus. Comme le
distendu. Les ovaires peuvent correspondre des zones d'hyper- ou d'
anesthésie
. Sous le chloroforme enfin, tout disparaît encore
est , [F. MOUTIER.J lOt'2 ` ! GATISME. l'indice d'une profonde
anesthésie
psychique on organique, d'une, dé- chéance irré
peut être portée en adduc- . tion. Il y a souvent de l'hypo ou de l'
anesthésie
sur la partie interne de la paume et du dos de
t d'éducation ? Le milieu dictera la réponse. Troubles sensitifs.
Anesthésie
. llypoesthésie, hyperesthésie (notam- ment des
dien, et enfin tous les objets nécessaires à assurer l'asepsie et l'
anesthésie
de la peau du malade. 1° L'aiguille sera une ai
C'est à ce niveau que t sera pratiquée la ponction. 4" Asepsie et
anesthésie
de la peau. - La région lombaire, autour du poi
rure d'éthyle. Brissaud, Grenet et Rathery ont cherché à réaliser l'
anesthésie
des plans profonds, en injectant une solution d
Avec la cocaïne, il faut quatre à cinq minutes avant d'obtenir une
anesthésie
; avec la stovaïne, l'anesthésie est presque imméd
à cinq minutes avant d'obtenir une anesthésie; avec la stovaïne, l'
anesthésie
est presque immédiate. 5" Ponction du canal rac
, elle sera enfoncée doucement, et si l'aiguille pique bien, avec l'
anesthésie
au chlorure d'éthyle le malade ne devra pas sen
tion est arrêtée, la sen- sibilité reparait ou redevient normale, l'
anesthésie
tactile et l'anesthésie douloureuse disparaisse
- sibilité reparait ou redevient normale, l'anesthésie tactile et l'
anesthésie
douloureuse disparaissent avant l'anesthésie th
nesthésie tactile et l'anesthésie douloureuse disparaissent avant l'
anesthésie
thermique (Beaujard), les troubles de la motric
nt lieu d'employer des courants assez forts afin de rechercher si l'
anesthésie
est complète ou pour déterminer le degré d'hypo
oubles sensitifs, sensations d'engour- dissement, de fourmillement,
anesthésies
, etc., prennent une assez grande importance, il
ratique, ces applications sont difficiles à faire est nécessitent l'
anesthésie
préalable de la muqueuse de l'isthme du gosier.
et peut même faire défaut dans les paralysies plus anciennes. Les
anesthésies
hystériques n'entraînent généralement pas de gène
lades. On a montré d'ailleurs dans ces dernières années combien ces
anesthésies
sont souvent artificielles et quel rôle peut jo
evenue persiste parfois d'une manière définitive; le plus souvent l'
anesthésie
reparaît après quelques heures ou après quelque
pervertie, ce qui n'exclut d'ailleurs pas la présence simultanée d'
anesthésies
plus ou moins étendues. Ou bien il s'agit de zo
. Innervation, physiologie, 552. Anémie pernicieuse, ataxie,-761.
Anesthésie
de l'oeil, origine oculaire, cé- rébrale, névri
. réflexe dans les lésions de l'oreille, 145. du la- rynx, 040.
Anesthésies
fonctionnelles, diagnostic, : i56. hystériques, 5
- 11'1'1. Hypnose, 191. Hystérie, troubles de la sensibilité.
Anesthésies
, JJ2. - Hypereslhésies, 556. - Atrophie muscula
éiologique des troubles ner- veux de V 3a. Phénomènes douloureux,
anesthésie
, 115, - Trou- bles oculaires dans les tumeurs c
guille. Attitude du malade, l 120. - Points de repère. Asepsie et
anesthésie
de la peau, 1121. - Ecoulement du liquide. Inci
actéristiques. Je me bornerai à en faire rénumération sommaire : 1°
Anesthésie
cutanée très accentuée sur toute l'étendue du mem
ue transformée. Dans ce cas, point de stigmates, c'est-à-dire pas d'
anesthésie
cutanée, pas d'ovarie, pas de troubles sensoriels
ssus du sol son membre gauche maintenu étendu, ¹ 1. — Légende. a.
Anesthésie
. b. Plaque hystérogène. Fig. 11. ¹ 2. — Lég
oints fémoraux. e. Point péronéen. Point malléolaire externe. AN.
Anesthésie
. on lui fait ressentir à un moment donné une do
pé où on avait placé l'enfant, à la manière d'un corps inerte ; pas d'
anesthésie
d'ailleurs, pas de rigidité, pas d'atrophie, les
ue ce n'est pas seulement sur les membres paralysés qu'est répandue l'
anesthésie
, mais encore sur toute la moitié gauche du tronc,
ant, en arrière et sur la moitié de la tête et de la face ; que cette
anesthésie
n'occupé pas uniquement la peau, qu'elle s'étend
tions particulières dans les parties sexuelles, des contractures, des
anesthésies
ou des hypéresthésies, des crises enfin dont la d
rthrite du genou). B. Du côté droit (côté opposé à la section) : 1°
Anesthésie
cutanée de tout le membre inférieur, remontant su
onde de la sensibilité de la peau. A proprement parler ce n'est pas l'
anesthésie
proprement dite qu'on y rencontre, mais bien un t
et qu'on ne le voit pas se combiner par exemple avec l'analgésie ou l'
anesthésie
des hystériques. Rien de plus simple, vous le v
ura dû vous frapper, c'est que du côté du tronc la ligne qui limite l'
anesthésie
dysesthésique ne remonte pas aussi haut, il s'en
ici, je pense, que ces modifications relatives à la distribution de l'
anesthésie
qui à l'origine devait s'étendre par en haut jusq
la périphérie vers le centre qu'a diminué progressivement le champ d'
anesthésie
dans plusieurs cas d'hémipara-plégie spinale, rés
re, suivant moi, un intéressant exemple d1hémiparaplégie spinale avec
anesthésie
croisée, par lésion traumatique de la moelle épin
, le syndrome hémiparaplégie spinale, ainsi, par exemple, la limite d'
anesthésie
du côté droit placée trop bas pour une lésion de
Günstige formen von Hemilâsion des Rückenmarkes. Wien 1887. ou sans
anesthésie
qui se produisent en conséquence du choc local ne
l y a très certainement des paraplégies par névrite périphérique sans
anesthésie
et sans douleur. Tous les symptômes plus haut s
d, s'étend jusqu'au niveau du genou. Nous parlerons plus tard cle l'
anesthésie
cutanée qui se montre sur la jambe et le pied gau
lité. — 3. Plaques hystérogènes. gauche très nettement accusée, une
anesthésie
presque absolue sur la jambe et le pied gauches.
aminée avec soin, ne présente aucune trace d'ovarie, d'analgésie ou d'
anesthésie
soit sensitive, soit sensorielle, à l'exception d
comme vous pouvez le reconnaître sur le schéma que je vous présente :
Anesthésie
cutanée absolue sur le membre supérieur gauche, s
notre malade, l'existence de l'hystérie classique. Rien n'y manque,
anesthésies
sensitives et sensoreilles, points hystéro-gènes,
as d'autres troubles de la sensibilité, pas d'autres stigmates, pas d'
anesthésie
, pas de lésion du goût, de l'odorat;etc.,etc. Mai
nalogues que se produiraient les bypéresthésies, ou au contraire, les
anesthésies
plus ou moins durables, observées dans certains c
x s'accompagne de névrite optique. 1. Au membre supérieur gauche, l'
anesthésie
cutanée est compliquée d'anesthésie profonde. La
1. Au membre supérieur gauche, l'anesthésie cutanée est compliquée d'
anesthésie
profonde. La malade a perdu, les yeux fermés, la
ibilité, nous constatons, à notre grand étonnement, l'existence d'une
anesthésie
cutanée complète, absolue, totale, qui se répand
justement, vous le voyez, c'est dans notre Fig. 40 et 41. — aa, bb.
Anesthésie
pour tous les modes de la sensibilité. Perte du s
ne révélation ; vous y reconnaissez en effet cette disposition de « l'
anesthésie
en gigot » qui, ainsi que je vous l'ai bien souve
és que nous venons de signaler à propos des membres inférieurs ; même
anesthésie
cutanée complète, limitée « en gigot » vers la ra
cutanée complète, limitée « en gigot » vers la racine du membre, même
anesthésie
profonde, même perte de la sensibilité articulair
ée : signe de Romberg très accentué, absence des réflexes rotu-liens,
anesthésie
plantaire. Début du traitement le 22 octobre. L
t devenue moindre. Vers la vingtième, la miction s'était améliorée, l'
anesthésie
plantaire avait disparu, le signe de Romberg étai
s'est atténuée ou a disparu et que, chez deux malades, des plaques d'
anesthésie
plantaire sont redevenues sensibles. Enfin il nou
n de constriction ; pas d'engourdissement, pas d'hyperesthésie, pas d'
anesthésie
. Toutes les excitations cutanées sont perçues nor
it pas nettement où posent ses pieds. Cependant, pas d'analgésie ou d'
anesthésie
sous une forme quelconque; pas de douleurs autres
nde (Voir le schéma). Au niveau de cette plaque, une' Fig. 54. — a.
Anesthésie
. Fig. 55. — a. Anesthésie. b. Hyperesthésie. b.
iveau de cette plaque, une' Fig. 54. — a. Anesthésie. Fig. 55. — a.
Anesthésie
. b. Hyperesthésie. b. Hyperesthésie. pression
geant de gauche à droite. » Or, le côté gauche est celui où siègent l'
anesthésie
cutanée ainsi que le rétrécissement du champ visu
he. beaucoup plus marqué à gauche ; dyschromatopsie pour le violet;
anesthésie
de la cornée etdiplopie monoculaire à gauche. Il
n, de ce fait, est aussi un peu gênée. Pas de points hystérogènes :
anesthésie
testiculaire gauche tandis qu'à droite la sensibi
e sensibilité, aussi bien la peau que les parties profondes. 38 L'
anesthésie
cutanée qui porte à le fois sur le tact, la doule
e, acuité auditive très diminuée, également à gauche. En outre de l'
anesthésie
du membre inférieur gauche, signalée à propos de
ns les salles ; je constatai séance tenante qu'il était atteint d'une
anesthésie
cutanée généralisée absolue, et qu'il présentait
riablement que c'était du côté droit, c'est-à-dire du côté où siège l'
anesthésie
qu'ils apparaissaient : c'est là une particularit
ous le savez, que dans l'hémiplégie hystérique. B -G Pig. 68. L'
anesthésie
en effet, est non seulement sensitive mais encore
ynam. 10, 60 puis 25, Rétrécissement du lhmp visuel perte k goût,
anesthésie
Pharyngée, hémianes-thes* gauche. Hémiplégie ga
, main frappée 1. 13« Leçon du mardi, 1887, 1888, 1889, passim. d'
anesthésie
complète et relative à tous les modes de la sensi
te et relative à tous les modes de la sensibilité. La limitation de l'
anesthésie
du côté des parties restées sensibles se fait par
e, très nettement accentués et disposés d'une façon caractéristique :
Anesthésie
cutanée en manchon se limitant par en haut suivan
dans laquelle le trouble moteur est sous la dépendance immédiate de l'
anesthésie
et de la perte du sens musculaire et ne s'observe
oma, puis l'amnésie dont il a été question tout à l'heure ; certaines
anesthésies
absolues occupant les mains et les pieds dont M.
nsister ; évidemment, bien qu'il n'y ait point là de stigmates, pas d'
anesthésies
sensorielles ou sensitives, pas de plaques hypé-r
aucun trouble permanent de la sensibilité cutanée ou profonde ; pas d'
anesthésie
cutanée, en particulier, pas de thermoanesthésie.
hodique de notre sujet, nous avons reconnu chez lui l'existence d'une
anesthésie
cutanée complète, qui embrasse toute l'étendue
ticulière dont nous reparlerons parce qu'elle offre un Fig. 82.— a.
Anesthésie
généralisée pour le contact, Fig. 83 — a. Anesthé
n Fig. 82.— a. Anesthésie généralisée pour le contact, Fig. 83 — a.
Anesthésie
. la douleur, le chaud et le froid. b. Hypoanest
e vue du diagnostic. Je tiens à vous montrer jusqu'à quel point cette
anesthésie
est parfaite. Vous voyez qu'on peut traverser l
est également affecté chez lui, mais pas d'une façon complète. Cette
anesthésie
est évidemment de nature hystérique. Quelle est l
st tombé dans la grande hystérie; c'est alors que sont apparues cette
anesthésie
, ces douleurs de ventre, ces crises qu'il ne conn
choc, sont marquées 1° par les troubles de la sensibilité à savoir :
anesthésie
cutanée et profonde ; 2° par des paralysies motri
rapporte encore par la concomitance de troubles de la sensibilité. L'
anesthésie
cutanée ou profonde n'a pas été, à la vérité, con
ucoup plus difficiles que le jour précédent. C'est un peu après que l'
anesthésie
cutanée a été bien et dûment constatée, le malade
ous pouvez constater aujourd'hui, à l'aide des procédés usuels, cette
anesthésie
cutanée qui occupe en avant la partie antéro-exte
ux est normal ; il n'y a pas d'amaigrissement du membre. Cette même
anesthésie
, relevée à propos du membre inférieur gauche, se
a sphère des membres,nous avons reconnu ce qui suit. Tout d'abord l'
anesthésie
révélée par l'examen des membres du côté gauche s
ossibilité d'écarter les doigts et de fermer le poing complètement. L'
anesthésie
de la main est complète : « on peut lui planter u
'il a les yeux clos, sont imprimés à ses doigts. Les limites de cette
anesthésie
sont très spéciales. Elle comprend la main entièr
nvasion brusque, même guérison soudaine; même mode de limitation de l'
anesthésie
par une ligne droite circulaire (anesthésie en fo
e mode de limitation de l'anesthésie par une ligne droite circulaire (
anesthésie
en forme de gant), pourrions-nous ajouter aujourd
incomplète au point de vue clinique. Pourquoi n'avoir pas recherché l'
anesthésie
par moitié, les points hystérogènes, le rétréciss
ne pour la main droite 27 kilos et 19 pour la gauche. Il n'y a plus d'
anesthésie
ni à la tête, ni au tronc, ni au membre supérieur
e. Au membre inférieur gauche, il n'existe plus qu'une large plaque d'
anesthésie
occupant les faces antérieure et externe de la cu
e symptômes permanents, il y a à noter une hémianalgésie droite, avec
anesthésie
très nette de la cornée de ce même côté, mais san
ans l'histoire classique du cas qui ressemble à des attaques. — Pas d'
anesthésie
pharyngée, le goût, l'odorat, l'ouïe sont à l'éta
le typeDuchenne-Aran ; b. les symptômes poliomyéliques postérieurs :
anesthésie
à la douleur, au chaud, au froid, sans participat
Il admettait, vous ne l'ignorez pas, que parfois, par exception, une
anesthésie
cutanée, plus ou moins prononcée, se montrait com
ux symptômes classiques de l'atrophie musculaire progressive. « Cette
anesthésie
», écrit-il à la page 493 de la dernière édition
ous reconnaissons facilement dans ce passage l'analgésie et la thermo
anesthésie
qui, ainsi que l'ont montré les travaux récents,
ité par Duchenne de Boulogne comme atteint d'atrophie musculaire avec
anesthésie
. Un examen attentif a montré que dans ce cas il s
ectent à la surface du corps, chez notre homme, les divers modes de l'
anesthésie
. Je vous ferai remarquer tout d'abord que partout
out d'abord que partout, sur toute l'étendue du 1. L'intensité de l'
anesthésie
dans ces figures .et dans celles qui suivent est
es-là ne sont en général pas perçues. La seule région du corps où l'
anesthésie
à la chaleur fasse com 1. L'instrument à l'aide
les particularités que nous faisions ressortir tout à l'heure, dans l'
anesthésie
des hystériques ; et, en pareil cas , tantôt elle
e thermo-anesthésie hystérique, dans ses intéressantes leçons sur les
anesthésies
hystériques, publiées en 1887. Les malades, dit-i
ement reproduites dans l'hystérie ; et si vous ajoutez à cela que les
anesthésies
syringomyéliques peuvent être, ainsi que nous l'a
expressément déjà, disposées à la surface du corps, comme le sont les
anesthésies
hystériques, par zones géométriquement limitées,
de même de laparalysie des mouvements.Mais jamais,depuis le28 juin,l'
anesthésie
n'a disparu : elle présente toujours le caractère
nt conservés et d'intensité normale. Sensibilité. — On constate une
anesthésie
absolue dans toute la moitié droite du corps pour
rai que MM. Oppenheim et Thomsen ont cru trouver dans la ténacité des
anesthésies
chez les traumatisés un caractère qui permettrait
les traumatisés un caractère qui permettrait de les différencier des
anesthésies
vraiment hystériques. L'anesthésie des traumatisé
rmettrait de les différencier des anesthésies vraiment hystériques. L'
anesthésie
des traumatisés, disent-ils, est toujours tenace
pas cette mobilité, ces changements capricieux qui caractérisent les
anesthésies
hystériques. Mais cet argument ne vaut pas. Il es
ystériques, une paralysie transitoire du membre supérieur gauche avec
anesthésie
et perte du sens musculaire qui, manifestement, d
est également insensible au contact, à la piqûre et au froid, mais l'
anesthésie
n'est pas aussi complète qu'au membre supérieur e
laire de celle qui circonscrit la partie supérieure de la cuisse. L'
anesthésie
des membres est profonde. On peut tordre les doig
Le réflexe crémastérien est nul à gauche, très prononcé à droite.
Anesthésie
pharyngienne. Organes des sens. — Vue. — Il exi
nue sensible ». Nous constatons en effet, qu'il n'existe plus trace d'
anesthésie
du côté gauche; il n'y a plus de rétrécissement
ravons -\. L BATTAILLE ET C" r : : nITT uns SYRINGOMYÉLIE AVEC
ANESTHÉSIE
TOTALE PAR Le P F. RAYMOND, Médecin de la S
nifestations ont été plus accusées et plus rapi- SYRINGOMYÉLIE AVEC
ANESTHÉSIE
TOTALE 7 des dans le membre supérieur gauche. D
octobre, notre malade pré- sentait déjà et elle présente encore une
anesthésie
complète sur toute l'étendue du tégument extern
pectorale. -Vous savez,,je suppose, ce qu'on entend par les mots d'
anesthésie
dissociée, de dissociation de la sensibilité. Vou
dissociation de la sensibilité. Vous savez qu'on désigne par là une
anesthésie
qui porte isolément sur une ou deux des manière
ur la sensibilité tactile seulement. Il n'y a pas très longtemps, l'
anesthésie
dissociée, quand elle se-présentait sous la for
s sen- sations douloureuses et sur les sensations thermiques. Cette
anesthésie
totale occupe touj. le vaste champ représenté p
tait, certaines époques, rem- placée par l'anestliésie. A gauche, t'
anesthésie
est peut-être un peu moins profonde ; les sensa
néale et ano-vulvaire, il y avait de l'hypoesthésie à gauche el une
anesthésie
complète et totale à droite. Cette anesthésie
sie à gauche el une anesthésie complète et totale à droite. Cette
anesthésie
superficielle des téguments s'accompagnait d'une
utres symptômes frappe le plus mais n'embarrasse pas moins, c'est l'
anesthésie
. Rappelez-vous que cette anesthésie ne respecte
n'embarrasse pas moins, c'est l'anesthésie. Rappelez-vous que cette
anesthésie
ne respecte, en somme, que la face et la partie
immédiatement nous faire songer il l'hystérie. L'intensité de celle
anesthésie
, l'impotence motrice complète dont est frappée la
ous avons toujours le droit et même le devoir de nous demander si l'
anesthésie
ne doit pas être considérée comme une manifestati
ns hystériques, au pre- mier rang desquelles il convient de citer l'
anesthésie
. A mon avis, ce n'est pas le cas chez notre mal
l'anesthésie. A mon avis, ce n'est pas le cas chez notre malade ; t'
anesthésie
, chez elle, ne se présente pas avec les caractè
ères qu'on lui trouve dans l'hystérie. Elle diffère d'abord de l'a-
anesthésie
hystérique par sa distribution. En effet, dans l'
s ou moins réguliers ou îlots disséminés. Sans doute on observe des
anesthésies
hystériques généralisées, mais elles sont total
ésié provoquait la dilatation de la pupille con- SYRINGOMYÉLIE AVEC
ANESTHÉSIE
TOTALE 11 trairement à ce qui a lieu dans les c
AVEC ANESTHÉSIE TOTALE 11 trairement à ce qui a lieu dans les cas d'
anesthésie
organique. De plus l'a- nesthésie hystérique es
primordiale des accidents, ni comme complication. L'hypothèse d'une
anesthésie
par lésion de l'encéphale n'est pas davan- tage
lésion de l'encéphale n'est pas davan- tage admissible. En effet, l'
anesthésie
qui a cette origine se présente sous les traits
origine se présente sous les traits cle l'hémi-anesthésie ; comme l'
anesthésie
hystérique, elle atteint les organes des sens d
éléments cliniques et étiologiques du cas et des caractè- res de l'
anesthésie
. Il ne nous reste donc plus qu'à chercher parmi
autorisés à éliminer les maladies suivan- tes qui ne comptent pas l'
anesthésie
parmi leurs symptômes, mais qui peuvent s'assoc
matique dominé par la paralysie motrice, l'atro- phie musculaire, t'
anesthésie
, des troubles trophiques cutanés, il ne reste p
à nécessiter une discussion : elle est relative aux caractères de l'
anesthésie
. Nous ne constatons pas chez cette femme la for
de l'anesthésie. Nous ne constatons pas chez cette femme la forme d'
anesthésie
qui est habituelle dans les cas de syringo- myé
est habituelle dans les cas de syringo- myélie, je veux parler de l'
anesthésie
dissociée. Mais pour si habituelle qu'elle soit
ésie dissociée. Mais pour si habituelle qu'elle soit, celle forme d'
anesthésie
est loin d'être constante. Ne perdez 12 NOUVELL
a publié un assez grand nombre de faits de syringomyélie pure, où l'
anesthésie
revêtait la forme vulgaire, c'est-à-dire intére
a (1) etRumpl' (2) ont fait connaître des cas de syringomyélie où l'
anesthésie
intéressait les trois modes de sensibilité. Des
la syringomyé- lie, et il a cité des exemples de syringomyélie où l'
anesthésie
était totale. Au nombre des faits du même ordre
s, 1892. (7) As.iLs, Bibliotheca medica, 1893. SYRINGOMYÉLIE AVEC
ANESTHÉSIE
TOTALE 13 syphilis médullaire. L'autopsie démon
t d'une syringo- myélie. Du vivant du malade, on avait constaté une
anesthésie
totale à la jambe droite et dans le côté droit
En 1894, IIomen (1) a publié une observation de syringomyélie avec
anesthésie
totale aux avant-bras ; à l'autopsie, on a trouvé
té trouvés dégénérés. Or, du vivant du sujet, on avait constaté une
anesthésie
totale dans la moitié gauche du tronc, à la cui
un malade qui, à la suite d'une fièvre typhoïde, avait présenté une
anesthésie
complète et totale aux doigts et aux mains. Pui
convaincu, par ces citations, combien on a eu tort de représenter l'
anesthésie
totale comme une manifestation exceptionnelle,
syringomyélie. Il me reste maintenant à vous ex- pliquer pourquoi l'
anesthésie
se présente tantôt, sous la forme partielle dis
avec autopsie que j'ai passées en revue tout à l'heure, c'est que l'
anesthésie
totale, l'anesthésie qui intéresse la sensibilité
i passées en revue tout à l'heure, c'est que l'anesthésie totale, l'
anesthésie
qui intéresse la sensibilité tactile en même te
de gliomatose indépendants de la masse centrale. SYRINGOMYÉLIE AVEC
ANESTHÉSIE
TOTALE 15 Dans un cas d'Oppenheim dont je vous
ndue des troubles moteurs, la distribution et les ca- ractères de l'
anesthésie
, il y a lieu de supposer chez notre malade, l'exi
dissociation dite syringomyélique (Fig. 11 et 12). Sur le tronc, l'
anesthésie
complète s'établit peu à peu à mesure qu'on rem
MME SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 53 la limite de cette
anesthésie
et comme elle diffère à droite et à gaucho, nou
ucho, nous l'examinerons séparément de chaque côté : il gauche, l'
anesthésie
s'arrête nettement suivant une ligne qui corres-
ndes d'hyperesthésie {pointillé) surmontent la limite supérieure de l'
anesthésie
. pace intercostal ; puis, si on dépasse cette z
IÈHE , de niveau mesurée par la hauteur d'un espace intercostal : l'
anesthésie
s'ar- rête franchement le long de la 2° côté ;
e basant sur la limite de la paralysie, sur celle, plus nette, de l'
anesthésie
, enfin sur l'existence de l'i- négalité pupilla
uement l'attaque apoplectiforme, suivie de paraplégie complète et d'
anesthésie
du territoire sous-jacent à la lésion : un sembla
es cornes postérieures et l'angle antérieur du cordon postérieur, l'
anesthésie
du côté opposé, au-dessous de la lésion. Par
rrespondent les troubles moteurs plus marqués du bras gauche et une
anesthésie
plus élevée du côté opposé, à droite ; à la tum
ler des deux zones d'hypel'esthésie super- posées aux territoires d'
anesthésie
, avec leur même dénivellement. L'interprétation
gure, on a repré- senté la paralysie motrice par la teinte noire, l'
anesthésie
par les hachures obliques , et l'hypereslhésie
resthésie du territoire innervé, la zone HD, superposée à.la zone d'
anesthésie
AD. L'explication précédente s'applique identiq
une diminu- tion progressive de cette sensibilité tactile, puis une
anesthésie
complète'; cette anesthésie tactile trouve son
de cette sensibilité tactile, puis une anesthésie complète'; cette
anesthésie
tactile trouve son explication dans ce fait que l
l'urine s'écoulerait malgré la volonté. En dehors de cette bande d'
anesthésie
presque absolue qui englobe les orga- nes génit
la malade peut même courir après un omnibus. La sensation pénible d'
anesthésie
comparée par la malade la gêne détermi- née par
ioration est très marquée; la marche est très bonne, la sensation d'
anesthésie
anale et périnéo-vulvaire s'atténue de plus en pl
dissemenl passager de la plante des pieds sans qu'on puisse noter d'
anesthésie
véritable par les divers procédés d'investigati
ptômes observés et en particulier en se basant sur les limites de l'
anesthésie
, de dire que nous nous sommes trouvé en présence
(2) Jamais nous n'avons poussé le sommeil chloroformique au delà de l'
anesthésie
. Si dans les laboratoires on a pu, sur des anim
urquoi la disparition du tonus ne se produit pas d'emblée lorsque l'
anesthésie
chloroformique se produit. Cela tient à ce que le
araissent point lorsclue le sujet tombe dans le som- meil et dans l'
anesthésie
. Le tonus est du reste un phénomène généralisé à
sentent des troubles de la sen- sibilité objective, sous la forme d'
anesthésies
circonscrites qui portent sur tous les modes de
rites qui portent sur tous les modes de la sensibilité. Plus tard l'
anesthésie
peut faire place à Fhyperesthésie ; les malades
oncs nerveux étaient douloureux il la pression ; on constatait de l'
anesthésie
par places. Tout cela cadre parfaitement avec c
r une pigmentation plus foncée de la peau. Puis sont survenues de l'
anesthésie
cutanée et une faiblesse motrice qui a dégénéré
omène du genou, le signe de Romberg, des douleurs lancinantes, de l'
anesthésie
, et jusqu'à des troubles oculaires tels que la di
es membres, douleurs violentes qui empêchent les malades de dormir,
anesthésie
douloureuse c'est-à-dire coïncidant avec de l'h
les que la perte des réflexes tendineux, le phénomène de Romberg, l'
anesthésie
, des (1) Voir P. llu(¡I',\IIDI : L et G. Polche
oubles sensitifs, phénomènes de paresthésie, dou- leurs spontanées,
anesthésie
, soient aussi accentués que dans la paralysie a
as gauche; moitié interne de toute sa face postérieure. En avant, l'
anesthésie
est encore coupée en manche de veste. En arrièr
sse- ments, des fourmillements. Or, elle présente : 1" une zone d'
anesthésie
tactile et d'analgésie localisée à la région th
la région thénarienne et au pouce de la main gauche ; 2° une zone d'
anesthésie
tactile et d'analgésie occupant la face dorsale
troubles moteurs et sensi- tifs), 10, 11, 12. Syringomyélie avec
anesthésie
totale, 1,2. Tracés obtenus avec le clonographe
membres en segments transversaux (méta- mérie spinale). ceux de l'
anesthésie
syringomyélique. Il n'en est pas moins vrai que l
musculaire, atrophie osseuse, épaississement des téguments ; pas d'
anesthésie
). Mais les nerfs sont douloureux, ce qui semble
u sous-coracoïdienne. Le médecin l'a réduite assez facilement, sans
anesthésie
, et l'expérience prouve que les luxations intra-c
ntait pas la piqûre profonde dans le domaine du nerf cubital. Cette
anesthésie
était bien moindre dans les sphères des nerfs m
ésie est d'au- tant plus intense que l'atrophie est plus avancée. L'
anesthésie
permanente ou passagère associée à la paralysie
'est la névralgie du trijumeau, douleurs fulgurantes, ou encore son
anesthésie
, son analgésie, l'engourdissement, ou encore les
e nature. Aussi notre maître Gilles de la Tourelle l'attribua a une
anesthésie
vésico-uréthrale et nous conseilla de vérifier
rès vives, la preuve était suffisamment faite, il existait bien une
anesthésie
desmu- queuses vésicale et uréthrate. INCONTI
blissement de l'intelli- gence. Ce prurit n'était pas associé à une
anesthésie
sensible. Un autre avait eu pendant plusieurs m
sur la ré- gion épigastrique. Elles ont disparu, mais il reste de l'
anesthésie
sur ces régions. Dans ce fait, la plaque fémora
sique de Roth-Bernhardt (4) que l'on peut voir dans la mé- ralgie l'
anesthésie
survivre à la paresthésie (Good). Le troisième s'
e, les hémiplégies cérébrales peuvent s'accompagner non seulement d'
anesthésie
, mais encore de dysesthésie (Wood, l'etrina, etc.
Les réflexes rotuliens sont conservés. Il existe quelques plaques d'
anesthésie
sur la région thoracique où il se plaint de dou
dre, on rencontre isolément ou conjointement des hyperestésies, des
anesthésies
, des hypoesthésies, des retards, des dédoubleme
a nature, les caractères, la répartition des trou- bles objectifs ;
anesthésies
, hyperesthésies qu'on rencontre dans les cas de
cas de tabès, la vérité est celle-ci ; on sait que dans le tabes, l'
anesthésie
tactile, l'analgésie, le ralentissement de la p
nscription; on sait aujourd'hui distinguer suivant leur origine les
anesthésies
en rapport avec une lésion des nerfs périphériq
ère préoccupé de re- chercher jusqu'à quel point les caractères des
anesthésies
tabétiques con- cordent avec ceux qui sont attr
nesthésies tabétiques con- cordent avec ceux qui sont attribués aux
anesthésies
d'origine périphéri- ques, radiculaire, intrasp
sitives certaines notions relativement nouvelles qui attribuent aux
anesthésies
et hyperesthésies du tabès des caractères tout
figure en général ; chez eux on voit apparaître et disparaître des
anesthésies
circonscrites sous l'influence d'excitations tant
précocité, comme fréquence et comme étendue sur les autres modes d'
anesthésie
. Stern constate que la sensibilité thermique pe
hermique peut être affectée en premier lieu, que la répartition des
anesthésies
est (1) Topinard, De l'alaxie locomotrice et en
p. 48. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T, XII. PL. LUI.
Anesthésie
au tact. Hypoesthésie à la chaleur. Hypoesthé
hésie au tact. Hypoesthésie à la chaleur. Hypoesthésie au tact.
Anesthésie
à la piqûre. Hypoesthésie à la piqûre. Hypere
la piqûre. Hypoesthésie à la piqûre. Hyperesthésie à la piqûre.
Anesthésie
à la chaleur. TROUBLES DES SENSIBILITÉS SUPERFI
e Gothard.) ¡,¡n nmYf ? 1\¡l ! \prh Hyperesthésie à la chaleur.
Anesthésie
au froid. Hypoesthésie au froid. Hyperesthési
es conclusions relativement à l'irrégularité de la distribution des
anesthésies
tabétiques. Enfin avec Laehr (2) (1895) et Patr
objective superficielle (PI. LV). I. Tact. - A. Face antérieure. -
Anesthésie
jusqu'à l'articulation tibio- tarsienne droite.
ité objective superficielle (pli. LV). I. Tact. A. Face antérieure.
Anesthésie
au pied droit jusqu'à l'articu- lation tibio-ta
ed droit jusqu'à l'articu- lation tibio-tarsienne ; petite plaque d'
anesthésie
au-dessus du genou à la face interne de la cuis
nesthésie au-dessus du genou à la face interne de la cuisse droite;
anesthésie
aux quatrième et cinquième orteils gau- ches ;
hésie au bord externe de la cuisse droite. B. Face postérieure. -
Anesthésie
plantaire des deux côtés ; hypoesthésie périmal
rhée, des envies fréquentes d'uriner et même de l'incontinence avec
anesthésie
du canal. cette époque elle éprouve des douleur
triques ni laryngés. Il reste des envies fréquentes d'uri- ner et l'
anesthésie
du canal persiste ; rien d'anormal dans les urine
ité objective superficielle (Pl. LYI). I. Tact. A. Face antérieure.
Anesthésie
aux membres inférieurs, mon- tant à gauche sur
dans la ligne mamillaire ; elle rejoint dans l'aisselle une zone d'
anesthésie
, comprenant tout le territoire d'innervation du n
erritoire d'innervation du nerf cu- bital. B. Face postérieure. -
Anesthésie
depuis les pieds jusqu'à la région sa- crée ; l
au cou-de-pied. Au-dessus des fesses monte une bande transversale d'
anesthésie
allant jusqu'à l'aisselle gauche, où elle rejoi
le d'anesthésie allant jusqu'à l'aisselle gauche, où elle rejoint l'
anesthésie
cubitale décrite. Il. DOULEUR. - A. Face antéri
ces plantaires ; hypoalgésie au tronc dans le même territoire que l'
anesthésie
. Hyperalgésie à la tête, aux bras et au tronc.
vaso-moteurs. Les fonctions vésicales sont normales, il n'y a pas d'
anesthésie
du sphincter. L'examen des urines ne révèle rie
essier. Cet amoindrissement dans la perception du tact devient de l'
anesthésie
absolue à la cuisse dans une bande étroite, situé
Hyperalgésie aux plantes des pieds et à la cuisse ; Dans la zone d'
anesthésie
; elle s'étend atout le thorax à partir de la rég
usculaire. Dans aucune de ses expériences M. Raymond n'a constaté d'
anesthésie
, d'analgésie, mais souvent de l'hyperesthésie cut
elle aurait eu de l'incontinence d'urine et des matières avec de l'
anesthésie
des sphincters. Depuis son entrée à la Salpêtri
bjective superficielle (PI. LXVI). I. Tact. - A. Face antérieure. -
Anesthésie
des deux membres inférieurs, remontant du pied
rs, remontant du pied jusqu'au pli inguinal. B. Face postérieure.
Anesthésie
jusqu'au pli fessier. IL Douleur. A. Face antér
objective superficielle (PI. LXVII). I. Tact. A. Face antérieure. -
Anesthésie
remontant jusqu'à une ligne transversale, passa
u cubital, au bras gauche, aux deux mains. B. Face postérieure. -
Anesthésie
jusqu'à la ceinture, remontant du côté droit du
atisfaisant : aucun trouble'gastrique, constipation habituelle sans
anesthésie
du sphincter. Rien au larynx ni aux poumons. Pa
ective superficielle (PI. LXV111). I. Tact. - A. Face antérieure. -
Anesthésie
sur la face médiane et au côté droit, depuis le
te de la sensation tactile remonte jusqu'à l'aisselle ; une bande d'
anesthésie
s'étend sur les deux seins. On constate également
sur les deux seins. On constate également l'existence d'une zone d'
anesthésie
occupant la moitié droite du crâne à partir de de
TROUBLES DES SENSIBILITÉS DANS LE TABES 413 B. Face postérieure. -
Anesthésie
comme à la face antérieure dans les zones corre
erception tactile est abolie dans les creux axillaires. La plaque d'
anesthésie
crânienne s'étend en arrière jusqu'à deux trave
; hypoalgésie jusqu'aux plis inguinaux. Hypoalgésie dans la zone d'
anesthésie
crânienne. B. Face postérieure. A gauche, analg
rne du bras. Hypoalgésie au crâne disposée de la même manière que l'
anesthésie
. III. Température. Chaleur. - A. Face antérieur
- Hyperesthésie à toute la surface du corps, excepté dans la zone d'
anesthésie
crânienne où il y a di- minution de la sensatio
4 secondes à la face dorsale du pied. FROID. A. Face antérieure. -
Anesthésie
à la face dorsale des pieds, re- montant à droi
ssi de l'hy- poesthésie en demi-calotte. B. Face postérieure. - L'
anesthésie
remonte à droite jusqu'au creux poplité, à gauc
à gauche jusqu'au tiers inférieur de la jambe. Il existe une plaque d'
anesthésie
sur la fesse gauche et l'anesthésie en demi-cal
a jambe. Il existe une plaque d'anesthésie sur la fesse gauche et l'
anesthésie
en demi-calotte. Une zone de dysesthésie s'éten
bjective superficielle (Pl. LXIX). I. TACT. - A. Face antérieure. -
Anesthésie
dans une zone comprenant la région ombilicale e
trémité des deux derniers doigts de la main. B. Face postérieure. -
Anesthésie
en corset ; hypoesthésie aux fesses et aux plan
s d'autres affections du système nerveux. Le caractère dissocié des
anesthésies
et des hypereslhésies se retrouve dans la syrin
n de la substance grise centrale. Toutefois dans la syringomyélie l'
anesthésie
dissociée se présente d'habi- tude avec les car
dans la syringomyélie. Enfin ou constate une ceinture incomplète d'
anesthésie
au tact dans 2 cas ; dans le cas du tabes supér
s supérieur une ceinture de môme ordre dans l'étendue de laquelle l'
anesthésie
au tact et à la douleur existera première dans
ÉS DANS LE TABES 417 7 la tendance à la disposition segmentaire des
anesthésies
et des hyperesthé- sies se montre aussi accentu
es se montre aussi accentuée que dans les cas de tabes. Si donc ces
anesthésies
et ces hyperesthésies n'ont pas une valeur pa-
à la suite d'une névrite périphérique limitée à un nerf, d'abord l'
anesthésie
s'observe très rarement, ce que l'on explique d
sensi- tive de la peau avec les racines postérieures, ensuite cette
anesthésie
, si elle existe, occupera tout entier et seulem
distribution du nerf. Enfin il est tout à fait exceptionnel qu'une
anesthésie
d'origine périphérique révèle le caractère de l
pas compte suffisamment de la disposition segmentaire de certaines
anesthésies
et hyperesthésies que nous avons constatée chez
rington (6), qui nous ont renseigné sur le mode de distribution des
anesthésies
d'origine spinale, nous savons que les lésions
e, nous savons que les lésions intra-spinales se traduisent par des
anesthésies
à disposition segmentaire : A chaque segment (e
pu ainsi établir des rela- tions précises entre la distribution des
anesthésies
segmentaires et la hau- teur à laquelle siège l
ière et deuxième racines dorsales se traduit par une étroite zone d'
anesthésie
de la face interne des bras et des avant-bras, l'
Une lésion d'où émane la 81 paire cervicale produit une môme zone d'
anesthésie
à la face dorsale et à la face ventrale du membre
Une lésion du segment d'où émane la 4° paire cervicale entraîne une
anesthésie
de la région deltoïdienne etc. Si l'on compare
nne etc. Si l'on compare sur nos schémas la disposition des zones d'
anesthésie
avec la distribution anatomique normale des rac
dorsales. Il est clair qu'une lésion transverse totale entraîne une
anesthésie
qui intéresse toutes les manières de la sensibi
ce blanche des cordons postérieurs se tradui- sent surtout par de l'
anesthésie
tactile ; que les lésions de la substance grise
ciés de la sensibilité. Les troubles objectifs de la sensibilité,
anesthésies
, hyperesthésies que nous constatons chez les ta
jectifs de la sensibilité se traduisent chez les tabétiques par des
anesthésies
, des hyperesthésies portant l'empreinte d'un tr
sie nettement arrêtée suivant la ligne médiane et accompagnée d'une
anesthésie
en botte de la jambe et du pied droit. Par surc
hy- peresthésiés (oedèmes hystériques à formes arthraigiques) ; ou
anesthésies
(oedèmes superposés aux paralysies ou aux contr
pied). Au-dessus, la cuisse, l'oedème étant de date plus récente, l'
anesthésie
pouvait être moins complète ; elle était d'aill
les muscles bucci- nateurs et grand zygomatique. Superposition de l'
anesthésie
et de la paralysie. Diversité des opinions conc
issait un appoint de plus au diagnostic. Tout d'abord il existe une
anesthésie
absolue pour le tact, la température et la doul
ous ver- rons tout à l'heure la raison de cette distribution de j'
anesthésie
qui peut paraître singulière au premier abord.
e singulière au premier abord. Il n'existe point d'autre plaque d'
anesthésie
, mais dans l'hypocondre du côté gauche on note
tré- cissement du'champ visuel'avec micrornégaIopsie dans Fig. 1.
Anesthésie
dans le domaine du facial inférieur. ' -10 CLIN
ous ces cas, la paralysie est peu accentuée et qu'il y a toujours
anesthésie
marquée et quelquefois prédomi- nante de la fac
al très peu accentuée. De plus elle paraît toujours s'accompagner d'
anesthésie
des parties paralysées, ainsi que M. Gilles de
s et dans leur voisinage, fait apparaître la paralysie faciale et l'
anesthésie
qui s'y superpose. Mais l'intoxication alcooliq
s, retombent lourdement après avoir été soulevées. Sensibilité. L'
anesthésie
est complète pour tous les modes de sensibilité
e des muscles abdominaux ni des sphincters. Sensibilité. Abdomen,
anesthésie
complète au niveau d'une zone limitée en haut p
de l'abdomen des parties antérieures. Une étroite bande verticale d'
anesthésie
réunit les bottes du mem- CAS DE PARALYSIE DES
D... s'en aperçoive. Ovarie gauche, aura à la pression. Thorax. L'
anesthésie
est limitée en haut par un collier situé au niv
. 38 PATHOLOGIE NERVEUSE. aux deltoïdes ne sont pas touchés par l'
anesthésie
. La ligne mé- diane correspondant au rachis sem
de paralysie faciale ni d'hémis- pasme glosso-labié. Sensibilité :
anesthésie
n'empiétant pas sur le cou. Goût ET odorat ab
: anesthésie n'empiétant pas sur le cou. Goût ET odorat abolis. -
Anesthésie
tactile de la langue'. 1. Secousses. D... est p
des phénomènes paralytiques, correspond une extension de la zone d'
anesthésie
(voir fig. 2). Uue exception doit être faite po
ntimètres au-dessus du sillon interfessier, existe une vaste zone d'
anesthésie
occupant toute la partie postérieure du tronc, le
aules, la nuque. En avant, au-dessus de l'arcade de Fallope, zone d'
anesthésie
occupant toute la paroi antérieure de l'abdomen,
ion correspondant aux apophyses styloïdes; 3° un vaste territoire d'
anesthésie
totale étendu du poignet à l'épaule. Les mains
e complète. Le membre inférieur droit conserve toujours une botte d'
anesthésie
. Quant au membre supérieur, il peut, au point d
tte époque persistaient la paraplégie, l'hé- mianeslhésie gauche, l'
anesthésie
de la jambe droite. En février 1889, à la suite
alysie flasque avec perturbations pro- fondes de la sensibilité : l'
anesthésie
n'offrait aucun rapport avec la distribution de
s particularités propres à notre observation. 1° Répartition de l'
anesthésie
. La paraplégie ne s'accom- pagnait pas d'une an
tition de l'anesthésie. La paraplégie ne s'accom- pagnait pas d'une
anesthésie
généralisée aux membres infé- rieurs dans toute
ne située à quelques centimètres au-dessus du genou. En revanche, l'
anesthésie
s'étendait à des parties habituellement indemne
s jours), cou, dos. 2° Variations brusques dans la répartition de l'
anesthésie
.- Dans les observations publiées, on n'assiste
rphose incessante des troubles de la sensibilité. Dans notre cas, l'
anesthésie
est mobile : ses territoires s'agrandissent, di-
ord limitée aux mains, et à la partie inférieure de l'avant-bras, l'
anesthésie
gagne les coudes, puis envahit les membres dans
, de même pour la partie supéro-interne des cuisses. Les bottes d'
anesthésie
des membres inférieurs persistent au contraire
vec hypéresthésie dans les parties postérieures du côté atteint, et
anesthésie
du côté opposé. Ces phénomènes, observés dans l
(avec exagération de la sensibilité), et dans l'extrémité opposée,
anesthésie
. En m'appuyant sur les expérimentations, j'ai p
résultait que les phénomènes de la sensibilité, particulièrement l'
anesthésie
cutanée de la patte opposée, étaient extrêmemen
; du côté droit (dans les parties nommées plus haut) il y a pleine
anesthésie
. On ne remar- que point de dérangement dans les
les. L'hypéresthésie est distincte dans le côté gauche, ainsi que l'
anesthésie
dans le côté droit. ' DE LA MOELLE ÉPINIÈRE.
ue ceux qui ont succédé immé- diatement à l'opération. La zone de l'
anesthésie
(zona anoes- thética) est au niveau des dernièr
ysie et de l'hyperesthésie de l'extrémité gauche pos- térieure et d'
anesthésie
de l'extrémité droite; en outre d'hyperesthésie
ration, est rede- venue la même qu'aussitôt après l'opération; cl l'
anesthésie
(analgésie) cutanée de l'extrémité postérieure
on pourrait expliquer la longévité des criminels par cette espèce d'
anesthésie
et par l'analgésie qui les caractérise. Les tra
phénomènes de la sclérose latérale amyotrophique, on constatait une
anesthésie
complète de la partie moyenne et inférieure de
avec ichthyose diffuse de la face interne de la main et des doigts.
Anesthésie
limitée à un côté, qui a guéri complète- ment e
paraplégie inférieure avec atrophies, perte des réflexes rotuliens,
anesthésies
et abolition de la réaction des pupilles à la l
s premiers occupent la face interne du membre, et consistent en une
anesthésie
dissociée suivant le mode syringomyélique; le s
PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 169' - Et d'abord, réexaminons cette zone d'
anesthésie
partielle avec dissociation syringomyélique qui
fasc. 3 et i.) 170 CLINIQUE NERVEUSE. cédez -moi qu'ici la zone d'
anesthésie
partielle se rat- tache à une altération du ner
ère hyperesthésie des régions désignées est restée au même degré. L'
anesthésie
du côté opposé est la même, on ne peut remarque
ont un peu exagérés. Sensi- bilité : On remarque une étroite zone d'
anesthésie
autour de la partie dorsale au niveau de la der
la plante du pied, où la sensibilité est très faible) il y a pleine
anesthésie
. Du côté gauche, on constate une hyperesthésie
bre. L'état général est satisfaisant. Une paralysie complète et une
anesthésie
des deux extré- mités postérieures. Les réflexe
est possible. Les mouvements de l'extrémité droite sont normaux. L'
anesthésie
et l'hyperesthésie cutanées sont dans le même é
rononcée. Du côté droit, dans toutes les parties cor- respondantes,
anesthésie
complète. 19. Le cobaye a crevé. Autopsie. A
traces de mouvements volontaires. Hyperesthésie du côté gauche et
anesthésie
du côté droit. Les organes pelviens sont en ord
la 110 opération. Quant à la sensibi- lité, point de changement : l'
anesthésie
de la patte droite postérieure ainsi que l'hype
suis posé le problème d'obtenir ainsi que Brown-Séquard, outre l'
anesthésie
bilatérale, la conservation des mouvements volo
buer à l'électricité (idées de persécu- tion), d'autres fois il y a
anesthésie
. 2° Le malade n'est pas affaissé comme le paral
s suivantes : On peut l'employer pour obte- nir la production d'une
anesthésie
locale pour des névralgies, des douleurs superf
est mariée depuis dix- huit ans, n'a pas d'enfants. On ne trouve ni
anesthésie
cutanée, ni perte du réflexe pharyngé, ni rétré
maines, une hémiatrophie de la face et de la langue accompagnée d'
anesthésie
de la région affectée et de paralysie des nerfs o
a région du plexus brachial droit, des phénomènes de paralysie et d'
anesthésie
, accompagnées de dilatation de la pupille droit
produit immédiatement une paralysie brachiale tolale, flasque, avec
anesthésie
partielle ; et fait qu'il est intéressant de note
ns, a). La peau du membre présente une disposition remarquable de l'
anesthésie
: Main, avant-bras totalement insensibles ; sur
nesthésie : Main, avant-bras totalement insensibles ; sur le bras l'
anesthésie
dessine une languette partant du pli du coude e
t insensibles; c). Le sens musculaire est aboli dans la région de l'
anesthésie
superficielle ; 4° a). Troubles trophiques : Am
ai été atteint en aucune façon. D'autre part, la disposition de l'
anesthésie
décrite plus haut est devenue un symptôme patho
emière dorsale avec le deuxième inter- costal) de petites plaques d'
anesthésie
de 1 à 2 millimètres de diamètre. Ces îlots d
laques d'anesthésie de 1 à 2 millimètres de diamètre. Ces îlots d'
anesthésie
complète disséminés au milieu de vastes régions
on a constaté un abaissement de la température dans la région de l'
anesthésie
superficielle, mais il est impossible de tirer
n considère, d'autre part, les paralysies hystéro-traumatiques avec
anesthésie
, on trouve tantôt, ainsi que l'a signalé M. le
e droite du tronc, la sensibilité est conservée mais obluse. Il y a
anesthésie
de. la moitié postérieure droite du tronc, du b
s et au membre inférieur gauche. Du côté droit, la disposition de l'
anesthésie
est sensiblement la même. - La sensi- bilité à
nsi- bilité à la température. Pas de plaques d'hypéresthésie ni d'
anesthésie
. Légère douleur par la pression d'un point situ
40 respirations, la dilatation des pupilles, la fixité du regard, l'
anesthésie
des conjonctives et une sorte de rigidité muscu
seulement une obnubitation de la sensibilité générale, mais aussi une
anesthésie
sensorielle. Ce fait, qu'une lésion limitée d'un
es sont projetées d'une manière tout à fait caractéristique. Il y a
anesthésie
presque complète aux membres inférieurs : les con
on do l'impression est, en pareil cas, très notablement ralentie. L'
anesthésie
s'étend sur la partie inférieure du tronc, jusqu'
oujours 1. L'absence de douleur dans ces cas pourrait dépendre de l'
anesthésie
articulaire qui chez les ataxiques se montre quel
les malades que j'ai observés, un seul peut-être excepté (Obs. IV), l'
anesthésie
cutanée était à peine prononcée à l'époque où l'a
ons métalliques, des aimants, des courants galvaniques faibles, sur l'
anesthésie
des hystériques et sur l'anesthésie cérébrale par
urants galvaniques faibles, sur l'anesthésie des hystériques et sur l'
anesthésie
cérébrale par lésion organique. — Métalloscopie ;
iats déterminés pour la majeure partie sur des hystériques frappées d'
anesthésie
, par l'action des métaux sur la surface cutanée;
B. Etude faite pour la première fois de cette action des métaux sur l'
anesthésie
des organes des sens spéciaux : ouïe, vision, odo
he généralement parallèle. F. Lo. transfert a lieu également pour l'
anesthésie
métallique. (2e rapport, 10 août 1878.) G. Étud
e M. Burq sur la cure de certains phénomènes hystériques, notamment l'
anesthésie
, la contracture, parce qu'il a appelé la métallot
hésie, la contracture, parce qu'il a appelé la métallothérapie. « L'
anesthésie
est un phénomène commun dans l'hystérie ; parfois
des expériences de M. Burq est donc exact. « J'ai vu, de plus, des
anesthésies
datant de dix ans, dues à des lésions cérébrales,
s ces expériences, l'application métallique n'a été faite que sur des
anesthésies
parfaitement caractérisées; je réponds des résult
ur des vacances, j'ai trouvé ces malades complètement guéries de leur
anesthésie
. Une avait présenté une rechute dont l'importance
couleurs, et que l'œil de ces malades, particulièrement du côté où l'
anesthésie
est achromatopsique ou dys-chromatopsique, il a p
uel est rétréci, et il est rétréci surtout du côté où l'on constate l'
anesthésie
. Ce fait, constaté par M. Landolt, permet de comp
ne malade, qui était sensible à l'or, n'a plus aujourd'hui de trace d'
anesthésie
; si on place la plaque d'or sur la partie anci
ve également de l'achromatopsie. Rien de semblable n'a lieu lorsque l'
anesthésie
est d'origine spinale. Il semble donc que, chez l
te hystérique et en particulier sur les phénomènes d'amyosthénie et d'
anesthésie
qu'elle présente. Tous ces faits, comme l'idée
mier stade de la disparition successive des phénomènes anormaux, de l'
anesthésie
entre autres. Vous remarquez en môme temps un cer
t, forte comme un homme. L'amyos-thénie a disparu en môme temps que l'
anesthésie
. Tels sont les phénomènes dont nous avons maint
sibilité, qui était revenue, disparaît de nouveau, c'est-à-dire que l'
anesthésie
se reproduit avec tous ses caractères premiers et
eulement de l'analgésie, vous pouvez obtenir, après l'expérience, une
anesthésie
complète. Il se passe là un phénomène que vous al
pendante, dans une autre circonstance. C'est ce que M. Burq appelle V
anesthésie
de retour. Si, au contraire, vous enlevez le mé
n nouveau cas propre à mettre en évidence le singulier phénomène de l'
anesthésie
métallique. Je vous présente une jeune fille de
et aujourd'hui, la malade distingue très-bien toutes les couleurs. L'
anesthésie
qui occupait le côté droit et les crises ont disp
ment et redeviennent insensibles. La quatrième, s'il est vrai que Y
anesthésie
métallique puisse être considérée comme un critér
nt, d'une manière très prononcée, dans cet état tout particulier de l'
anesthésie
métallique. Je vais vous présenter ces malades,
intensité. Mais le phénomène le plus saillant est la disparition de l'
anesthésie
du côté gauche, laquelle ne s'est guère démentie
evenues très rares. Cependant, elles existent encore et survivent à l'
anesthésie
. La malade est donc encore à un assez haut degré
persistait dans la règle, pendant un mois ou deux. J'ajouterai que l'
anesthésie
qui, autrefois, occupait tout le côté droit du co
globes oculaires dans diverses directions (I), et la persistance de l'
anesthésie
totale et absolue. Tel est ce qu'on pourrait ap
nt ainsi caractérises : 1° Etat cataleptique. — L'œil grand ouvert;
anesthésie
totale et absolue; aptitude des membres et des di
ersistant de la paupière supérieure; convulsion des globes oculaires;
anesthésie
totale et absolue; hyper ex citahilitémusculaire:
riations de température, des convulsions, des spasmes ioniques, des
anesthésies
, des hypereslhésies. Et c'est ainsi que l'aimant,
te d'acier, elle ne manifeste aucune douleur. Nous approchons du bras
anesthésie
le point neutre de ce barreau aimanté. Quelque te
ation de la belle découverte de M. Burq à constater le phénomène de l'
anesthésie
métallique. Chez une malade non hystérique, mais
e doit nous laisser indifférents. I. Troubles de la sensibilité, à.
Anesthésie
. — Ces troubles sont les accidents permanents de
vulgairement connus ; on sait qu'ils consistent généralement en une
anesthésie
plus ou moins complète de l'une des moitiés du co
est parfaitement sentie par la malade. Chez cette autre, atteinte d'
anesthésie
totale, qui a les douleurs .ovariennes des deux c
'est pourtant que les jours suivants que disparurent successivement l'
anesthésie
, puis l'achromatopsie qui siégeaient du 1. Extr
erne, et que ses paupières palpitaient légèrement. Il n'y avait pas d'
anesthésie
des membres supérieurs; mais, ma main ayant touch
jeune fille, atteinte de paralysie du côté gauche, présente aussi une
anesthésie
totale des deux côtés du corps. Vous voyez que so
s s'accumulent bientôt et s'écoulent sur les joues. Assez fréquemment
anesthésie
de la conjonctive et même de la cornée. Les membr
conjonctive est rouge, les larmes coulent quelquefois sur la joue. L'
anesthésie
a envahi, le plus souvent, la conjonctive et jusq
D'autres fois, il est vrai, la diathèse de contracture existe sans
anesthésie
, en dépasse les limites. Ainsi chez une de nos ma
diathèse de contracture avec l'amyosthé-nie sont les mêmes qu'avec l'
anesthésie
. On sait d'ailleurs que ces deux derniers symptôm
emarquable, chez elle, de stigmates sensoriels ou sensitifs ; pas d'
anesthésie
, pas de rétrécissement du champ visuel. Mais il y
émianesthie gauche, avec achromatopsie, sauf pour le rouge. 4° Pil...
