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1 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
dans les-quelles Hippocrate observait. C'est surtout sur les maladies aiguës fébriles qu'il avait concentré son attention, et
son évolution. De là vient la distinction établie entre les maladies aiguës et les affections chroniques, qui répond évidemme
re envisagée comme une ligne de démarcation absolue, puisque la forme aiguë et la forme chronique d'un seul et même état path
qui ont succombé ra-pidement, dans le cours du rhumatisme articulaire aigu , le sang, la sérosité contenue dans le péricarde
x, elle fait naître des pleurésies, des pneumonies, des péricar-dites aiguës plus ou moins comparables à celles qu'on ob-serve
nous avons remarqué, M. Vulpian et moi, que la tuberculisation, môme aiguë , est plus fréquente à la Salpétrière qu'on ne le
rcton a rapporté dans sa thèse inaugurale neuf cas de tuberculisation aiguë chez les vieillards. Trois de ces individus étaie
Trois de ces individus étaient âgés de plus de 80 ans et la phthisie aiguë était primitive dans tous les cas, à l'exception
illesse à l'un des principaux symp-tômes de la plupart des affections aiguës . La fièvre, dit Gillette (2) dans un passage où
: ses caractères généraux. — Goutte régulière, irrégu-lière : goutte aiguë , goutte chronique. — Hématologie pathologique de
position du sang, chez les goutteux. — État des urines dans la goutte aiguë , pendant l'accès et dans l'intervalle des accès :
ue nous connaissons aujourd'hui sous le nom de rhumatisme articulaire aigu . Ce fut un peu plus tard que le rhumatisme articu
s. C'est ainsi, messieurs, que vous nous entendrez parler de goutte aiguë et de goutte chronique. Or, la goutte est une aff
t une affection essentiellement chronique, et qui ne peut jamais être aiguë : cependant ces deux termes correspondent aux deu
era d'abord des accès articulaires, ayant les allures d'une affection aiguë , et dont les retours sont plus ou moins régulière
ulations, et plus spécialement au gros orteil ; c'est alors la goutte aiguë partielle. Dans la goutte aiguë généralisée, qui
u gros orteil ; c'est alors la goutte aiguë partielle. Dans la goutte aiguë généralisée, qui offre une grande ressemblance av
. Il se produit assez fréquemment, dans le cours d'un accès de goutte aiguë , des troubles fonctionnels qu'on peut attribuer à
mblée, ne vient en général qu'à la suite de plusieurs accès de goutte aiguë . Le malade, qui jouissait autrefois de longs inte
ès, pour retomber ensuite au-dessous du taux primitif. Dans la goutte aiguë , il s'efface dans l'intervalle des attaques, au m
l'acide urique dans le sang. Par contre, le rhumatisme articulaire aigu (Garrod), ou chro-nique (Charcot), ne sont jamais
ant : 1° Que la proportion des globules se maintient dans la goutte aiguë à l'état normal, contraste évident avec l'anémie
out-teuse ; 2° Que la fibrine subit une augmentation dans la goutte aiguë ; du moins, les saignées sont couenneuses ; 3°
reur, que Garrod est arrivé aux résultats suivants ; Dans la goutte aiguë , pendant l'accès, les urines sont rares et foncée
us avancée de la maladie, quand l'état chro-nique a succédé aux accès aigus , la synoviale elle-même se laisse envahir : ce so
nce pratique ; il permet de comprendre pourquoi la goutte généralisée aiguë présente quelquefois une si grande ressemblance a
quelquefois une si grande ressemblance avec le rhumatisme articulaire aigu ; et l'on peut s'expliquer ainsi comment cer-tain
à les confondre. Il est évi-dent, par exemple, qu'un accès de goutte aiguë , occupant l.Todd.—Praclical remarks on Gout. Lo
outte, et ne se rencontre jamais dans le rhumatisme articulaire, soit aigu , soit chro-nique. II resterait à se demander qu
ection et qu'on a rencontrées chez des sujets atteints de goutte soit aiguë , soit chronique, lorsqu'une affection inter-mitte
SIXIÈME LEÇON Séméiologie de la Goutte. — Diathèse urique. -Goutte aiguë . — Goutte chronique. Sommaire. — Doux formes pr
hronique. Sommaire. — Doux formes principales de la goutte : goutte aiguë , goutte chronique. — La goutte est toujours au fo
— La goutte est toujours au fond une maladie chronique : mais l'accès aigu a une physionomie bien différente de l'état perma
t plus riche eu matériaux solides. — Gravellc microscopique. — Goutte aiguë . — Prodromes. — Invasion des douleurs articulaire
iculaires. — Symptômes généraux. — Caractères principaux de la goutte aiguë . —Phénomènes consécutifs. — Déviations du type ré
guë. —Phénomènes consécutifs. — Déviations du type régulier. — Goutte aiguë généralisée. — Goutte molle ou asthénique. — Reto
hénique. — Retour des accès. — Transformation insensible de la goutte aiguë en goutte chronique. — Ca-chexie goutteuse. — Gra
affections intercurrentes. — Goutte chro-nique succédant à la goutte aiguë . — Goutte chronique d'emblée. — Evolution des top
de ces altérations. Dès le principe, nous avons établi que, tantôt aiguë , tantôt chronique, la goutte se présente sous deu
nt infirmer la règle générale. Toutefois, la physionomie d'un accès aigu est si différente de celle que présente la maladi
des faits réels. Nous allons donc étudier successivement la goutte aiguë et la goutte chronique, nous conformant ainsi à l
ment dite, dont nous allons maintenant étudier l'évolu-tion. GOUTTE AIGUË . Supposons qu'un premier accès de goutte aiguë
évolu-tion. GOUTTE AIGUË. Supposons qu'un premier accès de goutte aiguë soit sur le point d'éclater chez un sujet qui, ju
voyons, en somme, que les caractères les plus sail-lants de la goutte aiguë sont les suivants : Io L'invasion brusque, et l
contrairement à ce que nous observons dans le rhumatisme articulaire aigu . Enfin, il faut tenir compte de phénomènes cons
st, messieurs, le type le plus ordinaire de l'accès de goutte franche aiguë . J'aurais pu, sans doute, vous tracer une peintur
elle présente la plus grande analogie avec le rhu-matisme articulaire aigu , au inoins sous Je rapport syniptoma-tique ; nous
ns sous Je rapport syniptoma-tique ; nous voulons parler de la goutte aiguë généralisée primitive, qui, dès les premiers accè
s ces accidents n'ont-ils pas été rapportés au rhumatisme articulaire aigu ! Mais ce n'est pas seulement par rapport au si
s seulement par rapport au siège de ses ma-nifestations que la goutte aiguë peut offrir des variétés. L'intensité des sympt
jets débilités. C'est alors la forme molle ou asfhénique de la goutte aiguë , dont le pronostic est en général peu favorable,
rver, est une affection essentiellement chronique, même dans sa forme aiguë . 11 est donc indispensable d'étudier les accès da
. Mais la goutte chronique, qui succède ordinairement à la goutte aiguë , peut aussi se montrer d'emblée, et présente alor
des caractères un peu différents. A. Quand elle succède à la goutte aiguë , la goutte chronique s'établit presque en permane
nce sur les articulations; mais les symptômes locaux deviennent moins aigus ; les douleurs sont moins vives; enfin, comme nou
soigneusement décrites par Lynch(1), Garrod et Trousseau. Le délire aigu , ou forme méningitique du rhumatisme cé-rébral, s
enant au moment d'un accès (Marcet), ni avec le délire des affections aiguës intercur-rentes, ni enfin avec les symptômes que
ut devenir le siège de dou-leurs fort analogues à celles de la goutte aiguë ; c'est la goutte prérotulienne de M. Rayer. On se
Cette dernière affection, peu commune dans le rhumatisme articulaire aigu (Wunderlich, Hamernjk) (2), est fréquente chez le
ns tous les climats, et se rencontre souvent aux Indes, sous la forme aiguë aussi bien que sous la forme chronique : aussi, p
cité dans le cours de nos leçons a démon-tré : 1° que dans la goutte aiguë ou chronique, l'acide urique 1. On Gout and rhe
mialc. — Nature de cette affection. — Ses rapports avec le rhumatisme aigu . — Principales variétés de cette maladie. — Rhuma
complète-ment indépendante de la goutte et du rhumatisme articulaire aigu : c'est Y arthrite rhumatoïde de Garrod (rheumato
articulaire chronique procéder directement du rhumatisme articulaire aigu , absolu-ment comme la pneumonie lobaire chronique
ent comme la pneumonie lobaire chronique peut succéder à la pneumonie aiguë . Il est vrai, toutefois, que nous voyons la forme
développer presque toujours spontanément, et sans passer par la forme aiguë ; mais ce fait négatif ne saurait infirmer la con
inguer deux espèces. Tantôt primitive, tan-tôt consécutive à la forme aiguë (ce qui est rare), cette affec-tion peut être bén
-tions viscérales, qui sont tantôt semblables à celles du rhuma-tisme aigu ( et qui en procèdent quelquefois), et tantôt pro
de rattacher la forme chronique du rhumatisme articulaire à la forme aiguë ou subaiguë ; elle nous permet enfin d'établir un
s qui relient la forme chronique du rhumatisme articulaire à la forme aiguë . DOUZIÈME LEÇON Parallèle entre le rhumatisme
rhumatisme articulaire chronique, et celles du rhumatisme articulaire aigu . — Altérations des jointures dans le rhumatisme a
aire aigu. — Altérations des jointures dans le rhumatisme articulaire aigu et subaigu. — Elles sont tantôt nulles, tantôt ma
et celles du rhu- I. — Altérations des jointures dans le rhumatisme aigu et subaigu. Dans le langage scolastique de l'
ue de l'ancienne médecine, le terme subaigu s'appliquait aux maladies aiguës dont la durée dépassait vingt et un jours — limit
ion est, à la vérité, plus lente que celle du rhumatisme ar-ticulaire aigu , mais qui en diffère encore sous d'autres rap-por
èvre hectique ; les petites jointures sont sou- matisme articulaire aigu . Nous reconnaîtrons bientôt que les lésions de la
pour ainsi dire, que la plus haute expression des lésions de la forme aiguë ; elles correspondent à une phase plus avancée du
que comme au point de vue anatomique, une transition entre les formes aiguës et les formes chroniques du rhumatisme articulair
ombre. On sait que le contraire a lieu dans le rhumatisme articulaire aigu . Enfin les affections viscérales , ou tout au moi
ns qu'on remarque dans les join-tures, dans le rhumatisme articulaire aigu , et dans le rhuma-tisme articulaire subaigu. •
à une certaine époque, au sujet des lésions du rhumatisme articulaire aigu . Cette affection peut-elle se terminer, oui ou no
euse de leurs vaisseaux (Lebert). Fig. 12. — Rhumatisme articulaire aigu . Surface du cartilage des condyles du fémur (d'ap
erme une petite masse cellulaire. Fig. 13. — Rhumatisme articulaire aigu . Surface du cartilage de revêtement de la rotule
ques altérations des os et du périoste dans le rhumatisme articulaire aigu . Il nous reste à dire un mot sur la nature du l
mènes, la fibrine et les globules de pus correspondent à une synovite aiguë ; tandis que la mucosine est produite par la trans
r, après avoir eu autrefois plusieurs accès de rhumatisme articulaire aigu . Il y a une transition insensible entre ces faits
hropathies secondaires, qui ont les allures du rhumatisme articulaire aigu ou subaigu ; 2° les arthropathies tertiaires, qui
yphilis, 1866, p. 182. plus d'une fois décrit les rhumatismes, soit aigu , soit chro-nique, chez les sujets syphilitiques;
relation incon-testable entre les altérations de l'arthro-rhumatisme aigu et celle de l'anthro-rhumatisme partiel ou chroni
buer de pareils effets. TREIZIÈME LEGÓN Du rhumatisme articulaire aigu , considéré spéciale-ment dans ses rapports avec l
goutte. Sommaire. - Description succincte du rhumatisme articulaire aigu et subaigu. — Son analogie avec le rhumatisme chr
sme chronique ; différences qui le séparent de la goutte. —Rhumatisme aigu ; rhumatisme subaigu. Arthropathies multiples. —
Urines.— Anémie profonde. Parallèle entre le rhumatisme articulaire aigu , la goutte et le rhumatisme articulaire subaigu.
ticulaire subaigu. Hématologie pathologique du rhumatisme articulaire aigu et subaigu. Messieurs, Nous n'avons pas l'int
ion de vous donner une description complète du rhumatisme articulaire aigu . Une pareille étude ne peut se faire avec fruit q
naires. Rien de plus rare en effet, chez les vieillards, que la forme aiguë du rhumatisme articulaire ; rien de plus fréquent
toutefois négliger complètement l'histoire du rhumatisme articulaire aigu . Nous voulons, en effet, soute- nir dans le dom
n symptomatique d'une maladie, de la réaction lente ou de la réaction aiguë de l'organisme. Nous arriverons, au contraire,
onc vous présenter une description sommaire du rhumatisme articulaire aigu , dans laquelle nous aurons soin de n'insister que
caractères fondamentaux. I. — Description du rhumatisme articulaire aigu . Nous nous retrouvons ici en présence des deux
avons déjà signalé l'existence: d'une part, le rhumatisme articulaire aigu , fièvre rhumatismale (rheumatic fever) des au-teu
constituent l'une des données fondamentales du rhumatisme articulaire aigu ; et ce caractère contribue en grande partie à nou
de signaler. A. — Des arthropathies dans le rhumatisme articulaire aigu . Les caractères de ces lésions locales vous son
i qui est généralisé ou poly-articulaire. On sait que, dans la goutte aiguë , il est rare de voir l'affection se généraliser d
1851, p. 51. B. — De l'état général dans le rhumatisme articulaire aigu . Le phénomène fondamental est ici la fièvre ; e
ne manque jamais complètement dans le cours du rhumatisme articulaire aigu . La chaleur des parties centrales peut dépasser
ères sont profondément modifiés. Les sécrétions, dans le rhumatisme aigu , méritent une at-tention spéciale. Nous placerons
antes. Simon a constaté que, dans le cours du rhumastisme articulaire aigu , il existe de l'acide acétique dans l'excrétion s
4). La salive, d'après Fuller (5), serait acide dans le rhuma-tisme aigu ; d'ailleurs tous les liquides de l'économie, d'a
Un dernier caractère de l'état général dans le rhumatisme articulaire aigu , c'est l'anémie profonde qui se développe peu de
sté sur ce point. Les choses se passent tout autrement dans la goutte aiguë , et l'on ne peut se dispenser de voir ici une dif
différence de plus. IL — PARALLÈLE ENTRE LE RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU , LA GOUTTE ET LE RHUMATISME SUBAIGU. Après cett
SUBAIGU. Après cette description sommaire du rhumatisme articulaire aigu , nous sommes en mesure de faire ressortir les dif
soit avec le rhumatisme subaigu. 1° Pour ce qui concerne la goutte aiguë , nous ne voyons ici qu'une seule analogie à signa
Enfin, l'anémie ne se prononce jamais, dès l'origine, dans la goutte aiguë . 2° Le rhumatisme articulaire subaigu se présen
articulaire subaigu se présente encore avec les caractères de l'état aigu : seulement le mouvement fébrile est moins intens
obilité extrême des manifes-tations locales du rhumatisme articulaire aigu . Enfin, l'on peut établir une distinction entre c
mois dans le rhumatisme subaigu, d'après Macleod; dans le rhumatisme aigu , elle a été diversement appréciée, mais elle est
jours. III. — Hématologie pathologique du rhumatisme articulaire aigu et suraigu La composition du sang dans le rhuma
articulaire diffère considérablement de ce qui existe dans la goutte aiguë , et c'est là, sans contredit, l'une des distincti
On sait que le caillot d'une saignée, dans le rhumatisme ar-ticulaire aigu , est résistant et rétracté, et qu'il ressemble à
ous ce rapport, la composition du sang dans le rhumatisme articulaire aigu peut être considérée comme le type du sang inflam
serait impossible d'exagérer. Mais, dans le rhumatisme articulaire aigu , le sang ne pos-sède-t-il pas quelques caractères
n normale, et qui puisse expliquer pourquoi le rhumatisme articulaire aigu diffère à tant d'égards des phlegmasies ordinaire
ce principe, existe au plus haut degré dans le rhumatisme articulaire aigu : de là cette fréquence excessive des thromboses
érapie, t. I, 479. tiellement distincte de la goutte. Le rhumatisme aigu , le rhumatisme chronique et le rhumatisme subaigu
ÈME LEÇON Des affections viscérales dans le rhumatisme arti-culaire aigu et chronique Sommaire. — Parallèle entre les af
entre les affections viscérales de la goutte et celles du rhumatisme aigu ou chronique. — Développement tardif des affectio
goutte ; développement prématuré de ces affections dans le rhumatisme aigu . — Ces lésions ne se manifestent que plus tard da
foie, des reins. — Complications diverses du rhumatisme arti-culaire aigu . — Les lésions cardiaques peuvent exister aussi d
urons ensuite à nous demander si les lésions viscérales du rhumatisme aigu se retrouvent, avec les mêmes caractères, dans le
s chroniques de la maladie. Pendant le cours des accès de la goutte aiguë , des troubles purement fonctionnels sont pendant
des ca-ractères principaux de cette affection (au moins dans sa forme aiguë ), c'est le développement prématuré de certaines l
e. Le rhumatisme chronique primitif diffère à cet égard de la forme aiguë . L'existence de ces affections viscérales est ass
ération graisseuse que l'on observe. Dans le rhumatisme articulaire aigu , les affections du cœur se traduisent, au contrai
-ventriculaires re-connaissent pour origine le rhumatisme articulaire aigu . Nous insisterons plus particulièrement, dans l
qui font en quelque sorte partie intégrante du rhumatisme articulaire aigu . On peut les considérer comme l'un des traits car
grande, que lorsqu'on voit coexister l'endocardite ou la péricardite aiguës avec une affection articulaire d'ailleurs mal déf
e l'endocardite et de la péricardite dans le rhumatisme articulaire aigu . La péricardite rhumatismale est une affection
ieure. En quoi consiste donc le processus pathologique ? A l'état aigu , le travail morbide débute par la tuméfaction du
Telle est la première période de la maladie. Fig. 17. — Endocardite aiguë . Coupe de la valvule mitrale. a. — Lamelle supé
ngt-quatre ans, qui fut atteint d'un rhuma-tisme articulaire, d'abord aigu , puis chronique. Il présentait, pendant la vie, u
ntermittente sympto-matique qui s'associent au rhumatisme articulaire aigu (2). II. — De l'endocabdite et de la péricabdit
é l'histoire de l'endocardite et de la pericardite dans le rhumatisme aigu , nous cherche- 1. Des lésions viscérales suites
ans, par Goddard-Rogers. Il s'agit d'un cas de rhumatisme articulaire aigu avec endo-cardite, dans lequel le sujet fut subit
docardite et la péricardite, sont plus fré-quentes dans le rhumatisme aigu et polyarticulaire. Valleix, Latham, Bamberger, F
ue permet d'établir, à cet égard, un rapport depárente entre la forme aiguë et la forme chronique du rhumatisme articulaire,
sujets, aune époque antérieure, une attaque de rhumatisme articulaire aigu ; mais j'ai recueilli un assez grand nombre d'obs
matisants chroniques, sans que la maladie ait jamais affecté la forme aiguë . Deux de ces faits sont consignés dans la thèse d
e; ces affections offrent les mômes caractères que dans le rhumatisme aigu . Elles se développent de préférence à l'épo-que d
s de la maladie, et lorsqu'on se rapproche en quelque sorte de l'état aigu . Au reste, ces maladies ont en général un caractè
ci que les autres complications habituelles du rhumatisme articulaire aigu se rencontrent plus rarement que les précédentes
e certaines affections presque complè-tement étrangères au rhumatisme aigu , ainsi qu'on pouvait aisément le prévoir. Nous
aigu et chronique; mais elle est beaucoup plus rare que dans la forme aiguë . La pneumonie aiguë est une complication fréque
s elle est beaucoup plus rare que dans la forme aiguë. La pneumonie aiguë est une complication fréquente de l'arthro-rhumat
pneumonie aiguë est une complication fréquente de l'arthro-rhumatisme aigu ; je ne l'ai jamais rencontrée dans la forme chron
ante. Cette femme n'avait jamais éprouvé de rhumatisme articu-laire aigu généralisé; mais, à plusieurs reprises, depuis di
très humide, paraît avoir eu une attaque, de rhu-matisme articulaire aigu ; elle est restée au lit pendant six semaines et
es presque complètement identiques à celles du rhumatisme articulaire aigu , mais sans épanche-ment synovial dans la jointure
cette intéressante observa-tion, d'un rhumatisme articulaire d'abord aigu , puis subaigu, qui a fini par passer à l'état chr
puis longtemps signalé l'existence d'une laryngite liée au rhumatisme aigu . Garrod a décrit aussi une forme particulière de
s de la discuter plus loin. Appareil urinaire. — Dans le rhumatisme aigu , il existe une néphrite spéciale que nous venons
e la vessie ne, sont pas très communes dans le rhumatisme articulaire aigu . Il ne faut point confondre avec la goutte vésica
ctions médullaires. —La chorée, dont les rapports, avec le rhumatisme aigu sont si bien démontrés, ne paraît pas exister dan
2). Quant aux paraplégies, elles s'unissent rarement au rhu-matisme aigu ou subaigu, et il faut bien se garder de confondr
is des affec-tions abarticulaires ; il en est de même dans les formes aiguës et chroniques du rhumatisme. Ainsi les douleurs
es muscles (Guilbert), peuvent aussi se rencontrer dans le rhumatisme aigu : mais on les trouve bien plus souvent encore dan
e la sclérotite goutteuse. Les affections des yeux dans le rhumatisme aigu sont rares ; mais il en est tout autre-ment dans
fections de la, peau, si bien connues dans la goutte et le rhumatisme aigu , se rencontrent aussi dans le rhumatisme chroniqu
noueux. — Elles ressemblent souvent, au début, à celles du rhumatisme aigu . — Rétraction spasmodique des muscles. — Attitude
x est aux autres formes de rhuma-tisme chronique ce que le rhumatisme aigu généralisé est au rhumatisme subaigu ou partiel.
la tuméfaction et la chaleur, qui caractérisent aussi le rhuma-tisme aigu ; seulemen! les accidents offrent ici une moins g
souvent se joindre même dès l'origine, phéno-mène qui, dans la forme aiguë , est loin de se manifester au même degré : nous v
us-quement, et l'affection prendre d'abord les allures d'une mala-die aiguë . H nous reste à signaler les déformations des m
l est caractérisé : 1° Par la flexion à angle obtus, droit, ou même aigu , de la phalangette sur la phalangine ; 2° Par l
it que le sang est couenneux; il l'est effective-ment dans les formes aiguës , mais on n'y trouve jamais d'acide urique : j'a
opposé. Les symptômes généraux sont ceux du rhumatisme articu-laire aigu ou subaigu ; il y a une élévation marquée de la t
ions cardiaques. On pourrait admettre ici que le rhumatisme d'abord aigu , a pris ultérieurement la forme chronique : cette
furent envahies dans le cours d'une attaque de rhumatisme articulaire aigu : il en ré-sulta une déviation des doigts vers le
e, mais dont la marche présente quelques-uns des caractères de l'état aigu . Après un certain temps, il se développe une fi
viscérales. Mode de développement. — Succède parfois au rhumatisme aigu . — Peut se manifester d'emblée. — Se généralise q
onique partiel paraît succéder quel-quefois au rhumatisme articulaire aigu , dont il est alors la conséquence. 1. Golombel.
on n'a rien qui doive nous étonner, car nous savons que le rhumatisme aigu pré-sente, en germe, les lésions de la forme chro
la forme chronique. B. Le début de l'arthrite déformante peut être aigu , quoi-que le rhumatisme soit partiel dès l'origin
de cinquante-trois ans, il y eut, au début, des arthrites partielles aiguës , avec fièvre et rétraction mus-culaire; puis la m
ne faut point oublier qu'il se produit quelque-fois des exacerbations aiguës . L'affection articulaire, pendant longtemps indol
musculaire. Ces manifestations peuvent alterner aussi avec les accès aigus de cette maladie. Il n'est pas rare de le rencont
it cependant déjà. — Géographie médicale. — Le rhumatisme articulaire aigu est une maladie qui appartient surtout aux climat
runtées à divers auteurs. — Age. — La période classique du rhumatisme aigu s'étend de quinze à trente ans. — Le rhumatisme c
ante. — Sexe. — Les hommes sont plus sujets au rhumatisme articulaire aigu , les femmes au rhumatisme noueux. Causes extéri
in-taines. Il paraît cependant établi que le rhumatisme articulaire aigu est une maladie qui appartient plus spécialement
tte affection procède souvent par voie d'hérédité, soit du rhumatisme aigu , soit directement du rhumatisme chronique. Il f
vingt ans, comme nous l'avons déjà fait observer (p. 139); La forme aiguë du rhumatisme articulaire se présente rare-ment a
soixante-dix ans. Il s'agissait, dans le premier cas, d'un rhumatisme aigu léger ; dans le second, il s'était développé un r
Les hommes, sont plus sujets que les femmes au rhumatisme articulaire aigu . Cependant il n'existe pas, sous ce rapport, une
'une grande puissance pour développer, soit le rhumatisme articulaire aigu , soit le rhumatisme chronique, à évolution rapide
'agit là de la cause la plus efficace, soit du rhumatisme articulaire aigu , soit surtout du rhumatisme noueux. Les trois q
Nous possédons plusieurs observations dans lesquelles le rhumatisme aigu ou chronique s'est développé à la suite d'un coup
e-loppa à la suite d'une piqûre à la main, et un accès de rhu-matisme aigu débuta par l'articulation du poignet, au niveau d
a manière des accidents extérieurs. On voit le rhumatisme articulaire aigu se développer à la suite d'un grand nombre de mal
e cette affection, fut le point de départ d'un rhumatisme articulaire aigu . Il faut distinguer ce fait de ceux où l'érysipèl
ntelle, a été le point de départ d'un accès de rhumatisme articulaire aigu . On connaît la connexité qui existe entre les a
d'une affection articulaire qui ne se distingue en rien du rhumatisme aigu ; tantôt, au contraire, il s'agit d'arthrites évid
scarlatineuses: les premiers appartiennent au rhumatisme articulaire aigu , la scarlatine n'ayant joué là qu'un rôle d'agent
hrite blennorrhagique. Mais on voit aussi le rhumatisme articulaire aigu , avec en-docardite, survenir à l'occasion d'une s
thème noueux, par exemple) qu'on rencontre souvent dans le rhumatisme aigu ou sub-aigu. — Chez les personnes déjà affectées,
n rapporte plusieurs exemples dans lesquels le rhumatisme articulaire aigu , ou sub-aigu, s'est manifesté chez les femmes enc
ne manière générale après l'accouchement. — On sait que le rhumatisme aigu lui-même a été observé dans le cours de la grosse
dans lerhuma- 1. Sur 225 cas de diabète, le rhumatisme articulaire aigu a été noté deux fois seulement par Griesinger, da
la lenteur de son évolution. — Chez les sujets atteints de rhumatisme aigu , la phtisie est rare (XVunderlich, Hamernjk). Cep
atisme articulaire chro-nique. D'autrefois, le rhumatisme articulaire aigu se manifeste chez un malade, pendant la jeunesse
lation peut s'établir par voie d'hérédité. Le rhu-matisme articulaire aigu est fréquent chez les enfants issus de parents go
sant de nos connaissances à cet égard. — Traitement des exacerbations aiguës . — Opium, sulfate de quinine, saignées. — Alcalin
onstitutionnelle, primitivement chronique, mal-gré ses manifestations aiguës . Mais la goutte est quelquefois aussi une malad
. Les manifestations périodicpies, les paroxys-mes de la goutte, soit aiguë , soit chronique, sont accompa-gnées de souffrance
ous d'abord de ce dernier point. B. Traitement, des acres de goutte aiguë et, chronique. — Il s'agit ici d'un traitement en
tiels qui séparent la goutte du rhumatisme articulaire. Dans la forme aiguë de cette dernière maladie, M. le professeur Monne
auquels on peut utilement re-courir. A l'intérieur, dans des accès aigus , on donne les narco-tiques, surtout la jusquiame.
est loin d'être aussi efficace dans la goutte que dans le rhumatisme aigu . Dans les exacerbations de l'état chronique, le
ure malade. Les vésicatoires sont souvent utiles, soit dans les cas aigus , soit dans les cas sub-aigus. Un petit vésicatoir
ca-tions sont à peu près les mômes que dans le rhumatisme articulaire aigu . On prescrit l'opium, le sulfate de quinine, les
es, d'après Garrod, qu'ils ne le sont, dans le rhumatisme articulaire aigu . C'est cependant le traitement auquel j'aurais le
omalies que peut présenter chez les gens âgés, atteints de maladies aiguës , l'état général, et plus spécialement l'état fébr
-lapsus, qu'il est assez commun d'observer dans le cours des maladies aiguës des vieillards; qu'il me suffise pour le moment d
tion d'acide car-bonique dans le sang : ou, s'il s'agit de l'hépatite aiguë paren-chymateuse (atrophie jaune aiguë du foie),
ou, s'il s'agit de l'hépatite aiguë paren-chymateuse (atrophie jaune aiguë du foie), par suite de la destruction rapide des
médication dite antipyréti-que, appliquée au traitement des maladies aiguës à haute tem-pérature. Or, quel est l'effet le plu
la pneumonie, le sulfate de quinine, dans le rhumatisme articulaire aigu ; ainsi agissent également les bains frais prolon
moment de la défervescence. Quant à la fièvre typhoïde, la phtisie aiguë cafarrhale, qui figurent parmi les espèces les
tions du cœur (rupture du cœur, asystolie, pericardite et endocardite aiguë , etc., etc. ); — dans la péritonite ; — dans les
C'est surtout à titre d'incident survenant dans le cours des maladies aiguës , que l'algïdité centrale est intéressante à étudi
bientôt jusqu'au taux normal. Dans le péricardite, dans Y endocardite aiguës , ainsi que nous l'avions annoncé dans nos premièr
isme. Mais c'est surtout quand il survient dans le cours des maladies aiguës , fébriles, que le collapsus mérite de fixer l'att
a produits n'a jamais succédé à une attaque de rhumatisme articulaire aigu ; les antiphlogistiques, mis en usage pour les com
le plus fréquem-ment; voici sa caractéristique : a) flexion (à angle aigu , droit, ou même obtus), de la phalangette sur la
eurs articulaires ; mais le grand-père a eu un rhumatisme articulaire aigu ; la grand'mère avait eu des rhumatismes chronique
lle entre le pouce et l'index ; les phalangines sont fléchies à angle aigu sur les phalanges, puis les phalangettes, au con-
est pas sans influence sur le développement du rhumatisme articulaire aigu . Nous ne notons que deux fois la suppression des
malades n'a présenté d'attaques de rhumatisme articulaire franchement aigu , avant le début de l'affection dont le déve-loppe
quelques heures après l'é-mission. Qu'il survienne alors une attaque aiguë de goutte ou une irritation bronchique, et l'on t
fférencier la néphrite chronique des goutteux de la maladie de Bright aiguë et chro-nique. Il est certain que les caractères
pagnée de palpitations. Il fut traité pour un rhumatisme ar-ticulaire aigu , et il attribue cette première attaque à l'impres
a goutte sont, comme on voit, on ne peut mieux accusés chez ce sujet. Aiguë , du moins en apparence, à l'origine, et bornant s
, dans le sang, chez les individus atteints de rhumatisme articulaire aigu , tandis que cet excès existe constamment dans le
e aigu, tandis que cet excès existe constamment dans le cas de goutte aiguë ou chronique. Nous pouvons ajouter que, clans les
n et rappelant,, en un mot, le type classique delà goutte articulaire aiguë (1). Dans aucun de ces deux cas, ni l'hérédité ni
, il se développa tout à coup un accès bien caractéristique de goutte aiguë siégeant à l'un des gros orteils. C'était la prem
naître chez les sujets prédisposés, tantôt le rhumatisme articulaire aigu , tantôt le rhumatisme articulaire chronique génér
u partiel, arthrite sèche). C'est ainsi que le rhumatisme articulaire aigu s'est développé, à la suite 1. Bulletin et Mém.
delaface aprovoqué, à ma connaissance : 1° le rhumatisme articulaire aigu ; 2° le rhumatisme articu-laire chronique primitif
nt de départ (d'autres disent le prodrome) du rhuma-tisme articulaire aigu . — La scarlatine produit souvent le rhumatisme ar
laire aigu. — La scarlatine produit souvent le rhumatisme articulaire aigu , avec endocardite, pericardite, etc., et souvent
ours de l'uréthrite, on a vu se développer le rhumatisme articu-laire aigu , avec endocardite et pericardite. La blennorrhagi
blable, particulièrement en ce qui concerne le rhumatisme articulaire aigu , par quelques passages des écrits d'Hippocrate, d
e nom, par la suite, correspond évidemment au rhuma-tisme articulaire aigu , tel que nous l'entendons aujourd'hui. Ghargot. —
le genou, 1 fois sur la hanche (p. 27-28). La douleur de la goutte aiguë comparée à celle du rhumatisme. — On a dit que cl
ne se soient mani-festés; tandis que, dans le rhumatisme articulaire aigu , au contraire, la douleur est étendue, large pour
, s'établisse de bonne heure, dans le cours du rhumatisme articulaire aigu , alors môme qu'il n'a pas été pratiqué d'émission
r (p. 115). Absence d'urate de soude dans le rhumatisme articulaire aigu et chronique. — A l'aide de son procédé du fil, M
s dans le sang, chez les individus atteints de rhumatisme articulaire aigu , tandis que cet excès existe, au con-traire, cons
e cet excès existe, au con-traire, constamment dans les cas de goutte aiguë ou chronique. (Observai, on certain pathol. condi
83, 1848. —? Voir aussi le Tablau consacré au rhumatisme articuiaire aigu dans l'Appendice annexé au Traité de la goutte de
ière. Au contraire, dans les cas, à la vérité peu nombreux, de goutte aiguë ou chro-nique où j'ai pu faire l'examen dont il s
g sépare nettement la goutte, non-seulement du rhumatisme articulaire aigu , — ce qu'avait déjà pleinement démontré M. Garrod
chimiques de la synovie daus la goutte et le rhuma-tisme articulaire aigu . — Cette réaction acide du liquide synovial a déj
les sujets qui succombent pendant le cours du rhumatisme articulaire aigu : le liquide recueilli dans les jointures princip
ang chez plusieurs malades observés au sortir d'une attaque de goutte aiguë ; 3° dans la goutte chronique, le sang examiné da
ches de M. Mon-neret, du moins relativement au rhumatisme articulaire aigu (Arch. gén. de méd., 4e sér. , t. IV, 1844). Cett
que toutes les formes du rhumatisme cérébral, la céphalée, le délire aigu , la folie eniin, se trouvent à peu près exactemen
nce même delà maladie. Ils se relient aussi au rhumatisme articulaire aigu : c'est alors le rhumatisme chronique généralisé q
succéder immédiatement, sans tempsd'arrêt, au rhumatis-me articulaire aigu , le continuer pour ainsi dire, et même s'ac-compa
la fièvre, persistent si souvent à la suite du rhumatisme articulaire aigu , Sydenham ajoute: Non ad menses tantum, sed ad an
s'être produites pen-dant le cours d'accès de rhumatisme articulaire aigu qui ont précédé le développement du rhumatisme ch
e ans auparavant, avait éprouvé une attaque de rhumatisme articulaire aigu . Un fait du même genre avait été mentionné par To
homme avait subi autrefois trois attaques de rhumatisme arti-culaire aigu . Dans la plupart des exemples qui viennent d'êt
n raison de l'existence antérieure d'accès de rhumatisme articu-laire aigu , il est à peu près impossible de décider si le rh
isé et qui jamais n'avaient éprouvé d'accès de rhumatisme articulaire aigu . Les lésions occupaient tantôt l'orifice aortique
ent à établir entre le rhumatisme noueux et le rhumatisme articulaire aigu , un rap-prochement fondé sur un caractère importa
ce sujet a fixé mon attention, j'ai vu plusieurs fois la péri-cardite aiguë ou subaiguë coexister chez des sujets atteints de
e articulaire chronique, tout aussi bien qu'au rhumatisme articulaire aigu ; seulement, moins habituelles dans le premier ca
; voici sa caractéristique : a) flexion (à angle obtus, droit ou même aigu ) delà phalangette sur la phalangine ; b) extensio
ait de la goutte (p. 627). Ressemblance des lésions dans les formes aiguës et chroniques du rhumatisme articulaire. — Suivan
u des- extrémités articulaires des os subit, dans l'arthro-rhumatisme aigu , des altérations qui y révèlent l'existence d'un
, d'établir un rappro-chement entre les formes chroniques et la forme aiguë du rhu-matisme articulaire (p. 029-030). Rhumat
(p. 630-631). Bons effets des alcalins à haute dose dans les formes aiguës , subai-guës et chroniques du rhumatisme. — Des ob
des alcalins à haute dose n'est pas applicable seulement à la for-me aiguë du rhumatisme articulaire. J'ai vu souvent l'admi
uefois assez prononcé, qui semblent indiquer une tendance vers l'état aigu . Même dans les cas du dernier genre, malgré l'adm
r fils (même profession) : Traces de scrofule; rhumatisme articulaire aigu vers l'âge de trente ans; obésité; diabète à l'âg
: ses caractères généraux. — Goutte régulière, irrégu-lière : goutte aiguë , goutte chronique. — Hématologie pathologique de
position du sang, chez les goutteux. — Etat des urines dans la goutte aiguë , pendant l'accès et dans l'intervalle des accès :
SIXIÈME LEÇON sémèiologie de la goutte. — diathèse urique. — goutte aiguë . goutte chronique. f Deux formes principales
goutte chronique. f Deux formes principales de la goutte ; goutte aiguë , goutte chronique. — La goutte est toujours au fo
— La goutte est toujours au fond une maladie chronique ; mais l'accès aigu a une physionomie bien différente de l'état perma
plus riche en matériaux solides. — Gravelle microsco-pique. — Goutte aiguë . — Prodromes. —Invasion des douleurs articu-laire
cu-laires. — Symptômes généraux. — Caractères principaux de la goutte aiguë . — Phénomènes consécutifs. — Déviations du type r
uë. — Phénomènes consécutifs. — Déviations du type régulier. — Goutte aiguë généralisée. — Goutte molle ou asthénique. — Reto
thénique. — Retour des accès. —Transformation insensible de la goutte aiguë en goutte chro-nique. — Cachexie goutteuse. — Gra
es affections intercurrentes.— Goutte chronique succédant à la goutte aiguë . — Goutte chronique d'em-blée. — Evolution des to
miale. —Nature de cette affection. — Ses rapports avec le rhu-matisme aigu . — Principales variétés de cette maladie. — Rhuma
humatisme articulaire chronique, et celles du rhuma-tisme articulaire aigu . Altérations des jointures dans le rhumatisme ar-
laire aigu. Altérations des jointures dans le rhumatisme ar-ticulaire aigu et subaigu. — Tantôt nulles, tantôt manifestes. —
iques. DOUZIÈME LEÇON TREIZIÈME LEÇON du rhumatisme articulaire aigu , considéré spécialement dans ses rapports avec le
que bé# " la goutte. Description succinte du rhumatisme articulaire aigu et subaigu. — Son analogie avec le rhumatisme chr
me chronique ; différences qui le séparent de la goutte. — Rhumatisme aigu ; rhumatisme subaigu. Arthropathies mul-tiples. —
Urines. Anémie profonde. Parallèle entre le rhumatisme articulaire aigu , la goutte et le rhuma-tisme articulaire subaigu.
culaire subaigu. Hématologie pathologique du rhumatisme articulaire aigu et subaigu. 194 QUATORZIÈME LEÇON des affecti
IÈME LEÇON des affections viscérales dans le rhumatisme articulaire aigu et chronique. Parallèle entre les affections vi
entre les affections viscérales de la goutte et celles du rhuma-tisme aigu ou chronique. Développement tardif des affections
a goutte, dévoppement prématuré de ces affections dans le rhuma-tisme aigu . — Ces lésions ne se manifestent que plus tard da
oueux. — Elles res-semblent souvent, au début, à celles du rhumatisme aigu . — Rétraction spasmodique des muscles. — Attitude
foie, des reins. — Complications diverses du rhumatisme articulaire aigu . — Les lé-sions cardiaques peuvent exister aussi
viscérales. Mode de développement. — Succède parfois au rhumatisme aigu . — Peut se manifester d'emblée. — Se généralise q
it cependant déjà. — Géographie médi-cale.— Le rhumatisme articulaire aigu est une maladie qui appartient surtout aux climat
untées à di-vers auteurs. — Age. — La période classique du rhumatisme aigu s'é-tend de quinze à trente ans. — Le rhumatisme
ante. — Sexe. — Les hommes sont plus sujets au rhumatisme articulaire aigu , les femmes au rhumatisme noueux. Causes extéri
ant de nos connaissances à cet égard. — Traitement des exacerba-tions aiguës . — Opium, sulfate de quinine, saignées. — Alcalin
tions du cœur (rupture du cœur, asystolie, pericardite et endocardite aiguë , etc., etc. ); — dans la péritonite ; — dans les
dinaire, 537 ; — dans la goutte viscérale, 91 ; — dans le rhu-matisme aigu , 202 ; —? dans les urines, 534 ; — dans les poumo
) dans le rhumatisme chronique, 174; — altérations dans le rhumatisme aigu , 183 ; — infiltration uratique, 191 ; altérations
muscles, JO; — du cœur, 11;— des arterioles du cerveau, 11. Délire aigu dans la goutte, 100. Diabète, 21 ; — rapports ave
, 75. Douleur : dans la goutte, 76, 162, 500 ; — dans le rhumatisme aigu , 125, 500 ; — musculaire dans le rhu-matisme, 229
— fréquence du pouls, 25; — rhu-matismale, 195, 199; — dans la goutte aiguë , 203 ; rémittente dans le rhumatisme noueux, 246;
sang, 47; — irrégulière, 48; rétrocédée, remontée, mal placée, 48; — aiguë et chronique, 48; — chronique d'emblée, 499; — pa
plications stimu-lantes, 560; — arc senile, 99; — céphalalgie, délire aigu , apoplexie, convulsions, folie,100,463;— aphasie,
sculaires, 107; névral-gies, 107; — affections cutanées,107. Goutte aiguë , 76, 203 ; — prodro-mes, 76 ; — accès, 77 ; doule
fréquence, 390 ; — sexe, 391 ; — absence de rhuma-tisme articulaire aigu , 390 ; — état des extrémités osseuses, 390, 398 ;
53 ; — acide oxalique dans le sang ; 53 ; — du rhumatisme articulaire aigu et subaigu, 204 ; — absence d'acide urique dans l
ections de la — dans le rhu-matisme, 223. Péricardite du rhumatisme aigu , 229 ; — du rhumatisme chronique et su-baigu, 2
hez les vieillards, 20 ; — dans le rhumatisme, 200 ; — dans la goutte aiguë , 203. Q Quinine (sulfate de) 278. R Ramol
l'opium dans le —, 540. Respiratoires (fonctions), 13. Rhumatisme aigu , 182; — lésions de la synoviale, 183; — altératio
érations du périoste, 185; — liquide de la synoviale, 185; — synovite aiguë , 185; — lésions ana-logues dans les affections du
opathies chroniques, 178 ; — parallèle avec le rhumatisme articulaire aigu , 178; — unité des diverses formes cliniques, 191
e agitante, tremblement, ataxie, 228. S Salive dans le rhumatisme aigu , 201. Salpètrière (organisation médicale de la —)
de oxalique dans le —, 53, 122; — altérations du — dans le rhumatisme aigu , 196; différence du — dans la goutte et le rhum
atistique, 494; — obser-vations, 466. Sécrétions dans le rhumatisme aigu , 201;— dans la goutte aiguë, 201. Scrofule, rap
ions, 466. Sécrétions dans le rhumatisme aigu, 201;— dans la goutte aiguë , 201. Scrofule, rapports avec la goutte, 125.
ctions fébriles, 313. Stout, 150, 527. Sueurs, dans le rhumatisme aigu , 201 ; — dans la goutte aiguë, 201. Syncope, pa
, 150, 527. Sueurs, dans le rhumatisme aigu, 201 ; — dans la goutte aiguë , 201. Syncope, par excitation des ganglions sem
s semi-lunaires, 342. Synoviale, lésions de la — dans le rhumatisme aigu , 183; — liquide de la — dans le rhumatisme aigu,
— dans le rhumatisme aigu, 183; — liquide de la — dans le rhumatisme aigu , 185; lésions dans l'arthrite par repos pro-longé
chimique dans la goutte et le rhumatisme articulaire, 521. Synovite aiguë , dans le rhumatisme, 185. Syphilis, dans la gou
rale, 30, 269, 331; — dans la pneumonie, 31. 36; — dans le rhumatisme aigu , 197 ; — dans la goutte aiguë, 203; — in-fluence
pneumonie, 31. 36; — dans le rhumatisme aigu, 197 ; — dans la goutte aiguë , 203; — in-fluence des médicaments sur la—, 35; —
s, 154 — absence d' — dans le rhumatisme, 169, 516 ; — dans la goutte aiguë , 202; — noyaux d' — sur les paupières, 515 ; — da
utteuse, 105. Urines dans la goutte, 53, 75; — dans le rhumatisme aigu . 202. Urique: — diathèse —. 75 (voir acide uriq
2 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de onze mois. Il eutune nouvelle attaque de rhumatisme articulaire aigu en 1892 qui dura trois mois.. Dans une observat
L'attention a été attirée dans l'étude du rhumatisme articu- laire aigu sur les modifications de la sensibilité cutanée e
KERAVAL, Médecin en chef des asiles de la Seine. La Verrucktheit aiguë de Westphal, étudiée par l'Ecole de Vienne, a d
ion qui assez souvent aboutit à la guérison. La con- fusion mentale aiguë ainsi esquissée n'a donc rien à voir avec la Ve
allucinations. Meynert distingue en propres termes la Verriickthcit aiguë primitive (acule pi,ii7zoei,e Ve,2,iicklheit) d
le de raisonnement, tandis que, dans la Verrùcktheit hallucinatoire aiguë , c'est un délire décousu. Les changements d'hum
Vienne admet par conséquent qu'il n'y a pas de délire systématique aigu , que l'incoordination des idées délirantes de per
us la forme d'entité morbide, la confusion mentale hallu- cinatoire aiguë , tout à fait distincte du délire systématique org
sé du souci d'avoir à traduire et à expliquer la folie systématique aiguë . M. de Krafft-Ebing, qui, à l'exemple d'une gra
inn hallucinatoire correspond bien ici à la Verrüclctheit primitive aiguë des autres auteurs (Westplial, Schoefer), moins
ranoïa), aussi l'auteur refuse-t-il d'y voir une folie systématique aiguë (paranoïa acuta) ; c'est, dit-il, une maladie p
rfois capable de mémoire. Quand la maladie affecte une marche moins aiguë , les hallucinations, moins pressées, procèdent
t à la démence. Ici donc le Vahnsinn est synonyme de Verrucktheit aiguë primitive sans le passage à la systématisation;
u cohérent; c'est l'analogue de la confusion mentale hallucinatoire aiguë , tandis que la folie systématique, toujours chr
comme synonyme de paranoïa, dont il admet trois formes une forme aiguë une forme chronique une forme stupide (identiqu
chapitre de la Folie héréditaire. D'après cet auteur, le Wahnsinn, aigu ou chronique, a pour caractère que l'état de l'
este de la vie intellectuelle normale du Moi sain. Dans le Wahnsinn aigu , le trouble de la conscience est plus ou moins
hronique sont tout simplement des formes du Wahnsinn hallucinatoire aigu . M. Schuele n'a eu de garde, conformément à la
le paranoia, et paranoïa veut dire folie systématique. Celle-ci est aiguë ou chronique, acquise ou d'origine dégénérative
dégénérative, ce qui veut dire que l'état de désordre intellectuel aigu (verwirrtheit), ne mérite pas de qualification sp
e systématique chronique peut s'exaspérer et prendre ainsi l'aspect aigu . Les deux termes Wahnsinn et paranoïa, identiques
ou autres, plus ou moins cohérentes suivant qu'il s'agit de l'état aigu ou de l'état chronique. M. Kroepelin, de son cô
sépare des divers délires, parce qu'elle se rattache à l'épuisement aigu du cerveau, qu'elle a une longue durée, un déve
s anomalies de l'hu- meur : le malade est tout désorienté. La forme aiguë se déve- loppe très vite, évolue favorablement;
, rarement curable, il oppose la confusion mentale hallu- cinatoire aiguë (acule hallucinatorische Verwirrtheit). Tant, é
ue, dans le sens de Westphal. La confusion mentale hallucinatoire aiguë (acute hallucina- torische Verwirrtheit) de Sal
agitation permanent, c'est pourquoi il en faut rapprocher le délire aigu . Les difficultés du diagnostic sont grandes. (A
s régions cutanées. J.-C. CHARCOT. XVII. UN cas DE ramollissement aigu du cerveau; par Ph. ZENNER. (Médical Record, Ne
Record, New-York, juillet 28, 1894.) Observation de ramollissement aigu du cerveau se terminant en un mois par la mort.
stion par deux collègues de 5 centigrammes du même produit; ivresse aiguë , sommeil mais malaise consécutif. Avec 5 millig
riode d'agitation, pendant qu'ils sont atteints de folie alcoolique aiguë , de delirium tremens ? On voudrait bien n'accue
alcooliques calmes. Il me semble à moi, dit-il, que les alcooliques aigus sont les seuls qu'il soit possible d'y recevoir
B. 1 CALMEIL. 65 logique des congestions encéphaliques, du délire aigu , de la para- lysie générale ou péri-encéphalite
e, à l'état simple ou com- pliqué, du ramollissement cérébral local aigu et chronique, de l'hémorrhagie eérébrale locali
. Contribution à l'étude des paralysies consécutives aux infections aiguës (paralysies para-infectieuses), leur traitement p
Parmi les troubles survenant au cours ou à la suite des infections aiguës , l'auteur distingue ceux qui sont une manifestati
représente, symptomatiquement, la confusion mentale hallucinatoire aiguë . Notons cette opinion persistante des clinicien
rence verbale hachée, et un excessif désordre des actes ; le délire aigu représente cette extrême acuité de la Verwirrth
lie systématique, ni les observations dans les- quelles le syndrome aigu en question précipite les malades dans une prof
ntale, avec stupeur. Wille en a donné des exemples très nets de cas aigus , qu'il a qualifiés de Verwirrtheit. L'obnubilat
différentes. M. Wille accepte l'existence d'une folie systématique aiguë (paranoïa aczcta), caractérisée par ceci que, d
ande clarté aux mots et aux choses. L'idée de la folie systématique aiguë y est exprimée sans ambape, avec ses motifs ; p
our la confusion mentale '{ Verwirrtheit), ou la folie systématique aiguë (acute paranoïa), ad libitu2n, le nom de délire
la manie. Les hallucinations peuvent revêtir une allure extrêmement aiguë , fougueuse, et engendrer une confusion mentale
uence constante sur le tableau morbide. Ces deux formes sont tantôt aiguës , tantôt chroniques. La paranoïa simple chroniqu
encore : « La conscience est, dans la paranoïa DE LA PARANOÏA. 95 aiguë , parfois passagèrement troublée ; cela arrive rar
llucinations lorsqu'elles se produisent. La paranoïa hallucinatoire aiguë se compose d'un stade pro- dromique plus ou moi
anoïa halluci- natoire violente se rattache à une affection fébrile aiguë ; notamment à la fièvre typhoïde, à la pneumoni
eit (de Wille), ou démence (d'Esquirol), ou Wahnsinn hallucinatoire aigu (de Meynert), ou p2,iiizoe,e acute Fer ? 'Mc/&l
zoe,e acute Fer ? 'Mc/<;e (de Westphal), ou 1·Vahnsinn sensoriel aigu (de Schuele) ou sommations (des autres auteurs)
le cours de la folie systématique ( 6'errüclctheit) primitive, tant aiguë que chronique et, en particulier, dans le cours
sert donc exclusivement du mot paranoïa et distingue : une paranoïa aiguë simple, une paranoïa ch2,o- nique simple, une p
ranoïa aiguë simple, une paranoïa ch2,o- nique simple, une paranoïa aiguë hallucinatoire, une paranoïa secondaire. Dans l
8 p. 100. » Le pronostic le plus favorable appartient à la paranoïa aiguë hallucinatoire. M. Werner sépare tout à fait la
ë hallucinatoire. M. Werner sépare tout à fait la confusion mentale aiguë (acute Verwirrrtheit amentia de Meynert) de la
tungswalan) de Meynert. » Il y aurait donc une folie systématique aiguë , simple ou halluci- natoire (idées de suspicion
our les autres, apparaissant dans le cours de la folie systématique aiguë ou chronique, enfin peut-être aussi constituée
, enfin peut-être aussi constituée par l'exagération des phénomènes aigus de la paranoïa. M. Kirchhoff divise les trouble
ans la Verrücktheit. Le Wahnsinn est au fond un épisode de paranoïa aiguë , pouvant évoluer rapidement et favorablement;
e (à l'exemple de Mayser), survenant dans les troubles psychiques aigus consécutifs à la neurasthénie. Cette division d
de symptôme intercurrent dans la folie systématique hallucinatoire aiguë (acute hallucinatorische paranoïa), ainsi que d
acute hallucinatorische paranoïa), ainsi que dans les exacerbations aiguës de la folie systématique hallu- cinatoire chron
s, inversement il n'y a guère de folie systématique, hallucinatoire aiguë (hallucinalo ? -isehe acutepai-anoia), dans laq
trer comme symptôme intercurrent dans la paranoïa halluci- natoire aiguë ; de même les hallucinations peuvent apparaître
iative ; il faudrait la ranger à côté de la paranoïa hallucinatoire aiguë . Il convien- drait enfin d'admettre une troisiè
ative n'est pas franchement distincte de la paranoïa hallucinatoire aiguë , et que, lorsque la maladie a atteint son plein
fait un simple accident de la paranoïa. Serbski divise les maladies aiguës dont nous venons d'ac- centuer les types en ame
ui, malgré les difficultés de l'entreprise, distinguerait l'amentia aiguë de la paranoïa aiguë, ce serait le profond troubl
ultés de l'entreprise, distinguerait l'amentia aiguë de la paranoïa aiguë , ce serait le profond trouble de la conscience
de commentaires. Elles affirment la compréhen- sion de la paranoïa aiguë en tant que folie délirante à éléments systémat
éconnaît l'hystérie. Il méconnaît aussi le rhumatisme arti- culaire aigu . Bien plus, dans certains cas, l'hystérie appar
ons montré l'importance chez notre malade du rhumatisme articulaire aigu . D'ailleurs l'intérêt n'est pas purement doctri
ique. » L'hystérie peul donc avoir des rapports avec les infections aiguës et les infections chroniques et, parmi ces dern
E POTT cervical. Leptomyélité chronique. Poussée DE MÉNING01fYÉLITE aiguë limitée A la partie INFÉRIEURE DU RENFLE- ment
tégories dis- tinctes : 1° les myélites chroniques; 2° les myélites aiguës dont on peut distinguer deux formes : a, la for
endamment de toute compression; une poussée deméningomyéli te assez aiguë et localisée a été la cause d'une com- plicatio
écifiques. La mort a été amenée par une poussée de méningo- myélite aiguë et récente qui, à la faveur des lésions vasculair
hallucinatoire de Mendel) ? M. Jolly croit que dans les phénomènes aigus , il y en a une forme déli- rante et une forme s
ique aussi bien au syndrome confusion mentale (Ver2viwzcngszustaad) aiguë des alcooliques qu'à celui qui n'a rien d'alcoo
lève et au praticien nos traités de psychiatrie. Déjà les modalités aiguës des observations dont nous nous occupons compor
ivité intellectuelle et de la sensibilité morale : c'est la démence aiguë . Chacun de ces groupes est rattaché au suivant
les mélancoliques, etc. Le second groupe se relie, par les formes aiguës , aux délires fébriles et aux délires toxiques.
e lui appartiennent pas. Si par exemple nous envisageons les formes aiguës et les formes chroniques du groupe paranoïa, il
rs distingués qui ne reconnaissent pas l'existence d'une para- noïa aiguë . A côté de cela, la plupart des psychiatres parai
on pour les formes chro- niques de la paranoïa. Quant à la paranoïa aiguë , elle suscite déjà des points d'interrogation e
nous servir de termes des M. Jolly, de paranoïas hallucinatoires aiguës délirantes et de paranoïas hallucinatoires aiguës
s hallucinatoires aiguës délirantes et de paranoïas hallucinatoires aiguës systé- matisées (sic), ce qui veut dire, et ce
veut dire, et ce qui en effet paraît hors de doute, que la paranoïa aiguë systématisée est très fréquemment au plus haut
. Nous aurions donc ainsi à dis- tinguer la paranoïa hallucinatoire aiguë délirante de la paranoïa hallucinatiore aiguë s
ranoïa hallucinatoire aiguë délirante de la paranoïa hallucinatiore aiguë systématisée, ou, en d'autres termes, nous devr
d'autres termes, nous devrions admettre une paranoïa hallucinatoire aiguë avec confu- sion mentale (Verwirrtheit) et une
c confu- sion mentale (Verwirrtheit) et une paronoïa hallucinatoire aiguë sans confusion mentale. Il serait à désirer qu'
SOCIÉTÉS SAVANTES. 141 plus difficile à exécuter pour la paranoïa aiguë simple; d'après M. Jolly, il faudrait la rattac
aiguë simple; d'après M. Jolly, il faudrait la rattacher à la folie aiguë systématique (paranoïa acuta systematisirende)
la paranoia acuta non hallucinatoire affecte une marche extrêmement aiguë , qu'elle dure rarement plus de trois semaines,
aranoïa dissociative de Ziehen, à moins qu'on en fasse une paranoïa aiguë toute particulière (Jolly). A ce propos, il y a l
e par M. Jolly au mot délire et d'ad- mettre qu'il y a une paranoïa aiguë délirante non hallucinatoire Par contre, les ob
nant. Nous nous rallierons donc à la division de Jolly en paranoïa aiguë délirante et paranoïa aiguë systématisée qui résu
donc à la division de Jolly en paranoïa aiguë délirante et paranoïa aiguë systématisée qui résume les élé- ments fondamen
ui résume les élé- ments fondamentaux de la paranoïa. La paranoïa aiguë délirante englobe les cas de confusion men- tal
te soit par les hallucinations, soit par l'incohérence. La paranoïa aiguë systématisée (sic) comprend les cas de folie in
a aiguë systématisée (sic) comprend les cas de folie intellectuelle aiguë dans lesquels il n'y a guère de confusion menta
e usure sur les pierres en une sorte de poignard très acéré et très aigu . Tout ce qu'il fallait, en un mot, pour tuer le
hait parfois de dormir. Le doigt était le siège d'une suppuration aiguë , profonde; qui nécessita l'amputation des trois p
malade hystérique atteinte antérieurement de rhumatisme articulaire aigu . Hémiplégie droite antérieure traitée avec succès
yot. En mars 1887, elle eut une attaque de rhumatisme articulaire aigu . Un matin en se réveillant, elle ressentit des do
e guérie par l'hypnose, est prise ensuite de rhumatisme articulaire aigu , et à propos de la mort de sa soeur, voit com-
nir sur quelques points de l'observation. Le rhumatisme articulaire aigu , sur lequel nous avons insisté dans la maladie
la mort de sa mère. Elle con- tracte un rhumatisme polyarticulaire aigu , et consécutive- ment à la mort de sa soeur, dé
ute son érythromélalgie. L'in- tervention du rhumatisme articulaire aigu pour l'apparition des phénomènes vaso-moteurs n
vaso-moteur plus facilement excitable; 2° Le rhumatisme articulaire aigu se retrouve fréquemment dans les antécédents et
fixe subconsciente. On y retrouve souvent le rhumatisme articulaire aigu , les phénomènes urinaires, le début brusque, la
ou chirurgicale idées de persécution pendant et après les maladies aiguës persécutés à idées délirantes empruntées aux dé
anoïa chronique. Ils considèrent, qu'en ce qui a trait aux formes aiguës de la Paranoïa, c'est le récent travail de Chasli
ui présente l'état de la question en France. Toutes les psychoses aiguës « qui ne sont ni des manies, ni des mélancolies
mentale primitive. Il la définit : .« une forme de maladie mentale, aiguë ordinairement, qui n'est ni de la manie, ni de
Il ne lui donne pas moins vingt-huit synonymes qui sont : Démence aiguë (Esquirol, Brierre de Boismont) ; Stupidité, st
heit (Meynert, Fritsch) ; Verwirrtheit (Wille); Délire asthénique aiguë (Mayser) ; Acuter Wahnsinn (Schuele); Halluci
e sensoriel (Scherschetsky); Folie générale (Rosenbach); Paranoïa aiguë ou hallucinatoire (divers auteurs); Primary con
194 CLINIQUE MENTALE. ' DE LA PARANOÏA. 195 quant à la paranoïa aiguë (frenosi sensoria acuta) et à la paranoïa secon
a ou folie systématique primitive (liercvitsclanoe soumasscheslvie) aiguë ou chronique, la démence (slaboomie) consécutiv
épileptiques et périodiques, -ledelirium tremens, le délire (bredd) aigu , l'imbécillité, l'idiotie et le crétinisme, -le
possible et parfois accélérée. Il s'agit donc alors d'une paranoïa aiguë ou subaiguë ; il y a dans l'espèce délire primiti
nière maladie (appelée par beaucoup d'auteurs délire hallucinatoire aigu ) de la paranoïa aiguë, c'est l'obnubilation de
e par beaucoup d'auteurs délire hallucinatoire aigu) de la paranoïa aiguë , c'est l'obnubilation de la conscience ; la par
paranoïa aiguë, c'est l'obnubilation de la conscience ; la paranoïa aiguë est donc une forme de transition entre la paran
s-pri- msere M ? 'rMcA<Ae ! < pervétsehnoe pomieschaleilstvo) aiguë , subaiguë ou chronique, n'est, d'après le savan
tuée, suivant lui, par les éléments du délire existant à la période aiguë des maladies et survivant à cette période aiguë
istant à la période aiguë des maladies et survivant à cette période aiguë ; on en a un exemple dans la mélancolie avec dé
xemple dans la mélancolie avec délire et hallucinations; la période aiguë dis- paraît emportant l'état dépressif et l'ang
n. Enfin, contrairement à Meynert, M. Korsakow sépare le dé- lire aigu de l'amentiaà cause de l'élévation thermique, tou
esure de réfuter l'opinion des psychia- tres qui tiennent le délire aigu pour un état particulier pou- vant se joindre à
re d'une autre forme, faisant songer à un délire fébrile. Ce délire aigu avec confusion mentale, c'est la brusque interv
cès d'ivresse. Quant aux alcooliques atteints de folie alcoolique aiguë , de délirium tremens, on les placera dans un as
influenza, comme on en observe à la suite des maladies infectieuses aiguës : rien n'y manquait, pas même les idées absurde
mentale et ne présentant pas les caractères de la démence primitive aiguë . Troubles somatiques relativement minimes (anal
i- naient les convulsions, Lissauer pensait à une lésion cellulaire aiguë dans le territoire cortical, correspondant aux
urveillance continue. Ce n'est qu'après la régression des accidents aigus qu'ils ont été incommodés par le bruit, mais à
ogie de la confusion mentale (Vg)'tt)on'Ë ? t6t<) hallucinatoire aiguë . C'est une psychose réelle; pour la constituer
grave, imbécillité, épilepsie, alcoolisme, ni facteurs étiologiques aigus tels que affections somatique, intoxications, e
s dans les diverses espèces de mélancolie' et de folie systématique aiguë (paranoia acuia) que dans la confu- sion mental
vivacité des éléments symptomatiques qui se succèdent. La démence aiguë a pour elle le trouble profond de l'intelligence
omment distinguer cette forme de confusion mentale halluci- natoire aiguë de celle qui a été décrite jusqu'ici ? M. Beyer n
stifi- cation de l'existence de la confusion mentale hallucinatoire aiguë de ménopause, ainsi que de ses relations avec d
agrégées, l'immense majorité d'entre elles présente des altérations aiguës fort semblables à celles qui traduisent l'in- f
es deux états. Sans vouloir l'aire de l'éclampsie et de l'épilepsie aiguë une seule et même chose, on peut cependant leur
s mêmes mots paranoïa, Wahnsinn, Verrucktheit associés à l'épithète aiguë . En effet ces expressions là portent, en elles
systématisation, systé- matisation qui n'est arrêtée, dans sa phase aiguë , que par des influences indéterminées. Le plus
ous remplaçons cette notion d'une folie ou d'un délire systématique aigu par les expressions de mélancolie avec idées de
nceptions plus ou moins coordonnées, plutôt moins que plus, folie aiguë (Parchappe), syndrome épisodique de la dégénéres-
elle, d'ordre hallucinatoire, 'constatée dans la folie systématique aiguë (paranoïa, Wahnsinn, Verrùcktbeit aiguë), ou qu
ans la folie systématique aiguë (paranoïa, Wahnsinn, Verrùcktbeit aiguë ), ou que ce soit vraiment une maladie différente,
tique chronique, mais encore indé- cises dans la folie systématique aiguë . Ce trio nosographique, tout provisoire, si l'o
acultés et désarroi des mouvements connues sous le nom de délire' aigu . Par contre, il y a souvent une telle intricati
ple, dans cette paranoïa, de se préoccuper tout bonnement d'un état aigu et d'un état chronique, car vraiment la Verwirr
n'est qu'un degré supérieur du Wahnsinn. Dans la folie systématique aiguë (Wahnsinn acuter), en effet, c'est la profusion
'ést là du 1 ? Vahnsiiîn cigù,-de la,,Ve2,- aigtië, de .la paranoïa aiguë , en un mot, compliquée, . au besoin, de confusi
oïa aiguë, en un mot, compliquée, . au besoin, de confusion mentale aiguë hallucinatoire. Le délire chronique,, au contra
ndeurs,, c'est un pa'aazoïalice. ? r -vu S'agit-il' d'une.;modalité; aiguë (mélange, d'idées, délirantes, : , d'hallucinatio
ister à une sorte d'entrelacement des 'termes et des modalités tant aiguës que chroniques et'à l'en- 'chevetremënt des sym
allisation. N'avons-nous pas '"vu disparaître de"'la scènelé délire aigu que l'on paraît vou- loir aujourd'hui rattacher
isclver Wahnsi71n), qui est l'équivalent de la folie systé- matique aiguë primitive (acide p)'z;KOE;'e Yezwücktheit) de ? e
ée par Kirchhoff à la folie systématique en général). 2° La forme aiguë : Elle serait au demeurant la Verwirrtheit (con
s disent (suragitation), sous le nom de Verwirrtheit hallucinatoire aiguë . Ils ont même pris comme exemple le delirium tr
ente de la folie systéma- tique primitive, (primoe're verrùcktheil) aiguë ou'chronique',1 et, 'en particulier, de' la' fo
idées (VerzLor- 2,eiihei*l) ». Jolly dit d'autre part que le délire aigu , c'est de la veî,2,iiektheit primcere avec conf
ahnsinn et la Verwirrtheit "comme des degrés divers de la paranoïa* aiguë /et dans' ces 'conditions, de transformer le pré
ces 'conditions, de transformer le précédent schéma en paranoïa f aiguë ettparanoïà chronique, en introduisant, sous chac
de serait aussi considéré par certains observateurs comme le délire aigu ; ils disent alors que ce dernier s'observe dans l
émence paralytique, la folie systématique primitive, les ma- ladies aiguës ordinaires, la manie ou la mélancolie transi- t
ffection cérébrale en général, il peut survenir des accès de délire aigu (Ziehen, Schuele) ou que le délire aigu, expres-
urvenir des accès de délire aigu (Ziehen, Schuele) ou que le délire aigu , expres- sion la plus aiguë de la confusion men
aigu (Ziehen, Schuele) ou que le délire aigu, expres- sion la plus aiguë de la confusion mentale ou paranoïa aiguë, est
igu, expres- sion la plus aiguë de la confusion mentale ou paranoïa aiguë , est fonction d'une lésion organique du cerveau
vropathiques, les délires toxiques, les délires liés aux mala- dies aiguës fébriles. '' " ' lf'l l Il'est intéressant de p
et lombaire. Au microscope on constate l'exis- tence d'une myélite aiguë atteignant surtout les cornes anté- rieures. Ap
out des jambes. Mort. L'au- topsie montre l'existence d'une myélite aiguë occupant surtout la substance grise de toute la
J'écorce. Puis, peu de temps avant la mott, il y aurait eu myélite aiguë , principalement de cette moitié de la moelle qu
ition suivante, en tant , qu'entité morbide : un désordre psychique aigu produit par un choc nerveux ou une maladie géné
ne ou de sucre. Mort le 25 juillet. Autopsie. 11 existe une myosite aiguë interstitielle ainsi qu'une névrite aiguë multi
ie. 11 existe une myosite aiguë interstitielle ainsi qu'une névrite aiguë multiple portant aussi sur les- nerfs cutanés.
LTZE passe en revue quelques nouveaux travaux sur lapolio- my élite aiguë ; pour, lui il s'agit d'une inflammation vasculai
vasculaire vraie de la substance grise et non d'une dégénérescence aiguë des cel- lules des cornes antérieures. Les symp
complication symptomatique de la folie systématique hallucinatoire1 aiguë , sans délire .religieux apparent ni extase. (.I
faiblissant l'orga- nisme et qu'il ne peut, comme d'autres maladies aiguës pro- voquer la chorée qu'à la condition de renc
nt en : 394 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. choses intellectuelles aiguës et des psychoses affectives aiguës, pourvu que
MENTALE. choses intellectuelles aiguës et des psychoses affectives aiguës , pourvu que la modification de la sensibilité m
dans les psychoses dépressives, dans les psychoses intellectuelles aiguës à ferme stupide, dans les formes très graves de
en dehors de l'épisode passionnel, sur laquelle se greffe la phase aiguë . Si l'émotivité, passagèrement modifiée, repren
omique et avec le stade ulté- rieur ; 3° dans la folie systématique aiguë souvent, il n'y a pas de maximum vespéral. Fréq
essoires irréguliè- rement répartis. Généralement ces exacerbations aiguës correspon- dent à de l'agitation motrice ou aff
On les trouve dans la démence paralytique, la folie sys- tématique aiguë , notamment quand elle s'accompagne de grande in
scurités dont cette affection est entourée. - La stupeur, démence aiguë d'Esquirol, « confusion mentale », constitué en
réaction. Esquirol distinguait de la démence chronique une démence aiguë qui se développait dans la convalescence de la
uirol qui souligne la phrase). Georget appelle stupidité la démence aiguë d'Esquirol; d'autres auteurs, Etoc-De- mazy, Ca
plus haut degré, on est en présence de ce qu'on appelle la démence aiguë avec ses variétés agitée et stupide ; si c'est l'
sécutives à la fièvre typhoïde, l'éry- sipèle cérébral, les délires aigus , l'urémie, quelques affections diathésiques, l'
resque com- plet du cours des images, on a le tableau de la démence aiguë avec ses différentes variétés; si l'excitation
psus, ceux surtout qui caractérisent la manie suraiguë et le délire aigu , les mélancolies avec stupeur, mais surtout ceux
nt pas encore terminés, surtout sur ce que l'on appelle la paranoïa aiguë , autrement dit les délires hallucinatoires ou sys
aiguë, autrement dit les délires hallucinatoires ou systé- matisés aigus . Les chapitres consacrés au pronostic, à l'étio
êtreréalisélerêved'Gsquiroldel'asile de traite- mentpourles aliénés aigus curables où un médecin traitant nepour- rait êt
its. L'hôpital comprendrait en outre une division pour les maladies aiguës , une autre pour les convalescents et une derniè
tre-indiqué dans les cas de manie, lorsqu'il existe de l'excitation aiguë , lorsque le poids du corps s'abaisse rapidement
mais on ne peut poser ce diagnostic qu'après l'apaisement du stade aigu qui peut s'être présenté et à la condition que
trairement à la paranoïa, dans les étals qui sui- vent les épisodes aigus de la psychose la systématisation n'existe pas.
r : je veux parler de la con- gestion cérébrale et de l'encéphalite aiguë , de l'apoplexie séreuse ou oedème cérébral, bri
n mineur, non un prisonnier. Un asile doit être un hôpital pour les aigus et un lieu de repos pour les chroniques. Instal
eux cas de traumatisme -, par CliipaL[lt, 473. - Ramollissement aigu du cerveau. par Zenner, 10. Haynaud, maladie
3 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
aire du poumon. Sommaire. — Objet du cours : lésions inflammatoires aiguës et chroniques des voies bronchiques et du parench
enseignement de la nature de celui-ci. Lésions inflammatoires tant aiguës que chroniques des voies bronchiques et du parenc
t. I, p. 46. Charcot. Œuvres complètes., t. v., Poumons. 2 angle aigu . Mais, dans son parcours, ce troncule, qui porte
les uns des autres en rayonnant et formant entre eux des angles très aigus . Chemin faisant, ils se ramifient plusieurs fois,
de bien connaître. Telles sont, par exemple, les broncho-pneu-monies aiguës , subaiguës, ou chroniques, tuberculeuses ou non t
hypoblastiques et tissu mésoblastique. Caractères des inflammations aiguës des tissus vasculaires. — Irritation nutritive. —
r certaines formes du processus inflammatoire. Dans les inflammations aiguës des tissus vasculaires, il y a à distinguer, vous
lium pulmonaire ; nous allons voir, dans les processus inflammatoires aigus , se re-produire tous les phénomènes rappelés tout
pro-pos de l'endothélium. Prenons l'exemple de la broncho-pneumonie aiguë ou subai-guë et examinons d'abord le cas où la ma
faible de nitrate d'argent. IL Dans toutes les broncho-pneumonies aiguës ou subaiguës provoquées expérimentalement, de mêm
ontrer, représente à l'état subaigu ou chronique la broncho-pneumonie aiguë simple. Cette altération me semble être beaucoup
ou de groupes d'acini qui offrent encore des altérations de la forme aiguë ; il s'y dessine souvent des cloisons résultant d
exemple, la pneumonie chro-nique consécutive ci la pneumonie lobaire aiguë . Telle est aussi la pneumonie chronique inter-l
-taires macroscopiques dont l'ensemble constitue la broncho-pneumonie aiguë . Il s'agit, après cet exposé, de rechercher la
cho-pneumonie chronique aussi bien que celles de la broncho-pneumonie aiguë . Chez les animaux, l'introduction de corps étra
s, pus, liquide buccal, etc.. Il existe ainsi des bron-cho-pneumonies aiguës consécutives au cancer de la langue, aux abcès ré
d'induration pulmonaire, et représentant à l'état chronique la forme aiguë de la pneumonie lobaire dégagée de toute compli-c
tère inflammatoire appréciable, persistait à la suite d'une pneumonie aiguë depuis longtemps guérie. D'autres fois, ce sont d
ngtemps guérie. D'autres fois, ce sont des exemples de ces pneumonies aiguës à lente évolution dont on a pu dire qu'elles sont
s pneumonies aiguës à lente évolution dont on a pu dire qu'elles sont aiguës par les symptômes, et chroniques par la durée. Or
s par nous il y a plusieurs années dans les hôpitaux \ La pneumonie aiguë lobaire simple n'est pas la seule forme d'inflamm
obaire simple n'est pas la seule forme d'inflammation parenchymateuse aiguë du poumon qui se trouve représentée à l'état chro
éveloppement et permettent ainsi de saisir la transition entre l'état aigu et l'état chronique proprement dit. A. Indurati
peu de ceux qui appartiennent à l'hépatisation rouge de la pneumonie aiguë . Le tissu malade est rouge, compact, lourd, non c
à les diverses espèces de corps granuleux qu'on rencontre dans l'état aigu ; mais, en outre, il existait un certain nombre de
logique, 2Qo livr., Pneumonie subaiôue, etc. ri été de la pneumonie aiguë , qu'il propose d'appeler du nom de pneumonie œdém
s colorés du sang l. Il est probable que ces variétés de la pneumonie aiguë devront se retrouver dans les formes lentes et ch
s qualités chimiques ou microscopiques qu'on leur connaît dans l'état aigu . Dans l'induration grise que nous devons maintena
extérieurs de l'induration grise. Bien différente de l'hcpatisation aiguë et des formes de l'hô-patisation chronique dont n
III, n" 003. plus fines et moins apparentes que dans l'hépatisation aiguë , et il faut y regarder de très près ou même s'aid
toutes les gradations qui peuvent exister entre l'hépatisation rouge aiguë et les indu-rations diverses propres à l'état chr
cinq selles. L'affection est considérée d'abord comme une pneumonie aiguë et traitée comme telle. (Tartre stibié, 25 centig
t elle succède aux symptômes plus ou moins manifestes d'une pneumonie aiguë , tantôt, au con-traire, elle débute avec des comm
ènes qui marquent d'une manière particu-lière la transition de l'état aigu à l'état chronique : « On voit d'abord, dit M. le
au contraire, il y a préala-blement réapparition momentanée de l'état aigu ou, autre-ment dit, rechute. Au bout d'un temps
. III. — Observation de pneumonie chronique succédant à une pneumonie aiguë . — Carie de plusieurs côtes, abcès ossifluents.—
ivent le plus souvent être attribués à la coexistence d'une pneumonie aiguë . Cette pneumonie n'est pas toujours accidentelle
ration. Cela eût été cependant fort intéressant; cardans la pneumonie aiguë , où l'absence de tout bruit respiratoire, normal
peu près réduit à des conjectures. On a dit souvent que la pneumonie aiguë avait cette fâcheuse issue, lorsque le traitement
rt souvent, prin-cipalement dans ces dernières années, les pneumomies aiguës ont été abandonnées à elles-mêmes, ou tout au plu
ela, passerplus commu-nément à l'état chronique. Lorsque la pneumonie aiguë passe à l'état chronique, c'est surtout, sans dou
ompte en pareille circonstance que la pneumo-nie lobulaire ou lobaire aiguë . - Alcoolismus chronicus. Stockholm, 1832, p. 1
, à la forme chronique proprement dite; ce sont des cas de pneumo-nie aiguë à lente évolution ou dans lesquels la résolution
aient jamais, à proprement parler, dépouillé les caractères de l'état aigu . Thérapeutique. — S'il s'agissait d'un cas de d
s'il était donné, par exemple, d'assister au passage de la pneu-monie aiguë à l'état chronique, on pourrait peut-être, les fo
s le nom de pneumonies catarrhales. Bien distincte de l'hépatisa-tion aiguë ou chronique par ses caractères anatomiques, la c
que nous lui avons assignés, elle appartient ex-clusivement à l'état aigu . Ce serait donc par un double abus du terme qu'on
Pneumonie lobaire chronique succédant à plusieurs pneumonies lobaires aiguës développées dans le même point. — Pneumonie lobai
ticulier. Les unes, représentant à l'état chro-nique la péripneumonie aiguë , ont pour siège principal et pour lieu d'origine
oniques. 1° Des divers modes de terminaison de la pneumonie lobaire aiguë . Résolution rapide et résolution lente. — La pneu
d'altérations anatomi-ques plus ou moins indélébiles : à la pneumonie aiguë suc-cède une pneumonie interstitielle. Longtemp
de cas peuvent s'observer: 1° Après une première attaque de pneumonie aiguë , la fièvre cesse momen-tanément; mais les signes
oppe qu'à la suite d'un certain nombre de récurrences de la pneumonie aiguë , qui, à chaque récidive, se localise sur le même
alpêtrière, morle subite-ment 35 jours après le début de la pneumonie aiguë , la dé-fervescence ayant eu lieu le huitième jour
neumonie lobaire chronique succédant à plusieurs pneu-monies lobaires aiguës développées dans le même point. — Pneumonie lobai
— Pneumonie lobaire récurrente. — Les attaques répétées de pneumonie aiguë ont été depuis longtemps signalées par les auteur
Lépine. Elle eut, dans ce laps de temps, huit atteintes de pneumonie aiguë , dont sept se développèrent dans le poumon gauche
ur. M. Charcot fait remarquer que toutes ces attaques de pneu-monie aiguë ont été régulières (crachats rouilles, signes sté
n'a plus permis, dans les derniers temps, l'évolution d'une pneumonie aiguë ? Le deuxième cas, fort analogue au précédent,
la pneumonie chro-nique, qu'elle succède immédiatement à la pneumonie aiguë ou qu'elle soit le résultat de récidives nombreus
, est le pendant à l'état chronique de l'hépatisation rouge de l'état aigu . La lésion est lobaire ; le tissu pulmonaire est
ranula-tions sont peut-être moins volumineuses que dans la pneu-monie aiguë ; c'est, en somme, l'hépatisation rouge, avec une
elative à un homme de 26 ans mort deux ans et demi après la pneumonie aiguë initiale 6. La consistance du poumon est très f
om (ïidcères du poumon, pour les distinguer des abcès de la pneumonie aiguë et des cavernes tuberculeuses. Ce nom d'ulcère n'
ases, de la lésion cor-respondante qui succède à la pneumonie lobaire aiguë . Legendre et Bailly 1 ont les premiers donné, e
. Charcot établit tout d'abord que, de même que la pneu-monie lobaire aiguë précède l'induration rouge et grise, de même la b
se, de même la broncho-pneumonie chronique se développe comme le type aigu correspondant à la suite d'un catarrhe bronchique
t l'existence d'une forme de transition, d'une broncho-pneu-monie sub aiguë , qui dès l'origine tend à la chronicité. Le typ
l'origine tend à la chronicité. Le type clinique broncho-pneumonie aiguë n'a pas, on le sait, l'évolution régulière et fix
évolution régulière et fixe de la pneumonie lobaire. A côté de formes aiguës qui peuvent simuler la pneumonie lo-baire par leu
s bronches. Celte forme peut se présenter surtout après un catarrhe aigu ou chronique, après la coqueluche (Ziemssen), que
rcot, après la fièvre typhoïde, bien que dans ce dernier cas la forme aiguë ou subaiguë soit en quelque sorte la règle. L'étu
retrouve en pareil cas les principaux traits de la broncho-pneumonie aiguë : 1 ZietnssemS Supplément. 4° Localisation sy
e homogène qui contraste avec l'aspect marbré de la broncho-pneumonie aiguë . Cette opposition absolue disparaît à une étude
broncho-pneumonie ; 3° enfin les nodules péri-bronchiques de la forme aiguë se retrouvent encore sous une forme atténuée ou e
caractérise la carnisation correspond à la splénisation de la forme aiguë , en même temps que la présence des nodules vient
ées, roses et lisses, correspon-dant aux parties splénisées de l'état aigu , on trouve les altéra-tions de la pneumonie desqu
plètes, t. v, Poumons. 13 spéciaux qui n'appartiennent pas à l'état aigu : a) épaississe-ment des parois des alvéoles et d
M. Charcot suit pas à pas les analogies qui existent entre la forme aiguë et la forme subaiguë, et ce parallèle permet de m
nfance ou à la jeunesse, dont le début a été marqué par une affection aiguë ou subaiguë (rougeole, coquelu-che, fièvre typhoï
ch. de Heilkunde, 1870), qui a même vu, dans la pleurésie fibrineuse, aiguë ou chronique, les lymphatiques superficiels conte
ural). C'est ce qui s'est produit dans les pneumonies interstitielles aiguës , décrites par M. Moxon, et consécutives à la pleu
la broncho-pneumonie qui constitue le deuxième élément de la phthisie aiguë , dans l'évolution tuberculeuse aiguë, chronique d
deuxième élément de la phthisie aiguë, dans l'évolution tuberculeuse aiguë , chronique dans l'évolution tuberculeuse lente. D
Caséification.— Exemples: phtisiepneumonique et phtisie granuleuse aiguë . — Mortification caséeuse du tubercule; sa cause.
; elle se divise en rameaux qui se détachent à angle droit ou à angle aigu et se subdivi-sent eux-mêmes jusqu'à la bronchiol
ho-pneumonie suraiguë caséeuse, et d'autre part la phtisie granuleuse aiguë . Dans les deux cas, l'évolution dure de quinze à
la lésion la plus grave de la tuberculose : elle dé-termine la forme aiguë ou chronique. C'est elle qui règle l'état général
le qui constitue ce deuxième élément que si-gnalait déjà Cruveilhier: aiguë dans la tuberculose aiguë, chronique dans l'évolu
me élément que si-gnalait déjà Cruveilhier: aiguë dans la tuberculose aiguë , chronique dans l'évolution tuberculeuse lente. C
es au processus tuberculeux, n'ont rien de particulier. Dans la forme aiguë , on trouve les nodules fi-brineuxou purulents car
ux encore combien a été exagéré le rôle de la pneumonie. La phtisie aiguë granuleuse se présente sous deux formes princip
son cours, M. Landouzy lui a communiqué deux observations de phtisie aiguë pyrétique où il s'agissait de deux jeunes filles
par une pneumonie con-comitante. Que dire maintenant de la phtisie aiguë dite pneumoni-que, qui est le simulacre clinique
he rapide simulant la pneumonie pseudo-lobaire. — Phtisie pneumonique aiguë ; phtisie galopante. — Analyse histologique de de
deux cas. — Nature tuberculeuse de la phtisie pneumonique. — For-mes aiguë et chronique de la pneumonie caséeuse. — Résumé.
tour d'un vaisseau, par exemple, dans la tuber- culisation générale aiguë . Enfin, on le voit quelquefois dans les cloisons
La solidification jaune du poumon, dans la phtisie » pulmonaire tant aiguë que chronique, n'est pas le résultat » de la méta
ts et d'accu-ser les traits plus vigoureusement. Ce sont les formes aiguës dites pneumoniques de la phtisie pulmonaire que M
, les apparences de la pneumonie lobaire ou de » la broncho-pneumonie aiguë , la lésion pulmonaire est fon-» cièrement une lés
auteurs qui professent que, dans ces formes de la phtisie destructive aiguë , la lésion pulmonaire est, à l'origine, l'in-flam
n bel exemple de ce qu'on a quelquefois appelé la phtisie pneumonique aiguë ; l'autre exemple se rapporte au type phtisie galo
saisir les premières phases du développement de la pneumonie caséeuse aiguë . Il n'existait de granulations grises sur aucun p
je suis amené à penser que, » même dans les conditions de la phtisie aiguë dite pneumo-» nique, la dégénération caséeuse n'a
reproduits dans tous les cas, assez nombreux, de phtisie pneumonique aiguë ou subaiguë, qui, à l'occasion du cours d'anatomi
ire tout à fait effacé. Ce qui vient d'être dit au sujet des formes aiguës de la pneumonie caséeuse, on peut le répéter, à p
cependant, avec les mêmes caractères que dans ia phtisie pneumonique aiguë , c'est-à-dire sous l'apparence de nodules péribro
ent déterminées par le mode même de l'évolution tuberculeuse : tantôt aiguë ou suraiguë et envahissante, tantôt lente et disc
s la forme chronique ; tandis que dans les cas de phtisie pneumonique aiguë ou su-raiguë, ce sont les lésions de la broncho-p
nique aiguë ou su-raiguë, ce sont les lésions de la broncho-pneumonie aiguë qu'on observe : c'est ainsi que la cirrhose du po
agica survenant, chez l'adulte, dans le cours d'une phthisie générale aiguë qui a revêtu la forme typhoïde. Les cas du même g
ous rapportons, dans les quelques monographies concernant la phthisie aiguë , qui ont été publiées depuis une douzaine d'année
2, miliar-tubercu-lose als typhus) un cas de tuberculisation miliaire aiguë , simu-lant le typhus, et dans lequel on vit paraî
. mateuses qui surviennent quelquefois dans le cours de la phti-sie aiguë , et, en particulier, dans celle de ses observatio
core être rapprochée de la nôtre ; mais les caractères de la phlhisie aiguë n'y sont peut-être pas suffisamment accusés. Qu
re les cas dans lesquels le purpura hémorragique se lie à la phlhisie aiguë , nous ne pen-sons pas cependant qu'on puisse voir
res observations, chez les sujets qui succombent à la tuberculisation aiguë , surtout quand la maladie a revêtu la forme typho
par la matière colo-rante du sang. Ce caractère de la tuberculisation aiguë n'a pas été méconnu par tous les observateurs et
uoi les epistaxis figurent souvent parmi les symptômes de la phlhisie aiguë ; à un degré plus marqué et sous l'influence de c
et la diphtérite : il faudrait y joindre la tuberculisation générale aiguë , si les observations semblables à la nôtre venaie
fatigues. — Accroissement de 1 oppression et de la toux. — Ana-sarque aiguë et généralisée. — Etat actuel : affaiblissement c
ases of the Heart, 1809, p. 200.) Obs. II. — Rhumatisme articulaire aigu , vaste concrétion po-iypiforme dans le cœur droit
ouls, il est vrai, s'est montré pendant toute la durée de l'affection aiguë qui a mis fin aux jours du malade, extrêmement fa
nes graves observés chez la ma-lade pendant le cours de la phlegmasie aiguë qui a terminé son existence. Avant l'invasion de
iarisé avec cette sorte d'infirmité acquise. La venue d'une affection aiguë fébrile a dû jeter un trouble extrême dans l'exer
lume d'une grosse noi-sette. IV. Note sur l'endocardite ulcéreuse aiguë à forme typhoïde à propos d'un cas d'affection ul
iples dans les deux poumons '. Une forme de Y endocardite ulcéreuse aiguë est remarqua-ble en ce qu'elle s'accompagne d'un
se revêtir de concrétions et de vé-gétations fîbrineuses. Ce travail aigu d'ulcération peut être primitif ou, au contraire,
nséquent, en tout semblable au détritus provenant des ramollissements aigus de l'endocarde \ Mais ce qui distingue plus par
s à l'ictère grave appartiennent en réalité à l'endocardite ulcéreuse aiguë . Faut-il admettre que tous les symptômes, dont il
ondaire. Les symptômes locaux sont ceux de l'endocardite valvulaire aiguë , avec cette différence que le processus morbide a
plusieurs fois été rencontrée dans le cours du rhumatisme articulaire aigu , survenant chez des individus cachectiques 2; que
. — Affection ulcéreuse de la valvule tricuspide. — 1 L'endocardite aiguë survient assez fréquemment pendant le cours de la
ni éléments plasmatiques, à l'appellation moins explicite à?affection aiguë ulcéreuse de Vendocarde. i Leudet. — De Vaortit
une rougeur intense, qu'on crût devoir at-tribuer à une inflammation aiguë . Mais c'est surtout à l'immense retentissement
autre-fois envisagées comme des indices certains d'une inflamma-tion aiguë ou chronique de l'aorte, il en reste bien peu qui
de l'aorte par des caillots fibrineux, à la suite d'une inflammation aiguë , est au nombre des lésions les plus exceptionnell
. — La rigueur avec laquelle les caractères ana-tomiques de l'aortite aiguë ont été discutés ne permet plus aujourd'hui de re
diagnostic avec quelque apparence de raison. Pronostic. — L'aortite aiguë est toujours uneaffeclion grave: car, même dans l
sur les moyens thérapeutiques qu'on a conseillé d'opposer à l'aortite aiguë ; le diagnostic de cette affection est encore trop
de caractère. Stokes a rapporté un cas où une voix de basse devient aiguë , parsuite de la torsion ou delà déviation de la t
ferait seule exception à cette règle, sans doute en raison de l'angle aigu sous lequel elle naît de la crosse aortique. Il
s parois artérielles sont infiltrées, à la suite d'une inflammation aiguë ou chronique, donnent souvent naissance à un épai
ailleurs si intéressant à tous égards. IX. Rhumatisme articulaire aigu ; phénomènes comateux; hémiplégie; infiltration d'
que nous rappelons ici, le malade, atteint de rhumatisme articu-laire aigu , avait succombé à la suite d'une affection cérébr
re aigu, avait succombé à la suite d'une affection cérébrale à marche aiguë , et caractérisée surtout par du subdélirium suivi
à celles qui se rencontrent chez les sujets qui succombent à la morve aiguë , à l'infection purulente, et à d'autres maladies
ons que, dans des circonstances où la maladie affecte une marche très aiguë , l'apparition de la gangrène est parfois pré-cédé
re du poumon. Sommaire. — Objet du cours : lésions inflammatoires aiguës et chroniques des voies bronchiques et du parench
hypoblastiques et tissu mésoblastique. Caractères des inflammations aiguës des tissus vasculaires. — Irritation nutritive. —
Pneumonie lobaire chronique succédant à plusieurs pneumonies lobaires aiguës développées dans le même point. — Pneumonie lobai
e granuleuse Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumons et Cœur. 41 aiguë . — Mortification caséeuse du tubercule; sa cause.
he rapide simulant la pneumonie pseudo-lobaire. — Phtisie pneumonique aiguë ; phtisie galopante. — Analyse histologique de
deux cas. — Nature tuberculeuse de la phtisie pneumonique. — For-mes aiguë et chronique de la pneumonie caséeuse. — Résumé..
ation et cancer. I. Purpura hemorragica et tuberculisation générale aiguë ........... 299 IL Sur la paraplégie douloureuse
.................................... 587 IX. Rhumatisme articulaire aigu ; phénomènes comateux : hémi- plégie; infiltrat
eudo-lobaire,71 ; — dénominations diverses, 102; — lésions.102; — aiguë , 101; — nature inflammatoire, 104; —va-riabilité
ue, 223 ; — des mineurs, 223, 224 ; — pneumonique, 243 ; — granuleuse aiguë , 243, 262 ; — granuleuse apyrétique et pyrétique,
— granuleuse apyrétique et pyrétique, 263, 307 ; — ulcéreuse, 235 ; — aiguë pneumonique, 263, 273, 285 ; — subaiguë, galopant
eumonique, 263, 273, 285 ; — subaiguë, galopante, 204 ;— des-tructive aiguë , 277 ; — éruptions érythémateuses dans la — aiguë
204 ;— des-tructive aiguë, 277 ; — éruptions érythémateuses dans la — aiguë , 30C ;— tuberculeuse, : 07. Pigment d'origine h
262, 277. Pneumonie caséeuse, 274, 276, 2:77 ; — périodes, 234; — aiguë pseudo-lobaire, 279. Pneumonie catarrhale expér
es, 515. Rétrécissements thoraciques, 156. Rhumatisme articulaire aigu , 602; — phénomènes comateux, 603 ; — infiltration
— forme broncho-pneumonique de la —, 271; — miliaire, 272; — miliaire aiguë , 299; — rôle de la broncho-pneu- monie dans la
4 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'on doit accorder une certaine importance au rhumatisme articulaire aigu dans l'étio- logie de la paralysie infantile.
ison du traitement par le repos au lit continu, aussi des psychoses aiguës ; elles assurent également le service dans les
e déjà. Dans ces sections, il est possible de faire le départ entre aigus curables et chroniques; les premiers restent ju
des. Un seul veilleur de nuit est suffisant pour vingt-cinq malades aigus et affaiblis, et pour quarante et cinquante chr
sont en usage dans les hôpitaux généraux ; 2° Que tous les malades aigus , bruyants, malpropres et à tendances destructiv
s. (B.).. asiles d'aliénés. 53 presque égales, l'une pour les cas aigus , et l'autre pour les cas chroniques, est passib
stances individuelles (tempé- rament, état de l'organisme, maladies aiguës ), il est indispen- sable d'accorder dans l'éduc
de toutes pièces des troubles mentaux et non seulement des délires aigus , mais de véritables psychoses; les liens entre
nneur : Discussion de la première question du programme : le Délire aigu , rapport de M. Carrier. Jeudi «soir, punch offe
es troubles mentaux qui peuvent surveniràlasuite d'une intoxication aiguë par l'oxyde de carbone, l'amnésie est un de ceu
rouble mental isolé ou prédominant, à la suite d'une intoxi- cation aiguë par l'oxyde de carbone ne sont pas rares dans l
nte-quatre ans, atteinte après intoxication oxycarbonée de psychose aiguë à forme de con- fusion hallucinatoire, et chez
des affections nerveuses chroniques consécutives aux inloxicalions aiguës . (Th. de Nancy, 1900.) un 'cas d'amnésie contin
tte question des troubles mentaux consécutifs aux empoi- sonnements aigus par l'oxyde de carbone, en donnait en effet la
u réveil d'une hystérie latente sous l'influence d'une intoxication aiguë ; et notamment chez le malade qui a fait le suje
ause immédiate de cette amnésie, à savoir comment un empoisonnement aigu par l'Oxyde de carbone peut provoquer un troubl
ra- phique présente une ascension brusque, puis une chute à angle aigu sans trace de plateau. De plus, on ne peut obteni
ne attaque de chorée, chez une malade atteinte de folie- puerpérale aiguë ; par C. C. EASTERBROOE. (The Journal of f Menta
entres nerveux. 3° Chez une - telle malade l'apparition de la manie aiguë , de l'épilepsie on de la chorée n'a rien qui do
vements nouveaux (altération des centres supérieurs); dans la manie aiguë avancée, impossibilité d'exécuter des mouvements
cette affection d'une part, la névrite multiple et la poliomyélite aiguë d'autre part. Au point de vue pathologique, ell
dry peut elle-même le faire, par des signes d'une affection fébrile aiguë , elle affecte un nombre consi- dérable de muscl
vec une destruction complète du vermis inférieur. ' L'encéphalite aiguë sénile. MM. F. HA DIOND et CL. Philippe ont pu
e, quatre cas avec autopsies d'encéphalite SOCIÉTÉS SAVANTES. 155 aiguë , caractérisée incontestablement par une véritable
écrivent deux types histologiques principaux. Dans l'encé- plialite aiguë , type dégènératif, dénomination que MM. F. Itay-
, ce type rappelle, trait pour trait, les altérations de la myélite aiguë de Ley den, encore appelée myélite à corps gran
encore appelée myélite à corps granuleux. L'autre type, encéphalite aiguë hype1'plastique, décrite il y a déjà près de tr
SOCIÉTÉS SAVANTES. Les relations entre ces deux types d'encéphalite aiguë ne sont pas faciles à déterminer pour l'instant
logiques permettent d'admettre en pathologie humaine l'inflammation aiguë , non suppurée, de la substance cérébrale, infla
ée; cette encé- phalite est au moins aussi fréquente que la myélite aiguë et elle tient sous sa dépendance beaucoup des h
nu à la suite de l'écrase- ment d'un bras et d'accidents infectieux aigus chez un alcoolique. L. Marchand. Tumeur cérébel
rime abord, l'hypothèse de troubles méningés. Mais ces phé- nomènes aigus ne tardent pas à s'amender et, le cinquième jour,
aute ou basse, mais encore ne dis- tingue aucun son, aussi grave ou aigu qu'il soit, comme on peut, s'en convaincre, en
s on observe des hallucinations (les auteurs l'ont appelée paranioa aiguë hallucinatoire) et une certaine systématisation
s, paragnéiales peut-être, d'un dégénéré supérieur, jusqu'au délire aigu du maniaque, jusqu'aux halluci- nations de l'im
i ICI' août 1901 (soir). -PRÉSIDENCE DE 1\1. E. BRISSAUD. Du délire aigu au point de vue clinique, azatonzo-patizologique
les faits cliniques ont fait émettre au rapporteur : que le délire aigu est un syndrome de 1 nature toxi-infectieuse. S
les plus diverses. Pour Calmeil, Foville, c'était une inflammation aiguë du cerveau : pour Thulié, de l'ané- mie cérébra
lus grave de l'exaltation maniaque; Baillarger rattachait le délire aigu à la manie vésanique, à la manie congestive, à la
irent d'isoler des micro organismes, cet auteur rapprocha le délire aigu Ides affections microbiennes ou toxi-infectieus
ectieuse comme confirmée. Krafft- 1'îbing, en 1888, place le délire aigu dans les maladies avec lé-ions * à côté des int
Ces données ont précisé la conception que l'on se faisait du delire aigu et permettent de l'envisager comme un syn- drom
phénomènes toxi-infectieux. Clinique. - Tableau filmique. Le délire aigu peut être primi- tif, il se manifeste alors spo
: i,otc d'élut. Cette période se compose de deux phases de ..clique aiguë . Lasègue en a fixé le caractère en l'appelanl un
gré de l'épuisement et de la consomption. Le diagnostic du délire aigu , en général facile grâce à s 1 sionomie caracté
avec deux états : dâus'1 ôr râ é p`syclngue, avec les$tts mapiaques aigus ; dans l'ordre somatique, avec les états typhoïd
atique, avec les états typhoïdes^ Le delirium tremens est un'delire" aigu "3'origine alcoolique. -- ANATOMIE-PATHOLOGIQUE.
oir, Schiile 250 SOCIÉTÉS SAVANTES. décrit trois formes du délire aigu suivant qu'il y a oedème, con- gestion ou anémi
on. La terminaison peus.ejaire parla guérison complète ou le délire aigu n'est que le prélude de l'ijasio7d'une-vésanic :
rès le tableau clinique, M. Carrier reconnaît deux formes au délire aigu : l'une relativement bénigne et curable, rare (de
de Cristiani en 1898. Cet auteur a examiné dans trois cas de délire aigu l'écorce cérébrale des lobes préfrontaux, des c
s ont les caractères des dégénérescences systématiques. Le délire aigu , dit Cristiani, apparait comme une maladie géné-
en pleine harmonie avec l'origine infectieuse et toxique du délire aigu , d'après les recherches anatomiques et expérime
e de bactéries. Rezzonico en 1884, décrivit dans un cas de délire aigu des embolië"s*"de ? microcoques dans les vaisseau
microcoques dans les vaisseaux du cer- veau. Pour pilzka, le délire aigu est une auto-intoxication produite par les ptor
CC ! n i n o examinèrent le sang de deux ma- lades morts de délire aigu . Les ensemencements de ce sang don- nèrent des
auteurs admet- tent qu'on ne trouve pas dans tous les cas de délire aigu le bacille qu'ils ont décrit. Dans sept observa
t'qu'0[i*doit différencier de toutes les autres Informe . de délire aigu (delirio acuto bacillare), dans laquelle on ret
. Il conclut de ses recherches que, si l'on duit admettre le délire aigu bacillaire de Bianchi, l'etiologie n'est pas un
nique, que les différents microorganismes rencoutiés dans le délire aigu ne ree8ènt1'11r : qu'une ilJreclionSëcoudaire-
me morbide en question. Kolzowsky (1898) signala deux cas de délire aigu d'origine sta- 254 SOCIÉTÉS SAVANTES. phyloco
observations, sous la rubrique de cérébro-typhus à forme de délire aigu , et qui seraient des délires [aigus d'origine' éb
cérébro-typhus à forme de délire aigu, et qui seraient des délires [ aigus d'origine' éber- thienne. - Les recherches de
ent confirmer celles de Ceni et Kotzowsky. Dans trois cas de délire aigu , il ne put trou- ver le bacille de Bianchi, mai
émoires. Ils en déduisent qu'il existe une forme cocciquc du délire aigu outre Informe bacillaire. De ces différentes re
il résulte ce fait d'une importance capitale : c'est que le délire aigu est une manifestation clinique toxi-infectieuse
uvent qu'une chose : c'est que les symp- tônJes complexes du délire aigu peuvent^être provoqués par diffé- rente germes
ines qui jouent le principal rôle dans la genèse du syndrome délire aigu . D'autre part, la diminution des sécrétions résul
ét rénale. La conception de la nature toxi-infec- tieuse du délire aigu entraîne à elle seule des indications spéciales
limination des toxines nocives. L'auteur conclut que : 1° le délire aigu est un syndrome de nature toxi-infectieuse. Ce
logique, la bactériologie, sont d'accord pour établir que le délire aigu est un état de nature toxique. Il me semble que
, les idées fixes post-oniriques, enfin l'amnésie. Dans le délire aigu , on rencontre précisément tous ces symp- tômes,
rsiste encore dans la période d'état. Elle s'observe dans le délire aigu , comme en témoigne la première observation du r
onnels. On peut voir de même dans la période prémonitoire du délire aigu des attaques hystéri formes ou épilp.ptifo1'1ne
rtants dans les délires toxiques et particulièrement dans le délire aigu . Ils peuvent s'accompagner, comme l'a fort bien
it, quelquefois avec des détails remar- quables. Or, dans le délire aigu , on observe une amnésie totale ou partielle. pe
de. En somme, la clinique nous permet bien d'affirmer que le délire aigu est un délire toxique. Mais il ne semble pas qu
ire aigu est un délire toxique. Mais il ne semble pas que le délire aigu soit, comme l'ont sou- tenu Biancchi et Piccini
i jamais -, retrouvé le bacille de Biancchi et Piccinino. Le délire aigu nous apparaît donc comme un délire d'origine to
nosologiques appréciables. Je dois signaler spécialement le délire aigu qui, par le fait d'une toxi-infection, survient
istante. L'intérêt du fait réside non dans la physionomie du délire aigu , qui reste la même, mais dans son influence tan
er, von Jauregg, par Boeck, Ernst. Au sujet du traitement du délire aigu , je dirai d'abord, afin de s'abstenir de placer
i d'abord, afin de s'abstenir de placer dans les asiles des délires aigus masquant une lièvre typhoïde ou une pneumonie,
tions de sérum artifi- ciel, pratiquer dans le traitement du délire aigu , la ponction lombaire qui permettrait de provoq
M. S. Maleit a montré, en 1882, l'efficacité dans un cas de délire aigu . M. BRIAND. Les temps sont changés depuis le jo
'ai établi et cherché à démontrer l'origine infec- tieuse du délire aigu , dit sans lésion. En effet, s'il y a vingt ans,
années. Est-ce à dire, pour cela, qu'on doive considérer le délire aigu comme une affection spécifique caractérisée par
naler la pré- sence d'un bacille dans le sang de certains délirants aigus . Pour soutenir cette opinion, il faudrait appor
er la preuve expérimentale que le bacille inoculé produit le délire aigu . Or, dans aucune des expériences que j'ai tenté
ir un état maladif qu'on puisse scientifiquement comparer au délire aigu . J'ai aussi suivi avec le plus grand intérêt le
savant professeur de Naples. La .question de la spécifité du délire aigu doit donc rester posée, car il serait d'une par
t un point que j'admets sans réserve : c'est que le syndrome délire aigu peut être provoqué par des bacilles pathogènes tr
divers et même par des auto-infections non bacillaires. . Le délire aigu vrai est difficile à caractériser par ce trait qu
ttent seuls de donner une idée de ce qu'on toit entendre par délire aigu . Si l'on tient un compte rigoureux, Ne la march
et de son aspect cliniqne, on s'expose à considérer comme du délire aigu vrai toute manifestation fébrile survenue dans
si chaque auteur eùt parlé une langue différente. , Les délirants aigus se présentent sous un aspect très différent de
ion trop rapide, n'exprime pas assez vite la pensée. Dans le délire aigu , véritable chaos sensoriel, rappelant un peu le
Dans la manie, le cinématographe tourne trop vite ; dans le délire aigu , la pellicule a été impressionnée par des objets
ets dispa- rates. L'agitation, qui est plus violente dans le délire aigu , est tou- jours accompagnée de frayeurs. ' Le
élire aigu, est tou- jours accompagnée de frayeurs. ' Le délirant aigu refuse les aliments, va, vient, se précipite au
e produite par d'autres agents pathogènes que le peumocoque. Délire aigu et V pneumonie ne sont que le mode de réaction
unes aux autres. C'est ce qui explique qu'on ait comparé le délire aigu au délire fébrile, à l'urémie, au delirium trem
S SAVANTES. En ce qui concerne la place que doit occuper le- délire aigu dans le cadre neurologique des maladies mentale
auteurs français la découverte, les remières descriptions du délire aigu et la conception de sa patho- génie infectieuse
lire aigu et la conception de sa patho- génie infectieuse. Délire aigu à début paranoïaque. M. HOUIJIXOWITCH (Paris).