Anesthésie
générale, prédominant à droite, avec achromatopsi
uivi les déplacements de Tanesthésie. 4° Chez Pil..., qui avait une
anesthésie
générale, le côté gauche, le moins affecté, a com
ce de temps, de 15 à 20 minutes, Pil... s'est trouvée délivrée de son
anesthésie
et de son achromatopsie. C'est à peu près ainsi
, que nous n'acceptons pas cependant dans toute sa rigueur: traiter l'
anesthésie
, c'est traiter la diathèse. Nous avons déjà obt
ement préparé des hallucinations, des ordres, des rêves, le frapper d'
anesthésie
et de paralysie. L'étude de la suggestion ouvre à
urants galvaniques faibles, surl'a-nesthésie des hystériques et sur l'
anesthésie
cérébrale par lésion organique. — Métalloscopie :
te à faire naître une attaque. Au niveau de ces diverses régions, l'
anesthésie
cutanée est absolue. — Il n'y a pas de clou hysté
oir fait inhaler de l'éther pendant 10, 15 minutes, etc. Cette double
anesthésie
a été mise à contribution un grand nombre de fois
yperesthésie ovarienne gauches ; hémianalgésie droite (avril 1879). —
AnesthéSie
générale (août 1879).— Arrêt des attaques par la
ès promptement une grande attaque. 3° Région ovarienne gauche, où l'
anesthésie
est complète. Il n'y a pas de douleurs dans l'int
d'hystérie. — M... a eu sa première attaque à 12 ans. Elle offre une
anesthésie
complète de toute la moitié gauche du corps, avec
ieu du pli de l'aine gauche et de la région ovarienne. A ce niveau, l'
anesthésie
est complète. Une pression d'intensité moyenne fa
tal, à 5 centimètres de l'épine dorsale, de 1 centimètre de diamètre.
Anesthésie
. Ni douleur spontanée, ni attaque provoquée. (Fig
est assez abondant. La sensibilité est normale à droite. A gauche,
anesthésie
complète. Sens spéciaux. — Ils sont normaux à d
n'est pas revenue dans la région symétrique gauche. 11 janvier. — L'
anesthésie
persiste au-dessous du coude droit. — Application
esthésique droite persiste. — Après s'être assuré de l'existence de l'
anesthésie
sur la jambe gauche, on applique un collier de pl
es que ci-dessus. 15 janvier. — La sensibilité a reparu à droite, l'
anesthésie
a envahi de nouveau toute la jambe gauche. —A 10
, retour de la sensibilité dans une hauteur de 5 centimètres environ,
anesthésie
dans la région symétrique droite (Transfert.) 1
ite. 21 janvier. — Il n'a été fait aucune application nouvelle. — l/
anesthésie
a envahi de nouveau le cuir chevelu, la face et l
s nulle à gauche; de ce côté, P... ne voit que des ombres confuses. L'
anesthésie
est absolue sur la moitié gauche du cuir chevelu,
rps est sensible et toute la moitié gauche insensible : en arrière, l'
anesthésie
est exactement limitée à la crête des apophyses é
nant envahie par quelques-uns des symptômes permanents de l'hystérie (
anesthésie
partielle, zone hystérogène latéro-mammaire) qui
17, P... s'endort sans stertor ni larmoiement, ni spasme pharyngien.
Anesthésie
totale; — hyperexcitabilité musculaire. Somnamb
e cette zone que dans les parties voisines. —Adroite, actuellement, l'
anesthésie
est totale à la face, au cou, au membre supérieur
us occupe, puisque, au niveau de la région hystérogène, il existe une
anesthésie
absolue. Chez d'autres malades, au contraire, l
Hystéro-épilepsie. — Hémi-anesthésie gauche, etc. — Disparition de l'
anesthésie
. — Contractures passagères. — Phénomènes vaso-mot
mbres ne sont plus contractures; la main gauche tremble légèrement; l'
anesthésie
est toujours complète. La malade assure n'avoir
t, la piqûre sont sentis sur l'œil, la base de la langue, la luette ;
anesthésie
de la muqueuse vulvo-vaginale. Sommeil. — La ma
soit faible et prolongé, soit fort, est absolument sans action sur l'
anesthésie
. On fait 12 séances d'électrisation (30 à 40 él
rant la même bénignité que la précédente. — Poids : 94 kilogrammes.
Anesthésie
complète de la face ; de toute la moitié droite d
la sensibilité persiste dans une étendue de 3 centimètres sur 3 ; —
anesthésie
des membres supérieur et inférieur du côté droit.
rare, d'assister à une de leurs cérémonies ont été frappés du degré d'
anesthésie
auquel arrivent ces hommes. C'est la nuit que l
nt même pris de crises convulsives et poussent des cris prolongés : l'
anesthésie
devient complète et on voit les uns appliquer leu
leur rôle dans l'aura. (Voir t. II, p. 183.) — 1° Ovaralgie droite ;
anesthésie
cutanée complète; la pression de l'ovaire ne déte
nsibilité cutanée au niveau de la zone intercostale gauche (côté où l'
anesthésie
est permanente) est aussi vive que dans le côté d
ée en attaques. d) Hyperesthésie de la région ovarienne gauche. — L'
anesthésie
est complète dans cette région. — Il n'y a pas de
existé des deux côtés, ne s'observait plus qu'à gauche. Selon que l'
anesthésie
est générale ou limitée à gauche, les phénomènes
ractures sont détruites par le tapotement des muscles contractures. L'
anesthésie
est générale et complète pour la douleur. Les sen
ique, 64, 65. — Guérison par l'électricité, 66. Ammoniaque, 35, 67.
Anesthésie
, passim. — Action de l'électricité, 13. Aphasie p
d'autres troubles chez les mêmes paralytiques. Nous avons noté l'
anesthésie
, car nous pensons avec M. Klippel 1 que l'anest
s avons noté l'anesthésie, car nous pensons avec M. Klippel 1 que l'
anesthésie
cutanée des paralytiques est due à une altérati
générale ou dans celle de sens spéciaux. De Crozant 2 a signalé une
anesthésie
générale appréciable dès le début, mais elle es
esses et les jambes. . Alopécie accentuée sur tout le cuir chevelu.
Anesthésie
cutanée généralisée. La peau des jambes et des
taient toujours. Légère alopécie disséminée depuis quel- ques mois.
Anesthésie
cutanée. Réflexion. Les observations II, III et
a mémoire est très mauvaise. Les pupilles sont immobiles, inégales.
Anesthésie
cutanée généralisée. Sur la poitrine, des tache
rée à Villejuif. Depuis son entrée, elle n'a pris aucun médicament.
Anesthésie
cutanée complète. Le zona. L'existence de l'h
» C'est un homme de taille moyenne. La voix est basse, hésitante.
Anesthésie
cutanée complète de tout le corps. Ichthyose des
rras de la parole est fort appréciable. Les pupilles sont inégales.
Anesthésie
cutanée du côté gauche. Alopécie disséminée sur
supérieurs est rugueuse, sèche. Ichthyose légère de tout le corps.
Anesthésie
cutanée complète. Observation XVI. Eschare peti
e de l'oeil et un territoire postérieur dont la lésion entraîne une
anesthésie
localisée. l'angle de la mâchoire. Entre ces deux
ensibilité de l'oeil. Leur destruction a engendré non seulement une
anesthésie
cornéenne de plusieurs semaines, mais un ramoll
s'installait une kératite qui guérissait malgré la persistance de l'
anesthésie
cornéenne, alors que les paupières, dès le début
êtie tenu pour un trouble trophique et non pour la conséquence de l'
anesthésie
. 7° En arrière du territoire radiculaire qui vi
erfs contenus dans la cicatrice du moignon. Elle disparaît quand on
anesthésie
ces nerfs à la cocaïne; elle reparaît quand on
sont des zones où il y a des troubles paresthésiques, rarement de l'
anesthésie
complète. Ce qui distingue surtout ces troubles
mie et hémiplégie, hémianopsie homonyme et hémiplégie du même côté,
anesthésie
d'une moitié de la face et hémiplégie du côté o
pyrine. )'7. Mêmes symptômes et mêmes constatations à l'examen. L'
anesthésie
dans le domaine du trijumeau droit n'existe plus.
a paralysie générale et de l'hystérie. L'ensemble de ces symptômes (
anesthésie
, parésie ou paralysie des pupilles, gâtisme, am
possibilité d'endormir le sujet. Dans le but de faire disparaître l'
anesthésie
constatée chez son malade, M. Ferrand a employé
réflexe du tendon d'Achille (trépidation spinale du côté gauche) ;
anesthésie
du tronc à partir de la ligne qui passe en arri
du plexus sacré) ; au- dessus de la limite supérieure précitée de l'
anesthésie
se trouve une bande étroite d'hypéresthésie ; r
la maladie. La maladie progresse lentement, mais continuellement. L'
anesthésie
s'étend au domaine des nerfs sacrés et aux régi
mblement c intentionnel », et le nystagmus. Au mois de septembre, l'
anesthésie
gagne les membres supérieurs, en même temps qu'
la paralysie générale. 11 est petit, gros, rouge. Souriant et béat.
Anesthésie
cutanée. La peau des jambes, jusqu'à la partie
e musculaire du côté droit, pas de paralysie. Inégalilé pupillaire.
Anesthésie
cutanée généralisée. 0 Alopécie en clairière su
ctoires de satisfaction et de richesse. Les pupilles sont inégales.
Anesthésie
cutanée généralisée. Les ongles des orteils sont
mémoire est nulle. Tout sentiment affectif est complètement aboli.
Anesthésie
cutanée partielle, aux épaules et aux avant-bra
chevelu, qui se. trouve dénudé ; la peau y est lisse, brillante. L'
anesthésie
cutanée est complète. TROUBLES TROPHIQUES DE LA
profonds, transversaux sur les uns, longitudinaux sur les autres.
Anesthésie
généralisée. Depuis deux ans, le malade perd se
séminée sur tout le cuir chevelu, mais particulièrement aux tempes.
Anesthésie
cutanée sur tout le corps, excepté à la région
uis cette époque une atrophie de la jambe gauche et claudi- cation.
Anesthésie
cutanée généralisée. Alopécie légère, disséminée,
centuée aux tempes; cette alopécie remonte au commencement de 1894.
Anesthésie
cutanée complète. Observation XXXV. Alopécie.
isée, disséminée sur le cuir chevelu; elle est en pleine évolution,
Anesthésie
cutanée généralisée. Observation XXXVII. Alopéc
s caractérisé. Grand gâteux. Couché depuis un mois, pas d'eschares.
Anesthésie
cutanée complète. Alopécie disséminée sur tout
sont oedématiées, froides. La peau en est anesthésiée. D'ailleurs l'
anesthésie
est complète sur le corps. Les dents sont à moi
mémoire est nulle. Syphilis ? Etait sobre, buvait de l'eau rougie.
Anesthésie
cutanée généralisée. Alopécie légère en clair
mais ce détail est sans importance, car le malade présentait une
anesthésie
cutanée de tout le corps. La peau de la main ga
conservation du réflexe à la lumière ; coexistence habituelle de l'
anesthésie
de la rétine et de l'anesthésie des paupières, de
mière ; coexistence habituelle de l'anesthésie de la rétine et de l'
anesthésie
des paupières, de la conjonctive et de la corné
pe du genre décrit par Raymond en 1875, par les points suivants : l'
anesthésie
cutanée a coexisté jusqu'au dernier moment avec
est de règle que les phénomènes douloureux disparaissent quand l'
anesthésie
cutanée se montre ; les réflexes étaient totaleme
seule fois endormie. Elle présente des troubles de la sensibilité (
anesthésie
, diminu- tion du goût, de l'odorat et de l'ouïe
s il persiste des modifications de la sensibilité objective : cette
anesthésie
, traitée par les agents esthésiogènes, dis- par
vec dyschromatopsie et micropsie gauche, réflexe pharygien diminué,
anesthésies
par- tielles (surtout prononcée au niveau de l'
état de dépres- sion nerveuse très marqué, avec tendance au coma et
anesthésie
. On doit recourir par moments à la respiration
haque cas emploi de la suggestion sous toutes ses formes. 22. Des
anesthésies
coiiséctitioes aux lésions de la zone motrice c
t d'incitation motrice volontaire et des symptô- mes concomitants d'
anesthésie
ou mieux d'hypoesthésie portant sur les sensati
éjà un faible excitable... D'ailleurs, viscérale et tégumentaire, l'
anesthésie
va se dessiner, et dès le début on peut observe
une nutrition autonome des fibres de ces faisceaux; en clinique, l'
anesthésie
et la paralysie résultent quelquefois d'embolie
les aphasiques dont j'ai parlé plus haut, en même temps aussi que l'
anesthésie
totale, d'une façon brusque. Notre honoré col
sagères, l'ischurie, l'anurie, l'aphasie, les hémianesthésies ouïes
anesthésies
variables, c'est-à-dire à l'hystérie majeure. E
PERTE DE LA VISION BILATÉRALE. 393 de Lé...) en même temps que l'
anesthésie
, dépassant ses limites habituelles, aura envahi
de la lésion, à gauche : Hémiplégie motrice, hyperesthésie cutanée,
anesthésie
profonde, paralysie vaso-motrice, exagération des
, exagération des réflexes tendineux. R. Du côté opposé, à droite :
Anesthésie
superficielle complète, conservation de la sens
Lyon.) Une malade avait présenté une hémiplégie gauche, une hémi-
anesthésie
complète du même côté, une hémianopsie latérale
de la déglutition, atrophie dégénérative des muscles paralysés et
anesthésie
(thermique et douloureuse) dissociée du bras gauc
pas bien juste; il s'agit plutôt d'un processus subaigu. Quant à l'
anesthésie
elle peut bien être d'origine hystérique. MM.
gie droite, dysarthrie(sans aphasie), parésie du nerf facial droit,
anesthésie
du trijumeau du même côté, paralysie des membre
s s'étaient dévelop- pés dans l'espace de dix-huit mois, à savoir :
anesthésie
de la région supérieure du thorax et de la face
montrées aux membres inférieurs. En même temps se produisait de l'
anesthésie
de la plante du pied : le malade ne sentait pas l
tion bilatérale des sensations douloureuses, puis, dans la suite, l'
anesthésie
se cantonner du côté de l'Ilérnisectioii Brown-
une seule chose, la conser- vation de la sensibilité profonde avec
anesthésie
cutanée du toute sa valeur. Mais, l'expérimenta
btient le syndrome complet. Fait-on une deuxième section dorsale, l'
anesthésie
est remplacée par de l'hyperesthésie ; la zone
placée par de l'hyperesthésie ; la zone de l'hyperesthésie par de l'
anesthésie
. b). La simple piqûre d'un cordon postérieur pe
le produit de l'hyperesthésie du membre inférieur du même côté de l'
anesthésie
du côté opposé. (1). Après l'hémisection, l'hém
postérieurs : la section de ceux-ci amène entre autres symptômes l'
anesthésie
des tissus profonds (Schiff). En résumé l'étu
comme dans notre cas, comme dans le syndrome de Brown-Séquard, de l'
anesthésie
cutanée avec conservation des sensibilités prof
t). En résumé facile à découvrir lorsqu'elle a lieu dans un sens (
anesthésie
cutanée avec conservation des sensibilités prof
t très difficile à dépister lorsqu'elle a lieu dans le sens opposé (
anesthésie
profonde avec conservation des sensibilités cut
royons pouvoir la résumer de la façon suivante : la première forme,
anesthésie
cutanée avec conservation des sensibilités prof
(Bedros). Du béribéri à forme paralytique. Gibert (Joseph). Sur l'
anesthésie
par l'éther. Gourçon (Victor-Adolplie). Ver- ti
ibution à l'élude de la maladie de Thomsen. O*Followel (Ludovic). L'
anesthésie
locale par le gaïacol, le carbonate de gaïcol e
, par Clatke, 210; par Lenoble, 239. Archives, 2e série, t. V.
Anesthésies
consécutives aux lésions de la zone motrice cor
ce moment une monoplégie complète du membre supérieur gauche, avec
anesthésie
absolue. Cette pa- de l'atrophie musculaire. 3
deux jambes paraissent avoir la même force. Mais la paralysie et l'
anesthésie
du membre supérieur DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 1
a disparu » ; et il parle comme par le passé. - 4. - Paralysie et
anesthésie
du membre supérieur gauche dans le même état. M
la sensibilité jusqu'à neuf heures du soir; puis la paralysie et l'
anesthésie
se rétablissent avec les carac- tères qu'elles
peu plus éten- dus que la veille ; le tremblement a diminué; mais l'
anesthésie
est complète ; le sens musculaire est aboli. On
vient une attaque ; mais à la suite de l'attaque, la paralysie et l'
anesthésie
dispa- raissent pendant une heure, après quoi e
té, si l'onjette lès yeux sur les ligures 1 et 2, on voit que cette
anesthésie
est presque calquée sur celle qui a été notée d
aiblie à gauche. Le goût et l'odorat sont abolis à gauche. - Il y a
anesthésie
du pharynx du même côté. - Les deux testicules
bolition de la sensibilité est complète et que les limites de cette
anesthésie
absolue sont exacte- ment semblables à celles q
hysté- riques ; la paralysie paraît donc en rapport intime avec l'
anesthésie
et celle-ci, étant de nature hystérique, il doi
oupe de phénomènes (incoordi- nation motrice, douleurs fulgurantes,
anesthésies
) veut dire lésion des cordons postérieurs et su
'ataxie locomo- trice feront penser au tabes combiné. De même les
anesthésies
, les douleurs fulgurantes et l'incoordina- tion
a- tion des symptômes du tabes ataxique .(douleurs ful- gurantes,
anesthésies
, incoordination motrice), des symptômes du tabe
nation, elles s'écartent très largement. Railway- spine : deux cas;
anesthésie
très étendue de la peau et de la mu- queuse des
in nombre de stigmates permanents de l'hystérie et en particulier l'
anesthésie
sensitivo- sensorielle ; les zones douloureuses
rel : 4° parce qu'il en a le calme, l'absence à peu près complète d'
anesthésie
, etc.; 2° au point de vue de l'état de la respi
thésie sensitivo-sensorielle ; des plaques d'hyperesthésie, de l'
anesthésie
du pharynx. Depuis le début de sa deuxième hémi
ade ne sent pas de la narine gauche. Goût. Il est aboli à gauche. -
Anesthésie
du pharynx Le malade est toujours adonné à la m
rétrécisse- ment du champ visuel, les plaques d'hyperesthésie, l'
anesthésie
du pharynx, les attaques convulsives. En ce qui
férieur gauche, la sensibilité est affaiblie. A la face il y a hémi
anesthésie
gauche complète. Abolition du goût et de l'odor
Rétré- cissement double du champ visuel et diplopie monoculaire.
Anesthésie
du pharynx. Amyotrophie légère du membre para-
e tronc et la face ne présentaient rien d'anormal; ni paralysie, ni
anesthésie
. Sauf l'impotence absolue du bras droit la mala
quatre extré- mités ; intégrité de la sensibilité, sauf une légère
anesthésie
; intégrité du sens musculaire ; douleurs dans l
, fut bientôt suivie de para- lysie complète des mêmes membres avec
anesthésie
et troubles vasomoteurs; sur ce, parésie, puis
dans les mouvements, de l'affai- blissement du sens génésique, de l'
anesthésie
générale et spéciale irrégulièrement distribuée
lemment irrités par le laryn- goscope ; en général, on constate une
anesthésie
des muqueuses du larynx et du pharynx (Kiriakof
ilité qui ne peuvent avoir lieu que dans l'hystérie; nous avons une
anesthésie
complète du côté droit et une analgésie gauche.
ce qui arrive rarement dans les cas d'hémiplégie cérébrale suivie d'
anesthésie
; malgré une durée de deux mois de la paralysie,
de l'autre le malade voyait chaque objet répélé plusieurs fois; l'
anesthésie
du larynx permettait d'introduire le doigt jusqu'
sance. Au mois de décembre dernier, le malade quitta l'hôpital. L'
anesthésie
du pharynx a disparu ; la polyurie et les tremble
e visible pendant la marche. Considérant les faits de l'anamnèse, l'
anesthésie
caractéristique du pharynx, la polyopie monocul
uleur a complète- ment disparu ; en même temps, la répartition de l'
anesthésie
est originale; les pieds sont sensibles à l'att
nsibilité connu sous la forme de parahémianes- thésie. D'ailleurs l'
anesthésie
de la muqueuse du pharynx est constatée. Les ré
à cause de quel- ques phénomènes qu'il est difficile de simuler; l'
anesthésie
pharyngée, par exemple, et puis le malade ne vo
lle attaque de convulsions. Le lende- main matin, je lui trouve une
anesthésie
cutanée de tout le corps. Les sensations tactil
p p visuel est beaucoup rétréci; le goût est aboli. Il existe une
anesthésie
des muqueuses de l'oeil, du nez, de la bouche et
lle des muqueuses s'est de nouveau rétablie. Le 16 janvier nouvelle
anesthésie
du pharynx et de la conjonctive; le soir de ce
e même jour, il lui survient une attaque. Le lendemain, 17 janvier,
anesthésie
complète cutanée et anesthésie des muqueuses su
attaque. Le lendemain, 17 janvier, anesthésie complète cutanée et
anesthésie
des muqueuses sur tout le corps, avec un trouble
u ob- server la dyschromatopsie que dans les cas 10° et 11°. 5. L'
anesthésie
des muqueuses. Celle du pharynx mérite une atte
ce qu'ils n'étaient pas examinés. Dans certains cas (7, 9 et 10), l'
anesthésie
du pharynx présentait le seul trouble de la sen
résentait le seul trouble de la sensibilité; dans le 10e, cas cette
anesthésie
et celle de la conjonctive étaient les avant-co
ccès. 6. Le trouble de la sensibilité cutanée sous la forme d'une
anesthésie
de tout le corps, suivie de l'abolition de tout
lition de toute espèce de sensibilité cutanée et musculaire, de l'
anesthésie
des'muqueuses et de l'affaiblissement de l'ouïe
dou- leur et de la température sur la moitié gauche du corps et l'
anesthésie
complète sur la droite, comme les cas d'hémiane
'AYSTBRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 287 que remplaça, plus tard, une
anesthésie
complète; les cas 3, 5 et 6 offraient une hyper
l'accès, le malade devient abattu, les yeux ternes; on constate des
anesthésies
prodromiques soit de tout le corps, soit bornée
siste (cas 5), l'abolition de la sensibilité douloureuse seule; les
anesthésies
des muqueuses (du pharynx) et les troubles biza
purgatif ordinaire, suivi d'un lavement le matin de l'opération.
Anesthésie
. - La méthode de l'anesthésie est très impor- t
n lavement le matin de l'opération. Anesthésie. - La méthode de l'
anesthésie
est très impor- tante, elle consiste en l'admin
sensibilité) à l'approche des attaques. Il y avait aussi une hémi-
anesthésie
droite presque complète au toucher et à la piqûre
xemple de paralysie hystérique chez un homme, et son rapport avec l'
anesthésie
fonctionnelle avant l'opération est évident. L'
be, en déterminant dans les régions innervées par le sciatique de l'
anesthésie
tactile, enlève aussi la faculté de percevoir l
leur, que lorsqu'il s'agit du froid. Une femme qui était affectée d'
anesthésie
tactile et d'insensibilité à l'égard du froid,
attaques convulsives, le délire, les hallucinations multi- ples, l'
anesthésie
, les extases, les sensations viscérales étranges,
is à gauche et conservés à droite. A gauche, amaurose complète avec
anesthésie
cornéene et conjonctivale; à droite, rétrécisse
e qu'elle produisit d'emblée, la rigidité intense des membres, leur
anesthésie
, enfin la disparition subite de la raideur ne p
ériques ; une paralysie transitoire du membre supérieur gauche avec
anesthésie
et 31 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
che du corps aux divers modes de sensibilité. La malade a aussi une
anesthésie
pharyngée très accentuée. Il existe un point ov
e ; de même pour la sensibilité articulaire. De plus, il existe une
anesthésie
complète, suivant ses divers modes, de tout le
eau et un peu au-dessus de l'articulation scapulo-humérale. Celle
anesthésie
existe également pour tout le segment inférieur d
le creux poplité était considérable. Appareil ouaté. 20 juillet.
Anesthésie
par le chloroforme, tentatives violentes d'exten-
ondeur du membre et les douleurs à la pression il existe une zone d'
anesthésie
(figure 34), comprenant en bas la partie supérieu
au de la jonction du tiers moyen avec le tiers supérieur. La zone d'
anesthésie
présente un abaisse- ment notable de la tempéra
aucun trouble du mouve- ment. Sensibilité. Au niveau de la zone d'
anesthésie
qui existait à la face dorsale du pied et à la
tion dont les limites sont exacte- ment celles de l'ancienne zone d'
anesthésie
. La sensibilité à la piqûre est entièrement rev
pression. Troubles 'Vaso-mote1l1'S. Au niveau de l'ancienne bande d'
anesthésie
, la température ne paraît pas inférieure à cell
analogue à celle de notre malade, plaque consécutive à la plaque d'
anesthésie
. Malheureusement le malade n'est pas revenu à l
le nerf saphène externe. Examinons maintenant le tracé de la zone d'
anesthésie
de notre malade (fig. 37) : elle reproduit exac
- F. Mus- culo-culanc ? G. Nerf saphène externe. FiG. 37. Zone d'
anesthésie
chez D. 84 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRI
A SALPÊTRIÈRE. tibial antérieur. Il est vrai que, dans cette zone d'
anesthésie
, se dis- tribuent aussi des fibres du musculo-c
bue seul, la sensibilité est intacte. On peut donc con- clure que l'
anesthésie
siège au niveau de la distribution cutanée du t
ntérieur, puisque, partout où se dernier se distribue il la peau, l'
anesthésie
a existé. Or, tous les muscles innervés par le
teinte dans le seul domaine du tibial antérieur, on a constaté de l'
anesthésie
dans la zone où les fibres du musculo-cutané so
la jambe. Or, le malade a remarqué que dans cette zone, alors que l'
anesthésie
était le plus marquée, il se trouvait des endro
en sorte que les endroits sensibles dissé- minés dans cette zone d'
anesthésie
correspondaient aux plaques d'in- nervation du
persista quelque temps une paralysie incomplète des muscles et une
anesthésie
cutanée locale. Le malade de Duplay présentait
. M. Terrier a vu, chez son malade, des dou- leurs violentes et une
anesthésie
du dos du pied se montrer dès le début; mais à
presque disparu et il n'existe plus, au niveau de l'ancienne zone d'
anesthésie
, qu'une sensation assez intense d'engour- disse
. De même pour la sensibilité articulaire. « De plus, il existe une
anesthésie
complète suivant ses divers modes de tout le br
u et un peu au-dessus de l'articulation scapulo-humérale. « Cette
anesthésie
existe également pour tout le segment inférieur
auteurs ont également observé des troubles de la sensibilité, « une
anesthésie
plus souvent limitéeaux membres inférieurs' ».
exister de véritables douleurs fulgurantes coïncidant ou non avec l'
anesthésie
. Ftc. 43. Fie. 44. CINQ CAS DE MALADIE DE F
és suivantes (fig. 45, 46). Sur la face antérieure du corps, zone d'
anesthésie
totale à la piqûre, à la chaleur et au froid, c
aire succédant à la contracture, ce résultat n'existe pas; malgré l'
anesthésie
la plus profonde, le muscle raccourci par rétra
après la section des tendons, on soumet de nouveau la malade ;t l'
anesthésie
par le chloroforme. Des tentatives violentes de t
ie du tabes vulgaire, et que je suis le premier à signaler. C'est l'
anesthésie
par. plaques, au niveau desquelles la sensation
pour prouver, je crois, qu'il y a dans la maladie de Freidreich une
anesthésie
qui lui appartient en propre indépendamment de
s troubles apparents. Outre sa rétention d'urine, on cons- tata une
anesthésie
du périnée- Au bout de quelques jours, les cathét
t et de marcher qu'à l'aide d'une chaise. De nouveau, on constata l'
anesthésie
du périnée et de l'urèthre, et après avoir pensé,
es pieds; conservation de la sen- sibilité à la face plantaire. -
Anesthésie
complète au froid et à la piqûre de toute la régi
pour la région' externe de la cuisse droite qui présente une zone d'
anesthésie
(intéressant tous les modes de sensibilité) s'é
e dix ans. -Parésie des membres inférieurs plus accentuée à gauche.
Anesthésie
incomplète. - Atrophie musculaire à gauche. zig
dant quelque temps, recourir au cathétérisme) et de la défécation.-
Anesthésie
complète de toute la partie du corps située au-
un peu médiocre du malade, considérer comme absolument précis. L'
anesthésie
à la piqûre est variable suivant les régions. Aux
iration dans l' , 29, 30, 31, 32, 33, 34. Friedreich (maladie de)
anesthésie
dans la - , 70, 71; écriture dans la , 25; em-
. Paralysie agitante (attitude dans la), 81, 82. Péroné (zone d'
anesthésie
dans la fracture du), 37. Pied (empreinte du
ce accompagnée d'hyperesthésie, dit, côté où siège la lésion. Une
anesthésie
du côté opposé à la lésion. Tels sont les éléme
sthésie du côté de la lésion (111. I. B). Quelquefois, cette zone d'
anesthésie
est elle-même surmontée d'une étroite bande d'hyp
étroite zone d'hyperes- thésie confine à la limite supérieure de l'
anesthésie
. b) Du côté de la lésion, coïncidant avec l'hyp
jusqu'à l'abolition complète, et qui fait défaut du côté où siège l'
anesthésie
cuta- née. c) Une exagération des réflexes te
elle parfaitement qu'entre autres constatations, on fil celle d'une
anesthésie
complète de la jambe droite et d'une hyperesthé
3e côte en avant, jusqu'au niveau des cicatrices en arrière. Cette
anesthésie
intéressait à la fois les diverses manières d'ê
id. Toutefois, vers les parties les plus périphériques de la zone d'
anesthésie
, il y avait seulement hypoesthésie au chaud, au f
oesthésie au chaud, au froid et à la. piqûre, tandis que partout, l'
anesthésie
faradique et l'anesthésie tac- tile étaient abs
id et à la. piqûre, tandis que partout, l'anesthésie faradique et l'
anesthésie
tac- tile étaient absolues. D'autre part,la moi
part,la moindre pression exercée sur les mus- cles, dans la zone d'
anesthésie
superficielle, était très bien perçue par le ma
e superficielle, était très bien perçue par le malade, preuve que l'
anesthésie
ne s'étendait pas en profondeur, qu'elle était
on : Une hémiplégie motrice ; De l'hyperesthésie cutanée ; De l'
anesthésie
profonde ; La paralysie vaso-motrice ; . L'ex
ion des réflexes tendineux. Du côté opposé, nous constatons : Une
anesthésie
superficielle, mais complète, qui affecte toutes
ltats, sur- tout marqués chez les sujets qui ont des douleurs, de l'
anesthésie
, de la faiblesse musculaire, des troubles vésic
ises de douleurs fulgurantes dans les mem- bres, crises viscérales,
anesthésies
variées, troubles génitaux et vésicaux ; si l'o
tèbre dorsale. Immédiate- ment après l'attentat, il présentait de l'
anesthésie
superficielle au membre inférieur gauche,et une
deux côtés. Les troubles de la sensibilité, hyperesthésie à droite,
anesthésie
à gauche, ne remontaient pas au-dessus du milieu
demi, il pouvait de nouveau marcher en s'appuyant sur une canne. L'
anesthésie
n'avait pas encore complètement disparu à droit
rectum, le blessé a pré- senté de l'hyperesthésie et gauche et de l'
anesthésie
à droite. Les troubles de la sensibilité remont
oesthésie, dans une étendue correspondante, sans compter une zone d'
anesthésie
contiguë au rebord des fausses côtes, d'une lar
vertèbres dorsa- les. Les premiers symptômes ont consisté dans une
anesthésie
cutanée à gauche, dans une hyperesthésie avec l
ure cette zone d'hyperesthésie était bordée par une étroite bande d'
anesthésie
. A gauche, et remontant au même niveau que l'hy
me niveau que l'hyperesthésie du côté droit, il existait une zone d'
anesthésie
, bordée en haut par une étroite bande d'hyperes
iveau du lie espace in- tercostal et représentés, adroite, par de l'
anesthésie
superficielle, à gauche, par de l'hyperesthésie
ns le membre inférieur, sans anesthé- sie. A droite il y avait de l'
anesthésie
dans toute l'étendue du membre inférieur et de
a conservation du sens musculaire était intacte et une large zone d'
anesthésie
au tronc s'étendant de la 40e il la 5e côte ; ri
thésie au tronc s'étendant de la 40e il la 5e côte ; ri droite, une
anesthésie
relative dans toute l'étendue du membre inférieur
e. II y a eu d'abord paralysie du membre inférieur du côté droit et
anesthésie
du côté gauche avec incontinence d'urine et const
emaines, l'état de la motilité s'était encore amélioré. A gauche, l'
anesthésie
persistait en grande partie; en avant, elle remon
et du thorax, et qui remontait jusqu'au mamelon; - ci gauche, de l'
anesthésie
remontant jusqu'à cette même limite, l'abolitio
e la température locale. De plus, à sa limite supérieure, la zone d'
anesthésie
était bordée par une étroite bande d'hy- perest
membre inférieur droit, avec hyperesthésie de ce même côté et de l'
anesthésie
du côté gauche, qui s'arrêtait exactement à la
et une suractivité de la sudorification. A droite on constatait une
anesthésie
superficielle, qui remontait depuis la plante d
medicin. Wochenschrift, 1894, no 1, p. 9. ni r F. RAYMOND pour l'
anesthésie
adroite. Aux membres supérieurs tout se réduisait
ient à la para- lysie tout au début, enfin hyperesthésie. A gauche,
anesthésie
des deux membres et du tronc, qui remontait jus
hyperesthésie très manifeste, tandis qu'à gauche, on constatait une
anesthésie
superficielle qui remontait jusqu'au cou. Au bo
la sensibilité musculaire, du côté gauche, le tout juxtaposé à une
anesthésie
superficielle du côté droit. Circonstance à not
nte du diaphragme ; le membre inférieur gauche était le siège d'une
anesthésie
qui s'étendait au membre supérieur droit, enfin
moussement delà sensibilité musculaire. À droite, on constatait une
anesthésie
qui remontait jusqu'au cou. Dans la suite les t
ature lo- cale, appréciable dans le creux axillaire; à gauche, de l'
anesthésie
super- ficielle, dont la limite supérieure corr
r droit avec paresthésie du membre infé- rieur correspondant et une
anesthésie
de tout le côté gauche se sont mon- trées à la
la ligne médiane, on avait constaté : une paralysie motrice et une
anesthésie
de tout le côté gauche ; une paralysie motrice
de tout le côté gauche ; une paralysie motrice du côté droit et une
anesthésie
de la main de ce même côté, sans compter de la
in gauche et au membre supérieur droit. Au bout de quelques mois, l'
anesthésie
, à gauche, avait fait place à de l'hyperesthésie;
du mouve- ment'se doublait d'une hyperesthésie superficielle, d'une
anesthésie
pro- fonde et d'une élévation de la température
e, rétrécie, ne réagissait plus. A gauche, tout se réduisait à de l'
anesthésie
cutanée. La mort est survenue le 5° jour, du fa
he, il y avait de l'hyperesthésie cutanée; Ú droite il y avait de l'
anesthésie
superficielle, qui ne respectait que la moitié co
6, p. 217 ; Syrin- gomyélie avec amyotrophie du type Aran-Duchenne,
Anesthésie
dissociée en bande zos- stéroïde sur le tronc.
embres inférieurs paralysés; la paralysie motrice se doublait d'une
anesthésie
. Il se plaignait d'avoir les membres supérieurs
blissement des réflexes tendineux et cutanés, et un certain degré d'
anesthésie
galvanique. En somme, quoique le sujet fût rede
ident on a constaté une paralysie motrice de la jambe gauche et une
anesthésie
dans toute l'étendue du membre inférieur droit,
érieur gauche a récupéré une partie de sa capacité fonctionnelle. L'
anesthésie
au membre inférieur droit ne s'est dissipée que
s croi- sées. On conçoit donc que l'hémisection ab n'entraîne pas d'
anesthésie
du côté correspondant du corps. Mais une pare
correspondant du corps. Mais une pareille hémisection entraîne une
anesthésie
croisée, une anesthésie du côté opposé, du côté
Mais une pareille hémisection entraîne une anesthésie croisée, une
anesthésie
du côté opposé, du côté gauche. Il faut donc adme
lle, il est impossible de rendre compte du développement de l'hémi-
anesthésie
croisée, consécutive il une hémisection de la moe
eur pénétration dans la moelle, l'explication du développement de l'
anesthésie
serait au contraire très facile à donner. Il suff
troite bande d'hyper- esthésie conliguë à la limite supérieure de l'
anesthésie
. Mais encore une fois, pour qu'il répondit à la
iquerait de la sorte que, dans un cas d'hémisection de la moelle, l'
anesthésie
soit susceptible de s'atténuer et de s'effacer,
e la zone d'hyperesthésie dépasse la limite supérieure qu'atteint l'
anesthésie
du côté opposé, étant donné que la dégénération
yajamais d'attitudevicieuse de cause musculaire ; par contre il y a
anesthésie
articulaire, ce qui a per- mis d'opérer les mal
moins accentués, que jamais on n'y a signalé d'une façon formelle l'
anesthésie
articulaire, sauf probablement dans des cas d'i
ée des cuisses est seule reconnue par le malade. Il existe donc une
anesthésie
dissociée sui- vant le mode tabétique. Dans l
le mode tabétique. Dans les jours qui suivent ce deuxième examen, l'
anesthésie
monte jus- qu'au niveau des mamelons, et même u
casion de constater ni paralysie, ni atrophie de cause centrale, ni
anesthésie
de type segmentaire, ni troubles ataxiques d'orig
maladie, quoiqu'il ne soit point rare de la voir commencer par une
anesthésie
de la main et par l'atrophie de quelque muscle in
uscle interosseux. Le symptôme culminant de la lèpre nerveuse est t'
anesthésie
. Aussi décrit- on une forme de lèpre anesthésiq
a lèpre. Diverses variétés de. paresthésie précèdent généralement l'
anesthésie
, De la même manière peuvent apparaître tout d'a
hénomènes algiques, comme les douleurs et 1'liypei-alcésie ; mais l'
anesthésie
forme toujours la base sur laquelle reposent lo
douleurs, lit où il y a de l'hyperalgésie, il y a d'ordinaire de l'
anesthésie
. , . Les malades qui souffrent d'hyperalgésie n
sidérablement la douleur.- Les symptômes esthétiques gardent avec l'
anesthésie
des relations non seulement de topographie, mai
ébut apparaissent fréquemment les douleurs et l'hyperalgésie avec l'
anesthésie
; ensuite viennent d'ordinaire les troubles moteur
enade, la douleur et l'hyperalgésie progressent en même temps que l'
anesthésie
au com- mencement de l'évolution des phénomènes
en la douleur et l'hyperalgésie disparaissent, tandis qu'augmente l'
anesthésie
, la rela- tion étant alors par conséquent inver
et les phénomènes disparaissent d'une manière incomplète, surtout l'
anesthésie
qui finit par rester permanente. On observe fré
on au-dessus de la tumeur (entre elle et le centre) la diminue. L'
anesthésie
lépreuse se caractérise de préférence en ce qu'el
lectrique, peuvent, surtout au commencement, réduire l'étendue de l'
anesthésie
, surtout de l'hypoesthésie, dans une certaine m
esthésie, dans une certaine mesure. Il est moins fréquent de voir l'
anesthésie
disposée suivant le type névritique, quoiqu'il
ones de projection nerveuse qu'il intéresse. Il comprend une zone d'
anesthésie
absolue et une zone d'hypoeslhésie qui dépasse
e ces images suffit pour se rendre compte de cette disposition de l'
anesthésie
. La zone de l'hypoesthésie suit avec assez de r
anes- thésique lépreux ». C'est une forme de distribution typique d'
anesthésie
lépreuse de la figure qui garde relation avec c
e très différents qu'il est, je crois, superflu de décrire. Cette
anesthésie
de la figure est généralement accompagnée de l'in
t remarquer que dans ce cas de masque aneslhésique, l'atrophie et l'
anesthésie
ne coexistent ni en intensité, ni suivant l'époqu
in les deux processus se trouvent toujours réunis. Dans ce type d'
anesthésie
, il y a une autre forme dislincte, topographie-
on d'une partie ou de la lolalilé de la peau des exlrémilés par une
anesthésie
en forme de gant avec ou sans manches, de plus
ence et d'imesthésie, de leur aspect, etc. Dans beaucoup de cas t'
anesthésie
reste limilée pour longtemps aux avant-bras ou
u ventre. Tous les lépreux présentent, au bout d'un certain temps d'
anesthésie
, des altérations trophiques des mains ou des pi
rare de trouver, en certains points limités, le passage rapide de t'
anesthésie
à la perception sensitive normale. Ces faits se
du porte-plume avec une pression moyenne. Aux membres supérieurs, t'
anesthésie
est thermique et tactile. Quoique celle dissoci
ombinaison des deux types. On trouve chez beaucoup de ces malades l'
anesthésie
des tissus pro- fonds des pieds. Et en même tem
ieds, je ne peux pas dire si je marche sur le sol ou en Pair. » L'
anesthésie
des tissus profonds existe dans beaucoup de cas d
ratique pas l'examen d'une manière soigneuse, on pourra découvrir J'
anesthésie
quand elle est accentuée, mais il se peut qu'éc
que ce symptôme est de grande valeur diagnostique. Pour trouver l'
anesthésie
des tissus profonds des pieds quand elle n'est
a dit et assuré avec trop de conviction que les lépreux n'ont pas d'
anesthésie
des tissus profonds. Qui contredit cela parait co
'hyperesthésie plantaire et cependant nous trouvons hypoesthésie ou
anesthésie
articulaire. En revanche, dans un grand nombre de
En revanche, dans un grand nombre de mains et de pieds lépreux avec
anesthésie
cutanée el mutilations, le malade perçoit le mo
ie articulaire dans les segments périphériques. Chez le lépreux l'
anesthésie
articulaire, quand elle existe, peutse limi- te
ements et pour des attitudes particulières. Chez d'autres encore, t'
anesthésie
articulaire existe pour tout le pied. Dans le t
Dans le tabès, surtout dans sa période ataxique, on trouve la dite
anesthésie
dans toutes les articulations du pied. Je dois
sthésie dans toutes les articulations du pied. Je dois avouer que l'
anesthésie
articulaire des lépreux peut, surtout quand ell
sparaître, de la même façon que je l'ai dit plus haut à propos de l'
anesthésie
cutanée. Les tubercules lépreux ont la particul
ndiquer que l'on ne trouve point le signe de Homberg dans les cas d'
anesthésie
des tissus profonds des extrémités produites par
s pieds mutilés représentés par les figures 13 et li, qui n'a pas d'
anesthésie
plantaire, n'oscille pas en posi- tion diagnost
s nerveux consistent en aneslhésie incomplète de la peau des pieds;
anesthésie
des attitudes segmenta ires pour la flexion plant
la motilité intrinsèque et extrinsèque des yeux était normale. L'
anesthésie
des tissus profonds chez les lépreux qui la prése
et le trajet simplifié. Celte forme motrice est propre aux étals d'
anesthésie
simple des tissus superficiels et profonds des
e l'avant-bras correspondant aux seg- ments médullaires el unie à l'
anesthésie
limitée aussi métamériquement, comme à ce point
celle qui pourrait être employée pour d'autres individus chez qui l'
anesthésie
de la peau ne serait pas si foit et 166 BARRAQU
des tissus ; ils sont plus exposés que les autres, et grâce à leur
anesthésie
ils ne se préoccupent point des lésions produit
a vie ordinaire sans présenter d'autre modification apparente que t'
anesthésie
de la région correspondante, compensée bien des
laire de l'atropine des muscles faciaux. Elle explique encore que t'
anesthésie
des tissus profonds des extrémités peut exister q
s normales. Ainsi, l'idée d'une paralysie, d'une contracture, d'une
anesthésie
entraîne la réalisation de ces phénomènes et parf
ence, la personnalité des sujets. Ainsi, l'hystérique atteint d'une
anesthésie
ou d'une amaurose, sent affectivement avec la p
s et parfois trophiques. On a cité très souvent des paralysies, des
anesthésies
hystériques s'accompagnant d'un angiospasme cut
onsidérablement sur toutes les sensations; il n'y (1) Pronier. De l'
anesthésie
généralisée. Revue de Médecine, 1893. (2) SOLLI
erveuse par la pression. Cependant elle n'a ni hémianes- thésie, ni
anesthésie
disséminée. Elle est prise souvent d'étoufle- m
igents et plus instruits. Nous n'avons enfin, constaté chez lui, ni
anesthésie
, ni hypéresthésie partielles,' ni zones hystérogè
OBS. XV et XIX); soit se localiser, et alors, au lieu d'avoir des
anesthésies
généralisées, nous avons des dy- sesthésies ou
ir des anesthésies généralisées, nous avons des dy- sesthésies ou
anesthésies
en plaques ; soit enfin changer de forme et se
l'inférieur droit; c), le supérieur gauche; d), l'inférieur gauche;
anesthésie
; parésie vésicale et rectale. - Le 18 mars, re
ces symptômes du début et l'invasion de la paraplégie. Paraplégie,
anesthésie
, rétention d'urines, fièvre légère. Vers la fin
. Etat actuel (la mai 1885). Ataxie ébauchée. Signe de Rom- bers.
Anesthésie
de la surface antérieure de la cuisse droite. E
oie de devenir ataxique ou plutôt c'était un ataxique ébauché. 6°
Anesthésie
en plaques. La paralysie de la sen- sibilité qu
à mesure que le temps s'avançait, rétrogradait, elle se localisait,
anesthésie
. de la surface antérieure de la cuisse droite,
époque antérieure le siège de la sen- sation de brûlure; parfois l'
anesthésie
disparaît com- plètement. 7° Engourdissement
). La sensibilité est profondément altérée; on trouve des plaques d'
anesthésie
assez étendues aux différentes régions do ses m
itive. État du malade le 3S août 1884. Il n'y a plus de plaques d'
anesthésie
. Plus de retards dans la sensibilité. Pas d'oscil
TMN XXIV où la monoplégie siégeait au membre inférieur droit et l'
anesthésie
, au membre inférieur gauche. b). Troubles vésic
es cas, à savoir : monoplégie d'un membre inférieur quel- conque,
anesthésie
, soit du même membre, soit du membre opposé et
e membre inférieur droit, nous devons signaler la distribution de l'
anesthésie
culanée qui correspondait, à très peu de chose
'accumulent bientôt et s'écoulent sur les joues. Assez fréquemment,
anesthésie
de la conjonctive et même de la cornée. Plastic
IIUELE rapporte un cas de délire de jalousie dans lequel il y avait
anesthésie
du vagin; celle-ci guérie, l'aliénation mentale
ysiques « état des pupilles rendues insensibles à une lumière vive,
anesthésie
géné- ralisée ou localisée, piqûres ou pincemen
ieurs et la moitié inférieure du tronc, mais, par endroits, îlots d'
anesthésie
complète. Sensibilité à la douleur et à la pressi
nt involontairement; il est probable que cela provient surtout de l'
anesthésie
de la muqueuse du canal urinaire et du rectum.
ymptôme d'Argyl-Robertson dans les deux yeux; par places, plaques d'
anesthésie
dans les jambes (analgésie sur- tout) ; dans d'
ubital des deux bras. On peut y obser- ver, même objectivement, une
anesthésie
incomplète. Ces derniers temps, se sont fait se
TABES. 191 J'ai assisté à l'un de ces accès; j'ai pu constater une
anesthésie
totale dans la région des deux nerfs trijumeaux
différents degrés, les désordres objectifs de ! a sensi- bilité (
anesthésie
et hyperesthésie) qui sont si caracté- ristique
antes aux membres affectés ; pas d'autre symptôme céphalique, pas d'
anesthésie
, pas de troubles urinaires ou génitaux ou recta
t préparé des hallucinations , des ordres , des rêves, le frapper d'
anesthésie
et de paralysie. L'étude de la suggestion ouvre
Ce centre pourrait bien être- le noyau lenticulaire. En même temps,
anesthésie
d'un autre centre sous-cortical (tuber- cule qu
louer des courants d'étincelles excitant fortement la peau dans les
anesthésies
cutanées, les atrophies musculaires, les paralysi
extrémités supérieures. Ainsi, nous remarquons chez le malade une
anesthésie
prononcée du côté droit du dos sur presque toute
haut et presque jusqu'au milieu du ventre en bas; par devant, cette
anesthésie
continue en passant sous le bras presque jusqu'
e gauche. Toutes les autres parties du tronc sont aussi atteintes d'
anesthésie
, mais à un degré un peu moindre. Puis, sont fra
d'anesthésie, mais à un degré un peu moindre. Puis, sont frappées d'
anesthésie
: dans le bras droit (depuis mars 1887j les rég
, cutaucus postérieur supérieur et de tout le nerf ulnariq. La même
anesthésie
se fait remarquer ces derniers temps dans le br
E L'ÉTIOLOGIE DU TABES. 3 9 rieures. Du côté de la sensibilité, une
anesthésie
très prononcée et très répandue atteignant inég
moteurs (de )'oei))... peut même manquer ». Le champ occupé par l'
anesthésie
est assez consi- dérable dans notre cas, mais c
par l'anesthésie est assez consi- dérable dans notre cas, mais ces
anesthésies
, qui remontent si haut dans le tronc, sont loin
lus simples de tabès; dans son livre, M. Eulenburg dit même que des
anesthésies
si hautes se rencontrent excessivement souvent
acus- ser kaeung » ) et qu'elles frappent même la tète. Quant aux
anesthésies
dans les bras, elles sont bien con- nues, surto
forme vertigineuse; enfin une parésie des membres inférieurs avec
anesthésie
et un certain degré de réten- tion d'urines qui
parétique parfois se fléchit et s'étend tout d'un coup. Il y a des
anesthésies
par plaques, à ce membre, la sensibilité est in
s'affaiblissant petit à petit décéda le 21 octobre dans une pleine
anesthésie
, après qu'on eut employé vainement tous les moy
aient couverts et chauds par suite des fric- tions. Il tomba dans l'
anesthésie
aussitôt qu'on lui enleva le casque, et tous le
n mot ne sort de la bouche, aucun son n'est articulé. Il y a de l'
anesthésie
jusqu'à un certain point qu'il est difficile DÉ
la vision des deux moitiés droites du champ visuel, correspond à l'
anesthésie
des deux moitiés gauches des rétines et à une l
- trées d'antipyrine, en injections sous-cutanées, produisent une
anesthésie
circonscrite au siège de l'injection, mais que le
urs le long des troncs ner- veux avec hypéresthésie, paresthésie et
anesthésie
cutanées, de l'atrophie musculaire, et une abol
e diagnostic de né- vrite multiple est basé sur la disposition de l'
anesthésie
et de la paralysie. Paralysie diplaléotique.
Les symptômes cliniques sont des névralgies avec hypéresthésie et
anesthésie
dans le domaine du même nerf. Lésions des gangl
ne diffère pas dans l'état de veille ou de sommeil; il n'y a pas d'
anesthésie
, ni de retard dans les mou- vements réflexes. L
yant débuté plusieurs an- nées auparavant, tremblement fibrillaire,
anesthésies
, liypé- resthésies, douleurs fulgurantes, conse
es zones motrices corticales sensitives et motrices. Quand il y a
anesthésie
, on trouve une lésion plus profonde. M. le Dr C
y a un grand nombre des lésions des centres moteurs corticaux sans
anesthésie
, 490 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. le Dr Alleu STARR
s points de l'écorce cérébrale chez des chiens, avec des troubles d'
anesthésie
. Il a souvent constaté l'aura sensitif dans l'é
aspect muqueux avec sclérose des nerfs et des ganglions. Il y avait
anesthésie
, la glande thyroïde était absente. 11 n'y avait
lepsie a réapparu avec une parésie plus grande. Il y a en outre une
anesthésie
tactile de la face, du bras et des doigts du cô
rencontré un complexus symptomatique type avec troubles psychiques,
anesthésie
, lenteur des mouvements, exa- gérations des réf
, de perte d'équilibre. On a voulu attribuer- cette sen- sation à l'
anesthésie
plantaire; il n'en est rien, puisque cer- taine
'en est rien, puisque cer- taines hystériques chez lesquelles cette
anesthésie
est surtout très développée, ne présentent pas
ens muscu- laire, et non pas, selon l'avis de cet observateur, de l'
anesthésie
plantaire. Si les hystériques offrant de l'anes
rvateur, de l'anesthésie plantaire. Si les hystériques offrant de l'
anesthésie
cutanée de la plante des pieds ne présentent pa
anifeste au contraire chez les mêmes ma- lades quand il existe de l'
anesthésie
du sens musculaire (ataxie hystérique de Lasègu
s-mêmes, que cette malade a des douleurs fulgurantes, présente de l'
anesthésie
plantaire, perd ses jambes dans le lit; elle se
. Je tiens surtout à vous dire que notre malade n'a aucun signe d'
anesthésie
plantaire; il sent fort bien les pavés, peut mê
santé de B... se sont progressi vement améliorées. Le 6 juillet, l'
anesthésie
s'était déjà modifiée. L'analgésie occupait seu
esthésie d'origine capsulaire est ordinairement conservé ; 0 2° L'
anesthésie
bilatérale des conjonctives et la perte bilaté-
d'une étiologie satisfaisante, 'hémianesthésiesensitive complète, l'
anesthésie
des deux con- jonctives, la perte bilatérale de
n moins réelle et pro- gressive. Sa paralysie s'accompagne avec une
anesthésie
qui i a le caractère classique de l'anesthésie
'accompagne avec une anesthésie qui i a le caractère classique de l'
anesthésie
hystérique. Son début t et son amélioration se
au plexus sacré ; chez les tabétiques à altérations viscérales avec
anesthésie
de la région anale ; dans la myélite du segment
quelquefois aussi la muqueuse des joues et de la langue (analgésie,
anesthésie
, hypolhermeslhésie, dont les malades ne s'étaie
ntation de l'excitabilité électrique des nerfs. Phéno- mène facial.
Anesthésie
du pharynx. Diagnosis : la combinaison d'un éta
t de syringomyélie. Il présente une forte atrophie musculaire et un
anesthésie
typique d'un membre, le symptôme de Morvan de l
ité systématique n'est qu'un épisode comparable aux dysesthésies et
anesthésies
systématiques et apparaît toujours comme l'émot
ue à tout le membre supérieur gauche et à une partie du thorax, une
anesthésie
dis- sociée de telle sorte que, la sensibilité
troubles de la sensibi- lité. « Parfois, dit-il, par exception, une
anesthésie
cutanée plus ou moins prononcée, se montre com-
symptômes classiques de l'atrophie muscu- laire progressive. Cette
anesthésie
est quelquefois si grande que les malades ne pe
trariétés. Il n'a pas de stig- mates permanents, il est vrai, pas d'
anesthésie
, pas de atrophie D'UN MEMBRE INFÉRIEUR. 173 r
s : coïncidant fréquemment mais non toujours avec la paralysie ou l'
anesthésie
des membres où elles se produisent, elles se dé
le symptôme de Rom- berg aux divers troubles de la sensibilité, à l'
anesthésie
. Je n'ai pas besoin d'insister beaucoup pour vo
e. Je n'ai pas besoin d'insister beaucoup pour vous montrer que l'
anesthésie
cutanée ne peut en rien expliquer ce symptôme.
ptôme. Ainsi vous trouvez fréquemment des malades présentant de l'
anesthésie
plantaire, sans qu'il vous soit possible de le dé
abondent. Le signe de Romberg, dit Vanlair 1 dépend uniquement de l'
anesthésie
tactile et musculaire » . Et Pierre Marie 2 : «
ts singuliers de l'occlusion des yeux résultent, je le répète, de l'
anesthésie
musculo-tactile; ils man- quent, quel que soit
ue les mêmes phénomènes (symptôme de Romberg) se produisent quand l'
anesthésie
est faible ou même nulle. * Et pour ne pas pr
édition, 1885, t. II, p. 621. DU VERTIGE DES ATAXIQUES. 187 une
anesthésie
entière. « Or, malgré cette insensibilité mus-
angoisse et de terreur. 1 Duchenne, loc. cil., p. 786. ' Lasègue.