ant de signaler la possibilité assez rare de voir débuter le délire aigu pccr une phase à forme paranoïaque. J'ai eu l'occ
en Allemagne par un grand nombre d'auteurs, sous le nom de paranoïa aiguë . Mais au bout du troisième jour, le délire aigu
le nom de paranoïa aiguë. Mais au bout du troisième jour, le délire aigu prit sa forme ordinaire de confusion, et six jo
diqués par les honorables rapporteurs. Il semble donc que le délire aigu peut débuter parfois par un syndrome d'aspect s
aison de l'apparition du délire systématisé comme prélude au délire aigu . SOCIÉTÉS SAVANTES. 261 1 M. Marchand. On ne
. 261 1 M. Marchand. On ne trouva dans les observations du délire aigu aucun symptôme constant. L'agitation, la dépressi
la pneumonie, dans les fièvres éruptives, le rhumatisme articulaire aigu , la granulie, dans les septicémies ressemblent
emblent aux divers tableaux que l'on a donnés sous le nom de délire aigu . Si on considère maintenant les lésions que l'o
l'on rencontre dans le système nerveux des malades morts de délire aigu , on est encore frappé de la ressemblance des lési
de mort à la suite d'un délire apparu dans le cours d'une maladie aiguë toxi-infectieuse et celle du système nerveux d'un
i-infectieuse et celle du système nerveux d'un sujet mort de délire aigu proprement dit. M. Crocq. - Le délire aigu 'est
n sujet mort de délire aigu proprement dit. M. Crocq. - Le délire aigu 'est très variable, non seulement dans ses mani
névropathique que l'on rencontre chez les sujets atteints de délire aigu . Cette prédisposition dans le' cas de délire aigu
tteints de délire aigu. Cette prédisposition dans le' cas de délire aigu est d'après lui actionnée surtout par le surmen
lle. De plus, il est évident que souvent on a pris pour des délires aigus des cas qui n'étaient pas justiciables de ce di
en effet, bien préciser ce que l'on entend cliniquement par délire aigu , et ne pas le confondre avec les délires toxiqu
er les lésions inflammatoires, aux lésions toxiques, dans le délire aigu , car qu'il survienne ou non une poussée inflammat
rapport, la cellule nerveuse est lésée primitivement dans le délire aigu , par le processus toxique, mais il s'étonne de la
ang, l'écorce cérébrale, le liquide céphalo-rachidien des délirants aigus . Dans différentes infections, il a recherché les
physionomie douloureuse et souffrante que présentent les délirants aigus . Elle a une grande importance pour le diagnosti
ne jeune épileptique, Gir..., atteinte d'une kérato-conjonc- tivite aiguë , nous avons remarqué que, dans lés accès survenus
rises de larmes ou de gémis- sements. Mort à la suite d'une poussée aiguë de tuberculose. Ces deux observations, différen
lesquelles n'entrent pas d'éléments mentaux ; ainsi, un rhumatisant aigu , un tuberculeux, un choréique, untabétique ont
s, il faut considérer celles qui sont secondaires à des infections ( aiguës ou chroniques), et celles qui sont secon- daire
de polynévrite dû au paludisme. Le début par douleurs sourdes puis aiguës , suivies de parésie et d'atrophie des membres a
e irritabilité générale avec attente anxieuse entrecoupée de crises aiguës d'angoisse souvent précédées d'accès paresthési
nt déterminé'une contracture spasmodique. D'autre part, les lésions aiguës trans- verses de la moelle cervicale déterminen
que dans les névrites périphériques motrices, et les poliomyélites aiguës ou chroniques, les déformations soient dues à u
ux. Revue neurologique, décembre 1899.- Le délire dans les maladies aiguës (en collaboration avec G. DES%'AULX). Médecine
peut observer des attitudes cataleptiques dans l'urémie délirante, aiguë ou chronique. Il était donc naturel de penser que
à une péritonite ou à une appendicite. Quand l'affection abdominale aiguë est passée, les vomissements subsistent à l'éta
nt de ce fait clinique : 1° Au point de vue du pronostic : un accès aigu surajouté a des chances sérieuses de s'amender.
rentes modifications phy- siques que l'on observe dans les périodes aiguës et subaiguës de la mélancolie; par Lewis BRUCE
auteurs ont été frappés de ce fait que, dans les cas de mélancolie aiguë au début, la pression artérielle pré- sentait u
début de l'attaque, à la période d'agitation et de troubles mentaux aigus , cette pres- sion était élevée et équivalait à
ades dans ses rapports avec la tension artérielle : dans la période aiguë la quantité moyenne d'urine émise était de 29 o
et la dose d'urée était de 430 grains (25 grammes). Dans la période aiguë , sécheresse de la peau ; dans la subaigue, peau
écheresse de la peau ; dans la subaigue, peau souple et moite. Etat aigu : pouls de 90 Il 120 par minute : état subaigu
ique de l'estomac s'ameliore à mesure que le malade passe de l'état aigu à l'état subaigu. Dans tous les cas aigus, on a t
le malade passe de l'état aigu à l'état subaigu. Dans tous les cas aigus , on a trouvé les réllexes cutanés très actifs e
, influençant la conduite du malade, se rencontrent dans la période aiguë : et dans la subaiguë, elles manquent, ou sont
he définie avant de guérir ou de devenir chronique. Dans la période aiguë , on constate les symptômes suivants : 1° grande
ications thérapeutiques suivantes chez les mélan- coliques à l'état aigu : 1° diminution de la pression sangnine; 1° aug
Il. de MUSGRA'yE-CLAY. XXIV. Notes sur 206 cas consécutifs de manie aiguë traités sans le secours de la médication, sédat
indépendant spécialement créé et aménagé pour la surveil- lance des aigus . En résumé, union d'une grande colonie agricole
ans leur enceinte même, des hôpitaux pour le traitement des aliénés aigus . ' La question des petits asiles urbains, ou mi
eur population est plus dense et plus élevée. La proportion des cas aigus exigeant une admission d'urgence, est en effet
ns sociales; ces derniers facteurs augmentant la proportion des cas aigus nécessitant une hospitalisation immédiate. '
sitant une hospitalisation immédiate. ' 2° Cette catégorie de cas aigus dont la proportion, est beau- coup moins élevée
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Carrier (G.) et'M.4,BTIN (E.).. Du délire aigu au point de vue clinique, anatomo-pathologique
e 1901. N° 72`. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Délire aigu et urémie ; Par le D' A. CULLERRE. Le délire
NTALE. Délire aigu et urémie ; Par le D' A. CULLERRE. Le délire aigu est un syndrome d'origine variable ; la toxi-in
ns ou même d'une néphrite méconnue et dans certains cas le délire aigu n'est, à la lettre, qu'une folie urémique sur aig
ns cas le délire aigu n'est, à la lettre, qu'une folie urémique sur aiguë . Cette opinion, que M. Carrier, dansson remarqu
ullerre. De la transfusion séreuse sous- cutanée dans les psychoses aiguës avec auto-intoxication. (Progrès médical, 30 se
c auto-intoxication. (Progrès médical, 30 septembre 1899.) DÉLIRE AIGU ET UREMIE. 4SI colique, suicidé. Mère aliénée e
rt survient le 17, trois jours après le début de la crise de délire aigu . L'autopsie n'a pu être laite. Chez ce malade
symptômes révélateurs. Nous sommes donc en présence d'une psychose aiguë au dévelop- pement de laquelle l'urémie latente
qui s'est terminée au point de vue mental par le syndrome du délire aigu , et au point de vue - somatique par le syndrome
z asiles d'aliénés. paraît justifié ou si l'on préfère, de délire aigu d'origine uré- mique. , Bien plus, si on exam
es affections en foyers, il nous reste pour sujets d'études des cas aigus qui représentent la pluralité des observations fa
contrées que dans les cas les plus graves, dans les formes les plus aiguës : jamais, jusqu'à présent, on ne les a trouvées
avenir prochain parvenir à distinguer anatomiquement les psychoses aiguës des psychoses chroniques, peut-être aussi les p
port avec la durée de l'évolution de la maladie, avec les accidents aigus intercurrents et la prédomi- nance des symptôme
EVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 533 VIII. Nature et traitement de la myélite aiguë ; parn'L1RINESCO. , (Nouv. Iconogr. de la Salpét
e, le microbe de l'influenza, agents les plus communs de la myélite aiguë , qu'il faut attendre la guérison de cette affec
missions étran- gères, un seul petit soigne à Téhéran les maladies aiguës . Les idiots restent chez eux avec le reste de l
ables du traitement thyroïdien sont à espérer dans les cas de manie aiguë et de mélancolie avec accès prolongés, foires pue
méninges, le malade n'ayant succombé qu'à une poussée inflammatoire aiguë ? -Ce qui inclinerait à faire admettre la derni
particulière du trouble de la -, par Rossolimo, 62. Délire. Du aigu au point de vue clinique, anatomo-pathologique,
et bactériologique, par A. Carrier, G. Carrier et E. Martin, 247. aigu à début paranoïaque, par Iloubinowtch, 260. Etu
, par Proust, 282. - transitoires sé- iules, par llrchaud, 361. - aigu et urémie, par Cullerre, 449. Démonstrations
à l'ulcère chronique de la jambe, par Chipault, 50. Ec(rnALllJ; aiguë sénile, par Ray- mond et Philippe, lui. Epile
imow, 121. Attaque d'- suivie de chorée dans une folie perpuérale aiguë , par Easterbrook, 133. Relations entre la mig
yphilitique, par Hauser et Thomas, 61. Nature et traitement de la aiguë , par Marmesco, 533. Myxoedémateuse Folie -,tr
trophique à l' - de la jambe, par Chipault, 56. Urémie. Délire aigu et -, par Cullerre, 449. UUÉTIIRE Rétrécissem
5 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
(La malade nie toute atteinte antérieure de rhumatisme articulaire aigu ). La malade n'est pas très notablement artério-sc
, le médecin consulté tout de suite posa le diagnostic de laryngite aiguë . Après quelque temps Ferrio examina la malade e
n érysipèle dans son enfance, deux crises de rhumatisme articulaire aigu : la première très forte, en 1881; la seconde a
bien d'autres délirants, qui ne sont pas des hystériques, délirants aigus ou délirants chroniques, grands intoxiqués ou g
is subitement d'un ictus qui, une fois la disparition des accidents aigus accomplie, l'a laissé porteur d'une hémiplégie
ntécédents héréditaires. Le père est mort d'une maladie infectieuse aiguë à 45 ans ; il était de haute taille, bien bâti ;
e nain sont vivants et sains ; trois soeurs sont mortes de maladies aiguës ; aucun de ces six enfants ne présentait de symp-
'index, se traduisant par des fourmillements, puis par des douleurs aiguës avec impossibilité de fléchir le doigt. Le déso
er- sista pendant 18 mois. Puis en 1901 il fut pris d'une bronchite aiguë qui passa à l'état chrpnique. Des manifestation
nez est effilé et dévié à gauche, la bouche est mince et le menton aigu a la forme caractéristique des mentons des viei
ture ronde. Ses lettres seront arrondies, sans angles, sans pointes aiguës , et autant que possible sans « pleins » ni « dé
. La cornée gauche est le siège d'une série de poussées de kératite aiguë suivie de l'apparition dans la moitié supérieur
des ré- flexes, du clonus du pied, différencie nettement la myélite aiguë du cas que nous étudions. Le diagnostic diffé
dions. Le diagnostic différentiel de la polynévrite avec la myélite aiguë accompa- gnée de paraplégie flasque est d'autan
Dans la paraplégie myélopathique,les troubles sphinctériens sont plus aigus que dans la polynévrite, sauf toutefois,si cell
de notre malade pouvait se distinguer de la poliomyélite antérieure aiguë par l'absence de réparation rapide de certains mu
Pulpe très rouge, molle, très abondante. Reins : Lésion de néphrite aiguë . Utérus : A repris son volume normal. Foie :
uvé dans la moelle de foyer de myélite ou de lésion de poliomyélite aiguë . Les vaisseaux intramé- dullaire étaient normau
s rencon- tré de lésions inflammatoires de myélite, de.polyomyélite aiguë , ni de phé- nomènes de neuronophagie venant tém
évrite. La survie de la malade nous a fait constater non pas l'état aigu de l'affection, mais une des phases de la guéri
e rapide, la moelle présente les lésions d'une myélite syphilitique aiguë , sous une forme qui montre bien les difficultés
rencontré cet état des capillaires dans tous les foyers de nécrose aiguë ou t subaiguë du tissu nerveux qu'il nous a été
J11, le professeur K. Petren. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË PAR R K. PETRÉN, Professeur. et L. EHRE
ées, diverses épidémies, quelquefois très étendues, de poliomyélite aiguë ont éclaté dans des pays différents (en Suède,
ouvent admise, l'opinion classique pour ainsi dire, la poliomyélite aiguë serait une maladie systématique de la moelle, d
stant après elle). Cependant, plus on étudiait de cas de la période aiguë , plus l'attention était attirée sur ce fait qu'
tefois, il reste encore, dans nos connaissances sur la poliomyélite aiguë , beaucoup de détails qui demanderaient des observ
l'occasion d'observer dans notre clinique 15 cas de polio- myélite aiguë , tous (sauf une seule exception), pendant le cour
pas eu non plus à la clinique de cas de cette maladie dans la phase aiguë . Des 17 cas, cinq se rapportent la ville d'Upsala
que nous avons observés à la clinique, trois sont morts à la phase aiguë de la maladie, tous les trois le surlendemain de
ptômes au début de la maladie et surtout de l'étude de la méningite aiguë dont on peut noter les signes dans la période d'i
e résultat des recherches que nous avons faites sur la poliomyélite aiguë au moyen de la ponction lombaire. Dans quelques
iscuterai quelques ques- tions générales concernant la poliomyélite aiguë , à savoir : Quelles for- ÉTUDES CLINIQUES SUR L
aiguë, à savoir : Quelles for- ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 377 mes différentes delà maladie doit-on admett
s nos connaissancessurcertainesquestions concernant la poliomyélite aiguë . DES SYMPTÔMES DU DÉBUT DE LA POLIOMYÉLITE AIGU
nt la poliomyélite aiguë. DES SYMPTÔMES DU DÉBUT DE LA POLIOMYÉLITE AIGUË , PARTICULIÈREMENT DES SYMPTÔMES DE MÉNINGITE AI
LA POLIOMYÉLITE AIGUË, PARTICULIÈREMENT DES SYMPTÔMES DE MÉNINGITE AIGUË ET DU DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL ENTRE LA POLIOMYÉ
a déjà plusieurs années, qu'il existe des épidémies de poliomyélite aiguë , où des symptômes qui semblent se rapporter à une
e aiguë, où des symptômes qui semblent se rapporter à une méningite aiguë se sont présentés dans beaucoup de cas au début d
rs ont conclu qu'il s'agissait dans tous les cas d'une poliomyélite aiguë , mais ils hésitent, quant au diagnostic différen-
démie, Mackenzie admet que quelques cas sont dus à la poliomyélite aiguë , mais quelques autres à la méningite cérébro-spin
temps déjà des observations indiquant qu'il a existé une méningite aiguë à la phase initiale de la maladie. C'est surtou
hèse des douleurs qu'on observe souvent au début de la poliomyélite aiguë et qui sont diversement localisées, mais qui pour
pendant le rapport qu'ont ces symptômes du début de la poliomyélite aiguë avec une méningite spinale constituant une compli
res auteurs qui nous montrent des symptômes d'une méningite spinale aiguë au début de la poliomyélite (Tiedemann, Rendu,
e, et constituant une exception au type normal de la poliomyé- lite aiguë (Gowers) (1 ). ' Dans les grandes épidémies de
e aiguë (Gowers) (1 ). ' Dans les grandes épidémies de poliomyélite aiguë de ces dernières an- nées, les symptômes d'une
uë de ces dernières an- nées, les symptômes d'une méningite spinale aiguë au début de la maladie se sont présentés dans u
omment cet observateur a décrit une petite épidémie de poliomyélite aiguë très nette, mais sous le nom de méningite spi-
e méningite spi- nale aigué. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 379 que les symptômes de la méningite « aussero
inale sont un phénomène très fré- quent au début de la poliomyélite aiguë . En raison de ce fait, il est bien naturel que
Na- geotte et Lévy-Valensi. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË < 3 381 ; v z ont fait la numération dans
s de maladies du système nerveux autres que des cas de poliomyélite aiguë , par exemple dans des cas de tumeur de l'encéph
dessous dans un tableau ces recherches pour les cas de poliomyélite aiguë et pour les autres cas, et nous croyons que la
ns observés. Seuls, les cas où la mort s'est produite dans la phase aiguë et qui à beaucoup d'égards forment un groupe sp
té. Elle peut maintenant faire ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 385 l quelques pas sans appui. Le réflexe patel
LE Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. Pl. XLIII POLIOMYÉLITE AIGUË (K. Petren et L. Ehrenberg). ÉTUDES CLINIQUES
(K. Petren et L. Ehrenberg). ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË S7 sans s'aider des bras, pourvu seulement qu'o
piratoires semblent maintenant ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 389 être normaux. Le symptôme de Keruig-Lasègue
tion des deux grands droits. ' ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 391 1 La malade est traitée pendant quelques se
cellulaires n'a pas été faite. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 393 La motilité de la malade ne s'est améliorée
ésie des membres supérieurs et ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 895 inférieurs plus prononcée pour ces derniers
ct avec un soldat malade qu'on supposait atteint d'une poliomyélite aiguë . Toutefois, E. P... a été par la suite tout à fai
tômes généraux est une raison de se prononcer pour une poliomyélite aiguë , mais leur absence est une présomption contre c
lusion du premier moment qu'il ne pouvait s'agir d'une poliomyélite aiguë . Voici la des- cription du cas. Observation X
st très sensible et révèle des ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 399 troubles très petits du seus musculaire. El
che des troubles moteurs correspond parfaitement à une poliomyélite aiguë : une paralysie des deux membres inférieurs, qu
ans réflexes tendineux. Contre ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 401 ce diagnostic parle naturellement l'anesthé
re sans troubles de la sensibilité tactile. Les cas de poliomyélite aiguë où l'on a observé des troubles de la sensibilit
hypoalgésie et une thermohypoesthésie. Mais un cas de poliomyélite aiguë avec analgésie et thermoanesthésie si complètes
une autre raison très forte contre le diagnostic d'une poliomyélite aiguë . A ce moment-là, nous avons fait le diagnostic
conclure que le changement du ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 403 type de l'anesthésie qui s'est produit à la
us pouvons sans hésitation écarter le diagnostic d'une poliomyélite aiguë (comme nous l'avons fait d'ailleurs dès l'abord),
dès l'abord), parce qu'il n'y a pas d'exemples qu'une poliomyélite aiguë se soit compliquée d'une paraplégie spasmodique
t complète (à la fin de mai). Revenons maintenant à la poliomyélite aiguë . ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 405
enant à la poliomyélite aiguë. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 405 Nous avons prêté attention au temps qui s'é
des symp- tômes méningitiques qu'on voit au début delà poliomyélite aiguë . Ces symptômes n'ont rien de spécial : mal de t
Ce sont, comme on le voit, les symptômes très nets d'nne méningite aiguë spinale. Nous n'avons pas vu de cas avec symptôme
es de méningite qu'on voit si sou- vent au début de la poliomyélite aiguë . Cette conclusion est en parfait accord avec le
te qu'il n'est pas possible, à ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 407 cause des douleurs qu'il éprouve, d'amener
l'examen anatomique fait souvent constater, dans la poliomyé- lite aiguë , une inflammation des méninges, mais qu'en examin
aminant les nerfs périphériques chez des sujets morts dans la phase aiguë de la mala- die, on n'a pas trouvé de névrite (
ue nous avons trouvé pour les cas observés à la clinique à la phase aiguë des cas avec symptômes méningitiques, dans une pr
gitiques se sont présentés. Dans quelques épidémies de poliomyélite aiguë , on a vu des cas où il y a des symptômes méning
que le diagnostic différentiel ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 409 entre la poliomyélite et la méningite céréb
déjà observé qu'on trouve la plupart du lemps dans la poliomyélite aiguë une lymphocytose. Comme le processus morbide de
ssus morbide de la poliomyélite consiste en une inflam- mation très aiguë du système nerveux, il faut admettre à priori que
un résultatdilfé- rent, si la ponction était faite pendant la phase aiguë ou pendant la con- valescence. Pour donner une
s auteurs antérieurs dans l'examen cytologique pour la poliomyélite aiguë , nous avons réuni ces résultats dans le tableau
410 O PETREN ET EHRENBERG '. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 411 semaine que dans deux cas (Brissaud et Lond
. 412 PETREN ET EHHENBERG ETUVE : ; CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 413 414 IP PETREN L'i' LIFILIE.Nl3EI(-. ÉTUDE
P PETREN L'i' LIFILIE.Nl3EI(-. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 41 H cales semble nécessaire ; néanmoins ce mal
du liquide céphalo-rachidien. Revenons maintenant à la poliomyélite aiguë . Quoique nos recherches ne portent pas sur un g
nstatée dans tous les autres cas que nous avons examinés à la phase aiguë , et par la persistance des symptômes méningitiq
une ex- ception à ce qu'on voit ordinairement dans la poliomyélite aiguë . Si nous laissons les exceptions de côté, nous
l'état des méninges dans les cas qui ont succombé pendant la phase aiguë de la maladie, nous trouvons, entre les observa
s deux maladies apparaî- tront avec évidence : dans la poliomyélite aiguë , il y a très souvent des symptômes méningitique
brales et aux méninges spinales ; dans une épidémie de poliomyélite aiguë , il y a, dans la plupart des 'cas, des paralysies
très difficile, surtout si nous nous rappelons que la poliomyélite aiguë peut se mani- fester seulement par des symptôme
deur du dos ou de la nuque ont ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 41 U disparu, et le 4 février il quitte la clin
s, il faut se rappeler qu'on a ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 421 1 observé chez des enfants des cas avec le
sent les auteurs des symptômes méningiti- ques dans la poliomyélite aiguë , il est bien remarquable que ces symp- tômes so
ntif à l'existence des symptômes méningitiques dans la poliomyélite aiguë et qu'en observant des cas spo- radiques on n'a
s cas spo- radiques on n'a pas reconnu tous les cas de poliomyélite aiguë avec symp- t6mes méningitiques ; l'autre, c'est
ques années, la paralysie des muscles du tronc dans la poliomyélite aiguë n'était pas souvent observée et les auteurs l'ont
oup plus élevée parmi les cas observés il la clinique et à la phase aiguë que parmi les autres -cas : soit 10 cas sur les 1
distinction nette entre la paralysie apparaissant pendant la phase aiguë et la paralysie persistante. D'après ÉTUDES CLI
paralysie persistante. D'après ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 423 son opinion, on aurait à la phase aiguë une
UES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 423 son opinion, on aurait à la phase aiguë une paralysie des muscles abdo- minaux dans tou
les abdominaux n'ont été observés qu'assez longtemps après la phase aiguë . 'En conséquence, il est très possible qu'il ait
perçus. Dans nos six cas observés à la clinique et pendant la phase aiguë , où il y avait parésie de plus de deux membres, n
anatomique a été pratiqué sur des individus morts pendant la phase aiguë de la maladie et où l'examen a été poussé assez l
scles obliques n'est pas clair ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 425 d'après la description donnée par l'auteur
sie des muscles abdominaux que nous avons observés pendant la phase aiguë de la maladie, c'est l'impossibilité qu'ont les
scles soient atteints quand il s'agit d'une paralysie dans la phase aiguë de la maladie, et Wickman a spécialement insist
se rapportant, autant que nous ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 417 l'ayons constaté, à tous les muscles abdomi
mbilic se déplace si l'on fait ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 429 contracter par le courant électrique seulem
u dos, il est difficile de constater son existence pendant la phase aiguë , quand il ya une paralysie des muscles abdomina
euvent vaincre en se relevant. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 431 Dans le cas XXV, la paralysie des muscles d
fils ne sait nous dire autre chose qu'elle lui donnait des douleurs aiguës aux jam- bes qui étaient faibles, incertaines d
entre ces deux processus que la différence qui sépare une affection aiguë d'une affection chronique. A la lueur de cette
sant, l'inférieure remontant pour se rencontrer selon une incidence aiguë au niveau de l'extrémité antérieure de la plaqu
stite des vertèbres ; les lésions articulaires, comme t'hydarthrose aiguë ou chronique ou l'arthrite gommeuse,manquent ég
isparaître peu de temps après, comme cela arrive dans le rhumatisme aigu . Au lieu de cela, celle immobilité a fait dos pro
scles dorsaux. En tout cas, l'affection a eu au début une évolution aiguë : le malade pris par les dou- leurs et les élan
y a une profonde dépression de l'os. L'angle épigastrique est très aigu . Les cartilages costaux sont gros et saillants. O
de D. le professeur K. PETRÉN, ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË PAR K. PETRÉN, Professeur. et L. EHRENB
la tendance prononcée de la lésion anatomique dans la poliomyélite aiguë à se conti- nuer sans interrupiion le long d'un
u'on aurait, dans tous les cas ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 547 7 présentant l'extension indiquée ci-dessus
e confirme cette idée ? Si je considère nos cas observés à la phase aiguë , les seuls qui aient une valeur réelle pour jug
et XXV, il a été constaté que les malades avaient pendant la phase aiguë une certaine difficulté à respirer, qui ne s'est
m- mes ainsi obligés de laisser pendante. Les cas de poliomyélite aiguë où la mort survient pendant la phase aiguë nous
Les cas de poliomyélite aiguë où la mort survient pendant la phase aiguë nous donnent en général les meilleures occasions
trouble progressivement et le ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 551 pouls devient plus mauvais. Puis il meurt,
s sujets atteints de poliomyélite qui sont morts pen- dant la phase aiguë (XXXII, XXXIII), il s'est agi d'une paralysie com
ment une paralysie, tant de la ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 553 respiration abdominale que de la respiratio
able que, pour une mort par suffoca- tion résullant d'une paralysie aiguë et presque complète de la respiration due à une
e veux brièvement citer ici. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 555 2° Chez une femme âgée de 21 ans, observée
te, selon moi, encore ouverte. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 557 Sur les troubles des sphincters. Avant de
e les sphincters ne sont que rarement atteints dans la poliomyélite aiguë (Pierre Marie, Gowers, Sachs, Oppenheim), ou qu'i
ne regardons que les cas observés à la clinique et pendant la phase aiguë de la maladie, ce symptôme a été trouvé dans 5
lésion anatomique de la poliomyélite à se répandre pendant la phase aiguë d'une façon diffuse et avec une grande extensio
et EHRENBERG, SUR LE pronostic ET le traitement de la poliomyélite aiguë . Au début, je n'avais pas l'intention de me pro
on, on a jusqu'ici considéré en général la mort par la poliomyélite aiguë comme quelque chose de très rare (Oppenheim, Sach
e fréquence des cas de mort par la poliomyélite et pendant la phase aiguë de la maladie. D'après lui, il y a eu 159 cas a
e « rarement mortelle » ; mais ils disent que, pour la poliomyélite aiguë chez l'adulte, « le pronostic doit donc être ré
servation XIX est mort chez lui à la même époque d'une poliomyélite aiguë . Il me semble plus exact de ne pas exclure ce c
onie). Les malades observés par moi qui sont morts pendant la phase aiguë étaient âgés de 15, 20 et 36 ans. Sur les 15 ca
on le voit, nous n'avons pas eu d'enfants morts de la poliomyélite aiguë et, par conséquent celle petite statistique'aussi
onostic pour une restauration de la motilité après une poliomyélite aiguë . En général, les auteurs consi- dèrent comme un
tres symptômes carac- térisant la phase initiale de la poliomyélite aiguë , mais jamais avec para- lysie, et où néanmoins,
En outre, il est connu que les troubles moteurs de la poliomyélite aiguë peuvent quelquefois disparaître en très peu de
nséquent ces observations nous ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 561 démontrent que la restauration des troubles
ent de lamaladie, je n'en dirai que quelques mots. Pendant la phase aiguë , j'ai toujours fait traiter les malades par l'app
nges (à l'examen anatomique) qu'on a constatée pour la poliomyélite aiguë . Nos recherches démontrent que la pression du l
ée ci-dessus. Quelques considérations générales SUR la poliomyélite aiguë . Dans les traités de neurologie, on indique pre
lysie spinale infantile et la poliomyélite (ou pa- ralysie spinale) aiguë de l'adulte, même dans les cas où les auteurs, co
cé : 564 PETREN ET EHRENBERG ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 565 les cas sporadiques et les cas épidémiques
tout simplement par le fait que les cas sporadiques de poliomyélite aiguë sont facilement méconnus s'ils sont d'un type d
'avenir assez d'attention aux aspects différents de la poliomyélite aiguë et surtout aux symptômes du début, l'on ne retrou
e ce chapitre : quelles sont les formes différentes de poliomyélite aiguë dont il faut admettre l'existence ? C'est surto
yélite ordinaire spinale, une forme qu'il désigne comme polynévrite aiguë , une autre comme ataxie aiguë, une comme poliom
forme qu'il désigne comme polynévrite aiguë, une autre comme ataxie aiguë , une comme poliomyélite aiguë bulbaire et enfin l
névrite aiguë, une autre comme ataxie aiguë, une comme poliomyélite aiguë bulbaire et enfin la poliencé- pbalite aiguë.
une comme poliomyélite aiguë bulbaire et enfin la poliencé- pbalite aiguë . (A suivre.) INSTITUT D'ÉTUDES SUPÉRIEURES DE
ans les maladies de cet organe (cirrhose atrophique, atrophie jaune aiguë , empoisonnement par le phos- phore, etc.). Il
r la face ont toujours traversé à un moment donné une crise mentale aiguë pendant le cours de laquelle ils ont tenu à se
aux atrophies cérébel- leuses ; ce sont : les lésions cérébelleuses aiguës , la dégénération des fais- ceaux cérébelleux sp
à une époque qu'il ne sait pas bien préciser, il eut une affeclion aiguë , qui lui laissa une difficulté de mouvoir les p
ient fut atteint dans son enfance par une polyémyé- lite antérieure aiguë lombaire,qui produisit des deuxcôtés une paralysi
paralysie spinale infantile dépendant d'une poliomyélite antérieure aiguë (lombaire) s'est produite après environ seize a
quelques auteurs, tout en admettant que la poliomyélite antérieure aiguë représente un processus infectieux, ne nientpas
Montpellier, 1875. COUDOIN. Etude clinique de la paralysie spinale aiguë et de l'atrophie musculaire progressive chez le
de Paris, 1819. Quinquauii. Elude clinique de la paralysie spinale aiguë el de l'atrophie muscu- laire progressive. Thès
ris, 1881, p. 154. SAUZE. - Etude clinique sur la paralysie spinale aiguë de l'adulte. Thèse de Paris, 1881. LANDouzy e
elques accidents spinaux consécutifs à la tépltromyélile antérieure aiguë . Thèse de Paris, 1888. Rémond. - Une observatio
STEHNR. Rapports de la paralysie infantile avec la paralysie spinale aiguë de l'adulte et l'atrophie musculaire progressiv
inale. Thèse de Nancy, 1891. DERNIIEIM. - Poliomyélites antérieures aiguë , subaiguë et chronique de l'aaultll greffée sur
antile. Quatorzième leçon. P. Marie. - La polyomyélite antérieure aiguë . Traité de médecine de Charcot-Bris- saud, t. I
- saud, t. IX, p. 620. Rossi. Reprises chroniques de polyomyélite aiguë de l'enfance avec apparences de myopathie. Revu
! If, le professeur K. Petren. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË PAR K. PETRÉN, Professeur. et L. EHRENB
ait qu'en général les symptô-- mes méningitiques de la poliomyélite aiguë se rapportent seulement aux méninges spinales e
e con- sistent en grande partie en symptômes de méningite cérébrale aiguë avec troubles marqués de la conscience, convuls
initives de croire qu'il y a un grand nombre de cas de poliomyélite aiguë nettement caractérisée à tous les points de vue q
c encore une différence entre la poliencéphalite et la poliomyélite aiguë , c'est-à-dire une nouvelle raison contre l'analog
de ces malades sont bien caractéristiques pour une poliencéphalite aiguë , mais d'un autre côlé, ces cas n'ont montré auc
faveur de cette opinion, il invoque la présence dans la poliomyélite aiguë de lésions cérébrales constatées par l'examen a
rdons que les lésions des hémisphères trouvées dans la poliomyélite aiguë et, d'autre ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYELIT
ns anatomiques des hémisphères que l'on trouve dans la poliomyélite aiguë ? Je rappellerai brièvement les faits. Wickman
s et les plus nombreuses sur l'état du cerveau dans la poliomyélite aiguë ont été publiées par Harbitz et Scheel, qui ont
oit pas comparer directement les lésions inflammatoires tout à fait aiguës trouvées chez des individus morts pendant la ph
ons cérébrales trouvées plusieurs fois dans des cas de poliomyélite aiguë où la maladie a entraîné la mort pendant la phase
uce, mais pas tout à fait dans ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 669 son extension normale, Il y a une réduction
n arrière et en opposant de la ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 671 t résistance, il semble qu'il ait une force
fois par des symptômes généraux indiquant une infection géné- rale aiguë et souvent aussi par les symptômes d'une méningit
eut également n'y avoir aucune ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 673 anesthésie, et je crois en effet que c'est
oint de vue théorique. La poliomyélite consiste en une inflammation aiguë de la moelle, surtout des cornes antérieures, d
din a décrit une forme de la paralysie infantile qu'il nomme ataxie aiguë . Car il a observé dans 5 cas des troubles de la m
s connaissances sur quelques problèmes con- cernant la poliomyélite aiguë . Pour la question de savoir quelles formes diff
e reconnaître ni la poliencéphalite, ni la polynévrite, ni l'alaxie aiguë comme des formes de la poliomyélite. Si nous re
herches anatomiques faites sur les individus morts pendant la phase aiguë , il y a deux caractères du processus morbide qu
différence importante. En résumé, la répartition de l'inflammation aiguë qui constitue la lé- sion anatomique de la poli
ation aiguë qui constitue la lé- sion anatomique de la poliomyélite aiguë est très typique dans tous les cas, mais l'exte
cas non mortels, bien que, chez les malades morts pendant la phase aiguë , on ait en général trouvé l'inflammation répand
. ' Tous les auteurs sont d'accord sur ce point que la poliomyélite aiguë est une maladie infectieuse. En général, on a a
aître la très grande extension de l'inflammation pen- dant la phase aiguë de la maladie, il va de soi qu'on est venu à une
je voudrais encore ajouter qu'il faut conclure que la poliomyélite aiguë est une maladie infectieuse d'une nature spécifiq
conclure à une infection spécifique comme cause de la poliomyélite aiguë , et sur laquelle je veux attirer l'attention, ce
men cytologique du li- quide céphalo-rachidien dans la poliomyélite aiguë (à savoir qu'il s'agit exclusivement d'une lymp
tieuses. On sait que divers auteurs ont trouvé,pour la poliomyélite aiguë des micro-organismes différents dans le liquide
steur, roulerton et Maccormac, ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 677 des diplocoques ; Forssner elSjoevall, de m
ont que je suis convaincu que tous les cas typiques de poliomyélite aiguë sont dus au même microorganisme : par conséquen
réponse définitive à la question de l'étiologie de la poliomyélite aiguë . En terminant cette étude, je reçois le travail
et où cet auteur aussi insiste sur le caractère de la poliomyélite aiguë d'être nettement une maladie infec- tieuse spéc
t. XI, p. 345, 1903. 2. Acuna (M.). Cas de polio-encéphalo-myélile aiguë chez un garçon de trois ans, Arch. de méd des e
Brissaud (E.) et Londe (P.). Diagnostic de poliomyélite et de névrite aiguë à propos de deux cas de monoplégie crurale, Rev
EHRENBERG 15. Brissaud et Gy (A.). Un cas de poliencéphalo-tnyélite aiguë , Nouv. Iconog. de la Salpêtrière, t. XXI, p. 25
GUINON (1\1. L.) et RIST (NI.). - Deux cas de poliomyélite antérieure aiguë sans réaction méningée cytologique chez un frèr
uskellâhmung bei Poliomyelitis ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 679 anlerior acuta im Kindesaller, Deutsche Zei
50. Laurent (0,), - Symptômes prémonitoires de la paralysie spinale aiguë , Thèse pour le doctorat, Paris, 18S7. 51. Lee
a stadium, Nordiskt;Medicinskt Arkiv, t. XXVIII, 1S96. 66. L'étal aigu de la paralysie infantile, Archives de méd. des e
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et ophtalmoplégie totale bilaté- rale (Zosin), XVI. Poliomyélite aiguë (Petren et Ehrenberg), XLII1. Poliomyélite an
6 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ison. » Certificat de vingt-quatre heures : c Atteint de mélancolie aiguë d'origine alcoolique, tremblement des mains, de
- qùatrêhéuresr : ei' ? ateiut pour la seconde fois (de' mélancolie aiguë avec hallucinations terrifiantes crisës'panopnb
.1f,nels'est,pas bornée à. un. acces, pCssp-qriApdél' plus ou moins aigu ;,elle a ? olué, nettement dan.losens)y ? q con
marquée, avec'syphilitique, ayant eu des rhumatismes articulaires aigus dans'son enfance, devient ataxique, il y a sept o
bain, chaud est indiqué, dans toutes les psychoses fonctionnelles, aiguës ; il;, agit. favorablement dans les psychopathie
vorable dans les psy- chopathies dépressives, surtout à la, période aiguë de., celles-ci,, et tout particulièrement chez
ongés, de plu- sieurs heures, chez les agités et dans les psychoses aiguës n'ont au- cun désavantage pourvu que, par : pré
ement à l'eau froide dans là, manie et. dans la folie- systématique aiguë , quand la fièvre est peu élevée; il en obtient
e que beaucoup d'auteurs qualifient de IVahii- sinn ou de WaA ? MMM aigu ou encore de paranoïa aiguë curable. On en excl
alifient de IVahii- sinn ou de WaA ? MMM aigu ou encore de paranoïa aiguë curable. On en exclura aussi les observations d
tions dans lesquelles il y'a délire plus ou moins cohérent, à début aigu ou'subaigu, délire qui témoigne simplement d'un
onnel ? CommentM : KROEpELiNappeHera-t-iHapa- ranoïa hallucinatoire aiguë des alcooliques ? " 418 - " s, - ' 'M.KpOEpELiN
'hui encore fréquemment l'amentia du nom de paranoïa-hallucinatoire aiguë . Quant aux mot dalités hallucinatoires aiguës d
aranoïa-hallucinatoire aiguë. Quant aux mot dalités hallucinatoires aiguës de Fuorstner,'ce sont du Wahnsinn. L'épithète c
roniques d'embléë ? 1 ? KRPELIN. Généralement la paranoïa à début aigu ou subai-ù --àét-it 6ù' se1 termine'par la 'démen
irantes' sans trouble profond' de la connaissance, à évo- lution, ! aiguë ou subaiguë,' qui, tantôt guérit complètement soi
et en conservent le souvenir. Le délire systématique hallucinatoire aigu se distingue du délire sys- lématique chronique
éclate comme la foudre. Il dure trois semaines au plus dans les cas aigus - cessation brusque dès la première semaine con
à la fin de la deuxième semaine. La forme subaiguë : les accidents aigus persistent une à six semaines- dès lors marche
des réflexes, tremblements musculaires, etc. La durée des accidents aigus dépend de la persistance avec laquelle le malade
folies proprement dites (formes primitives). C'est d'abord la manie aiguë (forme typique) avec ses variétés, furieuse, ga
sensorielle, transitoire; la manie subaiguë, chronique, le délire aigu , les états maniaques symptomatiques. Puis la méla
). Recherches bactériologiques sur l'étiologie des conjonc- livites aiguës et sur l'asepsie dans la chirurgie oculaire.- Vol
symptômes de sy- philis héréditaire. A eu un rhumatisme articulaire aigu à dix-sept ans. Période de début ou prodromiq
ient en mélancolie chro- nique, deux; amnésie primaire, deux; manie aiguë , une. (British med. journ., 3 février 1891.) A.
ig. 5. tremblement de la langue hors de la bouche dans l'alcoolisme aigu . ENREGISTREMENT DES TREMBLEMENTS. 165 ou dans
. L'auteur cite également le ré- sumé d'un cas répondant à l'ataxie aiguë de Leyden. A. Marie. XXXIII. Epilepsie SÉNILE;
chutes. Et l'on voit fréquemment, après plusieurs attaques de manie aiguë rémittente, l'affection passer à l'état chroniq
être punis lorsqu'ils ont été commis pendant la période délirante, aiguë ou subaiguë d'un accès d'alcoolisme. Il en est
- 2° ensuite les alcooliques délirants (aliénés) à l'état subaigu, aigu ou suraigu;-3° enfin les aliénés dont les diver
, lésions circonscrites et diffuses des centres nerveux. Un accès aigu ou subaigu d'alcoolisme éclate chez un sujet po
'estomac, 3 cas; lithiase biliaire, 1 cas; rhumatismes articulaires aigus , 3 cas ; fièvres typhoïdes, 3 cas. Veut-on savo
écial. i Quand les malades peuvent fléchir à angle droit ou à angle aigu , il faut modifier cette formule ainsi : Q = (
e la quantité des phosphates augmente dans le paroxysme de la manie aiguë consécutive à la paralysie générale, et qu'elle
paralysie générale, la folie systématique (plus rare), la démence aiguë (amentia), l'idiotie (par syphilis héréditaire).
alité (délits) de 19 femmes. Forme mentale. Psychopathie, surtout aiguë et passagère, soit par les accès de Charcot, so
des hallucinations. Dans ces trois groupes, en dehors des épisodes aigus intercalaires, la conscience n'est pas troublée
rébrales interviennent (sénilité, athérome). Le délire syslématique aigu a les caractères cliniques du délire chronique,
alors l'épisode maniaque qui pour lui fait par- tie de la paranoïa aiguë et les hallucinations, Le délire systématique h
aiguë et les hallucinations, Le délire systématique hallucinatoire aigu est une folie aiguë à hallucinations dont la te
cinations, Le délire systématique hallucinatoire aigu est une folie aiguë à hallucinations dont la teneur et le groupemen
tale véritable. L'évolution juge le cas. La paranoïa hallucinatoire aiguë entre en convalescence par la dé- croissance de
de confusion ayant quelque analogie avec le délire hallucina- toire aigu ). G. DENY. XXXV. LE czar Jean LE Terrible DE RU
ch, Krafft- Hifing, Kirn, Schuele, Brenner. On y traita : le délire aigu (rappor- teur : Schuele), et l'assistance des a
autant que pos- sible jusqu'à leur sortie; 3° la folie systématique aiguë , suivant, qu'elle revêt une forme dépressive ou
on bat tout naturellement son plein quand on a affaire aux épisodes aigus du délire systéma- tique chronique; 4° la stupe
escence parfaitement établie; 5° il en sera de même pour la démence aiguë ; on sera, dans l'espèce, encore plus avare de p
est bon de supprimer les visites à la période d'acmé de la démence aiguë , mais pendant la convales- cence, elles exercen
lgré cette intoxication chronique, traversée par de fréquents excès aigus , le malade ne présente pas les symptômes classi
'âge de vingt-huit ans, il a eu un violent rhumatisme articu- laire aigu qui a nécessité six mois de lit et trois mois de
e, nous avons su qu'il avait remarqué, qu'après un excès alcoolique aigu , il urinait beaucoup et souvent durant la journ
it fréquemment à de copieuses libations. C'est à la suite des excès aigus qu'il a re- marqué que, pendant plusieurs heure
ne analogue. C'est plutôt, à notre avis, dans les excès alcooliques aigus que dans l'alcoolisme chronique qu'il faut rech
e. Cette sécrétion est très exagérée dans l'intoxication alcoolique aiguë . Il est reconnu, au contraire, que le taux de l
A. Mathieu a explicite- ment noté l'influence des excès alcooliques aigus dans cinq cas de polyurie hystérique : « Ces ma
uses, attri- buées aux émotions, aux refroidissements, aux maladies aiguës , relèvent vraisemblablement de l'hystérie. Mais
uble urinaire polla- kiurique ou hypersécrétoire (excès alcooliques aigus , inconti- nence nocturne d'urine, etc.). L'idée
philitiques ont de grandes ressemblances avec d'autres myélopathies aiguës ou chroniques, et elles n'en ont pas toujours é
ujourd'hui que la syphilis peut engendrer directement des myélites ( aiguës ou chroniques) non systématiques. La dégénérati
illaire, des cé- phalées nocturnes à l'origine, etc... Les formes aiguës , bien que plus rares, ne sont cependant pas exc
ubles trophiques graves (eschares à extension rapide). Ces formes aiguës sont des plus redoutables parmi les com- plicat
centrale médullaire, et qui carac- térisent les myélites centrales aiguës . Elles semblent plus parti- culièrement liées a
ires parvenues à la période des paralysies sont rares. Les myélites aiguës ou chroniques, une fois consti- tuées, parcoure
que (fig. 16) qu'au point de vue anatomique, les myélites centrales aiguës . Caractères spécifiques des mé21121go-myéli«tes
es de la Les lésions sont analogues à celles des myélites centrales aiguës . Fig. 17. Phlébite spinale syphilitique. Coup
des myélites syphilitiques légitimes, et entre autres des myélites aiguës . III. Etude expérimentale. Elle a été entrepris
embolies médullaires et ce qui se passe dans les myélites centrales aiguës , ou dans les myélites à marche rapide des syphi
de cela, le premier qui ait parlé du développement et de la marche aiguë de la Verrùcktheit, il n'a pas caractérisé cette
me simple une forme hypocondriaque z qui peuventêtrel'uneet l'autre aiguës ou chroniques. Les types aigus auraient pour fa
z qui peuventêtrel'uneet l'autre aiguës ou chroniques. Les types aigus auraient pour facteur principal les hallucination
des persécutés persécuteurs (Quoerulantenwahnn) et la Verrücktheit aiguë ; dans un autre travail, il sépare la confusion
o- lique et hypochondriaque. Mais que dire de la Ve ? ,7,ùcklheit aiguë créée par Westphal et non précisée par lui, dan
')'MeA</[e ! < actile, par l'expression de folie systématique aiguë . Folie aiguë ne ren- drait pas le sens de Verrû
! < actile, par l'expression de folie systématique aiguë. Folie aiguë ne ren- drait pas le sens de Verrûchlheit; déli
iguë. Folie aiguë ne ren- drait pas le sens de Verrûchlheit; délire aigu à tendances systéma- tiques, encore peu cohéren
ple, et une forme hypochondriaque, pouvant à leur tour être chacune aiguë ou chronique. Il croit cependant que les hallucin
it cependant que les hallucina- tions engendrent surtout les formes aiguës , ce qui est bien vague, puisque les hallucinati
alheureusement peut détruire, surtout quand il s'agit de l'épithète aiguë , la valeur du terme lui-même ou plutôt du type
s fonctionnelles distinctes, le délire hallucinatoire et la démence aiguë . Sous le nom d'amentia (Meynert), folie halluci
physique qu'à un état mental; on la désigne sous le nom de démence aiguë : il n'est pas possible de la faire rentrer dan
ce chaos des formes morbides de l'amentia, de la folie systématique aiguë (paranoïa acuta) et de la folie systématique chro
la plupart des cas, graduellement, rarement on y voit des accidents aigus fougueux. Cette foiie systématique d'emblée est
folie systématique. Il mentionne également l'existence d'une marche aiguë de cette maladie, indépendamment de sa genèse a
d'une marche aiguë de cette maladie, indépendamment de sa genèse aiguë ; cette forme aiguë peut guérir, de sorte que la f
uë de cette maladie, indépendamment de sa genèse aiguë; cette forme aiguë peut guérir, de sorte que la folie systématique
mention, sans description ni délimitation, d'une folie systématique aiguë à marche rapide est la cause, pour la plus gran
e exacte, de se demander d'abord s'il existe une folie systématique aiguë , comment elle est constituée, on en regarda l'e
on diagnostiquerait aujourd'hui tous les cas de folie systématique aiguë . Si réellement le complexus morbide n'était que
ignait sous le nom d'amentia, ce que devenait la folie systématique aiguë et inversement, quand il posait le diagnostic de
et inversement, quand il posait le diagnostic de folie systématique aiguë , ce que devenait l'amentia. C'est pourquoi i Wi
oi i Wille, en traitant de l'amentia : où est la folie systématique aiguë ? dit-il. Et pour beaucoup déjeunes auteurs, l'
toire (paran. chron. hallit- ci7zaloî,ia), de la folie systématique aiguë simple (paranoïa acuta simplex), de la folie sy
que aiguë simple (paranoïa acuta simplex), de la folie systématique aiguë hallucinatoire (para ? ne : <<. hallucina
re à une folie systématique chronique ou à une folie systématique aiguë curable. Un sérieux obstacle à la différenciati
ation semblable, on peut croire à une intermittence ou une paranoïa aiguë . La folie systématique aiguë, simple, et halluc
à une intermittence ou une paranoïa aiguë. La folie systématique aiguë , simple, et hallucinatoire (paranoïa acuta, sim
pouvant exister dans l'amentia. La marche de la folie systématique aiguë est donc rapide; la terminaison varie. Elle peu
te' encore, lorsque le calme est survenu, à la suite de la paranoïa aiguë , l'adhérence assez persistante des idées délirant
e ce genre, se demande s'il a bien devant lui un type de paranoïa aiguë ou de paranoïa chronique; n'est-ce donc pas là un
s, chez les débiles, on observe une première atteinte de para- noïa aiguë pure qui passe sans laisser de traces ; plus tard
se peut faire qu'il y ait plusieurs bouffées de délire systématique aigu curable. Ces exemples nous conduisent à faire g
sent à faire grand cas des deux variétés de paranoïa hallucinatoire aiguë décrits parM.Mendel. Au premier stade d'excitat
ans que tout espoir de guérison soit perdu. La folie systématique aiguë simple (paranoïa acuta simplex) est l'a- panage
folie systématique chronique et non à ceux de la folie systématique aiguë ; son apparition signifie donc, à Archives, t. X
;.'r ! L'3 ? SOCIÉTÉS SAVANTES. mon sens, que la folie systématique aiguë se transforme en folie systématique chronique e
urable. S'il peut être difficile de délimiter la folie systématique aiguë , de la distinguer de plusieurs cas de mélancoli
rigoureusement dans le cadre symptomatique de la folie systématique aiguë , tel que nous venons de le tracer, et si, avant
tique chronique. Ce faisant, nous verrons que la folie systématique aiguë perdra de son importance, qu'elle n'aura plus cet
ires qui constituent les limites les plus extrêmes des mêmes formes aiguës . Quelle idée faut-il se faire du délire de coll
rtlaeit), il convient de rapprocher famcnlia stu- porosa ou démence aiguë (dementia acuta), l'ameizlia su6c7t ! Kca qui p
otion, con- trairement à ce qui se passe dans la folie systématique aiguë , les accidents morbides sont soumis collectivem
ntale se distingue donc, de par sa nature, de la folie systématique aiguë ; elle s'en distingue aussi de par son étio- log
iels dans sa terminaison, puisque, comme dans la folie systématique aiguë , elle peut guérir, mais elle guérit en lais- sa
e l'amentia en paranoïa chronique, tandis que la folie systématique aiguë (para- noia acuta) passe directement à l'état d
tématique chronique (paranoïa chronica ) , de la folie systématique aiguë (paranoia acuta) et de la confusion mentale (am
mes rapportées supra de la confusion mentale, la folie systématique aiguë et chronique (paranoia acuta et chronica) enfin,
s. M. Jolly. Les rapports qui existent entre la confusion mentale aiguë (acute Yerwirrtlaeit), et la folie systématique a
usion mentale aiguë (acute Yerwirrtlaeit), et la folie systématique aiguë (pai,a ? zoia acuta) acquièrent une netteté rem
eté remarquable, quand on se pénètre bien de ce qu'est l'alcoolisme aigu ; l'examen de cette forme mor- bide permet de s
ein désordre intellectuel; c'est là le type de la confusion mentale aiguë . A côté d'eux, d'autres alcooliques sont hantés
int de se systématiser de plus en plus; voilà la folie systématique aiguë (paranoia acuta alcoolica de Speyr). Celle-ci, à
tence des deux variétés (délirante et systématique) de l'alcoolisme aigu . Les mêmes rapports existent entre les pychoses
e l'alcoolisme aigu. Les mêmes rapports existent entre les pychoses aiguës indépen- dantes de toute influence alcoolique.
e toute influence alcoolique. Les unes sont de la confusion mentale aiguë (acute Verwirrtheit) ou désordre intellectuel aig
nfusion mentale aiguë (acute Verwirrtheit) ou désordre intellectuel aigu , les autres sont de la folie systématique aiguë
ésordre intellectuel aigu, les autres sont de la folie systématique aiguë (paranoia acuta). S02 SOCIÉTÉS SAVANTES. La c
guë (paranoia acuta). S02 SOCIÉTÉS SAVANTES. La confusion mentale aiguë ou désordre aigu dans les idées, en- core appel
a). S02 SOCIÉTÉS SAVANTES. La confusion mentale aiguë ou désordre aigu dans les idées, en- core appelée parFuerstner a
inalorische Yerworrenheit (dé- sordre dans les idées hallucinatoire aigu ), par Meynert Amentia, par 111endel délire hall
uë et favorable, quand elle est consécutive à des maladies fébriles aiguës , de sorte que le traitement à l'asile devient inu
nt des mois. Il y a, par contre, des syndromes de confusion mentale aiguë , dont la genèse est indépendante de maladies fé
s pas toujours un rôle considérable. C'est de la folie systématique aiguë (paranoïa acuta), qui mérite sans conteste son
incipe aucun motif de séparer la paranoïa chro nique de la paranoïa aiguë , puisqu'il n'y a de différence entre elles que
l est maintenant aisé de comprendre qu'entre la confusion men- tale aiguë (acute Verwirrtheit) et la folie systématique aig
usion men- tale aiguë (acute Verwirrtheit) et la folie systématique aiguë (para- noia acuta), il y a les mêmes formes de
es de transition que celles qui existent]entre le délire alcoolique aigu simple et le délire alcoolique aigu systématiqu
tent]entre le délire alcoolique aigu simple et le délire alcoolique aigu systématique. Dans la folie systématique aiguë au
le délire alcoolique aigu systématique. Dans la folie systématique aiguë aussi on observe des épisodes de confusion ment
, soit dans son cours; c'est fréquent. Dans la folie systé- matique aiguë également la dissociation de l'idéation, la suspe
droit de distinguer deux variétés de folie intellectuelle primitive aiguë , sous les rubriques de confusion mentale (Veriv
er une troisième, variété sous le nom d'affaiblissement psy- chique aigu (acute Geistesschzvoeche) ou de démence aiguë, qu
blissement psy- chique aigu (acute Geistesschzvoeche) ou de démence aiguë , que M. Jolly a pris l'habitude de désigner sou
ble. On en peut dire autant pour quelques cas de folie systématique aiguë caractérisés par un état céneslliétique mania-
élancolique marqué et persistant. Il est donc établi que les formes aiguës des troubles psychiques, dont il est question i
s du mécanisme psychique. M. IOELI. Dans les perturbations mentales aiguës , c'est-à-dire SOCIÉTÉS SAVANTES. 505 celles q
systématique chronique. Quant à la confusion mentale hallucinatoire aiguë , on a, dans quelques cas, nettement constaté, d
ement que ces symp- tômes apparaissent dans plusieurs psychopathies aiguës . Il n'y avait donc dans l'allégation de Westpha
pouvoir constater une altération anatomique. La folie systématique aiguë simple (paranoïa simplex acuta) peut se produir
rapprochées de celles observées dans les folies liées aux maladies aiguës ; dans le second, en dépit des résultats négati
. 1 folie processive. 1 démence consécutive à la suite de stupeur aiguë (vagabond). 1 de folie hallucinatoire pendant u
imple (déchéance). 3 désordre dans les idées consécutif à une folie aiguë . 3 démence sans qu'on puisse préciser la maladi
rute, par de Foller, 311. 536 TABLE DES MATIÈRES. Myélite diffuse aiguë , par Dresch- i feld, 208; - expérimentale, par
a,-et, par Gilles de la 'l'ou- rette, 42. 0 STÉO-AlTifitûl'ATIIIE aiguë chez une aliénée, par Potowsky, 131. OSTÉopon
7 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
adiction avec l'opinion classique qui veut que dans toute affection aiguë avec hyperthermie, la réapparition des crises é
générale, toute affection intercurrente, quelque peu sérieuse et aiguë , pneumonie, fièvre, érysipèle, variole, goutte, r
les accès et cela*aeu lieu surtout lorsqu'il.s'est agi d'affections aiguës ayant déterminé une maladie fébrile. L'observat
ital urbain destiné à admettre le plus promptement possible les cas aigus et devant servir, dans les villes universitaire
e ville universitaire. L'hôpital de séjour transitoire pour les cas aigus , la clinique psychiatrique doit être situé en v
c. psychol., 1868, p. 456.) 30 ENSEIGNEMENT. (25 p. 100 des cas aigus ), et aménagé spécialement en vue de cette desti
ignement. Il convient donc d'avoir à sa disposition beaucoup de cas aigus (ce sont ceux pour lesquels on est consulté surto
lté surtout dans la pratique) ; de faciliter l'admission de ces cas aigus . Les cas chroniques présentent moins d'intérêt,
- moins présentés : les malades seront choisis soit parmi les cas aigus entrés à la clinique et passés à l'état chronique
transférés pour quelques jours. Pour assurer le recrutement des cas aigus il faut un prix de pension faible, l'admission
, qu'un individu vient d'être pris de troubles intellectuels (manie aiguë , tentative de suicide, etc.) se rend sur place, e
r les exigences bien distinctes du traitement médical des psychoses aiguës et de la colonisation des formes chroniques, po
éga- lement 200 lits. On estime à 50 p. 100 la proportion des cas aigus (agités et malades à surveiller); et l'on a ten
ocaux, de ce chiffre considérable de sujets atteints de psy- choses aiguës . Notons que toutes les cliniques admettent, en
ans la mesure où la chose est possi- ble quand il s'agit de malades aigus . Le nombre des pavillons est en général assez c
ques à idées de suicide, ainsi que des sujets atteints de psychoses aiguës . Griesinger, en 1868, déclare que 25 p. 100 des
enant le tiers du chiffre total des lits, et affectée aux psychoses aiguës nécessi- tant un traitement actif ou une survei
l'organisme tout entier. Or, chez les malades atteints de psychoses aiguës , ce qui doit avant tout attirer l'attention du
lit. Revue de psychiatrie, août 1897. Le traitement des psychoses aiguës par le repos au lit. Rev. internai, de llaérape
ept. 1897. P. Sérieux et F. Famarier. « Le traitement des psychoses aiguës par le repos au lit. » Semaine médic, Il oct. 1
ychique, du repos du cerveau, elles sont constantes dans les formes aiguës . Qu'il s'agisse en effet d'états d'excitation,
e dépression, ou de confusion, ou encore de délires hallucinatoires aigus , peu importe : toutes ces psy- choses sont en r
ent. En résumé, l'alitement est indiqué dans toutes les psychoses aiguës , en raison de la nécessité pressante du repos du
hilis précoce (période primaire et secon- daire) : 1° folie toxique aiguë (analogue au délire ou à la manie alcoolique);
le sont placées d), les phrénopathies (vésanies, folies alcooliques aiguë et chronique, paralysie générale, folie de la m
a) folie infectieuse : il folie accompagnant ou suivant les fièvres aiguës spécifiques ; 2° manie puerpérale, probablement
s ; 2° manie puerpérale, probablement d'origine pyémique ; 3° manie aiguë délirante (spécifique ? ) b) Folie phthisique ;
masturbation ; 4° hypocondrie et neurasthénie ; 5° Stupeur mentale aiguë , catalepsie, « trance », extase, etc.). REVUE D
ique, mais plutôt comme paratoxique. M. HAMEL. XVII. De la paranoïa aiguë ; par M. KOEppEN. (Neurologisches Centralblat, X
systématisée chronique. Le terrain sur lequel se greffe le paranoïa aigu lui donne une nuance spéciale. Dans le paranoïa
fe le paranoïa aigu lui donne une nuance spéciale. Dans le paranoïa aigu alcoolique, inlerviennent tous les rêves imagin
nne dont il cite le nom, parle en lui par son ventre, La paranoïa aiguë pure provient du surmenage, des veilles, des ém
raux, des séniles. Il ne faut point cependant confondre la paranoïa aiguë avec les poussées aiguës de la folie systématis
faut point cependant confondre la paranoïa aiguë avec les poussées aiguës de la folie systématisée chronique ; à côté de ce
la folie systématisée chronique ; à côté de cela il y a la paranoïa aiguë avec rémission, la paranoïa aiguë à répé- titio
à côté de cela il y a la paranoïa aiguë avec rémission, la paranoïa aiguë à répé- tition, la paranoïa périodique. Le tr
que à l'encontre de ce qui se passe dans les lésions inflammatoires aiguës où la rétine avoisinante est infiltrée; il n'est
e des lésions non tabétiques, il discute alors le sujet de l'ataxie aiguë , due aux lésions épinières, acute spinal ataxiu
les observations de Leyden et d'autres en ce qui touche à l'ataxie aiguë due aux lésions bulbeuses et décrit une classe
ons bulbeuses et décrit une classe distincte de cas dus aux lésions aiguës de la colonne postérieure de la moelle. Ceci ar
médullaire). Les lésions, disons myélitiques, dans les infections aiguës , ne prédominent pas spécialement dans les cordo
rap- SOCIÉTÉS SAVANTES. 69 porté à une infection ou intoxication aiguë : saturnisme (deux cas), paludisme, infection,
bserve une sorte de tabès qui reproduit trait pour trait, at l'état aigu , les principaux caractères anatomiques du tabès v
. Elle doit être soigneusement distinguée de la para- lysie spinale aiguë de l'enfant et de l'adulte, qui est une myélite
). Résumé du rapport sur La nature et le traitement de la myélite aiguë ; par G. iI : lR1\ESCO. Ce qui caractérise toute
ite aiguë; par G. iI : lR1\ESCO. Ce qui caractérise toute myélite aiguë , c'est un processus mul- tiple de réactions du
rescence. La lésion apparente qu'on voit souvent dans toute myélite aiguë , c'est le ramollisse- ment hémorragique : lésio
gents toxiques et infectieux, seuls facteurs déterminant la myélite aiguë . Suivant l'étendue et la topographie de ces lés
les idées à ce sujet. La nature infectieuse et toxique des myélites aiguës admises par Pierre Marie est démontrée actuelle-
et expérimentales. J'ai eu l'occasion d'examiner six cas de myélite aiguë , et dans deux d'entre eux j'ai constaté la prés
or, dans mon cinquième cas, la myélite, qui avait présenté un début aigu , n'a emporté le malade que trois mois après son
rtébrale, par le traumatisme local, etc. Il y a dans toute, myélite aiguë deux réac- tions leucocytaires : 1° une réactio
ion rapide que l'on doit englober sous le terme général de myélites aiguës répondent à deux modalités anato- miques distin
aractérisent par l'existence des lésions typiques de l'inflammation aiguë ; les secondes pro- voquent des altérations par
la substance blanche. Il s'ensuit que les réactions inflammatoires aiguës sont moins fré- quentes et moins violentes dans
poison susceptible de provoquer une véritable myélite inflammatoire aiguë chez un individu, ne pourra sans doute produire
u, ne pourra sans doute produire, chez un autre, que l'intoxication aiguë de la moelle. 5° Une délimitation exacte entr
5° Une délimitation exacte entre les deux processus, inflamma- tion aiguë de la moelle et intoxication aiguë de la moelle,
s deux processus, inflamma- tion aiguë de la moelle et intoxication aiguë de la moelle, n'est pas possible. Entre l'infla
cation aiguë de la moelle, n'est pas possible. Entre l'inflammation aiguë typique et l'intoxication aiguë véritable, exis
pas possible. Entre l'inflammation aiguë typique et l'intoxication aiguë véritable, existe une série ininterrompue de tran
a résistance plus ou moins grande de la moelle. 6° L'inflammation aiguë de la moelle est caractérisée par la congestion
erveux seul ou.en même temps le tissu conjonctif. io L'intoxication aiguë de la moelle est caractérisée par une altératio
lacunes absolument analogues à celles de la myélite inflamma- toire aiguë . 8° La sclérose, rapide dans des myélites infla
oire aiguë. 8° La sclérose, rapide dans des myélites inflammatoires aiguës , doit être moins précoce dans les myélites toxi
matoires aiguës, doit être moins précoce dans les myélites toxiques aiguës . 9° Les deux processus aigus pouvant donner lie
ns précoce dans les myélites toxiques aiguës. 9° Les deux processus aigus pouvant donner lieu à des altéra- tions seconda
rs mois ; mais, deux ans après, ils récidivent sous forme de délire aigu et furieux, 90 SOCIÉTÉS SAVANTES. - suivi de
ssemble tout à fait à celle de la confusion mentale, avec accidents aigus d'éthylisme; il est extrêmement curieux et instru
ns l'hystérie, dans le syndrome de Brown-Seguard, dans les myélites aiguës et dans le tétanos hyperalgique de Tros- ton. L
UE MENTALE. : 1° G..., vingt-deux aus, admis pour un accès de manie aiguë avec confusion des idées qui guérit en quelques
ici se produire des accidents psychopathiques sous forme d'épisodes aigus qui ne relèvent pas nécessairement de la prédis
ore que nous attribuons le premier accès de psychose hallucinatoire aiguë de Henri T... à 27 ans. Peut-être faut-il attri
frères aux modifications apportées par ces crises psychopathiques aiguës dans le fonctionnement de leurs centres nerveux.
altérée dans toute sa longueur comme dans la poliomyélite, maladie aiguë , détruisant tous les éléments histolôgiques de
uilibre de la cellule ont été perturbés d'une manière plus ou moins aiguë . La restitution des granula est pour nous, cont
on anatomique d'un trouble anatomique intracellulaire plus ou moins aigu qui, considéré en soi, ne nous autorise pas enc
teurs ne voient qu'un signe anatomique d'une réaction plus ou moins aiguë de la cellule, un défaut d'adaptation, le plus
alement à cette variété de sclérose en plaques à début paraplégique aigu , décrite par M. le profes- seur Pitres '. La bi
avan- tage faire rentrer de pareils cas dans le cadre de myélites aiguës , telles qu'elles sont acceptées classiquement à l
0 à 12 mala- des et, en admettant la proportion de 50 p. 100 de cas aigus , un médecin pour cinq à six aliénés aigus. Da
rtion de 50 p. 100 de cas aigus, un médecin pour cinq à six aliénés aigus . Dans les autres cliniques, le nombre des assis
s, étant. des établissements universitaires, reçoivent tous les cas aigus sans distinction de domi- cile, de secours, de
es par épuisement : A. Le délire du collapsus. 1 1 ! . La confusion aiguë . C. L'épuisement nerveux chronique. i. 111. Lrs
eux chronique. i. 111. Lrs j ? ro-,icii ions : 1° Les intoxications aiguës ; 2° Les intoxi- cations chroniques. A. L'alcoo
nerveuses offrant pour l'ensei- gnement un choix de cas récents et aigus qu'on ne pourrait sou- haiter meilleur. En outr
rapidement se dégradent ; mais des salles d'hôpital où les malades aigus qui, on ne saurait trop le répéter, ont besoin
pas moins utiles en permettant le traitement rapide des psy- choses aiguës et en facilitant la disparition des préjugés ayan
- dicale, 1894. Sérieux et FARNRIFII. Le traitement des psychoses aiguës i)oi, le repos au lit. Semaine médie., Il oct.
, quelquefois hallucinations de la vue et de l'ouïe). Dans la manie aiguë les résultats sont peu satisfaisants ; dans la
jamais chez les malades débilités. Il ne convient pas à la manie aiguë et se montre nettement nuisible dans la mélancoli
tremblement avec douleur de la jambe droite, 1-de douleur lombaire aiguë avec impossibilité de marcher, en tout 186 cas.
t être rattachés à une sclérose en plaques. G. D. VIL L'encéphalite aiguë non suppurée et la thrombose des sinus crâniens
chique de dégénérescence mentale. Parmi les malades ayant une forme aiguë ou curable, aucun n'a été atteint, non plus d'a
lques cas à marche rapide pouvaient simuler la paralysie ascendante aiguë de Landry. Chez un petit nombre de malades le s
1Y. Un cas de crétinisme consécutif à une attaque de thyroï- dite aiguë ; par Edmund SIIIELDS. (Tlie Nciu-York Médical Jou
e hérédité anormale. A ce mo- ment, il fut atteint d'une thyroïdite aiguë qui dura une semaine, et s'accompagna de fièvre
ature pour être sur qu'ils ne sont pas sous le coup d'une affection aiguë , auquel cas il est sursis au transfert. Il y au
qu'il nous était permis de ne voir surtout là qu'une manifestation aiguë ou subaiguë venant compliquer une situation déj
es alcooliques n'ont pas été étrangères à l'apparition du processus aigu qui détermina sa mort. 1 Dans le cas où le di
ordent l'étude de ces altérations anatomiques dans les cas de folie aiguë , décrivent les méthodes histologiques employées
dient enfin dans l'aliénation mentale. Ce n'est que dans les folies aiguës et dans la paralysie générale, que la chromatol
l'intelligence est intacte. Les auteurs ont étudié six cas de folie aiguë dans lesquels la mort était survenue par épuise
lesquels la mort était survenue par épuisement (trois cas de manie aiguë , deux de mélancolie et un de manie récurrente)
les épileptiques et les paralytiques géné- raux. Dans la confusion aiguë , l'état psychique morbide est inin- terrompu, l
s les mêmes effets, ces annexes durent être employés comme asiles d' aigus et des quartiers d'hospice aménagés pour les ch
des à Augyalfôld. L'alitement est appliqué dans les quatre asiles d' aigus : Lipotmezo, Augyafold, 334 . asiles d'aliénés.
n cas de crises gastriques tabétiques et dans un cas de zona crural aigu . Les douleurs seules ont été calmées temporaire
ypocondriaques; 4° La confusion mentale, la psychose hallucinataire aiguë , le délire à base d'interprétations s'accompagn
orteur, M. Crôcq (de Bruxelles) ; 2° Pathologie mentale : Du délire aigu au point de vue clinique, anotonio-patliologiqu
eur, et en plein soleil, aux moissons, fut pris d'un accès de manie aiguë (méningite au dire de l'auteur) ; à ce moment, le
émoire intégral. il. M. C. XLIX. Des troubles moteurs à évolution aiguë , à forme d'ataxie cérébelleuse, chez les ivrogn
W. M. Rechterew. (0&o ? t ! psichiatrii, V, 1900.) - L'ataxie aiguë des auteurs, observée chez l'alcoolique chronique
at vertigineux, plus ou moins vague, lour- deur de tête, sans bruit aigu dans les oreilles, et parfois, douleur locale,
épileptiques d'origine alcoolique. La marche de ce complexus a été aiguë ; début soudain diminution graduelle, et dispari
douleur occipi- tale à la percussion) il doit s'agir d'un processus aigu du lobe moyen de cet organe. N P. KERAVAL. L.
P. KERAVAL. LI. Altérations pathologiques du cerveau dans le délire aigu ; par M. N. Joukowsky. (06ozrézcié psichiutnü, I
myéline, et désintégration. En un mot, méningo-encéphalite diffuse aiguë . C'est ce qu'ont généralement trouvé les auteur
1° troubles nerveux ne rentrant pas dans le cadre de la polynévrite aiguë ; 2° polynévrites survenant chez des syphilitiq
nstallation rapide de ces troubles selon la forme sensitivo-motrice aiguë ou la forme exclusivement motrice ou la forme p
llectuels ; pronostic favorable à moins de complications de myélite aiguë ; diagnostic généralement facile et dont la pie
précédées d'une sensation de suffocation,et de l'émission d'un son aigu et aboyant. On amène la malade à ne plus avoir
s. En dehors de toute'autre cause reconnue, l'exsudat inflammatoire aigu doit être considéré comme de nature tuberculeus
signaler cette application spéciale de l'apomorphine. Les symptômes aigus dissipés, reste à choisir la médication général
est à faire avec : 1° la paralysie générale; 2° la manie alcoolique aiguë simple. Dans la plupart des cas, le diagnostic
physème du tissu aréolaire sous-cutané survenu dans un cas de manie aiguë ; par CoNOLLY NoRmAN. (Tite Journal of Men- tal
nce graisseuse du coeur qui est la conséquence ordinaire des formes aiguës . La cause de l'apparition du béribéri n'a pu êt
. Weideniiammer et P. BROUEHANSKY. Contribution à l'élude du délire aigu . Observation I. Homme, âgé de trente-trois ans,
s hyperémiée. A l'examen microscopique, on trouve une encé- phalite aiguë hémorragique de l'écorce, avec altérations inflam
eurement par MM. Weidenhammer et Sémidaloff, à savoir que le délire aigu a pour base anatomique une méningo-encéphalite
élire aigu a pour base anatomique une méningo-encéphalite corticale aiguë ; c'est pourquoi il faut le considérer comme un
rer comme une forme d'eiicéplia- lite de Strumpell (poliencéphalite aiguë hémorragique coiticale). P. Préobrajensky. Cont
Science, octobre 1899.) Il s'agit d'un malade atteint de mélancolie aiguë qui, ayant pré- senté pendant un mois des sympt
d'une malade de quarante-quatre ans, anémique et atteinte de manie aiguë , qui à la suite de l'administration de doses re
durée et l'intensité de la psychose, une forme aborlive, une forme aiguë ou transitoire de quelques heures à une ou deux
exclusivement chez la femme, tandis que les formes transitoires ou aiguës sont plus fréquentes chez l'homme. Pour ce qui
runet, Febvré, Meuriot, Sémetaigne, Taguet. - Un cas de décubitus aigu . M. Douireuenif, communique à la, Société un ca
mmunique à la, Société un cas de décubitus 500 SOCIÉTÉS SAVANTES. aigu chez un hémiplégique du côté gauche ; la lésion s
ion fessière droite. M. Doutrebenle fait remarquer que le décubitus aigu , après hémorragie cérébrale suivie d'hémiplégie
aire progressive (poliencéphalile subaiguë à la suite d'une myélite aiguë ) chez un mécanicien, âgé de vingt- six ans. Dan
il mécanique des muscles des globes oculaires. 2° Ophtalmojilégie aiguë d'origine syphilitique, ayant l'apparence clini
ui s'ag- gravaient et s'accusaient plus nettement lors des poussées aiguës . La source de l'idée délirante se trouve toujou
rdinaires, comprenant la mélancolie, la manie, les hal- lucinations aiguës (ou amentia), l'aliénation catalouique, t'imbcci-
(ou amentia), l'aliénation catalouique, t'imbcci- hté et le délire aigu ; 20 les psychoses dégénérées : la folie primaire,
MATIÈRES. ` 533 Crétinisme consécutif à une attaque de thvroidite aiguë , par Shields.258. Crime et suicide passionnels,
CYSTICERQUES de l'encéphale, par Long et Wie), 113. DECUI31TUS aigu , par Doutrebente, 498. Dégénérescence mentale
res séniles. par Micita.ud, 267. Altérations du cerveau dans le - aigu , par Jou- kowski, 393. Etude sur le -, par Hi
93. Etude sur le -, par Hir.-ch, 418. Contribution à l'étude du - aigu , par Ve de[iliaminei- et Broukhowsky, 435. DE
ale. Nécroses multiples de l ? par Ivazowsky, 111. É. Encéphalite aiguë et thrombose des sinus, par Ladame, 241. EKCL
8 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
PITAUX DE PARIS CLINIQUE CHIRURGICALE DE L'INFLAMMATION PRIMITIVE AIGUË DE LA MOELLE DES OS ( MÈDULLITE AIGUË) par culo
adie qui en a déjà tant subi. — J'aurais pu choisir entre périos-lite aiguë , — suppurée, — phlegmoneuse, — phlegmoneuse dif-f
, — suppurée, — phlegmoneuse, — phlegmoneuse dif-fuse, — phlegmoneuse aiguë , — nécrose aiguë, — ostéite épiphy-saire aiguë de
hlegmoneuse, — phlegmoneuse dif-fuse, — phlegmoneuse aiguë, — nécrose aiguë , — ostéite épiphy-saire aiguë des adolescents, —
f-fuse, — phlegmoneuse aiguë, — nécrose aiguë, — ostéite épiphy-saire aiguë des adolescents, — ostéopériostite juxta-épiphysa
a-épiphysaire, — décollement des épiphyses, — abcès sous-périostiques aigus , — ostéo-myélite, — typhus des membres, — inflamm
us les noms si divers d'abcès sous-périostique, ostéomyélite, nécrose aiguë d, nous trouvons que le périoste et le tissu osse
e le plus fréquent des processus inflammatoires primitifs, aussi bien aigus que chroniques. (Billrolh.) » Mais dansées cas la
ables, je crois qu'ils suffiront pour justifier le nom d'Inflammation aiguë primitive de la moelle des os, que j'ai cru devoi
cru devoir donner à mon travail. historique L'élude des maladies aiguës des os ne remonte pas à une époque bien éloignée
t des degrés dans la rapidité de production des nécroses : « Elle est aiguë ou chronique; la pre-mière, produite le plus ordi
e de Morven-Smilh avec quatre observations d'abcès sous-périos-tiques aigus et ostéomyélite.— M. Maisonneuve fait une Thèse d
n fait une étude très-complète : « .l'appelle abcès sous-périostiques aigus , dit-il, ces col-lections purulentes quelquefois
s et envahissant les articulations. 11 l'ap-pelle ostéite épiphysaire aiguë suppurée et l'oppose à une forme chronique. La
it deux Observations. Holmes faisait con-naître un Fait de périoslite aiguë simplement inflammatoire, et, avec une audace que
it trois observations très-complètes et très-intéressantes de nécrose aiguë , suivie de pyo-hémie. 1 Voy. Mouvement médical,
n sur l'ostéopériostite, et de Martin, sur la péiïoslite phlegmoneuse aiguë , et un excellent article du Traité de pathologie
vivons encore. On veut isoler abso-lument ces cas des autres maladies aiguës des os ; on en veut faire un état morbide à part,
a photographie. CLINIQUE CHIRURGICALE DE L'INFLAMMATION PRIMITIVE AIGUË DE LA MOELLE DES OS (MÉDULLITE AIGUË) par culot
quelque cause générale, quelque diathèse prédisposant à la médullite aiguë primitive. Je fais exception, cepen-dant, pour la
vons recueillis nous-même, il ressort bien nettement que la médullite aiguë de cause externe peut ame-ner des accidents typho
tent une cause gé-néiale antérieure aux localisations de la médullite aiguë , nous sommes amené à la rejeter, parce que, suiva
le que, dans la grande majorité des cas, sinon toujours, la médullite aiguë reconnaît pour cause une irri-tation directe de l
nt compte des objections, je suis amené à conclure que l'inflammation aiguë de la moelle des os reconnaît, dans la grande maj
occasionnelle a-t-elle le plus de chance de déterminer une médullite aiguë ? La question est ici fort difficile. Parmi les fa
s suivants : L'adolescence est de beaucoup l'époque où la médullite aiguë est la plus fréquente. Nous trouvons, en effet, à
aties des ataxiques et les manifesta-tions articulaires du rhumatisme aigu , la confusion n'est guère possible, car de trop n
ent aussi, à notre avis, Yarthropathie qui nous occupe, de Y arthrite aiguë . Toutes les deux, il est juste de le reconnaître,
un mot, comme les meilleurs médica-ments de l'intoxication saturnine aiguë ou chronique, et particu-lièrement dans les accid
les hémorrhagies musculaires dans les fièvres graves, sur la stéatose aiguë des muscles dans la variole, etc., de M. Jolfroy,
suivants: Les maladies de la moelle épinière, telles que la myélite aiguë , la sclérose spinale, l'ataxie locomotrice, déter
-dissement des membres inférieurs, indique l'existence d'une ma-ladie aiguë ou chronique de la moelle. Nous devons aussi si
'oBSERVEJNT DANS LE COURS DE LA MYÉLITE PRIMITIVE. « L'inflammation aiguë ou subaiguë des jointures des membres paralysés p
nne santé. Elle est entrée à l'hôpital pour un rhumatisme articulaire aigu (27 novembre 1870). Sa grossesse (c'est la quatri
chain numéro. — CLINIQUE CHIRURGICALE DE L'INFLAMMATION PRIMITIVE AIGUË DE LA MOELLE DES OS (MÉDULLITE AIGUË) PAR CULOT
en quelque point, ont mérité les noms divers d'abcès sous-périostique aigu , ostéomyélite, ostéite juxta-éphiphysaire. Il e
ant de difficulté. PATHOLOGIE EXTERNE DE L'INFLAMMATION PRIMITIVE AIGUË DE LA MOELLE DES OS (MÉDULLITE AIGUË) PAR CULOT
efois des faits rares et qui ne se rencontrent que dans la mé-dullite aiguë des adultes. Chez les adolescents et surtout le
sa place nosologique réelle, elle disparut dans l'é-tude des nécroses aiguës . J'en vais faire une description sommaire. A la
u'on vient l'examiner, mais encore sans cause apparente...» «Les cris aigus se répètent à chaque instant et le malade paraît
t cependant : « Le malade, immobile, pousse à chaque instant des cris aigus , perçants, sans cause appré-ciable, mais redoubla
teur élimine de la thérapeutique par les eaux mi-nérales les maladies aiguës de l'utérus, les affections malignes et enfin ces
ydrologie. Dr G. boutek.lier. Dés différentes formés de l'ovarite aiguë , par le docteur ScaglIa. In-8 de 114 pages. Paris
nt de départ des autres, c'est l'inflammation de l'ovaire. L'ova-rite aiguë , regardée par Boivin et Dugès comme l'apanage à p
de la maladie, pouvant toutefois se présenter avec des manifestations aiguës passagères. Mais avant d'abandonner cette questio
tuberculeuses et des cancéreuses. Dans ce dernier cas,l'inflammation aiguë de l'o-vaire s'est manifestée seulement sous l'in
d'envisager celte affection sous trois formes distinctes : suraiguë, aiguë , et subaiguë. La forme subaiguë constitue une aff
mme de nature purement névralgique. L'ovarite suraiguë et l'ovarite aiguë se présentent avec des carac-tères nettement tran
re ne sont que l'exagération de ceux que l'on rencontre dans la forme aiguë . Dans cette dernière, outre la fièvre et les trou
ar cette phrase de M. Chéreau : « Les ovaires frappés d'in-flammation aiguë deviennent douloureux, ils augmentent de vo-lume
mènes secondaires. PATHOLOGIE EXTERNE DE L'INFLAMMATION PRIMITIVE AIGUË DE LA MOELLE DES OS (MÉDULLITE AIGUË) par culot
véritable épine qui pourra à chaque instant dé-terminer des poussées aiguës , parfois mortelles. Les articulations prises, l
decine comme atteints tantôt de fièvre typhoïde, tantôt de rhumatisme aigu , et il leur est aussi arrivé de passer de chirur-
ignalées par les observateurs : — la fièvre typhoïde, — le rhumatisme aigu . M. Giraldès y ajoute le début des fièvres érupti
la partie malade. On ne va pas plus loin et l'on admet un rhumatisme aigu . Quelquefois les difficultés sont plus grandes.
Je n'ai pas à établir de diagnostic avec Yostéite ou Y ostéomyélite aiguë , puisque la médullite, telle que je l'entends, co
dans certains cas, assez rares du reste, pour-ront prendre une marche aiguë et suppurer assez rapidement. On les reconnaîtra
la rate sont modifiés; elle est hypertrophiée, ramollie dans les cas aigus , endurcie quand la maladie suit une marche chroni
splenite, et nous en décrirons deux formes principales : la splenite aiguë et la splenite chronique. I SPLENITE AIGUË
te aiguë et la splenite chronique. I SPLENITE AIGUË La splenite aiguë est celle qui a été le mieux constatée ; on en tr
x ou gangre-neux, tels sont les caractères anatomiques de la splénite aiguë (Bouillaud). Les altérations dont il s'agit sont
sayer de fixer les altérations qui caractérisent la splénite à l'état aiguë . Au premier degré', le tissu de la rate enflamm
ux abcès de la rate. III. Symptômes. — Les symptômes de la splénite aiguë sont locaux ou généraux. Parmi les premiers, no
(Gicqueau). Mais ces symptô-mes appartiennent-ils bien à la splénite aiguë ? Ne sont-ils pas le résultat de quelque complicat
e actuellement. IV. Marche et durée. —Dans la marche de la splénite aiguë nous devrons considérer plusieurs cas: la maladie
jours après l'invasion. Dans les cas moins intenses, les symptômes aigus s'amendent au bout de 7 ou 8 jours ; la fièvre to
aiguë, suivis bientôt dé la mort. Dans les cas heureux, la splénite aiguë ne se termine pas par la mort ; elle guérit par l
e et plus tard à l'hypertrophie. VI. Traitement. — Dans la splenite aiguë , on pourra essayer, avec prudence les ventouses s
flammation chronique. II. Symptômes. — Les symptômes de la splenite aiguë peuvent 11* exister un certain temps, lorsque
icale des hôpitaux, à l'occasion d'un jeune Persan sou-mis à l'action aiguë du Hachisch et observé à Bicêtre. En s'appuyant s
« Elle est caractérisée par les obser-vateurs, dit M. Vigla, de vive, aiguë , lancinante, cruelle, atroce ; elle est accompagn
r-rhagie. X ces symptômes devons-nous ajouter ceux d'une péritonite aiguë ou suraiguë? en d'autres termes, la péritonite es
ud (anal. G. Bouteillier), 155. — Des différentes formes de l'ovarite aiguë , par Scaglia (anal. F. Villard), 157.— Do la tran
tier, 204. L Labbé (L.), 161. Leroy des Barres, 80. M Médullitë aiguë , par Culot, 1, 44, 115, 142, 182. Mélanémie, 25
Arthropathies). Montméja (A. de), 65, 140, 241, 263, 275. Myélite aiguë , 70. N Nerfs (Troubles trophiques consécutifs
y, 101. Oreille (voy. Cancroïde). Os (De l'inflammation primitive aiguë de la moelle des), par Culot, 1,44, 115,142, 182.
clérose des cordons postérieurs {voy. Ataxie locomotrice). Splénite aiguë , 269. — Chronique, 273. Syphilide papuleuse plate
9 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
Pl. 5. MALADIES DU REIN. MALADIES DU REIN. NÉPHRITE. Néphrite aiguë (fig. 1-2) terminée par ramollissement.—Inflammat
ontinuel de défaillance, me feraient au moins soupçonner une néphrite aiguë , et probablement les symptômes tirés des organes
ronique snr laquelle s'était, pour ainsi dire, entée une inflammation aiguë que caractérisait la présence du pus lie de vin.
des exemples de fièvres adyna-miques, d'entérites et autres maladies aiguës ou chroniques, dans lesquels il est fait mention
oncourir à la solution de cette question importante. Ramollissement aigu de la rate. (planche ii, figuee 3, iie livraiso
ns le cerveau : l'embonpoint de la malade dénotait d'ailleurs un état aigu . Elle mourut deux heures après son entrée. A l'
doit être une artérite; que la gangrène consécutive à l'inflammation aiguë , à une infiltration tuberculeuse, au cancer, doit
e vitalité telles, que toutes les formes d'altération organique, soit aiguë , soit chronique, peuvent en être le résultat; d'o
e fois que j'observais une semblable maladie. Je crus à un rhumatisme aigu . La douleur et la paralysie du mouvement se propa
ES DE L'ESTOMAC ET DES INTESTINS. Amincissement extrême ou atrophie aiguë d'une portion des parois de lare du colon. -Périt
perforation des intestins à la suite des inflammations folliculeuses aiguës qui désorganisent rapidement toutes les membranes
diminution notable de cohésion, que j'appellerais volontiers atrophie aiguë , et qui consiste peut-être dans un travail morbid
e du gros intestin, ayant pour résultat son amincissement ou atrophie aiguë ; ; du 6 octobre au 18, peritonite; le 18 octobre,
plus ou moins considérables ; elle consiste dans un angle extrêmement aigu formé par la moitié supérieure du levier vertébra
eure ; il est même incontestable que cet angle aurait été encore plus aigu sans la rencontre de la onzième avec la cin-, qui
nt de dix ans, qui présentait au niveau de la région dorsale un angle aigu saillant en arrière, rentrant en devant, plus con
aine étendue pour s'éloigner ensuite et former un angle plus ou moins aigu ; mais en arrière les lames s'allongent, les apoph
t une femme âgée de trente-six ans, qui mourut d'une pleuro-pneumonie aiguë . Je suis porté à penser que cette disposition éta
la plus grave de toutes ces maladies, se présente tantôt sous le mode aigu , tantôt sous le mode chronique ; et dans l'un et
s'entend presque pas ou seulement par intervalles ; elle est rauque, aiguë , croupale. Le voile du palais présente une rougeu
sous-muqueux. Un jeune homme convalescent d'une entérite folliculaire aiguë (fièvre typhoïde), est pris tout-à-coup de raucit
sons inarticulés. Quand on s'approche d'elle, elle pousse des cris aigus , et cesse de crier aussitôt qu'on s'éloigne. Les
arachnoïdienne de la base coexiste presque toujours avec l'hydropisie aiguë des ventricules du cerveau; mais cette coexistenc
possède en effet plusieurs observations d'hydrocéphale ventriculaire aiguë sans altération du tissu cellulaire sous-arachnoï
r que la plupart des observations décrites sous le titre d'hydropisie aiguë des ventricules du cerveau devraient être rapport
base. Trois observations, dont deux de méningite sous-arachnoïdienne aiguë et une de méningite sous-arachnoïdienne chronique
présentée figure i. Observation Fe. — Méningite sous-arachnoïdienne aiguë de la base du cerveau avec accumulation légère
ur la description de la méningite sous-arachnoïdienne avec hydropisie aiguë des ventricules du cerveau : les vomissemens ont
ac, et que je n'avais jamais observée dans l'hydropisie ventriculaire aiguë , me fait incliner vers la première maladie. Dans
atiques, tuberculeux. Méningites sous-arachnoïdiennes tuberculeuses aiguës . (Planche n.) Dans les observations suivantes,
s et des nerfs moteurs communs; je diagnostiquai aussi une hydropisie aiguë des ventricules du cerveau. La pie-mère est ext
parfaite santé. Je penche donc à croire à la formation de tubercules aigus dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien. Obs
ns combien de cas des altérations bien plus considérables, mais moins aiguës , manifestent-elles à peine leur présence? Le ramo
ion aussi circonscrite et aussi bien définie. Ïl existe une maladie aiguë très-grave et très-fréquente, tantôt sporadique,
je crois devoir appeler cette maladie entérite folliculeuse primitive aiguë . Inconnue dans son siège et dans ses caractères
axique, ataxo - aclyna-mique, fièvres graves, l'entérite folliculeuse aiguë a été signalée, quant à son siège, par Rœderer et
ssez exactement les caractères anatomiques de l'entérite folliculeuse aiguë , sous les titres de fièvres adynamique, gastro-ad
maladie. Desformes anatomiques de Ventérite folliculeuse primitive aiguë . I. L'entérite folliculeuse primitive aiguë est
folliculeuse primitive aiguë. I. L'entérite folliculeuse primitive aiguë est le caractère anatomique le plus constant des
maligne, ataxique, soporeuse, typhoïde, etc. Néanmoins, toute lésion aiguë et grave d'un organe important à la vie peut, com
èvre ataxique, fièvre typhoïde, pour désigner l'entérite folliculeuse aiguë ; car il est des fièvres inflammatoires adynamique
umoniques, pleurétiques, etc. II. L'entérite folliculeuse primitive aiguë n'est point une entérite proprement dite, encore
ans de véritables entérites. III. L'entérite folliculeuse primitive aiguë a constamment pour siège la fin de l'intestin grê
entif aurait pu faire ce rapprochement. IV. L'entérite folliculeuse aiguë se présente sous cinq formes anatomiques principa
icule est remplie par du mucus épaissi ; tantôt dans une inflammation aiguë , et dans ce cas le follicule est plein de pus ou
ntacte. VI. Une seconde forme anatomique de l'entérite folliculeuse aiguë est la forme pustuleuse, qui consiste en des plaq
e de la maladie. IX. Dans toutes les formes d'entérite folliculeuse aiguë que je viens d'énumérer, les ganglions mésentériq
à-coup par la simple extension de l'inflammation une péritonite aussi aiguë que celle qui succède immédiatement à une perfora
utres organes. Formes cliniques de lentérite folliculeuse primitive aiguë . XV. Les grands observateurs de l'antiquité ava
ucune ne la présente à un plus haut degré que l'entérite folliculeuse aiguë : à peine frappé, le malade éprouve un brisement
vre nous a appris que c'était effectivement une entérite folliculeuse aiguë (forme pustuleuse). Sa maladie datait de sept à h
mourut à onze heures. J'avais diagnostiqué une entérite folliculeuse aiguë ; et l'autopsie justifia complètement mon diagnos
n, vingt-huit, quarante jours ; c'est l'état de prodrome des maladies aiguës à l'état permanent, d'où le nom de fièvre lente n
chronique, par Rœderer et Wagler ; c'est Ventérite folliculeuse sub - aiguë . XXI. Comment rattacher des symptômes aussi gra
rtante question, je reste convaincu que, dans l'entérite folliculeuse aiguë , l'état général, que l'on comprend sous le nom co
que je viens de dire s'applique exactement à l'entérite folliculeuse aiguë ; la fièvre précède l'inflammation de douze, vingt
. Aussitôt que s'arrête le mouvement fébrile, l'entérite folliculeuse aiguë n'est pas guérie, elle est seulement bornée ; ell
l y a deux choses, cliniquement parlant, dans l'entérite folliculeuse aiguë , comme d'ailleurs dans toutes les phlegmasies; l'
momens de l'apparition de la fièvre; de même l'entérite folliculeuse aiguë a nécessairement une certaine durée ; et bien qu'
qui proclame qu'on peut arrêter subitement une' entérite folliculeuse aiguë par de larges applications de sangsues, en un mot
r les premières que sur les secondes ; et les entérites folliculeuses aiguës miasmatiques ou épidémiques, comme d'ailleurs tou
es, sont incomparablement plus graves que les entérites folliculeuses aiguës sporadiques. XXIX. Le typhus qui a régné épidém
it en général rien autre chose qu'une entérite folliculeuse primitive aiguë , ainsi qu'il m'a été souvent donné de le constate
savoir que dans l'état actuel de la science, l'entérite folliculeuse aiguë peut être modifiée dans sa marche, mais jamais ar
qui existent au sujet de la thérapeutique de l'entérite folliculeuse aiguë ? A l'appui de cette manière de voir, sont venus
t nuisible. a XXXIII. La thérapeutique de l'entérite folliculeuse aiguë ne me parait point encore assise sur des bases in
ours. XXXIV. Invoquerons-nous les causes de l'entérite folliculeuse aiguë pour nous éclairer sur sa thérapeutique, mais ces
aux de Paris sont pour ainsi dire encombrés d'entérites folliculeuses aiguës (*). Je l'ai observée épidémique à Limoges dans l
mentaire (**). XXXV. Si la thérapeutique de l'entérite folliculeuse aiguë ne découle pas directement de la lésion organique
viennent de s'écouler ( mars et avril i83o ), l'entérite folliculeuse aiguë aux plcuro-pneumonies qui ont été si fréquentes c
dé qu'il prévient et arrête immédiatement les entérites folliculeuses aiguës , qu'il comprend avec une foule de maladies légère
éloigné, et il est bien démontré pour moi que l'entérite folliculeuse aiguë ne doit pas être traitée à la manière des maladie
abli que possible, qu'il est une période dans l'entérite folliculeuse aiguë où la méthode débilitante est essentiellement nui
par l'état général du sujet; je m'explique : l'entérite folliculeuse aiguë se compose de deux ordres de phénomènes, i° des p
oyen qui agisse directement sur les causes de l'entérite folliculeuse aiguë , l'atteigne et la détruise immédiatement, je m'en
ou moins, suivant les cas. XLVÏ. Il est des entérites folliculeuses aiguës avec dévoiement; il en est qui sont accompagnées
ues, m'ont porté à essayer ce médicament dans l'entérite folliculeuse aiguë , comme base du traitement : j'ai choisi des malad
yant l'inefficacité des premières tentatives. L'entérite folliculeuse aiguë plongeant souvent les malades dans un état assez
on ne trouve pas dans la lésion anatomique de l'entérite folliculeuse aiguë la raison suffisante de la mort, c'est qu'on doit
nce de l'art est-elle plus manifeste que dans l'entérite folliculeuse aiguë , qui attaque presque toujours les jeunes gens dan
st sans doute pas éloigné où le traitement de l'entérite folliculeuse aiguë sera tout aussi rationnel et tout aussi efficace
out aussi efficace que celui de la pneumonie. Entérite folliculeuse aiguë gangreneuse (*) {forme ataxique). Mort le quatorz
urs jours constipation opiniâtre. Diagnostic. Entérite folliculeuse aiguë sous sa forme la plus grave et la plus rapidement
es planches de Rœderer et Wagler qui figurent l'entérite folliculeuse aiguë sous forme granuleuse, et qui ont signalé le sièg
édition , 1812), représentent diverses formes d'entérite folliculeuse aiguë . La figure 3 est surtout très-belle. Les plaques
tines in feuer, rendent très-bien la forme de l'entérite folliculeuse aiguë , que j'appelle gangreneuse circonscrite. L'auteur
ns. Réflexions. — A la forme gangreneuse de l'entérite folliculeuse aiguë m'a paru constamment répondre la forme ataxique.
i de leurs revers. viie livraison. 5 Dans l'entérite folliculeuse aiguë sous torme gangreneuse, la péritonite peut surven
la valvule iléo-cœcale, et son voisinage (*). Entérite folliculeuse aiguë pustuleuse [forme ataxique) mortelle en cinq a si
aison. Pl. 2. MALADIES DE L'INTESTIN GRELE. ( Entérite folliculeuse aiguë . ) est malade depuis cinq à six jours, mais qu'
peu de délire depuis la veille. —• Diagnostic : Entérite folliculeuse aiguë sous la forme ataxique. (Boissons gommeuses ; dix
llicules plus développés, preuve évidente que l'entérite folliculeuse aiguë n'affecte le voisinage de la valvule iléo-cœcale,
gieux infiltrés de sang noir. Réflexions. — L'entérite folliculeuse aiguë pustuleuse se manifeste constamment sous la forme
individu qui, au plus fort des symptômes d'une entérite folliculeuse aiguë (forme ataxique), fut pris de tympanite et d'une
gaz et les liquides contenus dans l'intestin. Entérite folliculeuse aiguë fongueuse [forme ataxique) mortelle en sept jours
ncipe aurait-il produit quelques bons effets? Entérite folliculeuse aiguë gangreneuse, forme ataxique, perforation (Fig. 2,
u péritoine. Réflexions. — Voilà un exemple d'entérite folliculeuse aiguë sous forme gangreneuse. Ce n'est que par analogie
ge ne paraît pas avoir eu lieu chez ce sujet. Entérite folliculeuse aiguë presque entièrement guérie. — Mort de pleuro-pneu
t dans un état parfait d'intégrité. Diagnostic. Entérite folliculeuse aiguë sous forme ulcéreuse, tendant à la péritonite. De
raison. Pl.4. MALADIES DE L'INTESTIN GRÊLE. ( Entérite folliculeuse aiguë .) causées par les escarres du bassin. Pour hâte
ladie locale n'est nullement guérie; que dans l'entérite folliculeuse aiguë , comme d'ailleurs dans la pleurésie, la pneumonie
ant les premiers temps de la convalescence de l'entérite folliculeuse aiguë ; qu'il faut toujours se représenter son malade co
umon, si le malade était resté en supination. Entérite folliculeuse aiguë forme ataxique). —Amélioration pendant neuf jours
le fixer avec la camisole. Je diagnostique une entérite folliculeuse aiguë : le délire me paraît sympathique. (Saignée.) Le
nt ou complètement cicatrisées qui dénotent une entérite folliculeuse aiguë anciennement guérie ; i° des altérations nouvelle
ssement blanc, pultacé, si fréquent dans l'hydrocéphale ventriculaire aiguë . Bornée d'abord à la face interne de la dure-mè
physiques, la génération de ces foyers, de ces tubercules purulens ou aigus qui, lorsque la quantité de mercure introduite a
EAU (MÉNINGITE). ( planche iv, viiie livraison. ) Sous-arachnitis aiguë de toute la surface du cerveau et du cervelet. —
ches de la vie livraison ont présenté des exemples de sous-arachnitis aiguë de la convexité du cerveau sous forme comateuse ;
deux observations suivantes nous offrent deux cas de sous-arachnitis aiguë générale, dont l'un rentre parfaitement dans la d
ance cérébrale était d'ailleurs parfaitement saine. Sous-arachnitis aiguë de la convexité et de la base du cerveau.—Arachni
ique, rhumatismale, scrophuleuse, et sous le point de vue du mode, en aiguë et en chronique. Les tumeurs blanches me paraisse
e la mâchoire inférieure, et j'ai eu occasion de voir des rhumatismes aigus ou chroniques qui n'avaient respecté que l'articu
s effets les plus graves et les plus constans de l'inflammation, soit aiguë , soit chronique , des membranes synoviales : cet
Livraison. Pl. 6. MALADIES DES ARTICULATIONS. ( Corps étrangers.) aigu , lequel parcourut successivement toutes les artic
bles d'usure, parce que toutes sont susceptibles d'inflammation, soit aiguë , soit chronique, dans leurs synoviales ; en quelq
chronique, dans leurs synoviales ; en quelques jours l'inflammation aiguë de la synoviale peut déterminer L'exfoliation et
iales FS, fig. i, i'. J'ai vu quelquefois, dans le cas d'inflammation aiguë des synoviales, les cartilages complètement détru
lière qui existe entre les symptômes de l'hydrocéphale ven-triculaire aiguë et ceux du ramollissement gélatiniforme de l'esto
phénomènes de la maladie. J'ai prouvé que les perforations spontanées aiguës de l'estomac, si bien décrites par Chaussier et P
ui partant peuvent être également le siège de perforations spontanées aiguës , suite de ramollissement. Cette espèce de rétrogr
de l'enfance. Dans la maladie cérébrale (hydrocéphale ventriculaire aiguë ) il y a de même assoupissement et cris; mais quel
brunâtre, lorsque le malade succombant à la suite d'une maladie, soit aiguë , soit chronique, 1 estomac ne contient que des li
s. Ainsi je l'ai rencontré à la suite des maladies les plus diverses, aiguës ou chroniques, avec ou sans symptômes du côté de
ortement teinte en rouge lie de vin. A la suite de certaines maladies aiguës ou chroniques, la coloration de la membrane ramol
omme qui avait succombé le trentième jour d'une entérite folliculeuse aiguë sans avoir présenté aucun symptôme du côté de l'e
eillie à une époque où régnait une épidémie d'entérites folliculeuses aiguës ; je pensais que telle était la maladie à laquelle
se dans des faisceaux circulaires blanchâtres qui se croisent à angle aigu . Du reste, l'altération est exactement circonscri
réquente incontestablement que le cancer. Il est évident que l'ulcère aigu doit entraîner bien plus souvent cette perforatio
tte zone. Réflexions. — Je regarde ce cas comme un exemple d'ulcère aigu de l'estomac. L'état aigu me paraît démontré : i°
Je regarde ce cas comme un exemple d'ulcère aigu de l'estomac. L'état aigu me paraît démontré : i° par le caractère de l'ulc
, la diète lactée améliorèrent notablement tous les symptômes. L'état aigu disparaît, et M. G. ne tarde pas à reprendre ses
es, un sentiment de gonflement à l'épigastre, et souvent des douleurs aiguës . A la constipation, qui est l'état habituel, succ
des viscères par un travail inflammatoire. Ce sont de gros tubercules aigus , suite de pneumonies ou d'hépatites lobulaires, a
ent-elles à cette loi générale en vertu de laquelle les inflammations aiguës terminées par suppuration déterminent dans les ti
très-volumineux et infiltrés. Dans l'œdème douloureux, ou hydropisie aiguë des femmes en couche, j'ai rencontré plusieurs fo
on ne se fût pas jointe l'inflammation de l'artère pulmonaire L'œdème aigu que présentait la moitié postérieure des deux pou
it que ce travail d'irritation puisse s'élever jusqu'à l'inflammation aiguë ou chronique du péritoine. Dans un grand nombre d
ires; les calculs biliaires et autres corps étrangers; l'inflammation aiguë ou chronique des conduits biliaires ; les diverse
est cependant pas dénuée de toute probabilité. XVII. L'inflammation aiguë des voies biliaires est encore peu connue. Beauco
'œdème douloureux , l'érysypèle ambulant 5 une multitude d'affections aiguës et chroniques , à caractères spéciaux , viennent-
onite purulente. Vaisseaux lymphatiques pleins de pus. Ramollissement aigu avec mélanose du poumon. Croisier? âgée de ving
hithéâtre ; la couleur ne s'est pas effacée : c'est un ramollissement aigu avec mélanose. Dans l'observation suivante, la
chez des individus affaiblis par 1 age, par des maladies antérieures aiguës ou chroniques, par l'accouchement, a presque touj
s évacuations alvines qui emportent la malade dans un état de marasme aigu difficile à décrire. Il est extrêmement probable
inal cesse graduellement et ne se transforme pas en phleg-masie, soit aiguë , soit chronique. L'observation qu'on vient de lir
points des inflammations qui peuvent amener la mort, soit dans l'état aigu , soit dans l'état chronique; d'où la nécessité de
e sein de sa mère tous les vices de nutrition, toutes les phlegmasies aiguës ou chroniques auxquelles il sera exposé après la
ir les bronches pleines de mucosités épaisses, comme dans le catarrhe aigu . Enfin, une dernière conséquence de l'inertie d
nt engouées de mucosités semblables à celles d'un catarrhe pulmonaire aigu , il y avait un petit noyau cartilagineux dans l'é
nal, et se manifeste à une période plus ou moins avancée des maladies aiguës ou chroniques, quelquefois même pendant une fauss
desquels la phlegmasie intestinale, de latente qu'elle était, devint aiguë et emporta notre malade. Chez l'adulte, de même
qui représentait celle d'un animal : l'angle facial était extrêmement aigu comme chez le chien; les téguments du crâne étaie
es expériences me paraissent jeter le plus grand jour sur une maladie aiguë que j'ai eu occasion d'observer plusieurs fois et
toute autre lésion, tantôt dans le cours d'une péritonite puerpérale aiguë ou chronique, plus souvent peut-être dans le cour
ique, plus souvent peut-être dans le cours d'une pleurésie puerpérale aiguë ou chronique; ou pendant la convalescence de ces
éloignés. Dans la nuit du 30 au 51 décembre, délire violent ; cris aigus , auxquels succède un collapsus profond. Le 1er ja
qui avait probablement éprouvé, autrefois, une entérite folliculeuse aiguë ; cbaque cicatrice était indiquée par une grande t
uleurs épigastriques extrêmement violentes qui lui arrachent des cris aigus : elle se tient fortement courbée sur elle-même,
es de la colonne vertébrale; déviation ntéro-postérieure à angle très aigu , ankylose avec fusion de cinq vertèbres. Fracture
. . , . . _ „ , estomac et des intestins. Amincissement ou atrophie aiguë dune Maladies de . . , , . . - . „. parois de
......... Mala«li i^t«stifi grêle'; Entérite folliculeuse primitive aiguë . Considérations sur les fermes anatomiques et c
Maladies de la rate. Splénite, pus concret combiné. Ramollissement, aigu et chronique de la rate. Observations et considér
foie, etc. ..... Maladies dj cerveau. Méningite sous-arachnoïdienne aiguë de toute la surface du cerv«au et du cervelet....
Transformations et productions enkystées. Observations. - Néphrite aiguë terminée par un ramollissement; inflammation du t
10 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ore des symptômes catatoniques dans le cours d'autres psycho- ses aiguës et chroniques. Il définit la catatonie pure par l
mettons ce diagnostic, alors il faut indiquer après quelle psychose aiguë a apparu la forme secondaire ? Par conséquent,
e connexion avec cette lésion, à savoir, la psychose hallucinatoire aiguë et la dé- mence primitive, donnent une améliora
alade, premièrement, n'a pas eu du tout de pé- riode hallucinatoire aiguë , propre à l'amentia de Meynert, secondement, no
comme ici. C'est justement la prédominance des troubles moteurs aigus avec symptômes d'inhibition dans la région psycho
temps actuel masturbation. En 1882, il fut atteint d'une psy- chose aiguë avec hallucinations et délire de la persécution ;
par le tissu cortical. Il y a évidemment d'autres états, les folies aiguës par exemple, où il est à peu près certain que l
2). E. B. , i REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 73 XVIII. Cas d'acromégalie aiguë ; (British médical Journal, avril 1903). Ces deu
des deux tumeurs comme dans le cas le plus ordinaire d'acromégalie aiguë était celle du sarcome. D' A. Marie. REVUE DE
, , 1 Méningo-myélite tuberculeuse à lésions discrètes. Paraplégie aiguë : MM. DUPRÉ, Haosen et SÉBILEAU rapportent l'hi
n, en deux mois, d'une paraplégie sensi-. tivo-motrice et trophique aiguë , flasque, avec exagération des. Archives, 2° sé
nt l'épilepsie. On a signalé chez le cré- tin des accès de maladies aiguës avec fureurs qui se rat- tachent probablement à
des actes éminemment délicats, subtils, où l'intelligence la- plus aiguë entre en jeu d'une manière évidente. Toutes les
ui oblige l'asile à disposer d'un grand nombre de lits pour les cas aigus : or il est déjà encom- bré par les cas chroniq
par les cas chroniques et n'a pas la place suffisante pour les cas aigus . ' ' Le remède proposé est celui-ci : dans chaq
u'ils n'ont pas actuellement à se familiariser avec l'étude des cas aigus de maladies mentales. R. DE Musgrave-Clay. III.
organisée. Voici les principales : Sensibilité générale : douleurs aiguës et vives sur toute la surface du corps (piqûres
irculaire qu'on peut observer dans d'autres psychoses quelques-unes aiguës et à terminaison favorable qui ont été publiées
arterio-séléreuses a pris un cours circulaire, l'autre de psychose aiguë de forme également circulaire qui s'est terminée
off) à la suite d'anthrax dans le cours d'une psychose mélancolique aiguë ; par les D'g Serge, Soo6H ? vorF et TCHELTXOFF
es faits indique nettement que le cours de la psychose mélancolique aiguë a été compliqué par une lésion orga- nique de t
Les cas de démence précoce et de démence consécutive à une psychose aiguë sont plus fréquents chez les Juifs ; 4° Les Juifs
t. si elle eut la plus grande frayeur qui se traduisit par des cris aigus et la plus vive agitation, elle n'eut pas de pe
d'un malade atteint de névrite optique à marche rapide avec myélite aiguë ayant déterminé .la mort en peu de temps. Ces c
de temps. Ces cas méritent un nom spécial, tel que neuropo myélite aiguë . Sur la transformation du régime des réflexes c
, tandis que la parathyroïdectomie produit des phéno- mènes nerveux aigus rapidement mortels, tétanie et polypnée sur- to
bles : que tantôt elle tuait les animaux avec des symptômes très aigus ; que tantôt au contraire, elle les laissait vivre
ec apparition lente du myxoedème. On savait aussi que les symptômes aigus survenaient chez les carnivores ou les omnivore
l'excès d'azote dans la nourriture ces symp- tômes d'empoisonnement aigu , qui, dans le fait, s'amendaient ou disparaissa
a diète hydrocarbonée. Gley, plus tard, mon-, tra que ces symptômes aigus peuvent être produits chez le lapin en extirpan
uisant lemyxoedème, la parathyroïdectomie, les symptômes tétaniques aigus . Pour cer- tains auteurs cependant, notamment p
r des cornes antérieures et du cortex, analogues aux dégéi cences aiguës de nombreux états toxiques. Dans un autre ordre
les mensurations et descriptions nor- males. Les symptômes mentaux aigus et nouveaux ont disparu, laissant subsister l'i
interne sur certificat médical et dont la maladie z a un caractère aigu ; cet hôpital serait situé près d'une grande .v
alité l'évolution se divise en deux périodes : une première période aiguë , durant six ou huit mois, au maximum deux ou troi
lcool est nécessaire à l'existence. M. Jules Voisin. L'al- coolique aigu est bien obligé de demander aide et secours ; l'a
nt dans la confusion primitive ou secondaire et ' dans l'alcoolisme aigu , où, par leur physionomie diverse, elles peuven
yndrome de polynévrite généralisée au cours de la carcinosemiliaire aiguë ; l'expression anatomique de cette forme assurém
bles constituant le type le plus parfait de la car- cinose miliaire aiguë . Mais ici les métastases intra-muscu- laires do
insuffisance para-thyroï- dienne appartiennent surtout des troubles aigus (troubles convul- sirs), que les accidents aigu
rtout des troubles aigus (troubles convul- sirs), que les accidents aigus (convulsions) sont dus à l'ablation des parathy
on thyroïdienne. 11. LEROY. XXIV. Observation d'ataxie cérébelleuse aiguë d'origine orga- nique, compliquée d'hystérie; p
inion classique courante. G. Carrier. XXVI. Ramollissement bulbaire aigu et syndrome cérébelleux; par M. Lecleuc (Lyon m
baire. A l'autopsie, en effet, on trouva un ramollissement bulbaire aigu . Le foyer occupait une des moitiés du bulbe, en
t vrai, on pourra espérer voir évoluer plus longue- ment les formes aiguës de la myélite. Au point de vue théorique le cas
alcooliques dont le délire a suivi l'évolution de la néphrite. Plus aigu chez le premier malade, il a simulé l'urémie dé
s 1809 jusqn'en 1901. P. Keraval. XLV111. Psychose hallucinatoire aiguë dans un cas d'empoisonne- ment par l'atropine ;
te, est agressive pour se défendre, comme dans le délire alcoolique aigu . Cela dure 6 jours et disparaît en laissant de
périmentales sont les suivantes : 1° la katatonie est une ma- ladie aiguë , toxique, avec un début et une marche bien nets,
pro- dromique à début graduel aboutissant à la période d'invasion aiguë avec hallucinations de l'ouïe, confusion mentale,
ique des mus- cles et hyperleucocytose, qui, à la fin de la période aiguë indique^ une toxémie virulente. A la dernière p
uu résultat curatif. G° L'immunisation active à la période du début aigu de la maladie, essayée jusqu'ici une seule fois
SGIi.IVE-CL : 1Y. LV. Nouvelles observations cliniques sur la manie aiguë et parti- culièrement la manie de l'adolescence
cédent travail, l'auteur a démontré que, dans tous les cas de manie aiguë , il existe une leucocytose qui persiste indé- f
psychose polyné- vritique, et plus tard de cérébropathie psychique aiguë . Les symptômes principaux de cette maladie sont
it d'un malade qui fut admis à l'asile comme étant atteint de manie aiguë , et dont l'état ne fit que s'aggraver progsessi
ons bactériologiques et cliniques sur le sang dans les cas de manie aiguë continue; par Lewis C. BRUCE ( 7'Ae Jour- nal o
, elles démontrent pratiquement que la manie est un état infectieux aigu , et que lorsque la guérison s'effectue un état
es à la dégénération rétrograde. L'atrophie musculaire dans les cas aigus dépend vrai- semblablement de l'ischémie produi
Méningite tuberculeuse et granulie au cours d'une bronchopneumonie aiguë (cytologie, cryoscopie, séro-agglutina- tion, p
r Klippel qui a substitué l'au- to-intoxication et l'auto-infection aiguës à la théorie de l'action 1 purement irritative
s chronique, chez laquelle cette maladie prit brusquement une forme aiguë , avec accompagnement de manie. La mort sur- 400
on la consi- dère comme une conséquence des premiers symptômes plus aigus . L'analogie de l'hébéphrénie avec la paranoïa e
uve dans la proposition suivante : « Au début d'une maladie mentale aiguë les symptômes « mentaux précèdent-ils les sympt
tater que. parfois, les enfants étaient sous le coup d'une affection aiguë . BOUR1,EVILLE. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 4
travail sont les suivantes : Il La mélancolie, comme toute psychose aiguë , peut donner des récidives, qui peuvent apparaî
ie circulaire a peut-être une loute autre origine que les psychoses aiguës récidivantes en général et que la mélancolie ré
sent le plus souvent ou s'atténuent une fois la période d'évolution aiguë franchie. Or chez six de nos tabétiques ama1ll'
s taxi-infectieux des alcooliques, la delirium tremens et le délire aigu ; par M. Henri Carrier, Un vol. 427 pages, Baill
ons du delirium tremens qui, au pointdevue clinique, est un épisode aigu et accidentel, ne pou- vant survenir que chez d
ble des lésions du delirium tremens etdu BIBLIOGRAPHIE. 43 délire aigu et montre comment les altérations histologiques p
graisseuse (dégénérescence granuleuse ou jaune globulaire (délires aigus ), dégénérescence graisseuse (alcoolisme chronique
ettt, c'est une neuro-myélo-encéphalite pal'el/chy- maleuse toxique aiguë . Indépendamment des lésions anciennes, dues à l
es- pondre à l'épuisement fonctionnel des cellules. IX. Le délire aigu est un syndrome de nature toxi-in/'ectieuse et
c'est aussi une neuro-myélo- encéphalite pare ? chymateuse toxique aiguë , mais qui ne survient pas comme le deli- rium t
enchymateuse et interstitielle. X. Le delirium tremens et le délire aigu sont des maladies générales du système nerveux,
insuffisance nerveuse. XIII. L'association des idées dans la manie aiguë et dans la, débilité mentale; par le Du Madelei
trou- UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 435 bles mentaux aigus a duré plus de temps que le malade ne le croit,
de fatigue lorsqu'il veut faire un certain effort mental. La phase aiguë n'a laissé en lui que des souvenirs peu précis;
e à l'asile. L'amélioration continue : en février, les phénomènes aigus ont totalement disparu et M. N... peut être con
ut de la maladie, je ne sais pas exactement ce qu'a été cette phase aiguë que le malade a présenté en z1890; il semble bi
ès tout que l'interprétation des troubles morbides ? dans cet accès aigu , la pauvreté -intellectuelle du sujet et son in
diagnostic pouvait certainement être posé dès la fin de la période aiguë . Il est nécessaire, en effet, de pratiquer une
rie, t. XVII. 30 4G6 RECUEIL DE FAITS. I. - Psychoses alcooliques aiguës : 1° delirium tremens; 2° hallucinose auditive
1° delirium tremens; 2° hallucinose auditive (délire hallucinatoire aigu alcoolique ou paranoïa alcoolique); 3° délires
ce alcoolique avec ou sans épilepsie. De cet eusemble des psychoses aiguës nous pouvons rele- ver les deux premières comme
d'une façon excessive toutes sortes de boissons. Prise d'un délire aigu dans la nuit du 20 mai, entre le 23 à l'asile t
ion indiqué par un but thérapeutique. Après trois jours de délire aigu , elle se réveille calme et orientée, avec amnés
il est indispensable de modifier ce que nous savons sur les folies aiguës : c'est un enseignement à iefaire. Il faut, dan
les cas de manie ou de mélancolie à forme homicide. « Les folies aiguës de caractère hybride, c'est-à-dire celles qui s
rit est troublé. R. 1L-C. XXII. Remarques sur le traitement des cas aigus ; par R.-R. LI E- PER. (titre Journal of Mental
en a le désir, des difficultés qui entourent le traitement des cas aigus ; souvent on attribue injustement la guérison à u
NEUROLOGIE Séance du 5 mai. Présidence de M. DÉJERINE. Méningite aiguë syphilitique cérébrospinale. Cytologie du liquide
rtons un cas de méningite cérébro-spinale syphilitique, à évolution aiguë , qui se prête à quelques considérations intéres
et thérapeutique. Cliniquement, il s'agissait d'un syndrome méningé aigu , débu- tant sept mois après le chancre, et qui
. `VILSON présentent les coupes d'un cas de poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte avec lésions en foyer absolument an
que le tableau clinique avait été celui d'une paralysie ascendante aiguë . 11 n'y avait pas eu de trouble notable de la sen
n'y avait pas eu de trouble notable de la sensibilité. A la période aiguë du début avait succédé une phase d'état très pro-
rogressé, et l'on avait porté le diagnostic de paralysie ascendante aiguë d'origine probablement polynévritique. A l'auto
ul accès ou avec plusieurs accès, trouvant que toutes les psychoses aiguës sont portées aux récidives et la différence ent
nd; l'affaiblissement intellectuel est précoce, tous les phénomènes aigus observés en » portent la marque ; 3° les caract
mple dans laquelle les malades ne présentent jamais de phénomènes aigus . Dans la majorité des cas, après une phase prod
rodromique de quel- ques mois deux ans, apparaissent des phénomènes aigus qui ont fait diviser la démence précoce en troi
mpagnent de troubles physiques. surtout accentués dans les périodes aiguës . Ce sont, d'après Kroepelin : exagération parfo
i-illon, 81. A Clhl1\DROl'LASE. Voir Alexie. Acromégalil. Cas d'- aiguë , 73. ACIi0P.IRESTnÉSIE, Par Egger, 169. Adéno
oteyko et Stefauowslca, 63. Ataxie. Observation d'-cérébelleuse aiguë d'origine organique compli- quée d'hystérie, pa
i- infectieux des alcooliques, le déli- rium tremens et le délire aigu , par Carrier. 421. Sur la question du dévelop
quhart, 401. Manie. Nouvelles observations cli- niques sur la - aiguë et parttcu- lièrement la de l'adolescence, pa
iguë et parttcu- lièrement la de l'adolescence, par Bruce, 3sî. - aiguë . Voir Sang. Médecin. et institutrice, 527.
, 392. tuber- culeuse et granulie au cours d'une broncho-pneumomf aiguë , par \icolas et Arloing, 393. Gué- rison de l
ploi répété des vwcatores sur le cuir chevelu, par Tripier, 488. aiguë syphilitique cérébro-spi- nale. Cytologie du li
3. Méningo-myélite tuberculeuse à lé- sions discrètes. Paraplégie aiguë , parDupré, Hauser et Sébileau, 81. Menthol. I
nce hépatique, par Juquelier et Perpère, 163. - liai- lucinatoire aiguë dans un cas d'empoisonnement par l'atropine,
férieur de la moelle, par Raymond, 57. Ramollissement. - bulbaire aigu et syndrome cérébelleux, par Le- clerc, 32 ?
11 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ribution ci l'étude des troubles nerveux consé- cutifs aux maladies aiguës ) ; Par les D9 M. LANNOIS et G. LEMOINE I. Les
es compare aux complications cérébrales du rhuma- tisme articulaire aigu . Il rapporte six observations dans lesquelles o
phénomènes méningitiques, accidents qui ne sont plus comme ceux-ci aigus et transitoires, mais qui au contraire persiste
. Grancher, en France, par Appleyard, en Angleterre, d'endocardites aiguës développées au cours des oreil- lons : mais, ou
passé là ce qui s'observe d'ailleurs dans certaines mé- ningites aiguës , et surtout dans la méningite tubercu- leuse, o
as ; il est vrai qu'au moment où nous voyions la malade, la période aiguë avait en partie disparu. Au point de vue de l'é
. Trois mois plus tard, survient une deuxième attaque : cet épisode aigu , qui tranche surles allures tranquilles que la
s individus déjà débilités, pourrait prendre brusquement une allure aiguë , 56 REVUE CRITIQUE. de la même façon que l'al
rmes : « Ce qui empêche, dit-il, l'esprit d'admettre une acétonémie aiguë spontanée, c'est qu'il faudrait des quantités c
nsée ou du langage. Dans un cas, de véritables acci- dents de manie aiguë , ont été signalés. D'autres fois, ce sont des é
réunis sous le nom de collapsus diabétique simple. 1° Acétonémie aiguë . L'acétonémie aiguë présente dans son évolution
m de collapsus diabétique simple. 1° Acétonémie aiguë. L'acétonémie aiguë présente dans son évolution deux périodes : une
al, qui va en s'accentuant jusqu'à la mort. Môme dans cette forme aiguë de l'acétonémie, les accidents n'ont pas toujou
ymptômes accusés par le malade sont les mêmes que dans l'acétonémie aiguë ; mais ils se prolongent pendant plusieurs semai
es et avortées, une dernière crise finit par revêtir la forme grave aiguë et le malade succombe dans le coma à une intoxi
. TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 75 Affections aiguës intercurrentes. Dans d'autres cas, l'acé- toném
8 revue DE pathologie nerveuse. III. Un cas DE paralysie ascendante aiguë ; parJ. HOFFMANN (Arch. f. Psych., XV, 1). Obs
dans la folie circulaire (une observ.), dans la folie systématique aiguë (une observ.), dans la folie catato- nique syst
et péricellulaires de l'écorce du cerveau rencontrés dans le délire aigu . Conformément aux indications de Herz, il a tro
tion. Section de médecine interne M. Struempell. De l'encéphalite aiguë des enfants (poliencéphalite aiguë, paralysie i
M. Struempell. De l'encéphalite aiguë des enfants (poliencéphalite aiguë , paralysie infantile c'6('f(t). Cette affection,
me en couches, ou encore pendant le cours ou à la fin d'une maladie aiguë , comme la fièvre typhoïde, le rhumatisme, etc.
e et la réalisation de l'aliénation. mentale. Si certaines maladies aiguës , le rhumatisme, la pneumonie, la fièvre typhoïd
hogénie. Si depuis quelque temps, on fait jouer à quelques maladies aiguës un rôle important dans l'étiologie de certains
l'aliénation mentale. Ces fièvres donnent lieu d'abord à un délire aigu , à la phrénésie; puis les symptômes aigus dispa
lieu d'abord à un délire aigu, à la phrénésie; puis les symptômes aigus disparaissent, le délire continue et on se trouve
ement la fièvre saisonnière comme cause de folie, mais les maladies aiguës en général, on ne tarde pas à voir que notre ha
termittente, la pneumonie, etc., etc., sont tout autant de maladies aiguës dont l'influence étiolo- gique en aliénation me
nature, dans beaucoup d'autres, il n'en est pas ainsi. Ces maladies aiguës de nature si différente peu- vent en effet donn
i en est la cause, les troubles psychiques consécutifs aux maladies aiguës revêtent un ensemble de caractères qui permette
mes, ce n'est pas seulement par leur nature même que les maladies aiguës donnent lieu à l'aliénation mentale, mais encor
, d'autre part, on se souvient que pendant le cours d'une maladie aiguë , pendant le cours d'un rhumatisme, par exemple,
ut pris vers le milieu du mois de septembre 1863, d'un rhumatisme aigu qui occupa les genoux, puis les pieds et les épau
semaines. Il avait été admis pour cette 1 Ch Fernet. Du. rhumatisme aigu et de ses diverses manifestations, Th. Paris, 1
ogressive, la sclérose latérale amyotrophique, la paralysie spinale aiguë de l'enfant et de l'adulte, etc. Chemin faisa
ainsi qu'il suit : En décembre il eut une violente attaque de manie aiguë avec hallucinations de l'ouie et de la vue, due
trente-cinq minutes à DE L'ÉPILEPSIE AVEC LE RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU . 219 peu près et revenaient sept et huit fois c
leurs diamètres res- DE I.'ÉPILEPSIE AVEC LE RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU . 221 pectifs '. Ses paupières se gonflent à cer
nuit que la journée, DE 1,'ÉPILEPSIE AVEC LE RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU . 223 circonstance favorable à la malade, notre
us nous rappelons que la première attaque de rhumatisme articulaire aigu , pour laquelle la scarlatine, survenue vingt- d
z les nerveux et dans DE L'ÉPILEPSIE AVEC LE RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU . 225 leur famille le rhumatisme, la dartre et p
226 RECUEIL DE FAITS. DE L'ÉPILEPSIE AVEC LE RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU . 227 sente un cas type dans lequel trois périod
e : contractures par- DE L'ÉPILEPSIE AVEC LE RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU . 229 ticulières à cette période. A droite, pas
croissent dans le poi- DE 1/HYSTÉRIE AVEC LU RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU . 231 gnet pour s'exaspérer d'une manière équiva
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 233 rhumatisme articulaire presque toujours aigu , dans ces cas-là, en remarquant qu'elle est plu
ormaux devenus, à la suite soit d'un traumatisme ou d'une affection aiguë , comparables aux héréditaires propres. C'est là
ÉTÉS SAVANTES. M. Sébastian donne le compte rendu d'un cas de folie aiguë mortelle accompagnée de convulsions localisées.
les trois observations de L. Meyer, décrites sous le nom d'hystérie aiguë mortelle ; tout diagnostic exact est du reste i
se. Rien d'anormal. M. Jastrowitz. Celui qui a vu évoluer un délire aigu véritable, correct, dans la plénitude de son in
ic inscrit. Sinon il faudrait ranger sous la dénomination de délire aigu toute perturbation psychique, se traduisant no-
Sans doute cette obser- vation se rapproche de l'hystérie mortelle aiguë de L. lleyer, mais le nom est encore mal choisi
ELER a observé, dans le vieil asile de la ville, deux cas de délire aigu chez la femme. dans le cas de Lévy, constaté l'
. Fiordispini et Solfanelli ont appelé l'attention dans- le- délire aigu sur les sueurs profuses visqueuses empestantes.
servations de toutes nuances. Le cas de Lévy rappelle non un délire aigu , mais une maladie infectieuse. 11. lIasmt : S.w
; c) ceux dont on peut rattacher la cause à un état d'irri- tatioit aigu , généralement inflammatoire (névrotique), des ner
emples des affec- tions que vise le § c (dystrophies par irritation aiguë ), dans l'her- pès zoster et certains autres exa
à l'asile un traitement de plusieurs années, et les délires à forme aiguë jettent le désarroi et devien- nent dangereux.
ction. Depuis plusieurs années de dyspnée violente, à marche tantôt aiguë , tantôt chronique, atteignant parfois une intensi
'auteur anglais constata, dans l'espèce, deux fois de la mélancolie aiguë , quatre fois une psychose dégénérative chroniqu
e la pneumonie. Wille et Schuele ont vu se développer des psychoses aiguës et chroniques dans le cours ou à la suite de la
1lLYElàlt.l\Y (de Râle). Sur la po<t0<)tt/( ! <e antérieure aiguë et la paralysie de Landry, Un jeune homme de vi
lines. Conclusion. Il existe une forme de poliomyélite antérieure aiguë qui emprunte le tableau symptomatique de la paral
i prouve que la paralysie de Landry et la polio- myélite antérieure aiguë repiésenlent simplement divers degrés d'une uni
s « de démences; un établissement destiné au traitement des cas « aigus ne saurait naturellement fournir les matériaux co
e produire des accès de manie transitoire dans le cours de maladies aiguës (fièvre typhoide, scarlatine, 312 SOCIETES SAVA
emment dans certaines psychosesprimitives, ainsi dans les psychoses aiguës consécutives à des fatigues corporelles ou psyc
diagnostic différentiel entre le délire et les étals d'agi- tation aigus d'un autre genre dûs à l'ébriété ou à l'épilepsie
désigne en Alle- magne sous le nom de folie systématique alcoolique aiguë , mais il existe aussi d'autres formes se rattac
névrose proprement dite des buveurs (delirium tremens),et un délire aigu des buveurs qui survient de un à deux jours apr
pour l'année 1887 est : Influence de l'alcoolisme siii les maladies aiguës . Société d'anthropologie. Prix l3cr(illorz : M.
vait évolué clinique- ment sous la forme d'une paralysie ascendante aiguë '. Toutefois, la névrite segmentaire péri-axile
lle s'alite. Les douleurs dans la région épigastrique sont des plus aiguës , l'alimentation devient presque impossible, et
ature vectale). Le 16 juin, lematin, surexcitation maniaque, crises aiguës , ré- pétées, subintrantes, avec température de
« réelle valeur pratique. » R. M. C. XV. UN CAS ATTRIBUÉ A LA MANIE AIGUË , TERMINÉ PAR LA MORT APRÈS une série d'attaques
adie, on n'avait constaté d'autres symp- tOmes que ceux de la manie aiguë , en sorte que c'est à peine si l'on avait pensé
oindres qu'ils ne l'eussent été s'il se fût agi d'un accès de manie aiguë terminé promptement par la mort. R. M. C. XVI.
ologie DE certains cas DE « 21EL : INCFIOL1.1ATT0NITAu » ou démence aiguë ; par J. V1GLESWOILTII. (Tiee JULlrJ2C11 Of llle72
us nombreux, en étudiant d'autre part avec soin deux cas de démence aiguë qui se sont terminés par la mort, et dont il re
ent sous le nom de mélancolie, de mélanchoha atluuita », de démence aiguë , il convient de distraire un groupe qui constitue
eur exprime la pensée que le groupe de la mélancolie, de la démence aiguë est un groupe peu homogène, dans lequel on a fa
llures, soit de la mélancolie, soit, plus fréquemment de la ma- nie aiguë ; celle-ci, en pareil cas, se rapproche souvent pa
eut exceptionnellement présenter une 458 BIBLIOGRAPHIE. évolution aiguë ; on peut dire dans ces cas qu'on a affaire à une
lution aiguë; on peut dire dans ces cas qu'on a affaire à une forme aiguë de la sclérose en plaques. Enfin, il existe une
Neftel, 439. Elongation nerveuse, hématomyélie, 76. Encéphalite aiguë des enfants, par Struempell, 112. Epidémie hy
du facial), 441. Faisceaux grêles et cunéiformes, 234. Folie aiguë mortelle accompagnée de convulsions localisées,
(est-elle une forme morbide autonome ? ), par Tilling, 86. Manie aiguë , 429. Médication par le rectum, 427. llelauch
lis, 301,. - Personnalité multiple, 119. l'oliomyelite antérieure aiguë et paralysie de Landry, par Immer- mann, 30.
é- nomènes tendineux-, par Bernai;, 423. Rhumatisme articulaire aigu , ses relations avec l'hystérie et l'épi- leps
12 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s des polynévrites. A. Fenayrou. Il. Un cas de paralysie ascendante aiguë ; par MM. Roger et JosuL. {Presse médicale, 27
llet 1898.) Observation d'un malade atteint de paralysie ascendante aiguë . à l'autopsie duquel des lésions très notables
e soit signalé comme l'agent pathogène de la paralysie ascendante aiguë . Elle temps à confirmer l'opinion généralement ad
mme démente paralytique à la troisième période, un chez un maniaque aigu et deux chez des affaiblis. Chez tous ces mala-
ableau précis du vertige, montrant la diffé- rence entre le vertige aigu et le vertige chronique et abordant la question
tervention que s'il s'agit d'un bouchon du cérumen ou d'une maladie aiguë de la caisse, l'iuterveu- tion locale qu'elle q
avec la moelle participé au processus. Puis viennent les myélites aiguës et les myélites chroniques d'emblée, parmi lesque
des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale dans un cas de délire aigu et dans un cas de delirium tremens ; par le D''
gique ayant donné naissance à la psychose. Dans le cas de délire aigu se rencontre, dans les cellules nerveuses de l'éc
à dire que les altérations cellu- laires constatées dans le délire aigu et le delirium tremens soient caractéristiques
par le Dr Tomlinson. En 1896, le D1' Babcock, dans un cas de délire aigu , trouva des streptocoques et des pneumocoques d
udes microscopiques sur les modifications de l'écorce dans la folie aiguë , en relation avec les conditions pathologiques
ie de l'orga- nisme, et leur existence au cours d'un trouble mental aigu n'a avec ce trouble mental qu'un rapport d'asso
le liquide cérébro-spinal et l'écorce ont porté sur 2 cas de délire aigu , 1 cas de stupeur aiguë, 4 cas de paralysie gén
et l'écorce ont porté sur 2 cas de délire aigu, 1 cas de stupeur aiguë , 4 cas de paralysie générale, si cas de folie séu
ie séuile et 31 cas de démence terminale. Dans un des cas de délire aigu on trouva des streptocoques; dans l'autre cas d
délire aigu on trouva des streptocoques; dans l'autre cas de délire aigu et dans la stu- peur aiguë, il y avait des coli
streptocoques; dans l'autre cas de délire aigu et dans la stu- peur aiguë , il y avait des colibacilles. Dans aucun des quat
n est mort à G h. 1/4. Avant la mort, il a lancé quelques cris très aigus . Le coeur continue à battre encore quelques sec
ché de l'épilepsie, dont on a dit même qu'elle était de l'épilepsie aiguë (Vogel, Jacquemier s) ; voilà donc une affectio
à la première période des troubles du tact, n'auront ni une marche aiguë ni une longue évolution de leur maladie; il sem
d'injections intra-cramennes anti-toxiques. A. Marie. XI. Délire aigu ; par le D1' H.-R. CosTON. (Médical ivews, octo
1898.) L'auteur rapporte trois observations personnelles de délire aigu . Deux de ses malades moururent : l'une au bout
la constipation et de la rétention d'urine. Le diagnostic du délire aigu est à faire avec la fièvre typhoïde qui s'en di
ement rapide, d'élévation de température, etc.; enfin avec la manie aiguë qui se reconnaît à la moins grande gravité des
n, avec ses caractères particuliers est examinée au cours du délire aigu , de la manie, du délire hal- lucinatoire aigu,
ée au cours du délire aigu, de la manie, du délire hal- lucinatoire aigu , de la mélancolie, de la folie intermittente, de
es en trois épidémies, affecta la forme de névrites péri- phériques aigus avec myosites, oedèmes, paralysies et rétractions
ns , deux mois environ après une atteinte de rhumatisme articulaire aigu . La maladie a présenté, dans sa symptomatologie
poser que la maladie était due au germe du rhu- matisme articulaire aigu . A. Fenvyrou. XL. Trois cas de névralgie du tri
introduire les installations coûteuses d'un lleilanstalt ou asile d' aigus , et l'on donnera ainsi des lits vacants aux aut
ades difficiles et susceptibles d'amé- lioration. Dans un asile d' aigus , le lit coûte près de 5.000 francs; dans le nou
le l'un de l'autre. En 1896 a été construit un hôpital pour les cas aigus , médicaux et chirurgicaux. Cet hôpital contient
le irrégulière, par à coups et saccades, zézaiement ; voix de tête, aiguë . Rire facile. Maladresse dans les petits mouvemen
part à la discussion. III. Vu. Mourawieff. Un cas de désagrégation aiguë de la ntyé- line dans le système nerveux centra
et des cordons postérieurs. L'auteur explique cette désagrégation aiguë de la myéline par une auto-intoxication, par suit
s analogies et les différences des idées religieuses dans les états aigus , maniaques ou mélancoliques. Quant à la manie c
e. confusion mentale simple ou asthénique; 2° une confusion mentale aiguë et subaiguë; 3° une confusion mentale avec stup
ë et subaiguë; 3° une confusion mentale avec stupeur ou stupidité aiguë ; 4° une confusion mentale suraiguë, méningitique,
aiguë; 4° une confusion mentale suraiguë, méningitique, ou délire aigu , typhomanie; 5° enfin, si l'on veut, une con- f
ation. Il semble néanmoins, que les confusions mentales du délire aigu se rencontrent plus souvent dans les auto-intoxic
squ'aux psychoses subai- guës, stupides, démentes, jusqu'au, délire aigu et à la pseudo-paralysie générale. C'est absolu
tous les étals de confusion mentale, même quand ceux-ci sont trop aigus pour le laisser apparaître, comme le délire aigu
ceux-ci sont trop aigus pour le laisser apparaître, comme le délire aigu et la stupeur et que, par conséquent, le délire
52 les règles du traitement moral des malades atteints de stupidité aiguë , au moment où ils sortent un peu de leur confus
ses asthéniques : confu- sion mentale, délire de collapsus, démence aiguë . Le délire de collapsus est un état de confusio
rhee, variation de l'émotion et excitation motrice vive. La démence aiguë est caractérisée par la paralysie profonde et r
vec perversion par illusion ou hallucination de la perception, état aigu développé par suite de l'atteinte portée par un
ur les remplacer par ceux de confusion mentale, amentia, paranoïa aiguë , qui désignent des états analogues. Nous avons
rné l'année précédente. En apparence, il avait été atteint de manie aiguë , avec in- cohérence et agitation désordonnée ;
ratrices de la psychose ont passé inaperçues, ou certains délirants aigus des hôpitaux que leur agitation n'a LES PSYCH
j'en suis à me demander à l'heure actuelle si la confusion mentale aiguë du début ne tourne pas chez la malade, à la mél
avons essayé une fois, chez un malade atteint de confusion mentale aiguë prolongée, le séjour au lit systé- atcttq2ce pr
itement de la confusion mentale. Lorsque les périodes d'agitation aiguë sont passées et que surviennent celles d'asthén
ll signale l'origine micro-organique de la polio-myélite antérieure aiguë . Dr A. Marie. XXML Porencéphalie occipitale s
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXVII. Sur un cas de paralysie ascendante aiguë sans lésion histolo- gique des nerfs et de la m
au cours de sa convalescence, fut pris d'une paralysie ascendante aiguë . L'affection commença par les membres inférieurs,
rouvé à l'examen histologique la coexistence d'une myélite centrale aiguë et de l'atrophie des cornes anté- rieures avec
ut de la maladie se présente sous deux formes dis- tinctes ; il est aigu avec léger mouvement fébrile ou chronique d'emb
onjonctif de l'appareil locomoteur; 12° elle progresse par poussées aiguës entrecoupées de pousses apparentes plus ou moin
é par l'irritation d'une lésion nasale (polype) et par l'alcoolisme aigu , qui est immédiatement suivi de la généra- lisa
ait confirme l'efficacité delà suggestion dans les cas d'alcoolisme aigu ou chronique ; il met en outre en lumière l'uti
SCENCE MENTALE. ÉTAT N1 : VROPATÜIQUE. 343 affection habituellement aiguë , consécutive à l'action d'une cause ordinaireme
reî-ivii-iilieit). Kreepelin2 range celle affection parmi les états aigus d'épui- sement, à la suite de Collapsdelirium,
la suite de Collapsdelirium, de la Folie asthénique, de la Démence aiguë . Le tableau clinique que trace Krcepe- lin de c
s que d'autres auteurs ont décrites sous le nom de démence primaire aiguë (Westphal), de confusion hallucinatoire (Mendel
e de Meynert et de Schlaugenhausen, le premier groupe de la folie aiguë partielle de Kretz, les délires d'épuisement de
LE. ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 348 Schûle 1, s'il fait rentrer la Wahnsinn aiguë sensorielle dans les psychoses de l'individu co
ent, on devra, bien entendu, puisqu'on a affaire ici à une psychose aiguë , instituer le traitement au lit en toute libert
l qu'on le pratique dans le service de l'Admission, pour les formes aiguës et subaiguës de la folie, calmer l'éréthisme du
ce résultat. C'est en effet une règle générale de voir les maniaques aigus traités au lit conserver un embonpoint qu'on n'
nnue : « Une paralysie grave, plus ou moins géné- ralisée, à marche aiguë ou subaiguë, accompagnée de douleurs spontanées
grandeur, tout en conser- vant un fonds mélancolique avec paroxysme aigu rappelant la lypémanie du début. Ce cas montr
n qui surviennent au début d'une para- noïa le plus souvent à forme aiguë . Mais on observe aussi des délires systématisés
sés secon- daires, consécutivement à la confusion mentale primitive aiguë , et qui sont susceptibles d'un traitement effic
t être abandonnée. Avions-nous affaire à la poliomyélite antérieure aiguë ? Cette affection se développe souvent à la sui
it pas pour faire notre diagnostic entre la poliomyélite antérieure aiguë .et la névrite, 394 SOCIÉTÉS SAVANTES. car a
ù seraient retenus, pour les besoins de l'enseignement, les malades aigus et, parmi les chroniques, ceux qui seraient jus
délire systématisé secondaire, consécutif à une phase de mélancolie aiguë . D'autre part certains auto-accusateurs, plus o
classés à juste titre parmi les délirants systématiques primitifs, aigus ou chroniques. Il est à remarquer que, dans les
(anxiété, halluci- nations, sitiophobie, suicide) à titre d'épisode aigu et tran- sitoire, au cours d'un délire systémat
on peut distinguer : 1° des cas à évolution chro- nique; 2° des cas aigus revêtant la forme de délires d'emblée plus ou m
d'auto-accusa- tion ne peut être rapporté à la mélancolie délirante aiguë . Il ne peut même pas être considéré comme une f
ment. 444 PATHOLOGIE MENTALE. II. Passons maintenant aux cas aigus . Si nous nous bornions à énumérer les différent
rouverions à peu près tous ceux que l'on observe dans la mélancolie aiguë délirante. Aussi nous semble-t-il préférable de
ous n'insisterons pas; nous dirons seulement que, même dans les cas aigus , on s'aperçoit 'encore souvent que DÉLIRE SYS
e est un peu différent et ressemble à celui d'un délire systématisé aigu hallucinatoire. Le début est toujours subit,
rapprochent au contraire très nettement îles délires systéma- tisés aigus forme de bouffées délirantes. Il est d'ailleurs
t au bout de quelques jours. Mais il est à remarquer que ces formes aiguës du délire systématisé d'auto-accusation, qu'il
mble de symptômes pathologiques très particuliers : les uns à forme aiguë , les autres plus ou moins graves à forme chroni
malades. Alitement (traitement par le repos au lit) dans les formes aiguës et sub-aiguës de l'alcoolisme. M. Magnan. Le
cache, cherche à mordre dès qu'on veut le saisir et pousse des cris aigus à la moindre menace. Cette disposition craint
olisme, ses avantages n'en sont pas moindres dans toutes les formes aiguës ou sub-aiguës de la folie et nous pensons en term
ire se réveille dans la réalité des faits devient dans l'alcoolisme aigu et sub-aigu, le plus puissant agent thérapeutique
le 20 juillet t898 à 1'llôtel- Dieu pour une tuberculose pulmonaire aiguë , offrant le type de la grauulie à type clinique
asphyxie quatre jours après le début de cette paralysie ascendante aiguë . Autopsie. - Congestion des poumons, des reins,
névrogliques, et Lugaro est de son avis. Sur un cas d'hydrocéphalie aiguë ; par ENGELHARDT. Journée du samedi 8 avril. E
traitement de l ? par Flavianos, 416. Alite- ment dans les formes aiguës de 1' ,par Magnan,489. Les effets de e 513.
e, 337. Di'générescencc et neurasthénie, par Bidon, 399. Délire aigu , par Coston, 213. Modi- liuatiun Hescrllules ne
ksonnienne, par Bouchaud, ? 9. Myéline. Un cas de désagrégation aiguë de la- dans le système ner- veux central et pér
la bandelette, par Maheim, 474. Parmasie. Un cas de ascendante aiguë , par Roger et Josué, 58. du voile du palais et
oli,mie dans un cas de- saturnine, 66. Sur un cas de - aseendante aiguë sans lésion histologique des neifs et de la m
13 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
le la lésion des cellules nerveuses s'o-père non plus suivant le mode aigu , mais bien suivant le mode chronique progressif.
es éléments nerveux ; le processus morbide affecte là une marche plus aiguë que dans le cas de la névrite optique tabétique ;
die, et qui rentrent anatomiquement dans la description de l'arthrite aiguë ou subaiguë. C. Mais, pour ne parler que de ce
ropathies : 1° dans la paraplégie du mal de Pott ; 2° dans la myélite aiguë ; 3° dans certains cas de tumeurs occupant primit
uemment, comme phénomène conco- là une affection articulaire à type aigu , apparaissant constam-ment quelques jours seuleme
l'état chronique, le représentant des affections articulaires à type aigu qui éclatent à la suite des lésions spinales aigu
articulaires à type aigu qui éclatent à la suite des lésions spinales aiguës ou subaiguës. mitant de l'arthropathie, nouvell
La sensibilité n'est, dans la règle, en rien modifiée. Une myélite aiguë , partielle, de même siège, produirait à peu de ch
ux. Dans un groupe, l'affection évolue anatomiquement suivant le mode aigu ou même suraigu. Dans l'autre, elle prend dans sa
qu'il soit, offre déjà un champ d'étude assez vaste, car les lésions aiguës de la moelle épinière qui peuvent entraîner le dé
laire, sont nombreuses. Nous citerons, à titre d'exemple, la myé-lite aiguë centrale, c'est-à-dire localisée principalement d
, constitue, en conséquence, dans le groupe des amyotrophies spinales aiguës , un type remarquable et qu'il convient de considé
tefois qu'on trouverait là les caractères histologiques de la myélite aiguë avec multiplication des myélocytes et des noyaux
e spinale infantile. — Amyotrophies consécutives aux lésions spinales aiguës diffuses. Sommaire. — Paralysie spinale de l'ad
personnels. — Analogies étroites qui rapprochent la paralysie spinale aiguë de l'adulte et celle de l'enfant. —Modifications
les résultats précédemment exposés. Un mot sur les lésions spinales aiguës qui ne sont pas, comme dans la paralysie infantil
ment limitées aux cornes antérieures de la substance grise. — Myélite aiguë centrale généralisée, hémato-myélie, myé-lites tr
centrale généralisée, hémato-myélie, myé-lites traumaliques, myélites aiguës partielles. — Conditions dans lesquelles ce3 affe
ulogne) a reconnu l'existence, chez l'adulte, d'une parahjsie spinale aiguë , comparable à celle de l'enfant Le Dr Moritz Meye
de la SalpêLrière, M. Petit/ils, travail ayant pour titre : Atrophie aiguë des cellules nerveuses. (J.-M. C.) et 15 ans 1/
s-sieurs, à mettre en évidence que certains cas de paralysie spi-nale aiguë , observés chez l'adulte, sont, au point de vue cl
aisemblable que, à l'exemple de ce qui a lieu parfois dans la myélite aiguë centrale vulgaire, les altérations de la moelle é
contraire, en outre de l'appui que lui prête l'histoire de la myélite aiguë centrale vulgaire, compte encore, en sa faveur, l
cessus irritatif et il se produirait là une téphromy élite antérieure aiguë parenchymateuse 1. Le processus se communiquerait
à séparer nettement cette affection des diverses formes de la myélite aiguë diffuse ; elle est phy-siologiquement en rapport
sées sont fondées, il doit s'en suivre que toute lésion inflammatoire aiguë de la moelle épinière, quelle que soit d'ailleurs
resse, mise en relief tant de fois déjà, savoir: la lésion atrophique aiguë des cellu-les nerveuses motrices. D'un autre côté
ire, se rencontrer à des degrés divers, dans toutes les autres formes aiguës d'affection spinale, parce que toutes elles recon
dulte, et en même temps les plus graves. Je veux parler de la myélite aiguë centrale généralisée 1. La lésion se traduit ici,
ent subir les muscles des membres pa-ralysés dans la myélite centrale aiguë se trouvent signalées déjà par Rokitansky. 'Lehrb
2 Voyez les observations de M. Gharcot sur l'histologie de la myélite aiguë (Arçh. de pkysiolog., 1872, janv.-fév.), et celle
plusieurs leur sont communs. D'autres n'appartiennent qu'à la myélite aiguë diffuse. Les symptômes communs sont: la paralysie
lysie infantile, sont, au contraire, un fait vulgaire dans la myélite aiguë gé-néralisée. On sait qu'elles s'y produisent sou
effet, pour ainsi dire sur tous les points, avec celle de la myélite aiguë généralisée ; ainsi, pour ne parler que de la con
ablir, ne serait d'ailleurs qu'une sorte d'épiphénomène de la myélite aiguë centrfde. Il paraît certain que, à peu près toujo
instrument tranchant, peuvent, elles aussi, détermi-ner l'amyolrophie aiguë avec tous ses accompagnements, en un mot, la form
cas de traumatisme, sont, à l'origine du moins, celles de la myélite aiguë transverse, c'est-à-dire qu'il s'agit de lésions
reconnue nettement à l'examen de pièces provenant d'un cas de myélite aiguë transverse sur lequel je reviendrai. Elle seule p
rminer dans les membres inférieurs paralysés du mouvement, l'atrophie aiguë des mus-cles, et en un mot tous les phénomènes, q
lyse physiologique de la paralysie infantile, relè-vent de l'atrophie aiguë des cellules nerveuses motrices. 1 Charcot. — L
production de ce que nous avons vu à propos des amyotrophies spinales aiguës ; seulement la lésion spinale, dans les cas qui v
, dans les cas qui vont nous occuper, évolue non plus suivant le mode aigu , mais au contraire suivant le mode subaigu chroni
ez sans doute, Messieurs, que, dans l'étude des amyotrophies spinales aiguës , nous avons pris pour objet un type régulier, la
consi-dérablement avec ce que nous savons des amyotrophies spina-les aiguës où, dès les premiers temps et avant même que le v
érie des amyotrophies spinales, place in-termédiaire entre les formes aiguës et les formes chroniques, mais l'anatomie patholo
e développe rapide^ ment, si la lésion spinale évolue suivant le mode aigu (para-lysie spinale infantile) ou au contraire d'
ons vertigineu-ses permanentes ; — crises annoncées par un sifflement aigu . — Hallucina-tions motrices. — Traitement par le
nue prochaine de l'accès vertigineux. Dès qu'il acquiert ce caractère aigu , « les culbutes » sont immi-nentes. L'apparitio
ans, les bourdonnements prémonitoires firent place à des sifflements aigus et en même temps les nausées et les vomissements
-jours annoncés et immédiatement précédés par la sensation d'un bruit aigu , perçant, qui survient tout à coup et qui, chez G
ent en pareil cas. Interrogée, elle nous apprit que les sifflements aigus avaient, vers la même époque, diminué d'abord d'i
ndai s'il ne surve-nait pas, quelquefois, dans les oreilles, un bruit aigu plus ou moins analogue à celui d'un sifflet. Le m
rois mois. Peu après se déclara une affection bronchique qui, d'abord aiguë , ne tarda pas à s'établir d'une façon à peu près
es altérations seront retrouvées dans un bon nombre de cas de myélite aiguë ou subaiguë, où elles jouent sans aucun doute un
sée sur certains points, comme cela a lieu d'habitude dans la myélite aiguë . Quoi qu'il en soit, l'altéra- 1 Beitrûge zur p
paraît être, on le voit, avec quelques varian-tes, commune aux formes aiguës , subaiguës et chroniques pri-mitives de l'inflamm
, et, plus explicitement, de leur cylindre d'axe, est dans la myélite aiguë ou subaiguë, tan lot le fait initial, primordial
Il y aurait lieu, par consé-quent, d'appliquer aux myélites à marche aiguë ou subaiguë la distinction fondamentale proposée
dans une étude d'ensemble sur l'histologie pathologique de la myélite aiguë : mais je ne voudrais pas terminer cette note san
spinale infantile. — amyotrophies consécuti-ves aux lésions spinales aiguës diffuses. Sommaire. — Paralysie spinale de l'ad
personnels. — Analogies étroites qui rapprochent la paralysie spinale aiguë de l'adulte et celle de l'enfant. — Modifications
les résultats précédemment exposés. Un mot sur les lésions spinales aiguës qui ne sont pas, comme dans la paralysie infantil
ment limitées aux cornes antérieures de la substance grise. — Myélite aiguë centrale généralisée, hématomyélie, myélites trau
ë centrale généralisée, hématomyélie, myélites traumatiques, myélites aiguës partielles. — Conditions dans lesquel-les ces aff
ons vertigineu-ses permanentes ; — crises annoncées par un sifflement aigu . — Hallucina-tions motrices. — Traitement par le
oureuse, US. — Dans l'hémiparaplégie spi-nale, 132. — Dans la myélite aiguë centrale, 209. — Dans la pachymé-ningite, £76.
raplégie, 139. — Dans Y hé-miplégie cérébrale, 269. — Dans la myélite aiguë centrale, 215. — Dans la pachy méningite, 215. —
9 '. — Dans Y atrophie musculaire protopathique, 220. Dans la myélite aiguë centrale, 209. — Dans la paralysie générale spina
atomiquedes muscles, de la moelle, 477. — Saturnine, 291. — Spinale aiguë de l'adulte, 188. — Spinale aiguë de l'enfance,
77. — Saturnine, 291. — Spinale aiguë de l'adulte, 188. — Spinale aiguë de l'enfance, 9, 76, 168, 199. — Modes d'invasion
hropathies, 67 ; — Hémiparaplé-gie spinale, 13»; — Paralysie spi-nale aiguë de l'adulte, 192 ; — P. glosso-laryngée, 455, 465
ë de l'adulte, 192 ; — P. glosso-laryngée, 455, 465. Téphro-myélite aiguë parenchyma-teuse, 206 ; — Chronique, 227. Toux
— dans la compression de la moelle, 127. — Dans la paralysie spinale aiguë , dans la myélite aiguë, 209. — Dans les paraplégi
de la moelle, 127. — Dans la paralysie spinale aiguë, dans la myélite aiguë , 209. — Dans les paraplégies urinaircs, 32o. Vo
14 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
daire, la démenée de la puberté peut aussi être coupée de crises aiguës , qui, si l'on n'a pas observé les premiers symptô
les premiers symptômes, peu- vent causer l'illusion d'une psychose aiguë , à caractère mélanco- lique, maniaque, ament ou
émence primaire de la puberté. Dans ces cas, avec début d'apparence aiguë , l'affection est inconstante, semble peu sérieu
in d'être vérifiée. A. Fenayrou. XXIII. Observation d'encéphalite aiguë primitive IIÉIfORRHAGIQUE; par Brie. (Neurolog.
elle ; la malade meurt le soir même avec des accidents d'as- phyxie aiguë . A l'autopsie, on constate que la mort ne peut
ttribuée à une faute opéraloii-e : elle semble due à une congestion aiguë du pou- mon peut-être aggravée el favorisée par
s la réalisation de la paralysie géné- rale. Quant aux infections aiguës , incapables de créer de toutes pièces la paraly
r- ron. En résumé, le malade de M. Charron était atteint de manie aiguë très violente. Une fièvre typhoïde à furme ady-
ésa- niques. l\Ime Br..., vingtans. Entrée le 26 juin 1896. Manie aiguë , suite de couches ; loquacité exagérée, insomni
des autour des vaisseaux et dans le tissu ambiant ; une encéphalite aiguë avec nombreuses petites hémorrhagies. Cette enc
s, fut pris, à la suite d'une vive contrariété, d'un accès de manie aiguë au cours duquel il tira plusieurs coups de feu
éningite cervicale hypertrophique avec la polio- myélite antérieure aiguë avec une monoplégie brachiale corticale - avec
aidés des précautions d'hygiène propres à combattre la dénutrition aiguë de ces malades.. 'D A. MARIE. XXIX. Traitement
e : De 1'(ili- tentent (repos au lit) dans le tiaitement des formes aiguës de la folie et des modifications qu'il pourrait
foroff), à une myélite transverse (Cramer '), à une méningo-myélite aiguë (Schulz), etc. , Le diagnostic était aussi hé
ents et suicide, confusion mentale, délire halluci- natoire, délire aigu , délire de persécution, démence, paralysie géné
col avec colpopé- rinéorraphie; quatre jours après, accès de manie aiguë et mort au bout de douze jours sans que l'agita
opératoires sont excellentes, est prise le 'sixième jour de délire aigu auquel elle succombe le onzième. Une femme de s
i par l'âge et .ayant subi auparavant deux interventions pour manie aiguë , el de l'autre d'une femme hystérique. Enfin, l
forme de simples bouffées délirantes, à type de délire systématisé aigu hallucinatoire. Dans ces cas aigus, les récidiv
tes, à type de délire systématisé aigu hallucinatoire. Dans ces cas aigus , les récidives sont fréquentes, souvent sous la
actères purement inflammatoires. Dans les affections inflammatoires aiguës : encpphalo-myétites, polio-encéphalites divers
l'artérite fémorale. Est-ce qu'un des symptômes de la forme sub- aiguë de cette artérite ne consiste pas précisément en
icale hypertrophique se déclare toujours parunepériodeplus ou moins aiguë , caractérisée par de fortes douleurs dans la ré
. Parésie transitoire ET récurrente dans LE ramollissement cérébral aigu ; par 0. itLICIiENZIE. (Brit. med. Journal, janvi
la première question, l'auteur admet qu'en dehors de certains états aigus caractétisés par de la confusion, de l'incohé-
prédis- posés les rêves peuvent également donner lieu à des formes aiguës et même aussi à la folie systématisée. La conna
eviennent, périodiquement, des crises de palpitations et d'angoisse aiguë , qui ne sont que la reproduction de l'attaque i
, août 1884, à l'asile de Breuty (Charente), comme atteint de manie aiguë , avec exacerbation tous les quinze été affirmé,
ensation de cons- triction dans les jambes; depuis un mois douleurs aiguës dans le bassin et dans les cuisses à propos des
t du 16 au 17 avril. Le diagnostic intra vitam fut celui de myélite aiguë ascendante. A l'autopsie, on trouve à l'intérie
ique. - De l'alitement (repos au lit) dans le traitement des formes aiguës de la folie et des modifications qu'il pourrait
qui survient après abstinence chez un alcoolique en état de maladie aiguë diffère du véri- table délire alcoolique et il
ans notre seconde observation, nous avons affaire à un cas de folie aiguë éclos au cours d'une crise hépatique provo- qué
chose préexistante disparaître et guérir au cours d'une mala- die aiguë , la fièvre typhoïde par exemple. Action dérivativ
ent une altération assez banale qu'on rencontre dans les myé- lites aiguës , les anémies expérimentales, et qui peut même rés
s centraux et périphériques simultanés. A. Marie. CVI. Alcoolisme aigu MORTEL chez un enfant (Fatal acute alcoho, lism
terminé par la mort. C'est donc bien à 'une intoxication alcoolique aiguë qu'il faut attribuer les accidents présentés pa
avec la paranoïa chronique simple, avec la paranoïa hallucinatoire aiguë , avec la neurasthénie, avec la démence sénile.
ormation granuleuse, mais aussi l'atrophie POUSSÉES d'encéphalite aiguë . 437 simple et très rarement la sclérose de ces
ux formes de foyer précédentes, nous avons poussées d'encéphalite aiguë . * 439 intentionnellement omis de parler de que
maintenant les altérations diffuses de la POUSSÉES d'encéphalite aiguë . 441 J substance cérébrale des circonvolutions
'une inflammation peut présenter, depuis la poussée in- flammatoire aiguë jusqu'à la sclérose secondaire bien carac- téri
le ramollissement cérébral, Paris, t86(i) poussées d'encéphalite aiguë . -H3 moins très obscure. On admettait bien que
von Ziegler und Nanwerck, Il, lena, 1887. POUSSÉES d'encéphalite aiguë . 445 nécrosé du tissu normal. Mais c'est vers l
long et très intéressant travail, parle le premier de l'encéphalite aiguë spontanée et non suppurée. Mais tandis qu'on po
travail va plus loin : il essaie d'établir une forme d'inflammation aiguë pour le cerveau, dans l'ancien sens de Virchow.
rtée en anatomie pathologique générale de la forme d'inflammation aiguë qu'il admet, cela n'entre pas dans le cadre de no
arrangement de ces cellules est type pavi- poussées d'encéphalite aiguë . 447 menteux quelquefois'. Peu ou pas de substa
ut. Comme évolution, Friedmann dit que ces foyers d'encé- phalite aiguë ne suppurent jamais; les cellules épithélioïdes
rès Friedmann serait l'expression du plus haut degré d'inflammation aiguë , n'avait jamais provoqué d'autres symptômes que
trtimpell3 en 1890, que commence l'étude régulière de l'encéphalite aiguë spontanée. Le premier décrit ce qu'il nomme la
quelquefois le troisième ventricule. Strümpell décrit l'encéphalite aiguë hémorragique qu'il pré- sente comme une forme i
ningite cérébro-spinale et l'influenza d'un côté et l'en- céphalite aiguë hémorragique de l'autre. Oppenheim2 s'oc- cupe
rencontre dans ces deux prétendues différentes formes d'encéphalite aiguë nous conduirait plus sûrement à leur identifica
elt', 11'eurolo. Cenlralblall, 1897, n° 3. POUSSÉES d'encéphalite AIGUË . 449 sont les hémorragies capillaires ou autres
crit de simples ramollissements hémorragiques pour de l'encéphalite aiguë en foyer. Cette confusion est surtout possible
endant que Friedmann{- attribue dans l'histogenèse de l'encéphalite aiguë spontanée en foyers, le rôle principal aux élém
'oblitérations vasculaires, ou enfin c) de processus inflammatoires aigus . Contre l'hémorragie parle l'absence complète d
ire, présentent l'aspect caractéristique des foyers d'encéphalite aiguë non suppurée décrits par Coën. En effet, nous tro
ithélioïdes. Chez nous c'est l'image assez exacte de l'inflammation aiguë en général. L'extravasation des leucocytes, leu
les névrogliques voici les principaux phé- poussées d'encéphalite aiguë . 451 nomènes observés. Donc il n'y a rien d'éto
a rien d'étonnant qu'à certains endroits les foyers d'inflammation aiguë de la corticalité aient à première vue l'aspect
e subaiguë. En résumé, nos constatations prouvent que l'encéphalite aiguë en foyer et non suppurée offre à peu près la mê
offre à peu près la même image histologique.que l'inflam- mation aiguë en général. 1 2. Les foyers inflammatoires form
cérébrale secondaire ayant succédé aux poussées inflamma- toires aiguës , mais surtout subaiguës. Nous avons vu dans la
rogressives dans les cellules nerveuses. poussées d'encéphalite aiguë . 453 La substance blanche répond très vivement
rphologique, nous nous trouvons en présence de foyers d'encéphalite aiguë , subaiguë et chronique. Mais au point de vue de
x autres, particulièrement de la dernière. Les foyers d'encéphalite aiguë , quoique datant de plusieurs mois, présentent l
usieurs mois, présentent le tableau assez exact de l'inflammation aiguë en général. C'était d'ailleurs à prévoir après le
Ziegler, mais surtout de Coëii 1. Si dans les foyers d'encéphalite aiguë spontanée non suppura- tive nous trouvons une c
ne différence de ce qu'on observe ordinairement dans l'inllammation aiguë en foyers, cela tient uniquement au terrain où
ed- mann a eu le mérite de signaler dans les foyers d'encéphalite aiguë l'existence de grosses cellules rondes ou de cell
en elle-même un processus qui ne s'observe que dans l'inflammation aiguë du système 454 pathologie NERVEUSE. que ces
els, nous le répétons, qu'on constate dans les foyers d'encéphalite aiguë sont : la présence de leucocytes, de dégé- nére
ntral ; dans les autres organes atteints d'une forte inflamma- tion aiguë (d'origine vasculaire on non) les éléments fixes
idérer le processus comme un signe caractéristique de l'encéphalite aiguë spontanée. POUSSÉES d'encéphalite aiguë. 455
ristique de l'encéphalite aiguë spontanée. POUSSÉES d'encéphalite aiguë . 455 phalile aiguë dégénèrent, la prolifération
lite aiguë spontanée. POUSSÉES d'encéphalite aiguë. 455 phalile aiguë dégénèrent, la prolifération avoisinante rem- p
ones d'encéphalite chronique autour des petits foyers d'encéphalite aiguë . L'évolution des foyers d'encéphalite subaiguë
e des cellules nerveuses dans. le domaine des foyers inflammatoires aigus , subaigus et chroniques. La faiblesse des quatr
connaissent, sans nul doute, comme cause les poussées d'encéphalite aiguë . Cliniquement, les poussées d'encéphalite subai
conclusions suivantes : 1° 11 existe anatomiquement une encéphalite aiguë en foyers, spontanée, non suppurative et non hé
, non suppurative et non hémorragique; 2° Celte forme d'encéphalite aiguë spontanée correspond à l'encéphalite aiguë expé
elte forme d'encéphalite aiguë spontanée correspond à l'encéphalite aiguë expérimentale de Coën; 3° Des petits foyers de
ement peuvent en être la conséquence; 4° Les foyers d'encéphalite aiguë peuvent coïncider dans le même cas avec des foy
e de régression, même grossissement. Fif). 5. - Foyer d'encéphalite aiguë spontanée et non suppurative. l, leucocytes ; c
hôpitaux séparés, destinés au traitement des cas récents et des cas aigus . Cette détermination indique sûrement le passag
erveau. J. Séglas. LUI. Recherches bactériologiques sur LE délire aigu ; i pal' CENI. (Riv. sp. di (l'en., fasc. IV, 1
NI. (Riv. sp. di (l'en., fasc. IV, 1897.) Dans la forme de délire aigu , qui correspond cliniquement à celle que Bianch
pond cliniquement à celle que Bianchi et Plccinino appellent délire aigu bacillaire, on ne rencontre pas toujours dans l
la peut faire croire que si l'on doit admettre réellement un délire aigu infec- tieux, l'étiologie n'en est pas unique,
ue ces divers micro-organismes pathogènes rencontrés dans le délire aigu , ne représentent qu'une infection secondaire, à
voie de régression, même grossissement. Fig. 5. Foyer d'encéphalite aiguë spontanée et nou suppurative. l, leucocytes ; c
es conséquences, 156. L'- en Vendée, par Terrien, 251. I ? 3,ï. - aigu mortel chez un enfant, par \\-eber, 411. L'- tr
ion, par Cul- lei re, 249. Recherches bactériolo- giques sur le - aigu , par Cem, 493. Delirium THE11E\S, Traitement
ctlo- physiologie et d ? parL.-H. lté- gnier, 106. ExcLr'iiAUTE aiguë primitive hémor- ragique, par Brie, 55. Poussée
iAUTE aiguë primitive hémor- ragique, par Brie, 55. Poussées d' - aiguë dans le cours de l' stibaigiic et chronique, pa
289. - transitoire el récuriente dans le ramollissement cérébral aigu , par i\lacliensip, 295. - du deltoïde de caus
1CI10-I : IlOSE. Lésions des fibres nerveuses spinales dans les - aigu es, par Donaggio, 493. PUPII.LAIHE, Rétrécissem
15 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
surer le traitemenL individuel et continu aux adultes de troubles aigus ne manquera pas d'accentuer dans des proportions
d'observer à l'Asile des cas nombreux d'into z xication alcoolique aiguë : le delirium tremens avec ses caractè- res hal
sme, une accusait, un érysipèle de la face, une autre une méningite aiguë , on trouve une lymphocytose modérée IG cas), fa
- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 127 diatement aigu ; il est d'ordinaire toléré par ces derniers. 2.
quel autre épileptique à l'instant des phénomènes d'empoisonnement aigu accompagnés de réac- tion locale et générale. C
maladie (état de mal) on n'obtient pas de phénomènes d'intoxication aiguë ; lui fait-on cette injection quel- ques jours
état normal, on obtient aussitôt des phénomè- nes d'empoisonnement aigu semblables à ceux que l'on obtient chez d'autre
injection de ce sérum h) 1'('1'- toxiquepeut créer un effet toxique aigu ; mais celui-ci'est d'ordi- naire peu violent e
uspar les produits de leur métamorphose biologique, ex. : psychoses aiguës (70 %) : névroses constitutionnelles (70 %) ; é
cessation de l'influence des centres nerveux. 7° Dans les psychoses aiguës l'onde musculaire accentuée et l'exagération de
ent que chez les typhiques dont 44 % souffrent aussi de psy- choses aiguës bien que discontinues. Il s'agit évidemmentdes mê
a caractéristique histologique de la névrite ascendante. A la'phase aiguë de localisation névriti- que, on observe de la
r le seuil a été on moyenne de 0',07. Un cas de paralysie spinale aiguë de l'adulte à forme monoplégique. Dr CASTES (
à forme monoplégique. Dr CASTES (de Rennes). La paralysie spinale aiguë de l'a- dulte à forme monoplégique est rare ; l
liser avec succès jusqu'à la balnéation froide du délire alcoolique aigu (Traité des vapeurs, 11, p. 13). Mais parmi les
emploi. a) Etals maniaques. - Dans les manies graves et le délire aigu , l'excitation, si souvent en rapport inverse avec
ontention sédative se concilie bien avec l'alitement. Dans la manie aiguë ordinaire interviendront le bain pro- longé, le
é d'ancienneté et les chances de curabilitéde l'affection. La crise aiguë de chro- nique invétéré ou incurable ne saurait
plusieurs jours (Morel, de Mons). Lors- que les états mélancoliques aigus sont marqués par la dépres- sion organique, ain
- rences sur les bains tièdes et des affusions légères. Au délire aigu devront être ordinairement appliqués les en. ve
en que considérés par Iroe- pelin comme le remèdehéroïque du délire aigu , ne sauraient être prescrits qu'avec une extrêm
nalé le danger ou l'inutilité des bains prolongés, lorsque la manie aiguë se transforme ou tend à se transformer en délir
que la manie aiguë se transforme ou tend à se transformer en délire aigu . D. Etats organiques. Dans les affections menta
ses capacités réactionnelles qu'on emploiera, en cas d'excitation aiguë , les grands bains tièdes et les enveloppements fr
de le rejeter on d'en différer l'emploi. G" Il est des cas de folie aiguë , d'essence plutôt sthénique, - tels, les épisod
s- sion, enveloppements humides. 7° De même, le délire alcoolique aigu trouve un rapide soulagement dans l'immersion f
ssaire la présence du médecin. 8° Aux états hyperthermiques (délire aigu ) on opposera les enveloppements humides froids
einhard, Alter). 11° Aux états subaigus prolongés ou aux affections aiguës tendant très lentement à l'apaisement des signe
, douche tempérée à faible pression, bain en pluie). Les épisodes aigus , mélancoliques ou maniaques, surve- nant au cou
ite. - Justement le service de Kroepelin comprend exclusivement des aigus , qui se, renouvellent constamment. M. LALLEMAND
un service d'ensei- gnement ; par conséquent, il ne reçoit que des aigus et les garde peu de temps.La méthode des bains
a démence précoce herbe- phréno-catatonique des confusions mentales aiguës , c'estque l'analogie symptomatique est manifest
le manque de force et de vitalité qui en résulte ; -B) l'infection aiguë ou chronique des voies respiratoires avec les b
ent. Son état d'anxiété a été, il est -vrai, pendant toute la phase aiguë do la maladie, un obstacle à l'alimentation ; s
nesthésiopathies. PATHOLOGIE MENTALE Les psychoses des infections aiguës (1) ; Par le D' E. RÉGIS, Chargé du cours de
uelques considérations générales sur les psy- choses des infections aiguës , nous dirons un mot succes- sivement des psycho
ions. § I. Généralités. Les psychoses des maladies infec- tieuses aiguës offrent ceci de particulier que non seule- ment
s. 1° Moment d'apparition. Division. Dans toutes les in- fections aiguës ,les troubles psychiques peuvent apparaî- tre à
vue chronologique, quatre variétés de psychoses dans les infections aiguës , susceptibles à la rigueur de se ré- duire à de
prochainement paraître . LES PSYCHOSES DES INFECTIONS AIGUËS. 209 aiguë ou psychoses infectieuses proprement dites, com-
atologie. Le type clinique des psychoses dans toutes les infections aiguës est la confusion mentale, c'est-à-dire la psych
euse revêt ordinairement l'une des formes de la confusion mentale aiguë en particulier la forme de délire onirique halluc
er la forme de délire onirique halluci- natoire, ou celle de délire aigu méningitique, parfois mortel. - Le délire oni
tisme, du mysti- cisme, etc.. Cet état onirique ou de somnambulisme aigu , pour ainsi dire, s'accompagne d'une agitation
si communes dans toutes les psychoses d'intoxication ou d'infection aiguës et vis-a-vis desquel- les il faut. par suite, ê
tale qui est suscep- tible de s'observer dans toutes les infections aiguës , soit dans la période hyperthermique, soit surt
ires (Régis) qui s'arrêtent et rétrocèdent, par- ce que les lésions aiguës qui les produisent s'arrêtent et rétrocèdent au
ogénie.- Les lésions cé- rébrales dans les psychoses des infections aiguës sont en effet celles de la paralysie générale,
mértingo-encéphalite diffuse, mais de méningo- encéphalite diffuse aiguë . Elles consistent en oedème du cerveau, vascula
oint de vue pathogénique, les psychoses des maladies infectieuses aiguës sont le résultat, ainsi que Chardon l'a bien indi
s poisons. 4° Diagnostic. Les psychoses du début des infections aiguës , celles qui éclatent avant tout autre manifestati
PATHOLOGIE MENTALE. apparence graves, les psychoses des infections aiguës aboutissent le plus souvent à la guérison, sauf
aiguës aboutissent le plus souvent à la guérison, sauf le délire aigu méningitique, qui se termine parfois par la mort.
ans des articles distincts, les psychoses des maladies infectieuses aiguës suivantes : fièvre typhoïde et typhus exanthéma
... Comme pour la fièvre typhoïde et pour toutes les infec- tions aiguës , nous avons à examiner dans la grippe les psych
iode aigué. La grippe, de même que les autres maladies infectieuses aiguës , débute parfois par une crise de délire (Revill
e la confusion mentale, en particulier par du délire hallucinatoire aigu ou du délire aigu. Comme toujours, ces manifest
tale, en particulier par du délire hallucinatoire aigu ou du délire aigu . Comme toujours, ces manifestations délirantes,
LOGIE MENTALE. longée et très intense. Rarement cependant le délire aigu grippal se termine par la mort. 2° Psychoses
ce ou délire asthénique (asthenis- che Verwirtheit) ; 4° la démence aiguë ou stupidité. Ces divers types s'observent dans
à part à la parai) sie générale. La grippe est en effet l'infection aiguë qui donne lieu de la façon la plus fréquente et
yndrome paralytique,dans la grippe comme dans toutes les infections aiguës , n'est ni sta- ble, ni progressif; les symptôme
gres- sines ou temporaires auxquelles donnent lieu les infections aiguës . 3° Pathogénie. Anatomie pathologique. - Les ps
a même origine que toutes les psy- choses des maladies infectieuses aiguës : elles sont dues soit à l'action directe des m
crobes ou de leurs toxines, ce qui a lieu surtout dans les périodes aiguës , soit aux auto-intoxications secondaires, si fr
et (1893) et Camia 1)00, elles sont celles des méningo-encéphalites aiguës diffuses d'origine infectieuse, microbienne. Pi
Pronostic. Les psychoses grippales, aussi bien celles delà période aiguë que celles de la convalescence, 276 PATHOLOGIE
es et ce n'est qu'ex- ceptionnellement, dans certains cas de délire aigu fébrile, qu'elles peuvent aboutira la mort. M
inguer, comme pour les précédentes : 1° les psychoses de la période aiguë ; 2° les psychoses de la convalescence. 1° Ps
2° les psychoses de la convalescence. 1° Psychoses de la période aiguë . ? Il n'est pas rare LES PSYCHOSES DES INFECTIO
où une, pneumonie s'est manifestée seulement par un accès de délire aigu et l'élévation de la température. Il faut donc
l faut donc se méfier tou- jours des accès de délire hallucinatoire aigu qui survien- nent brusquement, s'accompagnent d
ati 1902). Ce délire revêt habituellement l'une des formes les plus aiguës de la confusion mentale, en particulier la form
aiguës de la confusion mentale, en particulier la forme du délire aigu méningitique. « Le soir, le malade commence un
e la pneumonie peut affecter aussi le type de délire hallucinatoire aigu , très semblable au delirium tremens et caractér
arité intéressante, car dans la plupart des mala- dies infectieuses aiguës , c'est pendant la convalescence proprement dite
ques. Elle est essentiellement constituée par une confusion mentale aiguë avec halluci- nations multiples et agitation tr
riode fébrile, sont moins fréquentes que dans les autres infections aiguës . Elles y revêtent d'ailleurs les mêmes caractèr
- Contribution il l'anatomie pathologi- que de la paralysie spinale aiguë de l'enfance. (Arch. médec. exph-il1l., 1" janv
delà sensibilité et des organes du bassin. Il existait des douleurs aiguës indépendantes ; les troncs nerveux étaient sens
e et la symp- tomatologie n'étaient d'ailleurs pas celles du délire aigu . Signa- lons surtout la richesse en globules ro
le facies est « rouge d'une expression sauvage comme dans la manie aiguë ou alcoolique (Roussie), l'oeil injecté ». Souv
syringomyélie. F. Tisser. XXX. --Un cas de poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte avec lésions médullaires en foyers;
que, ayant présenté neLtementle syndrome de la paralysie ascendante aiguë . L'au- topsie montra l'existence dans la moelle
rement infiltrés de tissu adipeux. Le cerveau (sauf l'encéphalite aiguë hémorrhagique dont le malade est mort), la moel
gé de 60 ans, employé, nous a raconté qu'à la suite d'une affection aiguë , il est devenu anémique à un degré pro- noncé e
s convient». pas là une confusion entre le traitement des psychoses aiguës et celui des psychoses chroniques, et peut-on d
s suivis sur le liquide céphalo-rachidien des confus, des délirants aigus , etc., il semble de moins en moins probable que
c'est-il-dire pendant près d'un demi-siècle, survivant aux épisodes aigus alors même que dans sa démence, le malheureux r
I11l'llt, dU1'1' pl'U pt ? é\allouiL hien- (61. c'est le puérilisme aigu ; l'autre se dessine en une évolution ! t'nll', I
ire, ni cérébrale, pas même des signes appa- l'cn[,,llel11l'ningile aiguë conge.-live. C. C.\RRIR. REVUE d'aNATOMIE ET DE
un délire ne se distin- guant souvent en rien du délire alcoolique aigu sont les plus fre- ilucntes.D'autrefois,un état
use il ya deux ans, ayant entraîné un délire fébrile hallucinatoire aigu avec anxiété, agile consécutivement, impulsion
de l'animal. On se rapproche alors beaucoup plus de l'épi- lepsie aiguë ,de l'état de mal où les périodes s'imbriquent,
le dos des mains au point bien sou- vent de pouvoir former un angle aigu . Les petits doigts sont d'ordinaire incurvés en
e contre ce fléau au rang des questions les plus graves et les plus aiguës de la psychiatrie générale. P. KERAVAL. III. Ap
Svndromes bulbs- protubérantiels ; Paralysies hu117aires. Myélites aiguës . Paralysie infantile. Sclérose en plaques. Sclé
. 119. Impulsions SEXUELLES...Voir Psychothérapie. , Infections aiguës . Les psvcho- ses des - -, par Régis, p. 268.
dans la générale, par Marie et Violet, p. 134, Un cas de spinale aiguë de l'adulte 11 tonne mono- plégique, par Cast
e et sv ringomyélie, par l{osso)imo, p. 317. Un cas de antérieure aiguë de l'a- dulte avec lésions médullaires en foy
16 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, il a eu une fièvre typhoïde grave. En 1870, il a eu un rhumatisme aigu , qui a duré quatorze jours. Depuis cette derniè
uise : la syphilis maligne précoce du système nerveux, les myélites aiguës , les myélites chroniques, les myélites à formes
git en résumé d'un homme qui, des suites d'une affec- tion nerveuse aiguë de l'enfance, a gardé une amyotrophie hémilatér
iffusion des trou- bles constatés et surtout l'histoire de la phase aiguë et infan- tile de l'affection ne vont pas avec
facial sont intéressés quelquefois dans la poliomyélite antérieure aiguë des enfants'. '. Mais l'état actuel des muscles
spéciaux, qui, ayant été soumis, il y a huit ans, pour une otite aiguë , à un traitement par le chlorhydrate de morphine
formes déli- ¡'antes alcooliques. Dans l'intoxication alcoolique aiguë ou ivresse la responsabilité doit rester entièr
ez les lépreux les lésions suivantes : ménin- rites. hydrocéphalies aiguës , apoplexie, épilepsie, hémicranif, convulsions,
gravité : rêvasseries, illusions, impulsions et délire quelquefois aigu ; 5° enfin sous l'influence de ces troubles, et en
aladie commence ordi- nairement par une douleur de tète soudaine et aiguë . Le malade devient pâle, défaillant, vomit le p
temps, il fait entendre à un mètre de distance, un coup de sifflet aigu . Pour l'oreille gauche, elle donne des indicati
OU. Séance du 19 mars 1899. D1' BnouEHAXstY. Un cas d'encéphalite aiguë hémorragique (avec présentation de la malade).
affection fonctionnelle ou toxique diffuse, que d'une encé- phalite aiguë hémorragique. MM. Serbsky et Postovsky, qui ont
usqu'à la confusion BIBLIOGRAPHIE. l, Il b mentale hallucinatoire aiguë . On distingue le délire palustre sub- aigu qui,
mentale hallucinatoire aiguë. On distingue le délire palustre sub- aigu qui, comme le délire alcoolique, est un rêve évei
les sont plus fréquentes que celles de l'ouïe. Le délire palustre aigu , qui n'est que l'exagération du subaigu peut se
st autre chose qu'une sorte de delirium tremens. Le délire palustre aigu est celui qui constitue la fièvre pernicieuse com
Edwards (Frédéric). Contribution d l'élude de la paralysie spinale aiguë de l'adulte et de sanature. - Evesque (Joseph). P
parut, et le malade présenta les signes ordinaires d'une septicémie aiguë . Huit jours environ après l'opération, l'entour
a confusion mentale. Ces constata- tions, faites pendant la période aiguë de la maladie, ont été con- firmées par les exp
e, la seule personne qu'il ait toujours reconnue pendant la période aiguë de sa maladie. A l'asile, « il a été comme dans
e. Ceux-ci ont apparu en même temps que les signes d'une septicémie aiguë , consé- quence de l'infection de la plaie opéra
ne jeune malade de quinze ans, peut-être dégé- nérée ; 2° une manie aiguë , consécutive à une grippe infec- tieuse, chez u
émique, présente, à chaque émotion un peu forte, une crise de manie aiguë franche. Le suicide du père après quelques trou
gia, 576.) . A la période de commotion succède une période d'anémie aiguë qui paraît indépendante de toute infection ou p
ndante de toute infection ou phlegmasie du contenu crânien ; délire aigu . Après cette étape d'acuité survient peu à peu
issement. sans perte de connaissance. Quelques plaques de pemphigus aigu sont survenues deux semaines après l'acci- dent
tique, qui ne sauraient résulter que de la réac- tion plus ou moins aiguë de la cellule ou de son défaut d'accom- modatio
ns. Chute d'une hauteur de deux mètres sur la fese droite. Douleurs aiguës d'intensité croissante pendant les premiers jou
bien déterminées ; 2° Ces altérations, dans les cas d'intoxication aiguë , intéressent principalement les cellules des co
de celles des cornes antérieures que tous les processus myélitiques aigus frap- pent avec prédilection. Chez notre mala
ux, ce qui explique la pureté du type clinique : myélite ascendante aiguë à forme exclusivement motrice. On sait en effet
ellement l'identité de la polynévrite et de la paralysie ascendante aiguë . Tout récemment encore, Krewer2 a tenté d'établ
regarder comme un entité morbide les cas de paralysie ascendante aiguë avec symptômes purement moteurs et lésion exclu
des choses, ces lignes de démarcation entre la paralysie ascendante aiguë , la poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte e
ion entre la paralysie ascendante aiguë, la poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte et la polynévrite motrice »- « En
purs de ce que nous appelle- rions : myélite antérieure ascendante aiguë avec lésions exactement localisées aux cellules
la substance blanche ni des nerfs. (Myélite ascendante anté- rieure aiguë .) 2° L'infection du liquide céphalo-rachidien c
de manie aigué, 2 cas de confusion men- tale, un cas de mélancolie aiguë et un cas de morphinisme. Sur 33 aliénés divers
maladies nerveuses épiphé- noménales sont aux maladies infectieuses aiguës , exemples : les paralysies et ataxies post-diph
ceux qui sont le propre des vésanies, des processus inflammatoires aigus ou chroniques, d'évolution ou d'invo- lution.
s troubles psychiques, il ne présente aucun symptôme d'inflammation aiguë , parti- culièrement de Y hyperthermie. THERAP
thérapeutiques susceptibles d'être appliqués à la cure des malades aigus , que par les moyens de placer dans les meilleur
antages multiples et incontestables du travail. Quant aux aliénés aigus , aux sujets curables - les plus intéressants sans
une véritable panacée, un remède héroïque de la folie; et l'aliéné aigu , non suscep- tible d'être soumis à ce moyen de
erdre de vue la catégorie des sujets - ceux atteints de psychoses aiguës que la nature de leur affection rendait inaptes a
s chroniques, il n'en est plus de même quand il s'agit de psychoses aiguës . De nombreuses recherches statistiques, contre
ron 60 p. 100 des cas. Du moins la tendance naturelle des psychoses aiguës vers la gué- rison ne doit-elle pas être entrav
ou contre-indiqués chez les malades atteints d'affections mentales aiguës . Ces états sont en effet toujours associés étro
es périodiques, la confusion mentale, les délires halluci- natoires aigus ; il faut y ajouter aussi les épisodes aigus qui
lires halluci- natoires aigus; il faut y ajouter aussi les épisodes aigus qui surviennent au cours des états chroniques (
panacée universelle ; il ne peut guérir, à lui seul, tous les états aigus d'aliénation; du moins estimons-nous, d'après n
s, que le repos au lit doit être la base du traitement des maladies aiguës du cerveau, comme il l'est pour les maladies de
n'importe quel autre organe. Chez les malades atteints de psychoses aiguës , ce qui doit en effet retenir avant tout l'atte
ychique, du repos du cerveau, elles sont constantes dans les formes aiguës . Qu'il s'agisse en effet d'états d'excitation,
e dépression, ou de confusion, ou encore de délires hallucinatoires aigus , peu importe. Toutes ces psychoses sont en rapp
r l'intensité des symptômes les plus pénibles des maladies mentales aiguës et écarte les redoutables complications physiqu
conque, et de traiter par le repos complet de l'organe les maladies aiguës du cerveau. Deux mots encore avant d'aborder l'
nière de voir, nous dirons que le repos au lit est pour les malades aigus ce que le travail 1 P. Sérieux et F. Farnarier.
e travail 1 P. Sérieux et F. Farnarier. Le traitement des psychoses aiguës par le repos au lil. (Semaine médicale, 11 oct.
hode applicable d'une façon systématique à la plupart des psychoses aiguës . I. C'est dans les étals caractérisés par la dé
nt comme conve- nable et nécessaire dans certains cas de mélancolie aiguë avec diminution générale des forces. D'après Pa
, cette réaction a été excessive. « Dans certains états maniaques aigus semi-fébriles, dit-il, de même que dans les éta
e méthode thérapeu- tique. Le traitement systématique des psychoses aiguës par le séjour au lit a pris naissance, il y a u
t chose inconnue. Cette méthode fut appliquée à la cure des aliénés aigus par Ludwig lIIeyer ? dès 1860, el, deux ans plu
is encore chez les malades chroniques présentant des manifestations aiguës . La même année, Hergt insiste sur la nécessité
'agent curatif le plus puissant, il montre que la place de l'aliéné aigu est dans un lit d'hôpital et non à l'atelier ou
le traitement par le lit est indiqué chez les aliénes agités 1' ( aigus et chroniques), dans la démence aiguë, la stupeur
é chez les aliénes agités 1' (aigus et chroniques), dans la démence aiguë , la stupeur.^a dépression, chez les patients fa
du traitement par le repos au lit; il admet que, dans les psychoses aiguës , il existe une hyperémie de l'écorce que l'exer
Unis, lIurd. recommande le traitement par le lit dans les psychoses aiguës , sauf la manie. En Suisse, Rabow, élève de Ludw
ans l'épilepsie, les délires toxiques, la mélancolie, les psychoses aiguës 3. A partir de 1894, il eut l'occasion d'expéri
l. {Berne de psychiatrie, août 1897.) - Le traitement des psychoses aiguës par le repos au lit. (Revue internat, de lhémpe
lagilan. Il/lemenl, Traitement par le repos au lil, dans les formes aiguës el subaigucs de l'alcuolisme. [Dixième Congrès de
S ! J9.) 10 P. Sérieux et F. Parnarier. Le traitement des psychoses aiguës , etc.. toc. cil. 460 THÉRAPEUTIQUE. cions d
voit, l'idée de soigner par le lit les sujets atteints de psychoses aiguës afait du chemin depuis les essais partiels de G
place et leur remplacement par des hôpitaux de traitement pour les aigus , par des colonies agricoles et par l'assistance
ncéphaliques (tumeurs, hémorrhagies, paralysie générale, méningites aiguës ), grandes infections (fièvre typhoïde, variole,
ques communes est la névrite optique rétrobulbaire. Mais la névrite aiguë rétrobulbaire est pro- portionnellement rare; e
rétrobulbaire est pro- portionnellement rare; et surtout la névrite aiguë bilatérale. En voici une observation caractéris
ce d'une névrite rétrobulbaire, ou plutôt intra-oculaire (papillite aiguë ), d'origine, vasomotrice par émotion morale inten
n, la nomenclature et le résumé séméiologique des névrites optiques aiguës , à amaurose rapide : z 1° La névrite optique ré
ptique dans le tabes dorsal; 60 La névrite optique de l'encéphatite aiguë ; î° La névrite optique dans la myélite aiguë o
ue de l'encéphatite aiguë ; î° La névrite optique dans la myélite aiguë ou subaiguë ; 8° La névrite optique dans la sclér
Diagnostic. L'absence de fièvre exclut la poliomyélite anté- rieure aiguë des adultes. L'examen de la région anale, et de l
Cenl1'aZbl" XVII, 1898.) Après un examen assez net de l'encéphalite aiguë non suppurée, indépendante des foyers de ramoll
t par exemple de publier une observation de poliomyélite antérieure aiguë consécutive à une chute sur le sacrum in Monats-
. Impossible donc de parler alors d'une polioencéphalite antérieure aiguë ou d'une névrite aiguë multiple consécutive à un
rler alors d'une polioencéphalite antérieure aiguë ou d'une névrite aiguë multiple consécutive à un traumatisme. Un tra
ervation de sciatique bilatérale dans la néphrite paren- chymateuse aiguë ; par M. Lapinsky. (Neurol. 1. Ceii tî ? X VI], 1
erf ; déchéance de la- myéline par places. Néphrite parenchymateuse aiguë . Toutes les branches prin- cipales des sciatiqu
nent une lésion radiculaire ou nucléaire. Ce n'est point une lésion aiguë (hémor- ragie circonscrite, ou poliomyélite) pa
re. P. Keraval. LXXVI. Contribution à la connaissance de la myélite aiguë disséminée; par CUasTVEa. (Neurolog. Cet : <
e cours du sangou de la lymphe. Si l'on ne peut affirmer la myélite aiguë par invasion des cocci, il est néanmoins probab
oedème, la non-existence de traumatisme, de maladies infec- tieuses aiguës , l'apyrexie, l'exclusion forcée de la tuberculose
té et lève la séance en signe de deuil. Le traitement des psychoses aiguës par le repos au lit. M. Farnarier communique en
e. C'est dire que l'alitement est applicable à toutes les psychoses aiguës ; que le cerveau, en effet, soit surmené par le
s mutations nutritives du neurone. Ajoutons que sous le nom d'états aigus d'aliénation, nous com- prenons à la fois les p
ire hallucinatoire, états maniaque et mélancolique) et les épisodes aigus des affections chroniques (paralysie générale,
dignité de malades comprendra uniquement l'hôpital spécial pour les aigus , que l'on traitera ' comme des malades physique
ement à tous les aliénés. En effet, dit-il, si la plu- part des cas aigus sont favorablement amendés et si presque tous l
la genèse de ces délires. M. IiLIPPEL. Abcès cérébral et méningite aiguë . L'auteur rap- porte l'observation et des photo
un homme de son service ayant présenté les signes d'une méningite aiguë avec signe de Kernig manifeste. L'autopsie démont
subitement qu'il ne pouvait guère être atteint que d'une affection aiguë du cerveau, mais en supposant même que c'eût été
e de l'astasie -, par Goldeteiu, 316. Abcès cérébral et méningite aiguë , par Klippel, 514. Abstinence. Essai sur l'ét
17 (1911) La pratique neurologique
nerfs moteurs des yeux. L'allure de cette ophtalmoplégie peut être aiguë , subaiguë ou chronique. , Un type de forme aigu
plégie peut être aiguë, subaiguë ou chronique. , Un type de forme aiguë est la poliencéphalite aiguë hémorrhagique- de
aiguë ou chronique. , Un type de forme aiguë est la poliencéphalite aiguë hémorrhagique- de Wernicke, affection grave, ac
'une, inflammation antérieure de l'oeil. Le glaucome, il la période aiguë , donne il la pupille une déformation légère, de
rties de l'iris plus atrophiées que d'autres. Mais dans le glaucome aigu ou ancien, le diagnostic est toujours facile pa
droite. Anisocorie transitoire. On la rencontre dans les méningites aiguës , parfois dans l'attaque d'épilepsie. Elle se se
maux de tète violents s'installent, tous les signes d'une méningite aiguë se déclarent, (on a maintenant des cas où ces s
a longtemps pensé qu'il s'agissait dans ces cas d'une labyrinthite aiguë primitive, dite maladie de Voltolini, mais on a
e sont en rapport avec les obstructions tubaires et les pro- cessus aigus ou subaigus de la caisse, les bruits il timbre él
ions. - Les inflammations du labyrinthe sont simples ou purulentes, aiguës ou chroniques, et n'intéressent le neurologiste
ais il est parfois difficile de dire s'il s'est agi de lahyrinthite aiguë ou de méningite. Ces symptômes sont aussi ceux
éral. On peut dire, d'une manière très générale, que les affections aiguës de l'oreille donnent plus facilement la méningi
vec la même fréquence dans les formes chroniques et dans les formes aiguës . Le siège de la lésion auriculaire a une très g
uni de nombreux cas dans sa thèse. On la voit survenir dans l'otite aiguë simple ou avec réaction mas- Ioïdienne, dans le
ette partie du nerf est très exposée dans les lésions méningitiques aiguës ou chro- niques de l'étage antérieur du cerveau
inthe. Nous en dirons autant des vertiges des maladies infectieuses aiguës etdes intoxi- cations, des anémies et de la mén
s'agit presque toujours de vertiges accidentels, de vertiges dits « aigus ». 1° Il en est ainsi dans un certain nombre de
on du liquide qu'il contient. 5" Toutes les maladies infectieuses aiguës peuvent donner lieu au vertige, et cela surtout
formes complètes, ils reconnaissent des variétés apopiecti- forme, aiguë , paroxystique, chronique avec paroxysmes, continu
ocher, an cours de cer- taines méningites, de maladies infectieuses aiguës ou de leucocythemie, de syphilis, de néphrite,
tige est précédé par une courte aura sous la forme d'un sifflement, aigu et stri- dent, parfois de tintement ou de bruis
troubles de l'équilibre, olJl7lllJillti(Ill mentale. Le tabagisme aigu provoque aussi des vertiges avec angoisses, sueur
, syphilis), de la pôlynucléose avec microbes variables (méningites aiguës ), plus simplement parfois de l'hypertension, is
Gercer, au cours de l'évolution de la polioencéphalile supérieure, aiguë , s'observent également des périodes de somnolence
(notamment dans le cancer gastrique). Un grand nombre d'affections aiguës chassent également le sommeil. Dans un certain
alies de la tonalité. Le son est retentissant, ou étouffé, grave ou aigu , parfois l'un et l'autre alternativement chez l
ien à des névrites infectieuses ou toxiques (diphtérie, polynévrite aiguë ) ou sou- vent à des lésions traumatiques (secti
sur l'hémisphère gauche. C) Variations du timbre. Rappelons la voix aiguë , enfantine, des eunuques, des infantiles (Voir
les processus diffus, encéphalites, paralysie générale, méningites aiguës , au cours delà démence précoce, de la démence s
nscients. Avec d'autres, on ne peut avoir un entretien suivi (manie aiguë , délires hallucinatoires aigus). Certains ne répo
peut avoir un entretien suivi (manie aiguë, délires hallucinatoires aigus ). Certains ne répondent pas parce qu'ils ont un
un mutisme absolu. Les aliénés partent souvent spontanément (manie aiguë , délires hallu- cinatoires, confusion mentale d
e, le délire est mobile il forme de rêve. Dans le délire alcoolique aigu , délire hallucina- toire avec confusion mentale
dangereux. Dans les délires toxiques, comme le délire alcoolique aigu , les idées Plt.iTIQ114 : Sl.UIIUL. 10 . [G. G
LOGIE PSYCHIATRIQUE. L'alitement est indiqué dans les psychopathics aiguës , la manie, les délires infectieux et toxiques,
le vocable significatif : no restreint. Dans les cas de psychoses aiguës , l'alitement devra parfois être continué pendan
271 la pie-mère et de la dure-mère est consécutive à une méningite aiguë de la première enfance. Dans certains cas cette
la. tuberculose, pulmonaire, tuberculose intestinale ou tuberculose aiguë généralisée; 1'-atlu;epsicou enfin toutes les m
périphériques ou il celles des centres médullaires (polio- myélite aiguë ou chronique, syringomyélie, etc.). De même que l
s maladies de l'encéphale et de ses enveloppes. Dans les méningites aiguës , elle est très intense; dans la méningite tuber
s au processus morbide, la rachialgie s'observe dans les affections aiguës et chroniques de la moelle et de ses enveloppes
et de ses enveloppes. Elle est presque constante dans les myélites aiguës , dans les méningites spinales aiguës (en par- t
ue constante dans les myélites aiguës, dans les méningites spinales aiguës (en par- ticulier dans la méningite cérébro-spi
t le 'matin par des douleurs sourdes qui deviennent de plus en plus aiguës , occupant une moitié du crâne (hëmicrànic) ou l
roses. La céphalalgie est un symptôme très important des méningites aiguës , des hémorragies méningées et de beaucoup de mé
ses, etc.). D'autres céphalalgies ont une origine nasale : rhinites aiguës et suhai- guës, ulcérations de la pituitaire, s
égion rachidienne, les rachialgics, s'observent dans les méningites aiguës (méningite cérébro-spinale épidémiepie, méningi
e épidémiepie, méningites microbiennes diverses), dans les myélites aiguës , dans les inemngo-myentes syphilitiques aiguës,
), dans les myélites aiguës, dans les inemngo-myentes syphilitiques aiguës , subaiguës et chroniques. La rachialgie semble
membre dans l'altitude suivante : flexion à angle droit ou à angle aigu de la jambe sur la cuisse et abduction de la cu
n dehors de l'alcoolisme, en dehors de la convalescence de la manie aiguë , à part la manie chronique et une certaine form
de la manie aiguë, à part la manie chronique et une certaine forme aiguë de la -paranoïa, l'abolition du réflexe patella
matismes graves cérébraux ou médullaires, les comas, les affections aiguës diffuses du cerveau où la disparition des réflexe
men du fond de l'oeil rendra de grands services; mais, dans les cas aigus , on n'oubliera pas que 1 hémorragie cérébrale e
e Kernig constate des contractures dellexiondansa cas de méningites aiguës , dont 1 de méningite tubercu- leuse, et dans 6
Friès et nombre d'auteurs le trouvent également dans les méningites aiguës tuberculeuses. Dans les thèses récentes de Mono
le est possible tm peu plus souvent dans le second. Dans les formes aiguës , flaccides ou spas- tiques, elle devient irréal
ntrale. Les escarres sont fréquentes, en effet, dans les affections aiguës , à marche fébrile, rapide, telles que les ménin
'ont place a une dissociation syringomyélique. Formes évolutives, aiguës , chroniques. Certaines paraplégies frappent de
omplications médullaires ou névritiques des maladies infec- tieuses aiguës , fébriles, évoluent de la sorte et déterminent un
s compréhensif. Nous ferons remarquer que les paraplégies il marche aiguë correspondent à peu près aux paraplégies flasqu
18 mois à ô ans après le chancre, sont de ces lI1éningo-mYt'li tes aiguës il évolution foudroyante et le plus souvent mor-
- Nous rencontrerons plus loin les méningo-myélites syphilitiques aiguës . Il nous reste à parler ici des myélites transver
es maladies chroniques comme la tuberculose, ou bien à des maladies aiguës comme la fièvre typhoïde, essentiellement variabl
cusées d'un côté que de l'autre. Elles aussi peuvent avoir un début aigu , flasque, suivi d'une évolution traînante vers
n nous échappe souvent encore. 2° Praplégies flasques à évolution aiguë . Poliomyélites. Poly- névrites. Il existe tout
. Poly- névrites. Il existe tout un groupe d'affections médullaires aiguës , dépendant nettement de processus infectieux, c
tcl r y/, .. Occupons-nous d'abord des myélites et méningo-myélites aiguës . fréquemment liées il la syphilis ou à la tuber
de la forme suivante. Néanmoins, l'évolution de la meningo-myetite aiguë demande PARAPLÉGIE. 505 généralement plusieur
iguë ou chronique, la polynévrite offrir le tableau d'une paralysie aiguë , fébrile, généralisée. Nous nous efforcerons de d
lis, nous l'avons exposé déjà, peut déterminer des méningo-myélites aiguës , des méningites et des myélites chroniques, des c
, par gommes. La tuberculose à son tour peut provoquer des myélites aiguës ou chroniques, de la compression par abcès froid,
insiste sur ce fait que dans là syringomyélie, dans.la poliomyélite aiguë de l'enfance, dans, la poliomyélite chronique,
res analogues que se reconnaitra chez l'adulte la paralysie spinale aiguë ou subaiguë qui est d'aittcurs rarement localis
creux axillaire (par des béquilles par exemple), les arthropathies aiguës ou chroniques de l'articulation scapulo-hnmerale.
voix n'a pas mué au moment de l'adolescence et a gardé une tonalité aiguë qui la fait ressembler il la voix de fausset in
'origine médullaire : paralysie spinale infantile ; paralysie spinale aiguë de l'adulte ; liématomyélie ; myélites. b) D'
articulations, traumatique, infectieuse ou dyscrasique : arthrites aiguës ou chroniques, rhumatismales, goutteuses, blennor
s peuvent apparaître précocement dans le cours même d'une pleurésie aiguë , dès la 2e ou la le semaine (Lasègue, Desplats)
aire. Ces atrophies s'observent à la suite de toutes les affections aiguës de la moelle où les cornes antérieures se trouven
soit par un processus infectieux ou toxique (para- lysies spinales aiguës de l'enfant ou de l'adulte, myélites), soit par u
z l'enfant, mais elle est beaucoup plus rare ; la paralysie spinale aiguë de l'adulte, dont la réalité avait été mise en
e, dont la réalité avait été mise en doute en tant que poliomyélite aiguë avec lésions en foyers analogue à celle de l'en
es, apvrétiques ou fébriles, ont toujours une évolution subaiguë ou aiguë . Le début par les membres inférieurs est presqu
tionnellement, très tar- divement, ou dans des formes très rapides, aiguës ou suraiguës, qui rap- pellent la paralysie asc
ides, aiguës ou suraiguës, qui rap- pellent la paralysie ascendante aiguë de Landry et dont l'anatomie et la pathogénie n
ies ; quelquefois on observe le syndrome de la paralysie ascendante aiguë . Parmi les névrites infectieuses amyotrophiques
est rapide et prononcée. L'envahissemenl suit souvent une évolution aiguë ou subaiguë, la curabilité est facile. Les into
der au massage et à la mobili- sation qu'une fois passée la période aiguë et douloureuse. Quant à l'électrisation, elle n
D'origine médullaire : paralysie spinale infantile; paralysie spinale aiguë de l'adulte; hématomyélie ; myélites ; compress
: localisées, multiples ou généralisées (polynévrites); à évolution aiguë , subaiguë ou chronique. Infectieuses : lèpre, b
nnellement l'ataxie, même dans le tabès, prend une allure nettement aiguë et devient très prononcée en peu de jours. La m
veau, des alaxies par altérations diffuses ou totales, généralement aiguës , du système nerveux. Chacune de ces variétés étio
ent rapide, en quelques semaines ou quelques mois, quelquefois même aiguë , en quel- ques jours, la terminaison presque to
mbre supérieur du côté de la lésion. Dana a signalé un cas d'ataxie aiguë par lésion bulbaire. 5. Ataxie dans les lésions
] 7G4 1'\COOIIDliN;T IONS.. - ~ vent de façon très rapide (ataxie aiguë dans les cas de Leyden, Westphal, Dinkler, etc.
cependant récemment rapporte deux cas. 6. Ataxie par intoxication aiguë du système nerveux. Un certain nombre de toxiqu
uantité excessive, déterminent l'ivresse. L'ivresse est un syndrome aigu dont l'incoordination fait nécessairement partie
(Bechterew), soit par des aliments avariés (Schnitzer), une ataxie aiguë , plus tardive, mais plus durable, évoluant en q
tionnellement (Rouchaud). e) Système nerveux entier : intoxications aiguës : Troubles associés nerveux et gastro-intestina
ique; iodique, bromique, quinique, chlora- lique, etc. b) Ataxies aiguës plus durables, rares : alcoolique (Beebterew), al
r avec soin pour commencer une rééducation les périodes d'évolution aiguë ou subaiguë que l'on observe parfois dans le ta
se et surtout la syphilis, tantôt à la suite de diverses infections aiguës ou intoxications alimentaires. Dans ces diffé-
e labio-glosso-laryngée à marche rapide. Poliencéphalite inférieure aiguë . - Le syndrome évolue ici rapidement ; son allure
elque reliquat, paralysie linguale ou surdité. Ce syndrome bulbaire aigu est maintes fois la dernière étape d'une toxi-i
oins que la mort ne soit soudain déterminée par une poliencéphalite aiguë ou sub- aiguë avec ou sans phénomènes spinaux a
rt ne soit soudain déterminée par une poliencéphalite aiguë ou sub- aiguë avec ou sans phénomènes spinaux associés. Disti
'évolu- tion banale est soudain abrégée par des accidents bulbaires aigus . En d'autres cas, ce sont les phénomènes cérébe
se reporte aux descriptions précédentes. Dans la paralysie bulbaire aiguë apoplecli forme, l'ictus est unique, sans perte d
s sym- ptômes sont remarquablement intenses dans certaines maladies aiguës , comme la grippe. On les notera d'autre part da
drons pas sur l'évolution de la maladie. La marche peut être lente, aiguë , coupée de rémissions. Celles-ci peuvent se chiff
ou méningées se montrent surtout chez l'enfant dans les méningites aiguës , les lIlél111- sites tuberculeuses, etc. Quand
s. On recherchera les signes nerveux et on reconnaîtra la méningite aiguë , la méningite cérébro-spinale épidémique. aux c
er à une affection qu'on a trop long- temps méconnue, l'encéphalite aiguë . On lui attribue nombre d'acci- dents .nerveux
accès. Reginald Nùller (llrait7,1 ! )()l).) a décrit un tremblement aigu survenant chez les enfants, à mouvements lents,
es d'un état maniaque et constituer alors. un délire hallucinatoire aigu souvent caractéristique de l'état de mal : ces tr
icrobe qu'ils considè- rent comme l'agent du rhumatisme articulaire aigu . Ces faits doivent être rapprochés de ceux qui
ation et qui se présente sous là forme d'un délire halluci- natoire aigu , d'un état maniaque ou de convulsions et d'incohé
ns des infections diverses : pneumonie, fièvre typhoïde, méningites aiguës , tétanos, urémie, maladie du sommeil (Sicard et
l (Sicard et Moutier), granulie, hémor- ragie cérébrale, rhumatisme aigu , dans la plupart des intoxications enfin (plomb
ulièrement dans les plaies des nerfs, dans les névrites et myélites aiguës , plus rarement dans la syrin- gomyélie, le tabè
eusement, parmi les oedèmes nerveux, distinguer un groupe d'oedèmes aigus et un groupe d'oedèmcs chroniques, innom- brabl
ue l'affection en cause soit une maladie chronique ou une affection aiguë du cerveau ou de la moelle. On observe souvent
poliomyélites antérieures chro- niques (Dejerine). Plus ou moins aiguës peuvent s'observer des poussées oedémateuses de
oedémateuses de siège variable au cours de diverses intoxications, aiguës elles-mêmes ou chroniques, notamment de l'intox
queuses. Il peut éclater en ce cas des accidents menaçants d'oedème aigu du pou- mon ou de la glotte : la trachéotomie a
mbre. Le trophoedème peut s'installer insidieusement, sans poussées aiguës préa- lables : il est encore fréquemment congén
avons ainsi une gamme très nuancée de transitions entre les oedèmes aigus de Quincke et le trophoedème chronique de Meige
lésé. Les malades de cet ordre peuvent avoir également des poussées aiguës , parfois accompagnées de purpura. Il n'existe j
dans la poliomyélite, ils s'observent à leur acmé dans les myélites aiguës (Voir Paraplégie). L'escarre est typique au nivea
ordres, les unes sont des arthrites infectieuses banales, à marche aiguë , aux suites redoutables; les autres ont un débu
ièvre est la fièvre de la méningite. Dans les méningites cérébrales aiguës , la fièvre débute par un grand frisson, persist
encore au début de la paralysie infantile, dans certaines myélites aiguës . Elles se voient encore HYPOTHERMIE. 957 7 au
ramollissement cérébral. On l'observe rarement dans les méningites aiguës , par contracture du sphincter; moins souvent en
quente dans les ménin- ' RÉTENTIONS D'URINE. 9.')1 gÎtes spinales aiguës ; des troubles mictionnels sont de règle, mais il
la miction varie avec la période de 1 affec- tion, qu'elles soient aiguës ou chroniques. Au début, presque toujours, il y
en n'est plus simple que de reconnaître l'existence d'une rétention aiguë ; sans parler des 1'01111111"- morai ifs, les ma
s signes certains. Quant au catheterisme, dans ces cas de rétention aiguë , il ne faut le pratiquer qu'avec les précautions
es de la moelle dans lesquelles on la ren- contre dans les myélites aiguës , où elle succède à la rétention; con- sciente d
st rapide et grave d'emblée. La pyélo-néphrile affecte deux formes, aiguë et chronique, et est tou- jours ascendante. Dan
conduit, avec évacuation trop rapide par exemple, que les accidents aigus éclatent : frissons, fièvre intense, dou- leurs
gue sèche, tout le cortège, en un lll01, de l'intoxication urinaire aiguë . La forme chronique peut être tout à l'ait late
tout, une cystostomie hypogastrique serait pratiquée. La pyélite aiguë est surtout justiciable d'un traitement général,
, de polyurie, d'albuminurie, il s'agit alors de paralysie bulbaire aiguë , lice le plus souvent à un foyer nécrotique. Da
halée profonde. Parfois, pendant quelques heures, un accès de manie aiguë effraye l'entourage. Puis tout se calme, et l'inc
nes très proches des accès migraineux. Vomissements dans l'oedème aigu angioneurotique. 11 existe parfois dans la mala
nts sine nza.lefUa. Pseudo-péritonite. Le malade accuse une douleur aiguë ; il sur- vient des vomissements, porracés parfo
- En général, le météorisme ne prend pas une allure clinique aussi aiguë que celle précédemment décrite, et le ventre se
ous insisterons spécialement sur les accidents des méningo-myélites aiguës , il y a gâtisme absolu et précoce. Rappelons qu
ni dans la maladie de Landry, ni dans les poliomyélites antérieures aiguës . Ces troubles peu- vent, mais très rarement, s'
peu- vent, mais très rarement, s'observer au cours des polynévrites aiguës , surtout dans les polynévrites avec troubles vé
e Korsakow). Le gâtisme peut exister encore au cours des maladies aiguës les plus diverses; il coïncide généralement ave
n'insistons pas sur toutes les variétés d'arthrites inflammatoires aiguës ou tuberculeuses, qui ne diffèrent en rien à la m
présentent les caractères des oedèmes inflam- matoires. L'oedème aigu des extrémités, violacé, douloureux, circonscrit,
ines paralysies infan- tiles (`) (6g. 14) ou de paralysies spinales aiguës de l'adulte, à la période flaccide des hémiplé-
longtemps dou- loureux. La crise typique de la goutte articulaire aiguë porte sur le gros orteil. Son début brusque au
pied et donnent aux membres inférieurs un aspect spécial. L'oedème aigu , violacé et douloureux de l'é1 : ylhromélalgie po
ci sur le diagnostic de ces différents oedè- mes ; leurs caractères aigu ou chronique, congénital ou acquis, dur ou Fig.
est moins accusée. 0 n Dans la paralysie infantile, poliomyélite aiguë de l'enfance, on peut observer un pied-bot tota
eux direct par paralysie du tri- ceps sural. Dans la poliomyélite aiguë de l'adulte, on observe aussi le plus souvent s
néral pourra faire penser au foie syphilitique. Certaines néphrites aiguës survenant en dehors de toute scarlatine, en deh
tes. Les polynucléaires sont plutôt l'indice d'un processus méningé aigu . Les lymphocytes sont l'indice d'un processus m
aient trouvé la quantité d'albumine augmentée au cours de processus aigus méningés. Mais cette étude a surtout été faite ch
Ce chiffre a été trouvé augmenté dans les cas de broncho-pneumonie aiguë et diminué dans les méningites. Toxicité du l
répétition sera d'autant plus nécessaire que la méningite sera plus aiguë . Babinski a pu obtenir le même résultat curatif
enne de collargol et d'éleelrargol a été tentée dans les méningites aiguës . Mais cette méthode qui a obtenu cependant quel
VENTRICULAIRES. 1151 souvent subaiguë ou chronique que franchement aiguë ; presque tou- jours elle est irrégulière, inter
'ailleurs contingente, de la durée relativement brève de ses formes aiguës et subaiguës, il est identique au syndrome néopla
ellement à la possibi- lité d'une épendymo-choroïdile tuberculeuse, aiguë de l'adulte, puisque c'est chez les tuberculeux
la respiration prédominent dans les épendymites cérébro-bulbaires, aiguës tandis que la polymie et la glycosurie s'observen
oit être la règle en présence d'une meningo-ependymitc tuberculeuse aiguë , d'une épendymite chronique associée à un proce
rencon- trée encore dans des méningites spinales, dans des myélites aiguës et subaiguës, parfois dans des cas de tabès dor
rveuses et muscu- laires encore peu atteintes. Dans les processus aigus portant sur les cornes antérieures de la moelle
sur les cornes antérieures de la moelle, la poliomyélite antérieure aiguë , par exemple, on peut ne trouver à la période i
e dont se comporte la réaction de dégénérescence dans les processus aigus et dans les processus chroniques. ' . Pour ab
rsqu'elle se développe dans des affections qui suivent un processus aigu , la Ull affecte soit la forme appelée complète, s
on, très prononcée ;t la période d'état de la DU dans les processus aigus , est à elle seule très caractéristique, au poin
e la DR et elles sont généralement bien accusées dans les processus aigus . La formule polaire de l'excitation se trouve i
estation la plus importante de la DR par- tielle dans les processus aigus . Elle existe habituellement pour les exci- tati
articulièrement dans la para- lysie faciale) et dans des affections aiguës portant sur les cornes antérieures de la moelle
s lésions qui donnent lieu il cette DU partielle dans les processus aigus aboutissent généra- lement à une réparation plu
es cas, cependant, où la DR partielle, développée avec un processus aigu ou subaigu, n'aboutit pas à la réparation. On la
té- ristiques de la DR qui se montrent si nettes dans les processus aigus . Le plus souvent, cependant, on trouve des trac
t les cornes antérieures, soit directement, poliomyélite antérieure aiguë , sclérose latérale amyotrophique, poliomyélite
nt que les principales indications. Dans la poliomyélite antérieure aiguë (paralysie infantile et paralysie spinale antér
fecte souvent des allures assez semblables ; elle suit un processus aigu ; suivant le degré des lésions radiculaires elle e
de la maladie, tantôt avec les carac- tères de la DR des processus aigus , tantôt avec des caractères plus effacés, comme
tismales. Dans la plupart de ces cas, la DR est celle des processus aigus , tantôt complète, tantôt partielle, suivant la
t généralement de la DR suivant le plus habituellement un processus aigu , plus rarement un processus subaigu ou chroniqu
arfois très étendues et se développent avec un cortège de symptômes aigus , telles certaines polynévrites alcooliques, tub
es affections du système ner- veux comme la poliomyélite antérieure aiguë , ou les radiculites de la méningite cérébro-spi
evue la valeur pronostique de la DR dans la poliomyélite antérieure aiguë , dans les radiculites et dans les polYI1l;- vri
tes et dans les polYI1l;- vrites. Dans la poliomyélite antérieure aiguë , la présence de la DR complète indique des alté
rs périphériques susceptibles d'en- traîner de la DR avec processus aigu , on observe de bonne heure, dès les premières [
troubles vaso- moteurs accentués. Dans la poliomyélite antérieure aiguë (paralysie infantile et paralysie spinale de l'
s un premier groupement les affections, qui en suivant un processus aigu , atteignent soit les cornes antérieures de la m
rnes antérieures de la moelle comme les poliomyélites anté- rieures aiguës , soit les racines nerveuses comme les radiculites
phies musculaires réflexes et par inaction. Poliomyélite antérieure aiguë . Qu'elle se présente sous la forme la plus fréq
térieure des adolescents ou de l'adulte, la poliomyélite antérieure aiguë comporte un traitement sensiblement semblable.
açon. Mais il ne faut pas oublier que des poliomyélites antérieures aiguës , bien qu'assez semblables en apparence au début
sée à la moelle. Dans la plupart des cas de poliomyélite antérieure aiguë le traitement périphérique doit être l'ait, d'a
été employée aussi pour le traitement des poliomyélites antérieures aiguës . Nous préférons à ce mode de traitement, dans la
sont passibles du même traitement. Il faut attendre que la période aiguë de la méningite ait pris fin pour commencer le
s. Parmi les polynévrites il en est qui se développent dune manière aiguë avec manifestations symptomatiques prédominant
essemblance plus ou moins grande avec les poliomyélites antérieures aiguës . Dans ces poly- névrites, cependant, les troubl
e commencé de trop bonne heure; il faut attendre que les phénomènes aigus de la période d'invasion soient en rétrocession;
s précédemment a propos du traitement des poliomyélites antérieures aiguës . L'électrisation statique a été aussi employée
somme il n'est pas il conseiller habituellement pendant la période aiguë d'une névralgie; on pourrait l'essayer lorsque le
t nous paraît, comme le précédent, moins utilisable dans la période aiguë des névralgies que dans leur période de déclin. L
i- tement de névralgies sciatiques qui après avoir passé la période aiguë se montraient plus ou moins persistantes, et pa
traitement de ces troubles de la sphère motrice. Pendant la période aiguë de la névralgie le traitement ne différera guèr
mple et facile; elle convient tout particulièrement dans la période aiguë des névralgies; les formes et les dimensions des
ousseau, les douleurs reviennent seulement par crises paroxystiques aiguës et plus ou moins prolongées et font défaut dans
cérébrales de ces maladies (lièvre typhoïde, rhumatisme articulaire aigu , pneumonie, fiè- vres éruptives, etc.). Dans le
iè- vres éruptives, etc.). Dans les cas demeningtte cérébro-spinale aiguë les applications froides sur la tête et la colo
nnelle. Ce traitement d'ailleurs ne sera jamais l'ait dans la phase aiguë d'une paralysie. Le massage sous l'eau, les mou
uds, com- presses locales chaudes, douches de vapeur). A la phase aiguë des polynévrites sensitives les applications chau
ntielles. dans les lé- sions du. cerveau, 763. par intoxica- lion aiguë du système nerveux, 764. 1(ibyi-itithiqile, 765
1(ibyi-itithiqile, 765. héréditaire, in- coordination, 777. spinale aiguë , 762. Ataxiques (Rééducation des ), condi-
viations du ). Geophagie, copro- phagie, 1005. Goutte articulaire aiguë , localisation de la crise douloureuse sur le gr
, 1001. - Thérapeutique. l00(i. * Intoxications, vertiges, 174. - aiguës , ataxie, 764. - Tremblement, 847. Intransvers
rieure chronique, 805. à marche rapide. Poliencéphaliteinférietire aiguë , 805. ' - périodique familiale, description c
19, 814. " - pseudo-bulbaire. Voy. Pseudo-bul- baire. - spinale aiguë de l'adulte, atrophie musculaire, 715. - spinal
- Pronostic et traitement, 512. Diagnostic topographique, 515. aiguë , 491, 502. ataxique, 762. subaiguë, 762. chroni
ctionnelles, 501. - flasques d'origine traumatique. - à évolution aiguë , 502. - à évolution lente, 504. - récidivantes,
Troubles trophiques, 927. Poliencéphalite inférieure chroniqlle.- aiguë , 805. Poliomyélite, 505. - antérieure aiguë,
férieure chroniqlle.- aiguë, 805. Poliomyélite, 505. - antérieure aiguë , réaction de dégénérescence, 1257. - Pronosti
ique. Réaction de dégénérescence, J ' : 14G. - Dans les processus aigus , 1240. Allé- rations quantitatives et qualitati
n, troubles, 940. Rétentions d'urine, étiologie, 950. - Rétention aiguë . - chronique. - com- plèle, z incomplète, 955.