Anesthésie
et ataxie hystérique. (Arch. générales de méd.,
sept mois. Il fut long, dif- ficile, sans nécessiter pourtant ni l'
anesthésie
, ni l'emploi du for- ceps. La rupture de la poc
sée comprenant : adroite, tout le facial; à gauche, les extrémités;
anesthésie
gauche complète, atteinte des deux oculomoteurs
ion de l'am- blyopie (unilatérale), se plaignit de paresthésie et d'
anesthésie
de l'autre moitié du corps, qui disparut elle-m
upant les centres nerveux. L'amblyopie chronique de l'hystérie ou
anesthésie
rétinienne tient probablement aussi à une lésio
vers le coude. Affai- blissement peu accentué de la jambe droite. L'
anesthésie
peut même occuper tout le bras ; dans ce cas, i
térique permanente se subdivisant en deux variétés suivant l'état d'
anesthésie
ou d'hy- péresthésie de la peau; 2° contracture
onoplégie purement fonctionnelle, d'une monoplégie hystérique, sans
anesthésie
concomitante. Expérimentalement chez les hypn
1 330 CLINIQUE NERVEUSE. tôt à des altérations de la sensibilité,
anesthésie
ou hyperesthésie, tantôt à des troubles du mouv
pas de mouvement de supination, même dans la flexion du coude. L'
anesthésie
depuis l'extrémité des doigts remonte à la manièr
é revient sur la main et les doigts, il reste seulement une "zone d'
anesthésie
en bracelet au niveau du poignet. Depuis, pro-
it aucune difficulté; car en même temps que la monoplégie doublée d'
anesthésie
classiquement limitee, on observait un rétrécis
ébut de la monoplégie, le malade peut faire mouvoir son épaule et l'
anesthésie
disparaît peu à peu de la partie supérieure du
ts du coude reparaissent pres- que subitement. Il est à noter que l'
anesthésie
ne s'est effacée qu'après le retour de sa motil
ert. Atrophie blanche de la papille. Fig. 43. - Distribution de l'
anesthésie
et de l'hypoesthésie dans la monoplégie brachia
ns la monoplégie brachiale hystéro-traumatique. Partie quadrillée :
anesthésie
. - Partie à lignes verticales : hypoesthésie. T
s L'apparition immédiatement après le choc de la para- lysie et une
anesthésie
complète de tout le membre, l'existence de la r
bien conformes à cette hypothèse. Mais il n'en est pas de même de l'
anesthésie
très particulière qui accompagne ces différents
particulière qui accompagne ces différents troubles moteurs. Cette
anesthésie
s'étend à la moitié corres- pondante de la tête
la forme arrondie de ses contours, elle est toutàfait pareille aux
anesthésies
hystériques etl'on ne saurait guère imaginer un
ique centrale ou périphérique susceptible de réaliser une semblable
anesthésie
. On est donc conduit à admettre que cette monop
ive nerveuse par la suite. A l'hystérie seule doit être attribuée l'
anesthésie
très spéciale qui double la mo- noplégie et peu
nesthésie existe avec une monoplégie pure (9 cas). D'autres fois, l'
anesthésie
est limitée autour de la racine du membre paral
e ou de l'ombilic (4 cas). Le cas de monoplégie flasque sans aucune
anesthésie
que nous avons relaté est jus- qu'à présent le
scence, la conservation des réflexes tendineux, la répartition de l'
anesthésie
, etc., ont permis d'éliminer l'une après l'autr
parfaitement réels. 1 Revue philosophique, 1886, t. II, p. 582. -
Anesthésie
systématisée et dissociation des phénomènes psych
ystériques... la 1 Charcot. JIal. du syst. ner., III, p. 455. . L'
anesthésie
systématisée et la dissociation des phénomènes sp
t le cerveau est incom- plètement développé et qui présenterait une
anesthésie
complète, conséquence d'une ichthyose ou d'une
chose lui semble impossible et de fait, on ne voit pas, dit-il, les
anesthésies
ou la perte d'un sens spécial entraîner des tro
périphériques sont singulièrement plus émoussées, » telles que l'
anesthésie
généralisée des hystériques ou des lépreux. Et
a mieux, les malades atteints de myxoedème ne présentent même pas d'
anesthésie
. En conséquence « l'hypothèse de Ord est insout
soignée à Guy's Hospital pour une parésie de la jambe droite avec
anesthésie
autour de la cheville qui avait disparu sous l'
it est nul ; l'état général s'aggrave. 12 sept.L'hémiplégie, avec
anesthésie
, persiste; mais le malade parle mieux; il a que
il. Le,docteur \Iacliin- tosh se décida à faire l'élongation. Après
anesthésie
par l'éther et avec les précautions antiseptiqu
on sur les parties profondes, et le sens musculaire est conservé. L'
anesthésie
cutanée n'est d'ailleurs pas limitée exactement
alpètrière rapportent deux observations danslesquelles ils ont vu l'
anesthésie
et les attaques disparaitre à la dernière pério
chute, convulsions, etc. ; et dès cette époque on aurait constaté l'
anesthésie
. Il y a un an,, elle fut contrariée à propos d'
rticulaires ont persisté pendant plusieurs semaines sans modifier l'
anesthésie
générale et spéciale ; nous verrons plus tard q
te à percevoir certaines modalités sensitives, ». 1 Lasègue. De l'
anesthésie
et de l'ataxie hystériques. (Arch. de zéd., 186
il ou coma mesmériquc, la rigidité muscu- laire et la catalepsie, l'
anesthésie
, l'analgésie, les hallucina- tions et les illus
ange et durant davantage s'accompagnent de lipothymies. Induration,
anesthésie
, du tact, sensation permanente de froid dans le
mbres, de céphalalgies frontales, surtout nocturnes. Il existe de l'
anesthésie
dans la moitié droite de la face et de la diplopi
ouleur, et à la température dans les parties paralysées ; 3° zone d'
anesthésie
peu considé- rable dans les parties dont les ne
a lésion siège au renflement cervico- brachial. Du côté opposé : 1°
anesthésie
complète, absolue au toucher, au chatouillement
t le mamelon. Au-dessous de cette zone étroite d'hypcresthésio, l'
anesthésie
s'étend, à peu près absolue, sur la partie droite
ée, elle persiste alors que les autres symptômes ont disparu. » L'
anesthésie
était unilatérale et croisée, comme dans tous l
respectés ou peu atteints; ]'oei), par exemple, qui dans les cas d'
anesthésie
com- plète, offre des troubles caractéristiques
sensorielle. Et ce rapport constant existe non seulement lorsque l'
anesthésie
est étendue à toute la moitié du corps, mais en
rsqu'elle est plus ou moins limitée. Lorsqu'on a fait disparaître l'
anesthésie
hystérique par l'élec- trisation statique , on
risation statique , on voit au bout d'un certain temps reparaître l'
anesthésie
, qui commence à se reproduire par une région lo
qui entoure )'oei), comprenant la conjonctive et la cornée, et l'
anesthésie
sensorielle se reproduit en même temps que cett
tre maître, nous cherchons à appliquer les données de retour de l'
anesthésie
est beaucoup plus facile il suivre parce qu'il es
plus facile il suivre parce qu'il est moins rapide. Chez E. P..., l'
anesthésie
repayait d'abord autour de t'oeii et à ses memb
t la scnsihdltë spë- ctale de ces organes s'altère parallèlement. L'
anesthésie
descend progres- snement, et quand elle arrive
e de M. Charcot, au mois de juin 1880. Elle n'avait plus alors ni
anesthésie
, ni attaques convulsives, ni points hystérogenes,
On pousse plus loin l'administration du chloroforme, on arrive à l'
anesthésie
complète, la malade ronfle, puis on cesse le ch
alade ronfle, puis on cesse le chloroforme. A aucun moment, entre l'
anesthésie
totale et le retour à l'état normal, on ne peut
endant tout le travail, nous avons pu constater la persistance de l'
anesthésie
toutes les fois que nous l'avons cherchée quand
est sortie de l'hospice il y a un an ; mais elle avait conservé son
anesthésie
totale. Elle s'est mariée depuis et rentra à la
u. Je n'ai pas pu obtenir une sensation analogue du côté droit. L'
anesthésie
n'a pas été modifiée un instant. A partir de di
ifier les phénomènes permanents de l'hystérie et particulièrement l'
anesthésie
. VII. Compression DE l'ovaire. Depuis que M.
conjonctive estrouge, les larmes coulent quelquefois sur la joue. L'
anesthésie
a envahi, le plus souvent, la conjonctive et ju
existe pas. Les réflexes tendineux sont complètement abolis; 5° L'
anesthésie
cutanée est complète. Persistance partielle des
anatomiques différant les unes des autres. HÉMIPLÉGIE SPINALE AVEC
ANESTHÉSIE
CROISÉE DANS UN CAS DE mal DE POTT sous-occipit
corps avec conservation de la sensibilité, taudis qu'il y avait une
anesthésie
plus ou moins complète du côté opposé. L'observ
du tronc, jusqu'à cinq centimètres environ au-dessous du mamelon. L'
anesthésie
se retrouve sur le côté gauche du scro- tum, de
La paralysie du bras droit diminue de jour en jour. 5 octobre. L'
anesthésie
complètement disparu du côté gauche. A droite l
plégie droite avait pour ainsi dire disparu, et il n'y avait plus d'
anesthésie
à gauche. L'ob- tusion de la sensibilité tactil
us paraît remarquable à plusieurs titres. L'hémiplégie spinale avec
anesthésie
croisée qui s'est produite lentement et progres
côté droit ; jamais nous n'avons constaté la zone transversale d'
anesthésie
qui, d'après M. Brown-Séquard, limiterait par en
prononcée au membre supérieur qu'au membre inférieur, tandis que l'
anesthésie
était égale en intensité et présentait les même
lit le réflexe, ainsi que l'ont démontré Schulze et Fùrbringer. L'
anesthésie
par le chloroforme aboutit au même résultat, qu
t de la contracture hystériques. Le phénomène du transfert pour l'
anesthésie
, 1'li-perexcitabilité neuro-musculaire, pour la
qu'on pourrait appeler région des ban- celle-ci. S'il a existé une
anesthésie
très accusée, les cornes postérieures de la subst
égumentaire. — Éruption de zona sur le tra-jet des nerfs douloureux ;
anesthésie
cutanée circonscrite ; atrophie et. contracture m
produisent sur le trajet des nerfs parti-culièrement douloureux, une
anesthésie
cutanée circonscrite sous forme de plaques et qui
la compression spinale. — Hémiplégie et hémi-paraplégie spinales avec
anesthésie
croisée. Sommaire. — Lésions que subit la moell
erveux. — Circonscription de la lésion. — Hémiparaplégie spinale avec
anesthésie
croisée; ses caractères. — Hémiplégie spinale.
désigner cet ensemble simplement sous le nom ^hémiplégie spinale avec
anesthésie
croisée, quand la lésion dont il s'agit occupe un
, ce n'est plus l'hémiplégie, mais bien Y hémiparaplégie spinale avec
anesthésie
croisée qu'on observe. Vous allez reconnaître bie
hémilatérale de la moelle capable de déterminer l'hémiparaplégie avec
anesthésie
croisée paraît être une conséquence fréquente des
qui précède, la raison de la dénomination hémiparaplégie spinale avec
anesthésie
croisée, proposée pour désigner l'ensemble sympto
nservé leur sensibilité ou se montre-raient hyperesthésiés. La zone d'
anesthésie
qui formerait la limite supérieure de ces parties
le, la partie supérieure du thorax et de l'épaule et même le cou. L'
anesthésie
, répandue comme il vient d'être dit, et limitée e
ntracture — se montre-raient, dans ce dernier cas, du côté opposé à l'
anesthésie
tan- 1 Voyez Charcot. — Leçons sur les maladies
sés, qu'elle sera plus étendue en hauteur; ainsi se produit la zone d'
anesthésie
plus ou moins haute sui-vant les cas, à direction
'est pourquoi les par-ties situées au-dessous de la zone transverse d'
anesthésie
con-servent la sensibilité normale. Elles se mont
suivant le cas, l'hémi-plégie ou l'hémiparaplégie spinales, mais sans
anesthésie
croisée. Vous rencontrerez dans la pratique d'ass
mon compte observé, sous la forme bien dessinée d'hémiparaplégie avec
anesthésie
croisée, dans cinq cas. Dans trois de ces cas, il
faradique par les progrès du mal, l'iiyperesthésie ferait place aune
anesthésie
souvent très pro-fonde. Enfin, il y aurait lieu d
servation de la sensibilité de ce côté, dans les parties paralysées ;
anesthésie
complète ou à peu près, des parties correspondant
hériques. Les douleurs pseudo-névralgiques, la paralysie motrice et l'
anesthésie
, varieraient nécessairement de siège et d'étendue
s dans les membres paralysés, phénomènes contrastant avec l'absence d'
anesthésie
, de troubles durables de la vessie ou du rectum,
ons plus ou moins marquées de la sensibilité, et particulièrement une
anesthésie
cutanée plus ou moins profonde des membres pa-ral
lérose symétrique latérale, pachyméningite). J'en dirai autant de l'
anesthésie
et de l'hyperesthésie cuta-nées. Elles sont étran
ce qu'on pourrait appeler les con-ditions normales. 1° Parésie sans
anesthésie
des membres supérieurs, accom-pagnée d'émaciation
s à leur tour. Il s'y produit, en premier lieu, sans accompagnement d'
anesthésie
, une parésie qui, progressant promptement, fait q
Seconde période (paralysie, atrophie, griffe, contracture, plaques d'
anesthésie
, paralysie et contracture des membres inférieurs.
e cervicale. J'ajouterai que, dans celle-ci, il peut se produire de l'
anesthésie
, des escarres à développement rapide, des trou-bl
ymptômes qui consti-tuent ce que j'appelé la période douloureuse, les
anesthésies
partielles disséminées, les éruptions huileuses,
rsqu'elles sont le siège d'une altération profonde, il se produit une
anesthésie
cutanée plus ou moins prononcée dans les parties
d'abord au système spinal sensitif (douleurs fulgu-rantes, plaques d'
anesthésie
et d'hyperesthésie, etc.), et ne détermine que se
écède l'invasion des accidents spinaux. — Symptômes : fourmillements,
anesthésie
, douleur dorso-lombaire et en ceinture. — Paraplé
nt d'abord dans les membres infé-rieurs, et sont bientôt suivis d'une
anesthésie
ou d'une anal-gésie occupant surtout les extrémit
membre supérieur du côté opposé fut à son tour frappé d'atrophie et d'
anesthésie
\ Il est au moins fort vraisemblable que, dans
la substance grise centrale. En effet, dans la plupart de ces cas, l'
anesthésie
et l'atrophie musculaire des membres paraly-sés s
atrophies spinales. laires, ni contracture; la dysesthésie, comme l'
anesthésie
, font toujours défaut; il se produit ni escarres,
omplètement défaut Cette même particularité, c'est-à-dire l'absence d'
anesthésie
sur les mem-bres atteints de chorée s'est présent
sensation de fourmillement et qu'ils ne présentaient pas de traces d'
anesthésie
; je constatai enfin que la vision n'était nullem
u et ont toujours persisté *. Actuellement, hémiplégie gauche, sans
anesthésie
ni contrac-ture, mais avec des mouvements choréif
est vrai, puisqu'il n'y a que de l'analgésie. Cette coïncidence de l'
anesthésie
et de l'athétose, qui a été relevée par M. Hammon
tégumentaire. — Eruption de zona sur le trajet des nerfs douloureux :
anesthésie
cutanée circonscrite; atrophie et contrac-ture mu
la compression spi-nale. — hémiplégie et hémiparaplégie spinales avec
anesthésie
croisée. Sommaire.— Lésions que subit la moelle
Seconde période (paralysie, atrophie, griffe, contracture, plaques d'
anesthésie
, paralysie et contracture des membres inférieurs.
écède l'invasion des accidents spinaux. — Symptômes : fourmillements,
anesthésie
, douleur dorso-lombaire et en ceinture. — Paraplé
raumati-ques, 292. Anatomie topographique microscopi-que, 7, 294.
Anesthésie
dans l'ataxie, 16, 273. — Dans la paraplégie doul
— 395. — Fractures spontanées, 395, Résumé des symptômes, 304. (Voir
Anesthésie
, Arthropathies, Atrophie musculaire , Crises 6ast
et Lasègue3 3 dans laquelle le trouble est sous la dépendance de l'
anesthésie
et ne s'observe qu'alors que les malades sont p
nt normaux; il n'y a pas de trépidation épileptoïde. Il n'y a pas d'
anesthésie
, ni de diminution du sens musculaire. Couchée a
n'a reparu, la perte de connaissance est toujours restée totale. L'
anesthésie
fut générale dès le début. Toutefois, un examen
ure prise plu- sieurs fois dans l'aisselle donne de 37 à 37",8. L'
anesthésie
de la surface cutanée et des muqueuses est totale
tronc et aux mem- bres. La tête resta toujours insensible, et cette
anesthésie
repa- rut totale pour tout le corps après la ce
conséquent peu varié. Intégrité, des viscères; quelques pla- ques d'
anesthésie
ou plutôt d'analgésie légère; sensationsretar-,
s de perversion des sensations thermiques. Le degré de la thermo-
anesthésie
présentait des variations assez considérables à d
blesse et atrophie musculaire nettement accusée dans la sphère de l'
anesthésie
partielle, des troubles trophiques de la peau,
is toujours "en comparaison du. côté gauche, il existe une certaine
anesthésie
. Le sens de la pression examiné sur la paume et
t que la différence 3-4°. Ainsi un degré plus ou moins élevé de l'
anesthésie
du sens ther- mique a occupé la totalité de la
s endroits. Pas de troubles trophiques de la peau. La région de l'
anesthésie
a de nouveau augmenté, son caractère est resté le
même état qu'il présentait au premier examen. Mais sur le thorax, l'
anesthésie
thermique, l'analgésie du côté droit sont desce
nalgésie du côté droit sont descendues encore davantage; une zone d'
anesthésie
tactile de la largeur de 15 centimètres est ven
e tactile de la largeur de 15 centimètres est venue s'ajouter aux
anesthésies
précédentes; cette zone est limitée en haut et en
t de la racine ascendante du tri- jumeau. Rien que ces phénomènes d'
anesthésie
par- tielle à distribution d'abord hémiplégique
té est altérée plus que le mouvement ; 2) des degrés différents d'
anesthésie
et la sphère anesthésiée sont tous limités par
r droit au-dessous de l'épaule ; 4) nous ignorons l'existence d'une
anesthésie
par- tielle du sens de la température dans le c
V. Homme de trente ans. Thermanesthésie partielle généralisée. -
Anesthésie
limitée de la main. - Pareslliésies. Atrophie m
id. Le thorax et les membres inférieurs occupent le milieu dans l'
anesthésie
thermique. Il est à remarquer qu'ici la différenc
nférieure du thénar et vient se joindre à la ligne frontière de l'
anesthésie
venant à sa rencontre du dos de la main, où sa
le a sur la paume (fig. 7. et 8). Bientôt après l'apparition de l'
anesthésie
, commença à se développer, le gonflement de la
TOSE MÉDULLAIRE. 185 bilité de la main. Ici la région occupée par l'
anesthésie
générale n'a pas seulement complètement répondu
s des nerfs sensitifs de la main. Dans ce cas, nous voyons, outre l'
anesthésie
partielle les altéra- tions trophiques caractér
vis le malade au dispensaire, et l'examen ne fit pas découvrir d'
anesthésie
à la douleur et au toucher, et lui-même déclara
s mains sentaient la diffé- rence entre la chaleur et le froid. Une
anesthésie
profonde du sens de la température avait ainsi
rité, nous nous trouvons là pour la première fois en présence d'une
anesthésie
partielle du seul sens de la température, mais
nières régions (pas toujours grandes dans d'autres cas aussi), d'
anesthésie
partielle combinée et une augmen- tation consid
autres observations également. L'atrophie musculaire associée à l'
anesthésie
par- tielle diffuse confirme le diagnostic défi
sique. Il n'y a jamais deparalysie motrice : on peut trouver de l'
anesthésie
plus ou moins complète, apparente ou réelle : -
bles de la sen- sibilité, qui se traduisent le plus souvent par des
anesthésies
partielles ou totales, dans la majorité des cas
lui-même, bien que cela existe réellement dans nombre de faits, une
anesthésie
complète. Dans les cas légers, les dor- meurs p
IL HYSTÉRIQUE. 277 -i entre le genou et la cheville, dit-il, il y a
anesthésie
complète; partout ailleurs analgésie sauf en tr
rlier dans l'observation que nous avons rédigée sur ses notes : « L'
anesthésie
de la surface cutanée et des muqueuses ' Voy. à
au tronc et aux membres. La tête resta toujours insensible et cette
anesthésie
reparut totale pour tout le corps après la cess
taque hémiplégique et hémianesthésique sensi- tivo-sensoriel, que l'
anesthésie
soit directe ou croisée, que l'hémiplégie s'acc
mettre en principe qu'elle s'accompagnera le plus souvent d'hémi-
anesthésie
sensitive et fréquemment sensorielle, en un mot
a fois sensitive et senso- rielle ; nous savons aussi (Keser) que l'
anesthésie
sensorielle ' Etude anatomique , physiologique
loc. cit. 292 REVUE CRITIQUE. , peut être croisée par rapport à l'
anesthésie
sensitive, ce qui ne saurait avoir lieu dans l'
'influence qu'exerce la faradisation de la peau dans certains cas d'
anesthésie
cutanée. (Archives de physiologie, t. VII, 1875,
uéris d'accidents divers (névralgies, vomissements, toux nerveuses,
anesthésies
, contractures, spasmes de 1'urèthre, trou- bles
es jurisconsultes pour condam- ner de malheureux malades. IV. Les
anesthésies
hystériques des muqueuses et des organes des se
vail comprend deux parties. Dans la première l'auteur traite de l'
anesthésie
hystérique de quelques muqueuses, encore peu étu-
exemple, les conclusions de l'auteur à propos des rapports entre l'
anesthésie
tympanique et l'orientation auditive, rapports
epsies partielles et Passagéres, in Etudes médicales, 1. 1, p. 899.
Anesthésie
et ataxie hystérique. Ibid., t. Il, p. 85 et suiv
es à cet égard. P. K. XIV. UE l'existence ET DE l'importance DE l'
anesthésie
MIXTE (Se ? 2St- .' tioo-sensorielle) cnEz LES
ar R. Thomsen. (Archiv, f. Psych., XVII, 2.) , . ' L'expression d'
anesthésie
mixte (sensitivo-sensorielle) est celle qui dés
ie simple (un cas) - hémianesthésie brachiale ou crurale (deux cas)
anesthésie
en plaques se rapprochant de l'hémianesthésie (
anesthésie en plaques se rapprochant de l'hémianesthésie (un cas) -
anesthésie
en plaques bilatérales (cinq cas) - émoussement
n ; dans le cas de troubles du sens musculaire on a toujours noté l'
anesthésie
du même côté, l'inverse n'étant d'ailleurs pas
ire et la finesse du tact à l'égard des menus objets. La rareté des
anesthésies
si prononcées chez les aliénés indique qu'elles
surtout dans les extenseurs. Pas d'ataxie. Mouvements automatiques.
Anesthésie
associée à de l'hypéralgésie. Ralentisse- ment
ésie de la jambe du même côté avec des accidents spasmodiques, de l'
anesthésie
de la jambe gauche (analgésie partielle et anes
odiques, de l'anesthésie de la jambe gauche (analgésie partielle et
anesthésie
à à l'égard de la température); du myosi- avec
chez l'hystérique analgésique qui ne sent pas les piqûres. Comme l'
anesthésie
de ce dernier, la miction involontaire de l'inc
à la gorge. Douleurs de ventre. Elle n'est pas encore réglée. Pas d'
anesthésie
, ni de rétrécissement du champ visuel. 29 novem
- leur à la région lombaire, que la pression réveille ou accroît,
anesthésie
symétrique localisée. C'est là le point le plus i
à le point le plus important, on trouve de chaque côté deux zones d'
anesthésie
complète. Une première zone, zone cruro-fessièr
us, le périnée, la verge, le scrotum. Les muqueuses participent à l'
anesthésie
, c'est ainsi que le malade ne sent rien quand o
re analyse, se résumer ainsi : paralysie de la vessie et du rectum,
anesthésie
des régions ano-génitales et de la partie moyen
dus qu'il a observés. C. V. DU RAPPORT DE L'ECZÉMA CHRONIQUE AVEC L'
ANESTHÉSIE
DE LA PEAU ; par le professeur Stookovenloff (d
erait passé sans douleur. Nombreux stigmates d'hystérie : plaques d'
anesthésie
, point dou- loureux épiglottique, anesthésie bu
d'hystérie : plaques d'anesthésie, point dou- loureux épiglottique,
anesthésie
bucco-pharyngienne, rétrécisse- ment du champ v
exagérée du Talmud. On constate un spasme pharyngien croupal, avec
anesthésie
pha- ryngienne, douleurs dans les mains puis cé
malade immubile sur son lit ne réagit à aucune sorte d'excitation.
Anesthésie
et anal- gésie généralisées, les sens spéciaux
les membres). A cette période d'hyperesthésie succède une période d'
anesthésie
à la fatigue. Le malade n'éprouve aucune fatigu
rs altérée. On a opposé à cette théorie les hystériques, atteints d'
anesthésies
profondes et qui ne sont cependant pas ataxique
nous les hystériques ne peuvent pas comp- ter, car le mécanisme des
anesthésies
mentales est très com- pliqué. On pourrait dire
rrait dire des hystériques qu'ils sentent sans sentir. Surtout leur
anesthésie
musculaire et articulaire est sujette à caution
x contre la subordina- tion absolue de l'incoordination motrice à l'
anesthésie
mus- culo-articulaire, est qu'il n'existe aucun
ôt avec un certain retard. Dans ce dernier cas, et s'il n'y a pas d'
anesthésie
tactile, le malade accuse d'abord la sensation
à la période ataxique pendant laquelle les malades ont souvent de l'
anesthésie
à la fatigue musculaire, ces préa- taxiques se
sommeil, ce qui est d'une singu- lière exagération. Et cependant l'
anesthésie
y est complète, les sensibilités à la pression,
ion du poignet, très douloureuses, sont très difficiles à réaliser.
Anesthésie
complète du membre. - Dimensions : G, 19; D. 21 1
dinaire disposition, si ce n'est que, au membre supérieur gauche, l'
anesthésie
en manche de veste s'est réduite en une anesthé
érieur gauche, l'anesthésie en manche de veste s'est réduite en une
anesthésie
en gant, la sensibilité reparaissant au-dessus
ionnel passager, un rétrécissement du champ visuel et des plaques d'
anesthésie
. Environ quinze jours après son entrée à l'hô-
faire soupçonner l'existence de cette névrose. Il n'existe aucune
anesthésie
dans le domaine de la sensibilité générale et l'e
ent très incomplète et limitée à certaines régions musculaires, une
anesthésie
cutanée assez net- tement circonscrite, des tro
rbations, elle n'a pour ainsi dire jamais le caractère fulgurant. L'
anesthésie
est constante, toujours circonscrite, assez sou
de l'ischémie paradoxale : rétention, par suite de para- lysie et d'
anesthésie
de la vessie, et incontinence, par suite de par
douleur va rare- ment en s'aggravant. Du reste les douleurs et les
anesthésies
peu- vent diminuer, avec le temps^ en étendue e
sse et de la fesse gauche se manifestant au moindre attouche- ment.
Anesthésie
du périnée et de la face interne de la fesse gau-
e de la fesse gau- che, ainsi que du bord externe du pied gauche. L'
anesthésie
s'étend à la muqueuse de l'urètre, de la vessie
n somme l'ensemble des trou- bles sensitifs peut s'exprimer ainsi :
anesthésie
douloureuse à dis- tribution bien définie. - Tr
e. Il existait aussi une zone REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 295 d'
anesthésie
tactile occupant la peau de la portion interne de
araplégie était flasque et s'accompagnait d'anes- thésie absolue. L'
anesthésie
remontait jusqu'au niveau d'un plan passant par
andés, celui-ci ne sent pas la sonde et n'accuse rien ; donc il y a
anesthésie
des muqueuses. On peut aussi distendre la vessi
t retardée, sensibilités thermique et algésique abo- lies. Au tronc
anesthésie
complète qui s'arrête à gauche au niveau de la
iron de hauteur, puis la sensibilité devient nor- male. A droite, l'
anesthésie
s'arrête à la deuxième côte, c'est-à- dire moin
es parties de la moelle qui renfeiment les systèmes commissuraux. L'
anesthésie
complète des régions plus élevées a sa cause da
nisé la subs- tance grise. C : 1NUSET. XXXIII. Syringomyélie avec
anesthésie
locale; par M. le profes- seur F. RAYMOND, méde
vaient échappé à l'atrophie. Incontinence d'urine 'et constipation,
anesthésie
totale superficielle étendue à presque tout le
ie totale superficielle étendue à presque tout le tégument externe,
anesthésie
des tissus sous-jacents, eschare profonde à ext
clinique classique de la syrin- gomyélie, sauf sous le rapport de l'
anesthésie
qui est totale, alors que dans cette affection
re rapide. Il expose les observations connues de syringomyélie avec
anesthésie
complète. Dans les autopsies on constatait le p
déjà publiés, car il ne s'agit pas d'une complication hystérique, l'
anesthésie
de l'hystérie a des caractères sui generis. L
ires et personnels. A la suite d'une vive frayeur : hémiplégie avec
anesthésie
du côté gauche et tremble- ment du membre supér
dant le sommeil, les mouvements intention- nels l'exagèrent. Zone d'
anesthésie
comprenant, du côté gauche, tout le membre supé
e, la moitié de la tête et du cou. Ilypereslhésie ovarienne double.
Anesthésie
complète de la con- jonctive, même sur la corné
examen électrique. La guérison de l'hémiplégie par la suggestion, l'
anesthésie
, l'hyperesthésie ovarienne, les altérations du
42 CLINIQUE NERVEUSE. 5 francs a conservé la sensibilité tactile. L'
anesthésie
tactile se répand sur le tronc et s'arrête à la
a ni rétention, ni incontinence. Il n'existe qu'un certain degré d'
anesthésie
urétrale ou au col de la vessie, puisque le mal
opathie du genou gauche n'a pas été modifiée par le traite- ment. L'
anesthésie
tactile des jambes s'est un peu améliorée. Elle
a même époque impossi- I)ilité des rapports sexuels, parsuite d'une
anesthésie
tactile de la verge. Le malade a des érections
malade n'est pas changée. Extrémités inférieures. Sensibilité. -
Anesthésie
tactile sur toute la jambe droite jusqu'au pli
la surface antérieure de la cuisse. Sur le reste de la jambe gauche
anesthésie
tactile. Anesthésie tactile sur toute la surfac
de la cuisse. Sur le reste de la jambe gauche anesthésie tactile.
Anesthésie
tactile sur toute la surface de la verge et du sc
atténuation du réflexe patéllaire, manque d'équi- libre, ataxie et
anesthésie
, articulation des mots très difficile, optimism
ction au lieu de rétrocéder s'aggrave rapidement. L. Le niveau de l'
anesthésie
remonte, les membres supérieurs devien- nent' d
facial et de l'oculomoteur externe droits. avec paresthésie gauche,
anesthésie
, ataxie ou tremblement intentionnel. Cette asso
par Itascll, 474. Amyotrophie tabétique, par Schall'er, 319.
Anesthésie
pottique, par Chipault, f70. Aphasie sensorie
ie pathologique de l' -, par Gohlmann, 491. I'C7L)IA chronique et
anesthésie
de la peau, par StoukovcnlolT, 'i3. Electrici
ouche, narine et conjonctive du côté droit). Les sens participent à l'
anesthésie
: Y ouïe est moins fine à droite qu'à gauche ; —
Les symptômes permanents de Tliystérie que présente Ler... sont : une
anesthésie
générale et une liyperesthésie ovarienne double;
. Sachant aujourd'hui que les hys- 5 tériques ont quelquefois une
anesthésie
totale, presque toujours une anesthésie de l'une
tériques ont quelquefois une anesthésie totale, presque toujours une
anesthésie
de l'une des moitiés du corps (hémianesthésie), l
gisme, pharyngisme ; — secousses- — Double hyperesthésie ovarienne. —
Anesthésie
générale. — Contracture du ¦membre inférieur droi
e nous semble laisser aucun doute sur ce point, Durant longtemps, l'
anesthésie
resta limitée à gauche; mais, depuis plus de troi
loir s'étrangler si les autres sœurs n'y fussent accourues (1). » L'
anesthésie
,on le sait, était « une marque du diable », un si
aient liées intimement aux autres symptômes permanents de l'hystérie,
anesthésie
cutanée et hyperesthésie ovarienne. A diverses re
aisselles. — Ischémie à gauche. — Attaques avortées. — Tympanisme. —
Anesthésie
incomplète et hyperesthésie ovarienne du côté dro
ifiantes. — Contracture des membres du côté gauche. — Ovarie double ;
anesthésie
générale ¦ —Modifications des attaqua ; leur caus
ue. Ovarie double. — Hémianes-thésie complète à gauche. — A droite,
anesthésie
complète sur la moitié correspondante de la face
onné des indurations du tissu cellulaire sous forme de nodosités. — L'
anesthésie
occupe toujours lamoitiégauche du corps et la par
paupières qui, si elles sont alors ouvertes, ne peuvent se fermer. —
Anesthésie
générale. tQnov.—M... et Geneviève ont disparu
e bracelets d'or monnayé sur l'avant-bras et la jambe du côté gauche (
anesthésie
), pendant 15 minutes, (l) Cette commissiou étai
ervés quant à la force dy-namométriqueÇD.) et quant à la sensibilité (
anesthésie
, analgésie, etc.), durant la période comprise ent
— 9. . . • — 13 ... — 25.. — 26. . Décembre 1er.. D. 28
Anesthésie
D. 24 Anesthésie D. 26 Anesthésie D. 25 Sen
... — 25.. — 26. . Décembre 1er.. D. 28 Anesthésie D. 24
Anesthésie
D. 26 Anesthésie D. 25 Sensibilité lég. D.
6. . Décembre 1er.. D. 28 Anesthésie D. 24 Anesthésie D. 26
Anesthésie
D. 25 Sensibilité lég. D. 29 Sensibilité
9 Sensibilité D. 30 Sensibilité D. 26 Sensibilité D. 21
Anesthésie
générale (l) D. 25 Sensibilité 22 Analgés
centig.) Id. Id. Id. Id. Id. Id. Attaques.. 30 gouttes (l) L'
anesthésie
générale a reparu à la suite des attaques hystéro
hyperes-thésie de l'ovaire droit ; 5° une hémianalgésie droite, avec
anesthésie
complète de la face, du thorax et dû membre supér
ubles des sens (perte du goût, de l'odorat, du côté correspondant à l'
anesthésie
de la peau et des muqueuses, affaiblissement de l
tractures), 127.— dans la contracture hystérique, 122,123. — dans l'
anesthésie
par l'éther, 137. Torticolis hystérique, 53, 11
C'est surtout la considération des carac- tères et de la forme de l'
anesthésie
qui fournit les éléments principaux du diagnost
qui fournit les éléments principaux du diagnostic. Tandis que cette
anesthésie
fait défaut dans les paralysies cor- ticales, e
de morphologique, par opposition à la distribution anatomique de l'
anesthésie
due aux lésions des nerfs. - Enfin, il est rare c
s qu'elle réagisse à peine, surtout si on lui ferme les yeux. Cette
anesthésie
est étendue il toute la peau. Pas de réflexes pha
ncipalement sous la forme d'hémianesthésie, peuvent donner lieu à l'
anesthésie
plus ou moins complète de la rétine, unilatéral
ôpitaux. (i) Panas, Semaine méd., 21 novembre 1886. (2) PARINAUD.
Anesthésie
de la rétine. Ann. d'ocul., 1886. LA FARADISATI
démarche tranquille leur est parfaitement insensi- ble a cause de l'
anesthésie
, c'est encore enfin l'hypochondrie qui rend le ma
vous le disais tout à l'heure, la raideur du poignet et de la main,
anesthésie
complète au niveau des doigts l environnant le
présentait donc avec la triade symptomatique suivante : paralysie,
anesthésie
et troubles trophiques dans le territoire du médi
té, à la température, à la douleur et au con / tact. C'est donc une
anesthésie
vraie. La motilité, chez notre jeune malade, es
ux malades chez lesquels le nerf médian a été lésé, et qui, outre l'
anesthésie
et la paralysie consécutives à l'accident, ont pr
tion centrale, son épaissis- sement de l'épidémie au pourtour, et l'
anesthésie
des téguments circonvoi- sins. Mais il est d'
de l'hystérie ; enfin, ajoute M. Parinaud (2), si forte que soit l'
anesthésie
rétinienne des hysté- riques, il n'y a jamais h
gauche et principalement de la commissure labiale gauche ; 2° une'
anesthésie
répartie par plaques en divers points du corps.
angue non déviée. Comme la première fois, on constate des plaques d'
anesthésie
absolue, surtout au niveau du cou. Pupilles r
. On recherche alors les stigmates de l'hystérie ; on constate de l'
anesthésie
pha- rongée, de l'ovaralgie ci droite. Ces deux
ivo-sensonielle du côté gauche du corps que nous devons ajouter à l'
anesthésie
du pharynx et à l'ovaralgie droite signalées pr
ie ; on constate en effet une aneslhésie complète du pharynx et une
anesthésie
incomplète de la peau sur toute une moitié du c
35 ans) à la 11lartin ique. A 29 ans, crlrparitiond'2crtela- que d'
anesthésie
sur le mollet gauche, puis d'une plaque symétriqu
er la moindre douleur. Cette brûlure fut longue à guérir. La zone d'
anesthésie
s'accrut progressivement. Une plaque également in
ant quatre ans, il reste dans un parfait état de santé; cependant l'
anesthésie
progresse et envahit le pied gauche. A l'âge de
a reparu mais rudimen- taire. Ces phénomènes coïncidaient avec une
anesthésie
des avant-bras et des mains ; trois doigts de l
DE LA SALPÊTRIÈRE. timètres au-dessous de l'interligne articulaire,
anesthésie
à la piqûre comme à la chaleur et au froid, mai
decine, 1891. (6) Chauffard. Loc. cit. (7) Pitres. Leçons sur les
anesthésies
hystérique, Bordeaux 1887. Leçons cliniques sur
ques. Le malade étudié par MM. Leloir, Baude et Thibierge a eu de l'
anesthésie
périorbitaire et une paralysie bilatérale de l'
sa racine ascendante dans 5 cas de sy- ringomyélie sur 18 ou 19. L'
anesthésie
partielle de la face et des muqueu- ses ne sera
parfois une hyperesthésie des lèvres au contact et par contre de l'
anesthésie
des gencives surtout à droite. Cela revient de te
rele- vés que dans l'observation de M. Raymond où il excitait une «
anesthésie
des deux jambes presque complète (1) ». A cel
a substance grise, soit dit en passant, est à mettre en regard de l'
anesthésie
thermique constatée chez le malade). Elles se m
asmodique exagération des réflexes tendineux aux membres supérieurs
anesthésie
dans le domaine du trijumeau gauche, avec opaci
vi 16 226 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. conséquence l'
anesthésie
signalée et des troubles trophiques du côté de l'
sorte que le malade présente ébauché le syndrome de Brown-Séquard (
anesthésie
au contact, au chaud et au froid modéré sur le pi
érieurs^ la partie inférieure du tronc parfois, sont le siège d'une
anesthésie
qui peut porter sur tous les modes de sensibilité
ralysie du mouvement est plus profonde du côté opposé il celui où l'
anesthésie
prédomine. Depuis la publication du mémoire de
rte des réflexes tendineux. La sensi- bilité y est abolie; et cette
anesthésie
remonte sur la paroi abdominale, jusqu'à la bas
et de l'excitabilité électrique des muscles aux membres inférieurs.
Anesthésie
absolue du mem- bre inférieur droit. Rétention
n ap- pelé sur le champ, constate une paraplégie motrice absolue. L'
anesthésie
est complète dans le membre inférieur droit; la
e inférieure du tronc (Déje- rine). Cependant il arrive aussi que l'
anesthésie
est limitée à un côté (ob- servation XIII ou in
). Rappelons que dans notre observation I il est fait mention d'une
anesthésie
thermique des membres inférieurs, particularité
remontent aux premiers jours qui ont suivi la journée du 2 août 88.
Anesthésie
complète et sous tous les modes du membre supér
eur droit, contracture analogue au niveau de la hanche et du genou,
anesthésie
en manchon de la hanche au genou. Les mouvements
une expression lamentable de désespoir. Pas de paralysies, pas d'
anesthésies
. Il voit assez bien-, dit-il ; mais sa vue se f
dans tout le côté gauche à la douleur, abolie au membre supérieur.
Anesthésie
en manche de veste. (Fig. 31, 32). Au toucher,
avec la hampe du marteau la peau du côté droit de la face, malgré l'
anesthésie
qui siège là, une contracture survient au bout
mélioration sur l'état de ces membres lors de son premier voyage. L'
anesthésie
cutanée est nettement limitée à toute la moitié g
ue. Si, d'aventure, vous rencontrez une monoplégie très flasque, avec
anesthésie
profonde et systématique, intéressant le sens mus
orbide quelconque tel que la dyschromatopsie, l'anosmie, l'agustie, l'
anesthésie
, etc. Le verre rouge colorait en rouge les objets
te. — Goût aboli presque totalement. — Odorat complètement perdu. — L'
anesthésie
cutanée est telle que nous l'avons décrite plus h
'examiner, le père du jeune Feren... ne présentait aucun stigmate, ni
anesthésie
, ni rétrécissement du champ visuel. Outre cette t
onsidérable. D'autre part en l'absence d'autres stigmates, tels que l'
anesthésie
, les points hystériques, il existait une amblyopi
une sorte. Stigmates. —Pas de rétrécissement du champ visuel; pas d'
anesthésies
; ovaire gauche un peu sensible; rien autre. Ver
cit de quelques-unes de ses crises délirantes. Il ne présente pas d'
anesthésie
cutanée bien délimitée, cependant il y a par plac
ystériques avérés et portait les stigmates permanents les plus nets :
anesthésie
, etc. En outre il avait des attaques et une sorte
le côté anesthésique ne sont suivies d'aucune hallucination. Donc son
anesthésie
cutanée persiste pendant ce délire. Puis nous fai
elles sont régulières. La moitié droite du corps est le siège d'une
anesthésie
absolue au contact, à la douleur et à la températ
portant la main de ce côté. Du côté gauche, au contraire, il y a une
anesthésie
, qui n'existait pas à l'état de veille. En même t
oit de la face n'est plus anes thésique, comme avant le sommeil ; l'
anesthésie
est passée à gauche. Cette première expérience,
ues mouvements de régurgitation, puis il s'éveille. Le lendemain, l'
anesthésie
a persisté du côté gauche de la face. La sensibil
point hystérogène. Le malade dit qu'il est mieux à son aise quand l'
anesthésie
est du côté gauche. Il ne se rappelle pas qu'hier
ouble. M. Dufay a constaté pendant l'accès de condition seconde une
anesthésie
générale du tégument cutané. Mais voici un fait q
, en passant, que M. Ladame n'a jamais constaté, chez cette malade, d'
anesthésie
cutanée ni aucun autre stigmate d'hystérie. Bie
ousse plus loin l'examen, on constate tout de suite la présence d'une
anesthésie
totale pour le contact, la douleur et la températ
nesthésie totale pour le contact, la douleur et la température. Cette
anesthésie
porte également sur les sens spéciaux: le goût, l
es de l'hystérie, ils sont aussi profondément modifiés. Au lieu d'une
anesthésie
cutanée totale, elle ne présente plus qu'une hémi
érieures, la nommée H... Elle est atteinte depuis de longues années d'
anesthésie
généralisée, complète, permanente, et, chez elle,
pement tous les stigmates ordinaires de l'hystérie. Elle présente une
anesthésie
totale, non seulement superficielle, mais encore
ent sur la sensibilité générale, mais encore sur les sens spéciaux. L'
anesthésie
cutanée, distribuée sous forme d'hémianesthésie d
.. est mariée depuis dix-huit ans, n'a pas d'enfants. On ne trouve ni
anesthésie
cutanée, ni perte du réflexe pharyngé, ni rétréci
hypéresthésie qui l'oblige parfois à enlever ses couvertures. Pas d'
anesthésie
. Il n'a pas de douleurs fulgurantes bien nettes n
que des engourdissements et les crises de douleurs fulgurantes. Pas d'
anesthésie
, plutôt un peu d'hypéreslhésie et un peu de retar
ces sensations sont purement subjectives et ne correspondent à aucune
anesthésie
ou hypéresthésie objective. Sa bouche n'est ni sè
e, mais c'est là un caractère différentiel de peu de valeur. 2° Les
anesthésies
, hyperesthêsies, dysesthésies de toute sorte : fo
t les urines contiennent du sucre. Si cette glycosurie s'accompagne d'
anesthésie
dans le domaine du trijumeau, de fréquence du pou
te dernière est un peu moindre au bras gauche qu'au bras droit. Pas d'
anesthésie
pharyngée. Conservation parfaite du sens musculai
ncontre. Mais alors était-elle donc hystérique? Aucun autre symptôme,
anesthésie
, ovarie, etc., n'était là présent pour faire adme
ue elle-même, sur l'absence ou la présence des stigmates hystériques,
anesthésie
, rétrécissement du champ visuel, points hystérogè
e genre, la recherche des stigmates sensitivo^sen-soriels permanents,
anesthésie
, rétrécissement du champ visuel, lorsqu'elle est
ie gauche sensitive et sensorielle avec perte du sens musculaire ; 2°
anesthésie
pharyngée à droite. Il n'y a pas de rétrécissemen
res de l'hystérie, et ces hémianesthésies seraient bien et dûment des
anesthésies
toxiques. Eh bien, Messieurs, un grand nombre d
que l'existence de ces hémianesthésies. Ce n'est pas, certes, que les
anesthésies
uni-latérales ne puissent se présenter combinées
ette particularité, déjàplusieurs fois observée dans l'hystérie,que l'
anesthésie
sensitive occupe le côté gauche, tandis que l'ane
stérie,que l'anesthésie sensitive occupe le côté gauche, tandis que l'
anesthésie
sensorielle prédomine du côté droit. Quelle est l
ie sensorielle prédomine du côté droit. Quelle est la nature de cette
anesthésie
? Est-elle due à une lésion organique du cerveau?
e que nous venons d'indiquer. Mais supposons qu'il s'agisse ici d'une
anesthésie
sensitivo-sensorielle régulière. Si l'on veut la
On pourrait dire que les convulsions dépendent de l'hystérie et que l'
anesthésie
doit être mise sur le compte du saturnisme ; car,
ensibilité décrits par Beau et Manouvrier, et consistant en plaques d'
anesthésie
disséminées, il existerait quelquefois dans le sa
mianesthésie hystérique. M. Raymond, en 1874, signala cette variété d'
anesthésie
chez les saturnins et chercha à établir entre ell
érique et saturnin, il me semble beaucoup plus logique de rattacher l'
anesthésie
à l'hystérie qu'au saturnisme ; car l'existence d
, si nous jetons un coup d'œil sur les observations d'hémiplégie avec
anesthésie
saturnine publiées dans ces dernières années et s
hémianesthésie prétendue alcoolique ne serait pas tout simplement une
anesthésie
hystérique combinée avec l'alcoolisme ? La plup
affectée (douleurs lancinantes, paresthésies, douleurs en ceinture,
anesthésies
, etc.) ; 4. Après Chartes Bell, Longet, Claude Be
yeux, l'ataxie deviendra naturelle- ment plus manifeste. Certaines
anesthésies
, au sens étroit du mot, celles des plantes des
embres inférieurs et de l'autre d'une affection des sphincters avec
anesthésie
en selle. L'auteur a eu l'occasion d'ob- server
ent en novembre 1855 par une paraplégie avec rétention d'urine et
anesthésie
totale et complète de la région seroto-pénienne.
Depuis lors, l'état est resté stationnaire. Les symptômes cardinaux
anesthésie
pénio-scrotale 'avec parésie vésicale, abolitio
moteurs, l'intégrité absolue du sphincter scrotal-anal, à côté de l'
anesthésie
pénio-scrotale. montrent une limitation de la l
ibilité du système pileux étaitintacte tandis qu'il y avait presque
anesthésie
du tact et de la douleur. La seconde observation
gie due à des lésions du faisceau sensitif de la capsule interne, l'
anesthésie
est rarement profonde : les sens spéciaux (ouï
à ce membre, ou à un segment de ce membre ; et par l'association d'
anesthésie
de type morpholo- gique (Charcot) qui ne corres
ue partie de l'appareil loco- moteur de ce côté, accompagnées d'une
anesthésie
cutanée, qui est exceptionnelle dans des hémipl
à peu avec la motilité sans perte du sens stéréognostique et sans
anesthésie
. Bien que la vision fut antérieurement à peu près
a bouche se dévia à gauche. Les régions atteintes étaient en état d'
anesthésie
complète. La paralysie avait disparu complèteme
'âge de deux mois et demi. Il. de Musghave CL.1Y. IX. Ptosis avec
anesthésie
de la branche sus-orbitaire de la cin- quième p
al, 13 février 1897.) · , - Observation intéressante de ptosis avec
anesthésie
de la branche sus-orbitraire de la cinquième pa
'est pas commun de la voir s'accompagner comme dans le cas actuel d'
anesthésie
d'une branche du trijumeau. Les crises débutent
s dans le travail classique de Beard. R uE 111USGUA1'E Ccax. XV :
Anesthésie
du tronc dans l'ataxie locomotrice; par Hugh T.
ar un grand nombre d'observa- teurs ; aussi est-il surprenant que l'
anesthésie
du tronc, si remar- quable par son siège, sa dé
e. Celle-ci, en effet, est en substance une analgésie, tandis que l'
anesthésie
du tronc est essentiellement tactile. Quant ell
oite que la bande anesthé- sique. Dans certains cas, il n'y a pas d'
anesthésie
réelle, mais une diminution dans la précision a
ente l'innervation émanée des segments de la moelle. A mesure que l'
anesthésie
monte sur le tronc, elle envahit les extrémités
s racines postérieures. Un autre point caractéristique, c'est que l'
anesthésie
, lorsqu'elle est légère, peut disparaître compl
, on trouve souvent une bande hyperesthésique étroite, contiguë à l'
anesthésie
; il en est de même dans le tabes, et, dans REVU
ie simultanément à des niveaux différents. Il est certain que cette
anesthésie
spéciale est très fréquente daas le tabes ; Hit
ingt cas. D'une façon générale, plus la maladie est avancée, plus l'
anesthésie
est accentuée et étendue. La valeur diagnostiqu
l n'est pas très précoce. Laehr ne l'a vue qu'une fois pré- céder l'
anesthésie
des jambes. On ne sait pas encore si cette forme
der l'anesthésie des jambes. On ne sait pas encore si cette forme d'
anesthésie
se rencontre dans d'autres maladies, mais il est
urs s'accompagnent de diverses formes de paresthésie, mais jamais d'
anesthésie
com- plète. Dans les cas bénins et à la période
- tion d'urine : Sur les deux jambes, mais surtout sur la droite,
anesthésie
à distribution irrégulière, ne montant pas au-des
lésion et le précise ainsi : les modifications de l'analgésie et l'
anesthésie
ther- miques observées à gauche jusqu'au niveau
fait place à de la dila- tation. Inégalité pupillaire (PD>PG).
Anesthésie
complète à gauche, hyperesthésie à droite. Hémipl
van Gehuchten sont la cause des symptômes de la rage (hyperathesie,
anesthésie
et para- ljsie). - Si elles font défaut chez
ournoiement se mettent d'abord dans un état hypnotique spécial avec
anesthésie
complète. Alors ils commencent leurs exercices.
paralysie mit un certain temps à se dissiper; on n'a pas constaté d'
anesthésie
. La malade a quitté l'hôpital, vingt-trois jour
u'on eut fait prendre de la morphine au malade. On a constaté une
anesthésie
du pouce et des autres doigts de la main droite;
John C. Snaw. (The New-York Médical Journal, 13 février 1897.) L'
anesthésie
de la région externe de la cuisse peut être soit
faisant suivre de quelques remarques. R. M. C. XL1111. Analgésie,
anesthésie
thermique et ataxie consécutives à des foyers d
émiplégies hystériques, dans la plupart des cas, s'ac- compaguent d'
anesthésie
du côté du corps frappé ; 2° La déviation de la
celles en particulier des jambes, s'accompagnent en grande partie d'
anesthésie
; 2° Les fonctions vésicales et rectales y sont
ien de la paralysie, la rigidité légère au lieu des contractures, l'
anesthésie
partielle et non générale, l'aphasie transitoir
aire à la lumière chez un syphilitique doit éveiller l'attention. L'
anesthésie
de la conjonctive palpébrale, innervée par la c
e physique et morale appropriée. R. DE RIUSGRAVE-CLAY. XXXVIII. L'
anesthésie
chez les aliénés; par V. H. B. STODDART. (The J
sibilité au toucher avec la sensibilité à la douleur, on a trouvé l'
anesthésie
toujours un peu plus étendue que l'analgésie. I
s un peu plus étendue que l'analgésie. Il faut signaler aussi que l'
anesthésie
dont on s'occupe ici n'est pas celle qui se rat
aliénés : l'auteur désigne par le mot « hémianesthésie relative » l'
anesthésie
qui est inégale sur deux points symétriques du
thésie relative chez les aliénés. Il arrive ensuite à une variété d'
anesthésie
qui. sans qu'il puisse s'expliquer ni pourquoi
e la physiologie et la pathologie du système nerveux. Lorsque cette
anesthésie
atteint son maximum d'exten- sion, toute la sur
étroites au niveau des régions dorsale et cervicale du rachis. Une
anesthésie
aussi étendue est rare; mais une forme commune,
et peut-être encore sur une petite bande à la région dorsale. Si l'
anesthésie
est encore moins étendue, les surfaces sensible
l'intelligence du texte est aidée par des figures. Quelque- fois l'
anesthésie
arrive à n'occuper que la face dorsale des doigts
n'occuper que la face dorsale des doigts. La forme mentale où cette
anesthésie
se rencontre le plus sou- vent est la démence s
uellement quels sont les symptômes qui accompagnent cette variété d'
anesthésie
. Sa symétrie toutefois, sa variabilité conduise
que. L'auteur examine et discute 'la question du mécanisme de cette
anesthésie
. - R. de Musgrave-Clay. XXXIX. Une forme dégé
strument fin, pour y dépister des zones parfois assez restreintes d'
anesthésie
ou d'hyperesthésie. BIBLIOGRAPHIE. XVI. Etu
e réflexe abdominal supérieur. 7° Verge normale. Testicules petits.
Anesthésie
testiculaire. 8° Chapelet ganglionnaire des rég
) il importe d'obtenir le maximum de flexion ventrale du sujet. L'
anesthésie
est le plus souvent tout à fait inutile : l'insen
de la malade une série d'autres phénomènes hystériques (paraplégie,
anesthésies
, spasme de 1'oesopage, etc.), qui persistent en
ApmKS. Coupes de moelle d' - , par SwUtaslm, 184. Analgésie et
anesthésie
thermiques , consécutives à des foyers de ra- :
émie de colite à - Il- de Derby, par Legge, 432. - 529. Ataxie.
Anesthésie
du tronc dans il-, par Patrick. 246. Troubles
Dans, 310. Ptosis intermittent hystérique, par Abadie, 239. avec
anesthésie
de la 1' pacre, par fla311es, 212. Punition c
émia- trophie et parésie de la face. Réflexions sur l'étendue des
anesthésies
et sur les troubles trophiques et moteurs de la f
oubles trophiques de la peau de la main. Il présentait en outre une
anesthésie
com- plète de la main et de l'avant-bras et d'u
par suggestion pen- dant l'hypnose, produire, à échéance fixe, une
anesthésie
complète, à la faveur de laquelle une dent fut
lade. Action des excitations mécaniques faibles et répétées sur l'
anesthésie
hystérique. M. Paul 1l.cw. - Chez les hystériqu
es décrits à propos de l'action esthésiogène des métaux, à savoir l'
anesthésie
de retour, l'anesthésie post-métallique et les
'action esthésiogène des métaux, à savoir l'anesthésie de retour, l'
anesthésie
post-métallique et les oscillations consécutive
sive : l'éruption de la face a pâli, l'oeil droit se ferme mieux, l'
anesthésie
a diminué, la pres- sion des nerfs n'est plus d
: la bande moyenne est d'ordinaire la plus atteinte, c'est là que l'
anesthésie
prédomine, la bande interne est la moins touché
ement à une hypoesthésie très accentuée; - les parties noires à une
anesthésie
complète; - les parties pointillées à une hyper
poral ; toutefois, elle empiète sur le côté gauche. Ici encore l'
anesthésie
porte sur les trois modes de la sensibilité, elle
te que les précédentes ; pour la première fois la malade constate l'
anesthésie
de cer- tains territoires cutanés. Le G janvier
levé chez nos malades des troubles très marqués de la sensibilité :
anesthésies
, hypoesthésies aux divers modes, élancements do
ctères cliniques de l'hystérie, surtout .pour ce qui concerne les
anesthésies
, n'étaient pas étudiés; 3° qu'enfin on ne connais
USE. vous trouvez. Ici nous n'avons pas à songer à l'adjonction d'
anesthésie
'^hystérique, car les anesthésies que nous ren-
vons pas à songer à l'adjonction d'anesthésie '^hystérique, car les
anesthésies
que nous ren- controns n'en ont pas les caractè
ore il était classi- que de croire à la disposition segmentaire des
anesthésies
syringomyéliques, des examens ultérieurs ont bi
syringomyélie en effet la symétrie de l'atrophie musculaire et des
anesthésies
est de règle, tandis que chez notre homme la ma
ont une tendance redoutable à l'extension et à l'aggravation : aux
anesthésies
succèdent les troubles trophiques, les paralysi
es mains, de l'avant-bras, du bras et du quadriceps fémoral gauche,
anesthésie
cutanée segmentaire du bras droit et de la jamb
neux, et signe de Babinski à gauche, ongles en verre de montre. Les
anesthésies
peuvent être rapportées à l'hystérie ; les amyo
Une paralysie com- plète des membres supérieurs et inférieurs ; une
anesthésie
com- plete inférieure jusqu'à'la région de la c
non gradés, et portant sur des cas de : phobies diverses, anxiété,
anesthésies
, SOCIÉTÉS SAVANTES. 181 distractions, amnésie
fréquents, surtout dans les cas d'hystérie à symptômes classiques (
anesthésie
cutanée, conlrac- Lure, astasie-abasie) : 40 p.
rie (73 p. 100); surtout fréquente dans les formes accompagnées d'
anesthésies
(81,81 p. 100), elle se' montre un peu moins souv
es paralysies et contractures (73,07 p. 100), moins encore dans les
anesthésies
(63,63 p. 100) ; Son existence dans un grand no
2 p. 100 ; on la rencontre surtout dans les formes accompa- gnées d'
anesthésie
(63,63 p. 100), puis viennent les paralysies et
100) et enfin les accès (31,74 p. 100). 262 SOCIÉTÉS SAVANTES. L'
anesthésie
plantaire, rare dans les autres névroses, constit
t très fréquente (59 p. 100) : surtout marquée dans les formes avec
anesthésie
(72,72 p. 100) elle se rencontre à peu près aus
ne plantaire combiné comme un signe spécial à l'hys- térie ; 5° L'
anesthésie
plantaire n'est pas une condition sine qua non à
trer sans altération de la sensibilité (20,35 p. l00) de même que l'
anesthésie
plantaire peut exister sans altération des réfl
(11,53 p. 100), le clonus du pied est un peu moins commun dans les
anesthésies
(9,99 p. 100) et dans les accès (9,52 p. 100) ;
p. 100) est assez rare dans les accès (3,17 p. 100) et nul dans les
anesthésies
; 9° Nous n'avons jamais observé le vrai réflex
s représentations obsédantes. RECUEIL DE FAITS. Des rapports de l'
anesthésie
avec les rêves et les cauchemars chez une hysté
uise P..., vingt ans, est une hystérique anesthésique totale. Cette
anesthésie
a déterminé un accident qui attire immé- diatem
dès que la malade ferme les yeux, se produisent des rêves et des L'
ANESTHÉSIE
AVEC LES RÊVES ET LES CAUCHEMARS. 313 cauchemar
il normal ni du sommeil hypnotique, ils sont étroi- tement liés à l'
anesthésie
. En effet, nous l'avons dit, cette malade est a
, ici rendue plus intense par ce fait que la malade, du fait de son
anesthésie
générale, est incapable, consciemment, de faire
es conceptions subjectives auxquelles elles avaient donné lieu. L'
ANESTHÉSIE
AVEC LES RÊVES ET LES CAUCHEMARS. 317 Reste à e
ité de la malade à ouvrir spontanément ses yeux. Ici encore c'est l'
anesthésie
qui nous donnera la clef du phénomène. De par l
u- lisme. Il est un phénomène primordial dans l'hystérie, c'est l'
anesthésie
: . c'est elle qui domine tous les phénomènes o
dons à faire c'est de justifier notre conception des rapports de l'
anesthésie
avec les cauchemars que nous avons obser- vés.
nous avançons, c'est que l'intencité de ces cauchemars varie avec l'
anesthésie
. En effet, resensibilisant notre malade par la
outes les nuits diminuent d'intensité et même disparaissent. Mais l'
anesthésie
revient rapidement de sorte que si une séance n
e dire, je ne fais aucune suggestion à la malade. C'est donc bien l'
anesthésie
qui. par ses variations détermine et règle les
la Revue de médecine (mars 1901), l'auteur a essayé d'établir que l'
anesthésie
hystérique n'est pas une anesthésie vraie, qu'i
auteur a essayé d'établir que l'anesthésie hystérique n'est pas une
anesthésie
vraie, qu'il y a en réalité sensation perçue, m
d'origine organique, mais présentant les caractères cli- niques des
anesthésies
hystériques ou psychiques. Ce fait peut s'expli
effer sur l'élément organique prémonitoire, le malade exagérant son
anesthésie
par autosuggestion ; l'examen ultérieur vint conf
nomène d'arrêt, d'inhibition ou de sommeil des centres cérébraux. L'
anesthésie
est la marque, le sigillum de cet arrêt des cen
lon nasolabial avec hypoesthésie des deux pieds, une autre fois une
anesthésie
à la face interne du bras et de l'avant-bras avec
le tableau d'une section médullaire com- plète ; impotence absolue,
anesthésie
totale, tactile, douloureuse, thermique, muscul
ond de tabes frustes, elles résultats de l'opération pratiquée sans
anesthésie
par M Jaboulay sont en faveur de la chirurgie c
grès médical de 1904 S24 faits divers. aggravation de catalepsie,
anesthésie
et troubles qui l'obligèrent à garder le lit de
"LIE. Un cas d'- avec amyélie, par Brissaud et Bruan- det, 488.