18 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
essie qui se produisent avec tant de rapidité dans certaines maladies aiguës ou dans les exacerbations de quelques maladies ch
si que la moitié droite de la langue ; il y avait eu une inflammation aiguë de l'œil droit avec œdème des paupières, obnubila
fec-tions de la moelle épinière, telles quel'hématomyélie, la myélite aiguë centrale, la paralysie infantile, affections dans
° La première est relative aux lésions en foyer ou diffuses, à marche aiguë ou subaiguë, qui intéréressent, dans une grande é
ide de la fibre musculaire. — Je citerai, en premier lieu, la myélite aiguë centrale. Lorsqu'elle est quelque peu gé-néralisé
jours à peine progressive, de la paralysie infantile, de la myélite aiguë centrale, et en général de toutes les amyolrophie
36, pl. XIII. Obs. deCath. Aubel.)—Duehenne et Joffroy. De l'atrophie aiguë et chron. des cellules nerv. de lamoelle et du bu
rtvraisemblable encore, pourcequi concerne l'hématomyélie, la myélite aiguë centrale et, en un mot, toutes tes affections irr
endante purulente simple, méningite ascendante ichorcuse, — Decubitus aigu dans l'apoplexie symptomatique des lésions cérébr
fessière ; son importance au point de vue du pronostic . — Decubitus aigu dans les maladies de la moelle épinière : il sièg
épendent d'une lésion du cerveau ou de la moelle épinière.— A. Formes aiguës ou subaiguës : elles se montrent dans les cas de
ines ou les matières fécales. Elles peuvent, de même que le décubitus aigu , devenir le point de départ de véritables eschare
ui vasuivre, car j'ai pu constater, d'un autre côté, que le décubitus aigu lié aux maladies du cerveau ne diffère pas essent
les principales circonstances dans lesquelles se produit le décubitus aigu , sous l'influence des lésions du cer-veau et de l
tions du cerveau et de la moelle qui peuvent donner lieu au décubitus aigu . A. Déeidritus aigu dans l'apoplexie symptomati
la moelle qui peuvent donner lieu au décubitus aigu. A. Déeidritus aigu dans l'apoplexie symptomatique de lésions cérébra
re et postérieure, sont transformés en une boni II que le décubitus aigu des apoplectiques parviennent jusqu'à l'eschare c
cèdent. Les circonstances dans lesquelles se développe le décubifus aigu des apoplectiques ne permet évidemment pas défair
la nu-trition de divers points du tégument externe. B. Du decubitus aigu de cause spinale. Lorsque le décubitus aigu se pr
xterne. B. Du decubitus aigu de cause spinale. Lorsque le décubitus aigu se produit sous l'influence d'une lésion de la mo
ne des genoux, —offrent les lésions qui caractéri- sentie décubitus aigu . Les eschares peuvent se montrer en-core, à la vé
le, on peut dire que les lésions spinales qui produisent le décubitus aigu sont aussi celles qui donnent naissance à l'atrop
ouer à l'anesthésie un rôle important dans la pathogénie du decubitus aigu de cause spinale. Lapersistance delà sensi-bilité
ent à apparaître le plus fréquemment les premiers signes du décubitus aigu : mais ils peuvent, nous venons de le voir, se ma
e manifeste fréquemment dans le temps même où se produit le décubitus aigu , l'émis-sion d'urines sanguinolentes, alcalines e
urnir des renseignements utiles concernant la pathogé-nie dudécubitus aigu et dequelques autres troubles trophiques de cause
r laquelle j'aurai à revenir dans un instant, et enfin le décubitus aigu . Chose remarquable, tandis que l'arthropathie et
une lésion unilatérale de la moelle épinière : c'est que le décubitus aigu peut se montrer indépendant de foute lrypérémie n
emple qu'un effort dans l'ac-tion de soulever un poids ; le décubitus aigu peut, dans les cas de ce genre, se produire aussi
et verdâtre (1). A l'exemple des myélites traumatiques, la myélite aiguë spontanée détermine, elle aussi, très fréquemment
ejour(l). On pourrait aisément multiplier ces exemples. Le dé-cubitus aigu accompagne fréquemment aussiVhêmatomyêlic qui d'a
ion vive intervient tout à coup ou lorsqu'un processus d'inflammation aiguë se surajoute brusquemment à la lésion initiale. A
moelle provoquerait, par sa pré-sence, le développement d'une myélite aiguë . 11 existe dans la science plusieurs exemples de
-tent pas de construire encore une théorie pathogéniqne du dé-cubitus aigu de cause spinale, ils suffisent cependant, si je
sant le plus souvent anatomiquement, par les caractères de la myélite aiguë ou suraiguë, et cliniquement par l'ensemble des s
quer, sous l'influence des irritations, le développement du décubitus aigu . Lagrande fréquence de cet accident dans les cas
aigu. Lagrande fréquence de cet accident dans les cas d'hématomyélite aiguë , centrale, où lalésion occupe surtout les régions
, subir les lésions irritatives les plus graves sans que le décubitus aigu s'en suive jamais. Telles sont les cornes antérie
qui sont caractérisées anatomique-ment par des lésions inflammatoires aiguës , systématiquement limitées à l'air des cornes ant
oit simul-tanément, il en résulte que, dans la clinique, le décubitus aigu et l'atrophie musculaire aiguë, tantôt se montrer
lte que, dans la clinique, le décubitus aigu et l'atrophie musculaire aiguë , tantôt se montreront isolés, tantôt au contraire
s irritatives de la moelle épinière sur le développement du décubitus aigu nous paraît mise hors de doute. M. Samuel cependa
ie supérieure de la région dorsale, —faits dans lesquels le déeubitus aigu survient à la région sacrée, et assurément sans p
joue pas là un rôle essentiel. Pour ce qui est rela-tif au décubitus aigu du siège, je suis très porté à croire que, dans u
ries principales. A. La première comprend les arthropathics à forme aiguë ou subaiguë, accompagnées de tuméfaction, de roug
par M. Gull, fournit une démonstration analogue (4). L'inflammation aiguë ou subaiguë des jointures des membres paralysés p
marquable de voir ces arthropathies, consécutives aux diverses formes aiguës ou subaiguës de la myélite, se développer souvent
pour rappeler Jes phénomènes correspondants du rhumatisme articulaire aigu . Les gaines tendineuses sont d'ailleurs souvent a
hropalhies, sous le rapport du diagnostic, le rhumatisme arti-culaire aigu ou subaigu étant une affection à laquelle se lien
de et, lorsqu'il s'agit de la' moelle épinière, l'atrophie musculaire aiguë des membres paralysés, la cystite, la néphrite, e
emment, mon ami le docteur Bouchard m'a fait part d'un cas de myélite aiguë ob-servée dans le service de M. le professeur Béh
s signalé le rôle prédominant que jouerait, suivant eux, la pneumonie aiguë dans l'issue des apoplexies déterminées par le ra
déterminée dans cet organe par un coup porté à l'aide d'un instrument aigu . Or, même dans les cas de ce genre, il est fréque
ou moins généralisée des voies urinaires. Également dans la myélite aiguë spontanée, à début brusque, 1. Cas de W. Muller
à profondément alté-rées dès le cinquième jour dans le cas de myélite aiguë que nous avons cité d'après le docteur Duckworth
tion des altérations des voies urinaires consécutives aux affec-tions aiguës de la moelle, consultez : Engleken, loc. cit., p.
lésions inflammatoires des voies urinaires à la suite des affections aiguës , spontanées ou traumatiques de la moelle épinière
moniacales, sanguinolentes et purulentes, dans le cours de la myélite aiguë , est, au même titre que la production des eschare
pas en réalité de cette façon. Tel est peut-être le cas du décubitus aigu des apoplectiques ; ici, en effet, l'état géné-ra
ue ne saurait avoir qu'une application très limitée, car le décubitus aigu par lésion des centres nerveux peut se produire d
confinement au lit, etc. Dans le premier cas, il s'agit d'une maladie aiguë , d'une pneumonie, par exemple : dans le second, l
tre cette explication: c'est que les formes de rhumatisme articulaire aigu ou chronique se montrent rarement soit avantl'écl
de beaucoup sur les autres. Nous devons encore signaler 1 • l'cubitus aigu , la pyëïo-cysUte 'un cas', !'«?_ dème de la glott
lacés en dehors du courant c'est l'influence cle certaines maladies aiguës sur le développement de la sclé-rose. \;oici, à l
. Laissant de côtelés casd'anurie dépendant d'une maladie de Rright aiguë ou chronique qui sont trop complexes pour pren-dr
sion de la moelle, déterminée par une tumeur, à la myélite transverse aiguë ou subaiguë, ou encore dans Vàsclérose latérale c
st pas moins démonstratif. Observation II. — Rhumatisme articulaire aigu . —Malaises. — Douleurs et raideurs musculaires. —
. Elle a subi, il y a 20 ans, une attaque de rhumatisme articulaire aigu ; un peu plus tard, une fièvre typhoïde qui paraî
etc., se sont produites. C'est le cas pour le rhumatisme articulaire aigu ou chronique,la goutte, ainsi que M. Charcot l'a
endante purulente simple, méningite ascendante ichoreuse. — Decubitus aigu dans l'apoplexie symptomatique des lésions cérébr
fessière ; son importance au point de vue du pronostic . — Decubitus aigu dans les maladies de la moelle épinière : il sièg
épendent d'une lésion du cerveau ou de la moelle épinière.— A. Formes aiguës ou subaiguës : elles se montrent dans les cas de
a substance grise de la moelle, 62. — Lésions de ces cellules : forme aiguë (pa-ralysie infantile), 68 ; — forme chronique (a
lonne ver-tébrale, 66; — dans l'hématomyé-lie, 65 ; — dans la myélite aiguë centrale, 65 ; — dans la sclérose en plaques, 241
Crises gastriques, 261. D Danse cle Saint-Guy, 459. Décubitus aigu , 83. — Mode d'évo-lution, 86. — Affections conséc
Electro-Diagnostic, 35. Embolies gangreneuses, suite du dé-cubitus aigu , 88. Encéphalite, 91. Endocardite ulcéreuses
es, Atrophie musculaire, Myopathies, Sclé-rose en plaques.) Myélite aiguë centrale, 65.— Dimi-nution de la contractilité él
ysislogie pathologique, 266. — Causes, 268. — Influence des mala-dies aiguës , note, 259, 270. — Pro-nostic, 271, 423.-Traiteme
19 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
ls fournissent dichotomiquement des branches qui se détachent à angle aigu . Par suite de cette disposition, les intervalles
périphérie qu'au centre. Ces capillaires s'anastomosant soit à angle aigu , soit par de courtes branches transversales, il e
rtrophie : — infiltration et dégénération graisseuses (atrophie jaune aiguë du foie, atrophie jaune consécutive, ictère grave
e je viens de décrire peux revêtir deux formes principales : la forme aiguë ou même suraiguë, et la forme lente. a) Un exem
donné par l'altération hépatique connue sous le nom d'atrophie jaune aiguë du foie. Sur certains points de l'organe ainsi al
phé-nomène vital. En effet, pendant la vie, les cas d'atrophie jaune aiguë du foie, il est de règle que la leucine et la tyr
as atrophie j aune consécutive et que là aussi, comme dans l'atrophie aiguë , on observe des phénomènes cliniques se rapportan
nt, il y a lieu Fig. 10. — Vaisseaux biliaires dans Vatrophie jaune aiguë du foie. —a, sec-tion de la veine centrale d'un l
ation. J'aurai aussi l'occasion, dans l'histoire de l'a-trophie jaune aiguë du foie, de vous faire remarquer qu'une dispositi
te substance les accidents nerveux qui résultent de l'a-trophie jaune aiguë du foie. C'est ici que la majorité des auteurs
la destruc-tion des cellules hépatiques dans les cas d'atrophie jaune aiguë du foie. Il n'a pas été difficile de montrer que
analogue de la bile a été observée: 1° dans quelques autres maladies aiguës entre autres la pneumonie et l'hépatite des pays
. — Path. Anatom., p. 406. mènes rappelant ceux de l'atrophie jaune aiguë du foie. A l'autopsie on retira du foie une forte
ions de Frericbs sur les altérations de l'urine dans l'atrophie jaune aiguë du foie, qu'on s'est occupé avec un peu de suite
ie, 1876. son étendue le parenchyme du foie, comme l'atrophie jaune aiguë , la cirrhose vulgaire ou 2° des altérations circo
e). Sommaire. — Destruction du parenchyme hépatique suivant un mode aigu ou subaigu. — Hépatite ; variations du taux de
ée ; — apparition de la leucine et de la tyrosine. — Atrophie jaune aiguë du foie. Fièvres intermittentes symptomatiques
me est également partielle et étendue, mais s'opère suivant un mode aigu ou subaigu. Dans ce cas, l'abaissement du chiffre
ine et de la tyrosine. cl) Mais c'est surtout dans Y atrophie jaune aiguë du foie, comme j'ai eu l'occasion de le signaler
rinaire, accompagnement néces-saire, suivant lui, de l'atrophie jaune aiguë du foie, Cette mo-dification, d'après Frerichs, s
elatée par M. Murchison (4) : Elle montre que dans l'atrophie jaune aiguë du foie, la leucine et la tyrosine peuvent faire
ent d'être indiqué, comme parti-culièrement propre à l'atrophie jaune aiguë du foie. C'est évi-demment une erreur. Il me suff
ndant n'appar-tiennent pas plus que les précédents à l'atrophie jaune aiguë du foie. 11 s'agit ici d'une forme particulière
t pas seulement dans la goutte chronique ; elle existe dans la goutte aiguë , dès le premier accès, suivant la remarque de Gar
dans l'épaisseur de la paroi du duodénum, ce canal se réunit à angle aigu avec le conduit pancréatique. Il résulte de cette
lo-graisseuse, comparable à celle qu'on observe dans l'atrophie jaune aiguë du foie. Le fait a été reconnu pour la première f
de celles qui se montrent d'une façon constante dans l'atrophie jaune aiguë du foie. Il y aura lieu de recher-cher s'il faut
le, dans ces caractères essentiels, celui qui, dans les inflammations aiguës , aboutit à la formation des cicatrices. a) Ains
qualifie les inflammations qui, d'emblée, sans passer par une période aiguë , se constituent telles quel-les, à l'état subaigu
cas, l'in-flammation scléreuse procède directement de l'inflammation aiguë . Je vais vous citer, à l'appui, quelques exemples
e noueux peut prendre origine dans un accès de rhumatisme articulaire aigu ; — b) La pneumonie chronique ou interstitielle o
erstitielle ou fibroïde peut se développer à la suite de la pneumonie aiguë lobaire, douée de tous les attributs carac-térist
constituent quelquefois comme maladie chronique à la suite d'un état aigu . Sans doute, ces cas sont rares, exceptionnels, m
s ils suffisent pour établir le lien entre l'état chronique et l'état aigu . J'ajouterai que les processus inflammatoires q
, si l'on peut ainsi dire, à des exagérations momentanées ou poussées aiguës , rappelant ce que M. Paget a désigné sous le nom
général des lésions anatomiques du foie, à propos de l'atrophie jaune aiguë où s'observent des altérations du même genre. Y a
naires ; on les trouve dans les affections rénales les plus diverses, aiguës ou chroniques ; on peut même les rencontrer à l'é
écrits par Ranvier dans la stéaose phosphorée. Constatée dans un état aigu , l'existence de ces derniers doit éveiller l'atte
Leur présence dans l'urine est un fait banal dans certaines maladies aiguës , par exemple dans les fièvres éruptives ; on les
chroniques; car j'éloigne du cadre de la maladie de Bright les formes aiguës d'affections rénales que l'on rapporte habituelle
chronique: dyspepsie: — ainauroses; — phénomènes nerveux. B.— Urémie aiguë . — Mécanisme des accidents uremique;— influence d
fluence des émotions morales, des fatigues, de la fièvre, des lésions aiguës du cœur, etc. Troubles de la sécrétion de l'aci
encore, dans la néphrite insterstitielle, se présenter sous la forme aiguë , avec des caractères insolites : Io un individu o
elle l'équilibre s'était jusque-là maintenu, est prise d'en-docardite aiguë ; l'insuffisance mi traie qui en résulte a pour e
(Néphrite parenchymateusë). Sommaire. — Synonymie. — Deux formes : aiguë et chronique. Forme chronique. — Examen macrosc
, deux formes bien distinctes au point de vue clinique : Io une forme aiguë ; 2° une forme chronique. Je n'envisage-rai ici q
arlatine, dans le cours de laquelle elle se développerait d'une façon aiguë ; or, si l'on cherche les preuves de cette assert
éphrite parenchymateuse permanente commence quelquefois d'une manière aiguë , c'est-à-dire brus-quement, avec accompagnement d
outes les observations de maladie de Bright parenchyma-teuse, à début aigu , paraissent faites à peu près sur le même modèle.
s à peu près les mômes. 1° Les urines sont rares et dans la période aiguë quelque-ois très rares ; dans les conditions ordi
la néphrite parenchymateuse, mais bien de la néphrite interstitielle aiguë ; — elles affectent surtout les glomérules. De
sive. Sans doute, il existe des cas dans lesquels on observe un début aigu , fébrile, des hydropisies, une durée de deux ou t
bserve en pareil cas, comme une variété de la néphrite interstitielle aiguë et su-baiguë. Ainsi, dans un lait étudié par M.
6 (?), p. 516). Ainsi nous trouvons ici une néphrite interstitielle aiguë , généralisée clans les deux reins, survenant dans
ntre jusqu'à l'évidence l'existence d'une inflammation interstitielle aiguë dans les reins. tard, ce sont les fibres muscul
dé-crites par Langhatis et que cet auteur rapporte à l'inflamma-tion aiguë (épaississemenf, au voisinage du noyau, du proto-
s quelque circonstance qu'elle se montre, quelle que soit la ma-ladie aiguë ou chronique qu'elle vienne compliquer, est tou-j
r l'étude des formes anatomo-pathologiques de la néphrite albumineuse aiguë ou chronique. La plupart des figures qui accomp
ypertrophie; infiltration et dégénération graisseuses (atrophie jaune aiguë du foie, atrophie jaune consécutive, ictère grave
ée. Sommaire. — Destruction du parenchyme hépatique suivant un mode aigu ou subaigu. — Hépatite ; variations du taux de l'
urée ; — apparition de la leucine et de la tyrosine. — Atrophie jaune aiguë du foie. Fièvres intermittentes symptomatiques
chronique: dyspepsie; — amauroses; — phénomènes nerveux. B. — Urémie aiguë . — Mécanisme des accidents urémiques; — influence
fluence des émotions morales, des fatigues, de la fièvre, des lésions aiguës du cœur, etc. Troubles de la sécrétion de l'aci
[Néphrite parenchymateuse). Sommaire. — Synonymie. — Deux formes : aiguë et chronique. Forme chronique. — Examen macrosc
la néphrite parenchymateuse, mais bien de la néphrite interstitielle aiguë ; — elles affectent surtout les glomérules. De l
dans la cirrhose vul-gaire, 246. — Consécutive du foie, 180. — Jaune aiguë du" foie, 27, 41, 68 , 79, 96, 101, 168 (V Rein).
e rein sain, 3)07, 394 : — par le rein con-tracté, 345, 347. Urémie aiguë , 317 ; — chronique, 345.—Dans la nephrite interst
20 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
l'anarthrie et les autres mani- festations d'une paralysie bulbaire aiguë . Un fait qui mérite d'être signalé, c'est la su
semblable, il y a quelques années. s'agis- sait d'un ramollissement aigu de la moelle allongée par une thrombose consécu
assure qu'à cet âge il a eu une at- taque de rhumatisme articulaire aigu d'assez longue durée (mais il ne s'est ë8 ' F.
a à éprouver dans les pieds, les jambes et les cuisses des douleurs aiguës lancinantes ou térébrantes survenant tous les moi
ale est saine, elle est cependant limitée en avant par une arête très aiguë . La colonne vertébrale, dans son ensemble, nous
dénite, etc...), d'autre part, des polynévrites sensitivo- motrices aiguës ou subaiguës que t'expérimentation-et l'examen ba
héréditaires nerveux. Père et mère morts à 58 et 56 ans de maladie aiguë . 5 frères et soeurs vivants et sans maladie ner
s'accompagnant parfois d'engourdissement. Deux mois après douleurs aiguës , avec gonflement du talon gauche, près du pied dr
troubles moteurs sous la forme de névrites multiples chroniques ou aiguës . En 1887, Letulle par- ticulièrement étudié les
nous attirons plutôt l'attention sur les polynévrites mercurielles aiguës ou subaiguës. Cet accident est rare, il est vra
troubles nerveux qui ne rentrent pas dans le cadre de la polynévrite aiguë ou subaiguë (cas de Kahler, Taylor et Sorrentin
éfaut chez le malade de Spillmann et Etienne. A côté de cette forme aiguë , nous devons placer une forme subaiguë représenté
nt dénommé par Charcot, la syphilis tigrée de la moelle. La myélite aiguë se reconnaît à des douleurs lombo-dorsales, des
culier celui du cou, avait été le siège de poussées inflammatoires, aiguës , subaiguës ou chroniques. Dans les cas que nous
ier. Rhumatisant par hérédité et ayant eu du rhumatisme articulaire aigu . Début de la maladie il y a 26 ans par une gros
e, on reconnut que la vision était normale. Pendant cette période aiguë , et un peu après il lui est arrivé de gâter. 21
nt. A. Hémiplégie traumatique. On peut lui considérer une période aiguë qui dure pendant les quelques jours qui suivent
erminer une série de secousses. Il y a parfois pen- dant la période aiguë des mouvements épileptoïdes du côté paralysé, mai
e d'une heureuse intervention ou même dans le décours de la période aiguë les troubles de la parole s'améliorent, l'aphas
ici une certaine valeur dans l'ensemble des symptômes de la période aiguë . Enfin à la période aiguë appartiennent encore
l'ensemble des symptômes de la période aiguë. Enfin à la période aiguë appartiennent encore les grandes élévations de
ent au bout d'un certain temps. Ce que nous qualifions de période aiguë et qui comprend les grands signes immédiatement
gourdissement et de picotements. En 1870, retour des douleurs, crises aiguës aux changements de température. En 1875, perte
n très appréciable. Des bourdonnements d'o- reille, des sifflements aigus et prolongés apparaissent de temps en temps. La
s de répit. Au milieu de ces douleurs continuelles, remarquablement aiguës , se déclara en août 1899 une congestion pulmona
nouvelles, sans exagération des douleurs anciennes,sans phénomènes aigus d'aucune sorte, ont apparu de très gros bruits de
e il est impossible de préciser s'il s'agit de rhumatisme articulaire aigu franc. L'affection, pour laquelle la malade e
s, d'après son dire, en 2 ans, sans cause appréciable, sans maladie aiguë , sa taille s'éleva de 0 m. 20. Au conseil de ré
nt herniaire trois mois ; il est mort à deux ans et demi d'entérite aiguë . Depuis la naissance de ce dernier enfant,, la mè
ement, bel éclairage, harmonieux coloris, et surtout sentiment très aigu de la vé- rité réaliste servi par un don mervei
s. Elle survit seule : une soeur est morte à 25 ans d'une affection aiguë de poitrine et un frère est mort à 44 ans, aussi
use, en parti- culier vertébrale, pas de diàthèse rhumatismale soit aiguë , soit chronique. Quelques infections banales, l
ensibilité à la douleur (piqûre ou brosse électrique) est un peu plus aiguë à droite par rapport à la normale. Mais les dif
e Année- N° 6. NOVEMBRE-DÉCEMBRE NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË (') PAR G. MARINESCO Professeur à l'Univers
ande incertitude dans la concep- tion anatomo-clinique des myélites aiguës . C'est sans doute cette incerti- tude qui avait
laient la fréquence de la sclérose en plaques à la suite des maladies aiguës et lui attribuaient pour cause l'action sur les
nt d'observation, Marie a reconnu que dans la queslion des myélites aiguës , c'est la genèse, la pathogénie qui doit occuper
es myélites en général. Toutefois, dans la définition de la myélite aiguë , on doit envisager non seulement le côté étiolo
n. Pour Oppenheim comme pour P. Marie, comme pour Bruns, la myélite aiguë est une maladie rare, tandis que Leyden et Gowe
ns l'étude que nous allons entreprendre sur la nature de la myélite aiguë , nous allons faire intervenir d'une part la notio
est-à-dire la réaction organique par laquelle se traduit la myélite aiguë et, d'autre part, les agents qui provoquent ces r
manière naturelle à la vraie conception de la nature de la myélite aiguë . On pourrait admettre avec Leyden et Goldscheid
uë. On pourrait admettre avec Leyden et Goldscheider que la myélite aiguë présente les modalités. anatomo-cliniques suiva
présente les modalités. anatomo-cliniques suivantes : 1° la myélite aiguë transverse; 2° la myélite aiguë diffuse, ascend
cliniques suivantes : 1° la myélite aiguë transverse; 2° la myélite aiguë diffuse, ascendante et descendante; 3° la myéli
la myélite aiguë diffuse, ascendante et descendante; 3° la myélite aiguë disséminée; 4° la polyo-myélite antérieure aiguë.
nte; 3° la myélite aiguë disséminée; 4° la polyo-myélite antérieure aiguë . Les deux premières formes, malgré une certaine
us du foyer à la substance grise. Dans toutes ces formes de myélite aiguë , nous trouvons un certain degré de ramollisseme
. La moelle est tuméfiée, molle, NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 563 même dil'lluente. Sur une section transvers
es (Lamy, Rotlunann, Hoche). Mais en est-il de même dans la myélite aiguë ? Je pense que les processus vasculaires de la my
a substance blanche. J'ai eu l'occasion d'examiner 6 cas de myélite aiguë et dans 2 d'entre eux j'ai constaté la présence
s; or dans mon cinquième cas la myélite qui avait présenté un début aigu n'a em- porté le malade que 3 mois après son ap
teint d'oreillons et le diagnostic fut mis en conséquence : myélite aiguë avec oreillons (1). A l'autopsie (1) Je dois le
présentant l'état dit aréolaire. NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 565 on trouva que les parotides étaient transfo
assons a présent à 1 étude des réactions organiques de la myé- lite aiguë étudiée au point de vue histologique, nous pourro
cette maladie. Tout d'abord, dans les premières phases delà myélite aiguë , quelle qu'en soit la nature, on constate une c
tituant un riche réseau dans la substance grise. Lorsque la myélite aiguë a une marche foudroyante, elle s'arrête seulement
Fig. 4. - Se rapporte au même cas que la précédente. Foyer de myélite aiguë déve- loppé dans la substance grise antérieure.
de microcoques (staphylocoques). NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 567 peuvent même oblitérer la lumière. Le mécan
actions vasculaires et interstitielles, il se passe dans la myélite aiguë des phénomènes importants du côté du tissu nerveu
rdon FiG. 6. - Cellules névrogliques de nouvelle formation (myélite aiguë ). Les cellules ramifiées présentent une certain
avec les cellules kariochromes. NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 369 latéral, se présente sous forme de zones bi
no- phages, et qui jouent également un certain rôle dans la myélite aiguë (fig. 7 et 8). ' Dans les nodules inflammatoi
uë (fig. 7 et 8). ' Dans les nodules inflammatoires de la myélite aiguë , nous l'avons déjà dit, on trouve parfois la ca
lle; cependant démonstration de la nature infectieuse de la myélite aiguë ne date que de quelques années. 570 MARINESCO
La théorie était vraie surtout en ce qui concerne les cas de myélite aiguë , mais elle avait besoin d'être confirmée par de
vateurs qui ont apporté des documents incontestables sur la myélite aiguë , je dois citer en première ligne, le professeur
orsqu'on compare les données cliniques des observations de. myélite aiguë avec l'examen anatomo-pathologique et bactériolog
on éprouve une certaine désillusion. Si les observations de myélite aiguë sont assez nombreuses, les cas avec examen anat
res, ni par l'examen anatomo-pathologique. Voici les cas de myélite aiguë où on a retrouvé des microbes soit sur des coup
cellules névrogliques jeunes. , NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 571 pu cultiver du liquide extrait par la ponct
qu'on le voit, le nombre des observations démonstratives de myélite aiguë est très restreint, et la question mérite de nouv
lles recher- ches. Bien entendu, il y a des observations de myélite aiguë où l'examen détaillé n'a pas permis de constate
s de myélite après la variole. Strümpel a observé un cas de myélite aiguë après un panaris. Comme spécimen de myélite aiguë
un cas de myélite aiguë après un panaris. Comme spécimen de myélite aiguë due à des microbes ayant leur point dans une su
d'examen anatomo-pathologique. Hochhaus a publié un cas de myélite aiguë au cours d'une amygdalite ; Ebstein, Curschmann,
on le voit, la porte d'entrée des microbes qui réalisent la myélite aiguë est très variable. En tenant compté du fait que l
très variable. En tenant compté du fait que le nombre des myélites aiguës est minime en rapport avec celui des infections c
. Je suis disposé à admettre que dans la plupart des cas de myélite aiguë il existe un état de vulnérabilité de la moelle
ée des agents microbiens, des virus capables de produire la myélite aiguë , nous devons citer également les nerfs périphé-
ansversale de la moelle dorsale supérieure dans un cas de myé- lite aiguë chez l'homme, due à la présence d'un coli-bacille
une inflammation très intense. NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 573 ascendante. Autrefois, le champ de la névri
partie de la membrane nucléaire. NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 575 réserve dans le diagnostic de la rage par l
de coagulation du cytoplasma. NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 57 manifestes dans la moelle ou dans le bulbe.
nd rôle qui revient aux mi- crobes dans la production de la myélite aiguë , mais est-ce qu'en dehon des agents microbiens,
ns, il n'y a pas d'autres facteurs capables d'engendré : la myélite aiguë ? Probablement oui. Les examens anatomo-pathologi
recherches expérimentales ont montré qu'il y a des cas de myé- lite aiguë avec toutes les réactions organiques qui la carac
traumatisme ne sont capables de produire par eux-mêmes une myélite aiguë ; c'est du moins ce qui ressort de nos expérience
des convulsions. Ici, non plus, nous n'avons pas trouvé la myélite aiguë , telle que nous l'avons décrite. Je dois cepend
constituent des causes efficientes pour la production de la myélite aiguë chez les animaux. Il y a cependant à ce point d
n accusée que j'ai eu l'occasion NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 579 d'observer, j'ai rencontré une méningite de
e dépend pas de la destruction des fibres nerveuses. La méningite aiguë , au cours de la myélite aiguë, a été notée par qu
des fibres nerveuses. La méningite aiguë, au cours de la myélite aiguë , a été notée par quel- ques auteurs, mais aucun
ienne. L'existence fréquente de la méningite au cours de la myélite aiguë et les expériences que j'ai faites à ce point d
essemblent jusqu'à un certain point aux poliomyélites antérieu- res aiguës (fig. 15). On a par là une preuve de l'origine va
une preuve de l'origine vasculaire de la po- liomyélite antérieure aiguë de l'enfance, car les lésions réalisées par les
ru ou bien sont très atrophiées. NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 581 On constate, en outre, parmi les lésions mé
yers absolument semblables à ceux qu'on rencontre dans la myé- lite aiguë de l'homme et que Leyden a décrits sous le nom de
joue un rôle essentiel dans la détermination de la forme de myélite aiguë . Ainsi la pénétration des microbes par les artère
eider, Siemerling, Redlisch, Williamson, etc. La myélite transverse aiguë résulte de la localisation des microbes dans le*
s différentes lésions histologiques qu'on rencontre dans la myélite aiguë , il est possible, je pense, de donner une définit
ces lésions représente la définition même de la myélite. La myélite aiguë n'est autre chose que la réaction générale et ini
rmes, dans toute myélite il doit NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 583 y avoir des phénomènes de réaction du côté
fois, il y a des scléroses qui constituent un reliquat de la myélite aiguë par le fait que la maladie, après avoir réalisé
e la maladie, après avoir réalisé le tableau clinique de la myélite aiguë , a pris une marche subaiguë. J'ai eu l'occasion d
de ce genre. Le malade a présenté tous les phénomènes de la myélite aiguë , paraplégie complète, troubles sphinctériens, a
substance grise intermédiaire. NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 585 dans les espaces lymphatiques des vaisseaux
ltérations des cellules ner- veuses qu'on rencontre dans la myélite aiguë sont très nombreuses et très variables comme as
vahi également le canal central. NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 589 dépendant tout simplement de Ja fusion plus
vi- rulente de staphylocoque. NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 591 du reste qu'il ressort de cette figure même
avec homogénéisation du noyau. NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 593 elle est circonscrite à une région de la mo
a, lesquels cons- tituent les agents les plus communs de la myélite aiguë . J'ai fait un assez grand nombre d'expériences
administré des streptocoques et NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 595 du sérum de Marmoreck. Je citerai ici une i
actuel, encore impuis- sante à éviter les altérations de la myélite aiguë et leurs conséquences. Les substances antisepti
pas nous rendre de services réels dans le traitement de la myélite aiguë . Il n'y a pas de substance antiseptique idéale qu
lite, mais sans succès. Par conséquent, le traitement de la myélite aiguë ne peut être que symptoma- tique, et parmi les
le malade, et par la balnéation continuelle. Dans un cas de myélite aiguë à forme très douloureuse j'ai Fm. 28. ' 596 M
ment dans la ligne maternelle. Higier (3), s'occupant des oedèmes aigus et chroniques dans quelques névroses, en partic
- {lien de Lucas de Leyde (1 pl. en pho- tograv.), 208. Myélite aiguë (Nature et traitement de la), par G. Marinesco,
(4 fig.), 176. Marinesco G. Nature et traitement de la myélite aiguë (28 fig.), 561. 1\1.\R1 IAL René. De l'hémiplég
21 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
is et conduit avec soin est resté ici sans résultat. Aucune maladie aiguë n'a précédé cette gangrène et ne peut être respon
a partie inférieure, presque verticale. L'angle peut être encore plus aigu qu'il ne l'est dans le crâne dont la figure 1 c
ANZI) A PROPOS D'UN CAS DE POLYNÉVRITE AMYOTROPHIQUE TUBERCULEUSE AIGUË A TYPE DESCENDANT PAR It G. CATOLA Assistan
discussion diagnostique que les formes suivantes : la poliomyélite aiguë de l'adulte ; la polynéyrite amyotrophique ; l'
onc à discuter que la polinévrite amyotrophique /et la poliomyélite aiguë dont le diagnostic différentiel n'est pas toujour
autre et que beaucoup de cas décrits au chapitre de la poliomyélite aiguë des adultes devraient trouver place parmi les 011
que le diagnostie de polynévrite systématisée molrice amyotrophique aiguë . Cette observation est intéressante à plusieurs
re), la dégénérescence wallérienne serait une régression cellulaire aiguë des cellules segmentaires qui retourneraient à l'
laires et palpébrales étaient injectées du fait d'une conjonctivite aiguë qui s'était récemment développée sur la bléphar
haque oeil, et il existait une légère photophobie. La conjonctivite aiguë fut bientôt guérie, mais la blépharite chroniqu
les premières attaques de toute une série; chacune de ces attaques aiguë et douloureuse laissait après elle une augmenta
proposons de donner une relation assez détaillée de ces « attaques aiguës » parce qu'on né les retrouve pas ou du moins qu'
e rapportés par Milroy, Meige, Rolleston, etc. Première « attaque aiguë ». Elle survint le 19 janvier 1904 ; la ma- lad
vint le 19 janvier 1904 ; la ma- lade ressentit d'abord une douleur aiguë au pudendum, mais elle ne con- sidéra pas la ch
eu ; vers le 26 janvier elle était pratiquement guérie de l'attaque aiguë , le pudendum était redevenu nor- mal, la douleu
fois où il n'y eut pas d'élévation de température pendant l'attaque aiguë . OEDÈME PERSISTANT HEREDITAIRE 179 Seconde «
aque aiguë. OEDÈME PERSISTANT HEREDITAIRE 179 Seconde « attaque aiguë ». Celle-ci survint le 10 juin 1904 à 6 heures
n'avait encore été menstruée qu'une fois. Une attaque courte, mais aiguë , de dérangement mental survint en fé- vrier 190
nu par des bandages. A l'âge de 20 ans il eut la première « attaque aiguë », sem- blable à celles de notre malade, et dep
à celles de notre malade, et depuis il eut de nombreuses « attaques aiguës », jusqu'à l'âge de 25 ans, époque où il eut la d
autres, l'une (Ellen) eut les « jambes enflées » et les « attaques aiguës » (V. ci-dessous). William n'eut pas d'oedème ;
rriet eut dès sa jeunesse les~ « jambes enflées » et les « attaques aiguës ». Elle mourut à sa première couche et l'enfant é
s une mesure assez modérée, et il a aussi souffert des « atta- ques aiguës ». Son état actuel n'est pas mieux venu sur la
in, le malade était revenu à son état normal d'oedème, l' « attaque aiguë » ayant duré 4 jours, et ayant disparu spontané
sans laisser après elle un surcroît d'oedème. La deuxième « attaque aiguë » qui ait été observée commença le 31 mai 1907.
e chez notre propre malade. Elle eut également plusieurs « attaques aiguës », mais nous n'avons pu avoir de renseignements s
ffre à la fois des « jambes enflées » et elle a eu des « atta- ques aiguës » ; nous avons pu l'examiner grâce à l'obligeance
en descendant sur le pied et sur les orteils. Sa première « attaque aiguë » survint lorsqu'elle avait 36 ans, quinze ans
après le début de l'oedème, apparemment sans cause. Les « attaques aiguës », quoiqu'elles aient été bien tardives, sont mai
RSISTANT HÉRÉDITAIRE 189 guérie ; mais d'ordinaire chaque « attaque aiguë » a été strictement uni- latérale. La malade
t sa soeur, a été sujette à ce que nous avons appelé les « attaques aiguës » ; l'une d'elles a été observée,elle commença le
près de même importance aux deux jambes. Une semblable « attaque aiguë » survint du côté gauche le 18 juillet 1907.
ITAIRE 193 Relations entre les « jambes enflées » et les « attaques aiguës ». Avant de pénétrer plus avant dans la discuss
rapports exis- tant entre les « jambes enflées » et les « attaques aiguës » que tous ou presque tous les malades ci-dessu
ou presque tous les malades ci-dessus ont éprouvées. Si « l'attaque aiguë » avait été le phénomène primitif, il serait tr
lées » existaient quelque vingt-cinq ans avant que des « atta- ques aiguës » soient survenues. Par conséquent il paraît cl
soient survenues. Par conséquent il paraît clair que les « attaques aiguës » sont plutôt des accidents concomitants que de
de l'eedème. Nous ne savons pas quelle est la nature des « attaques aiguës » ; nous discuterons à ce propos lorsqu'il nous
ien qu'étant peut-être un « phénomène vaso-moteur », chaque attaque aiguë a quelque point de ressemblance avec quelques i
répé- tées. En somme nous sommes enclin à penser que les « attaques aiguës » ne sont pas dues à l'infection ou du moins qu
i nous comprenons que l'oedème puisse exister avant toute « attaque aiguë » et même 25 ans avant elle. Par con- séquent i
tion héréditaire si fortement affirmée, et peut-être les « attaques aiguës » auxquelles nombre des malades décrits ci- des
es appellations propres. Il est noter que, en dehors des « attaques aiguës » nos sujets avaient un oedème des jam- bes abs
e trouble géné- ral de leur santé, alors que pendant les « attaques aiguës » le désordre constitutionnel était considérabl
urs des exacerbations de l'oedème angioneurotique. Nos « attaques aiguës » étaient si semblables aux exacerbations de l'oe
sprit lent ; Bessie fut dipsomane ; Alice elle-même eut une attaque aiguë de manie loquace, avec du délire; son frère, Ja
les et enflées (cela existait dans nos cas en dehors des « attaques aiguës »). 5° Absence de tout symptôme constitutionnel
es autres. Meige, par exemple, insiste sur l'absence des « attaques aiguës » ; elles se produisaient au contraire d'une fa
par un appareil de bandes maintenues en permanence. Les « attaques aiguës » bien qu'elles paraissent dangereuses disparais-
n'a pas été le cas, et même dans une observation où les « attaques aiguës » avaient été fréquentes au- paravant, leur ret
t qu'ils présentaient ce que nous avons décrit comme des « attaques aiguës » dont nous avons donné les détails en temps et
r le trophoedème. Gazette hebdomadaire, no 15, 1902. Higier. OEdème aigu et chronique dans quelques névroses el en particu
il s'agit toujours d'un accès de conflt- sion mentale, généralement aigu , se traduisant à la fois par de l'agitation ou
n du goitre exophtalmique. On est bien forcé de rapporter ce délire aigu à une poussée dans les symptômes basedowiens. «
ains,au niveau des deux dernières phalanges. Ces douleurs sont fort aiguës , comparables à la sensation d'onglée, mais elles
ntégrité constante de l'encéphale dans la polio- myélite antérieure aiguë . Morvan (1), dans une thèse récente, s'est fai t
ait dans sa thèse inaugurale, l'étude de la poliomyélite anlérieure aiguë de l'adulte, relate la statistique que Médin (3
ta au 10' Congrès de Berlin. La voici : - Poliomyélite antérieure aiguë avec polynévrite, parésie du facial : un cas ;
f facial et de l'oculo- moteur : un cas ; Poliomyélite antérieure aiguë , avec participation de l'oculo-moteur et du vag
rticipation de l'oculo-moteur et du vague : un cas ; Poliomyélite aiguë avec participation du facial, du vague et de l'ac
du vague et de l'acces- soire : un cas ; Poliomyélite antérieure aiguë avec participation de l'accessoire [et de l'hyp
'accessoire [et de l'hypoglosse : un cas. Poliomyélite antérieure aiguë avec participation de l'oculo-moteur, du facial
(1) MoRvAN, Contribution à l'étude de la paralysie spinale antérieure aiguë de l'adulte. Thèse de Paris, 1906. . (2) SCII
Paris, 1906. . (2) SCIIMIERGELD, Étude sur poliomyélite antérieure aiguë . Thèse de Paris, 1901. (3) Médin, Verhandl. des
as, comme on l'a vu dans plusieurs cas de polio- myélite antérieure aiguë , de déceler la lymphocytose, témoignage de la r
ient échappé à la destruction et aient été atteintes par le processus aigu qu'on,peut étudier dans toute sa pureté sur l'h
deux extrémités sont : en bas l'augle sacro-lombaire beaucoup plus aigu que d'habitude comme si le sacrum ayant conserv
Il y a dix-huit mois il eut une attaque de polyarthrite rhumatismale aiguë avec tuméfaction de toutes les grandes articula
proie à une intoxication qui se manifeste parfois par des symptômes aigus et graves, et parfois d'une façon très lente et
a) selon la période de la maladie; b) selon qu'il s'agit de formes aiguës ou chroniques, de formes légères ou graves; c)
ien marquée, à la suite et sous l'influence d'une confusion mentale aiguë , toxique ou infectieuse ; 2° La démence précoce
; organes sexuels rudimentaires ; absence de poils ; voix grêle et aiguë , larynx peu saillant,corps thyroïde généralemen
ons sans plus éliminer toute affection encéphalique ou méningitique aiguë ou subaiguë car on n'eut jamais la moindre alté
riées : traumalismes, surmenage intellectuel, maladies infectieuses aiguës , tu- berculose, mais surtout il l'alcoolisme et
se manifeste chez l'adulte 460 ETTORE LEVI sous forme tout à fait aiguë , elle n'est que très difficilement différenciable
te tuberculeuse; mais, dans notre cas, tout symptôme d'un processus aigu fait défaut, de sorte que cette partie du diagn
diagnostic est facilitée. Parfois cette forme de méningite séreuse aiguë acquise se résout en une guérison plus ou moins
ez les tabétiques. En outre, chez un jeune homme atteint de myélite aiguë syphilitique avec paraplégie flasque, j'ai observ
au contraire, chez un sujet urémique on voit surgir une péricardite aiguë , avec de la fièvre, ou bien des douleurs très for
rès une démarche silencieuse, produit des phénomènes de perforation aiguë . Je possède moi-même deux observations de cette n
thèse répond mieux à la réalité des phé- nomènes observés (douleurs aiguës à l'estomac, hématémèses, méloena, péritonite,
ans (1 pl.),415. Brissaud et Gy. Un cas de poliencéphalo- myélite aiguë (1 pl.), 254. Ciron. A propos d'un cas de polyn
Ciron. A propos d'un cas de polynévrite amyotrophique tuberculeuse aiguë à type descendant (3 pl.), 129. COoLLm et IIA
nue (2 pl.), 56. Gy et BaissAuD. Un cas de polyencéphalo- myélite aiguë (1 pl.), 254. Haushalter et COLLIN. Examen anat
CH. OEdHne persistant héré- ditaire des jambes avec exacerbatiuns aigu ," (1 pl.), 177. IIULTha.1\TC. Les altérations d
.1, par Pailhas, 162. Amyotrophique (Polynévrite - tubercu- leuse aiguë à type descendant) (3 pl.), par CATOLA, 129.
fèvre, 3 J2. OEdème persistant héréditaire avec exa- cerbalions aiguës (1 pl.), par Hope et FRENCH, 111. Oxyréphalie
Bulrneville, Kmn- senc et Richet fils, 41, l'oliencéphalo-myélite aiguë (1 pl.), par Brissaud et Gy, 254. Polynévrite
par Brissaud et Gy, 254. Polynévrite amyotrophique tuberculeuse aiguë à type descendant (3 pl.), par CATOLA, 129. P
TELLE.)10.XT, 61. Trophoedèrne héréditaire avec exacerba- lions aiguës (1 pl.), par Hope et PneNCU, 177. Tuberculeus
Hope et PneNCU, 177. Tuberculeuse (Polynévrite amyotrophique - aiguë à type descendant) \3 pl.), par L'ATOLA, 129.
éphalie et troubles visuels (Merle), LVIII. Poli-encéphalomyélite aigus ; (lirsrssnun et GY), XLVI. 1. Polynévrite amy
22 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pour la journée, les malades qui peuvent être atteintes d'une crise aiguë , et celles qu'il est nécessaire d'isoler momenta-
s l'écorce. Le second cas rapporté par l'auteur est un cas de folie aiguë dé- veloppée pendant la période florissante de
sibilité par action centrale (inhalations) ; neurasthénie avec état aigu et prédominance dans les extrémités inférieures
es troubles nerveux (voyez l'état neurasthénique et hypochondriaque aigu ) et rappel- lent les phénomènes d'excitation, p
dées hypochondriaques. C'est le plus souvent un délire mélancolique aigu curable. Durée moyenne, deux mois trois quarts.
la catatonie ana- logue à celle de l'hébéphrénie, ou de la stupeur aiguë , et ont Archives, série, t. IX. 4 50 REVUE DE
a 1. 1. P. [\¡ : RAVAL. IX. Fréquence relative de la manie simple aiguë et des formes périodiques; par 0. IlmecusES.
par leur évolution et par leur nature : d'une part la manie simple, aiguë ; d'autre part les formes périodiques typiques d
affectant des malades entachés d'hérédité alors que la manie simple aiguë est consi- dérée comme attaquant le cerveau nor
tifs et de l'hydrothérapie. (B.) 52' REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. aiguë se trouve comprise dans les formes maniaques de l
a question à examiner revient à celle-ci; y a-t-il une manie simple aiguë , peut-il se présenter ou non, chez un individu à
t et un ans, ce qui porterait la proportion des cas de manie simple aiguë à 4,7 p. 100 cas de manie. Quoi qu'il en soit,
de manie. Quoi qu'il en soit, il parait certain que la manie simple aiguë est une maladie rare. (The alimist and neurolog
boisson, qui, après avoir offert les symptômes du délire alcoolique aigu , présenta une maladie mentale caracté- risée pa
. N'a marché et parlé qu'à trois ans. A dix-sept ans, otite moyenne aiguë à droite, rupture du tympan, écoulement purulen
duction par les urines de la liqueur de Fehhng dans le chloralisme aigu l'ensemble symptomatique, ne permet pas de confon
ologiques spéciales. La première est une fméningite cérébro-spinale aiguë , avec caséification, nodulaire ou diffuse, inte
ive (type parenchymateux subaigu) qui doit être rapproché du type aigu étudié en 1886, par le professeur Raymond. AI.
bles accès maniaques, comme on en a fréquemment noté dans la chorée aiguë . Si j'insiste sur ce symptôme de l'irritabilité
fs, jugés atteints d'une affection mentale longue, ou d'une période aiguë à évolution pro- longée. Il convient cependant,
marche de la maladie serait la suivante : l'intoxication primitive aiguë déter- mine une ou plusieurs attaques convulsiv
ubes de sérum. » Il. de Musgrave-Clay. XXXI. Observation de manie aiguë transitrice survenue chez un syphilitique plus
sion chez ce jeune homme de vingt-cinq ans sous la forme de manie aiguë , et cela sans qu'on ait pu découvrir une cause pr
assez fréquemment sous la forme familiale. A citer encore le délire aigu chez deux soeurs. Enfin, il peut y avoir des co
aricelle. A dix ans, angine diphtérique. En mars 1897, rhu- matisme aigu ; en octobre, scarlatine. Sa puberté est assez tou
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XIV. Sur l'origine infectieuse du délire aigu ; par BlANCHI et PICCININO. (.1nl1. di nevrol.,
CININO. (.1nl1. di nevrol., l'asc. I-lI, 1899.) Le délire sensoriel aigu comprend un groupe de maladies infec- tieuses e
ler a été l'apparition chez des dégénérés primitifs d'une affection aiguë avec températures élevées et pros- tration cons
nt ce que l'on décrivait naguère sous le nom de phthisie catarrhale aiguë . Puis les bacilles disparaissaient, l'expectora
troubles objectifs de la sensibilité; à l'autopsie : ramollissement aigu de la face supérieure du cervelet, comprenant le
ir d'une polynévrite. M. Weideniiasimer fait remarquer que l'ataxie aiguë se montre aussi dans la méningite séreuse. Le c
ns plus grossières, comme par exemple, une modification . rapide et aiguë de la circulation vasculaire dans le cerveau, p
omie fine pathologique des élé- ments nerveux dans l'empoisonnement aigu par le sublimé. (Archives italiennes de Biologi
nt formulé par le malade, surtout si celui-ci appartient à la forme aiguë du délire religieux ou la conscience subit de s
ois faits cliniques qui, tous les trois, appartiennent à la forme aiguë hallucinatoire du délire religieux. Observation
autres affections mentales, accompagnées de désordres encéphaliques aigus ou chroniques, avec processus secondaires d'atr
ormale ; en revanche là où se montrent des processus d'inflammation aiguë , d'hyperplasie conjonctive, d'hyperhémie, comme
iguë, d'hyperplasie conjonctive, d'hyperhémie, comme dans le délire aigu , la folie épileptique alcoo- lique, la période
l'augmentation dans la folie épileptique et alcoolique et le délire aigu . Pour le cervelet, le poids spécifique ne parut
eulement dans celles en rap- port avec des processus d'inflammation aiguë , d'anémie ou d'hyper- hémie cérébrales. Il en f
érations de la circulation cérébrale dans l'intoxication alcoolique aiguë ; par W. DE BECIITEREV. (Centralbl. f. Ne1'ven-
arc de cercle accusé, les fibres antérieures formant même un angle aigu , pour se rendre à la circonvolution cruciale. E
se héré- ditaire du système nerveux. P. XXVII. Etat myxoedémateux aigu , avec tachycardie, glycosurie melaena, manie, p
alade au con- traire présenta d'abord les caractères d'un myxoedème aigu , à marche rapide et plus tard vinrent s'adjoind
vinrent s'adjoindre des symptômes de goitre exophtalmique à marche aiguë , c'est-à-dire tachycardie, tremblement léger, d
ces derniers établissement à ceux de province, où les cas de folie aiguë et récente, plus graves que ceux de l'aliénatio
LOGIE CLINIQUE MENTALE. Hyperesthésie corticale dans l'alcoolisme aigu ; PAR LES DOCTEURS . P. COLOLIAN, et T A. RODI
sont atteints plusieurs alcooliques. C'est au cours de l'alcoolisme aigu que les malades la manifestent. Dès la première
. (Thèse de Paris, 1897.) HYPERESTHÉSIE CORTICALE DANS L'ALCOOLISME AIGU . 387 mauvais goût aux aliments; aussitôt il sen
auditif, et les halluci- HYPERESTHÉSIE CORTICALE DANS L'ALCOOLISME AIGU . 380 nations s'éveillaient sous ce simple souff
s'en méfier. D'ailleurs, HYPERESTHÉSIE CORTICALE DANS L'ALCOOLISME AIGU . 391 L pour bien mettre en évidence les phénomè
Ils lui font respirer de HYPERESTHÉSIE CORTICALE DANS L'ALCOOLISME AIGU . 393 l'encens, de la myrrhe, ou bien du chlorof
tement spécifique. Par suite de cela, à la fin de la période plus aiguë de la syphilis qui donne diverses affections du
ois, dans les cas invétérés du tabès, quand la période des douleurs aiguës et lancinantes est déjà passée, au commencement
ire de l'riedreich ou au tabès com- biné de Westphal. - 2 Une forme aiguë aboutissant à des para- lysies graves, se termi
affaire à un cas d'ivresse pathologique et non de délire alcoolique aigu et il a conclu à l'irresponsabilité. G. DENY. L
l'existence du délire et de la folie. Le délire de la jalousie est aigu ou chronique. S'il est aigu, il a pour cause l'
la folie. Le délire de la jalousie est aigu ou chronique. S'il est aigu , il a pour cause l'ivresse ; il naît et dispara
disparait ordinairement avec elle. Mais si les atteintes de délire aigu se répètent, elles peuvent pro- duire un délire
ment. L'analogie existe aussi bien à l'état chro- nique qu'à l'état aigu ; mais l'auteur se borne ici aux formes aiguës,
o- nique qu'à l'état aigu ; mais l'auteur se borne ici aux formes aiguës , et par là il entend d'une part l'état aigu d'alc
borne ici aux formes aiguës, et par là il entend d'une part l'état aigu d'alcoolisme ou de manie alcoolique et d'autre
Il espère démontrer qu'il existe souvent dans la manie alcoolique aiguë un état identique à l'état dit d'automatisme ment
re ; les mêmes phéno- mènes peuvent être observés dans l'alcoolisme aigu . A la vérité, les convulsions accompagnent le c
s fréquentes, elles se rencontrent pourtant aussi dans l'alcoolisme aigu . Dans quelques cas, aussi bien chez l'alcoo- li
, n° M, t. IX, 1). 38b. HYPERESTHÉSIE CORTICALE DANS 1 : ALCOOLISME AIGU . Îi î qui devient aussi le sien, était le suiva
6. F... n'a plus d'hallucinations d'aucune sorte, ni de symptô- mes aigus d'alcoolisme ; il se rend compte que les troubles
articulier dans la vie du HYPERESTHÉSIE CORTICALE DANS L'ALCOOLISME AIGU . 479 malade, si ce n'est des rhumatismes articu
ficat d'internement, « il HYPERESTHÉSIE CORTICALE DANS L'ALCOOLISME AIGU . 481 montre aux personnes présentes l'endroit o
rès lourde : Père et mère alcooliques et épileptiques. - Alcoolisme aigu avec hallucinations multiples.- Hyperesthésie d
ee. Il a une conformation HYPERESTHÉSIE CORTICALE DANS L'ALCOOLISME AIGU . 483 cranio-faciale, caractéristique de la dégé
III. - Dégénérescence mentale : très émotif, des doides. Alcoolisme aigu ; hallucinations multiples ; hyperesthésie corli-
ant. Il est resté peureux HYPERESTHÉSIE CORTICALE DANS L'ALCOOLISME AIGU . 485 et sensible à l'excès : s'évanouit à la vu
troubles hallucinatoires. HYPERESTHÉSIE CORTICALE DANS L'ALCOOLISME AIGU . 487 Un autre point saillant, c'est la ténacité
e est it la médisance. Il HYPERESTHÉSIE CORTICALE DANS L'ALCOOLISME AIGU . 489 nous sera permis toutefois d'hasarder quel
z eux aux premiers effets HYPERESTHÉSIE CORTICALE DANS L'ALCOOLISME AIGU . 491 de l'absinthe. Résisteront-elles toujours
ômes semblables à ceux de la méningite vraie : 1° OEdème cérébral aigu , d'oidinaire consécutif à des trauma- tismes sé
, rapidement (méningite séreuse traumatique) ; 2° Méningite séreuse aiguë qu'on rencontre dans l'alcoolisme et autres éta
e jours. 3° Méningite séreuse décrite par Quincke, quelquefois très aiguë , mais quelquefois subaiguë ou récurrente et dur
s jours. L'examen anatomique montre l'existence d'un exsudat séreux aigu . Méningite séreuse alcoolique (et toxique). Con
érences sont : céphalée moins grande, début plus lent, délire moins aigu , moins de fièvre, pas de névrite optique, moins d
ngite séreuse de Quincke et Boenninghaus. C'est une hydro- céphalie aiguë acquise. Quelquefois marche rapide suivie de gué-
uérison et rechute (recurrent serous me- ningitis). Dans la forme aiguë , on trouve comme causes : fièvre infectieuse mo
IOGRAPHIE. suicide (idem) ; - Du diagnostic, différentiel du délire aigu (idem) ; Cas remarquable de fureurs passagères
forme sociale, par Loiseau, 356. HyperesthésIe corticale dans l'- aigu , par Colo- han et Rodiot, 380,476., Aliénatio
mpérament et -, par Marty, 89. Délire. Origine infectieuse du , aigu , par Branchi et Picomo, 233. 'Objets de piété,
451. Empoisonnement. Altérations des élé- ments nerveux dans l' - aigu par l'aluminium, par Zouder, 310. Hxcu'u.u.
8. - Altérations de la circulation cérébrale dans l' - alcoolique aiguë , par de Bechte- tew, 312. 10DISME constitutio
en, 399. Manie. Fréquence relative de la -. par Hemrlchsen, 51. - aiguë transitoire chez un syphilitique, par O'Donov
céphosco- lévrie, par Cochez et Scheib, 316. \IwoEEUnrEUx. Etat - aigu avec tachycrardte, glycosurie, etc., par Osie
23 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
ne inflammation avec gonflement de toutes les glandes. . Thyroïdite aiguë ? .. Adénopathie ? .. Toujours est-il que c'est à
vec les infections : blennorragie, syphilis, rhumatisme articulaire aigu ; avec les auto-intoxi- cations, telles que le
pas tardé à se reproduire, et, finalement, une attaque d'asystolie aiguë a déterminé la mort. A l'autopsie, trois ordres
r l'importance, la patiente n'a jamais eu de rhumatisme articulaire aigu , jamais elle ne semble avoir contracté de blenn
un frère et deux soeurs bien portants, un frère mort d'une maladie aiguë . Il n'y a pas eu dans la famille de cas d'atrophi
tabes. Antécédents héréditaires. Mère morte à 35 ans d'une phtisie aiguë . Père mort à 34 ans, à la suite d'une carie des
cemment survenue sur le bord antérieur de cet os, dans les douleurs aiguës et profondes qu'elle a présentées, enfin dans l
out l'oeuvre des sécrétions internes. Dans les cas où une affection aiguë intéresse le contenu du crâne, déter- minant à
es du système nerveux. Ces diverses localisations du même processus aigu , inflammatoire, d'origine vasculaire, entraînen
les motrices des cornes antérieures, - d'un processus inflammatoire aigu , systématisé et localisé dans la substance gris
és cliniques déjà men- tionnées, et il propose le nom d'encéphalite aiguë des enfants au lieu de celui de poliencéphalite
ite hémorragique supérieure de Wernicke, etqu'il appela encéphalite aiguë primitive hémorragique. Dans cette encéphalite
Dans cette encéphalite il s'agit d'un vrai processus inflammatoire aigu , dont le point de départ doit être recherché da
ffet, les travaux anatomiques parus depuis lors sur la poliomyélite aiguë de l'enfance s'accordent à démontrer la fausseté
nflammation franche d'origine vasculaire, à une véritable myé- lite aiguë , interstitielle, survenant par foyers. Si cette m
eurs très bien avec la con- ception pathogénique de la poliomyélite aiguë de l'enfance telle qu'on l'admet actuellement.
fection en cause. Assez souvent en effet la poliomyélite antérieure aiguë éclate au cours ou à la suite d'une maladie gén
analogues à ceux qu'on rencontre au début d'une maladie infectieuse aiguë et qui semblent parler en faveur d'une infection
e cas d'hémiplégie cérébrale infantile et les maladies infectieuses aiguës , rap- ports sur lesquels Pierre Marie dès 1885
, dans le cours ou dans la convalescence de maladies infec- tieuses aiguës (rougeole, scarlatine, coqueluche, typhoïde, angi
concerne une fillette , de 5 ans qui au cours d'une maladie fébrile aiguë , diagnostiquée méningite et ayant duré 2 semain
inférieur droit les signes résiduels d'une poliomyélite antérieure aiguë (atrophie muscu- laire, paralysie flaccide, abo
où on constaterait comme processus initial, l'encéphalite primaire aiguë hémorragique qui, pour Strümpell et d'autres au
'hémiplégie cérébrale infantile puisse être due à une en- céphalite aiguë hémorragique, analogue à celle de l'adulte, dont
tions anatomo-cliniques prouvant la posai- bilité d'une encéphalite aiguë hémorragique des enfants [Ganghofer, Sachs, Fis
spiration sont tellement graves que la malade meurt dans la période aiguë et que l'on ne peut,par conséquent observer l'é
ns deux cas appartenant à l'épidémie de Medin et morts à la période aiguë , observe des lésions inflammatoires et dégénéra
rn, et qu'enfin il n'y a pas entre ces deux formes de l'encéphalite aiguë hémorragique des- limites nettes, mais qu'il s'
et la moelle, s'accompagner des symptômes de la paralysie bulbaire aiguë et de la paralysie spinale (Kaiser) (1), de faç
donner la poliencéphalomyélite. On a prouvé enfin que le processus aigu inflammatoire peut s'étendre tout le long de l'
me origine toxi-in- fectieuse, dues au même processus inflammatoire aigu , d'origine vascu- )aire ; la seule différence r
usqu'ici rapportés sont les suivantes : Il existe une encéphalite aiguë hémorragique, non suppurée, de l'en- fance, ana
s, cliniques et anatomiques entre les diverses formes d'encéphalite aiguë hémorragique et la poliomyélite aiguë. Il exi
diverses formes d'encéphalite aiguë hémorragique et la poliomyélite aiguë . Il existe d'autre part, entre la paralysie spi
maintenant entre eux tous ces faits, l'hypothèse que l'encéphalite aiguë envisagée comme processus analogue à celui de l
t ses effets sur les capillaire du parenchyme cérébral (encéphalite aiguë hémorragique), mais aussi en se localisant excl
à celles qu'on observe au niveau de la moelle dans la poliomyélite aiguë et déterminant dans le cerveau des foyers isché
ongestion pulmonaire » ; sa mère serait morte aussi d'une affection aiguë . En tout cas, il n'a jamais entendu dire qu'auc
sistant, de la main droite succéda à des poussées répétées d'oedème aigu de Quincke, consécutifs à une intoxication intest
me chronique parait succéder à des poussées récidivantes d'oe- dème aigu de Quincke. Mais cet oedème aigu,angio-neurotique
s poussées récidivantes d'oe- dème aigu de Quincke. Mais cet oedème aigu ,angio-neurotique, la maladie de Quincke, se dis
aphiques, 1900, obs. 124, PI. 31, fig. 1. (2) G. Etienne, OEdèmes aigus essentiels localisés, sans phénomènes généraux. G
iologie, 1905, t. II, p. 487. (3) VALOBRA, Les oedèmes circonscrits aigus et chroniques sous la dépendance du sys- tème n
trouvons une preuve manifeste sur les oedèmes trophoneuro- ' tiques aigus de Quincke dans les territoires occupés par les d
aractère. Il ne peut pas être question de l'oedème augio-neurotique aigu de Quincque vu la chronicité et la durée déjà l
le deuxième cas de Henry Meige on a observé cinq fois des poussées aiguës et douloureuses accompagnées d'une augmentation
ar le fait d'une affection intercurrente, d'asthénie ou de douleurs aiguës . Aujourd'hui elle présente une infiltration gra
ophonévroses.' Toutes ces dystrophies cellulo-conjonctives, oedèmes aigus circonscrits, trophoedémes, lipomatose symétriq
eur droit est contracture en flexion : flexion à angle légè- rement aigu de l'avant-bras, flexion légère du poignet, flexi
sions présentent les caractères des dégénérescences et des nécroses aiguës et irréparables. Le tissu nécrosé est disposé e
pasmodique chronique. Dans le premier cas on trouve des altérations aiguës de la myélite (avec des foyers nécrotiques et h
FANTILE PAR Jacinto de LÉON ' (de Montévidéo). La polynévrite aiguë généralisée consécutive à une infection ou à des
ication. - POLYNEVRITE AIGUË INFANTILE 217 1er Cas. - Polynévrite aiguë généralisée, forme légère ou motrice. J. B...,
il court comme tous les enfants de son âge. 2* Cas. - Polynévrite aiguë généralisée, forme légère ou motrice. M. I...,
econd mois, il fut congédié complètement guéri. 3e Cas. Polynévrite aiguë douloureuse ; cas douteux, neuronite. M. Sou...
, mais je n'ai pas revu la petite ma- lade. 4e Cas. - Polynévrite aiguë douloureuse, avec localisation grave dans le ne
des symptômes d'asphyxie le quatrième jour. , 5° Cas. - Polynévrite aiguë généralisée, forme grave. J. Gar..., âgé de 5 a
un peu les extrémités. Dans un travail antérieur sur la polynévrite aiguë généralisée (1), j'ai appelé l'attention sur le
es caractères différentiels entre la polynévrite et la polyomyélite aiguë des adultes ; ces mêmes caractères, appliqués à
ués à l'enfant, peuvent servir pour le diagnostic de la polynévrite aiguë infan- tile, en tenant compte de certaines diff
ment du cubital, que j'ai observée dans quelques cas de polynévrite aiguë chez les adultes, n'a pas la même signification c
és d'une manière permanente, ne s'observe pas dans la poly- névrite aiguë infantile ; il existe dans cette maladie-ci, comm
guéries, avant les inférieures. Cette régression de la polynévrite aiguë , dans les cas graves, peut se faire attendre pl
tenses de la sensibilité objective. En somme, dans la polynévrite aiguë infantile généralisée, ou il n'y a pas de réact
ments ne gênent pas, en rai- son de la rapidité même. 1 Le délire aigu mortel avec épuisement rapide et forme galopante
des constatations analogues dans une observation d'oedème cérébral aigu chez un syphilitique (Dr Paohantoni, Revue méd.
araissent d'autant plus courts qu'ils restent fléchis à angle assez aigu sur le bras et qu'au pli du coude les parties mol
e retraite précipitée devant l'assiégeant, ou bien encore une forme aiguë de scorbut. L'ictus émotionnel jouait sans cont
colline. Pendant deux semaines il souffrit d'une confusion mentale aiguë . Certains aliénés ont pu nous fournir des détai
précédée d'un complet épuisement de l'organisme causé par une forme aiguë de scorbut ; dans un cas la maladie apparut imm
2 parmi les officiers, il y en eut certainement encore de psychose aiguë qui ne furent pas soignés à l'hôpital. D'après
nais l'ayant visé le tua raide. On voyait aussi des cas de psychose aiguë , développés pendant des as- sauts et qui ne fur
qu'à la psychose, mais causantau plus grand nombre une neurasthénie aiguë . A la fin du siège, les hommes les plus doux ét
u'ils ne pou- vaient marcher. Lorsque tous souffrirent d'une anémie aiguë et que le bombardement devint chose normale, il
n 1906 à l'àge de 61 ans, consécutivement à une bron- cho-pneumonie aiguë . L'autopsie pratiquée 30 heures après la mort n
oit le corps du fémur et le col se sont coudés jusqu'à l'angle très aigu , aussi la cuisse très raccourcie et remontée le l
es d'ailleurs il ne s'agit pas des formes spéciales de poliomyélite aiguë ou chronique, formes dont la symptomatologie si
de ce genre. Dans l'urticaire, l'oedème lymphatique avec sa marche aiguë s'accompagne de phénomènes vaso-moteurs; dans le
onception de la pa- renté étroite qui unit le trophoedème, l'oedème aigu de Quincque et l'urti- caire, car nous avons vu
ène à parler et à faire intervenir dans la pathogénie de l'oe- dème aigu et du trophoedème l'existence d'un mécanisme sur
té du sang. « Il considère du reste les urti- caires et les oedèmes aigus comme des hémorragies séreuses ne différant des
assez étroit entre l'apparition de l'urti- caire comme de l'oedème aigu et certains troubles du métabolisme calcique. O
utissant d'un processus identique par sa nature à celui de l'oedème aigu . Cela nous amène à émettre l'hypothèse d'une re
l'apparition des troubles tels que ceux de l'urticaire, de l'oedème aigu ou du trophoedème sur un terrain d'hypothyroïdi
trophique des tissus. Récemment Prunier (16) a soutenu que l'oedème aigu , le trophoe- dème, le pseûdo oedème catatonique
ossibilité de réfréner les mouvements convulsifs, dans ces périodes aiguës , permet aussi de considérer ceux-ci comme des acc
nt à Paris qui s'annonçait si bien a été dû à un état de nervosisme aigu , conséquence d'un peu de surme- nage, d'efforts
oubles tro- phiques intenses, 261. Léon (JACINTO DE). Polynévrite aiguë infan- tile ; pseudo-paralysie spinale infantil
trijumeau; tubes probable (i pt.), par H. Lamy, 117. Polynévrite aiguë infantile ; psendo-pnra- lysies ¡>inale infa
24 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uelque distance du nerf, et les deux branches, s'écartant à angle aigu , le rejoignent un peu plus loin et s'appli- que
eu tous les ans au printemps une attaque de rhumatisme articulaire aigu . Presque toutes les articulations étaient prise
rois heures sur la glace, il a été pris d'un rhumatisme articulaire aigu qui l'a retenu trois mois au lit. Depuis cette
s l'entendez, à des.in- tervalles à peu près égaux, donner un bruit aigu qui rappelle assez bien le jappement, le glapis
nt latéralement des cordons postérieurs, s'y entre-croisent à angle aigu avec les racines postérieures qui entrent dans
DE PATHOLOGIE MENTALE I. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE QUELQUES formes aiguës d'aliénation mentale ET DE leurs rapports avec
rents modes du dévelop- pement de la paronoïa avait indiqué des cas aigus de cette forme d'aliénation mentale. A l'asse
'unanimité comme une forme distincte, tandis que de sa modification aiguë , notée par Westphal, il ne fut même pas questio
resque uni- quement pour indiquer la forme chronique et de la forme aiguë il ne fut plus question dans les écoles alleman
chro- nique des auteurs allemands. Cependant l'étude de la forme aiguë a été reprise au cours de ces dernières années,
au deux formes de délire systématisé primitif ou paranoïa, la forme aiguë et la forme chronique, réunies dans le même cha
lide. Mais Schùle montre la nécessité de bien distinguer les formes aiguë et chronique, la paranoïa chronique rentrant pl
utôt dans le cadre de la folie dégénérative alors que la para- noïa aiguë appartient au groupe des psycho-névroses, cette d
qui, en résumé, ne sont pas autre chose que la folie hallucinatoire aiguë , c'est-à-dire la forme aiguë de la « Wahsinn ».
utre chose que la folie hallucinatoire aiguë, c'est-à-dire la forme aiguë de la « Wahsinn ». L'école française n'est pas
e française n'est pas tombée dans l'erreur de confondre les foi mes aiguë et chronique du délire primitif dans une seule
rimitif dans une seule forme moi bide. Mais, d'autre part, la forme aiguë n'a pas été bien longtemps reconnue comme une p
LE. remarquer que ni Kralft, Ebing ni Schüle ne prennent la forme aiguë de la paranoïa pour une manifestation de dégénére
'emblée de M. Magnan n'embrasse pas toutes les variétés de la forme aiguë . En résumé, à mesure que les observations clini
mulées, on a vu se produire la tendance à reconnaître les formes aiguës comme un groupe indépendant d'aliénation mentale,
e une opinion admise de tous, de même que sur le rapport des formes aiguës avec la forme chronique du délire chronique, du
rts que l'auteur nous présente une série d'observations de la forme aiguë prises dans la clinique du pro- fesseur Mierzej
suractivité intellectuelle, -anémie, fièvre, couches. Le début est aigu : de nombreuses idées délirantes de grandeur, d
ui a été désigné par différents auteurs sous les termes de paranoïa aiguë , Verrucktheit, confusion hallucinatoire Wahnsin
ession ou avec l'exaltation. Quant à la différence entre les formes aiguës étudiées dans ce travail, avec le délire chroni
e la conscience et l'absence de la réaction affective. Ces formes aiguës ont donc le droit d'être classées dans un group
manie. · Enfin, malgré là nécessité de séparer le délire primitif aigu de la paranoïa, on ne peut nier qu'il existe qu
tte dernière un complexus de symptômes rappelant le délire primitif aigu . Au lieu du délire par- tiel systématisé, au li
'autre délire stationnaire. Mais puisque les cas de délire primitif aigu , qui restent incurables, ne se transforment pas
la paranoïa ne peut servir d'appui à l'idée que le délire primitif aigu et le délire primitif chronique appartiennent a
e distinguent de la paro- noïa classique, même quand les phénomènes aigus ont passé, par un délire plus vaste et moins sy
sous les rubriques de : mélancolie, - folie neurasthénique, démence aiguë (qua- torze observations) ; folie systématique
h., XLVII, 3, 4.) Sept observations sous le diagnostic : mélancolie aiguë . Il n'y avait tare héréditaire que dans deux ca
est consacrée aux folies rhu- matismales. Le rhumatisme articulaire aigu est-il une manifesta- tion diathésique ? Ne ser
as lieu, au point de vue qui les occupe, de distraire le rhumatisme aigu du groupe arthritique, le terrain spécial prépa
avec tant de violence que, malgré que son couteau ne soit pas très aigu , il lui perfore le coeur; la mort est instantan
c'est comme une pesanteur. J'ai dans la gorge comme une respiration aiguë , et c'est z elle qui me donne des idées mélangé
X. Une observation DE maladie DE RAYNAUD, consécutive A la manie aiguë ; recueillie par Malhan RAW, dans le service de
ocale des extrémités a été consécutive à une attaque grave de manie aiguë ; le froid en avait élé la cause locale détermin
abdominale. Le second cas était celui d'un malade atteint de manie aiguë qui 222 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ne tarda
of Mental Science, avril 1889.) Chez ce malade, atteint de manie aiguë , la gangrène symétrique des extrémités a présen
l'Angleterre.. R. M. C. XX. Un cas DE STUPEUR mentale ou DE démence aiguë POST-FÉBRILE ; par John TUHNER. (The Journal of
une fièvre typhoïde, a présenté des signes de stupeur ou de démence aiguë : il a été admis à son tour à l'asile, où il a
ement succombé. L'auteur n'ignore pas que la valeur du mot «démence aiguë » est très contestée, aussi bien en Angleterre
nce d'aucune tare rhu- matismale ou névropathique; l'accès de manie aiguë , associé à la chorée, a été très intense; la gu
HOLOGIE MENTALE. 227 manie consécutive à l'opération revêt la forme aiguë , que lors- qu'elle prend la forme chronique. L'
à ceux-là qu'on pourrait appliquer la conception de la psychasténie aiguë de I. Bénédik l. J. S>JGL.1S. XXXI. Les épil
de même de certains cas de pleurésie, de pneumo- nie, de péritonite aiguë , de certaines fractures, luxations, etc., dans
e. Dix mois plus tard la cécité y était devenue totale; un glaucome aigu était développé. La malade mourait un an après
ndépendantes les unes des autres. Toutes les paralysies atrophiques aiguës et subaiguës de nature périphérique sont, selon
ins sur le sternum en disant ressentir de ce côté des douleurs très aiguës ; elle demande un couteau pour ouvrir son estoma
ces elles peuvent êtres acquises. En effet, à la suite d'affections aiguës chez les jeunes sujets, on observe des cas d'ar
tion de l'héréditaire. Donc il suffit de l'apparition d'une maladie aiguë et notamment d'une fièvre typhoïde, d'une vario
RÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. 307 troubles nerveux consécutifs aux maladies aiguës . Fritz, Roger et Damaschino, Wesphal, Vulpian,
'il s'était faite au bras, espérant être détourné par cette douleur aiguë de sa terrible ten- tation. Sur sa photograph
s la terminaison fatale, si fréquente au cours de cette « épilepsie aiguë ». Il serait intéressant de savoir si les malad
nte au niveau de la déchirure des bords tranchants et des aspérités aiguës . C'est avec cette arme redoutable entre les mai
nd en tout que quelques gorgées d'eau. Je crains un accès de délire aigu , et malgré la résolutions.prise au début d'aban
de calmer cette agitation excessive qui menace d'aboutir au délire aigu . Je pratique donc quelques piqûres de morphine
tains cas de typhus pellagreux, et spécialement dans ceux de délire aigu , on trouve, dans la pie-mère, des traces d'hype
r- male des centres moteurs, dans la manie, la folie systématique aiguë , la folie impulsive, l'automatisme épileptique, l
es actes se montre, et, huit jours après le début de cette psychose aiguë , il meurt par épuisement cérébral. A l'autopsie
il est rare que les lésions en foyer du cerveau revêtent une allure aiguë et soient en rapport avec les attaques congesti
rales à localisation anor- male. M. HAHN présente un cas de folie aiguë chez un enfant. Il s'agit d'un garçon de dix an
ne dépasse pas deux mois. M. HAHN présente aussi un cas de désordre aigu dans les idées, qui est en somme un délire géné
générescence morale. Une se produisit plus d'ac- cidents psychiques aigus jusqu'à son transfert définitif, à la fin du mê
irectement de la lésion cérébrale. C'est une synovite qui peut être aiguë ou subaiguë. L'atrophie musculaire précoce qui
chez les épileptiques, par J. Voisin et Pércm, 353. ALIFNATION, aiguë ET paranoïa, par Rosenbach, 114 ; - chez les ge
- chronique, par- Pope, 233; - alcoolique chro- nique, par Hahn, aiguë chez un enfant, par Wahu, 437. - ' Glande pit
25 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
e col avec le corps de l'os, devient droit et même quelquefois un peu aigu ; 2° déplacement suivant l'épaisseur; le fragment
ait une coche profonde qui recevait une apophyse très saillante, très aiguë , formée par le bord inférieur du col du fémur. D
eures par jour. A [±i ans, ses maux de tête se changèrent en douleurs aiguës , dont la racine du nez était le siège principal;
unique se termine par une jambe incomplète, qui finit en pointe très aiguë , si bien que les deux membres inférieurs représen
ée sur sa partie inférieure, de manière à former un angle extrêmement aigu , saillant en avant, rentrant en arrière. Le somme
ervé de parotide suppurée que dans les périodes avancées des maladies aiguës et chroniques, et j'ignore s'il existe un seul ex
si que le voulait Tissot, qui affectait le mot hématémèse à la marche aiguë , et celui de melœna à la marche chronique, et, d'
issait à vide et avec effort. Nous avons vu que les ulcères simples aigus et chroniques de l'estomac étaient également acco
les eschares qui tapissaient les parois du trajet fîstuleux et l'état aigu survenu dans les derniers temps, ne permettent gu
elui-ci la soigna pendant trois mois pour des douleurs de ventre très aiguës , qui cédèrent en partie aux caïmans et aux bains.
depuis, jusqu'au 22 avril i83o,, où. elle ressentit des douleurs très aiguës occasionées par l'étranglement de la tumeur herni
t de l'enfant : « Peau froide et livide, pouls à peine sensible, cris aigus lorsqu'on découvrait la tumeur : celle-ci égalait
te subitement par les symptômes les plus graves : sa marche peut être aiguë ou chronique. Les accidens peuvent être continus,
jours nos malades de la Salpêtrière, soit dans le cours d'une maladie aiguë (pneumonie, péritonite), soit dans le cours d'une
t plus particulièrement d'ulcérations , suite d'entérite folliculeuse aiguë ou chronique. La fig. i présente le dernier pie
nd par quelles nombreuses voies le désordre est réparé. Les ulcères aigus et chroniques simples de l'intestin grêle et du g
use est une des formes les plus fréquentes de l'entérite folliculeuse aiguë . Elle peut être primitive ou consécutive. L'ulc
du canal intestinal est un des accidens les plus fréquens des ulcères aigus de ce canal. Un individu, affecté d'entérite foll
cères aigus de ce canal. Un individu, affecté d'entérite folliculeuse aiguë , paraît convalescent : il se lève, il prend des
tionnaires et commencent à se cicatriser dans l'entérite folliculeuse aiguë ; mais la moindre cause peut maintenir ou renouvel
s surpris que la mort par hémorrhagie soit plus rare dans les ulcères aigus ou chroniques de l'intestin, que dans les ulcères
s les ulcères aigus ou chroniques de l'intestin, que dans les ulcères aigus ou chroniques de l'estomac. L'ulcère chronique
de l'estomac. L'ulcère chronique de l'intestiu peut, comme l'ulcère aigu , déterminer la perforation de ce canal et amener
res représentées pl. m, comme appartenant à une entérite folliculeuse aiguë ; car ces cicatrices et plaques occupaient le sièg
oir sur les corps de deux femmes mortes de péritonite puerpérale très aiguë , des cicatrices intestinales avec coloration non
nces d'onguent napolitain dans la journée. Le neuvième jour, fièvre aiguë , douleur épigastrique diminuée. — Épreintes avec
ite folliculeuse primitive est très souvent prise pour une arachnitis aiguë , et je dois dire que dans les commencemens de ma
ie. Relativement à l'infection du sang dans l'entérite folliculeuse aiguë , la dénomination de fièvre typhoïde, qui a pris f
usion, lorsque, dans un article sur l'entérite folliculeuse primitive aiguë (vne livraison), j'ai admis l'entérite pseudo-memb
t de cinq à six ans, mort d'une maladie qui paraissait avoir été très aiguë , j'ai trouvé que la partie inférieure de l'intest
partenant à un individu mort avec tous les symptômes de la dysenterie aiguë ; on y voit la corrugation de l'intestin ou plutô
e foncé extrêmement rapprochées, comme dans les phlegma-sies les plus aiguës ; en outre, couleur vert foncé de la muqueuse : ce
mple remarquable des lésions que laissent après elles les dysenteries aiguës les plus graves. Je dois ce fait à l'obligeance e
s de sa longueur, présentait des traces non équivoques d'inflammation aiguë , tels que rougeur, plissement de la muqueuse à la
-Caillou, entra , le 3 octobre 1841 • à l'hôpital pour une dysenterie aiguë des plus graves, semblable en tout à celle des de
conomie dans des conditions de débilité excessive. 6. La dysenterie aiguë tend essentiellement à passer à l'état chronique,
squ'on veut expliquer la génération du plus grand nombre des maladies aiguës ou chroniques. 7. Dans l'état chronique, la dys
que cette maladie doit être traitée avec le plus grand soin à l'état aigu , pour prévenir les graves accidens qu'elle entraî
beaucoup de cas de cancer, il survient souvent des lésions viscérales aiguës ou chroniques qui emportent les malades avant le
présence n'est révélée que par un travail inflammatoire plus ou moins aigu qui s'établit dans la poche. Ce travail dont la v
dans la poche acéphalocyste devait être une inflammation extrêmement aiguë de cette poche, inflammation qui s'est terminée p
es carcinomateuses du foie sont quelquefois la cause d'une péritonite aiguë ou chronique. La péritonite s'élèverait au degré
roéminait manifestement dans l'abdomen. Je diagnostiquai une hépatite aiguë : l'indication était un traitement antiphlogistiq
maladie, en présentant les diverses phases de la phthisie pulmonaire aiguë , développée chez un individu excessivement irrita
rd inférieur de la troisième. Elle est formée, en dedans, par l'angle aigu qui résulte de la jonction de la languette osseus
décembre, nos vieilles femmes sont prises de catarrhes plus ou moins aigus , avec ou sans fièvre, pour lesquels elles consult
neumonie latente survenant chez le vieillard à la suite d'un catarrhe aigu ; rien de plus insidieux: et quelquefois, à sa vis
épuisée. Je voudrais bien avoir le secret de convertir la pneumonie aiguë en pneumonie subaiguë ou en pneumonie chronique,
l n'y avait pas eu de convalescence, mais seulement passage de l'état aigu à l'état subaigu, et qu'on n'avait été réveillé d
on , si l'on considère qu'elle a lieu dans le cas où une inflammation aiguë s'empare du tissu pulmonaire préalablement induré
umon : voilà donc deux modes de formation bien distincts des cavernes aiguës de cet organe. Il en est un troisième que j'ai eu
r présente tous les caractères apparens d'un rhumatisme plus ou moins aigu , avec lequel elle a souvent été confondue. Dans t
ès douloureuse, et qui oblige les malades à garder le lit. Ce scorbut aigu des jambes (car les membres présentent, en effet,
ment et avaient beaucoup d'analogie avec les douleurs d'un rhumatisme aigu . Le pouls devint misérable, et la malade succomba
ntiquement les mêmes. J'ai constamment observé que, dans la période aiguë , douloureuse de cette maladie, les évacuations sa
aucoup de douleur; mais une demi-heure après, les douleurs ont été si aiguës qu'il poussait, avec des cris plaintifs, des hurl
cent à s'engouer le 16 octobre; j'entends, par l'auscultation, un son aigu semblable au cri d'une chouette, et qui tient bie
lindre crue représente une artère devient le siège d'une inflammation aiguë ou chronique; (et cette inflammation me paraît, d
deux groupes qui, s'ils étaient prolongés, iraient se réunir à angle aigu . Je ferai remarquer que la valve mitrale qui re
ulté, au bout de trois mois, six mois, un an au plus, des phlegmasies aiguës ou chroniques qui ont emporté les malades. M. B
ricarde sera le dernier terme. On conçoit encore que l'inflammation aiguë ou chronique du tissu du cœur, en amenant la frag
e, je pose en fait que les trois quarts des malades morts de maladies aiguës ou chroniques sans longue agonie, auraient une hy
arïs,i835. 2 vol. in-8,fig.— Recherches sur le rhumatisme articulaire aigu .Vsr'is i836,in-8. xxviiie livraison. i tenus pa
mitée au lieu de l'adhérence : le caractère positif d'une endocardite aiguë serait la présence d'une fausse membrane revêtant
nie œdémateuse sont un des accidens les plus redoutables des maladies aiguës et chroniques des organes de la respiration et de
6 septembre. Je reconnus tous les signes rationnels d'une pneumonie aiguë , parvenue à sa dernière période. L'état de la mal
'un battement isochrone aux battemens du cœur. Cette douleur est très aiguë . Elle est piquante (c'est l'expression dont se se
e et à cette circonstance que la malade fait remonter les souffrances aiguës des reins, qui, depuis ce moment, ne l'ont plus q
paraplégies par compression de la moelle épinière, 3° des paraplégies aiguës par inflammation de l'arachnoïde spinale, 4° de f
ysie, mais bien douleur surajoutée. Je pense à i'arachnitis spinale aiguë , qui, comme je crois l'avoir établi par des faits
de sueur ont ordinairement pour résultat des rhumatismes articulaires aigus , des pleurésies, pneumonies, c'est-à-dire qu'elle
de la mamelle ou d'autres organes ne préservant nullement des lésions aiguës du cerveau, on conçoit qu'une femme cancéreuse pu
malade se plaint de crampes épigastriques : spasmes,oppression, cris aigus : potion opiacée, qui calme. Les jours suivans, l
ait donné pendant la vie aucun signe de sa présence. L'inflammation aiguë ou chronique du cerveau est l'effet le plus habit
genoux, et même sur le crâne et sur le front, des tumeurs recourbées, aiguës , qui ressemblaient à des cornes de veau. La descr
éunion des deux conduits éjaculateurs, réunion qui se faisait à angle aigu à la racine de la verge. Le sujet, auquel avait
urremment avec la rétention, les calculs déterminent une inflammation aiguë ou chronique, soit de la membrane interne des cal
viens d'observer un cas qui établit que la forme encéphaloïde la plus aiguë , si je puis m'exprimer ainsi, la plus abondamment
volume du poing, qui présentait tous les caractères du cancer le plus aigu , le plus douloureux. Elle mourut d'une maladie ét
e du côté externe de la tumeur. En opposition avec ce cas de cancer aigu , avec surabondance de sucs observé chez une vieil
lles ont pour conséquence tantôt un hydrothorax, tantôt une pleurésie aiguë ou chronique. Cependant le cas représenté pl. 3,
négligée. J'ai constaté la fréquence de leur inflammation catarrhale aiguë , dans les maladies puerpérales; et à la vue de ce
thode anliphlogislique dans le traitement des entérites folliculeuses aiguës . 7e liv., pl. i, 11, ni, iv, p. 12. — Valeur du t
ite folliculeuse primitive est très souvent prise pour une arachnilis aiguë . 38e liv., pl. n, m , iv, p. 4. — Symptômes de l'
. 38e liv., pl. n, m , iv, p. 4. — Symptômes de l'arachni-lis spinale aiguë . 38e liv., pl. v, p. 2. ARACHNOÏDE. Epaississemen
de ses planches représentant diverses formes d'entérite folliculeuse aiguë . 7e liv., pl. i, n, in, iv, p. ¡6. BAINS. De l'
ux hépatique et cholédoque. 12e liv., pl. iv, v, p. 4- — Inflammation aiguë et chronique des voies biliaires. 12e liv., pl. i
t atrophique du cancer est-elle propre aux personnes âgées ? = Cancer aigu avec surabondance de sucs sur une vieille femme.=
dyna-mique). 6e liv., pl. 1, n, p. 3. — Méningite sous-arachnoïdienne aiguë de la base du cerveau avec accumulation légère de
iv., pl. 1, 11, p. 6. — Méningites sous-arachnoïdiennes tuberculeuses aiguës . 6e liv., pl. 1, n, p. 8, g.— Effets des différen
n des sinus de la dure-mère, 8e liv., pl. iv, p. /. — Sous-arachnitis aiguë de touie la surface du cerveau et du cervelet. Pl
coma et mort le troisième. 8e liv., pl. iv, p. / bis. Sous-arachnitis aiguë de la convexité et de la base du cerveau. Arachni
substance résultant des différentes formes d'entérites folliculeuses aiguës . 7e liv., pl. 1, 11, m, iv, p. 6. —Mode de cicatr
e. 40e liv., pl. îv, p. i. COLON. Amincissement extrême ou atrophie aiguë d'une portion des parois de l'arc du colon. 4e li
ONSTIPATION. Gravité de la constipation dans l'entérite fol-liculeuse aiguë . 7e liv., pl. i, n, m, iv, p.t4. CONSTRICTION.
ité d'une diète absolue dans le traitement de l'entérite folliculeuse aiguë . 7e liv., pl. 1, 11, ni, iv, p. i5. DIGESTIF (C
endocardite. 28e liv., pl. v, p. 2. ENTÉRITE. Entérite folliculeuse aiguë : l'entérite folliculeuse primitive aiguë est le
RITE. Entérite folliculeuse aiguë : l'entérite folliculeuse primitive aiguë est le caractère anatomique le plus constant des
1,11, ni, iv, p. 4. — Dans toutes les formes d'eniérite folliculeuse aiguë , les ganglions mésenlériques correspondans, parti
e, résultant des différentes formes d'entérite folliculeuse primitive aiguë . = Formes cliniques de l'entérite folliculeuse pr
mitive aiguë. = Formes cliniques de l'entérite folliculeuse primitive aiguë : forme typhoïde. 7e liv., pl. 1, ii, m, iv, p.
médecine; incertitude de la thérapeutique de l'enlérile folliculeuse aiguë . 7e liv., pl. 1, 11, m, iv, p. 10. — Causes de l'
l. 1, 11, m, iv, p. 10. — Causes de l'entérite folliculeuse primitive aiguë ; jour tout nouveau que jette sur la thérapeutique
d'une diète absolue; la lésion anatomique de l'entérite folliculeuse aiguë ne donne pas la raison suffisante delà mort; dans
s manifeste l'impuissance de l'art. - Exemple d'eniérite folliculeuse aiguë gangreneuse (forme ataxique); mort le quatorzième
et ataxique. 7e liv., pl. 1, n, m, iv, p. /7. — Entérite folliculeuse aiguë pustuleuse (formeataxique) mortelle en cinq à six
à six jours. 7e liv., pl. 1, n, m, iv, p. 18. —Entérite folliculeuse aiguë fongueuse (forme ataxique) mortelle en sept jours
sept jours. 7e liv., pl. 1,11, ni, iv, p. 20. — Entérite folliculeuse aiguë gangreneuse (forme ataxique), perforation. 7e liv
perforation. 7e liv., pl. 1, n, m, iv, p. 2/. — Entérite folliculeuse aiguë presque entièrement guérie. Mort de pleuro-pneumo
nvalescence. 7e liv., pl. 1, n, m, iv, p. 22. — Entérite folliculeuse aiguë (forme ataxique). Amélioration pendanl neuf jours
use est une des formes les plus fréquentes de l'entérite folliculeuse aiguë . 30e liv., pl. m, p. /. — Entérite folliculeuse
ile folliculeuse primitive est très souvent prise pour une arachnilis aiguë . 38e liv., pl. 11, m, iv, p. /. — Entérite pseudo
rt que prennent les ganglions mésentériques à l'entérite folliculeuse aiguë . 7e liv., pl. 1, n, m, IV, p. 5. — Tumeurs méla
, p. 2. — Hémorrhagies intestinales résultant d'entérile folliculeuse aiguë . 7e liv, pl. 1,11, m, iv, p. 5.— Dangers des hémo
. i, p. 3. HYDROCÉPHALIE. Symptômes de l'hydrocéphale ventriculaire aiguë . 10e liv., pl. i, n, p. 2.— Hydrocéphale mort-né.
c un cancer du pylore. 10e liv., pl. m, iv, p. 4. — De l'hydropisie aiguë des femmes en couche. 11e liv., pl. 1, 11, m, p.
., pl. iv, p. 5.—Sur l'infection du sang dans l'entérite folliculeuse aiguë ,: 38e liv., pl. n, ni, iv, p. 4. INFLAMMATION.
. i, p. 3. — Maladies des intestins—Amincissement extrême ou atrophie aiguë d'une portion des parois de l'arc du colon. Périt
ite folliculeuse primitive est très souvent prise pour une arachnitis aiguë . 38e liv., pl. n, m, iv, p. i. — Entérite pseudo-
cancer mammaire affecte touslesàges. 27e liv., pl. m, p. 2. — Cancer aigu avec surabondance de sucs sur une vieille femme.
t devrait désigner, 31e liv., pl. 1, p. 2. MÉLANOSE. Ramollissement aigu du poumon avec mélanose. 13e liv., pl. 1, 11, m ,
l. y, p. 3. MÉMOIRE. Perle de mémoire ; symptôme de sous-arachnitis aiguë . 8e liv., pl. iv, p. 2 bis.— Sur la mémoire des m
dynamique). 5e liv., pl. 1, n , p. 3. — Méningite sous-arachnoïdienne aiguë de la base du cerveau avec accumulation légère de
iv., pl. 1, 11, p. 6. — Méningites sous-arachnoïdiennes tuberculeuses aiguës . 6e liv., pl. 1, n,p. 8,p. — Caractères de la p
QUEUSE. Etals divers de la muqueuse dans les entérites folliculi uses aiguës . 7e liv., pl. i, n, in, p. 5. — On peut vivre peu
du cartilage crieoïde. 5e liv., pl. n, p. 3, 4. NÉPHRITE. Néphrite aiguë terminée par ramollissement. Abcès autour du bass
De l'emploi de l'opium dans le traitement des entérites folliculcuses aiguës . 7e liv., pl. 1, 11, m, iv, p. ¡4- — Traile-nîeni
— Perforations du péritoine consécutives à une entérite folliculeuse aiguë (forme gangreneuse ou ulcéreuse). 7e liv., pl.
use). 7e liv., pl. 1, h, m, iv, p. 5. — Les perforations spontanées aiguës de l'estomac sont le dernier effet du ramollissem
v., pl. vi,p. / .— Perforation du canal intestinal par suite d'ulcère aigu . 30e liv., pl. m ,p. 2. — Perforation par usure d
ÉRITOINE. Etats divers du péritoine dans les entérites follicu-leuses aiguës , -r? Perforations du péritoine consécutives à une
r? Perforations du péritoine consécutives à une entérite folliculeuse aiguë (forme gangreneuse ou ulcéreuse). 7e liv., pl. 1,
16. — Sa méthode de traitement dans l'entérite folliculeuse primitive aiguë . 7e liv., pl. 1, n, m, iv, p. 11. PÉTRIFICATION
angrène primitive du poumon. 11e liv., pl. iv, p. 2. — Ramollissement aigu avec mélanose du poumon. 13e liv-, pl. i, ii, m,
lissement en pulpe de la rate. 2e liv., pl. v, p. 5. — Ramollissement aigu de la rate. 2e liv., pl. v, p. 6", g. — Causes pr
un ovaire. 13e liv., pl. 1,11, ni, p. /0, /2. — Cas de ramollissement aigu avec mélanose du poumon. 13e liv., pl. 1, n, m, p
sement en pulpe de la rate. 2e liv., pl. v, p. 5, 6. — Ramollissement aigu de la rate. 2e liv., pl. v,p. 6.—Causes probables
ein droit que pour le rein gauche. lre liv., pl. iv, p. 4. — Néphrite aiguë , terminée par un ramollissement. Inflammation du
ROEDLRER. Mention de ses planches figurant l'entérite folliculeuse aiguë . 7e liv., pl. 1, 11, m, iv, ». 6. RUYSCH.Mérile
pleurésie. 40e liv., pl. m, p. 6. SOUS-ARACHNITIS. Sous-arachnitis aiguë de toute la surface du cerveau et du cervelet.
cerveau et du cervelet. 8e liv., pl. iv, p. bis. — Sous- arachnitis aiguë de la convexité et de la base du cerveau. 8e li
onite purulente. Vaisseaux lymphatiques pleins de pus. Ramollissement aigu avec mélanose du poumon. 13e liv., pl. 1, n, m, p
tonite purulente.Vaisseaux lymphatiques pleins de pus. Ramollissement aigu avec mélanose du poumon. 13e liv., pl. 1, 11, m,
: déviation antéro-postérieure de la colonne vertébrale à angle très aigu . Ankylose avec fusion de cinq vertèbres. 4e liv.,
quelquefois le symptôme dominant de la méningite_,sous-arachnoïdienne aiguë de la base du cerveau avec hydropisie des ventric
W. WAGLER. Mention de ses planches figurant l'entérite folliculeuse aiguë . 7e liv., pl. 1, n, m, iv, p. 46. WALTHER. Son
26 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aient le nom d'épi- DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE. 21 lepsie aiguë . Or l'éclampsie puerpérale a été le sujet de très
délire de persécution. A part les délires alcooliques plus ou moins aigus , l'association la transformation de différents
blissement intellectuel progressif et finalement folie systématique aiguë . Elle a été hypnotisée jadis dans un but thérap
des attaques convulsives (observations) ou des syndromes de folie aiguë (observations L'auteur discute enfin l'utilité
commettre, même quand ces crimes sont commis en dehors des périodes aiguës de leur affection. Krafft-Ebing a fait voir, par
dans un inter- valle raisonnant, mais dans le cours même d'un accès aigu . Cela ressort de l'enquête. Conclusions. 1° S
., atteint de manie périodique, n'est pas aujourd'hui dans un accès aigu de son affection, il est dans un état raisonnan
, représente l'état d'équilibre mental. 2° S... était dans un accès aigu de sa manie périodique à l'époque où il a commi
son entourage. Il termine par cette judicieuse remarque : Les accès aigus des aliénés périodiques sont calqués les uns su
ts, que les seuls pério- diques qui ne commettent pendant les accès aigus de leur maladie aucun acte nuisible. CAMUSET.
parmi les psychoses primaires, a observé le délire hallucinatoire aigu avec les hallucinations terrifiantes, la désorien
le caractérisent. On a noté aussi des cas de stupidité, de démence aiguë curable, d'un pronostic favorable. Plus graves
ces arthrites est essentiellement chronique mais coupée de poussées aiguës . Il arrive que, par suite d'une infection accid
sauvage de l'Aveyron, nous pourrons passer des sons graves aux sons aigus , de la cloche à la flûte en passant par le piano
ndants, 3 fois chez les malades eux-mêmes. - 6° Affections fébriles aiguës : notées 17 fois. 7° Hémiplégie infantile : notée
gue et plus violente que les autres et qui a abouti à une méningite aiguë et à la mort était un état analogue au status e
et chez la seconde, âgée de quarante-six ans, de délire alcoolique aigu . Chez les deux soeurs, les accidents ont dispar
can joul·nal of insanity, janv.1895.) E. B. XXXVII. Sur LE délire aigu ; par M. S. SOUCHANOFF. (Arhiv. Psychiatrii, 189
s observations dans lesquelles le diagnostic porté a été : « délire aigu ». Le premier cas est très typique] pour la con
es. C'est plutôt le troisième cas qui méri- terait le nom de délire aigu . Là, en effet, tout a évolué en trois ours et d
a pu dire avec raison, dans sa thèse d'agrégation : De la myélite aiguë , que Liouville par ses travaux sur les anévrysmes
sinage; le premier s'est manifesté sous les symptômes d'une myélite aiguë . Leyden 3 fait voir que la tuberculose de la mo
s symptômes d'une tumeur de la moelle, soit sous ceux d'une myélite aiguë (akute Erwei- chung). On peut supposer l'existe
Schultze' (1876) communique un cas de lepto- méningite tuberculeuse aiguë avec examen de la moelle. Un peu plus tard, en
étend en particulier sur les troubles sensitifs dans la tuberculose aiguë et les rat- tache à des lésions anatomiques ner
avec dégénérescence secondaire esquissée ou complète; 2° Myélites aiguës , qui se présentent sous deux formes distinctes
A. Margerite. Elude sur les troubles sensitifs dans la tuberculose aiguë (thèse de Paris, 1885). 2 Raymond. Des différen
mond communique dans la Rèvue neurologique un cas de méningomyélite aiguë limitée à la partie inférieure du renflement ce
ott cervical. Leploméningile chronique. Poussée de ménin- gomyélite aiguë limitée à la partie inférieure du renflement cerv
elle se propage gra- duellement en causant le tableau de la myélite aiguë ou subaiguë ou enfin de la myélite chronique. C
ahis par les nodules et les infiltrations. Quelquefois dans les cas aigus , il y a aussi de petites hémorragies. La dégéné
culose nodulaire de la moelle se présente, en général, dans les cas aigus , sous les symptômes d'une myélite aiguë. Dans u
e, en général, dans les cas aigus, sous les symptômes d'une myélite aiguë . Dans un cas chronique (cas de Gunsser), elle s
r Gunsser. Ainsi, la tuberculose nodulaire de la moelle peut être aiguë , subaiguë et même chronique. Nous connaissons l
ême chronique. Nous connaissons les cas de transition entre les cas aigus (Raymond, Liouville) et le cas chronique de Gun
e début des accidents qui s'annoncent chez toutes par une bronchite aiguë ou par une bronchite chronique repassant à l'ét
e bronchite aiguë ou par une bronchite chronique repassant à l'état aigu . Cette bronchite des grosses bronches n'a cessé q
, la karyokinèse dans les éléments de la névro- glie. Dans deux cas aigus , ils ont observé une dégénérescence des cellule
s cas d'origine toxique (alcool, morphine, cocaïne, plomb, maladies aiguës fébriles). Des hallucinations ou des illusions
ol., lS9u, Obs. III), l'autre d'une myélite syphilitique transverse aiguë ; chez tous les deux il existe une lésion dif- f
hémiplégies sont survenus chez des sujets atteints de blennorrhagie aiguë . Il se demanda s'il n'y avait pas eu, dans ces
La névrite périphérique se développe fréquemment après des maladies aiguës telles que la fièvre typhoïde, le typhus exanth
- M. LE FILLFATRE. Essai sur les troubles moteurs dans l'alcoolisme aigu , subaigu et cérébro-spinal. - M. VIGNE. Relation
rendre insuffisants, et les établissements récents réservés aux cas aigus , et les anciens asiles transformés en hospices
, la même direction médicale et servant l'un d'hôpital pour les cas aigus , l'autre d'hospice pour les chroniques. Les asi
ns de surveillance, la géné- ralisation du traitement des psychoses aiguës par le lit, la réaction contre l'isolement cell
al urbain destiné à admettre le plus promptement possible les cas aigus ; 2" une colonie agricole pour les aliénés chroniq
les aliénés infirmes. L'hôpital de séjour transitoire pour les cas aigus devait, d'après Griesinger, être situé aussi pr
les exigences bien distinctes du traite- ment médical des psychoses aiguës et de la colonisation des formes chroniques, po
ques à idées de suicide, ainsi que des sujets atteints de psychoses aiguës . Griesinger, en 1868, déclare que 25 p. 100 des
enant le tiers du chiffre total des lits, et affectée aux psychoses aiguës nécessitant un traitement actif ou une surveill
tion des conditions nécessairés au traitement méthodique des formes aiguës , furent suivies de l'essai du traitement en lib
nit un hôpital pour le traitement des malades atteints de psychoses aiguës , et pour l'isolement et la surveil- lance de ce
est un médicament très dangereux. Il ag- grave nombre d'affections aiguës , telles que le typhus et la pneu- monie. 11 n'e
cellules ganglionnaires consécutives à l'intoxi- cation alcoolique aiguë . Les recherches ont porté surtout sur les cellu
out sur les cellules de Purkinje du cervelet. Dans l'empoisonnement aigu par 412 SOCIÉTÉS SAVANTES. l'alcool, suivi de
rares. En général la menstruation est normale. Dans les psychoses aiguës , l'influence de la menstruation est plus considér
un jour qu'il est en sueur; dès lors réappa- raissent des douleurs aiguës en différentes articulations, sans tumé- factio
égorie de cas le trouble de la mémoire apparaît presque d'une façon aiguë : il peut être plus ou moins profond, intéressa
ée très rapidement en revêtant l'apparence d'une affection spéciale aiguë , b). Désordres de la sensibilité (fourmillement
de diagnostic caractéristiques sont : le début la plupart du temps aigu , avec des troubles de la sensibilité, désordres
lle contribution A la DOCTRINE DE l'origine INFEC- TIEUSE du délire aigu ; par Bianchi et PICCINI\0. (annale di neu- 1'ol
VI, 1894.) Parmi les formes psychopathiques qui simulent le délire aigu et qui ont été jusqu'ici décrites comme délire
ulent le délire aigu et qui ont été jusqu'ici décrites comme délire aigu , il en est une à laquelle on pourrait donner le
aigu, il en est une à laquelle on pourrait donner le nom de délire aigu bacillaire. Elle se distingue de toutes les aut
s les cas observés jusqu'ici. Il y a des formes de délire sensoriel aigu qui peuvent s'accom- pagner de fièvre, sans que
rrhe intestinal...) que celle qui a déterminé l'explosion du délire aigu . En d'autres termes : la fièvre ne caractérise
mes : la fièvre ne caractérise pas la nature bacillaire d'un délire aigu . Le délire aigu bacillaire doit être considéré
ne caractérise pas la nature bacillaire d'un délire aigu. Le délire aigu bacillaire doit être considéré comme une maladie
l'examen bactériologique du sang. Dans les autres formes de délire aigu et de manie grave, l'examen bactériologique don
tres formes de délire sensoriel qui ressemblent au véritable délire aigu 'sans en être, justifient les critiques de cert
mais d'autres variétés de microorgauismes; car ces formes de délire aigu sensoriel et de manie grave sont beaucoup plus
manie grave sont beaucoup plus fréquentes que le véritable délire aigu qui est très rare. La stupeur organique doit êt
e dernière n'étant qu'un symptôme mental de l'intoxication ,rémique aiguë ou chronique. (American journal of insanily, ui
ffer (de Breslau) veut prouver en s'appuyant sur un cas de psychose aiguë qu'il a observée, qu'il n'est pas rare de const
. Le diagnostic différentiel doit être fait avec : 1° l'hallucinose aiguë , forme assez vosine de la psychose anxieuse et
psychose anxieuse ; 2 la mé- lancolie affective ; 3° les psychoses aiguës avec confusion (Allg. Zeitschr. f. Psychiat., t
situation. M. BOEDEKER. Sur un cas de polioencéphalite hémorragique aiguë d'origine alcoolique (avec présentation de prép
maigreur chez une hystérique par Brissaud et Souques, 48. Sur le aigu , par SouchanofT, 165. hallucinatoire par llberg
igence, par Giroudon, 425. Doctrine de l'origine infec- tieuse du aigu par Bianchi et I'iccinino, 465. DBLIfIU\f TIl
27 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
une maladie de la moelle. Elle n'est indiquée dans aucune affection aiguë de la moelle; mais il n'en est pas de même en c
'en est pas de même en ce qui concerne les reliquats de l'affection aiguë . C'est ainsi que dans la poliomyélite antérieur
ure (paralysie infantile), l'électri- cité employée, après la phase aiguë , mais d'une façon assez pré- coce, fortifie les
20 septembre 1896. I. Mouravieff. Un cas d'encéphalite hémorragique Aiguë . Il s'agit d'une femme comparativement bien por
adiculaire des colonnes postérieures ; 3° un procès inflam- matoire aigu à caractère hémorragique dans la région de la pro
du rapporteur, il s'agit d'un cas de poliencépha- lite hémorragique aiguë supérieure de Wernicke, quoiqu'on y peut encore
t, sous certains rap- ports, d'une forme d'encéphalite hémorragique aiguë , décrite par Strumpell. D'ici surgit la quest
une forme d'amnésie très marquée, une paramnésie et une polynévrite aiguë dans les membres et dans le corps, avec phénomè
vraisemblable, que nous avons eu ici affaire à une poli-encéphalite aiguë hémorragique supérieure de Wer- nicke, compliqu
ue d'après ses observations dans les cas d'encéphalite hémorragique aiguë circonscrite, on peut trouver des globules gran
remière période le malade semble atteint d'une paralysie ascendante aiguë de Landry, tandis que la seconde prit l'aspect
au point de vue anatomo-pathologique dans la « paralysie ascendante aiguë de Landry, dans la poliomyélite antérieure aiguë
ralysie ascendante aiguë de Landry, dans la poliomyélite antérieure aiguë et dans la polynévrite motrice, c'est toujours
détail sur le diagnostic différentiel de la poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte et de la polynévrite systématisée m
trice ; malheureusement elle présente des contre-indications (tabes aigu , fracture, arthropa- thie, etc.). Cette méthode
dans l'organisme suivantles modes d'intoxi- cation (empoisonnement aigu par dose massive, ou lent par petites doses lon
La méthode d'expérimentation est la suivante : 1° empoisonnements aigus par absorption d'une dose unique; 2° intoxication
de Bordeaux, 1805. - Deux cas {l'hystérie provoquée par une maladie aiguë (fièvre typhoïde et grippe), in Leç. de clin, m
tre ans se montre une première atteinte de rhumatisme articulaire aigu : gonflement polyarticulaire, mobile et douloureu
t à la fron- tière, il essuie une attaque de rhumatisme articulaire aigu . Après la guerre, il devient cuisinier de paque
gnant de réaction de dégénérescence. Elle meurt de bronchopneumonie aiguë . A l'autopsie : artériosclérose aortique, manif
01. MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 117 une infection pneumococcique aiguë pourra faire de la sclé- rose pulmonaire à la s
pourra faire de la sclé- rose pulmonaire à la suite d'une pneumonie aiguë , chez le même individu, une infection quelconqu
les infections et les poisons sont les grandes causes des poussées aiguës dans la sclérose multiple disséminée. Mais il f
voirs'il existe une relation entre les artères et les inflammations aiguës , puis entre les artères et les inflammations no
ômes ataxiques. Quelquefois le chanvre indien détermine de la manie aiguë : ces cas sont les plus graves : ils durent que
mental, entremêlé, après chaque nouvel excès de poison, de poussées aiguës qui se rapprochent par leur forme d'une manie a
n, de poussées aiguës qui se rapprochent par leur forme d'une manie aiguë , mais très atténuée. D'après des REVUE d'assist
ès délicate est nécessaire pour déceler toute altération cellulaire aiguë et superficielle au point de ne pas déterminer
de la para- lysie il y a lieu de croire qu'il s'agit d'un processus aigu , tel qu'une inflammation locale. Mais sa nature
litent en faveur de la conception du zona comme maladie infectieuse aiguë , quand on les rapproche des autres points d'ass
étermine la syphilis.' Le rôle que jouent les maladies infectieuses aiguës dans la palho= génie de la paralysie générale e
tive presque toujours à la syphilis et plus rarement à des maladies aiguës . Cette théorie infectieuse de la paralysie géné
. ; 4° les troubles psychiques survenant dans le cours des maladies aiguës , en particulier l'in- sornmie, l'agilation et l
t que les chroniques seuls travaillent : à la Clinique, ce sont les aigus et aussi les alcooliques qui fournissent le plu
'être vu tous les jours, même deux fois par jour pendant la période aiguë ; mais un épileptique dont le traitement est in
e dans nos asiles nous avons encore, on me l'accordera, des malades aigus , qui sortent guéris. Sont-ce des asiles où les
). Enfant chétif ayant présenté à l'âge de huit mois une entérite aiguë qui mit ses jours en danger. A deux ans, bronchit
onstamment auprès de son lit pour éviter qu'elle se fasse mal. Cris aigus , qu'on peut entendre au loin venant entre-coupcr
t 1893, elle est prise d'une violente céphalalgie; ce sont des cris aigus , qui font peur, dit la mère. Elle ne peut plus vo
ment congénital essentiel. P. RELLAY. XII. UN cas DE poliomyélite aiguë chez un médecin ; par le D1' GLO- , RIEUX. (Jou
ques, l'auteur pense qu'il s'est agi dans ce cas d'une poliomyélite aiguë . XIII. INFLUENCE du tabac -sur LES maladies du
ntérieur. Cette dernière condition peut aussi favoriser l'asystolie aiguë dont l'auteur publie un bel exemple. Le mécan
s, dans son application de l'open door de distinction préalable des aigus et des chroniques. M. AnGL : IDE lit un rapport
alcoolisme, le taba- gisme, l'oxyde de carbone; b) les infections : aiguës , fièvre typhoïde, influenza, paludisme; chroniq
s : les hérédités tuberculeuse, mentale et nerveuse; les infections aiguës , la tuber- culose, le tabagisme, les excès, les
muns. Tous ces malades, à l'occasion d'une intoxi- cation paludique aiguë , ont été pris d'un état mélancolique avec stupe
de nos confrères militaires ou marins que l'intoxication paludique aiguë peut déterminer une vésanie, qui se présente tou-
, idées de suicide. Un an après, en janvier 189G, survint une phase aiguë avec température élevée, céphalée intolérable,
ature élevée, céphalée intolérable, puis prostration. Cette période aiguë fut de courte durée ; mais les vomissements, la
o-pariétale. On trouve de l'ostéite condensante et une conges- tion aiguë considérable de la pie-mère, véritable apoplexie
Observation I. - Une jeune fille de dix-sept ans eut une mala- die aiguë du ccrveau lorsqu'elle n'avait que dix mois. Hémi
t mois, mais à cette amélioration succéda bientôt une aggrava- tion aiguë , survinrent de très graves troubles bulbaires, ma
but de la maladie elle mourut il cause de phénomènes bulbaires très aigus . Dans la substance blanche de l'hémisphère droi
rimentalement). Conclusions. Les névrites, surtout quand elles sont aiguës , peuvent provoquer des altérations secondaires
orme. Les expériences concernaient les intoxications diphtériques aiguës et subaiguës, et aussi les intoxications chroniqu
ister, avec nom- breuses expériences de M. Joffroy à l'intoxication aiguë et chro- nique de l'alcool. Duns l'état actuel
tation sur les animaux permet : 1° de mesurer dans l'intoxica- tion aiguë l'équivalent toxique des alcools et de leurs impu
r la voie intra-veineuse, pour les mensurations dans l'intoxication aiguë ; ce procédé serait plus exact que les injec- ti
ruyants : toutes les heures environ, elle se met à pousser des cris aigus , tellement aigus qu'ils s'entendent de loin. Qu
les heures environ, elle se met à pousser des cris aigus, tellement aigus qu'ils s'entendent de loin. Quand l'enfant sent
sibilité générale.' .' Marche. Durée. Pronostic. Terminaison. Forme aiguë . La marche des obsessions est aiguë ou chroniqu
. Pronostic. Terminaison. Forme aiguë. La marche des obsessions est aiguë ou chronique. Daus les cas aigus, l'accès survi
iguë. La marche des obsessions est aiguë ou chronique. Daus les cas aigus , l'accès survient brusquement à la suite d'un c
ion des nerfs correspondants, et, d'autre part, les désintégrations aiguës et bru- tales des cellules spinales qu'entraîne
arrivent rarement à l'autopsie, car, à l'instar de la poliomyélite aiguë , ils ne sont pas absolument^ mortels. J'ai inje
é 454 SOCIÉTÉS SAVANTES. serait plutôt le médicament de poussées, aiguës ou subaiguës, dans le tabes ; beaucoup moins ut
cas de Schultze). Ce moyen doit être employé en dehors des poussées aiguës ou subaiguës, quand la vue, les fonctions intel
uinés. BIBLIOGRAPHIE. VI. Contribution à l'étude de l'encéphalite aiguë primitive à forme hémorragique; par le D1' L. M
être considérée comme la forme typique des encéphalites primitives aiguës non suppurées. Autour d'elles gravitent, simple
rants à forme maniaque. RECUEIL DE FAITS. UNE OBSERVATION DEMANDE AIGUË CHEZ UNE ACROMÉGALIQUE; PAR LES DOCTEURS SA
été brusquement prise, sans cause appréciable, d'un accès de folie aiguë . Son mari peint la brusquerie de l'invasion de
lée comme la présen- tent les deux photographies ci-après : MANIE AIGUË CHEZ UNE ACRO¡ÉG'-\'I.lQI)R, 487 Fit. 26. 488
du coeur avec al'tél'io-scléI'05e; quelques varices existent- MANIE AIGUË CHEZ UNE ACIIONILG ? 1.1(ULz. 4bU Fifl. 27. 4
ante-huit heures, arrive signalée comme présentant un état maniaque aigu , n'offre à l'entrée qu'un état de confusion menta
médecine de Charcot de 1894. Enfin l'apparition d'un accès de manie aiguë à évolution rapide chez une femme acromégalique
uer, noté déjà dans le cas de Paul', c'est l'éclosion d'une crise aiguë de goitre exophtalmique après la guérison, ou, pl
s progressent surtout quand le malade travaille. La marche est donc aiguë sans causes appréciables, mais il y a aussi une
crolog. Cent2oclbl., XV, 1896.) En imputer la cause à une infection aiguë (théorie de Marie) n'est pas exact; celle-ci se
ales il ne faut pas perdre de vue qu'au début des maladies mentales aiguës la susceptibilité » l'hypnotisation et la suggest
é quelquefois la forme mégaloma- niaque, rarement la forme de manie aiguë ; après l'intervention, la guérison du délire a
uivantes : 0 : 1° L'hystérie, quand elle apparaît en pleine période aiguë des infections, reconnaît ces dernières comme cau
Névroses - réflexes, par Grueuper, 233. Encéphalite hémorragique aiguë , par Mouravief, 78; par Murât, 460. Enfants a
par Nonne, 234. PINEL. Eloge de -, par Ritti. 235. Poliomyélite aiguë chez un méde- cin, par Glorieux, 321. - Polyn
28 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
liniques et qu'ils viennent à succomber une affection intercurrente aiguë , est-on en droit d'affirmer absolument que la l
sans analogie avec ce qui a été décrit dans le début des myélites aiguës , si elles ne sont pas identiques. Dans l'anémie
de coup d'oeil sur ce qu'on observe dès le début dans des processus aigus . Si, ainsi qu'on vient de le voir, des examens
t des scléroses spinales, il n'en est pas de même dans les myélites aiguës où la mort fréquente et rapide des malades a pe
es toxines sécrétées, soit d'oblitération vascu- laire par artérite aiguë . , Dans d'autres cas, et c'est là ce qui doit f
offroy a encore constatée au voisinage des foyers de ramollissement aigu . Ces cylindres d'axe hypertrophiés se trouvaien
r a vu une tuméfaction moniliforme des cylindraxes dans une myélite aiguë trauma- tique et ici encore la même altération
et Joffroy dans l'inflammation qui suit ou précède 1'liémorrlia-ie aiguë de la moelle. Enfin cette tuméfaction des cylin
tuméfaction des cylindraxes a été rencontrée au cours de processus aigus , en dehors de toute lésion de névroglie; les él
premiers frappés. Telles sont les lésions du début des processus aigus . Ce qui nous intéresse c'est le gonflement des
t destructives. Les différences qui séparent ce mode de destruction aiguë de la première phase des lésions chroniques con
s lésions chroniques consistent surtout en ce que, dans les lésions aiguës , le cylindraxe apparaît comme tuméfié à un très
mais non celui de la syphilis. P. K. 11 ? Observation DE myélite aiguë dans la substance blanche; par K. KilsTERMANN.
dante des faisceaux pyramidaux. Peut-être s'agit-il d'une infection aiguë , mais de laquelle ? P. K. XXV. LES maladies ner
e la sclérose latérale amyotrophique, de la poliomyélite antérieure aiguë , appartenant, au point de vue anatomo-pathologi
ine, du chloral, de la syphilis, de certaines maladies infectieuses aiguës , des facteurs psychiques. P. K. XXXV. EFFETS
diques. Le Dur Scally préconise le sulfonal dans les accès de manie aiguë , de manie récurrente ou épileptique et dans la ma
pathologique, au moins d'ordre macroscopique. Observation II. Manie aiguë consécutive à un traumatisme. Il s'agit d'un ch
s habitudes d'intempérance, un autre est mort -de délire alcoolique aigu et son fils épileptique est interné à Bicétre d
sur son cerveau prédisposé, et, en 1881, il eut un accès de délire aigu avec hallucinations de la vue et agitation viol
on. Mais' c'est surtout sous l'influence de certaines intoxications aiguës ou chroniques, et en particulier de l'alcoo- li
s sont bien réellement le résultat d'un état d'alié- nation mentale aigu , chronique ou périodique; 3° la combinaison de
me, d'ailleurs, n'est pas particulière aux musiciens. Dans la manie aiguë , on constate généralement une incohérence de la
un cas d'ataxie, il faut qu'il ait été d'une forme particulièrement aiguë . Mais si, d'autre part, on a eu affaire à un ca
auteur hésite à en faire un cas de catatonie. R. M. C. XVI. Manie aiguë dans un cas DE CELLULITE PELVIENNE; par J. CHOIS-
f. XXII. SUR la pathologie DE la CONFUSION mentale hallucinatoire aiguë (Venvo ? '1'enheit) ; par Ernst BEYER. (A1'chiv.
nl¡hiten, t. XXVII, liv. 1.) On peut provoquer chez les alcooliques aigus des troubles senso- riels de divers genres en e
ment accompagnés de troubles de la nutrition : aussi, dans la folie aiguë , la nutrition doit-elle être surveillée et amél
re, et alors incurable ou accidentelle, con- sécutive à une maladie aiguë , une chute, etc., et alors curable. Cet état, c
dique, la folie hébéphrénique, les délires épileptiques, le délire aigu , les psychoses toxiques. Le mémoire se termine
ée en route pour boire et tomber dans un accès de délire alcoolique aigu . C'est dans ces conditions qu'elle fut réintégr
ent leur guérison n'est qu'apparente et que le retour des accidents aigus peut être soudain. Vacances. LE PRÉSIDENT décla
vement des services, le traitement des sujets atteints de psychoses aiguës , affections éminemment curables, ce traitement
érieurs, en forme des corps amylacés. Payne démontre une altération aiguë de la moelle en forme de la myélite. Dans le ca
ue nous allons décrire nous sert d'exemple très visible des lésions aiguës et très pro- noncées de la moelle épinière et e
cès morbide, nous pouvons dire que nous avons affaire à une maladie aiguë de la moelle épinière et du bulbe. On peut s'en
alcoolique, à l'idiotie épileptique, à la folie sénile, à la manie aiguë (puerpérale), à la manie chronique, à la folie
ques-unes des fibres subissent une dégénérescence paren- chymateuse aiguë ; mais ce qui frappe le plus vivement l'observa-
essant la portion motrice de l'arc réflexe (poliomyélite antérieure aiguë ou chro- nique, - névrite périphérique multiple
L'abolition du réflexe du genou, accompagnée de douleurs intenses, aiguës , circonscrites et paroxystiques dans les extrémit
directement à cette lésion pour la révéler. A1'lIehnitis. Elle est aiguë ou subaiguë, et généralement cau- sée par une c
est impossible de méconnaître que certaines aber- rations mentales, aiguës ou chroniques, peuvent être provoquées REVUE D'
t que, si un agent toxique peut pro- voquer le délire d'une manière aiguë , son action réitérée peut donner lieu à des dés
ion pédonculaire se détachent des branches médianes sous des angles aigus ou droits. De sorte qu'il n'y a pas de distribu
ution vasculaire étagée. Les rameaux qui se détachent sous un angle aigu se rendent : 1° à la partie médiane de la subst
n a construit un véritable hôpital de trai- tement pour les aliénés aigus curables, servant en même temps de quartier d'a
insi réalisé; c'est le dédoublement dans le même asile des services aigus et chroniques, dédouble- ment réclamé par Esqui
: c'est alors que parut la paralysie, précédée de douleurs vives et aiguës dans le dos, et d'engourdissements et de fourmi
on désigne souvent sous les noms de paralysie bulbaire chronique ou aiguë et pseudoparalysie bulbaire, des étals les plus
s derniers. Les pavillons destinés aux sujets atteints de psychoses aiguës diffé- reront au point de vue de leur dispositi
ladie affecte alors le plus souvent le type de la paralysie spinale aiguë ou de l'atrophie musculaire progressive. Ce tra
Sur 153 malades frappées deces affections, 98 étaient des maniaques aiguës , chroniques ou démentes, dont 61 ont été amélio
ne maniaque chronique; l'autre était atteinte d'un accès de manie aiguë datant de quelques semaines. L'observation résumé
- F... Florine, vingt ans. Entrée le 29 avril 1895., Accès de manie aiguë avec désordre extrême des actes et des idées. M
cette époque, elle s'améliore progressivement. En résumé : manie aiguë très violente datant d'un mois. Fièvre typhoïde
e de l'état maniaque, qu'il s'agisse de manie chronique ou de manie aiguë . Cette dispa- rition se produit brusquement en
idieuses de pneumonie probablement d'origine nerveuse, des cystites aiguës d'origine trophique. Une ou plusieurs de ces tr
A\·.1L. LXX. Contribution A la casuistique DES maladies' cérébrales aiguës DE l'enfance; par W. 1\IURATOW. (Neurolog. Cent
ieure. L'abcès communique avec les ventricules latéraux. Ependymite aiguë gagnant le noyau caudé. Myocardite parenchymate
. Trabécule solitaire du chiasma, avec un état de confusion mentale aiguë fébrile, sans hémianopsie temporale. P. KERAVAL,
ningée de la moelle sur la face latérale. A. M. LXXIV. Mélancolie aiguë consécutive UN traumatisme DU crâne; par HoISHo
nférieure gauche. LXXIX. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE l'ophtalmoplégie aiguë ; par A. SCHULE. (Archiv sur Psychiatrie und Ne
e à la suite d'une maladie infec- tieuse ou d'une maladie cérébrale aiguë , chez les adultes, par exemple. L'hérédité et l
ec les malades femmes. Le scandale est patent pour les cas de manie aiguë et le préjudice irréparable pour les mélancoliq
ne, celle qui conserve le centre cellulaire offre des lésions moins aiguës et moins destructives : ce sont celles que nous
soit, cette dégéné- rescence cellulaire constitue du ramollissement aigu de la substance grise. Neuf jours après la liga
.) LXXXVIII. SUR l'examen bactériologique DU sang .dans LE délire aigu ; par le Dr Clemeute CADITTO. (RiV. di put. nerf.
correspondant cliniquement à la forme appelée par Bianchi « délire aigu bacillaire », les examens bacté- riologiques du
hologiques relatives A un cas peu commun DE poliomyélite antérieure aiguë ; par le Dr Ezio LUISAD.1. (I,iv. di pal. 7zerv.
et se rappelaient leurs parents dont ils étaient séparés. La phase aiguë de l'attaque n'a pas empêché presque tous les é
it un groupe clinique qu'il caractérise ainsi : maladie infectieuse aiguë du système nerveux à marche progressivement asc
nts des asiles d'aliénés, 255. Confusion mentale hallucinatoire aiguë , par Re%-er, 142. Congrès pénitentiaire par Mot
153. LOIDE Weber-Fetcuneb, parWaller, 397. Maladies cérébrales aiguës de l'en- fance, par Muratow, 369. Effets des
Excitation due au salicylate de soude, par Hobinson, 78. Manie aiguë dans un cas de cellulite pelvienne, par Simpson
1. Opiitalmoplégie unilatérale com- plète, par Trésillon, 288. - aiguë , parSchule, 373. - Optique. Du nerf - du pige
ielscbowsky, 387. Trajet du , par Jakob, 388. Sang dans le délire aigu , par Cabitto, 479. Sarcomes multiples du cerv
29 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
reposer, de mourir. L'accès que je viens de décrire est un accès aigu . Généralement il est moins fort. Il existe à to
e l'idée fixe » (Ribot), jusqu'à la mélancolie anxieuse (an- goisse aiguë ), deviendront des maladies de l'émotivité. ' La
ie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 47 Dans les méningites de types aigus et subaigus, la température crânienne est invar
lques auteurs ont trouvé une élévation de température dans la manie aiguë . (The alienist and neizrologist, oct. 1890.) E.
rvation, qui, sans cause appréciable, fut atteint. d'une pharyngite aiguë , suivie quelques jours plus tard de difficulté
ibrillaires indiquent REVUE pi PATHOLOGIE NERVEUSE. 51 une lésion aiguë du centre bulbaire de l'hypoglosse. On est donc
connaissance jusqu'à la fin. A. M. XII. Influence DES affections aiguës spécifiques SUR la lèpre; par Edouard Tond. (Br
abé- tique exécute le mouvement spontanément. Dans la polynévrite aiguë , à la période de convalescence, on ne l'observe p
ébral ; 6 ont succombé à des complications accidentelles (bronchite aiguë , 3 fois; insuffisance aortique, 2 fois; accidents
3 fois; insuffisance aortique, 2 fois; accidents gastro-intestinaux aigus , une fois). Le dernier des 33 malades a fini da
y a encore peu de divergences dans les deux pays au sujet du délire aigu , de le paralysie générale, de la démence sénile,
dalien, pour, de là, s'in- fléchir en haut : c'est un coude à angle aigu qui embrasse d'abord la corne inférieure. Dans
ors l'image d'un champ, ovale dans la moelle lombaire, triangulaire aigu (à base périphérique postérieure) dans la moell
136 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES un triangle aigu . Entre le renflement lombaire et l'extrémité term
les simples hallucinations nocturnes terrifiantes jus- qu'au délire aigu , montre qu'ils sont identiques à ceux des intoxi-
ade date du troisième accès de délire qui revêtit la forme de manie aiguë . La surexcitation était plus intense pendant le
4; hémorrhagie ventricu- laire, 1 ; hémorrhagie spinale, 1 ; manie aiguë , 3; l'observation des autres cas n'a pas été re
aussi la forme d'obsession avec impulsions irrésistibles, de délire aigu , de délire chronique, de paralysie générale, etc.
hrombose des veines cérébrales dans la première enfance. Une lésion aiguë des cornes doit également être mise hors de cau
, avril 1896.) L'auteur rapporte d'abord une observation de manie aiguë , au cours de laquelle survint une scarlatine qu
l n'est qu'une con- tribution à l'étude de l'influence des maladies aiguës sur l'évolution des affections mentales, questi
ant les trente-quatre dernières années a eu vingt attaques de manie aiguë , dans l'intervalle desquelles il a dirigé avec
- cations de ce genre se rencontrent généralement dans les folies aiguës avec symptômes à développement rapide. 4° Les h
e folie, au moment où l'existence du sucre a été constatée, étaient aigus ; dans les cinq autres ils étaient chroniques.
que cas la forme de folie, on peut remarquer que dans les douze cas aigus , le symptôme prédomi- nant était la mélancolie,
nt signalées comme cause des troubles cérébraux. Dans les douze cas aigus , sauf un, il existait des antécédents héréditaire
e s'élevait au-dessus de la normale que dans cinq cas des duuze cas aigus . Sauf dans un cas, il y a toujours eu paralléli
vre typhoide, le typhus, la scarlatine, le rhuma- tisme articulaire aigu , l'influenza, la pneumonie, la phtisie, la syph
is de tout ce qui s'est passé. Dia- gnostic : délire hallucinatoire aigu . Séance du 25 avril 1894. M. VVmNGaT, conseil
ues sont aussi élevés à Dresde, c'est qu'on admet à l'asile les cas aigus à évolution rapide. Dans ces dernières années,
é- rieurement. M. Brie (DÜren). Sur un cas d'encéphalite primaire aiguë hém01'- ragique. - L'auteur rappelle que cette
rencontré de ces pares- thésies apparaissait comme une crise nasale aiguë qu'on peut à tout point de vue rapprocher d'une
sagés dans leur marche pré- sentent les mêmes phénomènes d'attaques aiguës que ceux du goût. Au point de vue.de leur march
les symptômes olfactifs et gustatifs présentent donc, soit le début aigu , soit la marche chronique d'emblée, soit des cris
ilatérale du plexus brachial, consécutive A une PNEUMONIE CRour.\LE AIGU ? par WILLIAM M. LESZYNSKY. (New- Yorl. Médical
oubles fréquents et multiples qui accompagnent la pneumonie lobaire aiguë et que l'on attribuait autrefois à l'hy- perpyr
c'est d'abord l'envahissement, par la cause primitive de la névrite aiguë de dégénérescence, des branches supérieures du pl
ée par l'élongation. R. M. C. XLV. UN cas d'intoxication alcoolique aiguë CHEZ UN JEUNE enfant : CONVULSIONS ET PARALYSIE
lle l'attaque d'épilepsie ne serait autre chose qu'une intoxication aiguë ; il importe peu que nous ne puissions pas à l'
lles recherches cliniques et anatomo-pathologiques. Les paraplégies aiguës que l'on observe assez fréquemment dans la syph
sement rouge, jaune et blanc décrits comme caractérisant la myélite aiguë , être cousidé- rés, dans le cerveau, comme les
is viennent la forme centrale de la paralysie de Landry, la myélite aiguë à foyers multiples, l'éncéphalo-myélite, la sclér
s optiques ou la protubé- rance, se fait quelquefois sous une forme aiguë . Elle paraît ne se distinguer des myélites cité
ressive, sous forme d'atrophie musculaire spi- nale, ou d'une façon aiguë , sous forme de poliomyélite antérieure aiguë. I
nale, ou d'une façon aiguë, sous forme de poliomyélite antérieure aiguë . Il existe aussi vraisemblablement des rapports e
ent des rapports entre la sclé- rose multiple et l'encéphalomyélite aiguë disséminée. Discussion. M. ALT (Uchtspringe) pe
er. . Personnellement sans avoir jamais souffert d'aucune maladie aiguë grave, notre malade n'ajamais été d'une santé trè
les aberrations mentales qu'il décrit ont précédé un accès de manie aiguë dont il est actuellement guéri : nous ne pouvon
tre-vingt neuf cas, on n'a observé que dix fois un début sous forme aiguë . La nature de l'affectioh n'est plus douteuse lor
. L'auteur n'envisage que les psychoses épileptiques transitoires aiguës et considère que le médecin-légiste doit chercher
analogues comme équivalents de l'accès : il y avait une exagération aiguë de la dépres- sion et la diminution du sens mor
on observe surtout des états de stupeur ou de délire hallucinatoire aigu ; les états de confusion, de fureur maniaque so
ptiques spécifiques ; elles se rencontrent en effet dans les formes aiguës de la paranoia. Il en est de même de la conscie
ltérés donnent encore lieu à des troubles variés d'empoisonne- ment aigu qui portent le nom de botulisme. M. Charrin ter
ns 6 cas : trois fois, mort rapide par affection broncho-pulmonaire aiguë ; deux fois, mort subite attribuée à une insuff
nt recroquevillé sur lui-même; les cuisses étaient fléchies à angle aigu sur l'abdomen, les jambes pareillement fléchies
IE NERVEUSE. LIV. CONTRIBUTION A l'étude DE la paralysie ascendante aiguë (paralysie DE LANDRY) ; par Plarce HALLES et Ja
auteurs se proposent : 1° de décrire un cas de paralysie ascendante aiguë , principalement au point de vue des lésions ana-
caractéristiques de la maladie à savoir : une paralysie ascendante aiguë , causant la mort par envahissement des noyaux b
ures. La lésion avait les caractères d'une inflammation, exsudative aiguë , avec infiltration cellulaire très accentuée de
és à formuler les conclusions suivantes : La paralysie ascendante aiguë est une toxhémie aiguë dans laquelle l'agent to
clusions suivantes : La paralysie ascendante aiguë est une toxhémie aiguë dans laquelle l'agent toxique affecte principal
s altérations anatomiques sont celles de la poliomyélite antérieure aiguë , c'est-à-dire une inflam- mation exsudative aig
yélite antérieure aiguë, c'est-à-dire une inflam- mation exsudative aiguë , suivant la distribution de la branche cen- REV
actuellement impossible de contester que la paralysie ascen- dante aiguë peut évoluer jusqu'à la mort sans laisser d'altér
lésions vasculaires bien accentuées de la poliomyélite antérieure aiguë , mais il est probable qu'il existait dans les cel
ork médical Journal, 14 mars 1896.) Les cas de paralysie bulbaire aiguë ne sont pas communs, et celui que rapporte l'au
tendues sur la pathogénie et le diagnostic de la paralysie bulbaire aiguë . R. DE MUSGBAVE-GLAY. LIX. LE diagnostic DE l'h
quelques variétés assez rares (léthargie profonde, délire maniaque aigu , etc.) la conscience est conservée pendant l'ép
e ans était atteinte pendant trois mois et demi d'une myélite assez aiguë , qui se développa à cause de la compression de
aliénés. Rovaume de Prusse, 75. r " Lèpre. Influence des maladies aiguës sur la -, par Todd, 52. * Lésions. Etats ment
r Ilead, 232. LEUCCM1ÉLITE. Méningite tubercu- leuse spinale et - aiguë , par Jacobaus, 462. c LiTTLe. Faisceau pyrami
n, par 1-ood, 25a. Méningite tuberculeuse spinale et leucomyélrte aiguë , par Jacobaus, 462. Menstruation et son influ
- Faciale de la pre- mière enfance, par Kartom, 60. - ascendante aiguë par Hadey et Ewing, Í56.- bulbaire aiguë, par
Kartom, 60. - ascendante aiguë par Hadey et Ewing, Í56.- bulbaire aiguë , par Auzal, n59.- Post-puerpérale, par névrit
30 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
e tout à fait singulière de l'ensemble symptomatique, marche toujours aiguë de la maladie, caractères nécroscopiques d'une na
pour la plupart, au début ou pendant le cours d'une affection fébrile aiguë ; autant de conditions qui rendent très difficile
enfants ou les adultes, pendant la convalescence d'une autre maladie aiguë , ou pendant le cours d'une affection tébrile, d'u
à certains climats. — La fièvre puerpérale typhoïde [il85), la morve aiguë (1554), la phlébite traumali-que, suivie de résor
1853, t. I, lrc série, p. 157). — En cas de tuberculisa-fion générale aiguë , lorsque la maladie revêt la forme typhoïde (82
une lésion tuberculeuse du poumon (Leudet, Recherches sur la phthisie aiguë de l'adulte. Thèse de Paris, 1850, p. 35; Gosset,
. Thèse de Paris, 1850, p. 35; Gosset, De la tuberculisation générale aiguë de l'adulte, thèse de Paris, 1854, p. 56). — Quan
lication des principes généraux du traitement hygiénique des maladies aiguës (126). Insister spécialement sur les règles relat
que, t. II, 4863. — Marrotte, Etude sur l'inanition dans les maladies aiguës , dans Bulletin général de théra-peutique.) G. M
te que, sous ce rapport, l'affection typhoïde est aux autres maladies aiguës ce qu'est la phthisie aux maladies chroniques. »
par M. Baudot, et qu'il désigne sous le nom de laryngite nécro-sique aiguë . « La fièvre typhoïde, dit-il, esl, en particulie
infiltration est resté douteux. Sestier insiste sur cette « nécrose aiguë et partielle des car-tilages du larynx, du cricoï
s l'œdème de la glotte était venu com-pliquer la laryngite nécrosique aiguë . Aces deux formes d'altérations, il faut joindr
uccès men-tionné plus haut, a émis l'avis que la laryngite nécrosique aiguë une fois constatée, il conviendrait de recourir i
t si l'on comprend les cas de typhus ordinaires et d'au-tres maladies aiguës , le nombre s'en est élevé jusqu'à 250 et même 300
pris le typhus pétéchial ou la fièvre typhoïde et les autres maladies aiguës . » Les hommes sont plus sujets à la maladie que
t pour le second (1: 4 4) 4 mort sur 11 malades, toutes les mala-dies aiguës et chroniques y comprises. » Il reste évident q
es bubons appelés pestilentiels sont les plus dangereux et les » plus aigus , tels qu'on les voit surtout dans la Lybie, l'Egy
gna en Lybie. Ils » disent que dans cette peste il y avait une fièvre aiguë , de la douleur, une » tension de tout le corps, d
ue qu'on a proposé de désigner sous le nom de dégénération graisseuse aiguë du foie. Les cellules sécrétantes, pâles et comme
ne se présente avec des allures toutes spéciales, une marche toujours aiguë , des symptômes qui, sans lui être exclusivement p
, l'atrophie n'est pas constante, et la dénomination $ atrophie jaune aiguë du foie, par laquelle on désigne encore cette esp
'ai bonne mé-moire, aux extrémités supérieures. On y voit une période aiguë avec rou-geur, douleur, etc., suivie d'une périod
démontre que le plus grand nombre des maladies, au moins des maladies aiguës , peut se terminer spontanément par la guérison. L
res qui ont jusqu'ici toujours abouti aune issue funeste (Rage, Morve aiguë ). On peut, en pareil cas, administrer les remèdes
idoux *, d'une manière très générale, classer assez bien les maladies aiguës , selon l'ordre des indications plus ou moins évid
uérit point l'épilepsie ; mais on sait aussi que certaines affections aiguës peuvent amender ou même guérir des maladies de lo
inion qui pousse beaucoup de médecins à diriger contre les affections aiguës une thérapeutique très active, c'est que ces affe
e amère dans une infusion aqueuse. pas cependant que les pneumonies aiguës soient abandonnées à elles-mêmes, ou traitées par
celles qui ne deviennent chroniques qu'après avoir passé par un état aigu . Celles-ci, faut-il ajouter encore, revêtent la c
genre de celles auxquelles nous faisons allusion ici, d'une pneumonie aiguë franche et primitive, par exemple, ce ne devra pa
res cas particuliers, se rencontrer dans le cours d'une même maladie, aiguë ou chronique, alors même qu'elle se montre avec d
réservé sur les saignées quand les savants sont atteints de maladies aiguës . — Certaines conditions physiologiques doivent ég
t-il pas cependant un fond de vérité ? Pendant le cours d'une maladie aiguë fé-brile, la désassimilation, ou, pour nous servi
'applique, en définitive, peut-être au plus grand nombre des maladies aiguës qui rentrent véritablement dans le domaine de la
un mémoire de M. Laboulbène, contenant cinq observations de pneumonie aiguë traitées avec succès par le régime. M. Ruehle (
lques jours, est survenue une affection intercurrente, bronchite très aiguë , expec-toration muco-purulente très abondante, pa
luche. —Berger prétend avoir retiré de bons effets, dans la période aiguë de cette maladie, de l'usage interne du nitrate d
, année lu65. Paris 1866. Y. Traitement du rhumatisme articulaire aigu par les alca lins à haute dose 1. Lettre à M. D
du 25 juillet), relativement au traitement du rhumatisme articulaire aigu par les alcalins à haute dose, me remet en mémoir
ment acide qu'elle ne l'est en général dans le rhumatisme articulaire aigu , en dehors du traitement alcalin, quelquefois neu
nclusions de M. Jaccoud, que le traitement du rhuma-tisme articulaire aigu d'après la méthode de M. Garrod, dès à présent re
nser que cette médication n'est pas applicable seulement à la forme aiguë du rhumatisme articulaire. Je l'ai vue déjà plusi
ouvent très prononcé, qui semblent indiquer une tendance vers l'é-tat aigu . Par contre, elle a complètement échoué dans un c
le rhumatisme articulaire, qui s'était présenté d'abord sous la forme aiguë généralisée, s'est, au bout de quelques jours, fi
s cette note, que des cas où le traite-ment du rhumatisme articulaire aigu par les alcalins à haute dose a été ap-pliqué dan
te d'argent........................ 402 V. Traitement du rhumatisme aigu par les alcalins à haute dose... 439 FIN DE LA
es, 322 ; — dans les maladies d'évolution, 323 ; — dans les ma-ladies aiguës , 326; — indications de 1' —, 330. f Fièvre, i
— hy-dragogue, 404; — cristal de — 404. Lysis, 332. M Maladies aiguës : tendance à la chronicité, 327. — chroniques p
— diagnostic avec la fièvre jaune, 147, 149. Rhumatisme articulaire aigu : traite-ment du — par les alcalins à haute dose,
par les alcalins à haute dose, 439. S Saignée, dans les maladies aiguës , 317. Sclérodermie, 199. Syphilis, sels d'argen
31 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
atteint dans la paralysie générale. Ce sont tantôt des éruptions aiguës , telles que l'érythème, le pemphigus, le zona,
ôt des affections chroniques : ichthyose, alopécie, etc. Troubles aigus . L'érlTt·on2élczlgie a été signalée par Marchai
gus. L'érlTt·on2élczlgie a été signalée par Marchai ? Les éruptions aiguës apparaissent et disparaissent à un moment donné
le que soit l'influence du séjour au lit sur la durée des psychoses aiguës , ce système possède le mérite indiscu- table de
férentes maladies infectieuses (myélite et encéphalite infectieuses aiguës , typhus abdominal, etc.). S'il y a des modifica
a toxicité vraie de l'alcool éthylique. Symptômes de l'intoxication aiguë et de l'intoxication chronique par l'alcool étlcy
f. L'agitation peut être extrême et donner le tableau de la manie aiguë . Les hallucinations sont fréquentes, et deviennen
après une assez longue période, l'évolution peut aussi être rapide, aiguë ; et il y a lieu de décrire successivement deux
apide, aiguë; et il y a lieu de décrire successivement deux formes, aiguë et chro- nique. Chacune d'elles se subdivise en
ires, suivant qu'elle atteint la base ou la convexité. A. Méningite aiguë syphilitique. Céphalalgie extrême- ment intense
'accompagne souvent d'hémiplégie ou de monoplégies. Cette méningite aiguë est rarement primitive ; le plus souvent elle s
nt inefficace. La plupart des auteurs admettent que cette méningite aiguë spécifique peut être primitive. Le contrôle bac
à elles qu'il faut avoir recours pour l'explication des poussées aiguës , des périodes d'exacerbations, dans lesquelles le
ques, etc. Bien souvent l'ablation des ovaires calme les symptômes aigus de la maladie et provoque un état de stupeur tend
mentale primitive idiopathique. désigne une affection ordinairement aiguë , consécutive à l'action d'une cause occasionnel
u d'une infection. Le diagnostic peut se faire, dans les infections aiguës , par ce fait REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 188
essentielle, et qu'elles doivent être considérées comme des formes aiguës , atténuées ou de début, de la méningo-encé- pha
II. Troubles TROPuiQUES chroniques. A côté des troubles trophiques aigus de la peau et des annexes dans la paralysie gén
, de tout l'organisme, une désassimilation pro- gressive et souvent aiguë . La sécrétion salivaire est parfois augmentée.
la voix mâle, même assez grave. Cependant il émet souvent des sons aigus , se rapprochant de la voix féminine. Etat men
XVI. SUR l'anatomie pathologique DES éléments nerveux dans l'urémie aiguë expérimentale ; par ACQUISTO et PUSATERI. (Riv.
ns organiques des plus manifestes, puis après exemple d'une myélite aiguë avec mort et nécropsie A. M. VIII. Crétinisme
gi dans ce cas d'une atrophie .musculaire progressive plus ou moins aiguë consécutive à un trau- matisme de la moelle. G.
es fixes elles-mêmes. » - A. FENAYROU. XXIV. Paralysie ascendante aiguë ; par MM. Hirtz et LESNÉ. (Presse médicale, 12 j
'évolution et de l'anatomie pathologique de la paralysie ascendante aiguë , les auteurs rapportent un cas de cette affection
rovoqué et fascination ; Hf;mo9o ! U)'Mpn ? ''M;ys : <e ; Délire aigu hydro- p/t0& ! 'ç ! <e ; p/taste aucc A(
nale syphilitique, la myélite transverse syphilitique et la myélite aigus syphilitique, avec une observation. Dans tous
qu'il faudra la rechercher surtout, mais bien plutôt dans les cas aigus qui présentent des idées délirantes non systémati
raitement sera applicable à un grand nombre d'af- fections mentales aiguës . (American Journal of insataily, juil- let 1897
se développer tout autour une zone où les douleurs sont telle- ment aiguës qu'une intervention chirurgicale est rendue néces
morbides. J. Séglas. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XXX. Alcoolisme aigu chez un enfant; par l'aI'IiES VEBEn. (Edim- bou
ar il est rare d'observer chez l'enfant des phénomènes d'alcoolisme aigu aussi intenses et aussi nets. Il s'agit d'une
vés dans des conditions aussi nettes, ne relè- vent de l'alcoolisme aigu . Ces accidents rappellent-ceux de l'état de mal
c l'organisme entier, avec les autres maladies du système ner- veux aiguës et chroniques, et par-dessus tout l'influence des
owley. Le terme ancien de phrénilis, ceux plus modernes de délire aigu , de manie grave, de typhomanie, de maladie de Bel
e son internement en octobre 1894, ce malade était atteint de manie aiguë alcoolique. Lorsque les symptômes aigus furent
de était atteint de manie aiguë alcoolique. Lorsque les symptômes aigus furent atténués on s'aperçut que depuis le mois d
ut se manifester soit épicléntiquernertl par des caractères parfois aigus , soit isolément sous une forme plus ou moine atté
s promptement. 18. Contribution ci l'étude de la paralysie générale aiguë ; - par E.-F. Richault. Ce travail contient si
he rapide. Il ne s'occupe pas de la paralysie générale des maladies aiguës . 19. Contribution à l'étude des rapports de l'h
les formes de mélancolie simples, curables, qu'on pourrait appeler aiguës par opposition aux formes chroniques et plus ou
les signes physiques soient aussi accentués que dans la mélancolie aiguë au début. La respiration est généralement dimin
mentalité. De là, toute une série d'intermédiaires entre les formes aiguës simples et les cas chroniques complets dont le
ie du système nerveux et chez des sujets humains morts d'affections aiguës ou infectieuses, et qu'ils n'avaient tenu compt
ente deviennentplus rapides; le sommet de la pulsation devient plus aigu ; le dicrotisme est placé plus bas sur la ligne
r W. \VEIOE ! <HAMEB.Con< ? 't6tt<tO)t à l'élude du délire aigu . Après un aperçu général des récents travaux co
aperçu général des récents travaux concernant la question du délire aigu , les auteurs communiquent leurs deux ob- servat
n des symptômes physiques et psychiques qui caractérise le délire aigu et font la délimitation de cette forme nosologiqu
ec les formes graves de l'amnésie. Pour bien différencier le délire aigu de la forme galopante de la démence progressive
où, à côté du symptôme SOCIÉTÉS SAVANTES. 417 complexe du délire aigu , on pouvait nettement distinguer les symptômes
l'évolution de la maladie, les auteurs admettent des cas de délire aigu à évolution plus longue, chronique, comme le prou
e observation il s'agit éga- lement d'une encéphalite hémorrhagique aiguë , qui n'a pas eu le temps de s'affirmer par des
dans la plupart des cas une encéphalite (ou mé- ningo-encéphalite) aiguë hémorrhagique comme substratum ana- tomique du
halite) aiguë hémorrhagique comme substratum ana- tomique du délire aigu . Il est donc très probable que l'encéphalite ai
tomique du délire aigu. Il est donc très probable que l'encéphalite aigu hémorrhagique répond toujours à cette forme clini
r comme bien définie et bien autonome, et qui s'ap- pelle le délire aigu . Le délire aigu serait de cette façon, d'après le
inie et bien autonome, et qui s'ap- pelle le délire aigu. Le délire aigu serait de cette façon, d'après les auteurs, une
rait de cette façon, d'après les auteurs, une variété d'encéphalite aiguë hémorrhagique, tout à fait analogue à la forme
e Strumpell, Wernicke, etc., et vice versa. L'évolution du délire aigu peut être aiguë ou subaiguë ; sous ce rapport é
Wernicke, etc., et vice versa. L'évolution du délire aigu peut être aiguë ou subaiguë ; sous ce rapport également il exis
ogie avec l'évolution des autres formes d'encéphalite hémorrhagique aiguë . L'étiologie du délire aigu est peut-être varia
res formes d'encéphalite hémorrhagique aiguë. L'étiologie du délire aigu est peut-être variable ; mais il s'agit Archive
TÉS SAVANTES. toujours, comme dans les autres formes d'encéphalites aiguës , d'in- fections et d'intoxications (dans le sen
de Semidalow et Weidenhamer. 11 rappelle un cas personnel de délire aigu , où l'autopsie a révélé l'existence d'un foyer
opsie a révélé l'existence d'un foyer d'encéphalite hémorrha- gique aiguë dans une des circonvolutions centrales. - Les dim
ne croit pas possible de différencier d'une façon absolue le délire aigu de 1'ttineiiiitt. Dr N. Solovtzow. Les difformi
tow, KojEWNmow et PRI13YTKOFF. N. M. Wersiloff : Myélite centrale aiguë ascendante (avec dé- monstration de préparation
fesseur RoTH fait remarquer que la dé- signation du processus comme aigu ne lui parait pas bien juste; il s'agit plutôt
odique des deux membres inférieurs, égale des deux côtés ; douleurs aiguës non localisées; pas de troubles objectifs de la
le tabes; du neurone centrifuge dans les polyomyélites antérieures aiguës , subaiguës ou chroniques de l'enfant ou de l'ad
exophtalmique. Bodin (Léonce). Essai sur les paralysies ascendantes aiguës . Etude cli- nique et anatomique. - Bourdicaud-D
gomyélie. Marion (Abel). De la paralysie vésicale dans le paludisme aigu . Marher (Albert). La folie post-opéra- toire. M
erbales plisyco-motrices. Martinet (Henri). La paralysie ascendante aiguë (syndrcfme de Landry). Etude lilsto- rique et c
plus de 100 malades chacun voiremême 50 lorsque ce ne sont que des aiguës . Des sténo- graphes doivent être adjoints au mé
mé d'une paire de ciseaux de tapissier à lames très longues et très aiguës , il se jeta sur son fière aine, âgé de treize ans
56. Alcoolisme au Congrès de Bruxelles, par Legrain, 2ft, 996, - aigu chez un enfant, par Weber, 330. Aliénés. Trai
Myélite subaigué dorso-lombaire, par Mongour et Carrière, 228. aiguë ascendante, par Werziloff, 119. Myxoedèmede l
Marinesco, 233. - récurrentielles, par Lermoyez, 235. ascendante aiguë par Ilirtz et Lesné, 237. brachiale du type Erb
32 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Aujourd'hui nous cherchons à montrer qu'à côté du délire urémique aigu , à grand fracas, il existe également des trou-
al analogue à celui que décrivit M. Maurice Faure dans des cas plus aigus 3. IL- Dans une excellente revue sur « les trou
de petite urémie et non de grande insuffisance rénale, avec délire aigu et ter- minal, qui est le plus souvent observée
e troubles délirants peut se rencontrer dans trois cas 1" Un délire aigu peut être le symptôme passager d'une néphrite ;
e- ment sur la production des troubles cérébraux que dans les cas aigus (ivresse délirante). M. Klippel a montré que les
Mais tout en tenantcompte de cette objection, il faut, dans les cas aigus comme dans les cas chroniques, rechercher chez
halalgies violentes et eut des pertes de connaissance. - Cet état aigu ne dura que quelques jours, mais depuis le malade
'exige le système des pavil- lons dispersés, du grand nombre de cas aigus , des exigences de l'enseignement, du transport
teints de maladies mentales chroniques et non pas seulement des cas aigus ; les élèves feront ainsi connaissance avec )'euoh
dernières années de sa vie, et a eu une sorte d'accès d'alcoolisme aigu deux ans avant sa mort. Il a été soldat à Tours p
des accidents qui l'ont conduit à l'a-ile il a perdu de tuberculose aiguë un petit-fils de 15 ans et a conçu de ce deuil
ison nous apprennent qu'une attaque grave de rhumatisme articulaire aigu , subie à l'âge de quatorze ans, fut suivie de m
es doses, on constate ou bien un effet négatif, ou une intoxication aiguë qui vient aggraver l'état pathologique de cet é
re d'une manière lentement progres- sive, sous peine d'intoxication aiguë . Il n'y a dans celte manière de procéder nulle
re atrophique pro- gressive, ni une paralysie bulbaire apoplectique aiguë , ni une paralysie pseudobulbaire, ni une dystro
l'articulation, de l'amnésie, etc., tout ceci indique un processus aigu occupant les ganglions de la base, le cerveau e
que cause en question, permettent d'affirmer l'ericéplialoni3,élite aiguë disséminée oxycarbonique. Le patient fut renvoy
e ou jaune verdàtre est caractéristique; 2° Au cours des méningites aiguës cérébro-spinales, tuberculeuses ou bactériennes
scalier sans s'appuyer à la rampe, immédiatement éclatait une crise aiguë d'angoisse avec suf- focation et tremblements g
ût. Or, le matin du jour fixé pourla noce éclata une crise de manie aiguë qui prit rapidement de telles pro- portions que
ecin. Je constatai chez elle tous les signes classiques d'une manie aiguë non hallucinatoire avec prédominance d'idées et
résentait que les symptômes OBSESSION ET DELIRE. 1 9o de la manie aiguë avec érotisme ; durant les rémittences, bien qu
, sautille comme une chèvre, elle pousse parfois des cris perçants, aigus ; d'autres fois elle grogne, mugit. Elle présent
et de névro- ses, et même au cours de certains états pathologiques aigus (infections, intoxications). Dès lors, il nous
n'y insiste pas en- core. Il n'est pas douteux que les encéphalites aiguës dont la nature infectieuse- est admise, ne donn
c la dégéné- rescence hyaline, que Bischotr constate dans le délire aigu et que tant d'autres décrivent dans les infecti
tieuse est la possibilité de toutes les transitions entre le délire aigu et les formes les plus len- tes de la paralysie
quel viennent se greffer les in- fections et les auto-intoxications aiguës ou subaiguës, qui entrai- nent les différents d
le coma, en sont la con- séquence. Mais, au lieu d'être localisé et aigu , le processus infec- tieux peut être diffus et
(hypocondrie, mégalomanie). Tandis que dans les intoxications plus aiguës , cette même suggestibilité trouve ses facteurs
éactions organiques moins vives, en dehors, bien entendu, des accès aigus qui la peuvent traverser. Il n'est pas fréquent d
lence, on rencontre toutes les transi- tions entre certains délires aigus et les formes les plus chroniques de paralysies
ême infection secondaire, mais atténuée par rapport à leurs délires aigus ou subaigus, pour y revenir encore. . En ce qui
s et de nodules infectieux témoignant d'une réaction interstitielle aiguë ou subaiguë des ganglions. Ce qui parait ressor
les hôpitaux, les biessés et les personnes atteintes de maladies aiguës . Un asile d'aliénés, ainsi que nous le répétons d
acceptable de la narcose li-io7zaliqiie continue dans les psychoses aiguës . La paraldéhyde a l'avantage de son innocuité p
iale, la paraldéhyde serait préférable au chloral dans l'alcoolisme aigu en raison de l'absence d'action sur le coeur. E
indiqué, mais seulement à la période de décroissance. Dans les cas aigus , l'al- coolisme en particulier, il a donné lieu
lement il vaut mieux s'abstenir de son emploi prolongé dans les cas aigus : mais il a éprouvé que, dans les manies chroni
e. Mais de l'avis de ceux qui ont expérimenté l'alitement les états aigus d'agitation évoluent d'une façon bien moins bru
cation serait désirable dans les délires SOCIÉTÉS SAVANTES. 329 9 aigus et les psychoses s'accompagnant de fièvre ; mais
ections à l'Institut Solvay à 11 heures. La poliomyélite antérieure aiguë de l adulte. M. A. Van Geuuchten. L'existence d
e. M. A. Van Geuuchten. L'existence de la poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte ne repose encore que sur l'étude d'un
le. Il les désigna sous le nom de paralysies spinales ante- rieures aiguës de l'adulte et les attribua à une atrophie aiguë
les ante- rieures aiguës de l'adulte et les attribua à une atrophie aiguë des cellules antérieures de la moelle. Cette
paraissent être des cas incontestables de polio- myélite antérieure aiguë de l'adulte, contrairement à l'opinion de Déjer
e, en 1890, « qu'il n'existe actuellement aucun cas de poliomyélite aiguë de l'adulte dont le diagnostic ait été confirmé
l'occasion d'observer un cas clinique de polio- myélite antérieure aiguë chez une jeune fille de vingt et un ans. ayant
rimaire. Il s'en suit que l'existence de la poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte ne peut plus être contestée. L'or
liaires normaux et anormaux et de l'indican. Ce syndrome peut être aigu , subaigu ou chronique. Quand, aigu, il se termine
l'indican. Ce syndrome peut être aigu, subaigu ou chronique. Quand, aigu , il se termine par la mort, on trouve une hyper
rcée par le plexus solaire peul-ctre compensée. Le syndrome solaire aigu d'excitation produit par le tiraillement ou la
dans la plupart des états de stupeur cérébrale (traumatisme, délire aigu , hystérie ( ? ), épilepsie, paralysie générale
t ne peut point uriner le matin et ressent ence moment des douleurs aiguës dans la vessie pleine. Le malade ne souffre pas
t de violentes maintenant ; il se manifesta des douleurs perçantes, aiguës , à l'oeil gauche et, en plus, des fourmil- leme
carcinomateuses du cerveau, au ramollissement embo- lique du délire aigu , aux foyers de ramollissement syphilitique de l
écessité des lavages de l'estomac. Ces troubles prennent une l'orme aiguë le 21 décembre 1900. Il a de la lourdeur de têt
ens de traitement les plus usités à Meerenberg contre les psychoses aiguës et les états d'agitation sont l'alitement et les
triciel médullaire endormi depuis près de quatorze ans. Une poussée aiguë infectieuse s'est faite autour du corps étrange
nie qui résulte de leur état maladif. Ces états sont, en général, aigus et, par conséquent, durent peu ; plus ou moins
gue plus fréquemment dans les formes chroniques que dans les formes aiguës de l'aliénation mentale. Que dans les formes
vraie. Dans le premier cas, il est plutôt en rapport avec une forme aiguë (excitation maniaque, par exemple) et souvent c
tent ou habituel : le premier coïncide généralement avec des formes aiguës ou des périodes d'agitation. Le se- cond se ren
vement nocturne est très rare, Il est surtout le fait des for- mes aiguës et par conséquent curables. Le plus souvent le
pour le pronostic. Comparons, par exemple le monologue de la manie aiguë et celui du délire chronique ÉTUDE CLINIQUE DES
irconstance. Ces bouffées hallucinatoires, en effet, sont tellement aiguës ou s'accompagnent d'un désordre psychique tel q
ÉRALES DE L'OREILLE. 509 conques, survenant au cours d'une psychose aiguë , princi- paiement, il faut s'enquérir de leurs
a règle générale; elle s'était brusquement compliquée d'une myélite aiguë . Au microscope, les lésions présentaient une in
ement de celles qui existent dans les hôpitaux. 2° Tous les malades aigus , bruyants, sales, destructeurs doivent être pla
eul serviteur, il ne parait pas devoir dépasser 25 dans une salle d' aigus , de malades ou de sujets affaiblis, mais peut all
oui- meil, car en obtenant le sommeil on évite bien des symptômes aigus . Les jours de pluie, il y a des malades qui dorme
quence ont amené une certaine améliora- tion. Deux cas de myélite aiguë au cours d'un carcinome secondaire de la dure-m
ombilic. L'examen anatomique a montré dans les deux cas une myélite aiguë transverse de la région dorsale inférieure et d
préciable, sans acci dents de compression, puis brusquement myélite aiguë et paraplégie llasq ? ie. Il ne paraît pas do
et paraplégie llasq ? ie. Il ne paraît pas douteux que la myélite aiguë est à elle seule res- ponsable de la paraplégie
Friedereich, les Encéphalopullaies infantiles, les rtzcé- phalites aiguës , les Myélites tuberculeuses, la Sarcomatose du sy
Mendel. 160. " 3lwa.tre Observation de-ou d'en- céphalomyélite aiguë disséminée consécutive a l'intoxication pai l
de carbone, teimiuee pat la guérison. par Pausln, 61 Deux cas de- aiguë au cour-, d'un carcinome secondane de la dnie
33 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r fracture vertébrale, par section spinale traumatique, par myélite aiguë , toutes espèces nosographiques dans les- quelle
ANEDEII. (Neurolog. Central6l., XIX, 1900.) Observation I. Psychose aiguë causée par l'aniline pure sans aucun mélange. E
gurie, de vomissements, de somnolence. ' Observation II. Psychose aiguë , provoquée par le binitro- toluol. Il s'agit en
où l'ingestion de quelques verres de bière détermine les accidenls aigus en question. - Observation III. Intoxication pa
e chaleur, puis, perte de connaissance, hémoglobinurie, tuméfaction aiguë de la rate. Durée : trois semaines, guérison. Les
jeunes épileptiques. P. KERAVAL. LI. Un cas de paralysie bulbaire aiguë chez une enfant; par KOLL9R1TS. (Nouv. Iconogr.
-paralysies bulbaires, la névrite périphérique, les polyo- myélites aiguës des enfants et à admettre comme cause une mé- n
guës des enfants et à admettre comme cause une mé- ningite bulbaire aiguë à évolution rapide mais ayant occasionné « des
esseur RAYMOND,. ' Diagnostic de la poliomyélite et de la névrite aiguës à propos de deux cas de monoplégie crurale. M
conception contemporaine du syndrome anatomoclinique de la névrite aiguë . D'autre part, il n'est pas indifférent qu'on s
rie, t. XIII. 6 82 SOCIÉTÉS SAVANTES'. poliomyélite d'une névrite aiguë , si tant est qu'on puisse admettre encore des n
évrite aiguë, si tant est qu'on puisse admettre encore des névrites aiguës exclusivement motrices, indépen- dantes de tout
e, et qui, selon les cas, sera congénitale, héréditaire, familiale, aiguë ou chronique. Porose cérébrale. M. G. GUILL
ué, en 1889, plusieurs cas où la suspension agit sur les affections aiguës des yeux des tabétiques. M. Darier ' W. Bechter
vés. P. KEHAYAL. XI. Lésions dégénératives dans un cas de myélite aiguë ; par G. IiI6ELES. (11 eurolog. CentralbL, XIX,
eurolog. CentralbL, XIX, 1900.) L'observation a trait à une myélite aiguë , siégant il la partie supérieure de la moelle d
montre, pour le court espace de temps en rapport avec la myélite aiguë , précisément la dégénérescence exclusive des fibr
icales du cerveau. P. KERAVAL. XXVIII. De l'influence de l'anémie aiguë sur les cellules motrices de la moelle; par J.
eul : le signe de Kernig. L'affection, tout en débutant d'une façon aiguë monta lentement vers une issue fatale en trois
évulsif, c'est le souvenir de l'affection, qui provoque une douleur aiguë et vous réveille. Deux cas peuvent se produire
Aujourd'hui, mes idées étant les mêmes, mes états d'âme sont moins aigus . Et j'attribue cela à la diminution de l'éreuthop
nds moins pour la double forme composée comme on sait de deux états aigus , maniaque et Iypémaniaque, qui se succèdent. Co
aux maxillaires droits arrachait au patient, qui pleurait, des cris aigus . Mais en appuyant l fortement mon pouce sur la
des, la paralysie géné- rale se trouvait liée soit zv l'impaludisme aigu , soit à l'impaludisme chronique. L'intoxication
8 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. signes cliniques sont ceux du délire aigu pouvant s'amender bientôt ou conduire à un psyc
nt : fatigue nerveuse profonde des travailleurs de la pensée, manie aiguë , tumeurs cérébrales, démence organique, scléros
sont de la plus haute importance dans presque toutes les psychoses aiguës . Ce diagnostie rapide implique diffusion des co
paralysie générale, à son début, ressemble à la folie systématisée aiguë ou subaiguë. Ainsi en est-il de ce persécuté pa
ut le monde. Ainsi, pas de repos, même dans la rue ! cela devint si aigu , que si je prenais mon chapeau pour sortir, déj
ltats sur 125 malades traités pour névralgies, névrites, rhumatisme aigu et chronique, articulaire et musculaire, migrai
escence du cordon posté- rieur qui décroît en descendant ? (myélite aiguë , moelle après amputation) ; par G. 131KELES, (N
. 131KELES, (NellTolog. Centralbl., XIX, 1900.) Si, dans la myélite aiguë , le foyer est regardé comme produisant une réel
sant une réelle interruption des libres de la moelle, son caractère aigu 304 REVUE d'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
n que les névrites alcooliques et saturnines aient parfois un début aigu , on ne peut admettre que' le début des altérati
dans son organisme, comment est-il possible de sup- poser un début aigu dans une intoxication chronique permanente ? Mi
gne de Romberg, du ralentissement du pouls, une somnolence à marche aiguë . Le pouls augmente de fréquence, elle succombe.
celui du pathétique est à 3 millimètres en arrière, près de l'angle aigu ouvert en avant que forme ce pli avec le pli pé
d'espèces cliniques et susceptible de se pré- senter sous une forme aiguë (en général sans systématisation) ou sous une f
matisation). SOCIÉTÉS SAVANTES. 321 -i Le syndrome de la psychose aiguë à base d'intel')Jl'étati(Jl1s se rencontre dans
atorze mois après l'opération, des suites d'une broncho-pneu- monie aiguë 1. A l'autopsie, on trouve dans la région parié
en automne 1897, eut un accès très grave de rhumatisme articulaire aigu presque généralisé. Dans l'espace de quelques s
ires paraissent caractériser un processus inflammatoire à tendances aiguës , les lymphocytes un processus inflammatoire à m
, particulièrement la paralysie générale progressive. - Les accès aigus ou subaigus de l'alcoolisme chronique simulent
HLNSCÜEN. (Neurolog. Cenhralbl., XIX, 1900.) Dans l'intoxication aiguë par le phosphore, il se produit des symptômes d
LXXIV. Observation originale d'atrophie musculaire étendue, à début aigu et devenue stationnaire au bout de huit années de
irresponsable. P. KERAVAL. LXXIX. Des troubles moteurs à évolution aiguë présentant les caractères de l'ataxie cérébelle
des yeux. Genèse lentement progressive à la suite d'une affection aiguë fébrile, infectieuse. Pronostic favorable; les ré
pour ne prendre qu'un exemple, un relèvement trop rapide et trop aigu des grandes fonctions, tout en étant désirable en
GRAVE-CLAY. 398 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XCI. Ataxie spinale aiguë (non tabétique), ses rapports avec d'autres for
e aiguë (non tabétique), ses rapports avec d'autres formes d'ataxie aiguë ; par Charles L. Dnw. (The 1\'ezo-I-onlr Médical
Dnw. (The 1\'ezo-I-onlr Médical Journal, 20 avril 1901.) L'ataxie aiguë est un état dans lequel le malade, dans un espace
taxie est le symptôme pré- dominant et le plus persistant. L'ataxie aiguë peut être bulbaire et cérébelleuse, spinale, ou
plupart des cas publiés par Leyden sous le nom d'ataxies centrales aiguës : la lésion n'est pas exclusivement bulbaire, e
ristique.' Il rapporte ensuite quatre observations d'ataxie spinale aiguë , dans lesquelles l'étude clinique des malades n
és d'un ramollissement brusque par thrombose. En résumé, l'ataxie aiguë se rencontre quelquefois dans le tabès dorsal,
gne ordinairement de symptômes caracté- ristiques. L'ataxie spinale aiguë , non tabétique, est le résultat soit de la syph
guérison presque complète. L'ataxie bulbaire ou bulbo-cérébelleuse aiguë est consécutive à une infection aiguë, et est o
ulbaire ou bulbo-cérébelleuse aiguë est consécutive à une infection aiguë , et est ordinairement le début d'une forme de s
ordinairement le début d'une forme de sclérose multiple. L'ataxie aiguë , d'origine névritique, est le résultat d'une névr
irrégulière; lièvre typhoïde à seize ans et rhumatisme articulaire aigu il vingt-deux ans. Pas d'hérédité fâcheuse. Grand
ur inexplicable, illusions, hallucina- tions, dilusions) ou d'accès aigus de manie ; l'auteur relate ici plusieurs observ
° L'individu normal possède une sensibilité physique et morate plus aiguë que celle du criminel ; 2° si on les considère pa
es obssessions habituelles de leur esprit vont prendre un caractère aigu . C'est dans un état d'aliénation, que tout a prép
s. Il y a lieu de dtscuter le diagnostic de polyomyélite antérieure aiguë et celui de lésions radiculaires déterminées pa
les présentateurs basent leur diagnostic de polyomyélie antérieure aiguë sur l'apparition pré- coce de la paralysie, sur
onze ans. Elle a eu une première attaque de rhumatisme articulaire aigu , à l'âge de huit ans, une seconde à quinze ans
ogiques se réduisaient à trois attaques de rhu- matisme articulaire aigu , de véritables accès de petit mal ont fait leur
s. Malgré ses trois attaques antécédentes de rhumatisme articulaire aigu , elle ne présente pas de signes appréciables d'
les laboratoires psy- chopathologiques et les hôpitaux pour aliénés aigus ; par Samuel B. LYON. (Amel'ican 'Journal ol*In
505. Connexion entre les laboratoires et les hôpitaux pour les - aigus , par Lyon, 506. Réglementation de la sortie d
Dénotes, 40 Analgésie hystérique, Voir Anes- l7tésie. anémie aiguë . Influence de l' sur les cellules motrices de l
r Hu- plies, 59. Le syndicat des ataxi- ques, 175. Ataxie spinale aiguë , par Ch, Dana, 398. Atrophie parenchymateuse
pectoraux. Absence congé- nitale dos - par Souques, 242. Myélite aiguë . Léstonsdé5énéraVves dans un cas de -, par G. B
Manaud, 525. Névrite optique et lactation, par Parllemaert, 53. - aiguë . Voir v Monoplégie crurale. Stades ini- tiaw
veruig, 50. post-anes- théslque, par Leczlusl.y, il. - - bulbau'e aiguë chez un enfant, par Kollal'lts, 72. - infantile
cs. - a. S42 ' TABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS. évolution aiguë chez les alcoo- liques, par de Bechterew, 389.
34 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
aciale dans la maladie de Bell, la para- lysie dans la poliomyélite aiguë de l'enfance, etc. Or, dans ces affections, cha
entuée des nerfs périphériques.- Observation III. Paralysie spinale aiguë , vacuolisation des cellules nerveuses. Dégénéresc
amassés autour des parois vasculaires dans les états inflammatoires aigus ou chroniques, on aura de meilleurs résultats a
tion de l'écorce cérébrale (aire motrice) dans un cas de mélancolie aiguë , avec agrandissement des espaces péri-vascu- la
1858, p. 585; Empoisonnement par l'opium, 1858, p. 500; - Délire aigu ; iodisme ( ? ); Démence paralytique; influence de
occuper de trois classes d'individus : 1° les épileptiques aliénés, aigus ou chroniques; 2° les épileptiques non aliénés;
du nitrate d'argent, sur le Traitement du rhumatisme articulaire aigu par les alcalins, sur Y Anaphrodisie produite par
e manière de voir. Ce n'est pas que j'aie eu d'accidents toxiques aigus graves à déplorer, et cependant il m'est arrivé f
ncore plus intéressants, car ils ont nettement différé selon l'état aigu ou chronique. Dans ce dernier, l'accoutumance a
e malade n'eût pris que 42 milligrammes de duboisine. Dans l'état aigu , les résultats ont été moins bien satisfai- san
t résumés : Observation XVII. Alexis Ger..., cinquante ans, manie aiguë avec très vive agitation continue. Un milligram
THÉRAPEUTIQUE. Observation XIX. Emile Gay..., vingt-deux ans; manie aiguë avec violente agitation continue. Un milligramm
ion XX. Jean Gaut..., vingt-cinq ans; débilité men- tale avec manie aiguë . Agitation à peu près continue. Un et 2 mil- li
a substance. Observation XXI. François Gaim..., dix-huit ans; manie aiguë avec agitation continue. Un milligramme de dubo
e, nous avons eu z100 p. 100 de résultats favorables, dans la manie aiguë , nous n'avons pas rencontré un seul cas complèt
e, même plus de deux mois, or trois d'entre eux étaient franchement aigus . Observation XXII. Auguste Cab..., quarante-deu
Observation XXIII. Nicolas Gof..., quarante-six ans; lypé- manie aiguë avec violents emportements contre les hallucinati
Observation XXV. - Désiré Porch..., trente-trois ans; lypéma- nie aiguë avec désespoir anxieux et gémissements continuels
lypé- ACTION SÉDATIVE DE LA DUBOISINE CHEZ LES ALIÉNÉS. 227 manie aiguë avec vive réaction anxieuse à peu près continue.
mais après une période d'action efficace, étaient également des cas aigus . Observation XXVII. Alfred Rut..., trente-cinq
gus. Observation XXVII. Alfred Rut..., trente-cinq ans; lypémanie aiguë catatonique. Un milligramme de duboisine pendant
aire. Observation XXVIII. Arthur Gent..., quarante ans; lypémanie aiguë avec anxiété presque continue. Un milligramme de
Observation XXIX. - René Trah..., cinquante-trois ans; lypé- manie aiguë hallucinatoire avec agitation continue. Un millig
ne s'est manifestée plus ou moins long- temps, cinq étaient des cas aigus ; au contraire dans les six qui suivent et dans
ro- niques. Dans la lypémanie, nous avons donc obtenu pour l'état aigu 37 p. 100 d'action, soit continue, soit avec acco
1 Observation XXXII. Victor Rau..., vingt-quatre ans; lypéma- nie aiguë avec anxiété continue. Un milligramme de duboisin
Osbervation XXXV. - Urbain Rosen..., trente-cinq ans; lypé- manie aiguë avec agitation désespérée presque toute la journé
beaucoup plus fréquente dans la manie chronique que dans la manie aiguë et au contraire dans la lypémanie aiguë que dans
chronique que dans la manie aiguë et au contraire dans la lypémanie aiguë que dans la lypémanie chronique; et, d'une mani
omplète moins fréquente que dans la manie chronique et la lypémanie aiguë , mais plus fréquente que dans la manie aiguë et
onique et la lypémanie aiguë, mais plus fréquente que dans la manie aiguë et la lypémanie chronique; et ainsi que dans la
ns la paralysie générale que dans les vésanies en général, la manie aiguë et chronique et la lypémanie chro- nique ; elle
iblement la même^dans la paralysie géné- rale que dans la lypémanie aiguë , elle a été plus fréquente dans la lypémanie qu
al mais plus fréquentes que dans la manie chronique et la lypémanie aiguë ; elle a été moins fréquente dans la manie que d
que dans la lypémanie, dans la manie chronique que dans la manie aiguë , dans la lypémanie aiguë que dans la lypémanie
dans la manie chronique que dans la manie aiguë, dans la lypémanie aiguë que dans la lypémanie chronique. XII. D'une m
, dans la 232 RECUEIL DE FAITS. manie chronique que dans la manie aiguë , et au contraire dans la lypémanie aiguë que da
hronique que dans la manie aiguë, et au contraire dans la lypémanie aiguë que dans la lypémanie chronique. XIII. - Vu l'i
nconscience. C'est le procédé Mercklin. P. K. IX. UN cas DE démence aiguë ; traitement par LES applications CHAUDES ET FRO
es recherches nosologiques sur les folies des maladies infectieuses aiguës , des maladies viscérales, des maladies diathési
le stade fébrile, elles revêtent ordinairement la forme d'un délire aigu . Durant le stade post-fébrile ou la convalescen
-intoxication. On peut dire que, dans les cas où l'intoxication est aiguë , la folie se manifeste habituellement sous la f
guë, la folie se manifeste habituellement sous la forme d'un délire aigu , toxique, semblable au délire alcoolique (c'est
ont pas été l'objet de développements étendus ; durant les épisodes aigus des diathèses ces psychoses revêtiraient aussi
us des diathèses ces psychoses revêtiraient aussi le type du délire aigu toxique; ces accès semblent correspondre aux va
M. BR1A1D (de Paris), après avoir rappelé sa thèse sur le délire aigu d'origine microbienne, rapproche les délires toxi
bides dénommés : confusion mentale, délire hallucinatoire et délire aigu , et, d'autre part, entre ces trois états et les
présentée cliniquement sous la triple forme simul- tanée du délire aigu , du délire hallucinatoire et de la confusion me
tochtone serait responsable en général de certaines com- plications aiguës que l'on observe si fréquemment chez les aliénés
ooliques vrais, présentant les signes cliniques de l'in- toxication aiguë ou chronique (tremblements, délire spécifique,
). Maintenant M. Neisser insiste sur sa découverte de la paranoïa aiguë . Trois observations à l'appui offrant : 1°, le st
a paranoïa. P. KERAVAL. XVIII. DES bases somatiques des psychoses aiguës ; par Wagner. (Jahrbiich. f. Psychiat., X, 2,3.
ës ; par Wagner. (Jahrbiich. f. Psychiat., X, 2,3.) Les psychoses aiguës postfébriles proviennent, du moins la chose est
me provoquent des psychoses. Peut-être y a-t-il aussi des psychoses aiguës par auto-intoxications; nous tendrions à signal
ns à signaler comme tel le désordre dans les idées, hallucinatoire, aigu . P. K. XIX. Contribution A la. connaissance DES
progressivement chez les aliénés à mesure que l'on passe des formes aiguës de lafolie aux formes chroniques et aux démence
luenza, se produire, à la suite des excès d'alcool et des accidents aigus ou subaigus., une véritable psychopathie organisé
e véritable psychopathie organisée; 2° C'est une folie systématique aiguë ou folie systématique abortive de Sander, carac
de la paralysie pseudo- bulbaire, ni celui de la paralysie bulbaire aiguë , il n'appartient pas davantage à l'hystérie non
ions même de l'auteur. Chez les malades ayant succombé à la période aiguë de la manie et de la mélancolie, il est assez c
c- tement chez ces deux ordres de maladies : C'est dans les états aigus accompagnés de dépression mentale que l'on renc
que les états hypérémiques. Etant donnée la marche de ces formes aiguës de folie, on ne s'attendrait guère à y observer
l est assez remar- quable que, dans 80 p. 100 des cas de mélancolie aiguë , cette dis- position était très simple, tandis
nce de leur durée, les altérations déjà rencontrées dans les formes aiguës ; mais quel- quefois aussi on constate des phéno
on constate des phénomènes absolument contraires à ceux des formes aiguës . Les altérations de texture de la dure-mère son
connus. M. 11PPEN. De la formation de cavités de la moelle à l'état aigu avec démonstrations. Sera publiée ailleurs. B
polyncurilique des psychoses postlyphoïdiques » ; ; Sur les formes aiguës de la folie » ; « Sur l'assis- tance familiale
ypique, melancolia attonita; 6) manie (excitation ma- niaque, manie aiguë et manie suraiguë); c) confusion mentale ou ame
n mentale ou amentia de Meynert ou dysnoïa de Korsakov; d) paranoïa aiguë , subaiguë et chronique avec les subdivisions de
toxi- cations chroniques. Le troisième, groupe contient : le délire aigu , la paralysie générale, la démence sénile, les
e, curable (dysnoïa stupo- rosa de Korsakov) ; 2° confusion mentale aiguë hallucinatoire à forme délirante avec ses subdi
ces fibres mas'- sées 'en trousseaux épais, croisent soifs un angle aigu le pédoncule cérébelleux supérieur, pour se dir
s la méningite, ilest le signe certain d'un processus inflammatoire aigu . Mais l'apparition de l'herpès labial en pareil
aire à une ménin- gite épidémique pure, ou à une méningite suppurée aiguë survenue chez un tuberculeux qui, d'ailleurs, p
ns organiques, g02 £ 1 BIBLIOGRAPHIE. · notamment dans la démence aiguë et le délire du collapsus, on constate de l'hyp
cessus par.de Bechterew, 481. Psychose; des'hases somatiqnes'des ? aiguës , par Wagner, z du jeune,vge,'par Sehoenthai;320
35 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nie ettatypémanie. L'idio- tisme acquis devient pour lui la démence aiguë , à laquelle il n'a consacré que deux pages seul
49 Entré à l'asile de Clermont le 26 janvier 1873, les phénomènes aigus disparaissent en quelques jours, mais n'en lais
l'asile de Clermont ; comme après sa première entrée, les accidents aigus , les lamentations, les angoisses, les terreurs,
E. CH. III. LE traitement médical rationnel DES maladies mentales aiguës ET curables; par le Dr Wiltie 13URDIANN, médecin
point de vue mental. R. de M.-C. VIII. De l'influence des maladies aiguës sur la genèse des maladies mentales ; par Emile
ch. u. Il érvecalc., t. I, 2 et 3)'. 1. B. Rhumatisme articulaire aigu . L'appréciation générale des diverses opinions
équilibre circulatoire par les reconstituants. Pleurésie Bien moins aiguë que la pneumonie, cette ma- ladie, qui d'ailleu
lques semaines. La pathogénie échappe complètement. D. Exanthèmes aigus et érysipèle. 1 Variole. Quelle que soit la par
délires du début, et d'admettre plutôt dans l'espèce un épuisement aigu du système nerveux succédant à l'oscillation th
e : une semaine. Gué- rison. E. Fièvre typhoïde. C'est la maladie aiguë par excellence du délire et des troubles psychi
élirantes isolées ou hallucinatoires; - 2° agitations plus ou moins aiguës ; 3° mélancolie calme, parfois stupide accompagn
r les cas semblables concernant le catarrhe gastrique et intestinal aigu . F. Choléra asiatique. La diffusion et la brièv
premières manifestations somatiques se développe soudain un délire aigu avec agitation violente, loquacité, insomnie (o
cholérique sont responsables des trois types : agi- tation maniaque aiguë mélancolie avec idées délirantes et hallucinati
aux sérieux, touchant la genèse des psychoses par d'autres maladies aiguës , dut forcer l'auteur à borner làses monographie
ies.il signale la diphthérite (Lombroso), la métrite et l'oophorite aiguë (Becquet), la péri- tonite (Krafft-Ebing), la d
ite suppurée (Acten der Mûnchener IC·ea'szrena7stale), la néphrite, aiguë , l'ictère grave, la pyémie, la puerpéralité et
cubitus avec fièvre, sans que la périeticéplialite prenne la marche aiguë : ces différen- ces doivent tenir et à la malig
même, dans certaines conditions, en provoquant un accès de folie aiguë . Krafft-Ebbing8, Ripping9, et 1 Azam. Folie ent
ositifs qui indiqueraient que diverses affections sexuelles, soit aiguës , soit chroniques, peuvent donner lieu à une mal
ngt-cinq; délire mélancolique, d'origine puer- puérale, cinq; manie aiguë , dix-huit; manie aiguë puerpuérale, huit. Les
olique, d'origine puer- puérale, cinq; manie aiguë, dix-huit; manie aiguë puerpuérale, huit. Les malades après la ménop
pagné d'un kyste de l'ovaire de grandes dimensions;'un cas de manie aiguë "par un fibrome' de 'l'utérus de là grosseur de
ent presque également le même rapport. Sur vingt-six cas de manie aiguë , dont huit d'origine puerpérale, on en trouve d
tions fugitives du sens intime se rencontrent surtout dans la manie aiguë où elles sont d'un pronostic heu- reux et annon
e. Plus 196 PATHOLOGIE MENTALE. rares dans les délires dépressifs aigus , quoiqu'eucore possibles, ils ne paraissent pas
terminaison des vésanies par guérison, sauf peut-être pour la manie aiguë . Quand, dans le cours d'une lypé- mànie simple
en bas en se réunissant avec le premier pour former deux fragments aigus . La pointe du fragment supérieur a été réséquée
reilles, bourdonne- ments, bruits de la mer, et surtout sifflements aigus . Ils re- doubleront à l'approche du paroxysme.
totale), est trop absolue; car il est des cas de folie systématique aiguë primaire dans lesquels l'aliéné comprend l'absu
des conceptions irrésistibles au rang de symptômes dans les folies aiguës et chroniques. A l'encontre de Westphal, il pen
râne ; Briand pour une Etude des altérations du sang dans le Délire aigu ; Régis pour un travail sur l'Eliolorlie de quel
s délirant consécutif à une fièvre typhoïde ou quelqu'autre maladie aiguë , un malade commette un acte criminel. L'enverre
isphères cérébraux (ramollissement) entraînait des mani- festations aiguës . Les cordons postérieurs de la moelle n'avaient
une folie systématique primitive qui s'est développée sous la forme aiguë en rêve ou pendant l'état de veille (Arch. f. P
phalite chronique (adhérence des méninges à l'écorce) des foyers aigus , il s'agit d'un seul et même processus se montran
e la physiologie du cerveau antérieur; Les formes hallucina- toires aiguës de la monomanie exaltée et leur évolution; Nouvel
res. Les convulsions généralisées sont un symptôme de l'absinthisme aigu ; on ne les~observe dans l'absinthisme chronique
erve dans l'absinthisme chronique que sous l'influence d'un épisode aigu , ou en conséquence d'une lésion cérébrale. Les
metancu- 1. [(Ill(" çs n).0t't, : i la suite d'accidents cérébraux aigus . Laissant de coté les autres tlésprdre$I2scliop
se. La marche de l'encéphalite suppurée varie suivant qu'elle est aiguë ou chronique. Dans la forme chronique, l'abcès
rme chronique, l'abcès s'enkyste, ce qui n'a pas lieu dans la forme aiguë . Dans le pre- mier cas, la mort survient par ru
abcès dans les ven- tricules ou sous les méninges, ou par un oedème aigu ; dans le second, par extension de la suppuratio
uppuration et destruction de la substance cérébrale. Dans l'abcès aigu , la maladie évolue vers la mort en huit à douze
uo et les autres formes de paralysie mentionnées après les maladies aiguës . Les symptômes différaient, par la marche favor
383 sont notées des lésions scléreuses consécutives à une myélite aiguë ou subaiguë, et des expériences de Leyden qui, à
d'une insolation, d'une lésion de la tête, d'une affection fébrile aiguë , ainsi qu'à la première période de la paralysie
ïe; il regrette de n'avoir pu jusqu'ici l'expérimenter dans des cas aigus . Il a paru à l'auteur que l'action de l'atropine
me de trente-trois ans, mariée, entrée à l'asile en mai 1874. Manie aiguë avec tendance à la violence et à la destruction
d'une façon plus précise, chez les soldats atteints de folie non aiguë , la paralysie ' générale étant exclue, les hallu-
veux; par Langlois. Thèse de Paris, 1882. Elude sur la méningite aiguë des buveurs et en particulier sur la méningite
), par Féré et Demars, ? ? 0; - par Gellé, 273. Maladies mentales aiguës et cu- rables (traitement des), par Bur- mann
d (bibliographie), 399. Maladies mentales (influence des maladies aiguës sur la genèse des), par Krrepelin, 105. Manie
36 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vous faudrait avoir une digestion difficile ou un peu d'éthylisme aigu , chose qu'il m'est impossible de vous conseiller,
core vivants et bien por- tants ; les autres sont morts de maladies aiguës . Antécédents personnels. AU... n'a jamais souff
malades que certains auteurs considèrent comme atteints d'épilepsie aiguë , on ne peut que reconnaître le bien fondé de la
ion dégénéra- tive, attaques épileptiformes, tremblement); psychose aiguë appar- tenant au groupe de l'amelttia de Meyner
nervation et de l'impul- sion volontaire. P. K. XXVII. Des formes aiguës delà démence (Amentia) ET DE la folie SYSTÉ- )
WL. SERBSKI. (Allg. Zeitsch. f. Pyschiat., XLVIII, 4.) Les folies aiguës se présentent sous deux formes. ' 1° Désordre d
agitation ma- niaque, stupeur, ou apparence de la démence (démence aiguë ) ; ou 104 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
être d'origine bactérienne et peut-être y a-t-il plusieurs démences aiguës avec chacune son microbe. -2 Folie systématique
s démences aiguës avec chacune son microbe. -2 Folie systématique aiguë . Se distingue de la folie systématiqu e chronique
distingue de la folie systématiqu e chronique par l'installa- tion aiguë ou subaignë des idées délirantes, tandis qu'elles
ogie, t. XIX ; p. 270 ; t. XXI, p. 283 ; t. XXII, p. 132) : myélite aiguë . 1° Leurs altérations portent au début sur une
a précision de Lissauer un rapport entre les symptômes paralytiques aigus en question et ces altérations. P. K. XXI. DE
Ludwig. M. SCHNTH : 1L. Du désordre dans les idées hallucinatoires aiguës . Début soudain ; à peine un court stade prodrom
as, elle passe généralement par une phase qui rappelle la démence aiguë ), par la mort ou par le passage à l'état chroniqu
et de la variabilité des hallucinations. Dansla folie systématique aiguë , on constate une organisation dans les idées déli
r par un raisonnement aussi logique que possible ; dans le désordre aigu des idées, au contraire, les idées délirantes,
ent du trouble profond de la connaissance déjà signalé. Le désordre aigu dans les idées est une psychopathie due à l'épu
terminèrent le syn- drome du désordre dans les idées hallucinatoire aigu . Quelques mois plus tard les troubles intellect
sion identique en d'autres points du crâne, impression désagréable, aiguë , ressemblant à une démangeaison pénétrante, qui
s. Par contre, chez les sujets affectés de processus intra-craniens aigus , cette sensibilité est exagérée, elle atteint m
nt de -sept ans, qui fut pris d'une attaque de paralysie atrophique aiguë , présentant les symptômes caracté- ristiques d'
guë, présentant les symptômes caracté- ristiques d'une poliomyélite aiguë antérieure à la moelle cervicale. Ultérieuremen
e rien ne nous autorise à envisager. S'agit-il d'une téphro-myélite aiguë , l'idée n'est pas plus sou- tenable etil me par
rant de la brique. » Doit-on créer des asiles spéciaux pour les cas aigus ? En éloi- gnant les cas aigus des asiles, on r
éer des asiles spéciaux pour les cas aigus ? En éloi- gnant les cas aigus des asiles, on rendrait ainsi presque nul le mo
la rigueur de l'internement. Une fois l'aliéné interné, qu'il soit aigu ou chronique, l'occupa- tion hygiénique, lorsqu
tion, il exagère son assimilation. Donc, comme dans les psy- choses aiguës qui guérissent, il y a également une augmentation
tant que complets. Ainsi s'expliquent les intoxications alcooliques aiguës ; l'association des idées se trouble, il se produi
permanent de l'activité volontaire, ainsi que la paralysie motrice aiguë , d'origine centrale. Le thé, au contraire, agit
e de lésions profondes de l'or- ganisme ; il succède à des maladies aiguës , à des maladies puerpé- rales. En très peu de t
s atteignent une acuité extrême ; ils revêtent la forme de la manie aiguë (agitation, volu- bilité du langage, rimes, ass
que la guérison n'ait lieu qu'à la suite du syndrome de la démence aiguë . En tout cas, la gué- rison reste complète sans
aussi dans le délire raisonnant post-épileptique. L'accès de manie aiguë du dément paralytique reflète les idées de gran
ion violente, excessivement vio- lente, des accidents d'une névrite aiguë multiloculaire revêtant l'aspect de lapéliose r
laire revêtant l'aspect de lapéliose rhumatismale et de l'infection aiguë . Atrophie excessive avec diminution colossale d
allucinations; l'auteur y fait rentrer le type de Meynert (désordre aigu dans les idées avec hallucinations et agitation
périosité, le désordre dans les idées, la fréquence d'épisodes plus aigus venant compliquer le délire chro- nique, et, fi
colie stupide, qui affecte assez fréquemment la forme de la démence aiguë . L'isolement n'a pas d'influence nocive. M. CRA
es : l^8 Séance : Symp- tômes et diagnostic de la pneumonie franche aiguë ; hernie cru- rale. z2" Séance : Hémoptysie; fra
rimitive; par le Dr CHASLIN. Il est un groupe particulier de folies aiguës parfaitement distinct des autres formes reconnu
général brusquement par une agitation extrême qui rappelle la manie aiguë , avec perte complète de l'orientation ; d'autre
nt des facultés; 3° état chronique de démence; 4° mort après marche aiguë ou chronique, le plus souvent par pneumonie, ph
, le plus souvent par pneumonie, phtisie, marasme ou état de délire aigu . Au point de vue de l'aaa- tomie pathologique,
ect du malade est particulier. La paralysie générale, même à marche aiguë , s'accompagne de troubles somatiques plus prono
t mélancoliques serviront à établir le diagnostic. Pour le délire aigu , le moment de son apparition, l'état grave, REV
la terminaison ordinairement fatale. Le diagnostic avec la paranoïa aiguë est d'autant plus difficile que l'existence de
tées par l'auteur sont à rapprocher des autres cas où une affection aiguë intercurrente a provoqué la rémission ou la dis
de Paranoïa consiste à rechercher s'il existe réellement une forme aiguë de cette maladie. Bien que cette forme aiguë ai
e réellement une forme aiguë de cette maladie. Bien que cette forme aiguë ait été décrite par Westphal et admise par Meyner
'impulsion etc... et n'est autre qu'un délire sensoriel ou paranoia aiguë . Entre le délire sensoriel vrai et la paranoia
est à ces formes que doit s'appliquer exactement le nom de paranoia aiguë . Malgré la grande variété de formes cliniques i
lle prend des formes et des allures diverses : dans quelques formes aiguës , on peut observer une rémission, presque même u
uence DE la désinfection intestinale , sur QUELQUES formes DE folie aiguë ; par John MACPHERSON. (The Journal of Mental Sc
ences médi- cales : Délire (en collaboration avec M. RITTI); Délire aigu , Démence, Delirium tremens, Dlélanémie, Somnamb
une complication, soit affection organique quelconque, soit délire aigu , chez les malades profondément débilités. Tel
on d'état maniaque : ces manies secondaires sont à la manie franche aiguë ce que sont les états symptomaliques aux états
que la confusion avec la manie vraie n'est guère possible. La manie aiguë franche guérit d'elle-même après une évolution
mmédiatement le désordre des idées et des actes comme dans.la manie aiguë . Dans les formes de manie chronique, dans les é
ion ou d'angoisse mentale, particulièrement dans les cas récents et aigus . 3° Ses principaux inconvénients sont : la lent
r, avec Tamburini, si ces phénomènes ne sont pas ceux de l'hystérie aiguë . M. Charcot, dit l'auteur, m'a signalé les rela
mptômes qu'on pourrait considérer comme centraux, dans les névrites aiguës , dépendent en réalité de névrites atteignant des
anoïa). Dans le cas particulier, elles sont le résidu d'une maladie aiguë dont l'évolu- tion a aujourd'hui achevé son cyc
par l'rondor, 390; polymorphe, par Arnaud, 272. Démence, formes aiguës de la -, par Serbslci, 103. . Dermomiaphie ch
vo-motrices, par lioubinovitch, 120 ; désordre des idées dans les aiguës , par Schoenthal, 124- phénomène non décrit da
37 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
oir. Le calme augmenta de jonr en jour. L'ensemble de ces accidents aigus et de leur con- valescence avait duré quarante
re 1903.) E. B. XIV. Note sur l'anatomie pathologique de la myélite aiguë diffuse ; par MM. E. \VEtLt et L. GALLA YHDIN.
. \VEtLt et L. GALLA YHDIN. Examen histologique d'un cas de myélite aiguë diffuse avec maximum au niveau des cordons post
ut dans les cas à évolution subai- guë, de préférence ceux à allure aiguë ou torpide. (Revue neurolo- gue, octobre 1903.)
volue, suivant deux périodes consécutives, la première, d'évolution aiguë , géné- ralement accompagnée de céphalées fronta
l'autre, essentiellement chronique, pendant laquelle les phénomènes aigus ayant disparu, le malade conserve durant un tem
SOCIÉTÉS SAVANTES. 87; Contribution à l'étude de la poliomyélite aiguë (avec présentation] des préparations). P.-A.
ue léthale le même jour, : ¡ A l'autopsie on constata : une myélite aiguë de la région cervi- cale. Les organes internes
au des segments cervicaux V.-VIII, une poliomyélite hémor- rhagique aiguë (d'énormes hémorrhagies, un élargissement des.
as donné démontre que, entre ce cas de poliomyélite et les myélites aiguës , il n'y a aucune différence bien essentielle. T
mort constante après quelques jours, en général avec des accidents aigus paralytiques (paralysie surtout) ou con- vulsif
es jeunes animaux, les accidents sont beaucoup plus rapides et plus aigus . : La transfusion, la saignée et les injections
ions délirantes qui n'ont duré que le temps des deux grandes crises aiguës , les phénomènes hallucinatoires à forme spirite
ogie, 1903. I. XVI p. 148). Pour lui, les phénomènes d'intoxication aiguë obser- vés chez les épileptiques traités par le
iniques. L'expérimentation n'a-t-elle pas éclairé les inflammations aiguës , les processus consécutifs au traumatisme, les
résente un malade qui, à la suite d'une polyar- thrite rhumatismale aiguë , offre divers accidents nerveux : amyo- trophie
OGIQUE Séance du 28 mars. - Présidence DE M. BRDNET. Le décubitus aigu dans la paralysie générale. M. VIGOUROUX : fait
VRIER 1903 ' Un cas de myolrynie dans la polioence phalo-rnéningite aiguë , S.-N. DEIÆKTORSKY, - Le malade, de quinze ans,
es. Pendant le sommeil, les mouve- ments ne cessent point. Le début aigu de la maladie, son évolution, l'état du malade,
erf lingual), il faut croire que c'est une polioence phalo- myélite aiguë . Pourtant, vu cela que la maladie progresse, quoi
érés, de délire d'emblée, etc., en Allemagne sous celui de paranoïa aiguë . Par contre, dans la deuxième variété de démenc
s dites des dégénérés (délire d'emblée, délire polymorphe, paranoïa aigus , etc.); 3° aux folies systématisées chroniques.
décrits sous le nom de délires d'emblée ou polymorphes, de paranoïa aiguë , etc. ? De l'avis de tous les auteurs, la termi
paux types de démences classiques, y compris les anciennes démences aiguës curables d'Esquirol (confusion mentale, stupidi
ue toute la pathologie mentale. Abstraction faite de ces démences aiguës , nous avons essayé d'établir que l'ancien group
es aux prétendues psychoses dégénératives, aux délires systématisés aigus ou chroniques (variétés hallucinatoires), etc.,
vérité artificiellement séparés, sui- vant qu'il s'agit des lésions aiguës ou chroniques, réparables ou destructives. Ce
classement permettrait de réserver une place aux anciennes démences aiguës curables, qui, nées dans notre pays, ont au moi
très heureusement la conception de Kroepelin. Deux cas de délire aigu traités avec succès par les bains frais. MM.
l'asile de Blois). Les mala- des ayant présenté, au cours du délire aigu pyrétique, des troubles gastro-intestinaux anal
trophiques par les produits microbiens). Potiencéphalite supérieure aiguë Itéinoi,2,hagiqzie. MM. Brissaud et BRÉCY (de P
le tra- vail de Wernicke sou,s le nom de poliencéphalite supérieure aiguë hémorrhagique. Il s'agirait de lésions assez di
malade pouvant mourir, en deux années environ, d'une sorte de tabes aigu : parfois il s'agit d'un stade fébrile de début
disant que dans la poliomyélite antérieure 280 SOCIÉTÉS SAVANTES. aiguë on rencontre une topographie spinale des muscles
n mal. Mais le soir, quand il fut seul chez lui, l'obsession revint aiguë et il passa encore presque toute la nuit à lutter
; dans ce cas, après l'abus de l'alcool, se développa d'une manière aiguë la psychose mélancolique, en forme' de mélancol
oint déterminé de l'écorce. Il est évident que cette cime doit être aiguë quand elle émane de l'excitation de la macula a
x côtés. On a donc sous les yeux les traces d'une affection spinale aiguë . L'atrophie de la jambe gauche, sans accidents
lle en était la nature * ? Il s'est manifesté une paralysie spinale aiguë portant sur l'appa- reil moteur du côté gauche,
de la substance grise. La rapidité de la marche exclut une myélite aiguë ordinaire. L'idée d'une myélite apoplectique se
telles avec lésions de la moelle ressemblant à celles de la myélite aiguë . , P. KERAVAL. XXXIII. Des affections mentales
e nerveuse et mentale. P. Keraval. XXXIV. De l'ataxie cérébelleuse [ aiguë ; par W.-M. 13ECIlTrItEW. (Ubozrénaé psichiatri
hitseheslwi J11edilziny, 1901), publie un cas d'ataxie cérébelleuse aiguë , qui rappelle les observations de l'au- teur (O
ssements ? On ne sait. En tout cas- le syndrome ataxie cérébelleuse aiguë se développe non seulement chez les alcooliques
s sans hallucinations; ce n'était donc pas le délire hallucinatoire aigu des buveurs. Il ne s'est pas manifesté d'ac- ci
r annonce un résultat étonnant du trional dans la confusion mentale aiguë primitive ou délire général hallucinatoire. Il
ntinuel. La mort survint accidentellement à la suite d'une entérite aiguë . Diagnostic posé : Polio-encephalite infantile.