Anesthésie
. Action des excitations mécaniques faibles et r
ls. Con- sidérations sur la -, par Cracq, 420. Cauchemars. Voir
Anesthésie
. Cécité verbale avec agraphie : par Thomas, 7
e- pine, 411. L' par Young, 423. Hystérique Voir Chorée. - Voir
Anesthésie
. Voir Convulsions. Les états d'obnubilation psy
en même temps de l'aphasie et une monoplégie brachiale droite avec
anesthésie
, le pouls est très lent, enfin il y a de l'anur
du côté gauche. La raideur des membres persiste quoique atténuée; l'
anesthésie
a beaucoup diminué. La connaissance est parfait
e des phéno- mènes divers tels que la fièvre, les vomissements, l'
anesthésie
, les phénomènes pupillaires, etc. Notons égalem
avec la théorie de subordination et de correspondance parfaite de l'
anesthésie
et de la paralysie motrice, admise par Hitzig,
e la faculté du langage, et une hémiplégie des membres droits, sans
anesthésie
. A droite, une vaste lésion a intéressé le corp
rne. Or ce tractus est intact (ce qu'avait fait prévoir l'absence d'
anesthésie
) : pourrait-on voir dans ce fait une difficulté
, 2 et 3.) Transcrivons d'abord les conclusions du mémoire : 1- L'
anesthésie
et l'hémianesthésie sensorielle ne caractérisent
nd admettre l'intégrité complète de l'autre moi- tié du corps. 7° L'
anesthésie
sensorielle est ou stationnaire (et l'on REVUE
goisse, avec ou sans conception déli- rante). 9" La profondeur de l'
anesthésie
sensorielle est, dans la plu- part des ras, dir
ression céphalique, paresthésies sensorielles, tremblement). I I^ L'
anesthésie
sensorielle se rencontre dans l'épilepsie, l'hyst
nfin, à la suite de certaines psychoses encore inclassables. t2'' L'
anesthésie
sensorielle survient par conséquent : I, de conce
foyer ; c'est une manifestation cérébrale d'ordre général. - 13^ L'
anesthésie
ou l'hémianesthésie sensorielle ne permet pas d
onclusions résument la teneur des six paragraphes sui- vants : I.
Anesthésie
sensorielle de l'épilepsie. A. Passagère. B. Sta-
e, dans les quatre directions, sur une étendue presque égale. II.
Anesthésie
sensorielle de l'hystérie. Vingt-huit malades au-
ls et la sen- sibilité de la peau. On trouverait, par exemple, de l'
anesthésie
sensorielle contrastant avec l'intégrité absolu
s fonctions sensorielles. Dans quelques cas isolés, on noterait une
anesthésie
cutanée bilatérale, alors qu'il y aurait anesth
on noterait une anesthésie cutanée bilatérale, alors qu'il y aurait
anesthésie
sensorielle unilatérale et vice et versa; eu d'au
ant intacts; le sens musculairepeut être troublé indépendammentde l'
anesthésie
cutanée existante, mais on ne rencontre pour ai
tion de l'acuité visuelle est chose bien connue. On rencontrerait l'
anesthésie
sensorielle aussi bien dans les formes les plus
spéciale aoec L'ovurie, dont ils ne tiennent pas compte ici. III.
Anesthésie
sensorielle dans les névroses générales (à l'excl
tent un rétrécisse- ment concentrique plus ou moins accentué. IV.
Anesthésie
sensorielle consécutive a des lésions céphaliques
ue psychosen- soriel de l'épilepsie vraie (Ous. X1XVIII-XLVI). V.
Anesthésie
sensorielle dans les affections qui évoluent en p
la sclérose multilocn- ]aire. VI. Remarques sur l'existence de l'
anesthésie
sensorielle dans les lésions de l'encéphale con
de lésions de la partie postérieure de la capsule interne. L'hé mi
anesthésie
, y com- pris les organes des sens, est un troub
iées. Le volume de la glande thyroïde n'a pu être apprécié. Pas d'
anesthésie
; il existe une sensation continuelle de refroi-
lations les yeux fermés, etc. ; tantôt les phéno- mènes tabétiques (
anesthésie
, ataxie, faiblesse vésicale et génitale, etc.),
n'a plus de jambe du tout ». C'est vers cette époque que débute l'
anesthésie
. A partir de ce moment, l'état actuel s'est gradu
t développé, comme nous allons le décrire. Aux membres inférieurs l'
anesthésie
paraplégique est très marquée : plus accentuée
s'accompagnent plus jamais de pertes, mais persistent. Au reste, l'
anesthésie
remonte jusqu'au-dessus des seins. La colonne v
'influence de l'occlusion des yeux, les douleurs ful- gurantes, les
anesthésies
, l'abolition des réflexes rotu- liens sont des
recher- ches : Il ne présente aucun symptôme net de paralysie, d'
anesthésie
, ni d'aphasie. La langue est déviée à droite et
enté, mais égal des deux côtés. L'examen ne révèle aucune trace d'
anesthésie
. Mais le malade pense que la sensibilité tactil
ra un certain degré de maladresse dans les extrémités gauches, sans
anesthésie
. Intelligence normale, ouïe bonne, vision centr
n et le pied. L'exploration ne révélait pas d'hémiplégie nette ni d'
anesthésie
. Il pensait cependant que la sensibilité tactile,
D'après l'histoire du malade, d'après l'absence d'hémiplé- gie et d'
anesthésie
nette, je puis affirmer avec certitude, en l'état
s), aphasie si c'est le côté droit qui est affecté, et peu ou pas d'
anesthésie
, est très-certainement due, une lésion superfic
nt produit très peu d'effet grâce probablement à un certain degré d'
anesthésie
cutanée, car un vésicatoire, appliqué sur la mê
, les jointures affectées par le rhumatisme étaient douloureuses, l'
anesthésie
cutanée et sensorielle, de même que l'absence d
t; quelques mouve- ments limités persistent encore dans les doigts.
Anesthésie
absolue sur toute l'étendue du membre; les doul
- cun trouble du côté des sphincters. 3 septembre. - Paralysie et
anesthésie
absolues du bras gauche qui continue à être le
mpagne de troubles profonds de la sensibilité caractérisés par de l'
anesthésie
absolue et des phéno- mènes douloureux qui, sur
désordres moteurs et ne cessent point de se manifester alors que l'
anesthésie
est réa- lisée. Enfin la physionomie de ces acc
sensibilité. Sur les 26 cas positifs à ce dernier point de vue, l'
anesthésie
est nettement notée à des degrés divers, dans 1
1884, on note : la sensibilité cutanée est intacte, sans plaques d'
anesthésie
, ni d'hyperesthésie. Au coeur, les bruits sont
ume à la bouche : elle se remet incomplètement et conserve un peu d'
anesthésie
du côté gauche. Nausées et vomissements. Inégal
on observe dans la myélite circons- crite destructive (paralysie et
anesthésie
des membres inférieurs, troubles dans les fonct
nerveux divers qui peuvent atteindre la sensibilité (hyperesthésie,
anesthésie
, unilatérale, bilatérale, etc.), de la motilité (
ssionnable ; elle se plaint parfois de strangulation et présente de l’
anesthésie
pharyngée ; elle n'offre aucun autre trouble de s
ique produit ou modifie le plus aisément. A. — Sphère affective :
Anesthésie
complète ou partielle, hypoesthésie, hyperesthési
et sentiments: anomalies,aberrations, perversions, philies* dégoûts ;
anesthésie
et paresthésie esthétiques. B. — Sphère représe
; rêves. Hallucinations rétroactives ; hallucinations negutives ou
anesthésies
systématisées. C. — Sphère conative : Anéncrg
aires. démoniaques, etc. Nous pourrions montrer, avec .lanet, que l’
anesthésie
hystérique fournit de nouvelles données sur la co
tion provoquer un état de sommeil qui s’accompagne d’insensibilité, d'
anesthésie
absolue. On peut, en second lieu, provoquer un ét
hibitions tout à fait circonscrites; on peut, par exemple, produire l'
anesthésie
d’un seul doigt ou môme d’une seule phalange; on
être assez puissante pour neutraliser une sensation réelle, amener l’
anesthésie
. provoquer des sensations fausses à la peauou aux
naires, démoniaques, etc. Nous pourrions montrer, avec Janet, que l’
anesthésie
hystérique fournit de nouvelles données sur la co
sthésie hystérique fournit de nouvelles données sur la conscience : l’
anesthésie
étant due à un état d’inconscience du sujet. Le
s générale et spéciale, se traduisent par une sorte d’inhibition et d’
anesthésie
temporaires, un état d'indifférence idéoplastique
t, très excitable, et d’une loquacité excessive. Elle présente de l'
anesthésie
pharyngée. D’après les caractères spéciaux de c
, j'ai relaté ici même l’observation d’une monoplégie hystérique avec
anesthésie
, guérie par suggestion. En même temps, une aménor
ntre eux se font par simple contiguïté, j’ai émis l’hypothèse que les
anesthésies
sensorielles et sensitives, ainsi que les paralys
e fut démontré. C’est ainsi que, dès 1805, René Lépine expliquait les
anesthésies
, les paralysies hystériques et le somnambulisme,
r à démontrer que l’amiboïsme des neurones explique non seulement les
anesthésies
, les paralysies hystériques et le somnambulisme,
état de somnambulisme. Dans cet état, elle présente spontanément de l’
anesthésie
généralisée. Sous l’influence de suggestions appr
se d’hystérie. Mais aussi une absorp- tion d’aicool aggravera une
anesthésie
hystérique, ou fera éclater une attaque. Et cela
d’hystérie. .Mais aussi une fatigue accidentelle fera s’aggraver une
anesthésie
ou apparaître un tic, une chorée, une paralysie,
’éther ou le chlorure d’étyle peuvent déterminer chez ces malades des
anesthésies
durables. L’administration des anesthésiques gé
i, entrainant la fermeture de la feuille, quand la nuit tombe. I.
Anesthésies
hystériques Nous avons vu que la sensation avai
ose un obstacle infranchissable au courant. D’après cette donnée, l'
anesthésie
complète d’un centre quelconque s'expliquepar la
’a-nesthésie. Elle peut être totale et soudaine, de telle sorte que l’
anesthésie
apparaisse d’emblée. inversement la réextension
es rétractés peut être partielle et progressive, de telle sorte que l’
anesthésie
fasse place à l'hypoesthésie, et celle-ci à la se
rétraction porte sur les neurones de sensation tactile ou kinétique (
anesthésie
cutanée, musculaire, articulaire), des ondes nerv
dans sa main un objet qu’il ne sent pas. Il est à remarquer que les
anesthésies
hystériques ont une prédilection pour le côté gau
une prédilection pour le côté gauche du corps, et que, dans le cas d’
anesthésie
généralisée, le côté droit recouvre d’ordinaire s
acilement, et, rétractés, ont plus de peine à s’étendre. De même si l’
anesthésie
des parties profondes chez les hystériques est pl
l par des plans de neurones rétractés ('). Les hypoesthésies et les
anesthésies
hystériques pourraient aussi bien s’expliquer par
aso-motrices est, au témoignage de Bechterew, (2) consécutive à toute
anesthésie
d’origine cérébrale, quelle qu’en soit la cause.
a cause. Dans l’hystérie cette contracture a pour effet d’augmenter l'
anesthésie
(cercle vicieux), et de déterminer en outre des t
s réfrigérations locales qui peuvent produire, chez l’hystérique, des
anesthésies
durables, et, chez le sujet normal, des engourdis
ésies durables, et, chez le sujet normal, des engourdissements ou des
anesthésies
momentanées. De même les bruits violents ou monot
r attention (ad tendere). Par exemple, un traumatisme déterminera une
anesthésie
; mais des frictions, des massages, des mouvements
paraître la sensibilité normale chez un anesthésique. Inversement une
anesthésie
guérie par rélectri-sation médicale pourra repara
s, l’agrégat serait indépendant des autres neurones et qu'il y aurait
anesthésie
. L’anesthésie et l’hyperesthésie hystériques so
ait indépendant des autres neurones et qu'il y aurait anesthésie. L’
anesthésie
et l’hyperesthésie hystériques son t donc causées
aralysie. S’ils ne le sont pas tous, on a une parésie. Comme pour les
anesthésie
, il suffit d'une attention {ad tendere) des neuro
agération de Panesthésie, et, dans certains cas, l'extension de cette
anesthésie
aux organes des sens. On voit qu’il n’y a pas l
cède que les paralysies hystériques correspondent aux amnésies et aux
anesthésies
, les secousses aux décharges esthésiques et mnési
Paul Sollier : « Les accidents paroxystiques, dit-il, cessent quand l’
anesthésie
devient très profonde ou absolue (J) » ; 5° Enf
é trop loin en subordonnant toutes les manifestations hystériques à l’
anesthésie
. Car il se peut très bien que les neurones de mém
e, elle s’endort facilement et tombe en état de sommeii profond (avec
anesthésie
, catalepsie, automatisme, etc., Après les sugge
éflexe compliqué, 173. Acte suggéré, 173. Acte volontaire, 174.
Anesthésies
hystériques, 293. Amnésies hystériques, 323.
ue, 1898. -llutchinson. 31al de Pott, paraplégie spas- modique avec
anesthésie
des membres inférieurs, p. 305. Londe. Mal de P
inférieurs, p. 305. Londe. Mal de Pott, paraplégie spasmodique avec
anesthésie
des membres inférieurs, p. 356. - Roux et Pavio
ion complète de la moelle à son niveau, paraplégie spasmodique avec
anesthésie
, p. 58. Versiloff. Deux cas de tumeurs de la mo
à la mort. Observons que si l'hypoesthésie au tact n'était pas de l'
anesthésie
complète, l'analgésie était complète, la thermo
Van Gehuchten et nous arrivons au qua- trième et dernier degré, à l'
anesthésie
. Mais la paraplégie n'est pas flasque, elle est
cet auteur lui-même en rappelle un exemple, ce cas de Chipault où l'
anesthésie
avec thermo- anesthésie et analgésie des membre
pelle un exemple, ce cas de Chipault où l'anesthésie avec thermo-
anesthésie
et analgésie des membres inférieurs ne se com-
dissociation syringomyélique de la sensibilité (Van Ge- huchten) ou
anesthésie
complète (Ilabel). Voilà encore des formes qui
ne paraplégie complète avec incontinence d'urine et des matières.
Anesthésie
des membres inférieurs et des réservoirs. L'état
i se trouvent éparses dans la littérature médicale. R. C. XIX. De l'
anesthésie
hystérique ; par BERllEIM. (Revue de Médecine,
ésulterait que l'anes- thésie hystérique n'est ordinairement qu'une
anesthésie
auto- suggérée ; les faits observés montrent qu
er d'une façon précise. Il peut au début de l'affection exister une
anesthésie
réelle sans suggestion préalable, mais c'est la
ent et la modifie dans la suite. Des expériences ont montré que les
anesthésies
suggérées don- nent en réalité lieu à une perce
ne sorte d'illusion négative. L'auteur croit pouvoir conclure que l'
anesthésie
hystérique est purement psychique. M. HAMEL.
cal Record, 21 octobre 1899.) L'auteur nie les paralysies dues à l'
anesthésie
généralisée par les agents ordinaires (chlorofo
4° par ces plaques oscillantes d'hypéresthésie pour le froid (ou d'
anesthésie
pour le chaud) siégeant surtout à droite ; 5° par
; 5° par des plaques oscillantes d'hyperesthésie par le chaud (ou d'
anesthésie
par le froid) siégeant surtout à gauche ; 6° pa
TÉS SAVANTES. 89 segmentaire qu'en partie, puisque au bras gauche l'
anesthésie
s'arrête en coup de couteau d'amputation selon
nière série il la trouve quatre fois sur quatre. L'hémiplégie avec
anesthésie
semblerait correspondre à l'hémorrhagie de l'angl
t. L'exploration de la sensibilité révèle une bande segmentaire d'
anesthésie
au contact, au pincement, à la piqûre et à la tem
nergie. Les mouve- ments de l'avant-bras et du bras sont normaux.
Anesthésie
en gant remontant depuis l'extrémité des doigts
de minutes de la main et de l'avant-bras droits : disparition de l'
anesthésie
; amé- lioration notable de l'impotence motrice.
ent segmen- PARALYSIE HYSTÉRO-ALCOOLIQUE. 109 taire. C'était de l'
anesthésie
ou de l'analgésie en gant, en gantelet ou en ma
tion I, où la paralysie était limitée à la main, une large plaque d'
anesthésie
cutanée enveloppait la totalité de l'avant-bras
enbourg, Mendel, Rosen- baum. Amélioration de laparesthésieetde l'
anesthésie
: Bonjour, Guttman, Michel Clark. Amélioratio
i après une fatigue, monte et descend l'es- calier très bien. Pas d'
anesthésie
de la jambe, sent facilement la piqûre d'épingl
al inférieur, déviation de la langue et de la luette, monoplégie et
anesthésie
du bras. La plaie du cerveau est très large, à
immédiatement mes palpitations. Boire peu les augmente, beaucoup m'
anesthésie
. Et quand les palpitations augmentent, je rougi
resensibilisation de la tête il ne m'en- tend plus et présente de l'
anesthésie
du front et du cuir chevelu. 11 dort d'un somme
ont pendant son hallucination hypnagogique, je constate alors que l'
anesthésie
a disparu, étire ses membres, se frotte les yeu
de sentir de moins en moins son cerveau et je puis constater que l'
anesthésie
de la peau du front et du cuir chevelu va en s'
ion. Par contre il en est résulté des troubles de la - sensibilité (
anesthésie
, hyperalgésie, hypo-esthésie) très pénibles. De
t les Fakirs qu'il a étudiés dans l'Inde peuvent provoquer en eux l'
anesthésie
et l'analgésie par la seule autosuggestion. R
ononcée des extrémités. A l'examen on constate une analgésie et une
anesthésie
thermi- que très prononcée aux mains et aux pie
une anesthésie thermi- que très prononcée aux mains et aux pieds. L'
anesthésie
va en diminuant de la périphérie à la racine de
es par un liséré plus coloré. Les taches sont caractérisées par une
anesthésie
thermique et une analgésie qui va en diminuant
otuliens sont exagérés. Paralysie bila- térale de la sixième paire.
Anesthésie
du type de Brown-Séquard. Vomissements fréquent
s au nerf musculo-cutané, montrent que lorsqu'en pareils cas il y a
anesthésie
de l'éminence thénar et du pouce (obs. Windsche
a faiblesse des membres, au besoin de la pares- thésie (obs. VI). L'
anesthésie
est plus tardive, modérée, peu étendue : elle f
tains territoires nerveux, souvent symétrique (voir les figures). L'
anesthésie
existe par plaques : elle suit parfois le traje
sens musculaire, une vive hyperalgésie, de l'ataxie associée à une
anesthésie
accusée. '. Tous ces symptômes sont essentielle
quelques mots sur les signes objectifs de l'hyperes- thésie et de l'
anesthésie
dans les névroses traumatiques ; par 1V. de BEC
log. Centralbl., XIX, 1900. Obozrénié psichiatl'ii, V, 1900.) . L'
anesthésie
cutanée, dans les névroses traumatiques, comme
du temps de découvrir un signe objectif de l'hyperesthésie et de l'
anesthésie
, d'origine réflexe (augmenta- tion douloureuse
it que modérément atteinte : il y avait toujours un certain degré d'
anesthésie
tactile, mais sans perte bien nette de la sensati
n arise-' nicale) ou à la diphtérie. R. DE MLISG1(AVE-CLAY. XCII.
Anesthésie
. Paralysie périphérique : observation d'un cas
e ne se débat pas, ne vomit pas ; rien de fâcheux à noter pendant l'
anesthésie
; la dose de chloroforme employée a été d'envir
nce d'un élément traumatique est évidente. Il en conclut que dans l'
anesthésie
chirurgicale, il faut surveiller les bras et ne
te d'un massage qui avait déterminé des ecchymoses, on constate une
anesthésie
des membres que la malade avait ignorée jusque-
es sont les sui- vantes : sensibilité normale à la tète et au cou :
anesthésie
au toucher, à la température et à la douleur de
rique. Les membres infé- rieurs y compris les pieds, présentent une
anesthésie
complète à la chaleur, au froid, au contact, à
'ailleurs ce qu'enseignait Charcot. L'importance séméiologique de l'
anesthésie
u'est certainement pas égale à celle de la boul
endante de toute notion anatomique. La paralysie peut accompagner l'
anesthésie
, mais le plus souvent on n'observe que de la fa
souvent on n'observe que de la faiblesse musculaire : toutefois, l'
anesthésie
accompagne souvent la paralysie hystérique. DE
nel juvénile, attributs d'un ordre tout régressif bien entendu : 1°
Anesthésie
psychique; ° Amoralité ; 3° Impul- sivité ; 4°
vement relative au sens thermique et au sens de la douleur, comme l'
anesthésie
syringomyélique; 3° Une lésion unilatérale du b
elitzky, 151. AacsTUése bystérique,parBernbeim, 51. Voir névrose.
Anesthésie
, par Walter Brickner, 400. - et anal- gésie h
aphasiques seusonds, par Vi- gouroux, 319. APIIENDIC11r,. Voir
Anesthésie
. Arc voltuque. De la perméabilité du revêteme
rises hystériques.En octobre 1900 elle s'endort : l'immobilité et l'
anesthésie
sont complètes ; les muscles sont en résolution
isme qu'on retrouve dans les antécédents du malade. l'ar suite, l'
anesthésie
cornéenne est une indication pour le diagnostic
STES. 125 On peut admettre aussi que la constatation d'une grande
anesthésie
ou d'un rétrécissement énorme du champ visuel i
lique l'existence dune grave perturbation des centres psychiques. L'
anesthésie
hystérique, d'origine auto-suggesti- ve, est un
n effet, chez elle des diminutions de la sensibilité sous forme d'
anesthésie
; d'autre part des exagérations de la sensibilité
cas les moins graves), tout se réduit à de l'incoordination et de l'
anesthésie
du larynx lui-même. Les muscles glottiques, en
des secousses désordonnées, prenant des attitudes anormales, que l'
anesthésie
de la muqueuse et des parties profondes ne perm
xamen devra d'abord porter sur la sensibilité, avecre- cherche de l'
anesthésie
, de 1 hypoesthésie. de l'hypereslhésie, de l'hé
. Masson 120 bout. Saint-Germain. Prix : 15 fr. LlLU' ! (Paul). Des
anesthésies
psychiques dites nerveuses ou hystériques. Etud
xamine ces malades de très près, on constate qu'ils sont atteints d'
anesthésie
profonde des articulations de la hanche, du tro
partie de ses moyens. L'examen clinique, en révélant l'étendue des
anesthésies
et dss incoordinatious du tronc inaperçues, don
es membres inférieurs, et que leur instabilité vient seulement de l'
anesthésie
et de l'incordination des muscles du tronc. Et
térie : crises nerveuses anciennes ; actuellement, large pla- que d'
anesthésie
sur le flanc droit, hyperesthésie péri-orbitaire,
couper les passages que nous croyons devoir reproduire. '1. - Des
anesthésies
psychiques dites nerveuses ou hystériques; Par
s; Par le Dr Paul GLU ? (U. Doin, édit.) L'auteur considère que l'
anesthésie
dite hystérique n'est ja- mais spontanée, qu'el
mais spontanée, qu'elle est toujours d'origine auto-suggestive. L'
anesthésie
psychique se produirait de la façon suivante. Un
e sensation d'engourdissement, peul l'exagérer et la transformer en
anesthésie
complète ; ou bien en- core la cause organique
sthésie complète ; ou bien en- core la cause organique qui a créé l'
anesthésie
ou l'hypo-esthé- sie a pu disparaître, mais le
remier cas, c'est une anesthé- sie complétée ; dans le deuxième une
anesthésie
maintenue. Ce sont des anesthésies psychiques,
complétée ; dans le deuxième une anesthésie maintenue. Ce sont des
anesthésies
psychiques, des illusions négatives. Le sujet p
le premier chapitre, consacré à l'historique, le Ruz' Blum étudie l'
anesthésie
psychique surtout dans sa forme analgésique. Il
Dans le deuxième chapitre, il étudie les caractères cliniques de l'
anesthésie
suggérée et il donne le résultai d'un grand nom-
tai d'un grand nom- bre d'expériences. D'après lui, on peut créer l'
anesthésie
psychi- que sur 63 pour 100 de sujets non hysté
non hystériques. Après avoir net- bementdélini les caractères de l'
anesthésie
suggérée et expéii- mentale, il rapporte longue
entale, il rapporte longuement plusieurs observations clini- ques d'
anesthésies
nerveuses et iladmel que cette anesthésie ner-
servations clini- ques d'anesthésies nerveuses et iladmel que cette
anesthésie
ner- veuse est absolument identique comme forme
' Le but du troisième chapitre est de montrer que dans toutes les
anesthésies
dites hystériques, en apparence spontanées, on pe
de toutes les causes organi- ques qui peuventètre l'occasion d'une
anesthésie
psychique. L'a- iiestliésie spontanée n'exister
erait donc pas. Le mécanisme par lequel l'auto-suggestion réalise l'
anesthésie
fil il l'objet d'un quatrième chapitre. M. Ii1t
urs, en fait la critique et se rallie à la théorie de Bernheim. L'
anesthésie
psychique noterait qu'une illusion de l'esprit, l
p delà conscience ; l'imagination du sujet, actionnée par l'idée (L'
anesthésie
, efface le phénomène (inconscient. Le sujet s'e
es sous l'in- lluence de l'inhalation de chloroforme au cours d'une
anesthésie
opératoire. Et l'ivresse chloroformique avait r
etite hernie paraomhilicalc chez un alcoolique chronique chez qui l'
anesthésie
chloroformique réveilla le délire toxique. M. B
facial gauche, une légère trépidation de tout le corps. Il n'y a ni
anesthésies
ni hyper- esthésies. Pendant la journée du 8,
ples frotte ments, tandis que quinze jours auparavant les zones d'
anesthésie
étaient irrégulièrement distribuées, le froid p
Rien de pareil à gauche. Nous devons remarquer que ce jour- là, l'
anesthésie
cutanée était plus marquée à droite. Troubles s
e flasque du bras droit s'installa progressive- ment, accompagnée d'
anesthésie
absolue du membre. Jusqu'au mois de décembre 19
à topographie radiculaire. dans le membre supérieur, avec thermo-
anesthésie
croisée. Ils rapprochent cette observation de cel
hement de la cornée). Le nystagmus de S., nullement influencé par l'
anesthésie
cocaini- quede la cornée et, de la conjonctive,
très accusée des parois postérieure et latérale du pharynx nasal :
anesthésie
de la moitiégauchc des pa- rois antérieure et p
'après K., il n'existerait que trois cas de paralysie du crural par
anesthésie
, l'lia paralysie de ce nerf combinée avec celle
"2" Le phénomène du pied, apparaît de quatre à sept minutes après l'
anesthésie
cutanée et demande une anesthésie générale très
de quatre à sept minutes après l'anesthésie cutanée et demande une
anesthésie
générale très complète. Dans une demi-anesthési
acidité complète. lis Si la trépidation épileploide apparaît sous l'
anesthésie
et va s'exagérant de plus en plus, le phénomène
ce qu'il y a à sur- veiller la trépidation épileptoide au cours des
anesthésies
. G. Carrier. XXXVII. Considérations à propos
A l'examen peu de stigmates hystériques : insensibilité cornéenne,
anesthésie
pharyngée, réflexes rotuliens exagérés. File pr
a pathogénie de 1' d'origine cérébrale, par Caracciolo, p. 1 o.
Anesthésies
. Des psychiques dites nerveuses ou hystériques
'astasie-abasie, sont, en par- tie, des cas d'incoordination ou d'
anesthésie
du tronc mé- connus, par Faure, p. 198. Voir
DES MATIERES. 505 TuÉi'i dat ion. Epileptoide du pied pendant l'
anesthésie
, par Lannois et Clément, p. 460. Troubles. Co
m-plement surajoutées alors aux symptômes habituels : hyper-esthésie,
anesthésie
, hyperkinésie, akinésie, incoordination motrice,
len (1857) et celles plus récentes de Buttner (1862), aux effets de l'
anesthésie
qui expose les parties frappées d'insensibi-lité
ais toujours il est possible de mettre ces lésions sur le compte de l'
anesthésie
et de la paralysie motrice, par suite des-quelles
aurait ici, comme dans les faits de Snellen et de Buttner, invoquer l'
anesthésie
pour expliquer l'apparition des troubles trophiqu
rf, développé spontanément, peuvent, elles aussi, sans être suivies d'
anesthésie
, provoquer dans l'œil des désordres trophiques tr
duisent, au début, des symptômes d'hyperesthé-sie et, plus tard, de l'
anesthésie
. A l'exception du zona, que je ne trouve nulle
On a attribué ces accidents divers et ces mutilations aux effets de l'
anesthésie
. Cependant, elle ne doit certainement pas être
'en rapporte aux cas cités par le docteur Thomson, et dans lesquels l'
anesthésie
faisait absolument défaut (2). Nous n'avons pu
rs auteurs ont voulu — bien à torl, vous le voyez, — l'aire jouer à l'
anesthésie
un rôle important dans la pathogénie du decubitus
n précoce des eschares. En pareil cas, ainsi que nous l'avons vu, l'
anesthésie
, des par-lies paralysées du mouvement n'est pas u
bres con-tractures, le tronc et la face du môme côté. Non seulement l'
anesthésie
intéresse le tégument externe, mais elle s'étend
ibilité ovarienne développée du côté gauche, douleur à. la pression ;
anesthésie
en divers points de la peau: anesthésie plantaire
che, douleur à. la pression ; anesthésie en divers points de la peau:
anesthésie
plantaire complète; analgésie profonde des membre
ie poussée au plus haut point; et pour que, sur ces femmes frappées d'
anesthésie
, une blessure par un instrument piquant, tel qu'u
nt. Quand l'hyperesthésie ovarienne est double, il est de règle que l'
anesthésie
se montre généralisée et occupe par conséquent la
elà sensibilité peuvent se présenter avec les caractères suivants : L'
anesthésie
affecte toute une moitié du corps et s'arrête jus
trois mois auparavant, avait été frappé d'apo-plexie et chez lequel l'
anesthésie
existait encore, quoique la motilifé fût revenue.
nérale très promptement, l'auteur rapporte quatre cas dans lesquels l'
anesthésie
a persisté au contraire à un degré très accusé.
inférieur correspondant présentent une légère parésie. Il existe une
anesthésie
très intense du côté gauche (membres, tronc, etc.
2 ans. Ier nov. 1852. Attaque apoplectique, hémiplé-gie à droite avec
anesthésie
intense de la moitié correspondante du corps. Au
it libres adroite. Toute la moitié droite du corps est le siège d'une
anesthésie
très prononcée (cuir chevelu, oreille, face et tr
e anesthésie très prononcée (cuir chevelu, oreille, face et tronc). L'
anesthésie
est tout aussi accusée aux paupières, à la narine
avait depuis plusieurs années, une hémiplégie du côté droit, avec une
anesthésie
intense dans lamême partie du corps. En outre, an
t, avec une anesthésie intense dans lamême partie du corps. En outre,
anesthésie
sensorielle .'vue, odorat, goût) du même côté et
. formément à notre description, se présente uneovarie double, avec
anesthésie
double, etc. Les attaques, qui s'annoncent par
eau (1). 2° Notez ensuite l'existence d'une analgésie et même d'une
anesthésie
pour ainsi dire absolue, étendue à toute la moiti
e exactement à la ligne médiane. Cette sorte de généralisation de l'
anesthésie
à tout un côté du corps, tête, tronc et membres,
ultant de la lésion d'une moitié unilatérale de la moelle épinière, l'
anesthésie
, ainsi que l'a montré M. Brown-Séquard, occuperai
e début, à la suite d'une vive con-trariété. Il n'y avait pas alors d'
anesthésie
; la malade, tout en avouant avoir éprouvé des tr
ux membres du même côté du corps, lesquels présen-taient en outre une
anesthésie
considérable. Chez ces femmes, la guérison était
si qu'une exploration faite alors que la malade avait été soumise à l'
anesthésie
du chloroforme nous a permis de le vérifier. Seul
quelques-uns des accidents de l'hystérie non convulsive (contracture,
anesthésie
,etc.) Nous possédons, par devers nous, un cas de
droite du corps, la tête, cou, tronc, membres, — est occupée par une
anesthésie
complète, absolue. Vous voyez, en effet, comment
heures, 24 heures au plus, après que les plaques ont été enlevées, l'
anesthésie
s'est reproduite telle qu'elle était avant l'appl
, on ne constate chez M. R... aucun trouble de la sensibilité : pas d'
anesthésie
. pas d'hyperesthésie, seulement de tempsà autre,
t sur le livre du gris plus foncé sur du gris moins foncé...Lorsque l'
anesthésie
est portée au dernier degré, elle donne lieu à l'
ie sur le tronc et les membres, tandis que sur la face du même côté l'
anesthésie
est très accentuée, com-plète. En même temps, l'a
auche d'elle, sur le parquet ou sur les draps de son lit. 2° Wit. —
Anesthésie
totale, mais prédominant à gauche ; achromatopsie
; la ma- Gharcot. Œuvres complètes, t. i. 28 Jade est atteinte d'
anesthésie
totale, d'ovaric double ; mais ces phénomènes pré
t, comme le supérieur, niais à un moindre degré cependant, bien que l'
anesthésie
y soit toute aussi complète. Cette dernière circo
, que l'hyperes-thésie et les douleurs font place, tôt ou lard, à une
anesthésie
plus ou moins absolue; cependant, la contracture
nte-cinq ans, atteinte depuis longues années d'hysléro-épilepsie avec
anesthésie
gé-néralisée, est souvent prise à la suite de ses
sclérose des cordons posté-rieurs, 61. Analgésie, 303, 308, 355.
Anesthésie
(Rôle de 1') dans le dé-cubitus de cause spinale,
ablir notre diagnostic. En effet, nous observons chez L'inculpé une
anesthésie
presque généralisée, une douleur à l'épigastre
é générale, il me fut impossible de retrouver une zone quelconque d'
anesthésie
, ce qui était singulièrement suspect. C'est alo
atée de visu, par l'auteur, en se basant presque uniquement sur une
anesthésie
cutanée superficielle des plus faciles à allégu
es plus faciles à alléguer, mais dont les étranges localisa- tions (
anesthésie
de la nuque jusqu'à la septième vertèbre cervic
ulier dans l'hypothèse d'une hystérie même latente, alors que cette
anesthésie
était autrefois si marquée et le seul signe obj
ire. (Société de biologie, °i décembre 1898.) SENS MUSCULAIRE. 35
anesthésie
capsulaire du type classique Turk-Charcot et pens
bli que le défaut du sens musculaire était le symptôme dominant des
anesthésies
des hémi- plégiques vulgaires et que bien qu'il
lgaires et que bien qu'il n'y ait pas de rapport cons- tant entre l'
anesthésie
musculaire et l'anesthésie tactile, elles allai
'y ait pas de rapport cons- tant entre l'anesthésie musculaire et l'
anesthésie
tactile, elles allaient rarement l'une sans l'a
lt-Dumay 3 confirme la fréquence des troubles de la 1 Tripier. De l'
anesthésie
dans les lésions cérébrales. (Revue de méde- ci
conclusions : « La perte du sens mus- culaire est indépendante de l'
anesthésie
au tact, à la douleur et aux températures et vi
oir établir dans les types cliniques les divisions suivantes : 1°
Anesthésie
tactile et perte du sens musculaire; 2° Anesthé
suivantes : 1° Anesthésie tactile et perte du sens musculaire; 2°
Anesthésie
tactile sans perte du sens musculaire; 3° Perte
ile sans perte du sens musculaire; 3° Perte du sens musculaire sans
anesthésie
tactile. Il ajoute du reste qu'il ne lui est pa
avons pu établir que l'akinesthésie était le caractère dominant des
anesthésies
corticales. A vrai dire elle est rarement compl
zone motrice proprement dite, Abba se croit en ' Henri Verger. Les
anesthésies
consécutives aux lésions vaso-7no- trices. (Thè
et nous avons insisté sur ce fait dans notre thèse inaugurale, les
anesthésies
corticales sont ' Chalton Bastian. The muscular
t quantitatives. Nous avons dit plus haut d'autre part que dans les
anesthésies
des hémiplégiques vulgaires on retrouvait souve
e. Rien dans le sang. IL Troubles Mft'MMa ? a) Par contact direct :
anesthésie
locale, névrite du cubital, parésieavecdégénére
el Bombarda, « la constatation d'un trouble fonctionnel du cerveau,
anesthésie
, paralysie, convulsions, qui, de par sa persist
reste négatif. Le 12 mars, résection du fémoro-cutané. A sa suite,
anesthésie
, au lieu d'hyopesthésie. D'abord, les crises co
ui tiraille la peau à la partie anté- rieure de la cuisse. Plaque d'
anesthésie
post-opératoire stationnaire. Au point de vue p
les segments immédiatement sus-jacents au territoire de la complète
anesthésie
. C'est ce que l'auteur a ob- servé dans la plup
pnotisme peut rendre de réels services à la chirurgie comme agent d'
anesthésie
, il ne faudrait pas voir là une méthode suscept
jours, guérir l'hystérie, par l'éthérisation poussée même jusqu'à l'
anesthésie
opératoire : on fabrique ainsi des éthéromanes.
canisme est le même. Le réflexe de la déglutition est empêché par l'
anesthésie
locale du larynx. La destruction des nerfs de l
i n'a jamais eu de grandes attaques, mais qui présente de l'hémi-
anesthésie
droite totale et complète avec clou, rétrécisseme
ventre est chaud, dit la malade. Puis, elle ne sent plus rien et l'
anesthésie
a disparu. 10. Flanc droit, région hépatique. L
points cérébraux sont accusés très vivement par la malade lorsque l'
anesthésie
est en voie de régres- sion. En plein travail,
gravité du cas. Sans nous arrêter aux modifications du caractère, l'
anesthésie
viscérale avait amené un grand amaigrissement d
ours constaté la corrélation qui existait entre la disparition de l'
anesthésie
des membres et des viscères et l'apparition de
minés, toujours iden- tiques à eux-mêmes. Ces zones, voilées avec l'
anesthésie
totale, devenaient douloureuses dans les partie
droit du corps, sur la face, les membres et le tronc, il existe une
anesthésie
totale, complète pour tous les modes de la sensib
Dissociation de la sensibilité aux membres supérieurs et au tronc.
Anesthésie
complète à la douleur et à la température dans
its tirés, yeux hagards, toujours en mouvement. Voix enrouée. Pas d'
anesthésie
ni de stigmates hystériques. Tremblement nerveu
art des altéra- tions. Pas d'examen histologique. G. D. VIII. Les
anesthésies
, paralysies et amyotrophies en tranches et la t
a région lombaire et ayant conservé une douleur fémoro-cutanée avec
anesthésie
. Il n'a pas conseillé le traitement chirurgical
orps, des mains seulement et de la langue. Pas d'hyperesthésie ou d'
anesthésie
. Les chocs sur la paroi costale ne réveillent a
souffert, la vue périphérique devient plus ou moins limitée. Il y a
anesthésie
de la sensibilité douloureuse et tactile de la
avions affaire à une lésion des voies conductrices nous aurions une
anesthésie
d'un autre type et autrement disposée. Si la lé
s correspondaient presque à celles- là. Dans un cas d'hystérie sans
anesthésies
, on a constaté une anesthésie vibratoire presqu
s- là. Dans un cas d'hystérie sans anesthésies, on a constaté une
anesthésie
vibratoire presque complète dans les os du bassin
t les parties centrales des membres. Dans les cas d'hystérie avec
anesthésie
cutanée, des troubles vibratoires ont été trouv
eux hystériques qui présentaient des algies diverses et des zones d'
anesthésie
. Il ne faut voir là, bien entendu, qu'une actio
- daires, supérieures. L'interruption des premières constitue les
anesthésies
corticales sensitivo-sensorielles ; tandis que l'
n- quante et un ans frappée successivement d'apoplexie avec hémi-
anesthésie
gauche, d'hémianopsie complète du côté gauche ave
ion des réflexes crémasténen et abdominal. Il existait en outre une
anesthésie
des deux membres inférieurs jusqu'au niveau d'u
motilité. Souvent de fortes douleurs dans le dos et les jambes. Les
anesthésies
ne surviennent qu'à une période avancée de la m
érose latérale et l'hystérie, particulièrement en ce qui concerne l'
anesthésie
géné- rale à la douleur, au chaud et au froid.
tants qu'il n'a pas signalés ; ce sont la brusquerie du début, et l'
anesthésie
de la conjonctive et de la cornée. L'affection
on- clure que lorsque nous connaîtrons le mode de production de l'
anesthésie
hystérique de certaines zones cutanées et celui d
ges, le diagnostic avait hésité entre lèpre et maladie de Morvan. L'
anesthésie
s'arrêtait nettement en bra- celet et en jarret
igné d'en faire un lépreux à cause de l'intégrité de la moelle avec
anesthésie
pro- fonde et en raison du séjour du sujet aux
Amnésie. Antéro -rétrograde, par JofTrov, 4\2. AoroTnormES. Les
anesthésies
, pa- ralysies et - en tranches et la théorie
tranches et la théorie métnméryue de Brissaud, par Crocq, 330.
Anesthésies
. Les -, paralysies et amyotrophlee en tranches
e. Etude clinique sur la - aritante, par Collines et Moskens, 75.
Anesthésies
, - et amyotro- phie en tranches et théorie mé-
iable se trouvent d'une part dan? les paralysies psychiques, dans les
anesthésies
et les amnésies provoquées, et, d'autre part,/pag
et l'on peut obtenir de la même façon le transfert de la sensibilité,
anesthésie
, hypéreslhésie ou de tout autre phénomène nerveux
s, on peut, même à l'état de veille, provoquer une contracture ou une
anesthésie
générale ou partielle, comme toute autre modifica
st le membre le plus paralysé qui est le plus anesthésic. En outre, l'
anesthésie
d'origine cérébrale affecte une distribution qui
du champ visuel n'existe pas, et, si les autres sens participent à l'
anesthésie
, c'est avec des caractères de libéralité. La se
ensibilité. La distribution de tout à l'heure ne convient pas ici : l'
anesthésie
hystérique est souvent marquée également au nivea
as, ou lorsqu'on dirige ailleurs son attention, il peut arriver que l'
anesthésie
cesse ou qu'elle soit fortement diminuée. En outr
u'il prêtait attention ou non aux bruits, M. Lépine se demanda si ces
anesthésies
sensorielles, si variables sous l'influence de l'
e. Comment s'évanouit la conscience, se demande-t-il ? L'étude de l'
anesthésie
chirurgicale peut aider à y répondre. Elle offre
r exposer en une étude magistrale ce que devient la conscience dans l'
anesthésie
chirurgicale, M. Philippe fait, comme il convient
la sensibilité ; 3° perte de conscience ; 4° résolution musculaire ou
anesthésie
de la motilité. Insistons sur quelques points imp
tact grossier et rudimentaire qu'est la sensibilité au contact. Cette
anesthésie
va des extrémités au tronc ; ensuite elle atteint
le réflexe pupillalre subsiste le dernier. A un degré plus avancé d'
anesthésie
, c'est la sensibilité générale qui disparaît; alo
nihilo. L'opéré réiigit à certaines impressions. Parfois, dans les
anesthésies
générales, les associations fonctionnent con-me d
ie pour soutenir que la conscience étaittota» lement abolie pendant l'
anesthésie
chirurgicale ; mais on n'a pas le droit de mesure
ment renaître la mémoire des états de conscience survenus pendant une
anesthésie
chirurgicale antérieure. II serait donc faux de p
p;amp;ie du tympan et du conduit, en même tempsjqu'un certain degré d'
anesthésie
auditive : et l'on sait que la coïncidence de ces
rait quasi inutile? Les dompteurs du feu. Voici un étrange fait d'
anesthésie
,créé par des méthodes suggestives orientales, que
me ambiant suffit poui* créer en une certaine mesure une tendance à l'
anesthésie
pour les assistants crédules. Et je ferai remarqu
le moment, de donner aucune réponse à ces questions. Suggestion et
anesthésie
dans les extractions dentaires (l) Par le D' Al
r le D' Albert Bloch. Dans l'appréciation des résultats que donne l'
anesthésie
pour l'extraction des dents, il nous semble que l
ner dans un sens favorable pour que, après l'opération pratiquée avec
anesthésie
locale ou générale, il ait conscience de n'avoir
mieux trempées n'échappent pas./page> page n="177"> Quoique
anesthésie
, le patient « vit » le temps de l'extraction avec
rait pas possible d'expliquer les divergences d'opinion au sujet de l'
anesthésie
locale, par le plus ou moins d'aptitude de l'opér
nt dit, un opérateur expérimenté n'obtiendrait-il pas le même degré d'
anesthésie
et un résultat satisfaisant avec une quelconque d
aisant avec une quelconque des solutions actuellement en usage pour l'
anesthésie
locale; et la même solution titrée, de cocaïne, p
cendant qu'il sait prendre sur son patient? Dans l'application de l'
anesthésie
générale, la suggestion n'est pas moins nécessair
monie effrayante. On ne saurait donc négliger dans la pratique de l'
anesthésie
un élément aussi important que la suggestion, et
s dernières douleurs seulement (celles qu'on appelle concassantes), l'
anesthésie
n'étant pas complète, la patiente se plaint un pe
ovoquer un sommeil nerveux, un somnambulisme artificiel, accompagné d'
anesthésie
, d'hyperesthésie, de catalepsie et de quelques au
eune femme, avait pu lui ouvrir un abcès sans qu'elle s'en aperçut. L'
anesthésie
avait été parfaite. Loui3 Figuier, qui publiait
sont excessivement faibles ·'! pour 6.000}, alors que l'on arrive à l'
anesthésie
opératoire. Dans ce procédé,il est inutile et i
chez ces malades, il pousse systématiquement l'éthérisHlion jusqu'à l'
anesthésie
opératoire. M. Bkiullon. — Agir ainsi, c'est to
gmates de cette affection, (hémi-anesthésie sensitive et sensorielle,
anesthésie
pharyngée, etc.), entendit parler de quelques suc
déboule à la gorge; elle avait de3 crises de larmes et des plaques d'
anesthésie
. Cette jeune fille a une pleine confiance en mo
résente, il est vrai, aucun des stigmates habituels de l'hystérie, ni
anesthésie
, ni hypéresthésie, ni rétrécissement du champ vis
rsonnalité sous l'influence du morphinisme, par Bérillon, p. 308.
Anesthésie
chirurgicale (La conscience dans) par Jean Philip
thésie chirurgicale (La conscience dans) par Jean Philippe, p. 112.
Anesthésie
dans les extractions dentaires (Suggestion et), p
es extractions dentaires (Suggestion et), par Albert Bloch, p. 173.
Anesthésie
suggestive, par Bourdon (de Méru), p. 176. Anni
des rêves pendantle sommeil, par Vaschide, p. 58. Conscience dans l'
anesthésie
chirurgicale, par Jean Philippe, p. 112. Cours
oque de la puberté, par J. Voisin, p. 339. Dentaires (Suggestion et
anesthésie
dans les extractions), par Albert Bloch, p. 173.
ibution à la pathologie de la), par Ch. Féré, p. 155. Suggestion et
anesthésie
dans les extractions dentaires, par Albert Bloch,
nésium, qu'il tomba dans un sommeil profond avec amnésie au réveil et
anesthésie
à la piqûre. Un jour, je l'avais laissé endormi
faire une juste idée de la paresthésie sexuelle. Les symptômes de l'
anesthésie
sexuelle et de l'uranisme de la femme n'ont été t
é de la guérison. La deuxième partie est vouée à l'impotence et à l'
anesthésie
sexuelles. Après* l'étude sommaire de la patholog
t rétréci. Au point de vue de la sensibilité, on trouve des plaques d
anesthésie
sur le membre supérieur droit, au milieu de l'ava
Le réflexe rotulien est aboli. On trouve une zone assez étendue d'
anesthésie
cutanée sur le devant de la poitrine et un pou à
sur ce point A la face antérieure do la cuisse droite, une plaque d'
anesthésie
de forme triangulaire, en avant du grand trochant
en avant du grand trochanter. Sur le même membre, uno autre plaque d'
anesthésie
en forme de triangle, dont le sommet serait à la
tile et sensorielle chez les aoasthétiques, la sur-dité, l'anosmie, l'
anesthésie
. sont aussi des phénomènes purement psychiques. L
a sensibilité sensorielle chez un grand nombre des malades atteints d
anesthésie
partielle ou généralisée des différents sens, j'a
ades, que deux symptômes qu'on pourrait nommer anormaux. Notamment, l'
anesthésie
d'abord, puis la possibilité de faire réagir le d
Dans !e but de guérir, on ne peut se passer de ces deux symptômes. L'
anesthésie
, quoique faisant souvent défaut, est nécessaire e
ut profiter du sommeil pour faire une opération chirurgicale. Or. l'
anesthésie
se présente aussi dans le sommeil normal. Dans le
retrouvé par la suggestion chez des dormeurs profonds avec amnésie et
anesthésie
, se troublait plus vite chez ceux-ci que chez d'a
non sous l'influence de ses piqûres, il passe par des alternatives d'
anesthésie
profonde ou d'hyperesthésie auxquelles participe
nt l'état psychique du morphinomane, c'est l'engourdissement, c'est l'
anesthésie
de la volante. Si la plupart de ses facultés inte
it consécutivement de vives douleurs à la nuque et à l'épaule droite.
Anesthésie
tactile de la main droite, avant-bras droit collé
lontairement sans doute, — M. Bernheim. dans sa communication sur les
anesthésies
hystériques, oubliait tous les travaux qui avaien
t laissé de côté ce point de détail pour parler d'expériences sur les
anesthésies
tactiles cl sur les insensibilités hystériques en
ents les plus graves. Si on ouvre la bouche de force, on constate une
anesthésie
totale de toute la région bucco-pharyngienne avec
l'hypocondre droit celle raideur que la vue avait fait pressentir. L'
anesthésie
complète sous chloroforme est pratiquée et l'on a
organique du cœur défendant l'emploi du chlorolorme pour provoquer l'
anesthésie
. — Opération radicale et sans douleurs notables,
meil, alors que cependant ses membres se raidissent ou sont frappés d'
anesthésie
par simple injonction verbale. Convenons, toutefo
d'autres procédés pour obtenir l'analgésie; on discuta une méthode d'
anesthésie
réeemmeunt introduite en chirurgie par un docteur
s craignant autant la cocaïne que le chloroforme. Enfin, on discuta l'
anesthésie
locale par réfrigération et on convint que celle-
nsthésie gauche sensitivo-sensorielle. J'examine les autres modes d
anesthésie
cher, notre garçon. Voyons s'ils relèvent du même
notre garçon. Voyons s'ils relèvent du même mécanisme psychique. L'
anesthésie
sensitive d'abord. Elle paraît complète; anesthés
me psychique. L'anesthésie sensitive d'abord. Elle paraît complète;
anesthésie
tactile, anesthésie, thermo-anesthésie. absence d
esthésie sensitive d'abord. Elle paraît complète; anesthésie tactile,
anesthésie
, thermo-anesthésie. absence du sens musculaire. J
. absence du sens musculaire. Je pique, je pince, j'électrise le coté
anesthésie
. sans aucune réaction Et cependant le jeune homme
la nuque; il ne manifeste aucune sensibilité. Il semble bien que l'
anesthésie
soit réelle. D'ailleurs la main et l'avant-bras g
e â partir d'un certain moment). L'expérience suivante montre que l'
anesthésie
musculaire de notre malade est purement psychique
s en flagrant délit de naïve auto-suggestion. De môme encore pour l'
anesthésie
olfactive. Un papier trempé dans du vinaigre intr
u'il devrait sentir avec cette dernière qui n'est pas affectée dans l'
anesthésie
sensorielle. Cet ensemble d'expériences montre
cipaux stigmates hystériques : région ovarienne gauche très sensible,
anesthésie
cutanée complète à gauche, très obtuse à droite,
sensible, anesthésie cutanée complète à gauche, très obtuse à droite,
anesthésie
pharyngienne, rétrécissement du champ visuel, sur
calisée ça et là. Hyperesthésie des joues et du pourtour des orbites.
Anesthésie
des conjonctives. Points hyperesthésiques à la pr
hmé dans les membres gauches, d'une durée de quelques secondes. Pas d'
anesthésie
cutanée. Douleur ovarienne bi-latérale à la press
et instrument. Étude de la sensibilité en dehors des accès. — Pas d'
anesthésie
de la peau. Douleur à la pression des régions ova
estive;. Enfin la contracture suggestive, l'obéissance automatique, l'
anesthésie
, les hallucinations provoquées marquent le dévelo
les sont souvent symétriques et ne sont nullement en rapport avec les
anesthésies
cutanées. Leur étendue est ordinairement restrein
e hystérique, la difficulté sera encore plus grande: comme les autres
anesthésies
sensitivo-sensonilles des hystériques, elle est p
et l'état hypno-tiqne (l'). par Pierre Janet. 157. Amblyopie et des
anesthésies
hystériques (de la nature psychique de l'), par B
otique, par Dumontpallier. 345. Nature psychique de l'amblyopie des
anesthésies
hystériques (de la). par Bernheim. 225. Neurast
et faciles à constater nous empêche d'assimiler les stigmates, l'
anesthésie
, par exemple, aux symptômes accidentels. 1° Il y
onne-t-il les troubles bizarres des mouvements qu'amène avec elle l'
anesthésie
musculaire ? Avait-il la notion de ce syndrome
ains cas, des caractères partiellement analogues aux stigmates, des
anesthésies
ou des troubles du mouvement pourront être déte
généralesur les parties supérieures du cerveau ? Peut-on dire que l'
anesthésie
tactile, le rétrécissement du champ visuel se r
veux qui servent à cette sensation tactile ou visuelle; ou bien ces
anesthésies
ne sont-elles qu'une manifes- tation particuliè
ous croyons que l'on peut aller plus loin et que les stig- mates, l'
anesthésie
elle-mème, peuvent être considérés comme une dé
re considérés comme une dépendance de ce caractère psychologique. L'
anesthésie
se comporte comme une distraction, elle est var
tion elle-même des insensibi- lités qui ont tous les caractères des
anesthésies
'hystéri- ques. Quand la répartition de l'anest
aractères des anesthésies 'hystéri- ques. Quand la répartition de l'
anesthésie
se modifie, ce qui est très fréquent, on consta
urs fois sans l'avoir prévu. Voulez-vous élargir le champ visuel, l'
anesthésie
tactile augmente. Ces mo- difications arrivent
ies équivalentes. Ces alternances n'existent pas seulement pour les
anesthésies
, mais pour bien d'autres phénomènes, et c'est p
ce qu'elles ont semblé regagner d'un autre. La localisation de l'
anesthésie
peut dépendre d'une suggestion ou d'une idée fixe
nesthésie peut dépendre d'une suggestion ou d'une idée fixe, mais l'
anesthésie
en elle-même et les stigmates en général sont d
aly- sies, les contractures, les chorées, les hyperesthésies, les
anesthésies
sont des symptômes moraux. Mais il existe d'autre
sentent en eux-mêmes ce qu'il y a. d'essentiel dans l'hystérie, des
anesthésies
, des amnésies, des idées subconscientes, etc. Il
nsi dire, un type pur de cette affection et qui ne présente pas des
anesthésies
plus ou moins nettes, des amnésies au moins tra
ais il se révélerait aussi par les idées fixes, les impulsions, les
anesthésies
dues à la distraction, l'écriture automatique e
'intention d'assimiler entièrement t une hystérique simple avec ses
anesthésies
, ses attaques et ses contractures à un psychast
lément sans que le sujet ait connaissance de leur activité. Aussi l'
anesthésie
est nette, l'amnésie est absolue, l'attaque et
es phé- nomènes à leur développement automatique. Il n'y a plus d'
anesthésie
et d'amnésie bien nettes, elles sont toujours in-
lement dans les paralysies, mais aussi dans les contractures et les
anesthésies
. On sait jusqu'à quel degré de distorsion peuve
que dans la sympto- matologie organique. Rien de plus commun que l'
anesthésie
ou l'analgésie hystérique. Qu'on se rappelle pa
36 CLINIQUE NERVEUSE. Si. l'on sectionne un nerf périphérique, l'
anesthésie
sera moindre en étendue et intensité qu'on ne s
CLINIQUE NERVEUSE. tériques en donnent la preuve aussi bien que les
anesthésies
et les symptômes psychiques. IV. - Je tâchera
éral, qui est en jeu dans les paralysies hystériques comme dans les
anesthésies
, etc. Cette conception n'est pas fondée sur une
taques d'épilepsie partielle, puis hémiplégie gauche, accompagnée d'
anesthésie
complète du membre supérieur du même côté. L'au
hérédité bien nette et atteinte d'atrophie musculaire compliquée d'
anesthésie
complète des membres inférieurs. L'auteur, aprè
Librairie J.-B. Baillière et fils. Mossi. Valeur séméiologique de l'
anesthésie
de l'arrière-gorge et de l'épiglotte, comme sti
droite). 0 10 : 2 PATHOLOGIE NERVEUSE. modes; il n'existe pas d'
anesthésies
, ni d'hyperesthésies. Pas de troubles de la mic
déjà fait du patient un infirme, il n'y avait encore aucune trace d'
anesthésie
; et si, à ce moment, je me suis fondé sur l'abs
qu'on l'avait entrevu tout d'abord; je veux parler de cette zone d'
anesthésie
absolue qui existait àla partie droite de l'abd
analogue à celle que l'on observe à la région cervicale. Quant. à l'
anesthésie
de l'abdomen, elle trouve une explication très
cutané, 1 et, .pari communication de - quelques fibres du. médian,,
anesthésie
du pouce et de l'indicateur. 1 Quelques, cas de
du tbnu ? ata : xie, affaiblisseme'nt'des . membres inférieurs avec
anesthésie
partiel[6. le P : 'K ''1'; ' b,,1 ,l' ito^1 Il.
topsie sous l'influence des applications métalliques ; transfert;
anesthésie
métallique, etc. Ces découvertes, à leur J.-M.
que, naturelle- ment, sa méthode n'est pas utilisable quand il y a
anesthésie
com- plète. M. OPPENIIEIhi. Contribution ci l
rçoit plus rien. Surdité à droite. Abolition du réflexe du genou et
anesthésie
droite. La malade rentre chez elle où elle meur
le des malades et quelques complications physiques, par exemple : l'
anesthésie
et la pares- thésie qui donnent lieu à la forma
t fonctionnel plus ou moins irrégulier. Cette fatigue caractérise l'
anesthésie
rétinienne de de Groefe (1865), désignée depuis
ts, je cons- tatai, en outre des phénomènes décrits plus haut, de l'
anesthésie
du pharynx et un rétrécissement concentrique as
mais en revanche il existait une paralysie hystéro-traumatique avec
anesthésie
du membre jusqu'au coude. J'endors en quelques
it l'hystérie, rétrécissement du champ visuel, quoique peu notable,
anesthésie
pharyngienne et enfin l'histoire du fils venant
ôt à l'hystérie. L'examen direct me confirma dans mon diagnostic.