'aliénés de Volières un séjour d'un mois pour une affection mentale aiguë et qui présentait depuis sa naissance une absence
usqu'au jour où, entre vingt et trente ans, se produit une psychose aiguë grave suivie d'incomplète guérison, et de vagab
de vue thérapeutique la ponction lombaire est employée dans les cas aigus et subaigus de méningite séreuse, dans la cé- p
fections du second groupe se répartissent comme suit : 1° Psychoses aiguës : delirium tremens 34, hallucinoses il, délires
é de 3 centimètres. G. C. XIV. Sur un cas de neuromyélite optique aiguë ; par MM. \VEILL et G.4.LL.\YAnDiN. (Lyon médica
que de la double névrite optique évoluant au cours d'une myélite aiguë ; de plus, l'étude des lésions observées semble do
A l'autopsie et à l'examen microscopique on trouve : une myé- lite aiguë diffuse très intense de la moelle dorsale inférie
rts qui unissent les deux termes principaux de l'affection, myélite aiguë et névrite optique, de nombreuses hypothèses on
s généralisé à tout le système nerveux. ' Ces neuromyéhtes optiques aiguës ne seraient qu'un syndrome anatcmo-clinique, dû
ce que coûte la déchéance en chronicité; les dépenses pour les cas aigus repré- sentent par suite autant d'économies pou
fibres à myéline ni des vaisseaux. Smon. XXXVII. Paralysie générale aiguë avec une observation, histoire clinique et anat
use des lésions et des. symptômes ; 3° Para- lysie générale à forme aiguë ; 4° Paralysie générale compliquant un tabes, av
as de son avis. La confusion mentale a été appelée au début démence aiguë . Il est difficile d'établir, comme le veut M. Tou
science, la solution serait d'admettre en France le mot de démence aiguë avec notion de curabilité. M. TOULOUSE. Je ne v
rale. Le malade mourut après avoir présenté les symptômes du délire aigu . A l'autopsie, on constata, en outre des lésions
sie labyrinthique, par Bcnnier, 53. Ataxie. De l'- cérébelleuse : aiguë , par Bechterew, Ï46. Atrophies, cérébrales un
lilo de Majewska, 181. Deux cas Archives, 2° série, t XVIII. de - aigu traités avec succès par les bains frais, par Do
e. Voir Fibres. Myélite. Note sur l'anatomie pa- thologique de la aigu ëdifftisel par Weill et Gallavardin, 65 - Voi
oir Spasme. Myokynif. Un cas de dans la po- hoencéphalo-méningite aiguë , par Delektorsky, 170. MyopATHiE. Un cas de a
OSE. La , par Cestan, 53. NEUROMYELITE. Sur un cas de op- tique aiguë , par Weill et Galla- vaidin. Neurone. A propo
la générale, par Bal- let et Laignel-Lavastine, 162. Le décubitus aigu dans la géué- rale, par Vigouroux, 165. Quel-
ns la - génél ale et autres ma- ladies mentales, par Corial, 503. aiguë , par Rusk, 504. géné- rale et pachyméningite go
exus choroïdes. Voir Vomisse- ments POLIE1\CtI'H \LITE supérieure aiguë hémorrhagique, par Brissaud et Brécy, 243.
DES MATIÈRES. 535 5 YOLI011SI.LITE. Contribution l'étude dis la - aiguë (avec présentation de préparations), par Préobr
38 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aucoup moins vives. La douleur que je ressens, disait-il, n'est pas aiguë , mais elle est suffisante pour entretenir dans
ranlement phychique ; ou encore dans la convalescence d'une maladie aiguë , qui a profondément débi- lité l'organisme, d'u
(\Ville); - démence (Esquirol); - folie systématique hallucinatoire aiguë (Meynert); folie systématique aiguë primitive (
lie systématique hallucinatoire aiguë (Meynert); folie systématique aiguë primitive (Westphal); folie sensorielle systéma
ématique aiguë primitive (Westphal); folie sensorielle systématique aiguë (Schùle); somniation. Ces dénominations doivent
des opérations intellectuelles, témoin la dénomination de démence aiguë . M. Baillarger fournit les preuves que les aliéné
et de la menstruation sur la trans- formation de la manie en délire aigu , ainsi que sur la folie des accouchées. Si nous
. La douleur en question était à la fois superficielle et profonde, aiguë , déchirante, se calmant par instant pour reveni
du membre gauche sur le trajet du nerf saphène interne, dou- leurs aiguës déchirantes, apparaissant spontanément, dispa-
s phénomènes que l'on observe lorsqu'on produit soudainement un son aigu contre l'oreille d'un singe, comme je l'ai vu d
méd. de Toulouse, 1889.) G. D. VII. Méningite spinale ASCENDANTE aiguë ; par M. L. D'ARDENNE. Un homme de soixante-sep
ERVEUSE. 267 X. Du DÉBUT DE la SCLÉROSE EN plaques ET DE L1 myélite aiguë ; par A. CRIMER. (Arch. f. Psych., XIX, 3.) H
ingite infectieuse s'en mêla et enleva, de concert avec une myélite aiguë de la substance blanche, le malade en quinze jour
, dans de bonnes conditions d'asepsie, engendreront une encéphalite aiguë prolifératrice (grosses cellules granuleuses) ;
cellules-araignées, émigration de cellules rondes). -L'encéphalite aiguë non suppurée aboutit, par l'irritation des cellul
ipyrétique; un des malades a cependant succombé (sorte de méningite aiguë surajoutée à la folie systématique). Le second
mentales qui, après avoir été traitées à l'asile pendant la période aiguë , sont passées à l'état chronique : ces dernières
ans les quartiers d'hommes et dans ceux de femmes atteints de folie aiguë . Ils recommandent l'acquisition d'un terrain qu
pital détaché destiné au traitement des infirmes, malades et de cas aigus . De cette façon, les malades seraient sous le c
ques consi- dératisons sur monomanie (1847), en comparant le délire aigu vésanique au délire aigu paralytique (1861), en
r monomanie (1847), en comparant le délire aigu vésanique au délire aigu paralytique (1861), en décrivant l'ossification
ence de la menstruation sur la transformation de la manie en délire aigu (1861). Au talent d'observateur, il associa les
la diète lactée dans le traitement de la manie et de la mélancolie aiguës . De la démence incohérente et de la démence sim
- braux émergent de la protubérance, s'écartent 'aussitôt à angle aigu pour se porter chacun dans l'hémisphère corresp
pérature de 1 à 2 dixièmes de degrés, si ce n'est dans les maladies aiguës dans lesquelles, par suite de leur évolution, l
LOGIQUES. qu'ils sont réellement, c'est-à-dire pour des aliénations aiguës , et l'on distingue deux groupes de délires fébr
oue le principal rôle et l'on constate assez souvent que la maladie aiguë n'est que l'occa- sion accidentelle de l'aliéna
lle. L'influenza devient aussi parfois, comme les autres maladies aiguës , la cause occasionnelle de l'aliénation mentale.
tremens fait explosion chez un alcoo- lique ; là un accès de manie aiguë , ailleurs un délire de persécu- tion ; dans d'a
uite de longues considérations qui l'a- mènent à séparer la démence aiguë de la mélancolie avec stupeur : il considère la
ulaires d'origine cérébrale peuvent être divisées en deux classes : aiguës et chroniques; les pre- mières sont curables à
TI ? > : on. M. Korsakoi-f fait une communication sur les formes aiguës de la folie. Dans ces dernières années, la ques
s de la folie. Dans ces dernières années, la question des psychoses aiguës a été mise en avant, au premier plan de la litt
ence. Après avoir décrit brièvement le tableau clinique de la folie aiguë M. Roasvxorr a proposé d'en distinguer deux for
nommée dysnoia deliriosa maniacalis. Dans quelques cas, la folie aiguë présente dès le début des phénomènes d'affaibliss
qu'il existe des cas qui ressemblent d'après leurs accès à la folie aiguë primaire, mais qui présentent un début assez ra
son. Des cas semblables peuvent également être rattachés aux formes aiguës de la folie. Comme par les dénominations de par
on peut souvent rencontrer des formes transitoires entre les formes aiguës et la folie primaire. En étudiant la dé- mence
re les formes aiguës et la folie primaire. En étudiant la dé- mence aiguë , il est nécessaire d'attirer l'attention sur les
M. Serbski a fait une communication sur le même sujet : des formes aiguës de la folie. Les formes aiguës de la folie peuven
ation sur le même sujet : des formes aiguës de la folie. Les formes aiguës de la folie peuvent être divisées en deux grand
e la folie peuvent être divisées en deux grands groupes : confusion aiguë avec prédomi- nance des troubles du côté de la
avec prédomi- nance des troubles du côté de la conscience et folie aiguë pro- prement dite (paranoia acuta) avec prédomi
c prédominance des troubles du côté de l'intelligence. La confusion aiguë se caractérise par un trouble de la conscience,
u tableau clinique un aspect multicolore. La marche de la confusion aiguë présente, dans la plupart des cas, une successi
probablement plus tard d'instituer plusieurs types de la confusion aiguë . La confusion aiguë n'est pas une forme dé- gén
ard d'instituer plusieurs types de la confusion aiguë. La confusion aiguë n'est pas une forme dé- générative, l'hérédité
s influences dé- bilitantes diverses et par les affections fébriles aiguës ; dans beau- coup de cas on a le droit de suppo
dehors ou se développant au sein de l'organisme lui-même. La folie aiguë proprement dite se caractérise par une clarté r
vidus non dégénérés peuvent également être atteints des psychoses aiguës . M. Sikorski déclare que les auteurs des commun
M. Sikorski déclare que les auteurs des communications sur la folie aiguë ne font que passer en revue des anciennes formes
mme bien d'autres aliénistes, de faire le diagnostic des affections aiguës se montrant chez des sujets jeunes âgés de seize
il vient de parler présentaient le tableau clinique de la confusion aiguë , d'amentia. Quant à la prédisposition héréditai
type 7-écui,- rent dans la marche des certaines formes de la folie aiguë ». La mar- che de certaines formes de la folie
Pendant ces trois dernières années, sur trois cents cas des formes aiguës de la folie, l'auteur en a observé sept à type
as de cachet des simples rémissions si profondes dans les psychoses aiguës , mais présentent au contraire des périodes abso
groupe spécial des psychoses récurrentes manie récurrente, paranoïa aiguë récurrente, etc. Cependant, à l'heure qu'il est
cette communication, M. Jucovenko a proposé d'ins- crire les formes aiguës de la folie dans la classification adoptée par
c delusion, par Wigles- woitli, 119 ; - à deux, par Kroe- ner · - aiguë , par KorsahoB, 463, Serbski, 464, Sikorski, 465
ahoB, 463, Serbski, 464, Sikorski, 465; - U pe récurrent de la; - aiguë , par Grelsenberg, 4GG;-mBuencedes maladies de
ite chez un petit enfant, paL Thomas, 141; - spinale ascen- dante aiguë , par Dardenne, 766. Ménopause influence de la,
Schulz, 273. Sclérose, début de la - en plaques et de la myélite aiguë , par Cra- mer, 267; -troubles oculaires de la
39 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nes limitations de responsabilité. R. nIUSGR.1VE Clay. IV.TYTanie aiguë chez un jeune garçon; par M. B. Ray. (The Jour-
du malade (lez ans) ; on n'est guère habitué à obser- ver la folie aiguë à cet âge. Il est difficile d'autre part de voir
ut donc admettre qu'on se trouve bien en présence d'un cas de folie aiguë chez un très jeune sujet '. IL 111. C. V. Cho
ition du désordre mental et celle de la chorée ; 3° la chorée a été aiguë , mais en restant tou- jours apyrétique ; 4° l'e
oolique dont Magnan a cité des exemples, enfin certaines affections aiguës (méningite, scarlatine, fièvre typhoïde). Quant
dentiques à celle-ci. A. Fenayrou. XVI. Le traitement des psychoses aiguës par le repos au lit; par les 1)"8 Scmvus et Far
. D. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 149 IV. Un cas de poliomyélite aiguë en voie de guérison; par J. Crocq. (Voum. de Ne
myélite, ayant évolué lentement au début, étant subitement devenue aiguë pen- dant huit jours, et ayant ensuite marché p
ration immédiate et complète de la voix, suivie d'un accès de manie aiguë dans lequel il veut se jeter par la fenêtre et
s. (Revista de lled. y Cir. practicas, n° 592.) F. B. XII. Un cas aigu de maladie de Graves et son anatomie patholo- g
ormal dans le globus palhdus. P. Keraval. XX. De l'ataxie cérébrale aiguë ; par M. \)Ii'OELEIL (Nelll'ologisch. Cerrl·nlb
Sherrington (de Liverpool) ; 3° Nature et traitement de la myélite aiguë . Rapporteurs : von Leyden (de Berlin), Crocq (de
g) et Homen (d'Helsingfors). - Nature et traitement de la myélite aiguë . Rapporteurs, MM. Von Leyden (Berlin), Marinesco
ique. De l'alitement (repos au lit) dans le traite- ment des formes aiguës de la folie et des modifications qu'il pour- ra
ell (de HIdesheim). Du repos au lit dans le traitement de psychoses aiguës parle Dr Braesco (de Jassy, Roumanie). Commun
e de transition pour tout ce qui a trait à l'assistance des aliénés aigus et chroniques, à la constitution des asiles et de
familiale (Belgique, Ecosse), les hôpitaux urbains pour les aliénés aigus (Allemagne), etc. Il s'agit là, non plus de pol
et du non-restreint ; Généralisation du traitement des psychoses aiguës par le séjour au lit ; 1 - Réaction contre l'
les caractères principaux : Clinique de soixante lits pour malades aigus ; -'deux pavillons- de trente lits chacun, la p
vier a été, pour la même période, de 40. Enfin, l'admission des cas aigus est très facilitée : les malades sont admis san
ependant, la clinique devait recevoir un nombre considérable de cas aigus : d'où une proportion anormale de sujets agités
articulier. Le problème était ainsi posé : grande proportion de cas aigus : agités ou malades à surveiller suppression de
que, nous le répétons, sert de bureau d'admission pour tous les cas aigus et graves d'une grande ville et de ses environs
s qui sont dans la proportion de un pour dix malades, dont quatre aigus , il y ait presque en permanence et même la nuit e
ndrait 200 malades. Le repos nécessaire au traitement des psychoses aiguës et des mélan- coliques ne doit pas être sans ce
fut suivi de perte decon- naissance, de vomissements et de délires aigus . La mort survint au bout de douze jours, avec d
ications de la circulation cérébrale dans l'intoxication alcoolique aiguë ; par Beivar. (06o·rnir psi- rhintrii, n° 9, 189
l'asile resterait avec sa véritable population d'aliénés, les uns aigus , qui dans beaucoup d'établissements sont aujourd'
re appel aux lumières du Congrès. Quoi qu'il en soit, ces malades aigus , alités, hospitalisés, au bout d'un temps plus
à ses éléments essentiels devrait comprendre l'hôpital pour les cas aigus , les quartiers de surveillance pour les aliénés
le surmenage corporel et intellectuel, les mala- dies infectieuses aiguës et les excès sexuels, qui jouent un rôle import
lie circulaire, la manie, la mélancolie, la paranoïa hallucinatoire aiguë (amentia de quelques auteurs) et les folies hys
hobie se constitue, l'éneztthophobie, qui se traduit par des crises aiguës paroxystiques. Au troisième degré la peur est d
n'a pas tout à fait les mêmes caractères que dans les intoxications aiguës . Il est moins hallucinatoire, moins intimement li
la paralysie spinale infantile avait pour substra- tum une atrophie aiguë des cellules tropho-motrices des cornes antérie
ça violemment sous les lits, sous prétexte de les dérober aux dents aiguës de l'ogresse. Et pendant que sa femme, terrifiée,
. De l'alitement (repos au lit) dans le traitement<iies formes aiguës des maladies mentales et les modi< fications
peu nombreux. Le régime au lit absolu, appliqué dans les psychoses aiguës , ne doit pas durer longtemps : il ne faut pas o
articulière, les dangereux ainsi que les faibles, avec des maladies aiguës et tous ceux qui venaient d'entrer à l'asile. J
ne sorte d'opposition : le régime au lit serait propre aux maladies aiguës , le régime ouvrier aux maladies chroniques. C'e
alades, après une certaine période, parfois courte, de leur maladie aiguë , ont besoin d'une stimulation intel- ligente de
ancoliques, enfin, chez presque tous les malades atteints de formes aiguës des psychoses à leur période initiale. Lorsque
d'alitement est appliqué, la mortalité de quelques psychoses graves aiguës est notablement diminuée. 6. Avec le système du
es indications individuelles presque à toutes les psychoses à forme aiguë , surtout à la période initiale de la maladie. 1
de seize ans, eut une première attaque de rhumatisme articulaire aigu , puis quelques accès de tachycardie avant sa mala
« Le sujet est, comme dans nos autres observations de thyroïdites aiguës sporadiques, originaire d'un département noté à
e de tout premier ordre. L'infection se localise pendant la période aiguë sur la glande, puis, après guérison complète du
utres parties du crâne, survenant au cours de maladies infectieuses aiguës , telles que la variole, la typhoïde, la scarlat
es du cerveau est beaucoup ' plus fréquemment observée que la forme aiguë mais toutes deux attaquent principalement la fa
ptômes d'irritation, premièrement dans toutes les maladies de forme aiguë ; 7° Il faut tenir compte de l'état mental indi
n » ; ; 8° D'une part, aussi longtemps qu'il existe un état maladif aigu , l'essentiel dans la thérapeutique c est le rep
epos de l'organe malade; d'autre part, dès que les mani- festations aiguës commencent à disparaître, sans tendance vers la
tre. Il'est donc à recommander, quelquefois déjà pendant la période aiguë , de combiner l'alitement avec le travail et le
Seront confiés au lit : 1° tous les malades atteints de psy- choses aiguës ou de psychoses chroniques présentant des états
de la clinique de la grande proportion des admis- sions de malades aigus , ainsi que des installations spéciales nécessit
grandes sorties. M. Hitzig est partisan du traitement des psychoses aiguës par le lit; aussi les salles du pavillon de tra
ence de conditions iden- tiques(excèsll'alcoul, menstruation, accès aigu de névrasthénie, etc.) et avec retour périodiqu
enseignement psychiatrique ; création d'asiles urbains pour les cas aigus et de colonies ouvertes pour les chroniques, etc.
iret et DEL'l'EIL. Du repos au lit dans le traitement des psychoses aiguës ; par le Dr BRACCO (de Jassy). De la chirurgie
par l'entrée en scène des troubles trophiques graves : -. décubitus aigu , cystite et pyélite septiques, troubles vasomoteu
n transversale complète et l'absence du réflexe dans les affections aiguës , eu par- ticulier les « traumen » ; dans les in
majorité des cellules pyramidales. Trois aliénés atteints de délire aigu ou de démence secondaire avaient : de nombreuse
ux fois les phénomènes nerveux ont réalisé le tableau d'une myélite aiguë bénigne. Dans une autre observation, il y a eu
es-, par Lentz, 54. Circulation céré- brale dans l'intoxication - aiguë , par Beinard, 223. Alcoolisme. Influence de l
Marie et Toulouse, 493. Alitement dans le traitement des formes aiguës des maladies men- tales, par Korsakow, 273; par
Phénomène smgu- lier de l'-locomotrice, parWard, 149. - cérébrale aiguë , par Din- ides', 157. Atrophie musculaire exp
oitre exophtalmique. Organothé- rapie et -, par White, 47. Un cas aigu de -, par Fowvell, 153. - mortel avec coexisten
nikow et Ossipow, 138 ; par Flschmann, 140 ; par Lion. 142. Manie aiguë chez un jeune garçon, par Ray, 41. Marche. Ap
eloppement des organes gé- nitaux, par Babinski, 67. Poliomyélite aiguë en voie de guérison, par Crocq, 149, - anté-
myélite aiguë en voie de guérison, par Crocq, 149, - anté- rleure aiguë , par Sinlder, 218. - succédant à une chute sur
40 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
fure de carbone, ammoniaque). Il existe à droite, quoique pas très aigu . Pas de douleurs, sauf une céphalée très vive, pr
prolongée du froid humide. 4° Le début de la maladie par poussées aiguës du côté des grandes f jointures, ce qui est loi
nt du levier est brusque et donne lieu à la production d'un crochet aigu sur le tracée » M. E. Chambard2 a rapporté, e
int son maximum d'intensité ; il est alors pour ainsi dire à l'état aigu ; cet état dure pendant un, deux, trois jours, p
ique résume à peu près toute la pathologie mentale depuis le délire aigu le plus franc jusqu'à la monomanie chronique la m
attaques ne duraient que peu de temps. La malade poussait des cris aigus , se plaignait d'une violente douleur au coeur e
lle se trouve, se cache la figure avec ses mains et pousse des cris aigus . En même temps des mouvements choréiformes rhyt
lysie générale spinale, mais n'insiste pas sur la paralysie spinale aiguë . Toutefois, Mme Déjerine-KIumpke admet, au point
Déjerine-KIumpke admet, au point de vue des rapports de la myélite aiguë centrale diffuse et de la poly- névrite, « qu'i
nostic de certaines formes de polynévrite avec la paralysie spinale aiguë de l'adulte, et n'ait en vue, semble-t-il, que la
paralysies spinales en général et à la paralysie spinale antérieure aiguë de l'adulte en particulier, les conclusions formu
de Duchenne, affirme la nature périphérique de la paralysie spinale aiguë . L'un de nous a combattu cette opinion dans un
ine, De la nature périphérique de certaines paralysies dites spinales aiguës de l'adulte (Archives de Physiologie, 1890, n.
). 4. Paul Blocq, De la nature « centrale » de la Paralysie spinale aiguë de l'adulle (Bull. méd., 20 avril 1890, n. 32,
à forme amyotrophique avec la paralysie générale spinale antérieure aiguë et subaiguë de l'adulte (laissant de côté la pa
usqu'à un certain point l'appareil clinique de la paralysie spinale aiguë . D'autre part, il importe de maintenir dans les
'adulte qui ont été seules discutées : paralysie spinale antérieure aiguë de l'adulte, paralysie spinale de l'adulte à ma
rement ici. Nous reproduirons d'abord deux cas de paralysie spinale aiguë , qui ne paraissent pas jusqu'à présent avoir ét
mond. L'histoire anatomo-pathologique de la poliomyélite antérieure aiguë , dit ce 110 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
et de Leyden), qui se rapportent à la paralysie spinale ascendante aiguë de Landry, plutôt qu'à la paralysie spinale ant
ndante aiguë de Landry, plutôt qu'à la paralysie spinale antérieure aiguë de l'adulte. L'auteur ajoute, qu'il aurait été
a paralysie spinale infantile et de la paralysie spinale antérieure aiguë de l'adulte, si l'histoire des formes subaiguës e
es taches rouges. Hislologiquement. -Il s'agit d'une dégénérescence aiguë des cellules ganglionnaires des cornes antérieu
de vue anatomique. L'existence et la nature spinale de la paralysie aiguë de l'adulte y sont établies et ce fait confirme
re les lésions de la paralysie infantile et de la paralysie spinale aiguë de l'adulte. Dans ces deux cas, il s'agit d'une
aiguë de l'adulte. Dans ces deux cas, il s'agit d'une poliomyélite aiguë antérieure. Il n'est peut-être pas sans intérêt
rait de la para- lysie spinale enfantile et de la paralysie spinale aiguë de l'adulte que par une évolution moins rapide,
que par une évolution moins rapide, et qu'à l'instar de ces formes aiguës , elle devait dépendre d'une lésion atrophique d
t nocturne, consistant non pas en des élancements ou des douleurs aiguës , mais en une lourdeur et une sorte d'engourdissem
ts au plancher du quatrième ventricule. Il en décrit trois formes : aiguë , subaiguë et chronique, et deux variétés, l'une
'analogie est évidente lorsque, laissant de côté la poliencéphalite aiguë d'origine alcoolique ou infectieuse, on considè
produi- sons, établissent péremptoirement l'existence de paralysies aiguës , subaiguës et chroniques de l'adulte liées à de
a vingt ans par cet observateur était celui de : paralysie spinale aiguë . Il est certain qu'à cette époque, où toute atr
u'il diffère cliniquement à bien des égards de la paralysie spinale aiguë de Duchenne. Rappelons que cet éminent clinicie
hiques qui présentent la symptoma- tologie de la paralysie spinale, aiguë et subaiguë, de Duchenne, et sont bien, comme l
de Kahler2 ainsi qu'un fait de Pollc 3. L'affection, après ce stade aigu , d'une durée variant entre quelques jours et un
ie décrite par Duchenne sous le nom de paralysie spinale antérieure aiguë et subaiguë de l'adulte. Ces formes sont en réa
uis cette époque, c'est-à-dire depuis huit ans, sans nouvelle crise aiguë , l'oedème du pied droit s'est progressivement acc
ditions étiologiques y sont assez obscures : absence d'inflammation aiguë ou chronique des téguments, d'ulcération, d'ecz
le nom d'oph- thalmoplégie interne. Lorsque la poliencéphalite est aiguë ou subaiguë, exceptionnellement lorsqu'elle est
. Ois. XXII. Paralysie bulbaire supérieure et inférieure à marche aiguë . Guérison (P. Etter'). Dans l'espace de trois j
41 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
grammes 1 gr. 20 d'acétophéaone. Aucun résultat positif; mêmes cris aigus , mêmes tentatives pour s'habiller, même insomni
ensorielle que certains auteurs ont regardée depuis comme une forme aiguë de Paranoïa (Westphal). Depuis cette époque, pe
délire des grandeurs. Westphal le premier, eu 1878, décrit la forme aiguë et tente une classification de la folie systéma
sur la folie systématisée hallucinatoire, correspondant à la forme aiguë de Westphal. \lerklin 8 (t879) et Schaefer adop
maniaques. 1 Krafft-Ebing nie complètement l'existence de la forme aiguë , et réunit sous le nom de Wahnsinn hallucinatoi
guë, et réunit sous le nom de Wahnsinn hallucinatoire la Paranoïa aiguë primitive de Westphal la forme aiguë hallucinatoi
inn hallucinatoire la Paranoïa aiguë primitive de Westphal la forme aiguë hallucinatoire de délire sensoriel de Meynert',
Mendel7, la delusional stzspor de Newington, la démence gé- nérale aiguë et subaiguë de Tilling8. Dans ces formes psycho-
il n'y a pas de modifications anatomiques profondes. Dans la forme aiguë , au contraire, l'inconscient n'a rien à voir; l
paraît alors le délire. 1-(eynert' (1881) décrit également la forme aiguë (halluci- natoire) des délires systématisés (Wa
Wahnsinn). Max Buch2 (1881) rapporte un cas de folie systématisée aiguë primitive survenue chez un homme, épileptique dès
oloré de la forme secondaire; il n'admet pas l'existence des formes aiguës , tout en décrivant des cas à marche aiguë, guér
s l'existence des formes aiguës, tout en décrivant des cas à marche aiguë , guérissant en quelques semaines ou quelques mo
ve qu'il divise en simple et en hallucinatoire chacune pouvant être aiguë ou chronique, La forme aiguë de la Paranoia pri
en hallucinatoire chacune pouvant être aiguë ou chronique, La forme aiguë de la Paranoia primitive simple débute générale
génitale. Ce qui est non moins vrai, c'est que beaucoup de maladies aiguës de l'enfance n'ont un si grave retentissement c
(8 observ.) hémiplégie (3 observ.) BIBLIOGRAPHIE. 117 Î myélites aiguës (5 observ.) périencéphalile (1 observ.) les aut
ile d'aliénés de l'Etat de Missouri, est mort le 19 mai, de cystite aiguë . Né le 20 juin 1828, le De Catlett avait donc c
estions restées dans l'urne étaient : 10 Diagnostic de la pleurésie aiguë ; fracture de l'extrémité inférieure du radius
out les sons graves et saisissaient au contraire fort bien les sons aigus ; un autre entendait le bruit du tambour et étai
Par J. SÉGLAS, médecin-adjoint de l'hospice de Bicêtre'. La forme aiguë de la Paranoia primitive hallucinatoire dé- but
it ou passe à l'état chronique. Elle peut succéder à des maladies aiguës , à l'état puerpéral, à des accès hystériques ou é
a Paranoia hypochondriaque. En somme, Mendel revient sur la forme aiguë sur laquelle il insiste, et, d'un autre côté, il
eynert et Fristh), identique, d'après eux-mêmes, à la 1%rnüclctheit aiguë de Westphal, le délire systématique aigu (Acuie
mêmes, à la 1%rnüclctheit aiguë de Westphal, le délire systématique aigu (Acuieî- Wahnsinn), de Schaefer, le premier gro
gu (Acuieî- Wahnsinn), de Schaefer, le premier groupe de la folie aiguë partielle de Rretz', les délires d'épuisement de
re asthénique comme les psychoses postfébriles de Kroepelin, tantôt aigu , tantôt chronique, affectant la forme d'agitati
roprement dite; cette Wahnsinn primare peut être : 1° chronique; 2° aiguë ; 3° stupide. L'auteur décrit la forme chronique
des persécutions ; -b, forme expausive). La variété de la Wahnsinn aiguë comprend quatre sous-variétés. La première est
nn aiguë comprend quatre sous-variétés. La première est la Wahnsinn aiguë sen- sorielle (hallucinatoire). On y trouve déc
e). On y trouve décrits : a, la Wahnsinn hallucinatoire suraiguë et aiguë avec exaltation (maladies menstruelles) ; -b, l
lire des grandeurs maniaque subaigu ; c, le délire des persécutions aigu et subaigu hallucinatoire; d, la Wahnsinn dépre
aigu hallucinatoire; d, la Wahnsinn dépressive et ensuite expansive aiguë ;-e, la Wahnsinn aiguë et en même temps dépresso
, la Wahnsinn dépressive et ensuite expansive aiguë;-e, la Wahnsinn aiguë et en même temps dépresso-expansive; b, la Wahn
et en même temps dépresso-expansive; b, la Wahnsinn hypochondriaque aiguë ; c. la Wahnsinn cérébro-spinale aiguë ou subai
la Wahnsinn hypochondriaque aiguë ; c. la Wahnsinn cérébro-spinale aiguë ou subaiguë. La deuxième sous- variété est la W
pinale aiguë ou subaiguë. La deuxième sous- variété est la Wahnsinn aiguë mélancolique (démonomanie) ; la troisième sous
la Wahnsinn maniaque expansive ; la quatrième, la Wahnsinn stupide aiguë ou stuporo-hallu- cinatoire. La forme stupide
it sous le nom d'état de folie systématique ( Wahnsinn), abortive aiguë présentent la forme de pensées irrésistibles soud
Greidenberg a (t885), étudiant la folie systématisée hallucinatoire aiguë ('a ? 'at : ota/M//MC ! Ma<0 ! 'MocM<a) en
développée. Alors interviennent des causes occasionnelles (maladies aiguës , ménopause, traumatismes). Cependant, même dans
dans la manie ou la mélancolie. 5° La période de maladie des formes aiguës et le début de celle des formes chroniques psyc
t. XII, p. 257. z Id., t. XI, p. 28 ! . SOCIÉTÉS SAVANTES. 253 aigu . Consécutivement accidents graves, élimination d'
l'état de la sensibilité cutanée, dans le rhumatisme articu- laire aigu ; par BATEBILLION. (Thèse de Paris, 1886.) Dans
BATEBILLION. (Thèse de Paris, 1886.) Dans le rhumatisme articulaire aigu , il existe souvent des troubles de la sensibili
tenu de bons résultats dans le traitement du rhumatisme articulaire aigu par la faradisation de la peau au niveau des ar
parer la maison de santé de la colonie agricole étant donné que les aigus pour lesquels le travail manuel constitue souvent
on voit survenir un affolement du coeur, une véritable asystolie aiguë passagère, avec intermittences cardiaques et oedè
a première a trait à la rapidité possible de l'évolution, au mode aigu de l'affection observé dans certains cas et par-
a marche, quelques auteurs n'admettent-ils pas des délires à marche aiguë , chose incompatible avec une idée de dégéné- '
ale). Quant aux formes, admises par certains auteurs, de Paranoïa aiguë et de Paranoïa secondaire, elles sont complètemen
rbide et altération de la person- nalité). L'une, la Paranoïa, dite aiguë ou hallucinatoire ou curable, est décrite sous
ucinatoire ou curable, est décrite sous le nom de folie sensorielle aiguë et placée à côté des états maniaques et mélanco
e Morselli désigne ces formes sous les noms de de folie sensorielle aiguë (Frenosi sensoria acuta) et de folie systématisée
e la forme chronique, cette forme de Paranoia dite psychoneurotique aiguë , hallucinatoire, cu- rable, admise pour la prem
à cette dernière opinion. La lecture des observa- tions de Paranoia aiguë que nous avons rencontrées au cours de nos rech
puisse permettre au moins par un côté de rapprocher cette Paranoia aiguë de la chronique qu'elle soit dégénérative ou no
dégénérative ou non. Au contraire, il nous semble que cette variété aiguë est très comparable tantôt à certains états mél
42 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
ai ainsi : Une paralysie grave, plus ou moins généralisée, à marche aiguë ou subaigué, accompagnée de douleurs spontanées o
nt éclaté, sans cause appréciable, des accidents gastro-intestinaux aigus , sous la forme de vomissements et de diarrhée.
actuel peut donc ètre posé en ces termes : Myélite ou poly- névrite aiguë généralisée. Quand je dis myélite, je ne m'expr
nes antérieures de la moelle, c'eût été une poliomyélite antérieure aiguë . Eh bien ! je ne crois pas que cette hypothèse
les raisons qui me font incliner vers l'hypothèse d'une polynévrite aiguë généralisée. Je ne ferai du reste que reprendre
ÉLITE 9 Messieurs, la maladie dont soull're cet homme a eu un début aigu . En pleine santé, et sans cause apparente, Ch..
ns l'invasion des accidents est un mode de début, commun aux formes aiguës de la poliomyélite antérieure et de la polynévr
ne manque presque jamais dans les cas de polio- myélite antérieure aiguë ; il est relativement rare dans les cas de poly-
- névrite. En second lieu, dans un cas de poliomyélite antérieure aiguë , la para- lysie motrice atteint son maximum d'e
ionnel que dans un cas de poliomyélite anté- 10 F. RAYMOND rieure aiguë , les muscles innervés par l'encéphale participent
reste, les manifestations bulbaires de la poliomyélite anté- rieure aiguë se présentent presque toujours sous cette forme.
nels. ' Le contraire est vrai pour ce qui concerne la jJoJyné, rite aiguë généra- lisée ; assez souvent, elle s'accompagn
tait là un des plus sûrs caractères distinctifs de la po- lynévrite aiguë , à forme de polynévrite motrice. Au surplus, et
lement, elle est de règle dans les cas de poliomyélite anté- rieure aiguë , tandis qu'elle est l'exception dans les cas de p
e aiguë, tandis qu'elle est l'exception dans les cas de polynévrite aiguë généralisée. POLYNÉVRITE ET POLIOMYÉLITE 11 1
troubles vaso-moteurs qui, dans les cas de poliomyélite antérieure aiguë , se montrent à la seconde.période de l'affection,
'uue polynévrite. En effet, dans les cas de poliomyélite antérieure aiguë , les anomalies des réactions électriques sont e
je, dans une précédente leçon sur un cas de poliomyélite antérieure aiguë , pas de modification des réactions élec- trique
ent tout autrement, en thèse générale, clans les cas de polynévrite aiguë ; ici on observe un défaut de corrélation, une inc
es. Etiologie. Pronostic. Notre diagnostic est donc : polynévrite aiguë généralisée forme de poliomyélite antérieure, de
pronostique du plus haut intérêt,qui est celle-ci : Une polynévrite aiguë généralisée est beaucoup moins grave, q1toad vi-
quoad 1'estitutionem ad infegrlllll, qu'une poliomyélite antérieure aiguë . Les deux affections comportent des dangers de mo
s touchés. Il est extrêmement rare qu'une polio- myélite antérieure aiguë , aussi bien chez un enfant que chez un adulte,
n a été trop tardive ou mal dirigée. Non seulement la polyné- vrite aiguë comporte moins de dangers, quoad vitam, que la po
porte moins de dangers, quoad vitam, que la poliomyélite antérieure aiguë , mais encore elle est radicalement curable, quand
merveilleuses, chez des malades atteints d'une paralysie atrophique aiguë et subaiguë, et qui étaient voués à une infirmi
entes années. Traitement. Quel est donc, dans un cas de polynévrite aiguë géné- ralisée, la conduite à tenir, pour que le
- sa vie supporta une normal. Pas de ma- mal. Comme mala- maladie aiguë de ladies à signaler diesde l'enfance eut natur
démarche. Phonation. Normale. Normale. Parle d'une voix de tête ( aiguë ), avec . un petit accent d'enrouement. Les
n'est pas moins manifeste dans les différentes variétés d'urticaire aiguë et chronique. Il n'y a donc pas lieu de s'étonn
f des ongles. Ibid., no 1625 (cas de Quinquaud), Fig. 8. - Eczéma aigu . Ibid., n 1088 (cas de Besnier). plutôt des d
de la paralysie atrophique de l'enfance ou de la paralysie spinale aiguë de l'adulte (atrophie musculaire, atrophie osse
es et les troubles trophiques dus aux intoxications, aux infections aiguës s'y font naturellement sentir, absolument comme s
- res moyennes ou internes, et dans beaucoup d'affections générales aiguës ou chroniques chez des individus porteurs d'app
e il la base droite tous les signes d'une pneumonie lobaire franche aiguë ; la température reste il 40° jusqu'au 7 jour, ép
mes épaisses accumulées. 16 juillet 19. - Les phénomènes de dermite aiguë ont disparu : seuls les éléments kératosiques p
t arrivé souvent que des amoureux ont été guéris après des maladies aiguës dans lesquelles ils ont été saignés et purgés.
ngent parmi les causes du grand myxoedème le rhumatisme articulaire aigu , on se met à penser qu'il Fig. 2. - A..., Gtj a
ménorrhagies. Deux jeunes garçons ont eu le rhumatisme articulaire aigu il un degré intense. Son appétit est nul : elle
t reste frontale. Elle ressemble à la céphalée du début du co- ryza aigu . Tantôt elle part de l'occiput. Un point douloure
premier enfant, elle a souffert deux fois de rhumatisme articulaire aigu , et pendant longtemps a eu de l'albumine dans s
les tro- phiques de la peau (2) se manifestant tantôt d'une manière aiguë , tantôt d'une manière chronique ; les formes le
chronique chez un malade atteint dans l'enfance d'une poliomyélite aiguë . C'est ce fait rare étudié par M. le professeur
que, frère d'un suicidé, qui fut atteint de paranoïa hallucinatoire aiguë , et qui, remis en liberté après guérison, se su
nt une malade entrée à l'asile de Dijon avec le diagnostic de manie aiguë ; mais, ajoutent les 406 F. FARNARIER auteurs
dentellement, sa mère est morte à 74 ans d'une affection pulmonaire aiguë . Elle a eu cinq frères et soeurs : deux sont mo
discrète. A cinq reprises différentes, sont survenues des poussées aiguës et dou- loureuses, accompagnées d'une augmentat
dur, indolore persistât comme devant. A l'occasion de ces poussées aiguës , Ar... a d'abord été soignée comme s'il s'agiss
emeure incertain. Enfin on ne retrouve aucun souvenir de rhumatisme aigu ou subaigu, et l'on ne peut guère soupçon- ner
es nosographies. Tout au plus pourrait-on se demander si les crises aiguës qu'a présen- 462 HENRY MEIGE tées l'aînée des
la malade n'ait pas gardé le souvenir qu'au cours de ces pous- sées aiguës les trajets veineux aient été spécialement doulou
nos contrées, serait, selon M. Besnier, une succession cle poussées aiguës , sou- vent fébriles, toujours douloureuses, acc
e ceux qu'on observe dans la néphrite chronique ou dans la néphrite aiguë . Dans ce dernier cas, on constatait des épanche
aux (1) un cas d'oedème névropathique consécutif à une intoxication aiguë par le sulfure de carbone. Les deux membres inf
ns la catégorie des oedèmes angio-neurotiques. - J. COLLINS, OEdème aigu circonscrit angio-neurolique. The Americ. Journ.
il s'agissait d'une atï'ection survenue depuis 27 ans, sans poussées aiguës , chez une femme obèse. L'hypertrophie avait att
milaire dans un travail de Iligier (2) de Varsovie, sur les oedèmes aigus ou chroniques dans quel- ques névroses, en part
..des hôpitaux, 13 février 1891. (2) ¡¡IGIEII (de Varsovie), OEdème aigu et chronique dans quelques névroses et en par-
Mme W. : oedème des deux jambes. (1) RtCocnoN.Cas familiaux '0'dëMM aigus et récidivants de la peau, 2e Congrès fran- çai
Lourier, il est question d'un enfant sujet à des poussées d'oedème aigu . Le père de l'enfant présentait des accidents i
- LE TROP110ED);111E CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE 475 mes névropathiques aigus et les chroniques. Le cas de Follet semble démo
ntrer que la forme chronique peut apparaître à la suite de poussées aiguës ; c'est aussi le cas de notre malade, Fe... D'a
s et pseudo-oedémateuses. Pour ce qui est du rhumatisme articulaire aigu , son étiologie peut être comparable à celle des
les de sujets du même âge dont un atteint de rhumatisme articulaire aigu avec oedème douloureux des mains. Voici les r
43 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
LIRES MULTIPLES. 53 mènes moteurs de la paralysie, et, dans les cas aigus , lorsque des frémissements s'emparent des muscl
coolisé simple, et ce n'est qu'après la dis- parition des accidents aigus que l'on retrouve la mala- die principale, la d
e avec du tabac; vivement émue, elle est prise d'un accès de délire aigu et meurt quelques jours après. Son père, adonné
t ; puis enfin, éclate pendant quelques jours un accès d'alcoolisme aigu qui vient s'ajouter et cacher même passagèremen
hologiques, folie épileptique, mé- lancolie impulsive et alcoolisme aigu réunis chez B..., presque simultanément n'aurai
). R. VicouRoux. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Cas DE MÉNINGITE aiguë SUPPURÉE CONSÉCUTIVE A UNE OTITE aiguë; par G.
RVEUSE I. Cas DE MÉNINGITE aiguë SUPPURÉE CONSÉCUTIVE A UNE OTITE aiguë ; par G. Ross. (Canada med. and surg. Journ., mars
s inégales. Le malade mourut le 19. L'autopsie montra une méningite aiguë suppurée de la base et de la plus grande partie
si fréquents déterminent à distance des altéra- tions splanchniques aiguës . Incidemment, l'auteur relève diverses particul
de ne pas admettre, avec M. Dufour, que les affections secondaires aiguës constatées pendant la vio ou à l'autopsie ont p
s, puis retomba pour succomber rapidement à une méningo-encéphalite aiguë . Les lésions trouvées à l'autopsie étant récent
qu'aux idées de suicide, enfin l'épilepsie et la chorée. La manie aiguë aurait été observée dans un cas. Si, devant la fr
onnues à l'autopsie. M. Mickle admet que dans ce cas, les symptômes aigus ont été produits par de la méningite et de la p
VUE DE THÉRAPEUTIQUE I. Considérations SUR LE traitement DES formes aiguës et CURABLES DE LA FOLIE DANS LES ASILES, ET SUR
y aurait pour le traitement, à séparer dans les asiles, les malades aigus des chroniques. Sans vouloir faire de distincti
ourrait instituer une division où seraient envoyés avec les malades aigus et curables, les chroniques présentant des phén
malades aigus et curables, les chroniques présentant des phénomènes aigus . Un autre pointimportant de ce mémoire est celu
lahaye et Lecrosnier éditeurs. IV. Des paralysies dans les maladies aiguës ; par le Dr L. LANDOUZY. Vol. in8-° de 362 page
motrices survenant à titre d'épiphénomène au cours d'une affection aiguë , et de passer successivement en revue toutes le
n aiguë, et de passer successivement en revue toutes les affections aiguës . De même il fallait s'occuper des. « paralysies
même il fallait s'occuper des. « paralysies-épilogues des maladies aiguës et des «para- lysies-provoquées» par les mêmes
x fièvres palustres et éruptives, au rhuma- tisme, à la tuberculose aiguë , à l'érysipèle, à la pneumonie ou à la pleurési
ic, au pronostic et au traitement de ces complications des maladies aiguës . Sauf le cas de la paralysie diphthérique, il n
it nombre des chro- niques tenant en partie à ce qu'à Rio les accès aigus se terminent plus rapidement par la mort ou par
alé et rapprochant cet état de celui qu'il présente dans la myélite aiguë par exemple, y voir l'indice de la destruction
nt au niveau de la moelle épinière dans certains cas de myé- lite aiguë ou subaiguë. Or, les observateurs qui ont décri
isent la démence : il s'agit véritablement alors d'une forme grave, aiguë en, quelque sorte, de l'épilepsie$. Les nombreu
ide à la fin de 1879 .' démence. Symptômes de mé- mi/go-encéphalite aiguë . Autopsie : Aléti2 ? ,qo-encéphalite. 1 Micam
préférablement l'abstention que le deb'I'Ùl1n tremens, l'alcoolisme aigu , l'hypothermie, l'algi- dité et la stupeur trau
a stupeur traumatiques quand elles sont très pronon- cées, l'anémie aiguë , l'adynamic profonde, les affections congestion
édication donnerait encore d'excellents résultats dans l'alcoolisme aigu et l'insomnie en procurant un sommeil calme. Le
dérivent du courant d'idées propres au délirium tremens. Les cas aigus de folie alcoolique guérissent quelquefois, mais
nou- veau cas de ce genre chez un homme en proie à une mélancolie aiguë qui présenta sur la région fessière une large mac
côté droit, l'avant-bras vient s'appliquer contre le bras, à angle aigu ; et la main est fléchie sur l'avant-bras, de ma
côté gauche, l'avant-bras se fléchit de même sur le bras, à angle aigu ; la main se retrouve dans la même attitude qu'à d
t. La cuisse et la jambe sont fléchies l'une sur l'autre, à angle aigu , et se présentent réciproquement leur face postér
s deux côtés enfin, le pied est fléchi sur la jambe, encore à angle aigu ; et sa face dorsale répond à la face antérieure
PATHOLOGIE NERVEUSE NOTE SUR UN CAS DE MÉNINGITE CÉRÉBRO-SPINALE AIGU E D'ORIGINE RHUMATISMALE ; Par le docteur HEN
vomisse- ment, ni diarrhée, ni sueurs. MÉNINGITE CÉRÉBRO-SPINALE AIGUË . 375 Nous nous trouvions en présence d'une mala
fallait rejeter l'hypothèse d'un délire symptomatique d'une maladie aiguë , vu l'intégrité parfaite des princi- paux viscè
ë, vu l'intégrité parfaite des princi- paux viscères (l'endocardite aiguë ne donnant pas lieu à un délire accompagné d'un
stion pulmonaire. On pouvait donc avoir affaire à une mé- ningite aiguë simple, mais il n'y avait pas de causes de méni
tisme, l'insolation n'avait pas été en jeu, et enfin, une méningite aiguë ne s'accompagne pas d'un souffle cardiaque ; no
tuberculeuse dans sa première période. 2° L'hypothèse d'accidents aigus , greffés sur une an- cienne lésion cérébrale, n
e qui avait pourtant contre elle l'absence de fluxions articulaires aiguës ou même subaiguës. 4° On devait éliminer par
indiquent l'eau froide ajoutée au bain. MÉNINGITE CÉRÉBRO-SPINALE AIGUË . 379 Dans la journée, la malade a eu quelques
faire suivre le doigt. Pas de nystagmus. MÉNINGITE CÉRÉBRO-SPINALE AIGUË . 381 La sensibilité est conservée des deux côté
quantité de pus à la partie inférieure du MÉNINGITE CÉRÉBRO-SPINALE AIGUË . 383 canal rachidien. La moelle est enveloppé
es purulentes qui suivent le trajet de la MÉNINGITE CÉRÉBRO-SPINALE AIGUË . 385 scissure sylvienne. Cette rougeur est surt
Les lésions que nous avons consta- tées sont celles d'une méningite aiguë cérébro-spinale et d'un état fébrile prolongé :
té,salleSt-hélix,n°22(servicedeM.DESNOS). MÉNINGITE CÉRÉBRO-SPINALE AIGUË . 387 Cet homme aurait toujours joui d'une bonne
amener aucune amélioration. H. D'O. LVII. Paralysie respiratoire aiguë du larynx; par P. Kocii. (Ann. des malad. de l'
û- lantes à travers le corps; accès répétés d'hjperhémie pulmonaire aiguë . Durée de l'épi- lepsie : au moins 8 ans. Mort
exigeât, devenait impossible. Violents accès d'hyperémie pulmonaire aiguë accompagnant ou suivant immédiatement les attaq
ment simple congestion de ces canaux produite par les inflammations aiguës du tympan, corps étrangers comprimant le tympan
le tympan, augmentation de la tension intrà-labyrinthique, catarrhe aigu ou chronique de la trompe d'Eustache et du tymp
rent : fièvre typhoïde, pneumonie, fièvre intermittente, rhumatisme aigu , anémie, phtisie, cardiopathies, maladies des o
1880.) XLVI. Archives CLINIQUES. 1° Observation de Lélut : Manie aiguë sans altération de l'encéphale et de ses mem- b
at normal. P. M. XXVI. Du traitement DE l'alcoolisme ET DU DÉLIRE aigu par LES BAINS FROIDS ET LE BROMURE DE POTASSIUM
M'2'MM ! tremeits l'autre BIBLIOGRAPHIE. 497 à un accès de délire aigu . Dans les deux cas, le bromure de potassium, ad
rendues impossibles. Quant au second, c'était bien plutôt un accès aigu de délire maniaque, peut-être de manie congesti
ie congestive comme le soupçonne M. Rousseau, qu'un accès de délire aigu dans lequel on n'eût pu n'être pas aussi heureu
es; ce qui le fatigue surtout, ce sont des douleurs acérées, vives, aiguës , que le malade com- pare des coups de poi^riar'
ucune entité psychopathique ; elle relève de l'agitation, du délire aigu , dans le sens symptoma- tique du mot, à raison
euse. zones corticales, correspondant à ces vaisseaux (nécrobiose aiguë ), des foyers de pneumonie disséminés. Le docteur
ychiques ou corporelles (émotions, éducation, excès), sous la forme aiguë . Elles concernent toutes les modalités nosogra-
à Bade. Juin 1880. Archiv. f. Psycla. u. Nervenk.) Les psychoses aiguës ou les processus pathologiques du z cerveau (tu
uées, dont la seconde a nécessité l'amputation immédiate, le délire aigu survenu au bout de 2, 3 et 4 jours fut prolongé
du la folie, 33b. .llcuolisme (traitcment le l') et du dé- lire aigu , harBenett, 495;-par Rousseau, 496. Aliénés (
rveau par Barette, 464. Méningite (un cas de) cérébro-spi- nale aiguë rhumatismale, par Il. de Boyer, 373 ; - id, par
Il. de Boyer, 373 ; - id, par Ar- nozan, 386. Méningite (cas de) aiguë après une otite, par G. Ross, 139. Méningite
ec les maladies de l'), par Bride et James, 474. Otite (méningite aiguë après), par Ross, je Paralysies dans les mala
méningite aiguë après), par Ross, je Paralysies dans les maladies aiguës , par Landouzy, 166. Paralysie, des quatre mem
Seeligmuller, 453; - des muscles du larynx, par Orme- rod, 463 ; aiguë du larynx, par Koch, 466; du larynx et ses ra
44 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
en apparence, une tonicité exagérée. Le 17 juin, une douleur assez aiguë se fait sentir au niveau de l'articulation sacr
rhumatismale chez un sujet en imminence de rhumatisme articulaire aigu ou subaigu ? La sciatique chez les rhumatisants
dérober sous lui. A. partir de ce moment il ressentit des douleurs aiguës , sem- blables à de violentes névralgies, surtou
le présente un aspect maculé tel que je l'ai décrit dans la myélite aiguë . En somme, on pouvait suivre cette constitution
ue j'avais observé dans la myélite traumatique et dans la myélite aiguë expérimentale produite par l'injection d'agents c
b). Défendre les immersions en cas d'affections pul- monaires soit aiguës , soit chroniques, qui agissent en mettant des e
, la pachyméningite hémorrhagique est extrêmement rare dans les cas aigus de folie. On peut se demander si dans le cas do
dans certains cas, principale- ment dans la manie ou la mélancolie aiguë , les fonctions d'ab- REVUE DE pathologie mental
émotion, frayeur, etc.), présentent tous les signes de l'alcoolisme aigu . C'est souvent après l'absorption d'une très fa
chopathies dépres- sives, au désordre dans les idées hallucinatoire aigu (de Meynert, aux divers états d'affaiblissement
des muscles dans les psychoses. Il s'agit ici de deux cas de délire aigu développé à la suite de délire général hallucin
logiques anciennes, qui n'out d'ailleurs rien à voir avec le délire aigu mortel. Quant aux altérations musculaires elles
de des muscles s'observe d'ailleurs dans tous les états d'agitation aiguë . Interpellé par M. Zacher, le même orateur dit
général un poids spécifique du cerveau supérieur à celui des formes aiguës et typiques de manie et de lypémanie. Le poids
sus atrophiques de la substance cérébrale; médiocre dans les formes aiguës typiques de folie ; élevé, dans les formes chro
ort, intelligent, mort à vingt- sept ans d'une affection pulmonaire aiguë , probablement de nature tuberculeuse. Il s'étai
grés. Canine de lait. Prémolaire permanente normale, à pointes très aiguës . Pre- mière grosse molaire en cours d'évolution
. La partie antérieure est proéminente, le sternum faisant un angle aigu de 25 degrés environ avec la verticale. Les côt
nérale; 3° enfin dans certaines phases de début de l'accès de manie aiguë , alors qu'il est impossible de soigner le malad
opathes, et il a observé un malade qui fut pris d'un accès de folie aiguë la première année où il n'eut pas à l'époque ha
de l'affec- tion qui remplace la névrose. Le rhumatisme articulaire aigu est une des maladies qui paraissent tendre à s'
tion de la force motrice, surtout à gauche. Elle meurt de pneumonie aiguë du lobe inférieur droit. La nécropsie révèle l'
e extrême. La dégénérescence amyloïde de ces organes dans le délire aigu et les psychopathies de même origine est chose
aduit par une dépression hypo- sociétés savantes. 259 chondriaque aiguë , accompagnée de nombreuses sensations dans la g
et à la classification no- sographique des formes de l'encéphalite aiguë commune non suppurée. - Eu créant le terme mode
r objectif les formes suppuratives; mais, à côté de l'encépha- lite aiguë non suppurée, il fallait faire une place au ramol
hémorrhagique qui comprend, outre la poliencéphalite hémorrhagique aiguë , un autre genre, dont M. Friedmann communique u
auteurs italiens, dans laquelle il s'agissait d'une psycho- pathie aiguë (délire général, hallucinatoire, avec désordre da
aire et ses causes. M. Lieue (de Schweizerlof). Un cas d'hystérie aigus avec laryngo- spasme, pendant la convalescence
OELLE ÉPINIÈRE1 1 (SYRING011Y1¡LlE. - SCLEROSE COU131VLE. - MYÉLITE AIGUË ) Par le Dr XAVIETI FRANCOTTE Professeur à l'U
à l'alcool, et bien que le juge eût émis l'opi- nion que l'ivresse aiguë constitue en elle-même une excuse. Le second ac
ces crimes commis, en apparence, sous l'influence d'iineimpiilsion aiguë , avec une cruauté singulière, et absolument san
ué la folie, le somnambulisme, et l'alcoolisme soit chronique, soit aigu et accidentel. Le procès s'est terminé par une
est anéantie, elle relève, non de la mélancolie, mais de la démence aiguë . M. C. Frommann (de Iéna). De quelques détails
ur un fonds d'affaiblissement des facultés intellec- tuelles (folie aiguë de Parchappe). Dans ces deux espèces, il s'agit
erminologie ; Verrucktheit ne convient pas aux modalités primitives aiguës et curables, en outre il ne stigmatise pas du tou
ischer lVahnsinn) est identique à la folie systématique pri- mitive aiguë (acide primoere Verrucktheit) de Westphal j elle
ction psychique. Schuele décrit une folie systématique (Wahnsinn) aiguë et une folie systématique chronique. Les formes
ie, XVIII. p. 159. SOCIÉTÉS SAVANTES. 421 1 3n Folie systématique aiguë primitive dontles espèces sont : a) la forme ha
e aiguë primitive dontles espèces sont : a) la forme hallucinatoire aiguë : b) la forme mélancolique ; c) la forme maniaque
d Mayser a séparé du Wahnsinn de Krafft-Erbing le délire asthénique aigu . Prenons un exemple, un cas simple, mais sujet
mulera une manie hallu- cinatoire. Wessphal, une folie systématique aiguë primitive (Verrucktheit). De Krafft-Ebing, un d
ale ; 2" Paranoïa primitive chronique ; 3" Paranoïa hallu- cinatoùe aiguë ; par exemple les psychoses, par inanition dans l
nettement les limites. M. KROEPELIN, N'amalgamez pas les psychoses aiguës curables qui ont pour origine principale des ca
fication, nous n'en possédons pas de jalons certains. La paranoia aiguë donne souvent naissance à une paranoïa chronique;
nière un nom spécial qu'il n'est légitime de débaptiser la néphrite aiguë lorsqu'elle est devenue chronique. M. Kirn pr
ages qu'auraient causés dans le tissu mental les troubles primitifs aigus ; car on la voit fréquemment survenir sans périod
aigus ; car on la voit fréquemment survenir sans période primitive aiguë , et son apparition est dépourvue de tout rapport
faire de grandes coupes de 1' - par Lissauer, 273. Encéphalite aiguë non suppurée, par Friedmann, 270. Epilepsie (
45 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s une grande frayeur, une émotion vive, un traumatisme, une maladie aiguë , ou la misère physiologique. En résumé, pour
es graves, devenue incontinente à sept ans à la suite d'une maladie aiguë , et réagissant capri- cieusement sous l'influen
se maintient. 28 décembre. Cette enfant à la suite d'une bronchite aiguë a eu quelques nuits mouillées, mais tout est re
re un cas où une légère rechute se produit à la suite d'une maladie aiguë . - Observation VIII. S. N..., garçon de treize
u rectum. Accidents du 54 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. décubitus aigu au niveau de l'olécrâne droit. Evolution chroniqu
iè ! 2 : e de lésions de dégénérescence, se produisit une paralysie aiguë du coeur qui entraîna la mort. Chez un autre la
ral. Dans ces expériences on ne peut utiliser que les intoxications aiguës : d'abord on sait que pour les intoxications ch
les à différencier. L'auteur a étudié spécialement l'empoisonnement aigu par la strychnine déjà abordé par Nissl. Les re
est appliqué avec force. Il est aminci au point de former un angle aigu tout le long de son bord supérieur et un bec à
init, après un certain temps, par se dissiper complètement. L'accès aigu élait fini, mais l'état mental restait très défec
insaitity, octobre 1895.) . E. B. X. Délire CHRONIQUE ET alcoolisme aigu ; par le Dr E.ST.\1AN. Cas intéressant dont les
ressant dont les conclusions sont les suivantes : 1° l'alcoo- lisme aigu peut se greffer sur le délire chronique et la tot
a totalité des symptômes peut être mise par erreur sur l'alcoolisme aigu simple; 2° dans un pareil cas, la guérison de l
sme aigu simple; 2° dans un pareil cas, la guérison de l'alcoolisme aigu peut dimi- nuer l'intensité du délire chronique
t occu- pée par les soins à donner aux sujets atteints de psychoses aiguës , où se trouvent des aliénés affaiblis, qui refu
ence de la manie, dans la manie chronique, dans le cours des formes aiguës de la paranoïa (amentia, confusion aiguë, délir
dans le cours des formes aiguës de la paranoïa (amentia, confusion aiguë , délire hallucinaloire aigu, folie aiguë, etc.)
uës de la paranoïa (amentia, confusion aiguë, délire hallucinaloire aigu , folie aiguë, etc.) et dans les psychoses alcoo
ranoïa (amentia, confusion aiguë, délire hallucinaloire aigu, folie aiguë , etc.) et dans les psychoses alcooliques, n'a de
r la manie d'états analogues faisant parlie du groupe des paranoïas aiguës ; 8° Au cours de la paranoïa chronique, l'exagér
re redouter, quand elle accompagne d'autres symp- tômes, un épisode aigu , une nouvelle exacerbation ; 9° La neurasthénie
pe- ment rapide de la maladie, on verra que dans les cas de tabes aigu , et dans la période d'aggravation rapide des phén
spensable pour la réussite du traitement. Dans le tabes à évolution aiguë , trop rapide la rééducation des mouvements n'es
n ne pourrait guère les confondre, il est vrai, qu'avec les dèmes aigus de Quincke. On se basera, pour ces derniers, sur
é graphique à l'ordinaire normal : ligne d'ascension droite, sommet aigu , ligne de descente d'inclinaison TROUBLES VASO-
donner lieu à des paraplégies franches, à des myélites infectieuses aiguës . On comprit alors que le système nerveux n'écha
uberculose pulmonaire. Que, dans beaucoup de cas, les inflammations aiguës de la moelle et du cerveau étaient manifestemen
ion des escarres durant de vingt jours à dix mois. C'est la forme aiguë de la maladie; dans la forme chronique, les acc
ntrée à l'hôpital en novembre 1895, pour un rhumatisme ai ticulaire aigu . Son hérédité était peu chargée : mère morte en c
ses non seulement mélancoliques mais maniaques, y compris le délire aigu dont le pronostic est loin d'être favorable, al
SAVANTES. , ments d'assistance aux aliénés en hôpitaux de maladies aiguës et asiles de maladies chroniques. Il ne se di
itique; l'autre est un pro- blème législatif. L'hôpital de maladies aiguës ne peut rendre de services qu'à la condition d'
nsister sur cette ques- tion vitale de la distinction entre aliénés aigus et chroniques. Elle seule donnera la solution d
où est le médecin de les connaître. Noyés parmi ces chroniques, les aigus curables eux-mêmes en souffrent. Il faut donc é
on des deux. A l'appui de la distinction nécessaire des maladies en aiguës et chroniques avec établissements d'assistance
ngrès de' Denver, 1892), le pourcentage des guérisons d'un asile où aigus et chroniques sont mêlés, est moindre que la mo
niques sont mêlés, est moindre que la moyenne combinée d'un asile d' aigus et d'une colonie de chroniques bien organisée.
roit que, sauf quelques rares excep- tions concernant des maniaques aigus , on peut entourer les ma- lades de tout le conf
e reconnaît le rapporteur, mais il en est de même de certains états aigus dans lesquels une guérison rapide permet au mal
ns un asile. Il cite à l'appui deux exemples : une manie alcoolique aiguë guérie au bout de huit jours et un cas d'hystérie
ffectera des asiles ou des services spéciaux et distincts aux états aigus et chroniques et qu'on séparera ces services dist
les tous les ma- lades entrants et surtout atteints d'une affection aiguë , les excités, les mélancoliques avec idées de s
ser qu'il y a utilité à faire la scission en maladies chroniques et aiguës . Mais la différence n'est que dans les mots; le
ployés. Proportion des guéri sons. - Jadis, on divisait les fous en aigus et chroniques et l'on reléguait ceux-ci dans le
tés spéciales, structurales ou autres, pour le traite- ment des cas aigus , paraissent généralement assez médiocres. Les i
antes. On demande même des chambres individuelles pour les cas très aigus . Les médecins font tout ce qu'ils peuvent pour
ionner normalement. CAMUSET. XXIX. Deux cas de myélite transverse AIGUË ; par M. le Dr 1. NAGEOTTE, chef des travaux d'a
lpêtrière, 1895, n° 6.) Il s'agit de deux cas de myélite transverse aiguë observés dans le service de M. le Dr Raymond. C
seconde malade, est réellement un foyer inflammatoire à évolu- tion aiguë et remarquablement rapide. Camuset. XXX. Myopat
illes. Aggravation rapide de l'état général, accidents de décubitus aigu et mort quatre jours après l'arrivée. Autopsi
tumeur cérébrale a pu, pendant plusieurs mois, simuler une psychose aiguë , un état de confusion hallucinatoire avant qu'o
de troubles psychiques (inquiétude, anxiété). Un accès de confusion aiguë éclate qui dure quatre mois et nécessite l'inter-
ans provoquer des symptômescérébraux puis peut simuler une psychose aiguë . Chez le sujet en question la tumeur existait d
ns sur l'espace, le lieu et la situation ; -- la troisième, amnésie aiguë des événements récents surtout, tandis que les
xistent sans que la névrite se soit produite. 5° Après une psychose aiguë , ainsi que le prouve une observa- tion du Dr Ne
ue coexistant, telles la mélancolie, la manie, la confusion mentale aiguë , la catatonie, la démence paralytique, mais ce
a section d'un nerf dans son centre d'origine, sont cependant moins aiguës , moins intenses pendant un certain temps, ce qu
he Zeitseh1'. f. Nez·venheillc,1V). 4° Encéphalite prolubérantielle aiguë non suppurée ou apoplexie tardive de la protubé
Délire des persécutés, par Falret, 66, - chronique et alcoolisme aigu , par Eastman, 132 ; Neef, : J8'1. - chronique r
159. Mutité hystérique, par Worotinsky, 5G. M\ élite transverse aiguë , par Na- geotte, 295. - par infection blen- n
46 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rvantune auto- rité suffisante. Or ceci, qui s'est manifesté l'état aigu pour la petite Germaine est également vrai, bie
Akute Encephalitis und apoplektische Narbe des Klein- hirns. (Enc. aiguë et cicatrice apop. du cervelet); par F. \'1TTE,
chronique, le processus de section expérimentale est beaucoup plus aigu ; elle est aussi dans la nature des lésions gan
pourraient être considérés aussi bien comme des formes à récidives aiguës . Quant à la symptomatologie, le signe de Trouss
u de ces derniers seule- ment) est presque constant dans la tétanie aiguë , peu accusé ou absent dans la tétanie chronique
DE PATHOLOGIE MENTALE I. - Sur la combinaison des états dépressifs aigus avec pro- cessus psychiques obsédants ; parSOUK
einture plus ou moins large. Ch. Bonne. VI. De la confusion mentale aiguë et de ses particularités chez les soldats russe
observé une seule fois la forme mania- que de la confusion mentale aiguë chez les soldats lusses. La grande majorité d'e
ion des chrétiens, etc. Cependant dans les cas de confusion mentale aiguë où l'obnubi- lation n'est pas très prononcée, l
une nouvelle psychose et l'on peut rattacher à la confusion mentale aiguë , à ]'amentia de lfeynert,la plupart des états p
t y avoir quatre catégo- ries d'établissements : pour les psychoses aiguës ,les aliénés chroni- ques, les aliénés difficile
106 MÉDECINE LÉGALE. 8° Décès.- En mai, elle est prise d'entérite aiguë et succombe en quelques jours. Ainsi, il ress
es années de sa vie (phase présénile, il arrive à une période moins aiguë , moins intense avec quel- que chose de tranquil
r (1) sur les lésions anatomiques trouvées dans des cas de délire aigu . En ce qui concerne la catatonie, nos recherches
ises, avec des différences provenant sans doute de l'état de délire aigu dans lequel sont morts les malades d'Alzheimer.
e ' céphalo-rachidien chez des sujets atteints de confusion mentale aiguë . Lorsque les cas de confusion mentale guérissen
33 ans, nerveux et sur- mené au décours d'un rhumatisme articulaire aigu , relativement bénin, très localisé, sans attein
ge, du nouveau-né au vieillard, et la nature 'de la misère (maladie aiguë ou chronique, infirmités physiques, intellectue
tilitaires, on ne s'occuperait que des malades atteints de maladies aiguës , et des blessés, on abandonne- rait les chroniq
nication àla Société médicale des.110pitam. Poliomyélite antérieure aiguë . 11\I. IIUET et LEJONNE présentent un malade à
dent fortuit ; il pouvait arriver aussi que, malgré cette imminence aiguë , nul délire ne se fût déclaré à cette époque :
myo- pathie atrophique progressive. F. TISSOT. XL. L'encéphalite aiguë non suppurée ; par Ciiartier. (L'En- céphale, 1
itique, qui met au point et à sa place la question des encéphalites aiguës dégénéra- tives.Il y a identité complète de nat
e. Malgré la confusion qui pendant un temps a englobé l'encéphalite aiguë dans le ramollissement céré- bral, il existe de
et en per- mettre la facile extraction. Observation Il. Méningite aiguë ancienne, épilepsie jakson- nienne (côté droit)
ERVEUSE Empoisonnement par les homards conservés en boîtes.Ataxie aiguë , polynévritique associée à de l'acronévrite. Tr
extrémités en entier n'est rien d'autre que l'ataxie polynévritique aiguë ou pseudo-tabes polynèvritique aigu ; la deuxiè
re que l'ataxie polynévritique aiguë ou pseudo-tabes polynèvritique aigu ; la deuxième forme est caractérisée par la sen
me l'acronévrite de la main et du pied. L'ataxie polynévri- tique aiguë a suivi un cours très favorable ; ses symp- tôm
articulaire (l'acronévrite). Il est impossible d'expliquer l'ataxie aiguë dans notre cas par une lésion quelconque du sys
par une lésion quelconque du système nerveux cen- tral. « L'ataxie aiguë » en soi n'est pas, sans doute, une forme clini
ela nous oblige à adopter le diagnostic de l'ataxie polyizévritique aiguë . La connexion clinique étroite qui existe entre
les polynévrites. L'origine fonctionnelle (hystérique) de l'ataxie aiguë dans notre cas doit être exclue aussi à cause d
c définitif dans notre cas est le sui- vant : ataxie polynèvritique aiguë (pseudo-tabes périphé- rique aigu) associée à l
- vant : ataxie polynèvritique aiguë (pseudo-tabes périphé- rique aigu ) associée à l'acronévrite des mains et des pieds.
entre la po- 41u CLINIQUE rttvLUSC. lynévritc et l'empoisonnement aigu par les homards est bien évident dans notre cas
ho- mards eux-mêmes furent reconnus atteints d'une inflam- mation aiguë infectieuse du canal intestinal. Malgré les sym
s assez uniformes, c'est-à-dire les symptômes d'une gastro-entérite aiguë infectieuse, cholériforme. Dans l'empoisonnemen
estinaux se présentent aussi sous une forme de la gastro-entérile aiguë infectieuse, variant d'après son intensité, des c
tité dans l'intestin grêle. Le tableau clinique de l'empoisonnement aigu chez notre malade présentait une ressemblance e
e malade présentait une ressemblance extérieure avec l'intoxication aiguë par les poisons métalliques (sels de plomb, de
gastro-intestinaux, contredit ce diagnostic. Dans l'in- toxication aiguë par le cuivre, les troubles gastro-intes- tinau
des semaines et même pendant des mois (4) ; quant à l'intoxication aiguë par le plomb, nous savons bien que même dans le
nvalescence est très longue et le malade, guéri de son intoxication aiguë , entre bientôt- dans le saturnisme (1) V. Rouge
se présente comme une particularité clinique de lagastro- entérite aiguë infectieuse dans notre cas. Ainsi, ce n'est pas
en considération que nous ne sommes ren- seignés sur les symptômes aigus dans notre cas que par le récit (pourtant très
t dans ce sens pour que nous ayons à faire ici à la gastro-entérite aiguë infectieuse. Ce diagnos- tic, d'un caractère pl
Entre autres, sont connus les cas précis de i'ataxie polynévritique aiguë qui se dé- veloppa à la suite de la gastro-enté
évritique aiguë qui se dé- veloppa à la suite de la gastro-entérite aiguë infectieuse, soi-disant spontanée (Higiei,) (3)
dont il ne sera plus fait mention dans ce compte rendu : confusion aiguë hallucinatoire, démence aiguë ou stupidité cura
tion dans ce compte rendu : confusion aiguë hallucinatoire, démence aiguë ou stupidité curable, folie sénile et présénile
« Faute d'une bonne définition, on alla jusqu'à parler de paranoia aiguë curable pour des cas de confusion asthénique ha
.) La division du service médical, sans distinction entre malades aigus et malades chroniques, a été l'amélioration la pl
ninx, p. 450. Etats dépressifs. Sur la combi- naison (.les - - aigus avec processus psychiques obsé- dants ; par S
e. Empoisonnement par les ho- mards conservés en boîtes. Alaxie aiguë , polynévritique associée ài l'aconcvrite. Trou-
401. Encéphalite aigué et cicatrice apoplectiforme du cervelet. aiguë non suppurée, par Char- lier, p. 371. Enfants
la première enfance, par D. Delille et Boudet, p. 73. an- térieur aiguë , par Huet et Le- jonne, p. 303. Pseudo-tortic
47 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rigidité dans l'incubation et la pé- riode prodromique des maladies aiguës . Si nous jetons maintenant un coup d'oeil d'ens
vant; plaie au front. Surdité et bourdonnement intenses, pharyngite aiguë rhumatismale; otites subaiguës ; enfonçure extr
de l'affection, et des états organiques qui accompagnent une otite aiguë suppurée. Au début, au moment où le tympan bana
mises de nos jours. Je l'aurais, en effet, rencontrée dans la manie aiguë , la manie rémittente, la manie intermittente, l
mittente, la manie périodique, la manie rai- sonnante, la lypémanie aiguë , la stupidité, la folie circulaire, la lypémani
Les premières règles furent précé- dées et accompagnées de douleurs aiguës et de crampes. Pendant la DE L'IIYST71RO-PILEPS
as rapporté par le même auteur et qu'il considère comme une attaque aiguë (acule attack) survenue chez une femme hystériq
définitive. La névrite est très rare : M. Althaus en décrit un cas aigu chez un tabétique; ce malade se plaignit d'être
mme de cinquante-deux ans, à la suite d'un rhuma- tisme articulaire aigu , est sous le coup d'une paralysie des extenseur
S. formule ainsi la nature de la lésion : foyer de ramollisse- ment aigu , par obstruction vasculaire (thrombose) ou inflam
ment aigu, par obstruction vasculaire (thrombose) ou inflamma- tion aiguë . L'autopsie démontra la réalité de ces assertions
caractéristiques, toutes les myé- lytes systématisées, amyotrophies aiguës et chroniques, pri- mitives et secondaires, ata
cor- tège des hallucinations terrifiantes, spéciales à l'alcoolisme aigu . 112 SOCIÉTÉS SAVANTES Je ne parle pas des vi
inistration du bromure, et insiste sur le développement de la manie aiguë ; il termine en discutant les effets* attribués
IX. Hydrocéphale chronique consécutive A une attaque de ménin- GITE aiguë . - 1 : \IPLOf des courants continus. (Note lue à
es rectaux et vésicaux avaient fait écarter la paralysie ascendante aiguë . D. B. XXIV. THE NERVOUS SYMPTOME Or \IYxDE\fA;
e fL) oc yp t s dùx ? n&if ? me h- 1 leur plus particulièrement aiguë le long des deux nerfs men- tôimiers ét aûssl d
ntrés, il a a onze ans. Ils consistaient en sensations douloureuses aiguës , 'au"niveau dé- la réâiôn'dorsô-lômbaire et de
écrit, : la fièvre. des hystériques caractérisée par une dilatation aiguë , des, vaisseaux sanguins delà peau, en état d'hyp
de l'individu causent la brusquerie des phé- nomènes, les hystéries aiguës ouïes formes chroniques. C'est pourquoi les cli
rd les observations de Jolly et de Leyden. Dans deux cas de myélite aiguë diffuse, il a observé le phéno- mène de la divi
ites englobées sous le nom générique de mal de Bright plus ou moins aigu ; 2° les dégénérescences rénales chro- niques ou
uestion, personnels au professeur IIagen, sont relatifs à un délire aigu et à trois formes de mélancolie. Ces trois dern
un refroidissement (arrêt des fonctions de la peau), une- maladie aiguë (déchets s'accumulant dans une économie déjà urém
lopper, selon la rapidité et l'intensité des processus, un délire aigu ou l'équivalent des convulsions urémiques, sous l
gie, t. Il[, p. 9,1 ? i / REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 379 délire aigu relevant de la paralysie générale. « Il est certa
ain, ajoute-t-il, que bien des cas, décrits sous le titre de délire aigu , ressortissént comme celui-ci à la paralysie gé
cience, démence ou insuffisance du système moteur (idiotie, stupeur aiguë , manie), par parli.pris (folie morale), par ang
-eYls- ft ? t') ? f'.i ? ? i ? n ? t't ? f.. 0 r;s tencede crimes aigus et dix-sept lois la colis`tatâtioTi r de`rcrvyŸré
ienation par isolement est la mélancolie ou la folie systématique Î aiguë ; les hallucinationsde 1 ouïe ou de tous les sens
doit le transférer dans un asile d'aliénés ; 'aussitôt cesse l'état aigu et apparaît l'imbécillité congénitale. ' Sur ce
et simple exaltation mentale ; 3° simple état mélancolique et manie aiguë ; 4° mélancolie avec délire ou avec stupeur et ma
et manie aiguë ; 4° mélancolie avec délire ou avec stupeur et manie aiguë avec conceptions délirantes et incohérence. L
dont le succès contre les diverses manifestations de l'alcoolisme aigu et chronique, est le mieux assuré. Le mode d'empl
ico-psychologique une Étude sur l'Altération du sang dans le délire aigu qui lui a valu une récompense. Nous ne saurions m
les trois courants qui se partagent encore l'opinion sur le délire aigu , envisagé soit comme une entité morbide nettement
and, dans le deuxième chapitre sur la nature du délire 420 VARIA. aigu , se rattache a la première de ces opinions ; il v
re anatomie pathologique ne laisse rien à désirer. Certains délires aigus ne présentent aucune lésion à l'autopsie; mais
n particulière de cette hypérémie non encore décrite dans le délire aigu , consistant en ce qu'elle débute par la couche
n des déliressymptomatiques qu'il oppose très habillement au délire aigu , au point de vue de leur marche, de leurs encha
i les diverses maladies qui offrent quelque analogie avec le délire aigu et arrive ainsi avec certitude au diagnostic. Il
pour infirmer sa con- viction que la cause de la gravité du délire aigu réside dans des modifications du liquide sangui
puisés dans l'analyse des symptômes analogues et communs au délire aigu et aux états typhoïdes. « Cette analogie dans
rancher, résistance qui diminuerait considérablement dans le délire aigu , enfin au point de vue du pouvoir oxydant de l'hé
rent dans le sang à l'état normal. L'auteur, sur sept cas de délire aigu , a constaté trois fois ces parasites; il n'en a
cial. « Une observation complète et minutieuse d'un cas de délire aigu , avec autopsie et examen micrographique qui fait
amment constatés, et il rapproche l'état de surexcitation du délire aigu , l'état du surmenage cérébral de l'état du surm
s qu'il constatait .ces microbes sur les malades atteints de délire aigu , il ne pouvait constater leur présence dans le sa
7. Grailioinét'rie, 396. Dégénérescence secondaire, 260. Délire aigu (altérations du sang- daits le;, par Briand, .i
Hydrocéphale chronique consécu- tive à une attaque de méningite aiguë , par lliathelin, 245. 0 llyperlrémie cérébrale
stphal, 370. Parricide (tentative de), 113. Perimeningite spinale aiguë , par l,eii4oine et Lannois, 2l17. Plexus des
48 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ne « douleur agréable ». Douleurs fréquentes spontanées, pas bien aiguës , s'élevant de la nuque vers le sommet de la têt
C < AFC, contrac- ture lente). Des douleurs étirantes et parfois aiguës dans le dos, les reins et les membres inférieur
es, ordinairement sourdes, parfois elles prennent un caractère plus aigu rarement au point de troubler son sommeil. Dans
e quel- ques éruptions sur la tête et le corps, ayant eu une marche aiguë pendant l'enfance du malade. 36 PATHOLOGIE NE
lésions des cordons latéraux des pyramides). P. K. XIII. Myélite aiguë disséminée; par B. KuESSIER et F. BROSIN. (Arch
ingt-quatre ans, est successivement affecté : de paralysie vésicale aiguë , qui devient rapidement complète, de paralysie
rieures du même organe. Les foyers sont des foyers d'inflam- mation aiguë , liée aux vaisseaux (le centre de l'axe de chaque
lite centrale hémorrhagique lombaire paraplégie urinaire névrite aiguë progressive névrite dégénéra triée sclérose mul
progressive névrite dégénéra triée sclérose multiloculaire myélite aiguë transverse l'auteur passe à l'étiologie et à la
se trouve presque vertical, toute la différence qui sépare un angle aigu de 15°,S8 de l'angle droit de 90°, et l'expres-
ses installations. M. Kast (de Fribourg). Des atrophies musculaires aiguës simples. Ce sont les auteurs français qui ont m
es cas récents; il s'agissait, dans l'espèce, soit d'épanche- ments aigus dans l'articulation du genou, soit de contusion d
bles causes occa- sionnelles : l'alcoolisme chronique, l'alcoolisme aigu . Ces causes se divisent en causes psychiques et
, on le voit, des causes qu'il faut mentionner. Les intoxications aiguës ont une proportion très faible, mais les empois
. Le tabac produit peu d'excitation et peu d'amnésie , l'alcoolisme aigu déter- mine une amnésie complète temporaire, l'
i- naitive ? Elle donne naissance, si la marche de la maladie est aiguë , au type paralysie spinale atrophique de l'enfanc
2° Paralysie spinale atrophique de l'enfance. 3° Paralysie spinale aiguë de l'adulte. 4° Amyotrophies spinales deutéropa
embres infé- rieurs. 268 REVUE CRITIQUE liomyélite antérieure aiguë de l'enfance)1, ou au type para- lysie spinale
ite antérieure aiguë de l'enfance)1, ou au type para- lysie spinale aiguë de l'adulte (poliomyélite antérieure aiguë des
type para- lysie spinale aiguë de l'adulte (poliomyélite antérieure aiguë des adidtes)2, même maladie d'appellation diffé
A MOELLE l;PINI1 : RE CHEZ L'HOMME DANS L'IN- TOXICATIOX arsenicale AIGUË ; par M. Poiorr. (Medizinskoë Obo,-2,é711é. Rev
ec tous les signes caractéristiques d'une intoxica- tion arsenicale aiguë . Le 16 décembre il meurt. Nous repro- duisons c
encore, que la 1 Matériaux pour servir il l'étude sur la « myélite aiguë d'origine toxique» 1882, ainsi que in ll'irclro
rs contemporains décrivent comme appartenant en propre à la myélite aiguë . Quant aux altérations du système nerveux périp
qu'on observe dans le tableau clinique de l'intoxication arsenicale aiguë ou chro- nique'. J. ROUBINOV1TCH. IL Contribu
t l'ayant tué en dix-sept jours. L'autopsie révèle une intlammation aiguë des gros troncs nerveux avec hémorrhagies inter
GU1; COMPLÈTE (ALCOOLIQUE) DES MUSCLES DES YEUX. (Polio-encéphalite aiguë supérieure de Wernicke) ; par R. TuomsrN. IAz·c
. . Psych. XIX. 1.) Deux observations avec nécropsies, de paralysie aiguë des muscles des yeux ayant surtout porté sur le
cczulcczer (malgré la len- teur de la réaction pupillaire), à forme aiguë , complète ou presque complète. La rigidité pupi
provoquer une exacerbation de la folie systématique hallucinatoire aiguë , par exmple une nouvelle poussée de cette malad
te parfaite égalité d'équilibration : exemples : folie systématique aiguë ou folie stupide (récupération de la mémoire im
ongée s'oppose à leur guérison. C. Folie systématique. Chronique ou aiguë , acquise ou congénitale, elle nous donne un app
auxquelles ces aliénés se livrent. Alais dans la folie systématique aiguë il faut en user, à la période de convalescence,
, devient ma- niaque. Diagnostic. Folie systématique hallucinatoire aiguë . Huit jours après, la mère de cette enfant, dan
quatre membres. Soif. Rétention d'urines et de selles. Décubitus aigu , accompagné de décomposition d'urines et de fièvr
ail soigné. Il eut de nombreuses attaques d'hyperhémie pulmo- naire aiguë qui mirent souvent sa vie en danger (saignée du b
la chez le malade dont il s'agit un foyer de ra- mollissement rouge aigu , nettement circonscrit, et limité à l'é- corce
s affections du système nerveux A LA suite de maladies infectieuses aiguës ; par M. LUNZ. (A7'CIt. f. Psych., XVIII, 3.) Ap
o- mènes paralytiques). Observation I. Lepto-méningite et myélite aiguë , avec nombreuses plaques circulaires de nature in
ait. Dans le second cas, il s'agit d'un homme atteint d'une manie aiguë et en voie de guérison : soumis par une petite ma
p. 367, 188î.) Il y avantage, quand on se trouve en présence de cas aigus , à les traiter en dehors des asiles, à cause du
e public. Il est donc utile d'établir dès le début si le cas sera aigu et rapide ou chronique. La manie transitoire es
gieuse, ce qui est fréquent ; à la fin ou dans le cours de maladies aiguës , non pas quand la fièvre est à son summum, mais
des préparations d'écorce céré- Loale d'une malade morte de délire aigu . Femme mariée, sans enfants, âgée de trente-six
lules rondes de l'écorce augmente consi- dérablement dans le délire aigu . Cela est tout simplement dû à des globules bla
'étude clinique de quelques accidents consécutifs à la z antérieure aiguë (paralysie infantile). Puech : Contribution ci
à travers la substance blanche cérébrale, par Zacher, 9. Délire aigu (écoroe cérébrale d'nne malade morte de), par S
Stark, 275. Intoxication (lésion de la moelle dans 1' arseuicale aiguë ), par Pjpoff, 21(i; - (par la j[ardl- déliyds
osthémi- I plégiques, par Grerdenberg, 70. Musculaires (atrophies aiguës simples), par Kast, 93. Rlyéliteaiguè dissémi
ernhafdt, 441. Névrite (alcoolique), par Laquer, 98; (infectieuse aiguë , par ltosens- tein, 2S1 ; - par nlithonsl.i, i
ns les asiles d'aliénés, par Pelman, 450. Surdi-mutité (méningite aiguë et), 1),Ir Selililtze, 86. Syphilis (intoxica
49 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
LA MOELLE ÉPIN1ÈRE 1 SI'1t1\GOIYI : LIE. SCLÉROSE COMBINÉE. MYÉLITE AIGUË ) Par le Dr Xavten FRANCOTTE, Professeur à l'U
, Professeur à l'Université d(; Liège. III. - Deux cas de myélite aiguë . - L'intérêt prin- cipal des deux cas de myélit
es de la moelle. La présence de corps granuleux dans la myélite aiguë n'a rien d'anormal ; mais ce qui donne à notre
e il ceux de Küssuer et Brosin, d'Achard et ' Sur un cas de myélile aiguë diffuse... (Archives de médecine eayéri- mental
nt du tout établi que les diverses formes étiolo- giques de myélite aiguë possèdent des caractères anatomo-pathologiques
rgane de lésions spécifiques. Au surplus, l'existence d'une myélite aiguë de nature syphilitique est très contestable. «
mwell3 enseignent que la myélite syphilitique est ordinairement sub aiguë ou chronique. En admettant que notre malade fût
tiques disparaissent ordinairement plus ou moins pendant la période aiguë et fébrile de la maladie intercurrente. Mais, q
passe le plus souvent dans l'épilepsie compliquée d'une affection aiguë intercurrente, pendant les périodes les plus aigu
d'une affection aiguë intercurrente, pendant les périodes les plus aiguës de celle-ci, l'épilepsie ne se manifeste pas. M
e multiloculaire des alcooliques se compliquer^ d'un délire général aigu qui, le plus souvent, guérit ou aboutit à la dé
les rencontrer dans un nombre relativement faible de cas de folie ~ aiguë , et cela surtout, sinon uniquement, Archives, t
'une manière ou d'une autre du caractère normal. 2° Dans la manie aiguë et dans les autres formes de folie qui s'accomp
ctères ordinaires. 3° La dépression mentale, si elle est récente et aiguë donne une systole cardiaque faible avec artères
t. petit et filant, comme dans le coma ou le collapsus des maladies aiguës . 5° Dans la paralysie générale, le pouls varie
miplégIe gauche transi- toire idéation lente, mémoire bonne ; manie aiguë succédant à d'autres symptômes nerveux ; embarr
attaques épileptiformes ; idéation lente ; mémoire mauvaise ; manie aiguë succédant à d'autres symptômes nerveux ; embarr
ntale ne date pas de plus de six mois ; que les cas psychopathiques aigus quelle qu'en soit la modalité, excepté l'épilep
de sa mémoire. 111. 13UDDEBERG. De la forme dépressive à évolution aiguë de la démence paralytique. - L'auteur relate l'
tre autopsies; on trouva les signes d'une encéphalite franchement aiguë avec atrophie partielle de la substance corticale
rme chronique, ou aux diverses éclampsies, qui constituent la forme aiguë , les causes invoquées, émotions morales, intoxi
sans avoir été malade un seul jour. Il n'a jamais eu de rhumatisme aigu ni chronique, ni douleurs d'aucune sorte en deh
me d'ail- leurs que même pendant les poussées douloureuses les plus aiguës , jamais il ne s'est tenu de travers. Les trou
mmédiate- ment après, le jour même, elle ressentit une douleur très aiguë dans tout le membre inférieur gauche, le long d
omique de la chorée chronique, comme celle de la chorée de Sydenham aiguë , est encore inconnue. « Selon toute vraisemblan
u'un symptôme- peut présenter deux formes, l'une chronique, l'autre aiguë . Dans le pre- mier cas, les signes de l'empoiso
n individu qui avait présenté des symptômes de paralysie ascendante aiguë . Le cerveau et la moelle paraissaient intacts (
ernard l'a montré et Kelsch en a cité un exemple. Cette ané- mie- aiguë expliquerait les névralgies observées à la suit
une extrêmesensibilité à ]a press ? douleur peut survivre au stade aigu , qui s'accompagne quelquefois d'une lièvre légère
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 257 Î X111. Guérison d'un cas DE DÉMENCE aiguë ; par 0. DORNDLUETH. (Neurol. Centralbl., 1887.)
: cette lésion en foyer, qui constitue le résidu d'une ménin- gite aiguë diffuse antérieure, a produit aussi, par modifica
nt plus de deux à trois jours. On ne l'emploiera dans les psychoses aiguës , curables, que lorsque les autres médicaments s
nérés; 6° les démences de la puberté ; 7° les démences des maladies aiguës , fièvre typhoïde et états puerpéraux auxquels i
servi à calculer les causes occasionnelles, le rôle des ma- ladies aiguës , du traumatisme, de l'alcoolisme et des autres in
M. G. Rosenbaum. L'influenza a été suivie de délire hallucinatoire aigu (Obs. I); - de désordre aigu dans les idées (Obs.
a été suivie de délire hallucinatoire aigu (Obs. I); - de désordre aigu dans les idées (Obs. II); - de mélancolie hypoc
s. II); - de mélancolie hypochondriaque (Obs. III); - d'hypocondrie aiguë (Obs. IV et V); - de dépression mélancolique (O
et V); - de dépression mélancolique (Obs. VI); - de délire maniaque aigu (Obs. VII). -- Il y a eu complète guérison dans
La modalité mentale rappelait les psychoses par épuisement (démence aiguë - délire asthénique); les trois individus attei
stinguent en rien de celles qui suivent les maladies infec- tieuses aiguës . Il semble cependant que l'influenza, plus que to
e vue psychopalho- génétique comme des autres maladies infectieuses aiguës à période fébrile égale. Les condamnés qu'il a
ion des vertiges, M. Grasset en fait deux grandes classes : vertige aigu , vertige chronique, cette dernière subdivisée e
AUZIER (G.). De certaines localisations cardiaques de l'impaludisme aigu . Brochure in 8° de 34 pages. Paris, 1890. Librair
aites en wagon. P. K. LIX. CONTRIBUTION A la connaissance DU DÉLIRE aigu . Deux observa- TIONS avec dégénérescence amyloï
e propre aux formes suraiguës de psychopathies (notamment au délire aigu ), albuminurie proportionnelle à -l'intensité du d
onnement. Les deux modes de transmission pro- duisent des modalités aiguës , subaiguës ou chroniques. P. K. REVUE DE PATHOL
li, 434. Délire, électrique, 140; - de chi- cane, par Muhr, 252 ; aigu , par Buchholz, 441. Démence, rapport de la pa
ües de la paralytique, par Buddeberg, 118; - guérison d'un cas de aiguë par Daru- bluetli, 257; - rapports de la- par
50 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dans cette région. Par moments, cette douleur devient tout à fait aiguë et s'accompagne de battements et d'élancements
trois à quatre semaines. On espéra tout d'abord que cette affection aiguë allait débarrasser l'enfant de sa céphalalgie,
lemment dans la profondeur du cerveau. La douleur devient presque aiguë à certains moments. C'est alors, dit-il, comme
e l'année 1879, il fut pris d'une attaque de rhumatisme articulaire aigu généralisé. Il eut des maux de tête extrêmement
ù/de sensibilité ? A virigt'et un ans, 'elle eut un accès' de'manie aiguë qui dura quelques mois. Guérie, elle resta bien p
rnty,0, jmfl Z91 Observation IX ? 11 é¡'édil maternelle. l-7t Manie aiguë avec^ , , . ,, ? ,, , , ,- , conscience^ G uéri
.santé.- physique et --psychique antérieure. 'Une' crise de maniel aiguë éclata-à la suite d'un accouchement-pénible et
? ( ) longée des fonctions, de .l'intellect : c'était. la démence aiguë d'Esquirol, la stupidité de Georget. Les belles
bout de. quelques mois ? quand survint. un rhumatisâe'articulairei aigu , que, jet traitai .par., le salycilate de soude
? Ie ¡'cbill1 des folies paralytiques quelquefois, des lypémaniës aiguës souvent,'7 des manies* aiguës J très ! 'fl : éqü'
alytiques quelquefois, des lypémaniës aiguës souvent,'7 des manies* aiguës J très ! 'fl : éqü'eliiÍi1nt.. ar1 contre',11-
.sllraJo1f,té dans les diverses variétés de 'manies,t¡là1 Iypémanie aiguë , la stupiditéV'la1 folie circulaire' lâ1Jy.péma
e succomba, probablement à la suite' d'une tuberculose pulmo- naire aiguë . " Il ? 1 ? 'I,d , ? ' ,.r , ' i 1 f ... ? 1 ".
, on peut facilement distinguer l'affection de la paralysie spinale aiguë de l'adulte, qui se distingue, au début, par la
. La,, forme, psychique,, demeura .généralement celle de la démence aiguë avec stupeur, accès d'angoisse, perturba- V'iri
9b asiles XXI. 'Contribution A L'ÉTUDE DE la paralysie ascendante AIGUË ; par Richard ScIIULZ et Friedreich Schultze (de
ju.i;u.«i auJ.um.i ? '«y i.o. ,...J d'une poliomyélite antérieure ^ aiguë , la substance blanche - ayant,, participé aux l
es aux médecins des établissements pénitentiaires. 3° Les psychoses aiguës , et celles que l'on suppose devoir évoluer prom
.- Hertz,. Sur la Constatation de : la, cause anatomique. du délire aigu idiopathique. Cette cause,réside : dans;la forme
ions du cerveau. L'auteur a actuellement observé onze cas de délire aigu idiopathique. Le dernier concernait une femme d
sie psycho-somatiques différencient le délire en question du délire aigu ., 11 est plus intense, et de^ moins courte du-1
tère dépressif qui succèdent, à des, maladies soma- tiques fébriles aiguës graves. (Allg. Zeitsschr. f. Psych. XXXIX, 6.)
mous. Un peu plus tard, il a été atteint de rhumatisme articulaire aigu . A vingt-huit ans, il a eu encore des chancres
sans symptômes de compres- sion médullaire. En avril 1882, myélite aiguë , eschares multiples ci développement rapide. Al
pression médullaire : Dans les derniers jours, symptômes de myélite aiguë ; paraplégie avec plaques d'anesthésie cuta- né
sation une vulnérabi- lité toute spéciale pour certaines affections aiguës et chroniques. C'est ainsi que l'on voit appara
intellectuel, lorsque, à trois ans, il fut atteint d'une méningite aiguë grave. Durant la convalescence, on remarqua seu
épilepsie hémiplégique. Si l'on se rappelle que, après la méningite aiguë , l'enfant avait une paralysie du côté gauche, o
les premiers phénomènes se manifestèrent à la suite d'une maladie aiguë , une variole. Affection bizarre sur laquelle les
Nous avons vu aussi le mérycisme apparaître à la suite de maladies aiguës (Cas. XIII et XIV), d'un voyage en mer (Obs. IX),
ntière pour ses bienfaiteurs, l'immorta- lité. P. K. XII. Démence aiguë , stupeur, états DE même ordre; par SCIIÜLE. (Al
a pas lieu, dit l'auteur, de différencier la stupeur de la démence aiguë par la notion de la simple obnubilation des phéno
ubles de la conscience qui ressortit pour Blus- wanger à la démence aiguë , couvre une question de degré dans l'état patho
Schüle, qu'un syndrome qui peut exister ou manquer dans la démence aiguë , de même que dans toute autre entité psycbopatb
s cas dans lesquels elle est effectivement synonyme de la démence aiguë primitive, parce qu'elle existe en cette dernière
é, folie épileptique, paroxysmes mania- ques, folie suicide, délire aigu ); une stupeur cataleptique ou tétanoïde (folies
rudimenlairc, une forme atrophique, une forme hydropique, une forme aiguë pernicieuse. ! " .. n< BIBLIOGRAPHIE. 289
'degré' d¡his la' dj"s'¡Ù1ée"a'Spliyxiquë' te1'l1\in'àlc delà forme aiguë pernicieuse ; ? 3° ]es7[t/('op)s : cs,' soit'dans
-cinq ans il eut une seconde uréthrite, cette fois-ci beaucoup plus aiguë et plus intense, accompagnée d'un rétrécissemen
dre non le pouls lent (itt2,dzts); mais un pouls dicrote à som- met aigu . Le pouls lent commun est produit par l'augmentat
ymptomatiques des psychoses du jeune âge. Bubnoff. XXXVII. DÉLIRE AIGU AVEC DÉGÉNÉRESCENCE DIFFUSE DES ARTÈRES DU CERV
! RNtiAnn communique à la Société l'histoire de deux cas de délire aigu survenu à la suite d'une psychose préalable. Il c
greffée sur des bruits intra-auriculaires s'étant produits à l'état aigu (bruits vasculaires d'origine hématique) dans l
me d'accès d'agitation, accompagnent les processus inflammatoires aigus de la caisse terminés par la suppuration. Ils dev
uels. Le délire h3-oscyaminique consiste en l'apparition sous forme aiguë de conceptions incohérentes, confuses, puériles
es de fièvre typhoïde, érysipèle, rhumatisme articulaire, bronchite aiguë , qui, toutes, à l'exception d'un cas ayant duré
on psychique très marquée; on constata même, en deux cas, du délire aigu suivi de mort. Deux antres observations témoign
liographie. M. IisTZ. - Remarques pour servir à l'étude de la folie aiguë partielle. L'auteur a, dans ces derniers temps,
s), 99. Crimes commis dans l'état d'incons- cience, 419. Délire aigu idiopathique (cause ana- tomique du), 151, 41,
n phréniâtrique de Vo- ghera, 302. Folie et divorce, 261. Folie aiguë partielle, 429. Folie périodique (température d
(centres corticaux), 98. Mouvements (perception des), 97. Myélite aiguë , ` ? 75. Névrites périphériques non trau- mat
spinale il mar- che' rapide et curable, 99. Paralysie ascendante aiguë , 119. Paralysie progressive des aliénés, 283.
51 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
parlraenkel; la méthode n'est applicable que lorsque les accidents aigus sont calmés, que l'état est devenu stable : il fa
sommeil (Manson), l'Influenza, etc ; 5° dans quelques intoxications aiguës surtout si elles causent une augmentation des p
re par exemple dans les congestions cérébrales, dans l'alcoo- lisme aigu , dans l'épilepsie où l'hypophyse a ('-Le trouvée
el ; dans lésons critique. F. '1'[SSOT. V. Confusion hallucinatoire aiguë et insuffisance hé- patique ; par Deny et Renau
ique ; par Deny et Renaud. (L'Encéphale, 19011, n° 2.) La confusion aiguë n'est pas une maladie, c'est un symptôme qui es
ans ses formes chroniques et pour ainsi dire jamais dans ses formes aiguës : il n'y a d'ailleurs au- cune relation entre l
bore la pureté de la notion étiolugique. Les phénomènes délirants aigus ayant cessé l'ilJ11dclI1entcL sans amener l'app
énomi) ! le dll'Z les délimnts et par- ticulièrement dans le délire aigu . Sans en donner une explication purement hypoth
31. Paul Farez cite le cas d'une de ses malades atteinte de ma- nie aiguë et placée dans une maison de santé. A l'aide d'un
par les stries habénulaires, cette lame se bifurque à angle très aigu , et les deux lames divergentes qui lui font suite
es et le mode d'hospitalisation qu'il fautappli- quer aux délirants aigus , la réglementation nouvelle dont le service méd
s aliénés par ordre d'intensité dans les psychoses -confusionnelles aiguës ou suraiguës. 31. Dide en arrive alors aux co
évoir la clinique ; le dé- lire des infections et des intoxications aiguës doit désormais ne comporter qu'une description
e de 46 cas d'examens de sang de malades, présen- tant des maladies aiguës diverses avec délire, une seule fois on mit en
té du sang des aliénés. (Contribution à la pathogénie des psychoses aiguës ) ; par DI<AGOTTI,' [n Rivista di neurologie,
5, fascicule VL) L'examen du sang des malades atteints de psychoses aiguës a fait depuis quelques années le sujet d'un ass
déterminer le pouvoir toxique du sé- rum du sang dans les psychoses aiguës , comment ce pouvoir 'augmente ou diminue, et pa
varié présentent des phéno- mènes typiques de pellagre chronique ou aiguë . Ces phénomènes s'exacerbent d'une façon partic
survenir soit avec les phe- nomènes caractéristiques de la pellagre aiguë , soif axec des phé- nomènes chroniques de cache
terminer la morl aec les phénomènes caractéristiques de la pellagre aiguë ou su- baigué. quoique restant toujours l'état
cellule nerveuse ; 12° A Van Gehuchten. La poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte ; 13° E. Rossi. L'in- tima stuttura
d'affirmer le type central myéli- tique avec une évolution brutale aiguë qui ne saurait par- donner. Les auteurs attir
stituent une des complications les plus fréquentes des suppurations aiguës ou chroniques de l'o- reille. Leur étude date d
- fance ; otorrhée à rechutes et polypes de la caisse. Mastoïdite aiguë datant de 4 jours. Paralysie du moteur oculaire
ion présente quelques particularités intéressantes : début brusque, aigu , douloureux, - rapidité d'apparition de l'impot
nce que -d'une façon manifeste et presque constante, les phénomènes aigus de la cachexie strul1liprivc chez le chien (dys
yroidcctomisés et saignés pendant les manifestations des phénomènes aigus de la cachexie slrumiprive. J. Séglas. \ \' I
à la suite d'une détention très courte.Suspicion de violence.Délire aigu ; par Amante, BIGNAMI, Borri, IMPALLOMENI, OTTO
quelconque de ses variétés, délire onirique, délire hallucinatoire aigu , délire aigu, syndrome paralytique. Elles se pr
e ses variétés, délire onirique, délire hallucinatoire aigu, délire aigu , syndrome paralytique. Elles se présentent donc
même heure, sans aucune cause occa- sionnelle, d'une crise de manie aiguë qui en vingt-quatre heures acquit de part et d'
lu voir si des petites doses de brome peuvent avoir une influence aiguë sur la mémoire, comparable aux influences chro-
s, les mé- lancoliques, ceux qui sont atteints de confusion mentale aiguë . stupide ou délirante : enfin les périodiques.
4, v. 2, p. 590. Bauer et Mauban. Mening. cérébro-spinale hémorrag. aiguë terminée par la guérison. Arcl. gén. de méd., P
a. M. J., 190.i- v, 81, p. 650. Sicard, J. A.. et Roussy. Méningite aiguë cérébro spinale syph., évolution sept mois aprè
azoréaction d'Ehrlich qui ne donne de résultats que dans les formes aiguës ou avancées, enfin la radiographie qui n'est qu
es conséculivesaux tumeurs cé- rébrales, et à la seconde la démence aiguë (ancienne contusion mentale), la démence précoc
satisfaisantes le traitement des maladies incidentes, des psychoses aiguës , et l'hospitalisation des enfants arriérés. » Lab
n suspend alors le traitement à la suite d'une poussée de bronchite aiguë . Pendant ces quatre mois, l'enfant a gagné enco
cée avec abduction de la cuisse et de l'intoxication chloroformique aiguë . CH.BONNF. XXIX.- Kleine motorische Epilepsie (
ille. Les auteurs ne veulent par- ler ici que de la lepto-méninnite aiguë d'origine otique. La question de sa curabilité
mptômes cérébraux de- puis huit jours. A l'entrée. Leptoméningite aiguë suppurée diffuse, prouvée parle tableau cliniqu
bcès encéphalique masqué antérieurement parle syndrome méningitique aigu . Mort au 15° jour. Autopsie : abcès de l'hémisp
manifeste ou plutôt d'enraiement transitoire d'une lepto- méningite aiguë suppurée d'origine otique. A l'occasion de ce f
la conviction profonde que dans toutes les variétés de rhumatismes aigus , subaigus ou chroniques, c'est l'état géné- ral
aires au cours d'un rhumatisme chronique secondaire à un rhumatisme aigu . Dans trois autres observations il s'agit de ma
diquer que le rhumatisme chro- nique, soit sous la forme d'attaques aiguës récidivantes, soit sous la forme dyscrasique, o
uite d'une détention très courte. Suspicion de vio- lence. Délire aigu . Par Amante, Bignanni. Borri, lmpallomeni, Ot
nés (circulaire ministérielle). p. 58. Confusion hallucinatoire aiguë et insuffisance hépatique, par De- ny et Rena
52 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
Absence presque totale de sourcils. Mauvais système dentaire. Voix aiguë . Absence complète de poils aux aisselles et au pu
aisselles ; quelques-uns à la région pubienne. Voix normale un peu aiguë . Dents mauvaises. Pénis de dimensions moindres
us n'avons trouvé une solution possible que pour certains accidents aigus survenant chez des oxycéphales. Par contre, n
sie : L'écorce cérébrale ne montre que' les altérations à caractère aigu des cellules nerveuses. Le cervelet est intact. L
col de cygne, « main des nerfs médian et cubital » fléchie à angle aigu sur le poignet, les doigts allongés. e) La main
cassé », les deux phalanges constituant la branche d'un angle très aigu , dont le premier métacarpien formait l'autre cô
tonie très intense, la main faisant avec l'avant-bras un angle très aigu , il en est d'autres où, avec une section égalemen
ET nodosités digitales (HEBERDEN ET BOUCHARD) A ÉVOLUTION précoce, aiguë ET SIMUL- TANÉE. Les nodosités d'Heberden son
e, j'ai eu l'occasion d'observer chez des soldats 12 cas de myélite aiguë du type épidémique de Heine-Medin. Bien que mal
se trouve un peu mieux et' les douleurs musculaires semblent moins aiguës . Langue toujours chargée. Il s'assied. Pas de sig
sion, simulant les douleurs de la cholécystite ou de la pancréatite aiguës , ou des crises gastralgiques, ont disparu dès le
aires disparaissant quelques jours après l'apparition de la période aiguë , pour faire place à une lymphocytoseavec quelqu
uin, même état, sauf que le clonus (1) NETTER et Levatidi, Myélites aiguës diffuses et myelites tz'ansvez'ses causées pa"
la douleur, quand souvent on pense à la possibilité d'une méningite aiguë , on peut trouver un bon signe, dans les formes tr
bservés, rien ne me paraît pouvoir fixer l'attention sur la myélite aiguë , ni distinguer l'invasion d'une de ces myélites
es formations de nos malades : « Crises de rhumatismes articulaires aigus . Courbature. Rhumatismes articulaires aigus ave
humatismes articulaires aigus. Courbature. Rhumatismes articulaires aigus avec fièvre. Courbature grippale. Rhumatismes art
es aigus avec fièvre. Courbature grippale. Rhumatismes articulaires aigus . Rhumatismes articulaires ; symptômes d'excitat
ntervient à temps, lorsque les lésions d'infiltration de la myélite aiguë ne se sont pas encore organisées, peut enrayer
oïde. (2) G. ETIENNE, Sérothérapie dans deux cas de myélite diffuse aiguë au cours d'une épidémie militaire. Soc. médical
NSEL). Diagnostic pathologique : cachexie, néphrite parenchymateuse aiguë légère et bronchopneumonie du poumon gauche. As
enne et d'après Leyden) a observé un cas d'intoxication mercurielle aiguë (tentative de suicide), d'où a suivi une dysen-
onné de résultats positifs. Un autre cas d'intoxication mercurielle aiguë (par un accident) est publié par Faworski ; une
Malgré qu'il ne s'agisse que de deux cas d'intoxication mercurielle aiguë ayant causé une polynévrite, par suite de la natu
'on peut regarder comme bien établi qu'une intoxication mercurielle aiguë peut avoir comme conséquence une polynévrile et
ic- tions mercurielles, et à la suite de l'intoxication mercurielle aiguë qui a DE LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE OU MERCURI
curielle, car il y avait en même temps une intoxication mercurielle aiguë . Par cette analyse des faits publiés, nous somm
naissance à une polynévrite vraie ; Que l'intoxication mercurielle aiguë peut être la cause d'une po- lynévrite ; Que
Foix, Société de neurologie, 1913. - Il n'est pas jusqu'aux formes aiguës de poliomyélite antérieure de l'adulte qui ne doi
connaissanee, que deux observations où une poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte ait présenté des lésions médullaire
hilitiques limitées de la main, sur des poliomyélites anté- rieures aiguës syphilitiques, nous avions appelé le « syndrome v
73 ans, est bien portante; son père est mort à 63 ans de pneumonie aiguë ; trois frères et une soeur vivent en bonne san
re. Un foyer de ramollissement, une hémorragie, une poliencéphalite aiguë supérieure ou inférieure peuvent arriver à ce r
teints. Ce n'est pas une paralysie consécutive à une po- liomyélite aiguë de l'enfance. Dans ces conditions, elle serait d'
galie ; les perturbations de la thyroïde nous donnent des syndromes aigus ou u chroniques ; la surrénale donne les syndro
urs qui peuvent les amener : trauntatismes et maladies infectieuses aiguës aussi bien que chroniques. Cependant, le clinic
l'écorce elle-même. En avant les bords en sont très abrupts et très aigus . A l'enlèvement des caillots du sang, on a consta
une large zone concentrique, où les globules de sang ont des contours aigus et sont vivement colorés, preuve qu'ils sont de
à un état infectieux cérébral très grave, une méningo-encépllalite aiguë . Les troubles graves, l'hémiplégie et l'aphasie
eigne- ment importants. Dans la plupart des maladies infectieuses aiguës , les hémorragies mé- ningées sont fréquentes. L
s four- nir une certitude complète. Une méningite cérébro-spinale aiguë , débutant brusquement, peut offrir des difficul
a essayé de prouver dans son cas de « leptoméningite hémorragi- que aiguë n à-deux attaques, qu'il s'agissait d'un processu
nil noceri de n'y recourir qu'en cas d'extrême urgence dans l'état aigu des hémorragies méningées. C'est-à-dire, s'il y
t immobile, mais de peu en dehors de la ligne médiane : la voix est aiguë dans sa tonalité, couverte dans le bas, bien qu
ennorragie, ni tuberculose, ni poussées antérieures , de rhumatisme aigu ; aucune intoxication, ni alcoolisme, ni saturnis
ps et durait depuis six mois au moins. Il est évident qu'à la phase aiguë , tant qu'il y a des ecchymoses, des contusions,
rat n'est plus en sûreté. « As-tu un grain de trop ? Ta folie sera aiguë ou à double forme. Y a-t-il, au contraire, une
né- vrite hypertrophique de l'adulte, 377. Etienne (G.). Myélites aiguës épidémiques, 199. FLOOaNOY (IL). Paralysie gé
53 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
nternes des cordons postérieurs s'écartent l'un' de l'autre à angle aigu . En avant, le triangle se confond avec une masse
icale, présentant quelquefois un crochet. Le sommet est tantôt très aigu , tantôt plus ou moins arrondi. La ligne de desc
e ligne de descente immédiate, peu oblique, un sommet plus ou moins aigu et une ligne d'ascension qui rejoint le niveau
ale. Son père a eu de fréquentes attaques de rhumatisme articulaire aigu ; et, dans les dernières années de sa vie, il ne
des douleurs dans le dos, douleurs très vives, survenant par crises aiguës , durant quatre à cinq jours, empêchant le malad
la suite d'exposition au froid et à la pluie, rhumatisme articulaire aigu : toutes les articulations furent enflées succe
les épaules, le dos devinrent raides. Il y eut 60 jours de période aiguë . Pendant la convales- cence le dos s'enraidit d
sa mère ayant disparu depuis longtemps. On ne note pas d'aliection aiguë dans les antécédents personnels. Elle au- rait
e observation présentent des lésions à caractère inflammatoire plus aigu que les hémisphères op- posés sur lesquels, au
ningo-encéphali- ques qui se sont traduites par des phénomènes plus aigus de déficit; cela, pendant que les parties infér
le reste de la médecine. Si nous exceptons, en effet, les psychoses aiguës , les démences paralyti- ques et séniles, l'idio
, toutes les autres formes (sauf certaines périodes transitoires ou aiguës ) comme les psychoses périodiques et circulaires,
ituent les issues défini- tives. La même chose vaut pour la période aiguë des psychoses aiguës qui sont presque toujours
fini- tives. La même chose vaut pour la période aiguë des psychoses aiguës qui sont presque toujours des états de démence
des psychoses aiguës qui sont presque toujours des états de démence aiguë , souvent fiévreux et souvent guérissables et qu
psychopathies (tab. III, IV, V). Psychoses aigües. - Les psychoses aiguës par collapsus, traumatismes, infections, l'amen
s de fièvre, et presque toujours entraînent une décadence somatique aiguë et des troubles de la vie végétative. z - 144 B
pour ce qui regarde leur traitement, dans le tableau des psychoses aiguës . - Quant à l'alcoolisme, on peut soigner suivan
, on peut soigner suivant les méthodes indiquées pour les psychoses aiguës , les formes de délire hallucinatoire alcoolique,
tal pour- les maladies mentales capable de recueillir tous les cas aigus et représentant.un grand élément d'observation
atériels ; il raccourcit la période de convalescence d'une psychose aiguë , il préserve un grand nombre de dé- ments de l'
et chantant les litanies de saint Willibrord, les femmes d'une voix aiguë , les hommes en basse sourde : 256 HENRY MEIGE
le. et une autre spinale. En des cas très rares l'évolution a été aiguë , en d'autres subaiguë, et en d'autres chronique
hémorra- gique de Wernicke, qui pourrait se confondre avec la forme aiguë ,' a un début apoplectique, où elle s'accompagne
oplégique, bulbo-prolubérantielle ou spinale; et par son évolution, aiguë , subaiguë et chronique. 3° Elle peut se diagnos
réalité elle embrassait un espace d'un mois. Lorsque les phénomènes aigus de la maladie eurent passé, la malade fut affec
ailler soient rationnelles dans les nombreux cas d'une marche aussi aiguë du mal. Néanmoins il est incontestable que le tra
e macroscopique ment déjà des lésions très accentuées d'encéphalite aiguë hémorrhagique ; la description minutieuse de ces
série de faisceaux de dimensions très inégales ; (1) L'encéphalite aiguë hémol'1'hagique, Gazette des hôpitaux, 26 juillet
a subi l'évolution chronique fibreuse sans apparence d'inflammation aiguë ou subaiguë. Voyons maintenant comment sont rép
s encéphaliques; les lésions observées sont celles de l'encéphalite aiguë , elles sont dues au processus terminal qui a em-
expii- quéspar l'examen anatomique. A la phase clinique d'évolution aiguë cor- respond la phase anatomique d'irritation o
hémie ; on ne trouve pas de tissu nerveux en voie de ramollissement aigu au sens propre du mot; les corps granuleux font
ant que chez certains malades et en particulier dans l'alcoo- lisme aigu ou subaigu on peut observer des troubles très ana
M. LE DOCTEUR PIERRE MARIE - UN'CAS DE POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE AIGUË DE L'ADULTE AVEC LÉSIONS MÉDULLAIRES EN FOYERS
(de Paris) (d'Edimbourg) L'existence d'une poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte, semblable à celle de l'enfant, est
présenté à l'âge de 23 ans des symptômes de poliomyélite antérieure aiguë , fort semblables ceux de là paralysie infantile
u niveau de la zone radiculaire antérieure. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE AIGUË DE L'ADULTE 439 Les groupes cellulaires postéro
, légère dépression de la zone d'entrée des POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE AIGUË DE L'ADULTE ! , il i 9"-10" dorsale, Les déform
xvn 20 442 2 L8111 ET WILSON TABLEAU 1 POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE AIGUË DE L'ADULTE 443 ÏAHLEAU2 2 444 LÉRI ET WILSON
EN FOYER (A. Léri et S. A. K. Wilson.) POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE AIGUË DE L'ADULTE 445 ' Nous avons cru devoir. les ré
de 30 ans après avoir présenté un syndrome de paralysie ascendante aiguë 7 ans J /2 auparavant. Le début avait été rapid
névrite périphérique. Le redressement opé- POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE AIGUË DR L'ADULTE 14î -À ratoire permit au malade de
orter dans les premiers temps le diagnostic de paralysie ascendante aiguë d'origine probablement polyné- vritique. Le mal
se présenter cliniquement sous la forme de la paralysie ascendante aiguë . Un seul fait, à notre connaissance, peut être
Gehuchten au Congrès de Bruxelles en 1903 : poliomyélite antérieure aiguë chez une jeune fille de 21 ans ayant entraîné e
itable la pos- sibilité chez l'adulte d'une poliomyélite antérieure aiguë avec lésions en foyers primitives absolument se
ment les quelques stigmates psychiques symptoma- tiques de maladies aiguës , fort rares d'ailleurs et très peu connus en mé-
oduites par la carie et la découverte du nerf, devenaient tellement aiguës qu'elles n'étaient plus supportables. Le peintr
atissement du) (2 fig.), parCH. Féré, 79. Poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte avec lésions médullaires en foyers
58. Léri et S. A. K. WiLSOrr. Un cas de po- liomyélite antérieure aiguë de l'adulte avec lésions médullaires en foyers
planche), 189. WILSON ET Léri. Un cas de poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte avec lésions médullaires en foyer (
Neurofibromatose (F. RUDLSIt), XXIX, XXX. Poliomyélite antérieure aiguë de l'adulte avec lésions médullaires en foyer (
54 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
peut se faire rapidement pour abou- tir à la production d'un accès aigu de mélancolie, le plus souvent de forme anxieus
véritable accès vésanique2. Dans d'autres cas, la marche est moins aiguë et l'on assiste à une évolution progressive de
ignalé en pareille circonstance sous le nom de « délire systématisé aigu ». Mais il en est d'autres dans les- quels les
viennent à se multiplier, à s'exagérer d'une façon en quelque sorte aiguë , et nous assistons alors, suivant les cas, à ce
t en voie d'évolution, quand on assiste à une poussée plus ou moins aiguë de l'affection, c'est celle-ci qu'il convient a
VI. Du mode d'action de l'alcool sur l'économie dans l'alcoolisme aigu ; l'alcool comme toxique et comme déshydratant ;
ntiels entre la paralysie asthénique et la polio- encéphalo-myélite aiguë entraine M. Goldflam à localiser la maladie dan
l'excitation maniaque. On aurait pu croire à un accès de para- noïa aigu ou de manie intermittente. La constatation des ly
i avait demandé de longs mois à guérir, une crise de mélan- colie aiguë avec tendance au suicide, qui disparut brusque-
lt, médecin des hôpitaux qui confirme mon diagnostic, de péritonite aiguë , de nature bacillaire très probable. Ce gros or
tions de lourdeur, de pesanteur entrecoupées d'accès plus ou moins aigus . Quelquefois ces paroxysmes aigus manquent PART
ntrecoupées d'accès plus ou moins aigus. Quelquefois ces paroxysmes aigus manquent PARTICULARITÉS CLINIQUES DE LA NÉVRALG
iquement parles acci- dents de la strychnine, du tétanos, du délire aigu , du tabes, de la paralysie générale, Nous conna
tral, espèce de syringomyélie iiifiani2nit- loire. L'inflammation aiguë peut, de par la persistance de l'irritation att
rme de maladies mentales; on l'observe aussi bien dans les maladies aiguës et curables que dans les maladies chroniques et
un délire très actif de persécution survenu au cours d'une néphrite aiguë à laquelle elle a. succombé. Il a vu une autre
ROUS.-Dans la thèse de Maurice Faure il s'agit surtout de néphrites aiguës . 292 ) sociétés savantes. M. 1'nLncL considèr
d. C'est en tout cas une atrophie consécutive à une céphalo-myélite aiguë . 11 n'est d'ailleurs pas impossible de voir des
NOM DE S.-S. KonsAKorr S.-J. POPOF17. Un cas d'ataxie cérébelleuse aiguë d'origine organique, compliquée par l'hystérie.
efois, elle ne pouvait ni manger, ni parler, en raison des douleurs aiguës que soulevaient ces mouvements; actuellement el
'ordinaire elles se présentent sous la forme de crises, de douleurs aiguës en coup de fouet, sans aura cependant, douleurs
nstallée d'une façon plus franche, elle a commencé par des douleurs aiguës coïncidant géné- ralement avec la fin des règle
moins rapide en est l'élément intellectuel P. KERAVAL. 111. Manie aiguë produite par le Toeniaf ? ); par BARCtA CAIIUILLE
d'un jeune homme conduit l'asile de Santiago dans un état de manie aiguë avec agitation extrême. Le traitement ordinaire
des récidives ; nous sommes de cette opinion que toute psy- chose aiguë , sera- ce l'anxentia, la mélancolie, la manie, et
a pas. Ayant affaire ;IL un malade, atteint d'une maladie psychique aiguë pour la première fois, nous ne pouvons pas défi
manie périodique, mais il y a seulement la manie, comme psychose aiguë , donnant des récidives. Ayant fait ces remarque
ui à l'improviste; 408 CLINIQUE MENTALE. 3° Des crises d'angoisse aiguë , dans lesquelles l'anxiété habituelle s'exagère
es types névropathiques, c'est l'angoisse chronique avec paroxysmes aigus . Il s'agit par excellence d'une névrose anxieus
nent. Parfois, cette anxiété grandit et augmente jusqu'à l'angoisse aiguë , survenant par crises, durant lesquelles elle é
façon chro- nique. En même temps apparaissent des crises d'angoisse aiguë , survenant soit la nuit sous forme de réveils a
e la mort imminente. Dès qu'il se trouve seul, l'an- goisse devient aiguë , et il a peur de mourir. Au début de décembre 1
l'impression d'angoisse, en attente anxieuse, en imminence de peur aiguë . Il a des accès de peur à propos de tout : un rie
ans, après avoir souffert « pendant deux ans les douleurs les plus aiguës »2, « au- tant consumé par l'austérité de sa pé
gliger de s'occuper du traitement de jour, par l'alitement, des cas aigus et agités, selon la méthode préco- nisée par Ma
els. Il est remarquable de voir avec quelle promptitude les malades aigus renoncent à toute tentative Archives, 2° série,
Magnan reçoit chaque année plus de 3 000 cas récents. Tous les cas aigus sont traités par le séjour au lit dans des dortoi
'internement dans des chambres d'isolement pour cause d'agita- tion aiguë . 11 n'y a qu'une objection à ce système, c'est qu
aît pas devoir dépasser 25 dans une asiles d'aliénés. 467 salle d' aigus , de malades ou de sujets affaiblis, mais peut all
som- meil, car en obtenant le sommeil on évite bien des symptômes aigus . Les jours de pluie, il y a des malades qui dorme
tteints de psychoses diverses, démence précoce, mélan- colie, manie aiguë , etc; la réaction en question faisait défaut. La
le; dans un petit nombre de cas seulement on peut signaler un début aigu de la maladie ; par exemple, dans 1 cas les idé
e, dans 1 cas les idées obsédantes se dévelop- pèrent d'une manière aiguë après un changement de bonnes con- ditions de l
iennent les alcooliques après la disparition des troubles délirants aigus . « 2° La durée de ce maintien est le plus souve
tait fille unique, elle est morte à trente-huit ans d'une affection aiguë de poitrine. Deux enfants nés avant elle avaien
ns de mariage,- son mari succomba en quelques jours à une affection aiguë de poitrine.. Bien qu'elle l'estimât à tous les
ce qui peut être utile soit pour le traitement habituel des aliénés aigus , soit pour parer aux accidents les plus à crain
ésié et se peuvent développer sur le terrain de multiples processus aigus et chroniques lésant le territoire nucléaire ou
- masculation). Si l'affection somatique chronique passe à l'état aigu , il y a délire ou perte de la connaissance, c'est
é qui n'est pas bien lointain, on enfermait chaque soir les malades aigus ou agités dans des chambres sépa- rées, les aut
it qu'il arrive des malheurs. Il n'en est plus ainsi et les malades aigus ou nouvellement admis, ceux qui ont des idées d
instruites dans leur art ; 2° que les cas récemment admis, les cas aigus , les épileptiques, les agités, les bruyants, les
phinisme. Du mode d'action de 1' sur l'économie dans l'alcoolisme aigu .l'-comme toxique et comme déshydratant, par V
ski, 379. Ataxie. Voir Système nerveux. Un cas cl' - cérébelleuse aiguë d'ori- gine organique, compliquée par l'hysté
- et leur traite- ment, par Menuet Fondei, 394. T.I : VIa, Manie aiguë produite par le . par Barcia Cahuillero, 365.
55 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
Il s'agissait d'un jeune homme âgé de 19 ans, atteint d'otite moyenne aiguë , avec douleurs presque exclusivement rétro-auricu
paroi antéro-externe forme avec la corticale prémastoïdienne un angle aigu ouvert en dehors, occupé par le groupe des cellul
ans, atteint de mastoïdite, développée à la suite d'une otite moyenne aiguë grippale. Le gonflement rétro-auriculaire était l
atistique de Leimer, de Munich, qui a enregistré 97 cas de mastoïdite aiguë . Cette perforation de la table interne ou de la c
évidents d'excès de pression labyrinthique et dans les infiltrations aiguës de l'oreille interne. C'est là une opération da
rencontre la paroi inférieure du conduit, sous un angle d'autant plus aigu que le sujet est plus jeune, et forme ainsi le si
e géométrique de la membrane. De là, la corde remonte, croise à angle aigu , à peu près en son milieu, le repli postérieur et
membrane tympanique est indiquée surtout au cours de l'otite moyenne aiguë , lorsque les fortes douleurs ou la fièvre élevée
du canal de Fallope. On observe le premier mécanisme dans les otites aiguës ; le second, dans les otites suppurées chroniques
le second, dans les otites suppurées chroniques. Dans les affections aiguës , la lésion du nerf réside au niveau de la portion
ites. Sur 72 cas réunis par Hessler, la thrombose compliquait l'otite aiguë 18 fois, l'otite chronique 5i fois. La thrombos
métastases pulmonaires: la seconde se développe au cours d'une otite aiguë sans retentissement du côté de l'apophyse et prod
moyenne et postérieure.................... 1 J Dans les infections aiguës , il le trouve : Sur la fosse cérébelleuse......
achidienne est presque toujours lié à l'évolution d'une otite moyenne aiguë , surtout chez les adolescents. Sur 7 cas réunis p
e, particulièrement vive depuis la dernière nuit. Elle est fixe, très aiguë , et occupe la moitié gauche du crâne et de la fac
ple : chez un malade de Zaufal, au quinzième jour d'une otite moyenne aiguë , on vit apparaître les signes d'une parésie facia
se de Paris, 190.?. Aschkinasi (J.), Les otites moyennes purulentes aiguës en rapport avec les maladies infectieuses. Thèse
(H.), Contribution à l'étude de la bactériologie des otites moyennes aiguës . Thèse de Paris, 1901. Cozzolino (V.), Contribu
omadaire, N° 48, 1901. Lannois et Corneloup, Abcès sous-dure-mérien aigu ouvert spontanément au niveau de ioccipital. Revu
ne et leur valeur. Thèse de Lyon, i8g4-Lemariey (A.), L'otite moyenne aiguë , chez les scléreux. Thèse de Paris, 1896, Lermo
n (L.), Règles opératoires pour la guérison de la méningite purulente aiguë généralisée. Presse Médicale. Octobre [904. — A
. C'est l'intervention qui convient dans les rétentions mastoïdiennes aiguës . Figure 3. — Segment postérieur du temporal de
56 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
ques. Ces deux séries de cas permettent de distinguer un puérilisme aigu et un puérilisme chronique. A cette dernière cl
e ayant le nez crochu, le col long, les yeux étincelants, une queue aiguë , des pieds fort agiles. Il remplit la chambre de
dont la des- cription nous fait penser à un rhumatisme articulaire aigu . Presque toutes les articulations furent attein
i soeurs. A l'âge de 8 ans il est atteint de rhumatisme articulaire aigu , pendant quel- ques années en hiver son rhumati
ssez fréquemment de maux de tête. Son mari est mort d'une affection aiguë qui évolua en 18 jours. Ses deux enfants, un fi
ommunication interventriculaire. Souffle systolique à timbre plus aigu au niveau du 2e espace intercostal gau- che, in
de 20, 21 et 22 ans, attaques successives de rhumatisme articulaire aigu accompagnées de fièvre, mais qui ne semblent pas
TORINO. SERVICE DU PROFESSEUR GRAZIADEI. LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES SOUS LA DÉPENDANCE DU SYSTÈME NER
é la descrip- tion de cette forme morbide : l'oedème circonscrit et aigu delà peau. Se- lon son auteur elle serait carac
ie unique qui, dans la maladie de Quinke, se présente sous sa forme aiguë , et dans la forme décrite par Debove se présent
e qu'on est obligé de rechercher une pathogénie identique, l'oedème aigu est de son côté lié d'une telle façon à l'urticai
gauche, dont elle n'est pas encore guérie. LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 205 Maladie actuelle. J'ai vu la
ois, nous n'avons pu porter la lumière. Ni LES 06DÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 207 froid, ni fatigue, ni paludis
bservation VI Masson & Cie, Éditeurs LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 209 Et les mêmes demandes peuvent
N CAS DE DÉFORMATION THORACIQUE PRÉCOCE CONSÉCUTIVE A UNE PLEURÉSIE AIGUË , par J. MATIGNON, Médecin-major en mission
déformation thoracique, précoce, survenu à la suite d'une pleurésie aiguë à rechute, et qui attira l'attention du malade,
en présence d'une autre personne, pendant qu'elles prennent la note aiguë , l'octave avec le médius, pendant qu'elles s'él
e l'aorte une bande rougeâtre de 2 centimètres de largeur d'aortite aiguë . Au niveau de la mitrale., même aspect inflammato
de ses fibres Moelle. Au niveau de la moelle cervicale : méningite aiguë avec périphlé- bite nodulaire. Les artères à ce
ue du noyau, achroma- tose totale ou partielle. C'est de la myélite aiguë parenchymateuse généralisée avec prédominance s
tée à l'excès, mais qui réapparaît entière dans les toxi-infections aiguës . Le même agent qui lentement fait une cirrhose
TORINO. SERVICE DU PROFESSEUR GRAZIADEI. LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES SOUS LA DÉPENDANCE DU SYSTÈME NER
s présenta au déclin d'une fièvre typhoïde des oedèmes circonscrits aigus et passagers : quelques jours après, survint une
enseignés sur la nature des phénomènes hystériques pour LES OEDÈMES AIGUS ET CHRONIQUES n7 Nous pouvons pourtant affirmer
été alors invoqué. Tandis que dans l'urti- LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 259 caire on admet toujours une i
is reumatica, expression d'une intoxication ou bien d'une infection aiguë , /7choc/ ! (39), Couty (40)... ont relaté des obs
aussi que « la coïncidence des urticaires familiales et de l'oedème aigu familial dans une même famille » a été observée
Et cela avec des modalités différentes : LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 261 Chez certains sujets l'oedème
t démontrée par le fait que la forme chronique peut suivre l'oedème aigu sans intervalle de temps, mais encore LES OEDÈM
aigu sans intervalle de temps, mais encore LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 263 par l'observation que les deu
nt dus aux lésions d'un système différent. LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CDRONIQUES 265 A ces données étiologiques, n
es manifes- tations cutanées. Parfois ces épanchements articulaires aigus et passagers peuvent se présenter indépendants
et le facial du même côté » dans laquelle LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 267 l'auteur observa des poussées
e; les accès de migraine accompagnent souvent les poussées d'oedème aigu , et les éruptions d'urticaire. Meige enfin (54)
té l'observation d'une migraineuse, la- quelle présenta des oedèmes aigus de la peau, et plus tard un trophoedème permane
e vasodilatation suivie par une transsuda- LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CRIIONIQUES 269 tion de plasma avec exode de
bre passager entre la circulation du sang, LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 273 et la circulation lymphatique
l pouvait croire que ce dernier fût la conséquence d'une dystrophie aiguë des centres trophiques conjonctifs ? Pas sûreme
est nécessaire de songer à une pathogénie différente pour la forme aiguë et pour la forme chronique de la même maladie.
s locales et générales, tout en ayant tou- LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 275 jours le même mécanisme anato
es veineux à démarche chronique s'accompa- LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 277 i gnent toujours de lésions s
es et persistantes de l'éléphantiasis ». LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 279 permet à présent de reconnaît
nous pouvons observer le pied succu- lent (Crocq) et l'épanchement aigu ou chronique du genou que nous savons apparteni
rts très intimes de voisinage ou de commu- LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 281 nauté avec les tymphosécréteu
. Nouv. Icon. de la Salp., 1901, p. 473. LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 283 63. IIEHTOGHE. Contr. à l'ét.
rapidement au repos et au régime, et nous attendons que cette crise aiguë soit passée, et qu'il ait été mis au régime nor
et sans consis- tance et la fillette mourut à 15 ans d'ostéomyélite aiguë . Ces tares peuvent se remarquer d'ailleurs parm
r, au point de vue de la répercussion des maladies cérébro-spinales aiguës sur l'en- semble de l'organisme foetal. L'att
le rejet de l'encéphale en arrière détermine un coude sous un angle aigu ou, au plus, égal à un droit; ce coude peut êtr
ue, d'après ses indications, la maladie aurait eu un début brusque, aigu , douloureux, inflammatoire, localisé dans les a
des quatre membres, ainsi qu'on le voit dans les cas de rhumatisme aigu polarticulaire. Les douleurs ont persisté trois m
nte, qu'outre ces douleurs continuelles, il ressentait des douleurs aiguës traversant les côtes et la poitrine. Une semain
pas douloureux à la palpation, mais le malade se plaint de douleurs aiguës dans les membres, surtout dans les membres supéri
ue, ni au toucher. Aucune trace également d'adénite cervicale, soit aiguë , soit chro- nique. Si l'on vient à imprimer d
de Pott, tantôt avec un « tour de rein », tantôt avec une arthrite aiguë rhumatismale, etc. Et peut-être cette variabilité
s aux supérieurs, consistent en des in- curvations bruques, à angle aigu , symétriques. Ces coudures siègent le plus souv
d'une soudure sphéno-basilaire précoce, l'angle sphénoïdal est très aigu et peut arriver à 114° ou 117° (Kaufmann) au li
e et de l'épiphyse, exceptionnellement dans la diaphyse. Elles sont aiguës et ne pré- sentent pas les courbes grand arc ca
al, et les fosses cérébel- leuses profondes. L'angle sphénoïdal est aigu (cyphose). Vn par sa face inférieure, le crïtne
évoluer pro- gressivement en l'absence de phénomènes inflammatoires aigus et présenter également une élection pour tel ou
de l'un deux. Chez cette dernière il exis- tait une dégénérescence aiguë du foie et des lésions rénales de nature toxiqu
yphilis récente de la mère ou d'altérations graves et plus ou moins aiguës du foie et du rein de la mère peuvent-elles pro
a face articulaire pour le scaphoïde qui est remplacée par un angle aigu . Le grand os présente une forme normale, mais i
on. Tandis que la présence normale du pisiforme qui serait ces très aiguës , même avec les appareils prothétiques. Je crois n
bosses qui se placent sur les exostoses ont-elles l'extrémité plus aiguë que celles qui se placent sur les enchondromes
115. Déformation thoracique précoce consécu- tive aune pleurésie aiguë (1 pl. par MATIGNON, 210. Déformations sénile
eints de -) (1 fig., 1 pl.), par Nolcn, 426. OEdèmes circonscrits aigus et chroniques sous la dépendance du système ner
-) (3 tig., 1 pl.), par GRUiXER et BLIITOLOTTI, 159. Pleurésie aiguë , déformation thoracique précoce (1 pl.), par Mn
de déformation thora- cique préeoce consécutive à une pleuré- sie aiguë (1 pl.), 210. 11 : IGE (Henry). Un vitrail de l
tose multi- ples (6 pl.), 621. Vallonna. Les oedèmes circonscrits aigus et chroniques sous la dépendance du système n
XVH. Déformation thoracique précoce consécu- tive à une pleurésie aiguë (Matignon), XXIX. Déformations séniles du squ
57 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et mélancoliques intermittents à type irrégulier, etc.). les accès aigus d'cx- OBS.3T. Fie. 20. 0. D. OBS. 37. Fie. 21
permis, en outre, d'annoncer le début, ou la disparition d'un accès aigu . BIBLIOGRAPHIE AxENFELn (D.)Méthode simple de
supérieure de l'intestin. C'est ce qui se passe dans la mélancolie aiguë : il reste à rechercher si ces processus de pu-
l Science, Janvier 1904) Observation intéressante d'un cas de manie aiguë , datant de 9 ans, chez une femme de 25 ans, et
.M. C. V - Sur l'emploi expérimental des antisérums dans la folie aiguë ; par Lewis C. BrtucE (The Journal of Mental Scien
li. En faisant ces essais on a obéi à l'idée que beaucoup de folies aiguës avaient une origine bactérienne. Il faut noter
sultat de ses constata- tions : 1° dans l'insomnie de la mélancolie aiguë , il est le meilleur des hypnotiques et donne un
t non de la lassitude. 2° Pour maitriser l'excitation dans la manie aiguë l'auteur donne le véronal à la dose de 0,90 centi
n musculaire des extrémités a été notée dans deux cas de manie très aiguë après l'administration de 1 gr. 50 de véronal e
tive. R. DE nIUSGItAVE-CLAY. III. Note clinique sur un cas de manie aiguë pour servir à l'histoire de la manière dont les
anie aiguë pour servir à l'histoire de la manière dont les maladies aiguës affectent l'état mental ; par LEwis BRUCE. (The
il 1904.) L'observation que publie l'auteur montre qu'une maladie aiguë intercurrente (dans l'espèce une diarrhée dysenté
t indiquer que le point le plus important du traitement de la manie aiguë . consiste à provoquer une leucocytose polymorph
;1RAVE Ct.AV. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 65 VI. Un cas de folie aiguë hallucinatoire d'origine trauma- tique ; par Th
précéderait le trouble affectif. 3° En admettant l'existence de cas aigus dans lesquels les délu- sions paraissent organi
ïtre que cer- tains cas de paranoïa débutent par un désordre mental aigu fonc- tionnel de la nature de la mélancolie ou
u- sion mentale. 5° Sauf cette exception, la folie confusionnelle aiguë et les états délirants aigus doivent être consi
tte exception, la folie confusionnelle aiguë et les états délirants aigus doivent être considérés étiologiquement et clini-
ions fixes » doit être appliquée aux états consécutifs à des formes aiguës de folie dans lesquels les délusions persistant
série d'attaques qui se terminèrent par une crise violente de manie aiguë qui dura six semaines sans aucune attaque : dep
ettement séparé du traitement des cas chroniques, et où les malades aigus seront traités dans les hôpitaux généraux, comme
es, les délusions chez les sujets âgés et l'apparition de symptômes aigus chez quelques imbéciles et épileptiques. R. DE
alité, cette circulaire devançait les temps, car une séparation des aigus et des chroniques, dans l'état ac- tuel de nos
a plus à apprendre au contact des chroniques que des curables. Les aigus , en effet, sont sous le coup d'accidents somati
es méningites tuberculeuses, de la polynucléose dans les méningites aiguës . Les hémorragies ménin- gées donnent à la ponct
faut pas perdre de vue la possibilité d'une syncope dans la période aiguë ; 5° une augmen- tation de poids très accentuée
it de nouveau; il semble donc que, dès la disparition des symptômes aigus , on devrait lui donner son exeat. Au contraire,
de cause aussi hien avec la pellagre chronique qu'avec la pellagre aiguë ..1. Si : ci.as. XVI. - Recherches histologiques
de la dépression physique et morale. -* L'apparition des phénomènes aigus (conceptions déli- rantes, hallucinations, anxi
es traits fondamentaux de la démence précoce au milieu des troubles aigus fortement dissem- blables les uns des autres.
secon- daires revotent l'aspect clinique de toutes les psychoses aiguës . Ainsi, on rencontre au stade initial de la démen
on mentale. 2 cas ! démence d'emblée. ! cas : délire hallucinatoire aigu . L'analyse des 20 observations publiées dans lu
ie, la dépression et la douleur morale s'installent d'une fa- çon aiguë il la suite d'un choc psychique. Dans la de- me
es idées de négation et de transfor- mation, elles ont des épisodes aigus au cours de l'évolu- tion du processus morbide
cial,ce symptôme nous a paru assez fréquent dans les états toxiques aigus (agitation, stupeur etc). Quant ù la stupeur
us l'influence de la survenance de lésions' viscérales unilatérales aiguës : les troubles de la sensibilité, passagers ou
Lll - Les séquelles psychiques des méningites cérébro-spinales [ aiguës ; par SmNTON et Voisin. (L'Encéphale, 1906, ni3.)
ndant des attaques Jacksoniennes. , Dans beaucoup de cas de folie aiguë à forme confusionnelle, on 428 REVUE DE PATHOLO
récoce et présentant à leur période initiale des symptômes de folie aiguë . Plusieurs de ces cas paraissent répondre à la
ent en dimi- nuant ; de 35 à 40 ans on constate les formes les plus aiguës , et après ce dernier âge, la durée augmente, mo
ain qu'elle active d'une manière très appréciable la marche des cas aigus , surtout chez les adolescents : il est donc néc
es, celles de l'écorce, diffuses, de nature nécrotique, d'évolution aiguë .relèvent de l'imprégnation toxique du cortex par
s céré- braux latents. Aux lésions corticales, rapides et massives, aiguës , correspond l'explosion des symptômes manifeste
on des symptômes manifestes d'une méningo- encéphalopathie diffuse, aiguë , dont le'tableau était celui d'une méningite tu
au mo- ment de l'entrée, c'est-à-dire dans les états plus ou moins aigus ; mais il faut se souvenir que même à l'état sa
si l'on emploie les globules rouges d'un malade at- teint de manie aiguë comme réactif du sérum d'un malade atteint de f
sentations) 11%1.palll Camus et SEZARY : 1° Poliomyélite antérieure aiguë de . l'adolescence à topographie radiculaire ;
eux congénitaux. LE- Tonne et SCHMIERGELD : Poliomyélite antérieure aiguë de l'ado- lescence à type d'hémiplégie spinale
ialiste.llier matin, à9 heures.au cours d'une crise subite de folie aiguë , M. Blondel s'arma d'un revolver de fort calibre
1902) sur le peuple anglais ; par Stewarl, p. 1 10. Encéphalite aiguë chez les en- fants ; par Comby, p. 137. - ave
par Ilamel et Wahl, p. 148. Manie. Note clinique sur un cas de aiguë pour servir à l'his- toire de la manière dont l
aiguë pour servir à l'his- toire de la manière dont les maladies aiguës affectent l'état mental ; par Lewis Bruce, p.6
. Méningites. Les séquelles psy- chiques des - cérébro-spinales aiguës ; par Sainton et Voisin, p. 416. l\IÉ1'ÕINGO-
58 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
ues à celles qu'on trouve dans le liquide provenant des arthrites aiguës , des arthrites rhumatismales par exemple. Le li
membre en les explorant. C'est un fait anomal dans les arthrites aiguës . Nous pouvons l'expliquer par une comparaison.
Nous avons observé nombre de fois des sujets atteints de rhumatisme aigu dont les genoux étaient tuméfiés, distendus par
s il paraît bien. Il est rare qu'au Japon on voie survenir la forme aiguë ou pernicieuse; immédiatement après la période
t une termi- naison fatale. Quand la forme sèche affecte une marche aiguë , elle se caractérise, au contraire, par une dim
seront appelés à observer ces mala- dies. Ch. Féré. Il. Du délire aigu ; par le Dr MARTEL BRIAND. Thèse de Paris, 1881.
arée, la plus intense quoique l'une des plus courtes, est le délire aigu . Ce n'est pas un écart, une fausse route, c'est
intime perce d'un bout du travail à l'autre, considère le délire aigu comme une entité morbide susceptible d'être nette
s modifications du liquide ! sanguin la cause de la gravité du délire aigu . L'aspect typhiquc de ces malades semble, en ef
e puerpérale, l'état de mal épileptique achève de dégager le délire aigu de ses similaires, et d'en parfaire l'individua
omme, on doit considérer ce travail comme une monographie du délire aigu à laquelle l'auteur a apporté le con- ,tingent
l 1881.) .) BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE llnt ? ru (11.). - Du délire aigu . Vol. in-8" de 102 pages, prix : 3 fr. Paris, 1
le résumé, fait par l'auteur lui-même. Après une attaque cérébrale aiguë , impossibilité absolue de lire les mots écrits
là une véritable convalescence; comme à la suite 'd'une affection aiguë . - 1 1 ·.h Il y eut une faiblesse un peu plus m
- mettent pas de supposer cependant l'antériorité d'une affection aiguë . Il faut mentionner la bilatéralité du processus
yphilis; 1'auteur rappelle l'existence de l'endartérite oblitérante aiguë ,1 portant'hon seulement sur les- artères et les
ur celle-ci, sans cause appréciable ? s'était- greffée une" poussée aiguë purulente de l'écorce cérébrale, expliquant les m
uent; dailutte.npour , Fexis tence0 devient,, de ? plus, en .plus s aiguë ; d'où l'augmentation et l'excès^des^appel^faits à
rrj ? I .j. nimiM^», .m,, , , ,, vl ti ( Vj INFLUENCE DES maladies' aiguës SUR la genèse DES maladies - I II MENTALES ; ;'
s .une, action thera- - peutique aussi fidèle, (deux cas de démence aiguë et de paralysie ,(générale.de longue, dûrée2mal
a déterminée, a Il, l'hémi-sp." cere ra lâ transforme 1 évolution aiguë de la folie'systématique"en pro- St h REVUE D
ytly ,1 , .<'I,IJJt i --viot (i-t[(.p 3J,, i-r b IX.1- Du délire aigu ;- par 1 le prof.1' FùRSTNER'(d'Heidelberg) : ? o
lïépernicieuse"le,professeur, Fürstner conclut à l'entité du délire aigu , mais, comme syndrome.- lui 11-i --Il tLi )il -
érie des communi- cations par la lecture d'un mémoire sur le Délire aigu '. " M. Jolly présente un travail sur la Prévoy
nant les altérations musculaires rencontrées par lui dans le délire aigu . M. SCHULE communique une Etude sur le traiteme
el il avait publié une Note sur un cas de méningite cérébro-spinalc aiguë , une revue critique sur la thermométrie cérébra
Evrard ; ;` 11L1 D Philippe RE est nommé à ce poste.) aï Alcoolisme aigu simulant l'hydrophodie. Etant donné la fré- .qu
iques (marche de la paralysie générale chez les), 304. Alcoolisme aigu simulant l'hydro- phobie. Aliénés (de l'emplo
nérescence, des races humai- nes, 136. W<t i. - -A /"il Délire aigu , par llLaBriand,' 144;- par Furstnei,, 273. 4 ?
Folié (à deux), par Morandon de eMontheil; 198 ; (Systématique aiguë primitive) par Buch, 271. ', . i ' -i- Galvan
talés), `261. ? r Maladies'mentales (influence des) .^maladies . aiguës sur les 263. *Ma) formations dans les mala- d
59 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
ments morbides considérés comme signes pronostiques dans les maladies aiguës : ainsi, pour Rœderer, les bâillements survenant
A la mère : Votre enfant a-t-elle souffert de rhumatisme articulaire aigu ; c'est-à-dire d'un rhumatisme articulaire avec g
Policlinique du Mardi 27 Novembre 1888 SIXIÈME LEÇON 1° Chorée aiguë grave chez un jeune homme de 18 ans. — Antécédent
cédents nerveux héréditaires très accentués. — Rhumatisme articulaire aigu dans les antécédents personnels. 2° « Secousses
e. Messieurs, Je vais faire placer sous vos yeux un cas de chorée aiguë grave, menaçant au premier chef au point de vue d
tat chronique (chorée chronique) soit qu'elle conduise, dans la forme aiguë , plus ou moins rapidement et sans le concours d'u
ortance. C'est à savoir que chez l'adolescent et l'adulte, la cho-rée aiguë peut par elle-même, exceptionnellement il est vra
quer à rechercher maintenant si, étant donné l'existence de la chorée aiguë chez un adulte, il n'est pas certaines circonstan
mment M. le Dr E. Powell, de Nottingham, décrivait deux cas de chorée aiguë Il n'en est certainement pas de même de l'influ
r 1888, il a souffert de plusieurs attaques de rhumatisme articulaire aigu de moyenne intensité durant chaque fois de huit à
ous faisais part mardi dernier, notre pauvre malade atteint de chorée aiguë a succombé dans la nuit du 27 au 28 novembre, c'e
e que cette jeune fille n'a jamais souffert de rhumatisme articulaire aigu . Voilà donc un cas fort banal incontestablement
on ne l'avait jusqu'ici supposé. Sans doute le rhumatisme articulaire aigu figure souvent dans l'arbre généalogique des chor
e d'étude. !.. Synonymes : Téphromyélite ou Poliomyélite antérieure aiguë . — Cornual myelitis, etc. Défait, dans un cas d
t d'ailleurs toute la symptomatologie de la téphro-myélite antérieure aiguë , — a disparu au bout de quatre ou cinq jours sans
s l'âge de 60 ans ; un accès de mélancolie à l'occasion d'une maladie aiguë . » Sa femme issue d'une famille goutteuse est
; elle percevait seulement un bourdonnement continu et un sifflement aigu qui s'est affaibli en même temps que l'ouïe tenda
ressenties pour la première fois il y a cinq ans; elles étaient très aiguës , c'étaient des coups de poignard. Dans ces dernie
t par le pied, tandis que sa tête tombait en arrière. Les sifflements aigus dans l'oreille gauche les nausées,non suivies cep
la même pour chaque individu, et survenant à la suite d'un sifflement aigu ressenti dans une oreille où l'ouïe est obnubilée
rès en même temps que survenait une attaque de rhumatisme articulaire aigu d'une certaine gravité. Les palpitations, bient
i se noyait ; il s'en est suivi une attaque de rhumatisme articulaire aigu qui l'a tenu au lit pendant six semaines ; d'aill
açon, 13e leçon, p. 285, sq. Très chargés. Rhumatisme articulaire aigu . — Esprit faible. Chute d'un échafaudage (haute
suivant l'expression habituelle. Ces douleurs sont des plus pénibles, aiguës , atroces même en quelques cas. Mais elles se prod
'ébranlement physique ; ou encore dans la convalescence d'une maladie aiguë qui a profondément débilité l'organisme, d'une fi
tion sur Sainte-Anne avec un certificat portant : « atteinte de manie aiguë , elle trouble lé repos des autres malades. » El
z un sujet qui, dans l'enfance, avait été frappé de paralysie spinale aiguë , affection dont il porte encore les reliquats. De
es régions de la moelle épinière, les vestiges de la myélite centrale aiguë , cause de tousles désordres. Ils se présenteraien
n'est pas aussi démontré. On sait bien que dans la paralysie spinale aiguë de l'enfance il n'y a pas, à proprement parler, d
la vie. On comprend d'ailleurs que le processus de la téphro-myélite aiguë ne puisse plus se reproduire jamais, au moins sur
s, a-t-elle une relation quelconque avec la tephro-myélite antérieure aiguë qu'il a subie dans l'enfance, à l'âge de deux ans
t qu'elle ne se reproduit pas sous forme de tephro-myélite antérieure aiguë . Mais, par contre, chez les sujets qui portent en
ns la maladie d'enfance, la lésion évolue constamment suivant le mode aigu , tandis que c'est le mode chronique qu'elle affec
quelques accidents spinaux consécutifs à la tephromyélite antérieure aiguë , Thèse de Paris,1888, 11 paraît bien difficile,
ielles des cornes antérieures que laisse après elle la tephro-myélite aiguë de l'enfance, représentaient des foyers mal étein
ique, comme il l'avait été autrefois dans la tephromyélite antérieure aiguë , le premier siège du travail morbide (1). C'est a
ontracter successivement, dans l'enfance, la tephromyélite antérieure aiguë , puis dans un âge plus ou moins avancé, la tephro
provocatrices mettraient en jeu, tantôt sous la forme d'un processus aigu , tantôt sous celle d'un processus chronique, suiv
ous considérons ici et parmi lesquels figure notre malade, la myélite aiguë de l'enfance, et la myopathie progressive survenu
s sans crises. Lui, a été autrefois atteint de rhumatisme articulaire aigu . Cinq ans avant l'époque où il a été observé, la
se développe rapidement, si la lésion spinale évolue suivant le mode aigu (paralysie spinale infantile), ou au contraire, d
nfectieuses, telles que la fièvre typhoïde, le rhumatisme articulaire aigu , la 1. Voir dans le « Montpellier médical » les
flexion à angle droit des jambes sur les cuisses et non plus à angle aigu comme autrefois persistait encore. Quelle était d
ncore à l'hôpital, en attendant la disparition d'une poussée d'eczéma aigu au cuir chevelu, la guérison s'est maintenue comp
néalogique (Sciatique, Neurasthénie et Hystérie) ... 35 — — (Chorée aiguë grave)........... 117 — — (Chorée de Sydenham )
Sensibilité) . 97 Fig. 23 — — (Champ visuel) 98 Fig. 24. — Chorée aiguë grave (Tracé de la température)..... 107 Fig. 2
...... 122 Fig. 28 — — (Champ visuel)...... 124 Fig. 29. — Chorée aiguë grave (Lésions cardiaques) ....... 128 Fig. 30,
— Paralysie faciale périphérique ... 100 SIXIÈME LEÇON 1°. Chorée aiguë grave chez un jeune homme de 18 ans. Antécédents
técédents nerveux héréditaires très accentués. Rhumatisme articulaire aigu dans les antécédents personnels 103 2°. « Secou
60 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
outte et ne se rencontre jamais dans le rhu¬matisme articulaire, soit aigu , soit chronique. Dans les conférences qui suive
tte, étudiant à part les carac¬tères de la diathèse urique, la goutte aiguë , c'est-à-dire l'accès de goutte, la goutte chroni
onnelles au point de vue anatomique, étudie le rhumatisme articulaire aigu dans ses rap¬ports avec le rhumatisme articulaire
la goutte, les af~ fections viscérales dans le rhumatisme articulaire aigu et chro¬nique, la symptomatologie de cette derniè
après, nous sommes en présence des signes d'une inflammation franche aiguë du tissu pulmonaire. Mais la lésion continue sa m
ue l'abcès idiopathique pulmonaire succédant à l'inflammation franche aiguë . Du reste, nous aurions voulu, pour ce dernier, e
re. II. CYLINDRE TOURNANT SUR UN PIVOT. Une tige de fer longue et aiguë sert de support au cylindre tournant. Le cylind
gle droit sur la plume, longue de 12 millimètres, et dont l'extrémité aiguë enlève le carbone avec netteté et précision. B.
e. De ce nombre sont le mémoire de M. Bouchut sur la leucocythé-mie aiguë dans la résorption diphlhéritique; les recherches
ndre avecjhne forme d'endocardite ulcéreuse1 à symptômes fran¬chement aigus et très-manifestes ; il rattache à cette endocard
é du travail de M. Ollivier réside dans l'étude d'une endocardite sub¬ aiguë passant souvent à l'état chronique et ne fourniss
n procède par poussées, et, dans ses recrudescences, le mal redevient aigu , envahit les muqueuses du vagin et du rectum et p
du côté de l'intelligence. C'est à la suite d'une série de poussées aiguës que l'on voit arriver l'épaississement du derme d
il retomba dans la même situation que précédem¬ment. Dès que l'état aigu fut apaisé, que les croûtes furent tombées et que
fréquent, dans les services d'hôpitaux, d'observer des inflamma¬tions aiguës des gaines des fléchisseurs, il est très-rare au
des oreillettes empiètent sur la systole. Se terminant par une pointe aiguë et unique, l'impulsion du cœur gau¬che dominant t
onstan¬ciés. L'histoire clinique du catarrhe de l'oreille (catarrhe aigu , catar¬rhe chronique, catarrhe purulent) n'occupe
ducteurs du service qu'ils leur auront rendu. » G. Peltier. Angines aiguës ou chroniques : origine, nature, traitement, par
Adrien Detahaye; 2 fr. On ne peut nier que la question des angines aiguës ou malignes ne possède une gravité exceptionnelle
s peuvent résumer la première partie de ce travail : I. Les angines aiguës ou graves, autrement dites malignes (maux de gorg
e la base de la langue, soit de l'isthme du gosier. II. Les angines aiguës ou graves sont des inflammations déter¬minées par
res. III. Les meilleurs moyens de guérir et de prévenir les angines aiguës ou graves sont ceux qui provoquent l'expulsion de
e mal est de cause externe ou interne. Si elle est interne, elle sera aiguë ou chronique. Enfin, dans le cas où l'affection e
s pustuleuses, l'urti¬caire, le zona) ; b. les eschares, le décubitus aigu ;c.les arthropathies ; ri.leslésions viscérales (
rs les signes d'une péritonite avec épanchement léger; dès que l'état aigu cessa son cours, le docteur Gastanet pratiqua deu
Aii.ante contre le tœnia, 112. Alcoolisme chronique avec accès sub¬ aigu , par Bouchereau et Magnan, 41. Anencépiialie, p
de l'oreille, par A. de Traeltsch (anal. G. Peltier), 164. — Angines aiguës ou chroniques, etc., par Moura (anal. G. Peltier)
61 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. rage un mois après la morsure, et morte en trois jours. Myélite aiguë ascendante. Diapédèse et dissémination excessive
inologiques en matière de psychiatrie. Dans la folie systé- matique aiguë hallucinatoire, des auteurs allemands, M. Wille
asthme chronique cesse chez un imbécile, lorsque éclate une attaque aiguë de folie, pour reparaitre quand celle-ci est pa
ux de ces cas la folie se présentait sous la forme de la mélancolie aiguë ; dans un autre, il s'agissait de manie aiguë :
orme de la mélancolie aiguë ; dans un autre, il s'agissait de manie aiguë : dans les quatre autres cas, on avait affaire
tions mon- tales chroniques de dégénérescence plutôt qu'à des étals aigus . L'auteur rappelle que des faits analogues ont
la convalescence de la fièvre typhoïde. 1 stupide, suite de délire aigu de 18 ans, .malade depuis 1S mois, qui guérit p
vre typhoïde. 1 stupide, suite de folie systématique hallucinatoire aiguë , a la période do désordre, avec incohérence dan
le a vu la fièvre typhoïde déterminer une rémission dans la démence aiguë accompagnée de grande excitation. A Illenau, le
130 'sociétés savantes. cohérence dans les idées, hallucinatoire aigu , et finissent à la dé- mence. La forme secondai
graduellement à la phase du désordre dans les idées hallucinatoire aigu . L'étiologie comporte : dans la forme primitive
rale (intoxication, auto- intoxication, affection fébrile, septique aiguë , chronique, etc.), ou bien, soit à une lésion c
rable dans les dou- leurs lancinantes après un état de fièvre assez aigu que la malade eut à supporter pendant son séjou
u cerveau. Dans le fait, la sensation auditive est quelquefois si aiguë que le malade est susceptible de recevoir l'im-
ptôme pendant la vie. Le tableau clinique était celui d'une myélite aiguë et transverse. Des masses caséeuses remplissaie
eur signale encore un cas du même ordre rap- pelant la poliomyélite aiguë . P. K. Vt.DE L'IiY'I'ÉIto-$P1LEP81E chez LES ga
s locales se montra évidente. Observation I. Mégalomanie avec manie aiguë furibonde, état congestif, parésie hémifaciale.
ongestifs se tra- duisant par des accidents psychiques et physiques aigus , il y a lieu d'instituer un traitement contre c
e cette question de la paranoia qui aujourd'hui embrasse des formes aiguës , alors que la folie systématique typique avait
cinatoire périodique, manie ou mé- lancolie périodique, et paranoia aiguë ne sont pas synonymes. Pour qu'il y ait paranoi
ans les idées d'origine hallucinatoire et revêtant la forme morbide aiguë , entité morbide qui se prolonge, traîne en long
la psychose se transforme brutalement en un appareil symptomatique aigu , qui guérit; simultanément, diminution et guéri
upart des auteurs se sont contentés d'étudier les états déli- rants aigus et graves des alcoolique ? , sous le nom de delir
essants : 1° l'hérédité, 20 les signes et lésions de l'alcoo- lisme aigu et chronique. Quelques pages eussent suffi pour l
la comparaison avec notre cas, nous arrêter qu'à un cas d'ataxie aiguë après la fièvre intermittente, décrit par Kaher
dans la parole ; nystagmus. Enfin, dans ce cas, il y avait début aigu (deux jours) et la maladie se termina en dix jour
s de tabes dans lesquels le commencement de la maladie a été très aigu et dont la marche a été assez rapide. Ce qui po
cas de ce genre le nom de i)8etedo-labes ', d'autres celui d'ataxie aiguë , etc. Eu nous servant d'un travail très intéres
puis- que notre malade est vivant. Secondement, le développement aigu . Mais d'abord, M. Leval-Picquechef admet même u
val-Picquechef admet même un délai de trois ans comme développement aigu et de plus, il est lui-même troublé par l'exist
re. On connaît parfaitement dans la phréniatrie une espèce de manie aiguë qui se présente sous forme d'un accès caractéri
ns son accident de novembre 1874. On avait là un tableau de manie aiguë des plus caractéristiques ; en effet, le malade
iser, de manière à ressembler alors à un rhumatisme arti- culaire aigu . Elles sont ou non accompagnées de gon- flement
ations de la substance blanche sont les mêmes que dans les myélites aiguës , subaiguës ou chroniques. Quoique les capillair
re si on sépare l'encéphale de la moelle (Svvadowsky). La myélite aiguë d'origine toxique. Le professeur Popoff a démon
ré que l'arsenic, le plomb, le mercure, dans les cas d'intoxication aiguë , provoquent dans cet organe des altéra- tions i
nt être considérées comme analogues à celles de la myélite centrale aiguë . Dans l'intoxication chronique, la lésion empiè
ue, la lésion empiète sur la substance blanche. Dans l'intoxication aiguë , les nerfs périphériques n'offrent pas d'al- té
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 467 Un cas de paralysie ascendante aiguë ( ? ). De l'observation précédente, on peut rap
sticerques. Revue de Médecine, 1886. Un cas de paralysie ascendanle aiguë de,Landry (sans au- topsie). Arc/fM'esKouaMsA'y
f. Des lésions de la moelle épinière dans l'intoxication arsenicale aiguë . Rct'tte de Médecine, n° 2'r, 1887. De la dégén
e guérie par sup- pression brusque, par Christian, 119. Myélite aiguë d'origine toxique, 463. Nerfs crâniens (paralys
ar Auerbach, 304. Paralysie alcoolique, 463. Paralysie ascendante aiguë , 467 : suite de coqueluche, par Môbius, 289.
62 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
mme la psycho-poly- névrite, elle s'observe sous deux formes, l'une aiguë , délirante, l'autre chro- nique ; cette dernièr
propos faisaient immé- diatement penser à une démence. « La forme aiguë ou délirante a les mêmes symptômes fondamentaux q
, insidieuse et d'emblée chronique ou consécutive à une polynévrite aiguë , avec syndrome de Korsakoff ayant évolué vers l
, et qui mérite, elle aussi, une élude particulière. Syndrome moins aigu que l'onirisme, affaiblissement, en quelque sorte
s groupes d'arthrites rhumatis- males : les arthrites rhumatismales aiguës et les arthrites rhumatismales chroniques. Le
se soucier de le boutonner. Le lendemain il ressentit des douleurs aiguës le long de toute la colonne ver- tébrale, surto
ne maladie. A 22 ans, pour la première fois, il eut une go- norrhée aiguë ; ce moment marque le début de la maladie actuell
une cause apparente, il ressentit, à chaque mouvement, des douleurs aiguës à la région lombaire, 5 mois après au cou et pl
région lombaire, 5 mois après au cou et plus tard des douleurs très aiguës le long de la colonne vertébrale : en mois, les
ouleurs étaient faibles et rares au début, puis elles sont devenues aiguës et fréquentes, Dans une période de 7 années se
pendant ce temps, sans qu'il ait ressenti des douleurs névralgiques aiguës , se développa, à l'insu du malade, une difficul
rine. A 12 ans, après un refroi- dissement survint une inflammation aiguë des articulations des genoux avec douleurs, tum
rachis ; le cou reste libre. Limitation des mouvements et douleurs aiguës pendant les mouvements dans les articula- tions
e rhumatisme articulaire chronique, ayant débuté par des phénomènes aigus , qui s'est porté des articula- tions des extrém
au clinique de la maladie. 7° Le début de la maladie peut être : a) aigu ou subaigu et b), plus fré- quemment il se fait
entement et insensiblement et a un cours chronique. Dans les formes aiguës (5 fois sur 14) la maladie commence immédiate-
en une ou quelques années après le moment funeste, par des douleurs aiguës dans toute la colonne vertébrale ou seulement dan
'élévation de température. Les douleurs spécifiques, lancinantes et aiguës s'accentuent au moindre mouvement à tel point que
ébut de la maladie est le même, seule- ment les douleurs sont moins aiguës . b) Dans les formes clii,oiiiques(9cas),qili so
mêmes parties de la colonne vertébrale que dans les cas de la forme aiguë . Dans les mêmes parties se développent, en même
acique. Longtemps après, quelquefois plusieurs années, les douleurs aiguës et l'immobilité apparaissent dans la région des é
rticulations des hanches. 10° Après la première période de douleurs aiguës , les douleurs s'apai- sent et dans le cours ult
se rhizomélique, les douleurs. Au début de la maladie, les douleurs aiguës annoncent l'immobilité et du moment où cette im
Si se picqua et receut douleur telle Qu'elle gecta ung hault cry et aigu . Vénus lance dans le fossé de son château les f
edans. Ludlum (3) dans deux cas de méningite, l'une cérébro-spinale aiguë , purulente, l'autre, tuberculeuse, a constaté l
un homme de 20 ans, qui avait eu, à Page de 1-li ans, une infection aiguë , probablement méningée, avec céphalée, vomissem
le fait de Hanot et Jolfroy (9) l'oblitération, suite de méningite aiguë , siégeait à la partie inférieure du 4° ventricule
n, des troubles de la moelle épinière. li Le rhumatisme articulaire aigu de la colonne vertébrale (ou chroni- que à débu
e articulaire aigu de la colonne vertébrale (ou chroni- que à début aigu ) rappelle la spondylose rhizomélique à cause des
- fois très massives, qui provoquent des déformations, des douleurs aiguës intermittentes névralgiques par compression rad
e la colonne vertébrale. 8° Dans le cours des maladies infectieuses aiguës (fièvre typhoïde, spon- (1%,ville typhique, etc
sont faciles à diagnostiquer, car tous les symptômes d'une arthrite aiguë existent : douleurs, rougeur, tuméfaction, fièvre
atismale. - Il arrive quelquefois qu'en même temps qu'un rhumatisme aigu ou blennorrhagique se développe une affec- lion
orrhagie : une sensibilité douloureuse et des douleurs névralgiques aiguës apparaissent dans le rachis, bientôt suivies d'un
< ! t</Me, la spondylose provoque, dès le début, des douleurs aiguës et une ankylose passagère du rachis ; l'affection
osseuses anormales et une série de troubles radiculaires (douleurs aiguës , anes- thésies, parésies et atrophies musculair
psules et des tissus périarticulaires secondaire à une inflammation aiguë ou chronique ou constituant par elle-même une aff
ment, et quelquefois on le voit pourvu de prolonge- ments courts et aigus . Avec les fixations au formol et au sublimé et
nces nutritives à l'intérieur du noyau. D'autre part, la diminution aiguë du volume nucléaire après l'arrachement d'un ne
chidiens d'un individu ayant succombé à la suite d'une poliomyélite aiguë insistent sur « la ressemblance frappante » qui e
lisme, ni de syphilis. Tous deux sont morts rapidement d'affections aiguës dont le diagnostic rétrospectif est difficile pos
n note qu'elle est féminine, mais elle ne prend jamais un caractère aigu , eunuchoïde. Enfin, il semble que lorsque le synd
alades cités quatre sont morts ; celui de Djemil-Pacha de myxoedème aigu , les autres de tuberculose ; nous dirons plus l
lle,dans un cas d'insuffisance 420 CORDIER ET RE13A'lTU surrénale aiguë , constatèrent, eh outre, à l'autopsie, des lésion
t fonctions génitales normales ; soigné à 48 ans pour une affection aiguë mal déterminée qui lui laissa de l'asthénie et de
hronique avec atteinte du plexus solaire, syndrome d'hypoépinéphrie aiguë , acro- mégalie par dyshypophysie, etc. Des obse
e bronchites et d'un lupus facial. En 1 ! JO, survint une infection aiguë indéterminée. A la suite de la convalescence de
endu dire qu'il n'avait pas d'albumine. On ne sait si cette maladie aiguë s'est localisée sur la thyroïde, ou sur les testi
ureux et normal jusqu'en 1904. Il est alors atteint d'une infection aiguë , indéterminée. Immédiatement après, s'ins- tall
emiers signes de la maladie ? La bacillose associée à cette infection aiguë (bacillaire peut-être) a frappé simultanément e
63 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
te simultanément dans les deux yeux sans qu'il y ait eu une maladie aiguë à l'origine de ces accidents. Chez ce même malade
Célibataire. Une fille mort-née à 14 ans, rhu- matisme articulaire aigu . A 47 ans souffre de gastralgies, peut-être déjà
rations des tubes nerveux décrites dans un grand nombre de myélites aiguës , expérimentales ou traumatiques (Fromann, Charc
ques. Cette étude doit être faite en premier lieu pour la méningite aiguë , en second lieu pour la méningite chronique. CH
CHAPITRE PREMIER. SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DE LA MÉNINGITE AIGUË . Les divers symptômes de la méningite aiguë n'o
LATEURS DE LA MÉNINGITE AIGUË. Les divers symptômes de la méningite aiguë n'ont pas une égale impor- tance. Non seulement
restrictions faites pour la pratique, reconnaître dans la méningite aiguë des symptômes car- dinaux qu'on peut constater
a céphalalgie est un phénomène des plus constants dans la méningite aiguë ; c'est aussi un phénomène banal dans l'hystérie
isterons pas sur les autres symptômes secondaires de la mé- ningite aiguë : délire, adynamie ou somnolence, convulsions, et
n XX. Accidents hystériques et choréiques ayant simulé la méningite aiguë . (CIIARCOT. Leçons du mardi, n° 14, 1888). Ob
omes hystériques de la deuxième catégorie qui simulent la méningite aiguë et la méningite chronique. IV. L'hystérie exist
sa mère. Rougeole vers 12 ans. Vers 10 ans rhumatisme articulaire aigu qui a duré 3 ou 4 mois. Né dans la Corrèze, hab
athies. Le rhumatisme et particulièrement le rhumatisme articulaire aigu n'est pas souvent noté dans les antécédents dès
on médical, 1883. z2 NOUVELLE ICONOGRAPHIE m. LA SALPHTmÈDË laire aigu etc'est presque certainement lui qui a causé l'in
insuffisance aortique chez les alaxiques, le rhumatisme articulaire aigu paraît avoir été bien rarement relevé (1). Il f
s granuleux ainsi qu'on l'observe dans certaines formes de myélites aiguës . D'ailleurs nous avons signalé dans la descriptio
Hayem (1) dans deux cas remarquablement étudiés de méningo-myélite aiguë , à propos de lé- sions identiques à celles dont
ng dans les veines (1) HAYEH, Note sur deux cas de myélite centrale aiguë et diffuse (Archives de phy- siologie, 1814, p.
jourd'hui, et qui se retrouvent dans un grand nombre de pro- cessus aigus et chroniques n'ayant rien à voir avec la syphili
pour ainsi dire pas de description anato- mique précise de myélites aiguës dont l'agent infectieux soit connu. Bour- ges (
es. Au mois de juin 1890, le malade est pris d'un délire alcoolique aigu accompagné d'une forte amnésie du présent, du d
considérée comme un indice incontestable prouvant qu'une psychose, aiguë ou chronique à son origine, commence à prendre
nnales, 1885. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 219 rhumatismale aiguë de l'épaule gauche. Puis les névralgies nocturnes
frères et 1 soeur du même lit. Les deux frères sont morls de maladie aiguë (fièvre typhoïde ? ), sa soeur vit encore ; ell
qui évoluent clinique- ment avec les allures de la myélite centrale aiguë . Les accidents médullai- res, les paralysies se
vation X. Chancre induré 8 ans avant les accidents nerveux. Poussée aiguë de ménin- gite cérébro-spinale syphilitique, à
La marche de l'affection a été graduellement progressive, sans phase aiguë . Le malade n'a jamais éprouvé d'autres souffran
on peut, il est vrai, s'aggraver momentanément, traverser une phase aiguë surtout au début ; mais si les malades sont con
elui de la maladie que l'on désigne sous le nom de myélite centrale aiguë . Rappelons que M. le professeur Hayem en 1874,
fisamment renseignés sur l'étiologie dans la plupart des myé- lites aiguës . Toutefois, même dans ces formes diffuses, l'exam
te et peu significative, et avec les allures de la myélite centrale aiguë , pour aboutir à la mort en l'espace de quelques
ariée, a deux enfants, n'a jamais souf- fert de maladies somatiques aiguës ou chroniques. Ses règles étaient nor- males, q
ieure. 20 La malade urine sous elle. OS'l'LO-.111'f111t01'.1TI11E AIGUË CHEZ UNE ALIÉNÉE 325 24 mars. Ecoulement de sal
o-pathologiques telles que l'otématome, les décubitus chroniques et aiguës et le mal perforant. La littérature fournil peu
e l'indice de quelque maladie constitutionnelle ou de quelque forme aiguë de lésions connues, telles que l'arthrite rhu-
se, syphilitique ou rhumatismale de l'articulation, ni aux maladies aiguës citées plus haut. Le développement, la marche e
et résection du nerf médian, par Le Dentu, 65. Ostéo-arthropathie aiguë chez une aliénée, par Potovski, 322. Paraplég
64 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
és par ce malade signalons : 10 l'apparition de plusieurs arthrites aiguës ; 20 la persistance de l'abolition de la contra
fous circulaires avec la justice. R. M. C. XIII. UN cas DE manie aiguë s'accompagnant D'UNE affection quasi- \phasique
188.1.) Le malade était âgé de cinquante ans et atteint de manie aiguë ; il est actuellement guéri. En dehors des symptôm
leur attention n'a pas été attirée sur ce point. R. M. C. XV. Manie aiguë CHEZ UN JEUNE garçon DE treize ANS; par S.-A.-K
n du très jeune âge du sujet; on sait en effet que les cas de manie aiguë REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 71 sont extrêmem
fut interné en 185(i ; en 1857, on note chez lui un accès de manie aiguë ; on constate à la même époque qu'il se livre à la
les professions nocives, les traumatismes céphaliques, les maladies aiguës , etc. il. K. XXX. Guérison D'UNE PSYCHOSE SOUS
l'étude DE l'incohérence ou DÉSORDRE dans LES idées hallucinatoire aigu ; par E. KONRAD. (Arch. f. Psych , XVI, 2.) M.
nd stade. Ce second stade est d'ailleurs un stade tantôt de manie aiguë (disparition des hallucinations, suridéations, be
i précoce qu'il semble ne pas y avoir eu de stade hallu- .cinatoire aigu (Obs. 111); tantôt enfin de manie compliquée de s
nce apathique); le passage du stade hallucinatoire à celui de manie aiguë comporte un pronostic favorable; la guérison, q
centre sous-cor- tical lui-même). P. K. XXXVIII. Un cas DE folie aiguë MORTELLE avec CONVULSIONS localisées; par S. LÉ
erme qui nous occupe à un délire général d'ordre asthénique, tantôt aigu , tonlôt chronique, affectant la forme d'agitation
es, c'est-à-dire des idées de persécu- tion fugaces de l'alcoolisme aigu , et même du délire des persécu- lions incurable
rands-parents morts âgés. Père, mort à cinquante ans, d'une maladie aiguë . Mère, morte à quarante-six ans; pas nerveuse.
leur égard. RECUEIL DE FAITS CAS DE PARALYSIE SPINALE ASCENDANTE AIGUË (Paralysie LANDRY), observé à la clinique théra
que à laquelle Landry a, le premier, décrit la paralysie ascendante aiguë spinale jusqu'à nos jours, on a publié beaucoup
cas s'éloigne peut-être du type régulier de la paralysie ascendante aiguë . Voici le cas : Le malade Nicolas Marozolf, â
le pénis près du frein, du côté DE LA PARALYSIE SPINALE ASCENDANTE AIGUË . 199 droit, se trouve une cicatrice atrophique,
cun changement, tandis que, dans DE LA PARALYSIE SPINALE ASCENDANTE AIGUË . '201 l'aorle, on trouve la dégénération athéro
Archives, t. Xi[. 14 202 RECUEIL DE FAITS. l'alcoolisme; l'autre aigu et qui s'est terminé en neuf jours avec une rap
jambes et par les élancements qu'il y ressentait. Mais le processus aigu , consistant dans une métamorphose dégéné- rativ
cadre de tous les cas connus sous le nom de paralysie ascendante aiguë , ou paralysie Landry. EXPLICATION DE LA PLANCHE
cial aux altérations électriques, déjà observée dans la polynévrite aiguë (Pierson) n'indique pas dans l'espèce l'existen
on la nomenclature deFried. Schultze, en proieà une paralysie mixte aiguë , à la fois descendante,' à la fois ascen- 1 Voy
lysie de la respiration. Diagnostic ainsi formulé : méningo-myélite aiguë ; la myélite ayant commencé par la moelle cervi
tade est hanté, chez le premier patient, par une paraplégie spinale aiguë ; chez le second, par une légère attaque congest
s, atteintes de différents états d'agitation (chronique ou maniaque aiguë ) on employa la formule suivante : cannabinone 3
eil- lards ; '2° Les hôpitaux destinés au traitement des maladies aiguës ; 3° Le* hospices consacrés aux personnes atteinte
ture dans les deux genoux de manière que les jambes font un angle aigu avec les cuisses. L'articulation tibio-tarsienne
malades. Dans la folie simple, il peut se produire un stade initial aigu constitué des accès paroxystiques de rigidité, ou
cérébrale corres- pondant au tableau morbide de la poliencéphalite aiguë de Struempeil 3. Six cas se rattachent à la for
ect à l'égard des ménin- gites même circonscrites, des encéphalites aiguës ,des tumeurs, etc. Nous regrettons de ne pouvoir
, fracture de la clavicule. Symptômes et diagnostic de la pleurésie aiguë . Fractures des côtes. La question traitée par l
es de la motilité volontaire dans la- simple), par Roller, 83 ; aiguë mortelle), 84; - (héré- ditaire), ? 4G, 247, 40
s (fait t pour servir à t'histoire des), par llomen, 204. Manie aiguë (avec troubles du langage), par llitchell, G9;
ire avec sclérose latérale), 112 ; - (cas de spi- nale ascendante aiguë de Lan- dry), par Soudeykine, 197; - (diplitl
65 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
de (1) M. BRRTOLOTTI, Diagnostic différentiel entre l'hydrocéphalie aiguë sans augmen- tation de volume de la tête et les
que nous avons observées du vi- vant du malade dans l'hydrocéphalie aiguë ou méningite séreuse venti-icu- laire, il est i
Mais il en est tout autrement alors qu'il s'agit de l'hydrocéphalie aiguë de la deuxième enfance ou de l'àge adulte, alor
ifférentiel entre la méningite séreuse venlriculaire (hydrocéphalie aiguë ) et les tumeurs cérébrales, n'est pas toujoursais
ébrales », ont démontré qu'il s'agissait en réalité d'hydrocéphalie aiguë ou subaiguë. Nonne, en relatant plusieurs^cas où
ntrâ-craniennes, et qui, en réalité, concer- naient l'hydrocéphalie aiguë ou subaiguë. L'hydrocéphalie, non seulement peu
m n'est pas conslanl puisqu'il peut y avoir des cas d'hydrocéphalie aiguë véritable sans aucune augmentation de volume de
nostic différentiel entre les tumeurs cérébrales et l'hydrocéphalie aiguë (2). Un mois plus tard, M. William G. Spiller (
se retrouve dans les crânes des individus atteints d'hydrocéphalie aiguë , fait qui peut être reconnu sur le vivant par l
le contrôle radiographique dans le dia- gnostic de l'hydrocéphalie aiguë . Comme nous l'avons déjà relevé, les impression
eur. Pour moi, celle soi-disant méningite séreuse, ou hydrocéphalie aiguë de l'étal prodromique de l'oxcéphalie, serait u
ose des sinus. Saenger est même d'avis que certains ramollissements aigus , accompagnés d'hypertension et (1) G. Papaiua,
é bien connu sur les maladies nerveuses, men- tionne que les formes aiguës de méningite séreuse peuvent être accompa- gnée
guës de méningite séreuse peuvent être accompa- gnées d'encéphalite aiguë non purulente, celte dernière donnant lieu à de
s symptômes cérébraux sont fréquents (fièvre ty- phoïde, exanthèmes aigus , la grippe. etc.). D'ailleurs les travaux d'Hau-
t hydrocéphale qui, à deux mois et demi, avait fait une ménin- gite aiguë et qui est mort à deux ans et neuf mois, la pie-m
qu'à la paroi ventriculaire. D'après Baginsky (2) l'hydrocéphalie aiguë serait identique avec l'in- flammation aiguë no
ky (2) l'hydrocéphalie aiguë serait identique avec l'in- flammation aiguë non tuberculeuse des plexus choroïdes, qui produi
e du lobe frontal. Delamare et-Caïn (4) dans un cas d'hydrocéphalie aiguë chez un nour- risson, ont trouvé une méningo-ép
et A. CaïN, 5éalngo-épendymite tuberculeuse, séreuse (hydrocéphalie aiguë du nourrisson). Soc. de Neurol., s. du 8 décembre
tissu conjonctif f fibreux. Dans l'observation VI, cas de méningite aiguë pneumococcique, il a trouvé du pus entre les vé
ales en contact avec le pus. Dans le cas VII, celui d'une méningile aiguë méningococcique, les plexus choroï- des présent
marquée. Dans les cas XII, XIII, XIV, XV et XXII, tous do méningite aiguë et dans lesquels il mentionne l'étal des plexus
rzale à méningoenques. Rapport de l'hydrocéphalie et des méningites aiguës . Soc. de Pédiatrie, 1 : ; novembre 1910, in Revue
aires, apport qui a moins les caractères d'un exsudat inflammatoire aigu que ceux d'un processus hyperplasique lent ; l'
sans consistance, la malade succomba à la suite d'une ostéomyélite aiguë . Dans un cas de Marie et Sainton fut notée une lé
l'étiologie de ce cas. Observation OBS.- Résumé : Deux épisodes aigus hallucinatoires délirants avec anxiété : halluc
et de là sur St-Jacques. Examen du malade pendant l'état psychique aigu , 22 juillet 1911. A sou arrivée à l'H. G. de N.
n'est pas vrai. Récit du malade après la disparition des phénomènes aigus , 5 août. L'enfant nous fait un récit détaillé d
rands les yeux, il n'y avait plus « rien ». Retour des phénomènes aigus , 8 août. L'enfant fait un léger embar- ras gast
Ainsi lorsque ce petit malade nous fut a mené, il présentait un état aigu , hallucinatoire, illusionne ! , délirant, avec
rsonnes, les lieux, les choses, etc., La durée de ces deux épisodes aigus hallucinatoires fut d'une à deux semaines. Un i
clérose permettant de pen- ser à la cicatrice d'un foyer de myélite aiguë . Celui-ci d'ailleurs n'expli- querait pas davan
s a déjà montré l'importance au sujet de la poliomyélite antérieure aiguë de l'enfance, retrouve ici tout son intérêt et
s vertèbres entre elles, et que la tuberculose, affectant une forme aiguë ou subaiguë, le processus pathologique envahit
La malade a eu trois frères : un d'eux est mort jeune d'une maladie aiguë , et les autres sont encore vivants (un frère de
rt les cas où elle constitue un reliquat de poliomyélite antérieure aiguë , l'atro- phie isolée non progressive des petits
Revue neurologique. HOFFMANN. Poliomyélite antérieure syphilitique aiguë et chronique. Neurologisches Cen- tralblatt, oc
posée, du fait de la lésion encéphalique, l'évolution d'une poussée aiguë au cours d'une néphrite devait être particulièrem
l'évolution rapide d'une néphrite subaiguë, ou plutôt d'un accident aigu au cours d'une néphrite chronique ancienne (car
ntrer dans la discussion du traite- ment opératoire de ces épisodes aigus . L'un de nous, qui s'intéresse par- ticulièreme
écédents héréditaires. - La mère est morte à 25 ans, de tuberculose aiguë (alcoolisme possible). Son père est mort a 56 ans
ne présentent pas le moindre oedème mou, l'absence de toute poussée aiguë et de toute modification de couleur, cha- leur
le plus souvent d'origine stre- ptococcidue,s'établit par poussées aiguës , fébriles et douloureuses. Il snffit 478 LAIGi'
premières manifestations. L'oedème angionelt1'otique de Quincke est aigu . L'oedème dit historique est simulé. Sous le
ans, entre a l'asile de Ville-Evrard le 28 août 1912 pour un accès aigu de délire alcoolique. Cet homme est atteint, de
66 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
(piln,ptic psyc1tical équivalent, Spitzka) : ce sont des délires aigus se présentant tantôt sous la forme expansive, t
arante-sept ans. Paralysie agitante. - Oncle maternel aliéné (manie aiguë ). Le tremblement sénile ' se développe quelquef
la moelle, comme l'ataxie. - On peut en dire autant des affections aiguës . Observation LXII. - Les deux enfants de M. F..
cette famille morbide. (A suivre.) z ' lîouclmt. Du rzercosisnze aigu et chronique et des maladies ner- veuses, 121&g
subi l'altération qu'on rencontre au cours de certaines myé- lites aiguës ou subaiguës. La gaine du tube est distendue; le
t à la région dorsale, portent mal- gré tout à songer à une myélite aiguë localisée, qui aurait peut-être joué son rôle d
des et présentent les lésions qu'on observe dans les cas de myélite aiguë ou su- baiguë : ils sont augmentés de volume, q
rcot qui l'a étudiée le premier, au moins en France, « aux formes aiguës , subaiguës et chroniques primitives de l'inflam
de l'hypoglosse, à la suite de lésions diverses (abcès, encéphalite aiguë , etc.) du pied de la circonvolution frontale as
uite d'un bain de rivière, pris en état de sueur, vertiges, douleur aiguë dans le côté droit du front, secousses convulsi
ue toutes les formes du rhumatisme cérébral, la céphalée, le délire aigu , la folie enfin se trouvent à peu près exacteme
très forte vers douze ans, deux attaques de rhumatisme articulaire aigu à quinze et à trente ans. Depuis quatre ans, at
onclusions'. La goutte rétrocédée donnerait surtout lieu aux formes aiguës , surtout à la manie, quelquefois à la paralysie
mis en jeu leurs différentes opportunités morbides. Les affections aiguës ou chro- niques n'agissent pas autrement lorsqu
fections bulbaires (para- lysie glosso-Iabio-Iaryngée, chronique ou aiguë ) re- tentissent d'habitude sur l'un et l'autre
oit aussi l'albumine apparaitre dans l'urine dans quelques myélites aiguës , à début apoplectiforme. La polyurie, l'albumin
ssion par mal dePott, etc. Dans l'hématomyélie, dans les myélites aiguës ou subaiguës surtout de la partie inférieure, c
n et l'introduction de sondes malpropres, il est des cas de myélite aiguë dans lesquels les urines s'altèrent, deviennent
ce absolue ne se rencontre guère qu'à la suite de quelques myélites aiguës , à la suite de traumatismes 232 REVUE CRITIQUE.
rmes de vessie irritable peuvent se rencontrer dans le nervosisme aigu ou chronique, dans la neurasthénie, l'irritation
clure que le zoster est une « maladie générale, fébrile, spontanée, aiguë , presque cycli- que, se terminant toujours par
e herpétique qui récidive très fréquemment. a) Le zoster, maladie aiguë , presque cyclique, infectieuse, con- férant l'i
formes n'accompa- gnent que très exceptionnellement les altérations aiguës qui frappent presque exclusivement le cordon mo
e traitement actif, à la fois un asile de retraite pour les aliénés aigus et chroniques de la commune de Copenhague. ,. '
qui caractérisent les poliomyélites sont dues à leur mode de début, aigu ou chronique, à la répartition des lésions, ou
e MM. Christian et Charcot sur les folies consécutives aux maladies aiguës et à la fièvre typhoïde en y joignant les reche
até la présence de microbes dans le sang d'aliénés atteintsdedélire aigu .Jenecroispas 358 SOCIÉTÉS SAVANTES. que nous
lé qui furent pris d'accidents comparables à ceux de l'alcoo- lisme aigu ; leur délire était causé par l'inhalation du sulf
es de longue durée (génitales, maremmatiques, etc.), ou d'accidenls aigus (accouchements difficiles ou compliqués, dysent
as de manie, lypémanie, folie systématique, y compris des désordres aigus avec hallucinations, on a trouvé cinq fois des
roses syphilitiques, de la chorée, alcoolisme chronique, alcoolisme aigu , de l'alcoolisme subaigu, le délire alcoo- liqu
t au nord et au sud. Le quartier destiné au traitement des pychoses aiguës , ouvert en 1860 pour 60 malades curables de cha
sé. A un quart d'heure de chemin environ du quartier despsychoses aiguës , dans la direction de Roeskilde, est situé Bje7'a
en- dance médicale, est cependant relié au quartier des psychoses aiguës , au médecin en chef par un téléphone. Des lieux
rend d'observations régulières que dans le quartier des psy- choses aiguës , notant à l'occasion les particularités marquante
par rapport aux malades dans la proportion de 1 : 6 (quartier des aiguës ) et de 1 : 12 (chroniques). Ils ont pour uniforme
67 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
t. XV, p. 44. d4 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE myélite aiguë de la substance grise, survenue dans le cours d'u
fait dénote selon toute probabilité, le développement d'une.myélite aiguë infectieuse ayant abouti à la désorganisation d
nes. Il y a 4 ans à 34 ans, le malade eut un rhumatisme articulaire aigu et fut alors soigné dans le service de M. le pr
e ses articulations, de par un long accès de rhumatisme articulaire aigu antérieur. Si maintenant nous examinons toute !
un homme ayant pris des injections pour son rhumatisme articulaire aigu , pour ses blennorrhagies, chez un malade ne prése
d'évolution rapide (début apoplecti forme) : hématomyélie ? myélite aiguë localisée ? ramollissement transverse ? ' Trait
osyllabes. L'apparition d'une es- chare sacrée annonce le décubitus aigu . Le 10. Coma, respiration stertoreuse. Le Il.
lésions fines, diffuses, répondant il une méningo-vasculo- myélite aiguë des mieux caractérisées. \ 60 NOUVELLE ICONOGRA
e présente encore les lésions caractéristiques de la leptoméningite aiguë diffuse, 62 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
es de cet organe (méningites diverses, myélites et méningo-myélites aiguës , avec ou sans ramollissement, myélites chroniqu
mobile. L'extension se fait complètement, la flexion jusqu'à angle aigu : seuls les mouvements de pronation forcée sont l
nouveau et devient le siège de phénomènes paralytiques à évolution aiguë . Il entre alors à l'hôpital Cochin. C'est un ho
de Koch, relatif à une femme de 24 ans chez qui une ostéo-arthrite aiguë mélacarpo-phalangienne de l'index, avec gonflem
fait observer. Les douleurs de reins et de la vessie, étaient si aiguës , qu'elles jettaient la malade dans des convulsi
pagne. A minuit, dans l'effort d'un vomissement et une douleur très aiguë , on en- tendit tomber quelque chose dans le bas
244 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE n'ont pas le caractère aigu des crises qui annoncent le passage- d'un calcul
droite puis gauche, donnant au malade la sensation de déchirements aigus , comme si on lui promenait une scie le long de
ue d'une syphi- lis antérieure. Elle ne présentait aucune infection aiguë au moment de l'ac- couchement ; la mort du foet
des paralysies survenir à la suite d'un empoisonnement arse- nical aigu (dose unique et forte), empoisonnement volontaire
cales. A. Paralysies. Paralysies consécutives Il un empoisonnement aigu .- Quoi qu'il en soit de l'époque d'apparition d
e que les paralysies arsenicales consécutives à un empoisonne- ment aigu s'accompagnent assez souvent de troubles trophiqu
ntenses, à la période d'état, que dans le cas d'un empoison- nement aigu . D'autre part, si l'on s'en rapporte à la descrip
un empoisonnement chronique, l'autre à la suite d'un empoisonnement aigu . M. Dana a conclu, en fin de compte, qu'indé- p
convul- sivants. Effectivement on a publié des cas où, à la période aiguë d'un em- poisonnement arsenical, le malade a eu
xemple du type chiropodal, consécutif à un empoisonnement arsenical aigu . PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SENSITIVO-
complet. Toutefois dans les cas graves, l'empoisonnement arsenical aigu peut laisser des traces persistantes, sous la for
e arse- nicale, qu'elle se développe à la suite d'un empoisonnement aigu ou d'un empoisonnement subaigu, est non pas une
ivo-moteurs que peut laisser à sa suite un empoisonnement arsenical aigu , subaigu ou chronique. En regard de ce taLlleau
sque toujours, rappellent le tableau de la poliomyélite antérieure, aiguë ou subaiguë, beaucoup plus rarement le tableau
alysie alcoolique se montre rarement à la suite d'un empoisonnement aigu par l'alcool. Quand la chose arrive, c'est touj
emps. Une ou plusieurs ribottes lui ont valu une crise d'alcoolisme aigu , une attaque de delirium tremens. Ce seront don
stro-intestinaux du début, dans un cas d'empoisonnement arse- nical aigu . ^Jamais, du reste, vous n'observerez ces accid
as d'insomnie absolue comme dans les cas d'empoisonnement arsenical aigu ; le sommeil est troublé par des caucliemars, par
èvre typhoïde, embarras gastrique, grippe, rhumatisme articu- laire aigu , endocardite infectieuse, avec lesquelles vous po
s le cas d'une paralysie arsenicale consécutive à un empoisonnement aigu ; mais cela se voit égalememt la suite d'un empoi
68 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
La maladie date de deux mois et demi. Dup... est atteinte de manie aiguë que la famille attribueàdes Archives, t. VIII.
2, etc.). Gowers, fait re- marquer que la scarlatine est la maladie aiguë à la suite de laquelle on voit le plus souvent
t Jacquemier, etc., ont consi- déré l'éclampsie comme une épilepsie aiguë ; mais il faut remarquer qu'ils se plaçaient seu
voit se développer des attaques éclamptiques, puis cette épilepsie aiguë passe pour ainsi dire à l'état chronique et ne
uatrième, à la cinquième grossesse. II existe donc des épilepsies aiguës , épilepsies éclamp- tiques qui sont déterminées
des accidents antérieurs héréditaires ou personnels. Ces épilepsies aiguës de l'enfance, de la puerpéralité, etc., peuvent
à la résorption biliaire (excitation cérébrale) de l'atrophie jaune aiguë du foie. Peut-être l'athétose a-t-elle aussi le c
ulsions et paralysie du côté droit du corps dues à une inflammation aiguë et à la destruction de certaines parties de l'é
ndre le bromure, lorsqu'il a été suspendu par le fait d'une maladie aiguë , parce que les attaques reparaissent avec une f
greneux affecte une évolution d'autant plus bénigne, d'autant moins aiguë qu'il est plus exclusivement et plus constammen
des conclusions formu- lées à la suite de recherches sur le Délire aigu , faisait des réserves au sujet des altérations
rivé. Je n'ai jamais, en effet, essayé de dé- montrer que le délire aigu fût la seule affection présentant des caractère
conduit à rechercher si le sang n'était pas altéré dans le délire, aigu , comme de récents travaux nous ont démontré qu'
nous ont démontré qu'il l'était dans la fièvre typhoïde. Le délire aigu essentiel, j'ai essayé, du moins, de l'établir da
moins les symptômes des tumeurs cérébrales; tantôt c'est un délire aigu , sans paralysie, ni convulsions, donnant l'imag
mortel; 2" la forme délirante qui présente deux variétés : le type aigu , dont la terminaison mortelle est rapide et rar
e, con- trairement à l'opinion que nous venons de rappeler, les cas aigus de folie diminuent à mesure que la prospérité a
mes se sont exagères 'au-1 pomf'de constituer-' uni casi de ainaniè aiguë ;'4° ïà^marché^ullérieure `des symptômes a été ^l
le ; 7°La marche de l'alcoolisme chronique est, .comparativement, aiguë ; elle comprend plusieurs semaines à plusieurs moi
tfnoiï plus'd'unc évolution chronique ordinaire,' mais d'une marche aiguë et souvent' sur'aigûë confinant à-i'habitus du'
marche aiguë et souvent' sur'aigûë confinant à-i'habitus du'délire aigu : ce°sonf évidemment là des éas ëxcep- tionnels
loroforme ? est également'capable d'éE- gendrer des effets toxiques aigus et chroniques9lPâi·micles'effets aigus) il faut
gendrer des effets toxiques aigus et chroniques9lPâi·micles'effets aigus ) il faut ranger des affections cutanées' polvm8rp
tueuse des autres muscles du corps (état maniaque et surtout délire aigu ); d'aucunes, la paralysie, l'incoor- dination d
nt guérir, notamment sous l'inllucncc d'une affection intercurrente aiguë , ou à l'époque de la ménopause. C'est par année
e ligne ascendante et d'une ligne descendante formant un angle très aigu , sans plateaux (recherches faites dans le service
, en fait de complexus clinique, un exemple de paralysie ascendante aiguë ayant évolué en dix-sept jours; la mort eut lieu
ls que celui-ci, considérés à tort comme une paralysie ascendante aiguë , ne sont-ils pas des faits de névrite dégénérativ
la tympanite abdominale DES HYSTÉRIQUES, QUI AFFECTE UNE ÉVOLUTION AIGUË ; par EDSTEIN. (11 eurol. CentrulGl., 4 883.)
Ë ; par EDSTEIN. (11 eurol. CentrulGl., 4 883.) Dans la tympanite aiguë de l'estomac et de l'intestin, il semble, en ce
branche droite de l'éminence cruciforme se rend directement à angle aigu vers le trou de la jugulaire. La patiente à laq
r- met de concevoir qu'une altération pathologique, plus ou moins aiguë a entravé une partie du travail actif de la zone
uatre semaines au plus, se nomme légitime soeviens; c'est le délire aigu . Une vésanie typique incomplète, plus ou moins
es antérieures et des cordons latéraux, par Yierordt, 331. Délire aigu , 104. Délire chronique (contribution à l'étud
chisch, 374. Hémianopsie hétéronyme latérale, 343. Hémiathétose aiguë du côté gauche sans lésion en foyer, 82. Hyos
69 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t survenir pendant la vie sous l'influence de processus deslruclifs aigus cl chroniques. 8. Mais leur importance, en tant
es foyers récents de la sclérose eu plaques avec cure de la myélite aiguë isseminee, justifient le ferme d'inflammation.
mécs ; ainsi l'on voit parfois des cylindraxes se bifurquer à angle aigu en deux branches et l'une ou l'autre de ces bra
ses dérivés : il celte dernière appartiennent : troubles psychiques aigus l'l pâs- siou du malade pour le poison. La nico
e, du côté droit, une modification de caractère, enfin une psychose aiguë avec phénomènes nombreux dans le domaine Ile la
sitent entre la polynévrite mo- trice et la poliomyélite antérieure aiguë . Les auteurs admettent dans ce cas une altérati
SYCHOPATHIES ANXIEUSES 87 21 août. Même état de mélancolie anxieuse aiguë ; amai- nrissemenL progressif; refus partiel d'
les vêlements. Elle succombe le 2G dé- cembre à une gastro-entérite aiguë d'origine grippale sans modi- ficationde l'état
1 hseplembre 1897, et esl sortie légère- ment améliorée d'un accès aigu de folie sénile, avec idées de persécution eL d
n laisser beaucoup de coté ; il suit les plus intéressants, les cas aigus en général ; si- tôt qu'une affection mentale p
énomènes fébriles fugaces du dé- but. Celte poliomyélite antérieure aiguë laisse l'intelligence in- tacLe. ' L. W, \' 1
a reparu ; celle fois elle ne s'est qu'améliorée. Plus les attaques aiguës ont l,Il' 1'1'1"qlH'nll ? plus illl'olilplioll ?