Anesthésie
pharyngienne, diminution de la sensibilité à gauc
isuel, une diminution de la sensibilité du côté gauche, et un peu d'
anesthésie
pharyngienne. Quelle conduite devais-je tenirdans
nt léger du champ visuel. Plaques hystérogènes sous le sein droit. -
Anesthésie
pharyngienne. Hystérie. Je veux endormir la mal
à un jeûne prolongé. Mais les stig- mates hystériques existaient :
anesthésie
du pharynx, sensibilité diminuée à droite, ovar
mmet delà tête, rétrécissement concentrique doublé du champ visuel,
anesthésie
pharyngienne, existaient. C'était donc une hyst
testaient un rétrécissement notable et double du champ visuel, l'
anesthésie
du pharnyx et certaines sensations de suffocation
^Oppenheim ? , c Le,,mode,de,répar,titio, et^ le^caractère^ de de ];
anesthésie
permettent' 'de supposer'' Inexistence Ilécla syr
sur 1'oeil et de ses rapports avec le grand sympathique. La cocaïne
anesthésie
l'oeil, par son contact direct sur les extrémit
aide du regard et de quelques passes descendantes. La catalepsie et l'
anesthésie
me semblèrent parfaites déjà à ce moment même.
le, d'accord avec ses parents, accepta volontiers d'être opérée par l'
anesthésie
qu'on obtiendrait par les procédés hypnotiques.
tions à plusieurs jours d'intervalle qui réussirent surtout quant à l'
anesthésie
: en effet, de longues épingles désinfectées fure
ance du moment de l'opération. Aussi devint-il impossible d'obtenir l'
anesthésie
complète. Ce ne fut qu'après le départ des confrè
s que j'avais invités pour m'assister qu'elle reprit son assurance. L'
anesthésie
alors pu être produite et, grâce à une forte sugg
2 avril, elle arriva à l'heure fixée pendant le sommeil hypnotique. L'
anesthésie
fut complète dès le début. La malade semblait adm
ite rassurés quand ils virent la malade absolument insensible, dans l'
anesthésie
la plus profonde, généralement obtenue seulement
e sera parfaitement assuré à plusieurs reprises du réel état de cette
anesthésie
. On sait que tout le monde n'est pas sujet à êt
meil profond, l'occlusion des paupières suffisant déjà pour obtenir l'
anesthésie
, la plupart du temps. Différents confrères vire
us malignes. Cette observation si intéressante au point de vue de l'
anesthésie
obtenue par les procédés hypnotiques, semble démo
ne peuvent pas être employés pendant un temps trop long, tandis que l'
anesthésie
hypnotique n'a pas de limite : elle dure certaine
chloroforme qu'on lui avait faites qu'elle ne se soumettrait plus à l'
anesthésie
pratiquée de cette façon. J'eus alors l'idée de
en ultérieur de la patiente. Pendant tout le temps de l'opération l'
anesthésie
fut complète. L'opération avait été pratiquée len
existe à la surface cutanée des zones d'hyperesthésie et des zones d'
anesthésie
disséminées. Ce malade a 16 ans, et il urinait
a malade, j'eus recours dès ce moment à l'hypnotisme pour obtenir une
anesthésie
inoffensive, ne laissant aucun trouble après elle
les diverses activités mentales simultanées, les diverses formes de l'
anesthésie
et les existences psychologiques inconscientes. D
sensation d'idée isolée, ce que l'on appelle une conscience isolée :
anesthésie
systématique, rapport dans l'hypnose. 8° Sépara
port dans l'hypnose. 8° Séparation de cellules corticales isolées :
anesthésie
hystérique, anesthésie, paralysie, amnésie suggér
8° Séparation de cellules corticales isolées : anesthésie hystérique,
anesthésie
, paralysie, amnésie suggérée, etc. 9° Activité
es idées, avec activité normale simultanée (inconscience partielle) :
anesthésie
systématique, hallucinations négatives, anesthési
ience partielle) : anesthésie systématique, hallucinations négatives,
anesthésie
naturelle des hystériques. 11° Activité isolée
s'était produite à l'âge de 8 ans, à la suite d'une fièvre typhoïde.
Anesthésie
et troubles de la langue. Quoique la patiente eût
de la main et à la plante du pied ; au contact, même distribution à l'
anesthésie
; il en est de même à ta température. Abolition,
de la motilité ; les différents réflexes sont normaux. Notons enfin :
anesthésie
ovarienne à droite, hyper-esthésie à gauche ; sen
on gril, etc., etc. Tous ces faits s'expliquent admirablement par l'
anesthésie
. Ce qui n'a pas moins excité l'admiration, est
mais sans examen plus soigneux on ne peut pas déterminer, si c'est l'
anesthésie
du côté droit, ou Thypéresthésie de gauche. Je n'
us les phénomènes bien connus : des paralysies, des contractures, des
anesthésies
, des transformations de la personnalité, des acti
es; c) hoquet et vomissements incoercibles; d) aphonie, paralysies et
anesthésies
psychiques; e) idées fixes (on les combat diffici
mouvements d'antépulsion et de rétropulsion). Il y avait en plus une
anesthésie
de la moitié droite du corps, sauf une bande étro
de la moitié droite du corps, sauf une bande étroite d'hyperesthésie,
anesthésie
intéressant la peau et les muqueuses pharyngienne
citations violentes, anormales, par le même mécanisme, produiront les
anesthésies
et paralysies hystériques. Nous ne saurions insis
ilité faibles. L'expérience avec l'épingle montre qu'il existe de l'
anesthésie
dans les membres droits. Le chatouillement n'es
Dans tous ces travaux, j'ai insisté sur ce point que les stigmates, l'
anesthésie
elle-même, peuvent être la conséquence indirecte
e. Je m'empresse de dire que du côté opposé il n'y a pas la moindre
anesthésie
et que la sensibilité y est normale. La tempéra
rmie. Mais du côté opposé, la sensibilité est normale, il n'y a pas d'
anesthésie
. De plus, la petite n'étant pas tombée au moment
our (une définition de 1'), 159. Amputation du sein faite pendant l'
anesthésie
hypnotique, 47. Anarchisme (la psychologie de 1
anesthésie hypnotique, 47. Anarchisme (la psychologie de 1'), 93.
Anesthésie
par l'hypnose, 47, 50. Applications de la psych
lle n'accuse aucune sensation, elle ne les voit même pas. Ce fait d'
anesthésie
, non pas réelle, mais personnelle en quelque sort
brusque, une hémianesthésie généralisée, cutanée et sensorielle, de l'
anesthésie
du pharynx, de la polyopie monoculaire des hystér
notre aïeul. » Nous ajouterons à cela qu'il est peu probable que l'
anesthésie
dont bénéficia Adam ait été le résultat du sommei
plus qu'un grand nombre d'opérations graves ont été faites pendant l'
anesthésie
hypnotique. On peut admettre que Dieu ait trouv
lement à celles qui sont en rapport avec ses idées de déambulation. L'
anesthésie
est absolue: on peut lui enfoncer des épingles da
magnétisme exerce-t-il des effets physiologiques directs : hivert :
Anesthésie
par l'hypnotisme pour l'extraction de deux dents.
avec les yeux de l'esprfl Elle était frappée de cécité, de surdité, d'
anesthésie
psychiques pour moi; toutes les impressions senso
excès de boissons alcooliques. REVUE DE LA PRESSE L'hypnotisme en
anesthésie
. M. Maurice Lente publie, dans la Galette médic
moyen thérapeutique dans le traitement des maladies nerveuses. C En
anesthésie
, il est encore un puissant moyen de soustraire le
n «t l'examen direct. Il me pria donc de l'accompagner et d'essayer l'
anesthésie
par le sommeil nerveux provoqué. J'endormis la ma
n forme en gigot décrite par M. Chnrcot. Cette forme particulière d'
anesthésie
, le peu ' de rapport existant entre la-lésion pri
étrécissement appréciable du champ visuel. Anesthéne pharyngée. Pas d'
anesthésie
, pas de troubles senstiivo-sensoriels, pas de bou
eux des médications systématiques et des panacées. RECHERCHES SUR L'
ANESTHÉSIE
HYSTÉRIQUE Par H. Almeb BIN ET (a) Les recher
qu'on pratique sur sa sensibilité, et il ne cesse pas de croire à son
anesthésie
. iaa Les images des régions anesthésiques du co
passait chez lui. Et cependant, cette cécité, cette surdité, cette
anesthésie
potT ma personne, n'étaient que des illusions psy
ose en plaques fruste). — Paralysie flasque des membres inférieurs. —
Anesthésie
. — Impotence complète depuis id mois. — Amblyopîe
e, augmentant quand les yeux étaient clos. Station debout impossible.
Anesthésie
des deux membres inférieurs, le gauche surtout, p
queuses, avec la ligne médiane comme limite très exactement définie :
anesthésie
. analgésie, avec conservation du tact. Les sign
s jusqu'à l'extension forcée. Mêmes effets du côté sain que du côté
anesthésie
: la malade n'a point connaissance des mouvements
de transmissions auditives à côté des transferts de sensibilités, des
anesthésies
et hyperesthésies expérimentales qui. bien qu'éch
aines personnes cm pourrait provoquer de La sorte des paralysies, des
anesthésies
et des hyper-esthésies durables, mais je ne l'ai
les phénomènes de suggestion. Je ne m'occupe pour le moment que de l'
anesthésie
systématique. Je propose de définir ce phénomèn
que, si on dédouble un sujet pendant qu'il a reçu la suggestion d'une
anesthésie
systématique, une des personnalités ne perçoit pa
n'était pas un peu obscur. M. Féré et moi avions proposé le terme d'
anesthésie
systématique. Ce terme a donné lieu à des méprise
ue. Ce terme a donné lieu à des méprises; on a cru sans doute que par
anesthésie
nous entendions parler d'une paralysie vraie, d'u
tion de la sensation et de la perception; dans notre pensée, ce mot d'
anesthésie
(i) L'Anesthésie systématisée [Revuephilosophiq
n et de la perception; dans notre pensée, ce mot d'anesthésie (i) L'
Anesthésie
systématisée [Revuephilosophique, mai 18S7, p. 45
en rapport avec la distribution des nerfs. On constate en outre que l'
anesthésie
est profonde et que toute sensibilité articulaire
sit une véritable" paralysie caractérisée, comme la précédente, par t'
anesthésie
nettement limitée et l'abolition de la sensibilit
intéressant de noter qu'ils furent, des leur début, accompagnés d'une
anesthésie
totale bien constatée à ce moment par le médecin
n remarque également djns les attaques et contractures. A 20 ans, l'
anesthésie
totale reparut et avec elle se montrèrent pour la
cation de l'hypnoscope Ochorowicz sur l'index gauche y détermine de 1
anesthésie
à la piqûre d'une épingle et que la présentation
'est par la suggestion que j'ai fait disparaître une contracture avec
anesthésie
de la main chez une hystérique, des paralysies mu
sentait en outre un léger ptosis, de la dilatation des pupilles, de l'
anesthésie
localisée surtout du côté gauche, de la dyschroma
nt, on notait l'inconscience du commencement à la fin de ''attaque, l'
anesthésie
, l'analgésie. Chez beaucoup il y avait des halluc
notisme et l'), 129. Ampère (souvenirs et anecdoctes sur). 156.
Anesthésie
(l'hypnotisme en), 172. Anesthésie en obstétrique
uvenirs et anecdoctes sur). 156. Anesthésie (l'hypnotisme en), 172.
Anesthésie
en obstétrique et la côte d'Adam (l'), 126. Ane
me en), 172. Anesthésie en obstétrique et la côte d'Adam (l'), 126.
Anesthésie
hystérique (recherches sur l'). par Binet. 210.
Hypnotisme devant les Sociétés savantes (l'), 193. Hypnotisme en
anesthésie
(l'), 172. Hypnotisme en face de l'Église (l'), p
re eux aboutirent au pied-bot varus équin. , L. D. XIII. Un cas d'
anesthésie
généralisée et presque totale; par G. FERON. (j
mencement d'atrophie de la papille gauche, l'auteur pense que cette
anesthésie
généralisée doit être mise sur le compte de l'h
ychique, chez d'autres dans une excitation périphérique ou dans une
anesthésie
locale, etc. Des remarques ont été également fa
meau digital palmaire du médian fut lésé et l'on eut deux plaques d'
anesthésie
inégales, dont la plus étendue cor- respondait
, il faut se souvenir que des troubles sensitifs, consistant en une
anesthésie
des pieds et des extrémités des doigts, existai
ensibilité tactile partout conservée. Thermoanes- thésie, ou mieux,
anesthésie
au froid, dans la moitié droite du corps.Le mal
thermo-anesthésie siégeait du côté opposé à la lésion, tandis que l'
anesthésie
tactile et l'hémiplégie étaient du même côté que
du fond de l'oeil. Réaction pupillaire normale. Un certain degré d'
anesthésie
Je la cornée et de laconjonctive avoisinante. L'é
le droit nécessaire ment, fût couvert. Il n'y avait pas de zones d'
anesthésie
de la face, si ce n'est sur la cornée et la con
d la vision restait normale dans les deux yeux, il n'y avait plus d'
anesthésie
cornéenne et conjonctivale, mais les champs vis
ait, mais son âge, sa bonne disposition d'esprit, l'existence d'une
anesthésie
cornéenne et conjonctivale, l'inversion des cha
bution cubi- tale. Douleur considérable ou insignifiante. Enfin une
anesthésie
bien marquée peut survenir, avec vaso-constrict
peresthésie sous ses diverses formes est assez fréquemment notée, l'
anesthésie
, par contre, l'est d'une façon beaucoup plus ra
par les mou- vements incessants du sujet empli d'effroi, qu'il y a
anesthésie
de la muqueuse laryngée gauche. Les mouvements
xiste normalement, elle n'est nullement perçue par la malade. Cette
anesthésie
, également périostique et osseuse -comme on peu
La sensibilité aussi bien profonde que superficielle est abolie : l'
anesthésie
est tactile, douloureuse, thermique, électrique a
r subjective dans es divers segments du membre. Uémianeslhésie. L'
anesthésie
est localisée à tout le côté gau- che du corps,
rétinienne gauche, en rapport avec l'hémianesthésie du même côté. L'
anesthésie
du début ou amaurose a fait place maintenant à
uches, électrothérapie, frictions, etc.) pour la débarrasser de son
anesthésie
, sont demeurées infructueuses. Elle a même eu,
laquelle survint subitement une perte complète de la vision avec
anesthésie
de la partie gauche du corps. Douze jours plus
s, ne sont perçus que parle côté sain. En même temps, on trouve une
anesthésie
complète du tym- pan5. C'est exactement noire c
-ci. seul celui de Litchwitz mentionne, comme chez Marthe P..., une
anesthésie
du pavillon et de la muqueuse qui tapisse le ca
ions olfactive, gustative et cutanée dans l'anosmie, l'ageusie et l'
anesthésie
hystériques complètes, de même il serait logiqu
a surdité totales sont rares, comme l'a bien montré Lichtwitz, si l'
anesthésie
com- plète est très rare aussi commel'a prouvé
rs cas e t il nous paraît admissible d'accepter la réalité de cette
anesthésie
rétinienne avec absence de la vision binoculair
avec absence de la vision binoculaire, au même titre que les autres
anesthésies
sensitivo-sensorielles hystériques complètes. C
n oeil, est du reste en rapport avec les carac- tères généraux de l'
anesthésie
hystérique. En effet, même avec une hémianesthé
re fait défaut, cela est en accord avec les caractères généraux des
anesthésies
, complètes ou dissociées de l'hystérie; ne voyo
la persistance de la sensibilité générale est aussi certaine dans l'
anesthésie
cutanée, que la persistance des sensibilités ol
rari. (Riv. sp. di frai., 1900, fasc. 1.) L'étendue du champ de l'
anesthésie
thermique plus grande que celle du champ de l'a
champ de l'anesthésie thermique plus grande que celle du champ de l'
anesthésie
tactile porte l'auteur à admettre l'existence d
vue d'anatomie ET DE physiologie pathologiques. détermine : 1° de l'
anesthésie
limitée aux régions de l'orifice anal, du périn
paralysés innervés par les nerfs dans la région des- quels existe l'
anesthésie
: lorsque la lésion est limitée, et que .l'anes
érait. Pas de paralysie, pas d'incoordination des'mouvements, pas d'
anesthésie
; les réflexes du genou sont légèrement exagéré
es inférieures du corps, constitue aujourd'hui une façon élégante d'
anesthésie
chirurgicale et un mode de traitement de quelqu
lité dans le bras et la jambe du côté correspondant à la lésion; 2°
anesthésie
pour toutes les sensibilités dans le membre inf
agérés du côté paralysé. Trépidation épilepsoïde; la zone étroite d'
anesthésie
qui se voit au-dessus de la zone hyperesthésiée
l'excitabilité senso- rielle de l'écorce cérébrale (hypo-esthésie,
anesthésie
, hypalgésie et analgésie) ou affaiblissement de
pasmes et les convulsions réflexes méritent la même créance que les
anesthésies
. Le troisième type est caractérisé par la confusi
halalgie intense et rebelle : plus lard, tintements d'oreille, puis
anesthésie
partielle et paresthésie de la zone innervée par
eut attester son origine hystérique : c'est souvent le cas pour ces
anesthésies
à géographie bizarre, qui violent toutes les rè
localisation cérébrale, spinale ou 'périphérique. Ajoutons que ces
anesthésies
diffèrent des anesthésies organiques en ce qu'e
pinale ou 'périphérique. Ajoutons que ces anesthésies diffèrent des
anesthésies
organiques en ce qu'elles sont tort sou- vent i
tes seulement par le mé- decin qui les recherche. Mais bien que ces
anesthésies
soient fré- quentes, elles peuvent manquer. Il
c ne peut se faire qne par l'étude de tous les symptômes. Au lieu d'
anesthésie
on trouve souvent de l'hyperesthésie, des zones
ivies de parésie et d'atrophie des membres avec présence de zônes d'
anesthésie
ont été les symptômes les plus notables. M. lia
s accidents hystériques, d'autant plus que le malade présentait une
anesthésie
absolue de la face et des membres supérieurs, q
mêmes phéno- mènes de synergie de l'oeil amaurolique et une légère
anesthésie
de la conjonctive de ce côté. C'est le tablea
oubles sensoriels ou moteurs sensations douloureuses après le coït,
anesthésie
cutanée, amblyopie passagère, parésie accompagn
s une paralysie absolue, sensitive et motrice du bras droit, et une
anesthésie
incomplète de la jambe droite. Le lendemain ces
gomyélie de la partie cervicale et dorsale supérieure de la moelle (
anesthésie
partielle et troubles trophiques). Ce qui est i
La durée de l'affection était de dix ans. Vers la fin de sa vie, l'
anesthésie
s'était propagée à toute la surface du corps à l'
des hallucinations de la vue (fixité du regard), perte de mémoire,
anesthésie
cutanée. 'Au commencement de juillet, elle se m
Les géants et les acromégales présentent des accidents similaires :
anesthésie
géné- rate, torpeur intellectuelle, céphalée, t
ique et très hypochondiraque ; il est aussi astig- mate sans zone d'
anesthésie
. Rien à l'optlialmoscope. Influence favorable s
eau et qui occupe la main et une partie de l'avant-bras ; c'est une
anesthésie
hystérique. Dans ces conditions n'aurait-on pas
uittait la forme d'anesthéoie à forme de gant constatée au début. L'
anesthésie
hystérique disparaissait donc lais- sant à jour
au-dessus de l'ombilic et touchant la neu- vième vertèbre dorsale,
anesthésie
très accentuée. Elle occupe la paroi abdominale
lité, celle à la douleur parait la plus altérée. Le territoire de l'
anesthésie
est déminé par une zone d'hypéresthésie bien ma
ns les membres inférieurs ont notable- ment augmenté d'intensilé; l'
anesthésie
a envahi la face posté- rieure des cuisses. Au
mois de mai fait constater l'aggrava- tion de tous ces symptômes; l'
anesthésie
est presque absolue, même dans le domaine du pl
l'écriture de la malade est très modifiée. Au mois de septembre, l'
anesthésie
atteint la hauteur des clavi- cules et s'étend
des bras et des avant-bras (la partie cubitale est plus atteinte).
Anesthésie
des membres supérieurs, prédominante aussi dans
upérieurs, prédominante aussi dans le domaine des nerfs cubitaux. L'
anesthésie
du tronc ayant monté jusqu'au cou, il n'y a que
e shock ; l'opération en elle-même, la nature de l'intervention ; l'
anesthésie
au chloroforme, à l'éther, à la cocaïne; les an
ion en elle-même n'a pas une grande influence, puis- que, grâce à l'
anesthésie
, la douleur est absente, que le malade n'a pas
ode, dite des points douloureux, est basée sur ce fait que, à toute
anesthésie
ou hyperesthésie assez marquée d'un organe ou d
peresthésie assez marquée d'un organe ou d'un membre correspond une
anesthésie
avec point douloureux dans une région du crâne,
douloureux dans une région du crâne, correspondant elle-même à une
anesthésie
limitée du cerveau. L'expérience ayant démontré
ppée, à la suite d'une application de forceps, d'une paralysie avec
anesthésie
des membres inférieurs jusqu'au-dessus des mall
la colonne vertébrale au niveau de la 5e verticale. Paralysie et
anesthésie
transitoires suivies d'atrophie avec spasmes et
seule de l'affirmer, mais en outre elle n'est jamais accompagnée d'
anesthésie
localisée ; l'excitabilité du mem- bre est exag
fectées, de même que de différentes paresthésies, et même parfois d'
anesthésies
(Obs.III). Des modifications dans l'état des ré
d'urine. Le 8 avril on constate l'absence des réflexes rotuliens, l'
anesthésie
complète des deux jambes et du tronc jusqu'au niv
a malade rentre à l'hôpital Golitzyne, où la limite supérieure de l'
anesthésie
est trouvée au niveau de l'ombilic lui-même; en
eurs au cou et aux bras. Les jours suivanlslalimite supérieure de l'
anesthésie
s'est élevée jusqu'au niveau de la troisième côte
de faire la part qui revient dans les appréciations des auteurs à l'
anesthésie
et à l'hypéresthesie, à l'analgésie et à l'hypera
phase prodromique, tout à fait au début de la maladie, existait une
anesthésie
presque complète qui disparaissait quand les tr
ces. Aux praticiens de la ville il appar- tient de rechercher cette
anesthésie
initiale qui permettrait de dépister le mal dès
es ; à la seconde période, ajoute-t-il, d'après quelques auteurs, l'
anesthésie
qui existe quelquefois au début disparaît gradu
'affection progresse ; mais, suivant Lasègue, il n'en est rien et l'
anesthésie
peut aussi bien se rencontrer à la deuxième qu'
vent qu'à celle-là. Au stade terminal, d'après M. Auguste Voisin, l'
anesthésie
est parfois, mais rare- ment complète et durabl
a constaté à la 380 PATHOLOGIE MENTALE. période prodromique des
anesthésies
et des hyperesthésies de la surface cutanée, ma
icle du Manuel de médecine de Debove et Achard, nous voyons que des
anesthésies
plus ou moins durables ont été signalées à la p
façons diverses ; tantôt il existe de l'hyperesthésie, tantôt de l'
anesthésie
, mais il est difficile d'en prendre une notion
recherche est malaisée. On peut observer de l'hyperesthésie, une
anesthésie
généralisée. Chez quelques-uns on constate un r
de bonne heure LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 381 l'
anesthésie
; il n'est pas rare alors qu'elle devienne l'origi
trajet des nerfs frontal interne et frontal externe; ni douleur, ni
anesthésie
. En novembre 1897, nouvelle crise 'convulsive ave
e l'alcool est connue, sou action sur les centres nerveux produit l'
anesthésie
des sens, la paralysie du système moteur ; par
aux). Etat de dépression avec angoisse, idées de suicide et quelque
anesthésie
psychique. En même temps, échos permanents dans
vraisemblablement une hémato- myélre. Toutefois à droite une zone d'
anesthésie
correspondrait aux première et deuxième racines
en était de même de la dent réimplantée. La ma- lade accusait de l'
anesthésie
des lèvres; cette anesthésie était pure- ment i
réimplantée. La ma- lade accusait de l'anesthésie des lèvres; cette
anesthésie
était pure- ment imaginaire. Il en était de mêm
du déplacement et du mouvement des parties absentes ou frappées d'
anesthésie
tactile et musculaire : l'éveil des images motr
dans la station assise, ne présentaient pas le moindre trouble. ni
anesthésie
, ni incoordination. Différentes crises d'épi- l
et de la marche des autres observations seraient secondaires à des
anesthésies
et à des hyperesthésies '. Nous discuterons plu
tamment par ' Briquet. Traité de l'hystérie, p. 477. . Lasèôue. -
Anesthésie
et ataxie hystériques, t. II, p. 25. ' Charcot.
SIOLOGIE PATHOLOGIQUE. côté gauche fussent intactes, il y avait une
anesthésie
complète et une analgésie du côté opposé du cor
sait perdu dans la jambe paralysée, mais dans ce cas il y avait une
anesthésie
du bras du même côté et probablement aussi par
culté d'estimer les poids et la consistance des corps sur le membre
anesthésie
. L'état de l'autre membre n'était pas mentionné
es. Dans le troisième 4, le sens paralysé et son état sur le membre
anesthésie
n'est pas mentionné. C'était le seul cas avec a
est augmenté. Il n'y a pas une analgésie complète, mais il y a une
anesthésie
tactile complète depuis le pied jusqu'au genou
à l'âge de dix-huit ans et qui actuellement est atteinte : 1° d'une
anesthésie
complète; 2° d'une abolition ab- solue du sens
ne chute sur le sacrum. Incontinence de l'urine et des matières ;
anesthésie
des régions innervées par le plexus honteux et hé
face qu'elle respecte.- Messieurs, quand vous reucon- trerez une
anesthésie
de ce genre, méfiez-vous, elle ne relève très p
affir- mation, je puis encore vous faire valoir l'existence de l'
anesthésie
de la cornée du côté intéressé. C'est là un car
ne réveillaient aucune espèce de douleur; il y aurait donc eu hé nu
anesthésie
douloureuse, car les douleurs subjectives persis-
s les modes de sensi- bilité (contact, douleur, température). Pas d'
anesthésie
pharyn- gée. La sensibilité conjonctivale et co
droite. Goût aboli presque totalement. Odorat complètement perdu. L'
anesthésie
cutanée est telle que nous l'avons décrite plus
une hystérique typique avec tous les stigmates permanents. hémi-
anesthésie
sensitivo-sensorielle droite complète, double rét
trace du sillon du cautère'. Le résultat de cette opération fut un
anesthésie
et une analgésie du côté opposé du corps, il y av
dans une ou dans les deux régions de l'hippocampe sans produire une
anesthésie
per- manente. Je n'ai pas besoin d'entrer dans
de la région temporo-occipitale discutée plus haut). Il y avait une
anesthésie
de la narine droite. Les symptômes furent les m
vait d'abord une analgésie presque, sinon tout à fait totale, d'une
anesthésie
absolue à toutes les formes d'excitation tactil
tructives de la région de l'hippocampe et le degré et la durée de l'
anesthésie
varient avec l'étendue de la destruction des ré
tandis qu'elles attiraient l'attention aussitôt de l'autre côté. L'
anesthésie
tactile dura plusieurs semaines sans changement
t on avait enlevé l'hippocampe et qui avait complètement guéri de l'
anesthésie
qui avait immédiatement suivi la première opéra
tteinte et telle partie détruite de la cir- convolution. De plus, l'
anesthésie
était fréquemment très prononcée et durait les
e LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 383 amélioration se produisait, l'
anesthésie
graduellement guérissait ou plutôt se localisai
ndiquées ont produit d'abord une com- plète analgésie, suivie d'une
anesthésie
partielle durant dix semai- nes, alors l'animal
ntérieurs du gyrus fornicatus furent enlevés. Il y eut une complète
anesthésie
pendant peu de jours. Une se- maine après l'opé
e, cependant parfois la chose n'était pas apparente et en général l'
anesthésie
affectait tout le côté opposé, face, bras, jamb
ciaux est en relation avec le côté opposé. On peut se demander si l'
anesthésie
générale coïncidente de la narine dans ce cas e
t. Dans l'autre ', la jambe se gangrena après avoir pré- senté de l'
anesthésie
. Des 15 cas de paralysie du bras et de la jambe
t atteint, dans un c'était une masse tuberculeuse et dans un seul l'
anesthésie
fut marquée et permanente. Dans tous les quatre
it des attaques d'épilepsie débutant par le pouce, donna lieu à une
anesthésie
tactile de tout le côté gauche avec une perte d
tcausé ( ! ) une paralysie du côté droit de la face et du bras et l'
anesthésie
du côté droit du tronc. Le troisième cas, publi
mentionnée dans 5, et altérée dans 1. Dans ce cas 4, il y avait une
anesthésie
non seulement de la face mais aussi de la moiti
interne étaients atteints, mais légèrement, d'où la limitation de l'
anesthésie
aux doigts. Si la capsule interne avait été plu
il dise très distincte- ment qu'il n'a pu découvrir aucune preuve d'
anesthésie
. Mes propres expériences comme celles de Horsle
déjouer la simu- lation, ce sont les signes physiques tels que les
anesthésies
, le rétrécissement du champ visuel pour les cou
côté une sorte de tremblement du quadriceps crural et du côté de l'
anesthésie
un retrait énergique de tout le membre inférieu
t énergique de tout le membre inférieur ; le pincement du côté de l'
anesthésie
ne pro- voquait aucune réaction homo ou contra-
on observe dans la myélite circonscrite destruc- tive (paralysie et
anesthésie
des membres inférieurs, troubles dans les fonct
calisation. Dans les compressions de la moelle, la topographie de l'
anesthésie
permet généralement de déterminer le siège de l
localiser la néoplasie soit trop bas, soit trop haut. De plus, l'
anesthésie
donne seulement le moyen de connaître la place
E. TUMEURS 1NTRA-RACHIDIE\NES 107 i° Tandis que la topographie de l'
anesthésie
donne ordinairement le moyen de reconnaître la
un syndrome de compression, lorsque l'écart entre la frontière de l'
anesthésie
et celle des réflexes de défense est considé- r
ogressivement des troubles de sensibilité consistant en douleurs et
anesthésie
, des troubles vésicaux et une paraplégie crurale
e D.XII, en nous fondant sur les limites qu'atteignaient au tronc l'
anesthésie
et l'exagération des réflexes de défense. Une l
rgie, de la latéro- pulsion et du myosis du côté de la lésion, de l'
anesthésie
et de la para- lysie ou de la parésie du côté o
mixtes et par celles de la pyramide gauche. La prédominance de l'
anesthésie
au membre inférieur peut être attribuée à ce qu
ciés à de l'hémianesthésie à forme syringomyélique. Du côté de l'
anesthésie
, les malades éprouvaient une sensation de froid e
ions bulbaires ou protubéranlielles sont capa- bles d'engendrer une
anesthésie
caractérisée par des troubles de la sensi- AFFE
associer à une paralysie organique ; la présence ou l'absence d'une
anesthésie
sensitivo-sen- sorielle ne saurait donc autoris
alcoolique halluciné, des actes dangereux pour lui ; atteint d'une
anesthésie
thermique en apparence très profonde, il ne sera
nature pithiatique de la contracture, de la paralysie flasque, des
anesthésies
hystériques, qui sont justement les stigmates f
salle de 3a malades, 26 cas d'une authenticité indiscutable », avec
anesthésie
sensitivo-sensorielle partielle ou généralisée, a
», avec anesthésie sensitivo-sensorielle partielle ou généralisée,
anesthésie
pharyngée, rétrécissement concentrique du champ
on bulbaire unilatérale : thermo-asymétrie et vaso-as)métrie; hémi-
anesthésie
alterne à forme syringomyélique. Hypothèse nouvel
bles à topographie radiculaire dans les paralysies médullaires avec
anesthésie
(en collaboration avec Barré et Jarkowski. Soci
des Hôpitaux, 31 mai igi2). r96. Élude comparative des limites de l'
anesthésie
organique et de l'aneslhésie psychique (en coll
u'il existait une hémianalgésio gauche complète, avec des plaques d'
anesthésie
disséminées du même côté. Ainsi, l'hémianesthés
xplore la sensibilité avec une épingle sur l'abdomen, on voit que l'
anesthésie
dépasse un peu la ligne médiane du côté gauche
conjonctive droite est sensible. Le goût est aboli du côté droit; l'
anesthésie
porte sur la moitié droite de la langue et de l
ses, il doit être permis de croire tout naïvement à la réalité de l'
anesthésie
. Au reste, notre malade n'avait jamais vu d'hys
oformisation; enfin, le malade reviendrait rapidement à lui après l'
anesthésie
. L'histoire du bromure d'éthyle et de son emplo
désagréa- ble. C'est ce liquide qui est généralement usité pour l'
anesthésie
locale, mais, lorsqu'on veut l'employer en inha
om- presse, le malade étant dans le décubitus dorsal comme pour l'
anesthésie
chirurgicale. Les doses n'ont guère dépassé 10
mes versés sur la compresse, en plusieurs fois. (1) Ch. Voté. - L'
anesthésie
par le bromure d'éthyle. (21 Yvon. - Le Bromure
mer les résultats précédemment acquis. D'après M. Terrillon, dans l'
anesthésie
, par le bromure d'éthyle, les pupilles seraient
Système nerveux .-Perte de connaissance au bout de 1 à 3 minutes ;
anesthésie
au bout de 3 à 5 minutes, s'accentuant à mesure
e inhalation quotidienne pous- 54 BROMURE D'ÉTHYLE. sée jusqu'à l'
anesthésie
et, dans plusieurs cas, prolongée- jusqu'à 20 m
nt; 2° La résolution musculaire complète est exceptionnelle; 3° L'
anesthésie
se produit à des degrés très variables suivant
des inhalations quotidiennes de bromure d'éthyle poussées jusqu'à l'
anesthésie
dans le but de modifier la marche des accès épi
clinique sur la métalloscopie et la métallothérapie externe dans l'
anesthésie
. Un vol. de 86 pages. Prix : 2 fr. 50. Pour nos
3 fr, 50. - Pour nos abonnés ...... 2 fr. 50. BLANCHARD (11). De l'
anesthésie
par le protoxyde d'azote, par la mé- thode du p
Pour nos abonnés... 35 cent. DURET (H.). Des contre-indications à l'
anesthésie
chirurgicale. Un vol. in-8 de 280 pages. Prix :
dotes de ce genre sont innombrables. Ce sont les deux caractères, l'
anesthésie
systématique et l'acte subconscient, que nous avo
de la Sorbonne. Une application chirurgicale, à l'Hôtel-Dieu. de l'
anesthésie
somnambulique. Lundi dernier. M. le docteur T
dès le retour de leur apparition (attaques convulsives, contractures,
anesthésies
, aphonie, vomissements, amaurose, anurie, etc.),
decins ne trouvent dignes de leur attention que les contractures, les
anesthésies
, les amauroses, les paralysies, et estiment qu'un
sister à la suite de ces attaques (paralysies, contractures, spasmes.
anesthésies
,amaurosestetc.): 20 Dans les cas d'hystérie mon
ppression, comme dans l'ataxie, de la réflectivité tendineuse; légère
anesthésie
du côté gauche; conservation normale de la contra
le dos. par exemple. Au bout de peu de tempe, on voit survenir une
anesthésie
complète, la perte des mouvements volontaires et
dire l'état cataleptoïde, la perte du mouvement volontaire, mais sans
anesthésie
. Chez la poule, l'anesthésie dure une demi-heur
rte du mouvement volontaire, mais sans anesthésie. Chez la poule, l'
anesthésie
dure une demi-heure. Chez la langouste, vingt min
paralysie, Con tracture. etc.). quant à la sensibilité (froid, chaud.
anesthésie
plus ou-moins marquée), quant aux actes, (obéissa
t les endroits précis où se posent les Images qu'ils aperçoivent. »
Anesthésie
chloroformique pendant le sommeil. Est-il possi
t de voiture, avait été subitement frappée de paraplégie flasque avec
anesthésie
des membres inférieurs. Elle entrait à Villejuif
s une névrose mais bien on état physiologique ; les contractures, les
anesthésies
, les phénomènes cataleptiques sont d'origine sugg
rions dédaigner d'y répondre. Chez un grand nombre de nos sujets, l'
anesthésie
provoquée par suggestion est tellement profonde q
st bien la de l'hypnotisme et pas autre chose ; quant au critérium, l'
anesthésie
me parait en constituer un suffisant. M. Rom (d
emière fois, ils ont pris bientôt, la forme d'hémiplégie gauche, avec
anesthésie
sensitivo-sensorielle. Ils se rem nouveau très am
nce des mêmes moyens, et il ne reste plus guère en ce moment que de l'
anesthésie
partielle. Ce malade prétend que ces accidents so
état d'hypnose assez profond, avec catalepsie suggestive (Bern-heim),
anesthésie
aux piqûres d'épingles, etc. le lui ordonnai, p
que je me suis aperçu que cet nomme était hystérique avec des zones d'
anesthésie
et et d'hypéresthésie. Dès qu'on lui parlait de d
e dos de la main accusait 20° tandis que la veille, il donnait 30°. L'
anesthésie
et l'analgésie étaient complètes sur tout le memb
laissent impassible et ne provoquent aucun mouvement, de sorte que l'
anesthésie
paraît complète. Il n'en est rien cependant et to
x mouvements, pouvait de prime abord, faire croire à l'existence de l'
anesthésie
. Quant à l'état des sens spéciaux, nous avons v
constatait : 1° Une hémianesthésie relative du côté gauche; 2° L'
anesthésie
de la langue et l'abolition du réflexe pharyngé;
dans la position où elle se trouve, mais présente, dès ce moment, une
anesthésie
complète. Durant le sommeil, elle cause et répond
, produit les gestes d'une conversation, mais n'émet aucun son. Pas d'
anesthésie
. _. » Elle passe à l'état de catalepsie par l'o
ole et de la forme habituelle de l'hypnose par la pression du vertex.
Anesthésie
absolue durant toutes ces manœuvres. » Jamais,
bien d'un accouchement à terme. 11 n'y avait plus qu'à provoquer l'
anesthésie
hypnotique M. Rauzier endort la malade, à plusi
ire ; l'hypnose étant produite par le procédé habituel, je vérifiai l'
anesthésie
qui est absolue ; puis, brusquement, je lui annon
malade, qu'elle possède une mine rassurante et qu'elle présente de l'
anesthésie
durant son sommeil ; 2° La chose est surtout di
rès qu'elle avait perdu toutes ses sensibilités, que l'analgésie et l'
anesthésie
étaient complètes en quelque point qu'on tentât l
qu'il a dépassé la ligne des apophyses épineuses, limite exacte de l'
anesthésie
. Ces conditions si dissemblables du premier tem
lités cutanées. La sensibilité générale est profondément modifiée ;
anesthésie
, analgésie complète, on peut lui traverser de par
du regard. En quelques minutes, il arriva au sommeil hypnotique, avec
anesthésie
généralisée, occlusion des sens (excepté de l'ouï
ues. Il examine ensuite les effets physiologiques de la suggestion, l'
anesthésie
chirurgicale, la vésica-tion. les stigmates, puis
quemment de troubles de la sensibilité consistant d'habitude dans une
anesthésie
complète des téguments affectés. Dans un cas cett
ans une anesthésie complète des téguments affectés. Dans un cas cette
anesthésie
avait pris la forme de la dissociation syringomyc
ces personnelles. La catalepsie, le somnanbulisme. la suggestion, les
anesthésies
. les paralysies y sont tour à tour l'objet d'étud
dividu susceptible d'être hypnotisé serait atteint d'une ou plusieurs
anesthésies
, non pas physiques, mais psychiques, portant sur
pas appréciable pour un tiers non initié. Le critérium unique étant l'
anesthésie
et l'exaltation de la suggestibilité. car M. Delb
ologie criminelle (les études d'), 96 Application chirurgicale de l'
anesthésie
somnambulique, 26 Application de la suggestion
ambulisme devant l'église (le), 351 Somnambulisme lucide, 377-Sommei!
anesthésie
, chlorformique pendant le;. 135. Sorcellerie, 190
peu : elles sont lrès fréquentes, presque aussi fréquentes que les
anesthésies
. M. Charcot l'a remarqué l'amnésie hystérique.
distraire si complètement, qu'elles ont à ce moment de véri- tables
anesthésies
. Profitons de cette disposition, et pendant que
s avons cherché à la vérifier expérimen- talement en produisant des
anesthésies
bien déterminées et en cherchant leur influence
images t t' t". En un mot, des amné- sies semblent dépendantes des
anesthésies
. Ce serait alors la variation brusque de l'état
l'image visuelle de son visage et bien souvent les oublis que toute
anesthésie
devrait amener, sont compensés et ne se manifes
ne des amnésies considérables, peu en rapport, en apparence, avec l'
anesthésie
qui les produit. Ajoutons enfin que cette assoc
s habituel. Je vous rappelle l'état de sa sensibilité à ce moment :
anesthésie
tactile et muscu- laire totale, rétrécissement
dité de l'oreille gauche. Vous savez ce qu'il faut entendre par ces
anesthésies
. En réa- lité, je ne vous dis pas que Witm, soi
n'avoir rien entendu, rien senti... En réalité, il s'agit là d'une
anesthésie
, analogue à celles que nous avons décrites dern
perdu tous ses stigmates hystériques, et ne présente plus aucune
anesthésie
. La sensibilité tactile est délicate, plus de s
. Certains sujets ont donc des amnésies sous la dépendance de leurs
anesthésies
, ou mieux, certains sujets ont des amnésies et
eurs anesthésies, ou mieux, certains sujets ont des amnésies et des
anesthésies
insépa- rables, dépendant toutes deux d'une mêm
ssez nette, l'analogie qui existe entre ce nouveau phénomène et les
anesthésies
hystériques. D'un côté comme de l'autre, il n'y
ous croyons que, dans certains cas, elle peut être trouvée dans les
anesthésies
qui surviennent à ce moment, et mieux dans les
avec paraphasie et paralexie. Quant à la paragraphie accompagnée d'
anesthésie
rétinienne, elle prouve une diminution de l'act
hériques du membre. Absence de réflexes patellaires. Ni douleur, ni
anesthésie
. Altération quan- titative de la contractilité
ordres); troubles de la sensibilité pseudesthésies, hypéresthésies,
anesthésies
, troubles localises dans les divers sens, etc.)
. D'ordinaire c'est la paralysie motrice qui disparaît tandis que l'
anesthésie
croisée subsiste. L'affection provient d'un tra
roubles anesthésiques n'a rien d'étonnant si l'on considère que les
anesthésies
hystériques ne sont que des anesthésies par rét
t si l'on considère que les anesthésies hystériques ne sont que des
anesthésies
par rétrécissement du champ de conscience perso
conscience secondaire automatique. Dès lors il est naturel que les
anesthésies
, symptôme d'un rétrécissement du champ de conscie
médical Cooper et du Dr Chas. E. Farnum, professeur d'anatomie. L'
anesthésie
fut employée. Une incision fut faite sur le cuir
placé des drains de catgut. L'opération depuis le commencement de l'
anesthésie
jusqu'à la fin dura quarante mi- nutes. La pert
1891, et les très intéressantes conférences de M. le D' Janet sur l'
anesthésie
et l'amnésie hystérique, dans les Archives de N
har... 15 juin 1892. 404 PATHOLOGIE NERVEUSE. de couleurs. Il y a
anesthésie
complète des conjonctives des deux côtés. (Fig.
forte n'ont produit aucune sensation. 410 PATHOLOGIE NERVEUSE. L'
anesthésie
était profonde et le sens musculaire avait presqu
n de chaleur avec le. thermo-esthésio- mètre chauffé à 60 degrés. L'
anesthésie
est profonde : on peut tordre les articulations
t d'un autre côté la présence des stigmates hystériques, à savoir l'
anesthésie
complète tactile, à la douleur et thermique à g
ADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 413 du sens musculaire du même côté, l'
anesthésie
des conjonc- tives, du pharynx, l'abolition de
physiopa- thologie. ' Bientôt on écarta l'irisalgie de Piorry, l'
anesthésie
de la rétine par la conslriclion des vaisseaux
lyopie croisée d'origine corticale et avec ce que nous savons sur l'
anesthésie
rétinienne (ou pour mieux dire anesthésie corti
ce que nous savons sur l'anesthésie rétinienne (ou pour mieux dire
anesthésie
cortico-visuelle) des hystériques. Le plus souv
l'amblyopie transitoire siège sans doute dans l'écorce cérébrale. L'
anesthésie
ou l'irri- tation de ces centres visuels cortic
e, donne une gifle à son enfant et la main reste paralysée avec une
anesthésie
en manchette Une autre, que j'ai décrite autref
et vous pouvez vérifier encore une fois ses stigmates permanents,
anesthésie
tactile tout à fait complète de tout le côté droi
s, anesthésie tactile tout à fait complète de tout le côté droit,
anesthésie
musculaire telle qu'elle est incapable de remuer
outes sortes de symptômes, de fatigue psy- chique, augmentation des
anesthésies
, rétrécissement plus grand du champ visuel, etc
mment l'une de l'autre deux maladies; d'un côté l'hystérie avec ses
anesthésies
, ses amnésies, ses attaques et sa suggestibilit
as qu'un sujet comme Berthe, qui présente de la distraction et de l'
anesthésie
, du doute et de l'amnésie, des attaques, des id
ndent l'un de l'autre, que la distraction est la raison d'être de l'
anesthésie
, comme l'aboulie est la raison d'être de la sug
nésie est caractéristique de cette maladie mentale aussi bien que l'
anesthésie
ou l'attaque. Retenons donc cette notion import
à montrer qu'elle présente les mêmes caractères déjà étudiés dans l'
anesthésie
et l'amnésie et qu'elle peut expliquer la sugge
ois lois psychologiques que nous avons déjà constatées à propos des
anesthésies
et des amnésies hystériques. 1° Le sujet a perd
avec les sensations réelles ' ; 2° en même temps, vous voyez que l'
anesthésie
a disparu, que le sujet n'est plus ni distrait, n
he a retrouvé entièrement ses fonc- tions, mais l'amélioration de l'
anesthésie
et de la paralysie est à peine marquée. On es
s, soit au point de vue de la sensibilité organique (hyperesthésie ou
anesthésie
), soit au point de vue de la sensibilité psychiqu
hypnotique. (The American Lancet, mars 1887.) Janet (Pierre) : L'
anesthésie
systématisée et la dissociation des phénomènes ps
sthésie totale, complète, invariable de tout le cûté gauche du corps;
anesthésie
sensitivo-sensorielle limitée exactement à la lig
paraplégique; il est à Bonnevat. Il n'a plus bientôt ni paralysie ni
anesthésie
; il est à Saint-Urbain. Après avoir passé par l'é
très désagréable, que les lèvres sont desséchées, qu'il existe de ; l'
anesthésie
des sclérotiques et des points douloureux dans le
ui, au point de vue de la physiologie cérébrale, n'est qu'une sorte d'
anesthésie
partielle, nous portons en nous-mêmes des régions
rectérisent cet état, tels que rhyperexcitabilité neuro-musculaire, l'
anesthésie
, généralisé la flaccibilité des muscles, etc.. on
pologia criminale, t. VIII, 1887.) OUVRAGES REÇUS A LA REVUE De l'
anesthésie
chirurgicale par hypnotisme et suggestion, par le
e Jacob. Ces guérisons spontanées peuvent se produire dans toutes les
anesthésies
hystériques. On en voit chaque jour des exemples
le. n'y produit pas les mêmes changements que du coté opposé là où il
anesthésie
ou contracture, l'autre pôle de l'aimant, l'autre
gatif ou S de l'aimant, un métal négatif (zinc, étain, nickel, etc.),
anesthésie
ou contracture le côté droit du buste et le côté
des actions polaires. Les applications isonomes produisent en outre l'
anesthésie
, l'anémie locale, le transfert des contractures e
e l'anesthésie, l'anémie locale, le transfert des contractures et des
anesthésies
, la répulsion et la diminution de la force muscul
pourrait faire de ce puissant moyen thérapeutique. Toute suggestion d'
anesthésie
ou de contracture est en effet empêchée par une a
iologique quand elles sont appliquées a la suite de contractures ou d'
anesthésie
. puis, si elles sont trop longtemps continuées, f
et semblé prouver que sur le sujet présent, le sommeil, de même que l'
anesthésie
et la contracture, était bien provoqué par les ac
de polarité différente). Les auteurs ont provoqué des transferts d'
anesthésie
ou de contracture, en se servant soit des actions
ués sur la région symétrique de celle où Us avaient d'abord produit l'
anesthésie
ou la contracture, ils ont transféré ces troubles
ses expériences, il a déjà déduit les conclusions suivantes : 1° L'
anesthésie
. la paralysie et l'hyperthermie, causées par une
'aiguille au poignet, au coude et à l'épaule droits. Je constate de l'
anesthésie
, avec analgésie des membres et l'abolition du sen
d'oppression, l'eau de laurier-cerise des douleurs articulaires avec
anesthésie
du membre supérieur droit; la strychnine ne déter
suggestions analogues sont employées dans les cas où l'on traite une
anesthésie
, une paralysie. Il convient d'ajouter au malade q
urdissement serait remplacé par des troubles de sensibilité (parésie,
anesthésie
) beaucoup plus accentués, étendus et durables. »
de l'allochirie. Ce mécanisme explique donc qu'on peut rencontrer une
anesthésie
absolue d'un côté du corps, avec conservation plu
ins parfaite de la sensation subjective des deux côtés et pourquoi l'
anesthésie
n'est pas un accompagnement nécessaire de l'alloc
'en était suivi une paraplégie accompagnée de stigmates hystériques :
anesthésie
du pharynx, abolition du goût. obnubilation de l'
tion, revue et augmentée. — Doin, édit. In-12, 1888 (3 fr. 5o). Des
anesthésies
hystériques, par le docteur Pitret, professeur à
s du poignet étaient très difficiles et presque impossibles, avec une
anesthésie
en manchette, limitée à quelque distance au-dessu
ovoquer un sommeil nerveux, un somnambulisme artificiel, accompagné d'
anesthésie
, d'hyperes-thésit, de catalepsie et de quelques a
de gardien de bureau : 1° de névralgie faciale; 2° de paraplégie avec
anesthésie
complète des membres inférieurs sans trouble des
is le malade est observé par MM. Fontan et Ségard) de paraplégie avec
anesthésie
occupant inégalement les membres inférieurs, la j
° L'avantage de l'hypnotisation pendant l'accouchement est d'amener l'
anesthésie
. La suppression de la douleur pourra être obtenue
suite de leurs manœuvres, les Aïssaoua présentaient des phénomènes d'
anesthésie
hystérique très nettement caractérisés. A ce su
et au-dessous du sein gauche, dans la région iliaque gauche. Pas d'
anesthésie
, pas de rétrécissement du champ visuel, ni de dys
vues de l'Ecole de Nancy: les elïets physiologiques des suggestions :
anesthésie
, vésication, stigmates; les effets psychologiques
xation du regard dans l'espace de deux minutes. Pendant le sommeil, l'
anesthésie
est complète ; ni les piqûres, ni les pincements
s, soit au point de vue de la sensibilité organique (hyperesthésie ou
anesthésie
), soit au point de vue de la sensibilité psychiqu
hypnotique. (The American Lancet, mars 1887.) Janet (Pierre) : L'
anesthésie
systématisée et la dissociation des phénomènes ps
sthésie totale, complète, invariable de tout le cûté gauche du corps;
anesthésie
sensitivo-sensorielle limitée exactement à la lig
paraplégique; il est à Bonnevat. Il n'a plus bientôt ni paralysie ni
anesthésie
; il est à Saint-Urbain. Après avoir passé par l'é
très désagréable, que les lèvres sont desséchées, qu'il existe de ; l'
anesthésie
des sclérotiques et des points douloureux dans le
ui, au point de vue de la physiologie cérébrale, n'est qu'une sorte d'
anesthésie
partielle, nous portons en nous-mêmes des régions
rectérisent cet état, tels que rhyperexcitabilité neuro-musculaire, l'
anesthésie
, généralisé la flaccibilité des muscles, etc.. on
pologia criminale, t. VIII, 1887.) OUVRAGES REÇUS A LA REVUE De l'
anesthésie
chirurgicale par hypnotisme et suggestion, par le
e Jacob. Ces guérisons spontanées peuvent se produire dans toutes les
anesthésies
hystériques. On en voit chaque jour des exemples
le. n'y produit pas les mêmes changements que du coté opposé là où il
anesthésie
ou contracture, l'autre pôle de l'aimant, l'autre
gatif ou S de l'aimant, un métal négatif (zinc, étain, nickel, etc.),
anesthésie
ou contracture le côté droit du buste et le côté
des actions polaires. Les applications isonomes produisent en outre l'
anesthésie
, l'anémie locale, le transfert des contractures e
e l'anesthésie, l'anémie locale, le transfert des contractures et des
anesthésies
, la répulsion et la diminution de la force muscul
pourrait faire de ce puissant moyen thérapeutique. Toute suggestion d'
anesthésie
ou de contracture est en effet empêchée par une a
iologique quand elles sont appliquées a la suite de contractures ou d'
anesthésie
. puis, si elles sont trop longtemps continuées, f
et semblé prouver que sur le sujet présent, le sommeil, de même que l'
anesthésie
et la contracture, était bien provoqué par les ac
de polarité différente). Les auteurs ont provoqué des transferts d'
anesthésie
ou de contracture, en se servant soit des actions
ués sur la région symétrique de celle où Us avaient d'abord produit l'
anesthésie
ou la contracture, ils ont transféré ces troubles
ses expériences, il a déjà déduit les conclusions suivantes : 1° L'
anesthésie
. la paralysie et l'hyperthermie, causées par une
'aiguille au poignet, au coude et à l'épaule droits. Je constate de l'
anesthésie
, avec analgésie des membres et l'abolition du sen
d'oppression, l'eau de laurier-cerise des douleurs articulaires avec
anesthésie
du membre supérieur droit; la strychnine ne déter
suggestions analogues sont employées dans les cas où l'on traite une
anesthésie
, une paralysie. Il convient d'ajouter au malade q
urdissement serait remplacé par des troubles de sensibilité (parésie,
anesthésie
) beaucoup plus accentués, étendus et durables. »
de l'allochirie. Ce mécanisme explique donc qu'on peut rencontrer une
anesthésie
absolue d'un côté du corps, avec conservation plu
ins parfaite de la sensation subjective des deux côtés et pourquoi l'
anesthésie
n'est pas un accompagnement nécessaire de l'alloc
'en était suivi une paraplégie accompagnée de stigmates hystériques :
anesthésie
du pharynx, abolition du goût. obnubilation de l'
tion, revue et augmentée. — Doin, édit. In-12, 1888 (3 fr. 5o). Des
anesthésies
hystériques, par le docteur Pitret, professeur à
s du poignet étaient très difficiles et presque impossibles, avec une
anesthésie
en manchette, limitée à quelque distance au-dessu
ovoquer un sommeil nerveux, un somnambulisme artificiel, accompagné d'
anesthésie
, d'hyperes-thésit, de catalepsie et de quelques a
de gardien de bureau : 1° de névralgie faciale; 2° de paraplégie avec
anesthésie
complète des membres inférieurs sans trouble des
is le malade est observé par MM. Fontan et Ségard) de paraplégie avec
anesthésie
occupant inégalement les membres inférieurs, la j
° L'avantage de l'hypnotisation pendant l'accouchement est d'amener l'
anesthésie
. La suppression de la douleur pourra être obtenue
suite de leurs manœuvres, les Aïssaoua présentaient des phénomènes d'
anesthésie
hystérique très nettement caractérisés. A ce su
et au-dessous du sein gauche, dans la région iliaque gauche. Pas d'
anesthésie
, pas de rétrécissement du champ visuel, ni de dys
vues de l'Ecole de Nancy: les elïets physiologiques des suggestions :
anesthésie
, vésication, stigmates; les effets psychologiques
xation du regard dans l'espace de deux minutes. Pendant le sommeil, l'
anesthésie
est complète ; ni les piqûres, ni les pincements
nce démontrée inconciliable avec les lois de la physiologie. Pour l'
anesthésie
, par exemple, voici ce que l'on objectait : un
terrain de l'observation pure et simple. D'ailleurs, à propos de l'
anesthésie
hystérique ou autre, il faut reconnaître que, si
d'hystéro-épilepsie, a été de tout temps et est encore affectée d'
anesthésie
bi-latérale; elle a été l'objet de bon nombre de
époques, mais ce n'est qu'à une date relativement récente que son
anesthésie
a été mentionnée pour la première fois. Nous pour
'est seulement après avoir été examinée à Paris qu'elle a connu son
anesthésie
et a pu s'expliquer diverses particularités qui
uperflue que nous arrêter maintenant à prouver la perma- nence de l'
anesthésie
en dehors du moment de l'observation, chez les
une excitation mécanique que l'on sait propre à faire disparaître l'
anesthésie
. On ne peut donc invoquer Vexpectanl attention
usant les symptômes de la crampe des écrivains et en même temps une
anesthésie
du membre supérieur droit. L'approche d'un aimant
irectement, en la faisant sur le côté sain, où elle provoquait de l'
anesthésie
. Or, avec la plaque pola- risée, ce dernier mod
vec l'élec- 1 Nous avons, ces jours-ci même, examiné l'effet, sur l'
anesthésie
hystérique, de badigeonnages très peu étendus (
ètre) de collodion. Sur quatre malades, dont trois présentaient une
anesthésie
totale et la quatrième une liémianesthésie, l'app
Cela nous a frappé d'autant plus que, chez deux de ces ma- lades, l'
anesthésie
s'était montrée jusqu'alors extrêmement tenace. C
s chaude ou plus froide qu'elle, agit d'une manière évidente dans l'
anesthésie
hystérique, produit le trans- fert, etc. Toutef
lication métallique sur la région cervicale d'une malade affectée d'
anesthésie
totale; la sensibilité commence bientôt à repar
langue sontrestées insensibles. Dans les cas d'achromatopsie (avec
anesthésie
cutanée), une application faite sur la tempe ou
spasme vasculaire du réseau cutané, habituellement concomitant de l'
anesthésie
. Cette manière de voir tend à'expliquer l'actio
ramène, le plus souvent, la sensibilité dans une région affectée d'
anesthésie
hystérique. Des vésicatoires donnent le même ré
rande qu'il le pense. M. Burq a découvert l'action des métaux sur l'
anesthésie
, et en même temps sur la circulation, la tempér
nfluence de la faradication d'une portée limitée du tégument dans l'
anesthésie
par lésions cérébrales, l'intoxication satur- 7
icales dans les lobes cérébraux sans dé- terminer de paralysie ni d'
anesthésie
persistantes : l'idiotie seule et l'obtusion de
s d'une gravité variable. Les symptômes caracté- ristiques sont : l'
anesthésie
de la peau, l'hyperesthésie et la paralysie des
ractéristiques apparaissent. Le premier symptôme est généralement l'
anesthésie
cutanée qui apparaît successivement sur le musc
roupes de muscles, souvent ceux qui sont sous-jacents aux plaques d'
anesthésie
cutanée. Aussi, la pointe du pied est pendante,
lysie, par exemple, et être caractérisé presque exclusivement par l'
anesthésie
cutanée. Il peut se compliquer accidentellement
es du côté de la sensibilité générale ou spéciale (hypéresthésies ;
anesthésies
; paresthésies ; four- millements ; engourdisse
our- millements ; engourdissements ; hallucinations visuelles). L'
anesthésie
que Ferrier réussit à déterminer du côté opposé
a compression des différents nerfs. Ptosis, strabisme, paralysie et
anesthésie
faciale, altéra- tions,de la papille, fonte pur
nt bien sentis et localisés. Dans un seul cas nous avons trouvé une
anesthésie
thoracique et douloureuse en botte, remontant jus
moyen de redressement et de suggestion. Il peut être appliqué sans
anesthésie
générale dans les cas où les malades sont spont
ur un plan horizontal. Dans d'autres cas, il faut avoir recours à l'
anesthésie
générale, qui peut ne pas être d'ailleurs pouss
nt des mains étendues. Enlin exagération de réflexes en général, et
anesthésie
de la cornée. Il a conscience du vertige, ainsi q
rdeur de la tête. État actuel. Exagération des réflexes en général.
Anesthésie
de la cor- née, pas d'autre symptôme. A la pres
es très intenses. Etat actuel. Exagération des réflexes en général,
anesthésie
de la cor- née. A la pression des carotides, pe
ême plus souvent. État actuel. Exagération des réflexes en général,
anesthésie
de la cor- née, intelligence bornée. Présente p
nte des accès atypiques avec émission d'urine parfois. Etat actuel.
Anesthésie
de la cornée, intelligence bornée. Réflexes phy-
tin en sentant la tête lourde et une grande fatigue. Etat actuel.
Anesthésie
de la cornée, réflexes exagérés en général. A la
t survenue une amaurose ayant duré pendant 15 jours. Etat actuel. -
Anesthésie
de la cornée. A la pression des carotides, immé-
à l'étude des troubles nerveux d'origine réflexe. Examen pendant l'
anesthésie
cltlorofor· ' z 80 ' 1 MADAME ATHALVASSIU-BENIS
du pouce ainsi que celle à la flexion du poignet. ' 6. Sensibilité.
Anesthésie
dans le territoire du médian et du radial à la
ion du médian est rendue évidente par le siège de la blessure et. l'
anesthésie
de la main. Elle produisit immé- diatement une
ésion du radial est évidente aussi par le siège de la blessure et l'
anesthésie
de la main, mais n'a pas de conséquence musculair
échit. 6. Sensibilité. Pour la piqûre, mais non pour l'électricité,
anesthésie
en gant de toute la main jusqu'au-dessus de la
a preuve de cette lésion organique du nerf radial est fournie par l'
anesthésie
de son territoire au dos de la main, et peut-êt
s, aussi, les doigts seraient restés raides et engourdis, mais sans
anesthésie
véritable. CAs III (rit,. C). -C ? âgé de 25 an
s 3,e ! Jt 46 doigts paraît partiçuljèrenieiit dou : Ignreux. Pas d'
anesthésie
. Le malade a été blessé le 24 octobre 1944 : un
ternes ; la zone des troubles sensi- tifs se rétrécit légèrement, l'
anesthésie
devient de l'hypoesthésie, la piqûre est perçue
gts est limité, le rapprochement est impossible pour le 5* doigt. L'
anesthésie
occupe toute la main, à l'exclusion du domaine
urs des doigts. Le réflexe radial est normal. · Il n'y a aucune
anesthésie
. La palpation.de la cicatrice d'entrée de la ba
du sciatique : paralysie généralement très réduite ou nulle, pas d'
anesthésie
, troubles trophiques et vaso-moteurs se caracté
surtout vives au voisinage des articulations. - - Ni analgésie, ni
anesthésie
. Exagération du réflexe rotulien des deux côtés
elles commencent à s'atténuer vers le 10° jour. L'analgésie et l'
anesthésie
ont été observées dans un seul cas (obs. II), c
symptômes ont commencé par les membres supérieurs, peu de parésie.
Anesthésie
et ataxie très développées, encore parésie facial
ux membres inférieurs. Cependant, presque pas de parésie, mais de l'
anesthésie
et des douleurs. Bientôt guéri'par l'usage de m
et avec des jambes écartées, quelquefois douleurs aux jambes, pas d'
anesthésie
ailleurs, mais la sensibilité se trouve considé
qués surtout aux membres supérieurs, peu développés aux jambes. Une
anesthésie
considérable, réflexes tendineux conservés. Pat
e d'une polynévrite mercu- rielle et l'hystérie comme la cause de l'
anesthésie
, mais le diagnostic de ce cas me semble incerta
s. Aucun trouble de la sensibilité subjective ou objective ; aucune
anesthésie
ni hypoesthésie au contact ou à la piqûre ; le
tout sur le bord cubital. Mais il n'y a eu aucune paralysie, aucune
anesthésie
, et, trois mois après, l'atrophie progressive a
. Il est d'ailleurs souvent difficile de préciser s'il s'agit . d'
anesthésie
organique ou fonctionnelle. Les réflexes tendin
mbre supérieur. Mais il est difficile de préciser s'il s'agit d'une
anesthésie
hystérique ou organique. Les réflexes sont égau
sibilité objective n'est pas altérée ; on ne constate aucune zone d'
anesthésie
, ni d'hypoesthésie. Les zones de Weber ne sont pa
. Il n'existe aucun symptôme d'ordre neurologique, ni paralysie, ni
anesthésie
. L'examen du système nerveux a été d'autant plu
survient. La réflectivité tendineuse et cutanée est normale. Pas d'
anesthésie
. Comme troubles de la sensibilité subjective, p
utanés. Il n'y a aucun trouble de la sensibilité subjective, aucune
anesthésie
ni superficielle ni profonde. , Le 12 août 19
ur le bassin. Les réflexes tendineux et cutanés sont normaux. Pas d'
anesthésie
, ni super- ficielle ni profonde. Le malade se
l'hypnotisme, t II, p. 346 et suiv. De même pour M. Babînski, les
anesthésies
, les paralysies flasques, les contractures, la ca
ensible si on la touche isolément. Dans d'autres cas, j'ai constaté l'
anesthésie
do la cornée pour un seul œil. tandis que de l'au
res sujets plus rares, on trouve sur la cornée du mémo œil une zone d'
anesthésie
et une autre zone de sensibilité normale ou d'hyp
une autre zone de sensibilité normale ou d'hyperesthésie. Ces zones d'
anesthésie
sont essentiellement variables quant âleur situat
eslhésié, en totalité ou en partie. La présence de zones partielles d'
anesthésie
cornéenne a tout autant d'importance au point de
que. Enfin un phénomène encore plus délicat consiste en des plaques d'
anesthésie
qui siègent indifféremment sur un point quelconqu
ifféremment sur un point quelconque du voile du palais. Ces plaques d'
anesthésie
pouvaient avoir la dimension d'une pièce de un ou
les différents points du voile du palais, pour constater les zones d'
anesthésie
et d'hyperesthésie qu'il peut présenter. Hémich
ses parents. La sensibilité au contact est rétablie, mais des zones d'
anesthésie
persistent sur différentes parties du corps, ce q
m'aperçois que les battements sont accélérés : s'il s'agissait d'une
anesthésie
organique, ma piqûre n'exercerait aucune action s
de sensibilité. Cette jeune fille, en effet, présente à gauche une
anesthésie
totale complète et du rétrécissement du champ vis
it par l'idée pouvoir guérir que des idées: contractures, paralysies,
anesthésies
, etc., dépendant d'un trouble d'idéation. En guér
its. Les sujets des marabouts, comme les sujets de Char-cot, ont de l'
anesthésie
avec vaso-constriction périphérique (leurs plaies
n (Lermoyez et Boulay). L'aphonie hystérique s'accompagne souvent d'
anesthésie
de la muqueuse du larynx. L'excitabilité électriq
t véritablement d'un sommeil assez profond, sinon somnambulique, avec
anesthésie
, résolution des membres, etc. Je lut dis : «
ssez facilement par le regard et la parole, en état de somnambulisme (
anesthésie
. etc.) Je lui suggère qu'il ne pense plus aux cau
es, ces fureurs de chiennes inassouvies, accompagnés de paralysies, d'
anesthésies
partielles et que à tort on qualifie sans preuves
est intéressante à deux points de vue : 1° La suggestion a donné une
anesthésie
absolue ; 2° Mais en outre elle a permis une opér
trécissement assez important du champ visuel pour les deux yeux, de l'
anesthésie
pharyngée, etc. Il s'agit donc d'une hystérique m
au niveau de l'estomac, là où se localise le serrement, des plaques d'
anesthésie
ou d'hypoesthésie, puis, de la contracture du dia
e cette dernière on constate de l'hyperesthésie. L'hyporeslhésie et l'
anesthésie
portent sur tous les modes de la sensibilité. S
ent sur tous les modes de la sensibilité. Si nous n'avions pas eu d'
anesthésie
, nous aurions été très embarrassés pour faire un
re aussi la suggestion hypnotique : a l'hallucination négative » ou «
anesthésie
systématisée ». Là aussi il y a des séparations d
e membre inférieur gauche, et pour tous les modes de sensibilité, une
anesthésie
totale qui occupe, en forme de botte, la moitié i
lguran tes eten ceinture du tabès, points douloureux, hyperesthésies,
anesthésies
, paresthésies, céphalalgies diverses, douleur rét
précieux que ceux qui résultent des réponses des malades. Ainsi, l'
anesthésie
et l'amyosthénie ont-elles augmenté, qu'on s'atte
ic vient me voir de nouveau. Je constate, de ci, de là, des plaques d'
anesthésie
, d'autres d'hyperesthésie, des lopoal-gies, de l'
aucune douleur, et les piqûres ne saignent pas mais il affirme que l'
anesthésie
n'apparaît que lorsqu'il le veut. Sinon, il éprou
par l'acide carbonique avant d'être tués. Je verrai si, au début de l'
anesthésie
par l'acide carbonique, on constate ces mouvement
au niveau de l'épine dorsale sur la ligne médiane à la 12e vertèbre'
Anesthésie
de la face et des oreilles, excepté au nez. Le cu
lle à droite s'arrête à 10 et à gauche à 60 quand le tremblement et l'
anesthésie
n'existaient pas de ce côté, mais du jour où les
n présence de ce tremblement trépidatoire très bien rhythmé, de cette
anesthésie
généralisée, de cette abolition du sens musculair
alade était très bien portante. Il n'y avait plus de tremblement et d'
anesthésie
. Je prescrivis en outre des douches brisées et du
le bien, surviennent sans prodrome,, sans aucun signe prémonitoire. L'
anesthésie
est totale, comme la paralysie. On peut le piquer
z, affectent des caractères tout particuliers : ils se rapportent à l'
anesthésie
hystérique. Dans son établissement de province, i
entes en hiver qu'en été, ces crises vaso-motrices s'accompagnaient d'
anesthésie
et de douleurs très vive*. Pendant les paroxysmes
assis ou couchés, dégrafés ou complètement habillés; il provoque une
anesthésie
immédiate, sûre et inoffensive, suivie de réveil
anormale. Il peut y avoir peu ou trop de suggestibilité comme il y a
anesthésie
et hyperesthésie. . Dans l'état normal la facul
stion soit de pratique fort courante. Il faut en effet pour obtenir l'
anesthésie
dans des opérations assez importantes avoir affai
ieure. Par suggestion, elle tombe dans l'état de sommeil profond avec
anesthésie
complète. Un confrère peut faire la dissection de
isé d'une façon incomplète, après quelques bouffées de chloroforme, l'
anesthésie
n'étant même pas recherchée, nous opérons quelque
-bras, œdème bleu, douloureux ne gardant pas l'empreinte du doigt. Ni
anesthésie
, ni thermo-anesthésie, aucune variation dans le v
lui a fait mal. Puis on le lui opère à l'hôpital; on ne fait que de l'
anesthésie
locale avec le chlorure d'éthyle et la cocaïne :
existe, en outre, un rétrécissement du champ visuel et des plaques d'
anesthésie
superposées aux contractures. Quand il dort, cett
ères non lésés exercent pendant l'hypnose une influence directe sur l'
anesthésie
de la peau; au contraire, après l'ablation des hé
ex-citabilité réflexe, même pendant l'hypnose. De là il résulte que l'
anesthésie
et le maintient de la position anormale chez la g
sont deux phénomènes susceptibles d'être séparés l'un de l'autre ; l'
anesthésie
cutanée se trouve sous la dépendance des hémisphè
le fer rouge du thermocautère les laissent tout à fait insensibles; l'
anesthésie
est ou, tout au moins, parait complète. Mais la r
manifeste. D'autres fois, on rencontre la même immobilité et la même
anesthésie
apparente ; mais aucune intervention ne peut fair
enouille endormie, souvent n'est pas capable de rompre son inertie.
Anesthésie
cutanée à la douleur. — L'analgésie est surtout p
nt l'illustrer, sur le sommeil provoqué et les états analogues, sur l'
anesthésie
par suggestion, sur la suggestion criminelle, sur
et après lesquelles elle tomba dans un profond sommeil, accompagné d'
anesthésie
et de contracture généralisée. Dans l'impossibili
de la contracture et des battements des paupières, du strabisme, une
anesthésie
complète. On guérit les malades par l'isolement
nantes de léthargie et de catalepsie avec attitudes bizarres, la même
anesthésie
des sens généraux cutanés et l'inaction des sens
ats analogues » (136G). — « Ebauche de psychologie t (1873). — a De l'
anesthésie
par suggestion » (1885). — ? Traité pour le trait
t un jour le maître de l'hypnotisme, cette science expérimentale de l'
anesthésie
, qui endort les souffrances et réveille la santé.
, à étudier l'hypnotisme, les sommeils provoqués, la suggestion, et l'
anesthésie
par suggestion. Il émit à leur sujet des idées or
jusqu'à quatre travers de doigt au-dessus du pli du coude ; c'est une
anesthésie
segmenlaire, en manchette. Quand la malade a les
elle n'a pas la notion de la position de son autre main. Il y a de l'
anesthésie
cornéenne, une exagération légère des réflexes et
ésentent aucun trouble des réactions électriques. La disposition de l'
anesthésie
ne peut faire penser à une paralysie du plexus br
péciale, se présentant par zones, que c'étaient de véritables zones d'
anesthésie
, et par analogie avec les zones d'anes-thésie che
à conclure que mon malade était un hystérique présentant des zones d'
anesthésie
rectales, anales, uré-thrales, et que la paralysi
uvant chez lui des régions d'insensibilité que je qualifie de zones d'
anesthésies
rectales, anales, uréthrales d'origine hystérique
hénomènes que nous pourrions classer sous le nom de zones profondes d'
anesthésies
hystériques des organes internes. Ainsi nous seri
e, les signes somatiques sont très nets : on constate, en effet, de l'
anesthésie
aux deux côtés du corps, un double rétrécissement
ar Bérillon, p. 83. Obstétricale par la suggestion hypnotique (De l'
anesthésie
), p. 32. Obstétricale et la narcose éthyl-méthy
ysiologie, 1881. Scliiff, Congrès de Genece, 1878. R. Tripier, De l'
anesthésie
produite par les lésions des circon- volzctions
t la destruction abou- tirait cliniquement à une variété spéciale d'
anesthésie
. Et si l'homogénéité de cette zone n'est peut-ê
organe ; il faut très vraisemblablement y rattacher aussi les cas d'
anesthésie
par altération organique, qu'on a pu guérir à l
ensuive de troubles de la sensibilité géné- rale et spéciale. Les
anesthésies
tactiles ne sont pas exceptionnelles toute- foi
tération du cerveau, joue-t-elle quelque rôle dans la genèse de ces
anesthésies
. La chose est possible. Toujours est-il qu'en r
tions occipito-sphénoï- 86 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. dales, l'
anesthésie
est possible mais. exceptionnelle, et, dans tou
soit assez semblable à celle du mor- phinisme; rappelons en effet l'
anesthésie
, les douleurs fulgu- rantes, la dysurie, la con
trisations successives de chaque côté pour les obtenir. En outre, l'
anesthésie
existant chez elle à droite, c'est de ce côté q
r et à la face, légèrement dans le membre inférieur; du côté opposé
anesthésie
ou simple diminution de sensibilité dans les po
côté. Chez la quatrième, une vive hyperesthésie ayant succédé à l'
anesthésie
la plus complète, nous avons vu du même DE L'AC
de négation est souvent lié à des altérations de la sensibilité. L'
anesthésie
est fréquente dans la stupeur où elle a été sig
bles de la sensibilité. Il peut y avoir intégrité des sensations ou
anesthésie
: cette dernière est plus ou moins ac- cusée, p
cipales additions. Les chapitres complètement inédits sont ceux des
anesthésies
sous le rapport de la pathogénie, de la névralg
tique; par Hue. Thèse de Paris, 1882. Contribution à l'étude de l'
anesthésie
saturnine; par Sigarroa. Thèse de Paris. 1882.
fré- quents. Homicide plus rare. Troubles de la sensibilité.
Anesthésie
. Hallucinations manquent sou- vent. Quand ell
diabétique. Faiblesse des membres inférieurs, douleurs en ceinture;
anesthésie
des membres inférieurs du scrotum du bas-ventre
dans les cas de diabète, surtout à l'état isolé. Une large plaque d'
anesthésie
se voyait sur la cuisse d'un jeune diabétique h
Lasègue. Un maladede Dionis offrait, sur les deux gros orteils, une
anesthésie
à la chaleur et une sensation de froid persista
un an plus tard, gangrène de ces parties. M. Lé- corché a étudié l'
anesthésie
avec le compas de Weber, il est arrivé aux même
e. C'est plus souvent sur les membres inférieurs qu'on trouve cette
anesthésie
. Quelquefois elle se montre par plaques sur div
on peut concevoir la combinaison avec des troubles de la station, l'
anesthésie
plantaire, ou des hyperesthésies tran- sitoires
seuses dénu- dées. Dès son entrée à l'hôpital, le blessé présenta :
anesthésie
du membre inférieur gauche, hyperesthésie et pa
Au-dessus de cette ligne se trouve, toujours à droite, une zone d'
anesthésie
qui atteint la sixième vertèbre dorsale. Plus h
à gauche une petite zone d'hyperesthésie, correspondant à la zone d'
anesthésie
du côté droit. Le sens de la température est no
t traitement; trois sont des exemples d'incoordination motrice avec
anesthésie
et trou- bles nerveux divers par simple irritat
sont survenus à la suite d'une vie très dissipée. U n'accuse aucune
anesthésie
et touche sans hésitation à un point donné de l
e, mais la flexion passive du genou s'obtenait avec difficulté. L'
anesthésie
et l'analgésie de toute la circonférence des me
e avait, disparu. Le 25 novembre, disparition presque complète de l'
anesthésie
et retour de quelques mouvements dans les jambe
téressantes et quelque peu embarrassantes, si on les rapproche de l'
anesthésie
incomplète que présentait la jambe gauche, et d
, même à la dernière période, n'est pas une contre-indica- tion à l'
anesthésie
et aux opérations chirurgicales. Les plaies opé-
taxie, le signe d'Argill-Robertson, la distribution radiculaire des
anesthésies
au tronc et aux membres su- périeurs, les phéno
ésies,etquand lesdeux derniers cas commen- cèrent à se manifester,l'
anesthésie
et l'ataxie, plus forts aux membres infé- rieur
u rectum, as- sociés à l'impuissance virile (chez l'homme) et à une
anesthésie
limitée au pourtour de l'anus, au périnée, au s
es que je viens de mentionner,nous avons constaté l'existence d'une
anesthésie
périnéo-scrotale qui subsiste. Tout à l'heure,
légère quantité de pus. Il avait de l'incontinence des matières ; l'
anesthésie
ano-rectale était complète. Le sphincter anal é
de la sensibilité : les uns, objectifs, consistent dans une zone d'
anesthésie
ano-périnéo-scrolale, qui empiète sur la partie a
pontanées ou non, que réveillent ou exaspèrent les mouvements ; une
anesthésie
à distribu- tion tout à fait caractéristique :
ntre la figure placée devant vous (fig. 4. ' Chez notre malade, l'
anesthésie
réalise bien la distribution que je viens de sp
que externe, branche du plexus lombaire. Aussi 90 RAYMOND bien, l'
anesthésie
des testicules ne figure pas dans la symptomatolo
disposition parfaitement symétrique de la paralysie motrice et de l'
anesthésie
, la précocité et l'intensité de l'atrophie muscul
es chez notre malade. On en a dit autant du caractère dissocié de l'
anesthésie
. En réalité, la dissociation de l'anesthésie a
aractère dissocié de l'anesthésie. En réalité, la dissociation de l'
anesthésie
a été observée dans des cas où une lésion inté-
de la motilité, de la sensibilité et de la motricité (para- lysie,
anesthésie
, hypothermie et guérison très lente des plaies de
l, abolition complète du sens sléréognostique. Il existe enfin de l'
anesthésie
de la conjonctive et de l'abolition du réflexe ph
mpagner de troubles de la sensibilité, en particulier d'une thermo-
anesthésie
très accusée, on est naturellement amené à incrim
constaté ni atrophie musculaire, ni scoliose, etsurtout parce que l'
anesthésie
, comprenant la face, frappant d'emblée et sans la
roubles de la sensibilité se bornent chez noire malade à une légère
anesthésie
de l'extrémité des membres inférieurs, remontant
t signalé des propriétés sédatives sur les fonctions génitales et l'
anesthésie
pharyngée. D'après les recherches d'Albertoni, il
fection de la queue de cheval aux cas où, aux membres inférieurs, l'
anesthésie
et la paralysie motrice respectent en majeure p
En fait de troubles objectifs de la sensibilité, on notait : De l'
anesthésie
, en bande, à la partie interne de chaque fesse et
, d'une eschare au siège, de (roubles des réflexes tendineux, d'une
anesthésie
en bande, anesthésie partielle. qui d'abord occup
ège, de (roubles des réflexes tendineux, d'une anesthésie en bande,
anesthésie
partielle. qui d'abord occupait, dechaque côté,
aire, responsable de l'incontinence d'urine. La distribution de l'
anesthésie
superficielle cadre très bien, également, avec
partie des racines du sciati- que. Aussi bien, chez notre malade, l'
anesthésie
.cutanée est circonscrite, de chaque côté, à la
che, à la planté du pied. Déjà la distribution asymétrique de cette
anesthésie
constitue un argument à invoquer en faveur de s
e la moelle sacrale sur toute sa hauteur, devrait occa- sionner une
anesthésie
de la muqueuse uréthro-yésirale et de la mu- qu
artie avoisinante delà fesse et de la cuisse. En haut, cette zone d'
anesthésie
est limitée par une ligne horizontale qui passe p
let, elle se réduit à une étroite languette. Au pied, on retrouve l'
anesthésie
à la plante, et à la partie externe de la. face
thésie à la plante, et à la partie externe de la. face dorsale. L'
anesthésie
, complète à la fesse, va en diminuant d'intensité
la plante, elle est de nouveau presque complète. Au demeurant, l'
anesthésie
affecte avec une égale intensité les trois ma-
ermittentes, à caractère fulgurant, sur le trajet du scia- tique.
Anesthésie
de la moitiégauche du scrotum, de la verge, du pé
, de -haut en bas.1 .. , AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 485 L'
anesthésie
se retrouve à la plante, et à la partie externe d
L'abolition du réflexe achilléen ; l'abolition du réflexe anal. Une
anesthésie
qui réalise la topographie, si particulière, que
de la face dorsale du pied. Celle circonscription unilatérale de l'
anesthésie
parle déjà hautement en faveur du siège radicul
limitée à une moitié de cette substance, de façon à occasionner une
anesthésie
strictement unilatérale. Au contraire, cette disp
et motrice de ces organes. 48G RAYMOND Il a, présentement, de l'
anesthésie
uréthro-vésicale, sans troubles con- comitants
même, il présente l'abo- lition du réflexe anal, en rapport avec l'
anesthésie
de la portion la plus inférieure du gros intest
n même temps, l'examen du malade a fait constater l'existence d'une
anesthésie
circonscrite au domaine d'innervation du plexus s
n affaiblissement de la sensibilité au tact et à la température ; l'
anesthésie
est surtout très accusée à la jambe et à la parti
t'comment on pouvait compren- dre, selon nous, la prédominance de l'
anesthésie
au membre inférieur ; elle peut être attribuée
ues des racines postérieures des membres inférieurs. Si à la face l'
anesthésie
est bilatérale, c'est sans doute parce que le f
-Y. llled. J., 1897),qui concerne un homme atteint d'analgésie et d'
anesthésie
à la température de toute la moitié gauche du cor
liés aux affections nerveuses : chorées, tics, attaques convulsives,
anesthésies
, contractures et parésies hystériques, hoquet hys
tigmates péri-mammaires, iliaques, conjonctivaux, épiglottique. Pas d'
anesthésie
. Pas d'amblyopie. Pas de diminution de l'ouïe.
ronique, localisé dans un membre, il sera bon, après avoir provoqué l'
anesthésie
de la région, d'imprimer des mouvements à l'arti-
les malades accusaient des sensations douloureuses. Dans les cas d'
anesthésie
hystérique, le massage de la peau, associé à la s
aide. Pas d'incontinence urinaire ni de matières intestinales ; pas d'
anesthésie
cutanée. La malade fut mise directement en comm
rine (il urinait goutte à goutte dans un urinai), ce malade avait une
anesthésie
complète de la verge, du scrotum et de la région
lète de la verge, du scrotum et de la région périnéale voisine. Cette
anesthésie
n'était pas limitée à la peau et s'étendait à la
s, comme des bottines, et étaient limités par une ligne circulaire. L'
anesthésie
et l'analgésie étaient complètes, de sorte que le
et chez lequel aucune médication n'avait agi, lorsque je constatai l'
anesthésie
delà verge, du scrotum, du périnée et de la muque
ons au sulfate de cuivre, le cuivre étant le métal actif. Restaient l'
anesthésie
uréthrale et rectale qui furent graduellement gué
ncer à son urinai. Le même traitement fut appliqué à la guérison de l'
anesthésie
des pieds, malheureusement il ne put être continu
me facilement en contracture permanente. Dans l'état léthargique, l'
anesthésie
^est variable, plus ou moins complète, les sens pa
s, l'hyperexcitabilité neuro-musculaire fait complètement défaut. L'
anesthésie
est complète, le tégument externe reste insensibl
léger état de parésie affectant certains membres, et par des zones d'
anesthésie
et d'hypereslhésie. C'est, le plus souvent, l'hys
supplice le plus intolérable s'il n'engendrait pas en même tempï une
anesthésie
qui s'accroît à mesure que s'approche la syncope,
de l'Ecole, et une conférence de M. le Dr Pinet sur l'historique de l'
anesthésie
, le secrétaire général. M. Francis Jean, a lu le
effets observés par moi jusqu'ici est la suivante; 1° Analgésie, puis
anesthésie
, d'abord superficielle, ensuite profonde des part
une partie quelconque du corps du sujet y produit les mêmes effets d'
anesthésie
, d'attraction, de picotement, etc., que produisai
la pointe de la baguette pour obtenir en moins de quelques secondes l'
anesthésie
de la pointe visée. D'autre part, en faisant deux
uand le contact a lieu sur la rotule du genou gauche, on en conclut l'
anesthésie
de cette partie et on s'assure, par des pincement
es pincements, par des piqûres, de l'étendue et de la profondeur de l'
anesthésie
ainsi produite. Il ne m'appartient pas de faire
ille revient à son état normal. Il existe do plus, du même côté, de l'
anesthésie
de la conjonctive bulbaire avec conservation de l
ulier celui résultant de la chloroformisation ou de l'éthérisation. L'
anesthésie
par le chloroforme comprend trois périodes qui se
ième période de la chloroformisation est la période chirurgicale de l'
anesthésie
, c'est la période cérébro-médullaire que l'on pou
y insisterai pas. Les trois degrés que nous venons d'étudier dans l'
anesthésie
chloroformique peuvent se retrouver dans le somme
citations violentes, anormales, par le même mécanisme, produiront les
anesthésies
et paralysies hystériques. Inversement, l'hypnoti
suite d'une violente émotion, tomba dans une léthargie complète avec
anesthésie
, diminution des sécrétions et de la respiration.
ifiés en raison même de cette rupture. Un homme qui naîtrait avec une
anesthésie
généralisée à tous les sens et au tube digestif v
ent au traitement. Le sommeil obtenu fut très profond. Je constatai l'
anesthésie
à la piqûre et l'amnésie au réveil. Deux jours ap
r à me laisser intervenir pendant l'accouchement, afin de provoquer l'
anesthésie
par l'hypnotisme. Il voulut bien accepter ma prop
n a complété sa conférence par des démonstrations expérimentales. Les
anesthésies
, les contractures, les paralysies, les amnésies,
les diverses variétés de troubles sensitifs (hyperes- thésies et
anesthésies
); celles des cordons latéraux, du moins du fais
ion dura quatre ans; en der- nier lieu l'état était le suivant : 1°
anesthésie
plan- taire, diminution du sens musculaire, pui
ne particularité assez singulière, c'est l'absence de douleurs et d'
anesthésie
, malgré l'exis- tence d'une lésion très prononc
ach avait évolué sans son cortège de douleurs habituel; quant à l'
anesthésie
, elle serait surtout sous la dépendance de la l
lité générale chez notre malade et, de même qu'il n'y a jamais eu d'
anesthésie
, jamais nous n'avons constaté de paralysie. Tou
ne le rapportions que sous réserves. Hypnotisme. Pour déterminer l'
anesthésie
, nousavonseu recours d'autre part à l'hypnotism
Elle présentait les symptômes les plus nets delà grande hystérie :
anesthésie
cutanée générale; rétrécissement considérable du
scles du membre supérieur gauche. Arthropalhie du coude à gauche.
Anesthésie
et parésie des membres du côté gaurlee. - (Obse
gourdissement sur la partie latérale droite de la face et du crâne;
anesthésie
plantaire : le malade nous dit qu'il ne sent pa
urer de l'existence antérieure ou actuelle des symptômes (douleurs,
anesthésies
ou hyperesthé- sies), qui traduisent la lésion
com- plète ou incomplète. Elle ne s'accompagne pas généralement d'
anesthésie
vésicale, sauf pourtant quelquefois chez les hyst
manifestent souvent à la fois sur la vessie et sur l'urèthre, a) L'
anesthésie
tactile de la vessie a été peu étudiée ; mais l
, a) L'anesthésie tactile de la vessie a été peu étudiée ; mais l'
anesthésie
de l'urèthre est facile à constater dans maintes
ant de remarquer que, dans le cas d'hystérie, où on peut admettre l'
anesthésie
tactile de la vessie, puisque l'anes- thésie es
ue de la sensibilité tégumentaire. Dans les myélites transverses, l'
anesthésie
s'ac- compagne de paralysie de la vessie ou des
lité de l'urèthre et de la vessie se présentent sous trois formes :
anesthésie
, dysesthésie, et crises douloureuses, qui, comm
imparfaitement par l'ab- sence delasensation du besoin d'uriner. L'
anesthésie
del'urèthre peut, au contraire, se constater di
d'ailleurs, le ma- lade déclare qu'il ne sent pas passer l'urine. L'
anesthésie
de la vessieetcelle de l'urèthre semblent aller
oujours de pair; mais la dissociation n'est pas impossible, car ces
anesthésies
viscé- rales constituent, à pioprement parler,
ces anesthésies viscé- rales constituent, à pioprement parler, des
anesthésies
en plaques qui s'étendent plus ou. moins autour
e fait d'une manière in- consciente. Ajoutons que, comme les autres
anesthésies
en plaques de l'ataxie, l'anesthésie vésicale p
joutons que, comme les autres anesthésies en plaques de l'ataxie, l'
anesthésie
vésicale peut se modifier, s'at- ténuer d'un mo
du besoin de la miction chez certains sujets. Si nous considérons l'
anesthésie
des voies urinaires comme une anesthésie en pla
s. Si nous considérons l'anesthésie des voies urinaires comme une
anesthésie
en plaques, nous ne pouvons guère concevoir que
une anesthésie en plaques, nous ne pouvons guère concevoir que l'
anesthésie
de l'urèthre puisse exister quand la sensibilité
oue le principal rôle dans le besoin d'uriner. Quoi qu'il en soit l'
anesthésie
de l'urèthre en- traine des inconvénients multi
rfois inconsciente d'un filet d'urine, l'incoordination vésicale, l'
anesthésie
vésicale et uréthrale,constituent autantde Char
les que les troubles somatiques (hémiplégie faciale incom- plète et
anesthésie
du bras droit). Le traitement spécifique eut rai-
es, de la paraplégie progressive (pieds comme cloués au sol) avec
anesthésie
, analgésie, disparition des réflexes dans les deu
ormes, des élancements dans les quatre extrémités, des sueurs, de l'
anesthésie
par régions; tous accidents d'origine médullair
rtielles et passagères, hystéro-épilepsie, de la toux hysté- rique,
anesthésie
et ataxie hystériques, de l'anorexie hystérique,
ions, sans qu'il soit souvent nécessaire de faire autre chose que l'
anesthésie
de la peau, comme par exemple pour les plaies d
ones, qui sont beaucoup plus faciles à déterminer quand il s'agit d'
anesthésie
que d'hyperesthésie. P. S. 111. SUR LES TROUB
au point d'origine de la hui- tième paire dorsale. Il existait une
anesthésie
de toute la zone du huitième nerf dorsal à droi
onfirme les vues de Head. De plus, on constatait que dans la zone d'
anesthésie
, la douleur était inter- prétée comme une sensa
nsation de tact. Il y avait analgésie sans anes- thésie. Il y avait
anesthésie
au froid et à la chaleur. Le sens muscu- laire
araplégie, douleurs vives et lancinantes dans les jambes et le dos,
anesthésie
bien marquée dans la jambe droite. Pas d'atroph
ise se termine par des larmes. » Le malade présentait en outre de l'
anesthésie
d'un membre. D'autre part dans les observations
rfs à la suite de la mort de son père. Elle présente, en outre, une
anesthésie
et analgésie complètes avec intégrité de la sen
, il signale un cas, dû à Lamotte, de para- lysie traumatique, avec
anesthésie
et troubles vaso-moteurs chez un garçon de bill
istance et chronicité des autres. Dans certains cas, par exemple, l'
anesthésie
ne durait que très peu de temps, tandis que la
erne des cuisses qui disparait quelques jours après. Il n'y a pas d'
anesthésie
nette localisée, ni d'hypereslhésie. Pas de t
une teinte violacée des extrémités des doigts alternant avec de l'
anesthésie
. Puis survint une nécrose des doigts de la main
ble des réflexes profonds une légère ataxie de la jambe gauche de l'
anesthésie
du sens musculaire, du tact, du sens thermique
. Ce cas se rattache assez étroitement à mes anciennes études sur l'
anesthésie
hystérique dont quelques-unes ont été exposées
il déclare ces phénomènes très rares. Dans mon propre travail sur l'
anesthésie
, je rappelai que sur un grand nombre d'examens
ort de sa maladie anesthésique totale. Il est à remarquer que cette
anesthésie
était en effet plus considérable au moment où l
de l'organe externe se rattache, suivant une loi bien connue, à'une
anesthésie
de l'organe interne. L'ouïe est presque abolie
ac- tères que j'ai ' autrefois 'décrits comme essentiels dans les
anesthésies
hystériques. Ces anesthésiM,dison's-6us ? spnt
YSTÉRIQUE. 349 mobiles' et' contradictoires. En 'premier' lieu, les
anesthésies
disparaissent'et réapparaissent sous'différente
ir la note sur les résultats du traitement a la fin de l'article. *
Anesthésie
et dissociation . (Revue philosophique; 1887, I,
? S,à,git"là ne e d'un trouble "de la perception personnelle, d'une
anesthésie
d'assimilation, en un mot, d'une anesthésie hys
tion personnelle, d'une anesthésie d'assimilation, en un mot, d'une
anesthésie
hystérique. 'Eh bien, les choses se passent exa
lerai seulement à, ce sujet une expérience bien connue, celle des
anesthésies
systématisées. On peut par suggestion faire dispa
l' <tU ? t ? P ? 1 ment altérées, le ne lais que vous rappeler l'
anesthésie
tact le \,l "4M . ? ; ? il ? L ? i ' pi'a"'1 ,,
nu -p..i-iii ' i -, r,;Duneman 4ère générale, dans son ensemble, l'
anesthésie
hysté- rique n'est pas le résultat d'une, idée
de sa chorée n'a jamais eu d'attaques de nerfs. Elle ne présente ni
anesthésies
, ni hyperesthésie ovarienne, ni rétrécissement
peu plus que la gauche, mais le réflexe pupillaire conservé. Pas d'
anesthésie
du côté gauche. Du côté droit, anesthésie compl
upillaire conservé. Pas d'anesthésie du côté gauche. Du côté droit,
anesthésie
complète de la région sourcilière etdesdeux pau
, mais ne rappelant en rien ce que l'on voit dans l'athétose. Pas d'
anesthésie
, sensibilité très nette et localisation parfait
le froid, etc., etc. Du côté droit, pas trace de paralysie, mais
anesthésie
totale des territoires innervés par les nerfs s
région dépassant un peu en étendue la surface de l'omoplate, il y a
anesthésie
absolue pour le courant faradique. Anesthésie p
de l'omoplate, il y a anesthésie absolue pour le courant faradique.
Anesthésie
pharyngienne. Amélioration considérable sous l'
luent les hystéries les plus graves de toute la France. Quant à l'
anesthésie
pharyngée uni ou bilatérale, elle a une très gr
ce extrême pour le diagnostic de l'hystérie. Si l'on constate cette
anesthésie
ou tout au moins une tolérance extrême du phary
rale est exci- table par la faradisation unipolaire, l'auteur après
anesthésie
et trépanation a essayé d'exciter les zones mot
geonnage du nerf à la cocaïne, la résistance diminue à mesure que l'
anesthésie
augmente, et quand elle est complète, la résist
urface de la peau. Aussi donne-t-il d'excellents résultats dans les
anesthésies
périphériques, l'impuissance sexuelle résultant
prismatiques ne leur procurent pas et ne leur procureront jamais. L'
anesthésie
locale par la cocaïne supprime la douleur penda
bosité. Paralysie complète du membre inférieur gauche, analgésie et
anesthésie
sans thermanesthésie de la verge, des bourses,
qui peu- vent présenter une topographie radiculaire et parfois des
anesthésies
en zones radiculaires. Il insiste sur l'extrême
éservoirs indiquent une lésion médullaire. Il en est de même pour l'
anesthésie
étendue à toute la partie du corps sous-jacente
sies flasques avec aboli- tion des réflexes, atrophie musculaire et
anesthésie
à topographie radicu- laire accompagnée de doul
à, la compression des racines des nerfs des réservoirs. L'absence d'
anesthésie
, lui fait pronostiquer « que la moelle n'est pa
qui éliminerait l'idée d'une lésion destructive de la moelle) avec
anesthésie
absolue jusqu'à l'ombilic.- Pas de gibbosité tu
ssible grâce à l'existence de troubles vésicaux et rectaux et d'une
anesthésie
surmontée d'une bande d'hyperesthésie ; on eut
lasque, avec abolition des réflexes tendineux, atrophie musculaire,
anesthésie
remon- tant jusqu'au pli de l'aine, avec, au-de
e de cas, de troubles objectifs de la sensibilité, hyperesthésie ou
anesthésie
, de toute la partie inférieure du corps, souven
: 1° A la suite de douleurs interscapulaires, paralysie flasque et
anesthésie
des membres inférieurs, avec rétention d'urine.
légie flasque, avec atrophie musculaire. Lors- qu'il s'y ajoute une
anesthésie
à topographie correspondant au territoire des r
la région occipitale et la nuque : puis survint une paraplégie avec
anesthésie
étendue aux 4 membres, sans troubles sphinc- (1
ue complète des membres inférieurs avec rétention des réservoirs et
anesthésie
occupant, aux membres supérieurs, le domaine du
la compression des mêmes racines se traduit par l'association de l'
anesthésie
aux douleurs et aux phéno- mènes d'hyperesthési
douleurs et aux phéno- mènes d'hyperesthésie ; presque toujours, l'
anesthésie
affecte le caractère dissocié. La paralysie des
etc.). Chez notre malade, ce complexus symptomatique, associé à une
anesthésie
dissociée (thermo-anesthésie ; anesthésie à la
ptomatique, associé à une anesthésie dissociée (thermo-anesthésie ;
anesthésie
à la douleur, pas exactement superposée à la th
e, flasque avec exagération des réflexes rotuliens, clonus du pied,
anesthésie
complète, rétention permanente des sphincters. A
Le malade J.... T.... 1er examen le 17 mai 1905. - On constate une
anesthésie
tactile (3) presque sur toute la surface de la
hypotesthésie au chaud, disposée d'après la même topographie que l'
anesthésie
tactile, le froid est presque normalement conserv
l'odeur de l'asa-foetida lui est indifférente. ' Le 10 novembre. L'
anesthésie
tactile sur le dos du corps est la même, mais s
x territoires. Partout l'hypoesthésie tactile a été remplacée par l'
anesthésie
. La peau du tronc et de l'abdomen présente cette
S DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE loi 7 Il est à remarquer que l'
anesthésie
de la cuisse est limitée devant par une ligne c
oindre, dans les autres nerfs et muscles. 11 existait aussi quelque
anesthésie
électrique. La sensibilité avait accusé des désor
graves le premier jour que fut examiné le malade ; il y avait de l'
anesthésie
douloureuse et thermique dans tout le bras et l
ucun nerf terminal, et, théoriquement, il y aurait une bandelette d'
anesthésie
à la face interne de l'avant-bras et partie du
ssent comme si le nerf radiculaire était im- prégné d'un poison qui
anesthésie
et paralyse les massues ; en effet, dans cette
tomo-cliniques. Étant donné d'une part le caractère radiculaire des
anesthésies
tabétiques, et de l'autre ce fait que les nerfs
es par kilo d'animal. Il nous a fallu, le plus souvent, compléter l'
anesthésie
par quel- ques inhalations d'éther. La sectio
lé- sion. Il a été impossible de se rendre compte de l'existence d'
anesthésie
croisée du trijumeau, l'état comateux des malad
eux au-dessous de la région lésée, de la paraplégie flasque et de l'
anesthésie
de toutes les formes de sensibilité. Il est mor
nt se distri- buent de la façon suivante : aux membres supérieurs l'
anesthésie
porte sur tout le membre jusqu'à la racine (à l
radial que sur le bord cubital, ce qui donne à la distribution de l'
anesthésie
une apparence radiculaire; aux membres inférieu
de l'anesthésie une apparence radiculaire; aux membres inférieurs l'
anesthésie
envahit toute l'étendue des tégu- ments (sauf l
ement à la syringomyélie. Nous trouvons en effet chez le malade une
anesthésie
à dissociation syringomyélique bien marquée, di
coupes d'un fragment de peau prélevé au niveau d'une des plaques d'
anesthésie
, rechercher le bacille de la lèpre : le malade
rçue, il existe un retard dans la transmission, retard qui, comme l'
anesthésie
, diminue à mesure que l'on se rapproche de la r
és), retard de plusieurs secondes dans la transmission avec thermo-
anesthésie
très prononcée. Mêmes particularités pour le froi
e présent travail la recherche de la topogra- phie radiculaire de l'
anesthésie
fut pratiquée plusieurs fois en 1898 et 1899, m
a sensibilité tactile sont les mêmes. Membres supérieurs. A droite,
anesthésie
absolue sur toute l'étendue de la face palmaire
uré plusieurs mois, paraplégie brusque des membres inférieurs, avec
anesthésie
et incon- tinence des réservoirs, chez une femm
mplète des membres inférieurs,flasque, mais avec signe de Babinski.
Anesthésie
complète pour tous les modes de la sensibi- lit
s, adducteurs et du psoas-iliaque : [signes d'une sciatique double;
anesthésie
dans le domaine des 2", 38, e sacrées à gauche
ur les lésions ? Une seule fois (obs. V) nous avons noté une zone d'
anesthésie
radiculaire, isolée entre deux régions où la se
oigts est fixée dans sa position de flexion. . Sensibilité : Il y a
anesthésie
tactile et hypoalgésie dans les parties dorsale
ermanente et qu'elle tient beaucoup plus à la désorientation qu'à l'
anesthésie
vraie. D'ailleurs, la lésion se trouve rapproch
ans les Archives générales de médecine.] Déjà lui-même avait noté l'
anesthésie
de la main et de l'avant-bras gauche, par ce fa
es phalangettes avec issue d'os au dehors. A ces lésions s'ajoute l'
anesthésie
spéciale occu- pant la main, l'avant-bras, souv
nt la main, l'avant-bras, souvent le bras tout entier. Mais à cette
anesthésie
de la maladie de Morvan se superpose chez notre
sie de la maladie de Morvan se superpose chez notre homme une autre
anesthésie
, bien différente, celle-ci, non pas dans ses mo
hésie, bien différente, celle-ci, non pas dans ses modes (c'est une
anesthésie
, avec analgésie et athermesthésie comme la préc
nos recherches elle constata avec nous qu'elle présentait une hémi-
anesthésie
droite particulièrement marquée au membre inférie
se réveille avec une paraplégie hystérique qui dure cinq mois et l'
anesthésie
qui l'accompagne se limite par une ligne cir- c
ses rêves et, peu à peu, s'installe une mono- plégie brachiale avec
anesthésie
en gigot qui dure plus de deux années. La sugge
ui donne une giffle d'un revers de sa main qui reste paralysée avec
anesthésie
en manchette2 : Un troisième3 (PL VIII) tombe à
son bâillement. Il existe des stigmates permanents de l'hystérie :
anesthésie
totale du bras droit; anesthésie de la moitié d
igmates permanents de l'hystérie : anesthésie totale du bras droit;
anesthésie
de la moitié droite du tronc, en arrière seulem
ent; dans quelques cas, cette dernière augmenta très notablement. L'
anesthésie
diminua; par contre, la paresthésie se maintint
jours suivants, on constata succes- sivement de la dysphagie, de l'
anesthésie
de la conjonctive, quelques pares- thésies le l
à la normale' sur une largeur de trois quatre travers de' doigt. L'
anesthésie
au froid (Fig. 68, 69) est complète pour les memb
'est pas altéré, ce qui enlève toute espèce de doute à cet égard.
Anesthésie
presque absolue de la conjonctive et de la cornée
elle plus fréquemment qu'on ne le suppose au ni- veau des plaques d'
anesthésie
. Mais peut-elle trouver une explica- tion légit
entre autres un cas de paralysie du sciatique poplité externe avec
anesthésie
à la douleur et à la température et conserva- t
ions propres au tabes. Mais il est juste de faire remarquer que les
anesthésies
cutanées si fré- quentes dans cette affection s
t touchée que le facial. L'émoussement de la sensibilité, ou même l'
anesthésie
de la face, est indiqué dans les observations d
Même état à la sortie. ans. XI. Ophthalmoplégie unilatérale avec
anesthésie
du trijumeau et divers troubles de la déglutiti
ix mois plus tard, ophtlhalmoplégie mixte complète unilatérale avec
anesthésie
du trijumeau. Le côté gauche est absolument nor
at absolument le même depuis deux ans ». En 1886, on constata une
anesthésie
du trijumeau, une faiblesse des extré- mités ga
lopper et reste invariable pendant quatre ans. Alors apparaissent l'
anesthésie
de la face, la parésie unilatérale de l'accommo
des Quinze-Vingts, le malade est pris de paralysie du pharynx avec
anesthésie
complète. Les aliments et les boissons refluent
mes permanents de l'hystérie sont toujours présents. Sensibilité. —
Anesthésie
complète à gauche; à droite, analgésie très-accus
embres du côté gauche, de même que l'hyperesthésie ovarienne et l'
anesthésie
, ce qui confirme une fois de plus la régie posée
contracture artificielle, etc. IV. — Nous avons vu que chez V... l'
anesthésie
avait envahi primitivement la moitié gauche du co
Nous n'avons trouvé jusqu'ici qu'une seule exception : chez Béch., l'
anesthésie
existe à droite et l'hyperesthésie ovarienne, ave
primitivement le côté gauche 23 fois et le droit 11 fois. Souvent, l'
anesthésie
, après avoir été circonscrite plus ou moins longt
tre moitié et se généralise. D'ordinaire, en pareille circonstance, l'
anesthésie
est plus accusée sur la moitié du corps frappée l
arguerite X.. .,ou incomplètement comme chez X... (p. 142). Quand l'
anesthésie
cutanée est complète, l'anesthésie sensorielle pe
omme chez X... (p. 142). Quand l'anesthésie cutanée est complète, l'
anesthésie
sensorielle peut être également complète. Toutefo
uemment, sinon toujours, d'une diminution de la force musculaire. L'
anesthésie
est sujette à de nombreuses variations. Elle augm
e des séries. Nous avons vu, à diverses reprises, des malades, dont l'
anesthésie
était générale, recouvrer la sensibilité dans la
de nitrite d'amyle, de valérate d'amyle et d'éthyle. Extension de l'
anesthésie
(1876). — Hyperesthésie ovarienne double. — Premi
ent, piqûre, froid et chaleur. (l) Il faut que la pression soit L'
anesthésie
affecte également les muqueuses de la moitié droi
5. — De 7 heures du matin à une heure de l'après-midi, 18 attaques. U
anesthésie
est toujours générale. 9 juillet. — De 10 heure
t à gauche. — Nous il avons ensuite noté 3 attaques avortées. L'
anesthésie
est totale et affecte la peau et les muqueuses ;
ts dus probablement au chloroforme et à des injections de morphine.
Anesthésie
générale ; — rétention d'urine ; — perte de la no
mélioration. Octobre. — Chlorure d'or et de sodium. 26 octobre. —
Anesthésie
absolue de tout le corps. 31 octobre. — X... a
oureux. La contracture de la langue, elle aussi, est précédée d'une
anesthésie
, d'une parésie (engourdissement, lourdeur, irrégu
nocturnes. 1er et 3 décembre. — On a noté des oscillations entre l'
anesthésie
et la sensibilité à diverses reprises. 9 décemb
able. Les manifestations somatiques, telles que les contractures, les
anesthésies
, les paralysies, sont en effet des plus caractéri
ouvé, à la suite de cette commotion, des phénomènes de paralysie et d'
anesthésie
dans la main et l'avant-bras gauches. Le médeci
, alors ils s'évanouissent. Dans tous ces cas, il ne s'agit point d'
anesthésie
hystérique, mais d'auto-suggestion. Ces faits n
consulter Charcot. Elle avait de l'œdème de tout le côté gauche, avec
anesthésie
et parésie du même côté. Elle a eu, en (1) Prés
totalement disparu. La disparition complète de la sensibilité c'est l'
anesthésie
. Si nous récapitulons tout ce que nous venons d
ète, régulière et ininterrompue, dont les grandes étapes seront : L'
anesthésie
. L;hypoesthésie ou la sensibilité retardée. La
exprimée par S ; l'hypoesthésie par S—n î l'hyperesthésie par S+n ; l'
anesthésie
par S—2ni 'a douleur par S+2n. Passons maintena
ptômes principaux : Tremblement d'abord hémiplégique et en même temps
anesthésie
et analgésie limitée à un côte. Plus tard, trem
côte. Plus tard, tremblement des quatre membres et en même temps l'
anesthésie
et l'analgésie s'étendant aux quatre membres. N
+ F+n — Sn+ + S-n + S La seconde formule, quand le tremblement et l'
anesthésie
sont généralisés sera : ( F+n + (F+n* F+n) = (S
n gauche, au niveau de l'épine dorsale, d'une part; et d'autre part
anesthésie
de la lace et des oreilles, rétrécissement du c
par une suggestion qui fait disparaître à la fois le tremblement et l'
anesthésie
c'est-à-dire qui rétablit l'équilibre. Ce cas me
née). Il n'est point impossible que, suivant l'idée de Romanes, cette
anesthésie
cataleptique se soit petit à petit développée par
s cas de ptosis hystérique, de parésies, de paralysies, de crampes, d'
anesthésies
, de sommeil hystérique, de diarrhées soudaines, d
Notons qu'il existe encore, dans tout le côté droit de la face, une
anesthésie
complète qui s'arrête suivant un trait vertical,
ait vertical, dès qu'on arrive à la ligne médiane. Il y a de même une
anesthésie
totale de la narine droite et de la moitié droite
ue d'amnésies spéciales, et celles-ci à leur tour sont indicatrices d'
anesthésies
sensitives et d'une dissociation du moi. L'hypnos
dié avec Burq les effets de la métallothérapie pour le traitement des
anesthésies
hystériques, notre maître Dumontpallier et son él
nsibilité générale. J'ai pu guérir de cette façon un grand nombre d'
anesthésies
hystériques et d'accidents divers de même nature.
t le forcent à s'asseoir. Insensibilité par plaques sur les membres —
anesthésie
plantaire. Sensation de boule et d'étranglement à
nesthésie plantaire. Sensation de boule et d'étranglement à la gorge,
anesthésie
pharyngienne. Pas de points hystériques propremen
rofesseur. Objet du cours : L'hypnotisme chez les hystériques : Les
anesthésies
Les lundis et les jeudis à cinq heures et demie,
, assis ou couchés, dégrafés ou complètement habillés; il procure une
anesthésie
immédiate et sûre ; au bout d'un temps variable,
professeur. Objet du cours : L'hypnotisme chez les hystériques : Les
anesthésies
. Les lundis et les jeudis à cinq heures et demie.
us décrirons chez certains de curieuses sensibilités électives ou des
anesthésies
systématisées.... Les sens exaltés chez un gran
s tout à fait avec Janet contre Bernheim. Entre la distraction et l'
anesthésie
hystérique, il y a des analogies, mais il n'en re
uge opportun de commencer. J'hypnotise Mme F. Je crée chez elle une
anesthésie
auditive : elle n'entendra pas son mari rentrer;
, l'écriture est subconsciente ; l'individu ignore ce qui se passe; l'
anesthésie
de la main droite est totale. Ici, la sensibilité
En seconde année j'ai examiné les phénomènes miraculeux : guérisons,
anesthésies
des martyrs, etc., et montré qu'ils s'expliquaien
vertèbre sacrée, mais sans pouvoir atteindre sa limite supérieure).