'l'(' i nlpl'\ l'n Lion il faut faire exception dans les méningites aiguës et dans les tumeurs cérébrales où l'on a vu des a
illes. Cette commission propose la di\ ision des asiles en asiles d' aigus et asiles de chroniques. Pour les premiers ce s
Au Sud-Est on construirait un petit asile mixte qui recevrait' les aigus de sa circonscription et garderait ses chroniqu
llicacité el des indications spéciales. Ainsi, dans un cas de manie aiguë , nécessitant la camisole de force, elle lll'a p
lonies, colonies familiales, l'lahlis- sements slociaw pour les cas aigus , les cas chroniques, IIIJ]'i- latix de convales
olunie,nlo- restraint partout ; traitement par le lit des psychoses aiguës ; autonomie de chaque pavillon. Les asiles-colo
s importantes consistent en : lu la création de services de malades aigus curables ; 2° la création d'un asile-hospice ; 3"
lui a laissées le processus éteint. En d'autres termes, la période aiguë passée, la cellule amoindrie, mais non plus gên
irantes et des représentations hallucina- toircs pendant la période aiguë de l'affection ; et nous ne 208 CLINIQUE mental
t de phénomè- nes catatoniques intenses et font partie d'un épisode aigu , on ne peut conclure il aucun pronostic ([liant
sychologique, vicieux, buveurs, vagabonds ; enfin 4° les délires a) aigus , syndromes maniaques et hallucina- toires dus a
2° Psychoses puerpérales par infection. - Comme toute infp('- tion aiguë ou chronique (pneumonie, fièvre typhoïde, tubercu
s lésions infectieu- ses de l'appareil génital, graves ou bénignes, aiguës ou chroni- ques, sont extrêmement fréquentes ch
es toxines élaborées par les agents microbiens en cause. Les formes aiguës revêtent habituellement l'aspect de la confusion
tent habituellement l'aspect de la confusion mentale hallucinatoire aiguë avec excitation (ancienne manie puerpérale) ; l
; 20 suivant l'évolution du processus auto-to : \i(IUe, des formes aiguës (excitation maniaque pure ou hallucinatoire) et
complète- ment disparu. Dans la semaine qui suit, les phénomènes aigus s'atténuent en- core. On en profile pour cautér
ui survient, après une phase de douleurs en ceinture, une paralysie aiguë apoplectiforme, à évolution aiguë; puisqu'elle
uleurs en ceinture, une paralysie aiguë apoplectiforme, à évolution aiguë ; puisqu'elle entraîne la mort en 4 jours. * A
docardite chronique. Lorsqu'on a an'aire à une poussée endocardique aiguë ousubaigue, on peut voir une hémorrhagie cérébr
ont l'origine remontait à des atteintes de rhu- matisme articulaire aigu , la dernière datant de vingt ans. La pré- sence
re di- visés en trois catégories distinctes : 1 les tétanos à forme aiguë etsuraigué, chez lesquels le traitement estinef
tion ; 30 les tétanos à forme subaigu : : avec crainte d'accidents aigus ultérieurs (comme dans le cas des auteurs),chez l
ée et qui pour- raient,sans lui, déterminer plus tard des accidents aigus , graves, mortels. , Les injections peuvent êt
bution à l'étude des accidents nerveux, consécutifs au méllill"ites aiguës simples, 1 \'01. In-8" de 263 pages. Prix 5 fr.
ait que la perforation est surtout produite par des corps petits et aigus , le danger de ces derniers con- sistant moins,
cha- que jour passer devant soi des aliénés atteints des for- mes aiguës ou chroniques des maladies mentales sous leurs
ction suffisante et je suis d'avis de, leur donnera la fois des cas aigus et des cas chroniques. Un service d'aliénés doi
20. Contribution à l'étude des accidents nerveux, consécutifs aux aiguës simples, par Courlellemont, 416. 11 ! 1¡ : '\
70 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s altérations des centres mo- teurs dans la poliomyélite antérieure aiguë de l'enfance par PARHON et P.\PINrAN. (Journ. d
De l'étude anatomo-clinique d'un cas de^poliomyélite anté- rieure aiguë datant de l'enfance les auteurs se croient en d
u abdominaux. G. D. VI. Réflexions à propos de cinq cas de psychose aiguë étudiés histologiquement ; par le I)'' 1)EROUB.
ie, 1904, n° 23.) . De l'étude histologique de cinq cas de psychose aiguë (délire aigu, paralysie générale, mélancolie an
) . De l'étude histologique de cinq cas de psychose aiguë (délire aigu , paralysie générale, mélancolie anxieuse), l'au-
ourrait déjà distinguer deux formes nettement tranchées de psychose aiguë : une forme paralytique ou interstitielle et un
té pathogénique plane sur toutes ces variétés cliniques de psychose aiguë en ce sens que la marche aiguë et l'issue morte
s ces variétés cliniques de psychose aiguë en ce sens que la marche aiguë et l'issue mortelle d'une psychose, tout comme
de différence tranchée entre le ta- bleau anatomique de la psychose aiguë et celui de la psy- chose chronique. G. D. N'
le système ner- veux. Il produit non seulement des effets toxiques aigus , dans le cerveau, la moelle épinière et les ner
symp- tômes qui rappellent, le plus souvent, ceux des méningites aiguës ; parfois ceux de la méningite tuberculeuse ; plu
sains (rougeole, pneumonie franche, certaines formes de tuberculose aiguë ou chronique) ; b) d'autres fois des lésions sp
e musculaire atypique Duchenne- Aran. de la poliomyélite antérieure aiguë , des traumatismes mé- dnllaires, clonl l'auleur
rasthéniques tantôt au début ou dans le cours de certaines maladies aiguës ou chroni- quels : lahi.s, paralysie générale,
I janvier 190G. Polynévrite succédant ci V empoisonnement arsenical aigu . MM. RAYMOND et LEJONNE déterminent les caractè
utres organes, ce système réagit cliniquement soit par une psychose aiguë , soit par une folie motrice, soit quelquefois p
tion du système nerveux central. F. T. XL. Les oedèmes circonscrits aigus et chroniques sous la dépendance du système ner
cas de déformation thoracique précoce consé- cutive à une pleurésie aiguë ; par Matignon. (1\'ouv. Icol1ogr, de la Salpêt
ation de scoliose survenue deux mois après le début d'une pleurésie aiguë ; cette incurvation sur le côté fut d'abord une
ites, ganglions cervicaux suppures. Crise de rhumatisme articulaire aigu il y a trois ans. Pas de syphilis acquise. L'
ayant subi après infection des symptômes (le paralysie ascendante aiguë avec troubles sphinctériensft menace d'accidents
la S1 laissant libre la queue de cheval. Poliomyélite antérieure aiguë . MM. li \VD11ND el Lejonne montrent une jeune f
la'J'ou relie ; ilaborde ensuite la symp- lomatologie des myélites aiguës et chroniques, l'anatomiepatho- logique, puis l
te fonctionnement du l 'OI ? 11 lie oculaire. VI. De la psychose aiguë post -infectieuse avec troubles du ltm- gage ch
région occipitale gauche. Ramené chez lui, il est pris d'un délire aigu ,, furieux, extrava- gant, qui nécessite son tra
ée. z Séance : 10 Symptômes et diagnostic de la pleurésie franche aiguë . Symptômes, diagnostic et traitement des fracture
d'une paralysie faciale fugace. Deux cas de poliomyélite antérieure aiguë . M. HUET et LEJONNE présentent deux adultes att
- lysie flasque avec atrophie reliquat de poliomyélite antérieure aiguë récente, et rappellent qu'ils ont vu quatre cas d
e 24 août 1903 avec le certificat suivant : « Est atteint de délire aigu caractérisé par une agitation continue et une sur
qui ne sont ap- préciablesqu'au microscope : a) lésions cellulaires aiguës ; b) lé- sions dégénératives chroniques avec tou
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 501 les processus toxiques aigus ; d) dans la cachexie phtisique.il rap- porte d
nt chez les ca- chectiques tuberculeux. Dans les processus toxiques aigus , la lé- sion n'a rien de spécifique et il y a g
d'un empoisonnement hétéro ou au- totoaidue localisé ou généralisé, aigu , subaigu ou chronique. L. 1 ? x ? LXX1V. Rech
es déli- res des alcooliques, à part celui qui résulte de l'ivresse aiguë soûl le résultat direct non pas de l'alcool lui
ation. Un cas de thora- cique précoce consécutive v une pleurésie aiguë , 200. Dégénérescence mentale et mala- die de
celles des altéra- tions des centres moteurs dans la - antérieure aiguë de l'en- fance, par Parhon et Papinian, 13. -
aiguë de l'en- fance, par Parhon et Papinian, 13. - -. antérieure aiguë , par Raymond et Lejonne. 225. - Deux cas de -
re aiguë, par Raymond et Lejonne. 225. - Deux cas de - antérieure aiguë , par Huet et Lejonne, 424. Polynévrite succéd
ejonne, 424. Polynévrite succédant à l'empoi- sonnement arsenical aigu , par Raymond et Lejonne, 154. Polymyosite. Et
par Ré- gis, 68. Psychose. Réflexions à propos de cinq cas de - aiguë étudiés hies- tologiqaement, par Deroulrtix,
- aiguë étudiés hies- tologiqaement, par Deroulrtix, 52. De la - aiguë post-infec- tieuse avec troubles du langage c
71 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lorsqu'éclata la crise première, début de la maladie. DE la PÉRIODE aiguë . L'hystérie, avant de devenir chronique, est le
evenir chronique, est le plus souvent précédée d'une période dite aiguë , qu'on pourrait plus exactement désigner sous le
te émotion est religieuse, la guérison s'appelle miracle. PÉRIODE aiguë DE sainte thérèse. Thérèse eut cette période de
el, nous dit-elle, qu'il semblait qu'on' me déchirât avec des dents aiguës ; on me croyait attaquée de rage. » 30 L'anore
V. Folie chez les jumeaux : deux jumelles atteintes de mélan- colie aiguë ; par Arthur W. Wilcox. (The Journal of Mental
éité du délire chez chacune des deux malades. L'accès de mélancolie aiguë est survenu chez les deux soeurs on peut dire a
de la cellule. Cette altération prévue par M. Klippet dans les cas aigus que cet auteur rapporte put être vérifiée par lui
s aussi de leur caractère habituellement transitoire. L'encéphalite aiguë non suppurée est justiciable d'une même interpr
nclut à l'application curative de la méthode à toutes les psychoses aiguës et aux crises symptomatiques des vésanies chron
Décès survenu le 31 novembre 1901, à 4 heures du soir, par marasme aigu (fig. 34). Dans ce cas suivi de mort, il devena
culièrement sur la cornée de certains aliénés atteints du délire aigu . Ces constatations, non renouvelées depuis, et
assées sous silence dans les plus récentes monogra- phies du délire aigu , m'ont semblé assimilables à celles qu'à présen
me obser- vation,-malade chez lequel la symptomatologie du délire aigu est venue, en même temps que la dépression cornée
'écrit, en effet, Brière de Boismont dans son travail sur le Délire aigu observé dans les établissements d'aliénés {Mémo
dénouant une affection encéphalique, les états stupides, le délire aigu . Même, avec cette interprétation pathogénique,
qu'à la période des grandes dépressions des psychoses, du délire aigu , des encéphalites. - 3° Il y a lieu de distingu
nt de vue du danger de mort dans les états d'encéphalite, de délire aigu ou de traumatisme crânien, soit au point de vue
qui en sont la conséquence. Aussi a-t-on pu dis- tinguer une forme aiguë et 'une forme chronique, cette dernière à la su
rente avec sueurs profuses qui font craindre l'invasion du délire aigu . Couché sur le dos, les yeux habituellement lermé
bservation clinique, conclut fort justement : « C'est une forme non aiguë de méningo- encéphalite. » . Cette observatio
élire hallucinatoire, tel qu'il existe en pleine crise d'alcoolisme aigu , et ce, plusieurs mois après que G... fut soumi
sueurs profuses, rappelant exactement ies accès de l'alcoo- lisme aigu . C'est là un fait qui a été signalé par M. Magn'a
la thérapeutique chirurgicale dans le traitement des psychoses tant aiguës que chroniques. Ce rapport des psychoses avec l
us fréquente au début de l'affection et dans les phases de poussées aiguës . 1 II ne s'agit évidemment pas d'une énumératio
'angoisse rhro- nique ou « attente anxieuse » ; c) Accès d'angoisse aiguë ptii-0- mystique, avec dyspnée, palpitations, s
érisent la névrose d'angoisse : attente anxieuse, crises d'angoisse aiguë , équivalents de crises, phobies et obsessions.
progressive des symptômes de l'obsession. Lorsqu'il s'agit d'accès aigus , ils revè- tent en général la forme anxieuse :
moment, un quartier, dit de traitement, en plein champ, pour les aigus et incurables. L'asile de Blois, qui avait à notr
ncolique qui, au cours d'un premier accès de délire avec phénomènes aigus et confusion mentale, s'accuse d'avoir violé un
rares. - Enfin, on peut observer, au cours de la carcinose miliaire aiguë , l'altération destructive d'zezz grand nombre d
rme consomptive (pneu- monie caséuse). ' , Au début de la période aiguë , ses deux soeurs la soignaient alternativement
ntué. Au moment où on l'examine, il n'existe plus désigne de coryza aigu . Le tic dura trois mois environ et ne cessa que
e folie dans laquelle ce traitement sera le plus utile est la manie aiguë d'ori- ' gine suffisamment récente et sans comp
01-614.) - On a fait davantage, dit l'auteur, pour les cas de folie aiguë que pour les malades chroniques. Il envisage al
ites d'autre part par l'auteur dans le délire au cours des maladies aiguës , tendent à faire considérer ces lésions cellula
dents cliniques qui consti- tuent le tableau du délire des maladies aiguës et la confusion mentale. Considérant que les
hode, en analyse les résultats dans nombre d'affections (méningites aiguës , paralysie générale, tabès, syringomyélie. méni
tait. pour secouer les jambes de son pantalon, et poussait des cris aigus . Arrivé sur le quai de Montebello, il s'arrêta,
auto-intoxication. Le pronostic est favorable dans les cas de manie aiguë et de mélancolie ; il l'est moins dans les autres
Aucun des cas observés ne présente le type de la manie déli- rante aiguë décrite comme apparaissant en même temps que l'
(Noitv. Iconogr. de la Salpélrière, n° 4, 1899.) , Soit à l'état aigu , soit à l'état chronique, les troubles trophiques
Folie chez les jumeaux : deux ju- melles atteintes de mélancolie aiguë , par Wilcox, 153. Voir Arbre généalogique. Voir
chez les tabétiques, par Faui@e et Courten ? oux, 377. Mélancolie aiguë . Voir Folie. Trois cas de avec symptômes d'un
72 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
(Fig. 9). 4. JosE Parada Y S : 1\TIN, 1881. Garçon, mort d'entérite aiguë il deux mois ; pas de membres inférieurs ; deux
e raison, la cachexie tabétique. Enfin il existe des tabes à marche aiguë qui semblent, à quelque époque que ce soit, défie
de la rage paralytique du lapin consistent en une encéphalo-myélite aiguë . Les cellules de Purkinje du cervelet et les cel-
bien eu à 37 ans une attaque, une seule, de rhumatisme articulaire aigu généralisé, mais cela n'a rien changé à l'état
es yeux. La première et la seconde phalanges sont relevées il angle aigu , la dernière phalange est légèrement étendue. L
le formé par le rapprochement des deux premières phalanges est plus aigu . La corde est très nettement tracée et représente
é la « prédisposi- tion rhumatismale » de M. S... C'est son attaque aiguë de rhumatisme arti- culaire généralisé coïncida
a/l1nalisme, p. 101 ; deux cas d'hystérie provoquée par une maladie aiguë (fièvre typhoïde et grippe), p. 436. (2) Leçons
renversées, sa mâchoire en galoche, ses 302 HENRY MEIGE pommettes aiguës et ses joues creusées de longues rides, forment u
ile sous forme paraplégique remontant it l'cïe de deux ans. Poussée aiguë d'atrophie musculaire généralisée en 1892. Ba
cnnno, Contrib. à l'anatomie pathologique de la paralysie spi- nale aiguë de l'enfance. Arch. de médecine expériment., janv
ur les mal. du syst. nerveux, t. I). Ces arthropathies sont souvent aiguës , comportent presque toujours un pronostic fatal ;
premier cas, on a l'impression d'avoir affaire à un processus plus aigu que dans le second. La dissolution centrale de
ste irrémédiable, et la période chronique qui succède à cette phase aiguë n'est pas moins caractéristique. On trouve alor
res précisément oppo- sés à toutes les variétés connues d'arthrites aiguës ou chroniques. Or les arthropathies que nous al
les arthrites vulgaires ; comme ces dernières elles ont l'al- lure aiguë , subaiguë et chronique suivant les cas, sans qu'o
tre sont : la compression brusque ou lente de la moelle, la myélite aiguë traumatique ou spontanée, la section ou l'hémis
de la moelle ou des méninges (tuberculose, sarcome), presque toutes aiguës ou infectieuses. Mais avant d'entrer en matière
longtemps, après avoir évolué à l'instar du rhumatisme articulaire aigu avec mobilité; 2° une forme qui, après avoir dé
° une forme qui, après avoir débuté comme la précédente d'une façon aiguë , s'éternise sous forme d'hydarthrose avec plus
respondent pas chacune à une lésion spéciale de la moelle. 1° Forme aiguë . - J. K. Mitchell relate deux cas d'arthropathies
de, volume avant la mort. Tel peut être le cas de Vincent, myélite aiguë au cours d'un mal de Pott (cité par M. Talamon)
darthrose des deux genoux ; tel encore le cas de Trousseau (myélite aiguë ) : arthrite des deux genoux. L'observation de M
otion médullaire, s'accompagna de fièvre et d'arthrites tout à fait aiguës , non seulement aux membres inférieurs, mais aus
plus atteints que les supérieurs par la paralysie. De cette forme aiguë une variété spéciale quant à la localisation doit
édit de M. M. Roques, père et fils : Arthro- pathie du genou droit, aiguë au début, au cours d'un mal de Pott. (2) Thèse
de la para- plégie. Les arthropathies avaient commencé par le mode aigu en s'accom- pagnant de douleur vive, rougeur et
tive à une myélite grippale : elle passa inaperçue pendant la phase aiguë , mais, quand le malade put se lever, il avait l
es médullaires exposés plus haut. Nous rangerons : 1° dans la forme aiguë l'observation de Hamilton, l'observation 8 de W
llure rhumatoïde, simulant tantôt le rhumatisme articulaire le plus aigu , tantôt le rhumatisme subaigu, tantôt le rhuma-
uise, aussi facile à provoquer que dans le rhu- matisme articulaire aigu le plus franc. Le pronostic est assez grave car
ile d'ajouter que dans les observations d'Alison l'allure fut aussi aiguë que dans les cas d'infection. La variété subaig
aussi n'apparaît-elle qu'assez tardivement contrairement à la forme aiguë . Elle atteint particulièrement la hanche et surto
la hanche et surtout l'épaule, cela se conçoit, tandis que la forme aiguë frappe plutôt le poignet, le coude, la main, le
TRIE NERVEUSE VRAIE 395 que (1). Pourtant le rhumatisme articulaire aigu et le rhumatisme chroni- que sont plus que des
e est seulement pathogénique : ainsi pour le rhumatisme articulaire aigu il n'est pas douteux que l'axe spinal com- mand
t dou- loureux ; ces troubles n'ont jamais traversé une période aiguë , mais ils augmentent par la po- sition décliv
73 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
thie générale. Le père, né de parents goutteux, est mort de myélite aiguë ; à ce moment, l'enfant n'était âgée que de six
est rhumatisante, et a eu une attaque de rhumatisme polyarticulaire aigu . Le grand- père maternel est rhumatisant. Rien
charge motrice paroxystique, Elles se produirait dans les psychoses aiguës sous la forme de semi-rigidités ou de semi- con
représentent des perturbations paroxystiques passagères des folies aiguës ou des stades initiaux des folies aiguës; enfin,
ques passagères des folies aiguës ou des stades initiaux des folies aiguës ; enfin, parce qu'ils fréquentent indistinctemen
ns survenant pendant et SOCIÉTÉS savantes. 113 après les maladies aiguës . Troisième groupe : Idées de persé- cutions emp
ocent Enrcessen (de Fribourg). Sur un cas de rhumatisme articulaire aigu compliqué de paralysie spinale. - Homme de cin-
ngine tonsillaire; le 24, fièvre (+ 390 C.), rhumatisme articulaire aigu généralisé jusqu'au 29. Le 31, fièvre (+ 390 2)
rations histologiques dans les formes traumatiques de l'encéphalite aiguë . - Résultats d'expériences sur des lapins et de
e réseau conjonctif continu. Donc le premier stade de l'encéphalite aiguë ou ramollissement rouge présente des différence
de charité est tout simplement honteux. On trouve aussi que des cas aigus accidentels de folie, au lieu d'être l'objet d"
rts de 8,8 p. 4 00. 11 y a eu 19 transferts aux workhouses; les cas aigus et les agités ont été plus nombreux depuis quel
nie terminée par ta démence avec délire généralisé (1880); - Délire aigu paralytique (1882); - Contribution à l'étude de
sé, en partie probablement sous l'influence d'une affection fébrile aiguë déjà commençante, qui l'obligea à garder le lit
auche, 15. Douleur .sourde conti- nuelle, devenant par moments plus aiguë dans l'articulation de l'épaule gauche ; la mot
y a trois ans. Son père est mort quatre ans plus tôt d'une maladie aiguë . Sa mère vit encore et donna le jour à quatorze
lade. II se voit le plus souvent à la suite de vertiges ou d'accès aigus ; cette forme est la plus fréquente, et beaucoup
Pour lui, la Catatonie est une forme spéciale du délire systématisé aigu hallucina- r toire (A culel' 'hallucinat01'isch
er l'idée. L'état psychique peut se limiter à l'état du t; Wahnsinn aigu ou descendre jusqu'à la démence temporaire véri
ulle toutes les fois que le crime appartient à la période délirante aiguë ou subaiguë d'un accès d'alcoolisme. La res- po
H.). De l'étiologie héréditaire de la paralysie spi- nale infantile aiguë . Brochure in-8- de 80 pages. Paris, 1887. Libra
ur différents points du corps, peuvent don- ner lieu à des douleurs aiguës , lancinantes, analogues aux douleurs fulgurante
s, crises de courbature muscu- luire. - En 1877, crises de douleurs aiguës , lancinantes siégeant primitivement dans la han
ans les premiers mois de 1877, il commença à ressentir des douleurs aiguës dans la hanche droite. Ces douleurs survenaient
t son travail, souffrant toujours de temps en temps de ses douleurs aiguës dans les hanches, et resta sans accidents nouve
ndant près de dix ans. Le malade meurt d'une affection tuberculeuse aiguë intercurrente et, à son autopsie, on ne découvr
la position d'après laquelle l'axe céphalo-rachidien forme un angle aigu avec la barquette. Douzième expérience. Nous fo
i- tion, d'après laquelle le corps s'incline pour former un angle aigu avec la barquette. Cela est très important pour
au corps une inclinai- son qui occuperait la bissectrice de l'angle aigu d'un triangle rectangle. C'est surtout l'axe cé
pas une forme spéciale d'aliénation, elle n'est qu'une verrucktheit aiguë un peu particulière, les troubles moteurs ne so
ion de Lagardelle3 d'un cas de catalepsie consécutive à nne manie aiguë . Ces observations à notre avis ne rappellent que
formes plus graves d'excitation, et en particulier dans le délire aigu , les troubles du système nerveux moteur peuvent ê
ion A la question DE l'influence favorable exercée PAR LES MALADIES AIGUËS SUR L'ÉVOLUTION DES TROUBLES PSYCHIQUES ; par G
male. - Suture frontale ossifiée; le frontal forme en avantun angle aigu ; en arrière la calotte est plus aplatie et forme
vera fréquemment que la folie, dès son début affectera ce caractère aigu qui rendra nécessaire son inter- nement immédia
vernement. Je n'y fais aucune objection. M. Delsol. Si la folie est aiguë , il n'y a pas plus de marche que de phases ! 1
AUTEURS ET DES COLLABORATEURS. Psychiques (trouhles - et maladies aiguës ), par Lehmann, 415. Psychoses (des symptômes de
74 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
délirantes volantes, de Mayser, de la folie systématique (Wahnsinn) aiguë . Quant aux obsessions vraies elles sont absolum
s de la soi-disant catatonie, isolés ou groupés, dans des psychoses aiguës , tels que : la stupeur aiguë la démence aiguë (
isolés ou groupés, dans des psychoses aiguës, tels que : la stupeur aiguë la démence aiguë (celle le plus fréquemment prise
, dans des psychoses aiguës, tels que : la stupeur aiguë la démence aiguë (celle le plus fréquemment prise pour la catato
uemment prise pour la catatonie) -la folie systématique ou paranoïa aiguë (ou plutôt délire systématique dépressif) la mé
us fréquentes que celles qui résultent d'autres affections fébriles aiguës . Les troubles psychiques se reproduisent soit p
THÉRAPEUTIQUE. mais bien plus rarement, sous la forme de psychoses aiguës , fébriles, de longue durée, à issue généralemen
S LE COLLAPSUS CONSÉCUTIF A L'ABSTINENCE DANS LE CAS D'UNE psychose aiguë ; par A. MERCKLIN. (Centralbl. f. N61'venheilk.,
cation sulfurique et diphthérie : morts. 2° Les faits à évolution aiguë (observations de Guyet, Knapp, Uhthoff) par tra
d. v 88 ' SOCIÉTÉS savantes. la marche d'une psychose infectieuse aiguë avec les trois stades connus. J'ajouterai que,
en commun les personnes qui présentent des troubles intellectuels aigus , généralement passagers et curables, et les échan
t-ils pas exercer sur l'imagina- tion déjà détraquée des vésaniques aigus ; ils doivent trembler pour leur sécurité, alors
Voici, selon nous, le remède à cet état de choses. Les psychoses aiguës se rattachent intimement aux maladies internes;
éveloppement des facultés, et ayant eu dans sa jeunesse une maladie aiguë du cerveau, chez lequel on avait constaté des act
ante, ainsi aux mélancoliques, aux mal- heureux affectés de démence aiguë , etc. ' M. OEsEae. La cause de l'excès de morta
liénés des épileptiques sains d'esprit-les troubles intellec- tuels aigus et les psychopathies chroniques des épileptiques
pour les invalides et les infirmes avec divisions pour les maladies aiguës et surtout pour les maladies infectieuses; 7° a
lés nous permet de penser qu'il s'agissait simple- ment de vésanies aiguës dans quinze de ces observations. M. Forel croit
second cas concerne un enfant de deux ans atteint d'hydro- céphalie aiguë fébrile depuis quatre jours. Délire, strabisme, c
nt. § VI. La trépanation pratiquée dans LES cas D'HYDRO- CÉPHALIE aiguë ET CHRONIQUE; par le D`' HAYES AGNEW. {Universi
graine ophtalmique) chez les hystériques, à la façon d'un paroxysme aigu agissant pour son propre compte, ou à la façon
. Depuis l'âge de dix ans, il a eu quatre attaques de rhumatisme aigu : la première à dix ans, dura deux mois-; la deux
me, les abcès cérébraux sont surtout en connexion avec les maladies aiguës ou chroniques de l'oreille interne. Ces abcès
ES altérations DÉGÉNEHATIVES DES CELLULES NERVEUSES dans la myélite aiguë ; par M. Friedmann. (Neurol. Centmlbl" 1891.) D'
9, douleurs gastriques et vomissements. En février 1890, psychose aiguë (délire). Actuellement atrophie des muscles des d
IGUE ; par ZACHER. (Neurol. Ce)t<6., 1891.) Paralysie générale aiguë (trois et quatre semaines de durée), sans encép
emaines de durée), sans encéphalite interstitielle. Forme du délire aigu . Inflammation diffuse de la pie-mère, adhérence
en outre, que les services de Bicêtre ne reçoivent guère de malades aigus , les. aliénés n'y étant pas admis directement, ma
on reçoit directement et indifféremment des aliénés chroniques ou aigus , en Ecosse le placement n'est, en principe, appli
LIN (de Paris), une note sur une forme distincte de maladie mentale aiguë , la confusion mentale primitive. M. Chaslin rap
. Chaslin est la suivante : 11 existe une forme de maladie mentale, aiguë ordinairement, qui n'est ni de la manie, ni de
ans les cas de Sachs et de Gerster, elle fut attribuée à une anémie aiguë . Cette morta- lité, qui est tout à fait anormal
e heures, la salle où l'enfant est placée résonne d'un cri court et aigu que pousse la malade et semblable au cri encéphal
ux furent fatales 1 provenant d'affection cardiaque et 1 d'anémie aiguë . Je suis d'avis que la bande d'Esmarch servira gr
e masculin) ; paralysie générale : 6 (tous du sexe masculin); manie aiguë (généralement d'origine alcoo- lique) : 6 (dont
tion radicale. Obs. III (erreur de numérotage). Folie systématique, aiguë , pri- mitive. Hallucinations de l'ouïe. Délire
se produisant dès la plus tendre enfance, et présentant une marche aiguë , le plus souvent accompagnées de convulsions, m
adultes. M. JOLLY. -Il Il suffit pour cela d'employer les termes : aigu ou chronique, en effet il y a des cas de chorée
d'altération myélitique, même quand elle revêt le masque de myélite aiguë , laisse après elle au delà de plusieurs années,
nées, un processus scléreux. Chez le chien, la myélite artificielle aiguë prend, après une durée de dix mois, un aspect s
, la sclérose dans la moelle se propage exactement comme la myélite aiguë ; à l'état , SOCIÉTÉS SAVANTES. 509 de foyer s
2; - troubles de la parole par accès dans la par Koenig, 100; - aiguë , par Zacher, 275; JolTroy, 313;-et tabes, par P
2; - transmission des , par Schlmss, 73 ; éléments somatiques des aiguës , par Wagner, 87. PTROMAl'OE, rapport médico-l
75 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
ire, comme c'est la règle dans les faits de poliomyélite antérieure aiguë . D'ailleurs, il est malaisé de concevoir une lé
elle est très faible. A la surface externe des cuisses la douleur est aiguë et désagréable. Par conséquent il est important
re et le lumbago d'origine musculaire. Or, il s'agit là de maladies aiguës , fébriles, se traduisant par des douleurs à siè
auront déjà reconnu que cet homme a été atteint d'une poliomyélite aiguë lombaire, éteinte depuis longtemps, et dont il ne
roubles vésicaux et rectaux font défaut. Dans la myélite lombaire aiguë , vous observez, au début, de la paraplégie en m
se cicatrisent sans grande difficulté. Or, dans les cas de myélite aiguë ou chronique avec impuissance motrice complète de
lIivcau t1e l'éininence lliénar, et cela toujours avec des douleurs aiguës faisant pres- que prévoir par leur siège le lie
d'éléments éruptifs. Depuis lors, la malade n'a plus subi de crises aiguës ; les crises qu'elle a ressenties ont changé de
L'avant-bras est fléchi à angle droit sur le bras, la jambe à angle aigu sur la cuisse, le pied venant toucher la partie i
a quitte, à la suite d'une légère attaque de rhumatisme articulaire aigu , pour prendre celle de marchand de nouveautés o
LLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË PAR le D' J. NAGEOTTE, chef des travaux d'a
ont nous allons rapporter l'histoire étaient atteintes d'affections aiguës de la moelle bien différentes par leur étiologie
ensibilité à la piqûre est conservée DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË ? -; s i ? $7 dans la moitié gauche du tronc et
borde la scissure antérieure ; dans DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 329 les cordons antéro-latéraux, tout au pourto
moelle au niveau de la 8e dorsale. DEUX CAS DE. MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 331 raissent être la cause de tout le processus
d'une couronne du corps granuleux. DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 333 La pie-mère, du haut en bas de la moelle, e
veux, ce foyer de myélite rappelle d'une 'façon frappante, à l'état aigu , la dispo- sition des lésions chroniques de la
vésicales, ne s'est pas surajoutée à DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 335 une lésion primitive. Malheureusement le ca
nc pas lieu de surprendre. UNS. II. Myélite transverse syphilitique aiguë . B. Léontine, âgée de 40 ans, blanchisseuse, en
assez pénible d'engourdissement et de fourmillement. Ces accidents aigus avaient été précédés pendant quelques semaines de
récédés pendant quelques semaines de DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 337 phénomènes prémonitoires, portant principal
essentait dans les mollets et dans les chevilles des douleurs assez aiguës , qui survenaient par crises et qui ressemblaient
lasque, sans lésions de l'endocarde. DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 339 Le foie est très volumineux ; il pèse 1800
. PL. lui Ne'; A LUNDI- . PHOIOCOLL FU RTHAUD. MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË Coupe de la moelle. ? BATTAILLE ET C" ÉOITkUR
moelle. ? BATTAILLE ET C" ÉOITkURS DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 341 En dehors de la distension considérable, dé
seaux qui cheminent entre les fasci- DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË C 343 cules des nerfs moteurs oculaires externe
dance de l'altération des vaisseaux. DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 345 D'autre part la forme particulière des lési
ns en face d'un foyer véritablement inflammatoire, dont l'évolution aiguë a mis hors d'usage très rapidement les éléments
philitique, appliquée à la cause anatomi- que de certains accidents aigus de la syphilis médullaire, me paraît donc être,
nt d'incontinence d'urine, par GASrrE, : 3.ïr. Myélite transverse aiguë (deux cas), par NAGEOTTE, 325. Névralgie de l
IiI. Un algésimètre, 41. NAGEOTTE. Deux cas de myélite transverse aiguë , 325. RAYMOND (F.). Hématomyélie du cône ter-
arkinson (Etude morpholo- gique), ti9, 70, 71. Myélite transverse aiguë . Coupes de moelle, 63, 64, 65, 63. Myopathie
76 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
on de Goll, en forme triangulaire nettement mar- quée, avec l'angle aigu dirigé vers la commissure, et le côté droit dir
système nerveux. Que l'on songe aux cas d'éclampsie ou d'épilepsie aiguë par irritation de l'utérus, des intestins ou d'
eilk., 1889.) L'observation I se résume ainsi : névrite infectieuse aiguë du 126 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHO
Psych., XXI., 3.) Observation 1. Homme de vingt-quatre ans; névrite aiguë avec' tachycardie, blépharoptose de la paupière
Observation III. Homme de quarante-quatre ans : névrite alcoolique aiguë caracté- ristique, 1)lépharuptose, nystagmus, t
TUDES relatives ,\ L'ANATOMIE P.1'fIiOLOGIUE DE I'ENC1 : PIL1- lite aiguë ; par M. Friedmann. (Arch. f. Psychiat., XXI, 3.)
oy. Archives de Neurologie, t. XXI, p. 283) traite de l'encéphalite aiguë spon- tanée non suppurée chez l'homme. Le premi
ls, M. Friedmann conclut ainsi : Le processus commence par un stade aigu de deux à trois semaines, les cellules normales
e M. Brignier-Corbeau sur un cas de paralysie compliqué de délire aigu . M. B. Séance solennelle du 27 avril. Présidenc
discus- sions qui ont eu lieu à la séance précédente sur les formes aiguës de la folie; elle tend à démontrer que dans la
pprésse pendant dix minutes. Il se couche, la douleur devient moins aiguë , et le lendemain matin, voulant se lever, il ép
ordinaire de toutes les méningites sans exception, qu'elles soient aiguës , diffuses ou spécifiques. Dans le cas de tumeur
psychopathie récente (délire des persécutions et folie systématique aiguë dépressive). P. Keraval. IV. QUELQUES remarques
à la dose de 2 grammes (mélan- colie et délire général systématique aigu ). M. Vorster compare son action à celle de l'at
ou; changement de caractère de l'animal. L'auteur voit dans les cas aigus quelque chose d'ana- logue aux attaques de para
elativement instruites. M. Bouchereau y a vu beaucoup de vésaniques aigus . La statistique n'en peut donc être comparée en
uéris, des malades que d'autres signalent aux rechutes (alcooliques aigus par exemple). M. Christian fait observer qu'à C
ur expliquer l'excitation. Il a observé lui-même deux cas de délire aigu au début de la scarlatine. Une saignée de 100 gra
tenant. une malade actuellement en convalescence d'une psychopathie aiguë , qui a été affectée d'une amnésie com- plète. A
s que les psychopathies produites par toute autre affection fébrile aiguë . Les troubles psychiques se produisent pendant
s proprement dits; soit, bien plus rarement, des psychoses fébriles aiguës à longue durée. Ou bien ils ne surviennent qu'a
thie persiste encore maintenant. Nous n'avons pas vu de psychoses aiguës comme il s'en montre sous l'influence de la fièvr
toxine, on obser- verait plus fréquemment des cas graves de démence aiguë . Enfin, il semblerait qu'on eût à accuser une m
'a pas d'importance; nous n'avons pas vu non plus de cas de démence aiguë . M. FtscHER signale des troubles vaso-moteurs c
plus atteints que les agités. M. FUERSTNER, - En d'autres maladies aiguës , çà et là, on voit guérir une psychopathie; mai
ent dans le corps de la mâchoire, le bord inférieur de laquelle est aigu et inégal. Le nez est dévié du côté droit; la n
10 h. 8, il est pris d'une attaque. Il devient raide, pousse un'cri aigu , et est agité d'une série de secousses tétanifo
de fortes et nombreuses fibres blanches qui s'infléchissent à angle aigu , vont au raphé et s'entre-croisent en cet endroit
dité, la race qui préparent le terrain psychique; la siticidontvtie aiguë résulte de la manie transitoire, des obsessions
n une surface commune. M. ZACFIER. - Deux cas de paralysie générale aiguë . La première observation concerne un malade qui
des fibres myé- liniques. Discussion. - M. Hertz. C'est un délire aigu . Le trou déchiré postérieur devait être rétréci
jusqu'à ce jour, pas été rencontrée dans les maladies infectieuses aiguës . Assertion à l'appui de M. Fr. Schultze. M. FR.
otablement accrues et, parmi'elles, les obser- vations de psychoses aiguës ou curables, depuis, par conséquent, que le car
ut impossible de s'en- dormir, tourmenté qu'il était par la douleur aiguë et «déchirante» suite de c l'accident». A la
phale, dégénérescence kvstique de l ? par Piclç, 129. Encéphalite aiguë , par Friedmann, 132. Epilepsie, corticale, pa
77 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ne ne met en doute l'irresponsabilité dans les cas d'accès de manie aiguë ou subaiguë, de paralysie générale, de mélancolie
as; après avoir'discuté pour les'éliminer, les diagnostics de manie aiguë ,' de mélancolie,- de paranoïa aiguë,' montre en r
miner, les diagnostics de manie aiguë,' de mélancolie,- de paranoïa aiguë ,' montre en rap- pelant dans ces principales li
causes nocives, telles que, les blessures céphaliques, les maladies aiguës , etc., occupent, un "rang*, .inférieur, ,, quant
mentale;'i)'en serait' autrement dans les cas d'affections du coeur aiguës : Dans celles-ci i des recherches ont été faite
e Des chalets sont construits en dehors pour, les ,cas de manie;, aiguë ? pour, l'infirmerie et les convalescents. La ten
puis* la s'yringomyélie'(F. Schultze)' jusqu'à a5la; polyrièûrite \ aiguë (Rosenheim) ? depuis l'ataxie (Oppenheim-Siemerli
UCHES POUR SERVIR A L'ÉTUDE DE-LA CONFUSION MENTALE 'HALLUCINATOIRE AIGUË par H. HOPPE. (Archiv f. Psychiat., XXV, 1.) ,
ue de laquelle il résulte que : la confusion mentale hallucinatoire aiguë est la plus fréquente des perturbations intelle
tes de. , couches (63 p. 100). C'est d'ailleurs le type de la folie aiguë des jeunes REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 137 '
ainsi'répartie : ? '' " <--> a. Mélancolie 'hypochondriaque' aiguë avec une semi-léthargie 1 et stupeur; elle s'es
GIE NERVEUSE. 141) OBSEdV.1'l'101\ II. - Frisson initial, accidents aigus et subits,symp- tômes cérébraux : obtusion ment
musculaires, névrite optique; illusions et hallucinations; démence aiguë . Hémoptysies, hémorrhagie intestinale, mort onze
v f. Psychiat., , -- XXIV, 3.) . Quatre observations de paralysie aiguë de Brown-Sequard, autre- ment dit hématomyélie,
aires. P. K. XVIII. Contribution A la connaissance DR l'encéphalite aiguë primi- TIVE hémorragique; par Bucklers. (Archiv
chronique REVUET DE 1 PATHOLOGIE t NERVEUSE : · 189 mais parfois aiguë . ;La convalescence ! est- marquée par. derla dé-
ectique, il y avait dans la plupart des observations,' une néphrite aiguë ; cette néphrite, en élevait considérablement la
connaisse. II tl réussit dans les formes e 1 ieux éncôre,dârïs lés, aiguës . Il n'y a guère d'individusjqui lui soient réfr
asses se forme actuelle- ment. 37ela 3M ? 1 ! UH Les cas de folie aiguë et curables, les malades infirmes sont tous pla
rmes d'aliénation mentale.' Fréquente et habituelle dans les-folies aiguës ,' elle est'rare ou même manque complè- tement d
d'autres cas, par exemple dans' la' période' fébrile 'des maladies aiguës . Il est permis de se demander, si, dans toutes
nifestation . ? «.. ' 6 '171Y J1 br ,1 .iiIim b1 I· 1 7 Ju JL L V aiguë d impaludisme, est expose a avoir.rapidement.du«d
l'a- conduit aux conclusions suivantes : ' . Io Dans la mélancolie aiguë ou chronique,' y a une diminution '' U ? , RE
-trouvé aussi , une, variété(ide manie, ide mélancolie, fde démence aiguë que l'on; peut qualifier-d'lallucinaloire ? Innun
ystématique d'unes part, i. et, la mélancolie, la manie, la démence aiguë d'autre part; on rencontre'une série'de formes,
"ut' ' i't'' ' . O'Ut -ti N- J' ? ji. '' I ' ? ' t LXIX. Mélancolie aiguë ^tentative DE SUICIDE par introduction d'une ai
sée(par^ l'aiguille ? -a La^malade' était ^atteinte « de mélancolie aiguë , et il. s'agissait. d'une tentative de suicide. ,
systématisation, idées hypo- condriaques, ,déliie,lïallucinâtoire,, aigu ) ? Ti;xâminonsTméillo- diquement ces divers poi
tomatiques, grince des dents. C'est au cours de cet accès délirant, aigu , qui montre, dans un cas où l'alcoolisme ne sau
ements dû système nerveux,- comme dans la pneumonie ou Ja pleurésie aiguës . T. DrOn peut aussi, expliquer, la manie`par de
ie grave,* dont les ma- nifestations ressemblent à celles du délire aigu et'qui fréquemment a une évolution défavorable,
de stupi- dite symptomatique^de l'épuisement, ou encore de démence aiguë -11 primitive, curable, la menstruation a dispa
u moment de la convalescence; 3° dans les psychoses intellectuelles aiguës /Ia menstruation semble net-pas revêtir de' form
la*. iiienstrua-- tion reste toujours régulière; dans l'exaltation aiguë ou suraiguë la menstruation cesse; -, Dans les
La menstruation dévie de la'normale quand il se produit un épisode aigu passager, quelle qu'en soit la cause, qu'il soi
rophie musculaire progressive, paralysies consécutives aux maladies aiguës ou infectieuses); 3° maladies de l'encéphale (c
raniens, paralysie générale); 4° névral- gies et névrites (migraine aiguë et chronique, névrites périphériques, sciatique
du- ? d'origine sympatliique, par Piqué et Febvre, 140. " Démence aiguë post-typhique asso- ciée iL la. polynévrite, pa
ysème généralisé de la peau, par Kellner, 215. ;' ? - Encéphalite aiguë primitive, hémor- rhagique, par Bucklers, 152.
églas et Sourdille, -\ 46 ; le sang dans la , par Steele, .' 288; aiguë avec,tentative de sui- a.· cide,' par Brame-Har
tractilité, par Rousseau, 439. - ? : a . v , Polynévrite, démence aiguë post- typhique associée à la , par Hoevei, 14
78 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
pourquoi l'enfance est l'âge de prédilection des maladies convulsives aiguës et chroniques; pourquoi les affections cérébrales
et la colonne vertébrale peut décrire un angle droit ou même un angle aigu . Un exemple de cette disposition nous est offert
met de l'angle décrit par le rachis. Cette pièce représente une arête aiguë produite de cette manière; le malade n'avait poin
orme. Le plan tangent aux deux condyles de l'occipital forme un angle aigu avec l'axe du cou ; il y a eu rotation de la face
h. Le torticolis produit par des lésions de l'appareil locomoteur est aigu ou chronique, osseux ou musculaire ; celui-ci, à
; la portion lombaire de l'épine forme alors avec le bassin un angle aigu d'un côté, obtus de l'autre côté. La région lomba
51, Gotha, 1796. ture des extrémités, qui se présente sous la forme aiguë ; les pieds sont portés dans une telle adduction
q ans ; à cette époque, elle fut atteinte d'un rhumatisme articulaire aigu , qui passa à l'état chronique. 11 en est résulté
-huit ans, est atteinte d'un pied bot varus équin, suite d'une fièvre aiguë avec délire survenue à l'âge de sept ans. La para
e l'angle droit. Enfin, dans le troisième degré, cet angle devient si aigu que l'axe du pied est bien près d'être parallèle
a contracture hystérique, la contracture rhumatismale, la contracture aiguë des enfants, des nourrices, etc., pourraient en i
flexion jusqu'au point où la sandale forme avec les montants un angle aigu . Il faut toutefois éviter de tomber dans un excès
e ou dans un plan opposé. Les uns se servent d'un ténotome à pointe aiguë pour traverser la peau et diviser le tendon; d'au
les cas ordinaires, cette inflammation est peu intense et n'a rien d' aigu . Ses symptômes sont : un léger gonflement dans la
e idiosyncrasie, d'un état cachectique, de la scrofule, d'une maladie aiguë intercurrente. C'est ce qui vient de se passer su
é; le pied a une direction parfaite; il pose bien sur le sol. L'angle aigu , que l'articulation tibio-tarsienne présente sur
au bout de ce temps, la flexion du pied n'arrive pas encore à l'angle aigu . On cesse alors tout traitement jusqu'en 185i; da
le pied était complètement redressé et la flexion se faisait à angle aigu . En juin 1855, je constate que la guérison se mai
des mouvements est presque normale; ce garçon fléchit le pied à angle aigu , et il l'étend de manière à pouvoir marcher sur l
rcher sur la pointe du pied. La flexion atteint un angle un peu moins aigu qu'à l'état normal; la plante du pied a sa concav
elles. Son col devient horizontal, quelquefois même il forme un angle aigu ; le grand trochanter est dirigé en arrière ; la
chitisme se développer à la suite des maladies éruptives, des fièvres aiguës , des entérites et autres affections du tube diges
laissent tomber de côté et d'autre. C. Pujol (2) a parlé d'un état aigu du rachitisme ; cet état est réel et paraît lié à
1802, et Boyer, Maladies chirurg., t. III, p. 626, 1814. D. L'état aigu est accompagné d'une fièvre d'abord passagère. pu
flexibles, presque sans douleur, ce qui fait supposer que la période aiguë est passée. IVe cas. — Voici un cas bien différ
levée, le corps mince et grêle. La simple convalescence d'une maladie aiguë , à fortiori la débilité qu'entraîne une maladie c
onne lieu à une véritable lordose cervicale. Mais c'est une affection aiguë dans laquelle la difformité, l'inclinaison de la
s. La contracture du dos et des lombes est fort rare, même à l'état aigu , lorsqu'elle ne dépend pas du rhumatisme; je ne m
tudes physiologiques que j'ai décrites. On la voit dans le torticolis aigu , le lombago, la pleurodynie, dans un grand nombre
pe, celle qui suit la marche régulière, comme on dirait d'une maladie aiguë , n'est à son début et longtemps après qu'une simp
s l'un de l'autre; leurs directions prolongées se joindraient à angle aigu ; l'équilibre n'est pas rétabli par la courbure d
d'une espèce assez rare, en ce que la scoliose forme presque un angle aigu comme la courbure du mal vertébral (1). Ces trois
s le service de mon excellent collègue, M. Blache, pour une bronchite aiguë , dont elle est bien guérie. On a observé dans le
soient pas trop froids l'hiver; j'ai vu des rhumatismes articulaires aigus causés par l'oubli de cette précaution. La disp
79 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
er ainsi progressivement d'un degré, de façon à arri- ver aux notes aiguës , faire sortir les sons de la gorge en ouvrant b
Par ccsexcicices l'enfant arrive à gagner une ou deux notes dans l' aigu et même davantage sans le concours de la voix d
e but d'éviter le transfert de malades sous le coup d'une affection aiguë , de même que nous prenons la température à l'en
1) pour savoir si l'en- fant n'est pas sous le coup d'une affection aiguë , con- tagieuse ou non. Maladies infectieuses.
nes. En 1899 l'un do nos internes, M. Foulard, s'était Affections AIGUËS . LXXI intéressé vivement aux enfants atteints d
un rapide résumé de sa pratique pendant l'année 1902. Affections aiguës des y eux observées dans le service au cours de
servées dans le service au cours de l'année. - Parmi les affections aiguës nous en retiendrons deux seulement, la conjonct
chronique ou subaigue à diplohacille de Morax et la conjonctivite aiguë à bacille de Weeks. ('onjol1 cti vi tc chl'on i
ion muco-pl11'ulcnte abondante. Mais il s'agit ici LXXII Affections aiguës . d'une conjonctivite chronique à symptômes très
ctions aiguës. d'une conjonctivite chronique à symptômes très peu aigus et qui, dans la plupart des cas, n'attirent cer-
nd, clc temps en temps, une conjonctivite revêtait des allures plus aiguës , l'enfant nous était conduit. C'est ainsi que n
que nous avons pu en observer 16 au cours de l'année. Affections aiguës . LXXIII La lutte contre cette affection, essent
un fait que nous espérons éluciderpro- chainemenl. Conjonctivite aiguë : 1. bacilles de 1'eelas. Les allures de la con
ite aiguë : 1. bacilles de 1'eelas. Les allures de la conjonctivite aiguë à bacilles de Weeks sont bien différentes. Ses
acilement en colère et sans aucun motif. Les cris qu'il pousse sont aigus et de longue durée, capables d'éveiller l'atten
ssent plus vraisemblable- ment être sous la dépendance de processus aigus et termi-. naux; les caractères de ces altérati
fort, intelligent, mort a vingt-sept ans d'une affection pulmonaire aiguë , probable- ment de nature tuberculeuse. Il s'ét
egrés. Canines de lait. Prémolaire permanente normale, pointes très aiguës . Première grosse molaire en cours d'évolution.
La partie antérieure est proéminente, le ster- num faisant un angle aigu de 25 degrés environ avec la verticale. Les côt
, sautille comme une chèvre, elle pousse parfois des cris perçants, aigus ; d'autres fois elle grogne, mugit. Elle présent
ntairement à terre, il choisissait un endroit présentant des angles aigus ou des cailloux tranchants. 28 novembre. - Ch
e le tronc, les avant-bras repliés sur le tronc, les mains iL angle aigu sur l'avant-bras; les pouces fléchis transversa-
80 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
ivement du côté de l'avant-bras ou de la jambe, en formant un angle aigu , ce qu'il n'est pas possible de faire avec une
de syphilis; en 1892, il fait une fièvre typhoïde avec une psychose aiguë . La famille est bien porlante. I tumeurs DE la
cinomatose vertébrale qui se développaient sous l'aspect de myélite aiguë transverse. Ballet et Barbé ont décrit un cas o
NE VERTÉBRALE 79 où la paraplégie avec des symptômes d'inflammation aiguë de la moelle est apparue un mois après le début
début de la maladie. Mais il faut bien se rappeler que les myélites aiguë ou subaiguë peu- vent résulter d'une intoxicati
n constate uniquement les symptômes médullaires. Même la paraplégie aiguë peut constituer le premier symptôme morbide. Qu
e en conclut qu'au cours d'une carcinomatose générale une affection aiguë de la moelle peut naître sans qu'il y ait une loc
orts avec son mari pendant un état plus ou moins grave d'alcoolisme aigu . Suivant la coutume des gens de son pays, il pr
ités était analogue à celle que l'on rencontre dans la poliomyélite aiguë des enfants : en d'autre termes, il s'agissait
eux-ci n'ont débuté que plusieurs mois.après les premiers accidents aigus paralytiques 42 MARCHAND et convulsifs : ils
tologie et une marche sem- blables à celles des accès mélancoliques aigus . Nous les attribuons à des lésions corticales d
vons rencontrées chez plusieurs sujets atteints de troubles mentaux aigus . A cette inflammation cérébrale diffuse s'est ass
e avec celui de M. André, du moins en ce qui concerne les accidents aigus . Dans l'observation de M. André (1), il s'agit d'
eau ne correspond pas à celui qu'on rencontre au cours du processus aigu d'inflammation ou de dégénérescence. La colorat
uement, le bon état général, tout parlait en faveur d'une affection aiguë on subaiguë inflammatoire de la moelle. Il nous
l nous semblait qu'il s'agissait dans ce cas d'une forme de myélite aiguë ou subaiguë. L'autopsie démontra la présence
llustres faisaient dans des cas semblables le diagnostic de myélite aiguë ou subaiguë, d'abcès extraduraux, de sclérose en
e tableau clinique se dé- veloppe rapidement en simulant ta myélite aiguë . La période de paralysie de cause médullaire ne
sychoses foudroyantes ou suraiguës, couramment dé- nommées « Délire aigu ». L'autopsie est muette ou peu s'en faut dans ce
un premier fait à retenir, le cerveaudes aliénés morts de dé- lire aigu dans l'espace d'une semaine environ après le débu
altérations considérables de ses éléments cellulaires, altérations aiguës du protoplasma qui révèlent un métabolisme énorme
ces précoces, la folie maniaque-dépressive, l'amentia,les psychoses aiguës pures, les psychopathies, etc. Au second grou
dans d'au- tres affections mentales, sans compter les inflammations aiguës spontanées ou expérimentales. Si, d'une part,
u- cune valeur. Nous sommes donc obligés de nous adresser aux cas aigus ou suraigus, qui n'ont que quelques jours, une
rein ou des autres organes du corps humain. Dans ces cas de délire aigu transitoire, la maladie éclate le plus souvent
vrites lépreuses; il redoute surtout l'accès de fièvre des poussées aiguës ; mais, en dehors de ces accidents passagers, son
isage. La mâchoire inférieure est bien développée et forme un angle aigu et fort proéminent. La.\supérieure est peu dévelo
hacun des condyles latéralement et inférieurement présente un angle aigu ; les condyles sont des deux côtés bien plus gran
est considérablement déformée ; les condyles se présentent à angle aigu ; les épicondyles sont des deux côtés bien plus
quatre mois après l'ulcère dur, fut pris de symptômes de méningite aiguë , qui s'améliora avec une rapidité remarquable sou
loureuse qui aurait été considérée comme du rhumatisme articulaire aigu ; de- puis, elle n'eut plus aucune crise de ce
rigide,- très marquée. Le sommet de la courbe, qui est plus rond qu' aigu , est constitué par les apophyses transver- ses
tumeurs intramédullaires affectent plutôt le tableau d'une maladie aiguë ou subaiguë quoique là aussi peuvent exis- ter
sité moyenne des douleurs, un tableau clinique rappelant la myélite aiguë ou subaiguë, le type ascen- dant des symptômes
'expliquer assez facilement. Au cours d'une hydro- céphalie interne aiguë , il se produit non seulement une infiltration du
le et d'excellente santé; deux sont morts en âge adulte de maladies aiguës ; les deux autres (adultes aussi) sont encore vi
mais relevée, et ce qui la caractérise c'est son insertion à angle aigu en rapport aux os frontaux dont les arcades orb
ïdes ; cependant, de temps en temps, elle est un peu 'aigrelette et aiguë tout en étant caractérisée, en général, par une
ades orbitaires et formant avec le front un angle relativement très aigu . L'examen du nez, par le spécialiste, n'a montré
phalangiens forme souvent avec l'axe normal un angle plus ou moins aigu . Les lésions anatomiques décelées par la radiog
les affections des os les plus variées (fi,act2ties,inflam- mations aiguës ou chroniques) ; l'atrophie ne se limite pas à l'
infections foetales sont fréquentes, non seulement les septicémies aiguës d'origine maternelle, mais encore l'envahissement
M. Delamare dans plusieurs mémoires (En particulier : ÉpendYlllites aiguës et subaiguës, Soc. de Neurologie, 14 février 19
. On les rencontre à un degré très marqué dans des cas d'épendymite aiguë ou subaiguë où l'infection et les phénomènes in
e devant les yeux. Quand on a affaire a des maladies très récentes, aiguës , ou au contraire très anciennes, en rencontre d
es, l'absence nuc 45 678 ETTORE LEVI de poils, la voix grêle et aiguë , le retard léger de la seconde dentition. D'aut
L'enfant a présenté il y a quelques années une infection pulmonaire aiguë . Actuellement elle n'a aucun signe net de lésio
81 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
te dans le système nerveux central sont cons- tatables dans des cas aigus de trypanosomiase, et dans ses formes chroni- q
us de trypanosomiase, et dans ses formes chroni- ques. Dans les cas aigus , qui sont principalement caractérisés par la pré-
S mine l'apparition des signes cliniques d'une méllingo-encéphalite aiguë , rapidement mortelle. Les autopsies des malades
vité du pronostic, les malades qui sur- vivent aux formes nerveuses aiguës de la trypanosomiase étant bien rares. La mort
s consé- cutives aux processus méningo-encéphaliques des infections aiguës , que ré- sultaient les syndromes nerveux chroni
des processus inflammatoi- res chroniques, non précédés d'incidents aigus . On ne pourrait, du reste, harmoniser autrement
s de la trypanosomiase avec la haute léthalité des formes nerveuses aiguës . Il est certain que l'anamnèse décèle, parfois, d
s les cas nerveux chroniques, l'existence antérieure des phénomènes aigus , survenus géné- ralement aux premiers âges de l
petit nombre, vu l'extrême gravité des formes méningo-encépbafiques aiguës . Les formes nerveuses chroniques de la trypanosom
les- quelles nous divisons la maladie. La léthalité, dans les cas aigus , ainsi que nous l'avons vu, est repré- sentée p
ls arrivent môme à la vieillesse; ils meurent alors d'accidents sur aigus de la trypanosomiase. - Observation. Observat
dorsales 6, 7, 8, 9, 10 ; aux mêmes endroits il éprouve une douleur aiguë lorsque, dans la position assise, on appuie sur
ussi en contraction et la malade émet des cris, deux ou trois notes aiguës , mais elle ne prononce jamais un mot. Quand l
t de dehors en dedans en formant avec la diaphyse fémorale un angle aigu ouvert en bas. Sur l'os normal, cet angle est o
ées et parfois parfaitement inconnues, peut présenter des symptômes aigus dont le diagnostic ne donne-pas lieu, en généra
ment une exagération des réflexes superficiels, ahsents dans l'état aigu de la maladie, tandis que les réflexes rotuliens
ûmes plus facilement éliminer le soupçon d'une pa- ralysie bulbaire aiguë , due à des ramollissements par thrombose ou embol
e leurs branches, ou encore une forme de poliencéphalite inférieure aiguë . Dans ces cas l'ictus apoplectique souvent comm
- nique de mon cas se détache complètement de la paralysie bulbaire aiguë des enfants. C'est d'autant plus vrai, qu'en ce
ossibilité diagnostique, et exclure pour cela la névrite bul- baire aiguë . Il suffit cependant d'avoir simplement montré ce
ade, sont des faitsexcep- tionnellement rares. La paralysie spinale aiguë ascendante (forme de Lan- dry), qui a beaucoup
ent (2) a communiqué le cas d'un malade chel lequel un rhuma- tisme aigu fut suivi d'une thyroïdite. Après quelque temps i
ême temps une sensation subjective de froid très vif et de douleurs aiguës quand elle touchait l'eau froide. Depuis le com
hez une folle, Revue neurologique, 1902, p. 599. 9. EMERY. VIlit(qo aigu lié au développement d'une 11/ ! v/I{e yirthlzéri
t Ii'reuch, que l'oedème s'étendait plus loin, avec des intervalles aigus . On trouve signalé que l'oedème était assez dur o
French. OEdème persistant héréditaire des jambes avec exacerbations aiguës . Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1908.
nale, il est plus exceptionnel encore de constater les phéno- mènes aigus presque immédiatement après l'opération. On serai
- tation, de telle sorte que ces circonvolutions décrivent un angle aigu ouvert en bas. L'examen du fond de la cavité,
yant vraisemblablement comme origine une polioencéplialate inférieure aiguë ancienne. Société de Neurologie de Paris, 11 ja
natomie pathologique on peut retenir : une néphrite parenchymateuse aiguë , et dans la cavité crânienne, une pachy- lepto-
ture de l'écaille de l'occipital qui apparaît sous forme d'un angle aigu d'environ 70° (PI. LXX, fig. 2). Plus en avant, l
uleurs dans le corps, surtout aux membres inférieurs, parfois assez aiguës . Il y a aussi de la céphalée. L'examen des ye
ilis, la tuberculose, ou bien être le reliquat de quelque infection aiguë ancienne, ou les suites de quelque intoxication c
laments de fibrine sont d'observation courante, dans les méningites aiguës (tuberculeuses, cérébro-spinales) ; ce fait a été
82 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
qui rappelle assez bien ce que l'on désigne sous le nom de démence aiguë . IIammond note, en passant, la ressemblance qui
nétrantes de la poitrine; - 3° Signes et diagnostic delà péritonite aiguë ; anthrax; 4° névralgie faciale; signes et dia-
le trajet des nerfs. III. ANESTUIiSIli ET RHUMATISME AItTICUI.AIRli AIGU . Les auteurs de {'Iconographie photographique d
riques. La coïncidence de l'hystérie et du rhumatisme articulaire aigu n'est point rare ; Briquet l'avait déjà notée e
ssitait '. Nous avons observé une attaque de rhumatisme articulaire aigu qui nous paraît intéressante au point de vue de
spé- ciale n'ont pas été modifiées par le rhumatisme articulaire aigu ; la vue, l'ouïe et l'odorat n'ont subi aucune mod
moment la température ne monta plus au dessus de 38°, et la période aiguë de l'attaque de rhumatisme put être considérée
le, nous avons voulu surtout montrer qu'il s'agissait bien d'un cas aigu avec douleurs vives, et une élévation considéra
192 a ' z REVUE . CRITIQUE.' «. t cret; l'aliéné frappé de manie aiguë se donne la mort avec une sorte d'instantanéité
amélioration intellectuelle a persisté. R. DE M. C. VIII. Démence aiguë chez UNE JEUNE femme. MORT par PUTHISIE PULMONA
of mental Science, n° de janvier 1881, p. 554.) Les cas de démence aiguë paraissant toujours participer plus ou moins de
hémie pulmonaire. Contribution à l'étude de la paralysie ascendante aiguë , par le professeur SCHULTZE (d'Heidelberg). Le
probablement un sarcome. Contribution à la connaissance de la manie aiguë , par le Dr Wrr- sowsax (de Strasbourg). Sous ce
organes génitaux; il rapporte plusieurs observations d'affec- tions aiguës de la vulve du vagin de l'utérus, et d'affections
b- serve en dehors des asiles dans un certain nombre d'affections aiguës ou chroniques, dans la convalescence de la fièvre
ocomotrice, etc., etc. ; dans certaines intoxications, l'alcoolisme aigu et chronique, le saturnisme. (Vingt-deux observ
trantes de la poitrine ; 3° Signes et dia- gnostic de la péritonite aiguë ; anthrax; 4° Névralgie faciale; signes et diag
illet, 5; - août, 14. Les accès ont été suspendus durant la période aiguë de l'éiysipéle.(22 avril 4 mai). Autopsie le 27
es, une sensation de tension oculaire ont fait croire à un glaucome aigu . Après un temps variable de quelques minutes à
tellaire fait égale- ment défaut dans les polyomyélites antérieures aiguës ou chroniques. Au contraire, les phénomènes ten
aralysie générale. BERGERON Folie de la puberté. BRIAND : Du délire aigu et de quelques altérations du sang dans le délire
Du délire aigu et de quelques altérations du sang dans le délire aigu . Pu cacheté : De l'hérédité dans le crime. Deux
ne exclusif de la paralysie générale par Lau- tac, 21s. Démence aiguë chez une jeune femme, moi par phttiisic pul-
pré- sente sur le développement des) par Jewell, 21 î. î. Manie aiguë , 212 Métalloscopie, métallotbérapie, a;s- 1),
ralysie agitante guérie, etc., par Mann, 95. Paralysie ascendante aiguë , 'i0, Paralysie du nerf pnuiimogastiiqiie, pa
83 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
e cinq ans, fut alitée à cette époque par suite d'une maladie grave aiguë ; nous remarquons, sans y donner grande importa
L'auteur considère ces symptômes comme les restes d'une encéphalite aiguë d'une localisation supra-nucléaire. Les cas de
as appartenant à cette catégorie il s'agit d'une méningite bulbaire aiguë qui ne dure pas plus de quelques jours, mais pr
le même auteur, correspond à une évolution pathologique récente ou aiguë : le corps de l'élément est gros, de forme sphé
dales : aspects rapportés généralement à une évolution pathologique aiguë ou récente ou à un processus ancien ou chronique
ont la garde peu développée et les deux branches sont à angle très aigu l'une sur l'autre; sur un autre quelques croche
mère la même année, mais il fut en même temps atteint d'une fièvre aiguë . Je fus mandé par la femme auprès du malade que
stitiels ne se fait pas avec la même régularité que dans les formes aiguës ou subaiguës. - En résumé, les travaux récents
araissent d'autant plus courts qu'ils restent fléchis à angle assez aigu sur le bras et qu'au pli du coude les parties mol
s ou moins fermé sur le bras avec lequel il forme toujours un angle aigu . La flexion de l'avant-bras est le mouvement le m
D. SAVILL (de Londres) (1) A une malade se plaignant de douleurs aiguës , chaque fois qu'elle levait le bras au-dessus d
le transmetteur télégraphique ; ce mouvement détermine une douleur aiguë . Généralement cette douleur débute par l'épaule,
Congrès 1900, Sect. anat. path. Nature et traitement de la myélite aiguë . Congrès 1900, Sect. neurol. · TUMEUR CÉRÉBRALE
68 ans. Il n'a jamais fait, il la connaissance du fils, de maladies aiguës graves. Mais il est sujet à de fréquentes attaque
âle. De plus, ' par les temps froids, ils sont le siège de douleurs aiguës . Mais cette asphyxie locale n'a rien à voir ave
, l'autre d'une mère ayant présenté à l'autopsie une dégénérescence aiguë du foie et des lésions rénales de nature toxiqu
terne, dont la lente évolution, entrecoupée de crises paroxystiques aiguës , de rémissions, de longues périodes d'accalmie
rappelle celui des cellules ob- servées dans la paralysie infantile aiguë arrivée à la période de cicatrisation définitiv
JOFFROY et Achard, Contrib. à l'anat. pathol. de la paralysie spinale aiguë de l'enfance. Arch. de médecine expérim., 1er j
rculose aux sommets. Le coeur présente des lésions de péricardite aiguë sans épanchement liquide. Tous les orifices val
rite que sa brièveté. » On aurait pu donner le nom de t1'ophoedèmes aigus , ci tous les oedèmes qualifiés de név1'opathiqu
acre un long chapitre il sa description. A côté du véritable oedème aigu circonscrit de Quincke, et en outre des formes
hen Neurosen, 1901. (2) On a aussi décrit des héréditaires d'oedème aigu circonscrit (Ricochon. Osier, etc.). ). SUR L
le avoir débuté assez tardivement et avoir été précédée de poussées aiguës d'oedème rouge. Ce fait a été constaté dans plusi
trophoedème chronique peul être la résultante d'une série d'oedèmes aigus circonscrits. La malade de M. Mabille présente
em- bres demeure dans les mêmes proportions. Deux fois, une maladie aiguë a troublé momentanément la santé d'Alice : la c
ts nerveux médullaires réalisée par tous ces processus destructifs, aigus , subaigus ou chroniques, qui donnent lieu à autan
qui, se- lon les cas, serait une affection héréditaire, familiale, aiguë ou chronique. DEUX CAS D'HÉMJl-JYPERTHOPHOE C
ait été rehaussé. En particulier, il existe une crête saillante et aiguë sur le bord externe du condyle externe, déborda
ia. Là aussi, les bords des surfaces articu- laires sont saillants, aigus , rehaussés, et présentant çà et là des pointes ai
sont saillants, aigus, rehaussés, et présentant çà et là des pointes aiguës en dent de scie ; il en résulte que le contour
éroné (face antérieure). sement du rebord osseux autour ( osseuse aiguë et crenelée. ANKYLOSES GÉNÉRALISÉES 525 L'ext
acérébrale (8 fig.), 4. KOLLARITS, Un cas de paralysie bulbaire aiguë chez un enfant (2 fig.), 11. Lannois. Dermograp
84 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
r d'intensité dans les membres supérieurs. Elles sont devenues très aiguës dans les mains surtout. Elles redoublaient tous
cilité chez les sujets normaux et le pied se place aisément à angle aigu sur la jambe. Il est complètement impossible au c
celui-ci dans une position telle qu'il fait avec la jambe un angle aigu ou- vert en avant. Chez nos malades le pied ne
uivants : 1° Paralysie spinale infantile, Poliomyélite antérieure aiguë (Kussmaul), Myélite aiguë des contes antérieure
nale infantile, Poliomyélite antérieure aiguë (Kussmaul), Myélite aiguë des contes antérieures, Paralysie spinale atrop
Myélite aiguë des contes antérieures, Paralysie spinale atrophique aiguë , Paralysie essentielle des enfants, Ces cas s
f. Nerven- heilk., 1893, t. IV. p. 299. Déjerine. - Poliomyélite aiguë infantile ancienne accompagnée d'une myopa- thi
lente ne soit pas agrémentée de temps à autre par quelques poussées aiguës ou subaiguës. Jusqu'ici, il n'a été question qu
jamais à craindre les complications ou les dan- gers des arthrites aiguës , septiques ou suppurées : pas de fistules, pas d'
athie pourrait être le point de départ de phénomènes inflammatoires aigus . Les accidents de ce genre ne sont pas rares, m
xemples précédents on peut dire qu'il s'agit d'une h ! ldarlll1'ose aiguë , d'ailleurs sans rougeur ni sans douleur locale
s à la suite de ces accidents. En janvier 1894 il ont une bronchite aiguë avec fièvre et délire ; 8 jours après le début
nue sans cause ap- préciable, spontanément au cours d'une bronchite aiguë . Elle est réduc- tible Ù volonté ; on peut la p
n péritoine. Comment expliquer les atroces douleurs des péritonites aiguës , si le péritoine n'est pas pourvu de terminaiso
on essentiellement chronique, ou passagère- ment coupée de poussées aiguës , des arthropathies syringomyéliques peut être b
mes difficiles à reconnaî- tre, môme pour un esprit prévenu : forme aiguë , simulant l'arthrite rhu- matismale ou blennorr
t ter- miné en quelques heures. Dans l'intervalle de ces poussées aiguës , il gardait seulement une gène légère des mouve
revêtent deux types bien distincts : l'arthropathie tropho-suppurée aiguë , l'arthropathie tropho-suppurée nécrotique. La
uréthrite, cystite, pneumonie. En somme, l'ar- thropathie suppurée aiguë relève certainement de microbes très différents
hropathies tropho-suppurées a, moins que leur forme tropho-suppurée aiguë , forme que nous venons de décrire, attiré l'att
grande articulation, à la suite d'une arthropathie tropho-suppurée aiguë devenue fistuleuse : il en fut ainsi dans un ca
ère les arthropathies étaient survenues dans le cours d'une myélite aiguë de nature indéterminée, et avaient survécu à cell
ivie d'un résultat parfait et durable. Dans la seconde, une myélite aiguë s'était dé- veloppée dans le cours de la grippe
spèce désignée par nous sous le nom d'arthropathie tropho- suppurée aiguë , ou de celle que nous appelons arthropathie troph
tropho-sup- purée nécrotique. Dans l'arthropathie tropho-suppurée aiguë , la nécessité constante de l'intervention ne pe
85 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
ue ancien. A 52 ans, pleurésie séro-fibrineuse, suivie d'une ascite aiguë avec oedème des membres inférieurs, qui fut attri
ses sus-épineuses. Mais de mai à juillet 1905, il y eut une poussée aiguë , avec élévation thermique, râles fins, nombreux b
toxique ou diathésique, tels les rhumatismes, soit chronique, soit aiguë , ne frappe également toutes les articulations q
uter les pa- roles de soulagement qu'on lui adressait. La période aiguë de la maladie s'étant dissipée, disparut aussi av
re des nerfs vaso-moteurs. Et si je passe sur la peau avec un objet aigu dans une direction longitudinale, c'est- à-dire
contact.Je vous rappelle leur début après des maladies infectieuses aiguës , après des traumatismes physiques et psychiques
n des symptômes acromégaliques chez notre malade, après une maladie aiguë infectieuse, probablement febris typhoïdea. Ce fa
, de quelle croissance rapide du corps peut être suivie une maladie aiguë . " D'une part, on peut attribuer cette forte cr
des thyroïdes de personnes, ayant succombé à une maladie infectieuse aiguë . Ils trouvèrent une grande quantité de matière
L. TREPSAT, Interne de l'asile d'Evreux. La question des oedèmes aigus et chroniques qui ne dépendent pas de lésions c
nie et la thérapeutique sont si nettes, nous pouvons citer l'oedème aigu de Quinke, le trophoe- dème de Henry Meige, le
onner à ce cas une place à part ; en effet,il existe une inflammation aiguë intense des nerfs radiculaires, qui est caracté
es, celles de l'écorce, diffuses, de nature nécrotique, d'évolution aiguë , relèvent de l'imprégnation toxique du cortex,
s cérébraux latents. Aux lésions corticales, rapides et mas- sives, aiguës , correspond l'explosion des symptômes manifestes
n des symptômes manifestes d'une mé- ningo-encéphalopathie diffuse, aiguë , dont le tableau était celui d'une mé- ningite
it été placé d'urgence 4 jours aupa- ravant. Affection en apparence aiguë . Impossible d'obtenir des renseignements de lui
gonfle- ment oedémateux des cellules névrogliques, dû à la pression aiguë exercée par la grande hémorrhagie. 5. L'aplat
ui a eu à plusieurs reprises des attaques de rhumatisme articulaire aigu , présente sur un bras une large tache nccvique.
N'a pas eu d'autre maladie qu'une attaque de rhumatisme articulaire aigu , à l'âge de 17 ans : cette attaque dura à peu p
e 18 ans, 4 ou 5 mois après son attaque de rhumatisme articu- laire aigu , se produisit un incident important : un jour qu'
llement chronique, comme dans le tabes, nous avons ici un processus aigu qui se ter- mine en moins d'un an. , Du côté
cutif à la section expérimentale, au contraire, est beau- coup plus aigu ; la dégénérescence périphérique y prend le type w
us fréquentes qu'on ne l'a- vait pensé autrefois. En dehors des cas aigus ou subaigus où l'on a trouvé l'augmentation du
s. Les sons graves sont pour elle « comme le tonnerre » et les sons aigus « comme une cloche ». Elle reconnaît le clairon
ue la main non maintenue par le radius forme un angle plus ou moins aigu avec le cubitus ; 3° que l'absence du radius coïn
e, parcourant le membre du haut en bas. Cette douleur est tellement aiguë qu'elle l'arrête brusquement dans sa marche, pa
Les lésions « d'oe- dème » s'observent également dans les myélites aiguës . Pour toutes ces raisons Schmaus admet, en plus
f, d'origine toxique, comme les oedèmes viscéraux des inflammations aiguës . Cette manière de voir a rencontré des partisans
t sténose notables des coronaires. Néphrite chroni- queavec poussée aiguë . Emphysème pulmonaire avec, au sommet droit, tube
nt cliniquement évolué en 6 semaines, en même temps qu'une néphrite aiguë . Gros foyer épidural comprimant légèrement la m
présente à la coupe l'aspect « mastic de vitrier ». Grosse néphrite aiguë . L'encéphale est sain à l'oeil nu.Au microscope
les méninges molles, qui présentaient les lésions de l'inflammation aiguë avec infiltration massive de polynucléaires et,
es, et non de polynucléaires, avec de nombreux foyers d'endartérite aiguë , sténosante, qui manquaient dans les deux faits
11), dans un cas compliqué de néphrite chronique avec forte poussée aiguë , chez une artério- scléreuse, la moelle présent
5 de nos malades, soit dans un tiers des cas. Il s'agit de néphrite aiguë ou chronique, ou de dégénérescence amyloïde. On
86 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
stérieure et 0,075m/m. de diagonale latérale. L'angle antérieur est aigu et se continue par la suture métopique qui est
ntimètres antérieurs, offre sur un centimètre t(3 quatre dentelures aiguës et profondes de 5 millimètres environ, puis, ch
rontal et le pariétal. Elle forme avec la suture sagittale un angle aigu , à sinus postérieur de 25° environ. Cette brèch
de Chev ? décrit ainsi les accès : II tombait sur le côté, sans cri aigu , devenait pâle; les mains se crispaient, les ye
rossiers. Rhumatisme 192 HYDROCÉPHALIE : antécédents. articulaire aigu généralisé à 32 ans. Aucun accident nerveux sau
lle morte tuberculeuse. - Cinq frères, dont deux morts d'affections aiguës ; les trois survivants sont sobres, bien- porta
ans et demi. Trois enfants : t fille, morte il 5 ans d'une maladie aiguë , intelligente, pas de convulsions ; 2" garçon,
phalie : crâne. '' £ 0 ? e L'angle antérieur de la fontanelle est aigu et se continue par la suture métopique, qui est
1 août 9890).-Père, 28 ans, cocher, n'aurait jamais eu do maladie aiguë grave, boiteux depuis l'âge d'un an, il est très
ÉPHALIE; CONTRACTURE. jamais été atteint de maladie infectieuse, ni aiguë . -Aucun antécédent scrofuleux. On a trouvé fréq
âne ET cerveau 239 1890. Janvier. Revill... contracte une pneumonie aiguë qui détermine son décès le 12 janvier 1890. Poi
estins, rien de particulier. Cause de la mort : Pneumonie lobaire aiguë . h' alcoolisme du grand-père paternel, le bégai
entre l'os surnumé- raire et le pariétal et qu'il est relativement aigu . Les pariétaux, unis à la portion écailleuse du
la tente du cervelet qui forme une sorte de cul-de-sac médian assez aigu dont le sommet se dirige en haut et s'élève à 5
tisme. Rougeole. Tics. Etat actuel. Tuberculose pulmonaire. Poussée aiguë avec méningite tuberculeuse. AUTOPSIE. - Etat
re. - Père, ajus- teur, enfant naturel, mort à 70 ans d'une maladie aiguë , sobre, jamais malade. Mère, 70 ans, bien porta
, est sobre. - Une sur, morte à la suite de couches d'une affection aiguë , avait eu trois enfants dont un mort en naissan
891) ne sont guère plus probants. Dans ce cas l'hydrocéphalie était aiguë , l'é- panchement sous-arachnoïdien ; trois ponc
87 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
u début. Il fait partie de la deuxième période et est le plus souvent aigu et prolongé, toute-fois il peut revêtir les carac
calme, la malade se met en arc de cercle, elle pousse de grands cris aigus .—Puis elle s'enfonce dans son lit, se contourne,
» Elle se cache la tête dans les oreillers, en poussant des cris très aigus . On dirait qu'on l'étrangle1. Un tableau plus r
» Elle se cache la tête dans les oreil-lers, en poussant des cris si aigus , si perçants qu'on ne saurait mieux les comparer
haut.—- Terreur. Elle compte ses dents avec le doigt, pousse des cris aigus : «Vieux boucher !» — Elle appelle son chat: « Noi
ment. La malade exécute ensuite ses grands sauts entremêlés de cris aigus . Puis elle se redresse, appelle madame X..., fa
tement pour retomber ensuite sur le lit, et la malade pousse des cris aigus et prolongés qui imitent le sifflet de la locomot
de fer». Cette période se reproduit comme précédemment avec les cris aigus et mêlée d'arcs de cercle. 10 h. 25 m. 15 s. At
le « chemin de fer » entremêlé de sauts, d'arcs de cercle, et de cris aigus répétés. Suivent les attitudes passionnelles to
la malade se place dans l'extension. Grands sauts entremêlés de cris aigus . Stertor. 10 h. 15 m. Ondulation du ventre ; la
15 m. Ondulation du ventre ; la respiration se précipite. Sauts, cris aigus . Enfin, stertor toujours dans la même attitude de
rc de cercle quelques instants, pendant lesquels elle pousse des cris aigus . 10 h. 20 m. Nouvelle attaque exactement sembla
l était nécessaire de l'envelopper pour pouvoir la contenir. Des cris aigus accompagnaient cette phase de la crise. A cette a
e plaint de palpitations, entend dans l'oreille des siffle-ments très aigus , comme ceux d'une locomotive. U lui semble qu'on
un violent mouvement d'expiration suivi brusquement d'une inspiration aiguë et sifflante. La respiration a d'autant plus de
n arrière; et ces différents mouvements s'accompagnent de petits cris aigus , stridents et brefs. Parfois enfin c'est une sa
pouvaient contenir la malade. Elle poussait par in-tervalles des cris aigus ; lorsque ses mains étaient libres, elle se meurtr
s figures de la danse; tantôt avec une voix douce, tantôt avec un son aigu , d'autres fois rauque ressemblant à un hurlement,
ntraction spasmodique des muscles du pharynx, la malade pousse un cri aigu ou un son rauque et inarticulé, tombe et perd con
, accompagnée, tantôt de ho-queis très violenis, tantôt de ci'is très aigus et perçants, cniiu de mouve-ineuls convulsifs si
cuper maintenant. Griesinger décrit sous le nom de folie hystérique aiguë les accès délirants dont nous parlons : (( Dans
ccès délirants dont nous parlons : (( Dans la première forme (forme aiguë ), ce sont des accès aigus de délire et d'agitatio
arlons : (( Dans la première forme (forme aiguë), ce sont des accès aigus de délire et d'agitation allant quelquefois jusqu
ne l'a quittée que pour être remplacée par un rhumatisme articulaire aigu , qui s'est pro-mené dans toutes les articulations
a nourrice qui l'avait élevée, laquelle est prise d'un accès de manie aiguë dans la nuit. L'enfant, terrifiée, reste pendant
même, l'enfant est prise d'une convulsion qui lui fait pousser un cri aigu et se rejeter au loin. M. La-sègue essaye de subs
bras, pris par le poignet, sont relevés sans grands efforts, à angle aigu , au-dessus de la poitrine : ils oscillent légèrem
re son goût pour la boisson, est bientôt pris d'accidents alcooliques aigus pour lesquels il est envoyé à Sainte-Anne. Il b
rge d'une électricité de signe contraire k celle du patient. La forme aiguë de l'instrument ne permettant pas à l'électricité
rmes que l'on ne pouvait arrêter, accompagnées de plaintes et de cris aigus ; d'autres fois, la bouche extraordinairement ouve
e, d'où il ne pouvait depuis longtemps sortir un son, pousse des cris aigus et lamentables, qui percent le cœur des assistant
ce que je puis expri-mer; elles me faisaient crier tantôt d'une voix aiguë , tantôt d'une voix plaintive... II est arrivé que
indécents qui lui faisaient dire qu'elle souffrait des douleurs plus aiguës que si elle mettait un enfant au monde La convu
s dont on s'était s;;rvi jusqu'ici pour cette opération, étaient très aigus , ronds, lisses et déliés. Aujourd'hui, pour la pr
comme des forcenés, se rouler, écumer et tomber en poussant des cris aigus et des hurlements. Toutes les folies ont une tein
'une description exacte et simple, changea : il tit entendre une voix aiguë et perçante, et, penchant la tète en avant comme
tériques, sanglots convulsifs, sourds gémissements, cris inarticulés, aigus , rapides, tout se confondait et se distinguait po
88 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
ns. A l'âge de 25 ans, elle eut une attaque de rhumatisme articulaire aigu . Mais déjà, deux ans auparavant, elle avait comme
couleur. Sa face profonde repose immédiatement sur une crête osseuse, aiguë et tranchante, formée par l'arête du fragment sup
fin elle eut une gastrite qui fut qualifiée par son médecin, tantôt d: aiguë , tantôt de chronique. Les douleurs d'estomac se r
rs sans avoir été malade un seul jour. Il n'a jamais eu de rhumatisme aigu ni chronique, ni douleurs d'aucune sorte en dehor
ffirme d'ailleurs que même pendant les poussées douloureuses les plus aiguës , jamais il ne s'est tenu de travers. Les troubl
e, immédiatement après, le jour même, elle ressentit une douleur très aiguë dans tout le membre inférieur gauche, le long du
ence de la réaction de dégénérescence dans les muscles atrophiés. Cas aigus et subaigus. Messieurs, Je me propose d'étudi
été désignés par Wernicke sous le nom de polioencéphalite supérieure aiguë ou subaiguë. Ils sont le plus souvent rapidement
ques. Ce sont ces cas-là (ils sont au nombre de 40, y compris les cas aigus , dans la statistique de Dufour) qui nous intéress
ssant de côté, comme nous l'avons dit, la polioencéphalite supérieure aiguë , les cas de tumeurs, et enfin les ophthalmoplégie
es cérébraux émergent de la protubérance, s'écartent aussitôt à angle aigu pour se porter chacun dans l'hémisphère correspon
'oppresse pendant dix minutes. Il se couche, la douleur devient moins aiguë , et le lendemain matin, voulant se lever, il ép
a tête dérangée ; enfin, son frère est mort de rhumatisme articulaire aigu . Il est donc de souche arthritico-nerveuse. Voi
loppait souvent à la suite d'une maladie infectieuse ou d'une maladie aiguë . C'est là, vous disais-je, un point sur lequel M.
ère de voir. C'est en effet dans le cours d'un rhumatisme articulaire aigu , vers le douzième jour, que l'affection a débuté
in pour voir une malade « atteinte, dit-il, de rhumatisme articulaire aigu depuis douze jours, et chez laquelle des accident
sa maladie s'est développée dans le cours d'un rhumatisme articulaire aigu ; elle a progressé insensiblement et a fini par a
es attaques ne duraient que peu de temps. La malade poussait des cris aigus , se plaignait d'une violente douleur au cœur et à
elle se trouve, se cache la figure avec ses mains et pousse des cris aigus . En même temps des mouvements choréiformes rythmi
ence de la réaction de dégénérescence dans les muscles atrophiés. Cas aigus et subaigus ... 189 XI. Cinq cas d'ophthalmop
89 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
plus légitime, au lit du malade. On doit donc décrire des oedèmes aigus et des oedèmes chroniques. I. Les oedèmes aigus
décrire des oedèmes aigus et des oedèmes chroniques. I. Les oedèmes aigus (à part ceux à étiquette infectieuse évidente :
ceux à étiquette infectieuse évidente : tels, par exemple, l'oedème aigu du phlegmon, du charbon ou de l'érysi- pèle) re
énérale des oedèmes pourrait être ainsi établie : 1. - 0>Jucnrrs aigus . A. Infectieux proprement dits, tels, pour ne c
succédant, dans quelques cas, à des poussées à répétition d'oedème aigu ou subaigu. L'élément étiologique serait ici mo
oir pour l'historique, la symptomatologie et les formes de cet oedème aigu type Quincke : l'excellente thèse de Le Calvé,
t oedème aigu type Quincke : l'excellente thèse de Le Calvé, OEdème aigu toxinévropathique de la peau et des muqueuses.
foyers de ramollissement étendus, ni de lésions parenchy- maleuses aiguës , les vaisseaux étaient moins gravement lésés que
nne heure. Pas d'énurésie nocturne, n'a souvenir d'aucune affection aiguë fébrile l'ayant re- tenu au lit. A toujours jou
allèrent en augmentant progres- sivement. Il n'y eut jamais d'état aigu , fébrile, de symptômes, généraux soit au début,
ladie. Son mari mourut il y a trois ans, d'une affection pulmonaire aiguë . Elle eut cinq enfants, dont trois sont morts :
n idiot à l'âge de 21 ans. La malade n'a jamais souffert de maladie aiguë ; les antécédents spécifiques n'ont pu être tro
lade est mort quelque temps après avec les symptômes d'une entérite aiguë . Dans ce cas de neurasthénie nous observons que
mé temporairement dans sa troisième année de service pour pleurésie aiguë séro-fibrineuse. Un frère aîné présente une sté
très difficile de poser un diagnostic exact. Mais lorsque les accès aigus se sont dissipés, alors dans le délire alcoolique
des, souffrant de délire alcoolique, se remettent, après la période aiguë , assez Lien pour pouvoir s'occuper de leurs affai
alcoolique continu devient plus facile là où les accès primordiaux aigus se sont déjà effacés, où les phénomènes, rappe-
entiel entre le délire alcoolique continu et la psychose alcoolique aiguë décrite par différents auteurs sous différentes
ire alcoolique continu, s'est débarrassé des phénomènes alcooliques aigus , rappelant le delirium tremens, il faut encore av
rès -Nasse, cette maladie est une psychose développée d'une manière aiguë et qui se caractérise principalement par des ha
nations auditives très abondantes et se développant d'une ma- nière aiguë ; on observe aussi, quoique rarement, d'autres ha
par la guérison. Il faut encore remarquer dans l'« hal- - lucinose aiguë » de Werllicke, que l'intoxication alcoolique n'e
subaigu » le délire 'de persé- cution se développant d'une manière aiguë chez des alcooliques chroniques avec hallucinat
cas, dans lesquels, immédiatement après la dis- parition des accès aigus , persistent pour quelque temps le délire, les h
noter que, d'après les observations de Bonhoeffer 1' « hallucinose aiguë des alcooliques », contrairement au delirium tre-
clure sur les relations réciproques entre la hallucinose alcoolique aiguë de Bonhoeffel' et le délire alcoolique continu.
90 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
par la découverte de ses équi- valents cliniques et des épilepsies aiguës . En ce qui concerne la pathogénie des attaques
par Joffroy, ou au contraire d'une poliomyélite spinale antérieure aiguë de l'adulte. L'insuffisance d'examen et d'obser
rêtent souvent à ce stade. Il peut se faire, lorsque les phénomènes aigus ont été peu étendus et de courte durée que le m
vropathiques dans ses ascendants. Son père est mort d'une affection aiguë , il était sobre et habituellement bien por- tan
tuer une longue période pendant laquelle l'affection reste à l'état aigu avec son cortège symptomatique de lièvre, de doul
e tous les étés pendant cinq années consécutives. Si les phénomènes aigus s'amendent pendant les pauses, la myosite ossif
vent on a relevé des modifications dans les urines. Dans la période aiguë , Munchmeyer a trouvé une diminution notable des
lieu de 3 grammes n'en contenaient que 1 gr. z19 ; pendant la phase aiguë la plus petite quantité observée a été de 0 gr.
es expliquent parfaitement la formation de ces abcès : A la période aiguë , sous l'influence de la formation de nou- veaux
s troncs nerveu S'agit-il d'une tumeur ou d'une simple inflammation aiguë ? Les mouvements fébriles et les douleurs plus
qu'à la compression des veines profondes du membre, l'engor- gement aigu et passager des ganglions situés au-dessus du gro
'esteliu et Dambressi, de Minkewitsch ont succombé ù la tuberculose aiguë , Mays a trouvé dans le cas de Florsclmlz-Gerher u
ie; il s'ins- tale avec son cortège habituel de fièvre, de douleurs aiguës et de trans- pirations, avec peu ou pas de modi
almie de la maladie, car les raideurs que l'on observe à la période aiguë sont dues à plusieurs causes : à la douleur, à l'
nt accusé que le malade ne pouvait pas ouvrir l'oeil. Ces accidents aigus , gonflement, douleur et fièvre,Font obligé il gar
FIANTE PROGRESSIVE 173 dans les poussées antérieures, des accidents aigus . Toutes les poussées se sont montrées à la même
ouvons à signaler- que plusieurs attaques de rhumatisme articulaire aigu . Pas d'éthylisme. Pas de syphilis. La maladie s
IEDREICH A DÉBUT TAIDIF 183 Ces douleurs sont quelquefois tellement aiguës , qu'elles l'arrêtent brus- quement dans sa marc
rouve le caractère de la douleur. Tantôt elle est brûlante, obtuse, aiguë , térébrante etc. Probablement le degré de la lé
oude qui descend jusqu'à l'avant-bras. Ankylose des coudes il angle aigu . Sur le troue, là où le bras appuie, on voit une
enti- mètre. Les canines sont de champ et les petites molaires sont aiguës et coni- ques. Les dents sont au complet ; la p
établi les rapports anatomiques de cette maladie avec la pneumonie aiguë lobaire. Les pneumonies chroniques qu'il prenait
orée d'habitude, trou- bles mentaux, idées de suicide. - Alcoolisme aigu . - Chorée généralisée : t spasmes des muscles d
spasmes s'est produite il la suite d'une intoxica- tion alcoolique aiguë ; c'est encore une circonstance qui n'est pas ign
xillaire postérieure au niveau de la dixième côte. Cette douleur très aiguë en elle-même s'exagérait par la parole, la resp
se va asphyxier ; l'air pénètre dans la poitrine avec un sifflement aigu , le visage et le cou s'enflent, les veines du c
n'a rien pour vous épouvanter. Tout ce qu'elle a, est une bronchite aiguë et cette énorme oppression n'est que feu de pai
oujours après un traumatisme, chute ou coup. En juin 1892, douleurs aiguës au coude gauche et raideur consé- cutive de ce
ut de la maladie se présente sous deux formes distinctes, il -1 est aigu avec léger mouvement fébrile ou chronique d'emblé
- chaussée abrités par des auvents, un clocher qui dresse sa flèche aiguë vers le ciel maussade; au premier plan, uu squa
91 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
s antérieures de substance grise (Fig. 7, D, D). Ce sont dans le mode aigu , la paralysie infantile; dans le mode chronique,
concerne la substance grise, il est toute une série de lésions, tant aiguës que chroniques ou su- baignes qui ont pour cara
ées à la substance grise, ainsi que cela se voit, soit sous une forme aiguë comme dans la paralysie infantile, soit sous une
ales, l'ataxie locomotrice par exemple, les poliomyélites antérieures aiguës ou chroniques (paralysie infantile, atrophie musc
ts. m. Nous avons jusqu'ici des cas de myélite transverse à début aigu ou subaigu, où les accidents arrivent rapidement
nflammatoire. — Poliomyélites antérieures systématiques. — Elles sont aiguës , subaiguës ou chroniques. -- Caractères fondament
atiques. -- Amyotrophies protopathiques et deutéropathiques. Formes aiguës : paralysie spinale infantile, paralysie spinale
ons spinales d'Un autre ordre. Il faut ajouter encore le qualificatif aiguë ou chroni-que, suivant que l'affection évolue sel
ques. 4° Dans la plupart des cas, surtout quandil s'agit des formes aiguës ou subaiguës, les divers réflexes sont ou diminué
spinales antérieures systé-matiques évoluent, tantôt suivant le mode aigu , tantôt sui-vant le mode chronique. Je ne compren
est composée par le groupe des amyotrophies spinales protopathiques aiguës . a) L'espèce paralysie spinale de V enfance est
ue complexe, car, de fait, il n'est peut-être pas une lésion spinale, aiguë ou chro-nique qui ne puisse, à un moment donné, e
ions spinales diffuses non systématisées, on peut citer, dans le mode aigu , les myélites centrales ou poliomyélites diffuses
ice militaire, il a eu une première attaque de rhumatisme articulaire aigu avec complication cardiaque. Au mois de décem-bre
nflammatoire. — Poliomyélites antérieures systématiques. — Elles sont aiguës , subaigues ou chroniques. — Caractères fondamenta
matiques. — Amyotrophies protopathiques et deutéropathiques. Formes aiguës : paralysie spinale infantile, paralysie spinale
ystématiques, 379 ; — leurs ca-ractères cliniques, 380 et suiv. ; — aigus et subaigus, 383 ; — chronique, 384. — diffuse,
92 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
r une anémie préser- vatrice. De. là, les affections intercurrentes aiguës (pneumonie) des tabétiques. Préservez donc les
és, du tronc, du diaphragme. Il y avait concur- remment tuberculose aiguë . L'autopsie décèle une dégénéres- cence des sci
que la sensibilité générale et spéciale est atteinte dans la folie aiguë des jeunes femmes (désordre dans les idées avec h
ment auto- matique) autonome. Dans le délire sensoriel des maladies aiguës (surtout dans la folie systématique aiguë), les
e sensoriel des maladies aiguës (surtout dans la folie systématique aiguë ), les pseudo- hallucina- tions se développent e
t occasionné à Saint-Urbain sa première attaque. Il pousse des cris aigus ; il déchire ses vêtements; ses traits sont déco
aralytiques qu'on crut devoir rap- porter à une méningo-encéphalite aiguë . Tous les traitements employés, y compris la tr
ATIIIE AIGUE.\ MARCHE ascendante, rappelant la paralysie ascendante aiguë ; pal'l\l. BARTII, médecin des hôpi- taux. (Fr.
M. EUEnSTVEIG.C'est chez les mélancoliques agités et dans les états aigus en général qu'il a enregistré les menteurs résult
l'établissement en étant responsable; ,2° les malades à psychoses aiguës passagères, à traiter'dans une'' maison ^'aliénés
upposition de MM. Ballet et Minor qu'on avait à faire à une myélite aiguë limitée qui, peut être, eut aussi une significa
ompression; Dans un cas, myélite transverse; Dans un cas, myélite aiguë limitée ( ? ) Dans dix cas, sclérose diffuse.
sions diffuses des troubles de nutrition dans la folie systématique aiguë , la paralysie générale, la méningite chronique,
et chacun de vous a certaine- ment observé, à la suite d'affections aiguës chez les très jeunes sujets, des cas d'arrêts d
on de l'héréditaire. Donc, il a suffi de l'apparition d'une maladie aiguë et notamment d'une fièvre typhoïde, d'une vario
ingtaine d'années sur les troubles nerveux consécutifs aux maladies aiguës . Thore ', M. Christian 2 et plus récemment le D
série, 7e année. i Christian. De la folie consécutive aux maladies aiguës , (arch. gén. de med., septembre et octobre 1873
mkl'ankheiten, 1881. - B. D. XI, XII. 436 SOCIÉTÉS SAVANTES. dies aiguës ; M. Foville ' a signalé consécutivement à la vari
sivement poursuivies sur les paralysies consé- cutives aux maladies aiguës . M. Landouzy 9 qui, dans son impor- tante monog
ogrès médical, 1884. » Landouzy. - Des paralysies dans les maladies aiguës , 1880, p. 312. SOCIÉTÉS SAVANTES. 437 Il me s
me de ces trans- formations git dans les changements que la maladie aiguë im- prime à la nutritiun ; il ne s'agit pas seu
côté, aux sillons temporaux inférieurs), qui formaient des crêtes aiguës ; il en résultait un eiichâloiiiieineiit, plus pro
e de la connaissance au moment de l'acte. L'intoxication alcoolique aiguë n'est pas seule en jeu ; n'y a-t-il pas en effe
(Thèse de Paris, 1885.) Utilité de la révulsion dans les affections aiguës de la moelle ; par CALL.IS. (Thèse de Paris, 48
r Schultze, ? 30; -(tabes dorsal avec atrophie), 230. lyélopathie aiguë à marche ascen- dante, rappelant la paralysie a
93 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
me des parties molles au niveau des points où existaient ces douleurs aiguës . Je trouvai de même en avant du calcaneum une émi
ouleurs aiguës. Je trouvai de même en avant du calcaneum une éminence aiguë qui m'expliqua parfaitement la talalgie dont se p
des Auvergnates, bonnet tuyauté des Limousines, entonnent d'une voix aiguë et inharmonieuse les couplets de l'Ave Maria. Des
is, des injures, des vociférations ; enfin produisant l'état de manie aiguë , c'est le bruit d'une foule hurlante poussant des
lade, l'intensité des hallucinations décroît en même temps que l'état aigu fait place à l'état chronique ; si la guéri-son s
à la face des personnes présentes. Enfin lorsque survient la manie aiguë ; lorsque se produit le bruit d'une foule poussant
rrifiantes du diable et des feux éternels produisant un état de manie aiguë , qu'elle nous décrira dans son mémoire. (A suiv
éthode actuelle et tant vantée de l'alitement dans la cure des folies aiguës , à laquelle elle pourrait servir d'épigraphe, est
rtant très documentée sur « les fous du théâtre grec » (2), une manie aiguë , mais un délire hallucinatoire terrifiant ou, ce
2; january, april, july 1873 ; january, april, 1874). transitoire aigu de délire, avec illusions sensorielles et réactio
ncoliques qui succèdent souvent à la phase d'agitation hallucinatoire aiguë . Caractérisée par de la prostration, du mutisme,
iques qui se succèdent, plus ou moins liés l'un à l'autre : une crise aiguë de délire hallucinatoire nocturne, un accès de dé
ement avoir: au délire hallucinatoire, l'explosion nocturne, brusque, aiguë , les hallucinations visuelles, terrifiantes, méla
n vit une figure merveilleuse : Pallas apparut, brandissant une lance aiguë ; elle lança contre la poitrine d'Hercule un roche
nous aurons affaire à des crises cataleptiques et à un accès de manie aiguë . Un vendredi, jour de jeûne, elle avait un accè
es niaiseries. Mais nous allons maintenant, avec les accès de manie aiguë , voir survenir une période plus grave ; le Démon
l'aphasie, le vertige, les hallucinations, les idées fixes, le délire aigu , la folie. D'après M. Pron, la théorie de l'aut
ils sont de peu se mouvoir et de garder le coin du feu. La perception aiguë et fine des choses ne s'acquiert pas dans le mouv
t malade. Une angine de poitrine le terrassait, compliquée d'un œdème aigu du poumon. C'était un cardiopathe artériel de vie
décrits dans le n° d'octobre p. 118 « Enfin lorsque survient la manie aiguë ; lorsque se produit le bruit d'une foule poussant
... » (p. 154). « Mais nous allons maintenant avec les accès de manie aiguë , voir survenir une période plus grave...» (p. 157
isième période : 1673, 1673, 1677 (?) Dès lors, période de la manie aiguë , c'est la troisième ; période du feu, " c'est la
94 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
sorcière, danse en crapaud sur son ventre ou chauve-souris, d'un hec aigu , cueille à sa houche effrayée d'horribles baisers
la colonne vertébrale. Quelquefois, le bras ainsi contracture un cri aigu et prolongé ; la bouche s'ouvre largement ; la la
n place, court dans le jardin, menace de tout briser, pousse des cris aigus qui,comme nous l'avons écrit plus haut, lui procu
ui, pourtant, ne quittent pasie lit. Ace moment, G... pousse un cri aigu , très-perçant; les paupières battent ; la déviati
spiration. b) La respiration devient convulsive. G... pousse un cri aigu . Le menton s'abaisse; la respiration est ronflant
ns, elle n'aurait pas eu d'autre maladie qu'un rhumatisme articulaire aigu , pour lequel elle serait entrée à l'hôpital des E
ie débute sans cri ; les attaques consécutives s'annoncent par un cri aigu , modulé. La face se congestionne, les paupières b
gmes très-bruyants. Période clou'ique.— Ensuite, M... pousse un cri aigu , modulé, ou bien un « Oh! là là !» déchirant ; el
culpâ, suivis de contorsions, de grimaces. Puis, elle pousse des cris aigus : « Oh ! là ! là ! » sourit, regarde avec un air
figure contente : « Tu ne veux plus ?... tu es un méchant... » Cris aigus ; se soulève, retombe, se tortille se débat, repo
. Ainsi, un chat, qu'on avait blessé par mégarde, ayant poussé un cri aigu , M... a bondi,juré et dit: Ca... chat. Elle a, de
95 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
oivent faire renoncer à la cautérisation ; la métrite parenchymateuse aiguë ou subaigué, est aussi le plus souvent très-aggra
limitée au col, et ne présentant plus de retours temporaires à l'état aigu , peut au contraire en éprou-ver de très heureux e
liquide injecté, ou bien encore elles sont le résultât d'une métrite aiguë étendue de la muqueuse au parenchyme de Putérus e
regarder comme telles l'ovarite, la péritonite pelvienne, la métrite aiguë , l'engorge-ment avec ramollissement des parois ut
tés, il remarqua que la palpa-tion abdominale produisait des douleurs aiguës et refusa d'in-troduire la curette; le lendemain
der comme exposant aux dangers que nous venons de signaler la métrite aiguë , qu'elle soit parenchymateuse, ou qu'elle ne port
, surtout si elle est abondante; l'inflammation péri-utérine à l'état aigu ; le phlegmon des ligaments larges, l'ova-rite et
né-vralgie, doit porter, dit M. Huguier, à diagnostiquer une mé-trite aiguë ou chronique, si toutefois on n'a pas été obligé
de l'utérus non traitée ex-pose presque infailliblement à la métrite aiguë et à l'engorge-ment, a proposé ce traitement chir
paraît avoir été causée dans quelques cas par l'inflammation du col, aiguë ou chronique ; les éro-sions, les granulations, l
les antipldogistiques locaux, comme dans le traitement de la métrite aiguë . De même les premiers symptômes de phlébite comma
nsuite dans la trompe. L'angle de Fallope de la cavité utérine est si aigu , et sa face interne est si lisse et si ferme en c
de la paroi abdomi-nale, des fosses iliaques, provoquent des douleurs aiguës , des tiraillements et ne permettent pas d'ailleur
pérées. Il faut également s'abstenir lors-qu'il existe une phlegmasie aiguë ou chronique dans la cavité abdominale, car la pé
lement nerveux, ou choc de l'opération ; l'hémorrhagie, la péritonite aiguë avec ou sans suppuration, l'inflammation chroniqu
ette péritonite consécutive à l'ovariotomie ressemble à la péritonite aiguë simple, lorsqu'elle a pour cause un épanche-ment
de la fistule : une longue pince à dents de souris; un petit crochet aigu monté sur un long manche, le crochet ne doit pas
de bistouri, et c'est après ce décollement qu'on implante le crochet aigu et qu'on fait agir les ciseaux. Figure iv. Bist
de la trachée, a, téna-culum, dans la cannelure duquel glisse la lame aiguë d du bistouri b; c, lame à extrémité mousse pour
96 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
trophie pure et simple du parenchyme du foie, on d'une atrophie jaune aiguë . La première de ces affections a quelque rapport
seins. bourneville. BIBLIOGRAPHIE Traité clinique des maladies aiguës des organes respiratoires, par E. J. Woillez, m
se divise en deux grandes parties; la première comprend les maladies aiguës spontanées, et se subdi-vise en cinq chapitres qu
urs de ces types à la fois. La seconde partie comprend les maladies aiguës accidentelles des organes respiratoires et, sous
ratoires et, sous ce titre, M. Woillez examine : 1° les complications aiguës de l'emphysème pulmonaire ; 2° l'apoplexie pulmon
e, elle joue un rôle tellement important que, de tou-tes les maladies aiguës , c'est la bronchite qui présente, après la guéris
tefois qu'on trouverait là les caractères histologiques de la myélite aiguë avec multiplication des myélocyles et des noyaux
du Hachisch : nous diviserons notre description en : 1° intoxication aiguë ; 2° intoxication chronique. I. Intoxication ai
1° intoxication aiguë ; 2° intoxication chronique. I. Intoxication aiguë . — Les premiers phénomènes que l'on ob-serve chez
n à y persévé-rer. On a confondu jusqu'ici, sous le nom d'alcoolisme, aigu ou chronique, diverses espèces ayant toutes un fo
ère séance, les phénomènes généraux graves de l'intoxication urineuse aiguë . —Alors, parla taille, on espère voir cesser tous
- (1) Voy. Colin, Obs. de cancer eneéphaloïde du péritoine à marche aiguë [Gaz. hebd.,m%, p 712). Iules plates, ne différ
toute une série d'ac-cidents qui peuvent le faire mourir : septicémie aiguë , infection purulente, ostéo-myélite des blessés;
Laissant de côté les cas d'anurie dépendant d'une maladie de Bright aiguë ou chronique, qui sont trop complexes pour prendr
ticulière. Enfin il y insiste de nouveau dans son Traité des maladies aiguës des organes respiratoires, dont M. Malherbe a fai
fréquemment des fluxions de poi-trine. La dernière de ces affections aiguës est survenue pendant le siège. Elle marchait enco
suivie d'acci-dents divers et d'une longue convalescence. La maladie aiguë date de cinq ans, et la malade est à la Salpêtriè
s; 4 vivent et sont bien portants, 1 est mort à 7 semaines de maladie aiguë . La grossesse relative à notre malade n'a rien
rtère om-bilicale. Les deux artères ombilicales se réunissent à angle aigu au niveau de l'ombilic, de sorte qu'il n'y a qu'u
it supérieur formait cependant avec l'ho-rizon un angle beaucoup plus aigu qu'à l'état normal. Au bout de 8 jours, la femm
ntation contenant une certaine proportion de seigle ergoté ; à marche aiguë , très-rarement chro-nique; se traduisant par des
97 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
rogressivement d'un degré à un autre, de façon iL arriver aux notes aiguës , à faire sortir les sons de la gorge en ouvrant
tat obtenu est d'ordinaire bon et l'enfant gagne des notes dans l' aigu et dans le grave, ce qui permet d'augmenter l'é-
tion de celle-ci. En procédant ainsi par degrés jus- qu'aux notes aiguës , on arrive à faire connaître à l'enfant toute u
e but d'éviter le transfort de malades sous le coup d'une affection aiguë , de même que nous pre- nons la température à l'
(1) pour savoir si l'enfant n'est pas sous le coup d'une affection aiguë , contagieuse ou non. (1) A l'entrée de tous les
a fré- quence encore grande de cette conjonctivite. Conjonctivite aiguë contagieuse (à bacille de Weelts). Cette conjon
ntagieuse (à bacille de Weelts). Cette conjonctivite, beaucoup plus aiguë que la précédente, passe rarement inaperçue. La
auvage de l'Aveyron, nous pou- rons passer des sons graves aux sons aigus , de la cloche à la flûte en passant par le pian
les plus réservées, si elles ont du délire au cours d'une affection aiguë ou d'une psy- chose, prononcent, elles aussi, d
'an- thélix en est très saillant ; sa bifurcation se fait à angle aigu et ses branches de bifurcation se dirigent presqu
Tubercule de Darwin. Anthé- lix saillant, bifurcation à angle très aigu .Tragus et anti- tragus très marqués. Lobule épa
mais été malade. Mère morte à 4t1 ans, d'une affection pul- monaire aiguë . Ordinairement en bonne santé. Non alcooli- que
de la mère. Père sobre, mort à 65 ans, d'une affec- tion pulmonaire aiguë . Mère morte à 75 ans d'une maladie du foie. - G
. Pas d'éthylisme, pas de caféisme. En 1871, rhumatisme articulaire aigu généralisé. Bien que son mariait eu, au dire de
pie, gymnasti- que, école et ouvroir. 1891, Mai. - Otite moyenne, aiguë , qui est complètement guérie le 23 mai. à 189
ose pulmonaire, il aurait eu il une date anté- rieure une pleurésie aiguë . La mère âgée de 63 ans, est Antécédents person
98 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
evaient non seulement les enfants de tout âge, atteints de maladies aiguës , intercurrentes, mais encore les enfants gâteux
ilepsie s'accompagnent de chute, mais ne présentent ni aura, ni cri aigu initial, sauf quelquefois une sorte de cri plai
artreuses aux jambes. [Père mort d'une affection gastro-intestinale aiguë ; non alcoolique : a eu également pendant plus d
uillet, 5 ; août, 14. Les accès ont été suspendus durant la période aiguë de l ? Stpè ! e (22 avril 4 mai). Autopsie le
ième circonvolution; ordinairement, le sommet du cap ne reste pas aigu et l'origine des deux branches est séparée par un
on as- sure qu'elle disait : maman ! maman ! puis poussait un cri aigu et tombait. Quelquefois, elle s'est blessée, malg
ocal, qui sert encore de réfectoire, d'enfants affectés de maladies aiguës et de gâtisme, suffit déjà, par elle-même, à in
out objet qu'il rencontre. Entêté et capricieux, il pousse des cris aigus , jusqu'à ce qu'on ait cédé à sa fan- taisie.
névropathiques. Elle a ou une attaque de rhumatisme arti- culaire aigu . [Père rhumatisant ; pas de troubles nerveux da
les au mercure ». [Père, aveugle à 27 -ans est mort d'une bronchite aiguë . Mère, ainsi que l'un des quatre frères, morts
arche de l'épilepsie ; 4° C'est surtout quand il s'agit de maladies aiguës provoquant une réaction fé- brile, que la modif
99 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
produites. C'est le cas, par exemple, pour le rhumatisme articulaire aigu , la goutte, ainsi que je l'ai depuis longtemps fa
ssé de particulier ; mais ce jour-là, elle a eu une attaque avec cris aigus et quelques contorsions, prédominant toujours à d
e chronique. Sommaire. — Atrophie musculaire dans les arthropathies aiguës , sub-aiguës, ou chroniques. — Relation entre la l
fait est bien constaté, en ce qui concerne le rhumatisme articulaire aigu , la goutte aiguë (Bouchard, Debove), le rhumatism
onstaté, en ce qui concerne le rhumatisme articulaire aigu, la goutte aiguë (Bouchard, Debove), le rhumatisme blennorrhagique
humatisme blennorrhagique. Ce qui vient d'être dit des arthro-pathies aiguës ou subaiguës, on peut le répéter du rhumatisme ar
sme articulaire chronique. — Dans toutes ces affections articulaires, aiguës ou chroniques, l'amyotrophie se produit suivant l
de tension qui rappelle quelquefois ce qu'on éprouve dans le glaucome aigu *. Des vomissements terminent la scène, et tout r
A ce moment, il ne s'agissait plus d'une flexion des genoux à angle aigu , comme autrefois, mais d'une flexion à angle obtu
érence, qu'une ogive est formée par deux arcs, se rencontrant à angle aigu . Mais je ne vois pas du tout ce que sont les chos
: À 19 et à 29 ans, le malade a été atteint de rhumatisme articulaire aigu , sans lésions du cœur. La dernière attaque a duré
ipèle à la face suivi bientôt d'une attaque de rhumatisme articulaire aigu , d'ailleurs assez légère, puisqu'elle ne le retin
ans les antécédents du malade, l'histoire d'un rhumatisme articulaire aigu qui l'avait tenu au lit, pendant cinq ou six sema
l'âge de 16 ans, il fut pris d'une attaque de rhumatisme articulaire aigu généralisé, précédé par un érysi-pèle de la face.
etites voitures et, peu après, il contracte un rhumatisme articulaire aigu qui l'a retenu au lit pendant six semaines. Depui
as récemment observé par nous dans le cours du rhumatisme articulaire aigu le plus intense, compliqué d'endopéricardite ayan
crise nerveuse avec délire terrible. Le médecin crut à une méningite aiguë ; le Dr Mayor, appelé en consultation, confirme c
e chronique. Sommaire. — Atrophie musculaire dans les arthropathies aiguës , subaiguës ou chroniques. — Relation entre la loc
100 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
me augmente le mal et replace l’individu qui y est soumis dans l’état aigu ; c’est le plus favorable des symptômes. Souvent a
os idées sur cette vérité. ACTION DU MAGNÉTISME DANS LES AFFECTIONS AIGUËS . Effets complexes : Dans ces cas, les effets
Une magnétisation fait ordinairement peu do chose dansles affections aiguës ; ce n’est que dans le commencement qn’on peut les
es procédés dont l’efficacité est depuis longtemps connue. DIARRHÉE AIGUË , DYSSENTERIE. Les frictions magnétiques, c’est-
ents dans les fluides. Il faut que le malade soit replacé dans l’état aigu , c’est-à-dire dans la disposition où la maladie,
e deux à trois minutes j difficulté très-grande de respirer, douleurs aiguës par tout le thorax, surtout du côté gauche; batte
saire, dit Cabanis (1), de rappeler ici particulièrement ces maladies aiguës singulières, dans lesquelles on voit naître et se
M. Klein, acteur du Gymnase, atteint d’une goutte sciatique des plus aiguës . La douleur, (1) Ces séances sont gratuites. On
er mouvement de l’articulation était accompagné des douleurs les plus aiguës ; les nuils étaient presque sans sommeil par suite
toujours couchée, et par moments ses « souffrances étaient tellement aiguës que deux ou « trois personnes avaient grand'peine
Wargnies, demeurant rue Tavelle, affectée d’un rhumatisme articulaire aigu bien caractérisé, subissait sans succès depuis di
Le nommé Coupez, ouvrier brasseur, atteint d’un rhumatisme musculaire aigu des plus intenses, en fut guéri en dix minutes de
r. 166 — — malade;. 32 — — solides. 317 — — dans les affections aiguës . 37 — — — chroniques. 34 — — — dites incurabl
iences publiques. 536 — des traitements magnétiques. 538 Diarrhée aiguë . 79 Dispositions du somnambulisme. 488 Dyspep
sme. 326 Goutte sciatiqne. 284 Gastro-entérite chronique. 120 - aiguë . 133 Gastrite aiguë. 79 Gastralgie. 80 Hall
tiqne. 284 Gastro-entérite chronique. 120 - aiguë. 133 Gastrite aiguë . 79 Gastralgie. 80 Hallucinations par les nar
es et articulaires. 80 — rénal ; voyez Lombago, 477 — articulaire aigu . 556
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