Anesthésie
typique de la région anale fessière et des organe
té du pied) confirme celle supposition.En sa faveur parlent aussi l'
anesthésie
du périnée (bilatérale) tellement typique pour ce
sensibilité est plus atteinte à droite qu'à gauche. Il n'y a pas d'
anesthésie
com- plète. Le malade donne des réponses fausse
avancée de la maladie. Quant aux autres symptômes radiculaires, les
anesthésies
sont très rares. Il y a parfois des symptômes d
pas atrophie appréciable des muscles paralysés. On notait un peu d'
anesthésie
diffuse des mains sans localisation spéciale ;
d sont bien perçues chez Marguerite et qu'il n'existe aucun degré d'
anesthésie
thermique. - La sensibilité à la douleur para
on peut observer un cortège des symp- tômes tabétiformes (douleurs,
anesthésies
, troubles trophiques, troubles de l'équilibre,
rité elle ne sait pas jusqu'à quel point elle est sincère. Dans les
anesthésies
, il en est de même, simulation en partie conscien
STERIE TRAUMAT1QUE 205 instants, dont peu sont capables. Dans les
anesthésies
, lorsqu'il s'agit de supporter, avec un visage
ignalons enfin que presque toujours à la paralysie se superpose une
anesthésie
complète ayant les mêmes limites. Dans son raison
s hyperesthésies ac- compagnant ou non des contractures, il y a les
anesthésies
. Elles ont tenu dans l'histoire de l'hystérie u
ptomatologie. Il faut, il est vrai, les distinguer tout d'abord des
anesthésies
organi- ques : leur localisation ne répondant à
i plus tard vint à se manifester la paralysie du facial dedroite, l'
anesthésie
dans la région correspondant à la première et à
ons pris en considération en premier lieu la limite supérieure de l'
anesthésie
et la zone des douleurs en ceinture. En nous
s nous sommes arrivés à la conclusion que la limite supérieure de l'
anesthésie
dépend des VIIIe et Vile segments dorsaux. D'
ques heures. 5 août. Hier il y avait l'incontinence de l'urine avec
anesthésie
de l'urèthre. 16. L'incontinence de l'urine a
ensation de cons- triction en ceinture dans la région abdominale. L'
anesthésie
atteint la ligne ombilicale à droite, à deux tr
chaque repas. Incontinence des matières fécales et de l'urine avec
anesthésie
. La paraplégie est devenue fiasque.' Les réflexes
sur le côté gauche lui était surtout difficile. Vu la limite de l'
anesthésie
au-dessus de la ligne ombilicale, nous pen- sio
es inférieurs est complète. Les réflexes patellaires sont abolis. L'
anesthésie
sur le tronc arrive jusqu'à la IVe côte. Thermo
de l'articulation du cou-de-pied gauche est apparue une vésicule. L'
anesthésie
en avant arrive jusqu'à la IVe côte, en arrière à
rs des membres supérieurs tantôt croissaient, tantôt dimi- nuaient.
Anesthésie
complète des jambes et des régions du coude. Inco
ysie complète des jambes avec abolition des réflexes patellaires et
anesthésie
jusqu'à la IVe côte. Escarre. Rétention d'urine
alysie complète des jambes, troubles urinaires et de la défécation,
anesthésie
des jambes et du tronc jusqu'à une certaine lim
et du tronc jusqu'à une certaine limite et aux membres supérieurs,
anesthésie
des zones radiculaires). Il était évident qu'il
par les deux foyers localisés dans les cordons latéraux; de même l'
anesthésie
et les troubles profonds des sphincters ne pouv
des deux côtés, les réflexes cutanés étaient plus faibles du côté d'
anesthésie
, mais on pouvait remarquer des rétractions volo
chilléens et les plantaires sont abo- lis. Enorme escarre sacrée. L'
anesthésie
est complète dans les régions décri- tes plus h
ymptômes nous avons constaté, ainsi que d'autres neurologistes, une
anesthésie
dans certaines zones cor- respondant'aux racine
une grande importance. Bruns de même trouvait assez rarement celle
anesthésie
radiculaire. Généralement la zone d'anesthésie ra
assez rarement celle anesthésie radiculaire. Généralement la zone d'
anesthésie
radiculaire, si elle existe, passe immédiatemen
d'anesthésie radiculaire, si elle existe, passe immédiatement en (,
anesthésie
médullaire». Quelque- fois cette zone est sépar
, anesthésie médullaire». Quelque- fois cette zone est séparée de l'
anesthésie
médullaire par une zone de sensibilité all'aibl
Devic-Tolot, Fhamayer, Oppenheim, Putnam-Warren, M. et d'autres). L'
anesthésie
peut siéger dans un endroit bien éloigné de la tu
ndre en considération les symptômes radiculaires (les douleurs, les
anesthésies
segmentaires et les atrophies musculaires), de
les phénomènes spastiques, la paralysie spasti- que ou nasique, les
anesthésies
du type médullaire, l'état des réflexes et des
mes qui sont entrés en scène au début de la maladie (la limite de l'
anesthésie
, la localisation des douleurs radiculaires) n'o
la tumeur (Bruns, Oppen- heim, Nonne), elles donnent la limite de l'
anesthésie
supérieure à celle créée par la tumeur. A cause
lus souvent elles s'irradient vers les pieds. Puis apparaissent des
anesthésies
dans la région recto-génitale et celle innervée
es douleurs dans la région de la vessie et du plexus sciatique, des
anesthésies
apparaissant dans les stades avancés.de la mala
l'absence presque complète des douleurs, l'appari- tion précoce des
anesthésies
qui peuvent réaliser le type de dissociation de
mauvais temps. 3° La sclérose en plaques peut également provoquer l'
anesthésie
de cer- taines régions. Nous avons pu observer
ri avons jamais noté la transformation de celte hypoesthésie en une
anesthésie
complète, comme c'est le cas assez souvent dans
de la queue de cheval. Un cas d'ophtahztohlégie, Syringomyélie avec
anesthésie
totale, Syndrome de Brown-Séquard, Un cas de tume
eim, un an après l'opération on pouvait encore constater une zone d'
anesthésie
radiculaire. Quelquefois on n'observe pas d'amé
bétiques. Parfois aussi il y a des zones d'hypoesthésie ou même d'
anesthésie
à type radiculaire. Enfin, mais rarement, on po
des réflexes cutanés dans les parties paralysées, et enfin d'une
anesthésie
totale dans la moitié inférieure du corps. Plus t
cifique ; on constata en outre au bout de quelque temps une hémi-
anesthésie
complète du côté droit avec rétrécissement du cha
- bles les mouvements de la tête. On constate un degré variable d'
anesthésie
au toucher, à la chaleur et au froid, surtout aux
0. » A ce même ordre d'idées se rattache la théorie polygonale des
anesthésies
. On détermine par suggestion l'insensibilité à
nalité entière, morale et libre. Lorsqu'on étudie attentivement ces
anesthésies
, on se rend compte qu'elles sont psychiques au
t des signes évidents de douleur. En persuadant à l'hypnotisé que l'
anesthésie
va disparaître et faire place à une hyperesthés
e ainsi anesthé- sique. Ce qui prouve le caractère psychique de ces
anesthésies
c'est que jamais les hypnotisables (les hystéri
souvent de dépression mélancolique simple. Les malades offrent une
anesthésie
morale, une indifférence fort pénible pour l'en
iblesse des extrémités, avec douleurs surtout localisées aux pieds,
anesthésie
profonde et phénomènes paralytiques. Les troubl
te, d'une hémiplégie lin- guale du même côté. Il existait aussi une
anesthésie
au tact et à la piqûre affectant la forme de ba
nt la forme de bas et de gants jusqu'à mi-cuisse et jusqu'au coude.
Anesthésie
de la face et de la langue du côté paralysé. Ce
e pour les nerfs frontaux. Il est à remarquer que non seulement l'
anesthésie
mais encore l'éruption lépreuse affectent la di
oubles sensitifs, sans dissociation des diverses sensibilités, sans
anesthésies
totales, qui sont bien plutôt d'ordre objectif,
, névrite optique ancienne à droite. Troubles de la sen- sibitité :
anesthésie
douloureuse sur tout le côté gauche, au-des- so
té gauche, au-des- sous de la quatrième paire cervicale; à droite l'
anesthésie
à la douleur est légère et se trouve seulement
t légère et se trouve seulement dans la zone radiculaire externe. L'
anesthésie
thermique occupe exactement le même terri- toir
stériques : inégalité variable de la pupille, sensibilité troublés (
anesthésie
et h3·peres- thésie se superposant), réflexes e
et de la main innervés par le médian. A la main troubles sensitifs (
anesthésie
totale) et troubles trophiques correspondants,
kératodermie tranchant nettement sur les régions saines voisines. -
Anesthésie
acoustique. M. EGGER, Quand on fait vibrer un d
ns'1'hémianesthésie organique de l'hémiplégie où l'in- tensité de l'
anesthésie
n'est jamais aussi complète que dans l'hys- tér
sur les parties anesthésiées, n'est plus perçu. Une ataxique, avec
anesthésie
osseuse des quatre membres, n'a plus aucune per
and un puissant diapason vibre sur un point quelconque du squelette
anesthésie
. Il y a quatre ans, le sternum et les clavicule
ssamment le son, aujourd'hui ces os, étant atteints eux aussi par l'
anesthésie
osseuse, la perception sonore est de même aboli
tives on est obligé de le sonder ; chose curieuse, il présente de l'
anesthésie
rectale, anale et uréthrale. Je lui ai administ
aire ; contracture en flexion de la jambe gauche sur la cuisse avec
anesthésie
en genouillère superposée. Parésie des deux mem
s avec ataxie, mouvements choréiformes, soubresauts des tendons, et
anesthésie
passagère en manchette. Grandes crises hystériq
brachiale, puis en véritable hémiplégie. Exagération des réflexes ;
anesthésie
droite. Deux grandes crises épileptiformes, tem
clure : 1° Qu'elle offre autant, sinon davantage, de sécurité que l'
anesthésie
géné- rale ; 2° Que l'on peut en toute sûreté e
ue le choc, " lorsqu'il existe, est certainement moindre que dans l'
anesthésie
générale; 4° Qu'avec ce procédé, le risque de c
e pouvant se généraliser, troubles de la sensibilité (hypoesthésie,
anesthésie
), et quelques trou- bles cardiaques (tachycardi
adiale droite. Elle supporta l'opération pendant quatre heures sans
anesthésie
, faisant preuve d'une insensibilité absolue. De
te période, et principa- lement à son paroxysme, elle manifesta une
anesthésie
pro- fonde, symptôme faisant plutôt partie du t
es. 496 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Brissaud objecte qu'il s'agit d'une
anesthésie
toute simple et n'admet pas que le sens stéréog
. La perte des sensibilités- pro- fondes surtout est absolu. Il y a
anesthésie
osseuse, perte de la perception stéréognostique
zontales et symétriques, suivant la disposition métamérique; puis l'
anesthésie
s'est établie définitivement. Dans les premiers
an. La facilité des couches indique probablement l'exis- tence des
anesthésies
profondes. Bientôt après les couches com- mencè
le membre où l'hémisection de la moelle épinière avait produit de l'
anesthésie
, souvent l'anesthésie était remplacée par l'hyp
tion de la moelle épinière avait produit de l'anesthésie, souvent l'
anesthésie
était remplacée par l'hyperesthésie. Chez presq
s médical, 1881, nos 12 et 13.) 42 1) PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE.
anesthésie
légère. Immédiatement après, il étirait le nerf
débarrassé du crochet et soi- gneusement remis en place. On cesse l'
anesthésie
et 1 E. Cyon. Alethodik des physiol. expériment
echerches lorsque nous n'avions pas encore bien éta- bli le degré d'
anesthésie
qu'ils peuvent supporter. Nous n'avons pas obse
évident du mouvement dans les extrémités pestérieures, une parfaite
anesthésie
de la queue, du périnée, des surfaces postéro-i
, le train posté- rieur titubant; en marchant, décote et d'autre, l'
anesthésie
est plus étendue. Peu de temps après, il se pro
é (violentes douleurs); puis très fréquemment on voit survenir de l'
anesthésie
, si légère soit- elle. Voilà des symptômes qui
ET les aliénés ; par Thomsen. (Neu- rolog. Centralbl., 1884.) Les
anesthésies
et hémianesthésies sensorielles (rétrécisse- me
lle). Chez l'épileptique, l'ictus ou son équivalent ne provoque l'
anesthésie
sensorielle (rétrécissement concentrique du champ
est également persistante, quelles qu'en soient les oscillations. L'
anesthésie
sensorielle manque dans REVUE DE PATHOLOGIE MEN
enter quelques manifestations névrosiquess, attaques convul- sives,
anesthésies
, contractures passagères, etc. En résumé, état
, la narine du même côté paraissent aussi dénuées de sensibilité.
Anesthésie
pharyngienne. T'r<ft'<eMic ? : <. Appl
phorèse et la salivation. 22. -Même contracture des quatre membres.
Anesthésie
géné- ralisée. Jusqu'ici, on avait inutilement
s entière. Cette modification de la mémoire parait plutôt due à une
anesthésie
ou à une paralysie de ces cellules qu'à un défa
L HYSTÉRO-ÉI'ILEPTIQUE A la SUITE D'UNE opération CHIRURGICALE avkc
anesthésie
; par M. E. VALUDE, interne des hôpitaux. (Fr.
des cordons postérieurs. P. M. XXXVII. Monoplégie brachiale avec
anesthésie
; par C.-J. NIaO.I. (Tnans. of the Academy of me
à plonger son bras dans l'eau froide. Il survint immédiatement de l'
anesthésie
de la main, puis de la faiblesse musculaire. Pe
anesthésie de la main, puis de la faiblesse musculaire. Peu à peu l'
anesthésie
et la parésie remontèrent jusqu'à l'épaule. Tou
les muscles du membre supérieur étaient en état de parésie, mais l'
anesthésie
dépassait les limites de la paralysie et s'éten
sagers (convulsions, paralysies, sopor, vertiges, hyperes- thésies,
anesthésies
, fièvre). En étudiant ces combinaisons, on arri
des troubles de la vessie et du rectum, différentes paresthésies et
anesthésies
dont l'apparition, d'après l'opinion de MM. Cha
es ont disparu', il ne reste que la parésie de la jambe gauche avec
anesthésie
. 8. Attaque de léthargie de trois heures à onze
Les idées, détruites antérieurement, ne reviennent pas : parésie et
anesthésie
constantes de la jamhe gauche. 9 décembre. L'
arésie et anesthésie constantes de la jamhe gauche. 9 décembre. L'
anesthésie
a disparu avec la paralysie par suite de l'élec
solé ; en général elles sont associées à divers troubles sensitifs,
anesthésie
ou hyperesthésie. Nous devons dire qu'aucune de
me les nerfs moteurs et les nerfs mixtes ont été trouvés intacts, l'
anesthésie
émanait de l'atrophie des nerfs sensitifs. Plan
uque. La paraplégie est complète avec contracture ou extension. L'
anesthésie
est étendue à toute la partie inférieure du corps
bsolument inconnus. Cinquième état. - Absence de toute paralysie et
anesthésie
. Obtenu par le bain électrique ou l'application
d'hystéro-épilepsie. Sixième ÉTAT. - Absence de toute paralysie et
anesthésie
. Obtenu par l'application d'un barreau de fer s
ts chez les individus sains. Chez les malades, on produit ainsi des
anesthésies
, mais on ne fait pas disparaître les contractur
aires comme de tumeurs. La sensibilité cutanée est altérée : il y a
anesthésie
à la piqûre sur toute la surface du corps sauf
tout normale au tact, Ù la piqûre, au chaud, au Jroid; nulle part d'
anesthésie
ni sur le tronc, ni sur les membres.' Il n'y a
anorexie pure, telle que nous l'avons constatée ici, est liée à une
anesthésie
de celle muqueuse,n'a pu être éclaircie ici; dè
a paroi abdominale au niveau de la région gastrique ; on sait que l'
anesthésie
ou l'hyperesthésie de cette région ac- compagne
la grande névrose, et, en particulier aucun des troubles sensitifs (
anesthésie
ou hyperesthésie) dont la localisation épigastr
e cas d'un hystérique chez qui l'atonie abdominale s'accompagnait d'
anesthésie
épigastrique. Si, par suggestion, on supprimait
diatement, est pratiquée par M. Nové-Jos- serand le 27 septembre.
Anesthésie
à l'éther. On mène d'abord une longue incision mé
que soir, et un muguet qui dura 4 ou 5 jours. Le 4 octobre, sous
anesthésie
, on complète l'opération ; on excise en- core d
lsions suivies de léthargie en témoignent suffisamment, ainsi que l'
anesthésie
généralisée « qui rendait son corps insensible au
n'y avait pas de battement de paupières, pas de salutations, pas d'
anesthésie
ni stigmates hystériques d'aucune sorte. On pou
e prostration complète et d'affaiblissement extrême. Il n'existe ni
anesthésie
ni hyperesthésie au contact ou à la piqûre de l
ions de fourmillement intense, piqûres d'épingle au boutdes doigts,
anesthésie
des extrémités supérieures. Il lui arrive souvent
sibilité dimi- nuée, à tous les modes, dans les membres inférieurs.
Anesthésie
oculaire, pas d'anesthésie pharyngée. Les réfle
les modes, dans les membres inférieurs. Anesthésie oculaire, pas d'
anesthésie
pharyngée. Les réflexes tendineux sont abolis. L'
et les muscles profonds de la main. Bientôt enfin on constate de l'
anesthésie
dans la sphère du péroné droit. Amélioration pa
cent ainsi qu'une, périostite du crâne. A la fin de l'année 18J0, l'
anesthésie
avait remonté jusqu'aux épaules, en février 189
écrose des tissus des mains, par les traumatismes fréquents dus à l'
anesthésie
de ces parties. La main droite perdit la derniè
des panaris indolents, des amputations spontanées de phalanges, des
anesthésies
cutanées complètes, accompagnées des troubles par
ésentait une hémi-anesthésie sensitivo-sensorielle du côté droit. L'
anesthésie
n'était pas limitée seulement aux téguments,
peu plus que la gauche......... la paralysie siégeant ,¡ gauche, l'
anesthésie
était complète à droite Etat mental. Pendant
r chevelu correspondant avec le territoire du nerf sus-orbitaire, l'
anesthésie
était complète. Elle s'étendait à la cornée. Su
où la sensation était émoussée pour le toucher et la douleur. Pas d'
anesthésie
dans le territoire alimenté par la troisième br
miplégie gauche, Ilasque, avec participation du facial inférieur. L'
anesthésie
des premiers jours s'était beaucoup atténuée, e
n à la face dorsale du pied droit et un mal perforantplantaire avec
anesthésie
au pied gauche. Il a de l'exa- gération des réf
r, un autre a refusé l'opération demandée, à cause des dangers de l'
anesthésie
et de l'hémorragie. D'autres ont diagnostiqué un
amen resta incomplet. Voici donc les résultats de la palpation sans
anesthésie
: sur le plan antérieur, à deux cen- timètres à
La sensibilité osseuse est très bien conservée, mais il éxiste une
anesthésie
articulaire pro- fonde remarquable : les articu
e avec conservation de la sensibilité cutanée à leur surface. Pas d'
anesthésie
épigastrique profonde. Insensibilité des région
ait en môme temps hystérique et particulièrement intéressante par l'
anesthésie
géné- ralisée de la peau et des muqueuses. (1
la tempe droite. Il avait guéri d'une hémiplégie gauche avec hémé-
anesthésie
, surdité à gauche et amaurose double. Il ne lui r
be gauche, une contracture des doigts du même côté et des plaques d'
anesthésie
. On trouva la balle dans la partie antérieure de
ceux qui ont été apportés à sa physionomie par l'âge. Depuis 1894 l'
anesthésie
sensitivo-sensorielle du côté gauche a disparu.
oes- thésie plantaire, un peu de sensation de tapis sous les pieds.
Anesthésie
pharyngée, testiculaire; un peu de paresse vési
fications opposées. Observation XVII. POUILLET (A). Hémiplégie et
anesthésie
traumatiques Courrier. - médical de Paris, 1874
lysie absolue du côté gauche, la sensibilité intacte du côté droit,
anesthésie
complète du membre supérieur, légère insen- sib
ieur, légère insen- sibilité du membre supérieur. Ces hémiplégie et
anesthésie
provenaient de la flèche entrée dans le cou à u
aliments de ce côté. Depuis le haut du cou jusqu'en bas du corps l'
anesthésie
siège à droite, mais elle est moins complète. Pen
x de Paris, t. XXVI, p. 586. 1874. Pouillct (A.). - Hémiplégie el
anesthésie
traumatiques . Courrier médical de Paris, t. XX
troubles paraly- tiques congénitaux (paralysie faciale congénitale,
anesthésie
trigémellaire) ou à d'autres malformations. /
T BARNEFF de l'oeil; malformation des doigts, des mains, des pieds,
anesthésie
du trijumeau, paralysie faciale : La croissance
ans presque tous les cas en très bon état. Il existe cependant de l'
anesthésie
trigémellaire et de la surdité unilatérale dans
cas dans lesquels des sy- ringomyélies authentiques existaient avec
anesthésie
totale ! Et nous savons d'autre part que la dis
rrachoit, et quelquefois tom- boit sans y toucher ». Ce mélange d'
anesthésie
et de cautérisation locale mis en usage il va a
uelles on peut ajouter foi) s'est toujours montré accompagné soit d'
anesthésie
superposée et de contracture musculaire sous-jace
t il s'agit répondent à une topographie seg- mentaire. Quant il l'
anesthésie
douloureuse et à la thermo-aneslhésie, elles sont
sensibilité ; nous avons trouvé sur notre malade de larges zones d'
anesthésie
à la piqûre, ou plus exactement d'hypoeslhésie tr
a myopathie. La disposition un peu irrégulière et anormale de cette
anesthésie
ne nous a pas permis d'en déduire une localisat
qu'une hypothèse. Mais explique-t-on mieux cer- taines atrophies et
anesthésies
, celles des hystériques par exemple ? Quoi qu'i
llets et des cuisses. Ou coustate au niveau des cuisses des zones d'
anesthésie
sans dissociation de la sensibilité ; la sensibil
e six semaines le tableau d'une paraplégie des quatre membres, avec
anesthésie
et atrophie musculaire, quand dans une (1) E. B
x correspondants, et, dans les deux cas, la constatation clinique d'
anesthésie
. Enfin, dernière remarque, il n'est pas exact q
s l'hystérie, il y a perte de la conscience de certaines fonctioms,
anesthésie
, amnésie, phénomènes subconscients, automatisme
phélides disposées sous forme ponctuée. Aucun trouble visuel, pas d'
anesthésie
cornéenne, pas de rétrécissement de la fente pa
pas de phobies ni d'obsessions. Il n'y a enfin chez le malade pas d'
anesthésie
laryngée ; les mouvements respiratoires sont no
que : paralysie du médian, avec la flexion de la main sans force, l'
anesthésie
de la face palmaire de certains doigts et la su
es médullaires peu marqués; labes fruste probable. - Opération sans
anesthésie
,. résection du plateau tibial ; ablation de l'ast
lade n'a pas la sensation de l'urine passant dans le canal. Pas d'
anesthésie
du gland, du périnée, du scrotum. Urines claire
il oculaire. La vision'est normale, les pupilles sont égales. Pas d'
anesthésie
cornéenne ; léger nystagmus ; aucun trouble moteu
idérable que le professeur von Bramann se décide à intervenir. Sans
anesthésie
, il fit la résection de la tête humérale, qui é
ts généraux graves. Notons aussi que l'opération peut se faire sans
anesthésie
; Czerny, Sokoloff, Nissen en ont profité. Le m
chait surtout chez eux l'existence de troubles de la sensibilité, l'
anesthésie
à la piqûre, et cette recherche se fit souvent
de la partie moyenne de l'avant-bras à la région palmaire. Après
anesthésie
locale à la cocaïne, le Dr Péraire résèque la tum
nservation des autres muscles à une suppléance du cubital. Quanta t'
anesthésie
, nous avons vu qu'elle était très réduite, même a
te après la première résection ; puis, après une certaine période d'
anesthésie
limitée, le retour presque parfait delà sensibi
ation de toutes les sensibilités, sauf en un point restreint. Cette
anesthésie
s'étend ensuite progressivement dans la plus gran
secrétaires. Nous avons relevé les particula- rités suivantes : L'
anesthésie
du bout du nez existe chez la plupart de nos léch
; seul le réflexe lombaire est exagéré; dynamomètre cau- dal fort.
Anesthésie
du bout du nez. Entre rapidement en transpiration
qui le soigne. Très franc, pas de phobies. Réflexes normaux. Pas d'
anesthésie
nasale. Sensibilité des barres normale à la piq
biles). Réflectivité normale, sauf exagération du réflexe lombaire.
Anesthésie
du bout du nez et des barres. Nutrition défectu
rême pendant l'isolement. Phobies nombreuses. ' Réflexes normaux.
Anesthésie
du bout du nez et de la barre gauche. nu- 1 TIC
Sensibilité normale, sauf celle de la langue ; on note en effet une
anesthésie
appréciable de cet organe à la piqûre ; des piqûr
la langue sont sinon abolis, du m'oins considérable- ment diminués.
Anesthésie
de la muqueuse gingivale au niveau de la dent c
nce d'une cicatrice radiée et du nasonnement, l'amélio- ration de l'
anesthésie
. la rapidité du décours, firent diagnos- tiquer
mbulisme profond; on *provoque dans cet état chez lui à volonté des
anesthésies
de toute espèce, de la catalepsie, de« hallucin
u côté gauche, notamment du masséter et du temporal; en même temps,
anesthésie
partielle du nerf trijumeau de ce côté ; perte
n ? L'exagération des réflexes tendineux n'a rien d'uni- voque. Les
anesthésies
ou hypéresthésies locales ne prouvent pas davan
ie d'impotence fonctionnelle de la jambe droite; les stigmates de l'
anesthésie
hystérique se montrent sur toute la moitié droi
édiane. Le lendemain deux nouveaux accès guéris de la même façon. L'
anesthésie
gagne le bras gauche. Le surlendemain. un seul
s particularités suivantes. Sur la face antérieure du corps, zone d'
anesthésie
totale à la piqûre à la chaleur et au froid, co
de des différentes perceptions spéciales dans ces cas morbides. L'
anesthésie
hystérique permet d'expérimenter avec la précis
e dans un coin de son cerveau. C'est là un caractère psychique de l'
anesthésie
hysté- rique. , Si l'ou ferme les yeux d'un m
es malades. Mais quiconque a eu l'occasion d'étudier longuement l'
anesthésie
hystérique a acquis la conviction que ces phéno
mbreux observateurs au point qu'ils se croyaient autorisés à nier l'
anesthésie
psychique et à traiter les malades, 'qui en éta
ues de l'hystérie, comme un caractère fondamental objec- tif de l'
anesthésie
hystérique. L'anesthésie suggérée se comporte d
un caractère fondamental objec- tif de l'anesthésie hystérique. L'
anesthésie
suggérée se comporte de la même façon et il est
de la réac- tion simple n'est pas du domaine de la suggestion ; l'
anesthésie
seule peut provenir de la suggestion ou de l'au
durée du temps de la réaction simple est un caractère inhérent à l'
anesthésie
psychique. Il était important de trouver chez l
onscience. L'analogie entre la perception d'un sujet atteint de l'
anesthésie
et la perception inconsciente de l'homme normal
re des mouvements complexes accomplis par les deux côtés. C'est l'
anesthésie
hystérique qui nous a fourni le sujet de notre
tudes de la pathogénie de l'hystérie. Il s'agit de l'origine de l'
anesthésie
hystérique. Les DE LA PERCEPTION INCONSCIENTE.
le seul fait de l'état mor- bide de l'individu, les conditions de l'
anesthésie
psy- chique. Ceux qui croient trouver cette o
era comprendre le domaine de la suggestion dans la production des
anesthésies
. Un homme est renversé par une voiture; il se c
ngt-quatre heures. On l'étudie et l'on trouve une paraplégie avec
anesthésie
; par l'analogie des symptômes, on arrive à conc
t-il arrivé à créer le spasme glosso-labial et à lui superposer une
anesthésie
? Que l'idée de para- plégie avec son anesthési
lui superposer une anesthésie ? Que l'idée de para- plégie avec son
anesthésie
ait préexiste dans la cons- cience du sujet, so
tefois, pour être strictement vrai, nous devons dire que toutes les
anesthésies
hystériques ne se présentent pas sous le même a
ment et il est impossible d'étudier la réaction inconsciente. Cette
anesthésie
grave influe sur la manière d'être des malades
hésie de cause cérébrale. Thèse de Paris, 1874. (4) H. Rendu. — Des
anesthésies
spontanées. Thèse d'agrégation. Paris 1875, p. 27
icu-lo-striée), produisant l'hémiplégie du côté oppo-sé du corps sans
anesthésie
. — R, stylet à res-sort de Veyssiè''e, opérant la
rice : celle-ci, au contraire, se montre seule, sans accompagnement d'
anesthésie
, toutes les fois que la lésion a respecté le tier
n grand nombre, par une lésion même très minime et il s'en suivra une
anesthésie
très accentuée. On comprend qu'au contraire plus
brale. — Ses ressemblances avec l'hémianesthésie des hystériques. — L'
anesthésie
inté-resse la sensibilité générale dans ses diver
rvir de prototype. Il s'agit, vous le savez, dans l'hystérie, d'une
anesthésie
unilatérale. L'anesthésie totale ne se montre là
agit, vous le savez, dans l'hystérie, d'une anesthésie unilatérale. L'
anesthésie
totale ne se montre là que dans des cas relativem
frappe aussi les appareils sensoriels sur le côté du corps où siège l'
anesthésie
cutanée, et cette hémianesthésie senso-rielle n'i
mparablement plus prononcé dans l'œil corres-pondant au côté frappé d'
anesthésie
. Cette même particularité s'est rencontrée dans t
du corps sont frappés d'hémiplégie motrice et, quel-quefois, aussi, d'
anesthésie
. Rien de mieux établi, en clini-que, que l'existe
ticulo-striée), produisant l'hémiplégie du côté op-posé du corps sans
anesthésie
. — R, stylet à ressort de Veyssière, opérant la s
de la même façon l'apparition dans l'hémiplégie vulgaire de certaines
anesthésies
partielles. Enfin, l'extension du proces-sus irri
rte sur les faisceaux blancs . — Cas de l'hémiparaplégie spinale avec
anesthésie
croisée. Lésion unilatérale de la moelle épiniè
t hyperesthésie ; de l'autre côté, absence de paralysie motrice, mais
anesthésie
) (4), L'autopsie démontre que la lé-sion destruct
voy. Fi g. 64). Cet homme présenta les symptômes suivant : à gau-che,
anesthésie
et conservation des mouvements ; à droite, hypere
e ». Progrès médical, 18S0. p. 147.) Voy. également : Tripier, De l'
anesthésie
produite par les lésions des cir-convolutions cér
urs que, du côté où cette contracture s'est développée, il existe une
anesthésie
plus ou moins nette, une douleur ovarienne, un ce
ébrale.— Ses ressemblances avec l'hémianesthésie des hystériques. — L'
anesthésie
inté-resse la sensibilité générale dans ses diver
porte sur les faisceaux blancs. —Cas de l'hémiparaplégie spinale avec
anesthésie
croisée. Lésion unilatérale de la moelle épiniè
ar William-E. Ground (N0l'GItIU8Ste1'rt Lancet, january 1896.). L'
anesthésie
et l'antisepsie ont amené les progrès de la chiru
un malade pouvait survivre à une grande opération avant l'ère de l'
anesthésie
. L'auteur résume les accidents du shock : pâleu
sent au choc. L'abondance de l'hémorrhagie et la longue durée de l'
anesthésie
favorisent sa production. Le choc est très marq
re préparé à l'opé- ration. L'état moral a une grande importance. L'
anesthésie
doit être pratiquée avec mesure. Beaucoup d'acc
soit diminué. Il est bon d'ad- ministrer un peu de codéine avant l'
anesthésie
. P. Rellay. IV. Contribution A l'emploi du TLtl
février de l'année 1895, mais avec parésie des membres inférieurs,
anesthésie
des plantes et impotence. Depuis le 17 septembr
rofesseur Raymond expose d'abord l'histoire d'une malade atteinte d'
anesthésie
totale, que l'anamnèse permet de rattacher à un
et insidieusement. TI n'existe aucun trouble de la sensibilité, ni
anesthésie
, ni douleurs, ni fourmille- ments. D'autre part
t; 7° incoordination rela- tivement rare ; 8° exophtalmie rare ; 9°
anesthésie
absolument nulle; 10° enfin mentalité : habitue
r du thorax : d'abord, thermo-anesthésie, ensuite analgésie, enfin,
anesthésie
totale. Mort après un an de maladie, à l'autopsie
'examen du rachis reste négatif. L'examen de sensibilité révèle une
anesthésie
complète dans ce membre ; l'enfant ressent au n
unilatérale de la moelle produirait la paralysie du même côté- et l'
anesthésie
du côté opposé. Il faut remonter au REVUE DE pa
le. Gowers, qui vit la malade dès le début, constata en effet une
anesthésie
absolue sur tout le territoire du trijumeau à dro
s tics, la chorée hystérique, le tremblement, les contractures, les
anesthésies
, les parésies, le hoquet, l'aphonie, le mutisme
us les mouvements spontanés sont faciles, on constate des plaques d'
anesthésie
dans les membres inférieurs et supérieurs. On p
yeur ayant occasionné une perte de connaissance. Elle a des zones d'
anesthésie
sur les quatre membres. Le tremble- ment qui ét
du palais mou du même côté ; paraly- sie de la corde vocale droite;
anesthésie
de tout le palais mou et du pharynx ; paralysie
rtout l'innervation du palais mou et du pharynx. - Pour expliquer l'
anesthésie
du pha- rynx dans son cas, le rapporteur est po
est intacte. Il ne m'est pas possible de constater ni aucune zone d'
anesthésie
, ni aucune plaque d'hypéresthésie. L'examen d
ctueuse chez l'enfant. Je n'en trouve pas, sauf peut-être, un peu d'
anesthésie
du pharynx. Malgré l'absence des stigmates, en
visuel, une diminution de la sensibilité du côté gauche et un peu d'
anesthésie
pharyngienne. Quelle conduite devais-je tenir d
tion, perte de connaissance, de la céphalée, des contractures, de l'
anesthésie
, du coma, puis de l'agitation, du délire, fièvr
la thèse de mon frère. Thèse de Toulouse, 1896). Sa' mère a eu de l'
anesthésie
hystéro-traumatique, sans paralysie (Obs. IV de
al de l'enfant paraisse s'aggraver, il marche en traînant la jambe.
Anesthésie
de la plante du pied qui est insen- sible aux p
e évidente dégénérescence des éléments nerveux cutanés. Mais dans l'
anesthésie
hystérique, dans l'anesthésie traumatique, dans
éléments nerveux cutanés. Mais dans l'anesthésie hystérique, dans l'
anesthésie
traumatique, dans la paralysie saturnine (3 obs
une parésie spas- modique très marquée des membres inférieurs avec
anesthésie
et paralysie presque complète des sphincters. P
tômes médullaires augmentèrent jusqu'à une paraplégie complète avec
anesthésie
et paralysie des sphincters. Quatre ans après l
r propagation au début était strictement limi- tée dans la région d'
anesthésie
(nerf cubital, nerfs cutané médian et interne),
au : premièrephase,sommeilcalmesans paroles, membres en résolution,
anesthésie
.complète ; deuxième phase, la malade au bout d
sans qu'il nous soit possible, le plus souvent, de les apprécier. L'
anesthésie
pharyngée existe- t-elle, que l'enfant par peur
t. Tranchées, renvois bruyants, vomissements; soif vive, agitation.
Anesthésie
abdominale, anes- thésie en manchettes au nivea
ment qui fut remplacé la cinquième semaine par une paralysie et une
anesthésie
des mains et des pieds. Voici d'ailleurs l'état
suggestion. L'anesihèSie, lamaurose des hystériques, sont souvent des
anesthésies
purement psychiques. L'impression est perçue, mai
peut faire la démonstration de l'intensité de leur suggesubilité. L'
anesthésie
cutanée est le phénomène qu'on obtient chez eux a
ychiques dont nous venons de parler. Les paralysies flasques et les
anesthésies
présentent, au point de vue de l'absence de simul
malade, dans le second je puis m'en dispenser. Toutefois, lorsqu'une
anesthésie
est bien marquée, il est possible de l'objectiver
l sera généralement bien plus facile de développer par suggestion une
anesthésie
ou une contracture que de faire accepter une idée
éflexe rotulien cher le malade. Puis il est hypnotisé profondément. L'
anesthésie
est complète, et les membres soulevés restent dan
ieurement aucune maladie. Aucun rétrécissement du champ visuel, pas d'
anesthésie
ni d'hyspereslésie cutanées : la digestion se fai
sant naître chez les sujets des phénomènes stomatiques fcontractures,
anesthésies
), capables de prouver l'origine expérimentale de
nte tous les caractères de l'hystérie : impressionnabilité excessive,
anesthésie
du pharynx, zones hysiérogènes multiples, etc.
» J'obtiens, comme à l'ordinaire, chez celte malade, un sommeil avec
anesthésie
cutanée et musculaire, catalepsie et amnésie au r
a malade à fixer mes yeux, elle s'endormait presque instantanément, l'
anesthésie
était complète, les membres soulevés (bras et jam
le malade restant pendant toute la durée de l'hypnose dans un état d
anesthésie
profonde portant sur toute ? peau et toutes les m
gauche. Dès la première séance, elle s'est endormie profondément. L'
anesthésie
et l'amnésie au réveil étaient complètes. Aucune
tion des phénomènes. III. Étude physiologique de l'hypnotisme : Les
anesthésies
, les contractures, les paralysies. IV. Les ha
unes et les omissions da l'index bibliographique. Raymond. — - De l'
anesthésie
cutanee et musculaire généralisée dans ses rappor
ez eux, par suggestion à l'état de veille : contractures, paralysies,
anesthésies
, hallucinations sensorielles, dédoublements de la
uellement suggéré, dans ce cas simplement auto-suggérê. Néanmoins l'
anesthésie
cutanée ne se manifeste pas; lorsqu'on pique le s
s'y soustraire. Nous n'avons d'ailleurs aucun moyen de lui suggérer l'
anesthésie
, puisqu'elle ne nous entend pas. Pour plonger l
aisait chez le sujet éducateur. On avait constaté sur ce sujet de l'
anesthésie
à la figure. Chez le second, l'anesthésie n'est p
constaté sur ce sujet de l'anesthésie à la figure. Chez le second, l'
anesthésie
n'est pas apparue après les expériences. La sug
de suggérer des contractures, n'a pas eu le pouvoir de suggérer de l'
anesthésie
et que, par conséquent, sa puissance suggestive e
té, les autres, au contraire, chez lesquels on obtient facilement l'
anesthésie
, ne présentent aucune aptitude à la contracture.
estion faite par l'expérimentateur lui-même. • # Quelques faits d'
anesthésie
chirurgicale sous l'influence de la suggestion,
arie qui avait causé l'abcès. Nous proposons à la malade d'employer l'
anesthésie
hypnotique et suggestive, employée déjà par nous
nce de douleur après le réveil. Nous savons tous que, dans ces cas, l'
anesthésie
est produite facilement avec la glace, l'éther, e
urs, comme j ai eu maintes fois l'occasion de le dire, l'utilité de l'
anesthésie
suggérée pour la petite chirurgie. Cette année-ci
dans un sommeil assez profond, somnambulique (catalepsie suggestive,
anesthésie
, amnésie au réveil, etc.), qui dura environ une d
un cas d'), par Charcot, 334. Amnésie rétrograde (un cas d'), 62.
Anesthésie
chirurgicale sous l'influence de la suggestion, p
e la malade. - Cvmuset. IX. Un cas D'IIÉIIP.41tAPLÉG1E spinale avec
anesthésie
croisée d'origine SYPHILITIQUE ; par M. Jon.aND
rière, t89L, n° 2.) Le syndrome de Brown-Séquard (hémiparaplégie et
anesthésie
croisées) est ordinairement dû à une lésion uni
ique spéciale qui a, comme symptôme constant, l'hémiparaplégie avec
anesthésie
croisées. Voici un cas de ce genre : Une fe
t pas du tout paralysé, mais la sensibilité y est fortement lésée :
anesthésie
à la douleur, à la chaleur et au froid, les sen
e est moins grave que la droite. A noter chez ces trois malades une
anesthésie
profonde des arti- culations malades et l'inten
paralysie hystéro-lraumalique ne convient pas non plus, parce que l'
anesthésie
serait plus franche, autrement limitée, et parc
ux de telle sorte que beaucoup de ces malades offrent une véritable
anesthésie
morale. Un autre effet encore plus certain de c
de formation congénitale. P. K. XI. DES rapports réciproques DE L'
ANESTHÉSIE
ordinaire ET DE L'ANES- THli3lE sensorielle (di
l'insuffisance de la théorie du carrefour sensitif pour expliquer l'
anesthésie
sensorielle qui accompagne l'hémia- neslhésie d
-.nécessitant l'emploi de la sonde. Rétention des matières fécales.
Anesthésie
comprenant toute l'étendue des deux membres infé-
sternum en avant. Une particularité remarquable, c'est que cette
anesthésie
est nettement dissociée. Le tact est partout bien
ûlure même) ne sont pas du tout perçus dans tout le territoire de l'
anesthésie
. Pas de douleurs spontanées mais des picotement
i, du côté droit un peu exagéré. Mais pas de trépidation du pied. L'
anesthésie
persiste; son étendue et sa limite ne semblent
t les réflexes rotuliens sont abolis des deux côtés. La limite de l'
anesthésie
maintenant s'est élevée jusqu'au niveau des rei
inférieur gauche, persistent encore quelques légers mouve- ments. L'
anesthésie
atteint les membres inférieurs et s'étend dans
ème vertèbre dorsale et en avant jusqu'à l'apophyse xyphoïde. Cette
anesthésie
est nettement dissociée. Le tact est partout bi
Douleurs fulgurantes dans les quatre membres, douleurs en ceinture,
anesthésie
cubitale et plantaire; démarche ataxique des pl
viron, mais se remit ensuite graduellement, tout en conservant de l'
anesthésie
plantaire, des douleurs térébrantes, de plus en
e et insensible; le len- demain c'est le tour de la jambe droite.
Anesthésie
complète des membres inférieurs et de la moitié i
l'auteur et en chercher le mécanisme. . , P. SOLLIER. XXXVII.. L'
anesthésie
localisée comme guide dans LE diagnostic DES LÉ
es de l'épaule au bout des doigts et se différencient nettement des
anesthésies
hystériques d'une part et de celles produites p
ires qui sont atteintes dans les cornes postérieures et les zones d'
anesthésie
se trouvent du même côté que la lésion et corre
ont atteints. Au contraire, dans les autres cas que j'ai énumérés l'
anesthésie
occupe le côté opposé et se localise symptomati
. Verrier lit un travail sur l'aquapuncture dans le traitement de l'
anesthésie
hystérique ou paralytique. ` M. LAGRANGE (de Po
e série de ces crises, on constate chez lui de l'hémianopsie et une
anesthésie
pro- fonde avec perte du sens musculaire du côt
fonde avec perte du sens musculaire du côté gauche. Peu après, l'
anesthésie
devient une anesthésie en segment qui disparaît b
sens musculaire du côté gauche. Peu après, l'anesthésie devient une
anesthésie
en segment qui disparaît brus- quement après un
malade est rentré récemment à l'hôpital avec les mêmes symptômes d'
anesthésie
et d'hémianopsie qu'il y a probablement lieu de
de l'urine et des 376 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. matières fécales et
anesthésie
complète pour tous les modes de sensibilité.
ë, b). Désordres de la sensibilité (fourmillements, hypoesthésie ou
anesthésie
, hyperesthésie, hyperalgésie, retard dans la tr
cubital cons- tituant un symptôme de tabes par llel'l1acki, 62.
Anesthésie
. Rapports réciproques de l ? ordinaire et de l'
paraître chez les sujets des phénomènes somatiques (contractures,
anesthésies
, paralysies partielles), capables de prouver la r
3 décembre. — Sommeil hypnotique obtenu, avec résolution musculaire.
Anesthésie
totale. Suggestion de ne plus avoir de douleur.
et les cotisations à M. Albert Colas, trésorier, 1, place Jussieu.
Anesthésie
cutanée chez les Mauresques. M. Rey a fait conn
l'illusion fût plus forte, la malade étant très fine, je pratiquai l'
anesthésie
chloroformique et lui appliquai simplement un pan
éactions inflammatoires, les troubles trophiques les plus variés, les
anesthésies
, les "sécrétions gastro-intestinales, les réflexe
r à signaler. Mais toute la moitié gauche du corps est le siège d'une
anesthésie
complète, au contact, aux excitations thermiques
oncire au plus tôt en utilisant le sommeil hypnotique pour produire l'
anesthésie
. La mère, fort intelligente, souscrit très volo
esse suggérées. Samedi 27 Mars. — Psychologie des sensations; — Les
anesthésies
. — Les hyperesthésies.— La sensibilité inconscien
libres ci-après désignés à la Faculté de médecine. — M. le Dr Petit :
anesthésie
et antiseptiques; étude chimique et physiologique
et de l'ouïe, une hypereslbésie neuro-musculaire générale et de l'
anesthésie
localisée. Puis survient l'insomnie et à la longu
i démontrait qu'un grand nombre des élèves du lycée présentaient de l'
anesthésie
â la piqûre d'une épingle (1). Cette anesthésie r
cée présentaient de l'anesthésie â la piqûre d'une épingle (1). Cette
anesthésie
relative facilite assurément l'opération du tatou
E EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE 11e année. — N° 11. Mai 1897. L'
ANESTHÉSIE
HYPNOTIQUE Par M. le Dr Milne Bbahwell, de Lond
S MESMÉRIQUES DESDAILE On ne saurait faire un rapport complet sur l'
anesthésie
hypnotique sans remonter à Esdaiie. A l'époque où
de sept ans, je m'étais aperçu que, souvent, je pouvais déterminer l'
anesthésie
; mais, comme nous possédions déjà des anesthésiq
ient, chloro- lormé plusieurs fois, avait définitivement refusé l'
anesthésie
, après laquelle l'enflure, l'inflammation et l'im
de 19 ans. Carie des dents. Sujet faible et anémique. L'hypnose et l'
anesthésie
furent déterminées par ma suggestion écrite et se
ar d'autres praticiens Un grand nombre d'opérations faites durant l'
anesthésie
hypnotique, ont été récemment rapportés par les d
cine générale, il était rare que je ne puisse déterminer rapidement l'
anesthésie
hypnotique parmi mes malades, mais depuis que ma
is jusqu'alors ses usages en chirurgie doivent demeurer restreints. L'
anesthésie
hypnotique est néammoins d'un vif intérêt pour le
uis que J. Braid eut l'idée, un des premiers sans doute, d'utiliser l'
anesthésie
suggérée dans certaines interventions chirurgical
'explication des paralysies d'origine psychique ; c'est le secret des
anesthésies
sensitivo-sen-sorielles-dynamiques. L'idée agit
188. Attentat contre le Dr Charpentier, médecin de Bicêtre, 220.
Anesthésie
cutanée chez les Mauresques, 94. Anesthésie hyp
ecin de Bicêtre, 220. Anesthésie cutanée chez les Mauresques, 94.
Anesthésie
hypnotique (l') par le Dr Milne Bramwell, de Lond
but de l'attaque est marqué par la perte de connaissance et par une
anesthésie
complète ; pâleur de la face, inspiration siffl
pital. Le côté gauche du corps était incomplètement anesthésique, l'
anesthésie
était principalement marquée à l'avant-bras gau
dans l'olfaction; telle l'observation recueillie par lui en 1868 d'
anesthésie
complète du trijumeau (insensibilité de la muqu
sensation odorante phosphorée; même constata- tion clinique quand l'
anesthésie
du trijumeau permet l'appli- cation sur la muqu
ige de forts courants n'est suppor- table que lorsqu'il existe de l'
anesthésie
comme chez l'hysté- rique. Signalons, pour êt
. De temps à autre, fourmillements dans les orteils, mais point d'
anesthésie
. Admission à l'hôpital en novembre. Folie systé-
départ de l'autre. P. K. IX. Paralysie BULBAIRE apoplectique avec
anesthésie
AL- TERNE ; par le professeur H. SENATOR. (Arcl
n de parcelles ali- mentaires, après quatorze jours de maladie. L'
anesthésie
croisée dans la sphère du trijumeau à gauche, d
et organe, l'auteur pense à la moitié gauche de la moelle allongée (
anesthésie
droite en rapport avec l'entrecroisement des fi
choué ou a cessé d'agir, et il recommande de traiter par ce moyen l'
anesthésie
quelle que soit son origine, la névrite, l'atro
Ses membres conservent la position qu'on leur imprime, il y a de l'
anesthésie
généralisée. Des hallucinations se développent.
e se termine, l'intelligence redevient nette, mais il persiste de l'
anesthésie
, et aussitôt le délire dissipé, les phénomènes
Jusqu'à onze heures du soir, les phénomènes de l'aura, ainsi que l'
anesthésie
ont persisté, et à partir de ce moment la malade
ente pas REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 3') non plus d'atrophie. L'
anesthésie
, totale dans l'extrémité infé- rieure droite, e
e à gauche : on note des paresthé- sies (formications, etc.). Cette
anesthésie
remonte adroite jusqu'à la troisième côte, à ga
flexes, contractions fibrillaires, rétention urinaire et fécale, et
anesthésie
remontant jusqu'au niveau des mamelons. Le diap
e vertèbre malade, malgré l'absence de gibbosité. L'hyperthermie, l'
anesthésie
, la douleur 218 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
? mais., rapprochée cependant du début - des t.'accidents, ' une t
anesthésie
abolù"è ? établit s'ürl'é's"ré'g'ions . iiin ,e
éra t ives desjnerssjsensj ti fs de la peau au niveau des plaques d'
anesthésie
.cutanée dans ,1'ataxie., L'observation--précéde
é. Inversement, qu'une zone céphalique ait échappé peu ou point à l'
anesthésie
, l'application des courants en cet endroit enge
n d'un objet brillant, une phase d'hypno- tisme ^caractérisée par l'
anesthésie
totale, l'insensibilité à la lumière' des globe
es accès (Regnard) ; '; l'étude'du transfert par embolie cérébrale (
anesthésie
du côté hémiplé- gique, hyperesthésie du côté d
ation partie d'un nerf sensitif, ou d'un nerf vasculaire, lorsque l'
anesthésie
est complète, agit vivement sur le centre trans
ment des vaisseaux de l'autre côté. Comme à l'anémie correspond l'
anesthésie
sensitive et sensorielle (marche parallèle des fi
nt des troubles menstruels variables. On observe quel- quefois de l'
anesthésie
, mais plus souvent de l'hyperesthésie : les mal
'alcoolisme chronique, l'alcoolisme 6'M«t{/M, la toux hystérique, l'
anesthésie
et 1'(tlitxie hys- M) ? <yMM, l'hystérie pér
- tique, par l'horcus, 363. Paralysiebulbaire apoplectique avec
anesthésie
alterne, par Senator, 10 ! 1. Paralysie des m
sur l'incoordination motrice,' puis sur les douleurs fulgurantes, l'
anesthésie
plantaire, sur les' troubles viscéraux et l'imp
'est atténuée ou a disparu et que, chez deux malades, des plaques d'
anesthésie
plantaire sont deve- nues sensibles. Enfin il n
s une précipitation d'un endroit élevé. On constatait en outre de l'
anesthésie
des régions innervées par le plexus honteux et
iptions des criminalistes que nous avons cités. Paul Blocq. VI. Les
anesthésies
hystériques des muqueuses et des organes des se
iré par M. le professeur Pitres, l'auteur s'est proposé l'étude des
anesthésies
hystériques de quelques muqueuses (muqueuse des
ouvrir des zones hystérogènes qu'on n'avait pas encore signalées. L'
anesthésie
des muqueuses est très fréquente et rarement to
gustative* fondamentales à l'exclusion des autres, et en tous cas l'
anesthésie
spéciale n'est pas absolument liée à l'anesthés
et en tous cas l'anesthésie spéciale n'est pas absolument liée à l'
anesthésie
générale de l'or- gane. L'odorat peut être tout
intéressant de remarquer que, dans la plupart des observations, les
anesthésies
des sens ne sont pas commandées par la topograp
ar la topographie de l'anes- thésie cutanée, ni même par celle de l'
anesthésie
de la muqueuse. Ainsi, par exemple, il y avait
ndications. Peut-être serait-il permis de réutiliser ou chirurgie l'
anesthésie
hypnotique. Toutefois ces pro- cédés ne seront
oque la maladie se répéta avec association des symptômes suivants :
anesthésie
et hallucinations des organes sensoriels; affai
ument vierges de toute tentative antérieure. Il en est de même de l'
anesthésie
, que Ai. Bernheim avoue avoir obtenue sans le s
i ce n'est au sinciput où elle empiète un peu sur la gauche ; cette
anesthésie
comprend aussi la cornée, les muqueuses nasale,
est atteint d'une paralysie complète de la vessie et du rectum avec
anesthésie
de ces organes et de toute la région inner- vée
états parétiques de quelques groupes de muscles, sans paralysie ni
anesthésie
véritables, consécutifs aux lésions destructive
continue à manger. « Existe-t-il rien de plus caractéristique d'une
anesthésie
tactile ? » Ajoutez que ce chien ne retire pas
au et ne réagit pas au contact d'une plume. C'est donc bien d'une
anesthésie
cutanée qu'il s'agit, selon Schiff. La sensibil
ensibilité cutanée et sont purement secondaires. A l'appui de cette
anesthésie
de la peau et des mu- queuses, consécutive aux
dans le cas spécial ici communiqué, non seulement il n'y eut pas d'
anesthésie
, mais une hvperesthésie tactile des membres ant
s, - que l'unique effet de l'ablation de la .zone excitable est une
anesthésie
tactile, et, ajoute-t-il maintenant, l'insensib
motrice de ces centres. D'autre part, les phénomènes d'ataxie et d'
anesthésie
qui suivent leur ablation ne témoignaient pas m
s de la région mentale. Du côté sensoriel, on observe parfois des
anesthésies
et des paresthésies, de même des hallucinations;
iplégie alterne 'du facial gauche et des membres du côté droit avec
anesthésie
incomplète et une paralysie des deux nerfs de l
de l'hystérie (troubles de la vision, zones hystérogènes, plaques d'
anesthésie
, attaques hystériques, crises de sommeil). L'
ion du pneumogastrique; une hypéresthésie, dysesthésie et enfin une
anesthésie
des sens et de la sensibilité générale, ce qui
La sensibilité cutanée n'est pas normale; on constate une plaque d'
anesthésie
au bras droit, de même des points anesthésiques s
LOGIE MENTALE. cutanée est diminuée, mais il n'y a pas de plaques d'
anesthésie
. Le réflexe pharyngien est conservé. Les réflex
n apprendre de bien précis. Il n'y a pas de plaque d'analgésie, d'
anesthésie
, d'hypéres- thésie, etc. On ne peut pas se rend
ation d'eau chaude lui coulant sur la peau ; l'examen révélait de l'
anesthésie
et de l'analgésie au niveau du bras el de la ma
h. 50'. Grande faiblesse après ces convulsions. Température 36°5'.
Anesthésie
des quatre membres. Somnolence. A 5 heures, le
ns vu plus haut que les auteurs faisaient jouer un certain rôle à l'
anesthésie
et surtout à l'hyperesthésie dans la genèse des
est un, je dois l'avouer, qui les sentit cesser quand survint de l'
anesthésie
et c'était sans conteste celui qui ressentit au
ecours pour le diagnostic précoce de la paralysie générale, c'est l'
anesthésie
transitoire'précédant les troubles moteurs que
cubitus hori- zontal, sans troubles des sphincters; hypoesthésie et
anesthésie
cutanées segmentaires ; anesthesie kinesthésiqu
d le malade voulait fermer les yeux, douleur de la région frontale,
anesthésie
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 235 5 cutanée
oubles syringomyéliques de la sensibilité au-dessus de la zone de l'
anesthésie
complète dans un cas de myélite transverse. O
tabétiques n'était pas nécessairement accompagnée d'analgésie ou d'
anesthésie
superficielle des téguments et, en second lieu, q
Les troubles de la motilité (incoordination) et de la sensibilité (
anesthésie
plantaire absolue) sont plus marqués à la jambe f
rophie pro- noncée dans aucun des membres inférieurs. » Quant à l'
anesthésie
, elle disparut rapidement au commen- cement dan
forme de pla- ques. Un mois et demi après la blessure médullaire l'
anesthésie
comprenait le pied droit et la jambe correspond
u; dans cette partie l'anes- thésie était complète. Dans le pied, l'
anesthésie
a persisté long- temps dans la région dorsale e
re à la partie postérieure. Le 11 juin 1898, la distribution de l'
anesthésie
était la suivante : sur la partie dorsale du pi
isit une paraplégie flasque, accompagnée dans le membre droit d'une
anesthésie
complète depuis le niveau de l'articulation cox
ns l'opposé elle est très limitée dans le pied et les doigts; que l'
anesthésie
n'a pas disparu complète- ment dans le membre i
cation ou d'autres causes ont des troubles gastro-intestinaux, de l'
anesthésie
viscérale, ou. même des lésions du système nerv
ions-nous en présence d'une paraplégie flasque ? Il n'y avait pas d'
anesthésie
marquée ; pas de syndromes de Brown- Sequard (h
e marquée ; pas de syndromes de Brown- Sequard (hémiparaplégie avec
anesthésie
croisée) ; pas de troubles de la vessie et du r
certaines der- matoses, et sur les troubles sensitifs, tels que les
anesthésies
, to- tales ou dissociées. Mais les symptômes mo
, de la catalepsie et de l'extase ne vient-elle pas également d'une
anesthésie
à l'égard de toutes les impressions extérieures
eresthésieà la face dorsale de l'avant-bras gauche, et d'une zone d'
anesthésie
, de la largeur de la main, à la région scapulai
main, à la région scapulaire droite. Cette hyperestliésie et cette
anesthésie
portent toutes les deux uniquement sur la sensi
si on la place sur l'os frontal. Cette hémi- surdité s'accompagne d'
anesthésie
du pavillon et du conduit au- ditif du côté cor
uée, les autres variétés de sensibilité sont normales ; on note une
anesthésie
en manchette au poignet gauche. La peau du memb
s et de la sensibilité osseuse. M. Dufour. En effet, la cocaïne qui
anesthésie
tous les autres tissus, n'anesthésie pas les os
four. En effet, la cocaïne qui anesthésie tous les autres tissus, n'
anesthésie
pas les os. M. Touche montre les pièces d'un ca
cours des autres, encore on ne savait pas où me prendre ». 6° Des
anesthésies
et des hypereslhesies. Des anesthésies, elle en
as où me prendre ». 6° Des anesthésies et des hypereslhesies. Des
anesthésies
, elle en avait certainement, mais elle ne pouva
res inférieurs et de la partie infé- rieure du tronc, doublée d'une
anesthésie
dissociée dans les par- ties correspondantes et
stic, le pronostic et le traitement de ces lésions. G. Derny. XIII.
Anesthésie
des nerfs sensitifs et moteurs ; par J. JoTEYKo
i.I. (jours. de Neurologie, 1902, n° 4.) Après avoir constaté que l'
anesthésie
générale ne modifie pas d'une façon appréciable
tion de l'agent anesthésique reste localisée à la por- tion du nerf
anesthésie
; il n'y a pas, à proprement parler, de pro- pa
comparable à celle des mêmes agents sur le système nerveux central (
anesthésie
chirurgicale). Il est certain que le chloroforme
i ont suivi l'opération et n'ont pas duré plus de quelques jours. L'
anesthésie
a été obtenue dans tous les cas au moyen du chlor
nt comme une selle sur la région lombaire et sur les cuisses. Cette
anesthésie
. occupe les territoires des première, deuxième
s ce sens. En cherchant d'au- tres stigmates, on trouva d'abord une
anesthésie
presque complète de la conjonctive. L'examen de
l'éjaculation, d'anesthé- sie des muqueuses uréthrale et rectale, d'
anesthésie
cutanée de la région périneo-anale. 11 est mort
sus intérieurs : ce sont des troubles de la sensi- bilité générale,
anesthésies
ou hyperesthésies profondes qui sont le point d
nous signalerons ceux de la sensi- bilité générale et spéciale, les
anesthésies
, les hyperesthésies des organes des sens, les p
es dans le traitement d'accidents neurasthéniques, de paralysies, d'
anesthésies
, etc. M. Paul Il y a plus de vingt ans, j'ai dé
rillon offre un dispositif très pratique pour faire disparaître des
anesthésies
et les troubles nerveux qu'elles conditionnent.
t 2 cas de compression médullaire avec paraplégie spasmo-. dique et
anesthésie
complète. Cliniquement, ces cas répondent à une
objectifs et il en résulte que, si l'on sait que dans le tabes les
anesthésies
, analgésies, ralen- tissements de perceptions,
ieux. Leurs investigations, qui ont porté sur toutes les variétés d'
anesthésie
,d'hypo et d'hyperesthésie super, ticielles, les
jectifs de la sensibilité se traduisent chez les tabétiques par des
anesthésies
, des hyperesthésies portant l'empreinte d'un trip
es qu'on ne le pensait et que tout au plus on pourrait dire : trois
anesthésies
à gauche et deux à droite. ' De plus, cette s
. Un cas de syringomyélie. Main de prédicateur. Troubles oculaires.
Anesthésie
segmentaire ; par le Du' BOUCIIAUD. (Revue neur
désespoir du malade qui s'arrache les cheveux, et qui, grâce à l'
anesthésie
, peut se livrer sur lui-même à d'autres mutila-
trois ans, des douleurs du membre supérieur gauche, avec parésie et
anesthésie
en bande dans le territoire des cinquième et si
s premières racines lombaires. Fait également intéressant, il y a
anesthésie
sous tous les modes de la sensibilité (tactile, s
es globes oculaires à la pression, par Aba- die et Rocher, 434.
Anesthésie
des nerfs sensitifs et moteurs, par Joteykoet S
oudanais. Voir Ilyper- acuité, Nerfs sensitifs et moteurs. Voir
Anesthésie
. Lésion traumatique des de la queue de cheval e
Sensibilité osseuse décelée par le diapason, par Eggcr, 65. Voir
Anesthésie
. Des interférences de la , par Adamkicwcz, 148.
ente-cinq ans. A l'âge de vingt-neuf ans, apparition d'une plaqué d'
anesthésie
sur le mollet gauche, et peu après plaque symét
les régions innervées par les nerfs malades la triade : paralysie,
anesthésie
, troubles tro- phiques, sans compter la douleur
certains cas, par la dissociation de la sensibilité et non par de l'
anesthésie
totale; se rappeler aussi que les paralysies et
par de l'anesthésie totale; se rappeler aussi que les paralysies et
anesthésies
à cause centrale sont plutôt seg- mentaires, al
deux malades, progressivement et en peu de jours, la paralysie et l'
anesthésie
se dissipèrent, les troubles trophiques disparu
ques. En plus, si on provoque chez ce sujet, par la suggestion, des
anesthésies
diverses, ce qui revient à susciter chez lui de
-ANTÉROGRADE. 173 pas de les metlre en lumière. Mais il n'y a pas d'
anesthésies
, d'hy- peresthésies, d'achromatopsies, telles q
t la sensibilité était normale à ce niveau. La coïncidence de cette
anesthésie
particu- lière au niveau même de l'articulation
de la sensibilité générale et spéciale (je rappelle sans décrire),
anesthésies
ou plaques hyperesthésiques, les désordres mote
de ses sensations, de ses sou- venirs, de ses volitions : delà des
anesthésies
, des amnésies,'des aboulies, qui ne sont en réa
, des amnésies,'des aboulies, qui ne sont en réalité que de fausses
anesthésies
; des aboulies apparentes. Les anesthésies sont
en réalité que de fausses anesthésies; des aboulies apparentes. Les
anesthésies
sont des esthésies incon- scientes, les amnésie
ues jeunes et probablement hys- tériques. C'était la présence d'une
anesthésie
qui disparaissait après l'attaque, j'ai eu l'oc
tion de ces différents troubles avec le trajet des troncs nerveux ?
Anesthésie
par segments; conservation de certains muscles
en qu'il reste encore à trouver la raison de la systématisation des
anesthésies
que la dis- traction seule ne suffit pas à expl
une villageoise, en passant par une cheminée des plus étroites. L'
anesthésie
, un des caractères les plus probants autrefois
gmate de la névrose hystérique; elle se compliqua même de thermo-
anesthésie
. C'est à la faveur de ce double stigmate que chez
umée impossible à contrôler. Confusion mentale, amnésie continue ET
anesthésie
généralisée chez UNE hystérique; résultats DE l
ne façon entièrement normale quand on excite une région frappée d'
anesthésie
hystérique : c'est là, sans contredit, un nouvel
t, et non des moindres, en faveur de la nature toute psychique de l'
anesthésie
hystérique. Dans l'état hypnotique (somnambu- l
NIQUE NERVEUSE HYSTÉRIE. - CONFUSION MENTALE ET AMNÉSIE CONTINUE.
ANESTHÉSIE
GÉNÉRALISÉE. - EXPÉRIENCE DE STRUM- PELL. " ·
ibilité sensitivo-sensorielle sont aussi développés que possible.
Anesthésie
tégumentaire généralisée (peau et muqueuses). Ni
la sensibilité, la malade se présente donc à nous comme atteinte d'
anesthésie
généralisée. Elle a d'autre part des attaques p
vue, notre observation vient à l'appui de l'opinion qui rattache l'
anesthésie
et l'amnésie hystériques à un état de désagréga
de désagrégation mentale particulier, de double con- science. Cette
anesthésie
, cette amnésie apparentes ne sont en réalité qu
ès nous être assuré que la malade était dans les mêmes conditions d'
anesthésie
et d'am- nésie. Elle tombe rapidement dans un é
iences, M... a conservé, absolument comme à l'état de veille, son
anesthésie
sensitivo-sensorielle, et ne présente, en fait de
gne de la sensibilité ou signe du spectre est caractéristique d'une
anesthésie
essentielle, sine maiei-ia, comme cela a lieu d
la colonne vertébrale. Cette lésion a déterminé non seulement de l'
anesthésie
des régions fessière, anale, périnéale, pénienn
sens musculaire sur tout le côté droit du corps, la face exceptée;
anesthésie
sensorielle sur le côté droit de la face, princip
marche, les localisations de l'incoordination, de l'hypotonie, des
anesthésies
étaient toujours les mêmes et aboutissaient aux
oujours plus profondément touchée, que, sauf dans les cas graves, l'
anesthésie
musculaire avec ses diverses variétés est rarem
et Lortat-Jacob communiquent une note au sujet de l'intermittence d'
anesthésie
radiculaire alternant avec des crises gastrique
hie et des douleurs au niveau de l'épaule. Il y a eu, en outre, une
anesthésie
complète du membre supérieur; il n'y a pas de p
suite le cubital. Les troubles de la sensibilité consistent en une
anesthésie
profonde complète et cylindrique de tout l'avan
Josserand songe à une paralysie hystéri- que. La distribution de l'
anesthésie
est caractéristique ; le malade présente en out
tent dont le 230 CLINIQUE MENTALE. .naïade a conscience annonce l'
anesthésie
des sphincters. -Le malade semble nettement env
ait aussi disparaître la sensibilité tactile de la langue, et cette
anesthésie
est exactement disposée comme l'est l'anesthési
a langue, et cette anesthésie est exactement disposée comme l'est l'
anesthésie
gustative. o. Le degré de l'ageustie est, jusqu
que M. Tui'fier a ins- titué sur cette pratique toute une méthode d'
anesthésie
chirurgi- cale. On pourra la juger dans un aven
e premier stade de paralysie (perte de l'incitabilité parfatique ou
anesthésie
) soit dû non à l'impossibilité de réagir à la m
impossibilité de réagir à une variation trop lente. La fatigue et l'
anesthésie
conduisent la matière vivante à un état d'inertie
les trépidations d'un diapason appliqué sur lui ; mais un membre à
anesthésie
tégumentaire totale reste sensible aux vibratio
ion du diapason, ce qui permet de délimiter étroitement les zones d'
anesthésie
squelettique [Revue neurologique, juin 1902). E
raplégie est devenue flasque très vile, il y a eu au début un peu d'
anesthésie
qui ne persiste aujourd'hui que sous la forme d
nt et la force musculaire étant très peu touchés, par contre il y a
anesthésie
absolue dans le domaine de la huitième racine s
e dorsale. Les carac- tères particuliers à ce cas consistent dans l'
anesthésie
des terri- toires thoraciques et axillaires des
. L'état du membre, excessivement atrophié, dont l'impotence et l'
anesthésie
étaient complètes et accompagnées de troubles cir
être rappelée par aucun procédé, dans les années qui sui- virent, l'
anesthésie
cédait à la sommation. Ataxie d'origine central
a région cervico-dorsase, c'est-à-dire la paraplégie flasque avec l'
anesthésie
complète à tous ses modes et l'exagération de l
meau gauche. La sensibilité tactile est conservée partout. Profonde
anesthésie
thermique et doulou- reuse avec inversion des p
années. L'application de la méthode de sommation a montré que les
anesthésies
organiques du tabès, de l'hémianesthésie cérébral
le partout la sensibilité où la dégénérescence nerveuse a créé de l'
anesthésie
. Les anesthésies sociétés savantes. 553 lés p
nsibilité où la dégénérescence nerveuse a créé de l'anesthésie. Les
anesthésies
sociétés savantes. 553 lés plus intenses cède
us intenses cèdent sous l'influence de la sommation. C'est dans les
anesthésies
psychiques que la méthode de la sommation a don
a sommation a donné les plus heureux résultats pratiques. Les cas d'
anesthésies
hystériques les plus rebelles ont été guéris.
cas d'anesthésies hystériques les plus rebelles ont été guéris. L'
anesthésie
organique que l'opinion générale attribue à une
e d'une quantité considérable de tubes nerveux laissa subsister une
anesthésie
absolue. Ici le cylin- draxe était réduit à une
a fini par vaincre cette résistance. Egger croit que la plupart des
anesthésies
organiques sont dues à une augmentation de la r
rtion d'une seule racine postérieure était intéressée, et au lieu d'
anesthésie
, la région correspondante était hyperesthésique.
de contournée, les rigidités musculaires et spasmes convulsifs, les
anesthésies
et modifications de réflexes. A. M. XVIII. Tr
rvation de la sensibilité tactile contrastant avec l'analgésie et l'
anesthésie
ther- miqne. L'autopsie révèle une altération d
server, on a constaté successivement la perle du sens musculaire, l'
anesthésie
au toucher, l'analgésie, la perte du sens de ta
température au bout de cinq minutes, l'analgésie au bout de huit, l'
anesthésie
au toucher au bout de dix, le sens musculaire a
le canal spinal. Le corps du malade doit être penché en avant, et l'
anesthésie
n'est pas toujours nécessaire. Le plus ordi- na
exes superficiels ET PRO- FONDS ; ATROPHIE musculaire considérable;
anesthésie
marquée de -certaines PORTIONS DES membres ; PE
il n'y a pas de perte complète de la sen- sibilité à la douleur. L'
anesthésie
tactile et la perte du sens mus- culaire survie
xplorateur était assez forte pour être douloureuse. Faite pendant 1
anesthésie
par l'éther, l'exploration était aisée et le doig
que la paroi rectale ne présentait rien d'anormal. On profita de l'
anesthésie
pour faire la dilatation du sphincter, qui donn
présentent souvent des plaques isolées à sensibilité normale. Cette
anesthésie
tactile ne suit pas le trajet des nerfs périphé-
oteur de tout le côté gauche avec ophtalmoplégie droite, et surtout
anesthésie
complète pour toutes les sensibilités à gauche.
'un côté ptosis, immobilité du globe oculaire, myosis, amblyopie et
anesthésie
de la paupière. Amélioration notable par le tra
e en même temps que disparaissaient tous les phénomènes douloureux.
Anesthésie
remontante jusqu'à la huitième vertèbre dorsale
pe une position parfaitement normale. Réflexe pharyngien paresseux.
Anesthésie
de la muqueuse de la bouche et de la gorge. Dég
lanée, ses résultats concordent avec ceux de Korufeld et Bikeles; l'
anesthésie
n'est qu'un phénomène rare du complexus symptom
e en même temps que disparaissaient tous les phénomènes douloureux.
Anesthésie
remontante jusqu'à la huitième vertèbre ' Ces f
ymptômes suivants : Paraplégie complète des extrémités inférieures;
anesthésie
de la face interne des bras et avant-bras, du t
i exactement que pos- sible. Résultats : du côté de la destruction,
anesthésie
complète du trijumeau ; sur le corps et les mem
pression sur sa main. b) Sensibilité à la douleur. 1° Côté gauche :
anesthésie
en gant remontant jusqu'à deux travers de doigt
ingles sont à 15 milli- mètres l'une de l'autre. 2° Côté droit. L'
anesthésie
occupe, à la main les mêmes régions sauf que l'
e dépassant l'analgésie de deux à trois travers de doigt. Thermo-
anesthésie
de la main droite ayant la même distribution que
. Un nouvel examen de la sensibilité donne les résultats suivants :
anesthésie
totale à la cha- leur, au tact et à la douleur
s : Anebthébie du pli du coude à l'extrémité des doigts ; thermo-
anesthésie
dans les mêmes régions; analgésie depuis l'extrém
sensibilité = 1 division 1/2 dans la moitié inférieure de la zone d'
anesthésie
. C. Contractilité musculaire. Exploration farad
malgré l'opération on note de la surdité de l'oreille gauche et une
anesthésie
complète des quatrième et cinquième doigts de la
pas d'autre cause. La répartition et la forme des paralysies et des
anesthésies
démon- trent en outre que celles-ci sont déterm
évralgie hystérique des articulations, un cas de syringomyélie avec
anesthésie
hystérique dont la nature fut démontrée par le
détermine pas de névrose, ni d'élimination des os. Elle ne cause ni
anesthésie
, ni paresthésie; le malade a un masque à part.
nts du tabes sont : l'ataxie, les douleurs, les pa- resthésies et l'
anesthésie
. Les douleurs ne sont qu'en partie provoquées par
es- sion par le tissu interstitiel; quant à l'incoordination et à l'
anesthésie
, elles sont dues à la conductibilité défectueus
disparaître; entre les deux, on doit placer l'in- coordination et l'
anesthésie
. C'est ce qui arrive en pratique, sinon toujours,
ensations volup- tueuses faisant complètement défaut par suite de l'
anesthésie
. Parmi les malades dont je parle il y en avait
iminu- tion légère partout ailleurs, sauf au membre inférieur, où l'
anesthésie
va s'ac- croissanl de la racine vers l'extrémit
. Au froid (glace). Môme répartition, avec celte diffé- rence que l'
anesthésie
absolue remonte au membre supérieur jusqu'à la ra
u à l'autre de ces points de départ. On rencontre quelquefois une
anesthésie
plus ou moins prononcée, ré- sultant de l'idiot
sit, au bout de quelques instants, une analgésie locale et même une
anesthésie
très marquée, pouvant se prolonger de 8 à 20 minu
et de l'index droit. Toutes ces amputations furent pratiquées sans
anesthésie
et supportées sans douleur. De la description dét
urtout ce qui a trait à la sensibilité : « Membre supérieur droit :
anesthésie
complète de la main ; à l'avant-bras, anesthési
supérieur droit : anesthésie complète de la main ; à l'avant-bras,
anesthésie
limitée au coude, très nette sur les régions in
re et postérieure. Membre supérieur gauche : même distribution de l'
anesthésie
, cependant elle est moins complète sur l'avant-
le talon, sensibilité conservée à la voûte plantaire ; à la jambe,
anesthésie
du tiers inférieur de la face antérieure ; à la
ité diminuée sur la face externe. Membre inférieur droit : au pied,
anesthésie
limitée aux orteils ; à la jambe et à la cuisse
pied, anesthésie limitée aux orteils ; à la jambe et à la cuisse, l'
anesthésie
occupe les mêmes régions qu'à gau- che. Sensibi
nouvelle am- putation laquelle a été subie, comme les autres, sans
anesthésie
et sans douleur. Il a quitté St-Antoine en 1888
onnent parfois quelques différences soit dans la limite exacte de l'
anesthésie
soit dans les caractères eux-mêmes de cette anest
et n'empêchent point de dire que cette anésthésie est complète. L'
anesthésie
frappe les quatre membres symétriquement. Aux mem
constamment trouvé cette région sensible). La distribution de cette
anesthésie
ne varie pas notablement, suivant qu'on examine
et le schéma ci-joint convient approximativement à tous les modes d'
anesthésie
(contact, douleur, température à 80° et à 0°). Da
sans déterminer chez le malade la moindre sensation douloureuse. L'
anesthésie
existe donc pour les parties profondes, aussi b
g après les séances suivantes, si le cas est favora- ble. Quant à l'
anesthésie
, les malades n'avouent ordinairement qu'ils sen-
deux cas, début brusque, évolution rapide, myosis' hémiplégie sans
anesthésie
, contracture précoce, hyperthermie. En présence
lectuel, lésion de la région de Weernicke, lésions pro- ductrices d'
anesthésie
: tout est réuni ici pour la mise en applica- t
ise un état superficiel de l'hypnose, avec monoidéisme et, souvent,
anesthésie
. M. Jacques CI3RTILLON.- Les Arabes trcmbleurs
ne anorexie presque com- plète, de la constipation. Un constate une
anesthésie
généralisée, sauf à la région abdominale qui es
i a lieu, par exemple, pour les pa- ralysies, les contractures, les
anesthésies
, les attaques dites hystériques. Il ne suffit p
réac- tion paradoxale. Exagération des réflexes musculo-tendineux
anesthésies
ou hyperesthésies. Parésies et paralysies de loca
ielles les plus fréquentes sont celles de la vue. On note parfois l'
anesthésie
plus ou moins com- plète des deux yeux. D'autre
hésie avant la crise. Et ces auteurs se refusent aussi à admettre l'
anesthésie
corhéenne ét conjonctivalo que Hammond, Jackson
e l'exa- men direct ne donne d'utiles renseignements. Dès lors, l'
anesthésie
constatée qui ne peut être mise sur le compte d
une peinture de camaïeu ou dans une aqua- « relie à la sépia. » L'
anesthésie
chromatique de la période d'aura pré- sente des
xquels cette idée a été mêlée. Sans doute cette amnésie comme cette
anesthésie
a des caractères étranges : elle n'est ni défin
; elles ne s'isolent pas au même degré et ne s'accom- pagnent ni d'
anesthésie
, ni d'amnésie. En un mot les idées fixes que pr
ture, augmen- talion de la force, peut avoir pour contre-partie une
anesthésie
, di- minution de la sensibilité ; une douleur,
manifesta- tion, elles retrouvent toujours leur équilibre dans une
anesthésie
quelconque que l'on trouve soit dans les organe
riques sont abolis ; la sen- sibilité profonde est aussi supprimée.
Anesthésie
osseuse et perle des attitudes segmentaires. En
ixer que la limite supérieure. Les limites supérieures de la zône d'
anesthésie
cutanée permet aux auteurs d'affirmer que les é
cée de trois fistules donnant issue à du pus mal lié. L'examen sans
anesthésie
révéla une lésion osseuse inattendue, les t"aje
que la plupart de ces manifestations, notamment les paralysies,les
anesthésies
, les contractures, les idées fixes,etc.,sont les
plusieurs fonctions semblables : excitation sexuelle produisant l'
anesthésie
des organes génitaux et de la mamelle.Quand,après
mobilisé un certain temps, et qu'il se produit une paralysie ou une
anesthésie
hystériques, il est inexact de dire que l'idée
lsionÍ1ail'e ? de 5aint-\Iédard, à Paris en 1727, présentaient de l'
anesthésie
et de la xénoglossie (l'a- culté de parler dans
ce plantaire et dorsale), hyperalgésie sur la face dorsale du pied,
anesthésie
vibratoire complète sur les extrémités inférieure
es des nerfs sont très sensibles à la pression. Membres supérieurs.
Anesthésie
vibratoire des extré- mités supérieures en enti
nostique et la sensibilité vibratoire se sont améliorés ; au lieu d'
anesthésie
vibratoire envahissant les mem- bres supérieurs
n et du pied n'ont aucun rapport ; 3° le développement graduel de l'
anesthésie
vibratoire, enva- hissant les membres inférieur
ataxie, le signe de Romberg, l'abolition des réflexes profonds et l'
anesthésie
vibratoire de toutes les extrémités en entier n
troubles des réactions électriques dans la région du plexus sacré,
anesthésie
à disposition radiculaire, troubles sphinc- tér
lyopie dans l'accès envisagé a débuté par l'oeil gauche). C'est une
anesthésie
comparable à celle que l'on éprouve à la suite
e. Aucun accident de chloroforme n'est survenu dans le service. L'
anesthésie
, contrairement à ce qu'on serait tenté de croire,
re, secousses fibrillaires (notamment dans les membres supérieurs);
anesthésies
légères dans les parties périphériques des memb
erf examiné histologiquement était sain. Comme c'était à prévoir, l'
anesthésie
augmenta et dessina exactement la zone du fémor
fait ; mais ce qui est à remarquer, c'est que la distribution de l'
anesthésie
était la même que celle qui serait résultée d'u
e hémiparésie gauche avec intégrité des mouvements de la face ; une
anesthésie
complète à la douleur et à la chaleur avec cons
oculo-moteur antérieur. Théoriquement, on devrait avoir alors de l'
anesthésie
sensitive, de même que dans les cas précédents
e sensitive, de même que dans les cas précédents nous avions de l'
anesthésie
sensorielle. De ce que les troubles objectifs d
ossopharyngien, du pneumogastrique et de l'accessoire du même côté.
Anesthésie
totale de la moitié gauche de la tête et de la
vec précision les mou- vements oculaires compensateurs à cause de l'
anesthésie
des deux globes oculaires. Sur la plaque centri
iase, ptosis léger; parole impercep- tible ; pas de paralysies ni d'
anesthésies
; faiblesse et oppression croissantes. A l'autop
opération et son siège ne sauraient être incriminés, non plus que l'
anesthésie
chloroformique et l'iodoforme employé pour les
malade (Obs. I) qui a pu être suivie pendant plus de deux mois, à l'
anesthésie
du début a fait suite une hypereslhésie. Dans c
à la malade une sensation douloureuse ; quelques secondes après, l'
anesthésie
à la piqûre est absolue toujours au même point.
atons dans les mêmes régions tantôt de l'hyperesthésie, tantôt de l'
anesthésie
à la piqûre ; depuis un mois environ la sensibi
régions, le malade porte sa main gauche au point blessé. 24.
Anesthésie
to- tale pour le membre su- périeur droit, et
314 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de symptômes (réflexes du genou,
anesthésies
, contractures). Il insiste en terminant sur la
érêt principal de ce cas consiste dans la distribution spéciale des
anesthésies
, au froid et à la douleur. La dissociation des
tenue; l'ataxie est peu prononcée, la force motrice a aug- menté, l'
anesthésie
est faible et peu étendue. Les autres symp- tôm
is la compression devait remonter au huitième segment dorsal, car l'
anesthésie
était partielle dans le domaine de ce dernier.
'hyperesthésie des membres. Chez deux animaux il y eut ensuite de l'
anesthésie
des membres mais rien que des pattes. Forte dil
la douleur considérablement diminuée; il existe même des plaques d'
anesthésie
à la plante des pieds. Pas d'hémiparésie. Pas d
des membres. En faveur d'une myélite, l'ataxie, inexplicable par l'
anesthésie
seule ; il est probable que de môme que dans les
nes après on le voit paralysé du train de derrière; paraplégie avec
anesthésie
totale des pattes' postérieures et du tiers pos
l'oeil gauche, par accès; du larmoiement, de la conjonctivite, de l'
anesthésie
de la cornée, du coryza, toujours à gauche; de
ial. Tous les mus- cles réagissent à l'électricité; il existe : une
anesthésie
à la douleur et au toucher des deux jambes; une
syringomyélie avancée : sa valeur clinique pour la palho- génie des
anesthésies
syringomyéliques. Dans quatre autopsies de syri
bérance, doit jouer un rôle de premier ordre dans la palhogénie des
anesthésies
syringomyéiiques dont la phy- siologie patholog
fe, tandis que lorsque je respire avec le ventre je respire bien «. L'
anesthésie
élhyl-méthylique vient encore à l'appui de ce fai
thésie élhyl-méthylique vient encore à l'appui de ce fait : dès que l'
anesthésie
est réalisée les spasmes diaphragmatiques cessent
n'accuse aucune sensation de mal être, d'étouffement. Mais dès que l'
anesthésie
estdissipée le type respiratoire défectueux revie
s sensations contraires à celles qui devraient normalement exister. L'
anesthésie
éthyl-méthylique mieux que toute analyse psycholo
t très bien s'expliquer. L'émotion du 20 décembre 1901 a provoqué une
anesthésie
générale telle que les perceptions sensitivo-sens
du poids du corps, le retour du tonus musculaire, la diminution de l'
anesthésie
, la réapparition des sécrétions. Et, encore mieux
ta sensibilité; à l'exploration des réflexes, je constate une zone d'
anesthésie
, qui comprend la partie interne de la cornée de l
cornée de l'œil gauche, dont l'excitation ne provoque pas de réflexe.
Anesthésie
de la région médiane et droite du pharynx, suppre
pharyngienne; névralgie hystérique ; zones d'hyperesthésie et zones d'
anesthésie
cutanée. Anesthésie pharyngienne et abolition du
gie hystérique ; zones d'hyperesthésie et zones d'anesthésie cutanée.
Anesthésie
pharyngienne et abolition du réflexe. Insomnie et
grande. Névralgie hystérique. Zones d'hyperesthésie cutanée; zones d'
anesthésie
cor-néenne avec abolition du réflexe. Examen au s
, pour constater les résultats de ses applications métalliques, sur l'
anesthésie
et l'amyos-thénie des hystériques. c II n'y a p
us de cinquante ans, un autre symptôme qui ait autant de valeur que l'
anesthésie
et l'amyosthénie... Elles n'existent jamais impun
précieux que ceux qui résultent des réponses des malades. « Ainsi l'
anesthésie
et l'amyosthénie ont-elles augmenté, qu'on s'atte
l voir également que ces excitations avaient une action marquée sur l'
anesthésie
des hystériques et qu'il était possible d'obtenir
epuis un an. Notez que cetle jeune personne présente, à droite, une
anesthésie
totale pour les divers modes de la sensibilité ;
es phénomènes prémonitoires, tels que des crampes œsophagiennes, de l'
anesthésie
pharyngée et diverses zones d'anesthésie cutanée
crampes œsophagiennes, de l'anesthésie pharyngée et diverses zones d'
anesthésie
cutanée ; c'est dans ces conditions-là seulement
sensiblement égale des deux côtés. Réflexes normaux, pas de plaques d'
anesthésie
ni d'hyperesthésie, voile du palais réagissant no
astant avec l'abolition presque complète de la sensibilité cutanée. L'
anesthésie
s'étendait, en effet, à toute la surface du corps
ystériques les ont influencées sans s'en douter. Dr Paul Farez. — L'
anesthésie
généralisée, l'immobilité absolue, les contractur
r tout ce qui l'étonné et déjà le captive. Car un mélange singulier d'
anesthésie
et d'hypéresthésie des sens est le caractère domi
ne de poitrine hystérique, bien que la malade n'eut ni ovarialgie. ni
anesthésie
, ni aucun autre stigmate d'hystérie. L'hyperesthé
t excessive. Je ne constatai aucun trouble fonctionnel du cœur, pas d'
anesthésie
. ni d'ovarialgie.J'assitai à une crise avec le Dr
es lui revenaient à l'esprit. Endormi très facilement cette fois, l'
anesthésie
est complète. L'amnésie au réveil est absolue. Je
ion chez la malade, des stigmates de la névrose que se fonde Grasset:
anesthésie
relative à gauche, abolition du réflexe pharyngé,
es peuvent offrir divers stigmates de l'hystérie, et entre autres des
anesthésies
et des hyperesthésies. Binswanger a cru devoir di
mer en un mot l'action de la morphine en général ee serait le terme *
anesthésie
» qu'il tau irait ch.dsir anesthésie, physique, a
en général ee serait le terme * anesthésie » qu'il tau irait ch.dsir
anesthésie
, physique, anesthésie morale, anesthésie de la vo
le terme * anesthésie » qu'il tau irait ch.dsir anesthésie, physique,
anesthésie
morale, anesthésie de la volonté. Les morphinoman
ie » qu'il tau irait ch.dsir anesthésie, physique, anesthésie morale,
anesthésie
de la volonté. Les morphinomanes perdent tellemen
ail a faire. 11 est probable que l'opium joue aussi un rôledrns cette
anesthésie
sexuelle. UN ACCOUCHEMENT SANS DOULEUR SOUS L'I
re du sommeil naturel en ce que les sujets tombent en catalepsie avec
anesthésie
du tégument cutané. Cet état de sommeil engendr
vements suggérés. Nous avons réalisé des suggestions de sensibilité :
anesthésie
, analgésie, hyperesthésie, illusions ; sensitives
le plonger dans l'hypnotisme pour subir une opération douloureuse. L'
anesthésie
hypnotique fut assez profonde pour qu'il pût subi
t un certain temps chez un sujet, une contracture, une paralysie, une
anesthésie
. une zone hypnogène, ou un dédoublement de la per
Moscou, 1891. Dobrovolsky (Mme Marie). — Contribution A l'étude de l'
Anesthésie
obstétricale, in-8°, 115 pages. — Imprimerie Ta
e et la jeune femme fut facilement hypnotisée. Je constatai aussi une
anesthésie
assez profonde des téguments et je lui suggérai d
e conseille donc à quiconque serait tenté d'expérimenter ce procédé d'
anesthésie
, de provoquer l'hypnotisme au moins pendant six s
dans lequel il peut la plonger. Je suis pleinement convaincu que l'
anesthésie
hypnotique ne pourra être obtenu dans tous les ca
qu'une femme est susceptible d'être hypnotisée au point d'arriver à l'
anesthésie
, je pense qu'il sera indiqué d'appliquer ce procé
nstamment dans l'état B depuis 1885. Dans cet état, elle présente une
anesthésie
générale absolue, et la perte du sens musculaire
e douleur à la pression de l'ovaire, pas de zones hystérogènes, pas d'
anesthésie
. De même, il n'existe pas de symptômes que l'on p
depuis sept années, ni trouble oculaire, ni douleurs fulgurantes, ni
anesthésie
; et nous estimons jusqu'à preuve du contraire que
'effet est seulement une hémicontracture droite. Si je suggère de l'
anesthésie
circonscrite (anesthésie en segments géo- métri
hémicontracture droite. Si je suggère de l'anesthésie circonscrite (
anesthésie
en segments géo- métriques de Charcot) : la par
Ancien interne des hôpitaux. UN CAS D'HÉMIPAHAPLÉGIE SPINALE AVEC
ANESTHÉSIE
CROISÉE D'ORIGINE SYPHILITIQUE Les lésions trau
sont la cause la plus fréquente de 1'liéluipaiiplégie spinale avec
anesthésie
croi- sée ou syndrome de Brown-Séquard. Mais ce
remier rang, après le traumatisme; et l'hémiparaplégie spinale avec
anesthésie
croisée répond à une forme de myélite 'syphilit
ons du fond de l'oeil. Au point de vue de la sensibilité objective,
anesthésie
complète dans les deux pieds. Dans les jambes,
. Nous tenons simplement à souligner ici, chez nos trois malades, l'
anesthésie
profonde des articulations intéressées et l'int
hési- que est améliorée au niveau de la main et de l'avant-bras ; J'
anesthésie
termi- que et au froid persistent. - S'agit-i
y a absence des troubles sensoriels, une disposition spéciale de J'
anesthésie
qni n'est pas celle de l'hystérie, des lésions
a sensibilité à type syringomyéli- que existait. Dans la névrite, l'
anesthésie
est située dans la région du nerf atteint; il e
a lèpre : pigmentation spéciale, nodules lépreux, localisation de l'
anesthésie
au ni- veau des taches lépreuses, localisation
HIES SYRINGOMYÉLIQUES 287 toutes ces opérations ont été faites sans
anesthésie
, et cependant sans dou- leur pour le malade. Ja
s chez le malade de l'obs. I. - Les lignes horizontales indiquent l'
anesthésie
et l'analgésie, les lignes obliques la ther- ma
rieur gauche ont disparu. Sur le membre inférieur droit, la bande d'
anesthésie
cru- rale s'est effacée; les régions anesthésiq
ta- lons du lit et fait quelques mouvements d'extension du pied. L'
anesthésie
a presque totalement disparu ; l'analgésie se l
t les derniers muscles il redevenir normaux. Les dernières traces d'
anesthésie
et d'analgésie cutanées disparaissent. L'urètll
ésion médullaire, qu'une parésie rectale il peu près complète, avec
anesthésie
ano-rectale. Le NOTE SUR DEUX CAS DE TRAUMATISM
tigmates de la lésion médullaire, qu'un légère parésie rectale sans
anesthésie
, et une notable susceptibilité au froid du memb
Amyotrophie, (faciès), 53. Amyotrophiques dans l'art, 55, 56, 57.
Anesthésie
dans l'hémiparaplégie spinale, 32, 33. Apophy
rbure » (a-t-elle en- tendu dire) du rachis, qu'il n'y avait aucune
anesthésie
, aucun trouble des . sphincters et que les réfl
es muscles des extrémités ; 4) inten- sité des troubles sensitifs :
anesthésies
, hyperesthésies, paresthésies dans le territoir
me. L'ankylose ne s'est accompagnée, chez elle, ni de douleur, ni d'
anesthésie
; elle a atteint les articulations de la racine d
de vue : ni sur la face, ni sur les membres, nous n'avons relevé d'
anesthésie
sous quelque mode que ce fût. Les sensibilités
urantes, ni de troubles sphinc- tériens. On ne note ni douleurs, ni
anesthésie
dans le domaine du triju- meau. Enfin la paraly
elle- ment différente du mal. . La malade de Mabille présentait t'
anesthésie
du membre oedématié, sauf pour les agents therm
ire. » Il n'a jamais eu de douleurs dans les membres paralysés ni d'
anesthésie
, mais il nous dit que quand on lui appliquait u
érale : parfaitement conservée partout, pour tous les modes ; pas d'
anesthésie
cornéenne. Sensibilité spéciale : le goût et l'
ris de douleurs générales, de fourmillement, puis de paralysie et d'
anesthésie
com- plètes des membres inférieurs et supérieur
f la tête et le cou, était atteint d'une paralysie flasque et d'une
anesthésie
complète. Pas de réflexes anx membres supérieur
s continues aux endroits où elle est re- parue. A la limite entre l'
anesthésie
et la sensibilité normale existait une cein- tu
tion, ce que demande souvent le petit patient; douleurs spontanées;
anesthésie
tactile, douloureuse et thermique, qui diminue
polaire, c'est-à-dire réaction complète de dégéné- rescence ; enfin
anesthésie
électrique à l'étude des réactions. J'ordonnai
e cemoyen d'investigation. Dans le cas 5, il y avait, au contraire,
anesthésie
éclecti- que ; cela pour moi, a la même signifi
ions ob- jectives de la sensibilité, de l'hypoesthésie et même de l'
anesthésie
, mais, chez les enfants, le résultat est toujou
reprendre sa position première et la mydriase n'est pas inllueucée.
Anesthésie
normale de la cornée et de la conjonctive ; lég
rement son équi- libre nerveux pour se donner une excitation ou une
anesthésie
variables selon les doses employées. Tantôt c
à la piqûre y est tout à fait nor- male, le tact étant émoussé et l'
anesthésie
à la température presque absolue. Au-dessous, c
troublée; à gauche, au niveau de l'épaule seulement, on observe une
anesthésie
totale à la température. Les sensibilités profo
e, bien que peu prononcée, elle a très nettement le caractère d'une
anesthésie
dite syrin- gomyélique (hypoesthésie, et erreur
du côté de la lésion bulbaire. Etant donné les caractères de cette
anesthésie
, il ne peut s'agir d'une atteinte du noyau ou des
t C3 pour atteindre en CI son maximum. L'existence, à gauche, d'une
anesthésie
limitée à la température au ni- veau de C' indi
de vue de la sensibilité, sur le membre supérieur droit la thermo-
anesthésie
était très prononcée, sur le bras gauche les erre
du tout au courant de la production de ce phénomène. Au moment ou l'
anesthésie
de la cornée était complète j'invitais les sujets
douloureuse, du tremblement éthylique des mains et de la langue, de l'
anesthésie
totale à droite, de l'byperesthésie du cuir cheve
arce qu'elle ne présentait que de faibles stigmates de celte névrose (
anesthésie
légère à gauche et ovarie à droite) et que ce qui
les tics, la choréc hystérique, le tremblement, les contractures, les
anesthésies
, les parésies, le hoquet, l'aphonie, le mutisme e
ats favorables dans diverses maladies. On mesmé-risait pour obtenir l'
anesthésie
chirurgicale; pendant six années, Esdaille opéra
urent immédiatement. Plus tard, extraction de toutes les dents sous l'
anesthésie
suggérée. Tandis qu'Elliotson et Esdaiie attrib
jets, rendus analgésiques, dans cet état, peuvent subir, comme dans l'
anesthésie
chloroformique, des opérations chirurgicales. Et
vée dans l'état mental des aliénés. En revanche, on constatera de l'
anesthésie
à l'égard des mêmes agents, et principalement de
paralysée du côté où il y a ovarie. Quand l'ovarie est double, il y a
anesthésie
bilatérale : elle explique comment ces malades vi
un vomitif. Huit jours après, il y avait engourdissement du membre,
anesthésie
partant du pied, puis douleur dans la région
tion de la sensibilité consiste en ceci, que, en même temps que l'
anesthésie
se produit par suite de l'état hypnotique, la sen
ivers points du corps avec une épingle, je constate qu'il y a partout
anesthésie
complète. Je place alors un verre rempli d'eau en
ins suggostibles, et on peut obtenir chez eux des hallucinations, des
anesthésies
, des contractures. D'autres ne dorment pas da
ibilité des conducteurs discontinus, de même le traumatisme produit l'
anesthésie
et la paralysie hystériques, dues aune suppressio
ous pas ces décharges agir de la façon la plus efficace pour guérir l'
anesthésie
et la paralysie hystériques, ce qui conduirait à
es effets, en particulier, chez certains paranoïques? Observation d'
anesthésie
hypnotique dans un but chirurgical. Par M- le D
perd jusqu'au réflexe pal-pébral comme dans la troisième période de l'
anesthésie
chlorofor-mique ; mais on ne peut le faire passer
stibles à l'état de veille. Les analgésies, les hallucinations et les
anesthésies
, et, moins aisément, les mouvements, les contract
114. Aliénés (l'état physique des), par le Dr Keraval. 145, 170.
Anesthésie
hypnotique dans un but chirurgical (observation d
sous d'une ligne circulaire correspondant à peu près à la ceinture,
anesthésie
au contact de toute la moitié inférieure du corps
e, anesthésie au contact de toute la moitié inférieure du corps : l'
anesthésie
est d'autant plus marquée qu'on approche de l'ext
on approche de l'extrémité des mem- bres inférieurs. Il existe de l'
anesthésie
à la piqûre au niveau de la plante des pieds.
les avec troubles sensoriels : tantôt douleurs névralgiques, tantôt
anesthésies
. Gallard (60), Gowers ont trouvé de l'anesthésie
ralgiques, tantôt anesthésies. Gallard (60), Gowers ont trouvé de l'
anesthésie
sur le trajet du cubital et du médian chez des
marquée, soitpardes douleurs le long du tronc nerveux, soit par des
anesthésies
dans le territoire cutané correspondant, soit p
; Force normale dans les membres ; Réflexes tendineux normaux ;
Anesthésie
pharyngée ; pas d'anesthésie cornéenne ; Digère
mbres ; Réflexes tendineux normaux ; Anesthésie pharyngée ; pas d'
anesthésie
cornéenne ; Digère normalement. Urines normales
oit légitime de la considérer comme une manifestation hystérique, l'
anesthésie
pharyngée légère déjà mentionnée étant insuffisan
à la face antéro-externe des deux jambes. Il n'existe pas de zone d'
anesthésie
complète. Le retard de la perception est consid
s distinctifs on signale, le plus habituellement, la présence d'une
anesthésie
totale ou d'un syndrome de Brown-Sequard dans la
eurs. Pendant les jours suivants il y a une certaine variation de l'
anesthésie
tac- tile ; surtout au tronc la malade perçoit
S SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 401 ce diagnostic parle naturellement l'
anesthésie
caractéristique : de l'anal- gésie et de la the
un type spasmodique nous avons constaté une altération du type de l'
anesthésie
: au lieu de l'analgésie et de la thermoanesthé
lieu de l'analgésie et de la thermoanesthésie pure est apparue une
anesthésie
de toute la sensi- bilité cutanée et du sens mu
ement du ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 403 type de l'
anesthésie
qui s'est produit à la clinique (c'est-à-dire l'a
la plante du pied détermine la flexion du gros orteil. Sensibilité.
Anesthésie
de la cornée et du pharynx ; sur le reste du co
, p. 217. Srirtgomyélie avec amyotrophies du type Aran-Duclienne et
anesthésie
dissociée en bande zostéroide sur le tronc. Rem
ligne de démarcation indiquée ; 4° Aux membres inférieurs à droite,
anesthésie
tactile et à la douleur sur la face antérieure
artie de la face plantaire du pied (surtout sur le côté interne).
Anesthésie
au chaud et au froid sur les faces antérieure, ex
e la cuisse, avec, en arrière, une hypoesthésie très marquée. Cette
anesthésie
ou hypoesthésie au chaud et au froid avaient, pou
ligne circulaire passant à la hauteur de l'articulation du genou.
Anesthésie
aux vibrations du diapason sur la cuisse droite ;
le gros or- teil et sur la partie avoisinante de la plante du pied.
Anesthésie
aux vibrations du diapason, sur tout le membre,
ice étendue due à une brûlure profonde, que le patient à cause de l'
anesthésie
thermique qu'il présentait, n'a pas ressentie q
partout hypoesthésie aux diverses formes très accentuées ; zones d'
anesthésie
sur le côté cubital des deux mains. Sur la face a
rs : Hypoesthésie tactile et à la douleur sur les deux membres avec
anesthésie
sur la face antérieure et interne de la cuisse
c anesthésie sur la face antérieure et interne de la cuisse droite,
anesthésie
également sur la plante des pieds des deux côté
mbe droite et, d'une façon moins évidente sur la plante des pieds :
anesthésie
sur les autres par- ties des membres inférieurs
e la moelle dans la région du renflement cervical avec paralysie et
anesthésie
complètes au-dessous de la lésion. La compression
t n'y avoir aucune ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 673
anesthésie
, et je crois en effet que c'est le cas assez souv
us les troubles de la sensibilité peuvent y être représentés ; soit l'
anesthésie
ou l'hyperesthésie correspondant à un déplacement
ographie permet de faire sûrement le diagnostic, sans le secours de l'
anesthésie
. Le traitement de l'hystérie suffira amplement
e les raisonneurs peuvent offrir à leurs patients ; 2° de provoquer l'
anesthésie
chirurgicale qui met en état de subir des opérati
suggestion, provoquer le sommeil, faire la psycho-analyse, produire l'
anesthésie
, réaliser l'éducation de la volonté, de l'esprit.
ois environ, une première intervention que nous faisons à l'aide de l'
anesthésie
stovaïnique par voie lombaire. Elle nous a en eff
est-il que l'injection de stovaine se fit sans encombre et que l'
anesthésie
parfaite fut obtenue. La dilatation fut pratiqu
tranquillité d'esprit que nous avions remarqués lors de la précédente
anesthésie
. Quel ne fut pas notre élonnement, quand, voula
uisse au niveau du pli de l'aine. L'examen du pharynx nous montra une
anesthésie
complète, aussi bien que celui de la cornée. D'
après que l'auteur eut supprimé un demi-centimètre de la luette, sans
anesthésie
pour impressionner l'enfant. A cette même Socié
me âgé de 16 ans, qui présentait des attaques de grande hystérie avec
anesthésie
de tout le corps excepté du bout du nez, du scrot
te une malade au sujet de laquelle il montre l'action de l'or sur une
anesthésie
. Discussion : MM. Bérillon,Paul Magnin,Ubeyd-Ou
tives à ce signe, qui pourraient m'ètre adressées. Dr Bérillon.
Anesthésie
générale par auto-suggestion La Revue médicale
le de chlorure d'éthyle n'avait pas été écrasée par l'écrou, et que l'
anesthésie
n'avait pu se produire. La patiente était donc de
ère visite et je ne constate plus les troubles de la sensibilité ni l'
anesthésie
pharygienne. Le darmographisme existe encore mais
in au réveil, en même temps qu'une hémianesthésie gauche totale, avec
anesthésie
du voile du palais. A partir de ce moment, les rè
plantaires, sont conservés, normaux et égaux des deux côtés ; mais l'
anesthésie
cutanée, qu'il s'agisse de piqûre, de chaleur ou
-saud à la réouverture des cours de l'Ecole de psychologie, p. 362.
Anesthésie
générale par auto-sugges-tion, p. 288. Anormaux
ions nerveuses centrales si l'on en juge par l'éclosion précose des
anesthésies
des membres avec paralysie et contracture des e
me. Hyperesthésie des régions ovarienne, mammaire et rachi- dienne.
Anesthésie
absolue, sauf pour un courant faradique éner- g
érale. Chloroforme facultatif ou suivant le cas. L'auteur préfère l'
anesthésie
; il indique ensuite l'attitude que l'on doit d
eut traitées par la suggestion, qui peut également déter- miner une
anesthésie
générale ou locale de la peau fort utile pour d
note lapamlysie du goût ' et, plus loin encore 2, la dysphagie et l'
anesthésie
du goût. Les traités classiques d'Axenfeld, de
départ dans les troubles du goût. (Sphère du glosso-pbaryugien.)
Anesthésie
linguale, uni ou bilatérale. Perversions du goû
présenter aussi de l'aaeschésie linguale et invariablement d'autres
anesthésies
dans la sphère du trijumeau. Mais il y a bien p
'ensemble des symptômes se divise tout naturellement en phénomène d'
anesthésie
uni ou bi-latérale, ou en phénomènes de pervers
n phénomènes de perversions. 1° Abolition de l'odorat et du goût.
Anesthésie
nasale et linguale. L'anosmie et l'ageustie tot
persistent du côté de la pituitaire (abolition du réflexe nasal,
anesthésie
nasale, hémianosmie). En troisième lieu c'est é
n'avant jamais été au-dessous de -H2. Un troisième, présentant l'
anesthésie
totale du goût et de l'odorat, offrait en même
anesthésie totale du goût et de l'odorat, offrait en même temps une
anesthésie
au toucher et à la douleur dans presque toute l
t être frappés définitivement et d'une façon continue, soit par l'
anesthésie
, soit par la perversion, ou se montrer atteints s
té spé- ciale de l'odorat et du goût. Même dans les cas où il y a
anesthésie
du trijumeau à la face, si la sensibilité général
vation qui plaide dans le même sens en constatant simultanément l'
anesthésie
dans la sphère du trijumeau et la perte de la sen
t qu'au cours de ce mémoire nous avons Insisté sur la fréquence des
anesthésies
du trijumeau chez les tabétiques qui présentaie
dura vingt minutes et ne détermina aucune sensation douloureuse. L'
anesthésie
fut obtenue par suggestion pendant le somnambul
et des membres, l'animal marche à peu près dès que les effets de l'
anesthésie
s'effacent, et pendant les quelques jours de sa
sie hystéro-trcaumatique (douleurs spontanées dans le bras gauche,
anesthésie
et analgésie au niveau du pouce blessé et dans le
re faiblesse (mais pas de parésie) des membres du côté droit. Pas d'
anesthésie
, mais une sensation d'engourdissement dans les
rs de la substance grise. Paralysie motrice, atrophie musculaire,
anesthésies
diverses se rattachent à des lésions bien local
faire constater aux tantes les phénomènes classiques de léthargie, d'
anesthésie
, d'automatisme, de catalepsie, de somnambulisme e
hérapie. Discussion; M. Lionel Daurîao. 2* M. Berillon': Un cas d'
anesthésie
générale. Discussion: M. Paul Magnin. 3* M. B
ature prise plusieurs fois dans l'aisselle donne de 37 à 37°,8. • L'
anesthésie
de la surface cutanée et des muqueuses est totale
au tronc et aux membres. La tète resta toujours insensible, et cette
anesthésie
reparut totale pour tout le corps après la cessat
une piqûre septique faite par un visiteur désireux de s'assurer de l'
anesthésie
des téguments. Ce n'est qu'une hypothèse, mais el
Maonin. — Action des excitations mécaniques faibles et répétées sur l'
anesthésie
hystérique. —Discussion : MM. Bérillon, et Paul F
h. 45. Action des excitations mécaniques faibles et répétées sur l'
anesthésie
hystérique par M. le D* Paul Magxin', Professeur
t voir également que ces excitations avaient une action marquée sur l'
anesthésie
des hystériques et qu'il était possible d'obtenir
à ceux décrits à propos de l'action esthésio-gène des métaux savoir :
anesthésie
de retour, anesthésic post-métallique et oscillat
its, même intenses ou inattendus, ne sont point perçus par l'ouïe ; l'
anesthésie
auditive est totale. Les yeux sont perpétuellemen
t par gestes, l'attire sur un siège, l'endort et obtient rapidement l'
anesthésie
complète, ainsi que la suppression des vomissemen
ymptômes correspondants ou communs dans les deux genres de maladies :
anesthésies
plus ou moins nettes etdistractions ou erreurs de
a pique faiblement ; mais, si on le fait fortement, elle se retire; l'
anesthésie
n'est donc qu'apparente. A la vérité, c'est sur
ur le succès des suggestions. La suggestion éthyl-méthylique combat l'
anesthésie
et l'anorexie, en même temps qu'elle ramène une r
avec difficulté sur ses deux mains qu'elle prend la position assise ;
anesthésie
presque complète des téguments aux membres inféri
rale qui m'avaient permis de dépister l'hystérie. D'un côté, zone d'
anesthésie
uréthrale accompagnant l'hystérie; de l'autre, hy
uellement (40-41 kg), le psoriasis a presque complètement disparu : l'
anesthésie
a fait place à de l'hyperesthésie et l'on constat
364. Année psychologique, p. 30. Amaurose, par Emirzé, p. 318.
Anesthésie
hystérique (Action dea excitations mécaniques fai
ralysie générale, du nystagmus, du my- xoedeme, de la stupeur, de l'
anesthésie
cutanée.de diminution de l'acuité visuelle et d
'état a interrompu. 10° Au point de vue sensoriel on n'a pas noté l'
anesthésie
. Mais dans certaines circonstances, associées s
iels : si la coenesthésie s'est profondément modifiée, si de vastes
anesthésies
tactiles sont survenues depuis peu, les sensati
onsciente jointe à ce groupement s'accompagnera de paraly- sie ou d'
anesthésie
, ou de l'une et de l'autre diversement réparties.
rappel de l'un par l'autre : de la personnalité.par exemple, par l'
anesthésie
créée par le transfert ; ou bien,les modificati
Voici une paralysie, hystérique type, d'un bras par exemple, avec
anesthésie
superficielle et profonde, avec incapacité de l
x- pliquer ? L'un dit : il y a paralysie parce que le sujet est
anesthésie
. Ne sentant plus son bras, ne peut le remuer. S
continuer parce qu'il n'a pas sa sensibilité profonde. C'est donc l'
anesthésie
qui est la cause de la paralysie. Mais cette an
'est donc l'anesthésie qui est la cause de la paralysie. Mais cette
anesthésie
n'est que la perte de la conscience des sensati
i ce n'est que la conscience des sensations qui est perdue dans l'
anesthésie
, pourquoi cette anesthésie psychique n'en- traî
nce des sensations qui est perdue dans l'anesthésie, pourquoi cette
anesthésie
psychique n'en- traîne- t-elle pas toujours la
ment suggéré en l'examinant, comme il crée chez lui de la sorte l'
anesthésie
, le rétrécissement du champ visuel, les points
e anatomie du cerveau en présence de paralysies, de contractures, d'
anesthésies
que nous sommes habi- tués à rattacher à des tr
ent d'aspect, d'activité, quand on les secoue de leur torpeur, leur
anesthésie
enfin qui n'est que le signe objec- tif de l'in
et psychiques, depuis les phénomènes les plus élémentaires comme l'
anesthésie
cutanée, jusqu'aux plus complexes, comme le sen
i-disant cercle vicieux, consistant à dire que l'émotion provoque l'
anesthésie
, en engourdissant les centres nerveux, et qu'el
l'émotion sur le cerveau, comment elle l'en- gourdit, et comment l'
anesthésie
résulte de cet engour- dissement, dont elle n'e
et sa réactivité seront diminuées aussi, ce qui se traduit par de l'
anesthésie
, soit générale, soit d'une façon pré- dominante
s que l'état hystérique est constitué, non pas parce qu'il y a de l'
anesthésie
ou de la paralysie ou tel autre trouble, mais p
pronation et rotation interne ; les ré- flexes sont abolis; il y a
anesthésie
complète avec anosmie et agneu- sie, spasme vés
ariés de la sensibilité générale. Ce qui domine, c'est surtout de l'
anesthésie
irrégulièrement distribuée, mais affectant prin
ilité; et si, chez cer- tains persécutés on trouve quelquefois de l'
anesthésie
ou de l'hyperesthésie, ces phénomènes n'offrent
avait pas encore constaté les signes permanents de 1'liys- térie (
anesthésie
et autres), soit qu'on eût insuffisam- ment rec
ons, de l'amnésie, la folie, la perte de connaissance, l'aphasie, l'
anesthésie
, la surdité, l'agueusie, l'anosmie, l'am- blyop
ibilité générale et la sensibilité spéciale, avec prédominance de l'
anesthésie
à gauche ; b) Symptômes accidentels et intermit
é d'affaiblissement dans les membres du côté gauche. Elle n'a pas d'
anesthésie
; elle a seulement une exagération notable du ré
s et des troubles de coordination ; bientôt .paralysie véritable et
anesthésie
des membres affectés. Jamais de paralysie de la
constata une énorme augmentation des phéno- mènes tendineux, et une
anesthésie
complète dans toutes les modalités; aucune trac
ce électrique. Légère contracture des genoux. La paralysie et les
anesthésies
s'évanouirent ultérieurement, les troubles de coo
dérable des troubles de la coordination, notamment à droite, et à l'
anesthésie
. Mort le : 3 avril. La publication in extenso ser
tion comporte est ajournée. M. SCRUFTZ présente un aliéné atteint d'
anesthésie
totale. C'est un jeune homme de vingt-trois ans
é une anes- thésie, d'abord du même côté, puis de toute la surface,
anesthésie
portant sur tous les modes de la sensibilité, y
inuent à sentir ; cette main pos- sède aussi le sens de l'espace. L'
anesthésie
qui nous occupe repose sur un simple trouble fo
ports avec les accès d'épilepsie. Jusqu'alors, on a considéré que l'
anesthésie
optique qui affecte au périmètre la forme de ré
la conscience : ce sont des hyperesthésies, des hypoesthésies, des
anesthésies
.desparesthésies de chacune de ces fonctions. A
▲